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BULLETIN INTERNATIONAL
DE L'ACADÉMIE DES SCIENCES
DE CRACOVIE
ACADÉMIE DES SCIENCES DE CRACOVIE A ÉTÉ FONDÉE EN 187* PI
S. M. L'EMPEREUR FRANÇOIS JOSEPH L
Protecteur de l'Académie :
S. A. I. L'ARCHIDUC FRANÇOIS FERDINAND D'AUTRICHE • ESTE.
Vice-Protecteur: S. E. M. Julien de Dunawwsu.
Pbésident: M. lb comte Stanislas Tabsowski.
Secbétaibe général: M. Stanislas Smolka.
EXTRAIT DES STATUTS DE L'ACADÉMIE:
/R 2) L' Académie est placée sous l'auguste patronage de Sa Majesté
[mpena?e Royale Apostolique. Le protecteur et le Vice-Protecteu, sont uou,
mes par S. M. l'Empereur.
(§. 4). L'Académie est divisée eu trois classes:
a) classe de philologie,
b) classe d'histoire et de philosophie,
e) classe des Sciences mathématiques et naturelles.
(§. ,2). La langue officielle de l'Académie est le polonais; c est dans
cette langue que paraissent ses publications.
fi. faitUtin inteznationaC pazait tous (es mois, à (exception
des mois 9e vacances (août, septemhe), et se compose 9e ceux
patties, Boni (a pzemiè.e contient t 'extzait 9es procès^ v^anx .toi
séances (en fiançais), Ca décerne Ces *»mi. 9es mémoires et
communications (en fiançais or, en aUeman9t au choix 9es auteurs)
Le prix de l'abonnement est 3 fl. = 8 fr.
Séparément les livraisons se vendent à 40 kr. = 90 centm.es.
Nakladem Akademii UmiejçtnoÂci
pod reiIakcya Sekreurza gencraU.ego Dr. Stanistaw. Smolkî.
Krako», ,9oo - Drukam» Uni*. Jagiell. pod zarzadeu, J. Klipow.ki.gO.
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BULLETIN INTERNATIONAL
DE L'ACADÉMIE DES SCIENCES
DE CRACOVfK
COMPTES RENDUS
SEANCES DE 1/ ANNEE 1900.
CRACOVJE
IMPRIMERIE DE l'u N I V E R S I T É
1900.
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Table de matières.
Classe de philologie. Classe d'histoire et de philosophie.
A. Bruckner. La langue de W. Potocki. Contributions à l'histoire
de la langue polonaise ........ 304
F. Bujak. Calimaque et les notions qu'on avait en Pologne sur
l'Empire ottoman, au commencement du XVl-e siècle . . 216
B. Dettibinski. Mission diplomatique de Félix Oraczewski, résident
polonais à Paris pendant la révolution. (1791- 1792) . . 380
T. Estreicher. Un globe du commencement du XVI. siècle à la
Bibliothèque de l'Université de Cracovie .... 96
M. K awc zy ns ki. Sur les Métamorphoses d'Apulée ou sur l'Ane d'or 124
F. Kopera. Comptes rendus des séances de la Commission de l'his-
toire de l'art, des 14 décembre 1899, 18 janvier. 22 février
et 26 avril 1900 163
S. Kutrzeba. L'organisation des tribunaux en Pologne au moyen-
âge. I. Palatinat de Cracovie (1374 1501) .... 385
V. Lutoslawski. La genèse de l'éleutherisme .... 170
T. Mandybur. La mythologie grecque dans les dialogues de Lucien 4
C. Morawski. Rhetorum Romanorum ampullae .... 380
M. F. Papée. La Lithuanie pendant les douze dernières années du
règne de Casimir IV (1480—1492) 56
J. Tretiak. Le cavalier d'airain de Pouchkine .... 52
Classe des sciences mathématiques et naturelles.
E. Bandrowski. La réaction des bromonitrobenzen sur paraphé-
nylene-diamine . . . . . . . . .186
— La réactien d'acide azotique conc. sur le brombenzen . 193
L. Bottcher. Sur le déterminants de Grévy . . . . .22/
T. Browicz. La structure des conduits biliaires et leur rapport
avec les vaisseaux sanguins capillaires ..... 23
— Structure des vaisseaux sanguins intralobutaires et leur
rapport aux cellules hépatiques ...... 201
358
6
T. Browicz. Les conduits biliaires int6rcellulaires ont ils des
parvis propres .........
L. Bruner. Contribution à la dynamique chimique. Recherches dy-
namiques sur la broinuration du benzène .... 29
S. Ciechanowski. Etude sur la sécrétion intracellulaire dans les
adénomes et adénocarcinomes du foie ..... 258
N. Cybulski. Quelques remarquas sur la force électromotorice dans
les nerfs de grenouilles ........ 256
S. Droba. Sur les cellules géantes dans le tissu tuberculeux . . 306
T. Emilewicz. Sur les phènylimines des oxy-acetophènones . . 198
M. Ernst. Sur l'orbise de la planète d'Altheia .... 62
L. Filimowski. Des modifications de l'épi thélium du tube dige-
stif des embryons dans la région gastro-duodénale . . 156
E. Godlewski (jun.). Sur la multiplication des noyaux dans les
muscles striés des vertébrés . . . . . . .12/
- De l'influence de l'oxygène sur le développement de l'em-
bryon du Kana temporaria et sur L'échange des gaz au com-
mencement de ce développement ...... 232
1\. Gutwinski. Additamenta ad floram algarum Indiae Batavorum
cognoscendam. Algae a cl. Dre M. Kaciborski in montibus
Vuleaniis: Krakatau et Slamat anno 1897 collectae . . 400
V. Hein ri ch. De la constance de perception des tons purs à la
limite d'audibilité ......... 37
— Etude critique des théories contemporaines sur les impres-
sions de couleurs ......... 64
- Note préliminaire sur la fonction accomodativc de la mem-
brane tympanique ........ 105
H. Hoyer. Contribution à la morphologie du coeur des poissons . 263
S. Klem ensio w i cz. Lépidoptères de Galicie, nouveaux ou pou con-
nus. 1-er supplément ........ 405
M. Kowalewski. Etudes uelmintologiques VI. Sur quatre espèces
du genre Trichosoma Rud. ....... 183
L. Marchl e w ski. Phyllorubin, un nouveau dérivé de chlorophylle 63
L. Marchlewski et C. A. Schunck. L'action du broin sur la
phylloporphyrine et haematoposphyrine . . . . .112
— L'obtention de la chlorophylle à l'état pur, son spectre,
ainsi que celui d'un autre principe colorant vert présent dans
les feuilles .......... 155
L Marchlewski et .). Buraczewski. Étude sur l'isotine . 374
Matériaux anthropologiques, archéologiques et ethnographiques vol. IV 342
S. Maziarski. Sur la topographie de la glande thymus et sur la
présence des follicules lymphatique dans la glande salivaire
sousmaxillairc de la cahoye . . . . . . .113
S. Maziarski. Sur la construction des glandes salivaires . . 279
M. J. Mazurek. L'influance de l'acide azotique sur la phenilaety-
lamine ........... 118
B. Miklaszewski et S. Niementowski. Sur les trois isomères
(,r5)-phénylbenzimidazoles . . . . . . . . 179
R. Negrusz. Sur les trois isomères phényl-taluênes . . . 152
S. Niementowski. Sur les homologues des alizarine , hystazarine
et quinizarine ......... 317
S. Opolski. Contributions à la connaissance des radicaux organi-
ques électronégatifs ........ 151
J. Paczoski. Liste des plantes ^recueillies en Poolie, dans la Bes-
sarabie septentrionale et aux environs de Zdolbunow en Vol-
bynie 404
J. Piep es-Por atynski. Sur la polymérisation de p. tolunitrile 117
F. Schille. La faune des lépidoptères de la vallée du Poprad et de
ses affluents. 3-e mémoire ....... 403
J. Sosnowski. Sur les phénomènes d'électricité observés dan les
nerfs des mammifères ........ 137
J. Trzebinski. La flore des forêts de Garwolin et des contrées
voisines ........... 402
L. Wewi6rski. Sur le condensation du glyoxale et de l'aldechyde
benzoïque au moyens de l'ammoniaque ..... 398
A. Wroblewski. Méthode pour obtenir des cristaux dans une so-
lution sans formation de croûte à la superficie . . . 319
— De l'influence des phosphates sur l'action fermentative du
jus exprimé de la levure; des acides phosphoriques complexes,
ainsi que quelques remarques sur le rôle de l'acide phospho-
rique dans la nature animée ...... 407
A. Wycz6îkowska. Sur les illusions optiques .... 7
C. Zakrzewski. Sur la force électromotrice produite par le mouve-
ment du liquide dans un tube de verre argenté . . . 224
B. Znatowicz. Action de l'acide nitrique sur les vapeurs des hy-
drocarbures aromatiques, à la température ordinaire . . 45
— Sur la réaction entre AgN0.2 et let dérivés chloriques de
la série aromatique . . . ..... 399
C. Zorawski. Sur une problème de la représentation conforme . 325
— Sur la conservation du mouvement tourbillonnaire . . 335
— Sur certaines catégories de variations d'éléments linéaires
pendant le mouvement d'un système continu de oints . . 367
-^35>-«
BULLETIN INTERNATIONAL
DE L'ACADÉMIE DES SCIENCES
DE CRACOVIli.
N" 1. Janvier. 1900.
Sommaire: Séances du 8, lô et 22 janvier 1900. — Résumés:
1. T. Mandybuk. La mythologie grecque dans les dialogues de Lucien. —
2. A. WYCZôtKowsKA. Sur les illusions optiques. — 3. T. Bkowicz. La
structure des conduits biliaires intercellulaires et leur rapport avec les vais-
seaux sauguins capillaires. — 4. L. Bedner Contribution à la dyna-
mique chimique. Recherches dynamiques sur la biomuration du benzène. —
5. VV. Heinrich. De la constance de perception des tons purs à la li-
mité d'audibilité. — B. Znatowicz. Action de l'acide nitrique sur le<
vapeurs des hydrocai bures aromatiques, à la température ordinaire.
Séa nées
('lasse «le Philologie
Séance du 23 janvier 1900
Présidence de M. C. Morawski
Le Secrétaire dépose sur le bureau les dernières publi-
cations de la Classe:
L. Sternbach. >De Georgii Pisidae fragmentis a Suida scrvatis*.
8-o, p. 91.
M. F. Piekosirïski présente le travail de M. J. Le<;ikjk-
wmci: „Les monuments runiques chez les Slaves".
M. A. Karbowiak donne lecture de son travail: ^Les
troubles des écoliers à Cracovie, en 154'.)u.
Le Secrétaire présente le compte rendu de la séance de la
Commission de l'Histoire de l'Art du 14 décembre 1899.
SÉANCES
(Masse «l'Histoire et de Philosophie
Séance du 15 janvier 1900
Présidence de M. F. Zoll
Le Secrétaire rend compte du travail de M. T. Estreicher:
„ Un globe du commencement du X VI* siècle à la Bibliothèque
de V Université de Gracovieu.
M. B. Dembinski donne la lecture du son travail: v Mission
diplomatique de Félix Oraczewski, résident polonais à Paris,
pendant la révolution de 1791 — 1792u.
M. C. Potkanski présente son travail: „Etudes sur le
XIV' siècle. Nr. VI. Les dates des conventions de Koszyce".
Le Secrétaire rend compte du travail de M. V. Nowo-
dworski: „Jean Zamojski écolier11.
Classe des Sciences mathématiques et naturelles
Séance du 8 janvier 1900
Présidence de M. F. Kreutz
M. T. Browjcz présente son travail: „La structure des
conduits biliaires intercellulaires et leur rapport avec vaisseaux
sanguins capillaires" x).
M. C. Olszewski rend compte du travail de M. Br. Zna-
towicz: „ Action de l'acide nitrique sur les vapeurs des hydro-
carbures aromatiques dans la température ordinaire" 2).
J) Voir ci-dessous aux Résumés p. 28. — 2) ibid. p. 45.
SEANCES
M. E. Bandrowski présente le travail de M. L. Bruner:
^Contribution à la dynamique chimique. Recherches dynamiques
sur la bromuration du benzène" l).
M. N. Cybulski donne lecture du travail de M. V. Hein-
rich: „De la constance de perception des tons purs à la limite
d'audibilitéa 2).
i) Voir ci-deasous aux Résumés p. 29. — 2) jbid. p. 37.
1*
Résumés
1. - T. Mandybl-r. Mitologia grecka w dyalogach Lukiana. „I>ie </rie-
chische Mythologie in den THalogen Lukiansa. Vorgelegt
den 13. November 1899.
Im Gegensatz zur Kritik und Verspottung der griechi-
schen Gôtter, wie sie bei Aristophanes und anderen iiblieli
waren, bedient sich Lukian der griechischen Mythologie zu
persônlichen Zwecken , indera er die Gôtter an seiner Pole-
mik mit den Philosophen theilnehraen làsst. Desshalb sind
seine Dialoge eine sonderbare Vermengang der alten Vorstel-
lungen mit neuen, unmitelbar aus seiner Zeit geschôpften Ideen,
deren Tràger nun die alten Gôtter sein sollten. Die Folge da-
von war, dass die griechischen Gotter bei ihm in vôllig
neuen Situationen auttreten und viel Originelles an sich haben.
Dièse Seite der Lukianischen Dialoge hat man bis jetzt wenig
beriicksichtigt, indem man déni Lukian bloss die Bekânipiung
des Anthropomorphismus zugemuthet liât. Zu dieser originel-
len, zeitgemâssen Anstrich an sich tragenden, Darstellung der
alten Gotter gelangte Lukian nicht gleich im Anfang seiner
literarisehen Thâtigkeit, sondern allmàlilich , im Laufe seiner
geistigen Entwickelung. Die ein/.elnen Dialoge lassen uns den
Lauf dieser Entwickelung deutlich erkennen.
Im allgemeinen ist bei Lukian keine Rede von conse-
quenter Verwertung und Kritik der alten Mythologie. Die Art
und Weise, wie er die Gôtter in seinen Dialogen auftreten
lâsBt, hângt immer eng mit seiner persônlichen Entwickelung
RÉSUMÉS 5
und seinen Anschauungen zusammen , die sich mehrmals ân-
derten. Verschiedenen , literarisehen Zwecken des Satirikers
gemàss, ândert sich auch das Aussehen seiner Gôtter. Die li-
terarische Laufbahn, die er durchgemacht hat, findet ihr Ab-
bild in der Darstellungsweise der Gotter. Conséquente Verspottung
der alten Gotter lâ^st sich bei ihm nicht nachweisen, denn er
verfasste Dialoge, in welchen er die Gotter ohne jede Zuthat
von Spott und Ironie zur Darstellung bringt.
Die einzelnen Dialoge stellen folgendes Bild seines Ver-
haltnisses zur Mythologie:
Die Erstlingswerke „Promctheus" und „die Gôtterdia-
loge" haben rhetorisches Geprâge. Die letzten sind vorwiegend
erotischen Inlialts und stehen unter déni Einflusse der „He-
târengesprâche". Das grossstadtische Leben und die aestheti-
schen Studien in Athen liesse n schon in diesen Werken deut-
liche Spnren zuriïck, aber Lukian wagt noch nicht den Bo-
den der traditionellen Sagen zu verlassen.
In den nâchst stehenden Dialogen verspottet er die Got-
ter und das „ Verhangnis " noch nicht; im Gegentheil, er
macht sie zu ethisehen Rathgebern und Richtern des mensehli-
chen Geselilechtes. Hieher gehoren: Charon , Tyrannus, Dia-
logi raortuorum. In diesen Werken legte er die Friiclite sei-
ner, im allgemeinen oberflaohlichen, philosophisch-ethischen Stu-
dien nieder.
Nacli langerer Unterbreeltung beginnt die eigentliche
Parodie in „deorum eoncilium" und „Icaromenippus"- Das
erste Werk enstand nich ummittclbar nach den Gottergesprâ-
chen, sondera spàter. Wir begegnen hier zum erstenmal sati-
rischen Beraerkungen ûber die Philosophen, wel.che den Giittern
in den Mund gelegt werden. Das eigentliche Motiv der Abfa-
nung war lediglich aesthetischer Natur d. i. das unaesthetische
Aussehen der barbarischen Gotter oder eigentlich ihrer Sta-
tuen. Im zweiten tritt Zeus scharf gegen die Philosophen auf.
Die beiden Theile des „Icaromenippus" liangen eng zusam-
men, was man mit Unrecht geleugnct hat. Die humoristische
Anlage des Ganzen erkliirt zur Genûge die Composition; der
6 RÉSUMÉS
Vorwurf der Unmoralitat , der den Philosophen von Zeus ge-
macht wird, bedeutet zugleich die Verurtheiluog der philoso:
phischen Speculationen, von welchen im ersten Theile die Rede
war und bildet genûgende Antwort im humoristischen Sinne
fur Menippus. Das Werk ist naeh dem J. lfif) n. Chr. ent-
standen.
In den rein polemiscben Dialogen , welche gegen die
Philosopben gericbtet sind. werden die Gotter als Feinde der-
selben dargestellt. Sie treten hier in verschiedenen Situationen
auf , dienen aber bloss zu rhetorischer Scenerie. Lukian ent-
fernt sich immer mebr von den traditionellen Sagen.
Im „Juppiter tragoedus" kommen wieder aesthetiscbe
Motive zum Vorschein, indem Lukian die berûhmten Statuen
der Gotter absichtlich mit ihren Personen vermiscbt. Zeus
wird als schlechter Schauspieler und Redner und als furcht-
sammer Gott dargestellt. Lukian verfolgt in diesem Dialoge
den Zweck, die philosophischen Disputen in Anwesenheit der
Gotter zu verspotten.
Vor „Juppiter confutatus" musste Lukian „Saturnalia"
gescbrieben haben oder wenigstens das Gesprâch des Priesters
mit Kronos, der im allgemeinen als gutmuthiger Rathgeber
der Menschen geschildert wird. Sein Bild steht weit hinter
denen der in fruheren Dialogen dargestellten Gotter, was dem
Greisenalter des Verfassers zuzuschreiben ist.
Im „Juppiter confutatus" spielt der hochste Gott die
Rolle eines unbeholfenen Philosophen von der Art des Damis
im „ Jupiter tragoedus", der im Disput den kiirzeren zieht.
Das „Verhângnis" wird hier im Gegensatz zu „Charon" eifrig
bekiimpft-
In allen Schriften gebraucht Lukian oft Gleichnisse und
Metaphern aus der Mythologie, sogar in einigen spât geschrie-
benen 7cpoXaXiai.
Die Scenerie der besprochenen Dialoge wird allmahlich
reicher und entwickelter, fehlt aber in den zwei letzten , da
sie bloss theoretische Verhandlungen zum Zwecke haben.
RESUMES t
Zur Entwickelung der Parodie in diesen Schriften muss-
ten ausser den literarischen Studien des Verfassers auck die
scenischen Darstellungen aus seiner Zeit , vor allera der Pan-
tomimus viel beigetragen haben und vor allera das schlechte
Spiel der damaligen Schauspieler. Grossen Einfluss iibte auf
dieselbe der Aufenthalt des Lukian in Athen, wo er das gross-
stadtische Leben, die beriihmten Kunstwerke und das Treiben
der philosophischen Schulen kennen gelernt batte.
2. — Dr. A. WrczôtKowsKA. 0 iluzyach optycznych. (Sur les illusions
optiques). Cet article a été écrit au mois de juin 1899. Présenté le
10 juillet 1899.
L'inversion optique dont traite le travail résumé ici
a été observée d'ordinaire sur des ligures et des dessins pers-
pectiviques, dont le caractère spécial est de provoquer dans
la conscience deux ou plusieurs interprétations différentes.
On fixe par exemple le point de section de deux lignes
droites dans un hexaèdre régulier et on l'aperçoit, tantôt
avec une de ses surfaces inclinée, tantôt relevé avec un chan-
gement de position de son axe.
Ces phénomènes illusoires que l'on peut observer sur
bien des figures ont été déjà expliqués par trois genres de
théories et notamment: par des théories psychologiques, phy-
siologiques et psycho-physiques. Aucune de ces théories — dis-
cutées toutes dans le mémoire — ne suffit cependant pour ex-
pliquer tous les phénomènes qui caractérisent l'inversion
optique.
D'après les théories psychologiques l'inversion est re-
gardée, tantôt comme le produit de l'imagination et de la
fantaisie, tantôt comme le produit de la volonté ou d'un ju-
gement faux. L'importance de ces théories est minime.
Les explications scientifiques ne commencent qu'avec
les théories physiologiques.
Necker, par exemple, nous dit que l'inversion a pour
cause le changement de l'accommodation, par laquelle il ex-
8 KKSITMRS
plique le rapport qui existe entre les différents points de
l'objet observé et les parties centrales et périphériques de
la rétine: le point perçu par la tâche jaune étant estimé
comme plus proche de l'oeil, le point perçu par les parties
périphériques, comme plus éloigné. Mais aussi probable que
paraisse cette théorie, elle n'embrasse pas un des faits les
plus importants de l'inversion, c'est-à-dire l'absence de cette
illusion dans certains cas de la vision binoculaire et monocu-
laire. En second lieu la théorie de Necker a été faussement
considérée comme explication du phénomène par la fonction
accommodative, car le rapport entre l'objet et les parties spé-
ciales de la rétine peut exister aussi en dehors de l'accom-
modation.
Une seconde théorie physiologique , celle de Loeb ')
ayant expliqué l'inversion des figures planes par le chan-
gement de l'accommodation, reste en dehors de cette explica-
tion, lorsqu'il s'agit des figures et des objets solides, ces
derniers provoquant l'inversion, lors même que l'on modifie
successivement l'état de l'accommodation.
La plus nouvelle d'entre ces théories, celle de W. Wundt 2),
en indiquant les changements des points et des lignes de
fixations comme cause de l'inversion ne s'inquiète point de ce
fait qu'on peut la provoquer aussi bien en fixant le même
point de la figure.
Il y aurait encore à citer les expériences de Màch •"•;.
faites pour la plupart sur des objets solides et qui, par con-
séquent, ont le plus contribué à la connaissance de l'ensemble
des phénomènes qui caractérisent l'inversion, tels que le chan-
gement dans l'intensité de la lumière et de l'ombre des objets
observés, de même que dans l'inclinaison et les mouvements
») Loeb. Pfliiger Archiv. 1878.
') Wundt. LTeber Geometr.-optische Tauschung. 1898.
'■') Macli. Wiener Sitzungsberichte 1866.
Math, (lusse 1868.
„ „ Beitrâge zur Analyse dor Empfînd. 1888.
U KSI ME» 9
illusoires qui accompagnent le phénomène d'inversion; mais
Mach en décrivant ces phénomènes a. premièrement, méconnu
encore bien des détails importants, et. secondement, il n'a point
expliqué la cause qui les produit.
Quant aux théories psycho-phvsiques qui se rattachent
aux faits connus dans le fonctionnement du système nerveux,
elles sont pour la plupart liées à des hypothèses psychologi-
ques plus ou moins ingénieuses, qui ont cependant peu con-
tribué à l'explication du phénomène de l'inversion optique.
Telle est par exemple la théorie de Nicolas Lange dont le
mérite est d'avoir le premier mesuré la vitesse avec laquelle
l'inversion se produit (3").
A défaut de cette solution définitive sur la cause de
l'inversion optique, une série d'expériences nouvelle.^ devint
nécessaire.
1. Le premier objet de ces expériences fut de mesurer
la vitesse avec laquelle on aperçoit l'inversion sur les figures
planes. L'observation interne permit déjà de constater que
cette vitesse est plus grande que la respiration, mais qu'elle
est moindre que celle du pouls.
C'est pourquoi la question fut posée de manière à pou-
voir observer le rapport entre la vitesse de l'inversion et la
fréquence du pouls.
Le résultat acquis par les expériences graphiques faites
pendant que le sujet observé fixait une figure plane, (l'hexaèdre
de Necker. fig. 2 de fil de enivre) prouvait d'une part, que le
synchronisme entre les deux n existe pas. vu que l'inversion
reste tantôt au-dessus. Tantôt au-dessous de la vitesse du
pouls, mais il confirme d'autre part, ee qui avait déjà été con-
stat»' par l'observation interne, c'est-à-dire que ces deux vi-
tesses sont très rapprochées l'une de l'autre.
On obtenait par exemple chez un sujet pour 124 inver-
sions. 174 pulsations: une autre fois pour
260 inversions 2i'>.~) pulsations ou
pour 313 .. 362 „
10 RÉSUMÉS
2. Comme toutes les personnes soumises à ces expérien-
ces déclaraient avec certitude avoir le sentiment d'un mou-
vement quelconque dans l'oeil, lors même qu'elles tîxaient
avec intensité le point indiqué de la figure, une question d'un
autre genre se posait d'elle-même, c'est-à-dire: de quelle
nature pouvaient être ces mouvements constatés par l'obser-
vation interne?
C'est par l'intermédiaire de l'ophtalmomètre que fut ob-
servé l'oeil d'une personne myope à 7 dyoptries1).
Il résulta de ces observations faites sur les images lu-
mineuses externes de la lentille que toute inversion provo-
quée par une figure plane (fig. 2.) est accompagnée par un
changement de la réfraction de la lentille.
Et ce changement est si visible qu'il n'y avait point de
difficulté pour le marquer chaque fois graphiquement, pendant
(pie la personne observée marquait de sa part chaque inversion
provoquée par l'hexaèdre fait de fil de cuivre jaune. Sur
543 doubles réactions obtenues de cette manière. 343 étaient
de notation simultanée d'un changement dans les images lu-
mineuses de la lentille, aperçu par l'intermédiaire de l'oph-
talmomètre par l'observateur, et l'inversion marquée par la
personne qui observait l'hexaèdre plan; 132 étaient d'un
svnchronisme douteux; dans 08 manquaient complètement les
réactions de l'observateur, causées tantôt par un ralentisse-
ment de l'attention, tantôt par les mouvements de l'oeil de la
personne observée. Chaque série de ces expériences ne durait
qu'une minute).
Ce résultat prouve par conséquent un fait capital, c'est
que l'inversion des figures planes ne se réalise j a-
m a i s sans u n c h a n ge ment n o t ab le de 1 a r é f r a c-
1 i m n.
1 AV. Heinrich dans son ouvrage: „Zar Kenntniss der Myo-
pie" a démontré 411c les images de la face extérieure de la lentille sont
beaucoup plus prononcées chez les myo]
RÉSUMÉS 1 1
3. Mais comme les deux séries des expériences précé-
dentes avaient été exécutées sur des figures planes, il fallait
les compléter par une autre série d'expériences faites sur des
figures en trois dimensions. On se servit à cet usage de figures
faites de fils en cuivre jaune, de même que d'objets solides.
Peu d'exemples suffirent pour prouver que l'inversion sur les
objets solides apparaît avec la même facilité que sur les figu-
res planes. Il n'y a presque pas d'objets qui ne subisse l'inver-
sion: tels par exemple une chaise, une table ovale ou ronde,
une cloche de lampe, un parapluie, un peigne, etc.
C'est en faisant ces observations que l'on constate 4 phé-
nomènes capitaux qui caractérisent l'inversion:
a) Le changement de l'intensité de la lumière, du ton,
de la couleur et de la forme de l'objet observé dans son
image illusoire.
b) La durée de l'image illusoire.
c) Le mouvement illusoire
d) L'inclinaison de l'image illusoire.
Mais avant d'analvser ces quatre phénomènes distincts
de l'inversion, il y a à dire quelques mots sur le caractère un
peu différent de l'inversion des figures planes et des figures
solides; en second lieu, sur la différence des conditions phy-
siologiques nécessaires pour provoquer l'une et l'autre.
La différence de l'inversion des figures planes et solides,
consiste en ceci que la première offre la sensation de deux
formes illusoires, tandis que la seconde n'en offre qu'une seule.
Par exemple: on fixe le point de section de deux li-
gnes d'un hexaèdre de Necker et cette figure plane apparaît
d'emblée comme à trois dimensions , étant inclinée avec
une de ses surfaces; c'est sa première forme illusoire. En con-
tinuant de fixer le même point on aperçoit que cette première
forme illusoire se transforme de manière à ce qu'on voit le
même hexaèdre comme soulevé; c'est sa seconde forme illusoire.
Cette inversion consiste par conséquent: 1° dans le passage
de la sensation d'une figure plane à la sensation d'une figure
12 RÈSUMKs
<le la première forme illusoire; 2° dans le passage d'une forme
illusoire à l'autre.
Mais si au lieu de se servir d'un dessin perspectivique,
on se sert d'une figure faite en cuivre jaune en trois dimen-
sions, en fixant le même point de la figure on n'obtient qu'une
seule illusion : c'est-à-dire que si la figure présente à l'oeil
sa face inclinée, on l'aperçoit dans sa position relevée. Pour
obtenir la seconde illusion , il faudrait d'abord tourner la
figure dans le sens contraire. Toutefois nous ne percevons
dans les deux cas qu'une illusion unique qui est caractérisée
chaque fois comme le passage d'une sensation réelle à une
sensation illusoire.
C'est en considération de ce caractère un peu différent
de ces deux inversions que nous distinguerons dans la suite
l'inversion à une forme et l'inversion à deux formes illusoires,
en donnant le nom d'inversion réelle-illusoire au passage
d'une sensation réelle à une sensation illusoire, et le nom d'in-
version p u r e m e n t-i 11 u s o i r e au ) iassage d'une forme illu-
soire à l'autre.
Cette distinction est des plus importantes, vu (pie les
conditions physiologiques pour provoquer l'une ou l'autre ne
sont pas égales non plus. Pour obtenir l'inversion d'un objet
quelconque ou d'une figure en fil de cuivre à trois dimensions,
il suffit de fixer ;ivec intensité et binoculairement un point
d e I a fi g u r e e t de c o u v r i r e n s u i t e un oeil avec la
main, de manière à ce qu'il reste dans la plus
grande tranquillité possible. L'inversion ne se laisse
pas attendre dans ces conditions-là. et le degré même de
cette impassibilité de l'oeil conditionne la vitesse avec la-
quelle l'inversion apparaît. On peut faciliter cet effet en se
donnant le peine d'enlever tout contrôle sur les dimensions
réelles de l'objet.
Il n'en est pas de même avec l'inversion à doubles for-
mes illusoires, sur des figures planes. En les fixant de la
même manière, on obtient certes l'inversion qui est le passage
de la sensation réelle à la sensation illusoire; mais pour ob-
RÉSUMKS 15
tenir ce second passage d'une illusion à l'autre, l'oeil doit
exécuter un mouvement du globe oculaire, comme le veut
"Wund. ou un changement de l'état d'accommodation, comme
l'ont prouvé Necker et Loeb, ainsi que les observations ophtal-
mométriques et même l'auto-observation de l'ouvrage résumé.
C'est en se conformant à ces conditions particulières
que l'on peut provoquer sans aucune difficulté l'inversion
réelle-illusoire et l'inversion purement-illusoire.
Mais il y a à revenir à la description des quatre
phénomènes cités ci-dessus qui caractérisent l'inversion.
a) En premier lieu c'est le changement de l'intensité
de la lumière, du ton, de la couleur et de la forme même
de l'objet observé. Il est facile de constater tous ces phéno-
mènes en se servant d'une carte de visite comme le faisait
E. Mach. La carte étant pliée dans son milieu et regardée
fixement en un point de sa face concave, on l'aperçoit, après
avoir fermé un oeil, comme une carte illusoire convexe. C'est
alors que la partie éclairée est beaucoup plus lumineuse, la
partie ombragée, beaucoup plus foncée qu'elle n'était avant
l'inversion, quoique on puisse observer le même phénomène
avant que l'inversion s'impose, rien que par un clignement
de l'oeil.
La partie ombragée change en même temps de couleur,
en passant par toute sorte de tons gris, bruns, jusqu'à une
couleur jaune-verdâtre ; ce qui arrive lorsqu'on déplace l'oeil
sans déplacer le point de fixation *).
Les mêmes conditions étant données, la forme de la carte
ne manque pas non plus de se modifier.
h) L'image de l'inversion réelle-illusoire peut acquérir
une certaine durée qui est plus difficile à provoquer lorsqu'il
s'agit de figures planes, et qui obtient son maximum auprès
des figures faites à trois dimensions en fil de cuivre jaune.
L'inversion d'un cône creux par exemple, ne disparaît
pas, malgré qu'on l'observe d'un oeil, en s'en éloignant et s'en
*) page 13.
1 4 RÉSUMÉS
rapprochant à plusieurs mètres de distance, malgré qu'on
change le point de fixation à plusieurs reprises, malgré qu'on
ôte ses lunettes et s'en empare de nouveau, malgré même
qu'on ferme l'oeil pour 5 — 10 secondes; l'inversion reparaît
dès que l'oeil est découvert.
à) Le mouvement illusoire est le 3me phénomène carac-
téristique de l'inversion. Il peut être observé, autant sur les
figures planes que sur les corps solides.
Dès qu'une image atteint une certaine durée, rien de
plus facile que de la mettre en mouvement, en déplaçant suc-
cessivement l'oeil d'un point à l'autre, dans une direction
quelconque. Il en résulte que l'image rétinienne change
sous l'influence de ce déplacement de l'oeil, comme elle chan-
gerait sous l'influence du mouvement de l'objet observé. Si
on observe par exemple un cône creux en inversion, l'oeil
étant placé vis-à-vis et à la hauteur du point central de la
figure, l'image illusoire se présente comme en a; mais dès
que l'oeil sera déplacé à droite ou à gauche, en haut ou en
bas, par le mouvement de la tête, l'image se présentera dans
une autre phase perspectivique comme pax ex. en b, c, (flg. 1).
Fig. 1.
Supposons que ces mouvements soient très lents et progressifs:
il s'en suit que les sensations du cône creux d'un point de vue
vont se rallier à celles d'un autre point de vue et ainsi de
suite; de sorte que l'objet sera perçu par une synthèse de
phases successives, par conséquent dans un mouvement con-
tinuel.
Mais pour que ces nouvements illusoires se propa-
gent librement dans des limites qui leur sont accessibles,
RÉSUMÉS 15
il est de toute nécessité que l'on se déplace d'une manière
déterminée, vis-à-vis de la figure observée. C'est-à-dire
il y a à se représenter que la ligne oculaire qui relie
la tâche jaune de la rétine avec le point fixé de l'objet,
forme un rayon de cercle, et que c'est avec ce rayon que
l'on doit mettre en mouvement la tête, sans cependant trans-
mettre ce mouvement à l'oeil, autrement que d'une manière
tout à fait passive, en le déplaçant d'un point du cercle à l'au-
tre. (Pour faciliter ces mouvements circulaires, un cercle à la
craie était tracé sur le parquet, autour de la table qui sou-
tenait la figure observée.
C'est alors que se déroulent librement toutes les phases
perspectiviques de l'image, depuis celle que nous apercevons
étant en face de l'objet, jusqu'à celle du coté droit ou gauche,
dans le point le plus éloigné où l'image illusoire atteint son
maximum d'abréviation, avant de disparaître complètement.
Ce passage entre le maximum d'abréviation de l'image
perspective et sa disparition est très caractéristique en ceci
qu'une fois arrivé à ce maximum il y a un moment où on
ne se rend plus compte si l'image observée est encore une
illusion ou si elle est déjà un objet réel. Mais il n'y a qu'à
faire encore un très léger mouvement dans la même direction
pour se rassurer à ce sujet ; et c'est alors qu'on ressent
quelque chose dans le genre d'un choc dans l'oeil, causé par
la disparition de l'inversion et particulièrement par la dispa-
rition du mouvement illusoire et l'apparition de l'objet réel
qui reste sur place.
Les mouvements illusoires sur des figures planes ne sont
pas plus difficiles à constater, une fois que l'on observe avec
exactitude les conditions nécessaires pour provoquer l'inversion.
Par exemple, (fig. 2) en se plaçant dans le point a (60°
à peu près de la ligne b — b) de la ligne circulaire qui entoure
la figure plane de Necker, faite en fil de cuivre jaune, (fig. 2)
on doit fixer monoculairement le point indiqué par une
'petite croix et couvrir un oeil ensuite pour obtenir l'image illu-
soire et notamment l'illusion de l'hexaèdre incliné en bas. Dès
16
RfcSlJMRS
Fig. 2.
qu'on réussit à i'.i i i » ■ durable cette illusion, on commence à se
mouvoir très lentement dans la direction de a jusqu'à b, et l'i-
mage de l'inversion passe pendant ce
temps par toute une série de phases per-
spectiviques, mais, chose étrange, ces
changements ne se déploient pas d'une
manière égale sur tout ce trajet.
Depuis a jusqu'à ç, c'est un chan-
gement connu des phases perspectiviques,
mais depuis c jusqu'à b, l'inversion pers-
pectivique disparaît et nous apercevons
toute la figure se déplacer et se mettre en mouvement de
rotation autour de son axe. lequel axe est formé par un des
bâtonslatéraux. Toute la figure
se meut alors à l'exemple d'une
porte qui s'ouvre et se referme,
et ce mouvement se propage
sans interruption, si nous con-
tinuons de mouvoir la tête en
avant et en arrière, entre c et b.
On observe alors que la
figure se déplace continuelle-
ment et que ce déplacement
est déterminé par le point qu'
occupe notre oeil. L'oeil étant par exemple dans le point
c (30° de la ligne b — o), la figure prend la direction de d — o,
et ainsi de suite.
On peut provoquer la même illusion avec toute autre
figure, telle que la figure 3, par exemple, fixée en un point
de la ligne latérale, a.
d) Mais il nous reste encore la description du phéno-
mène le plus important de l'inversion, c'est-à-dire l'inclinaison
de l'image illusoire.
Cette inclinaison est de même en rapport direct avec
la position de l'oeil à l'égard de l'objet observé.
"/
Fig. 3
KÉSL'Mfcs
17
a v,' e
En fixant (Fig. 4) binoculairement et avec intensité
une carte convexe, par exemple dans le point central, de ma-
nière à ce que la ligne qui relie le point fixé de l'objet
avec la tâche jaune forme le rayon
horizontal d'un cercle, on obtient,
après avoir couvert l'oeil de la main,
une image illusoire de face, presque
plane et sans aucune inclinaison.
Nous marquons sur notre figure ce
point de départ du mouvement de la
tête avec la lettre x.
Dès que l'oeii sera déplacé à
un degré plus haut ou plus bas de
cette ligne horizontale, on obtiendra,
en fixant toujours le même point,
une image illusoire dont l'inclinaison
sera minimale. Ces deux points sont marqués sur la figure
par des lettres m. m.
En continuant de mouvoir la tête, toujours dans la
même direction circulaire, de bas en haut, on arrive successi-
vement sur les points r r: r2 de la circonférence, et l'on aper-
çoit que la carte change son inclinaison en raison directe
du déplacement de l'oeil. C'est-à-dire, aux mouvements de la
tête a aj a2 vont correspondre les inclinaisons de la carte r rt r3.
Arrivé au point x1: toute illusion disparaît. Elle atteint
son maximum d'inclinaison au point m,. L'oeil parcourt 90°
depuis le début de ce trajet jusqu'au moment qu'il est placé
dans le point xt; la carte fait dans le même temps un mouve-
ment de 180° autour de son axe horizontal. C'est-à-dire, en
partant du point m de son inclinaison minimale, elle se baisse
en arrière de plus en plus, jusqu'à ce que tous ces points
entre e b tombent sur une ligne horizontale. L'oeil parcourt
pendant ce temps 45°, la carte 90°. Elle se relève ensuite
avec le point c, jusqu'à ce qu'elle soit posée debout sur le
point h. Pendant ce temps l'oeil a parcouru de nouveau 45°,
1 8 RÉSUMES
tandis que le mouvement de la carte a complété le parcours
de 180'.
Mais si. sans atteindre le point xl5 on arrête l'oeil sur le
point maximum de l'inclinaison de la carte m15 pour recom-
mencer le même chemin au rebours, l'image illusoire passe
successivement par toutes les phases précédentes d'inclinaison,
r2 rt r. et arrive au point x où l'imagé illusoire est presque
plane.
On observe le même changement d'inclinaison en dé-
plaçant l'oeil à droite ou à gauche etc.
Le même fait serait encore à constater en observant
une carte concave au lieu d'une carte convexe.
Ici, comme dans le cas précédent, seraient à noter:
1° les points où l'inversion est presque plane et où elle dis-
paraît complètement x x/j. 2°. Les points de l'inclinaison
minimum et maximum (m nij). 3°. Les points de l'inclinaison
graduée, r i\ r2.
Ce rapport sera le même si, au lieu de mouvoir la tête
sur une ligne circulaire, on met l'objet observé en rotation
autour de son axe horizontal. Il n'y a que la direction du
mouvement qui changera; la carte mue de bas en haut, nous
paraîtra en mouvement dans le sens contraire.
Ces mesures prouvent que le l'apport entre le mouve-
ment de la tête qui déplace l'oeil et le changement d'incli-
naison de l'image illusoire est strictement déterminé, c'est-
à-dire que Fin cl i na i son de l'image illusoire est une
fonction de l'angle sous lequel l'oeil observe un
obj et.
En résumant tous les résultats obtenus de ces expérien-
ces sur le phénomène de l'inversion, il s'en suit que: 1° La vi-
tesse de l'inversion arrivée à son maximum est très rappro-
chée de la fréquence du pouls, mais elle n'est point sa fonction.
2° L'inversion sur des figures planes ne se manifeste pas
sans un changement de la réfraction, fait prouvé par l'obser-
vation ophtalmométrique. 3° Il y a à distinguer l'inversion
réelle illusoire et l'inversion purement illusoire
RÉSUMÉS 19
qui demandent des conditions physiologiques spéciales pour
être provoquées. 4° L'inversion apparaît aussi bien sur les
ligures planes que sur les figures solides et cette apparition
est accompagnée de quatre phénomènes distincts: a) le chan-
gement d'intensité de la lumière, du ton, de la couleur et de
la forme de l'objet observé; b) la durée de l'image illusoire;
c) le mouvement de cette image; d) et son inclinaison, cette
dernière étant la fonction de l'angle sous lequel l'oeil observe
l'objet.
Ces observations, de même que ces expériences, nous
ont mis en état de pouvoir expliquer le phénomène d'inver-
sion optique de la manière suivante.
Il est certain que la cause de l'inversion consiste clans
le rapport entre l'objet observé et les parties centrales et pé-
riphériques de la rétine sur lesquelles se produit l'image de
cet objet: les points tombant vers le centre de la rétine sont
estimés comme plus distincts et par conséquent plus rappro-
chés de l'oeil; ceux au contraire qui tombent sur les parties
périphériques étant moins distincts sont considérés comme plus
éloignés.
Ce rapport cependant ne suffirait pas pour expliquer
toutes les manifestations de l'inversion: (son absence par exem-
ple dans quelques cas de la vision binoculaire ou monocu-
laire), si l'on ne comptait pas avec une certaine irrégularité
de la vision pendant que cette illusion se manifeste.
La perception de l'objet extérieur dans ses trois dimensi-
ons peut être en général l'effet de la vision binoculaire ou de la
vision monoculaire. Dans la vision binoculaire, comme on le
sait, l'image de la rétine, de l'oeil gauche par exemple, est
complétée et contrôlée par l'image de la rétine droite. Ce
n'est que par la coopération de ces deux images, en même
temps que par l'influence de l'accommodation et de la con-
vergence surtout, que se produit la représentation normale
de l'objet dans l'espace.
Il en est de même avec la vision monoculaire; on ne se
rend pas compte de la dimension d'un objet par une seule
2*
20 RÉSUMÉS
image rétinienne, mais par deux images successives de la
même rétine qui se complètent et se contrôlent mutuellement.
La représentation de l'objet est par conséquent une ré-
sultante de deux images de la rétine, formées par des rayons
lumineux provenant de deux directions opposées.
Il n'en est pas ainsi dans le cas d'illusion qui nous
occupe. En fixant l'objet, après avoir fermé un oeil et en
tâchant de l'immobiliser autant que possible, on enlève par
cela même le contrôle nécessaire pour percevoir les dimen-
sions de l'objet.
En fermant un oeil, on élimine l'image simultanée de
la seconde rétine: en immobilisant l'oeil pendant la vision
monoculaire, on élimine l'image successive de la même rétine.
C'est alors que les parties de l'objet qui tombent sur le cen-
tre de la rétine ou sur ses parties périphériques ne sont pas
complétées et compensées par telles parties des images réti-
niennes simultanées ou successives de la seconde rétine, con-
dition principale de la sensation normale.
Cet arrêt de la marche régulière de la fonction visu-
elle, en supprimant la compensation mutuelle des images,
est la cause principale de l'inversion.
Il est clair maintenant qu'il suffit d'une seule position
de l'oeil pour provoquer une seule forme illusoire, étant don-
née cette correspondance nécessaire entre les parties de l'ob-
jet et celles de la rétine.
Mais pour qu'on puisse passer d'une l'orme illusoire
à l'autre, il est nécessaire que les points de l'objel tombant
en premier lieu sur les parties centrales de la rétine tombent
en second lieu sur les parties périphériques, et vice versa.
Ce qui ne peut arriver sans l'intermédiaire du mouvement
des globes oculaires ou des changements de l'accommodation
constatés à l'aide de l'ophthalmomètre).
C'est pourquoi il est suffisant de fermer un oeil en l'im-
mobilisant pour percevoir l'inversion réelle illusoire; tandis
qu'il est nécessaire de changer l'état d'accommodation ou la
21
position de l'oeil par un mouvement pour passer d'une forme
illusoire à une autre.
Il est du reste absolument indifférent pour l'oeil qu'on se
serve de tel ou tel de ces moyens pour provoquer l'inversion
à double forme illusoire: sera-ce un changement conscient
de l'accommodation, comme le faisait Necker et Loeb, ou un
changement pareil, mais d'une manière inconsciente, comme
c'était le cas dans nos expériences ophtalmométriques, sera-ce
enfin un mouvement du globe oculaire, comme le constatait
"W. Wundt. — Peu importe; chaque procédé est également bon.
pourvu qu'il facilite le passage des rayons de l'objet, tantôt
sur la partie centrale, tantôt sur les parties périphériques de
la rétine.
11 est de même indifférent à l'oeil que ce changement
se produise d'une manière passive, lorsqu'on change le rapport
de l'objet à l'oeil, ou d'une manière active, lorsqu'on met l'oeil
dans un mouvement nécessaire.
A l'appui de cette théorie parlent deux faits capi-
taux: 1° l'inversion apparaît lors même que le muscle ciliaire
est immobilisé par l'atropine (expérience faite par Loeb) 2°
elle est à observer binoculairement toutes les fois que les
yeux se trouvent dans des conditions à pouvoir observer deux
images à la fois. Cette expérience a été faite en regardant
un point éloigné d'une petite chaise de cuivre jaune. On
aperçoit alors deux chaises, toutes deux dans une image in-
verse.
Cette théorie en dernier lieu nous explique tous les
phénomènes caractéristiques de l'inversion.
a) La vitesse de l'inversion mesurée graphiquement sur
la figure plane de Neeker a été, comme il est facile de s'en
convaincre maintenant, une mesure appliquée au passage
d'une forme illusoire à l'autre. Et comme ce passage ne
s'exécute pas sans L'intermédiaire, tantôt d'un mouvement
de l'oeil, tantôt d'un changement d'accommodation, cette vitesse
par conséquent est proportionnée à la vitesse de f,e mouve-
ment ou de ces changements «le l'état d'accommodation.
22 RÉSUMl 8
Et quant à l'inversion des figures à trois dimensions,
la vitesse n'y entre plus comme élémenl caractéristique, vu
que l'image illusoire dans ce cas peut atteindre une durée
quelconque.
Ii> La durée de l'image s'explique de même sans aucune
difficulté. Car dès que la cause de l'illusion des figures ;i une
forme illusoire consiste dans un genre d'arrêt de la fonction nor-
male de l'oeil, il n'y a point de raison pour que cette inver-
sion ne persiste pas aussi long-temps que cette irrégularité dure.
C'est pourquoi lorsque, en fermant un oeil pour provoquer
l'inversion sur une figure plane, on tâche d'arrêter le mou-
vement de l'oeil nécessaire pour provoquer le passage d'une
forme illusoire à l'autre, on obtient aussi bien une inversion
durable sur des figures planes.
c) Quant aux mouvements et inclinaisons typiques de
l'image illusoire il est non moins clair, d'après ce qui a été
dit précédemment,' que chaque position de l'oeil, acquise passi-
vement par le mouvement de la tête, sans changer le carac-
tère du rapport nécessaire entre certaines parties de l'ob-
jet et les parties centrales et périphériques de la rétine, réa-
lise cependant un changement continuel dans la perspective
de l'image rétinienne.
Il se produit dans l'oeil, sous l'influence de ces dépla-
cements successifs de l'image rétinienne, un phénomène pres-
que identique à celui qui a lieu lorsqu'on se sert d'un appa-
reil tel que le stroboscope ou le cinématographe.
Toute différence entre ces deux phénomènes consiste en
ceci que le stroboscope étant déjà en possession des images
d'un objet en mouvement qui a été photographié d'un point
central, mais dans différents rayons du cercle, prépare les
moyens nécessaires pour provoquer la synthèse de ces ima-
ges, tandis que les images qui se forment sur la rétine, pen-
dant que l'oeil est déplacé dans différents points de la péri-
phérie du cercle, par le mouvement de la tête, sont pour ainsi
dire photographiées successivement sous différents angles par
RÉSUMÉS 23
la rétine, pour en faire d'emblée la synthèse d'un objet en
mouvement.
C'est pourquoi on peut dire que l'oeil présente dans ces
conditions- là un stroboscope vivant.
3. — T. Browicz. Budowa przewodôw zôtciowych miedzykomôrkowycli
i ich stosunek do naczyri krwionoénych wJoskowatych. (Bau der
intercelluldren Gallengange und ihr Verhaltnis zu den
Blutcapillavenj. Mit 1 Tafel. Vorge'egt den 8 Januar 1900.
Wénn man das mikroskopische Bild der Leber an einem
ungefârbten Pràparate betrachtet, so bieten an einigen Stellen
und in einzelnen Partieen des Prâparates die Leberzellenbal-
ken gleichsam ein syncytiales Gefiige dar, die Zellgrenzen
sind nicht siehtbar. An anderen Stellen sieht man meistens
quer zur Achse des Zellenbalkens gerichtete dunkle Linien,
welche die Zellgrenzen andeuten, an z. B. mit Hamatoxylin und
Eosin gefârbten Prâparaten erscheinen an manchen Stellen
dièse Linien tiefer roth gefârbt als das Cytoplasma der Le-
berzellen , es kommt gleichsam das sogenannte Eetoplasma
zum Vorschein. An anderen Stellen sind dièse tiefer roth ge-
fârbten Linien nicht zu sehen.
Wenn man eine Reihe von isolierten gefârbten Leberzel-
len betrachtet, so prâsentiert sich die Fârbung des Cytoplasmas
bis an den âussersten Rand der Zellen gleichmâssig, nicht
an allen Zellen lasst sich eine tiefere Fârbung am âusseren
Zellsaum, das sogenannte Eetoplasma, sehen. Wenn man mit-
telst van Giesons Méthode also dreifach gefarbte Pràparate
untersucht, so gewahrt man besonders und hauptsâchlich an
pathologischen Lebern, wo dia Noxe ja nicht nur allein auf
die Leberzellen aber auch auf die gesammten Grewebstheile
einwirkt und Verânderungen verschiedenen Grades und ver-
schiedener Art je nach den physiologischen Eigenschaften der
Gewebstheile hervorruft, dass, wie gewohnlich, die Kerne der Le-
24 Kl. SUMES
berzellen blau. das Cytoplasma derselben gelb , dagegen die
an ungef&rbten Prâparaten dunklen Linien, gleichsam die
Zellgrenzen , an mit Eosin unterfàrbten Prâparaten ticfer
roth als das Cytoplasma gefarbten Linien , an den dreifaeh
gefàrbten Prâparaten mittelst van Giesons Méthode, fuchsin-
roth gefârbt erscheinen. Sie erscheinen ebenso fuchsinfarbig
wie die YVande der Bluteapillaren und das Bindsgewebe,
Fig. 1. bietet ein solebes Bild eines Complexes von vier
Leberzeilen, \vo die Grenzlinien zwischen den Leberzellen roth
gefftrbt sind und zwei Knotenpunkte innerhalb dieser Grenz-
linien zu selien sind.
Auf der Fig. 2 ist ein àhnliches Bild dargestellc, nur
ist statt des unteren Knotenpunktes ein Lumen zu sehen.
Auf der Fig. 8 sieht man den Querdurchschnitt eines
intratrabecularen enveiterten mit griiner Galle gefiillten Gal-
lenganges'), in welclien intereellulâiv. , offene , leere Gallen-
gânge miinden. Sowobl der intratrabeculâre als auch die in-
tercellulâren Gange sind von seharfen, feinen rotben S&umeri,
Linien begrenzt.
Fig. 4. stellt den Querdurclischnitt eines intratrabeculâ-
ren gallegefullten Gallenganges dar. der von einem dicken
rotben Saum umgrenzt ist; an welchen feiue, rothe, intereellu-
laie Linien anstossen.
Auf der Fig. f>, erscheinen statt der auf den vorberge-
henden Figuren sichtbaren intereellulâren rotben Linien oder
wie auf der Fig. 3 leeren Gangen gallige Streifen , welehe
die einzelnen Leberzellen voneinander trennen. Unten links
reicht der gallige Streifen nur bis zur Mitte der Zellgrenze.
von da an ersebeint ein rotber Streifen, weleber bis zur Wand
der links unten skizzierten Blutcapillare reicht.
') Die Bilder staminen von einer, chronische intia- und intercellulare
Gallen.stauung daibietenden, menseblichen Leber, wo zur dreifachen, kiinstli-
chen Fârbung eine vierte griine Farbe der intin- und inteicellulàien Gallen-
ablagerungen binzukommt. Hgrtung in 2u/0 Formalin Gefiierschnitte.
Bulletin de I le de Se de Craœtm. 1900 p.
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Fig. (i stellt das Bild einer naturlieLen Injection der in-
tercellulàren Gallengânge in Folge Gallenstauung dar. Die
gallegefiillten intercellulàren Gallengânge umgeben die cen-
tral gelegene Leberzelle , das bekannte Bild. bei ktinstlicher
Injection der Gallengânge und bei der Silberimprâgnation. Da
die intercellulàren Gallengânge nach Art eines Reifens die Le-
berzellen nur in einem Meridiane umgeben, lâsst sicb ein der-
artiges Bild wie auf Fig. 6 nur an in bestimmten Schnittrich-
tungen fallenden mikroskopischen Bildern deutlich zur An-
schauung bringen.
Wie 8oll man dièse Bilder deuten? Was sind dièse fuch-
singefârbten Linien ?
Der Umstand , dass an isolierten z. B. mit Eosin ge-
fârbten Leberzellen die Fârbung bis an den âussersten Rand
des Cytoplasmas gleicbartig erscheint, nicht immer des9en
Randsaum tiefer ala die innere Partie des Cytoplasmas gefârbt
erscheint, weiter dass bei Anwendung einer dreifachen Fâr-
bung die Zellgrenzlinien sich anders, âhnlich wie die Wànde
der Blutcapillaren und das Bindegewebe, als das Cytoplasma
fârben, welches mit Pikrinsaiire gelb gefârbt erscheint, wâh-
rend dièse Linien sich mit Fuchsin fârben, spricht gegen die
Existenz einer âusseren Zellhautschicht, das sogenannte Ecto-
plasma und die Zellgrenzlinien erscheinen als von der Zelle
gesenderte Gebilde. Wenn man weiter die Bilder auf den Fig.
1, 2, 5 nnd t) zusammenstellt, das Bild auf der Fig. 5, wo
nur ein Theil des intercellulàren Gallenganges mit Galle ge-
tiillt erscheint und als Fortsetzung derselben die an die Blut-
capillare anstossende rothe Linie in Augensehein nimmt, so
muss man, glaubt der Verfasser, zu der Ansichf gelangen,
dass die intercellulàren Gallengânge nicht wandungslos und
nur rinnenformige Aushohlungen der Randpartie der aneinan
dergrenzenden Zellen sind, sondern dass dieselben eigene Wan-
dungen besitzen und ein selbststândiges Kanalsystem bilden.
Dièse Anschaung i»t durehaus nieh neu. Schon Weber. Kru-
kenberg, Budge, Andrejovic, Mac. Gillavry, Eberth und An-
<lere sprachen dies mehr weniger bestimmt aus. Peszke z. B.
26 RÉSUMÉS
gelang es beim Frosche die intraacinosen Gallengange zu
isolieren.
Die Existenz selbststandiger Wandungen annehmend
raussen die rothen Linien und die Grenzlinien zwischen den
Leberzellen als zusammengefallene intercellulâre Gallengange
betrachtet werden wie auf der Fig. 1, 2 und 4, welche er-
weitert als leere mit einer VVand in Fonn einer aûsserst fei-
nen Lamelle auftrettende auf der Fig. 3 zu sehen sind. Wich-
tig ist deshalb das Bild auf der Fig. 5 mit der galligen
Fiillung eines Theiles und der Leere und dem linienhaften
Aussehen des anderen Theiles des intercellularen Gallengan-
ges, was auch auf der Fig. 9 sichtbar ist.
Die Bilder auf der Fig. H und 4 weisen auch eine eigene
Wandung der intratrabeculâren Gallengange auf, deren Wand
verdickt erscheint. In pathologischen Zustânden ist eine solche
Verdickung wie eine Art Quellung ein bâufiges Vorkomnis,
wodureh derlei aûsserst dûnne Wandungen praciser auftreten,
erkennbar werden.
Auf Grund der angefiihrten Umstânde und mikroskopi-
schen Bilder nimmt der Verfasser an , das die intraacinosen,
intercellularen Gallengânge selbststandige aûsserst feine Wan-
dungen besitzen. Was die Structur dieser Wandungen anbe-
langt, so konnte zwar der Verfasser zu keinem endgiltigen
Schlusse kommen und betrachtet sie einstvveilen als structur-
los, obwohl es ihm nicht als unmoglich erscheint, dass eine
zellige Structur existiereu kann, was Legros schon langst be-
hauptet hat.
Auf der Fig. 5 sîeht man , dass die rothe Linie nach
der Ansicht des Verfassers ein zusammengefallener, leerer in-
tercellularer Gallengang bis an die Bluttcapillare reicht, was
an mehreren Punkten auf der Fig. 7 sichtbar ist.
Die Fig. 8 stellt einen Theil eines zweireihigen Leber-
zellenbalkens dar, innerhalb dessen ein erweiterter gallegefullter
intratrabecularer Gallengang sichtbar ist, nahe an dessen un-
terem Ende ist ein intereellularer Gallengang, ein Seitenzweig
des intratrabeculâren Gallenganges, zu sehen, der mit Galle
RÉSUMÉS 27
gefullt ist und hart an der Wand der auf der Fignr nicht
skizzieirten Blutcapillare anscheinend blind endet.
Auf der Fig. 9, ist eine stark erweiterte Bluttcapillare
zu sehen, zu deren Wand theils zusammengefallene als rothe
Linien sich darstellende, theils ganz oder theilweise gallegeftillte
intercellulare Gallengange als Seitengânge des intratrabeculâ-
ren Gallenganges hinstreben. Dièse Bilder deuten auf einen
innigen Contact zwischen den intercellulâren Gallengângen und
den Blutcapillaren liin. Das zwischen denselhen keine offene
Verbingung besteht , ist einleuchtend und dies beweist der
Urastand, dass ein standiger Icterus, was doch nicht der Fall
ist, Folge dessen sein miisste. Sie konnen auch nicht wie es
auf den ersten Blick aussieht, blind endigen , dagegen spre-
chen schon Bilder wie auf der Fig. 6, wo die Leberzelle vom
Gallengange ringsum unigeben ist. Und dies ist an diesen
Contactstellen zwischen den intercellulâren Seitengangen und
den Blutcapillaren wirklich der Fall. Auf der Fig. 9 links
oben sieht man einen intercellulâren Gallengang, der an sei-
ner âusseren Hâlfte zusammengefallen als rothe Linie, dessen
innere Hâlfte erweitert als Gang erscheint und welcher auch
nach oben und unten eine Strecke weit zwischen der Leber-
zelle und der Wand der Blutcapillare hinzieht. Andeutungen
dessen sieht man auf der Fig. 7 in Form von Spâltchen. Das
Bild auf der Fig. 10 bestâttigt dies. Man sieht auf derselben
rechts den Querdurchschnitt eines stark erweiterten gallegefullten
intratrabeculâren Gallenganges, zu welchem ebenfalls gallege-
fiilltp intercellulare Seitengânge hinstreben. Links von ihm
ein kurzer, stark erweiterter und wie die anderen gallegefiillter
Gallengang, der nach oben einen lângeren , nach unten kiir-
zeren Auslâufer besitzt, der zwischen den Leberzellen und
der anliegenden links gelegenen Blutcapillare gelegen ist.
Zwischen einem Theile der intercellulâren Gallengange und
den Blutcapillaren findet also ein inniger Contact statt. so dass
an bestimniten Stellen und in bestimmten Richtungen Seiten-
theile des intraacinosen Gallengangnetzes lângs der Wand der
Blutcapillaren hinziehen. Dièses Verhâltnis der intraacinosen
2 S RÉSUMES
Gallengange zu den Blutcapillaren erklârt uns den leicht con-
atatierbaren Befund von Galle innerhalfa der Blutca[)illaren in
Lebern mit intraacinoser Gallenstauung beim Menschen, wo
in Folge der Uberfullung der intraacinosen Gallenvvege mit
Galle die selir feinen Wandnngen der intraacinosen Gallengan-
ge, welche an der Wand der Blutcapillaren liegen, sowie die
Wand der Blutcapillare einreissen und Galle sicli ins Blut
ergiesst und auf dem Blutwege in den allgemeinen Kreislauf
gelangt.
Das dem so ist, das beweiset das Bild auf der Fig. 1 1,
an welchem Spuren des llineingelangens der Galle ans den
intraacinosen Gallengàngen in die Blutcapillare sowie die An-
wesenheit von Galle in den im Lumen verfindliclien Zellen
ganz deutlich zu sehen ist.
Derlei Bilder fand der Verfasser selir haiïfig. Ebensolche
Bilder fitiden sieh in den Lebern von Hunden, bei denen Ie-
terus mittelst Tolnilendiamin hervorgerufen vvorden ist.
Wenn weiteis an bestimmten Stellen und in bestimmten
Riehtungen Seitentheile des intercelluliiren Gallengangnetzes
lângs der Gefâsswand hinziehen . deren sehr feine Wandnn-
gen mil den Wànden der Blutcapillaren in innigem organi-
sclien Verbande sich befinden, s<> spricht dieser Unistand schon
allein gegen die Existenz von pe r i vascu 1 aren Lymphr&u-
nien, wogegen auch ein anderer Umstand spricht, nâmlieh der
innige Contact der Wânde der Blutcapillaren mit den Leber-
zellen ausserhalb des Verlaufës der lângs der Wand der Blut-
capillaren hinzielienden Seitentheile der intraacinosen Gallen-
gange, welehe nur in einer bestimmten Ricbtung den Blutca-
pillaren anliegen, so dass der Rest der Oberflache der Wand
der Blutcapillaren mit den angrenzenden Leberzellen in inni-
gem Contact sein kann , woriiber der Verfasser nàchstens
nâberes mittheilen wird.
Auf den beigefugten Fig. 12 und 13 gibt der Verfasser
ein grobschematisches Bild des gegenseitigen Verhii.lt nisses
zwischen den Leberzellen. den interccllularen und intratrabe-
culilren Gallengàngen und den Blutcapillaren, wie sich der
RÉSUMÉS 29
Il Verfasser dasselbe seinen Untersuchungen zu Folge vorstellt,
welches jedoch nur einer bestimmten Schnittriehtung entspricîit.
Die Fig. 12 gibt das schematîsche Bild des Langsschnit-
tes eines im optischen Bilde zweireihigcn Leberzellenbalkens,
an welcliem die intracellulâren , der Ànsicht der Verfassers
nach (vide: Uber Befimde im Kerne der Leberzellen , welche
fiir die secretorische Function de* Kernes sprechen, und: Uber
den Bau der Leberzelle. Anzeiger d. Akad. d. Wissensehaften
in Krakau, April und Mai 1897) ihren Anfang im Kerne der
Leberzelle nehmenden Gallengânge, die intercel hilare n Gallen-
gânge oder Seitenzweige derselben und der intratrabeculàre Gal-
lengang griin , die beiden angrenzenden Blutcapillaren roth
gezeiehnet sind, wâhrend die Fig. 13 das Bild des in einer
bestimmten Ebene fallenden Querdurclisciinittes eines Leber-
zellenbalkens wiedergibt.
4. — L. JJbunkr. Przyczynki do dynamiki chemicznej. Uwagi nad bromo-
waniem benzolu. (Beitvage zur chemischen Dynamik. Dyna-
mische Beobachtungen uber die Bromierung des Benzols).
Vorgelegt den 8. .Januar 1900.
In dynamischer Hinsiclit sind grosstentheils Reactionen
untersucht worden, denen eine nur geringe praktische Wich-
tigkeit zukommt. Die Bedingungen, die fiir die genaue Dureh
fuhrung der Formeln der chemiselien Dynamik nothwendig
sind (grosse Verdiinnung. leiclit regulierbare Geschwindigkeit)
treffen bei den meisten in Praxi wichtigen Reactionen nicht
ein. Es ist jedoch wiinsclienswerth diesen Reactionen naher
zu treten, uni sich auch in diesen Fiillen von der Anvvend-
barkeit der dynamischen Formeln zu ûberzeugen. Auch kann
die Prâparatenkunde, besonders im Gebiete der organischen
Cheinie. «o man bfters mit qualitativen, ungepriiften Angaben
zn thun-hat — wesentlich dadurch gefôrdert werden.
In vorliegender Arbeit gebe ich einige dynamische Beo-
bachtungen iiber die Bromierung des Benzols wieder. Dièse
30 RÉSUMÉS
Réaction ist aus folgenden Griinden gewâhlt worden: 1) Sie
verliiult ziemlich glatt, indem gemUss der Formel C6 H6 -f Br2 = .
C6 H5 Br+HBr grosstenteils Brorabenzol gebildet wird, mit
geringen Mengen p. Dibrombenzols; 2) die Reaction lasst sich
analytisch leicht verfolgen; 3) es wird angegeben, die Bromie-
rung des Benzols bei Abwesenheit von Jod komme zum Still-
stand, nachdem 50% Benzols bromiert worden ist. Da die
Reaction keine umkehrbare ist, so wiederspricht dieser, wie
jeder andere Gleichgewichtszustand den gewohnlichen Ansichten
iiber die Natur des chemisclien Gleicbgewiclites, und seine
Bestâtigung resp. Wiederlegnng bot ein gewisses Interesse.
Die experimentelle Anordnung war die folgende. Das
Brom. in zugescbmolzenen Kiigelclien von ca 1 — 2 gr. Inhalt
abgewogen, wurde in 20 cm. lange Probierrohren gebracbt und
mit der berecimeten Menge Benzols (oder einer Jod-Benzol-
losung) versetzt. Das Benzol wurde mit einer calibrierten in
Vioo getheilter Pipette von 1 cm3 Inhalt abgemessen. Das Brom-
Kûgelchen wurde dann zerschmettert und die Probierrobre rasch
zugeschmolzen. Ungeachtet der grossen Spannung des HBr
hielten gewohnlicbe Probierrohrcn sebr gut aus, und ein Zer-
triimniern der Robi'e kam nur ausnabmsweise vor. Gefiisse
mit eingeschliffenen Hàbnen baben sich als unbrauchbar er-
wiesen, da die Entweicbung des Bromdamfes war in diesen
nicht zu vermeiden.
Nach Ablauf der Reactionszeit, wurde die Analyse aus-
gefûhrt, indem die Spitze der Relire in der Flamme geôftnet
und die Probierrobre in eine concentrierte KJ-Losung gebracht
wurde. Das ausgescbiedene Jod wurde mit iiberschussigem
Na2 S2 03 entfârbt und der Uberschuss an Natriumthiosulfai
mit ' 10 norm. Jod zuriicktitriert. Zu dieser Bestimmung bietet
die Gegenwart von HBr kein Hinderniss. In einigen Controll-
versuchen sind abgewogene Kugelchen Broms in eine mit HBr
stark angesauerte Jodkalium-Losungen gebracht und zerschmet-
tert worden; durch Titration des Jods ergab sich dann die
Menge Brom :
RÉSUMÉS 31
1) 0,4032 gr. statt 0,4049 gr.
2) 0,7224 „ „ 0,7235 „
Dies beweist die Anwendbarkeit der jodometrischen Mé-
thode in den unten stehenden Fallen. Die Titration des Jods
liefert jedenfails den totalen Verlust an Brom; da jedoch —
wie erwâhnt vvurde — das p. Dibrombenzol nur âusserst ge-
ringfiigig bei niedriger Temperatur gebildet wird (bei Verar-
beitung von 60 gr. Br in iïberschiissigem Benzol mit 2° 0 Jod
belaiïft sich der feste Riickstand auf 0,2-0,3 gr.), so ist es
zulâssig den Bromverlust als Mass fur das Fortscbreiten der
Reaction
CG H6 + Br2 = C6 H5 Br + HBr anzusehen.
Das Benzol von Kahlbaum bezogen, wurde durch vier-
inalige Destination gereinigt und mit Ca Cl2 sorgfaltig entwâssert.
Das Brom wurde nach Pierre mit Mn02 destilliert und
mehrfach mit grossen Mengen Wasser ausgesehiïttelt. Zum
Trocknen wurde Phosphorsaureanhydrid angewendet. Nach wie-
derholter Destination ging es constant bei 58,8° — 59,0° iiber.
Es enthielt kein Chlor, kein Jod und hinterliess beim Verdam-
plen keinen Riickstand.
Da die Versuche meistens lange Zeit in Anspruch nehmen
und den ersten Orientierungszwecken entsprechen, so sind sie
vorlâufig nur bei Zimmer-Temperatur (16" — 17*5) angestellt
worden.
I.
Brom und Benzol im aequivalenten 3Ienge»verhâltniss. Jod nicht
anwesend.
Uber die nach bestimmten Zeitintervallen broniitrten Ben-
zolmengen geben die folgenden Tafeln Auskunft. Unter Q ist
uberall die Menge des gebildeten Brombenzols in Procenten
gebraeht.
32 RÉSUMÉS
TAFEL
I.
t =
die Zeit.
ist in
Minuten
veiv.e
îclmet
t
2
5
10
15
20
40
Q
12.2
12.4
21.3
23.2
25.6
26.4
t
60
75
140
160
300
330
Q
29-7
36-7
39-0
402
410
40.4
TAFEL II
t bedeutet Stunden.
t 24 30 48 72 144 288 332
Q 41-7 480 500 543 58-0 62-6 69-4
TAFEL III
t bedeutet Tage
t 38 45 82 150
Q 71-8 777 798 94-1
Die Zahlen die sich auf kurze Zeitintervallen beziehen,
haben nur einen approximative! Werth; es ist unmoglich die
Reactionszeit genau zu bestimmen. da die Analyse selbst zeit-
raubend ist und die Reaction wird dabei nicht momentan un-
terbrochen. Fiir gcossere Zeitintervallen sind die in verschie-
denen Versuchen erhaltenen Zahlen innerhalb l°/0 constant, So
z. B. nach 24 Stunden ist gefunden worden: 41,7° 0, 41,3°/0,
42,0°/0 im Mittel 41,7% gobildeten Brombenzols.
Wie aus den Tafeln er.sichtlich bleibt die Bromierung
keineswegs bei 50°/0 Brombenzol stehen: vielmehr mit wacli-
sender Verzogerung nahert sicb die Reaction asymptotisch dem
tbeoretisch gefolgerten Ende zu. Versucbe. in welchen dem
Reactionsgemische, uni den HBr-Druck zu beseitigen, kleine
Quanti tâten Wasser zugesetzt worden sind, lieferten das nâbm-
liche Ergebnis: bei t=28 Tage ist Q zu 76,1%. bei t = 82
Tage ist Q zu 83,6% bestimmt werden. Mit feuchten Stoffen
wilre also die Bromierung noeh schneller zu erzielen.
Sollte die Bromierung bei 50% gebildeten Brombenzols
geheinmt werden, so konnte ein solches Verhalten nur auf ei-
RÉSUMÉS 33
nen katalytischen Einfluss des Brombenzols auf die Bromierung
hindeuten. Ein solcher Einfluss ist jedoch nicbt vorhanden.
Setzt mann dem Reactionsgemisch kleine Mengen fertigen Brom-
benzol zu, so ist dieser Zusatz fur die Bromierung ganz
gleichgiltig:
TAFEL IV.
Zugesetztes Brombenzol in °/0. 1. 2. 3. 5. 10
t = 4 Tage.
Gebildetes Brombenzol (Q) 549 54'8 55.4 54.6 54.7
t=\\ Tage
Q 65.2 65.1 66.4 66.4 65.0
Werden molekulare Mengen C6 H6 und C6 H5 Br mit
einem Molekel Brom (Br2) versetzt, so wird die Bromierung
durch Anwesenheit von Brombenzol nicht gehemmt, wie es
sein musste, falls die Bromierung bei 50°/0 Brombenzols auf-
hore: vielmehr ist in den Rohren ein starker Druck des HBr
vorhanden und nach 8 Tagen betrâgt der Brom-Verlust ca 33%,
nach 11 Tage — ca 56°/0.
Der verzôgerte Gang in der Bromierung, wie aus den
Tafeln I, II, III ersichtlich, ist also nur von der sich vermin-
denden Concetrations des Broms abhângig. Die Bromconcen-
tration ist fur die Geschwindigkeit der Bromierung massge-
bend 1). Verdùnnte Losungen von Brom in Benzol halten sich
sehr lange und werden nur âusserst langsam entfârbt, indem
HBr entweicht. Ûber den Einfluss der Bromconcentration auf
die Bromierung ist aus folgender Tafel zu schliessen.
TAFEL V.
t — ist in Tagen angegeben. Die Zahlen be.deuten °/0 des
gebildeten Brombenzols.
') Àhnliche Erscheinungea sind bei der Esterficierung von Berthelot
und Péan St - Gilles, bei Acetanilidbildung, — von Menschutkin, bei der
Nitrierung des Benzols, — von L. Meyer beobachtet worden. S. Van't Hoff
et Cohen. Studien zur chemischen Dynamik S. 29.
Bulletin I. 3
34
t =
RÉSUMÉS
6.
12.
63.
, 58.0
62.6
77.5
, 32.2
40.7
60.0
• 17.0
26.1
42.1
5.8
14.8
18.6
1 Br„ + 1 C6 II6
1 Br2 + 2 C6 H6
1 Br2 + 3 C6 H6
1 Br2 + 5 C6 H6
Wird aus den Zablen der Tafel 1. II. III die Geschwin-
1 x
digkeitskonstante nach dem biinolekularen Gesetz k0=— . — —
at a — x
berechnet. so ist der Geschwindigkeits-Coëfficient k2 keines-
wegs constant, sondern bundert und tausendfacb abnebmend.
Dies hangt von der bedeutenden Concentrationsverminderung
des Broms und von der Verànderung des Médiums ab. E8
sind deshalb Versuche iiber die Bromierung im Ubersehuss
von Benzol angestellt worden, uni 1) den Typus der Reaction
festzustellen und 2) fur den Einfluss des Jods, des gebraiich-
licbsten Katalysators bei der Bromierung des Benzols einen
zahlennutssigen Ausdruck zu erhalten.
II.
Brom und Benzol in vielfach aequivalenteni Mengenverhaltniss.
Icb lasse zuerst die Tafeln folgen: unter t ist die Zeit
in Tagen angebracbt; unter x — die zur Zeit t gebildete
Brorabenzol Menge in %; unter k1 — der Gesclnvindigkeits-
Coëfficient nach monomolekularem Gesetz: /cx = — log.
t a — x
unter k2 — der Geschwindigkeitscoëfficient nach bimolekularem
1 x
Gesetz fiir aequivalente Mengen h0 = — ; unter k'0 —
1 8 " at (a—x)' ~
der Geschwindigkeitscoëffieient ebenfalls nach dem bimoleku-
rem Gesetz, fiir polyaequivalente Mengen:
7 / * i (b — x)a ...
«o= /, .log —, wo a — die Aequivalentenzahl des
(b — ajt (a — xib 1
Brom, b - - die Aequivalentenzahl des Benzols bedeutet.
RÉSUMÉS
36
TAFEL VI.
t
X
h
k2
K 2
6
17.0
0.0135
0.034
0.0046
7
20.0
0.0138
0.033
0.0048
9
21.1
0.0114
0.030
0.0039
11
25.5
0.0116
0.031
0.0041
12
26.1
0.0109
0.030
0.0038
13
27.2
0.0106
0.029
0.0037
15
29.8
0.0102
0.028
0.0036
17
343
0.0107
0.031
0.0038
0.031
TAFEL VIL
Br, + 3 CG HG — 1% des angewendeten Benzols.
t
X
h
«2
K 2
2
38.5
0.105
0.31
0.038
3
49.3
0.098
0.32
0.036
4
53.1
0.082
0.29
0.030
6
66.3
0.078
0.33
0.030
7
66.5
0.068
0.28
0.026
9
70.8
0.059
0.27
0.023
11
76.9
0.057
0.30
0.023
13
78.8
0.052
0.29
0.021
15
83.0
0.051
0.32
0.021
17
86.0
0.050
0.36
0.021
0.31
H*
36
RÉSUMÉS
TAFEL VIII.
Br2 + 3 CH H6. Jod — 2% des angewendeten Benzols.
t
X
h
«2
k 2
1
53.4
0.332
1.15
0.123
2
71.8
0.275
1.27
0.108
3
77.9
0.218
1.17
0.087
4
83.9
0.198
1.30
0.08 1
5
86.9
0.196
1.32
0.073
6
89.2
0.161
1.38
0.068
1.26
TAFEL IX.
Br2 + 5 C8 H6. Jod — 2% des angewendeten Benzols.
t
X
h
fCa
«2
1
42.6
0.241
0.74
0-051
2
57.4
0.185
0.67
0.040
3
67.2
0.161
0.6S
0.035
4
76.9
0.159
0.83
0.035
5
79.6
0.138
0.78
0.031
6
83.1
0.129
0.82
0.027
0.75
Vergleicht raan die Zahlen, die ftir die drei Gesehwin-
digkeitscoëfficienten kl} k2, k\ erhalten worden sind, so ist
zu bemerken, dass die Zahlen Icl und Jc'2 einen stetig abneh-
menden „Gang" zeigen; dagegen die Zahlen k„ nur unregel-
mâssigen, nicht bedeutenden (bis 20°/0) Sehwankungen uni ein
Mittelwerth unterliegen. Die Reaction ist also als eine bimole-
kulare aufzufassen, und zwar so, dass die im Uberschuss vor-
handenden A équivalente Benzols als reines Lôsungsmittel
aultieten und an der Reaction nicht beteilio-tsind.
RÉSUMÉS 37
Aus den Werthen fur k2 in den Tafeln VI, VII, VIII
ist der katalytische Einfluss des Jodes gekennzeichnet: fiir-1% J.
durch eine zehnfache, fur 2% J. — durch eine vierzigfache
Vergrosserung der Geschwindigkeitskonstante.
In praktischer Hinsicht wâre zu bemerken, dass raan
auch im Ûberschuss von Benzol bei Gegenwart von 2% Jod
binnen wenigen Tagen eine Ausbeute von ca 90°/0 Brombenzol
erzielen kann. Die Bildung von p. Dibrombenzol ist dann
âusserst geringfiigig. Bei der Broraierung von 60 gr. Brom
in 3 Aequivalenten Benzols (2% Jod) habe ich nach 7 Tagen
51,1 gr. C6 H5 Br erhalten, also eine Ausbeute von 85%. Die
von Gatterman x) z. B. und Lëvy 2) beschriebenen Methoden
geben nur eine Ausbeute von 70% — wahrscheinlicb wegen
Bildung von p. C6 H4 Br2. Handelt es sich also ausschliessich
um die Gewinnung von Monobrombenzol, so ist es rathsam
im ûberschussigen Benzol zu Broraieren. Dies ist schon —
jedoch ohne Zahlenbelage — von Miehaelis und Graeff3) em-
pfohlen worden. Auch das von Schramm4) zur Erhôhung der
Brombenzol Ausbeute vorgeschriebene Verfahren: das Brom
portionsweise hinzufiigen — kommt ja im Grande einer Bro-
mierung im Benzoliiberschuss gleich an.
5. — W. Heinrich 0 staJosci wrazenia zaledwie spostrzegalnego przy uzyciu
tonôw stalych. (De ta constance de perception des tons purs
à la limite d'audibilité). Présenté le 8. janvier 1900,
L'auteur communique des recherches sur la constance
d'intensité des tons purs à la limite d'audibilité.
') Gatterman. Die Praxis des organischen Chemikers S. 209.
i) S. Levy. Anleitung zur Darstellung organischer Praparate S. 79.
3) B. der deutschen Ch. Gesellschaft VIII. 922.
*) B. der deutschen Ch. Gesellschaft XVIII. 606.
;î8 résumés
Il s'était occupé antérieurement de cet objet en se ser-
vant des tons purs produits, soit par des tuyaux d'orgues,
soit par des tuyaux en verre qu'on faisait résonner au moyen
de flammes de gaz, soit enfin par des bouteilles à vent. On
expérimenta sur des tons de différente hauteur, afin de prou-
ver que la proposition est aussi bien valable pour des tons
hauts que pour des tons bas. Le résultat fut toujours le même:
l'intensité des tons à peine perceptibles était constante1).
Ces expériences furent répétées dans le laboratoire de la
Cornel University, à Ithaque; les résultats obtenus par M. Cook
sont communiqués par M. Titchner 2).
On s'y servit des tons d'un diapason mis en vibration
par un électro-aimant et de ceux d'une bouteille à vent et on
constata un changement d'intensité.
Les expérimentateurs expliquent la différence entre leur
résultat et celui de l'auteur en supposant que ce dernier n'est
pas parvenu à vainere la difficulté de la déterminer. Ils sou-
lèvent aussi l'objection que l'auteur ayant été l'unique observa-
teur dans ses expériences il y manquait le témoignage d'un tiers.
Ces suppositions ne sont pas conformes à la réalité, ou
bien ne peuvent pas expliquer l'erreur. La circonstance que
l'auteur fut l'observateur unique dans ses expériences le forçait
à un contrôle d'autant plus minutieux des résultats. La cir-
conspection était d'autant plus naturelle que le résultat des
expériences était en désaccord avec l'hypothèse fondamentale
qui l'avait poussé à ces recherches. Il explique dans un
travail antérieur 3) qu'il commença ses expériences en supposant
que les changements observés dans l'intensité des perceptions
auditives seraient liés avec les modifications de tension du tym-
pan, produites par la respiration et la pulsation du sang.
Quand il n'aperçut aucune variation de l'intensité des
tons purs à peine perceptibles dans ses premières expériences,
*) Bulletin de l'Académie des sciences. Cracovie, Nov. 1898.
*) The American Journal of Psychology. Vol. XI p. 119.
3) Mémoire précité p. 147.
RÉSUMÉS 39
la première pensée qui se présenta fut que le ton n'était pas
encore assez faible. Rien de plus facile du reste que de mo-
difier l'intensité d'un ton faible, quand on dispose d'une série
de salles, comme cela avait lieu dans ce cas. On peut aussi
diminuer jusqu' à leur disparition l'intensité des tons purs,
même à une petite distance de l'auditeur, au moyen des ondes
stationnaires.
Si, dans un espace fermé, un ton réellement pur et d'in-
tensité constante est produit, les ondes émanant de la source
interfèrent avec celles qui sont réfléchies par les murs en pro-
duisant des lieux de renforcement et d'affaiblissement du son.
C'est ainsi qu'en employant une bouteille à vent, avec un
souffle égal et sans bruit, l'auteur n'entendit rien à la distance
d'un mètre, tandis que le son était parfaitement perceptible
à 2 mètres de distance.
La disparition complète du son dans les noeuds n'a lieu
que lorsque le ton est absolument pur. Si le son est com-
posé, on observe, dans les lieux qui correspondent aux noeuds
du ton principal, un changement notable du caractère du son:
le ton principal y disparaît, tandis que les tons accessoires res-
sortent plus nettement, leur longueur d'onde étant différente.
On peut du reste observer dans ce cas aussi le phénomène
dans sa pureté primitive, c'est -à- dire la disparition et l'ac-
croissement du ton, lorsqu'on choisit une place assez distante
de la source du son pour faire disparaître les tons accessoires.
Ce phénomène d'un caractère tout à fait élémentaire
n'est rappelé que parce qu'il donne un moyen de déterminer
avec facilité la hauteur du ton assez approximativement. D'au-
tre part — et c'est ce qui est essentiel pour notre cas —
il peut servir comme critérium de pureté des tons employés
à l'expérience. C'est ainsi qu'on a pu constater que le diapa-
son à électro aimant ne produit pas de ton, mais un son très
compliqué auquel se joint le bruit de l'étincelle. On n'a pas
réussi à obtenir des noeuds en s'en servant.
Pour éliminer toute raison de doute, 1' auteur s'est im-
posé comme règle dans ses premières expériences, ainsi que
40 RÉSUMÉS
dans celles qu' il va communiquer, de choisir pour lieu d'obser-
vation la place la plus éloignée de la source du son, où le ton
était à peine perceptible même dans les ventres.
Les sources dont se servait l'auteur étaient donc diffé-
rentes de celles mises en usage par M Cook. C'étaient des
-tons purs dans le premier cas; des mélanges de tons avec
des bruits dans le second. C'est incontestable, par rapport au
diapason à électro-aimant, et bien problable, par rapport aux
bouteilles qu'on faisait résonner au moyen de l'air comprimé.
Nous avons vu que dans le premier cas on ne peut pas
obtenir d' ondes stationnaires. Quant aux bouteilles à vent,
les tons produits par elles peuvent être purs; mais il est in-
dispensable pour cela que l'air comprimé forme un souffle
doux. Pour y parvenir on conduit d'abord l'air du réceptacle
où il se trouve sous une grande pression, dans un autre ayant
plusieurs litres de volume. L'air y entre à pression constante
et avec un bruit très marqué, pour en sortir avec un souffle
doux. Ce réceptacle doit être disposé à une distance considé-
rable de la bouteille résonnante et recouvert très soigneuse-
ment pour amortir complètement le bruit du souffle.
M. Cook ne fait pas mention de ces précautions indis-
pensables. En revanche il introduit un facteur qui ne pouvait
que diminuer la pureté du son: il disposait le diapason et la
bouteille à vent dans une boîte dont les parois étaient recou-
vertes de drap.
L'auteur remarque que ce mode d'amortir le son influe
d'abord sur les tons et beaucoup moins sur les bruits, les tons
étant généralement renforcés par la résonnance des corps so-
lides élastiques qui est éliminée dans les circonstances décrites;
ce qui fait que dans ce cas les bruits prévalent sur les tons.
Ces considérations peuvent servir pour expliquer la diffé-
rence des résultats obtenus en Amérique. Pour en acquérir
une preuve expérimentale on répéta les expériences. M. Cy-
bulski, M. Goldberg et M-me Wyezofkowska furent invités
comme observateurs. L'auteur témoigne ses sentiments de re-
connaissance à ces personnes et spécialement à M. le prof.
RÉSUMÉS 41
Cybulski qui mit sa disposition l'Institut physiologique de
l'Université.
Le but des expériences était double. 1. Il s'agissait
d'abord de vérifier si on peut percevoir des différences d'in-
tensité des tons purs à la limite de perceptibilité. 2. On vou-
lait ensuite apprécier la différence de résultats, signalée par
M. Cook.
En ce qui concerne le premier de ces points on se ser-
vit de tuyaux en verre qu'on fit résonner au moyen de
flammes de gaz, aussi bien que d'une bouteille à vent alimen-
tée par un souffle continu. Dans les deux cas on obtint des
tons absolument purs et d'une durée assez longue, sans chan-
gement d'intensité. Les tuyaux en verre se montrèrent surtout
très commodes. En changeant la grandeur de la flamme et
sa place dans le tuyau on parvint à obtenir un son bien ré-
gulier et constant, composé de tons simples, harmoniques. On
pouvait constater la présence de tons accessoires par les chan-
gements du son dans les noeuds.
On détermina approximativement la longueur d'onde du
ton principal pour chaque tuyau au moyen d'ondes station-
nâmes. En voici les résultats:
Tuyau N-o 1. Longueur, 980 mm.; diamètre, 20,5 mm.;
hauteur de la flamme, 119 mm.; longueur d'onde du ton prin-
cipal, 250 cm.
Tuyau N-o 2. Longueur, 800 mm., diamètre, 16 mm.;
hauteur de la flamme, 82 mm. ; longueur d'onde du ton prin-
cipal, 200 cm.
Tuyau N-o 3. Longueur, 499 mm.; diamètre, 15 mm.;
hauteur de la flamme, 25 mm.; longueur d'onde, 160 cm.
La bouteille était alimentée par un souffle sous la pres-
sion de 0,1 — 0,02 d'une atmosphère. Le ton obtenu était pur
et d'une intensité constante, sans bruits additionnels. La lon-
gueur d'onde était de 400 cm. Le ton était tellement pur
qu'on ne pouvait pas le percevoir dans le noeud à une dis-
tance de 100 cm. de la bouteille, tandis qu'il était très bien
perceptible dans le ventre, à une distance de 200 cm.
RÉSUMÉS
Dans une seconde série d'expériences destinées à véri-
fier les observations de MM. Titchener et Cook, on s'est servi
d'un appareil de Kronecker consistant en un ressort d'acier
dont les vibrations sont maintenues au moyen d'un électro-
aimant. Cet instrument donnait un ton plus pur et moins in-
fecté de bruits que le diapason dont on pouvait disposer. Il
avait encore cette supériorité qu'on pouvait, en déplaçant les
électro-aimants, régler l'intensité relative des tons et des bruits.
L'espace où on expérimentait se composait d'un couloir
long de 2(5 mètres et de deux pièces attenantes, à ses deux
bouts, qui augmentaient la longueur de l'espace disponible jusqu'
à 40 mètres. L'instrument produisant le son était disposé dans
une de ces pièces, à 2 — 5 mètres de la porte qui restait fermée
pendant l'expérience. L'expérimentateur s'éloignait jusqu' à la
limite du son perceptible, c'est- à- dire jusqu' au lieu au- delà
duquel le son disparaissait.
Là il devait déterminer, en écoutant avec attention, si le
son était continu ou non, ou, du moins, si son intensité n'accu-
sait pas de changements.
Avant de commencer l'expérience, chacun des expéri-
mentateurs s'était familiarisé avec les changements d'inten-
sité qui se font observer dans le tic-tac d'une montre, continu
ou interrompu.
Tous apercevaient très distinctement les variations des
bruits de la montre.
Dans son mémoire antérieur l'auteur avait marqué la dif-
ficulté de noter les changements. Comme MM. Titchener et
Cook appuient sur cet aveu, il ajoute que ce ne fut pas la
perception, mais bien l'enregistrement du phénomène qui pré-
senta des difficultés. Comme il s'agissait de constater le syn-
chronisme de phénomènes différents, pour que les résultats
fussent comparables, il était indispensable d'avoir la certitude que
l'enregistrement avait été fait exactement et en temps propre.
L'acquisition de cette certitude exigeait du temps et de l'exer-
cice. Les résultats des expériences répétées récemment sont
les suivants:
RÉSUMKS 43
Tous les observateurs constatèrent sans aucun doute la
constance des tons entendus à la limite extrême d'audibilité.
On les percevait constants, ou on ne les percevait pas du tout;
du moment où on commençait à les percevoir, ils étaient toujours
constants. La limite à laquelle les tons cessent d'être percep-
tibles est différente pour différents observateurs; elle dépend
de l'acuité de l'ouïe. En général, comme le remarquent MM.
Tetchener et Cook, elle est atteinte à une distance considé-
rable de la source du son. Les sons dont on se servait ne
dépassaient pas l'intensité d'un diapason pincé avec une force
médiocre, et pourtant M-me Wyezolkowska les percevait à une
distance de 35 mètres, à travers deux portes fermées.
2. Tous les observateurs constatèrent des variations dans
l'intensité des sons produits par le ressort (à l'exception d'un
cas qui est notifié plus bas, dans le procès verbal). Pourtant
tous remarquèrent la difficulté d'observer ces variations ainsi
que la différence du caractère de ces variations du caractère
de celles qui ont lieu dans le tic-tac d'une montre.
Comme illustration nous insérons le procès- verbal des ex-
périences auxquelles participa M. Cybulski:
Expériences du 17/XI 99; temps: 10 heures du soir
jusqu' à minuit.
I.
Expérience avec la montre.
II.
Source du son: l'interrupteur de Kronecker, à une di-
stance de 2,5 m. de la porte. Les bobines disposées de manière
à produire un ton aussi pur que possible. La porte est fermée.
Limite d'audibilité: 26 m. de la porte qui sépare l'instrument
du couloir.
Le ton est constant.
III.
Source du son: le même appareil disposé de la sorte qu'il
produise plus de bruit. Le reste comme précédemment.
44 KÉSIIMÉS
Variations d'intensité. L'observateur croit apercevoir la
disparition périodique des bruits, tandis que le ton semble être
continu. Le tout produit l'effet d'une ondulation.
IV.
Source du son: résonnance du tuyau N-o 1. Hauteur
de la flamme: 119 mm. Distance de la porte: 5 m. Porte fer-
mée Limite d'audibilité: le bout du couloir (26 m.).
L'intensité du ton est constante.
V.
Source du son : tuyau N-o III, à 5 mètres de la porte.
Porte fermée. Hauteur de la flamme: 25 mm. Limite d'audi-
bilité: longueur du couloir + 3 mètres de la chambre attenante,
opposée à la première.
Le ton possède une intensité constante.
VI
Source du son: la bouteille à vent sous pression de 0,02
atmosphères. Distance de la porte: 3 mètres. Porte fermée.
Limite d'audibilité: 13 mètres de distance de la porte.
Le ton est d'intensité constante.
Les résultats ainsi obtenus confirment entièrement les
expériences antérieures de l'auteur qui démontrèrent que les
variations d'intensité ne se font percevoir que dans des bruits
à peine perceptibles, tandis que les tons conservent une inten-
sité constante pour l'oreille.
Les expériences précitées semblent compléter celles qui pré-
cédaient en ce que les sons à peine perceptibles, composés des
tons et des bruits, manifestent des variations d'intensité d'au-
tant plus accusées qu'ils se rapprochent davantage des bruits.
Ils sont au contraire d'autant plus constants, qu' ils ont le ca-
ractère des tons purs.
RÉSUMÉS 45
Quelle est la limite de pureté des tons à laquelle ceux-ci
commencent à manifester des variations d'intensité? Comment
ce produit cette transition de la constance à la variabilité?
Quel doit être le caractère des bruits pour que les variations
d'intensité arrivent au maximum? — L'auteur ne peut répon-
dre à toutes ces questions. On pourrait pourtant les résoudre
en changeant le caractère des bruits et en observant les mo-
difications produites dans le phénomène.
L'auteur communique encore une observation faite par
M. Cybulski.
La corde d'un violon mise en vibration rend un ton de
plus en plus faible, qui finit par s'éteindre. Si l'on rapproche
alors le violon de l'oreille, le ton devient de nouveau percep-
tible, pour s'éteindre dans quelques instants. Un nouveau rap-
prochement le fait encore reparaître etc. Pourtant le ton est
toujours continu. Le même phénomène peut être observé avec
un diapason.
Dans son travail antérieur l'auteur s'était abstenu d'expli-
quer les variations des bruits à peine perceptibles. Il remarque
à présent qu' il doit exister une différence fondamentale entre
la conductibilité des tons et des bruits dans le tympan et les os
tym paniques.
Il promet de reprendre ces expériences, quand l'action
du tympan lui sera mieux connue.
6. — Br. Znatowicz. Dziafanie kwasu azotowego na weglowodory aroma-
tyczne w stanie pary. (Action de l'acide nitrique sur les va-
peurs des hydrocarbures aromatiques, à la température
ordinaire). Présenté le 8 janvier 1900.
Dans les traités d'analyse chimique du gaz d'éclairage, on
trouve une méthode pour doser la quantité d'ébenzène à l'aide
de l'absorption par l'acide nitrique fumant. Supposant que cette
méthode ne saurait être précise, d'une part à cause de la len-
teur de réaction entre les hydrocarbures aromatiques et l'acide
4fi RÉSUMÉS
nitrique à la température ordinaire, et. d'autre part, par ce
que cet acide n'est pas sans action sur les hydrocarbures ap- ]
partenant à quelques autres séries, par exemple à la série
éthylénique, j'ai entrepris quelques expériences sur l'action de |
l'acide nitrique sur le benzène et ses homologues, pris à la
température ordinaire et à l'état de vapeur. Je me suis servi
de l'acide nitrique en divers degrés de concentration, exempt
des oxydes d'azote ou saturé par ces corps.
Dans ce but j'ai construit un appareil, ressemblant en
principe au flacon laveur de Drechsel, dans lequel j'ai intro-
duit l'acide nitrique qui y formait une colonne de la hauteur
d'environ 60 centimètres. L'hydrocarbure se trouvait dans un
kaliappareil de Geissler, communiquant avec le tube intérieur
de mon flacon laveur. A l'aide d'une trompe à jet d'eau, je I
faisais passer un courant d'air modéré qui, chargé des vapeurs
de l'hydrocarbure dans l'appareil de Geissler. entrait dans le
flacon avec l'acide nitrique, et là, bouillonnant en forme de pe-
tites bulles, donnait lieu au contact le plus parfait entre la
vapeur et l'acide. Le flacon était entouré d'un grand réservoir
rempli d'eau qui rendait la température stationnaire pendant
l'expérience. L'expérience se faisait avec une vitesse réglée
de telle manière que 10 grammes d'hydrocarbure se transfor-
m aient en vapeur, dans l'espace de 21/, à 3 heures. Je versais
ensuite le contenu du flacon dans une grande quantité d'eau.
Voilà les résultats que j'ai obtenus à l'aide de la mé-
thode exposée:
I. Acide nitrique ordinaire, densité 1,33. Avec
C6 H,;, nulle trace de produits nitrés ni d'acides aromatiques.
Dans un appareil Geissler, rempli d'eau de baryte et disposé
après le flacon laveur — un précipité abondant de carbonate
de baryum, les vapeurs nitreuses étant préalablement absorbées
par l'acide sulfurique concentré. La moyenne de quelques ex-
périences, avec 10 g. de benzène chaque fois, donne environ
12 g. de surplus dans l'appareil Geissler rempli de lessive de
potasse caustique. Dans un tube fortement refroidi se condense
jusqu' à 4, 5 g. de C,, H6.
RÉSUMÉS 47
II. Ac. nitrique de la densité 1,3S, privé des
oxydes d'azote par l'action de la carbamide. Tout
se passe comme dans le cas N-o I.
III. Ac. nitrique de la dent. 1,33, privé des
oxydes d'azote. Tout se passe comme dans le cas N-o I.
IV. Ac. nitrique fumant (rouge), de la den-
sité 1,52. Avec C6 H6 un produit cristallin qui, après une
cristallisation unique, prend l'aspect d'aiguilles blanches avec
un point de fusion 89, 7° et les réactions de métadinitroben-
zène. — Avec le toluène — un produit cristallisant en aiguil-
les fondant à la température de 69° environ (probablement
C6 H3. CH3. N02. N02 = 1, 2, 4).
V. Ac. nitrique de la dens. 1,52, privé des oxy-
des d' azote par l'action de la carbamide. Le produit
forme un liquide presque incolore qui, chauffé, se boursoufle
en donnant des vapeurs rutillantes en grande quantité, après
quoi il distille à la température d'environ 210°.
VI. Un mélange de 40% de HNO de la dens.
1 ,52, avec 60°/0 d' acide sulfurique fumant cri-
stallin. Avec C6 H)3 abondante formation de métadiuitroben-
zène, rendement jusqu' à 90% de la quantité théorique. Avec
l'orthodiméthylbenzène, le produit se compose d'une partie li-
quide, mêlée à une autre cristalline, difficile à séparer. Cette
dernière, à ce que je crois, forme des tablettes fondant vers
60° et non encore décrites. — Avec le méta-diméthylbenzène —
un produit cristallisé en aiguilles blanches avec un point de
fusion de 176, 5° (évidemment C6 H. CH3. CH3. N02. NO,.
N02 = 1, 3. 2, 4, 6). Rendement jusqu'à 94% de la quantité
théorique. Avec le para-diméthylbenzène — le produit solide,
qui se divise par les cristallisations répétées en tables rhom-
biques, tondant a 92e (C6 H2. CH3. N02. N02. CH3 = 1, 2,
3, 4), et en aiguilles fondant à 121° (C6 H2. CH3. N02. CH3.
NOa = 1 , 2, 4, 6).
Nakladem Akademii Umiejçtnosci
pod redakcya S-'kretarza generalnego Stauisfawa Smolki.
Krakôw, 1900. — Drukarnia Uaiwergytetu Jagiellonskiego, pod zarzadem J. Fllipowskiego,
20 Lutego 1900.
BULLETIN INTERNATIONAL
DE L'ACADEMIE DES SCIENCES
DE CRACOVIE.
N° 2. Février. 1900.
Sommaire: Séances du 5, 12 et 19 février 1900. — Résumés:
7. J. Tbetiak. Le cavalier d'airain de Pouchkine. — 8. M. F. Papée.
La Lithuanie pendant les douze dernières années du règne de Casimir
IV (1480—1492). — 9. M. Ebhst. Sur l'orbite de la planète d'Aletheia. —
10. L. Marchlewski. Phyllorubin , un nouveau dérivé de chlorophylle. —
11. V. Heinbich. Etude critique des théories contemporaines sur les im-
pressions de couleurs.
Séances
—^ —
Classe de Philologie
Séance du 12 février 1900
Présidence de M. C. Morawski
Le Secrétaire dépose sur le bureau les dernières publi-
cations de la Classe:
A. Brùckneb. »Apokryfy sredniowieczne« (Les apocryphes du moyen
âge en Pologne 1-ere Partie), Mémoires, 8-0, vol. 28. p. 262 — 381.
J. Tketiak. »Miedziany Jezdzioc Puszkina< (Le cavalier d'airain de
Pouchkine), Mémoires, 8-o, vol. 31, p. 1 — 80 l).
M. L. Sternbach donne lecture de son travail : 1) Obser-
vationes criticaeu. 2) nAppendix metrica".
i) Voir ci-dessous aux Résumés p. ôii.
50 SÉAHCES
Le Secrétaire présente le compte-rendu de la séance de
la Commission de l'Histoire de l'Art du 18 janvier.
Classe d'Histoire et de Philosophie
Séance du 19 février 1900
Présidence de M. F. Zoll
M. F. Piekosinski présente son travail: ^Les anciens Po-
lonais d'après Al Bekriu.
Classe des Sciences mathématiques et naturelles
Séance du 5 février 1900
Présidence de M. F. Kreutz
Le Secrétaire dépose sur le bureau les dernières publi-
cations de la Classe:
A. Bochenek. »0 dojrzewaniu i zaplodnieniu jaja slimaka Aplisia
depilans» (La maturation et la fécondation de l'oeuf de l'Aplysia depilansj,
Mémoires, 8-o, vol. 39, p. 69 — 91 et 3 planches.
R. Meeecki. sKlimatologia ziem polskich. I. Nieokresowa zmien-
nosr temperatury pOWÎetrza« (Sur la variation de la température en Pologne),
Mémoires, 8-o, vol. 35, p. 265-376, 1 planche.
St. TottoczKo. »Chlorek antymonawy w zastosowaniu do kryo-
skopii* (Sur l'application du trichlorure d'antimoine en cryoscopiej, Mémoires,
8-o, vol. 39, p. 103-108.
SÉANCES 51
M. E. Godlewski présente le travail de M. L. Marchlew-
ski : Phyllorubin, un nouveau dérivé de chlorophylle11 l).
M. M. F. Karliriski rend compte du travail de M. M.
Erxst: nSur l'orbite de la planète (259) Ahtheiau 2).
M. C. Olszewski présente une note préliminaire de M.
V. Heinrich: nSur la fonction accommodative de la membrane
tympaniqueu.
i) Voir ci-dessous aux Résumés p. G3. — -) ibid. p. 62.
!*
Résumés
7. — J. Tbetiak. — Miedziany Jezdziec Puszkina. (Le cavalier <Fai-
rain de Pouchkine). Présenté le 13 novembre 1899.
Au début de son travail l'auteur* expose les diverses in-
terprétations que la critique a données du „ Cavalier d'airain"
de Pouchkine, et, à ce sujet, fait remarquer que la critique
russe a jusqu'ici peu contribué à la vraie compréhension du
plus grand poëte de la Russie. La critique polonaise seule
a vivement agité la question du „ Cavalier d'airain". Il est
vrai que la „Zeitschrift fiir die vergleichende Literaturge-
schichte N. F. B. XI 1897", s'en est aussi occupée1, mars
fort superficiellement et en la présentant sous les plus faux
aspects. Dans ses deux premiers chapitres, l'auteur ne touche
pas au noeud même de la discussion, c'est-à-dire aux rapports
entre le „ Cavalier d'airain" et l'épilogue de la troisième par-
tie des „ Aïeux" de Mickiewicz; il s'attache surtout à faire
ressortir les deux sources d'inspiration et de sentiments où
puisa Pouchkine, qu'il avait déjà signalées dans une polé-
mique avec M. Spasowicz, à savoir: la religiosité et le libé-
ralisme. A propos de la religiosité, il insiste sur la diffé-
rence de l'éducation domestique que reçurent Mickiewicz et
Pouchkine. C'est à cette éducation que Pouchkine fut rede-
vable de son incrédulité; cependant le besoin inné d'une reli-
RÉSUMÉS 53
gion ne s'éteignit pas complètement dans le coeur du poëte
russe; parfois il se réveille en lui, à la faveur de certaines
circonstances, et se manifeste franchement. En parlant du li-
béralisme de Pouchkine, l'auteur démontre que, dans les aspi-
rations et opinions politiques ou sociales du poëte, il y a en-
core plus d'indécision et d'incertitude que dans ses opinions
religieuses, et contredit l'assertion de M. Spasowicz qui prétend
que, deux ans avant la catastrophe de décembre (1825),
Pouchkine s'était complètement séparé du parti libéral. Après
avoir comparé la „Liberté" de Pouchkine avec ,,1'Ode à la
jeunesse" de Mickiewicz et montré les points de contact, ainsi
que les différences entre ces deux pièces fameuses, l'auteur,
ayant caractérisé l'état d'esprit des deux poètes à ce moment,
examine successivement toutes les poésies ultérieures de Pouch-
kine où s'accuse l'incertitude du libéralisme, et s'efforce d'é-
tablir la genèse des morceaux suivants: Le Semeur, Elégie
sur la mort de Madame Riznich, André Chénier, le Prophète,
Anczar. Galub. Il s'appuie surtout sur les confidences mêmes
du poëte.
Dans le chapitre III, il aborde le sujet de sa polémique
avec M. Spasowicz, c'est-à-dire la question des rapports entre
le „Cavalier d'airain" de Pouchkine et l'épilogue de la troi-
sième partie des „A'ïeux de Mickiewicz. Il soumet d'abord
à une exacte analyse les faits cités par M. Spasowicz à l'ap-
pui de cette assertion que Mickiewicz, dans "Le monument
de Pierre le Grand", prête faussement à Pouchkine des pa-
roles de blâme contre le fondateur de Pétersbourg, et prouve
que les arguments allégués sont loin d'être péremptoires. Le
plus saillant de ces arguments est puisé dans le poëme „Pul-
tawa", où Pierre I est entouré d'une auréole, et qui fut écrit
au moment où eut lieu la scène dont parle Mickiewicz dans
son poëme. Un autre argument est la réponse à la „lettre phi-
losophique de Czaadajew". L'auteur explique précisément l'oppo-
sition des paroles de Pouchkine, dans „Pultawa" et dans „Le
monument", par la versatilité du poëte russe, versatilité dont
nous retrouvons des preuves dans toute une série de ses
54 RÉSUMÉS
poëraes. Quant à la réponse à la „ Lettre philosophique",
l'auteur nons expose les circonstances dans lesquelles cette
réponse fut écrite, circonstances qui ne nous permettent pas
de penser qu'elle était l'expression sincère de l'opinion du poëte,
mais qu'elle était bien plutôt un acte de prudence, destiné
à endormir les susceptibilités du gouvernement.
