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Full text of "Bulletin international de l'Acadmie des sciences de Cracovie, Classe des sciences mathmatiques et naturelles"

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BULLETIN INTERNATIONAL 
DE LACADEMIE DES SCIENCES 


DE CRACOVIE. 


CLASSE DES SCIENCES MATHEMATIQUES ET NATURELLES. 


L'ACADÉMIE DES SCIENCES DE CRACOVIE A ETE FONDEE EN 1873 PAR 
S. M. L'EMPEREUR FRANCOIS JOSEPH I. 


PROTECTEUR DE L'ACADÉMIE: 
S. A. I. L'ARCHIDUC FRANÇOIS FERDINAND D’AUTRICHE-ESTE 


VICE-PROTECTEUR: Vacat. 


PRESIDENT: S. E. M. LE COMTE STANISLAS TARNOWSKI. 


SECRETAIRE GENERAL: M. BOLESLAS ULANOWSKI. 


EXTRAIT DES STATUTS DE L’ACADEMIE: 


(8 2). L'Académie est placée sous l’auguste patronage de Sa Majesté Im- 
périale Royale Apostolique. Le Protecteur et le Vice-Protecteur sont nommés par 
S. M. l'Empereur. 

(S 4). L'Académie est divisée en trois classes: 

a) Classe de Philologie, 
b) Classe d'Histoire et de Philosophie, 
c) Classe des Sciences Mathématiques et Naturelles. 
($ 12). La langue officielle de l'Académie est la langue polonaise. 


Depuis 1885, l'Académie publie, en deux séries, le ,, Bulletin International* 
qui paraît tous les mois, sauf en août et septembre. La première série est con- 
sacrée aur travaur des Classes de Philologie, d' Histoire et de Philosophie. La se- 
conde est consacrée aux travaux de la Classe des Sciences Mathématiques et Na- 
turelles. Chaque série contient les procés verbaux des séances ainsi que les résumés, 
rédigés en français, en anglais, en allemand ou en latin, des travaux présentés 
à l'Académie. 


Publié par l'Academie 
sous la direction de M. Ladislas Natanson, 
Secrétaire de la Classe des Sciences Mathématiques et Naturelles. 


Nakladem Akademii Umiejetnoéci. 


Kraków, 1909. — Drukarnia Uniwersytetu Jagielloñskiego pod zarzadem Jözefa Filipowskiego. 


BULLETIN INTERNATIONAL 
DE L'ACADÉMIE DES SCIENCES 


DE CRACOVIE. 


CLASSE DES SCIENCES MATHÉMATIQUES ET NATURELLES. 


ANZEIGER 


DER 


AKADEMIE DER WISSENSCHAFTEN 


IN KRAKAU. 


MATHEMATISCH - NATURWISSENSCHAFTLICHE KLASSE, 


ANNÉE 1909. 
PREMIER SEMESTRE. 





CRACOVIE 
IMPRIMERIE DE L'UNIVERSITÉ 
1909. 


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Table des matieres. 


W. Lozinski. Uber die merhanische Verwitterung der Sandsteine im ge- 
mäßigten Klima 

L. Natanson. Note Sansone: to a Pape n m elliptic E 
of light transmitted through an absorbing naturally-active medium“ 

St. Kozlowski. Über die Verhältnisse von anorganischen Basen zu Säuren 
im normalen Menschenharn e e EE 

A. Tysowski. Zur Kenntnis des chen de seiner ne zur 
Schwimmblase bei den Clupeiden . E 

E. Kiernik. Chilodon hexastichus nov. sp., ein See NER E para- 
sitierendes Infusorium, nebst Bemerkungen EE Vakuolenhautbildung 
und Zellteilung 

St. Welecki. Studien über dë infu de. Adrenaline E d co, - Së 
‘Harnausscheidung 


S. Zaremba. Sur le calcul numérique do Qua FREU dini le Pro- 


blème de Dirichlet et le Probleme hydrodynamique ae 
St. Loria. Untersuchungen iiber die Dispersion des Lichtes in Given. II. 
Die Dispersion des Athylens und Athans : 
J. Morozewiez. Gewinnung von seltenen Erden aus dol KEE 
Br. Radziszewski. Sur les glyoxalines . 

Z. Jakubowski und St. Niementowski. Über Säuren :des 8.8°-Diehinolyls 
L. Bruner und J. Vorbrodt. Einfluß der Lösungsmittel auf die Verteilung 
der Isomere de EE 

K. Kostanecki. Einleitung dei SR EE bei Aricia . 

W. Friedberg. Beschreibung der Gattung Turritella im Miozän von Polen 

M. Raciborski. Über einige javanische Uredineae 

— Uber eine-fossile Pangiumart aus dem Miozän Java's 

J. Hirschler. Über die Entwicklung der Keimblätter und des nes "ei 
Gastroidea viridula Deg. (Coleoptera) . . . . . . . . . 

K. Zorawski. Über konforme Abbildungen der Flüchen . 

L. Sawicki. Causses; Skizze eines greisenhaften Karstes MEM AE à 

St. Ciechanowski und L. K. Gliński. Fistulae oesophago - oesophageae 
congenitae 

M. Raciborski. die m eni byte Pilze Tavas 


Page 


37 


45 


VI 


L. Chwistek. Sur les variations périodiques du contenu des images vues 
dans un contour donné X tw fio E S 

R. Gutwinski. Flora Algarum montium Tatrensium 

S. Zaremba, Sur l’unieite de la solution du probleme de EE 

S. Kreutz. Kristallisation von Salmiak . . . . 2 22. 

A. Korezynski. Über anormale Salze. IL Teil 

J. Kozak. Über die Wirkung des Kaliumhydroxyds anf à hooey ps- 
Isatin-Dioxim . GN A D Onn: So ee. e 

J. Buraczewski und M. Petar sits Bromierung des Strychnins, Bru- 
cins und anderer Alkaloide. I Teil 

St. Mostowski. Über das Verhalten von Glukoso- Phenetidid T Toren: 
Glukoso-Phenetidid im tierischen Organismus "E. 

A. Dzierzbicki. Einige Beobachtungen über den Einfluf der H 
auf die Entwicklung der Hefe und auf Alkoholgärung . . : 

N. Cybulski und J. Dunin-Borkowski. Einfluß von Membranen 2 Dia- 
phragmen auf elektromotorische Kräfte . . . ° . 

J. Jarosz. Stratigraphie des Kohlenkalks in der a von Ken 

J. Kowalski und U, Rappel. Entladungs-Potentiale bei Wechselstrom ; 
Einfluß der Krümmung der Elektroden auf dieselben EE 

J. Dzierzbicki und J. Kowalski. Über die Phosphoreszenz von organi- 
schen Substanzen bei niedrigen Temperaturen 

M. Strzelecka. Uber Xylol-Sulfocyanate : 

T. Kozniewski. Jodderivate der Chinaalkaloide . : 

J. Dunin-Borkowski und Z. Szymanowski. Agglutination ne Here 
von roten Blutkörperchen unter dem Einfluß von Salzen schwerer 
Metalle ae was ets EU ts a eg os tact, WS ala D reps 

St. Weigner. Studien im Gebiete der Cenomanbildungen von Podolien. I. 
Die Fauna der cenomanen Sande von Nizniów $ : 

J. Siemiradzki. Sur la faune dévonienne des environs de Kielee Ge, 
les collections originales du feu le prof. L. Zejszner 

Table des matières par noms d'auteurs . . . . 


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L'ACADÉMIE DES Nice DE CRACOVIE A ÉTÉ FONDEE EN 1873 PAR 
S. M. L'EMPEREUR FRANCOIS JOSEPH I. 


PROTECTEUR DE L’ACADEMIE: 
S. A. I. L'ARCHIDUC FRANÇOIS FERDINAND D’AUTRICHE-ESTE 


VICE-PROTECTEUR: Vacat. 


PRESIDENT: S. E. M. LE COMTE STANISLAS TARNOWSKI. 


SECRETAIRE GENERAL: M. BOLESLAS ULANOWSKI. 


EXTRAIT DES STATUTS DE L’ACADEMIE: 


(8 2). L'Académie est placée sous l’auguste patronage de Sa Majesté Im- 
périale Royale Apostolique. Le Protecteur et le Vice- Protecteur sont nommés par 
S. M. l'Empereur. 

(S 4). L'Académie est divisée en trois classes: 

a) Classe de Philologie, | 
b) Classe d'Histoire et de Philosophie, 
c) Classe des Sciences Mathématiques et Naturelles. 
($ 12). La langue officielle de l’Académie est la langue polonaise. 


Depuis 1885, l'Académie publie, en deux séries, le ‚Bulletin International“ 
qui paraît tous les mois, sauf en août et septembre. La première série est con- 
sucrée aux travaux des Classes de Philologie, d' Histoire et de Philosophie. La se- 
conde est consacrée aux travaux de la Classe des Sciences Mathématiques et Na- 
turelles. Chaque série contient les procès verbaux des séances ainsi que les résumés, 


rédigés en français, en anglais, en allemand ou en latin, des travaux présentés 
à l’Académie. 


Publié par l’Académie 
sous la direction de M. Ladislas Natanson, 
Secrétaire de la Classe des Sciences Mathématiques et Naturelles. 


Naktadem Akademii Umiejetnosci. 


Kraków, 1909. — Drukarnia Uniwersytetu Jagiellońskiego pod zarządem Józefa Filipowskiego 





BULLETIN INTERNATIONAL 
DE L'ACADÉMIE DES SCIENCES DE CRACOVIE. 


CLASSE DES SCIENCES MATHEMATIQUES ET NATURELLES. 


ERN Janvier. — 1909. 





Sommaire: 1. W. LOZINSKI. Über die mechanische Verwitterung der Sandsteine 
im gemäßigten Klima. 
2. L. NATANSON. Note Supplementary to a Paper „On the elliptic polariza- 
tion of light transmitted through an absorbing naturally-active medium“. 
3. ST. KOZLOWSKI. Über die Verhältnisse von anorganischen Basen zu Säu- 
ren im normalen Menschenharn. 
4. A. TYSOWSKI. Zur Kenntnis des Gehörorganes und seiner Beziehungen 
zur Schwimmblase bei den Clupeiden. 
5. E. KIERNIK. Chilodon hexastichus nov. sp., ein auf Süßwasserfischen pa- 
rasitierendes Infusorium, nebst Bemerkungen über Vakuolenhautbildung und 
Zellteilung. 
6. ST. WELECKI. Studien über den Einfluß des Adrenalins auf die CO,- u. 
Harnausscheidung. 





Séance du lundi 4 Janvier 1909. 
Presipenck pe M. ED. JANCZEWSKI. 


1. O wietrzeniu mechanicznem piaskowców w klimacie 


umiarkowanym. — Uber die mechanische Verwitterung 
der Sandsteine im gemäßigten Klima. — Mémoire de 


M. W. LOZINSKI, présenté par M. M. P. Rudzki m. c. 


Die Wüstengebiete sind die klassische Werkstätte der rein me- 
chanischen Verwitterung. Die eigenartigen Felsformen und Skulp- 
turen an der Gesteinsoberfliche, welche durch die mechanische 
Verwitterung hervorgebracht werden, kehren überall im trockenen 
Wüstenklima wieder, mag das Gestein homogen oder heterogen, 
in Wasser löslich oder unlöslich sein. Die mechanische Verwitte- 
rung ist nicht allein auf die Wüsten beschränkt und spielt in allen 
geographischen Breiten eine bedeutende Rolle. Im gemäßigten Klima 
aber wird die mechanische Verwitterung durch die Tätigkeit des 
atmosphärischen Wassers, welches Kalkkarbonat löst und Feldspate 
` zersetzt, größtenteils verschleiert. Nur die Zerstörung der Sand- 
steine und in noch höherem Grade die der Quarzite, an denen die 
auflösende oder zersetzende Wirkung des Regenwassers in den 
Hintergrund tritt, wird hauptsächlich von der mechanischen Ver- 


Bulletin III. 1 


2 


witterung beherrscht. Im feuchten Klima kommen nur an mächti- 
gen Sandsteinkomplexen diejenigen Formen und Skulpturen vor, 
die für die Wüste bezeichnend sind. wie löcherige Auswitterung, 
Steingitter, Pilzfelsen u. dgl. 


I. Die mechanische Verwitterung der Sandsteine. 


Seit Jahren haben mich meine Studien in Sandsteingebiete ge- 
führt. Zunächst habe ich den Jamna-Sandstein (Oberkreide, z. T. 
Eozän) kennen gelernt, welcher in der Landschaft der ostga- 
lizischen Karpaten eine hervorragende Rolle spielt. Die Untersu- 
chung des nordischen Diluviums in den westgalizischen Randkar- 
paten bot mir vielfach Gelegenheit, den oligozänen Ciezkowicer 
Sandstein zu studieren. Letzterer hat dieselbe kulturhistorische Be- 
deutung, wie der Vogesensandstein, da seine steil geböschten Erhe- 
bungen von den meisten Burgruinen (Odrzykoń, Melsztyn, Czehów, 
Dobezyce u. a.) gekrönt sind. Während die stark gefalteten Kar- 
patensandsteine nur erkennen lassen, wie die mechanische Ver- 
witterung bei einem richtungslosen Gewirr von Klüften und Schicht- 
fugen vor sich geht, konnte ich dank einer Unterstützung aus der 
Oslawski-Stiftung im Sommer 1908 die Verwitterung der flach 
gelagerten Sandsteine des Falkengebirges und der Heuscheuer, so- 
wie am Südrande der böhmisch-sächsischen Sandsteinplatte studieren. 

Die mechanische Verwitterung hat man im trockenen Wüsten- 
klima, wo Temperaturwechsel die größten Amplituden erreichen. 
zuerst erkannt und studiert. Infolgedessen wird noch in manchen 
Lehrbüchern unter den Faktoren der mechanischen Verwitterung der 
Temperaturwechsel an erster Stelle genannt. In unserem Klima aber 
sind die Temperaturänderungen nicht so jäh, um eine tiefgreifende 
Zerstörung der Gesteine zustande zu bringen. Sie können die me- 
chanische Verwitterung nur einleiten, indem sie die oberflächliche 
Abschuppung veranlassen oder die Klüfte allmählich lockern und 
dem Spaltenfroste zugänglich machen. Die Bedeutung der Tempe- 
raturänderungen tritt gegenüber dem Spaltenfroste so weit zurück, 
„daß die Frostwirkung in zahlreichen, ja vielleicht in den meisten 
Fällen, wenn auch nicht die alleinige, so doch die bedeutsamste 
Ursache der Verwitterung ist“ 1). 


1) J. Hirschwald, Die Prüfung der natürlichen Bausteine. Berlin 1908. 
& 35. In bezug auf die Sandsteingebiete ist die Bedeutung des Spaltenfrostes 


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Die Beschaffenheit der Schuttmassen, welche durch die mecha- 
nische Verwitterung erzeugt werden, ist vornehmlich dureh die 
Wetterbeständigkeit der Sandsteine bestimmt. Bei weniger wider- 
standsfähigen, insbesondere eisenschüssigen !) Sandsteinen geht der 
Zerfall der Trümmer in lockeren Sand sehr rasch vor sich, sodaß 
die Gehänge größtenteils aus Sand bestehen, weleher von Sandstein- 
bruchstücken durchspickt ist. Die widerstandsfähigsten Sandsteine 
dagegen, wie diejenigen der Heuscheuer, liefern hauptsächlich große 
Blöcke, die äußerst langsam verwittern und zerfallen 2), sodaß 
der Sand gegenüber den Blöcken zurücktritt. Die Gehänge (sog. 
„Lehnen“), oben von senkrechten Sandsteinwänden gekrönt. sind 
zumeist mit großen, abgestürzten Blöcken bedeckt. deren Zwischen- 
räume oft frei bleiben. 

Von den Karpatensandsteinen trägt nur der relativ widerstands- 
fähigste Jamna-Sandstein stellenweise eine mäßige Blockbestreuung 
der Gehänge *) zur Schau. 

Die Sandsteinblicke, welche die Gehänge bedecken, zerfallen 
sehr langsam und zeichnen sich durch eine große Beständigkeit 
aus, soweit der Fuß des Gehänges nicht unmittelbar vom fließenden 
Wasser angegriffen wird. Dafür bietet uns das Steinetal ein treffli- 
ches Beispiel. Die Steine durchfließt von Friedland an bis zu ihrer 
Mündung in die Glatzer Neiße ein flachwelliges Land, das aus 
Rotliegendem besteht. Westwärts reicht der rote Boden des Rotlie- 
genden bis an den Fuß des jähen, zumeist dieht mit Sandsteinblöcken 
besäten Ostabfalls des Falken- und des Heuscheuergebirges heran. 
Von diesem Steilrande aber, der noch zum Gebiete der Steine ge- 


besonders von Bischof (1844), später von Partsch (Schlesien, Bd. 1. S. 79) 
und Hettner (Geogr. Zeitschr. Bd. 9. S. 611) gewürdigt worden. 


1) Die Bedeutung des Eisengehaltes hat Hettner (Geogr. Zeitschr. Bd. 9. 
S. 611) unterschätzt. Bei unvollkommener Kornbindung genügt schon ein geringer 
Gehalt an Eisenverbindungen, um durch Oxydation einen raschen Zerfall der Sand- 
steine in Sand zu bewirken. Dadurch aber tritt an Stelle der meehanischen die 
chemische Verwitterung ein, deren Betrachtung auferhalb des Rahmens dieser 
Abhandlung liegt. 

?) Die Blöcke der härtesten Sandsteinarten verwittern gewiß ebenso langsam, 
wie die erratischen, nur kantenbestoßenen Quarzitblöcke aus Skandinavien, denen 
man seit ihrer Zerstreuung durch das diluviale Inlandeis außer Windschliff kaum 
Verwitterungsspuren anmerkt. 

3) Abgesehen von den seltsamen Blockbildungen des Gorgany-Zuges, auf die 
ich später zurückkommen werde. 


1* 


4 


hört. wird so gut wie kein Verwitterungsmaterial der Quadersand- 
steine durch die Abspülung und die kurzen Wasserrisse weiterge- 
führt. Die Steine führt hauptsächlich nur Verwitterungsprodukte 
des Rotliegenden, z. T. auch der Porphyre aus dem Waldenburger 
Gebirge. Dieses war auch schon zur Diluvialzeit der Fall, da der 
obere Teil der Steineterrasse in Mittelsteine, deren Entstehung mit 
der Stauung durch die nordische Eiszunge im Tale der Glatzer 
Neiße zusammenhängt !), ebenfalls nur aus rotem Detritus des Rot- 
liegenden (z. T. auch der Porphyre) aufgeschüttet wurde. Erst dar- 
unter besteht der tiefste, präglaziale (altquartäre?) Teil der Stei- 
neterrasse aus feinerem Detritus der Kreidesandsteine ?). 

Der Zertrümmerungsvorgang der flach gelagerten Sandsteine 
kann in zwei Komponenten zerlegt werden. In horizontaler Rich- 
tung dringt die Auswitterung von Schichtfugen oder sogar von 
Sehiehten, die eine unvollkommene Kornbindung besitzen, in das 
Innere der Sandsteinkomplexe hinein. Anderseits ist der Spalten- 
frost in den senkrechten Klüften wirksam und sprengt Sandstein- 
quader allmählich auseinander. Die relative Geschwindigkeit, mit 
welcher diese beiden Vorgänge fortschreiten, hängt von der Wi- 
derstandsfähigkeit der Sandsteine ab und bestimmt ihre Felsformen. 
Bei den widerstandsfähigsten Sandsteinen kann die horizontale Aus- 
witterung nur an Stelle der Schichtfugen enge, horizontal verlau- 
fende Furchen einkerben, im großen und ganzen aber werden die 
Umrisse durch die Quaderablösung an senkrechten Klüften be- 
herrscht, sodaß die Sandsteinwünde, welche die Schuttgehänge über- 
ragen, senkrecht (nie überhängend) sind. Dadurch erhalten Sand- 
steinberge ein klotziges oder den Tafelbergen ähnliches Aussehen, 
dessen reinster Typus in der Heuscheuer vorliegt. Bei geringerer 
Widerstandsfähigkeit dagegen ist das Gegenteil der Fall. Die Aus- 
witterung in horizontaler Riehtung geht schneller vor sich, als die 
Lockerung senkrechter Klüfte durch den Spaltenfrost. Infolgedessen 
sind überhängende Felswände möglich und unter Umständen wer- 


') Mit E.G. Friedrich (Zeitschr. d. Ges. f. Erdkunde zu Berlin. 1906. S. 19) 
habe ich diese Terrasse auf die Stauung des Steinetales durch das Inlandeis zu- 
rückgeführt, die Entstehungsweise aber ganz anders aufgefaßt. Den oberen „roten* 
Teil der Terrasse betrachte ich als einen Schuttkegel, den die Steine im unter- 
sten, durch das Inlandeis gestauten Teile ihres Tales aufgeschüttet hat. Vgl. Lo- 
zinski, Glacyalne zjawiska. Spraw. Kom. Fizyograf. Bd. 43. ILI. S. 48. 

2) S. die Abbildung von E. G. Friedrich (a. a. ©., S. 18). 


dD 


den Pilzfelsen durch die allmähliehe Auswitterung der Sandsteine 


herausgearbeitet. 
Die Bildung von Pilzfelsen können wir am genauesten an den 


bekannten Sandsteinfelsen von Tyssa in Böhmen verfolgen. Auf 





Fig. 1. Löcherige Auswitterung auf der Oberfläche des Quadersandsteins 
der ,Tyssaer Wände“ (nach einer photogr. Aufnahme des Verf.). 


6 


der Oberfläche des Sandsteines, der an Wetterbeständigkeit weit 
hinter dem (Juader der Heuscheuer und auch dem von Adersbach- 
Weckelsdorf zurücksteht, kommen überall eigentümliche Skulpturen 
vor, wie Steingitter, Säulengänge u. dgl, die durch J. Walther 
aus der Wüste bekannt geworden sind !). Die ausgewitterten Löcher 
und Höhlungen sind stellenweise so dicht, daß die Oberfläche des 
Sandsteines ein schwammartiges Aussehen zeigt (Fig. 1). Dennoch 
erweist sich der Sandstein unter dem Hammer sehr hart. als hätte 
sich — nach Art der Schutzrinde der Wüste — durch einen ver- 
wandten Vorgang an seiner Oberfläche eine härtere Kruste gebildet. 
Am auffallendsten aber sind große, ausgewitterte Löcher. die sich 
immer in demselben Niveau wiederholen ?). Offenbar ist eine be- 
stimmte Sandsteinbank von so unvollkommener Kornbindung, daß 
sie besonders zur löcherigen Auswitterung neigt. Ob die Bildung 
der Löcher etwa durch Herauswittern von kleinen. hie und da ein- 
gebackenen Geröllen eingeleitet wird, ist schwer zu entscheiden 3). 
Bei fortschreitender Ausräumung der Löcher entstehen Säulengänge, 
deren Erweiterung schließlich den Sandstein in Pilzfelsen auflöst, 
welche oben von einer Vegetationskappe geschützt werden (Fig. 2) 
Die Entstehung von Pilzfelsen durch löcherige Auswitterung ist von 
J. Walther?) so eingehend dargestellt worden, daß wir diesen Vor- 
ganz nur durch ein Schema (Fig. 5) zu veranschaulichen brauchen. 

Während im widerstandsfähigsten Quader der Heuscheuer und 
noch in demjenigen von Adersbach - Weckelsdorf wüstenähnliche 


', J. Walther, Das Gesetz der Wüstenbildung. S. 36 ft. 

*) Darauf hat schon Hettner aufmerksam gemacht. Vgl. Gebirgsbau der 
Sachs. Schweiz. Forsch. z, deutsch. Landeskunde. Bd. 2. S. 294. Geogr. Zeitschr. 
Bd. 9. S. 614. 

5) Immerhin spricht dafür die Tatsache, daß in den zentralasiatischen Wüsten 
die löcherige Auswitterung am grofartigsten an Konglomeraten auftritt. Vgl. 
Futterer, Der Pe-schan. Geogr. Zeitschr. Bd. 8. S. 265. — Ebenso wird die 
löcherige Oberfläche des oberen Buntsandsteins im Elsaß auf das Herauswitteru 
von Karneol- und Dolomitknauern zurückgeführt. Vgl. Bücking im Sammel- 
werke: Das Reichsiand Elsaß-Lothringen. Bd. 1. S. 38. 

‘) J. Walther, Die Denudation in der Wüste. Abh. d. math.-phys. Kl. d. 
Sachs. Ges. d. Wiss, Bd. 16. s. 461 ff. — Die Darstellung von J. Walther 
wurde später von Hettner (Geogr. Zeitschr. Bd. 9. S. 613) auch für das Elb- 
sandsteingebirge angenommen. — Verschiedene Stadien der löcherigen Auswit- 
terung sind von A. y. Gutbier (Geogn. Skizzen aus der Sachs. Schweiz. Leipzig 
1858. 5. 93 ff.) abgebildet worden. À 


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Skulpturen äußerst selten und spärlich sind, lehrt das soeben be- 
sprochene Beispiel des Tyssaer Sandsteines, daß die Bildung 
von Pilzfelsen nur bei weniger widerstandsfähigen 
Sandsteinarten möglich ist. 





Fig. 2. Ein Pilzfelsen mit Vegetationskappe in Tyssa 
(nach einer photogr. Aufnahme des Verf.). 


oo 


Es drüngt sieh die Frage auf, ob die mechanische Verwitterung 
der Sandsteine irgend eine Wetterseite erkennen läßt. An einsam 
stehenden Sandsteinpfeilern, wie z. B. dem „Teufelsstein“ in Gör- 


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telsdorf ), sieht man, daß die löcherig - schichtige Auswitterung 2) 
an der Ost- und Westseite keinen erheblichen Unterschied zeigt. 
Die Westseite, die feuchten Winden ausgesetzt ist, wird dadurch 
indirekt beeinflußt, indem sie viel stärker als die Ostseite von Moos 
und Flechten überzogen ist. 

A priori müssen wir voraussetzen, daß die Südseite die Wet- 
terseite der mechanischen Verwitterung sein kann. Sobald wir den 
Spaltenfrost als den vornehmlichsten, fast alleinigen Faktor der 
mechanischen Verwitterung in unseren Breiten anerkannt haben, 
kommt es in erster Linie darauf an, bei welcher Exposition das 
abwechselnde Gefrieren und Auftauen des Wassers im Winter 
sich am häufigsten wiederholt. Wie die alltägliche Erfahrung lehrt, 
werden Flächen, die gegen Süden exponiert sind, sogar bei Luft- 
temperaturen unter Null so stark zur Mittagszeit von der Sonne 
beschienen, daß der Schnee taut, worauf das herabrieselnde Wasser 
wieder gefriert. Auf Flächen dagegen, die gegen andere Himmels- 
richtungen exponiert sind, findet dieses weder so oft noch in so 
rascher Aufeinanderfolge statt. Auf Nordgehängen aber erfolgt das 
Auftauen und Wiedergefrieren des Wassers (bzw. des Schnees) in 
verhältnismäßig so beschränktem Masse, daß man vielmehr von 
einem schützenden Einflusse der Schneedecke auf ihre Unterlage *) 
sprechen dürfte. 

Meine Annahme, daß in unseren Breiten unter sonst 
gleichen Umständen‘) die Südseite die Wetterseite 
der mechanischen Verwitterung ist, wird durch die Tat- 
sachen bestätigt. In den Quadersandsteinen der Heuscheuer und 
von Weckelsdorf, die im allgemeinen keine Neigung zu Wüsten- 


1) Abgebildet im Sammelwerke: Zur Geol. d. böhm.-schles. Grenzgebirges. 
8. 141 u. 142. 

2) Typus 9 von J. Hirschwald (a. a. O., S. 321). 

3) Über die schützende Bedeutung der Schneedecke vgl. insbesondere Ratzel, 
Die Schneedecke. Forsch. z. deutsch. Landes- u. Volkskunde. Bd. 4. S. 262. 

4) Von den Faktoren, welche die Exposition der Wetterseite modifizieren kön- 
nen, ist in erster Linie der Wind zu nennen. Rodler (Vertik. Vert. d. Tempera- 
turschwankungen um den Frostpunkt i. d. Schweiz. Zeitschr. d. Österr. Ges. f. 
Meteorol. Bd. 20. 1887. S. 7.) hat gezeigt, wie die Häufigkeit der Temperatur- 
schwankungen um den Nullpunkt durch die Winde beeinflußt wird. — Überdies ist 
in gefalteten Gebieten auch die Schichtenlagerung nieht ohne Bedeutung, je nach- 
dem die Schichtflächen den Gehängen etwa parallel verlaufen, oder dieselben 
schräg durchschneiden. 


10 


skulpturen zeigen, konnte ich dennoch stellenweise Bienenwaben- 
struktur und Steingitter. immer aber nur bei südlicher (oder höch- 
stens südüstlicher) Exposition feststellen. In unvergleichlicher Groß- 
artigkeit tritt uns die Südseite als die Wetterseite im ostkarpatischen 
Gorgany-Zuge entgegen, indem die südlichen Gehänge im Gegen- 
satze zu den nördlichen mit Trümmermeeren bedeckt sind !). die 
durch die mechanische Verwitterung des Jamna-Sandsteines in situ 
entstanden sind. 

Zur Begründung meiner Ansicht, daß die Südseite der Wetter- 
seite der mechanischen Verwitterung entspricht, konnte ich im 
Vorstehenden nur Beispiele anführen. die den Gebieten widerstands- 
fähigster Sandsteine entnommen wurden. An weniger widerstands- 
fähigen Sandsteinen (z. B. in Tyssa) habe ich bisher eine von der 
mechanischen Verwitterung bevorzugte Wetterseite vermißt. Es 
scheint. als wenn die Wetterseite nur bei langsamer Verwitterung 
wetterfestester Sandstein? zum Ausdrucke käme. 

Von den bekannten Felsenmeeren des Odenwaldes kommen die- 
jenigen, die in situ entstanden sind, auf SO-Gehängen vor ?). So- 
weit in diesem Falle, wo es. sich um Granit und Diorit handelt, 
die mechanische Verwitterung neben der chemischen in Betracht 
kommt. kann ich hier auch die Felsenmeere des Odenwaldes her- 
anziehen, die ebenfalls meine Annahme stützen, daß die mecha- 
nische Verwitterung am stärksten auf Flächen wirkt, die gegen 
Süden exponiert sind. Im Lausitzer Gebirge trägt der Jeschken eben- 
falls nur auf seiner Südseite ein „Trümmerfeld scharfkantiger Quarz- 
felsblöcke* *). 


IL Die »periglaziale« Fazies der mechanischen Verwitterung. 


Auf der Oberfläche der Heuscheuer (919 m), wo der Quader 
in der Umrandung der böhmischen Masse die größte Höhe erreicht, 
tritt uns ein eigentümliches Bild tiefgehender Zertrümmerung ent- 
gegen. das dem übrigen Quadergebiete fremd ist. Die ebene Ober- 
fläche der Großen Heuscheuer stellt ein kleines Blockfeld dar, dab 


1) Wie es besonders in einem Exkursionsberichte von Romer (Kosmos. Bd. 
29. Lemberg 1904) hervorgehoben und mit einigen Hóhenangaben beleuchtet wurde. 

*) Chelius, Die Bildung der Felsenmeere im Odenwald. Zeitschr. der deutsch. 
geol. Ges, Bd. 48. 1896. S. 644 u. 646. 

*; Drude, Der Herzyn. Florenbezirk. Vegetation der Erde. Bd. VI. S. 487. 


11 


kaum etwa !/, km? umfaßt. Dicht nebeneinander sehen wir rie- 
sige Sandsteinblöcke, durch tiefe Klüfte getrennt, welche stellen- 
weise von der Vegetation schon überbrückt worden sind. Während 
sonst im Quadergebiete die Anhäufungen von Sandsteinblöcken nur 
durch Absturz entstehen und den Aufstieg vom jeweiligen Talbo- 
den zu den senkrechten Wänden vermitteln, ist die Zertrümmerung 
auf der ebenen Oberfläche der Großen Heuscheuer ein Resultat der 
mechanischen Verwitterung in situ. Besonders charakteristisch sind 
schmale, von senkreehten Wänden eingeschlossene Gänge, zwischen 
denen manehmal noch ein Sandstemblock oder wackelndes Paral- 
lelepiped eingekeilt ist. Freilich kommen sonst überall im Quader- 
gebiete, wie z. B. in Weckelsdorf, ebenso schmale und viel tiefere 
Gänge vor, die, oft trocken oder von einem kleinen Wasserfaden 
eingenommen, immer aber offen sind und ein gleichsinniges Ge- 
fälle besitzen. Dieses entspricht ihrer Entstehung durch das fließende 
Wasser, dessen Einschneiden in vielen Fällen durch senkrechte 
Klüfte vorbestimmt war. Betrachtet man dagegen die schmalen 
‘Gänge auf der Großen Heuscheuer, so springt ein scharfer Gegen- 
satz in die Augen. indem letztere geschlossen sind und beiderseits 
blind enden (Fig. 4). Sie können daher nur durch tiefgehende Aus- 
witterung, die an senkrechten Klüften einsetzte, ohne Mitwirkung 
des fließenden Wassers entstanden sein. 

Die tiefgehende Zertrümmerung des flach gelagerten Sandstei- 
nes, welche die Oberfläche der Großen Heuscheuer auf ihrem klei- 
nen Areal zeigt. ist wesentlich identisch mit dem allerdings in un- 
vergleichlich größerem Umfange auftretenden Zerfall des Sandsteines 
auf dem Gorgany-Rücken in den Ostkarpaten. Ist auch der Anblick 
der Trümmerbildung auf dem Gorgany-Rücken äußerlich doch 
ziemlich verschieden, so beruht der Unterschied nur darauf, daß 
der stark gefaltete Jamna-Sandstein ein richtungsloses Gewirr von 
Schichtfugen und Klüften darstellt. Infolgedessen zerfällt er in ein 
chaotisches Haufwerk von Blöcken. Das Wesen der Erscheinung 
aber ist in beiden Fällen dasselbe und liegt in der rein me- 
ehanischen Zertrümmerung des Sandsteines in situ. 

Um die Eigentümlichkeit des Gorgany-Zuges zu verstehen, 
müssen wir einige bekannte Tatsachen in Erinnerung bringen, 
deren Verkennung die Ursache ist, daß bisher kein annehmbarer 
Erklärungsversuch der Blockmeere auf dem Gorgany-Rücken vor- 
liegt. Die theoretische Gliederung der Gebirge in drei Höhengürtel 


12 


läßt über der Vegetationszone eine Schuttzone folgen und den Uber- 


gang zur Hochgebirgsregion (Firnregion) vermitteln 1). Es wurde 





Fig. 4. Blindende eines schmalen Ganges im Quader auf der Oberfläche 


der Großen Ifeuscheuer (nach einer photogr. Aufnahme des Verf.). 


') E. Richter, Geomorphol, Unters. in den Hochalpen. Peterm. Mitteil, Erg.- 
Heft. Nr. 132. 8. 73 u. 74. M. Friederichsen., Beitr. zur Morphol, des Tiën- 
schan. Verhandl. d. 14. deutsch. Geogr.-Tages. Köln 1903. S. 39 u. 40. 


13 
aber, wie E. Richter an dem Beispiele der Alpen dartut, diese 
Schuttzone in vielen Gebirgen durch die eiszeitlichen Gletscher 
verwischt und ist nur im trocknen Klima vertreten, wo die dilu- 
viale Vergletscherung von verhältnismäßig geringerem Umfange war, 
besonders in den Anden !) und im Tién-sehan ?). In Europa ist die 
Schuttregion in den Gebirgen der Iberischen Halbinsel. und zwar 
in der Sierra de Guadarrama *), in der Sierra Morena *) und in der 
Sierra Nevada 5) vorhanden, wo es wohl kleine eiszeitliche Glet- 
scher, aber keine ausgedehnte Vergletscherung gab. In meisterhaf- 
ter Weise hat E. Richter die morphologische Charakteristik der 
Sehuttregion skizziert. indem er sagt: „Die Berge dieser Zone be- 
sitzen nicht eigentliche Mittelgebirgsformen, sondern stellen einen 
besonderen Typus dar, das von Schutt eingehüllte Gebirge; die 
Grate und die Kämme sind scharf, einzelne mit Zaeken gekrönte 
Rippen ziehen sich an den Gehängen....“ (a. a. O., S. 75). Diese 
Worte geben so treu die eigentümlichen Züge des Gorgany-Rückens 
wieder, als hätte E. Richter gerade dieses Gebirge im Auge ge- 
habt. Der Gorgany-Rücken ist die einzige Stelle, wo die Waldkar- 
paten über die Vegetationsgrenze in die Schuttregion hinaufreichen. 
Besonders auffallend ist die Analogie der Rückengestaltung im 
Gorgany-Zuge und in der viel höher (2800 --3600 m) gelegenen 
Schuttzone des Tién-schan ®), jedoch mit dem Unterschiede, daß im 
letzteren an Stelle der Sandsteinblücke feinerer Tonschieferschutt 
tritt, der wie eine zähflüssige Masse hinabgleitet. 

Betrachtet man die Oberfläche der Großen Heuscheuer, so hat 


1) Den Sehuttreichtum der Anden betont neuerdings Schiller, Geol. Unters. 
bei Puente del fnca. N. Jahrb. f. Mineral. Beil. Bd. 24. S. 728. Vgl. auch 
Stelzner, Beitr. z. Geol. der Argentin. Republik. Bd, I. S. 283. 

2) M. Friederichsen, Forschungsreise in den Zentr. Tién-schan. Mitteil. 
Geogr. Ges. in Hamburg. Bd. 20. 1904. S. 157 ff. 

3) Penck, Morph. d. Erdoberfläche. Bd. 1. S. 240. 

4) Weite Trümmermeere altpaläozoischer Quarzite und Schiefer werden von 
Quelle (Zur Geol. d. span. Prov. Jaén. Zeitschr. d. Ges. f. Erdkunde zu Berlin. 
1908. S. 627) erwähnt. 

5) Aus gelegentlichen Bemerkungen von J. Rein Beitr. z. Kenntn. d. Sierra 
Nevada. Abhandl. d. geogr Ges. in Wien. Bd. 1. S. 214, 227 ff., 266) ist zu ersehen, 
‚daß der höchste Rücken der Sierra Nevada, von ungefähr 3000 m aufwärts, von 
reichlichem, in situ entstandenem Verwitterungsschutt der kristallinischen Schiefer 
umhüllt wird. 

6) Vgl. das vom Paß Kara Kyr aufgenommene Bild in Friederichsen 
Forschungsreise etc. Taf. 34. 


14 

man den Eindruck, als wäre der Vorgang der mechanischen Zer- 
triimmerung bereits im Abnehmen begriffen. Die Vegetation hat. 
zwischen den riesigen Sandsteinblöcken Fuß gefaßt und schon man- 
che Kluft oberflächlich mit einem Polster überbrückt. Ebenso scheint 
die Zertrümmerung des Jamna-Sandsteines auf dem Gorgany-Rücken 
einst mit viel größerer Intensität vor sich gegangen zu sein. als 
es gegenwärtig der Fall ist. Hier aber war die Vegetation noch 
nieht imstande, sich der Blockmeere zu bemächtigen 11. Unwillkür- 
lich drängt sich der Gedanke auf, daß die tiefgehende Zertriimme- 
rung des Sandsteins sich zum größten Teil in einem rauheren 
Klima, als das gegenwärtige, vollzogen hat und mit der allgemeinen 
Temperaturerniedrigung der Eiszeit zusammenhängt. 

Gegenwärtig findet die intensivste Zertrümmerung der Gesteine 
durch den Spaltenfrost in der unmittelbaren Nähe der Firnregio- 
nen und der Inlandeismassen ?) statt. Drygalski konnte in Grön- 
land beobachten, daß die Zertrümmerung der Gesteine durch den 
Spaltenfrost mit der Annäherung an den Rand des Inlandeises 
stark zunimmt °). Als das diluviale Inlandeis sich vom hohen Nor- 
den her bis in unsere Breiten erstreckte, hat es ohne Zweifel auf 
seine Umgebung einen erkaltenden Einfluß ausgeübt, indem unge- 
heure Wärmemengen zum fortwährenden Abschmelzen reichlich 
zutliessender Eismassen aufgebraucht wurden‘). Es muß daher 
während der Eiszeit in dem südwärts an den Eisrand angrenzen- 
den Streifen Europas ein rauhes Klima geherrscht haben, und zwar 
etwa ein solches. wie es J. Geikie?°) oder C. A. Weber) vor- 
aussetzten. In diesem periglazialen?) Klima war der Spalten- 


') Vgl. die Tafel „Na Siniak* in „Pamietnik Towarzystwa Tatrzańskiego“ 1906. 

2) Vgl. z. B. Exped. Antarct. Belge. Aretowski. Les Glaciers. Taf. II—IV. 

°) Drygalski, Grönlands Gletscher und Inlandeis. Zeitschr. d. Ges. f. Erd- 
kunde zu Berlin. Bd. 27. 1892. S. 8—11. 

+) Der Einfluß einer abschmelzenden Schnee-, bzw. Eisdecke auf das Klima 
benachbarter Gebiete ist von Woeikof ausfürlich dargelegt und an einigen Bei- 
spielen ziftermässig behandelt worden. Vgl. Woeikof, Klimate der Erde. Bd. I. 
Kap. 4. Gletscher und Eiszeiten. Zeitschr. d. Ges. f. Erdkunde zu Berlin. Bd. 16. 
S. 227 ff. 

5) J. Geikie, The Great Ice Age. 3. ed. 1894. S. 386 ff. 

*) C. A. Weber, Gesch. d. Pflanzenwelt des norddeutschen Flachlandes. Ré- 
sultats scientif. du Congr. Internat. de Botanique. Vienne 1905. S. 105. 

7) Nicht zu verwechseln mit dem „subglazialen Klima" von J. G. Anders- 
son, auf welches ich zurückkommen werde. 


15 


frost im höchsten Grade wirksam und konnte eine ebenso tiefge- 
hende mechanische Zertrümmerung der Gesteine herbeiführen, wie 
gegenwärtig in den Polarländern, in der Nähe der Inlandeismas- 
sen. Parallel mit der eiszeitlichen Depression der Firngrenze haben 
auch die Höhengrenzen der Vegetation die gleiche Erniedrigung 
erfahren, sodaß wir uns die Mittelgebirgsrücken in der Umrandung 
des nordischen diluvialen Inlandeises größtenteils waldlos und mit 


nicht zusammenhängenden Pflanzenformationen — wie die 
gegenwärtigen zirkumpolaren Vegetationsbezirke — denken müs- 


sen ). Dadurch waren die günstigsten Bedingungen für die me- 
chanische Tätigkeit des Spaltenfrostes gegeben. 

Zur Diluvialzeit kam auch der ostkarpatische Gorgany-Rücken 
in den Wirkungskreis des periglazialen, den Spaltenfrost fördern- 
den Klimas und überragte bei weitem die eiszeitliche Vegetations- 
grenze. Die großartigen Blockbildungen des Gorgan y- 
Rückens entstanden größtenteils durch die gestei- 
gerte Wirksamkeit des Spaltenfrostes?) im perigla- 
zialen Klima der Diluvialzeit und stellen die eiszeit- 
liehe Sehuttregion dar, die heutzutage von der Vegetation 
nieht erobert wurde. Wenn gegenwärtig Firnflecke in den Alpen 
bis zur Höhe von 840 mz hinabreichen, so ist es auch höchst 
wahrscheinlich, daß der Gorgany-Rücken unter der Herrschaft des. 
periglazialen Klimas reichlich mit perennierenden Schneemassen 
bedeckt war. Während aber auf der Nordseite die Schneedecke 
dauernd verharren und den Untergrund gewissermaßen schützen 


1) Die pflanzengeographischen Verhältnisse in den an den Rand des diluvia- 
len Inlandeises anstoßenden Gebieten können nur aus dem Vergleiche mit den 
polaren Eisgebieten der Gegenwart beurteilt werden. Letztere sind überall von 
einem breiten Gürtel äußerst vegetationsarmen Bodens, meistens ohne zusammen- 
hängende Pflanzendecke umrandet (Felsenfluren Warming’s, Tundra Schim- 
pers, „barren grounds“ in Nordamerika). Die antarktische Tundra erreicht stellen- 
weise sogar den 45. Breitegrad. Die in Waldgebiete hinein herabreichenden 
Gletscher Alaskas und Neu-Seelands sind dagegen Ausnahmsfälle, die auf beson- 
deren klimatischen Vorbedingungen beruhen und keine allgemeine Bedeutung ha- 
ben können, 

2) Soweit die gegenwärtigen Verhältnisse in der Schweiz einen Rückschluß 
gestatten, wäre bei der Entstehung der großartigen Blockbildungen des Gorgany- 
Rückens auch die Tatsache nicht ohne Belang, daß die Temperaturschwankungen 
um den Nullpunkt gerade in der Höhenzone von etwa 1206—1500 m am häu- 
figsten sind. Vgl. Rodler, a. a. 0., S. 6. 

8) Eiskapelle bei Berchtesgaden. 


16 


konnte, fand auf den Südgehängen ein beständiger Wechsel von 
Auftauen des Schnees und Wiedergefrieren des Schmelzwassers 
statt. sodaß die Blockmeere vornehmlich auf die südlichen Gehänge 
beschränkt sind. Die sprengende Einwirkung des Spaltenfrostes auf 
den Jamnasandstein wurde durch dessen Wasserdurchlässigkeit er- 
heblich gefördert, da das Schmelzwasser sofort — bevor noch das 
Wiedergefrieren erfolgte — in die Klüfte und Poren eindringen 
konnte 1). 

Es ist nieht schwer einzusehen, warum die eiszeitliche Schuttre- 
gion der Waldkarpaten sich inselartig nur im Gorgany-Zuge er- 
halten hat. Gewiß wurden auch die übrigen Waldkarpaten in dem- 
selben Maße vom periglazialen Klima der Diluvialzeit betroffen. 
Indessen stehen alle anderen Flyschgesteine, den Magura-Sandstein 
der Zentralrücken ?) nicht ausgenommen, dem Jamna-Sandsteine an 
Widerstandsfähigkeit bei weitem nach. Sie lieferten daher bei der 
mechanischen Zertrümmerung große Mengen von feinen Verwitte- 
rungsprodukten, die nach der Eiszeit, sobald das periglaziale Klima 
vorüber war, unschwer von der Vegetation besiedelt werden konn- 
ten. Der äußerst widerstandsfähige Jamna-Sandstein dagegen zer- 
fiel hauptsächlich in große Blöcke. wobei die Bildung feinen Schuttes 
so geringfügig war, daß die Vegetation sich heutzutage der block- 
bestreuten Gehänge nicht bemächtigen konnte. Es ist daher selbstver- 
ständlich, daß die großartige Zertrümmerung, die unter dem Einflusse 
des periglazialen Klimas der Diluvialzeit erfolgte, gegenwärtig nur 
im Gorgany-Zuge noch in voller Frische erhalten ist, denn gerade 
in diesem Teile der Karpaten zeigt der widerstandsfähigste Jamna- 
Sandstein die mächtigste Entwicklung. 

Der Gorgany-Rücken ist der reinste Typus einer großartigen 
Bloekbildung durch tiefgehende mechanische Verwitterung in situ, 
die größtenteils unter der Herrschaft des periglazialen Klimas er- 
folgte. Diese besondere Art der Gesteinszertrümmerung bezeichne 
ich als periglaziale Fazies der mechanischen Verwitterung, 

Die Tatsache, daß in der Nähe der Inlandeismassen die Ver- 
witterung unter ganz besonderen Umständen vor sich geht, ist zu- 


1) Es ist eine längst bekannte Tatsache, daß die Umbildung von Schnee in 
Firn und Eis auf wasserdurchlässiger Unterlage bedeutend erschwert ist. Vgl. 
Ratzel, Die Schneedecke. S. 211 u. 212. 

*) Der Magura-Sandstein bildet nur auf dem Gipfel der Babia Gora eine 
kleine: Schuttkappe. 


17 


erst von J. G. Andersson mit großem Scharfsinn erkannt und 
betont worden. Die hervorragende Kenntnis der Verwitterungsvor- 
gänge in hohen Breiten führte J. G. Andersson zur Annahme 
eines „subglazialen“ Klimas +), mit dem er eine „subglaziale Fazies 
der Eiszeit« 2) in Zusammenhang brachte. Meine Auffassung der 
„periglazialen* Verwitterungsfazies ist aber wesentlich verschieden. 
J. G. Andersson hatte vornehmlich das seltsame Schuttgleiten 
auf Falkland und auf der Bären-Insel im Auge und diese gleitende 
Bewegung sollte nach ihm das Wesen der Erscheinung bilden. Zur 
Erklärung des Gleitens setzte er eine starke Durchfeuchtung des 
Bodens voraus, die er durch reichlichen Schneefall im Winter und 
ausgiebige Schneeschmelze im Sommer zu begründen suchte, Nach 
meiner Auffassung dagegen liegt das Wesen der periglazialen Ver- 
witterungsfazies in der mechanischen Gesteinszertrümmerung in 
situ und es ist der Spaltenfrost als wichtigstes Agens *) im peri- 
glazialen Klima zu bezeichnen. Ob die Blockbildungen ins Gleiten 
geraten oder in situ angehäuft werden, hängt nur von Nebenum- 
ständen ab. Daß das Schuttgleiten eine lokale Begleiterscheinung 
der periglazialen Verwitterungsfazies ist, wird durch diejenigen 
Fälle bewiesen, wo bewegliche und stabile Blockbildungen neben- 
einander vorkommen, wie z. B. im Odenwald oder im südlichen 
Ural. Es ist begreiflich, daß die periglaziale Fazies der mechani- 
schen Verwitterung in vielen Fällen von gleitenden Bewegungen 
ergriffen wurde. Die Blockbildungen der periglazialen Fazies sind 
nur auf die widerstandsfähigsten Gesteinsarten beschränkt, welche 
in der Regel ihre weichere Umgebung überragen. Dadureh ist aber 
auch die Wahrscheinlichkeit des Gleitens von großen und schweren 
Blöcken auf einer geneigten, schlüpfrigen Unterlage gegeben. 
Nachdem wir die mechanische Zertrümmerung in situ als das 
Wesen der periglazialen Verwitterung anerkannt und das typi- 
sche Beispiel des Gorgany-Zuges erörtert haben, müssen wir die 


1) J. G. Andersson, Solifluction. Journal of Geol. Bd. 14. 1906. S. 101—102 
und 112. 

?) Peterm. Mitteil. Bd. 49. 1903. S. 33. — „Subglaziale Fazies“ ist aus for- 
mellen Gründen nicht zulässig, da „subglazial* in der Glazialgeologie in einem 
ganz anderen Sinne gebraucht wird. 

3) Besonders wenn wir mit C. A. Weber (a. a. O.) in der Umgebung des 
nordeuropäischen diluvialen Inlandeises das Dauern der Nachtfröste bis weit in 
den Sommer hinein voraussetzen. 


Bulletin III. 


bi 


18 


Frage in Erwägung ziehen, inwieferne diese Art der mechanischen 
Verwitterung auch anderweitig vertreten ist. A limine sind solche 
Bloekbildungen auszuschließen. deren Entstehung lediglich durch 
lokale Lagerungsverhältnisse oder Schiehtenwechsel bedingt ist. Zu 
diesen gehören die bekannten Blockbildungen im Oligozän des Pa- 
riser Beckens. die durch Auswaschung von Sand entstehen, ferner 
die großartigen Blöcke cenomanen Sandsteines an den Gehängen 
des Dupa-Canyons in Podolien '), wo eine Unterminierung durch 
die Abspülung unterlagernder Silurschiefer stattfindet. u. a. Ebenso 
liegt in dem „Pfahl“ des Bayrischen Waldes nur die dyke-ähn- 
liche Auswitterung eines harten Quarzganges zwischen aufgerich- 
teten kristallinischen Gesteinen vor. Soweit es die vorhandene Li- 
teratur gestattet. kann ich vorläufig die periglaziale Fazies der me- 
ehanischen Verwitterung in folgenden Fällen feststellen. 


Polnisches Mittelgebirge. 

(Pusch, Geogn. Beschr. v. Polen. B. I. S. 67. — Siemiradzki, Studien im 
poln. Mittelgebirge. Jahrb. k. k. geol. Reichsaust. Bd. 36, 1886. S. 679). 
Auf der Höhe des Sw. Krzyz-Rückens, welcher die Oberfläche 

des diluvialen Inlandeises als Nunatak überragte. kommen Block- 

anhäufungen unterdevonischen Quarzites vor, die von Siemiradzki 
unrichtig als diluviale Moräne angesprochen wurden. In Wirklieh- 
keit aber liegt hier, wie bereits Pusch angedeutet hat, eine tief- 
gehende mechanische Zertrümmerung des Quarzits in eekige Blöcke 
in situ vor. Die Schrammen auf der Oberfläche des Quarzits, die 
Siemiradzki beobachtet haben will, könnten davon herrühren, 
daß zur Diluvialzeit der eisumflossene Sw. Krzyz-Rücken höchst 
wahrscheinlich mit perennierenden Firnflecken bedeckt war, wel- 
che — wie das Beispiel der Eiskapelle bei Berchtesgaden ?) lehrt — 
eine gletscherähnliche Schrammung ihrer felsigen Unterlage bewir- 
ken können. Die Glättung der Quarzitoberflüche, die ebenfalls von 

Siemiradzki erwähnt wurde, dürfte durch Windschliff erklärt 

werden?) Der Sw. Krzyz-Riicken, als er vom diluvialen Inlandeise 


1) Vgl. Łoziński. Doliny rzek. Taf. II B und III. 

2) Penck, Das Land Berchtesgaden. Zeitschr. d. Deutsch. u. Österr. Alpen- 
vereins. Bd. 16. 1885. S. 263. 

3) So z. B. sind die Quarzitblöcke skandiaavischer Herkunft, die auf der 
Oberääche des nordischen Diluviums herumliegen, in der Kegel durch Windschliff 
geglättet. 


49 


umflossen war, kann am besten mit dem den Rand des antarkti- 
sehen Inlandeises überragenden Gaussberge vergliehen werden, 
‘der eine tiefgehende mechanische Verwitterung zeigt und z. T. mit 
eigenem „Bergeis“ bedeckt ist, welches stellenweise in das Inlandeis 
übergeht und an dessen Bewegung teilnimmt !), In der westlichen 
Fortsetzung des Sw. Krzyö-Rückens, jenseits des Durchbruches der 
Schwarzen Nida, ist auch der bis 450 m hohe Maslow-Rücken mit 
seharfkantigen Bloekbildungen desselben Quarzites bedeckt °). 


Jeschken im Lausitzergebirge. 


(Drude, Der Herzynisehe Florenbezirk. Vegetation der Erde. Bd. VI. S. 487 und 
Taf. zu S. 486). 

Die scharfkantigen, in situ entstandenen Blockbildungen des 
altpaläozoischen Quarzschiefers auf der Südseite des Jeschken, von 
denen Drude eine vortreffliche Abbildung gibt, sind ohne Zweifel 
der eiszeitlichen Schuttregion zuzurechnen. 


Odenwald. 

(Chelius, Die Bildung der Felsenmeere im Odenwald. Zeitschr. d. Deutsch. geol. 
Ges. Bd. 48. 1896. S. 644 ff. — Chelius, Geol. Führer durch den Odenwald. 
2. Aufl. S. 38 ft). | 
Die Felsenmeere des Odenwaldes sind der einzige mir bisher 
bekannte Fall. wo die periglaziale Verwitterungsfazies in eruptiven 
Gesteinen auftritt. Neben beweglichen Blockbildungen kommen auch 
solehe vor, die nach Chelius ohne Transport sich angehäuft ha- 
ben. Zu diesen gehóren die Trümmermeere auf der SO-Seite des 
Felsberges, die aus Granitblócken von 05—5 m? Inhalt zusam- 

mengesetzt sind. 


Hunsrück. 
(Lossen, Geogn. Beschr. der linksrhein. Fortsetzung des Taunus. Zeitschr. d. 
deutsch. geol. Ges, Bd. 19. 1867. S. 513 u. 618. — Grebe, Quarzit-Sattel-Rük- 
ken im südöstl. Teile des Hunsrück. Jahrb. der kgl. preuß. geol. Landesanst. f. 
1880. S. 243 ff. — Leppla, Schuttbildungen des Taunusquarzites. Ebda. f, 1894. 
S. XXXVIII ff. — Erläuterungen zur geol. Spezialkarte von Preußen. Lief. 63 
von A. Leppla. Blatt Morscheid, Oberstein u. Buhlenberg). 
Die mechanische Zertrümmerung des Taunusquarzits tritt am 


stärksten im Hochwald hervor, Die Blöcke erreichen die Größe von 


1) Deutsche Südpolar-Expedition 1901 —03. Bd. H. S. 28—32, 45 und 59. 
2) W. Nalkowski in Glos, Jahrg. 15. Warschau 1900. 8. 38. 
9x 


20 


1—2 m? und sind auf flachen Gehängen in situ zu sog. ,Rosseln“ 
angehäuft, gleiten dagegen auf steileren Gehängen talwärts hinab. 
Die hohen Quarzitrücken zeigen nach Leppla oft eine gratartige 
Zuspitzung. 

Im Idarwald, wo der Taunusquarzit weniger fest gebunden ist, 
erreichen seine Blöcke nicht diejenige Größe, wie im Hochwald. 
und sind in einer lehmig-sandigen Masse eingebettet. Danach kann 
der Verwitterungsschutt des Taunusquarzits im Idarwald nicht den 
echten Blockbildungen, vielmehr aber der periglazialen, sog. , Rubble- 
drift“ Südenglands gleichgestellt werden. 

Letzteres scheint auch für die Schuttbildungen des kambrischen 
Quarzits (Revinien) im Hohen Venn, in der Umgebung von Spa 
zuzutreffen. Aus spärlichen Literaturnachrichten !) ist nur soviel zu 
ersehen, daß Quarzitblöcke, ebenfalls in einer Lehmmasse eingebettet. 
auf der Hochfläche in situ angehäuft sind, an den Gehängen da- 
gegen talwärts hinabgleiten. 


Südlicher Ural. 
(Karpinski-Tschernyschew, Carte géol. géner, Feuille 139. Mém. du Com. 
Géol. Bd. IH. Nr, 2. Taf. II. — Tschernyschew in Guide du VII. Congrès 
Geol. Internat. IH. Taf. H. — H. Credner, Reiseskizzen aus dem Ural. Geogr. 
Zeitschr. Bd. 4. 1898. S. 70, — M. Friederichsen, Der südl. u. mittl. Ural. 
Sep.-Abdr. aus Mitteil. d. Geogr. Ges. in Hamburg. Bd. 14. 1898. S. 6. — Phi- 
lippson, Reise durch den Ural, Sitz.-Ber, d. Niederrhein. Ges. zu Bonn. 1898. 
S. 58 u. 63. — Tietze, Eine Reise nach dem Ural. Beil. zu Monatsblätter des 

Wissensch. Klubs in Wien. 1898. S. 9). 

Am großartigsten tritt uns die eiszeitliche Schuttregion im südli- 
chen Ural entgegen. Sowohl die niedrigeren Rücken ?), wie auch 
die höchsten Gebirgszüge *), die im Iremel bis zur Höhe von 1600 m 
hinaufstreben, sind weit und breit mit Blockmeeren unterdevoni- 
schen Quarzites bedeckt (Fig. 5), die größtenteils in situ entstanden 
sind. Die nackten, blockbedeckten Rücken mit hervorspringenden 
Felsklippen zeigen die vollständigste Analogie mit dem ostkarpati- 
schen Gorgany-Zuge *. Nach Philippson reicht die Block- 


1) E. Delvaux, Note sur l'excursion de Ja Soc. géol. à Spa. Annales de la 
Soc. Roy, Malacolog. de Belgique, Bd. 20. 1885. S. 16. — Gosselet, L'Ardenne. S. 123. 

3) Z. B. Schujda, Alexandrowskaja Sopka u. a. 

*) Taganaj, Urenga, Sukka, Iremel, Nary u. s. w. 

^| Diese Analogie fällt besonders auf, wenn man das treffliche Bild von Ph i- 
lippson (Europa. 2. Aufl, 1906. S. 701) betrachtet. 


2] 
bestreuung der Gehänge bis in die flachen Hochmulden hinab, wel- 
che die Gebirgsrücken trennen. In diesen Hochmulden aber sind 
die Blockmeere schon vom Walde besiedelt worden. Unter Umstän- 
den gleiten riesige Quarzitblöcke am den Gehängen hinab und es 





Fig. 5. Die Blockbildungen des unterdevonischen Quarzites auf der Hochfläche 
des Berges Jurma (zirka 1000 m) im südlichen Ural 
(nach einer Originalaufnahme des Herrn Prof. J. Morozewicz). 


entstehen breite Blockstróme, die denjenigen der Falkland-Insein 
ganz ähnlich zu sein scheinen. 

Die tabellarische Übersicht der soeben besprochenen Vorkomm- 
nisse zeigt den innigsten Zusammenhang der periglazialen Verwitte- 
rungsfazies mit der Südgrenze des nordischen Inlandeises. So gut es 
ging, habe ich auch die Höhengrenzen der periglazialen Blockbil- 
dungen anzugeben versucht. Die beiläufigen Zahlen sind gewib 
recht ungenau, da die betreffenden Blockbildungen in der bisheri- 
gen Literatur größtenteils nur mit kurzen Bemerkungen erledigt 
wurden. Immerhin aber führen die Hühenzahlen zu einem sehr 
wichtigen Resultate, indem sie die allgemeine Regel bestätigen, dab 
die Schuttregion der Gebirge umso stärker ausgebildet ist, je trocke- ` 
ner das Klima ist. Uberblickt man die Höhenzahlen, so ersieht man, 


22 


Südgrenze der nordischen 





Vereisung 
52° N. Br. 
Hochwald Felsberg 
im Hunsrück im Odenwald 
49° 40’ N. Br. 49° 40’ N. Br. 
Unterdevonischer EE 
Quarzit s 
m : granit 
(Taunusquarzit) = 
400—800 m 300—515 m 


Südgrenze der 
nordischen Ver- 
eisung im nörd- 
lichsten Böhmen 


50° 50’ N. Br. 


Jeschken im 
Lausitzer Geb. 


50° 45’ N. Br, 


Altpaläozoischer 
Quarzschiefer 


zirka 900—1010m 





nn. 


Vergletscherung 
des Riesengebir- 
ges (Firngrenze 
1150 m) 
Südgrenze der 
nordischen Ver- 
eisung im Hirsch- 
berger Tale und 
im Waldenburgi- 
schen 
50° 45’ —50° 50’ 
N. Br. 


Große 
Heuscheuer 


50° 30’ N. Br. 


Quadersandstein 
(Emscher) 


919 m 


| 
| 


Sw.K rzyz- Riicken 
im polnischen 
Mittelgebirge 

DIU N. Br. 


Unterdevonischer 
Quarzit 


400 — 600 m 





Übersicht der periglazialen Blockbildungen in der Umrandung des nordeuropäischen diluvialen Inlandeises :). 





| ———M 


Südgrenze der nordischen 
Vereisung 


58° N. Br. 


Gorgany Zug 
in den ostgalizi- 
schen Karpaten 
48° 30’ N. Br. 
Oberkretazischer 
(z. T. eozäner) 


Jamna-Sandstein | 


1300—1818 m 


Südlicher Ural 


| 54^ — 55030’ N. Br. 


Unterdevonischer 
Sandstein und 
Quarzit 

600—1600 m 





Nordgrenze der Vergletscherung 
in den Alpen (Firngrenze 
1200—1300 n), im Schwarzwald 
(Firngrenze 950 m) und in den 
Vogesen (Firngrenze 800 m) 


48? N. Br. 


1 
} 


Gesteinskunde. 3. Aufl. 1908. Abb. auf 8. 288. 


Nordische Eis- 
zunge in der 
Grafschaft Glatz 
50° 30’ N. Br. 
Siidgrenze des 
nordischen In- 
landeises im 
Odertale 
499? 30’ N. Br. 


Siidgrenze der 

nordischen Ver- 
cisung in den 

westgalizischen 

Randkarpaten 
49°30’—50°N. Br. 





Lokale Vereisun- | 


gen in den Ost- 
karpaten und 
Transsylvani- 
schen Alpen 
(Firngrenze 
1450—1900 m) 

45—48° N. Br. 


Außerdem gehören zur periglazialen Verwitterungafazies die Blockbildungen von Quarzit im Harz. Vgl. Rinne, Prakt. 


+ 


wie. der vertikale Umfang der periglazialen Blockbildungen von 
Westen nach Osten zunimmt. Im ostkarpatischen Gorgany-Zuge 
erstreckt sich die eiszeitliche Schuttregion schon über eine Höhen- 
stufe von etwa 500 m; im fernen Osten dagegen, im südlichen 
Ural erreicht der vertikale Umfang der eiszeitlichen Schuttregion 
das Doppelte und beträgt ungefähr 1000 m. 

An dem Beispiele des Gorgany-Zuges ist schon erörtert wor- 
den. daß die periglaziale Verwitterungsfazies nur an den härtesten 
Gesteinsarten hervortritt. Dasselbe ist überall in der Umrandung 
der nordischen Vereisung der Fall. In weniger widerstandsfähigen 
Gesteinen ist die periglaziale Verwitterungsfazies durch reichliche 
Bildung des feinsten Schuttes !) verschleiert und kann mit Aus- 
nahme äußerst weniger Fülle?) von späteren Verwitterungsproduk- 
ten nicht unterschieden werden. Infolgedessen tritt uns die peri- 
glaziale Verwitterungsfazies inselartig nur in den härtesten Sand- 
steinen und Quarziten (mit Ausnahme des Odenwaldes) auf, die 
hauptsächlich - in große Blöcke zertrümmert worden sind. wel- 
che ihrerseits äußerst langsam zerfielen und durch feine Sehntt- 
- bildung nicht verhüllt wurden. Dadurch war aber die Möglichkeit 
des Fortbestehens und der Fortbildung von periglazialen Block- 
anhäufungen gegeben. Denn der Mangel an größeren Mengen fei- 
ner Verwitterungsprodukte erschwerte die Besiedelung durch die 
Vegetation *) und die blockbestreute Gesteinsoberfläche konnte noch 
in der Postglazialzeit und gegenwärtig, wenn auch mit geringerer 
Intensität. vom Spaltenfroste weiter angegriffen werden. 

Die Gestalt, in welcher die eiszeitliche Schuttregion uns ent- 
gegentritt, ist von den jeweiligen tektonischen Verhältnissen ab- 
hängig. Die dachartige Zuspitzung der Kämme, welche E. Rich- 
ter (a. a. O.) für die Schuttregion verlangt, tritt nur bei einem 
stark zusammengepreßten Schichtenbau, wie z. B. im Gorganyzuge 
auf. In der Sehuttregion des südlichen Ural sind scharfe Kämme 


1) Bei eruptiven und kristallinischen Gesteinen kommt noch die Bildung von 
Lehm durch die chemische Zersetzung der Feldspate hinzu. 

?| Wie z. B. die sog. „Rubble-drift (Head)* im südlichsten, vom Inlandeise 
nicht berührten England. Vel. J. Geikie a. a. 0. S. 889. Geinitz, Das Quartär 
(in Lethaea geognostica). S. 413 u. 414. Spethmann, Oberflächengestaltung 
Cornwalls. Globus. Bd. 94. 1908. S. 331. 

3) Zumal das atmosphärische Wasser außerordentlich schnel! in den leeren, 
vom feineren Material nicht ausgefüllten Zwischenräumen versickert. 


24 


nicht überall vorhanden. Wo die Faltung weniger intensiv war, 
sind die blockbedeckten Rücken flach gerundet. wovon Jurma (Fig. 
5) ein schönes Beispiel bietet !). Desgleichen zeigt der Sw. Krzyz- 
Rücken keine Zuspitzung *) In der Großen Heuscheuer. die aus 
flach gelagertem Quadersandsteine aufgebaut ist. wird die ebene 
Oberfläche eines Tafelberges von der tiefgehenden mechanischen 
Zertrümmerung in situ beherrscht. 

Zum Schlusse möchte ich noch die Frage der präglazialen Ver- 
witterung Skandinaviens streifen. Die ungeheuren Mengen von 
skandinavischem Verwitterungsschutt, die das diluviale Inlandeis 
über dem norddeutschen Flachlande verstreut hat, können nur zum 
Teil von der direkten Abnützung des unterlagernden Gesteins durch 
die absplitternde und abbröckelnde Wirkung des Eisschubes abge- 
leitet werden, die besonders scharf von W. Salomon ?) präzisiert 
wurde. Hauptsächlich aber müssen wir an dem Standpunkte von 
Drvgalskı's festhalten. wonach der Schuttinhalt des diluvialen 
Inlandeises in erster Linie durch die präglaziale Verwitterung vor- 
bereitet war. Die Beschaffenheit des nordischen Materials der Di- 
luvialablagerungen, wie ich sie im gemengten Diluvium am west- 
galizischen Karpatenrande kennen gelernt habe, wirft einiges Licht 
auf den präglazialen Verwitterungsschutt Skandinaviens. Im ge- 
mengten Diluvium, wo seine ursprüngliche Moränenbeschaffenheit 
keine nachträgliche Umlagerung erfahren hat. kommen manchmal 
wohlgerundete. kristallinische Gesteinsbrocken und Blöcke skandi- 
navischer Herkunft vor, woraus geschlossen werden kann, daß das 
diluviale Inlandeis auf der präglazialen Oberfläche Skandinaviens 
hie und da fluviatile Schotterabsätze vorfand. Größtenteils aber sind 
die kristallinischen Gesteinsbrocken und Blöcke nordischer Her- 
kunft kaum kantenbestoßen. und dieser Umstand macht es wahr- 
scheinlieh, daß das diluviale Inlandeis auf der Oberfläche Skandi- 
naviens sich vornehmlich eckiger Bloekbildungen bemächtigte, die 
durch tiefgehende mechanische Verwitterung in situ während der 
Präglazialzeit entstanden waren. Der allmählichen Bildung und 
Ausbreitung der diluvialen Eisdecke über Skandinavien ging höchst- 


') Nach einer Mitteilung des Herrn Prof. J. Morozewi cz. 

*) Nach einer Mitteilung des Herrn Dr. J. Smoleński. Vgl. auch W. Nal- 
kowski, a. a. O., S. 100. 

?) W. Salomon, Können Gletscher im anstehenden Fels erodieren ? N. Jabrb, 
f. Mineral. 1900. Bd. H. S. 126 ff. 


n 


25 


wahrscheinlich ein rauhes Klima woraus, das den Übergang vom 
milden Klima der Tertiärzeit vermittelte und dem periglazialen 
ähnlich war, welches im Höhepunkte der Eiszeit in der Umrandung 
des nordischen Inlandeises herrschte. In diesem unmittelbar prägla- 
zialen Klima war der Spaltenfrost ebenfalls mit bedeutend gestei- 
gerter Intensität wirksam und konnte auf der präglazialen Ober- 
fläche Skandinaviens eine tiefgehende mechanische Gesteinszertrüm- 
merung in situ zustande bringen, deren Produkte später. bei all- 
mählich wachsender Ausbreitung des Inlandeises, von demselben 
ausgeräumt und in die Grundmoräne aufgenommen wurden. 


2. Dopetnienia do pracy »o eliptycznej polaryzacyı Swia- 
Ha, przepuszczonego przez ciato naturalnie skrecajace 
1 pochtaniajqce«. — Note Supplementary to a Paper 
»On the elliptic polarization of light transmitted 
through an absorbing naturally -active medium«. Note 
de M. LADISLAS NATANSON m. t. 


In a paper!) read before the Mathematical and Natural Science 
Class of the Academy on October 12, 1908. I discussed the theory 
of circular dichroism in naturally-active media, or the un- 
equal extinction, in substances of this class, of the circular compon- 
ents into which a linearly polarized wave of light can be resolved. 
In the following note it is proposed to consider some further points 
of the Theory and to make some additional remarks, which perhaps 
may not be without interest, on its agreement with experimental 
evidence already to hand. 

§ 1. For convenience of reference we state here some of the 
results previously?) obtained. We consider two opposite circular 


1) Bulletin Int. de l' Académie des Sciences de Cracovie, Classe des Sciences 
Math. et Nat., Octobre 1908, page 764. 

a) Bulletin Int. for March 1908, pp. 130—131 and for October 1908, p. 771. 
My attention has been kindly drawn by Mr Cotton to two contributions to the 
Theory of Circular Dichroism published since his experimental work on the sub- 
ject was completed. The one is due to Mr E. Carvallo (Comptes Rendus, Vol. 
122, page 985. 1896) who proceeds from the (modified) Helmholtz Dispersion 
equations. The other is a very short. Note inserted in Vol. II of Mr J. Boussi- 
nesq’s Théorie Analytique de la Chaleur mise en harmonie avec la Thermody- 


26 


vibrations travelling in the positive direction of the axis of 2. Let 
ag be the amplitude of each of the original linear vibrations taking 
place in the plane = 0. By passage through the medium the 
amplitudes of the components are reduced and become 


(1) a, = a, exp (— 2x, 2/2); ay = ag Exp (— 22%, 2/2) 


where A4 is the wave-length in vacuo and zu, x, are the values 
which the coefficient of extinction of the medium assumes for the 
two circular vibrations. These values, x, und x, being unequal, the 
emergent vibration will be an elliptical one. 

In conformity with the notation previously used we shall adopt 
suffix 1 when dealing with the right-handed circularly polarized 
wave and suffix 2 when dealing with the left-handed circularly 
polarized wave. The angle w which the major axis of the resultant 
ellipse makes with the direction of the original linear vibrations is 


(2) y —4us( 1 — 1) 


c, and c, being the velocities of propagation of the two components 
and # the frequency of vibrations in the wave. The angle w is to 
be taken positive when the rotation, about the positive direction 
of the axis of z. of the major axis of the ellipse (reekoned from 
the original direction of the major axis to its given direction) takes 
place in the positive sense. 

It is important to bear in mind that in deducing equation (2) 
we have assumed no condition respecting the amplitudes a,. a, or 
the coefficients z,, % that would limit the generality of our result. 
Hence equation (2) is valid whatever value the difference x, — x; 
has, or whatever values the coefficients z,, x, taken separately, 
have; e. g. it will hold true in the case when 


(3) Hi on esit) 


which is the particular case usually considered. 
$ 2. At this point I am sorry to find myself in disagreement 
with § 24 of Professor W. Voigt’s recently published, valuable 


namique et la Théorie Mécanique de la Lumière Paris 1903 (p. 625, footnote). 
I regret that I overlooked these two Notes when writing my first Communication 
on the present subject. 


27 


treatise on Magneto- and Electro-Optics t). On page 35 of this book 
a formula = vô, occurs which (allowing for change of notation) 
will be seen to agree with our above equation (2) in Art. 1; but 
its deduction, on pp. 34 and 35, rests upon the explicite assumption 
that a quantity vd, (depending on the difference x, — x,, in our 
notation) is very small in comparison to unity; and on page 35 
the result p= vô, is adduced with express reservation to the case 
when the absorption is feeble ?). Considerable uncertainty thus arises 





as to the accuracy and generality of the proposition in question; 
and as this matter touches so vitally one of the main foundations 
of the theory, I have thought that it might be worth while to show 
how, by merely analytical transformation, and without the help of 
any subsidiary assumption whatever, the result q — vó, can be 
deduced from Professor Voigts own system of general equations. 

To avoid confusion I shall follow Professor Voigt’s notation; 
its use will be restricted, however, to the present Article only. 

We start from the perfectly general formula (35) on page 34 
of «Magneto- und Elektrooptik» 


H ety D SS e iy à 
ll TTL (1) 
"gu i (eiv6 te iv) 
We have to take here 
ô — ô — ió,. (2) 


Writing for brevity 





we easily find 


V, _ isin vd, + y cos vô, (4) 


U,  icosvó, — y sin vd, 





(1 — y?) sin vô, eos vô, — iy 
] — (1— y?) sin? vó, 





Going back to Professor Voigt's equations (24), on page 31, we 
see that 


1) Magneto- und Elektrooptik, von Dr. Woldemar Voigt, Leipzig 1908. 
?) «Bei, wie vorausgesetzt, kleiner Absorption». 


28 





D: gp _ (1 — y?) sin vò, cos vô 
(6) Fada V ia 1— (1 — y?) sin? CR 
(7) Fi Tee, 


whence we obtain 


8) eelere 

we know y is a real quantity satisfying the conditions 
(9) i—y?>0 and y?>0; 

thus the expression 

(10) 1 — (1 — y?) sin? v6, 

cannot be — 0 except when 

(11) =0 and .»0,— 4s, £z ete. 


(ES 

Hence, having regard to the first equation (25) on page 31 of Pro- 
fessor Voigt's treatise, we conelude from (6) and (8) that 

(12) tg 2g = tg 2vó, 


and this conclusion applies to all allowable values of y and of 6, 
with the unessential exception of the case when 


(13) On 0) wt OI on Seele: 


In the case when d — 0. the theorem of course is well known 
to hold true and may be verified independently. 

§ 3. Before proceeding further it may be well to recall a 
simple kinematical proposition. As in a previous paper!) let us 
consider an elliptic vibration 
(1 a) = a COS n (t — a) 


(1 b) n = b cos n (t — B) 


i 


due to the superposition of two opposite circular vibrations. To in- 
vestigate the direction of the revolution in the ellipse observe that 





d ()-- | ^b sin 2 (a — B) (2) 


dt a cos? n (t — a) 


1) Bulletin Int. for March 1908, page 129. 


29 


Combining this with (4) Art. 1. p. 130, of the paper just quoted 
we obtain 





d e n (a,° — as?) > 
y ae at o 
dt\ E a? cos? n (t — a) 

From this we infer that, to an observer receiving the light, the 


revolution in the ellipse is 


right-handed | {>a | 


aecording as À (4) 
left-handed | acl 
Again, from (1) in Art. 1 above it follows 
ay a p 3 
Biche segs 0) e) 
we may therefore conclude that the revolution is 
right-handed | rin | #1 -%<0] (6) 


left-handed | x ae on 

$ 4. Whether the revolution in the ellipse is right-handed or 
left-handed will ultimately depend, as we have seen, upon the sign 
of the difference x, — x, of the two coefficients of extinction of 
the medium. On the other hand, from equation (2) in Art. 1 above 
it appears that the sense of the rotation of the major axis of the 
ellipse (2. e. the sign of our angle w) is determined by the sign of 
the difference of the velocities with which the two circular com- 
ponents of the wave are propagated. The question now arises, Can 
any connexion be traced between the sign of the rotation wy and 
the direction of the revolution in the ellipse? In the case of eryst- 
alline media this question was long ago answered by Babinet 
who formulated the well-known rule: «le rayon le moins ab- 
sorbé est celui qui se propage le plus vite». This rule 
however does not bear the test of examination. In the case with 
which we are here concerned, that is in the case of circular di- 
ehroism in naturally-active media, there ean be no doubt, as we 
shall presently see, that Babinet’s Rule as a general law is 
inaccurate. 

To a courteous private communication from Mr A. Cotton we 
owe the important remark that one of the results we have arrived 


30 


at in a recently!) published paper lends itself readily to the invest- 
igation of the problem here considered. From equation (14) in 
Art. 4 of the paper quoted a theorem can easily be deduced which 
amounts to an extension of Babinet’s Rule; this corrected or gen- 
eralised form of the rule we shall find to be consonant with the 
result of all experiments. In the paper alluded to, the following 
formula was established on the assumption that the substance con- 
sidered contains only ove category of movable electrons: 

Vs -— V, Ny — n? 
(1) Xx, e — Qkn 
Here »,.», are the values (for the right-handed and the left-handed 
circularly polarized wave respectively) of the refractive index, 
z, and x, those of the coefficient of extinction of the medium; #, 
represents the frequency of the free or natural vibration of the 
electron, n the frequency of vibrations in the incident beam of 
light and E a constant coefficient connected with the intensity of 
the damping which is known to operate in electro-molecular vibr- 
ations. 

Two eases have to be considered; we shall take them in order. 

Ist. Suppose A2 4, or n< ne. 
From equation (1) of the present Artiele it follows that in this 


case — 
>, Or CG <C | | X1 > % | 


(2) 
X, < Xs | 


according as 
VE LOL C e | 


However, by formula (2) in Art. 1 above it is evident that 


[v>0\ 
Lan) 


y y. d À 
(3) SECHS implies 
$n | 
and in Art. 3 it was shown that the revolution in the ellipse is 
left-handed 4 x Xə 
(4) according as er n 
X, < X» | 


right-handed 
Hence, in this case, the revolution in the ellipse is 


£ left-handed | > 0 | 


(5) according as v 
right-handed | v — 0 | 


1) Bulletin Int. for October 1908, page 764. 


31 


Formula (2) or the equivalent formula (5) expresses Babinet's 
Rule which is here shown to be applicable, in the case of a mono- 
electronic substance, only to one part of the spectrum. namely to 
Den HER. 

2nd. Suppose A< 4, or n> MN. 
The discussion of this case may be conducted on exactly the same 
lines as before. It will be seen that, in this case, 


n > Vo or Ci <a Co | Í Hı U Xa | 


| according as . : (6) 
Bush. e quad roc x, > Se | 
'The revolution in the ellipse is 
right-handed | quadr ene EA |^ (7) 
left-handed | : | # <0 | 


This is the reverse of Babinets Rule. Our equation (1) asserts 
that it holds true. in the case. of a mono-electronic substance, for 
all values of 2 inferior to dp. 

§ 5. Cireular dichroism in naturally-active media has been 
discovered by Mr A. Cotton; he has investigated the rotation of 
the major axis of the ellipse and the ratio of the semi-axes for a 
number of solutions; and to his admirable work!) we must turn 
when we desire to ascertain in how far theoretical results are cor- 
roborated by experimental evidence. Before doing so, however, some 
preliminary remarks may be necessary. It must be borne in mind 
that Mr Cotton attaches the positive sign to dextrogyric, the ne- 
gative sign to laevogyrie rotation; thus 


(Mr Cotton's) 9 — — (our) y. T 


The next remark called for is that Mr Cotton indicates the dir- 
ection of the revolution in the ellipse by assigning to his angle y 
the positive or the negative sign, the positive corresponding to 
right-handed, the negative to left-handed revolution. Borrowing from 
the numerical tables and from the graphical representations in Mr 
Cotton’s These we have to remember, however, that, as has been 


1) Recherches sur l'absorption et la dispersion de la lumiére par les milieux 
doués du pouvoir rotatoire. These, Paris 1896; and Annales de Chimie et de Phy y- 
‚sique VII Série, tome VIII, p. 347, Paris 1896. 


32 


explained!) by Mr Cotton himself, all signs of y must there be 
reversed. 

In the following table a summary is given of the qualitative 
results of Mr Cotton’s experiments. |In all cases below marked * 
the direction of revolution is stated for wave-lengths adjoining 4). 
For wave-lengths much greater or much less than 4, the direction 
of revolution is sometimes the reverse of that here indicated. This 
is indeed what might have been expected. We must remember that 
in forming equation (1) of Art. 4 we have ignored all other except 
the A,-vibration; and it is clear that we should not be justified in 
assuming that the 2)-vibration ean control exclusively the beha- 
viour of a given substance beyond a certain distance in the spectrum]. 


I. Solution of dextrogyric copper tartarate in caustic potash 
(Thèse, pp. 58—60); 4 < À. 
Observed rotation: 070 sap s 
Observed revolution: left-handed. 
II. Solution of laevogyrie copper tartarate in caustic potash 
(Thèse, p. 58); À < À. 
Observed rotation: os. w>0 
Observed revolution: right-handed. 
III. Solution of dextrogyrie copper tartarate in caustic soda 
(Thèse, p. 63); A= À. 
Observed rotation: e>0, w<0 
Observed revolution: left-handed. 


IV. Solution of double chromium and potassium tartarate (Thèse, 
pp. 65—67), 


a) A> A b AS A 
Observed rotation: o>0, wood Qe 0p p > 0 
Observed revolution:  right-handed * right-handed * 


V. Mixture of potassium tartarate and chromium alum solution 
(These. p. 71). 
a) A>% b 4< 4, 
Observed rotation: p—— 073 0 oU, woo 
Observed revolution: right-handed * right-handed * 


!| Journal de Physique théorique et appliquée, III Série, tome VII, p. 84, 
Paris 1898. 


33 
VI. Mixture of ammonium tartarate and chromium alum solu- 
tion (Thèse, p. 12); 2< À. 


Observed rotation: QU iss 
Observed revolution: left-handed 


VII. Mixture of sodium tartarate and chromium alum solution 


(Thèse. p. TA). 


a) A> dy DARE A 
Observed rotation: OU, od = 0 (CIE ss 0 
Observed revolution: left-handed * left-handed * 


With these facts before us, there can be no doubt that the rule 
as now corrected rests upon a foundation of truth. In the above 
enumeration not a single instance can be adduced that would not 
fit with the rule given in Art. 4. The evidence then, so far as it 
goes, is in favour of the formula which affords a means of expres- 
sing that hitherto wanting relationship. 

S 6. On p. 65 of Mr Cotton's Thèse (p. 407 of the Annales 
reprint) measurements, for different wave-lengths, of the rotation 
and of the ellipticity imparted to light by a 10°/, solution of double 
chromium and potassium tartarate are recorded. In a previous 
paper!) this very instructive series of experiments was chosen as 
a convenient example of the application of the general theory. In 
the course of the calculations two particular figures in the table. 
one value of w and one of g, were observed to be at variance 
with the graphical representation of the results (p. 66 of the These; 
Annales, p. 408); the discrepancy was attributed to misprints. in 
the table (l. c, p. 776, p. 780) and the diagram adhered to repeat- 
edly. On receiving a copy of my paper, Mr Cotton found, 
however, that in one of the two cases the diagram, and not the 
table, was in error. On this point Mr Cotton has been good 
enough to send me the following information which is here printed 
with his kind permission: «J'ai consulté mes cahiers d'expérience 
«pour voir ce qu'il en est des fautes que vous signalez pour les 
«mesures rapportées pour la longueur d'onde 562. Vous avez par- 
«faitement raison pour l'une d'elles: il faut lire, dans la table 
«donnant les valeurs de l'angle y, 4°46’ au lieu de 4°16’. Mais 


1) Bulletin Int. for October 1908, p. 775. 
Bulletin III. 8 


34 


«jiai constaté avee surprise que la rotation: pour cette méme lon- 
«gueur d'onde était bien, comme l'indique le tableau, —19 21^ et 
«qu'il n'y a pas là une faute d'impression, mais une faute dans le 
«tracé de la eourbe dont l'origine est évidente: le dessinateur a 
«placé le point exactement un degré trop haut. Vous verrez vous- 
«méme que cela change un peu, non pas la forme de la courbe w, 
«mais la plaee du second maximum». 

The observed values of # as now corrected are plotted against 
those of 4 in the accompanying diagram; they are shown thus, Ç). 
The wave-length corresponding to y = 0 appears to be 5,72; the 
wave-length 4,, (in previous notation) is situated at 5,31 or nearly 
so. Assuming | | 


(1) Ay 5,72. Orem: 72, — 91 LO em 
and applying the equation 

(2) PA =4— 2, 

(see $ 9 of the paper quoted) we obtain 

(3) 27 —0.782. 1075°cm, 

Again, from 42, = 23 + I'd, we deduce 

(4) Nee — (0310791055 cm 


and this agrees fairly well with the general march of the observed 
values of w. 

From the observed rotations, the following values of the con- 
stant D have been calculated by equation (2) Art. 8 of the paper 
quoted, /' and À, having the values assigned to them in (3) and 
(1) above. 


A KA D 
5,22. 1075 cm 20 50’ 4,21 . 10711 cm? 
OD Bh 10277 E ert e 
SE 1° 46’ GARE. |. 
DEI STE 20 30 DIE S uris 
Assuming 
(5) D = 4,28 . 10711 cm? 


equation (2) Art. 8 of the paper quoted leads to the following results: 


© ‘observed 





Bar calculated 








À LA 

calculated observed 
4,75 . 107%. em 20 08° 19 52" 
DIDO « ete 2% p 200. — 
De pole = + 2° 52’ 29 50° 
Gees 29 56^ (max.) -— 
5HU Lr. 20 51^ -— 
JOA E TOZ 1027! 
Del ks 19 10° 1° 46° 
Mauer er 1° 56’ 20 30° 
6:001 ks, 20 27 
GHG. Es. 2° 34’ (max.) — 
GEL. 19/55; 1° 26’ 


The curve shown in the diagram is the theoretical curve passing 
actually through all the «calculated» points in the figure. 

With the aid of the corrected values of the constants An, l' we 
have recalculated the value of the expression 

(42 — ane L Jr? 22 

(6) R=—' 2 SE logo tg (45° — p) 
(see previous paper, Art. 12); the results obtained are set out in 
the following table. 


A 9 R 
5,22 : 1075 em 10.257 1,92 10-!9 em? 
DOZA pen t 40 46’ “OCs c. I. 
PORTE 4? 54’ Zee |. 
B R9! Le a4 3° 40’ Sen u. 


Referring to p. 779 of this Bulletin for 1908, it will be perceived 
at once that the approach towards constancy is more satisfactory 
now. This appears still more remarkable when it is considered that, . 
owing to circumstances which it is needless to recall +), the values ` 
of ọ arrived at in Mr Cotton’s measurements are open to less 
uncertainty than the rotations w. 

Feeling that we are aproaching comparatively solid ground, we 


1) These, p. 69; Annales, p. 411. 


3T 


may proceed: to further calculations. The values of the three con- 
stants D, P. R are immediately connected by noticing that 


E 2 NO te. UL) 
If we take A = 2.79. 10716 em? and use (5) above, we find 
Pion 809 cm, (8) 


a result which does not differ much from the previous estimate (3). 
The value of J’ being known, the dissipation constant k can be 
obtained with the aid of the relation 


bel pny: (9) 


Using (8) above, we get k = 2,16 . 1014 see“! 

.. In the year 1905. Mr M. F. Me Dowell repeated Mr Cotton's 
experiments and succeeded in extending them in some respects 
(The Physical Review, Vol XX, p. 163; see Errata at the end of 
the Volume, New-York 1905). The method he employed had the 
advantage of considerable sensibility and made it possible to take 
numerous readings in different parts of the speetrum; his solutions, 
however, were not exactly the same as those investigated by Mr 
Cotton; thus the results of these observers are not comparable. 
Moreover, Mr Me Dowells method of calenlating the ellipticity 
seems unable to yield trustworthy results. 


A O stosunkach zasad mineraluych do kwasów w pra- 
widlowym moczu ludzkim. — Über die Verhältnisse 
von anorganischen Basen zu Säuren im normalen Men- 
schenharn. Mémoire de M. STANISLAS KOZŁOWSKI, présenté 
dans la séance du 7. Décembre 1908 par M. L. Marchlewski m. t. 


In Anknüpfung an die von Bondzynski und seinen Mitarbei- 
tern !) gemachte Entdeckung einer neuen, unter dem Namen von Oxy-, 
Antoxy- und Aïloxÿproteinsäure beschriebenen Gruppe von Verbin- 
dungen im normalen Harn sowie im Blut von Menschen und Tie- 
ren (Hund) wurde in unserem Laboratorium oft der Gedanke aus- 


1) Im Harn von Kaninchen und Gänsen wurden diese Säuren später von 
Wilhelm Ginsberg gefunden. 


38 


gesprochen, daß an der Hand der gemachten Beobachtung, aut 
Grund deren sich alle diese Verbindungen, zu denen auch der Harn- 
farbstoff gehört, als ausgesprochene, und zwar mehrbasische Säuren 
erwiesen haben, eine Reihe von wichtigsten, auf den normalen und 
den pathologischen Stoffwechsel bezüglichen Fragen’ einer neuen 
Prüfung bedürfte. Es sind dies besonders Fragen über die Schwan- 
kungen der Alkaleszenz des Blutes und der Azidität des Harns, über 
die Säuerung des Organismus in gewissen Krankheiten wie Diabetes 
mellitus und vielleicht auch Osteomalacie, über die Auflösung von 
Harnsäure sowohl im Harn wie in den Flüssigkeiten der Gewebe 
wie auch die über die Ausseheidung derselben in der Harnsäure- 
diathese. BS 

Um den Weg zur Erforschung dieser Fragen anzubahnen, fiel 
mir die Aufgabe zu teil zu untersuchen, in welchem Maße die 
Proteinsäuren. welche im Harn als Salze enthalten sind, an der 
Bindung von anorganischen Basen in dieser Flüssigkeit sich be- 
teiligen. in 

Die Verfolgung dieser Frage wurde uns nämlich durch die in 
unserem Laboratorium von W. Gawinski!) gewonnenen Ergeb- 
nisse der quantitativen Bestimmungen von Gen im Harn 
noch näher gerückt. 

Die Schwankungen in der Ausscheidung von Proteinsäuren unter 
dem Einfluß von Änderungen in der Zusammensetzung der Nahrung 
sowie von pathologischen Momenten, welche sich aus dieser Arbeit 
ergeben hatten. ließen nämlich parallel auch Änderungen in der 
Ausfuhr von anorganischen Basen. resp. in den Beziehungen zwi- 
schen den Äquivalenten dieser Basen und den Äquivalenten von 
den bekannten im Harn auftretenden Säuren erwarten. | 

Nun lagen Untersuchungen über das Verhältnis von Basen zu 
Säuren im normalen Harn ven Menschen von Bunge”) und’ von 
Stadelmann?), über das im Harn von Hunden von Gaetgens#) vor. 

Aus den Untersuchungen von Bunge, welche an einer Person 
gemacht wurden, welche als Nahrung bald vorwiegend Brot: bald 
vorwiegend Fleisch erhielt. ergab sich, daß in beiden Fällen trotz 


ii 1) 


1) Rozprawy Akademii Umiejetnosci und dieses Bulletin, November 1908. 
2) Lehrb. d. physiol. und pathol. Ch. 2. Aufl. S. 314. 

3) Archiv f. exp. Pathol. 17. 433 (1885). ; SE UC 

4) Zeitschr. f. physiol. Ch. 4, 36 (1880). " sete die 





39 


des extremen Unterschiedes in der Art der Nahrung das Chlor und 
die Schwefelsäure allein hinreichten, alle fixen anorganischen Basen 
zu sättigen. 

Ähnliche Verhältnisse fand auch Stadelmann. Das Gesamt- 
äquivalent aller Mineralsäuren, die Phosphorsäure mitgerechnet, 
ergab sich nämlich aus seinen Analysen im Mittel zu 8:694 er Na, 
dasjenige von allen fixen anorganischen Basen und von Ammoniak 
zu 8024 gr Na. In den von Bunge untersuchten Harnen blieb 
kaum etwas von den Basenäquivalenten übrig zur Sättigung von 
Harnsäure allem, welche in einem von den untersuchten Harnen 
in beträchtlicher Menge gefunden wurde, von anderen Säuren nicht 
zu reden; in jenen von Stadelmann fehlte es sogar an Basen 
zur Sättigung der Mineralsäuren. Allerdings wurde von Bunge 
die Bestimmung von Ammoniak und von beiden genannten Auto- 
ren die Bestimmung der Azidität unterlassen und dieselbe bloß in 
Rechnung gebracht, unter der nicht genau zutreffenden Voraus- 
setzung. daß die Azidität des Harns durch Gegenwart von doppelt- 
saurem Phosphat bewirkt wird, wodurch die obige Schlußfolgerung 
etwas an Bestimmtheit verliert. Nichtsdestoweniger liegt auch bei 
einer für die Größe des Basenäquivalentes günstigsten Deutung der 
durch die genannten Forscher unternommenen Harnanalyse der 
Schluß nahe. daß es in den von ihnen untersuchten Fällen an Ba- 
senäquivalenten zur Sättigung von Proteinsäuren fehlte. 

Wenn die von den genannten Autoren gewonnenen Resultate 
nicht versprachen, daß in der Differenz zwischen dem Äquivalent 
von anorganischen Basen und dem Äquivalent von Mineralsäuren 
die Ausscheidung von Proteinsäuren ihren Ausdruck finden wird, 
so tauchten anderseits auch Zweifel auf. ob das von ihnen gefun- 
dene Verhältnis von Basen zu Säuren im Harn für alle Fälle gül- 
tig, also eine Regel wäre. 

Solche Zweifel entstanden nämlich bei der Betrachtung der Re- 
sultate. welche Gätgens bei der Bestimmung von anorganischen 
Säuren und Basen im Hundeharn erhielt. Das Äquivalent der im 
normalen Hundeharn enthaltenen Basen (— 1:64 gr Na) überragte 
um das Doppelte das Äquivalent der Säuren (= 0:83 gr Na) und 
war sogar nach einer 7 Tage hindurch verabreichten „sauren“ 
Kost (ausgekochtes Fleisch) nicht geringer. im Gegenteil sogar 
größer (= 275 gr Na) als das letztere (= 2:569 er Na). 

. Ferner wurde durch die von Bunge sowie von Stadelmann 


40 


erhaltenen sehr beachtenswerten Resultate die Frage nahegelegt, 
von welchen basischen Bestandteilen dann die restierenden Säuren- 
äquivalente gesättigt wären, falls sich deutlich bestätigen sollte, daß 
die Summe von anorganischen fixen Basen und von Ammoniak 
nicht ausreichen würde, um die Gesamtmenge von anorganischen 
und organischen Säuren zu sättigen. 

In dieser Erwägung wurde beschlossen. das Verhältnis von Säu- 
ven zu Basen im Harn einer neuen Untersuchung zu unterwerfen. 

Zu diesem Zweck wurde der folgende Weg eingeschlagen. Im 
Harn von 3 gesunden Personen, welche bald eine vorwiegend aus 
Fleisch mit wenig Gemüse bestehende Nahrung, bald eine gemischte 
Kost im strikten Sinne des Wortes mit einmal im Tag genossenen 
mäßigen Fleischgaben erhielten, bald auf Milchdiät sich befan- 
den. wurden die Bestimmungen einerseits von allen fixen anor- 
ganischen Basen und von Ammoniak, andererseits von allen be- 
kannten Säuren, also nicht allein von Schwefelsäure, Salzsäure 
und Phosphorsiiure, sondern auch von Harnsäure und von in 
Äther löslichen Säuren ausgeführt und sowohl das Sättigungsver- 
mögen der Basen. wie dasjenige der Säuren bis zur Bildung von 
gegen Phenolphthalein als Indikator neutralen Salzen in Aquivalenten 
von Natrium ausgedrückt. Zur Berechnung des Aquivalentes der 
Phosphorsäure diente daher als Faktor das Verhältnis Na, : P,0,, 
zur Berechnung des Aquivalentes der Harnsüure das Verhältnis 
Na: €, H, N, Os. | 

Da in den meisten Fällen auch die Azidität des Harns direkt 
dureh Titration ermittelt wurde, so konnte nach Abzug des Äqui- 
valentes derselben auch das der oben genannten, im Harn enthal- 
tenen Säuren tatsächlich, d. h. ihrem wirklich bestehenden Sätti- 
gungszustand entsprechende Äquivalent berechnet werden. Aus der 
Differenz zwischen dem Basenäquivalente und diesem letzteren Säu- 
renäquivalente würde eine Zahl resultieren. welche. — unter der An- 
nahme, daß an der Sättigung von Säuren im Harn nur die oben 
aufgezählten fixen Basen und das Ammoniak sich beteiligen, — das 
Äquivalent von allen organischen in Äther unlöslichen Säuren, also 
zum größeren Teil von Proteinsäuren darstellen würde. 

Die in 4 Versuchen erhaltenen Resultate der Analysen sind an 
anderer Stelle (Rozprawy Akademii Umiejetnosei) veröffentlicht wor- 
den. In der Tabelle I wurden sowohl die von Säuren wie von Ba- 
sen gefundenen Mengen in Äquivalenten von Natrium ausgedrückt. 


41 






















































































2869-1 EFRC-8|6T9G-02907-6 FETT-1 L270-0/ 1829-6 1968-6 G6CIE-T 9988-9 9419 0 0210-0 LOTE 0 TE00-€ BL88-2 060-5] WMU “9 AI 
PRI NC I AE |e Eee = = S| a ER CREME NC: A een]: Ae Hei np et ee Pee | A Lë T 
| | | | 
| | | : | | | | | 480) 
KS — | — |OFTT-L |F00G-018670-0128908-T 9797-7)  OPSZO 6200-9 | — (8890-0 €T9T-0 8828-1 8868 8.0009-07 E ‘a | III 
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: : ^ | uosug 'uwdıour ‘a ayuepwaınby | 
uoingg uoa aruepwaınby | ZN | 














T WTIWgViL 





42 


Bei der Betrachtung der Tafel I fällt zunächst in die Augen die 
beträchtliche Ausfuhr von Basen, welche bei der Versuchsperson A 
nach einer vorwiegend aus Fleisch bestehenden Nahrung stattfand, 
Das Gesamtiiquivalent aller anorganischen Basen wurde in beiden 
mit dieser Person angestellten Versuchen beträchtlich größer gefun- 
den als das Äquivalent von allen im Harn gefundenen Säuren. Die 
Differenz zwischen diesen Äquivalenten betrug nämlich im Versuch I 
34206. im Versuch II 3:3416 er Na. 

Da unter den ätherlöslichen Säuren, deren Sättigungsvermögen 
durch Titration ermittelt worden war. neben den flüchtigen Fett- 
säuren, der Oxalsiure. der Benzoösäure und anderen im Harn. in 
geringer Menge enthaltenen stiekstofffreien aromatischen Säuren — 
und zwar in Anbetracht der 4-wöchentlichen Dauer der Extrak- 
tion — auch wohl die ganze Menge der im Harn enthaltenen Hippur- 
säure sich befand. so kann angenommen werden, daß die Menge 
von anorganischen Basen, welehe dem Äquivalent 
von 3:42, resp. 3:34 or Na entsprach, entweder gänzlich 
oder zum größeren Teil auf die Sättigung von Pro- 
teinsäuren zu rechnen ist. 

Ganz andere Resultate wurden dagegen im Versuch IV erhalten. 
Die von Bunge sowie von Stadelmann beobachteten Verhält- 
nisse traten hier mit unzweifelhafter Evidenz zum Vorschein. In 
dem nach der Milehdiät abgegebenen Harn wurden die anorgani- 
schen Basen in einer Menge ausgeschieden. welche, wie aus einer 
besonderen Zusammenstellung in der Tabelle II ersichtlich ist, nieht 


TABELLE II. 











3 PE 
: a. | Aquivalent von anorg. | - 2 © oe Saut 
Gesamtäqui- | «, Sn s > À SE e "EB EER 
| Säuren in Gramm v. Na, . E 85.8 3570 SE 
valent von zio abra —— 2B Mas | ERE So ET 
Il | 2 eh (TERMES Bd 
OLE At © ul X w9.20| Tag D Ss 
© © SS Hs GC ` Zei ve S | N 
Baton, ue AE mr (ere) (Pate oie ESS ENS ES 
: 5 ; as SA = 6 7d | Bier 
in Gramm ES S S e S Sons | ESS = 
mie = 2% | 28528 21.55 ENF 
v. Na Ka SE = GS £ ER Sais Eee 
| | CF- SE E 
m — = fen Ti — = === = SSC zu. m = B = em = 
6:8356 13659, 3:8951 | 2:6781 7:9391 73772 | 05416 


reichte, um die anorganischen Säuren, also die Schwefelsäure, 
Salzsäure und Phosphorsäure bis zu dem Punkt zu sättigen, daß 
die Lösung der entstandenen Salze eine saure Flüssigkeit von 


45 


dem Aziditätsgrad des untersuchten Harns liefern könnte. Die 
Mineralsiiuren überwogen nämlich die anorganischen Basen um 
das Äquivalent von 05416 gr Na und es fand außerdem keine 
Deekung in anorganischen Basen nicht nur das Sättigungsvermö- 
gen von Harnsäure und von ätherlösliehen Säuren, welches, bei- 
läufig bemerkt, nieht gering war (es entsprach 1'194 gr Na), son- 
dern auch dasjenige von Proteinsäuren. 

Die im Versuche III gewonnenen Ergebnisse sind in die Mitte 
zwischen die in den ersten zwei Versuchen erhaltenen und die des 
Versuches IV zu stellen. In diesem Versuche konnte leider die 
Bestimmung des Ammoniaks und der Azidität zur rechten Zeit 
nicht gemacht werden; nähme man jedoch an. daß der Ammoniakgehalt 
und die Azidität des Harns in der Mitte zwischen den in den Ver- 
suchen II und IV fiir diese Bestandteile erhaltenen Werten lagen 
und also das Äquivalent von Ammoniak rund 0'7 gr dasjenige der 
Azidität rund 06 gr Na betrug. so würde ein geringer Überschuf 
von anorganischen Basen den anorganischen Säuren gegenüber sich 
ergeben, welcher in Äquivalenten von Natrium zu 07891 gr Na 
sich bereehnen und etwa zur Sättigung von Harnsäure sowie von 
ätherlösliehen Säuren. ausreichen würde. Für die Sättigung von 
Proteinsäuren würde auch hier von anorganischen Basen entweder 
nichts oder nur eine sehr geringe Menge übrig bleiben. 

Und doch sowohl die ätherlösliehen organischen Säuren wie die 
Proteinsäuren sind wenigstens zum Teil im gesättigten Zustand, d. h. 
als Salze im Harn enthalten. Das Sättigungsäquivalent von ersteren 
Säuren ist, — was ich bereits bemerkt habe — nieht gering; es ist 
manchmal um das 10-fache und sogar um das 20-fache größer als 
dasjenige von Harnsäure. Die Proteinsäuren sind vielbasiche Säu- 
ren von ziemlich großem Sättigungsvermögen gegenüber Basen. Ihre 
Baryumsalze enthalten bekanntlich 245—35:40/, Baryum. Das ihrer 
im Harn enthaltenen Menge entsprechende Sättigungsäquivalent 
konnte direkt noch nicht bestimmt werden, es läßt sich jedoch 
vermuten, daß es viel geringer sein wird als jenes von ätherlösli- 
chen Säuren. In der Milchdiät werden zwar die Proteinsäuren, wie 
dies aus den Untersuehungen von Gawinski hervorgeht, in gerin- 
gerer Menge ausgeschieden als nach reichlichem Genuß von Fleisch, 
jedoch hört ihre Ausscheidung unter diesen Umständen dennoch 
nicht auf. Gerade die: Harne III und IV befanden sich unter den 
Harnproben, welche von Gawinski auf die Ausscheidung von 


44 


Proteinsäuren untersucht wurden; in-dem Harne III entfielen auf 
Proteinsäuren 5:32. in dem Harne IV 290), des Gesamtstickstofts. 

, Für das Manco von anorganischen Basen, welche im Versuch III 
zur Bindung von Proteinsäuren. im Versuch IV außerdem noch zur 
Sättigung von ütherlosliehen organischen Säuren. von Harnsäure 
und sogar noch von einem Teil der Mineralsäuren nicht reichten, 
sind offenbar organische Basen eingetreten. 

Auf die Frage, welche organische Basen diese Rolle übernehmen, 
will ich hier nieht näher eingehen und mich auf die Bemerkung be- 
schränken, daß Kreatinin, welches sich wegen seines geringen Sätti- 
gungsvermögens — da ja 1 gr Kreatinin nur 02 or Na äquivalent 
ist — sich daran nur in geringem Maße beteiligt. und hervorheben, 
daß die organischen Basen unzweifelhaft eine gewisse 
Rolle in der Neutralisation von Säuren, welche in reich- 
licher Menge beim Eiweißstoffwechsel entstehen, spielen. 

Allerdings fanden sich in den Harnen I und II die anorgani- 
schen Basen zwar im Überschuß gegenüber allen Säuren, deren 
Aquivalente bestimmt wurden. weil der Stoffwechsel hier unter 
reichlieher Siiurebildung, und zwar unter gesteigerter Bildung von 
Proteinsäuren verlief. wodurch die anorganischen Basen dem Orga- 
nismus in reichlicher Menge entzogen und ausgeführt wurden, jedoch 
auch in diesen Fällen nahmen wahrscheinlieh die organischen Basen 
an der Neutralisation von Säuren teil. 

Wenn die besprochenen Verhältnisse mit der Azidität des Harns, 
welche direkt durch Titration ermittelt wird und welche beinahe als 
Maßstab einer gesteigerten Säurebildung gilt. verglichen werden. so 
ergibt sich im. weiteren, daß die Erhöhung der Azidität eines 
Harns nur ein entfernter Ausdruck einer gesteiger- 
ten Süurebildung im Organismus ist; ferner daß sie, 
falls sie bei gesunden Menschen nach einem reichlichen Fleisch- 
genuß auftritt, keinesfalls — was meistens angenommen wird — 
etwa auf eine vermehrte Ausscheidung von Schwe- 
felsäure. Phosphorsäure und Harnsäure allein zu- 
rückgeführt. und weiter daß dieselbe auch nieht 
gänzlich oder wenigstens nicht immer den sauren 
Phosphaten zugeschrieben werden kann. 

Wäre nämlich die Reaktion des Harnes von der Ausscheidung 
von Schwefelsäure, Phosphorsäure, Harnsäure. Hippursäure und 


45 


sonstigen Säuren: von einfacher Zusammensetzung abhängig, so 
müßten die Harne I und II stark alkalische Flüssigkeiten geben. 

Daß nun das doppeltsaure Phosphat nicht allein die Ursache 
der sauren Reaktion des Harns sein kann, ergibt sich in den Ver- 
suchen I und II aus einer einfachen Rechnung: wäre nämlich sogar: 
die ganze Menge Phosphorsäure in diesen Harnen in der Form des 
doppeltsauren Salzes enthalten. so würde die Azidität einer sol- 
chen Lösung in Aquivalenten von Natrium im Versuch I zu 
0:800 gr Na. im Versuch II zu 0:695 gr Na sich berechnen, während 
sie wirklich im Harn I 1:4302 gr, im Harn II 0742 gr Na glich. 


Lwow (Lemberg). Medizinisch-cheinisches Institut der Universität. 





4. Stosunek narządu stuchu do pecherza ptawnego u ryb, 
Sledziowatych. — Zur Kenntnis des Gehörorganes und 
seiner Beziehungen zur Schwimmblase bei den Clupei- 
den. Mémoire de M. A. TYSOWSKI, présenté par M. J, Nus- 
baum m. c. | 


(Planche I). 


Die interessante Beziehung der Schwimmblase zu dem membra- 
nösen Ohrlabyrinthe. welche bei manchen Teleostiergruppen zuerst 
von Weber entdeckt und ziemlich ausführlich beschrieben worden 
ist, hat schon mehrmals verschiedene Forscher beschäftigt. Zu den 
Cypriniden, Siluroiden, Cobitiden, Spariden und Clupeiden, die in 
dem berühmten Werke Webers behandelt wurden. kamen noch 
später einige Gruppen, wie die der. Charaeiniden, Percoiden auch 
Ophidiiden hinzu, bei denen gleiche, mehr oder weniger modifizierte 
bis rückgebildete Verhältnisse festgestellt wurden. Jede von diesen 
Gruppen fand mehrere Bearbeiter, die zur Aufklärung dieser kom- 
plizierten morphologischen und physiologischen Verhältnisse, beson- 
ders in anatomischer Hinsicht, zwar viel beigetragen, aber dennoch 
manches unerklärt und nieht ganz sieher begründet der kommenden 
Forschung zur Nachprüfung und Fortsetzung der begonnenen Ar- 
beit gelassen haben. Manches davon, wie der bekannte Weber'sche 
Apparat der Ostariophysen, ist sowohl in anatomischer als aueh in 
embryologischer Hinsicht fast monographisch mit aller Genauigkeit 
‚erforscht worden und demgemäß auch der morphologisehe Wert 


46 


seiner einzelnen Teile und deren Homologie in den verschiedenen 
Gruppen der Fische aller Wahrscheinlichkeit nach richtig erkannt. 
Die Gruppe der Clupeiden dagegen. bei denen das Verhältnis der 
Schwimmblase zum Ohrlabirynthe viel komplizierter als bei den 
anderen gestaltet ist, harrt einer genaueren Erforschung. da die- 
Meinungen über diesen Gegenstand sehr auseinandergehen. Auf Ver- 
langen meines Lehrers, des Herrn Professors Dr. Josef Nusbaum. 
dem ich an dieser Stelle für sein liebenswürdiges Entgegenkommen 
bei meiner Arbeit und viele. wertvolle Winke meinen innigsten 
Dank ausspreche, habe ich somit diese Arbeit unternommen. 

Im folgender teile ich kurz meine durch làngere und eingehende 
Forschung gewonnenen Ansichten über diesen Gegenstand mit, das 
Nähere darüber werde ieh an einer anderen Stelle später erörtern. 

Ich erlaube mir zuerst in möglicher Kürze hier die Befunde 
meiner Vorgänger zusammenzustellen. Jn seinem Werke: „De aure 
et auditu hominis et animalium“ (erschienen im Jahre 1820)(1) be- 
schreibt E. H. Weber unter anderem die Verbindung der Schwimm- 
blase mit dem häutigen Ohrlabirynthe bei den Clupeiden, die er 
als „pisces, quorum vesiea natatoria appendieibus eavis eum aure 
interna coniungitur“ bezeichnet und zusammen mit den Spariden 
der anderen Gruppe „pisces, quorum vesica natatoria tribus ossieu- 
lis auditoris eum labiryatho membranaceo coniuncta est^ entgegen- 
stellt. Wie schon aus dieser Klassifikation ersichtlich, unterscheidet. 
der berühmte Verfasser zwei durchaus verschiedene Verbindungs- 
weisen der Schwimmblase mit dem inneren Ohre: 1) die Verbin- 
dung vermittels einer Kette von Gehörknöchelehen, 2) die unmit- 
telbare Verbindung dureh Kontakt. Die erstgenannte mittelbare 
Verbindung kommt den Cypriniden, Siluroiden und Cobitiden, die 
letztgenannte den Spariden, jedoch eigentlich den Clupeiden zu. Bei 
den letztgenannten. namentlich bei Cl. Harengus, stellt sich das 
Verhältnis nach Weber folgendermaßen dar: die Schwimmblase 
der Clupea teilt sich an ihrem vorderen Ende in zwei enge Röhr- 
chen, die unter der Schädelbasis in zwei von derselben geformten 
knöchernen Kanälen verlaufen, sich nach einer geringen Erweite- 
rung wiederum in je zwei kleinere membranöse Kanälchen spalten, 
deren jedes mit einer bulla endet. Die beiden „bullae membranaceae“, 
die schon eigentlich im eavum cranii liegen, sind da von knöcher- 
nen Gehiusen umschlossen, die die sg. „bullae osseae anteriores et 
posteriores“ bilden. Die „bullae membranaceae anteriores“ füllen 


47 


«das knöcherne Gehäuse nieht vollständig aus, sondern lassen einen 
kleineren Teil frei, der. jedoch. von dem diverticulum des mem- 
branösen Labirynthes eingenommen wird. Dieses divertieulum dringt 
‘in das Innere der knöchernen Kapsel durch eine Querspalte, die 
in der dem cavum cranii zugekehrten Wand der Kapsel ausge- 
schnitten ist. Die Schwimmblase kommt somit im Innern der bulla 
‚össea: anterior mit. dem Gehörlabirynth in unmittelbaren Kontakt. 
Die hier. zusammenstoßenden membranösen Wände der Schwimm- 
blase einerseits, des Labirynthes andererseits bilden durch Zusam- 
:menwachsen eine Membran, die nach der Art einer membrana tym- 
pani sich an einem knorpeligen Ring an der Innenwand der bulla 
ossea anheftet. Zwischen der bulla posterior und dem membranösen 
‘Labirynthe gibt es keine nähere Beziehung; es wird nur ihre knö- 
cherne Kapsel von dem canalis semie. externus ringförmig umfaßt. 
Das membranöse Labirynth der Clupea Harengus weist nach W e- 
ber auch ein von anderen Teleostiern in gewisser Hinsicht abwei- 
ehendes Verhalten auf: dureh Quecksilberinjektionen hat er sich 
nämlich überzeugt, daß die beiderseitigen Labirynthe durch einen 
unter dem Gehirn verlaufenden Kanal, der beide recessus vestibuli 
verbindet, miteinander kommunizieren. Von anderen Befunden W e- 
ber’s. auf die ich noch später zurückkommen werde, möchte ich 
noch hervorheben, daß er einige Aufmerksamkeit der ungewöhnli- 
chen Dieke der Labirynthwände schenkte, das sie bildende Gewebe 
jedoch als dem Labirynthe zugehörig betrachtete. 

Mit dem gegenseitigen Verhalten der Schwimmblase und des. 
inneren Ohres bei den Olupeiden befaßte sich der nächste Nach- 
folger Weber's in der Erforschung des Fischohres Gilbert Bre- 
schet. In seiner 1838 erschienenen Arbeit: „Recherches anatomi- 
ques et physiologiques sur l'organe de l'ouie des poissons“ finden 
wir eine ausführliche Beschreibung dieser interessanten Einrichtun- 
gen bei Cl. alosa. Die beiden vorderen Fortsetzungen der Schwimm- 
blase sind da als: „trompes eystiques“, die beiden Knochenkapseln 
als „globes osseux“ bezeichnet. Diesen Gebilden wird größere Auf- 
merksamkeit gewidmet, da sie für rudimentäre „tubae Eustachii“ 
und ,cava tympani“ samt „fenestra vestibuli^ gehalten werden. 
Das dünne Häutchen, welches die knöchernen Kanäle und Kapseln 
von innen auskleidet, soll eine Fortsetzung der Rachenschleimhaut 
vorstellen und als Beweis dafür dienen, daß die Kanäle der „tu- 
bae Eustachii“ homolog sind. Und da die „tubae Eustachii“ bei den 


48 


höheren Vertebraten ins ,cavum tympani“ führen, so müssen wir 
auch die Knochenkapseln als solche betrachten, wobei das Vorhan- 
densein einer fenestra der Querspalte auch dafür sprechen dürfte. 
Es gibt da mehr solehe Vermutungen, uns interessiert jedoch nur 
das. was Bresehet wirklich zu sehen glaubte. Das Weber'sche 
Divertikel des Ohrlabyrinthes ins Innere der Knochenkapsel scheint 
er nicht geschen zu haben; das Verhältnis beschreibt er so, als 
läge nur ein Teil des Labirynthes der oberen Wand dieser Kapsel 
also auch der Querspalte unmittelbar an, ohne ins Innere einzu- 
dringen. An dem Labirynthe selbst beschreibt er eine noch größere 
Komplikation, indem er außer der unteren Verbindung der beider- 
seitigen Labirvnthe, die schon Weber entdeckt hat, noch eine obere 
Kommunikation der Vorhöfe annimmt und auf diese Weise eine 
ringformige Umfassung des Gehirns durch das Ohrlabirynth dar- 
stellt. Außerdem sollen noch seitliche Ausstülpungen des häutigen 
Labirynthes existieren, die Breschet als der cochlea homolog an- 
zuerkennen geneigt ist. Ferner ist es interessant zu wissen, daß er 
hauptsächlich deswegen alle diese Teile für Ausbuchtungen und 
Verbindungskanäle des Labirynthes erklärt, weil sie aus demselben 
Gewebe aufgebaut sind. welches die membranösen Wände des La- 
birvnthes bildet. 

Nun folgen die vortreftlichen „Anatomischen Studien“ von C. 
Hasse (3. 4. 5, 6). Von den zahlreichen von diesem ausgezeich- 
neten Forscher größtenteils richtig erklärten Beobachtungen kann 
ich da der Kürze wegen nur die wichtigeren hervorheben und be- 
halte mir die Besprechung der Einzelheiten für die spätere Schil- 
derung vor. Hasse hat die Nachprüfung der Weber’schen Unter- 
suchungen unternommen; nachdem er bei den Cyprinoiden und 
Cobitiden andere Verhältnisse, als sie von Weber geschildert wor- 
den sind, festgestellt hatte, wählte er auch die Clupeiden zum Ge- 
genstand einer neuen Untersuchung, um die von Weber beobach- 
teten Tatsachen auf ihre Richtigkeit hin zu prüfen. Es handelte 
sieh nämlich um den fast paradoxen unmittelbaren Kontakt der 
Sehwimmblase mit dem inneren Ohre, wobei auch die unentschie- 
dene Frage nach der Kommunikation der beiderseitigen Labirynthe 
manches Interesse bot. Die Resultate. zu denen er gelangte, zwan- 
gen ihn sowohl die von Weber als auch die von Breschet dar- 
gestellten Tatsachen für unriehtig zu erklären. Was zuerst das Ver- 
hältnis der Schwimmblase zum Ohrlabirynthe anbetrifft, so bestritt 


49 


er die Existenz eines Diverticulums der Labirynthwand und dem- 
nach auch den unmittelbaren Kontakt beider Wände. wie ihn We- 
ber zu sehen glaubte, er trat auch Breschets Meinung entgegen, 
daß die Labirynthwand der Querspalte unmittelbar anliegen soll. 
Nach seiner eigenen Untersuchung bei CZ Harengus und Cl. alosa 
kommt diese Verbindung dadurch zustande. daß das Innere der 
Knochenkapsel, also derjenige Teil, wo das Weber’sche diverti- 
eulum seinen Platz fand, mit einem perilymphatisehen Raume, der 
den ,reeessus utriculi^ umgibt und durch einen subcerebralen Kanal 
mit dem der anderen Seite kommuniziert, durch die Querspalte in der 
knöchernen Kapsel in offener Verbindung steht. Der erwähnte subce- 
rebrale Kanal, der nach Weber und Breschet die beiderseitigen 
Labirynthe verbindet, nach Hasse jedoch nur einen perilympha- 
tischen Verbindungskanal vorstellt. mündet mit einer kleinen ova- 
len Öffnung in den Schädelknochen zu beiden Seiten des Kopfes in 
die subkutanen Lymphräume. Sowohl dieser Kanal als auch die 
beiden Lymphräume, die die recessus utrieulorum umgeben und in 
die bulla ossea anterior eindringen, sind von einem spongiösen Ge- 
webe erfüllt, welehes zu der irrtümlichen Annahme Webers über 
das diverticulum und zu derjenigen Breschet’s über ,bulbe ac- 
cessoire* Anlaß gab. Die subcerebrale Verbindung beider Labiryn- 
the existiert also nach Hasse nicht, folglich fällt damit auch die 
Annahme Breschet’s über ein ringförmiges Labirynth ganz weg. 
Es bleibt jedoch eine supracerebrale Verbindung beider Labirynthe 
auch naeh Hasse bestehen, nur ist sie von ihm als die Verbindung 
der gegenseitigen recessus labirynthorum s. duetus endolymphatiei 
erkannt worden. Außerdem glaubt Hasse ein Homologon der fe- 
nestra ovalis am Boden des Schädels entdeckt zu haben; er ist dem- 
nach geneigt, das Ohr der Clupeiden für eine Übergangsform zu 
den hóheren Vertebraten zu betrachten. Das die perilymphatischen 
Räume bildende Gewebe hält er für eine Verdiekung der dura ma- 
ter cerebri, ähnlich wie das auch bei anderen Fischen vorkommt. 

In dem im J. 1881 erschienenen Werke von Retzius: „Das 
Gehórorgan der Fisehe und Amphibien* (7) finden wir auch eine 
kurze Schilderung dieser Verhältnisse bei Cl. harengus. Die Resul- 
tate dieses bekannten Kenners des Wirbeltierohres stimmen im 
großen und ganzen mit denen Hasse’s überein. was nämlich die 
subeerebrale Verbindung und die morphologische Bedeutung des 
dieselbe aufbauenden Gewehes anbelangt. Nur über die obere Ver- 


Bulletin III. 4 


50 


bindung der ductus endolymphatiei ist er sich nieht ganz im kla- 
ren, denn einen wirklichen Kanal konnte er da niemals entdecken. 
Er spricht deshalb bloß die Vermutung aus. diese obere Verbindung 
sei nur eine Verdickung der dura mater ohne jeden Kanal, umso- 
mehr, da nach seiner Ansicht die ductus endolymphatici der Clu- 
peiden wie bei anderen Teleostiern blind enden. 

Die letzte Arbeit über diesen Gegenstand war die im J. 1891 
von Ridewood verfaßte: „The air-bladder and ear of British Clu- 
peoid Fishes“ (8). Wir finden da eine vergleichend anatomische 
Untersuchung der Schwimmblase und des Ohres bei den britischen 
Clupeiden-Arten: C/. harengus, Cl. pilchardus, Cl. sprattus, Cl. alosa, 
Cl. finta und Engraulis encrasicholus. Der Verfasser befaßt sich da 
zuerst mit einer genauen Schilderung der Gestalt und der Dimen- 
sionen der vorderen Luftgänge der Schwimmblase und verfolgt de- 
ren Verlauf an der unteren Fläche der Schädelbasis bei jeder Gat- 
tung einzeln. Mit derselben Genavigkeit beschreibt er die Gestalt 
und Größe der vorderen und der hinteren Knochenkapseln. In der 
Schilderung des näheren Verhältnisses der Schwimmblase zu dem 
Ohrlabirvnthe bei allen diesen Arten schließt er sich wiederum 
Webers Ansichten an, indem er behauptet, ein blindes divertieu- 
lum der Recessuswand gesehen zu haben, das ins Innere der Kno- 
chenkapsel eintritt und dort mit der Schwimmblasenwand unmittel- 
bar zusammenstößt. Aus seinen Angaben über den Bau des Ohr- 
labirynthes bei den von ihm untersuchten Clupeidenarten scheint 
hervorzugehen. daß er den Weg der „aurea mediocritas“ wählt, in- 
dem er die Ansichten Webers über den subcerebralen Verbin- 
dungskanal, diejenigen Breschets über die obere Sinusverbindung 
und seitliche Labirynthausstülpungen und die von Hasse über die 
Verbindung der „recessus labirynthi* vereinigt. An dieser Stelle 
möchte ich noch erwähnen, daß von demselben Autor im J. 1904 
eine osteologische Arbeit (9) über einige andere Clupeidenarten er- 
schien, die jedoch nichts Neues über diese komplizierten Verhält- 
nisse bringt, so daß man wohl annehmen darf. daß der Verfasser 
auch bis zu dieser Zeit an der Richtigkeit seiner früheren Angaben 
festhielt. Ich erlaube mir diese Bemerkung. da mir eben die osteo- 
logischen Verhältnisse des Clupeidenschädels in mancher Hinsicht 
ungemein interessant erschienen, und ich glaubte über einige Fra- 
gen, auf die ich noch später kommen werde, eben in der letzge- 
nannten Arbeit Aufschluß finden zu können. Ich bedauere, daß der 


51 


Verfasser gewisse Knochenbildungen unbeachtet gelassen hat und 
seine Ansicht darüber nicht angibt. 

Aus diesem kurzen geschichtlichen Abriß ersieht man, um was 
es sich in dieser Verschiedenheit der Meinungen handelt: einerseits 
soll die Frage entschieden werden. auf welehe Weise die Schwimm- 
blase mit dem Gehörorgan in Verbindung steht, andererseits soll 
das eventuelle Vorkommen einer endolymphatischen Verbindung 
der beiden Ohrlabirynthe festgestellt werden. Ich will versuchen, 
daraus eine einzige Frage zu bilden, die, wie ich glaube, einer ein- 
heitlichen Antwort bedarf, und zwar: Ob und inwiefern die Art der 
Anpassung an das Verhältnis der Schwimmblase zum Ohrlabirynthe 
bei den Clupeiden von den übrigen Ostariophysen abweicht? Zur 
Entscheidung dieser Frage wird sich die vergleichend anatomische 
Untersuchung nicht nur auf die Gruppe der Clupeiden beschränken 
können, sondern es wird vielmehr nötig sein, auch die Verhältnisse 
in allen Gruppen der Ostariophysen ins Auge zu fassen. Ich gehe 
nun an die Darstellung meiner Befunde und der durch die verglei- 
chende Methode erworbenen Ansichten. 

Als Untersuehungsmaterial dienten mir die im Adriatischen 
Meere vorkommenden Clupeidenformen. und zwar: Clupea alosa, CI. 
finta, Clupea (Meletta) sprattus, Cl. pilchardus, Engraulis encrasicho- 
lus und Sardinella aurita, die mir von der zoologischen Station in 
Triest geliefert wurden, außerdem Schädelskelette von Cl. harengus, 
und ganze Skelette verschiedener Ostariophysen. Zur mikroskopi- 
schen Untersuchung habe ich auspräparierte Kopfregionen nach 
vorheriger Aufweichung in 3°/, Alkoholsalpetersäure in Paraffın 
eingebettet und auf zirka 7 u dieke Mikrotomschnitte zerlegt. Zum 
Färben gebrauchte ich entweder Parakarmin oder Van Gieson’sche 
Mischung (Vorfärbung mit Delafield’s Hämatoxylin), teilweise auch 
die Weigert'sehe Methode für die elastischen Fasern. Da mir nur 
Formol- oder Spiritusmaterial zu Gebote stand, konnte ich auf den 
feineren Bau des Clupeidenohres nicht näher eingehen, deshalb werde 
ich im weiteren diese feineren Verhältnisse nur insofern berühren, 
als mir die erwähnten Färbungsmethoden einige Aufschlüsse dar- 
über gestatten. 

Es mag da zuerst der Unterschied zwischen dem Ohre der Olu- 
peiden und dem anderer Fische klargestellt werden. Hasse will 
bei den Teleostiern drei Typen des Gehörorgans unterscheiden: 
1) den gewöhnlichen Typus der Mehrzahl der Fische, 2) den der 

As 


52 


Cyprinoiden, 3) den der Clupeiden. Der letzte Typus stellt zwei 
dureh die über dem Gehirn verbundenen ductus endolymphatici 
miteinander kommunizierende Labirynthe vor, welche außerdem einen 
subeerebralen perilymphatischen Kanal und zwei die „recessus utri- 
culi“ umgebende Lymphräume besitzen. Demgemäß betrachtet Hasse 
das Ohrlabirynth der Clupeiden als ein hochentwickeltes Organ, das, 
seiner Verbindung der ductus endolymphatiei nach zu urteilen, sich 
dem Ohre der Amphibien nähert. In der Tat kommen in dem Ohre 
der Clupeiden viele Gebilde vor, die ihm ein von dem gewöhnli- 
chen Typus abweichendes Aussehen verleihen. Es sind dies näm- 
lich: die obere Uberbriickung des Gehirnes von einem Kanal, der 
in einem Gewebe, welches dem der Labirynthwand ähnelt, ETE 
ferner der untere subcerebrale von demselben Gewebe aufgebaute 
perilymphatisehe, nach Hasse, Weber und Breschet endolym- 
phatische Verbindungskanal; endlich die lymphatischen Räume, die 
nach Hasse den jederseitigen recessus utriculi umgeben und in 
offener Kommunikation mit den subkutanen Lymphriiumen stehen. 

Wie verhält sich also das Ohr bei den von mir untersuchten 
Arten ? Bei sämtlichen von mir untersuchten Clupeiden lassen sich 
alle typischen Teile des Ohrlabirynthes unterscheiden: also der Utri- 
culus mit dem Recessus utriculi, die 5. Ampullen. 3 Bogengänge 
mit dem sinus superior und der Sacculus mit der Lagena. Drei 
Otolithen sind, wie aus anderen Sehilderungen bekannt. auch vor- 
handen, maeulae und eristae verhalten sieh im allgemeinen überall 
gleicherweise. Eines Gebildes muß ich indessen hier speziell geden- 
ken: nämlich des ductus endolymphaticus. Nach Retzius ist das Vor- 
kommen dieses Anhanges, nur von wenigen Ausnahmen abgeschen, 
bei sämtlichen Fischen festgestellt worden. Es gibt jedoch manche Au- 
toren (15). die diese Annahme bestreiten. Der ductus endolympha- 
ticus ist nämlich dort, wo er vorkommt, ein deutlicher, mit eigener 
Wand versehener Kanal, der seinen Ursprung aus dem primitiven 
Ohrblischen ohne weiteres erkennen läßt. Weder die Entwicklung 
(16) noch die Ausbildung des erwähnten Gebildes bei den Fischen 
läßt meiner Ansicht nach ein Homologisieren mit dem ductus en- 
dolymphatieus anderer Wirbeltiere zu. Nach Retzius (7) und 
Hasse (5, 6) stellt es einen rudimentären Kanal dar, der der me- 
dianen Wand des sinus superior knapp anliegt und samt der pigmen- 
tierten dura mater leicht abgerissen werden kann (die dadurch ent- 
standene Lücke hat Hasse zuerst für ein Kunstprodukt gehalten). 


nme 
53 


Die Untersuchungen mikroskopischer Schnitte durch diese Labirynth- 
gegend haben mich überzeugt. daß zwar ein ähnliches Gebilde (Pi/- 
chardus, Alosa) existiert, jedoch jeder Selbständigkeit entbehrt und 
nur etwa wie eine Spaltung der Innenwand des sinus superior aus- 
sieht. Der Querschnitt dieses Kanals ist spindelförmig und die eine 
dem sinus superior zugekehrte Wand hat er mit demselben gemein. 
Ich kann nieht umhin meinem Zweifel Ausdruck zu geben. ob 
da nicht ein Irrtum vorliegt und ob nicht dieses Gebilde besser 
von Krause (15) erkannt worden ist, der es für kein Homologon 
des duetus endolymphatieus ansieht und dessen Entstehung durch 
das Einwachsen der Utrieuluswand, die zur Verjüngung des fora- 
men utrieulosaceularis beiträgt. erklärt. Auf ein Mißverständnis 
scheint auch die Tatsache hinzuweisen, daß Retzius in dem Ohr- 
labirynthe von Cyprinus Idus auch einen ductus endolvmphatieus 
entdeckt und abgebildet hat, während, wie man mit Nusbaum 
und Gegenbaur jetzt allgemein annimmt, bei den Cyprinoiden 
der quere Verbindungskanal einen solehen vorstellen soll: nur eines 
davon kann richtig sein !). Wie schon daraus zu vermuten ist, kann 
auch Hasse’s Angabe über die obere Verbindung der ductus en- 
dolymphatiei (5) bei den Clupeiden kein großes Zutrauen erwecken, 
Ich habe mich vielmals bemüht. diese obere Verbindung selbstän- 
diger endolymphatischer Kanäle zu finden, konnte jedoch weder 
auf den Quer- noch auf den Lingsschnitten irgend einen Gang ent- 
decken. der im Sinne Hasse’s zu deuten wäre. Statt dessen habe 
ich einen anderen Kanal gefunden. auf den ich noch später zu spre- 
chen kommen werde, der jedoch mit dem Hasse’schen ductus en- 
dolymphatieus nichts gemein hat. Ich will also schon an dieser 
Stelle andeuten. daß ich mich Retzius Ansicht, daß keine endo- 
lymphatische Verbindung zwischen den beiden Ohrlabirynthen vor- 
handen ıst. vollkommen anschließe. 

Die anderen Teile des Labirynthes verhalten sich im großen 


1) Nusbaum und Gegenbaur haben seinerzeit den Verbindungskanal als 
dem ductus endolymphatieus homolog erklärt, ehe noch die Entwicklungsmethode 
dieses Kanals bekannt war. Die Untersuchungen S. Sidoriaks im Laboratorium 
des Prof. Nusbaum haben aber später gezeigt, daß der Kanal sehr spät zur Ent- 
wicklung gelangt (bei Rhodeus amarus), was gegen diese Homologie zu sprechen 
scheint. da der ductus endolymphaticus, wie bekannt. bei anderen Fischen als 
Produkt des Verbindungskanals des primitiven Obrbläschens mit dem Ektoderm 
entsteht. 


54 


und ganzen bei sämtlichen untersuchten Arten ungefähr gleich; min- 
der wichtige Unterschiede weist nur das gegenseitige Lageverhält- 
nis des saceulus und des utriculus auf: der sacculus ist nämlich 
manchmal (Engraulis, Sardinella) weit nach vorn bis unter die Kno- 
chenkapseln geschoben, während er bei anderen mehr nach hinten 
liegt (Sprattus, Alosa). Damit hängt, wie ich bei der osteologischen 
Betrachtung darauf hinweisen werde, die Gestaltung der Schädel- 
basis zusammen. Sinus superior ist überhaupt sehr hoch, so daß er 
bei manchen Arten (Sprattus) fast den der anderen Seite berührt; 
bei makroskopischer Betrachtung kann es wirklich den Eindruck 
machen, als existiere dort eine freie Kommunikation. Dabei ist auch 
das Lumen des Sinus verhältnismäßig sehr geräumig. Der canalis 
senucireularis anterior et posterior liegen entweder frei im cavum 
cranii, und das trifft bei den meisten zu. oder aber sie sind von 
demselben durch eine straffe Membran abgegrenzt, so daß nur sinus 
superior freibleibt (Cl. Harengus). 

Alle endolymphatischen Räume sind mit einem polygonalen 
Pflasterepithel ausgekleidet, der im Bereich der maculae acusticae 
wie gewöhnlich höher wird und hier die Nervenendigungen auf- 
nimmt. Es ließ sich an vielen Stellen unter diesem Epithel ein dif- 
ferenzierter Teil einer Labirynthwand beobachten, der sich dunkler 
färbte und den Eindruck eines dicht fibrösen Gebildes machte. An 
der Grenze der perilymphatischen Räume bildete er allein die dünne 
Labirynthwand. In keinem Falle konnte jedoch seine Selbständig- 
keit nachgewiesen werden, so daß wir zweifellos diese Unterlage 
des Labirynthepithels nur für ein mehr verdichtetes Labirynthwand- 
gewebe halten müssen. 

Jedoch am meisten charakteristisch für das Ohr der Clupeiden 
ist die ungewöhnliche Dieke der medialen Labirynthwände und das 
dieselben autbauende Gewebe. Es ist das Gewebe, welches die ver- 
meintlichen endolymphatischen Kanäle Webers, Breschet’s und 
Ridewoods, und die endo- und die perilymphatischen Gänge H as- 
ses bildet und von dem letztgenannten Forscher als eine Ver- 
diekung der dura mater cerebri bezeichnet wurde. Die Verdiekung 
findet sich an der Ober- und Innenwand des utriculus, von wo sie 
auf die vordere Wand des sacculus übergeht, diese, dann auch die 
fossa pituitaria und den Raum zwischen den beiden vorderen Kno- 
chenkapseln überbrückt und sich auf das gegenseitige Labirynth 
auf dieselbe Weise fortsetzt. Sie dringt noch in Gestalt einer drei- 


seitigen Piramide zwischen die vordere und die hintere Knochen- 
kapsel (die vermeintliche „bulbe accessoire“ Breschets) Die 
mikroskopische Untersuchung dieses Gewebes samt dem Labirynthe 
belehrt uns. daß man es keineswegs für eine bloße Bedeckung des 
Labirynthes halten kann. wie es aus Hasse’s Schilderungen her- 
vorzugehen scheint, da man an diesen Stellen, wo das Gewebe an 
die Labirynthwand grenzt. diese Wand nicht nur von ihm nicht 
zu unterscheiden vermag, sondern da es sogar histologisch dasselbe 
Gewebe ist, wie das der Labirynthwand: eine fast homogene Grund- 
masse mit dunkleren fibrösen Streifen und den für das Labirynth- 
gewebe so charakteristischen Spindelzellen. Doch an manchen Stellen, 
und zwar am deutlichsten dort. wo der recessus utrieuli sich über 
die bulla ossea anterior erhebt. tritt eine gewisse Selbständigkeit der 
beiden Gebilde zutage: das Verdiekungsgewebe geht unmittelbar auf 
die Wand der Knochenkapsel über, während die dünne Labirynth- 
wand über der Querspalte sich ausspannt (wie es aus der Fig. 1 
ersichtlich ist). Dasselbe Gewebe, welches doch den sinus superior 
aufbaut, überbrückt auch das Kleinhirn und setzt sich auf den ge- 
genseitigen sinus superior ohne Unterbrechung fort. Von vornherein 
wäre es unmöglich anzunehmen, daß es die Wand des Labirynthes, 
die doch bei allen Wirbeltieren ein mehr oder weniger einheitli- 
ches. in sich geschlossenes und von der Umgebung gut unterscheid- 
bares Gebilde ist, solehe Auswüchse nach allen Seiten, nach außen, 
über und unter das Gehirn schieke. Ich schließe mich deshalb Has- 
se’s Ausicht an. insofern er dieses Gewebe für ein Produkt der ver- 
meintlichen dura mater hält. Es gibt jedoch noch andere Gründe, 
die eine solche Annahme rechtfertigen. In den mikroskopischen Prä- 
paraten sieht man an manchen Stellen mit großer Deutlichkeit den 
Übergang des fibrösen Gewebes der von Hasse sg. ,dura mater* 
in das fast homogene Gewebe, welches alle Merkmale des „Spindel- 
knorpels“ an sich trägt. In Fig. 2, die den Querschnitt durch eine 
solche Gegend darstellt. sieht man, wie in diesem Fasergewebe hie 
und da Verdiehtungen auftreten. die an weiteren Schnitten zusam- 
menfließen und eine einheitliche „Spindelknorpelmasse“ bilden. Man 
muß aus einem solehen Verhalten eine weitergehende Konsequenz 
ziehen, als es Hasse getan hat. Das Gewebe der Labirynthwand 
ist dem Gesagten nach bei den Clupeiden kein unabhängiges Ge- 
bilde, denn es ist von dem umgebenden Gewebe noch nieht voll- 
kommen differenziert; der Zustand muß als ein primitiver betrachtet 


D6 


werden. Ich glaube darin einen Beweis für den primitiven Charakter 
dieses Gewebes. welches diese dura mater, wie sie Hasse nennt, 
zusammensetzt, zu sehen. Nach Sterzi’s (13) Untersuchungen kann 
man bei den Fischen von einer dura mater eigentlich nicht reden, denn 
diese kommt erst bei den Amphibien zur Ausbildung. während die Ge- 
hirnhülle der Fische nur als eine noch undifferenzierte meninx pri- 
mitiva anzusehen ist. Diese meninx primitiva stellt sich nur als eine 
Verdichtung des embryonalen faserigen Gewebes vor, welches nach 
außen von dem primitiv gebliebenen sg. Perimeningealgewebe um- 
geben ist. Dieses letztere Gewebe. das sich einerseits zur meninx 
primitiva cerebri ausdifferenziert, trägt anderseits zu einer analogen 
Umhüllung des primitiven Ohrbläschens bei: bei den Clupeiden fin- 
den wir diesen Zustand fast „in statu nascendi“. Wir kommen wei- 
ter zu der Überzeugung. daß man mit Unrecht bei allen Fischen 
von einem perilymphatischen Raum spricht, weil die Umbüllung 
der meninx primitive doch nur allgemein als Perimeningealraum 
bezeichnet werden muß, während wir unter dem „perilvmphatischen 
Raum“ nur ein dem Ohrlabirynthe allein zugehöriges Gebilde ver- 
stehen. Der letztere kommt nach meiner Ansicht den Clupeiden zu, 
Ich unterscheide nämlieh zwei solche perilymphatische Räume: der 
eine gehört dem utrieulus, der andere dem saceulus an; jeder ist mit 
dem der gegenüberliegenden Seite durch eimen Kanal verbunden. 
3eide Kommunikationskanäle verlaufen in dem subcerebralen Spin- 
delknorpelgewebe. Im Querschnitt (Fig. 5) ist der erstere breit oval, 
der andere enger dreieckig. Jederseits kommuniziert der Utrieulus- 
raum durch die Querspalte mit der vorderen Knochenkapsel (Fig. 
1 P. s.) und bildet da die vermeintliche Labirynthausstülpung W e- 
bers und Ridewood’s. Diese Räume entstehen also drinnen in 
dem verdichteten Gewebe, sind von einer dünnen Membran ausgeklei- 
det. von der nach innen elastische. mit Weigert’scher Methode 
sich fürbende Bälkchen entspringen, die das von Breschet und 
Hasse beschriebene Schwammgewebe bilden, — ein Verhalten, das 
für die perilymphatischen Räume höherer Wirbeltiere so charakte- 
ristisch ist. Ich glaube zweifellos annehmen zu dürfen, daß dieses 
Gewebe durch Umbildung des Bindegewebes inmitten des Spindel- 
knorpels entstanden ist, somit der Schilderung Hasse’s in der Ab- 
handlung über das Gehörorgan der Sehildkréten (3) vollkommen 
entsprieht. Wir brauchen nur diese Räume um das ganze Labirynth 


57 


wuchern zu lassen und wir bekommen einen dem perilymphatischen 
Raume höherer Wirbeltiere wirklich homologen Raum. 

Der Utrieulusraum der Clupeiden kommuniziert, wie Weber 
und Hasse gezeigt haben, mit der Außenbedeekung des Kopfes 
durch eine Öffnung in den Schädelknochen. Nach Hasse soll es 
eine Verbindung mit den subkutanen Lymphriumen sein !). 

Es ist interessant, daß außer diesen beiden subcerebralen noch 
eine dritte perilymphatische Verbindung im Ohr der Clupeiden 
existiert. Es ist nämlieh der von Breschet und Hasse als en- 
dolymphatische supracerebrale Verbindung der vermeintlichen duc- 
tus endolymphatici anerkannte Gang, der in der oberen Verdichtung 
des Perimeningealgewebes verläuft. Nicht bei allen Clupeiden tritt 
derselbe in gleicher Weise deutlich auf; so z. B. stellt er bei Sar- 
dinella aurita einen schon ohne Mikroskop deutlich durehschim- 
mernden Kanal. während hei Alosa und Finta bloß unregelmäßige 
Kanälehen auftreten, die nur unter dem Mikroskop sich beobachten 
lassen. Wenn wir bei Sardinella auf Schnittserien den Verlauf dieses 
Kanals verfolgen, so sehen wir. dafi er an der medianen Wand des 
sinus superior verläuft und sich in den perilymphatischen Raum 
des saceulus einsenkt. Sein Querschnitt ist unregelmäßig oval. seine 
große Achse ist schräg nach unten und vorne geneigt. Er entspricht 
also. was seinen Verlauf betrifft. den Schilderungen Breschet's 
und Hasse’s. d. h. er entspringt an der medialen Wand des La- 
birynthes. überbrückt das Gehirn, um in den Labirynth der anderen 
Seite zu übergehen, ist jedoch weder eine spezifische endolympha- 
tische Kommunikation des Ohres der Clupeiden (Breschet) noch 
der ductus endolymphatieus (Hasse), sondern stellt eine perilym- 
phatische Verbindung beider Labirynthe dar. Breschet’s Angabe 
über einen das Gehirn umfassenden Labirynthring wäre also durch 
eine ringformige Verbindung der perilymphatischen Räume beider 
Labyrinthe zu ersetzen. Sowohl Breschet’s als auch Webers und 
Ridewood's irrtümliche Deutung dieser perilymphatischen Räume 
wird man vielleicht der Injektionsmethode zuschreiben müssen. Die 
Labirynthwünde sind nämlich dort, wo sie an die perilymphatischen 
Räume grenzen, ungemein dünn, können somit bei einem stärkeren 


1) Die Untersuchung der Schnittserien hat mich überzeugt, daß die nämliche 
Öffnung in eine Art antrum führt, von welchem jedoch der Utrieulusraum durch 


eine dünne Membran abgegrenzt ist... j 


et 
an 


Druck. was bei der Injektion fast unvermeidlich ist. sehr leicht 
zerrissen werden, und dann füllt die Injektionsmasse auch alle pe- 
rilymphatischen Räume aus. Ich habe mit derselben Methode auch 
ähnliehe Resultate wie die erwähnten Forscher bekommen, nur haben 
mich die mikroskopischen Schnittserien auf die Ungenauigkeit jener 
Methode aufmerksam gemacht, so daß ieh deshalb zu den auf Grund 
derselben gemachten Beobachtungen kein Vertrauen hatte. Ich will 
da noch bemerken. daß ich, was die unteren perilymphatischen 
Räume und Kanäle anbetrifft. zwar mit Hasse im großen und 
ganzen übereinstimmend doch von ihm unabhängig und auf einem 
anderen Wege zu den hier dargestellten Resultaten gelangt bin; das 
beweist einerseits, wenn man die Schwierigkeit der Erforschung sol- 
cher komplizierter Verhältnisse berücksichtigt. die Exaktheit Ha s- 
se’scher makroskopischer Beobachtungen. andererseits kann es als 
eine vortreffliche Kontrolle dieser Deutungen dienen. 

Ich gebe in Fig. 1 im Text eine schematische Darstellung der 
hier geschilderten Verhältnisse. 

Ich gehe jetzt zu der mich in dieser Arbeit speziell interessie- 
renden Beziehung des inneren Ohres zu den Ausläufern der Schwimm- 
blase bei den Clupeiden. Weil ich fast dieselben Formen und hier 
in Betracht kommenden Gebilde untersucht habe. mit denen sich 
Ridewood befaßt und deren Größenverhältnisse angegeben hatte, 
so beschränke ich mich hinsichtlich des letzteren Punktes auf Er- 
gänzungen seiner Angaben. Wie bekannt, entsendet die Schwimm- 
blase der Clupeiden zwei Ausläufer nach vorne, von denen jeder 
nach einer Spaltung in zwei enge Kanälchen mit je einem mem- 
branösen Bläschen. der bulla membranacea anterior et posterior en- 
det. die wiederum von je einer vorderen und einer hinteren bulla 
ossea umschlossen ist. Die bulla ossea anterior ist an ihrer oberen, 
dem cavum eranii zugekehrten Wand mit einer Querspalte verse- 
hen. durch welche, wie wir aus der vorigen Schilderung bereits wis- 
sen, keine Ausstülpung der Labirynthwand (Weber, Ride wood). 
sondern nur ein perilymphatischer Sack eindringt. der also mit der 
bulla membranacea anterior zusammenstößt. Bei der Schilderung des 
Verlaufes der Sehwimmblasengünge. die wir „ductus vesieae nata- 
toriae^ nennen wollen, sagt Ridewood (8), daß dieselben das Ex- 
oecipitale „durchbohren“ und, nachdem sie sich in zwei kleinere 
kurze Kanäle geteilt haben. in je ein Bläschen führen, von denen 
das vordere von der bulla ossea anterior umschlossen ist und mit. 


59 


dem Labirynthdiverticulum zusammenstößt. Nach Ridewood’s und 
Hasse’s Angaben sollen die vorderen Knochenkapseln von dem 
Prooticum gebildet werden. Aus diesen beiden Angaben geht deut- 
lich hervor, daß die vorderen Bläschen eigentlich in einem Raume 
liegen, der zu dem cavum cranii gehört. nur infolge der sonderba- 
ren Ausbildung des Prooticum von diesem gemeinsamen Raume 


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Fig. 1. Schematische Darstellung der perilymphatischen Räume des Clupeidenohres. 
Zeichenerklärung: S — sacculus, De (?) — der vermeintliche ductus endolympha- 
ticus; U — utriculus mit ru — recessus utriculi, Dpi U — ductus perilympha- 
ticus inferior utriculi: Sp — spatium perilymphaticum, Ps — pars superior, Pi — 
pars inferior, B. o. a. — bullae osseae anterioris. v. n. — bulla membranacea 
vesicae natatoriae, Sept — septum elasticum bullae o. a.; Dpi S — ductus peri- 
lymphaticus superior saceuli, zwischen Dpi U und Dpi S besteht manchmal eine 
enge Kommunikation (Sardinella) infolge einer Ausstülpung des Dpi U und somit 
der Annäherung beider Kanäle; M — ,spindelknorpelig“ modifiziertes Perimenin- 
gealgewebe; ep. — Labyrinthepithel. 


abgeschniirt und nur durch die Querspalte mit demselben in offener 
Kommunikation geblieben ist. Weder Breschet noch Hasse noch 
Ridewood haben das interessante Gebilde im Innern der vorderen 
Knochenkapsel, von dem wir gleich sprechen wollen. bemerkt; nur 
Weber scheint es gesehen zu haben, doch hat er die Selbständig- 
keit und damit auch die theoretische Wichtigkeit dieses Gebildes 
nieht erkannt. An mikroskopischen Querschnitten durch die 
vordere Knochenkapsel sieht man nämlich eine straffe Membran, 


60 


die diese Kapsel in zwei vollkommen abgetrennte Räume teilt: der 
eine von diesen. auf der Ventralseite liegend. birgt das Bläschen 
der Schwimmblase. der andere kleinere obere Raum schließt in sich 
einen Teil des perilymphatischen Ohrraumes ein. Es ist die von 
Weber beschriebene. vermeintlich durch Zusammenwachsen der 
Labirynth- und der Blasenwand entstehende, nach der Art einer 
„membrana tympani“ gebildete Wand. die an einem knorpeligen 
Ring an der Innenseite der Knochenkapsel angeheftet ist. Demnach 
müssen alle Angaben über ein unmittelbares Anstolien der Labi- 
rynth- und der Blasenwand (Weber. Ridewood) und über eine 
unmittelbare Kommunikation des Raumes. in dem das Schwimm- 
blüsehen liegt. mit dem cavum cranii (Breschet, Hasse) unbe- 
dingt als unriehtig angesehen werden. Wie das ganze Verhältnis 
sich nach meinen Befunden darstellt. will ich ım folgenden aus- 
führen. 

Das erwähnte septum im Innern der Knochenkapsel (Fig. 1 sept 
F. 4) ist. mikroskopisch betrachtet, schwer zu definieren. Es ist eine 
fibröse, stark elastische Membran. deren deutlich längsverlaufende 
Fasern aus sonderbaren Kanälchen in der Knochenwand der Kapsel 
hervorzugehen scheinen (Fig. 5). Diese Tatsache läßt vermuten. dab 
ein ungemein inniger Zusammenhang dieser Seheidewand mit dem 
umgebenden Knochen besteht. An der Stelle. wo die Scheidewand 
an die Knochenwand sich anheftet. ist sie fächerartig ausgebreitet. 
Von beiden Seiten. d. h. von der dem Bläschenraum zugekehrten 
und von der an den perilvmphatischen Raum angrenzenden, setzt 
sich auf dieses septum das die Binnenseiten der Knochenkapseln 
auskleidende Periosteum fort. so daß auf einem Querschnitt die Scheide- 
wand eigentlich aus drei Lamellen zusammengesetzt erscheint: aus 
dem Periost des Bläschenraumes. aus den zum größeren Teil ela- 
stischen Fasern, die aus den Knochenkanälehen hervorkommen, und 
aus dem Periost des Lymphraumes. Die ganze Knochenkapselwand 
erscheint auf den (Juerschnitten so deutlich in der Strahlriehtung 
kanalisiert, daß dieser Knochen sich von den übrigen Schädelkno- 
chen vollkommen unterscheidet. Auf welehe Weise das Vorkommen 
einer Membran im Innern einer Kapsel, die vom Prootieum gebil- 
det sein soll. zu deuten ist. will ich bald ausführen. 

Wie ich früher die Unterschiede des Ohres der Clupeiden von 
dem der übrigen Fische zu definieren versuchte und daraus einige 
Aufsehlüsse über das Wesen derselben erhalten zu haben glaube, 


61 


so will ich nun die speziellen Anpassungen des Schädels an das 
gegenseitige Verhältnis des Ohres und der Schwimmblase bei den 
Clupeiden besprechen. Beim ersten Anblick fällt uns das Vorhan- 
densein der vorderen Knochenkapseln auf. Es wundert mich, daß 
außer Breschet keinem von den Autoren daran gelegen war, die 
Entstehung soleher Gebilde, wie sie doch in dem gewöhnlichen 
Fischschädeltypus sich nicht finden, auf irgendwelehe Weise zu er- 
klären. Hasse und Ridewood deuten dieselben als ein Erzeugnis 
der Prootica, ohne sich mit der Möglichkeit und der Ursache einer 
solchen fast paradoxen Ausbildung eines Schädelknochens, der, nach 





Fig, 2, Querschnitt durch die Occipitalregion des Schädels von Engraulis (sche- 
matisch). 
C. o. b. — corpus ossis basioccipitalis, PI — processus lateralis, Ps — processus 
superior, Pi — proc. inferior, Dv. n. — ductus vesicae natatoriae, S — Sacculus- 
höhle; Sq — Squamosum, OL — occipitale laterale, Ep — epioticum, OS — occi- 
pitale superius, FM — (foramen magnum) hinterer Teil der Schädelhöhle. 


seiner Knorpelpräformation zu urteilen, etwas mehr beständiges dar- 
stellt, zu befassen. Wir wissen doch, daß das Prootieum ein dem 
Schädelboden angehörender Knochen ist, der zu dem Ohrlabirynthe, 
zu dem foramen nervi trigemini in eine durch die ganze Fisch- 
reihe mehr oder weniger gleiche Beziehung tritt: ist er also günz- 
lich in den Dienst der Schwimmblase getreten, oder hat er nur den 
Boden der Knochenkapsel gebildet, während er zur Bildung ihrer 
oberen Wand einen besonderen Vorsprung ausgebildet hat, oder 
ist dazu noch ein anderer Knochen hinzugetreten? Es sind Fra- 
gen, die meiner Meinung nach nicht unbeantwortet bleiben dürfen. 


Wenn wir die in Rede stehenden Verhältnisse auf den Schnitt- 
serien verfolgen, so bemerken wir folgende interessante Tatsachen: 
An einem durch die Hinterregion des Schädels von Engraulis ge- 
führten Querschnitte (Fig. 2 im Text) sehen wir das Occipitale ba- 
silare, das im Innern eine deutliche Chorda einschließt und an seiner 
Oberfläche einige Auswüchse unterscheiden läßt. Wir können die 
letzteren folgendermaßen bezeichnen: ein Paar obere (Ps), die den 
später zu erwähnenden Flügeln des oce. basilare angehören, ein 
Paar seitliche (Pl), die stark entwickelt den oceipitalia lateralia 
entsprechen. und ein Paar untere (Pi) die Ridewood für hintere 





Fig. 3. Querschnitt durch die Labirynthregion des Schädels von Engraulis (sche-- 
matisch). 
F. a. — das vermeintliche foramen auditivum (Hasse), se — sutura cartilaginea, 
sonst wie in Fig. 2. 


Ausläufer des Parasphenoideum hält, die ich aber anders deuten 
möchte. Betrachten wir das Verhalten dieser Auswüchse an den 
mehr vorderen Schnitten, so bemerken wir, daß vorwiegend die seit- 
lichen sich stärker entwickeln, so daß die oberen ihnen angewach- 
sen erscheinen, daß sich gleichzeitig ihre distalen Enden nach unten 
umbiegen. wodurch sie einen nach unten geöftneten Halbkanal bilden. 
In diesem Halbkanal verläuft jederseits ein ductus vesicae natato- 
riae. Der Halbkanal ist nach unten von einer Knorpelrinne abge- 
schlossen. Im weiteren Verlauf (Fig. 3 im Text) werden die proxi- 
malen Teile der seitlichen Auswüchse dünner, und zwar im Bereiche 
des von Hasse sg. foramen auditivum (mit for. ovale homologi- 
siert), während die distalen Enden dieser Auswüchse sich vollkom- 


63 


men schließen und dadurch knöcherne Kanäle für die ductus ve- 
sieae nat. bilden. Es ist die Stelle, wo nach Ridewood die ductus 
ves. nat. „das exoceipitale durchbohren“. Die distalen Enden der 
oberen Auswüchse, deren proximale Teile mit den seitlichen Aus- 
wüchsen verschmelzen und mit ihnen sich zum „foramen auditi- 
vum“ verdünnen, stehen durch eine Kaorpelnaht miteinander über 
dem occipitale basilare in Verbindung und bilden nun das Gewölbe 
der beiden Saeeulus-Hóhlen. Sie scheinen da wegen der starken 
Entwicklung der seitlichen Auswüchse, aus diesen hervorzugehen. 
Die Verhältnisse in der mehr vorderen Partie (Fig. 4 im Text) 
sind leicht zu verstehen: Die von den seitlichen Auswüchsen gebil- 
deten knóchernen Kanäle der ductus vesicae, erweitern sich zu ge- 





Fig. 4. Querschnitt durch die bullae osseae anteriores von Engraulis (schematisch); 
Bs — os basisphenoideum. v, n. — bläschenförmige Erweiterung der D. v. n. 
(siehe Fig. 2 u. 3), Sept. b — septum bullae, p. l. b. — pars lymphatica bullae, 


sonst wie in Fig. 2 u. 3. 


räumigen Höhlen. die die bläsehenförmigen Erweiterungen der duc- 
tus vesicae einschließen; es entstehen nämlich aus ihnen die unteren 
Abteilungen der Knochenblasen. Wenn wir nun erwägen, daß in der 
Knochenblase das Gewölbe dieser Abteilung die bereits erwähnte 
elastisch-fibröse Scheidewand bildet, so kommen wir zu der Über- 
zeugung, daß sie nur eine histologisch modifizierte Fortsetzung die- 
ser seitlichen Auswüchse darstellt, die überhaupt die seitlichen Teile 
des Schädelbodens ausmachen; der innige Zusammenhang dieses 
Septums mit der Kapselwand erscheint infolgedessen ganz verständ- 
lich. Aus dieser Schilderung ersehen wir, daß das vermeintliche 
foramen auditivum (Fig. 3 Fa im Text) Hasse's und Ridewood's 
keine Öffnung ist. sondern nur eine Knochenverdünnung in der 
Saeeulusgegend, was durch Aushöhlung des sowieso dünnen Kno- 


64 


chens zur Unterbringung des saceulus mit den lagenae ohne wei- 
teres erklärlich ist. Und in der Tat. wenn wir vorsichtig beim Prä- 
parieren vorgehen. so bemerken wir, daß die Öffnung mit einem 
dünnen Knochenplättehen überzogen ist (Fig. 6). das jedoch wegen 
der stärkeren Umrahmung median durch das occipitale basilare, 
lateral von dem knöchernen Kanale des ductus vesicae n., leicht 
reißt. wodurch man dann den Eindruck bekommt. als gehöre das 
Pláttchen der Rachenschleimhaut an. Damit ist, wie ich glaube, die 
Entstehung der unteren, der Schwimmblase zugehörenden Abteilung 
der vorderen Knochenkapsel und das Vorkommen einer elastischen 
Scheidewand im Inneren dieses Raumes klar gemacht. 

Aus dem bereits gesagten ergibt sich, daß wir in der vorderen 
Knochenkapsel zwei Abteilungen von verschiedenem Ursprung unter- 
scheiden. Die Entstehung der unteren ist schon teilweise erklärt 
worden, und es erübrigt noch, die obere Kapselwand mit der in ihr 
vorhandenen Querspalte morphologisch zu untersuchen, um zu einem 
Aufschluß über die Entstehung derselben zu gelangen. Ich habe be- 
reits erwähnt, daß man auf Querschnitten durch die Hinterregion 
des Schädels von Engraulis außer den seitlichen, den occipitalia 
lateralia entsprechenden Auswiichsen noch ein Paar obere. flügel- 
artige Auswüchse unterscheidet, die in ihrem vorderen Teile mit 
den seitlichen verwachsen. jedoch nur mit deren proximalen Teilen; 
denn während diese nach unten umbiegen und die Kanäle und 
Knochenkapseln bilden, sehen wir die distalen Teile jener nach oben 
umbiegen und mit ihren freien Rändern über und mit occipitale 
basilare an der medianen Linie seiner dorsalen Fläche ganz oder 
teilweise zusammenwachsen, wodurch sie jederseits eine Sacculus- 
Höhle bilden. Demnach besteht die Wandung jeder Höhle an der 
Veutralseite aus dem verdünnten Knochenplättchen des seitlichen 
Auswuchses und aus dem mit ihm verwachsenen proximalen Teil 
der flügelartigen Auswüchse, an der Dorsalseite ist das Gewölbe 
von dem distalen Teil derselben gebildet. Diese beiden Knochen- 
plättchen existieren an den Seitenteilen des Schädelbodens, sind folglich 
auch in der vorderen Knochenkapsel in Gestalt der bereits bekannten 
elastischen Membran vorhanden (im Text Fig. 4, Sept. b). Die oberen 
Wandungen der Knochenkapseln scheinen somit einen analogen 
Ursprung zu haben wie die flügelartigen Auswüchse in der Hinter- 
region des Schädels. Die Querspalte dürfte, ihrer Lage und hervor- 
tretenden Rändern nach zu urteilen, für den Eingang in die lym- 


65 


phatische Höhle. dem Eingange in die Saeculus-Hóhlen analog, an- 
gesehen werden. Es sprechen dafür auch theoretische Erwägungen: 
der obere Teil der vorderen Knochenkapsel ist nämlich ein lym- 
phatischer Raum, der mit einer primitiven Gehirnhülle ausgekleidet. 
einen Teil des cavum cranii darstellt (ähnlich wie die Sacculus- 
Höhlen), welcher infolge des Umwachsens von lateralen Auswüchsen 
von diesem abgeschnürt worden ist und nur durch einen spaltför- 
migen Eingang mit demselben kommuniziert, ähnlich wie im hin- 
teren Teile die Sacculus-Hühlen mit dem Cavum cranii in offener 
Verbindung stehen. Eine fächerartige Ausbildung der Ausgangsstelle 
der elastischen Scheidewand im Innern der Knochenkapsel spricht 
dafür, daß sich da zwei Schichten iibereinanderlagern, von denen 
die eine von der oberen, die andere von der unteren Kapselwand 
kommt. Das Vorhandensein des Periostes an beiden Seiten der Scheide- 
wand weist auf den knöchernen Ursprung dieses Gebildes hin. 

Im vorigen habe ich die Beziehung der vorderen Knochenkap- 
seln zu dem Schädelboden besprochen. Die hinteren Knochenkap- 
seln stellen kein so deutlich selbständiges Gebilde dar, wie die 
vorderen. deshalb will ich sie im Zusammenhange mit einigen Be- 
trachtungen über den morphologischen Wert der schon zum Teil 
beschriebenen osteologischen Verhältnisse in der Occipitalregion des 
Schädels der Clupeiden behandeln. 

Wenn wir das Oranium der Clupeiden nach dem allgemeinen 
Fischschädeltypus beurteilen, so finden wir Bestandteile ausgebil- 
det, welche folgenden Knochen entsprechen: occipitale basilare, oc- 
eipitalia lateralia, occipitale superius, epiotica — die den Occipital- 
teil des Schädels ausmachen, nach vorne ist die Schädelbasis von 
dem Basisphenoid gebildet, dem sich an den beiden Seiten die proo- 
tica anschließen sollten, die jedoch hier durch die vorderen Kno- 
chenkapseln ersetzt sind. Die letzteren sind, wie ich gezeigt habe, 
kein einheitliches Gebilde. An das prooticum grenzen nach hinten 
opisthoticum, nach außen temporale s. squamosum, nach vorne von 
den vorderen Knochenkapseln liegen die alisphenoidea. 

Das oceipitale basilare weist auf den ersten Blick eine interes- 
sante Abweichung von dem gewöhnlichen Typus auf, und es wun- 
dert ‘mich, daß Ridewood in seiner Osteologie (9) es keines 
Wortes gewürdigt hat. Es treten auf seiner dorsalen Fläche bei 
sämtlichen von mir untersuchten Arten, — und ich vermute es auch 
bei allen Clupeiden, — zwei breite fliigelartige Vorsprünge in der Ge- 


Bulletin III. Ə 


66 


stalt dreieekiger Knochenplatten, die mit ihrer Basis aus dem ba- 
sioceipitale hervorzugehen und mit ihren Gipfeln und mit der hin- 
teren Seite sich an die oecipitalia lateralia anzuheften scheinen. 
Ihre vordere Seite bleibt frei und begrenzt den Eingang in die. 
Saeculus- Höhle, deren Wölbung jederseits je eine von diesen 
Platten bildet. Bei Harengus. Alosa, Finta. Sardinella findet sich 
in jeder Platte ihrem freien Rande näher eine demselben pa- 
rallele Spaltöffnung. bei Harengus ist außerdem der hintere Teil 
dieser Platten deutlich gerippt. Diese beiden Plättehen bilden den 
Boden einer Längsgrube. in weleher die medulla oblongata verläuft. 
die Stelle. wo die Grube endet, ist die bekannte fossa hypophy-: 
seos. Die Grube ist mehr oder weniger tief, je nachdem die beiden 
Platten einen mehr oder weniger stumpfen Winkel bilden (so z. B. 
bilden die beiden Platten bei CI. sprattus fast einen gestreckten 
Winkel). Die Basen der Platten sind vermittels einer Knorpelnaht 
miteinander und oft mit oceip. basilare verbunden. Ich habe hier 
das Verhältnis dieser Vorsprünge zu dem Basioccipitale geschildert. 
wie es sich, von außen gesehen, darstellt. Auf Querschnitten sieht 
die Sache etwas anders aus: ich habe den Sachverhalt bei Engraulis 
untersucht und da finden wir, daß es ein Irrtum ist zu glauben, 
daß die Platten aus der dorsalen Fläche des occipitale basilare aus- 
treten und gegen die oceipitalia lateralia divergieren. denn, wie ich 
es bereits geschildert habe, entspringen die Auswüchse mehr seit- 
lich gemeinsam mit oceipitalia lateralia, biegen sich nach oben um 
und verwachsen mit ihren Rändern über dem basioeeipitale ver- 
mittels einer Knorpelnaht miteinander; dabei können diese Ränder 
(wie es bei Engraulis der Fall ist) mit oce. basilare nur vorne und 
hinten verwachsen, während in der Mitte unter ihnen eine offene 
Kommunikation zwischen den beiden Saceulus-Höhlen bestehen 
bleibt. Wenn wir also dieses Verhältnis makroskopisch beurteilen 
sollen, so müssen wir diese Vorsprünge eher den occipitalia late- 
ralia zureehnen, obwohl die Betrachtung der Querschnitte uns be- 
lehrt, daß wir, streng genommen, nur von einem gemeinsamen Ur- 
sprung der oceipitalia lateralia und dieser Auswüchse sprechen 
können. Das corpus ossis basioeeipitalis ist wie gewöhnlich an sei- 
ner hinteren Fläche wirbelartig ausgehöhlt und enthält die chorda 
dorsalis in starker Ausbildung. Im Querschnitt ist er mehr oder 
weniger oval und trägt auf der dorsalen Fläche (wenigstens bei 
Engraulis) eine niedrige Leiste, die der Knorpelnaht der Knochen- 


67 


pláttehen zum Anheften dient. Nach vorne verschmälert er sich bis 
zur fossa hypophyseos, wo sich ihm das Basisphenoideum anschließt. 
Bei Pilchardus erscheint er im Längsschnitt ein wenig bogenförmig' 
nach unten in seiner Mitte gewölbt, was bei Ængraulis die Entste- 
hung der Kommunikationsöffnung beider Saceulus-Höhlen an dieser 
Stelle zur Folge hat. 

Beiderseits schließen sich an das corpus ossis basioceipitalis in 
der Sacculus-Gegend die bereits erwähnten dünnen Knochenplätt- 
chen. von mir seitliche Auswüchse genannt, durch die der Schädel- 
boden der Clupeiden breiter gestaltet wird, und dem Gebilde, das 
von Hasse als foramen auditivum bezeichnet wurde. den Anfang 
geben. Hasse und Ridewood erklären die Entstehung des „Fo- 
ramen a.“ dadurch, daß die Knochen basioccipitale pro- und opis- 
thoticum nicht, wie das gewöhnlich der Fall ist, durch eine Naht 
miteinander in Verbindung stehen, sondern zwischen sich eine freie 
Öffnung lassen. Indessen wirkt eine solehe Annahme wenig über- 
zeugend, da wir wissen, dab im Schädel überall dort. wo die Nähte 
dreier Knochen nicht zusammenlaufen, wenigstens eine knorpelige 
oder fibröse Membran die Öftnung abschließt; an der Bildung der 
Öffnungen hingegen von so großer funktioneller Wichtigkeit, wie 
sie Hasse dieser Öffnung zuschreibt, beteiligen sich fast immer die 
Knochen selbst. Das ist hier nicht der Fall; übrigens, wie ich be- 
reits gezeigt habe. ist an dieser Stelle überhaupt keine Öffnung vor- 
handen und, wenn wir dieses Gebilde bezeichnen wollen. so müssen 
wir es für einen seitlichen Auswuchs des basioceipitale betrachten. 
Diese Auswüchse stehen mit dem corpus basioceipitale im innig- 
sten Zusammenhang und sie sind es, die zusammen mit den schon 
erwähnten flügelartigen Auswüchsen den Boden der Saeculus-Hóh- 
len ausmachen und allein die knöchernen Kanäle und Halbkanäle 
für die ductus vesicae natatoriae bilden. 

Wenn ich nun zu dem Basisphenoid übergehe, so finde ich 
dieselben Vorsprünge in starker Ausbildung als untere Abteilun- 
gen der bullae osseae anteriores, über welchen die den flügel- 
artigen Auswüchsen analoge Knochenspangen den lymphatischen 
Raum bilden. Auf grund meiner Befunde würde es mir schwer fallen, 
die bullae osseae anteriores als ein Erzeugnis der prootica anzu- 
sehen, da ich prootica, ähnlich wie opisthotica infolge der breiteren 
Gestaltung des basioceipitale und basisphenoideum mehr nach außen 
liegend, wie gewöhnlich mit der vorderen und äußeren Ampulle und 

5* 


68 


dem äußeren Bogengang in Beziehung treten sehe. Übrigens läßt 
auch die starke Ausbildung des corpus basisphenoidei vermuten, 
daß er von den Knochenlamellen der Prootica nicht überbrückt sein 
kann und die kapselartigen Gebilde eher ihm als den prootica an- 
gehören. Abgesehen von den Modifikationen, zeigt also meiner Mei- 
nung nach das Basisphenoid eine ganz ähnliche Ausbildung wie das 
basioccipitale. Es tritt nun nach meiner Ansicht noch ein Gebilde 
hinzu. das auf diese Ähnliehkeit hinweist. 

Es sind dies zwei starke Leisten, die von unten diesen beiden 
Knochen angewachsen sind und bei manchen. wie Alosa, Finta u. a. 
den von Ridewood als „the posterior wings of the parasphenoid* 
bezeichneten Gebilden zum Anheften dienen. Ich kann hier darauf 
nieht näher eingehen, denn ich werde es an anderer Stelle ausführ- 
licher behandeln, doch will ich bier andeuten, daß ich gegen den 
parasphenoidalen Ursprung dieser Leisten aus vielen Gründen man- 
chen Zweifel hege. Ihre starke Ausbildung im Vergleich zu dem 
eigentlichen parasphenoideum, ihre Beziehung zu der Aorta, ihr in- 
niger Zusammenhang mit den erwähnten Schädelknochen. die bei 
Harengus deutlich auftretende senkrechte Naht, die den zum Basi- 
sphenoid von dem zum basioccipitale gehörenden Teil dieser Ge- 
bilde zu trennen scheint, führen mich auf Grund der noch später 
hier zu erórternden Tatsachen und Ausführungen zu dem Schluß, 
daß wir es da mit einem Gebilde zu tun haben. das bei vielen 
Ostariophysen als der sg. processus pharyngealis auftritt. 

Zuletzt will ich noch kurz ein Gebilde erwähnen. das den Schä- 
del der Clupeiden von dem der anderen Fische nebst anderen Merk- 
malen unterscheidet, und zwar die hinteren Knochenkapseln. Schon 
Hasse hat in seinen „Bemerkungen über die Schwimmblase der 
Fische* die Vermutung ausgesprochen. daß diese Knochenkapseln 
den an dieser Stelle auftretenden Aushöhlungen im Schädel der 
Cypriniden entsprechen. Ich schließe mich dieser Ansicht vollkom- 
men an, da ich sie durch vieles bestätigt finde. Beachtenswert er- 
scheint mir die Topographie dieser Aushöhlungen: sie liegen nach 
außen in dem Bereiche des squamosum, nach innen in dem des 
pro- und opisthoticum, ähnlich wie die von Sagemehl (17) be- 
schriebene Subtemporalhóhle der Cypriniden. Das bei Sardinella 
deutlich auftretende membranöse Fenster inmitten ihrer medialen 
Wände entspricht dem analogen Gebilde in der Subtemporalhöhle 
des. Cyprinus Carpio, welches an der Kreuzungsstelle der drei Nähte 


69 


entsteht. Auch ist das Verhältnis zu dem äußeren Bogengange in 
beiden Fällen gleich. Die größere Selbständigkeit dieses Gebildes 
ber den Clupeiden läßt sich durch die bereits geschilderte Verla- 
gerung der dasselbe zusammensetzenden Knochen nach außen leicht 
erklären. Das verschiedene Verhalten und die Ausbildung der Sub- 
temporalhöhle bei den Cypriniden weist auf den rudimentären Cha- 
rakter des Gebildes hin. Es sprieht dafür auch das Fehlen der hin- 
teren Knochenkapseln bei manchen Clupeiden wie Cl. Sprattus und 
Chanos Salmoneus (Ridewood) (9). 

Wenn ieh nun die hier in aller Kürze dargestellten Befunde 
zusammenfasse, so gelange ich zu folgenden Schlüssen: 

1) Das Ohr der untersuchten Clupeiden zeigt von dem ge- 
wöhnliehen Typus insoweit abweichenden Charakter, daß seine Wände 
noch im innigen Zusammenhang mit dem undifferenzierten. auf em- 
bryonaler Stufe bleibenden Gewebe stehen. Aus demselben Gewebe 
bildet sich einerseits die Wand des primitiven Ohrbläschens, ande- 
rerseits die meninx primitiva cerebri. 

2) In dem noch stark entwickelten Gewebe der Labirynthwand, 
das nun eine Art von Spindelknorpel bildet. kommt es zur Bildung 
eigentlicher perilymphatischer Räume, und zwar geschieht dies um 
die recessus utriculorum und um die beiden sacculus in der Weise, 
daß das Innere des Gewebes einer Umbildung in ein perilympha- 
tisches Schwammgewebe unterliegt. Der perilymphatische Utrieulus- 
Raum kommuniziert durch die Querspalte mit der oberen Abteilung 
der vorderen Knochenkapsel. 

3) Die perilymphatischen Räume beider Labirynthe sind mit- 
einander durch drei perilymphatische Kanäle verbunden: I. einen 
subcerebralen, der die Recessus-Räume verbindet. IL einen subce- 
rebralen, der die Saeculus-Rüume verbindet. III. einen supracere- 
bralen, der die Saceulus-Räume verbindet. 

4) Hasses Deutung, als wäre der letztgenannte Kanal eine 
Verbindung der Ductus endolymphatiei, ist unhaltbar einerseits des- 
wegen, weil es kein endolymphatischer, sondern nur ein perilym- 
phatischer Gang ist, andererseits weil das Vorhandensein des ductus 
endolymphaticus bei diesen Fischen nicht überzeugend nachgewie- 
sen ist. Es existiert somit keine endolymphatische Verbindung der 
beiden Ohrlabirynthe. Ü 

5) Das Verhältnis der Sehwimmblase zum Ohrlabirynthe stimmt 
mit Webers, Breschet’s, Hasses und Ridewood's Sehilderun- 


70 


gen nicht überein, da die Luftbläschen der Schwimmblase in kei- 
nem Falle mit den Labirynthwänden unmittelbar zusammenstoßen, 
oder sich in einem gemeinsamen lymphatischen Raume mit dem 
Ohrlabirynthe befinden, da im Innern der vorderen Knochenkapsel 
eine fibröse, elastische Scheidewand existiert, die die beiden Räume 
vollkommen voneinander trennt. 

6) Diese Scheidewand ist eine histologisch veränderte Fortsetzung 
der seitlichen Teile des Schädelbodens. von denen durch Umwach- 
sung der untere zur Schwimmblase gehörende Teil der vorderen 
‚Knochenkapseln und in der mittleren und der hinteren Schädel- 
bodenregion die Kanäle und die Halbkanäle für die vorderen Aus- 
läufer der Schwimmblase entstehen. Es kann somit von einer Durch- 
bohrung des Schädelbodens durch die duetus vesicae und einem 
Eindringen in das cavum cranii keine Rede sein. Der letztgenannte 
‚Raum ist so gut wie bei anderen Fischen von der Rachenhóhle ab- 
geschlossen. 

7) Das vermeintliche „foramen auditivum* (ovale — Hasse) 
ist bloB.als eine Stelle im Schädelboden zu verstehen, an welcher 
die Knochenplatte wegen starker Ausbildung der fovea sacculi sehr 
verdünnt ist und infolge einer starken Umrahmung beim Präpa- 
rieren leicht zerreißt. 

8) Sowohl die Scheidewand im Innern der Knochenkapsel, wel- 
che durch einen Knochen gebildet wird, als auch derjenige Teil des. 
Schiidelbodens, welcher bei den Clupeiden die Fovea sacculi bildet, 
sind em dem gewöhnlichen Fischsehädeltypus fehlendes Gebilde, 
durch welches eine Verbreiterung des Schädels der Olupeiden ver- 
ursacht, da es das pro- und opisthoticum nach außen verdrängt, die 
dort zusammen mit dem squamosum die hintere Knochenkapsel 
hilden. Auf Querschnitten erscheinen diese seitlichen Teile des Schä- 
delbodens als seitliche Vorsprünge des oceipito- und sphenobasilare. 

9) Der obere Teil der vorderen Knochenkapseln scheint auf 
diese Weise zu entstehen, daß die den basioccipitalen fügelartigen 
analogen Auswüchse durch Umwachsung von außen her einen Raum 
vom cavum erani abschnüren, der von dem perilymphatischen Ge- 
webe des Utrieulus-Raumes ausgefüllt ist und nur durch eine zu- 
rückgebliebene Querspalte mit dem cavum cranii kommuniziert. 

10) Die leistenartigen unteren Auswüchse des Schädelhodens, 
nämlich die des occipito- und sphenobasilare scheinen ihrem Ver- 


71 


halten nach dem „processus pharyngealis“ der Ostariophysen zu 
entsprechen. 

11) Die hintere Knochenkapsel entsprieht zweifellos der Sub- 
temporalhöhle anderer Fische; ihre Gestalt und Ausbildungsdiffe- 
renzen bei den Fischgattungen deuten auf ihren rudimentären Cha- 
rakter hin. 

Auf Grund dieser Befunde werde ich nun die meinen Unter- 
suchungen verangestellte Frage zu beantworten versuchen. Nach 
der. bis jetzt herrschenden Meinung bestand der Unterschied zwi- 
schen den beiden Verbindungsarten der Schwimmblase mit dem 
Ohrlabirynthe darin, daß bei den Ostariophysen spezielle lymphati- 
sche Räume vermittels des Weber’schen Apparates mit beiden Or- 
ganen in Verbindung stehen, dagegen bei den Clupeiden die Schwimm- 
blase entweder mit der Labirynthwand oder mit den lymphatischen 
Räumen des Ohres in unmittelbaren Kontakt trete. Darin besteht 
der Grundunterschied: bei den Cypriniden, Siluroiden, Cobitiden, 
Ophidiiden, Characiniden, Perciden und Spariden liegt die Schwimm- 
blase unter der Wirbelsäule, bzw. unter der Schiidelbasis ohne jede 
offene Kommunikation mit dem Rückgratkanale, resp. mit der Schä- 
delhöhle, dagegen soll nach den bisherigen Angaben die Schwimm- 
blase der Clupeiden in die Schädelhöhle eindringen und in unmit- 
telbaren Kontakt mit deren Lymphriiumen treten. Schon Hasse 
hat darauf hingewiesen, daß es sozusagen der Art und Weise dieser 
Verbindungsverhältnisse entspricht, auch bei den Clupeiden die Ver- 
mittelung der lymphatischen Räume anzunehmen und nicht, ` wie 
es Weber und Breschet (nach Hasse auch Ridewood) woll- 
ten, an einen unmittelbaren Kontakt der Ohr- und Schwimmblasen- 
wand zu glauben. Dasselbe Mißtrauen gegen die bisherigen Schilde- 
rungen jener Verhältnisse muß das Eindringen der Schwimmblase 
in das cavum erani! erwecken. 

Meine Untersuchungen haben mich überzeugt, daß, abgesehen 
von der größeren :Kompliziertheit der Einrichtung, kein Grund- 
unterschied in der Art der Verbindung beider Organe bei den Clu- 
peiden und bei anderen Ostariophysen besteht. Auf Grund meiner 
Ausführungen kann ich behaupten, daß bei allen Fischgruppen, bei 
denen die Verbindung der Schwimmblase mit dem Ohrlabirynthe 
auftritt, die Verbindung eine mittelbare ist, d. h. daß die Schwimm- 
blase von dem Rückgratkanale, resp. von der Schädelhöhle voll- 
kommen abgetrennt ist; wir haben hier lediglich mit einer Anpas- 


sung der angrenzenden Skeletteile zu tun. und zwar meistens (wenn 
nieht in allen Fällen) mit der der Rippen, der Wirbel und der 
oberen Bogen, seltener der Schädelknochen an die Verbindung der 
Sehwimmblase mit den Lymphräumen des Ohrlabirynthes. Als all- 
gemein geltend will ich noch hervorheben, daß stets die sieh der 
Schwimmblase anschließenden. umgestalteten Teile den Rippen ho- 
molog sind. dagegen die den Lymphräumen angepaßten den oberen 
Bogen entsprechen. Es bliebe da nur eine einzige Ausnahme und 
die ist nach meiner Meinung wichtig und vielsagend. Wir haben 
nämlich im Schädel der Clupeiden Anpassungsformen der Schädel- 
knochen an die Verbindung der Schwimmblase mit den Lymphriiumen 
des Ohres gesehen: die einen von diesen dienen zur Umfassung der 
Schwimmblase (die knöchernen Halbkanäle, Kanäle und der untere 
Teil der vorderen Knochenkapseln) die anderen zur Bildung der 
Lvmphräume, die mit den Lymphräumen des Ohres kommunizieren 
(der obere Teil der vorderen Knochenkapseln). Die Analogie dieses 
Verhaltens mit dem allgemeinen Tvpus ist, wenn ich nieht irre. 
vollkommen. doch will ich weitere Schlüsse über die Homologie 
der hier in Betracht kommenden Teile nicht ziehen. 

Ich möchte noch zuletzt emen allgemeinen Vergleich zwisehen 
den eigentiimlichen Knochengebilden im Schädel der Clupeiden und 
denen der übrigen Ostariophysen, vor allem der Cypriniden ziehen. 
Ich glaube nämlich allen Grund zu haben. die stark entwickelten, 
fliigelartigen Auswüchse an dem basioceipitale der Clupeiden den 
horizontalen Knochenplättehen. die bei den Cypriniden die beiden 
Saeeulus-Höhlen und das cavum sinusis imparis von oben bedecken, 
für homolog zu halten. Es entsprieht den letzteren vor allem die 
Topographie jener Gebilde. Die horizontalen Knochenplatten der 
Cyprinoiden bezeichnet man gewöhnlich als die seitlichen Vorsprünge 
der Occipitaba lateralia, wer weiß. ob nicht mit demselben Recht, 
wie wir die gleichen Gebilde bei den Clupeiden als solehe betrach- 
ten könnten. Es wäre interessant. das wirkliche Verhältnis dieser 
Gebilde zu den occipitalia lateralia und basioccipitale bei den er- 
wachsenen Cypriniden näher kennen zu lernen. da Nusbaum in 
seinen neuesten embryologisehen Untersuchungen einige Selbstän- 
digkeit dieser Knochenplättehen der Cypriniden nachgewiesen hat: 
diese sollen nämlich bei den Cyprinus-Embryonen unabhängig von 
der knorpeligen Anlage der oce. lateralia als primär verknöchernde 
unpaare Bildung entstehen. Wenn wir also vorläufig nur auf grund 


-1 
o2 


morphologiseher. Ähnlichkeit die Homologie dieser Vorsprünge bei 
den Clupeiden und Cypriniden annehmen, so können wir weiter 
fragen, wie sich die Sache mit dem cavum sinusis imparis bei den 
Olupeiden verhält. Ich will hier nur andeuten, daß es nicht schwer 
fällt. sich die Entstehung des cavum sinusis imparis bei den Oy- 
priniden im Zusammenhang mit der stärkeren Ausbildung des basi- 
oecipitale zu erklären. Die übrigen Verhältnisse sind denen bei den 
Clupeiden ganz gleich, nur erscheint der Winkel, den die beiden 
flügelartigen Vorsprünge einschließen. gestreckt (etwa wie es bei 
Cl. Sprattus der Fall ist), und durch den vergrößerten Abstand der 
distalen Ränder dieser Auswüchse von dem basioccipitale hat eine 
Vergrößerung des cavum sinus imparis zur Folge gehabt. 

Ich schließe damit diese Schilderung meiner Befunde, die ich 
an dieser Stelle nur ganz kurz darstellen konnte. Ich hoffe, eine 
ausführliehere Abhandlung über diesen Gegenstand in nächster Zu- 
kunft vorlezen zu kónnen. 


Aus. dem zoologischen Institut der Universität Lemberg. 


Verzeichnis der zitierten Arbeiten. 


1) E. H. Weber. De aure et auditu hominis et animalium. Pars 1: de aure ani- 
malium aquatilium, Lipsiae 1820. 

2) G. Breschet. Recherches anatomiques et physiologiques sur l'organe de l'ouie 
des poissons, [Mémoires présentés par divers Savants à l'Académie Royale 
des Sciences. Tome V, 1838 Darts, 

3) C. Hasse. Das Gehörorgan der Schildkröten. (Anat. Stud. herausg. von Hasse. 
Leipzig 1873]. 


4) — Das Gehörorgan der Fische |ibid.]. 
5) — Beobachtungen über die Schwimmblase der Fische [ibid.|. 
6) — Die Lymphbahnen des inneren Ohres der Wirbeltiere [ibid.]. 


7) G Retzius. Das Gehórorgan der Wirbeltiere. I. Das Gehörorgan der Fische 
^ und Amphibien. Stockholm 1881. 

8) Ridewood. The air-bladder and ear of British Clupeoid Fishes, [Journ. Anat. 
Phys. London. Vol. 26. 1891]. 

9) — On the Cranial Osteology of the Clupeoid Fishes. [Proceedings of the Zoo- 
logical Society of London. Vol. II. 1904]. 

10) J. Nusbaum. O stosunku ucha do pecherza plawnego u ryb karpiowatych. 
Lemberg. Kosmos, 1882. 

11) — Entwicklungsgeschichte und morphologische Beurteilung der Occipitulregion 
des Schädels und der Weber'schen Knöchelchen bei den Knochenfischen 
(Cyprinus Carpio). Anat. Anz. Bd. XXXII. 1908. 


74 


12: S. Sidoriak. Przyczynek do znajomości wzajemnego stosunku ucha.i pe- 
cherza plawnego u ryb karpiowatych i piskorzewatych. Kosmos,. 1900, 

13) Sterzi. Ricerche intorno aila anat. com. ed all'ontogenesi delle meningi. P. I. 
Meningi midollari. Atti del R. Istit. Veneto di Scienza, 1901. 

14) K. Gegenbaur. Lehrbuch der vergl. Anatomie, 1898 — 1901. 

15) R. Krause. Entwieklungsgeschichte d. Gehörorganes |in Hertwigs llandbuch 
der Entwicklungslehre, s. 91]. 

16) C. v. Noorden. Die Entwicklung des Labirynthes bei Knochenfischen. | Arch. 
f. Anat. u. Entwicklgesch. v. His u. Braune], 1883. 

17) Sagemehl. Beiträge zur vergl. Anatomie der Fische. IV. Das Cranium der 
Cyprinoiden. [Morphol. Jahrb. Bd. 17, 1891). 


Erklärung der Abbildungen (Tafel |). 


Fig. 1. Querschnitt (parallel zur Sagittalebene des Körpers) durch die linke 


bulla anterior mit dem anliegenden Ohrlabirynthe von Alosa vulgaris. Ru — re- 
cessus utrieuli; S. p. U. — Spatium perilymphaticum utrieuli mit Ps — pars su- 
perior bullae durch die Querspalte kommunizierend, P. i. b. — pars inferior bullae 


von dem Ps durch die elastische Scheidewand — Sept. vollkommen getrennt. M — 
das ,spindelknorpelige* Gewebe der Labirynthwand und der perilymphatischen 
Räume und Kanäle. N — nervus. (Reichert Ok. 4, Syst. 3, Zeichenapp. Abbe). 
Fig. 2. Querschnitt durch die Gewebemasse, die die Wände der Lymphräume 
des Ohres bildet. Der Übergang des Perimeningealgewebes in den „Spindelknor- 


pel“. v. — Blutgefäße (Reichert Ok. 4, S. 6, Zeichenapp. Abbe). Alosa vulgaris. 
Fig. 3. Querschnitt durch die beiden subcerebralen Kanäle. Dpi U. — ductus- 


perilymphatieus inferior utriculi, Dpi S— ductus perilymphaticus inferior sacculi. 
Alosa vulgaris (Reichert Ok. 1, Syst. 3, Zeichenapp. Abbe). 

Fig. 4, Längsschnitt durch die bulla ossea anterior von Alosa valgaris. 

Ps — pars superior s. lymphatica, Pi — pars inferior, vn — vesica natato- 
ria (bulla membranacea}, Sept — elastische Scheidewand. 

Fig. 5. Ein Teil des Querschnittes durch den LM a RRR LE Die Ka- 
nälchen und das aus ihnen heraustretende Faser-Gewebe der Scheidewand. Alosa 
finta (Reichert Ok. 1, Syst. 8, Zeichenapp.!. 

Fig. 6 Der hintere Abschnitt des Schädelbodens von Sardinella BR: 


Ps — flügelförmige Vorsprünge an dem basioccipitale. F. au. — foramen (?) 


auditivam, b. a. — bulla anterior, b. p. — bulla posterior |c. 6-fach vergrößert]. 


Bulletin de l'Acad, des Sciences de Cracovie 1909. 


Pl. 1. 





A. Tysowski. 
DRUKARNIA UNIWERSYTETU JAGIELLONSKIEGO W KRAKOWIE 





=] 
Q 


5. O wymoczku pasorzytniczym Chilodon hexastichus nov. 
spec., wraz z uwagami nad powstawaniem banki od- 
zywezej 1 podziatem komórki. — Chilodon hexastichus 
nov. sp., ein auf Süßwasserfischen parasitierendes In- 
fusorium, nebst Bemerkungen über Vakuolenhautbil- 
dung und Zellteilung. Mémoire de M. E KIERNIK, présenté 
par M. H Hoyer m. c. 


Einleitung. 


In den letzten zwei Jahren war ich mit Inanitionsuntersuchun- 
gen an Fischen beschäftigt, die ich zu einem ganz speziellen Zwecke 
unternommen hatte. Die Resultate dieser Untersuchungen sollen in 
einer anderen Abhandlung veröffentlicht werden. Da aber die vor- 
liegende Arbeit ihren Ursprung indirekt diesen Untersuchungen 
verdankt, so muß ich hier einiges. was mit dem uns beschäftigen- 
den Thema im Zusammenhange steht, erwähnen. 

Die Fische, mit denen ich diese Untersuchungen angestellt hatte, 
lebten überhaupt und verhältnismäßig sehr lange, sobald das Wasser 
oft gewechselt wurde. Durchsehnittlich kann man sechs Monate als 
die Grenze ihrer. Widerstandsfähigkeit gegen Nahrungsmangel an- 
nehmen. In einigen Fällen bemerkte ich. daß die Fische zu früh 
abstarben. Sie gingen gleich am Anfang der angestellten Untersu- 
chung zugrunde, also zur Zeit, als von Hungerstod und Erschöpfung 
noch gar keine Rede sein konnte. Eben diese Fische, und zwar die 
Schleien (Tinca vulgaris), mit welchen ich meistens experimentierte, 
zeigten vor dem Tode folgende Krankheitssymptome: Vor allem be- 
deckte sich die Haut mit einem bläulichen Belag; das Atmen war 
erschwert, was sich in krampfhaften Bewegungen der Kiemendeckel 
äußerte, bis endlich die Fische mit weit geöffneten Kiemendeckeln 
starben, was auf Erstickungstod hinzuweisen schien. 

Anfangs vermutete ich. daß die Beschaffenheit des Krakauer 
Leitungswassers (vielleicht die ziemlich starke Alkaleszenz dessel- 
ben), in welchem ich die Fische hielt, die Ursache des frühzeitigen 
Todes der Fische war. Einige Arten der von mir zu den Untersu- 
chungen verwendeten Fische konnten in der Tat das Leitungswasser 
nicht vertragen und gingen in sehr kurzer Zeit zugrunde, und zwar 
schon nach einigen Stunden oder am nächsten Tage. Auch in diesen 


76 


Fallen konnte man Erstickungstod konstatieren. Am empfindlichsten 
erwiesen sich Leuciscus rutilus und Cyprinus carpio; Fische dagegen 
wie Carassius vulgaris und Tinea vulgaris vertrugen dieses Wasser 
am besten. da sie. wie ich oben schon erwähnt habe. ungefähr sechs 
Monate im diesem Wasser aushielten. 

Diese Tatsache schließt also die Möglichkeit aus, die Beschaffen- 
heit des Wassers als Ursache dieses frühzeitigen Hinsterbens der 
Fische anzunehmen. Wenn wir jedoch auch diese Eventualität an- 


nehmen, so bleibt noch das Auftreten des bläulichen Belags auf 


der Körperoberfläche der Fische unaufgeklärt. Darum suchte ich 
nach einer anderen Ursache. die diese beiden krankhaften Erschei- 
nungen erklären könnte. 

Die Sektion der Fische ergab keine Resultate. Die inneren Or- 
gane zeigten keine makroskopisch sichtbaren Veränderungen; es ließen 
sich weder Flecken, noch Hyperämien des Darmes. der Leber, noch 
der Milz feststellen. Die Untersuchung des Blutes, sowohl im fixier- 
ten. wie im frischen Zustande gab ebenfalls keine bestimmten Re- 
sultate. 

Bei Untersuehungen des Blutes der Schleien fand ich in einigen 
frischen Präparaten ein Infusorium aus der Familie der Chilodonti- 
nen. dessen Anwesenheit im Blute mir jedoch stark verdächtig er- 
schien. Da aber dieses Infusorium die ganz typische Organisation 
seiner Familie besaß und keine Merkmale aufwies. die auf ein ento- 
parasitäres Leben dieser Form schließen lassen konnten. so mute 
ich mit voller Sieherheit annehmen, daß es sieh in diesem Falle 
nur um eine unvorsiehtige Anfertigung der Präparate handle. und 
zwar daß das Infusorium dureh Außerachtlassung der nötigen Vor- 
siehtsmaßregeln von außen ins Präparat eingeführt wurde. Die wei- 
teren. mit aller Vorsicht angestellten Untersuchungen bestätigten 
diese Annahme vollständig. belehrten mich aber zugleich. aut wel- 
che Weise und von wo die Infusorien ins Blut gelangt waren. Den 
Aufenthaltsort dieser Ciliaten entdeckte ich in den Kiemen, und zwar 
in den Räumen zwischen den Kiemenblättern. wo die Infusorien in 
ganzen Massen zu finden waren. Jedoch diese Organismen beschränk- 
ten sich durchaus nicht auf die Kiemen, sondern es war manchmal 
die ganze Haut mit denselben bedeckt. 

Der Aufenthalt der Infusorien auf der Haut scheint die Schleim- 
drüsen zu stärkerer Sekretion zu reizen und. indem der Schleim 
auf der Oberfläche des Fischkörpers erstarrt, überzieht er die ganze 


GE dA m 


Haut, und es bildet sich eine Hülle einer matten Substanz von sehr 
zäher Konsistenz, welehe eben jenen charakteristischen bläulichen 
Belag bildet '). 

Auf diese Weise entdeckte ich nun die eigentliche Ursache die- 
ser Krankheit der Fische und begann auch das Verhältnis des 
Infusoriums zu dem von ihm befallenen Tiere näher zu studieren 
Denn wenn man sich auch den bläulichen Belag auf der Haut der 
Fische sehr einfach als Folgeerseheinung der durch die herumkrie- 
chenden Infusorien hervorgerufenen Reizung denken kann, so sind 
dennoch die Erstickungserseheinungen der Fische durch die bloße 
Feststellung der Infusorien in den Kiemen gewiß noch nicht genü- 
gend erklärt. Diese Erscheinungen können ja auch auf verschiedene 
andere Ursachen zurückgeführt werden. Durch massenhafte An- 
häufung der Infusorien in den Zwischenblätterriumen der Kiemen 
kann der Sauerstoffzutritt gehemmt und auf diese Weise der Gas- 
austausch verhindert werden. In diesem Falle würde den Infuso- 
rien nur eine passive Rolle zufallen. Andererseits könnte man auch 
an eine aktive Rolle derselben denken, nämlich, wenn sie das Kie- 
mengewebe vernichteten. 

Bevor ich aber auf diese Frage näher eingehe, will ich mich 
vorerst mit dem Körperbau des Infusoriums selbst befassen und 
dabei die beziigliche Literatur berücksichtigen. 


Morphologischer Teil. 
a) Systematische Stellung des Chilodon hexastichus. 


Im Jahre 1902 beschrieb Moroff (8) eine neue Infusoriumart 
aus der Familie der Chilodontinen, die er Chilodon Cyprini nannte, 
weil dieses Infusorium sich als eine parasitäre Form der „Karpfen 
und der karpfenartigen Fische“ erwies. Die durch diese Form her- 
vorgerufenen Krankheitserscheinungen sind den von mir oben be- 
schriebenen ganz ähnlich, so daß man deren Identität mit der 
Moroff’schen vermuten könnte. Der Vergleich der Organisations- 


1) Es mag hier noch bemerkt werden, daß die Reizung der Haut durch die 
Anwesenheit einer anderen parasitären Infusoriumart noch gesteigert wird, nämlich 
durch die von Wallengreen beschriebene Cyclochacta Domergut, welche einen 
ganz eigentümlichen Körperbau besitzt und mit einer Vorrichtung zur Anheftung 
an der Haut der Fische versehen ist, die einer Dornenkrone. ganz ähnlich. ist. 


78 


verhältnisse der beiden Formen belehrte mich jedoch, daß wir es 
zwar mit zwei Formen derselben Familie, aber mit verschiedenen 
Arten zu tun haben. | 

Ich war daher gezwungen, der von mir untersuchten Form einen 
neuen Speziesnamen zu geben, und zwar wählte ich den Namen 
» Chilodon hexastichus*, weil sie auf der ventralen Seite des Körpers 
jederseits sechs bogenförmig verlaufende Cilienstreifen besitzt. Bei 
Chilodon Cyprini Moroff ist die ganze ventrale Körperseite mit Cilien 
versehen. welche in längsverlaufenden Reihen angeordnet. beiden 
Rändern des dorsoventral abgeflachten Körpers fast parallel verlau- 
fen. Da aber in der Familie der Chilodontinen die Anordnung der 
Cilienstreifen ein systematisches Merkmal bildet, so glaube ich mit 
Recht die von mir untersuchte Spezies als von der Moroff’schen 
verschieden ansehen zu dürfen. Aber auch die äußere Körperform des 
Chilodon hexastichus gleicht nicht derjenigen des Chilodon Cyprini. 
Während nämlich Moroff eine herzförmige oder blattähniiche Form 
für Chilodon Cyprini angibt, näbert sich Chilodon hexastichus, was 
seine Gestalt betrifft. den anderen Repräsentanten dieser Gruppe, wie 
Chilodon uncinatus. oder der von Maier beschriebenen aber nicht 
näher bezeichneten Chilodonspezies. Maier betrachtet übrigens die 
von ihm untersuchte Spezies entweder als eine neue Art oder nur 
als eine Varietät des Chilodon uncinatus. Es ist auch möglich. daß 
der von mir beschriebene Chilodon hexastichus keine distinkte und 
konstante Art bildet. Man könnte die von Moroff und mir unter- 
suchten Arten, insbesondere, wenn man das Verhältnis dieser Infu- 
sorien zu den von ihnen befallenen Fischen im Auge behält, als 
zwei Varietäten einer und derselben Art ansehen. Das ist aber nur 
dann möglich. wenn wir von der Annahme ausgehen, daß die Kör- 
pergestalt und die Zahl der Cilienstreifen ein veränderliches Merk- 
mal bilden und daß die Zahl der Cilienstreifen des Chilodon hexa- 
stichus noch in den Grenzen der individuellen Variation ihrer Art 
liegt. 

Eine solehe Anschauung ist wohl möglich und verliert ihren Ver- 
wahrungscharakter, besonders wenn man die Resultate der plankto- 
nischen Untersuchungen von Zacharias über Hyalodaphnia und 
Bosmina und die Lauterborn’s über Annurea cochlearis berück- 
sichtigt. In allen diesen Fällen handelt es sich um sehr große mor- 
phologische Veränderungen der genannten Organismen, die wir als 
Saisondimorphismus oder Cyelomorphose bezeichnen. Es ist also 


79 


möglich, daß diese morphologisehen Abweichungen, die wir beim 
Studium der letztgenannten Chilodonarten kennen gelernt haben. 
durch verschiedene äußere Einflüsse hervorgerufen sind und wir es 
in dem uns interessierenden Falle mit einem Polymorphismus der- 
selben Form oder wenigstens mit verschiedenen Varietäten dersel- 
ben Art zu tun haben. 

Da aber unsere Kenntnis der Oseillationsbreite der morphologi- 
schen Merkmale bei dieser Form noch zu gering ist, um diese 
Frage endgültig zu entscheiden. glaubte ich mit gutem Grund, die 
von mir beschriebene Form — sollte dies nur einstweilen gültig sein — 
von den übrigen bekannten Formen abtrennen zu dürfen und als eine 
neue Art unter dem Namen Chilodon hexastichus zu beschreiben, und 
zwar umsomehr, da ich gegen die Richtigkeit der Moroffschen 
Beobachtung und Beschreibung keinen Zweifel erheben kann. 

Die Unterschiede zwischen diesen beiden Formen können aber 
auch durch ökologische Verhältnisse hervorgerufen sein, indem die 
eine Art auf Cyprinus carpio, die andere auf Tinca- und Carassius- 
arten lebt. zumal da die Lebensweise dieser Fische auch verschie- 
den ist. Daß verschiedene Nahrungsverhältnisse wirklich eine mor- 
phologisehe Abweichung vom normalen Typus bewirken können, 
belehren uns zwei Fälle, von denen wir den einen Maupas, den 
anderen Fauré-Frémiet verdanken. Maupas (5) gibt an, daß 
er bei dem hypotrichen Infusorium Onychodromus grandis eine große 
Varietät erzielte, wenn er demselben große Ciliaten als Nahrung 
verabreichte. daß hingegen bei Ernährung mit kleinen Infusorien 
eine kleine Varietät resultierte. Diese letztere unterschied sich aber 
nicht nur in bezug auf die Größe des Körpers, sondern auch in 
bezug auf die Zahl und Anordnung der Cirren und Cilien. Faure- 
Frémiet (2) erhielt wiederum eine Umwandlung der Vorticella 
mierostoma in Vorticella hians und umgekehrt. indem er die Er- 
nährungsbedingungen veränderte. Auf animalischem Nährboden er- 
schienen immer Vorticellinen der Art hians, dagegen war Vorti- 
cella microstoma nur auf vegetabilischer Kost zu finden. Waren ein- 
mal in der Kultur Individuen der ersten Art anwesend. so konnte 
man sie durch Verabreichung vegetabilischer Nahrung in Vorticella 
microstoma direkt umwandeln. 

Trotzdem verharre ich aber auf meinem Standpunkt gegenüber 
der von mir beschriebenen Form, da in nachfolgender Beschreibung 
noch andere Unterschiede hervorgehoben werden, die diese Tren- 


80 


nung des (hilodon hexastichus von anderen Chilodonarten begrün- 
den können. | 
Chilodon hexastichus bildet also eine besondere Art der Gattung 
Chilodon. welche als Unterfamilie der Chilodontinen und als Fami- 
lie der Chlamydodonten zu der Ordnung der Gymnostomata gehört. 


b) Methodisches. 

Der größte Teil meiner Beobachtungen wurde auf frischem und 
lebendem Materiale gesammelt. Auf fixierten und gefärbten Präpa- 
raten kontrollierte ich nur die Ergebnisse der letzteren. Die Präpa- 
rate dienten mir aber auch zum Studium der feineren Bauverhält- 
nisse. speziell des Baues und der Veränderungen des Makronucleus. 
Zu diesem Zwecke fixierte ich die Infusorien auf Deckgläschen, 
wohin ich sie mit einer Pipette aus der Kiemenhöhle übertrug. Um 
das Verhältnis der Infusorien zu den Kiemen zu studieren. habe ich 
kleine Stücke der Kiemenblätter fixiert. in Paraffin eingebettet. in 
Schnittserien zerlegt und gefärbt. Handelte es sich um Fixieren der 
Infusorien auf Deckgläschen. so benützte ich Osmiumsäuredämpfe, 
Flemming’sche Flüssigkeit. eine in physiologischer Kochsalzlósung 
konzentrierte Sublimatlösung und zum Fixieren der ganzen Kie- 
menstücke ein Gemisch von Sublimat und 53°/, Salpetersäure im 
Verhältnis von 2:1. Auf diese Weise wurde nieht nur gleichzeitig 
fixiert. sondern auch das Skelett der Kiemen entkalkt, wodurch das 
Material nieht zu lange in so starken Flüssigkeiten wie Fixierungs- 
und Entkalkungsmitteln zu liegen brauchte. Zum Färben gebrauchte 
ich Safranin mit Wasserblau, Hämatoxylin nach Delafield, Eisen- 
hämatoxylin nach Heidenhain, aber auch die Färbungsmethode 
nach Giemza, Romanowski u. a. 


e) Körperbau des Chilodon hexastichus. 

Auf Grund der Beobaehtungen. die ich mit oben genannten Me- 
thoden gesammelt hatte, läßt sieh folgendes Bild des Baues von 
Chilodon hexastichus entwerfen. 

Chilodon hexastichus hat einen dorsoventral abgetlachten Kör- 
per, infolgedessen erinnert er. von der Seite betrachtet. an einen 
Laib Brot. Die ventrale Seite ist flach und bewimpert, die, dorsale 
gewölbt, eilienfrei. Im lebenden Zustande hat er, von oben gesehen, 
eine ovale Gestalt, die nur an einer Stelle. dort wo sich die beiden 
Cilienstreifen nahe der Öftnung des Reuseapparates treffen, in einen 


81 


kurzen Schnabel ausgezogen ist. Diesen Teil des Körpers des Chi- 
lodon wollen wir auch als den vorderen bezeichnen (Fig. 1). Die 
Gestalt des Chilodon hexastichus ist aber keineswegs konstant, da 
sein Körper zu metabolisehen Bewegungen befähigt ist. Das Infu- 
sorium nimmt nämlich einmal an Länge zu, einmal wiederum ab 
und bildet bald ein stark längsgezogenes Oval. bald eine kreis- 
fürmige Scheibe. Man kann unter den zahlreichen Gestaltformen, 
die dieses Infusorium annehmen kann, auch herzformige finden. die 





sehr an die von Moroff als Chilodon eyprini beschriebene Gestalt 
erinnern 

Auf fixierten Prüparaten kann man zwar fast alle die Formen fin- 
den, doeh überwiegt darunter die Gestalt einer ovalen Seheibe. Wir 
kónnen also als Prototypus der Chilodongestalt eine ovale Scheibe an- 
nehmen, deren lange Achse 42—54 u und die kurze 34— 42 u beträgt. 

Die Struktur des Plasmas von Chilodon hexastichus erscheint 
nieht so kompliziert, wie wir sie bei manchen anderen Ciliaten. z. B. 
Paramoecium u. a. finden. Man kann hier zwar auch das Ekto- und 
Entoplasma unterscheiden, doch fehlt in dem ersteren die Schich- 
tung in Pellicula, Alveolar- und Kortikaiplasma. Den Körper des 
Chilodon hex. umhüllt nur die Cuticula, unter welcher ein schmaler 
Streifen hyaliner, homogener Substanz liest. Das bis zu diesem 
hyalinen Saum reichende Entoplasma besitzt sowohl im Leben, wie 
in fixierten Präparaten einen feinkörnigen Bau. Im Entoplasma lie- 
gen beide Kerne (Macro- und Micronueleus), zwei Sekretionsvakuo- 
len und der Reuseapparat. 
= Bevor wir uns mit diesen einzelnen Bestandteilen beschäftigen, 
wollen wir zunächst noch bei der Cuticula verweilen. 


Bulletin TIT. 6 


82 


Diese den ganzen Körper bedeckende Hülle ist unter dem Mi- 
kroskope sehr gut zu sehen und läßt bis auf den mit Cilien be- 
setzten ventralen Teil keine feinere Struktur erkennen. Wie er- 
wähnt. laufen die Cilien bovenformig in Streifen angeordnet zu 
beiden Seiten des Kernes und schließen ein eilienfreies mittleres 
Feld ein. In dem vorderen in einen Schnabel ausgezogenen Teile 
des Körpers vereinigen sie sich unter Abkniekung. im hinteren 
Teile dagegen gehen sie fast unmittelbar ineinander über. 

Sowohl das linke wie das rechte System setzt sich aus sechs 
Cilienreihen zusammen; deswegen habe ich auch die untersuchte 
Form Chilodon hexastichus genannt. Die Cilien liegen in tiefen Fur- 
chen. die man auf entsprechenden Schnitten durch den Ciliaten- 
körper sehr gut sehen kann. Die Cuticula ist auf Querschnitten im 
Gebiete der Cilienreihen sägefürmig gezackt. Aus dem Boden der 
Zackentäler ragen die Cilien hervor, welche in den im Entoplasma 
liegenden Basalkörperchen ihren Anfang nehmen. Die Anordnung 
der Cilienzonen, ihr Verhältnis zueinander ist aus der Figur 1 zu 
ersehen. 

Die Cuticula, die, wie wir gesehen haben, außer diesen zackenför- 
migen Ausbuchtungen keine deutlich sichtbare Struktur besitzt, ist, 
wie weiter näher ausgeführt werden soll, als die äußere, oberfläch- 
liehe und verdichtete Schieht des eigentlichen Protoplasmas auf- 
zufassen. 

Da das Kortikalplasma fehlt, so sind auch keine Trichocysten 
vorhanden. Statt dessen kommt bei den Chilodontinen ein Gebilde 
vor, das nach den Anschauungen der Autoren, die sich mit diesen 
Fragen beschäftigt haben, den Trichocysten homolog sein soll. Das 
ist der Reuseapparat, der als fixe Basis dem Cytopharynx dieser 
Infusorien dient. Der Reuscapparat besteht aus mehreren, in unse- 
rem Falle aus achtzehn Stäbchen. die kreisförmig angeordnet, ein 
trichterförmig sich verschmälerndes Gebilde darstellen. Der Ein- 
gang des Reuseapparates hat, von oben gesehen, die Gestalt eines 
doppeltkonturierten Ringes, auf welchem in regelmäßigen Abstän- 
den radiär angeordnete, mit der Heidenhain’schen Methode sich 
stark tingierende Streifen liegen, welehe den oberen Querschnitt 
der einzelnen Stäbehen repräsentieren. Die Anwesenheit der Wider- 
hacken, welche Stein im Reuseapparate der Chilodontinen be- 
schreibt. konnte ich in keinem einzigen Falle konstatieren. Des- 
wegen halte ich die Ansicht Bütschli’s in dieser Beziehung für 


83 


wahrseheinlicher. In seinem großen Werke über die Protozoen äußert 
sich Bütschli über die Meinung Stein’s folgendermaßen: „Das, 
was er (Stein) als Häckchen deutet, edürfte sicher nur die Flächen- 
ansicht (Querschnitt) der Oralenden der Stäbchen sein“. 

Die Stäbehen des Reuseapparates näbern sich im weiteren Ver- 
laufe immermehr der langen Achse des ganzen Apparates, so daß 
sie einen Trichter bilden, dessen Ende spiral nach oben aufsteigend, 
dem ganzen Apparate die Gestalt eines am Ende gewundenen Hor- 
nes gibt. Mir scheint aber, daß der Reuseapparat nur im Ruhezu- 
stande diese Gestalt hat. Sein innerer Abschnitt kann sich nämlich 
im Augenblicke der Nahrungsaufnahme auch ziemlich stark er- 
weitern und ausstrecken. 

"Der Reuseapparat, der normalerweise bis in die Gegend des 
Macronucleus reicht, kann auch seine Lage verändern, indem er 
mehr ın die Tiefe dringt oder nach außen gedrängt wird. In einem 
Falle aber habe ich auf fixierten Präparaten beobachtet, daß der 
Reuseapparat soweit hinausgedrängt wurde, daß er nur mit seinem 
spiralen Ende im Körper des Infusoriums steckte. 

Die zwei Exkretionsvakuolen liegen in der Längsachse des Kör- 
pers einander gegenüber. die linke in dem oberen oder vorderen, 
die rechte in dem unteren oder hinteren Körperabschnitt. wenn wir 
das Infusorium von der Bauchseite, d. h. von der mit Cilien be- 
deckten Kirperseite betrachten. Diese Vakuolen sind ganz konstante 
Gebilde. und nehmen immer dieselbe Lage im Körper dieses Infu- 
soriums ein, so daß man sie auch als ein systematisches Merkmal 
des Chilodon hexastichus und der ihm verwandten Arten betrachten 
kann. Die Vakuolen sind stets von einer deutlich sichtbaren Mem- 
bran umschlossen. Kontraktile Elemente waren an denselben nicht 
zu finden. 

Im Gegensatz zu den Exkretionsvakuolen, die wie gesagt, ganz 
konstant auftreten, sind die Nahrungsvakuolen für diese Form 
sehr selten und schwer auffindbar. Wenn man aber eine größere 
Menge von Individuen, sei es im Leben oder im fixierten Zustande 
betrachtet. so findet man stets solehe, die eine Nahrugsvakuole be- 
sitzen. Die Ernährungsvakuole ist viel größer, als die Exkretions- 
vakuolen und ist vom Entoplasma des Infusoriumskörpers durch 
eine sehr deutliche Membran abgegrenzt. 

Das inkonstante Auftreten der Nahrungsvakuole steht im Zusam- 
menhange mit der Ernährungsweise dieser Infusorien; wir müssen 

6* 


81 


uns also hier mit dieser Frage ein wenig eingehender befassen, 
weun wir uns Klarheit über die Erscheinung des temporären Auf- 
tretens der Vakuolen verschaffen wollen. Die ganze Ernährungs- 
frage des Chilodon hexastichus verdient aber um so größeres Inter- 
esse, da wir dieses Infusorium als einen direkten oder indirekten 
Krankheitserreger der Fische ansehen müssen und uns nur die 
Art des Verhältnisses zwischen diesem Infusorium und dem von 
ihm befallenen Organismus auf diese Frage Antwort geben kann. 

Auf Grund der Qualität der Nahrung und der Art und Weise 
der Nahrungsaufnahme trennt Bütschli (1) die Ciliaten in zwei 
Kategorien. „Die erste Kategorie umfaßt alle Ciliaten mit einfacher 
Mundstelle, Mundspalt oder unbewimpertem Schlund. Es gehören 
demnach hieher sämtliche Euchelinen. Trachelinen und Chlamy- 
dodonten. Alle diese Formen verschlingen relativ ansehnliche, z. T. 
sogar sehr große Nahrungskórper, welche sie durch eine Art Schling- 
prozeB aufnehmen, wobei sie Mund und Schlund gewöhnlich sehr 
erweitern. 

Zu der zweiten Kategorie gehören im allgemeinen sämtliche 
übrigen Ciliaten, deren Mund und Schlund Wimperorgane verschie- 
dener Art zur Einstrudelung der Nahrungskörper besitzen, bei wel- 
chen der Mund and Schlund auch fast dauernd offen steht, so dal 
der ununterbrochene Nahrungsstrom, welchen die Wimperorgane 
erzeugen, d.h. Wasser samt kleineren oder auch größeren Nahrungs- 
körpern fortgesetzt durch den Schlund in das Endoplasma getrieben 
wird. ..... Das Hauptmerkmal dieses Modus der Nahrungsaufnahme 
ist jedoch, daß stets erhebliche Wassermengen mit der Nahrung auf- 
genommen werden, letztere also wohl immer gleich in Nahrungs- 
vakuolen liegt, welche aus dem gleichzeitig; eingetretenen Wasser 
entstehen.“ 

Wenn wir also diese Einteilung der Ciliaten annehmen, so müs- 
sen wir vom morphologischen Standpunkte aus den Chilodon he- 
zastichus der ersten Kategorie zurechnen. Das Vorhandensein des 
Reuseapparates als eines stets auftretenden, den Cytopharyux unter- 
stützenden Gebildes ist ja neben anderen peristomalen Apparaten, 
die bei den übrigen Ciliaten vorkommen, das morphologische Merk- 
mal dieser Gruppe. Deswegen finden wir auch bei Bütschli unter 
anderen Familien die zu dieser Kategorie gehören, auch die Familie 
Chlamydodonta erwähnt, in welcher die Chilodontinen eine Unterfa- 
milie. bilden. 


8D 


<. Vom dem ernährungs-physiologischen Standpunkte aus charakte- 
risiert sich wiederum diese Gruppe durch Aufnahme von größeren 
Nahrungskörpern. Als solehe Nahrungskörper hat man Algen, Fla- 
gellaten und Ciliaten zu verstehen. die dieser Gruppe wirklich als 
Nahrung dienen. Als Beispiel eines Infusoriums dieser Gruppe wäre 
Prorodon ovum zu erwähnen. Die Bakterien dagegen sind kleine 
Nahrungskorper, die mit dem Wasserstrome aufgenommen werden 
und die Nahrung der zweiten Kategorie der Ciliaten liefern. Auf 
diese Weise ernährt sich z. B. Paramoectum u. a. g 

Die Ernährungsweise wird auch bei Chilodon hexastichus ent- 
scheiden. in welche von den beiden Kategorien wir ihn einrei- 
hen werden. 

Nun muß ich betonen, daß ich trotz sehr langen und genauen 
Untersuchungen niemals gesehen habe, daß dieses Infusorium Algen, 
die doch in großen Mengen in der Kiemenhöhle vorkommen, Fla- 
gellaten oder andere Ciliaten verspeist hätte, während ich feststellen 
konnte, daß sich die Infusorien immer in größerer Anzahl an den 
Stellen der Kiemen ansammeln, wo man größere Anhäufungen von 
Bakterien begegnet. Diese Stellen lieferten mir eben das reichste 
Beobachtungsmaterial. Die Bakterien bilden also unstreitig die wich- 
tigste Nahrung dieses Infusoriums, obwohl es nieht ausgeschlossen 
ist, daß es sich auch von den Sekreten der Haut und der Kiemen- 
drüsen ernähren kann. Hauptsächlich ist dabei, daß das "Tier. nur 
kleine Nahrungskörper verspeist und nach der Bütschli’schen Eintei- 
lung der zweiten Kategorie zugerechnet werden muß. Diese inter- 
mediäre Stellung. welehe Chilodon hexastichus im Verhältnis zu den 
Bütsehlisehen Kategorien einnimmt, kann man sich auf diese 
Weise erklären, daß das Infusorium, welehes zur Familie freileben- 
der. d. h. nieht parasitisch oder symbiontisch lebender Formen ge- 
hört, in den Zustand der Abhängigkeit von einem anderen Wesen 
übertritt !). Chilodon hexastichus besitzt also noch dieselben morpho- 
logischen Merkmale, wie andere Arten dieser Familie, seine Lebens- 
weise ist aber den Bedingungen gemäß, in welchen er lebt, etwas 
abgeändert. Die Änderung der neuen Lebensweise wird dadurch 
veranlaßt. daß sich derselbe auf eine ganz bestimmte Nahrung 


1) Die Art dieser Abhängigkeit wollen wir hier nicht berühren, da wir am 


einem anderen Orte noch Gelegenheit dazu haben werden.. 


86 


beschränkt. was den ersten Schritt zur obligatorischen Symbiose 
oder zum Parasitismus bildet. 

Die zweite Kategorie der Ciliaten charakterisiert sich ferner 
nach Biitsehli dureh Anwesenheit der Ernührunzsvakuole. Da 
auch die Nahrungsweise des Chilodon hexastichus derjenigen der zwei- 
ten Kategorie entspricht, so wird auch das Auftreten der Vakuole 
bei diesem Infusorium verständlich. 

Daraus ergibt sich also, daß Chilodon hexastichus eine vermit- 
telnde Stellung einnimmt. da er morphologisch der ersten, physio- 
logisch der zweiten Kategorie der Bütschlischen Einteilung 
entspricht. | 

In dem oben angeführten Bütschli’schen Zitate lesen wir, daß 
infolge des mit der Nahrung aufgenommenen Wassers, die Nahrung 
„wohl immer in Nahrungsvakuolen liegt, welche aus dem gleich- 
zeitig eingetretenen Wasser entstehen“. Aus diesen Worten, die für 
die ganze Frage der Vakuolenentstehung nicht ohne Bedeutung sind, 
kann man eine doppelte Folgerung ziehen. erstens, daß die Nah- 
rungsvakuole ein inkonstantes Gebilde sein muß. und zweitens, daß 
sie durch das aufgenommene Wasser gebildet wird. Während. aber 
die erste Konsequenz mit den Verhältnissen, die wir an. Chilodon 
hexastichus gefunden haben, vollkommen übereinstimmt, ist die an- 
dere etwas zu allgemein gehalten. Zur Charakteristik der Ernäh- 
rungsvakuole des Chilodon hexastichus gehört nämlich die Vakuo- 
lenmembran. Diese Vakuolenmembran muß sich jetzt im Augenblicke 
der Nahrungsaufnahme bilden, und zwar dann, wenn die Nahrung 
mit dem Wasserstrome durch den vom Reuseapparat gestützten Cyto- 
pharynx hindurchgetrieben wird. sie muß aber andererseits in dem 
Augenblicke, wenn die verdauten Nahrungskörper durch die Cyto- 
pvge nach außen ausgeschieden werden, verschwinden. 

Das Verhalten der aufgenommenen Nahrung stellt sich, unter 
dem Mikroskope gesehen, folgendermaßen dar. Die Nahrung, die 
mit dem Wasserstrome aufgenommen wird, passiert den Cytopha- 
rynx und dringt in das Entoplasma ein. Im Augenblicke des direk- 
ten Kontaktes mit dem letzteren wird sie von einer Membran: einge- 
hüllt und dadureh von dem Körper des Infusoriums abgeschlossen. 
Während des ganzen Verdauungs- und Resorptionsprozesses ändert 
die Vakuole fortwährend ihre Lage, bis sie zur Cytopyge gelangt 
und hier ihren Inhalt entleert. Die im Körper des Infusoriums nach 


87 


der Entleerung verbleibende Membran verschwindet dann nach eini- 
ger Zeit vollständig. 

Wenn wir nun die Frage entscheiden wollen, wie alle die Vor- 
gänge zustande kommen, die in der Vakuole und bei deren Bildung 
sich abspielen, so sehen wir sofort ein, daß wir mit der bloß be- 
obachtenden und beschreibenden Methode nicht weit kommen können, 
sondern daß wir vielmehr zur Aufklärung dieser Erscheinungen 
die Resultate der experimentellen Untersuchungen und speziell der 
Untersuchungen über die Bildung und die Eigenschaften der s. g. 
organisehen Membranen in Betracht ziehen müssen. 


d) Entstehung der Vakuolenmembran. 


Mit der Frage nach der Entstehungsart der Vakuolen haben sieh 
bereits verschiedene Forscher wie de Vries, Pfeffer, Rhumbler 
u.a. beschäftigt. Nach Pfeffer (9) ist die Plasmahaut als verdichtetes 
Cytoplasma aufzufassen, gebildet dureh Molekularünderungen in der 
Berührungsfläche des Protoplasmas mit einer anderen Flüssigkeit, 
welche durch die Wirkung der Oberflächenspannung hervorgerufen 
werden. Daß er aber diese Erscheinung nicht als einen rein physi- 
kalisehen Vorgang auffaßt, ergibt sich aus seinen Äußerungen in der 
Arbeit „Zur Kenntnis der Plasmahaut u.s. w.* S. 251.: „Daß aber 
die Plasmahaut kein einfaches physikalisches Oberflichenhäutchen 
sein kann, wie solehes an der Grenzflüche homogener Flüssigkeiten 
entsteht, ist schon aus den Isolierungsversuchen zu entnehmen, welehe 
mit dem Erstarren die Plasmahaut als eine feste Membran von meß- 
barer Dieke liefern“, und Seite 244: „....daß die Plasmahaut nieht 
etwa einfach ein physikalisches Spannungshäutchen ist und daß die 
diosmotischen Verhältnisse nicht durch eine Ölschicht bedingt wer- 
den, wie es neuerdings von Quincke angenommen wird.“ 

Seit der Pfefferschen Arbeit ist aber eine Reihe von experi- 
mentellen Arbeiten erschienen, die uns ein helles Licht auf diese 
Vorgänge in der lebenden Zelle werfen können. Wir wollen daher 
im kurzen noch alles zusammenstellen, was wir über die Beschaffen- 
heit und Entstehungsart der Vakuolenhaut wissen, und es in Ein- 
klang mit den experimentell erhaltenen Resultaten zu bringen ver- 
suchen. 

Es ist eine längst bekannte Tatsache, daß nackte Protoplasma- 
massen sich von einem flüssigen Milieu durch einen Saum von 
hyalinem Plasma abschließen. Dieser hyaline Saum, auch Plasma- 


38 


haut genannt, muß aber hier von ganz besonderer Beschaffenheit 
sein, da er sich, wie das aus seinem Verhalten bei verschiedenen 
Beobachtungen hervorgeht. einmal wie eine feste Membran verhält, 
ein andermal aber Eigenschaften einer zähflüssigen Substanz erken- 
nen läßt. Sehon aus dem Grunde kann die Membranbildung nicht 
als einfacher physikalischer Vorgang aufgefaßt werden. 

Diese Bemerkung bezieht sich aber auf die Cytoplasmahaut und 
nicht auf die Vakuolenmembran, die uns speziell in diesem Falle 
interessiert. Da aber die Bedingungen der Bildung der Vakuolen- 
membran, aus ihrem Verhalten zu urteilen, ähnlich sein können, 
so wurde die Bemerkung über die Entstehung der Cytoplasmahaut 
vorausgeschiekt. Daß diese Anschauung auch von anderen Forschern 
geteilt wird, ergibt sich aus den Worten Pfeffers (,Osmotische 
Untersuchungen“ S. 147.): „Nach den empirischen Erfahrungen wird 
eine Plasmamembran überall vorhanden sein, wo Protoplasma an 
eine andere wässerige Flüssigkeit stößt“. Diese Bemerkung kann 
sich implicite auch auf die Vakuolenhautbildung beziehen; übrigens 
wird diese Ansicht in einer anderen Arbeit desselben Verfassers 
„Zur Kenntnis der Plasmahaut und der Vakuolen etc.“ vielfach 
hervorgehoben. 

Besonders wichtig sind Pfeffers Experimente über die Bil- 
dung der künstlichen Vakuolenhaut vermittels der Asparagin-, Vi- 
tellin- und anderer Kristüllehen, die dem Myxomyceten Chondrio- 
derma difforme einverleibt wurden. Im Augenblieke des Auflésungs- 
prozesses der betreffenden Kriställchen bildete sich eine diese 
Kristalle mit Flüssigkeit einschließende Membran, also eine Art von 
Vakuole, die sich ganz wie eine natürliche verhielt. Pteffer hat 
auch ein Zusammenfließen von künstlichen und natürlichen Vakuo- 
len gesehen, ja sogar ein Zusammenfließen mit einer pulsierenden 
Vakuole. 

Ähnliche Erscheinungen sehen wir bei Nahrungsaufnahme durch 
Intusorien und Amöben; auch in diesen Fällen wird die aufge- 
nommene Nahrung von einer Membran umschlossen, die den In- 
halt der so gebildeten Vakuole von dem Entoplasma trennt. Wir 
können also beide Erscheinungen so lange unter demselben Ge- 
sichtspunkte betrachten. als nieht bewiesen wird, daß die Membran- 
bildung in protoplasmatischen Körpern auf verschiedenen Wegen 
zustande kommen kann. 