Suivant pas à pas M. Spasowicz dans ses déductions,
l'auteur passe à l'examen des poésies officielles, patriotiques
de Pouchkine, en 1831, et à l'ode „Aux amis Russes", par
Mickiewicz, ouvrages entre lesquels on avait cru jusqu'ici
qu'il existait un lien étroit. Eh bien, on s'était trompé, car la
pièce de Mickiewicz fut composée en 1830, probablement sous
les mêmes influences que „A une mère polonaise", ainsi qu'il
ressort de l'autographe primitif qu'on a récemment publié.
Mais Pouchkine ignorait certainement la date de la composi-
tion de „Aux amis Russes", et cet appel ne pouvait être pour
lui que l'expression des sentiments de Mickiewicz. après la
révolution de 1831. Quant au rôle joué par Pouchkine en
1831, à l'égard du gouvernement, et à ses poëmes „Aux dé-
tracteurs de la Russie", et „1' Anniversaire de Borodino", l'auteur
essaye de l'expliquer en comparant la première de ces deux
pièces avec les brouillons de deux fragments d'une époque
antérieure. Cette comparaison prouve clairement que Pouch-
kine, dans son poëme „Aux détracteurs de la Russie", a fait
entrer nombre de vers, de phrases, de termes, de passages
entiers même tirés de compositions ébauchées précédemment,
et cela de telle sorte que l'esprit en est diamétralement opposé,
ce qui, contrairement aux conclusions de M. Spasowicz, dé-
montre que le vers, chez Pouchkine, n'était pas l'image du
coeur, le cri de la conviction, mais bien un brillant écho
opportuniste. Puis, à propos de la pièce „au comte O", l'au-
teur, ayant levé le voile de l'anonyme caché sous cette ini-
tiale, nous fait voir la pensée inspiratrice du poëme: c'était
le malheureux amour du comte Gustave Olizar, maréchal de
la noblesse du gouvernemment de Kiew. pour Marie Ra-
jewska.
RÉSUMÉS 55
L'auteur s'occupe ensuite du „Cavalier d'airain", et, ré-
futant les critiques de M. Spasowicz, reproche à son contra-
dicteur de n'avoir pas bien saisi ni rapporté ce que lui,
M. Tretiak, avait avancé au sujet de ce poëme. S'en réfé-
rant à sa première publication, l'auteur répète qu'il a vu dans
le „Cavalier" l'aveu de soumission du poëte russe, l'accepta-
tion du despotisme , acceptation imposée par le bon sens , la
nécessité, la fatalité des circonstances, mais non la confession
désespérée de la lâcheté, comme l'avait compris M. Spasowicz.
Il n'a pas prétendu non plus que le „Cavalier d'airain" ne fût
qu'un plaidoyer personnel, „pro domo sua", de Pouchkine —
non, quoique personnel, c'était la défense de tout le libé-
ralisme russe. M. Spasowicz affirme que Pouchkine ne répon-
dit à aucun des reproches de Mickiewicz, que, dans le „Ca-
valier", il n'y a rien en réponse à Mickiewicz, et que ce
qu'on y pourrait prendre pour tel ne s'y trouve que par
hasard. On voit, bien que M. Spasowicz est avocat et qu'il
envisage la poésie sous un angle juridique, cherchant dans un
poëme la logique et l'ordonnance sévère qui se remarquent
dans le code. Mais il ne s'agit pas ici d'une critique de dé-
tail, anonymement adressée à des amis russes, mais de l'im-
pression qu'emporta Pouchine de la lecture des deux pièces
„Aux amis russes" et „Le monument de Pierre le Grand".
A cette lecture, Pouchkine comprit qu'on lui demandait s'il
était encore, comme naguère, l'adversaire implacable du despo-
tisme: „Le Cavalier d'airain" tut la réponse.
L'auteur passe ensuite à l'examen de la pièce de Pouch-
kine „Seigneur , détourne de moi la folie" qu'il considère
comme ayant une parenté étroite d'idées avec le „ Cavalier"
dont elle est le meilleur commentaire, et combat à ce propos
M. Spasowicz qui prétend que cette parenté n'existe pas, et
qui n'est pas loin de croire qu'il n'y a ici aucune pensée
cachée, qu'il ne faut y voir que l'expression de la terreur de
la folie.
Le dernier point discuté est cette assertion de M. Spa-
sowicz que, dans le personnage d'Eugène, c'est par aristocra-
56 RÉSUMÉS
tisme que Pouchkine montre le poing à Pierre le Grand, pré-
tendu représentant du libéralisme européen. Et la genèse du
poëme et le poëme lui-même contredisent catégoriquement cette
assertion. Au cas où son héros eût été le représentant de
l'aristocratie, Pouschkine n'aurait eu aucun motif pour retran-
cher tout un passage , plein de griefs aristocratiques , pour
en faire un morceau isolé, complet. D'ailleurs, dans le cours
du poëme, n'a-t-il pas insisté sur ce que son héros, quoique
de haute et antique naissance, ne se prévalait pas de cette
origine.
Enfin il s'excuse de s'être arrêté à une si longue et si
minutieuse anal}7se : il l'a fait en considération de l'autorité
de son honorable adversaire, et surtout de l'objet de la polé-
mique, c'est-à-dire des rapports de Mickiewicz avec Pouchkine,
ou pour mieux dire, avec la Russie, tels qu'ils ressortent du
fameux épilogue de la troisième partie des „ Aïeux". D'après
l'auteur, l'idée dominante du poëme de Mickiewicz consiste en
ceci que la Russie, le peuple russe est un bloc assoupi, une
force nouvelle, brutale, barbare que se disputent deux élé-
ments contraires: le bien et le mal, la lumière et les ténèbres,
la liberté et le despotisme; et l'auteur cite, à l'appui de cette
thèse, toute une série d'extraits de ce poëme de Mickiewicz.
8. — M. Fkédéric Fai'ék. Litwa w ostatniem dwunastoleciu Kazimierza
Jagielloriczyka. (La Lithuanie pendant tes douze dernières
années du règne de C'asunir IV (1ÂSO—1JL92). Présenté le
18 décembre 1899.
Obéissant aux recommandations de Dlugosz qui, à la lin
de son oeuvre, en prescrit la continuation aux historiens de
l'avenir, l'auteur a voulu combler la lacune qui se trouve
dans l'historiographie polonaise immédiatement après la mort
du grand historien, ce que personne jusqu'ici n'avait essayé de
faire sérieusement. De récentes et nombreuses publications
d'actes et documents de la seconde moitié du XVe siècle ont
RÉSUMÉS 57
singulièrement facilité sa tâche; quelques recherches dans les
-archives ont complété ses sources.
M. Papée considère la période qui s'écoula entre la paix
d' Olmutz et la mort d'Alexandre (1479 — 1506), comme for-
mant un tout assez homogène, durant à peu près HO ans.
c'est-à-dire le temps d'une génération, d'après M. Lorenz
la plus petite unité chronologique en histoire. Tout ce qui fut
exécuté pendant les règnes de Jean Albert et d'Alexandre
avait été en effet, ou projeté ou commencé, dans les douze
dernières années du règne de Casimir IV. C'est de ces douze
années (1479-1492) que l'auteur s'est occupé, et il com-
mence par l'histoire de la Lithuanie à cette époque, car,
jusqu' en 1484, elle joue dans la politique du roi le premier
rôle qui passe ensuite à la Pologne.
Dans un des derniers chapitres de son grand ouvrage
Dlugosz raconte que le roi avait conseillé aux Lithuaniens
d'éviter toute occasion de conflit avec le grand -duc de Mosco-
vie, parce qu'ayant négligé dans les derniers temps l'art de
la guerre, ils devaient avant tout s'assurer de l'appui des Polo-
nais, soldats éprouvés. Ils ne devaient pas non plus compter sur
la population russe qui, appartenant à une autre confession
qu'eux, n'apporterait aucun zèle à les soutenir, et, en cas de
lutte avec la Moscovie, contribuerait plutôt à la défaite
qu'au triomphe des Lithuaniens.
Les Lithuaniens étaient alors non seulement peu exer-
cés au métier des armes, mais encore peu civilisés en géné-
ral. Si l'on compare l'état de cette contrée sous Witold et
sous Casimir IV, on constate une étrange stagnation sans
progrès. Il ne faut chercher le motif principal de ce ma-
rasme que dans le séparatisme lithuanien. Ce séparatisme
commença à s'affirmer par les espérances chimériques que
firent naître les rêves et les efforts de Witold pour ceindre son
front de la couronne de Lithuanie. La dernière expression
de ce sentiment se trouve dans le privilège territorial de 1447,
où est solennellement énoncé ce principe: la Lithuanie aux
Lithuaniens. Et cl' où pouvait venir en Lithuanie le souffle
■~>v RÉSUMÉS
civilisateur de l'Occident, puisque ce pays s'était alors systé-
matiquement fermé pour le prêtre polonais, le chevalier polo-
nais, le négociant et l'ouvrier polonais ou allemand? Il est
vrai que, grâce aux efforts de Casimir IV. les rapports entre
les deux nations s'améliorèrent sensiblement: des contingents
Lithuaniens parurent sur les champs de bataille à coté des
Polonais (1466, 1474), et la Pologne était prête à la récipro-
cité en faveur de la Lithuanie. Mais les effets de l'aveugle
opposition à l'introduction des institutions civiles et militaires
de l'Occident ne pouvaient s'effacer en un jour, et la Lithua-
nie devait longtemps encore souffrir de la longue interrup-
tion de ses relations amicales avec la Pologne.
L'élément russe occupait à cette époque les trois quarts
de la Lithuanie et s'appuyait sur deux puissants soutiens:
l'Eglise grecque et les principautés territoriales. En face du
catholicisme, religion d'état, l'Eglise grecque avait pris une
position haineuse: et quant aux principautés, les derniers
travaux des savants russes ont péremptoirement démontré
que le fédéralisme et non la centralisation était alors en
vigueur en Lithuanie. Le pouvoir du grand-duc était déjà
limité par les diètes oligarchiquement constituées; il l'était en-
core par l'autonomie de divers territoires, même par les prin-
cipautés indépendantes. Les liens les plus faibles unissaient
à la Lithuanie celles de ces principautés qui étaient situées
aux extrêmes confins du pays, entre Smolensk, Toropiec et
Worotynsk, contrées frontières du côté de la Moscovie, par
cela même les plus dangereuses.
La question de Novgorod était en ce moment la grande
préoccupation des esprits. Il fallait, ou déclarer la guerre au
grand-duc de Moscou pour s'emparer de la république de Nov-
gorod, ou permettre aux Moscovites de se l'annexer. Novgo-
rod ne pouvait être plus longtemps abandonnée à elle-même.
Mais une guerre à ce sujet avec la Moscovie eût été en
quelque manière aussi une guerre des Russes contre les Russes,
sapant les assises des deux puissances combattantes. Les résul-
tats de la défaite étaient incalculables; et qu'auraient été ceux
RÉSUMÉS 59
le la victoire? D'abord l'accroissement de l'élément russe, si
Prépondérant déjà en Lithuanie; ce que Casimir IV ne poli-
rait point désirer, lui qui connaissait si bien la situation et
iie voulait rien tant que conserver à son royaume le carac-
tère occidental. D'ailleurs Ladislas Jagellon, en unissant la
Lithuanie à la Pologne, en recevant le baptême catholique et
qoii grec, avait abandonné le mot d'ordre d' Olgierd „quod
Dmnis Russia ad Litvinos deberet simpliciter pertinere", et de
plus il avait recommandé que la Lithuanie restât sur la défensive
à l'égard de la Moscovie. Casimir adopta la politique de ses
ancêtres. Certains faits paraissent aller à l'encontre de cette
assertion, mais ils sont mal interprêtés, surtout cette soi-disant
alliance avec Novgorod, par laquelle le roi se serait obligé
à porter secours à la république; cette alliance ne fut qu'en
projet, de la part de Novgorod. Le roi ne prit aucun en-
gagement envers la république, mais il causa des embarras
'à la Moscovie, en suscitant contre elle la Grande Horde d'au
delà du Wolga. fidèle en cela à la tradition Jagellonienne.
Ivan III trouva un contrepoids à ces difficultés en s'attachant
,une autre horde qui s'était séparée de la grande: celle de
Mengligirej , Khan des Tatares de Crimée. Et depuis ce mo-
ment l'immense frontière orientale de la Lithuanie, de Toro-
ipiec à l'embouchure de la Worskla, fut menacée; et c'est pour
cela que le roi, vers la tin de 1479, vient s'installer dans le
grand-duché, afin de „fortifieru la Lithuanie.
A peine était-il arrivé à Wilna, que tout ce qui était hostile
aux Moscovites se tourna vers lui : les Livoniens ainsi que les
frères cadets d'Ivan III, qui relevèrent l'étendard de la ré-
volte pour l'indépendance de leur pays, de même qu' Achmet.
Khan de la Grande-Horde. Tout l'entourage divan III s'était
donné le mot pour „le ramener à l'état dans lequel se trou-
vaient ses ancêtres". Néanmoins l'alliance avec la Livonie
n'aboutit pas, car le grand maître de l'Ordre Teutonique, qui
servait d'intermédiaire dans les négociations, avait combiné
cette alliance avec un projet fort épineux de protectorat royal
sur les deux branches de l'Ordre, toutefois avec l'abandon de
60 aÉsuKÉs
la Prusse aux Chevaliers. Les frères du grand-duc de Mosco-
vie s'unirent au roi, envoyèrent en Lithuanie leur famille, et
firent campagne eux-mêmes le long de la frontière lithua-
nienne, vers Novgorod ; mais en somme, on ne sait pourquoi,
ils se réconcilièrent avec Ivan III au moment décisif, c'est-
à-dire, pendant l'automne de 1480, lorsque Achmet, excité
par Casimir, se porta à la tête de toute la horde sur l'Ugra,
à la frontière de la Moscovie. Les forces moscovites, conso-
lidées à temps, purent repousser l'invasion. — Mais pourquoi
Casimir ne prit-il pas part à l'action? „Parce qu'il y avait des
luttes domestiques (ycoônitti) chez lui", assurent les sources
russes. Mais le chroniqueur de Dantzig, Weinreich, dit qu'en
1480, certains magnats russes voulaient trahir la Lithuanie,
après entente avec la Moscovie. 11 est donc probable que ce
complot des „kniajesM russes, qui éclata au printemps de 1481,
était dès lors en formation, et que le roi dut surveiller les
agissements des conjurés.
Cette hypothèse est du reste confirmée par un examen
plus approfondi de cette conjuration. Elle fut une explosion
des tendances décentralisatrices territoriales, et son but allait
jusqu'à l'occupation du trône de Lithuanie. Tout cela pri
naissance à Kiew. Cette ville appartenait aux Olelkowicz,
descendants d'Olgierd, lorsqu'en 1471 Casimir en fit un
palatinat, transportant les Olelkowicz à Shick. En sep-
tembre 1480, le premier palatin de Kiew, Martin GrasztolcU
étant passé au palatinat de Troki, le roi, sans tenir compte
des prétentions des Olelkowicz, nomma palatin de Kiew son
partisan Ivan Chodkowiez. Alors les Olelkowicz, de concert aveo
leurs proches parents, les Holszanski et les Bielski, résolurent
d'assassiner le roi et ses fils, et de donner le trône de Li-
thuanie à leur chef Michel Olelkuwiez, prince de Sluck. Les
conjurés avaient l'assentiment de la Moscovie; la défense de
l'Eglise grecque n'était qu'un vain prétexte. L'attentat dirait
être exécuté à lu chasse, quelque temps avant la fête de
Pâques (1481); mais tout fut découvert à temps et l'on em-
prisonna les conspirateurs dont on put se saisir. Fédor Biel-
t
t
RÉSUMÉS 61
ki s'enfuit à Moscou; Michel Olelkowicz et Ivan Hulszariski,
apturés, furent suppliciés, le 30 août 1481 — non à Kiew, com-
ne assurent certains historiens, mais à Wilna. Désormais les dy-
îastes territoriaux cessèrent d'être un danger pour la Lithuanie,
i l'exception de ceux qui étaient sur les confins. Les descendants
les conjurés, — on leur avait laissé leurs domaines — devin-
ent de fidèles défenseurs de la Lithuanie contre les Tatares,.
îontre Glirïski, et même, plus tard, ils se firent catholiques.
Les préparatifs de 1480 furent les premières menaces
ie guerre de la Lithuanie contre la Moscovie. Ces menaces
je renouvelèrent après la prise et l'incendie de Kiew (1 octo-
ore 1482) par Mengligirej, poussé par Ivan III. On fit alors
les levées en masse en Lithuanie; et pendant qu'une grande
Dartie de l'armée ainsi rassemblée allait fortifier Kiew et les
ihâteaux de l' Ukraine, 10000 hommes se portèrent à Smo-
ensk, prêts à entrer en campagne contre la Moscovie. Mais
jette fois encore on n'en vint pas aux mains. Le roi qui sa-
vait combien les Moscovites étaient supérieurs en nombre et
bs qualités militaires, n'ayant pu s'assurer le concours des Po-
lonais, n'osa pas risquer l'entreprise.
Dès lors on ne songea plus à l'offensive et l'on se borna
'a, défendre les places frontières. On le fit avec beaucoup d'é-
nergie, et si les Moscovites parvinrent néanmoins à remporter
d'insignifiants avantages, ils le durent à la trahison des prin-
ces des confins. Enfin, du vivant encore de Casimir, on pro-
jeta de donner à la Lithuanie un grand-duc particulier, qui
résiderait en permanence à Wilna et dont la mission serait
de régler le différend avec la Moscovie, par un traité et un
mariage (le testament de Casimir n'est donc pas une légende).
On ne se dissimulait pas qu'un traité conclu dans de sem-
blables conditions, entraînerait sans aucun doute des rectifica-
tions de frontière , au détriment de la Lithuanie , et qu'il
faudrait renoncer à Wjazma et aux autres principautés au-
delà de Smolensk.
On peut appeler cet abandon: résignation, — mais non
négligence, résignation consciente, calculée, adroite, conseillée
62 RÉSUMÉS
par l'expérience acquise au prix des plus longues leçons. Mais
tandis qu'on consentait à s'amputer d'un coté, on avait de
l'autre les plus larges projets d'expansion. Toute cette pé-
riode finale du règne de Casimir IV prépare la guerre avec
la Turquie, et on rêve de reconquérir les bords de la Mer Noire.
Peut-on taxer ces projets d'aventureux (Lewicki, préface au
Ille Vol. du Cod. ep.)? Pour consolider le royaume des Jagel-
lons et lui assurer un développement économique dans l'ave-
nir, il est évident que la mer et l'Orient étaient de plus de
valeur que les plateaux déserts de Wjazma. Les bouches du
Dniepr étaient aussi nécessaires à la Lithuanie, que celles
du Dniestr à la Pologne; aussi les intérêts des deux pays
étaient-ils ici d'accord ; et c'est sur les champs de bataille que se
cimenterait l'union, quoique un frère régnât en Lithuanie et
l'autre en Pologne.
:
9. — M. Eux*!. Wyznaczenie clrogi planetoidy (259) Aletheia. (Bahnbel
Stimmung (tes Planeten (259) Aletheia). Vorgelegt den 5 Fe-
bruar 1900.
Als Grundhige der Rechnung wurden die von Tietjen
abgeleiteten Elemente benutzt. Die Elementenverbesserung
wurde auf das gesammte Beobachtungsmaterial gegriindet. Die
Beobachtungen beziehen sich auf die Oppositionen der Jahre
1886, 1887, 1888, 1890, 1898. Sie wurden in 7 Normalorte
vereinigt. Die 14 Bedingungsgleichungen , aufgelôst nach der
Méthode der kleinsten Quadrate, ergaben folgende Correctio-
nen der Tietjenschen Elemente:
dM = — 35' 51 "64
di = — 8"-68
dco = + 29' 12"64
d9 = + 7/,-6l
do = — m"m
du. = — o"-35io97
18900
RÉSUMÉS 63
und somit cl as Elementensystem:
Ep. und Ose. 1888 Nov. 22'0
M = 176° 25' 1"34
<o = 152° 35' 25"-34
il = 88° a&' 45"-48
i = 10° 43' 22"-76
<p = 6° 42' 52".40
p = 637"-0490l
Iga = 0-4972225
Bei Anwendung dieser Elemente betragt die Suramë der
Quadrate der iïbrigbleibenden B — R 6050". wâhrend fur die
ûrspriinglichen Elemente sie 8698327'' betrug. Grossere Ge-
nauigkeit liess sich nicht erzielen. Es wurden bei der Berech-
nung nur die Jupiterstôrungen berucksichtigt. Die Saturn-
storungen sollen bei der detinitiven Bahnbestiramung auf Grund
der Beobachtnngen in 6 Oppositionen demnachst berucksichtigt
werden.
10. — L. Mabciilewski. — Filorubina nowa pochodna chlorofilu. {Pàylloru-
bin, ein neues Dérivât des ChlorophyUs). Vorgelegt den 5.
Februar 1900.
Das interessanteste zur Zeit entdeckte Dérivât des Chlo-
rophyUs ist zweifelsohne das Phylloporphyrin, welches durch
Erhitzen verschiedener naherer Abkommlinge des ChlorophyUs
mit Alkali auf hohe Temperaturen erhalten wird. Die Farbe
seiner neutralen Losungen ist bekanntlich roth, wâhrend
ein Zusatz von Sauren das Hervortreten eines violetten Sti-
ehes hervorruft. Das Spectrum des Phylloporphyrins zeichnet
sich von denen anderer Chlorophyllderivate besonders da-
dureh aus, dass es kein Band in der rothen Région auf-
weist.
Im Laufe von Untersuchungen iiber Phyllocyanin gelang
«s mir ein neues Dérivât zu erhalten, dessen Losungen in
neutralen Losungsniitteln ebenfalls roth gefàrbt sind, wâhrend
64 RÉSUMÉS
die in Siiuren, wie in conc. Salzsâure, prâchtig griin er-
scheinen.
Das Spectrum dièses neuen Korpers, welchen ich Phyllo-
rubin nennen will, unterscbeidet sicb sebr wesentlich von
de m des Phylloporphyrins. Unter anderen entbalt es ein Band
in der rothen Région des Spectrums, stellt also ein weniger
weit abgebautes Dérivât des Chlorophylls dar.
Die spectroskopischen Verhaltnisse des Phyllorubins sind
aus der Originalmittheilung zu ersehen. Es genûgt hier auf
seine Darstellungsweise hinzudeuten.
Phyllocyanin wird rait alkoholischem Kaliumhydrat auf
dem Sandbade eingedampft, mit der Vorsicht, dass die
Masse niemals in's Scbmelzen gerâth. Sobald eine Probe des
grtinen Riickstandes sich mit rein rothbrauner Farbe lostr
■wird das Erbitzen unterbrochen , mit Alkohol aufgenommen,
Wasser zugesetzt, mit Essigsâure angesâuert und mit Aether
extrabiert. In krystallisiertem Zustande wurde Phyllorubin
noch nicht erbalten.
11. — W. Heineich. Krytyczny przeglad dotychczasowych badah nad wraze-
niami barwnemi (Studyum z dziedziny poznania). (Kritische Ueber-
slcht der Methoden bei Unter&uchungen der Farben-
Wahrnefutmnf/en). (Eine historisch kritische Studie). Vorgelegt am
8 Januar 1900.
I.
1. Die kritischen Untersuchungen der physikalischen
Methoden und Begriffe. welcbe in den letzten Jahren unter-
nommen wurden, haben die ganzliche Aenderung der Ansich-
ten ûber die Bedeutung der mèchanischen Auffasung der Na-
turerscheinungen zur Folge gehabt. Es hat sich ergeben, dass
dièse Betracbtungsform weit davon entfernt das Wesen der
Erscheinungen zu offenbaren, nur eine der vielen denkbaren
Darstellungsformen ist.
RÉSUMÉS 65
Dièse Umwandlung in der Beurtheilung des Werthes der
inechanischen Naturanschauung zieht nach sich eine wesentli-
che Umânderung der erkenntnisstheoretischen Fragestellungen.
Zur Zeit, wo man an die Moglichkeit der Erforschung
des Wesens der Erscheinungen glaubte, bestand die Aufgabe
der Erkenutnisstheorie darin, dass man nach den Merkmalen
fragte, welche das Wesenhafte von dem Zufâlligen zu un-
terscheiden gestatten , und die Kriterien zu ermitteln suchte,
welclie erlauben wiirden, dièse Merkmale der Erscheinungen
zu erkennen.
Allen Antworten lag naturgemass die Anschauung zu
Grunde dass wesenhaft die quantitativen niechanischeu Aende-
rungen sind, accesorisch dagegen ihre subjective Erscheinungs-
form.
In diesem Sinne spricht z. B. Wundt in seiner Logik
dass „als objectiv gewiss diejenigen Thatsachen zu gelten ha-
ben, die auf dem Wege fortschreitender Berichtigung der
Wahrnehmungen, nicht mehr beseitigt werden konnen"1).
Objectiv gewiss wird daher die Ansicht sein, dass die Wellenlange
das wesenhafte Merkmal eines Lichtstrahles bildet, obwohl wir
diesen Strahl unter Umstânden verschiedenfarbig sehen konnen .
Dieser Auffasung gemàss wurde dann die allgemeine Aufgabe
der Naturforschung formuliert. ,,Indem wir aile Naturerschei-
nungen zuruckfuhren auf ein Substrat als dessen Wirkung
wir sie auffassen — lesen wir anderorts bei Wundt 2) — entsteht
die Aufgabe die wissenschaftlichen Voraussetzungen tiber diè-
ses Substrat so zugestatten, dass sie dem causalen Zusanimen-
hange der Erscheinungen gentigen".
2. Ganz anders formulieren sich die Aufgaben der er-
kenntnisstheoretischen Untersuchung, wenn wir zugeben, dass
die mechanische Katurauffasung nur eine von den mehreren
zulassigen Betrachtungsformen ist. Friiher, wenn man die Welt
*) Logik Stuttgart 1894 Bd I. s. 433.
'-) Logik Bd I. s. 618.
66 RÉSUMÉS
erkennen wollte, musste man die Substanz zu bestimmen su-
clien welche clen Erscheinungen zu Grunde liegen sollte, ferner
die im Wandel der Erscheinungen tibrig bîeibenden me-
chanischen Merkmale finden. Jetzt dagegen entsteht die Frage,
welclie Eigenschaften miissen die Betrachtungsformen aufwei-
sen uni als wissenschaftlich gelten zukonnen; kann es Ihnen
gleichzeitig viele und von gleicher wissenschaftlichen Bedeu-
tung geben, die Frage endlich wie verhalten sich die Be-
trachtungsformen zu dem Betrachteten, und vvas ist das Be-
tracbtete.
Aile dièse Fmgen bilden den Gegenstand vielseitiger
Untersuehungen. Am klarsten hat sie bis jetzt Macb beant-
wortet. Nach ihm bildet die Aufgabe der Naturwissenscbaft
eine moglichst einfaehe und genaue Abbildung der Erschei-
nungen. „Die wissensclialtliehe, methodische Darstellung
eines Gebietes — sagt Maeh1) — hat vor der zufâlligen un-
geordneten Auffassung derselben den Vorzug einer sparsamen,
okonomischen Verwerthung der geistigen Krafte voraus". Dièse
Betrachlung der Erscheinungen giebt ein Weltbild, dessen wir
bediirfcn uni sich in irgend ein Verhâltnis zu unserer Uni-
gebung zu setzen. AVir treiben die Wissensehaft um dièses
Bild auf okonomische Weise zu erreichen 2). Ist einmal ein
Bild von der moglichsten Stabilitat erreicht so wiid es damit
auch das Ziel der Wissenschaften erreicht.
Dasjenige was abgebildet wird sind Elemente-Empfin-
dungen welche die Gesammtheit der Erscheinungen ausmachen.
Sie bilden das „Ich" und die „Welt" 3).
Dièse Anschâuung wird von niehreren Naturforschern und
Philosophen ^etheilt.
3. In manchen seiner Arbeiten hat der Verfasser be-
reits Gelegenheit gehabt Ansichten zu cntwickeln, welche von
1 Die Prinzipien der Warmelehre. Leipzig 1896.
2) Ebenda.
:t) Mach. Beitrage zur Analyse (1er Empfindungen. Jena 1886.
RÉSUMÉS 67
den oben skizzierten abweichen. Von dem Ergebnis der
31 a c h's c h e n Kritik ausgehend hat der Verfasser sich die
Frage gestellt, ob es wirklich moglich ist die Ersebeinungen
auf vielfaehe Weise abzubilden, und ob man die Abbildung
der Erscheinungen in moglichst einfacher Weise als Ziel der
naturwissenschaftliehen Forschung zu betracbten hat; die Frage
endlich, was ist der Gegenstand der naturwissensehaftlichen Be-
trachtung.
Gegen das Prinzip der okonomischen Abbildung derErschei-
nungen, schien dem Verfasser von vorneherein folgendes Beden-
ken zu sprechen: Soll die Abbildung der Erscheinungen die ge-
sammte Mannigfaltigkeit derselben ausdriicken, so kann das Bild
unmoglich einfacher werden als es die Erscheinungen sind, den
die beiden Mannigfaltigkeiten miissen sich eindeutig entsprechen.
Wird daher das Bild einfacher, so kann die Abbildung keine
vollstândige sein, sondern sie wird liïckenhaft.
Dièses Bedenken versuchte der Verfasser durch die Ana-
lyse der Entwiekelung mechanischer BegrifFe und Methoden
zu begriïnden1). Er ist dabei zur Ansicht gekomraen, dass das
Bestreben nach der Abbildung der Erscheinungen in einfacher
Weise. welches in der Naturwissenschaft so oft vorkomrat, nur
Ausdruck einer uebermâssigen Verallgemeinerung von Betrach-
tungsfurmen ist, welche Anfangs auf kleinen Gebieten mit
Erfolg angewandt. spater iiber Gebiihr auf weitere Gebiete
ausgedehnt werden. Die Folgen dièses Verfahrens belehren
aber bald, dass solche Versuche zu keinem befriedigenden Re-
sultate fûhren konnen. Eine Form der Betrachtung welche
fttr b e s e h r a n k t e Erscheinungsgebiete passt, wird unanwend-
bar, wenn man aile Erscheinungen eines Wissenszweiges be-
handeln will. Die BegrifFe, welche bei der Betrachtung ge-
wisser Untersuchungsgebiete abgeleitet wurden, konnen un-
moglich mehr ausdriicken als dasjenige, zur Bezeichnung
l) Stosunek metod i badari fizycznych do tilozotii. Przeglad tilozo-
ficzny Tom II.
2*
68 RÉSUMÉS
wessen sie aufgestellt wurden. Die Entwickelung der Unter-
suchungen zvvingt auch von selbst mit Mothwendigkeit zur Be-
seitigung unberechtigter Verallgemeinerungen und zur Ruckkehr
zu den Erscheinungen wenn mann sich auf dem Wege der
spécula tiven Abbildung zu weit von denselben entfernt liât.
Es bilden sich dann neue Methoden und neue BegrifFe. Unter-
sucht man wie solche Umiinderungen vor sich gehen und wel-
che Merkmale sie aufweisen, so kommt man bald zu der Ein-
sicht, dass dadurch eine mehr unmittelbare Beschreibung der
Erscheinungen angebahnt wird.
Die naturwissenschaftlichen Untersuchungen werden im-
mer mehr Beschreibungen des Gegebenen, welche Beschreibung
durch die Vermittelung von Methoden d. h. von Betrachtungs-
formen gewonnen werden.
Unter solchen Umstânden wird die naturphiiosophische
Frage was ist Gegenstand der Beschreibung von hervorragen-
der Wichtigkeit. Auf dièse Frage hat der Verfasser als Ant-
wort gcgeben: den Gegenstand der naturwissenschaftlichen Un-
tersuchung ist die unmittelbar naiv als real aufgefasste Um-
gebung x).
4. Dieser letzten Anschauung scbeinen die Erscheinungen
der Sinneswahrnehmung zu wiedersprechen. Auf Grund letz-
ter Erscheinungen ist man ja zu der Ansicht gedràngt worden
dass die vorgefundene qualitative Mannigfaltigkeit rein subjec-
tiver Natur sei.
Es ist ohne weiteres ersichtlich, dass wenn man durch die
Untersuchungen der Sinneswahrnehmungen zur Annahme ge-
zwungen werden sollte, Ailes qualitative sei nur eine Bewusst-
seinserscheinung, dass mit dieser Annahme auch jede Denk-
barkeit der naiv realen WeltaufFassung unmoglich wâre.
Dies ist es aber nicht so.
Es wurde vom Verfasser bereits im Allgemeinen gezeigt,
dass die Anschauung, die qualitative Mannigfaltigkeit sei nur
') Vergleiche : W. Hein rie h: Zur Principienfrage der Psychologie.
Zurich 1S99.
RÉSUMÉS 69
subjectiv, bereits ein Produet einer Weltbetracbtung und nicbt
eine unmittelbar gewisse Thatsache sei x) Es lasst sich auch
leicbt im Speziellen zeigen, dass die sinnespbysiologiscben Un-
tersuchungen die naiv reale Unmittelbarkeit der Umgebung
keineswegs aufbeben.
5. Die von den angegebenen Gesicbtspunkten geleitete Un-
tersuehung der Tbeorien der Farbenwabrnernung soll die Auf-
gabe vorliegender Abbandlung bilden. Es soll dabei zweierlei ins
Auge gefasst werden. Erstens die Fragen der naturwissen-
scbaftlicben Methodik, zweitens die Frage ob die Untersu-
cbungen ttber die Farbenwahrnemungen die naiv reale Unmit-
telbarkeit der qualitativen Farben-Mannigfaltigkeit umândern
oder aufheben.
Der Verfasser hat den Weg einer historisch - kritischen
Untersucbung gewâhlt weil er glaubt, dass man nur auf die-
sem Wege zu den erkentniss- tbeoretischen Gesetzen koramen
kann. Aile solche Gesetze wenn sie die Normen des menschli-
cben Denkens ausdriicken sollen, mtisseii aus den Thatsacben
des Denkens abgeleitet werden. Zu solcben gebôren in erster
Linie wissenschaftliche Tbeorien in ibrer geschicbtlieben Folge.
Dièse bilden Tbatsacben welcbe zu viel sicbei-eren erkentniss-
theoretischen Scbliissen berechtigen, als es diejenigen sind,
welche man auf speculativem Wege oder auf Grund psycbolo-
giscber oder logiscber Annabmen erreicben kan.
II.
6. Wir kônnen auf die vorgefundene Farbenmannig-
faltigkeit in verscbiedener Art binweisen. Erstens durcb die
Benennung. Die sicb abbebenden Farben werden mit Namen
beleget; andere weniger oft vorkommenden werden durcb
Aehnlicbkeit und Analogie zu den ôfters vorkommenden uni-
scbrieben. Die Unsicherheit einer solchen Bestimmungsweise
ist offenkundig.
l) Vergl. „Zur l'rinzipieufrag-e etc." das Capitel : Die Monismusfrage .
70 RÉSUMÉS
7. Wenn wir einen Strahlenbiischel durcb gegebenes
Prisma hindurchlassen, so bekommen wir einen Farbestreifen.
In diesem Streifen siud die einzelnen Orte, bei gegebener
Lage des Prismas genau ermittelbar.
Durch die Periodicitât einiger Lichterscheinungen gelei-
tet, bat die Pbysik den Oit in dern Spektrum mittelst einer
geometrischen Beziehung, welche, als Wellenlilnge bezeicbnet
wird, zu bestimmen gelernt.
Man iiberzeugt sich leicbt, dass durcb die Wellenlânge
nur der Ort im Spectrum und nicht die Farbe des Ortes bezei-
cbnet wird, wenn man z. B. die Quelle des Licbtes (ev. die Grosse
des Spaltes) ândert. Man rindet an demselben Orte des Spectrums
verscbiedene Farben vor, obwobl aile dieselbe Wellenlânge
baben. Zur Bestimraung der Farbe ist daber nicht nur die
Kenntnis der Wellenlânge , sondern auch die Kenntnis der
Licbtquelle (was man allgemein als Licbtstarke bezeicbnet)
nothwrendig. Aucb dièse beiden Bedingungen reicben nocb
nicht aus. Eine genaue Untersuchung zeigt dass die Farbe
welebe bereits durcb Licbtstarke und Wellenlânge bestimmt ist
eine andere wird wenn man mit anderen Vorbedingungen
an die Bestimmung berantritt. Die Bestimmung wird z. B.
anders ausfallen je nachdem man vorher auf intensives weisses
oder farbiges Licbt gescbaut bat, oder aber in der Dunkelheit
sicb befand.
Jede allën Anforderungen der Genauigkeit entsprecbende
Farbenbestimmung wiirde daher von drei Factoren ahbângen.
1) von der Lichtstârke 2) von dem Orte ira Spectrum 3) von
den Bedingungen welcben der Farbenbestimmende vorher
ausgesetzt war. Die Feststellung zweier der Factoren wiirde
die Farbenânderung in der Abbângigkeit von der Aenderun-
gen des dritten Factures angeben kônnen.
8. Eine andere Art der Farbenbestimmung wird mit
Hilfe der Farbengleichungen erreicht. Stellt man die Défini-
tion der Farbenquanta fest und bestimmt die Grundfarben
so ist die Miscbt'arbe bestimmt unter voraussetzung jedoch dass
man die Bedingungen welche der Bestimmung vorangingen
RÉSUMÉS 71
(wie im vorigen Falle) angiebt. Dièse Bestimmung ist jedoch
nicht ganz selbstândig. Will man die Grundfarben genau an-
geben so kann man das nur mit Hilfe des Spectrums thun.
Hat man die Abh&ngigkeit der Farbenbestimmung von ver-
schiedenen Factoren erkannt, so entsteht die weitere Aufgabe
die gesammte Mannigtaltigkeit in ihren Beziehungen zu den
sie bestimmenden Factoren zu untersuehen; ferner die Auf-
gabe beide Formen der Bestimmung mit einander zu verglei-
chen. Dièse Aufgaben sind rein deseriptiv. Man kann sie erle-
digen ohne zu irgend welcher Théorie iiber das Licht und
seine physiologische Wirkungen Zufluclit nehmen zu miissen.
9. Erst durch die Modification obiger descriptiven Daten
duch verschiedene Annahmen kann man zu den Theorien der
Farbenwahrnehmung von Young, Maxwell, Helmholtz,
H e r i n g etc. gelangen.
Die erste Annahme soll das Wesen der Lichterschei-
nungen betreffen. Man nimt an das die wellenartige Aende-
rung eines unbestimmten Médiums das einzig reale Vorkom-
nis bei den Liekterscheinungen bildet. Die Farben sind nur Re-
actionen des Bewustseins, die Wellenlange und seine Amplitude
sind in Folge dessen die „realen Eigenschaften" der Farbe, durcb
welcbe sie vollkommen bestimmt wird. „Wendet man einfaches
Licht eines gut gereinigten Spectrum an, so ist man wenig-
stens sicher, dasss das Licht derselben Wellenlange immer
dieselbe Qualitat habe, welche also durch Angabe der Wellen-
lange vollstandig bestimmt ist" — sagt Helmholtz. Dièse
Behauptung ist offenbar ungenau, wozu die Untersuchungen
Belege in ubermâssiger Zabi geben. Sie ist jedoch charakteri-
stisch als Folge einer naturphilosophischen Anschauung ûber
die Lichterscheinungen.
10. Sind die wellenfdrraigen Aenderungen eines Médiums
das einzige objective Vorkommiss bei den Lichterscheinungen,
dann nehmen die Resultate der Farbenmischung eine beson-
dere Bedeutung an : Sie werden als Resultate der Synthèse
einzelner Bewustseinsakte betrachtet.
72 RÉSUMÉS
Hat mail auch dies angenommen, dann eriibrigte nur
die Briicke zwischen den wellenformigen Aenderungen ei-
nes Médiums und den Empfindungen herzustellen.
In der Anschauung von Maxwell waren die Empfin-
dungen ohne weiteres Reactionen des Bewusstseins auf die
physikalischen, qualitiitslosen Lichtreize. »Es existiert sagt Max-
well eine bestimmte Anzahl von Empfindungen, die einer
unendlichen Mannigfaltigkeit von Intensitâtsânderungen zu-
gânglich von verschiedenen Lichtwellen angeregt werden. Die
resultierende Empfindung bildet als Ergebnis die Reizung einen
Bewusstseinsinhalt, einen einfachen Sehakt" 2).
Auf die Frage, wie die Synthèse von Empfindungen vor
sich geht, ist man iiberhaupt nicbt eingegangen. Helmholtz
hat sich zwar die Frage gestellt, warum wir in der resul-
tierenden Farbenempfindung die einzelnen Elemente nieht aus-
sondern konnen, begniigte sich aber mit der Antwort, es sei
kein Grund anzunehmen, „dass wir dièse so bestimmten Ele-
mente der Empfindung (die Urempfindungen) durch einen un-
mittelbaren Act des Bowusstseins von einander scheiden konnen
sollten, uni sie unmittelbar als Elemente zu erkennen:i 3).
Maxwell spricht nur von den Einwirkungen der Licht-
wellen auf das Bewusstsein. Helmholtz nimmt die Existenz
dreierlei Arten von Fasern an, deren Thatigkeit drei Urempfin-
dungen entsprechen soll.
Ursprunglich glaubte man ans drei Farben des Spectrums,
die ubrigen Farben herstellen zu konnen. Indem sieh dies bei
weitcrer Untersuchung als unmoglich gezeigt hat. hat man an-
genommen die drei Urempfindungen seien ganz subjektiv, indem
man annahm, sie seien „^esâttigter", als diejenigen Farben-
empfindungen, welchen ein physikalischer Correlat entsprach.
l) Phys. Optik II. Aufl. S. 338.
Maxwell: Gfesammelte Werke, Bd. I.
Pbys. Optik. II. Aufl. S. 344.
RÉSUMÉS 73
So entstand das bekannte Schéma der Hel mho 1 1 z'schen
Théorie. Die drei Urenipfmdungen in verschiedenen Abstu-
fungen znsammengesetzt sollten die gesammte Farbenmannigfal-
tigkeit darstellen konnen. Den Urempfindungen entsprechen drei
Nervenarten, welche durch Liehtwellen in verschiedener Stârke
in Thâtigkeit gesetzt werden konnten.
1 1. Die Voraussetzungen und Méthode der skizzierten
Théorie bediirfen keiner Erlàuterung. Die Théorie ist eine un-
mittelbare Consequenz der mechanischen Naturanschauung. Dièse
Anschauung hat seine Spuren aui allen Ueberlegungen von Helm-
h ol tz hinterlassen. Es war ihm îeichter anzunehmen, dass wir
einen Trugschluss vollziehen , wenn bei constanten physikali-
schen Merkmalen die qualitativen Verhaltnisse sich andern,
als die unmittelbare thâtsâchliche Verschiedenheit des Gege-
benen zuzugeben. Er musste daher die Contrasterscheinungen
als falsehe Urtheile bezeichnen, wenn die physikalischen Be-
stimmungen der sich Sndernden Farben unverândert bleiben,
denn nur die letzteren sollten das Reale der Erscheinung bilden.
12. Im Gegensatze zum Helmholtz entwickelte sich
die Théorie von Hering. Der Unterschied welcher beide Theo-
rien kennzeichnete, war principieller Natur, Hering betrachtet
zwar wie Helmholtz die Farben als subjective Bewusst-
seinserseheinungen . im Gegensatze zu den objectiven quali-
tâtslosen Aenderungen. Wâbrend jedoch Hel mho lz zum
Ausgangspunkte seiner Betrachtungen die phy.sikalischen Merk-
male der Lichterscheinungen gewahlt hat, dienten Hering als
Ausgang die Bewusstseinserscheinungen, fur welehe er die phy-
siologischen Correlate zu bestimmen suehte. In Folge dessen
konnte es fiir Hering keine Tauschungen und keine falschen
Urtheile im tSinne Helmholtz geben.
„Im Gegensatze zu dieser (d. h. der von Helmholtz)
spirittialischen Richtung, — sagt Hering1), welche sich be-
l) Zur Lehre vom Lichtsinne II. àbdruek ans den Abh. der Wiener
Akad. Wien, 1878, S. 1.
74 RÉSUMES
gnugt, die Gesetze der Sinneserscheinungen, so weit sie nicht
bereits physiologisch erklârt sind aus der Eigenthiïmlichkeit des
mensehlichen Geistes abzuleiten, liabe ich inieh von Anfang an
auf den physiolologisclien Boden gestellt und raich bemiïht,
die Phanoraene des Bewusstseins als bedingt und getragen von
organisclien Proeessen anzusehen uud Verlauf und Verknupfung
der ersteren aus dem Ablauf der letzteren zu erlâutern, soweit
dies eben jetzt uberhaupt môglich ist".
Dieser Unterschied der Staudpunkte beider Tbeorien
ofFenbabrt sich gleich am Anfange in der Bestimmung der Ver-
ânderlichen, von welchen die Farbenempfindungen abhangen
sollen.
Helmholtz bestimmt sie vor allem durch die physika-
lischen Merkmale der Etherwelle: durcb die Wellenlange und
Wellenamplitude. Da man jedoch auf dièse Weise nicbt aile
Empfindungsinerkniale definiert bat, so musste Helmboltz
und seine Schule l), uni die dritte Veranderliche des Systems
zu bekommen zur Farbenbestimmung durch Miscbung Zuflucht
nehmen. Daraus entstand der Begriff der „Sâttigungt:. Die Be-
stiinniungselemente sind dann folgende: die Wellenlange, die
Intensitât und das Verbâltniss des farbigen Ladites zu dem
Weissen. Oder: die Farbe, die Intensitât und die Sattigung.
Dass dièse Bestimmung sachlich falsch ist, bat darauf H e ring
bereits ofters hingewiesen 2). Man ùberzeugt sich sehr leicbt, dass
mit der Intensitât auch die Sattigung geândert wird.
13. Im Sinne seiner Betracbtungsweise gebt Hering
von den Bewusstseinsdaten aus, und versucbt dièse zu ordnen,
wobei ibm die folgende Ueberlegung beliilfiich ist 3). Jede Ge-
sichtsempfindung der Farbe tritt zwar zunacbst als etwas Ein-
heitliches in unserem Bewusstsein auf, lâsst sich aber mebr oder
') Vergl. v. /.. B. Kries die Gesichtsempfindungen und ihre Analyse.
Zeitschrift von Dubois-Keymond, 1882. Snppl. Bd.
a) Ueber Newton'sgesotz der Farbenmischung. Prag, 1887.
3) Zur Erklarung der Farbenblindheit aus der Théorie der Gegen-
t'arben. Lotos I, neue Folge 188. S. 76.
RÉSUMÉS 75
weniger deutlich in einzelne Bestandtheile auflosen, und als
Gemisch oder als Ergebnis einer Mischung mehrerer einfacher
Empfindungen betrachten. In Folge dessen sind fur Hering
diejenigen Emphndungen, welche unmittelbar einfach erschei-
nen, auch wirklich einfach, unbekummert uni die Resultate
der thatsâchlichen Ergebnisse der Mischung. So kommt He-
ring zq seinen drei Elementarempfindugspaaren weiss-schwarz,
roth-griin, gelb-blau, welchen dann die antagonistische Processe
in drei Substanzen entsprechen sollen.
13. Uebergehen wir die Emwiïrfe, welche sich gegen die
Elementarprocesse von Hering erheben lassen '). Die endgil-
tige Aufgabe, welche im Sinne der Hel m h otz'schen, wie auch
der Hering 'schen Théorie zur Untersuchung gestellt wurde,
war : es sollte die Gesammtheit der Farben durch die Synthèse
einiger Elementaremptindungen abgebildet werden. In dieser
Aufgabe trotz der Verschiedenheit der Ausgangspunkte bieten
raetheologisch beide Theorien dieselben Betrachtungsfor-
rnen. Der Unterschied der ursprunglich in der Bestimmung
der Verànderlichen der Farbenmannigfaltigkeit bestand, sowie
der Umstand, dass die Hel m h ol tz'sche Théorie eine un-
raittelbare Verallgemeinerung der Mischungsversuche war,
wâhrend Hering sich auf das in déni Bewusstsein unmittel-
bar gegebene stiitzte, haben aufgehôrt wesentlich zu sein, so-
bald Helmholtz zu den rein subjectiven durch keine obje-
ctiven Farben angegeben, Urempfindungen Zullucht nehmen
musste. Die factische Aufgabe war daher jetzt gleichlautend.
Es sollte die gegebene Farbenmannigfaltigkeit,
welchedurchdieAenderungderLichtquelle,durch
dasSpectrumund durchdieBedingungen, welche
de m Betrachten von Farben vorangehen, bestimmt
ist; als Résultat der Synthèse dreier — oder der
') Vergl. hieriiber Preyer in seiner Abhandlung liber Farben und Tem-
peraturen. Pfluger's Arch. Bd. 35.
76 RÉSUMÉS
dreiPaare v o n E m p f i n d u n g e n und den ihnen ent-
sprechenden Procès se abgebildet werden.
14. Vor Alleni aber war zu entscheiden, ob man da-
bei der Psyché einen Antheil zuschreiben kann oder nicht. Die
Unmoglichkeit dieser Annahrae war eine Voraussetzung der
Betrachtungsweise von H e r i n g die Unvermeidliehkeit folgte
aus der meclianischen Weltanschauung von Helmholtz. Die
Ver sache iiber Contrasterscheinungen, die von Hering ange-
stellt wurden l) kann man hieriiber als entscheidend betraohten
Dièse Entscheidung tangierte die Théorie ven Helmholtz
als Dreifarbentheorie nicht.
15. Uebergehen wir die Sehwierigkeiten, welche entste-
hen, wenn man die physiologisehe Function der postulierten
Sehesinnsubstanzen untersuchen wollte. Stellen wir uns auf dem
Standpunkte. welchen die Theorien angenomnien haben. indem
sie voraussetzten, da9S die Farbenmannigfaltigkeit ein Résultat
der EmpHndungssynthese ist. Es entsteht dann die Frage, in-
wiefern uns dièse Annahme beim Verstandnisse der Erschei-
nungen behilrlich sein kann. Um auf dièse Frage eine Antwort
zu bekommen, wollen wir fragen, wie werden gegebenenfalls
sich im Sinne jeder Théorie die elementaren physiologischen
Vorgânge und die ihnen zugeordneten Emprindungen ândern
mûssen, und was ergeben die faetischen Resultate der Unter-
suchung.
Bei dieser Uebersicht rinden wir eine fundamentale That-
sache vor. Die Beobachtungen lassen sich um so leichter mit
Hilfe der einen oder der anderen Thorie erklâren, je mehr
die Angaben allgeinein qualitativ sind. Die Sehwierigkeiten
wachsen und werden endlich unttberwindlieh, je grosser die
( u'iiauigkeit und Bestimintheit der Beobachtung.
1) Herinfr: Zur Lehre vom Lichtsinne I— IV Mittheilung, terner der-
selbe: Ueber die Théorie des siraultauen Contrastes von Helmholtz. Pfliiger's
Arcliiv XL, XLI, XLIII. Spiiter wurden die Contrasterscheinuno'en einer mehr-
fachen Untersuchung unterzogen, was fur die vorliegenden Fragen von se-
cundârer Bedeutung ist.
RÉSUMÉS 77
Das ist leicht zu begreiien. Man muss nur darauf Riick-
sicht nehraen, dass die allgemein gehaltenen Angaben iminer
scheiuatisch sind, und dass man mit Hilfe der quantativen
Feststellung der Einzelheiten ins Détail eingehen lassen. Die
allgemein gehaltenen Angaben lassen sich auch leichter. ab-
bilden und symbolisch in abgekiirzter Form darstellen.
16. Qaalitativ bis zur letzten Zeit waren die Untersu-
chungen der Ermiidungsersoheinungen. Im Allgemeinen ist das
Auge ermiidet, wenn es den Lichteinwirkungen ftir langere
Zeit ausgesetzt war. Dies soll physiologisch die herabgesetze
Erregbarkeit des entsprechenden Processes zur Folge haben.
Die der Erregung entsprechende Vermindernng der Empfindung
wiirde aus dem Fechner'schen Gesetze je nach seiner Interpré-
tation anzunebmen sein.
Im Sinne der Helmholtz 'schen Théorie musste die
Ermiindung in erster Linie die Erregbarkeit des am stârksten
affizierten Processes herabsetzen. Im Sinne He rings musste
nicht nur ein bestimmter Process herabgesetzt, sondern auch
der antagonistische erhoht werden.
Von den Ermiidungserscheinungen ausgehend glaubte
Kries1) die Entscheidung iiber die Zabi der Componenten her-
beifuhren zu konnen, indem er sich auf den Satz stiitzte, dass
gleich aussehende, wenn auch nicht gleich zasammengesetzte
Lichter bei gleiehmâssiger Vermehrung oder Verminderung ihrer
Intensitat die Gleichheit bewahren. Abgesehen davon. dass die
Richtigkeit dièses Satzes sich jetzt nicht mehr behaupten Iâsst 2),
8o konnen wir den Ueberlegungen von Kries keinen ent-
scheidenden Werth beilegen, weil sie mit der Annahme der
Abhângigkeit der Farben von drei functionellen Componenten
bereits dasjenige voraussetzen, was erschlossen werden sollte.
*) Von Kries. In Archiv von Dubois Reyinond. 1878.
2) Kries glaubt noch auf die Anwendbarkeit desselben fur nicht
adaptirtes Auge.
78 RÉSUMÉS
Ueberblickt ni an die Gesaromtheit der Ermiïdungserschei-
nungen *), so findet man ebenso Belege fur die eine, wie fiir die
andere Théorie, ohne dass eine von ihnen Aile eindeutig erklaren
konnte. In der letzten Zeit veroffentlicht Beck2) eine Mitthei-
lung, nach welcber fiir ein mit weissem Liebte ermiidetes
Auge die farbigen Papierstucke eine Farbenânderung erlitten
liaben , und zvvar derart , dass rothe Streifen braun , oder
schwarz, griine grau oder scbwarz aussahen, das Spectrum war
an beiden Enden verkiirzt. Analoge Erseheinung trat auf die
Betrachtung einer blauen Flàehe.
Man siebt ohne weiteres an, dass dièse Beobachtung
weder mit der Helm holtz'schen nocb mit der Hering-
schen Théorie ubereinstimmt. Mit der He lm holt zschen
nicht, weil man nach dieser eine Aenderung aller Farben be-
konimen sollte. Mit der Hering'schen nicht, weil man nur
eine Sâttigungsânderung, aber keine Farbenânderung beobachten
sollte. Berticksichtigt man noch, dass Bursch3] nach Ermiï-
dung eines Auges mit monochromatischem Lichte keine merk-
liche Aenderungen anderer Farben wohl aber eine Verminde-
rung der Emptindhchkeit fiir das ermtidende Licht beobaehtet
hat, so wird das Ergebnis der quantitativen Ermiidungsunter-
sucbungen beide Theorien verwerfen.
17. Nicht anders steht es mit den genaueren Resulta-
tcn von Hess4) und Voeste5).
Hess veralgemeinert seine Ergebnisse im Sinne der Thé-
orie von Hering. Doch man findet die Unzulânglichkeit der Ver-
allgeineinerung, vvenn man die Ergebnisse im Einzelnen er-
klârt haben will. Nennen wir ein Beispiel: 1) Die Farbe von
') Gcnauere Angaben in der Originalabhandlung.
i lieck. O sztncznie wywcfanej slepocie barwnej. Krakow, 1899.
Abgedruckt im Archiv von Ffliiger..
3) Citiert nach phys. Centralblatt, 1899, Nr. 12, S: 309.
4) Hess: Ueber die Tonanderungen der Spectralfarben etc. Graefes
Arcliiv 36.
•') Zeitschrift fiir Psych. und Phys. der Sinnesorgane Bd. XVIII.
RÉSUMÉS 79
575 [X[A, kann nach Hering entweder rein gelbe, oder gelbe
mit Beimischung yen rotker oder griinen Valenz besitzen. Der
Versuch zeigte, dass nach Ermiidung des Auges mit dem rothen
Lichte (900 jjuz.) die Farbe von 575 ist griinlicher geworden.
Man mtisste daher annehmen, dass die Farbe 575 bereits ur-
spriinglich schwache griine Valenz besass, und dass sie mit-
hin die rothe nicht haben konnte. Trotzdera findet Hess
weiter, dass die Ermiidung mit gelbgriinem oder griinem Lichte
dieselbe Farbe von 575 [/.(/. rothlicher wurde, was nur dann
moglich wâre, wenn die Farbe eine rothe Valenz, statt der
griinen batte. Oder 2) die Ermiidung mit orange, welches ge-
ringere griine Valenz besitzt als gelb ândert die gelbgriine Farbe.
so. dass sie blâulich wird. Das wâre nur moglich, wenn die
Erschopfung der Gelbempfindung so gross ware, dass eiu
antaaonistischer Process einçetreten ist. und zwar trotz der
weiteren G e 1 b e r r e g u n g. Nach der Ermiidung mit gelbem
Lichte dagegen, welches ja grossere gelbe Valenz besitzt, die
gelbgriine Farbe grun mit Stich ins Gelbe wird, d. h. ohne
einer Beimischung von blau. Man kann solcher Beispiele sehr
viel citieren. Die Resultate von Hess sprechen nur dann fur
die Theurie von Hering. wenn man sie so allgemein zusam-
menfasst, wie es Hess gethan , bestattigen jedoch keine der
Theorien. wenn man von einer Théorie verlangt, dass sie jedes
einzelne Ergebniss erklart.
Ebenso unvereinbar mit beiden Theorien sind die Un-
tersuchungen von Voeste. Sie wiedersprechen der Helm-
holtz'sehen Regel, dass sich die Farbe in der Richtung
der complementâren Farbung andern sollte; stimmen auch mit
der Heri n g'schen nicht, da dièse nicht erklaren kann, warum
z. B, in der Umgebung von Gelb die Farben sich auf beiden
Seiten gegen Gelb andern.
17. Das wichtigste Kampfterrain bildeten die Untersu-
chungen der Farbenblinden. Bereits Maxwell, dann Helm-
holtz glaubten annehmen zu kônnen, dass der Mangel einer
der drei Componenten die Anomalie erklaren kann. Hering
80 RÉSUMÉS
musste zu demselben Zweeke bekanntermassen den Mangel
einer seiner Substanzen annehmen.
In Folge dessen mûssten beide „Blindentypenu je nach
der Richtigkeit der einen oder der anderen Théorie die „Welt
anders sehen". Der Unterscliied beider dieser Theorien ist so
gross, dass man glauben sollte, die Eutscheidung wiirde durch
einen einzigen Versuch ethalten werden kônnen. Zu diesem
Zweeke wurden auch Anfangs die Versuche derart ange-
stellt , dass man durch Ausfragen iiber den Bewusstseinsin-
halt der Blinden sich Rechenschaft bilden wollte. Dies ist je-
docli nicht gelungen, man musste daher zu genaueren Be-
obachtungen sich wenden, und die F rage, „wie der Blinde
die Welt sieht" bei Seite lassend, die Farbengleichungen der
Blinden einer genauen Analyse unterziehen. Man iiberzeugte
sich bald, dass die Folgen, welche sich aus der Helmholtz-
schen Erklàrung der Dyehromasie ergaben mit den Thatsa-
chen nicht ubereinstimmen. Vor Allem die Folgen ûber die
Lage der neutralen Linie im Spectrum der Dychromaten l).
Dieser Umstand bekrâftigt durch die Ergebnisse der Unter-
suchung von Hess 2) Ueber die periphere Farbenblindheit und
diejenigen von Sachs3) ûber Lichtabsorbtion durch Pigment
schienen die Wagschale zu Gunsten Herings zu senken.
Dies dauerte so lange, als man nur qualitative Vergleiche
anstellte. Unterzieht man aber die Farbengleichungen einer ge-
nauen Analyse, wie dies von Kries4) und seinen Miarbeitern
geschah, so bekommt man Resultate, die sich mit den Schluss-
folgerungen der Théorie von Hering nicht in Anklang brin-
gen lassen. Kries neigt daher wiederum zu der Annahme, dass
') Preyer: Oben citierte Abhandlung. A. Konig: Zur Kenutuiss
(licliromatisclier Farbensysteme, Graefe's Archiv, Bel. XXX. etc.
2) Hess: Ueber Farbensinn bei indirectem Sehen. Graefe's Archiv.
l'.d. XXXV.
3) Sachs: Ueber specifische Lichtabsorbtion des gelben Fleckes.
Pfliiger's Arcliiv. Bd. L.
*) Kries: Abhaudlungen. Hamburg, 1897.
RÉSUMÉS 8 1
die dychromatischen Système Reductionsformen der Trychromati-
schen sind. Dazu wurde jedoch der Beweis erbracht werden
miïssen, dass das Farbensystem des Normalen ein Trychroma-
tisches sei. Der Dychromat bildet aus zwei Farben des Spec-
truras die Uebrigen. Der Normale kann mit drei Farben das
Spectrum nicht abbilden.
18. In der Thatsache, dass ein sehr schwaches Spectrum
seine Farbigkeit verliert , und als ein grauer Streifen von
wecbselnder Intensitât aussieht, glaubte Hering eine der wei-
teren wesentlichen Stittzen seiner Théorie zu finden. In dem
Grauausseben des Speetrums sollte die gesonderte weisse Valenz
der farbigen Licbter zum Ausdrucke gelangen. Man iiberzeugte
sich aber auch hier bald, dass die weiteren Consequenzen,
welche aus der Annahme, es sei wirklich die weisse Valenz
des Lichtes, welche gemesssen wird, gezogen werden miissen
mit den Thatsachen der Beobachtuug sich nicht im Einklange
befinden 1). Auch dieser Punkt der Hering schen Théorie kann
mithin nicht aufrecht erhalten bleiben. Dass dièse Erscheinun-
gen auch die Helm hol tz'sche Théorie nicht erklart, war
wohl von Niemandem bezweifelt.
19. Die Gesammtheit der Untersuchungen lâsst ohne Wei-
teres erkennen, dass der Versuch die gesammte Farbenmannig-
faltigkeit mit Hilfe von Aenderungen einiger Elemente abzu-
bilden, als nicht erreichbar sich erwiesen hat. Man konnte die
Farbeneindriicke nur dann als Resultate der Synthèse von Ele-
raentarempfindungen betrachten, wenn dièse Emplindungen
nicht naher angebbar waren. Jeder Versuch einer genauen Be-
stimmung dieser Elemente fiïhrte in weiteren Folgen zum Wie-
dersprucbe mit den Thatsachen. Die immer mehr und mehr
sich einengende Discussion zwang aber znr Genauigkeit. Man
musste daher, die Urempfindungen bei Seite lassend, bei den
beobachtbaren und bestimmbaren Daten bleiben. Erst dann war
x) Veigl. Ko ni g: Abhandlungen der Berliner Akademie 1896, 80. Juli.
Bulletin II. 3
RE.SU M ES
es moglich. «lie qualitativen Schliisse aus der Heringsehen
Théorie zu discutiren.
Dass ist das erste Moment der Entwickelung.
Gleichzeitig vollzielit sich eine zweite Wandlung. Man
verhisst die hypothetischen Substanzen, 11m die faktischen phy-
siologischen Verhaltnisse kennen zu lernen.
Rein chemisch untersuehte Kiihne die Substanzen der
Retina. Im Anschluss daran entwickelt Schultze die Théorie
von der Dualitat der Function der Netzhaut. ^Die Anschauun-
gen von Schultze werden durch Parinaud1) weiter ent-
wickelt. Doch Hnden sie bei den deutschen Beobachtern kei-
nen Anklang. Hier sind es E bbinghaus 2) und Ladd
Franklin a), welche die Resultate der Farbenanalyse an mehr
concrète Verhaltnisse, als es die hypothetischen Substanzen
sind, anzukniipfen suchen. Damit ist die duale Structur der Ré-
sina in den Vordergrund getreten, uni Gegeustand einer Unter-
suchung zu werden.
Den Eûtwickelungsgang der sich hier darbietenden Pro-
blème arigebend, betont der Verfasser den methodologisehen Cha-
rakter der Untersuchungen, welchen durch die Untersuchung
gBgèbener physiologiseher Funetionen gekennzeichnet wird.
und glaubt oline den endgiltigen Unter.suchungsergebnissen vor-
zugreifen, in der Annahme von Parinaud ueber die Flu-
rescenz Purpurs eine hinreichende Erklarung aller m Frage
kommenden Erscheinungen zu sehen.
m.
20. Zu den'Anfangs gestellten Fragen zuriickkehrend. fin-
det der Verfasser, dass auch iu dem untersuchten Falle die allge-
1) Parinaud. Zusaniinenfassende Monographie betitelt:La vision.
Paris, 189K.
2) Ebbinfyhaus: Théorie des Farbensehens. Zeitschrift fiir Psych.
Banc] Y.
"') Ladd Franklin: Eme neue Théorie der Lichtemnfindungen.
Zeitschrift fiir Psych. und Phys. der Sinnesorgane Bd. IV.
RÉSUMÉS 83
meinsten Merkmale der Entwickelung der Uutersuchungsme-
thoden, auf welche anderwârts aufmerksam gemacht vvurde,
sich aufweisen lassen. Man findet also, dass die Tendenz zur
Abbildung der gegebenen Mannigfaltigkeit ihren Ursprung in
der iïbermâssigen Ausdehnung gewisser Betrachtungsformen auf
die Gesammtheit der Erscheinungen bat.
In» vorliegenden Falle waren es die Untersuchungen iiber
Farbenmischung. welche durcb pbilosophische und psycholo-
gische Annahmen erganzt, den Ausgangspunkt weiterer Spe-
culationen bildeten. Aucli in dem betrachteten Falle bat sich
jedoch gezeigt, dass solche Uebertragungen von keinera Er-
folg gekront werden konnen. Wir sehen auch, wie die An-
fangs gemachten speculativen Annahmen mit der Prâcisierung dei-
Aufgaben immer mehr und mehr zuriickgeschoben wurden.
So musste man die anfanglicbe Frage. wie „der Blinde sieht"
fallen lassen, uni zur Analyse des gegebenen Thatbestandes
iibeizugehen. Derselbe Umstand bewirkte, dass man die „ele-
mentaren pbysiologiseben Proeesse" aus der Betrachtung aus-
geschaltet bat.
Man gebt langsam zur Betrachtung des unmittelbar Ge-
gebenen iiber. Die neue Problemstellung ist jedoch noch nicht
formuliert und man muss daher fragen, wie sich die Aufgaben
der physiologischen Optik bei rein descriptiver Betrachtung
gestalten konnen.
Uni auf dièse Frage eine Antwort zu bekommen, priifen
wir die Annahmen und Voraussetzungen der optiscben Unter-
sutbungen.
21. Wir finden eine Farbenmannigfaltigkeit vor, und die
Physik sagt, es seien wellenformige Aenderungen des Aethers.
Worauf basiert dièse Behauptung?
Indem wir die Farbenmannigfaltigkeit untersuchen, kom-
uien wir bald zu dem Begriff der s. g. einfachen und zusam-
jioengesetzten Farben. Eine einfacbe und eine zusammenge-
setzte Farbe konnen gleicb sein, und doch bezeichnet man die
eine als „einfach", die andere als *gemiscbtu. Worauf beruht
.las?
H*
84 RÉSUMÉS
Wir finden ein weisses Licht vor. Stellen wir zwischen
das Auge und das Lieht in geeigneter Weise ein bestimmtes
Prisma, so tritt an Stelle der weissen Farbe ein farbiger Strei-
fen auf. Es gab eine Erscheinung A, an seine Stelle ist
unter den Bedingungen oc, (3, y... die Erseheinung B aufge-
treten. Man sagt, die weisse Farbe sei „zerlegt" worden. in-
dem man stillschweigend annimmt, die weisse Farbe sei „in
Wirklichkeit" aus den farbigen gemischt. In der That
aber ist die weisse Farbeebensounmittelbar und
einfach, wie es die Spectralfarben sind, und das
M i s c h e n von Farben ist nur einabgekiïrzterAus-
druck ftir eine genau bestiramte Reihenfolge der
Erscheinungen, nie ht aber fur eine uns unbe-
kannte Aenderung mit den Erscheinungen.
22. Eine zweite Erscheinungsreihe bilden die s. g. In-
terferenzerscheinungen. Sieht man durch eine planparallele
Platte auf monochromatisches Licht, so sieht man helle und
dunkle Streifen. Analog in vielen anderen Fâllen. Man hat
hier mit einer Periodicitât zu thun, welche sich mit Hilfe einer
geometrischen Beziehung leicht und eindeutig ausdriicken lasst.
Dièse Beziehung ist eharakteristischfùr Strahlen
jedes Or tes des Spectrums. Nehmen wir z. B. die
Frenelschen Spiegel, so findet man, wenn man den Abstand
zweier Streifen mit ^ , den Abstand des Streifens von den
geometrischen Orten der Lichtquelle mit SL und S2 , den
senkrechten Abstand der Streifen von der Verbindungslinie
beider Lichtbilder mit D bezeielmen und mit d den Abstand
beider Lichtbilder. so bekommen wir die bekannte Beziehung:
d S
St - S2 = 2 D.
Dièse Beziehung kann als eine charakteri-
stische Constante ftir den Spectrumsort dienen,
so wie die spe^. ifischeWârme zumAusdruck eini-
ger Eigenschaften derMetalle, das specifische Gre-
wicht zurBestimmung desProcentgehaltes einer
Losung etc. dienen kann.
RÉSUMÉS 80
Solche cbarakteristische Constante fur den Ort des Spec-
trums bildet jedoch nicht nur die oben angegebene Beziebung.
Nehmen wir z. B. an, dass wir bei derselben Anordnung, mit
weleher die obige georaetrische Beziehung abgeleitet wurde,
in den georaetrischen Gang eines der Strahlen eine Vorrich-
tuug zur Luftverdtinung und Verdichtung angebracht haben.
Wir finden, dass je nach dem Grade der vollzogenen Licht-
ânderung die Streifen ihre Lage ândern. Wir konnen a u f
dièse Weise wiederura zu einem charakteristi-
schen Ausdruck gelangen, der uns angeben wtirde,
wie die Luftdichte geândert werden muss, um beim Strahlen
eines bestimmten Ortes eine Verschiebung um einen Streifen
zu erhalten.
In Folge der sich historisch entvvickelten Betrachtungs-
weise haben wir uns gewohnt die Interferenzerscheinungen
als Resultate der wellenformigen Aenderung des Lichtethers an-
zusehen, und auf Grund dieser Annalune sind dann die wei-
teren Beobachtuugen gedeutet worden.
Es inag dahingestellt werden, inwiefern eine solche Dar-
stellung der betrachteten Ersciieinungen fiir die Physik niitzlich
ist oder nicht. Es nmss aber constatiert werden, dass dièse Deu-
tung nur eine Darstellungsform, nicht aber eine unmittelbare
Thatsache bildet. Der Begrifï der Wellenlange, wie niitzlich er
auch sein inag, ist nur ein Hilfsbegriff, dessen wir nothi-
genfalls entbehren kônnten, ohne dass die factischen Resultate
irgend welche Einbûsse erieiden mussten.
23. Wie die Bestimniung der Wellenlange, welche nur
eine charakteristische Constante des Ortes in Spectrum giebt, so
giebt auch die „Mischung der Farben" keine Resultate, wel-
che man als irgendwie wesenhaft fiir die Farben bezeichnen
konnte.
Aus der Untersuchung der Mischergebnisse konnen wir die
Bestimniung der Farben durch Gleichungen lernen. Dadurch
wird auch nur eine Nacheinanderfolge von Ersciieinungen
angegeben, welche aile in gleichem Grade unmittelbar und
einfach sind. Die „Mischfarbeu ist ebenso unmittelbar einfach,
86 KKSUMÉ-S
wie „die Cumponenten". Die Annahme, dass die Mischfarbe
als Résultat einer Synthèse subjectiver Elementarernpfindun-
gen zu betrachten sei, ist eben nur eine Annahme, (1er
keinefactischen Daten en ts prêche n. Ihre Entstehung
ist nur die Folge der Ânschàùnng gewésen , dass man den
Wellen des Aethers eine objective Existenz zuschreiben miisse,
und dass daher die qualitativen Mannigfaltigkeiten nur sub-
jective Bewusstseinserscheinungen waren. Fallt dièse Annah-
me, — und der Verfasser hat wiederholl auf die Unzulanglic-h-
keit derselben hingewiesen *), — so fallt 'auch die Folgerung.
24. Als unbegriindet muss man weiter die Schlussfolgerun-
gen ansehen, welche in den Elementarempfindungscurven etwas
mehr, als einen Ausdruck geometrischer Constructionen sehen
wollen.
Die Aufgabe, welche die Untersuchung der M schung
der Farben ert'ûllen kann, ist die Bestimmung aus w evielen
und welchen Farben die gegebene Mannigfaltigkeit der Farben
erhalten wird. Die ersten Versuche haben als wahrscheinlich
gemacht, dass man aus drei Farben die Gesammtheit der Ue-
brigen bekommt. woran dann aile weiteren Sehlussfolgerun-
gen geknuplt wurden. Man sollte meinen, dass man sie aile
fallen lassen wird . sobald die Mischungsergebnisse die ur-
spriingliehe Vermuthung nicht bestatigen.
Man verfâhrt jedoch anders. So z. B. Kunig und Diete-
r ici2). Die bezeichneten Autoren pracisieren ihre Aufgabe dahin?
dass sie die Darstellung der Farbensjsteme mogliehst einfach
gestalten wollen. ..Es ist dièses eine Aufgabe der rein experi-
mentellen Forschung, derën Losung von jeder theoretischen An-
nahme freigehalten werden muss und kann, und im Folgenden
auch freigehalten ist", lesen wir in der Arbeit . Wiirde nun
eine solche Untersuchung wirklich die drei Componenten als
*) Veigl. die Schrift. Zur Prineipienfrage der Psychologie. Zurich
1899, Cap. IV.
2) Die Giundempfindungen und ihre Analyse im normalen und anor-
raalen Farbensysteme. Ifamburg, 1892.
RÉSU.MKs 87
hinreichend zeigen, so wâre damit die fundementale Voraus-
setzung des ganzen Abbildungssystems festgestellt. Die facti-
schen Resultate haben ergeben, dass raaii bei Mischung drei
Formen von Gleicbungen benutzen muss. und dass zu diesem
Zwecke das Spectrum am vortheilhaftesten in sieben Partien
getheilt werden kann. Aus diesen factischen Resultaten leiteten
nun Konig und D i e ter ici ihre drei Elementarempfindungs-
curven ab. indem sie anuahmen. dass die Elementarempfin-
dungscurve Griin von der Gleichung
L)v == aL,J7„ -f- bL363.5 — cL)/
beginnen soll. Mit welchem Rechte wird eine solche Annahme
gemacht? Sie wiirde zulâssig sein, wenn man sich auf ander-
wârtige Resultate stûtzen konnte, man soll aber nicbt vergessen,
dass grade die Untersuchung der Farbenmischung uns iiber die
Componenten instruieren sollten. Haben daher Konig und
Die ter ici die Misobungsversuche von Neuem aufgenomraen,
so war ihre Aufgahe die Componenten zu finden und nicht an-
zunehmen.
Ein factischer Werth solcher Curven muss daher gleieh
null angesehen werden. Konig und Dieterici geben auch
selber auf Grund derselben Resultate „die Grundempiïndungs-
curven". Ebbinghaus bat dieselben Resultate vvieder umge-
rechnet, und man konnte auf ganz derselben Weise unzàhlige
Berechnungen machen. Es wiirde kaum Jemand allen solchen
Umrechnungen einen factischen Werth beimessen.
25. Die unmittelbare naive Realitat der vorgefundenen
Mannigfaltigkeit von Farben wird weder durch die physika-
lischen Untersuchungen noch durch die Ergebnisse der Farben-
mischung irgendwie aufgehoben. Aile unsere Erkenntnisse iiber
dieselbe sind nur Erkenntnisse iiber gewisse Zùsammeuhànge
der einzelnen Glieder der vorgefundenen Mannigfaltihkeit; aile
Methoden nur Betrachtungsformen dieser Mannigfaltigkeit.
Stellen wir uns auf den Standpuukt ein -s Besehreibers
des Vorgefundenen. so entsteht als erste Aufgabe dièses Vor-
88 RÉSUMÉ8
gefundene zu ordnen; Mittel zu finden. uni auf einzelne Glie-
der des Vorgefundenen eindeutig hinweisen zu konnen.
Man classiBciert die Farbenmanngfaltigkeit, indeni mau
die Farben mittelst Spectrums eindeutig zu bestimmen sucht.
Die Erfahrung zeigt, dass sich die Farben des Spectrums
ândern, wenn man die s. g. Intensitât der Licbtquelle ândert,
dass sie sieb ândern, wenn man nacb verschiedenen Vorbe-
dingungen dasselbe Spectrum betrachtet. Intensitât und Wel-
lenlânge sind nun zwei unabbângige zur Bezeicbnung der vor-
gefundenen Farbe. Dièse reichen jedoch nicbt hin, um sie zu
bestimmen. Man frâgt nun, wie lâsst sich die dritte Bedingung
formulieren. Ist sie eine neue Verânderliche unabhângig von
beiden anderen?
Man iiberzeugt sich leicht, dass es nicht der Fall ist.
Wiirde es so sein, so konnte der Beobaehter, wenn er die Vor-
bedingungen ândert, welche der Farben bestimmung vorangin-
gen, keine Farbe sehen, welche den nach anderen Vorbedin-
gungen gesehenen Farben gleich wâre. Die Beobachtung zeigt
aber, dass ni an die Aenderung der Farbe, welche durch Ort
des Spectrums und Intensitât gegeben ist, wenn sie durch
„Ermiïdung des Auges" verândert wird , mit Hilfe desselben
Spectrums bestimmen kann d. h. die gesammte Farbenmannig-
faltigkeit scheint durch zwei Verânderliche bestimmbar zu sein.
Aber die je des m a lige Anordnung dieser M an ni g-
f a 1 1 i g k e i t wiirde eine andere Function dieser Ver-
au der lichen sein. Ob es so ist. muss der Untersuehung
vorbehalten werden. Hier sei nur besonders betont, dass eine
solche Betrachtungsform nur ein Mittel des Hinweises auf die
einzelnen Glieder der Farbenniannigfaltigkeit bildet. Dièse
Mannigfaltigkeit ist gegeben, das ist die erste und letzte That-
sache.
26. Ein zweites Mittel anf die einzelnen Glieder der vor-
gefundenen Mannigfaltigkeit lnnzuweisen, bildet die Bestimmung
der Farben mittelst eines Farbendreieekes. Durch ein solches
kann eine Mannigfaltigkeit, geometriseh veranschaulicht werden.
RÉSUMÉS 89
Dieser Veranschaulichung kommt aber nur die Bedeutung eines
geometrischen Bildes zu.
Man glaubte lange, und dies war die Voraussetzung der
H e 1 m h o 1 1 z schen Théorie, dass sich die Aenderungen in der
vorgefundenen Mannigfaltigkeit so vollziehen miissen, wie die
Aenderungen bei der constructiven Behandlung der Farben-
tafel. Die wiederbolten kritischen Untersuchungen von He-
r i n g haben die Unhaltbarkeit dieser Annahme klargelegt.
Man schritt infolge dessen statt die Unzulâssigkeit der Annahme
einzusehen zum Aufsuchen immer neuer und neuer Eckfarben,
ohne auf ein Dreieck zu kommen, der die gerugten Mângel
aufheben konnte. Der Grund des Misserfolges ist darin zu
suchen, dass das Farbendreieck nur eine geometrische Ver-
anschaulichung der Farbenmannigfahigkeit ist. So wie man
in déni Dreieck die Curve der Spectralfarben empirisch be-
stimmt, so kann man in derselben Weise die Curven der Far-
benânderungen bestimmen , welche eine oder mehrere Farben
infolge der Ermiidung erleiden. Wie jedoch eine solche Curve
verlaufen muss, dass kann man a priori aus dem Farbendreieck
nicht ableiten.
27. Nachdem die Mittel gefunden worden sind, die vor-
gefundene Mannigfaltigkeit in eindeutiger Weise zu ordnen,
entsteht die weitere Frage, wie sich die von verschiedenen Men-
schen vorgefundenen Mannigfaltigkeiten zu einander verhalten.
Das gewohnlichste Mittel des Hinweises auf die Umge-
bungsânderungen, die Sprache reicht nicht hin, um die Unter-
schiede merklich zu inachen. Anfangs, wo man die Subjecti-
vitat der Qualitâten der Umgebung angenommen hat, glaubte
man in der Sprache Mittel zu haben iiber die Bewusstseins-
erscheinungen Auskunft zu eihalten. Die Praxis belehrte je-
doch bald, dass man auf diesem Wege zu keiner Erkenntniss
der Anomalien im Farbensysteme kommen wird. Das Wort
ist eben nur ein Zeichen, welches auf die vorgefundene Mannig-
faltigkeit hinweist, nicht aber ein Ausdruck der „Bewusstseins-
erscheinungen". Es ist auch gleichgiltig, wie sich die Mannig-
faltigkeit gestalten wurde, wenn wir uns in jemand Anderen
90 RÉSUMÉS
versetzen konnten; Hauptsache ist, dass sich die Mitmenschen
beim Hinweise auf bestimmte Qualitâten , derselben Zeichen
bedienen . und dass dièse Zeichen die Qualitâten eindeutig
bezeichnen.
Vergleicht raan nun die Farbenmannigfaltigkeiten, welche
verschiedene Menschen vorfinden, so zeigt sich, dass dièse sich
sich nicht immer eindeutig entsprechen. In diesem Falle ist
raan der Môglichlceit der eindeutigen Verstandigung iiber die
Farben beraubt, und zwar auf so lang, als raan nicht weiss,
wie sich die „normalen" und „anormalen" Farbensysteme zu
einander verhalten und in welcher Beziehung sie zu einander
stehen.
28. Aile dicse Fragen beziehen sich nur auf das Ord-
nen der vorgefundenen Farbenmannigfaltigkeit . sagen aber
nichts ûber die physiologischen Vorgange aus, welche in dem
Auge vor sich gehen.
Die Beziehung des „psychischen" zum „physischen" hat
der Verfasser bereits einer vielfachen Besprechung unterzo-
gen 1).
Im Anschluss an die hier untersuchten Problème wendet
sich der Verfasser gegen das von Mach2) eingefuhrte und
dann zur Grundlage der physiologisch-optischen Untersuchun-
gen gemachte Hilfsprinzip, nach welchem „jedem Psychischen
entspricht ein Physisches und umgekehrt. Grleichen psychischen
Processen entsprechen gleiche physische, ungleichen — un-
gleiche. Allen Détails des Psychischen correspondiren Détails
des Physischen".
Untersucht man niimlich das unmittelbar Gegebene, so
findet raan verschiedene qualitative Aenderungen vor, welche
mit einander in festen Verhaltnissen stehen. Die Ausdrucks-
form derselben hangt lediglich von den Einheiten ab? in wel-
chen man die Aenderungen jeder Art bestimmt.
') Die moderne physiologische Psychologie in Deutschland II. Aus-
>e. Ziirich, 1899. — Zur Prinzipienfrage der Psychologie. Ziirieh, 1899.
2) Sitzungsbeiichte der Akademie in Wien. Band LU, Jahrg. 1868.
RÉSUMÉS 91
Bei dieser Untersuchung der Zusammenhânge, wie sie sich
der Beobachtung darbieten, kommt raan auf die Frage, wie
die Aenderungen „in einander iibergehen" oder „auf einan-
der wirken", iiberhaupt nicht. Die Aenderungen sind da, tre-
ten in Zusammenhangen auf. und es ist die Aufgabe der Wis-
senschaft dièse Zusammenhânge zu untersuehen.
Erst dann, wenn man die einzelnen Erscheinungen als
Spezialanderungen eines allgemeinen Etwas darstellen will, muss
man dièse Brtrachtungsform ândern. Bei der deseriptiven Be-
handlung der Problème hat man nicht nôtig auf Fragen, wie
die Erscheinungen auf einander wirken, wie sie sich in einan-
der umwandeln. iiberhaupt einzugehen. Dièse Fragen werden
zu den wichtigsten Problemen der Naturphilosophie erst dann,
wenn man aile Erscheinungen auf ein Substrat zuruckfïïhren
will. Dann muss man die Wârme als moleculare Bewegungen
der kleinsten Theile darstellen, um den Uebergang der mecha-
nischen Arbeit in die Wârme anschaulich machen zu konnen
u. s. w.
Auf dièse Weise wurde auch das mechanische Bild der Er-
scheinungen construiert. Bei solcher Construction ist aber ailes
Qualitative verloren gegangen, und nun entstand die Frage,
wo ist es zu setzen? Die Aetherwellen, die Nerwenerregun-
gen u. s. w. bilden eine geschlossene Kette, in welcher fur
die Qualitat kein Platz iibrig geblieben, und doch musste die-
selbe irgendwo Platz haben. Man versetzte sie daher in das Be-
wusstsein und postulierte dann physiologische Aenderungen die
den Bewusstseinserscheinungen entsprechen sollten 1). Jetzt
mûssen die postulierten physiologischen Aenderungen und die
Bewusstseinserscheinungen irgendwie zusammenhangen. Um
diesen Zusammenhang zu retten, hat Mach sein Prinzip auf-
gestellt.
Es zeigt sich aber, dass ein so entwickeltes mechanisches
Bild physikalisch nicht hinreichend ist, und dass der Zusam-
*) Vergl. zur Prinzipienfrage S. G7 u. f.
92 RÉSUMÉS
raenhang des Bewusstseins mit dem Mechanischen philosophisch
unbegreiflich wird. Man ist daher genothigt, zur gegebeuen
Mannigfaltigkeit der Erscheinungen zuruckzukehren, um dièse
zu analysieren.
29. Untersucht man sie, so findet man, dass die phy-
siologischen Aenderungen ebenso unmittelbar gegeben sind,
wie es die Farben sind.
Untersucht man das Auge und die Aenderungen, welche
in ihm vorkommen, wenn man dasselbe den Licbtwirkungen
aussetzt, so bat man in den Lichtânderungen und den phy-
siologischen Vorgângen zwei Arten von Aenderungen, die von
einander ganz verschieden sind, und ûber dessen Zusammen-
hang man a priori gar nicbts aussagen kann. Die betrachte-
ten pbysiologiscben Vorgânge sind ebenso qualitativ, wie es
die Farben sind, sie sind zwei Erscheinungen, die mit den Far-
benanderungen im Znsemmenbange stehen, die aber nach den
ihnen eigenthiimlichen Untersuchungsmethoden erforscht werden
miïssem Kennt man einmal einen Zusammenhang von Erschei-
nungen, so kann man aus der Kenntnis eines der zusammen-
hângenden Glieder iiber das Zweite etwas aussagen, das aber
nachtrâglich , wenn der Zusammenhang erst bekannt ist, Aus
den Farbenuntersuchungen allein wird man daher ebenso we-
nig zur Kenntnis der physiologischen Vorgânge gelangen, wie
man aus der Untersuchung der mechanischen Arbeit zur
Kenntnis der Wârmeerscheinungen kommen kann. Will man
ilber physiologische Functionen des Auges etwas wissen, so
muss man es physiologisch untersuchen.
Kiakau, physikalisches Institut der Jagellonischen UniversitSt.
Nakladem Akademii Umiejçtnosci
pod redakcya S^kretarza generaluego Stanislavva Smolki.
Krakow, 1900 — Drukarnia Uuiwersytetu Jagielloiiskiego, pod zarzadem J. Filipowskiego
16 Marca 1900.
BULLETIN INTERNATIONAL
DE L'ACADÉMIE DES SCIENCES
DE CRACOVIE.
N« 3. Mars. 1900.
Sommaire: Séances du 5, 12 et 19 mars 1900. — Résumés: 12.
T. Estreicher. Un globe du commencement du XVI siècle à la Biblio-
thèque de l'Université de Cracovie. — 13. V. Heinrich. Note prélimi-
naire sur la fonction accomodative de la membrane tympanique. — 14.
L. Marchlewski et C. A. Schunck. L'action du brom sur la phyllo-
porphyrine et haematoposphyrine. — 15. S. Maziarski. Sur la topogra-
phie de la glande thymus et sur la présence des follicules lymphatique
dans la glande salivaire sousmaxillaire de la caboye. — 16. Jan Piepes-
Poratystski. Sur la polymérisation de p. tolunitiile. — 17. P. J. Ma-
zurek. L'influance de l'acide azotique sur la phenilaetylamine.
Séances
— ■>%.
('lasse <le Philologie
Séance du 12 mars 1900
Présidence de M. C. Morawski
Le Secrétaire dépose sur le bureau les dernières publi-
cations de la Classe:
Rozprawy Akademii Umiejetnosci. Wydziaî filologiczny. Serya II,
tom XI11, ogôlnego zbioru tom dwudziesty ôsmy. (Traveaux de la Classe
de philologie, vol. XXVII), 8-0, p. 380.
Le Secrétaire présente le travail de M. P. BibSkowski:
vSur les personifications des nations conquises dans l'art des
anciens Romains".
'.•4 SÉANCES
Le Secrétaire rend comple du travail de M. J. Gzubek:
„Vespasien de Kochôw Kwhowskiu.
Classe d'Histoire et de Philosophie
Séance du 19 mars 1900
Présidence de M. F. Zoll
Le Secrétaire dépose sur le bureau la dernière publica-
tion de la Classe:
F. Piekosinski. »Wiece. sejmiki, sejmy i przywileje ziemskie w Pol-
sce wiekôw srednich*. (Des assemblées, états provinciaux et états généraux
célébrés et des chartes accordées en Pologne au moyen-âge1. Mémoires. 8-0, vol.
39, p. 171—251.
M. 0. Balzer présente son étude: ^Quelques remarques
sur la sanction du premier statut de Masovie de l'an 1532" .
Le Secrétaire rend compte du travail de M. Vladimir
Lenkiewicz: „La Russie et la paix de Carlovitz" .
Classe des Sciences mathématiques et naturelles
Séance du 5 mars 1900
Présidence de M. F. Kreutz
Le Secrétaire présente les dernières publications de la
Classe:
SÉANCES 95
M. P. Rldzki. »Teorya fizycznego stanu kuli ziemskiej*. (Théorie
physique de l'état du globe terrestre;. Mémoires, 8-0, vol. 37, 225—420 p.
M. P. Rudzki. «Dalsze badania nad odksztalceniem ziemi pod cie-
zarem wielkich lodowcôw<. (Nouvelles recherches sur les déformations de la
terre pendant l'époque glaciale). Mémoires, 8-0, vol. 39, 109 — 136 p.
»Sprawozdania Komisyi fîzyograficznej*. (Comptes rendus de la Com
mission de physiographie], vol. XXIV, p. XXXI et4 84. Avec une planche.
M. C. Kostanecki rend compte du travail de M. E. Go-
dlkwski (jun.): nSur la multiplication des noyaux dans les mus-
cles striés des vertébrés".
Le Secrétaire présente les travaux de M. J. Piepes-Po-
ratynski: nSur la polymérisation de p. tolunitrileu *) et de M.
J. Mazurek: ^L'influance de l'acide azotique sur la phenilaety-
lamine" 2).
M. E. Bandrowski rend compte du travail de M. L. Mar-
chlewski et C. A. Schunck : ^U action du brom sur la phyllo-
porphyr'me et haematoporphyrineu 3).
M. N. Cybulski rend compte du travail de M. S. Maziar-
ski: nSur la topographie de la glande thymus et sur la pré-
sence des follicules" 4).
Le Secrétaire présente le compte rendu de la Commission
d'antropologie de 28 février 1900.
i) Voir ci-dessous aux Résumés p. 117. — 2) ibid. p. 118. — 3) ibid. p. 112. —
*) ibid. p. 113.
Résumés
12. — Tad. Estreichek. Globus Bibiioteki Jagielloriskiej z poczatku w. XVI.
(Ein Evdglobus ans dent Anfange des XVI Jh. in. der
Jagellonischen Hibliothe/c). Vorgelegt den 15. Januar 1900.
Unter den Sehenswiirdigkeiten , welche sioh in der Ja-
gellonischen Universitâtsbibliothek in Krakau befinden. nimmt
eine schône Uhr aus den ersten Jahren des XVI Jahrhunderts
eine hervorragende Stelle ein. Ein kurze Nachricht liber die-
selbe, und zwar iiber ihre Einrichtung und Functionieren, bat
der franzosische Physiker , M. Ch. Ed. Guillaume vor acbt
Jahren in der Zeitschrift .,La Nature « L) veroffentlicht; beson-
ders intéressant ist aber ein Globus, welcher sich ira Inneren
der Uhr befindet; iiber denselben ist bis jetzt noch nichts der
Offentlichkeit vorgelegt worden. Ohne in die Einzelheiten der
Construction einzugehen, da dieselben in dem citierten Aufsatze
von Guillaume gefunden werden konnen , will ich gleich zur
Beschreibung des Globus schreiten , dessen Projection in Pla-
niglobform nebenstehend beigef'iigt ist.
Der Globus besteht aus zwei halbkugeligen Calotten
aus Kupferblech , welche aussen stark vergoldet sind ; der
Durchmesser der^selben betriigt 73y2 mm. Im Innern des Glo-
bus befindet sich das Uhrwerk, welches die Achse des (in der
») La Nature 1892, Nr. 99G, S. 75.
RÉSUMÉS
97
98 RÉSUMÉS
Uhr unbeweglichen) Globus beAvegt; zum Aufziehen des Wer-
kes befinden sich in déni sudlichen Theile der Kugel zwei
Offnungen (s. Figur), von denen aber blos eine heutzutage
als Schliïsselloch dient. Die Oberflâohe ist durch Meridiane
und Parallelkreise (sowie Wende- und Polarkreise) in Abstan-
den von je 10° getheilt; die Meridiane 170° und 350° (ostlich
von Ferro, wie uberhaupt die Meridiane von Ferro an. nume-
riert sind), welche zusammen einen Kreis bilden, bilden zugleich
die Beriïhrungsstelle beider Globuscalotten ; in zwei Stellen ist
dièse Beriihrungslinie beschadigt, was in der Zeicbnung mit-
tels dicker schwarzer Linien angedeutet ist. Das Meer und
die Binnengewâsser sind durch wellenformige Linien bezeich-
net, was in der Projection nur fur Binnenseen beibehalten
worden ist.
Was die Entstehungszeit des Globus anbelangt, so lehrt
uns schon das Aussehen der Ziffern 4 und 5 auf den Meri-
dianen und Parallelkreisen, sowie auf den Theilungen der
Scalen des âusseren Mechanismus, dass die Uhr um das Jahr
1500 entstanden sein muss , da die Zitfer 4 iïberall ihre mit-
telillterliche Schlingenform beibehâlt, 5 dagegen bald in der
alten , 7-ahnlichen (auf den Scalen). bald in der modernen
Form (auf dem Globus) auftritt. Ein praciseres Datum Uann
durch Vergleich gleichzeitig erschienener Karten aufgestellt
werden, da es keinem Zweifel unterliegt , dass der Verfertiger
des Globus auf der Hohe der damaligen Kenntnisse stand,
und dass er unmoglich Solches ausser Acht gelassen haben
konnte, was auf iiberall bekannten Karten eingezeichnet vrar.
Auf solche Weise gelangen wir zu etwa 1510 als Entstehungs-
zeit des Globus, was im Folgenden motiviert wird.
Naehdem Neufundland zum ersten Mal auf der Karte
von Juan de la Cosa als mit dem nbrdlichen Asien verbunden,
dargestellt worden ist (1500), ist dasselbe auch spater mehrere
Jahre hindurch als ein Theil Asiens aufgefasst worden; so
finden wir es, als Terra Xova, auf der Karte von Johan-
nes Ruysch im Ptolemaeus vom Jahre 1508 (ausgegeben in
Rom). Es fehlt aber das Festland von Xordamerica, welehes
RÉSUMÉS 99
aucli auf dem Globus der Jagellonischen Bibliothek noch nicht
vorhanden ist. Im Jahre 1511 finden wir Florida in Peter
Martyr's Legatio Babylonica, unter dem Namen von Be i-
meni; im nâchsten Jahre zeicb.net der Professor der Krakauer
Universitat Johannes de Stobnica (Jan ze Stobnicy) auf der
Erdkarte in seiner Ausgabe des Ptolemaeus (Cracoviae, FI.
Ungler, 1512) schon einen grossen Tbeil des Landes in der
Nâhe von Florida, sowie die mittelamerikanische Landesenge,
welche hier zum ersten Mal ohne die hypothetische Meeres-
enge auftritt. Einen âhnlichen Character haben auch die bei-
den Karten Waldseemiïller's im Strassburger Ptolemaeus vom
Jahre 1513. Da auf dem Globus der Jagellonischen Univer-
sitâts-Bibliothek, den ich fortan der Kiirze wegen den Jagel-
lonischen Globus nennen werde, Neufundland als eine (nanien-
lose) Insel, das Festland von Nordameriea aber nicht einge-
zeichnet ist, so kann nach Obigem unser Globus nur aus der
Zeit zwischen 1509 — 1511 stammen, also etwa aus dem Jahre
1510.
Eine tiberaus ahnliche kartographische Darstellung fin-
den wir auf dem sogenannten Lenox-Globus , der sich in der
„New York Public Library", uri.d zwar in der Abtheilung der
Lenox-Stiftung, befindet. Der Unterschied zwischen beiden
Globen besteht nur in der Grosse (der Durchmesser des Lenox-
Globus betragt 127 mm), in der Abwesenheit der Meridiane
und Parallelkreise auf dem New-Yorker Globus, und in eini-
gen Inschriften; sonst gleicht die Gelandedarstellung beider
Globen vollkommen.
Auf beiden finden wir das Continent von Sudamerica
in dessen angenâhert richtiger Form, d. i. dreieckig, mit der
Spitze gegen Siiden gerichtet; es befinden sich darauf drei
Inschriften: Mondus Novus, zum ersten Mal dem neuen
Continente vom Domherrn Sandacourt in St. Dié , in der
Ûbersetzung eines Briefes von Vespucci mit der Beschreibung
Brasiliens; weites Terra Sanctae Crucis, ein Name, der
nur bis zum Jahre 1511 (zuletzt in der Bernhardus' Syl-
vanus' Ausgabe von Ptolemaeus, Venedig 1511) im Gebrauche
100 RÉSUMÉS
steht ; und schliesslich der bis jetzt noch nicht vollkommen
erklârte Name: Terra de Brazil. Was die dreieckige Form
anbelangt, so ist dieselbe nicht direct erklàrlich, da man bis
zu jener Zeit noch keine Umsegelung Siïdamerica's ausgefiihrt
bat, und der Verfertiger des Globus scheinbar die spâteren
Kenntnisse anticipiert hat. De Costa, dem wir eine ausfiilirliche
Beschreibung des Lenox-Globus verdanken x), ist der Ansicht,
dass man diesem Erdtheile deshalb eine solche (restait gab.
weil man als Vorbild dazu die Form von Aixica genommen;
ahnliches behauptet H. Harrisse 2) in Bezug auf die angeblich
Waldseemullerschen Globussegmente im Holzschnitt, etwa aus
dem Jahre 1509, welcher sagt, dass man zwecks Analogie die
spitz gegen Sùden zulaufenden Festlande: Africa, Ost-Indien
und Malacca herbeizog. Dagegen muss man einwenden, dass
auf damaligen Karten weder Indien, noch Malacca spitz zu-
lâuft, und es also blos Africa zuriïckbleibt , welches in Wirk-
lichkeit und in der damaligen Auffassung eine Spitze gegen
Siïden aufweist. Es erscheint aber kaum plausibel anzunehmen,
dass man eine einzige Thatsache so verallgemeinern wollte.
Es scheint mir aber dièse Dreiecksform kaum mehr als
zufiillig zu sein: man kannte die Nord- sowie die Ostkiiste von
Sûdamerica; es wurden beide auf der Karte aufgezeichnet,
die drei erwâhnen Namen aufgetragen . und die Enden der
IviUtenzeichnung mit einander verbunden , eintach um anzu-
deuten, dass das Land irgendwo im Westen aufhort. Dement-
sprechend ist der Verlauf der Kiïste im Osten ein ganz an-
derer, als im Westen; die Westliche ist skizzenhaft gefiihrt,
ohne Meerbusen oder Landzungen oder Halbinseln ; die Ostli-
che und Nordliche dagegen weist viele Halbinseln und Buchten
auf, sowie etwa 35 Fliisse, welche im Westen gànzlich fehlen.
Man sieht den Unterschied in der Ausfùhrungr beider Kùsten-
1 1 15. F. De Costa, Magazine of American History, Band III, S. 529,
New York 1879.
'-) Discovery of North America, London 1892, S. 807.
RÉSUMÉS 101
linien besonders gut auf dem Original des Jagellonischen
Globus ; ebeuso muss es sich mit dem Lenox-Globus verhalten.
da in der Projection seiner Karte in „Encyclopedia Britannica"
nach der Zeichnung von H. Stevens (Artikel „Globe"), die
westliche Kiiste einfach auspunctiert ist. Nach Obigem wiirde
die Frage. woher der Verfertiger der beiden Globen die Kennt-
nis von der dreieekigen Form von Siïdamerica haben konnte,
ziemlich gegenstandslos sein.
Ein spezielles Interesse in den beiden Globen erregt ein
grosses Eiland, geradezu ein Continent, welches nur auf die-
sen beiden kartograpbischen Documenten vorkommt. Dièse
Insel liegt etwa zwischen 110°— 160° ostlicher Lange und 25°
und 60° siidlicher Breite, also stidlich von Indien. Da in Wirk-
lichkeit. sowie auf anderen Karten , dièse Insel nicht vor-
kommt, miissen wir annehmen, dass der Verfertiger der Karte
fur den Jagellonischen Globus einem Missverstândnis zu Opfer
fiel. De Costa (loco citato) vermuthet, dass das in Frage ste-
hende Land Australien vorstellen sali, welches, wie er ausein-
andersetzt, doch vielleicbt nicht gânzlich zu jener Zeit unbe-
kannt war. Demzufolge sollten die beiden Insein, noidlich von
dem auf dem Lenox-Globus namenlosem Lande, welche dort
Madagascar und Cirtena bezeicbnet sind, resp. Sumatra
und Java sein. Die drei kleineren Insein in derselben Gruppe
sollten Sumbava, Floris und Timor vorstellen.
Dièse Hypothèse, welche aber De Costa mit grosser Vor-
sicht ausspricht, scheint nicht ganz stichhaltig zu sein, und
zwar noch mehr, wenn man die Karte auf dem Jagellonischen
Globus zum Vergleich herbeizieht. Wir sehen, dass die nor-
dliche und westliche Kiiste des fraglichen Continents ebenfalls
einen Character der Unsicherheit tragt, im Vergleich mit der
stidostlichen Kiiste, analog wie die einander gegeniiberliegen-
den Kiisten von Sùdamerica. Auch hier sehen wir eine sicher-
bekannte Kiiste mit vielen Buchten, Vorgebirgen und Fliissen,
sowie eine sanft wellenfdrmige , flusslose. oftenbar nur die En-
den der bèkannten verbindende Kiiste. Dies beweist. dass das
Land von Seefahrern entdeckt und beschrieben wurde, welche
102 RÉSUMÉS
von Osten herkaraen . (la nur die Kiiste, welche von Osten
zugiinglich ist, genau eingetragen ist. Aufsolche Weise also ist
os unmoglich anzunehmen, dass es das Festland von Austra-
lien ist. welches doeh nur durch die U'msegelung Afrikas be-
kannt geworden sein kônnte, also vora Westen. oder aber durch
Reisen der friïlieren Reisenden wie Edresi , Marco Polo u. s.
w.. welche es aber nur vom Norden her kennen lernen konnten;
aus déni Character der Umrisse des Landes aber tblgt, dass
es von ostlicher Seite entdeckt wurde. Ein solches Land ist
nur Sildainerica allein , und wir miïssen annehmen, dass jene
Insel Siidamerica vorstellen soll, freilich an einer ganz falschem
Stelle. Dièse Annahme wird zur Gewissheit , als wir auf dem
Jagellonischen Globus tinden, dass die Insel die Insehrift tràgt:
AMERICA- NO VITER- REPERTA. Es fragt sien nun , w, li.r
dièses Missverstandnis herkomint, welches den Autor des Glo-
bus zwang, dasselbe Festland zweimal, unter doppeltem Nanien,
einzuzeiehnen. Die Antwort darauf ist kaum nioglich: es scheint
ein ganz gewôhnlicher Irrthum eingeschKehen zu sein. Doch
kann inan eine ziemlich weitgehende Analogie zwischen bei-
den Continenten rinden ; die Kustenconfiguration ist in beiden
Fftïlen ziemlich àhnlich. wenn man nur dafiir Sorge trâgt, die
„America noviter reperta" in der Zeichnungflâche uni
ca. 90° zu drehen , entgegeDgesetzt der Uhrzeigerbewegungs-
richtung. Sogar die Lângen der beiden Kontinente werden aut
solche Weise ziemlich nahe gebracht, wenn man dieselben nicht
in Ljingeneinheiten, sondera in Graden ausdruekt; so ist die
Ostkiiste des „Mondus no vus" 53°, die Biidliche Kûste der
„ America noviter reperta" 48° lang, was nur eine un-
bedeutende Differenz ausmacht. Dièse falsche Namenslegung
ist aber ein Beweis mehr , dass der Globus sehr bald nach
dem Jahre 1507, in welchein Waldseemiiller den Namen
„America" vorgeschlagen hatte, entstanden ist, da sonst ein
solcher Irrthum nicht moglich gewesen wàre.
Eine ganz identische Aufschrift: „America noviter
reperta" finden wir aut den Globussegmenten ini Kupfer-
stich, welche von Louis Boulena:ier zwischen 1514 und 1518
RÉSUMÉS 103
entworfen worden sind ; dieselben sind unter dem Namen „the
Tross gores" bekannt, und es befindet sich ein Facsimile
davon in Nordenskiold's Atlas till kartografiens àldsta historia,
Stockholm 1889, Tafel XXXVII a. Dièse Karte erlaubt uns
auch die Vermuthung von De Costa in Bezug auf die Insein
Madagascar und Cirtena zu widerlegen. Dièse beiden
Insein treten namlich auch hier auf, Cirtena heisst aber hier
Zamzi (=Zanzibar): Java dagegen erscheint auf dem Ja-
gellonischen Globus bedeutend weiter gegen Osten. Es kann
also Madagascar und Cirtena des Lenox-Globus nicht
Java und Sumatra bedeuten, da Cirtena offenbar Zanzibar
vorstellt, Java aber anderswo liegt.
Die Boulengier-Globussegmente zeigen in vielen Punkten
eine grosse Analogie mit dem Jagellonischen Globus; es gibt
dort viele ahnliche Inschriftim, Gelândedarstellungen ; das Was-
ser ist auf beiden auf ahnliclie Weise angedeutet, ja wir
finden mehrere gemeinsanie orthographische Febler u. s. w.
Ob die Ahnlichkeit weit genug geht, um eine gemeinsanie
Herkunft des Jagellonischen Globus und der „Tross gores",
so wie dieselbe fiir unseren Globus und fur den Lenox-Globus
ausser Zweifel steht, annehmen zu konnen , kann ich nicht
entscheiden; es ist aber nicht unwahrscheinlich , dass Boulen-
gier, der ein tiichtiger Astronom, Geometer und Geograph
(der auch Globusse konstruierte) war, auch die astronomisch-
geographische Uhr, welche jetzt eine der Zierden der Jagello-
nischen Universitàts-Bibliothek ist, verfertigt haben kann. Zu
derselben Gruppe scheint auch der sogenannte Waldseemiil-
lersche Globus im Holzschnitt zu gehoren, dessen Abstammung
von Waldseemiiller aber nichts weniger als bewiesen ist.