Die Resultate der bisherigen Forschungen stimmen insofern 


89 
untereinander tiberein, daß die Membran sich nur dann bilden kann, 
wenn die zusammenstoßenden Flüssigkeiten heterogen sind. Diese 
Empfindlichkeit der Heterogeneität der zusammenstoßenden plas- 
matischen Substanzen geht sogar so weit, daß zwei von verschiede- 
nen Individuen herstammende Protoplasmamassen sieh voneinander 
dureh eine Membran trennen, dagegen zwei einem und demselben 
Individuum augehórende Massen, wie dies durch Jensen’s Unter- 
suchungen bestätigt wird, zusammenfließen.” Hieher gehört auch 
die Beobachtung, die ich der weiter unten zitierten Arbeit von Met. 
calf eutnehme und die von Höber gemacht worden sein soll: 
„Wenn ein Tropfen Protoplasmas von einer Protozoenspezies in ein an- 
deres Individuum derselben Spezies eingebracht wird, so verliert er seine 
Persönliehkeit. Wenn er jedoch in ein Individuum einer anderen Spe- 
zies gebracht wird, so umschließt er sich mit einer Membran und 
bleibt unterschiedlich. Höber schreibt dies der Oberftichenspan- 
nung zu. Im ersten Falle sind die zwei Protoplasmamengen iden- 
tisch, und es kann zwischen ihnen keine Trennungsfläche bestehen, 
diese beiden müssen sieh folglich vermischen. Im zweiten Falle 
dagegen sind die beiden Protoplasmen chemisch verschieden und 
deshalb besteht an ihrer Trennungsfläche eine Oberfläche mit wohl- 
definierter Oberflächenspannung“. | 
Wir haben aber schon früher gesagt. daß man die Membranbil- 
dung nicht nur als eine phvsikalische Erscheinung auffassen darf, da 
die Membran als ein gut definierbares Gebilde auftritt, das man 
dureh entsprechende Mittel isolieren kann (Rhumbler gelang dies 
mit KOH). während an der Berührungsfläche von zwei homogenen 
aber nieht misehbaren Flüssigkeiten keine morphologiseh bestimmte 
Membran sich zu bilden pflegt. Die Festigkeit und Elastizität die- 
ser Trennungsschicht soll nur ein Ausdruck der in dieser Schicht 
wirkenden Kräfte sein. Die Plasmahaut und Vakuolenmenbran sind 
aber echte Membranen. deren wirkliehe Existenz sehr leicht zu 
konstatieren ist, sowohl auf fixierten Präparaten oder noch besser, 
wie es Rhumbler durch seine Untersuchungen festgestellt hat, 
durch Einwirkung von verdünnter Kalilauge auf den Körper der 
Amoeba verrucosa (Fig. 15, 40, 48 in Rhumbler’s Arbeit) (10). 
Bei dieser Behandlung des Amöbenkörpers geht alles Entoplasma 
zugrunde und verschwindet gänzlich, es bleiben nur ektosplasma- 
tische Bestandteile. und zwar sowohl das Hyaloplasma, das den gan- 
zen Körper umhüllt, wie auch die Vakuolenmembran. die, wie wir 


90 


später sehen werden, dem Hyaloplasma homolog ist. Wir können 
daher das Verhalten der Vakuolenoberfläche nicht als den Aus- 
druck der dort wirksamen Kräfte rein physikalisch auffassen, denn 
die in oben geschilderter Weise nachgewiesene tatsächliche Exis- 
tenz dieser Membran ist über jeden Zweifel erhaben. Da aber alles 
Entoplasma durch Behandlung mit Kalilauge verschwunden und 
nur das Ektoplasma und ihm verwandte Gebilde geblieben sind, 
so erscheint auch die für uns wichtige Schlußfolgerung Rhum- 
blers (a. a. O. S. 143): „daß eine chemische Differenz zwischen 
Ekto- und Entoplasma vorliegen muß“ ganz berechtigt. Und etwas 
weiter lesen wir: „Da nun das Ektoplasma aus der Substanz des 
Entoplasmas seinen Ursprung genommen hat, da sich aber das 
Ektoplasma von dem Entoplasma unterscheidet, so muß. offenbar 
auch seine chemische substantielle Umwandlung mit den in das 
Ektoplasma eingetretenen Entoplasmasubstanzen vor sich gegangen 
sein. Diese chemische Umwandlung hat sich an der Oberfläche 
vollzogen, also da. wo der Amübenkürper mit einem fremden Me- 
dium in direkte Berührung tritt. Nichts liegt näher als der Einwir- 
kung des äußeren Mediums direkt diese Verdichtung zuzuschreiben“. 

In welcher Weise das äußere Medium den verdichtenden Ein- 
Huf auf das Entoplasma ausübt. darüber äußert sich Rhumbler 
nieht. Die Antwort finden wir dagegen bei Metcalf „Über feste 
Peptonhäutchen auf einer Wasserfläche und die Ursache ihrer Ent- 
stehung*. Aus fünf Hypothesen, die zur Erklärung der Entstehung 
fester Membranen auf der Wasserfläche aufgestellt worden sind, 
kann die 4. und 5. Hypothese, wie es Metcalf getan hat, zu 
Hilfe genommen werden. Die Hypothese beruht auf zwei von Gibbs 
in seiner Abhandlung „Über das Gleichgewicht heterogener Sub- 
stanzen~ (1876) aufgestellten Prinzipien. Von diesen besagt das eine, 
„daß ein gelöster Stoff. der die Oberfliichenspannung seines Lösungs- 
mittels vermindert, das Bestreben hat, sich in der Oberfläche an- 
zusammeln*: das andere dagegen lautet: „Wenn die Stoffe einer 
Losung fühig sind, eine chemisehe Umsetzung zu bewirken, die 
die Oberflàchenspannung erniedrigen würde, so liegt eine Neigung 
zum Statthaben dieser Umsetzung vor*. | 

Dieses Prinzip wurde dann von einigen Forschern, wie Za wi- 
dzki. Benson, Ramsden und Metcalf experimentell bestätigt 
und zur Erklärung der Entstehung fester Oberflächenhäutchen her- 
angezogen. Es stellte sich dabei heraus. daß Proteinlösungen die- 


9 


sem Gesetz vollständig gehorchen, d. h.. dab sie eben solche Sub- 
stanzen sind, welche die Eigenschaft der Verminderung der Ober- 
flächenspannung besitzen. Da aber das Protoplasma auch als eine 
Proteinlösung aufgefaßt werden muß, so müssen die entsprechenden 
Vorgänge in ihr demselben Prinzip unterworfen sein, und wir kün- | 
nen daher annehmen, daf im Augenblicke des Zusammenstoßens 
des Plasmas mit einem nicht mischbaren, chemisch verschiedenen 
Körper aus dem ersteren gewisse Substanzen. die man allgemein 
als membranogene bezeichnen kann, in die Grenzfläche diffundieren 
und sich dort verdichten. 

Ob jede beliebige Protoplasmapartie als Material zur Membran- 
bildung dienen kann. oder ob speziell ,membranogene“ Substan- 
zen von dem Plasma abgeschieden werden. ist schwer direkt zu 
entscheiden. Ich möchte aber die erstere Behauptung schon aus dem 
Grunde als die wahrscheinlichere annehmen. da wir die Erschei- 
nung der Membranbildung nicht als eine spezifische vitale Eigen- 
schaft des lebenden Plasmas auffassen. sondern auf rein mechani- 
sche Umstände zurückführen. Daß eine solche Membran auch für 
die vitalen Vorgänge in der Zelle von besonderer Bedeutung ist, 
kann noch nicht als ein triftiger Einwand gegen die mechanische 
Auffassung der Entstehungsart der Membran gelten, denn meiner 
Meinung nach äußert sich das Leben oder, wenn man will, die 
„Vitalität“ nieht in speziellen Einrichtungen. die als materielles 
Substrat der Lebenserscheinungen dienen und durch physikalisch- 
chemische Faktoren hervorgebracht werden können, sondern in der 
harmonischen Beherrschung der ihr zu Gebote stehenden Mittel. 
Hier ist aber auch nicht der Ort, sich weiter darüber zu verbreiten. 

Da jedoch das Protoplasma aus verschiedenen eiweißartigen 
Körpern besteht, welche auch verschiedenen Wert der Oberflächen- 
spannungverminderung haben, so werden sich auch in der Grenz- 
fläche nur diese Stoffe ansammeln, die den größten Wert dieser 
Fähigkeit haben, wenn wir von ihrer Diffusionsgeschwindigkeit, 
sowie von den Verhältnissen absehen. die mit innerer Reibung im 
Zusammenhange stehen. Wir können also bis zum gewissen Grade 
von membranogenen Substanzen im Protoplasma sprechen, indem 
wir an denjenigen Bestandteil der lebenden Substanz denken, der 
bei der Einwirkung der Oberflächenspannungskräfte sich in eine 
feste aber umkehrbare Phase verwandeln läßt. In diesem Sinne 
könnte man diesen Theorien, welche die Existenz von gewissen 


92 


priformierten Membranbildnern im Protoplasma annehmen, auch ge- 
wissermaßen Recht geben. 

Das heißt aber allerdings noch nicht die Anwesenheit solcher 
Membranbildner im Protoplasma, wie es die de Vries’schen Tono- 
‚plasten sind, anerkennen, und zwar deshalb nicht. weil die Unzu- 
länglichkeit dieser Hypothese Pfeffer in seiner Arbeit nachge- 
wiesen hat. ferner weil wir mit einer solchen Hypothese, die mit 
präformierten strukturellen Einheiten operiert, nicht viel weiter 
kommen können und dabei noch weitere Annahmen machen miis- 
sen. um die Erscheinung der Membranbildung verständlich zu ma- 
chen !). Bei solehen Untersuchungen handelt es sich gar nicht um 
die Erkenntnis der molekulären oder metastrukturellen Bauelemente 
der betreffenden Gebilde. es genügt vollkommen, wenn man die Be- 
dingungen feststellen kann, unter welehen sie zustande kommen. 

Da die von Metcalf gegebene Erklärung der Membranbildung 
von allen die beste ist und da sie auch andere Vorgänge, die 
wir weiter berühren werden, erklärt. so wollen wir uns an diese 
halten, von anderen möglichen Erklärungen absehen und jetzt zur 
Besprechung der gebildeten Vakuole übergehen °). 


1) Bei diesem Suchen nach solchen speziellen strukturellen Teilchen, welche 
irgend eine Erscheinung uns erklären sollen, ist aber indessen immer ein logi- 
scher Fehler unvermeidlich, da wir ihnen solche Eigenschaften zuzuschreiben 
pflegen, welche die vorausgesetzte Annahme verlangt, olme zu prüfen (was auch 
fast niemals, sogar indirekterweise, möglich ist), ob diese ihnen wirklich zu- 
kommen. 

Wir begehen hier also einen Fehler, der in der Logik den Namen „Petitio 
prineipii* trägt und welcher als charakteristisches Merkmal allen Präformations- 
hypothesen zu grunde liegt. Alle Bioblasten. Archiplasten, Plasome, Pangene, Bio- 
phoren u. s. w. besitzen solche Eigenschaften, die ihnen lediglich auf Grund 
dieses logischen Fehlers, den einzelnen Anschauungen der betreffenden Forscher 
gemäß, zugeschrieben werden. Es leuchtet aber ein, daß man sich in der 
Weise alles mit größter Genanigkeit erklären kann, denn man braucht nur sol- 
che metastrakturelle nichtempirische Einheiten anzunehmen und sie mit Bigen- 
schaften auszustatten, welche der gebildeten Voraussetzung entsprechen. Übrigens 
glaube ich nicht, hier auf den Unterschied der in der Physik und Chemie einge- 
führten Begrifie der Atome und Moleküle und der biologischen Einheiten näher 
eingehen zu müssen. 

*) leh will noch folgende Beobachtungen über die Bildung des hyalinen ekto- 
plasmatischen Saumes erwähnen. Schaudinn hat bei Trichosphaerium und 
Doflein bei Myxosporidien beobachtet, daß das Ektoplasma durch Auspressung 
des Wassers aus der oberflächlichen Schicht zustande kommt. Ich glaube, daß 
diese Art der Bildung des Ektoplasmas in gar keinem Widerspruche ınit der 





93 


Wie wir gesagt haben, bleibt die Vakuolenmenbran bei Chilo- 
don hexastichus so lange bestehen, als die Vakuole ihre Cyclose aus- 
führt. Wenn aber die Vakuole nach Vollendung des Verdauungs- 
prozesses bis an die Afterüffnung gekommen ist, birst sie und ihr 
Inhalt wird nach außen ausgeschieden. Die Membran bleibt aber 
im Körper des Infusoriums und wird mit fortschreitender Abschei- 
dung durch das nachrückende Entoplasma immer mehr zu einem 
gefalteten Gebilde zusammengedrückt und verschwindet nach eini- 
ger Zeit. Eine ähnliche Beobachtung über eine kontraktile Va- 
kuole bei Amoeba verrucosa beschreibt Rhumbler (S. 259) folgen- 
dermaßen: „Es läßt sich am vordringenden Rande des Protoplas- 
mas eine die Vakuole als Blasenwand umfassende hautartige Ver- 
dichtung wahrnehmen, die sich mit dem Verschwinden der Vakuo- 
lenfliissigkeit zusammenzieht und schließlich. wenn alle Flüssigkeit 
entleert ist. noch als ein kleines rundliches Körperchen siehtbar 
bleibt, das erst nach einer Minute etwa verschwindet“. 

Die beiden beschriebenen Fälle beweisen. daß die Membran 
nach außen mit dem Vakuoleninhalt durehaus nicht ausgeschieden 
wird, sondern daß sie vielmehr im Körper des Chilodon, bezw. der 
Amoeba verrucosa zurückbleibt, um später im Körper der betreffen- 
den Formen sich zu vertliissigen. Sie besteht also nur so lange, als 
die Bedingungen bestehen, die sie hervorgerufen haben. 

Analoge Erscheinungen können wir bei der Verwandlung des 
Ektoplasmas in Entoplasma und vice versa beobachten, wie sie uns 
Rhumbler in seiner schon zitierten Arbeit S. 150, Kap. 4 „Ver- 
wandlung des Ektoplasmas während der Amübenbewegung theore- 


obigen Hypothese steht und daß diese Auspressung überhaupt und immer bei Pek- 
tisation des Plasmas vorhanden sein muß. Mit dem Wasser werden auch Mikro- 
somen und andere apoplasmatische Einschlüsse aus dem koagulierenden Teile 
ausgespreßt, und damit kann man sich auch die allgemein bekannte Erscheinung, 
welche beim Absterben der einzelligen Wesen auftritt, nämlich die Bro wn'sche 
Molekularbewegung, erklären. Die Mikrosomen und andere kleinere Partikeln, wel- 
che im lebendem Plasma wegen der großen Viskosität desselben die molekuläre 
Bewegung nicht ausführen können, beginnen im Anfange des Absterbens und der 
gleichzeitigen Koagulation des Plasmas, indem sie mit Wasser ins Innere der 
Zelle ausgepreßt werden, die charakteristische zitternde Bewegung. Die Menge des 
abgegebenen Imbibitionswassers wächst beim Absterben immer mehr, der Zu- 
sammenhang der einzelnen koagulierten Plasmapartikeln wird immer lockerer, und 
es kommt endlich zur totalen Desintegration der einst lebenden Zelle und zum 
körnigen Zerfall derselben. | 


94 


tisch ersehlossen und empirisch nachgewiesen“ liefert, besonders 
wenn wir die Bildung der Plasmahaut und Vakuolenmenbran auf 
gemeinsame Ursachen zurückführen, was mit den Pfeffer’schen 
und Rhumbler’schen Anschauungen und auch mit denen vieler 
anderen Autoren. die sich mit dem Gegenstande beschäftigt hatten, 
zusammenfällt. 

Rhumbler sieht in der Verwandlung des Ektoplasmas in En- 
toplasma den Ausdruck der „ektoplasmalösenden Kraft des Ento- 
plasmas“, ich glaube aber, daß diese „geheimnisvolle Kraft“ des En- 
toplasmas sich auch anders begreifen läßt. Der Membranbildungs- 
prozeß beruht auf einer chemischen Umwandlung der in der Grenz- 
fläche der beiden Flüssigkeiten sich ansammelnden Protoplasmabe- 
standteile. einer Umwandlung von reversibler Natur, welche so 
lange verläuft. als auch die Oberflächenkräfte wirken, oder bis die 
sich bildende Membran so diek wird. daß die gegenseitige Beein- 
flussung der in Kontakt stehenden Flüssigkeiten gleich Null wird. 
Dann tritt in der Grenzfläche ein Gleichgewicht ein. das durch 
zwei Prozesse, den Auflösungs- und den Neubildungsprozeß, regu- 
liert wird. Jede Auflösung der Membran stört das Gleichgewicht 
und verursacht infolgedessen eine neue Konzentrierung der 
membranogenen Substanz in der Grenzfläche; zu starke Konzen- 
trierung wird. dureh Auflösung ausgeglichen. Solänge die Bedin- 
gungen der Membranbildung bestehen. oszillieren die beiden Pro- 
zesse um ihren Gleichgewichtspunkt, sobald sie aber weichen. ge- 
winnt der Auflösungsprozeß die Oberhand, und die gebildete Membran 
wird gänzlich in der Mutterlauge. das heißt im Entoplasma gelöst. 
Solange also die Vakuole eine Flüssigkeit umschließt und so- 
lange das Ektoplasma in direkter Berührung mit dem Wasser steht. 
bleibt sowohl die Vakuolenmembran und der hyaloplasmatische Saum 
bestehen, hat aber die Vakuole ihren Inhalt entleert und wird das Ek- 
toplasma von Entoplasma umflossen, wie dies Rhumbler bei der 
Bewegung v. Amoeba blattae und limicola und Penard bei Amoeba 
proteus und undosa beobachtet hat, so lösen sich beide, d. i. sowchl 
Vakuolenmembran wie Ektoplasma, auf. 

Wir wollen daher keinen prinzipiellen Unterschied zwischen 
den zwei morphologisch differenten Plasmaarten. d. h. dem Ento- 
und dem Ektoplasma annehmen. das letztere wäre janur ein von Mi- 
krosomen befreites, durch die Wirkung der Oberflichenspannung 
verändertes Entoplasma, welches auf der Oberfläche des ganzen 


95 


Kôrpers oder der Vakuole eine mehr oder weniger resistente Hülle 
bildet. die aber wieder morphologisch gesagt, in granulüses Ento- 
plasma zurückverwandelt werden kann. Aus dem Grunde kann 
man auch die Cutieula der Flagellaten und Infusorien als eine 
solche an der Oberfläche verdichtete Entoplasmaschicht auftassen, 
die eine äußere Körperhülle bildet und ihrem Körper eine mehr 
beständige Gestalt verleiht. die aber den metabolischen Körper- 
bewegungen der Flagellaten oder Infusorien keinen Widerstand 
entgegensetzt. 

Ich hatte zweimal Gelegenheit, mich von der Richtigkeit dieser 
Anschauung durch direkte Beobachtung zu überzeugen: einmal 
beim Studium der Umwandlung einer mir unbekannten Flagella- 
tenspezies aus der Gruppe der Protomonadinen, die ich durch meh- 
rere Tage auf dem Objekttrüger kultivierte, wobei ich ihre ganze 
Verwandlung vom Amöbenstadium durch ein astasiopsisähnliches 
Stadium bis zur Erreichung der erwachsenen birnförmigen Form 
beobaehten konnte, ein andermal aber noch prägnanter bei einer 
Beobachtung an einem Exemplar von Stentor viridis. welches ich 
mit einigen anderen Individuen derselben Art zu Versuchszwecken 
auf den Objektträger isoliert hatte. Das zuletzt erwähnte Exemplar, 
das meine Aufmerksamkeit auf sich lenkte. war das größte von 
allen und unterschied sich von den übrigen. von der Größe abge- 
sehen, durch seine Trägheit, ja geradezu Bewegungslosigkeit. Nach 
einiger Zeit. während welcher ieh das Tier ununterbrochen beob- 
achtete, begann es plötzlich durch das Peristom Partikeln 
seines eigenen Leibes in periodisch abgegebenen Stößen her- 
auszuwerfen. Dann trat ein gänzlicher Zerfall seines hinteren Endes 
in der Weise ein, wie man das beim Tode der Infusorien immer 
sehen kann. Der Zerfall kam aber nieht zum Abschluß. sondern 
es wurden auf die Weise nur zwei Drittel des Körpers zerstört. so 
daß vom Infusorium nur die Peristomal-Gegend mit ihren wäh- 
rend der ganzen Zeit sehr stark sehlagenden Cilien. das vordere 
Drittel des Körpers mit vier Gliedern seines rosenkranzförmigen 
Kernes intakt blieben. In diesem Augenblicke bedeckte sich der 
hintere, der Zerfallslinie angrenzende Teil mit einer Cutieula, und 
das Infusorium schwamm mit großer Eile vom Zerfallsorte fort. 
Die Bildung der Cutieula nahm ihren Anfang nicht von der alten 
übriggebliebenen, auch hat sich der Körper nieht dureh Zusam- 
menrücken der frei stehenden Enden der alten Culticula von dem 


96 


Medium abgeschlossen, sondern es bildete sich eine neue Plasma- 
hülle, durch direkte Verwandlung der entblößten Protoplasmaschicht. 

Das weitere Verhalten des Stentoren interessiert uns hier nieht 
mehr; es war mir daran gelegen, aus dieser Beobachtung nur das 
mitzuteilen, was als Beweis für die Richtigkeit der oben angeführ- 
ten Anschauung herangezogen werden kann. In diesem Sinne 
äußert sich auch Pfeffer in seiner Arbeit: „Zur Kenntnis der 
Vakuolenhaut ete“. S. 235. „So ist der äußere Grenzwall des Pro- 
toplasten in der Memhran, der sog. Cuticula von Euglenen und In- 
fusorien zu einer festeren und schärfer begrenzten, aber immer- 
hin noch mit dem Protoplasma zusammenhängenden Haut gewor- 
den, welehe auch besonders sichtbare Strukturen auszubilden vermag 
und wenigstens normalerweise sich nicht mehr in Cytoplasma zu- 
rückzuverwandeln schien“. 


e) Mechanismus der Vakuolenentleerung. 

Die gebildetete Vakuolenmembran erreicht eine Dicke, die das 
Gleichgewicht zwischen der beiderseitigen Einwirkung der in der 
Vakuole eingeschlossenen Flüssigkeit und des angrenzenden Proto- 
plasmas erhält, die also die Wirkung der Oberflichenspannung ganz 
aufhebt. 

Nach Vollendung der Cyclose gelangt die Vakuole dann zur 
Afteröffnung, der Cytopyge. welche nach Maier beständig bei den 
Chilodontinen existieren soll. 

In diesem Augenblieke verändern sich die Bedingungen. wel- 
che auf die Vakuole einwirken. Solange die Vakuole in dem Pro- 
toplasma des Infusoriumkörpers verbleibt, befindet sich ihre Mem- 
bran unter gleiehmäßigem Drucke, der sowohl von außen, das heißt 
von dem Entoplasma, wie von innen, nämlich von der Vakuolen- 
tlüssigkeit, einwirkt. Darum hat auch die Vakuole eine regelmäßig 
kugelige Gestalt. Gelangt sie jedoch bis zur Afteröffnung, dann ist 
der kleine, der Cytopyge anliegende Teil der Membran nur dem 
inneren Drucke ausgesetzt, der jetzt überwiegt und das Gleichge- 
wicht stört. An der von dem Drucke des Entoplasmas befrei- 
ten Stelle muß es zur Deformation der Kugelgestalt der Vakuole 
kommen, die Membran bildet hier eine Ausbuchtung. die infolge 
des sich immer mehr steigernden Druckes des Entoplasmas end- 
lieh birst und dabei den Inhalt der Vakuole ausströmen läßt, Wir 
dürfen jedoch nicht außer acht lassen, daß sieh an dieser Stelle 


97 


keine neue Membran bilden kann, da dort weder das Material noch 
die Bedingungen zu einer Membranbildung vorhanden sind. Auch 
könnte man an die Anwesenheit der osmotisch wirkenden Körper 
im Vakuoleninhalt denken, die das Wasser aus dem Medium auf- 
saugen und dadurch noch mehr den Druck auf die Vakuolenmem- 
bran von innen steigern und den ganzen Prozeß beschleunigen. 

Die den Entleerungsprozeß der Vakuole einleitende Ausbuch- 
tung ist bei Infusorien sehr schwer zu sehen, wir besitzen aber 
eine von Rhumbler an Amoeba verrucosa gemachte Beobachtung, 
die auf S. 259 seiner schon mehrmals zitierten Arbeit folgender- 
maßen geschildert wird. „Hat die Vakuole eine große aber nicht 
genau bestimmte Größe erreicht. so erfolgt ihre Entleerung nach 
außen, zunächst gewahrt man fast immer — nur dann nicht. wenn 
sie ungünstig liegt — eine kleine kuppelartige Aussackung gegen 
das Ektoplasma hin“. Rhumbler schreibt die Ausbuchtung der 
Veränderung der Oberflächenspannung an der betreftenden Stelle 
der Vakuole zu; es wäre aber zu bemerken, daß bei der Amoeba 
verrucosa, die keine präformierte Afteröffnung besitzt, die Bedin- 
gungen der Vakuolenentleerung ein wenig modifiziert sein müssen, 
da hier der Entoplasmadruek überwunden werden muß. Diese Mo- 
difizierung braucht aber nur quantitativ gedacht zi werden. 

Nach Beendigung der Defäkation zieht sich die Membran zu- 
sammen und erliest der „ektoplasmalösenden Kraft des Entoplas- 
mas“ oder anders gesagt, sie verschwindet, wenn die Tendenz zur 
Auflösung die Tendenz zur Verdichtung überwiegt, d. h. wenn die 
auflösenden Prozesse das Übergewicht über die verdiehtenden ge- 
winnen, oder endlich wenn das Gleichgewicht dieser zwei parallel 
verlaufenden Prozesse zugunsten des auflösenden Prozesses gestört 
wird. 

Auf diese Weise kann man sich die Erscheinungen der Entste- 
hung und des Verschwindens der Vakuolenmembran erklären und, 
um auf das eigentliche Thema dieser Arbeit zurückzukommen, 
das temporäre Auftreten der Ernährungsvakuole bei Chilodon he- 
xastichus verständlich machen. Die Ernährungsvakuole bildet sich 
nur im Augenblicke der Nahrungsaufnahme und persistiert im In- 
fusoriäm nur so lange, als die Bedingungen seiner Entstehung vor- 
handen sind. Verschwinden diese, so verschwindet sie auch; deshalb 
begegnen wir bei der Untersuchung Individuen mit oder ohne 


Vakuole. 


Bulletin III. 


- 


98 


Der K*rnapparat. 


In der Beschreibung der einzelnen Organe des Chilodon he- 
xastichus kommen wir in weiterer Folge zum Kernapparat dieses 
Infusoriums. Der Micronucleus hat meistens eine homogene Struk- 
tur, die jedoch bisweilen eine gewisse Differenzierung aufweist, und 
zwar in dem Sinne, daß das Chromatin in Form eines einheitlichen 
Ringes an der Oberfläche der Mieronucleus zu liegen kommt und 
sich stark färbt, während das Innere ungefärbt bleibt. Außer die- 
sem Ringe kann man in der farblosen Mitte noch die Anwesenheit 
von einem, zwei oder drei chromatophilen Körnchen konstatieren. 
Der Micronucleus liegt gewöhnlich in einer Einsenkung des Ma- 
eronueleus, der Micronueleus ist oft gar nicht zu sehen. 

Der Bau des Macronucleus von Chilodon hexastichus ist sehr 
veränderlich und verschieden. Wenn man auf einer ganzen Reihe 
von Präparaten die Bauverhältnisse des Macronucleus von Chilodon 
hexastichus untersucht, findet man su mannigfaltige Bilder, daß man. 
wenn es sich um Genauigkeit handelte. fast jedes gesehene Bild 
beschreiben müßte; ich will mich daher nur auf die wichtigsten 
Formen derselben beschränken. Der typische Kern, oder richtiger 
gesagt, das am häufigsten vorkommende Bild der Bauverhältnisse 
des Maeronueleus. das für die ganze Gruppe der Chlamydodonten 
gemeinsam zu sein scheint, sieht folgendermaßen aus. Der Macro- 
nucleus hat eine kugelförmige Gestalt und ist von einer Kernmem- 
bran deutlich umgeben. Das Chromatin liegt an der Oberfläche des 
Kernes, dicht unter der Membran in Form von groben Kürnern 
oder Brocken. Weiter nach innen finden wir ein helles, nicht tin- 
gierbares Feld, dessen Zentrum ein großes chromatinreiches, rund- 
liches oder unregelmäßig gebautes Gebilde einnimmt. Das letztere 
wird von verschiedenen Autoren verschieden genannt. Rhumbler 
nennt es Binnenkürper, wir finden aber in der Literatur dafür auch 
Namen wie Nebenkörper, Nucleolus oder sogar Karyosom. Da wir 
aber mit dem letzteren Namen ein gewisses Gebilde im Kern der 
Sporozoen zu bezeichnen pflegen, welchem man auf Grund der 
Sporozoenforschungen aus letzter Zeit eine ganz bestimmte Bedeu- 
tung bei den Lebensprozessen dieser Formen zuschreibt, erscheint 
es angezeigt, diesen ganz spezifizierten Namen „Kary.som“ zu ver- 
meiden und sich für den von Rhumbler eingeführten, gar nichts 
voraussetzenden Namen ,Binnenkórper* zu entscheiden. Aber auch 


99 


aus anderen Gründen erscheint es geraten zu sein, eine Verwechs- 
lung dieses Gebildes, nämlich des Karyosoms der Sporozoen mit 
dem „Binnenkörper“ der Chilodontinen zu vermeiden, erstens weil 
der Binnenkórper des Chilodon hexastichus aus einer kompakten 
Chromatinmasse aufgebaut ist, in weleher man die für das Karyo- 
som der Sporozoen beschriebenen zwei Schichten, nämlich eine 
kortikale, ehromatinreiche und eine plastische Rindenschicht nicht 
unterscheiden kann, und zweitens da das Karyosom der Sporozoen 
dem ganzen Macronucleus der Infusorien entsprechen soll. Moroff 
sagt in seiner Arbeit: „Über die bei den Cephalopoden vorkommen- 
den Aggregatarten^ auf S. 169. folgendes: „Funktionell entspre- 
chen sie (die Karyosome) dem Macronucleus der Ciliateninfusorien, 
welch letzterer wohl als ein in viele kleine Körnchen zerfallener 
Nucleolus angesehen werden kann“. 

Wir wollen also für derartige Gebilde, wie wir sie bei Chi- 
lodon hexastichus beschrieben haben, den Namen Binnenkörper bei- 
behalten. 

Alle Veränderungen in der Struktur des Macronucleus sind von 
zwei Momenten abhängig, und zwar von der Art und Lage der 





EUN de à. 
E e 
Resa E 
bet, SCH Zeng 
a b c 
Figur 2. 


Chromatinkórner und von der Anwesenheit des Binnenkórpers. Die 
nebenstehenden Figuren, auf welchen die Macronuclei dargestellt 
sind, geben uns die Vorstellung von den Veründerungen der chro- 
matophilen Substanz im Maeronucleus des Chilodon hexastichus. 
Wir haben vor uns dicht mit Chromatinkórnern gefüllte, kompakte 
Kerne (a) in welchen noch keine Differenzierung in oberflächliche 
Chromatinkórner und einen zentralen Binnenkórper stattgefunden 
hat, ferner sehen wir solche, in welchen das Chromatin in Form von 
groben Kórnern über den ganzen Macronucleus zerstreut ist und 
welehe außer diesen Chromatinkórnern noch zwei größere chroma- 
tische Kügelchen als Anlagen des Binnenkörpers besitzen (b). Der 
Binnenkörper soll nämlich nach Rhumbler aus der Vereinigung 


kleinerer Chromatinpartikeln in ganz mechanischer Weise entstehen. 
7% 
4 


100 


Endlieh sehen wir einen Kern mit Binnenkörper und Chromato- 
sphäriten (c). 
Wir wollen uns aber nicht länger bei dem Bau des Macronu- 
cleus aufhalten und betonen nur, daß der Bau des Macronucleus. 
durehaus nicht in allen Lebensstadien des Chilodon hexastichus un- 
verändert bleibt, sondern verschiedene Gestalten annimmt. 

Es wäre noch das Verhältnis des Chromatins zu der achroma- 
tischen Substanz im Macronucleus zu besprechen. Uber dieses Ver- 
hältnis bei anderen Repräsentanten dieser Gruppe sagt Bütschli 
aut S. 1509 seines Werkes folgendes: „In einigen neueren Unter- 
suchungen, so in denen Gruber’s über den sog. Chilodon curviden- 
tis (Ch. dentatus Frommer), sowie denen Stein’s und Schneider's 
über Anoplophrya branchiarum St. und Nyetitherus cordiformis ‚wird 
eine Zusammensetzung der Nucleosubstanz aus dicht zusammenge- 
drängten, kleinen und stark fürbbaren Kiigelehen, den sog. Chro- 
matosphäriten Schneiders beschrieben. Schneider behauptet be-, 
stimmt, daß die Kügelchen voneinander ganz isoliert seien. Ich glaube 
sicher annehmen zu dürfen. daß die Struktur dieser Kerne keines- 
wegs von der der übrigen so abweicht, wie angegeben wird. Es 
bedarf jedoch noch weiterer Untersuchungen. um zu entscheiden, 
ob ıhr besonderes Aussehen auf Einlagerung distinkter Elemente 
in das Wabengerüst oder nur auf einer eigentümlichen Ausbildung 
desselben beruht“. Bütschli behauptet also. daß in jedem Falle 
die Alveolen der achromatischen Substanz, die an sich mit ihren 
Wänden zusammenstoßen, ein wabiges Gerüst für Chromatinkörner 
oder Chromatinbrocken bildet. Aus meinen Untersuchungen geht 
aber hervor, daß die achromatische Substanz gar keine Waben oder 
Netze bildet, sondern im Macronucleus gleichmäßig verteilt ist und 
daß darin die Chromatinpartikeln eingebettet liegen. Ich konnte die. 
Wabenstruktur der Lininsubstanz nie konstatieren, auch. in den 
Fällen nicht, wo der Macronucleus einen mehr lockeren Bau besaß 
und wo zwischen den an der Oberfläche des Kernes liegenden 
Chromatinkürnern und dem Binnenkörper eine helle chromatinfreie 
Zone bestand. In anderen Fällen sind die Chromatinkórner so dicht, 
aufgelagert, daß sie das Liningerüst des Kernes total verschleiern 
und deswegen ist es ganz verständlich, daß Schneider die Chro- 
matosphäriten als isoliert im Kerne liegende Körner beschreibt. 
Man kann wenigstens auf gut erhaltenen Macronucleen, wo die 
Chromatinsubstanz durch die technische Behandlung der Objekte 


101 


gar nicht angegriffen war, ein Liningerüst kaum zu sehen bekom- 
men. An beschädigten Präparaten dagegen, wo die oberflächlich lie- 
senden Chromatingranula oder, wie Schneider sie nennt, Chro- 
matosphäriten, zufällig beseitigt worden sind, erhalten wir ein Bild, 
auf welchem die achromatischen Fäden radiär von der Oberfläche 
des Kernes zum Binnenkörper verlaufen. Man kann aber auf Grund 
soleher Bilder keine Vermutungen über die eigentliche Struktur 
der achromatischen Substanz im Maeronucleus aufstellen. 

So viel über die Morphologie von Chilodon hexastichus. Ich muß 
am Ende dieses Absehnittes noch einmäl wiederholen, daß ich mei- 
stens mit lebendem Material gearbeitet habe und daß ich mich 
bemühte. die Bauverhältnisse nach Möglichkeit an intakten frischen 


Tieren zu studieren. 


.Die Konjugationserscheinungen und Zellteilung. 


Es sollen in diesem Abschnitte die Erscheinungen behandelt 
werden. die mit der Fortpflanzung dieses Infusoriums im Zusam- 
menhange stehen. Wir werden uns aber mit diesen Erscheinungen 
nieht in bezug auf die Veränderungen. welchen der Kernapparat 
unterliegt, befassen, sondern sie von der allgemein biologischen 
Seite behandeln. 

Da ieh eine grofie Anzahl von Exemplaren untersuchte, so hatte 
ich aueh sehr oft Gelegenheit, sowohl die sich teilenden. wie die 
konjugierenden Infusorien zu beobachten. Die Erscheinung der Kon- 
jugation ist äußerst selten, besonders wenn wir das Material zur 
Untersuchung der Kiemenhöhle der Fische direkt entnehmen. In 
solehen Proben sind daher die sich teilenden Infusorien keine Sel- 
tenheit. Und dieses Verhalten der Infusorien wird auch sehr leicht 
erklarlich, wenn wir alles das, was die Untersuchungen über die 
Ursachen der Konjugation ans Licht gebracht hatten, in Betracht 
ziehen. Allgemein gesagt, tritt die Konjugation der Infusorien nur 
dann ein, wenn der erschöpfte Organismus seine durch die fort- 
dauernde Teilung und die vegetativen Prozesse abgeschwächte Le- 
bensfähigkeit wiedergewinnen soll, was durch die Erneuerung sowohl 
des in generativen Prozessen seine Rolle spielenden Idiochromatins, 
wie des vegetativen Trophochromatins erreicht wird. Den Beweis 
dafür liefert einerseits der aktive Anteil, welchen der Micronucleus 
an der Konjugation nimmt, andererseits die Veränderungen. welche 


102 


während dieses Prozesses den Macronucleus betreffen. Der Konjuga- 
tionsprozeß spielt ähnlich wie der Befruchtungsvorgang eine doppelte 
Rolle, indem er in inniger Beziehung zu den Fortpflanzungserschei- 
nungen steht, die zur Erhaltung der Art dienen, indem er aber 
gleichfalls seine Bedeutung für die Erhaltung des Individuums hat, 
da er dessen verlorene oder mindestens abgeschwächte Lebensfähig- 
keit wiederherstellt. Es beweisen dies einerseits die Beobachtungen, 
welche uns belehren. daß die Teilungsfähigkeit der Infusorien durch- 
aus nicht unersehöpflich ist und daß sie nach einer gewissen Zeit 
durch Konjugation abgelöst werden muß, andererseits sehen wir, 
daß entsprechende Veränderung der Nahrung, wie es Calkins 
gemacht hat, die erschöpfte Teilungskraft der Infusorien wiederher- 
stellt und sie zur weiteren Teilung in ganz analoger Weise wie der 
Konjugationsprozeß befähigt. Wir wissen aber auch, daß man eine 
ganz junge. also noch nicht erschöpfte Kultur von Infusorien künst- 
lich zur Konjugation, und zwar durch Temperaturerhöhung. durch 
Hunger ete. anregen kann. 

Im Leben des Chilodon hexastichus müssen wir zwei Perioden un- 
terscheiden, die eine des üppigen vegetativen Lebens in den Kie- 
men der Fische und die zweite Periode eines lethargischen Lebens 
im Zustande der Eneystierung. Die besonders günstigen Lebensbe- 
dingungen, in welchen die Infusorien in der Kiemenhöhle leben, 
sind der ungeschlechtlichen Fortpflanzung günstig und machen 
daher die Konjugation wenigstens auf einige Zeit überflüssig, umso- 
mehr da diese Periode des vegetativen Lebens bei einem Organis- 
mus, der auf einen anderen angewiesen ist, gar nicht lang sein 
kann. Während dieser Periode begegnen wir auch sehr oft sich tei- 
lenden Individuen, während konjugierende, besonders im Anfange 
der Infektion. vollständig fehlen. Geht aber der Wirtsorganismus 
zugrunde. so verlassen die Infusorien nach einiger Zeit nach dem 
Tode der Fische die Kiemenhöhle und schwimmen frei im Wasser, 
um einen neuen Wirt aufzusuchen. Finden sie einen solchen nicht, 
so endet auch die vegetative Periode, und die Infusorien treten in 
die zweite. in die der Encystierung ein. Bevor aber der Encystie- 
rungsprozeß beginnt, konjugieren sie und dies ist der Zeitpunkt, in 
welehem man die meisten konjugierenden Paare für die Untersu- 
chung gewinnen kann. Im encystierten Zustande müssen also die 
Infusorien so lange leben. bis die Cysten mit dem Wasserstrome in 
die Kiemenhöhle eines neuen Wirtes gelangen. Von diesem Augen- 


105 


blieke an setzt wieder die Periode des vegetativen Lebens mit 
ungeschlechtlicher Vermehrung ein. 

Zum Schluß sei mir über die Konjugation noch eine Bemerkung 
gestattet. nämlich daß ich bei Beobachtung der konjugierenden In- 
fusorien immer den Eindruck empfing, als ob die Konjuganten von 
ungleicher Größe wären. Es würde das auf die Verschiedenheit der 
an der Konjugation teilnehmenden Individuen hinweisen. die aber 
noch nicht als Geschlechtsunterschied aufgefaßt zu werden braucht. 

Waren die konjugierenden Individuen in der Kiemenhöhle sel- 
ten zu treffen, so konnte man dort sich teilende Infusorien um so 
häufiger finden. Besonders interessant ist die Beobachtung des Ver- 
laufes des ganzen Teilungsprozesses an lebenden Individuen. denn 
sie gibt uns gute Gelegenheit. in das Wesen des Mechanismus der 
Teilung einzudringen. Der Fall den ich hier beschreiben will. er- 
scheint um so interessanter und wichtiger, da ich beim Durch- 
suchen der reichhaltigen Literatur über die Theorien der Zellteilung 
nirgends etwas ähnliches erwähnt finden konnte. In der sehon oft- 
mals zitierten Arbeit Rhumbler finde ich zwar die Beschreibung 
eines ähnlichen Falles. doch seine Angaben beziehen sich nicht auf 
den Teilungsvorgang, sondern auf den Modus des Ausschlüpfens aus. 
der Cyste des Infusoriums Colpidium colpoda. Wir werden ihn auch 
später erwähnen. vorerst wollen wir aber alle die Erscheinungen 
des Teilungsprozesses der Reihe nach beschreiben, wie wir sie unter 
dem Mikroskope verfolgen konnten. 

Das Infusorium. welches in die Teilungsperiode eintritt, verliert 
vor allem seine Beweglichkeit. schwimmt immer langsamer und 
endlich bleibt es an einer Stelle stehen. Diese Bewegungslosigkeit 
und Schwerfälligkeit des Infusoriums kann man teilweise dadureh 
erklären. daß die am hinteren Teile seines Körpers sich befinden- 
den Cilien immer langsamer schlagen und endlich ihre Bewegungs- 
fähigkeit verlieren. Die am vorderen Ende gelegenen Cilien bleiben 
jedoch beständig in Bewegung, und das ist auch für den ganzen 
Teilungsprözeß sehr wichtig. da sie, wie wir später sehen werden, 
eine nicht geringe Rolle dabei spieien. Wenn wir ein in diesem 
Stadium der Teilung befindliches Infusorium betrachten, können 
wir uns des Eindruckes nicht erwehren, als wenn dieser hintere Teil 
einen unnützen und schweren Balast für den vorderen bildete. Der 
vordere Teil macht nämlich während der ganzen Teilungszeit fort- 
während kurze gewaltige. sioßsrüge Bewegungen, als wollte er sich 


104 


von dem hinteren trennen und befreien. Der hintere dagegen bleibt 
unbeweglich wie eine träge Masse mit dem vorderen beweglichen 
Teile verbunden, wie ein fremder Körper, der dem vorderen Teile 
anhaftet und dessen Beweglichkeit hemmt. Der ganze Teilungsvor- 
gang macht in der Tat den Eindruck eines aktiven Prozesses, der 
durch die Bewegungen des vorderen Teiles, aber auch durch Kon- 
traktionen des Plasmas selbst oder der Myoneme realisiert wird. 

Den Bewegungen entsprechend, beginnt sich der Körper des 
Infusoriums auf der Grenze des beweglichen und des unbeweglichen 
Teiles abzuschnüren, und zwar durch sprunghafte Einsenkung der 
Pellieula gegen die Mitte des Infusoriumskörpers, so daß endlich 
nur ein sehr schmaler Plasmastrang bestehen bleibt, der beide 
Tochterindividuen verbindet. 

Die Durchreißung dieses Plasmastranges kommt dadurch zu- 
stande, daß der vordere Teil mit einer schnellen Bewegung von der 
Stelle hinwegrückt und den Strang in einen langen zähen Faden 
auszieht. welcher dann an irgend einer Stelle durchreibt. Die abge- 
rissenen freihängenden Enden ziehen sich dann schnell. sowohl in 
den vorderen wegschwimmenden, wie den zurückbleibenden hinteren 
Teil ein und werden in der Weise dem Körper beider Tochter- 
individuen einverleibt. Dieses Durchreißen und Einziehen des Fa- 
dens geschieht sehr schnell. und darin liegt auch der Unterschied 
zwischen dem Schlußeffekt des von mir beschriebenen Falles und 
der Rhumbler’schen Beobachtung. von der noch weiter die Rede 
sein wird. 

Nach der Lostrennung ergänzen die beiden Tochterorganismen 
den fehlenden Teil der Pellieula und beginnen ein selbständiges Le- 
ben zu führen. Während aber das aus dem vorderen Teile entstan- 
dene Tochterindividuum aus dem Teilungsprozef gleich als vollkom- 
men in seiner Organisation hervorgeht, da es den Cytopharynx und 
Reuseapparat von dem Mutterorganismus vererbt. muß das aus dem 
hinteren Teile hervorgegangene Individuum diese Organellen vom 
neuen ausbilden. Darum verbleibt es noch einige Zeit an der Teilungs- 
stelle bewegungslos bis zur Neubildung der fehlenden Teile. während 
das vordere Tochterindividuum gleich nach Beendigung des Tei- 
lungsprozesses sich von der Stelle entfernt. 

Der ganze Teilungsprozeß des Plasmaleibes dieses Infusoriums 
scheint also ganz aktiv zustandezukommen, der gar nicht von 
einem speziellen Apparate oder Mechanismus nach der Art und 


105 


Weise der ziehenden oder stemmenden achromatischen Fäden re- 
giert wird. Das einzige, was dem Teilungsprozeß zu Hilfe kommt 
und ibn mechanisch unterstützt, das sind die Bewegungen des sich 
teilenden Individuums, die durch Kontraktion der Myoneme und 
durch Schlagen der Cilien hervorgerufen werden. 

Der Teilungsprozeß des Chilodon hexastichus ist ein aktiver Vor- 
gang. der unter dem Einflusse gewisser Impulse steht, die ihrer- 
seits wieder in den inneren Zuständen des Infusoriums ihren Anfang 
nehmen und nach außen in Form von motorischer Reaktion sich 
äußern. Das Ziel der motorischen Reaktion ist aber die Halbierung 
des Körpers, oder anders gesagt die Lostrennung und Befreiung der 
zwei miteinander gekuppelten Individuen. Denn schon in den ersten 
Augenblicken der Teilung verhalten sich die beiden Teile einander 
gegenüber wie zwei verschiedene Individuen, die zufälligerweise an- 
einander gekuppelt sind und die voneinander loskommen wollen. 
Im Augenblicke. in welchem der Kernapparat schon geteilt ist, was 
immer beim Chilodon herastichus der Plasmateilung vorangeht, er- 
scheint auch das mütterliche Individuum in zwei Individuen diffe- 
renziert. in zwei abgesondert individualisierte und empfindende, 
aber noch verbundene Totalitäten zu sein, welche aufeinander durch 
Kontakt wirken. Dieses Kontaktgefühl, diese, man kann sagen, me- 
chanische Reizung, welehe die zwei schon differenzierten, aber noch 
in Berührung stehenden Plasmapartien aufeinander ausüben, kann 
als die Quelle der beschriebenen motorischen Reaktionen. welche 
wir während des Teilungsvorganges beobachten können, aufgefaßt 
werden. Dieses Kontaktgefühl, diese gegenseitige Einwirkung ruft 
eine ganze Reihe von Bewegungen hervor, welche zur Verniehtung 
dieses durch innere Teilung, durch Differentiation im Plasmagebiete 
gebildeten Zusammenhanges. d. h. zur Teilung des Infusoriums und 
zur Lostrennung der durch die Teilung entstandenen Tochterindi- 
viduen, führen. 

Daß bei der Teilung der vordere Organismus eine aktive Rolle 
spielt. während der hintere sich passiv verhält. darf uns nieht wun- 
dern, wenn wir beachten, daß der motorische Apparat des vorderen 
Teiles während der Teilung nicht nur intakt bleibt, sondern sogar 
fortwährend in Bewegung begriffen ist. der des hinteren dagegen 
seine Beweglichkeit einbüßt. Wenn ich aber von der Bewegungs- 
losigkeit des hinteren Teiles spreche, so will ich damit auch die 
Bewegungen der Myoneme oder allgemeiner gesagt. die Kontraktio- 


106 


nen des Plasmas noch nicht bestreiten. Diese smd aber im Ver- 
hältnis zu der lebhaften Beweglichkeit des vorderen Teiles weit 
weniger auffallend. 

Es drängt sieh aber jetzt die Frage auf. auf welche Weise diese 
Duchsehnürung oder Lostrennung der beiden Tochterorganismen 
zustande kommt? Es ist ja doch klar, daß bei bloßer Berücksichti- 
gung der Bewegungen. die wir als Reflexe der Kontaktwirkung 
beider neu gebildeten Plasmagebiete betrachtet haben, die Behand- 
lung des ganzen Teilungsvorganges nur einseitig ist. Man muß noch 
auch die andere Seite in Betracht ziehen, d. h. den Zelldurch- 
schnürungsprozefi. Bevor wir aber die Frage beantworten, müssen 
wir uns alles das vergegenwärtigen, was wir über die Pellicula 
der Infusorien bei Gelegenheit der Besprechung des Wesens und 
der Entstehungsart der Vakuolenhaut gesagt haben. 

Auf Grund eigener und fremder Beobachtungen. die sich auf 
das Verhalten und Entstehen der Pellieula beziehen, sind wir zu 
der Überzeugung gekommen. daß die Pellieula und Vakuolenhaut 
homologe Gebilde sind. die aus demselben Material und unter den- 
selben Bedingungen gebildet werden. Wir müssen aber noch weiter 
berücksichtigen. daß die Pellieula im Gegensatz zur Vakuolenhaut 
eine Hülle ist, die wie Pfeffer (a. a. O.) sagt. „zu einer festeren 
und schärfer begrenzten Haut geworden“, deren Starrheit also 
etwas zugenommen hat. die aber „wenigstens normalerweise sich 
nieht mehr in Cytoplasma zurückverwandeln kann“. 

Wenn wir dies alles in Betracht ziehen und denselben Stand- 
punkt wie vorher einnehmen, daß der Durchsehnürungsprozeß als 
ein aktiver, durch die Bewegungen des sich teilenden Infusoriums. 
hervorgerufener Vorgang aufgefaßt werden soll, dann stellt sick 
der Durchsehnürunessprozef. diese sprungweise verlaufende Einsen- 
kung der Pellieula zwischen die entstehenden Individuen. etwas 
schematisch aufgefabt. folgenderweise dar. 

Wir denken uns ein Infusorium von ovaler Gestalt, das eben 
in die Teilungsperiode eintritt, und nehmen an, daß jeder Bewegung 
eine entsprechend tiefe Einsenkung der Pellieula in den sich tei- 
lenden Organismus folgt. Die spätere Durehsehnürungsebene ist 
gleichzeitig die ideale Grenzebene zwischen den zwei schon in be- 
zug auf den Kernapparat "nd Plasmaleib differenzierten Tochter- 
organismen, die erst in den ersten Augenblicken des Durchschnü- 


107 


rungsprozesses durch die an der Peripherie des Mutterorganismus 
entstehende Furche sich kennzeichnet. 

Die Ebene, die im beistehenden Schema die Punkte a und b 
miteinander vereinigt, stellt uns eben die spätere Teilungsebene dar. 
In dem Augenblicke. wenn in dem Protoplasma des mütterlichen Or- 
ganismus alles zur Teilung vorbereitet ist, also in dem Augenblicke, 
wenn die beiden protoplasmatischen Tochterteile aufeinander zu wir- 
ken beginnen, werden beide Tochterplasmen kontraktorisch erregt, 


a'| b 





sie bestreben sich voneinander zu befreien, und daher erfolgt eine 
Zerreißung der Pellicula in den Punkten a und b, beziehungsweise 
am ganzen Umfange der Teilungsebene. Dieser Zerreißung der Pelli- 
cula und der gleichzeitigen das Auseinanderweichen beider Teile 
bezweckenden Bewegung entsprechend. senkt sich die entblößte 
Protoplasmazone nach innen ein, wie man das auf dem Schema B 
sehen kann. Dadurch aber kommt das Endoplasma in Berührung 
mit Wasser und infolgedessen muß sich im.Sinne dessen, was wir 
früher über die Entstehung der organischen Membranen gesagt 
haben, das Entoplasma mit gleichzeitiger Auspressung der Mikro- 
somen und anderer Einschlüsse zu der homogenen. s. g. ektoplasma- 
tischen Oberflächenschichte verdiehten, die die fehlende Pellieula in 
dieser Zone ergänzt. Dieser Zerreißungsprozeß mit nachfolgender 
Neubildung der Pellicula wiederholt sich weiter mit jeder neuen 
Bewegung des sich teilenden Organismus und da er aus leicht ver- 
ständlichen Gründen immer in der Äquatorialebene verlaufen wird, 
so muß auch die neu gebildete Pellieula immer tiefer zwischen die 
zwei Tochterindividuen eindringen und sie voneinander abschnüren. 

Um die möglichen Mißverständnisse, welehe aus dieser ganz 


108 


schematisch gehaltenen Darstellung der Neubildung der Pellicula auf 
den sich einsenkenden Partien des sich teilenden Protoplasmaleibes 
hervorgehen könnten, zu vermeiden. muß ich ausdrücklich ‘beto- 
nen, daß ich diesen Modus der Pellieulaeinsenkung und deren Ent- 
wicklung deswegen angenommen habe, da er sich zur schemati- 
schen Darstellung am besten eignet. obwohl er auch anders gedacht 
werden kann. Wenn ich von einem Zerreißungsstadium der Pellieula 
spreche. so ist dies eine Annahme, die ich aber an Präparaten nieht 
zu beweisen brauche; denn, wenn wirklich des Zuwachs der Pelli- 
eula in der von mir angenommenen Weise verläuft. ist er selbst- 
verständlich gar nicht mit dem Auge erfaßbar. 

Jedoch sehon direkte Beobachtung kann lehren, daß die Pelli- 
eula während des Teilungsaktes sich vergrößert, daß sie also in ir- 
gend welcher Weise wächst. sei es durch Anlagerung neuer Mem- 
branstücke an der Zerreißungsstelle, sei es durch eine Art Intussus- 
zeption. Aus diesem Grunde sind auch zwei Momente für uns 
wichtig. und zwar erstens, daß die kürzere Breitenachse der beiden 
sich teilenden Individuen während der ganzen Teilungszeit unver- 
ändert bleibt. und zweitens. daß die Lostrennung der beiden Toch- 
terindividuen sieh nicht durch ein einfaches, sondern durch ein 
doppeltes Septum vollzieht, von denen das eine die hintere Wand 
des vorderen Individuums. das zweite die vordere Begrenzung des 
hinteren bildet (Schema C). Aus diesen beiden Beobachtungen, d. i. 
aus dem Verhalten der kürzeren horizontalen Achse und dem Aut- 
treten des doppelten Septums geht die wichtige Tatsache hervor, 
daß der Umfang der Pellieula stets bei der Teilung zunehmen muß. 
Wenn wir mit U den primäreu Umfang der Pellicula des Mutter- 
individuums, mit w+’ die beiden Umfänge der Tochterindividuen 
bezeichnen. so ist U keineswegs gleich der Summe der beiden klei- 
neren Umfänge ww’, sondern es ist kleiner als diese Summe 
(U<u--uw). Daraus ergibt sich also, daß die Pellicula während des 
Teilungsprozesses sich vergrößert haben muß. Bliebe nämlich die 
Oberfläche der Pellieula vor und nach der Teilung gleich groß und 
würde sich die Mutterpellieula zu gleichen Teilen auf die Tochter- 
organismen verteilen, so müßten die sich teilenden Individuen der 
Progression des Teilungsprozesses entsprechend stets kleiner werden, 
um sich mit der vom Mutterorganismus ererbten Pellieula zu um- 
hüllen. Die Beobachtung beweist aber. daß die dureh die erste Ein- 
senkung der beginnenden Furche bestimmten Dimensionen der bei- 


Be 


109 


den Tochterindividuen sich im weiteren Verlaufe des Durehsehnii- 
rungsprozesses gar nicht verändern, sondern, daß die ursprüngli- 
chen Dimensionen von Anfang an gleich bleiben. 

Die Notwendigkeit einer Annahme des Zuwachses der Pellicula 
während des Teilungsprozesses ergibt sich aber von selbst aus dem 
Prinzip der Inkompressibilität der Flüssigkeiten, welches seinen 
Ausdruck darin findet. daß die Oberfläche einer Kugel, welche 
in zwei kleinere Kugeln geteilt wird, stets kleiner ist, als die Ober- 
flichensumme der aus der ersteren entstandenen kleineren Kugeln. 

Daß der Durehsehnürungsprozef des Infusoriums Chilodon hexa- 
stichus sich wirklich unter Mitwirkung der Bewegungen des sich 
teilenden Individuums vollzieht. ist im Anfange dieses Vorganges 
aus leicht begreiflichen Gründen schwer zu konstatieren. Die Be- 
obachtung belehrt uns nur soviel, daß die motorischen Reaktionen 
und der Durchschnürungsprozeß einander parallel verlaufen. sie ge- 
ben uns aber gar nieht die Möglichkeit, eine kausale Verknüpfung 
dieser zwei parallelen Erscheinungsreihen zu erfassen. Dieser kau- 
sale Zusammenhang, diese innige Abhängigkeit, äußert sich erst am 
Ende des Furchungsprozesses, wenn sich die letzte und totale Los- 
trennung der beiden Tochterindividuen vollziehen soll. 

Der letzte Akt des Durchschniirungsprozesses wird, wie gesagt, 
dadurch hervorgerufen, daß der die beiden Tochterindividuen verbin- 
dende Plasmastrang durch eine energische Bewegung des vorderen 
Individuums in einen langen dünnen Faden ausgezogegen wird. der 
endlich zerreißt. Hier unterliegt die tätige Rolle des Infusoriums 
bei Lostrennung der Individuen keinem Zweifel mehr; sind die Be- 
"wegungen aber am Ende wirksam und behilflich, so können sie 
auch im Anfange und den mittleren Stadien des Durchschnürungs- 
prozesses mitwirken. 

Ich benütze den Ausdruck „mitwirken“, da es mir fern liegt, 
die Bewegungen als die einzige und ausschließliche Ursache des 
Durchsehnürungsprozesses anzunehmen, vielmehr betrachte ich, was 
ich nochmals betonen will, als die eigentliche Ursache die inneren 
Zustände des Protoplasmaleibes des sich teilenden Individuums, diese 
innere Differenzierung des Mutterorganismus in zwei Tochterindi- 
viduen, diese Verschiedenheit der noch verbundenen aber schon 
individualisierten und deswegen selbstempfindenden Plasmapartien. 

Eine Bestätigung meiner Beobachtung und der daran geknüpf- 
ten theoretischen Erórterungen finde ich in einem analogen von 


110 


Rhumbler in seiner Arbeit (a. a. O.) beschriebenen Fall. Dieser 
Forscher beobachtete das Ausschlüpfen des Infusoriums Colpidium 
colpoda aus der Cyste. Aus der zum frühzeitigen Aufplatzen ge- 
brachten Cvste quoll ein Tropfen undifferenzierten Protoplasmas her- 
vor. welcher das übrige Protoplasma aus der Cyste „mehr und 
mehr herauszog, so daß schließlich nur noch ein kleiner Rest des 
Weichkörpers in der Cyste eingeschlossen war“. 

Dieser Rest war mit dem ausgeschlüpften Teil vermittels eines 
plasmatischen Stranges verbunden. Der Strang „wurde durch die 
Arbeit der Cilien zu einem langen Faden dadurch ausgezogen, daß 
das Tier sich von der Cyste abzureißen suchte. In wildem Taumel 
schurrte es, wie an einem Seil festgebunden, um die Cyste herum, 
dabei den Strang in Kreisschlingen legend, bis schließlich der Strang 
durehrif. Bei dem schließlich befreiten Tier war der Faden zu 
einem langen Dorn erstarrt. den das Tier noch zehn Minuten lang 
mit sich herumtrug, bis er beim Durchzwängen durch einen Bak- 
terienhaufen abgestoßen wurde. Auch der in der Cyste verbliebene 
Rest behielt ein Ende des Stranges, das sich zu einem diekeren 
Faden zusammenzog und noch nach Stunden aus der Cyste her- 
vorsah“ 

Wir sehen also. daß die letzten Effekte dieser beiden Beobach- 
tungen einander sehr nahe stehen. Es besteht zwischen ihnen nur 
der Unterschied, daß der Plasmafaden, der in dem letzten Teilungs- 
augenblicke die beiden Tochterorganismen vereinigt hatte, sich bei 
dem Teilungsvorgang von Chilodon hexastichus sogleich nach dem 
Durchreißen in die beiden Tochterplasmen zurückgezogen hat, da- 
gegen beim Colpidium erstarrte und einige Zeit in Form eines Dor- 
nes, der vom Tier und seinem Reste noch weiter getragen war, 
bestehen blieb. Dieses verschiedene Verhalten können wir auf Grund 
der Beobachtung nur insoweit erklären. daß der erste Vorgang 
eine sehr kurze Zeit dauerte, der zweite dagegen eben so lange. 
daß sich schon eine neue und starre Pellieula an der Oberfläche des Fa- 
dens gebildet, oder sogar der ganze Faden in pellieulaartige Substanz 
umgebildet hatte. Rhumbler scheint auch derselben Meinung zu 
sein, indem er sagt: ,..er (d. h. der Dorn) verhielt sich also in 
dieser Beziehung ganz wie die formbeständige Pellieula^ und wei- 
ter, in dem letzten Abschnitte dieses Kapitels: „Die Einwirkung 
des äußeren Mediums, des Wassers, scheint. kurz gesagi. auch hier 
die Verfestigung der äußeren mit dem Wasser in Berührung ste- 


111 


henden Plasmaschicht auf dem Dorn bewirkt zu haben. so daß die 
Pellicula selbst als eine unter mittelbarer oder unmittelbarer Bei- 
hilfe des Wassers zustande gekommene Protoplasmaverdichtung 
aufgefaßt zu werden verdient“. 

Warum aber das eine Mal der Vorgang so kurz, das andere 
Mal aber so lange gedauert hat, daß überhaupt die Pellieulabildung 
zustande kommen konnte. das sind Fragen, die nicht näher erör- 
tert zu werden brauchen. Es sind verschiedene Ursachen möglich, 
die entweder in den inneren Zuständen des Infusoriums, in der 
physikalischen Beschaffenheit beider Plasmaarten, in der Stärke 
der Bewegungen beider Organismen u. dergl.. zu suchen sind. Ich 
will noch hinzufügen, daß das Verhalten des Dornes im Rhum- 
bler’schen Falle einen neuen Beweis für die von Pfeffer ange- 
nommene Umbildungsunfähigkeit der Pellicula im Cytoplasma lie- 
fert. Dieser starre, wenig elastische Dorn bildet also ein ganz zu- 
fälligerweise „neu erworbenes Merkmal“ und muß von dem Tiere her- 
umgeschleppt werden, bis er endlich an irgend einem mechanischen 
Hindernis abgebrochen wird. 

Indem ich im obigen eine Erklärung des Teilungsmodus beim 
Chilodon hex. auf Grund der Beobachtung und der theoretischen Erwä- 
gungen zu geben versuche. habe ich durehaus nicht die Absicht 
und wenigstens nicht in dieser Arbeit. diese Erklärung zu genera- 
lisieren, weder in bezug auf die Zellteilung nach Ablauf der ami- 
totischen oder mitotischen Kernteilung, noch in bezug auf andere 
Infusorien. Ich will dies aus folgenden zwei Gründen nicht tun, 
erstens da mir persönlich die dazu nötigen Beobachtungen in die- 
ser Beziehung fehlen, und zweitens da ich über den Rahmen dieser Ar- 
beit hinausgehen würde. Ich möchte nur noch hinzufügen. daß die 
Theorien der Zellteilung, die den Mechanismus der Zellteilung in 
speziellen achromatischen Einrichtungen sehen wollen, uns ebenso- 
wenig alle möglichen Arten der Zellteilung erklären können. Man 
müßte doch. um nur einiges zu erwähnen, von dieser Interpretation 
alle die Fälle ausschließen, wo die Zellteilung ohne radiäre Struk- 
turen zustande kommt, und solehe, wo trotz der mitotischen Kern- 
teilung, trotz der exquisiten Ausbildung der Spindeln, Astrospheren, 
Polstrahlen u. dergl. die Plasmateilung ausbleibt. Und wenn wir 
beim letzten Beispiel bleiben, dann fragen wir, was die achroma- 
tische Figur bei der Plasmateilung einwal aktiviert. oder besser 
gesagt, brauchbar und tätig und ein andermal untätig macht? Kann 


112 


sich aber das Protoplasma in Riesenzellen, Syneytien. bei allen 
amitotisehen Zellteilungen und bei Teilung vieler Protozoen ohne 
Hilfe der achromatischen Figur, ohne alle die organischen ziehen- 
den oder stemmenden Radien selbständig teilen. so kann es auch 
seine Selbständigkeit bei Anwesenheit der achromatischen Figur 
behalten. Die Zellteilung und Kernteilung mit allen karyokineti- 
schen Bildern können doch zwei verschiedene Prozesse. die neben- 
einander, oder richtiger gesagt, nacheinander gewöhnlich verlau- 
fen, die aber gar nicht im notwendigen kausalen Zusammenhange 
miteinander zu stehen brauchen. Ätherisiert man Echinodermeneier, 
wie es Wilson getan hat, so teilen sich die Kerne, das Plasma 
bleibt aber ungeteilt; Lillie beschreibt eine interessante Beob- 
achtung der Entwicklung eines Chaetopteruseies bis zum Trocho- 
phorastadium, bei der den Kernteilungen die Plasmateilung gar 
nicht nachfolgte, und endlich vor kurzer Zeit beobachtete Kosta- 
necki in parthenogenetisch sich entwickelnden Eiern von Mac- 
tra die mitotische Kernteilung ohne Zellteilung. 

Wir sehen daraus. daß nicht jeder Kernteilung eine Zellteilung 
nachfolgen muß, d. h. daß die beiden Vorgänge trotz der gewühn- 
liehen Aufeinanderfolge noch gar nieht in einem streng kausalen 
Verhältnis zueinander stehen, und zwar so wenig. wie z. B. die 
Kürze des Tages und die niedrigere Jahrestemperatur in unserer Zone, 
die doch immer und beständig zusammenfallen, trotzdem aber ein- 
ander nicht bedingen. Beide sind nur zeitlich zusammenfallende 
Erscheinungen, welche eine und dieselbe Ursache haben, 
aber voneinander unabhängig sind. 

Braucht also Kernteilung an sich noch nicht die notwendige 
Ursache der Plasmateilung zu sein, so ist es noch weniger die 
achromatische Figur, die man künstlich in ganz indifferenten (se. 
biologisch) kolloidalen Körpern durch entsprechende Mittel hervor- 
rufen kann. 

Nehmen wir aber ganz allgemein an, daß die Ursache der Plas- 
mateilung in der Kernteilung zu suchen ist, so müssen wir wie- 
derum fragen, wo die Ursache der Kernteilung liegt. Erst jetzt 
sind wir an die riehtige Stelle gelangt, nämlich zu der Frage nach 
der gemeinsamen Ursache, die die Teilung des ganzen Zellkör- 
pers bewirkt 1). 


1) Ob wir wirklich die Antwort auf diese Frage in der Hertwig'schen Kern- 


115 


Das Verhältnis des Chilodon hexastichus zu den von ihm 
befallenen Fischen. 


In dem ersten Teile dieser Arbeit wurde unter den Krankheits- 
symptomen der Fische. die an Chilodonkrankheit leiden. erwähnt, 
daß die Fische ihre Beweglichkeit einbüßen, daß sich ihre Haut 
mit einem bläulichen Belag überzieht und daß sie endlich unter 
Erstickungserscheinungen mit weit geöffneten Kiemendeckeln zu 
grunde gehen. Es drängen sich nun drei verschiedene Fragen auf, 
nämlich: Ist,der Chilodon hexastichus ein primärer Krankheitserreger 
der Fische, ferner auf welche Weise wird der Tod der Fische durch 
ihn verursacht und drittens, im Falle, wenn auf die erste Frage 
eine bejahende Antwort erfolgt, welehe Art von Parasitismus zwi- 
schen diesen zwei Organismen besteht. Es leuehtet nämlich ein, 
daß das Infusorium irgend einen Nutzen von den Fischen zieht, d. h. 
es muß daraus geschlossen werden, daß das Infusorium in einem 
solehen Verhältnis irgend welche günstigere Lebensbedingungen für 
sieh findet. 

Wir wollen zunächst erwägen, welchen Vorteil das Infusorium 
aus dem Verbältnis mit den Fischen zieht. Es kann sich in diesem 
Falle wohl keineswegs um Ausnützung der besseren Bedingungen der 
Atmung handeln, da das Wasser innerhalb der Kiemenhöhle an Sau- 
erstoffgehalt ärmer, oder zum mindesten dem umgebenden Wasser 
gleich ist. Es ist aber an Kohlensäuregehalt reicher; doch das 
könnte für die Infusorien eher schädlich als nützlich sein, da sie 
der Chloroplasten entbehren und gar nieht autotroph sind. 

Die Erscheinung des sogenannten Raumparasitismus kann auch 
nicht in Betracht gezogen werden, da diese Infusorien selbständig 
sich bewegende Organismen sind. bei welchen der Bewegungsap- 
parat vollkommen ausgebildet und tätig ist; anderseits ist es Tat- 
sache, daß sie ohne die Fische nicht leben können, was auf eine 
innige Abhängigkeit von Fischen hinweist. 

Es bleibt also nur die einzige Möglichkeit übrig, nämlich daß Chi- 
lodon hexastichus in seinen Ernährungsbedingungen auf die Fische 
angewiesen ist. Was die Art der Nahrung anbelangt. so kommen 


plasmarelation finden können, mag jetzt dahingestellt sein, da ich gegen die Hert- 
wig'sche Formulierung des genannten Prinzips einige Bedenken trage, mit welchen 
ich mich aber hier nicht beschäftigen will. Dies soll in der nächstfolgenden Ar- 
beit geäußert werden. 


114 


hier zwei Möglichkeiten in Betracht. Entweder entnehmen die In- 
fusorien ihre Nahrung auf irgend welche Weise dem Fischkürper, 
oder sie finden reiehliche Nahrung in der Kiemenhöhle der Fische 
ohne ihren Wirten irgend welchen Schaden zuzufügen. Wir sehen, 
dali diese Frage mit der ersten der drei oben gestellten fast iden- 
tisch ist. denn von ihrer Beantwortung ist die Entscheidung ab- 
hängig. ob der Chilodon hexastichus ein Parasit ist oder nicht. 

Versuchen wir also der Frage näher zu treten. Das Infusorium 
kann entweder das Gewebe vernichten und sich von der Zellsub- 
stanz ernähren. oder es kaun ihm der von Drüsenzellen der Kie- 
menhöhle und Haut sezernierte Schleim als Nahrung dienen. Um 
die erste Möglichkeit zu entscheiden. habe ich ganze Kiemenstücke 
fixiert und auf Schnittserien untersucht, ob wirklich das Kiemen- 
gewebe von diesen Infusorien vernichtet war. Die Untersuchung 
ergab einen negativen Befund. Trotz der großen Menge der durch- 
gesehenen Präparate, die während der stärksten Infektion der Fi- 
sche angefertigt worden waren. habe ich nie irgend eine Läsion 
des Kiemengewebes beobachten können. Die Infusorien waren in 
großer Menge in den Zwischenblätterräumen angehäuft. waren aber 
weder in der Wand, noch innerhalb des Gewebes zu finden. An 
der Wand krochen nur Cyclochaeten herum, und in dem Kiemen- 
gewebe waren seltsame mir unbekannte, kugelige Gebilde von ho- 
mogonem Aussehen, die aber wahrscheinlich mit unserem Infuso- 
rıum gar nichts zu tun haben. 

Bei dieser Untersuchung habe ich gleich dabei mein Augenmerk 
auf die zweite oben berührte Mögliehkeit gerichtet. jedoch auch mit 
negativem Erfolg. Man könnte annehmen, daß die Infusorien durch 
die Reizung der Kiemendrüsen eine erhöhte Produktion des Sehlei- 
mes verursachen und dab der erstarrte Schleim die Kiemenwände 
mit einer dichten Hülle bedeckt, wodurch die Diffusion der Gase 
unmöglich gemacht wird, so daß die Tiere ersticken müssen. In 
der Tat ruft die Anwesenheit der Chilodontinen aber auch der Cy- 
elochaeten eine stärkere Sekretion des Schleimes hervor, und man 
kann von Ort zu Ort erstarrten Schleimmassen begegnen, niemals 
aber bedecken sich die Kiemenblätter mit einer kontinuierlichen Decke. 
Übrigens ist die Produktion des Schleimes immer die Folge einer 
Hautreizung und kann nicht als ein spezifisches Symptom dieser 
Krankheit angesehen werden. 

Alles das, was ich bei läugerer, aufmerksamer Betrachtung der 


— 8 


115 


zahlreichen Präparate in lebendem und fixiertem Zustande gesehen 
hatte, leitet mich auf den Gedanken, daß das Verhältnis dieser In- 
fusorien zu den Fischen einen anderen Grund haben muß. 

Ich habe schon in dem ersten Teile dieser Arbeit hervorgeho- 
ben, daß in der Kiemenhöhle der kranken Fische neben den zwei 
oben genannten Infusorienarten, d. i. den Chilodontinen und Cyclo- 
ehaeten, auch andere Organismen, wie grüne Algen und Bakterien 
vorkommen, Es wurde auch gesagt, daß unsere Infusorien immer 
dort am zahlreiehsten angetroffen werden, wo sich auch Bakterien 
in größeren Massen ansammeln. Man kann auch in ganz neu ge- 
bildeten Vakuolen, in welehen noch die Art der Nahrung zu er- 
kennen ist. die Bakterien mit einer feingranulierten, schleimigen 
Masse vermischt sehen. Daher betrachte ich auch die Bakterien 
als die eigentliche Nahrung dieser Infusorien. Diese Bakterien ge- 
hören der Gruppe der Bazillen an; etwas näheres kann ieh aber 
nicht angeben. da ich keine bakteriologischen Untersuchungen 
unternommen habe. Deswegen kann ich auch nicht alle die Er- 
scheinungen, die mit der bakteriellen Infektion dieser Fische 
im Zusammenhange stehen. näher begründen und aufklären und 
muß mich in dieser Beziehung nur auf Vermutungen beschrän- 
ken, die erst in entsprechender Weise nachgeprüft werden müssen. 

Ich gehe also von der Annahme aus, daß die Infusorien sich 
von Bakterien . ernähren und daß sie eben darum nur solche Fi- 
sche aufsuchen oder auf solehen Fischen zur Entwieklung gelan- 
gen, wo sie die notwendige Nahrung finden. Die Infusorien wären 
also keine direkten Krankheitserreger und es ist wirklich schwer, 
sich für die Annahme zu entscheiden, wenn man einerseits den 
schnellen Tod der Fische, anderseits die Intaktheit der äußeren sowie 
der inneren Organe in Betracht zieht. Die Fische sterben bei einer 
kolossalen Entwieklung dieser Infusorien, ohne indessen ein Zei- 
chen der Vernichtung ihrer Gewebe aufzuweisen; meiner Meinung 
nach müßte nur dies die einzig mögliche durch Infusorien her- 
vorgerufene Ursache des Todes der Fische sein. 

Aus diesen Gründen kann ich dieses Infusorium nicht als den 
direkten Krankheitserreger der Fisehe betrachten und, um gleich 
aueh auf die zweite der drei oben gestellten Fragen eine Ant- 
wort zu geben. muß ich den Tod der Fische als die Folge einer 
bakteriellen Krankheit auffassen. Die Infusorien ernähren sich von 
diesen und sind ausschließlich auf diese Nahrungsqualität beschränkt. 


116 


darum fallen auch die Krankheitssymptome und das Auftreten der 
Infusorien zeitlich zusammen. 

Was den Chilodon cyprini Moroff in der Beziehung betrifft, so 
scheint es mir. daß das Verhältnis dieser Form zu den kranken 
Fischen auch nicht ganz klar und endgültig entschieden wurde. 
Moroff äußert sich in seiner Notiz über den Chilodon cyprini fol- 
gendermalen: „Es handelt sich jedoch um einen Parasiten, der 
nicht als Krankheitserreger angesehen werden kann, sondern um 
einen solchen, dem die nötigen Lebensbedingungen durch die Er- 
krankung eines Fisches aus anderen Gründen verschafft werden. 
Also bildet er die Folge der Erkrankung des Fisches. Versuche 
mit gesunden Fischen ergaben. daß er an gesunder Haut nicht le- 
ben kann. Daher auch die Erscheinung, daß er in den Aquarien 
unserer Station meistens bei den Karpfen so enorm verbreitet ist. 
Die erwähnten Aquarien werden mit Leitungswasser gespeist, das 
diesen Fischen zu kalt und bart ist. Infolgedessen gehen alle Karp- 
fen früher oder später zugrunde. Stark erkrankte Fische sind die 
reinsten Kulturen dieses Parasiten, gewöhnlich kommt derselbe in 
so großer Menge vor, daß die Haut des Fisches geradezu von ihm 
wimmelt“. 

Im Jahre 1905 bespricht Hofer in der Allg. Fisch. Zeit. ei- 
nen Fall von massenhaftem Auftreten des Chilodon eyprini auf 
Goldfischen, welche in einer Zahl von 35.000 infolge dieser Krank- 
heit abstarben. Bei dieser Gelegenheit konstatierte Hofer, daß die 
Fische durch Abspülung in 0°5°/, NaCl-lésung von diesen Infuso- 
rien befreit werden können. Daraus zieht er den Schluß, „daß le- 
diglich der Chilodon cyprini das große Fischsterben veranlaßt hatte“, 
und sagt weiter: „Dieses parasitische Infusor ist daher als ein pri- 
märer Krankheitserreger anzusprechen“. Trotzdem gibt er auch 
dem Zweifel in seinen weiteren Worten Raum, „ob dasselbe freilich 
an Fischen, die sonst völlig gesund sind und unter ihnen sehr gün- 
stigen Bedingungen leben, sich auch so massenhaft vermehren kann, 
daß er die Kiemen der Fische mit einer dicken Lage bedeckt und 
die Atmung derselben aufhebt, das bleibt noch fraglich, da in dem 
vorliegenden Falle die Goldfisehe einmal eine längere Reise durch- 
gemacht hatten und möglicherweise bereits vor derselben unter un- 
günstigen Bedingungen gehalten waren“. 

Hofer nimmt also an, daß dureh massenhaftes Auftreten der Infu- 
sorien in der Kiemenhöhle der Tod der Fische herbeigeführt wird, gibt 


117 
. 

aber keine weiteren Gründe für dieses massenhafte Auftreten an. Er 
spricht auch die Vermutung aus, daß diese enorme Fortpflanzungsfähig- 
keit dieser Infusorien zur gewissen Zeit, vielleicht besonders dann auf- 
tritt. „wenn die Fische aus anderen Gründen, wie z. B. durch ver- 
brauchtes. sauerstoffarmes Wasser geschwächt sind, dann gewinnt 
die Krankheit unter gleichzeitiger Verbreitung auf die Kiemen ei- 
nen deletären Charakter und tritt sogar epidemisch auf“. Ich glaube 
aber. daß damit jedoch noch wenig erklärt ist. Könnte wirklich 
die Fortpflanzungsfähigkeit der Infusorien in einem abgeschwäch- 
ten Fischkörper gesteigert werden, so müßten wir auch annehmen, 
daß die gesunden Fische die Eigenschaft besitzen, in irgend einer 
Weise die Fortpflanzungsfähigkeit der Infusorien zu hemmen. Sonst 
wäre uns die Erscheinung, daß die Infusorien auch auf gesunden 
Fisehen, aber immer in sehr spärlicher Zahl leben, ohne sich enorm 
zu vermehren, unverständlich. Und über solche Eigenschaften kön- 
nen wir keine oder nur lose Vermutungen aufstellen. Wenn aber die 
Infusorien auch auf gesunden Fischen leben können. ohne ihnen 
einen Schaden zuzufügen, ohne sich aber auch epidemisch fortzu- 
pflanzen, so muß man auf eine andere Weise sich von diesen Ver- 
hältnissen Rechenschaft geben. Ich glaube, daß meine Bemerkun- 
gen über Chilodon hexastichus in bezug auf die Abhängigkeit von 
der Art der Nahrung ihre Gültigkeit auch für den Chilodon cy- 
prini haben können. 

Chilodon hexastichus ernährt sich von Bakterien. welche in der 
Kiemenhöhle stets leben, aber in normalen Zuständen in ganz spär- 
licher Zahl vorhanden sind; da aber dieses Infusorium auf diese 
Nahrung beschränkt zu sein scheint, so ist es verständlieh, daß bei 
normaler Infektion der Fische mit diesen Bakterien, wenn sie also nur in 
kleiner Zahl den Infusorien zur Verfügung stehen, auch die Infu- 
sorien sieh nieht unbegrenzt vermehren können, da ihre Zahl durch 
die Nahrungsmenge beschränkt wird. Steigert sich aber die Infek- 
tion mit Bakterien aus irgend welchem Grunde, dann gestalten 
sieh auch für die Infusorien die Nahrungsverhältnisse günstiger 
und bedingen die proportionelle Vermehrung der Bakterien. Dann 
fallen diese zwei Erscheinungen, d. i. die Schwäche des Fischkör- 
pers und die enorme Fortpflanzung der Infusorien zusammen; daher 
empfängt man den Eindruck, als wären diese Infusorien die pri- 
mären Krankheitserreger. 

. Wir müssen also. so wie es auch Moroff getan hat, die Chi- 


118 

. 
lodonkrankheit als „eine Folge der Erkrankung der Fische“ anse- 
hen. Ich muß aber noch einmal ausdrücklich hervorheben. daß die- 
ses Verhältnis der Infusorien zu den Bakterien auf Grund bakte- 
riologiseher Methoden noch erforscht werden muĝ. 

Beispiele einer solchen Abhängigkeit der Organismen und ihrer 
Entwicklung von Bakterien sind bereits bekannt. Pinoy (C. R. d. 
Ac. d. Ie. 1903. S. 580) berichtet, daß die Myxomyceten Didymium 
effusum, Chondrioderma difforme und Dietyostellium mucroides in 
reinen Kulturen ohne jegliche Anwesenheit von Bakterien weder 
keimen noch sich entwickeln können, vielmehr auf die Bakterien 
angewiesen sind. Dabei ist es durchaus nicht gleichgültig. welehe 
Bakterien sich in der Kultur befinden, da die einen günstiger wir- 
ken als die andern. Es entwiekeln sich die Sporen in Schwärmen 
und Myxoamüben und es bilden sich die Plasmodien und Spo- 
rangien dann am besten, wenn man die Kulturen von Chondrio- 
derma und Didymium mit Sporen des Bacillus luteus Flügge impft, 
dagegen scheint für Dietyostellium die Varietät des Bacillus fluo- 
rescens liquefaciens Flügge am geeignetsten zu sein. Der Verfasser 
schließt daraus auf eine Symbiose zwischen diesen Organismen und 
auf die notwendige Anwesenheit dieser Bakterien in der Kultur 
für die Entwicklung der genannten Myxomycetengattungen. 

Obwohl die Behauptung Pino vie in einer im Vorjahre erschie- 
nenen Arbeit von Bruck (Zeits. f. allg. Physiol. 1908) etwas ein- 
geschränkt wird, so bleibt doch die Tatsache bestehen. daß „die 
Bedeutung der Bakterien für die weiteren Stadien der Myxomyce- 
ten damit noch nicht angefochten werden soll, umsomehr als es 
bis jetzt noch nie geglückt ist, in Reinkulturen Amöben oder gar 
Plasmodien zu züchten“. wo 

Man könnte also in unserem Falle auch an die Stoffwechsel- 
substanzen der Bakterien denken und diese bis zu gewissem Grade 
als Reiz für die raschere und vermehrte Fortpflanzung der Infu- 
sorien auffassen. Das ist jedoch eine ganz andere Fragestellung, die 
wir jetzt nicht beantworten wollen, da dies uns zu weiterer Dis- 
kussion führen müßte. 

Indem wir also auch bezüglich dieser Frage unseren Standpunkt 
beibehalten. rekapitulieren wir ganz allgemein die Resultate unse- 
rer Untersuchung folgendermaßen: Chilodon hexastichus ist, streng 
genommen, gar kein Parasit der Fische und steht mit diesen 
eher in einem symbiontischen Verhältnisse; er verweilt an den Fi- 


119 


schen nur deswegen, weil er dort eine ihm entsprechende und 
vielleicht spezifische Nahrung findet. In normalen Lebensbedingun- 
gen, wo er in spärlicher Zahl auftritt, kaun er den Fischen durch 
Verzehren und Vernichten der an den Fischen lebenden Bakterien 
nützlich sein. es ist aber auch nicht ausgeschlossen. daß seine 
enorme Vermehrung bei starker bakterieller Infektion den rasche- 
ren Tod der Fische dureh Erstiekung herbeiführen kann. 


Aus dem Vergl.-Anat. Instit. der Jagell. Universität, Krakau. 


Literaturverzeichnis. 


1) Bütschli. Bronnes Klassen und Ordnungen des Tierreichs: Protozoa. 

2) Fauré-Frémiet Compt. Rendus de la Soc. de Biol. Année 1906. 

3) Hofer. Ein neuer Krankheitserreger der Fische. Allg. Fisch. Zeit. Bd. XVIII, 
N. F. 1903. 

4) Hofer. Handbuch der Fischkrankheiten. München 1904. 

5) Maupas. Arch. Zool. Exper. 6. 1888. 


— — 


6) Metcalf. Über feste Peptonhäutchen auf einer Wasserfläche und die Ursache 
ihrer Entstehung. Zeit. f. phys. Chem. Bd. 52. 1905. 
7) Maier. Über den feineren Bau der Wimperapparate der Infusorien. Arch. f. 


Protist.-Kunde 1903. Bd. IL. 

8) Moroff. Chilodon Cyprini nov. spec. Zool. Anz. 27. Okt. 1902. 

9) Pfeffer. Zur Kenntnis der Plasmahaut und der Vakuolen u. s. w. Abh. d. 
math. phys. Kl. d. königl. sachs. Ges. d. Wiss., Bd. XVI. 

10) Rhumbler. Physikalische Analyse von Lebenserscheinungen der Zelle. Arch. 
f. Ent.-Mech. Bd. 7. 1898. 





6. Badania nad wptywem adrenaliny na wydzielanie 
CO, i moczu. — Studien über den Eınfluj) des Adre- 
nalins auf die CO,- u. Harnausschetdung. — Note de 
M. ST. WELECKI, présentée par M. N. Cybulski m. t. 


Die bisherigen Versuche mit Nebennieren oder Extrakten mit 
reinem Adrenalin zeigen, daß diese Drüse von sehr großer Bedeu- 
tung für den Organismus ist. Obwohl viele Untersuchungen darü- 
ber veröffentlicht wurden, muß dennoch bemerkt werden, daß mit 
nur wenigen Ausnahmen fast alle Verfasser sich mit der Wirkung 
des in verhältnismäßig großer Menge direkt in die Adern einge- 
führten Adrenalins auf die Blutzirkulation, den Atmungsprozeß und 
das Nervensystem beschäftigten. 


120 


Die Bedeutung dieser Drüse im Stoffwechsel wurde bisher gar 
nicht untersucht. Die Änderungen in der Funktion der genannten 
Organe. sowie die pathologischen Symptome der Addison’schen 
Krankheit zeigen, daß die Nebennieren in dieser Beziehung eine 
wichtige Rolle spielen. 

Um den Eintluß des Adrenalins auf die CO,-Ausscheidung und auf 
die Nierentätigkeit festzustellen. war es notwendig, bei diesen Un- 
tersuchungen von solchen Adrenalinmengen auszugehen, die verhält- 
nismäßig nicht viel von dem normalen Gehalt desselben im Blut 
abweichen, welche somit niemals die stürmische Wirkung zeigen, 
wie sie bei allen bisherigen Untersuchungen beobachtet wurde. 

Da ich bei meinen Untersuchungen vor allem den Atmungspro- 
zeB und die Nierenfunktion der Beobachtung unterziehen wollte, 
suchte ich festzustellen: welche Veränderungen in der Blutzirkula- 
tion in der Lungenarterie unter dem Einfluß des Adrenalins auf- 
treten, ob durch subkutane, intraperitoneale und intrarektale Adre- 
nalineinführung auch ein Erfolg erzielt werden kann und ob auf 
diese Weise das Tier länger unter dem Einfluß des Adrenalins ver- 
bleiben kann, da eben die länger andauernde Wirkung des Adre- 
nalins vor allem für die Nierenfunktion von großer Wichtigkeit 
zu sein schien. 

Die Verfasser, welche bisher das Adrenalin unter die Haut ein- 
führten, bemerkten gar keine, oder nur eine sehr schwache Wir- 
kung. Jedenfalls waren diese Beobachtungen meiner Meinung nach 
von geringer Bedeutung, da im Vergleich mit den großen Verän- 
derungen, welche in der Blutzirkulation unter dem Einflluß von 
groen Adrenalinmengen stattfinden, die kleinen aber andauernden 
Veränderungen von den Verfassern sozusagen geringgeschätzt und 
übersehen wurden, trotzdem sie für das vorliegende Problem nicht 
ohne Bedeutung sind. 

Was die erste Frage anbelangt, so konnte man sich bei Expe- 
rimenten an Hunden dureh gleichzeitige Blutdruckmessung mit 
zwei Manometern in der arteria carotis und arteria pulmonalis über- 
zeugen, daß nach der Adrenalineinspritzung (0,00002 mg der wirk- 
samen Substanz pro 1 kg) in die vena jugularis allmählich steigt 
und bereits den Höhepunkt erreicht, während der Druck, in der 
arteria pulmonalis nach und nach sinkt. 

Nach dem Zurücktreten der durch die erste Infektion hervor- 
gerufenen Symptome erzeugt eine bei demselben Tiere angewandte 


121 


peritoneale oder rektale Einspritzung (von 0,005 mg. d. wirks, Subs, 
des Takamin’schen Adrenalins) eine zwar geringere, aber doch 
andauernde Blutdrucksteigerung in der arteria carotis und in der 
arteria pulmonalıs. 

Die Erklärung der ersten Frage ist meiner Meinung nach ganz 
einfach. Die Drucksteigerung in der großen Blutzirkulation, welche 
die Verengerung der kleinen Arterien verursacht, wirkt hindernd 
trotz des hohen Druckes auf den Durchgang des Blutes in die Ve- 
nen, so daß die in die rechte Herzkammer einfließende Blutmenge 
abnimmt und infolgedessen der Druck in den Lungenarterien sinkt. 
Diese Erscheinungen werden ohne Zweifel durch Verlangsamung 
der Herztätigkeit befördert. 

Eine Erklärung der zweiten Tatsache, und zwar der Druckstei- 
gerung in der art. pulmonalis und carotis nach intraperitonealer 
Einspritzung des Adrenalins ist schwieriger zu geben. Als Aus- 
gangspunkt können die Ergebnisse meiner vorher veröffentlichten 
Versuche !) über die Wirkung des Adrenalins auf den Blutdruck 
und die Herztätigkeit bei den Tieren nach Zerstörung des verlänger- 
ten Marks und des Rückenmarks dienen. In diesen Versuchen habe 
ich ebenso wie andere Verfasser in der Tat eine Drucksteigerung 
konstatiert, obwohl die vasomotorischen Zentren fehlten. Aber diese 
Erscheinung konnte nur durch große Adrenalingaben hervorgeru- 
fen werden, und dann war der Charakter der Druckkurve ein ganz 
anderer. 

Sie stieg verhältnismäßig sehr langsam an und zeigte eine deut- 
liche Kräftigung der Herzaktion. Eine gewisse Ähnlichkeit der 
Druckkurve in unserem jetzigen Versuch legt die Vermutung nahe, 
daß die Wirkung vor allem von der Kräftigung der Herztätigkeit 
abhängig ist. Ein Einfluß auf die Gefäße infolge langsamer Resorp- 
tion des Adrenalins könnte kaum bemerkbar sein, auch die kleinen 
in das Blut übertretenden Mengen von Adrenalin könnten keine 
stärkere Wirkung auf die hemmenden Zentra des n. vagus ausüben. 
Vor allem aber trat deutlich der Einfluß des Adrenalins auf die 
Tätigkeit des motorischen Mechanismus des Herzens zutage. wel- 
cher die Kräftigung der Herzaktion verursachte. Dieser Zustand 
mußte selbstverständlich den großen und den kleinen Blutkreislauf be- 
einflussen. Diese ersten Experimente zeigten, daß das Adrenalin 


1) Bulletin de l'Académie des Sciences de Cracovie, Juillet 1907. 


122 


auch vermittels intraperitonealer und subkutaner Injektionen darge- 
reicht werden kann, und das durch die Wiederholung der Injek- 
tionen das Tier längere Zeit unter dem Einfluß des Adrenalins 
verbleibt. ohne daß man dessen schädigenden Einfluß auf das Befin- 
den des Tieres zu befürchten hätte. 

Den Gegenstand der weiteren Untersuchung bildeten die Än- 
derungen in der CO,- und der Harnausscheidung. 

Was den ersten Punkt anbelangt, so mußte ich aus Rücksicht 
auf die technischen Schwierigkeiten mich auf kurz (zirka 30 Min. 
dauernde) Beobachtungen beschränken. Das Adrenalin wurde intra- 
venös und intraperitoneal injiziert. 

Die Experimente führte ich an 3 Hunden und 3 Kaninchen 
aus. Bei allen Versuchen wurde nach vollzogener Tracheotomie das 
in die Trachea eingeführte Glasrohr mit großen M üller'sehen Klap- 
pen in Verbindung gebracht; die luftzuführende Klappe war ver- 
mittels einiger U-förmiger Röhrchen, die zum Auffangen von CO, 
und H,O dienten, mit einem großen Gasometer verbunden. Das 
Gasometer, in dem eine bestimmte Menge von Luft eingeschlossen 
war, war so eingerichtet, daßder Druck in demselben nur um ein weni- 
ges größer war als der Widerstand der Müller’schen Klappe und daß 
infolgedessen beim leisesten Atemzug des Tieres reine Luft in 
dessen Lungen eindrang. Die ausgeatmete Luft wurde durch die 
zweite Klappe in andere Röhren abgeleitet, in denen die Absorption 
des Wassers und der Kohlensäure stattfand. Die Menge der letzte- 
ren wurde durch einfaches Wägen der entsprechenden Röhren be- 
stimmt. 

Während des Experimentierens atmete zuerst das Tier eine be- 
stimmte Zeit lang eine Menge von CO, aus, die ich nun als normal 
betrachtete, dann wurde das Adrenalin (bei Kaninchen) in die vena 
auricularis, oder bei Hunden in die vena jugularis, oder intraperi- 
toneal eingespritzt und die in gleicher Zeit ausgeatmete Menge von 
CO, bestimmt. 

In den drei angegebenen Experimenten führte ich das Adrena- 
lin in die Venen, in den folgenden drei in die Peritonealhöhle ein. 
In der ersten Reihe habe ich nach intravenöser Injektion von 
0:000004 mg der wirksamen Substanz eine Vermehrung. in den 
Experimenten der zweiten Reihe (d. h. nach intraperitonealer In- 
jektion) stets eine Verminderung von CO, beobachtet. Es muß be- 
merkt werden, daß bei Untersuchung der Adrenalinwirkung auf 


123 


die Atmung besondere Einrichtungen getroffen werden müssen und 
die besonderen Umstände, unter welchen die Beobachtungen statt- 
finden, Berücksichtigung verlangen. 

Vorläufig will ich mich auf diese gelegentliche Bemerkung be- 
schränken und hoffe, binnen kurzem in der Lage zu sein, ausführli- 
che Studien speziell über den Einfluß des Adrenalins auf die At- 
mung zu unternehmen. 

Der Einfluß des Adrenalins auf die Nieren habe ich an Meer- 
schweinchen beobachtet, bei denen ich mich jedoch nur auf intra- 
peritoneale und subkutane Injektionen beschränkte. 

Das Tier war in einem aus zwei Trichtern zusammengesetzten 
Apparat gehalten; in dem unteren Trichter, in der Mitte seiner 
Höhe, war ein eisernes Drahtnetz befestigt, auf dem das Tier saß; 
unter dem Netz war ein gewöhnliches Filter aus Fließpapier ein- 
gelegt. Die untere Spitze des Trichters mündete in eine Flasche, 
in welcher der filtrierte Harn aufgefangen wurde. Der feste Kot 
blieb in Gestalt von Bühnchen auf dem Netz liegen. Das auf dem 
Netz sitzende Tier wurde mit Rüben gefüttert, nachdem vor dem 
Versuche die von dem Tiere stets verbrauchte Nahrungsmenge be- 
stimmt worden war; während der Dauer der Experimente verab- 
reichte ich dem Tiere immer die gleiche Futtermenge. Nach Be- 
stimmung des Gewichtes wurde das Tier in den Apparat gebracht 
und die in den ersten 24 Stunden abgegebene Harnmenge gemessen. 
In den folgenden 24 Stunden wurde viermal in gewissen Zeitab- 
schnitten das Adrenalin intraperitoneal oder subkutan eingespritzt 
und wieder die vom Versuchstier abgegebene Harnmenge gemessen. 

Während des dritten Zeitraumes von 24 Stunden wurde das 
Tier ohne Injektionen im Apparate gelassen. 

Die Injektionen von Adrenalin vermehrten die Harnausscheidung 
in allen Fällen um das doppelte und mehr. Mit der Verdünnung 
des Harnes verminderte sich dessen spezifisches Gewicht, dagegen 
stieg die absolute Menge von Trockensubstanz und Stickstoff. In dem 
nach den Injektionen folgenden 24-stündigen Zeitraum kehrte der 
normale Zustand wieder. Die Tiere vertrugen die Injektionen ohne 
irgend welche Schädigung. 

Obwohl die Diurese als Folge der Drucksteigerung und der 
Kräftigung der Herzaktion erklärt werden kann, läßt uns doch die 
Vermehrung von Stickstoff vermuten, daß das Adrenalin einen tie- 
fer greifenden Einfluß auf den Stoffwechsel ausübt, was auch durch 


124 


die Pathologie der Nebenniere bestätigt wird, da man die Vermeh- 
rung des Stickstoffgehaltes um ein Drittel nicht nur ais Folge der 
Diurese betrachten kann. Zwar wissen wir noch heute wenig über 
die Wirkung des Adrenalins auf das Muskelsystem, aber die Schwä- 
chung des Tonus der Muskulatur bei der Addison’schen Krank- 
heit und bei Tieren, denen die Nebennieren entfernt wurden, zeigt 
deutlich. daß das Adrenalin auf die Muskeln einen Einfluß haben 
und deren Tonus heben kann. 

Man kann daraus den wahrscheinlichen Schluß ziehen, daß eben 
darin die Ursache der gesteigerten Stickstoffausscheidung zu su- 
chen ist. 

Schon nach Beendigung dieser Untersuchungen erschien in En- 
gelmann’s: Archiv f. Physiologie (1900, III. u. IV.) die Arbeit Hrn. 
Sehatilloff’s über: „Nierensekretion im Lichte der Adrenalin- 
wirkung“. Die Experimente, die im Laboratorium des Hrn. Prof. 
Gaule ausgeführt wurden, können nur annähernd mit den unsrigen 
verglichen werden, da sie unter anderen Umständen ausgeführt 
wurden. Der Verfasser läßt vor allem die Menge der vom Tiere ein- 
genommenen flüssigen und festen Nahrung ganz unberiicksichtigt, 
ferner beschränkt er sich fast ganz auf Einspritzungen in die Ve- 
nen. Seine Resultate weichen indessen nur wenig von den unsrigen 
ab. Er stellte fest, daß die Injektion von Adrenalin nur dann die 
Verminderung der Harnausscheidung verursacht, wenn die Dosis 
der tödlich wirkenden (der Verfasser nennt sie toxisch) nahe kommt, 
das heißt wenn eine sehr starke Verengerung der Gefäße (wahr- 
scheinlich auch in der Niere) besteht; es ist aber klar, daß die 
durch diese Erscheinungen hervorgerufenen Störungen für den gan- 
zen Organismus nicht gleichgültig sind (albuminuria). In den Ver- 
suchen, in welchen die Adrenalingaben den unserigen nahe waren, 
beobachtet Schatilloff auch eine Vermehrung der Harn- und 
Stickstoffausscheidung. 


Aus dem Physiologischen Institute der Jagellonischen Universität in Krakau. 
Direktor Prof. Dr. Cybulski. 





Nakładem Akademii Umiejetnosci. 


Pod redakcya 
Sekretarza Wydziału matem.-przyrod. Władysława Natansona. 


Kraków. 1909. — Drukarnia Uniwersytetu Jagiellońskiego, pod zarzadem J. Filipowskiego. 


6 Lutego 1909. 






BULLETIN INTERNATIONAL 


1 
| DERNIERS MÉMOIRES PARUS. 
(Les titres des Mémoires sont donnés en abrégé). 


Minéralogie; Géologie etc. 


T. Kozniewski, L. Marchlewski. Phyllotaonine converted into 

Eri phytorhodines E ER eine RE 

4 L. Hildt, L. Marlon ek: J. Robel. Umwandlung des Chloro- 
phylls unter dem Einfluß von Säuren . 

J. Bielecki, A. Koleniew. Proprietes es ds grants 
asiques derives du triphénylméthane 

. *K. Olszewski. Die Verflüssigung. der Gase 

RW Jablezynski. Katalyse in heterogenen Systemen . : 

M. Dziurzynski. Umlagerung des Diphenylhydrazophenyls unter der 

Einwirkung von HCl a ut 

J. Lewinski, Depöts jurassiques pres Beste $6 

Z. Klemensiewiez. Antimonchlorür als ionisierendes Lüshngefnittol 

K. Jablezynski. Kinetik der Folgereaktionen . 

K. Jablezynski. Rührgeschwindigkeit und D dE hwiudigkst 

K. Kling. O-, m-, p-Tolyláthylalkohole En PE 

A. Korezynski. Anormale Salze 

J 

P. 

Js 

L. 


== 


_ 


errr Pe A) YS à Ka dé Née. N ee 
d 
A ON Lu \ 


. Buraczewski, T. Kozniewski. Jodderivate des Strychnins etc. 
Kamienski. Microphotographie stéréoscopique . 
. v. Kowalski. Beiträge zur Kenntnis der Luminiszenz 
Natanson. Elliptie polarization of light transmitted thought an 
^ absorbing naturally-active medium F 
G. G. Wilenko, Z. Motylewski. Wirkung von Na auf Cholesterin 
E _ in der Lösung in Amylalkohol : 
L. Gosiewski. Sur la moyenne arithmétique et la loi do anes 
St. Loria. Die Dispersion des Acetylens und Methans , 
J. Morozewicz. Über Hatchettin von Bonarka bei Krakau . 







S B). Sciences biologiques. 


= J. Dunin-Borkowski. Sur le phénomène de Gürber 

J. Nowak. Cephalopoden der oberen Kreide in Polen. I. ~ : 
H Wielowieyski. Morphologie und Entwieklungsgeschichte des 
—  Insektenovariums, II. - . ; wes 


* Ce Mémoire se vend aussi séparément. ; > 


A). Mathématiques; Astronomie; Physique; Chimie; 


DE L'ACADÉMIE DES SCIENCES DE CRACOVIE 
CLASSE DES SCIENCES MATHEMATIQUES ET NATURELLES, 


Avril 1908 
Avril 1908 
Avril 1908 
Mai 1908 
Mai 1908 
Mai 1908 
Mai 1908 
Juin 1908 
Juill. 1908 
Juill. 1908 
Juill. 1908 
Juill. 1908 
Juill. 1908 
Juill 1908 
Oct. 1908 
Oct. 1908 
Nov. 1908 
Déc. 1908 
Dee. 1908 
Dec. 1908 
Avril 1908 
Avril 1908 
Avril 1908 


B. Petschenko. Bacillopsis stylopygae; nov. gen. et nov. spec. .. Avril 


H. Krzemieniewska. Ernährung des Azotobakters . . . Mil 
H. Zapalowiez. Revue critique de la flore de la Galicie, xin ss Mai 
H. Hoyer. Lymphgefäfisystem der Froschlarven. I . . . . . Mai 
E. Rosenhauch. Flora des physiologischen Bindehautsacks der Nor 

CODY IG a A MO e ne E NEE 
J. Dunin-Borkowski. Hämolytische Wirkung von Hg-Salzen . . Juin 
J. Nusbaum, Entwicklungs-Geschichte der Occipitalregion des Schä- 

dels ete. bei den Cyprinoiden . . . NS Ve eris Ee geg 
J. Hirschler. Embryonale, Entwicklung der Balearen Rl mcum 
E. Godlewski jun. Transformation des E rotoplasmas in Kernsub- 

stanz bei Echiniden . . . . EET Dep Ir e LE 


D 


*V]. Kulczyński. Symbola ad faunam aranearum Javae et Sumatrae 


cognoscendam. Pars I . . . ie Eh Cr A a OSU 
R. Nitsch. Mierobes anticholériques dud RE TA NOEL: 
Ed. Janczewski. Anthères stériles des groseiliers . . . . . . Juill 
B. Namyslowski. Wawelia regia nov. subfam. gen. sp. . . Juill. 
H. Zapalowiez. Revue critique de la flore de la Galicio. XIV a fs 
€. Rouppert. Discomycetum species novae tres . . : EIS 
P. Wisniewski. Fruchtform bei Zygorhynchus Moollart Vuil. >. SJuan 
M. Siedlecki. Der javanische Flugfrosch (Rhacophorus reinw.) . . Juill. 


B. Konopacka. Gestaltungsvorgänge d. zentrifugierten Froschkeime Juill. 
H. Wielowieyski. Morphologie und Entwicklungsgeschichte des In- 

sektenovariums. Dritte Mitteilung . . rw gui. 
K. Bialaszewicz. Wachstumsvorgänge bei EN DEE . Oct. 
St. Bondzynski, V. Humnicki. Verhalten von Salol und Distearyl- 


salizylglyzerid im Organismus . . DB eg, SE 
W. Gawinski. Ausscheidung von e im Harn 72:7, Nov. 
A. W. Jakubski. Stützgewebe des Nervensystems im vorderen e 

hinteren Körperende der Hirudineen etc. . . . Nov. 


St. Kopeć. Entwicklung d. Geschlechtscharaktere bei TE Eve Nov. 

R. Minkiewiez. Synchromatisme de Hippolyte varians Leach. . . Nov. 
S. Krzemieniewski. Untersuchungen über Azotobacter chroococcum 

Beil: zit” NT : Nov. 

f Niedźwiedzki. Eine neue miozäne Ee GE Tropen Dee. 

A. Maciesza. Anthracose des poumons et des organes abdominaux Dee. 


A. Maciesza. Angeborene abnorm weite Foramina parietalia . . Dee. 
/ 


* Ce mémoire se vend aussi séparément, 





Les livraisons du Bulletin Int. se vendent séparément. Adresser les 
demandes à la Librairie »Spölka Wydawnicza Polska«, Rynek gł., 
Cracovie (Autriche). 











E. = BULLETIN INTERNATIONAL 


3 DE L'ACADÉMIE DES SCIENCES. 


; DE CRACOVIE. 


g CLASSE DES SCIENCES MATHEMATIQUES ET NATURELLES. 


"ANZEIG ER 
| DER 
; ` AKADEMIE DER WISSENSCHAFTEN 
E | . - IN KRAKAU. 
MATHEMATISCH - NATURWISSENSCHAFTLICHE KLASSE. 


REN 





y ceps CA CRACOVIE À 


IMPRIMERIE DE L’UNIVERSITE 
7. 1000. 





Dan IN Sa NEN Ben E A a 
; | | 3 + LEA fad FOIE 
L'ACADÉMIE DES SCIENCES DE CRACOVIE A ÉTÉ FONDÉE EN 1873 PAR ` 


S. M. L'EMPEREUR FRANCOIS JOSEPH I. 


- 


PROTECTEUR DE L'ACADÉMIE: 
S. A. I. L'ARCHIDUC FRANGOIS FERDINAND D'AUTRICHE-ESTE. 


VICE-PROTECTEUR Vacat. 


PRÉSIDENT: S. E. M. LE COMTE STANISLAS TARNOWSKI. 


SECRÉTAIRE GÉNÉRAL: M. BOLESLAS ULANOWSKI. 


EXTRAIT DES STATUTS DE L'ACADÉMIE: 


(S 2). L'Académie est placée sous l'auguste patronage de Sa Majesté Im- 
périale Royale Apostolique. Le Protecteur et le Vice-Protecteur sont nommés par 
S. M. l'Empereur. 

($ 4). L'Académie est divisée en trois classes: 3 

a) Classe de Philologie, À 
b) Classe d'Histoire et de Philosophie, 
c) Classe des Sciences Mathématiques et Naturelles. 
($ 12). La langue officielle de l'Académie est la langue polonaise. 


Depuis 1885, l' Académie publie, en deux séries, le „Bulletin International 

^ qui paraît tous les mois, sauf en août et septembre. La première série est con- 

sacrée aux travaux des Classes de Philologie, d' Histoire et de Philosophie. La se- 

conde est consacrée aux travaux de la Classe des Sciences Mathématiques et Na- 

turelles. Chaque série contient les procès verbaux des séances ainsi que les résumés, 

rédigés en français, en anglais, en allemand ou en latin, des travaux présentés 
à l’Académie. 





Publié par l'Academie 
sous la direction de M. Ladislas Natanson, 
Secrétaire de la Classe des Sciences Mathématiques et Naturelles. 


Naktadem Akademii Umiejetnosci. 2 


Kraków, 1909. — Drukarnia Uniwersytetu Jagiellonskiego pod zarzadem Jözefa Filipowskiego. 





NET TT CO 7 


BULLETIN INTERNATIONAL 
DE L'ACADÉMIE DES SCIENCES DE CRACOVIE. 


CLASSE DES SCIENCES MATHEMATIQUES ET NATURELLES. 





N°2 — ES WER, gag 








Sommaire: 7. S. ZAREMBA. Sur le calcul numérique des fonctions demandées 
dans le Probléme de Dirichlet et le Probléme hydrodynamique. 
8. ST. LORIA. Untersuchungen über die Dispersion des Lichtes in Gasen. 
II. Die Dispersion des Äthylens und Athans. 
9. J. MOROZEWICZ. Gewinnung von seltenen Erden aus dem Mariupolit. 
10. BR. RADZISZEWSKI. Sur les glyoxalines. 
11. ZYG. JAKUBOWSKI und ST. NIEMENTOWSKI. Über Säuren des 
8 8’-Dichinolyls. 
12. L. BRUNER und J. VORBRODT, Einfluß der Lösungsmittel auf die Ver- 
teilung der Isomere. 
13. K. KOSTANECKI. Einleitung der künstlichen Parthenogenese bei Aricia. 
14. W. FRIEDBERG. Beschreibung der Gattung Turritella im Miozän von Polen. 
15. M. RACIBORSKI. Über einige javanische Uredineae. 
16. M. RACIBORSKI. Uber eine fossile Pangiumart aus dem Miozän Java's, 
17. J. HIRSCHLER. Über die Entwicklung der Keimblätter und des Darmes 
bei Gastroidea viridula Deg. (Coleoptera). 





Seance du lundi | Février 1909. 


Presipence Dk M. ED. JANCZEWSKI. 


1. Liezbowe rozwiązanie zagadnienia Dirichleta i za- 
gadnienia hydrodynamicznego. — Sur le calcul numé- 
rique des fonctions demandées dans le Problème de 
Dirichlet et le Problème hydrodynamique. Mémoire de 
M. S. ZAREMBA m. c. 


I. Introduction. 


8 1. Le terme de Probleme de Dirichlet est classique, mais il 
n'en est pas de méme de celui de Probleme hydrodynamique. J’ap- 
pellerai Probleme hydrodynamique le probléme qui consiste à déter- 
miner une fonction harmonique (c'est à dire vérifiant l'équation de 
Laplace) dans un certain domaine, étant données les valeurs de la 
dérivée normale. 

Il va sans dire qu'en envisageant les Problèmes précédents pour 
le domaine extérieur à un systeme de courbes (ou de surfaces) fer- 
mées, nous préciserons de la facon classique la maniére dont les 


fonctions harmoniques que nous aurons à considérer devront se com- 


porter à linfini: dans l’espace, elles devront tendre uniformément 
vers zéro; dans le plan, elles devront rester réguliéres. 


Bulletin III. 1 


126 


§ 2. On connait diverses methodes générales pour résoudre cha- 
eun des deux problèmes fondamentaux dont nous venons de parler 
mais, si l’on voulait appliquer l'une de ces méthodes au calcul de 
la valeur numérique de la fonction demandée en un point donné, 
on serait conduit à des calculs inextricables. 

Je me propose de faire connaître une méthode nouvelle qui n'offre 
pas cet inconvénient, puisque l'applieation de cette méthode. méme 
dans les cas généraux, n'exige pas des opérations plus eompli- 
quées que celles que l'on a à effectuer en se servant des méthodes 
classiques pour un domaine dont Ja frontière se réduirait à un cercle 
ou à une sphére. 

La méthode que j’ai en vue consiste à former pour le domaine 
donné (D) une certaine suite infinie de fonctions harmoniques dans 
ce domaine 


(1) Dy AHO gs Oya 


La détermination d’un nombre limité de termes de cette suite 
n’exige que le calcul des valeurs numériques d'un nombre limité 
d’integrales définies, simples ou doubles suivant que le domaine (D) 
est & deux ou & trois dimensions. 

Les fonctions v, sont continues dans le domaine (D) ainsi que 
sur sa frontiere (S). chacune de ces fonctions admet une dérivée 
normale, variant continuement avec la position de la normale cor- 
respondante, et chacune d’elles, lorsque le domaine (D) s’etend a 
l'infini, est, à l'infini, régulière ou nulle selon que le domaine con- 
sidéré est & deux ou & trois dimensions. 

En outre les fonctions v, jouissent des propriétés suivantes: 

Sauf une restriction qui sera indiquée au $ suivant. toute fonc- 
tion u, continue à l’intérieur du domaine (D) et sur la frontière (S) 
de ce domaine, harmonique à l’intérieur du domaine considéré et, 
dans le cas où ce domaine ne serait pas borné, se comportant à 
l'infini de la façon spécifiée plus haut, peut être représentée par 
une série à coefficients constants de la forme suivante: 


co 
D 
(2) u= tt > Cr Ves 
k=1 


où, lorsque le domaine (D) est à trois dimensions et s'étend à 
l'infini, la constante c, est toujours nulle. La série précédente, 
comme il est de règle pour les séries de ce genre, ne sera pas en 


127 


general uniformément convergente dans tout le domaine (D) et pourra 
méme étre divergente sur la frontiére (S) de ce domaine, mais elle 
sera uniformément convergente dans tout domaine intérieur!) au 
domaine (D) et de plus, elle se comportera sous certains rapports 
(que nous préciserons dans le corps du mémoire) comme si elle était 
uniformément convergente dans (D) et méme sur (S). La série (2) 
sera, comme cela résulte de théorémes bien connus, dérivable terme 
à terme; il va sans dire que les séries déduites par voie de déri- 
vation de la série (2), uniformément convergentes dans tout domaine 
intérieur au domaine (D), ne jouiront pas en général de cette 
propriété dans le domaine (D) lui-même, toutefois celles de ces sé- 
ries qui se rapportent aux dérivées du premier ordre se rapproche- 
ront des séries uniformément convergentes dans le domaine (D) au 
méme titre que la série (2) elle-méme. 


29 Liinégalité 
jh 


J^ ie. 


(S) 


entraine la relation 


en désignant par ds l'élément de la frontière (S) du domaine (D) et 
par 2 le symbole de la dérivation suivant la normale. 


dN 


39 Pour toutes les valeurs entières et positives de l'indice k, on a: 


en dirigeant la normale, comme nous le ferons dans. tout ce tra- 
vail, vers l'intérieur du domaine (D). 

4* Lorsque le domaine (D) n'est pas à trois dimonsions et ne 
s'étend pas en outre à l'infini, les fonctions v, satisfont encore 


aux conditions suivantes: 
Wf deem (3) 


(S) 


1) Nous dirons qu'un domaine (D,) est intérieur au domaine (D), lorsqu'il lui 
correspond une longueur non nulle p telle que tout point intérieur à un cercle 
(ou à une sphére s'il s'agissait de l'espace) ayant pour centre n'importe quel point, 
du domaine (D), est intérieur au domaine (D). 


1* 


128 


59 On a dans tous les cas: 


(4) C, = — u —— ds Sg AY ETS 


en outre, lorsque le domaine (D) est à deux dimensions ou, étant 
à trois dimensions, lorsqu'il ne s'étend pas à l'infini, lorsqu’en un 
mot on ne considère pas le cas où la constante c, est nécessaire- 
ment nulle, on a: 
(5) Ga —— jude; 

(S) 
en désignant par S, la longueur totale ou l'aire totale de la fron- 
tiére, selon le nombre de dimensions du domaine considéré. 

La suite (1) étant formée, les formules (4), auxquelles on ad- 
joindra, sil y a lieu, la formule (5), permettront de déterminer les 
coefficients de la série (2) de facon que la somme u de cette série 
admette des valeurs périphériques!) données. Done, la résolution du 
Probleme de Dirichlet au moyen des fonctions v, n’exigera, 
comme la formation des fonctions v, elles-mémes, que la détermi- 
nation des valeurs numériques de certaines integrales definies, 
pourvu que les valeurs périphériques de la fonction demandée soient 
définies numériquement. 

Pour reconnaître que les mêmes circonstances se présentent dans 
le Problème hydrodynamique, il suffit de remarquer que les formu- 
les (4) sont équivalentes aux suivantes 


ls Sas 
| ta dN 


(S) 


v, ds , 


lorsque la fonction u admet une dérivée normale déterminée, va- 
riant continuement sur (S). Il est presque superflu d’ajouter que, 


1) Nous dirons qu'une fonction A définie à l'intérieur d'un certain domaine 
(2), admet en un point M, situé sur la frontière, une valeur périphérique déter- 
minée Fy, lorsque la valeur F (A) de la fonction F en un point A, intérieur au 
domaine (0), tend uniformément vers F» lorsque la longueur MA tend vers 
zéro, de quelque facon que varie la direction du rayon MA, sans que, bien en- 
tendu, le point A cesse de rester à l'intérieur du domaine considéré. D’après 
cela, lorsque la fonction F' admet une valeur périphérique déterminée en chacun 
des points de la frontière (X) du domaine (Q), les valeurs périphériques de la fonc- 
tion F sont, on le démontre trés facilement, continuement distribuées sur (2). 


129 


dans le cas du Probleme hydrodynamique, la constante cy restera 
arbitraire, à moins que le domaine (D) ne soit à trois dimensions et 
ne s'étende en outre à linfini, puisqu'alors la constante c, est né- 
cessairement nulle. 

D'après ce qui précède. la résolution du Probleme de Dirich- 
let et celle du Problème hydrodynamique par la méthode que je 
vais développer dans ce travail, n’exige, dans le cas des données 
numériques, que le calcul des valeurs numériques de certaines in- 
tégrales (simples ou doubles suivant le nombre de dimensions du 
domaine (D)) formant un ensemble dénombrable. Done, dans le 
cas général, les opérations à effeetuer sont bien du méme degré de 
complication que pour un domaine dont la frontière se réduirait 
à un cercle ou à une sphère. 

§ 3. Je vais indiquer maintenant les conditions de validité des 
résultats précédents. 

La frontiére (S) du domaine (D), que nous supposerons étre d'un 
seul tenant, pourra se composer de plusieurs parties entièrement 
séparées, mais elle ne s'étendra pas à l'infini elle devra admettre 
une normale déterminée en chacun de ses points, langle aigu « 
formé par deux normales élevées l'une en M et l'autre en M’, devra 
vérifier l'inégalité 


a C.MM' 


en désignant par C une constante; si enfin, l’on désigne par (So) 
la portion de la frontiére (S), intérieure & une sphére de rayon au 
plus égal à une certaine longueur fixe, ayant pour centre un point 
quelconque O de (S), aucune parallele à la normale en O à (5) ne 
pourra rencontrer (So) en plus d'un seul point. 

Pour qu'une fonction #, harmonique à l'intérieur du domaine (D) 
et, au cas où ee domaine ne serait pas borné, se comportant à l'in- 
fini de la façon spécifiée précédemment, puisse être représentée par 
la série (2) dans les conditions indiquées au paragraphe précédent, 
il suffit qu'il existe une fonction ®,, de la nature suivante: 

1° La fonction ®, est continue à l’intérieur et sur la frontière 
d'un domaine (D,), qui est une portion bornée du domaine (7), 
limitée d'une part par la frontiére (S) du domaine (D) lui-méme et 
d'autre part, suivant le nombre de dimensions de ce domaine, par 
une circonférence de cercle ou une surface sphérique (Cy) dont cha- 
que point est intérieur au domaine (D). 


130 


29 Les valeurs de la fonction ®, sur (S? coincident avec les 
valeurs périphériques de la fonction w. 

3° A l'intérieur du domaine (Dy), les dérivées du premier 
ordre de la fonction ®, par rapport. aux coordonnées rectangulai- 
res existent, sont continues et telles en outre que, suivant le nom- 
bre de dimensions du domaine l'intégrale 


(6) decide? +) dx dy 


(Do) 


où l'intégrale 


OS SING + Gy + (By Jaures 


ait une valeur finie. 

Il est évident que la condition précédente est une condition re- 
lative & la nature des valeurs périphériques de la fonction harmo- 
nique u. Cette condition sera évidemment remplie dans le cas où 
la fonction u, admettant des valeurs périphériques distribuées con- 
tinuement sur (S). est telle que, suivant le nombre de dimensions 
du domaine (D), l'intégrale 


(8) JJAG EAR dx dy 


ou l'intégrale 


(9) ae TG dx dy dz 


ait une valeur finie. On verra dans le corps du mémoire que réci- 
proquement, lorsque la fonction ®, existe, celle des deux intégrales 
précédentes qui correspond au nombre de dimensions du domaine 
considéré est toujours finie. Par conséquent la condition relative a 
existence de la fonction Ø, équivaut à la suivante: la fonction har- 
monique #, continue sur (S) et dans (D), doit être telle que celle 
des intégrales (8) ou (9) qu'il y a lieu de considérer, ait une va- 
leur finie. 

Il résulte de la que notre méthode sera sûrement applicable au 
Problème hydrodynamique pourvu que.la fonction h, représentant les 
valeurs données de la dérivée normale de la fonction demandée u, 


151 


soit continue et vérifie. bien entendu, en outre la condition bien 


J^ ds= Or. 
(Sj 


dans tous les cas, sauf dans celui où le domaine (D) est à trois di- 
mensions et s'étend à linfini, cas où la fonction A pourra être une 


connue 


fonction continue quelconque. 

En effet. on sait que, dans ces conditions, la fonction w existe, 
que ses valeurs périphériques définissent une fonction continue sur 
(S) et que celle des intégrales (8) et (9) qui se rapporte au domaine 
considéré est finie; la fonction w pourra donc être représentée par la 
série (2), où l'on ealeulera les e, au moyen des formules données 
au paragraphe précédent. 

Dans le cas du Problème de Dirichlet, la simple continuité 
des valeurs périphériques de la fonction demandée ne serait évi- 
demment pas suffisante pour légitimer l'application de la série (2), 
mais la restriction qui résulte de là n'est pas génante au point de 
vue du calcul numérique. En effet: d’abord, théoriquement, elle ne 
l'est sûrement pas, puisque les valeurs périphériques données de la 
fonetion demandée pourront toujours étre représentées avec un degré 
d'approximation donné au moyen des valeurs que prendrait sur 
(5), un polynôme entier par rapport aux coordonnées; en second lieu, 
pour les applications en Physique, la restriction en question n’est 
pas génante non plus, puisque le plus souvent l’existence de la fonc- 
tion Ø, est évidente a priori ou trés facile à constater. 


Il. Le cas du plan. 


$ 4. Nous supposerons d'abord que le domaine (D) est borné et 
nous raménerons ensulte à ce cas, au moyen d'une inversion, ce- 
lui ou le domaine eonsidéré s'étendrait à l'infini. 

$ 5. Reprenons le domaine (JJ) et la fonction Ø, envisagés dans 
l'introduction. Je dis qu'il existera une fonction Ø, continue dans 
tout le domaine (D) ainsi que sur la frontiére (S) de ce domaine, 
prenant sur (S) les mémes valeurs que la fonetion ®, et telle que 


KG EG] aw 


l'intégrale 





132 


ait une valeur finie, les dérivées 


aD d oD 
e 
Ir ey 


étant continues en tout point intérieur au domaine (J). 

Pour établir ce point, placons l'origine des eoordonnées au cen- 
tre O du cercle (Co), dont la circonférence fait partie de la frontière 
du domaine (Dy) et considérons deux nouveaux cercles (C,) et (Cs) 
de rayons 7, et 7, (r, < r,), concentriques au cercle (Cy). Nous ad- 
mettrons que les rayons 7, et r, des cercles (C,) et (Cy) soient choi- 
sis de facon que tout point de la circonférence de chacun d'eux 
soit intérieur au domaine (D). 

Cela posé, definissons dans le domaine (D) une fonction 9 de la 
facon suivante: . 

Dans la portion du domaine (D) définie par l'inégalité 


x? Bä eS ER 
on aura: 
D — D, ; 
pour: 
CRE E 
on posera: 


Dr ee), (aa 


p 9 . 9 
BT 





enfin, pour 
x? + y? 1 : 
on prendra 


ip —;0- 


Il est évident que la fonction ®, definie de cette facon, satis- 
fera à toutes les conditions indiquées plus haut. La proposition que 
nous voulions démontrer est donc justifiée. 

8 6. Soit ® une fonction quelconque continue dans le domaine 
(D) et sur la frontière (S) de ce domaine, telle que l'intégrale 


MENTO DE 


alt un sens, les dérivées 


135 


étant continues en tout point intérieur au domaine (D). Consi- 
dérons en outre une fonction # harmonique à l'intérieur du domaine 
(D) et telle que l'intégrale 


EN == Js (=) (5) janv (2) 


ait une valeur finie. Cela posé changeons, dans les expressions des 
fonctions ® et u, x en x’ et y en y”, puis, envisageons l'expression 
suivante: 


f9(D—u) Alogr , 9(D—u) Dlogr| ,,,, 
JA Ox’ Dr zm dy’ dy’ | dx dy (3) 


(D) 








ou r représente la distance d'un point (x, y) du plan au point (x, y’). 

Il est évident que l’expression précédente serait nulle identi- 
quement pour l'ensemble (D’) des positions du point (x, y) à l'ex- 
térieur du domaine (D), dans le cas où l’on aurait: 


(u), = (9), + Const. , (4) 
en désignant par (u), et (®), les valeurs périphériques des fonctions 
u et ® en un même point de la frontière (S) du domaine (D). 

Réciproquement, et c’est ce qui constitue le théorème fon- 
damental de la théorie que nous allons exposer, lorsque l'expression 
(3) est nulle pour l'ensemble (D) des positions du point (x, y) à 
l'extérieur du domaine (D), il suffit de savoir que l'intégrale (2) est 
finie pour être certain que la fonction u vérifie la relation (4). 

Pour la démonstration de ee théoréme, il est nécessaire d'établir 


diverses autres propositions que nous allons exposer successivement. 
$ 7. Posons: 


D 9 log 
Ae nf f Ass LITT a ET de’ dy’, | ©) 


du dlogr Aloan e s d 
vanaf f| 4 +5) z | da! dy (6) 


= 
(D) SS | 








et considérons un point A situé à l'extérieur du domaine (D) sur 
la normale à (S) en un point quelconque M. Soient f(A) et v (A) 
les valeurs des fonctions f (x, y) et w (x, y) en A. L'intégrale (3) 
étant nulle par hypothése lorsque le point (x, y) est situé à l'exté- 
rieur du domaine (D), nous aurons: 


wy (Aye (A). 


134 


D’autre part, la formule (5) donne: 


PO => -IE prd 


en désignant par (Ø), la fonction à laquelle se réduit la fonction 
® sur (S). Par conséquent, il correspondra au point M un nombre 
parfaitement déterminé ø (M) tel que l'on ait: 

lini (A) = pam) 

AM=0 
la convergence de f (A) vers @ (M) étant uniforme pour len- 
semble des positions du point M sur (5). Nous aurons donc: 
(7) lim y (A) = 9 (M) 

AM =0 
avec la même propriété de convergence uniforme. 

8 8. Il résulte des hypothèses adoptées au sujet du domaine (D) 
(Introduction, $ 3) qu'il sera possible de mener deux cercles (5) 
et (^) tangents en M à (S), ayant pour rayons une même longueur 
R, indépendante de la position du point M sur (S), tels que 
tout point intérieur au cercle (CY) soit intérieur au domaine (D) et 
tout point intérieur au cercle (2^) — extérieur à ce domaine. Dé- 
signons par (Q) le domaine intérieur au cercle (E), par (D— Q) le 
reste du domaine (D) et posons: 


Dem fou dlogr , dudlogr|.,,., 

(8) (A) — az Tu Ts Sy dx! dy 
(Q) 

_ f [ia daer du d'Joër A äu 

D E y Le Ds By! oy’ je dy 


en désignant par r la distance du point (a, y‘) au point A consi- 
déré au paragraphe précédent. Les équations (6), (8) et (9) don- 
neront: 
(10) v (4) = (A) + Y (A). 

Je vais démontrer qu'il correspond au point M un nombre par- 
faitement déterminé q, (M) tel que lon ait: 
(11) lim y, (A) — gs (M), 

AM —0 

la convergence de p, (A) vers pa (M) étant uniforme pour l'en- 
semble des positions du point M sur (S). 


135 


A cet effet, décrivons du point M comme centre un cercle (5) 
de rayon Rọ OR, < F), désignons par (UA) la portion du domaine 
(D—Q) formée par l’ensemble de ceux des points de ce domaine 
qui sont intérieurs au cercle (2) et représentons par (D— Q— Q,) 


le reste du domaine (D— Q). Posons ensuite: 


| | Ou ə log r Ou duck 
V, affe ae dap E^ | de dy | (12) 
(Qo) 


5» E © 2 4 du € ? lo 5 Un | 
(D—Q—Q») oy! Oy! 


em ` ie 








Eu égard & (9), nous aurons: 


Ya (A) = P (A) + ws" (A). (14) 

Appliquons linégalité de M. Schwarz à l'expression (12) de 

la quantité p (A) et reportons-nous ensuite à l'équation (2). Nous 
trouverons facilement: 


AE fe AE 


(Qo) 


Observons maintenant que tous les points du domaine (Q)) ap- 
partiennent au domaine (7,) formé par l’ensemble des points exté- 
rieurs aux cercles (Z) et (3”) tangents en M à (S), mais intérieurs 
au cercle (>). Nous aurons donc: 


TI da' GE uf dr dy’ .16 R, 
EA i 
E SR 


(Qo) (To) 
Par conséquent nous pourrons faire correspondre à un nombre non 
nul et positif u, si petit qu'il soit, une valeur de Ra, indépendante 
de la position du point M sur (S) et de celle du point (A) sur la 
normale en M à (S), telle que l'on ait: 


bos C | cn (15) 

La longueur À, étant fixée de façon que l'inégalité (15) soit vé- 
rifiée dans les conditions qui viennent d'étre dites, on pourra, comme 
on le vérifiera aisément en se reportant a ee (13) de la 
fonction W,” (A), faire correspondre au nombre u une longueur d. 
indépendante de la position du point M sur (S), telle que l'inégalité: 


A7 A" = d (16) 





156 


entraine la suivante: 


(17) | y" (A^) — y" (A!) | <u 


en désignant par A’ et A” deux positions du point A sur la nor- 
male en M à (S), à l'extérieur du domaine (D), et en supposant 
que les longueurs MA’ et MA” soient assez petites, qu'elles véri- 
fient par exemple les inégalités suivantes: 


| MA <R 


(18) y | —— 
| MA" = R, 


où À représente, comme précédemment, la longueur commune des 
rayons des cercles (3) et (2). 

Il résulte des relations (14) et (15) et de ce que les inégalités 
(16) et (18) entraînent l'inégalité (17), que les inégalités (16) et (18) 
entraînent la suivante: 

| v. (4) — wp, (AN | < 3u 
indépendamment de la position du point M sur (S). Done 
lorsque la longueur AM tend vers zéro, le point A restant extérieur 
au domaine (D), la fonction w, (A) tend vers une limite détermi- 
née gs (M) et cela uniformément pour l'ensemble des positions du 
point M sur (S). C’est ce que nous voulions établir. 

§ 9. Considérons la fonction w, (A) définie par l'équation (8) et 
désignons par O le centre du cercle (X) qui limite le domaine (Q); 
designons encore par A, le conjugué harmonique du point A par 
rapport au cercle (Y) et soient u (A,) et u (O) les valeurs de la 
fonction u en A, et O. Je vais démontrer que l'on a: 


(19) wy, (A) = — x (u (4,)—u(0)). 


Pour établir ce point, plagons le pôle d’un systeme de coordon- 
nées polaires (9, 0) au centre O du cercle (Z) et choisissons l'axe 
OM pour origine de l'angle 9. Dans ces conditions, on aura 6 = 0 
pour chacun des points A et Ag. Les rayons-vecteurs des points A 
et A, étant représentés par @ et Gu nous aurons: 


(20) 00) = £e 
puisque, on se le rappelle, & représente le rayon du cercle (X). 


D'ailleurs, à l’intérieur du cercle (X), nous avons pour log r et pour 
la fonetion harmonique w, les développements en série suivants: 


log r = log e — Ce XT E 


KL 


MAC yo) ay + > (a, cos kO’ -+ b, sin 40") o'* 
k=1 


/ 


en désignant par oi et 6’ les coordonnées polaires du point (x, y’) 
et par les a et les b des coefficients constants. 

Il suffit de porter ces valeurs de log r et de la fonction w dans 
Yexpression (8) de la fonction y, (A) et de tenir compte de la re- 
lation (20), pour s’assurer que la relation (19) est bien vérifiée. 

§ 10. Nous voici en mesure d’achever la démonstration du théo- 
reme fondamental énoncé au § 6. 

Il résulte des équations (7), (10), (11), (19) et (20) et de l’uni- 
formité de la convergence, pour l’ensemble des positions du point 
M sur (S), des quantités y (A) et v, (A) vers leurs limites respec- 


tives p (M) et 9, (M) pour AM — 0, que l'on a: 


lim Putas bis s SEN (M) — op a, 


AM= 





la convergence étant uniforme pour l’ensemble des positions du 
point M sur (S). Un raisonnement bien connu permettra de tirer 
de là la conclusion suivante: la fonction # admet, en chaque point 
de la frontière (S) du domaine (D), une valeur périphérique déter- 
minée et l'ensemble des valeurs périphériques de la fonction u dé- 
finit une fonction continue (u) sur (S). Par conséquent, lorsque le 
point (x, y) se trouve à l'extérieur du domaine (D), lintégrale (3) 
est égale au potentiel de double couche suivant: 


OEN | SES ds . (21) 


(8) 





Or, lorsque le point (x, y) est extérieur au domaine (D), lin- 
tegrale (3) est nulle identiquement par hypothèse. Par conséquent, 
à Vexterieur du domaine (D), le potentiel (21) est nul; il admet 
done d'un côté de la frontière (S) du domaine (D), une dérivée 
normale déterminée égale à zéro; par conséquent !), du côté opposé 
de (S), il admet aussi une dérivée normale déterminée égale à la 


1) Voir la note de M. Liapounoff dans les C. R., 8 novembre 1897. 


138 


précédente, done nulle. Cela prouve que le potentiel (21), nul à l'ex- 
térieur du domaine (D), est constant à l'intérieur de ce domaine. 
Il dérive done d'une double couche de densité constante. En d'au- 
tres termes, la relation (4) est vérifiée. C'est ce que nous voulions 
établir. 

§ 11. Le domaine (D) étant borné et d'un seul tenant, la fron- 
tiere. si elle ne se réduit pas à une seule courbe fermée, se com- 
posera d’une courbe fermée (S,) et de p autres courbes fermées (5,), 
(S,)...(S,), intérieures à la précédente. D'ailleurs le passage du cas 
général à celui ou la frontiére du domaine considéré se réduirait 
à une eourbe fermée unique, est immédiat; nous nous bornerons 
done à l'étude du cas général. 

Cela posé considérons p + 1 points fixes: 


(22) (ps Yr) - SAT yaa 


Le point (zy, yy) pourra être pris arbitrairement, mais le choix 
du point (£r, y,), pour k = 1, sera subordonné à la restriction, uni- 
que d’ailleurs, que ce point soit situé à une distance non nulle 
de la courbe (Sj), à l'intérieur de la portion de plan limitée 
par celle-ci. 

Désignons par 7 lunité imaginaire et posons: 


| foi (£, y) = : (x SR iy) WE (x — 6 y)' | 


1 d l 
foi Lë y) = 2 («+ iy) —(e—iyr 





Définissons ensuite les fonctions uq g àu moyen des formules sui- 
vantes: 


| tioa 91-5 — fara TONY Yo) 
Uos 211 = far (X— To, Y—Yo) 
tho = $ log {(x—x) + (y—y) } 


fori (2— Tr Y—Yı) 








é i.d 41. Zr : is 
(23) k, 1 { (x —2,)? + (y—) ` 
RE e = Joi aan YU) 
E a? + (y—v)* Y 
b= 1219,28 55x ad'int: 
k=1,2 3...9 


139 


Je vais etablir le theoreme suivant: pour que l’expression (3) 
soit nulle identiquement, lorsque le point (x, y) varie, à l'extérieur 
du domaine (D), il est nécessaire et suffisant que l'on ait: 


Jo de (OD — u) ee cb MAS =e | l dx dy = 0 (24) 


e IX 
(D) 








B= L 2e: 
J = 0 2 Iad inf. 
J'observe, à cet effet, que l’ensemble (D’) des points du plan 
extérieurs au domaine (D) se compose de p +1 régions: 


Dr? (RA. (R,) 


dont l'une (R,) s'étend à linfini et a la courbe (Sj) pour frontière. 
les autres représentant les portions du plan limitées respectivement 
par les courbes (8,), (83) ... (9,) 
Posons: 
L—Xy = Q cos 0, x'—2x, = o' cos 0' 
Y—Yo = @ sin 0, y—Yy, = Ç sin d 


et bornons-nous à considérer les valeurs de ọ vérifiant l'inégalité: 


0 = Qo 
en désignant par g, une longueur supérieure au maximum de dis- 
tance du point (a, yo) à un point situé à l’intérieur du domaine 
(D) ou sur la frontière. Nous pourrons alors porter dans l'expres- 
sion (3) la valeur suivante de log r: 


cos jO cos j6’ + sin jO sin j0' ( e) 
log r = log ọ— EE S 

g go > 
Voici alors le résultat que nous établirons avec la plus grande 


` 


facilité: Pour que l'expression (3) soit nulle à l'extérieur du cercle 
(XQ) de centre (a, yo) et de rayon Qo, il faut et il suffit que celles 
des égalités (24) qui correspondent à la valeur zéro de ķ soient 
vérifiées. D'ailleurs, puisque l'expression (3) représente une fonction 
régulièrement harmonique des variables x, y dans la région (fo), 
elle sera nulle dans toute cette région, si elle est nulle à l'extérieur 
du cercle (Sy). Done, pour que l'expression (3) soit nulle dans (A), 
il faut et il suffit que la fonetion w vérifie celles des relations (24) 
qui correspondent à la valeur zéro de l'indice k. On établirait d'une 
facon analogue ceci: pour que l'expression (3) soit nulle dans la 


140 


region (R,) il faut et il suffit que la fonction u vérifie celles des 
relations (24) qui correspondent à la valeur 4 de l'indice E Le théo- 
reme que nous voulions établir est done démontré. 

8 12. D’après un théorème élémentaire de la théorie des ensem- 
bles denombrables, nous pourrons mettre l’ensemble des fonctions 
(23) sous la forme d’une suite infinie: 

(25) U, Wo, Us. 
en posant par exemple: 
Hans Un, j - 

La suite (25) étant formée, définissons une nouvelle suite: 

(26) DE SR S 


de fonctions harmoniques dans (D), en posant: 


9, = 4,9 F C1 Uı 


k—1 
d, ; (B= 2,3.) 
| Vz — Gro + > dt Cr r Ur 
t=1 





(27) 


ou les ¢ représentent des constantes qui devront satisfaire aux équa- 
tions suivantes: 








- (S) 
(28) 4 = 1, 2, 3...) 
dv, 
— Jo, Usi 
dN 
(S) 
ainsi que: 
dv, k = 2, 3, 4 
ZN ds = 0 GE 2, 3, a, 


On reconnait immediatement que les équations précédentes sont 
compatibles et que, pour achever de déterminer complètement les c 
il suffit de fixer, au moyen d’une règle, quelconque d’ailleurs, les 
signes des constantes c,,. dont chacune sera sûrement différente 
de zéro. 

On aura évidemment: 

(29) fs d ds — 0 
(S) 


sous l'unique condition: 


ee" 


141 


Après avoir établi quelques lemmes, nous démontrerons le théo- 
reme suivant: 

Avec la restriction indiquée au § 3, toute fonction 
u, continue sur (S) et dans (D). harmonique à l’intérieur 
de ce domaine, est développable en une série procé- 
dant suivant les fonctions (26) et jouissant de toutes 
les propriétés énoncées au § 2. 

§ 13. Il résulte des équations (27) et de ce que les constantes 
c, , sont toutes différentes de zéro. qu'il existe entre les suites (25) 
et (26) la relation suivante: le terme d'un rang quelconque k de 
l'une queleonque de ces deux suites est une fonction linéaire à coef- 
ficients constants des k premiers termes de l'autre. Par conséquent 
l'ensemble des équations (24) est équivalent à l'ensemble des suivantes: 


9 (D—u) dv, d (D—u) 9v, 
TEM = 2a ER ES ay | da dy —0. @-13,3..2 (30) 








(D) 


Donc, les équations précédentes constituent un ensemble de con- 
ditions néeessaires et suffisantes pour que l'expression (3) soit nulle 
identiquement lorsque le point (x, y) est situé à l'extérieur du do- 
maine (D). 

La proposition préeédente va nous permettre de démontrer la 
suivante: 

Sion pose: 


dv, 
a= fo an $5 (OPE) 2239) 


(31) 


en désignant par S la longueur totale de la frontiére 
du domaine (D), la série: 


u=o+ Ye U, (32) 
k=1 
sera uniformément convergente dans tout domaine 
intérieur (voir la note p. 127) au domaine (D) et la somme 
u de cette série sera une fonction harmonique à l'in- 
térieur du domaine (D), admettant les mémes valeurs 
périphériques que la fonction ®. 


Bulletin III. 


bo 


$ 14. Pour étudier la série (32), nous aurons & nous appuyer 
sur les deux lemmes suivants: 

Lemme I. Lorsqu’une fonetion / (x. y), admettant des derivees 
premières continues à l'intérieur du domaine (D) et restant elle- 
méme continue méme sur la frontière (5) de ce domaine, vérifie la 


condition: 
(33) WE fas 0! 
Ona: P 


(84) y isay s a f f AC) EN | dx dy, 


en désignant par /4 une longueur dépendant uniquement ae la na- 
ture géométrique du domaine (D) et en supposant évidemment que 
l'intégrale du second membre ait un sens. 

Lemme II. Les hypotheses du lemme précédent étant conser- 
vées, on a encore: 


(35) [res The Seo) ase ey i TR 


où L, représente une longueur qui, comme la longueur /4, dépend 
uniquement de la nature géométrique du domaine (D). 

Démontrons d'abord le lemme I. 

On sait qu'il existera!) toujours une fonction A parfaitement 
déterminée à une constante additive prés, harmonique à l'intérieur 
du domaine (D), continue, même sur la frontière (S) de ce domaine 
et telle que l'on ait: 


en désignant par ø une fonction continue donnée, définie sur (©), 


pourvu que l'on ait: 
f ods — 0. 


(S 


1) On trouvera les résultats les plus généraux actuellement connus sur cette 
question dans mon mémoire: Les fonctions fondamentales de M. Poincaré et 
la méthode de Neumann pour une frontière composée de polygones curvilignes. 
(Journal! de Mathématiques pures et appliquées, 1904) 


— 


143 


Il existera done une fonction w, parfaitement déterminée à une 
constante additive pres, continue dans le domaine (D) et sur la fron- 
tiere, vérifiant à l'intérieur de ce domaine l'équation: 


et satisfaisant à la frontière à l'équation: 
dy SE 


ay WS 


en désignant par T l’aire du domaine (D) et par (S) la longueur 
totale de la frontiere de ee domaine. 
Cela posé, l’une des formes du théorème de Green donne: 


SS 9f 9v | DAMM 
SJ ee tag ag À 480 = 4 i) 


Ac f ff. amas (81) 


(D) 


en posant: 


et en tenant compte de la condition (33), ainsi que de la définition 
de la fonction w. 

L'inégalité de M. Sehwarz, appliquée à l'expression (36) de 
A donne: 


as f P) ea) 5) j de d 


ce qui peut s'écrire: 


exis f AG. Ek | de dy (38) 


en désignant par L, une longueur ne dépendant que de la nature 
géométrique du domaine (D). 
Posons pour un moment: 


; A 
fi (a, y) = f (6) — m (39) 


en désignant par T l'aire totale du domaine (D). Nous aurons: 


Ha In (Eddy 07 


(D) 


144 


par conséquent: 


Jf feste f AGE) Den 


en vertu d'un théorème dû à M. Stekloff!). Portons dans liné- 
galité précédente la valeur (39) de la fonction f, (x. y); il viendra: 


IM da dy — pats IS EEA) "| dedy; 


il ne reste plus qu'à se reporter à linégalité (38) et à poser: 
: Lei 
L; = L?, = T 
pour déduire de l'inégalité obtenue, l'inégalité (34) qu'il s'agissait 
précisément de démontrer. 





Pour établir le second lemme, observons qu'il existe une lon- 
gueur L, et un nombre » qui dépendent uniquement de la nature 
du domaine (D), tels que lon ait: 


Jr SIG if GEAR | ae dy f f tnn 


pourvu que la longueur L vérifie linégalité ?): 


DT. 





Posons en particulier: 


L=L, 


et reportons-nous à l'inégalité (34); nous trouverons sans peine que 
l'inégalité (35) sera sûrement vérifiée en définissant la longueur L, 
au moyen de la formule suivante: 


1) Annales de la Faculté des Sciences de Toulouse, 2-e série, T. II, p. 294. 
A la vérité M. Stekloff considère le cas de 3 variables indépendantes, mais il 
est évident que la méme méthode est applicable aux fonctions de deux variables. 

3) On trouvera la démonstration de cette proposition pour les fonctions de 
trois variables indépendantes dans mon mémoire: „Sur les fonctions dites fonda- 
mentales dans la théorie des équations de la Physique“ (Bulletin de l'Académie 
de Cracovie, Février 1901); voir en particulier l'inégalite (16) p. 116 de ce mé- 
moire. On reconnaitra de suite que la méme méthode est applicable aux fonc- 
tions de deux variables. 


145 


Nos deux lemmes sont done établis. 

$ 15. En entreprenant l’etude de la serie (32), nous commence- 
rons par faire usage d’un raisonnement dont la premiere idee sem- 
ble être due à M. de la Vallée Poussin et dont divers auteurs, 
en particulier M. Liapounoff et surtout M. Stekloff, se sont 
servi dans de nombreuses questions avec le plus grand succès. 

Les constantes c étant définies au moyen des formules (31), posons: 


WP, = D — Aan 
k= 


Une application facile du théoréme de Green nous donnera: 
SIGs ae (Gey bac dy = 
- (eye 
=] C A 
cp) 


en tenant compte des relations (28) et (29). Donc, quelque valeur 
positive qu'ait l’entier n, on aura: 


I (5. ae SI Lanz Be 


Par conséquent la série: 








9 
Ci 5 


> "E (40) 


est convergente et l'on a: 


IS) 


(D) 





PE x) l de dy = Ys. (41) 
i k=1 


Posons: 
n+p 


= a CAGE (42) 
k=n 


A cause des relations (28) et (29), nous aurons: 





n+p 
E 2 (Ses 2 | ius 
HER E | de dy Des. (43) 
(D) k=n 


Par conséquent, puisque la série (40) est convergente, l'intégrale 


146 


précédente tendra vers zéro, lorsque l'entier » eroitra indéfiniment 
et cela uniformément de quelque façon que varie l'entier positif p. 
Il résulte de là immédiatement qu'il en sera de même de chacune 
des deux intégrales suivantes: 


(44) SS) de dy ele Be 


(D) 


en outre, puisque l’on a: 


SÉ Ge 


(S) 


comme cela résulte des relations (28) et (42), et puisque pour cette 
raison, le Lemme I du $ précédent est applicable à la fonction w, p 
il est clair que l'intégrale: 


n, p 


(45) SÉ y $13 dady 
cD) 
tendra aussi uniformément vers zéro lorsque l’entier » croitra in- 
définiment, de quelque facon que varie en même temps l'entier po- 
sitif p. 
$ 16. Le théorème que jai démontré au $ 5 de mon mémoire: 
„Sur l'intégration de l'équation biharmonique“ (Bulletin de l'Aca- 
démie de Cracovie, Janvier 1908) permet de tirer de la propriété 
précédente de l'intégrale (45) la conclusion suivante: 
La série: 
D Cy Ur 
k=1 
et par conséquent la série (82) sont uniformément convergentes dans 
tout domaine intérieur au domaine (D). Donc, en vertu de théo- 
rèmes classiques, la fonction u, somme de la série (32), vérifie l'équa- 
tion de Laplace à l’intérieur du domaine (D) et, à l'intérieur 
de ce domaine, la série considérée est dérivable terme à terme; on 
a done en particulier: 


oo 

eu > I, 
ox s ex 

(46) | = 
A 29 ^ 
cu Y cU, 
== C, 
oy oy 


147 


les series des seconds membres étant uniformément convergentes 
dans tout domaine interieur au domaine (D). 

Envisageons de nouveau ce fait que l'intégrale (45) converge 
vers zéro dans les conditions dites plus haut et considérons en ou- 
tre les propriétés analogues des intégrales (44). 

En se reportant au $ 6 du mémoire cité au début du paragra- 
_ phe actuel, on arrivera immédiatement aux conclusions suivantes: 
Les intégrales: 


J fe day, f f ( e ) dx dy SS G) REN 


(D) (D) 


ont des valeurs finies et, si l’on pose: 


n 
a 
ur == E +3 GS UM (48) 
k=1 


us vi SC a 


(D) 


ff | m 
: 4:31 xd | 
i (f rece. | 


Par conséquent si lon désigne par F une fonction quelconque 
à cela prés que l'intégrale: 


on a. 





JI? dx dy 
(D) 
ait un sens, on aura: 


f fictis f fracto Sof fur dea (50) 


(D) (D) 


ainsi que: 


Ou S 97, Al ; 

ff nier and ae 
D) 

ffs Fdz dy ZA f fire x dy. 
Ka 


(D) 





(51) 


148 


Si chacune des intégrales: 


Ji SE dedy ot J Dal » ') dr dy 


avait un sens, on aurait evidemment: 


Mok , Ou 9F| de 
EE E ui 


E | 9v, oF A 
= NJ fi or Ox EE y | ds 


k=1 (D) 


S 17. Il est très aisé maintenant de démontrer le théorème 
énoncé à la fin du § 13. 
En effet, il est évidemment permis de poser: 


SA 
dans l'identité (52); on trouve de cette façon: 
Ou 2v, | 
53 ae Dr da dy = c, 
E. da dx | dy dy | T1 es Cho 


en tenant compte des relations (28) et (29). D'autre part, en vertu 
des équations (31), on a: 


oe ID dv, | 
Jes aa ER 


(D) 

Par conséquent la fonction u, somme de la série (32), satisfait 
à lensemble des équations (30) D'ailleurs, puisque les intégrales 
(47) sont finies, il en sera de méme de l'intégrale: 


2 2 
JG) aa 
(D) 
Done, en vertu du théorème énoncé au $ 6 (p. 132), la fonction 

u vérifie l'équation (4). Il nous reste seulement à établir que la 
constante qui entre dans cette relation est nulle dans le cas actuel. 
A cet effet, considérons la fonction w introduite au $ 14; elle est 
définie, on se le rappelle, de la facon suivante: à l'intérieur du do- 
maine (D) on a: 


149 


et sur la frontiere: 
on N IN 
dN 8 
ou T et S représentent laire du domaine (D) et la longueur totale 
de la frontiére. 
Posons: 


r= v 


dans lidentité (52); une application facile du théoréme de Green 
et les premiéres des relations (28) nous donneront: 





U at © $ 
d | Ou dy uer S Jy ee dc auf f» dx dy . 
Ki 


Ix 0: 
loa dx ey | ond 


D'ailleurs nous nous sommes assurés tout à l'heure que la fonc- 
tion u satisfait à l'équation (4); elle admet done des valeurs péri- 
phériques déterminées définissant sur (S) une fonction continue. Par 
conséquent nous pouvons, au moyen du théoréme de Green, mettre 
le premier membre de l'équation précédente sous la forme suivante: 


n. 
A t em Efe Den 


(D) 





Nous avons done: 


— u ds + fu dx dy => f fv dx dy . 
S) (D) k=1 (D) 


Or, en posant F— 1 dans l'égalité (50), on trouve: 


f fudedy=ot+ No f fr dx dy. 
(D) SE (D) 


Nous avons done: 


ds = me a (54) 


(8) 


Portons dans cette égalité la valeur (31) de cy; il viendra: 


ee 


(9) 


150 


ce qui prouve que la difference constante des valeurs périphériques 
des fonctions u et ® est nulle. Le théorème énoncé à la fin du 
$ 13 est done démontré. 

18. Dans ce paragraphe, nous nous écarterons du sujet propre 
de ce travail pour mettre en évidence une conséquence interessante 
des résultats obtenus précédemment. 

Les intégrales (47) étant finies, il est permis de remplacer la 
fonction H dans l'égalité (52) par la fonction u; nous trouverons: 


(55) SIN WS) ee x Ys 


en vertu de (53). 
Rapproehons cette relation, déjà intéressante en elle-méme, de 
l'inégalité (41). Nous reconnaitrons que l'on a: 


e» SNE E ens [+ CH e 


Cette relation exprime le théorème suivant: désignons par (Æ) 
l'ensemble des fonctions, continues dans (D) et sur (S), dont les 
valeurs sur (8) coincident avec celles d'une fonction continue dé- 
terminée. définie sur (S); sil existe dans l’ensemble (Æ) des fonc- 
tions P admettant des dérivées premières continues à l’intérieur du 
domaine (D) et telles que Ga 


Vds y + | dr dy 


reste finie, il existera dans l'ensemble Æ une fonction # (nécessai- 


rement harmonique à l’intérieur du domaine (D)) telle que. pour 
P= u, l'intégrale précédente atteigne exactement sa borne infe- 





rieure. 

Ce théoréme constitue le Principe de Dirichlet. il est done 
connu depuis longtemps mais, comme l'a justement fait observer 
M. Lebesgue’), qui paraît être le premier à en avoir donné une 
démonstration rigoureuse. la démonstration classique n'est nulle- 
ment probante même si l’on considère la possibilité du Problème 
de Dirichlet comme préalablement démontrée. Il n'était done 


1) Sur le Problème de Dirichlet, Rendiconti del Circolo matematico di Pa- 
lermo, 1907. 


151 


pas sans intérêt de faire remarquer que le théorème précédent est 
une conséquence immédiate des considérations développées plus haut. 

§ 19. Revenons à la série (32) (p. 141). Par la propriété qu’ex- 
prime l'égalité (50), cette série se rapproche d'une série uniforme- 
ment convergente dans le domaine (D). Je vais démontrer que la 
série considérée, bien qu'elle puisse même être divergente sur (5), 
jouit cependant, par rapport à (S) d'une propriété analogue à la 
précédente. 

Posons: 


ue + Sev RB, (57) 
k=1 


Nous savons ($ 17) que la fonction u admet des valeurs péri- 
phériques (égales à celle de la fonction ®) définissant une fonction 
continue sur (S). Convenons de définir les valeurs de w sur (5) 
comme égales à ses valeurs périphériques. Dans ce cas la fonction 
u sera une fonction continue dans (D) et même sur (S). Par con- 
séquent il en sera de méme de la fonetion R,. Nous pouvons done 
sürement éerire: 


Ege s Yo faute f ds 
cS) k= 


ZE 18 on (8) 
d’où: 


J^ Gs = cn s+ fr, ds 

a e) 
en vertu des équations (28) et de la définition du symbole S. L'équa- 
tion précédente. combinée avec (54), donne: 


(E 


C 
Cela nous permet d'appliquer à la fonction À, le Lemme II du 
$ 14. Nous aurons done: 


EE PECH ) 2 
Reds < L, slay dx dy. 


CS) 


Or. les relations (48), (d et (57) donnent: 


Ey +) | dedy = 0. 








Par conséquent: 


lim J= Gees. 


(S) 
On conclura immédiatement de cette relation et de la relation 
(57) que l'on a: 


(58) f Dads s J ds+ We, fe o ds 
em 
4 E 11 © 


S (S, k= 


» 


en désignant par o une fonction arbitraire à cela pres que l’inte- 


fe ds 


ait une valeur finie et bien déterminée. L’égalité (58) exprime pré- 


grale: 


cisément, par rapport à la série (32), la propriété que nous avions 
en vue. 

S 20. Il suffit de rapprocher le théorème énoncé à la fin du 
$ 13 (p. 141) et démontré au $ 17, de ce qui a été établi au § 5 
(p. 131) pour reconnaître que. comme nous l'avons énoncé à la fin 
du $ 12, toute fonction u harmonique à l’intérieur du 
domaine (D) et dont les valeurs périphériques satis- 
font à la condition énoncée au $ 3 est développable 
de la façon indiquée au $ 2 en une série procédant 
suivant les fonctions (26) définies par les équations 
(27). La série précédente peut n'être pas uniformément convergente 
à l’intérieur du domaine (D) et, sur la frontière (S) de ce domaine; 
elle pourrait même être divergente, mais comme cela résulte des 
égalités (50) et (58). elle se comporte, sous certains rapports, 
comme si elle était uniformément convergente dans 
(D) et sur (S). En outre, ainsi que cela résulte des égalités (51), 
les series. déduites de la série considérée au moyen d'une simple 
dérivation par rapport à lune des variables z ou y, se rapprochent, 
au même titre que la série primitive elle-même, des séries unifor- 
mément convergentes dans le domaine (D). 

Enfin, puisque, comme cela résulte de tout ce qui précède, l'in- 


tégrale: 
f JG Gan 
“ (D) 


153 


est finie pour une fonction harmonique dans (D), telle que ses 
valeurs périphériques satisfassent à la condition du § 3 et telle par 
conséquent qu'en vertu de la théorie que nous avons exposée, elle 
puisse être représentée par une serie de la forme: 


co 
Co + b Cx Uk c! 
k=1 


on voit que la condition du § 3 équivaut à la suivante: 
La fonction u continue dans (D) et sur (S) doit être telle que 


l'intégrale: 
J f GG en 
(D) 


En résumé, pour ce qui concerne le cas d'un domaine borné 
défini dans le plan, tous les résultats annoncés dans l'Introduction 
sont établis. 

S 21. Il nous reste à examiner le cas où le domaine (D) 
serait pas borné. Ce cas peut, comme nous l'avons dit déjà, se ra- 
mener au moyen d'une inversion, à celui qui a été étudié dans les 
paragraphes précédents. La réduction dont nous venons de parler 


soit finie. 


deviendra intuitive aprés avoir pris connaissance de quelques re- 
marques qui eoncernent, d'une facon générale, le groupe des trans- 
formations conformes dans le plan. 

Tout d'abord on vérifie immédiatement que les intégrales dou- 
bles telles que les suivantes: 


oP9Q , AP AQ | 229 | 
goes ae! by a, | ad) a fel mat ae ye | ee (59) 


ainsi que les intégrales curvilignes de la forme: 


dQ) 


représentent, par rapport au groupe des transformations conformes, 








des invariants integraux!). 


1) C’est M. Zorawski le premier qui, dans un mémoire présenté à l’Aca- 
démie des Sciences de Cracovie, le 1-er avril 1895, a développé la theorie géné- 
rale des invariants intégraux au point de vue de la théorie des groupes de trans- 


154 
Cela posé, supposons que les équations: 


(61) | a = g (x, y) 
a | | y! — y (z. y) 
définissent une représentation conforme de deux domaines (D) et 
(D^) Yun sur l'autre. Nous admettrons bien entendu que la corres- 
pondance entre les points (x, y) du domaine (D’) et les points (z^, y’) 
du domaine (D') soit univoque et réciproque et nous supposerons 
en outre que le déterminant fonctionnel: 


D Le, v) 
D (x, y) 


ne devienne ni nul ni infini en aucun point de la frontière, en- 

fin nous admettrons encore que chacun des domaines (D) et (D’) 

satisfasse aux conditions générales du § 3. Nous désignerons par (S) 

la frontière du domaine (D) et par (S’) celle du domaine (D^). 
Cela posé supposons que l’on connaisse une suite infinie: 


(62) vi^, V», 9s',... 


de fonctions des variables x’ et y, continues à l’intérieur du do- 
maine (D’) et sur la frontiére (S’) de ce domaine, harmoniques à 
l'intérieur du domaine considéré et. si ce domaine n'était pas borné, 
régulières à l'infini. Supposons de plus que les quantités: 


dv’, 
aN 
SE ER 
NZ représente le symbole de la dérivation suivant la normale 
à (S^, existent et varient continuement avec la position du pied 
de la normale à laquelle elles se rapportent. Enfin supposons que 
les fonctions (62) jouissent des propriétés suivantes: 
10,02%: 


1 by! \2 1 
e» — feinem [SIEHE orari 
(D 


(8') 





29 L’inegalite: 


jet 


formations. La notion de ces invariants est, on le sait, due à M. Poincaré qui 
en a donné de belles applications au probléme de trois corps. 


entraine la suivante: 


dv’, 
fr aN’ de = 0. (63) 


CS) 
3° Toute fonction w' des variables +’ et y’, continue dans (J^ 
et sur (S’), harmonique à l’intérieur du domaine (D’), régulière à 
linfini au cas où le domaine (D^) ne serait pas borné, vérifiant en 
outre quelque condition (C) d'ordre général, invariante par rap- 
port au groupe des transformations conformes et pouvant par con- 
séquent consister en ce que l'intégrale: 


ffi 60 
D) 


soit finie, peut être représentée par une série à coefficients constants 
de la forme: 





oo 
V 1 
u = o + A E (65) 
k=1 
serie convergente uniformement & linterieur de tout domaine in- 
térieur au domaine (LIN, pouvant être divergente sur la frontière 
(5") de ce domaine, mais telle cependant que l'on ait: 


lim ch u — Le BE ‚Ich e, N ds? Or (66) 


n-oo 
(S') k=1 


Connaissant les valeurs périphériques de la fonction uw’, il serait 
évidemment aisé de calculer les coefficients de la série (65). 
En effet les relations (62) et (63), eu égard à (66), donneront: 


DUE weit dels 
EON END SEES ds’: Een) (67) 
(59 


en outre, on aurait, pour calculer c,, l'équation suivante: 


fu ds) = Déi SE +e, fe dei (68) 
k=1 


5) 
où 5’ représente la longueur totale de la frontière du domaine (D’). 
Si l'on changeait chacune des fonctions v’, en: 
; 1 


/ / 
Me gm v', ds ` 


CS) 


156 


les nouvelles expressions des fonctions v’, jouiraient évidemment de 
toutes les propriétés précédentes, les formules (67) subsisteraient 
évidemment sans aucun changement, mais l'équation (68) prendrait 
la forme plus simple que voici: 


fewa. 


(8) 


puisque l'on aurait alors: 


(69) Te dei —0 %=123%..) 


(S') 


Considérons maintenant une fonction # des variables (x, y) con- 
tinue dans le domaine (D) et sur la frontière (S) de ce domaine, 
harmonique à l’intérieur du domaine en question, régulière à lin- 
fini au cas oü le domaine (D) ne serait pas borné, vérifiant en ou- 
tre la condition invariante (C) que nous supposerons, pour fixer les 
idées, se réduire à ce que l'intégrale: 


m ffe 


(D) 





ait un sens. 

Désignons par u’ la fonction des variables z^ et y’ obtenue en 
substituant dans l'expression de la fonction w les variables z' et y 
aux variables x et y au moyen des équations (61). La fonction w' 
sera évidemment continue à l’intérieur du domaine (D') et sur la 
frontière (S^ de ce domaine, elle sera harmonique à l’intérieur de 
(D’) et, si ce domaine n'était pas borné, régulière à linfini; enfin, 
à cause de l’invariance des intégrales (59) par rapport aux grou- 
pes des transformations conformes, l'intégrale (64) aura une valeur 
finie égale à celle de l'intégrale (70). Par conséquent la fonction w' 
pourra être représentée par la série (66). Revenons aux variables 
(x, y). Les fonctions v’, se transformeront en des fonetions v, des 
variables x et y. Les fonctions v, seront évidemment continues dans 
(D) et sur (S), elles seront harmoniques à l'intérieur du domaine 
(D) et, si ce domaine n'était pas borné, régulières à l'infini; de plus 


les quantités existeront et varieront continuement avee la po- 


dv, 
dN 
sition du pied de la normale correspondante. En outre, à cause de 


157 


linvarianee des intégrales (59) et (60), on aura, comme pour les 
fonctions v’,: 


erg m eS > ? | ie 
J ds AE +E Nee O d 


ainsi que: 





dv 


o dee pour ji s 


enfin on aura: 


(TE Ci LE (D (71) 
k=1 


avec: 


la série étant uniformément convergente dans tout domaine inté- 
rieur au domaine (D). Toutefois il n'est pas évident que l'on ait: 


E u — (o GER Cy N ds —0 (72) 


puisque, par rapport & la transformation considérée, les intégrales 
de la forme: 


F ds’ 
cs") 
ne sont pas invariantes. Il est aisé cependant de s'assurer que l'é- 
quation (72) sera sürement vérifiée. En effet, nous avons: 


fie (ot Eco jr ds’ Sa CS Salle 


en désignant par 2 une fonction continue, différente de zero et 
évidemment positive. Designons par A, le minimum absolu de 4. 
L'égalité précédente nous donnera: 


Str že esi eet Srel 


k=1 
Done l'équation (66) entraîne (72), laquelle par conséquent sera 
bien vérifiée. 
Il résulte de ce qui précède que les v, jouiront, par rapport au 


Bulletin III. 3 


158 


domaine (D), du même ensemble de propriétés dont jouissent par 
hypothèse les v’, par rapport au domaine (D’). On aura en parti- 


= fay dv, ds (k =i, 2 B;...) 
dN 


et si, en se reportant à une remarque faite plus haut au sujet des 


eulier: 


v',, on modifie les v, en leur ajoutant des constantes telles que les 
fonetions modifiées vérifient les équations: 


(13) fo ds=0 &-125.2, 


1 H 
Cass s f" ds 
(8) 


en désignant par S la longueur totale de la frontière du domaine (D). 
8 22. Passons à l'appliea&on des considérations générales pré- 
cédentes. 
Le domaine (D) n'étant pas borné, la frontiere se composera de 
p+ 1 courbes fermées: 


on aura encore: 


(So), (51). SC (S,). 


n'ayant pas de points communs et le domaine (D) lui-même sera 
formé par l'ensemble des points extérieurs aux portions de plan 
limitées par ces courbes. 

Transformons le domaine (D) par rayons-vecteurs réciproques 
en placant le póle d’inversion O en un point situé à l'intérieur de 
la portion de plan limitée par l'une des courbes précédentes, soit (Sp). 

Désignons par (D’) le transformé du domaine (D). A cause du 
choix du pôle d'inversion, le domaine (D‘) sera borné et pour ce 
domaine, nous pourrons former des fonetions v’, de la nature con- 
sidérée au paragraphe précédent suivant la règle du § 12. 

Cela posé envisageons le domaine (D,) et la fonetion ®, consi- 
dérés dans l'Introduetion au $ 3. Les transformés (Dia) et (D'o) du 
domaine (D) et de la fonction ®, seront évidemment des éléments 
qui, par rapport au domaine (D’) seront ce que sont (D,) et (0) 
par rapport au domaine donné (D) lui-même. 

D'ailleurs si les valeurs périphériques d'une fonction u, harmo- 
nique dans (D) et régulière à l'infini, coincident avec celles de ®,, 


159 


les valeurs périphériques de la transformée w’ de la fonction w co- 
ineideront avec celles de la fonction ®’,. Par conséquent la fonc- 
tion u’ sera développable en une serie de la forme (65) et cette 
série jouira des propriétés énoncées au paragraphe précédent. Si 
done les v, représentent les transformées des v',, la fonction w sera 
développable en une série de la forme (71), dans les conditions ex- 
posées au paragraphe précédent. On pourra d'ailleurs, comme nous 
l'avons expliqué, modifier les v, de façon que les équations (73) 
soient vérifiées. 

Il est aisé de voir comment on pourra former les v, directement 
sans former d'abord les v’, On reconnaît sans peine que la règle 
correspondante peut être énoncée de la façon suivante: 

On choisira à l’intérieur de chacune des courbes ($,). et par 
conséquent à l'extérieur du domaine (D), arbitrairement un point 
(x, y,) et lon envisagera les polynómes définis par les équations: 


fis (69 =z etin Hein) 


1 cy Be 
Ja (z, y) = ein ei] 
où à représente l'unité imaginaire. On définira ensuite les fonctions 


4,; au moyen des formules suivantes: 


A i — fus (£ — a y—W) 

{ (% — «y? + — v)? y 
er So: Lë — To; Y—Yo) 

d { (@ — + (y — y ? 
m (z — 2)? + (y — y»? 
(x: — Xp)? + (y Mal 

ns ai =; our Lë Tes Y — 9) 
UG a oe ay 
ny ax =; Jae To ME.) 

(nm Wr 


(, SPE ae ext! P) 

k=1,2,3...p 

puis, on rangera les w,; dans un certain ordre (d'ailleurs queleon- 
que) de façon à former avec ces fonctions une suite infinie: 





» 








Urs 0 EEN 


M» 





M» 





Ua U. 
3* 


160 


enfin on combinera les termes de cette suite, exactement comme 
au $ 12 (p. 140), pour former les v 

Nous avons démontré que toute fonction u, harmonique à l'inté- 
rieur du domaine (D) et vérifiant la condition énoncée au § 3, est 
développable en une série de la forme (71), les v, étant formés sui- 
vant la règle qui vient d’être donnée. Cela posé, il suffit de rai- 
sonner comme nous l'avons fait à la fin du § 20, pour reconnaître 
que dans le cas actuel la condition du $ 3 équivaut à la suivante: 
la fonction u continue dans (D) et sur (S). harmonique à l'intérieur 
du domaine (D) et régulière à l'infini doit être telle que l'intégrale: 


JJ IG GB lard 


(D) 





ait une valeur finie. 
8 23. Montrons que, lorsque la fonction # vérifie la condition 
précédente, la série (71) ainsi que les séries: 


Ou Ov, 

Dav 
(14) Free 

ðu _ 9v, 

re 


se rapprochent, comme dans le cas d’un domaine borné, de séries 
uniformément convergentes dans le domaine (D). en outre, la série 
(71), bien qu’elle puisse ne pas converger sur (S), est cependant, 
encore comme dans le cas d’un domaine borné. analogue à une 
série convergente et même convergente uniformément sur (5). 

La justification de la dernière partie de l’assertion précédente 
est immédiate: en effet, à cause de l'équation (72). on aura, comme 
si la série (71) convergeait uniformément sur (5). la relation sui- 


d fot Na foods 
(S) k—1 CS) 


(8) 
en désignant par o une fonction définie sur (S) et quelconque à 


cela près que l'intégrale: 
fo ds 


vante: 








ait un sens. 


161 
Posons: 
di u —(e TÈ b'e, at) . (75) 


Il suffit de se reporter à la ea dont nous avons établi la 
possibilité du développement (71) de la fonction u pour reconnaitre 


im f f 1G I (SEP Vds dy = 0. (16) 
| = | 


Done, si l’on désigne par F une fonction quelconque à cela près 


que l'intégrale: 
-fi F? dx dy (77) 


(D) 


que l'on a: 





aif un sens, on aura: 


Juss Eda dy = V Zell A F dx dy (77) 
9 
D) 


ainsi qu'une équation analogue relative à la seconde des séries (74): 
cela rapproche ces séries des séries uniformément convergentes dans 
le domaine (D). il résulte des relations précédentes, remarquons le 
en passant, que l'on a: 


SINUS +) E ety = Nor. 


Il me reste à démontrer que l’on aura: 


f frases f fPavdy+ No f fo ranis (78) 
(Q) (Q) LECH (Q) 


en désignant par (2) une portion bornée et quarrable queleonque 
du domaine (D), pourvu que l'intégrale: 


T F”? da dy 


| (Q) 
ait un sens. 


Pour démontrer la relation (78), deerivons d’un point queleon- 
que comme centre un cercle (CY) de rayon assez grand pour que 
tout le domaine (Q) ainsi que la frontière (S) du domaine (D) soient 
intérieurs à ce cercle. Tous les points de la circonférence du cercle 


162 


(©) seront intérieurs au domaine (D). Par conséquent, sur cette 
circonférence la série (71) sera uniformément convergente. En te- 
nant compte de cela et en se reportant aux équations (72) et (75), 
on reconnaît immédiatement que l’on a: 


(79) lim.) R,2ds—0, 
"SYD 


en désignant par (S-+ Æ) la frontière du domaine (D,) formé par 
l’ensemble de ceux des points du domaine (D) qui sont intérieurs 
au cercle (2). 

Posons: 


W, = R, + B, 
en désignant par B, une constante telle que l’on ait: 
(81) p y. usc 

(SEX) 
et reportons-nous au Lemme I du $ 14. Nous aurons: 


mes) AGE Er) pnm 


^ 
c 
(Di) 





en désignant par / une longueur dépendant uniquement de la na- 
ture géométrique du domaine (D,). Done, à cause de (76) et parce 
que le domaine (D,) n'est qu'une partie du domaine (D), on a: 


(82) SN Rcs dz dy — 0. 
n=00 (Di 


Or, il résulte de (79) que la valeur de B, tirée de (81) vérifie 
la condition: 


lim td 


n-—oo 


Par conséquent l'équation (82) nous donnera: 


lim J fe dx dy = 0 
f 


en tenant compte de ce que le domaine (D,) est borné. Mais le 
domaine (2) n'est qu'une partie du domaine (D). 

Donc, a fortiori, on a: 
lim deg dx dy = 0); 


n=00 


(Q) 


163 


relation qui entraine évidemment la relation (78) que nous voulions 
établir. 

En résumé les résultats annoncés dans l'introduction, précédem- 
ment justifiés dans le cas d’un domaine borné à deux dimensions. 
le sont actuellement aussi pour un domaine à deux dimensions. 
non borné. 


III. Le cas de l'espace. 


$ 24. En prineipe, la méthode du chapitre précédent est appli- 
cable au eas oà le domaine (D) est à trois dimensions, mais les 
intégrales de la forme: 


IIN Oy Ar e Far at as a |e dy de 


n'étant pas, comme les intégrales doubles analogues, invariantes 
dans linversion, il n'y a plus avantage à ramener le cas d'un do- 





maine non borné au cas d'un domaine borné au moyen de cette 
transformation. Il est au contraire préférable de traiter chacun de 
ces cas directement. 

§ 25. On reconnaît avec la plus grande facilité que la remar- 
que présentée au § 5 (p. 131) s'étend immédiatement à l'espace. En 
effectuant cette extension, de maniére à ne pas écarter le cas d'un 
domaine non borné, on arrive aisément à l'énoneé suivant: 

Etant donné une fonction ®,, de la nature considérée dans l'In- 
troduetion, au $ 3, il est toujours possible de définir une fonction 
d. continue dans tout le domaine (D) et sur la frontière (S) de ce 
domaine, admettant sur (S) les mêmes valeurs que la fonction Dp, 
possédant dans le voisinage de tout point intérieur au domaine (D) 
des dérivées premiéres EE telle que l'intégrale: 


eet 


ait une valeur finie et bien déterminée, vérifiant enfin, au cas où 
le domaine (D) ne serait pas borné, la condition additionnelle que 
les produits: 


ad SE 2 
PEER. 0, (type), (tye) a, 


d (2) 
oD 
(x? ya 2?) 3z 


164 


restent bornés pour; 
a? ty? + 2? > [? 
en désignant par / une longueur finie assez grande!) 

8 26. Le théoréme du $ 6, étendu à l'espaee et énoncé de fa- 
con à être applicable aussi bien au cas où le domaine (D) serait 
borné qu'à celui ot il ne le serait pas, peut étre présenté de la 
facon suivante: 

La lettre ® désignant une fonction qui vérifie les conditions 
du paragraphe précédent, considérons une fonction u, harmonique 
à l'intérieur du domaine (D) et, lorsque ce domaine n'est pas borné, 
tendant uniformément vers zéro lorsque le point (x, y. 2) s'éloigne 
suivant une loi quelconque à l'infini. Supposons que l'intégrale: 


a SS (Qr Qo E lowe 


ait une valeur finie et envisageons l'expression suivante: 


210-0 22) , 6-0) 
l Í. / lins saisis. AP aya as 


ary Ni eei lar dy! de’ 


: DH / 
ez ee 














où r représente la distance d'un point (x, y, 2) au point (z^, y^, 2’). 

Lorsque l'expression poscit est nulle pour l'ensemble (D^) 
des positions du point (x, y, z) à l'extérieur du domaine (D). la fonc- 
tion u admet sur (S) des valeurs périphériques déterminées (w),, 
liées aux valeurs périphériques (9), de la fonction ® par une équa- 
tion de la forme: 


(5) (u), = (D), + Const. 


J'ajoute que, dans le eas où le domaine (D) n'est pas borné, la 
difference constante des valeurs périphériques des fonctions u et ® 
se réduit à zéro. 

La démonstration de ce théoréme sera moins simple que celle 
du théoréme du $ 6, mais il ne sera pas nécessaire d'examiner sé- 


1) Si, pour former la fonction ®, on fait usage du procédé indiqué au $ 5, 
les quantités (2) seront toutes nulles pour des valeurs assez grandes de z?-]- y?-]- 2? 


165 


parément le cas ou le domaine (D) serait borné et celui ot il ne 
le serait pas. 

§ 27. Pour faciliter l'intelligence de ce qui va suivre, nous réu- 
nirons dans ce paragraphe quelques théorèmes empruntés à la théo- 
ries des polynômes sphériques. 

Désignons par JL (x, y, 2) un polynôme sphérique de degré n 
et considérons une sphère (X) de rayon À ayant l'origine des co- 
ordonnées pour centre. Proposons-nous d'évaluer l'intégrale suivante: 


„= fS fut: “= p (6) 


(Q) 





où l'on désigne par r la distance des points (x, y, 2) et (a y' 2’), par 
(Q) le domaine intérieur à la sphère (3) et par (LU lexpression 
IT, (x! y' 2"). 

Nous avons à l’intérieur de (2): 


Ag, -I- 4 x [T, — 0 ; (a) 
en désignant par À l'opérateur de Laplace. A l'extérieur de (SJ 
on a évidemment: 

Apr 0 
et de plus la fonction y, et ses dérivées premières, continues à la 


traversée de (N), sont nulles à l'infini. Il est naturel de chercher à 
représenter la fonction p, au moyen des formules suivantes: 


9, = (A g? + B) [T, , à l’intérieur de (X). 
I à l'extérieur de (2), 


en désignant par A, B et C des constantes et en posant: 


elei 
où l’on doit prendre la détermination positive du radical. On re- 


connait immédiatement que la chose est possible et l’on trouve ai- 
sément: 





em Í R2 o 
v maA 2n-- LS: 2n--3 


4x h” BN | 
= F TE ; = ^ 
Pa (2n+1)(2n-+-3) ( 2 [L. pour oz E | 





l IL. pour o zE R, | 
(8) 





166 


Une méthode du méme genre permet de caleuler le potentiel 


de double couche suivant: 


JS) M 


(3) 


en désignant par do l'élément de surface de la sphère (¥). On 


d N dé n—1 
J f fas C) do =4n WELT e pour oR, 


n Ewen 
SA (=) do — — 4n ee 2 IL pour 97 £, 


la normale étant dirigée vers l'intérieur de la sphére. En vertu des 


trouve: 





formules (9), on a: 


f A 1 ^ / ^ a 
TET Ld RM ELS 
| da" Ae dy’ Iy 


(Q) 
N e c / 1 / 
SES ES du dei = —"" H. pour o ÆR, 


sata Lane iit 
"uc ni) Lem), 
| bra Oa! oy! Oy’ 


d 
E SE = | dx’ dy’ dz’ =: (ER, pour gt 


ul dz 
| oz 











Si l'on porte la valeur de g, tirée de la premiere des équations 


(8) dans la relation: 


Sf [mass asaras i f [nan f [man 1 do, 
on trouve: 


MARIO EE SH y 
ECLA Á I| Il, da — a 


En identifiant dans cette relation. Jl avec JL. on trouve: 





R ji 
M [13d e diol fe i dr dy de. 
2n+3 ? Ih: dx dy dz, (11) 
(3) (Q) 


et en la combinant avec celle qui en résulte quand on permute n 
et j, il vient: 


Jf f mn. as — f f fni n. dxdy de — 0, pour En. (12) 
(3) (Q) 


On a d'ailleurs: 


JL DIAM) Jon p {fran as 


Parmi les polynómes sphériques de degré » il est possible, comme 
on sait, d'en trouver 2» + 1 et pas davantage de linéairement in- 
dépendants; soit: 


LIA: (Kc, 1.95 3255, 2-1) (14) 


un tel système de polynómes sphériques de degré n, formés, comme 
cela est évidemment possible, de façon que l'on ait: 


SE HS dr dy dz = | @ +1, 2, 8..-, 20-41) (15) 


(Q) 


S J [tar Med dy de o. pour kÆ t: 


Si 


ainsi que: 


A cause de la relation qui résulte de (10a) en y identifiant /7, 
avec /],, et IL avec [T,,, la relation précédente entraîne la suivante: 


fm. m. des Q "pour Er 
(3) 


donc, en vertu de (12), on aura: 


f fn. man — f ff [MN det ert, | (16) 
(2) (Q) 


pourvu que l’une au moins des inégalités: 


magi et bt 


soit vérifiée. 


168 


On sait que toute fonction. u, harmonique à l’intérieur de la 
sphère (X) est développable en une série à coefficients constants 
de la forme suivante: 


oo 
ELT) = A 
p 

n=0 


Il suffira de raisonner comme je l'ai fait au $ 10, p. 161 de 
mon mémoire sur: ,L’équation biharmonique et une classe remar- 
quable de fonetions fondamentales harmoniques“ (Bulletin de l'Aca- 
démie de Cracovie, Mars 1907), pour établir, en tenant compte de 
(15) et (16), les résultats suivants: lorsque l'intégrale: 


EN f fe de dy de 


(Q) 


a un sens, on a: 


(18) e= f f full. dedy de 


(Q) 
ainsi que: 
(19) f f fe TD E? 
(Q) n=0 


Supposons que l'intégrale: 


JG EY Gg andre: 


ait un sens. Dans ce cas, un passage à la limite n'offrant aucune 
diffieulté permettra de démontrer que l'on a: 


2n--1 


o ff [GG HD ese Xr Y 


n=1 


en s'appuyant sur (13) et (16). 

La série formant le second membre de cette relation étant con- 
vergente, il en sera a fortiori de méme de celle qui forme le se- 
cond membre de (19). On en conelura la légitimité des relations 
(18) et (19). 

Considérons la distance > des points (a, y, 2) et (x, y', 2’) et, en 
désignant par o et o les distances de ces points au centre de la 


^ 


169 


sphère (Æ), appliquons la formule (17) au développement de 


considérée comme fonction des variables z^, y’, 2’, en supposant que 
lon ait: 
ol et.0 «x H. 


En se reportant aux relations (18), (6) et (8), on trouvera sans 





peine: | 
Lief Ee ag 
Seren le) 2 IT, , IF, (21) 


ou [l'n , représente, comme plus haut, le résultat du changement de 
wur zen, 4 2 dang T1... 

Supposons que les points (x, y, 2) et (a, y'. 2’) soient situés sur 
une méme demi-droite issue du centre de la sphère (5). On aura 
alors: 











V ee (22) 
u". 4x [i8 Reine F 


égalité qui subsistera évidemment pour toutes les valeurs de ọ. 

§ 28. Pour préparer les voies à la démonstration du théorème 
énoncé au § 26. nous allons développer des considérations analo- 
gues à celles des 88 7, 8 et 9. Actuellement elles seront insuffi- 
santes pour démontrer que la fonction harmonique w admet des va- 
leurs périphériques déterminées, mais elles nous permettront de faire 
un premier pas dans ce sens en nous conduisant au résultat suivant: 

Lorsque, pour toute position du point (x, y, 2) à l’intérieur du 
domaine (D’) formé par l’ensemble des points extérieurs au domaine 
(D), l'intégrale (4) est nulle, la valeur u (A) de la fonction u en 
tout point À, intérieur au domaine (D) et tel que sa plus courte 
distance a à la frontière satisfasse à la condition: 


aS R, 


où A représente une longueur dépendant uniquement de la nature 
du domaine (D), vérifie l'inégalité: 


170 


2 
(22 a) | u (A) | < Clog E 
oü C représente une quantité positive finie et indépendante de 
la position du point A. 
Posons: 


wm ronan f f [IE d r)4 ea a(,, 
| p 
1 














| Ox! 
aL an (,) jar dy’ dei 
del Oz 
3 d 
(24) sem f f fI 2E) ale) 
Oar! dy’ dy’ 
Ou at: 





Lorsque le point (x, y, 2) est extérieur au domaine (D), on a: 


(25) Y (x, y, 2) = f (x, y. 2) 
puisque, dans ce cas, l'intégrale (4) est nulle par hypothèse. Il suf- 
fira done de raisonner comme au § 7 pour reconnaître que la fonc- 
tion w (x, y, 2) tend uniformément vers une fonction continue, dé- 
finie sur la frontiére (S) du domaine (D), lorsque la plus courte 
distance du point (x, y. 2) à (S) tend vers zéro, le point (x, y, 2) 
restant bien entendu à l'extérieur du domaine (D). 

Il résulte en particulier de la propriété préeédente de la fonc- 
tion w (x, y, z) et de l'expression (24) de cette fonction que, pour 
toute position du point (x, y, z) à l'extérieur du domaine (D), on aura: 


(26) ten 2) | c G 
en désignant par C, une.constante positive finie. 

Pour aller plus loin, observons qu'en vertu des hypothèses adop- 
tées au sujet du domaine (D), il existera une longueur constante 
R, ne dépendant que de la nature du domaine considéré, telle que 
par tout point M, pris arbitrairement sur (S), il soit possible de 
mener deux sphères (Y) et (X) tangentes en M à (S) et telles que 
tout point intérieur à la sphère (D) soit intérieur au domaine (D) 
et tout point intérieur à la sphère (X), extérieur à ce domaine. 


171 


Ayant fixé d’une facon queleonque la position du point M sur 
(S), désignons par (Q) le domaine intérieur à la sphère (I) et par 
(D—2) le reste du domaine (D). 


Posons ensuite: 


E 1 
Vi exac f f EEN 2 CM SUPR (27) 
lz Ox! Oc dy’ dy’ 








(Qi 
1 
Se (, US dy’ dz’ . 
de’ de | 
1 
U, (X, y, 2) - f f fleo gd u akz) (28) 
(D—Q) is y A 





et désignons par dn (A), w, (A) et v (A) les valeurs des fonctions 
V, (2, y, 2), V, (x, y. v) et w(x, y, 2) en un point A, situé à l'exté- 
rieur du domaine (D) sur la normale à (S) en M. Nous aurons: 


Y (4) = y (4) == Wo (A). (29) 


D'autre part, l'inégalité de M. Schwarz et les équations (28) 
et (3) nous donneront: 


unter lz: 


(D—Q) 








Eu égard à la forme particulière du domaine (D— Q) dans 
le voisinage du point M. on conclura facilement de cette inégalité, 
en tenant compte en outre des relations (26) et (29) que l’on aura: 


2 2 R Gë 3 
| v, (A) | = Ole m An, pour AM=R, (30) 


en désignant par C, une quantité positive finie, indépendante de la 


position du point M sur (S) et de la valeur du segment AM. 
Plagons maintenant l’origine des coordonnées (x, y, 2) au centre 
O de la sphère (©). L'équation (17), p. 168, pourra être regardée 
comme faisant connaître la fonction u, considérée actuellement, à 
l'intérieur de la sphère Li et, dans ce cas, en vertu de la seconde 


des formules (10), nous aurons, ponr la fonction’ #,, définie par 
l'équation (20), le développement en série suivant: 


ont . antt 
Va VS Ys pata Xy a (2) 2 nella 


valable, pourvu que le point (x, y, 2) soit extérieur à la sphère (2). 

Désignons par (x, /,, 21) le conjugué harmonique du point (a, y, 2) 
par rapport à la sphère (X). Eu égard à l'expression (17) de la 
fonction u, la valeur trouvée de la fonction w, peut être mise sous 
la forme suivante: 


? R 
(31) dn (2, Y, dän? u (21,41, 2%) — 27 o v (25,41. 21); 
en posant: 
oo 2n--1 
9 z X 
(32) D (21. 1) £1) =p 2.1 ei Vi eae 


n=1 
A cause de la convergence de la série (20). nous avons, pour 
le reste e7, de la série précédente arrêtée au p'""* terme, l'inéga- 


lité suivante: 
2n4d-1 ES 


ri] yn (2n+-3) Kap el ons (I. Gë Yay 21))* | 
EE t= = Lë e Gemeng n +3) 


ce qui, en vertu de (22), peut s’écrire ainsi: 





2n+-1 


c| Srer+s À ZA | | Li ar (GI 


n=p-+1 n=p +1 





en désignant par o la distance du point (x1, Y1, 2) au centre O de 
la sphère (Æ); on a done a fortiori: 


(33) CA? = - A E ie a ie pour o — Rk 

Az R 2n--1)n’ SE 
comme on le reconnait ME en remarquant que le pre- 
mier membre de légalité (20) est inférieur à la quantité e7 définie 
par l'équation (3). 

Il résulte de l'inégalité (53) que la série (32) est uniformé- 
ment convergente dans tout le domaine (Q) intérieur à la sphère 
(Z) ainsi que sur cette sphère elle-même; il est méme évident que 
la convergence de la série considérée dans (2) et sur (3) est ab- 


173 


solue, puisque l'inégalité (33) subsisterait si l’on regardait e/7, comme 
le reste de la série que l’on obtiendrait en remplaçant chaque terme 
de la serie (32) par sa valeur absolue. 

Il est très aisé de voir que linégalité (33) donne: 





(ëch i e7 e 1 l a 
|? as Yr» 21) EG (2n-]- 1)n pour (9, = E). (94) 


En s'appuyant sur cette inégalité, on conclura immédiatement 
des relations (30) et (31) que la fonction u jouira, comme nous 
lavions annoncé, de la propriété exprimée par linégalité (22 a). 

8 29. Il nous faudra envisager la fonction v (x, y, 2), définie par 
l'équation (24), non seulement dans le cas où le point (x, y, 2) est 
extérieur au domaine (D), mais aussi dans celui ou ce point est 
intérieur au domaine précédent. La fonction w satisfait à l'équation 
de Laplaee, on le vérifie avee la plus grande facilité, aussi bien 
à lintérieur du domaine (D) qu'à l'extérieur de ce domaine. Il im- 
porte de démontrer que cette fonetion reste continue à la traversée 
de la frontière (S) du domaine considéré. 

Conservons toutes les notations du paragraphe précédent et en- 
visageons sur la normale en M à (S) deux points A et A, con- 
jugués harmoniques par rapport à la sphere (3). 

Supposons que le point A soit extérieur à la sphère (X) et le 
point A, intérieur; désignons en outre par @ et o, les distances 
respectives de ces points au centre O de (3). Je vais démontrer 
que la différence: 

V (A) — Vi (Ay) (35) 
des valeurs de la fonction %,, définie par l'équation (27), en A et 
A, tend vers zéro avec ọ— A, et cela uniformément pour l'ensemble 
des positions du point .M sur (5). 

Portons dans la formule (27) l'expression (17) de w et rempla- 
çons-y x, y, 2 par les coordonnées a, 71,2, du point A, En s'ap- 
puyant sur la premiere des relations (10), on trouve: 


Ws (21, Yay 21) = 2 t U (23, Vy; 2) —2nv (£i; 91, 21) (36) 


où v représente la fonction définie par l'équation (32). Les équa- 
tions (31) et (36) donnent: 


R 
vy, (À) = A p (44) 


Bulletin III. 4 


174 


d’ou: 





vi (45) — y (4) — (A) 
et il suffit de se reporter à l'inégalité (30) pour reconnaitre que la 
difference (35) jouit bien de la propriété annoncée. 

Conservons aux lettres A et A, la signification précédente, de- 
signons par WY, (A) et P, (4,) les valeurs de la fonction w,, définie 
par l'équation (28), aux points A et A, et considérons la difference: 


(37) P, (A) — v; (4). 

Je vais démontrer que cette différence tend uniformément vers 
zero dans les mémes conditions que la difference (35). A cet effet, 
envisageons une spere (C) de rayon d ayant pour centre le point M. 
Désignons par (T) le domaine formé par ceux des points du do- 
maine (D— Q) qui sont intérieurs à la sphère (C) et par (D—Q— T) 
le reste de ce domaine. Cela posé décomposons l'ntégrale qui re- 
présente l'expression (37) en deux parties: l'une F (oi où linté- 
gration serait étendue au domaine (T) et l’autre, F, (ọ) où elle 
serait étendue au domaine (D-—Q— T). Nous aurons: 











(38) Yo Dal + F: (@)- 
1 1 
(39) sr te pde į ah, eae! 
(äs Oa" By page 
LACET 
u a a ES dy’ dz 
dëi dei | 


en désignant par r et r, les distances des points A et A, au point 
(z^, y^, 2’). 


Nous avons: 


w role f ff AG «GU QD rnm 


en posant: 


SSL: 
(T) dr . Oy 


175 


Pour estimer cette intégrale, conservons le centre O de la sphére 
(=) pour origine des coordonnées mais, en précisant la position de 
laxe des 2, dirigeons cet axe de O vers M. 

Nous aurons pour les coordonnées des points A et A, les ex- 


pressions suivantes: 


a 0 £0 
gi elu. = 0 
0 an 
avec la relation: 
001 = R?. 


Par conséquent: 





Ox ECH 
bor 
if hs == bk 3 = y' 
(rere 
dE 39) pe] ae 
de! 723 743 





il 1 

Sl — Hm , 1 1 
G n) = EE 
de! T 

ou encore: 

m i 

eu 1 
S 


A cause de la forme particulière du domaine (T), nous aurons, 
pour toute position Wi point (z', y’, 2’) dans ce domaine, l'inégalité 
suivante: 

12 19 
Pre ee (42) 
en designant par B un nombre positif independant de la position 
du point M sur (S) et en supposant que le rayon 6 de la sphere 
(C) verifie une inégalité de la forme: 
ô S ky (43) 
4* 


176 


où Ry représente une longueur assez petite, indépendante de la po- 
sition du point M sur (S). 

Posons: 

rg? = (o — Ry +2? + y^? 

et restreignons les valeurs de o par la condition: 
(44) o=Z2R. 

On s'assurera facilement qu'il existe deux constantes B, et B,, 
analogues à la constante B qui entre dans le second membre de (42), 
telles que l'on ait: 


1 1 —R 
GEES 
I 33 
r3 Toe 
TRUE 
n fo" à 


En s’appuvant sur ces inégalités. on trouve aisément: 
ppuy 8g : 


11 E ota fiat EE 
domes dca COE DE. 

2: Ti e 75 hi Y + 75 Yi SUB \Q - SCH H 

Ox! oy’ dei ro 





ou B, représente une constante du méme genre que les constantes 
B, B,, B, et B; 
Cette inégalité et les relations (41) et (42) donnent: 





! B; 
45 P<, 
(45) ci 
en désignant par B, une constante analogue aux constantes B, B,, 
Bo Ba: eb, By. 


Soit € un nombre positif donné, arbitrairement petit. Il existera 
pour d une valeur assez petite mais indépendante de la position 
du point M sur (S), telle que le second facteur du second membre 
de linégalité (40) soit inférieur à e? Les inégalités (40) et (45) 
donneront: m 

ER 


(46) F(ọ) «iM 


La longueur 6 étant déterminée de facon que l'inégalité précé- 


177 


dente subsiste, on pourra évidemment trouver une longueur n, in- 
dépendante de la position du point M sur (S), et telle que, sous 
la. eondition: 


0-co—Rzt (41) 
le second terme F,(g) de (39) vérifie l'inégalité: 
| Thiel ce, (48) 
Les relations (38), (46) et (48) donnent: 


| Po (A) — Ye (41) IS (: ie €. (49) 


| Done, indépendamment de la position du point M sur (S) les 
inégalités (47) entraînent l'inégalité (49). Cela prouve que l'expres- 
sion (37) tend bien, comme l'expression (35), uniformément vers 
zéro avec 0—R lorsque le point M varie d'une façon quelconque 
sur (S). Par conséquent, à cause de l'équation (29), il en est de 
méme de la différence: 
y (A) — (Ay). 

Or, en vertu d'une remarque, faite dans la premiére partie du 
$ 28, lorsque la distance du point A à la surface (S) tend vers 
zéro, la fonction # (A) tend uniformément vers une fonction con- 
tinue définie sur (S). Par conséquent, il en est de méme de la fonc- 
tion v (A,). 

Il résulte de tout cela que, comme nous l’avions annoneé au 
début du paragraphe actuel, la fonction w (x, y, 2) définie par lé- 
quation (24), harmonique à l'intérieur et à l'extérieur du domaine 
(D), est continue à la traversée de la frontiére de ce domaine. 

§ 30. Nous voici en mesure d’achever la démonstration du théo- 
rème énoncé au 8 26. 

Considérons de nouveau un point quelconque M situé sur (5), 
prenons ce point pour origine des coordonnées et dirigeons l'axe 
des z suivant la normale en M à (S) vers l’intérieur du domaine 
(D). Du point M comme centre, décrivons une sphère (cf) de rayon 
z et soit (Sj) la portion de (S) formée par l'ensemble de ceux des 
points de cette surface qui sont situés à l'intérieur ou sur la sur- 
face de la sphère (ef). D’après les hypothèses adoptées au sujet du 
domaine (D), il sera possible. d'attribuer à la longueur + une va- 
leur, indépendante de la position du point M sur (S), telle que la 


178 


portion (S,) de (S) soit une surface d'un seul tenant, limitée par 
un contour unique, qu'une parallèle à la normale en M à (S) ne 
puisse rencontrer la portion (Sọ) de (S) qu'en un seul point au plus 
et que l'angle formé par la normale élevée en un point queleonque 
à (S) avec la normale en M soit au plus égal à 459. 

La longueur « ayant une valeur vérifiant les conditions précé- 
dentes, la portion (Sọ) de (S) pourra être représentée par l'équation: 


(50) gem mu 


en désignant par H (x, y) une fonction parfaitement déterminée des 
variables x et y dans une aire (œ), projection orthogonale de (Sp) 
sur le plan des (x, y). L’aire (@) sera évidemment limitée par un 
seul contour et la distance d'un point de ce contour au point M 
admettra une limite inférieure AR’ indépendante de la position du 
point M sur (5$). 

Il existera évidemment une longueur R,, indépendante de la po- 
sition du point M sur (S), inférieure à la longueur Z et telle que 


D 
H 


le domaine (J’) déterminé par les relations: 
Lotte? 
leg yo: 
2 = F (æ, y) He + y^ 
jouisse des propriétés suivantes: 


1° Une partie, (©’), de la frontière (©) de ce domaine sera 
formée par lensemble des points définis par les relations: 


Í a += Rui 
| z= F (x, y) + (a? + y}. 


2° Le reste (©’’) de la frontière (©) du domaine considéré sera 
constitué par des points situés sur le cylindre: 


a? + y’ = Hg? , 


pP, 
ou sur ces deux surfaces à la fois. 
Il est évident qu’en dehors du point M, tout autre point situé 
à l'intérieur du domaine (J’) ou sur la frontière (©) de ce do- 
maine sera interieur au domaine (D). 
En outre la plus courte distance d’ à (S) d'un point situé sur 


(1) 


(2) 


sur la sphère: 


179 


la portion (6^) définie par les relations (52), de la frontière du 
domaine (J), satisfera à l'inégalité: 
(ey?) 3 
@ ET. (63) 
en désignant par v un nombre constant non nul, indépendant de 
la position du point M sur (9). 
Enfin, la plus courte distance d" à (S) d'un point situé sur la 
portion (©”) de (©) vérifiera une inégalité de la forme: 


q' zd, (54) 


en désignant par dọ une longueur constante non nulle et indépen- 
dante de la position du point M sur (S). 
Posons: 


E 2) go 
eg te. 


ON 





1 
4 A e) | dx’ dy’ dz’ 


DURE) = | N) EN 56 
ee) Ihe di SES oy d 2 


(DT) 1 
Q CES 

WEN Laag 
dz’ Qe 











En se reportant à l'équation (24), on reconnaitra de suite que 
l'on a: 


Y (a, y, 2) = Pr (X, Y, 2) F Pa Gs Y; 2) - (57) 

Eu égard à la nature du contact des frontières des domaines 
(D) et (T) en M, on établira aisément au moyen d’un raisonnement 
du même genre que celui dont nous avons eu à nous servir au § 8 
(p. 134) que la fonction 9, (0. 0, 2) tend vers une limite finie et dé- 
terminée lorsque z tend vers zéro d'une façon quelconque et 
cela uniformément pour l'ensemble des positions du point M sur (S). 
Done, en vertu de la continuité de la fonction w à la traversée de 
la surface (S), (paragraphe précédent) et de la relation (57). il en 


180 


est de méme de la fonction y, (0, 0,2). Il en sera done évidem- 
ment encore de méme de l’expression suivante: 


(58) 9, (0, 0, — 2) + 9, (0, 0, 2). 

Nous allons examiner cette expression de plus pres en suppo- 
sant que l’on ait: 

Ome fr. 

A cet effet, voyons comment se comporte la fonction w sur la 
frontière du domaine (T) et à l'intérieur de ce domaine. Puisqu’en 
dehors du point M tous les autres points du domaine (I') et de sa 
frontière (©) sont intérieurs au domaine (D), le seul point de (7°) 
et de (©) où la fonction # pourrait cesser d'être continue est le 
point M. En se reportant aux inégalités (22), (53) et (54) ainsi qu'à 
léquation (55), on reconnaitra aisément que la somme (58) peut se 
mettre sous la forme suivante; 


59) 9, (0, 0, — 2) + 9, (0, 0, 2) = 


qu 1 
=A oa | Ze 
SP à xe) REC ,)* 


(8) 


en designant par 7, et r les distances respectives des points (0. 0, 
— 2) et (0, 0, ei à celui des points de la frontière © du domaine 
(T) auquel se rapporte l'élément de surface ds. 

On établira sans peine, en s'appuyant de nouveau sur les iné- 
galités (22), (53) et (54) que lintégrale qui entre au second mem- 
bre de (59) tend vers une limite finie et déterminée lorsque æ tend 
vers zéro et que la convergence est uniforme pour l'ensemble des 
positions du point M sur (S). Done, puisquil en est de méme de 
l'expression (57), il en sera encore de méme de la fonction u (0, 0, 2) 
en vertu de (59). On conclura immédiatement de là que la fone- 
tion 4 admet des valeurs périphériques déterminées et que la fonc- 
tion (u), qui les représente est une fonction continue définie sur (S). 

Considérons maintenant l'expression (4) (p. 164). Il résulte de ce 
qui vient d’être établi au sujet de la fonction u que, à l'extérieur 
du domaine (D), l'expression (4) est égale à la suivante: 


1 
(60) Jof d atn 


Or l'expression (4) est nulle à l'extérieur du domaine (D). Done 


181 


il en est de même du potentiel de double couche que représente 
l'expression (60). 

Par conséquent ce potentiel de double couche admet une dé- 
rivée normale extérieure et cette dérivée est nulle. 

Il en sera done de méme!) de la dérivée normale intérieure. 
Done le potentiel (60), nul par hypothèse à l'extérieur du domaine 
(D), sera constant à l’intérieur de ce domaine. Cela prouve que la 
relation (5) sera sûrement vérifiée. Done, pour démontrer complè- 
tement le théorème fondamental du § 26, il ne reste qu'à faire 
voir que la difference constante des valeurs périphériques des fonc- 
tions ® et u se réduit à zéro lorsque le domaine (D) n’est pas borné. 
Or cela est presque évident: en effet, un potentiel dérivant de mas- 
ses situées dans le fini tend uniformément vers zéro à l'infini, il 
ne peut done rester constant dans un domaine non borné sans y 
être nul, done, lorsque le domaine (D) s'étend à linfini, le poten- 
tiel (60), nul par hypothèse à l'extérieur du domaine (D) est aussi 
nul à l'intérieur de ce domaine. Par conséquent la différence D—u 
sannule sur (S). C’est ce que nous avions encore à démontrer. 

§ 31. En s'appuyant sur la formule (21) (p. 169) on développera 
avec la plus grande facilité, pour l’espace, des considérations ana- 
logues à celles du $ 11, et cela aussi aisément dans le cas où le 
domaine (D) s'étendrait à linfini que dans celui où le domaine con- 
sidéré serait borné. 

§ 32. L'extension à un domaine borné à trois dimensions de 
la théorie exposée dans les §§ de 11 à 20 est immédiate. Donc. en 
ce qui concerne le cas où le domaine (D) est borné, il nous suf- 
fira d’enoncer les résultats définitifs. Dans ce cas, l’ensemble des 
points extérieurs au domaine (D) se compose d’une région non bor- 
née (Ro), formée par les points extérieurs à une surface formée 
(S,) et de p régions: 


(Ki), (is)... (di) (61) 
respectivement intérieures à des surfaces fermées: 
(81), (85)... (Sp) - 
On choisira dans l’espace p— 1 points fixes: 
(m, ys al © AO 1 tee p (62) 


1) Voir la note de M. Liapounoff dans les C. R., 8 novembre 1897. 


Le point (xe. 2) pourra être pris arbitrairement dans l'espace; 
P 0» Jo» zu pace; 
quant aux points: 


(Xi, Vis 21), (Loy Vos 22) (Eps os 2); 
ils devront être situés respectivement à l'intérieur des régions 
(R5). (Rs)... (R, ) mais. à cela prés, on pourra les choisir comme on 
voudra. 

Le choix des points (62) étant arrété, on envisagera un systeme 
de 2n— 1 polynómes sphériques de degré n, linéairement indé- 
pendants. soit: 

fi... ev; y, 2) (k=1, 2, 8,...9m-T 1) 


et, en désignant par r, la distance du point (x, y, 2) au point Zu Yr r 
on définira un ensemble de fonctions w,,,; au moyen des équations 





suivantes: 
Un, a) n, k (x — tg. Y— Yo: 2 —20) 
1 
U N 
05 15i r; 
(63) GEI ns Lire Y— Yi, 2— 2,) 
j n; ki ioc 3 2nF] 
Yi 
n = 1, 2, 8,... ad inf. 
k=1, 2, 8,,.. (24-1) 
?-— 1,2, 3,...p . 


Cela posé, on formera une suite infinie: 
(64) Une UE. 


de façon que chacun des termes de cette suite coincide avec l’une 
des fonctions (63) et que toutes ces fonctions solent comprises sans 
omission ni répétition parmi les termes de cette suite. Enfin on dé- 
duira de la suite (64) une nouvelle suite de fonctions harmoniques: 


(65) Dis aUas gs, 
de la facon suivante: on posera: 


9, = 6,9 + 6, ih; 
k—1 
(66) ) % = Gyo + A Cr i Vi À Cre Ur, 
i=1 
fe 12, 85.5. ad ant; 
en désignant par les ¢ des constantes que l’on déterminera de fagon 
à avoir: 


183 


Be E) 


CS) 


v; dv, : 
J f^ ye Jeg t pour j =k. 


Cela posé, on reconnaitra, en tenant compte de la remarque qui 
fait l’objet du § 25 (p. 163) que, avec la restriction indiquée dans 
l'Introduction, au $ 3, toute fonction w, continue sur (S) et dans le 
domaine (D), harmonique à l’intérieur du domaine (D), est deve- 
loppable en une série de la forme: 


(5 EN LE Cy Ve (68) 


(67) 





avec les valeurs suivantes des coefficients: 


(69) 





en désignant par (S) laire totale de la frontière du domaine con- 
sidéré. 

La série (69) sera uniformément convergente dans tout do- 
maine intérieur au domaine (D), mais elle pourra étre diver- 
gente sur (S) et n'être pas uniformément convergente dans (D). 
Toutefois la série (69) se rapprochera d'une série uniformément con- 
vergente dans (D) et sur (S) par les propriétés suivantes: si l'on 
désigne par F une fonction queleonque à cela prés que l'intégrale: 


Jf f [actua 


(D) 


ait un sens, on aura: 


Jf f fu rasta f f F dx dy dz + (70) 
(D) (D) 
+ Zu f f fra: 


(D) 


184 


en outre, lorsqu'une fonction quelconque c, définie sur (S) est telle 


EIS ds 
(S) 
ait un sens, on à: 
oo 
(71) f fuot f f oa Sa f fhod. 
(8) (S) k-1 (8) 


La série (68) sera, comme cela résulte de la théorie générale des 
séries procédant suivant des fonctions harmoniques. dérivable terme 
à terme et les séries déduites de la série considérée par voie de 
dérivation. seront uniformément convergentes dans tout domaine in- 
térieur au domaine (D); celles de ces séries qui se rapportent aux 


que l'intégrale: 


dérivées du premier ordre, à savoir: 


oo 
cu QU, 
= — Cum 
ex -— em 
=1 


et les séries analogues relatives aux variables y et 2, se rappro- 
cheront en outre des series uniformément convergentes dans le do- 
maine (D) lui-même en ce qu'elles jouiront de la propriété qu'ex- 
prime, pour la série (68). l'égalité (70). 

On aura: 


(72) SING OMIS 


Enfin, on reconnaîtra que la condition du $ 3 de validité des 
égalités (68) et (69), équivaut à la suivante: la fonction u, continue 
sur (S) et dans le domaine (D) harmonique à l'intérieur de ce do- 
maine doit étre telle que l'intégrale: 


SSS \ GY HG + ea 


alt un sens. 

§ 33. Passons au cas où le domaine (D) n'est pas borné. Le 
domaine (D) sera alors constitué par l’ensemble des points exté- 
rieurs à un système de p—1 surfaces fermées (Sj) (5,)....(8,). 
Désignons d'une façon générale par: 


(2, Yi. E) ($ = 0, 1, 2,..-p) 


185 


un point fixe choisi arbitrairement à l'intérieur de la surface (5j) 
et, en conservant aux symboles /[1,,(x, y, 2) et r, la signification 
du paragraphe précédent. définissons au moyen des équations: 





" IT,» (x - o Yÿ—Yi, 2— 21) 
HATTE ria = 
9 — 0, 1, 2,...ad inf. | 
k = i, 2,...2n +1 
Cl E EE A 


l’ensemble des fonctions t, ++- 

En vertu des considérations indiquées au § 31, la condition né- 
cessaire et suffisante pour que l'intégrale (4) (p. 164) soit nulle iden- 
tiquement à l'extérieur du domaine (D), peut être exprimée par l'en- 
semble des équations suivantes: 


EC u) ð Un, x, i 9 (0—-u) Ou, », 
GER ap dy — 9y À | 











(D) 
9 (D—u) Ə uw, x: | 
AE z ze (dr m dy de =Q (73) 
n =%0,1,2,...ad inf. | 
DE E eil 
?—0,1,2...p. 


Rangeons les fonctions w,,,; dans un certain ordre de facon que 
leur ensemble puisse étre représenté par celui des termes d'une 
suite infinie: 

ES 


puis, formons une nouvelle suite infinie: 
Di Do Dee (74) 
de la façon suivante: posons: 


MG Zë 


ki 
U, = » Cri 9; + Cy, Ur 
2—1 


en donnant aux constantes c des valeurs telles que l’on ait: 


wide deem do. ds] Gen SI) | 


(3) 


ff, as =o, pour j+k. 
(8) 


(75) 


186 


L'ensemble des équations (73) est évidemment équivalent à l'en- 
semble des équations suivantes: 


[O(D—u) dv, , 9 (D—u) 8v, 
LB A EA als 


(D) 


Done ces équations constituent un ensemble de conditions né- 
cessaires et suffisantes pour que l'intégrale (4) soit nulle, pourvu 
que le point (x, y, z) soit extérieur au domaine (D). 

$ 34. Je vais démontrer maintenant que la fonction w, harmo- 
nique à l'intérieur du domaine (D), tendant uniformément vers zéro 
à l'infini et telle que ses valeurs périphériques coincident avec cel- 
les" de la fonction Ø, peut être représentée par la série suivante: 


(11) u = 6,0, 


où les coefficients ont les valeurs suivantes: 


dv, 
(78) «= f f? dN i 


(5) 


la série précédente étant uniformément convergente dans tout do- 
maine intérieur au domaine (D). | 

Bien que le domaine (D) s'étende à l'infini, la manière dont se 
comportent les fonctions ® et v, lorsque l'expression: 


e à 


croit indéfiniment est telle que nous pourrons, en raisonnant comme 
au § 15 (p. 145), démontrer que la série: 


(79) > c 
k=1 
est convergente et que l’on a: 


(80) JIN HEHE) Lie Sor 


k=1 


187 


Posons: 
n+p 


Wn, p D Cr Ur p (81 ) 


k=n 


A cause des relations (75), nous aurons: 


= Sr) TCR + (oy | dey d = Vos 


Il résulte de cette équation et de la convergence de la série 


(79) que l'on a: 


in ff f [Ge Gm E] einem. m 
(b) 


la convergence vers zéro de lintégrale du premier membre étant 
uniforme par rapport à l'ensemble des valeurs entiéres et posi- 
tives de p. 

On aura done a fortiori: 


. Qu 2 l 

] ua? ET A 

a ( ^ ) dx dy de — 0 (83) 
(D) 


ainsi que des équations analogues relatives aux dérivées de la fonc- 








` 


tion W, p par rapport à y et par rapport à 2, avec la même pro- 
priété d'uniformité de convergence que pour l'intégrale qui figure 
au premier membre de (82). 

En se reportant aux §§ 5 et 6 du mémoire rappelé au com- 
mencement du § 16 (p. 146), on tirera de ce qui précède les con- 
elusions suivantes: 

19 les séries: 


(84) 


| 


sont uniformément eonvergentes dans tout domaine intérieur au do- 


maine (D). 


188 


2° Chacune des intégrales: 


Jf [omm RSR RON) 


3° Si l'on désigne par F une fonction arbitraire à cela près 


JJ [rima 


(D) 


est finie. 


que l'intégrale: 


alt un sens, on a: 


(85) ub up U, F de dy de= Ve, 2 p fo F dx dy de 
(D) k=1 (D) 


ainsi que des relations analogues relatives à U, et Us. 
4° On a: 


(86) ge jl p (U,2+ U,” + U’) de dy de= Vor. 
(D) E= 


Considérons une sphère (C) ayant pour centre l’origine des co- 
ordonnées, et pour rayon une longueur R assez grande pour que 
la frontière (S) du domaine (D) soit intérieure à cette sphère. Dé- 
signons par v une fonction harmonique dans (D), tendant unifor- 
mément vers zéro à l'infini et telle que Pintégrale: 


(RSA +E) HG | de dy de 


ait une valeur finie. La fonction v pourra étre représentée, à lex- 
térieur de la sphère (Æ), au moyen de la série suivante: 








oo 1 2n--1 
(8 IW v= A gre > A, k IR k 
n=0 k=1 


en posant: 
r= VP F pF, 
en représentant par les A, , des constantes et en conservant aux 


symboles JL, la signification du § 27. On trouvera aisément en 
sappuyant sur l'égalité (22): 


189 


Rj f( 99 M9. N (av) $ Sr 
seas] JS el le HE) | dy dz, pour r> R 


où l'on a représenté par (2) le domaine formé par l’ensemble des 
points extérieurs à la sphére wk On aura donc à plus forte raison: 


an SI) a) He 2). | dzdydz, pour rh. 


Remplagons dans cette inégalité la fonction v par la fonction 
W, p définie par l'équation (81) et reportons-nous à l'égalité (82). 
Nous arriverons facilement à la conclusion suivante: la serie (77) 
converge uniformément à l'extérieur et sur la surface de toute 
sphère (3’) concentrique à la sphère (3) et de rayon plus grand 
que celui de celle-ci. 
Choisissons maintenant à l'extérieur de la sphère (3), un point 
queleonque A dont la position restera fixe dans ce qui va suivre. 
D’après ce qui vient d’être établi, la série: 
zs v, (A) (88) 
k=1 
ou lon a désigné d'une façon générale par v, (A) la valeur de v, 
en A, sera eonvergente. Considérons maintenant un point quelcon- 
que B situé à l'intérieur du domaine D et joignons-le au point A 


: eZ 
par une ligne AMB (soit par exemple une ligne polygonale) telle 
que chacun des points de cette ligne soit intérieur au domaine 
(D). Les séries (84) étant uniformément convergentes sur la ligne 


Sy 
AMB, on aura: 


je dx + U, dy + U; dz) = ya f(z (2 ae + ay + az) | 


dz 





k=1 AMB 


J Ghat za LT) — (8) — (4), 


gy 


Or: 


AMB 
en désignant par v, (B) la valeur de v, en B. Par conséquent la série: 


ais (B) — v, | 


k=1 
Bulletin III. 5 


190 


est eonvergente. Done, puisqu'il en est de même de la série (88), 
il en sera encore de méme de la série: 


> ev (B). 


k=1 


(89) 


Cela prouve que la série (76) est convergente en tout point in- 
térieur au domaine (D). 

Mais il y a plus: Supposons que le point B varie de fagon que 
sa distance à l’origine des coordonnées O ne devienne pas supé- 
rieure à OA et que sa plus courte distance à la frontière du do- 
maine (D) ne descende pas au-dessous d'une limite non nulle 6, 
mais que l'on pourra d'ailleurs prendre arbitrairement petite. Soit 
(Da) le domaine formé par l’ensemble des positions précédentes du 


point B. Lorsque le point B varie dans (D;), la ligne AMB va- 
riera nécessairement, mais on pourra évidemment toujours s'arran- 
ger de facon qu'aucun de ses points ne sorte du domaine (D3) et 
que de plus, la longueur totale de cette ligne reste inférieure à une 
longueur constante L assez grande. Il résulte de ces remarques et 
de l'uniformité de convergence des séries (84) dans (D,), que la 
série (89) sera aussi uniformément convergente dans le domaine 
(Da) Or cette serie est, d’après ce que l'on a vu plus haut, 
uniformément convergente lorsque la distance du point B à Vori- 
gine des coordonnées ne descend pas au dessous de OA. Nous ar- 
rivons done à la conclusion suivante: la série (77) est uniformé- 
ment convergente dans tout domaine intérieur au domaine (D) et 
elle définit par conséquent une fonction w harmonique dans (D) et 
tendant uniformément vers zéro à linfini; on a de plus: 


e Ou Ou Ou 
(90) a = U, LG lp SES 
et par conséquent: 


(91) SI AGO GG eves No; 


(D) k=1 
en vertu de (86). 


Rapprochons maintenant les faits suivants: en vertu de (91) lin- 
tégrale: 


191 


JE s = +) + = | de dy ds 


a une valeur finie; à cause des relations (90), il est permis de rem- 
placer U,, U,, U, dans la relation (85) et les relations analogues 
Qu Ou , Qu 
Ver 
ox’ Au de 


série (77) sont déterminés par les formules (78), équivalentes aux 





relatives à U, et U, par ; enfin les coefficients de la 


suivantes: 
[20 SE ID w, , ID dv, 
SLI oz aua dy oy By Ge 92 | dæ dy de. 

On conelura immediatement de ces rapprochements, de la con- 
clusion du § 33 et du théorème fondamental du $.26 (p. 164), que 
la fonction w définie par l'équation (77), admet des valeurs péri- 
phériques déterminées, lesquelles coineident avec celles de la fonc- 
tion ®. 

D'ailleurs la fonction w tend, nous l'avons vu, uniformément 
vers zéro à linfini. Done, le théoréme énoncé au début de ce pa- 
ragraphe est démontré. 

On eonclura immédiatement de ce théoréme, en tenant compte 
de la remarque présentée au $ 25, que, avec la restriction énoncée 
dans l'Introduction au § 3, toute fonction w continue sur (S) et 
dans (D), harmonique à l'intérieur du domaine (D) et tendant uni- 
formément vers zéro à l'infini, est développable en une série de 
la forme (77) avee les valeurs suivantes des coefficients: 





on voit en outre que la condition de validité des formules (77) et 
(78), tele qu'elle est donnée au $ 3, équivaut à la suivante: la 
fonction 4, continue sur (S) et dans le domaine (D) harmonique 
dans ce domaine et tendant uniformément vers zéro à l'infini doit 
être telle que l'intégrale: 


FING) GG) eara 


ait une valeur finie. 
§ 35. Pour établir d'une façon complète tous les résultats an- 
5* 


192 


noneés dans l’Introduction, il nous reste à faire voir que la série 
(77) jouit des propriétés analogues a celles qui, pour la serie cor- 
respondante, relative à un domaine non borné, défini dans le plan, 
ont été établies au § 25. 

Ainsi que nous avons eu déjà l’occasion de le faire remarquer, 
il résulte des équations (90) et (85) que l’on a: 


WEE eine Ns ff f Eren 


ainsi que des égalités analogues relatives aux dérivées par rapport 
à chacune des variables y ou z. Cela rapproche les séries déduites 
de la série (14) par voie d'une dérivation par rapport à l'une des 
variables x, y, 2, des séries uniformément convergentes dans le do- 
maine (D). Pour aller plus loin, nous allons démontrer le lemme 
sulvant: 

Désignons par w une fonction continue sur (S) et dans le do- 
maine (D). admettant à l'intérieur de ce domaine des dérivées pre- 
miéres continues, telle que les produits: 


. > Wo 
Je PP? m, (ty +2) äer 
pe 


(+ y? en E » G+ +) 


restent bornés pour toutes les valeurs assez grandes de 4° y? 2?, 
telle enfin que l'intégrale: 


SSH ea 


ait un sens. Je dis que l’on aura: 


(92) J fost f ERGO) (Sey + C) fae ay ae, 


en désignant par 7 une longueur dépendant uniquement de la na- 
ture géométrique du domaine (D). 

La méthode de Robin!) permettra de déterminer un potentiel 
de simple couche w, vérifiant sur (S) la condition suivante: 


1) Voir mon mémoire: „Sur l'intégration de l’équatlon Au £u — 0^ (Jour- 
nal de Mathématiques pures et appliquées, 1902). 


195 


dw 
N + w — 0, 


la normale à (S) étant dirigée vers l'intérieur du domaine (D). 
Posons: 


1 


B= f J fAG ee (SE) C) jade, 


nous aurons: 


A An e Ay Ay, ` 
A ff au SRB en P \ Je dy de 
e jJ 
(D) 


acf fero 











\ da dx dy oy 


Bi =f fw w, ds. 


$ 
Les inégalités de M. Sehwarz donnent: 
AS Ba By; B;°< AAT; 
d’où: 
Po en HX 
ART SB ee 





(93) 


Cela nous ramène à la démonstration de l'inégalité qui -résul- 
terait de (92) si l'on y substituait la fonction w, à la fonction wy. 
L'avantage de cette réduction consiste en ce que la fonction w, 
peut étre regardée comme le potentiel dérivant d’une simple couche 
portée par (S). 

Une inégalité due & M. Stekloff!) nous donne: 


A, <1, (B! + B,) (94) 


en désignant par /, une longueur ne dépendant que de la nature 
du domaine (D) et en posant: 


(22) E 2 Qu; E 
nO + (Sp) + eme 


1) Stekloff. Les méthodes générales pour résoudre les problèmes de la Phy- 
sique mathématique (Annales de la Faculté des Sciences de Toulouse, t. TD5— 
Voir aussi la p. 77 et les suivantes de mon mémoire cité il y a un instant. 


194 


où (D’) représente le domaine formé par l’ensemble de ceux des 
points de l'espace qui n'appartiennent pas à (D). 
D’apres un théoréme dü à M. Poincaré!) on a: 


(95) B', <k B, 


en désignant par E une constante numérique dépendant unique- 
ment de la nature du domaine (D). A la vérité la démonstration 
de M. Poincaré implique des restrictions qui ne permettraient 
pas d'appliquer cette inégalité actuellement, mais en se rappor- 
tant à mon mémoire déjà cité: „Sur lintégration de l'équation 
Au + £u = 0“ ?), on lèvera aisément ces restrictions. Cela posé les 
inégalités (93), (94) et (95) entrainent linégalité (92), en posant: 


1—1 04-5. 


Le lemme est done établi. 
Revenons à la serie (77) et posons: 


(96) n =u— No, 2i. 


st 


On deduira aisément de (91) légalité suivante: 


I Tiles GG ex | dzayde= Vos. 


k=n41 


Cela prouve que l'intégrale du premier membre tend vers zéro 
lorsque z croît indéfiniment. Done, en vertu du lemme qui vient 
d’être établi, on aura aussi: 


(97) lim f. f Rè ds =0. 


(S) 


Il résulte de là que l'on aura, comme si la série (71) était uni- 
formément convergente sur (S), la relation suivante: 


(98) f fermo Ns f f nns 


(8) 


1) Memoire sur le Probleme de Dirichlet et la methode de Neumann 
(Acta mathematica 1896). 
2) Journal de Mathématiques pures et appliquées, 1902. 


195 


en désignant par ø une fonction définie sur (S) et quelconque à 


cela prés que lintégrale: 
yj f o? ds 


©) 
ait un sens. 

Désignons par (2) une portion bornée du domaine (D) ayant 
un volume bien déterminé, mais d'ailleurs quelconque. Soit d'autre 
part une fonction F' quelconque à cela prés que lintégrale: 


Jf f f riam dy ae 
(Q) 
ait un sens. 


On aura, comme si la série (74) était uniformément conver- 
gente dans (D) et par suite dans (2), la relation suivante: 


Jura So ff v, F dx dy dz. 
(Q) 


(O) aE 
On démontrera cette proposition en raisonnant comme nous 
l'avons fait au $ 23 pour établir le théorème analogue relatif au 
cas où le domaine (D) est défini dans le plan. 
En résumé, tous les résultats annoncés dans l’Introduction sont 
établis d’une fagon complete. 


8. Badania nad dyspersyq Swiatla w gazach. 11. Dysper- 
sya etylenu 1 etanu. — Untersuchungen über die Dis- 
persion des Lichtes in Gasen. U. Die Dispersion des 
Athylens und Athans. Mémoire de M. STANISLAS LORIA, pré- 
senté par M. A. Witkowski m. t. 


Dulong!) und Maseart?) untersuchten die Fortpflanzungsge- 
schwindigkeit des Lichtes im Äthylen. 
Dulong bestimmte den Breehungsexponenten für weißes Licht 
und fand 
nonea — 1.000678. 


1) Ann. de Chim. et de Phys. Vol. 31; S. 172, 1826. 
2) C. R. 86, S. 321 und 1182, 1878. 


196 


Mascarts Angabe bezieht sich auf die Refraktion des genann- 
ten Gases für Na-Licht, bezogen auf Luft und lautet: 


n — 1= 2:46. 


Dabei fehlt jedoch jede nähere Angabe über die tatsächlichen Ver- 
suchsbedingungen. Von der Temperatur wird gesagt: „une tempé- 
rature voisine de 12 degrés“; der Druck wird nicht angegeben. 
J. W. Brühl!) hat den Mascart’schen Wert auf 0° 760”/, Hg 
reduziert. Da jedoch die von ihm benutzte Reduktionsformel, wegen 
der unzureichenden Angaben Mascart’s, wohl als unsicher þe- 


zeichnet werden kann, so ist auch der Wert 
n p= 1000723 


bloß als anniherungsweise richtig zu betrachten. . Dagegen fehlen 
für Äthan auch diese dürftigen Angaben, und es scheint überhaupt 
nicht untersucht gewesen zu sein. 

Zur Bestimmung der Dispersion der genannten Gase im sicht- 
baren Spektrum wurde eine der von mir vor kurzem beschriebenen ?) 
ganz ähnliche Methode angewandt. Die von der früheren etwas ab- 
weichende Versuchsanordnung ist in Fig. 1 dargestellt. Das durch 
die Blende (B,) durchgehende Licht eines Nernstfadens (N) wird 
von der Linse (L,) nahezu parallel gemacht, in das in der ersten 
Abhandlung beschriebene Michelson’sche Interferometer gewor- 
fen, durch die Linse (L,) wieder gesammelt, um nach dem Durch- 
gang durch die Blende (B,) auf den Spalt eines Spektralapparates 
konzentriert zu werden. Ist das Interferometer in „Nullstellung“, so 
erscheint im Okular ein reines kontinuierliches Spektrum. Entfernt 
man etwa den Spiegel (S,) von der „Nullstellung“, so bilden sich 
im Spektrum Interferenzstreifen, die anfangs breit und verwaschen, 
später immer enger und schärfer werden. Durch entsprechende Ju- 
stierung der Spiegel (S;) und (ës) erreicht man leicht die für die 
Beobachtung günstigste Schärfe und Entfernung einzelner Minima. 
Unter entsprechend gut gewählten Bedingungen kann man dann 
bequem etwa 130 Streifen zählen und !/,, einer Streifenbreite 
schätzen. 

Im übrigen blieb die früher benutzte Anordnung unverändert. 


1) Zeitschr. f. phys. Chemie, 7. 1. u. ff. 1891. 
*) Bull. de l'Acad. des Sciences de Cracovie, Déc. 1908, S. 1059 u. ff. 


197 


Das Spektroskop, der früher als Monochromator dienende, jetzt 
mit Okular und Fadenkreuz ausgerüstete festarmige Apparat wurde 
vor und nach jeder Messungsreihe sorgfältig geeicht. 


| 
Fig. 1. 


Die absolute Bestimmung einzelner Brechungsexponenten geschah 
in derselben Weise, wie sie in der zitierten. Abhandlung beschrie- 
ben wurde: nachdem man die beim Zufluß des untersuchten Ga- 
ses durch das auf eine bestimmte Welle eingestellte Fadenkreuz 
wandernden Streifen gezählt und die der Zahl (N) entsprechende 
Druckänderung (p) beobachtet hat, berechnete man den Brechungs- 
exponenten bei 0°C 760 "/, Hg aus der Beziehung 


EE HKH (1) 
Bei der Bestimmung der Dispersion muß in Betracht gezogen wer- 


den, daß der Spiegel (S,) von der ,Nullstellung^ entfernt worden 
ist, d. h. daß in den Weg eines von den Strahlen eine Luftplatte ein- 


198 


geschoben wurde, deren Dispersion eliminiert werden muß. Es ge- 
schieht dies leicht auf Grund folgender Überlegung. Beim Anfangs- 
zustand (Druck p,"/,) sei ô die Anzahl der Streifen, die im 
Spektrum zwischen den Wellen 2, und A, liegen. Den Endzustand 
(Druck p,"/,) erreicht man, indem man N Streifen durch das Fa- 
denkreuz an der Stelle 2, ziehen läßt. Der Brechungsexponent für 
A, ist daher 

(2) me INO, 


wo K eine konstante Größe darstellt. Die Anzahl der jetzt beim 
Endzustand zwischen den Wellen 4, und 4, liegenden Streifen sei 
6, > ô. Die Differenz 


à, — à, — à 


besagt, daß wenn die absolute Bestimmung für die Welle 2, vor- 

genommen worden wäre, (N-+ ô) Streifen bei derselben Druckän- 

derung (p, — p, — p) durehs Fadenkreuz hätte wandern müssen. 
Es ist also: 


(2) n, — 1 = K (N + ô) À. 
Aus (2) und (3) folgt: 


(4) | al (1 n S (n, — 1). 


Demzufolge wurde die Größe ó für folgende Wellenlängeninter- 
valle ermittelt: 


6677.10-5 em und 6185.10-5 em 
.  5896.10-5 

,  5190.10-5 

,  §461.10-5 

- , — 5230.10-5 


Außer der absoluten Bestimmung für 4— 6677.1075 em wurde 
zur Kontrolle aueh die Bestimmung für 4 —5:896.10^5 em vor- 
genommen. 

Um die Exaktheit des befolgten Verfahrens zu prüfen, habe ich 
die bekannte Dispersion der Luft neu bestimmt!) Die Resultate 
sind in folgenden Tabellen zusammengestellt. 


> Ir dE EE v 


1) Die Luft wurde dem Garten des Instituts entnommen und mit Phosphor- 
pentoxyd getrocknet, 


199 












































TABELLE I. 
4 10:6 Gla 10575 em. Luft. | — 105:20 em 
Nr. Druckánderung Anzahl Temperatur i 
in sl, Hg 0°C | der Streifen des Rohres | 0:760 
1: 28243 160 18:3 1:0002915 
2. 230:61 130:1 18:85 1:0002909 
3. 231:16 130 | 198 10002909 
4. 230°76 130 19:8 1:0002914 
5 231:36 130:5 | 19:5 1:0002915 
6. 230:98 130 j | 19:4 1:0002907 
"Mittel ^ 10002911 
TABELLE II. 
A = 5896. 107° em Luft. != 105:20 em 
Ne Druckänderung Anzahl Temperatur = 
à ine, H220%C der Streifen des Rohres 07760 
1. 200-93 | 129 184 1:0002918 
2. 20113 129:2 184 1:0002922 
3. 202:32 Ec EN 18-4 10002921 
4. 201-13 1292 184 | 10002922 
5. 201:13 129-2 18:3 |  1:0002920 
6. 200:93 129:2 18:3 1:0002923 
^ Mittel | 10002921 











Aus der Bestimmung der Dispersion ergab sich die folgende 
Tabelle der Brechungsexponenten. 


TABELLE III. 
Dispersion der Luft. 














À in 10-? em Norco 
a) 6:677 1:0002911 
b) 6:185 1'0002916 
c) 5:896 1:0002922 
d) DO UE: 1:0002923 
e) 5:461 1:0002929 
f) 5:230 1:0002933 








200 


Man sieht, daß das Resultat der relativen Bestimmung dem der 
absoluten gleich ist und die ermittelte Dispersion innerhalb der Feh- 
lergrenzen mit den besten bekannten Beobachtungen übereinstimmt. 