Im Ganzen finden wir auf unserem Globus mehr Insel-
namen, als auf dem Lenox-Globus, obwohl derselbe fiinf-drit-
telmal grôsser ist ; auf solche Weise finden wir auf dem Lenox-
Globus weder A n c a , noch l'enta, C a n a , Java mai (or)
und Arbet wieder, die der Jagellonische Globus aufweist,
Die Insel, deren Name ich mit Arbet wiedergebe , ist auf
dem Lenox-Globus namenlos ; auf solche Weise kann ich
104 RÉSUMÉS
tneine Lesart nicht eontrollieren, welche in diesem Falle einer
Controlle sehr bedarf, da an dieser Stelle die Globusoberflâche
ziemlich stark corrodiert ist, was die Inschrift sehwer leserlich
macht: es konnte auch Arrii heissen , oder etwas zwischen
Arbet und Arrii. Ane a, welches auch auf déni Boulen-
gierglobus vorkommt, ist Àngaraa anderer Karten ; iihnlich
finden wir Peuta auf anderen Karten wieder. Cana konnte
ich nirgends mehr finden; die Ptolemâus-Karte Ruysch's vom
1508 weist Candur und Candyn auf, welche beide aber
ziemlich weit von unseremCana liegen. Schliesslieh Zipagri
(ohne Abkiïrzungszeichen) kommt nur noch auf den Boulengier-
Globussegmenten vor; der Leiiox-Globus , wie auch sonst fast
aile anderen, hat hier Zi pan gri. Dièses, das heutige Japan,
liegt in unmittelbarer Nachbarschaft von Yukatan.
Viele Namen, besonders diejenigen in Asien, lassen sich
auf den Einfluss mittelalterlicher Reisenden , besonders von
Marco Polo, zuriickfiïhren. So z. B. finden wir in der Nàhe
von Persien ein Land „Cannaiiia", was dem „Kerman"
von Marco Polo entspricht. „Floac pro(vincia)" („Loac
provincia" des Lenox-Globus) ist Marco Polo's Locac. In der
Nâhe davon ist Moabar, was wir bei diesem Reisenden als
M a a b a r wiedertinden.
Aus dem ganzen Obigen kommen wir zu folgenden
Schlûssen : Der Jagellonische Globus ist, neben dem Lenox-
Globus, der alteste postkolumbische Globus, da er etwa um
fûnf Jahre alter ist, als der naehste, d. i. der Frankfurter
Globus von J. Schoner aus dem Jahre 1515. Deshalb ist er
auch (1er alteste von allen, die irgendwelchen Theil der Neuen
Welt aufweisen, und auch der erste, der das sudamericanische
Festland', nicht verbunden mit Asien darstellt, wie es nach
Columbus' Meinung sein sollte, und wie es aucb ofters nach
dem Jahre 1526 (Hemisphàie von Franciscus Monachus) ge-
zeichnet wurde. Ausserdem ist der Jagellonische Globus der
iilteàte von allen, welche irgendwo den Namen America tra-
gen; bis jetzt galt als solcher der oben erwàhnte Globus von
Schoner vom Jahre 1515. Palis es sich, was wahrscheinlich,
RÉSUMÉS 105
erweisen sollte, dass die anonymem Globussegmente, angeblk-h
vora Jahre 1509, die von Einigen Waldseemuller zugeschrie-
ben werden , jiïnger sind, als der Jagellonische Grlobus, dann
wiirde ihm die Ehre zufallen , America's Namen iiberhaupt
zum ersten Mal auf einer Karte zu erwâbnen ; von allen an-
deren Karten und Globen ans jener Zeit unterscbeidet er sich
aber dadurch , dass bier der Name America auf ganz fal-
scber Stelle gelegt wurde , was beweist, dass sie dort noch
zu jener Zeit gelegt wurde, als die Kenntnis von ibrer Zu-
geborigkeit nocb nicht allgemein verbreitet war.
13. — W. Heinrich. Komunikat tymczasowy o funkcyi akkomodacyjnej blony
bebenkowej (z 1 fig. w tekscie). (Note préliminaire stir la fonc-
tion accomodative de la membrane tympaniqué) (avec 1 fi-
gure). Présenté le 5 février 1900.
1.
Il y a des dizaines d'années qu'on s'est efforcé vaine-
ment de déterminer la fonction de la membrane tympaniqué
dans l'acte auditif. Mach l) s'occupa le premier de cette question
pour prouver que la membrane tympaniqué peut réagir seule-
ment sur certains tons, sa tension étant donnée; les résultats
des expériences ne furent pas conformes à cette supposition.
Helmboltz 2) laissa de côté cette question dans son travail sur
le mécanisme des osselets et de la membrane tympaniqué.
Des expériences nombreuses prouvèrent bien que le muscle
tenseur du tympan réagit par une tension plus forte sur dm
tons aigus que sur des tons bas; mais le manque absolu de
notions sur l'influence de cette tension et sur les propriétés
J) Die Théorie des Gehororganes. Sitzungsberichte der Wiener Aka-
demie 1863.
2) H. Helmholtz. Die Mechanik der G ehorknochelc h en
und des Trommelfells. Pfliigers Archiv V. I.
106 RÉSUMÉS
acoustique de la membrane tvmpanique fut cause que les
résultats des expériences purent être interprétés de différentes
manières. Dans ces interprétations on se refusait d'accepter la
fonction accomodative de la membrane îvinpanique.
Par des recherches sur les changements qui, dans les orga-
nes sensoriels.se manifestent pendant des états d'attention,
l'auteur fut amené à rechercher si l'organe auditif possède un
appareil d'accomodation qui lui permettrait de s'adapter à
certains sons sans réagir sur les autres. Les résultats obtenus
par l'auteur pour l'oeil ont paru donner une certaine pro-
habilité à cette supposition; et comme les expériences de
M. Mach permettaient une modification qui promettait de
meilleurs résultats, l'auteur entreprit de les refaire suivant la
méthode du savant allemand. Le résultat ne répondit pas à
l'attente. La méthode qui devait permettre d'ohserver les vi-
brations de la membrane tympanique, se trouva impraticable
dans les conditions normales 1). On a bien pu observer des
modifications dans le champ visuel du microscope, synchro-
niques avec les tons produits, qui paraissaient être le résultat
des changements de tension de la membrane tvmpanique, mais
leur détermination quantitative a été impossible; elle était du
reste superflue. Le fait que le muscle tenseur produit une
tension plus ou moins considérable de la membrane, était
hors de doute.
Il s'agissait d'expliquer ce fait, ce qui surpassait la por-
tée de l'expérience. Il fallait trouver une méthode plus dé-
licate. Les essais faits d'après celle de M. Mach, démontrèrent
que si les vibrations n'avaient pas été visibles môme au moyen
de grossissements considérables, c'est que leur amplitude était
trop petite. Ce résultat fut confirmé par d'autres expérimen-
') Voyoz W. Ileinrich, Zur Function des Trommelfells; Cen-
tralblatt fur Physiologie 1896, où so trouve aussi une revue critique de
la littérature sur la matière.
sawnsaH 107
tateurs, entre autres par Lord Rayleigli x) et M. Wien 2) qui
trouvèrent l'amplitude des tons perceptibles variant entre 0, 1
p.y. et 1 u.
L'unique méthode qui paraissait promettre des résultats
positifs dans ces circonstances, c'était de mesurer les vibrations
par la longueur des ondes lumineuses. Les réfractomètres de
Jamin et de M. Rontgen furent trouvés peu avantageux pour
cet usage; mais l'interféromètre de M. Micbelson se montra
bien applicable dans ces expériences et c'est avec cet instru-
ment qu'elles furent exécutées dans le laboratoire de phy-
sique de l'Université de Cracovie.
C'est M. le prof. Witkowski qui a poussé l'auteur
à faire usage de cet instrument; c'est d'ailleurs aux bienveil-
lants conseils de ce maître que l'auteur a eu souvent recours
et il lui en exprime ici toute sa reconnaissance et tous ses
remerciements.
IL
Le principe de l'interféromètre de Micbelson en peu de
mots est le suivant : (Voir p. 108).
Si l'on intercepte un rayon lumineux par une lame en
verre à surfaces parallèles (A), formant un angle de 45° avec
le rayon, ce dernier sera partiellement réfléchi dans une di-
rection perpendiculaire (%), tandis que l'autre partie sera trans-
mise (2). Si dans la voie de ces deux rayons se trouvent deux
miroirs (C et D) perpendiculaires à leurs directions, ils seront
refléchis sur eux-mêmes et il se produira l'interférence, étant
admis que la différence des chemins ne dépasse pas un cer-
tain multiple de la longueur d'onde.
Une seconde lame B, dont l'épaisseur est exactement
égale à celle de la lame A, complète l'appareil. Sa destination
est de compenser la différence des chemins que parcourent les
') Rayleigh. Theory of Sound.
2) Wien. Ueber die Messung der Tonstàrke. Wiedemann's
Annalen. Vol. 36.
108
RÉSUMÉS
rayons 1 et 2 dans l'épaisseur du verre. La lame A est très
légèrement argentée afin d'égaler l'intensité lumineuse des deux
rayons qu'on fait interférer. Les miroirs C et D sont formés
par une couche d'argent déposé sur un verre plan et polie du
côté extérieur. Le miroir D est fixe ; C peut se mouvoir dans
la direction du rayon 1).
Pour appliquer cet appareil au but proposé il était né-
cessaire d'éliminer le miroir D et de le remplacer par un petit
(%• 1)
miroir appliqué à la membrane tympanique. La difficulté con-
sistait à se procurer des miroirs assez plans et assez légers
pour pouvoir êtres placé sur la membrane tympanique, sans que
les vibrations de cette dernière en soient modifiées. Il n'était
pas possible de se procurer des miroirs aussi minces dans le
commerce, c'est pourquoi l'auteur fut obligé de les faire lui-
même. Celui dont il s'est servi pour les expériences décrites
*) A. Michelson. Interférence phenomena in a new fori
of refractometer. Philosophical Magazine v. XIII. p. 2.%.
RÉSUMÉS 109
plus bas. était argenté et poli du côté extérieur; son épais-
seur était de 0,07r> mm.; son poids de 0,000725 gr.
Déposé librement sur la membrane tympanique, à la place
de son amplitude maximale *) le miroir adhérait assez forte-
ment sans aucune colle.
Une seconde difficulté consistait à donner au tympan
avec le miroir qui y adhérait une position exactement perpen-
diculaire à la direction du rayon lumineux, ce qui fut enfin
atteint à force de nombreux essais.
Pour obtenir une lumière homogène on se servait d'un
spectre obtenu au moyen d'un prisme rempli de sulfure de
carbone ; les rayons rouges se trouvèrent les plus convenables
pour observer le phénomène d'interférence avec l'oeil.
La disposition était donc la suivante : une lampe à incan-
descence L jetait sur la fente un faisceau de rayons rendus
parallèles au moyen d'une lentille Sl. Ce faisceau était dé-
composé par le prisme P .; les rayons rouges en étaient sépa-
rés au moyen d'une seconde lentille M2 qui le condensait sur
le miroir fixé à la membrane tympanique. Refléchis par le
miroir C et celui de la membrane tympanique, ils donnaient
le phénomène d'interférence qu'on pouvait observer au moyen
d'une lunette M.
Un changement de position du miroir, correspondant à
un Y4 de la longueur d'onde de la lumière, se manifestait par un
déplacement des bandes lumineuses par les obscures, ce qui
permet de mesurer les déplacements du miroir plus petit que
0.25 de la longueur d'onde. Quand la membrane tympanique est
mise en vibrations, les déplacements des franges sont tellement
rapides que les bandes cessent d'être visibles.
Les conditions de l'expérience ne permettant pas l'usage
(l'une oreille vivante ; on se servit des organes préparés d'ani-
maux tués tout fraîchement, afin de se rapprocher des conditions
lormales dans les limites de la possibilité.
*) Voyez Helmholtz 1. «.
Bulletin 111.
110 RÉSUMÉS
L'animal (au chien) étant asphyxié^par le ehlorophornii .
prépara l'organe auditif en éloignant les parties extérieures
autant que cela était indispensable pour découvrir le tym-
pan qu'on avait eu soin de laisser intact. Du côté intérieur
on ouvrit un peu l' orifice pour découvrir le tendon du
muscle du tympan. Un petit crochet fixé à ce dernier
permettait de produire une tension voulue de la membrane
tympanique au moyen de poids attachés au crochet. Toute
l'oreille interne restait donc absolument intacte. La jonction de
la membrane tympanique avec les osselets, la transmission des
vibrations sonores sur les parties internes de l'oreille, le charge-
ment de la membrane par ces osselets étaient les mêmes que
dans les conditions normales de l'audition. Et comme la durée
d'une expérience ne dépassait pas 4—6 heures, comptées du mo-
ment où l'animal avait été tué. il est à supposer que l'élasti-
cité de la membrane ne différait pas beaucoup de son état
normal, et que les vibrations avaient lieu dans des conditions
identiques avec celles qui accompagnent l'audition.
Les résultats obtenus jusqu'à présent peuvent être ré-
sumés par les propositions suivantes :
1. A chaque tension de la membrane tympa-
nique correspond un seul ton sur lequel elle ré-
agit; tous les autres tons de hauteur différente
n'y produisent aucun effet.
Si l'on dispose dans l'appareil une membrane qu'on a
eu soin de tendre au moyen d'un poids déterminé, on apercevra
dans le champ visuel les franges d'interférences, qui resteront
invariables autant qu'on produira des tons différents jusqu'à
ce qu'on ne trouve pas celui qui correspond à cette tension.
Ce n'est que quand on le produira que les franges cesseront
d'être visibles.
Le ton trouvé pour une tension déterminée de la mem-
brane change aussitôt qu'on change cette tension.
IL La tension nécessaire pour faire réagir la membrane
sur un ton déterminé est différente pour des membranes diffé-
rentes. Il semble exister une correspondance entre la gran-
RÉSUMÉS 111
deur et l'épaisseur de la membrane, d'un côté, et la grandeur
et la tension nécessaire de l'autre. C'est ainsi que dans une
des expériences, la membrane chargée de 17 gr. réagissait sur
un ton dont la longueur d'onde était 115,6 cm. Une autre ré-
agissait à un ton correspondant à une longueur d'onde de 262
cm. sans être cliargée d'aucun poids. Etant cliargée de 5 gr.
elle réagissait sur l'onde sonore de 82,2 cm. de longueur. La
première membrane était plus épaisse, et d'une dimension
moindre; elle était disposée plus perpendiculairement à l'axe
du canal auditif que la seconde, qui était plus large, plus
mince et avait une position plus oblique.
III. On n'a pu obtenir aucune réaction sur des bruits
irréguliers. Les expériences antérieures de l'auteur semblent
indiquer qu'il y a une différence fondamentale entre la trans-
mission des sons et celle des bruits '). Leur investigation sera
l'objet de ses travaux ultérieurs.
On a donc constaté jusqu'à présent ce fait d'une portée
capitale, que la membrane tympanique est un organe d'acco-
modation ; qu' à chaque tension elle ne réagit que sur un ton
déterminé sans être influencée par les autres. L'analyse des
vibrations de la membrane, l'étude de sa réaction différente
sur les tons simples et sur les tons composés et d'autres questi-
ons qui se présentent, restent encore inconnues. L'auteur espère
les résoudre en employant la méthode photographique qui lui
permettra d'obtenir objectivement les courbes des vibrations et
de faire une analyse bien précise des vibrations de la membrane.
Cracovie, Laboratoire de physique de l'Université Jagellonne.
a) W. Heiuricli. De la constance de perception des tons purs à la
limite d'audibilité. Bulletin international de l'Académie de sciences de Cra-
covie. Janvier 1900, p. 37.
2*
112 RÉSUMÉS
H. — L. Mahchlewski und C. A Schdnck. Wptyw bromu na filoporfiryne
i hematoporfiryne. (Uebei- die Einwirkung von liront auf
Phylloporphyrin und Haematoporphyrin). Vorgelegt an 5.
Mârz 1900.
Die Verfasser studierten die Aenderungen welchen dus
Phylloporphyrinspectrum resp. Haematoporphyrinspectruni un-
ter dem Einflusse von Brom unterliegt. Sie finden, dass obwohl
der allgemeine Character der beobachteten Spectren ein sehr
ahnlicher ist, doch auch gewisse Differenzen zum Vorschein
ommen. Der Hauptunterschied besteht darin, dass alkolioli-
sche Phylloporphyrinlosungen mit Brom behandelt schliesslich
Losungen liefern welche ein Band im aiissersten Rotli sehr
deutlich erscheinen lasen wâhrend Haematoporphyrinlosuiigen
unter gleichen Bedingungen ein solches Band nicht zeigen.
Der bemerkte Farbenumschlag ist in beiden Fallen ein sehr
ahnlicher. Die urspriinglichen rothen Losungen werden zu-
nâchst violett und auf weiteren Zusatz von Brom olivgrûn,
obwohl nicht von ganz derselben Nuance. Die Phylloporphynn-
losung lasst namlich gleichzeitig einen violetten Stich erkennen.
Die der Abhandlung beigelegte Zeichnung erlaubt, mit
Hilfe einer Sf-ala, die Lage der Absorptionsbander der Brom-
einwirkungsprodncte in Wellenlângen zu charakterisieren. Aus-
serdem enthalt dieselbe eine ausfiirliche Beschreibung der im
Phylloporphyrin- resp. Hâmatoporphyrinspeetrum unter dem
Einflusse von allmâhlig ansteigenden Brommengen eintreten-
den Verânderungen.
Nach Ansicht der Verfasser ist das analoge Verhalten des
Phylloporphyrins und Hâmatoporphyrins zum Brom als ein neuer
Beweis derchemischen Verwandsehaft dieser Stoffezu betrachten.
RÉSUMÉS H3
15. — S. Maziakski. Polozenie grasicy i wystepowanie grudek limfatycznych
w gruczole podszczekowym u éwinki morskiej. (Ueber die Laye
der Thymusdruse und iiber das \'orkomme>i von Lymph-
follikeln in fier Sabniaxillardruse beim Meerschiveinchen).
Vorgelegt am 5. Màrz 1900.
Die Thymusdruse der Sâugethiere stellt uns ein paariges,
gewohnlich zu einem Ganzen vereinigtes Organ dar", das hin-
ter dem Brustbeine am oberen Eingange zur Brusthôhle ge-
legen ist. Es hat ein lappiges Aussehen und erscheint makro-
skopisch ais eine weissliche Masse von zâher Consistenz. Die
Thymusdruse kann aber auch eine andere Lage einnehmen.
Schon Afanassiew hat in seiner Arbeit (Arch. f. mikroskop.
Anat. Bd, 14.) nachgewiesen, dass man bei den Saugethieren
in der Thymusdruse zwei Abschnitte unterscheiden kann:
einen Hais- und einen Brusttheil, deren jeder einen, seinem
Namen entsprechenden Platz im Korper einnimmt. Manche
Tliiere lesitzen beide Theile, andere nur den Brust- oder Hals-
theil. Zu den letzteren gehort unter anderen das Meerschwein-
chen , bei welchem der Brusttheil vollkommen fehlt. Eine
nahere Auskunft iiber die Lage der Driise giebt Afanassiew
nicht.
Zu nâheren Untersuchungen iiber diesen Gegenstand hat
mich reiner Zufall veranlasst, in welchem ich unter dem Mi-
kroskope beim Durchmustern der Praparate von Submaxillar-
driise eines jungen Meerschvveinchens neben der Driise eine
ziemlich grosse, von einigen Follikeln zusammengesetzte Thy-
musdriise fand. Sie war vermittelst Bindegewebes mit Speichel-
driise innig verbunden.
Ich stellte mir zuerst die Frage , ob wir es hier mit
einem zufâlligen oder einem regelmassigen Befunde zu thun
haben. Ich nahm darum nahere Untersuchungen an einigen
Meerschweinchen vor, die aus verschiedenen Nestern stammten
und von ein bis 10 Tage und sogar einige Monate ait waren,
uni die Lage der Thymusdruse nàher bestimmen zu konnen.
114 RÉSUMÉS
Die La^e der Thymusdriise stellt sich folgendermassen dar.
Wenn wir bei einem mehrtagi^en Thiere die Haut ara Halse
vom Unterkiefer bis zura Brustbeine durchschnitten und sie
etwas zur Seite abprâparirt haben , fâll't uns der dreieckige
Raura ins Auge, welchen der gebogene Rand des Unterkie-
fers bildet. Dieser Rauni ist mit weisslichen, gelappten Massen
vollkomrneu ausgeflillt. Es ist dies die Thymusdriise, welohe
aus zwei gesonderten Abschnitten zusammengesetzt ist. Sie
r :
ir
u Unterkiefer, th Thymusdriise, v Aeussere Ingularvene.
liège n direct unter der Haut, besitzen eine rundlichovale,
bohnenformige Grestalt, mit einer mebr abgerundeten Ober-
flache beruhren sie sich in der Mittellinie des Korpers, der
der Berttb.ru ngsflâche gegenuberliegende, schmâlere Theil biegt
sich unter den Kieferast, indem er in eine etwas rothliche
glatte Masse ttbergeht. Beim Emporheben der Thymusdriise
bekommt mail einen Ueberbliek in die Tiefe; jetzt sehen wir
ganz genau, dass die Driise in inniger Verbindun<>- mit der
Submaxillardriise ist, welche etwas unten und hinten liegt.
RÉSUMÉS 115
Die âussci'G Jugularveiae liiuit zwisohen der Thymus- und Sub-
maxillardriïse. in der Biegung, welche die erste mit der zwei-
fen bildet und nimmt kleinere Venen von beiden Driisen auf.
(Siehe Fig.).
Eine etwas abweicbende Lage besitzt die Thymusdriise
satnmt den Speicheldrlisen an zwei ersten T;igen nach der
Geburt. Die Thymusdriise ist bedeutend grosser und liegt
etwas tiefer, so dass sie fast die Mitte des Halses zwiscben
dem Unterkiefer und dem Brustbeine einnimmt; die mit ihr
verbundene Submaxillardriise liegt binten und etwas oben. In
folgenden Tagen bebt sicb xAJIes empor und nimmt das Drei-
eck unter dem Kieferrande ein, die Thymusdrùsen werden
immer kleiner, im spateren Alter erhalten sieh nur kleine
Thymusreste, welche auf der vorderen Flâche der Submaxil-
lardriise liegen, den grosseren Tbeil der Driise fiillt das Fett-
gevvebe aus.
Neben diesen Hauptdriisen, wenn icb sie so nenne, exis-
tieren noch andere kleinere, welche gewôhnlieh die Form einer
kleinen Lymphdrûse annehmen , deren Vorkommen nicht be-
stàndig ist. Einige Maie habe ich sie gefunden und zwar ober-
halb der Thyreoideadriise auf den langen Halsrauskeln als
rundlich ovale, plattgedriickte Korperchen, je ein auf jeder
Seite. Ebenso fand ich dieselben hinten am unteren Ende der
Parotisdruse.
Der mikroskopische Bau dieser Thymusdriisen entsprieht
dem Bau dieser Driise bei anderen Sâugethieren. Die Binde-
gewebsscheide, welc-he die Driise bedeckt, ist gewôhnlieh diinn.
nur in den kleineren lympbdiiisenâhnlichen Gebilden stârker
entwickelt; sie sendet zwischen eiuzelne Follikel Seheidewande,
welche Fettgewebe und Blutgefasse fiihren. Die Follikel zijigen
den Bau eines reticularen Gewebes, dessen Maschen mit dicht
gedrangten Lymphkorperchen gefiillt sind. Die Zahl derselben
ist viel grosser an der Peripherie als im Innern der Follikel,
so das inan sehr leicht eine Rinden- und Marksubstanz unter-
scheiden kann. In der letzten tretten etwas reichlicher Blut-
gefasse auf und die fiir die Thymusdruse charakteristischen
116 RÉSUMÉS
Grebilde, die eoncentrischen Korpercben von Hassal, we)
eine ansehnliche Gi'ësse erreiclien konnen. Sie bestehen aus
coneentriscb geschichteten Scheiben oder spindelfôrmigen, meist
degenerierten Zellen, in und zwiscben welchen zablreicbe, klei-
nere und grossere Kôrner liegen, die sicb mit Eosin sebr dis-
tinct roth tingieren. Was die Natur dieser Korner anbelangt,
ist die Sache nicht ganz klar; manche Autoren nebmen sie
fur Zertriimmertmgsproducte der rothen Blutkbrpercben, welebe
hier eingedrungen sind. Zwischen den Leukocyten im reticu-
laren Gewebe finden sicb reichlich die eosinophilen Lyroph-
kôrperchen, welebe sebr leicht mit ibren rotli gefârbten Gra-
nulis von der Maebbarsehaft abstecben.
Trotz sorgfâltigem Sucben nach dem Brusttbeile konnte
ieli dcnselben nicht finden , an seiner Stelle liegt reichlicbes
Fettgewebe, sebr oft mit Lymphkorperehen infiltriert. Die Thy-
musdriise des Meerschweinchens liegt also ausscbiiesslicb auf
dem Halse und es ist intéressant, dass sie eine so bobe Lage
einnimmt und in inniger Verbindung mit den Speicbeldriisen
stebt.
Vue uns die Entwickelungsgescbichte lehrt . enstebt die
Thymusdriise bei den Sâugetbieren als paariges Organ aus
der dritten Schlundspalte , sowohl aus einer epidermoidalen
wie epithelialen Anlage, welebes sicb spâter immer mebr be-
rabsenkt, so dass die Driise in den Brustkasten gelangt.
In diesetn Falle konnen zwei Fragen gestellt werden,
erstens, entwickelt sicb die Tbymusdrtise beim Meerschwein-
chen aus derselben Anlage wie bei anderen S&ugethieren, und
zweitens, wenn die Anlage dieselbe ist. welebe sind die Hin-
dernisse, die dièses Herabsteigen der Driise unmoglich maeben.
Die Antwort in dieser Hinsicht konnen uns nur entwickelungs-
geschicbtliche Untersuobungen geben, die icb hotre spâter niit-
tbeilen zu konnen.
Beim Durcbmustern der Prâparate von der Submaxillar-
driise desselben Thieres fand icb in der Driisensubstanz ganz
entwickelte Lympbfollikel, so wie es Ravitz bei einem Affen
beschrieben hat (Anatom. Anzeig. Jg. 14.).
RÉSUMÉS 117
Neben den kleinen Lymphdrûsen , welche der Sabma-
xillaris anliegen und mit ihr verinittelst Bindegewebes verbun-
den sind, kommen Lymphfollikel im Innern vor, welche ganz
in die Driisensubstanz eingekeilt sitzen und nar eine spârliche
Bindegewebsscheide besitzen, welche eine scharfe Greuze zwi-
schen Driïsenschlàuchen und adenoidem Gewebe bildet. Drii-
senschlâuche weder Ausfiïhrungsgange konnte ich im Innern
der Follikel nachweisen.
16. — Jan Piepes-Pouatynski. 0 poWmeryzacyi p. tolunitrylu. fUebev die
Polymérisation des p. Toliinitrils). Vorgelegt am 5. Mârz 1900.
Der Verfasser erhielt durch Einwirkung von 17 gr. Alu-
miniurachlorid auf ein Gemenge von 30 gr. p. Tolunitril, 16
gr. p. Toluylchlorid und 18 gr. trockenem Chlorammonium
und durch langeres Erhitzen der Mischung im Olbade auf
150°, eine dunkle Masse, welche durch einige Stunden in
kaltem destil. Wasser gehalten und hierauf entsprechend ge-
reinigt und in heissem Benzol gelost wurde. Die Losung
scheidet beim langeren Stehen schone , weisse , starkglanzende
nadelformige Krystalle ab, welche bei der Analyse als poly-
mères p. Tolunitril — p. Kya n toi in (CH3. C6H4.CN)3 erkannt
wurden. Sie schmelzen bei 276 — 277° C, sind im Wasser un-
loslich, losen sich schwer im Alkohol, leicht jedoch in heissem
Benzol. In siedendem Eisessig gelost und durch einige Stun-
den mit Zinkstaub erhitzt, geht p. Kyantolin in p. T o 1 u o 1 i n
C24H22N2 ûber, eine mit dem Lophin analoge Base, die in
kleinen, weissen Nadeln krystallisiert und bei 234— 235° C.
schmilzt. Mit alkoholischer Kalilauge versetzt oxydiert die Base
an der Luft und zeigt eine starke Phosphorescenz. Dièse
Reaction, welche auch dem Lophin eigen ist und welche be-
reits vom Prof. Radziszewski (An. 203, 305. Ber. 15, 1493.
Ber. 16, 597) genau erklârt wurde , geht schon bei gewohn-
licher Temperatur vor sich, wird jedoch durch Erwarmen oder
Schutteln der Lôsung1 bedeutend erleichtert.
I 1 s RÉSUMÉS
Das p. Toluolin, welches aut Grritnd deï Analogie mit
dem Lophin als Tritolylglyoxalin anzusehen ist, ist im
Wasser unlôslieh, lo*t sich jedoch im Alkohol schon bei ge-
wobnlieher TemperatUr Nâliere Untersuchungen haben envie -
sen, dass 100 Tbeile von absol. Alkohol bei 16° C. — 2'82
Tbeile von p. Toluolin, 100 Th. v. abs. Alk. bei 18° C — 2-90
Th. und 100 Th. v. siedendem Alkohol — 9851 Theile der
Base zu losen vermogen.
Von den Salzen des p. Toluolins wurde das salzsaure
Salz und das Platindoppelsalz nâher untersueht und der Ana-
lyse unterzogen.
Der Vergleich des p. K y a n t o 1 i n s mit dem K y a n-
phenin einerseits und anderseits mit dem Kyanbenzy-
1 i il (Wache, J. pr. 39. 256) und den Polymerisationsproducten
der aliphatischen Niirile, iiihrt den Verfasser zum Schlusse.
dass die aromatischen Nitrile, die die Cyangruppe in der Sei-
tenkette besitzen bei der Bildung ihrer trimolecularen Verbin-
dungen den Nitrilen der Fettsâuren analoge Producte liefern,
also— wie E, Meyer (J. pr. 22. 261, 26. 837, 39. 262,) er-
mittelte — als Abkommlinge des Py r imid i ns aulzufassen sind,
wahrend Nitrile , die die Cyangruppe im aromatischen Kerne
enthalten Polymerisationsproducte geben , die mit dem tri-
molecularen Benzonitril in Verbindung stehen.
17. — Paul Johann Mazubek. DziaJanie kwasu azôtowego na feniio-etylamin.
(Uéber <li<> Einwirkung der salpetrigen Sàureauf Phriu/l-
aethylatnin). Vorgelegt am 5. Mârz 1900.
Der Verfasser erwalint der Arbeiten von Linnemann (1872),
Linnemann und Zotta (1872), W. Meyer u. F. Forster (1876),
W. Meyer, F. Forster u. Barbieri (1877), I. Frentzel (1883),
M. Freund u. P. Hermann fl890), die sammtlich sich auf das
Verhalten verschiedener aliphatischen Aminé gegeniiber der-
RÉSUMÉS Ht)
salpetrigen Silure beziehen, and nimrat das Studium der genann-
ten Reaction fiir Phenylâthylamin vor.
Zur Herstellung von Phenylâthylamin bediente sich der
Verfasser des Mendius - Ladenburgschen Verfahrens der Hy-
drogenisicrung. Salzsaurer Phenylâthylamin wurde der Einwir-
kung von Kaliumnitrit in wâsseriger Liisung ausgesetzt. Die
Reaction verlâuft ruhig unter fortwâhrèndèm Ausscheiden von
Stickstoffblasen, welches aufhort sobald die Reaction sich ihrem
Ende naht.
Die Reactionsproducte wurden anfangs mit Wasserdâm-
pfen u. schliesslich bis zum Trocknen , inwiefern es Kalium-
chloridsedimente erlaubten, destilliert, liber gebranntem K2 C03
getrocknet und dann fractioniert.
Es wurden als Hauptprodiicte der Reaction gefunden:
a. Styrol Sp. 134° C; <j.d = 15393 gegen 154344
b. prim. Phenylaethylalkohol Sp. 212° C.
c. sec. Phenylaethylalkohol Sp. 204° C Sowohl prim. als
aueh. sec. Phenylaethylalkohol wurde in Essigsâure- ester behnfs
bçsserer Rectificierung umgerandclt und als solche analysiert.
Die Siedetemperaturen der gen. Essigsâureester 227 - 228° C
resp. 215-217° C wie auch die Analysen ergaben fiir die bei-
den Alkohole ganz stimmende Resultate.
Ausserdem wurde als ganz accesorischer Product Di - phe-
nylaethylamin gefunden. Seine Entstehung lâsst sich dadurch
erklâren, dass ein Theil von Phenylaetyhlamin der Reaction
mit Kaliumnitrit entgieng und spater beirn Destillieren bis zum
Trocknen einer Condensation zum Di-phenylaethylamin erle-
gen ist.
Ans dem Versuche geht hervor, dass Phenylaetylamin
bei Einwirkung von Salpeterigsâure sich folgendermassen ver-
hâlt:
1. Es scheidet sich Stickstoff und Wasser (1 mol) und
es entsteht :
oc. prim. Phenylaethylalkohol
'". sec. Phenylaethylalkohol
jenachdem. ob der N H2 - gruppe naher oder weiter stehender
| 2< > RÉSUMÉS
Kohlenstoffatom in Reaction mit N. N02 tritt; derartiges Ver-
halten illutstriert folgendes Reactionsschema:
CCH5 — CHH — CH, ad 0
HOHNNO H.
Ce H5 — CH„ — CHH2 ad a
H N H
HO N ()
oder aber
2). Es spalten sich Stickstoff und 2 Mol. Wasser and es ent-
steht
y) Styrol, C6N5 — CN = CN2
welcher theilweise als solcher sich in den Reactionsproducten
vorfindet, theilweise sich wieder mit Wasser zum sec. Phe-
nylaethylalkohol bindet.
Daraus folgt ferner dass Phenylaethylamin sich gegen
Salpetrigsaure ganz analog den aliphatischen Aminen verhâlt.
->^Çfr-<-
Nakladem Akademii Umiejetnosci
pod redakcya Sakretarza generaluego Stanislawa Smolki.
Krakow, 1900. — Drukarnia Uniwergytetu Jaçiellonskiego, pod zarzadem J. Filipowsklego
17 Kvvietnia 1900.
BULLETIN INTERNATIONAL
DE L'ACADÉMIE DES SCIENCES
DE CRACOVIE.
No 4. Avril. 1900.
Sommaire: Séances du 2, 9 et 30 avril 1900. — Résumés: 18.
M. Kawczynski. Sur les Métamorphoses d'Apulée ou sur l'Ane d'or. —
19. E. Godlewski. Sur la multiplication des noyaux dans les muscles
striés des vertébrés. — 20. J. Sosnowski. Sur les phénomènes d'électri-
cité observés dans les nerfs des mammifères. — 21. S. Opolski. Contri-
butions à la connaissance des radicaux organiques électronégatifs. —
22. R. Negrusz. Sur les trois isomères phényl-toluênes. — 23. L. Mar-
chlewski et C. A. Schunck. L'obtention de la chlorophylle à l'état pur,
son spectre, ainsi que celui d'un autre principe colorant vert présent
dans les feuilles. — 24. L. Filimowski. Des modifications de Tépithé-
lium du tube digestif des embryons dans la région gastro-duodénale.
Séances
#
Classe de Philologie
Séance du 9 avril 1900
Présidence de M. L. £,uszczkiewicz
Le Secrétaire dépose sur le bureau les dernières publi-
cations de la Classe:
J. Rgstafinski. >Materyaly do historyi jezyka i dyalektologii pol-
skiej* (Matériaux pour servir a l'histoire de la langue et de la dialectologie
polonaise), vol. I.
J. Rostafinski. »Stownik polskich imion rodzajôw oraz wyiszych
skupien roslin* (Dictionnaire des genres des plantes), 8-0, p. IX et 836.
M. Kawczynski. »Apulejusza Metamorfozy czyli powiesd o Zlotym
0sle« (Les ouvrages philosophiques et oratoires d'Apulée de Madaura)1), Mémoi-
res 8-o, vol. 21, p. 164—274.
]) Voir ci-dessous aux Résumés p. 124.
122 SÉANCES
L. Sternbach >Observationes in Georgii Pisidae Carmina historica.
Appendix metrica», Mémoires, 8-0. vol. 30, p. 199—296.
Le Secrétaire rend compte du travail de M. A. Bruckner:
vLa langue des ouvrages de Venceslas Potocki".
(Masse d'Histoire et de Philosophie
Séance du 30 avril 1900
Présidence de M. F. Zoll
Le Secrétaire dépose sur le bureau les dernières publi-
cations de la Classe:
V. Nowodworski. >Lata szkolne Jana Zamojskiego* (Jean Zamojskt
écolier). Mémoires, 8-0, vol. 40, p. 143—173.
C. Potkanski. »Studya nad XIV wiekiem. Daty zjazdôvv koszyckich»
(Études sur le XIV siècle. Nr. VI. Les dates des conventions de Kos~yce , Mé-
moires, 8-0. vol. 40, p. 252—282.
Le Secrétaire présente le travail de M. Potkanski: „Les
limites du diocèse de Cracovieu.
Le Secrétaire rend compte du travail de M. V. Luto-
slawski: vLa genèse de Veuthérismeu .
(Masse des Sciences mathématiques et naturelles
Séance du 5 avril 1900
Classe
Présidence de M. F. Kreutz
Le Secrétaire présente les dernières publications de la
SÉANCES 123
»Rozprawy Akademii Umiejetnosci. Wydzial matematyczno-przy-
rodniczy. Serya II, tom XV, ogôlnego zbioru tom 35«, (Travaux de la
Classe, vol. jjj, 8-o, p. 400, 6 planches et 16 gravures.
»Rozprawy Akademii Umiejetnosci. Wydziat matematyczno-przyro-
dniczy. Serya II, tom XVII, ogôlnego zbioru tom 37«, /Travaux de la
Classe, vol. 37), 8-0, p. 175, 7 planches et 13 gravures.
>MateryaIy antropologiczno-archeologiczne i etnograficzne, tom 1V<,
f Matériaux anthropologiques, archéologiques et ethnographiques1, vol. IV, 8-0,
p. XI, 125 et 285, 4 planches et 28 gravures.
M. N. Cybulski rend compte du travail de M. J. Sosno-
wski : „ Sur les phénomènes d'électricité observés dans les nerfs
des mammifères" 1).
M. B. Radziszewski présente les travaux a) de M. S. Opol-
ski: ^Contributions à la connaissance des radicaux organiques
électronégatifs"2); b) de M. R. Negrusz: „Sur les trois isomères
phényl-toluènes" 3).
M. E. Godlewski rend compte du travail de M. M. L.
Marchlewski et A. Schunck: vL 'obtention de la chlorophylle
à l'état pur, son spectre, ainsi que celui d'un autre principe
■colorant vert présent dans les feuilles" 4).
M. K. Kostanecki présente l'étude de M. L. Filimowski:
nDes modifications de Vépithélium du tube digestif des embry-
ons dans la région gastro-duodénaleu 5).
i) Voir ci-dessous aux Résumés p. 137. — •) ibid. p. 151. — *) ibid. p. 152. —
-*) ibid. p. 155. -=- j) ibid. 150.
Résumés
18.— Max. Kawczynski : Apulejusza Metamorfozy, czyli powiesc o ZJotym Osle.
(Apuleius' Metamorphosen oder die Geschichte vont Gol-
i/enen Esel). Vorgdegt den 11. Dezember 1899.
Der Verfasser betrachtet die Metamorphosen Apuleius' fur
eines der wichtigsten Erzeugnisse der allgemeinen erzahlenden
Literatur und zwar nicht blos wegen des kitnstlerischen Wer-
thes, den er hoch anschlâgt, sondern auch als Sittenbild der
romisch-griechischen VVelt gegen das Ende des zweiten Jahr-
hunderts n. Chr. und auch wegen des spatern Einflusses. Um
dièse Ansichten besser begriinden zu konnen, giebt er zuerst
genau den Inhalt des Werkes an , worauf er zur Bespre-
chung desselben iibergeht. Was die Form anbetrifFt, so ist
Apuleius' Werk das erste in der abendlândischen Literatur er-
haltene Beispiel eines auto-biographischen und zugleich eines
Schubladenronians. Es wird hier unter anderem darauf hinge-
wiesen, das der Schelmen roman, von seiner ersten Erscheinung
mit Lazarillo de Tormes an, bis zu seinem Hohepunkte
mit Gil Blas, ebenfalls die autobiographische und zumeist auch die
Sehubladenform festhalt. Dem Inhalte nach schildert das lateinische
Werk den sittlichen Zustand fast aller Gesellschaftsklassen der
griechi.sch-rotnischen Welt, vom Prâses einer Provinz an, bis zu
den in einer Miihlen- und Beckereianstalt beschâftigten Strat-
lingen. Dieser Zustand ist ein trauriger, trostloser. Die Mân-
ner sind schlecht und dumm, die Weiber znmeist noch schlim-
RÉSUMÉS 125
mer, boshafter, vor keiner Siïnde und keinem Verbrechen zuruck-
scheuend. Unter solchen Misstânden leiden die Guten ammeisten.
Die blinde Fortuna, der Zufall, das Geschick, das Fatum, fiïh-
ren eben gegen sie die hartesten Schlâge und es bleibt ihnen
keine andere, oder keine bessere Rettung, als sich unter den
Schutz der sehenden Fortuna, der Providenz, hier in der Isis ver-
kurpert, zu begeben. Dies ist eben der oberste und wei-
teste Gedanke, der die bunte Mannigfaltigkeit der in dem
Werke erzahlten Begebenheiten zu einer Einheit verbindet. Aus-
ser diesem Hauptgedanken enthâlt das Werk nocb andere Ge-
sichtspunkte, welche den verschiedenen Inhalt der hier ge-
botenen Erzahlungen inotivieren und welche der Verfasser
hervorhebt; aile jedoch unterordnen sich, so gut es geht, jenein
obersten Gedanken, der zugleich den Abschluss des Werkes
bildet.
Es handelt sich jetzt darum, zu ermitteln, was von dem
Werke dem Apuleius als Eigenthum zufâllt. Er selbst hat ja
schonaufeine griechische Quelle hingewiesen und der Lucian-
sche Onos bestâtigt dièse Angabe. Es tritt. die von Photius
gegebene Nachricht von Lucius von Patrae hinzu, dessen Lô-
goi diaphorôi aber untergegangen sind. Der zunâchst einzu-
schlagende Weg fiïhrt also zu einer Vergleichung der beiden
vorhandenen Werke. des Lucianschen Esels mit dem des
Apuleius. Dièse Vergleichung wurde von Goldbacher mit âus-
serster Sorgfalt und grossem Scharfsinn ausgefiihrt. Weii er
aber sehr willklirlich verfahren ist, so sind seine Resultate K.
Biirger unsicher erschienen, was ihn veranlasst hat. eine neue
Vergleichung zu unternehmen. Der Verfasser giebt zu, dass
Biirger der Wahrheit viel nàher gekommen ist, schliesslich
aber dieselbe dennoch verfehlt hat, weil er eines sicheren Kri-
teriums ermangelte. Die eigene Ansicht des Verfassers geht
nahmlich dahin, dass die von Photius gegebene Nachricht in
allen Stiicken sicher und genau ist. Demnach hat Lucius von
Patrae seine Verschiedene Erzahlungen von Verwandlungen in
mehreren Biichern verfasst. Die zwei ersten Biicher entliielten
die Verwandlung in einen Esel. Dièse grade erschien Luciân
126 RÉSUMÉS
am kuriosesten, er erzàhlte sie deslialb in seinen Vortriigen
fast mit denselben Worten nach, verspottete aber zugleieh die
Deisidaimonia des Verfassers. Das Werk war eben damais eine
Novitat und Lucian maehte es deshalb, so zu sagen, zum Ge-
genstand einer Conferenz, die er wahrscheinlich an verschie-
denen Orten wiederholte. Sein Spott wendet sich gewiss auch
gegen den Verfasser, aber nur indirecterweise und durchaus
nicht so, dass er ihn eben sich in einen Esel verwandeln liess,
denn dièse Rolle bat Lucius von Patrae schon selbst auf sich
genommen, was dadurch bestâtigt wird, dass Apuleius sich
dieselbe theilweise auch zugelegt hat. Lucian hat die deisi-
daimonische Thèse des Lucius von Patrae verspottet. Welche
war nun dièse Thèse? Sie lag darin, dass der Mensch trotz aller
Verwandlung immer deu menschlichen Sinn, die menschliche
Seele bewahre. Das heisst mît anderen Worten, dass der Mensch
eine Seele besitzt. Dieser Gedanke wird bei allen Eselsge-
schichten selbst bei Lucian noch festgehalten und er beherr-
schte entsprechend modificiert. wahrscheinlicher Weise aile Ver-
handlungsgeschichten bei Lucius von Patrae. Worin der Luci-
anische Spott besteht, das hat der Verfasser ebenfalls nach-
zuweisen gesucht.
Apuleius nun nahm dieselbe Thèse auf, beschrilnkte sich
ebenfalls blos auf die Eselsgeschichte, welcher Umstand sein
Werk mit der Lucianschen Schrift eng verbindet, erweiterte
aber dièse Geschichte, die bei Lucius von Patrae blos zwei
Bûcher umfasste, bis auf eilf Bûcher. Wenn wir nun iiberlegen,
dass Lucian aus den zwei Biïchern durch Kûreungen eines
gemacht, dass dièses aber verhaltnissmassig sehr umfangreich
ist, so kommen wir zu dem Schlusse, dass die Eselsgeschichte
bei Lucius keine anderen Begebenheiten enthalten konnte. als
die, welche Lucian erziihlt. Photius sagt das auch ausdriicklich.
Aile dièse Begebenheiten beziehen sich auf den Gegensatz
zwischen dem Leben und Leiden als Esel und dem Denken
und Fiihlen als Mensch. Sie bilden eine strenge, wohlverbundene
Einheit. Ailes andere nun ist Apuleius eigener Zusatz und die-
ser besteht in allem, was seine Metamorphosen ausser dem
RÉSUMÉS 127
bei Lucian Erzahlten enthalten. Goldbacher meint zwar, dass
die Reisenden bei Lucian, denen sich Lucius auf dem Weere
nach Hypate anschliesst, nicht hinreichend motiviert siud. Sie
zeigen aber dem Helden Hipparch's, des Gastfreundes, Haus,
und das geniigt ja, zumal es die Einleitung etvvas belebt.
Goldbacher ist derselben Meinung in Bezug auf Abroia: sie
warnt aber Lucius vor Hipparchs Gattin, als einer liisternen
Zauberin. Eine andere hâtte ihm dièse gefâhrlicbe Warnung
nicbt zukommen lassen. Das macbt erst den Lucius neugierig
auf die Zauberkunst, an die er vorber nicht gedacht hat. Und
so in allen anderen Fâllen.
Der Verfasser sucht ausserdera das Datum aller drei
Werke zu bestimraen. Er ist geneigt aile drei als bald nach-
einander entstanden anzusehen. Fur die Zeit des Lucius von
Patrae, resp. von Korinth, findet er einen wichtigen und festen
Anhaltspunkt bei Apuleius selbst, welcher von seinem Helden,
der ja derselbe bei ihm, wie bei Lucian und Lucius ist, aus-
driicklich und sogar zwei Mal sagt, dass er miitterlicherseits
von Plutarch und von Sextus abstamme. Plutarch starb ffe°en
125 n. Chr. Sextus war sein Enkel und als Enkel Plutarchs
sovvohl. wie aueh als Lehrer Mark Aurel's ist er historisch
bestiitigt. Er gab dem Letztern philosophischen Unterricht und
zwar erst nach 161, als sein Schiller schon Kaiser war. Lu-
cius, des Schriftstellers Mutter, stammte nun von diesem Sex-
tus ab, im besten Falle also war sie seine Tochter und Lucius
sein Enkel. Er gehôrt demnach der vierten Génération nach
Plutarch an. Auf eine Génération rechnet man mindestens 30
Jahre, zusammen also 120, die man zum Todesdatum Plutarchs
zuzuzâhlen hat. Man gelangt auf dièse Weise zu 245, als dem
Sterbedatum fur Lucius. Davon haben wir aber ungefâhr die
gleiche Lebensdauer abzuziehen, wie fiir Plutarch, circa 80
Jahre, wass 165, als muthmassliches Geburtsjahr fiir den er-
sten Verfasser unserer Geschichte ergiebt. In dieser Généalo-
gie kann man aber zwei Frauengenerationen annehmen, was
bekantlich die Angelegenheit besehleunigt. Lucius ist zwar
noch ein junger Mann, aber schon gelehrt und Schrift-
1 28 RÉSUMÉS
steller, unmôglich wird er das vor 180 gewesen sein kon-
neu. Der Verfasser llndet aber eine motivierte Veranlas-
sung sein Werk gegen 185 anzusetzen. Bald darauf pa-
rodierte er Lucian, Apuleius dagegen, der sicb auf beide
Vorganger beziebt, brauehte etwas mehr Zeit uni seinen uni
das Fiinffache vergrosserten Roman zu Stande zu bringen.
Dies kann gegen 190 gescbeben sein und gegen 193 ist die
Existenz des Werkes und das durch dasselbe erweckte Inte-
resse schon bestatigt. Es ware moglich, dass die von Apuleius
seinem Lucius gegebene Généalogie wenigstens theilweise er-
dichtet sei, hochst walirscheinlicb sollte sie dem darnals noch
lebenden Verfasser scbmeieheln, keinesfalls aber konnte sie
gegen allgemein bekannte Tluitsachen und Verbâltnisse ver-
stossen und so bebalt sie immerhin ihre chronologiscbe Be-
weiskraft. In einem besonderen Kapitel bespricbt der Verfasser
den Einfluss, den die Gescbicbte vora Esel auf den Volks-
glauben im Mittelalter ausgettbt hat, und in einem anderen,
inwiefern die ganze Gescbicbte, als aucb einige der einge-
legten Erzâblungen , die Literatur im Mittelalter und in der
neueren Zeit beeinflusst haben.
Die umfangreicbe Abbandlung bietet nach vielen Ricktun-
gen neue und, wie der Verfasser meint, gut gesicherte Resultate,
welche sebr gut mit denjenigen zusammenstimmen, die er bei der
Untersucbung der pbilosopbischen Sebriften des Apuleius ge-
wonnen bat. So sttitzen und bekràftigen sicb gegenseitig die
einen und die anderen.
19. — E. Godlewski (jun.) 0 rozmnazaniu jader w miesniach prazkowanych
zwierzat kregowych. ( Ueber die Keivivermehrung in denquer-
gestreiften Muskelfasern der Wirbelthiere). (Vorl. Mitthei-
lung). V'orgelegt am 5. Miirz 1900.
In der Absicbt die Kernvermebrung in den quergertrei-
ften Muskelfasern der Wirbelthiere wiibrend der ontogeneti-
schen, sowie postembryonalen Entwickelung kennen zu lernen,
V;
A
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Fie. 1.
Fig. 4.
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:
Fig. 7.
Fig. 8.
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Fig. 5.
Fia:. 6.
JT'd
4
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/^
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4^
Fig. 10.
Fie. 12
RÉSUMÉS 1 29
hat cler Verfasser bisher die quergestreiften Muskelfasern von
âlteren Embryonen und neugeborenen Meerschweinchen und
Maiisen, sowie die Muskelfasern der Salamanderîarven als Un-
tersuchungsobject gewâhlt. Der Verfasser hat dabei folgende
Untersuchungsmethode angewandt. Von den der Gebârmutter
entnommenen Embryonen oder narkotisierten neugeborenen In-
dividuen wurden die Extrâmitaten in toto in Fixierungsfltissigkeit
(Perennyisches Gemisch. oder concentrierte Sublimatlôsung mit
Zusatz von2°0 Eisessig)gebracht. Wiihrend die Stûcke durch Al-
kohole von allmahlich ansteigender Concentration durchgefiihrt
wurden, wurden erst kleine Stiicke von Muskeln von den Kno-
chen abgetrennt; auf dièse Weise vermeidet man einen stârkeren
Grad von Contraction der Muskelfasern. Die in Paraffin ein-
gebetteten Praparate wurden in lânglicher querer und schra-
ger Richtung gescbnitten (5 u. Schnittdicke). Zur Fârbung
diente dem Verfasser theilweise Thionin, hauptsâchtlich jedoch
das M. Heidenhainsche Eisenbâmatoxylin- Verfahren mit Nach-
fârbung mittelst Bordeaux R oder Eosin , welches die schon-
sten Bilder lieferte.
Die ruhenden Kerne der Muskelzellen der Embryonen,
Larven und neugeborenen Thiere konnen ibrer Lage nacb, in
innen und randstândige Kerne getheilt werden. Sie liegen ver-
einzelt oder in Reihen. Das Chromatin der Kerne ist in einer
dtinnen Schicbte an der Kernperipherie ausgebreitet und im
Inneren desselben sind kleine Chromatinbrocken zerstreut. Auf
gtinstigen Durcbschnitten ist auch ein Kernkorpercben wahr-
nebmbar, welches in den vorliegenden Pràparaten exquisit roth
tingiert erscheint, so dass ein schoner Kontrast zwischen bril-
lant rothen Nucleolen und den blau gefarbten Chromatinbro-
cken zu sehen ist. In den Kernkorpercben sind oft kleine
runde Vacuolen zu bemerken (Fig. 1.). Sie liegen randstandig
im Kernkorperchen, aber manchmal sind sie auch im Centrum
des Nucleolus zu treffen.
Die Kerne zeichnen sich durch grosse Elasticitât aus,
was in Anbetracht der Katur des Muskelgewebes von vornehin
zu erwarten war; der beste Beweis hierfiir. wird durch Prâ-
130 RESUMES
parate geliefert, welche von Muskeln angetertigt wurden, die ]
vom Knocben vor der Fixierung abgetrennt wurden und des- \
halb sich in hohem Grade contrahiert haben. Zufolge der Con- I
traction nebnien die langlich ovalen Kerne eine runde oder
platte. d. h. in querer Richtung ovale Fornien an. Auch sieht man i
ôfters gegenseitige Eindriicke von nebeneinander liegenden
Kernen, wie dies z. B. in der. Fig. 11. ersicbtlicb ist.
Die Kernvermehrung in den quergestreiften Muskelfasern
erfolgt nach Verfassers Untersuchungen durch karyokinetische
und amitotische resp. fragmentative Processe. Wâhrend der
Verfasser sich die ausfiïhrliche Besprechung der Literatur tiir
die spatere ausfiïhrliche Arbeit vorbehâlt, môchte er hervorhe-
ben, dass ùber die Mitose und ihren Verlaut in den querge-
streiften Muskelfasern wenig bekannt ist.
Nicolaides1) behauptet: „ira ganz jugendlichen Alter
wachst die Muskellaser der Breite nach viel mehr als spâter.
Sehr intéressant ist nur, dass ich gerade in dieser Zeit die mei-
sten karvokinetischen Figuren finde". von Kolliker2) bat
in seinem Lebrbuch der Gewebelehre einige mitotische Figu-
ren in quergestreiften Muskelfasern von Siredonlarven abge-
bildet. M or pur go3) ist der Meinung: .,die Xeubildung der-
selben (der Fasern der Skeletmuskel) ist von einem mitotischen
Kerntheilungsprocesse an noch wenig differenzierten Elemen-
ten eingeleitet". Fast derselben Meinung sind Galeotti und
Levi4), welche die Regenerationsprocesse des quergestreiften'
Grewebes untersuchten. Sie aiissern sich folgendermassen :
„Wenn dann die jungen Muskelfasern die Querstreifung an-'
^Nicolaides R. Ueber die karvokinetischen Erscheinungen der Mu-
skelkorper wâhrend des Wachsthums der quergestreiften Muskeln. Arch. f.
Anat. und Physiol. 1883.
2) A. von Kolliker; Handbuch der Gewebelehre des Menschen ,
Leipzig. 1889.
s) Morpurgo: Ueber die postembryonale Entwickelung der quergestrei-
ften Muskeln von weissen Ratten. Anat. Anz. Bd. L5.
4) Galeotti G. und Levi <; : Beitrag zur Kenntniss de- Regene
ration der quergestreiften Muskelfasern. Beitr. zur pathol. Anat. B. 14.
RÉSUMÉS 131
genommen baben, haben wir keine Erscbeinur.gen von Mitose
mehr wahrnehmen konnen^.
Die embryonalen Muskelfasern, welche der Untersucbung
des Verfassers zu Grunde lagen, waren schon ausgesprochen
difFerenziert und die Querstreifung auf s Deutlichste sichtbar. In
diesen Muskelfasern sind die einzelnen Phasen des karyokineti-
schen Precesses sehr oft zu sehen. Der Verfasser hat aile Stadien der
Mitose sowohl in den innenstiindigen. wie auch in den bereits rand-
standigen Kernen beobachtet. Wenn sich der rubende Kern der Mu-
skelzelle zur Theilung anscbickt, kann man zuerst die Zunabme
an Grosse . sodann die Verdeutlichung des cbromatiscben Geriï-
stes (Fig. 2) und das Verscbwinden der Xucleolen feststellen.
In der nachsten Umgebung des Kernes treten auch im Pro-
toplasraa Struckturverânderungen ein. Die dera Kern nàcbst
gelegenen Fibrillen der Muskelfaser geben ein wenig auseinan-
der. unmitu-lbar uni den Kern berum sammelt sicb ein. durch
sein helleres Ausseben sicb auszeicbnendes, fliissiges Plasma
an, so dass der Kern gewissermassen in eine hellere Vacuole
zu liegen kommt. Wenn an den randstândigen Kernen der
mitotiscbe Process beginnt, heben sicb dieselben sammt déni
sie umgebenden protoplasmatiscben Saume von der Oberfiacbe
der Muskelfaser ab (Fig. 4.). Der Verfasser bat sein besonde-
res Augenmerk auf die Centrosomen gericbtet, da er in bisbe-
riger Literatur keine Erwabnung der Centrosomen im ditïe-
renzierten quergestreiften Muskelgewebe gefunden bat.
Im Knaiielstadium (Fig 2.) bat der Verfasser an der Seite
des Kernes in etwas scbiefer Stellung den Centralkorper sehen
konnen. Ganz typische Merkmale weist die mitotiscbe Figur
im Muttersternstadium auf (Fig. 3 und 4). Zu beiden Seiten der
zur Aequatorialplatte angeordneten Chromosomen, siebt man
zwei deutliche Kegel acbromatiscber Faden. An beiden Polen
der mitotischen Figur kommen bei Heidenbainscber Fàrbung
deutlicbe. runde, scbwarze Centralkorper zura Vorscbein und
von ibnen geht sogar eine typiscbe Polstrahlung nacb allen
Seiten aus.
132 RÉSUMÉS
Aufs Deutlichste sind die Centrosomen auch im Diaster-
stadium zu sehen. Die Chromatinmassen und die Centralspindel
sammt ihren Centrosomen liegen wâhrend des Diasterstadium's
anfangs in einer Achse; es treten aber bald Verânderungen
ein, welche M. H e i d e n h a i n als Telopbasen bezeichnet bat.
Der aequatoriale Tbeil der Centralspindel zeigt zunachst die
ebarakteristiscben Differenzierungen. Die Centralspindelfasern
werden mit ihren aequatorialen Anschwellungen dîcht zusam-
mengedrangt, so dass im Inneren der Muskelfaser ein typiscber,
sich intensiv farbender Zwischenkorper zu Stande kommt. Den
Bildungsprocess des Zwischenkorpers stellt die Figur 7 u. 8
vor. Die Lage der chromatischen Massen im Verhaltnis zur
Centralspindel bat .sicb verândert. So sehen wir in der Abbil-
dung 8. die mitotiscbe Figur im spaten Diasterstadium, \vo die
Centralspindel eine winklige Kniekung erfahren hat. Einen
abnlicben Fall von Zwischenkorperbildung ohne gleicbzeitige
Tbeilung des Zellleibes bat der Verfasser *) bereits bei ande-
rer Gelegenheit, nâbmlicb in den vielkernigen Spermatocyten bei
Hélix pomatia beschneben und abgebildet. Diesbeweist von neu-
era, dass die Zusammenraffung der Centralspindel und die Ausbil-
dung des Zwischenkorpers von der Einstiilpung der peripheriscben
Grenzschichte vollig unabhângig ist2j. Im Diasterstadium ist in
der Einsenkung der dichten chromatischen Figur uoch ein
Ueberrest des achromatiscben Kegels und das Centrosoma zu
finden.
Endlicb bildet sicb um die ganze cbromatische Masse be-
rum eine Kernmembran und so entstehen zwei Tochterkerne.
In dem Stadium nocb, als sicb uni die cbromatische Sub-
stanz herum sehon eine Kernmembran aus^ebildet bat. ist zwi-
J) Godlewski E. jun. Wielokrotna karyokineza \v gruczole oboj-
naczym slimaka Hélix pomatia. Rozpr. Ak. Im. w Krakowie. T. XXXIII. Dassel-
be deutsch : Ùber mehrfache bipolare Mitose bei der Spermatogenese von
Hélix pomatia. Auz. der Akad. d. Wissenscb. iu Krakau 1897.
Vergl. von Kostanecki: Ueber die Bedeutung der Polstrahlung
und ihr Verliiiltniss zur Theilung des Zellleibes. Arcb. f. mikr. Anat. B. 49.
RÉSUMÉS 133
schen den beiden Kernen ein Ueberrest des beschriebenen
Zwischenkorpers sammt Spuren der Centralspindelreste (Fig. 9.)
sichtbar.
Wâhrend des Verlaufes des karyokinetischen Processes
gewinnt das die mitotische Figur umgebende Protoplasma ein
kurniges Aussehen. Die Kornchen, die sich sehr intensiv mittelst
Eisenhâmatoxylin-Verfahren lârben treten im Protoplasma schon
im Monasterstadium hervor, im Diasterstadium und den nach-
folgenden Anaphasenstadien nimmt die Zahl dieser Kornchen
an Menge zu, so dass die mitotische Figur von grobkorniger
Protoplasmamasse umgeben ist.
Der Verfasser môchte noch hervorheben. dass Hoyer1) in
letzter Zeit die karyokinetische Zelltheilung und das Vorhan-
densein von Centrosomen im Myokard von Kâlbern festge-
stellt hat. Seine Resultate stehen mit denen des Verfassers im
Einklang.
Neben der karyokinetischen Kerntheilung kommt wâhrend
der histogenetischen Entwickelung des quergestreiften Muskel-
gewebes, auch amitotische resp. fragmentative Kernwucherungs-
form vor. In den fruheren Entwickelungsstadien sind ûber-
wiegend die karyokinetischen, in den spâteren die fragmenta-
tiven Formen zu treffen. Zwischen diesen beiden Zeitperioden
lâsst sich aber keine scharfe Grenze ziehen. Der Verfasser
hat bei der Untersuchung der Skeletmuskel altérer Embryo-
nen in einem und demselben Muskel in der Zeit der regen,
energischen Kernwucherung beide Formen gleichzeitig ge-
trofïen. Wann die mitotische Kernwucherung auihort und die
amitotische allein obwaltet, kann der Verfasser vorlaûfig noch
nicht entscheiden.
Die Amitose wurde bei der Kernwucherung wâhrend der
Régénérât ions processe in den quergestreiften Muskelfa-
J) Hoyer: Ueber die Structur und Kerntheilung der Herzmuskel-
zellen. Bulletin Internationale de l'Académie des Sciences de Cracovie 1899.
November.
1 34 RÉSUMÉS
sern von Galeotti und Levi^u. a. beobachtet uud abgebil-
det. Dass sie] auch bei Embryonen und Neugeborenen vorkommen
muss. — wurde in letzter Zeit von Morpurgo2) vermutbet. Er
gibt aber hinzu: ..Leider habe ich trotz eifrigen Suchens bis jetzt
keine sicheren mikroskopischen Biider von Phasen der Amitose an
den Muskelkernen entdeckenkbnnen". Dièse bisjetzt bypotbetische
Behauptung Morpurgo's, dass die Kernwucherung „sicher durch
Amitose erfolgen muss" — glaubt der Verfasser auf Grund
seiner Prâparate beweisen zu konnen. Er glaubt in seinen
Praparaten aile Pbasen und Formen der Amitose bei der Kern-
wucberung im ausgesprochen differenziertem, quergestreiften Mu-
skelgewebe gefunden zu baben. Die Kernvermehrung erfolgt
in der Regel in der Richtung der Làngsachse der Zelle. so dass
bei eintretender Amitose die iïberwiêgende Zabi der Kerne sich
senkreebt zur Làngsachse tbeilt.
Die ersten Kennzeicben, dass sich der Kern zur amito-
tisehen Kerntbeilung anschickt, lassen sich an den Kernkor-
perchen wahrnehmen 3). Im ruhenden Kerne siebt man ein oder
zwei Kernkorperchen ; vor dem Beginn der Fragmentation
vergrôssert sich die Zabi der Nucleolen. Dies kommt auf fol-
gende Weise zu Stande: Der gewôhnlich runde Nucleolus ver-
grossert sich betrachtlicb und wàchst in die Lange , so dass
er eine ovale langsgestreckte Form annimmt, sodann verdunnt
er sich in der Mitte, wird gewissermassen hanteliormig (Fig.
tO), bis eine vollige Durchschnurung seine Theilung in zwei
Nucleolen herbeifiihrt. Die neuentstandenen Tocbternucleolen
riicken jetzt auseinander, bisweilen konnen sie einige Zeitlang
durch eine schmale Verbindungsbrucke im Zusammenhang blei-
ben. Die Theilung der Kernkorperchen kann sich einige Maie
nacheinander wiederholen.
x) Galeotti und Levi 1. c.
2) Morpurgo: Ueber die Verhaltnisse der Kernwucherung zum Lan- i
genwachstum der quergestreiften Muskelfasern der weissen Ratten. An. Anz
Bd. 16.
3) Verg. Siedlecki: Etude cytologique et cycle évolutif de la CoC'
«idie de la Seiche- Annal, de l'Institut Pasteur:
RÉSUMÉS 135
Gleichzeitig mit der Nucleolenvermehrung treten auch
Verânderungen in der Vertheilung der chromatischen Substanz
ein. Dieselbe sammelt sich jetzt in grobere Chromatinklumpen
und Brocken von unregelmâssiger Gestalt. welche sich gleich-
mâssig im Kern vertheilen. Die eigentliche Theilung des Kernes
kann auf zweifache Weise zustande kommen :
1. Zwischen den einzelnen Kernpartien langsgestreckter
Kerne. in denen die neuentstandenen Kernkorperchen in ge-
wissen Abstânden vertheilt und von dem Chromatinnetze um-
geben liegen, bilden sich diinne platte Seheidewânde, welche
senkrecht oder manchmal schrâg zur Lângsachse der Muskel-
faser sich stellen. Die chromatische Substanz vertheilt sich
mehr weniger gleichmâssig auf die zukiinftigen Kerne. Durch
die Zahl der ausgebildeten Seheidewânde wird die Zahl der
Tochterkerne bestimmt, in welche der Mutterkern zerfallt. Man
siekt den lângsgestreckten Kern oft nur durch eine Scheide-
wand in zwei, bisweilen aber durch mehrere Seheidewânde
in sechs oder noch mehr Tochterkerne zerfallen.
2. In dem betrâchtlich verlângerten Muskelkern vermeh-
ren sich die Kernkorperchen, die chromatische Substanz ver-
theilt sich in Klumpchen angeordnet fast gleichmâssig auf die
einzelnen Nucleolenfelder. Sodann werden in gewissen oft nicht
ganz regelmassigen Zwischenraiimen Einsttilpungen von der
Kernperipherie her wahrnehmbar (Fig. il). Sie vertiefen sich
mehr und mehr und fiihren erst die Theilung des Mutterkerns
in zwei oder mehrere Tochterkerne herbei. In jedem befindet
sich ein, seltener zwei Nucleolen. Die Tochterkerne weichen
darnach auseinander, bleiben aber bisweilen durch eine Sub-
stanzbriicke in Verbindung, welche sich beim weiteren Aus-
einanderweichen der Tochterkerne in die Lange auszieht (Fig.
12). Wenn bisweilen mehrere hintereinander gelegene Kerne
vermittelst solcher Briicken zusammenhangen, gewinnen die
Kerne ein rosenkranzartiges Aussehen. Dièse zwei Formen der
Fragmentation konnen nebeneinander, ja sogar in einem und
demselben Kern vorkommen. In der beschriebenen Quer- und
Sehrâgspaltung der Kerne findet die reihen- resp. kettenfdrmi-
136 RÉSUMÉS
ge Anordnung der Kerne in den quergestreiften Muskellasern,
auf welche schon Weissraan hingewiesen hat, ihre Erklâ-
rung. Xeben dieser Kernschniirung durch quer verlaufende
Scheidewànde, kommt manchmal auch eine Lângsspaltung, d.
h. die Ausbildung einer Scheidewand, welche zu der Achse der
Muskelfaser parallel verlaiift, zu Stande, so z. B. in einera
der Kerne in der Figur 11. Wir sehen hier an der hinteren
Seite des Kernes sich einen schmalen Einschnitt ausbilden, der
in der Lângsachse des Kërnes fortschreitet.
Erkliirung (1er Abbildungen.
Sâmmtliche Abbildungen wurden vom Herrn Dr. Johann Bar a es
vermittelst des Abbeschen Zeichenapparates mit Zeiss Comp. Ocul . Nr. i
und Apochr. Immers. 2 mm, Apeit. l-30 entworfen.
Fig. 1. Muskel der Salamanderlarve ; Perennyisch. Fliïssig. Eisenhii-
mat.-'Verf. mit Bordeaux. Schrâger Durchschnitt.
Fig. 2. Meerschweinchenembryo. Dieselbe Méthode. Muskelkern im
Knaiielatadium, nach oben von ihm ein Centrosoma.
Fig. 3. Dasselbe Material und Méthode. Muttersternstadium im in-
nenstândigen Kern.
Fig. 4. Dasselbe Stadium im randstandigen Kern. Die Polstrahlung
sehr deutlich.
Fig. 5. Diasterstadium im randstandigen Kern.
Fig. 6' Spates Diasterstadium mit gebogen verlaufender Central-
spindel.
Fig. 7 und S. Zwei „Telophasenu deutlicher Zwischenkorper mit
Kesten der umgebogenen Centralspindel.
Fig. 9. Neuausgebildete Tochterkerne mit einem Ueberrest des Zwi
schenkerpers.
Fig. 10. Muskel der Salamanderlarve; im Kern ist der sich durch-
schnurende Nucleolus sichtbar
Fig. 11. Dasselbe Material. Die amitotisehe Theilung des Mutter-
kernes in sieben Tochterkerne- An einem der Kerne ist der Liingsspaltungs
process sichtbar.
Fig. 14. Muskel der Salamanderlarve. Die Tochterkerne mit einan
der mittelst einer Kernbriicke im Zusammenhang.
RÉSUMÉS 137
20. — Jan Sosnowski. 0 zjawiskaéh eiektrycznych w nerwach zwierzat
ssacych. (Ueber die elektrischen Erscheinungen in den
Saugetiemewen). Vorgelegt den 2 April 1900.
Es ist eine der wichtigsten Aufgaben der Elektrophysio-
logie dièse elektrischen Erscheinungen — falls solche wirklich
existieren, — die mit der Entstehung und Leitung der Erre-
gung im Nerven im innigen Zusamnienhange stehen, von de-
nen exact zu unterscheiden, die von anderen Eigenschaften
der Nerven, theils physiologischer theils physikalischer Natur ab-
hângig sind. Dazu muss man einerseits bei der N'M-venfor-
scliung moglichst exacte Methoden anwenden und zweitens die
ganze Mannigfaltigkeit der elektrischen Erscheinungen ken-
nen lernen, die bei den Vertretern verschiedener Thierabtheilun-
gen uns entgegentritt. Wâre es zum Beispiel richtig was Wal-
ler in seiner „Thierischen Elektricitat" l) behauptet, dass namlich
den Sâugethiernerven die negatiwe Schwankung fehlt, so miisste
man auch unsere Anschauungen liber den Zusammenhang
zwischen dem Erregungsprocess und der negativen Schwan-
kung grundlich verândern.
In der vorliegeuden Arbeit berichtet der Verfasser iiber
die Resultate seiner Untersuchungen an den Sâugethiernerven
und zwar hauptsachlich am Kaninchenischiadicus.
In der Literatur findet man iiber diesen Gegenstand
bloss einige kurze Bemerkungen : So macht Hermann 2) darauf
aufmerksam, dass in den Kaninchennerven die elektrotonischen
Strome viel stârker sind als ira Froschischiadicus. Derselbe
Autor 3) behauptet, dass er „die galvanischen Erregungserschei-
nungen" langere Zeit beobachtete nachdem der Nerv und der
Muskel seine Erregbarkeit eingebûsst hatten.
') Waller. Thieiische Elektrizitiit. Leipzig 1899.
2) Pfliiger's Arch. Bd. 18. Seite 574.
!) Hermann's Handbuch der Physiologie Bd. II. Theil 1.
Bulletin IV.
138 rési
Erst im Jahre 1880 erscheinf eine grossere Abhandlung
von Frédéricq x) ûber die elektrischen Eigenschaften der Saû-
gethiernerven. Den Werth der elektromotorischen Kraft hat er
auf ca 0.02 D. bestimmt. Die négative Schwankung bei der
Reizung mit der Inductionsspirale betrug ca 10 — 12 Theilstri-
che der Scala vvâhrend der Ruhestrom eine Ablenkung im
Gralvanometer von ca 200 Tlieilstrichen hervorrief. Die néga-
tive Schwankung hat er noch nach ô — 10 und auch 24 Stun-
den gesehen. Allerdings hat er die négative Schwankung bloss
bei der elektrischen Reizung beobachtet, und aile Versuche uni
dièse Erscheinung auch bei der chemischen, mechanischen
u. s. w. Reizung zu bekommen blieben vollstiindig erfolglos.
Dann behauptet Waller2) wie ich schon frtiher erwâhnte,
dass deun Saûgethiernerven (der Katze) die négative Schwan-
kung fehlt. Er theilt auch mit, dass der anelektrotonische und
der katelektrotonische Strom bei den Saûgethiernerven vollstân-
dig gleich sind, wâhrend beim Frosch. wie bekannt. der ane-
lektrotonische Strom immer iiberwiegt. Doch schon im nachsten
Jahre hat Boruttau 3) berichtet, das er bei den Kaninchenner-
ven die négative Schwankung sowie das Ueberwiegen des
Anelektrotonus gesehen hat.
Eigenc Untersachungen des Verfassers. Elektromotorisdie Kraft.
Die elektromotorische Kraft wurde nach dem Poggen-
dorf-Du Bois Reymondschen Verfahren gemessen. Der Strom
von einem Daniellschen Elemente wurde durch einen kleinen
Widerstandskasten . Siemens- Halskeschen Galvanometcr und
Rheochord geleitçt. Die Stromintensitat in diesem Kreise wurde
constant gehalten und betrug in allen Versuchen 0,025 A.
Der Widerstand des Rheochorddrahtes war gleich 0,00845 Ci fur
1 ctm. Die Lange des Rheochorddrahtes war gleich 114 ctm.
l). Arcb. fur Physiol. 1880. Seite 65.
Waller a. a. O.
3) Centralblatt f. Physiol. Bd. XII. S. 317.
RÉSUMÉS
139
Voni Rheochord wurde mittelst eines verschiebbaren Contactes
ein Theil des Stromes abgezweigt und zur Compensation des Ner-
venstromes beniitzt. Aus den obigen Daten und der Entfer-
nung zwischen den Punkten des Rheochords, von denen bei
der vollstândigen Compensation der Strom abgezweigt wurde,
konnte man die elektromotorische Kraft des Nervenstromes
berechnen. Bei dieser Versuchsanordnung konnte man die elek-
tromotorische Kraft von 0,U001 Volt genau bestimmen. Die
Werthe, die der Verfasser fiir die elektromotorische Kraft
bekommen hat. sind viel kleiner als die Frédéricqschen, Sie
stirnmen aber gut mit denen iïberein die Engelmann1) mit
Hilfe des Quadrant- elektrometers gefanden hat was die fol-
ofende Tafel erlâutern kann.
Enfernung zwi-
schen den ablei-
tenden Elektro-
den
Elektromot.
Kraft in Volt.
Elektrom. Kraft
in Volt.
Elektromot.
Kraft in Volt.
1 Versuch
2 Versuch
3 Versuch
8 mm.
0.009
0,010
0.009
16 mm.
0,011
0,016
U.012
26 mm.
0,013
0.015
0.014
32 mm.
0,011
0,012
0.012
4' t mm.
0.003
0,008
0,006
Maximum der elektromotorischen Kraft ans zahlreichen Ver-
suchen 0,014 Volt.
Wie schon Du Bois Reymond 2) beraerkt hat und Prof.
Cybulski, fiir die Froschnerven nàher untersuchte findet man
■die elektromotorische Kraft desto hoher, je mehr man sich
mit dem kunstlichen Querschnitt dem centralen Ende des Ker-
') Pfluger's Arch. Bd. I.
2) Citiert nach Frédéricq a. a. O.
140 RÉSUMES
ven nâhert. Der Verfasser hat seine Messungen an den in (1er
Nahe vom Becken durchgeschnittenen Nerven bei Zimmer-
temperatur ca 18° ausgeftihrt.
Die Elektrotonischen Strome.
Die elektrotonischen Strome der Saugethiernerven sind
noch nieht naher untersucht worden, Man tfndet bloss einige
Bemerkungen dariiber in den erwahnten Abhandlungen von
Hermann. Boruttan, Frédéricq und Waller.
Der Verfasser hat seine Versuche folgendermassen an-
gestellt: der frisch ausgeschnitene Kaninehen-Ischiadicus, der
deutlich die négative Schwankung (siehe unten) gab und die
Muskeizuckungen ausloste, wurde auf vier umpolarisierbare
(Zink-Zinksulfat-Papiermasse) Elektroden gelegt, so dass er
aile vier mit seinen Langsschnitten beriihrte. Uni die elektro-
tonischen Erscheinungen hervorzurufen liât der Verfasser den
Strom von zwei Daniellschen Elementen durch einen Stopsel-
rheostat geleitet, dessen Wiederstand gleich 4110 il. war; ein
Theil des Stromes wurde abgezweigt und durch eine Wippe,
Schlussel und zwei Elektroden dem Nerven zugefiihrt. Durch
Einsehaltung versehiedener Wiederstande parallel mit dem Nerven
konnte man die Stârke des abgezweigten Stromes leicht vari-
iren. Das zweite Elektrodenpaar wurde mit dem Galvanome-
ter in Verbindung gebracht, dessen Empfindlichkeit gemessen
wurde; eine Ablenkung von 1 Theilstrich der Scala entspracb
3.10"1 A.
In den eigenen Versuchen hat der Verfasser, bei An-
wendung der constanten polarisierenden Strome, immer den
anelektrotonischen Strom stiirker gefunden, als den katelektro-
tonischen. Die elektrotonischen Strome sind beim Kaninchen
viel stârker als beim Frosch, wie es bereits schon Hermann1)
geselien hat, Inwiefern aber dièse Eigenschaft mit dem bessern
Leitungsvermôgen der dicken Kaninchennerven oder mit ihrer
*) Hermann a. a. 0.
RESUMES
141
chemisch-physikalischer oder auch physiologischer Natur zu-
sammenhângt, lâsst der Verfasser unentsckieden.
Die beiliegende Tafel mag das Gesagte erlaiitern.
T af elerklâr un g: a und b kezeichnet die Elektroden
die mit dem Galvanorneter verbunden werden, c und d die
Stromzufùhrenden Elektroden. Die Entfernung zwischen a und
h war immer gleick 8 mm.
Versùcta.
Dicker Kaninclieniscbiadicus. der nocb die négative
Schwankung zeigt und Muskelzuckungen auslost. Versuchsan-
ordnung wie oben besckrieben. Langs-langsschnittableitung.
Entfernung
zwischen
b und c
Entfernung
zwischen
c-d
Parallel mit dem
Nerven einge-
s^halteter
Widerstand
Anelektroto- Katelektioto-
nischer Strom nischer stroni
16 mm.
8 mm.
200 9.
4- 9
— 8
r>
„
500 il
- Î9
— 14
n
r
1000 Q
+ 40
— 35
n
r
2U00 il ■
+ 86
— 80
n
r
3000 il
+ 135
— 115
8 mm.
8 mm.
200 il
+ 13
— 11
n
V
500 il
+ 35
- 28
r>
n
1000 L»
+ 81
— 69
•n
n
2000 il
-146
— 130
n
n
3000 «>
-195
-180
Versuoh.
Versuchsanordnung wie oben mit dem einzigen Unter-
soliied. dass die elektromotoriscbe Kraft der elektrotonischen
Si ruine nacb dem Compensationsverlahren gemessen wurde
142
RESUMES
Entfernung Entfernung
zwischen zwischen
b und c c und d
Parallel mit Ner-
ven eingeschal-
teter Wider-
stand
Die elekt.
Kraft des ane-
lek. Stromes
Die elekt.
Kraft des kat-
elek. Stromes
16 mm.
n
10 mm.
n
2000 il
0,0029 V.
0,0028
0,0025 V.
0, 0025
genau wie oben.
Versuch.
Entfernung
zwischen
b und c
Entfernung
zwischen
c und d
Parallel mit Ner-
ven eingeschal-
teter Wider-
stand
Die elektr.
Kraft des ane-
lek. Stromes
Die elektr.
Kraft des kat-
elek. Stromes
16 mm.
9 mm.
2000 t>
0,0029 V
0,0024 V
n
n
n
0,0028
0, 0024
n
!'
3000 il
0, 0042
0, 0038
»
n
n
0,0041
1 1.0037
Jetzt muss man zur Erorterung cler Frage iibergeben,
unter vvelchen Bedingungen die elektrotoniscben Pbiinomene
in den Nerven verschwinden. Man findet gewohnlicb die An
gabe. dass die elektrotoniscben Strome den todten Nerven
fehlen, als Beispiél werde ich bloss den Passus citieren auf der
Seite 388 der neuesten Aufgabe des bekannten Hermnnnscben
Lehrbucbes, wo es ganz entscbieden gesagt wird: „sie feblen
an abgestorbenen Nerven".
Eine solebe Fragestellung scheint jedoeh dem Verfasser
reclit gewagt zu sein, wenigstens sieht er dièse Annahme als
unbeweisbar an. Man weiss bis jetzt doch nicht, wann der
Nerv eigentlicb stirbt, das beist, wann aile physiologiscben Pro-
eesse, in ihm erloseben. Wir konnen uns von dem Leben des
Nerven nur durcb seine Fahigkeit iiberzeugen Muskelzuekungen
RESUMES
143
auszulosen; dass entgegengesetzte kann jedoch nicht behaup-
fet werden d. h. nicht jeder Nerv ist todt, der auf den Mus-
kel nicht mehr wirkt. In der Aethernarkose ist der Nerv
unerregbar, er lebt aber noch und kann seine Erregbarkeit
wieder gewinnen. An solchen narkotisireten Nerven sind die
elektrotonischen Erscheinungen noch sichtbar, wie der folgende
Beispiel zeigen kann.
Versuch.
Der frische lebendige Kaninchenischiadicus.
Versuchsanordnung wie oben.
Entfernung
zwischen
b und c
Entfernung
zwischen
c und d
Parallel einge-
schalteter Wider-
stand
Der anelek-
trotonische
Strom
Der katelek-
trotonische
Strom
16 mm.
8 mm.
2000 a
^-89
-83
n
»
„
4-88
—84
n
n
n
+ 89
-84
Nach dar Aethereinwirkung gab derselbe Nerv unter
denselben Bedingungen fiir den anelektrotonischen Strom eine
Ablenkung von
Anelekt.Strom
Katelek. Strom
4- 75
+ 76
+ 76
— 73
— 73
— 72
Hier sehen wir also die elektrotonischen, allerdings et-
was abgeschwachten Strome an einem narkotisierten, unerreg
barenaber noch lebcnden Nerven. (Dieser Nerv hatte nach
144
RESUMES
einiger Zeit seine Erregbarkeit d. h. Fâhigkeit Muskelzuckun-
gen auszulosen wieder gewonnen .
Niraint nian jetzt einen mit Chloroform narkotisierten
Nerven, so kann man aueh an ihra die elektrotonischen Strôme
beobachten, obgleich sie viel schw&cher sind, wie aus dem fol-
genden Versuche ersichtlich ist.
Entfernung
zwischen
b und c
Entfernung
zwischen
c und d
Eingeschal té-
ter Wider-
stand
Der anelektr: Der katelektr.
Strom Strom
16
r
8
••
2000 Q
3000 Q
-90
88
- 89
-86
—87
-85
Die elektrom. Die elektrom.
Kraft des ane Kraft des kat-
lektr. Stromes elek. Stromes
0..0048 V.
0,0044 V.
Nach der Chloroformwirkung bekommt man unter genau
denselben Bedintrunuen.
Die elektr. Kraft Die elektr Kraft
des anel Stromes des katel. Stromes
Der anelektr.
Strom
Der katelektr.
Strom
0,0010 0,0006 V.
+ 14-
+ 13
— 10
- 10
Bei der Chloroformnarkose kann man doch nicht sagen
ob wir mit einem todten oder noch lebendigen Nerven zu
thun babcn : er ï^t nicht mehr erregbar und gewinnt -
RÉSUMÉS 145
Erregbarkeit nie wieder. Es ist also viel wahrscheinlicher. dass
er todt ist — besonders bei der lângeren Chloroformwirkung —
und trotzdem zeigt er die elektrotonischen Strôme. Ebenso hat
der Verfasser die elektrotonischen Strome an den seit 2 — o
Tagen ausgeschnittenen und in der feuehten Kamraer aufbe-
wahrten Kaninchenischiadici beobachtet. Wenn aber viele
Forscber behaupten. das sie an den abgestorbenen Nerven keine
elektrotonischen Strome wahrgenommen haben. so kann man
aile dièse Erscheinungen entweder durch die Annabme erkla-
ren. dass die elektrotonischen Strome blossvon den pkysikali-
schen Eigenschaften des Nerven abhangig sind und so lange
bestehen bleiben, bis dièse Eigenschaften durch secundâre
postmortale Veranderungen vernichtet werden, oder durch die
Annahme, dass wenigstens gewisse physiologischen Processe im
Nerven langer erhalten werden als seine Erregbarkeit, und
dièse physiologischen Processe fur dass Zustandekommen der
elektrotonischen Strome verantwortlich sind. Mann konnte
vielleicht auch, wie es Biedermann und Hering annehmen. den
physikalischen und den physiologischen Elektrotonus unter-
scheiden.
Zur Erorterung dieser interessanten Fragen hofFt der
Verfasser noch spâter zurtickkommen zu kônnen; zur Zeit will
er bloss betonen, dass die elektrotonischen Strome auch in
unerregbaren Nerven entstehen konnen.
Man kann die elektrotonischen Strome nicht nur mit
dem constanten sondern auch mit dem unterbrocbenen Ket-
tenstrom hervorrufen. Dièse Versuche wurden genau so wie
die oben beschriebenen angestellt, mit demeinzigen Unterschiede.
dass der abgezweigte- Strom durch einen speciell von Prof.
Cybulski zu solchen Zwecken moditicierten Kroneckerschen
Stromunterbrecher (Unterbrechungszahl 120 in dèr Secunde)
geleitet wurde. Der Charakter der elektrotonischen Strome war
genau derselbe beim unterbrochenen Kettenstrom wie bei dem
constanten; bloss im ersteren Falle waren sie etwas schwà-
cher. Wenn man aber statt der unterbrochenen Kettenstrome
die inducierten anwendct. so l>ekommt man bei nicht zu star-
146
RESUMES
ken Strômen (im primàren Kreise 2 Daniellschen Elemente,
Entfèrnung der secundaren Rolle von der primàren mehr al»
20 ctm.) im Gralvanometer immer eine Ablenkung in der
Richtung des katelectrotonischen Stromes. bei erregba-
ren und unerregbaren Nerven, bei Làngs-lângscknittab-
leitung und bei Lângsquerschnittableitung, wie es schon von
Prof. Cybulski und dem Verfasser beschrieben worden ist 1).
Wenn man aber die beiden Inductionsspiralen an einander nii-
hert. so findet man, von gewisser Entfèrnung an im Galvano-
meter bald eine Ablenkung in der Richtung des katelektroto-
nischen bald des anelektrotoniscben Stromes, und zwar immer
im Sinne desjenigen Stromes der bei Scbliessung des primà-
ren Kreises entsteht.
der
Versuch
Kaninchenischiadicus. Versuchsanordnung wie oben;
zugefiihrte Strom durch den Kroneckerschen Unterbre
cher geleitet. Lângs-làngscknittableitung.
Entfèrnung
zwischen
b und c
Entfernuug
zwischen
c und d
Parallel ein-
geschalteter
Widerstand
I Kommuta-
tatorstellung
II Kommuta-
torstellung
8 mm.
H
8 mm.
500 il
»
4- 22
+ 22
4 23
— 19
— 19
— 19
Derselbi- Nerv; die elektrotonischen Strome durch die
inducierten Strome hervorgerufen.
M Centrlbl. f. Physiol. Bd. XIII 51n und.
Anzeiger der Akad. d. Wiss. Krakau. December 1899.
RESUMES
147
Entfernung
zwischen
b und c
Entfernung
zwischen
c und d
Rollenabstand
I Kommuta-
torstellung
II Kommuta-
torstellung
8 mm.
8 mm.
300 mm.
— 15
— 16
!)
?>
-.
- 16
— 16
n
.•>
200
— i
+ 20
n
»
ji
— 5
- 23
n
n
100
+ 32
— 37
n
r>
»
4- 30
— 36
n
7»
eingeschoben
- 97
- 88
n
-r 95
— 83
Wirkung der einzelnen Stromschlàge:
A. Schliessungsstrome.
Entfernung
zwischen
b nnd c
Entfernung T T- . Tr T. .
. . ° „ ,, , . , I Kommuta- II kommuta-
zwischen Kollenabstand . ,, . ,,
.. , torstellune: torstellung'
c und d e> o
8 mm.
n
8 mm. 0
•n n
t- 8
+ 7
- 8
— 8
— 8
— 7
B. 0
ef f nungsstr
oine.
Entfernung
zwischen
b und c
Entfernung L Kommuta.
zwischen Kollenabstand . . ,,
, , torstellung
c und d
II Kommuta
torstellung
8 mm.
8 mm.
»
0
n
— 5
— 5
— ô
_ 4
+ 4
+ 4
148
Aus den zwei letzten Tafeln erklârt sich das Verhalten
der Kanincbennerven bei starken Induetionsstromen. Beira
Frosch konnte der Verfasser solcben Unterschied zwisehen der
Wirkung sehwacher und starker Inductionsstrome nicht conl
statiren; hier hat er immer bloss das Auftreten des katelek-
trotonischen Ablenkung im Galvanometer beobachtet, was schod
friiher von Prof. Cybulski und ihra besehrieben und erkiârj
worden ist. Radzikowski *) ist jedock geneigt eben dièses Auf-
treten bald der anelektrotonischen bald der katelektrotonischen
Phase such fur die Froschnerven als normal aufzufassen. Lei-
der ist dem Verfasser diesbezuglicheArbeit von Radzikowski uni
zugànglich, und er kann nicht die Ursaehe dièses Unterschieds
finden.
Négative Schwankung
Aut Grand der erwàhnten Versuche und Auseinanderl
setzungen ist es klar, dass bei jeder elektrischen Reizung. sei
es mit dem unterbroehenen Kettenstrom. sei es mit der In-
ductionsspirale, des erregbaren und auch unerregbaren Nerven,
die elektrotonischen Stromc immer entstehen mtissen. Wenn
also die Entstehung und Leitûtig des activen Zustandes îles
Nerven mit den elektrischen Phânomenen sui ^eneiis d. h. mit
der negativen Schwankung gebunden ist, so bat mail immer
bei der L&ngsquerschnittableitung der friscben Nerven mit der
Summe dieser zwei Erscheinungen zu thun, wenn die Strom-
zufiïhrenden Elektroden von den ableitenden niebt so weit entfernl
sind, dass sie von den elektrotonischen Stromen nicht mehr
erreicht werden. Besonders in den Kaninchenischiadici ist es
unmoglich auf dièse Weise die négative Schwankung von den
elektrotonischsn Stromen zu trennen. da die letztern sehr stark
und in grosser Entfernung sichtbar sind.
Wie kann man sich trotzdem von der Existenz der ne-
gativen Schwankung iïberzeugen *? Selbstverstàndlicb zur Enj
scheidung dieser Frage darf man nicht die Inductionsspirale
') Acad. Royale de Belgique 1899.
RESUMES
149
anwenden. da dabei i m nier eine katelektrotonische Plias»1
— falls raan nicht sebr starke Strome nimmt — auf beiden
Seiten der stromzufiïhrenden Elektroden entsteht, die den Ru-
hestrora abschwàchen und so die négative Schwankung vor-
tâuschen kann. Nimmt man nacb der oben besehriebenen Mé-
thode den unterbrochenen Kettenstrom, so entsteht zwischen den
Electroden b und c bald eine anelektrotonische bald katelek-
trotonische Phase, je nach der Kommutatorstellung. Die letztere
kann sich mit der eventuell vorhandenen negativen Schwankung
summieren, die erstere verkleinert die négative Schwankung. Bei
gewisser also Entfernung der Elektroden b und c bei gewisser
Stromstarke u. s. w. miïsste man im Galvanometer bei jeder
Kommutatorstellung den negativen Aussehlag beobachten, da
hier die etwa vorhandene négative Schwankung ûberwiegen
muss. Mit der Anniiherung der Elektroden b und c muss der
négative Aussehlag bei der aufsteigenden Richtung des zuge-
fuhrten Stromes (c positiv) immer kleiner, dann gleich Xull.
und schliesslieh positiv werden, wenn der Anelektrotonus sehon
stârker als die négative Schwankung sein wird. Bei der ab-
steigenden Stromrichtung miissen die negativen Ausschlâge be-
Btândig wachsen. Das beiligende Versuchsprotocoll soll be-
weisen dass der Nerv sich wirklich genau so verhalt.
Versuch
Kaninchenischiedicus. Langsquerschnittableitung.
Entfernung
awischen
h und c
Entfernung
zwischen
c und d
Parallel einge-
sclialteter Wider
stand.
I Kommuta-
torstellung
II Kommuta-
torstellung
25 mm.
9 mm.
500 Q
- 24
— 26
"
n
n
- 24
— 25
17 mm.
■•
î)
0
— 45
»
*
«1
- 1
— 45
10 mm.
-
-
- 75
-122
Wenn raan einen solchen Nerv mit Aether, Alkohol usw.
rt, oder einfach in der feuchten Kamraer liegen làsst,
sich aUl elektrischen Eigenscliaften Jetzt
m an ihra bloss die abgeschwâchten elektrotonischen
wahrnehmen. die négative Schwankung fehlt. Màn
- m Galvanometer, bei Anwendug unterbroche-
ner Kettenstrëme entweder keinen Ausschlag (bei grosser Ent-
zwischen b und c) oder zwei entgegengesetzte, je nach
mutatorstellung, beobachten. Die Inductionsspirale gibt
tzt bei jeder Kommutatorstellung, wenigstens unterhalb
Stromstârke, eine négative Ablenkung ira Galvano-
:r die eine négative Schwankung vortauschen kann. Die
itive Schwankung verschwindet nach den Versuchen des
Verfassers in ausgeschnittenen und in der feuchten Ranimer
bei Zimmertemperatur + 180 gehaltenen Kaninchennerven ge-
wShnlich nach 4 — 5 Stunden, nachdem der Nerv ausgeschnitten
wurde. Der Verfasser hait sich daher fur berechtigt zu glau-
ben, dass Frédéricq bloss mit der katelektrotonischen Phase
zu thun batte, uud keine négative Schwankung an de m 24
Stunden aufbewahrten Nerven wahrnehmen konnte.
Der Verfasser hat auch am Kaninchennerven eine kleine
3 bwankung bei Anwendung des Tetanomotor gese-
hen. Die Ablenkung war: I Versuch II Versuch
— 10 — 8
— 9 — 8
— Il —9
Als die wichtigsten Resultate seiner Arbeit betrachtet der
Verfasser 1) Eine Feststellung der Thatsache, dass der Sauge-
thiernerv genau dieselben elektrischen Eigenschaften besitzt
wie der Froschnerv und 2) dass die friscben lebendigen Nerven
verhalten sich elektromotorisch anders, als die „abgestorbenen".
Erstere besitzen eine négative Schwankung. die als elektrischer
Auadruck des Erregungszustandes betrachtet werden muss und
mit den elektrotonischen Stromen nichts zu thun hat.
RÉSUMÉS 1Ô1
Ich mochte noch dera Herrn Prof. Cybulski meinen în-
nigsten Dank aussprechen fur sein lebhaftes Interesse und
fur die Unterstiïtzung mit Rath und That, die ich iraraer bei
Ihm fand.
21. — St. Opolski. Przyczynek do znajomosci elektroujemnej natury rodni-
kôw otganicznych. (Zur Kenntniss der negativen Natur ov-
ganischer Radicale). Vorgelegt den 2 April 1900.
Durch Einwirkung des Natriumalkoholats und Methyl-
oder Aethyljodids auf Dibenzylketon wird in diesem Keton
ein Wasserstoffatom durch die betreffenden Alkylradicale sub-
stituirt.
Das auf dièse Weise erhaltene Methy ldibenzylketon
(C6H5— CH— CO-CH2— C6H5) ist eine olige, bei 215° unter
CH3
44 mm. Druck siedende, angenehm riechende Fltissigkeit, deren
specifisches Gewicht bei 18° betrâgt l-0357 (dcon- = 1* 0341)
und die mit Hilfe des Brechungsexponenten ?v=l\5548 (bei
18°) bereehnete Molecularrefraction 69.38 stimmt mit der theo-
retischen 69.24 befriedigend iiberein.
Dièses Keton geht durch achtstiindiges Erhitzen auf dem
Wasserbade mit salzsaurem Hydroksylamin (2 Mol.) und Na-
tronlange (6 Mol) in sein Oksim tiber. Ausgeschieden aus
dem Reaetionsgemische durch Ansâurn mit Salzsâure und aus
Alkohol umkrystallisiert bildet das Oksim des Methyldi-
benzylketons kleine wasserhelle Krystalle, welche bei 136.5°C
sehmelzen, im heissen Wasser schwer, im Alkohol und Aether
leicht lôslich sind.
Aethyldibenzylketon(C6H5— CH— CO-CH2— C,H3)
C2H5
siedet bei 232° unter 66 mm. Druck. Nach zweimaligem
Fractionieren erhitlt man eine angenehm riechende, olige, farblose
fisches Gewicbt bei 18° betrâgt 1-0115
. ihr Brechungsexponent »18j,= 1*5448 undihre
•retische 73-84.)
Liingere Zeit in der Kâlte aufbewahrt erstarrte die Fliïs-
durch Umkrystallisieren aus Alkohol feine,
glanzende Nadeln erhalten wurden, die bei 48°C
melzen.
Dis Oksim des Aet h y 1 d i b e nz y 1 ke tons bildet
serhelle Krystalle. Es sehmilzt bei 102-5°, ist im heissen
chwer, im Alkohol and Aether leieht losslich.
Die Fiihigkeit des Dibenzylketons dièse Substitutionspro-
geben steht im Einklang mit den zahlreichen Unter-
such Meyer's und seiner Schiiller (Ber. 21.22
und 24), welche bewiesen haben, dass in aromutischen Keto-
nen ein Wasserstoffatom der Methylengruppe, die in unmitel-
liarer Verbindung mit einer Phenyl-und einer Carbonylgruppe
steht in Folge des sauren Charakters dieser Gruppen durch
Alkylradicale substituierbar ist. Da das Dibenzylketon zwei
3olche Methylengruppen besitzt, konnte man hofFen, dass
aueh ein Wasserstofiatom der zweiten Methylengruppe durch
Alkylradicale zu substituiereri wâre.
Die Untersuchungen haben es jedoch vorlautig nicht be-
. t. denn sowohl das Einwirken einer doppelten Menge Na-
triumalkoholats und Alkyljodids auf Dibenzylketon, wie auch
Einwirken des Methyl- oder Aethyljodids aut Methyl-oder
Aethyldibenzylketon blieben erfolglos. Im ersten Falle bekommt
man Substitutionsprodukte nur eines Wasserstoffatoms, im
pgriffene Ketone.
0 trzech izomerycznych benzylotoluolach. (Ûber
drei isomère Benzyltoluole). Vorgelegt den 2 April 19U0.
Die drei isomeren Benzyltoluole waren Gegenstand zahl-
• srsuchangen, wurden jedoch bis jetzt als einheit-
Kôrper nicht erhalten; die in der Literatur unter die
RÉSUMÉS _ 153
sem Namen beschriebenen Verbindungen, sind, wie es ein
Vergleich mit meinen Resultaten ergibt, Mischungen der iso-
meren Modificationen, und der Grund hievon liegt theils in
der Unreinheit der Muttersubstanzen, theils in der Méthode, die
zura Erhalten der in Rede stehenden Kohlenvvasserstoffe ge-
wahlt wurde.
m-Benzyltoluol.
Die Senff's Méthode (Ann. 220-225) ergab mit m.-
Xylylbromid ungiinstige Resultate; ich erhielt immer einerseits
nnr sein* kleine Mengen des Benzyltoluols, anderer.seits bildete
sich in erheblicher, manchmal sogar theoretischer Quantitât Di-
phenylmethan, trotzdem die Reactionsbedingungen, der Tempe-
ratur, der Concentration, der Menge des angewandten Alumi-
niumchlorids in sehr umfangreichen Grenzen moditiciert wurden.
Erst mit Zinkstaub erhielt ich bessere Resultate; obvvohl auch
hier die Ausbeute sehr viel zu Wûnsehen iibrig Hess; jedoch
das Reactionsproduct war sehr leicht zum Reinigen da sich
kein Diphenylmethan bildete.
Das m.Benzyltoluol bildet eine farblose, stark lichtbrechende
Fliissigkeit, vora schwachen acomatisohen Geruch; siedet bei
272-273° C. und 743mm. Druck; spezifischeg Gewicht 0.9945
bei 17°C, nfl=1.5715. Die durch Oxydation erhaltene m. Ben-
zylbenzoesâure ist ein fester, krystallinischer Korper. der bei
162-3° C. schmilzt; fast unloslieh im kalten, schwer loslich im
siedenden Wasser, leichter im Alkohol, Aether, und verdumi-
ter Essigsaure. Das Baryumsalz (C14H903)a Ba+2H20. lost
sich schwer im kalten, leichter im siedenden Wasser, ganz
analog das Calciumsalz (CuH,,03)2 Ca. Silbersalz ist schwer
loslich im siedenden Wasser, krystallisiert in feinen Nadeln.
Natrium- amalgamât reduciert die Saure in m. Benzhydrylben-
zoësiture C6H5.CH(OH).CuH4.COOH kleine bei 1 22-3°C schmel-
zende Nadeln.
p-Benzyltoluol
wurde erhalten durch Einwirkung des wasserfreien Zinkbro-
mids auf eine Losung des p. Xylylbromids in zehnfacher Menge
3
154 RÉSUMÉS
Benzol. Als giïnstige Reactionstemperatur wurde der Siede-
punkt des Benzols ermittelt. 15 gr. p. Xylylbromid gaben
durchschnittlich 10 gr. p. Benzyltoluol. Das schnelle Fortreissen
des sich bei der Réaction bildenden Bromwasserstoffs crwies
sich sehr vortheilhaf't. p.- Benzyltoluol im Aiisseren dem m.
âhnlich, siedet bei 274°C und 750 mm. Druck. Eine Kalte-
mischung ans krystallisiertem Calciumcblorid und Scbnee bringt
es nicbt zum Erstarren, macht es nur etwas dickfliissiger; SG.
0*9937 (18°C), ni =1*571. Die p. Benzylbenzoësàure ist ein
weisser, krystalliniscber Korper und schmilzt bei 193 — 4°C.
1m kalten Wasser fast unlôslich, schwer in siedendem, leich-
ter in Alkobol, Aether und Essigsâure. Das Baryumsalz krystalli-
siert mit 2H20 und ist im kalten Wasser schwer, im siedenden
leichter loslich; analog das Calciumsalz; Silbersalz ist im sieden-
den Wasser sehr schwer loslich. Die aus der p. Saure mit Natrium-
amalgam erhaltene p. Benzhydrylbenzoësaure, lost sich leicbt
in Alkohol und Aether; krystallisiert in weissen, glânzenden,
wasserfreien Nadeln, die bei 164- 5° C schinelzen.
o-Benzyltoluol
wnrde ganz analog dem p. -Benzyltoluol erhalten: 200 gr. o-
Xylylbromid gaben 14 gr. o Benzyltoluol. Farblose Fllissig-
keit, vom schwachen aromatischen Geruch. Siedet bei 271 2°0
(742mm.), besitzt spezifisches Gewicht 0-9979(170C) und nu-=
1*5711. In erhôhter Temperatur verliert o- Benzyltoluol drei
Atome Wasserstoff und iibergeht quantitativ in Anthracen. Die
o-Benzylbenzoësaure, ist im Wasser leicht lOslich; krystal-
lisiert mit einem Moleciil Krystallwasser in langen, dicken, leb-
haft glânzenden Nadeln, schmilzt bei 98 — 4°C, wasserfrei bei
127 — 8° C. Das Calcium und Baryumsalz scheiden sich aus
wâsserigen Losungen beim langsamen Abdampfen pulverig,
beim raschen Abdampfen als eine glasige Masse. Das Silber-
salz krystallisiert in feinen. glânzenden, im Wasser sehr schwer
loslichen Nadeln. Durch Wasserentziehung iibergeht die Sâure
in ein Lacton, das aus Essigsâure in feinen, glânzenden Blât-
chen krystallisiert und bei 114 — 115°C schmilzt.
RÉSUMÉS 155
23. — L. Mabchlewski i C. A. Schunck. Otrzymanie chlorofilu w stanie
czystym, widmo chlorofilu i barwika zielonego, towarzyszacego mu
w lisciach. (Die Jieindarstellung des Chlorophylls, sein
Spectrum und dasjenige eines anderen, inBUltterextracten
vorhandenen, griinen Farbstoffs). Vorgelegt den 2. A prit 1900.
Die Verfasser untersuchten das sog. blaue chlorophyll
Hartleys und kamen zur Ueberzeugung , dass dasselbe ent-
gegen der Behauptung Hartleys nicht das unveranderte Chlo-
rophyll vorstellt, sondern ein dem Alkachloropbyll verwandtes
Dérivât. Dièse Bebauptung wird auf dem spectroskopischen
Vergleich von Losungen, welcbe Hartley's blaues Chlorophyll
enthalten, mit Losungen von durcb Cbemikalien nicht verau-
dertem Chlorophyll, gegrundet. Als normales Chlorophyllspee-
trum wird dasjenige rolier Pflanzenextracte hingestellt, so weit
es sich um die drei ersten Bander in der weniger gebrochenen
Spectrumregion und um die drei hinter der F-Linie gelegenen
bandelt.
Als chemiscbes Kriterium von unverandertem Chloro-
phyll wird die Fahigkeit Phylloxanthin und Pbyllocyanin unter
dem Einfluss von Salzsâure zu geben, hingestellt. Hartleys
„blaues Chlorophyll" gibt ein von dem normalen Chlorophyll-
spectrum ganz abweichendes Absorptionsspectrum und liefert
unter dem Einfluss von Salzsauere Phyllotaonin und nicht
Phylloxantbin oder Phyllocyanin.
Im zweiten Theil der Arbeit beschreiben die Verfasser
Versuche, die die Anwésenheit eines grûnen Begleiters des
Chlorophylls darthun. Die Anwésenheit eines Farbstoffs, der
ahnlich wie Chlorophyll, Absorption der rothen Strahlen ver-
ursacht wurde schon von Sorby und Hartley vermuthet. Die
Verfasser beweisen, dass das „gelbe Chlorophyll" Hartley's ein
Gemisch von FarbstofFen der Xanthophyllgruppe mit einem
neuen griinen Farbstoff ist. Ein Vergleich der spectroskopi-
schen Eigensehaften von Losungen, welche unter anderen die-
sen neuen Farbstoff enthalten und aus welchen das gewohnli-
che Chlorophyll durcb. Bariumhydrat entfernt wurde, mit Lo-
156 RÉSUMÉS
sungen des Chlorophylls in denen die Menge des neuen
Farbstofls kiinstlich angehâuft warde, belehrte, dass dieser neue
griine Begleiter des Chlorophylls in Kohextracten pra<'existiert
und nicht als Folge von Umwandlungvn des gewohnlichen
Chlorophylls unter dem Einfluss von Bariumhydrat anzusehen ist.
Im dritten Theil ihrer Mittheilung beschreiben die Ver-
fasser eine Méthode, die dieTrennnng des Chlorophylls von sei-
nem gfttnem Begleiter und den Xanthoph ylltarbstuffen ermoghcht.