Athylen (C, H4). Das Athylen wurde aus Alkohol und konzen- 
trierter Schwefelsäure hergestellt. Das sich beim Erhitzen dieser 
Mischung bildende Gas wurde durch Waschflaschen mit konz. 
Schwefelsäure und konz. Natronlauge geleitet und in einem Glas- 
gasometer aufgefangen. Da dieses Produkt jedoch nicht rein ge- 
nug ist, um zur Bestimmung physikalischer Konstanten dienen zu 
können, wurde es mittels fraktionierter Destillation bei der Tempe- 
ratur der flüssigen Luft gereinigt. 

Die Resultate der Messungen sind in folgenden Tabellen IV, 
V, VI zusammengestellt: 


TABELLE IV. 














A000 i. H Pern Äthylen. !=10520 cm 
NE Druckánderung | Anzahl Mittlere Tempera- a. 

in 5 Hg OC der Streifen tur des Rohres 0:760 
13 103-44 | 131 184 1:0006519 
2. 101:85 | 128:9 184 |, 10006515 
3. 102:25 129:5 18:37 1:0006520 
4. 109-84 1302 059 183 10006515 
5 102-25 129:7 18:27 1:0006524 
6. 102:26 | 129:6 18:0 |  1:0006516 
7 101-86 - MEC uU. 17:9 10006514 
8. 102:65 1301 17:9 1:0006514 
p 101:86 1291 18:0 1:0006516 
10. 103:17 130°8 17:7 1:0006512 
dur 102°65 130 18:2 1:0006516 
12: 10305 130'6 | 181 1:00065 9 











Aus fünf voneinander unabhängigen, gut übereinstimmenden 


Messungen der Dispersion folgen für (1 FE) die Werte: : 


201 


TABELLE V. 


Äthylen: (1 JS) i 








bis 5'790 


6:677 bis 6:185 | bis 5:896 


| 1:082 | 1142 | 1166 1-241 | 1297 


À in 10-5 em bis 5-461 bis 5:230 




















| o 


IT 
woraus sich nachstehende Brechungsexponenten für die betreffenden 
Wellen ergeben: 


TABELLE VI. 
Dispersion des Äthylens. 











A in 10-5 em LE 
a) 6:677 1:0006516 
b) 6:185 1:0006531 
c) 5:896 1:0006571 
d) 5:790 1:0006588 ` 
e) 5:461 1:0006614 
f) 5:230 1:0006620 








Aus obigen Werten berechnete Konstanten der Cauch y'schen 
Interpolationsformel 


b 
Wen (14-3) 
sind: 
a —0:0006303 


o= 1411. 1072: 


Äthan (C,H,). Athan erhielt man auf dem Wege der Gri- 
gnardschen Reaktion durch Zersetzung des Magnesium - Brom- 
Äthyls mit Wasser. Das dabei entwickelte Gas wurde durch Wasch- 
flaschen mit rauchender Schwefelsäure geleitet und in einem mit 
Kalilaugelösung gefüllten Gasometer gesammelt. Um sich zu ver- 
gewissern, daß keine beachtenswerten Mengen von Athylen als 
Nebenprodukt mitgenommen wurden, habe ich den Assistenten des 


202 


hiesigen chemischen Instituts, Herrn Wł. Sobecki, der mir in 

liebenswürdiger Weise bei der Herstellung des Gases behilflich 

war, gebeten, eine Prüfung desselben auf Athylen vorzunehmen. 

Es konnten jedoch keine merklichen Mengen von Äthylen nachge- 

wiesen werden, was auch von vornherein wahrscheinlich war. Ich 

spreche dem genannten Herrn meinen verbindlichen Dank aus. 
Die Messungen führten zu nachstehenden Resultaten: 


TABELLE VL. 

















— 6:677 . 10-5 em Äthan. 1—10520 em 

Nr Druckänderung Anzahl Temperatur | ZA 

: in m/„ Hg OC der Streifen | des Rohres | 0'780 
1. 90-49 131-4 1845 | 10007477 
2, 105-65 1585 | 182 1:0007475 
5 113-42 165 1797 | 10007477 
A 103-06 149:9 17-77 | 10007472 
5. 88:29 | 1282 1865 | 10007479 
TUM 89-49 | 129-9 1882 | 10007483 
7. | 89:89 | 130:6 1847 | 10007481 
Sap! 89-70 | 1305 179 | 10007477 
9. | 89-73 | 1308 17-4 | 10007479 
10. 89:29 | 129-7 185 | 10007481 
Mittel | 10007478 





Absolute Bestimmung für 4 = 5'896 . 1075 em gibt 
n p, = 10007524. 


TABELLE VIII. 


iun = SEN 








| 








x 
ò | 


À in 10-5 cm | D 677 bis 6:185 | | bis 5:896 ) bis 5/790 bis 5'461 | bis 5:230 
| | 
1+ N 1:084 | 1:140 | 


| 
| 
1163 | 1:237 1:292 


Daraus folgen die T MR s 


203 


TABELLE IX, 
Dispersion des Athans. 

















À in 10-5 em Le 
a) 6:677 10007478 
b) 6:185 1:0007509 
c) 5:896 1:0007528 
d) 5:790 1:0007542 
e) 5:461 1:0007566 
f) 5:230 1:0007568 





Die Cauchy’schen Konstanten lauten: 
a — 06007365 
b—9:308 . 10711. 


Ich habe die Dispersion der gasfórmigen Kohlenwasserstoffe 
möglichst. exakt untersucht, weil ich von ihr wichtiges für die Dis- 
persionstheorie erwarten zu dürfen glaubte. 

Die von Natanson abgeleitete Beziehung !) 


Art 3 (ny-—— n1) Ay? Ay? 
—— 2 (n, — 1) (nj — 1) (4,* — 4,3) 





bietet nàmlieh ein sehr empfindliches Mittel, wichtige Fragen der 
Theorie an der Hand der Erfahrung zu entscheiden. Hierbei 
kommt in erster Linie die Frage nach der Berechtigung der An- 
nahme monoelektronischer Konstitution für gasförmige Isolatoren 
in Betracht. Nur unter dieser speziellen Annahme gilt obige Be- 
ziehung, und zwar soll dann A im ganzen betrachteten Spektral- 
bezirke (mindestens wenn dieser weit von Absorptionsstreifen liegt) 
eine Konstante von der Größenordnung 1077 cm? sein. Es zeigt sich 
nun, daß im Falle des Acetylens, Methans, Äthylens und Äthans, 
die ebenso wie die Kohlensäure bekanntlich ultrarote Absorptions- 
banden haben, die Größe A, soweit es sich um das sichtbare Spek- 
trum handelt, konstant bleibt. 


1) Bull. Int. de V Acad, des Sciences de Cracovie für 1907, S. 332. 


204 


Sie war!) 


für Acetylen (im Mittel) A — 405 


für Methan „ > — 4:48. 
Für Äthylen ergibt sie sich jetzt 

aus (a) Gnd (2) SERA — 307 

(DP COR) NEA — 2:85 

(Cj MIA CAA MEE — wl 

uu H Fale 

NES E 

für Äthan 

aus (a) ander... E 1:69 

(DOSE EY rss. A202 

[ay (ay rnc AES 

(cC) Ji le), 2 ees e: 10 

Mittel =... AS 2:09. 


Im betrachteten Spektralbezirke kónnen daher die untersuchten 
Gase mit genügender Annäherung als monoelektronische Substan- 
zen behandelt werden. 

Ist das der Fall, so ist auch der weitere von Natanson an- 
gebahnte Weg gangbar. Für das Modell einer Substanz, die nur 
eine einzige Gattung beweglicher Elektronen besitzt, gilt die Be- 
ziehung ?) 





— eine universelle Konstante, wobei a die Anzahl der „Disper- 
sionselektronen“ pro Molekül bezeichnet. 

Dies legt uns jedoch die Frage nach der Beziehung zwischen 
den ,Dispersionselektronen“ und der chemischen „Valenz“ nahe. 
Versucht man die Hypothese?) von Natanson: a = v — Summe 


1) a. a. ©. S. 1066. 

2) a. a. O.. S. 347. 

3) Übrigens ist sie von Natanson nur mit Vorbehalt, als eine Art Arbeits- 
Hypothese, angenommen worden (a. a. O., S. 331-332, 343—344; insbesondere 
S. 347—348 und 351). 


205 


der Valenzen anzuwenden, so kommt man zu dem Schluß, daß sieq 
die Kohlenwasserstoffe der „oA“ Regel nicht fügen. 


Man bekam nämlich früher 


für, Methan) (0—.8) , . .:. yA =-35:84 

für Acetylen w= 10)... . 24— 40:00, 
Ebenso bekommt man jetzt 

ee E 3120 

für (Athan, E E EE 


anstatt etwa 16. 


Folgt man andererseits J. J. Thomson und entscheidet sich 
für sein Modell der elektronischen Struktur des Atoms, so mul 
man etwa folgende Betrachtung anstellen: 

Bekanntlich findet nach J. J. Thomson!) bei einer chemischen 
Vereinigung eine Übertragung von Elektronen (Korpuskeln) von 
einem Atom auf ein anderes statt, und es ist die Anziehung der 
positiven und der negativen Ladung, die dazu beiträgt. die Elemente 
in der Verbindung festzuhalten. Von der Anzahl Elektronen, sagt 
J. J. Thomson?) die ein Atom unter dem Einfluß von Atomen 
anderer Elemente aufnehmen oder abgeben kann, hängt die Valenz 
jenes Atoms ab. Da diese , Valenzelektronen“ diejenigen sind, die 
am leichtesten bewegt werden können, so müssen sie den größten 
Einfluß auf den Brechungsexponenten ausüben). 

Wollen wir von diesem Standpunkte aus die Resultate unserer 
Messungen der Dispersion gasfórmiger Kohlenwasserstoffe betrachten, 
so finden wir die einfachsten Verhältnisse bei Methan *) vor. Be- 
rücksichtigt man nämlich den elektropositiven Charakter des Was- 
serstoffatoms 5), so muß man für Methan a = 4 setzen; somit ist 
für dieses Gas. aA = 11:92. 

Äthan wird durch die Formel 

H H 
H—C—C—H 
HA)! RE 


DN 
N 





1) The Corpuscular Theory of Matter. London 1907. p. 127 sqq. 
Ana EN oo: 3) az, 210,5, 150. 

4) Bull. de V Acad. des Sciences de Cracovie, Déc. 1908, S. 1066. 
Ji: Thomson, a, 0.94191. 


Bulletin III. 6 


206 


ausgedrückt. „Wenn wir annehmen“, sagt J. J. Thomson?) „daß 
„die Vereinigung der beiden Kohlenstoffatome miteinander von 
„einer Übertragung eines Korpuskels von einem Atom auf das an- 
„dere begleitet ist,..... so würde das eine Kohlenstoffatom eine 
„Ladung von vier Einheiten negativer Elektrizität, das andere 
„dagegen eine Ladung von nur zwei Einheiten besitzen“. Dem- 
nach müßte man a=6 setzen und bekäme aA— 12:18. Eine 
ähnliche Betrachtung gibt 


für Äthylen a A Er NT o12:30: 
für Acetylen Ja SA RER aA — 16.20. 


Stellt man die entsprechenden Zahlen. zu welchen einerseits die 
Natanson'sche, andererseits die J. J. Thomson’sche Hypothese 
führt, nebeneinander 














nach Natanson nach J. J. Thomson 
CH, Jut dr mA gr a=h . | | aA=179 
C,H, | o=14 . . . vA=28-42 a=6 . . . aA—12:18 
ET RE ODDS MO ONE 
C,H, | Da NE soo E 


so sieht man, daß sowohl die Werte von vA, wie auch diejenigen 
von aA um einen konstanten Wert herumschwanken. Dabei ist 
aber vA ungefähr zweimal größer als der Mittelwert, den Natan- 
son für andere Gase berechnet hat; aA hingegen läßt sich wieder 
mit dem Werte, den man bei ähnlicher Betrachtungsweise z. B. für 
H, erhält 

ts... adie AS 494) 


nicht vereinbaren. 

Faßt man daher die Ergebnisse zusammen, so muß man vor- 
derhand konstatieren, daß die bisherigen Versuche der Theorie 
(wenigstens in ihren einfachsten Formen) die Beziehung zwischen 


A ae Os 82. 151. 
2) Bull. de V Acad. des Sciences de Cracovie, Déc. 1908, S. 1066. 
3) Natanson. Bull. de lV Acad. des Sciences de Cracovie, Avr. 1907, S. 349. 


207 


den „Dispersions-* und ,Valenz^-Elektronen zu erfassen im Falle 
der Kohlenwasserstoffe keine Bestätigung in der Erfahrung ge- 
funden haben. Es muß jedoch noch ein viel reicheres und exaktes 
Beobachtungsmaterial gesammelt werden, ehe man in dieser schwie- 
rigen und interessanten Frage zu einem sicheren Ergebnis gelan- 
gen dürfte. 


Breslau, Physikalisches Institut der königl. Universität. Am 25. Jänner 1909. 


9. Wyodrebnianie ziem rzadkich z mariupolitu. — Gewin- 
nung von seltenen Erden aus dem Mariupolit. Memoire 
de M. J. MOROZEWICZ m. e 


Eine der Gangvarietäten des Mariupolits zeichnet sich durch 
einen eigentiimlichen Mineralbestand aus. Sie bildet nämlich ein 
Gemisch von folgenden Mineralien: Albit, Nephelin, Ägirin, Magne- 
tit, Zirkon, Beckelith 1), Pyrochlor und FluBspat, von denen die drei 
ersten stark überwiegen. Die seltenen Elemente befinden sich im 
Beckelith (Cer-Gruppe) und im Pyrochlor (Tantal-Gruppe). Die Ge- 
samtmenge der beiden Mineralien beträgt nicht mehr als 0:5°/, des 
ganzen Gesteines, und zwar die Beckelithmenge zirka 0:3?/, die 
des Pyrochlors zirka 0'2°/,. Schon lange war ich mit der Idee be- 
schäftigt, einen leichten Weg zu finden, wonach man imstande wäre, 
die im Mariupolit vorkommenden Cer-Erden zu gewinnen, d. h. 
dieselben von den stark überwiegenden Eisen-, Aluminium- und 
Titan-Oxyden quantitativ zu trennen. Nach vielen im vorigen Jahre 
ausgeführten Versuchen habe ich endlich ein Verfahren gefunden, 
das am raschesten zum Ziele zu führen scheint. 

Da nun der Nephelin und Beckelith, wie dies aus meinen frü- 
heren Erfahrungen hervorgeht, sich leicht in verdünnter Salzsäure 
lösen, so lassen sie sich bequem von den übrigen Gemengteilen 
des Mariupolits in quantitativer Weise trennen 2). Von dieser Eigen- 
schaft machte ich Gebrauch, so oft ich aus einer größeren Gesteins- 
portion die seltenen Erden erhalten wollte. Dabei spaltet sich jede 


1) Dieses Bulletin, J. 1905, S. 216. 
2) Über die chemische Zusammensetzung des Nephelins. Dieses Bulletin, J. 


1907, S. 966. 
64 


208 


Portion in zwei Teile: in einen löslichen und einen unzersetzbaren 
Teil. In dem ersteren finden sich die seltenen Erden aus der Cer- 
gruppe. im letzteren die aus der Tautalgruppe, sowie Zirkon 
und Titan. 

I. Ausscheidung von Cer, Lanthan, Didym, Yttrium 
und Erbium. 10 bis 50 g fein gepulverten Gesteins werden 
in einer geräumigen Platinschale stark geglüht, mit 150—500 em? 
heißem Wasser übergossen und dann allmählich mit 10 —30 cm? 
Salzsäure von sp. Gewicht 1:196 unter stetem Umrühren versetzt. 
Nach halbstündigem Erwärmen filtriert man den ungelöst geblie- 
benen Rückstand und wäscht ihn gut aus. Das Filtrat. worin sich 
die ganze Menge des Nephelins und Beckeliths befindet, wird 
dann in der Platinschale verdampft und die ausgeschiedene Kie- 
selsäure entfernt. Man verdampft die erhaltene Flüssigkeit von 
neuem, führt die Chloride in Sulfate über, erwärmt dieselben so 
lange, bis sich die ersten Sehwefelsiuredümpfe zeigen und löst 
dann die Masse in kaltem Wasser. Nun versetzt man die klare 
Lösung mit reinem Natriumhydroxyd in Stückchen und in genü- 
gender Menge, um den sich anfangs reichlich bildenden Tonerde- 
niederschlag wiederum in Lösung zu bringen. Der restierende, flöck- 
chenartige, schwere Niederschlag besteht dann aus Hydroxyden 
der Cermetalle, die mit Eisenhydroxyd verunreinigt sind. 

Das gewonnene Hydroxydengemisch löst man dann in Salzsäure, 
verdünnt mit Wasser und schlägt wiederum mit Ammoniak nieder, 
hauptsächlich um die geringe Kalkmenge zu entfernen. Die sorg- 
fülig gereinigten Hydroxyde werden endgültig in Salpetersäure 
gelöst und auf dem Wasserbade von überschüssiger Säure befreit. 
Man verdünnt die schwach sauren Nitrate mit Wasser auf 50 cm3, 
erwärmt die klare Flüssigkeit und gießt dieselbe tropfenweise in 
ein Becherglas ein, woriu sich großer Überschuß von konzentrier- 
ter heißer Oxalsäurelösung findet !). Dann. scheiden sich schöne Kri- 
stallisationen von Oxalaten der seltenen Erden aus, welche sich bald 
am Boden des Gefäßes sammeln und einen flaumigen, weißen mit 
einem Stich ins Violette, kleinschuppigen Niederschlag darstellen. 
Im Filtrat bleibt alles Eisen, auf dem Filter erhält man das ganze 
Quantum der Oxalate von seltenen Erden. Man versäume aber nicht, 


1) Vergl. C. R. Böhm. Die Darstellung der seltenen Erden. Bd. U, S. 50. 
Leipzig 1905. 


209 


das Filtrat auf mögliche darin gebliebene, kleine Quantitäten von 
seltenen Erden zu prüfen. Das geschieht bloß durch Einengen oder 
Trocknen des Filtrates und durch Wiederauflósung desselben. In 
der Regel bekommt man nur noch eine winzige Menge von selte- 
nen Oxalaten, deren Reinheit man unter dem Mikroskop konstatiert 
und mit der Hauptmasse der Oxalate vereinigt. Nach dem Ausglü- 
hen erhält man schließlich den Gesamtgehalt an seltenen Erden, 
welcher von etwaigen fremden Verunreinigungen vollkommen frei ist. 

Dieses Verfahren gibt gute, übereinstimmende Resultate und 
kann in verbältnismäßig kurzer Zeit ausgeführt werden. Je nach 
der Größe der Gesteinsportion gewinnt man daraus die seltenen Er- 
den schon am zweiten oder dritten Tag nach dem Beginn der ge- 
schilderten Manipulationen. Es mögen hier einige Bestimmungen 
beispielsweise angeführt werden. 


A. An Beckelith reicherer Mariupolit. 
1. 50 g Gestein gaben 0'1057 g (Ce, La, Di, Y, Er),0, =0-21°/,. 
2. 52341 g desselben gaben 0:0109 g (Ce, La, Di, Y, Er),0, —0:210/,. 


B. An Beckelith armer Mariupolit. 
1. 860°g Gestein gaben 0:0062 g (Ce, La, Di, Y, Er),O, = 0:07*/,. 
2. 50 g desselben gaben 0:0320 g (Ce, La, Di, Y, Er),O, = 0.06°/,. 


Natürlich sind die erzielten Resultate umso genauer, je reicher 
das Gestein an seltenen Erden ist. 

Schon nach Beendigung dieser und der nächstfolgenden Versu- 
che habe ich mit Vergnügen die vorläufige Mitteilung von M. Ditt- 
rich „Über die Bestimmung des Cers und anderer seltenen Erden 
in Gesteinen“ kennen gelernt !). Der Verfasser schlägt fast dieselbe 
Methode vor, indem er nur statt Oxalsäure die Verwendung von 
Ammoniumoxalat empfiehlt und theoretische Gründe anführt, wa- 
rum man bei der Ausscheidung der seltenen Erden einen großen 
Überschuß von Ammoniumoxalat nehmen soll. Am Ende führt M. 
Dittrich die Resultate seiner Trennungen an, die er an künst- 
lichen Gemischen der Cerosalze mit Salzen von Eisen und Kal- 
zium angestellt hat. 

II. Ausscheidung von Niob- und Tantalsäure aus 
dem in schwacher Salzsäure unzersetzt gebliebenen Teile Um aus 


1) Berichte d. d. Chem. Gesellsch., XXXXI, S. 4373, Dezember 1908. 


210 


dem von Nephelin und Beckelith befreiten Gemisch, welches aus 
Albit, Ägirin, größerem Teil von Magnetit, ferner aus Zirkon, Py- 
rochlor und Flußspat besteht, Niob- und Tantalsäure auszuscheiden, 
bediente ich mich folgender Handgriffe. Zu je 10 g des Gesteins- 
pulvers werden 200 em? Wasser und 10 em? reine konzentrierte 
Schwefelsäure (von sp. Gew. 1'845) zugefügt, die Mischung wird 
in einer geräumigen Platinschale auf dem Wasserbade erwärmt 
und mit Flußsäure portionsweise so lange behandelt, bis alle oben 
erwähnten Mineralien, den Zirkon ausgenommen, vollkommen 
zersetzt erscheinen. Das geschieht in 10—12 Stunden bis 2—3 
Tagen je nach der Feinheit und Menge des Pulvers. Dann treibt 
man die überschüssige Fluß- und Schwefelsäure aus, nimmt die noch 
stark saure Sulfatmasse mit 200 cm? Wasser auf und erwärmt am 
Wasserbade. Nach einigen Stunden löst sich die Masse größtenteils 
auf. Nur das kristallinische Zirkonpulver und die milchweißen 
Flückchen von Tantal- und Niobsäure bleiben ungelöst. Man trennt 
den Zirkon von den beiden Säuren auf die Weise, daß man dem 
Gemisch nochmals einige Tropfen konzentrierte Schwefel- und Fluß- 
säure zusetzt und den Zirkon mittels eines Platintrichters abfiltriert 
In dem Filtrate hat man den größten Teil von Tantal- und Niob- 
säure, die man durch Austreiben von Flußsäure, durch Verdünnung 
mit Wasser und durch starkes Kochen wieder in Form eines cha- 
rakteristischen milchweißen Niederschlages erhält. Die Abscheidung 
ist meist eine quantitative (Nachprüfung mit Ammoniak!). Ein klei- 
ner Teil von Niobsäure kann aber beim ersten Abfiltrieren der 
Sulfate in die Lösung übergehen. Um ihn zu fangen, behandelt man 
die große Sulfatmasse (wie beim Cer) mit festem Natriumhydroxyd 
und filtriert den entstandenen Eisenniederschlag mit eventueller 
Beimischung der seltenen Erden ab, glüht ihn und schmelzt mit 
Kaliumpyrosulfat. Nach Auflösung der Schmelze in kaltem Wasser 
und nach Erwärmung der Lösung auf dem Wasserbade scheiden 
sich meist kleine Quantitäten von Niobsäure aus, die man mit der frü- 
her erhaltenen Hauptmenge vereinigt. Im Mariupolit ist die Tan- 
talsäure nur in Spuren, die Niobsäure dagegen in etwas größeren 
Mengen vorhanden. 

Auf dem oben gezeigten Wege kommt die Ausscheidung von 
Niobsäure aus dem Mariupolit glatt zustande und gibt übereinstim- 
mende Resultate: 


211 


1) 8:60 e Mariupolit gaben 0:0139 g Nb,O; =0:16°/,. 
2) 50 g desselben Mariupolits gaben 0'0767 g Nb,O; =0°15°/,. 


Dabei habe ich bemerkt, daß die Niobsäure bei Auslaugung der 
Kaliumpyrosulfatschmelze in merklichen Mengen in die Lösung 
nicht übergeht, wenn man die in der Kälte erhaltene Lösung eine 
halbe Stunde auf dem Wasserbade erwärmt. Ich meine daher, 
daß die gegen die Genauigkeit dieser Trennungsweise von C. H W ar- 
ren!) gerichteten Einwände insofern unbegründet sind, als er das Aus- 
laugen in kaltem Wasser ausführte. Ein gelindes Erwärmen der 
sauren konzentrierten Sulfatlösung würde eine genaue Hydrolyse 
der gelösten Niobsäure bewirken, ohne daß man zu befürchten 
brauchte, daß gleichzeitig auch ein Teil von Titan sich ausscheide. 
Wäre aber das der Fall. so würde dann ein wiederholtes Schmel- 
zen und Auslaugen in der Wärme gewiß zu einem befriedigenden 
Resultate führen. 

II. Ausscheidung von Zirkonerde (ZrO,) Bei den 
Operationen, durch welche die Ausscheidung von Niobsäure erzielt 
wurde, blieb immer nach Zerstörung anderer Mineralien das kri- 
stallinische Pulver von Zirkon (ZrSiO,) übrig, dessen Menge zur 
angewandten Gesteinsportion jedesmal im gleichen Verhältnis stand. 
Unter dem Mikroskop bestand das Pulver aus Kristallbruchstück- 
chen mit scharfen Kanten, die in keiner Weise Zersetzungs- oder 
Zernagungsmerkmale zeigten. Daraus geht hervor, daß der Zirkon 
auf das Gemisch von Schwefel- und Flußsäure nicht merklich rea- 
giert, obschon die Einwirkungsdauer der beiden Säuren in der 
Wärme 2—3 Tage betrug. Das zeigen am besten folgende Zahlen: 


1) 10 g Mariupolit gaben 0:0056 g Zirkon 
n ” ” 0:0056 g ” 
3) » Dm » 0:0054 8 » 
Die an Zirkon reicheren Mariupolitpartien wurden in ähnlicher 
Weise behandelt und lieferten folgende Resultate: 
1) 50 g Gestein gaben 0:8480 g Zirkon = 1 10^/, 
2)52341g . , » 00943 g SR 


” 


Diese zwei Bestimmungen sind maßgebend. Sie beweisen näm- 
lich, daß trotz des großen Unterschiedes in der Einwirkungsdauer 


1) Zeitschr f. Kryst., Bd. 43, S. 24 (1907). 


212 


der Säuren (im ersten Versuch mehr als 3 Tage, im zweiten nur 
12 Stunden), die erhaltenen Zirkonmengen in beiden Fällen doch 
ziemlich gut übereinstimmen. Um mich zu überzeugen, ob dennoch 
die Zirkonerde nicht in die Lösung übergegangen ist, habe ich ver- 
sucht, sie bei Titan nach Entfernung des Eisens zu entdecken. Mit 
Hilfe der Ammoniumsalizylatmethode !) wurde die Zirkonerde 
wirklich nachgewiesen, aber nur in sehr kleinen Mengen, die (im 
zweiten Versuch) 0:0015 g (=0-03°/,) betrugen. Aber es ist nicht 
ausgeschlossen, daß etwa ein Teil dieser aufgelösten Zirkonerde 
nicht nur vom Zirkon, sondern auch vom Pyrochlor und anderen 
Mineralien stammen kann. 

Aus all dem folgt, daß es möglich ist, den Zirkon aus den Si- 
likatgesteinen vermittels Schwefel- und Flußsäure beinahe quan- 
titativ auszuscheiden, besonders wenn man die Operation rasch 
ausführt und zu große Überschüsse von Säuren vermeidet. 

Die Erhaltung von Zirkonerde aus dem so gewonnenen Zirkon 
ist nun eine ganz leichte Aufgabe. Man braucht nur das Zirkonpul- 
ver mit Soda zu schmelzen, die Schmelze in Wasser auszulaugen 
und die ungelöst gebliebene Zirkonerde zu trennen. Die Brauch- 
barkeit einer solchen Trennungsweise mögen zwei folgende Bestim- 
mungen illustrieren: 


1) 03757 g Zirkon gaben 0:2505 g ZrO, — 66'68°/, (theor. 67:01°/,) 
2) 0848085 , Ai 100:5609 6 ERBE VID) 


Das beweist zugleich, daß der aus dem Mariupolit mittels Schwe- 
fel- und Flußsäure erhaltene Zirkon seinen chemischen Bestand 
während der Ausscheidungsoperation gar nicht ändert. 

Zuletzt sei noch erwähnt, daß der im großen Sodatiberschuß 
und in der starken Hitze auf dem Gebläse geschmolzene Zirkon 
sich stets in die in Wasser unlösliche Zirkonerde und das lösliche 
Natriumorthosilikat umwandelt. Es entsteht dabei die hexagonale 
Modifikation des Zirkoniumdioxyds in schönen Kriställ- 
chen, die eine Kombination von {0001} und (1010) zeigen, optisch 
einachsig und negativ (—) sind. Genau solche Kriställchen haben 
schon früher Michel-Lévy und Bourgeois?) unter ganz ähnli- 


1) M. Dittrich, Zeitschr. f. analyt. Chem. Bd. 56 (1907), S. 344. 
2) Comptes Rendus, Bd. 94 (1882), S. 812. 


213 


chen Bedingungen dargestellt. Die oben erwähnte Zersetzung des 
Zirkons kommt also nach folgender Gleichung zustande: 


ZrSiO, 2 Na,CO, = ZrO, + Na,SiO, + 2 CO,. 


Die kristallisierte Zirkonerde entsteht edmnach bei der Zerset- 
zung des Zirkons schon in der Schmelze und nicht erst beim Lau- 
gen durch die hydrolytische Spaltung von Na,ZrO,, wie das z. B. 
F. P. Treadwell in seinem bekannten Lehrbuche der analyti- 
schen Chemie erläutert !). 


Aus dem Mineralog. Institut d. Jagell. Universität Krakau. 


10. O glyoksalinach. — Sur les glyoxalines. Mémoire de 
M. BR. RADZISZEWSKI m. t. 


La constitution de la glyoxaline a été démontrée par mes travaux ?) 
et par les-recherches de Japp et Robinson?) En obtenant la 
lophine du benzile, de l'aldéhyde benzoïque et de Pammoniaque, j'ai 
prouvé qu'il y a dans une molécule de glyoxaline deux atomes de 
carbone liés ensemble et que le troisième en est séparé par deux 
atomes d'azote (D. Japp et Robinson ont accepté cette disloca- 
tion du earbone et de l'azote, d'aecord avee ma formule, mais ils 
ont admis qu'un de ees atomes d'azote est lié avec de l'hydrogène 
en formant le groupe imine (II). 

CHEN CH—NH 
RYE IDE DOH nae Al yon u 
CHEN. CH— N/ 

D’apres les recherches plus récentes, ce groupe (imine) existe, en 
effet, dans les glyoxalines obtenues. Néanmoins, il était possible de 
supposer que l’on pourrait obtenir des glyoxalines qui répondraient 
& la formule I. Les recherches qui poursuivaient ce but n’avaient 
pas corroboré cette supposition, mais en les exécutant, mes collabo- 
rateurs ont obtenu plusieurs dérivés nouveaux de la glyoxaline que 
je vais décrire. Ces glyoxalines ont été obtenues (à l’exception de 
trois que je vais indiquer ci-dessous) par la méthode suivante: 


1) Bd. I, S. 425, 6 Aufl. 1908. 
2) Ber. 15, 1493, 2706. 
3) Ber. 15, 1268, 2410. 


214 


On sature une solution alcoolique de benzile et d'aldéhyde avec 
du gaz ammoniac. Quelque temps apres, on ajoute de l’eau; la gly- 
oxaline étant insoluble dans ce dissolvant, se précipite et se laisse 
facilement purifier par la cristallisation. 

Avec cette méthode, on ne peut pas obtenir la paratoluyl-, oxy- 
methoxyphényl- et la naphto-biphénylglyoxaline, qui se forment dans 
des conditions un peu différentes. 

Les dérivés méthyliques de toutes ces glyoxalines ont été obte- 
nus en chauffant dans une solution alcoolique des glyoxalines avec 
de l'iodure de méthyle (en excès). Apres avoir évaporé l’aleool, on 
extrait le résidu avec de l’eau, de la potasse et on le dissout dans 
de l’ether. 


Propyl-biphénylglyoxaline (2, 4, 5) 
(obtenue par Br. Wysoczanski) 
Mtm 
C,H;—C— N 


Ce composé a été préparé avec du benzile et de l’aldéhyde bu- 
tylique normal. Il se présente sous la forme d'aiguilles de couleur 
jaunâtre, fusibles à 205759. Elles se dissolvent facilement dans 


GOH GEL 20H, 


laleool, un peu moins dans l'éther; elles sont presque. insolubles 
dans l'eau. En présence de la potasse aleoolique cette glyoxaline, 
comme toutes les autres, s'oxyde lentement au contact de l'air, et 
cette réaction est aecompagnée d'une trés belle phosphorescence. 


0:2372 gr de subst; N 23:4 eem (740 mm, 21°) 
OS HS; Ns: N: trouvé 10:89, calulé 10:68. 


Son chlorhydrate, C,,H,,N,. HCl, sous forme de cristaux inco- 
lores, fond à 233:50 Il est soluble dans l’eau chaude et l'aleool. 
CI: trouvé 11:41, calculé 11-90. 

Son oxalate (O,,H;4N,),0,H,O, cristallise en aiguilles qui fon- 
dent à 2100. Il est soluble comme le chlorhydrate. N: trouvé 8:96, 
calculé 9:14. 

La méthyl-propylbiphénylglyoxaline (1, 2, 4, 5) 
est un corps cristallisé, incolore, fusible au-dessus de 110°. Elle est 
soluble dans l'alcool et l'éther. et insoluble dans l'eau. 


011987 gr de subst; N 17:7 eem (736 mm, 22°) 
Gs HjzN, + OH, : N: trouvé 9:78, ealeulé 10:14. 


215 


Isopropyl-biphénylglyoxaline (2, 4, 5) 
(obtenue par M. Beiser) 


Elle a été préparée avee du benzile et de l'aldéhyde isobuty- 
lique. Elle forme des eristaux jaunátres, solubles dans l'aleool, l'éther 
et le benzéne. Elle fond à 246? et présente le phénoméne de phos- 
phoreseenee comme les autres glyoxalines. 


0:2416 gr de subst; N 247 cem (7365 mm, 249) 
GEHEN, N: trouvé 11:03, calculé 10:68. 


Son chlorhydrate, C,,H,4N, . HC], cristallise en aiguilles incolo- 
res qui fondent à 227°. Cl: trouvé 11:75, calculé 11:90. 

Son chloroplatinate, (C,4H,4N, . HCl),PtCl,-+3H,O, est un corps 
cristallisé, orange. Il fond en se décomposant au-dessus de 290°. 
Pt: trouvé 19°69, calculé 19°71. 

La méthyl-isopropylbiphénylglyoxaline (1, 2, 4, 5), 
C,,H,,N,.CH, est un corps cristallisé, jaunâtre. Il fond à 97°. 

0:2315 gr de subst.; N 22 cem (741 mm, 23°52) 
N: trouvé 10:35, calculé 10:14. 


Amyl-biphénylglyoxaline (2, 4, 5) 
(obtenue par H. Bukowska) 
C,H, —C—NH 
| N 
HC INIST 


Elle a été préparée du benzile et de l'aldéhyde caproique. Elle 
forme des cristaux incolores, fusibles à 252°, solubles facilement 
dans l'alcool à chaud, le benzène et l’éther. Elle présente le phé- 
nomène de phosphorescence comme les autres glyoxalines. 


02134 er de subst; N 17:75 eem (746 mm, 14:59) 
CH Nos N: trouvé 9:45, calculé 9:75. 


CH CH; 


Son chlorhydrate, C,,H,,N,. HOI, est un corps incolore fondant 
à 1619, soluble dans l'alcool, l'éther et le benzène. Cl: trouvé 10-77, 
calculé 10:87. 

Son chloroplatinate, (C2, H,4N,. HCl), PtCl,, forme des cristaux 


216 


jaunes qui fondent en se décomposant à 272°. Pt: trouvé 18:91, cal- 
culé 19:12. 

Le sulfate fond à 1819, l'oxalate à 77°. 

La éthyl-amylbiphénylglyoxaline (1,2, 4,5), CH, N,. CSH;, 
est un corps incolore, soluble dans l'aleool Elle fond à 127°. 
N-trouvé 9:38, calculé 9:65. 


nor.-Hexyi-biphenylglyoxaline (2. 4, 5) 
(obtenue par A. Jakalo) 


Préparée du benzile et de l'aldéhyde oenanthylique, elle forme 
des aiguilles incolores, fusibles dans l'aleool, l'éther et le benzene. 
Elle fond à 167° et présente le phénoméne de phosphorescence. 


0:3007 gr de subst; N 255 eem (T375 mm, 20°) 
C EINS: N: trouvé 9:36, calculé 9:20. 


Son chlorhydrate, Cə, H,,N, . HCl, cristallise en paillettes qui 
fondent à 133°. Il est soluble dans l'aleool, le ehloroforme et dans 
le benzéne. Cl: trouvé 10:20, calculé 10°41. 

Le picrate, C4; H9, N,. Ce H9(NO,), (OH), forme des aiguilles, fusibles 
à 170° et facilement solubles dans le chloroforme et l’acétone, moins 
facilement dans l'aleool et l'éther. N: trouvé 13:12, calculé 13:39. 

L'oxalate, (Ga H,,N,), Co H,O, + H,O, fond à 190°. Il est soluble 
dans l'aleool à froid, le benzéne et le chloroforme à chaud. N: trouvé 
192, calculé 8:04. H,O: trouvé 2:30, calculé 2:51. 

La méthyl-hexylbiphénylglyoxaline (1, 2, 4, 5), 
C,,H,,N,.CH,, est un corps incolore, qui se dissout dans l'alcool. 
Elle fond à 164°. 


02039 gr de subst; N 175 eem (754 mm, 22°) 
(72; H5, No: N: trouvé 9:20, calculé 9:14). 


Orthotoluyl-biphénylglyoxaline (2, 4. 5) 
(obtenue par S. Stenzel) 


Préparée du benzile et de l'aldéhyde orthotoluique, elle est un 


217 


corps eristallise, fondant à 252° et soluble dans l'aleool et dans les 
autres dissolvants organiques. 


0:5248 gr de subst: N 43:95 eem (742 mm, 14:5°) 
OH, Nas N: trouvé 9:05, ealeulé 9:03. 


Son chlorhydrate C,,H,,N,. HCl, fond à 1209. Cl: trouvé 10:11 
calculé 10:22. 

Le chloroplatinate, (O;5H,, N,. HOD) PtCl,, forme des cristaux jau- 
nes, qui se décomposent vers 2259. Pt: trouvé 18:87, calculé 18:91. 

Laméthyl-orthotoluylbiphénylglyoxaline (1, 2, 4,5) 
C, H,;N,.CH,, fond à 259° Elle est soluble dans l'alcool. 


0:1796 gr de subst; N 13 eem (750 mm, 14°) 
Ce HN. N trouvé 84, calculé 8:6. 


Metatoluyl-biphénylglyoxaline (2, 4, 5) 
(obtenue par S. Stenzel) 


Elle se présente sous la forme d'aieuilles ineolores, fusibles 
fo) ? 3 


vers 300°. 


0:1298 gr de subst; N 10'4 cem (7365 mm, 14°) 
CEE NS: N: trouvé 9:12, calculé 9:03. 


Son chlorhydrate, C;,H,,N,. HOI, eristallise en aiguilles incolo- 
res et fond à 125°. Cl: trouvé 10:08, caleul& 10:22. 

Son chloroplatinate est jaune. Il fond en se décomposant & 230°. 
Pt: trouvé 18:79, calculé 18:91. 

L'éthyl-metatoluylbiphénylglyoxaline (1, 2, 4, 5) 
C..H,,N,.C,H;, est un corps incolore qui fond au-dessus de 310°. 
N: trouvé 829, calculé 8:28. 


Paratoluyl-biphenylglyoxaline (2, 4, 5) 
(obtenue par J. Rohm) 

Elle se forme en petites quantites lorsqu’on sature d’ammoniaque 
une solution alcoolique de benzile et d'aldéhyde paratoluique. On 
lobtient plus facilement en chauffant à 180° pendant 6 à 8 heures, 
dans un tube scellé, des quantités équimoléculaires de benzile et 
d'aldéhyde avec le carbonate d'ammonium et avec un peu d’alcool. 
Elle est incolore, cristallisée, fusible & 233°, facilement soluble dans 
laleool, un peu moins facilement dans l’éther. 


0:1507 gr de subst.; N 11:8 ccm (752 mm, 9:59) 
eeh N: trouvé 9:03, calculé 9:03. 


Son chlorhydrate, C,,H,,N,. HCl, fond à 1209. Il est soluble 
dans l'aleool. Cl: trouvé 10°05, calculé 10°22. 

Son chloroplatinate se décompose vers 2509. Pt: trouvé 18:89, 
calculé 18:91. 

La méthyl-paratoluylbiphénylglyoxaline (1, 2, 4, 5), 
C,,H,;N,.CH,. est un corps jaunâtre, soluble dans l'aleool et l'éther. 
Elle fond a 217°. 


0:1383 gr de subst.; N 10:5 eem (747 mm, 13°) 
N trouvé 877, calculé 8:6. 


Oxyméthoxyphényl-biphénylglyoxaline (2, 4, 5) 
(obtenue par J. Rohm) 


C,H,—C—NH 
C—O,H,(OH)—OCH 
once N PA 6 3( ) 3 


La vaniline n’entre pas en réaction avec le benzile et l’ammo- 
niaque dans les conditions ordinaires; mais chauffée (dans un tube 
scellé) avee le benzile et le carbonate d’ammonium, elle donne 
naissance à l'oxyméthoxyphénylbiphénylglyoxaline. C'est un corps 
incolore, cristallisé, soluble dans l'aleool. Elle fond à 243°. 


0:2041 gr de subst.; N 145 ccm (742 mm, 14°) 
Cyt SON: N: trouvé 8:32, calculé 8:18. 


Son ehlorhydrate, C,,H,,0,N,. HCl, cristallise en aiguilles so- 
lubles dans l’aleool, mais insolubles dans l'éther. Il fond à 154°, 
Cl: trouvé 9:22, calculé 9:36. Le chloroplatinate est jaune, peu so- 
luble dans l'aleool. Il se décompose vers 230°. Pt: trouvé 17-79, 
calculé 17:80. 

La méthyloxyméthoxyphénylbiphénylglyoxaline 
(1, 2, 4, 5), Gel, ON, . CH,, forme des aiguilles incolores, solubles 
dans l’aleool et l'éther. Elle fond a 230°. 


0:1745 gr de subst; N 12:2 eem (736 mm, 14°) 
N: trouvé 1:92, calculé 7:86. 


219 


a-Naphto-biphénylglyoxaline (2, 4, 5) 
(obtenue par J. Rohm) 


| 
Croc NZ 


Préparée comme la glyoxaline précédente, elle forme des aiguilles 
incolores, solubles dans l'aleool et l'éther. Elle fond à 283°. 


0:0760 gr de subst; N 51 eem (746 mm, 15?) 
CHENE: N: trouvé 845, calculé 8:09. 


Son chlorhydrate, O,4H,,N,. HC], est un corps eristallise, inco- 
lore, soluble dans l’alcool. Il se décompose à 180°. Cl: trouvé 9:26, 
caleulé 9:08. Le chloroplatinate se sépare en cristaux jaunes, peu 
solubles dans l'alcool et l'eau. Il se décompose vers 230°. Pt: trouvé 
18:83, calculé 18:87. 

La méthyl-a-naphtobiphénylglyoxaline (1, 2, 4, 5), 
Cas Hız N, . CH; est un corps jaunâtre, soluble dans l'alcool et l'éther. 
Elle fond à 291°. 


0:1245 gr de subst.; N 84 cm (748 mm, 12°) 
N: trouvé 7°83, calculé 777. 


11. O kwasach 8.8'-dwuchinolylu. — Über Säuren des 
8.8'-Dichinolyls. — Note de MM. ZYGM. JAKUBOWSKI et 
ST. NIEMENTOWSK/ m. c. 


Durch Oxydation des 5.5-Dimethyl-8.8’-Dichinolyls mit Chrom- 
säureanhydrid und konzentrierter Schwefelsäure wurden zwei Säu- 
ren erhalten: 

5’-Methyl-8.8°-Diehinolyl-5-Karbonsäure v. Schmzlpk. 331—3320, 
von amphoterem Charakter. Von ihren Salzen wurden analysiert: 


Ammoniumsalz C4,,H,4N, . COON H, +3H,0; 
Kaliumsalz C,,H,;N, . COOK +5H,0; 
Baryumsalz (C;,H,,N, . COO),Ba + 12H,0; 
Chlorhydrat C,,H,,0,N, . 2HCI+ H,O und 
Nitrat C,,H,,O2N, . 2HNO,. 


220 


8.3’-Dichinolyl-5.5’-Dikarbonsäure, v. Sehmlzpk. 410—415°, von 
ausgesprochen saurem Charakter. 


Ammoniumsalz C,,H,,N,[COONH,], + H,O. 
Kaliumsalz O;,H4,,N,[COOK], + 5H,0. 


Bei trockner Destillation unter vermindertem Druck entstand 
aus der ersten Säure das 5’-Methyl-8.8°-Dichinolyl vom Sehmpkt. 
211:5—2129. Von Salzen dieser Base wurden analysiert: das Chlor- 
hydrat C,,H,,N,.2HCl1-++5H,O; Nitrat C,,H,4,N, . 2HNO, + 3H,0; 
Sulfat C,,H,,N,. HS0, - 3H,0; Chloroplatinat C,,H,,N, . H, PtCl,. 
Durch Oxydation mit Chromsäureanhydrid und Schwefelsäure wurde 
diese Base in 8.8°-Dichinolyl-5’-Karbonsäure übergeführt, eine Säure, 
welche neben basischen Körpern auch in Produkten der trocknen 
Destillation der 8.8°-Dichinolyl-5.5’-Dikarbonsäure aufgefunden wur- 
de. Ihr Schmelzpkt. 310—3120. Ammoniumsalz C,,H,,N,COONH,+- 
+4H,O; Baryumsalz [Cis H; N, . COO], Ba + 11H,O. Die basischen 
Anteile der Produkte der trucknen Destillation der Dichinolyl-Di- 
karbonsäure enthielten neben kleinen Mengen des 8.8'-Dichinolyls 
vom Schmlzpkt. 205°, merkwürdigerweise noch eine isomere Base 
vom Schmlzpkt. 187°. 

Um dieses hichst auffallende Resultat am Material anderer Dar- 
stellung zu überprüfen, wurde die Dichinolyl-Dikarbonsäure vom 
2.2’-Dinitro-4.4’-Dimethyldiphenyl ausgehend synthetisiert. Zu dem 
Ende wurde das Diphenylderivat mit Kaliumdichromat und Schwe- 
felsäure oxydiert. In geringeren Mengen entstand dabei eine für die 
weitere Untersuchung weniger bequeme 2.2’ - Dinitro - 4’ - Methyldi- 
phenyl-4-Karbonsäure v. Schmlzpkt. 2355 — 236°. (Baryumsalz 
(C,,H,O,N, . COO1,Ba--4H;0), welehe noch durch Überführung in 
entsprechende Diaminosäure näher charakterisiert wurde: 2.2’-Diami- 
no-4’-Methyldiphenyl-4-Karbonsäure v. Schmlzpkt. 169—171°. (Chlor- 
hydrat C,,H4,0, N,. 2HCI). Die Hauptmasse des Oxydationsproduktes 
bestand aus 2.2’-Dinitrodiphenyl-4.4’-Dikarbonsäure v. Schmizpkt. 
335 — 3370, Baryumsalz C,,.H,O,N.(COO),Ba-+ 3H,0, welche mit 
Zinn und Salzsäure 2.2'- Diaminodiphenyl- 4.4'- Dikarbonsäure v. 
Sehmlzpkt. 307—309? ergab. Chlorhydrat C,,H,,0,N,. HCl. Diaze- 
tylderivat C,,H,,O,N, v. Sehmlzpkt. 250°. Durch Skrau p'sehe 
Synthese wurde dieser Körper in Dichinolyldikarbonsäure überge- 
führt, aus der bei der trocknen Destillation reines 8.8/-Dichinolyl 
entstand. 


221 


Für diese sich widersprechenden Resultate kann momentan keine 
befriedigende Erklärung gegeben werden. Die Untersuchung soll 
demnach tortgesetzt werden. 


Lwów (Lemberg). Technische Hochschule. Laboratorium für allgemeine Chemie. 


12. O wptywie Srodowiska na tworzenie sie izomeréw. — 
Einfluß der Lösungsmittel auf die Verteilung der Iso- 
mere. Mémoire de MM. L. BRUNER et J. VORBRODT, présenté 
par M. K. Olszewski m. t. 


Einleitung. Versuchsmaterialien und Versuchsmethode. Versuchsergebnisse: 
A. mit Toluol; B. mit Athylbenzol; C. mit o. m. p. Xylolen; D. mit iso-Propyl- 
benzol; E. mit norm. Propylbenzol und sekun. Butylbenzol. Zusammenfassung 
der Resultate. 


In einer früheren Abhandlung!) hat einer von uns das kinetische 
Bild der Bromierung eines aromatischen Kohlenwasserstoffes ent- 
worfen. Von den dort ermittelten Gesetzmäßigkeiten ist für die vor- 
liegende Arbeit der Nachweis von Wichtigkeit, daß ionisierende 
Lösungsmittel, wie z. B. das Nitrobenzol, die Kernsubstitution be- 
fördern und daß folglich überhaupt die relative Isomeren-Ausbeute 
durch das Medium, in dem sich die Reaktion abspielt, beeinflußt 
wird. 

In der vorliegenden Abhandlung soll dieser Einfluß zahlenmäßig 
an mehreren Beispielen erschlossen und aus diesen auch manche 
praktisch wichtige Schlüsse gezogen werden. Da möglichst viele 
Lösungsmittel versucht werden sollten, so erschien es ratsam, neben 
dem ziemlich schwer angreifbaren Toluol auch andere leichter zu 
bromierende Kohlenwasserstoffe zu untersuchen. Zu diesem Zweck 
haben wir für die meisten Versuche das Äthylbenzol und die drei 
isomeren Xylole gewählt. 

Versuchsmethode und Materialien. In der Mehrzahl 
der Versuche haben wir nach der früheren Methode in zugeschmol- 
zenen Probierröhren bromiert. Für schneller verlaufende Versuche 
brachten wir ein mit zwei feinen Glashähnen versehenes zylindrisches 
Gefäß zur Anwendung (Fig. 1). Dieses Gefäß wurde mit der Pumpe 


1) Bull. Acad. des Se. de Cracovie, 1907, 698. 
Bulletin II. 7 


222 


evakuiert und dann das zu bromierende, mit Brom versetzte Ge- 
misch in dasselbe eingesogen. Die Analysenproben wurden dann in 
ein gewogenes, mit KJ-Lösung gefülltes Wägegläschen 
N entleert und ihre Menge durch Wägung ermittelt. 
Sämtliche Versuche — wo nicht anders speziell ange- 
> geben ist — sind bei einer konstanten Temperatnr von 
25° ausgeführt, die, wie üblich, in einem Ostwald’schen 
Thermostaten eingehalten wurde. Das Lieht wurde ebenso 
sorgfältig wie früher) ferngehalten. 
is Das Fortschreiten der Gesamtreaktion wurde durch 
[V Titration des Broms mit zirka ?/iọ n. Na,S,O, und 
1/,) n. Jod wie früher ermittelt. 

Wir haben auch hier uns auf die Unterscheidung zwi- 
schen kern- und seitensubstituierten Produkten beschränkt, 
und zwar aus bereits früher dargelegten Gründen. Die Bestimmung 
der seitensubstituierten Produkte geschah nach mehrmaligem Aus- 
waschen mit kalter verdünnter Ammoniumnitrat-Lösung?) nach 
Schultze durch Fällung mit titriertem alkoholischem ?/,, n. AgNO, 
und Rücktitrieren mit !/,; n. KCNS nach Volhard. Die Richtigkeit 
der Methode für die reinen Substitutionsprodukte geht unter vie- 


Fig. 1. 


len anderen aus den Untersuchungen von J. Schramm?) genü- 
gend hervor. Die Schwierigkeiten, denen wir manchmal in den Ana- 
lysen begegneten, sind verursacht durch das schwere Handhaben 
oder durch die leichte Angreifbarkeit der Lösungsmittel. Je nach der 
Beschaffenheit der Lösungsmittel wurde die Fällung entweder in 
der Siedehitze (in nichtehlorhaltigen Lösungsmitteln und den Fällen, 
wo dasselbe abgetrieben werden konnte, s. w. u.), oder durch länge- 
res Stehenlassen bei Zimmertemperatur ausgeführt. Diese Bedingun- 
gen sind in jedem Falle durch spezielle Versuche ermittelt worden. 


Versuchsmaterialien. 


Das Toluol wurde von Kahlbaum als rein bezogen und zweimal sorg- 
fältig über Natrium destilliert. Der größte Anteil ging dann konstant bei 110°5° 
über; er wurde dann über Natrium aufbewahrt. 

Das Äthylbenzol wurde nach der von Radziewanowski‘) verbesserten 


1) Bull. Acad. des Sciences de Cracovie, a. a. O. 
2) Bull. Acad. des Sciences de Cracovie, a. a. O. 
3) Rozpr. Akad. Umiejetn. 16 (1886). S. 1. 

*) Rozpr. Akad. Umiejetn, 32 (1895) S. 119. 


223 


Friedel-Crafft'schen Methode bei einer Temperatur von zirka -5° dargestellt. 
Das Präparat wurde sorgfältig mehreremale über Natrium destilliert. Die Ausbeute 
an dem konstant bei 136° siedenden Präparat betrug in der Radziewanow- 
ski’schen Synthese zirka 700/9. 

Die drei isomeren Xylole sind Kahlbaums reine Präparate, die noch 
über Natrium fraktioniert wurden. Die Konstanz und die Übereinstimmung ihrer 
Siedepunkte mit den Literaturangaben lief nichts zu wünschen übrig. 

Die kostbaren Propylbenzole und das sekundäre Butylbenzol verdan- 
ken wir der Liebenswürdigkeit des Hrn. Prof. J. Schramm. Diese Präparate 
wurden nach der Fittig’schen und Friedel-Crafft- Radziewanowski'schen 
Methode dargestellt und waren besonders sorgfältig gereinigt. 


Wir wenden uns nun den benutzten Lösungsmitteln zu. Von den 
von uns verwendeten Stoffen mußten wir verlangen, daß sie von 
Brom und alkoholischem AgNO, nicht angegriffen werden oder 
schlimmstenfalls, wo das nicht zutreffen konnte, dieser Einwirkung 
regelmäßig in berechenbarer Weise unterliegen. Diese zweite Be- 
dingung schließt natürlich etwaige leicht angreifbare Verunreinigun- 
gen aus. Daß auch gewöhnliche, angeblich sehr reine Reagenzien 
nicht leicht von solehen Verunreinigungen zu befreien sind, wird 
aus dem unten Gesagten erhellen. 

Schwefelkohlenstoff. Reines CS, von Merck (pro analysi; kein wägba- 
rer Rückstand nach dem Abdampfen bei mäßiger Wärme) ist gegen Brom bei 
niederer Temperatur sehr widerstandsfähig, wie dies aus der Tabelle zu ersehen 
ist. Es bedeuten: ¢ die Zeit in Tagen, æ die ursprüngliche Menge in g, x die 
umgesetzte Menge in Gramm, z?/, — in Prozenten. Die Konzentration, wo nicht 
anders angegeben, ist 30 cm? Lösungsmittel auf 1 g Brom. 





Cs, 
253 
t a x Eu. 
ER, 10111 0:0067 0:6 
84 0:4000 0:0155 3:9 
j Neil 
25 0:5640 0:0091 1:0%5 


Der kleine Verlust nach 18 Stunden ist offenbar der Verlust beim Zuschmel- 
zen und beim Öffnen der Röhre. 

Ganz anders verhält sich der Schwefelkohlenstoff von Merck rectificatissimus 
(gemäß den Satzungen der Pharmocopöa britannica). Das Präparat wurde einmal 
aus Materialienmangel versucht. Schon nach 2 Tagen betrug der Bromverlust 


rund 22°/,. 


Die Bestimmung der seitensubstituierten Produkte kann nicht 


bei Gegenwart von CS, geschehen, weil auch beim mäßigen Er- 
7% 


224 


hitzen das CS, angegriffen und schwarzes Silbersulfid gefällt wird. 
Da das CS, sehr leicht flüchtig ist, so hat sich schließlich als beste 
Analysenmethode herausgestellt, das ausgewaschene Reaktionspro- 
dukt am Wasserbade so lange abzudampfen, bis jeder Geruch an 
CS, verschwunden ist, und dann mit AgNO, in üblicher Weise zu 
fällen. Das AgBr fiel dann immer rein gelblich aus, auch ging kein 


Bromierungsprodukt verloren. 

Beleganalyse. Abgewogen 0:3997 e Benzolbromid, in CS, gelöst und dann, 
wie oben angegeben, behandelt, verbrauchten 11:91 em? AgNO, —01841 Br— 
0:3935 Benzylbromid = 98 DÉI. 


Chloroform. Von Kahlbaum bezogenes reinstes Chloroform, einmal über- 
destilliert, erwies sich wenig und regelmäßig von Brom angreifbar. Auch das un- 
destillierte Produkt wurde nicht mehr angegriffen. 








CHCl, 
t a x x), 
2 0:3423 0:0020 0:58 
2 0:9460 0:0086 0:9 
4 0:4267 0:0140 3:28 
4 0:5602 0:0166 2:96 


Jedenfalls wird CHCl, zu schnell bromiert, um zu mehrtägigen Versuchen 
benutzt werden zu können. 
Mit Silbernitrat-Lösung gekocht, gab dieses Chloroform absolut keinen Nie- 
derschlag. 
Ganz anders verhält sich z. B. das Chloroform purissimum pro analysi von 
Merck. 
CHCl, (von Merck) 





t a a mos 
1 0:3861 0:0476 12:3 
x35 0:5433 0:0807 149 
$1 0:6506 0:0985 151 


24 


Wie leicht ersichtlich, hat das Prüparat eine Verunreinigung, die ziemlich 
schnell angegriffen wird und nach deren Verbrauche der Bromverlust weiter nicht 
fortschreiten kann. Beachten wir, daß die Konzentration hier 30 em? CHC), auf 
1 g Brom beträgt und gehen von der wahrscheinlichen Annahme aus, daß jene 
Verunreinigung von Alkohol herrührt, so kónnen wir ihre Menge rund auf etwa 
0'15?/, schätzen. In der Tat, gab dieses Präparat eine schwache aber dennoch 
deutliche Jodoformreaktion auf Athylalkohol, In Übereinstimmung damit war auch 
dieses Merck'sche Präparat ,silberfest*. Die Bromprobe kann deshalb als ein 
sehr empfindliches Reinheitsreagens des Chloroforms empfohlen werden. 

Benzol. Über Natrium destilliertes tiophenfreies Benzol (von E. Merck, 
pro analysi) wies keine leicht bromierbare Verunreinigungen auf. Der Stoff wird 
sehr langsam aber regelmäßig in monomolekularer Reaktion angegriffen. 


bo 
bo 
e 


C,H 





87:6 
t a x a, K 
le 0:2452 0:0014 0:57 
30 0:6715 0:0237 35 0:00052 
30 0:6671 0:0242 3:6 0:00054 
53 0:6247 0:0365 57 0:00048 


0:00051 
Tetrachlorkohlenstoff. Reiner destillierter Tetrachlorkohlenstoff ging 
konstant bei 76:0? bis 77:0? über. Es erwies sich von Brom unangreifbar, jedoch 
nicht ,silberfest“, da beim Kochen mit alkoholischem AgNO, weißes AgCl immer 
ausfiel. Bei Zimmertemperatur erfolgte jedoch auch nach 24 Stunden keine Fäl- 
lung, und deshalb sind in den Versuchen in CCl,-Lösung die Seitenkettenprodukte 
bei Zimmertemperatur durch eintägige Einwirkung der AgNO,-Lösung bestimmt’). 
Eisessig. Reiner von Kahlbaum bezogener Eisessig wurde zweimal aus- 
frieren gelassen und zweimal fraktioniert. Die bei 118° übergehende Fraktion wird 
sehr schwer von Brom angegriffen: nach 6 Tagen beziffert sich der Bromverlust 
auf 1:2°/,. Konzentrierte Essigsäure (80 Volumproz. Eisessig 420 Volumproz. H,O) 
wird etwas schneller bromiert: nach 6 Tagen betrug der Bromverlust 2°5°/,. Die 
von Kahlbaum in den Handel gebrachte 99°/, Essigsäure ist nicht rein und 
auch nicht bromfest. Nach 2 Tagen betrug ja bereits der Bromverlust 33°/,. 
Benzonitril. Von Merck bezogenes Benzonitrol wurde zuerst durch Brom- 
einwirkung gereinigt und dann einer sorgfältiger Fraktionierung unterworfen. Das 
so gewonnene Präparat erwies sich für kurz dauernde Versuche genügend wider- 
standsfähig, denn nach 24 Stunden betrug der Bromverlust 2°6°/o. 
Nitrobenzol. Das Nitrobenzol, das auch technisch rein leicht zu beschaffen 
ist, wurde mit CaCl, getrocknet und zweimal überdestilliert. 
Das Brom wurde durch zweimaliges Umkristallisieren des reinsten Broms 
des Handels (Brom „Kahlbaum“) gewonnen. Die gesammelte umkristallisierte 
Portion betrug zirka 25°/, der Gesamtmenge. 


Sämtliche Versuche sind mit Reaktionsgemischen von 75 Volum- 
proz. Lösungsmittel und 25 Volumpr. des zu bromierenden Kohlen- 
wasserstoffes ausgeführt worden. In den Versuchen mit Toluol war 
die Bromkonzentration dieselbe wie in den früheren Versuchen von 
L. Bruner und J. Dtuska (a. a. O.), nämlich 1 g Brom auf 
26:44 em? Reaktionsgemisches. Für die Versuche mit den übrigen 
Kohlenwasserstoffen wurde die Konzentration zu 30 em? Reaktions- 
gemisches auf 1 g Brom abgerundet. Die Resultate bleiben nichts- 
destoweniger absolut vergleichbar, da ja auch bei größeren Konzen- 


1) Die Anwendbarkeit eines solchen Verfahrens wurde auch von H. F, Laan 
(Rec. des tr. chim. Pays Bas 26 [1907] 1.) in seiner Arbeit erkannt. 


226 


trationen die Reaktion monomolekular verläuft und ihre Konstante 
folglich von der Konzentration unabhängig ist. 


Versuchsergebnisse. 
In den unten angegebenen Tabellen bedeuten: 


t — die Zeitdauer in Tagen. 
a — das Gewicht des abgewogenen Broms. 
æ — die in der Zeit { umgesetzte Brommenge in Grammen 


af, — dieselbe Menge in Prozenten ausgedrückt ER : 100). 


7^? _ den Bruchteil des in der Seitenkettereaktion verbrauchten Broms. 

c 

K — die Geschwindigkeitskonstante nach der monomolekularen Gleichung: 
1 100 


1 a 
= — |] ——— = Ee em 
n Apud EN E 100—2°/, 


k, — die Geschwindigkeitskonstante der Kernreaktion: A, =K(1 2). 
k, — die Geschwindigkeitskonstante der Seitenkettenreaktion: ky =K% 
A. Versuche mit Toluol. 
TABELLE I. 
Toluol. 
t a = x], a, [x K k, k, 





1. Lösungsmittel: Schwefelkohlenstoff. 


25 0:6733 0:2102 31:4 0:0066 
33 10917 0:4160 381 0:82 0:0063 
31 0:8367 0:3689 441 07784 0:0062 
50 0:8181 0:4385 53:6 0:906 0:0067 
80 0:8201 0:5749 701 0:892 0:0066 
0:851 0:00648 0:00107 0:00541 





2. Lösungsmittel: Tetrachlorkohlenstoff. 


16 1:0907 0:2972 294 0:0095 
30 1:2633 0:6171 488 0:569 0:0097 
36 1:0124 0:5852 57:8 0:572 0:0104 
42 0:8903 0:5713 642 0:557 00106 
0:566 `) 00101 0:0044 0 0057 








1) In der Abhandlung von L. Bruner und J. Dłuska (a. a. O.) ist das 
Verhältnis e.a irrtümlich zu rund 0'40 angegeben worden. Es mag wohl ein 
Rechnungsfehler vorliegen, da nur eine einzige Analyse ausgeführt worden ist. 


227 





3. Lösungsmittel: Toluol 1). 


1 Br, + 40 C,H,. 


s/, 0830 0219 264 0400 ©0500 
5 0876 08387 445 0-458 00511 
Aë 0781 0407 521 049 0:0565 
UA 0769 0492 640 ` 0450  0-0522 
11 089 0612 738 0447 00532 
ml 0:802 0663 82:6 0496 00608 
wn, 077 069 882 0-440 00660 
:5/| — (923  — 0897 971  0:535(? 00586 





0:456 0:0553 0:0301 0:0252 


4. Lösungsmittel: Benzol. 


3 0:5332 0:0630 11°8 0:0182 
6 0:6045 0:1328 22:0 0:0180 
9 0:7811 0:2897 371 0:0224 
9 0:9804 0:3767 384 0.0234 
12 0:8837 0:3643 41:2 0:0192 
13 1:1152 0:4769 42:7 0:343 0:0186 
15 0:7780 0:3656 47:0 0:0184 


17 1:0111 0:5816 57 4 0:332 0:0218 
25 0:8407 0:5296 63:0 0:336 0:0173 
30 1:0162 0:7388 727 9:384 0.0188 
68 0:9172 0:8553 93:3 0:0173 


0346  0-0192 





Berechnet nach Berücksichtigung der 
Bromierung des Benzols (s. oben 


EE LAOS. 0:35 0:0187 0:0121 0:0066 


Daß ungeachtet dessen bei höherer Temperatur 135° und 45° (a. a. O.) in Toluol 
und Tetrachlorkohlenstoff gleiche Benzylbromid - Ausbeuten bestehen können, ist 
von vornherein nicht abzulehnen, weil der Temperaturgang der Löslichkeit und 
die Löslichkeit selbst des HBr in diesen Stoffen unbekannt sind. 

1) S. Bull. Acad. des Scien. de Cr. 1907 (698). 

2) Die Berechnung ergibt sich leicht folgendermaßen: 

K (unkorr.) = k, +k,—+kc,, 
X, 

x, 4%, + 20,8; 
K (korrig.) = k, + k, = K (unkorr.) — kon. 


k, = = . K (unkorr.), 


æ,/æ (unkorr.) = 


k,=K—k,. 


t a x 2% lc K RAR 





5. Lösungsmittel: Eisessig. 


Ay 0:5376 02040 381 
34/ 0:5916 0,2444 410 0:262 0-00011 
JM 0:6430 0:3122 48:6 
e 0:7995 0:4332 542 0:056 
2 0:8974 04554 507 0 030 
109/ 0:9971 0:5932 595 0-040 
déi 1:2013 0-7374 614 0:075 0:00005 


In Eisessig ändert sich in ähnlicher Weise, wie das früher 
(s. L. Bruner und J. Dłuska, a. a. O.) in Nitrobenzol gefunden 
worden ist, der Reaktionsverlauf total: die Reaktion ist stark kata- 
lytisch gehemmt. Die Ursache dieser Erscheinung ist wohl in der 
bereits in der früheren Abhandlung erórterten Bildung von Polybrom- 
wasserstoffsäuren zu suchen. 


6. Lösungsmittel: Nitrobenzol. 


L. Bruner und J. Dluska hatten bereits auf die sehr ge- 
ringe Ausbeute der Seitensubstitutionsprodukte in nitrobenzolischer 
Lösung hingewiesen und dieses Verhalten mit der elektrolytischen 
Dissoziation des Broms und der Polybromwasserstoffsäuren in Ni- 
trobenzol in Zusammenhang gebracht. Da bei einer näheren Unter- 
suchung über die elektrolytischen Eigenschaften dieser Stoffe sich 
herausgestellt hat, daß Spuren von Feuchtigkeit einen großen Ein- 
fluß auf den Wert der erzielten Leitfähigkeit haben können (vergl. 
auch E. Beckmann, Z. f. phys. Chem. 60 (1907) 385), so wurde 
jetzt die Bromierung in nitrobenzolischer Lösung bei Gegenwart 
eines stark wasserentziehenden Stoffes wiederholt, und zwar in der 
Weise, daß nach sorgfültigem Trocknen des Bromierungsgemisches 
in die Probierröhren noch einige Gramm P,O, gebracht wurden. 
Ungeachtet des vollkommenen Ausschlusses der Feuchtigkeit blieb 
die Benzylbromid- Ausbeute ebenso gering wie in den früheren 
Versuchen. 


1) Unter K’’’ ist die Geschwindigkeitskonstante nach der trimolekularen Re- 
aktion probeweise berechnet (Vgl. Bruner u. Dłuska a. a. O.). 





g g =, a 4/90 

. 0:9281 0:8963 96:6 0:02 

0:8352 0:8007 95:9 0*03 

1:0313 0:9554 92:7 0:03 
0:027 


B. Versuche mit Athylbenzol. 














TABELLE II. 
Athylbenzol. 
a T PUA CA K k, k, 
1. Lösungsmittel: Schwefelkohlenstoff. 

0:7139 0:2740 384 1:07 0:2104 

0:9037 04820 53°3 1:05 0:1990 

0:3317 0:2695 81:3 0:282 

0:6317 0:5116 80:9 0:974 0:2537 

0:6703 0:5733 Soa 0:3145 

1:00 0:251 0:00 0:251 
2. Lósungsmittel: Chloroform. 

0:5233 0:1683 32:2 0:169 

0:8689 0:5957 686 0:631 0:183 

0:5578 0:4665 83:6 0:636 0:196 

0:633 0:183 0:0672 0:1158 
t a £ SH a, |x K 
3. Lösungsmittel: Nitrobenzol. 

un 0:6321 0:2835 449 6:21 

We. 0:6031 0:3590 59:5 
a 0:3336 02329 698 
15, 07057 05665 80:3 0-156 1:10 

i 0:8070 077114 882 0:164 

s 05406 0:4942 90-7 

2 0:8076 0:7615 943 0:62 

4. Lösungsmittel: Eisessig. 

3h 02366 0:0730 30:9 
33/ 0-6953 0.2994 48:1 0:225 
EE: 0:6145 0:3557 57:9 0:290 

7 


0:6765 0:5808 858 0:46 


230 


t a x a? [o zx 











5. Lósungsmittel: Phenyleyanid. 


Jg 0:5116 0:2533 49:5 
E 0:9098 0:5334 58:6 0:229 


6. Versuche in Tetrachlorkohlenstoff- und Benzol- 
lósung. Die Versuche in diesen Lósungsmitteln, besonders aber 
in CCl,, bereiteten auffallende und unerwartete Schwierigkeiten, die 
noch nieht vollständig überwunden werden konnten. Während in CS, 
und besonders in CHCl,-Lósung die Erzielung von konstanten, gut 
stimmenden Resultaten sich ganz leicht bewerkstelligen lief, ist 
dasselbe in den zwei obengenannten Lösungsmitteln absolut nicht 
der Fall. Trotzdem immer nur dieselben Präparate benutzt wurden 
und auch die Arbeitsweise unverändert blieb. zeigen sich ganz 
unregelmäßige unerklärbare Schwankungen. 

Es wurden folgende Resultate in Benzollösung gefunden. 


pue a x SÉ “AE K k, k 





6. Lösungsmittel: Benzol. 


1}. 07628 02489 32:6 0:264 
a. 08946 03916 438 . 0904 0300 
45. 04547 02142 469 0:293 
2. 06450 08902 605 0:210 
ej, 066028 042 712 0:200 
mn. 07280 05677 78-0 0 225 
29/ 0.6254 05176 826 0882 0-210 
uU, 08455 07983 944. 0916 0948 
UA 04955 04710 950 0897 0-279 
«f, 09723 09406 968 0:219 





0 900 0:245 0:0245 0:221 


Es wurden aber auch in einigen Fällen unregelmäßig schwan- 
kende Konstanten erhalten; in 5 Füllen war das Brom sogar bereits 
nach einem Tage total verbraucht, und zwar in diesen Füllen ge- 
schah es ausschließlich in der Seitenkettereaktion, da der Bruch 
T |£ in den gemessenen Füllen 0°97, 1:05, im Mittel 1:02 war. Vor 
Liehteintritt waren alle Versuche und alle Probierröhren auf das 
sorgfältigste geschützt. 

Dieser spontane explosionsartige Reaktionsverlauf tritt in CC], 
bei 25° so oft ein, daß mit diesem Lösungsmittel bei der obenge- 


231 


nannten Temperatur überhaupt keine übereinstimmenden Resultate 
erzielt werden konnten. In manchen Versuchen war bereits nach 
kurzer Frist (3 Stunden bis 2—3 Tage) das ganze Brom verbraucht; 
die Lösung war entfärbt. Von 33 insgesamt angestellten Versuchen 
trat die frühzeitige Entfärbung in 17 Fällen ein. Dies konnte jedoch 
nicht einer zufälligen Anwesenheit eines starkwirkenden Katalysa- 
tors zugeschrieben werden, denn auch in diesen Fällen war. wie 
wir mehrfach konstatiert hatten, die Seitenkettenausbeute x,/x gleich 1 
(es wurde z. B. gefunden z,/2=0'98, 0:96, 1:11, 1:11, im Mittel 1-04); 
und doch sind keine starkwirkenden Seitenketten-Katalysatoren be- 
kannt. Es ist auch ausgeschlossen, daß sich bei der sorgfältigen 
Arbeitsweise eine solche Verunreinigung eingeschlichen hätte. 

Man könnte etwa denken, daß es sich vielleicht in solchen 
Fällen um eine Bromaddition handle, die durch Einwirkung von 
uns bis jetzt unbekannten Faktoren ausgelöst wird. Diese Vermu- 
tung wird jedoch nicht nur dadurch entkräftet, daß bis jetzt solche 
Additionsprodukte an Äthylbenzol unbekannt sind, sondern auch 
durch die direkte Bestimmung des in der Reaktion gebildeten Brom- 
wasserstoffs. Die Menge des in Form von HBr in den Wasch- 
wassern durch Titration mit Ba(OH), gefundenen Broms betrug in 
zwei ausgeführten Analysen 0:52, 0°48, in Mittel 0:50 des Gesamt- 
broms. Es handelt sich auch hier also ausschließlich um eine regel- 
rechte Substitution. 

In den Fällen, wo keine spontane Entfärbung eintrat, wurden 
sehr verschiedene Reaktionsgeschwindigkeiten beobachtet, ungeachtet 
dessen ob das Reaktionsgemisch vor der Reaktion insoliert, oder 
mit flüssiger Luft längere Zeit abgekühlt, ob frisches Äthylbenzol 
oder ein solches, das sich bereits spontan entfärbt hatte, benutzt 
worden war!). 





1) Wir können vorläufig keine genügende Erklärung für diese abnorme Stö- 
rung geben und hoffen, zu einer weiteren Untersuchung dieser Erscheinung später 
zurückkehren zu können, glauben jedoch, daß diese spontane Entfärbung jeden- 
falls mit der Energie der Halogenwirkung im Zusammenhang steht. Während wir 
z. B. bei der Bromierung des Toluols in CCI, oder in reinem Toluol keine Unre- 
gelmäßigkeiten bemerkt hatten, konnten wir bei der Chlorierung desselben ganz 
ähnliche Erscheinungen, wie die bei der Bromierung des C,H,.C,H, in CCl, be- 
schriebenen wahrnehmen, weshalb diese Versuche als nicht abgeschlossen vorläufig 
nicht mitgeteilt werden. 

Es mag hervorgehoben werden, daß auch Hr. A. Slator in seinen orien- 
tierenden Versuchen über die unkatalysierte Dunkelchlorierung des Benzols nicht 


232 
, 

Um dennoch die in Rede stehenden Lösungsmittel in ihrer 
Wirkung bei der Bromierung des Äthylbenzols untereinander ver- 
gleiehen zu kónnen, haben wir damit Versuche bei niederer Tem- 
peratur angestellt in der Hoffnung, daf) bei verminderter Reaktions- 
geschwindigkeit die Stórungen entfallen werden. Das ist in der Tat 
der Fall, wie dies aus den unten mitgeteilten Tabellen zu ersehen 
ist. Die Versuchstemperatur war 10:09, mit in der Winterzeit bis 
1-0° reichenden Schwankungen im Tiefkeller des mineralogischen 
Instituts von Prof. J. Morozewicz, dem wir für sein freundli- 
ches Entgegenkommen zu bestem Dank verpflichtet sind. 


TABELLE III. 
Äth ylbenzol. Temperatur 10:0. 
t a T P NE K k, k, 





Lösungsmittel: Tetrachlorkohlenstoff. 











19 0:8836 0:3489 39:5 0:892 0:0114 
28 0:8401 0:5014 5977 0:892 0:0141 
51 0:8584 0:7043 821 0:869 0:0145 
0:884 0:0134 0:00155 0:0128 
Lósungsmittel: Benzol. 
11 0:3753 0:1569 418 0:708 0 0214 
32 0:3655 0:3190 871 0:707 0:0277 
0:707 0:0245 0:0072 0:0173 
C. Versuche mit den Xylolen. 
“TABELLE IV. 
1.40. Xylol. 
1. Lösungsmittel: Tetrachlorkohlenstoff. 
3 0:9198 0:4176 454 0:088 
e 0:9735 0:7510 774 0391 0:082 
su 1:0459 0:8856 847 0'443 0:093 
LAG SECURE SES MEDION S | 0076 
0:417 0:0847 0:0404 0:0353 





zu übereinstimmenden Resultaten gelangen konnte (Zeit. f. phys. Ch. 45, [1906] 
520). A. Slator hat der Erscheinung weiter nicht nachgeforscht, da es sich 
ihm nur darum handelte, festzustellen, daß die Reaktion jedenfalls eine langsame 
ist, und er begnügte sich mit dem Hinweis auf zufällige Katalysatorwirkungen, 
was in unserem Fall sicher nicht zutrifft. 


233 





























t a ac ae? f. ael ac K k, k, 
2. Lösungsmittel: Nitrobenzol. 
a, 0:2493 0:1700 68:2 
dëi à 0:1919 76:9 
ai. j 0:2087 83:7 
1 ^ 0:2329 934 0026 
I. m-Xylol. 
1. Lösungsmittel: Tetrachlorkohlenstoff. 
=: 0:2928 0:1378 47:1 2:655 
de ; 01828 61:8 2:508 
gä 2 0-2214 756 0:03 2-450 
et, n 0:2485 849 2-463 
0:03 2:519 2:44 0:077 
2. Lósungsmittel: Benzol. 
0 0:3130 
We 2 01616 51:6 5:042 
dÉ n 0:2976 66:3 4-955 
Vë À 0-2521 806 0010 4273 
"Tas o 0:2874 91:8 0:009 3:724 
0:010 4:50 4:45 0:04 
3. Lösungsmittel: Nitrobenzol. 
t a x a. 
"A 04974 04848 97:3 
III. Para- X ylol. 
t a a Sele La | K k, k, 
1. Lösungsmittel: Schwefelkohlenstoff. 
Gs 1:0022 0:6886 68:8 0:859 0:0517 
15 1:0864 0:8803 81:0 0:920 0:0481 
0:889 00499 00055 00444 
2. Lösungsmittel: Tetrachlorkohlenstoff. 
97, 07722 0232 308 0615 0040 
SA 0:9935 0:5433 547 0 044 
Se 0:5800 0:3596 62:0 0:647 0:043 
10 0:9391 0:5988 63:8 0:044 
0:681 0:043 00159 0:0271 


234 


t a q a. AE K k, k, 





3. Lüsungsmittel: Benzol. 


8, 04300 0057 13% 0:045 
3 07377 03808 516 0403 0105 
sv — 0840 05807 690 0420 ` 0103 


0412 0101 00594 00416 





t a x x) Ba) 





4. Lösungsmittel: Nitrobenzol. 


Jr 0:5937 0:4722 79:5 
18 a 0:5855 0:5207 88:9 0:041 
1 0:7617 0:6984 917 0:020 


D. Versuche mit iso-Propylbenzol. 
TABELLE V. 


Isopropylbenzol. 


t a ac L? fo HE K kı k, 


1. Lösungsmittel: Tetrachlorkohlenstoff. 
d 06141 04818 784 0-439 ` 0380 
3 0:2600 0:2468 94:9 0:425 0:431 
0:432 0:405 0:230 0175 





2. Lösungsmittel: Benzol. 
zs 0:6620 0:4919 742 0:442 0:672 
287 0:6526 0:5463 83:7 0:397 0:675 
0:419 0:673 0:392 0:281 





E. Versuche mit normalem Propylbenzol und sekundärem Butylbenzol. 


Diese Stoffe werden in verdünnter Tetrachlorkohlenstoff-Lösung 
(75 Vol.-Proz. OCl, 1 g Br, auf 30 em? Reaktionsgemisch) von 
Brom so schnell angegriffen, daß Geschwindigkeitsmessungen un- 
moglich sind. Bei Zimmertemperatur ist die Reaktion fast momen- 
tan (in weniger als 1 Minute beendet); bei 0° dauert der totale 
Verbrauch von Brom etwa 5 Minuten. 

In der angegebenen Verdünnung wird ausschließlich die Seiten- 
kette bromiert; die Reaktionsprodukte halten den Bromwasserstoff 
hartnäckig auf, so daß für das Verhältnis z,/r besonders mit Pro- 


235 


pylbenzol höhere Werte als 1 (sogar bis 1:29) erhalten werden. Mit 
Butylbenzol wurde x,/x gleich 1:08 gefunden. 

Das Reaktionsprodukt mit n. Propylbenzol scheint kein einheit- 
hieher Stoff zu sein: aus dem Reaktionsgemisch schieden kleine, 
seidenglänzende Nadeln aus, die in CCl, unlöslich, in Alkohol leicht 
löslich sind. Sie sind stark bromhaltig und sind wohl zweifach sub- 
stituierte Produkte, deren weitere Identifizierung für die von uns 
verfolgten Ziele unwesentlich erschien. Daß auch bei der großen 
angewandten Verdünnung mehrfach substituierte Produkte erschei- 
nen, hat bei der großen Reaktionsgeschwindigkeit nichts befrem- 
dendes. | 

Die Bromierung dieser so rasch in großer Verdünnung zu bro- 
mierenden Kohlenwasserstoffe bietet ein interessantes kinetisches 
Paradoxon, das besonders hervorgehoben werden mag. Wirkt auf 
Propylbenzol z. B. in Tetrachlorkohlenstoff Brom in größerer Kon- 
zentration ein, so verlangsamt sich die Reaktion außerordentlich und 
zugleich, wie bereits für Toluol nachgewiesen worden ist!), sinkt 
die Seitenketten-Ausbeute. In konzentrierter Lösung rea- 
giert Brom mit dem Gemisch langsamer als in ver- 
dünnter. Dies erhellt z. B. aus der unten stehenden Tabelle. 


TABELLE VI. 
Konzentration: cm? Ge- 


misch pro 1g Brom EE E sued x) CAE 





Temperatur 0°. 


30 il 0:3167 100 1:16 (s. ob.) 
15 24 0:9478 100 
9 24 0-5500 847 0:655 


Die Erklärung dieses scheinbaren Paradoxons ist wohl darin zu 
suchen, daß sich in konzentrierter Lösung der HBr mit Brom zu 
Polybromwasserstoffsäuren verbindet, die durch Binden des Broms 


die Reaktion verzögern und zugleich als kernsubstituierender Faktor 
wirken. 


Zusammenfassung der Ergebnisse. 


Die ın den Tabellen mitgeteilten Versuchsergebnisse lassen sich 
in folgender Tabelle zusammenfassen: 


1) Bull. Acad. des Sc. de Cracovie 1907, 698. 


TABELLE VII. 











































































































1) Die in 






































Schreibschrift gedruckten Werte beziehen sich auf die Temperatur 10°. 





























Toluol (25 Vol. Pr.) Äthylbenzol Isopropylbenzol 
Lösungsmittel = 
75 Vol. Pr. 
are Ee A| D) gm el, ar 
kk, kk, kk, 
Ee 
poele. |00010710:00541| 085 [0:00 0251 | 1.00 0:0055 0.0444 0:89 
ohlenstoff 
een 0:0044 ‚00057 | 0 566 0001550 0128| 0:88) 02300175) 0:43 |0:0494.0:0353| 0-42 |0:0159/0:0271) 0:63 | 2440076 003 
ECH 0:0072 \0:0173| 071%) 
0-0121 |0:0066 | 0355 00245 0'221 | 0:90 |0 392,0-281| 0 42 0594/00416 041 | 445/004 | 001 
Chloroform 0:0672 |0:1158| 0:633 
glo 2; [oc 25, [ac CNE CNE) aac 
Eisessig E = == : == 
| 004 0:27 
Phenyleyanid 0:22 | 
Nitrobenzol 0:02 0:27 0 02 


237 


Überbliekt man die in der Tabelle angegebenen Zahlen, so er- 
gibt sich daraus vor allem diese wichtigste Sehlufüfolgerung. daß 
die Verteilung der Reaktionsgeschwindigkeit auf 
Seitenkette und Kernsubstitution individuell durch 
das Lösungsmittel beeinflußt wird, indem im allge- 
meinen gemäß der von einem von uns entdeckten Ge- 
setzmäßigkeit die ionisierenden Lösungsmittel die 
Kernsubstitution befördern. Zieht man damit in Betracht 
den von L. Bruner und J. Dluska zuerst nachgewiesenen 
Einfluß der Konzentration auf die Seitenkettenausbeute, so wird 
man geneigt sein. dem in der Reaktion gebildeten und im Re- 
aktionsgemische gelösten Bromwasserstoff und dessen Ionen eine 
wesentliche Rolle für den Bromierungsverlauf zuzuschreiben. Je 
schwächer ionisierende Stoffe als Lösungsmittel angewendet werden, 
desto mehr steigt die Seitenkettenausbeute: der Schwefelkohlenstoff, 
und in zweiter Linie UCl, erweisen sich als die am meisten die 
Seitenkettesubstitution fördernden Lösungsmittel. Die Unterschiede 
der Ausbeute, die man durch Änderung des Lösungsmittels erzwin- 
gen kann, sind ganz enorm. besonders bei den Kohlenwasserstoffen, 
die in nieht ionisierenden Lösungsmitteln langsam angegriffen wer- 
den. So beträgt die Ausbeute an Benzylbromid in CS, 85°/,, in 
CHNO, und CH,COOH dagegen nur 2°/,. beziehungsweise 4°/,; 
ganz ähnliche Resultate ergab auch das p. Xylol in den genannten 
Lösungsmitteln. 

Da dieser Einfluß des Lösuagsmittels sich nicht nur auf die Dun- 
kelreaktion beschränkt, sondern sich, wie L. Bruner und J. D łu- 
ska nachgewiesen haben, auch auf die Photobromierung erstreckt, 
so muß er stets beachtet werden, wenn man zu vergleichenden 
Sehlüssen über den Verlauf der Bromierung gelangen will. So hat 
z. B. A. Korezynski!) bei seinen Versuchen über die Bromie- 
rung des Durols, Penta- und Hexamethylbenzols gefolgert, daß die 
Bromierung des Durols und Pentamethylbenzols gegen Lieht un- 
empfindlich ist: er hatte eben die genannten Kohlenwasserstoffe in 
Eisessig bromiert, der ein kernsubstituierendes Lösungsmittel ist. 
Wir haben uns leicht überzeugen können, daß in OS,-Lösung die 
Bromierung des Durols sogar sehr lichtempfindlich ist und dabei 
in verdünnter Lösung das Monobromduryl O,H,(CH;),. CH,Br vom 


1) Rozpr. Akad. Umiej. 42 (1902) S. 11. 
Bulletin III. : 


238 


Sehmelzpunkte 34° und augenreizenden Geruche entsteht. Dasselbe 
kann wohl von Pentamethylbenzol gelten, da Korezynski selbst 
bemerkt, daß sein Monobrompentamethylbenzol C;Br(CH;);, das er 
zufällig in CS,-Lösung untersuchte, gegen Brom lichtempfindlich ist, 

Die Berücksichtigung des Einflusses des Lösungsmittels bildet 
eine notwendige Vorstufe zu einer allgemeineren Systematik der 
Lichtempfindlichkeit der Halogensubstitution organischer Stoffe, die 
in einer späteren Arbeit behandelt werden soll. 

Was die stöchiometrischen Geschwindigkeitsverhältnisse anbe- 
trifft. so sei hier bemerkt, daß in der Seitenkette die Gruppe CH, 
von Brom am leichtesten substituiert wird, und zwar um so 
schneller, je länger die Seitenkette ist: so werden normales Propyl- 
benzol und sek. Butylbenzol viel schneller bromiert als das Äthyl- 
benzol. In allen diesen Fällen wird nach den Untersuchungen von 
J. Schramm die Gruppe CH, substituiert. In Toluol oder in den 
Xylolen ist die Methylgruppe viel schwieriger angreifbar. 

Durch Metasubstitution wird die Angreifburkeit des Benzolkerns 
z. B. in Meta-X ylol außerordentlich stark erhöht, so daß dadurch bei 
annähernd unveränderter Angreifgeschwindigkeit der Methylgruppen 
die Seitenkettenausbeute auch in nicht ionisierenden Lösungsmitteln 
fast auf Null sinkt. Während die k,-Werte für Ortho- und Para- 
Xylol von derselben Größenordnung sind, sind sie bei Meta-Xylol 
etwa 100 mal größer. 


Krakau. Zweites Chem. Laboratorium der k. k. Jagell. Universität. 


13. Sztuczne pobudzenie jajek Aricit do rozwoju parte- 
nogenetycznego. — Einleitung der künstlichen Parthe- 
nogenese bei Aricia. Mémoire de M. K. KOSTANECKI m. t. 


In den Monaten März und April 1907 habe ich während meines 
Aufenthalts an der zoologischen Station in Neapel versucht, die 
Eier verschiedener Anneliden künstlich zu parthenogenetischer 
Entwicklung anzuregen, jedoch fielen die Versuche, trotzdem ver- 
schiedene diesbezügliche Agentien in mannigfachen Modifikationen 
angewandt wurden, negativ aus. Nur bei Aricia ist es mir gelungen, 
die Eier künstlich zu parthenogenetischer Entwieklung zu veran- 
lassen, wenngleich die Entwicklung über die ersten Stadien nieht 
hinauskam. | 


239 


Um eine Handhabe zur Beurteilung der bei der künstlichen 
Parthenogenese sich abspielenden Vorgänge zu gewinnen, habe ich 
auch die Befruchtungsstadien der Eier zu sammeln gesucht. Die 
künstliche Befruchtung blieb resultatlos, trotzdem sie zu wiederhol- 
ten Malen mit verschiedenen Individuen vorgenommen wurde; in- 
dessen gelang es mir. aus dem Sande, in welchem die Tiere leben, 
unter den von den Tieren spontan niedergelegten Eiern befruchtete 
und sich entwickelnde Eier herauszufinden. Ich halte es für über- 

















Fig. 1. 


flüssig, hier eine eingehende Schilderung der Reifungs- una Be- 
fruchtungsvorgänge und der hiebei auftretenden Bilder zu geben. 

Die Eier, welche befruchtungs- und entwickelungsfähig sind, 
werden bei Aricia im Stadium des Muttersterns der ausgebildeten 
ersten Richtungsspindel abgelegt. Die verhältnismäßig schmale aber 
langgezogene Richtungsspindel liegt im Zentrum des Eies; die schon 
in Teilung begriffenen Chromosomen liegen in diehtem Haufen in 
der Achse der Spindel, während an dem peripheren Teile der Zen- 
tralspindel die Spindelfasern frei von Pol zu Pol verlaufend zu 
su sehen sind (vergl. Fig. 1.). Als die Richtungsspindel in radialer 
Richtung gegen die Peripherie vorrückt, erscheint sie kürzer aber 

8* 


240 


breiter, und die Chromosomen sind in der ganzen Breite ihres Äqua- 
tors lockerer angeordnet (Fig. 2.); man kann sowohl in diesem Sta- 
dium, als auch während der darauf folgenden Metakinese auf gün- 
stigen Schnitten feststellen, daß sie neun an Zahl vorhanden sind; 





Fig. 2. 


dasselbe läßt sich bei der Ausbildung der zweiten Richtungsspindel 
und der Ausstoßung des zweiten Richtungskörpers feststellen. 

Die Ausbildung der karyokinetischen Figuren der ersten und 
der zweiten Richtungsspindel (Fig. 3.) geht mit dem Auftreten einer 
mächtigen Strahlung einher, welche gegen die deutlichen punktför- 
migen Zentriolen hin von differenter zarterer Beschaffenheit sind, 





Fig. 3. 


so daß aus diesem Verhalten ein charakteristisches Bild von mäch- 
tigen Sphären resultiert. 

Den Spermakopf fand ich schon während der Wanderung der 
ersten Richtungsspindel etwas angeschwollen und vor ihm eine zarte 
Strahlung, welche während der Ausbildung der zweiten Richtungs- 


241 


spindel anwächst, inmitten der Strahlung sieht man ein einfaches 
oder doppeltes Zentriol (Fig. 3.). Die sehr großen. von sehr grob- 
körnigem Deutoplasma erfüllten Eier von Aricia sind ein sehr un- 
günstiges Material, um daran die weiteren Stadien, das Verhältnis 
der Spermastrahlung zu den Geschlechtskernen u.s.w. zu studieren, 
zumal die einzelnen Teile. die Kerne und die achromatischen Fi- 
guren in mehrere Schnitte zerlegt sind; aus den Figuren, die ich 
erhalten habe. kann man jedoch ersehen, daß sie mit den bei anderen 
Anneliden erhaltenen Einzelheiten die ganze Zeit hindurch bis zur 
Ausbildung der ersten Furchungsspindel übereinstimmen. 

Die fertige Furchungsspindel verändert ihre anfänglich axiale La- 
' ge und stellt sich etwas mehr seitlich, so daß die erste Teilungsfurche 








Fig. 4. 


seitlich einschneidet und es so zur Teilung in zwei ungleich große 
Blastomeren kommt. Auch bei der nachfolgenden zweiten Furchungs- 
teilung teilt sich die größere Furchungskugel in zwei ungleiche 
Blastomeren, während die kleinere, und zwar schon früher, in zwei 
gleich große Blastomeren zerfällt, welche der kleineren von den aus 
der Teilung des größeren Blastomers hervorgegangenen Zellen an 
Größe gleichkommen, so daß das Bild. abgesehen von der Größe 
der Blastomeren, dem Furchungstypus gleicht, wie ich ihn bei 


242 


Mactra und zahlreiche Autoren bei anderen Tieren beschrieben ha- 
ben. Fig. 4 stellt einen Schnitt durch die beiden ersten Blastome- 
ren dar; dem oben erwähnten Teilungsmodus entsprechend sieht 
man in dem kleineren Blastomer die mitotische Figur bereits im 
Stadium der Metakinese, während in dem größeren die Spindel 
erst in Bildung begriffen ist. 

Um die Eier zu parthenogenetischer Entwicklung anzuregen, 
habe ich verschiedene, bisher bei anderen Tieren angewandte Me- 
thoden versucht. so die Behandlung mit hypertonischen Lösungen, 
sodann die von Lefevre mit so günstigem Erfolge bei Thalassema 
verwendeten Säurelösungen (Salpetersäure, Salzsäure, Schwefelsäure, 
Oxalsüure, Essigsäure), schließlich die kurze. Einwirkung von Säu- ' 
relösungen (Essigsäure, Salpetersäure) mit nachfolgender Übertra- 
gung in hypertonische Lösungen. Aber nur die letzte Methode hat 
zu einem positiven Ergebnis geführt, während innerhalb der ersten 
alle Versuche trotz der mannigfaltigsten Modifikationen durchaus 
erfolglos geblieben sind. 

Bei Anwendung von Säurelösungen mit nachfolgender Übertra- 
gung in hypertonische Lösungen gab die Essigsäurelösung weniger 
gute Resultate, verhältnismäßig am wirksamsten erwies sich die 
HNO, - Lösung unter nachfolgender Behandlung mit KCl- oder 
KNO,-Lösungen. 

Ich verfuhr dabei folgendermaßen: Da bei Aricia die mit Eiern. 
resp. Spermatozoen prallgefüllten Geschlechtsorgane durch die Haut 
hindurchschimmern, läßt sich das Geschlecht am lebenden Tiere 
leicht erkennen. Es wurden also die Weibehen sofort nach Beschaf- 
fung des Materials isoliert, von dem ihrer Oberfläche anhaftenden 
Sand möglichst gründlich gereinigt und das Meerwasser, in dem sie 
verblieben, mehrere Male gewechselt; bevor sie zur Verarbeitung 
gelangten, wurden sie, um noch etwa anhaftende Spermatozoen zu 
beseitigen. gründlich in fließendem Süßwasser ausgewaschen. Diese 
Vorsichtsmaßregeln genügten vollkommen, denn in den darauf auf 
Schnitten untersuchten Eiern wurde niemals ein Spermatozoon vor- 
gefunden, so daß eine Befruchtung als völlig ausgeschlossen gelten 
darf. 

Die Weibehen wurden aus dem Süßwasser in frisches Meerwas- 
ser gebracht und sodann zersehnitten. wobei sich aus den Gonaden 
die Eier entleerten. Diese wurden von anderen Teilen (wie Stücke 
des zerschnittenen Leibes, dem Sand aus dem Verdauungskanal 


243 


u. s. w.) schnell isoliert und in eine Mischung von 10 Teilen einer 
1/,, n. Lösung von Salpetersäure auf 90 Teile Meerwasser gebracht; 
hierin verblieben sie 2—2!/, Minuten, wurden sodann in frisches 
Meerwasser, daraufhin in eine Mischung von 10 cem einer 21/, n. 
KCI-Lüsung auf 90 eem Meerwasser übertragen. Die besten Re- 
sultate wurden erzielt, wenn sie in der letztgenannten Mischung 
15 — 20 Minuten verblieben und sodann in reines Meerwasser ge- 
bracht wurden; längeres Verweilen in KCl-Lósung oder Anwendung 
stärkerer Lösungen beeinflußte die Eier ungünstig; wenn die Eier 
in KCl-Lösung länger, ungef. 45 — 50 Minuten blieben, wurde die 
Ausstoßung der Richtungskörper völlig unterdrückt; statt der 21), 
n. KCI-Lüsung wurde mit gleichem Erfolge auch eine 21/, n. KNO,- 
Lösung angewandt. 

Die Eier von Aricia sind absolut undurchsichtig, so daß über 
die im Innern der Eier vor sich gehenden Veränderungen kein 
Aufschluß am lebenden Material zu erhalten ist. 

` Sobald die Eier aus der HNO,-Lösung in reines Meerwasser über- 
tragen werden, sieht man an einem Teil der Eier, etwa bei 40 —50°/,, 
sich eine Membran abheben; bei einigen derselben tritt diese gleich- 
mäßig im ganzen Umfange des Eies auf, bei anderen hebt sie sich 
nur teilweise deutlich ab, während sie im übrigen Umfange des Eies 
sich weniger schart absondert und durch protoplasmatische Fäden 
oder eine lockere Protoplasmaschicht mit dem Eizelleibe verbunden 
bleibt. Anfänglich erscheint die Membran in Falten gelegt, gleich- 
sam gerunzelt, glättet sich erst allmählich. und zwar vor allem an 
solchen Eiern, welche weiterhin, wie der Verlauf der Versuche zeigte, 
sich am besten entwickelten; bei diesen war stets eine regelmäßige, 
dicke, doppelt konturierte Membran durch einen deutlichen perivi- 
tellinen Raum von der Eioberfläche geschieden. Nach ungefähr 50 
Minuten sieht man an manchen Eiern, welehe eine Membran gebil- 
det haben, an der Peripherie des Eies sich allmählich eine hellere 
Stelle ausbilden und sodann sich einen hellen Hügel emporheben, 
bis sich schließlich ein absolut hellklares, der deutoplasmatischen Teile 
vollständig entbehrendes Bläschen abschnürt, nämlich der erste 
Richtungskörper, während an dem Ei an dieser Stelle eine leichte 
Vertiefung zurückbleibt. 

Bei vielen Eiern verzögert. sich die Ausstoßung des ersten Rich- 
tungskörpers sehr bedeutend, bei anderen, auch bei solehen, die 
die Membran ausgebildet haben, unterbleibt sie vollständig, zum. 


Teil selbst dann, wenn sich auch an der Peripherie ein helleres 
Feld auszubilden begonnen hat. 

Nach Ausstoßung des ersten Richtungskörpers sieht man in sehr 
wechselnder Zeit, bisweilen nach weiteren 30—40 Minuten, biswei- 
len aber erst viel später, sich wieder ein helleres Feld ausbilden 
und emporheben, worauf sich der zweite Richtungskörper abschniirt, 
der in der Regel kleiner ist. 

Inzwischen sieht man aber sehr oft den ersten Richtungskörper 
sich in der tangentialen Richtung (im Verhältnis zur Eikugel) in 
die Länge strecken, sich durchsehnüren, wodurch eine Teilung in 
zwei kleinere gleiche Zellen erfolgt, so daß zusammen mit dem 
ausgestoßenen zweiten Richtungskürper drei kleine Richtungskör- 
per zu sehen sind. Anderseits muß man. falls man an lebendem 
Material zwei Richtungsbläschen sieht, in der Beurteilung vorsich- 
tig sein, da es sich hier entweder um den tatsächlich ausgeschie- 
denen ersten und zweiten Richtungskörper. aber möglicherweise 
auch um die Zweiteilung des ersten Richtungskörpers handeln 
kann. Die Größe der wahrgenommenen hellen Bläschen kann hier- 
bei als gewisser Hinweis gelten, da der erste Richtungskörper in 
der Regel größer, der zweite kleiner ist, doch muß man bedenken, 
daß die Größe der Richtungskérper großen individuellen Schwan- 





Fig. 5. Fig. 6. 


kungen unterliegt. Anderseits konnte ich bei fortlaufender Beobach- 
tung des lebenden Materials feststellen, daß auch Eier, die nur 
einen Richtungskürper ausgestoßen hatten, sich sodann furchten. 
Nach Ausstoßung der Richtungkörper verschwindet alsbald das 
helle Feld an der Peripherie unter der Abschnürungsstelle der 
Richtungskörper und, nachdem ein Zeitraum von 1—1!/, Stunden 


247 


vergangen ist, also etwa 2!;, Stunden vom Beginn des Experiments, 
bisweilen jedoch viel später, sieht man. wie die erste Furche zu- 
nächst an der Ausstofungsstell der Riehtungskórper, sodann im 
weiteren Umkreise einschneidet, wodurch es zur Teilung in zwei 
Blastomeren kommt. Diese sind entweder, wie bei den befruchte- 
ten Eiern von Aricia, von ungleicher Größe (einen solchen typischen 
Fall stellt Fig. 5 und 6 dar), so daß die Teilungsfurche schief ver- 
läuft, oder aber sie sind einander völlig gleich, wobei die Teilungs- 
furche völlig meridional liest. Einige von diesen Eiern verbleiben 
auf dem Zweizellenstadium, einige teilen sich sodann weiter, indem 
unter Durehschnürung des kleineren Bla- 
stomers zunächst 3 Zellen (vergl. Fig. 7.), 
sodann unter Durchschnürung des größe- 
ren 4 Furchungszellen entstehen; ein ge- 
ringer Prozentsatz gelangte zum 6- oder 
8-Zellenstadium, darüber hinaus entwickel- 
ten sie sich. nicht. 

Diese wenig weit vorgeschrittene Ent- 
wickelung wird vielleicht verhältnismäßig 





weniger ungünstig beurteilt werden dürfen, Fig. 7. 

wenn man bedenkt, daß an dem von mir 

in diesem Jahre verwendeten Material die künstliche Befruchtung 
überhaupt nieht gelingen wollte, und auch die aus dem Sand, in 
dem die Tiere lebten, ausgespülten befruchteten Eier sich nur teil- 
weise weiter entwickelten; es ist möglich. daß in einem anderen 
Jahre, zu anderer Jahreszeit, an anderem Material, sowohl die 
künstliche Befruchtung ein positives Resultat ergibt, als auch die 
Bier in ausgiebigerem Maße sich zu parthenogenetischer Entwick- 
lung werden anregen lassen und weiter vorgeschrittene Stadien 
erreichen. Es ist aber auch sehr wohl möglich, daß zum Gelingen 
der künstlichen Befruchtung die Anwesenheit der Schleimhülle, in 
der die Tiere steeken, notwendig ist; natürlich müßte dennoch bei 
Versuchen über künstliche Parthenogenese die Schleimhülle entfernt 
werden, da sonst hiedurch alle Maßregeln behufs Eliminierung der 
Spermatozoen illusorisch würden. 

Nicht alle Eier, welche zwei oder eventuell einen Richtungskör- 
per ausgestoßen hatten, entwiekelten sich in der oben beschriebe- 
nen Weise, wenn auch anfangs bei ihnen dieselben Veränderungen 
sich einzuleiten schienen. 


246 


Nach Ausstoßung der beiden oder des ersten Richtungskürpers 
verschwand. wie wir gesehen haben, das hellere Feld an der Pe- 
ripherie, zur Zeit aber, als andere Eier sich zur Teilung in zwei 
Blastomeren anschiekten, konnte man an einer ganzen Reihe von 
Eiern plötzlich ganz auffallende Änderungen wahrnehmen: an der 
Oberfläche der Eier zeigten sich in mehr oder weniger, meist aber 
vollständig regelmäßigen Abständen tiefe Einkerbungen, so daß die 
ganze Eikugel oberflächlich vollständig zerklüftet, wie mit lauter 
Beulen besetzt aussah. Bei Betrachtung unter dem Mikroskop 
könnte man glauben, das typische Bild der Zellknospung wahrzu- 
nehmen: bekäme man ein solches Ei, ohne daß man es vorhin beob- 
achtet hätte, zu Gesicht, so könnte man vermuten, ein spätes Sta- 
dium eines durchfurchten Eies vor sich zu haben, eine aus klei- 
nen Zellen zusammengesetzte Morula oder Blastula. Diese Zerklüf- 
tung des Eizelleibes ist indes eine vollkommen pathologische Er- 
scheinung, auf Schnitten sieht man in den zerklüfteten Territorien 
weder Kerne noch Strahlungen, der Eikern liegt entweder unter der 
Abschnürungsstelle des Richtungskürpers, oder in der Mitte des 
Eizelleibes. 


Trotzdem bei Aricia. wie wir gesehen haben, nur die ersten 
Furchungsstadien auf dem Wege der künstlichen Parthenogenese 
sich erreichen ließen und trotzdem nur ein verhältnismäßig kleiner 
Teil der Eier überhaupt zur Entwickelung angeregt wurde, schien 
es mir außer der Tatsache, daß die Einleitung einer künstlichen 
Parthenogenese bei diesen Eiern möglich ist. auch von Interesse, 
die im Innern dieser Eier sich abspielenden Vorgänge näher zu 
studieren. Ich habe deswegen die einer ganzen Reihe von Versu- 
chen entnommenen, in verschiedenen Entwieklungsstadien- befindli- 
chen Eier in der von mir üblichen Weise fixiert, eingebettet, in 
75 u dicke Schnitte zerlegt und entweder mit Hämatoxylin-Ei- 
senalaun allein, oder unter Vorfärbung mittels Bordeaux R. tingiert. 

Da die Eier von Aricia noch innerhalb der Gonaden die erste 
Reifungsspindel ausbilden, so sieht man im Innern der Eier, wel- 
che unmittelbar aus der Mischung von Meerwasser mit HNO,- 
Lösung, wo sie 2—3 Minuten verweilten, fixiert wurden. ebenso 
an den Eiern, welche nach Ausspülung im Wasser in die 
KCl Lösung übertragen und in einigen Minuten abgetötet wur- 


——<— Cl ee A 


247 


den, nur wenige Veränderungen; die meisten bieten das Bild 
einer zentral gelegenen langgezogenen Spindel mit axial angeord- 
; in eini- 
gen sieht man nur die Richtungsspindel aus ihrer zentralen Lage 
gegen die Peripherie emporgeschoben. Was die einzelnen Teile der 


neten Chromosomen, wie wir es in Fig. 1 gesehen haben; 





Wo 2 
Wie. 8. 


mitotischen Figur betrifft, unterscheiden sie sich weder anfänglich 
noch später von denjenigen in befruchteten Eiern. Ebenso analoge 
Bilder liefern auch die Stadien, wo die Richtungsspindel dicht an 
der Peripherie gelegen ist (vergl. Fig. 8.), wo sich dann der Hü- 





gel des ersten Riehtungskörpers emporzuwölben beginnt und ebenso, 
als sich derselbe bereits abschniirt. Man kann in diesem Stadium 
deutlich wahrnehmen. daß in den ersten Richtungskörper 9 Chro- 
mosomen übergegangen und ebenso 9 Chromosomen im Ei verblie- 
ben sind (vergl. Fig. 9.); unter Teilung des mit ihnen in der Ei- 
zelle verbliebenen Zentriols bildet sich die zweite Richtungsspindel 
aus, welche sowohl, was die Zentralspindel, als auch was die Pol- 
strahlung betrifft, viel zarter als die erste erscheint (vergl. Fig. 10; 


a 


248 


der erste Richtungskörper ist hier gerade im Begriffe, sich in zwei 
kleinere Tochterzellen zu durchschnüren). Nach Ausstoßung des 
zweiten Richtungskürpers bildet sich aus den im Ei verbliebenen 
9 Tochterchromosomen ein ruhender Kern, der meist etwas in die 
Länge gestreckt erscheint und mit seiner Längsachse entweder 
quer oder radiär gestellt sein kann. An seiner dem Eiinnern zu- 





Fig. 10. 


gekehrten Seite beginnt sich eine Strahlung auszubilden (Fig. 11.), 
sie ist anfänglich auf einen der Kernmembran offenbar dicht an- 
liegenden Punkt gerichtet, in anderen Eiern ist die dem Kern 
anliegende Strahlung dizentrisch, aber auch dann noch anfänglich, 
wo sie nur schwach ist. auf zwei der Kernperipherie unmittelbar 





Fig. 11. 


anliegende Punkte zentriert, erst nach und nach rückt sie, wie 
weitere Bilder lehren. von dem Kern ab (vergl. Fig. 12.). Dies lei- 
tet die Ausbildung einer typischen Furchungsspindel ein. welche 
sich nur dadureh von derjenigen der befruchteten Eier unterschei- 
det, daß in ihr 9 Chromosomen statt 18 enthalten sind; die Chro- 
mosomen haben die typische Gestalt von Chromatinschleifen. Auch 
die weiteren Bilder, das Muttersternstadium, die Tochtersterne (vergl. 
Fig. 15. wo die Spindel tangential en ist), überhaupt 
die Bilder bis zur Zweiteilung des Zelleibes unterscheiden sich, 


249 


abgesehen von der Chromosomenzahl, in keiner Beziehung von de- 
nen in befruchteten Eiern; die mitotische Figur erscheint nur öf- 
ters nieht, wie es in befruchteten Eiern der Fall ist, nach der Seite 
gerückt, sondern ist in der Achse des Eies gelegen, was der schon 





Fig. 12. 


an lebendem Material beobachteten Tatsache entspricht, daß die bei- 
den ersten parthenogenetischen Blastomeren öfters von gleicher 
Größe waren. wenn auch meist das parthenogenetisch sich fur- 





Fig. 13. 


chende Ei, ebenso wie das befruchtete, in zwei ungleich große 
Blastomeren zerfällt (Fig. 4 und 5.). 

Es muß also für Aricia festgestellt werden, daß bei ihren Ei- 
ern, ebenso wie bei den Eiern von Mactra und einer Reihe ande- 
rer Tiere, wo unreife Eier abgelegt werden, die Anwendung der 
hypertonischen Lösung zunächst dieselbe Wirkung hat, wie sie auch 
das ins Ei eindringende Spermatozoon ausübt, nämlich, daß sie im- 
stande ist, die Reifungsteilungen auszulösen. Das unbefruchtete abge- 


legte Ei enthält die erste Richtungsspindel in der Phase des Mut- 
tersterns und es verbleibt auf diesem Stadium, wenn es in gewöhn- 
lichem Meerwasser belassen wird. beliebig lange. erst das Eindrin- 
gen des Spermatozoons bringt die weiteren Veränderungen der 
Reifungsteilung in Gang, „allein diese Wirkung des Spermatozoons 
ist nicht seine befruchtende* (Boveri); dieselben Veränderungen 
werden auch durch hypertonische Lösungen hervorgerufen, es han- 
delt sich hierbei, wie in befruchteten Eiern, um Anregung der 
vorhandenen Eizentriolen zur weiteren Tätigkeit (ebenso wie bei 
Mactra, Thalassema u. a. um Anregung des einfachen Eizentriols 
zur Teilung) ohne Bildung von neuen protoplasmatischen Strahlun- 
gen, von neuen Zentren, ohne Auftreten von „Oytastern“, von künstli- 
chen Astrosphüren. Beim befruchteten Ei stammen die Zentren der 
Furehungsspindel aus der Teilung des vom Spermatozoon ins Ei 
eingeführten Zentriols, wührend das Zentriol das nach Ausstofung 
der zweiten Richtungsspindel im Ei zurückgeblieben ist, nicht mehr 
in Erscheinung tritt; die Anwendung der hypertonischen Lösung 
hat aber bei Aricia nicht nur die Auslösung der Reifungsteilungen 
zur Folge, sie regt auch das am Eikern zurückgebliebene Eizen- 
trum zur weiteren Teilung und zur Bildung der Zentren der Fur- 
chungsspindel an; auch während dieses die „befruchtende“ Wir- 
kung des Spermazentrums ersetzenden Vorganges ist keine Spur 
von neuen, im Plasma unabhängig entstehenden Zentriolen oder 
Strahlungen zu sehen. 

In dieser Beziehung sehen wir also einen Unterschied von den 
Vorgängen, welche bei Eehinodermen (deren Eier als reife Eier 
mit bläschenförmigem Eikern nach Ausstoßung der beiden Rich- 
tungskörper entleert werden) in Erscheinung treten, wie wir sie 
vor allem aus der Arbeit Wilsons kennen. dagegen stehen die 
Vorgänge bei Aricia mit den Beobachtungen über die Einleitung der 
künstlichen Parthenogenese bei unreif abgelegten Eiern im Einklang. 
wie wir sie aus den Arbeiten anderer Autoren zum Teil nur vermuteten, 
zum Teil, insofern genauere, an Schnitten ausgeführte Untersuchun- 
gen vorliegen. direkt aus den Beschreibungen herauslesen können. 
Am meisten nähern sich die Vorgänge denjenigen Bildern, die 
Lefevre als Anfangsstadien der bei Thalassema melita so schön 
und regelmäßig bis zum Larvenstadium fortschreitenden künstli- 
chen parthenogenetischen Furchung beschreibt. Lefevre sah aller- 
dings zu beiden Seiten des nach Ausstoßung der beiden Richtungs- 


251 


körper aus den im Ei verbliebenen Chromosomen gebildeten bläs- 
chenförmigen Eikerns gleichzeitig zwei kleine Strahlungen auftre- 
ten, welche zu Teilungszentren der ersten Furchungsspindel wer- 
den; da Lefevre dieselben nicht auf die Teilung einer vorhin 
wahrnehmbaren einfachen Strahlung zurückführen und da das mit 
den Chromosomen im Ei verbliebene Zentriol, wie gewöhnlich nach 
den Reifungsteilungen, nicht wahrgenommen werden konnte, so 
sieht er keinen Anhaltspunkt und keine Berechtigung zu der An- 
nahme, daß diese Strahlungen mit der Teilung des Eizentriols im 
Zusammenhange stehen. Lefevre. der auch für die Zentriolen 
der ersten Furchungsspindel in befruchteten Eiern den Standpunkt 
vertritt. daß sie de novo entstehen und nicht dem geteilten Sper- 
mazentriol entstammen, faßt auch die Teilungszentren der ersten 
parthenogenetischen Furchungsspindel als Neubildungen auf. 

Da ich an dem Eikern anfänglich nur eine Strahlung auftreten 
sah, und zwar an der Stelle, wo man das im Ei nach den Rei- 





fungsteilungen verbliebene Eizentriol vermuten dürfte, und diese 
einfache Strahlung sicher wohl die daraufhin wahrnehmbaren zwei 
Strahlungen liefert. so bin ich geneigt, die Teilungszentren der 
ersten Furchungsspindel mit dem Eizentrum in Zusammenhang zu 
bringen. Die nahe Lagerung der Strahlung an dem Kerne und da- 
her die Unmöglichkeit, in derselben das Zentriol aufzufinden, er- 
schwert die bestimmte Entscheidung der Frage; ich hoffe auf Grund 
neuer, vielleicht unter günstigeren Bedingungen unternommener 
Versuche auf diesen Punkt zurückkommen zu können. 

Ich habe schon an lebendem Material bemerkt, daß ab und zu 
einige Eier nur einen Riehtungskörper ausstießen und zur Zeit. 
als in anderen die Ausstoßung des zweiten Richtungskörpers er- 


252 


folgte, diese sich in zwei Blastomeren teilten. Dementsprechend 
fand ich auch an Schnittpräparaten in Eiern, die sicher nur einen 
Richtungskérper aufwiesen, eine schon ausgebildete, bisweilen schon 
im Stadium der Metakinese befindliche Spindel, die nicht, wie dies 
bei der zweiten Richtungsspindel der Fall ist, schief oder radiär 
gestellt war, sondern tangential lag. Solche Spindeln waren auch 
mehr von der Eiperipherie entfernt, dem Eiinnern zugekebrt, man 
sah in ihnen öfters die doppelte Zahl von Chromosomen, die sich 
selbst wieder zur weiteren Teilung anschickten (vergl. z. B. Fig. 
14. in der oben der erste in zwei durch einen Zwischenkörper 
verbundene Tochterzellen geteilte Richtungskörper zu sehen ist). 

Ich habe gleichfalls an lebendem Materiale festgestellt, daß ei- 
nige Eier überhaupt keine Richtungskörper ausgestoßen hatten; 





Fig. 15. 


ein großer Teil dieser Eier verharrte jedoch nicht einfach in dem 
Stadium der ersten Richtungsspindel, wie sie in den entleerten 
Eiern schon zu sehen ist, sondern es gingen in ihnen verschiedene 
Veränderungen vor. die zu mannigfachen Bildern führten. So sah 
man in einigen schon nach längerer Zeit fixierten Eiern die erste 
Richtungsspindel noch in der Mitte des Eies liegen, die Chromo- 
somen bildeten eine Äquatorialplatte oder waren in Metakinese be- 
griffen, an den Polen waren die Zentriolen jedoch nicht nur geteilt, 
sondern die beiden Teilhälften waren sogar bedeutend voneinander 
entfernt, so daß die ganze mitotische Figur die Gestalt eines großen 
techtecks darbot. In anderen sah man vielpolige Figuren oder 
mehrere, offenbar aus den zurückgehaltenen Richtungsspindeln ge- 
bildete Kerne. Bisweilen waren gegen die Peripherie genäherte 
dreipolige Riehtungsspindeln zu sehen, die in Metakinese begriffe- 
nen Chromosomen waren entweder auf alle drei Pole oder nur 
auf zwei von ihnen verteilt (vergl. z. B. Fig. 15.). 


253 


Ab und zu sah ich auch unter den Eiern, welche längere Zeit 
seit Beginn des Experiments fixiert wurden, neben Eiern, welche 
sehon die zweite Richtungsspindel ausgebildet haben, auch solche, 
welche die erste Richtungsspindel enthielten und in derselben an 
jedem, oder an dem gegen das Eïinnere gekehrten Pol 18 Chro- 
mosomen statt der gewöhnlichen Neunzahl aufwiesen. Ich vermute, 
daß diese Richtungsspindeln mit verdoppelter Chromosomenzahl 
dadurch entstanden sind, daß die erste Richtungsspindel längere 
Zeit in dem Stadium des Muttersterns oder der Metakinese ver- 
weilte und daß die Vierergruppen sich in ihre einzelnen Elemente 
auflösten. Bisweilen sah man jedoch die in doppelter Zahl vorhandenen 





Fig. 16. 


Chromosomen in weiterer Teilung begriffen (vergl. Fig. 16.), was 
schon entschieden als eine pathologische Erscheinung aufgefaßt 
werden muß und darauf hinweist, daß das Wechselverhältnis zwi- 
schen Kern und Protoplasma (in diesem Falle den in reger Tei- 
lung begriftenen chromatischen Teilen gegenüber den wie gelähm- 
ten Teilen der achromatischen Spindel) durch die angewandten 
Agentien eine Störung erfahren hat; dieselbe Erscheinung liegt wohl 
auch dem oben besprochenen, in Fig. 14 dargestellten Bilde zu- 
grunde. 





14. Rodzaj Turritella w miocenie ziem polskich. — Be- 
schreibung der Gattung Turritella im Miozän von Polen. 
Mémoire de M. WILHELM FRIEDBERG, présenté par M. J. Niedz- 
wiedzki m. t. dans la séance du 7 Decembre 1908. 

(Planches II et III). 
Seit einigen Jahren bin ich mit paläontologischen Studien an 
miozänen Konchylien von Polen beschäftigt. Dabei habe ich be- 


Bulletin III. 9 


254 


merkt, daß die Gattung Turritella bei uns stark entwickelt ist und 
daß manche Formen mit den gewöhnlich ausgeschiedenen Arten 
nieht übereinstimmen. Diese Beobachtung gab mir Anlaß zur vor- 
liegenden monographischen Arbeit. 

Das benützte Material stammt zum Teil aus meinen eigenen 
Sammlungen, außerdem habe ich das ganze Material des Dziedu- 
szyckischen Museums in Lemberg und der Physiographischen 
Kommission in Krakau zur Verfügung gehabt, andere mir zum 
Gebrauche frei stehende Sammlungen wurden auch berücksichtigt. 

Die bei der Bearbeitung benützte Literatur ist nicht sehr um- 
fangreich (sie ist bei jeder Art angegeben), denn leider standen 
‘mir in Lemberg keine reicheren Quellen zur Verfügung. Außer 
der Literatur über das Miozän von Polen, welche ich fast ganz 
heranziehen konnte, wurden die Hauptarbeiten über fremde Gebiete 
(H. Hörnes, Sacco) berücksichtigt. Außerdem stand zu meiner 
Verfügung noch ein kleines Vergleichsmaterial. 


Turritella turris Bast. 

Turritella turris Basterot, Description géologique du bassin ter- 
tiaire du Sud-Ouest de la France“. 1825, Seite 29, Taf. I, Fig. 11. 

Beim Vergleiche zahlreicher Exemplare dieser Art aus Leognan 
bei Bordeaux, aus der Umgegend von Wien (Baden, Vöslau, Soos) 
und aus Korytnica kann man leicht erkennen, daß die T. turris 
aus Leognan mit den Exemplaren bei Wien und Korytnica nicht 
identisch ist. Obwohl die unteren Windungen bei Individuen aller 
Lokalitäten übereinstimmen (fünf Querreifen, von denen der vierte 
am stärksten ist) haben doch die Exemplare von Leognan (Taf. II 
Fig. 1) auf den Anfangswindungen einen deutlichen Kiel, auf wel- 
chem der stärkste Reifen verläuft und deshalb verleihen sie dem 
jüngeren Teile des Gehäuses ein schraubenförmiges Aussehen; die 
Embryonalwindungen haben auch diesen Kiel, jedoch nur einen 
Reifen. 

Alle Exemplare aus der Umgegend von Wien (zirka 50), welche 
ich durchmustert habe, und die von Korytnica (zirka 100) besitzen auf 
den ersten Windungen keinen Kiel und 5 oder wenigstens 3 Quer- 
reifen. Diesen Unterschied der typischen Form von Basterot ge- 
genüber hat auch wahrscheinlich Sacco!) bemerkt, wenn er (zwar 


1) Saeco, „I molluschi dei terreni terziarii del Piemonte e della Liguria‘. 
Teil 19, Seite 3. 


255 


ohne die Diagnose zu geben) die vom M. Hörnes beschriebene 
Form als eine Varietät (Turritella turris Bast., var. badensis Sacco) 
beschreibt. 

Turritella turris ist sehr veränderlich, ich mußte deshalb einige 
Varietäten unterscheiden. 


Turritella turris Bast., forma typica. Taf. II, Fig. 2. 

Anfangswindungen mit Kiel und geringer Zahl von Querreifen. 

Loe.: Korytniea (1 unvollständiges Exemplar.), Woroniaki (1 
Bruchstiick). - 


Turritella turris Bast., var. badensis Sacco. Taf. II, Fig. 3—4. 

Turritella turris Bast. — H. Hörnes: Die fossilen Mollusken 
v. Wien. Bd. I, Seite 423--4, Taf. 45, Fig. 15—16. 

Außer den 5 Querreifen befinden sich sehr oft schwache Quer- 
linien. welche manchmal deutlicher werden und das Aussehen zahl- 
reicher Querreifen hervorrufen. 

Loe.: Korytnica und Lipa (sehr häufig), Holubica (3 Ex.) Rze- 
gocina (Bruchstücke), Podhorce (1 Ex.). 


Turritella turris var. sexcincta mihi. Taf. II, Fig. 5. 

Im oberen Teile der letzten Windungen tritt noch ein stärkerer 
Querreifen hervor, am stärksten ist also der fünfte Reifen, unter 
dem sich noch ein sechster befindet. 

Loc.: Korytnica und Lipa (einige Ex.). 


Turritella turris var. oligocincta mihi. Taf. II, Fig. 6—7. 

Diese Varietät weist eine geringere Zahl von Querreifen auf. 
Es verschwindet nämlich entweder der eine von den oberen Quer- 
reifen, so daß man also nur vier stärkere Querreifen vorfindet (der 
dritte ist am stärksten), oder es verschwindet der dritte, wodurch 
zwischen dem zweiten und dem dritten ein breites Band frei bleibt. 


Loc.: Korytnica (4 Exempl.), Lipa (2 Ex.). 


Turritella turris var. duplicata mihi. Taf. II, Fig. 8-9. 
Einige, oder blof einer von den unteren Querreifen ist doppelt. 
Loe.: Korytniea (3 Ex.). 


Turritella turris var. tricincta mihi. Taf. IT, Fig. 10. 
Die zwei oberen Querreifen sind schwach, die drei unteren je- 
D 


256 


doch dick, der mittlere von ihnen (der vierte von allen) ist am 
stärksten. T. turris var. crassullecincta Saeco (Sacco, ibidem, Seite 4, 
Taf. I, Fig. 6) ist ganz ähnlich, was die Skulptur der Windungen 
anbelangt, unsere Form hat jedoch runde Windungen und ist klei- 
ner (Länge 30 mm, Beite 7 mm). 

Loc.: Holubiea (1 Ex., Rzyca bei Chmielnik (1 Ex.). 


Turritella Archimedis Brong. Taf. II, Fig. 11.— 12. 


Turritella Archimedis Brong. — Pusch: Polens Paläontologie, 
Seite 104. 
Turritella Archimedis Brong. — H Hörnes: l. c., Seite 


424—26, Taf. 43, Fig. 13—14. 

Archimediella Archimedis Brong. var. dertonatior Sacco -— Saeco: 
LG Seite 12, Taf. L Fig. 38. 

Turmförmig, 40—50 mm hoch, alle Windungen mit zwei star- 
ken, scharfen Kielen; zwischen ihnen, auch unterhalb und oberhalb 
derselben sind bis 10 feine, linienförmige Reifen zu sehen. Unsere 
Exemplare stimmen vollkommen mit denen von Vöslau überein. 

Loc.: Korytnica (3 Ex). Holubiea (1 Ex), Dryszezów (einige), 
Rzegocina (kleine Bruchstücke). Uhlig bestimmte sie aus Niskowa 
und Grudna Dolna, Niedźwiedzki aus Bogucice, Wiśniowski 
aus Myszyn. Diese Art ist überhaupt seltener 1). 


Turritella dertonensis Mayer. Taf. II, Fig. 13. 

Archimediella dertonensis Mayer. — Sacco, l. e, Seite 12—13, 
Taf. 915.439. 

2 Exemplare, das größere ist 39 mm lang, 11 mm breit. Die 
Windungen sind wenig gewölbt und mit 2 erhabenen und außer- 
dem mit mehreren (8—10) schwächeren Querreifen versehen, von 
denen einer (zwischen dem oberen Querreifen und der oberen Naht 
gelegen) bedeutend stärker ist. 

Diese Art steht der 7. Archimedis nahe, unterscheidet sich aber 
hauptsächlich durch das Vorhandensein eines dritten, stärkeren 
Hauptreifens. 

Loc.: Korytnica (2 Ex.); diese Art ist bei uns noch nicht be- 
schrieben worden. 


1) Einige Autoren trennen die T. Archimedis des Hörnes von derjenigen 
des Brongniart. Da ich die Originalarbeit von srongniart nicht benützen 
konnte, kann ich mich in dieser Hinsicht nicht äußern, 





257 


T. dertonensis var. subconica Sacco. Taf. II, Fig. 14. 

Sacco, l. c, Seite 13, Taf. I, Fig. 40. 

Ein Exemplar, 47 mm lang, 10 mm breit, aus 15 Windungen 
bestehend, gehört wahrscheinlich dieser Varietät an, worauf die 
schlankere Gestalt und die schwächer gesonderten Windungen hin- 
deuten. Auf den Windungen sind außer den 2 Hauptreifen, noch 
2 schwächere Querreifen im oberen Teile der Windungen, von wel- 
chen der zweite etwas stärker, als der erste ist. 


Loe.: Holubica (1 Exempl.). 


Turritella Pythagoraiea Hilb. Taf. II, Fig. 15—16. 

Turritella duplicata (L). — Dubois de Montpéreaux: Con 
chiologie fossile... Seite 37—38, Taf. II, Fig. 19—20. 

Turritella bicarinata (Pusch) — Pusch: Polens Paläontologie, 
Seite 104—105, Taf. X, Fig. 3. 

Turritella Pythagoraica Hilb. — Hilber: Neue und wenig be- 
kannte Konchylien a. d. ostgaliz. Miozän. Seite 9, Taf. I, Fig. 19. 

Turritella e. f. Pythagoraica Hilb. — Hilber: ebda, Seite 10, 
Taf. I, Fig. 20. 

Diese Art war schon früher von Dubois und Pusch be- 
schrieben worden, wie es aus dem Synonymenverzeichnis ersicht- 
lich ist. Da jedoch die Namen dieser Autoren (T. duplicata und 
T. bicarinata) schon auf andere Arten angewendet worden sind, er- 
scheint es angezeigt, den Namen Hilbers beizubehalten, da aber 
diese Art sehr stark variiert, mußte ich mehrere Varietäten aus- 
scheiden. 

Die typische Form ist aber auch gewissen Schwankungen unter- 
worfen, so daß aus diesem Grunde ihre Diagnose umfangreicher 
gestellt werden mußte, als es von Hilber geschehen ist. 

T. Pythagoraica ist zirka 50 mm lang, bei 12 mm größter 
Breite, die Zahl der Windungen beträgt gegen 15. Jede Windung 
ist oben dachförmig (dieser Teil ist größer), unten eingezogen, und 
trägt zwei starke Reifen, welche jedoch schwächer sind als bei 
T. Archimedis; der obere ist in der Mitte der Windung gelegen, 
der untere etwas oberhalb der unteren Naht. Außer der Hauptreifen 
besitzt jede Windung noch mehrere schwache Reifen: oberhalb des 
oberen Hauptreifens sind 8 schwache, von denen abwechselnd 4 
schwächer und 4 stärker sind, zwischen den Hauptreifen liegen 
3—8 schwächere, von denen der mittlere am stärksten ist, und 


258 


unterhalb des unteren Hauptreifens sehen wir noch 3—4 schwä- 
chere. Die Zuwachsstreifen sind manchmal stark entwickelt, wes- 
halb die Reifen in diesem Fall perlschnurférmig aussehen. Auf den 
ersten Windungen sind zwei Hauptreifen deutlich, die schwächeren 
dagegen sind in geringerer Zahl entwickelt; die Embryonalumgänge 
sind rundlich und ganz glatt. 

Auf manchen größeren Gehäusen sind die letzten Umgänge von 
runder Gestalt, was hauptsächlich dadurch verursacht wird, daß 
einige der sekundären Reifen an Größe den zwei Hauptreifen gleich 
werden; dann finden wir dort 4, 5 oder 6 Hauptreifen. Solche In- 
dividuen sind infolge der großen Ähnlichkeit mit T. turris Bast. 
schwer zu bestimmen und nur der Unterschied im Aussehen der 
ersten Windungen gibt einen Anhaltspunkt zur Scheidung dieser 
Arten. Manchmal werden bei dieser Art die Umgänge flacher. 

Loe.: Bogueice, Zglobice, Pobitno, Podhorce (sehr häufig), Ja- 
sionöw, Holubica (häufig), Czepiele, Holdy, Smölno, Potyliez, Drysz- 
ezów, Brzezany, Czerniszówka, Leworda, Troscianiec, Woroniaki 
Husiatyn, Korytniea. 


Turritella Pythagoraica Hilb. var. irregularis mihi. Taf. II, Fig. 
17—18. 

An Größe ist diese Varietät der typischen Form gleich. die Win- 
dungen sind jedoch mit 3. 5 (oder mehr) Hauptreifen versehen, der 
mittlere von ihnen, welcher dem oberen Hauptreifen entspricht, ist 
am stärksten. 


Loc.: Podhorce (10 Ex.). 


Turritella Pythagoraica var. minor mihi. Taf. II, Fig. 19—20. 

Klein, bis 30 mm lang, der obere Teil der Windungen konkav. 
die Windungen gekielt, die Kiele dort gelegen, wo die zwei Haupt- 
reifen verlaufen. Diese Varietät erinnert sehr an die Jugendformen 
der typischen T. Pythagoraica, da man jedoch an manchen Orten 
(Biala Göra bei Olesko, Holubica) jetzt nur diese Form finden kann, 
während die typischen, großen Exemplare ganz fehlen, glaube ich. 
das Vorhandensein einer Varietät annehmen zu können. 

Loc.: Holubica (sehr häufig), Olesko (Biala Göra), Holdy, Pie- 
niaki, Tarnoruda, Turówka, Czerniszowka, Werchöw, Szuszkowce, 
Zukowce, Zabiak. 


259 


Turritella Pythagoraica Hilb. var. indigena Eichw. Taf. II, Fig. 
21—22. 

Turritella indigena Eichw. — Eichwald: Naturhist. Skizzen 
v. Lithauen. Wilna 1830. 

Turritella indigena Eichw. — Eichwald: Lethea rossica, Bd. 
III, Seite 278—9, Taf. X, Fig. 21. 

Gehäuse kleiner, bis 40 mm lang. Die Anfangswindungen sind 
denen von var. minor ähnlich, auf den folgenden ist der mittlere 
linienförmige, zwischen den Hauptreifen gelegene Reifen so stark 
wie die beiden Hauptreifen, auf den letzten 2—3 kugeligen Win- 
dungen werden auch die übrigen Nebenreifen (bis 6) den Haupt- 
reifen ähnlich. 

Es muß die geographische Selbständigkeit dieser Varietät betont 
werden, da sie nur im Osten (Wolhynien und Russisch - Podolien) 
vorkommt. 

Loc.: Troseianiee (Podolien häufig), Zukowce, Szuszkowce, Za- 
padnia, Stary Poezajów, Butyn, Werchów, Werbowiec, Bilka, Za- 
biak, Morozicha (Wolhynien). 


Turritella Pythagoraica Hilb. var. infirmior mihi. Taf. IIT, Fig. 1. 

Turritella turris af. var. percinctula Sacco — Friedberg: 
Mlodszy miocen Galicyi zachodniej. Sprawozd. Komisyi Fizyogr., 
Bd. 41, Seite 25—26, Fig. 3. 

Die Hauptreifen sind schwächer, auf den letzten 3 Windungen 
unregelmäßig verteilt. Ich habe früher diese Form als der T. turris 
var. percinctula Sacco nahestehend bestimmt, da jedoch das Haupt- 
merkmal der T. Pythagoraica Hilb., nämlich die zwei schwachen 
Reifen, hier vorkommt, finde ich die gegenwärtige Ausscheidung 
zweckmäßiger. 

Loe.: Blonie. 


Turritella Pythagoraica var. duplicata mihi. Taf. III, Fig. 2. 

An Größe der T. Pythagoraica gleich, der obere Hauptreifen 
doppelt, die Nebenreifen etwas stärker als bei den vorigen Varietäten. 

Loc.: Podhorce (1 Ex.). 


Auf der Tafel III, Fig. 3 habe ich ein unvollständiges Exemplar aus 
Volhynien abgebildet, welches ohne nähere Ortsangabe im Dzieduszyckischen Mu- 
seum aufbewahrt wird. Es ist 26 mm lang und der T. Pythagoraica var. minor ähn- 
lich, der obere Kiel ist jedoch stärker. Der Gestalt nach ähnelt dieses Fragment der 


260 


T. bicarinata Eichw., der Skulptur der Schale nach ist es jedoch ganz verschie- 
den (keine Querfurchen, nur einige schwache Querreifen). Da das Exemplar sehr 
mangelhaft ist (es sind nur 5 letzte Umgänge vorhanden), muß ich von näherer 
Bestimmung absehen. 


Turritella Rabae Niedzw. Taf. III, Fig. 4—6. 

Turritella Rabae Niedzw. — Niedźwiedzki: Zur Kenntnis 
der Fossilien des Miozäns bei Wieliezka u. Bochnia. Sitzungsber. d. 
Wien. Akad., J. 1886, Seite 18—20, Taf. I u. f, Fig. 3--5. 

Turritella marginalis Broce. — ebda, Seite 19, Taf. I, Fig. 6. 

Turritella Rabae NiedZw. — Friedberg: Młodszy miocen Gal. 
Zach. Seite 26 —27. 

Diese Art ist der T. Pythagoraica ühnlich, unterscheidet sich je- 
doch durch schwach gewölbte, fast flache Umgänge und dadurch, 
daß die zwei Hauptreifen sehr schwach entwickelt sind. Nur auf 
den Anfangswindungen treten sie stärker hervor, auf den letzten 
Windungen werden sie undeutlich, weil andere Reifen (zirka 10) 
ihnen an Stärke gleiehkommen. Die Umgänge sind unten etwas 
eingezogen, manchmal kommt unten ein schwacher Kiel zum Vor- 
schein. An Größe unterscheidet sich auch diese Art von der vori- 
gen, da sie gewöhnlich kleiner ist (30—40 mm lang). 

Loe.: Bogueice, Grabowice, Zglobice. Chodenice, Blonie, Po- 
bitna, Nockowa, Babica. Diese Art kommt nur in Westgalizien vor. 


Turritella Dzieduszyckii M. Lom. Taf. IIL Fig. 7—8. 

Turritella Rabae Niedzw. var. — Friedberg: Nowe skamie- 
liny miocenu ziem polskich, Lemberg 1907, Seite 8, Taf. I, Fig. 2. 

2 Exemplare aus Leworda habe ich früher als 7. Rabae var. 
beschrieben; nun habe ich in den Sammlungen des Dzieduszy- 
ekischen Museums noch zwei weitere Stücke gefunden, welche 
von M. Lomnicki als T. Dzieduszyckii (in litt) ausgeschieden 
wurden. Diese vier Exemplare haben mir ein besseres Studium die- 
ser Art erlaubt. 

T. Dzieduszyckii ist zirka 40 mm lang, 11 breit bei 14 Win- 
dungen. Der obere Teil der Windungen ist etwas konkav, der 
untere schwach gewölbt, bei einem Exemplar (Fig. 8) sind die Win- 
dungen ganz konkav. In der Mitte der Windungen ist ein schwa- 
cher Kiel gelegen, der zweite etwas oberhalb der unteren Naht, 
auf beiden Kielen verlaufen deutliche, wenn auch schwache Reifen. 
Sonst sehen die Umgünge ganz glatt aus, nur unter der Lupe sind 


261 


zahlreiche (15—20) sehr feine Querlinien sichtbar. Die Mündung 
ist fast rund, die linke Lippe etwas umgeschlagen. 
Loc.: Leworda (4 Exempl.). 


Turritella holubieensis mihi. Taf. III, Fig. 13. 

26 mm hoch, 7 mm breit, spindelförmig, besteht aus 16 Win- 
dungen, welche durch undeutliche Nähte geschieden sind. Die Win- 
dungen besitzen 12—15 gedrängte Querreifen, zwischen denen noch 
schwächere liegen. Auf jedem Umgange finden sich zwei etwas 
stärkere Querreifen, einer etwas unterhalb der Mitte, der andere 
etwas oberhalb der unteren Naht; der untere Querreifen ist stärker. 

T. Bellardi May. ist ähnlich, hat aber gewölbte, nicht flache 
Umgänge, entbehrt auch der zwei stärkeren Querreifen. 

Loc.: Holubica (1 Ex.). 


Turritella pulchra mihi. Taf. III, Fig. 14. 

Das Gehäuse ist wahrscheinlich bis 30 mm lang, die Windun- 
gen sind schwach gewölbt, durch breite Furchen voneinander ge- 
schieden. Jede Windung hat zwei schwache, ringförmige Kiele, wel- 
che durch schwache Einknickungen der Windungen entstehen. Die 
Windungen besitzen zahlreiche (25) feine Querreifen, von welchen 
manche (bis 5) stärker sind. Zahlreiche Zuwachsstreifen verursachen 
ein perlschnurartiges Aussehen der Reifen. 

Wirklich ähnliche Arten kann ich nicht angeben, 7. Pythagoraica 
ist zwar verwandt, weicht aber in Gestalt und Skulptur ab. 

Loc.: Dryszezöw (2 beschädigte Exemplare). 


Turritella bicarinata Eichw. Taf. III, Fig. 9 —12. 


Turritella bicarinata Eichw. — Eichwald: Naturhist. Skizze 
v. Lithauen... Seite 220. 

Turritella bicarinata Eichw. — Eichwald: Lethea rossica. Bd. 
III, Seite 280—1, Taf. X, Fig. 23 (partim). 

Turritella bicarinata Eichw. — M. Hörnes: Die fossilen Mollus- 


ken... Seite 426—7, Taf. 43, Fig. 8—11 (partim). 

Zahlreiche, typische Exemplare, welche denjenigen von Wien 
vollkommen gleichen, entsprechen jedoch der dritten Varietät bei 
M. Hörnes (Le Fig. 8—9), da von den beiden Reifen der obere 
stärker ist. Die Oberfläche der Windungen und der beiden Rei- 
fen ist fein gefurcht. Die Unterschiede bestehen nur im Verhält- 


262 


nisse der Länge zur Breite des Gehäuses, während bei den Exem- 
plaren von Dryszezöw das Verhältnis 60:15 beträgt, ist es beim 
Exemplar von Holubica wie 34:13. 

Bei einigen Exemplaren von Dryszezöw kann man außer den 
zwei Hauptreifen noch zwei schwache Reifen in oberen Teile der 
Windungen bemerken (Fig. 12). 

Loc.: Zgłobice, Podhorce, Holubiea (häufig). Czepiele, Holdy, 
Dryszezów (sehr häufig), Tro$cianiee Maly, Luka Mala, Czerni- 
szöwka, Dzurów. Von den Autoren werden noch erwähnt: Koza- 
kowa Góra, Podhajee, Grudna Dolna, Rowego Gaj. 


Turritella bicarinata Eichw. var. scalaria Buch. Taf. III, Fig. 16 


Turritella scalaria de Buch. — Dubois: Conchiologie fossile, 
Seite 36—37, Taf. IL Fig. 18. 
Turritella bicarinata Eichw. — M. Hörnes: Die fossilen Mol- 


lusken, Seite 426—7, Taf. 43, Fig. 12 (?) (partim). 

Umgünge sehr deutlich geschieden, Gewinde sehraubenfórmig; 
das größte Exemplar von Szuszkowce mifit 52 mm Länge, bei 16 mm 
größter Breite. Die untere Fläche eines jeden Umganges, welche 
vierkantig sind, steht vertikal zur Achse, die Seitenflüche ist flach, 
die obere dachförmig. Auf den Seitenrändern der Windungen finden 
sich manchmal oben und unten wulstenförmige, flache Reifen. Die 
ganze Oberfläche der Schale ist, wie bei der typischen Form, fein 
und dicht gefurcht. 

Loc.: Szuszkowce (10 Ex.) Fulsztyn, Troscianiec. Es muß die 
geographische Selbständigkeit dieser Varietät betont werden, da sie 
nur auf den östlichen Teil von Polen (Wolhynien, Ost- Podolien) 
beschränkt ist. 


Turritella subangulata Broce. var. polonica mihi. Tafel 
III, Fig. 25—26. 


Turritella subangulata Broce. — Eichwald: Lethea rossica... 
Seite 279 —80, Taf. X, Fig. 22. 
Turritella spirata Broce. — Eichwald: Lethea rossica... 


Seite 281—2, Taf. X, Fig. 24. 

Beim Vergleiche der Exemplare der T. subangulata Broce. aus 
Italien (St. Agatha, Castelnuovo d’Asti) mit denen von Polen habe 
ich einige Unterschiede bemerkt. Unsere Exemplare sind stärker 
gekielt, der Kiel liegt mehr in der Mitte der Umgänge, bei den 





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263 


Exemplaren aus Italien unterhalb der Mitte. Die Wiener Exem- 
plare (wie ich aus den Figuren in der Monographie von M. Hör- 
nes ersehen kann) sind auch etwas verschieden, obwohl sie, was 
die angegebenen Merkmale anbelangt, eine Mittelstellung zwischen 
den Exemplaren aus Italien und denen von Polen einnehmen. 
Loc.: Pustomyty, Proniatyn, Bileze, Zglobice, Rzegocina. 


Turritella trieineta Bors. Taf. III, Fig. 15. 

Turritella Riepeli Partsch. — M. Hörnes: Die fossilen Mollus- 
ken..., Seite 421—2, Taf. 43, Fig. 2. 

Haustator. tricinctus Bors. — Sacco: I molluschi... Le 
Seite 25—26, Taf. II, Fig. 28. 

2 Exemplare, das größere ist 52 mm lang, 16 breit, hat 12 Um- 
gänge (ohne Embryonalumgänge). Die Umgänge sind wenig ge- 
wölbt, mit 3 Reifen versehen, abgeplattet, breit und ebenso wie die 
Zwischenräume gefurcht. Die Reifen sind gleich stark, auf den 
ersten Windungen sind wahrscheinlich nur zwei Reifen, was ich 
nicht genau konstatieren kann, da die Exemplare abgerieben sind, 
Von der ähnlich aussehenden T. vermicularis Broce. sind unsere 
Exemplare ganz verschieden. 


Loe.: Korytnica (2 Exempl.). 


Turritella Bieniaszi n. sp. Taf. IIL, Fig. 17—18. 

Leider nur Bruchstücke, wenn aueh in großer Anzahl vorhan- 
den. Diese Art ist 50—60 mm lang, unten 14 mm breit. Die Um- 
günge sind wenig gewölbt, oben und unten eingezogen. Die Skulptur 
besteht aus drei starken Reiten, von denen sich einer in der Mitte 
der Windungen, die zwei anderen in der Nähe der Nähte befinden. 
In den Zwischenrüumen liegen 3—5 schwache Querreifen, von de- 
nen der-mittlere etwas stärker ist, manchmal aber an Stärke den 
drei Hauptreifen gleichkommt ; auf den Anfangswindungen ver- 
schwindet der obere Hauptreifen. 

Ich konnte in der mir zugänglichen Literatur keine dieser iden- 
tische Art finden. Herr Dr. Schaffer in Wien hatte die Güte, 
meine Exemplare mit denjenigen des k.k. Naturwissenschaftlichen 
Hofmuseums zu vergleichen, und bestätigte meine Meinung, daß 
diese Art neu sei. Als ähnlich könnte nur 7. termicularis Broce. 
bezeichnet werden. | 

Loc.: Dryszezöw (sehr häufig, von Bieniasz gesammelt). 


264 


Turritella Bieniaszi Friedb. var. carinata mihi. Taf. III, Fig. 
19—20. 

Der untere Hauptreifen ist bedeutend stärker, weshalb er kiel- 
förmig absteht. 

Loc.: Dryszezöw. 


Turritella Bieniaszi Friedb. var. percincta mihi. Taf. III, Fig. 
21— 22. 

Auf den letzten Umgängen finden sich mehrere (4—6) Hauptreifen, 
aus ihrer Lage kann man ersehen, daß es Nebenreifen sind, welche 
bei dieser Varietiit so stark wurden, wie die Hauptreifen. 

Loe.: Dryszezöw. 


Turritella multicostata n. sp. Taf. III, Fig. 23—24. 

Turritella marginalis Broce. — Friedberg: Mlodszy miocen 
Gal. zach. Le, Seite 75. 

Die Gehäuse, welche ich früher als 7. marginalis Broce. be- 
schrieben habe, stimmen mit dieser Art nicht ganz überein. Die 
Unterschiede bestehen in folgenden Merkmalen: 1) Die Windungen 
sind bei meinen Exemplaren weniger flach, sogar etwas gewölbt, 
2) sie haben keinen Kiel im unteren Teile der Windungen, 3) die 
Querreifen sind stärker. Prof. Mariani in Mailand hatte die Güte, 
meine Exemplare mit den Original-Exemplaren von Brocchi zu 
vergleichen, und erklärte, daß sie nieht übereinstimmen. 

T. multicostata ist 40—50 mm lang, 11—12 mm breit, die Zahl 
der Windungen beträgt bis 15. Die Windungen sind oben und 
unten eingezogen, sie haben also keinen Kiel. Auf den Windungen 
sind zahlreihe (5 — 10) abgeplattete Querreifen, zwischen denen 
gewöhnlich je ein schwächerer gelegen ist. Die Zuwachsstreifen 
bewirken, daß die Querreifen manchmal wie gekräuselt erschei- 
nen. Auf den letzten Umgängen ist die Zahl der starken Quer- 
reifen nicht selten geringer, weshalb diese Exemplare an T. turris 
Bast. erinnern, jedoch ist in diesem Fall der dritte, nicht der 
vierte Querreifen am stärksten. Bei manchen Gebüusen sieht man 
auf den ersten Umgängen zwei sehr schwach angedeutete Kiele. 

Loc.: Blonie (häufig); bei größerem Materiale könnte man in 
dieser Art einige Varietäten unterscheiden. 


Rei Zusammenstellung der beschriebenen Arten in Untergattun- 
gen erhalten wir folgende Einteilung: 


JEU gut, 


e V Acad. des Sciences de Cracovie 1909. 


l 


an a 


Bullet 





W. Friedberg. 





Bulletin de V Acad. des Sciences de Cracovie 1909, BIS LE 





W. Friedberg. Zakład fototechniczny A. Trybalskiego w Krakowie. 





265 


Turritella (s. str.) turris Bast. 
(Archimediella) Archimedis Brong. 


n 

z 3 dertonensis Mayer, 

i > Pythagoraica Hilb. 

à 3 Rabae Niediw. 

5 5 Dzieduszyckii M. Lom. 
- 5 holubicensis Friedb. 

5 pulchra Friedb. 


» 
e (Zaria) *) bicarinata Eichw. 
subangulata Broce. 


D n 

a (Haustator) tricincta Bors. 

5 ji Bieniaszi Friedb. 

$ a multicostata Friedb. 

Tafelerklärung. 
TAFEL II. 
Fig. 1. Turritella turris Bast, forma typica . . . X12 Leognan, 
[bei Bordeaux. 
Fig. 2 » 2 L ^ # «x 2d 62. Kory tated: 
Eig. 3 i 4. S „ var. badensis Sacco. . . X12 Korytnica. 
Fig. 5. S » Var. sexeineta Friedb.. . X12 Korytnica. 
Fig. 6—7. 7 „ var. oligocincta Friedb. . X12 Korytnica. 
Fig. 8—9. 5 „ var. duplicata, Friedb.. . 712 Korytnica: 
Fig. 10. ^ „ var. trieineta Friedb. . . (4 Holubica. 
Fig. TT. Y Archimedis Brong, . . . . . X12 Holubica: 
Fig. 12. » 7 ae er ET HESE 
Fig. 13. 3 dertonensis Mayer . . . . . X12 Korytnica. 
Fig. 14. 5 » var. subconica Saeco X1‘2 Hotubica. 
Fig. 15—16. 2 Pythagoraica Hilb., forma typica X1'2 Podhorce. 
Fig. 17—18. e > var.irregularis Friedb. X1'2 Podhorce. 
Fig. 19—20. o a var. minor Friedb. X12 Holubica. 
Fig. 21. ^ L var. indigena Echw. X14 Szuszkowce. 
Fig. 22. 5 à 4 , $ X123 Troécianiec, 
TAFEL III. 


Fig. 1. Turritella Pythagoraica Hilb. var, infirmior Friedb. X1'2 Błonie. 
Fig. » ^ „ var. duplicata Friedb. X1'4 Podhorce. 
Fig. 3. > x "au MAL ner eg e Wolyn 


to 


1) Sacco zählt diese Art zu Archimediella (mit Fragezeichen); es wäre viel- 
leicht am besten, für sie eine besondere Untergattung aufzustellen. 


Fig. 4. Turritella Rabae NiedZw. X1 (photogr. Reproduktion der Figur v. Nie- 
[dzwiedzki) Grabowice 
Fig. 5. 4 z = <4 (photogr. Reproduktion der Figur v. Nie- 
[dZwiedzki) (Anfangswindungen) Grabowice. 
Fig. 6. ^ " k X2 (photogr. Reproduktion der Figur v. Nie- 
[dZwiedzki) (letzte Windungen! Grabowice. 
Fig. 7—8. Š Dzieduszyekii M. Łomn. . . . . . X12 Leworda. 
Fig. 9—10 e bicarinata Eichw. . . . . . . . X12 Dryszezöw. 
Fig. 11 z m S Ee E M Holfübies: 
Fig. 12. 3 m a M. CNIL LEY SD ryszezows 
Fig. 13. » holubicensis Friedb. . . . . . . X14 Holubica. 
Fig. 14. * pulehzabEnedbx uw dus. 4» s » XE  Dryssezów: 
Fig. 15. r irnenpA BorN Cuite « wi Xa Korybmem 
Fig. 16. = bicarinata Eichw. var. scalaria Dub. X1'2 Szuszkowce. 
Fig. 17—18. 2 Bieniaszi Friedb. . . . . . . . . X12 Dryszezöw. 
Fig. 19— 20. E » „ var. carinata Friedb. X1'2 Dryszezöw. 
Fig. 21—22. , = „ var. pereincta Friodb. X1'2 Dryszezöw. 
Fig. 23—24.  , multicostata Friedb. . . . . . . X14 Blonie. 
Fig. 25. » subangulata Broce. var. polonica Friedb, X18 Proniatyn. 
Fig. 26 z = 4 a 4 = X12 Pustomyty. 





15. Opisy kilku rdzy Jawy. — Über einige javanische 
Uredineae. Mémoire de M. M. RACIBORSKI m. c. 


Jola javensis Pat. 


N. Patouillard, Enum. des champ. récoltés par M. Massart, 
Ann. du jardin bot. de Buitenzorg, Suppl. 1. S. 119, Tab. XXV. 
Fig. 7—15. 

Die Hyphen entwickeln sich zu einem Strang in dem Zentrum 
der jungen Kapsel der Moose, außerdem dringen sie unter die Haube 
und treten durch die Mündung des alten Archechonium-Halses nach 
außen, hier eine weiße, runde oder kurz ovale, 1—1:5 mm breite, 
schleimige Kugel bildend. Wo Jola reichlicher entwickelt ist, sind 
massenhaft die jungen Fruchtstiele der Moose mit solchen glänzen- 
den, weißen Tröpfehen an der Spitze versehen. Diese Kugeln be- 
stehen aus radiär verlaufenden, in der Schleimmasse eingebetteten, 
farblosen, verzweigten Hyphen, deren apikale Zellen zu lang 
ovalen, dünnwandigen, 20—25 u langen, 5—7 u breiten Teleuto- 
sporen werden. Die Teleutosporen keimen, ohne abzufallen, apikal, 
mit einer zylindrischen, leicht gekrümmten oder geraden, bis 70 u 
langen, 5—6 u dicken, an der Basis verschmälerten Basidie; diese 





267 


teilt sich quer oder etwas schief in vier Zellen, von denen jede auf 
einem Sterigma eine farblose, etwas gekrümmte zylindrische, 15 — 20 u 
lange, 3—4 u dicke Basidiospore trägt. 

In der Teleutospore findet eine Verschmelzung zweier ursprüng- 
lichen kleinen Zellkerne zu einem runden, groen Zellkerne statt, 
weleher nachträglich in die Basidie übergeht und sich da zweimal 
teilt. 

Jola findet sieh auf verschiedenen Moosen auf dem Salak und 
dem Gedeh, so z. B. auf dem Wege mit numerierten Bäumen bei 
Tijbodas, besonders häufig an den Baumstämmen bei Kandak 


badak. 


Uromyces Thelymitrae Rae. 


Die Haustorien sind sehr dünn und lang gestielt, an der Stitze 
blasig angeschwollen, mit langen Emporwólbungen und bis 20 u 
breit. Die Unterseite der Blätter ist dieht mit braunen, ovalen oder 
länglich ovalen, bis 0:8 mm breiten, 1—25 mm langen Teleuto- 
sporensori übersät, welche unter der Epidermislage gebildet werden 
und diese Decke nachträglich abwerfen. Die Paraphysen fehlen. 
Die Teleutosporen sind gestielt, oval, braun, dickwandig, nicht 
eben, sondern mit flachen unregelmäßigen Verdiekungen der Mem- 
bran versehen, 22—26 u breit, 33—36 u lang, an der Spitze fast 
immer stärker, fast papillenförmig verdickt. wobei in der braunen 
Verdickungsmembran ein apikaler, breiter, mit farbloser Membran 
erfülter Hoftüpfel vorhanden ist. Die Teleutosporenstiele 5—7 u 
dick, 40—85 u lang. 

Aut den Blättern der Thelymitra javanica (Orchideae) auf der 
Spitze von Gedeh und Pangerango. Aecidium Thelymitrae Rae. ge- 
hört als Äcidialform hieher. Von Neu-Seeland ist an einer Thely- 
mitra (?) Uromyces citriformis Bab. gefunden worden, eine Art, wel- 
che vielleicht doch von der javanischen verschieden ist, da in der 
kurzen Diagnose in Saccardo, Sylloge IX, 295 fast kein Wort 
auf unsere Art paßt. 


Uromyces discoideus Rac. 


Die Hyphen leben interzellular und senden die Haustorien be- 
sonders in die Pallissadenzellen. Die Sori bilden sich zwischen der 
Epidermislage und der Pallisadenschieht, werden längere Zeit von 
der Epidermis bedeckt, und erscheinen unter der Lupe als braune, 


268 


runde, diskusartige, zerstreute, kompakte Häufchen auf der Blätt- 
chenoberseite. Pseudoperidie fehlt. In dem Sorus stehen nebenein- 
ander unregelmäßig vermengt gestielte Uredosporen und gestielte 
Teleutosporen. Die Stiele beider Sporenarten sind farblos, 15 —30 u 
lang, 3—3:5 u dick. Die Uredosporen sind länglich oval, an der Spitze 
abgerundet, an der Basis abgestutzt, dünnwandig, blaßgelblich, dicht 
mit spitzen Wärzchen bedeckt, mit 2—4 kleinen Poren in der 
Äquatorialebene, 23—28 u lang, 9—11'5 u breit. Die Teleutosporen 
sind ebenfalls gestielt, kuglig oder häufiger an der Basis verflacht, diek- 
wandig, glatt, braungelb, nach wenigen Stunden (in reinem Wasser) 
mit einer geraden Basidie keimend, 12:5—16 u breit und lang. 

Auf der Oberseite der Blätter der Acacia sp. (eine sehr stach- 
lige Art mit fein doppelt gefiederten Blättern) in Buitenzorg. 


Uromyces Payenae Rac. 

Auf Blättern bilden sich unregelmäßig zerstreute, runde zin- 
noberrote, 1—2 mm breite Flecke, auf deren Unterseite je ein, sel- 
tener je zwei oder drei runde, 03 mm breite Sori die Epidermis 
durchbrechen und als kleine gewölbte Häufchen erscheinen. Das 
Mycelium ist sehr reichlich entwickelt, doch in der Verbreitung 
sehr beschränkt, Haustorien klein, keulenförmig. Paraphysen oder 
eine Pseudoperidie fehlt. Die Uredosporen sitzen an langen, zylin- 
drischen, farblosen, dünnwandigen, 80—90 u langen, 7—9 u breiten 
Stielen, sind ungefähr so lang wie breit, verkehrt kegelförmig, mit 
mit einem flachen, breiten Scheitel, geraden Seiten, spitzer Basis, 
34—44 u breit, 37—46 u lang, mit einer braunen, dicken, inneren 
und einer farblosen äußeren Membran, welche mit kurzen, vonein- 
ander weit entfernten Stachelehen regelmäßig bedeckt, und an den 
oberen Ecken verdickt ist. Unmittelbar an der schmalen Anhef- 
tungsstelle der Uredospore liegen 3—4 runde Keimporen. Die Te- 
leutosporen sitzen auf farblosen, dünnwandigen, 70—95 u langen, 
5—10 u breiten Stielen, sind lang ellipsoidisch, blafgelb, dünnwan- 
dig, glatt, an beiden Enden abgerundet, 46—54 u lang, 21—25 u 
breit, nicht abfallend, sondern in dem Sorus keimend. Die Basidie 
entsteht apikal durch Zerreißen der äußeren Membran, ist zylin- 
drisch, 70—160 u lang, an der Spitze durch quere Teilungen vier- 
zellig. Die Sterigmen 26—32 u lang, an der breiten Basis 5—7 u 
dick. Die Basidiosporen kuglig, 14—19 u breit, gleich mit einer 
4 u dicken Keimhyphe keimend. 


269 


Auf den Blättern der Sapotaceae Payena Suringariana Brek. in 
Depok bei Buitenzorg und Payena Junghuniana Miq. in Tjampea. 


Uromycladium Tepperianum (Saee.) Me. Alpine. 

Auf Blättern, Blattstielen, Blüten und Stämmen bilden sich 
große parenchymatische, gelbbraune, vom Periderm bedeckte, von 
zahlreichen Gefäßbündeln überzogene Gallen mit sehr zahlreichen 
Steinzellen. Diese Gallen erreichen an diekeren Ästen, wo ihr 
Wachstum jahrelang fortdauert, eine Dicke *bis 15 em und eine 
Länge bis 30 em, auf Blättern und Blüten sind sie dagegen klein. 
Zwischen den Parenchymzellen wuchern die farblosen Hyphen und 
senden in dieselben die blasig erweiterten, manchmal gefingerten 
Haustorien. An noch jungen Gallen bilden sich die Spermogonien 
subperidermal, sind konisch zugespitzt, mit flachem oder flachkon- 
kavem Boden, auf welchem eine diehte Schicht zylindrischer bis 
20 u langer Stielzellen entwickelt ist. Die Teleutosporensori sind 
rundlieh oder unregelmäßig rundlich, 0:2—2 mm breit, dicht auf 
der ganzen Oberfläche der Galle zerstreut, jedoch unterhalb des Pe- 
riderms gebildet und nach der Reife längere Zeit mit emporgeho- 
benen Peridermlappen umzäumt.. Paraphysen fehlen. Am Boden 
der Teleutosporensori steht eine diehte Schicht von zylindrischen 
Zellen, von welchen jede an der Spitze zwei Querwände besitzt. 
Die oberste dieser Zellen wird zu einer Teleutospore, die untere 
wächst subapikal nach außen und schneidet den Gipfelteil wieder 
als Teleutospore, die tiefer liegende Zelle des Trägers wächst ebenso 
subapikal neben der Querwand nach außen und gliedert eine neue 
Teleutospore ab. Auf einem Stiel sitzen also immer die Teleutosporen 
nebeneinander, zwei in gleicher Höhe und eine etwas (bis 10 y) 
tiefer. Der gemeinsame Stiel der drei Teleutosporen ist 5—6 u 
dick. 40—50 u lang, die apikale, sterile Zelle des Stiels (zwischen 
den zwei apikalen Teleutosporen und der dritten, tiefer stehenden) 
bis 10 w lang. Die Teleutosporen sind einzellig, braun, jede für 
sich auf einem gemeinsamen Stiel sitzend, mit fast flacher Basis, abge- 
rundetem, unterem Rand und halbkugligem Vorderrand, mit einem 
runden apikalen Porus, von welchem radiäre, dicht gelagerte Mem- 
branleisten basipetal verlaufen. Die Teleutosporen sind 16—20 u 
hoch, 22—25 u breit. 

Auf Albizia montana, in der alpinen Zone der Vulkane Java’s 
überall vorhanden. Es ist die einzige javanische Uredinea, welche 


Bulletin III. 10 


270 


auf die Physiognomie der Landschaft von Einfluß werden kann. 
An der oberen Waldgrenze, wo Albizia moluccana in vereinzelt 
stehenden Bäumchen hänfig ist. findet man an denselben die brau- 
nen Knollen, manchmal dicht gedrängt, auch aus größerer Entfer- 
nung zwischen dem lichten Blattwerk sichtbar. So auf dem Gedeh 
Tankbanprau, Slamat, Merapi, Tenger und Lamongan. 

In Wasser ausgesäte frische Teleutosporen keimen nicht. 

D. Me. Alpine, A new genus of Uredineae — Uromycladium 
(Annales mycologici 1905. Nr. 4) lieferte eine Beschreibung dieser 
Art aus Tasmanien und Australien und zählt sie der neuen Gattung 
Uromycladium zu; unsere Beschreibung ist nach lebendem Mate- 





rial gegeben. 


Gerwasia, nov. Uredinearum genus. 


Mycel interzellular mit Haustorien, in den Lufthöhlen unter 
den Spaltöffnungen kleine Knäuel bildend, aus welchen eine (selten 
zwei) starke, an der Spitze kopffürmig angeschwollene Stammzelle 
emporwiichst, die durch die Luftspalte nach außen kommt und auf 
der Oberfläche der kopfartigen Spitze einem Aspergillus ähnlich. 
mehrere dicke Sterigmen von Teleutosporen bildet. An der Spitze 
jeder Sterigme wird je eine kuglige, einzellige Teleutospore gebil- 
det, welche gleich auf der Nährpflanze, ohne abzufallen, mit einer 
vierzelligen Basidie keimt und die vier Basidiosporen bildet. 

Eine mit Uromyces und Uromycladium verwandte Gattung, wel- 
che anderseits trotz der kugligen Teleutosporen in der Art der 
Soribildung an die Hemileia und Hemileiopsis erinnert und so eine 
willkommene Zwischenstufe zwischen Uromyces und Hemileiopsis 
bildet. 

Ich glaube, einige Bemerkungen über das Verhältnis der Gerwa- 
sia zu Uromycladium beifügen zu müssen, da die beiden Genera 
manchem vielleicht als identisch erscheinen könnten. Unter dem 
Gattungsnamen Uromycladium hat D. Me. Alpine sieben in Au- 
stralien auf Acaciaarten parasitisch lebende Uredineen zusammen- 
gefaßt, von welchen mir Uromyeladium Tepperianum lebend bekannt 
ist. Entwicklungsgeschichtlich differieren Gerwasia und U. Teppe- 
rianum in gewisser Hinsicht in derselber Weise, wie Aspergillus 
und Penicillium. Bei Uromycladium Tepp. wird der Spitzenteil des 
Teleutosporenträgers durch zwei Querwände in drei Zellen geteilt. 
deren unterste von dem tiefer liegenden Mycelium nicht abgeglie- 


271 


dert wird. Diese Zellen bilden also einen zylindrischen, septierten 
Faden. Die Spitzenzelle verwandelt sich ganz in eine Teleutospore, 
unterhalb der Querwand wächst die zweite Zelle seitlich aus, die 
zweite Teleutospore abgliedernd, endlich wächst auf dieselbe Weise 
die dritte, tiefer liegende Zelle seitlich aus, die dritte tiefer sit- 
zende Teleutospore seitlich abgliedernd. Wüchsen die beiden un- 
teren Zellen nicht durch das Bewegungswachstum seitlich aus. so 
müßte eine dreizellige, sonst Puccinia ähnliche Teleutospore ent- 
stehen. Ganz ähnlich erscheint die Teleutosporenbildung bei Uro- 
mycladium maritimum, Tab. VI, Fig. 7 der Abhandlung von Me. 
Alpine (Ann. mycol. III), sowie bei U. notabile. Dagegen zeigt 
gewöhnlich Ur. maritimum (VI Fig. 8, 9), sowie U. alpinum ein 
etwas fremdartiges Aussehen, da zwar die unterste (dritte) Zelle 
seitlich blasig auswächst, jedoch zu einer sterilen Blase wird. Bei 
U. simplex und U. Robinsoni wächst sogar die zweite Zelle zu ei- 
ner sterilen Blase aus. Welche Bedeutung diese Blase hat, wissen 
wir nicht, vielleicht dient sie der Verbreitung der Teleutosporen, 
vielleicht der Lockerung der reifen Teleutosporensori. Warum die 
Blase steril bleibt. wissen wir ebensowenig, vielleicht treten keine 
Zellkerne in dıeselbe ein, oder es unterbleibt die Konjugation der- 
selben. Alle diese Fragen harren noch der Antwort, jedenfalls fin- 
den sich in dem Bereiche des Uromycladium Me. Alpine zwei Grup- 
pen von Arten, die vielleicht eine generische Trennung derselben 
rechtfertigen könnten. 

Von beiden ist Gerwasia entwicklungsgeschichtlich verschieden. 
Der Teleutosporenträger ist hier ebenso wie bei dem Aspergillus 
der Konidienträger blasig erweitert und mit Sterigmen bedeckt. 
Die blasige Erweiterung, welche bei mehreren Arten von Uromy- 
cladium vorhanden ist, jedoch zuletzt entsteht und steril bleibt, ist 
bei Gerwasia primär, und ihr Plasma tritt durch die Sterigmen in 
die Teleutosporen. 


Gerwasia Rubi Rae. 


Auf der Unterseite der Blättter zerstreut stehende, orangegelbe 
rundliche oder unregelmäßige, 02—1 mm breite Flecke bildend, 
an denen rundliche, winzig kleine, wenigsporige Teleutosporenhäuf- 
chen einzeln oberhalb der Spaltöffnung liegen. Haustorien sehr klein. 
kuglig. Die durch die Spaltenöffnung hindurchwachsende Stamm- 
zelle 20—24 u lang, zylindrisch, 4—6 u breit, am Ende kuglig 

102 


272 


erweitert und 8—12 u breit. Aus dieser kugligen Blase, oberhalb 
der Spaltöffnung entspringen mehrere (4—-15) nach oben gerichtete, 
kurze, an der Basis angeschwollene, 18—23 u lange, 6—9 u breite, 
zylindrische Sterigmen der Teleutosporen, an deren Spitze je eine 
nicht abfallende, genau kuglige, glatte, orangegelbe, 20—24 u breite, 
dünnwandige Teleutospore gebildet wird. Seltener trägt eine pri- 
märe Sterigme keine Teleutospore an der Spitze, sondern (einer 
Stammzelle ähnlich) wiederum einige (2—4) Teleutosporen tragende 
Sterigmen. Die Teleutosporen keimen gleich nach ihrer Bildung 
apikal, mit einer geraden, 8—10 u breiten Basidie von verschiede- 
ner Länge, mit vier 20—32 u langen Zellen an der Spitze, deren 
jede auf einer seitlichen Sterigme eine eiförmige, an der Basis spit- 
ze, am Scheitel breit abgerundete, 9—10 u breite, 14—16 u lange 
Basidiospore trägt. 

Auf den Blättern des Rubus sp. in dem Berggarten in Tjibodas 
auf dem Gedeh. 


Puccinia Toddaleae Rac. 


Auf den Blättern bilden sich orangegelbe, runde, hypertrophierte, 
4—8 mm breite Flecke, welche oberseits flach, unterseits flach kon- 
vex sind. In diesen Flecken wuchert das Mycelium interzellular 
und entsendet in die Mesophyllzellen kurze, kuglige oder keulenför- 
mige Haustorien. Auf der Oberseite der Flecke werden subkutiku- 
lar die konischen, bis 200 u breiten Spermogonien, dagegen mit- 
ten in dem hypertrophierten Mesophyll die kugligen oder flach 
ellipsoidischen Teleutosporensori gebildet, welche nachträglich auf 
der Unterseite sich öffnen. Die Höhe des Teleutosporensorus ist 
mit einer dünnen, farblosen pseudoparenchymatisch aufgebauten 
Mycelhülle ausgekleidet. Die Paraphysen fehlen. Die Sori sind bis 
400 u breit, die Teleutosporen zweizellig, dünnwandig, mit blaßgelber 
Membran, glatt, in der Mitte tief eingeschnürt, oval, an beiden En- 
den eingeschnürt mit einem apikalen Porus der oberen Zelle, 26—30 u 
breit, 42—48 u lang, mit einem bis 50 u langen, bis 13 u breiten, 
farblosen, dünnwandigen Stiel. Die einzelnen Teilzellen lösen sich 
nicht voneinander. Die Teleutosporen keimen gleich mit einer zy- 
lindrischen, geraden, farblosen, vierzelligen Basidie, welche 12 bis 
14 u diek ist. Die Basidiosporen sind oval, beiderseits abgerundet, 
farblos, 10 u breit, 17—21 u lang, 


273 


Aut den Blättern der stachligen Riesenliane Toddalea aculeata 
auf dem Gedeh, unterhalb der warmen Quellen. 

Trotz der gestielten, nicht zerfallenden Teleutosporen scheint 
diese Art der Puccinia (Schizospora) Mitragynes verwandt zu sein. 


Puccinia Puspa Rac. 


Auf den Blättern bilden sich braungrüne, rundliche, nicht hypertro- 
phierte, 2—4 mm breite Flecke, auf deren Unterseite die Teleuto- 
sori, in 1 bis 3 konzentrischen Ringen, als bis 150 u breite, runde. 
flache Polster unterhalb der Epidermislage angelegt werden. Para- 
physen fehlen. Auf reich büschelig verzweigten gedrängten Hy- 
phen bilden sich dieht nebeneinander stehende, fast farblose, glatte 
Teleutosporen. Die Stiele sind 12—14 u dick, oben diekwandig, 
farblos, 36—55 u lang. Die Teleutosporen sind zweizellig, äußerst 
unregelmäßig geformt, manchmal nur 16 u breit, bis 80 u lang, 
fast zylindrisch, in der Mitte nicht eingeschnürt, oder 25 w dick, 
35 u lang, kurz oval, in der Mitte tief eingeschnürt. Am häufigsten 
sind die Formen, wo die untere Zelle bucklig an einer Seite an- 
geschwollen ist, auch häufig sind solche, wo die Längsachsen der 
beiden Zellen schief gegeneinander gerichtet sind. An der Pflanze 
keimen die Teleutosporen nicht. 

Vielleicht gehört hieher Aecidium Puspa Rac., wenigstens habe 
ich am Pangerango die Teleutosporen und Acidialgallen auf einem 
und demselben Baum gefunden. 

Auf Acronodia punctata auf dem Pangerango. 


Sphaerophragmium Mucunae Rac. 


Auf der Blattunterseite dicht gehäufte runde, kleine (150—240 u 
breite), unterhalb der Epidermis angelegte, nachher offene Uredosori. 
Diese sind von einem kranzbogig nach innen gerichteten, zylindri- 
schen, an der Spitze zugespitzten und da sehr dickwandigen, zwei- bis- 
dreizelligen. 7— 10 u breiten, 45—65 u langen Paraphysen umgeben. 
Die Uredosporen sind gestielt, ohne Stiel abfallend, unregelmäßig oval, 
gewöhnlich unsymmetrisch, 20—24 u breit, 40—46 u lang, dick- 
wandig, an der Spitze manchmal (nicht immer) verdickt, mit fei- 
nen, häufig reihenweise angeordneten Stacheln bedeckt, braun und 
diekwandig, in der äquatorialen Fläche mit 4 Poren. Die Teleu- 
tosporensori sind von ähnlichen Paraphysen umgeben, oder die Te- 
leutosporen stehen in den Uredolagern. Die Teleutosporen normal 


vierzellig, ausnahmsweise drei bis fünf-zellig, alle Zellen in einer verti- 
kalen Ebene liegend, so daß sie, von oben gesehen, nicht rundlich, 
sondern oval. braun und dickwandig aussehen. Die Oberfläche der 
Teleutosporen ist mit konischen. braunen Warzen oder mit abge- 
stutzten Warzen bedeckt, die am Scheitel in 2—3 Stachelehen aus- 
laufen, also glochidienähnlich, jedoch so lang wie breit sind. Die 
Teleutosporen sind 30—40 u lang, 24—30 u breit, 20—25 u dick. 
Ihr Stiel ist dünnwandig, bis 4 u dick, bis 25 w lang. 

Auf den Blättern der Mucuna sp. in Buitenzorg. Nächst ver- 
wandt mit den glochidiaten Triphragmiumarten, jedoch sich von 
denselben durch die vierzelligen Teleutosporen unterscheidend. 


Endophyllum Dichroae Rac. 


Auf den Blättern orangegelbe, runde, 3—4 mm breite, oberseits 
flach vertiefte, unterseits hypertrophierte, konvexe, scharf begrenzte 
flache, auf deren Unterseite. in dem hypertrophierten Blattgewebe 
eingesenkt, die gelben Teleutosporenbecher stehen. Die Hyphen wu- 
chern zwischen den Zellen der Nährpflanze, in welche lange, sehr 
reich büschelig verzweigte Haustorien ausgesandt werden. Die 
Teleutosporenbecher zylindrisch, sehr tief eingesenkt, bis 160 u 
breit, bis 400 u lang, von einer unscheinbaren Pseudoperidie umge- 
ben, deren farblosen Zellen sehr flach, 6—8 u dick sind. Die Te- 
leutosporen sind eckig oval, glatt, orangegelb, dünnwandig, 18—20 u 
breit, 23—38 u lang, durch große viereckige Zwischenzellen von- 
einander getrennt. Die Zwischenzellen sind 7—9 u lang und breit 
und bleiben bis zur Bildung der Basidien erhalten. Die einzelnen 
Teleutosporen lösen sich nämlich voneinander nicht ab, sondern 
bleiben alle miteinander zn einer kompakten Säule verklebt, wel- 
che über die Oberfläche des Bechers emporragt und an der Spitze 
Basidien bildet. Diese sind zvlindrisch, gerade oder gekrümmt, 
10—13 u dick, von wechselnder Länge. vierzellig; die Sterigmen 
schmal konisch, 10—13 u lang, die Basidiosporen kurz oval, glatt, 
dünnwandig. 

Sehr gewöhnlich auf der Saxifragacea: Dichroa eyanitis Miq. auf 
dem Gedeh und Pangerango. 

Von den übrigen Endophyllumarten unterscheidet sie sich durch 
die nicht zerstäubenden Teleutosporen. Während bei anderen /do- 
phyllumarten die sterilen Zwischenzellen einer Teleutosporenreihe 
als Trennungszellen dem Verstäuben der Teleutosporen dienen und 


275 


dabei niedrig bleiben, sind solche bei Endophyllum Dichroae hoch 
und dienen zum Emporheben der einzelnen Teleutosporen über die 


nächst tiefere. 


Skierka Agallocha Rac. 

An rótlichen, runden, 1—3 mm breiten Flecken brechen an der 
Unterseite der Blätter durch die Spaltöffnungen weiße, tädige Te- 
leutosporensäulen hervor. Das Mycelium ist in den Interzellularräu- 
men sehr reichlich entwickelt und bildet an zahlreichen Blattstel- 
len zwischen der Epidermislage und dem Schwammparenchym kom- 
pakte Lagen, welche hie und da die Epidermis emporwölben und 
ein Hymenium bilden. Die hymeniale Schicht bildet apikale Te- 
leutosporen, deren Bildung längere Zeit andauert, indem immer 
neue Hyphenspitze je eine Teleutospore abgliedern. Durch Druck 
werden die Teleutosporen, welche miteinander verklebt sind, durch 
die jetzt etwas erweiterten und von gebräunten Zellen umgebene 
Spaltöffnung in der Form von äußerst dünnen, spinnengewebeähn- 
lichen, 50—80 w dicken, 1—8 mm langen, gewundenen, mit den 
benachbarten häufig verwebten, schneeweißen Säule herausgepreBt, 
welche aus miteinander verklebten, lanzettlichen, farblosen Teleu- 
tosporen besteht. Die Teleutosporen sind einzellig, 8—12 u dick, 
60—100 u lang, glatt, dünnwandig, mit einer stumpfen, 18—25 u 
langen Membranspitze. An der Basis der Teleutospore hängen ge- 
wöhnlich die kurzen Reste der undeutlichen Stielzelle. Die Teleu- 
tosporensori stehen bald einzeln über die Blattunterseite dicht, je- 
doch unregelmäßig zerstreut, bald in Ringen angeordnet. 

Auf den Blättern des Mangrovestrauches Excoecaria Agallocha 
(Euphorbiaceae) sehr häufig am Strande bei Batavia. 

Die Teleutosporen keimen auf der Säule mit Basidien, auf wel- 
chen auf kurzen Sterigmen kuglig birnförmige, 8—10 u breite Ba- 
sidiosporen gebildet werden. 


Hamaspora gedeana Rac. 

Auf den Blättern bilden sich orangegelbe, rundliche oder ge- 
lappte Flecke von 05 cm Breite, auf deren Unterseite rundliche, 
bis 250 u breite Teleutosori stehen. Diese sind von farblosen, zy- 
lindrischen, an der Spitze abgerundeten, dichtstehenden Paraphy- 
sen umgeben, welche bis 80 u lang und an der ein wenig ange- 
schwollenen Spitze 6—8 u breit sind. Die Teleutosporen sind zy- 


276 


lindrisch spindelfürmig, 4—7-zellig, bis 0'4 mm lang, bis 7 u an 
der Spitze breit. Die Teleutosporen sind orangegelb, miteinander nicht 
verklebt, ein Häufchen, jedoch keine Säule bildend, 16— 22 u breit, 
110—140 u lang, ihre mittleren Zellen gewöhnlich so lang wie 
breit, ihre Membran farblos, glatt, die oberste Zelle spitz, in ein 
kurzes membranöses Stachelehen (von 20 u Länge) ausgezogen. 
Die Basidien sind gerade, zylindrisch, vierzellig, ihre Zellen lösen 
sich leicht voneinander ab und sind 10—11 u breit; die Basidio- 
sporen oval, bis 16 u lang, 9—10 breit. 

Auf den Blättern des Rubus alpestris auf dem Gedeh. 

Von H. longissima, einer auf dem Gedeh, besonders aber in der 
unteren noch bebauten Strecke, zwischen Tjipanas, Singanglaja und 
Tjibodas sehr häufig vorkommenden Art durch die nicht zu einer 
langen Säule verwachsenen Teleutosporen, so wie durch die in nur 
kurzen Stachelehen ausgezogenen Teleutosporen verschieden. 


Aecidium Elaeocarpi Rac. 


Spermogonien subkutikular an der Blattoberseite, konisch 
80—130 u hoch und breit. Die Äcidien brechen an Blättern, oder 
häufiger, und dann stärker entwickelt, an jungen Zweigen in der 
Rinde, wo sich mächtige, 2—10 mm dicke und 2—4 cm lange 
Gallen bilden. Die Äcidienbecher zylindrisch, schmal und tief, bis 
350 u breit, 700—900 u lang, an der Basis konisch verschmälert. 
Die Peridie an der Oberfläche nicht vorragend, aus flachen, tafel- 
förmigen, farblosen Zellen gebildet. Die Zwischenzellen der Äei- 
diosporen besonders hoch und kubisch, nicht wie bei den meisten 
Uredineen schief, vor dem Verschwinden bis 12 u hoch und breit. 
Die Acidiosporen länglich, braungelb, feinwarzig, an den Enden 
entweder konisch, oder abgestutzt und unregelmäßig und da mit 
farblosen membranartigen Verdiekungen (Reste der Zwischenzellen) 
versehen. 44—60 u lang, 18-—24 u breit, in sehr regelmäßigen 
Etagen gebildet und manchmal mit den benachbarten (ähnlich wie 
die Teleutosporen der Gattung Alveolaria) verklebt. 

Auf Blättern und Zweigen des Elaeocarpus longifolius Bl. in 
Depok bei Buitenzorg. Nahe verwandt, vielleicht sogar identisch 
ist dieses Aecidium mit der Puccinia Puspa Rac., welche auf Acronodia 
punctata, also einer verwandten Pflanze auf dem Gedeh wächst. 
Doch habe ich bei letztgenannter Pflanze wie Stengelgallen gesehen, 
wie solche bei Ælacocarpus latifolius auftreten. 





277 


Aecidium Paramignyae Rac. 


Auf den Blättern bilden sich 2—5 cm breite, runde, oberseits 
blaßgrüne, unterseits gelbliche und ein wenig gewölbte Flecken, 
Das Mycelium lebt interzellular und entsendet in die Zellen knäu- 
elartig verzweigte Haustorien. Auf der Unterseite stehen nebeneinan- 
der die Spermogonien und Äcidienbecher. Die Spermogonien sind 
kuglig, tief in dem Gewebe eingesenkt, bis 200 u breit und bis 
240 u hoch, mit einer Schicht von langen Spermatienträgern an 
der ganzen Innenseite, und einer flach konvexen, breiten Mündung. 
Die Äeidienbecher sind zylindrisch, wenig länger als breit, bis 
03 mm breit, bis 380 u hoch, orangegelb, mit einer Peridie, wel- 
che nach dem Öffnen am Rande niedrige Lappen bildet. Die Zel- 
len der Peridie sind flach, an der einen Seite mit Warzen und 
kurzen Leisten bedeckt, dickwandig bis 20 u breit, 24—36 u lang. 
Die Acidiosporen sind kuglig, dünnwandig, sehr fein punktiert, 
18—24 u lang und breit. 

Auf Blättern der Paramignya Blumei Harsk. in Tjampea bei 
Buitenzorg. 


Aecidium Mori Barkley. 


Auf beiden Blattseiten, Blattstielen und jungen Stengeln bilden 
sich orangegelbe, rundliche oder lingliche, hypertrophierte, orange- 
gelbe Flecke, welche häufig Verkriimmungen der infizierten Organe 
verursachen. Acidienbecher ganz in das Gewebe eingesenkt, kuglig. 
bis 200 u breit, dicht nebeneinander liegend. Haustorien länglich 
oval, gewöhnlich gekrümmt, unverzweigt. Peridialhülle schwer 
sichtbar, jedoch vorhanden, zerfällt bei der Reife und nach dem Öffnen 
in einzelne polygonale punktierte Zellen, welche 16—22 u lang 
sind. Die Acidiosporen kuglig, dünnwandig, orangegelb, sehr fein 
punktiert, 10—12 w breit. 

Auf Blättern und Zweigspitzen der Morus indica L. in Tjibo- 
das, der Nährpflanze durch zu frühen Blattverlust sehr schädlich. 

Offenbar mit Caeoma Mori Barkley, einem Parasiten der Mo- 
rus alba aus Simla in Englisch Indien identisch. Die korrekte Be- 
schreibung bei H. et V. Sydov et E. I. Butler. Fungi Indiae 
orientalis (Ann. myc. 1907. S. 507) stimmt mit der unsrigen gut 
überein. 


Caeoma Anthurii Har. var. Alocasiae Rac. 


Auf den Blättern bilden sich zunächst blaßgelbe, runde bis 
5 mm breite Flecke, an deren Unterseite dieht gedrängt, jedoch 
unregelmäßig die winzig kleinen, 100—160 u breiten und runden 
Caeomasori stehen. Später treten auf denselben Blättern über die 
ganze Blattunterseite unregelmäßig zerstreute, vereinzelt stehende 
Caeomasori auf, welche vielleicht der nachträglichen Infektion durch 
die zuerst gebildeten Sporen ihren Ursprung verdanken. Die Caeo- 
masori sind unterhalb der Blattepidermis angelegt, die Epidermis ober- 
halb derselben wird gewölbt und zerreißt mit einer nur sehr klei- 
nen runden oder länglichen Öffnung in der Mitte. Die Pseudope- 
ridie wird aus unregelmäßigen, dünnwandigen und glatten Zellen 
gebildet. Die Sporen bilden sich nur in geringer Anzahl, sind in 
einer Reihe angeordnet, durch die vergänglichen Zwischenzellen ge- 
trennt, blaßgelb, dünnwandig, einförmig rund, mit kleinen Wiirz- 
chen bedeckt, 24—26 u lang, 20— 22 u breit. 

Auf Blättern der Alocasia metallica bei Buitenzorg, besonders 
in der Zone der Kaffeegärten. 

Caeoma Anthurii Har., eine in Frankreich in den Glashäusern 
auf Anthurium beobachtete Art, hat größere Sporen mit stärkeren 
Stacheln. 


Uredo moricola Henn. 


Die Uredosori stehen auf der Blattunterseite, auf polygonalen, 
braunen, 05-1 mm breiten und langen zerstreuten Flecken, dicht 
gedrängt. Sie sind rundlich, sehr klein, 40—150 u breit, ohne Pa- 
raphysen, unter der Epidermislage angelegt und sehr lange bedeckt. 
Die Uredosporen sind sehr kurz gestielt, leicht abfallend, eiförmig, 
orangegelb, dicht mit stachligen Wärzchen bedeckt, bis 20 u lang, 
bis 14 u breit. 

In Blättern der Morus Tokwe in Buitenzorg, frühzeitiges Abfal- 
len der Blätter verursachend. 


Uredo Chonemorphae Rac. 


Sehr hiufig auf Apoeynea Ichnocarpus bantamensis. Die Paraphy- 
sen bilden hier keinen Kranz um die Uredosori, sondern treten 
vereinzelt zwischen die gestielten Uredosporen. — Buitenzorg. 


219 


Uredo Vitexi Rac. 


Auf der Unterseite der Blätter rundliche, gewöhnlich 60—150 u, 
seltener bis 300 u breite, gelbe Sori, welche unter der Epidermis 
angelegt werden, nachher flach gewölbt sind, ohne Paraphysen oder 
Pseudoperidie. Die Uredosporen auf kurzen Stielen, eiförmig, dünn- 
wandig, feinstachelig, an der Spitze abgerundet, orangegelb, 14—18 u 
breit, 19—25 u lang. 

Auf der Unterseite der Blätter von Vitex leucoxylon bei Dja- 
singa westlich von Buitenzorg, gewöhnlich durch das Verticillium 
uredinearum angetastet. 


Uredo pedicellata Rac. 


Mycelium interzellular, dick, farblos, mit kugligen Haustorien. 
Uredosori auf der Unterseite der Blätter und Bracteen, seltener 
auf der Oberseite entwickelt. Uredosori entweder sehr klein rund- 
lich, 60 u breit, gelbbraun, unterhalb der Luftspalten entwickelt und 
diese spaltend, oder subepidermal, die Epidermis abhebend, bis 
0:8 mm breit und rundlich. Uredosporen an 35—48 u langen Stie- 
len, kuglig oder seltener sehr kurz eifórmig, 21— 24 u breit und 
lang, gelbbraunwandig, fein stachlig, mit 2—3 in der äquatorialen 
Ebene liegenden runden Poren. 

Sehr häufig auf Commelina sp. variae in Buitenzorg. 


Uredo oriental. Rae. 


Mycelium interzellular, in die Zellen des Mesophylls, seltener 
in die Epidermiszellen kuglige, ovale oder unregelmäßig eckige, 
diekwandige, braunwandige, 17— 24 u lange, 13—19 u breite Haus- 
torien entsendend, welche auf einem Querschnitt, bei schwacher 
Vergrößerung den Sporen ähnlich sind. Die Uredolager bilden sich 
subepidermal, an beiden Blattseiten, besonders reichlich längs des 
Mittelnervs, bald dicht gedrängt, 45—200 u breit, lange von der 
Epidermis bedeckt, nachträglich durch einen Rif) geöftnet, flach ge- 
wölbt, an jungen Blättern Verkrümmungen der Blattfieder und 
dann Absterben der infizierten Stellen verursachend. Paraphysen 
oder Pseudoperidie fehlen. Die Uredosporen sind kurz gestielt, ab- 
fallend, kuglig oder eckig oval, diekwandig, glatt, ohne Poren, mit 
orangegelbem Inhalt, 17—22 u breit, 22—28 u lang, an der Spitze 
flach oder flach abgerundet. 


280 


In den Blättern des Blechnum orientale am G. Gagak westlich 
von Salak bei Buitenzorg. Durch die sonderbaren Haustorien, wie 
mir solehe sonst unbekannt sind, auffallend. Da mir die Keimung 
der Sporen unbekannt ist, so habe ich auch ihre Uredonatur nicht 
sicher feststellen können. 





16. Pangium z mioceñskich warstw Jawy. — Uber eine 
fossile Pangiumart aus dem Miozän Java's. Note de 
M. M. RACIBORSKI m. c. 


Fr. Junghuhn hat in der ersten Hälfte des neunzehnten Jahr- 
hunderts auf Java, am Nordabhang der Bengbrengwand eine reiche 
miozäne Flora entdeckt und gesammelt, die nachträglich von 





Fig. 1. Photographie der Außenfläche des Samens von Pangium Treubit. 


H. R. Göppert beschrieben und abgebildet wurde (Junghuhn, 
Java, 1857. Vol. III. 79--82; Goeppert, die Tertiärflora auf der 
Insel Java 1854). 

Im Jahre 1900 habe ich die Lokalität der fossilen Pflanzen, 


281 


welche weit von den gewöhnlichen Verkehrsstraßen im Süden der 
Preanger Regentschaften, in der Nähe der indischen Küste liegt, 
zu Pferde über Sukanegara besucht. Die betreffende Stelle, am 
Wasserfall des Tjuruk Tjigembong östlich vom Dorf Tanggeung 
gelegen, ist von Junghuhn sehr genau bezeichnet. Ich konnte 
sogar in einem Nachbardorf einen gewissen Sundanesen, der seiner- 
zeit Junghuhns Diener war, finden und konnte an einem Tage 
eine reiche Ausbeute fossiler Pflanzenabdrücke sammeln, die jetzt 
in dem botanischen Museum in Buitenzorg aufbewahrt sind. Die an 
fossilen Pflanzen reichste Stelle ist der Ostabkang der Kluft, in 

















Fig. 2 und 3. Vorder- und Seitenansicht des Steinkernes von Pangium Treubu. 


welcher das Wasser des Gembongbaches stürzt, und liegt, vom Ni- 
veau des Bassins unter dem Wasserfall gerechnet, einige Meter 
höher. 

In den dunkelgrauen, fast bläulichen Schichten habe ich ebenso, 
wie Junghuhn nur Blattabdrücke gefunden. Über diesen Schich- 
ten findet sich dagegen eine Einlagerung weißgelblicher, schneid- 
barer Tuffmasse mit überlagerten Sandsteinbänken und diese verdient 
eine nähere Untersuchung, da darin ungeschichtet, wirr durcheinander 
Bruchstücke von marinen Bivalven und Echinodermen, hellbraune 
Bruchstücke von Blättern und Stengeln, sogar vereinzelte Früchte 
und Samen liegen. Wir haben in derselben eine fossile, miozäne 
Driftzone vor uns, wie solche sich überall an der Küste, einige 
Centimeter oberhalb des Fluthorizontes findet. 


282 


Die Bestimmung miozäner Blattabdrücke ist wohl eine der un- 
dankbarsten Aufgaben. So z. B. gehören die Bruchstücke, welche 
Goeppert a.a. O. als Musophyllum truncatum bezeichnet hat, und 
diejenigen, die ich gesammelt habe, einer Farnart Nervatio Taenio- 
pteridis, welche den jetzt auf Java wachsenden Acrostichum-, Asple- 
nium- oder Stenochlaenaarten ganz ähnlich sind. Wegen der Bestim- 
mung zahlreicher Blattabdrücke habe ich die kenntnisreichen 
javanischen Floristen Arsin, Jaheri, Paidan befragt und ihre 
Bestimmungen selbst nachträglich’ geprüft. Dabei hat sich herausge- 
stellt, daß unter den vorliegenden Abdrücken viele Quercus, Lau- 





Fig. 4. Photographie des Monocerocarpus miocaenicus. 


raceen, Dipterocarpus und Hopea, Michelia (M. velutina ganz ähnlich), 
Artocarpus (A. integrifolia ganz ähnlich), weiter Columbia javanica, 
Gnetum funiculare, Calamus und Wallichia ähnliche Blattgestalten 
vorhanden waren. Doch haben alle diese Bestimmungen bei dem 
Mangel an Blüten oder Früchten nur wenig Wert. 

Anders verhält es sich mit den fossilen Driftsamen. In der er- 
wähnten fossilen Driftzone habe ich leider nur zwei Samen ge- 
funden, da weiteres Sammeln durch die lästigen Lantanasträuche 
sehr erschwert war. 

Der eine von ihnen ist dem rezenten Pangium edule ganz ähn- 


283 


lich, ich nenne die tertiàre Art Pangium Treubii. Von diesem sind 
einerseits die Abdrücke der äußeren Samentesta mit dem charakte- 
ristischen Verlauf der Gefäßbündel, andererseits der glatte Steinkern 
erhalten. Den Abdruck der Außenfläche gibt die Photographie Fig. 1 
wieder, die Vorder- und die ‘Seitenansicht des Steinkernes Fig. 2 
und 3. Die Ähnlichkeit mit den Samen der rezenten Art ist frap- 
pant, und es scheinen mir alle Zweifel an der systematischen Zu- 
gehörigkeit der fossilen Art ausgeschlossen. Pangium edule gehört 
heute zu häufigen Funden unter den Driftsamen des östlichen, tro- 
pischen Asiens, A. F. W. Schimper (Die indo-malayische Strand- 





Fig. 5. Die Steinfrucht des rezenten Monoceras lanceolatus. 


flora, S. 107, Taf. VII. Fig. 24) zitiert die Art aus der Drift Java 
und Keeling Inseln. Auf Java habe ich selbst die Samen derselben 
in der Drift von Tjitatjap und Pulu Merak gesammelt. 

Die andere gefundene Driftfrucht konnte ich dagegen nicht 
sicher bestimmen. Es ist der Abdruck einer Steinfrucht. deren wahr- 
scheinlich fleischiges Perikarp verfault ist. Auf dieser flachgedriick- 
ten Frucht, die aus zwei Fruchtblättern gebaut war, sind sehr zahl- 
reiche stachlige Auswüchse vorhanden, wie ganz ähnliche bei dem 
rezenten Monoceras lanceolatus vorhanden sind. Ohne der Zugehör 
rigkeit der Frucht genau sicher zu sein, bezeichne ich sie als Mono- 
cerocarpus miocenicus. Auf der Fig. 4 ist die fossile Art, auf de- 
Fig. 5 ist zum Vergleich ein Steinkern des Monoceras lanceolatus 
abgebildet. 


Pangium wird jetzt in die Familie der Flacourtiaceen eingereiht, 
eine Familie, welche ebenso Warburg, wie Hallier junior (Über 
Juliania) als eine sehr alte Familie bezeichnen. In den „Natürlichen 


284 


Pflanzenfamilien“ Bd. VI, a, Seite 10 schreibt Warburg: „Mit 
„Sicherbeit sind paläontologische Reste der Familie nicht nachge- 
„wiesen, bei dem Mangel charakteristischer Blattformen oder -ner- 
„vatur wird man sie wohl auch kaum als Flacourtiaceae bestimmen 
„können. Eher wird man hoffen dürfen, harte Samen, wie z. B. 
„Pangium-ähnliche Formen, fossil erhalten zu können“. Diese Er- 
wartung hat sich jetzt erfüllt. d 
Andererseits zeigt der javanische Fund der tertiären Pangiumart, 
sowie die früheren Funde von Nipa und anderen Driftfrüchten aus 
eozänen und miozünen Schichten Europas, daß die biologische 
Gruppe der Strandflora mit den Samen und Früchten, welche durch 
die Wellen des Ozeans verbreitet werden, von sehr altem Datum ist. 





17. O rozwoju listków zarodkowych 1 jelita u Gastroidea 
viridula Deg. (Coleoptera). — Uber die Entwicklung 
der Keimblätter und des Darmes bei Gastroidea viri- 
dula Deg. (Coleoptera). Mémoire de M. JAN HIRSCHLER, 
présenté par M. J. Nusbaum m. ec. 

(Planche IV). 


1. Einleitung, Material, technisches Verfahren. 


Meine Untersuchungen iiber die Entwicklung der Coleopteren, 
die ich an Donacia-Eiern begonnen habe und deren Ergebnisse 
demnächst veröffentlicht werden sollen, setzte ich weiter an Eiern 
eines anderen Chrysomeliden, Gastroidea viridula (Gastrophysa 
raphani) fort. Diese Form wurde zwar schon früher von Lecaillon 
untersucht, jedoch nur gelegentlich als Vergleichsobjekt behandelt, 
so daß eine genauere Nachuntersuchung sich jedenfalls als wün- 
schenswert erwies. Dieses Studium bot hauptsächlich für mich ein 
sehr großes Interesse, da ich eben für Donacia, gegen Friederichs, 
die entodermale Herkunft des Mitteldarmes feststellen konnte; ich 
wollte nun an einer nahe verwandten Form meine eigenen Unter- 
suchungen kontrollieren und dabei auch eine festere Basis für die 
kritische Betrachtung der Ergebnisse anderer Forscher, hauptsäch- 
lich derjenigen von Lecaillon und Friederichs, gewinnen. 
Wie ich schon hier bemerken will, erwiesen sich meine Untersu- 
chungen lohnenswert, indem ich mich auch an dieser Form ganz 


285 


sicher von der entodermalen, nicht aber, wie Lecaillon behauptet, 
ektodermalen Herkunft des Mitteldarmepithels überzeugen konnte; 
dabei liegen bei diesem Objekte die Entwicklungsverhältnisse so 
klar auf der Hand, wie sie nur selten bei Insektenembryonen zu 
finden sind, so daß wir zu dem obengenannten Schlusse rein auf 
Grund durehmusterter Schnittserien gekommen sind, ohne mehr 
oder weniger gewagte theoretische Deutungen zu Hilfe zu nehmen. 
Das Material sammelte ich während der letzten Ferien (Au- 
gust) auf einigen sumpfigen, am Ufer des Flusses Strypa (Österr.- 
Podolien) gelegenen Waldwiesen; das Einsammeln eines ziemlich 
reichen Materials war in diesem Falle leicht, denn man konnte 
gleichzeitig alle gewünschten Entwicklunsstadien finden; neben 
trächtigen Weibchen, die sich gerade zur Eierablage anschickten, 
traf man jüngere und ältere Eiergelege, frisch ausgeschlüpfte und 
fast ausgewachsene Larven an. Die Eiergelege von Gastroidea ent- 
halten je 30 — 50 Eier, die eng nebeneinander liegen und mit 
ihren Längsachsen gleich orientiert, mittels eines klebrigen Stoffes 
dem Blatte ziemlich fest anhaften. Die Eier sind linglich-oval, 
zeigen viel Ähnlichkeit mit denen der Melöe-Art und stehen nur 
hinsichtlich der Größe hinter diesen weit zurück. Das frisch abge- 
legte Gastroidea-Ei ist von liehtgelber Farbe, die während der 
weiteren Entwicklung in Orange übergeht, um noch später schmut- 
zig-gelb und endlich schmutzig-grün zu werden. Die letztgenannte 
Farbe besitzen auch die frisch ausgeschlüpften Larven, welche all- 
mählich dunkler und zuletzt schwarz werden. Man kann sich also, 
bei gewisser Übung. schon im Freien beim Einsammeln der Eier- 
gelege über ihr Alter gewissermaßen orientieren. 
Da die Gastroidea-Eier ziemlich weich sind und beim Abpräpa- 
rieren vom Blatte leicht verletzt werden, stach ich ein jedes 
am Blatte mittels einer feinen Nadel an, danach wurde das 
Blattstück, welehem das Eiergelege anhaftete, ausgeschnitten und 
alles in die Fixierungsflüssigkeit auf 4 — 10 Stunden gebracht. 
Zur Konservierung diente mir eine Mischung von Sublimatlösung 
und 3°/, wässeriger Salpetersäure, worüber näheres in meiner frü- 
heren!) Arbeit (über Donacia) zu finden ist. Nachdem die Eier eine 
Reihe steigender Alkohole passiert hatten, wurden sie im 96° Alko- 
hol von ihrer Blattunterlage mittels Nadeln befreit und auf 24 Stun- 


1) Die Arbeit erscheint demnächst in der „Zeitschrift für wiss. Zoologie“. 


Bulletin III. II 


236 


den in eine Thioninlösung gelegt (siehe näheres in meiner Arbeit 
über Donacia), wodurch man eine färbige Differenzierung des Keim- 
streifs erzielt und hiernach die bei Anwendung bekannter Mani- 
pulationen in Paraffın eingebetteten Eier nach Belieben orientieren 
kann. So behandelte Eier ließen sich leieht samt Chorion und Epi- 
chorion in schöne Sehnittserien zerlegen, deren Schnittdicke 5 — 6 u 
betrug; sie zeigten also eine ebenso gute Schnittfähigkeit wie andere 
Chrysomeliden-Eier (Donacia), die im allgemeinen, was das technische 
Verfahren anbelangt, ein sehr anziehendes Studiumobjekt darstellen. 
Die Schnittserien wurden fast ausschließlich mit Delafield’schem 
Hämatoxylin gefärbt, wobei ich hie und da zur Nachfärbung Eosin 
oder Orange gebrauchte. Statt Zeichnungen legte ich dieser Arbeit 
eine Reihe mikrophotographischer Aufnahmen bei, welche uns mit 
möglichst größter Objektivität und Treue die hier geschilderten 
Entwicklungsvorgänge illustrieren. 

Viele Entwicklungsvorgiinge bei Gastroidea sind den nämlichen 
Prozessen bei Donacia fast gleich, so daß ich auf eine genauere Be- 
schreibung derselben verziehten kann. Dies betrifft vor allem die 
Blastokinese, die Segmentierung des Keimstreifens und die Entwick- 
lung der Körperanhänge, welch letztere Vorgänge ich in meiner 
Arbeit über die Entwicklung von Donacia eingehender behandelt 
habe. Auch die Entwicklung der mesodermalen Organe und Gewebe 
scheint bei Gastroidea nichts merkwürdiges darzustellen. 


2. Erste Gastrulationsphase (Entwicklung des s.g. Blastoderms). 


Am jüngsten Stadium, welches ich an Schnittserien durch- 
mustert habe, finden wir die Furchungskerne bereits schon in zwei 
Partien geteilt; die erste kommt in der ersten Eihälfte im Dotter 
zu liegen und ist als Anlage der Dotterzellen zu betrachten, dage- 
gen die übrigen Kerne, die in der Zukunft das periphere Epithel 
aufbauen werden, haben sich gegen die Eiperipherie verschoben und 
sind eine kurze Strecke unter dem Keimhautblastem anzutreffen. 
Das Keimhautblastem ist in der ganzen Äquatorialzone des Eies 
verhältnismäßig dünn, während es gegen die Eipole allmählich 
an Dicke zunimmt und hier am dicksten erscheint. Sowohl 
das Keimhautblastem wie auch die Plasmahöfe der im Innern des 
Dotters und der mehr peripher gelegenen Kerne entsenden zahlrei- 
che äußerst feine Plasmafortsätze, welche die Dotterkügelchen netzartig 


287 


umgeben. Das Keimhautblastem ist von außen mit drei Membra- 
nen bedeckt; unmittelbar über ihm finden wir ein ganz zartes 
strukturloses Häutchen, die Membrana vitellina, darüber kommt 
eine dickere Membran, das Chorion, zu liegen und endlich von 
außen ist das ganze Ei mit einem  Epichorion bedeckt, welches 
einigemale dieker als das Chorion und an der Dorsalseite mäch- 
tiger als an der Ventralseite des Eies entwickelt ist. Obwohl 
das Epichorion, hinsichtlich seiner Dicke, bei Gastroidea weit hinter 
dem bei Donacia zurücksteht, so zeigen doch beide durch ihre 
spongiöse Struktur viel Ähnliehkeit miteinander. 

Während der weiteren Entwicklung wandern die peripher ge- 
legenen Kerne knapp unter das Keimhautblastem, und man kann 
in diesen Stadien eine viel mächtigere Ansammlung derselben in 
der Nähe des vorderen Eipoles wahrnehmen, wie in anderen Eire- 
gionen. Zuerst erreichen die Kerne die Eiperipherie an der Ven- 
tralseite, später, fast gleichzeitig am hinteren Eipol und an der Dor- 
salseite, während sie in der Umgebung des vorderen Eipoles noch 
ziemlich lange unter dem Keimhautblastem verharren. Durch tan- 
gentiale Teilungen der peripher gelegenen Kerne kommt es bald 
zur Entwicklung eines Epithels, welches aus kubischen Zellen auf- 
gebaut ist und an der ganzen Eiperipherie mit Ausnahme des vor- 
deren Eipoles anzutreffen ist. An der letztgenannten Stelle spielen 
sich ziemlich komplizierte Vorgänge ab: Die hier in größerer Menge 
vorhandenen Kerne weisen nämlich ein sehr verschiedenes Aus- 
sehen auf, indem einige ihre frühere Größe, die derjenigen der 
Dotterzellen gleich ist, beibehalten, während andere bedeutend an 
Umfang zugenommen und oft riesige Dimensionen erreicht haben; 
letztere tingieren sich äußerst schwach und zeigen das Chromatin 
zu mehreren Kügelchen zusammengeballt. Während manche von 
ihnen fast kugelrund oder oval sind, zeigen andere zahlreiche 
Ausbuchtungen, so daß ihre Konturen stark gelappt erscheinen. 
Durchmustern wir zum Vergleich eine größere Zahl von Präpara- 
ten, so kommen wir zu der Überzeugung, daß wir vor uns Kerne 
haben, die einer rapiden Fragmentation unterliegen, indem sie zu- 
gleich in mehrere kleine Kerne zerfallen, von denen jeder ein Chro- 
matinkügelchen trägt. Diese kleinen, durch Fragmentation entstan- 
denen Kerne verlieren bald ihre Membran, wobei das Chromatin- 
kügelchen frei im Dotter zu liegen kommt und weiter in noch 
kleinere Granula zerfällt. Während die Degeneration der großen 

11% 


288 


Kerne fortdauert, wandern die übrigen, die den normalen Dotter- 
kernen in den hinteren Eiregionen gleichkommen, in das Keim- 
hautblastem ein und bringen das periphere Epithel auch hier zum 
Abschluß. Wir können nun an älteren Stadien, an welchen das s. g. 
Blastoderm schon vollkommen entwickelt ist, immer in der Nähe 
des vorderen Eipols ein ziemlich reiches Gerinsel antreffen, welches 
den degenerierten großen Kernen entstammt. 

Diese Vorgänge erscheinen mir deswegen recht interessant, weil 
sie gewissermaßen Licht auf ganz ähnliche, aus der Entwicklung 
anderer Insekten bekannte Prozesse werfen; ich meine hier die 
Verhältnisse, die Schwangart bei Endromis und Dickel bei 
Apis beschrieben haben, wobei beide Autoren die Blastodermlücke 
am vorderen Eipole als Blastoporus deuten. Ich habe schon in 
meiner Lepidopteren- und Donacia-Arbeit Gelegenheit gehabt, die 
Unrichtigkeit dieser Annahme auf Grund der den Arbeiten dieser 
Autoren entnommenen Zitate und vergleichend-morphologischer 
Erwägungen zu beweisen, und bin jetzt so glücklich, die Richtig- 
keit meiner Behauptung durch meine eigenen Untersuchungen be- 
stätigt zu finden und die Blastodermlücke nicht als Blastoporus, 
sondern als eine Stelle, an welcher das periphere Epithel zuletzt 
entwickelt wird, anzusehen. Dafür sprechen alle meine Präparate und 
auch die Darstellungen Schwangarts und Dickels. Wir haben 
in allen diesen Fällen nicht mit einem Einwandern von Zellen in 
den Dotter, sondern umgekehrt mit einem Heranwandern an die 
Eiperipherie zu tun. In meiner Donacia-Arbeit versuchte ich mit 
einiger Reserve die Blastodermlücken zum Vergleich mit dem „pri- 
mären Dorsalorgan* bei Donacia heranzuziehen, jetzt scheint mir 
aber die zuvor ausgesprochene Meinung den Vorzug zu verdienen. 

Kurz darauf, nachdem sich das Epithel an der ganzen Eioberfläche 
entwickelt hat, bekommt es in den verschiedenen Eiregionen ein 
verschiedenes Aussehen. An der ganzen Dorsalseite des Eies flacht 
es sich allmählich ab und verwandelt sich in ein Plattenepithel, 
an der Ventralseite bleibt es ziemlich unverändert, während in den 
lateralen Partien des Eies die Zellen an Höhe zunehmen und zu 
einem Zylinderepithel werden. Es kommt nun zur Differenzierung 
des peripheren Epithels in eine Hüllenzone, welche die Dorsalseite 
des Eies umgreift, und in eine Keimzone, welche sich auf die ven- 
trale und die lateralen Partien erstreckt und etwas auf beide Eipole 
übergeht. Im Bereiche der Keimzone stellen uns die lateralen, aus 


289 


einem Zylinderepithel aufgebauten Partien die. Seitenplatten dar, 
zwischen welchen ventral die Mittelplatte zu liegen kommt. Ein 
genaues Studium der eben beschriebenen Differenzierungs- 
prozesse erlaubt uns, ein wenig tiefer in den Mechanismus dieser 
Vorgänge einzudringen, als es sonst gewöhnlich in anderen Fällen 
möglich ist. Ich habe nämlich in meiner Donacia-Arbeit hervorge- 
hoben, daß wir uns die Plattenentwicklung im Bereiche des 
peripheren Epithels teils durch Differenzierungsvorgänge, teils aber 
durch rein mechanische Faktoren verursacht denken können. Ich 
konnte nun bei Gastroidea beobachten, daß in Stadien, in welchen 
die Differenzierung des peripheren Epithels eingeleitet ist, mitotische 
Figuren in großer Zahl nur längs der Dorsalseite des Eies anzu- 
treffen sind, während die übrigen Eiregionen ihrer vollkommen 
entbehren. Man bekommt oft Bilder. an denen man alle Zellen an 
der Dorsalseite in Teilung begriffen findet, während man an ande- 
ren Stellen keine einzige Mitose antrifft. Dabei sind median längs 
der Dorsalseite gewöhnlich nur Asterstadien, mehr lateral aber Dia- 
sterstadien und lockere und dichte Spiremen zu sehen. Angesichts 
dessen bin ich geneigt, die letztgenannte Eiregion als eine Prolife- 
rationszone zu betrachten, in welcher eine längere Zeit sich immer 
neue Zellen entwiekeln; letztere werden lateralwärts verschoben 
und üben auf die benachbarten Elemente einen Druck aus, dessen 
Richtung tangential zur Eioberfläche verläuft und das kubische 
Epithel allmählich in ein zylindrisches umwandelt. Obwohl ich nun 
weit davon entfernt bin, in diesem tangentialen Druck den einzigen 
differenzierenden Faktor sehen zu wollen, so scheint mir seine Rolle 
nicht ganz von untergeordneter Natur zu sein und meine Deutung ein 
gewisses Quantum von Wahrscheinlichkeit für sich zu haben. Sie wird 
auch noch weiter durch diese Tatsache gestützt, daß während an der 
Dorsalseite des Eies die Zellenproliferation fortdauert, es zu beiden 
Seiten der Mittelplatte dort, wo diese an die Seitenplatten angrenzt, 
zur Entwicklung von zwei Wülsten kommt, die in der Äquato- 
rialzone des Eies am mächtigsten erscheinen und etwas medianwärts 
auf die Mittelplatte umgeschlagen sind. Wir könnten uns nun die 
Entstehung dieser Wülste, die als künftige Blastoporusränder zu 
deuten sind, auch als durch diesen tangentialen Druck verursacht 
denken. 

Wie aus dem vorher Gesagten zu entnehmen ist, weicht die 
Entwieklung des peripheren Epithels bei Gastroidea etwas von den 


290 


nämlichen Vorgängen bei Donacia ab, während sich seine Differen- 
zierung äbnlich wie bei der letztgenannten Form gestaltet. Als 
Hauptunterschied muß das Fehlen einer Genitalanlage hervorgeho- 
ben werden, die bei Donacia sehr frühe deutlich zu erkennen ist, 
während ich bei Gastroidea die Genitalzellen erst an einem späte- 
ren Stadium, wo der Keimstreif die Anatrepsis beginnt, auffinden 
konnte. 


3. Zweite Gastrulationsphase (Entwicklung des s. g. unteren 
Blattes). 


Sobald die Wülste zu beiden Seiten der Mittelplatte erschienen 
sind, beginnt sich letztere rinnenartig gegen den Dotter einzustül- 
pen. Diese Einstülpung ist zuerst in der Aquatorialzone des Eies 
zu bemerken, während sie sich an älteren Stadien weiter gegen 
beide Eipole verbreitert. Gleichzeitig mit der Einstülpung der Mittel- 
platte kommt es unweit vor dem hinteren Eipole zur Entwicklung 
einer anderen rinnenartigen Einstülpung, deren Längsachse zur 
oroaboralen Achse des Eies senkrecht orientiert ist und die von hin- 
ten durch einige mächtige Falte begrenzt wird; wir erkennen dar- 
in die Anlage der künftigen Amnionhöhle und der hinteren Am- 
nionfalte. 

In älteren Stadien hat der Gastrulationsvorgang bedeutende 
Fortschritte gemacht, wobei es auch gleichzeitig zur Ausbildung eines 
Keimstreifs gekommen ist, dessen stark erweitertes Vorderende uns 
die Anlage der künftigen Kopflappen darstellt. Wir finden die 
Mittelplatte auch in der vorderen Region des Keimstreifs etwas 
unter das Niveau der Seitenplatten versenkt (Textfig. I 1a.), wobei 
sie aber ihr plattenartiges Aussehen hier nicht verloren hat. In der 
ganzen mittleren Region des Keimstreifs erscheint sie bereits zu 
einem Rohr eingekrümmt (Textfig. I 1b.), wobei sich die Blastopo- 
rusränder an manchen Stellen, hauptsächlich dort, wo der Keim- 
streif in den Dotter einbiegt (ähnlich wie bei Donacia), so nahe 
aneinander gelegt haben, daß wir einen fast geschlossenen Schlauch 
vor uns zu haben glauben. Als ein charakteristisches Merkmal der 
Gastroidea-Entwicklung muß hervorgehoben werden, daß auch 
in diesen Stadien in der ganzen mittleren Region des Keimstreifs 
eine deutliche Grenze zwischen den Seitenplatten und der rinnen- 
artig eingestülpten Mittelplatte zu erkennen ist; man kann sich also 


291 


in unserem Falle aufs deutlichste davon überzeugen, daß die Ele- 
mente der Seitenplatten an der Rinnenbildung vollkommen unbe- 
teiligt sind und daß das eingekrümmte Rohr nur aus Zellen der 
Mittelplatte aufgebaut ist. Diese haben jetzt ihre Form ge- 
ändert, indem sie das Aussehen hoher, zylindrischer Epithelzellen 
angenommen haben und in einer Schicht zu liegen kommen. In der 
ganzen hinteren Region (Textfig. I 1c.) des Keimstreifs, die in den 
Dotter versenkt, von außen durch die hintere Amnionfalte bedeckt, 





Fig. I. Schemate zur Erläuterung des Gastrulationsvorganges; ek — Ektoderm, 
en — Entoderm, bl — Blastoporusrand, g — Gastralherd, am — Amnion. 


% 


sich dorsal zu krümmen beginnt, trifft man auch eine rinnenartige 
Gastraleinstülpung an, die hier ihre größte Tiefe erreicht. Die Grenze 
zwischen den Seitenplatten und der Mittelplatte ist hier verwischt, 
die seitlichen Wände, hauptsächlich aber der Boden der Gastral- 
rinne weisen eine bedeutende Dicke auf und scheinen an manchen 
Stellen aus mehreren Zellenschichten zusammengesetzt zu sein. Nach 
hinten zu reicht die Gastralrinne bis knapp an die Genitalanlage 
und die hintere Amnionfalte, die’ sich ventral längs des Keimstreifs 
ziemlich weit nach vorn erstreckt und deren innere Lamelle aus 


292 


Elementen der Keimzone, die äußere aber aus Hüllenektoderm auf- 
gebaut ist. Charakteristisch ist auch in diesem Stadium der asym- 
metrische Bau des hinteren Keimstreifsendes, welchem eine asym- 
metrische Entwicklung der hinteren Amnionfalte folgt. Die Median- 
ebene dieses Keimstreifsabschnittes fällt nämlich nicht mit der 
Eimediane zusammen, sondern bildet nach rechts oder links mit 
ihr einen Winkel. Im ersten Falle finden wir die rechte Seitenplatte 
viel breiter als die linke und die ganze Amnionfalte rechts ver- 
schoben, während im zweiten Falle dieselben Verhältnisse an der 
linken Seite des Keimstreifs anzutreffen sind. Es ergibt sich daraus 
eine sehr innige Korrelation zwischen Keimstreif und Amnionfalte, 
wobei die Lage der letzteren durch die Art der Krümmung des 
ersteren bedingt wird. Eine ähnliche Asymmetrie konnte Frie- 
derichs und ich bei Donacia feststellen, obwohl sie bei dieser 
Form nicht so scharf ausgeprägt zu sein scheint, wie bei Gastroidea. 

An einem älteren Stadium gestalten sich die Gastrulationsvor- 
gänge folgendermaßen: Die Gastralrinne, die in jüngeren Stadien 
im Bereiche der Kopflappen seicht, dabei aber verhältnismäßig sehr breit 
war, hat sich jetzt bedeutend verengt (Textfig. I 2a.), indem sich 
die Seitenplatten über der Mittelplatte medianwärts verschoben ha- 
ben und mit dieser median verlöteten, so daß eine Grenze zwi- 
schen beiden Keimblättern nicht zu sehen ist. An der Verlötungs- 
stelle wird man einer engen und seichten Einstülpung gewahr, an 
deren Boden sich eine Zellenproliferation erkennen läßt, die das 
Aussehen des unteren Blattes vollkommen ändert. Statt einer ein- 
schichtigen Platte besitzt jetzt dieses Blatt an Querschnitten die 
Gestalt eines Zellenhaufens, in welehem die Elemente unregelmä- 
fig über- und nebeneinander gelagert sind. In dem vorderen Ab- 
schnitte der mittleren Keimstreifsregion haben sich die gut gegen 
das untere Blatt abgegrenzten Seitenplatten auch etwas median wärts 
verschoben, die Gastralrinne ist aber noch erhalten. obwohl sie viel 
seichter erscheint, als vorher, während das untere Blatt an Querschnitten 
eine eingekrümmte, aus einer Sehicht sehr hoher Epithelzellen auf- 
gebaute Platte darstellt. In der hinteren Partie der mittleren Keim- 
streifsregion (Textfig. I 2b.) berühren sich beinahe die Seitenplatten 
über dem unteren Blatte, eine Trennung beider Keimblätter ist aber 
noch nicht eingetreten; längs der Mediane hängt hier das Ektoderm 
mit dem Entoderm zusammen, wobei sich an der Verbindungsstelle 
eine ganz kleine Einstülpung wahrnehmen läßt. Das Aussehen des 


293 


Entoderms hat sich hier stark geändert: Statt als eine eingekriimmte, 
einschichtige Platte. wie dies etwas weiter nach vorn der Fall ist, 
erscheint es an Querschnitten als ein ziemlich mächtiger, median 
gelegener, abgerundeter Zellenhaufen, mit unregelmäßig gelagerten 
Elementen. Im hinteren Abschnitte des Keimstreifs (Textfig. I 2c.), 
der stärker als vorher gegen die Dorsalseite eingekrümmt ist, fin- 
det man die Gastralrinne noch erhalten; sie hat nur etwas an Breite 
und Tiefe abgenommen, wobei ihre seitlichen Wände und ihr Bo- 
den dick und aus mehreren Zellenschichten aufgebaut erscheint. 
Der asymmetrische Bau dieses Keimstreifsabschnittes, worüber schon 
früher eingehender berichtet wurde, hat sich auch noch in diesem 
Stadium mit derselben Deutlichkeit wie an jüngeren Keimen erhal- 
ten. Die Entwieklung der Amnionfalten zeigt uns hier bedeutende 
Fortschritte: Die hintere Amnionfalte hat sich noch weiter nach 
vorn am Keimstreif erstreckt, und im Anschluß daran finden wir 
auch die seitlichen Amnionfalten angelegt. Da die erstere unmittel- 
bar in die letzteren übergeht, läßt sich auch in der Entwicklung 
dieser eine Asymmetrie erkennen, die von der asymmetrischen Lage 
der hinteren Amnionfalte abhängt. Ist diese Falte nach rechts ver- 
schoben, so erscheint auch die rechte Seitenfalte mächtiger als die 
linke entwickelt und umgekehrt. 

In älteren Stadien finden wir in der Kopfregion fast dieselben 
Verhältnisse, wie in dem zuletzt beschriebenen Stadium, es hat nur 
das Entoderm, welches median auf einer ziemlich breiten Strecke 
mit dem Ektoderm zusammenhängt, etwas an Volum zugenommen 
und erscheint an Querschnitten als eine mächtigere Zellenanhäufung. 
In der ganzen mittleren Region des Keimstreifs ist die Gastralrinne 
spurlos verschwunden, die Seitenplatten sind längs der Mediane 
verwachsen, zeigen aber noch eine deutliche Verbindung mit dem 
unteren Blatte. Letzteres hat etwas an Umfang zugenommen und 
die epitheliale Anordnung der Zellen verloren, wobei es auch etwas 
lateralwärts erweitert erscheint und beiderseits etwa bis zur Mitte 
der Seitenplatte reicht. Nur im hinteren Abschnitte des Keimstreifs, 
der jetzt ganz auf die Dorsalseite des Eies umgeschlagen ist, hat 
sich noch die Gastralrinne erhalten, obwohl sie jetzt hier viel seich- 
ter geworden ist. Durchmustern wir aufmerksam Sehnitte aus die- 
ser Keimstreifspartie, so können wir uns eine ziemlich genaue Vor- 
stellung davon machen, wie die Gastralrinne zum Abschluß gelangt. 
Wir erblicken nämlich am Boden der Rinne eine Verwachsungs- 


294 


naht, die dadurch entstanden ist, daß sıch die seitlichen Blastoporus- 
wände, in den tieferen Partien der Rinne, aneinander gelegt haben 
und verwachsen sind. Wir haben nun in unserem Falle mit einer 
deutlichen Konkreszenz der Blastoporuswände zu tun, so wie sie 
in typischer Weise bei anderen Tiergruppen (Amphibien, manchen 
Tunicaten) auftritt. Bemerkt sei noch, daß in diesem Stadium die 
Asymmetrie des Keimstreifs verschwunden ist, indem er der gan- 
zen Länge nach symmetrisch gebaut erscheint. Unterdessen ist die 
hintere Amnionfalte mit den Seitenfalten zu einer Falte verwachsen, 
die bis zur Mitte des ventral gelegenen Keimstreifsabschnittes reicht, 
während von einer vorderen Amnionfalte noch nichts zu sehen ist. 
Die innere Lamelle der vorher genannten Falte ist ganz aus Keim- 
epithel aufgebaut, während die äußere nur aus Hüllenektoderm 
besteht 

In einem älteren Stadium gestalten sich die Verhältnisse fast 
gerade so, wie an dem zuletzt beschriebenen Keimstreifen, nur die 
entodermale Anhäufung am Vorderende bat noch mehr an Umfang 
(Textfig. I 3a.) zugenommen und hängt an Querschnitten median 
mit dem Ektoderm zusammen; in der ganzen mittleren Region des 
Keimstreifs ist dagegen zwischen beiden Keimblättern eine deutliche 
Grenze aufgetreten (Textfig. I 3b.), wobei das untere Blatt ein plat- 
tenartiges Aussehen angenommen hat und lateralwärts fast bis zu 
den Amnionlamellen reicht. Seine Zellen sind sich auf diesem Sta- 
dium alle gleich und zeigen stellenweise eine epitheliale Anordnung, 
stellenweise sind sie aber abgerundet und kommen unregelmäßig 
nebeneinander zu liegen. In der hinteren Partie des Keimstreifs, 
(Textfig. I 3e.), die auf die Dorsalseite des Eies umgeschlagen ist, 
ist die gastrale Einstülpung nur noch in der nächsten Umgebung 
des hinteren Endes vorhanden, während sie etwas nach vorn schon 
vollkommen fehlt und nur ein Zusammenhang zwischen beiden 
Keimblättern längs der Mediane erhalten bleibt. Das untere Blatt 
erscheint am hinteren Ende des Keimstreifs sehr mächtig entwickelt 
und aus vielen Zellenschiehten aufgebaut, wobei zahlreiche Mito- 
sen anzutreffen sind. In diesem Stadium bekommen wir zum ersten- 
mal die vordere Amnionfalte zu Gesicht, die aus zwei nach 
hinten zugewendeten Lappen ` besteht; ähnlich wie bei der 
hinteren und den seitlichen Amnionfalten ist auch hier die innere 
Lamelle aus Keimepithel-, die äußere aus Hüllenektoderm-Zellen 
zusammengesetzt. Da die hintere Amnionfalte samt den Seitenfalten, 


295 


mit denen sie verwachsen ist, schon bis an das Gnathocephaleum 
reicht, die vordere Amnionfalte aber bereits die erste Hälfte der 
Kopflappenregion bedeckt, bleibt somit nur noch ein kleiner Teil 
des Keimstreifs von Amnion frei. 

Der vollkommene Abschluß der Amnionfalten kommt erst in 
einem älteren Stadium auf der Höhe des Gnathocephaleums zustande, 
wobei auch die Differenzierung beider Keimblätter bedeutende Fort- 
schritte zeigt. Zwischen beiden ist eine deutliche Grenze längs des 
ganzen Keimstreifs aufgetreten, mit Ausnahme von zwei Stellen. näm- 
lich in der hinteren Partie der Kopflappenregion und eine kurze 
Strecke vor dem hinteren Ende des Keimstreifs. In den» beiden 
genannten Regionen hängt das Entoderm mit dem Ektoderm median 
aufs innigste zusammen, wobei an den Verbindungsstellen immer 
neue Zellen proliferiert werden. Beide Stellen können somit für 
Proliferationsfelder angesehen werden, an welchen der Gastrulations- 
vorgang noch fortdauert. Das in der Kopflappenregion gelegene 
Feld hat eine nahezu rundliche Form und ist verhältnismäßig ziem- 
lich groß, wobei an ihm keine Einstülpung wahrzunehmen ist. Das 
hintere Proliferationsfeld ist erheblich kleiner und zeigt uns deutlich 
eine seichte Einstülpung, die für einen Rest der Gastralrinne an- 
gesehen werden darf. Angesichts dessen möchte ich beide Prolife- 

rationsstellen einfach als ,Gastralherde^ bezeichnen, wozu uns ihre 
 innige Beziehung zum Gastrulationsvorgang und zum rinnenartigen 
Blastoporus, auf jüngeren Stadien, berechtigt. 

Kurzgefaßt, stellt sich somit der Gastrulationsvorgang bei Ga- 
stroidea folgendermaßen dar: Sobald es zur Entwicklung der be- 
kannten drei Keimplatten gekommen ist, wird median am Keimstreif 
eine Gastralrinne angelegt, die zuerst in der mittleren Partie des 
Keimstreifes erscheint und sich von hier nach vorn und nach hin- 
ten erstreckt, wo sie ihre größte Tiefe erreicht. Zuerst kommt es 
zu ihrem Abschluß in der hinteren Partie des mittleren Keimstreif- 
abschnittes, später in der vorderen und in der Kopflappenregion 
und zuletzt im hinteren Abschnitte des Keimstreifs, wo sie auf einer 
kleinen Strecke vor dem Hinterende noch lange erhalten bleibt. 
Nach dem Abschluß der Gastralrinne läßt sich noch immer ein 
Zusammenhang zwischen beiden Keimblättern in allen erwähnten 
Keimstreifsregionen feststellen. Eine Grenze zwischen heiden tritt 
erst in älteren Stadien auf: Sie erscheint zuerst in der mittleren 
Region und erstreckt sich bald auf den ganzen Keimstreif mit 


296 


Ausnahme von zwei Stellen, einer in der Kopflappenregion und 
einer anderen am hinteren Ende des Keimstreifs, an denen der Zu- 
sammenhang zwischen beiden Keimblättern bestehen bleibt und 
eine Entodermproliferation stattfindet. Die genannten Stellen be- 
zeichne ich als „Gastralherde“. 