Das erhaltene Product zeigt in Alkohol gelost das normale Chlo-
rophyllspectrum obwohl in der Regel auch eine Andeutung des
vierten, bei E gelegenen Bandes zu beobachten ist. Ob dasselbe
frei von farblosen Beimischungen ist, unternehnen die Verfasser
vorderhand nicht zu entscheiden und enthalten sich demnach
einer Beurtheilung der bekannten Conception, nach welcher
Chlorophyll zu den Lecithinen zu zahlen ware.
24. — Ludwik Filimowski. 0 przemianach warstwy nabtonkowej przewodu
pokarmowego zarodkôw na pograniczu miedzy zoladkiem a dwunast-
nica. (Uéber die Veranderungen innerhalb dev lhtrimpi-
thelschicht von Embryonen an der Grenzé awischen
Magen und Duodénum). Vorgelegt den 2 April 1900.
Der Verfasser untersuchte an Kaninchen- und Hunde
Embryonen, welche in Perennyischer Fliissigkeit fixiert und in
Haematoxylinalaun in toto gefarbt wurden, die Entwickelung
des Epithels des Darmcanals.
Er bemerkte hierbei, dass an der Uebergangsstelle zwi-
schen dem Magen und dem Duodénum, das Epithel im Laute
der Entwickelung eigenthumliche Bilder darbot.
Wie bekannt, stammt das Epithel des ganzen Darmca-
nals vom Entoblast und ist in den ersten Stadien der Entwic-
kelung des Daim es ein Pf'lasterepithel. Mit der Zeit wird es
zu einem einschichtigen Cylinderepiihel, und, wie uns Kollmann
berichtet, bilden sich im Darmcanal an manchen Stellen Ver-
ilickungen,die zu einer geschichteten Lage fïihren. Die Driisen
RÉSUMÉS _ 157
in der Wand des Darmcanals entwickeln sich erst spiiter, da-
gegen ist die Muskulatur friih als deutliche Ring - und Langs-
schicht zu unterscheidm. An Embryonen von Hunden von
ungefahr 19 mm. Lange tindet der Verfasser an der Ueber-
gangsstelle vom Magen in das Duodénum grosse Wuclierungen
des Epithels, welche in das Lient des Darmcanals hineinragen
und dasselbe verengern.
Wenn raan die Bilder genauer beobachtet, so sieht man
die Epitbelzellen zunachst in mehreren Lagen angeordnet, so
dass das Lumen an dieser Stelle viel enger ist. als in dem
weiteren Theile des Diinndarms.
Die anfangs compacte Epithelschicht verliert jedoch bald
ibr dichtes Gefiige, indem die Zellen infolge des Waclisthums
des ganzen Darmrobrs theils auseinander riicken. theils vielleicht
sich verfliissigen und zugrunde gehen. so dass freie Râume
zwiseben ihnen auftreten, und vonder vvandstândigen Zellschicht
ausgebend Zellstrange zu beobachten sind, die dem Lumen diè-
ses Darmstuekes ein gai.z eigenartiges Aussehen verleihen.
Dasselbe er?cbeint nahmlich niebt einheitlicb, sondern ist dureb
die netzartig veriaufenden Strànge in raebrere Tlieile zertheilt.
Allmâhlich werden die Strange immer dunner und ge-
ringer an Zabi, so dass sie scbliesslich ganz verscbwinden. und
nur d''e wandstândige Epithelschicht ubrig bleibt.
Die Zellstrange werden ausscbliesslicb von Epitbelzellen
gebildet, nirgends ist auch nur eine ISpur von Bindegewebe in
ihnen wahrzunehmen , die Grenze zwischen Epithel und der
Bindegewebschicbt des Darmstûcks bebt sich ganz scharf ab.
Die nahere Erorterung der Bedeutung dieser Modificatio-
nen des Epithels an dieser Stelle und die Besprechung, ob dièse
Verengerung des Darmlumens durch die Zellenwucherungen
unter Umstanden niebt etwa auch zur Atresie zwiseben Ma-
gen und Duodénum fuhren kann, bebâlt sich der Verfasser fur
seine weiteren Untersuchungen vor.
NakJadem Akademii Umiejetnosci
pud rodakcya Srfkrelarza gt;ueraluego Stanislawa Smolki.
Krakow, 1900. — Drukaruia UuiwerBytetu Jagiclloiiskiego, pod zarzadem J. Filipowekiego.
17 Maja 1900.
BULLETIN INTERNATIONAL
DE L'ACADÉMIE DES SCIENCES
DE CRACOVIE.
No 5. Mai. 1900.
Sommaire: A-semblée générale de l'Académie du 18 mai 1900. —
Séances du 7, 14 et 17 mai 1900. — Résumés: 25. Comptes ren-
dus des séances de la Commission de l'histoire de l'art des 14 décem-
bre 1899, 18 janvier. 22 février et 26 avril 1900. — 26. V. Lutosêa-
wski. La genèse de l'éleuthépisme. — 27. B. Miklaszewski et S. Niemen-
towski. Sur les trois isomères ff;jphénylbenzimidazoles. — 28. M. Ko-
walewski. Etudes helminthologiques VI. Sur quatre espèces du genre
Trichosoma Rud. — 29. E Bandkowski. La réaction des bromonitroben-
zen sur la paraphnylène - diamine. — H0. E. Baxdrowskt. La réaction
de acide azotique conc. sur le brombenzen. — 31. T. Emilewicz. Sur les
phénylimines des oxy-acetophénones. — 32. T. Browicz. Structure de"
vaisseaux sanguins intralobutaires et leur rapport aux cellules hépatiques.
Séances
<&■
Assemblée générale de l'Académie des Sciences.
L'assemblée générale annuelle de l'Académie a eu lieu
le 18 mai 1900.
Au nom de Son Altesse Impériale et Royale, Protecteur
de l'Académie, le Vice-Protecteur, son Excellence Julien Du-
najewski ouvre la séance.
Son Exe. M. le comte Stanislas Tarndwski, pré-
sident de l'Académie, prend la parole.
Le Secrétaire général, M. Stanislas Smolka, rend
compte des travaux de l'Académie pendant l'année écoulée, et
fait savoir qu'à la séance plénière tenue la veille, ont été élus,
160 SÉANCES
dans la Classe de Philologie: M. Joseph Tretiak, membre
titulaire, et M. Alexandre Wiesioio wskij . membre
titulaire étranger; membres correspondants: M. M. l'abbé Jo-
seph Bilczewski, Martin Drinow, Vincent Luto-
stawski, Jérôme Lopaeihski, Sigismond Win ter;
dans la classe d'Histoire et de Philosophie: M. Osvald Bal-
zer, membre titulaire, membres correspondants: M. M. Bro-
nislasDembiiiski, LouisFinkel, IvanAndrejewicz
Linniczenko. Dans la classe des Sciences mathématiques et
naturelles: M. Ladislas Natanson, membre titulaire. M.
M. J. W. Bruni et P. Dehérain, membres titulaires étran-
gers; membres correspondants: .M. M. Mary an Raciborski,
le prince Joseph Puzyna, Casimir Zorawski. L'élec-
tion de Al. M. Wiesioio wskij, Drinow, Lut osla wski,
Lopaciiiski, Linniczenko, Briihl, Dehérain et Ra-
ciborski sera soumise à la sanction de S. M. l'Empereur.
M. M. Ladislas Rothert et Léon Marchlewski,
élus Tannée dernière à titre étranger, ont reçu confirmation de
leur nomination de S M. l'Empereur.
M . C a s i m i r Mo r a w s k i fait une conférence sur : L'his-
toire e l'Université <h Cracovieu.
Le Secrétaire général proclame les noms des lauréats de
cette année.
Prix Barczewski, décerné au meilleur ouvrage histo-
rique : M. François Piekosinski, pour son ouvrage :
nL' Héraldique polonaise <<n moyen-âge" :; au meilleur tableau:
M. Stanislas Witkiewicz, pour le paysage „Nuagesu.
Le 17 mai. fut tenue la Séance du comité administratif
de l'Académie.
SÉANCES 1QI
(lasse de Philologie
Séance du 14 mai 1900
Présidence de M. L. £,uszczkiewicz
M. J. Baudouin de Courtenay présente le travail de M.
S. Dobrzycki: yjSur le dzetasisme dans la langue polonaise".
Le Secrétaire rend compte de la séance de la Commis-
sion de l'Histoire de l'Art du 26 avril 1900 *).
Classe d'Histoire et «le Philosophie
Séance du 17 mai 1900
Présidence de M. F. Zoll
M. F. Pjekosinski présente son étude: ^Noblesse polonaise
du moyen âge en Pologne".
M. Ulanowski rend compte du travail de M. S. Krzyza-
nowski: ^Légation polonaise envoyée de la yart de Casimir le
Grand à Avignon au sujet de la fondation de l'Université de
Cracovieu.
Classe des Sciences mathématiques et naturelles
Séance du 7 mai 1900
Présidence de M. F. Kreutz
M. S. Niementowski présente son étude faite avec M. D.
Miklaszewski : „ Sur les trois isomères (^)-p/i<'it>jlbe>izi)nidazolesU2).
1) Voir ci-dessous aux Résumés p. 163. — 2) ibid. p. 17'.'.
V
162 SÉANCES
M. A. Wierzejski rend compte du travail de M. S. Ko-
•walewski: nÉtudes helminthologiques VI. Sur quatre espèces du
Trichosoma Eud.u J).
M. E. Bandkowski présente son étude: „La réaction des
bromonitrobenzen sur la paraphénylène-diamineu 2) et „L« réac-
tion de acide azotique conc. sur le brombenzen" 3).
M. E. Bandrowski rend compte du travail de M. T. Emi-
lewicz : vSur les phénylimines des oxy-acétophènonesu 4).
.M. T. Browicz présente son étude: „ Structure des vais-
seaux sanguins intralobutaires et leur rapport aux cellules hé-
patique sil 5).
i) Voir ci-dessous aux Résumés p. 1S3. — 2) ibid. p. 180. — 3) ibid. p. 193. —
ibid. p. 1!»8. - 5) ibid. 20 .
Résumés
25. — G. Mycielski. Posiedzenia Komisyi historyi sztuki z dnia 14 grudnia
1899, 18 stycznia, 22 lutego i 26 kwietnia 1900. (Comptes rendus
des séances de la Commission de l'histoire de l'art, du
14 décembre 1899, 18 janvier, 22 février et 26 avril 1900).
Séance du 14 décembre 1899.
M. le comte Georges Mycielski présente une note sur
un tableau de Hans Suess von Kulmbach, actuellement au
musée de Hanovre. Ce tableau dont il communique la photo-
graphie, fut exécuté en 1518. Peut-être a-t-il quelque rapport
avec la Pologne. Peint sur bois, il représente Saint Sébastien
et Saint Roch dans une prairie. A gauche, au premier plan,
se tient à genoux le donateur, jeune homme dont l'écusson à
champ de gueules figure à droite de la composition. Cet écusson
porte le blason polonais „Lis", avec cette seule modification qu'au
lieu de la figure „Lis«, il y a une aile éployée surmontée de
la croix double flèchetée. Il n'est pas impossible que ce soit
une variante du blason „Lisa- le donateur par conséquent
aurait été Polonais, et le tableau, destiné sans doute à quelque
église de Cracovie, serait passé à l'étranger par suite d'une
vente. C'est d'ailleurs une oeuvre de valeur qui, par beaucoup
de détails, rappelle les compositions cracoviennes de Kulmbach.
Dans la discussion qui s'élève a propos de cet ouvrage,
M. François Piekosiiiski fait remarquer que si c'est ici une
1H4 RÉSUMÉS
variante du blason „Lis", elle est des plus fantaisistes et n'a
pu être imaginée que par un étranger. M. Maryan Sokoïowski
ne croit pas non plus que ce blason soit polonais; quoique
semblable au „Lis", il a pu appartenir à quelque famille noble
allemande. En tout cas, si ce tableau fut peint par Kulmbach
en 1518, ce ne fut pas à Oacovie. L'artiste séjourna dans
cette ville de 1 514 à 1516, peut-être 1517: avant de s'y éta-
blir, il avait travaillé à la cour de Frédéric de Brandebourg,
margrave d'Anspach, veuf d'Hedvige Jagellon. En 1514 prend
fin sa première manière, dite de Bamberg. La seconde, la
meilleure, est celle de Oacovie, jusqu'en 1517. A cette époque,
il adopte sa troisième manière dans laquelle il remplace son
coloris à tons dorés par des tons argentés. En 1518, il travaille
avec Durer aux célèbres planches de Maximilien I. Il est donc
certain que si le tableau en question fut commandé par un
Polonais, c'est à Nurenberg que le maître le composa. Cette
ville était du reste en fréquents rapports avec Oacovie, à cette
époque.
M. le comte Georges Mycielski communique la photo-
graphie d'une gravure d'André Kilian, graveur à Augsbourg
au commencement du XVIII-e siècle, et démontre que cette
pièce a trait à la Pologne. Philippe André, fils de Georges,
né en 1714 et mort en 1759. fut le dernier représentant de
cette longue dynastie des Kilian d' Augsbourg. Il s'attacha
surtout à reproduire par la gravure les compositions religieuses
des maîtres italiens des XVIl-e et XVIII-e siècles, ainsi que
quelques portraits de célébrités contemporaines. Très aimé
d'Auguste III, sur quelques unes de ses gravures il fait suivre
sa signature de la mention ..graveur du roi de Pologne". Il
collabora à la série de gravures reproduisant les dessins du
peintre Paul Decker tils, série connue sous le nom de „Laco-
nicum Europae spéculum". Il en existe un magnifique exem-
plaire au musée des princes Czartoryski, à Cracovie. Chaque
pièce est une sorte d'allégorie sur un des états de l'Europe,
allégorie satirique du gouvernement, des souverains, de la po-
litique, des moeurs, du costume, etc. L'Allemagne. l'Angleterre,
RÉSUMÉS _ 165
la France. l'Espagne, l'Italie, la Turquie, enfin le „Polonus",
daté de 1737, figurent dans cette galerie. La composition du
„Polonus" est excellente. Au centre, on voit Auguste III sur
son trône, entouré d'allégories féminines, et. sur les côtés, des
seigneurs polonais en costume national, tiennent en main la
couronne élective; d'autres se battent, étudient, travaillent
aux champs, etc.
La scène est entourée d'un encadrement avec panoplies
et cartouches sur lesquels on lit de mordantes légendes latines
sur la République: ces épigraphes sont cruelles mais souvent
fort justes. Cette gravure, très curieuse au point de vue ar-
tistique, ne l'est pas moins au point de vue historique. Elle
témoigne du rôle que jouait alurs la Pologne en Europe et de
l'opinion qu'on s'en faisait dans les nations occidentales.
M. Luszczkiewicz parle d'un tableau de Jacques Callot,
qui se trouve aujourd'hui à Byehawa. dans le Royaume de
Pologne.
M. François Piekosinski présente le sceau (1462) du
peintre et miniaturiste Stanislas Dorinth ou Durnih, attaché à
la cour du roi Casimir Jagiellonczyk. Cet artiste peignit aussi
des bannières, en 1481.
M. Félix Kopera communique une collection de photo-
graphies des magnifiques objets d'art provenant de Pologne,
conservés au palais ..Orvujenaïa" h Moscou. Ces objets, pla-
teaux d'argent, bassins, coupes, hanaps. sont d'un fini, d'une
délicatesse, d'un bon goût rares.
M. Maryan Sokolowski est ensuite réélu président de la
Commission. M. Félix Kopera est choisi comme secrétaire et
rédacteur des comptes-rendus. Le président adresse de cha-
leureux remerciments à MM. Greorges Mycielski et Adam
Chiniel que de lourdes occupations empêchent de remplir plus
longtemps les fonctions qu ils ont exercées avec tant de zèle,
et dont le dévouement a si largement contribué h animer les
travaux de la * 'ommission.
166 RÉSUMÉS
Séance du 18 janvier 1900.
Le président expose le programme des travaux de la
Commission, en 1900.
Il communique une gravure tirée des collections du Mu-
sée Czartoryski, due à Jean Dill, Polonais, artiste complète-
ment oublié. Il montre aussi un des dessins de Charles Decker
pour la série gravée par Kilian dont M. Mycielski a parlé à
la dernière séance.
M. Jules Pagaczewski décrit une image byzantine de la
Vierge, conservée au couvent de S. André, à Cracovie. Cette
image dont personne ne s'est occupé, est pourtant fort inté-
ressante. C'est un tableau portatif, en mosaïque, du Xll-e ou
du commencement du XlII-e siècle, d'un travail exquis et
achevé. Il est probable qu'il se rattache aussi à la vénération
pour la bienheureuse Salomée, fondatrice du premier monastère
de religieuses franciscaines, autrement dit Clarisses, en Pologne.
Les rapports avec l'Orient étaient alors continuels; il est même
fort possible que le séjour de Salomée à Zawichost, près de
Sandomir, ait occasionné l'acquisition de ce tableau par le cou-
vent. Le cadre qui entoure l'image est dû à un orfèvre cra-
covien du XVI-e siècle; il est néanmoins probable que c'est
une copie de l'encadrement primitif du XlII-e siècle.
M. Maryan Sokolowski appelle l'attention de la Commis-
sion sur l'exposé de M. Pagaczewski. Il fait remarquer que
les mosaïques portatives sont de toute rareté: il n'en existe en
Europe qu'un fort petit nombre. M. Pagaczewski décrit une
statuette de Saint Sébastien, à laquelle il assigne comme date
1520 à 1525, et qui se trouve aussi au couvent de S. André.
Le président donne lecture d'une communication de M. Wo-
robjew de Lomza sur les ruines du château épiscopal et de
l'église paroissiale de Brok, dans le district d'Ostrow, gouver-
nement de Lomza. Brok était, au XVI-e siècle, la résidence
favorite des évêques de Plock. Ainsi qu'en font foi les photo-
graphies jointes à la notice de M. Worobjew, des murs à re-
vêtements renaissance, le clocher et la chapelle sont dans un
RÉSUMÉS - 167
état de conservation assez satisfaisant, de même que l'église
paroissiale de Brok, en style gothique, avec ornementations
renaissance de 154*2 à 1546.
M. Jérôme Lopacinski a fait parvenir à la Commission
la copie et la description d'un tableau politique allégorique du
temps du roi Etienne Bathory, tableau appartenant à M. Joseph
Lipinski de Strzaîkôw, district de Stopnica. Ce tableau a trait
à la littérature de cette époque, dont il est une excellente
illustration. Le sujet en est pris de l'ouvrage de Dymitr Soli-
kowski: „Facies perturbatae et afflictae Reipublicae", ouvrage
faussement attribué à Stanislas Orzechowski, sous le titre de
„Apocalypsisu.
M. Félix Kopera communique la photographie du tom-
beau du prince Constantin Ostrogski, à la Peczarskaïa Lavra
de Kiew. C'est un immense monument adossé au mur de l'église.
Il a été élevé en partie en 1534, et terminé au commencement
du XVHI-e siècle. M. Kopera soumet encore à la commission
la photographie due à M. Wityg de Varsovie, d'une grande
médaille du prince Wasili Ostrogski, exemplaire unique con-
servé à l'Ermitage et provenant du trésor découvert à la Lawra
de Kiew. Ce tombeau et cette médaille sont de magnifiques
produits de l'art occidental.
Séance du 22 février 1900.
M. Luszczkiewicz présente un relevé des dépenses faites
pour des travaux artistiques, dans l'église St. Catherine, en
1712 et 1713. Communication de M l'abbé Sutor.
M. Pagaczewski donne lecture de son mémoire sur les
figurines d'une crèche qui se trouvent à l'église de S. André,
à Cracovie, et en présente en même temps de nombreuses pho-
tographies. Les plus anciennes de ces statuettes représentent
la Sainte- Vierge et S. Joseph, uniques débris dune vaste com-
position de la fin du XlV-e siècle. Elles sont en bois, soigneuse-
ment sculptées et peintes en polychromie: des ornementations
en cuir -autre et en plomb doré relèvent encore les tons plats
de la polychromie. Certaines particularités dès ornementations,
entr'autres un E, surmonté d'une couronne royale, permettent
de supposer que cette crèche fut donnée au couvent par la reine
Elisabeth, tille de Lokietek et épouse de Charles Robert d'An-
jou. Cette provenance princière explique la haute valeur arti-
stique de ces images. La crèche, d'une ornementation analogue
à celles dont noirs venons de parler, date du XV-e siècle.
Les autres figures sont de la renaissance mi du style barocco:
parmi les premières citons: les trois rois mages, d'une réelle
beauté dans leur majesté grave; parmi les secondes, toute une
série de types réalistes, surtout un vieillard bossu qui rappelle
les héros des crèches napolitaines du temps, si répandues alors,
et des bergers cracoviens chantant des noëls. Cette crèche est
placée dans l'oratoire du premier étage, dont l'accès est dé-
fendu au public.
A ce propos, M. Maryan Sokoîowski compare la crèche
de S, André avec quelques autres et fait ressortir que les
ligures du XlV-e siècle sont des plus anciennes que l'on con-
naisse en ce genre de composition, par conséquent, elles n'en
présentent que plus d'intérêt.
Séance du 26 avril 1900.
Le président analyse le travail de M. Ladislas Lozinski
sur la période arménienne de l'orfèvrerie, à Léopol. Cette ville
était certainement la plus renommée, à la tin du XVII siècle,
pour ses ouvrages de joaillerie, pour ses poignées de sabres,
boucliers finement sculptés, ses carquois, ses gibernes d'or
et d'argent; d'autant plus que les victoires de Sobieski n'avaient
pas peu contribué à propager la mode des costumes et des
armures nationales. La plupart des orfèvres étaient arméniens.
Les renseignements pris sur le vif que nous trouvons dans les
archives, et les trop rares spécimens de cet art qui sont par-
RÉSUMÉS 169
venus jusqu'à nous, sont d'éloquents témoignages de la haute
valeur de cette industrie arménienne.
Le président présente les photographies prises par M.
Worobjew et donne lecture de la description de l'église go-
thique du XV-e siècle, sise à Rozsochal Koscielny, dans le
gouvernement de Lomza, ainsi que l'église bâtie par Krzycki,
à Andrzejôw. Les fondements en furent jetés en 1526. Il en
subsiste encore le choeur, vaste et imposant, dans le style
gothique, quelques autels renaissance, et le monument funèbre.
aussi renaissance, de Simon Jabtonowski, porte-enseigne de
Lomza. M. Worobjew communique encore une note sur des
objets d'art du XVIII-e siècle, conservés à Myszenice.
M. Stanislas Tomkowicz lit son mémoire sur la dalle de
pierre découverte récemment, au cours de la restauration de
la Cathédrale, au Wawel. Elle était destinée au tombeau de
Casimir le Grand, et c'est une des plus anciennes plaques de
ce genre qui se soit conservée. M. Piekosinski démontre que
les inscriptions qui la recouvrent ont trait à François, du
blason „Sulima", custode de l'église de Saint-Michel, au com-
mencement du XlV-e siècle. Cette église était dans le voisinage
du Wawel. Ces inscriptions accompagnent un dessin gravé
représentant un ecclésiastique étendu.
M. Félix Kopera parle des portraits du roi Bathcry, à la
galerie Pitti, et du cardinal Georges RadziwiM, à la galerie
Corsini, à Florence. Ces ouvrages sont dus à des artistes ano-
nymes, mais d'un talent supérieur. M. Kopera présente les
photographies des portraits de Sigismond III et de la reine
Constance d'Autriche, conservées au château de Schleissheim,
offertes au cabinet d'histoire de Y art de 1' université, par M.
le comte Charles Lanckoronski. M. Alexandre Borawski a fait
parvenir à la Commission la photographie d'un buste de marbre
de la reine Marysienka, buste assez détérioré, découvert dans
le dépôt du jardin d'été, à Péter sbourg, parmi les objets au rebut.
M. Joseph Èelinski transmet les dessins, photographies et
copies des incriptions du baptistère, à l'église S. Jean de Thorn.
Par l'intermédiaire du journal ,,\Viek", la commission a ob-
170 RÉSUMÉS
tenu de M. l'abbé Paul Wronka la copie de l'inscription qu'on
lit sur une cloche de l'église de Potok Wielki, diocèse de
Lublin. M. Tomkowicz démontre que la cloche fut fondue en
1505, par un certain Valentin que nous ne connaissons pas
autrement. Les caractères scholastiques de cette inscription sont
une rareté à cette époque relativement récente.
M. Putkanski apprécie les matériaux que les inventaires
des XVII-e et XVIII-e siècles peuvent fournir à l'histoire de l'art.
26. — \Vin< iNTY LoTOStAwsKt. Geneza Eleuteryzmu. (La genèse de
Véleuthéi'isme). Présenté le 30 avril 1900.
Dans ce travail, l'auteur explique l'origine de la doctrine
nommée éleuthérisme par les critiques de son oeuvre „Seelen-
macht, Abriss einer zeitgemassen Weltanschauung" (Leipzig,
Verlag von Wilhelm Engelmann, 1899). d'après le nom d'Eleu-
theria que l'auteur avait donné dans cet ouvrage à son idéal
de l'organisation sociale.
L'hypothèse fondamentale de la métaphysique de l'éleu-
thérisme est la reconnaissance d'une pluralité de substances
autonomes, douées du pouvoir d'agir les unes sur les autres, avec
liberté inconditionnée de chacune d'exclure toute action venant
du dehors. Ainsi chaque monade est un être libre, un facteur
indépendant dans la marche progressive de l'univers, auquel
elle est associée, vers les buts des monades coagissantes.
La dépendance apparente de mon corps est la conséquence
d'une décision libre, par laquelle je me suis lié pour un temps
déterminé avec un organisme de monades inférieures dont je
suis l'élément organisateur. Je suis libre de rompre à chaque
moment ce lien, en détruisant l'union temporaire organique qui
a été volontairement créée par moi, lors de mon incarnation-
Un tel acte de liberté, nommé par erreur suicide, a été jus-
qu'ici recommandé uniquement par les stoïciens comme moven
extrême d'échapper aux souffrances: il est considéré par l'auteur
comme la preuve suprême de la liberté absolue de chaque
171
âme humaine et de chaque monade pareille en son essence à
une âme humaine.
L'action mutuelle des monades est un fait primordial qui
ne comporte aucune explication, mais offre la base de l'expli-
cation métaphysique de toute existence: a. peut agir sur $
seulement avec le consentement de i. et chaque action est
mutuelle et libre.
Toute monade existe sans commencement ni fin, ne dé-
pend absolument d'aucune loi, ne peut avoir été créée, ni pré-
destinée, ni dirigée par l'Etre suprême d'une manière incon-
ditionnée. Elle entre volontairement en relations stables et
durables, comme par exemple l'âme humaine est associée à un
corps qu'elle a organisé, comme l'individu humain devient
volontairement citoyen d'un Etat, qui est un plus vaste système
de monades que le corps humain, etc.
Notre oubli de notre existence antérieure ne prouve rien
contre la thèse principale de l' éleuthérisme, car la mémoire
n'est pas une condition de l'existence, et même au cours de
la vie présente, nous oublions la grande majorité de nos états
de conscience successifs. Nous nous rappelons fort peu de
faits de notre enfance; et même s'il s'agit de la semaine der-
nière, nous ne sommes pas en état d'indiquer exactement la
dixième partie de nos actions et impressions. Il est donc fort
naturel qu'en prenant la résolution de passer par l'expérience
d'une incarnation sur terre, nous ayons éliminé volontairement
de notre conscience toute mémoire d'existences antérieures, qui
nous aurait peut-être entravé dans la mission que nous avons
choisie librement au début de notre vie terrestre. Il est probable
qu'au moment de la libération de notre corps, la mémoire de
toutes nos existences passées nous reviendra soudainement;
comme au réveil du sommeil nous retrouvons dans notre mé-
moire la vie du jour antérieur. Alors cette vie terrestre nous
paraîtra une courte expérience de peu d'importance en com-
paraison avec notre éternelle destinée qui est formée par notre
libro volonté.
172 mes
Les monades ont un pouvoir inégal d'action et forment
une hiérarchie naturelle, depuis l'Etre suprême jusqu'aux mo-
ii.kI. >s inférieures qui produisent l'apparence de la matière
inerte. L'Etre suprême de cel univers n'est pas tout-puissant, ni
teur des autres monades: il est seulement leur guide, et
même uniquement le guide d'une partie des monades constituant
notre univers de celles qui par amour tendent vers le bien, c'est
à dire vers l'union avec lui. 11 esl l'âme la plus puissante, la plus
aimante, la plus sage de notre univers.
A côté du nôtre, il y a une infinité d'univers qui n'entrent
en aucune relation avec lui. et qui par conséquent n'existent pas
pour nous, quoique certaines monades de ces univers étrangers
puissent, à un certain moment de leur évolution, entrer en
relation avec quelque monade de notre univers, ce que faisant
elles font un acte spontané d 'autocréation dans notre univers.
Ainsi notre univers petit s'accroître, sans jamais pouvoir perdre
entièrement aucune des monades qui sont entrées une fois en
action mutuelle avec une monade quelconque agissant sur nous.
Une monade peut exister dans plus d'un univers, comme un
homme peut fréquenter plus d'une société.
Les monades humaines de notre univers appartiennent
à deux genres différents. Celles qui aiment Dieu, coopèrent à
l'unité croissante de notre univers et s'aiment entre elles, se
donnant mutuellement un bonheur toujours croissant, par la
communication mutuelle de leur richesse intérieure — formée
de sentiments, d'idées, et d'idéaux d'action. Celles qui n'aiment
que leur propre plaisir, agissent contre l'unité et produisent la
souffrance, enviant aux autres leurs satisfactions et ambition-
nant le pouvoir et la volupté sans aucune considération pour
le prochain. Ces deux groupes peuvent être nommés chrétiens
et païens. Les chrétiens opèrent l'unité croissante de notre
univers, y introduisent un bonheur toujours plus intense et
plus certain, en se servant souvent des païens qu'ils obligent
■i la soumission en agissant sur leur ambition et sur leur
nie. Les païens cherchent leur propre volupté et leur
plaisir Bans se préoccuper de Dieu ni de l'univers. Une grande
RÉSUMÉS _ 173
partie des représentants officiels des différentes Églises sont
païens; parfois des hommes considérés comme athées sont
chrétiens.
En logique l'éleuthérisme abolit la certitude absolue des
axiomes et la validité absolue des lois. Les axiomes sont des
jugements individuels communs à ceux qui ont passé par la
même évolution mentale. Ils n'ont pas une validité qui dépasse
notre expérience psychologique, et sans être faux, peuvent être
supplantés par de nouveaux axiomes, si le progrès intellectuel
mène à la formation de nouveaux concepts. Toutes nos no-
tions aprioriques peuvent être rendues superflues par de nou-
velles notions qui correspondent à un degré supérieur de
puissance intellectuelle, comme les règles du calcul élé-
mentaire sont remplacées par les règles plus générales de
l'analyse algébrique. Quant aux lois de la nature, elles ne
sont que des formules approximatives pour exprimer l'im-
pression produite par des monades d'un certain ordre (le monde
physique) sur des monades d'un ordre supérieur (les âmes
des savants). Ces formules n'ont aucune force obligatoire ni
aucune nécessité inhérente: elles peuvent toujours être rem-
placées par des formules plus exactes quand notre faculté
d'observation et d'analyse avance — comme par exemple la
loi de Bovle a été trouvée inexacte avec le progrès des
investigations physiques. Ainsi chaque vérité est relative — et
n'exprime que la relation d' une monade d' un certain ordre
avec un ensemble de monades dont elle subit l'influence. L'in-
tensité de la conviction subjective et l'accord entre les mo-
nades du même ordre sont les véritables critères de la cer-
titude. Il n'y a pas d'abîme infranchissable entre la foi et la
science, et le dogme du platonisme qui séparait absolument
Yï-in-A'):^ de la So;a est renié par l'Eleuthérisme.
En morale la loi suprême de l'Eleuthérisme est: „Sois
d'accord avec toi-même", ce qui revient à l'obligation de tenir
toujours une parole donnée, afin d'éviter les contradictions qui
empêchent l'unité. Il faut qu'on puisse compter sur moi et que
je puisse également compter sur les autres. Mais je ne veux
174 rési
ter d'obligation qu'envers ceux sur lesquels je puis
pter moi-même — c'est à dire surtout envers mes véri-
tables amis.
L'amitié ou la sympathie acquiert ici une importance
nde que celle qu'elle avait clans l'école de Pythagore:
elle unit les âmes qui ont la puissance maximale d'agir mu-
tuellement les unes sur les autres, ce qui arrive surtout quand
il v a une véritable affinité ou similitude dans leurs sentiments,
leurs idées et leurs tendances. La sympathie intensive est un
avertissement qui indique une affinité souvent cachée. Si au lieu
de combattre ces svmpathies soudaines nous nous exerçons à
les développer, à les traiter aussi franchement et naturellement
que nos besoins physiques, nous élargissons considérablement
nos sentiments et nous contribuons puissamment au progrès de
l'unité et de l'harmonie dans le cercle de notre activité. En
ouvrant inconditionnellement notre âme à nos amis, en péné-
trant jusqu'au fond de leur âme. nous établissons une vie
commune (wspôlnota dusz) qui nous ouvre un éternel paradis
de félicité divine; car l'union exclut la faiblesse qui est la
source de la majorité des souffrances humaines. Les mo-
nades libres créent constamment de nouvelles réalités idéales
qui servent de liens entre les âmes animées d'amour mutuel.
Tout le domaine de la science et de l'art y sert: chaque ar-
tiste crée un nouvel idéal qu'il communique aux autres par
amour et pour leur félicité.
Une conséquence psychologique de l'éleuthérisme est la
distinction claire et complète entre la notion du moi et celle
de la personnalité. La personnalité est une apparence complexe,
produite par le concours de l'activité simultanée de beaucoup
de monades simples (jaéni). Une personnalité historique n'est
jamais le résultat de l'activité d'une seule monade: les grands
homt rarement conscience de tout ce qui leur est attri-
bué et de tout ce qui est l'effet ou la cause de leur activité.
Ed psychologie, l'éleuthérisme établit la télépathie et la
gestion mentale comme les formes primordiales de la
mutuelle des substances, toute autre causalité n'étant
RÉSUMÉS 175
qu'une conséquence de l' action directe d' une monade sur
une autre.
En politique, l'éleuthérisnie propage la spontanéité et la
liberté inconditionnée de toute organisation sociale et limite
l'action de l' Etat au minimum possible, dû à l' imperfection
des citoyens. L'Etat est l'union obligatoire de tous les habi-
tants d'un pays pour les buts communs et pour la protection
mutuelle de leur libre évolution. Dans une société parfaite,
où personne ne voudrait jamais enfreindre la liberté des autres,
l'organisation de l'Etat serait entièrement superflue. Selon l'im-
perfection d'une société et la tendance des individus à en-
freindre la liberté des autres en abusant de leur propre liberté,
la force de l'Etat augmente jusqu'aux limites déplorables qu'elle
atteint dans les autocraties modernes comme la Russie, la Prusse,
la Chine, etc. L'idéal politique de l'éleuthérisnie est l'orga-
nisation libre des nationalités, une nation étant l'association
spontanée des individus possédant la plus grande affinité mu-
tuelle, sans considération des limites des États ni des diffé-
rences territoriales. Quand les nations seront ainsi organisées,
la force des Etats devra nécessairement diminuer, et les li-
mites des Etats devront être réglées de manière à réunir la
plus grande partie des individus de la même nationalité sous
le même gouvernement. Le caractère nationaliste de l'éleu-
thérisme l'oppose aux tendances socialistes qui sont la
conséquence politique de la métaphysique idéaliste ou panthéiste.
La grande majorité des philosophes a toujours reconnu
l' unité de l' univers comme un fait réel procédant de son
origine commune. L'auteur considère cette unité comme un
idéal dont nous approchons indéfiniment sans jamais l'at-
teindre. En ceci il se trouve singulièrement d'accord avec les
écrits récents de l'éminent penseur américain William James,
qui est arrivé à son pluralisme par une voie tout à fait diffé-
rente. Cette conception de l'univers, comme formant une plu-
ralité de substances ou monades libres agissant les unes sur
les autres sans intermédiaire, est un pluralisme encore plus
radical que celui de M. Renouvier, qui admet presque en-
Bulletin V. 2
176 RÉSUMÉS
tièremcnt l'harmonie préétablie dans sa „Nouvelle Monado-
logi(
Avant esquissé ainsi les points essentiels de l' éleuthérisme,
l'auteur indique la relation de ses travaux antérieurs avec
son - métaphysique et avec ce qu'il considère comme
le but de ses efforts ultérieurs.
Déjà en 1885. avant l'ait des recherches sur l'accélération
des réactions chimiques (Das Gesetz der Beschleunigung der
Esterbildung. Halle 1885), l'auteur avait trouvé dans les réactions
chimiques un élément de liberté individuelle qui déterminait
L'affinité entre chaque paire de corps entrant en action mu-
tuelle. D'après les expériences qui lui ont servi de matériaux
pour ses inductions, aucune réaction n'était complète et néces-
saire dans le sens des formules généralement employées en
chimie.
Bientôt après, en 1886, l'auteur eut l'occasion d'étudier
un aspect curieux des affinités psychiques, en comparant toutes
les versions du mythe de Tristan et d'Iseut sous la direction
de Gaston Paris. (Le résultat de ces recherches fut publié
dans le XV-me vol. de la Romania sous le titre: „Les Folies de
Tristan"). Cette étude de certaines affinités des âmes qui dans
leur tendance vers l'union surmontent tous les obstacles ma-
tériels, quoique cette tendance naisse seulement de l'influence
mutuelle, sans être donnée dès le commencement, ne manqua
pas d'impressioner profondément l'auteur, qui en philosophie
avait été jusque là le disciple de Grustav Teichmiiller, philo-
sophe profond, et auteur entre autres d'un volume remarquable
sur l'amour.
En 1887, P auteur essaya de représenter critiquement
les bases de la philosophie de son maître (El Personalismo,
uevo sistema de filosofia, Madrid 1887) et commença déjà
en séparer, en suivant les traditions de la pensée nationale
qu'il étudiait alors principalement dans Mickiewicz,
Krasinski el Slowacki.
Depuis ce temps une série d'investigations sur Platon
démontra à L'auteur qi , ad créateur de l'idéalisme n'avait
RÉSUMÉS 177
pas été fidèle à sa théorie des idées jusqu'au bout, et que dans
le Parménide il avait certainement entrevu la possibilité d'un
pluralisme qu'il ne développa que très incomplètement, lui
substituant le spiritualisme modéré du Timée et des Lois.
En 1889, l'auteur écrivit une dissertation critique sur la
métaphysique de Lotze, dans laquelle il analysait le concept
de F unité de l'univers de ce philosophe en cherchant à en
démontrer l'inconsistance. Cette dissertation, présentée d'abord
comme thèse de doctorat à l'université de Dorpat, y fut
refusée, et elle fut refusée ensuite par plusieurs journaux phi-
losophiques, malgré l'appui de C. Sigwart. Elle ne fut publiée
que dix années plus tard, dans le t. CXIV de la Zeitschrift
fur Philosophie und philosophische Kritik, et encore le prof.
Falckenberg, rédacteur de ce journal, exigea l'ommission des
passages où la télépathie était affirmée comme un fait scienti-
fiquement prouvé, jugeant qu'une telle affirmation causerait
du tort au journal. Dans cette dissertation l'auteur distingue
quatre types d'action mutuelle, connus dans notre expérience,
qu'il désigne comme A : B, A : (3, a : B, a : [3, en employant les
symboles A, B, C . . . pour les phénomènes et a, (3, y . . . pour
les substances qui en sont les causes. Il reconnaît le type y. : %
ou l'action directe, immédiate (sans intermédiaire), d'une âme
sur une autre comme la forme la plus élémentaire et la mieux
connue de toute causalité.
Cette déduction apriorique de la télépathie a formé dès
lors une des bases de la doctrine de l'auteur, qui développa
ses vues métaphysiques dans les cours de psychologie et de
logique qu'il professa à l'université de Kazan (1890 — 1893).
En 1893 il eut l'occasion de comparer ses convictions
avec celles des représentants de différentes religions au Par-
liament of religions de Chicago, et cela le décida à écrire
quelques articles en anglais (vol. XXII du Journal of sp< ula-
tive philosophy en 1893, et vol. V de l'International Journal of
Ethics en 1895), dans lesquels il donna une conception de l'im-
mortalité et de la préexistence différente de celle qu'il avait trouvée
généralement répandue. Le premier essai d'exposer brièvement
2*
RÉSUMÉS
l'ensemble de la doetrine de Péleuthérisme fut un article dans
le Monist de Chicago vol. VI. \\. 351: 7/- >•'/■"/, 0/ fn<e Beings).
où l'auteur proclamait le caractère essentiellement national
(polonais) de cette variété de l'individualisme radical qu'il en-
seignait dans ses cours et écrits. Cet aspect de l'éleutbérisme
comme philosophie nationale polonaise fut aussi soutenu dans
un article publié dans la Bibliothèque universelle de Lausanne
(Un [a tnih- invidualiste, Dec. 1895).
En 1897. l'auteur écrivit en anglais un aperçu dogma-
tique de sa doctrine, qui n'a pas trouvé d'éditeur, mais dont
une traduction allemande abrégée fut publiée à Leipzig en
1899 sous le titre de „Seelenmachtu. En même temps l'auteur
exposait critiquement les principes fondamentaux de sa philo-
sophie dans une thèse défendue publiquement à Helsingfors
en 1898 (Uéber die Grundvoraussetzungen und Consequenzen der
individualistischen Weltanschauung).
Depuis ce temps l'auteur étant retourné à l'enseignement
de la philosophie (qu'il avait interrompu de 1893 à 1899) a
eu mainte occasion d'affirmer sa conviction que l'éleuthérisme
est l'expression philosophique de l'esprit national polonais. Il
reste à démontrer les germes de cette conception dans l'histoire
et l,i littérature polonaise: cette nation, en subissant l'oppres-
sion la plus inouïe de la part des gouvernements ennemis, a
développé son patriotisme et son amour de la liberté absolue
«à un degré inconnu jusqu'ici dans l'histoire des sentiments
humains.
L'auteur voit là 'avec Mickiewiez. Krasinski et Towiarïski)
une force régénératrice qui ne peut manquer d'exercer son
influence dans le domaine de la réforme des relations sociales
internationales et privées, en introduisant dans la vie quoti-
dienne la véritable fraternité et la véritable liberté, qui ne
vont jamais d'accord avec cette absurde égalité dont le désir im-
modéré ruine la France. Ce qui distingue surtout les Polonais,
c'est leur audace à tenter toujours de réaliser l'idéal, comme
l'a fait remarquer profondément Stanislas Szczepanowski dans
travail sur ..l'idée nationale polonaise", qui coïncide sin-
RESUMES "" 179
gulièrement avec les conclusion de l'éleuthérisme, quoique Szcze-
panowski ne connût pas l'auteur et partit des prémisses fon-
cièrement différentes.
Comme conséquence pratique de l'éleuthérisme Fauteur
indique la nécessité d'organiser l'éducation nationale de la
jeunesse polonaise indépendamment des Etats qui se sont
partagé la Pologne et 1' oppriment actuellement. Il a traité ce
sujet dans une série d'articles (0 ivychowaniu varodowem),
publiés dans le Czas de Cracovie. Il recommande l'organisation
des élèves en groupes d'autodidactes pour les émanciper de
l'influence nivelante des écoles publiques, et pour maintenir
en eux l'esprit national, qui est miné par l'influence prussienne
et moscovite pénétrant de plus en plus partout.
L'auteur termine le compte rendu oral de son travail
sur la genèse de l'éleuthérisme en offrant à l'Académie des
sciences de Cracovie une collection à peu près complète de
ses écrits en cinq volumes, y compris les publications en
langues étrangères, depuis 1885 jusqu'en 1900.
27. — B. MiKLâszEwsKi i S. Niementowski. Studyum porôwnawcze trzech
izomernych ,; -aminofenylbenzimidazoli. Vergleichendes Studiwm
der drei isomeren n - Aminophenylbenzimidazole). Vor-
gelegt am 7 Mai 1900.
Den Gegenstand dieser Untersuchung bilden Derivate
der drei isomeren (^i-Aminophenylbenzimiclazole:
/\/ n /\y n
>C\/\ C /\/NH2
\/\NH/ \/\NH
NH2/\/ -\/
N
C\/\
\NH/
\/\NH2
RÉSUMÉS
aUo ein Thema, welches vor Jahresfrist von eineui der Ver-
ser fur das o-Derivat schon eingehend behandelt worden
ist1). Das Hauptergebniss jener Arbeit ging dahin, dass zwisehen
dem (P)-o-Aminophenylbezimidazol und o-Pbenylendiamin, weit-
gehende Analogie besteht; es war also intéressant zu priifen,
ob die Aminophenylbenzimidazole der meta- und para-Reihe
ihrerseits mit m , beziehungsweise p-Pbenylendiamin cbemisch
Cibereinstimmen; mari h«.fFte aucb gelegentlicb die technisch
intéressante Frage des Direktfârbens der Baumwolle durch die
von drei Aminophenylbenzimidazolen derivirende Azofarbstoffe
zu erledigen.
Zur genauen chemischen Charakteristik der isomeren
3 -Aminopbenylbenzimidazole wurden folgende Derivate dar-
ellt :
Chlorhydrate und Nitrate,
Aeetyl- und Benzoylderivate,
Thioharnstoffe,
(3-Naphtol-azofarbstoffe,
Hydrazine, sammt den entsprechenden Hydrazonen,
Chinolinbenzimidazole, ihre Salze und zum Theil auch ibre
Reduktionsprodukte.
Fur die Base der orto-Reihe lag das Material grSssten-
teils sehon bearbeitet in der erwâhnten Untersuchung von
Niementowski. Fiir beide anderen Basen musste es im ganzen
Umfange erst inilhsam herbeigeschafft werden.
In folgendem soll eine kurze Zusammenstellung der vvicb-
tigsten Eigenschaften der untersucbten Korper mitgetbeilt
werden.
Zur Darstellung des Ausgangsmaterials dienten die Ni-
trobenz-o-Nitranilide, von welcben das meta-] )erivat als
neu beschrieben wird: hellgelbe, wollige Nadeln, Scbm. 138°;
sic geben durch Reduktion mit Zinnchlorûr und Salzsaure in
') St. Niementowski: Rozprawy Wydz. mat.-przyrod. 38, 70.
RÉSUMÉS 181
entsprecbende (3)-A m i n o p h e n y 1 b e n z i m i d a z o le. Hier war
wiederum die m-Base unbekannt: kellgelbe Stâbchen. Schm.
251 -252°; Base, bildet Salze wie C18 Hu N3 . 2 HC1, C13 IIU
N3 . HN03.
Die Ace tyl v erb i n d un ge n der (V-va- und p-Ami-
nopbenylbenzimidazole sind zum Unterschied vom Verhalten der
in der o-Stellung amidirten Base, wo auch Dianhydroverbin-
dungen entstehen, alleinige Produkte der Einwirkung der Sâure-
anhydride auf Aminoverbindungen. Es kann hier wegen der
entfernten m- resp. p-Stellùng des Acylaminrestes zur NH-
Gruppe des Benzimidazolringes keine neue Ringsckliessung
erfolgen. Sowohl die acetylirten als auch die benzoylirten De-
rivate sind chemisch indifférente, in Wasser praktisch unlosliche,
in organisehen Solventien vorwiegend sehr schwer losliche Ver-
bindungen. Die Schmelz[)unkte der Derivate der
m-Reihe: Aeetyl . . 288° Benzoyl 139°
p-Reihe: „ . . 299° „ oberhalb . . 333°
Die Thioharnstoffe sind gelbe, in Alkali losliche
Korper; sie entstehen leicht durch mehrstiindiges Erhitzen der
Basen in al kohol ischer Losung mit Scliwefelkohlenstoff.
m-Reihe: amorph. gelbdurchscheinend, Schm. 263° m. Zersetzg.
p-Reibe : gelbe kriïmelige Stâbchen, Schm. 236 — 237° „
Unter gewohnlichen Bedingungen lassen sich die isomeren
((i)-Aminophenyibenzimidazole diazotiren und die Diazo-
niumsalze mit alkalischer S-Xaphtollosung zu rotlien Azo-
farbstoffen kuppeln. Die Farbstoffe sind in Alkalien lôslich.
Der Farbstoff der o-Reihe schmilzt bei 272°, der m-Reihe bei
15B — 1570 und der p-Reihe bei 297°.
Reduktion der Diazoniumsalze mit Zinnchloriir und Salz-
siiure ergab drei isomère Hydrazine:
/N\ /\/ N
<C\/\
\/\NH/ \/\NH,
NH2 . NH/\/
MI . MI,
RESUMES
N
\/x NH
•c\/\
S/\NH.NH2
Dièse sind krystallinisch und gelb gefàrbt. Zweisàurige
:i. jedoeh auch in Alkalien loslich. was nur durch An-
wesenheit der Ituidogruppe ini Benzimidazolringe zu erklàren
ist; aus dieser Losung werden sie durch Kohlensâure aus-
illt. Sie reduzieren die ammoniakalische ►Silbersalzlôsung,
dagegen auffallender Weise sind bestândig gegen Fehling'sehe
Losung. Ihre Chlorhydrate und Xitrate krystallisiren scbon
und entsprechen s&mmtlich den empirischen Formeln
H12 N4 . 2 HC1 und C13 H12N4 . 2 HXO,.
Mit Aldehyden, Ketonen und Ketoearbonsàuren bilden die
Hydrazine cntspreehende Hydrazone; dièse sind eigelb,
krystallinisch, in Wasser unloslich, in Alkohol loslich, in an-
deren organiscben Solventieu sehr schwer loslich. Ihre Schmelz-
punkte sind sehr unscharf, meistens mit Gasentwickelung und
Schwarzun»' verbunden.
182'
305°
267-
135"
250°
191°
180° Zers.
195"
220°
Hydiazin schmilzt
Benzaldehyd .
Acetophenou .
Brenztraubensâuie
Von den vier theoretisch môglichen Chinolinbenzi-
midazolen sind zwei neue dargestèllt worden, namlich durch
Anwendung der Skraup'sehen Reaktion auf das (^)-tu und p-
Aminophenylbenzimidazol. Bei der m-Base sollten zwei isomère
ben :
RÉSUMÉS _ 183
\/\NHX \/\NH/
\/N N\/
es ist jedocb nur ein isolirt worden, Schm. 135 — 136°.
Das (P)-p Clnnolinbenzimidazol :
N
C\/\
\/\NH
\/\N
schmilzt bei 215°. Die neuen Chinolinderivate sind zweisâurige,
in organise-lien Solventien leicht loslicbe Basen. Sie entbalten,
gleicb der orto-Base ein Molekel Krystallwasser, welebes bei
105° entweicht.
28. — M. Kowalewski. Studya helminiologiczne VI. 0 czterech gatunkach
rodzaju Trichosoma Rud. (Études helmintholot/ iques VI. Sur
quatre espèces du genre Trichosoma Iïurt.j Avec 1 planche.
Présenté le 7 mai 190U.
Au début de cet article, l'auteur se déclare uour l'opinion
de Looss (15, p. 523 etc.) concernant la nomenclature behnin-
thologique et accepte en même temps la proposition de ce savant,
pour qui la loi de priorité de la dénomination des vers parasites
est obligatoire depuis l'édition de Rudolpbi: „Entozoorum sy-
nopsis, Berolini, 1819".
Puis, l'auteur appelle l'attention des belmintbologistes sur
la nécessité de décrire d'une façon beaucoup plus détaillée les
lr-4 résumés
caractère? spécifiques les plus frappants des représentants du
re Trichosoma Rud., et demande que les descriptions soient
accompagnées de dessins nombreux et exacts, surtout de la
bourse caudale du mâle dans la position latérale et neutrale,
de l'extrémité postérieure du corps de la femelle, des oeufs etc.
L'auteur donne ensuite une description, illustrée par
des dessins, des espèees suivantes: Trichosoma brevicolle Rud.
1819, T. eaudinflatum Molin. 1858, T. retusum Railliet, 1893
et T. longispiculum Sonsino, 1889. Ces espèces étant déjà
décrites par l'auteur et d'autres helminthologistës, il se contente
d'ajouter seulement aux anciennes descriptions des supplé-
ments, indispensables pour la définition exacte de ces espèces.
Dans ce court résumé on ne peut citer que quelques
détails, parce que pour bien comprendre 1' ensemble il fau-
drait étudier en même temps les dessins joints au texte,
par exemple, lorsqu'il s'agit la structure de la bourse caudale
du mâle, à laquelle sont consacrés par l'auteur à peu près la
moitié du texte et plusieurs figures (fig. 5, 6, 10, 11, 12, 13,
17, 18). Remarquons, entre parenthèses, que, dans la bourse,
l'auteur distingue à côté de la lamelle dorsale et des ailes la-
térales encore une lamelle posteloacale (1. pc. fig. 5 et 6, etc.),
formée par le bord euticulaire de la paroi ventrale du corps,
saillant en arrière de l'orifice cloacal. Dans la coque des oeufs
il trouve toujours trois couches, dont l'intermédiaire est foncée
et dépourvue s uivent de tubercules ou bâtonnets à sa surface
externe (fig. 2 et 16).
1. Trichosoma brevicolle Rud. 1819 (fig. 1 — 7), trouvé
par l'auteur dans l'intestin grêle de l'oie domestique. Aux
descriptions de ce parasite, données par Eberth (7, p. 59, PI.
VI. fig. 12, 17 et Railliet (12, p. 486) il faut ajouter: tête
séparée du reste du corps par une ligne, tégument strié en
travers; bandes latérales d'une largeur égale au tiers du dia-
mètre du corps (d'accord avec Railliet) ; vulve distante de l'ori-
gine de l'intestin environ de 120 p.; surface des oeufs souvent
nient irrégulière; spicule long de 1,7s mm. etc.
RÉSUMÉS *■ 185
2. Trickosoma caudinflatum Molin 1858 (fig. 8 — 1 1 .
trouvé par l'auteur dans l'intestin grêle de la poule.
Syn. dem. (14, p. 12): T. longicolle du faisan commun
(Phasianus colchicus L.) et du coq de bruyère (Tetrao uro-
gallus L.) du Musée de Vienne, étudié par l'auteur).
Syn. dem. (14, p. 12): T. gallinum M. Kow. 1895 (111),
p. 362," PI. VIII, fig. 18—22).
L'auteur démontre les inexactitudes et les erreurs com-
mises par Molin dans la description de ce parasite, et dans les
dessins qui y sont annexés (6, p. 330, PI. XV, fig. 17 — 18).
Selon l'auteur, le nom spécifique „ longicolle Rud." doit être
rejeté, comme appuyé sur une diagnose tout-à-fait insuffisante
(3, p. 221). A sa description ancienne de cet animal (11, p. 362
etc.) l'auteur ajoute une description du regouflement cuticu-
laire caudal de la paroi ventrale du corps du mâle, si carac-
téristique pour cette espèce, et de la bourse.
3. Trickosoma retusum Railliet 1895 (fig. 12 — 15), ren-
contré par l'auteur dans des coecums de poule.
Syn. dem.: T. longicolle Du jardin 1845 (4, p. 19), Eberth
1863 (7, p. 57, PI. VI, fig. Il) et Parona 1887 (9, p. 357,
PL VII, fig. 48, 49).
Syn. dem.: T. dubium M. Kow. 1895 (11 2), p. 361, tab.
VIII, tig. 14—17).
L'auteur constate chez son T. dubium l'existence de la
bande neutrale, pareille à celle du T. retusum Rail., et chez le
1) Mentionnons de ce travail les détails suivants sur le parasite en
question: longeur de la femelle 34 mm, dont l/i pour le cou, — du mâle
16,5 mm., dont pour le cou 5 u de la longueur totale du corps; tête séparée
par une ligne; cuticule striée en travers; bandes bacillaires latérales d'une
largeur égale au tiers du diamètre du corps: lignes dorsale et ventrale très
étroites; vulve distante de l'origine de l'intestin de 87 a.; oeufs longs de
48 à 58 u..; larges de 22 à 23 u. ; spieule long de 0,8 à 1,8 mm.; gaîne
du spieule lisse, plissée en travers.
2) On peut citer ici de cet ouvrage les détails suivants: tête séparée
par une ligne; cuticule striée en travers; spieule long de 1.21 à 1,62 mm.
RÉSUMÉS
T. retusum Rail, (sur des préparations, à lui envoyées par Mr.
Railliet) l'existence de petites épines sur la surface de la gaîne
du spicule de cet animal comme chez le T. dubium — détails lui
peimettant d'identifier ces deux espèces. Il donne ensuite
quelques suppléments à son ancienne description de cet animal
IL p. 361 etc.) et à celle de Railliet (12, p. 486): il men-
tionne que les lignes latérales du mâle durant la vie ont le
même aspect que chez les femelles (décrit jadis par l'au-
teur), c'est-à-dire, les bandelettes très étroites, claires et bril-
lantes, renfermant une rangée de champs opaques; il trouve que
la distance de la vulve à l'origine de l'intestin peut varier de
82 à 125 [7.., que la surface des oeufs est toujours plus ou
moins tuberculée, que le spicule est triquètre etc.
4. Trichosoma longispiculum Sonnno 1889 (fig 16 — 18),
provenant de l'intestin d'un Pyton molurus Gr., décédé dans
une ménagerie à Stanislawôw. Aux descriptions de ce ver,
données par îSensino (10. p. 18) et par Parona (18, p. 1, PI.
X. lig. 1 — 8) l'auteur ajoute: bandes latérales d'une largeur
égale au demi-diamètre du corps; vulve distante de l'origine
de l'intestin environ de 140 [/.. ; oeufs longs de 60 à 68 y-,
larges de 30 à 82 y..: surface externe de la couche intermé-
diaire de la coque de l'oeuf dépourvue de bâtonnets; spicule
long de 2 à 8.H2 mm.
Pour plusieurs autres détails concernant les espèces décrites
voir l'ouvrage lui-même.
29. — E. Banurowski. 0 dziaJaniu bromonitrobenzolôw na parafenylendiamin.
Ueber (fie Eintvirh'ung von Bromnitrobenzolen auf l'a-
raphenylendiantin). Vorgelegt am 7 Mai 1900.
Von den drei Xitrobenzolen reagiren auf Paraphenylen-
diamin nur <las p. und ortobn mnitrobenzol. Die Metaverbindung
me dus nach bisherigen Befunden auch zu erwarten war —
verhàlt sich dem Diamin gegeniiber vollkommen inactiv.
RÉSUMÉS _ 187
Die beiden Bromnitrobenzole reagiren auf Paraphenylen-
diamin naeh der Gleichung:
H^NH + Bl- C< H^ • N0^> = HBr- +
+ C6 H4
/NH.C6H4.N02
\NH2
d. h. es werden die entsprechenden Xitroamidodiphenylamine
gebildet. Die weitere Reaction:
kunnte nicht verwirklicht werden. so dass die Dinitrodiphenyl-
paraphenylendiamine. die Diamidodiphenylparaphenylendiamine,
als auch die Diamidodiphenylparazophenylene d. b. Korper, wel-
che im geneotiscben Zusammenhange:
/NH . C6 H4 . N02 /NH . C6 H4 . NH2
^6 ^*\NH . C6 H4 . N02 - L6 ui\NH . C6 H4 . NH,
yN . C6 H4 . NH2
-C9H4< i
\N . C6 H4 . NH2
sttinden, auf diesem Wege nicht zu erhalten waren. Aber auch
die nacb der ersten Gleichung verlaufende Reaction vollzieht
sich ziemlich trage, nie quantitativ, immer neben anderen Re-
actionen, welche zur Bildung verschiedener Producte Anlass
gaben.
Einwirkung von Parabromnitrobenzol auf Paraphenylendiamin.
Parapbenylendiamin, Parabromnitrobenzol und Xatrium
od. Kaliumacetat im mol- Verhâltnisse 2:1:1 werden im Por-
zellanmorser verrieben und in Portionen von je 20 Gr. und
10—15 Cm3 Weingeist in zugeschmolzenen Rohren auf 160° —
170° wâhrend 8—10 Stunden erhitzt. Naeh déni Erkalten
RÉSUMÉS
wurde der Rôhreninhalt in einer Porzelianschale auf dem Wasser-
bade zurn Trocknen abgedampft und der Riickstand im Sox-
let'schen Apparat mittels Eters Solange extrahirt. bis derselbe
ganz farblos abfloss. Aus der eterischen, inimer dunkelrothen
Lôsung wird reichlich ein krystallinischer graurother Nieder-
schlag abgesetzt; in der Extractionshiilse verbleibt viel von
einer grauen Masse zuriiek, welche — wie spàter erwâhnt
werden wird — wesentlich aus einem FarbstofF besteht.
Der aus der eterischen Losung abgesetzte kry*tallisirte
Niederschlag wurde vorerst auf dem Filter mit heissem Wasser
einige Maie ausgewaschen, wodurch das im Ueberschusse an-
gewandte l'araphenylendiamin vollstândig entfernt wurde, der
Riickstand wurde jetzt mit viel stark verdiinnter Salzsâure
gekocht, die Losung filtrirt. Auf dem Filter verbleibt das pa-
rabromnitrobenzol sammt einer geringern Menge von d i para-
fa rom a zo benzol, in der abfiltrirten Losung wurden beim
Erkalten zwirnartig gewundene gelbe Krystalle des chlor-
w a s s e r s t o f f s a u r e n p. n i t r o - p. a m i d o d i p h e n y 1-
a m i n s abgesetzt.
Es zeigte sich somit, dass der aus der eterischen Losung
abgesetzte Niederschlag ein Gèmenge von 4 Kôrpern war und
zwar ein Gemenge von parabromnitrobenzol, paraphenylen-
diamin, paranitro-amid( diphei ylamin und parabromazobenzol.
Das in der salzsauren Losung abgeschiedene Chlorid ist
noch immer durch kleine Mengen von Parabromnitrobenzol ver-
unreinigt, welche leicht durch mehrmaliges Auswaschen mit
Eter entfernt werden konnen; nochmals aus verdiinnter Salz-
sâure umkrystallisirt, bildete dasselbe flache, lange, blassgelbe
Krystalle, welche schon an der Luft, schneller beim Kochen
mit Wasser unter Verlust von ChlorwasserstofiF zur freien Base
uragesetzt werden, und dabei eine rothe Farbe annehmen;
woraus zu schliessen wâre, dass das p. nitroamidodiphenylamin
eine schwache Base ist.
Gefunden : Formel : verlangt.
Cl Cl =
RÉSUMÉS ^39
Ans der salzsauren Losung des Chlorids wurde die freie
iBase mittels Ammoniak als rother gut krystallisirter Nieder-
i schlag ausgefallt und aus Weingeist urakrystallisirt.
Pa r a nitro para-amidodi phenylarnin
NH/C6 H4 . N02
^^XCe H4 . N02
istellt gutausgebildete bis 0*5 cm. lange, pfirsiclibliithenrothe rae-
tallisch glânzende oberflâchlich irisirende Krystalle vor, welche
|bei 211° — 212° schmelzen und sehr wenig loslich in gewohn-
[ lichen Solventien sind. Saure Losungen sind hellgelb.
Erhalten : Théorie:
C = 62-87 C = 6298
H= 4-81 H= 518
N = 18 25 N== 18-34
Es wurden weiter folgende Derivate des paranitro para-
amidodiphenylamins erhalten:
Acetylde rivât NH<^° H* ^MO^ ^ ^ bildet sich
beim Erwarmen der freien Base mit Essigsâureanhydrid wahrend
;kurzer Zeit im Wasserbade. Das Acetvlderivat bildete naeh
|dem Umkrystallisiren aus Weingeist, gelbe bei 22;° schmelzende
Krystalle.
Erhalten : Formel Cl4 H13 N3 03
N = 15 28 N = 15.48
Paranitro- p. e t h y 1 a m ido-diphenylamin
NH\' qG o4 xtq 2 wurde durch Erwarmen der freien Base
mit Jodaethyl (1 Mol.) und Kaliumhvdrat (1 Mol.) in wein-
geistiger Losung auf dem Wasserbade bis zur neutralen Re-
action der Losung erhalten; sodann wurde der Weingeist ab-
destillirt und der Rtickstand mit stark verdùnnter Salzsaoïre
aufgenommen. In der filtrirten Losung schieden sich hellgelbe
Krystalle des Chlorids ab, aus welcher die Base mittels Am-
moniak abgeschieden und aus Weingeist umkrvstallisirt wurde.
Dunkelrothe Krystalle vom Schmelzpunkte 146°— 149°.
RÉSUMÉS
Erhalten: Théorie:
N = 16-50 N = 1634
. . , . Vlr/Ce H4 . N = CH . C6 H5
Benzylidendenvat JN.hU q g ^q^
Das Einwirkungsproduct des Benzaldehyds auf die freie Base
bildet nach dem Umkrystallisiren aus Weingest schone nadel-
formige, goldgelbe Krystalle vom Schmelzpunkte 219°. Sie losen
sich schwierig in Weingeist etc.
Erhalten : Théorie :
13-40 1325
TA- 1- -lit 1 • XTTt/Cq H. .NH2
D i p a r a d i a m i d o d i p h e n y 1 a m i n JN hK p tt -kttt
wird beim Behandeln des paranitro - paramidodiphenylamins
in salzsaurer Losung mit Zinn gebildet. Die zuletzt farblose
Lôsung hinterlâsst nach dem Entzinnen und Verdampfen das
Chlorid des Diparadiamidodiphenylamins, aus
welchem die bei 154° schmelzende Base1) wie auch des Ben-
zylidenprodukt vom Schmp. 170 dargestellt wurde.
Von den Nebenprodukten der Einwirkung von Para-
bromnitrobenzol auf Paraphenylendiamin wâren folgende zu
nennen:
D i p a r a d i b r o m a z o b e n z o 1 Br . Cc H4 . N. N. C6 H4 Br
bleibt mit Parabromnitrobenzol als der in Salzsaure unlosliche
Ruckstand. Die beiden Korper konnen leieht durcb Kochen
mit 50%-igem Weingeist getrennt werden, in welchem der
Azotkorper so gut wie unlbslich ist. Aus starkem Weingeist
umkrystallisirt, wurde er in bliittrigen Krystallen vom Schmpt.
iJi >5° erhalten und mit dem aus Parabromnitrobenzol durch
Kochen einer weingeistigen Losung mit Zinkstaub dargestellten
Diparadibromazobenzol identificirt.
l) Ann. der Chemie 803, 366.
RÉSUMÉS 191
Erhalten : Théorie :
C = 42-35 C = 42-35
H = 2-58 H = 2-26
Br = 48-66 Br = 47 06
N = 8-24 N = 8-28
Das Diparadibromazobenzol betindet sich auch noch in
der eterischen Losung neben parabromnitrobenzol und einem
basischen krystallinischen Korper, der jedoch wegen sehr ge-
ringer Menge nicht untersucht werden konnte. Er bild^te kleine
metallisch glanzende, griin gefârbte Krystalle, die sich in Eter
und anderen Solventien mit rother Farbe losen.
Wie oben schon erwàhnt worden, betindet sich in der
Extractionshulse in reichlicher Menge eine graue Masse vor,
die ausser Natrmmbromid und Acetat noch eine in Sâuren mit
rothvioletter Farbe losliche und aus diesen Losungen durch
Ammoniak als graurothlieher Xiederschlag fàllbare Substanz, die
jedoch im krystallinischen Zustande nicht erhalten werden
konnte und deshalb nicht weiter untersucht wurde.
Einwirkung von Ortobroninitrobenzol auf Paraphenylendiarain.
Die Einwirkung von Ortobromnitrobenzol vollzieht sich
etwas energischer , als der Parabromkorpers. Das Reactions-
produkt wurde wie friiher behandelt. Aus der eterischen Losung
setzte sich im Soxlet'schen Apparate ein Gemenge von Para-
phenylendiamin und ortonitroparamidodiphenylamin ab, in der
Losung verblieb ein Theil des letztern Korpers neben orto-
bromnitrobenzol und der grûnen metallisch glânzenden basischen
Substanz Das Diortodibromazobenzol wurde nicht gefunden.
In der Extractionshulse befand sich wiederum und zwar
in reichlicher Menge ein rothlich graues Gemenge von Natrium-
bromid, Natriumacetat und einem amorphtm basischen Korper,
der aus saurer Losung mittels Ammoniak gefallt im getrôck-
neten Zustande eine kupfergianzende Masse bildete. Dieser
Farbstofï wurde nicht untersucht.
Ortoni tropara midod i ph en ylamin NrK C°h!(NO>)
Bulletin V. 3
RÉSUMÉS
bildet schône, sp schwarzgefârbte, metallisch glân-
zend >!le vom Schmelzpunkte 105° — 106°, welclie vora
warmen Weingeist ziemlich leicht gelost werden.
Gefuii'k'ii
1 heorie verlang
C = 6313.
631 6
G = 62-87
H = n-22.
5-12
H= 4 81
N = 18-01,
X = 18-34
I >er Kôrper bildet mit Sâuren gutkrystallisirte Salze von
orangegelber Farbe. l>as Chlorid krystallisirt in zu Drusen
vereinigten Nadeln.
Acetyldenvat NH^Nq ' durch Er-
wârmen der freien Base mit Essigsâureanhydrid etc. erhalten
und aus Weingeist umkrystallisirt. Dunkelrothe Krystallblâltchen
vom Schmpkt 135°— 136°.
Erhalten: Théorie:
N = 15-44 N = 15-48
T-. i-i i -vttt/ Ce H, . N = CH . CL H-.
Benzylidenderivat NFKçg4 ^q '
auf freier Base und Benzaldehyd. Dunkelrothe Krystalle vom
mpkt 98°- 9D".
Erhalten: Théorie:
N : : 1301 N = 13-25.
/P H NTT
Or t o-pa ra-d i a m i il o d i p h e n y 1 a ni i n NHa qtt4, XR2
konnte aus der durch Kochen mit Zinn entfârbten Salzsâure-
Lôsung der Hase nickt in reinem Zustande abgeschieden werden.
Aus der concentrirten, mittels Ammoniak neutralisirten Losung
wurde jedoch durch Erwârmen mit gelbem Quecksilberoxyd
bekannte bei 274° schmelzende Amidophenazin x)
Berichte. 22, i)b".
RÉSUMÉS _ 193
dargestellt, so dass die Bildung des orto-para-diamidodiphe-
nvlamins bei der Réduction der paranitro-ortoaniidodiphenyla-
rnins ausser Zweifel gestellt wurde.
Es soll zuletzt erwàhnt werden, dass ich zu den I)ia-
midodiphenylparazophenylen auf dera Wege der von O. Fischer
entdeckten Nitrosaminenunnvandlung zu gelangen gedenke.
Es wâre nâmlich auf diesem Wege folgender Reactionsgang
moglich:
r „ /NH . C6 H5 /N(NO) . C6 H-,
^^Xffl.CsHj ~* u«u*\N(NO .C6H5 "*
/NH . C6 ïï4 . no /NH . C6 II 4
-* c« H±\NH . C6 H4 . NO "* ^ M^\KH . C6 H5
NH,
NH,
,N . C6 H4 . NH,
c6h4<;
H4 . NH,.
30. — E. Banduowski. 0 dzialaniu stezonego kwasu azotowego na bromo-
benzol (Ueber die Einwirkung von conc. Salpeter sauve auf
Bvotnbenzol). Vorgelegt arn 7. Mai 1900.
Bei der Einwirkung von Salpetersaure sp. G. 1*5 auf
Brombenzol werden nacb bisherigen Angaben von Hiïbner und
Alsberg !), Zincke und Walcker*) u. A. para- und ortobrbmni-
trobenzol gebildet. I. H. Coste und E. J. Parry fanden3),
dass dièse Einwirkung unter gewissen Bedingungen fast quan-
titativ verlauft und dass die beiden Bromnitrobenzole in einem
gewissen quantitativen Verhâltnisse entstehen. Beide Korper
konnen nach Angabe dieser Forschermittels 50%- gem. Wein-
*) Ann. Lieb. 156, 136.
2) Berichte 5, 114.
3) Berichte 29. 788.
194 RÉSUMÉS
gut getrennt werden, indera das Paraproduct aus diesem
mgsmittel beim Erkalten fast vollstàndig auskrystallisirt,
wogegen die Orto-Verbindung aus der Mutterlauge langsam in
Krystallen oder beim Einengen der Losung als eine olige,
langsam erstarrende Flûssigkeit abgeschieden wird.
Verfasser benôthigte grôssere Mengen an Nitrobromben-
zolen. war also in der Lage dieselben oftmals nach der iibrigens
vortrefflichen Méthode .T. H. Costes' nnd E. J. Parrys' dar-
zustellen and fand, dass sowohl die letztern, als auch friihere
Forscher ein Reactionsmoment ausser Acht gelassen batten und
zwar die s t e 1 1 i g e B i 1 d u n g von bromdinitrobenzol
n e b e n para und ortobromnitrobenzol. Folgende Ver-
suche mogen dies beweisen :
Zu den ersten in voriger Abhandlung beschriebenen Ver-
suchen wurde vom Verfasser das robe Ortonitrubenzol an-
gewendet, d. h. die olige, langsam erstarrende Fliissigkeit,
welche aus der nach Entfernung des Parabromnitrobenzols ein-
geengten Mutterlauge abgeschieden wird. Dièses Product tritt
mit dem Paraphenylendiamin âusserst leicht in weingeistiger
Losung und im Wasserbade in Reaction ein, wobei ein kry-
stallinischer, rother, ganz einheitlich ausshauender Niederschlag
abgesetzt wurde.
Bei der Analyse ergab derselbe Zahlen:
C = 49-79 H = 411 N = 19-65
aus welchen jedoch keine Formel herzuleiten ist. Jedenfalls
zeigten jedoch dièse Zahlen, dass der analysirte Korper nicht
vom Ortobromnitrobenzol derivirt, da von den zweien moglichen
Einwiikungsproducten des Ortobromnitrobenzols auf Paraphe-
nylendiamin eines. d. i. das O r to n i t ropa r a m idodiphe-
C = 62-9 H = 5-13 N = 18-34,
das zweite dagegen, das bis nun unbekannte Diortodini-
RÉSUMÉS - 195
trodiphenylparaphenylendiamin C6 H4 (NH C6 H4)N02)2
C = 61-71 H = 40 N = 16
verlangen. Daraus war schon zu schliessen, dass in dera rohen
Ortonitro brombenzol — neben dieser Verbindung noch ein
anderer Korper vorhanden ist. der eben auf Paraphenylen-
diamin in alkoholischer Losung auf dem Wasserbade einwirkt.
Dieser Schluss wurde zur Gewissheit, als sich der Verfasser
durch einen eigens angestellten Versuch iiberzeugt batte, dass
cbemisch reines Ortobronmitrobenzol mit Paraphenylendianiin
in weingeistiger Losung bei Wasserbadtempei*atur selbst nach
lângerer Zeit in Reaction nicht eintritt.
Nun die F rage — was ist dieser bis nun unbeachtete
Gemengteil des rohen Ortobronmitrobenzol? Nichts an-
deres als Bromdinitrobenzol (1 — 2—4), das analog dem Chlor-
dinitrobenzol (1 — 2— 4) 1), in weingeistiger Losung auf Para-
phenylendiamin bei der Temp. des Wasserbades einwirken
konnte. Dieser Korper entsteht wie bekannt2), beim Bebandeln
von Brombenzol mit Salpetersehwefelsaure als Hauptproduct,
konnte desbalb bei der Einwirkung von conc. Salpetersâure
als Nebenproduct gebildet werden.
Nun deriviren aus Paraphenylendiamin und Bromdini-
trobenzol (1 — 2 — 4) zwei Producte mit folgenden Percentsàtzen:
Dinitrophenyldiphenylamin und Tetranitrodiphenylparaphenylendiamin
n /NH . C6 H3 (N02)2 /NH . CG H3 (N02)2
°6 H^\NH2 (- " H/NH . C6 H3 (N02 12
C = 52-55 C = 4904
H = 3 65 H == 272
N = 20-44 N = 19-09
Wie leicbt zu erseben, stehen die Zablen, welche bei
der Analyse des Einwirkungsproductes von Paraphenylendiamin
') Nietzki und Ernst Berichte 23, 1852.
2) Korrier J. 1875.
196 RÉSUMÉS
das rohe Oitobromnitrobenzol erhalten worden sind, zwischen
denen der obenerwâhnten rnôglichen Derivate des Bromdini-
trobenzols uni war es demnaoh hochst wahrscheinlieh, das s
dièses P r o d u c t thatsâchlich e i n G e m e n g e b e i d e r
imdinitrobenzolderivate des Para phen y len-
di a m i n s b i 1 d e t.
Dieser Schluss wurde vollauf durch das Experiment be-
stâtigt und zwar auf folgende Weise: Das rothe Einwirkungs-
product des rohen ortobromnitrobenzols wurde einige Maie mit
verdiinnter Salzsâure ausgekocht, wobei beinahe die Halfte un-
gelost zurûekheblieben war.
Aus der abtiltrirten gelben Losung vvuide mittels Am-
moniak ein rother Niederschlag ausgefâllt; nach dem Umkry-
stallisiren aus Weingeist zeigte derselbe aile Eigenscbaften des
von Nietzki und Ernst l) bescbriebenen Dinitrophenyldiphe-
. . n „ /NH . C6 H3 (N02)2 ,,177 0
nylannns (6 Ha -^ vora behmpkt 1/7°.
Der in Salzsâure unlosliche Ruckstand wurde abgetroeknet,
aus Nitrobenzol umkrystallisirt und mit Eteralkobol abge-
wascben.
Es waren gut ausgebildete, dunkelrotbe hoch sehmelzendë
Krystalle, welche in gewôhnlichen Solventien und in Saur en
unluslich. in» Nitrobenzol schwer loslich waren. Die Analyse
ergab N = L8'8, wogegen die Formel eines Tetranitro-
dipheny lpa ra plie n y 1 en d ia m i n s C0H4 (NH.CGH3(N02)2
N = 1907 verlan -t.
Dieselben Kôrper wurden aucb beim Behandeln des Pa-
raphenylendiamins in weingeistiger Losung mit reineni Bromdi-
nitrobenzol (1 — 2 — 4) erhalten, so dass die Existenz des Brom-
dinitrobenzols (1 — 2 — 4) im rohen Ortonitrobrombenzol ausser
Zweifel gestellt wurde.
eh diesem Befunde war es leicht aus dem rolien Orto-
nitrobrombenzol reine Kôrper abzusondern und sogar die quan-
Berichte 23,
RÉSUMÉS - 197
titative Zusammensetzung des rohen Préparâtes zu errnitteln.
Das rohe Prâparat kann teilweise durch Destination im Dampf-
strome in seine Componenten getrennt werden; in den ersten
iiberdestillirenden Partien geht chem. reines, schon in der
Destillationsrohre erstarrendes Ortonitrobrom benzol iiber; erst
gegen Ende der Destination hat das Destillat andere Ei-
genschaften und zwar: es erstarrt viel schwieriger, so dass
es sogar in der Vorlage olig sich ansamraelt; es reagirt schon
in weingeistiger Losung auf Paraphenylendiamin.
Es ist soniit hochst wahrseheinlieh, dass Orto-
bromnitrobenzol mit Bromnitrobenzol in e i n e m
g e w i s s e n V e r h à 1 1 n i s s e zii e i n e r e h e m i s c h e n Ver-
b i n d u n g z u s a m m e n t r e t e n , welche schon bei gewohn-
licher Temperatur flûssig ist.
Eine andere Méthode zur Darstellung des reinen Orto-
bromnitrobenzols aus dem rohen Praeparate basirt darauf, dass
vom letztern das Bromdinitrobenzol durch Einwirkung irgend
welchen Korpers z. B Paraphenylendiamins in alkoholisclier
Losung auf dem Wasserbade als unlôslicher Niederschlag ab-
getrennt wird und der Ruekstand der abfiltrirten und nachher
eingeengten Mutterlauge im Dampfstroine destillirt wird.
Aut diesem Wege lâsst sich das Ortonitrobenzol quan-
titativ bestimmen. Zu diesem Zwecke wird ein abgewogenes
Quantum des rohen Prâparates mit eineni Ueberschuss an
Benzidin in weingeistiger Losung auf dem Wasserbade lângere
Zeit erhitzt. sodann naeh dem Erkalten der Niederschlag auf
ein gewogenes Filter gebracht, gut mil kaltem Weingeist ab-
gewaschen, getrocknet und gewogen. Das Product stellt, wie
Wiilgerodt 1) gezeigt, Dintropbenylbenzin NH2.C6H4.
NH.C6H3(N02J2 dar; aus seinem Gewicht lâsst sich sonach sehr
gut das Quantum des zu seiner Bildung nothigen Bromdini-
trobenzols berechnen. Auf dièse Weise fand der Vertasser,
dass im rohen Ortobromnitrobenzol die Menge des Bromdini-
trobenzols bis zu 20°/o betrâg
l) Berichte IX, 981.
KÉSUMÊS
Zuletzt moge noeh eine Angabe von Schopf1), wonach
reines < >rtobromnitrobenzol auf Benzidin in weingeistiger Losung
d bei Wasserbadtemperatur unter Bildung des Dinitro-
diphenylbenzidins C6H4 . NH2 . C6H3 . (N< >2 , einwirkt, berichtigt
werden. Die bei d en Kôrper reagiren unter diesen
Um s tan d e n g a r n i ch t a uf ei n an d e r, woraus der Schluss
zu ziehen ist. dass Schbpi zu seinen Versuchen ein Bromdini-
trobenzolhaltiges Praeparat angewendet batte und dass das von
Schopf erhaltene Einwirkungsproduct trotz der analytischen
fur Dinitrodiphenylbenzidin sprechenden Daten niclits auderes
als das von Willgerodt besrhriel.ene bei 24:")° sehmelzende
Dinitrophenylbenzidin NH2 . C6 H4 . C6H4 . NH . C6 H3 (NO,)2
orewesen war.
31. -- T. Emilewicz. 0 fenyliminach oksyacetofenonôw. débet' l'henij-
limine van Oayyacetophenonen). Vorgelegt am 7. Mai 1900.
Wàhrend die Condensation der aromatischen Aldéhyde
mit primâren aromatischen Arainen stets fast ausserordentlich
leieht im Sinne der Grleichung
R. CHO + ILX Kx = H20 - RCH : N - Rj
verlàuft. so gelingt eine Condensation der aromatischen Ketone
mit Anilinbasen unter den gleichen Bedingungen nicht. AYie
es Graebe und seine Schiller2) vor ca. einem Jahre gezeigt ha-
ben lassen sich die Derivaten des Benzophenons direct mit Ani-
lin d 'n. aber nur dann leieht, wenn sich in denselben
ein < >H : OCH3 ; CH3;C1; et cet. in ortho-Stellung zur Car-
bonylgruppe (CO) betindet.
Ein ganz analoges Verhalten zeigen nun die Osy-aceto-
plunone. Die unten angegebenen Condensationsproducte wurden
Berichte XXII. 904.
Ber. der Deut. Chem. Gesell. B. 32. (1899.) S. 1675— 1GS8. Ju-
niheft.
199
durch Erhitzen von einen o- Oxyacetophenonen mit iiberschûs-
sigem Amin auf eine Temperatur von 180° — 200° durch etwa
10 — 20 Minuten dargestellt. Sie bilden aile schôn aus Alkohol
oder Benzol krystallisirende Veroindungen, die durch verdiinnte
Sâuren oder Alkalien besonders beim Kochen leicht zersetzt
werden.
Es wurden Condensation sproducte ans déni Resacetophe-
non. Chinacetophenon, Gallacetophenon, und dem a- Aceto-na-
phtol dargestellt, wârend aus dem p- Oxyacetophenon und aus
Acetobrenzkatechin keine Phenylimine erhalten werden konnten.
Resacetophenon-phenylimin
C6H3(OH,2~C = N-CcH5
CH3
Kurze gelbe abgestumpfte Saulen aus Benzol, oder Nadeln aus
Alkohol vom Sm. P. 205—206°. Ziemlich leicht loslich im Alko-
hol, schwieriger im Benzol. Wird durch verdiinnte Sauren oder
Alkalien in Resacetophenon und Anilin gespalten.
Resaeetophenon-o-tolylimin.
C6H3(OH)2-C = NC6H4
CH3 CH3
Gelbe Krystâllichen wie beim Vorigen aus Alkohol oder Benzol
vom Sm. P. 169-170° C.
Besacetophenon-p-tolylimin , Gelbe Nadeln (aus Alkohol)
vom Sm. P. 182 183° C.
Resacetophenon-fi-nophtylamin,
C6H3(OH)2-C = N-C10H7
l
CH3
Gelbe Blattchen aus Alkohol Sm. P. 206—207° C.
( '/'/ inacetophenon-phenylimin
C6H3(OH)2-C = N-C,;H5
CH3
Orange-gelbe Blattchen aus Benzol vom Sm. P. 198°, sintert
gegen 181°.
RÉSUMÉS
Ghinacetophenon-p.-tolylim i a
M OH)2-C = NC6H4-CH3 (P).
CH3
Orange-gelbe Blâttchen aus Benzol vom Sm. P. 165°.
Gallacetophenon-phenylimin,
ïï2(OH)3-C = N-C6H5
CH3
Lange orange-g<dbe Nadeln aus Alkohol Sm. P. 171 — 172°.
GaUacetophfjn<>i)-[>-folyh'inin
B2(OH),-C = N-C6H4-CH3(p).
CH3
Oliven-gelbe Nadeln oder Prismeri aus Alkohol. 8m. P. 172 — 1730.
'j-Acetonaphtol-phcinjU mi a
XC = NC6H5
CH3
Lange, diinne Nadeln oder Blâttchen aus Alkohol vom Sm. P.
118—119° C.
y- Acetonaphtol-p-tolylim in
X)l\
XC = N-Cr>H4-CH3 (p)
< Il
Citronen-gelbe Nadeln aus Alkohol vom Sm. P. 125° C,
y.- Acetonaphtol-o-tolijl i m in
OH
C10HG<
C = NC6H4CH3 (o).
CH3
i-gelbe Nadeln aus Alkohol vom 118— 1 19° C. Sm. P.
x-Acetonaphtol-$-naphtylimin
RÉSUMÉS *■ 201
.OH
CioH6s
\C = N-C10H7 (S).
OHg
Intensiv-gelbe Nadeln aus AI kohol vom Sm. P. 1n2 — 153°.
Sie lôsen sich f'ast aile in concertrirter Salzsâure beim
Erwàrmen; beim Erkalten krystallisiren nach einiger Zeit Pro-
ducte, die wahrscheinlich Chloride (1er Phenylimine vorstellen,
und die beim Trocknen an der Luft sehr leicht Salzsâure ver-
lieren.
32. — T. Browicz. 0 budowie naczyii wJoskowatych i ich stosunku do komô-
rek watrobnych. (Ban der intraacinôsen Blutcapillaren und
ihr Verhaltniss zu den JLéberzellen). Mit 1 Tafel. Vorgelegt
ara 7. Mai 1900.
Als weitere Folge seiner Untersuchungen liber die Histo-
logie der Leber, berichtet der Verfasser beztigiicb des Baues
der intraacinôsen Blutcapillaren und ihres Verhâltnisses zu den
Leberzellen nacbstehendes 1).
Das Netz der intraacinôsen Blutcapillaren ist âusserst
zahlreich. Blutcapillaren, hauptsâchlich quere Verbindungsâste,
Queranastomosen sind zahlreicher als man es gewohnlich an-
nimmt. Sowohl die nie^hanischen als auch physiologiscben In-
jectionen lassen stets bei anscheineud nocb so gutem (ielingen
die Moglichkeit zu. dass Theile der Cnpillaren ungefiillt geblieben
sind. Deshalb entgehen zahlreiche Queranastomosen der Auf-
merksamkeit, welche — wie sich der Verfasser an Bildern aus
pathologischen Lebern, in welchen die intraacinôsen Blutcapil-
laren erweitert und blutleer waren, iiberzeugt bat — wirklich
existiren, was schon auf der Fig. 1 zu sehen.ist, welcbe nur
einen Theil des Leberacinus bei starkerer Vergrosserung dar-
stellt *).
M Hârtung in lJ" 0 Fcrmalin. Gefrierschnitte.
!) Wir wissen, dass unseren Untersuehungsmeth>>den iiberhaupt Fehler
anhaften, die darin bestehen, dass sie manchmal uuseiem Auge Gegeu^tiiml e
202 rési
Dièse Queranastomosen erseheinen unter mikroskopischen
ihiedenartigen Aussehens.
2 stellt einen Lângs- und Querschnitt erweiterter
blutleerer Blutcapillaren dar. Am Làngsschnitte sieht mari
rechts eine sinuose Einbuchtung, welche zwischen die Leber-
zellen eindringt, am âusseren Ende anscheinend blind endigt.
Zwischen dem blinden Ende dieser capillaren Einbuchtung und
dem linken Tbei] des Umfanges des Querschnittes liegt zwischen
den Leberzellen ein querliegender Zellkern, weleher dem nicht
sichtbaren nicht in die Schnittebene fallenden Iheil der Blut-
capillarenwand angehort. Der rothlich gefârbte Theil am Làngs-
sclinitte der linken Capillare entspriclit dem Cytoplasma der
Wandzel
entziehen. die doch vwhanden sind. Die gangbaren Injections-, lmpràgnations-
und Tinctionsniethoden decken mis nicht aile Einzelheiten des Baues der
be und Zellen auf. Manche Einzelheiten lassen sich mit dieseri Me-
thoden an physiologischen Objecten nicht aufdecken, (lies kann jeder aus
i r Erfahnmg bestâtigen. Der Verfasser rerweist au! die Kittsubstanz
der Muskelzellbalken des Herzens. Mittelst der Imprâgnationsmethode ge-
langte man nur zur Kenntniss der Existenz einer Kittsubstanz zwischen
den Muskelzellen. Man kann die Muskelzellen der Herzbalken kiinstlich
trennen An pathologischen Objecten gewahrt man dagegen, dass die Kitt-
inz einen, wie ihn der Verfasser genannt bat, stâbchenformigen Bau
besitzt, was mittelst der gangbaren Untersuchungsmethoden und an physio-
logischen objecten nicht eruirbar isr (Ueber das Verbalten der Kittsubstanz
der Muskelzellbalken des Herzens in pathologischen Zustànden. Frzeglad
lekarski und Wiener K lin. Wochenschrift 1889, Ueber die Bedeutung der
Verânderungen der Kittsubstanz der Muskelzellbalken des Herzens, Prze-
glad lekarski und Virchows Archiv 1893 Prz< wôski bat spater das Thema
weiter behandelt und diesen Bau nâher pràcisirt (Gazeta lekarska 1893).
l.)ie Kesultate, zu denen der Verfasser bei seinen Untersuchungen der Leber
i und welche fast ausschliesslich auf der L'ntersuchung patholo-
basirl sind, bekràftigen den Verfasser in der Ansicht, dass
Qgbaren histologischen Untersuchungsraethoden noch auch
pathologiscbe Bilder der Gewebe und Zellen benicksichtigt werden sollten,
wodurch manches beziiglich des Baues und der Function der Zellen und
be aufgeklàrl werden wird, was, obwohl vorhanden, uns unbekannt
bleibt. Selbstverstàndlich konnen dabei nur eutsprechend ausgewâhlte Ub-
uid Bilder in Rechnung gezogen werden.
RÉSUMÉS 203
Fig. 3 stellt wieder einen Lângs- und Querschnitt zweier
Blutcapillaren dar. welclie anseheinend durch eine zwischen
die Leberzellen eingeschobene Zelle getrennt sind. Dièse Zelle
entspricht wieder einer Capillarwandzelle, deren Kerne Iiber-
haupt sich mit Hàmatoxylin st&rker farben als die Kerne dër
Leberzellen. so dass scbon dièses tinctorielle Verhalten die-
selben von den Leberzellen unterscheidet.
Fig. 4 stellt abermals einen Lângs- und Querschnitt zu
Blutcapillaren, welche durch eine zwischen die Leberzellen
gelagerte dreieckige Zelle verbui den sind. Eine weitere Bild-
forni der Wandzellen der Blutcapillaren ist von der Schnittrich-
tung abhângig.
Die von Kupffer erwàhnten Fortsâtze der Wandzellt-n
gehoren eben den Queranastomosen an, stellen Theile von Blut-
capillaren dar. von welchen je nach der Schnittrichtung nur
kleine Theile zum Vorschein gelangen.
Fig. 5 stellt eine in Form einer rothen (fuchsingefârbten)
Linie bestehende Verbindung zweier Blutcapillaren dar, in
deren Verlauf ein lânglicher Kern sichtbar ist. Vom Cyto-
plasma der Zelle, zu der der sichtbare Kern gehort. sieht man
keine Spur. Auch dieser Kern gehort einer Wandzelle der
Blutcapillaren an, welche Blutcapillare ganz leer und zusammen-
gefallen ist und deren Wande ganz dicht aneinandcrliegen.
Dièse verschiedenen Bilder riihren davon her, dass er-
weiterte. offene oder leere und zusanmiengefallene Blutcapillaren
in verschiedenen Ebenen in die Schnittrichtung gelangen, wo-
durch sogar ein solches Bild zum Vorschein kommt, wie es
die Fig. 6 darstellt, wo weder vom Lumen noch vom Kern
der Wandzelle nichts zu sehen ist, wo die zusammengefallene
Blutcapillare, welche die beiden auf beiden Seiten des Zell-
balkens gelegenen Blutcapillaren quer verbindet. als eine rothe
Linie erscheint.
Die an ungefârbten mikroskopischen Leberprâparaten
sichtbaren Linien, die sogenannten Zellgrenzen, und zwar die-
jenigen, welche zwischen zwei Blutcapillaren ausgespannt sind
und quer zur Achse des einreihigen Leberzellenbalkens ver-
204 MÉS
laufen, konnen also auch das Bild zusammengefallener Blut-
llaren darstellen. Nieht aile an ungefârbten Pfàparaten
dunk-el, ;in mittelst van Giesons Méthode roth gefàrbten Linien
chen den Leberzellen. sind der Ausdruck von intercellur
j.n vgl. Qeber den Bau der intercellulàren
Gallengânge und ihr Verhâltniss zu den intraacinosen Blut-
capillaren. Anzeiger der Akad. d. W. in Krakau, Jânner 1900);
ein Theil cntsprk-ht auch leeren, zusammengefallenen Blut-
capillaren.
Auf der Fig. 1 ist das Bild eines Theiles eines Leber-
istellt, von einer Leber. in welcher das intralobu-
lâre Blutcapillarennetz erweitert und blutleer angetroffen worden
woran • offene Queranastomosen zu sehen sind.
.Mau sieht weiter anscheinend blind endigende Capillaren. An-
scheinend blind endigende, demi in Wirklichkeit existirt dies
nicht und nach der Ansieht des Verfassers in keinem Gefâss-
ni. welcher Art auch immer, sei es Blut- Lymph- oder
Gallencapillarensystem. An vielen Stellen. an welchen solehe
anscheinend blind endigende Blutcapillaren vorzukommcn
scheinen, erseheint bei Aenderung der Einstellung des Mikro-
skope>. dass «lie Capillare deutlich weiterlàuft. Auf dieser
Figur 1 sieht nian weiter. dass die Capillarwand von déni
ilen Rand der Leberzellenreihen abgelôst ist, was in patho-
schen < >bjecten ofters beobachtet wird und wodurch die
Capillarwand distinct zum Vorschein komrat. Derlei Bilder
bezeugen, dass die Blutcapillarwand ans einer einfachen Lage
'lit. D. r Verfasser muss seinen frûheren (Ueber intravascu-
1 are Zellen in den Blutcapillaren der Leberacini. Anzeiger
d. Akad. d. W. in Krakau. April 1898 und Arehiv f. mikr.
Anatomie, 1900. Bd. ôô Ausspruch von der Existent einer
illarwandlamelle zuriickiiehnien, obwohl er daselbst
ausdriicklich âussert, dass auch zweifellos Bilder existiren,
welche fur eine Einzellage sprechen. Kupffer i Ueber die soge-
- rnzellen der Sâugethierleber. Arehiv f. mikr. Ana-
' behaupl seine Sternzellen, des Verfassers
culâre Zellen, dit eigentliche Wand der intraacinosen
RÉSUMÉS - 205
Blutcapillaren bilden und der Verfasser muss Kupffer auf Grund
seiner weiteren Untersuchungen in diesem Punkte beipflichten.
In der genannten Arbeit erwàhnt jedoch Kupffer selbst, dass
bei âlteren Thieren nicht selten die Capillarwand verdickt er-
scheint und man an solchen Objecten eine Doppeliage der
Wand deutlieh nachweisen kann. Es komnien Bilder vor, wie
z. B. auf der Fig. 7, wo man an der Capillarwand, an ihrer
ausseren FJâche an mittelst van Giesons Méthode gefftrbten Pra-
paraten einen rothen fuehsingefârbten Saum, der in Gestalt einer
feinen Linie bis zu einem breiten deutlieh faserige Structur
aufweisenden Bande erscheint und weiter nach aussen den Rand
der Leberzellenreihe sieht. Auf déni Bilde liegen aile drei Ob-
jecte getrennt, so dass dieselben sehr distinct auftreten. Dièse
anscheinend âussere Capillarwandlamelle verlàuft jedoch nach
rechts zwischen die Leberzellen. Das sind Theilstiicke von
Gitterfasern. welche vom interlobulàren Bindegewebe in die
Leberacini eindringen und welche man in derselben Schnitt-
ebene mit den Durchschnitten der Blutcapillare manchmal wie
auf der Fig. 7 zu sehen bekommt. Bilder auf der Fig. 1
weisen also nach; dass die Blutcapillarwand aus einer Einzel-
lage von Zellen besteht, fur welche der Verfasser als die ent-
sprechendste die Benennung „Wandzelle" erachtet. welche jedoch
nicht an allen Abschnitten der Capillarwand ein gleiches Aus-
sehen darbieten.
An den einen Abschnitten erscheinen dieselben als platte
mit platten Kernen versehene Zellen, an anderen Abschnitten
erscheinen die Zellen dieker, wie gequollen, ragen stark in
das Lumen der Blutcapillare hinein, wobei an ihrer intrava-
salen Flâche nicht selten feine Fortsatze vorkommen. welche
in das Lumen der Capillare hineinragen. Dass an vieleu Ab-
schnitten der Blutcapillaren auf lângeren Strecken keine Kerne
zu sehen sind und die Capillarwand als einfacher, diinner Saum
erscheint, hangt natiirlich nur von der Schnittrichtung her (vgl.
Fig. 1). In diesen in das Capillarlumen hineinragenden Wand-
zellen kommen — und nur in diesen. worauf Kupffer und der
Verfasser gleichzeitig aufmerksam wurden — Erythrocyten vor.
RÉSUMÉS
In der Leber von Hunden, denen subcutan Toluilen-
diarain eingefuhrt worden ist, iindet ruan, da durch die Ein-
wirkung des Toluilendiamins im kreisenden Blute Erythrocyten
aufgelôst werden uud Hamoglobin in Losung kommt, in den
Wandzellen ausser den Erythrocyten auch braunes amorphes
oder krystalliniscb.es Pigment, also mikroskopisehe Spuren des
von den Wandzellen eingesogenen diissigen Hâmoglobins. Dies
Bild entspricht dem Bilde, welch.es man sowohl in Hundelebern
nach Einfiihrung von Hiimoglobinlosung in die Blutbahn, als
auch in Muscatnusslebern des Menschen zu sehen bekommt,
ffn in den Leberzellen mikroskopisehe Spuren von in die
Zellen gelangten Hâmoglobins im Cytoplasma als auch ira
Kerne der Leberzellen nach Formalinhârtung vorkommen,
Spuren in Gestalt von braunem amorphen oder in Form braunen
nadell'ormig krystallinischen Pigmentes, welches modificirtes
(Methàmoglobin oder Hâmatin ?) Hamoglobin ist. (Vgl. Intra-
cellulaire Gallengànge in den Leberzellen etc., Ueber Befunde
im Kerne der Leberzellen etc., Krystallisationsphànomene in
der Leberzelle, das mikroskopisehe Bild der Leberzelle nach
intravenoser H&moglobininjection, Intususception der Erythro-
cyten durch die Leberzellen etc., Anzeiger d. Akad. d. Wissen-
schaften in Krakau, Màrz, April 1897, April, November 1898,
Juli 1899).
Nebenbei sei erwâhnt, dass, was ja im voraus zu er-
warten war, in Folge des durch die Einvvirkung des To-
luilendiamins in Losung befindlichen Hâmoglobins nnd der
leichten Krystallisirbarkeit des Hnndehamoglobins. in den Blut-
capillaren der Acini neben Erythocyten auch Hâmoglobinkry-
stalle anzutreffen vvaren, ebensolche Krystalle wie
in den Kern en der Leberzellen des Hundes. (Vgl.
Wie und in welcher Form wird den Leberzellen Hamoglobin
zugeftthrt. Anzeiger d. Akad. d. Wissenschaften in Krakau,
Juni L897).
Dieser Umstand beweiset nun, dass dièse Zellen aus dem
Blute morphotische Bestandtheile, wobei moglicherweise analog
der Rolle der Fortsâtze an den Leucocvten die an der intra-
RÉSUMÉS 207
vasalen Flâche derselben vorkommenden Fortsatze einen thà-
tigen Antheil niitspielen, als auch in Losung befindliche Sub-
stanzen aufnehmen. Auf Grrund der leicht nur in diesen Zellen
eruirbaren Anwesenheit von Erythrocyten und Hâmoglobin-
spuren erachtet der Verfasser die^elben als das Bild von in
dera Zeitmomente, wann das Gevvebe zur Untersuchung ent-
nomraen worden ist, thâtigen Zelien, wàhrend die platten Zellen
als zu derselben Zeit ruhende anzusehen wâren, demi nicht
aile Zellen innerhalb eines Gewebes sind stetig und gleieh-
zeitig thâtig, es existirt eine Arbeitstheilung, was die Zeit
anbelrifft.
Der active Antheil der Wandzellen an der physiologischen
Transudation aus dem Blute in das Gewebe, respective in die
Leberzelle wird nicht auf einem Durchsickern der Blutbestand-
theile durch die Wandzelle hindurch beruhen. Die Wandzellen
konnen die physiologische Transudation reguliren, was die
Menge und Art der Blutbestandtheile anbetrifft.
Auffallend erscheinen derlei Bilder, wie auf der Fig. s.
wo anscheinend innerhalb des Leberzellenbalkens eine grosse,
rundliche mit tiefer blau als die Kerne der Leberzellen
gefârbtem Kerne, welche Zellen Gallenablagerungen enthalten
und von der Blutcapillare durch einen Saum des Cytoplasmas
getrennt erscheinen. Bei geânderter Einstellung des Mikroskopes
verschwindet dieser Saum des Cytoplasmas und es erscheint
ein Fortsatz des Cytoplasmas, Fig. 9, gegen die Blutcapillare
zu gerichtet, welcher Fortsatz innerhalb eines Kanales liegt.
Auf Grund âhnlicher Uebergangsbilder, welche nicht selten
angetroffen werden, erachtet der Verfasser auch dièse Bilder
als Durchschnitte von Wandzellen. als integrirenden Theil der
auf dieser Schnittebene nicht sichibaren Blutcapillaren, welche
hoher oder tiefer als die Schnittebene verlaufen. Das dem so
ist, darauf deutet auch das Bild auf der Fig. 10, wo das Cyto-
plasma der Wandzelle links eine Hervorwolbung zeigt, welche
in einer Einbuchtung der Leberzellen liegt und Grallenabl
rungen enthalt. Derlei Bilder, wie auf der Fig. 8, 9 und 10
zeigen eine ziemliche Mannigfaltigkeit. was von der Schnitt-
4
208 RÉSUMÉS
richtung und der Lage der Objecte in verschiedenen Ebenen
herriïhren kaun. Die Capillarwand Liegt der Capillarflâche der
Leberzellen dicht (wie z. B. auf Fig. Il) an und schon in
seiner Arbeit unter dem Titel: Wie und in welcher Form wird
den Leberzellen Hàmoglobin zugefiihrt (Anzeiger d. Akad. d.
Wissenschaften in Krakau, Juni 1897), nahm der Verfasser
einen innigen Zusammenhang zwischen den Blutcapillaren und
den Leberzellen an, weil ja anderenfalls das Hineingelanyen
der Erythrocyten in die Leberzelle nicht erklart werden konnte,
vvorauf ja auch die Injectionsergebnisse von Fraser und
Nauwerok hinweisen.
lu Fàllen von acutem Icterus, welchen man beim Hunde
z. B. mittelst Toluilendiamin hervorrufen kann, als auch in
Fàllen chronischen Icterus beim Menschen, gevvabrt man, dass
in den Wandzellen der Blutcapillaren Gallenablagerungen vor-
kommen, und zwar sowohl in den der vasalen Flâcbe der
Leberzelleureihe dicht anliegenden Wandzellen, als auch in
den abgetrennten und im Lumen der Blutcapillaren liegenden
Wandzellen. In der oben genannten Publication iiber die intra-
vascularen Zellen in den Blutcapillaren der Leberacini erwâhnt
der Verfasser, dass sich die Wandzellen leicht abtrennen und
frei im Lumen der Capillare liegen. Derlei gallebeladene Wand-
zellen stellen die Fig. 11, 12, 13 und 14 dar.
Woher und wie gelangt Galle in die Wandzellen? Dies
konnte auf zweierlei Weise zu Stande kommen. In der im
Anzeiger d. Akad. d. Wissenschaften in Krakau im Janner
1900 erschienenen Publication iiber den Bau der intercellularen
Gallengànge und ihr Verhaltniss zu den Blutcapillaren, gab
der Verfasser an, dass im Falle einer Polycholia pigmentaris,
einer Ueberfullung der intercellularen Gallengànge, die sehr
feinen Wandungen der intraacinosen Gallengànge, welche an
der Wand der Blutcapillaren liegen, sowie die Wànde der
Blutcapillaren in Folge des in den intercellularen Gallengângen
stattfindenden Druckes leicht einreissen, Galle sich in das Blut
ergiesst und auf dem Blutwege in den allgemeinen Kreislauf
gelangt. Das Blut enthalt in dem Falle wenijrstens zeitweise
RÉSUMÉS _ 209
iïi der Blutflussigkeit gelostes Gallenpigment, welches von den
Wandzellen eiugesogen und wahrend seines Aufenthaltes in
der Wandzelle in Folge seiner Farbe zu sehen ware. Oder es
kônnte von aussen von der Leberzellenreihe her Galle in die
Wandzelle hineingepresst werden, welcher Modus dem Ver-
fasser aus nachstehenden Grtinden wahrscheinlieher erscheint:
Dass von den mit Galle ûberfiillten intercellularen Gallengàngen
her Galle in das Blut gelangen kann, das ist an entsprechenden
patbologiscben Objeeten leicht zu constatiren und dies illustrirt
die Fig. 15, auf welcher an zwei Stellen das sich Eingiessen
der Galle aus den intercellularen Gallengàngen ganz deutlich
erscheint. Dass Galle in Fâllen chronischen Ieterus in die Blut-
capillaren gelangt, dass Endothelzellen also Wandzellen der
Blutcapillaren Gallenablagerangen enthalten konnen, ist ja schon
bekannt und Ziegler reproducirt in seiner pathologisehen Ana-
tomie ein solches Bild. Auf der linken Seite derselben Fig. 15
sieht man eine hart dem erweiterten leeren intercellularen
Gallengange anliegende Wandzelle, in welche aus déni iïber-
fiïllten Gallengange Galle hineingepresst werden kônnte. Das
Bild auf der Fig. 16 wiirde dafiir sprechen. Man sieht eiuen
directen Zusammenhang zwischen der Gallenablagerung im
intrabeculâren und intercellularen Gallengange und der galle-
beladenen, abgelosten. formveranderten. innerhalb der Aus-
buchtung der Blutcapillare gelegenen Wandzelle.
In seiner Publication tiber die Ernâhrungswege in der
Leberzelle bat der Verfasser die Ansicbt ausgesprochen, dass
in der Leberzelle neben den intracellulâren Gallenwegen als
Ausfuhrswegen noch intracellulâre Ernâhrungswege, Einfahrs-
wege. existiren miissen, mittelst welcher Ernahrungs- und Func-
tionsmaterial aus dem Blnte in die Leberzelle gelangt und
dass ein inniger Zusammenhang zwischen den Leberzellen und
Blutcapillaren anzunehnien ist, Auf der Fig. 17, 18 und 19
sieht man zwischen den von der vasalen Flâche der Leber-
zellenreihe abgelosten und gallebeladenen Wandzellen und den
Leberzellen eine directe Verbindung mittelst eines galligen
Cylinders, dessen ein Ende innerhalb der Wandzelle, das
210 RÉSUMÉS
andere innerhalb der Leberzelle liegt unrl der Verbindungstheil
dieser galligen intracellulàren Einlagerungen liegt frei in dem
die beiden einander zugekehrten Zellenflâchen trennenden Spalt-
raum, der erst durch die AblSsung der Wandzelle entstanden
ist, im normalen Zustande niclit existirt, da ja, wie oben aus-
drucklich hervorgehoben ist, die Wandzellen der Blutcapillaren
der vasalen Flâche der Leberzellen dicbt anliegen.
Es kommen aucb im Lumen der Blutcapillaren frei lie-
gende Wandzellen vor, von deren Oberflâche, wie z. B. auf
der Fig. 14 ein galliger Fortsatz, gleichsam ein Ausgusscylinder
eines Canâlchens hervorragt, welchen galligen Ausguss die
sich ablôsende Wandzelle ans dem intercellulâren Gallengange
oder ans der Leberzelle gleichsam liera usgezogen hat.
I )er unmittelbare Zusammenhang zwischen den galligen
Einlagerungen in den Leberzellen und in den Wandzellen
wiirde also fiir eine Absonderung von Galle aus den Leber-
zellen gegen die Blutcapillaren hin sprechen, was ja normaler-
weise nicht stattliat. Derlei Zusammenhang lâsst sich nicht oft
beobachten, in der Regel sieht nian an pathologischen Objecten
mit Galle iiberfûllte intercellulare Gallengange und gallebeladene
Wandzellen, wâhrend die Leberzellen ganz oder fast ganz
frei sind von Galleablagernngen oder man sieht die Galle-
ablagerungen nur <>der fast nur in den Leberzellen.
Dièse anormale Absonderungsrichtung hângt, nach der
Ansicht des Verfassers, mit der von ihm angenommenen Exi-
stenz von Ernàhrungswegen zusammen und in der Abhandlung
iiber die Ernâhrungswege in der Leberzelle (Anzeiger d. Akad.
• 1. Wissenschaften in Krakau, .Juli 1899) befindet sich folgender
Passus: „Auch fiir die Pathologie der Leber, eventuell der
Leberzelle ware die Annahme besonderer mit den Blutcapillaren
in enger Beziehung stehender Ernahrungseanâlchen wichtig.
Die sehr nahe Lage der intracellulàren Gallen- und Ernah-
rungseanâlchen liesse bei Gallenstauungen in der Leberzelle
linen intracellulàren Durchbruch von den Gallencanâlclien
m die Ernahrungseanâlchen denken, was beim Mangel irgend
weleli.r mechanischer Momente innerhalb oder ausserhalb der
RÉSUMfcS ^ 211
Leber das Auftreten von Icterus in gewissen Fallen leicht er-
klàren wiirde".
Liebermeisters Auffassung des akathektischen
Icterus, P i c k s Paracholie, Minkowskis Parapedesis
der Galle wûrden in dera Baue der Leberzelle, der Existenz
besonderer intracellularer Einfuhr- und Ausfuhrwege in den
oben angefiïhrten mikroskopischen Bildeni der Leber- und
YVandzelle eine Begriindung durch das Mikroskop finden, wozu
noch das Verhâltniss der intercellulâren Gallengange zu den
intraacinosen Blutcapillaren hinzukommt, wodurch das Gelangen
von Galle in die Blutcapillaren moglich wird
Auf der Fig. 12, 13 und 14 siebt man, dass die inner-
halb der Wandzellen vorlindlichen Gallenablagerungen niclit
diffus auftreten, dass die Zelle nicht von Galle durchtrânkt
ist, wie das an todten, dem Einfluss der Galle ausgesetzten
Zellen der Fall ist. Ira Gegentheil erscheinen die galligen Ein-
lagerungen scharf abgegrenzt in Form von Kugeln, ovalen,
lanr,lich-ovalen, ja selbst sich verzweigenden und sehr oft bis
ar den Rand der Wandzelle reichenden Einlagerungen. Es
f.cheint die Lage und Form der galligen Einlagerungen von
Spalten, Rauraen, Gângen oder Canâlchen innerhalb der Wand-
zelle abzuhângen. Lage und Form der galligen EinJagerungen
innerhalb der Wandzellen entsprechen den Bildern, welcue man
sclion in den Leberzellen kennt. Es wiirden darnach in den
Wandzellen der Blutcapillaren, also in Zellen anderer Gattung
als die Leberzellen âhnliche Gange oder Canâlchen existiren
wie in den Leberzellen (Vgl. Zur Frage der Herkunft des
Melanins in Melanosarcoraen, Anzeiger, Mai 1898).
Wenn nun zwischen den Leberzellen und den Wandzellen,
welche die alleinigen histologischen Bestandtheile der Wand
der intraacinosen Blutcapillaren bilden, ein inniger Zusammen-
hang existirt, so kônnen Lymphgefàsse in der Form und An-
ordnung, wie sie allgemein beschrieben und angenommen
werden, nicht existiren und wenn auch der Verfasser nicht so
weit geht wie Teichmann (Seine nach dessen Tode gedruckte
Abhandlung tiber die Lymphgefàsse der serosen Haute, der
2V2 RÉSUMES
Lunge und der Leber. Abliandlungen der Akad. d. Wissen-
sehaften in Krakau, 1899, Bd. Hi), welcher behauptet. dass
innerhalb der Leberacini iiberhaupt keine Lymphgefâsse sich
vorfinden, so erachtet er, dass die Frage der Lymphgefâsse in
den Leberacini von neuem griindlich behandelt werden muss;
perivascul&re Lymphrâume, worauf der Verfasser schon hin-
gewiesen liât (Anzeiger, Jânner 1900) existiren ganz sieher
nicbt.
iNakiadein Akademii Umiejetnosci
pod rcdakeyn Sekretarza generalaego Stauisiawa Smolki.
Krakow, 1900. — Drukarnia Uniwersytetu Jagielloiiskiego, pod zarzadero J. Filipowskieg.
15 Czerwca 1900.
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BULLETIN INTERNATIONAL
DE L'ACADÉMIE DES SCIENCES
DE CRACOVIE.
X" 6. Juin 1900.
Sommaire: Séances du 18 et 24 juin 1900. — Résumés: 33. F. Bn-
jak. Calimaqne et les notions qu'on avait en Pologne sur l'Empire ot-
toman, au commencement du XVl-e siècle. — 34. C. Zakezew.-,ki. Sur
la force électromotrice produite par le mouvement du liquide dans un
tube de verre argenté. — 35. L. Bôttchek. Sur le déterminants de G
Séances
^ —
('lasse «le Philologie
Galice du 18 juin 1900
Présidence de M. C. Morawski
Le Secrétaire présente les dernières publications de la
Classe:
»Biblioteka pisarzôw polskich. Stanistawa ze Szczodrkowic Rozmowa
o niektcrych ceremoniach koscielnych* {Bibliothèque polonaise. Dialogue sur
les cérémonies ecclésiastiques) (de 154c), 8-0, p. 78.
T. Estreichee >Globus Biblioteki Jagiellonskiej z poczatku XVI \v.«
(Un globe du commencement du XVI siècle a la Bibliothèque de l' Université de
CracovieJ avec 3 planches, 8-0, p. 18.
Jean Fjjaï,kk. »Mistrz Jakôb z Paradyza i Uniwersytet krakowski
w okresie soboru bazylejskiego* (Jacques de Paradis et l'université de Cra-
covie a l'époque du concil de BâleJ, 8-0; I. vol. p. 448, II. vol. p. 423.
J. Kaklowicz. >Stownik gwar polskich< (Dictionnaire des dialectes
polonais), vol. 1. A — E, 8-0, p. 454.
M. Kawczynski. »Apulejusza Metamorfozy czyli powiesc o zlotym
Osle« Les Métamorphoses ou l'Ane d'or d'Apulée), 8-0, p. 11"
214 SÉANCES
B. Kruczkikwicz. > Pétri Royzii Maurei Alcagnicensis Carmina«.
11, pars II. p. 310.
w-^ki i J. Baudouin de Courtenay. >Melodye ludowe litew-
skie* (Mélodies populaires lithuaniennes, I. Partie. 4o p. XLIV et 24S.
Texte et musique.
L. Stkknbach. >Analecla avarica< 8-o, p. 69.
M. C. Morawski présente un travail de M. S. Schneider:
Études philologiques sur le développement de la civilisation
grecque au V. siècle avant J. C".
Classe d'Histoire et de Philosophie
Séance du 24 juin 1900
Présidence de M. F. Zoll
Le Secrétaire présente la dernière publication de la Classe:
L. Fjnkel. >Bibliografia historyi polskiej* (Bibliographie de l'histoire
de Pologne;, II. partie, III livraison, 8-o. p. 849—1008.
Le Secrétaire rend compte du travail de M. F. IVjak:
nCàlimaque et les notions qu'on avait en Pologne sur l'Empire
ottoman, an commencement du XVI-e siècle"1).
(Masse d«»s Sciences mathématiques ei naturelles
Séance du 18 juin 1900
Présidence de M. F. Kreutz
Le Secrétaire présente les dernières publications de la
Classe:
1 Voir ci-dessous aux Résumés j> 216.
SÉANCES 215
L. Birkenmajer. »Mikoîaj Kopernik* (Nicolas Copernic), I. partie 4-0,
p 711.
A. Wyczôekowska. »0 iluzyach optycznych« Sur les illusions opti-
ques), 8-o, p. 31.
M. C Zorawski rend compte du travail de M. L. Bottchkk:
^Sur les déterminants de Grévyu l).
AI. A. \V. Witkowski présente un travail de M. C. Za-
krzewski: „Sur la force êlectromotrice produite par le mouve-
ment du liquide dans un tube de verre arge>déu 2).
') Voir ri-dessous aux Késutués p. L'iT. — -) ibid. ]>. l'l'4.
Résumés
33. Fb. Bdjak. Kalimach i znajomosc paristwa tureckiego w Polsce okolo
poczatku XVI wieku. (Calimaque et les notions qu'on avait en
Pologne sur /'Empire ottoman, an commencement du
X Fl-e siècle). Présenté le 24 juin 1900.
L'auteur s'est proposé dans le mémoire en question, de
montrer combien on s'intéressait en Pologne à la Turquie
vers la fin du XV-e et au commencement du XVI-e siècle,
c'est-à-dire au moment où la puissance de la Porte devint
menaçante pour la République. A plusieurs reprises, dans les
rares productions littéraires de l'époque, se manifeste la crainte
du péril turc, et cet écho répété des préoccupations nationales
en atteste la vivacité et l'actualité.
I. Calimaque est le principal représentant de cette litté-
rature. Mais comme cet écrivain se consacra accidentellement
à l'ethnographie et à la géographie, ainsi que beaucoup d'autres
humanistes, l'auteur a passé en revue tous les ouvrages de ce
maître ayant quelque rapport avec la géographie. La plus re-
marquable de ces productions est: „Vita et mores Gregorii
Suioccii;" biographie ou plutôt panégyrique du premier hu-
maniste polonais du temps, Grégoire de Sanok, archevêqne de
Léopol, encore vivant au moment où Calimaque, son familier,
célébrait ainsi ses mérites. Dans le chapitre 18 de cet ouvrage,
après avoir critiqué fort justement les informations fantaisistes
RÉSUMÉS 217
données par les chroniqueurs polonais sur les origines de leur
nation, Calimaque expose l'opinion fort sensé de Grégoire de
Sanok qui tait descendre les Polonais des Vénètes dont il
compare les moeurs et les institutions avec celles de ses com-
patriotes contemporains. Quoique nous ne sachions au juste qui
étaient ces Vénètes, remarquons la méthode de notre historien qui,
mettant de côté, les étymologies et généalogies banales, s'attache
aux données ethnographiques et procède par comparaison, à
l'exemple de, Strabon. Tout ce travail n'en est pas moins
un simple pastiche humaniste, car l'auteur a tiré tout le passage,
dont nous parlons, de la „Germanie" de Tacite, chapitre 7,
Il — 18, 21- — 23, appliquant aux Polonais et aux Vénètes que
Tacite d'ailleurs ne tient pas pour Germains, ce que cet écrivain
dit des Germains en général et de quelques-unes de leurs tribus
en particulier. La transcription est presque mot à mot, avec
quelques modifications seulement dans la forme.
Dans la biographie du cardinal Zbigniew Olesnicki, Ca-
limaque consacre les premiers chapitres à l'ethnographie de la
Pologne. Il s'y étend en théories fort spécieuses que lui-même
sans doute ne pouvait prendre au sérieux. Avec la même ima-
gination abondante et fantaisiste il recherche l'origine des Li-
thuaniens (cap. 14 et 15) et celle des Olesnicki. Dans ces
débauches d'érudition se fait surtout sentir l'influence d'Héro-
dote, cité une fois, et de Strabon. Malgré tout, ces dissertations
ne sont pas sans valeur pour l'historiographie polonaise, car il
est aisé d'y discerner la part chimérique, d'en retirer nombre
de renseignements fournis par la tradition ou puisés à des
sources inconnues, et par lesquels l'auteur complète Dfugosz,
surtout en ce qui concerne le tableau de la barbarie payenne
de la Lithuanie et de la Samogitie (âge de pierre).
Les humanistes firent la découverte de ,,1'homme", pré-
tend-on généralement; il faut ajouter que, les premiers, ils
comprirent que l'étude de la nature ne doit pas avoir pour
but ses phénomènes et ses particularités, mais bien la con-
naissance et la compréhension de ses phénomènes. La curiosité
de l'ignorant doit faire place aux investigations du savant
RÉSUMÉS
Cette nouvelle méthode fut appliquée à l'histoire et à la géo-
graphie longtemps après le XV-e siècle. Mais chez les huma-
nistes on remarque déjà un sensible progrès dans ce» sciences.
Pour eux les événements et les hommes, jouets de la Provi-
dence, ne sont pas seulement dignes d'intérêt, mais encore le
sol, les moeurs, les institutions sociales. Calimaque tient, à côté
d'Enéas Silvius. un rang honorable parmi ces humanistes.
Dans son oeuvre capitale: „Historia rerum gestarum in Hun-
garia et contra Turcos per Wladislaum Poloniae et Hungariae
r^gein" 1487), il fait preuve d'une large intelligence, en écrivant
dans son introduction qu'il considère comme un devoir de
décrire les pays où vont se dérouler les événements de son
récit, afin que les lecteurs puissent mieux en saisir le déve-
loppement. Dans cette description, remplie d'erreurs du reste,
il s'appuie sur le système cartographique de Ptolémée. Après
avoir fait un exposé de la géographie ancienne de la contrée,
il y adapte l'état actuel des populations et des territoires, (il
ne fait pas mention de la Grande Pologne, ni de la Mazovie;
il divise les Carpathes en „Carpatus" et „m. Sarmatici"; en
revanche il décrit fort bien les pays slaves méridionaux et fait
ressortir la différence entre la Moldavie et la Multanie). En
outre, et comme pour mettre de la variété dans sa narration,
il sème çà et là des aperçus géographiques, comme par exemple
le tableau de la Bulgarie (ch. 37), la description des deux
routes qui mènent d'Orsowa à Galipoli (ch. 54), et surtout la
description du champ de bataille de Warna (ch. 58). Tous ces
morceaux sont d' une allure fort pittoresque, et donnent la
meilleure idée du talent de Calimaque comme géographe.
De tout ce qui précède il est aisé de conclure que Ca-
limaque est un historien qui s'intéresse à la géographie et fait
volontiers des incursions dans le domaine de cette science.
Nous savons d'autre part qu'il publia „De tatarorum moribus
liber unus", aujourd'hui considéré comme perdu (Oiampi), de
même que l'„IIistoria peregrinationum suarum" en deux livres
.m moins (introduction à l'édition d'Augsbourg (1519) des
ïtoriae rerum gestarum") laquelle contenait sans doute non
RÉSUMÉS 219
seulement le récit de la fuite de Rome, mais encore celui de
quelques autres voyages diplomatiques de Calimaque. Cette
histoire ne saurait être identique avec la lettre connue „de
exilio suo", écrite, en 1471, à Dersfaw de Rytwiany; cette
lettre est trop courte et ne contient qu'une sorte d'apologie
personnelle en réponse aux persécutions de la curie, sans détails
marquants sur le voyage et l'itinéraire suivi.
Pendant son premier séjour forcé en Orient. Calimaque
ne se résigna pas à son sort de proscrit, mais chercha à tirer
le meilleur parti possible de sa situation. Les muses donnèrent
la main à la politique pour occuper ses loisirs : il étudia à fond
la question turque. En Russie Rouge, auprès de Grégoire de
Sanok, il ne rit que compléter les informations déjà acquises.
Sur les bords du Dniestr, en effet, le terrain était des plus favo-
rables pour examiner le sujet sur une de ses faces les plus impor-
tantes: le conflit perpétuel entre les Turcs et la République
du Pologne dont les provinces ruthènes étaient l'incessant théâtre
des invasions et des rapines tartares. De plus, l'ami qui lui
donnait l'hospitalité, Grégoire, vieil observateur attentif des
rapports entre la Turquie et l'Europe orientale, dut probable-
ment lui communiquer sur ce point ses remarques les plus
précieuses. Arrivé à la cour de Cracovie, Calimaque s'y pose
comme diplomate spécial dans les questions tartares et turques.
C'est dans ce champ d'action qu'il travailla toute sa vie,
et par la plume, et par la parole. La campagne de Jean
Olbracht en Valachie (1496) fut entreprise sous son influence.
M. J. Caro (Gesch. Polens V, 2—647) a déjà exposé les ten-
dances étroites de cette politique de Calimaque. Néanmoins
cet historien se trompe lorsqu'il prétend que Calimaque se
rendit à Constantinople pour étudier de près les ennemis du
Christianisme et mettre plus tard au service de sa foi les con-
naissances ainsi acquises. La vérité est que Calimaque alla
chercher un asile et du pain auprès du sultan, comme beau-
coup de ses compatriotes d'alors (Bellini, Carpaccio, etc.) Toute
fois il ne parvint pas à gagner la confiance du Grand- Seigneur:
un conseiller politique est en effet fort différent d'un comédien.
RÉSUMÉS
si lui fut-il facile de repousser le juste reproche d'avoir
voulu entrer au service des Turcs.
Bientôt Calimaque qui s'occupait de l'éducation des en-
tants du roi, eut la réputation d'être fort compétent dans les
questions tartares. Le gouvernement vénitien s'adresse à lui pour
savoir s'il serait possible de pousser les Tartares à une guerre
contre les Turcs. C'est en réponse à cette demande que Cali-
maque envoie à Venise, entre la fin de 1474, au plus tôt. et le
commencement de 1476. au plus tard, un mémoire détaillé qui.
refait ensuite littérairement, portait le titre de: De Tatarorum
moribus, liber I. Calimaque affirme cet envoi et donne un
résumé du mémoire dans son ouvrage: „De hiis quae a Ve-
nitis contra Turcos tentata sunt". Pour que les Vénitiens
eussent une idée exacte des Tartares et pour que leur politique
ne s'égarât pas en d'inutiles démarches, Calimaque leur fait
un tableau détaillé du monde tartare. Ce peuple sauvage erre
dans les immenses espaces du nord de l'Europe et de l'Asie
et se divise en quelques hordes distinctes. Cependant les Tar-
tares d'Asie ne viennent pas en Europe, de même que ceux
d'Europe ne passent pas en Asie, à l'exception toutefois des
hordes frontières qui, en hiver, jettent leurs campements vers
la mer Caspienne, et, en été, s'établissent sur le Don et
poussent jusqu'au Dniepr. Les Tartares d'Asie, les plus nom-
breux et les plus barbares, sont de vrais brigands qui ne con-
naissent pas l'art de la guerre des Européens: tandis que les
Tartares d'Europe ont des procèdes tactiques empruntés à des
peuples européens. Dans leurs luttes incessantes avec la Pologne
et la Moscovie ils font usage contre leurs ennemis non seule-
ment de leurs armes, mais ils incendient et pillent les villes
prises. Quant au projet de lancer les Tartares contre les Turcs
il est presque irréalisable. Les Tartares de Crimée supportent
impatiemment, il est vrai, le joug turc, mais ils sont trop faibles
pour le secouer; quant à ceux du Volga, ils pourraient sans
doute se mesurer avec un si puissant adversaire, mais il fau-
drait pour cela leur permettre le passage sur le territoire po-
RÉSUMÉS 221
louais, ce qui présenterait les plus grands dangers, non seulement
pour la Pologne, mais pour la chrétienté tout entière.
On a encore un second ouvrage de Calimaque sur la
même question: „Ad Innocentium VIII pontificem maximum
de bello Turcis inferrendo oratio". Ce discours prononcé à Rome,
au Congrès des représentants des Etats Chrétiens, convoqué
par le pape, le 25 mars 1490, fut ensuite développé et im-
primé au cours des deux années suivantes, car le 25 mars
1492 il en envoya un exemplaire à Jean IV, Rotli. évêque
de Breslau
M. Caro voit dans ce discours l'unique résultat do tout
ces débats académico-diplomatiques; peu importait en somme
à la curie romaine une croisade contre les Turcs; elle ne tenait
qu'à soulever une agitation qui ferait affluer les offrandes dans
les caisses du Saint Siège. Dans son discours, Calimaque sou-
tient que ce n'est qu'avec la Pologne et par la Pologne qu'on
peut compter sur le succès final d'une campagne contre les
Ottomans. Il est fort probable qu'en Pologne aussi on n'avait
guère le dessein de prendre les armes; il s'agissait avant tout
du chapeau de cardinal pour le plus jeune fils du roi, Frédéric,
chapeau en faveur duquel Calimaque se prononce avec chaleur,
énumérant tous les services rendus à l'Eglise par les Jagellons
et célébrant cette illustre famille.
Au début de son plaidoyer, Calimaque soumet à une
critique sévère les errements funestes et impuissants des papes
pour rejeter les Turcs hors de l'Europe: il montre qu'il est
impossible d'entraîner tous les peuples chrétiens a une action
commune contre ces infidèles, action qui présenterait d'ailleurs
des difficultés d'exécution presque insurmontables, et il soutient
que ceux-là, seuls, qui pourront être aisément gagnés à cette
cause et seront disposés à la faire triompher par de longs et
persévérants sacrifices, doivent être chargés de la croisade.
Calimaque expose ensuite la situation actuelle de la Turquie.
Les territoires de cet empire énorme, s'étendent, presque dé-
serts, du Danube à l'Euphrate, sans qu'on puisse y trouver
trace de l'ancienne civilisation des peuples qui les possédaient
KKSUMKS
jadis; tandis que les nations slaves de l'Europe n'attendent
qu'une occasion propice pour rejeter la domination odieuse des
musulmans.
I '.s détaites, la piraterie, des épidémies ont, dans ces
derniers temps, fort affaibli les Turcs. Les forces militaires
turques sont insuffisantes; et. si elles ont eu jusqu'ici des succès
constants, elles les doivent, non au nombre, mais à la ruse et
aux circonstances heureuses. Quant aux fameux trésors en or
et en argent qu'ils possédaient, ils ont été épuisés par les dé-
penses qu'ont nécessités les guerres continuelles.
< >n s'est donc exagéré la puissance turque, conclut Cali-
maque: elle est loin d'être telle qu'il faille une ligue de toute
l'Europe pour la combattre; un seul état en viendrait à bout,
et la Pologne semble tout indiquée pour ce rôle, car, par leurs
rencontres multipliées avec les Tartares. les troupes polonaises
se sont habituées à lutter contre ces dangereux ennemis et
sont mieux préparées que n'importe quelle autre armée à se
mesurer avec eux qu'ils ont souvent vaincus. Mainte fois, les
Kans tartares ont été fais prisonniers par les Polonais et ont
dû se reconnaître leurs tributaires. Et, à ce propos. Calimaque
fait remarquer que la Pologne a été depuis longtemps le rem-
part de l'Occident contre la barbarie asiatique et que les
Pi 'louais s'acquittent avec gloire de cette périlleuse mission et,
presque dès le berceau, ont les armes à la main pour la dé-
fense de la foi.
Quoique par la seule expédition de Ladislas Warnenczyk,
roi de Pologne et de Hongrie, on puisse se rendre compte de
la puissance de la Pologne et voir ce dont elle est capable
pour la cause du christianisme, Calimaque par d'autres exemples
encore montre la force de la monarchie des Jagellons. Il fait
un tableau de son commerce avec l'étranger, de ses richesses;
il dénombre sa population; il mesure sa vaste étendue. De plus,
la Pologne, par sa position limitrophe, a les plus grandes fa-
cilités pour approvisionner ses troupes qui peuvent immédiate-
ment faire invasion chez les musulmans. Calimaque termine
RÉSUMÉS 223
son discours par une brûlante invitation à adopter le plan qu'il
propose, et qui a les meilleures conditions de succès.
Au moment où Calimaque prononça ce chaleureux appel
à la Pologne, il avait déjà fait un second voyage à Constan-
tiuople, comme ambassadeur du roi auprès de la Porte, en
14^7, et son discours s'appuyait sur des informations précises
qu'il avait recueillies pendant de longues années, pendant sa
vie entière à peu près. C'était donc une autorité des plus com-
pétentes en la matière, dans ce Congrès de 1490, et son opi-
nion devait être d'un grand poids. Le coup d'oeil qu'il jette
sur la situation politique et géographique de l'Orient embrasse
en effet tout ce qui, en ce moment, avait une importance
quelconque en cette question. Ses ouvrages ne sont pas sans
exagérations, sans inexactitudes, sans lacunes, et il pose souvent
des conclusions fort hasardées; il n'en est pas moins, pour son
époque, un des mieux et des plus amplement informés.
II. Les ^Mémoires du janissaire Michel Konstantinowicz
d'Ostrowica" sont fort différents, et par la forme, et par le ton,
des travaux de Calimaque dont nous venons de parler: ils ont
pourtant trait au même sujet. M. Bujak déplore que le manus-
crit de ce curieux monument historique soit dans un si piteux
état; puis il fixe la date et l'origine du texte polonais. A son
avis le titre de „ Mémoires" n'est nullement justifié: il ne s'agit
pas ici en effet d'un récit de souvenirs personnels de l'ex-
janissaire Michel qui d'ailleurs ne joua jamais de rôle marquant
et n'eut aucunement l'ambition de se placer au rang des chro-
niqueurs. C'est plutôt un traité de géographie politique, ou,
comme nous dirions aujourd'hui, un mémorial sur la question
d'Orient, poussant à une croisade contre les Turcs à la tête
de laquelle serait placée la Pologne. A ce propos, le vieux
soldat s'efforce de donner aux Polonais des informations pré-
cises et complètes sur l'Empire ottoman, ses moyens d'action,
sa puissance militaire, ses ressources, son administration, les
dispositions de ses sujets et tributaires. Au surplus, il fait pré-
céder cette étude d'un large exposé sur l'histoire de cet empire
depuis ses origines. Les descriptions topographiques auxquelles
224 RKS'
nombreuses expéditions des janissaires auraient pu fournir
matériaux exacts sont entachées d'erreurs grossières, et
encom pendes populaires.
III. „Descriptio potentiae Turciae". Ce mémoire rédigé
par la chancellerie royale d'après les données fournies par le
ce diplomatique en Turquie, fut présenté à la Curie romaine
par Miedzieleski, en 1514. Il prouve que les envoyés polonais,
ci mime ceux de Venise et de Rome, apportaient le plus grand
si un à recueillir les renseignements les plus minutieux sur le
qu'ils visitaient.
!St une copieuse source d'informations géographiques
et politiques, sans exagération ni fantaisie, ayant le caractère
strict d'un travail appuyé sur la plus rigoureuse observation.
Comme les ouvrages dont nous avons parlé, il s'occupe surtout
des questions militaires; mais le coté ethnographique est loin
d'être négligé. Nous y trouvons une excellente description des
Tartares, des hospodaries de Moldavie et de Multanie, un
tableau de l'administration et des finances de ces pays.
i anhn Zakbzewskj. 0 sile elektromotorycznej. powstajacej wskutek
ruchu cieczy w wysrebrzonej rurce szklanej. (Sur (a force électro-
motrice produite par le mouvement du liquide dans un
tube de verre argenté). Présenté le J8 juin 1900.
L'appareil qui servait à l'expérience consistait en deux
en verre à parois épaisses (A et B), communiquant au
moyen d'un tube capillaire, en verre, argenté au dedans, in-
dans deux bouchons en caoutchouc La longueur du tube
était de 15 cm. à peu près; son diamètre, de 02 mm.
Deux lils de platine terminés par des électrodes du même
luverts de noir de platine traversaient les bou-
chons (a, b). Les vases étaient remplis d'eau jusqu'à moitié
bouchons traversés par des tubes de laiton (a, (3).
Lan tôt l'un, tantôt l'autre était mis en communication (au
■m d'un caoutchouc vec un régulateur à gaz qui laissait
RÉSUMÉS
225
passer dans le vase l'air comprimé dans une bouteille de fer,
en le réduisant à la tension de deux atmosphères à peu près.
a
$
//■
/
C était "la pression qui faisait passer l'eau de l'un des vases
dans l'autre par le tube capillaire.
Les électrodes étaient en communication avec un gal-
vanomètre astatique de Thomson à résistance intérieure de
12.000 mètres à peu près.
Résultats:
Un cours d'eau est toujours accompagné d'un courant
électrique dont la direction dépend de celle de l'eau.
1. La force électromotrice de ce courant est proportion-
nelle à la différence des pressions aux deux bouts du tube
capillaire. Dans une des séries des mensurations on a obtenu
les nombres qui suivent:
Pression en atmo- Force électromo-
trice en voltes (E)
0.026
0.031
0.043
2. Elle dépend de la distance des électrodes aux bouts
du tube capillaire; l'éloignement de celui qui se trouve dans le
vase à pression moindre diminue la force êlectromotrice:
sphères (P)
0.5
0.6
0.8
Relation
E/P
0,0052
0,0051
0.0054
226 RÉSUMÉS
Grandeur à'E en unités Distance de l'électrode b au
arbitraires bout du tube:
33 la moindre possible
25 3 mm.
20 10 mm.
Ce résultat peut être considéré comme une confirmation
de l'hypothèse de Quincke-Helmhotz l), qui explique l'origine
de la force électromotrice par le déchirement de la couche
électrique double localisée à la limite de l'argent et de l'eau.
L'éloignement de l'électrode dans le vase à pression moindre
a pour effet que la quantité des particules d'eau électrisée qui
atteignent cette électrode et lui communiquent leur charge est
amoindrie.
Une seconde charge doit être admise dans la couche
d'argent. En effet, si l'on élimine une des électrodes en pla-
tine et si on met le galvanomètre en contact direct avec la
couche d'argent, on observe un courant électrique marqué quand
le cours d'eau est dirigé vers l' électrode. Sa force électro-
mol rice diminue à mesure que l'on éloigne l'électrode. Si le
cours d'eau a une direction inverse, le courant électrique est
beaucoup plus faible. En ce cas, presque toutes les particules
électrisées sont dispersées dans le vase et ce n' est qu' une
quantité minime d'entre elles qui passent par le tube et rendent
leur charge à la couche d'argent.
11 arrive parfois (surtout dans des tubes nouvellement
argentés) que la force électromotrice du courant accuse des
changements subits, en s'élevant de quelques millièmes d'un
volte à quelques dizièmes, ou vice versa. C'est un effet du
changement de la résistance du tube avec son contenu liquide.
< >n peut la réduire presque toujours à sa grandeur primitive
en faisant jaillir des étincelles électriques dans le voisinage du
tube. Le tube avec son contenu liquide se comporte dans ce
) lli'lmholtz. Studien iiber elektrische Qrenzachichten dans le I vol.
de ses Wiaaemchaftliche Abhandlungen.
RÉSUMÉS 227
cas comme celles de Branley (coherer) envers les ondes
électriques.
La force électromotrice dépend aussi de l'épaisseur de
la couche d'argent: elle est d'autant moindre que la couche
est plus épaisse.
L'hypothèse de Quincke et Helmholtz permet aussi de
déduire le signe de l'électricité à la limite de l'argent en par-
tant de la direction du courant. Dans les expériences avec de
l'eau, l'électrode qui se trouve dans le vase à pression moindre
est toujours positive, ce qui prouve que l' eau au contact de
l'argent a l'électricité positive. Si l'on prend une solution d'azo-
tate d'argent à Yioo du contenu normal, la direction de la force
électromotrice est opposée à celle observée dans l'eau pure: l'élec-
trode positive est celle du vase à pression plus haute. En
diluant la solution avec de l'eau, on obtient une diminution
de l'inclinaison du galvanomètre et. lorsque la concentration
est à peu près de "^3000 de la normale, la direction du courant est
intervertie. La solution de l'azotate d'argent dont la concen-
tration dépasse Vsooo de la normale reçoit donc une charge
négative au contact avec l'argent ; si sa concentration est
inférieure à Y30oo la solution du nitrate d'argent reçoit une
charge négative. A la concentration limite, nous devons ad-
mettre que la charge est nulle.
Les solutions concentrées du sulfate (?) et de l'acé-
tate d'argent se comportent comme l'eau pure: elles reçoivent
une charge positive.
Ce travail suggéré par Mr. Witkowski, professeur de
physique, est à continuer au point de vue qualitatif et quan-
titatif.
35.— L. Bôttcher. Zasadnicze wlasnosci Grewianôw. (Eimiae Haupt-
sdtze aus der Théorie der Grévy'schen Determinanten).
Vorgelegt am 18 Juni 1900.
Wir nennen Grévy'sche Déterminante des Systems der
w-Funktionen die folgende Déterminante:
KÉSUMÉS
*; f» (*)] =
B\ (*), Ft (*\ K (z) , Fu (z)
/•; (%), k z, , /•;. h\ , Fm (Zi
/•; (z2). K z, . F3 (z2), Fn (z2)
Fx{zn , .Kizn ,). Fs (*„_,), , /''., (*„_,
= f (2A % =/ («i)> % =/ («ai) • - • • etc.
Es giebt eine Reihe von Analogien zwischen der Gré-
vy'schen Déterminante eines Systems der n-Funktionen , und
der Wroiiski'schen Déterminante desselben.
Wir ûberzeugen uns, dass jedem Theorem aus der Théorie
der Wroiiski'sclien Determinanten ein Theorem aus der Théorie
der Grévy'schen Determinanten entspricht.
Wir transformieren zuerst die Grévy'sche Déterminante
cincs Funktionensystems, daiin erhalten wir eine Regel zur
Bildung der endlichen Differenz der Grévy'schen Déterminante,
welche Hegel der Differentiation der Wronski'schen Déter-
minante entspricht. ferner beweisen wir eine Reihe von Sàtzen,
die den wohlbekannten Sâtzen aus der Théorie der Wron-
ski'schen Determinanten, also unter anderen den Sâtzen:
IV \F (z) F3 (z) F (z) Fn (z)\ =
V*(z) W [/<, (z) b\,(z)\;
"' [*; r«; ■ . . k, r«;, ^,+. 00, *•«+, ^, .... Fn(z)\ =
":"';/v . .. /•;,. /<;„ ,;.... w{Flt . .. /<;.,. K)\
[W{F, :. . . i (z)}}
entsprechen.
NakJadem Akadetnii Umiejçtnosci
S <iai/.a geoeralnego Stanisfawa Smolki
IJrukarnia Uniweriiytetu Jagiellonakiego, poil zarzadem J. Filipowskiego.
16 Lipea 1900.
BULLETIN INTERNATIONAL
DE L'ACADÉMIE DES SCIENCES
DE CRACOVIE.
N<> 7. Juillet 1900.
Sommaire: Séances du 9 et 14 juillet 1900. — Résumés: 36. E. Go-
dlewski (jun.). De l'influence de l'oxygène sur le développement de
l'embryon du Rana temporaria et sur l'échange des gaz au comniencem-
ment de ce développement. — 37. N. Cybulski. Quelques remarques sur
la force électromotrice dans les nerts de grenouilles. — ■ 38- S. Ciecha-
nowskt. Etude sur la sécrétion intracellulaire dans les adénomes et
adénocarcinomes du foie. — ■ 39. H. Hoyer. Contribution à la morpho-
logie du coeur des poissons. — 40. S. Maziarski. Sur la construction des
glandes salivaires.
Séances
Classe de Philologie
Séance du 8 juillet 1900
Présidence de M. C. Morawski
M. J. Trrtiak présente une note: „Sur les chants cosa-
ques, évolution de leur caractère11.
Le Secrétaire rend compte de la séance de la Commis-
sion de l'Histoire de l'art du 28 juin 1900 et de la Commis-
sion linguistique du 23 juin 1900.
SÉANCES
Classe d'Histoire et de Philosophie
Séance du 14 juillet 1900
Présidence de M. F. Zoll
Le Secrétaire présente le travail de M. V. Czerkawski:
vSur la population de la Volhynie, à la fin du XVI siècle"
et l'étude de M. C. Potkanski: „Collégiate d'Opatôw". Il rend
compte aussi du travail de M. A. Krzyzanowski: nSur la théo-
rie de Maltusu.
Classe des Sciences mathématiques et naturelles
Séance du 9 juillet 1900
Présidence de M. F. Kreutz
M. C. Kostanecki présente le travail de M. E. Godlewski:
nDe l'influence de V oxygène sur le développement de Vembryon
du Rana temporaria et sur /'échange des gaz au commencement
de ce développement" A).
M. N. Cybulski rend compte du travail de M. S. Ma-
ziarski: nSur la construction des glandes salivaires" -).
M. A. Wierzejski p'rés"ente le travail de M. H. Hoyer:
Contribution à la morpJiologie du coeur des poissons" 3).
M. T. Browicz rend compte du travail de M. S. Circha-
i,i : nEtude sur la sécrétion intracellulaire dans les adéno-
t adénocarcinomes du foie" 4).
l; Voir ci-dessous aux Résumés i>. 232. — A ibid. p. ÏV*. — 3) ibid. p. 203. —
SÉANCES - 231
M. N. Gybulski donne lecture de son travail: ^Quelques
remarques sur la force électromotrice dans les nerfs de gre-
nouilles" l).
Le Secrétaire présente le compte rendu de la séance de
la Commission d'anthropologie du 26 juin.
i) Voir ci-dessous aux Résumés p. 256.
Résumés
:!6. — E. Godlewski (jun.). 0 wplywie tlenu na rozwôj zarodka u Rana
temporaria i o wymianie gazôw w pierwszych stadyach tego ro-
zwoju. (TJéber die Einwirkung des Sauerstoffs auf Ent-
wicJcelung und iXber den Gaswechsel in den ersten Ent-
wiclcelungsstadien von llana temporaria), Vorgelegt am
9. Jnli 1900 (Vorlâafige Mittheilung).
Bezugliek der Rolle, welcbe der Sauerstoff in cler embryo-
nalen Entwickelung der Organismen spielt, stimmen die bis-
licrigen Literaturan^aben darin tiberein, dass beim dauern-
den Sauerstotî'ubsehluss die Entwickelung- fortschreiten kann;
wenngleich (1er G nul der Empfindlichkeit der sieb entwickelnden
Organismen gegen SauerstofFmangel bei verscbiedenen Orga-
nismen und in verscbiedenen Entwickelungsstadien ein anderer
ist. Die bisherigen Arbeiten sucbten eben dièse principielle
Frage zu ermitteln, ob Sauerstoll'anwesenbeit fur die Entwicke-
lung unbedingt aothwendig ist und sodann die relative Em-
pfindlicbkeil (\v> Embryo gegen Sauerstoffmangel zu bestimmen,
dagegen fehll es an systematischen Specialuntersucbungen
c die quantitativen Verbâltnisse des Gaswechsels, namentlicb
liber <li<; Menge des aufgenommenen Sauerstoffs und der aus-
ihiedeneu Koblensâure wâhrend der ersten Furcbungsstadien
und wahrend der embryonalen Entwickelung, obwohl eine
RÉSUMÉS " 233
genaue Kenntniss dièses Processes fur Ermittelung der Energie-
zufuhr und des Energieverbrauches wakrend der Entwickelun»-
von hoher Bedeutung ist.
Was die qualitativen Verhaltnisse anbetrifft, hat schon
Roux auf die Nothwendigkeit der Luftzufuhr fur das Fort-
schreiten der Entwickelung des Frosckeies kingewiesen.
L o e b l) giebt auf Grund seiner Untersuchungen an,
dass die relative Empfindlichkeit des Embryo gegen Sauer-
stoffmangel mit fortschreitender Entwickelung zunimmt. Er
bat bemerkt, dass „die Eier von Fundulus, weleke unmittelbar
nach der Befrucbtung in's Sauerstoffvacuum gebracht worden
waren, sich noch weiter entwickeln konnen. nacbdem sie vier
Tage in der Temperatur von 22° in einem solcben Vacuum
gewesen waren. Befanden sie sicb aber langer darin, so biissten
sie ihre Entwickelungsfabigkeit definitiv ein". Loeb liisst aber
nocb die Frage offen, „ob die Furchung auch obne Sauerstoff
ablaufen kann" oder nicbt.
Samassa2) bat fast gleicbzeitig mit Loeb tiber den
Einfluss des Sauerstoffs auf die Entwickelung von Rana tem-
poraria Untersucbungen angestellt. Er bracbte die befruchteten
Froscbeier in das Katodenlicbtvacuum und Hess sie dort durch
24 Stunden liegen, die anderen Eier brachte er in reine
Wasser- oder StickstofFatmospbare, „tbeils wieder unter eine
Glasglocke, in der der Sauerstoff durch pyrogallussaures Kali
absorbiert wurde. Nacb vier Tagen wurden die Eier sowohl
aus dem Wasserstoff als auch aus dem Stickstoff genommen
.und in frisches Wasser gesetzt. Die Eier beider Portionen
befanden sich auf dem Blastulastadium, wie es bei den Con-
trolleiern am Ende des ersten Entwickelungstages auftrat".
Aus diesem Expérimente zieht Samassa den Schluss, „dass
J) Loeb J. Ueber die relative Empfindlichkeit von Fischembryonen
gegen Sauerstotlmangel und Wasserentziehung in verschiedenen Entwicke-
lungsstadien. Pfliiger's Arch. B. 55. 1894:.
2) H. Samassa: Ueber die àusseren Entwickelungsbedingungen von
Kana temporaria. Verh. d. dentsch. zool. Gesellsch. 1896.
RÉSUMÉS
Ei von Rana temporaria in clen ersten 20 Stunden der
Entwickelung von Sauerstotfumgebung unabhangig ist".
Im n&chsten Jahre liât Loeb1) eine andere Arbeit iiber
physiologische Wirkungen des Sanerstoffinangels veroffentlicht,
in welcher er zu dem Schlusse kommt: „dass im Ctenolabrusei,
wenn aller auspumpbare Sauerstoff verdrangt ist. keine voll-
standige Zelltheilung mebr zu Stande kommt". Er bat aucb
bewiesen, „dass bei den Seeigeleiern obne Sauerstoff. weder
eine Furchung der Zelle nocb des Kerns môglicb ist". Als
Grund des Ausbleibens der Furcbung betracbtet Loeb: „tief-
gehende niolekulare Aenderungen, die u. a. anscbeinend ver-
hindern, dass eine Membran oder specifiscbe Oberflàchenschicht
sich bildet".
In letzter Zeit bat 0. Scbultze2) dasselbe Forschungs-
gebiet betreten. Scbultze nntersucbte den Einfluss der unzu-
lânglicben Luftzufubr in den ersten Entwickelungsstadien.
Aus seinen Experinienten scbliesst er: „dass eine wabrend
der Furchung bestehende hochgradig bescbrankte Ventilation
der Eier von nur 24-stiindiger Dauer auf die Entwickelung
bemmend einwirkt und im ungiinstigen Falle zum langsamen
Tode fiibrt". Aile in dieser Arbeit angegebenen Untersuchungen
von Scbultze bilden aber keinen ausreicbenden Beweis fur
die Behaiiptung, dass ,,in die herabgesetzte SauerstofFzufubr
die Hauptursacbe der Entwickelungsturungen verlegt werden
muss". Die Froscbeier. welcbe sich in Glasrobrcben befanden,
hatten sowohl unter Sauerstoffmangel zu leiden, als aucb waren
sie der schadlicben Wirkung der Kohlensâure und anderer
texischen Stoffwechselproducte ausgesetzt. Deswegen muss ieb
.T. L o e b 3) vullig zustimmen, dass nacbdem Schultze in keinem
.1. Loeb: Untersuchungen ûber die physiologischen Wirkungen
des Sauorstoffmangels. Pfliiger's Arch. B. 62. 1895.
îchultze: Ueber den Einfluss des Luftmangels auf die ersto
Entwickelung des Eies. Verh. der phys.-med. Gesellsch. in Wurzburg 1899.
'; .1. Lu eh: Warum ist die Régénération kernloser Protoplasmastiicke
iich oder erschwerf? Arch. f. Entwickelungsmech. B. VIII. 1899.
RÉSUMÉS "" 235
seiner Expérimente die Kohlensaure beseitigte, er noch nicht
zu dem Schlusse berechtigt war: „dass die Hauptursache der
Storungen in der Entwickelung auf Sauerstoffmangel verlegt
werden soll".
Es ist schon ans der vorhergehenden Uebersicbt der
Literatur ersichtlich, class in Bezug auf die qualitative Ein-
wirkung des Sauerstoffes die Ansicbten der Autoren in mancber
Hinsicbt nocb von einander abweichen. Ausserdem ist aber
das ganze Gebiet der quantitativen Bestimmungen des Gas-
wechsels bei dem Entwickelungsprocess bis jetzt wie weit es
mir bekannt ist, ganz unerforscbt.
Ich babe mir zuerst in der vorliegenden Arbeit die Fra^e
aufgeworfen, ob die Furcbung der befrucbteten Froscbeier
chne Sauerstoff ablaufen kann. Um bieriiber Aufsckluss zu
gewinnen, babe ich die Expérimente an befruchteten Eiern
von Rana temporaria angestellt. Ich fiihre in dieser vorlilufigen
Mittbeilung nur einige der wichtigsten Expérimente vor, die
anderen werden demnâchst in der ausfuhrlichen Abnandhmg
angegeben. Die Versuchsnummern entsprechen jenen, mit
welchen die Expérimente in der ausfuhrlichen Publication
werden bezeichnet werden.
Versuch 3. Bei diesem Expérimente habe ich mich des
„Athmungsapparat's bedient. welcher von meinem Vater l) fiir
die Bestimmungen des Gaswechsels der Pflanzen angegeben
wurde. Die Construction dièses Apparates ist folgende: Eirit
conische (Erlenmayer'sche Gestalt) Kolbe 13 cm hoch. 14 cm
Bodendurchmesser ungefahr 1 Liter Inhalt. ans starkem Glas
ist mit einer aufgeschlifFenen Glaskappe verschliessbar. Der
*) Emil Godlewski sen. : „0 nitryfikacyi amoniaka i zrôdlach
wegla podczas zywienia sie fermentôw nitryiikacyjnych". Kozpr. Akadem.
Umiej. w Krakowie. VVydz. mat. przyrodn. T. 30. Dasselbe deutsch: Zur
Kenntniss der Vitrification. Bulletin international du l'Académie des Sciences
de Cracovie. Juni 1895.
RÉSUMÉS
Schliff zwischen dem Halse and der Kappe der Kolbe wird
mit Quecksilber luftdicht geschlossen. Zur Aulhahme des
cksilbers dient ein besonderer Aufsatz. aucb ans Glas.
Derselbe umgiebl den Hais der Kolbe und wird mittelt eines
Kautschukringes unterhalb des Halses der Kolbe an dieselbe
stigt. In die Kappe sind zwei Glasrôhren eingescbmolzen.
Die eine ist anter reehtem Winkel gebogen und ain Ende
etwas ausgezogen. Dièses Rohrchen war wahrend des Expé-
rimentes an die Quecksilberpumpe angescblossen und diente
Ausflussweg beim Auspumpen der Luft. Das andere Rohr
ist unerefahr einen Meter lan»-. zweimal unter recbtem Winkel
>gen und taucht mit seiner Mtindung im Quecksilber. Der
igende Arm dièses Rohres ist mit einer Milimetertheilung
versehen und dem Volumen nach genau kalibriert.
In die Kolbe des oben bescbriebenen Apparates wurden
a m 18. April d. J. uni 4 Uhr 15 Minuten nacbmittags circa
120 Froscheier gebracbt und im Brunnenwasser mit frisch
vorbereitetem Sperma befruebtet. Nach einer halben Stunde
habe ich das Brunnen- mit dem destillierten Wasser x) ersetztj
ans welchem ich durcb zweisttindiges Kocben die Luft so
genau als môglich zu entfernen suchte. Uni 4 Uhr 50 Minuten
nachmittags wurde der Apparat mit der Glaskappe und mit
dem Quecksilber geschlossen. Der Apparat stand auf einem
I ischj die Mtindung des langeren Rohres war in ein Glas
eingetauchtj welches mit Quecksilber gefullt auf den Boden
des Zimmers gestellt wurde. Jetzt wurde der Apparat mittelst
eines Bleirohres an eine Quecksilberpumpe angeschlossen.
Dureh ungefâhr zwei Stunden dauerndes Auspumpen der Luft
wurde der Apparat mit der Quecksilberpumpe bis an 2 mm.
Druck i unter Abzug von Wasserdampfdruck) evacuiert. Um
6 I lir 4.'i .Minuten abends wurde das Rohrchen. welches die
l) Ich habe mich schon friiher iiberzeugt, dass die Furchung und
Intwickelang im destillierten Wasser vorzuglich ablàuft (ja sogar
in etwas schnell apo), svenn nur die Befruchtung im Brunnenwasser
irde.
résumés 237
Communication mit derQueeksilberpumpe bildete, abgeschm< ilzen
und (1er so geschlossene Apparat stehen gelassen.
Aus demselben Eierstock desselben Frosches war eine
andere Eierportion herausgenommen mit demselben Sperma
gleichzeitig im Brunnenwasser befruchtet und als das Brunnen-
mit dem gewohnlichen destillierten Wasser ersetzt wurde.
wurden die Eier dem normalen Luftzutritt in einer offenen
Glasscbale iiberlassen. Dièse Eierportion wircl als Controlleier
bezeichnet.
Am 22. April d. J. 1 Uhr nachmittags (also 7(J Stunden
nach der Befruchtung der Eier) stellten sich die Controlleier
als Larven mit etwas ausgebogenen Korpern dar. Die Eier
aus dem jetzt geoffneten Apparat befanden sich auf dem Bla-
stulastadium, welches die Controlleier schon 20 Stunden nach
der Befruchtung erreicht haben. Die Furchung ist nur bei
wenigen Eiern normal abgelaufen, bei der Mehrzahl aber liessen
sich zahlreiche Unregelmassigkeiten in der Furchung erken-
nen. Die Oberflache der Mehrzahl
der Eier war mit ungleichmassig
grossen Zellen bedeckt (Fig. 1).
Zwischen den kleinen runden
Zellen traten haufenweise grôssere
auf. dabei war J| aber wieder ein
Nest von ganz kleinen vieleckigen
Zellen wahrnehmbar. Manchmal
erhebt sich eine grôssere Zelle
iiber die Oberflache, so dass man
den Eindruck gewinnt, als ob sie
von den benachbarten Zellen hervorgetrieben wâre. Viele
Eier (Fig. 2) tragen deutliche Zeichen des Todes, weleher
schon langere Zeit vorher eingetreten sein muss, Man siehl
an einigen Stellen Streifen von weissen trlib verfarbten Zellen.
deren Grenzen nur hie und da durchschimmern und welche
zwischen den durch unregelmassige Furchung entstandenen
ungleich grossen Zellen liegen.
Die Resultate der Untersuchungen an Sclmîttserienpra-
RESUMES
ten werde ich in der ausfuhrlichen Abhandlung mit-
theilen. Von den sichtbar verstorbenen Eiern abstrahierend,
haben al] r scheinbar normal gefurchte Eier ilire Ent-
wiekelungsfâhigkeit in der Zeit ihres Verweilens im Vacuum
eingebtisst: wenn sie aueh gleicb nacb der Oeffnung des Appa-
rates in ein .indexes Gefass in frisches Wasser iibertragen
und dem normalen Luftzutritt ausgesetzt wurden, so ist trotz-
dem die Entwickelung bei keinem einzigen Ei weiter fort-
srescbritten. Ans diesem, wie aueh nus zwei anderen hier nicbt
nâher angegebenen Versuchen.
welcbe in Bezug auf das Schluss-
resultat mit dem oben beschrie-
benen im Emklang stehen — ist
es ersichtlich. dass die Froscheier
in der Furchungsperiode
den Sauer stof'f zutritt von
a u s s e n entbehren kônnen, ob-
schon der Verlauf der Furchung
anter diesen Bedingungen nicht
ganz normal vor sich geht. Bei
lângerem SauerstoflPmangel biissen sie jedoch ihre Entwicke-
lungsfahigkeit ein. Ich betone das Wort .,Sauerstoffzu tritt
dass
%
Fig. 2.
von aussen
", da es mir unwahrseheinlich erscheint.
die Eier den Sauerstoff ganz entbehren kônnen.
Bekanntlich sind die Froscheier durch so viel Gallerte
amgeben, dass das genauo Auspumpen der Luft ans derselben
mir fast unmoglieh scbeint. Es wird sich ans den nachste-
henden Experimenten ergeben, dass die Froscheier eine hoch-
gradige Fâhigkeil des Ausntitzens des Sauerstoffes besitzen:
die kleinen Mengen von Sauerstoff, die sich im Wasser, in der
Gallerte und im Gewebe selbst befinden und nicht entfernen
lassen, werden vrahrseheinlich bis zu den letzten Spuren ver-
braucbt und ermôglicben den Ablauf der Furchungsperiode1).
Vergl. Meves: ZelltheUung. Ergebnisse der Anat. 1899.
RÉSUMÉS " 239
Es mag von Interesse sein die Frage aufzuwerfen, ob
bei diesen Experimenten der négative Druck einen hemmenden
Einfluss anf die Entwickelung nicht ausgeiibt liât. Um hier-
tiber Aufscbluss zu gewinnen. bescbloss ich die Luft durch
irgend ein anderes Gas zu ersetzen, damit der Druck normal
und der Sauerstoff so genau als moglich durch dièses neutral
wirkende Gas verdràngt ware.
Versuch 5. Als Versucksgefass diente mir ein plattes
rundlicbes Gefass von Kitasato (Fig. 3). welches an zwei oberen
entgegengesetzten Seiten mit einem breiteren und engeren
Rohrchen verseben ist. Der Apparat bat circa 150 Cubikcm.
Volumen. Einerseits lief das Gefass. wie scbon oben erwâhnt,
in ein breites kurzeres Rohr a ans. welehes mit einem Gummi-
6-
Fig. 3.
stopfen luftdicbt verscblossen wurde. Mit Hilfe eines Êinfluss-
robrchens a, welehes in das Bohrloch des Gummistopfens ein-
gesetzt wurde, war der Apparat an einen an a angebrachten
Gasometer vermittelst eines Kautschukschlauches angesehlossen.
Die Communication mit dem Gasometer konnte vermittelsl
eines Schraubenquetscbhahnes beschrànkt oder nach Belieben
unterbrochen werden. Anderseits lauft der Apparat in ein
enges Ausflussrohrchen b ans, an welehes aueh ein engerer
Gummischlauch angesetzt wurde, um dann den Apparat ver-
mittelst eines Schraubenquetschbahnes schliessen. zu konaen.
Um noch die Transfusion der Gase von aussen unmoglich zu
machen. wurde der ganze Apparat in eine grosse, mit \\ asser
ausgefùîlte Porcellanschale eingetaucht.
In den so vorbereit» ten Apparat wurden am 19. April
9 Uhr 30 Minuten abends die Eier moglichst gleichm
240 RÉSUMÉS
am Boden des Gefasses in einer Schichte ausgebreitet, dar-
nach wurden sic mit Wasser, welches Spernia enthielt. aile
m iibergosscn und (1er Apparat eine halbe Stunde lang
ruhig s elassen. Jetzt wurde Brunnenwasser durcit
illiertes Wasser, welches mit Wasserstoff gesattigt war,
ersetzt und der Apparat an den mit Wasserstoff gefiillten
Gasometer angebracht. Der Wasserstoff, welcher aus dem Gaso-
meter constant durchstrômen sollte, wurde vor dem Eintritt
in den Apparat dureh eine Elasche mit Kalilauge und eine
andere mit iibermangansaurem Kali, bekufs Reinigung geleitet.
Die Miindung des Ausflussrohrchens b wurde in's Wasser ein-
sgt, damit auch dureh dieselbe die Luft keinen Eintritt
in den Apparat finde. Am 19 April um 10 Uhr abends, eine
halbe Stunde naeh der Befruchtung, hat man angefangen den
Wasserstoff dureh den Apparat durchstrômen zu lassen.
Die Controlleier wurden wie gewoknlick aus dem Brunnen-
in das normale destillierte Wasser gebracht und dem normalen
Luftzutritt ausgesetzt Die platte, niedrige Gestalt des Appa-
rates gestattete denselben von Zeit zu Zeit auf einen Mikro-
skoptisch zu stellen und unter schwacher Vergrosserung den
Fortschritt des Entwickelungsprocesses zu beobachten.
Am 20. April 12 Uhr 30 Minuten mittags (15 Stunden
nach der Befruchtung) habe ich zum ersten Maie die Eier
der mikroskopischen Controlle unterzogen. In beiden Portionen
haben sich sowohl die Controll-, wie auch die Versuchseier
fast aile zu entwickeln angefansren. Der Unterschied aber in
Bezug a ni' das Entwickelungsstadium war schon auffallig: Die
Zellen der Eier, die sich in der Wasserstoftatmosphàre ent-
wickelten, wuren bedeutend e;r<">sser als die der Controlleier.
Bis 21. April 1 Uhr naehmittags (39 Stunden 30 Minuten
nach der Befruchtung) haben die in Wasserstoff sich ent-
wickcludcu Eier keinen hedeutenden Fortschritt in der Ent-
wickelung gemacht. An dem vegetativen Pôle dieser Eier
war eine grosse weisse Scheibe wahrnehmbar, als Beweis. dass
hier eine Storung in A^v Qmwachsunff der vegetativen Zellen
dureh die aniinalen eingetreten sein musste. An den Controll-
RESUMES
241
-eiern waren nur noch ganz" kleine. weiss veri'àrbte Punkte
vonThinten sichtbar. Bei starkerer Vergrûsserung war hier
sclion die Anlage des Blastoporus^wahrnehmbar.
Fig. 4.
Fie. 5.
Fig. 6.
Die befruchteten Froscheier, circa 40 Stunden nach der BefruchtuDg. Fig. 4
Cultur in Wasserstoffatmosphare. Fig. 5 Cultur bei dem normalen Luftzutritt.
Fig. 6. Cultur in Sauerstoffatmosphare.
Am 22. April 3 Uhr nachmittags (65 Stunden nach der
Befruchtung) wurde der Versuch zu Ende gefiihr't. Die Con-
trolleier zeigten eine lange offen stehende Medularrinne un-
mittelbar vor dem Stadium. wo sich die Larve in die Lange
streckt. Die aus dem Wasserstoff entnommenen Eier waren
theils todt, theils zeigten sie dieselben pathologischen Ver-
RÉSUMÉS
anderungen die icli schon bei der Beschreibung der dem Va-
cuum entnommenen Eier angegeben habe. Obschon aile dièse
Eier in frisches Wasser iibertragen und dem normalen Luffc-
zutritl iiberlassen wurden, liât sich doch kein einziges Ei
entwickelt.
Den Versuchen, bei welchen sich die Eier in evacuierten,
luftdichl geschlossenen Gefâsseu entwickeln sollten. konnte man
den Einwurf machen, dass hier die stagnierenden Stoffwecksel-
produete insbesondere die Kohlensaure hemrrienden Einfluss
auf die Entwickelung ausgcubt haben. Hier waren die schad-
lichen Stoffwechselproducte, welche in umgebende Atmosphare
iibereesranffen sind, sofort durch den durchstromenden Wasser-
stoff beseitigt — dadurch ist die experimentelle Gewissheit
gewonnen, dass Sauerstoffmangel die oben beschriebenen Ver-
anderungen in der Entwickelung und nachfolgendes Absterben
der Eier vrerursachte.
Bezttglich der Thatsache, dass in den ersten 20 Stunden
die Furehung der befruchteten Froscheier ohne Sauerstoflf-
zutritt von aussen mehr oder minder normal ablaufen kann —
stimine icb mit Sa m as s a tiberein; meiner Ansicht nack be-
rechti,-t aber dièse Thatsache nicht zu dem Schlusse: »dass
das Ei von Rana temporaria in den ersten 20 Stunden der
Entwickelung vom 0 der Umgebung unabkàngig ist". Um
den Einfluss des Sauerstoffes auf den Entwickeluncrsirang zu
erforschen habe ich z^vei Versuche angestellt. Vorlaufig fiihre
ich das Protocoll eines derselben an. Die Resultatte standen
in beideu Experimenten im Einklang. In diesen Versuchen
wollte ich rnich zugleich uberzeugen, ob eine specifische toxische
Wirkung von Kohlensaure auf die Entwickelung besteht, ob
die Furehung bei Anwesenheit von Kohlensaure und gleich-
zeitiger Anwesenheit von Sauerstoff normal ablaufen kann.
Versuch 8. Am 23 April wurden aus einem Frosch-
eierstock vier Eierportionen entnommen und mit demselben
L*ma in drei Culturglàsern und einer orfenen Glasschale
mu 1 Uhr 15 Minuten nachmittags befruchtet. Nach einer
halboi Stunde wurde das Brunnenwasser aus den Culturglàsern
RÉSUMÉS _ 243
und der Glasschale ausgegossen. Im Culturglas A habe ich
das Brunnenwasser clurcli destilliertes Wasser ersetzt, welches
mit Wasserstoff gesattigt war; im Apparat B durch destilliertes
Wasser mit Sauerstoff gesattigt, im Apparat C durci, destil-
liertes Wasser gesattigt mit einer Mischung von Sauerstoff
und Kohlensaure. Die offene Glasschale, welche in dem
destillierten gewôhnlichen Wasser die Controlleier enthielt
wurde dem normalen Luftzutritt iiberlassen. Jetzt wurden die
Culturgliiser mittelst Kautschukschlauche mit den betreffenden
Gasometern verbunden: dureb den Apparat A wurde der
Sauerstoff, durch das Culturglas B der Wasserstoff1), durcb
Apparat C die Mischung von Sauerstoff (50°/o) und Kohlensaure
(50%) durchgeleitet.
Die nachstehende Tabelle II veranschaulicht den weiteren
Verlauf des Expérimentes.
Zur Beurtheilunff des Entwickelun^sfortschrittes wird
an der Tafel das Stadium von zehn bei einander stehenden
Eiern, die sich auf dem Gesichtsfelde befanden angegeben.
Da es sich uni kleine Differenzen im zeitlichen Verlaufe der
Furchuno- handelt. ist es nicht moo-lich in so kurzer Zeit mehr
Eier durchzusehen und zu controllieren.
(Siehe Seite 2U u. 245).
Wenn wir jetzt das Protocoll des Entwickelungsganges
der Eier im Culturglas A in's Auge fassen, so fallt es gleich
auf, dass in der Sauerstoffatmosphare die Entwickelung am
schnellsten vor sich geht. Es ware aber auch denkbar, dass
bei dieser Beschleunigung des Entwickeluugsganges, ausser
dem verstiirkten Sauerstoffzutritt auch das Fortschaffen der
Stoffwechselproducte des Sauerstoffs bei den Versuchseiern
(des Apparates A) mitwirkte.
Obschon das Fortschaffen dieser vielleicht hemmend
wirkenden Substanzen auch im Culturglas B bestand, ist hier
*) Culturglas B, durch welches Wassorstoff durclislnhneii sollte, wurde
im Uanzen iu eine grosse Porzellanschale eingetaucht uni die Diffusion der
Gase unmoglich zu machen.
244
RÉSUMÉS
TA BE L 1. E II.
< ' u 1 1 u r g
laser von K
i t a s a t o
Oôenstehende
Glasschale
A
Entwickelung
B
Entwickelung
C
Entwickelung
Ë
Entwickelung
beim normalen
«j
in 0
in fl
in C02 + 0
Luftzutritt
^1
Befruchtung
2:;.
! Uhr
nach
Ersetzen des
B
Ersetzen des
Ersetzen des
Brunnenwass.
Ersetzen des
as
Brunnenwass.
Brunnenwass.
mit destilliert.
Brunnenwass.
mit destilliert.
mit destilliert.
Wasser, wel-
mit gewohnl.
- «■"; tï
Wasser mit
Wasser mit
ches m. C02 +
destillierten
1s!
ce . o
(M S 03
P =
Sauerstoff ge-
sàttigt.
Beginn der
Durcb-
Wasserstofï
gesâttigt.
Beginn der
Durch-
0 gesâttigt
wurde.
Beginn dei
Durchstrom.
Wasser. Die
Eier wurden
dem normalen
Luftzutritt
strômungv. 0.
stromung v. 11.
der Mischung
von CO, -j- 0.
ausgesetzt.
8 Eier in
3-c-
2 lîlastomere
Aile Eier
Aile Eier
"M ' si
getheilt;
2 ungetheilt
ungetheilt
'ce
a
ungetheilt
April
10 Min.
mittags
9 in 2 Blasto-
more,
6 in 2 Blasto-
mere,
8 in 2 Blasto-
mere,
23
5 l hi
nacl
1 ungetheilt
4 ungetheilt
u
2 ungetheilt
— — -c
:"' — "3
9 in 4 Bla
nicre,
1 ungetheilt
6 in 2 Blasto-
mere,
4 ungetheilt
o
a
10 in 2 Blasto-
mere
— •- =o
2-1
* B
LO in 4 lîlasto-
mere
6 in 4 Blasto-
mere
4 in 2 Blasto-
2 Eier in
4 Blastomere
8 Eier in
mere
2 Blastomere
RESUMES
245
. ce a
(M g
0
'S « 3
o-o **
■<5 ..: '-
•- E
in ~ ~
<N Ci
^ a
Culturglâser von Kitasato
A B
Entwickelung- Entwickelun<.
in O in. H
C
Entwickelung
in C09 + O
i rlasschale
Entwickelung
Luftzutritt
Die Fnr-
chungszellen
ganz normal,
aber bedeu-
tend kleiner
als die der
Controlleîer
Die Fnr-
chungszellen
von ungleicb-
massiger
Grosse. Bedeu-
tend kleiner
als die der
Controlleier
Die Fnr-
chungszellen
ganz klein,
von normaler
Gestalt
Die Furchung
ist seit 7.30
nicht fort-
geschrrtten
DieEier gànz-
lich mit den
animalen
Zellen um-
gewacbsen
Derselbe Be-
fund wie am
24 April 7.30
Embryo von
eiformiger
Gestalt mit
der Medular-
rinne fângt an
sich aus-
zustrecken
Derselbe Be-
fund wie am
24. April 7.30
Die Zellen von
normaler Ge-
stalt u. Grosse
Die Zellen von
normaler Ge-
stalt u. Grosse
Grosse weisse
S tell en von
unten sichtbar
Die Eiorgànz-
licb um-
gewac
von hinten
kleine weisse
Punk te
schon die erste Fnrche ca. 15 Minuten sp&ter zum Vorschein
gekommen: ein Beweis, class die Abhangigkeit der Enl
wiefcelitng von dem Sauerstoffe wirklich besteht. und die Zeit,
in welcher sich der SauerstofFmangel geltend macht, in die
ersten Stunden der Furchung fâllt. Vus der Tabelle ist es
ersichtlioh, dass schon im ersten Tage naeh der Befruchtung
ein Stillstand der Entwickelung durci! die Sauerstoffentziehung
herbeigefuhrt wurde. Es warf sich jetzt die Frage auf, ob die
Bulletin VIT.
3 illstaud der Ent-
•lit wurdcn. ihre Entwiekelungsfahigkeit voll-
b hier die Ruckkehr der normalen
inungen unbedingt unmoglicb ist. Dm dar
innen, wurdi Abscbluss
Culturglases i? durcb
t ersetzl und durch
durcbgeleitet.
April 7 Uhr Abends konnte man bei einem
r Eier den Fortschritt der Entwickelung constatieren,
aucb in nàebsten Tagen normal weiter vor sicb gieng.
Bei einem anderen Tbeil dur Eier war die Entwickelung nient
normal, mai ben auch im Sauerstoff die Weiter-
> nicbt aufgenommen, sic baben also ihre Ent-
wickelui Zeit des Sanerstoffmangels ein-
E à zeigt sicb daraus, d a s s d i e E m pf in dli cbk e i t
b u n g v i e 1 von der I n d i v i-
L i t à t des b e t r e f i' e n d < • n 0 r g a n i s m u s a b h a n £ r.
[m Culturg] den sicb die Eier unter Wirkung
niscbung von C02 und O. Kein einziges Ei bat sich
:■ durcb die erste Furcbe getbeilt, obscbon die Sauer-
titat do] 3S war. wie sie in der normalen
den Organismen zur Verfugung stebt. Die
sutung d jcbeint mir in déni Ergebnis
zu lie Koblensaure eine toxiscbe Wirkung
bt. durcb v Lie Eier ihre Entwickelunsrsfâbisrkeit
sperimentelle G-ewissbeit zu
i. babe icb die Eier. welcbe bis jetzt in O -+- C02-
. silten dem eonstanten Strom des reinen Sauer-
. das Wasser durcb frisches, mit Sauerstoff
iser ersetzt; dessen n et bat sicb kein
Ei gefur
Im Lden glaube icb nacbgewiesen zu baben,
1 der Verlauf und das Tempo der Ent-
er mit der Sauerstoff an wesenheit im
n Zusammenbang stebt, o lis eh on die Fur-
RÉSUMÉS _ 247
• h ii n g m e h r o d e r m i n cl e r no r m. al ohr » f f-
z u t r i 1 1 v o n a u s s e n a b 1 a u f e n k a n n ;
2) die Sauerst offwirkung sich gleich
Anfang der Entwickelung (Auftreten der ersten
Furche) gel tend m a dit:
3) die Empfindlichkeit ge rstoff-
e n t z i e h u n g v i e 1 von der Individualitàt des b e-
treffenden Organismus abh≯
4) d i e K o hl en s au r e e in e specifische toxische
W i r k ii n g a u f d i e Entwi c k e 1 u n g a u s ii 1) t.
IL
Probe der quantitative!! Bestimmung des Gaswechsels.
Die im ersten Theil dieser Arbeit mitgetheilten Benier-
kungen betrafen nnr die qualitativen Ergebnisse, ich habe
jedoch aucb versucht eine quantitative Bestimmung des Gas-
wechsels, cl. li. der Aufnabme des Sauerstoffes und der Aus-
scheidung der Kohlensaure wâbrend der ersten Entwickelungs-
stadien der Froscheier vorzunehmen. Dièses Gebiet der
quantitativen Untersuchungen des Athmungsprocesses wahrencl
der Entwickelung- ist bis jetzt, meines Wissens noch nicht in
Angriff genommen worclen — deswegen stand mir auch zu
diesem Zwecke keine in der Entwickelungsmechanik an-
gewandte Metbode zur Verfttgung. Ich babe meine Expéri-
mente im agricultur-ebemiscben Laboratorium meines Vaters
unternommen und ich babe micli vorzugsweise der Metlioden
bedient, welcbe bei den Untersuchungen in der Pfianzen-
pbysiologie angewandt werclen. Ich will im Voraus bemerken,
dass dièse Expérimente niclit so pracis ausgefûbrt werden
konnen, wie es bei pflanzenpbysiologiscben Studien der Fall
ist. Dies hangt von zablreichen Bedingungen und Umstanden
ab: Die Gasmengen, welcbe beim Athmungsproeesse il>\- sich
entwickelnden Eier in Betracht kommen, sind so gering,
man ffezwungen ist. eine grôssere Zahl von Eiera zu einem
Expérimente zu verwenden, was auf den nonnalen Entwicke-
RÉSUMÉS
lungsgang cinen hemmenden Einfluss hat. Beim Manipulieren
mit einer grosseren Zahl von Eier ist es fast unmôglieh eine
genaue Controlle iiber Absterben einzelner Eier dnrchzufuhren.
uni das betreffende Endividuum von dem Augenblick des
Todes an bei den beziiglichen Berechnungen auszuschliessen.
Die quantitativen Bestimmungen die ich zuerst unternommen
habe, waren mit dem oben beschriebenen (vergl. S. 4) Athmungs-
apparat ausgefiihrt. Ein Unterschied in der Zusammenstellung
des Apparates besteht nur darin, dass der absteigende Ami
«1rs Rohrchens dessen Miindung im Quecksilber eingetaucht
ist, beziiglich seiner Lange der Hohe des Apparates entspricbt.
Im [nneren der Kolbe wird noch ein kleines Glâschen mit
Kalilauge (3 — 4 c. cm.) aufgekangt.
Dièse Kalilauge soll die von den Eiern ausgeschiedeiH'
K< ihlensâure absorbieren.
Die Quantitat de> absorbierten Sauerstoffes wird nach
der Abnahme des Grasvolumens in dem Apparate geschatzt.
Dièse Abnaknie veranschaulieht das Steigen des C^uecksilbers
im absteigenden Arm des Rohrchens des Apparates. Um aber
ein vergleichbares Bild der Volnmenabnabme zu gewinnen
muss das gefundene Volumen jedesmal auf 760 mm. Druck
und O0-Temperatur berecbnet werden.
In der nachstehenden Tabelle, welche den Verlauf des
Expérimentes veranschaulieht sind aile jedesmal notierten
Angaben das beiïmdene Gasvolumen im Apparat, Temperatur,
Barometerstand, die Hohe der Quecksilbersaule im Steig-
rohrchen und ausserdem auf 760 mm. und 0°-Temperatur
reduciertes Volumen) verzeichnet. In der letzten Tabellerubrik
wird die absorbierte Sauerstoffquantitât (in Cub. Cm. aus-
jeben. Da die ausgeschiedene Kohlensaure
durch Kalilauge absorbiert wird. kann die Volumen abnahme
nur der Absorption des Sauerstoffes entsprecl
H- Versuch. Befruchtung am 8. April 1 Uhr 30 Min.
im Brunnenwasser. In einer halben Stunde ist das
Brunnen- mit dem destiliierten Wasser ersetzt. Km 2 Ubr
Minuten Versuch angeaetzt (Apparat zugeschlossen)
RESUMES
249
-JJ0l}SJ9tl'Bg
9^iotqjosqy
Q -qjosqiî
g^rqosqy
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S9p9I0np9JJ
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(M
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.xn;«j9clLU9X
souopnnjgg
■3 S
250 RÉSUMÉS
Ans diesem Versuchsprotocoll3 wie aucb aus mehreren
anderen hier nicht angegebenen Experimenten — ist es er-
sichtlich, dass die Sauerstoffabsorption gleich vom Anfang,
vom ersten Entwickelungstage an sich feststellen lâsst. Dièse
Sauerstoffabsorption wurde darnach in allen nachfolgenden
Tagen constatiert. Die Sauerstoffquantitât ist aber sehr gering
und ans diesem Grande lâsst sich der Apparat /ai vollkommen
genauen Bestimmungen nicht verwenden. da beim Ablesen
der Quecksilbersâule kleine Fehler nicht . ausgeschlossen werden
konnen, bei der Berechnung vergrossert sich der dadurch her-
vorgerufene [Jnterschied.
Die Bestimmung der Sauerstoffabsorption in verschiedenen
Entwickelungsperioden lâsst sich mit diesem Apparat vor
allem nicht so genau durchfiihren, dass die zûsammengestellten
Ziffern mit einander ein ganz iibereinstimmendes Résultat geben-
Dièse Ergebnisse sind aueh deswe^en unvergleichbar. da wie
oben erwâhnt wurde. die Controlle liber abgestorbene Indi-
viduen bei grosserer Eierzahl fast unmoglich erscheint.
Was die Kohlensâureausscheidung anbetrifft lâsst sich
die durch Kalilauge absorbierte Kohlensâurequantitât analytisch
bestimmen.
Dièse Quantitât ist aber so gering, dass die Resultate
uiclil .ils ganz genau betrachtet werden konnen. Aus diesem
Grande habe ich mich anderer Methoden zur Bestimmung- der
ausgeschiedenen Kohlensâure bedient.
Uni jetzt die Frage zu ermitteln, wie sich die Sauer-
stoffabsorption und Kohlensâure-Ausscheidung in verschiedenen
Entwickelungsperioden verhâlt, habe ich die Eier in das oben
beschriebene Culturglas von Kitasato gebracht undim Brunnen-
wasser befruchtet. In'einer halben Stunde wurde das Brunnen-
mit destilliertemWasser ersetzt, das Gefass luftdicht verschlossen
und steheu gelassen. Nach einiger Zeit, als ich die Bestimmung
(1rs absorbierten O und der ausgeschiedenen C(X bestimmen
wollte, habe ich eine gewisse, kleine (circa 3 cm.3) Gasprobe
aus dem Culturglas in eine mit Quecksilber geflillte Eprou-
vette libergefiihrt. Jetzt wurde das Culturglas durch einen
RÉSUMÉS
constant durchgeleiteten (ungefàhi unde lan trom
ventilirt, darnach knapp eingeschlossen und bis zur Zeit der
nàchsten Entnahme der Gasprobe stehen gelassen. Die «
proben wurden mittelst des Apparates von B o n 11 i e r und
M a n g- i n J) analysiert.
Dièse Méthode liât den besonderen Vorzug hier
g-anz kleine Gasmengen zur Analyse ausreiehev. dass also deui
entsprechend auch zum Expérimente eine kleine zahl
genorumen werden kann.
Vermittelst dieser Méthode habe ich mehrere Expérimente
angestellt. In den nachstehenden Tabellen gebe ich vorlàufig
die Kesultate von zwei Experimenten an. In die Tafelcolonne
werden folgende Angaben eingestellt: Datum der Gaspr
laufende Zahl der entnommenen Gasprobe'-. die Dauer des
Versuches vom Anfang an, resp. von der Zeit der letzten
Entnahme der analytischen Gasprobe (in Stunden ausgedrii
die Quantitat des Wassers und der Luft. die den sicli ent-
wickelnden Eiern in dem Culturglas zur Verfiigung stand, die
Quantitat des Sauerstoffes und der Kohlensaure in Proc
gehalt ausgedrlickt, nach dem Befund bei der Gasanalyse, die
Zahl der Eier. absolute Quantitat des absorbierten Sauerstoffes
und die sowohl ins Wasser wie auch in die Atmosphàre des
Gefàsses ausgesehiedene absolute Kohlensàure-Quantitàt in
C. Cm. ausgedrlickt. Uni den Vergleich der entsprechendeD
Ziffern zu ermoglichen. habe ich die fiir die verschiedene
Zahl der Eier und fiir die verschieden lang dauernden Expé-
rimente gewunnenen Resultate auf 100 Eier und 24 Stunden
berechnet und in der A^orletzten Tafelcolonne ang< geben. Es
J) Die ausfûhrliche Beschreibung und Gebrauchsanweisung di
Apparates ist in der Arbeit von Aubert: „Nouvel appareil de M.U. G.
Bonnier et Mangin pour l'analyse de gaz". Revue Génér. de 1
nique, T. XIII, p. 97. Paris 1891 zu tinden. Princip des Apparates und
Méthode der Analyse wird auch in rneiner ausfuhrlichen Abhandlung dem-
nàchst angegeben werden.
-i In jedem Expérimente wurden mehrere Gasproben i
Entwickelung-sstadien genommen.
252
muss noch an dieser Stelle bemerkt werden, dass als normaler
Procentgehalt des Sauerstoffes in der Luft vod mir 203° 0
nicht 20*99% angenommen werden musste. Dièse Differenz
von 0'69°/0 musste ich bei allon Berechnungen aus diesem
Grunde bertieksichtigen, weil wegen einer mir naher un-
bekannten Ursaclie die Luftanalysen mittelst des Apparates
vod Bonnier und M an gin immer constant diesen Aus-
fall hatten. te 22 und 28).
Wenn wirjetztdie unter sich stehenden Ziffern. besonders
die den auf .100 Eier und 24 Stunden reducierten Quantitâten
von ausgeschiedenem C02 und eingenommenem Sauerstoff mit
einander vergleichen, so fâllt es gleich auf. dess in jedem
aachfolgenden Entwickelungstage die Energie des Gaswechsels
zunimmt. Dièse Thatsache, dass die Quantitat des absorbierten
O und ausgeschiedenen C02 mit dem Fortschritte der Ent-
wickelung steigt, i,:isst sich in allen Experimenten iiberein-
stimmend eonstatieren. Ich muss noch hervorheben, dass die
in den Tabellen angegebene Quantitat der ausgeschiedenen
Kohlensâure in der That etwas kleiner ist. Der Grund des
Fehlers liegt darin, dass wenn nach der Entnahme der Gas-
probe die bisherige Atmosphare mit frischer Luft ersetzt
wurde, ich leider versâumt habe das Gefasswasser durch
frisches dettilliertes zu ersetzen. Man kann vermuthen, dass
brotzdem die Luft eine halbe Stunde lang iiber dem Wasser
durchstromte, ein Theil von der beim vorigen Experiment
producierteu Kohlensâure noch im "Wasser zuriickgeblieben
ist und bei der nâehsten Kohlensâurebestimmung l) ihre Quan-
( it.ii vergrosserte 2). In Anbetracht des Umstandes, dass die im
Wasser enthaltene Quantitat und folglich auch die allgemeine
Quantitat der ausgeschiedenen C02 nicht ganz einwandsfrei
') Zur Berechnung des Kohleusauregehaltes dieuten folgende Angaben:
Die Quantitat des Wassers, Barometerstand, Temperatur, Partialdruck der
CO., (dariiber lielehrt die Gasanalyse), Ai'surpticmscoefncient der CO.,.
!) Der Fehler bezieht sich natiirlich nicht auf die zum ersten Mal
aus dem Expérimente entnommencn Gasproben.
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RÉSUMÉS
ist. kann ich die Bilanz des Gaswechsels d. h. das quanl
tive Yerhaitniss zwischen dem eingeathmeten 0 and
geschiedenen C02 vorlâufig nicht feststellen. Tcli glaube jed
dass meine Untersuckungen auf die Méthode hir mit
welcher auch dièses Résultat zu gewinnen sein wird. Auf
Grund meiner quantitativen Bestimniungen wurde noch eine
Thatsache festgestellt. Es ist bekannt, dass die Organismen
nur innerhalb gewisser Grenzen von Procentgehalt des Sauer-
stoffes in der umgebenden Atmosphère leben konnen. Dièse
Grenzen sind aber fur verschiedene Organismen nicht die-
selben. In einigen Gasproben der Expérimente, deren Protocolle
in der ausfiihrlichen Arbeit angegeben werden, wo die Eier
in etwas spâteren Entwickelungstagen einige Tage lang in
derselben Atmosphère verweilten, wurde 3-66° ,,. j
1*06 % des Sauerstoffes gefunden und die Eier haben sich
trotzdem ganz normal entwickelt — ein Beweis, dass die Eier von
Eana temporaria Sauerstoff bis zu den letzten Spuren ausniitzen
Hier kann die Thatsache ihre Erklàrung findcn. welche
ich (vgl. I. Theil) im Einklang mit Loeb und Sam:,
festgestellt habe, dass die Eier sich durch einige Zeit ohne
Sauerstoffzutritt entwickelh konnen. Wahrscheinlich geht die
Entwickelung auf Kosten der nicht entfernbaren Sauerstoff-
spuren vor sich.
Die quantitativen Untersuchungen iiber den Gaswechsel
beim Athmungsprocesse will ich absolut nicht fur abgeschlos
halten. Ich habe nur die ersten Proben der quantitativen
Bestimmungen des Gaswechsels vorgebracht und glaube auf
Grund dieser Proben naehgewiesen zu haben, dass die
Athmung-senerg-ie mit dem Fortschritt der Eut-
w i c k el u n g z u n i m m t und dass die sich e n t w i c k el n-
den Organismen in den ersten Entwickelun
s t a d i e n durch w e i t g e h e n d e U n a b h a n g i gkei 1 v o m
Partialdrucke des Sauerstoffes (bei ihrer Ath-
miing wie bei ihrer Entwickelung) sich aus-
zei chnen.
256 RRsUMfcS
N. Cvb( i.sk!. 0 wlasnosciach pradu spocznnkowego w nerwach zaby.
(Einige JSemerkungen liber d<ts Verhalten der elektro-
motorischen Kraft in den Froschnerven). Vorgelegt am
9 Juli 1900.
Da der Verfasser die Erklàrung der Herkunft des Ruke-
stromes in den durchgeschnittenen Nerven als durcbaus noth-
wendisr zur Verstàndnis der elektrischen Vorgan°;e in den
Nerven betrachtet. wiederholte er diejenigen Versuche anderer
Forscber. welcbe die Eigenscbaften des Rubestromes in den
Nerven eine Aufklarung- geben kunnen. Abgeseben von den
anderen naberen bekannten Tbatsacben macbt der Verfasser
nders auf folgende aufmerksain.
Die elektromotoriscbe Kraft bei der Langsquerscbnitt-
ableitung vermindert sicb nicbt nur bei den ausgescbnittenen
und frei ausserbalb des Organismus auf den Elektroden lie-
genden Nerven, sondern aucli bei denen. die nur durcbsebnitten
worden sind, obre aus dem lebenden Organismus entfernt zu
werden. x4.ni dritten oder vierten Tage — besonders bei den
in Eistemperatur aufbewahrten Fruscben — kommt es manch-
nfal vor, dass der Querrscbnitt sicb dem Làngsscbnitte gegen-
itber positiv verhàlt. Dièse Erscbeinung kann man jedocb nur
dann beobacbten. wenn der Nerv gânzlich unverletzt und obne
jegliclie Zerrung aus der Wunde berauspraparirt wurde. Scbnei-
det man jetzt mit einem scbarfen Rasirmesser eine minimale
Schicbte des Querscbnittes ab, so tritt die Negativitàt des
Querschnittes sogleieh zum Vorscbein. Die elektromotorische
Krai'i. die anfangs sehr klein ist, wiicbst stark mit jedem
neuen angelegteo Querschnitte und erreicbt ibr Maximum.
nacbdem 2 — 3 mm langes Stiickcben des Nerven entfernt
wurde. Weitere Querschnitte zeigen wieder eine geringere
Spannung. Zu einer spiiteren Période am vierten bis sieben-
ten Tage nacb dem Durchneiden bat der Verfasser dièse Po-
sitivitât des Querschnittes nicbt mebr beobacbten kônnen: der
rscbnitt war in dem l-'alle immer schwach negativ.
késumbs _ 257
In dieser Versuchsreihe war es jedoch sehr schwer ja
unmogliçh, den Nerven aus der Wunde auszupràparieren, ohne
zu verletzen oder zu zerren, was sieh leicht durci) die mm
ziemlich starke Reaction und Prolifération d< bes rine-s
mu die Durchschneidungsstelle des Nerven erklârt. Reizt man
in den ersten Tagen nach der Durchschneidung den periphe-
ren Theil des Nerven in der Nàhe des Durchsehnittes. sei
dièse Reizung elektriseh oder mechanisch, so bekommt man
eine Muskelcontraetion. Manchmal konnte der Verfasser nn-
mittelbar an dem Querschnitte sogar die erhohte Erregbarkeit
beobachten. Daber meint der Verfasser, dass vom Absterben
des Nerven an dieser Stelle nicbt die Rede sein kann, wenig-
stens wabrend des ersten Tages. und dass die Verminderung
der Negativitat des Nervenqnerschnittes sicb dadurch nicbt
erklaren liisst. wie Hermann meint. Dièse Erseheinunfir be-
statigt vielmebr die Hypotbese dess Verfassers, dass namlicb
auf der Oberflacbe des Acbsencylinders immer die Wanderung
der positiven Jonen in der Ricbtung nach aussen stattfindet,
und die der negativen in der Ricbtung von aussen nach innen.
so dass ein frischer Querscbnitt des Axencylinders sicb negativ
elektriscb gegen die Oberiiiiebe verbalten muss. Nach einiger
Zeit entstebt dieselbe Jonenbewegung aucb auf der Oberflaehe
des kitnstlicben Querscbnittes und seine Negativitat wird im-
mer kleiner und kleiner. Da dièse Jonenwanderung zum Tbeil
wenigstens von den Lebenserscheinungen dus Axencvlinders
abhangïg ist und der Heilungsprocess die Vitalitat des Ner-
venquerscbnittes warscbeiniicb verstiirkt. so kann manchmal
der Querscbnitt sich als positiv gegen die ganze iibrige Ob
flacbe erweisen. Aucb ist es leicbt verstandlicb. dass die elektro-
motoriscbe Kraft ibr Maximum erreicht. wenn der aeue Quer-
scbnitt in einer gewissen Entfernung von dem alten
wird. Fiir die Ansichten des Verfassers spricht ' auch die
scbeinung, dass die elektromotoriscbe Kraft in dem perip
rischen Tbeile des Nervenstammes kleiner ist. als in dem
centralen. Nimmt man als Ursache des Ne
nekrobiotischen Erscheinungen an. so muss man auch anneh-
RÉSUMÉS
-s dièse Vorç sich in verschiedenen Theilen «les
Nerven verschieden gestalten. Dièse Thatsacbe lasst sich jedoch
leichter durch die Annahme erklâren, dass die elektrische Kraft
dos Nerven in eineni gewissen Verhaltnis zur Stârke des Stoff-
amsatzes in Nerven steht. Die grôssere elektromotorisclie Kraft
in dem eentralen Theile des Nerven soll daher bloss bedeuten,
dass die [ntensitàt der Lebensprocesse dort grôsser ist. als in
peripherem Theile. Die Ansichten des Verfassers bestatigt
auch die Thatsacbe. dass die niedrige Temperatur. wie auch
einige Gase, wie z. B. C02, CHC13. Co.H^OH n. s. w. die
elektromotorische Kraft der Nerven stark herabsetzen. Bei
solchen Versuchen rnuss man jedoch immer darauf Rticksicht
nelimen. dass viele von diesen Stoffen die Polarisation der
sonst unpolarisirbaren Elektroden hervorrufen nnd auf dièse
YVeise zu falschen Schlussfolo-erun2:en fiihren kGnnen.
38. — S Ciechaxowskï. Sprawy vvydzielnicze w komôrkach pierwotnych gru-
ezolakôw i rakôw gruczoiakowych vatroby. (Ueber intracellulare
Secretionsvorgange in Léberadenomen und~ Adenocard-
nomen). Mit 1 Tafel. Vorgelegt am 9 Juli 1900.
Xacbdem bereits sehon Hering vennittelst der kûnstlichen
Injection von den GalleEgângen aus innerhalb des Cytopla.sma
der L^berzelle intracellulare Kanàlchen beobachtet bat, die-
selben aber tbeiiweise als Artefact auffasste. ist in den spàteren
Arbeiten zablreieher Autoren die Lehre von der feineren Struc-
tur der Leberzelle in der von Hering zuerst einuesclila^enen
Richtung mit einzelnen Beobacbtungen ergànzt worden ; erst
aber neulich i>t es Browiez gelungen durch Naehweis von na-
tiirlicber Injection der intracellulàren Kanâlchen mit Galle die
Existenz der intraprotoplasmatischen und intranuelearen Gallen-
kanalchen zweifellos nachzuweisen und ein genaues Bild der
Structur der Leberzolle zu construire!). Browiez hat bekannt-
RÉSUMÉS .. 259
lich nachgewiesen *), dass die intracellulâren Gallenkanalchen
mit den intercellularen Gallengângen in Verbindung stehea
und ia dem Zellkern ihren Ursprung nehmen ; dass die Kerne
der Leberzellen an den Secretionsvorgângen einen aetiven An-
theil nehmen, dass sie nâmlich an der Umarbeitung des Hâ-
moglobins der ins Innere der Zellen befôrderten rothen Blut-
korperchen in die Grallenpigmente betheiliiit sind.
Es war von Intéresse zu entseheiden, ob die mit der
intracellulâren Galhmsrcretion und mit der Verarbeitung des
Hârnoglobins in Gallenpigmente innig zusanmmnhangenden
morphologischen Erscheinungen. die von Browicz in der Leber-
zelle beobachtet worden sind, in analoger Weise zu Tage treten
in den von der Leberzelle abstammenden Zellen der Leber-
neubildungen, icsbesondere der primâren L^beradenome und-
Adenoearcinome, deren Zellen unter Umstanden die Fâhigkeit
der Gallensecretion. selbst in den Métastaser), beizuhehalten
im Stande sind. Falls es dem so ware, daim wiirde noch die
Frage zu beantworten sein, wie und wann die Fâhigkeit der
Gallensecretion in den Zellen der benannten Neubildungen
mit fortschreitender morphologischer, bezw. funktioneller Ana-
plasie der Zellen, bei den Entartungsprocessen des Cytopla-
sma und der Zellkerne als aueh verloren geht. Die Beantwor-
tung dieser Fragen schien nâmlich fur das Verstandnis
der Innigkeit des Zusammenhanges der Secretionsvorgànge
mit den von Browicz geschilderten intracellulâren Erschei-
nungen nicht ohne Bedeutung zu sein.
In dieser Richtung wurden die in den letzten fûnf Jahren
im Institute fur pathologische Anatomie zu Krakau beobaeh-
teten Fâlle von primâren Leberadenomen. bezw. Adenocarci-
nomen uutersucht.
*) Zahireiche Publicationen in den „Verhandlungen der Akademie
der Wissenschaften in Krakau. Math-naturwiss. Klasse'' Band ;5 & u. M7 und
vorliiufige Mittheilungen in dem „Anzeigeru der genannten Akademie
1897—1900. Mehrere Abhandlungen in „Przeglnd lekarski -.
karska", «Deutsche med. Wochenschrift" u. s. w. 1898—190
j?60 KÉSUMÉS
Es wurde dabei festgestellt. dasa iu den neoplasmatisehen
Zellen, welche mit den Leberzellen die meisten morpbologischen
Analogien besassen, d. i. die kleinste morphologi'sche Anaplasie
bekundeten, und keine Enartungserscheinungen darboten, die
fur die intracellulâre Gallenseeretion eharakteristisehen Bilder
leicht nachzuvveisen sind.
In solchen Zellen beobachtete man stellenweise innerhalb
des Cytoplasma, meist in einer Vacuole, am Rande der Zelle
liegende rothe Blutkorperchen (fig. 1.). In anderen Zellen liegen
die rothen Blutkorperchen bereits nahe an dem Zellkerne (fig.
2.), bald einzeln, bald gruppenweise in Vaeuolen angehâuft (fig.
S.), wobei liie und «la die Blutkorperchen mit einander zu ver-
schmelzen begiuneu (fig. 4.), uni weiters die den von Browicz
in nonnalen Leberzellen gesehilderten analogen Veranderungen
einzugehen. unter Beibebaltung ihres fur ihre Abkominensckaft
charakteristischen Verhaltens gegeniiber den Farbstoffen.
Seltener begegnet man den rothen Blutkorperchen. welche
bald unverândert, bald immer mehr verândert werden, im Inneru
der Zellkerne (fig. 2.), wobei hie und da die Blutkorperchen
gruppenweise in intranucleàren Vaeuolen angehâuft sind und
mit einander theilweise verschmelzen (fig. 5.)-
Manchmal endlich wurden im Cytoplasma der neoplas-
matischen Zellen Vaeuolen beobachtet, in denen nadelfôrmige,
tiefbraune Krystalle irgend eines Hamoglobinderivates ange-
sarnmelt wareu. (tig. 8.)
Einen haufigen Betund bildeten die intraprotoplasmatisehen
Gallenkanàlcken, welche mit der in naturlicher Farbe conser-
vierten (Formalin 2%, Sublimât) Galle gefilllt waren und den
in den normalen Leberzellen von Browicz gesehilderten intra-
cellulâren Gallenkanalchen vollkommen glichen (fig. 9.). Dièse
intracellulâren Gallenkanalchen standen mit den intercellularen
Gallengângen in Verbindung und traten zu den Zellkernen
in analoges Verhâltnis, wie es von Browicz in den normalen
Leberzellen bereits geschildert wurde (fig. 6 u. 7.). Fin Bild,
wo sàmmtliche Einzelheiten der Beziehunffen der intracellulâ-
RÉSUMÉS - 261
ren Gallenkanalchen zu den Zellkernen gleichzeitip- zu sehen
waren, ist in Fig. 6 dargestellt.
Beziiglich des Erhaltenbleibens der morphologischen Àqui-
valente der intracellulâren Gallensecretion in den neoplasma-
tischen. von der Leberzelle herstammenden Zellen bei fort-
sehreitender Anaplasie wurde festgestellt , dass in den hoch-
gradig anaplasischen Zellen, — welche morphologisch bereits le-
diglicb als epithelialer Herkunft sieh documentirten , irgend
welche hohere Differenzierung dagegen nicht mehr besassen, -
die benannten morphologischen Erscheinungen der Gallensecre-
tion vollstandig in Verlust gegangen sind. In den Zellen da-
gegen, die eine, wenn auch entfernte morpbologische Analogie
mit den Leberzellen besassen, traten noch, wenn auch seltener
und unvollkoramener, die benannten Erscheinungen zu Tage.
Dabei schien die Sécrétion der Gallen pigmente ara ehesten zu
Grande zu gehen.
Die intracellulaire Gallensecretion wurde weiter vermisst
in den hochgradig fettig degenerierten und absterbenden Zellen,
dagegen war sie noch mauchmal nachzuweisen in den Zellen,
welche im Cytoplasma nur spârliche Fettropfen beherbergten.
wie auch in den Zellen mit verschiedenartig pathologisch ver-
ânderten (nicht aber nekrotisierenden) Kernen (fig. 10), endlich
in den vielkernigen Riesenzellen (fiig. 11).
Auf Grand vorstehend in aller Kiirze angefiihrten Be-
lunde und Sichtung der bezuglichen Litteratur, gelangt Ver-
fasser zu folgenden Schliissen :
1) Im Cytoplasma und den Kernen der Zellen der Leber-
adennme und -Adenocarcinome sind unschwer morpholo-
gische Erscheinungen nachzuweisen, welche den von Im -
wicz in den Leberzellen nachgewiesenen Erscheinungen
der intracellulâren Gallensecretion, an welcher die Zell
kerne durch Verarbeitung des Hamoglobins der ins In-
nere der Zellkerne beforderten rothen Blutkorperchen in
Gallenpigmente activen Antheil nimmt, vollkommen ana-
log sind.
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2) Dièse morphologischen Erscheinungen sind, — zumindest
theilweise — , lange Zeit hindurch zu beobacliten, obwohl
die neoplasmatische Zelle sich bereits von dera Typus
ihrer normalen Mutterzelle weit entfemt liai.
3) Dièse Erscheinungen konnen einige Zeit sogar dann be-
ben, wenn die Adenom- bezw. Adenocarcinomzelle se-
cundâre pathologische Veranderungen, insbesondere die
Kerntheilungsabnormitâten und die Degeneration des
Cytoplasmas zu erleiden beginnt.
4) Die morphologischen intraeellulâren, von Browicz in der
Leberzelle nachgewiesenen Erseheinungen, sind demnach
als mit der Gallensecretion, bezw. der Verarbeitung des
Hâmoglobins in Gallenpigmente innigst zusammenlian-
gend aufzufassen; dièse Erseheinungen scheinen eine
nothwendige Bedingung der Gallensecretion zu sein.
5) Allem Anschein nach geht in den der Anaplasie ver-
fallenden neoplasmatischen Zellen die Fâhigkeit der intra-
eellulâren Gallensecretion nicht auf einmal verloren; bei
einem stufenweisen Verlust dieser Eigenschaft scheinen
die Zellen zuerst die Fâhigkeit der Sécrétion der Gallen-
pigmente zu verlieren.
6) Es scheint, als ob bei den secundâren pathologischen
Veranderungen der Zellen der Leberadenome und- Ade-
nocarcinome, insbesondere bei der Degeneration des Cy-
toplasmas, der Verlust der Fâhigkeit der Gallensecretion
ebenfalls mit dem Verluste der Sécrétion der Gallenpi-
gmente seinen Anfang nehnae.
7) Ein Theil der achromatischen protoplasmatisehen Inclu-
sionen, welche in Cytoplasma der Zellen der verschiede-
nen Neubildungen, besonders aber der epithelialen, hâufig
vorkommen, — und vielleieht auch ein Theil der intra-
nucleâren protoplasmatisehen Inclusionen wâre im Gegen-
satz mit den herrsehenden Anschauungen aus der Klasse
der degenerativen Veranderungen auszurangiren; jeden-
fals aber wâre es kaum angângig, sâmmtliche dièse In-
clusionen als desrenerative Veranderungen ritcksichtslos
RÉSUMÉS
aufzufaaseq. Es ist nâmlich nk-lit von der Hand zu
weisen, dass gewisse Inclusioneti in den ins Innere der
Zellen beforderten un 1 verânderten rothen Blutkorperchen
ihren Uraprung haben ; gewisse Inclusions dag
diirften mit grosser Wahrscheinlichkeit nieht als degene-
rative Verânderung des Cytoplasraas aufzufassen
soudern als moglicherweise schwindende Ersebeinuno' der
mit den physiologischeD Aufgaben der Zelle zusammen-
hàngenden, jedoch durch secundâre pathologische Ein-
fliïsse modificierteu Secretionsvorgange.
39. — H. Hoyer. Przyczynek do morfologii serca ryb. (Zur Morpho-
logie des Fischherzens). Vorgelegt am 9 Juli 1900.
Gegenbau r war in seiner ersten Arbeit iiber die
vergleichende Anatomie des ïïerzens auf Grund von verglei-
cbend-anatomischen Studien zu dem Ergebnis gelangt. dass
bei Teleostier» wie bei Selacbiern und Ganoiden die Kammer
sicb in ein muskuloses Rohr verlângert, welches bei den ersteren
in der Regel nur kurz, bei allen den letztgenannten Ordnun-
gen langer gestreckt sicb darstellt, bei beiden jedoch durch
Tascbenklappen gegen das daraus hervorgehende Arterienrohr
sicb abgrenzt. Gegenbaur zeigte ferner. dass bei Selacbiern.
Cbimaren und Ganoiden die Klappen der vorclersten Querreihe
des muskulosen Rohres in Form und Verrichtung von denen
der folgenden Querreihen verschieden sind . und verglich
scbliesslicb die Klappen der vordersten Querreihe der au
fùhrten Fiscbe mit der einzigen Klappenreihe am Ostium
arteriosum der Herzkammer der Teleostier. Damit war die
Trennung zwischen dem muskulosen Robre der Selaehier und
Ganoiden und dem erweiterten Arterienstiel der Teleostier voll-
endet. Jenes wurde Conus. dieser Bulbus genannt.
Boas schliesst sich hinsicbtlich der Auf
zelnen Herztbeile der Selaehier, Ganoiden und auch der Di-
264 RÉSUMÉS
pnoer dén Ausfiihrungen Gegenbaur' s vollkommen an, hin-
sichtlich des Teleostierberzens gelangt er jedoch zu etwas-
anderen Resultaten als Gegenbaur. Bei Teleostiern ist naeh
Boas der Conus in der Regel „ vollkommen rudimentar. obne
Muskelschicht, tragt nur eine Querreibe von Klappen. der vor-
dersten Reibe der Ganoiden homolog". Nur bei einigen Clu-
peiden ist der rudimentare Conus noch mit quergestreifter
Muskulatur verseben. Boas fasst somitdeneingeengten.bin-
degewebigen Tbeil zwiscben Ventrikel und Bulbus als Conus
auf, lâsst von diesem die Klappen entspringen und betrachtet
den vordersten Tbeil des Ventrikels, der dem muskulosen
Robre Gegenbaur's entspricbt, als „einen Tbeil des eigentlicben
Ventrikels".
In seiner zweiten Abbandlung iiber den cliesbeziiglicben
Gegenstand gelangt Gegenbaur auf Grund von weiteren
Untersucbungen, die er am Conus von 2 Lepidostei und einem
Embrvo von Acantbias angestellt, zu Resultaten. die beziiglicb
des morpbologiscben Wertes des Conus von seinen urspriing-
licben Ansicbten nicbt unwesentlicb abweieben. Im Conus von
Lepidosteus sind namlieb die Klappen genau in Langsreihen
angeordnet. In den letzteren sind die Klappen mittelst Faden
oder breiterer Ziige unter einander verbunden. Hieraus ge-
winnt man die Vorstellung, dass die in einer Langsreibe lie-
genden Klappen ursprimglicb inniger zusammengebangen haben.
Gegenbaur wird in dieser Ansicbt nocb mebr bestarkt
durch das Ergebnis der Untersucbung des Acantbiasembryo.
in dessen Conus sicb 4 Langsfalten befinden, obne dass eine
Differenzierung derselben in einzelne Klappen zu bemerken
war. Gegenbaur scbliesst daraus: „Die Anordnung der
Klappen in Langsreihen ist also von der Entstebung von
Langswulsten abzuleiten, und dièse reprlisentiéren den primi-
tiven Zustand des gesammten Apparates". Von diesem pri-
mitiven Zustand leitet Gegenbaur die im Conus von Se-
lachiern, Chimaren, Ganoiden und Dipnoern existierendt'n
Klappen ab. nicbt aber die Klappen der TeleostiVr. die in der
nannten Arbeit liberbaupt keine Erwàhnung finden.
RÉSUMÉS - 265
Wie weiter unten ausgefiihrt werden soll, lassen sich die
einander theilweise widersprechenden Ansichten der Autoren
recht g-ut in Einkiang bringen. Ein den Selaehierembryonen
entsprechender Conus lasst sich auch bei Embryonen von
Teleostiern nachweisen und erhalt sich auch bei erwachsenen
Exemplaren allerclings in veranderter Form fort.
Als Untersuchungsmaterial dienten dem Verf. etwa 2 cm.
lange Embryonen von Pristiurus melanostomus und Salmo salar.
Ebenso wie bei dem Embryo von
Acanthias sind bei Pristiurus in dem
vom Ventrikel entspringenden Ge-
fassrohre 3 Lângsfalten vorhanden,
welche vom Ostium arteriosum bis
zum Abgange der hintersten Bran-
chialgefasse reichen. Dieselben be-
stehen aus embryonalem Bindegewebe. Fig. 1 .