4. Die Entwicklung des Darms. 


An Sagittalschnitten durch etwas ältere Keimstreife erkennt 
man unmittelbar vor dem vorderen Gastralherde eine Zellenplatte 
die median im Ektoderm zu liegen kommt (Textfig. IIA u. Fig. 7.) 
und aus höheren Zellen, als die der benachbarten Ektodermelemente 
aufgebaut ist; da diese Platte in älteren Stadien eingestülpt wird 
und somit die Anlage des Stomodäums darstellt, nenne ich sie 
kurzweg Stomodäalplatte; nach vorn geht sie ohne scharfe Grenze 
in das kubische Ektoderm-Epithel des vordersten Kopflappenab- 
schnittes über, nach unten ist sie überall deutlich vom Entoderm 
abgegrenzt, nach hinten hängt sie aufs innigste mit dem vorderen 
Gastralherde zusammen, an welchem der Gastrulationsvorgang fort- 
dauert. Von einer Stomodäaleinstülpung ist hier noch nichts zu se- 
hen und auch am hinteren Ende des Keimstreifs ist es noch nicht 
zu einer Anlage des Proktodäums gekommen; nur der Gastralherd 
ist auch hier erhalten (Fig. 1.) und hat sich im Vergleich mit den 
jüngeren Stadien wenig geändert. Erst etwas später wird knapp hinter 
dem hinteren Gastralherde das Proktodäum eingestülpt, welches 
aber nicht durch eine plattenartige Anlage vorgebildet ist. Das vor- 
dere Gastralfeld übertrifft in diesem Stadium bedeutend die Stomo- 
däalplatte an Größe, so daß es an mehr seitlichen Dorsoventral- 
schnitten, an denen von einer Stomodäalplatte nichts mehr zu sehen 
ist, immer noch mitgetroffen wird, während das hintere Gastralfeld 
(Gastralherd) von gleicher Größe mit der eben angelegten ganz 
seichten Proktodäaleinstülpung zu sein scheint. In diesem Stadium 
werden wir auch im Ektoderm zu jeder Seite des Proktodäums 
dreier kleiner Einstülpungen gewahr, die uns die Anlagen der mal- 
phigischen Gefäße darstellen und die derzeit noch außerhalb. der 
Proktodäaleinstülpung zu liegen kommen, wobei sie erst später in 
die letztere verlagert werden — ein Verhalten, welches Grassi 
bei Apis, Carriere bei Chalicodoma und Wheeler bei Doryphora 
beschrieben haben. Im Bereiche des unteren Blattes lassen sich auch 


297 


bedeutende Änderungen wahrnehmen: In der Kopflappenregion, vor 
der Stomodäalplatte, ist das Entoderm einschichtig und erstreckt 
sich beiderseits bis an das Amnion, nach hinten wird es allmählich 
mehrschichtig und geht in eine mächtige Entodermanhäufung über, 


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Fig. II. Schemate zur Erläuterung der allmählichen Verlagerung des Gastralher- 


des ‘in den "Bereich der Stomodäaleinstülpung; o — Amnion, s — Serosa, g — 
Gastralherd, sp — Stomodäalplatte, ek — Ektoderm, en — Entoderm, st — Sto- 
modäum. 


die median mit dem Gastralherde zusammenhängt und lateralwärts 
in doppelschichtige Platten, die das Mesoderm darstellen, ausläuft. 
Eine ähnliche Dreiteilung des primären Entoderms hat auch im 
Gnathocephaleum und in der ganzen Thorakalregion (Fig. 8) statt- 
gefunden. Wir treffen hier überall median einen mächtigen ento- 
dermalen Zellenstrang an, der nach vorn mit der Entodermanhäu- 


298 


fung verbunden ist und welchem beiderseits zweischichtige Meso- 
dermplatten anliegen, in denen hie und da die Lumina der Cölom- 
sückehen zum Vorschein kommen. In den ersten Abdominalsegmen- 
ten erscheint das untere Blatt zweiteilig, indem hier nur die late- 
ralen Mesodermplatten, nicht aber der Entodermstrang entwickelt 
wird; erst weiter nach hinten zu finden wir es wiederum dreiteilig, 
nur wird hier das median gelegene Entoderm nicht als ein Strang, 
sondern als eine einschichtige Platte ausgebildet, die lateralwärts mit 
dem Mesoderm zusammenhängt. Nach hinten geht diese Entoderm- 
platte in eine Entodermanháufung über, die dem hinteren Gastralherde 
entspringt und von innen den ganzen kuppenartig gewölbten Keim- 
` streif erfüllt. Wir können somit bei Gastroidea in diesem Stadium 
eine Differenzierung des primären Entoderms in ein sekundäres, wel- 
ches aus den beiden polar gelegenen Entodermanhäufungen, dem 
Zellenstrange und der Zellenplatte besteht und in zwei lateral 
gelegene Mesodermplatten feststellen. Ein sekundäres Entoderm 
scheint nur in den ersten zwei bis drei Abdominalsegmenten zu 
fehlen. Hervorzuheben sei noch. daß trotz der Differenzierung des 
primären Entoderms, der Gastrulationsvorgang noch immer im Be- 
reiche beider Gastralherde im Gange ist. indem hier Entodermele- 
mente weiter neu gebildet werden; es mag auch darauf Nachdruck 
gelegt werden, daß die Gastralherde in diesem Stadium noch gar 
nicht mit den Anlagen des Vorder- und des Hinterdarms in eine 
nähere Beziehung treten, da sie außerhalb der letzteren gelegen 
sind, so daß sich in der Entwicklung beiderlei Gebilde eine ge- 
wisse gegenseitige Unabhängigkeit erkennen läßt. 

In einem etwas älteren Stadium zeigen die Anlagen des Vorder- 
und des Hinterdarms in ihrer Entwicklung gewisse Fortschritte: 
Die Stomodäalplatte hat sich ein wenig unter das Ektodermniveau 
eingestülpt (Fig. 12 u. Textfig. IIB.), während die Proktodäalein- 
stülpung ziemlich bedeutend an Tiefe zugenommen hat. Die Wände 
der ganz frisch angelegten Stomodäaleinstülpung sind aus ähnlichen 
Elementen aufgebaut, wie sie uns schon in jüngeren Stadien aus 
der Stomodäalplatte bekannt sind; nach vorn und nach unten ist 
das Stomodäum deutlich gegen das untere Blatt abgegrenzt, nach 
hinten aber hängt es mit dem Gastralherd zusammen, welcher jetzt 
schon am hinteren Rande der Mundeinstülpung zu liegen kommt 
und in seinem Bau verändert erscheint. Das ursprünglich unpaarige, 
große Gastralfeld ist nämlich in zwei kleinere Felder zerfallen, 


299 


worüber man sich aus Serien von dorsoventralen Längsschnitten 
überzeugen kann. Beide Felder sind längs der Mediane voneinan- 
der getrennt und liegen der Stomodäaleinstülpung von hinten und 
beiderseits etwas lateral an; lateralwärts reichen sie auch nicht 
mehr so weit, wie das unpaarige Gastralfeld an jüngeren Stadien. 
Genauer gestalten sich diese Verhältnisse folgendermaßen: An ei- 
nem medianen dorsoventralen Längsschnitt (Fig. 16) ist von einem 
Gastralherde hinter dem Stomodäum nichts zu sehen, da hier überall 
das Ektoderm gegen das Entoderm abgegrenzt ist; dagegen an 
linken und rechten Paramedianschnitten (Fig. 12) finden wir je einen 
Gastralherd, an welchem beide Keimblätter ineinander ohne jede 
Abgrenzung übergehen und neue Entodermzellen proliferiert wer- 
den. Die Trennung des unpaarigen Gastralfeldes in zwei kleinere 
Gastralherde ist nun nur auf diese Weise zu deuten, daß es längs 
der Mediane im Bereiche des großen Gastralfeldes auf einer schma- 
len, streifenartigen Strecke zur gegenseitigen Abgrenzung beider 
Keimblätter gekommen ist, wodurch der Gastrulationsvorgang an 
dieser Stelle aufgehoben wurde, während er beiderseits bestehen 
blieb und nun zur Vergrößerung der vorderen Entodermanhäufung 
weiter beiträgt. Diese hat in dem letzten Stadium noch etwas an 
Größe zugenommen und hebt sich deutlich von dem mehr nach 
hinten gelegenen entodermalen Mittelstrange ab. Ihre Zellen haben 
eine rundliche Gestalt, erscheinen etwas größer und heller als die 
Ektodermzellen und sind sämtlich unregelmäßig nebeneinander ge- 
lagert. In der ganzen mittleren Partie des Keimstreifs blieb das 
Entoderm unverändert, während im Mesoderm, welches eine deutli- 
che Metamerie aufweist, die Cölomsäckchen angelegt wurden. Mit 
der Vertiefung der Proktodäaleinstülpung haben auch die Anlagen 
der malphigischen Gefäße ihre frühere Lage geändert, da sie in 
das Proktodäum hineinverschoben erscheinen. Auch der hintere Gastral- 
herd wurde ein wenig nach hinten verschoben und wir finden ihn 
‚teilweise in die Proktodäaleinstülpung verlagert, wobei er aber sei- 
nen unpaarigen Bau beibehalten hat. 

In einem nächst älteren Stadium hat sich das Stomodäum etwas 
tiefer nach innen eingestülpt, und gleichzeitig damit fand auch eine 
Verlagerung beider dahinter gelegenen Gastralherde statt. Eine Se- 
rie von dorsoventralen Längsschnitten gibt uns folgende Bilder: Am 
Medianschnitt (Fig. 9) erscheint das Stomodäum am tiefsten und 
seine Wand, sowie auch das gleich dahinten gelegene Ektoderm ist 


300 


überall deutlich vom Entoderm abgegrenzt. Die Stomodäalwand ist 
aus auffallend hohen Epithelzellen aufgebaut, die am Einstülpungs- 
rande oft in Teilung begriffen sind. Der Stomodäaleinstülpung legen 
sich von vorn schichtenweise - oder vereinzelt Zellen des unteren 
Blattes an, während sie nach hinten zu an die mediane Entoderm- 
anhäufung angrenzt. An linken und rechten Paramedianschnitten 
(Fig. 10 u. Textfig. ILC.) ist die Stomodäalwand nur vorn und am 
Boden der Einstülpung vom Entoderm abgegrenzt, dagegen hängt 
sie nach hinten mit der Entodermanhäufung zusammen, und eine 
solehe Verbindung beider Keimblätter läßt sich auch eine kurze 
Strecke hinter dem Stomodäum wahrnehmen. Die ganze Keimpartie, 
an welcher eine Grenze zwischen beiden Keimblättern nicht zu 
finden ist, stellt uns den linken, eventuell den rechten Gastralherd 
dar, welcher hier größtenteils in die Stomodäaleinstülpung verlagert 
wurde, während nur sein hinterer und seitlicher Abschnitt, worüber 
uns mehr lateral gelegene Paramedianschnitte belehren (Fig. 11.), 
noch oberflächlich gelegen ist. Die ganze hintere Wand des Stomo- 
däums ist somit aus einem medianen schmalen Ektodermstreifen 
und aus den beiderseits gelagerten Gastralherden, die nach hinten 
mit der Entodermanhäufung in Verbindung stehen, aufgebaut. Am 
Proktodäum, wo ein unpaariger Gastralherd erhalten bleibt, gestal- 
ten sich die Verhältnisse ähnlich, so daß auf eine genauere Beschrei- 
bung derselben verzichtet werden kann. Dasselbe betrifft auch das 
in der mittleren Keimstreifspartie gelegene Entoderm, an welchem 
keine nennenswerten Veränderungen eingetreten sind, während sich 
im Mesoderm die bekannten Differenzierungsvorgänge abspielen. 
Abhängig von der weiteren Vertiefung des Stomodäums, werden 
endlich die Gastralherde ganz in den Bereich der Einstülpung ver- 
lagert, so daß am hinteren Rande der Stomodäaleinstülpung überall 
eine deutliche Grenze zwischen beiden Keimblättern zu erkennen 
ist. Die Stomodäalwand ist wie vorher am Boden der Einstülpung 
und nach vorn gegen das untere Blatt abgegrenzt, während sie 
hinten (Fig. 6) fast vollkommen aus den Gastralherden (Textfig. 2D) 
besteht, die mit dem Entoderm verbunden sind und median teilweise 
miteinander verschmolzen sind, so daß sich auch an Medianschnit- 
ten (Fig. 17) eine Grenze zwischen Ekto- und Entoderm nur mit 
Mühe auftinden läßt. Das paarige Auftreten der Gastralherde ist 
also nur eine vorübergehende Erscheinung, indem sie schon in die- 


301 


sem Stadium und noch deutlicher in älteren miteinander zu einem 
unpaarigen Gastralherde verschmelzen. 

In einem etwas älteren Stadium, in welchem die Stomodäalein- 
stülpung unbedeutend tiefer erscheint, finden wir auch noch den 
jetzt schon unpaarigen Gastralherd erhalten, dessen Lage sich aber 
etwas geändert hat. Während er sich vorher an der hinteren (ven- 
tralen) Stomodäalwand befand, hat er jetzt etwas an Größe abge- 
nommen und kommt am unteren Rande des Stomodäalendes (Fig. 4 
u. Textfig. II E) zu liegen. Hier findet eine rege Zellenproliferation 
statt, worüber uns eine ziemlich große Entodermanhäufung belehrt, 
die nach hinten mit dem entodermalen Zellenstrang zusammenhängt. 
Dieser Strang hat die Gestalt eines stumpfen Zapfens, der sich dem 
Dotter anlegt und nach hinten gerichtet ist. Welche Zellen am 
Aufbau dieses Zapfens beteiligt sind, ob es die Zellen sind, die der 
früher beschriebenen Entodermanháutung entstammen, oder Ento- 
dermelemente, die frisch aus dem Gastralherde hervorgewuchert sind, 
wäre, wie es mir scheint, sicher zu entscheiden unmöglich, da sie 
alle vollkommen gleich aussehen und ineinander übergehen. Darum 
erscheint es mir am wahrscheinlichsten, daß dieser Zellenzapfen aus 
Elementen zusammengesetzt ist, die während verschiedener Phasen 
der Gastrulation aus dem Gastralherde proliferiert wurden und somit 
alle als Entodermzellen zu betrachten sind. Ähnlich wie am Stomo- 
däum gestalten sich die Verhältnisse auch am Proktodäum (Fig. 2). 

In nächst älteren Stadien, an welchen die Stomodäaleinstülpung 
noch weiter in die Länge gewachsen erscheint, sehen wir die En- 
todermproliferation am Gastralherde noch reger von statten gehen. 
Es wird nämlich an der erwähnten Stelle aus dem Zellenzapfen 
eine mächtige, unpaarige, aus Entodermzellen aufgebaute Schaufel 
gebildet, die sich dem Dotter anlegt und nach hinten in zwei late- 
rale Zipfel ausläuft. Sie ist aus mehreren Zellenschiehten zusammen- 
gesetzt, wobei die unmittelbar an den Dotter angrenzende, ihre Ele- 
mente gewissermaßen epithelartig angeordnet zeigt, während die 
darunter gelegenen Zellen unregelmäßig nebeneinander zu liegen 
kommen und nach unten, wo es bald zur Entwicklung des Epi- 
neuralsinus kommt, ziemlich lose zusammenhängen. Die am Dotter 
epithelförmig angeordneten Zellen, welche in diesem Stadium auch 
dorsalwärts übergreifen und das Stomodäalende kappenartig bedek- 
ken, stellen uns die Anlage des Mitteldarmepithels dar, welche so- 
mit als entodermal bezeichnet werden muß. Gleichzeitig damit spie- 


Bulletin III. 12 


302 


len sieh in der mittleren Keimstreifpartie, im Bereiche des median 
gelegenen Entoderms, höchst interessante Vorgänge ab. Der in der 
Gnathal- und Thorakalgegend gelegene Entodermstrang, löst sich 
in einzelne Elemente auf, wobei zugleich zwischen Keimstreif und 
Dotter ein ziemlich enger Spalt entsteht, in welchem wir den Epi- 
neuralsinus zu erblicken haben. Auf ähnliche Weise wird auch 
die Entodermplatte in der hinteren Abdominalregion aufgelöst, so 
daß ihre Elemente frei in Epineuralsinus zu liegen kommen. Die 
abgetrennten Entodermzellen gleichen in ihrem Aussehen den Zellen 
der entodermalen Schaufel am Stomodiialende, zeigen aber auch 
hie und da eine birnenförmige oder sternartige Gestalt, wobei ihr 
Plasma feine Plasmaausläufer entsendet, die als nutritive Einrich- 
tungen zu deuten sind. Ähnlich, wie am Stomodäalende, wird auch 
am Proktodäalende eine mehrschichtige Schaufel gebildet, deren 
Elemente sämtlich dem Gastralherde entstammen und die entoder- 
male hintere Anlage des Mitteldarmes darstellen. Ein großer Teil 
der hinteren Entodermanhäufung wurde dabei am Aufbau dieser 
Schaufel verbraucht, während sich ihr Rest in einzelne Zellen auf- 
gelöst hat, die jetzt frei im Epineuralsinus flottieren. 

Im nächsten Stadium hat sich der Gastralherd am Stomodäum 
erheblich verkleinert (Fig. 15), wobei auch die Schaufel dünner er- 
scheint, da sich die darunter gelegenen Zellen von ihr losgelöst 
haben und jetzt frei in dem schon auch in dieser Gegend des 
Keimstreifs deutlich entwickelten Epineuralsinus, einzeln oder zu 
mehreren zusammengeballt, angetroffen werden. Unterdessen ist auch 
eine große Zahl von Entodermzellen aus dem Epineuralsinus an den 
Dotter gewandert und hat ihn ziemlich dicht von der Ventralseite 
inselartig besetzt. Die Entoderminseln, die am Dotter zu sehen sind, 
zeigen einerseits ihre Elemente ziemlich lose verbunden, während 
man anderseits an vielen Stellen eine epithelartige Anordnung der 
Entodermzellen wahrnehmen kann. Ich bin nun geneigt, die Diffe- 
renzierungsvorgänge im Bereiche des in der mittleren Keimstreifs- 
partie gelegenen Entoderms folgendermaßen zu deuten: Ein Teil der 
Entodermzellen wandert an den Dotter heran und vereinigt sich 
zu inselartigen Anhäufungen, die als Mitteldarmanlagen aufzufassen 
sind, während ein anderer Teil im Epineuralsinus verharrt und samt 
den dort gelegenen Zellen, die den polaren Entodermanhäufungen 
entstammen, sich in Blutzellen verwandelt. 

Wir gehen nun zu einem Stadium über, welches insofern inter- 


303 


essant erscheint, als die Gastralherde am Prokto- und Stomodäal- 
ende (Fig. 13 u. 5) verschwunden sind und somit die Entoderm- 
proliferation an den genannten Stellen aufgehört hat. An medianen, 
dorsoventralen Längsschnitten treffen wir am Stomo- und Prokto- 
däalende oft gar keine Entodermzellen an, dagegen in manchen 
Fällen sind hier Entodermzellen zu finden, die sich den Grenzla- 
mellen anlegen oder etwas ventral am Dotter als inselartige Mittel- 
darmanlagen (Fig. 13 u. 14) erscheinen. In der ganzen mittleren 
Keimstreifspartie sind dafür reichlich Entoderminseln (Fig. 18) vor- 
handen, die sich durch Zellenteilungen vergrößern, miteinander ver- 
schmelzen und den Dotter von der Ventralseite bedecken Links 
und rechts finden wir an Paramedianschnitten im Anschluß an das 
Stomo- und Proktodäalende (Fig. 5) die paarigen Entodermschaufeln: 
welche in diesen Stadien bereits das Aussehen von Streifen angenom- 
men haben und deutlich eine epithelartige Anordnung ihrer Elemente 
erkennen lassen. Nachdem sich die vom Stomo- und Proktodäum 
gegen die Mitte heranwachsenden Entodermstreifen miteinander 
vereinigt haben, nehmen sie allmählich an Breite zu und verschmel- 
zen medianwärts mit den Entoderminseln zu einer Entodermplatte, 
welche später zu beiden Seiten am Dotter emporwächst und sich 
dorsal über dem letzteren zu einem Rohre abschließt. Damit ist 
die Entwieklung des Mitteldarms vollendet. 

Das Epithel des frisch entwickelten Mitteldarms ist aus kubi- 
schen Zellen (Fig. 3) aufgebaut, welche allmählich eine zylindrische 
Form annehmen. Der Mitteldarm stellt uns nicht einen blind geschlos- 
senen Sack, wie von anderer Seite behauptet wurde, sondern ein echtes 
Rohr dar, welches nach vorn und nach hinten an die Grenzlamellen 
des Vorder- und Hinterdarmes angrenzt. Bald darauf treten alle drei 
Darmabsehnitte miteinander in Verbindung, indem beide Grenzla- 
mellen einer Degeneration unterliegen. Noch vor dem Ausschlüpfen 
der Larve lassen sich im Bereiche des Mitteldarmepithels Regene- 
rationsvorgänge wahrnehmen, die aus der Insektenmetamorphose 
bereits hinreichend bekannt sind. 

Die Entwicklung des Mitteldarmes fasse ich nochmals kurz zu- 
sammen: Während es nach dem Abschlusse der Gastralrinne, längs 
der ganzen mittleren Keimstreifsregion und im vorderen Kopflap- 
penabschnitte zur Abgrenzung des Entoderms vom Ektoderm kommt, 
bleiben in der hinteren Kopflappenpartie und unweit vor dem Hin- 
terende des Keimstreifs zwei Proliferationsfelder erhalten, an denen 


304 


der Gastrulationsvorgang fortdauert, indem hier noch immer Ento- 
dermzellen neugebildet werden. Die Proliferationsfelder. die ich 
Gastralherde genannt habe und die als Blastoporusreste zu deuten 
sind, werden nach der Entwicklung des Stomodäums und Proktodä- 
ums in die genannten Einstülpungen verlagert und kommen zuletzt 
am unteren Rande des Stomo- nnd Proktodäalendes zu liegen, wo- 
bei sie während dieser ganzen Verlagerunsvorgänge tätig bleiben 
und immerfort Entoderm proliferieren. An den zuletzt erwähnten 
Stellen angelangt, entwickeln sich aus dem seitens ihrer gebildeten 
Entoderm zwei schaufelartige Mitteldarmanlagen, wonach der Ga- 
strulationsvorgang eingestellt wird und am Stomo- und Proktodä- 
alende eine deutliche Grenze zwischen Ekto- und Entoderm zu fin- 
den ist. Gleichzeitig mit dem Erscheinen der schaufelartigen Mittel- 
darmanlagen läßt sich in der mittleren Partie des Keimstreifs das 
median gelegene Entoderm in einzelne Zellen auf, von denen viele 
an den Dotter heranwandern und seine Ventralseite inselartig be- 
setzen. Jede Entodermschaufel differenziert sich zunächst in zwei 
lateral gelegene Streifen, die von vorn und hinten gegen die Mitte 
wachsen und sich hier miteinander wie auch medianwärts mit den 
inselartigen Mitteldarmanlage zu einer Platte vereinigen. Diese 
Platte umwächst den Dotter und gelangt an der Dorsalseite zum 
Abschluß, womit die Mitteldarmentwicklung vollendet ist. 

Auf Grund meiner Untersuchungen an Gastroidea bin ich zu 
dem Schlusse gelangt, daß sich der Mitteldarm in unserem Falle 
multipolar. und zwar aus zwei Entodermschaufeln und aus mehre- 
ren Entoderminseln entwickelt. und daß er somit ein reines Ento- 
dermprodukt ist, wobei eine Beteiligung des Ektoderms voll- 
kommen ausgeschlossen ist. 


5. Einige Bemerkungen zur Frage über die Gastrulation und die 
Mitteldarmentwicklung bei den Insekten. 


Ich habe schon in meiner Arbeit über die Lepidopteren Gele- 
genheit gehabt, zu der Hey mons'schen theoretischen Deutung des 
Gastrulationsvorganges bei den Insekten Stellung zu nehmen, wobei 
ich mit ihm die Entwicklung des s. g. Blastoderms als erste Ga- 
strulationsphase betrachte, während ich die zweite Gastrulationsphase, 
von ihm abweichend, in der Differenzierung des unteren Blattes er- 
blicke. Anderseits habe ich in meiner Arbeit über Donacia, auf Grund 


305 


der einschlägigen Literatur, alle Formen zusammengestellt. denen 
auch Donacia und Gastroidea zuzuzählen sind und bei welchen man 
im Bereiche des frisch entwickelten sogenannten Blastoderms einige 
Zellenbezirke unterscheiden kann, die als Anlagen der später zur 
Differenzierung gelangenden Keimblätter gedeutet werden müssen. 
Aus dieser Zusammenstellung geht hervor, daß die Entwicklung 
einer Mittelplatte und zweier Seitenplatten unter den Insekten eine 
verhältnismäßig weit verbreitete Erscheinung ist und daß sie sich bei 
verschiedenen Formen findet, die zu phylätisch älteren und jüngeren 
Insektengruppen (Orthopteren, Coleopteren, Hymenopteren) gehören. 
Ich möchte nun hier an einige, an einer anderen Stelle gemachten und 
die zweite Gastrulationsphase betreffenden Erörterungen erinnern 
und dabei näher auf den morphologischen Wert der Mittelplatte 
eingehen. 

Aus dem Vergleich der Vorgänge, die sich am Cumulus bei den 
Myriopoden abspielen, mit den Differenzierungsprozessen, die bei 
den Insekten längs der Keimstreifsmediane zu beobachten sind, ver- 
suchte ich, vom rein morphologischen Standpunkte, den Beweis zu 
erbringen, daß die Entwicklung des unteren Blattes als Gastrula- 
tionsvorgang zu deuten und das untere Blatt somit als primäres 
Entoderm zu betrachten ist. Meine Annahme stützte ich auf die 
Tatsachen, daß am Cumulus primitivus bei den Myriopoden (Hey- 
mons: Scolopendra) ein mächtiger Zellenhaufen proliferiert wird, 
aus dem sich, beim gleichzeitigen Längewachstum des Keimstreifs 
nach vorn, allmählich zwei laterale Mesodermstreifen und ein über 
ihnen und auch, was mir wichtig erscheint, median zwischen ihnen 
gelagertes Entoderm herausdifferenziert, wobei die Entodermbildung 
gar nicht auf den Cumulus beschränkt ist, sondern auch teilweise 
in den vorderen Partien des Keimstreifes stattfinden kann. Da 
aus dem undifferenzierten Zellenhaufen am Cumulus sowohl Meso- 
wie auch Entodermzellen hervorgehen, fühlte ich mich berechtigt: 
auf ähnliche Verhältnisse aus der Entwicklung anderer Tiergruppen 
gestützt, ihn als primäres Entoderm zu bezeichnen. Ganz ähnlich 
wie bei den Myriopoden am Cumulus, kommt es am Insektenkeim- 
streif längs seiner Mediane zur Entwieklung eines Zellenstranges, 
welcher zuerst aus undifferenzierten Zellen aufgebaut ist und unter 
das Ektoderm verdrängt wird; danach zerfällt er in eine mediane 
und zwei lateral gelegene Platten, seine Differenzierung stimmt 
also vollkommen mit derjenigen, welche bei den Myriopoden, von 


306 


dem Cumulus ausgeht, überein. Auch wenn wir nun ganz von der 
künftigen, weiteren Entwicklung aller drei Zellenstreifen absähen, 
so scheint ihr morphologischer Wert aus dem Vergleich mit den 
Vorgängen bei Myriopoden schon genügend bewiesen zu sein; sie 
können nämlich nur als sekundäres Entoderm und Mesoderm ge- 
deutet werden, während der undifferenzierte Zellenstrang. respektive 
Zellenplatte, welcher sie entstammen, als primäres Entoderm zu 
bezeichnen ist. Gewisse Unterschiede in der Entwieklung des unte- 
ren Blattes bei Myriopoden und Insekten scheinen mir von unter- 
geordneter Bedeutung zu sein, wobei sie leicht aus der Entwieklung 
des Keimstreifes bei den ersteren und letzteren erklärt werden 
können: Bei den Myriopoden ist der Keimstreif zuerst ganz kurz 
und somit kann auch das primäre Entoderm zuerst nur auf einer 
kleinen Stelle proliferiert werden und sich erst später bei fort- 
schreitendem Längewachstum des Keimes in die bekannten Produkte 
differenzieren; dagegen bei den Pterygoten ist der Keimstreif von 
Anfang an viel länger, und Hand in Hand damit entwickelt sich 
auch das primäre Entoderm auf einer längeren Strecke. Wir haben 
hier also nur mit quantitativen Unterschieden zu tun, während das 
wesentliche bei beiden Tiergruppen gleich bleibt Erwähnt sei noch, 
daß die Entwicklungsvorgänge bei den Apterygoten (Lepisma) auch 
diese Unterschiede schön überbrücken, da bei den letzteren der 
Keimstreif zuerst auch kurz und ovalförmig ist und im Zusammen- 
hang damit auch die Entwicklung des unteren Blattes viel Ahnlich- 
keit mit den nämlichen Vorgängen bei Myriopoden zeigt. Deuten 
wir also mit Heymons den Cumulus der Myriopoden als einen 
soliden Blastoporus und die Vorgänge, die sich an ihm abspielen, 
als Gastrulation, so müssen wir die Entwicklung des unteren Blat- 
tes bei den Insekten auch als einen Gastrulationsvorgang auffassen, 
wobei die Anwesenheit oder Abwesenheit einer medianen Rinne 
Nebensache ist. Halten wir aber an dieser Annahme fest, so müs- 
sen wir weiter die Mittelplatte, aus der fast ausschließlich das 
untere Blatt bei den meisten Insekten (mit Ausnahme von Gryllo- 
talpa) hervorgeht, als eine Entodermanlage ansehen, die schon weit 
früher zum Vorschein kommt, bevor noch die zweite Gastrulations- 
phase begonnen hat. Da an den Seiten der Mittelplatte. bei einigen 
Formen (Wheeler: Doryphora, Leeaillon: Clytra, Heider: 
Hydrophilus, Graber: Lina, Carriere: Chalicodoma, Hirsch- 
ler: Donacia und Gastroidea) mehr oder weniger stark entwickelte 


307 


Wiilste beschrieben worden sind, können wir diese auch als prädispo- 
nierte Blastolabia ansehen, die bei vielen Insekten nach dem Abschluß 
der Gastrulation miteinander verwachsen und ihre Zellenprolifera- 
tion einstellen, während sie bei manchen Formen, wie Chalicodoma 
und Gastroidea, auf einer kleinen Strecke vorn und hinten am 
Keimstreif fortdauernd tätig bleiben und die zuvor beschriebenen 
Gastralherde begrenzen. 

Beurteilen wir das untere Blatt nach seinen Produkten, so er- 
weist sich sein entodermaler Charakter auch als vollkommen klar. 
indem eine Reihe von Forschern in den letzten Jahren und auch 
vorher daraus das Mitteldarmepithel herleiteten. Diesen Ergeb- 
nissen sind die Angaben Heymons, Sehwartzes, Deege- 
ners, Lecaillons und Friederichs’ entgegenzustellen, die das 
Mitteldarmepithel als ein ektodermales Produkt ansehen und es aus 
dem Boden der Stomo- und Proktodäaleinstülpung hervorwuchern 
lassen. Vielleicht wird mir Heymons. so wie Schwangart den 
Vorwurf machen, ich richte mir die Sache zu bequem ein, indem 
ich den zuletzt erwähnten Angaben nicht zustimmen will; dennoch 
scheint mir mein Bedenken berechtigt zu sein, und ich weise hier 
vor allem auf die Untersuchungen Nusbaums u. Fulinski’ an 
Phyllodromia hin, wo gegen Heymons die entodermale Herkunft 
des Mitteldarmes bewiesen wurde; ich erinnere weiter an die Un- 
tersuchungen von Schwangart und an die meinigen, die jenen von 
Schwartze und Toyama entgegenzustellen sind, und an meine 
neuerdings an Donacia und Gastroidea angestellten Studien, wo ich 
gegen Lecaillon und Friederichs auch die entodermale 
Herkunft des Mitteldarmes überzeugend nachweisen konnte. Ange- 
sichts dessen, bleibt mir nur der einzige Schluß möglieh, den Mit- 
teldarm der Insekten als ein entodermales Produkt anzusehen. wel- 
ches seine Entwicklung den: Entodermzellen des unteren Blattes 
verdankt, wobei ich von einem Anteile der Dotterzellen, was 
Schwangart bei Endromis angenommen hat. auf Grund meiner 
Untersuchungen an Lepidopteren-Embryonen nichts bemerken konn- 
te. Ob die Annahmen eines „latenten Entoderms“, wie es Heider 
tut, oder zweier heterochronischer Varianten zwischen der Entwick- 
lung des unteren Blattes und des Stomo- und Proktodäums im Sinne 
Heymons’, die Meinungsverschiedenheiten zu schlichten imstande 
sind, lasse ich, angesichts inres rein hypothetischen Charakters, un- 
entschieden. 


308 


Fassen wir dagegen alle Fälle, wo die entodermale Herkunft des 
Mitteldarmes sicher bewiesen ist, zusammen, so können wir derzeit 
hinsichtlich seiner Entwicklung etwa zwei Typen unterscheiden: 
1) Der Mitteldarm entwickelt sich aus dem Entoderm, welches 
noch vor der Anlage des Stomo- und Proktodäums überall deutlich 
gegen das Ektoderm abgegrenzt ist (Catocala, Donacia), 2) oder es 
bleiben wiihrend seiner Entwicklung Gastralherde bestehen, die in 
verschiedene Beziehungen zu den Stomo- und Proktodäaleinstülpun- 
gen treten können und sich an seinem Aufbau lebhaft beteiligen. 
Gastralherde kommen entweder dauernd an dem hinteren Rande 
des Stomodäums zu liegen (Nusbaum und Fulinski: Phyllo- 
dromia), oder sie nehmen die zuletzt erwähnte Lage ein und wer- 
den nächstens in den Bereich des Stomo- und Proktodäums bis auf 
ihren Boden verschoben (Chalicodoma, Gastroidea), wo sie noch 
immer tätig bleiben und die schaufelartigen Mitteldarmanlagen 
entwickeln. Der zuletzt genannte Fall scheint uns ziemlich interes- 
sant zu sein, denn wir treffen hier an älteren Stadien, am Boden 
des Stomo- und Proktodäums Wucherungsstellen an, die viel Ähn- 
lichkeit mit den betreffenden Bildern Heymons’ zeigen. Es wäre 
nun sehr erwünscht, die seitens Heymons, Schwartzes u. a. 
untersuchten Formen einer Nachuntersuchung zu unterziehen, wo- 
bei es sich vielleicht herausstellen würde, daß auch in diesen Fäl- 
len die Wucherungsstellen am Prokto- und Stomodäum auf Ga- 
stralherde zurückzuführen seien. 

Hinsichtlich der Literaturangaben verweise ich auf meine Do- 
nacia-Arbeit, die bald in der Zeitschrift für wissenschaftliche Zoo- 
logie erscheinen wird. 


Aus dem Zoolog. Institute d. Universität Lemberg. 


Erläuterung der Tafel IV. 


Sämtliche Figuren sind 330-fach vergrößert. 
Die Buchstaben bezeichnen auf allen Figuren dasselbe. 


ek — Ektoderm m — Mesoderm 
en — Entoderm pr — Proktodäum 
es — entodermaler Mittelstrang sp — Stomodäalplatte 
g — Gastralherd st — Stomodäum 
v — Ventralseite 


Fig. 1. Querschnitt durch das Ilinterende des Keimstreifs mit dem Ga- 
stralherd. 


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Bulletin de Vv Acad. des Sciences de Cracovie 1909. 


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309 


Fig. 2. Medianschnitt durch ein ziemlich stark ausgewachsenes Proktodäum 
welches Entoderm vom Gastralherde proliferiert. 

Fig. 3. Bruchstück von einem Medianschnitte durch einen fast vollkommen 
entwickelten Embryo; die Vereinigungsstelie des Vorderdarms mit dem Mitteldarm. 

Fig. 4. Medianschnitt durch ein ziemlich stark ausgewachsenes Stomodäum, 
an welehem der Gastralherd Entoderm proliferiert. 

Fig. 5. Paramedianschnitt durch ein Stomodäum und die angrenzenden Keim- 
streifspartien. 

Fig. 6. Paramedianschnitt durch ein Stomodäum, dessen hintere Wand mit 
dem Entoderm zusammenhängt. 

Fig. 7. Medianschnitt durch den vorderen Teil eines Keimstreifs; man findet 
hier die Stomodäalplatte und den dahinter gelegenen Gastralher 1. 

Fig. 8. Querschnitt durch die Thorakalregion eines Keimstreifs; das untere 
Blatt erscheint hier in eine mediane, entodermale Zellenanhäufung und in beider- 
seits gelegene Mesodermplatten differenziert. 

Fig. 9. Medianschnitt durch den vorderen Teil eines jungen Keimstreifs; die 
eben angelegte Stomodäaleinstülpung ist überall gegen das Entoderm abgegrenzt. 

Fig. 10. Paramedianschnitt durch den vorderen Keimstreifsabschnitt, dersel- 
ben Serie angehörig wie der Medianschnitt auf Fig. 9.; die Stomodäaleinstülpung 
hängt nach hinten mit dem Gastralherde zusammen. 

Fig. 11. Ein mehr seitlich gelegener Paramedianschnitt, wie der auf Fig. 10 
abgebildete; am vorderen Eipol ist hier der Gastralherd zu sehen, an welchem 
beide Keimblätter, Ekto- und Entoderm ineinander übergehen. 

Fig. 12. Paramedianschnitt durch den vorderen Keimstreifsabschnitt; die Sto- 
modäalplatte erscheint etwas eingestülpt und hängt nach hinten mit dem Gastral- 
herde zusammen. 

Fig. 13. Medianschnitt durch ein ziemlich ausgewachsenes Proktodäum, an 
dessen Ende zahlreiche Entodermzellen anzutreffen sind. 

Fig. 14. Medianschnitt durch ein ziemlich stark ausgewachsenes Stomodäum 
and die angrenzenden Keimstreifspartien; unweit vom unteren Rande des Stomo- 
däalendes und etwas weiter gegen die Mitte des Keimstreifs liegen am Dotter 
Entoderminseln. 

Fig. 15. Medianschnitt durch ein Stomodäum mit der entodermalen Mittel- 
darmanlage (en); weiter gegen die Mitte trifft man am Dotter eine Entoderm- 
insel an. 

Fig. 16. Medianschnitt durch den vorderen Keimstreifsabschnitt; das noch 
ganz seiehto Stomodäum ist überall gegen das Entoderm abgegrenzt. 

Fig. 17. Medianschnitt durch ein Stomodäum, dessen hintere Wand undeutlich 
gegen das Entoderm abgegrenzt ist. 

Fig. 18. Medianschnitt durch das Stomodàalende und die nächste Umgebung; 
am Dotter sind zahlreiche Entoderminseln zu sehen, die teilweise miteinander 


verschmelzen und von unten von dem splanchnischen Mesoderm umfaßt werden. 





Errata 


Page 46 ligne 6 lire auf Veranlassung au lieu de auf Verlangen. 
Page 53 ligne 2 (en Note) lire Entwickelungsweise au lieu de Ent- 
wickelungsmethode. 


Nakładem Akademii Umiejetności. 


Pod redakcya 


Sekretarza Wydziału matem.-przyiod. Władysława Natansona. 
Kraków. 1909. — Drukarnia Uniwersytetu Jagiellońskiego, pod zarzadem J. Filipowskiego. 


4 Marca 1909. 








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DE L'ACADÉMIE DES SCIENCES DE CRACOVIE 
CLASSE DES SCIENCES MATHEMATIQUES ET NATURELLES. 


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L. Hildt, L. REESEN J. Robel. Umwandlung des Chloro- 


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M. Dziurzynski. Umlagerung des Diphenylhydrazophenyls unter der 


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— MATHEMATISCH - NATURWISSENSCHAFTLICHE KLASSE. 





x CRACOVIE . 
IMPRIMERIE DE L'UNIVERSITÉ ^ 
1909. 


= 


L'ACADÉMIE DES SCIENCES DE CRACOVIE A ÉTÉ FONDEE EN 1873 PAR 
S. M. L'EMPEREUR FRANCOIS JOSEPH I. 


PROTECTEUR DE L’ACADEMIE: 
S. A. I. L'ARCHIDUC FRANÇOIS FERDINAND D'AUTRICHE-ESTE 


VICE-PROTECTEUR: Vacat. 


PRESIDENT: S. E. M. LE COMTE STANISLAS TARNOWSKI. 


SECRETAIRE GENERAL: M. BOLESLAS ULANOWSKI. 


EXTRAIT DES STATUTS DE L’ACADEMIE: 


(8 2). L'Académie est placée sous l’auguste patronage de Sa Majesté Im- 
périale Royale Apostolique. Le Protecteur et le Vice-Protecteur sont nommés par 
S. M. l'Empereur. 

(§ 4). L'Académie est divisée en trois classes: 

a) Classe de Philologie, 
b) Classe d'Histoire et de Philosophie, 
c) Classe des Sciences Mathématiques et Naturelles. 
($ 12). La langue officielle de l’Académie est la langue polonaise. 


Depuis 1885, l'Académie publie, en deux séries, le „Bulletin International‘: 
qui paraît tous les mois, sauf en août et septembre. La première série est con- 
sacrée aux travaux des Classes de Philologie, d'Histoire et de Philosophie. La se- 
conde est consacrée aux travaux de la Classe des Sciences Mathématiques et Na- 
turelles. Chaque série contient les procès verbaux des séances ainsi que les résumés, 
rédigés en frangais, en anglais, en allemand ou en latin, des travaux présentés 
à l’Académie. 


Publié par l'Academie 
sous la direction de M. Ladislas Natanson, 
Secrétaire de la Classe des Sciences Mathématiques et Naturelles. 


Naktadem Akademii Umiejetnosci. 


- Krakow, 1909. — Drukarnia Uniwersytetu Jagiellonskiego pod zarzadem Jözefa Filipowskiego. 


BULLETIN INTERNATIONAL 
DE L’ACADEMIE DES SCIENCES DE CRACOVIE. 


CLASSE DES SCIENCES MATHEMATIQUES ET NATURELLES. 








No 3, Mars. 1909, 





Sommaire: 18. K. ZORAWSKI. Über konforme Abbildungen der Flächen, 
19. L. SAWICKI. Causses; Skizze eines, greisenhaften Karstes, 
20. ST. CIECHANOWSKI et L. K. GLINSKI. Fistulae oesophago-oesophageae 
congenitae. 
21. M. RACIBORSKI. Parasitische und epiphytische Pilze Java's. 
22. L. CHWISTEK. Sur les variations périodiques du contenu des images 
vues dans un contour donné. 





Séance du lundi 1 Mars 1909. 


Présipence be M. ED. JANCZEWSKI. 


18. O podobnych odwzorowaniach powierzchni. — Uber 
konforme Abbildungen der Flächen. — Mémoire de 
M. K. ZORAWSKI m. c. : 


In der Abhandlung: ,Zur Invariantentheorie der Differentialfor- 
men zweiten Grades“ !) haben wir uns unter anderem mit der Auf- 
stellung aller Differentialinvarianten und aller Differentialparameter 
einer binüren. quadratischen Differentialform beschäftigt und die- 
selben in einer Form erhalten, welehe die geometrische Bedeutung 
der Invarianten unmittelbar angibt. Es sind dabei die einzelnen 
Invarianten dieses Gesamtsystems in der Weise gewählt worden, 
daß sowohl die Ordnungen der höchsten in denselben vorkommen- 
den Differentialquotienten der Koeffizienten der Differentialform, wie 
auch die Ordnungen der höchsten in denselben vorkommenden 
Differentialquotienten der willkürlichen Funktion auf möglichst nied- 
rige Zahlen gebracht sind. Der Zweck der gegenwärtigen Ab- 
handlung besteht hauptsächlich darin, von diesem Gesamtsysteme 
ein System aller derartigen Invarianten abzusondern, welche bei 
konformen Abbildungen unverändert bleiben. Es ist klar, daß sich 
dabei keine Differentialinvarianten, d. h. keine derartigen Invarian- 
ten erhalten lassen, welche bloß von den Koeffizienten der Differen- 
tialform und den Ableitungen derselben abhängig wären, weil jede 


t) Leipziger Berichte (Math. Phys. Klasse) Band LIX, S. 160—186. 
Bulletin II. 1 


312 


Fläche auf jede ändere konform abgebildet werden kann. Man er- 
hält aber ein System von Differentialparametern, und es genügt 
nicht, eine einzige willkiirliche Funktion zu betrachten, weil in dem 
gegenwärtigen Falle Differentialparameter existieren, welche von 
den Differentialquotienten zweier willkürlicher Funktionen. abhän- 
gig sind und sich durch Differentialparameter mit einer einzigen 
willkiirlichen Funktion nicht ausdrücken lassen. Es werden daher 
in der gegenwärtigen Abhandlung alle Differentialparameter der 
konformen Abbildungen von Flächen ‚mit zwei willkürlichen Funk- 
tionen aufgestellt. Es wird auch untersucht, welche von diesen 
Differentialparametern nur von den Eigenschaften der durch Kon- 
stantensetzung von willkürlichen Funktionen entstehenden Kurven- 
scharen und nicht von anderen Eigenschaften dieser Funktionen 
abhängig sind. 

In den drei ersten Nummern des Aufsatzes werden explizite die 
Transformationsformeln abgeleitet, welche für Differentialparameter 
und Differentialinvarianten niedrigster Ordnungen der binären qua+ 
dratischen Differentialform bei konformen Abbildungen bestehen. 
Bei der Ausführung der Rechnungen werden die Bezeichnungen 
benutzt, die wir in der oben zitierten Abhandlung gebraucht haben, 
und es werden diese Rechnungen unter Benutzung allgemeiner 
Koordinatenlinien in der Weise geführt. daß in den bezüglichen 
Formeln fast ausschließlich die Differentialparameter der quadrati- 
schen binären Differentialform. auftreten. 

Auf die Literatur: der konformen Abbildungen von Flächen ge- 
hen wir im allgemeinen nicht ein. Es handelt sich hier um Eigen- 
schaften derjenigen Transformationsformeln , welche bei diesen 
Abbildungen von Flichen fiir en und Differen- 
tialparameter quadratischer Differentialformen bestehen, In bezug 
darauf nennen wir die. vor kurzem erschienene Abhandlung von 
Herrn Voss!) wo unter vielen anderen Betrachtungen die Trans- 
formationsformeln für das Gauss’sche Krümmungsmaß und für 
geodätische Krümmung auftreten. In dieser Arbeit werden dabei 
explizite die, geodätischen Kontingenzwinkel . gebraucht, auf welche 
in unserer Darstellung nicht eingegangen wird. ‚Bezüglich der älte- 
ren Literatur über diesen Gegenstand. ‚kann auf ‚die Angaben der 


1) Sun pubatialite der math. vibe: Klasse der k. B. Akademie dir Wiss. zu 
München 1907. S, 77—112. ; 


i AU choline 


313 


genannten Arbeit von Voss und noch mehr auf dessen Abhand- 
lung: „Abbildung und Abwicklung zweier Flächen aufeinander“, 
welehe in der Enzyklopädie der math. Wiss.?) erschienen ist, ver- 
wiesen werden. 
1: Es seien zwei reelle Flächen S und. 5’ und man nehme an, 
daß die Koordinaten dieser Flächen durch ein und dasselbe Paar 
willkiirlicher Parameter y, u, reell ausgedrückt sind. Damit ist 
eine Abbildung dieser Flächen aufeinander festgelegt. Es seien: 


ds? = a, dui + 2a,, du, dus + ass dui, 
deii = a’, dui + 2a^,, du, dus + a'a dus 


Quadrate der Linienelemente dieser Flächen, wo rechter Hand 
Differentialformen stehen. deren .Diskriminanten nicht identisch 
gleich Null sind. Der Realität zufolge ist keiner von den Koeffi- 
zienten bei du und du: identisch gleich Null. Die festgelegte 
Abbildung ist konform, wenn man eine solche Funktion o (w,, w,) 
finden kann, daß die identische Beziehung: 


ds’? = 9° ds? (2) 


besteht. Dies ist SEL und nur dann möglich. wenn alle: Determi- 
nanten zweiten Grades der Matrix: 


(1) 


identisch gleich Null sind: Wenn man dabei voraussetzt, daf die 
Werte der Quadratwurzeln so gewählt sind, daß die Beziehung: 


Vas Va’ Gr Va: la^, —0 


besteht, so wird o die Relationen: 





Var: = eo Var, > Uiz = Qa, Var: =e Va, OBEN) 
befriedigen müssen, wo €= + 1. Insbesondere können wir alle hier 
auftretenden Quadratwurzeln positiv voraussetzen und dabei die 
Linienelemente der Koordinatenlinien auf der Fläche S durch die 
Formeln: 


ds = Vat, du, US Vas duty 


und auf der Fläche Sr durch die Formeln: 


1) Band III,, insbesondere S. 364 u. ff. 
1* 


314 


dei, = Vai du, ds’, —=Va,, du, 
bestimmt denken. Alsdann hat man die Beziehungen: 
(4) ds’, =eods,, ds', — EG dës, 


In der Folge werden wir die Beziehungen (3) und (4) zur Ablei- 
tung mehrerer Relationen in Anwendung bringen. 
Wir wollen für die Fläche S die Bezeichnungen: 














— — 2log Van _ dlog as 
m ds, " Pa r= ds, : 
cos H = EE sin à = LE — ais 

Ei E Vas Va 
__ Pı +P cos 6 |. fs -1- p, cos 0 
sans ame WATT gin GIA 
dé dé 
A= hh ds? a er ada 


gebrauchen und dabei voraussetzen, daß die Quadratwurzel 





Vas, as — ai, positiv gewählt wird und daß in der Tangentialebene 
der Fläche S derjenige Sinn der Drehungen als positiv angenom- 
men wird, in welchem man ds, um einen Winkel, der kleiner als 
zwei Rechte ist, drehen muß, damit ds, mit ds, zusammenfalle. 
Die zwei letzten Formeln bestimmen die geodätischen Krümmun- 
gen der Koordinatenlinien. Für die Fläche S’ werden wir Be- 
zeichnungen benutzen, die sich von den analogen Bezeichnungen 
für die Fläche S bloß durch den Akzent unterscheiden. Dabei 
könnnen wir voraussetzen, daß der Wert der Quadratwurzel 





Vans xem positiv genommen wird und daß für die Fläche 
S’ die analoge Bestimmung des Sinnes der Drehungen in der Tan- 
gentialebene gewählt wird. Wir wollen noch die Bezeichnung: 


t= é— 


benutzen und wir sehen zunächst, daß die Beziehungen: 


, dt d dr 
Pia Pap. ge 


cos 6 = cos 0’, Sin a = sin D: 


bestehen. Für die Folge setzen wir nun voraus, daß v keine Kon- 
stante ist. 


315 


Wenn man die Größe: 


Nee) mr: 


gn sin 0 














(9) 


einführt, wo die Quadratwurzel wieder einen bestimmten, in reellen 
Fällen positiven Wert besitzt, und die Größen: 

















dc dt 
ds, ds, 
A. d S H Ur MES de > D 
j, SI 0 in. 9n 0 
de desig zd cu Cu «57 
— ds dS: = = dS ds SC 
rm T , Wr dr 
25 sin? 0 3i sin? 0 
tT 15 
in Anwendung bringt, so werden durch die Formeln: 
af ` DOUTE NC ee T 
ds, ET T u m N: ds, (7) 


Ableitungen der Funktionen f Dt. gel nach Bogenlängen der Kur- 
ven t= const. und deren orthogonalen Trajektorien festgelegt. Die 
Vorzeichen sind hier so gewählt, daß dn, mit ds, den Winkel 


+5 bildet. Man sieht leicht, daß die zweite Formel (7) mit der 


Bezeichnung (5) übereinstimmt. Es ergeben sich nun leicht die For- 
meln: 


— dt. j dc 
certis S d'; — 19: 4, in, 9n 9. 

de, dt (8) 
AT er J'a = T92 — ege sin 6, 


welche wir in der Folge in Anwendung bringen werden. Man be- 
achte noch, daß die hier angeführten Formeln und Relationen auch 
in imaginären Fällen in Anwendung gebracht werden können. 
Man muß aber dabei voraussetzen, daß keine von den Kurvenscha- 
ren % = const., U, — const. und 7 (u, W) = const. eine Schar von 
Minimalkurven ist und daß die Werte der Quadratwurzeln in Über- 
einstimmung mit den angeführten Relationen gewählt werden. 


316 

2. Man betrachte nun eine Funktion ọ (uj, ù). Wir setzen vor- 
aus, daß die Kurvenschar: 
(9) p Di, ue) — const. 


. 
nicht eine Sehar von Minimalkurven ist, wobei es klar ist, daß sich 
diese Voraussetzung gleichzeitig auf beide Flächen bezieht. Man 
kann analog wie für die Funktion v die Größen: 


VC) 4 LOUE 2 eon 090 E. 





























dn. M | sin 0 : 
dq dq 
ls. ds 
Gooi- a T Be 
? de 4 dp | 
du. sin 0 dn, sin 6 
dp = dp cos 0 dg == A cos H 
> ds,^* ds, ds, ds, 
uper Eë e SE 
E sin 6 um sin 6 


einführen und man wird alsdann die Formeln: 


2 Ea ns 
à te ag Dis de dag Er a 


haben. welche den Formeln (7) völlig analog sind. Die geodätischen 
Kriimmungen der Kurven (9) und deren orthogonalen Trajektorien 
können für die Fläche S’ durch die Formeln: 


do: 


Jo p E BT 24s que: 


o BEER: 


bestimmt werden, wo o. den Winkel bezeichnet, welchen ds, mit 
ds, bildet. Für die Funktion e fm, a) auf der Fläche. Si können 
unter Benutzung des Akzentes analoge Bestimmungen angenom- 
men werden. | 

Wenn man außer q(u,.w,) noch eine zweite Funktion W (u, Mel 
betrachtet, so können für dieselben völlig analoge Bezeichnungen und 
Formeln auf beiden Flächen angenommen werden. Außer denselben 


317 


wollen wir aber noch den Winkel, welchen ds, mit ds, bildet, mit 
9, 4 li und noch die Größen: Í 


25 Ÿ 
ge, „= (+ | a) dy + (2: ehr =) uy; 


m= (n Ze) a, m 


in Betracht ziehen, wobei bemerkt werden muß, daß diese letzteren 
von den früher erwähnten nicht unabhängig ahd, weil die Identi- 





täten: 
Jo, = gs COS Qo; A +9, sin Qo, y 
i 9y, 9 = g COS 25, i — gy sin UH. a) 
bestehen. Analoges gilt für die Fläche S’. 


_ „Auf Grund der Betrachtungen, die, unter 1. ausgeführt waren, 
finden für eine beliebige Funktion f(w,.w,) die Beziehungen: 








«af 1: df dëi df al 
de, "de? dag S dn, 9 
statt, und auf Grund der zweiten derselben hat man: 
u. SUR, 
De ‘an. 


Diese Beziehungen bestehen auch da wenn man 9 durch # er- 
setzt. Ferner hat man auch: 


cos 2, 4 = cos QM, A sin Al. A — sin pra à 


und es kann in allen diesen Beziehungen statt p oder w die Funk- 
tion v gesetzt werden. 

Um nun weitere Beziehungen zu erhalten, werden wir die For- 
meln (8) in Anwendung bringen. Diese Beziehungen bleiben bei 
beliebiger Variabelnänderung invariant. Wir können daher insbe- 
sondere u, durch g (u1, w) und u durch V (Uy, Uy) ersetzen und 
auf diese Weise erhalten wir die Relationen: 


dt 
24.9 ga Fo e 9 o, ¥= 799,9 Fs cos Q., y, 


s i (11) 
a aah OR ener DIR ao ON aarp ed A 


1) Man siehe die oben zitierte Abhandlung von Voss S. 93. 


318 


Anders können diese Relationen durch direkte Berechnung bezüg- 
licher Größen auch auf Grund der Formeln (8) erhalten werden, 
Man kann ferner die in erster Zeile von (11) befindlichen Bezie- 
hungen durch Beziehungen ersetzen, vermöge welcher die geodäti- 


schen Krümmungen g, und g, transformiert werden. Es finden 
nämlich die Relationen: 


statt. Aus den Formeln (11) oder (12) folgt unter anderem der Satz, 
daß eine Schar von geodätischen Kurven bei der konformen Abbildung 
dann und nur dann nicht aufhört, aus geodätischen Kurven zu be- 
stehen, wenn die Kurven dieser Schar gleichzeitig auch orthogonale 
Trajektorien der Kurven t= const. sind. Dieser Satz kann als spe- 
zieller Fall eines anderen Satzes betrachtet werden. Es folgt nämlich 
aus den Relationen, die in erster Zeile von (11) stehen, daß wenn 
auf der Fläche S die Beziehung o. A — U besteht, auf der Flä- 
che Si dann und nur dann die Beziehung J's, =O stattfindet, 
wenn die Kurven w = const. orthogonale Trajektorien der Kurven 
t = const. sind. 

3. Um nun weiter zu gehen, werden wir eine allgemeine For- 
mel aufstellen. Man betrachte nämlich eine Funktion ø (u, ge), Auf 
dieselbe können alle Bezeichnungen und Betrachtungen angewendet 
werden, welehe früher in bezug auf w und e angeführt waren. Es 
ist dabei leicht zu sehen, daß die Formeln: 





2 dfi.o. G d 
(15) m cu SA. ; Anz mn). 
\ dÄ. 4 5 
(14) Ib, 0 = gp s cos UH. ; Hg: sin Hen 


bestehen. Wenn man nun die zweite Formel der ersten Zeile von 
(11) nach s, differenziert, so ergibt sich zunächst: 





Aber durch die Anwendung der Formel (13) erhält man: 


319 


dt dt 


— == — sin Qus 


und durch die Anwendung derselben Formel (13) und der Beziehung: 
d'r — dt 
ds- "dn. IE dn, dn. 
ergibt sich: 
d'r d'r 


T 
EES aa dai cos Ai. ,, 


— d 
sin A. ; — gx dn. 
Demnach, wenn noch die Formel (14) in Anwendung gebracht 


wird, ln wir das Resultat: 








dg’ , Bach » Ÿ 


en AN Mean à on re i 
E 


Mee gr 4 sin Q., ji (15) 





Wenn man hier zunächst Y — o = q nimmt, so ergibt sich die 
Formel: 
dg. ` ehe dg. der dt. 
dëi ` EE 5 (ae +9: gy.) n22, 2 — 


— dt 
— 9, Fe 0052 Os, |. 





Wenn ferner fiir y — const. und c = const. orthogonale Trajekto- 
rien der Kurven g = const. genommen werden, und zwar derart, 
daß man dei = ds, = dno setzt und für die Fläche S die analoge 
Annahme macht, so ergibt sich: 





dai dg. = 
T RN d à 2 ten sin 29... + 


Aa A cos CHE 


Aus diesen Formeln ergibt sich zunächst der Satz, daß die Gleichung 


dg. dg', 
den 0 die Gleichung d 


/ 





dg 
*=0 und die Gleichung ie — die 


320 


dq’. 
Gleichung ME a daudinsch sich zieht, wenn 


dn’ . 
der Winkel 2, , die Beziehung: 


— dr 

$ 29: dn - 

tg 2 Qz o = ———— ——— 
d'r dr 
EE 


befriedigt. Ferner folgt aus unseren Formeln die einfache Beziehung: 


dg‘; dys 72 dg, | dg. 
de, ' dn’, dei ds, ane 








wobei zu bemerken ist, daß wir mit dem hier rechter Hand auf- 
tretenden Ausdrucke noch in der Folge zu tun haben werden, 

Wir wollen nun in der Formel (15) y = nehmen und die 
Kurvenschar o = const. als die Schar der orthogonalen Trajektorien 
wählen und dabei ds, mx setzen. Alsdann ergibt sich: 








d É d = . : 
MUS jai d T 4 ~ (gs cos Qz, o — ge sin Q:, v) — 





bie ren: Qu ee LE sin? Que + 


d'r 
cos? Q-. «|. 
dn- 


dn? 

Wenn man ferner o — nimmt und die Kurvenschar Y = const. 
als die Schar der orthogonalen Trajektorien der Kurven p = const. 
in der Weise wählt, daß ds, = dns ist, so ergibt sich die Formel: 














dg's = d i 
dëi ds; * an. (ge sin Q:, 2 gẹ cos DH, ») + 
dt nd dr 
A ge cos Oe ale Lë oa — 2 Q- : 
L gz Ce Qz, o + gi du. sin 2 Q-,. di sin? Q:, | 
Aus diesen beiden Formeln folgt: 
dg's _ dg's ` | dë:  dgeY a dr 
dn'e | ds'e — TIT Fr ee SCH | 2 dn. Gë COS Q:, 2 — 





dt 
— uni. UP wae 
ge sin £z, «) + d T° Anz | 


und ,yermöge einiger Formeln (11) und (12) ergibt sich: 


321 


og 2 dt 
ge + get (> + 92) +2 357 (ge cos Qz, 9 — 


m lc dt wi 
JS SIN 9:9 +) : 
Es ist aber = 
__dgs _ dgy 2 
dng: gie Ie — 5 
das Gauss’sche Krümmungsmaß der Fläche S und die analoge For- 
mel gilt für die Fläche S' Es ergibt sich demnach die Beziehung: 


i o oz (or ao: 


welche man noch anders darstellen kann. Es ist nämlich in der 








bekannten Bezeichnungsweise: 


dt wi dr dr 
x) A (7), dal —14* du- =A, e 


und weil ferner: 
1 BEN E A 
A, (log 7) = = A, (t) — = A, (a): 


so ergibt sich die bekannte Formel: 
K' = s? [K + A, (log 7)] 9). 

Wir unterlassen es nun, weitere Differentiationen der Differential- 
parameter zu verfolgen, und wenden uns zu der invariantentheore- 
tischen Aufgabe, die wir in der Hindeitgng dieses Aufsatzes ge- 
schildert haben. . 

4. Außer den Flächen S und S’ weeds man noch die Fla- 
che T" und es sei: 

dab, de? " 2b',, dv, dos + b’,, dv? 
das Quadrat des Linienelementes dieser Fläche. Wir setzen ferner 
voraus, daß die Fläche 7" mit der Fläche $’ isometrisch ist, db, 
daß zufolge einer Transformation: 
9, = v4 (U1; U2), Da V (Uy. Ug) | (16) 
die Gleichheit: t a 
dds" (IX) 


1) Man siehe S. 95 der oben genannten Abhandlung von Voss. 


322 


stattfindet. Es wird alsdann 
(18) ar * ==0?° ds? 


d. h. es sind die Flächen S und 7” durch die Transformation (16) 
aufeinander konform abgebildet. 

Anderseits kann’ die Relation (18) in drei Relationen zerspal- 
ten werden und diese Relationen können in Vereinigung mit den 
Gleichungen (16) als Transformationsgleichungen der Veränderlichen: 


U, Ur, Ou: Ayo, Ga 
in die Veränderlichen: 
Dis Bee Di, Dia: 3022 


interpretiert werden. Wenn man dabei voraussetzt, daß die Funktio- 
nen Vj, V, in (16) und g in (18) willkürlich sind, so wird in die- 
ser Weise eine unendliche Transformationsgruppe definiert. 

Diese Transformationsgruppe kann in bezug auf die Differential- 
quotienten aller Ordnungen der a,, nach den u; erweitert werden und 
sie besitzt offenbar keine Differentialinvarianten, weil jede. Fläche 
auf jede andere konform abgebildet werden kann. Wenn man aber 
gleichzeitig die Invarianzen: 


(19) P (Uy; ug) = q' (01,9%), V (Uy, Ur) = W (v, 02) 
betrachtet und die Gruppe in bezug auf die Differentialquotienten 
dieser Funktionen erweitert, so wird man eine Reihe von Differen- 
tialparametern erhalten, die jedenfalls in der Reihe derjenigen Diffe- 
rentialparameter inbegriffen sind, welche der Gruppe angehören, die 
dureh die Invarianz der Quadrate der Linienelemente charakterisiert 
wird. Diese sind sämtlich in meiner Abhandlung: „ZurInvarian- 
tentheorie der Differentialformen zweiten Grades“ !) zu finden und 
wir werden sie in der Folge als Differentialparameter der Isometrie 
bezeichnen. Wir werden uns mit der Frage beschäftigen, von ihnen 
diejenigen abzusondern, welche auch bei der jetzt betrachteten 
Gruppe die Invarianteneigenschaft aufweisen. 

Es ist zunüchst sehr leicht, diese Differentialparameter zu klassifi- 
zieren. Diese Differentialparameter kónnen durch Elimination der Ab- 
leitungen verschiedener Ordnungen der Funktionen (16) aus denje- 
nigen Gleichungen erhalten werden, welche angeben, wie in unserer 
Gruppe die Koeffizienten a,, und deren Differentialquotienten ver- 


1) Leipziger Berichte, Bd. LIX, S. 176 u. ff. 


323 


schiedener Ordnungen nach den vw, und die Differentialquotienten ver- 
schiedener Ordnungen der Funktionen g (u1, Ua), WY (u), ua) nach den 
u, transformiert werden. Wir werden dabei diejenigen Differentialpa- 
rameter vom Range m nennen, die erstens von allen Differentialpara- 
metern unabhängig sind, in welchen a;, und deren Differentialquotien- 
ten nur bis zur (m—2)-ten Ordnung und die Differentialquotienten von 
€ (w,,u,) und Y Dis, u2) nur bis zur (m—1)-ten Ordnung auftreten 
und die zweitens keine Differentialquotienten enthalten, deren Ord- 
nung für die Koeffizienten o, größer als m—1 und für die Funk- 
tionen @ (u,,%,) und % (uz, Ua) größer als m ist. Es ist leicht einzu- 
sehen, daß die Anzahl derartiger Differentialparameter m-ten Ranges 
gleich 2m ist und wir glauben, auf die Begründung dieses Satzes 
weiter nicht einzugehen zu brauchen. Wir wollen aber noch fragen, 
wie viele Differentialparameter m-ten Ranges vorhanden sind, in 
welchen die Differentialquotienten nur einer der Funktionen (19) 
z. B. p(u,, uj) vorkommen. Es kann leicht bewiesen werden, daß 
die Antwort auf diese Frage die Zahl m—1 ist. Nun gibt es auch 
m — 1 Differentialparameter von Range m, die keine Differential- 
quotienten von g(w,,w,) wohl aber die Differentialquotienten der 
Funktion ap (u1, gel) enthalten. Daraus schließen wir ferner, daß zwei 
Differentialparameter eines jeden Ranges existieren, in welchen die 
Differentialquotienten beider Funktionen @ (u1, u) und w (w, Us) 
auftreten müssen. Wir haben auf diese Weise gewisse Differential- 
parameter angezeigt und wir wollen nun überlegen, wie man die- 
selben bestimmen könnte. Sie müssen durch Elimination gewisser 
Größen aus gewissen Systemen von Gleichungen sich ergeben. Wir 
haben früher drei Flächen S, © und 7" betrachtet und in Verbin- 
dung damit können wir den EliminationsprozeB so ausführen. 
Man betrachte die Transformationsgleichungen, vermöge welcher die 
Größen o, und deren Ableitungen bis zur (m — 1)-ten Ordnung 
inklusive in die Größen 6’;, und deren Ableitungen bis zur (m—1)-ten 
Ordnung inklusive auf Grund von (16) und (17) transformiert wer- 
den und die Transformationsgleichungen, vermöge deren die Ablei- 
tungen der p und % bis zur m-ten Ordnung inklusive in die Ab- 
leitungen der o" und ad bis zur m-ten Ordnung inklusive auf Grund 
von (16) und (19) transformiert werden. Man bezeichne dieses Sy- 
stem von Gleichungen als das erste System. Man betrachte ferner 
das System von Gleichungen, vermöge deren die Größen a,, und 
deren Ableitungen bis zur (m — 1)-ten Ordnung in die Größen a’;, 


324 


und deren Ableitungen bis zur (m — 1)-ten Ordnung transformiert 
werden, und man bezeichne dieses System von Gleichungen als das 
zweite System. Die Elimination kann derart geführt werden, daß 
man erstens die Ableitungen verschiedener Ordnungez der Funk- 
tionen 2,; V, nach den i, % aus dem ersten System eliminiert, 
daß man zweitens-in die so erhaltenen Resultaten diejenigen Aus- 
drücke der Größen a’;, und deren Ableitungen hineinsetzt, welche 
aus dem zweiten Systeme sich ergeben, und daß man drittens aus 
dem in dieser Weise erhaltenen Systeme von Gleichungen die Eli- 
mination der Funktion @ und aller dort vorkommenden Ableitungen 
dieser Funktion unternimmt. Es können aber die Resultate des 
ersten Teiles dieses Eliminationsprozesses der Invariantenthevrie 
der binären quadratischen Differentialform entnommen werden. Es 
bleibt daher die Ausführung des zweiten und des dritten: Teiles 
dieses Prozesses übrig und da es sich nur darum bandelt, ‘die 
Differentialparameter unserer Gruppe in irgend welchem Systeme 
von Veränderlichen zu erhalten, so kann dies dadurch. erreicht 
werden, daß man direkt für die Fläche 5’ alle Differentialinvarian- 
ten und Differentialparameter der Isometrie, welche von a’,, und 
deren Ableitungen bis zur Ordnung m — 1 inklusive und von den 
Ableitungen der Funktionen q und «v und deren Ableitungen bis 
zur Ordnung m inklusive abhängen, aufstellt, in dieselben die 
Werte (3) einsetzt und aus dem erhaltenen Gleichungssysteme die 
Funktion @ und alle dort vorkommenden Ableitungen dieser Funk- 
tion eliminiert. Auf diese Weise müssen alle Differentialparameter 
unserer Gruppe bis zum m-ten Range sich ergeben; Wir werden 
aber. sehen, daß man die Bestimmung aller dieser Differentialpara- 
meter auch bedeutend einfacher ausführen kann. 

D. Es existieren zwei Differentialparameter ersten Ranges unse- 
rer Gruppe. Wenn man die Formeln (10) auf /— 9 und f= v in 
Anwendung bringt, so ergeben sich die Beziehungen: . ~ i 








u E UE E Ia a 
dus SR dno 3 ds’ 9 T äs ? dn's 9 dns g 
aus welchen folgt, daß die Ausdrücke: | 
dy dy j 
ds» dn 
2 ; ES Kee 
(20) Os (Y) = dp? Ws (4) dg 


525 


Differentialparameter sind. Vertauseht man p und w, so erhält man 
die Differentialparameter: 








dg = 
ds — dny 

OY (p) = ) € (p) = E (21) 
dn, ST ak 


welche von den zwei früheren nicht unabhängig sind. :Wir wollen 
die Relationen bestimmen, durch welche unsere vier Differential- 
parameter verbunden sind. Unter Benutzung der früheren Bezeich- 
nungen hat man fiir eine. beliebige ‚Funktion f (uy, Ug) die Bezie- 
hungen: | 

















deu KEE s 2y, p- aie sin Qe). 
df: er ody | 
dny wn dns CE Qo, me "ee sin Qo, y, 


wo der Winkel Q;,; gleichfalls ein Differentialparameter unserer 
Gruppe ist. Wenn man hier statt f einmal p und das andere An 
w einsetzt, so ergibt sich: 


























dej dng | ED dn du, °° 22,3; 
d aa 
ie À tL sin Qu, As 
dua eos Qo, A Pe sin Q5, A = Ce 


Wenn wir nun in die zwei letzten Relationen die Ausdrücke 
einsetzen, welche sich aus den zwei ersteren für sin A. A und 
eos Qs, ergeben, so erhalten wir die Relationen: 


«es (p) o, (p) ]- es (p) es (^) =0, 
o (D) 0, (p) — os (D) ay (p) —1,- 


vermöge deren je zwei Größen (20) und (21) durch je zwei andere 
ausgedrückt werden. 

..6. Wir: gehen hun zur nee von :Differentialparametern 
über, die. yon den Ableitungen der Funktion, o allein abhängig. sind. 
Man nehme die Ausdrücke: mand vehat: hosed 


326 





dj df 
dso dno 
N EE 
dns dns 


und bilde das Poisson’sche p" (wo, wo). Wir erhalten: 
ar UT, 
Pr i dns x ds» dno 
dns 
1 dp df de df 
dg \ dn ds; ds dno dne 
= 


und unter Berücksichtigung der Relation: 








(0,0) = 






































d'r df 
GN dnodsz dee dns — ie ti 7 
und der Beziehung: 
dp x pe 
SS ds; dno n "dus — g 
ergibt sich: 
dp 5 d? 
(24) rl). 
m) 
dno 
Wir sehen also, daß 
dp y d?g 
dns idee dn? 
2 = : 
( 5) De ( dp 
dig 


ein Differentialparameter unserer Gruppe ist, und zwar derjenige 
vom Range zwei. Es findet die Formel: 





LA A, (p) 
ELE 4, (9) 


statt. Es ist ferner ersichtlich, daf) alle Differentialparameter hóherer 


Ränge durch Ausführung der Operationen wy(f) und oe (LI) auf 
Deg erhalten werden können. 


327 


Um nun alle Differentialparameter zu erhalten, die beiden Funk- 
tionen g und w zugehören, wird man den früheren Differential- 
parametern zunächst 





ay d. 
pis dny”? diy 
ma) 

dny 


und alle Differentialparameter hinzufügen müssen, die aus D, durch 
einfache und mehrfache Ausführung der Operationen wy(f) und 


c (f) erhalten werden können. Ferner wird man aber noch zwei 
Differentialparameter jedes Ranges aufstellen müssen, deren jede 
sowohl die Funktion y, wie auch die Funktion y enthält und von 
den soeben angegebenen Differentialparametern unabhängig ist. Für 
den ersten Rang können als solche Differentialparameter beliebige 
zwei Größen (20) und (21) oder auch die Größen: 








EE 


ue e (26) 


angenommen werden. Für den m-ten Rang bei m > 1 werden. wir 
beweisen, daß man als derartige Differentialparameter die Größen: 


of? Lis, A, OF [wy (Qe, p) (27) 
annehmen kann. Die oberen Indices bei den Operationszeichen ge- 
ben hier an, wievielmal die betreffende Operation ausgeführt wer- 
den soll. Wir werden uns derartiger Bezeichnungsweise auch fiir 
andere hier vorkommende Operationen bedienen. SR 

7. Zwecks Durchführung des genannten Beweises und’ Vorbe- 
reitung gewisser Formeln, für weitere, Betraehtungen ,werden wir 
uns damit beschäftigen, die Form der Differentialparameter ver- 
schiedener Ränge näher zu bestimmen. 

Man führe die Bezeichnungen: 

Po = Ns 19% E = HE 
v ge dn ` 
des 


T 


ein. Alsdann ergeben sich die Formeln: 
Bulletin III. 2: 


(28). ° ad si De= Pigo + PY; 


dr 


e ! m A 5, df a dg 
(29) @o(f) = Pes, Ge Hemes 


ds. 
ferner auf Grund der Beziehung (23) erhalten wir die Beziehung: 


d Ps 
dso SS 9: 


und, wenn wir noch die Relation (22) für / — P; in Anwendung 
bringen, die Beziehung: 


ER PE epe). 


Mit Hilfe dieser Formeln ergeben sich nun die Ausdrücke: 


3 dg» IL 
DES 2 : 
Go (Dy) = Fe ee EUR e 


o (De) = P CP: E + PP ge + Po) 








(30) 


und, wenn man die am Schlusse der vorigen Nummer getroffene 
Bezeichnungsweise für mehrfache Operationen in Anwendung bringt. 
so wird man in der Lage sein; die Formel: 




















4007 AE are. ter] 
anzuführen. Aber wir E die Beziehung: 
i. x He 
aus. welcher folgt:. 
dK dg dig gäere) weg 
dr, "` dn: "dno dso | 29 dus "die 


und ferner die Beziehung: 


Ba digg _ DE 


— doe 
dns d$ ds, dns i 


99 ? dno 








Mit Hilfe dieser Relationen erhalten wir für o7 (Dz) noch eine 
weitere Formel: 


329 








a d'ge , dge dos | dgs 
ws (Do) = SE: = dn’, FF g (2 dns LOTS lan 
— (5492 | dës dK 
EE $e) ax 


und, wenn man die Operation o. f) an den Ausdrücken (30) aus- 
führt, ergeben sich ferner die Formeln: 





= d?go d? gs 
nt mace 
Wo [os (D,)] = P$ |^ Coah psp on J+ 








+22 (2t HE ). 


d? go 


o? (De) = Ps E a, “98 
a 


dng V 


+ (Po PS + PP) g, + Pe P? + PO sei ; 





Auf diese Weise haben wir die Differentialparameter zweiten, 
dritten und vierten Ranges mit einer Funktion o (u, u). durch die- 
jenigen Differentialparameter dieser Ränge ausgedrückt, welche im 
Falle der Invarianz der quadratischen Differentialform auftreten. 
Derartige Ausdrücke können nun für weitere Ränge erhalten wer- 
den, es erscheint aber zwecklos, darauf einzugehen, wir bemerken 


bloß, daß die Größen: 
wf (Dz), ef" [m,(D,], oF [9 (D, 
«s me log OU], oF? (D) (81) 


als unabhängige Differentialparameter m-ten Ranges angenommen 
werden kónnen. 

8. Wenn wir nun eine zweite Funktion W% (ot. Mel hinzufügen, 
so erhalten wir für jeden Rang m noch »-|-1 neue Differential: 
parameter, und es ist leicht zu sehen, daß diese Differentialparame- 
ter in bezug auf die Ableitungen m-ter Ordnung von qw (th, ti) von- 
einander unabhängig sein müssen. Es ist nun anderseits sehr leicht, 
diejenigen Glieder der unter 6 angegebenen Differentialparameter 
m-ten Ranges anzugeben, welche die Ableitungen m-ter Ordnung 
der Funktion W% (w,,w,) enthalten. Wenn man nämlich bedenkt, daß 
für die geodätischen Krümmungen gy und 94 die Formeln: 

9* 


330 


d'Us A 
IER dii + ge cos Q2,4 + go sin Q., y 


gc id H + ge cos Qs, 4 — ge sin Qe, 





stattfinden, so ergeben sich leicht die Ausdrücke: 


den Qs, y ds Re, o 
dua dsÿ*d dii -) F 
dQsy | a Qo,4 
ds?” dny SS ds} dnè )+- 
d ; Y y 
= dr O3 A d" O; A 
(m—4) (2) —_ m—1[ ` i SET. eh, 
(32) EEN ( ds) ? du, pi det" dni )+- 


Y 


Dp (Dy) — ai m 





of [oy Dy] = Pg? ( 





d" Qo, y d"3 Qc. y 
(m—3) en m—1 i T MT 
oy log Dp] a + SC 











of” (Dy) = pr gu De Y -- P Vale +.. 
GI dau dug 
und ferner die Ausdrücke: 
d Q d 
of? (le, y) = PET Fee a 
( y 
(33) oe» [ds Ay py d" od bis 
P ke der? dny ‘on 


In allen diesen Ausdriicken enthalten die weggelassenen Glieder 
keine Differentialquotienten m-ter Ordnung der Funktion W% (wu. tto). 
Nun sind aber unsere Ausdrücke in bezug auf die Größen: 


d" Qs, 4 de, d" Qoy pen) 
EI um eer yeu DE EE 
dei dei" dny duy 





voneinander unabhängig und diese letzteren sind ihrerseits in bezug 
auf die Ableitungen m-ter Ordnung der Funktion w (w,,w,) vonein- 
ander unabhüngig!) Demnach ist unser Satz bewiesen. 

. 9, In meiner früher erwähnten Abhandlung sind in $ 7 die 
einer einzigen Funktion g(w,.w,) zugehörigen Differentialparameter 
der Isometrie angegeben worden. Unter Benutzung der Bezeichnun- 


') Vergl. meine früher erwähnte Abhandlung S. 181 u. ff, 


331 


gen der gegenwärtigen Arbeit kann ein Teil dieser lapis 
rameter (nämlich die Größen (21)) in der Form 


—1 
Ps PO) Dë Pec" 


dargestellt werden. Man beachte nun, daß wenn wir statt q die 
Funktion ® vermöge einer Gleichung von der Form: 


D= 9 (9) : (84) 
ersetzen, alsdann die Kurven der Schar: 
P (wu, , Us) = const. 


invariant bleiben und sich dabei bloß ‘die diesen Kurven zugehöri- 
gen Konstanten verändern. Es ist leicht zu sehen, daß die Beziehung: 


1 


und überhaupt die Beziehungen: 
P Lei, D (p), Pe, PQ..., Py) (86) 


stattfinden, wobei sss Hand der Beziehung (36) die Größen 
D (p) und PC sicher auftreten müssen. Es ist ferner leicht zu 
sehen, daß die Differentialparameter (22) und (23) der erwähnten 
Abhandlung bei der Transformation (34) invariant bleiben. In die- 
sem Satze wird vorausgesetzt, daß die in den Differentialparametern 
auftretenden Bogenlängen und geodätischen Krümmungen im Zu- 
sımmenhange mit den Kurven selbst, unabhängig aber von der 
zufälligen Darstellung derselben definiert sind. Wir sehen ferner 
aueh unmittelbar, daß die Größen P, und überhaupt P in den 
Differentialparametern, die bei jeder Transformation (34) invariant 
bleiben, gar nicht auftreten können. 

Derartige Auseinandersetzungen wollen wir nun auf Differential- 
parameter in Anwendung bringen, die unter 7 aufgestellt wurden. 
Es handelt sich um Aufstellung derjenigen Differentialparameter, 
die bei (34) unverändert bleiben. Diese müssen von P, und P^ 
unabhängig sein, und es ist deshalb leicht einzusehen, daß keine 
derartigen Differentialparameter ersten, zweiten und dritten Ranges 
vorhanden sind und daß höchstens zwei von ihnen vom Range 4 
und überhaupt höchstens m — 2 dieser Differentialparameter v vom 
Range m existieren. 


332 


Wir werden. uns: ‚sogleich überzeugen, dab diese Zahlen in der 
Tat erreicht werden. Zu dem Zwecke führe man die kürzere Bezeich- 
nung: 


ein und beachte, daß sobald /(w,,w,) eine invariante Funktion ibe- 
zeichnet, auf Grund der Formeln (29) und (30) einzusehen ist, daß 
die Difterentialparameter: 

EE RARES suy CR 

ee, pop 

Hm. des ` Volt) VT. dns 





(37) FUI 


bei jeder Transformation (34) invariant bleiben. Man hat ferner: 
ia 1 op 

Oo) — We —3 E —— rm 

(E rr. EK dss ; (yas) SS 


dns 
l'f dij dif 
tots e cm mitem apo) 
und daraus folgt: | 
n Ws) = Je Wo (f) — Je Wo (F); 


wo 
Well 


(38) 


T= Ws (og VT; des i 


zwei Differentialparameter vom Range 4 sind, von welchen soeben 
die Rede war. Es ist klar, daß für jeden Rang m > 4 bei Benut- 
zung früherer Bezeichnungsweise für mehrfache Operationen: fol- 
gende Differentialparameter: 


WEE eh WW), WE WED: 
Wo? Js), WE Je) 





(39) 


angenommen werden können. Auf diese Weise haben wir in der 
Tat gerade so viel unabhängige Differentialparameter jedes Ranges 
erhalten, als wir angekündigt. haben. 

10. Wir wollen ferner fragen, welche Differentialparameter von 
jedem Range existieren, wenn für Funktionen (0, us) und W (Uy, wg) 


de role A e n: 


333 
| H 1 D H D — = D (p JE = = ee 
(152851 f au MERIT 
angenommen ‚werden, Es erhellt, V Gees den.  Differentialparame- 
tern, welche unter 9 angegeben worden sind, noch diejenigen von 
den unter 6 ‚aufgestellten Ditterentialparametern hinzugefügt wer- 
den müssen, welche von den ersteren sowohl wie auch von den 
Funktionen po unabhängig sind. Auf diese Weise kommen zu 
den unter 9 angegebenen noch folgende Differentialparameter hinzu. 


Für Rang 1 nur 22,1, für Rang“2: 








ds,» | dëi j 
qu (Qos) = Py T oy (Q5, y) = Py ee 
fiir Rane 3 E 
f do y: oid Qe. 
i py (Gon) — Pi ee TH. Se 
S T d? Qs 1 ES dQ. 1 v VEI 
OY EE Iy dnÿ s ioci £ 


22 d ! das 
ta) 


oy (Dy ree e dny it PP gy PP ls 


‘und noeh der’ Differentialparanieter E TuS ^Für alle tient? Ränge 

kommen alle von y allein und’ von: $ und' y gleichzeitig abhängi- 

gen Differentialparameter hinzu, die unter 6 angegeben wurden. 
Man nehme nun. die Treaplngnagipngele SEE SR, 


z D =O (pis BA (op) 


an. Die: Differentialparameter müssen "sowohl von den‘ EH wie 
von den Py unabhängig sein. Außer ‘den Differentiälparametern 
der erlag: 9 hat man daher für den ‘Rang 1 den Differentral- 
parameter De, A. für den Rang 2 höchstens 1 Differentialparameter. 
fiir Rang 3 höchstens 4 und für jeden Rang m > 3 Köchstens m 
 Differentialparameter. Unter denselben sind diejenigen vorhanden, 
welehe sich aus den Differentialparametern, die unter 9° aufgestellt 
“wurden, durch Ersetzung von g durch s ergeben: Außer diésen hat 
man also UH: A ersten Ranges, höchstens 1 Differentialparameter zwei- 
ten Ranges. höchstens 4-dritten Ranges und höchstens 2: jedes Ranges 
"mä Wenn man aber die Differentialparameter zweiten-und:dritten 
Ranges des am Anfang der gegenwärtigen Nummer ‘behandelten 


334 


Falles betrachtet, so ist es klar, daß einfach die Elimination von 
P, auf einen Differentialparameter zweiten Ranges und auf 4 dritten 
Ranges führt. Da ferner für den 4-ten Rang die Formeln bestehen: 


Teil A End ESA ; di, A 
(8) wih) Je 28, i SE : NA 33 2» in 29 

dgy dQx,4 

dsy dsy 


d We PAU dgy ds | y 
ds, dn, 7 Jod dny ar 


d*Q;, V d? Qs. - ADs,» 
+9 IY qs, dny ge 94 G3 dsy dny Le ny d 
so können dureh Elimination von Py zwei Differentialparameter 
vierten Ranges erhalten werden. In derselben Weise erhält man 
zwei Differentialparameter jedes weiteren Ranges, und somit sind 
auch in dem gegenwärtigen Falle alle Differentialparameter erhal- 
ten worden. 





wy [oy (Qy, Al = Py | 





19. Causses; szkic krasu zgrzybiatego. — Causses; Skizze 
eines greisenhaften Karstes. Note de M. LUDOMIR SAWICKI, 
présentée par M. M. P. Rudzki m. c 


Im Zusanimenhange mit anderen Studien über nichttypische 
Karste Mitteleuropa's!) hat der Autor auch den Formenschatz der 
Causses in Zentral-Frankreich während einer Exkursion im Sommer 
1908 einer Durchsicht unterzogen. Die geologische Geschichte des 
Landes, besonders der Verfolg der schwankenden Grenzen zwischen 
Meer und Land belehrt uns darüber, daß die Causses außer der 
groben paläozoisehen Einebnung noch eine solehe im Alt-Tertiär 
erfahren haben. Die letztere schneidet heute die Oberfläche der 
Causses ab. Ihr Alter erhellt aus folgenden Tatsachen: die große 
Rumpffläche der Causses setzt sich in ausgedehnten Einebnungs- 
flächen des Zentralmassivs und der Cevennen fort; auf diesen aber 


1) Sawicki, L., Skizze des slovakischen Karstes und der geographische Zy- 
klus im Karste überhaupt (polnisch mit deutschem Résumé) Kosmos, Lwöw, 1908. 
S. 395 — 445. 


liegen die miozänen vulkanischen Mas- 
sen des Cantal, Mezene und Aubrac. 
Dann muß die Rumpffläche älter sein als 
die in den tiefen Flufischluchten des Lot, 
Tarn und der Jonte sich aussprechen- 
den Verjüngungserscheinungen. Diese 
hängen aber mit dem durch die mio- 
zine Hebung en bloc des Massivs her- 
vorgerufenen Niveauunterschiede zwi 
schen diesem und dem aquitanischen 
Becken einerseits und dem Rhonegraben 
anderseits zusammen. Aus beiden Tat- 
sachen ergibt sich, daß die Einebnung 
der Causses prämiozän ist. 

Die geologischen Ergebnisse werden 
durch die morphologische Untersuchung 
unterstützt und erweitert. Das Land- 
schaftsbild der Causses und deren näch- 
sten Umgebung wird von drei Ele- 
menten beherrscht: 1) den ebenen auf 
2.500 km? ausgedehnten Hochflächen 
2) den darüber aufragenden Inselgebir- 
gen des Aubrac, der Margeride und der 
Montagne de la Lozere, und 3) den in 
dieselben jugendlichen 
Tälern. 

Die erwähnten Inselgebirge sind einer- 
seits vulkanische Akkumulationsgebirge, 
andererseits aus der Rumpffläche im 
Postoligozän herausgehobene Horstge- 
birge (von den Randbrüchen derselben 
werden noch die oligozänen Seeablage- 
rungen von Malzieu mitbetroffen). Die 
Hochflächen der Causses sind keine ur- 
sprünglichen Ebenen, sondern Denuda- 
tionsflächen; sie schneiden eine in zahl- 
reichen Brüchen und lokalen Faltungen 


eingesenkten, 





ge, 
p 
S 
= 
| 
3 $ 
> À 
SCH S 
3 S 
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SR I 
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SS 
ze > 
hy SQ 
© 
S ~| 
: E 
SS ES 
Xg 


7:800000 ( 
Fly 7. Tektonisches und morphologisches Profil durch die Causses. (Ma 


sich aussprechende ziemlich komplizierte innere Struktur in ein- 
heitlicher Fläche ab (Fig. 1 und 2). Die Einebnung dieser Flächen 


336 


wurde durch zwei Prozesse bewirkt: 1) durch auf der Kalkoberfläche 
fließende Bäche und Flüsse (fluviatile Einebnung) und 2) dureh 
eine allgemeine Nivellierung der Karstoberfliché durch alternde 





fig 4 Faltung unterhalb La Malene. 


Karstprozesse (Karsteinebnung). Beide Prozesse erfordern eine hohe 
Lage des Grundwasserspiegels zur Zeit der Einebnung. Die Exi- 





BE Sehr ultaecke DU Erra rossa. 


Fig. À. Um formung vor Dolinen tr (neien 


stenz eines greisenhaften Flußnetzes auf der Karstoberfläche wird 
durch folgende Beobachtungen bewiesen: 

1) Man findet auf der Hochfläche an vielen Stellen Quarzsande 
und Schotter, die nur durch Flüsse aus den benachbarten kristalli- 
nischen Gebirgen auf die Kalkplatten gebracht worden sein konnten. 


337 ; 


2) Es haben sich auf den Hochplateaus der Causses greisenhafte 
Talformen erhalten, die heute teils verlassen sind (Tarnlauf zwischen. 
Florac und Ispagnac), teils noch von einer von der Verjüngung 
nieht erfaßten Hydrographie benützt werden (Causse de Monibe). 

3) Eine Reihe von epigenetischen Erscheinungen in den Rand- 
gebieten der Kalkplateaus spricht für eine einst hohe Lage des 
hydrographischen Netzes. 

4) Die einheitliche, sanft westwärts sich senkende Oberfläche 
der Causses kann nur durch in dieser Richtung strömende, gleich- 
sinnige, konsequente Flüsse erzeugt worden sein. . 

Das Flußnetz war aber wenig dicht und auf den breiten Flächen 
zwischen den Flüssen arbeitete die Karstdenudation an der Eineb- 


3 


Fig. 4. Umwandlung von Dolinen 
a) in Uvalen ( La Parade) bin llungeni Abuueret) 





nung. des Landes. Die damals entstandenen Formen und Bildungen 
liegen heute noch größtenteils intakt vor uns. Die Causses überzo- 
gen sich mit einem engmaschigen Netze von Dolinen; indem immer 
mehr jugendliche Dolinen durch Erniedrigung der sie trennenden 
Rücken und Aufschüttung (Fig. 3) ihrer Böden zu größeren Formen 
zusammenwuchsen, Lei gruppenweiser Anordnung zu Uvalen, bei 
reihenweiser Anordnung zu Talungen (Fig. 4) sich umformten, ent- 
standen die seichten und weitflächigen Wannenformen, welche heute 
` die Oberfläche der Causses auszeichnen. Die Oberflächengefälle die- 
ser Formen sind so gering, daß trotz der Reinheit des Kalkes das 
Karrenphänomen in den Causses ganz unbekannt ist. Diese zu einem 
greisenhaften Stadium gediehene Entwicklung der oberflächlichen 
Karstformen bewirkte einerseits eine allgemeine Erniedrigung und 
Einebnung der ursprünglichen Oberfläche, andererseits die Ausbil- 
dung eines dichten, lückenlosen und undurchlässigen Mantels von 
Verwitterungsschutt und. Verwitterungsrückständen. | 

Dieser Verwitterungsmantel ist von auSerordentlicher Bedeutung 


338 


für die Causses geworden: er hat die hydrologischen Verhältnisse 
maßgebend beeinflußt und ist damit die Grundlage des vegetativen, 
animalischen und menschlichen Lebens, die Grundbedingung der 
Kultur überhaupt geworden. Dank seiner Undurchlässigkeit saugt 
er sich selbst mit dem Niederschlagswasser voll und gestattet dem- 
selben nicht, durch die Karstklüfte und Höhlen, die er verschmiert 
hat, der normalen unterirdischen Karstentwässerung zuzustreben. 
Das an der Oberfläche festgehaltene Wasser speist ständige und 
periodische Dolinenseen, zahlreiche natürliche und künstliche Zi- 
sternen, zahlreiche Sümpfe und Pfiitzen. Wenn auch das Wasser 





Rumpfflache und Talschluchten an der frn und Jontemundung. 


der Zisternen in der Zeit der sommerlichen Dürre, hauptsächlich 
wegen der rasch vor sich gehenden organischen Zersetzungsprozesse 
für den Menschen ungenießbar, ja selbst zu einem Herde von Mias- 
men wird, so bildet es doch noch die Grundlage der Existenz der 
nicht unbedeutenden Schafherden; die Causses sind eines der Haupt- 
produktionsgebiete des Roquefort. Die ständige Durchfeuchtung des 
Bodens ermöglicht auch einen den bescheidenen Bedürfnissen des 
Caussenarden genügenden Ackerbau — eine für Karstgebiete höchst 
seltsame Erscheinung. 

Auch der Abflußvorgang wird von der Verschmierungsschicht 
wesentlich beeinflußt. Von den durchschnittlich 1000 bis 1100 mm 
betragenden Niederschlägen der Hochflächen wird nur ein außer- 
ordentlich geringer Teil oberflächlich in Bächen und unterirdisch 
dureh Quellen abgeführt. Da infolge des steppenartigen Charakters 
der waldlosen Causses das Pflanzenkleid wenig Feuchtigkeit kon- 
sumiert. muß in den Causses wie in jedem alternden Karste die 
Verdunstung außerordentlich bedeutend sein. Allerdings wird sie 


359 


hier gefördert durch klimatische Verhältnisse (große Zahl von Son- 
nentagen, mediterrane Trockenheit der Luft, besonders aber kräftige, 
kühle und langdauernde N-NO Winde), aber die Hauptursache 
davon ist die morphologisch bedingte Verlängerung der Verdunstungs- 
dauer: die Unmöglichkeit des unterirdischen Abflusses infolge der 
Verschmierunz und des oberflächlichen Abflusses infolge der wan- 





Fig. 6 
Durchschnitt dureh den 
Quer Armand, 
(Verjüngungsform j 

mn © do 80 9 fo 


nenartigen Ausgestaltung der Oberfläche zwingt das Wasser, so lange 
stehende Ansammlungen zu bilden, bis es verdunstet. Und so wirkt 
der im Tertiär geschaffene und bis heute nicht zerstörte Formen- 
schatz auf die Landschaft und das Leben in hervorragendem 
Maße ein. 

Die miozäne Hebung des Kalkblockes der Causses war gleich- 
bedeutend mit einer Senkung des Grundwasserspiegels, des Evolu- 
tionsniveaus im Karst. Diese verursachte Verjüngungserscheinun- 


340 


gen, die sieh 1) in der Tieferlegung der Flußtäler und 2) in der 
Aufschließung der Karstklüfte aussprechen. Bei dem Einschneiden 
der Flüsse fand eine Auswahl der stärkeren statt: diejenigen, die 
im Kalke ihren Ursprung hatten, versiegten sofort und ihre Weiter- 
entwicklung wurde unterbunden. Nur diejenigen, die aus dem be- 
nachbarten undurchlässigen Terrain kräftige -Zuflüsse erhielten; 
konnten sich gegenüber dem Verkarstungsprozesse siegreich be- 
haupten (Lot. Tarn, Jonte). Ihr Werk sind die imponierenden, dem 





Durchschnitt durch die Grottes des Baumes Ühaudes 
Form der Ausreifung 


Typus eines Cafions (Fig. 5) so nahen Schluchten, welche die Caus- 
ses in drei mächtige Tafeln zergliedert haben. 

Wo es dem dem (Grundwasser zustrebenden Wasser gelang, 
eine verschmierte Karstkluft zu öffnen. da bildeten sich die be- 
zeichneten Avens (Fig. 6) aus, deren man schon über 150 in den 
Causses kennt. Ich betrachte diese Höhlen mit ihren vorwiegend 
vertikalen Schlünden als Verjüngungserscheinungen, die den Tal- 
schluchten parallel zu setzen sind und in einem Gegensatze stehen 
zu den vorwiegend horizontalen, „galleries“ genannten Höhlen 
(Fig. 7), die ich als Zeugen des periodischen und von Stillständen 
unterbrochenen Sinkens des Grundwassers anspreche. 

So reihen sich die Causses in allem den für die Karstentwick- 
lung andernorts entwickelten Grundlinien unter: ja ihre bezeich- 
nendsten morphologischen und hydrologischen Erscheinungen wer- 
den erst auf diese Weise verständlich. Hervorgehoben muß noch 
werden, daß infolge des Mangels an modellierenden Agentien auf 


341 


der Oberfläche des südfranzösisehen Karstes sich dieselbe aus dem 
Miozän nahezu unverändert erhalten hat. 





20. O wrodzonych przetokach przetykowo-przetykowych. 
— Fistulae oesophago-oesophageae congenitae. Note 
de MM. ST. CIECHANOWSKI et L. K. GLINSKI, présentée par M. T. 
Browicz m. t. 
(Planches V. et V1.) 


Mit dem Namen „Fistulae oesophago-oesophageae congenitae* 
wird von Verfassern eine Anomalie des Oesophagus bezeichnet, 
welche zuerst von Ciechanowski im Jahre 1899 gefunden wurde 
und welche die Verfasser bis jetzt bei Menschen 6-mal beobachtet 
haben. Es handelt sich um intraparietale Kanälchen, welche in der 
Vorderwand der Speiseröhre verlaufen und durch eine, zwei, oder 
mehrere fenster- oder schlitzartige Öffnungen mit dem Oesophagus- 
lumen kommunizieren. 

In einem der Fälle (Fig. 1) fanden Verfasser in der Vorderwand 
des Oesophagus eines 3!/,-Jahre alten Mädchens zwei Kanälchen, 
deren eines oberhalb, das andere unterhalb des Niveaus der Tra- 
cheabifurkation lag. Das obere, kürzere Kanälchen stand mit dem 
Oesophaguslumen durch 3 Öffnungen in Verbindung; das untere, 
23 mm lange Kanälchen besaß neben seinen beiden Endmündun- 
gen noch eine dritte fensterartige. ebenfalls in die Speiseröhre füh- 
rende Öffnung. Dieses untere Kanälchen (Fig. 2 und 3) war mit 
geschichtetem Epithel, welches dem  Oesophagusepithel vollkom- 
men glich, ausgekleidet; die subepitheliale Bindegewebslage be- 
saß den Papillen der Speiseröhrenschleimhaut ähnliche Papillen; 
auf die Bindegewebslage folgte eine dem Kanälchen gleichsam an- 
gehörende Muskellage. Von seinen beiden Endmündungen angefan- 
gen, senkte sich das Kanälchen immer tiefer in die Speiseröhrenwand 
ein und in seinem mittleren Abschnitt lag es schon von der Mu- 
scularis propria externa des Oesophagus nach außen. 

In einem zweiten Fall (Fig. 4) bei einem 44 J. alten Mann 
verlief ein 20mm langes Kanälchen in der Vorderwand des oberen 
Oesophagusabschnittes, mit dessen Lumen es vermittels einer schlitz- 
förmigen Öffnung in Verbindung stand. Das Epithel des innerhalb 


der Submucosa verlaufenden Kanälchens bestand aus wenigen (6— 
10) Zellschiehten; das subepitheliale zellreiche Bindegewebe (Fig. 5) 
besaß keine Papillen. In diesem Falle besaß das Kanälchen keine 
eigene Muskelhaut. In das Kanälehen mündeten mehrere Ausfüh- 
rungsgänge der in der Oesophagussubmucosa liegenden Schleim- 
drüsen; es wurde dies von Verfassern an Serienschnitten festge- 
stellt. 

Bei einem 32 J. alten Mann fanden Verfasser im mittleren Ab- 
schnitt der vorderen Speiseröhrenwand (Fig. 6) ein 5 em langes 
submueóses, sich an 6 Stellen teils fenster-, teils schlitzartig in die 
Speiseröhre öffnendes Kanälchen. Dieses im Querschnitte spaltför- 
mige Kanälchen (Fig. 7) besaß ebenfalls geschichtetes Epi- 
thel; das subepitheliale Bindegewebe besaß Papillen. Ein ähnliches 
submucüses, mit geschichtetem Epithel ausgekleidetes Kanäl- 
chen fanden Verfasser bei einem 14 Monate alten Mädchen; das 
Kanälchen verlief in der Vorderwand des oberen Oesophagusab- 
schnittes, mit dessen Lumen es an drei Stellen in Verbindung 
stand (Fig. 8). Das subepitheliale, papillentragende Bindegewebe 
der Kanälchenwand war in diesem Falle zellreich, nach außen ging 
es allmählieh in fibröses Bindegewebe über. In der Nachbarschaft 
der Kanälchenwand waren stellenweise Muskelbündel vorhanden. 
In dem zellreichen Bindegewebe der Kanälchenwand fanden Ver- 
fasser mit einschichtigem Epithel ausgekleidete Räume (Fig. 10), 
welche an foetale Lungenbläschen erinnern. An Serienschnitten 
wurde nachgewiesen, daß die Ausführungsgänge der in der Nähe 
des Kanälchens liegenden Schleimdrüsen bald direkt in die Speise- 
röhre, bald in das intraparietale Kanälchen mündeten. 

In einem anderen Falle (bei einem 32 J.alten Mann) waren an 
der vorderen Oesophaguswand, ungefähr in der Höhe der Trachea- 
bifurkation, zwei kleine Öffnungen sichtbar, welche in einen un- 
regelmäßigen, bohnengroßen Raum führten. Nach unten zu verlän- 
gerte sich dieser Raum (Fig. 11) in eine sich rasch verengernde 
Spalte, welehe vermittels der unteren der beiden erwähnten Öffnun- 
gen in die Speiseröhre mündete. Eine zweite, trichterfürmige Aus- 
buchtung des intraparietalen Raumes war mit ihrer Spitze nach 
rechts gegen den Lungenhilus gerichtet. Auch in diesem Falle 
wurde eine geschichtete Epithellage im intraparietalen Raume nach- 
gewiesen; die nach unten gerichtete, spaltfórmige Ausbuchtung des 
Raumes lag nach außen von der Muskelhaut des Oesophagus (Fig. 


343 


12). deren äußere Lage an dieser Stelle durch eine breite Lücke 
unterbrochen war. In der Umgebung des en Raumes 
waren Muskelbündel unregelmäßig verteilt. 

In sämtliehen fünf angeführten Fällen war keine primär beste- 
hende Kommunikation. der Speiseröhre, bezw. der intraparietalen 
Kanälchen mit den Atmungswegen nachweisbar. 

In ihrer sechsten Beobachtung fanden dagegen Verfasser bei 
einem 4 J. alten Knaben außer einem 3 cm langen, vermittels 
zweier fensterartiger Öffnungen mit dem Oesophaguslumen in Ver- 
bindung stehenden, submucösen Kanälchen noch ein anderes, wel- 
ches in der Vorderwand jenes submucösen Kanälchens entsprang, 
in den linken Lungenhilus mit dem linken Hauptbronchus hinein- 
trat und endlich in den Bronchus zu münden schien. In diesem 
Falle lag somit eine Kombination der in sonstigen Fällen festge- 
stellten Anomalie mit einer oesophago-bronchialen Fistel vor. Auch 
in diesem Falle waren die Kanälchen mit geschichtetem Epithel 
ausgekleidet. 

Die von Verfassern beobachtete Entwickelungsanomalie scheint 
nicht allzu selten vorzukommen; merkwürdigerweise hat sie: jedoch 
bis jetzt keine Beachtung gefunden, denn neben dem obgenannten, 
im J. 1899 von Ciechanowsk’i beobachteten Falle wurde nur 
ein einziger Fall von Kathe im J. 1907 (d. i. 8 Jahre nach der 
ersten Beobachtung: der Verfasser) unter dem Namen: „Partielle 
Verdoppelung der Speiseröhre“ veröffentlicht. 

Zweifellos handelt es sich bei diesen intraparietalen, in verschie- 
dener Höhe. jedoch konstant in der vorderen Oesophaguswand ge- 
fundenen Kanälchen, welche sich an einer oder mehreren Stellen 
in die Speiseröhre fenster- oder schlitzartig öffnen, sich in die 
Oesophaguswand bald tiefer, bald seichter hineinsenken, geschich- 
tete, dem Oesophagusepithel ähnliche Epithellage, manchmal eine 
eigene Muskelhaut und eigene Schleimdrüsen besitzen, um eine 
Entwickelungsanomalie, welche in derjenigen Periode des Foetallebens 
entstehen dürfte, in welcher die endgültige Entwickelung des Oeso- 
 phagus durch Absehnürung der Luftwege zustande kommt. 

Die Vorgänge, welche sich in dieser Periode des Foetallebens 
in dem zur Bildung der Speiseröhre und der Atmungsorgane be- 
stimmten Abschnitt des primären Darmrohres abspielen, insbeson- 
dere die rinnenartige Ausbuchtung der Vorderwand, ihre Abschnü- 
rung, die Bildung von Muscularis mucosae und: Museularis- propria 


Bulletin III. 3 


344 


des Oesophagus, werden von Verfassern genau auseinandergesetzt, 
wodurch sie zu dem Schluß gelangen, daß die Entstehung von 
kongenitalen oesophago-oesophagealen Fisteln ungefähr in der 3. bis 
5. Woche des Foetallebens angenommen werden dürfte. Vor die- 
ser Periode haben die Teilungsvorgänge noch nicht angefangen ; 
nach derselben ist die Abschniirung der Atmungswege aus dem Oeso- 
phagus bereits abgeschlossen. In den Fällen. in welehen die intra- 
parietalen Kanälchen die Submucosa der Oesophaguswand nicht 
überschreiten. d. i. in dem zwischen der Muscularis mucosae und 
der eigentlichen Muskelhaut des Speiseröhre liegenden Bindegewebe 
verlaufen, wurde die in die rinnenförmige (später die Atmungs- 
wege bildende) Ausbuchtung der Oesophaguswand führende enge 
Längsspalte durch proliferierendes Epithel nicht rechtzeitig in ihrer 
ganzen Länge überbrückt und verschlossen. Durch die in dieser 
Zeit entstehende Ringmuskellage des Oesophagus wurde die Luft- 
röhre von der Speiseröhre abgeschniirt, in der vorderen Oesopha- 
guswand verblieb jedoch noch eine rinnenförmige Epithelausbuch- 
tung, welehe durch die später entstehende Muscularis mucosae 
meistens abgeschnürt wurde und dem intraparietalen Kanälchen 
Ursprung gab, an einigen Stellen jedoch nicht mehr abgeschnürt 
werden konnte, wodurch die das Kanälchenlumen mit dem Speise- 
röhrenlumen verbindenden Öffnungen znriickblieben. In diesen Fäl- 
len (Bech Nr. II, III und IV) dürfte somit die Entstehung von 
intraparietalen, submueösen Kanälchen der Oesophaguswand auf 
eine relativ späte Entwickelungsperiode, in welcher die Ringmusku- 
latur des Oesophagus schon fertig war, bezogen werden. 

In den beiden Fällen dagegen, in welehen die Kanälchen tiefer, 
teilweise sogar nach außen von den beiden Muskulaturlagen der 
Speiseröhre, verliefen (Beob. Nr. I und V) dürfte die Entstehung 
der Anomalie in die Periode der Bildung der Muscularis propria 
des Oesophagus, somit in eine relativ frühere Periode des Foetal- 
lebens (im Vergleich mit den Beob. Nr. II, III und IV) zurückver- 
legt werden. Bei der Entstehung der Museularis propria der Oeso- 
phaguswand liegen die Muskelzellen in der vorderen Oesophaguswand 
loser, als in der hinteren, und ist auch später der vordere Muskel- 
halbring”schmäler als der hintere; in dem vorderen Muskelhalbring 
bleiben manchmal stellenweise Lücken, welche manchmal sogar 
bei älteren, 3 — 4 Monate alten Foeten noch nachzuweisen sind. 
Falls in der vorderen Oesophaguswand die rinnenförmige, für die 





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Bulletin de V Acad. des Sciences de Cracovie 1909. 


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Cracovie 1909. 


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345 


Bildung der Luftröhre bestimmte Epithelausbuchtung durch die 
lückenhafte Ringmuskellage nur teilweise abgeschnürt worden ist, und 
ihr noch nicht abgeschnürter Teil sich mit dem proliferierenden Epi- 
thel nieht vollkommen gefüllt hat, so werden bei weiterer Entwicke- 
lung der eigentlichen Muskelhaut des Oesophagus und der Museu- 
laris mucosae die für die Entstehung von tiefer in der Oesophagus- 
wand liegenden, mit dem Speiseröhrenlumen kommunizierenden 
Kanälchen nötigen Bedingungen geschaffen. 

Die von Verfassern geschilderten Entwickelungsanomalien müs- 
sen in eine mit den wohlbekannten oesophagotrachealen und oeso- 
phagobronchialen kongenitalen Fisteln gemeinsame Gruppe von Ent- 
wiekelungsanomalien eingereiht werden. Im Vergleich mit den 
oesophagotrachealen Fisteln stellen die oesophago-oesophagealen 
Fisteln gleichsam einen leichteren Grad von Entwickelungssti- 
rungen dar, mit dem Unterschied, daß die Folgen der Entwik- 
kelungsstórung desto komplizierter sich gestalten müssen, in 
je frühere Periode des Foetallebens ihre Entstehung fällt. Unter 
diesem Gesichtspunkte dürften die in der Beob. Nr. II, III und IV 
der Verfasser, sowie in Kathe’s Beobachtung festgestellten Ano- 
malien (rein submucöse Kanälchen) als erste, die im Fall Nr. I 
festgestellte Anomalie als zweite, Fall Nr. V als dritte, vollentwik- : 
kelte oesophago-trachealen Fisteln als höchste Stufe dieser Ano- 
maliengruppe aufgefaßt werden. Der Beobachtung Nr. VI, welche 
eine Kombination der oesophago-oesophagealen Fistel mit der oeso- 
phago-bronehialen Fistel darstellt, muß eine Sonderstellung einge- 
rüumt werden. 


Erklärung der Abbildungen. 


Fig. 1. Fall Nr. I. a) obere, b) untere oesophago-oesophageale Fistel, 

Fig. 2. Querschnitt des unteren Abschnittes der unteren Fistel im Fall Nr. I. 
A. Intraparietales, von konzentrischen Muskelbündeln (c) umgebenes Kanälchen. 
a) Muscularis propria interna. b) Muscularis propria externa, d) Oesophagus- 
schleimbaut. 

Fig. 3. Querschnitt des mittleren Abschnittes der unteren Fistel im Fall Nr. I. 
e) Bindegewebe mit Arterien; sonstige Bezeichnungen, wie in Fig. 2. 

Fig. 4. Fall Nr. II, Oberer Abschnitt der Speiseröhre. a) Schleimhautvorwöl- 
bung, welche dem intraparietalen, durch schlitzförmige Öffnung in die Speiseröhre 
mündenden Kanälchen entspricht. b) Drüsenagglomerate. 

Fig. 5. Querschnitt des unteren Abschnittes der Fistel im Fall Nr. II. A) 
Spaltförmiges Kanälchen mit teilweise abgelöstem Epithel. a) Oesophagusepithel. 


3* 


346 


b) Museularis mucosae. e) Tiefere Schicht der Submucosa. d) Das Kanälchen um- 
gebendes Zellgewebe, ej Mit dem Kanälchen henachbartes Tuberke!. f) Schleim- 
driisen. | c 

Fig. 6. Fall Nr. IIl. A) Schleimhautvorwölbung, welche dem intraparietalen, 
durch mehrere schlitz- u. fensterfórmige Öffnungen mit dem Oesophaguslumen kom- 
munizierenden Kanälchen entspricht. a) Die Stelle, welche im mikroskopischen 
Bilde in Figur 7 dargestellt ist, 

Fig. 7. Querschnitt der Speiseröhrenwand im Fall Nr. III an der in Figur 6 
mit a) bezeichneten Stelle. A) Submucóses Kanälchen. a) Muscularis mucosae, 
welche teilweise das Kanälchen auch von unten her (bei b)) umgreift. c) Oeso- 
phagusepithel, 

Fig. 8. Fall. Nr. IV. Oberer Abschnitt der Speiseröhre. A) Schleimhautvorwöl- 
bung mit drei in das intraparietale Kanälchen führenden Öffnungen. 

. . Fig. 9 und 10. Querschnitt der Speiseröhrenwand im Fall Nr. IV an der in 
Figur 8 mit b) bezeichneten Stelle. Figur 9 bei schwacher, Figur 10 bei starker 
Vergrößerung. A) Intraparietales, in die Speiseröhre sich 6ffnendes Kanälchen. 
a) und b) Drüsenartige Räume in der Nachbarschaft des Kanälchens. c) Muscula- 
ris mucosae, ¢’) Einzelne dem Kanälchen benachbarte Muskelbündel der Muscu- 
laris mucosae.. d) Schleimdrüsen. e) Oesophagusepithel. 

| Fig. 11. Fall Nr. V. a) Obere, b) untere Fistelmündung. c) Seichtes Schleim- 
hautgrübchen. d) Inneres des eigentlichen Divertikels. e) Borste. 

Fig. 12. Querschnitt der Oesophaguswand im Fall V an der in Figur 11 
mit f) bezeichneten Stelle. A) Spaltförmiges Kanälehen. a) Oesophagusepithel. 
b) Muscularis mucosae. c) Muscularis propria interna. d) Muscularis propria ex- 
^. terna. e) Lücke der äußeren Muskelhaut. f) Dem Kanälchen benachbarte Mus- 
keibündel. 





21. Nalistne 1 pasorzytne . grzyby: Jawy. — Parasitische 
und epiphytische Pilze Java’s. — Mémoire de M. 
M. RACIBORSKI m. c. 

Übersicht. 

Piptocephalideae: Syncephalis, Syncephalastrum. 

Ustilagineae: Ustilago, Tolyposporium, Cintractia, Farysia. 

Platygloae: Helicobasidium, Platygloea. 

Coleosporieae: Goplana. 

Septobasidieae: Ordonia, Mohortia, PROPRES 

Exobasidieae: Exobasidium. 

Tulasnellaceae: Tulasnella. 

Myriangieae: Haematomyxa, Myriangium. 

Atichieae: Atichia. 

Perisporiaceae: Aspergillus, Balladyna, Dick Dimerosporium, Hya- 
loderma. 


341 


Mierothyriaceae: Myiocopron, Micropeltis, Polystomella, Trichopeltis, 
Trichothyrium, Heterochlamys, Scolecopeltis, Clypeolum. | 
Sphaeriaceae: Herpotrichia, Acanthostigma, Gibberidea, Lizonia, 
Melanomma, Guignardia, Metasphaeria, Ascospora, Didymella, 
Paidania, Myrmaeeium, Botryosphaeria. 
Pezizineae: Helotium. 
Die artenreichsten javanischen epiphyllen Pilze, nämlich Aste- 
rina und Meliola habe ich in der vorliegenden Abhandlung nicht 
berücksichtigt. 


Syncephalis bispora Rac. Abbildung Fig. 1 und 2. 

Haft- und Nährhyphen auf Mueorineen parasitisch lebend, 2—10 w 
dick, farblos, nicht septiert. Sporenträger gerade, gegen die Basis 
nur wenig dicker als unterhalb der Spitze. 400 — 600 u lang, 
20—30 u dick, an der Spitze kuglig angeschwollen und da (ohne 
die Sporen) 40—50 u breit. An dieser Anschwellung stehen, dicht 
nebeneinander, auf dünnen Sterigmen zylindrische Sporen, deren 
jede bei der Reife in 2 Teilsporen zerfällt. Sterigmen zylindrisch, 
10—12 u lang, 1—15 u breit, gerade. unverzweigt, Teilsporen 
lang ellipsoidisch, farblos, diekwandig, 12—14 u lang, 5—6 u dick, 
beiderseits abgerundet. 

Parasitisch auf Circinella spinosa auf Ziegenmist in Kagok bei 
Tegal. 


Syncephalastrum javanicum Rac. Fig. 3. 