Sie werden an ihrer Oberflache, im Innern des Gefassés, von
Endothel bekleidet; nach aussen zu. grenzen sie mit ihren
Basalflachen an eine diinne Schicht von quergestreiften Mus-
kelfasern, denen noch eine Schicht von flachen Serosazellen
aufliegt. (Fig. 1.) Soweit Verf. aus den Serienschnitten beur-
theilen konnte. làsst sich in diesem Entwickelungsstadium,
ebenso wie bei jenem Acanthiasembryo Gegenbaur's. noch kei-
nerlei Difïerenzierung. welche auf eine Klappenanlage hinwei-
sen wiirde, wahrnehmen. Den Process der Klappenentwicke-
lung hat Verf. nicht direct beobachtet, doch glaubt er, dass
derselbe sich in der von Gegenbaur geschilderten Weise voll-
zieht. Als wirksamer Factor wirckt der Druck. (1er nach der
Ventrikel- und Conussystole von dem sich riickstauenden
Blute ausgeht. Durch dasselbe erhiilt die weiche Masse der
Falten Eindriicke, welche sich bei steter Wiederholung des
Vorgangs successive vertiefen, bis sie schliesslieh' Taschenform
annehmen. Wie aile Autoren ubereinstimmend angeben, sind
die Klappen der ersten Querreihe stets ;un besten ausgebildet,
wahrend diejenigen der iibrigen Querreihen ihrer Form nach
oft recht unvollkommcn erscheinen. Nach Stôhr befinden
266 rési mes
sicli dieselben in Riickbildung. Dieser Auffassung tritt bereits
jcn. Die Klappen haben sicb ans einem
vollkommcneren Zustande nicbt rûckgebildet, sondera sind in
ihrer Entwickelung durch die stetig fortscbreitende Ansbildung
dér Klappen der ersten Querreibe aufgebalten worden. Da
letztere wohl nicht von Anfang an einen gânzlîcben Abscbluss
bewirken konnte, so war daniit den weiteren Abscbnitten der
Longitudinalfalten die Moglicbkeit gegeben, sieh zu dem Klap-
penapparate allmabbcb umzubilden. Sobald als der Verscblnss
der ersten Reibe von Klappen vollkommen wird. und damit
die Wirkung des die Klappen modellierenden Blutdruckes ver-
miudert wird, bleiben die Klappen auf ilirer jeweiligen Ent-
wickelungsstufe steben und erfàbren dann wohl kaum mebr
wesentlicbe Verânderungen. Wie innige Beziebungen zwischen
der Einwirkung des Druckes der Blutsaule und der Ansbil-
dung der Klappen besteben, ersiebt man an einem wobl con-
servierten, in der Sammlung des Institutes aufbewabrten Pra-
parate vom Herzen von Acipenser sturio, der eine Lange von
mebr als 2 m besessen natte. Die Lange des Conus betrâgt
37 mm. In demselben ist die erste, ovale. Querreibe vod
Klappen sebr gut ausgebildet. Alsdann folgt ein grosser klap-
pen i'reier Raum, welcber naeb einer Seite bin ziemlich be-
deutend ausgebuebtet ist. Die Innenwand des Raumes zeigt
mannigfacbe Unebenbeiten. Gegen den Ventrikel zu, tritt eine
zweite Querreibe von unscbeinbaren Klappen auf und hinter
derselben eine dritte, die in der Entwickelung der einzelnen
Klappen der ersten sehr nabe stebt. Hier bat demnach der
im Conus selbst sieb geltend maehende Blutdruck zur Ver-
vollkommnùng der letzten Klappenreibe beigesragen. Wenn
man aucli iiber die Klappenbildung im allgemeinen einiger-
• ii befriedigende Erklârungen abzugeben vermag, so blei-
ben dennoeb verschiedene Punkte iibrig, die noch weiterer
Aufklarung bedtirfen. So macbt z. B. sehon Gegenbaur darauf
aufmerksam, dass bei dem von ibm untersucbten Acantbias-
embryo die vordersten (ovalen) Enden der Langsfalten im
Conus durcbaus nicbt auf* einen Quersehnitt fallen. Dasselbe
RÉSUMÉS
konnte auch Verf. au seinem Pristiurusembj
Von den 3 Lângsfalten liegeu 2 Falten im obersten Tl
des Conus dicht bei einander auf der ventralen Seite de
ben. Weiterhin in der Richtung zum Herzen weic
einander und nehmen (due mehr latérale Lage ein. Di
Lângsfalte liegt auf der dorsalen Seite des Rohres. Wab
nun die beiden lateralen resp. ventralen Lângsfalten auf den
Querschnittsserien bereiis vor der Abzweigung der letz
Kiemenarterien sich bemerkbar machen. tritt der dorsale Wulst
erst hinter dem Abgange der Gefasse in Erscheinung. Dii
Enden der Lângswtilste wiirden somit auf eine Ebene fallen,
welcbe in der Richtung von vorn und unten nach hinten und
oben das Gefàss schneiden wiirde. Trotzdem bilden sich dii
Klappen der ersten Reihe in einem Niveau ans. Es miis
also offenbar beim weiteren Wachstum des Thieres V
bungen der einzelnen Theile stattfinden und ferner muss auch
der Blutdruck regulatorisch auf die Entfaltung der Klappen
einwirken.
Zu erôrtern ist weiter'die Frage, warum sich bei Knorpel-
fischen eine Mehrzahl von Klappen anlegt, wo doch die i
Klappenreihe. gut entwickelt, offenbar genttgen dtirfte. >•
der Ansicht des Verf. steht die Entwickelung einer en
Anzahl von Klappen in unmittelbarer Beziehung zu der den
nus umgebenden Schicht von quergestreiften Muskeln. I ><
Conus wirkt als propulsatorischer Herzabschnitt selbstandig
auf die aus dem Ventrikel eingetriebene Blutmenge eiu und
bedarf daher eines ausgiebigeren Klappenapparates. Lëtzfc
tritt, wie bei Selachiern und Lepidosteus, in Form von Lai
reihen von mehr oder weniger functionierenden Klappen aui.
oder auch. wie wir es bei Aeipenser gesehen haben, in Form
von zvei gut entwickelten Querreihen am Eingange and Aus-
gange des Conus. zwischen denen sich. durch einen \v>
Zwischenraum getrennt. kleinere. weniger entwickelte Kla]
befinden kônnen.
Schliesslich ware noch die Frage zu erledigen, ofc der
Anzahl der in einer Quer- oder Langsreike befindlichen Klap-
268 RÉSUMÉS
pen ein besonderer Wert beigemessen werden darf. Wie es
scheint, besteht eine gewisse Constanz in der Aiizahl der Klap-
pen fur eiuzelne Species; andererseits kommen. wie bereits die
Zusammenstellung der Befunde verscbiedener Autoreu durch
S t ri li r lehrt. zablreicge Variationen vor. Bevor also an einem
srrôssereB Materiale raittelst der statistiscben Metbode das Vor-
kommen von standigen Bildungen und Abweicbungen nicbt
festgestellt ist, lâsst sicb die Anzabl der vorbandenen Klap-
pen im Conus in systematiscber Beziebung nur wenig ver-
werten.
Bei der Untersucbung des Conus von Lacbsembryonen
ergeben sicb im grossen und ganzen die gleicben Verbaltnisse
wie am Pristiurusembrvo. Wâhrend aber bei letzterem das
ganze Gefàssrobr zwiscben Ventrikel und der Abzweigung der
Branebialgefâsse den embryonalen Conus darstellt, ist derselbe
beim Lacbsembryo auf die kleinere, dem Herzen zugewandte
Hàlfte des gasammten Gefassrobres bescbrânkt; der iibrige
distale Abscbnitt gehôrt bereits dem Bulbus und Truncus ar-
teriosus an. Wie bei Pristiurus erbebt sicb liber dem Ven-
trikel der Conus als ein Robr von gleicbmâssigem Kaliber.
Die Wandungen desselben werden von einer Scbicbt querge-
streifter Muskulatur gebildet, und nacb innen zu erbeben sicb
von den Wânden zwei Falten, welcbe aus embryonalem Binde-
gewebe und der Bedeckung von Endothelzellen bestehen. Die
Falten erstrecken sicb vom Ostium arteriosum so weit, als
die quergestreiften .Muskeln reicben. Wir baben es somit mit
einem, dem embryonalen Selacbierconus vollkommen bomo-
logen. Gebilde zu thun. mit dem Unterscbiede. dass bier der
Conus bedeuteiul verkùrzt ist und nur Lângsfalten entbalt.
Da dem Verf. aucb von Teleostierembryonen keine weiteren
Entwickelungsstadien zur Verfiigung standen, konnte das wei-
tere Schicksal des Conus und die Umbildung der Lângsfalten
in Klappen nicbt verfolgt werden; docb lasst sicb aucb hier
aus den entsprechenden Herzabscbnitten erwachsener Fiscbe
der Verlauf des Umbildungsprocesses zum Theil erschliessen-
RESUMES
Betrachtet man Langsschnitte durch das Herz •
ciscus rutilus, Oyprinus rarpio, Tinca vulgaris, so sieht man.
Fig. 2 vom Herzen von Leur! sens darthut, in dein halsarti"-
eingeengten Abscknitte zwischen Bulbus und Ventrikel zwei
Bindegewebsstrànge verlaufen, die sich weiterhin gegen den
Ventrikel in die Klappen fortsetzen. Nach aussen sind diesel-
ben von Fett und lockerem Bindegewebe umgeben. Nach
Boas stellt dieser kurze, halsfôrmige, klappentragende und
muskelfreie Verbindungstheil zwisclien Ventrikel und Bulbus
den Conus der Teleostier dar. Nach der Ansicht des Verf.
ist eine derartige Auffassung
des Conus zuriickzuweisen,
weil in derselben der querge-
streiften Muskulatur. welche
neben den Klappen das Haupt-
charakteristicum bildet, keine
Rechnun^o-etra^en wird. Bo-
as befindet sich iibrigens s'
hin sichtlich seiner Anschauungen in einem gewissen Wi-
derspruche. da er den meisten Teleostiern eine Muskulatur im
Conus abspriehc und dieselbe nur einigen Clupeïden (darun-
ter Osteoglossum bicirrhosum , welcher nur eine Querreihe
von Klappen. und Butirinus (Albula), welcher deren zwei ent-
halt) zugesteht.
Gegen Boas schliesst sich Verf.. allerdings,
mit e i n e r gewissen Beschrânkun g, d e r u r s p r ii ng-
lich en Ansicht Gogenbaur's an. wonach der Co-
nus bei Teleostiern existiert, aber bei au s
w a c h s e n e n E x e m p 1 a r e n z u m T h e i 1 in d e n V e n-
t r i k e 1 mit hineinbezogen ist.
Wie Fig. 2 zeigt, sowie auch die Abbildungen von an-
deren Autoren, darunter auch die von Boas, befinden sich die
Klappenansatze stets im Bereiche der Ventrikèlmuskulatur.
Betrachtet man nun dieselbe genauer, su erkennl man, •
von der Klappenbasis ans die Làngszùge sich nach dem Ven-
trikellumen zu fortsetzen und in die Dicke der Ventrikelwand
RÉSUMÉS
ausstrahlen. Ebenso schliessen sich die an der Klappénbasis
([lier getroffénen Btindel an die in glëicher Weise verlaufende
Muskulatur der Véntrikelwand an. Die Aussënschiclit der
Ventrikelmuskulatur zeigt in dem eingezogenen Theile zwi-
q Ventrikel und Bulbus eine Unterbreehung durch eine
diinnë Bindeg:ewebsschicht , welche sich ans ienem verengten
Theile in die Wand des Ventrikels hineinërstreckt und nach
kurzem Verlaufë zwischen clen Muskëllamellen verliert. Der
dem Ventrikellumeu zugekëhrte und die Klappénbasis um-
fassende Theil der Muskulatur sammt Bmdegèwebe erscheint
dadurch in den Ventrikel hineingezogen, und die durch
den Bindegewebsstrans getrennte A.ussenschieht von Mus-
keln als eine secundàre Auflagerung. Doch ïst letztere als
solche thatsachlich nicht aufzufassen, sondern erweekt nur den
Schcin einer solchen. Man muss vielmehr aonehmen. dass
dièse Aussënschiclit ursprtinglich, als sich der primitive Co-
nus als Gefâssrohr liber den Ventrikel orhob. bis an dasselbe
lieranreichte. und dass sie erst nachtrâglich durch die Ein-
verleibung des Conus in den Ventrikel von dem muskulosen
Klappentheil abgedrângt wurde. Vert", hait demnaeh die
der Klappénbasis unmittelbar anliegende M u s-
k u 1 a t u r , die sich o h n e U n t ; < ■ r 1 » r e c h u n g in die I n-
n e n t li e i 1 e d e s M y o c a r d s f o r t s et z t, f ii r den m u s k u-
1 u s e n Bestandtheil d e s p r i m i t i v e n C o n u s. Der
bindegewebige Anteil im Vefbindungsstiick , den Boas als
Conus bezeichnet. ist erst nachtrâglich entstanden und hat
mit dem primitiven Conus nichts zu schaffen. Es deutet auch
schon das Verhalten der elastisehëu Fasern darauf hin. welche
sich in dieken Ztigen von der Intima des Bulbus abspalten
und in dem Verbindungsstiick bis an dm Klappenansatz ver-
laufen, um sich dort aufzureisern und zu verschwinden.
Beztiglich der histologisehen Détails ware noch folgendes
zu erwâhnen: Tn der Klappe selbst sind in der dem Bulbus zuge-
kehrten Flachensehieht keine elastischen l'asern naehzuweisen,
wohl aber auf der entgegengesetzten Seite, wo sich, wie Seipp
fiir die Semilunarklappen des mensehliehen Ilerzens nachge-
RÉSUMÉS - 271
wîesen bat. der starkeren Spannung entsp'rei
anselinliche Schicht von elastischen Fasem i
tere tritt sowobl mit den aufgelockerten elastischen Elementen
an der Klappenbasis, als auch mit denen der Endoi
Verbindung. Wâhrend auf der Kammersëite der Klapp
den elastischen Elementen noch deutliche Bind
besonders nach Farbung mittelst van Giesôn'schen oder
ondi'sehen Gemisches zu erkennen sind, ist sich der \
liber das Gewebe der Klappe auf der Aortenseite nicht klar
geworden. Es besteht offenbar ans Bindegewebe, w< loch
eine eigenthiimliche Métamorphose erfahren hat. Bei allen
untersuchten Species liess sich nâmlich nach Farbung mit ver-
schiedenen Kernfarbstoffen, besonders mit Thionin, eine deut-
liche Metachromasie wahrnehmen, welche auf die Existenz
von reichlichen Mengen von Mucin in diffuser Vertheilung
schliessen lassen. Ja auf den ersten Blick erhalt man den
Eindruck eines verquollenen mehrschichtigen Epithels, doch
lehren die mittelst van Gi.es on gefarbten Praparate. i
auch vereinzelte rotb tingirte Bindegewebszlige darin verlau-
fen. Ganz andere Bilder der histologischen Structur der Klap-
pen liefern entsprechende Praparate vom Herzen einer erw
senenen Torpédo ocellata. Bei diesem bestehen die Klappen aus
derbem Bindegewebe. welch.es in den Klappen der ersten
Querreihe besonders stark entwickelt ist; im Gegensatz zu
den Teleostiern besitzen beide Oberflâchen der Klappen eine
ziemlich anselinliche Schicht von elastischen Fasem. welche
mittelst feiner, transversal durch die Dicke (\er Klappen
laufender Fasem mit einander verbunden werden. Nach der
Anordnung und der Dicke der Klappen zu urtheilen, sind
dieselben auch wohl nicht im Stande, sich nach der Ventrikel-
seite hin auszubuchten.
Betrachten wir nach diesem histologischen Excurs nun-
mehr noch den muthmasslichen Verlauf der Klappenbildung
bei Teleostiern. Es werden wohl auch hier, wie bei Selachiern,
durch den Blutdruck in den beiden Langsfalten successive
tiefere Eindriicke erfolgen, bis die Form von Taschenklappen
212 RÉSUMÉS
erreicht ist. Eine Mehrheit von auf einander folgenden Klap-
pen kann sich mit wenigen Ausnahmen aus dem Grunde wohl
nicht entwickeln, weil der Conus mit seinen Langsfalten zu
kurz ist, ferner weil derselbe wohl schon ziemlich friïhzeitig
in den Ventrikel hineinbezogen wird, und schliesslich, weil der
sich entwickelnde Bulbus theilweise wenigstens die Functionen
des Conus iibernimmt.
Auf Grund der embryologischen und histologischen Be-
funde fasst der Verf. die Ergebnisse seiner Untersuchungen
in folgender Weise zusammen: Der Conus des Herzens
legt sich bei s a m m 1 1 i c h e n Fischen in der g 1 e i-
chen Weise an, und 1 a s s t sich auch bei erwach-
senen Exemplaren stets nachweisen. Seine we-
sentlichstenBestandtheile sind dieKlappen und
die quergestreifteMuskulatur. DieKlappen ent-
wickeln sich aus Langsfalten in dem primitiven
Conus. Die Falten stellen den phyologenetisch
altesten V e r s c h 1 u s s a p p a r a t in dem Truneus a r-
teriosus d a r. Die Anzahl der daraus entstehen-
den Klappen wechselt je nach den Ordnungen
und A r t e n der Fische, und ist am geringsten bei
Teleostiern, weil bei diesen die Falten, wie iiber-
haupt der Conus bereits in seiner A ni âge, bede u-
tend reduciert sind.
Was den Bulbus arteriosus anbetrifft, so scheint sich
derselbe erst in spàteren Stadien zu entfalten, seine Anlage
macht sich jedoch bereits bei dem oben erwahnten Lachs-
embryo durch Verengerung des Lumens und Verdickung der
Wandung des Gefassrohres liber dem Conus bemerkbar. Wâh-
rend nâmlich die Lichtung desselben in der Hohe des Conus
und ini Anfangsstuck des Bulbus 104 a betriigt, verschmàlert
sie sich ini Bulbustheile auf 84 [/.. Die Wandung verdickt
sich in den gleichen Hijhen von 19 auf o2 [/., also fast um
das Doppelte. Die Grenze zwischen Conus und Bulbus mar-
kiert sich dureh das Aufhoren der quergestreifren Muskulatur.
Ob aber in diesem Stadium bereits in der Bulbuswand glatte
RÉSUMÉS
273
Muskelfasern vorhanden sind, ist schwer zu entscheiderr. man
konnte hochstens aus der regelmàssigen Anordnung der Kerne
daselbst einen Schluss auf die Existenz von glatten Muskeln
zieben. Fiir die weitere Entwickelung des Bulbus stand Verf.
kein entsprechendes Material zu Gebote. docb liefern die Be-
fnnde an bereits ausgebildeten Herzen verschiedener Fische,
wie Anguilla vulgaris, Cyprinus carpio, Leuciscus rutilus einen
Hinweis auf den Gang der Entwickelung.
Die anfangs nui' angedentete kegelformige Gestalt des
Bulbus kommt erst dann stârker zum Ausdruck. wenn der
Conus in den Ventrikel bineinbezogen ist. indem sicb der ba-
sale Tbeil des Bulbus stârker ausdehnt. Gleicbzeiti^ scbeinen
■
von der inneren "Wand des Bulbus Falten in centripetaler
Richtung in das Lumen bineinzuwacbsen. Ich schliesse dies
aus den Untersucbungen des ausgebildeten Bulbus vom Aal,
dessen Herz, soweit mir bekannt ist. bisber nicbt nliber unter-
Fig. 3.
suebt worden ist: Wie Fig. 3 auf dem Querschnitte zeigt.
bilden die Falten ein System von Vorsprungen, welchê in dem
allerdings stark contrabierten Bulbus in radialer Anordnung
weit in das Lumen des Bulbus hineinragen. Andeutun
2 (4
!S Faltensysteins finden sich aiieli nodh im Bulbus eines
4 cm langen jungeu Karpfen, obwohl das Bild durch die, wie
Verf. vermuthet, erst nachtraglich sich abspielenden Entwicke-
lungsprocesse verwischt erscheint. Wàhrend nâmlich beim Aal
die Falten in anverânderter Form bestehen bleiben, bilden
sich bei anderen Species noch Hohlungen in denselben
welche mit dem Lumen commuiiicieren. Da dièse Hohlungen
mit ibren < tânungen anfangs wohl ziemlicb symmetrisch ira
Bulbus verteilt sind , so vergleicht Brûcke letztere nicbt
unpassend mit der Anordnung von Fenstern an einer Laterne.
Tn spâteren Entwickelungsstadien bilden sich dann noch wei-
• auch umfangreicbere Verbindungen der Hohlriiume
mit dem Eïauptlumen des Bulbus einerseits, und unter einander
andrerseits aus. Das Bild. welches man dann vom Bulbus
erhàlt, erinnert an cavernuses oder scbwammiges Grewebe. Der
Bulbus wiirde demnach bei Cypriniden einen Entwickelungs-
gang durchmachen. welcber durch folgende Verânderungen
cbarakterisiert wird: Verdickung der Wandung und Einengung
des Lumens, Abscbnlirung vom Conus, Wachstum des Bulbus
mit Faltenbildung in seinem Innern. Excavation, Umbildung
in cavernuses Gewebe.
In histologischer Beziehung ergeben die Untersuchungen
des Bulbus sehr intéressante Befunde. Die Angaben der Au-
toren iiber die Art der histologischen Elemente, aus welchen
sich der Bulbus aufbaut, sind insofern iibereinstimmend. als
aile behaupten, dass in demselben sich glatte Muskeln und
elastiscbe Fasern befinden; iiber ihr gegenseitiges Verhaltnis
fehlen aber fast jeglicbe Angaben. Nur Boas erwâhnt von
Butirinus: dass derselbe eine dicke Sckicht von glatten Mus-
kelzellen besitzt, die aussen von einer starkcn elastischen
-•lit: iiberdeckt wird.
Praparate, die in gewôhnlicher Weise mit Kernfarbstoffen
oder in doppelter Weise auch noch mit Protoplasmafarbstoffen
rl)t werden, gewahren noch keinen geniigenden Aufschluss
iiber die Vertheilung der muskulosen und elastischen Ele-
mente und iiber deren gegenseitiges Verhaltnis zu einander.
Erst wenn man nach der Tânzer'schen Méthode mittelst Or-
cein farbt, erhâlt man eine klare Vorstellung davon.
Fig. 3 hervorgeht, liegt eine ziemlich bedeutende Schicht
circulâren Fasern an der Peripherie des Bulbus. Von dieser
spalten sich an der Basis der Falten Blinde] ab, \\
die Falten einbiegen und in denselben einen longitudinalen
Verlauf annehmen. Wahrend in den mittleren Theilen der
Faite die Verlaufsrichtung der Fasern noch nieht deutlich
ausgeprâgt ist, ist dies der Fall an den Spitzen der Falten.
woselbst auf Querschnitten durch den Bulbus auch sâmmtliche
Fasern quergesclmitten sind. Bei denjenigen Fischen. bei denen
der Bulbus einen schwammigen Charakter besitzt (cf. Fig. 4
von Cyprinus). ist der Faserverlauf nattirlicher Weise noch
complicierter; doch lassen sich aucli hier an der Periph
circulare und in den centralen Theilen longitudinale Fasern
wahrnehmen.
Es wurde im vorhergehenden nur im allgemeinen vom
Faserverlauf gesproehen. ohne die Bestandtheile der Fasern
oder Bitndel genauer zu berticksichtigen. Betrachtet man jedoch
die Prâparate mit starken Vergrusserungen, so erhalt man
erst einen Einblick in das Verhaltnis von Muskelzellen zu
elastischen Fasern. Fiir. 5 stellt einen Theil einer Faltenspitze
276
RESUMES
des Bulbus vom Aale im '^uerschnitt dar. Innerhalb eines
sehr feinfaseriffen Substrates, welcbes in der Fi^ur nicht dar-
l'h
gestellt worden ist. liegen die (^uerschnitte von Muskelzellen.
Eine jede ist von einem Rino-o von elastischen Fasern welcbe
mit Orcein tief dunkel gefarbt sind. umgeben. Von dem Ringe
geben nacb aussen in transversale!' Ricbtung zablreicbe feine
Fié
be ! Isercben ab, die sicb mit ebensoleben der benacb-
barten Zellen vereinigen. Auf Langsschnitten Fig. 7) kommt
RÉSU.MKS
dasselbe Verhàltnis zum Ausdruck. nur dâss die glatten Mti-
skelzellen hier nicht von einem Ringe von elastischen
umschlossen werden, sondern in eine von denselben gebild
Hohlspindel eingebettet liegen, von deren Wandungen die
chen elastischen Fàserchen zu den benacbbarten Spindeln ver-
laufen. Dass es sich uni glatte Muskelzellen, und nicht om
Bindegewebsfasern handelt, beweisen die mittelst Heidenhain-
scher Méthode und mittelst anderer Kernfarbstofle tingierten
Praparate, woselbst, wie Fig. 6 und 8 ') darthun. die F
«"«.■XaSb^Sfe»,
'■-.-;.. '■"■-.
jâHari
;■, -u..„
Fig-. 8.
der Zellen und der Kerne keinen Zweifel daran lassen. Aucli
sprechen dafiïr die mittelst der Mischung von van Gieson
gefârbten Praparate. In denselben erscheinen nâmlich die
Huskelfasern gelb inmitten eines schwach rosa gefârbten Fel<
An ' frisch untersuchten Prâparaten sind die Zellen in il.
Umrissen zwar kenntlich. treten aber nicht so deutlich hervor.
dass man sie ohne weiteres als glatte Muskelzellen ansprechen
l) In Fig. 5 und 7 sind Quer- und Langsschnitte von glatten Mas
fasern. welche zur Darstellung der elastischen Fasern mil
delt sind, abgebildet; in Fig. 6 und 8 entsprechende Schnitte auc Dai
long der glatten Muskelzellen, nacli Eeidenhain behandelt. Samratliche
Figuren stamrnen von Prâparaten aus dem Bulbus vo
Bulletin VII.
1}78 RÉSUMÉS
konnte. Wie aucb L e y d i g bei Leuciscus und anderen Fiscben
besckreibt, erscbeinen sie kôrnig, wobl infolge der sie umge-
benden elastiscben Hiille. Essigsliurezusatz lâsst das Substrat
'■tuas aufquellen und einzelne elastiscbe Fasern deutlicber ber-
vortreten, tragt aber im ûbrigen nicbt mebr zur Aufkliirung
bei. Die Behandlung der Fasern mit 331 /., % Natronlauge fiibrt
ebenfalls nicbt zuin Ziele. weil eine kùrzer dauernde Einwir-
kung der Lange die Fasern nicbt isoliert, eine liingere sie wobl
von einander trennt, sie aber aucb zugleicb derartig verun-
staltet. dass sie sich kaum mebr erkennen lassen. Es bleibt
also nur die Untersucbung von fixiertem Materiale iibrig, und
dièse fiibrt zu dem oben bereits ausgesprocbenen Resultate,
dass wir es mit glatten Muskelzellen zu tbun baben, die von
elastiscben Elementen in Form von Robren umscblossen und
durcb ebensolche Elemente mit einander verbunden werden.
G-anz analoge Verbâltnisse hat letztbin J. Scbaffer von glat-
ten Muskelzellen im allgemeinen bescbrieben und abgebildet,
und damit die Beziebunoen der o-latten Muskelzellen zu ein-
ander in das recbte Licbt gestellt. In seiner sorgfaltioren und
iiberaus kritiscben Untersucbung kommt er zu dem Scblusse,
dass sicb die glatten Muskelzellen unter einander nicbt ver-
mittelst der von den Autoren bescbriebenen Intercellularbriicken
verbinden. sondern mittelst eines zwiscben denselben befind-
licben geformten Bindemittels. welcbes aus Bindegewebe
und elastischen Fasern bestebt. Meine Untersucbungen bestli-
tigen die Bebauptung Scbaffer' s in vollstem Masse. Das
Avesentlicbste Bindemittel zwiscben den Muskelzellen bilden
im Fiscbbulbus die elastiscben Fasern, welcbe infolge der giinz-
licben Einscbeidung des Muskels dessen Tbiitigkeit bei der
Contraction wirksam unterstiitzen 1). Als Ausdruck der weit-
gebenden Zusammenziebuno: der elastiscben Scbeiden uni den
Wie sich Yerf. bei einer Untersuchung des Corpus cavernosum
pénis vom Hunde iil)erzeugt hat, liegcn lu'or die Verhaltuisse àhnlich, in-
dem die einzelnen Muskelfasern von oineni Flechtwerk von olastischen Fa-
sern nmfjebeu werden.
RÉSUMÉS _ 279
Muskel sieht Verf. die hier und dort auf Langsschnitten (Fia-. 8)
sich bemerkbar machende spiralige Dreliung der Muskelzellen
an, die etwa in folgender Weise sich erklaren liesse: Der
elastische Muskelschlauck yerkiïrzt sich bei der Contraction
des Bnlbus starker, als die in demselben befindliche Muskel-
zelle, letztere legt sich daher passiv schraubenformig zusam-
men, da sie sich vorher bereits ad maximum verkurzt hatte.
Bei Lebzeiten des Thieres tritt ein derartiger Fall niemals
ein, weil sich der Bulbus niemals ad maximum contrahiert.
wohl aber dann, wenn das Herz herausgeschnitten wird. Mit
diesen Erscheinungen steht auch die Beobachtung Briickes
in gutem Einklang, wonach sich ein ganzlich entleerter oder
vom Ventrikel abgetrennter Bulbus sogleich bis zum ausser-
sten contrahiert und selbst auf starke elektrische Reize nicht
niehr reagiert.
Es eriibrigt noch mit einigen Worten auf das Substrat
zuruckzukehren, in welches Muskelzelzellen und elastische
Fasern eingebettet liegen. Nach der Ansicht des Verf.s stellt
es ein gelatinoses Gewebe dar, welches aus embryonalem Binde-
gewebe hervorgegangen ist. Hier und dort lassen sich noch
Tereinzelte sternfurmige Zellen mit deutlichen Kernen wahr-
nehmen, meistens jedoch nur die Kerne selbst. Stellen weise
ist noch eine weitere Differenzierung in Bindegewebsfasern
eingetreten, welche sich mittelst der van Gieson'schen Méthode
sichtbar machen lassen.
40. — S. Maziabski. 0 budowie gruczolôw slinowych. (Ueber den lion
der Speichekliiisen). Mit 1 Tafel. Vorgelegt am 9. Juli 1900.
Das mikroskopische Bild, wenn es uns auch die gering-
sten Einzelheiten im Bane eines Organes zu zeigen vertnag,
lasst uns doch nur selten die Form der ilin bildenden Elemente
vermuthen.
Der Schnitt, besonders wenn er fein ist, zeigt uns nur
das Bild dieser Flâche, in welcher er gefahrt wurde; er ver-
i*
280 RÉSUMÉS
nwârtigt uns — wozu schon grôbere Scbnitte nothig sind —
einïge Zelllagen, den Zusammenhang derselhen, die Verhâlt-
nisse, welche hier obwalten; "von einem Scbnitte, ja wobl von
einer Scbnittreihe konnen wir uns nur mit Miihe ein Urtheil
iiber die Gesammtgestalt eines aus einzelnen Zellen zusammen-
gesetzten Organes z. B. einer Driise bilden. Mit Hilfe beson-
derer Fixirungs- und Farbungsmethoden, bei geeigneter Schnitt-
dicke konnen wir die geringsten Détails, die functionellen
Zustànde der Driisenzellen erkennen ; jedoch reicben dièse
Methoden nieht aus. um uns die genaue Form einer solcben
Driise vorstellen zu konnen. Dass es in der Tbat so ist, bewei-
sen uns die verscbiedenen Ansichten iiber den Bau der Driisen,
die wir bei verschiedenen Verfassern tinden.
In giinstigen Fâllen, wenn wir mit einfaehen Driisen zu
tbun haben, konnen uns selbst die Durcbschnitte derselben
eine Vermuthung iiber ihre Gestalt geben, so z. B. die tubu-
losen, in der Magniischleimbaut liegenden Driisen, die die Schnitt-
fûhrung in verschiedenen Ricbtungen erlauben. Auf solchen
Schnitten, welche in verschiedenen Axen zur Sohleimhautober-
fliiche ausgefiihrt wurden, konnen wir dièse Driisen lângs — ,
scbrâg — , éventuel quergetroffen sehen. Aus diesen drei ver-
scbiedenen Bildern konnen wir uns leicbt ein Ganzes im Ge-
danken reconstruiren und auf dièse Weise den tubulosen Typus
dieser Drûsen erkennen. Und doch nahm Zimmermann x) ein
miihevolles und zeitraubendes Mittel, — die plastische Recon-
stiuctionsmethode nach Born zur Hilfe vor, ura den Bau der
Magenschleimhautdriisen genauer zu erkennen, mit welcber es
ihni nachzuweisen gelang, dass dieselben nicht einzeln, sondern
mit einander in reichlicher Verbindung stehen.
Die von Born erfundene Plattenmodellirmethode erlaubt
uns eine korperliche Form eines Organes oder seiner Einzel-
theile zu erhalten, und auf dièse Weise naher in seinen Bau
einzudringen, besonders dann, wenn es unmoglich ist die Schnitt-
') K. W. Zimmermann. Beitrage zur Kenntnis eitiiger Driisen und
Epithelien. Arch. f. mikr. Anat. Bd. 52. 1898.
RÉSUMÉS *" 281
flihrung in verschiedenen Richtungen durohzufiïhren, wie z. B.
bei dèn Speicheldrusen, deren, in welcher immer Richtung ge-
fiïhrten Sehnitte immer dasselbe mikroskopische Bild geben.
Seit làngerer Zeit mit dem Studium der Speieheldriisen
beschaftigt, erhielt ich beim Untersuchen von mehreren Schnitt-
serien oft den Eindruck, der mich betreffs des fast von allen
neueren Forsckern angegebenen tubulosen Baues dieser Driïsen
in Zvveifel satzte. Die Sehnitte. in welchen ein Theil des
Speichelrohres, das ganze Schaltstiick und die secernierenden
Endstiïcke getroffen waren, fiihrten mieb zur Ueberzeugung,
da^s die Hauptstiicke keine Tubuli, sondern Acini resp. Alveoli
sind. Da jedoch der feine Schnitt keinen Schluss iiber den
weiteren Verlauf des secernirenden Hauptstûekes geben kann,
da dieser ganz wohl weiter ziehen und abbiegen kann, und
auf dem mikroskopischen Prâparate ebenfalls dieser abbiegende
Tubulus abgeschnitten werden konnte, so nahm ich die plas-
tische Reconstnictionsmethode nach Born zur Hilfe, ara endlich
die Frage des Baues der Speioheldriisen in dieser oder jener
Hinsicht erklaren zu konnen.
Auf dieser Stelle will ich aile Einwânde, die mir von
verschiedenenen Seiten zugesetzt werden konnen, zuriickschlagen,
dass ich die Arbeit nur zu diesem Zwecke unternakm. uin den
Anschaungen anderer Forscher tiber den Bau der Speichel-
driisen meine Ansichten gegeniiher zu stellen ; es war mir ganz
gleiebgiltig, ob die Reconstructionsbilder mir eine tubulose oder
acinose Form dieser Drûsen ergeben werden. In meiner Arbeit
hatte ich die Absicht die Gestalt der Speicheldriisen in plas-
tischer Form zu erhalten, denn nur auf diesem Wege konnte
die Frage und der Streit liber ihren Bau aufgelost werden.
Die Wachsmodelle wurden naturgetreu nach den Prapa-
raten verfertigt. jede ausgeschnittene Platte mit. dem mikros-
kopischen Bilde verglichen, bevor sie zum Aufbau des ganzen
Mudells beniitzt wurde.
RÉSUMÉS
Modelle im Wachs wurden nach der bekannten
Plattenmodellirmethode nach Born l) verfertigt, indem ich den
Vorschriften des Autors ganz genau folgte. Eine liiokenlose Série
von Scliitten, einer in Sublimât fixierten, in Stiick gefârbten
und in Paraffin eingebetteten Drûse von 5,8p. Dicke, wurde
mittelst eines Zeiehenapparates bei einer 518 VergrSsserung
auf diinnemCopirnapier gezeichnet, darauf auf dieselben YYachs-
platten von 3 mm. Dicke auf glatten Lithograpbiestein ausge-
gossen ; die Zeichnungen bielten auf der eitien Seite der Platte
fest. Die Contouren der Drûsentheile wurden mit einem scbarfen.
spitzigen Messer ausgeschnitten, darauf das Papier, da mit die
Platten leichter verklebt werden konnten, abgerissen und die
fertigen Platten der Reihe nach zusammengeklebt, die Ver-
bindungsbrûcken wurden weggesebnitten, die Rânder etwas
abgerundet und geglitttet, uni eine mehr regelmâssige Ober-
flàche zu erbalten. Die grosste Miihe und Schwierigkeit machten
niir die Definierlinien, mit deren Hilfe das riehtige Zusammen-
kleben der Platten erfolgen sollte.
Das Modelliren ohne Richtlinien und Richtebenen schien
niir etwas zu kiihn, da die Durchschnitte der Driise, selbst
der kleinsten Liippcben so sehr âhnlich sind. dass infolge der
Verscbiebung leicht ein Fehler in dem richtigen Aufeinander-
folgen der Platten entstehen konnte. Die von Born und Peter -
neu angegebene Méthode der Einbettung der Stûcke in Pa-
raffin anf einer Platte, die eingeritzte Linien besitzt, welche
auf dem Blocke nach dem Erkalten als Âbgûsse der Ritze
bleiben, schien mir zu dem Zwecke zu fiihren. Jedoeh nach
der ersten Probe erwies sich dièse Méthode, speciell fur meine
Zwecke nieht genug hinreichend ; die auf dem Para f tin blocke
*) G. Born. Die Plattenmodellirmethode. Areh. f. mikr. Anat. Bd.
XXII. 1883.
Derselbe. Noch einmal die Plattenmodellirmethode. Zeitsch. f. wiss.
Mikroskop. Bd. V. 18
J) G. Born u. K. Peter. Zur llerstellung von Richtebenen und Kieht-
Iinien. Zeitschrift f. wiss. Mikrosk. Bd. XV. 1898.
RÉSUMÉS 283
bleibenden Zacken waren zu weit von einander entfernt, - —
der Abstand betrug 1/2 bis Y3 mm, so dass sehon bei einer
Vergrosserung von 200 Mal kaum eine ganze Zacke im Gesicht<-
felde sichtbar war.
Mit grossem Zeitaufwand urid groser Miihe machte ich
mir selbst eine âhnliche Glasplatte mit etwas feinerer Theilung,
dass mir wenigstens 2 bis 3 Zacken bei einer 200 Vergrosserung
in das Gesichtsfeld rielen. Die Rinnen waren zwar nicht so
nett und genau parallel, nicht so tief wie bei der von Zeiss
verfertigten Platte, aber sie waren hinreichend, um die nothige
Orientirung zu geben ; spâter iiberzeugte icb mich, dass es
selir leicht ist, die entsprechenden Orientierungspunkte selbst im
Prâparate zu finden, um den Febler der ungenauen Richtlinien
eorrigieren zu konnen.
Der Paraffinblock wurde auf der Zackenseite mit einer
kleinen Menge Russ bedeckt, dieselbe mittelst diinner Sehel-
lacklosung in Alcobol begossen ; und als dieselbe verdunstete,
hielt die Russschichte an dem Blocke fest an. Der Block wurde
spâter senkrecbt auf die Rinnenachse geschnitten, die Schnitte
mittelst Wassèr auf den Objecttrâgern geklebt und als sie sich
ausgeglâttet haben, im Offen bei 30° C. getrocknet. Nach Aut-
lôsung der Paraffin mittelst Xylol wurden die Prâparate in
Canadabalsam eingescblossen.
Bei der 518 Vergrosserung war leider aber auch die
auf dièse Weise erhaltene Richtebene nicbt sichtbar, und da-
rum blieb mir nichts anderes ubrig, als , da die Bearbeitung
eines zu kleinen Modells sebr schwierig war, dièses erst bei
der 200 Vergrosserung zu machen , um micb gut im Ganzen
orientiren zu konnen und dann erst ohne die Richtlinien mehr
zu brauchen, die Zeiehnungen bei Vergrosserung von 518 auf-
zunehmen, die Platten von entsprechender Dicke auszuwalzen
und das Modell in allen Einzelheiten sorgfâltig zu bearbeiten.
Auf dièse Weise erbielt icb aile meine Modelle und die
kleinen Febler, welcbe infolge der Verscbiebung des diinnen
Papieres beim Zeichnen entstehen konnten. konnen in Rech-
nung nicht mitgenommen werden.
RÉSUMÉS
Die Wachsmodelle wurden von Prof. Hoyer photogra-
phiert, damit sic leichter zu Zeichnungen beniitzt werden konnten.
-■-i mir hier gestattet dem Herrn Prof. Hoyer fur seine
illigkeit meinen verbindliehsteu Dank ausznspr>'chen.
Die Zeichnungen (1er Modelle wurden nach der Natuf
getreu verfertigt, die Photographien dienten nur zur genaueren
Contouraufnahme und leichteren Grossenberechnung.
Bevor ich zur Erlàuterung meiner Ergebnisse konime,
will ich kurz einen bistorischen Uberblick der betreffeinb n
Litteratur angeben und die Ansichten verschiedener Forseher
liber den Bau der Speicheldrusen zusammenfassen. Grossten-
theils werde ich auf die Lehrbûcher der Histologie verziebten,
fast unmoglieb wàre die ganze Litteratur tiber diesen
■nst.uid anzugeben; und in den Lelirbiicbern rindet nian
knapp und kurz die neuesten Ansichten itber den Bau der
Drusen zusammengefasst.
Koelliker1) theilt die Drusen des menschliehen Korpers
in 4 Abtheilungen rin: die dritte derselben bilden die „trau-
benfôrmigen Drusen, bei denen an den letzten Enden der Aus-
fûhrungsgânge Hâufchen rundlicher und ianglicher Drii<enbla-
schen sitzen". Zu diesen und zwar zusammengesetzten , mit
vielen Drusenlâppehen gehbren die Speichel drusen. Ùber die
Driisenblâschen gibt uns der Autor folgende Erklârung: „Was
man Drtisenbl&scben (Acini) genannt bat, sind nichts anderes
als die Ausbucbtungen und Enden der letzten Aeste der Aus-
fûhrungsgânge. Dieselben ersebeinen oberflàchlich und bei klei-
i Vergrôsserungen betrachtet, aile gleichmàssig rundlicb
biniformig; eine genaue Analyse eines ganzen Lappchens
und noch besser einer injicierten Drille ergibt jedoch, dass
die Enfin derselben eine sehr wecbselnde, rundliehe, birnfor-
mige oder lânglidbe ist. Es ist nicht moglich aile vorkommen-
den Gestalten ausfiihrlich zu beschreiben ; ich will daber nur
i bemerken, dass die Enden der Drusenlâppehen hâutig
M A. Koelliker. Ilandlmcli der (nwebelehre des Menschen. II. Auf-
! und 380.
RÉSUMÉS 285
ira K'ieinen das Bild der Samenblaschen und auch den Bau
dersel'ben wiederholen".
In der spâteren Ausgabe seiner Gewebelehre niimnt.
Koellikër1) eine etwas andere Eintheiluug der Driisen an.
Er theilt sie in blasenformige oder acinose (in diesen einige
Unterabtheilungenj und tubulôse. Zu der Unterabtheilung „tu-
bulo-acinoseu zàhlt er die Sehleim- und Speicheldriisen. Die
Annabme einer solcben Unterabtbeilung motiviert er auf fol-
gende Weise: „So habe icb scbon vor Jahren in meiner mi-
krosk. Ar.at. darauf aufmerksam gemacht, dass unter den trau-
benfôrmigen Driisen viele vorkornmen, bei denen, wie bei den
Schleini- und Speicheldriisen , neben blasigen Enden auch
rokrenfôrmige vorkominen, ein Verhalten , das viele Neueren
dazu gefubrt liât, dièse Driisen zu den rôhrenfbrmigen zu stel-
len, was icb nicht fur gereclitfertigt balte, da bei keiner die-
ser Driisen lângere cylindrisehe Sehlauche vorkomruen , bei
keiner ferner rundlicbe Ausbuebtungen feblen".
In der nt-uesten Beaibeitung Koellikei's Gewebelehre
von Ebne-r2) ninimt der Verfasser dieselbe Anscbaungen iiber
den Bau der Driisen an und fugt nocb hinzu, „dass es keine
rundlicben Endblâschen (Acini) gibt, welcbe wie die Beeren
an den Stielen einer Traube sitzen, sondern nur verzweigte
Sehlauche mit vielen seitlieben abgerundeten Ausbuchtungen".
Dièse verzweigten Sehlauche mit seitlieben Ausbuchtungen
geben den Speicheldriisen einen tubulo-afcinôsen Charakter.
Frey3) fasst sich sehr kurz und nennt die Speichel-
driisen — traubige oder zusammengesetzte Blâscbendrûsen; die
Gestalt der Blâschen ist gevvonlich rundlicb.
') A. Koellikër. Handbuch der Gewebelehre des Menschen. VI Aud.
Leipzig 1889. S. 92—94.
2) A. Koelliker's Handbuch der Gewebelehre des Menschen. VI. um-
gearb. Aufl. von V. v. Ebner. III. Bd. Leipzig 1899. S. 157.
3J H. Frey. Histologie und Histochemie des Menschen. Leipzig 1859.
Seite 457.
RÉSUMÉS
Pfliiger1) z&hlt aile Speicheldriisen zu der acinosen
Formation, jedoch spricht er ihnen den traubenformigen Bau
ab. Er schreibt: „Man muss sich aber die oft von obnebin
mit secundâren und tertiàren Ausstiilpungen versehenen Al-
veolen nicht unter die Gestalt einer Beere denken. da sie nicbt
selten ganz cylindriseb , zuweilen nur scbwach verjiingt aus
den Hauptzweigen hervorgehen". Pfliiger ninimt also liir die
Speicheldriisen einen mehr tubulo-aeinosen Bau an.
Nach Toldt2j sind sammtliche Speicheldriisen nach dem
acinosen Typus gebaut; in dem Bau eiuzelner Driisen gibt es
Unterschiede, welche sich nur auf die Ramificationsweise der
Drûsengânge und auf den feineren Bau (BescbafFenheit der
Driisenzellen) der Aeini bezielien. Der Verfasser nimmt aucb
eine nielirmalige Theilung der Sehaltstûcke, deren Zweige
zwischeu den Acini hindurcbzieben und endlich in Endzweige
noch einmal zerfallen, uni mit Acinis in Verbindung zu tretten.
Hei den bain3) in kurzer Zusammenfassung von dem
Bau der Speicheldriisen als Einleitung zu seiner „ Physiologie
der Absonderung und Aufsaugung" nennt sie zusammenge-
setzte acinose Driisen.
Der engliscbe Autor Klein4) betrachtet die secerniren-
den Theile der Speicheldriisen als Alveolen oder Acini oder
Driisenblâschen „Sie sind" — schreibt er — ,,rlaschen- oder keu-
lenfôrmige, kiirzere oder langere, cylindrische Rohren , die
mehr weniger zu einem Knàuel gewunden erscheinen. Viele
derselben sind verastelt. Der Durchmesser der Alveolen ist
bedeutend grôsser als der der Sehaltstûcke, er entspricbt etvva
dem Durchmesser der Speichelrbhre. In dieser Hinsicht gibt es
') E. F. W. Pfliiger im Handbuch der Lehre von den Geweben des
Menscben und Thiere herausg. v. Stricker. Leipzig- 1871. S. 306.
roldt. Lehrbuch der Gewebelebre. Stuttgart 1877. S. 389 u. 395.
I Haidenhain, im Handbuch der Physiologie, herausgeg. von L Her-
mann V. Bd. 1880.
4) E. Klein. Grundziige der Histologie. Vom engl. iïbersetzt von A.
Kollmann I
RESUMES
287
einen Unterschied in der Grosse zwisehen den Alveolen einer
serosen und einer mukosen Speicheldriïse. in ersterer sind die
Alveolen kleiner als in letzterer".
Dieser Verfasser nimrat zwar einen alveolàren event. aci-
nosen Bau der Speicheldriïsen an: die Beschreibung jedoch
der Gestalt dieser Alveolen entspricht nicht vollkonnnen ihrem
Namen.
Ranvier1) fasst sich sehr kurz zusammen , nennt die
Speicheldriïsen „Les glandes acineuses".
Mit grosser Genauigkeit stellt uns den Bau der Speichel-
driïsen Renaut2) vor. Er nennt sie „glandes en grappe com-
posée". Zu solchen Drilsen gehoren die Snbmaxillar- und Pa-
rotisdriise, von denen er spricht: ..dont les acini , simples ou
formés de grains agminés, sont insérés par un pédicule distinct
sur un système de canaux arboiïsés. L'analogie avec la grappe
composée de la vigne est ici complète: Pacinus représente le
grain de raisin, le passage de Boll son pédoncule; les canaux
intralobulaires et interlobulaires les pédoncules secondaires ra-
mifiés; le canal excréteur, l'axe de la grappe entière". Was die
Gestalt dieser Acini anbelangt, ist sie kugelig oder leicht oval,
sie soll „la forme de grains" besitzen , welche mittelst einer
Oethung mit dem Schaltstiicke in Verbindung stehen. Dièse
Acini gruppiren sich auch in verschiedener Zahl rings um das
Schaltstiiek, indem sie einen nlobule primitif" bilden.
Fur die Schleimdrilsen nimmt Renaut einen ganz ver-
schiedenen Bau an, obwohl „leur disposition générale en grappe
soit sensiblement la même". Den Hauptunterschied sieht Autor
in der Lagerung der Secretionsalveolen ; sie sind langer, als
bei serosen Drilsen.
Von den neueren Autoten zâhlen noch Bohm und Da-
vidoff3) sàmmtliehe Drilsen der Mundhohle, sowohl Scjileim-
*) L. Ranvier. Traité technique d'histologie, Paris 1889.
2 I. Renaut, Traité d'histologie pratique. Paris 1897.
3) A. Bohm und M. v. Davidoff, — Lehrbuch der Histologie des Men-
schen. Wiesbaden 1895.
RÉSUMÉS
wie ud gemischte Driisen zu den zusammengesetzten
alveolâren Driisen.
F 1 e ra m i n g *) war der erste , welcher den Speicheldriisen
den tubulosen Bau zugeschrieben liât.
Seine Anschaungen lelint er auf lange mit verschiedenen
Methoden, auch mit Injeetionen der Drùsengânge ausgefiïhrten
Untersuchungen. Nach diesem Verfasser bilden die secerniren-
den Râunie cylindrische Epithelgange oder Tubuli, die sich
mehrfach verâsteln, und in einen Ausfiihrungsgang tibergehen.
Gruppirungen von solchen tubulosen Gangsysternen sind die
zusammengesetzten Driisen — die Speieheldrûsen. Zwar gibt er
zu. das.s die veiàstelten Tubuli dieser Driisen nicbt ûberall
den gleichen Durchmesser haben, spricbt ibnen aber ab, dass
die blinden Enden der Gangàste Erweiterungen zeigen, wonaeh
man Grund batte, sie als besondere Endalveolen zu unter-
scbeiden. Der Name Alveoli oder Acini moge etwa den blinden
Seiten- und Endzweigen des Gangwerkes bewabrt werden,
trotzdem sie keineswegs ausgebaucht sind. „Die Haupr sa-
che'", schreibt der Autor, „bleibt dock, dass durch das
g a n 7. e G a n g systeni hindurch der s e c e r n i r e n d e Ca-
nal dure h a u s gleichen Bau, d u r c h a u s gleichen
Epithel hat".
Der Flemming'scben Eintheilung der Driisen, sowie seinen
Ansichten iiber den tubulosen Bau der Speicheldriisen, folgte
Stohr -') vollkommen nach. Die falsche, bisherige Meinung
(alveolâren resp. acinësen Bau) anderer Verfasser erklârt er aut
folgende Weise (S. 56): „Die Querschnitte der vielfach gewun-
denen und eng zusammeugedrlin^ten, veriistelten Tubuli dieser
Driisen d. i. der Milchdrûse, grôsserer Schleimdrusen, Spei-
cheldriisen und Thranendriisen) wurden lano;e Zeit fur blâsehen-
W. Flemming. LFeber Bau und Eintheilung der Driisen. Àrch. f.
u. Physiol. Anat. Theil. 1888
;) Pli. Sti'ihr Lehrbuch der Histologie und der mikroskopisehen Ana-
VIII. Auflage Jena 1898.
résumes - zoy
iormige Ausbuchtungen der Endstûcke gehalten und End-
blaschen (Beeren. Acini) genannt. Derartige Ausbuchtungen
kommen iiun in der That (ausgenommen an einzelnen Stellen
der gl. sublingualis) hier nicht vor, der Durchmesser des Lu-
mens ist hier nieht grosser, als an anderen Stellen der Tubuli.
Dagegen ist die Verdickung der W and un g des Endstiiokes
(durch hohere Driisenzellen) bei manchen tubulôsen Driisen
nicht selten z. B. bei der Parotis und bei der Baucbspeichel-
drùse. Solche Verdickungen dùrfen aber nicht Acini genannt
werden, da wir mit dem Begrifïe Acinus — eine Ausbuch-
tung = Er\veiterung des Lumens verbinden. Zur Vermeidung von
Missverstândnissen ist (las Wort „Acinus" gestrichen und fur
Driisen von der Form ausgebauchter Sâckchen das Wort ..Al-
veolus" (Alveus = bauchiger Schlauch) gewâhlt worden. Auch die
vielfach iibliche Benennung „acinôV:e" oder traubige Driise (al-
véolaire Driise) ist nicht mehr benutzt worden, weil auch Durch-
schnittsbilder tubuloser Driisen ein traubiges Aussehen zeigen".
Wie sollen jedoch die Durcbschnittsbilder der Alveolen aus-
seben? Die Bilder, welche uns Stohr in seinem Lehrbuche
gibt, fig. 172 (Schnitt durch die Parotis) und noch mehr rig.
194- (Schnitt durch den Pancréas) zeigen sehr gut den alveo-
lâren Bau dieser zwei Driisen ; das Schaltstiick geht direct in
erstem Falle in drei zusammenbângende, in zweitem in 5 ganz
von einandei abgetrennte Alveolen. Warum nimmt der Autor
an. dass dièse Endstticke („halbirte") keinen Durchschnitt der
Alveolen, sondern einen Durchschnitt des Tubulus, der nach
anderer Richtung abgebogen worden ist, vorstellen, ist mir
volkommen unklar. Eine Untersuchung derselben Stelle auf
einer Série der Prâparate wûrde dern Autor die Sache etwas
erlautern. Natiirlich sind aile Schemata, welche den Speiehel-
drûsen entsprechen sollen, ganz auf falschen Problemen gestiitzt.
Krause1) nimmt in seiner Arbeit liber die Bedeutung
der Gianuzzischen Halbmonde den tubulôsen Bau der Sub-
1) K. Krause. Beitrâge zur Histologie der Speicheldriisen. Aicb. t',
mikr. Anat. Bd. 49. 1897.
RÉSU1
maxillardriise des Menschen an und zeichnet ein Schéma, das
den thats&cblichen VerhàltnisseD wohl ziemlich entsprechen
dtirfte". Wie weit es jedoch von dem wahren Baue dieser
Driise steht, werden wir bald sehen.
S /. y m o n o w i c z 1) geht der Minderzahl der Autoren nach
und hait die Speicheldrusen fur tubulose zusammengesetzte
Drûsen ; er wiedergibt auch in seinem Lehrbuche das Krau-
:he Schéma der Submaxillardriise des Menschen.
A us dieser Uebersicht der Litteratur iiber diesen Gegen-
stand ersehen wir sehr leicht, dass in den Ansebaungen der
Verfasser iiber den Ban der Speicheldrusen keine Einigkeit
herrscht, wie mannigfach die Gestalt der Acini resp. Alveolen
beschrieben wird, se.lbst bei diesen Autoren. die den acinosen
Bau der Drûsen annehmen. In den neuesten Lehrbtichern sogar
wird der Charakter dieser Driisen als alveolâr-acinos. in anderen
als tubulos erklait.
Die Sache volkommen zu erklaren, die erste oder die
zweite Anschauung als eine richtige zu bebaupten, blieb nur
ein einziger Weg iibrig, — die Reconstruction einer Driisen-
partie in Waebs. Diesen Weg nahm ich vor, „das muhevolle
und zeitraubende Mittel" — wie ibn Born selbst nennt — in
der Hoffnung. dass es mir gelingen wird, die Sache in dieser
oder jener Hinsicbt endlich erlâutern zu konnen.
Die Modelle wurden nach Pr¶ten der menschlichen
Submaxillar- und Parotisdrûse nachgebildet; von der Subma-
xillardriise. die beim Menschen gemischt ist, wurden zwei Mo-
delle gemacht, das erste des serosen, das zweite des Sehleim-
theiles. Die Submaxillardriise stammte von einem wegen des
Wangencarcinoms Operirten, dem die etwas vergrosserten
Lymplidriiscn sammt der Speicheldriise entfernt wurden, die
Parotis von einem Verstorbenen, 2 Stunden nach dem Tode.
j mouowicz. Lehrbuch der Histologie und der mikroskopisehen
niie mit besonderer Berueksichtigung des menschlichen Kôrpers. Wurz-
burg- I
RÉSUMÉS - 291
Auf dièse Modelle mich stiitzend, muss ich die Speichel-
drûsen und zwar die serosen Drtisen als zusamniengesetzte
alveolâre, die schleimigen als zusammengesetzte tubulo-alveo-
llire Drusen erklâren, Von dem tubulosen Bau kann bei se-
rosen Drtisen keine Rede sein; entsprecbende Durchschnitte
eines Driïsenlappchens lassen uns ohne Plattenmodellirmethode
ganz gut erkennen, dass wir mit einein alveolâren Typus zu
tbun haben.
Betrachten wir zunâcbst den serosen Theil der Subma-
xillardruse, deren Modell fig. 1 der Tafel wiedergibt. Das
Speichelrobr, das immer an der Uebergangstelle in das Schalt-
stiick eine spindelformige Erweiterung aufweist, geht in das-
selbe, wobei eine plôtzliche Abnabme des Durchschnittes erfolgt.
Der Durehmesser des Speichelrohrs an breitester Stelle be-
trâgt — 0,05 mm. Nacb kurzem Verlaufe tbeilt sien das Schalt-
stiick weiter, gibt Seitenzweige, welche in einiger Entfernung
von einander, oder in grosserer Zahl von einer Stelle abgeben,
wobei immer dièse Stelle etwas am Umfang zunimmt, seltener
abnimmt ; endlich tbeilt es sieh sowie seine Aeste in Endzweige,
welche sich mit den Alveolen verbinden. Die Ramificationen
des Schaltsttickes sowie dessen Aeste sind sehr zablreich ; ihr
Verlauf kann nur auf einem Modell gut gesehen werden ; er
ist keineswegs geradlinig, eher sehr unregelmâssig : sie ver-
laufen nach einer Richtung. biegen dann um, geben Zweige
auf dièse oder jene Seite, um endlich mit den Alveolen in
Zusammenhang zu treffen.
Der Durchschnitt der Schaltstiicke und ihrer Verzwei-
gungen ist sehr verschieden ; in engeren Stellen betràgt ihr
Durehmesser von 0.02 bis 0,03 mm, in den verdickten, wo-
von eine grossere Summe von Zweigen abgeht, 0,024 bis 0,042
mm., die Endâste, welche iu die Alveolen ubergehen, von 0.0 1 H
bis 0,019 mm. 1) Die Lange der Schaltstucke ist sehr variabel,
l) Die Classe, niebt nur auf dieser Stelle, sondern auch bei Besclirei-
bung anderer Driïsenarten angegeben, beziehen sich nicht nur auf das Modell,
sondern auch auf verschiedene Stellen des Prâparates.
RÉSUMÉS
Endâste sind gewôhnlich kurz, nur der Theil, der mit
dem Speichelrohr in gerader Verbindung steht, ist etwas langer.
Den Winkel. unter weicben die Theilung des Schaltstiïckes
erfolgt. anzugeben. wâre sehr schwierig : sehr oft. wie auf dem
• ■lie die Sache .-ich verhâlt, gelifm die Seitenzweigen unter
h stumpfen Winkel ab. indem sie m entgegensetzter Rich-
tungj als das Selialtstiick zieht. abbiegen.
Die Alveolen baben gewôhnlich eine kugelige oder schwa<-h
ovale Gestalt. nianchnial sind sie unregelm;t.-si-\ ibre Oberfla-
che uneben infolge des gegenseitigen Druckes, den die einen
Alveolen auf ibre Xacbbarn ausiiben.
Infolge des alhnahlichen Ueberganges des Schalf:tuckes
in die Alveolen. bezitzen sie oft eine birnformige Form , bei
den meisten ist der Uebergang ganz plôtzlich. Die Grosse der
einzelnen Alveolen ist sehr versehieden. die kleinen. kugeligen
baben im Durchschnitte etwa 0,023 bis 0.042 mm. , die ova-
len Formen in langerer Achse von 0.038 bis 0,050 mm. in
kiirzerer von 0,021 bis 0,038 mm.
Jede Alvéole steht in directer Verbindung mit einera
Endzweige des Schaltstiiekes. dies kann jedoch nur dann voll-
kommen deutlich gestdien werden, wenn nur eine Alvéole auf
dem Schaltstiieke sitzt: gewôhnlich aber iibergebt das Schalt-
stiicdc in eine Gruppe von einigen Alveolen; die Enclstiicke
sind sehr klein. so dass die Alveolon wie die Beeren auf einem
gedràngt sitzen. Das gibt den Endasten und Alveolen
i Ahnlichkeit mit einer Weintraube. Die ganze Summe
von Alveolen. die mit ihnen verbundenen Schaltstiieke, deren
Hauptast ins Speichelrohr iibergebt. bilden ein Driisenlappelien.
Gesamiûtgestalt (b'sselben ist bei der Submaxillardriise
olinlicb ein nicht ganz regel ru âssiger Wiirfel; eine nicht
reicbliehe La interstitiellem Bindegewebe theilt dièses
Lâp] n anderen , deren Alveolen dicht den Alveolen
xsteren beiliegen.
Von dem tubulosen Bau dieser Driise kann nicht einm.-il
il. Darum kann mein Modell dem Schéma den
sder naeh Stobr (1. c.) nocl) naeb Kranse
RÉSUMÉS - 293
(1. c.) entsprechen, da die Secretionsrâume keine Tubuli, son-
dera Alveolen sind, welche auf den Schaltstiicken wie die
Beeren auf eiriem Stiele sitzen.
Der mukose Theil der Submaxillardriïse weist etwas an-
dere Beschaffenheit auf. Eine wortlicbe Beschreibung ist etwas
schwierig; mehr Licht wird die Ansehauung des Modells (fig.
4 auf der Tafel) auf die Sache werfen.
Das Speichelrohr, welches auch eine spindelformige Er-
weiterung vor dem Uebergange in das Schaltstuek zeigt , ist
verbaltnissraassig stârker entwickelt, als im serosen Theile
derselben Driise. Das Schaltstuek. welches sich durch seine
énorme Kiirze auszeichnet, zeigt gewohnlich auch eine in der
Mitte unbedeutende Erweiterung; sein Ende, welches mit dem
secernierenden Hauptstûcke in Verbindung steht, wie auch die
Uebergangsstelle ins Speichelrohr, sind etwas verengt. Das
Speichelrohr. sovvie das kurze Schaltstiick sind Ausfiihrungs-
wege von dem ganzeri Complexe der Schleim secernierenden
Kaume. Wie sich ihre Form vorstellt, ist nicht schwer aus
dem Modelle zu ersehen. Sie steilen zuerst eine Gruppirung
vieler mit einander verbundenen Gangsysteme vor, deren Ge-
stalt sehr mannigfach ist. Es sind ktirzere oder langere Schlâu-
che, die reich mit stark erweiterten wand- oder endstandig
sitzenden Alveolen versehen sind.
Den Ban der Schleimdrtise konnte man mit diesen Wor-
ten charakterisieren: Das Schaltstiick iibergeht in einen sieh
vielfach theilenden, mit vielen Aesten versehenen, nnregelmas-
sig verlanfenden Tubulus (Schlauch), der mannigfaltige Bie-
gungen und Knickungen aufweist. Die Wande dièses reich
verzweigten Schlauches und hauptsachlich die Endstticke des-
selben. sind mit zahlreichen, blinden, stark erweiterten alveo-
laren Blaschen, deren Grosse sehr verschieden ist, bef-etzt.
Die Schleimdriise ist also nach dem tnbulo-alveolilrem Typus
gebaut.
Der Unterschied zwischen der serosen und Schleimdriise
ist deutlich ausgedruckt; dort sahen wir eine traubenformige
Form: zu jedem oder zu einigen Alveoli gieng ein Schaltstuek,
RÉSUMÉS
verzweigt sich selbst der Secretionsraum , um die secer-
nierende Fhlche am meisten zn vergrossern; die Ausftihrungs-
o-ânfire sind auf ein Minimum reduciert. Das Modell dieser Driise
entspricht in gewissem Grade dem von Koelliker (1. c.) ange-
enen Schéma der tubulo-acinosen Driise.
Der tubulose Bau ist jedoch hier nicht so prâgnant, wie
in den typischen tubulosen Drûsen, ausgedriickt . die Tubuli
sind so sehr von den alveolâren Erweiterungen verdeckt, dass
das ganze Bild mehr an einen alveolâren Bau erinnert. Wir
konnen also die Schleimdrûsen als eine Uebergangsform zwi-
sclien den alveolâren und tubulosen Driisen betrachten. Die
Ursache einer solchen Form erkennen wir leicht , — in der
serSsen Driise hatten wir eine ganze Summe von Schaltstiicken,
lie das Secret von einzelnen Alveolen abfiihrten , hier, in
Schleimdrûsen, infolge des Wegfalles derselben, miissen die
einzelnen Alveolen vermittelst tubuloser Gange verbunden sein,
um dem Secrète Abflnss in ein einziges Schaltstuck zu ermog-
lichen. Der Durôhmesser aller unregelmâssigen Tubuli, sowie
der Alveolen ist viel grSsser als in den serosen Driisen; sehon
aus der naturgetreuen Zeichnung des Modells, das in dersel-
ben Vergrosserung, wie das vorige ausgefûhrt wurde, geht
es hervor. Eine genaue Messung des Durchmessers einzelner
Alveoli und Tubuli ergiebt folgende Zahlen: der Durchmesser
des erweiterten Speichelrohres betrâgt 0,061 mm., der des
Schaltstiickes 0,023 bis 0,027 mm. Die Alveolen und die mehr
cylindrischen Schlàuche messen von 0,026 bis sogar 0,088
mm. im Durchmesser. die Zabi 0,088 mm. entspricht der lân-
Achse der ovalen grossten Alveolen.
Auf* dieser Stelle will ich kurz iiber die Lage der Gia-
nuzzi'schen Halbmonde in den Scbleimtubuli der Submaxillar-
driise berichten. [m 41) Bande des Archives fur mikroskopi-
Anatomie sprieht Krause (S. 751), dass eine genaue Orien-
tirung liber die Lage der Halbmonde sich nur n auf dem Wege
Reconstruction erlangen lâsst". Bei der Reconstruction
des Schleimtheiles der Submaxillardruse habe ich auch daran
icht, die Lage der Randzellencomplexe naher anzeigen zu
RÉSUMÉS _ 295
konnen. Ich macbte dies auf dièse Weise, dass icb in den
Zeicbnungen die Halbmonde mit farbigem Stifte bezeichnete,
dieselben dann auch auf der Wacbsplatte nacb Abnebmen des
Papierblattes mit Farbe bernait babe, so dass nacb dem Zu-
sammenkleben der Platten die bemalten Rander mir die Ober-
flâcbe der Halbmonde zeigten. Jedoch dièse Scbleimdruse ist
zu viel zusammengesetzt, dass das Bild derselben nett ausfal-
len konnte; es wiirde viel besser sein, sicb einer anderen
Scbleimdruse, die einen einfacberen Bau zeigt , vielleicbt der
Scbleimbautdriïsen der Epiglottis, zur Reconstruction zu be-
dienen.
So viel, was icb genau angeben kann, theile icb mit:
Die Gianuzzi'scben Halbmonde liegen gewobnlicb als flacber
Ueberzug auf den Endstiicken der alveolâr erweiterten Scblaiï-
che, indem sie wie eine Kappe dieselben bedecken; manch-
mal nebmen sie einen viel grôsseren Raum ein , so dass sie
dann etwa einein Fingerbute âbnlicb sind. Neben dieser (re-
stait der Halbmonde treffen wir sie aucb in geringer Zabi in
Form wandstândiger kleiner Alveolen , oder als selbststândige
serose Alveolen in Verlangerung der Schleimtubuli oder Al-
veolen gelegen. Dieser letzte Lagerungsmodus der Gianuzzi'-
scben Halbmonde entspricht ziemlicb genau der Lage dersel-
ben in Scbema der Submaxillardriïse nacb Krause (1. c.) , wo
der Autor dem Schleimtubulus einen serosen folgen lâsst, mit
dem Unterscbiede , dass es keine serosen Tubuli sondern Al-
veolen gibt. Der Durcbmesser dieser serosen Anhange der
Schleimtubuli oder Alveolen ist bedeutend kleiner als dièse,
auf denen sie sitzen; sie sind gewohnlieh so gross wie die
entsprecbenden Alveolen der serosen Driise. Ibr Durcbmesser
schwankt zwiscben 0,026 bis 0,034 mm.
Das Modell der Schleimdruse stellt diesen ganzen Com-
plex der Tubuli und Alveolen vor, welche in éin ganzes ver-
bunden in das eine Schaltstiïck ibr Secret ausliefern. Es liegt
binter dieser ganzen Masse verdeckt, nacb ibrer Abtragung
ist es sicbtbar isicb Fig. 5).
Dièse Zeicbnung stellt die letzten Endstûcke vor, welcbe
RÉSUMÉS
iene sehr entfernte Ahnlichkeii mit den Tubuli ganz deutlich
vorzeigen. Die plan abgesehnittene Flâclie ist die raitten durch-
schnittene Verbindung mit anderen Schlâuchen und Alveolen.
W'as die Parotisdriise anbelangt, die beim Menscben eine
rein serose Driise ist, zeigt sie einen alveolâren Bau in wei-
testem Sinne dièses Wortes. Mittelst eines oder mebrerer Prâ-
parate kann mai: sicb leicbt ein Scbema reconstruieren, das
ganz genau einer alveolâren oder wenn wir ein Driisenlap-
pchen als Ganzes betrachten, einer acinosen Driise entspriebt.
Nocb besser st. lit uns dièse Verhaltnisse im Baue derselben
Wachsmodell vor (sieb Fig. 3.), dein die oben citierten
Worte Renaut's volikommen gleichen. Das etwas vereinfaehte
Modell, d. h. dass die zahlreichen Seitenzweige und die mit
ihnen verbundene Alveolen abgetragen wurden, damit man in
die Einzelheiten genauer eindringen konnte, gibt uns das Bild
eines Weintraubenastes : das Scbaltstûek , welcbes bei dieser
Driise sehr lang ist . gibt auf beiden Seiten Zweige ab, wel-
ehe an ihrem Ende sicb in mehrere etwas versehmâlerte Zweig-
eben theilen, deren jedes mit einer Alvéole in Zusammenbang
tritt. Der Hauptast des Scbaltstiickes ziebt sicb etwas ver-
sChmàlernd weiter, uni endlicb demselben Scbicksal zu erlie-
gen und in die Alveolen zu iibergehen.
Die, (J estait des ganzen Làppchens erscbeint etwas an-
ders, als bei der Submaxillardruse geformt; dort war es etwa
wurfelformig, bier besitzt es die Form eines vierseitigen Kor-
pers, wenn wir aile Alveolen, die mit Sehaltstiicken in Ver-
bindung stehen, auch die abgetragenen in Rechnung nehmen.
Der Vergleicb eines Làppchens mit einem Weintraubenaste
ist bei der Parotisdriise so prâgnant, dass niemand zweifeln
werde, ob dieser Driise der Cbarakter einer tubulosen Driise
zugesprocben werden konnte. Das Schaltstûck mit allen seinen
Verzweigungen stellt uns die Stiele dar. auf welcben wie die
Weinbeeren die Alveolen sitzen.
Der Durcbmesser des Scbaltstiickes ist genug stark, er
vermindert sieb allmàhlich, indem er sicb seinem Ende nàhert,
die Seitenzweige sind etwas scbmaler, am kleinsten im Durcb-
RÉSUMÉS _ 297
schnitte sind die Stiele der Alveolen. Aile dièse Theile wurden
nach dem Modell und anderen Stellen der Prâparate berechnet.
Das Schaltstiick von 0,023 bis 0,013 mm. am Ende, Seiten-
zweige von 0,015 bis 0,019, die Endzweige, auf denen die
Alveolen si:zen, 0.007 bis 0,009 mm. Das Schaltstiick ver-
bindet sick wie gewôhnlich mit dem Speichelrohr, welcbes aucb
eine spindelformige Auftreibung zeigt.
Die Alveolen besitzen gewôhnlich eine kugelige oder
ovale Gestalt, seltener sind sie unregelmâssig. Sie sitzen ge-
wôhnlich schaarenweise am Ende der Scbaltstiicke, die einen
von den anderen nur durch einen sebr kleinen Raum getrennt.
Die Grosse der Alveolen ist sebr variabel, durchschnittlich
betrâgt der Durchmesser der kugeligen Alveolen von 0,015
bis 0,028 mm.; der ovalen in lângerer Achse 0,019 bis 0,038
mm. in kùrzerer 0,017 bis 0,032 mm.
Es geniigt, wenn wir die Wachsmodelle der Submaxillar-,
sowie der Parotisdriïse vergleicben, um zu seben, dass die letzte
im Durchmesser sehr weit binter der ersten stebt, dass sovvohl
die Schaltstucke, als auch die Alveolen viel kleiner sind. Der
acinose Bau dieser Driise tritt noch mebr hervor, als in der
Submaxillardrtise; die Kleinheit der Alveolen, die Lange und
seitliche Abzweigungen der Schaltstucke vergrossern die Ahn-
lichkeit mit einem Weintraubenaste.
Obwohl es mir nicht gelang eine Reconstruction der reinen
Scbleimdriise, Glandula sublingualis des Menschen zu Stande
zu bringen, da ich kein entsprechendes Material besass, so bin
ich auf Grund einzelner Schnitte zu der Einsicht gekommen,
dass sie denselben Bau, wie der schleimige Theil der Subma-
xillardrtise, zeigt, dass dièse beiden Modelle sich vollkommen
entsprecben wurden. Ich werde aber spâter trachten, aucb diè-
ses Modell verfertigen zu konnen, um aile Arten der Speichei-
driisen des Menschen reconstruiert zu besitzen.
Kurz die Résultat e ineiner Arbeit zusamraenstellend, kann
ich mich ûber den Bau der Speicheldrusen des Menschen auf
RÉSUMÉS
nde Weise erklâren: Di ■■ n Drusen, wie Parotis,
•r Theil der Submaxillaris gekoren zu den alveolaren
zusammengesetzten Drusen, die Alveolen sind hier die secernie-
renden Râume. Die Schleiradriisen entsprechen dem Typas der
t u b u 1 o-a 1 v e o 1 à r e n Drusen, es iiberwiegen hier die Alveo-
len. welche sehr stark ausgedehnt auf den Wânden und End-
stiicken der Sehlâuche sitzen. die unregellmâssig in alleu
Richtungen gekrummt ein Ganzes bilden. Auf dièse Weise
wird die seeernierende Flache vergrossert. Die Schleimdriisen
bilden eine Uebergangsform zwischen den tubulosen und alveo-
laren Drusen.
Naeli dem oben Erwàhnten rniissen wir den Rahmen der
alveolaren Drusen etwas erweitern, uni in denselben aucli die
serosen Speicheldriisen einstellen zu konnen.
Wie sich andere Driisen des Menschen verhalten. zu
welehem Typus die Driisen der Thiere gehôren, kann ich keine
sieheren Anhaltspunkte geben ; die Prâparate, selbst die ge-
nauesten mikroskopischen Bilder konnen uns sehr wenig Licht
auf diesen Gregenstand werfen ; es bleibt uns die miihevolle
Plattenmodellirmethode ûbrig, welche uns die gânze Form ab-
bilden kann. Die controversen Ansichten verschiedèner Forscher
geben uns ein Beispiel. dass nur dièse Untersuchungsmethode
in manchen Fâllen Grewissheit und Wahrheit bringen kann.
Die anatornische Eintheilung der Driisen kann sich nur
auf genaues Erkennen ihrer Form stûtzen.
Die zu den Speicheldriisen gezâblte Baucbspeicheldrtise,
fur welche Flemming (1. c.) und andere Verfasser tubulosen
Bau annehmen, scheint mir ihrer Form nach sehr nahe der
Parotisdrtise zu steben ; die Reconstruction , die ich in kurzer
Zeit beabsichtige , wird mich von der Richtigkeit dieser Ver-
muthung ûberzeugen, oder sie als falsch erklâren.
In kurzen Worten will ich noch iiber die von mir ge-
brauchte Benennung der secernierenden Endblâschen „AlveoIen"
und iiber die Ursachen, die mich zum Verwerfen des Namens
„Acinus" gebracht haben, berichten. Der Naine ..Alveolus"
batte bei den Romern eine etwas andere Bedeutung: er be-
RÉSUMÉS 299
zeichnete „ein verengtes Flussbett", „ein kleiner Futtertrog",
„eine Mulde", ..eine Schiissel"; Vésal bezeichnete mit dem
selben Namen die Zahnhôhlen in der Kinnlade; Rosignol
brauchte den Namen „alvéoles" ftir die Lungenblâschen. Im
Laufe der Zeit wurde mit „Alveolus" jede Art kleiner Blâs-
chen benannt. Der Name Alveolus , obwobl er in seiner Be-
deutung eine Erweiterung des Lumens birgt, entspricht am
meisten den secernierenden, kugeligen Endblâschen der serosen
Speicheldriisen. wenn wir ihre âussere Grestalt im Auge baben.
Das Lumen der Endblâschen ist keineswegs grôsser, eber ist
es verschmâlert infolge der Grosse der secernierenden Eleraente,
die die Alveolen ausfiillen, im Vergleich mit dem niedrigen
Epitbel der Schaltstûcke.
Der Name ,,Aemus" scheint mir fur die Bezeicbnung
der Endblâschen weniger zu passen. Das Wort kommt nicht
vom griechisehen nàîtivoç", wie es Flemming (1. c. S. 297) ha-
ben will, und naeh demselben .,Rohreu, „Schlauch" heissen
sollte. Das griechische Wort àx.tvo; , wie ich von einem tiich-
tigen Philologen belehrt worden bin, wurde von Plinius zur
Bezeichnung einer Pflanze mit wohlriechender Bluthe gebraucht;
es steht also in keinem Zusammenliange mit der von Flem-
ming gegebenen Ubersetzung. Das Wort „Acinus" stammt von
dem lateinisehen „acinus"-i (acinum, acina), das eine Frucht-
beere von Wein. Ephen, Flieder und anderen Pflanzen , be-
sonders die Weinbeere bezeicbnet.
Der Name acinus ware also ganz passend fiir die Be-
nennung der Lâppchen I. Ordnung (lobule primitif-Renaut).
Avelche wirklich einen aeinosen Bau besitzen und eine sehr
grosse Aehnlicbkeit mit der Weinbeere zeigen. Die Bezeichnung
mit diesem Namen der einzelnen Endblâschen entspricht der
wahren Bedeutung nicht; eine grôssere Summe der Alveolen.
die auf den Schaltstûeken sitzen und ein Ganzes bilden, ent-
spricht den wirklichen Verhâltnissen.
Am Ende sei mir noch erlaubt, meinem verehrten Cbef,
Prof. Cybulski, in dessen Institute ich dièse Arbeit gemacbt
RÉSUMÉS
habe meinen verbindlichen Dank auszudrucken fur seine gû-
tige Bereitwilligkeit , mit welclier er mir stets entgegenkam.
Erklârung (1er Abbildungen.
Aile Figuren wurden nacli den naturgetreuen Mcdellen von Dr J.
Baracz gezeichnet; die Photographien dienten nur zur leichteren Contour-
aufnahme.
Fig. 1. Wachsmodell der Submaxillardriise (seroser Theilï. Modell-
vergrosserung 518. Figurenvergross. HOJ. Vorderausicht. Das spindelformig er-
weiterte Speichelrohr geht unter einem Winkel aus einem querdurchschnit-
tenen Aste, und geht weiter in das Schaltstiick liber, das seitliche Zweige
aufweist, auf deren Enden Alveolen sitzen. Die mit zwei querdurchsehnittenen
Schaltstiicken in Verbindung stehenden Alveolen wurden abgetragen, um
leichter ins Innere des Modells einsehen zu konnen.
Fig. 2. Dasselbe Wachsmodell von hinten gesehen, ein grosserer Theil
der Alveolen abgetragen, um die Ramificationen der Schaltstiicke leichter
vorzuzeigen. Die Alveolen sitzen schaarenweise auf den Endstiickenjder Schalt-
stiicke.
Fig. 3. Wachsmodell der Parotisdriise. Modellvergross. 518. Figuren-
vergr. 320. Vorderansicht. Das Schaltstiick verschmâlert sich almâhlich, gibt
Seitenzweige ab, die noch engere Endzweige abgeben, welche mit den Al-
veolen in Verbindung steben. Die Aehnlichkeit mit eiuer Weintraube fâllt
sehr leicbt ins Auge.
Fig. 4. Wachsmodell der Submaxillardriise ischleimiger Theil). Modell-
vergross. 518. Figurenvergross. 300. Vorderansicht des ganzen Modells. Das
Speichelrohr etwas angeschnitten, mit spindelformiger Enveiterung in der
Mitte, ist theilweise von dern Complexe der gewundenen, zusammenverbun-
denen Schlâuche verdeckt, die reicblich mit Alveolen versehen sind. Die
Gianuzzi'schen Halbmonde event. ganze serose mit Schleimséhlauchen ver-
bundene Alveolen sind mit rother Farbe bezeichnet.
Fig. 5. Dasselbe Modell nach Abtragung des ganzen Complexes, um
die secernierenden Endbljischen ganz klar sehen zu konnen. Das Speichel-
rohr geht in kurzes Schaltstiick uber, welehes in die vier stark erweiterten
Alveolen einmiindet. Die plane Flache entspricht der Verbindun°sflache mit
der ganzen Masse der Schlâuche und Alveolen. Roth bezeichnet sind Gia-
nuzzi'sche Halbmonde.
Nakladem Akademii Umiejçtnosci
pod redakcya Sekrptarza geueraluego Stauistawa Smolki.
Krakow, 1900. — Drukarnia Uniwersytetu Jagiellonskiego, pod zarzadem J. Filipowskiego.
12 Sierpnia 1900.
Bulletin de l'AcaJ. de Se. de Cracovie rçoo.
Fie 1.
Fier. 3.
1<;
4
Fig. 2.
Fis. 5.
Dr. S. Maziarski.
BULLETIN INTERNATIONAL
DE L'ACADÉMIE DES SCIENCES
DE CRACOVIE.
X" 8. Octobre 1900.
Sommaire: Séances du 8, 15 et 22 octobre 1900. — Résumés: 41.
A. Brûcknek. La langue de W. Potocki. Contributions à l'histoire de la
langue polonaise. — 42, S. Dkoba. Sur les cellules géantes dans le tissu
tuberculeux. — 4.4. St. Niemextowski. Sur les homologues des alizarine,
hystazarine et quinizarine. — 44. A. Weôblewski. Méthode pour obtenir
des cristaux dans une solution, sans formation de croûte à la superficie. —
45. K. Zorawski. Sur une problème de la représentation conforme. — 46.
K. Zoeawskt. Sur la conservation du mouvement tourbillonnaire. — 47.
Matériaux anthropologiques, archéologiques et ethnographiques.
Séances
— ^
Classe de Philologie
Séance du 22 octobre 1900
Présidence de M. C. Morawski
Le Secrétaire dépose sur les bureau les dernières publi-
cations de la Classe:
^ozprawy Akademii Umiejetnosci. Wydzial filologiczny. Serya II,
tom XV ogôlnego zbioru tom trzydziesty«. (Travaux de la Classe de phi-
lologie, vol. XXX, , 8-o. p. 265.
J. Czubek. »Wespazyan z Kochowa Kochowski«. fVespasûn de Ko-
chow Kochoivski), 8-0. p. 189.
M. M. Kayvczynski présente son étude: nSnr l'Amour et
Psychée d' Apulée".
302 séai
('lasse d'Histoire el de Philosophie
Séance du 15 octobre 1900
Présidence de M. F. Zoll
Le Secrétaire dépose sur le bureau les dernières publi-
cations de la Classe:
St. Badeni. >Stanislaw Ciolek biskup poznanski*. {Stanislas Ciolek
éveque de PosenJ, 8-0, p. 104.
0. Balzek. >W spravvie sankcyi statutu mazowieckiego pierwszego
Z r. 1532*. (Quelques remarques sur la sanction du premier statut de Masovie
de Pan IJS2J, 8-0, p. 94-
F. Bujak. »Kalimach i znajomosc parïstwa tureckiego w Polsce
okolo poczatku XVI W.«. (Calimaque et les notions qu'on avait en Pologne
sur V Empire ottoman, au commencement du XVl-e siècle, 8-0. p. 23.
F. Piekosinski. »A1 Bekri o Polakach*. (Les anciens Polonais d'après
Al Bekri), 8-0, p. 13.
Le Secrétaire présente l'étude de M. K. Krotoski : „ Quel-
ques remarques sur l'évêque de Cracovie St. Stanislas".
Classe des Sciences mathématiques et naturelles
Séance du 8 octobre 1900
Présidence de M. E. Godlewski
Le Secrétaire présente les dernières publications de la
Classe :
V. Teisseykk. »Atlas geologicnny Galicyi. Zeszyt ôsmy«. (Alias géo-
logique de Galicie. VI11 livraison), 8-0. p. VII, 329 et XII.
A. Bocuenek. >0 unerwieniu splotôw naczyniowych mozgu zaby«.
terminaisons de fibres nerveuses dans le plexus chorioideus de la grenouille .
8-o, p. 5.
SÉANCES 303
A. Bochenek. »Drogi nerwowe przedmôzdza salamandry plamistej*.
(Marche des fibres nerveuses dans le cerveau antérieur de la Salamandra macu-
losa), 8-0, p. 20.
L. Brdnner et S. Toi.£oczko. »0 szybkosci tworzenia sie estrôw
z chlorku benzoilowego i alkoholôw tïuszczowych«. (Sur la vitesse de réac-
tion entre le chlorure de benzoyle et les alcools de la série grasse), 8-0 , p. 19.
S. Niemczycki. >0 trzech normalnych butylotoluolacb*. (Sur les
trois isomères bulylotoluenes), 8-0, p. 6.
M. P. Ruuzki. »0 ksztaïcie fali sprezystej w pokîadach ziemskich.
IV. Studyum z teoryi trzesien ziemi«. (Sur la forme de ronde élasticité dans
les couches terrestres), 8-0, p. 15.
Br. Znatowicz. »DziaJanie kwasu azotowego na weglowodory aro-
matyczne w stanie pary«. (Action de l'acide nitrique sur les vapeurs des hy-
drocarbures aromatiques à température ordinaire), 8-0, p. 4.
M. E. Godlewski présente l'étude M. A. Wrôblewski :
^Méthode d'obtenir des cristaux dans une solution sans forma-
tion de croûte à la sîtperficieu 1).
!) Voir ci-dessous aux Résumés p. 319.
1^
Résumés
il.— A. Brûcknek, Jezyk Waclawa Potockiego. Przyczynek do historyi jezyka
polskiego. (Die Sprache des )V. Potocki. Ein Beitrag zur
Geschichte der polniscJien Sprache). Vorgelegt am 22. Oct»-
ber 1900.
Die Arbeit besehrâukt sich durchaus nicht, wie cler Titel
anzudeuten scheiut, auf die Sprache eines kleinpolnischen Dich-
ters des XVII Jahrhunderts, dessen handschriftlicben Nachlass
(1er Verfasser in zwei vorausgegangenen Beitragen (Abban-
dlungen XXVII und XXIX) besprochen bat. Die Arbeit bringt
eine Bereicherung des Wort- und Phrasenschatzes des XVII
Jahrbundertes auf Grund der Werke des Potocki zunâchst,
daim auch mauclier Zeitgenossen des Dicbters. Sie bietet eine
Ergânzung des grossen Linde'scben Wôrterbuches der polni-
scben Sprache.
Der Verfasser bespricht in einer ausfiibrlichen Einleitung
die Geschichte der polnischen Lexicographie seit den mittelal-
terlichen Granarû bis auf Linde, das eigentliche historische
Wôrterbueh der Polen , welches zur Zeit seines Erscheinens
einen wesentlichen Fortscbritt auf dem Gebiete europaiseher
Lexicographie iiberhaupt darstellte. Trotz der bewunderungs-
wûrdigen Fiille und Verlâsslichkeit von Stoff und Erklârung
sstén sich auch in dièses Werk Unvollkoramenheiten ein-
ieichen, weil bei der ausserordentlichen Fulle der àlteren
RÉSUMÉS ^ 305
polnischen Litteratur es Linde unmoglich war, den historischen
Stoff zu erschôpfen; Handsehriftliches beriïcksichtigte er gar
nicbt; manche wichtige Druckwerke entgiengen seiner Auf-
merksamkeit; er irrte hie und da in der Erklarung. Verfasser
zeigt nun an einer Reihe von Beîspielen solclie Liieken und
Mângel; auch der darauf folgende lexicalische Theil ist haupt-
sâchlich solchen Ergânzungen und Beriehtigungen gewidmet.
Es werden jedoch nicbt nur bisher unbekannte Worte
oder Bedeutungen aufgefuhrt und moglichst vollstândig belegt;
die Arbeit verfolgt nocb andere Ziele. Einmal bandelt es sich
uni eine Reihe von Bereicherungen und Beriehtigungen zur
polnischen Paraemiograpbie. Potoeki war unermûdlich in dem
Heranziehen und Verwerthen von Sprichwortern und sprich-
wortlichen Redensarten; wir konnen aus ihm die Bedeutung
oder den Ursprung so manchen vergessenen oder missverstan-
denen Spricbwortes feststellen; es erstreckt sich dies sogar auf
kleinrussiscbe Sprichworter, die er ebenfalls emflocht. Bei den
Sprichwortern ist die grosse Sammlung S. Adalbergs stets ver-
glichen worden; es ergaben sich wesentliche Nachtràge and
Beriehtigungen ; auch hier beschrankte sieh. die Sammlnng
nicht auf Potoeki, obwohl sie wesentlich von ihm ausgieng.
Andererseits, da die Werke des Potoeki ihres Umfanges
wegen nicht leicht gedruckt werden dtirften und die wenigen
Handschriften nicht jedem zugânglich sind (die meisten und
wichtigsten birgt ja Petersburg) und dièse Werke eine Fûlle
von Material fiir Sitten und Brâuche, Glauben und Aberglau-
ben der Zeit enthalten, ist vieles derartige, kûrzere, mitgeteilt
worden: Auslassungen liber Moden und Kleider, Speisen und
Getrânke, Spiele und Tanze, iiber das Leben und Treiben im
Lager. im Adelshof, in der Kirche, auf dem Marktplatz, in
der Wahlagitation. vor der Dorischenke, in Kloster und Schule,
in Wald und Feld. So verfolgt die Arbeit nèben lexicalischen
und etymologischen sowie paraemiographischen auch kultur-
und sittengeschiehtliehe Aufgaben; manche Artikel wachsen in
folge dieser Anhaufung von Stoff zu kleineren Abhandlungen aus.
RÉSUMÉS
Déni lexicalischen Theil geht eine kurze Characteristik
der Sprache des Dichters und seines Zusaramentreffens mit
volksthiimlichen Motiven voraus.
S. Dboba: 0 tworach olbrzymich w tkance gruzliczej. (Uebef
Itii senyebilde in ttiberJvulôsen Geweben). Vorgelegt am
9. Juli 1900.
Auf Grund eingehender am entsprecbenden Menschen-
und Thiermaterial angestellter Untersuchungen kam Verfasser
beziïglich der Histogenèse der fur tuberkulôse Processe cha-
rakteristischen Riesengebilde (Langhans' Riesenzellen) zu Schliis-
sen, die von den bisher sonst allgemein getbeilten Ansicbten
wesentlicb abweicben. Als Belege fur die weiter anzufiihrenden
Tbatsachen sollen zuerst kurz die Befunde, welcbe sicb an den
beigelegten bistologiscben Bildern ablesen lassen, zusammen-
gefasst werden so in Fig. I : Scbnitte aus dem Lungengewebe
eines an Lungentuberkulose gefallenen Meerscbweinebens. Ba-
cillenfarbung. Im (iesicbtsfelde ein im Querschnitt getroffenes
Blutgefiiss. Zwiscben zahlreicben rothen Blutkôrpercben einige
Leukocyten, nebst Tuberkelbacillen, die in Gruppen gelagert
erscheinen. Zwei Gruppen liegen im Leukoeytenplasma, die
anderen ausserbalb derselben. — In der Gefasswand sind zahl-
reiche Zellenelemente nachweisbar und dazwiscben treten con-
centrisch gelagerte, das Gefâsslumen in einigen Scbiehten um-
gebemle Kerne glatter Muskelfaserzellen anf. — Weiter nacb
il finden sich blasenfôrmige Kerne, die zu Zellen mit un-
deutlicb eontourirtem Plasma geboren. Zwischen den gescbil-
derten Elementen finden sich Leukocytenkerne und deren Zer-
fallsproducte. In der Intimaschicht erscheinen spârlicbe Endo-
thelzellen, die Umrisse dieser Zellen sind verschwommen. Dièse
Zellen liegen in einer structurlosen Masse, welcbe mit einem
schmalen Saum das Gefâsslumen einscbliesst. In dieser Scbichte
sielit man zahlreiche Tuberkelbacillen, welche theils vereinzelt,
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307
theils in Gruppen gelagert erscheinen. Die grosste Gruppe (auf
der -linken Seite des Bildes) liegt theils im Lumen, also zwischen
rothen Blutkorperchen, theils in der Gefâsswand, also ausser-
bâlb oder zwischen den Endothelzellkernen. Die Grenze der
Gefâsswand ist hier wie auch etwas weiter unten weniger scharf
gezeichnet. Die sonderbare Vertheilung der Tuberkelbacillen
war ein Grund, der den Verfasser zu einer eingehenderen Schil-
derung obigen Bildes bewog. Der Umstand, dass die Tuberkel-
bacillen vorwiegend in der Intima, sehr oft in den Leukocyten
und fixen Bindegewebszellen, in Prâparaten aus dem Lungen-
gewebe im Alveoleninneren nachgewiesen werden, soll mit Nach-
druck hervorgehoben werden.
Die Prâparate, auf welche sich Verfasser in seinen wei-
teren Auseinandersetzungen stiitzt, sind mit Hamatoxylin gefârbt
mit Eosin, oder nach van Gieson nachgefârbt.
Es wurde dièse Tinctionsmethode statt der gebrâuch lichen
Bacillenfarbungsmethoden angewandt, da detn Verfasser die-
selbe zweckentsprechender zu sein schien.
Fig. II. Gefâssquerdurchschnitt. Im Gefasslumen finden
sich in einem blassroth gel&rbten Netz zerstreute rothe Blut-
korperchen. Das Netz steht mit der Endothelschicht in Ver-
bindung. Die Kerne der Endothelzellen sind unregelmassig
gelagert. Es lâsst sich jedoch links oben und unten eine doppelte,
auf rechter Seite eine einfache Schicht unterscheiden. Die Kerne
bei a scheinen im Endstadium der Theilung zu sein. Die Zell-
grenze ist stellenweise schwach angedeutet , stellenweise ganz
verstrichen. Die ilussere Grenze der Endothelschicht (b) ist
mit Ausnahme des unteren Abschnittes von der Muskelschicht
scharf abgegrenzt. Die Structureinzelnheiten der Muskelfaser-
schicht sind deutlich wahrnehmbar. Ausserhalb dieser Schicht
hnden sich in einigen Reihen concentrisch gegliederte epithe-
lioide Zellen mit blasenformigen Kernen und dazwischen Leu-
kocytenkerne (ô).
Fig. III. Gefâssquerdurchschnitt. In das leere Gefass-
lumen dringen Auslaufer einer homogenen Masse, in weleher
kranzformig liegende Endothelkerne sichtbar sind. Ein schmaler
308 RÉSUMÉS
Streifen (a) dieser Masse ist naeh aussen von einem viol
breiteren Streifen (b). welcher eine undeutliche Struetur auf-
weist, abgegrenzt. In diesera Streifen sieht mai) einige Kerne
liegen, die Endothelzellen anzugehoren seheinen und neben
ihnen ziemlieh doutlich auftretendes Zellplasma. Daneben
liegen einige Leukocytenkerne (d). Der zweite Streifen geht
ohne seharfe Grenze in den dritten Streifen liber, in woleliem
concentrisch gelagerte Kerne glatter Muskelfaserzellen und da-
zwischen zahlreiche Leukocyten nachweisbar sind (e).
Fig. IV. GefassquerdurcWhnitt. D;js Lumen mit Endo-
thelzellen dicht ausgefûllt. Ihre querdurehschnittenen Kerne
treten deutlieh, ihre Plasmagrenze dagegen undeutlich hervor.
Der Endothelschieht liegen concentrisch gegliederte glatte Muskel-
fasern an. — Weiter nach aussen trifft man lockeres Biude-
gewebe und dazwischen einige Bindegewebszellen (a) und
sparliche Leukocytenkerne.
Fig. V. Querdurehschnitt zweier Gelasse. Im Lumen des
Gefasses a sieht man rotin; Blutkorperchen und vier Leuko-
cytenkerne eingebettet in einer homogenen structurlosen sehwaeh
roth gefârbten Masse, deren Auslâufer mit der Gefâsswand
in Verbindung stehen. Die Gefasswand erscheint als ein homo-
gener, structurloser Streifen, an dessen innerem Rand quer-
durchschnittene Endothelialkerne walirgenommen werden. Die
Plasmagrenzen sind nicht nachweisbar, da das Plasma einen
integrirenden Theil der Mas.se bildet. Rings uni den Streifen
liegen epithelioide Zellen mit blasenfôrmigen Kernen. Dièse
Zellen stehen im unteren Theil des Bildes (b) in drei Reihen,
sonst in einer Reihe (d). Auf der linken Seite des Bildes (c)
sind die Zellengrenzen verstrichen. Es treten in der structur-
losen Masse drei concentrisch ffelafferte Kerne auf, als Beweis,
dass das Zellplasma demselben Processe anheimtiel, wie die Ge-
fasswand. Nach aussen vom mittleren Kern findet sich eine
deutlieh abgegrenzte Spindelzelle, deren Auslâufer sich in den
aufgequollenen Bindegewebsziigen verlieren. Dièse Zelle liegt
der structurlosen Masse unmittelbar an. Von dieser Seite weiter
nach unten zu sieht man, dass die Umrisse dieser Zellen nach
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309
der Seite der structurlosen Masse zu verwiscbt sind, dagegen der
ûbrige Theil des Umrisse^ wie auch die Zellumrisse in wei-
teren Schiehten deutlich naehweisbar sind. Die Zellen li
einander unrnittelbar an; zwisehen ihnen liegen Leukocyten-
kerne (f). Die Zellen oben redits (d) stehen theils un-
niittelbar, theils mittelst Auslâufern in Verbindung. Die am
oberen Pôle liegende Zelle, in welcher sieh zwei Kerne vor-
fmden, entsendet zwei Ansl&ufer in die structurlose M.
Naeh aussen von den beschriebenen Zellen verlaufen ringsam
aufgequollene Bindegewebszûge, die im Ziisamraenhang mit
den Auslâufern der oben erwâbnteu Zellen zu stehen oder
sogar dièse Zellen zu umringen und eine Begrenzung ihres
Plasmas zu bilden scheinen. Unter diesen Ziigen finden sich
Bindegewebszellkerne.
Im kleineren Bild (e) liegt ein querdurchschnittenes Ca-
pillargefâss. Sein Lumen liillt eine structurlose, homogène Masse
aus, in welcher vier Gewebselemente liegen, die an Endothel-
zellkerne erinnern. Der fttnfte Kern umgibt die Masse halb-
mondformig von unten her. derselbe scheint einer glatten
Muskelzelle zu gehoren, deren Plasma âhnlicber Verân-
derung. wie das der Endothelien anheimtiel. Unten sieht man
die Umrisse dreier epithelioider Zellen. Das Gefâss ist von
eircularen Bindegewebszttgen mit deutlich wahrnehmbaren
Kernen umgeben. Das Bild kann mit vollem Redite als ein
fûnfkerniges Riesengebilde gelten.
Fig. VI. Querdurehschnitt eines Gefâsses, welehes auf
einer Seite vveiter, auf der anderen enger ersebeint. Dafûr, dass
das Bild von der entsprechenden Gestaltung und nidit von dem
ijueren Durchschnitt abbàngt, sprecheu die querdurcbschnittenen
Kerne der Endothelzellen. Das Lumen des Gefâsses ist durch
eine structurlose, feinkornige Masse ausgefiillt. In derselben lie-
gen Haufen von rothen Blutkorpercben und Leukocytenkerne.
In der recbten Ecke des Gefiisses sieht man in der kornigen
Masse kleine Maschen, die mit der Gefasswand in Verbindung
steben. Die Gefâssintima ersebeint als ein homogener structurloser
dunkler gefârbter Streifen, welcher das Gefasslumen dicht uni-
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ringt. An ihrem inneren Rande liegen Endothelzellkerne in einer
Reihe gegliedert, am âusseren Rande sind dunkler geiarbte
Auslàufer sichtbar, welcbe als dunkle Ziige in das weitere
Gewebe eindringen, wie es bei a deutlicher vortritt. In dieser
Gegend sieht man Zellen, welche in zwei niclit gànz concen-
triscli gebildeten Reihen liegen. Dièse Zellen sind vom epi-
thelioiden Charakter, haben blasenformige Kerne und stehen
mittelst Auslàufern mit einander innigst in Contact. Zwisehen
einige von denselben dringen Auslàufer der strueturlosen Masse
(h) und manche der Zellen gehoren mit einem Theile ihres
Plasmas der Masse an (c). Die weitere Umgebung jst nicht
deutlieh wahrnehmbar.
Fig. VII. Das Bild verdient besondere Aufmèrksamkeit.
Seinen oberen Theil bildet eine homogène, structurlose Masse,
deren âusserer Rand einen einreihigen Kernestreifen, dessen
unterer Theil ein Netz ans ebensolcher Masse mit drei rothen
Blutkorperchen in den Maschen aufweist. Das Netz verbindet
sich mit der erwâhnten Masse im oberen Theil des Bildes und
mit dem undeutlichen Streifen der strueturlosen Masse, in
welcher Kerne eingebettet sind. die den oben beschriebenen
Kreis einschliessen . Dièse structurlose Masse uberschreitet die
Grenze der Kerne und verbindet sich mit dem Plasma der
nahe gelegenen Epithelioidzellen (a, h) unmittelbar und mit-
telst Auslàufern mit weiter gelegenen Zellen (d). Bei c ist die
Richtung der Kerne geàndert und die structurlose Masse iïber-
geht in ein Feld, in welchem jedwede Zellelemente vermisst
werden. Bei e finden sich lângliche Zellkerne, deren Plasma
dem strueturlosen Streifen angehort. Am unteren Pol sieht
man eng miteinander und dem strueturlosen Streifen verbùn-
dene Epithelioidzellen, sonst ein Netzwerk, gebildet aus Epi-
thelioidzellen und deren Auslàufern. Zwisehen den Zellen finden
sich Leukoeytenkerne (f, g). Bei nâherer Betrachtung des
Bildes gelangt man zu der Ueberzeugung, dass dasselbe dem
Querschnitt eines entsprechend veranderten Gefasses entspricht.
Die Annahme bestàtigt 1) der Kreis der Kerne, welcher von
dem in vorherigen Bildern nicht abweicht. 2) Rothe BlutUôr-
Tab. IX.
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RÉSUMÉS w 311
perehen in den Maschen des Netzvverkes im unteren Tbeile
des Bildes. Die Verânderungen sind bei gleichzeitigem Ver-
gleich mit den in vorherigen Bildern angetroffenen Verânde-
rungen leicht erklàrlich. — Die Verânderungen, welehe sich
dort auf die Intimasehicht bezogen. betreffen bier den Gefâss-
inhalt, also das geronnene Blut. wofiir das im Lumen ange-
troffene Netz spricht und iibergeben weiter nach aussen.
indem sie theils die der Endothelschicht anliegenden Epithe-
lioidzellen, theils deren Auslâufer betrafen. Die untereinander
mittelst Auslâufer verbundenen Zellen sind Abkômmlinge von
Bindegewebszellen. deren lockere Ziige eirculâr das Gefâss
umgaben. wie es in Fig. V sicbtbar ist. Der obère Theil des
Bildes. fur sich genommen, stellt ein Riesengebilde mit Aus-
lâufern dar, wie es als solcbes Gegenstand der Aufmerksamkeit
altérer Autoren war. Das ganze entspricbt dem Bilde eines
reticulâren Tuberkels altérer Autoren.
Fig. VIII. Das Bild eines Riesengebildes. Wenn man die
vorberigen Bilder vergleicht, sodann den Kreis der Kerne.
welcher die structurlose Masse umgibt. in Betracht zieht, kann
die Ueberzeugung gewonnen werden. dass das Bild dem Quer-
sehnitt eines auf eingangs gescbilderte Weise verânderten Ca-
pillargefâsses entspricbt. Rings uni dasselbe siebt man àhnlicb.
wie in den vorherigen Bildern mehr oder minder ausgespro-
cbene Epithelioidzellen mit grossem, blasigem Kerne. welehe
aus Zellen des Bindegewebes, die das Gefass ahnlieh. wie auf
Fig. V umgaben. entsîanden waren. Die Zellen liegen diebt
aneinander, ahnlieh wie in Fig. Via und nicht wie in
Fig. VII.
Fig. IX. Das Bild eines Langhans'schen Riesengebildes
mit rundem Zellleib und randstandigen Kernen. Bei niiberer
Betracbtung siebt man. dass der Zellleib aus einer structurlosen,
feinkôrnigen Mas<e bestebt. ahnlieh der in Fig". VI das Gefass-
lumen ausfullenden Substanz. In dieser Masse siebt man bei a
eine durch den Ausfall eines Kerns entstandene Liicke. An
der Peripherie stehen die Kerne in einer Reibe. Die Kerne
sind rund oder etwas oval und nur stellenweise lauglieh. Bei
KESI
sind die Kerne lânglich und laufen in zwei paraleller/
Reihen peripherwârts. Die structui-lose Masse ûberschreitet
den Kernekreis und grenzt mittelst Streifen von versehiedener
Breite an coneentrisch in mehreren Schichten gelagerte Epi-
îhelioidzellen. Die Kerne bei d «vhOren Zellen an, deren Plasma
eine Umwandlung in eine structurlose Masse erlitt. Dies Bild
kann ebenfalls als Querschnitt eines verànderten Gefâsses gel-
ten, umsomehr, als hier die Kerne der Reihe bei b. c als Kerne
(1er Endothelzellen, welche Verâstelungen des Gefâsses ange-
horen, angesehen werden konnen. Die Kerne des Kreises ent-
sprechen den Durcbscbnitten der Endothelkerne des Haupt-
gefâsses. Die Grosse und Forin der Kerne am Querdurch-
schnitt entspricht vollkommen derselben ara Lângsdurch-
scbnitt (b. c).
Fig. X. Gefâss im schiefen Durchscbnitt. Ira Gefâsslumen
rothe Blutkorpercben und da/.wischen Leukocytenkerne. In
einem Tbeil des Bildes eine gefensterte strukturlose Classe und
in derselben undeutliehe Umrisse rother Blutkorperehen. Dièse
Masse steht mittelst Balken mit der Gefâsswand in Verbindun^.
Die Intima erscheint als structurlose Masse. Am inneren Rand
derselben kreisfôrmig gelagerte Endothelzell kerne, deren Zell-
leib nicht siebtbar ist. Die structurlose Masse ist ringsum durch
spindelfôrraige Zellen mit grossem blasigen Kern umgeben.
Das Plasma mancher derselben gehort ganz (d) oder nur theil-
weise (e) der structurlosen Masse an. Die Zellen steben mittelst
Auslâufern mit peripherwârts gelagerten Zellen in Verbind ng.
Dazwischen sieht man Leukocytenkerne, Im unteren Theile (a)
und oben bei b, c ist der Kernekreis unterbroehen. An dieser
Stelle ist die Richtung der Kerne veràndert. was der Verâstelung
des Gefâsses entspricht, âhnlich wie auf Fig. IX.
Fig. XI. Typisches Bild einer ovalen Langhans'schen Zelle,
welche mit gleichem Reeht dem schiefen Durchschnitt eines
fisch verànderten Gefâsses entspricht. Sein Lumen fûllt
structurlose Masse aus. Die randstândigen Kerne entspreehen
den Endothelkernen. — Die structurlose Masse ûberschreitet
iiwie auf Fig. X den Kernekreis und steht mit den benach-
Bulletin de V Ac. de Se. de Cracovie. Octobre igoo.
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313
barten Epithelioidzellen in Zusammenhang. Im unteren Theil
bestelit der Kreis aus einer, im obereri ans zweien, am Pôle
selbst aus drei Schichten. Es findet dièses Bild seine Erklâ-
rung in der Annalime, dass die Endothelschicht des Gefâsses
vom Schnitt auf einer grosseren Strecke getroffen wurde, es
kann auch der Ausdruck einer Zellvermehrang sein, die weit-
gehenden Veranderungen der Gefâsswaud vorausgieng.
Einè Zusàmmenstellung der vorher geschilderten Ver-
anderungen lâsst zu der Ueberzeugung gelangen, dass dieselben
nicht nur die Gefâsswânde, sondern auch die ira Gefâsslumen
sich beiïndenden Blutelemente betrefFen. Die Veranderungen
in den Gefâsswânden sind anfangs in allen Schichten derselben
qualitativ gleichwerthig und beruhen auf einer Vermehrung
der Zellelemente. Statt in einer treten die Endothelzellen in
zwei Schichten auf. sie fiïllen manehmal das ganze Gefâss-
lumen aus: Die Zellen erscheinen wie aufgequollen Fig. II,
III, IV. In weiteren Schichten, in der Media und Adven-
titia finden sich zahlreiche fixe Bindegewebszellen und dazwi-
schen Leukocytenkerne und deren Zerfallsproduete. Letztere
gelangten mit dem Blutplasma, allem Anscheine naeh nach
der Altération der Gefâsswânde, insbe.sondere der Endothel-
schicht. — Spâter ândern sich die Verhaltnisse. — Die Intima
wird ihrer Structur verlustig. Die Grenzen der Endothelzellen
verstreichen, infolge dessen an Stelle der Zellenschicht ein
Streifen homogener structurloser Masse mit dazwischen erhal-
tenen Kernen dieser Zellen auftritt, Fig. V, VI, VII, VIII.
Die Veranderungen, welche sich anfangs auf die Endothel-
schicht allein beschrânken — schreiten nachher central und peri-
pherwarts vor, betrefïen alsdann einerseits das vorher geronnene
Blut Fig. VI, VII, anderseits das Plasma oder nur die Aus-
lâufer Fig. V c, VI c, VII a, b, X d, e der die Endothelsehicht
unmittelbar umgebenden Zellen, wobei die Endothelkerne, die
Leukocytenkerne Fig. VI, VII, XIV und die Epithelioidzell-
kerne Fig. IX d, X d, als widerstandsfâhigere Elemente ihre
Gestalt nicht einbiissen.
314 RÉSUMÉS
Unterdessen schreiten die beschriebenen Veranderungen in
den auderen Gefâsswandsehiehten weiter vor. An Stelle der glat-
ten Muskelfasern und Bindegewebsziige erscheinen coneentrisch
gelagerte Reihen von epithelioiden Zellen mit grossen, blasenfor-
raigen Kernen Fig. V b, VI a, VII, VIII, IX, X, XI, XIV.
Dièse Zellen liegen entweder aneinander, oder dem struc-
turlosen Streifen unmittelbar an, oder steben mit demselben
und miteinander mittelst Auslâufern in Verbindung Fig. VII,
was davon abhângt, ob die genannten Zellen an die Stelle
lockeren das Capillargefâss einschliessenden Bindegewebes ge-
treten sind Fig. V, VII, oder auch dem dicbteren Gewebe
der Media, oder Adventitia eines grosseren Gefâsses entstammen
Fig. II, VI, IX, XI, XIV.
Den Anlass zum Entstehen genannter Ver-
ânderungen geben die in g rosser er Menge sicb
in der Intima und dem Gefâsslumen vorfindenden
Tuberkelbacillen.
Die Anfangsstadien dièses Processes, wie sie in Fig, II,
III, IV abgebildet sind, sind ein Ausdruck der bacillâren
Reizung. Die spateren Stadien, welche die Gefassintima be-
trefFen, konnen (Fig. V, VI, VII) gewissermassen als régres-
sive, durch specifische Wirkung des Bacillus und seiner Pro-
ducte bedingte, zur Bildung von kasigen Massen fiïbrende,
von VVeigert Coagulationsnekrose genannte Processe aufge-
fasst werden.
Die Ursache der Veriinderungen in anderen Gefass-
wandscbichten ist zu suchen: einerseits in dem reactiven Verhal-
ten des Gewebes gegeniiber dem nekrotisehen Herde, anderseits
in den vom Tuberkelbacillus infolge dessen Anwesenheit
(hier nicht besonders zahlreich) ausgeiibten Reiz und zuletzt
in der Anwesenheit zerfallender Leukocyten.
Als Producte dieser regressiven Processe findet sicb in
des Verfassers Prâparaten eine structurlose, homogène Fig. V,
VII, VIII, X, XI oder leichtkornige Fig. VI, IX Masse.
Diesen Verânderungen fallt anheim zuerst die Gefass-
intima, wo dieselben stets peripherwârts fortschreiten, wie aucb
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RÉSUMÉS 315
der Gefâssinhalt, also das vorher geronnene Blut. Fiir letzteren
Umstand sprechen die in Fig. V, VII, X im Gefasslumen sich
vorfindenden Netzwerke. Der regressiven Métamorphose unter-
liegt vor Aliéna das Zellplasma — den Kernen bleibt ihre
Form langer erhalten; daher finden sich auch in der structur-
losen Masse Kerne von Endothelien, Leukocyten, von der En-
dothelschicht anliegenden Epithelioidzellen.
Das Product des in weiteren Gefâsswandschichten sich
abspielenden Processes ist ein Granulationsgewebe mit poly-
morphen Zellen. — Dièse Zellen besitzen ausgesprochene Merk-
male epithelioider Elemente — grosse blasenformige Kerne.
Sie liegen in concentrischen Kreisen dicht aneinander Fig. XIV,
oder stehen wie in Fig. VII mittelst Auslâufern untereinander
in enger Verbindung. Das Protoplasma der Zellen, welche un-
mittelbar der Endothelschicht angehoren, unterliegt theilweise,
oder ganz dem regressiven Processe Fig. IX J, X d, VII a,b V c.
Die Durchschnitte so verânderter Gefâsse
sind identisch mit den Bildern der als Riesen-
zellengeltendenGebilde.
Das angebliche Protoplasma — das ist ein Product des
nekrotischen Endothelplasmas und geronnenen Blutes: der
Kernekreis, das sind erhaltene Endothelkerne.
Fiir die Richtigkeit obiger Folgerungen sprechen unzwei-
deutig folgende drei Moniente: 1. die Gestalt der Riesengebilde;
2. die Vertheilung und Form der Kerne; 3. die Anwesenheit
und Lagerung der Tuberkelbacillen in den Gebilden. Die
ersten zwei Momente sind bedingt durch a) die Grosse des
Gefâssdurchmessers; b) durch das Klaffen oder Nicbtklaffen
der Gefâsse;
c) durch die Lagerung des Gefâsses und seiner Aeste; d) durch
die Schnittrichtung. Die beigelegten Bilder entsprechen in allen
ihren Einzelnheiten genau ail' den angefiihrten Folgerungen.
So* entsprechen Fig. V b und Fig. VIII Durchschnitten von
kleinkalibrigen Gefassen, es sind also kleine runde Gebildc,
umgeben von einem Kranz von quergetroffenen Kernen. In
Fig. IX entspricht das Bild dem queren Durchschnitt einea
316 i mes
(Refasses von grosserem Durchmesser und einem Lângsschnitte
durch seine Verâstèlungen (h. c). Grosse und Fbrm der quer-
nen Kerne entspricht vollkommen der Grosse und Form
in den Seitenâsten des Grefasses im Lângsdurchmesser ge-
troffenen Kerne Das Bild in Fig. XI entspricht einem grôs-
seren Gefâss im diagonalen Durchsehnitt (e. f. Fig. XI). VVei-
tere Bilder wie Fig XII. XIII, XIV. fiihrt der Verfasser an,
uni die durch Combination angefûhrter Momente zu Stande
komniende Mannigfaltigkeit der Formen zu illustriren und so
traf z. B. in Fig. XII der Schnitt die endotheliale Schicht
cmes làngs liegenden Gefâsses. In Fig. XIII wurde das
Gefass an der Stelle einer gabelformigen Theilung getroffen.
In Fig. XIV findet sieh dei Querschnitt eines Gérasses
und Lângsschnitte seiner Aeste. Die Gestalt der Grebilde hiingt
weiter ab vom Verhalten seiner Urngebung, insbesondere von
der Ausbreitung der regressiven Veianderungen. In Fâllen. \vo
dieselben die Grenze der Endothelschieht nicht iiberschreiten,
besitzen die Gebilde scharfe Umrisse Fig. XIV. In Fâllen
dagegen, wo die Verânderungen sicb auf die anliegend(;n Zellen
odèr deren Auslâufer erstrecken, weisen die Gebilde wie in
Fig. VI I Auslâufer auf. Die Epithelioidzellen des Granulations-
gewebes, welches ans der Media und Adventitia grôsserer Ge-
fâsse, oder auch aus den ein Capillargefâss umgebenden lockeren
Bindegewebsziigen hervorging, behalten dem vorherigen Ver-
lauf der Fasern entsprechend, eine eoncentrische Lagerung und
geben das Bild des ersten Stadiums des Tuberkels (Baum-
garten) Die Zellen sind dicht aneinander gelagert Fig. XIV,
oder sind mittelst Auslâufern locker miteinander verbunden
und geben im zweiten Fall das Bild eines reticulâren Tuberkels
altérer Autoren, Fig. VIL
Die Figur XV veranschaulicht die Verânderungen in der
ganzen Breite der Gefâsswand. Die Mitte bildet ein Gebilde
mit mehrreihigem Kranz von Zellkernen. Die Kerne der cen-
tralen Reihen liegen tiefer und treten daher bei entsprechender
Tubuseinstellung deutlicher hervor. Dies Gebilde ist von einer
concentrischen Reihe von Zellen umgeben. Die Lagerung und
Tab. XL
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Fie. XIV.
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Fig. XV.
Rn'clicit homog. Imni.
Imprimerie II". L. Anczyc & Co Cracovie.
RÉSUMES w 3X7
Form ihrer Zellkerne erlaubt deutlich den circulâren und
langlichen VerJauf der Gefâsswandelemente zu unterscheiden.
Fiir die Richtigkeit der Annahme spricht, wie schon
erwâhnt, die Anwesenheit und Vertheilung der Tuberkelbacillen,
welche dem Bilde in Fig. I entsprechend, hauptsachlich an
der Peripherie der Gebilde mitten, aussen und innen von der
Kernreihe liegen. — Weigerts einschlâgige Untersuchungen.
welche ergaben, dass die Tuberkelbacillen an der Peripherie
in der Kernereihe und nicht wie von anderen augenommen
wird, im Centrum der Gebilde vertheilt sind, scheinen
des Verfassers Annahme vollstârtdig zu bestâtigen. Desgleichen
beweisen dasselbe die Untersuchungen neuerer Autoren, welche
sich mit dem Studium des Tuberkels befassten. Abgesehen von
anderen Arbeiten will der Verfasser nur die Untersuchungen
Schmaus' und Albrechts erwâhnen; welche auf das Auftreten
einer fibrinoiden Masse in der Form canalisirten Fibrins auf-
merksam machten. Dièse Massen und hauptsachlich die ange-
fiibrten Canale entsprechen den specifisch verànderten Gefâssen
und deren Veràstelungen. Auch der Umstand scheint die An-
sicht des Verfassers zu bekrâftigen, dass nur auf dièse Weise die
charakteristische Lagerung der Zellkerne erklârt werden kann,
was sonst bei Annahme der von franzosischen Autoren und der
Baumgarten'schen Schule vertretenen Ansicht nicht moglich ist.
Zum Schluss hebt der Verfasser ausdriicklich hervor, dass
dièse Erklârung nur fiir die tuberkulosen von Langhans
genau beschriebenen Riesengebilde zutrifft und sich nicht auf
zwei- bis dreikernige Zellen von epithelioidem Charakter,
bezieht. welche in diesem, wie auch in jedem Granulationsge-
webe getroffen werden.
43. — St. Niementowski. 0 homologach alizaryny, hystazaryny i chinizaryny.
(Ueber neue Homologe des Alizarins, Hystazarins und
Chinizarins). Vorgelegt am 7 Mai 1900.
Durch Condensation des Anhydrids der a-Methyl-o-phtal-
sâure mit Brenzcatechin oder Hydrochinon erhielt der Ver-
Bulletin VIII. 2
318
RESUMES
fasser neue Methylanthrachinondiole. In erstem Falle, der Con-
densation mit Brenzcatechin. sind theoretisi-h drei Isomère
moglich, nâhmlich
zwei Methylalizarine und ein Methylhystazarin, in zweitem.
als Dérivât des Hydrochinons, kann nur ein einziges Methyl-
chinizarin
IV.
OH
CO
co
CHo
OH
entstehen. Beide Condensationen vvurden durch eoncentrierte
Schwefelsâure bei 165 bis 185°, beziehungsweise bei 140 bis
160° (Methylchinizarin) bewirkt.
Das Produkt der ersten Condensation (mit Brenzcatechin)
konnte nur in zwei Isomère aufgelost werden: ein in Benzol
leicht Iôsliches Methylalizarin, voin Schm. 216° und ein darin
ausserst schwer aber in Alkohol leicht losliches, Methylhysta-
zarin (III) vom Schm. von 320 bis 340° mit Zersetzung.
Dièse beiden Methylanthrachinondiole sind in sammtlichen phy-
sikalischen und chemischen Eigenschaften ihren Prototypen der
Antbracenreiche ausserst ahnlich , unter anderen auch im
Verhalten als Farbstoffe und in spectral analytischer Hinsieht.
RÉSUMÉS 319
Durch Acetyliren mit Essigsâureanhydrid und gesehmolze-
neni essi^saurem Natroi wurden sie in Diacetate iibergetïihrt,
das des Methylalizarins schraolz bei 176°, jenes des IVIethyl-
hystazarins bei 208°.
Das aus Hydrochinon und Anhydrid der Methylphtal-
sâure dargestelltes Methylchinizarin (IV) bildet aus Alkohol-
Benzol goldgelbe Blâttchen, Sclim. 175° — Diacetat 204°. Das
Absorbtionsspectrum seiner Losung in concentrierter Schwefel-
saure stimmt annâhernd mit dem gegenwârtig dem Chinizarin
zugeschriebenen Spektrum. Der Verfasser behauptet aber. dass
das Absorbtionsspectrum des Chinizarins unrichtig beobaehtet
war, es soll nâmlicli in der dunkelsten Région bei D, aus
zwei scharf abgegreDzten Streifen bestehen.
Die Abstammung der beschriebenen Methylanthrachinon-
diole voni 2-Metliylanthracen. wurde abgeseben von den aus
der Synthèse sich ergebenden Consequenzen. durch Abbau des
Methylhystazanns in der Zinkstaubdestihation zum 2-Methyl-
anthracen. Schm. 202, bewiesen.
44. — A. WRÔBLEWriKi. Metoda krystalizacyi ciaf z ich rozczynôw zapobiega-
jace tworzeniu sie skorupy na powierzchni cieczy. (Méthode pour
obtenir des cristaux dans une solution sans formation
de croûte à la superficie). Présenté le 8 octobre 1900.
Depuis plusieurs années l'auteur ayant exécuté des re-
cherches sur les corps albumineux, s'est appliqué à imaginer
un moyen de prévenir la formation d'une croûte cristallique
à la surface de la solution albumineuse pendant la cristalli-
sation. La méthode de M. Hoffm ei ster l), ingénieuse qu'elle
soit. — on suit que ces travaux forment une époque dans la
recherche des substances albumineuses — présenti1 un grave in-
convénient: elle entraîne la formation abondante de ermite qui
contient de nombreuses impuretés provenant delà solution d
l) Zeitschrift fur pbysiol. Chemie 14. 16 et 24.
320 RÈSl MRS
Ces croûtes sont le fléau des chimistes qui appliquent la cris
tallisation comme moyen d'épurer une substance. Une légère
secousse, faite par mégarde. occasionne l'enfoncement de la
croûte; une nouvelle croûte se forme à sa place et la quantité
d'impuretés augmente.
Une des conditions de cristallisation des corps albu rui-
neux, c'est la condensation graduelle de la solution. Dans la
méthode de M. Hoffmeister cette condensation est produite par la
vaporisation superficielle. Pour obvier à la formation des croûtes,
il est indispensable de prévenir la vaporisation superficielle,
en fermant le vase par en haut et en facilitant la vaporisation
par le fond.
Cette idée suggéra à l'auteur la construction d'un appa-
reil qu'il s'avisa d'appliquer à la cristallisation des corps
albumineux contenus dans les préparations de la diastase. Il
ne réussit pas à épurer la diastase par ce procédé, mais la
méthode lui paraissant applicable à d'autres buts, et les ré-
sultats de ses expériences présentant un certain intérêt théo-
rique, il se décida d'en donner une communication préalable.
Principe du procédé. On sait que l'eau séparée de l'air
par une membrane de parchemin peut s'évaporer. On a men-
tionné le rôle des phénomènes de ce genre dans la vie des plantes.
Le procédé appliqué par l'auteur repose sur cette observation.
Si l'on suspend dans l'air un tuyau de parchemin rem-
pli d'eau, celle-ci ne mouille pas sa surface extérieure; mais
si T air est sec, on constate que l' eau diminue en quantité.
Puisque la fermeture des bouts du tuyau exclut l'évaporation
superficielle, elle se fait sans aucun doute par l'intermédiaire de
la membrane 1). La pression produite par le poids propre de l'eau
engendre une tendance de transpiration qui est réprimée par
les forces de capillarité et d'attraction. L'eau infiltre la mem-
brane et s'évapore à la surface entourée d'air sec. Tout le
contenu du tuyau peut être ainsi évaporé sans qu'on remarque
') Un phénomène analogue mais non identique a lieu quand l'eau
est conservée dans il<-s vases poreux en grès on en porcelaine.
321
la moindre humidité à la surface extérieure du parchemin. Si
à la place de l'eau pure nous introduisons dans le tuyau la
solution d'un corps solide, elle se condensera de plus en plus
jusqu'à ce que le corps dissous se dépose en forme de cristaux,
ou amorphe.
Fis. 1.
Construction de l'appareil. L'appareil est com-
posé d'un vase A; d'un large tube B fermant hermétiquement
l'ouverture C et fermé lui-même par le bouchon D, qui est
percé par le tube E. Le tube B est fermé d'en bas par une
'.\2'2 RÉSUMÉS
membrane de parchemin végétal attachée très soigneusement
par une ligature triple. Pour l'emploi de l'appareil, on intro-
duit du chlorure de calcium poreux dans le vase A et un peu
d'eau dans le tube E, tandis que la solution est introduite
dans Le tube B. Si l'on y indruit de l'eau, elle est évaporée
bientôt; si c'est une solution, elle est condensée.
Essais avec des substances minérales. En in-
troduisant dans le tube B une solution de sulfate d'ammo-
niaque, on observe d'abord une condensation du liquide, puis
une cristallisation du sel dans le tube; en même temps on
remarque la formation de cristaux sur la surface extérieure
du parchemin. Quelquefois ce dernier phénomène devance la
cristallisation au dedans du tube B; jamais il n'eut lieu im-
médiatement après que ce tube fut rempli de la solution con-
centrée du sel.
Aucune croûte ne se forme au dedans du tube pen-
dant la cristallisation. Au dehors les cristaux sont longs et
filiformes ressemblant à des brins d'herbe très fins ou à des
fils de toile d'araignée; quelquefois ils sont terminés par des
boursouflements piriformes et recourbés. Ils poussent dans la
direction du chlorure de calcium. L'auteur explique ce phé-
nomène par l'alimentation des cristaux formés d'abord à la
surface extérieure de la membrane par le liquide qui l'infiltré.
Le chlorure d'ammonium forme des cristaux filiformes
plus courts. Le chlorure de sodium et l'acétate de potasse
ne forment qu'un duvet subtil; la cristallisation extérieure a
lieu dans ce cas beaucoup moins facilement que dans le cas
du sulfate d'ammoniaque. Le sulfate de magnésie ne forme
qu'une effleurescence minime; le sulfate de cuivre] n'en donne
presque aucune. Il est à noter, que ces sels disposés en une
série selon la grandeur de leurs coefficient de diffusion respec-
tifs présentent à peu près le même ordre que celui qui cor-
respond à la facilité de cristallisation à l'extérieur.
Il est à remarquer que des phénomènes analogues sont
observés dans la nature. On aperçoit souvent que l'épidémie
des parties végétales des plantes qui poussent dans un soi sa-
KÉSUMÈS 323
tui'é de chlorure de sodium est recouvert d'une effleurescence
blanche de ce sel. Ce phénomène a lieu surtout pendant des
jours chauds. Il est possible que nous ayons affaire à un phé-
nomène osmotique: le sel contenu dans la cellule pénètre par
l'intermédiaire de la membrane et se cristallise à sa surface.
Essai de cristallisation de la diastase. L'au-
teur a élaboré la méthode de purifier la diastase *), en préci-
pitant l' arabane qui l' accompagne par le sulfate d' ammo-
niaque. La substance albumineuse est précipitée d'abord, puis
l' arabane. En supposant que la diastase contenue dans le pre-
mier précipité est infecté, par des matières colorantes, d'autres
enzymes ou des substances albumineuses, l'auteur essaya de
la purifier au moyen de la cristallisation en supposant qu'elle
pourra être obtenu en cristaux ou, sinon, du moins les sub-
stances qui l'infectent. En effectuant une précipitation frac-
tionnée de la solution impure de la diastase, il trouve dans le
troisième précipité un hydrate de carbone ne contenant guère
de substances albumineuses comme impuretés et dépourvu de
pouvoir diastatique. La première fraction était composé prin-
cipalement de substances albumineuses et possédait une forte
activité diastatique; elle contenait aussi de l' arabane. Broyé
avec une petite quantité d'eau, elle ne se dissolvait pas en-
tièrement. En ajoutant à la partie soluble 3/é de son volume
de solution de sulfate d'ammoniaque concentrée on obtenait un
précipité qui, rincé, ne contenait plus que des traces d'une
substance réduisant la liqueur de Fehling après ébulition avec
de l'acide chlorhydrique. La partie insoluble de la première
fraction ne contenait pas d'arabane et possédait un pouvoir
diastatique. C'était probablement la diastase qui, sous l'influ-
ence d'une macération prolongée, avait perdu sa solubilité en
retenant son pouvoir diastatique. L'auteur avait observé déjà
que la diastase, devenu insoluble sous l'influence de l'alcool,
pouvait conserver néanmoins son pouvoir diastatique 2).
*) Voyez ce bulletin, avril, 1898.
2) Uber die chemische Beschaf f enheit der Diastaseetc
„Zeitschrift fur physiolog. Chênaie" 24, p. 207.
324 RÉSUMÉS
Une partie de la première fraction dissoute dans une
petite quantité d'eau fut partagée en plusieurs portions dont
chacune fut mêlée à une solution de sulfate d'ammoniaque
en proportion différente. Ces mélanges furent soumis à la cri-
stallisation dans les appareils construits comme celui dont nous
avons donné la description.
Après qu'un certain temps se fut écoulé il se forma un
précipité dans l'un des vases B; un peu plus tard les cristaux
de sulfate d'ammoniaque se formèrent à l'extérieur de la
membrane. Il n'y avait pas de croûte cristallique au dedans.
Les précipités qui se formaient dans les tubes B étaient pour
la plupart floconneux ou granulés. Dans un des vases il se
forma un précipité verruqué; la structure radiante des verrues
indiquait que c'étaient des germes de cristaux comme ceux qui
sont formés communément par les substances albumineuses.
Le but fut donc atteint; mais ni les cristaux ni la solution
mère n'avaient plus de pouvoir tliastatique. Il était perdu pro-
bablement à cause de la macération durant un couple de mois.
Il était donc impossible de constater si les cristaux étaient
ceux de la diastase ou d'un corps qui en formait l'impureté.
Le même procédé appliqué à l'albumine d'oeuf donna
pour résultat un dépôt de cristaux très purs sans formation
de croûte superficielle. L'apparition des globules qui d'après
la méthode de M. HofFmeister n'a lieu que dans deux ou
trois semaines, suivit déjà le lendemain dans les expériences
précités.
Quand on soumet des corps albumineux à la dialyse en
plongeant le dialysateur dans de l'eau, on remarque à la sur-
face extérieure du parchemin une couche lubrique très délicate.
Il paraît que les substances albumineuses traversent le par-
chemin en petite quantité, ce qui ne serait pas étrange, vu
qu'elles ne sont pas entièrement dépourvues d'aptitude dia-
lytique. Le même phénomène fut observé par l'auteur dans
ses expériences sur la cristallisation: des quantités minimes
de substances albumineuses transpiraient à la surface exté-
rieure du parchemin vers le temps où les cristaux de sulfate
RÉSUMÉS 325
d'ammoniaque s'y formaient et s'y déposaient en couche très
délicate.
Conclusions. La méthode proposée par l'auteur peut
servir à obtenir des cristaux de substances albumineuses plus
purs que ceux qui résultent de l'application du procédé Hoff-
meister. Les phénomènes observes donnent lieu à des reflexions
théoriques qui suggèrent des études particulières sur les phé-
nomènes osmotiques. Un des faits de ce genre est cité par
l'auteur. Si l'on verse un peu d'eau dans le flacon A et que
l'on dépose quelques morceaux de chlorure de calcium dans
le tube B, en ayant soin de remplir le tube E avec la même
substance en poudre, on remarque que le chlorure de calcium
dans le tube B devient humide. L'eau passe donc à l'état de
vapeur par le parchemin et le phénomène a lieu dans' une
direction inverse.
45. — K. Zokawski. 0 pewnem zaqadnieniu z teoryi podobnego odwzoro-
wania powierzchni. (Ueber ein froblem der Théorie der con-
formen Abbildunf/ von Flachen). Vorg-elegt am 8 October 1900.
Wir behandeln hier das folgende Problem.
Es sei eine Schaar von ce1 Flachen vorgelegt. Wir suchen
solche infinitésimale Transformationen des Raumes zu bestim-
men, welche dièse Schaar invariant lassen und die Linienele-
mente derselben in solche Linienelemente transformieren, welche
den urspriinglichen in der Weise proportional sind, dass der
Proportionalitâtsfactor eine Function des Punktes dièses Rau-
mes ist.
Der einfachste Fall unserer Aufgabe besteht in der Be-
stimmung solcher infinitesimaler Transformationen, welche die
Verbiegung in einander der Flachen unserer Schaar leisten.
Daraus folgt ohne Weiteres, dass in den Rechnungen, welche
zur Losung dieser Aufgabe fiiliren, die Biegungsinvarianten
eine hervorragende Rolle spielen miissen und dass sogar die
826
Anordnung der Rechnungen eine âhnliche sein muss, wie in
der Behandlung der Bedingungcn. welche bestehen miissen, damit
zwei vorgelegte Flaclien in einander verbogen werden konnen.
Wir wollen die liechnungen durch die Wahl der Ooor-
dinaten erleicbtern. Wir legen nâmlich die krummlinigen Coor-
dinaten u. v, co zu Grande, wo u, v die krummlinigen Coor-
dinaten auf den Flâchen bezeichnen und co derjenige Para-
meter ist, welcber die Flaclien der Schaar von einander unter-
scheidet. Bei dieser Wahl ist
co == const.
die Gleichung der Fliichenschaar und die fragliche Transfor-
mation besitzt die Forra:
df gf gf
Wf=z*{u,v,ià)-*- -f-7j(w, v, <a)Aû((s)f,
du dv diù
welche der Bedingung:
W(ds) — p (u, v, to) ds
genugen soll, vvo in
ds" = Edw + 2Fdudv -j- Gdv2 ,
E, F. G gegebene Functionen von u. v, co sind.
1. Wir wollen im Allgemeinem die Minimalcurven auf
den Flaclien als Coordinatenlinien benutzen und bei dieser
Wahl muss das System:
WF+F(£,0 + ylot) = 2F9
integriert werden, wo die kûrzere Bezeiehnungsweise:
3f+*<p __
2u'dvk "'
eingefiihrt worden ist. welche wir auch in der Folge oft be-
nutzen werden. Beachtet man, dass in unserem Système £ von
v und 75 von u unabh&ngig sind, so kann dièses System durch
die Bezeichnungen :
RBSDMÊS _ 327
-to - " '/91 '/ ■ x c
in der Fonn einer einzigen Gleichun°r:
i> + ,'=^ + A.5 + ^ + 4^ û (1)
dargestellt werden.
Die Intégration dieser Gleiehung kann durch Differen-
tiationen uncl Elirainationen gettlhrt werden. Indem wir in
Bezug auf die wirkliche Ausfûhrang derselben auf den polni-
schen Text verweisen, begniigen wir uns hier mit der Angabe
der Resultate.
Bezeiclinet man das Gauss'sche Krûmmungsmaass durch
K, d. h. setzt man in unserem Coordinatensysteme:
und nimmt man an, dass die Flàchen der Schaar keine Flâ-
chen vom constanten Kriïmmangsmaasse sind und dass die
Curvenschaar:
K= const. 2
keine Schaar von parallelen Curven ist. so wird bekanntlich
die Biegungsinvariante AivT eiuen solchen Werth :
besitzen, dass die Functionaldeterminante :
D = K,0\'0\-lK,Xl
von Null verschieden ist. Bei diesen Yonmssetzungen konnen
ans der Gleiehung (1) die Gleiehungen:
: Cd
(3)
hergeleitet werden, wo:
A =2(2KtoKot?+KotKlo+KtoK0,
ist. Dièse Gleiehungen liefern ein einziges System von ; und •/;
und damit di stem wirklich eine Losung der Gleiehung
(1) bildet. miis8en gewisse Bedingungen bestehen.
528
RESUMES
Dièse Bedingungen werden mit Hilfe weiterer Biegungs-
invarianten:
A"> A(o 7
A10 A01 ^
bestimmt. Man beweist nâmlich, dass das System von c, und
ry, welcbes den Gleichungen (3) geniigt, dann und nur dann die
Gleicbung (1) befriedigt, wenn dasselbe aucb den Gleicbungen:
i ao,yl + —Çl-\-â=0:
(4)
3.-i
£„; + M + —il + 6 = 0,
C,o; + Cel 7] + ■=- iï + c = 0
Geniige leistet, wo
K\0 a = K10 Â^ - K,0 A£, Kl T = K0, Â<? - K0, A« ,
c = (2 D? + iT,„ ï« - K.Ï2 + fc. A<? - Koi A") e*
sind. Aus den Gleichungen (3) und (4) folgen nun die Relationen:
{a—b)V* + (â — b ) A<'J == 2C,
= 0,
5 a*
K R
■"■10 5 -**■<> i j /■»
K10
^
, K
A/0 A(0 "
a +
A«
Air,
Âw
^,0 5 ao. • 0
CO)
ca
a,0, a0„-
««,,
«o«5
â
A,0 , A0I , 7T-
c'a)
A*io,
/c,
, *
cW0
A(0 A(,)
Q +
A,?,
A/°
-*oi >
Âf,J
».,
&o,,
6
welche nothwendige und binreichende Bedingungen fiir die
Existenz der intinitesimalen Transformation Wf sind.
RESUMES
329
Fur p = o verscliwinden in unsern Formeln aile Grôssen,
welche mit einem horizontalen Striche versehen sind. Daraus
folgt, dass fiir die Môglichkeit der Verbiegung der Flâchen
in einander a und b nur von K und Au) abhângig sein kon-
nen und dass die Verbiegung der Flâchen in sich selbst, wie
bekannt, unmoglich ist.
2. Im Falle, wenn das Kriimmungsmaass K nicbt nur
von o) abhângig ist, a'oer wenn die Curvenschar (2) eine Schaar
von parallelen Curven bildet, ist identisch D = 0 und kann
die fruhere Lôsung nicht in Anwendung gebracht werden.
Sind dabei die Flâchen der Schaar nicht auf Rotationsflâchen
abwickelbar. so hat die Biegungsinvariante ±2K einen solchen
Werth :
dass die Déterminante
D'=KA(2<-K A
von Null verschieden ist.
In diesem Falle konnen \ und rt aus den Gleichungen:
9K
(j(Ù
berechnet werden. wo
-K™ = 2(2Klt? + K.,)eB
ist. Die Bedingungen. damit dièse Losung wirklich die ver-
langte Abbildung leiste. konnen âhnlich wie friiher in der Form:
(a'—b') « + (ô' — F) A™ = 27,
K,o,
K dK
K,o,
Kot
s:
A(2)
2zV2)
COI
Q +
A£\
A(2) .
Âw
«'«>,
^ t
f
a ou ~Z
o'to
a'.o,
«'.<
. «'
= 0,
330
KKSUMÉS
K
"-10 j "-ot 1 >-\
C Cl)
2AC:°
CCO
Û +
K10 , A"0f , jg;
AM A(ï) Â(2)
y-, *'.., V
0,
geschrieben werden, wo mit a', eV, c' die Biegungsinvarianten :
und mit â', b', ~c' die zugehorigen durch die Fonneln:
bestimmte Grossen benannt sind.
Die Transformationen Wf, welche die Verbiegung der
Flâchen hervorbringen, konnen ans diesen Formeln in dersel-
ben Weise wie friïher abgeleitet werden.
3. Im Falle wenn D und D' identisch gleich Null sind,
konnen dièse Formeln nicht gebraucht werden. Man hat dann
bekanntlich eine Schaar von Flâchen, welche auf Rotations-
flâchen abwickelbar sind und man kann solche geodâtische
Linien und deren orthogonale Trajectorien als Coordinatenlinien
benutzen , dass das Linienelement die Form:
ds2 = du2 + Gdv2
crhalt, wo G von v unabhângig ist. Auf Grund dieser Form
der Linienelemente wollen wir unsere Rechnungen in demjeni-
gen Falle ausfiihren , in welchem die Flâchen nicht zu den
Flâchen vom constanten Kriimmungsmaasse angehoren.
Es soll hier das System:
ÈU = Pj lo, + &tl,o=0,
(5) 3\fQr S\G<^
331
integriert vverden und sobald man in Erinnerung bringt, dass
in unserem Falle:
K=
1 9\G
\G 9u*
ist, so bekommt man durch Differentiationen und Eliminatio-
nen die Beziehung:
©CO 7
wo durch k der Ausdruck:
bezeichnet wird; aus dieser Grleichung kann ; bestimmt wer-
den nnd damit dieser Werth die erste der Gleichungen (5) be-
friedigt, muss die Relation:
(K^ - &o ^) O + K]B? - K20k + Ki0kl0 = 0
Y ©co ©co /
identisch bestehen. Dai-auf bestimmt man r{ durch eine Qua-
dratur aus den Gleichungen :
>]*,=
GK,
Ho.
(9log\G ^og\G^—\ 9log\K h
V 9
9u ~\ l 9u Kw
aber nur in der Voraussetzung dass noch die Integrabilitâts-
bedingung:
9 (9log\ G _ 9log\!G
9u\ 9(x>
9K
K,r
9(9log\K k\ 1 K_
befriedigt wird.
Wenn die Transformation eine Verbiegung der Flâchen
in einander hervorrufen soll , d. h. wenn p = 0 und Q von
Null verschieden genommen wird, so erhàlt man fur \ G die
Form :
332 RÉSUMÉS
\ G = e'^tp \u — <p(co)],
wo <p, 'l. tI) irgend welche Funetionen sind, und fur die Trans-
formation Wf ergiebt sich die Formel:
wf=iKw) [?»| +(n«)v +«w) K+ g] ,
wo Q. und <7 willkûrliche Funetionen bezeichnen. Fiir die Ver-
biegung der Flachen in sich selbst, d. h, wenn p = o und
£l = o ist, braucht die Schaar keinen Bedingungen zu gentigen
und die Transformation vvird bekanntlich eine Translation:
wo t wiederum eine willkiirliche Function bezeicb.net.
4. Dièse Ausfiihrungen gelten fur die Flachen vom con-
stanten Kriimniungsmaasse nicht und bei einer Schaar von
solchen Flachen wollen wir wieder die Minimalcurven als Coor-
dinatenlinien benutzen, wobei man im Falle, wo die Flachen
nicht auf die Ebene abwiekelbar sind, das Linienelement be-
kanntlich in der Form:
ds2 = -= — dudv
K(u — vf
nehmen kann, wo das Krûmmungsmaas, K eine von Null ver-
schiedene Function von iù ist,
In diesem Falle soll die Gleichung:
(6) 2(?i — Ç)+-(u — v){ï;+7l,) = (u—v)<!
integriert werden, wo £ von v und /] von u unabhàngig sind
und mit cr der Andruck :
q=2 9JosKa
bezeichnet worden ist. Dureh Differentiationen und Elimina-
tionen ergiebt sich fiir n die Differentialgleichung:
RESUMES - 333
(u — v)"att + 2g = 0, 7
welche eine nothwendige und hinreichende Bedingung fïir die
Integrabilitât von (6) darstellt, weil die allgemeine Losung von
(7) in der Formel:
di — ©
a = 2±—ï +?'+$' ;8)
enthalten ist , wo © eine willkurliche Function von u und w,
<!/ eine willkurliche Function von v und co siud. Fiir die Be-
stiramung von \ und vj bekommt man die Differentialglei-
chungen :
l'"= ffM — 2ètt — (u-vX, , r{" = a0—2a„+(u—v)a12 (9)
und auf Grand der Bedingung (7) kann einerseits bewiesen
werden, dass die rechten Seiten dieser Gleichungen bezieh-
ungsweise von v und u unabhângig sind und anderseits veri-
ficiert werden, dass dièse Gleichungen die Losungen:
1 1
i=—2^u-~hy a°> (m' è)' v — — 2 (v ~~ a^ °» (a> v^
besitzen, wo a und b irgend welche Constanten bezeichnen,
welche wir endlich und von einander verschieden voraussetzen
wollen. Also sind:
; = — - {u — bf aot (u, b) + x0 -f x, u + x2 u2 ,
~ (10)
■r\= — -%{v -«)**,„(«,*) + &> + &*> + &«%
wo x und [3 willkurliche Functionen von w bezeichnen, die
allgemeinsten Losungen der Differentialgleichungen (9). Es
fragt sich nun, ob aile dièse Losungen auch die Differential-
gleichnng (H) befriedigen, oder ob dafiïr die Functionen x
und p gewissen Relationen genùgen miissen. Mit Hilfe der
Formel (8) ergeben sich die Relationen:
Bulletin VIU. ;-}
334
RÉSUMES
a — b
y- — %= g 1%, («, b) — n10 («; b) I — — -^ a (a, b)
(H)
und auf dièse Weise liefern die Formeln (10) mit den Bedin-
gungen (11) aile gesuchten infiinitesimale Transformationen.
Dièse Formeln stellen eine Verallgemeinerung derjenigen
Formeln, welche die Gruppe der Bewegungen auf den Flâchen
vom constanten Kriïmmungsmaasse definieren. Nimmt man
nâhmlich p = 0 und 0 = 0, so bekomrot man:
'; == oc0 + y.,u-\- x2u% 7] = y.0 + x,v -f y.2vJ
d. h. es ist u allen linearen Substitutionen unterworfen und jeder
Substitution von u entspricht dieselbe Substitution von v. Aber
dièse letzten Ausdriïcke liefern auch die gesuchte Transforma-
tion im Falle, wenn Cl von Null verscbieden ist, d. h. im Falle,
wenn die Transformation die Flâchen in einander verbiegen
soll. Es wird dabei
dlogK
Li
und also muss nach (7). wie iibrigens unmittellbar klar ist,
die ganze Flâchenschaar dasselbe Kriimmungsmaass besitzen.
Wenn endlich die Flâchen der Schaar auf die Ebene
abwickelbar sind, so kann das Linienelement in der Form:
ds~ = 2dudv
geschrieben werden. In diesem Falle muss p der Diffeiential-
içleichung:
geniigen und man hat:
RÉSUMÉS 335
wo a und (à Functionen von co bezeichnen, welche nur der
Bedingung:
«.+P.+*p(«,*)=0
geniigen miissen.
00.— K. Zobawski. 0 zachowaniu ruchu wirowego. (Ueber die Evitai-
tung der Wirbelbeivegung). Vorgelegt am 8. October 1900.
Bei bekannten Voraussetzungen physikalischer Natur
sind vom H. v. Helmholtz in der Théorie der Wirbelbewegrune
unter Anderen zwei geometrische Sâtze aufgestellt worden,
nàhmlich 1) dass wahrend der Bewegung die Wirbellinien in
Wirbellinien iibergehen, 2) dass die Intensitat eines jeden Wir-
bels wàhrend der Bewegung unverandert bleibt. Sobald man
aile physikalischen Voraussetzungen bei Seite làsst, so kann
man fragen, welche Bedingungen die Greschwindigkeitscompo-
nenten der Bewegung erfiïllen sollen, damit entweder das eine
oder das andere dieser Théorème zur Geltung komme. Meines
Wissens ist in hydrodynamiseher Literatur dièse, im Uebrigen,
âusserst einfache Untersuchung nicht vorgenommen worden,
obwohl in derselben solche Stellen zu finden sind, aus welchen
sich schliessen lâsst , dass die Geltungsbereiche dieser Sâtze
keineswegs miteinander identisch sind. Herr Poincaré in sei-
nen Vorlesungen liber Wirbelbewegung stellt im Falle tropf-
barer Fliissigkeiten unter Berûeksichtigung der inneren Rei-
bung fur die Geltung der Sâtze 1) und 2) Bedingungen auf,
welche von einander verschieden sind 1). Herr Appel in einer
seiner letzten Arbeiten 2) betrachtet zwei zweifach unendliche
Curvenschaaren im Raume , welche durch eine Punkttransfor-
1) Théorie des tourbillons. Paris 1893 p. 192—196.
2) Journal de mathématiques, V série, tome 5, 1899, p. 137 — 153.
3*
336 résumés
mation dièses Raumes ineinnander iibergehen und leitet daraus
deii invarianten Charakter gewisser Intégrale ab, fiïhrt aber
nicht aus, dass sehr nahe zu denselben liegende Intégrale nicht
ohne Bedeutung fiir die Théorie der Wirbelbewegung sind,
ohne ein genau invariantes Verhalten aufzuweisen. Wir beab-
sichtigen in dieser kurzen Note die Sâtze 1) und 2) einer
allgemeinen Betrachtrmg zu unterziehen und dabei auf die
Eigenschaften gewisser mit diesen Sâtzen in enger Beziehung
stehenden Intégrale einzugehen. Wir setzen dabei voraus, dass
aile hier vorkommenden Functionen in den betrachteten Punk-
ten régulai* sind.
1. Wenn wir die Gesehwindigkeitscomponenten eines ma-
teriellen Punktes mit u , v, w bezeichnen , welche Functionen
der Coordinaten dièses Punktes x , y , z und der Zeit t sind,
so kann die Bewegung der Fltissigkeit oder allgemeiner eines
continuierlichen Systems materieller Punkte als die infinitési-
male Transformation:
et 9x 9y Sz
dargestellt werden. Wenn wir \ , f\. 'C die Componenten der
Wirbelgeschwindigkeit, d. h.
\h r, = 2\9z~9x)' ^~2\Jx~~9v)
1 rdw 9v
2\9y~~9zP't~2\3z 9xP^~2\9x 9y)
nenneti und voraussetzen , dass dieselben nicht aile identisch
Null sind, so bestimmt das System von Difïerentialgleichungen:
,_. dx dv dz
(2) T=f=T
die Wirbellinien. Es empiiehlt sich noch das Symbol:
Tf--9x+ fïJy + —z
zu benutzen , welches diejenige unendlich kleine Translation
lângs der Wirbellinien dàrâtëllt, die déni Vector des Wir-
bels proportional ist.
RÉSUMÉS _ 337
Das System (2) gestattet dann und nur dann die infini-
tésimale Transformation (1), wenn eine solcbe Function t von
x, y, 0, t existiert, dass die Identitat:
(D,T) = xTf
besteht. Hier ist bequemer statt t die Function:
einzufubren, wo durch 0 die Summe:
„ 9u 9v 9w
9x dy 9z
bezeicbnet wird. Dann erbalt unsere Bedingung die Form:
welcbe dureb die Bereclinung des Poisson'scben Symbols zu
folgenden Bedingungen fûhrt:
D{ï)-T(u) + % = <*?»
D(r))-T(v) + B-rl = o>rl, (3)
Dièse Bedingungen sind notbwendig und hinreichend , damit
wâbrend der Bewegung (1) die Wirbellinien in Wirbellinien
tibergehen.
Es kann leicbt verificiert werden , dass wenn man die
linken Seiten dieser Gleicbungen beziebungsweise nach x, y
und z differentiert und dann die erbaltenen Ausdrûcke addiert,
so ergiebt sicb, dass dièse Summe gleich Null ist. Beacbtet
man nocb. dass:
^ + ^ = 0
9x^ 9y^ 9z '
so iolgt die Beziebung:
9(ù 9tù „ 9tù
welcbe wir in der Folge in Anwendung bringen werden.
338 RÉSUMÉS
2. Die Intensitat eines Wirbels kann durch das
Intégral :
J= JJ {tdydz + '^dzdx -\- "Qdxdy)
dargestellt werden, welches auf eine Flâche ausgebreitet ist.
Wenn man die krummlinigen Coordinaten auf dieser Flâcbe
mit p, q bezeicbnet, so kann dièses Intégral in der Form :
Jjy-d{p,q) T ' d(p,q) T ^ d(p, q)J l *
geschrieben werden. Scbreibt man die infinitésimale Transfor-
mation Df in der Form:
x' = x -\- uiït , y' = y -\- vtt,z' = z-\- wiïtj
so folgt:
d{y\z') d(y,z) r„ d(y.z) 9u d(y.z) 9v d(z.x)
d(P>9) d(p,q) L d(p,q) 9x d(p,q) 9xd{p,q)
__ 9w d{x,y)~l^
ex d\p.q)\ '
d{z\x') d(z,x) J" d(z,or) 9u d{y,z) 9v d(z.x)
+ [
(-)
d{p,q)~ d{p.q) L d(p.q) 9y d{p,q) 9y d{p,q)
__ 2w d(x-y) 1^
9y d(p,q) J '
d{x',y') _ d{x.y) rQ d(x.y) _ 9u d(y,z) _ 9v_ d(z,x) _
d(P,9) d{Ptf) L d(p.q) 9z d(p.q) 9z d(p,q)
9z d(p,q)*
and auf Grund dieser Formeln kann leicht das Résultat :
JKJ) = II [WD - T(u) + 6Q dydz +
(5) + (D(tj) — T(v) + Qri)dzdx +
+ (Z)(0 - a» + eOeforfy]
erhalten werden. Dièses Integra! D(J) wollen wir Geschwin-
digkeit der Intensitat eines Wirbels nennen.
RÉSUMÉS - 339
Indem man dièse letzte Formel mit den Bedingungs-
gleichungen (3) vergleicht, so kommt mau auf den folgenden
Reciprocitâtssatz:
Wenn wâhrend einer Bewegung die Wirbel-
linien in Wirbel linien iibergehen, sovvird dieGe-
schwindigkeit der Intensitât eines jeden W i r-
bels durch die Formel:
D(J) = JJ tûfedydz + tflzdx + *dxdy) (6)
b e s t i m m t u n d umgekehrt, wenn die Gesehwin-
digkeit der Intensitât eines jeden Wirbels durch
dièse Formel bestimmt ist, so gehenwahrend der
Bewegung die Wirbellinien inWirbellinienuber.
Wenn in dem Intégrale J die Intégration auf ein un-
endlich kleines Flâchenelement erstreckt wird. so bekommt man
die Intensitât eines elementaren Wirbels. Bezeichnet man die-
selbe mit t, so folgt aus (6) die einfache Beziehung:
D(J) = m.
Wenn co=:o, aber auch nur in diesem Falle, hat man
eine Bewegung. wàhrend welcher sowohl die Wirbellinien in
Wirbellinien iibergehen. wie auch die Intensitât eines jeden
Wirbels unverândert bleibt. Zu dieser Kathegorie der Bewe-
gungen gehoren diejenigen, fur welche H. v. Helmholtz seine
Sâtze 1) und 2) aufgestellt hat.
Wir wollen nun allgemeiner fragen, welchen Bedingun-
gen eine Bewegung (1) genûgen muss, damit die Geschwin-
digkeit der Verânderung des Intégrais :
"fl = JJ uJ^dydz + rflzdx -\- Yjdxdy |,
wo y. eine Function von x. y. z, t bezeichnet , bei beliebiger
Wahl der Flâche. auf welche das Intégral auszubreiten ist.
durch die Formel :
Z>(0) = ïïfàdydz + rtdzdx -f ^dxdy)
gegeben wâre, wo p wiederum eine Function von x, y, z: t
bezeiehnet.
340
Eine geeignete Anwendung der Formel (5) zeigt, dass
dafiir die Bedindungen:
D(i) — T(u) + 9ç _ B^)- T(v) + Qt)= D(Q-T(w) + 0? _
l 1 l
bestehen mtissen, woraus ohne Weiteres folgt, dass das Inté-
gral 12 nur daim mit einer solchen Geschwindigkeit D(CÏ)
sich verândern kann, wenn die Bewegung der Kathegorie (3)
angehort , d. h. wenn die Wirbellinien in Wirbellinien iiber-
gehen. Dabei wird p durch die Formel:
(7) p = {/.<o+i) ({/.),
bestimmt, also verhâlt sich das Intégral 12 dann und nur dann
invariant, wenn die Function y. der partiellen Differentialglei-
chung :
D(\).)+(ùp = 0
Genûge leistet.
3. II. v. Helmholtz zeigte, dass die Intensitat eines jeden
Wirbels bei allen Translationen lângs der Wirbellinien un-
vcriindert bleibt und es lâsst sich leicht einsehen, dass fur die
Geltung dièses Satzes die Geschwindigkeitscomponenten u, v, w
der Wirbelbewegung keinen Relationen zu geniïgen brauchen.
In Veibindung damit wollen wir nun aile diejenigen Flâchen-
integrale aufstellen, welche die Eigenschaft besitzen, dass wenn
man sie auf eine beliebig gewâhlte Flâche ausbreitet, aie bei
allen Translationen lângs der Wirbellinien sich invariant ver-
halten.
Eine beliebige Translation làngs der Wirbellinien kann
durch die infinitésimale Transformation:
*v-*(«-£h£-k£)
3x ' 9y 9z )
dargestellt werden, wo iïTeine willkiirliche Function von x, y, 2, t
bezeichnet. Soll dabei das Intégral:
li KSI MES __ 341
1 2 = jj (xdydz + 'pdzdx -\- ydxdy)
anveràndert bleiben, so kann inan in derselben Weise wie am
Anfang der vorigen Nummer die Bedingungen :
L J c z ox
aufstellen, welche fur jede Function K erfiillt werden mtissen.
Es folgt also zuerst, dass x, 'i. y die Werthe:
\yl,y = \r
haben miïssen, wo a eine Function von x, y, z, t ist. Indem
aber dabei die Coëffiizienten von K in unseren Bedingungen
die Werthe:
besitzen, so inuss nothwendig
2\X) = 0 (8)
sein, weil die Bewegung nach der Voraussetzung eine Wirbel-
bevvegung ist. Also verhalten sich bei diesen Translationen
solche dnd nui* solche Intégrale il invariant, welche die Forai:
il = J j 1 (idydz -f- Tjlzdx -\- (dzdy)
besitzen und in welchen 1 die Bedingung (8) erfiillt.
Auf Grund dieser Entwickelung. kann nun unter Beriick-
sichtigung der friiberen Ausfiihrungen und insbesondere der
Beziehung (4) der folgende Satz ausgesprochen werden:
Die Intensitât einesjeden Wirbels bleibt in
j e d e r W i r b e 1 b e w e g u n g b e î a 1 1 e n Translationen
1 a n g s der \Virbellinicn invariant, d a g e g e n die
Grescjawindjgkeit der Intensitât e i n e s j e d e n W i r-
b e 1 s bleibt bei s o 1 c h e n Translationen n u r i m F a 1 1 e
342
derjenigen Bewegungen i n v a r i a n t, w ;i h r e n cl w e 1-
cher die Wirbellinien in W i r b e 1 1 i n i e n ii b e r g e h e n.
Die Analogie der Intégrale Ll und D (O) der vorigen
Nummer zu der Intensitât eines Wirbels und deren Geschwin-
digkeit wird noch vollkommener in dem Falle, wo dièse Inté-
grale bei allen Translationen lângs der Wirbellinien invariant
sind. Ans der Formel (7) kann ieicht die Formel :
T(9) = D(T(*)) + QT([l
abgeleitet werden, aus welcher folgt, dass sobald das Intégral
iï ein solches invariantes Verhalten aufweist, so besitzt D(Q.)
dieselbe Eiffensehaft.
Im polniscben Texte de'r Arbeit sind dièse Ausfiïbrungen
auch unter Zugrundelegung endlicher Gleiehungen der ein-
gliedrigen Grappe, welche die Bewegung darstellt, discutiert
worden.
47.— Maieryalyantropologiczno-archeologiczne i etnograficzne. (Matériaux
anthropologiques, archéologiques et ethnographiques/.
Tome IV, avec quatre tableaux et 28 figures dans le texte. Cracovie,
1900, in 8". p. XI, 125 et 285.
Anthropologie. — Archéologie.
Talko Hrymcewicz. Przyc^ynek do poznania swiata Kurhanowego Ukrainy.
(Contribution à l'étude fies kourhans de l'Ukraine).
L'auteur, après avoir pris les mesures de 150 squelettes
trouvés dans les kourhans de l'Ukraine, surtout des couver-
nements actuels de Kiew et de Wolhynie, étudie les particu-
larités anthropologiques des peuples préhistoriques, établis jadis
dans ces contrées.
Les kourhans] qui ont fourni les matériaux de cet examen
sont de quatre espèces1: 1) les kourhans antiques, les plus
anciens, 2) les kourhans scythes, 3) les kourhans polaniens
(habitants de la plaine, 4) les kourhans drevlanes (habitants
543
des forêts). L'auteur étudie les ossements de chaque groupe en
particulier et compare les indications qu'ils lui fournissent avec
celles qu'a formulées M. Topinard sur les squelettes préhisto-
riques découverts dans d'autres parties de l'Europe, ainsi qu'avec
les mesures anthropologiques prises sur les indigènes actuels
de l'Ukraine.
De nombreux tableaux complètent et classifient ces obser-
vations qu'on peut résumer de la manière suivante:
1) La taille des habitants préhistoriques de l'Ukraine,
c'est-à-dire de ceux dont les restes étaient contenus dans les
kourhans des groupes antique et scythe est élevée, bien su-
périeure à celle des Drevlanes qui en général étaient de taille
moyenne. Les squelettes préhistoriques ukrainiens se distinguent
par des jambes plus longues (cuisses et os antérieurs) que
celles des squelettes de la même époque de l'Europe occiden-
tale et plus courtes que celles des contemporains, avec toutefois
un tronc plus long. Les ossements de ces squelettes ont tous
les caractères de ceux de la race antique primitive.
2) Les crânes préhistoriques sont beaucoup plus déve-
loppés que ceux des anciens slaves (Pulaniens et Drevlanes).
Ils sont presques tous allongés; mais dans quelques groupes
craniologiques slaves, spécialement chez les Drevlanes, le type
dolichocéphale est plus fréquent que dans les squelettes pré-
historiques. Tous ces crânes sont fort proéminents.
3) Parmi les autres détails de construction il faut signaler
l'uniformité de la largeur du front à sa partie supérieure, avec
toutefois cette restriction que la largeur de la partie inférieure
du front et de l'occiput dans les crânes préhistoriques (antiques
et scythes) est plus considérable que chez les Slaves (Pola-
niens et Drevlanes).
Talko Hryncewjcz. Materyaly do paleoetnologii mogiJ Azyi wschodniej.
(Matériaux paléoethnographiques sur les t muni us de
l'Asie orientale).
En continuation des comptes rendus de ses recherches
archéologiques dans la Sibérie orientale, publiés dans le pré-
344
ct''dent volume, l'auteur communique aujourd'hui une note sur
un cimetière près de la ferme de Diurben, dans le cercle de
Cahan, district de Troickosawsk.
Cette petite réunion de sépultures autrefois plus étendue,
mais aujourd'hui fort réduite par suite de l'empiétement des
cultures, ne compte plus que quatres tombes: l'auteur en a
étudié deux. A leur surface apparaissait un creux entouré de
pierres debout, fixées dans la terre.
Dans l'une d'elles, l'auteur a découvert, sous une couche
de charbon mêlé de bois, une plaque en pierre recouvrant les
ossements d'une femme et d'un enfant de 3 à 4 ans. A côté
du squelette se trouvaient des débris d'un tissu rougeâtre et
des fragments d'un ustensile en argile sans col. de la forme
de nos vases à fleurs actuels. Dans la seconde, sous une couche
de charbon, se sont montrés des ossements humains enfermés
dans une sorte de coffre en mélèze. L'auteur joint à sa de-
scription le plan du cimetière de Diurben et fait remarquer
que ces sépultures ont beaucoup d'analogie avec celles qu'il
a précédemment étudiées sur les bords de la rivière Sudra.
Mabyan Udziela. Trwanie zycia w Janowie. na zasatlzie wykazu zmarlych
w ciagu lat 110 (1785—1894). (La datée de la vie à Janôw,
d'après les registres mortuaires de 178S à 1X94).
L'auteur a pris pour base de ses évaluations les registres
paroissiaux de la petite ville de Janow. près de Léopol, qui
compte aujourd'hui 2013 habitants, tant du rite grec- uni que
catholiques romains. Les tables qui sont annexées à ce travail
et dans lesquelles figurent à part les Ruthènes et les Polonais
rendent un compte exact de la mortalité pendant les années
étudiées, d'abord au point de vue de l'âge des décédés, puis
par rapport aux survivants.
L'auteur arrive à la conclusion que la durée de la vie
e§t, eu moyenne, plus considérable chez les Polonais que chez
les Ruthènes; ce qu'il attribue au degré supérieur de culture
et de bien-être qu'ont ceux-là sur les autres. La vie moyenne
KÉSUMÉS .. 345
des Polonais à Janôw est de 26 ans 6. tandis que celle des
Ruthènes n'est que de 23 ans — 4.
Dans l'année qui suit la naissance la mortalité est énorme:
27.64% chez les Polonais, 29.36% chez les Ruthènes. Dans
les années suivantes la mortalité est moindre chez les Ruthènes
que chez les Polonais. A partir de 60 ans. les Polonais re-
prennent l'avantage, et ils atteignent à un âge fort avancé
plus souvent que les Ruthènes.
Lk.in MtAGiERowsKi. Wzrost ludnosci w powiecie Sanockim. (La faille
de la population dans le district de Sanokj.
D'après les mensurations prises sur 902 conscrits de 21
ans, de l'année 1894, dans la circonscription de Sanok. l'auteur
présente quelques observations sur la taille de la population
dans ce district. Dans une série de tableaux, il classe ces
jeunes gens d'après leur nationalité, c'est-à-dire en Polonais.
Ruthènes et Juifs, et il pose les conclusions suivantes:
La taille moyenne des jeunes hommes de 21 ans est de
16r.6,n: Polonais ^164c.5m, Ruthènes, 159c5m, Juifs, 162c.7m.
Les Polonais sont en général de taille moyenne, tandis que
les Juifs et les Ruthènes sont plutôt petits.
Vladjmik Demetrvkiewkz. Korony bronzowe przedhistoryczne znalezione
na obszarze ziem dawnej Polski. (Couronnes de bronze trouvées
sur le territoire de l'ancienne Pologne.
Comme addition au travail de M. Sophus Mimer, direc-
teur du musée national à Copenhague, sur les cercles de fer
à cassure, c'est-a-dire pouvant être ouverts et ayant la forme
d'une couronne: „Xogle Halsringe frà slutninger of bronzeal-
deren og- fra den aeldste iernalder. Nordiske Fortitsminder I".
l'auteur donne la description de quatre spécimens d'objets de
ce genre, trouvés en Pologne, 1° à Zalesie, dans le district de
Borszczuw, Galicie orientale, 2" à Staw, dans le distrier de
Wrz'esin, grand duché de Posen. 3" à Cmacnôw, dans le district
de Szainotulv. grand duché de Posen, 4' près de Swidnica,
au Silésie.
346
Ces objets présentenl deux variétés. L'une, à laquelle
appartiennent les couronnes de Cmachôw et de Swidnica est
très rapprochée des types découverts en Danemarck, ou dans
les contrées voisines; l'autre, c'est-à-dire celle des couronnes
de Zalesie et de Staw, avec leur bandeau mince et élevé, de
proportions délicates, leurs pointes aiguës à côtes, comme la
nervure saillante d'une feuille, est fort différente de la première.
Après avoir examiné toutes les hypothèses émises par les
archéologues danois, suédois, allemands et polonais sur l'usage
qu'on faisait de ces cerceaux dentés, l'auteur n'en retient que
deux: celle de M. Sophus Millier qui pense que ces cercles de
métal étaient des colliers, et celle de la Société des archéo-
logues danois qui prétend que ces anneaux servaient à orner
la chevelure et étaient portés au sommet de la tête.
Il s'arrête ensuite longuement à la critique et à la ré-
futation de l'opinion de M. Sadowski qui croyait que le cercle
de Zalesie était une corona vallaris romaine.
Cependant l'auteur démontre que malgré son ingéniosité
l'hypothèse de M. Millier est assez hasardée. Elle n'est basée
d'abord que sur des trouvailles faites en Danemarck, ce qui
ne permet pas de l'appliquer à des objets découverts ailleurs.
L'anneau trouvé à Sôhren, dans le Schleswig-Holstein, ne saurait
être rangé dans la catégorie décrite par M. Miiller, pas plus
que ceux de Zalesie et de Staw dont les formes sont beau-
coup plus artistiques, beaucoup plus finies que celles des an-
neaux danois, et qui en outre n'auraient pu être portés comme
colliers à cause de leur poids, de leur largeur, de l'acuité des
pointes, avec un diamètre de 13 centimètres.
Aussi M. Demetrykiewicz croit-il que l'hypothèse de la
Société d'archéologie danoise, d'après laquelle ces couronnes
étaient un ornement de la toilette des femmes, est seule ad-
missible, parce qu'elle peut s'appliquer sans exception à tous
les objets archéologiques de cette espèce. Sans doute — et
l'auteur le reconnaît - il n'est pas impossible que quelques-
uns de ces cercles de bronze à fermetures, n'aient été em-
ployés en guise de colliers ou de bracelets, comme par exemple
RÉSUMÉS 347
ceux que M. Millier a cités au début de sa série et qui au
lieu de pointes n'ont que de petites entailles arrondies. Il est
certain qu'à l'époque de La Tène, appelée aussi dans le Nord
préromaine, à laquelle l'auteur, d'accord avec tous les archéo-
logues, attribue les couronnes dentées trouvées en Pologne, on
portait ces bracelets à charnières et à fermeture. L'analyse
du bronze de la couronne de Zalesie qui contient 13.6% de
plomb et seulement 7% d'étain, prouve que cet ornement ap-
partient à une époque préhistorique ultérieure.
Une exacte reproduction des couronnes de Zalesie (fig.
1 et 2) et de Cmachow (fig. 3) est jointe à ce travail.
Vladimik Demetrykiewicz. Poszukiwanie archeologiczne w powiecie Trem-
bowelskim w Galicyi wschodniej. (Recherches archéologiques
dans le district de Trembowla, Galicie orientale).
Dans ce compte rendu l'auteur parle des fouilles exé-
cutées en onze localités de ce district. Les recherches archéo-
logiques ont été systématiquement conduites à Zieleiicze-Pod-
gorze, Semenow, Hleszczawa et Budzanôw. Dans les autres
endroits, il s'est borné à des travaux préparatoires, ou il s'est
contenté de prendre des informations sur les trouvailles qu'on
y avait faites autrefois, soit accidentellement, soit de toute
autre manière. C'est ainsi qu'il a visité Trembowla, Podhaj-
czyki justinowe, Mogilnica, Loszniow, Strusôw, Kobylowloki.
A Zielencze, sur la rive gauche du Séret, l'auteur a dé-
couvert les traces d'un campement de l'époque néolithique. Il
y a là des quadrilatères qui sans aucun doute furent l'em-
placement de huttes ou de cabanes en branchages tressés,
crépies d'argile, avec des piliers en bois aux angles; cette sup-
position est légitimée par les empreintes qui sont reproduites
sur l'argile brûlée (fig. 8). Ces huttes furent sans doute incen-
diées et s'écroulèrent ensevelissant sous leurs décombres tout
ce qu'elles contenaient, ainsi qu'en font foi de nombreux débris
d'ustensiles en terre glaise, ustensiles grossiers, fabriqués à la
main, sans tour, et peints (f. 9, 10, 11), des fragments de figu-
348 RÉSUMÉS
rines nues (f. 14), des outils de pierre (f. 12). des boules et des
poids d'argile (f. 9).
Près de Budzahow, l'auteur a rencontré les mêmes traces.
Les restes d'ossements qu'il a trouvés parmi des tessons d'usten-
siles, provenaient d'un boeuf, d'un sanglier et d'une brebis.
En comparant ses fouilles à celles que l'archéologue Ossowski
fit autrefois à Bilcze et à Wasilkowcé, il arrive à là convic-
tion que la théorie d'Ossowski sur „les tombeaux en brique",
sur l'inhumation symbolique d'un fragment d'ossement d'un
corps incinéré, est fausse en principe; car ces sépultures de
brique découvertes mais trop superficiellement étudiées par
Ossowski, n'étaient que des restes d'anciennes demeures in-
cendiées.
M. Demetrykiewicz fait remarquer que les objets peints
de la céramique néolithique, particuliers à la région sud-est
de la Galicie orientale et des contrées voisines au sud et à
l'est, n'ont aucune analogie, aucune parenté avec les instru-
ments peints trouvés dans l'Europe centrale. Les poteries ga-
liciennes, ainsi que celles qu'on a exhumées en Bukovine. en
Roumanie, en Transylvanie, présentent d'étranges ressemblances
avec la céramique peinte découverte par Schlieman dans les
plus antiques tombeaux de Mycènes. On peut aussi constater
une grande ressemblance avec les plus anciennes poteries des
îles grecques de l'archipel.
Les statuettes d'argile que l'on voit souvent à côté des
poteries peintes de l'époque néolithique, dans la Galicie orien-
tale (fig. 15) et qui représentent un corps humain, le plus
souvent un corps de femme dont le sexe est accus»', ont beau-
coup d'analogie, ainsi que l'a fait remarquer M Mucli. avec
les figurines découvertes à Chypre.
Dans cette même localité de Zielence, près de Trem-
bowla, M. Demetrykiewicz a fouillé une petite nécropole a
sépultures par incinération, avec des urnes dont la forme dé-
cèle une époque soumise à l'influence romaine. On a découvert
autrefois au même endroit une belle amphore, semblable à celles
que l'on trouve en Wolhyme et en Bukovine (fig. 7). On y a
Kh..sUMÉS H49
trouvé encore, dans un vase d'argile (fig. 5), nombre de petites
boules de différentes couleurs, en verre filé (fig. 6i. que l'auteur
assigne à la plus récente période préhistorique, c'est-à-dire à
l'âge slave.
Sur la rive opposée du Séret. toujours à Zielencze.
l'auteur a étudié les ruines d'une petite forteresse, entourée
de remparts en terre, qui. ainsi que l'ont démontré les objets
qu'on en a retirés a été occupée depuis l'âge de pierre jusqu'aux
temps préhistoriques les moins anciens.
Non loin de cette forteresse, on a découvert un tom-
beau en pierres plates, de la forme d'une caisse, dans lequel
il y avait une hache en silex, ainsi que des boules de kaolin.
de chalcédoine et de verre.
À Séménow, l'auteur a fouillé un des deux grands kour-
hans qu'on y voit. Il y a trouvé des sépultures à squelettes,
avec des ustensiles d'argile (fig. 23), fermées avec d'énormes
madriers de chêne. Elles doivent appartenir à l'âge slave.
Le Kourhan de Hleszczawa, fouillé par M. Demetrvkie-
wicz contenait un tombeau à caisson de pierre, à côté duquel
gisaient des objets en verre de type romain (fig. 24. 25). Cer-
taines marques permettent de conjecturer que ce tombeau a
jadis été violé.
A Podhajczyki justynowe, on a découvert par hasard, il
v a quelques années, des sépultures préhistoriques, avec des
ustensiles faits au tour, en argile grise et noire (fig. 21).
Quelques objets en métal s'y trouvaient aussi: ils ont disparu.
A Trembowla, lors de la construction du chemin de fer.
on a saccagé un cimetière de tombes à squelettes, dans les-
quelles il v avait des instruments en verre, et des sépultures
par incinération de l'époque dominée par l'influence romaine
(fig. 1, 2, 3 a). Près de ces tombes, se trouvaient des cavernes
souterraines remplies de millet.
■ A Mogilnica, dans des tumulus, on a trouvé, il y a long-
temps, des objets en bronze et en pierre.
A Lasznôw, des fragments d'ustensiles préhistoriques non
Bulletin VIII. 4
350 RÉSUMES
brûlés, un petit seau en bronze, des flèches de bronze et d'os
ont été exhumés.
A Strusow, c'est un couteau de pierre qu'on a trouvé;
à Zazdrosc. des flèches triangulaires en bronze.
Les cultivateurs de Kobylowîoki déterrent souvent en
labourant leurs champs des instruments préhistoriques. Au même
village, on a découvert une urne noire et une statuette qui
ont été déposées au musée Dzieduszycki, à Léopol.
Ethnographie.
Lucien Malinowski. Powiesci ludu polskiego na Slasku. (Contes du
peuple polonais en SilésieJ.
Dans l'été de 1869, feu M. Malinowski se rendit en Si-
lésie dans le but d'y étudier les dialectes populaires. Plu-
sieurs ouvrages furent le fruit de ce voyage; mais l'auteur,
absorbé par d'autres travaux, n'eut pas le temps de classer ni
de publier les matériaux ethnographiques qu'il avait rassem-
blés. La Commission ayant pensé qu'il serait regrettable de
laisser inédits des manuscrits qui, par la scrupuleuse notation
phonétique, présentent une grande valeur, a résolu de les édi-
ter — en partie du moins, et autant que les ressources le
permettront — et en a confié le soin à M. Bystron, Silésien
et élève de M. Malinowski. Dans ce premier volume, on n'a
réuni que les contes recueillis dans le duché de Cieszyn (Te-
schen), à Ustronie, à Wisla, à Nydek, Istebne, Jablonkôw,
Grôdek, Nawsie, Ligotka gnojnicka, Ligotka, Smilowice, Sucha
postrzedna. Ce ne sont pas des contes dans toute la significa-
tion de ce mot; on y lit en effet des légendes, des anecdotes,
des racontars, et même des chansons (p. 25, de Wisla, p. 35
à 40 Wisla, „sur la place de la ville", des chants dans cer-
taines cérémonies, p. 46, 47. de Nydek p. 50, 51, de Jablonkôw,
p. 59, 60, de Grôdek); mais cela n'infirme en rien le caractère
général du recueil dont le but est de faire surtout ressortir
les particularités dialectiques. Ces contes ont déjà trouvé place
RÉSUMÉS _ 351
en majeure partie dans l'ouvrage „Ueber die Oppelnsche Mund-
art in Oberschlesien"; ils n'en sont pas moins une source
précieuse, et. sous le rapport de la notation minutieuse, un
modèle pour le dialectologue et le folkoriste.
S. Ckkcha. Przebieczany. wies w powiecie wielickim. Opisaî pod wzgledem
etnograficznym. (Przebieczany, village du district de Wieli-
CZJca). Etude ethnographique.
Przebieczany est situé à 4 kilomètres au sud-est de
Wieliczka. L'auteur en donne une exacte topographie, avec
les dénominations des champs, prairies, marécages, sources et
forêts; il expose les rapports entre voisins, la situation éco-
nomique de la population; il décrit les habitations, les meubles
et ustensiles, les costumes, les particularités anthropologiques
des villageois; il cite les noms et surnoms, les prénoms les
plus répandus; il fait le tableau de la vie agricole et de ses
usages, des superstitions ayant trait à la nature; enfin il
rapporte les prédictions, les présages, les recettes de la méde-
cine populaire. Il a pris pour nous retracer les coutumes
annuelles l'ordre généralement adopté, c'est-à-dire qu'il com-
mence par la Noël et la veille de cette fête. Dans les céré-
monies de la vie civile ou religieuse, il s'arrête spécialement
au mariage; à ce sujet il cite nombre de chants avec leur
musique. Puis il nous donne encore une foule de chansons,
de bons mots, de farses, de récits, de devinettes et de pro-
verbes.
Les matériaux qui composent ce recueil ont beaucoup
plus de valeur au point de vue de l'ethnologie qu'à celui de
la dialectologie; la partie phonétique laisse beaucoup à désirer.
W. Pbacki. Zagadki ludowe z wsi Turowa, pow. radzyhskiego, gub. sie-
dleckiej. (Devinettes recueillies à Turéiv, village du district
de Kadzin, gouvernement de Siedlce).
Cet opuscule n'est qu'un léger apport à la collection des
devinettes populaires, mais il n'en est pas moins fort intéres-
sant, car il a été composé dans une région encore peu étudiée.
352
Quelques-unes de ces énigmes sont des variantes d'énigmes
déjà connues.
M. Kucz. Przystowla ludowe z okolic Witebska, Mohylewa, Smoleriska i Orta,
dotyczace niektôrych miejscowosci w cesarstwie rosyjskiem. (Pro-
verbes populaires des environs de Witebsh, Smoleiisk,
Mohylew et Orel, sur quelques localités de V empire de
liussie .
Dans un séjour de quelques années dans ces contrées,
l'auteur put s'initier à la vie rustique et il nous rapporte
dans son travail une des manifestations de l'imagination po-
pulaire, c'est-à-dire la création de proverbes sur certaines
localités. Si l' on considère que les frontières de l' ancienne
Pologne s'étendaient jusqu'à ces régions où l'on trouve encore
beaucoup de gentilshommes polonais, ces proverbes présentent
un grand intérêt au point de vue linguistique: ils offrent un
curieux mélange de polonais et de russe.
■S. Govet. Opowiadania ludowe z okolic Andrychowa. (Récits populaires
des environs d* Andrychéw).
Ces récits proviennent des villages de Rzyki. Targanice.
Zagôrnik, Sulkowice, Roczvnv. Inwald, situés près de la petite
ville d'Andrychôw. L'auteur ayant passé 13 années au milieu
de ces populations rurales et en ayant étudié le dialecte, a
fidèlement rapporté leurs récits dans leur saveur originale.
Sur les 43 récits qu'il publie, nous lisons 12 contes, 15 lé-
gendes, 5 traditions, 4 fables. 4 récits humoristiques émaillées
de questions plaisantes. La plus haute expression de cet esprit
villageois se trouve dans les „oraisonsli versifiées, sans rythme,
■du forgeron Lyson (n. 43).
L'idiome de cette contrée est fort intéressant pour le
dialectologue, à cause de la disparition des nasales q, § (en
polonais on, in) = o, et même de em, oui.
L. Magikkowski. Kalendarz puszczania krwi. (Calendrier de la saignée).
La saignée est encore un moyen thérapeutique fort usité
dans le peuple. Ainsi que nous l'apprennent les vieux alrna-
RÉSUMÉS 353
nachs polonais, cette pratique était autrefois générale; aujour-
d'hui elle n'est plus qu'une réminiscence de l'ancienne faveur.
L'auteur a vu, dans un calendrier de 1803, une note manu-
scrite, sur laquelle, d'un côté de la feuille, un dessin grossier
représentant une espèce de guitare indiquait les jours où il
fallait rigoureusement s'abstenir de saignée. Cette note égarée
dans un calendrier mérite d'être conservée, comme document
historique, comme un curieux monument de cette médecine
populaire où les superstitions jouent un si grand rôle.
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Nakiadem Akademii Umiejçtnosci
pod redakcya Sekretarza generalnego StanUlawa Smolki.
Krakow, 1900. — Drukarnia Uniwergytetu Jagiellonskiego, pod zarzadem J. Filipowskiego.
8 Listopada 1900.
BULLETIN INTERNATIONAL
DE L'ACADÉMIE DES SCIENCES
DE CRACOVIE.
N« 9. Novembre 1900.
Sommaire: Séances du 12, 19 et 27 novembre 1900. — Résumés:
48. T. Beowicz. Les conduits biliaires intercellulaires ont-ils des parois
propres? — 49. K. Zorawski. Sur certaines catégories de variations
d'éléments linéaires pendant le mouvement d'un système continu de
points. Première partie. — 50. L. Mabchlewski et J. Buraczewski. Etude
sur l'isotine.
Séances
^
('lasse de Philologie
Séance du 12 novembre 1900
Présidence de M. C. Morawski
Le Secrétaire dépose sur le bureau les dernières publi-
cations de la Classe:
>Rozprawy Akademii Umiejetnosci. Wydzial filologiczny. Serya II,
tom XVI, ogôlnego zbioru tom trzydziesty pierwszy>. (Travaux de la Classe
de philologie, vol. XXI). 8-0, 421 p.
»Biblioteka Pisarzôw polskich, tom XXXVIII. Bartosza Paprockiego
dwie broszury polityczne z lat 1587 i 1588 wydal J. Czubekc Bibliothè-
que des écrivains polonais. Deux brochures politiques de ijS? et 1588 par Bar-
tosz Paprocki, publiées par J. Czubek), 8-0, 125 p.
A. Brucknkr. »Jezyk Waclawa Potockiego. Przyczynek do historyi
jezyka polskiegO*. (La langue de Venceslas Potocki. Contribution a l'histoire de
la langue -polonaise), 8-0, p. 157.
356 SÉANCES
M. M. Kawcztnski présente son travail: nAmor et Psyché
dans les contes. Première partie".
Séance du 27 novembre 1900
Présidence de M. C. Morawski
Le Secrétaire présente l'étude de M. G. Potkanski: ^Re-
cherches historiques et ethnologiques sur les demeures primitives
des tribus polonaises".
M. Kawczynski rend compte de son travail: ^Amor et
Psyché dans les contes".
("lasse d'Histoire et de Philosophie
Séance du 19 novembre 1900
Présidence de M. F. Zoll
Le Secrétaire présente les dernières publications de la
Classe :
»Editio Collegii iuridici Aoademiae litterarum Cracoviensis. Collec-
tanea ex archive) Collegii iuridici Tomus VII. Statutum lituanicum alte-
rius editionis (1566 >«, 8-o. p. LXX et 568.
»Rozprawy Akademii Umiejetnosci. Wydzial historyczno filozoficzny.
Serya H, tom XIV, ogôlnego zbioru tom trzydziesty dziewiaty*. (Travaux
de la Classe d'histoire et de philosophie vol. jçj, 8-0, 399 p.
Le Secrétaire présente l'étude de M. S. Kutkzeba: ^L'or-
ganisation des tribunaux en Pologne au moyen-âge. I. Palatinat
de Cracovie (1374—1501)".
357
Le Secrétaire rend compte du travail de M. S. Zakrzew-
ski: nLa plus ancienne histoire de l'abbaye de Szczyrzyc
(1238—1382)".
Classe des Sciences mathématiques et naturelles
Séance du 12 novembre 1900
Présidence de M. E. Godlewski
Le Secrétaire présente les dernières publications de la
Classe:
T. Beowicz. »PochIanianie krwinek czerwonych przez komérke wa-
trobna i mogace stad powstac obrazy w tej komôrce<. ( LHntussusception
des érythrocytes par la cellule du foie et l'état microscopique possible de la cellule) ,
8-0, 5 p. et 1 pi.
L. Bkunek. »Uwagi dynamiczne nad bromowaniem benzolu*. (Con-
tribution a la dynamique sur la bromuration du benzène), 8-0, p. 9.
W. Heinkich. »0 staîosci wrazenia zaledwie dostrzegalnego przy
uzyciu tonôw Stalych*. (De la constance de perception des tons purs a la lu
mite d'audibllité), 8-0, p. 40.
M. L. Marchlkwski présente le travail fait avec M. J.
Buraczewski : nEtude sur l'isotine" 1).
M. T. Browicz rend compte de son travail: nLes con-
duits biliaires intercellulaires ont-ils des parois propres" 2).
M. C. £orawski présente son travail: ^Sur certaines ca-
tégories de variations d'éléments linéaires pendant le mouvement
d'un système continu de points" 3).
Le Secrétaire rend compte de la séance de la Commis-
sion d'anthropologie du 30 octobre 1900.
i) Voir ci-dessous aux Résumés p. 374. — *) ibid. p. 358. — 3) ibid. p. 367.
Résumés
è8. — T. Browicz. Czy kanaliki zôlciowe miedzykomôrkowe maja wlasne
scianki. (Haben die intercellularen Gallengange eigene
Wandungen). Mit 1. Tafel. Vorgelegt am 12. November 1900.
In seiner Publication iiber die intracellulâren Gallengange
etc. (Anzeiger d. Acad. d. W. in Krakau, Màrz 1897) lenkte
der Verfasser die Aufmerksamkeit darauf, dass an mittelst
Hâmatoxylin und Eosin gefarbten Praparaten an manchen
Stellen die Intercellularlinien als breite mit Eosin distinct sich
rothfârbende, hie und da wellige, ja sogar faserig aussehende
Streifen zu sehen sind, so dass der Verfasser den Eindruck
gewann, als wenn die intercellularen Gallengange eigene Wan-
dungen besâssen. In seiner zweiten Publication iiber den Ban
der intercellularen Gallengange und ibr Verhaltnis zu den
Blutcapillaren (Anzeiger der Acad d. W. Janner 1900) spricht
der Verfasser ganz bestimmt aus, das die im Leberacinus
vorfindlicben intercellularen Gallengange eigene Wandungen
besitzen. Der Verfasser grundete diesen Aussprucb darauf,
dass isolierte Leberzellen, was man in verschiedenen patholo-
giscben Zustânden der Leber oft beobachtet, an gefarbten
Praparaten bis an den âussersten Rand der Zelle gleicbmâssig
gefarbt erscbeinen und nicht an allen Zellen sich eine tiefere
Fârbung am âusseren Zellsaum, das sogenannte Ectoplasma.
seben lâsst, dass weiter an mittelst van Giesons Méthode also
dreifacb gefarbten Praparaten von pathologisch veriinderten
RÉSUMÉS 359
Lebern das Cytoplasma der Leberzellen gelb, die Intercellu-
larlinien fuchsinroth gefârbt erscheinen. Sie erscheinen ebenso
fuchsinfarbig wie die Wânde der Blutcapillaren und das Bin-
degewebe. In Lebern, in welchen zu Lebzeiten die Leberzellen
iiberniàssige Galle producierten, erscheinen die intercellulâren
Gallengange offen, erweitert, theils leer, theils mit Galle ge-
fûllt, so dass das mikroskopische Bild noch prâgnanter zum
Vorschein gelangt. Auf Grund dessen bezeichnete der Ver-
fasser damais die Intercellularlinien als von der Leberzelle
gesonderte Gebilde und die intercellulâren Gallengange als
ein selbststàndiges Kanalsystem, was ja ubrigens, was der Ver-
fasser damais angegeben hat, altère Autoren und auch der pol-
nisL-he Autor Peszke (1874) behaupteten.
Auf Grund vveiterer Untersuchungen bâlt der Verfasser
die damais ausgesprocbene Ansicht aufrecht sowie die damais
hervorgehobene Beobachtung, dass die intercellulâren Gallen-
gange in gewissen Richtungen die Blutcapillaren dicht berûh-
ren. ja selbst lângs derselben verlaufen also ein gescblossenes
Kanalsystem bilden, das in die interlobularen Gallengange
einmtindet.
Zu den damais angefiihrten Griinden der Annahme eines
selbststândigen intercellulâren oder intralobularen Gallengang-
systems liigt der Verfasser heute einen neuen, unzneideutigen
Beweis bei.
Die Wahrnehmbarkeit materieller Punkte und Linien
ist, wie bekannt, begrenzt. Die Grenze betrâgt 00002 mm.
was die Dicke der materiellen Punkte und Linien betrifft,
aucli die Entfernung derselben von einander hat hiebei die-
selbe Bedeutung, aus diesem Grande erscheinen uns manche
Einzelheiten im Bau der Zellen und Gewebe verdeckt.
Im Jahre 1889 (Ûber das Verhalten der Kittsubstanz
der Muskelzellbalken des Herzens in pathologischen Zustanden.
Przegiq,d lekarski und Wiener Klinische Wochenschrift 1889.
Ûber die Bedeutung der Veranderungen der Kittsubstanz der
Muskelzellbalken des Herzens. Przeglad lekarski und Virchows
Arcliiv 1893) berichtete der Verfasser, dass die als homogène
360 RÉSUMÉS
Substanz angesehene Kittsubstanz einen stàbchenformigen Bau
besitzt. Bei der Untersuchung des der Leicbe direct entnom-
menen Herzmuskels in Y2°/o Kochsalzlosung sei es an mit der
Hohlscheere ausgefiïhrten sei es an Gefriermikrotomscbnitten,
welebe aus denjenigen Theilen oder Scbiehten der Herzwand
stammen, wo die Muskelzellenbalken parallel zu einander ver-
laufen, was schon mit freiem Auge aus der Richtung der Mu-
skelbiindel beurtheilt werden kann, kann man ohne Anwen-
dung irgend welcher Hàrtungsmittel oder ehemiseher Agentien
diesen Bau ganz deutlicb seben. Im normalen Herzmuskel lie—
gen dièse protoplasmatisehen Fortsâtze so nabe aneinander,
sind so fein, dass sie nicht wahrnehmbar sind und die Grenzen
der die Muskelbalken bildenden Zellen nicht sichtbar sind.
Sobald aber dièse protoplasmatisehen Fortsâtze aufquellen und
sicb zwiseben ihnen Flussigkeit ansammelt, treten sie in den
Bereich der Wahrmhmbarkeit ein. Dasselbe trifft auch in
anderen Geweben zu. In der Leber bielen in Leberprâparaten
in einzelnen Partieen die Leberzellenbalken ein gleichsam
syncytiales Gefiige dar, die Zellgrenzen sind nicht sichtbar.
An anderen Stellen sieht man meistens quer zur Achse des
Zellenbalkens gerichtete dunkle Linien, welebe die Zellgrenzen
andeuten, an z. B., mit Hâmatoxylin und Eosin gefârbten Pra-
paraten erscheinen an maneben Stellen dièse Linien tief'er roth
getarbt als das Cytoplasma der Leberzellen, es kommt gleieb-
sam das sogenannte Ectoplasma zum Vorsehein, welches in
der That, was der Verfasser oben hervorgehoben bat, nicht
existiert und die Grenzlinien, Intercellularlinien als gesonderte
zusammengefallene, leere Gallenkanâlchen betraebtet werden
miissen, was an mittelst van Giesons Méthode gefârbten Prâ-
paraten pathologischer Objecte praciser auf'tritt. Die intraaei-
nôsen Blutcapillaren sind im normalen Zustande des Leberge-
webes mit den Leberzellen in innigem Contact, worauf der
Verfasser schon im Jahre 1897 (Wie und in welcher F» uni
wiid den Leberzellen Hâmoglobin zugefiihrt. Anzeiger d. Akad.
d. W. Juni 1897) hingewiesen bat, da man sonst das passive
Hineingelangen von Erythrocyten in die r.eberzelle nicht er-
RÉSUMÉS 361
klâren konnte. Dasselbe behauptet der Verfasser in seiner
weiteren Publication ûber den Bau der intraacinôsen Blutca-
pillaren und ihr Verhâltnis zu den Leberzellen (Anzeiger d.
Acad. d. W. Mai 1900) Ira 2. Bande seines Traité d'histolo-
gie pratique (1899) erwâhnt aueh Renant (p. 1445): „ chaque
travée est limitée en dehors par la ligne des noyaux endo-
theliaux appartenant aux capillaires et la paroi de ceux-ci se
moule exactement sur la surface des travées en y faisant
corps sans aucun intervalle dévelopable". Pag. 1447: Isolées
les cellules glandulaires emportent chacune un lambeau de la
paroi protopl-ismique du vaisseau sanguin". Dasselbe, der innige
organische Verband, findet statt zwischen den interceliulâren
Gallengângen und den Leberzellen, vvorauf ja schon der un-
mittelbare Zusamrnenhang zwischen den intracellulâren Gallen-
wegen und den interceliulâren Gallengângen hinweist. (Anzei-
ger d. Akad. d. W. Marz 1997). Dieser innige Verband zwi-
schen den Leberzellen und den Blutcapillaren und interceliu-
lâren Gallengângen ist aueh der Grund davon, dass an nian-
chen Leberzellen an der dem Auge des Beobachters zugewen-
deten Flâche der Leberzelle ein gleidhsam sogenanntes Ecto-
plasma zum Vorschein kommt, welches eigentlieh Theile der
der Leberzelle dicht adhârenten Wânde der interceliulâren
Gallengânge und Blutcapillaren sind. Ein eben solcher orga-
nischer Verband existieit zwischen den interceliulâren Gallen-
gângen und Blutcapillaren an aolchen Stellen, wo sich diesel-
ben dicht beriihren oder nebenaneinder in gewissen Richtun-
gen verlaufen. In seiner Publication liber die Dissociation der
Leberlâppchen (Nowiny lekarskie und Virchows Aroliiv 1897)
bat der Verfasser besonders hervorgehoben, dass die physio-
logisbe normale Function der Gewebe abhângt voni Zustande
der Zellen, der Blut und Lymphcirculation, des Bindegewebs-
geriistes. der Innervation und vom w ech s e.lsei tigen Ver-
bal t n i s s e. organischen Verbande der G e w e b s e 1 e-
mente u nt erei n an d er. Innerhalb jeder der genannten
Einzelheiten konnen unter dem Einflusse verschiedenartiger
Schâdlichkeiten, Noxen, welche von aussen auf den Organi-
362 RÉSUMÉS
smus einwirken oder innerhalb desselben entstehen, Verânde-
rungen und Abvveichungen vom normalen Zustande auftreten,
deren mittelbares oder unmittelbares Résultat eine verschieden-
gradige Functionsstorung ist. In der Reihe der pathologischen
Gewebsveriinderungen spielen die Anderu n gen im wechsel-
seitigen Verh<nisse und orjganischen Verbande
der Gewebselemente eine nicht unwichtige Rolle, welche
neben den verschiedenartigen und verschiedengradigen Verân-
derungen des Cytoplasrnas und des Kernes der Zellen, der
Blut und Lymphgefâsse und des Bindegewebes zu Tage tre-
ten. Als hochster Ausdruck der Anderung des organischen
Verbandes der Gewebselemente erscbeinen die pathologischen
Zustande. welche Folge mechanischer Einwirkung sind, wie
Zerreissung, Zermalmung der Gewebe. In diesen Fàllen er-
scheint der organische Ver ban d der Gewebselemente derart
verândert, dass dies mit freiem Auge diagnosticiert werden
kann. In der Pathologie kennen wir jedoch Zustande, in wel-
ehen die Anderungen des organischen Verbandes der Gewebs-
elemente makroskopisch nicht erkannt werden konnen und in
welehen erst das Mikroskop die Lockerung und das Ausein-
andergehen des organischen Verbandes aufdeckt, (Fragmenta-
tion des Herzmuskels. Dissociation der Leberlâppchen u. dgl.).
Eine solche Lockerung des organischen Verbandes zwi-
schen den Leberzellen und Blutcapilaren sowie intercellulâren
Gallengàngen tindet eben in pathologischen Zustànden der
Leber statt, wodurch die Einzelheiten des Baues, welche un-
terhalb der Grenze der Wahrnehmbarkeit liegen. distinct zu
Tage treten, wobei Quellungszustânde behilflich sind. Dies
tritt besonders deutlich auf bei Infectionszustnaden. wo inner-
halb der Leber z B. innerhalb der interlobulâren Gallengânge
Microbencolonien vorfindlich sind, deren Wirkung und Ein-
fluss auf das Gewebe mit dera Tode des Organismus nicht
aufhort und dieselb(;n auch postmortal vveiter wirkeu konnen.
In solchen Lebern losen sich die Leberzellen von den Blut-
capillaren und den intraacinosen Gallengàngen ab, ebenso in-
traacinose Blûtcapillaren von den intraacinosen Gallengàngen
Buffet in ilt: l 'Au de Se. de Cracovie. Novembre jooo.
y
T Browicz.
blh liriiitikt'irski à Cl
RÉSUMÉS 363
und aile Theile treten gesondert auf. Einzelne Leberzellen
und Leberzellengruppen zerfallen, so dass nur kornige Reste
davon ûbrig bleiben und die intraacinosen Gallengânge, Ab-
schnitte des Netzes, theils einzelner intraacinoser Gallengânge
sichtbar werden.
Heidenhain (Handbuch der Physiologie von Herman. Bd.
V. S. 219) behandelt die strittige Frage, ob die Gallencapil-
laren wandungslose Intercellular gânge seien oder eine selbst-
stândige Wandung besitzen, erklârt ganz reeht, dass er fur
das letztere mit Entschiedenheit eintreten muss und erwâhnt
die Arbeit des polnischen Autors Peszke (Beitrâge zur Kennt-
niss des feineren Baues der Wirbelthierleber. Dorpat. 1874)
welcbem es gelungen ist aus der Leber von Froschen, deren
Gallenwege durch natiirliche Injection mit indigschwefelsaurem
Natron erfiillt waren, Fragmente der Gallenwege als selbst-
stândige Kanâle zu isolieren. Die Mittheilung wurde mit Miss-
trauen aufgenommen und die heutigen Histologen theilen die
allgemein herrschende Ansiclit, dass die intercellularen Gallen-
gânge keine selbststândigen Kanâle bilden. Renaut sowie Ran-
vier gliickte es nicht nach der Méthode Peszkes Gallenkanâle
zu isolieren. Renaut schliesst in seinem Traité d'histologie pra-
tique den Abschnitt tiber die (îallencapillaren mit den Worten:
„I1 faut, en somme, elore cette discussion comme l'a fait Ran-
vier, qui dit, le canalicule biliaire n' étant purement et sim-
plement qu'une lumière glandulaire il n'y a pas lieu à consi-
dérer une enveloppe quelconque de ce canalicule, pas plus
qu'il n'y'a a chercher une enveloppe à la lumière des acinis
pancrécatiques ou des glandes de Brunner.
Ebner (Kôlliker Ebner Handbuch der Gewebelehre Bd.
III) bestâtigt zwar die Beobachtung Peszkes, spricht sich je-
doch ablehuend aus, gegeniiber der Frage von der Selbst-
stândigkeit der intraacinosen Gallengânge. .
Unter oben angefiihrten Umstânden, in Lebern, in wel-
chen die Leberzellen iibermâssig Galle producierten und die
intercellularen Gallenwege erweitert, leer oder mit Galle ge-
fiillt waren und wo eine Lockerung des organischen Verbandes
364 résumés
und theilweiser Zerfall der Leberzellen stattgefunden hat, fand
der Verfasser in der menschlichen Leber ohne jedes Zu-
thun irgend eines kunstlichen Eingriffes, in Prâparaten , wel-
che auf die moglicbst einfacbe Weise hergerichtet waren (Con-
servierung der Leberstiickcben in 2°/0 Formalin, Gefrierschnitte,
Fârbung mit Hâmatoxylin und Eosin) an vielen Stellen offene
leere intercellulàre Gallengânge. welcbe die Blutcapillaren dicht
beriihrten oder lângs derselben zwiseben den Blutcapillaren
and der Leberzelle hinliefen, deren feine Wâude eosinrotb,
starker als das Cytoplasma der Leberzellen gefârbt waren. an
mancken Stellen isolierte Abscbnitte des Netzes der intraaci-
nosen Gallengânge, oder Abscbnitte einzelner Gallengânge,
wie dies die beiliegenden Bilder widergeben.
Fig. 1. Redits unten die Kuppel einer Blutcapillare,
hart an welcher nacb oben zu ein zusanimengefallener inter-
eellularer Gallengang. dessen obères Ende an einen intercel-
lularen erweiterten mit Galle gefiïllten Gallengang grenzt.
Von diesera letzteren verlaiift nacb links ein offener leerer
Gallengang mit stârker roth als das Cytoplasma der Leber-
zellen gefârbten Wânden, derselbe sebmiegt sieb an den freien
Rand der mittleren Leberzelle an. Nacb oben zu ein f'reier
Raum. so dass eh e Wand fiir sich selbst besteben bbeb. Der
Gallengang stellt schon nacb diesem Bilde ein selbststàndiges
Gebilde dar.
Fig. 2. Eine Gruppe von Leberzellen. Nur in zwei links
gelegenen Leberzellen die Kerne sicbtbar. Zwischen den Le-
berzellen gelegene continuierlich verlaufende offene. leere Gal-
lengânge. von denen der obère Ast sicb an dem freien mit
keinen Leberzellen in Verbindung stehendem Rande nacb bei-
den Seiten verzweîgt und dessen obère Wand frei liegt, wel-
clier Tbeil des Gallenganges wieder als ein selbststàndiges Ge-
bilde sich darstellt-
Fig. 3. Zwei rechts und links gelagerte Gruppen von
Leberzellen, zwischen welchen in Folge theilweisen Zerfalls
der inneren Partieen der Leberzellen der rechtsseitigen Leber-
zellengruppe eine Spalte entstanden ist. durch welcbe hindurcb
RÉSUMÉS 365
ein frei liegender einen selbststândigen Verbindungskanal dar-
stellender Theil der innerhalb beider Leberzellengruppen ge-
legenen offenen, leeren Gallengànge verlauft.
Fig. 4. Links zwei Leberzellen. zwischen welchen ein
ofîener, leerer Gallengang. Rechts nur kOrnige Reste von zer-
fallenen Leberzellen, innerhalb weleher ein Absclinitt des
Gallengangnetzes in Gestalt des Buchstaben H. Der redite
untere Arm der Figur H beriihrt dicht die Kuppel einer
Blutcapillare.
Fig. 5. Oben eine Leberzellenreihe. Abgelost von dem
Leberzellenrande ein Stiick eines offenen leeren Gallenganges,
weiter naeli unten die abgelôste Blutcapillare, so dass aile
Theile abgetrennt aufireten.
Fi^-. 6. Ein isolierter Absehnitt eines Gallenganges, der
im oberen Theile offen, im unteren grôsseren Theile zusam-
mengefallen ist. Der untere Theil stellt sieh in Gestalt einer
Faser dar.
Fig. 7. Oben eine vom Leberzellenrande abgelôste Blut-
capillare. Zwischen dem unteren Rande der Blutcapillare und
dem Leberzellenrande ein recbts vom Leberzellenrande abge-
loster zusammengefallener , faserartigaussehender Gallengang,
der sich nach rechts und unten an den Leberzellenrand an-
schmiegt.
Fig. 8. Mitten innerhalb einer hufeisenformig gestalteten
Leberzellenreihe liegt die vom Leberzellenrande abgelôste Blut-
capillare mit drei deutlichen Wandzellen. Nach unten ein Theil
faserartig aussehenden und von den Leberzellen abgelosten
Gallenganges.
Die làngs der Blutcapillaren in manchen Richtungen
verlaufenden Gallengànge kônnen sich. wenn sie leer und zu-
sammengefallen sind, als Fasern darstellen, was zu einer An-
nahme einer Doppellage der Wand der Blutcapillaren fuhren
konnte (Uber intravasculiire Zellen in den Blutcapillaren der
Leberacini. Anzeiger d. Akad. d. W. April 1898 und Arehiv.
f. mikr. Anatomie Bd. 55) wàhrend dieselbe nur aus einer
einfachen Zelllage besteht. die den Leberzellen dicht anliegt.
366 RÉSUMÉS
(Bau der intraacinosen Blutcapillaren etc. Anzeiger d. Akad.
d. W. Mai 1900).
Es drângt sich von selbst die Frage auf, welehen Bau
besitzen die in den pei'ipherischen Partieen der Leberacini be-
findlichen, gleichsam Ûbergangskanâle, mit Epitbel bekleideten
sowie die interlobulâren Gallengânge, in welchem Verhâltnisse
stehen die Wandungen der intralobulâren Gallengânge zu den
interlobulâren, was. da der Verfasser noeh nicht zu einem si-
cberen Resultate gelangt ist, Gegenstand einer spàteren Publi-
cation bilden wird.
Die Wandungen der intralobulâren Gallengânge betra-
chtet der Verfasser laut seinen bisherigen Beobachtungen als
homogen, structurlos. deren Entwickelung und Entstehen an
embryologisehen Objecten erforscht werden muss.
Dièse Bilder, welche die Natur selbst dargeboten bat.
bieten einen unzweideutigen Beweis der Existenz selbststân-
diger Gallenkanâlchen dar, wie sie ausnahmsweise Peszke und
Ebner hergestellt haben. Dièse unzweideutigen Bilder bevvei-
sen ferner. dass der Schluss, den der Verfasser im Jânner 1.
J. auf Grund verschiedenart'gei' Fârbung der Intercellularlinien
und des Cytoplaamas der Leberzellen gefolgert hat. richtig
war. Sie losen den langjâhrigen Streit iiber die Existenz eines
selbststândigen intraacinosen Gallengangsvstems.
Die Natur hat uns dièse Bilder mit feinerer Hand nud
Méthode dargestellt als wir es mit unseren gebraiichlichen
und gelatirigen Methoden erreichen konnen.
Die an pathologischen Objecten gewonnenen
Bilder der Structur der Kittsubstanz der Muskelzellbalken
im Herzen. die Reihe von Einzelheiten beziiglich des feineren
Baues der Leberzellen. der gallebereitenden Function des Le-
berzellenkerns, des Baues der intraacinosen Blutcapillaren und
Gallengânge sowie ihres Verhaltnisses zu den Leberzellen, des
Verhâltnisses der intraacinosen Gallengânge zu den intraaci-
nosen Blutcapillaren, beziiglich der Uninoglichkeit der Exis-
tenz perivasculârer Lymphrâume ja sogar der Xichtexistenz
von Lynijihgefâssen innerhalb des Leberaeinus . welehe der
RÉSUMÉS 367
Verfasser in einer Reihe von Publicationen dargelegt bat, be-
rechtigen den Verfasser zu dera Schlusse, dass neben den ge-
bratiehlichen, gelaiifigen Metboden, welcbe die Histologie bebufs
Aufdeckung der Structur der Zelle und Grewebe anwendet,
noch die Untersucbung geeigneter patbologiseber Objecte be-
achtet werden soll , wodurch manches beziiglich des Baues
und der Function der Zellen und Grewebe aufgeklârt werden
wird, was obwohl vorhanden, uns in Folge der Beschrânktheit
und Mangelhaftigkeit unserer gleiehsam groben Methoden bis-
her unbekannt ist.
49. — K. Zorawski. 0 pewnych zmianach duigosci liniowych elementôw pod-
czas ruchu ciaglego uktadu materyalnych punktôw. Czesc pierwsza.
( Uéber gewisse AenderungsgeschtvindigJceiten von Linien-
elementen bel der Bewegung eines continuierlichen tna-
teriellen Systems. Erste Mittheilung). Vorgelegt am 12. No-
vember 1900.
Wir wollen hier fur den dreifachen Raum ein derjenigen
Problème in Betracht zu ziehen, welche wir in einer frûheren
Arbeit x) fur die Ebene behandelt liaben.
Die Bewegung eines continuierlichen Systems materieller
Punkte kann als eine eingliedrige Gruppe mit der infinitesi-
malen Transformation :
dargestellt werden . wo u, v , w Functionen der Cartesi'schen
Coordinaten x, y, z des materiellen Punktes und der Zeit
t bezeichnen. Dabei wird die Lange:
ds = \dx2 + dy* -+- dz2 .
solchen Verânderungen unterworfen, welche durch die Formel
*) Leipziger Berichte. Juni 1900. Math. phys. Classe p. 77—89.
368 RÉSUMÉS
1 H(ds) _ Idx2 + pdy2 +vdz2 + 2xdydz+2°>dzdx+2ydxdy
ds ùt dx^+dy^ + dz*
festgelegt simi. wo wir durch X, [/., v. x, (â, y die Grosseur
9u cr 9w
oc= —
2V%
bezeichnen. Schreibt man:
= a>ds,
wo (o eine Function von x, y, z, t bezeichuet, so kann es vor-
kommen , dass dièse Beziehung fur aile Linieneleinente des
Rauines identisch bestelit, dass also die Transformation in je-
dein Momente conforni ist. Im Allgemeinen stellt dièse Be-
ziehung eine Monge'sche Differentialgleichung vor und man
kann sagen, dass dièse Differentialgleichung in jedem Punkte
und jedem Momente einen solchen Elementarkegel von Lini-
enelementen detiniert. deren Lângen ds mit der Geschwin-
digkeit uds sicb verândern. Wir beabsichtigen hier solehe
F&lle in Betracht zu ziehen , in welchen die Gesammtheit
aller dieser oo4 Elementarkegeln eine invariante Schaar der
infinitesimalen Transformation bildet, d. h. in welchen die
Monge'sche Differentialgleichung die infinitésimale Transforma-
tion gestattet. Dièses Verhalten von ds wollen wir der Kiirze
halber als vollkommen gleichmâssig bezeichnen. Wir
setzen dabei voraus, dass aile hier vorkommenden Functionen
in den betrachteten Punkten und Momenten keine functionen-
theoretische Singularitàten aufweisen.
Die ausfûhrliche Behandlung dièses Gegenstandes wird
in polnischer Sprache verôffentlicht ; hier begniigen wir uns
mit der Angabe der Hauptpunkte unserer Entwickelung.
1. Die Gleichungen:
RESUMES
369
(X — tùk)ak + vbk + $ck = 0,
Ta* + (F- — w*)&* + xek = 0,
rpak + -xb k + (v — û>Jt)cfc = 0
definiei-en dann und nur dann solche Système von Grôssen
ak> ^*, ck, welche die Bedingung:
ak2 + K* + ck* = l
erfiïllen, wenn wt die charakteristische Gleichung:
y , y. — w4 ,
p , a , v — g) .
= 0
(1)
befriedigt. Die Grossen a/;, 3^, c* sind Cosinus einer Richtun^
mit den Coordinatenaxen, welche Hauptriehtung genannt wird.
Wir trefien die Voraussetzung. das3 sobald tot eine zweifache
Wurzel der charakteristischen Gleichung ist, so verschwinden
auch aile zweireihigen Determinanten der Déterminante (1)
und dass sobald tok eine dreifaehe Wurzel dieser Gleichung ist.
so verschwinden aile Elemente unserer Déterminante. Dièse
Voraussetzung beschrànkt nur die imaginâren Bewegungen
unseres Systems, nicht aber die reellen. Dann, aber auch nur
dann, wenn dièse Voraussetzung stattfindet, existieren in allen
Fàllen drei gegeneinander senkrechte Hauptrichtungen. Unter-
scheidet man dieselben von einander durch die Werthe 1, 2, 3
des Index Je. so hat man die Formeln :
3 3 3
3 3 3
y. = \* bkcko),, rp = \ a- ck ah iùk , y = ^* ak bk <o4 .
Damit eine Hauptriehtung wâbrend der Bewegung steis
in die Hauptriehtung von demselben Index tibergehe, d. h.
damit das System:
dx dy dz
ak bk ck {"'
370 RÉSUMÉS
die infinitésimale Transformation gestatte, miissen die Bedin
gungen :
ak = D (a,) — (tpk — Xjbk) = 0 ,
(3) àk = D @0 - (*(«* — lck) = 0,
ck = D (c,;) — (tyk — i)afc)= 0,
bestehen, wo mit ;, tj, X, die Componenten der Wirbelgeschwin-
digkeit, d. h. die Grossen:
1 /Sw 9v\ 1 /3u 2w \ 1 s dv 9u\
Z==~2V9y~9z)> yl = 2\!fz~ ~9x)> ^ = '2\9lc~3ry)
bezeichnet sind. Dièse Bedingungen konnen aucb anders for-
mu liert werden. Fûhrt man nâhmlich die Grossen pk durch die
Relationen :
ak =a,pm — amp,. bk = b,pm — bmpt, ck = ctpm — cmpt
ein, so lâsst sich leicht einsehen; dass unsere Bedingungen (3)
einfach in der Form:
pl = 0, pm = 0
geschrieben werden konnen.
Die Bedingungen. damit drei gegeneinander senkrecbte
Hauptrichtungen in Hauptricbtungen iibergeben, d. h. damit
die Système (2) fur k^=l. 2, 3 die infinitésimale Transfor-
mation gestatten, kann man demnacb entweder in der Form:
ak = o, bk = o, ck = o {Ic = l, 2. 3)
oder in der Form:
pk = 0 (k = l,2,3)
angeben.
2. Die Linienelemente. deren Làngen mit der Gesebwin-
digkeit (àds variiren, werden durch die Mouge'sche DifFeren-
tialgleichung:
A = (X—w) dx* + (p. - w) dy* + (v — œ) dz2 + 2a.dydz -f 2$dzdx +
+ 2fdxdy = 0
definiert. Dièse Differentialgleichung ist eine invariante Difie-
RÉSUMÉS ^ 371
rentialgleichung der infinitesimalen Transformation Df, wenn
die Identitât:
besteht, wo p eine Function der Verânderlichen x, y, 2, t be-
zeichnet. Dièse Bedingung kann in der Form:
Ldx2 + Mdy* -f Ndz2 + 2Adydz + 2Bdzdx + 2Cdxdy = 0
geschrieben werden und fiihrt man die Bezeichnungen :
P=2co + p, Q = D(tù) — po>,
Z/= Z)(X) + S(X2 + p + Y2 + yr _ ^
if = D{u.) + %■ + y* + K* + a; - YQ,
JV = D(v) + 2(v2 + a* + p» + (^ - a?),
-4'= Z*«) + % + v)a + % + (v - jt)5 + TPÎ — ^ i
5'= D($) + 2(v + X)(3 + 2Tx + (k— v)7] + <- y£ ,
C'= £(y) + 2(1 + «x)y + 2a£ + (f* — X)Ç + £ — oeq
ein, so haben die Coëffizienten dieser Bedingung die Werthe:
L = L' — 1P—Q, M=M'~-V.P-Q, N=N' — ^P—Q,
A = A' — y.P, B = B' — Ç>P, C=C'—yP
und fur die Invariabilité unserer Differentialgleichung mûssen
dièse Ausdriicke identisch gleich Null sein.
Wenn man die fruberen Formeln fur die Hauptrichtun-
gen in Anwendung bringt und dabei die ktirzeren Bezei-
chnungen :
O^DKJ + W (*=1, 2, 3)
und
(<o2 — <ù3) pt =qu (œs —<ùj)p2 = q2, (ut — w2)p3 = q5
einfuhrt, so konnen durch einfache Umformungen die letztge-
nannten Bedingungen auf die Gestalt:
Bulletin IX. 2
372 KÈSUMÈS
3
Y a,;-(ilk- Puk—Q) +2Ya<«mqk = 0,
3
Y* h2 (Q» - A»* - Q) + 2 Y*i K qk = 0,
3
£* ct»(û,-P(*t-Q) + 2 ^'0,0.^ = 0,
i
}_* bkck (Qt — Pw, — Q) + £' & c„, + bmCl)qk= 0,
£* c,«, (Ot — Pwt — Q) + Y (c< a- + c- a') î* = 0>
3
Y «A (Q* — i*»* -Ç)+^'(«IJn + fl-iI)î* = o
gebracht werden. Die mit einem Striehe versehenen Summen
sollen hier in der Weise gebildet werden, dass man fiir &, Z,
m die Werthe 1,2, 3 und die cyklischen Vertauschungen
dieser Werthe nimmt. Unsere Bedingungen konnen als lineare
homogène Gleichungen fiir die Grossen:
Qk-Po>k-Q, qk(Jc = l, 2, 3)
betrachtet werden. Beachtet man, dass die Derminante dièses
Systems eine Determinate Hunyady's ist, so kommt man leicht
auf den Schluss, dass der Werth dieser Déterminante gleich
1 ist und dass die Bedingungen des vollkoinmen gleichmâssigen
Verhaltens von ds einfach in der Form:
(4) ak — F<àk—Q = Oi qk = 0 (k=l,2,3)
geschrieben werden konnen.
3. Wir setzen zuerst voraus, dass die Wurzeln der cha-
rakteristischen Gleichung tùl , o>2, o)3 aile von einander ver-
schieden sind. Dann liefert die zweite Grappe der Bedingun-
gen (4) die Relationen:
pk = 0 (k=l, 2, 3),
RÉSUMÉS
373
welche besagen, dass ira F aile, wenn die charakteris-
tische Gleich ung lautereinfaclie Wurzeln besitzt,
die Hauptrichtungen wâhrend der Bewegung in
Hauptrichtungen liber gehen m tisse n. Die erste Gruppe
unserer Bedingungen giebt die Beziebung:
02 , a>2 , 1
Jl 5
il.
,1
= 0,
(5)
welche leicht als eine Eigenschaft des Ellipsoids der Défor-
mation interpretiert werden kann. Bezeichnet man nàhmlich
mit s den unendlich kleinen Radius einer Kugel, so geht die-
selbe nach der Zeit §t in ein Ellipsoid mit den Halbaxen r1?
r2 . r3 iiber, und unsere Beziebung liefert fiir dieselben die
Relation :
3
~M\ k Fk + (r2— r3) {r3 - rj (rt — r2) = 0,
wo die Grossen:y
'-M
,2>i
./>
W]
als gewisse Flâchengeschwindigkeiten gedeutet werden konnen.
Sobald aile dièse Bedingungen erfullt sind , wird man die be-
ziigliehen Geschwindigkeiten o>ds durcb die Intégration der
partiellen Differentialgleichung:
(ti); Ci)m) D(lù) CO D(lx) tt)m) [o)?Z)((j)m) (i)m D (w,)] +
+ 2(iù, — <om) ((«> — o)() (w — o>m) = 0
bestimmen konnen. Aile Gleichungen, welche aus derselben
durch cyklische Vertauscbungen hervorgeben, sind auf Grund
der Bedingung (5) mit dieser Gleichung identiscb.
Setzt man ferner voraus. dass
ist und dass to,. eine einfache Wurzel ist, so wird sovvohl
die Bedingung (5) als auch die Bedingung qk = 0 obne Wei-
374 RÉSUMÉS
teres erfiïllt sein. Also findet mai) fur das vollkommen gleich-
mâssige Verhalten nur die Bedingungen:
Pi=°, pm=o,
welche besagen, dass im Falle, wenn die charakteris-
tisclie Gleichung eine einzige ein fâche Wurzel
besitzt, braucht nur dieser Wurzel entsprechende
Hauptr ichtung in ebensolche Hauptrichtung iiber-
gehen. Die beztiglichen Geschwindigkeiten <x>ds werden dabei
durch eine Differentialgleichung von derselben Form wie ira
allgemeinen Falle detiniert.
Endlich ira Falle einer drei fâche n Wurzel der
charakteristischen Gleichung brauchen fiir das
vollkoramen gle ichmàssige Verhalten von ds keine
Bedingungen bestehen. Die Function to kann dabei be-
liebig aber von dieser Wurzel verschieden genommen werden.
Der Geschwindigkeit oids, wo co gleich dieser Wurzel ist, ent-
spricht die conforme Abbildung des dreifachen Raumes.
50. — L. MARCHLEWrftci und J. Boraczewski. Studyum nad izatyna. (Stu-
dien Uber Isatin). Vorgelegt am 12 November 1900.
Die Verfasser untersuchten die Constitution der chemischen
Verbindung, die boim Verseifen des Kondensationsproductes von
Acetyl-ps-Isatin mit o-Phenylendiamin entsteht und kamen
zu dem Résultat, dass der Korper nicht, wie friiher angenom-
men, o-Arainophenimesatin ist sondern o-Aminofenylhydroxychi-
noxalin. Dies ergiebt sich aus Folgendem: 1) Acetylisatin-
aâure giebt mit o-Phenylendiamin chien farbloseo Korper,
welcher beim Verseifen ein mit sog. o-Aminophenimesatin
identisches Product liefert. 2) o-Nitrophenylhydroxychinoxalin,
erhalten durch Condensation von o-Phenylendiamin mit o-Ni-
trobenzoylameisensâure , liefert bei der Réduction einen mit
sogenanntem o-Arainophenimesatin identischen Korper. Man
RÉSUMÉS 375
kann demnach aus ps-Isatinderivaten ausgehend zu Derivaten
des Chinoxalins gelangen.
Dièses Résultat auf das Verhalten wâsseriger Losungen
von Isatin zum o-Phenylendiamin , wobei Indophenazin und
o-Amino-Phenyl-hydroxychinoxalin entsteht, angewandt, fiibrt
zu den Annahmen, dass entweder Isatin in soleben Losungen
theilweise Isatinsàure bildet. oder dass dasselbe unter soleben
Bedingungen in zwei Formen vorliegt in einer Diketon- und
Hydroxyketonform. Die Letztere konnte nacb einseitiger Con-
densation mit o-Pbenylendiamin und Anlagerung 1 Mol. Was-
sers die Chinoxalinabkommlinge liefern.
Ausser den erwâbnten Cbinoxalinabkommlingen beschrei-
ben die Verfasser: o-Acetaminophenyl-hydroxy - cbinoxalin,
welebes aus verd. Alkobol mit l Mol. H20 krystallisirt, o-Ni-
trophenyl -hydroxy-ethoxy-chinoxalin , o-Acetamino-phenyl-hy-
droxy-metbyl-cbinoxalin. Weiterhin wird die Constitution des
Indophenazins besproeben und auf die Uebereinstimung der
von Scbunck und Marcblewski fur dièse Substanz vorgescbla-
genen Formel , mit ihrer Bildungsweise aus o-Amino-phenyl-
bydroxy-cbinoxalin bingewiesen. Als weitere Stiitze der In-
dopbenazinformel wird angefiihrt, dass die Alkylierungspro-
ducte des Indophenazins identisch sind mit den Condensations-
producten von alkylierten Pseudoisatinen , mit o-Phenylen-dia-
min. Die Indopbenazinreihe wurde durch Darstellung der ent-
sprecbenden Carbonsàure und zweier izomeren Aetboxyindo-
pbenazine vervollstândigt.
Sodann beschreiben die Verfasser die beim Condensieren
von alkylierten o-Diaminen mit. Isatin erbaltenen Resultate.
Es entstehen bierbei keine Azoniumbasen sondern Korper die
isonier mit Alkyl-indophenazinen sind. Daraus ergiebt sich
der Schluss, dass in diesem Falle die Condensation des Isatins
grundsatzlicb versebieden veiiauft als im Falle mit o-Diaminen.
Es ist moglicb, dass zunaebst nur die primare Amingruppe
reagiert, deren Folge eine Verschiebung des Wasserstoffs ist,
und dass dann die gebildete Hydroxylgruppe mit dem Was-
serstoff der secundaren Amingruppe des alkylierten o-Diamins
376 RÉSUMÉS
in Reaction tritt. Die entstehenden Korper nennen die Ver-
fasser Alkyl (Alphyl) ps-Indophenazine. Dieselben liefern beim
Erhitzen mit conc. Sâuren Indopbenazin.
Endlicb besehreiben die Verfasser die Reaction zwischen
Semikarbazyd und Methyl-ps-Isatin. Es bilden sicb hierbei
2 Isomère von den Formel C10 H10 N4 0.2.
»-3&~<-
Nakiadem Akademii Umiejetnosci
pod reriakcya Sekretarz:. (feneralnego Stanisiawa Smolki.
Krakow, 1900. — Drukarnia Ij'niweraytetu Jaeielloriskiego, poii zarzadem J. Filipowskiego.
10 Grudnia 1900.
BULLETIN INTERNATIONAL
DE L'ACADEMIE DES SCIENCES
DE CRACOVIE.
N° 10. Décembre 1900.
Sommaire: Séances du 10 décembre 1900. — Résumés: 51. C. Mo-
rawski. Rhetorum Romanorum ampullae. — 52. B. Dembigski. Mission
diplomatique de Félix Oraezewski, résident polonais à Paris pendant la
la révolution. (1791 — 1792 — 53. S. Kutrzeba. L'organisation des tri-
bunaux en Pologne au moyen-âge. I. Palatinat de Cracovie (1374—1501. —
54. L. Wewiôbski. Sur la condensation du glyoxale et de l'aldéchyde
benzoïque au moyen de l'ammoniaque. — 55. P>. Znatowicz. Sur la
réaction entre AqNO, et les dérivés cbloriques de la série aromatique. —
56. R. Guïwin.ski. Additamenta ad floram algarum Indiae Batavorum co-
gnoscendam. Algae a cl. Ure M. Kaeiborski in montibus Vulcaniis: Kra-
katau et Slamat anno 1897 collectae. — 07. J. Trzebinski La flore des
forêts de Garwolin et des contrées voisines. — 58. F. Schille La faune
des lépidoptères de la vallée du Poprad et de ses affluents. 3 e mé-
moire. — 59. J. Paczoski. Liste des plantes recueillies en Podolie, dans
la Bessarabie septentrionale et aux environs de Zdoîbunéw en Volhy-
nie. — 60. S. Klemensiewjcz Lépidoptères de Galicie. nouveaux ou
peu connus. 1-er supplément. — 61. A. Wkôblewski. De l'influence des
phosphates sur l'action fermentative du jus exprimé de la levure; des
acides phosphoriques complexes, ainsi que quelques remarques sur le
rôle de l'acide phosphorique dans la nature animée.
Séances
Classe de Philologie
Séance du 10 décembre 1900
Présidence de M. C. Morawski
Prof, C. Mokaw.SK! donne lecture de son travail: „Rhe-
torum Romanorum ampullae11 1).
Voir ci-dessous aux Résumés p. 380.
:;;s
Le Secrétaire présente le compte rendu de la séance de
la Commission de l'Histoire de l'Art du 22 novembre 1900 et
de la séance de la Commission littéraire du 17 novembre 1900.
Classe «l'Histoire et <le Philosophie
Séance du 10 décembre 1 900
Présidence de M. F. Zoll
Le Secrétaire rend compte du travail de M. Adam Sze-
i.AiiDwsKi: ^Monnaies et prix en Pologne au XVI-e et XVII-e
siècle.
('lasse des Sciences mathématiques et naturelles
Séance du 10 décembre 190U
Présidence de M. E. Godlewski
M. B. Radziszewski présente le travail de M. L. Wë-
wiôkski : nSur la condensation du ylyoxale et de l'aldéchyde
benzotque au moyen de V ammoniaque" l).
M. E. Bandrovvski rend compte du travail de M. B. Zna-
towicz: ..Sur la réaction entre AqN0.2 et les dérivés ckloriques
de la série aromatique"1 2).
i) Voir ci-dessous aux Késumos p. 398. — *) ib. S. 399.
379
Le Secrétaire présente le travail de M. R. Gutwinski:
nAdditamenta ad fioram algarum lndiae Batavorum cognoscendam.
Algae a cl. Dre M. Raciborski in motdibus Vulcaniis: Kraka-
tau et Slamat. anno 1897 collectaeu 1).
i) Voir ci-dessous aux Résumés p. 400.
Résumés
51. — K. Morawski. Rhetorum Romanorum ampuliae. Vorgelegt am 10. De-
cember 1900.
Der Verfasser verfolgt in dieser Abhandlung seine Stu-
dien iiber das Fortleben gewisser Phrasen , welche der rheto-
rischen Schule ihren Ursprung verdanken , bei den rômischen
Schriftstellern. Hauptsâchlich werden hiebei die beiden Seneca,
die beiden Plinii, Lucanus Manilius und mehrere andere be
riicksichtigt.
52. — Bbonisi.as Dembinski. Misya Feliksa Oraczewskiego posla polskiego
w Paryzu podczas wielkiej rewolucyi w r. 1791 i 1792. (Mission di-
plomatique de Félix Oraczewski, résident polonais à Pa-
ris pendant la révolution, (1791 — 1792). Présenté le 15 jan-
vier 1900.
Félix Oraczewski „visitator", puis recteur de l'Académie
de Cracovie, en 1787, connu d'ailleurs par son énergique et
courageuse attitude dans la diète extraordinaire de Varsovie,
où fut agitée la question du premier partage de la Pologne,
tout particulièrement apprécié et aimé du roi Stanislas-Augu-
ste (1773 — 1776), arriva à Paris, en qualité de ministre pléni-
potentiaire, dans le courant de mars 1791, avec la mission
38 L
de nouer des relations entre la République et la France. Il
ne quitta son poste que le 19 août 1792. c'est-à-dire après
l'arrestation du roi. Sans compter les rapports (inédits jusqu'ici)
adressés au ministre des affaires étrangères Chreptowicz. à par-
tir de juillet 1791, il fit parvenir régulièrement au roi Stanislas-
Auguste lui-même de longues lettres où non seulement il l'en-
tretenait des affaires publiques, mais lui donnait une foule
de „ nouvelles politiques". Les originaux de ces lettres font
partie des collections de M. Paul Popiel. La tache d'Oraczew-
ski n'était ni facile, ni agréable, au début surtout où il ne
pouvait en aucune manière s'accorder avec le mentor que lui
avait imposé le roi qui, par sa correspondance peu circonspecte,
exposait aux soupçons sa personne et son pays tout entier. Ce
mentor, un certain Massai . tout imbu des idées révolutionnaires
se permettait de prodiguer des conseils au roi. et comprenait
qu'il ..devait diriger le ministre de Pologne". Oraczewski lui
impute avec raison de ., donner de fausses idées sur la Po-
logne" ; il l'accuse de montrer les lettres du roi à l'envoyé
russe avec lequel „il complote". Inquiet et personnellement
offensé, le ministre multiplie ses plaintes contre le dangereux
conseiller et recommande au roi ..la prudence, si nécessaire
dans les circonstances présentes •'. Oraczewski tenait surtout
à redresser l'opinion erronée qu'on se faisait de la Pologne et
qui ^indisposait contre ce pays nombre de gens". La Pologne
doit être considérée „non comme une proie pour ses puissants
voisins, mais comme une grande nation ayant un rGle en Eu-
rope". La promulgation de la constitution du 3 mai ne con-
tribua pas peu à un revirement de l'opinion publique. L'assem-
blée constituante y rendit un élogieux hommage. En réponse
à la mission d'Oraezewski. la cour de France, dès le mois
d'avril, avait décidé d'envoyer en Pologne un ministre plénipoten-
tiaire. Le marquis Descorches Sainte Croix, désigné pour
cette mission, arriva à Varsovie en juillet, absolument con-
vaincu que l'intérêt de la France exigeait l'indépendance et la
liberté d'action de la Pologne, ainsi qu'en font foi quantité de
missives et de relations conservées aux archives du ministère
382 RÉSUMÉS
des affaires étrangères à Paris. Oraczewski, lui aussi, songeait
à rapprocher la Pologne de la France et pensait que d'étroits
rapports politiques et commerciaux ne pourraient que tourner
au profit des deux royaumes. Il faudrait favoriser le négoce
de l'Ukraine avec la France „ parce qu'ici (à Paris) la tem-
pête s'apaisera enfin, et cette France si peuplée, si riche en
ressources, aura sans doute besoin de nous comme nous
aurons besoin d'elle". Le projet d'une alliance entre la
Pologne et la France occupait les esprits révolutionnaires et
contre-révolutionnaires qui v voyaient une garantie de mu-
tuelle existence". On pensa même un moment marier le fils
du comte d'Artois avec la fille du roi de Pologne. Cependant
cette alliance française ne répondait, en 1791 et au commen-
cement de 1792, ni aux intérêts, ni aux vues de la Pologne
tout occupée à chercher alors, dans la Prusse et dans 1' Au-
triche, un point d'appui, un secours contre la Russie. S'atta-
cher à la France lorsque la Prusse et l'Autriche s'apprêtaient
à entrer en guerre contre la révolution, c'eût été se faire des
ennemis de ces deux puissances. Aussi Oraczewski se borna-
t-il à maintenir d'amicales mais tout idéales relations avec la
cour et les ministres se succédant rapidement, ainsi qu'avec
les représentants des puissances étrangères qui, l'un après
l'autre, ne tardèrent pas à s'enfuir de Paris. A mesure que
la situation de la Pologne devenait plus critique, la mission
de son envoyé acquérait plus d'importance. L'invasion russe
d'un côté, et, de l'autre, la guerre entre l'Autriche et la ré-
volution agrandirent le champ d'action de l'émissaire polonais
à Paris et alimentèrent son activité. La cause polonaise inté-
ressait alors tout particulièrement la France. On y lisait avec
^enthousiasme" la réponse à la déclaration russe du 18 mai
1792. On trouvait dans tous les journaux des nouvelles sur
la politique prussienne à l'égard de la Pologne, et sur la
rupture de l'alliance. Le nouveau ministre des affaires étran-
gères, Chambonas, recevait Oraczewski et s'entretenait longue-
ment avec lui „de la question polonaise". Le projet d'alliance
avec la Pologne, présenté à Varsovie par Descorcb.es, était
38o
„très en faveur parmi les patriotes français", mais Oraczewski
lui-même comprenait „que le moment n'était pas propice pour
parler de cette affaire qui d'ailleurs sera bientôt éclaircie". Le
ministre polonais porta ailleurs toute son attention : il voulut
mettre à profit l'amitié que le liait à Mr. Gower, ambassa-
deur d'Angleterre, pour entraîner cette puissance à prendre
parti pour la Pologne. Autant qu'il avait pu .,en conjecturer
de ce que lui avait dit ce ministre peu expansif, mais bon
et fort honnête homme, le cabinet britannique était bien disposé
envers la Pologne; néanmoins il devait tenir ses armées prêtes
à tout événement imprévu". Oraczewski écrivit à Stanislas-
Auguste „qu'il serait sage de faire des démarches officielles
en Angleterre et de profiter du bon vouloir de cette puis-
sance". Simultanément, l'envoyé négociait un emprunt à Ge-
nève ou à Gênes. Mais voilà que le roi adhère à la con-
vention de Targowica et rappelle Oraczewski. Ce revirement
subit des affaires en Pologne rend vains tous les efforts tentés
jusque, là et produit la plus funeste impression. Oraczewski,
malgré son passeport „au nom de la nation" est, en route,
l'objet de manifestations peu sympathiques.
En dehors des questions de son ressort, l'envoyé polonais
ne manqua pas de s'intéresser aux progrès de la révolution
et d'en observer les phases et les incidents. Les informations
qu'il transmet au roi à ce sujet remplissent la plus grande
partie de ses lettres et leur donnent aujourd'hui la valeur d'un
document historique de haute portée. Oraczewski fréquentait
à la cour et chez les ministres; il connaissait tous les
étrangers et tous les Français de marque ; il les voyait souvent.
Aussi l'avait-on admis „unanimitate" au club „Le Salon",
composé des ambassadeurs, des ministres, de toutes les per-
sonnalités en vue. Il fut le témoin oculaire de toutes les scènes
de la tragédie révolutionnaire, des violences et des combats
du Champ-de-Mars, en 1791. de la proclamation de la consti-
tution, de la convocation de l'Assemblée législative où il assista
à plusieurs séances tumultueuses, des désordres de la rue; il vit
le roi et la reine prisonniers se rendre au Temple. Le juge-
384
ment que porte Oraczewski sur la révolution est calme et
mesuré; il trouve ^qu'elle a du bon". ..Ce n'est pas la révolu-
tion qui perd ce pays, dit-il; elle pourrait au contraire être
fort utile : c'est le manque d'expérience. On a commis
une grande faute en proclamant les Droits naturels de l'hom-
me, sans l'avoir habitué aux devoirs de la société; et ee qui.
bien compris, aurait pu assurer le bonheur du peuple, par
une fausse interprétation est devenu une cause de dissolution".
La métaphysique politique qui pour se rapprocher de l'homme
individu éloigne de l'homme social, ne peut amener que des
effets désastreux. L'état de la France troublée par la révolu-
tion était, d'après l'envoyé polonais, semblable à celui de la
Pologne de Sisrismond-Auguste à Stanislas-Auguste : ..seule-
ment un pays peuplé et industriel sera toujours entraîné aux
révolutions, et ces révolutions sont très dangereuses lorsqu'elles
agitent 25 millions d'âmes". Le fond du caractère français,
c'est-à-dire la légèreté, l'ardeur, la cruauté froide, s'est révélé
dans ces mouvements populaires. L'amour-propre leur fait
aimer l'esprit, le fait naître, ce qui, excellent en littérature,
est funeste dans les affaires publiques où le bon sens est plus
nécessaire que les bons mots. La demi-philosophie n'est que
la caricature de la raison. Oraczewski pensa un moment que
la promulgation de la constitution pacifierait les passions et
épargnerait à la France une attaque de l'étranger; il croyait
avec son roi ..qu'aucune puissance ne se mêlerait des affaires
de ce pays". Bientôt il put se convaincre que l'indiscipline
des législateurs menace de ruine toute leur oeuvre; de plus
il observe qu'à la cour ..la noblesse se plaint du peu de sei-
gneurs et de dames à l'audience". 11 parle en termes sévères
et énergiques de ces gentilshommes qui émigraient : ..à quoi
leur servira, dit-il. d'abandonner leur propre foyer pour se
traîner chez autrui- : ..ces petits-maîtres n'ont que de l'égoïsme
et sont fâchés de ce que tout ne va pas ainsi que sous Lou-
is XIV: comme si l'étiquette pouvait leur faire restituer ce
qu'ils ont perdu par leur maladresse". L'envoyé polonais
avait pour la France une profonde sympathie et fort souvent
385
il exprima la conviction que ce pays, par son heureuse situ-
ation, avait mille ressources pour sortir sain et sauf de la
crise qu'il traversait. „La révolution passera, elle doit passer,
et ce peuple restera un grand peuple"; la France sera tou-
jours un „grand atelier d'affaires". Aussi quitta-t-il Paris avec
regret, rappelé par les ordres imprévus de son souverain.
Les lettres d'Oraczewski ne le cèdent en rien, comme
intérêt et comme critique, à celles des envoyés étrangers con-
temporains: Morris (Amérique), Gower (Angleterre), Capello
(Venise) et quelques autres. C'est à relever d'autant plus que
ces ambassadeurs étaient depuis longtemps en France, tandis
qu' Oraczewski n'arriva à Paris qu'au moment où la révolu-
tion battait déjà son plein. Il trace des portraits fort remar-
quables des personnages en scène : Condorcet , Brissot , Lafa-
yette, Narbonne, Necker, madame de Staël, etc. Il estime La-
fayette et prend toujours sa défense; il pleure Condorcet vic-
time de cet -infâme Brissot". La politique n'occupait pas ex-
clusivement Oraczewski: il s'intéressait aussi aux artistes qui
avaient reçu des commandes de son roi. Il tente d'amener
en Pologne des savants; il est l'ami intime de Lavoisier. Il
assiste aux spectacles, va aux salons de peinture et rend compte
au roi de ses impressions. L'ancien recteur de l'Académie de
Cracovie est toujours l'ami des sciences et des arts. Cette cor-
respondance peut être considérée comme une modeste contri-
bution à l'histoire de la civilisation à cette époque, et la mis-
sion politique d'Oraczewski ne fut pas non plus sans quelque
importance.
53. — 8. Kutkzvj'.a. Sady ziemskie i grodzkie w wiekach érednich. I. Woje-
wôdztwo krakowskie (1374—1501). (Die polnischen JLand- mai
Chrodgerichte un Mittelaltet: I. Die Kralcauer H ojuod-
schaft. 1374:— 1501). Vorgelegt ara 19 Nov^niber 1900.
In der vorlie^enden Arbeit beabsichtigt der Verfasser
die Einrichtung der polnischen Laml- uml (îrodgerichte ini
386 RÉSUMÉS
Mittelalter darzustellen. Der erste Tbeil ist speciell der Wojwod-
schaft Krakau gewidmet. und vvird mit der Durchforschung
aller gedruckten wie aueh nicht edierten Gerichtsbûcher ans
dieser Zeit begrûndet (von 1374 bis 1501).
I. L a n d g e r i c b t e.
A) Bezirksgericbte (iudicia terrestria). Die Grundlage der
Gerichtsorganisation bildet in Polen die Eintbeilung des Staates
in Wojwodschaften. Die Krakauer Wojwodschait war zum
Zwecke der Rechtspflege in sechs Bezirke getheilt: Krakau,
Proszowice, Ksiai, Lelow, Czchôw und Biecz. Der Bezirk von
Lelow erscheint etwas spater; vielleicht wurde er erst in den
Jaliren 1390 — 1394 ausgeschieden. In den letzten Jaliren des
XIV. und den ersten des XV. Jabrhunderts gibt es in den
Bezirken Ksiaz und Lelow zwei Orte, in denen die Gerichtstage
stattfinden ; in dem Bezirke von Ksia.z : Ksiai und Wlodzi-
slaw. oder Ksi^z und Zarnowiec, in dem Bezirke von Lelow :
Lelow und Zarnowiec (letzteres Stâdchen mit Umgebung ist
zwischen 1390 — 1394 dem Lelow'scben Bezirke einverieibt
worden). Die Gerichte wurden an diesen Orten nicht periodiscb,
sondern durch eine lângere Zeit (einige Monate) an dem einen.
dann wieder an einem anderen Orte abgehalten. Dièse Ein-
richtung wird vor 1410 abgeschafft, so, dass von dieser Zeit
in jedem Bezirke das Gericht sich nur in dem Stâdtchen ver-
sammelt, von welchem der Bezirk seinen Namen ableitet.
Eine Umgestaltung fiihrt erst das Jahr 1465 ein. Durch
den Beschluss der Provinzialversammlung von Korczyn aus
diesem Jahre wurden aile sechs Bezirke in einen Bezirk ver-
einigt, dessen Hauptsitz Krakau bilden sollte. Diesem Beschluss
entsprechend wurde wirklich, aber nur einmal, das Gericht
fur die ganze Wojwodschaft in Krakau abgehalten. Das Kra-
kauer Colloquium vom Mai 1466 fiihrt wieder eine neue Ein-
richtung ein, indem die sechs alten Bezirke in drei umgestal-
tet wurden; so entstanden : der Bezirk Krakau aus Krakau
und Proszowice. der Bezirk Zarnowiec, der die alten Bezirke
Ksiaz und Lelow ersetzte, endlich der Bezirk Wojnicz, in
welt-liem die Bezirke von Czchow und Biecz vereinigt sincL
387
Dièse Reform war von keiner langen Dauer. Der Krakauer
Bezirk zerfallt nâmlich wieder in die friiheren schon im Jahre
1469; ebenso kehren die friiheren Verbâltnisse laut einer kô-
nigliehen Verordnung im J. 1477 in den Bezirken Wojniez
und Zarnowiee zuriïck. In diesem letzteren Bezirke hat man
schon in J. 1469 die Colloquiumsreform recht stark modificiert.
Bis zu Ende dieser Période wird an dieser Einrichtung nicht
mehr geriittelt.
Die Bezirksgerichte wurden in jedem Bezirke je zwei
Wochen gehalten. und der Regel nach an denselben Wochen-
tagen. In den vier westlicben Bezirken herrsclit die Gewohn-
beit. dass die Gerichtstage der Bezirke nie zusammenfallen
und in gewi.sser Ordnung nacheinander folgen. In den ostlichen
Bezirken (Czchow und Biecz) bestimmt man die Gerichtstage
ganz unabhangig fur sich. Das Statut von Warta vom Jahre
1423 ordnet das Abhalten der Gerichte je einmal im Monate
an. Dièse Reform ist jedoch erst in dem J. 1426 in Wirksam-
keit getreten , was sonst auf das Verhâltnis der Gerichtstage
der Bezirke von Biecz und Czchow zu den anderen keinen
Einfluss batte. Eine weitere Modification beabsicbtigt das Statut
von Nieszawa, nach dem die Bezirksgerichte sich nur viermal
im Jahre an den Fasttagen versammeln sollten. Doch wird dièse
Vorschrift nicht vollzogen, obgleich deswegen das Krakauer
Gericht von den Rittern zweimal gesprengt wurde. Auch das
Piotrkower Statut vom J. 1459 liait die Vollziehung dieser
Regel zurûck, bis sie wieder durch die Provinzialversammlung
vom J. 1465 wiederholt, und sofort durch die Gerichte ins Leben
gerufen wurde. Die Gerichtstage werden von dieser Zeit an. sehr
bestimmt festgesetzt, so, dass sie in je zwei Bezirken auf die-
selbe Woche fallen, und somit die Gerichte in allen Bezirken
im Zeitraume von drei. spâter vier Wochen abgehalten werden
kônnen.
Die Bezirksgerichte kommen nicht imraer regelmàssig
zusammen. Ofters werden sie auf Beiehl des Konigs oder des
Wojwoden aufgeschoben. Im Juli und August unterbleiben sie
der Feldarbeiten wegen. Das ausserordentliche Aufschieben der
388
RESUMES
Gerichte, die bisweilen sogar ein Jalir hindurch nicht tfehalten
werden. verursachen : Krieg, Pest, einmal sogar schlechte Mùn-
ze. Die einzelnen Sitzungen werden aufgelassen. wenn das
Gericht entweder gesprengt wird, oder die betheiligten Richter
ausbleiben, oder die sogenannte „motio iudicis" eintritt. Das
letzte Hindernis. das erst in der zweiten Hàlfte des XV Jh.
vorkoramt uud als legaler Missbrauch sich darstellt, wurde im
J. 14(55 abgescbafFt.
Die Schriftsteller, die sicb mit der Organisation der Be-
zirksgerichte befassen. sind gewohnlich der Ansicbt, dass das
Bezirksgericbt ans dem Richter (iudex), Unterrichter (subiudex).
und den Assessoren besteht. Dièse Meinung mussen vvir als
eine ganz falsche bezeichnen. Neben dem Richter und dem
Unterrichter sitzen in den Bezirksgerichten die Kâmmerer
(camerarii), denen. besonders in den ostlichen Bezirken, i'ast
ausschliesslich die Rechtssprechung oblag. obgleich die Urtheile
ohne Ausnahme im Namen des Richters und des Unterrich-
ters ergehen. Das richterliche Amt ûben so gut der Richter
und der Unterrichter, als auch die Kâmmerer a us. Dieser letz-
teren gibt es sechs in der ganzen Wojwodsehaft, und zwar
zwei Krakauer Kâmmerer fitr die Bezirke: Krakau. Proszo-
wice und Ksi,\z. zwei liir den Bezirk Lelow. zwei fur Czchow
und Biecz. Von diesen Kâmmerer n gehort der eine zum Richter.
der andere zum Unterrichter. Die Zusammensetzung der Ge-
richte ist sehr verschieden; pro tribunali sitzen entweder der
Richter und Unterrichter, oder die Kâmmerer, oder die einen
neben den anderen. Die Kâmmerer, die zusammen mit den
Richtern sitzen, haben eine ganz bedeutungslose Stellung, na-
mentlich der Kâmmerer des Richters, wenn er neben dem Rich-
ter, der Kâmmerer des Unterrichters. wenn er neben dem Un-
terrichter sitzt. In einem ordnungsmâssig besetzten Gerichte
mussen ebenso der Richter wie der Unterrichter repràsen-
tiert sein und zwar so, dass sie uersonlich erscheinen.
oder durch die Kâmmerer ersetzt werden. Die Zusammense-
tzung des Gerichtes ist also dann rechtmâssig. wenn an ihm
entweder 1) der Richter und der Unterrichter. oder 2) der
RÉSUMÉS ^ 389
Richter und der Kâmmerer des Unterriehters, oder 3) der Un-
terrichter und der Kâmmerer des Richters theilnehmen. Uebri-
gens konnen an dem Gerichte auch noch mehr Personen An-
theil nehmen. also neben dem Richter und Unterrichter oder
neben einem derselben die beiden Kâmmerer sich befînden.
Das Gericht wâre jedoch nicht ordentlich besetzt. wenn es nur
aus dem Richter und seinem Kâmmerer, oder aus dem Unter-
richter und dessen Kâmmerer bestehen wûrde.
Der Richter und der Unterrichter gehoren zu den Land-
beamten und werden schon im XIV Jh. auf Lebenszeit er-
nannt. Doch ist es ihnen erlaubt, ihr Amt niederzulegen. Das
Amt wird von dem Konige ertheilt, doch nehmen scbon im
Anfange des XV Jh. die Ritter an der Désignation der Per-
sonen theil. Der Gewâblte muss ein Ritter sein und in der
Wojwodschaft Landgiiter besitzpn. Das Amt des Richters ist
mit der Starostei derselben Wojwodschaft nicht vereinbar.
Obgleich sie in der Reihe der Landbeamten der Wojwod-
schaft einen recht hohen Rang einnehmen, gehoren sie jedoch
nicht zu den einflussreichen Personen. Merkwtirdig ist es, dass
sie nicht im Range vorrucken. Bei der Erledigung dieser
Wûrde kommt es zweimal vor, dass der Castellan von Kra-
kau dièses Amt iïbernommen hat.
Die Kâmmerer sind die Stellvertreter der Richter. Sie
besitzen aile die Befugnisse, die ihren Machtgebern zustehen.
Erst am Ende des XV Jh. wird dagegen die Opposition rege,
die auch in der Gesetzgebung ihren Ausdruck findet. Im Ver-
hâltnis zu ihren Machtgebern sind die Kâmmerer von ihnen
ganz abhângig und mussen sich ihren Verordnungen und Be-
fehlen fiigen. Sie sind eher Privât- als Landbeamte, von selir
geringer Bedeutung , zu deu Landâmtern werden sie nie zu-
gelassen. Am grellsten tritt ihre Stellung im Falle der Motion
vor. Die Motion (die Klage gegen den Kâmmerer wegen rechts-
widriger Handlungen) wird vor dem Richter oder Unterrichter
erhoben, dessen Bevollmâchtigter der Kâmmerer ist. Nur vor
seinem Machtgeber muss er sich rechtfertigen , und wird frei-
gesprochen, wen er beweisen kann. dass seine Handlung sich
390 RÉSUMÈ&
anf eine Anordnuag seines Macbtgebers stiïtzt. Es unterliegt
keinem Zweifel, dass ibre Ernennung dem Ricbter (event. dem
Uuterriohter) zusteht. (1er in der Wahl gar nicht gebunden
ist. Docb muss aucb der Kâmmerer ein Ritter sein.
Nebst den Ricbtern und Kàmmerern nehmen an der
Recbtspflege die Assessoren tbeil, deren Zabi f'ast ausnabmslos
secbs betrâgt. Dieselben Namen kominen sebr oft vor. Als As-
sessoren fungieren die Ritter, seltener bôbere Wtirdentrâger.
Ibre Bedeutung ira Gericbte bângt von ihrer Macbt und Wurde
ab. Auf die Processleitung haben sie keinen Einfluss. Nur bei
der Entscbeidung der Streitpunkte werden sie gefragt. Eine
formliche Stiimnenabgabe, eine Stimmenzâhlung unter Beobacb-
tung der Stimmenmebrheit existiert nicbt. Eines von den Mit-
gliedern des Geriebtes gibt den Vorsehlag, dem die anderen
zustimmen, oder es wird eines von ibnen mit dem Finden des
Urtheils betraut. Ira Falle einer Meinungsverschiedenbeit legte
m an die Streitsaebe zur Beurtheilung den Ricbtern vor, und
wenn sie, nicbt die Kâmmerer, bei Gericht sassen , wandte
man sicb um Ratb an das Colloquium oder den Kônig. Der
Beantwortung gemass wurde die Streitfrage erledigt. Dies Ver-
fahren nannte man interrogatio.
Als Kanzlei fungieren bei den Gerichten mebrere Scbrei-
ber und zwar : 1) der Generalsebreiber , vom Konig er-
nannt, 2) der Unterschreiber, vom Vorigen gewiiblt, 3) der
Sebreiber des Ricbters, vom Ricbter abhangig. Die zwei letzt-
genannten treten erst im XV. Jb. auf. Wir finden noch spe-
eielle Sebreiber fur den Bezirk Lelow, wie aueh fur die Be-
zirke (Jzcbow und Biecz. Der Generalsebreiber ist wabrscbein-
licb nur mit der Oberleitung betraut. Die Gericbtsbueher
werden vom Schreiber des Ricbters gefiibrt. Dem Untersebrei-
ber steht die Ausfertigung der Gericbtsurkunden zu. Die Ge-
richtsbiieher fur die Krakauer Wojwodsebaft sind vom J. 1374
erhalten. In den Statuten von Warta und Nieszawa war ilire
sorgfaltige Bewabrung angeordnet. Am Ende des XIV. Jb.
wecbseln zwei Système der Biicberfiibrung ab, und zwar: das
cbronologische , das fur die ersten drei Bezirke nur die Chro-
RÉSUMÉS 391
nologie beriïcksichtigt , und das System (1er abgesonderten
Biicher f iir jeden Bezirk. Das letztere ûberwiegt im XV. Jh.
Vom J. 1425 ab werden die Colloquienbiicher, von 1436 die
Biicher der Konigsgerichte abgesondert gefïïhrt. Nach dem Jahre
1470 theilt man sie noch in die Biicher der streitigen und nieht-
streitigen Gerichtsbarkeit ein. Aussenlem fertigen die Notare
die Gerichtsacten aus, schreiben ab und verarbeiten die Texte
der Statuten, insbesondere jener von Kasimir dem Grossen, und
stellen die Formelsammlungen zusammen. auch zu Gerichts-
zwecken.
B Der Unterkàmmerer. In der zweiten Hàlfte des XV.
Jh. tritt der Unterkàmmerer als Richter fur die Grenzstrei-
tigkeiten vor Als eharakteristisch wurde bei ihm hervorge-
hoben . dass er keine regelmâssigen Sitzungen abhàit, und
nur in campo amtshandelt. Der Unterkàmmerer erneuert die
Grenzen und die Grenzzeichen (die Huffel;. Doch besitzt er
gar keine Befugnis, in Streitsachen ein Urtheil abzugeben. Ge-
wohnlich wird er von dem. gewiss durch ihn ernannten Kàm-
merer, vertreten. Auch hier finden wir sechs Assessoren.
C) Das Colloquium. Den Colloquien begegnen wir in
der Krakauer Wojwodschaft erst angefangen vom J. 1362.
Sie werden nur in Krakau gehalten , zuerst dreimal jâhrlich
an bestimmten Tagen (3. Febr. , 9. Mai. , 30. Sept.). Doch
kommen sie ofters gar nicht zustande. Von 1425 — 1454 ken-
nen wir nur 24 Colloquien. und es ist sehr zweifelhaft, ob es
ihrer noch mehrere gegeben bat. Vergeblich beabsichtigte das
Piotrkower Statut v. J. 1447 dieser Sachlage entgegenzutre-
ten. Das Statut von Xieszawa reduciert die Zabi der Colloquien.
Sie sol 1 en nur einmal im Jahre und zwar im Februar abge-
halten werden. Seit dieser Zeit gibt es jâhrlich nicht mehr
als ein Colloquium. doch wird dièses nicht im Februar son-
dern im Mai abgehalten. Auch dièse Massregel hat mchts ge-
holfen. Wir besitzen ganz sichere Ziffern. wonach in dem Zeit-
raume vom J. 1454 — 1501 nur sieben Colloquien gehalten
wurden. zum letzten Maie im J. 1485. Dièse Institution ist
somit in Verfall grerathen. Erst die Constitution vom J. 1511
392 RÉ80MÈS
hat sie wieder . doch nur auf kurze Zeit . ins Leben
gerufen.
Das Colloquium besteht aus zwei Factoren : aus dem
Tribu Dale (d. i. dem Richter und Unterrichter) und den As-
sessoren. die eine iiberwiegende Stellung einnebmen und den
Colloquien ihren specifischen Charakter verleihen. Die Zusam-
mensetzung der Colloquien ist sehr intéressant. Der Regel nacb
gibt es aucb bier secbs Assessoren. Es gibt iïbrigens in den
ersten Zeiten der Colloquien recbt verscbiedene Personen, die
sieh an den Colloquiengerichten betheiligen und zwar : hohere
Geistliche (Bischofe und Domherrn), Staatsbearate, auch Rit-
ter. Die Geistlichen und die Staatsbeamten treten bald (von
dem J. 1430) zuruck, und baben sieh an den Colloquien auch
sonst wenig betbeiligt. Docb war es fur sie kein Hindernis.
wenn sie aus einer anderen Provinz stammten. Von den Grod-
beamten sitzt in den Colloquien der Krakauer Starost. Cha-
rakteristisch ist. dass er sieh nur dann unter den Assessoren
findet', wenn er aucb ein Landamt bekleidet. Deswegen ist
es zweifelhatt. ob er als Starost dazu berecbtigt war. Den
Haupttheil der Assessoren bilden die Landbeamten , bis zum
J. 1398 in grcsser Zabi aucb die niederen Beamten, spâter
fast ausschliesslich die Wojwoden und Castellane. Sie stano-
men aus Kleinpolen , d. i. so gut aus der Krakauer, als auch
aus der Sandomirer Wojwodschaft. Seltener kommen die Land-
beamten von den Wojwodschaften Leczyca und Sieradz vor.
Doch gab es unter ihnen niemabs einen Landbeamten aus Gross-
polen. In der Hàifte des XV. Jh. verschwindet die Theilnabme
der auswartigen Wurdentrager; es verbleiben nur die Krakauer.
Gleicbzeitig wird noch eine weitere Veranderung wahrge-
nommen. Aus der Reihe der Landbeamten der Krakauer Woj-
wodschaft treten gewisse Wurdentrager hervor, deren Anwe-
senheit in den Colloquien zur Regel wird. Sie sind unentbehr-
lich. im Falle ihrer Abwesenheit wird das Colloquium nicbt
gehalten. Doch ist das nicht gesetzlich angeordnet, sondern
durch Gewohnheit eingeftihrt. In der Hàifte des Jh. ist die
Entwickelung vollendet. Zu diesen Wurdentrâgern gehoren:
RÉSUMES 393
der Krakauer Wojwode (von 1407), die Castellane : von
Krakau (von 1424), Wojnicz (von 1436), Sandez (von 1441)
und Biecz (vom 1446). Die Colloquien werden jetzt nur von
diesen fiinf Personen gehalten. Die Anwesenheit anderer ist
zwar nicht ausgeschlossen. aber entbehrlich.
Wie aus dem Gesagten zu ersehen ist, gieng die Entwi-
ckelung in der Riehtung vor, dass aus der recht grossen An-
zahl der Personen, die zur Theilnahme an den Culloquien be-
rechtigt waren, mit der Zeit die Mehrheit derselben eliminiert
wurde, dass indessen jene, die zuriickgeblieben sind, nicht
nur das Recht hatten , den Colloquien beizuwohnen , sondern
dazu auch verpfiichtet waren. Den Theilnehmern an den Col-
loquien steht es frei , an ibre Stelle einen Stellvertreter zu
bestiminen; dièses offenbar von dem Zeitpunkte an, als einige
derselben zur besagten Theilnahme verpfiichtet waren. Dièse
Angelegenheit wird durch die Statuten vom J. 1447 und 1465
genauer geregelt, welche auf dièse Weise das Zusammenkom-
men der Colloquien sichern wollten. Die Stellvertreter kom-
men in Krakau schon friiher vor. Indessen hat sich dièse In-
stitution sehr schwach entwickelt und konnte dem Verfalle
der Colloquien nicht vorbeugen. Die Vertreter werden fast nur
in dem Falle bestellt, wenn die Wiirdentrâger sich von den
Colloquien . wâhrend sie abgehalten werden , entfernen und
ihre Stellen mit denselben besetzen. Bei der Erôffnung des
Colloquiums sind sie in der Regel personlich anwesend.
Das Verhâltnis der Assessoren zum Richter und Unter-
richter gestaltet sich derartig, dass die letzteren das Verfahren
leiten, dagegen die Streitfragen zur Beurtheilung den Asses-
soren vorgelegt werden. Je hoher die Wurde, desto grosser
die Bedeutung. Die „interrogatiou wird dem Konige vorgelegt.
Laut den Colloquienbeschlûssen vom J. 1448 und 1449 trifft
die Motio nicht nur den Richter, welcher das Urtheil gelun-
den hat, sondern das ganze Richtercollegium. Die Colloquien
besitzen nicht nur die richterliche, sondern auch die legislato-
rische Gewalt, die naturlich nur in den Grenzen der Wojwod-
schatt eine Bedeutung hat. Als der erste von den Assessoren
Bulletin X. 2
894
tritt vor (1er Wojwode, dem «lie Oberleitung der Reehtspflege
in der Wojwodschaft zusteht.
II. Die Gr odgeri c h t e.
Drei Grodgeriehte gibt es in der Krakauer Wojwod-
schaft und zwar das eine in Krakau, das andere in Bieez und
das dritte in Sandez. Nur die Krakauer Grodbiicher sind
«vom J. 1418) in grcisserer Zabi erhalten. Die Grodgerichte
bieten den Gegensatz zu den Landgerichten, mit denen sie
sich ergânzen. Das ebarakteristische Merkraal der Grodgerichte
besteht darin, dass sie ohne Unterbrechung, fast alltâglich
fongieren. Dieser Umstand schliesst abgesonderte Gerichtsca-
denzen. denen wir bis zum J. 1480 ofters begegnen. nicht aus.
An gewissen Tagen (gewohnlich ani dritten Tage nach der Si-
tzung des Bezirksgerichtes), werden mehrere Streitigkeiten durch-
gefuhrt. In der Zwischenzeit wird indessen die Gerichtsbar-
keit der Grodgerichte nicht unterbroehen. Dièse Gewohnheit
kehrt um das J. 1450 zurïïck. Von einer Cadenz auf die
andere werden die Verhandlungen verschoben, die schon friiher
begonnen haben. und die man als cause antique bezeichnet.
Inzwischen werden die Streitigkeiten verhandelt. die als cause
nove (violencie nove) charakterisiert erscheinen, spâter auch die
Provisorialangelegenheiten, schliesslich auch andere. doch nur
auf Grand einer speciellen Anordnung zugewiesene Angelegen-
heiten, wie z. B. cause «le ktnetonibus u. s. w. Die Sitzungen
werden abgeschafft wahrend des Krieges oder der Pest. doch
nur fur die cause antique.
Vorstand des Grodgerichtes ist der Starost. Nebst ihm
fungieren : der Unterstarost (vieecapitaneus), der Grodrichter
und der Grodschfeiber. Die letztgenannten sind ganz vom Sta-
rost abhângig und werden durch ihn ernannt. Ihre Bedeutung
ist deswegen eine sehr geringe. Im Falle der Abwesenheit ersetzt
der Starost seine Stelle fur dièse, gewôhnlich kurze. Zeit durch
einen Vertretet locUmtenens, vicesgerens). Auch hier sitzen
l>ei Gericht sechs Assessoren. Wenn der Starost anwesend ist;
riehtet er fast ganz ohne Riïcksieht auf die Beisitzer. In seiner
Abwesenheit richten der Qnterstarost und der Richter. Dièse
RÉSUMÉS .. 395
ganze Einricbtung ist durch die Organisation der Landgerichte
beeintlusst. Es mûssen zwei Personen das Tribunal bilden. Einer
Abweicbung davon begegnen wir in den Jahren 1495 — 1496.
Durch einige Monate bekleiden das Aint des Starosten zwei
Personen, die gewôhnlicb zu^ammen das Recbt sprechen, ob-
gleicb aucb jeder von ihnen allein dazu befugt ist.
Zu den Grodbeamten zâhlen noch die iusticionarii. Sie
smd bis zu einer gewissen Grenze mit der Polizeibandbabung
und der Untersuchung betraut. Vom Starost ernannt, besitzen
sie gar kein persônliehes Anseben. Obgleich durch die Landes-
privilegien gànzlich (1386, 1388, 1430, 1433) abgeschafft, er-
balten sie sicb bis zu Ende des Mittelalters.
III. Die gemeinschaftlichen B eh or den.
A) Die Provinzialversammlungen von Kleinpolen (gewôhn-
licb in Korczin) besitzen auch die richterliche Gewalt. Fiir die
Rechtspflege der Krakauer Wojwodschaft ist ihre Bedeutung
sehr gering.
B) Die Gerichte in curia. Der Konig ist die Hauptquelle
des Kechts. Seine Gewalt erstreckt sich auch auf die Rechts-
sprechung. Er hait die Gerichte. die als Gerichte in curia (régis)
beseichnet werden. Fiir die Wojwodschaft Krakau ist er nicht
verpfllicbtet, in ihren Grenzen das Gericbt zu halten. doch
kann er nur innerhalb der Grenzen Kleinpolens sein Amt
ausiiben. Bis zum Jahre 1434 gibt es mehrere Orte in der
Wojwodsehaft, in welchen wir den iudicia in curia begegnen,
von diesem Jahre angèfangen fast ausschliesslich nur in
Krakau. Am Ende des XIV. und in der ersten Hâlfte des
XV. Jahrhunderts sind die Kônigsgerichte recht selten und
dauern jâhrlich hochstens einige Tage. Von dieser Zeit an
werden sie humer hâufiger. So dauern sie im Jahre 1471
durch 73, im J. 1472 duch 65 Tage. Dies geschab infolge
der Erweiterung der Competenz des Kônigsgerichtes und ver-
ursachte den gânzlichen Verfall der Colloquien. Am Kônigs-
gerichte nehmen der Kônig, die Assessoren und das Tribunal
des Landgerichtes, d. i. der Richter und der Unterrichter. theil.
Vom XV. Jh. angèfangen werden die Acten des Konigs-
396 RÉSUMÉS
périclites im Namen der beiden letztgenannten herausgegebeir
In der Regel miissen sie anweseni sein, oder sie werden je-
desmal durch andere Personen ersetzt. Sie leiten das Vertahren.
Die Zusammensetzung der Assessoren hângt vom Willen des
Konigs ab nnd ist sehr verschieden. Gewohnlich sind es mehrere
Staats- und Landbeamten. doch nicht selten auch nur gewohn-
liche Ritter. Endlich nimmt am Gericht auch der Konig theil.
Er ist zwar anwesend, doch fiïhrt er nicht den Vorsitz. Es vvâre
unrichtig zu glauben, dass er imraer dem Gerichte beiwohnt.
Das geschieht nur ausnahmsweise. Gewohnlich sind es die Asses-
soren. die dem Gericht vorsitzen. Ihnen steht zu die Erledigung
der Streitangelegenheiten. Wenn wir die Falle der Anwesenheit
des Konigs beiseite lassen. dann stellen sich die iudicia in
curia als Commissargeric-hte dar. die dadurch charakterisiert
werden. dass sie am Hofe und mit Zuziehung des Richters
und Unterrichters urtheilen. Nur einmal kommt es vor. dass
das Gericht in curia nicht am Hofe des Konigs. doch auf
seinen speciellen Befehl gehalten wird. Eben darin liegt die
Bedeutung dieser Gerichte, dass sie am Hofe des Konigs tagen
und in jeder wichtigeren Sache sich an ihn um Rath (inter-
rogatio) wenden konnen.
C) In aussergewôhnlichen Zeiten treten auch ausserordent-
liche Gerichte auf. deren Existenz in den beztiglichen Ver-
hâltnissen begriindet erscheint. Zu diesen Gerichten gehoren:
1) das Gericht der tutores, die fur die Wojwodschaft Krakau
auf die Dauer der Unmundigkeit Vladislav des J II. ernannt
wurden. Von diesem Gerichte wissen wir sehr wenig. 2) Das
Gericht des Stellvertreters des Konigs , als der obengenannte
Konig nach Ungarn zog. Er besitzt dieselbe Gewalt, die der
Konig hat. doch nur fiir Kleinpolen. Er hait auch die Ge-
richte in curia. Zur Ausiibung der Rechtspflege zieht er den
Richter und den Unterrichter zu.
D) Commissârgerichte. Sie kommen recht oft vor. Cha-
rakteristisch fiir sie ist es, dass sie ganz dem Willen des Ko-
nigs gemàss ins Leben gerufen und besetzt werden , in der
Regel nur fiir eine speciell bestimmte Rechtssache. Wir ken-
RÉSUMftS 397
nen nur drei Ausnalmien und zwar: 1) Laut den Niesza-
wer-Statuten muss der Konig fiir jede, zwischeu den kôni-
glichen und den Rittergutern vorkominende Streitangelegen-
heit, specielle Commissâre ernennen. 2) Nach dem Moldauer
Feldzug vom J. 1497 ernennt der Konig Commissâre fur
die Proeesse wegen der confiscierten und den Anzeigern ge-
schenkten Gtiter, abgesondert fur jeden Beschenkten. 3) Nacli
flem Statut vom J. 1447 sollten den Commissargerichten die
Streitsachen, betreffend die rechtswidrigen Zollerpressungen. zu-
gewiesen werden. Doch wissen wir nicht. ob dièse Verordnung
durchgefuhrt wurde.
E) Die Gerichtsdiener. Sie sind gemeinschaftlicb fur die
Land- und Grodgerichte bestellt. Ibre Ernennung stebt dem
Wojwoden zu, der sie fur die Gericbte aller Bezirke auswàblt.
Der Gerichtsdiener muss durch den Wojwoden beeidet und
durcb ibn geschoren (tonsus) werden. Die Tonsur ist ibr Merk-
mal. Zur Aushilfe suchen sie sicb Leute aus , die jedocb
niebt geschoren werden Erst spâter (doch vor dem J. 1445)
wird eine andere Organisation der Gerichtsdiener durchgefuhrt.
An ihre Spitze tritt der Obergerichtsdiener (senior) , dem
die anderen untergeordnet sind, sowohl die geschorenen als
die ungeschorenen. Die wicbtigste Befugnis des Seniors ist die,
dass nur der Wojwode oder er dare potestatem citandi berechtigt
sei. Obgleich sie zu den familiares des Wojwoden zâhlen, be-
sitzen sie in der Gerichtspraxis eine recht grosse Bedeutung.
Schluss. So stellt sicb die Gericlitsorganisation der Kra-
kauer Wqjwodscbaft dar. Die charakteristischen Merkmale sind
folgende: 1) die Trennung der Gerichte in Land- und Grod-
gerichte. 2) die Theilnahme an den Gerichten der Assessoren,
die neben dem Tribunal sitzen. 3) Das Recht der Ernennung
der Stellvertreter, das den an der Recbtspflege theilnehmenden
Personen zusteht, so dass auf die 4 vom Konig ernannten Per-
sonen (der Richter, der Unterrichter, der Schreiber, der Starost)
14 Personen kommen, die durch dièse vier bestellt werden.
Durch dièse ganze Zeit unterliegt die Gerichtsorganisation
keinen gewaltsamen Veranderungen. Die wichtigste besteht in
398 RÉSUMKft
dem Verfall der Colloquien und in der Starkung der Konigs-
gerichte.
54. — L. Wkuiôkski. 0 kondensacyi glyoksalu z aldehydem benzoesowym
za pomoca amoniaku. (Veber die Condensation eon Qlyoxal
und Benzaldehyd mit Atnoniah). Vorgelegt am 10. December
1900.
Darch Einwirkung vom Amoniak auf Glyoxal und Benz-
aldehyd in wàsseriger Losung (auf einen gnn. Benzaldehyd
300 gnn. Wasser) wurde vom genannten Autor [/.-feniloglyo-
xalin dargestellt und zwar in H0°/„ der theoretischen Ausbeute.
Bei der Darstellung der Base wurde die Beobachtung gemacht,
dass bei Einwirkung vom gasformigen Amoniak auf alkoho-
lische Losung von Glyoxal und Benzaldehyd sich kauptsachlioh
Hydrobenzamid, Glyoxalin. Glykozin (C6HgN4) und grossere
Mengen von liarzartigen Producten bilden, y. -feniloglyoxalin
dagegen wurde nur spurenweise aufgefunden. Die Reaction
verlauft nach folgendem Schéma:
R.CO RiC — N
+ R, COH + 2NH3 = /C— R2 +3H20.
RiCO RjC — NH
Die Base, umkrystallisiert aus sehr verdiinntem Alkohol,
bildet weisse glânzende Schuppen oder Nadeln, die im Alkohol
ungemein leicht, in Aetlier oder Benzol etwas schwerer loslich
sind, und deren Schmelzpunkt constant bei 148° liegt.
Mit Sâuren bildet die Base leicht Salze von denen Salz-
sâuressalz und SchwefeUàure.ssalz naher untersucht wurden.
Salzsauressalz aus Wasser umkrystallisiert bildet lange weisse
Nadeln ohne Krystallwasser vom Schmp. t)7.5° — 68°. Sehwefel-
sauressalz besitzt den Schmp. bei 186° — 187°; beide sind in
Wasser und Alkohol loslich.
Platinchloriddoppelsalz krystallisiert aus heissem Wasser
in schonen orang-gelben Nadeln.
RÉSUMES 399
Die Oxalinbasen wurden nach der allgemeincn Méthode
erhalten und zwar, die [/..-feniloglyoxalin wurde einige Stunden
mit Jod- oder Bromalkyl bis 100° erwârmt, das Additionspro-
duct mit Kalihydrat behandelt, mit Alkohol-aether ausgezogen
und franktioniert.
(jx)-fenilo(n) metyloglyoxalin ist eine olige narkotisch rie-
chende Flûssigkeit, unloslich in Wasser, leicht lôslich in Alkoliol.
a-fenilo(n) aetyloglyoxalin aucli eine olige unangenehm
karbylaminartig riechende Flûssigkeit in Wasser unloslich, in
Alkohol lôslich. Siedet bei 300 — 305°. Ihr specitisches Gewicht
bei 18°= 1-0522 Molekuiarrefraction 54'49 (theoretische 54 75).
Beide dièse Oxalinbasen geben leicht Platinehloriddoppel-
salze, die im kalten Wasser unloslich, im heissen ziemlich
lôslich sind.
Ans heisseiu Wasser umkrystallisiert konen in schonen
orang-gelben Nadeln erhalten werden.
Durch Synthèse der ;x-feniloglyoxalin wurde die Glyoxa-
linbildung nach der bekannten Reaktion (die Radziszewski
autklarte 1882) auf gemisehte Glyoxaline erstreckt. Es wurde
gezeigt, dass der einfachste alifatische ac-diketon, mit aroma-
tischem Aldehyd und Amoniak sich zu condensieren imstan-
de ist.
55. B. Znatowicz. 0 dzialaniu azotynu srebrowego na pochotlne ehlorow-
cowe cial aromatycznych. (Ueber die Eimvirkung von Silbemi-
trit auf die aromatischen Halogensubstitutionsproducte).
Voigelegt am 10. December 1900.
Der Verfasser weist auf Grund zahlreicher Expérimente
nach, dass 1) die Vertretung eines Halogens durch die Nitro-
gruppe bei der Einwirkung von AgN02 auf die im aromati-
schen Kern halogenisirten Korper im Allgeineinen zu Stande
kommt: 2) unter den Halogenen wird Jod am leichtesten, Chlor
dagegen am schwierigsten substituirt ; 3) Benzolderivate, welche
sowohl Halogène als auch andere Gruppen als Substituenten
400
enthalten z. B. Chlorphenoie, zeigen Silbernitrit gegeniiber eine
grossere Reactionst'iihigkeit : 4) Silbernitrit reagirt in manchen
Fâllen oxvdirend. namentlich in Temperaturen. bei welchen er
in Silber und Stichstofloxyde zerlegt wird.
56. — R. Gdtwinski. Additamenta ad floram algarum Indiae Batavorum cogno-
scendam. Algae a cl. Dre M. Raciborski in montibus Vulcaniis: Kra-
katau et Slamat anno 1897 collectae. (Una cum tabula) Vorgelegt ara
10. December 19UU.
Obwohl an der Erforscliung der Algenflora von Nieder-
lândisch-Indien nicht wenige Algologen betheiligt waren. sind
die Algen der beissen Quellen „Goetji" ara nordlichen Ab-
hange des Vnlkanberges Slamat ca. 1100 m il. d. M. bis jetzt
gânzlieli nnbekannt geblieben nnd die der Insel Krakatau
nur hochst niangelhaft erforscht worden.
Im J. 1 897 d. 17. Mârz machte Dr. M. Raciborski einen
Ausflug nach Krakatau Die Algenproben. welche er dort ge-
samraelt und dem Verfasser zur Bearbeitung im troekenen Zu-
stande iibersandt liatte. ergaben — nach einer muhevollen
Priifung — nur 11 Speeies. so dass sie mit den von Treub
friilier angegebenen die Zabi 14 ausmachen. Die so geringe
Anzabl der Algenspecies, bestebt fast vorwiegend aus den
kosmopolitischen Arten. was leicbt begreiflicb erscheint, wenn
man bedenkt. dass vor 14 Jahren die ganze Végétation der
Insel durch den Ausbrucb vernichtet wurde und jetzt von
neuem einwandert. Dièse Einwanderung tindet aus Java und
Sumatra statt. desbalb raiissen die ersten Pioniere der Végé-
tation zuin Ertragen der scbwierigsten Verbaltnisse ganz gut
angepasst sein und das sind eben die als bestimmt Cosmopo-
liten bekannte Arten. Vergleicbt man aber die Zahl der bis
heuer eingewanderten hoberen Pflanzen (efr. M. Raciborski.
Krakatau, in „Wszecbéwiata Warscbau 1898, mit der der
Algen 30 «-rscheint die zuletztgenannte ausserst gering.
401
Dièse Thatsaehe sucht der Verfasser durch dièse Ver-
muthung zu rechtfertigen. dass die Sumpf- und Wasser-Vogel
aus Java und Sumatra sellen Krakatau besuchen, die Algen
also theils mit Hilfe des Win des, theils auf den Fruchten der
hôheren Pflanzen und auf de?i Baumstâmmen die Fluten des —
dièse Insein trennenden Meeres passieren.
Was die Algenflora von Goetji anbelangt, so sei hier
hervorgehoben. dass sie gânzlieh unbekannt war. Die Proben
wurden von Raciborski theils an den Felswânden, die mit
heissem Dampf fortwâhrend bespritzt werden, theils aber im
warmen Wasser neben der heissen Quelle gesammelt, weil er
in das Innere der Grotte des heissen Dampfes wegen nicht
hineindringen konnte.
Die Durchpriifung der genannten Proben ergab 91 Arten.
Unter ihnen gibt es: Gladophora Raciborskii, Scenedesmus co-
status p De Wtldemanii, Schizostauron Treubii, Scytonema Go-
montii und Glaucocystis nostochinearum var. Mobiï, die zum
ersten Mal vom Verfasser entdeckt sind und deshalb lateinisch
besehrieben und auf einer Tafel abgebildet wurden.
Als besonders intéressant erscheint dem Verfasser das
Vorkommen folgender Species. die als Einwohner der kalten
Gewasser oder der nodliehen Regionen bekannt. — in der
Flora Goetji's und zwar in Gesellschaft der ausgeprâgt tropi-
schen Arten, wie der: Hydrosera triquetra und Melosira un-
dulata auftreten. Es sind: Hildenbrandtia ricu/arù. Rhizoclonium
pachydermum f. norvegicwm. Scenedesmus costatus. Coelastrum
Bohlinîi, Tetmemorus granulatus und Diatomella Balfouriana.
Dièse Species kommen in Goetji in Formen vor. welche gânz-
lieh mit den bei uns oder im weiten Norden gesammelten
Formen identisch sind. Dièse Thatsaehe seheint dem Verfasser
fiir den Cosmopolitismus der Algen zu sprechen.
Der systematischen Aufzàhlung I der Algen von Kra-
k«tau, Il von Goetji tolgt eine kurze Zusammenfassung der
Resultate. Es zeigt sieh daraus, dass durch die Arbeit des Ver-
fassers die Gesammtanzahl der in Niederlândisch- Indien be-
402 RESUMES
kannten Algenarten zu 167 i und die der javanischen zu 810
herangewaehsen ist.
Die iiir die Algenflora von ganz N. -Indien neuen Species
werden in der Abhandlung mit einem -f- Zeichen und die
neuen fiir Java's Flora mil ^ Zeichen ersichtlich gemacht.
ô7. — J. Tbzebinski. Flora lasôw garwoliriskich i sasiednich okolic. (Flora
der Walder von Garwolin und ihrer Umgebung). (Berichte
der physiographischen Coramision, Bd. o4).
Verf. sebildert die Flora des zwisehen Garwolin und
der Eisenbahnstation Pilavva gelegenen Theiles des Bezirkes
von Garwolin (Gouv. Siedlce im KOnigr. Polen). Die Zabi der
vom Verf. gesammelten Arten betragt 599: 11 Gef&sskrypto-
gamen, 4 Gymnospermen, 109 Mono- und 415 Dieotyledoneen.
Die am stârksten vertretenen Familien sind: unter den Mono-
eotyledoneen die Gramineen (8°/0) und Cyperaceen (4%), unter
den Dieotyledoneen die Gompositen (10%), Papilionaceen (6°/0
und Labiaten (5%). Einjâhrige Arten - der Mebrzahl nacb
dem bebauten Lande und sandigen Standorten eigen — bilden
9% der Monocotyledoneen (ausschliesslich Grauiineen) und
25% der Dieotyledoneen.
Verf. untersebeidet in dem bebandelten Gebiete folgende
Pflanzenvereine: l) Xerophytische Flora, besonders stark ent-
wickelt in der Umgegend der Dorter: Trzeianka. Wilga. Cy-
ganôwka und Celejôw. Calluna vulgarîs Salisb., Arctostapltylos
Uva ursi Spr. und Thymus Serpyllum L. bedecken hautig
grosse Streeken. Auf fast reinem Sande wacbsen ktimmerlich
Corynephorns canescens Beauv. und Panicum glabrum Gaud.
2) Flora der bebauten Felder und Gàrten. Von den 50 cha-
rakteristiscben Arten sind 40 einjâhrige Pflanzen. 3) Arten —
vorwiegend Stauden — . welche besonders gern an Rainen,
Wegen, bei Hecken und Gebâuden auftreten. 4) Wiesenflora
mit 52 charakter. Arten. darunter 20 Monocotyledoneen. 5)
403
Flora der Moorwiesen und Siimpfe, vorwiegend darch Carex-
und Juncus-Arten gekennzeiehnet. mit 52 charakter. Arten.
6) Hydrophyten-Flora (Flora des Wilga-Flusses und der Grâ-
ben) mit 20 charakter. Arten. 7) Waldflora. mit theils xero-
phytischem (Kieferwâlder auf Sandboden), theils mesophytischem
(Hainbuchenwàlder). theils helophytischem Charakter Wald-
siimpfe mit Sphagnum, Erlenbrûehe an den Wilga-Ufern).
Als seltene Arten in dem Gebiete wàren hervorzuheben :
Brachy podium silvaticum R. et Seh., Carex brizoides L.. G.
praecox Jacq., IÀlium Martagon L.. Cepholanthera ensifolia
Rchnb.. Vaccaria parviflom Mnch., Thalictrum fiavum L., Th.
aquilegifolium L . TroUius europaeus L., Ranunculus cassùbicus
L.. Carydalù solida Lm.. Potentilla norvégien L.. Orobus lae-
vigatus DC, Peplis Portula L., Lysimachia thyrsifiora L.. Ga-
lium vemum Scop.. Phyteuma spicatum L.. Valeriana sambu-
cifolin Mik., Artemisia austriaca Jacq. eingeschleppt).
58. — F. Schili.k. Fauna lepidopterologiczna doliny Popradu i jego dopJywôw.
Czesc III. (Lepidopterenfauna in den ThiUern eont Poprad
und dessert Zuflussen. III TJieil). (Berichte der physiographi-
schen Commission, Band 34).
Seine miorolepidopterologischen Forschungen im Auftrage
der physiographischen Commission lortsetzend. tand Vert", fol-
gende 49 fiir das Popradthal und die Umgebung neue Arten:
Pyralidina: Botys rubiginalis Hb., Eurycreon sticticalis
L., Pempelia obductella F. R.. P. ornâtella Schiff.. Hypochalcia
ahenella Zk..
Tortricina: Rhacodia eaudana F. S., Teras aspersana
Hb -, Tortrix viburniana F., T. bifasciana Hb. Cochylis curvi-
strigana Wlk., C. ambiguella Hb. . C. notulella Z. . Lobesia
permixtana Hb.. (rrapholitha solandiiana L., Steganoptycha
neglectana Dup.,
Tineina: Choreutis Bjerkandrella Thnb., Tinea arcella F.
Cm., T. argentimaculella Stt., Lampronia praelatella Schiff.,
4<>4
Ochsenheimeria vaculella F. R., Argyresthia semitestacella Curt..
A. nitidella F., A. pygmaeella Hb.. A. aurulentella Stt., De-
pressaria Alstroemeriana CL, D. arenella Schiff, Gelechia sco-
tinella H. S., Lita psilella H. S., Teleia tri par el la Z., Taehy-
ptylia populella Cl.. Coleophora fuseedinella Z.. C. limosipen-
nella Dup., C. eurrucipennella Z., C. ornatipennella Hb..
Gracilaria rutipennella Hb.. Ornix fagivora Stt.. O. anglicella
Stt.. Laverna propinquella Stt.. Elachista subnigrella DgL E.
festucicolella Z ., E. rufocinerea Hw.. Lithocolletis Amyotella
Dup.. L. sylvella Hw.. L. coryli Nicelli, Lyonetia Clerkella
L. and var. aereella Fr.. Bucculatrix nigricomella Z.,
Pterophorina : Oxyptilus parvidactylus Hw.. Leioptilus bra-
chvdactylus Fr.
59. — J. Paczoski. Spis roslin zebranych na Podolu, w poJnocnej Bessarabii
i kolo Zdolbunowa na Wolyniu. (Verzeichnis der in Podolien, im
nordlichen JBessarabien und bei Zdotbunéw in \olhy-
nien gesammelten Pflanzen). (Berichte der physiographischen
Commission. Band 84).
Verf. fiihrt 753 Arten von Phanerogamen auf. welehe
von ihm in den in der Aufschrift genannten Gegenden ge-
sammelt wurden. Unter denselben verdienen die folgenden
hervorgehoben zu werden.
Diauthus Borbasii Wandas diutinus Auct. fl. ross. nec
Kit (die Kitaibel'sche Art ist mit D. polymorphits MB. iden-
tischl); Silène Thyraica n. sp., der <S nemoralis \V. K. âhnlich,
aber mit viertheiligen Blumenblattern, Ataki in Bessarabien.
ein Exemplar im Gebiisch an dem hohen Dniestr-Ufer; La-
thyrus hirsutus L., Felder bei Nowosieliea in Bessarabien ;
Saxifraga Hirculus L.. Szarki in Podolien; Bu pleurum affine
Sadl.. Nowosieliea; Foeniculum offiicinale Ail., in ungeheuerer
Anzahl als Unkraut auf Feldern zwischen Nowosieliea und
Chotim (Bessarabien); Galium vernum Scop.. Okuica, in einem
Eichenwalde (neu tiir Bessarabien); Bellis perennis L.. spontan
RÉSUMÉS 405
ara Pruth und Dniestr bei Nowosielica und Chotim neu fiir
Bessarabien); Garlina simplex W K., Szarki. Kryniczne in
Podolien; Veronica orchidea Crantz , gemein in Podolien und
im nordlichen Bessarabien, fruher von V. spicata L. nicht un-
terschieden; Mentha Pulegium L... Dniestrufer bei Zwaniec in
Podolien; Marrubium prnecox Janka . Mohilew in Podolien;
Lamium album L. , im Gebiisch bei Ataki und Chotim am
Dniestr (neu fiir Bessarabien); Ajuga Ghia Schreb., Kamieniec,
Mohilew: es ist die wahre Ghia, und nicht A. Chamaepitys
Schreb., wie von Einigen angenommen wird : Euphorbio an-
gulata Jacq., im Gebiisch am Dniestr bei Chotim. Eichenwald
bei Oknica (neu fur Bessarabien); E. Gerardiana Jacq. , ZdoJ-
bunôw; Betula pubescens Ehrh., Szarki in Podolien; Ornitho-
g aluni umbellatum L. typicum!, Bendery in Bessarabien. In Siid-
russland wâchst das sehr nahe 0. tenuifolium Guss. , welches
fruher irrthumlich als 0. umbellatum aufgefiihrt vvurde; das
wahre umbellatum wird hiermit zum ersten Maie fiir Siidruss-
land festgestellt. Tulipa silvestris L. typica , bei Delakeu im
Gebiisch am Dniestr; Garex kumilis Leysser, Zdoibunôw.
60. — S. Klemensiewicz. 0 nowych i malo znanych gatunkach motyli fauny gali-
cyjskiej. Przyczynek pierwszy. fUeber neue und wenig bekannte
Liepidopterenarten der galizischen Fauna. Eè'ster Beitrag).
Beiichte der physiographischen Commission, Band 34-).
Verfasser berichtet in diesem Aufsatze. der als erste Fort-
setzung seiner gleich betitelten . im B. XXXIII der Berichte
der phys. Coin, ersehienenen Arbeit zu betrachten ist, ûber
weitere, faunistisch wichtigere Lepidopterenfunde ans Galizien,
wobei viele, biologisch intéressante Détails besprochen werden.
Die Zahl der bisher im Gebiete aufgefundenen Schmetterlings-
formen betrâgt 2439, wovon 305 Varietâten und Aberrationen.
Neu fiir Galizien sind folgende Arten:
Dasychira Fascelina L. ab. Laricis Schille, eine albini-
stische Form, gezogen 1898. in Rytro aus Raupen, die ab ovo
t06 RÉSUMÉS
mit Larixblâttern gefuttert wurden ; Rhyparia Melanaria L.
aus Brody; Boarmia Repandata L. ab. Déstrigaria Hw. ex l.
in Lemberg; Minoa Murinota Se. ah. Monochroaria H. S.; 67-
daria Anseraria H. S.; Eupithecia spec. , eine der Pumilata
Hb. nahe stehende, in vielen Exemplaren. M il te April bei
Brody aufgefundene Form, mit der Diagnose: nAlae cinereo-
albidae, tribus striais geminatis^ lineaque submarginali acute
dentata dilutioribus, spatiis inter strigam exteriorem et lineam
submarginalem. anteriores etiam inter strigam inferiorem et me-
diam fulvescentibus \ costis infra strigam exteriorem nigris. SStriga
exteriore alar. anter. in cellula 3 fracta et a Umbo recedenti.
in costa 6 pauUulum recurvata : linea limbali alarum interrupta,
ciliis variegatis. Long. al. ant. !> — 10 mm.\ Botys Gespitalis
Schiff. S. V. v. Inter mediatis Dup.; Alispa Angustella Bb. bei
Brody; Teras Proteana H. S. bei Lemberg; Tortri r (Jhondril-
lana H. S. entdeckt Mitte August 1896 auf dem Brodyer
Friedhofe, neu fur Oesterreicb-Ungarn; T. Strigana Hb. ab.
Stramineana H. S. ; Coc/rglis Udana Gn. und G. Moguntiana
Roessl., beide aus Brody; Phtheoehroa Amandana H. S. ver-
.scheucht aus einem Berberisstraucb bei Lemberg; Grapholitha
Foenella L. nov. ab. Unicolorana. ^macula alba marginis in-
terioris infuscatau, angeflogen zur Lampe in Brody, Mitte Au-
gust 1898; Phoxopteryx Complana Froel.; Bickrorampha Dis-
tinctana Hein.; Incurvario Fascatella Tgstr.. neu fur die oster.
ungar. Monarchie, aufgefunden bei Lemberg Ende Mai 1 896 ;
Acrolepia Assectella Z. bei Brody und Lemberg; Depressaria
Petasitis Stdfs. aus den Gebirgen Rytros; Lita Maculiferella
l)gl. bei Lemberg; Goriscium Brongniardellum F. nov. ab.
Disconigrellum, ^Alis anter. disco a basi ad striolam antiapi-
calem nigris. margine interiore unicolore dilute ochraceo-fusco" .
entdeckt bei Lemberg ain 2. October 1897: Ornix Scutulatella
Stt. ; Coleophora Ochripennella Z. bei Lemberg als Raupe jedes
Jahr bautig; ('. Olivacella Stt. ex. I.. Ledi Stt und Otitae Z.
bei Lemberg; G. Bianthi H. S. aus Brody; Laverna Laspey-
rella Hb. in Laubwâldern bei Lemberg; Aechmia Dêntella Z.
uni Lemberg; Heliozela Stanneella F. R. bei Lemberg und
RÉSUMÉS 407
Brody; Elachista Stabilella Frey. aus Neu-Sandez; Lithocolletis
Geniculella Ragonot, in Lemberger Gftrten im Friihjahr recht
hâufig; L. Insignitella Z. in Brody; L. Oxyacanthae Frey. und
Ooryli Nicell. bei Lemberg; Bucculatrix Fatigatella nov. var.
Obscurella. mit der Diagnose ^Alae anteriores nigro-fuscae,
macidis quatuor oppositis albis^ quorum duae costales oblitéra-
tae. duae dorsales arcum supra interrupturn efficientes, macu-
lamque nigram includentes, anqulo posteriore albido : cilhs ci-
nereis^ ante lineam dividentem nigram albis. Long, alae anter.
4 mm.", eine mit Fatigatella verwandte. doch moglicherweise
neue Art, ersclieint in zwei Gênera tionen, in den Gebirgsebe-
nen West Galiziens; B. Artemisiae H. S. sammt ab. Ratisbo-
nensis Stt. bei Lemberg und Brody; Nepticula Marginicolella
Stt. aus Lemberg; N. Sericopeza Z. ex l. in Lemberg; Oxyp-
tilus Teucrii Jordan, weit verbreitet im Gebiete (Neu-Sandez,
Lemberg). doch selten ; Mimaesoptilus Aridus Z.. gefangen bei
Lemberg. am 3. October 1896.
61. — A. Wiîoblewskj. 0 wplywie fosforanôw na dziatanie fermentacyjne
soku wycisnietego z drozdzy i o kwasach fosforowych sprzezonych,
oraz kilka uwag o znaczeniu jakie posiada kwas fcsforowy w przy-
rodzie ozywionej. (De l'influence des phosphates sur l'action
fe rmentative du jus exprimé de la levure; des acides
phosphoriques complexes, ainsi que quelques remarques
sur le rôle de l'acide phosphoriqae dans la nature ani-
mée). Présenté le 10 décembre 1900.
1. L'influence des phosphates sur l'action fermeiitative du jus
de levure.
Pendant ses recherches sur le jus exprimé des levures de
bière l'auteur observa que la présence des phosphates favori-
sait . la fermentation. 11 entreprit les expériences qui suivent
pour éclaircir le mode d'action de ces sels.
4< 18 RÉSUMES
Les levures qui servirent à cette série de recherches^
ainsi qu'à la série précédente r), étaient de culture pure. Les
épreuves de comparaison furent faites comme précédemment
dans des éprouvettes à fermentation, à volumes égaux et à hau-
teurs égales. L'acide carbonique qui se dégageait pendant la
fermentation s'accumulait dans la partie recourbée de léprou-
vette. ce qui permettait de comparer les volumes de gaz dans
les épreuves parallèles. Ces expériences n'étaient pas assez
strictes pour donner lieu à des estimations quantitatives, car
une partie du gaz échappait par la branche courte de l'éprou-
vette. Néanmoins elles étaient suffisantes pour décider si l'action
fermentative était plus ou moins intense. En réalité le volume
observé était toujours moindre que le volume dégagé; mais
comme la perte était d'autant plus considérable que la fermen-
tation gagnait en intensité, l'erreur ne contribuait qu'à amoin-
drir les différences qui sans cela auraient donné plus de netteté
aux résultats.
On commence par comparer l'influence des phosphates
avec celles d'autres sels. L'auteur avait déjà constaté que l'ad-
dition de l°/0 de chlorure de sodium ou de nitrate de potasse
affaiblit la fermentation et que la présence de 1 V2 % ^e ces
sels suffit presque pour l1 arrête!-. Le sulfate d'ammoniaque
agissait avec plus d'intensité encore 2). Il recommença ces expé-
riences avec une exactitude plus grande en les étendant sur
d'autres sels. Les tables ci-jointes offrent les résultats obtenus
avec le chlorure de sodium, le sulfate de magnésie, le nitrate
de potasse et le sulfate de soude (Table I) en comparaison
avec les phosphates (Tables TT et IIJ).
*) A. Wrôblewski. Ueber den Buchner1 sehen H efep resssaf t
„Centralblatt fiir Physiologie", 1S99, Heft 12.
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méros des places qu'occupe chaque éprouvette quand elles sont disposées
dans une série selon la quantité de l'acide carbonique qu'elles contiennent;
la première est celle qui en contient le plus.
Bulletin X. 3
410 RÉSUMÉS
Table II.
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riences parallèles; la deuxième de même; la troisième — trois
séries. Une portion à part du jus était prise pour chaque série.
Les observations furent faites 6 heures après le commencement
de T expérience qui se produisait dans un thermostate à
28—80° C1).
') La même remarque s'applique aux tables suivantes.
3*
412 RÉSUMÉS
En considérant la table I on aperçoit que l'addition de
t°/0 ou à peu près des sels en umérés affaiblit la fermentation;
que ^/g0/,, ou à peu près des mêmes sels suffisent pour l'ar-
rêter, tandis que des quantités inférieures des mêmes sels (ex-
cepté le sulfate de soude) — de 0,3 à 0,6% — faisaient
quelque peu ce procès. Le sulfate de soude agit défavora-
blement, même quand sa proportion ne dépasse pas 0,3%.
Les phosphates se comportent autrement. L'optimum pour
les phosphates dibasiques (Na2HP04) correspond à peu près à
1,25%; pour les monobasiques (NaH2P04) à 1% du sel. La
fermentation était encore assez intense dans la plupart des cas,
quand le contenu des phosphates montait à 2,5%. On remarqua
que les phosphates dibasiques favorisaient la fermentation à un
degré supérieur que les monobasiques. Tandis que l'addition
d'autres sels n'augmente pas la quantité absolue de l'acide car-
bonique dégagé d'une manière considérable en comparaison
avec l'expérience de contrôle, dans les cas où ce sont des phos-
phates, elle devient triple ou quadruple; leur action peut donc
être considérée comme spécifique. Quand on prenait les parties
égales de phosphates monobasiques et dibasiques et que l'on
calculait le contenu pour la quantité totale des phosphates,
l'optimum correspondait à un contenu supérieur à 2%. Quand
le contenu des phosphates montait à 4% un précipité se for-
mait et la fermentation n'avait plus lieu.
Puisque les phosphates ajoutés au liquide manifestaient
une influence sur la fermentation, il est évident que ceux qui
étaient contenus dans le jus naturel devaient agir de même.
Cette influence se fait observer quand on compare l'action des
phosphates avec celle des acides et des alcalis.
Les expériences antérieures démontrèrent que l'addition
de l'hydrate de soude en quantité supérieure à 0,25% empê-
chait la fermentation de se produire. L'auteur remarqua que
les quantités inférieures de cet alcali ne sont pas défavorables
à la fermentation, ne produisent pas de précipité et ne changent
pas la réaction double du jus. Mais si la quantité de l'alcali
augmente, la réaction devient alcalique et un précipité gélati-
RESUMES
413
neux est formé. Les expériences concernant ce sujet renou-
velées avec plus d'exactitude sont résumées dans la table IV,
où elles forment trois séries parallèles.
Table IV.
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drate de soude, le mieux 0,02—0,03% augmentent l'énergie fer-
mentative du jus; cette augmentation devient de plus en plus
faible à mesure que la proportion de l'alcali augmente, mais elle
est encore perceptible à 0,1 °/0 de NaOH. Depuis ce moment
l'addition de l'alcali est défavorable à la fermentation qui est
complètement réprimée à 0,2%. L'apparition du précipité géla-
tineux correspond au moment où la fermentation est arrêtée.
Pour étudier l'influence de petites quantités d'acides, l'au-
teur fit trois séries d'expériences qui se trouvent résumées
dans la table V.
(Voir p. 415)
On y remarque que les acides chlorhydriques et acétiques,
ajoutés au jus en quantités minimes et lors même qu'ils ne
produisent pas de précipité, diminuent pourtant son activité: ce
qui prouve que les acides sont plus défavorables à la fermen-
tation que les alcalis.
Les expériences résumées dans les tables IV et V sem-
blent prouver que l'addition de l'alcali ou de l'acide n'arrête
la fermentation qu'à la concentration qui occasionne la préci-
pitation. Ce précipité est composé de phosphates dans les cas
d'alcalis; de substances albumineuses dans celui d'acides. La
supposition se présenta donc que les phosphates mono- et diba-
siques du jus pourraient avoir une fonction préservative : en
neutralisant les acides ou les alcalis ils empêcheraient la for-
mation des précipités et l'arrêt de la fermentation. Pour éluci-
der cette question, l' auteur entreprit des expériences où il
ajoutait des phosphates au suc en même temps que de l'hy-
drate de soude ou de l'acide chlorbydrique.
(Voir p. 416 et 417)
11 en résulta que l'action antifermeutative de l'hydrate
de soude était visiblement atténuée par l'addition des phosphates
(voyez table VI); l'addition de 0,5% de l'alcali en présence
des phosphates ne faisait qu'intensifier la fermentation; il en
fallait 1% pour l'arrêter. Le même fait fut observé dans le
cas d'acide chlorhydrique (voyez table VII); l'addition de 0,3%
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415
Table V.
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la disposition d'après l'énergie de fermentation était autre après une '/.,
heure qu après 6 h La première disposition correspondait à l'ordre suivant
(les nombres étant ceux de la 8 colonne de la table VI): 9. 8, 1, 3, 2 —
9 représentant la plus grande énergie de fermentation. Les éprouvettes
omises n'étaient pas prises en considération. On y voit que certains
échantillons qui commençaient par un^ fermentation très énergique finis-
RESUMES
417
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plètement la fermentation et occasionnait la fermentation d'un
précipité abondant ne faisait que l'intensifier en présence des phos-
phates.
Comme le jus exprimé de la levure contient une quan-
tité considérable de phosphates naturels, il faut admettre que
l'augmentation de cette quantité intensifie l'action de la zymaze
•et que sa diminution l'entrave. L'auteur avait antérieurement
établi l) que le délayement du suc par l'eau fait diminuer son
activité beaucoup plus rapidement que ne le ferait supposer
la proportion du liquide additionné en raison des phosphates,
et que l'action est complètement arrêtée quand le volume d'eau
saient par être moins actifs que les autres et vice versa. Comme on est
autorisé d'admettre que dans chaque éprouvette la fermentation croît d'abord
jusqu'à un certain maximum pour décroître ensuite jusqu'à zéro il s'en
suit que suivant les conditions . ce maximum est atteint, tantôt au com-
mencement, tantôt vers la fin de la réaction. Ce phénomène doit être pris
en considération lorsqu'on porte jugement suc les expériences de ce genre.
M Centvalblatt fur Physiologie 1. c.
418
est le multiple de celui du jus. Les expériences plus détaillées
sur ce sujet sont résumés dans la table VIII.
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On pourrait donc admettre d'après ce qui précède que la
diminution de l'activité est due à celle de la proportion des
') Dans cette colonne sont donnés les volumes de l'acide carbonique
observés après 2 h. L'expérience fut continuée depuis. On remarque que
les échantillons No 5, 6, 8, 9 ne fermentaient pas même après 12 h.
a) Les nombres de cette colonne ont été obtenus en prenant pour
nnité le contenu de 10,5 cm3 de jus dans 14 cm3 du liquide.
8) Les nombres de cette colonne sont calculés par rapport au volume
de l'acide carbonique dégagé dans l'échantillon No 1 considéré comme unité.
KRSUMKS
419
phosphates plutôt qu'à celle de la zymaze. Pour élucider cette
question Fauteur fit des expériences dans lesquelles il addition-
nait le jus, non avec de l'eau pure mais avec une solution de
phosphates, en sorte que la proportion de ces derniers restait
toujours la même. Malgré cette précaution, l'activité du jus
diminuait rapidement, à mesure qu'il devenait de plus en plus
délayé, et bientôt elle disparaissait totalement. Néanmoins l'in-
fluence favorable des phosphates se fit remarquer aussi dans
cette dernière série d'expériences.
La conséquence des expériences citées est donc que la pré-
sence des phosphates augmente l'activité de la zymaze; cette
influence n'est pas due à l'alcalinité des phosphates dibasiques,
puisque les phosphates monobasiques, à réaction acidique,
agissent de même; l'action du mélange de ces deux genres de
sels est encore plus intense. La même influence est produite
par les phosphates contenus dans le suc naturel, comme il s'en
suit de ce que l'addition de l'hydrate de soude au suc n'en-
trave pas la fermentation jusqu'à ce que les phosphates ne
soient précipités. Une fois cette limite dépassée, l'alcali arrête
la fermentation.
Le rôle préservatif de l'acide phosphorique.
La série d'expériences que nous venons d'exposer mène
à la conclusion que les phosphates à réaction double con-
tenus dans le jus de la levure mêlés à de petites quantités
d'alcali ou d'acide qui pourraient être ajoutées n'entravent
pas la fermentation. Ces phosphates qui se trouvent aussi dans
les cellules vivantes de la levure servent donc à garantir cette
importante fonction vitale — la respiration intramoléculaire —
de l'influence des bases ou des acides qui pourraient se former
dans la cellule ou l'attaquer du dehors. Les phosphates se com-
binant plus aisément avec des bases ou des acides qui peuvent
se former dans la cellule, que les substances albumineuses, les
ferments ou autres parties constitutives du protoplasma, doivent
420 KKSUmks
en général préserver les parties vivantes de la cellule contre
l'influence nuisible de l'alcalinité ou de l'acidité du suc cellulaire,
L'auteur constata la présence des phosphates mono- et
dibasiques dans beaucoup de jus à réaction double, tant végé-
taux qu'animaux; l'addition de petites quantités d'acide acétique
ou chlorhydrique. ainsi que d'hydrate de soude n'y produisait
aucun changement jusqu'à ce que la réaction restât double,
c'est-à-dire jusqu'à ce que les phosphates monobasiques et di-
basiques s'y trouvassent. Mais dès que la réaction devenait alca-
line les phosphates étaient précipités. Au contraire, si la réaction
était acidique, c'étaient les corps albumineux qui étaient pré-
cipités. Si l'on prend en considération que les phosphates accom-
pagnent toujours la matière vivante, que chaque pelotte de pro-
toplasma en contient une certaine quantité, et que dans la
majorité des cas ce sont des phosphates à réaction double,
nous devons convenir que le rôle de préservateurs est une des
fonctions de ces sels dans la nature vivante. Comme l'équilibre
chimique de la cellule est instable, les procès divers v ont lieu
l'un à côté de l'autre et dans des directions différentes; la ré-
action ne pourrait y être constante: elle deviendrait tantôt al-
calique tantôt acidique. La formation des précipités, l'arrêt des
fonctions importantes s'en suivraient et toute l'économie de la
cellule serait troublée. Les phosphates servent de régulateur
contre ces inconvénients; ils subissent eux-mêmes les influences
acidiques ou alcalines pour en préserver la cellule et pour y
soutenir le courant normal de la vie.
2. Acides phosphoriques complexes ; ).
Outre le rôle préservateur que joue l'acide phosphorique
sous forme des phosphates dans la cellule vivante il v en a
'_) L'auteur ne se dissimule pas que les observations communiquées dans
ce chapitre ne reposent pas sur des investigations consommées: il a la con-
science que les recherches des corps qu'il décrit ne sont qu'entamées. II est
pourtant pressé de faire cette communication à cause de la publication récente
de Posternak (Revue générale de botanique XII, p. 5) qui traite un sujet
très rapproché du sien ; travail dont l'auteur vient de prendre connaissance.
RÉSUMÉS 421
un autre qui lui appartient dans la chimie de la cellule à cause
de la facilité qu'il possède de former des sels doubles et de se
combiner avec des substances organiques, en produisant des
composés qui se décomposent aussi aisément qu'ils se forment.
C'est de ce genre de» combinaisons qu'il sera question dans
ce chapitre.
On sait que l'acide phosphorique est tribasique et que
parmi les trois groupes hydroxyliques il y en a deux qui
possèdent les propriétés acidiques, tandis que le troisième a le
caractère plutôt phénilique. Il peut former, outre des sels in-
organiques, des combinaisons avec des bases organiques et avec
des radicaux alcooliques, ainsi que des combinaisons avec di-
verses substances organiques. L'auteur expose quelques obser-
vations qui témoignent jusqu'à quel point ces acides phospho-
riques complexes sont répandus dans la nature organique.
a) Substance obtenue du jus de la levure. Dans
un article sur le suc exprimé de la levure (Voyez le Bul-
letin, Nov. 1898) l'auteur mentionna y avoir découvert une
substance organique contenant de la chaux et des quantités
considérables d'acide phosphorique. En renouvelant ces expé-
riences, il obtint, au moyen de l'appareil qu'il a décrit dans le
dernier Bulletin, la même substance sous forme de petits
cristaux lamineux (Fig. 1).
Fig. 1.
Cette fois-ci l'analyse n'y découvrit pas le soufre qui
dans les recherches antérieures provenait évidemment d'impu-
retés. La substance donna 25,8% de cendre, contenant beau-
coup de magnésie et d'acide phosphorique, moins de chaux et
de potasse. La quantité de substance obtenue était insuffisante
422 RÉSUMÉS
pour faire une analyse élémentaire et pour déterminer le carac-
tère de la substance qui entrait en combinaison avec l'acide
phosphorique pour former des sels acidiques. Il a été néan-
moins constaté qu'elle ne réagit pas comme les peptones, ni
ne réduit la liqueur de Fehling après l'ébullition avec l'acide
chlorhydrique. L'auteur n'a pas pu constater non plus si ce
corps était un dérivé ou non de l'acide oxy-métylo-phosphorique
décrit par Prosternak (1. c). Ce corps cristallin est très
peu soluble dans l'eau et dans l'alcool délayé; il est au con-
traire très soluble dans des acides déiayés; il est précipité par
1' ammoniaque. La solution acqueuse se troublait si l'on la
chauffait; elle ne redevenait que partiellement claire étant re-
froidie. Si l'on ajoutait à une solution de ce corps dans l'acide
acétique de l'alcali jusqu'il réaction double, et que l'on filtrât
pour séparer le liquide d'un précipité qui se formait pendant
cette opération, ce liquide, étant chauffé, donnait un précipité
qui disparaissait presque totalement après refroidissement. C'est
tout ce que l'auteur peut communiquer sur ce corps.
b) L' acide phosphorique complexe trouvé
dans le kéfir et dans le lait. Une substance analogue
fut observée par l'auteur pendant l'analyse du kéfir. il y a deux
ans1). Le filtrat séparé de la caséine ne contient plus de corps
albumineux. mais seulement des quantités considérables d'une
protéose dont l'auteur remet la description à une occasion pro-
chaine, ainsi que des quantités considérables de phosphates qui
étaient sans nul doute séparés de la caséine par le procès de
fermentation. Ce liquide se comporte d'une manière analogue à la
solution du corps précédemment décrit. Chauffé jusqu'à l'ébul-
lition (si la réaction est trop acidique, il faut la réduire préala-
blement, en ajoutant de l'alcali jusqu'à coloration double du
papier réactif) il forme un précipité granuleux, abondant qui
est dissous après refroidissement, en ne laissant qu'un trouble
1 L'auteur fut assisté dans ces recherches par M. Stepkowski: Il en
communiqua les résultats oralement à M. Bondzyiiski et à quelques-uns de
ses amis. Elles ont eu lieu il y a un an et demi.
RÉSUMÉS __ 423
peu considérable. Si l'on filtre le liquide pour l'en séparer et
qu'on le chauffe de nouveau, le précipité formé est dissous,
cette fois complètement. Il y a donc présence d'un corps plus
soluble à froid qu'à chaud. C'est une qualité commune à plu-
sieurs acides phosphefriques complexes, les sels de l'aeide-gly-
céro-phosphorique et oxy-métylo-phosphorique la partagent avec
le citrate et le butirate de chaux.
Le précipité qui se forme quand on chauffe le liquide
obtenu du kéfir contient, outre les phosphates de chaux et de
magnésie, une substance organique qui est très faible combinée
avec des phosphates et se laisse presque tout à fait diviser
par précipitation répétée ou par une ébullition longue. La com-
binaison mentionnée est précipitée par l'ammoniaque; l'acide
acétique la dissout en formant un liquide à réaction double.
Nous pouvons en conclure que le kéfir contient un acide phos-
phorique complexe préformé.
Cette substance contenait dans un cas 77,59% de cendre;
après 15 minutes d'ébullition avec de l'eau, le contenu de cen-
dre monta jusqu'à 79,60%. Une autre préparation de la même
substance contenait 75,6% de cendre, chiffre qui, après une
longue ébullition avec de l'eau, monta jusqu'à 80,75°/0. Après
décomposition complète dans un autoclave le résidu inorganique
contenait 53,33% CaO; 0.88% MgO et 44,29% Ps05. La
substance même ne contenait pas d'ammoniaque.
Le filtrat du lait caillé manifeste les mêmes phénomènes
que celui du kéfir, quoique beaucoup moins marqués et exi-
geant un traitement plus soigné. On peut les observer aussi
dans les produits de digestion de la caséine. Si l'on précipite
cette dernière en ajoutant du dorure de sodium au lait frais
et qu'on la soumette à la digestion peptique et triptique, on
trouve dans la liqueur obtenue un acide phosphorique com-
plexe. Le filtrat du lait frais, obtenu au moyen du filtre Cliam-
berland. en contient aussi quoique en quantité inférieure à celle
que l'on trouve dans le filtrat du kéfir. Le filtrat du lait ob-
tenu par ce moyen est un liquide parfaitement clair, de couleur
jaune-clair; il ne contient pas de caséine; quant à l'opalescine,
424 RÉSUMÉS
à l'albumine, leur présence dépend de la grandeur des pores
du filtre. Si ce dernier a été plusieurs fois employé dans ce
but. les pores en sont tellement obstrués que le filtrat ne con-
tient plus de substances albumineuses l). Etant mis en ébulli-
tion il forme un précipité assez abondant qui se dissout après
refroidissement en ne laissant qu'une légère opalescence; une
ébullition réitérée le fait reparaître. L'alcool le précipite à froid
et l'analyse prouve l'identité des substances obtenues par ces
deux moyens de précipitation. On en conclut que le lait frais
contient un acide phosphorique complexe préformé.
La présence de corps analogues a été prouvée dans beau-
coup de liquides organiques animaux et végétaux: dans l'urine 2)y
dans le suc exprimé du foie, des muscles, du cerveau; dans
le jus de la carotte, du chou etc. 8).
Le phénomène caractéristique que nous venons de décrire,
c'est à-dire la précipitation à chaud et la dissolution du préci-
pité à mesure du refroidissement, ne peut être considéré comme
prouvant la présence d'un acide phosphorique complexe que
lorsque l'analyse démontre que le précipité contient aussi des sub-
stances organiques outre l'acide phosphorique. En effet, le même
phénomène peut être produit par des phosphates inorganiques.
Si l'on dissout le phosphate double de magnésie et d'ammo-
niaque dans de l'acide acétique délayé, le liquide étant mis
en ébullition donne un précipité qui se dissout après refroidis-
sement. On peut répéter l' opération plusieurs fois : mais si
Tébullition dure longtemps, le précipité amorphe est transformé
') Si le lait frais contenait du penton. il devrait se trouver dans ce
filtrat. Comme il n'y en a pas, cette question, jusqu'à présent indécise, doit
être considérée résolue dans un sens négatif.
s) L'urine normale en contient des quantités minimes; dans les cas
pathologiques parfois des quantités considérables.
3) L'auteur les trouva aussi dans les grains, de froment indépendam-
ment de Posternak.
RÉSUMÉS 425
en phosphate double crislallique d'ammoniaque et de magnésie
qui n'est plus dissous à froid.
Si F on ajoute une solution de phosphate ammoniaco-
magnésique à celle du pepton obtenue par la méthode de
Kiihne, et que l'on cLj,aufFe ce mélange, il se forme un préci-
pité floconneux abondant qui se redissout après refroidissement.
Une ébullition contenue le transforme en phosphate cristallique.
Comme le précipité amorphe contient du pepton, on en conclut
que la formation d'un acide complexe peptono-phosphorique
y a lieu et que cet acide est très facilement hydralisé 1).
Afin d'étudier la capacité de l'acide phosphorique de for-
mer des combinaisons avec des corps organiques, l'auteur a
fait pour obtenir ces combinaisons par voie synthétique une
série d'essais qu'il se propose de décrire un jour. Il a reçu entre
autres des sels d'acide phosphorique avec des composés xan-
thiniques et des combinaisons complexes des corps xanthiniques
avec le phosphate de magnésie di basique. Il a reçu aussi des
combinaisons de l'acide glycéro-phosphorique avec des corps
xanthiniques.
Parmi les combinaisons de ce genre, il faut noter aussi
l'acide oxymétylophosphorique observé par MM. Pfeffer, Palla-
din, Schultze. Winterstein, identifié et décrit minutieusement
par Posternak qui fit sur ce sujet des recherches très exactes
et très importantes daus le laboratoire de M. Schultze 2). Ce corps
ainsi qu'une série de corps connus depuis longtemps et con-
tenant du phosphore comme par exemple: l'acide phosphoro-
tarcique, les substances obtenus par Moraczewski comme pro-
duits de la caséine et de la vitelline, la lécitalbumine, Fovo-
vitelline. les lécitines, les protagones, la jecorine, sont des acides
phosphoriques complexes.
l) Cette observation fut faite indépendamment de Posternak qui
obtint avec du pepton du commerce de Witte des réactions qui indiquent
l'existence des combinaisons de l'acide oxymétylphosphorique avec les sub-
stances contenues dans ce pepton.
-', 1. c.
4
426 résumés
Les phosphates et les enzymes: Les acides phos-
phoiïques complexes jouent un rôle important dans L'action de
certaines enzymes. La présure ne fait coaguler la caséine qu'en
présence du phosphate de chaux qui forme une combina
avec cette dernière. Le phosphate de chaux est aussi indispen-
sable pour la coagulation du sang. Il ne manque pa
de points d'appui pour la supposition que les enzymes peuvent
entrer en combinaison avec les phosphate
Le fait est souvent cité que lors de la formation des
précipités gélatineux dans des solution-, contenant les enzymes,
ces dernières sont entraînées. C'est là certainement une des pro-
priétés des enzymes, quoiqu'elle ne soit ni aussi générale, ni
absolue qu'on le suppose. En travaillant avec la diastaze, l'auteur
trouva qu'elle n'est jamais complètement précipitée par ce pro-
cédé, mais qu'une partie plus ou moins grande reste <-n solu-
tion. La même observation fut faite pour la pepsine. En appli-
quant le procédé de Briicke pour purifier la pepsine, l'auteur
trouva que le précipité obtenu après précipitation multiple par
les phosphates et la cholestérine ne i ; que des traces
de cette substance, et qi olution avait une action peu
intense. La cholestérine n'entraîne qu'une quantité insigni-
fiante de pepsine et l'on pourrait expliquer le mécanisme de
ce phénomène en supposant que sous l'influence de l'alcool et
de l'éther qui sont ajoutés a sa solution la pepsine passe à
l'état de pseudo-solution, c'est-à dire d'imbibition très forte, ce
qui cause sa précipitation avec la cholestérine. La précipitation
avec le phosphate de calcium est beaucoup plus avantageuse.
On sait que si l'on ajoute d'un coup à une solution de pepsine
dans de l'acide phosphorique toute la quantité d'eau calcaire
qui est indispensable pour la neutralisation de l'acide, toute
la pepsine reste en solution. Si au contraire on n'ajoute qu'au-
tant d'eau calcaire qu'il est nécessaire pour former le sel à
réaction acidique, le précipité contient une quantité considé-
rable de pepsine. Dans le premier cas, le précipité est cri-
stallique; dans le second, il est amorphe et contient outre la
pepsine quelques autres substances. Le contenu de la pepsine
RÉSUMÉS __ 427
dans le précipité ne peut être que difficilement expliqué par
l'absorbtion mécanique, puisque des broyages multiples avec
de l'eau dans un mortier ne lui font pas céder ce corps. La
supposition se présente donc naturellement que le phosphate se
combine avec la pepsirte, -en formant un acide phosphorique
complexe, quoique cette combinaison doive être considérée comme
très instable. Des combinaisons analogues sont produites par
d'autres enzymes; elles sont généralement insolubles. On peut
admettre cependant l'existence des combinaisons solubles du
même genre, ce qui expliquerait le rôle des phosphates dans
le procès de l'action des enzymes.
Aperçu général sur le rôle de l'acide phosphorique.
L'acide phosphorique forme une des parties intégrantes de
la matière vivante; il se trouve dans chaque pelote du proto-
plasma, soit sous forme de sels, soit en combinaison avec
des corps organiques. Ses sels inorganiques se combinent avec
des substances organiques en leur donnant des qualités qu'elles
ne possédaient pas, mais qui sont celles des corps inorganiques.
Ils changent la solubilité de ces substances ainsi que leur ca-
pacité osmotique, ce qui contribue à leur transport à des di-
stances plus considérables dans les tissus organiques. Les phos-
phates contribuent aussi à la cristallisation des corps albumineux.
L'albumine d'oeuf ne cristallise pas si elle est dépourvue com-
plètement de sels; au contraire, elle cristallise à l'état naturel,
dans lequel elle contient des substances inorganiques. Les cris-
taux de cette substance, obtenue par la méthode Hoffmeister,
analysés par Badzynski et Zoja 1) contenaient 0,55°/0 de phos-
phate de chaux, d'où l'on peut conclure qu'ils contiennent un
acide phosphorique complexe avec une substance albumineuse.
L'acide phosphorique peut former des combinaisons avec
plusieurs substances organiques à la fois. Les corps obtenus
ont des qualités différentes de celles des substances qui en
font partie. C'est ainsi que, par exemple, l'albumine dans la lecyt-
*) Zeitschrift fur physiolog. ('hernie XIX 1, 1.
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262
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1900
Folska Akademia Umiejftnéci,
Krakow
Bulletin international
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