Luftmycel spinnwebeartig mit bis 2 mm hohen Konidialträ- 
gern. Diese sind sympodial aufgebaut, die Enden der Äste kopftórmig 
angeschwollen und da 90— 160 u breit. Köpfchen mit dicht ne- 
beneinander stehenden, konisch zylindrischen Mutterkonidien bedeckt. 
Die Mutterkonidien werden durch 7 Querwände in 8 Teilkonidien 
geteilt, welche sich abrunden und zerfallen. Die Teilkonidien sind 
3—5 u breit, 4—7 u lang, glatt, eifórmig oder kuglig, grauschwarz, 
in der Masse schwarz. Nach dem Abfallen der Konidien erscheint 
die Oberfläche der columellaartigen Erweiterung höckerig, Sterigmen 
fehlen, Zygoten unbekannt. 

Sehr häufig in dem kranken Bibit des Zuckerrohrs in Klidang 
bei Pekalongan, jedoch wahrscheinlich nur saprophytisch lebend. In- 
fektionsversuche mit gesunden Rohrstücken mißlangen. Von S. ra- 
cemosum Cohn durch die im Verhältnis zur Columella kurzen Ko- 


348 





Fig. 2. Zwei Mutterzellen 
mit Sterigmen, beide schon 
in Teilsporen zerfallen. 


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Fig. 3. Eine sporenbildende Lufthyphe. 


Fig. 1. Ein Sporenträger. 


349 


nidien verschieden. Manchmal ` kommen Durchwachsungen der 
Columella zustande, indem an Stelle einer Mutterspore eine gestielte 
Columella emporwächst, die an der Oberfläche mit Muttersporen 
sproßt. 


Ustilago Nawaschini Rac. 

Infizierte Knospen nehmen die Größe und Gestalt von gesunden 
Früchten an, sind jedoch von orangegelbem Pulver erfüllt. Das 
Mycelium entwickelt sich in den Pollensäcken, in welchen aus der 
Schicht der Tapetenzellen nach innen sehr dünne Hyphen emporra- 
gen, welche apikal die runden Teleutosporen zu mehreren neben- 
einander bilden. Die Sporenballen fallen bei der Reife auseinander. 
Teleutosporen genau kuglig, dünnwandig. hellgelb, 13—16 u breit, 
sehr fein punktiert. An der Oberfläche des Wassers keimend, bil- 
den sie zylindrische, farblose, bis 3 x dicke, 50 — 80 u lange Ba- 
sidien, welche sich in:je 2 — 4 Zellen teilen. An der Spitze jeder 
Basidienzelle bilden sich kleine, glatte, kuglige, sitzende, 2:5 u breite 
Basidiosporen, gewóhnlich zu vier nebeneinander, und dann ist die 
tragende Basidienzelle plasmaleer. An der Durchbruchstelle der 
Teleutosporenmembran bildet sich gewöhnlich auch eine Basidio- 
spore. Manchmal ist die Basidie (?) verzweigt, dann erscheint sie 
gabelig mit einem einzelligen Ast mit 4, und einem dreizeiligen 
mit zusammen 12 Basidiosporen. 

In den Blüten einer Pollia sp. (Commelynaceae) in Buitenzorg 
von Prof. Dr. S. Nawaschin zuerst entdeckt. Es erscheint mir zwei- 
felhaft, ob bei dieser Ast die ganze Keimhyphe der Dauerspore oder 
eine jede ihrer Teilzellen, welche je 4 Basidiosporen bildet, als 
Basidie bezeichnet werden soll. Die Entscheidung wird nur durch 
die Erforschüng der Kernverschmelzung zu erbringen sein. 


Tolyposporium bogoriense Rac. | 
Der Pilz wuchert in jungen, noch geschlossenen Blütenständen 

und zwischen den sie umhüllenden Blättern, aus welchen endlich 
ein feiner, langer und sehr dünner, gewöhnlich gekrümmter, anfangs 
schwarzer Faden nach außen hervorragt (Rest eines mit Spo- 
ren bedeckten, unentwickelten Blattes). Sporen bilden sich in Ballen, 
die zum Teil nicht zerfallen, zum Teil dagegen sich in einzelne 
Sporen auflösen. Sporen braunschwarz, diekwandig, unregelmä- 
Big kuglig, 13—18 u breit, fein punktiert. 


350 


Auf Panicum sp. an beschatteten Stellen des botanischen Gartens 
in Buitenzorg sehr häufig. ty 

Die Sporenballen sind rundlich oder länglich, bleiben manchmal 
sehr fest verwachsen und zerfallen bei Druck nicht. In Regen- 
wasser oder 2°/, Glukoselösung ausgesät keimen sie sehr rasch 
(schon nach 8 Stunden). Jede Zelle bildet eine gerade, 25 —3 u 
dicke, 28— 38 u lange Basidie, welche durch 3 Querwände in 4 
Zellen geteilt wird. Die unterste Zelle ist von der Brandspore nicht 
abgetrennt, sehr kurz, häufig etwas dicker als die oberen. Jede 
Teilzelle der Basidie produziert apikal oder subapikal auf einer 
kurzen Sterigme eine zylindrische, gerade Basidiospore, welche 
2—25 w dick, 17—20 u lang wird. Die Basidiosporen teilen sich nur 
selten bei dem weiteren Wachstum, anastomosieren gewöhnlich zu 
zweien und treiben sehr dünne Hyphen aus. 


Cintractia Cornu. 


Von dieser Gattung habe ich auf Java drei Arten gesammelt 
und konnte bei zweien deren eigentümliche Keimung der Dauer- 
sporen untersuchen. 

Die Sporen keimen gleieh nach.der Reife, z. T. schon in den 
Sori, in Wasser oder in Glukoselösung schon nach 2 —6 Stun- 
den. Bei C. javanica ist die äußere, braune Wand der Dauer- 
spore an einer Stelle gewöhnlich. lappig zersprungen, die innere 
wächst nach außen und bildet eine gerade, zylindrische. anfangs 
einzellige Basidie. Diese wird jetzt von der leeren Mutterdauerspore 
abgetrennt und befreit. Es bildet sich nämlich unterhalb der ab- 
gegrenzten Basidie, dicht an der Grenze der Dauerspore ein farb- 
loses Membranknöpfchen, welches gleich verschleimt. und dadurch 
wird die noch einzellige Basidie frei. Diese wächst jetzt bis zu ei- 
ner Länge von 60— 80 u aus, erscheint als eine farblose, dünn- 
wandige, zylindrische Zelle von 8—10 u Dicke und teilt sich erst 
nach etwa 24 Stunden durch Querwände Gewöhnlich sind 3 
Querwände zu sehen, doch sind die längeren Basidien, wenn auch 
seltener, achtzellig. An den Querwänden ist die Basidie nicht, oder 
nicht deutlich eingeschniirt. Die Zellen der septierten Basidie bilden 
erst nach etwa 48 Stunden durch seitliche Sprossung je eine Basi- 
diospore, doch bilden sich die einzelnen Basidiosporen einer Basidie 
nicht gleichzeitig. Die Basidiosporen sind schmal oval, 35 — 55 u 
dick, 14 — 18 u lang und bilden durch Sprossung neue Konidien. 


351 


Endlich teilt sich jede Konidie durch eine Querwand, bildet ober- 
halb derselben eine niedrige Schnalle und treibt da die Keimhyphe, 

Die Dauersporen der Cintractia spicularum keimen unter den- 
selben Bedingungen ebenso leicht und auf ähnliche Weise. Die 
Basidien werden ebenso frei, sind jedoch nur 32—40 u, ausnahms- 
weise bis 55 u lang. 8 u dick, teilen sich sehr schnell quer in 4 Zellen, 
wobei die Basidie an der mittleren Querwand deutlich eingeschnürt 
wird. Selten sind achtzellige Basidien zu finden. Die Basidienzellen 
bilden sehr rasch durch seitliche Sprossung je eine Basidiospore, 
diese haften an der Basidie länger, so daß häufig an einer Basidie 
zu gleicher Zeit 2—4 Basidiosporen zu finden sind, was bei C. ja- 
vanica unter gleichen Kulturbedingungen nie vorkommt. Die Basi- 
diosporen treiben neue Konidien. ` ` 

Cintractia bildet also den bis heute bei den Ustilagineen einzig 
dastehenden Fall, wo die Basidie von der Dauerspore abgeworfen 
und frei wird. Sogar vor dem Abwerfen wird sie nicht an einer 
Traghyphe gebildet, sondern sitzt an der sehr kurzen, verschleimen- - 
den Papille der Dauersporenintine. | 


Cintractia javanica Rac. Fig. 4. 


Sori schwarz, anfangs von einer dünnen Hülle umgeben, nach- 
her zerstäubend, zylindrisch, 1 — 3:5 em lang, 25 — 4 mm dick, 
unterhalb der Blütenküpfchen die Blütenstandstiele umziehend. 
Eine Differenzierung der sterilen und fertilen radiären Partien ist 
in dem reifen Sorus nicht sichtbar, die ganze Oberfläche ist fertil. 
(Vielleicht ist jedoch eine solche Differenzierung in jüngeren Sta- 
dien, die ich nicht untersuchen konnte, vorhanden). Sporen braun- 
wandig, in der Masse schwarz, pulverig, dieht mit unregelmäßigen 
Wärzchen bedeckt, welche entweder ganz unregelmäßig sitzen, oder 
hie und da zu Reihen angeordnet, an einer Stelle mit einem runden, 
mehr farblosen Porus, kuglig oder verflacht, ausgewachsen nicht 
eckig, 16 — 19 u breit und lang. 

In den Infloreszenzen des Cyperus sp. gleich hinter dem Pasan- 
grahan in Soekanegara, Preanger. 

Cintractia axicola Cornu soll glatte oder fast glatte Sporen ha- 
ben. ©. Krugiana Mag. hat kleinere Sporen. Var. usambarensis Hen- 
nings scheint der unsrigen am nächsten zu stehen, vielleicht sogar 
mit derselben identisch zu sein, doch fehlen bei der javanischen 





353 


Spezies die breiten, sterilen Partien in den Sorus, wie solche 
C. Krugiana besitzt. 


Cintractia spicularum (Juel) Fig. 5. 


Syn. C. axicola (Berk.) f. spicularum Juel in dem Werke 
„Die Ustilagineen und Uredineen der ersten Regnellschen 


Expedition“ (S. 7. Tab. 1, Fig. 2; Taf. II, Fig. 6—7). 


Die Ährchen werden zu einer Peridie umgebildet, welche oval 
oder eiförmig, bis 25 mm breit, bis 3 mm lang wird, weißrötlich 
ist, und an der Spitze sternartig zerreißt. 
Die Peridialhülle ist aus sterilen, kugligen 
Zelen gebildet, wird diek und fest, und 
bleibt lange erhalten. Im Innern derselben 
liegt die lose, schwarze Sporenmasse. Die 
Âhrchenachse ist von den Hyphen dicht 
verwebt und bildet nach außen eine dicke 
Lage von radiären Hyphen, welche ab- 
wechselnd sterile und dazwischen liegende, 
von außen von einer dicken Peridie um- 
gebene Sporenpartien liefern. Die Sporen 
sind kuglig oder etwas verflacht, nicht Fig. 5. 
eckig, mit einer dieken, braunen, glatten 
Membran, 13—18 u lang und breit, mit je einem mehr farblosen 
Porus. Die sterilen Zellen der Peridie sind kuglig, 5—12 u breit, 
dünnwandig. 

In den Blüten von Cyperus sp. in Soekanegara Preanger. Ob 
generisch von Didymochlamys P. Hen. verschieden? . 





Cintractia axicola Cornu. 


An der Basis des zusammengesetzten Blütenstandes Lcd gewöhn- 
lich ein Ährchen infiziert. in dem Wachstum gehemmt und zu ei- 
nem schwarzen, 1 mm dicken, zylindrischen, 1—4 mm langen, an- 
fangs dünn behäuteten GE verwandelt. Nicht die ganze 
Oberfläche fruktifiziert, sondern es werden zwischen den fertilen 
ebenso breite, radiär gestreckte. dunkle, steril bleibende Pilzwebe- 
streifen sehr deutlich ausgebildet. Sporen kuglig oder unregelmäßig 
kuglig, häufig etwas verflacht, 15—19 u lang und breit, braun- 
schwarz, ihre Wand ist sehr on warzig. 


354 


Auf den Sawahfeldern bei Buitenzorg, auf Rhynchospora sp. Lei- 
der in spärlichen Exemplaren unmittelbar vor der Abreise gefun- 
den und deswegen nicht näher untersucht. 


Farysia, nov. Ustilaginearum genus. Fig. 6. 

Die infizierten Blüten werden durch die Hyphen verwebt, gal- 
lenartig erweitert. und bilden radiär nach außen wachsende Hyphen- 
biindel. welche auf ihrer Oberfläche die Sporen tragen. Fruchtkör- 
per des Pilzes anfangs geschlossen, nachher offen und dureh die 
sehr zahlreichen Capillitiumstringe pinselar-, 
tig flockig. Die Dauersporen kugelig, einzeln, 
seitlich auf dem oberflächlichen. septierten 
Hyphen der Capillitiumstränge gebildet, mit. 
einer Hyphe gleich keimend. Die Keimhyphe 
bildet an ihrer Spitze eine lange Basidivspore. 
Nach dem Abfallen derselben wandert das in 
der Dauerspore gebliebene Plasma in die 
zweite Basidiospore, welche entweder unter- 
halb der abgefallenen ersten, oder häufiger 
auf einem Seitenast der Keimhyphe abgeglie- 
dert wird. Die Basidiosporen treiben end- 
ständige Konidien. 

Fig. 6. Die Gattung scheint dureh ihr Capillitium 

ein Analogon zu der Gattung Graphiola zu 

bilden. Die Sporen keimen in Wasser oder Glukoselüsung nach 

wenigen Stunden auf ähnliche Weise wie bei Anthracoidea subin- 

clusa. Bref. Keimhyphe gerade, 80—100 u lang, 15—2 u dick, die 

apikale Basidiospore 40—60 u lang, 1:5—2 u dick. Basidiosporen 

bilden nach dem Abtallen apikal neue Konidien, die immer kürzer 

werden, endlich nur 8—10 w lang sind. Von Cintractia durch ihr 

hygroskopisch bei dem Verbreiten der Sporen tätiges Capillitium. so 
wie durch die Keimung der Dauerspore verschieden. 





Farysia javanica Rac. (vielleicht mit Cintractia Merillii Hennings 
identisch ?): 

Die Fruchtkörper bald in allen, bald nur in einzelnen Blüten 
eines. Blütenstandes vorhanden, gelbbraun, kuglig, 15 — 2:5 mm 
breit, flockig. Capillitiumstränge 1—2 mm lang, 15—30 u an ihrer 
Basis dick, unverzweigt oder gegen die Spitze in 2—3 noch dün- 


355 


nere. Stränge sich teilend; ans "zahlreichen fest verklebten, bräunli- 
chen Hyphen, die reich septiert und 15—25 u dick sind, gebildet. 
Die oberflächlichen Hyphen bilden seitlich stiellose, kuglige, braune 
Sporen. Sporen mit dicker. mit Wirzchen und kurzen Leisten 
dicht bedeckter Haut. In der Aquatorialgegend der Sporen sind 
die Leisten länger als gegen die Pole. Sporen 9 — 12 w dick. 

In den Infloreszenzen von Carex sp. in Preanger bei Tjampaka, 
Soekanegara und Tangeung. 


Helicobasidium incrustans Rac. 


Mycelium ist chocoladebraun und wie mit einem dichten, lede- 
rigen, 60 — 170 u dicken, zusammenhängenden, am Rande radiär 
wachsenden, bis 1 dm breiten Überzug die Unterseite der Blätter 
überziehend. Die Hyphen leben epiphytisch, dringen in das Blatt- 
gewebe nicht ein und scheinen den grünen Blättern wenigstens bei 
manchen Arten nicht zu schaden. Hyphen rötlichgelb, mit Aus- 
nahme der apikalen Teile und der Basidien, anfangs eine sehr 
dünne, flache, mit Kutikula verklebte Lage bildend, aus welcher sehr 
zahlreiche Äste gleichmäßig dicht, wagerecht abstehend emporwach- 
sen. Vereinigte Äste werden zu unverzweigten, geraden, sterilen, an 
der Basis bis 3 u dicken Dorsten, die meisten sind dagegen nur 
bis 2 u dick, reich verzweigt, und diese bilden seitlich unzählige, 
zurückgebogene kurze Äste, welche vielfach wiederum zurückgebo- 
gene, bogige Stachelchen tragen. Manche Endverzweigungen laufen 
in eine kleine, die unebene Oberfläche des schwammigen Lagers 
erreichende, an der Spitze kuglig erweiterte, bis 5 u breite Blase 
aus, welche nicht abgetrennt wird und mit den Teleutosporen nur 
eine äußere Ähnlichkeit, sonst nichts gemeinsames besitzt. ` 

An den Hyphen, etwas unterhalb der Oberfläche des Lagers 
werden die Basidien als seitliche Auswüchse, an jeder Hyphenzelle 
je eine Basidie, basifugal gebildet. Diese sind farblos, 5—6 u dick, 
20—28 u lang, nie gerade, manchmal fast spiralig, oder am häu- 
figsten ganz unregelmäßig. gedreht, vierzellig, und in dem Hyphen- 
gewirr immer ganz versteckt. An jeder Basidienzelle wird ein sehr 
dünnes und langes (manchmal bis 60 u langes) Sterigma gebildet, 
welches an der Spitze eine spindelförmig lineare, farblose und glatte 
35—4 u dicke, 18—24 u lange, gerade Basidiospore trägt. 

Auf der Unterseite verschiedener Blätter z.B. Adinandra, Jam- 
bosa, Pavetta. epiphytisch. lebend: Bei Pavetta vergilbt die Blattfläche 


356 


unter dem Pilzlager. Häufig am Westfuß des Pangerango ober- 
halb Tjitjuruk. 

Ich habe die Art in die Gattung Helicobasidium (Stypinella) 
versetzt, trotz der differenzierten, sterilen Hyphenborsten des Frucht- 
körpers. Das Hyphengewirr mit den zurückgekrümmten Ästen 
erinnert stark an das Hymenialgewebe des Pilacre Petersi. 


Platygloea Hymenolepidis Rac. 


Die Sporen keimen auf der Oberfläche des jungen Blattes, die 
Keimhyphe dringt in die Epidermzelle, deren Membran an der 
Durehbruchstelle gebräunt wird, verzweigt sich reichlich im Inne- 
ren der Zelle und treibt endlich nach außen die langen, in Schleim 
eingebetteten Hyphenbündel. Vom Pilz werden gewöhnlich so zahl- 
reiche Epidermzellen angegriffen, daß bei makroskopischer Prüfung 
die Oberfläche des Blattes mit einer zusammenhängenden Schleim- 
decke überzogen erscheint, während in der Tat nur getrennte, jedoch 
zahlreiche und dicht nebeneinander gelagerte Hyphenbündel ver- 
kleben. In den Epidermzellen sind dieht korkzieherartig gewundene 
Hyphen (Haustorien) vorhanden, in die Mesophyllzellen, die dabei 
stark hypertrophieren, dringen dagegen nur wenige ein. 

Die äußeren Hyphenbündel, die im Schleim eingebettet nach 
außen treten, sind sehr regelmäßig gebaut. Die Hyphen wachsen 
apikal. sind 4—5 u dick, septiert, ohne Schnallen, farblos. Gewöhn- 
lich wächst jede Teilzelle der Hyphe an ihrem apikalen Ende zu 
einem Ast hervor, der wie die Mutterhyphe weiter wächst und 
septiert wird, oder es werden die Seitenäste erster oder zweiter 
Ordnung zu Basidien, die sich basifugal bilden. Im Verlauf einer 
älteren Traghyphe kann man die ganze Entwicklungsgeschichte der 
Basidiosporen leicht beobachten, da an der Basis sehr alte. schon 
entleerte Basidien sitzen, gegen die Spitze aber sich junge bilden. Die 
jungen Basidien sind anfangs eifórmig, bedeutend dicker, als die 
Traghyphen, mit Plasma dicht erfüllt, nachträglich werden sie eiförmig 
länglich und krümmen sich bogig nach oben, endlich wachsen sie 
gewaltsam in die Länge, wobei ihr Plasma in die Spitze einwandert, 
sind jetzt zylindrisch, 250—400 u lang, im unteren Teil ganz pla- 
smaleer, an der Spitze in vier bis 8 u dicke und bis 20 un lange 
Zellen quer geteilt. Jede dieser Teilzellen treibt jetzt seitlich eine 
sehr lange (bis 100 u), aber nur 2—3 u dicke Hyphe hervor (Gre 
rigma), welehe bis an die Oberfläche der weißen Schleimmasse ge- 


357 


langt und da eine länglich ovale, 14— 18 u lange. 3—4 u dieke 
Basidiospore bildet. 

Auf Blättern des Acrostichum ( Hymenolepis) spicatum. auf 
dem Gedeh. Der Infektion unterliegen nur ganz junge, noch zarte 
Blätter. Solche sind bei nassem Wetter mit einer bis 0-8 mm dicken, 
unebenen, höckerigen, weißen und glänzenden Schleimschicht bei- 
derseits überzogen. Die Blattfläche erscheint dabei krankhaft gebo- 
gen und gekräuselt. Infizierte Blätter verfaulen nachber teilweise, 
teilweise leben sie aber nach dem Verschwinden des reifen Para- 
siten noch weiter. 


Goplana Rae. 


a) Sterile, eine Pseudoperidie rings um das Fruchthäufchen 
bildende Hyphen fehlen. Goplana Aporosae. 
b) Eine aus losen, sterilen, keulenfürmigen Hyphen gebaute 
Pseudoperidie vorhanden. 
1. Fruchtkörper weiß. Neben dem interzellularen auch ein 
epiphylles Mycelium vorhanden. G. mirabilis. 
2. Fruchtkörper gelblich. Epiphylles Mycelium fehlt. 
G. Micheliae. 


Goplana mirabilis Rac. 

Auf den Blättern bilden sich runde, oberseits hellgrüne, unter- 
seits schneeweiße Flecke, welche radiär wachsen, nachher vertrock- 
nen und 05 — 15 em breit sind. Die Basidiosporen keimen auf 
den Blättern und bilden ein interzellulares und ein anderes epi- 
phylles Mycelium. Das epiphylle Mycelium wächst horizontal an 
die: Kutikula der Blattunterseite angedrückt, ist einschichtig, farblos, 
und besteht aus radiär wachsenden, breiten, tief gelappten Zellen, 
deren Lappen tief am Scheitel gebuchtet sind. Die Lappen der 
Nachbarzellen wachsen in diese Buchten hinein, und so entsteht 
eine zusammenhängende, mosaikartige Lage, welche an manche 
epiphylle Chroolepideae erinnert. Da, wo eine Spaltöffnung in der 
Epidermis vorhanden ist, wachsen mehrere Hyphen in die Inner- 
zellularen der Pflanze hinein, verzweigen sich da, sind reichlich 
septiert, dringen bis zu den großen Zellen der Epidermis der Ober- 
seite vor und entsenden reichlich Haustorien in das Innere der 
Zellen. Die Haustorien sind bald kurz und keulenförmig angeschwol- 


358 


len, bald länger oder sogar knäuelfürmig verzweigt. Die Teleuto- 
sporensori bilden sich auf der Unterseite der Blätter, sind 60 — 200 u 
breit, rund, fast halbkugelig, schneeweiß, über die Epidermis em- 
porragend, nicht schleimig, jedoch weich, und werden nicht unter- 
halb der Epidermis angelegt, sondern bilden sich erst an der Ober- 
fläche auf dem epiphyllen Mycelium. Am Rande eines Sorus sind 
die sonst den Teleutosporen ähnlichen Zellen steril, aueh breiter und 
kürzer als die anderen und bilden eine wenig deutliche Pseudope- 
ridie, deren lose Zellen glatt, keulenförmig, farblos oder blaBgelb- 
lich, 10—14 w breit, 30—44 u lang und an der Spitze abgerundet 
sind. Die Teleutosporen bilden sich zunächst apikal auf einer kurzzel- 
ligen Hyphe, deren subapikale Zelle gleich eine oder zwei neue 
Teleutosporen bildet. und so löst sich ein Teleutosporensorus durch 
Druck in sehr zahlreiche büschlig an der Basis zusammenhängende 
Teleutosporen. Die einzelnen Teleutosporen sind glatt, zylindrisch 
oval, an der Spitze abgerundet, farblos oder blaßgelblich, dünnwan- 
dig, ohne Poren, 9—11 u breit, 32—65 u lang, gerade oder etwas 
gebogen, an der Basis durch eine dünne Querwand abgegrenzt, 
nicht abfallend, gleich auf der Pflanze keimend. Das Plasma jeder 
Teleutospore wandert etwas nach oben, so daß an der Basis ein 
(wenige bis 8 u hoher,) leerer Raum entsteht, der wiederum durch 
eine Querwand abgetrennt wird, während der obere, mit Plasma 
dicht erfüllte Raum sich zweimal querteilt und vier Basidienzellen 
bildet. Die Basidienzellen treiben gleich verschieden lange (12—-40 u) 
Sterigmen, an deren Spitze sich je eine farblose, breit eiförmige, 
8—12 u breite, 10—14 u lange Basidiospore bildet. 

Auf den Blättern der Meliosma sp. in Djasinga westlich von 
Buitenzorg. 

Eine durch ibr z.T. epiphylles Mycelium ausgezeichnete Art. 


Goplana Aporosae Rac. 


Auf den Blättern bilden sich runde, zunächst gelbgrüne, später 
orangegelbe Flecke von 1—8 em Breite. Im Mesophyll dieser Flek- 
ke wuchert zwischen den Zellen ein septiertes, 5 — 8 u dickes 
Mycel, welches unterhalb der Epidermis der Blattunterseite, beson- 
ders unterhalb der Spaltöffnungen sich diehter ansammelt und da 
die Fruchtkörper bildet. Die Fruchtkörper sind rundlich, gelblich; 
gelatinös, 60 — 200 u breit, sehr dieht nebeneinander stehend und 
bedecken die ganzen verfärbten Flecke auf der Unterseite. Para- 


359 


physen oder Pseudoperidie fehlen. Von dem Boden des Hymeniums 
wachsen zahlreiche zylindrische, schwach gelbliche Hyphen dicht 
gedrängt nach außen, ihr Plasma wandert gegen die Spitze, die 
Epidermisdecke wird dabei gesprengt. Die sehr dünnwandigen Ba- 
sidien, welche in keinem Stadium der Entwickelung den Teleuto- 
sporen ähneln, sind 50 —62 u lang, 7—9 u dick, teilen in dem 
apikalen Teil ihr Plasma in vier Zellen durch horizontale Wände. 
Jede dieser Zellen treibt gleich ein Sterigma (12—30 u lang), auf 
welchem je eine rundlich eifürmige, glatte, dünnwandige und farb- 
lose, 7 u lange Basidiospore gebildet wird. 

Auf den Blättern der Aporosa microcalyx Hasskr. in Tjampea 
bei Buitenzorg. 

Die Art unterscheidet sich von @. Micheliae Rac. durch das 
Fehlen der Pseudoperidie. Die Basidien sind hier besonders dünn- 
wandig. Als eines der Unterscheidungsmerkmale gegen Coleosporium 
kann man das Verhalten der Basidie betrachten. Bei Coleosporiwm 
teilt sich diese zuerst in 2, nachher in 4 Zellen, welche 
ihren ganzen Raum ausfüllen. Bei Goplana wandert das Plasma 
durch Schrittwachstum gegen die Spitze der Basidie; unterhalb 
der vier Basidienzellen befindet sich ein langer, entleerter, basaler 
Raum der Basidie. 


Septobasidiaceae. 


Epiphyte, meist dunkel gefärbte Pilze, bilden umfangreiche, flach 
ausgebreitete. spinngewebeartige oder schwammige Lagen, welche 
entweder ganz zu Hymenien werden, oder aus der oberflächlichen 
hymenialen und einer bis mehreren darunterliegenden sterilen 
Schichten bestehen. Apikal oder seitlich aut den Mycelästen bilden 
sich kuglige, dünnwandige, porenlose, einzellige Teleutosporen, wel- 
che bald, ohne abzufallen, mit einer langen Basidie keimen. Die 
Basidie wird in 4 Zellen dureh quere oder etwas schiefe Wände 
geteilt, deren jede auf einem Sterigma eine-längliche, glatte Basidio- 
spore bildet. 

Die Septobasidien gehören zu den häufigsten Epiphyten auf Java 
und sind ebenso häufig an Baumstämmen, Ästen, wie auf Blättern 
vorhanden. Manche sind der Tragpflanze schädlich, ohne parasitisch 
zu leben. Die schwammigen Lager saugen das Wasser begierig auf, 
behalten es längere Zeit und ermöglichen so die epiphytische Le- 
bensweise derselben. Die systematische Ordnung und Trennung 

Bulletin III. 4 


360 


der Arten bereitet dem Beobachter große Schwierigkeiten; ich habe 
endlich die sehr natürliche Gruppe der javanischen Septobasidien 
in drei Untergruppen auf Grund ihres morphologischen Baues geteilt, 
die man als Genera oder Subgenera betrachten kann. Es sind fol- 
gende Gruppen: Ordonia. bei welcher der Vegetationskörper. ähnlich 
wie bei Tomentella, eine spinngewebeartige, nichtdifferenzierte Lage 
bildet; Mohortia, bei welcher das Lager aus zwei Lagen, einem 
basalen, sterilen, und einem oberflächlichen Hymenium besteht, und 
endlich Septobasidium, bei welchem zwischen der basalen und der 
hymenialen oberflächlichen noch eine mittlere Säulenschicht vor- 
handen ist, auf welcher das Hymenium gewölbeartig ausgestreckt 
liegt. 


Ordonia nov. genus. 


Mycelium aus braunen, verzweigten, epiphytisch wachsenden, 
spinngewebeartigen Hyphen bestehend, ähnlich wie bei Tomentella 
oder Hypochnus. An den horizontal kriechenden Hyphen entstehen 
seitlich sitzende, kuglige Teleutosporen einzeln. Diese bilden, ohne 
abzufallen, eine gerade, vierzellige Basidie, mit 4 länglichen Basi- 
diosporen. 


O. orthobasidion nov. sp. 


Auf der Unterseite der befallenen Blätter erscheinen zunächst 
rundliche, nachher verwachsende, äußerst dünne Rasen, die aus. 
septierten, braunen, verzweigten, 2—45 u dicken, gekreuzt verlau- 
fenden, der Kutikula fest anliegenden Hyphen bestehen. An diesen 
Kriechhyphen bilden sich als seitliche Auswüchse kuglige, glatte, 
einzellige, anfangs farblose, nachher braunwandige Teleutosporen, 
welche 16 — 20 u breit sind und längere Zeit nicht keimen. Die 
Teleutosporen sitzen also ganz unbedeckt an der Oberseite des 
mycelialen Anfluges. Sie keimen, ohne abzufallen, subapikal (nicht 
apikal) mit einer geraden, ungestielten Basidie, welche zylindrisch, 
58 — 12 u lang, T — 9 u breit, ganz mit Plasma erfüllt und 
durch 3 Querwünde geteilt ist. Jede Basidienzelle bildet auf einem 
kurzen Sterigma eine 5—6 u breite, 23—26 u lange, zylindrische, 
etwas gekrümmte Basidienspore. 

Auf der Unterseite der Blätter einer Tetranthera sp. am West- 
fuf des Pangerango, oberhalb Tjitjuruk. 


36° 


Mohortia Rae: 


Bildet flache Polster, welche aus zwei Schichten zusammenge- 
setzt sind: einer basalen, mit lose verwebten, und einer hymenialen, 
mit dichter gelagerten Hyphen, an denen sich die Teleutosporen 
bilden. Die hymeniale Lage ist an älteren Exemplaren infolge ihres 
lange andauernden Wachstums dick, im unteren Teil mit entleerten 
Resten der Teleutosporen erfüllt. Basidien quergeteilt, vierzellig. 

Von Septobasidium vegetativ verschieden durch das Fehlen der 
aus Hyphen aufgebauten Säulen, welche die hymeniale Lage tragen, 
sonst ganz einem Corticium ähnlich. 


M. tropica Race. 


Bildet auf der Rinde unregelmäßig begrenzte, 5—12 mm breite 
flache, kompakte, jedoch weiche, bis 1 mm dieke Lagen von asch- 
grauer Farbe. In der unteren Hälfte besteht der Fruchtkörper aus 
einer Lage steriler, brauner, septierter, sehr lose verwebter Hyphen, 
welche sich in allen Richtungen schlängeln und verzweigen, ohne 
eine Andeutung zur Bildung von vertikalen Strängen aufzuweisen. 
Nach oben zu gehen diese 3—4 u dicke Hyphen in eine dichte 
Lage über, deren Hyphen 2—3 u dick, die oberflächlichen farblos 
und häufig zurückgebogen sind. An diesen Hyphen bilden sich 
seitlich (in jungen Hymenien, dicht unterhalb der Oberfläche) kuglig 
ovale, 15— 18 u lange, glatte, anfangs farblose, kurz gestielte Te- 
leutosporen, welche bald apikal keimen. Die Basidie ist gebogen, 
manchmal gedreht, bis 10 u breit, 24— 30 u lang, quer oder ein 
wenig schief in vier Zellen geteilt. Sterigmen konisch. Basidiospo- 
ren oval, etwas gebogen, an dem oberen Ende abgerundet, an dem 
unteren Ende abgerundet oder spitz, 5—6 u dick, 14—17 u lang, 
farblos. Die oberflächlichen Hyphen des Hymeniums wachsen weiter, 
die alten, entleerten Teleutosporen umspinnend, nach außen bilden 
sich neue Teleutosporen, und so entsteht eine sukzessiv in die Dicke 
wachsende, bis OD mm dicke, dichte hymeniale Lage. 

Diese Art ist nicht selten auf Baumstämmen, auf dem Gedeh 
und am Fuß des Pangerango; ist nicht parasitisch und einem Cor- 
licium sehr ähnlich. 


Septobasidium Pat. 
Bildet auf Blättern, lebenden Ästen oder seltener abgestorbenen 
Stämmen schwammige Überzüge, welche einer Thelephora ähnlich 
4* 


362 


sind. Der Vegetationskörper des Pilzes läßt deutlich drei Schichten 
unterscheiden. Die basale wächst randständig und besteht aus brau- 
nen, lose verwebten, sterilen Hyphen. Von dieser Lage erheben 
sich in gewissen Entfernungen voneinander wagerecht nach oben 
wachsende Bündel von lose verwebten, braunen, verzweigten Hy- 
phen, welche nahe dem wachsenden Rande wie Borsten nach oben 
ragen. An der Spitze wachsen jene Säulen schirmartig flach und 
bilden so ein gewöhnlich rundliches, flaches Hymenium. Diese 
schirmartigen Hymenien verwachsen seitlich miteinander und bilden 
dann eine größere oder kleinere, manchmal sehr umfangreiche hy- 
meniale Lage. In derselben bilden sich zwischen den sterilen Hy- 
phen, und gewöhnlich in deren Gewirr ganz eingesenkt apikal oder 
seitlich rundliche oder kurz ovale, glatte. nicht abfallende Teleuto- 
sporen, welche apikal eine vierzellige, quer (manchmal etwas schief) 
geteilte, gerade oder gebogene Basidie bilden. Die Basidiosporen 
sind länglich oval oder zylindrisch, einzellig, glatt. 

Die erwähnte Bildungsweise läßt sich an wachsenden Exempla- 
ren leicht beobachten. Am Rande ist die anliegende, basale Schicht 
frei sichtbar, weiter nach innen zu liegt eine Zone von frei ste- 
henden Säulen, noch tiefer sieht man die flachen schirmartigen 
Erweiterungen derselben, die endlich miteinander zu einer zusam- 
menhängenden Lage verwachsen. Am Rande dieser hymenialen Lage 
sieht man nur die ungekeimten Teleutosporen, tiefer solche mit 
Basidien, weiter mit Basidiosporen, bis endlich in den sehr alten 
mittleren Teilen die hymeniale Decke häufig schon verwüstet, 
dunkler oder ganz zerstört ist. 

Die Trennung der javanischen Septobasidiumarten bietet große 
Schwierigkeiten, da sie nur sehr wenig voneinander differieren, so 
daß man gern geneigt wäre. alle diese Formen in einer Sammel- 
art zu vereinigen. Ich unterscheide S. humile wegen der niedrigen 
Säulen, S. rubiginosum wegen der dunklen Farbe der trockenen 
Hymenien, S. (?) Henningsü wegen der gelben Farbe. Die übrigen 
Formen mit weißlicher oder aschgrauer Oberfläche unterscheide ich 
nach der Größe der Teleutosporen in S. Mompa (7—9 u), S. fru- 
stulosum (12 — 16 u). S. Cinchonae (18 — 21 u), wobei die letzte 
Art oberhalb der Säulenschicht noch eine deutliche subhymeniale 
Rindenlage zeigt. Indessen können hier erst Kulturversuche eine 
ganz sichere Scheidung ermöglichen. 


363 


Septobasidium humile Rae. 


Die Art entwickelt sich auf der Unterseite der Blätter; es bil- 
det sich hier zuerst ein sehr feiner Hyphenanflug, aus welchem 
sich sehr schmale, hyphenarme und sehr niedrige Hyphensäulen in 
Entfernungen von 02 — DD mm erheben. Die Hyphen sind reich 
verzweigt, septiert, braun, 3—4 u breit, die Hyphen der Säule an 
der Basis 4—5 u dick, jede Säule 40 — 90 u hoch. Die Hyphen 
der Säule verzweigen sich nach oben hin sehr reichlich, bilden 
eine schirmartig ausgebreitete, flache, in dem Zentrum befestigte, 
45—90 u dicke, von oben gesehen, runde, 200—400 u breite Lage. 
Die freien Hyphenenden der Peripherie und der Oberfläche sind 
farblos. Wenn die Säulen dicht nebeneinander stehen, dann berüh- 
ren sich ihre schirmartigen Lagen gegenseitig und verflechten sich 
endlich miteinander, obwohl noch an solchen älteren Exemplaren 
die Grenzen der früheren einzelnen Lagen sichtbar sind. Die zu- 
sammengesetzten Lagen sind sehr unregelmäßig, 1 — 2 mm breit, 
dicht zusammenstehend, manchmal über die ganze Blattunterseite 
zerstreut. 

Dicht unterhalb der Oberfläche bilden sich an den Hyphen 
seitlich sehr kurz gestielte (Stiel ist so lang wie breit) Teleutospo- 
ren, welche kuglig, dünnwandig, glatt. anfangs farblos, dann farblos 
oder häufig braunwandig, 14 -16 u breit sind. Die Teleutosporen 
keimen, ohne abzufallen, apikal mit einer halbkreisförmig geboge- 
nen, farblosen oder braunen, 5—7 u breiten, 34—42 u langen Ba- 
sidie. Diese liegt entweder zwischen den äußersten Hyphen, oder 
halb frei auf der Oberfläche des Lagers, teilt sich durch 3 Quer- 
wände und bildet auf ihrer konvexen Seite lanzettliche, bis 10 u 
lange, bis 3 u an der Basis breite Sterigmen, deren jede eine läng- 
lich ovale, gerade, glatte, gewöhnlich hellbraune, 5 u breite. 18 — 
20 u lange, an der Spitze abgerundete Basidiospore bildet. 

Auf der Unterseite der Blätter einer Tetranthera sp. am West- 
fuß des Pangerango oberhalb Tjitjuruk. 


Septobasidium rubiginosum Pat. 


N. Patouillard, Enum. des champign. récoltés à Java 
par M. Massart; Annales du jardin bot. de Buitenzorg Suppl. 
1055118 


Vegetationskörper von wechselnder Größe, die dünnen Stengel 


364 


allseitig umwachsend, an dicken Stämmen bis 0:5 m lange, bis 1 dm 
breite Polster bildend, welche 1:5 — 2 mm dick, braunsehwarz bis 
weinbraun sind und oberflichlich das Hymenium tragen. Die Hyphen 
der basalen Lage, wie auch die der vertikalen Säulen sind dunkel- 
braun, bei Befeuchtung fast schwarz, die letzten paraphysenähnli- 
chen, oberflächlichen sterilen Aste des Hymeniums fast farblos, 
15—2 u dick. Teleutosporen seitlich oder endständig, in dem Pa- 
raphysengewebe ganz versteckt, kuglig oder kuglig oval, glatt, 
farblos, 20 — 23 u lang, 16—20 u breit. Die Basidien entstehen 
apikal, wachsen vertikal nach außen, sind farblos, zylindrisch, ge- 
rade, 5—6 u breit, 60--70 u lang und durch 4 Querwände gefä- 
chert, wobei die unterste Querwand die unterste Teilzelle der Ba- 
sidie von den schon entleerten Teleutosporen abtrennt. Die Sporen 
farblos, wurstförmig gekrümmt, 15 — 18 u lang, 4 u dick, glatt, 
einzellig, an großen seitlichen, schmal konischen Sterigmen gebildet. 
Sehr häufig auf dem Salak und dem Gedeh. besonders an 
den Ästen der Gramineenliane Dinochloa Tjankorreh, aber auch an 
verschiedenen anderen Bäumen wachsend. Der Habitus des Pilzes 
erinnert sehr an die flach ausgebreiteten Süßwasserspongien. 


Septobasidium frustulosum (Berk. et C.) Pat. 


Hymenochaete frustulosa Berk. et Cooke, Cuban fungi. Septo- 
basidium frustulosum Pat; Bull. de la Soc. mye. de France, 
S. 79, Tab. III, Fig. IV; derselbe in Enum. des champign. ré- 
coltes a Java par M. Massart, S. 118; Hennings in Mon- 
sumia I. S. 138. 


Auf der Oberfläche der Blattlamina, Blattspindel und der Stämme 
epiphvtisch lebend. Die basale, befestigende Hyphenlage sehr dünn, 
mit bloßem Auge kaum sichtbar. Auf dieser erheben sich sehr feine, 
voneinander weit entfernte hellbraune Säulchen aus fest verklebten 
braunen Hyphen gebildet und bis 1 mm lang. Diese lösen sich an 
der Spitze in sehr zahlreiche, reich verästelte. horizontale Lage 
bildende Hyphen, welche anfangs schirmartig an jedem Stielchen 
befestigt sind, nachher mit den benachbarten zu einer zusammen- 
hängenden Lage verwachsen. Die oberflächlichen Hyphen sind farb- 
los, wodurch die ganze Lage schneeweiß erscheint, und bilden seit- 
lich tief unterhalb der Spitze, mitten im Hyphengeflecht rundliche, 
kurz gestielte, dick- und glattwandige Teleutosporen. Teleuto- 


365 


sporen bildende Hyphen sind 2 — 3 u dick, die Teleutosporen 
12—16 u breit und lang. Die letzteren liegen also nahe der Ober- 
fläche des Fruchtkörpers, jedoch zwischen den bedeckenden Hyphen 
eingebettet. Die reifen Teleutosporen haben gewöhnlich, jedoch nicht 
immer, eine gelbliche Wand und gelblichen Inhalt und keimen 
ohne abzufallen, apikal mit einer gekrümmten, halbkreisförmigen, 
oder fast spiralig gewundenen Basidie, welche 9 u dick, 20—25 u 
lang, durch 3 Querwände in 4 Zellen geteilt wird, deren jede an 
der konvexen (nach oben gerichteten) Seite ein 6 — 3 u langes, 2 
bis 3 u dickes, spitz konisehes Sterigma bildet, an dessen Spitze 
je eine Basidiospore gebildet wird. Die Basidiosporen sind farblos. 
zylindrisch, oval, gerade oder wurstförmig gekrümmt, glatt, ein- 
zellig, 4 u dick, 16—20 u lang (manchmal sind die Basidiosporen 
bräunlich). 

In Djasinga, auf dem Salak und auf dem Gedeh nicht selten auf 
verschiedenen Pflanzen. z. B. Jambosa, Calamus, Caryota. Obwohl 
nicht parasitisch, schadet der Pilz den von ihm befallenen Blättern, 
welche an den angegriffenen Stellen helle Flecke bekommen. 


Septobasidium Mompa (Tanaka) Rac. 


Syn.: Helicobasidium Mompa Tanaka; A new species of Hy- 
menomycetous Fungus injurious to the Mulberry Tree; the 
Journal of the College of Science, Imp. University Japan. Tokyo. 
1891. S. 193 — 201, Tab XXIV — XXVII. 

Septobasidium bogoriense Pat. in Hennings Fungi U, 
Monsumia I. S. 138. 


Auf junger ‚Rinde verschiedener Bäume und Sträucher fla- 
che, schwammige, aschgraue. im Innern braune, zentrifugal wach- 
sende, 1 bis 10 em breite, rundliche oder ovale Vegetationskörper 
bildend, welehe 290—350 u dick sind. Die flachen Lager sind aus 
einer bis 15 u dicken, aus braunen. lose verwebten Hyphen auf- 
gebauten, basalen Lage gebildet, aus welcher in unregelmäßigen 
Abständen (0:3—1 mm voneinander entfernt) bis 30 u dicke, 
bis 120 w hohe, aus losen, braunen, septierten, 4 u dicken Hyphen 
verwebte, vertikale Säulen. wagerecht herauswachsen. die oben 
schirmartig, flach ausgebreitet auslaufen, mit den Schirmen der be- 
nachbarten Säulen sich verweben und so ein flaches Gewölbe: bil- 
den, das auf Hunderten von. Säulen zu ruhen scheint. Die hyme- 


366 


niale obere Lage dieses Gewülbes ist aus dünnen (2 u), fast farb- 
losen Hyphen gebildet. An manchen Hyphen (die meisten 
bleiben steril) bilden sich seitlich kuglige, farblose oder seltener 
braunwandige, 7—9 u breite, kuglige Teleutosporen. Diese keimen 
apikal mit einer zylindrischen, jedoch unregelmäßig gebogenen viel- 
zelligen Basidie, welche 27—38 u lang, 4—5 u breit ist. Sterigmen 
sehr dünn, Basidiosporen zylindrisch, gerade oder ein wenig ge- 
krümmt, farblos, 25 u dick, 13 — 15 u lang. 

Sehr gewöhnlich auf junger Rinde verschiedener Bäume und 
Sträucher auf Java, so z.B. auf Coffea liberica, Erythrina, Paritium, 
Stachytarpheta, Morus, Calosanthes indica. Auf Erythrina (Dadap) 
verursacht der Pilz flache Vertiefungen in der Rinde, auf Fraxinus 
und Morus Sprünge in derselben und ist für diese Bäume ein 
schädlicher, für andere dagegen nur ein indifferenter Epiphyt. 


Septobasidium Cinchonae Rac. 

Der Pilz überzieht junge Äste der Cinchonaarten mit einer 
kreideweißen, fast wachsartigen, bis 05 mm dicken, sehr unebenen 
Kruste, unter welcher die junge Rinde Sprünge bekommt. Der Pilz- 
körper ist ähnlich wie bei den übrigen Arten dieser Gattung auf- 
gebaut. Die basale Lage ist sehr dünn, mit bloßem Auge kaum 
sichtbar, die wagerecht abstehenden, aus einem Hyphenbündel beste- 
henden Säulen sind sehr niedrig (50 — 200 u hoch, 70 — 100 u 
breit), ihre Hyphen 4 — 5 u dick, sehr diekwandig, mit äußerst 
schmalem Innenraum, blaßbräunlich. Die Säulen erweitern sich an 
der Spitze und bilden, mit den benachbarten verwachsend, eine 
weiße, sehr höckerige, nicht ebene Kruste, welche aus zwei Schich- 
ten besteht: einer inneren Marklage aus locker verwebten Hyphen 
und einer äußeren Rindenlage, wo die Hyphen sehr dicht verlaufen 
und so eine fast wachsartige Konsistenz des Pilzkörpers verursa- 
chen, Jede von diesen Lagen ist 100— 170 u dick. Auch wenn 
diese auf der Oberfläche glatte Rindenlage ohne hervorragende Hy- 
phen über große Lagen als eine unebene Lage ausgebreitet ist, 
fehlt dennoeh an solehen jüngeren Exemplaren noch das Hymenium. 
Dieses bildet dann eine neue oberflächliche Schicht von kreideweißen 
bis blaßgelblichen Wärzchen von 1—2 mm Breite, unter welchen 
die frühere Rindenschieht als eine subhymeniale Schicht gut diffe- 
renziert bleibt. Die Hyphen der hymenialen Lage sind bis 2 u dick, 
ganz farblos, sehr dieht nebeneinander verlaufend und bilden seit- 


367 


lich sukzessive in akropetaler Folge sehr zahlreiche, in dem Hyphen- 
gewebe ganz eingesenkte Teleutosporen. Diese sind kuglig, diinn- 
wandig, farblos, 18—21 u breit und lang, keimen apikal mit einer 
Basidie, welche zylindrisch, anfangs gerade nach außen, dann, 
nachdem sie die Oberfiäche erreicht haben, dieser parallel und 
angedrückt wächst, eine Länge bis 45 u, eine Dicke bis 8 u er- 
reicht und durch Querteilung vierzellig wird. Die einzelligen Ba- 
sidiosporen sind sehr wenig gekrümmt, farblos, 4— 5 u dick, bis 
19 w lang und sitzen auf kurzen Sterigmen. 

Eine durch die höckerige Beschaffenheit der Rinde, durch kleine 
warzenförmige Hymenien, welche nicht die ganze Rinde überziehen, 
so wie durch die Dichtigkeit der Rindenschicht ausgezeichnete Art. 

Auf verschiedenen  Cinchonaarten in Preanger. Septobasidium 
Mompa kommt auch auf Cinchonarinde vor, scheint hier jedoch 
ganz unschädlich zu sein. 


Septobasidium (?) Henningsii Pat. (Monsunia I. 138). 

Eine durch goldgelbe Hymenien und breite und kurze Basidio- 
sporen (10X7 u) ausgezeichnete Art, von Nyman auf dem Gedeh 
gefunden, ist mir unbekannt. Vielleicht gehören hieher sterile Exem- 
plare, welche ich am Ostabhang des Salak gesammelt habe und 
deren Lager dem S. fructulosum ähnlich ist. 


Exobasidium affine Rac. 


Auf jungen Blättern bilden sich runde, oberseits gewölbte und 
schön rot gefärbte, unterseits konkave, anfangs rötliche, dann 
mit einem weißen Anflug bedeckte Stellen. Seltener tritt der 
Pilz auf jungen, noch wachsenden Stengeln auf, die dabei rot gefärbt, 
verdickt und gewöhnlich verkrümmt werden. Es ist also ein dem 
durch Exobasidium Vaccinii an europäischen Vacciniumarten verur- 
sachten ganz ähnliches Krankheitsbild. Die Hyphen leben zwischen 
den hypertrophierten Zellen, dringen in dichten Rasen durch die 
Kutikula nach außen, als zylindrische, 5 - 10 u dicke, 70—150 u lange 
farblose, entweder gerade oder gebogene Basidien hervor. Jede Ba- 
sidie ist an der Spitze abgestutzt und in zwei konische Sterigmen, 
welche seitlich nach oben gerichtet sind, ausgezogen. Die Sterigmen 
sind 6—8 u lang, an der Basis 2—3 u dick, langsam verschmälert 
und tragen an der Spitze je eine glatte, farblose, anfangs einzellige, 
zylindrisch-ovale, an den Enden abgerundete Basidiospore von 19 


368 


bis 23 u Länge, 3 u Breite. Die Basidiosporen sind nicht genau 
gerade, sondern auf einer Seite mehr flach, auf der anderen mehr 
flachkonvex. und die beiden Basidiosporen einer Basidie lehnen sich 
mit ihren flachen Seiten aneinander an. 

Auf Vaccinium retusum, V. varingaefolium. und V. Teysmannia- 
num auf dem Salak, Gedeh. Pangerango, Slamat und Merapi häufig. 
Diese Art ist von Patouillard aus Java als Æ. Vaccinii bestimmt 
worden. und auch ich glaubte anfangs. mit der europäischen Art 
zu tun zu haben. Eine genauere Untersuchung zeigte jedoch, daß 
die javanische Art von der europäischen verschieden ist, oder we- 
nigstens eine morphologische Rasse bildet, da die Basidien sehr lang 
sind und immer zwei dicke Sterigmen tragen. Éxobasidium Vaccinii 
hat kurze Basidien, vier oder aber 5—6 Sterigmen. (Vrgl. Brefeld 
Mycol. Unters. VIII. 13. Tab. 1.. Fig. 17). 


Exobasidium javanicum hac. 


Auf jungen, im Wachstum begriffenen Stengelspitzen verursacht 
der Pilz die Bildung von großen, länglichen Anschwellungen, wel- 
che 2 bis 10-mal an Dicke die gesunden Stengel übertreffen, 
aus perenchymatischen Zellen aufgebaut. weich und anfangs grau- 
grün sind, dann bräunlich werden. an der Oberfläche schleimig 
sind, eine Dicke von 5 — 13 mm und eine Länge von 1— 68 em 
erreichen. Auch junge Blattstiele werden dureh die Infektion 
hypertrophiert, seltener Blätter, diese besonders längs des Mit- 
telnervs, und erscheinen gekrümmt. 

Die erkrankte Oberfläche wird zu einem Hymenium, dieses ist 
farblos und aus zahllosen Hyphen zusammengesetzt, welche zusam- 
men eine kompakte, bis 60 u dicke Schicht an der Oberfläche bil- 
den, und ist in eine Sehleimhülle eingehüllt. Die Basidien ragen 
durch diese Schleimscbicht vereinzelt nach außen hervor, sind anfangs 
zylindrisch, 40 — 65 u lang, 5 u dick, und tragen vier längliche, 
fast gerade Basidiosporen an der Spitze. Die hyalinen Basidiosporen 
sind 3— 4 u breit, 17 —20 u lang und bald nach ihrer Bildung 
durch eine Querwand geteilt Nachdem die Basidiosporen abgefallen 
sind, gehen die meisten Basidien nicht zugrunde, sondern ragen 
aus dem Hymenium empor und füllen sich wieder mit Plasma. Ob die- 
selbe Basidie nicht noch nachträglich neue Basidiosporen bilden 
kann, konnte ich nicht entscheiden, doch scheint mir diese Mög- 
lichkeit durchaus nicht ausgeschlossen zu sein, die alten Basidien 


369 


sind nämlich nicht genau zylindrisch, sondern am Rande gebogen 
und gezähnt, etwa den älteren Konidienträgern einer Ramularia 
ähnlich. 

Auf Symplocos spicata var. subsessilis auf dem Gedeh, in der 
Nähe der Kraters. Eine hochalpine Art. die in (Gesellschaft des 
Exobasidium vulcanicum und E. affine vorkommt. Auf den hymenia- 
len Polstern werden keine Konidien gebildet. 


Tullasnella Cinchonae Rae. 


Das Mycelium bildet ausgedehnte, flache, äußerst dünne Rasen, 
welche die Stengel und auch die Unterseite der Blätter überziehen 
wodurch deren Oberfläche blaßrötlich gepudert erscheint. An 
noch jungen grünen Ästen bilden sich hie und da kleine, kon- 
vexe, kompakte, bis 05 mm breite Mycelialklumpen. Von dem der 
Unterlage anliegenden, dicken, farblosen, septierten Hyphen heben 
sich wagerecht abstehende, bis 60 u hohe, nach oben zu reichlich 
verästelte Hyphen, deren alle Spitzen als plasmaerfüllte, schmal- 
eiförmige, 20—24 u lange, 8—11 u breite, an der Spitze abge- 
rundete Basidien enden. Jede Basidie bildet an ihrer Oberfläche, 
bald nur an der Spitze, bald auch seitlich, 4 kugelige oder kurz 
eiförmige, farblose, dünnwandige, 7 — 9 u breite and lange, nicht 
abfallende Basidiosporen. Jede Basidiospore keimt, ohne abzu- 
fallen, apikal, eine abfallende, kuglig eiformige, 7 — 10 u lange. 
glatte und farblose Konidie bildend. 

Auf jungen Ästen verschiedener, kultivierter Cinchonaarten 
(C. Ledgeriana, officinalis, succirubra) in Preanger häufig. Obwohl 
die Hyphen nur oberflächlich wachsen, stirbt unterbalb des Myce- 
liums, offenbar infolge eines toxischen Exkretsstoffes die junge 
Rinde, sowie nachher auch die vom Pilz nicht bedeckten Spit- 
zen solcher Äste. Auch auf die Unterseite der Blätter geht das 
Mycelium über und bringt die befallenen Blätter zum raschen Ab- 
sterben. In manchen Chinaplantagen verbreitet und schädlich. 


Atichia Millardeti Rae. 


Thallus sitzend, schwarz, polypenartig radiär in einer Ebene 
frei ausgebreitet, die Aste bald kürzer, bald länger, die kurzen, im 
Querschnitt oval bis rund, unverzweigt, die längeren unregelmäßig 
fiederig oder doppeltfiederig verzweigt, gelatinös, aus kleinen, ge- 
wohulich tonnenförmig angeschwollenen Zellen, welche lange, ge- 


370 


schlängelte und verzweigte, rosenkranzartige Hyphen bilden, gebaut. 
Alle Hyphen in die feste Gallerte eingebettet. Die Oberfliche war- 
zig, dunkelbraun, das Innere hellbraun, das ganze 3—14 mm breit. 

Auf der Oberseite der Thallusiiste bilden sich kissenfürmige, 
150— 260 u breite. rundliche, am Scheitel flach gewölbte Polster, 
die bis 120 u hoch sind und breit am Thallus sitzen. Diese Polster 
sind ganz ähnlich wie der Thallus gebaut, besitzen eine dunkel- 
braune Rindenschicht und warzige Oberfläche. Unterhalb der flach 
gewölbten Oberfläche bilden sich vereinzelte, jedoch zusammen eine 
Schicht bildende Asci. Paraphysen fehlen. Die Asci entstehen als 
seitliche Auswiichse der tief unterhalb der Oberfläche verlaufenden 
rosenkranzartigen Hyphen, wachsen nachher zwischen den Hy- 
phen nach oben und enden kurz vor der Oberfläche. Bei der Reife 
bekommt die bedeekende, dunkle Rindenschicht unregelmäßige Risse 
und die Ascusspitzen liegen jetzt unbedeckt. Asei dickwandig, 
breit oval, gegen die Basis verschmälert, bis 35 u breit, bis 
60 u lang, achtsporig. Sporen zweizellig, oval, hellbraunwan- 
dig, glatt, in der Mitte eingeschnürt, an den Spitzen abgerundet, 
16—19 u lang. 7—9 u breit, dünnwandig, in einer Schleimmasse 
in dem Ascus eingebettet. Nach der Reife verschwindet die schwarze 
Farbe der Vegetationskürper, welche jetzt schmutzig gelblich 
werden. 

Von echten Apothecien ist bei Atichia nicht zu reden, es sind in 
besonderen kissenartigen Thalluspolstern, unterhalb der Oberfläche 
vorhandene zahlreiche, in dem Gewebe ganz versenkte Asci. welche 
zusammen einen Sorus bilden. In diesem Sorus stehen die Asci 
ganz regellos, doch ziemlich alle in derselben Höhe, bald mehrere 
nebeneinander, bald auf größerer Strecke ist kein Ascus gebildet. 
Eine Ähnlichkeit mit Myriangium ist trotz der Verschiedenheit in dem 
vegetativen Bau vorhanden, ebenso mit Anhellia, doch sind die 
Asei nur in einer Schicht vorhanden. 

Einer der häufigsten Blattepiphyten in Buitenzorg, speziell in dem 
Kulturgarten in Tjikemeuh. Er wurde auf Syzygium jambolanum, 
Cinnamonum Zeylonicum, Coffea arabica, Anacardium occidentale, 
Styrax Benzoin gefunden. Die Bildung der Asci scheint periodisch 
nach Eintritt des Ostmossums vor sich zu gehen, im Westmossum 
biden sich dagegen in den eingesenkten Behältern die Konidien- 
büschel welche schon Millardet beschrieben hat. Die sonderbare 
Pflanze verdient eine nähere Untersuchung. die wahrscheinlich bald 


371 


folgen wird. Äußerlich ist sie manchen Flechten, aber auch der 
Catenella Opuntia oder Gelidium crinale ähnlich. 


Haematomyxa bambusina Rac. 


Hypothallus fehlend oder fast fehlend. Auf der glatten oder mit 
Algen bedeckten Rinde der Stützpflanze erheben sich schwarze, fla- 
che, 1—1:5 mm hohe, 1 —3 mm breite, durch gegenseitigen Druck 
gewöhnlich 5—6 eckige, seltener rundliche Stromata. Diese sind 
gelatinös, imbibieren reichlich Wasser, haben eine kohlschwarze, 
dicke Rinde und sind im Innern weißlich, aus dichtgedrängten, 
z. T. radiär divergierenden Hyphen und Pseudoparenchym gebaut. 
Unterhalb der schwarzen Rinde bilden sich in dem Stroma die 
Hymenien, und zwar nicht unterhalb der ganzen Decke eines Stro- 
mas, sondern in getrennten Sori. Bei der Reife wachsen nämlich 
die farblosen Hyphen unterhalb der schwarzen Rindendecke an 
mehreren Stellen der Oberfläche nach oben zu und bilden niedrige, 
rundliche, eckige oder ganz unregelmäßige voneinander durch mit 
schwarzer Rinde ausgekleidete Furchen getrennte flache, sitzende 
oder kurz gestielte Polster. An der Oberfläche dieser Kissen ist die 
Rindenschicht dünner als an den Seiten. Jetzt treten zwischen den 
länglichen und z. T. pseudoparenchymatischen Zellen unterhalb der 
Rinde die Asci in einer Schicht, voneinander getrennt, ähnlich wie 
bei Atichia. Die Asci sind länglich oval, 20—24 u dick, 90—98 u 
lang, an der Spitze abgerundet, achtsporig. Die Sporen sind oval 
gegen die abgerundeten Spitzen verschmälert, glatt und farblos. 
13—15 u breit. 27—30 u lang, mauerförmig in sehr viele Zellen 
geteilt, in der Mitte etwas eingeschnürt, dünnwandig. 

Auf den glatten Stämmen der Bambusaarten in Buitenzorg ge- 
sellig epiphytisch lebend, manchmal größere Strecken derselben 
bedeckend. Bei der Reife zerfällt die epitheeiumähnliche, schwarze 
Rinde oberhalb der Asci staubartig, und die jetzt frei liegende hy- 
meniale Schicht erscheint weiß, schwarz umrandet. 


Myriangium yunnanense (Pat.) Rac. 


Pyrenotheca yunnanensis Pat. in Bull. de la Soc. bot. de 
France, Bd. 33. S. 155—156, 1886. 
Phymatosphaeria yunnanensis Speg. in Fungi Puigg. 1, S. 174. 


Auf der Oberfläche der Rinde sitzen schwarze, rundliche oder 


312 


unregelmäßig rundliehe, am Rande gekerbte, 1— 8 mm breite, bis 
06 mm hohe Stromata, deren Oberfläche nicht glatt, sondern mit 
niedrigen, flachen Hügeln bedeckt ist. Mit der Basis sitzen die Stro- 
mata eingesenkt zwischen den Borkenzellen, entsenden jedoch einzelne, 
braune, kurze Hyphen bis ins Korkphellogen. Unterhalb der schwar- 
zen, kohligen Rinde bilden sich in einem pseudoparenchymatischen, 
aus polygonalen, hell braunwandigen Zellen bestehenden Gewebe 
die umfangreichen Ascosori in größerer Zahl auf einem Stroma. 
Die Oberfläche derselben ist gewülbt und verwittert bei der Reife; 
die einzelnen Sori sind 60—100 w breit, von unregelmäßiger Ge- 
stalt. Asci rund, ungestielt, 34—42 u breit, achtsporig; Sporen oval, 
mauerförmig in sehr viele kleine Zellen geteilt, 9 — 12 u breit, 
bis 23 u lang, beiderseits abgerundet, in der Jugend farblos, spä- 
ter dunkelgrau. 

Besonders auf Stämmen der Carica Papaya, aber auch auf sol- 
chen sehr verschiedener anderer Pflanzen auf Java sehr häufig. 


Aspergillus Penicillopsis (P. Henn. et Nym.) Rae. 


Die Sclerotien bleiben längere Zeit steril, und viele gehen im 
Sand oder am Torf ausgestreut zugrunde. Nach 6 Monaten haben 
jedoch die unterhalb der Fruchtschale des Diospyros liegenden und 
mit derselben auf feuchten Torfplatten liegenden Selerotien ihre 
Sporen gebildet. Das Sclerotium verwandelt sich in eine Peridie, 
deren feste Wand graublau wird und bis 06 mm dick ist, im In- 
nern derselben ist ein kugliger, weißer, 0-4 bis 1 mm breiter und 
weicher Kern sichtbar. In dem Zentrum der Peridie bilden sich 
als seitliche Auswüchse der farblosen, septierten, 2 — 3 u dicken 
Hyphen die ungestielten Asci. Die Asci sind kuglig oder kurz ei- 
förmig, dünnwandig, 21—24 u breit und lang, achtsporig. Die 
Ascosporen sind, von oben gesehen, kreisrund, von der Seite gese- 
hen, breit elliptisch, mit einer scharfen kragenartigen Verdickungs- 
leiste in der Äquatorialebene, sonst sehr fein warzig, mit in ganz. 
reifen Stadien braungrüner Membran, 6—7:5 u dick, 11—13 u lang, 
und breit. Es sind also die Sporen denjenigen des Penicillopsis 
clavariaeformis recht ähnlich. 

Diese in Buitenzorg an schattigen Stellen unter den Bäumen 
häufige Art hat Hennings auf Grund der von Nyman gesam- 
melten sterilen Exemplare Stilbothamnium genannt. Ich habe gezeigt, 
daß sie in die Gattung Aspergillus gehört (Alg. und Pilze Javas II, 7). 


373 


Hennings meint (Hedwigia XVIII, 1904, 351) „dieses ist der 
Form nach unzulässig“. Mir bleibt die Äußerung Hennings’ un- 
verständlich. Dagegen hat Wehmer (Zentralblatt für Bakteriologie 
XVIII, 1907) die besprochene Art auf Grund der Reinkulturen die aus 
Exsikkatenmaterial reingezüchtet worden waren, mit Aspergillus Wentii 
identifiziert. Schon vorher hat Wehmer (Lafar, Technische My- 
kologie, IV, 202) unsere Art unrichtig als mit unverzweigten Sterig- 
men beschrieben, wie solche A. Wentii und nicht A. Penicillopsis 
tatsächlich besitzt. Beide Arten sind ganz verschieden. Aus alten 
Herbarmaterialien verschiedenster Pilzarten, die ich auf Java gesam- 
melt habe, bekomme ich dagegen — in Übereinstimmung mit Weh- 
mer— tatsächlich Kulturen des A. Wentü, was als Beweis dienen 
kann, daß diese Art da sehr verbreitet ist und längere Zeit ihre 
Keimfähigkeit bewahrt. 


Dimerosporium Balladynae Rac. 

Hyphen braun, septiert, 2 — 3 w dick, ohne Hyphopodien 
oder Borsten, jedoch hie und da mit kleinen Höckern versehen, 
unregelmäßig geschlängelt, reich verzweigt um die Hyphen von 
Balladyna und nur in deren Rasen herumwachsend. Perithecien 
braunschwarz, kuglig, sitzend, dünnwandig, ohne Mündung, 95 — 
120 u breit. Asci häufig bogig gekrümmt, keulenförmig zylin- 
drisch, 40—48 u lang, 12—14 u breit, an der Spitze spitz abgerun- 
det, dünnwandig, achtsporig. Zwischen den Schläuchen keine 
fadenfórmigen Paraphysen, jedoch kurzzellige, fast parenchymatische 
Zellgruppen vorhanden. Sporen glatt. zweizellig, braunwandig, 4 — 
D u dick, 11—13 u lang, die eine Zelle kürzer und breiter als 
die andere. 

An den Thallushyphen der Balladyna Medinillae parasitisch le- 
bend. Gunung Gagak westlich von Salak bei Buitenzorg. 


Balladyna Medinillae Rac. 


Auf beiden Blattflächen wachsen schwarze, flache, gewöhnlich 
rundliche, manchmal zusammenfließende und dann die ganze Blatt- 
fläche bedeckende, epiphytische Mycelrasen, unter welchen die Blatla- 
mina etwas vergilbt sind. Die Hyphen fühlen sich naeh Anfeuchtung 
etwas klebrig an und haften gut an der Kutikula, sind in getrocknetem 
Zustande brüchig und lösen sich leicht ab. Hyphen braunschwarz, 
fast undurchsichtig, reich, jedoch unregelmäßig verästelt, miteinander 


374 


an zahllosen Stellen verwachsen durch eine dünne, bräunliche Kleb- 
schicht verbunden, bis 9 u dick, und beiderseits mit zahlreichen - 
hellbraunen, einzelligen, halbkugeligen bis kurz ovalen Hyphopo- 
dien. von 8 — 12 u Länge und Breite versehen. Vertikale Borsten 
fehlen. Von den horizontal wachsenden Hyphen heben sich zahl- 
reiche gestielte Perithecien empor. Perithecienstiel braun, 7—9 u 
dick, 24—40 u lang, an der Basis bogig aufsteigend, weiter gerade 
und vertikal, anfangs einzellig. nachher zweizellig. An der Stielspit- 
ze sitzen die zuletzt kugligen, 40 —48 u breiten und langen Perithe- 
cien. Junge Perithecien braunwandig. von 4 Zellreihen umgeben 
oval. Bei dem weiteren Wachstum wächst die innere farblose 
Membran der Wandungszellen in die Länge und besonders auch 
in die Breite, die äußere, braune dagegen nicht. sondern zerspringt 
endlich in kleine Stücke, welehe die Oberfläche der reifen, farblo- 
sen Perithecien mit braunen, kleinen Flecken bedecken. Wegen 
ihrer Farblosigkeit sind die reifen Perithecien schwer bemerkbar. 
Peritheeienwand einschichtig, Paraphysen fehlen und in den Peri- 
thecium ist nur ein dünnwandiger. kugliger Ascus vorhanden. Ascus 
achtsporig, die Sporen längere Zeit farblos bleibend, nachher blaß- 
braun, dünnwandig, glatt. zweizellig, in der Mitte eingeschnürt, 13 
bis 15 u breit, 25—30 u lang, an den Enden abgerundet. 

Auf den Blättern der Medinilla sp. am Gunung Gagak westlich 
vom Salak. Cystotheca, deren Heimat und Sporen bis vor kurzem 
unbekannt waren, ist möglicherweise nahe verwandt, doch sie be- 
sitzt nach Hennings (Engler’s Jahrbücher 1901, 273) eine 
sackartige Hülle der Schläuche, so wie einzellige, farblose Sporen. 


Alina Rac. 


Parasitisch lebend. Das farblose Nährmycelium lebt in den Zel- 
len der Nährpflanze, in diesen anfangs knäuelartige Haustorien bil- 
dend, die bei weiterem Wachstum die Zellen ganz ausfüllen. An 
einer Stelle dringt das Mycelium durch die Epidermzellen nach 
außen und bildet hier runde, schwarze, radiäre Hyphenrasen. Hy- 
phopodien fehlen. Dagegen treten aus einzelnen Zellen der Hyphen 
kleine, nach oben gerichtete, breit flaschenförmige Zellen, welche an 
der Spitze je eine lanzettliche. 3—5 u lange Konidie bilden. Die 
Perithecien bilden sich auf ähnliche Weise, sind sehr kurz gestielt; 
ihr Stiel ist einzellig, so lang wie breit. Perithecien kuglig, ohne 
Mündung, ihre Wandung einschichtig, Paraphysen fehlen. In einem 


375 


Peritheeium bilden sich mehrere (4—11) kuglig eifürmige Asci. Asci 
achtsporig, Sporen zweizellig, braun. Um die älteren Perithecien 
bildet sich ein Kranz von schwarzen, nach oben und innen geboge- 
nen Borsten. 

Alina Rae. ist mit Balladyna nächst verwandt, und zwar beweist 
die sonderbare Weise der Perithecienbildung aus einer Gipfelzelle 
der seitlichen zweizelligen Hyphenauswüchse diese Verwandtschaft 
am deutlichsten. Die Differenzen dagegen bestehen bei Alina in 
Anwesenheit des parasitischen Nährmyceliums. sehr kurzer Perithe- 
eiumstiele, zahlreicher Asci und eines kranzförmigen Borstenringes 
um die reifen Perithecien. 

Auch die Gattung Dimerosporium ist nächst verwandt, und es 
sind schon vielleicht‘ unter diesem Gattungsnamen manche Alinae 
oder Balladynae beschrieben worden. Die Gattung Dimerosporium 
ist durch Fuckel für eine Asterinaart gebildet worden, jedoch die 
Bezeichnung sollte gar nicht mehr gebraucht werden. Ich verwende 
sie indessen vorläufig für die Arten mit in dem Hyphengeflecht 
sitzenden, glatten Perithecien, und jedenfalls muß sie noch für 
die zahlreichen nicht genügend bekannten Arten zeitweise bestehen 
bleiben. 


Alina jasmini Rac. 

Auf beiden Blattseiten stehen zerstreut schwarze, runde, 1—2 mm 
breite Rasen, welche durch radiär wachsende Hyphen gebildet, nur 
im Zentrum angewachsen, sonst frei sind und nur den Epidermis- 
zellen anliegen. An der zentralen Anheftungsstelle dringen zahlrei- 
che Hyphen durch die Epidermiszellen in das Innere des Blattes 
und füllen da die Epiderm- und Mesophylizellen mit einem farblo- 
sen Hyphengeflecht aus. Die oberflächliehen Hyphen sind glatt, braun, 
septiert, wenig verzweigt, gerade radiär verlaufend, manchmal mit 
den benachbarten seitlich verklebt, 4—6 u breit, ohne Hyphopodien. 
Manche Rasen bilden Konidien, andere Perithecien, manche beide 
Fruktifikationsorgane zusammen. Die Konidien bilden sich apikal 
an besonderen, ampullenähnlichen, braunen Zellen, welche seitlich, 
einzeln oder 2— 5, auf einer Hyphenzelle entspringen, nach oben 
gerichtet, 5—7 u breit, 9— 13 u lang und an der Spitze abge- 
stutzt sind. Auf dieser abgestutzten Spitze wird je eine glatte, braune, 
lanzettlich ausgezogene, 6 —8 u dicke, 40—46 u lange, 2- bis 3- mal 
septierte, diekwandige Konidie gebildet. 


Bulletin IIl. D) 


376 


Ähnlich bilden sich zentrifugal an den Hyphen die Perithecien, 
manchmal bildet jede Hyphenzelle je eines, manchmal bleiben Hy- 
phenzellen hie und da steril. Seitlich an einer Hyphenzelle wird 
anfangs eine Zelle gebildet, die kopfig angeschwollen und braun 
ist. Ihr schmaler Stiel wird nachher durch eine Querwand von dem 
Kopfteil abgetrennt; dieser wird dick und gestaltet sich zu einem 
kugligen, anfangs glatten, mündungslosen. braunen Perithecium. 
Perithecienwand einschichtig, kleinzellig. Reife Perithecien 40—50 u 
breit, ihre Stielzelle 5--6 u breit, 3—4 u lang. Manche Oberflächen- 
zellen wachsen aus der Basis der Perithecien und gestalten sich zu 
einzelligen, bogig nach oben gekriimmten Borsten, welche 40— 60 u 
lang, unverzweigt, glatt, braun sind, und zu 4—7 einen Kranz um 
die einzelnen Peritheeien bilden. Paraphysen fehlen, Asci eiförmig, 
21— 25 u lang, 14 —17 u breit, achtsporig. Ascosporen oval, aus 
zwei Zellen bestehend, von denen die eine etwas länger als die 
andere. sehr wenig eingeschnürt, glatt, 4—5 u breit, 12 —15 u 
lang ist. Auf den Blättern des Jasminum sp. in Diasinga, Depok 
und Tjampea bei Buitenzorg. 


Hyaloderma Uredinis Rac. 


Auf der Unterseite der Blätter stehen dicht gedrängt aschweiße 
Körnchen, die Perithecien des Pilzes. Diese sind kuglig, an der 
Spitze abgeflacht, 100—150 u breit, weiß, von einer Lage polygo- 
naler, isodiametrischer, 3—8 u breiter Zellen bedeckt, ohne Mündung 
und mit zwei Arten farbloser Anhängsel versehen. In der un- 
teren Hälfte ist das Peritheeium durch zahlreiche, dünne, verzweigte 
Hyphen, welche in die Uredosori, zwischen die jungen Uredosporen 
eindringen, befestigt. Rings um den abgeflachten, mündungslosen 
Scheitel treten sehr zahlreiche Wandzellen als gerade. einzellige, 
sehr diekwandige, bis 6 u breite, 40 — 65 u lange, farblose, glatte 
Borsten hervor, die schief nach außen gerichtet sind und eine Art von 
Krönchen bilden. Diese sind am Scheitel abgerundet, viele davon 
auch diehotom gegabelt. Paraphysen fadenförmig, nicht zahlreich, 
dünn, kürzer als die Asei. Asci zylindrisch, an der Spitze abgerun- 
det, an der Basis verschmälert, 12 — 16 u breit, 80 — 90 u lang. 
achtsporig. Sporen linear, beiderseits abgerundet, farblos, glatt, 55 
bis 62 u lang, 3 u breit, parallel liegend, mit sehr zahlreichen (20 
und mehr) Querwänden. 

Auf den Sori des Sphaerophragmium Mucunae auf der Unter- 


311 


seite der Blätter der Mucunu sp. in Buitenzorg. Hyaloderma ist 
mehr als andere Perisporiaceen mit den Erisipheen verwandt, ihre 
geraden oder gegabelten Anhängsel erinnern an die Pinselzellen der 
Phyllactinia-Perithecien. 


Myiocopron Euryae Rac. 

Auf der Unterseite der Blätter sind gelblichgriine, 5—7 mm 
breite, runde Flecken sichtbar, auf welchen sehr kleine, kohlschwarze, 
0-3—0'4 mm breite, konvexe, kreisfürmige Perithecien ordnungslos, 
oder etwas konzentrisch geordnet stehen, ohne einander zu berühren. 

Perithecien bilden sich zwischen den Epidermiszellen und der 
ersten Mesophyllschicht der Blattunterseite. Sie sind an der Basis 
ganz flach, farblos und senden wenige Hyphen zwischen die Meso- 
phyllzellen, die infolgedessen vergilben. An der Oberseite flach kon- 
vex, mit ihrer kohligen, hier stromatisch geschwärzten Epidermis- 
schicht verwachsen. In dieser 30 — 50 x dicken, undurchsichtigen, 
brüchigen Wand liegt in der Mitte die kleine, nicht erhabene Mün- 
dung. Perithecien 120—135 u hoch, Paraphysen fadenförmig, bald 
verschwindend. Asci zylindrisch, jedoch beiderseits verschmälert, 
an der Spitze abgerundet, bis 16 u breit, 80—94 u lang, achtsporig. 
Die Sporen einzellig, in einer Reihe schief liegend, oval, hyalin, 
glatt. 6 w breit, 16 w lang, abgerundet. 

Auf der Unterseite der Blätter von Kurya acuminata DC. auf 
dem Gedeh. Diese Art. welche sich von allen Microthyriaceen durch 
ihre eingesenkten Peritheeien unterscheidet, erinnert jedoch durch 
ihre flachkonvexe Oberfläche, flache Basis, sowie durch die radiäre 
Streckung der Perithecienzellen an die anderen Arten dieser Fa- 
milie. 


Trichopeltis Speg. 

Epiphyt. Freie Hyphen fehlen. Wächst in einschichtigen, schwar- 
zen thallösen Lappen. Eine wachsende Zelle gabelt sich und bildet 
an der Spitze zwei nebeneinander liegende, viereckige, miteinander 
verwachsene Zellen, welche bei weiterem Wachstum entweder sich 
nur querteilen, oder wiederum an der Spitze je zwei neue bilden, 
Dadurch entstehen anfangs längliche, an der Spitze abgerundete 
Lappen von mehreren Millimetern Länge und bis 0:15 mm Breite, 
die nachher hie und da am Rande in ähnliche, flache Lappen her- 
auswachsen. Bei längerem Wachstum stoßen diese Lappen mit den 

54 


378 


Rändern aneinander, 05—2 cm breite, runde, schwarze Rasen bil- 
dend, oder sogar die ganze Blattfläche mit einer dünnen Kruste 
bedeekend. Unterhalb des einschichtigen Thallus bilden sich an 
sehr zahlreichen Stellen Perithecien (welehe also nicht frei stehen); 
deren Mündungen flach, nicht vorragend, rundlich und durchschei- 
nend sind. Thallus an der Stelle der Perithecien flach gewölbt 
und dunkler gefärbt. Paraphysen fehlen. Asci klein, keulenfürmig 
zylindriseh, aehtsporig. Sporen blaßbraun, zweizellig, lang oval. 

Trichopeltis montana Rac. Die rechteckigen, braunschwarzwandi- 
gen Zellen des einschichtigen Thallus 25 — u breit, 5 — 10 u 
lang, mit den benachbarten verwacbsen, bei dem Wachstum zu un- 
unterbrochenen, konvergierenden Antiklinen angeordnet, ganz so wie 
die Rosano w'sche, von Sachs reproduzierte Zeichnung des Thal- 
lus von Melobesia Lejolisü. Scheitel ganzrandig. halbkreisfórmig, 40 
bis 150 u breit. Von den Rändern des Thallus sprossen zahlreiche 
mehrere Millimeter lange Lappen von demselben Bau hervor, lose 
Mycelhyphen fehlen gänzlich. Unterhalb des Thallus an sehr zahl- 
reichen Stellen werden rundliche, bedeckt bleibende, 170 — 200 u 
breite, flach konvexe Perithecien angelegt, mit je einer rundlichen, 
kleinen, apikalen Öffnung. Asei keulenförmig zylindrisch, gerade 
oder häufiger gebogen, 8— 10 u breit, 36 — 50 u lang, achtsporig. 
Sporen zweizellig, glatt, langoval, 3—4 u breit, 11—14 u lang, 
hellbraunwandig. 

Auf der Oberseite der Blätter des Vaceinium Teysmannianum 
auf dem Gedeh und Pangerango häufig, manchmal ganze Blätter 
überziehend. 

Ich habe die Gattungsdiagnose nur nach meinen Exemplaren 
entworfen und bin nicht sicher, ob ich unsere Art richtig in die 
Spegazzinische Gattung eingereiht habe. Nahe verwandt ist je- 
denfalls Trichothyrium, bei dem jedoch in der Mitte der Thallus- 
lappen die dicken primären Hyphen wie Nerven verlaufen, die 
Perithecien dagegen frei am Rande stehen; andererseits verwandt 
ist Polystomella, jedoch soll diese nur runde, kleine Scheiben bilden, 
welche wie bei unserer Art zahlreiche Perithecien bedecken. 


Trichothyrium Speg. 
Thallus schwarz, fädig, radiär wachsend, einem Lebermoos ähn- 
lich, epiphytisch, der Epidermis angeklebt. Die Thallusäste sind 
folgendermaßen aufgebaut. Auf der Unterseite, an die Epidermis- 


379 


kutikula angewachsen, verlaufen die dicken, geraden, septierten 
Zellfäden, welche abwechselnd links und rechts in kleinen Abstän- 
den große zweizellige Hyphopodien tragen. Diese dicke Zentralhy- 
phe mit Hyphopodien wird oben überdeckt durch eine mantelartige 
Lage von fest schließenden, kleinen Hyphenzellen, welche divergie- 
rend nach vorne wachsen und einen schmalen, flachen. fiederig 
(oberhalb der Hyphopodien) lappigen, den Thalluslappen der thallö- 
sen Lebermoose ganz ähnlichen Thallus bilden. Manche Randzellen 
des dorsiventralen Thallus, speziell diejenigen der blättchenartigen 
Lappen laufen in kurze, freie Kriechhyphen aus, welche einerseits 
die Befestigung erhöhen, andererseits auf der Unterseite Perithe- 
eien bilden. Peritheeien sehr zahlreich, klein. an beiden Seiten 
des Thallus vorhanden, rundlich, schwarz, flach konisch, mit einer 
runden Öffnung, am Rande strahlig in kurze Kriechhyphen auslau- 
fend. Paraphysen fehlen, Asci achtsporig, Sporen zweizellig, glatt, 
lang oval, farblos (ganz reif nicht gesehen). 


Trichothyrium jungermannioides Rac. 


Auf beiden Blattseiten kriechen lineare, in größeren Abständen 
verzweigte, sich vielfach kreuzende, schwarze Fäden, welche zu- 
sammen rundliche, dendritisch gezeichnete Flächen von 1—2 cm 
Durchmesser bedecken. Die geraden Haupthyphen sind 8—13 u 
breit und bestehen aus zylindrischen, 26—34 u langen Zellen. An 
diesen dieken Hyphen .entspringen rechts und links horizontale 
Hyphopodien, welche bis 18 u breit, bis 38 u lang, zweizellig und 
an der Spitze abgerundet sind. Die thallöse Decke, welche diese 
Hyphen und die Hyphopodien überdeckt, besteht aus nach vorne 
und außen divergierenden, miteinander zu einer lückenlosen, flachen 
Schicht verwachsenen Zellen, welche schwarzwandig, vierkantig, 
3—4 u breit, 7—10 u lang sind. Thallus bis 100 w breit, gelappt. 
die einzelnen Lappen, welche je ein Hyphopodium überdecken, sind 
am Scheitel abgerundet, ebenso lang oder etwas länger als breit, 
bis 40 u breit und fallen abwechselnd links und rechts ab, so daß 
der Thallus fiederlappig erscheint. Am Rande laufen einzelne Thal- 
luszellen in bis 20 w lange Hafthyphen aus, welche einerseits zur 
Befestigung dienen, andererseits die sehr zahlreichen, kleinen, run- 
den, schwarzen Perithecien tragen. Diese liegen also in großer Zahl 
randständig neben dem Thallus. Die sehr jungen Peritheeien sind 
nicht kreisförmig, sondern nierenförmig mit einer tiefen Bucht auf 


380 


der Innenseite. Bei dem Wachstum schließen die beiden seitlichen 
Lappen diese Bucht, verwachsen miteinander, in dem Zentrum eine 
runde Oftnung, die spätere Mündung des Peritheciums, lassend. Reife 
Perithecien flach, schwarz, ohne Randkragen, bis 100 u breit, am 
Rande in Hafthyphen auslaufend, welche anfangs auf einer Lünge 
bis zu 30 u miteinander zu einem Randkragen verwachsen, nachher 
frei auslaufen und das Peritheeium betestigen. Paraphysen fehlen, 
Asci keulenförmig oval, 16 — 18 u breit, 37 u lang, achtsporig, 
Sporen schmal oval, 3—4 u breit, bis 12 w lang, in der Mitte mit 
einer Querwand, farblos und glatt, ihre beiden Zellen gleich groß. 

Auf den Blättern des Connarus sp. in Depok epiphytisch lebend. 


Trichothyrium densum Rac. 


Auf beiden Blattseiten runde, schwarze. radiär wachsende, 0:5— 
0-8 em breite Rasen, deren Thallusäste sehr dicht nebeneinander 
verlaufen, sich gewöhnlich mit den Rändern gegenseitig berühren, 
so daß eine fast geschlossene Hyphenscheibe entsteht. Die dicken 
Haupthyphen sind bis 8 w breit, und aus kurz zylindrischen, 18 
bis 22 u langen Zellen aufgebaut. Hyphopodien zweizellig, oval, 
10—-13 u breit, 22—28 u lang. Die Thallusäste, welche durch die 
schließende Decklage der viereckigen Zellen gebildet sind, bis 58 u 
breit, ihre Ründer fast gerade oder nur wenig wellig, Perithecien 
rund, 100—150 u breit, mit einer runden, 16—18 u breiten Öff- 
nung. Asci 14—16 u breit, 30—40 u lang, achtsporig, Sporen farb- 
los 14—17 w lang, an einem Ende dieker, gegen das andere Ende 
gleichmäßig verschmälert, anfangs zwei-, nachher dreizellig, 3:5 — 
4 u breit. 

Auf den Blättern des Stechelocarpus Burahol in Depok bei 
Buitenzorg. 


Micropeltis Sirie Rac. 

Auf der Unterseite der Blätter, auf gelblichen Flecken stehen 
dieht gedrängt schwarze Perithecien. Perithecien flach, linsen- 
formig, 160 — 200 u breit, ohne Luftmycel, aus einer zusammen- 
hängenden, einschichtigen, flachen, basalen Zellenschicht und einer 
ähnlichen, flach konvexen Riickenschicht gebildet, radiür wachsend, 
am Rande in kurze (so lange wie breite) scharfe Zähne auslaufend, ge- 
wöhnlich nieht genau kreisförmig, sondern an 2— 4 Stellen mehr oder 
weniger ausgebuchtet, an der Spitze mit einer kleinen, runden, durch 


381 


einen peristomialen Haarkranz umgebenen Miindung. Die Peristom- 
haare gerade zugespitzt, bis 30 w lang, an der Basis 3—4 w dick, 
etwa 15 an der Zahl. Die ganz jungen Perithecien sind geschlossen, 
ohne Mündung, jedoch mit je einem Stachelhaar an der Spitze. Pa- 
raphysen fehlen, Asci keulenförmig, 10 u breit, 40 —46 u lang, 
achtsporig, Sporen farblos, länglich oval, 25—3 u breit, 14—15 u 
lang, in der Jugend zweizellig, dann 3—4-zellig. 

Auf den Blättern der Cubebe canina Miq. bei Soekanegara in 
Preanger. | 

Wegen des vorhandenem, dem Ausstreuen der Sporen dienenden 
Peristoms mit Polystomella verwandt. 


Heterochlamys javanica Rac. 


Luftmvcel anfangs radiär wachsend, ohne Borsten und Hypho- 
podien, schwarz, sehr reich verzweigt. Die Hyphen septiert, 4—5 u 
diek, ihre Äste geschlängelt, miteinander verklebt und endlich eine 
lückenlose, flache, schwarze Scheibe bildend, in welcher die ur- 
sprüngliche, radiäre Anordnung der Hyphen nicht mehr sichtbar 
ist, die aber auch nicht als Stroma zu bezeichnen ist. Am Rande 
dieser Scheibe laufen einzelne, weiter wachsende Hyphen radiär 
frei aus, eine Länge von 80 u erreichend. An der Unterseite der 
Hvphen, also zwischen der Blattepidermis und der Hyphenscheibe 
werden einzelne, runde, sehr flach konvexe Fruchtkörper angelegt, 
welche radiär wachsen, mit den Rändern aneinander stoßen, bis 
220 u breit werden, nach Art des Microthyrium radiär bedeckt sind, 
und an der Spitze eine runde, durchscheinende Öffnung, welche 
bis 8 u breit ist, besitzen. Paraphysen sehr spärlich, fadenfürmig, 
kurz. Asei schmal, zylindrisch, keulenförmig, gegen die Basis ver- 
schmälert, an der Spitze flach abgerundet, 14—16 u breit, 68—75 u 
lang. achtsporig. Sporen in zwei Reihen liegend, kommaartig, an 
einem Ende abgerundet und dick, gegen das andere Ende schmal 
ausgezogen, gerade oder häufiger etwas gekrümmt, mit 3—4 Quer- 
wänden, farblos (alte, ganz reife wurden nicht angetroffen, vielleicht 
bekommt die Sporenwand nachträglich eine dunklere Färbung), glatt, 
4—6 u dick, 22—28 u lang. 

Auf der Unterseite der Blätter von Tetracera sp. in Buitenzorg. 


Scolecopeltis triviale Rac. 


Perithecien kohlschwarz, halblinsenförmig, mit einer kleinen, 


382 


runden, apikalen Öffnung. 0°6—1 mm breit, glänzend, regellos über 
die Blattunterseite zerstreut. Paraphysen fadenförmig, sehr zahlreich. 
Asci lang zylindrisch, an der Spitze abgerundet, gewöhnlich flach 
gebogen, 12 u breit, 140—165 u lang, achtsporig. Junge Sporen 
spindelförmig, in zwei Reihen liegend, in der Mitte tief eingeschnürt, 
nachher in zwei Teilsporen zerfallend, so daß in dem Ascus 16 
Sporen liegen, welche farblos. an einer Spitze abgerundet und dick, 
und gegen das andere Ende verschmälert sind. Diese Teilsporen 
sind bis 6 u dick, 16 —21 u lang, glatt, farblos und teilen sich 
noch in dem Ascus durch zwei bis drei Querwände in 3 bis 4 
Zellen, die jedoch nieht mehr auseinanderfallen. 

Bei schwacher Vergrößerung untersucht. erscheint der Rand der 
Perithecien ohne ausstrahlende Hyphen und ganzrandig. In Wirk- 
lichkeit ist die Pflanze folgendermaßen aufgebaut. Bei der Keimung 
einer Spore bildet sich eine thallöse Zellenfläche aus farblosen, sehr 
kleinen und deswegen schwer sichtbaren Zellen, welche linglich, 
viereckig, etwa 1 u breit, 4—5 u lang sind, an der Spitze sich 
dichotom gabeln, mit den benachbarten seitlich verwachsen und so ra- 
diär zu umfangreichen, manchmal gelappten Scheiben heranwachsen, 
in deren Zentrum ein Perithecium unterhalb der Zellflàche angelegt 
wird. Oberhalb des Peritheciums werden die Zellen kohlschwarz, 
sonst sind sie farblos. Lose Hyphen in vegetativer Entwicklung 
fehlen. 

Sehr gewöhnlich auf verschiedenen Blättern in Buitenzorg, De- 
pok, Tjampea. Tjibodas, jedoch normal nicht auf Blättern, sondern 
auf epiphytisehen Trentepohliaarten epiphytisch wachsend. die gelben 
Zellen derselben nur überdeckend, nicht umspannend. 


Polystomella (?) sordidula (Léveillé) Rae. 


Syn: Dothidea sordidula Léveillé (Champignons exotiques; 
Ann. des Sc. natur. Serie IIT, Bd. III. 1845. S. £7 Nr. 290) 

Dothidella sordidula Sacardo, Syll. fung. II. S. 630. 

Dothidea Loranthi Molkenboer in Plantae Junghunianae 
Fase. 1. 1853. S. 114. 

Abbildung: Blume, Flora Javae, Tab. XIII. als Loranthus 
maculatus 131. 


Makroskopiseh sehr charakteristiseh. Auf der Unterseite der 
Blätter rußschwarze, flache, gewöhnlich lünglieh ovale, manchmal 


383 


verzweigte, 1 —2 mm breite, 1—10 mm lange, glatte Überzüge bildend, 
auf deren (nur seltenen) reifen Exemplaren runde und flache Perithe- 
cien dicht gedrängt stehen. In dem Blattinnern, zwischen den Zellen 
leben dünne und farblose Hyphen, welche durch Spaltöffnungen 
nach außen treten und rings um diese einen epiphyllen, einschich- 
tigen, lückenlosen, braunschwarzen, rundlichen oder gelappten Thal- 
lus bilden. Die benachbarten Thallus verwachsen miteinander, und 
so bilden sich auf der Blattunterseite die erwähnten schwarzen, 
linglich ovalen Überzüge. Lose epiphylle Hyphen fehlen. Oberhalb 
der Spaltöffnungen ist die Thallusfläche hügelig gewölbt. In diesem 
Stadium ist der Pilz am häufigsten anzutreffen. Bei der weiteren 
Entwicklung bildet sich ein dickeres Stroma auf der Unterseite des 
Blattes, und zwar in zwei Lagen, einer tieferen, farblosen, 10—50 u 
dicken, und einer oberflächlichen, kohlschwarzen, welche 20—28 u 
dick wird. Auf der Oberseite des kohlschwarzen Stromas werden 
die zahlreichen runden, flachen Perithecien gebildet. Die Breite der 
Perithecien beträgt 210 — 280 u. ihre Höhe (ohne Peristom) 60 — 
70 u. Boden der Perithecien flach, aus einer Schicht radiär geordneter; 
viereckiger, brauner Zellen bestehend, die Decke flach gewölbt, aus 
einer Schieht ähnlicher, 3—4 u breiter Zellen gebildet. Am Rande 
laufen einige Deckzellen in sehr kurze Hyphen aus. Die Mündung 
ist rundlich, bis 12 u breit, begrenzt von vertikalabstehenden, dicht 
gelagerten, an der Spitze nach innen zu gekrümmten, 10 —14 u 
langen, schwarzbraunen Haarzähnen. Paraphysen fehlen. Asei zylin- 
drisch keulenförmig, an der Spitze abgerundet. dünn und kurz ge- 
stielt, gerade oder (so die seitlichen Asci der Perithecien) gebogen, 
12-14 u breit. 58—68 u lang, achtsporig. Sporen farblos, glatt, 
zweizellig, fast keulenförmig, wobei die eine Zelle etwas breiter 
und kürzer als die andere ist, nicht eingeschniirt, 5—6 u breit, 
20— 23 u lang. Außerdem bilden sich in der Nähe des Stromas 
kleine geschlossene, flache und runde Peritheeien. welche bis 60 u 
breit sind und im Inneren braune, einzellige Pykniden bilden. 
Der Parasit ist in und bei Buitenzorg auf Loranthus pentan- 
drus L. häufig. Nach Korthals („de Loranthaceis“) soll er auch 
auf anderen Loranthusarten vorkommen. Die infizierten Exemplare 
sind von Blume als eine besondere Art Loranthus maculatus BI. 
beschrieben und abgebildet worden. die sogar im Index Kewensis 
III, 116 verzeichnet ist. Der Pilz sollte genauer entwickelungsge- 
schichtlich untersucht werden. Die Entstehung der farblosen inne- 


384 


ren Stromalage ist mir nicht klar. Ebenso wenig bin ich von der 
Zugehörigkeit zur Gattung Polystomella Speg., welehe mir nur aus 
Beschreibungen bekannt ist, überzeugt. Sollten bei der südamerika- 
nischen Gattung die Perithecien eingesenkt sein, was der Beschrei- 
bung nach möglich ist, dann müßte man für die javanische Art 
einen neuen Gattungsbegriff schaffen, was jedoch erst nach einer 
entwicklungsgeschichtlichen Untersuchung ratsam erscheint. 

Ein Exemplar dieser Pflanze, von Massart bei Buitenzorg 
gesammelt, findet sich in dem Herbar unter dem Namen Asterina 
reptans Berk. et C. 


Clypeolum vulgare Rac. 


Fruchtkörper flach, rund, schwarz, ohne Mündung. 05—07 mm 
breit, auf der Blattfläche epiphytisch lebend. Eine keimende Spore 
bildet nur kurze, 1—2 u dieke Hyphen, welche reehtwinklig ver- 
ästelt sind. Die Äste verwachsen miteinander, und so bildet sich ein 
einschichtiges Netz mit viereekigen Maschen. Bei dem weiteren 
Wachstum werden in das Innere der Maschen neue kurze Hyphen- 
äste getrieben, bis endlich eine lückenlose. dünne, runde, im Zen- 
trum (oberhalb der Asci) schwarze, am Rande farblose Schicht sich 
bildet. Die farblose Randzone ist sehr schmal und ohne Färbemittel 
fast nicht bemerkbar. Lose Lufthyphen fehlen. Die Fruchtkörper- 
höhle öffnet sich durch Abwerfen der fast ganzen bedeckenden 
Schicht, so daß nur ein schmaler Randsauin bleibt. Asci kuglig, 
oder sehr kurz eiförmig. 17 bis 21 w breit und lang. diekwandig, 
achtsporig. Paraphysen fehlen. Ascosporen oval. an einem Ende 
etwas breiter, zweizellig. glatt. farblos, 3—4 u breit, 9—12 u lang. 

Auf verschiedensten Blättern gesellig epiphytisch lebend, so z. B. 
Hydnocarpus in Tjampea, Garcinia in Tjampea. Payena in Depok, 
Canarium in Buitenzorg. 


Herpotrichia Myriangii Rac. 

Auf Fruchtkörpern des Myriangium entweder (an jungen Exem- 
plaren an deren Rande) oberflächlich, oder (an älteren, schon offe- 
nen) ein wenig zwischen den Asci mit der Basis eingesenkt lebend. 
Perithecien schwarz, kuglig, lederig, 190 — 240 u breit, mit einer 
niedrigen. an der Spitze mehr hellen Mündungspapille, welehe 30 
bis 40 u hoch. 40 — 60 u breit ist, an der Oberfläche dicht mit 
gebogenen, braunen, 4—6 u dieken, 30—90 u langen, haarartigen 


385 


frei auslaufenden Haaren bedeckt. Perithecialhühle 120 — 160 u breit, 
kuglig, an der Basis und den Seiten mit den gegen die Mitte und 
die Mündung konyergierenden Asei. Asci keulenfürmig, 17—20 u 
breit. 55—64 u lang, achtsporig. Ascosporen gerade oder etwas 
gebogen, braunwandig, lang oval, an den Enden abgerundet. glatt. 
5 u breit, 14 u lang, nicht eingeschnürt, in zwei Reihen in dem 
Schlauch liegend. Paraphysen fadenförmig. 

Auf den Fruchtkörpern des Myriangium bei Buitenzorg beson- 
ders auf Carica Papaya häufig. 


Acanthostigma violacea Rac. 


Auf der Unterseite der Blatter violette flache, runde Rasen, wel- 
ehe 05 — 1:5 em breit sind und radiär wachsen. Hyphen violett 
braun, lösen jedoch ihren Farbstoff in Chloral mit roter Farbe und 
bleiben dann blaßrötlich gefärbt, reich septiert, verzweigt, 15—25 u 
breit, ohne Hyphopodien oder Bersten, in den Rasen einer Meliola 
lebend und diese ganz überziehend, oder auch auf von Meliola frei 
gelassene Stellen der Blattfliche epiphytisch übergehend. Perithecien 
sehr zahlreich, kuglig, sitzend, mit wenig vorragender Mündungs- 
papille, mit Ausnahme dieser ganz dieht mit nicht steifen, jedoch 
abstehenden, 50— 80 u langen, violettkupferfarbigen H y phen besetzt. 
Die Wandung dünn, braun, weich. Perithecien 220 — 260 u breit 
und hoch. Paraphysen fadenförmig. Asci zylindrisch, achtsporig, 
9—11 u breit, 74—80 lang. Sporen parallel liegend, linear, dun- 
kelschwarz, durch viele Querwände septiert, 1°5 u breit, 50—60 u 
lang. 

Auf der Unterseite der Blätter von Jambosa sp. in Djasinga 
westlich von Buitenzorg auf Meliolarasen parasitisch lebend. 


Gibberidea Zingiberacearum Rac. 


Der Pilz wuchert anfangs in Uredolagen, geht dann zwischen 
die Zellen des Mesophylls über und erzeugt unter der Epidermis 
kleine, außen kohlschwarze, innen weiße, rundlich unregelmäßige 
Stromata, auf welchen sich (jedoch unter der Epidermis) Peritheeien 
bilden. Perithecien kuglig eiförmig, manchmal mehr unregelmäßig, 
mit einer glatten schwarzen Wand, punktförmiger, nicht ausgezo- 
gener Mündung, brechen endlich die bedeckende Lage durch und 
stehen dann, wenigstens mit ihrer apikalen Hältte frei. Perithecien 
110—130 w breit, 110—170 u lang. Paraphysen 2 u dick, septiert, 


386 


farblos, zylindrisch. Asci schmal keulenförmig, 8—10 u breit, 75 
bis 80 u lang, achtsporig, an der Spitze abgerundet. gegen die Basis 
gleiehmäßig verschmälert. Sporen spindelförmig, anfangs zwei-, dann 
noch im Schlauch vierzellig. in der Mitte sehr wenig eingeschnürt, 
beiderseits lanzettlich verschmälert, gerade oder etwas gebogen, 
glatt, hellbraunwandig (in reifen Asci); 15—18 u lang. 35 u dick. 

Dieser Parasit dringt immer aus den Uredobebàáltern in das 
Blattgewebe ein, und gewöhnlich ist die ganze Blattfläche dicht mit 
kleinen. 05 —1 mm breiten, unregelmäßigen Fruchthäufchen bedeckt. 

Auf Amomum dealbatum, Zingiber sp. variae, Alpinia und Cur- 
cuma longa bei Buitenzorg häufig. 


Lizonia Selaginellae Rac. 


Das Mycelium wächst in den apikalen Teilen der Sprosse, be- 
sonders gerne in jungen Sporangienähren. bringt die Vegetations- 
spitze zum Absterben und bildet an der Spitze der Sprosse ein 
Häufchen von schwarzen Peritheeien, welche von Blättern 
manchettenartig umgeben sind. Die Perithecien sitzen gesellig und 
ganz frei auf einem spärlich entwickelten, strangartigen, schwarzen 
Stroma, berühren sich seitlich, sind kuglig eifürmig, 250 — 360 u 
breit, bis 400 u hoch, mit einer schmalen, flachen, nieht hervorra- 
genden Mündung, glatt, schwarz. Die schwarze Farbe löst sich z. T. 
rotviolett in Chloral. und dann bleibt das dünne Gehäuse violett- 
braun. gefärbt. Paraphysen fehlen. Asci zylindrisch, bis 10 w breit, 
bis 120 w lang. dünnwandig, an der Spitze flach abgerundet, acht- 
sporig. Ascosporen schief in einer Reihe liegend, oval, in der Mitte 
seicht eingeschniirt. 5 w dick, 12—17 u lang. glatt, in der Jugend 
farblos und zweizellig, dann noch in den Schläuchen braunwandig, 
endlich nach dem Verlassen der Asci. jedoch vor der Keimung 
vierzellig. 

In den Sproßspitzen der Selaginella cupressina auf dem G. Ga- 
gak westlich von Salak. 


Lizonia Smilacis Rae. 


Auf den Blättern sind rundliche. gelbe, im Zentrum braune, 
3—4 mm breite. miteinander zusammenfließende Flecke vorhanden, 
an deren Unterseite die Perithecien zu 3—7 gesellig stehen. My- 
eelium lebt in den Interzellularräumen, diese mit einem pseudo- 
parenchymatischem Gewebe ausfüllend. Perithecien schwarz, glatt, 


387 


am Querschnitt kreisférmig, am Längsschnitt sehr kurz und dick 
gestielt, kuglig, dickwandig, mit einer wenig sichtbaren, bis 15 u 
hohen Mündungspapille, deren Öffnung bei der Reife bis 10 u breit 
ist. Peritheeialhóhle weiß. Paraphysen sehr dünn, fadenförmig, schlei- 
mig, sehr reichlich. Asei entspringen aus der Basis und von den 
Seiten der Perithecialhóhle, konvergieren nach innen, sind bis 
100 u lang, bis 14 u breit, achtsporig, zylindrisch keulenfürmig, 
häufig etwas gebogen, dünnwandig. Sporen 'spindelförmig, schwach 
gebogen, glatt, 22—24 u lang, 4—5 u breit, zweizellig, mit einer 
anfangs farblosen, dann blaßbräunlichen Membran. Manche Sporen 
sind schon in den Perithecien vierzellig. Perithecien 260—290 u 
breit, bis 320 u hoch. 

Auf den Blättern von Smilax sp. in Tjisaroea bei Buitenzorg. 

Die Lizoniaarten sollen paraphysenlos sein, es sind jedoch einige 
paraphysenführende Arten von Rehm und Saccardo beschrie- 
ben worden. 


Lizonia Syzygii Rac. 

Auf der Blattunterseite stehen unregelmäßig zerstreute oder ver- 
einzelte kreisrunde, schwarze, 2-35 mm breite, stromaähnliche 
Flecke, auf welchen sehr kleine, freie, schwarze, kuglige, breit- 
sitzende Perithecien dieht gedrängt in konzentrischen Ringen haften. 
Die Hyphen dringen in die Mesophyllzellen ein und füllen diesel- 
ben aus, sind braun, kurzzellig. Unterhalb der Perithecien haben 
die Hyphen schwarze Membranen. Perithecien kuglig, bis 120 u 
breit, mit nicht hervorragender und schmaler Mündung, obne Pa- 
raphysen. Asci zylindrisch keulenförmig, bis 16 w breit, 68—82 u 
lang, achtsporig. Sporen kurz spindelförmig, bis 30 u lang, 4—5 u 
breit, gerade, glatt, beiderseits spitz, farblos, in der Mitte nicht 
eingeschnürt, zweizellig. 

Auf den Blättern des Syzygium sp. (Myrtaceae) am Salak und 
Megamendong bei Buitenzorg. 

Auf Syzygium sp. am Tankoeban Praoe. 


Melanomma epiphytica Rac. 

Auf grünen und glatten Stämmen und Ästen verschiedener 
Bambusaarten bildet der Pilz einen rundlichen, schwarzen Hypo- 
thallus. Dieser ist 1—3 cm breit, dicht, kohlsehwarz, fest anliegend, 
mit kurzen, wagerecht abstehenden, septierten, unverzweigten schwar- 


388 


zen Haaren dicht besetzt. Die Perithecien bilden sieh im Zentrum 
älterer Pilzrasen. Sie sind halbkugelig, sehr fest und dickwandig. 
nicht glatt, sondern an der Oberfläche uneben, kohlschwarz, brüchig. 
mit einer nicht ausgezogenen, sondern in einer apikalen Vertiefung 
liegenden, runden Mündung, mit einer weißen Perithecialhühle im 
Innern, deren Inhalt schleimig ist Paraphysen fadenförmig, sehr 
zahlreich. Asei lang zylindrisch, 320—380 u lang, 25—29 u breit, 
dickwandig, achtsporig. Sporen einreihig liegend, 19—22 u breit. 
60—80 u lang. glatt. braunwandig. in der Mitte wenig eingeschnürt, 
lang oval, vierzellig; seltener ist eine oder mehr der Querwände nicht 
ausgebildet und dann sind die Ascosporen zwei- bis vierzellig. 

Unter dem Hypothallus wird das Gewebe der Bambusa nicht 
beschädigt, unterhalb der sehr diekwandigen und festen, 0:9—1:2 mm 
breiten, bis 1 mm hohen, mit breiter Basis sitzenden Perithecien, 
dringen die Pilzhyphen etwas in das Bambusagewebe, vernichten 
lokal dasselbe, und die Basis der Perithecien erscheint dann ein 
wenig eingesenkt. 

An lebenden Stämmen und Ästen verschiedener Bambusaarten, 
sehr gewöhnlich bei Buitenzorg. 


Guignardia Musae Rac. 


Perithecien stehen dicht nebeneinander auf der Oberseite der 
Blätter, auf unregelmäßig und nicht scharf begrenzten rötlichen, 
dann braunen und vertrocknenden Flecken. Diese sind unterhalb 
der Epidermis angelegt, greifen jedoch nachher die hypodermale 
Schicht an und reichen mit ihrer Basis fast an die Pallissadenschicht. 
Perithecien durch Epidermis bedeckt, mit sehr kleiner, nicht her- 
vorragender Mündung, bilden kleine Wärzehen. Ihre Wandung in der 
oberen Hälfte schwarz, in der unteren farblos. Die Höhle kuglig 
10—100 u breit und hoch, Paraphysen fehlen, Asei nur wenig zahl- 
reich in einem Peritheeium. büschelig vereinigt, keulenförmig oval, 
diekwandig, 50—56 u lang, bis 20 u breit, 8-sporig. Sporen farb- 
los, glatt, linglich oval, beiderseits abgerundet, auf einer Seite häufig 
etwas verschmälert, 8—9 u breit, 17—19 u lang, in dem Ascus 
einzellig. nach dem Entleeren zweizellig, ungleichzellig. 

Einer der sehr wenigen parasitischen Pilze der lebenden Pisang- 
blätter (Musa paradisiaca) in Buitenzorg. Sehr wahrscheinlich iden- 
tisch mit Physalospora fallaciosa Zimmermann (Zentralblatt f. Bakte- 


389 


riologie. VIII, 1902, 182), ob dagegen identisch mit Ph. fallaciosa 
Saec, ist fraglich. Paraphysen konnte ich nicht sehen. 


Metasphaeria Scindapsi Rac. 


Auf der Oberseite der Blätter bilden sich gelbgrüne. runde, 
zusammenfließende, nicht scharf begrenzte, 2—5 em breite Flecke. 
auf welehen mit bloßem Auge winzig kleine, braunrötliche, ring- 
förmig gestellte Pünktchen sichtbar sind. Die einzelnen Ringe, an 
welehen die Perithecien dicht nebeneinander stehen. sind voneinan- 
der 1—2 mm entfernt. Die Perithecien bilden sich in den Luft- 
räumen unterhalb den Spaltöffnungen, sind ganz in dem Blattgewebe 
eingesenkt, braunwandig, an der Basis und an den Seiten abgerun- 
det, bis 180 w lang und breit. gegen die Mündung ein wenig aus- 
gezogen (im Innern des Blattes), am Scheitel flach, bis 90 p breit, 
nicht vorragend. mit einer kleinen Mündung. Paraphysen fadenför- 
mig, während der Reife der Sporen verschleimend. Asci schmal 
zylindrischoval, gegen die Basis stärker, als gegen die Spitze ver- 
schmälert, an der Spitze flach abgerundet, in der Mitte 18—20 u 
breit, 70—80 u lang, achtsporig. Sporen länglich, glatt, farblos, 
in vier Zellen durch die Querwände geteilt, 33—42 u lang, 5 u 
breit, gerade oder etwas gekrümmt. gegen die Enden verschmälert. 

An den Blättern der kletternden Scindapsusarten auf dem Ge- 
deh. Die Flecke verfaulen nach der Reife der Sporen, die Fäule 
schreitet zentrifugal fort. 


Ascospora Ophioryzae Rac. 


Auf der Oberseite der Blätter runde, gelbgrüne, 2—5 mm breite 
Flecke, äuf welchen als winzig kleine schwarze Pünktchen zahl- 
reiche, voneinander entfernte, Stigmatea ähnliche und ganz einge- 
senkte Peritheeien sichtbar sind. Die Hyphen wuchern zwischen 
den Mesophyllzellen, welche von den Haustorien wie punktiert er- 
scheinen. Perithecien flach kuglig, 100 —125 u breit, bis 100 u hoch, 
in der Lufthöhle unter einer Spaltöffnung gebildet, mit der Basis 
an die Pallissadenzellen, mit der Spitze an die Epidermiszellen 
stoßend, nieht vorragend, neben der Mündung kohlschwarz, sonst 
braun- und dünnwandig. Asci büschelig breit, zylindrisch, an der 
Spitze abgerundet, bis 14 u breit, 50—60 u lang, achtsporig. Para- 
physen fehlen. Ascoporen farblos, länglich oval, in 2 Reihen liegend, 
hyalin, glatt, einzellig, 10—11 u lang, 4—5 u breit. 


390 


Auf einer weiß- und großblumigen Ophiorizaart (Rubiaceae) auf 
dem Gedeh. 


Didymella Cocconiae Rac. 


In dem Stroma der Cocconia Placenta rundliche, mit flacher 
Basis und verschmälerter Spitze. 0‘4—0:6 mm breite Perithecien 
vorhanden. Diese bilden sich an verschiedensten Stellen, manchmal 
neben, manchmal schief oder übereinander, verursachen hüglige 
Emporwölbungen des Stromas, haben keine vorragende, sondern 
nur eine punktförmige Mündung und weißen Inhalt. Ihr Gehäuse 
ist sehr deutlich schwarz. Paraphysen vorhanden, fadenförmig. Zwi- 
schen den Paraphysen und kürzer als diese stehen die sebr zahl- 
reichen, jedoch merkwürdig kurzen Asci. Diese sind lanzettlich 
zylindrisch, an der Spitze abgerundet, 38— 46 u lang, 11—13 u 
breit, achtsporig. Ascosporen farblos, zweizellig, 12—15 u lang, 4 u 
breit, zweizellig, farblos, ovallanzettlich, in zwei Reihen liegend. 

In den Stromata der Cocconia Placenta, welche sich in den Blät- 
tern der Symplocos spicata entwickeln, auf dem Pangerango spär- 
lich angetroffen. 


Paidania nov. gen. 


Parasitische Pyrenomyceten, welche in den Blättern leben, dort 
die Bildung kugliger, hervorragender Gallengeschwülste verursa- 
chen, in welchen je ein (seltener 2) Perithecien eingesenkt sitzen. 
Peritheciengebäuse hell bräunlich, nieht schwarz, die Mündung der 
Peritheeien wächst aus dem Gallengewebe nach außen als ein 
sehwarzer, mit steifen, mit Jod sich blaufärbenden, an ihren Basen 
verschleimenden Borsten besetzt. Von oben gesehen, ist die kissen- 
artige, behaarte Mündung nicht rund, sondern radiär lappig gespal- 
ten (in 3—5 Lappen). Paraphysen vorhanden, Asci dünnwandig, 
achtsporig; Ascosporen einzellig, hyalin, oval. 

Nächst verwandt mit Venturia, jedoch durch einzellige Sporen, 
radiale Mündung und Gallenbildung verschieden. Der Gattungsname 
ist nach Pa Idan, dem kenntnisreichen sundanesischen Flo- 
risten und Sammler gewählt. 


Paidania Melastomacearum Rac. 


Auf der Unterseite der Blätter sind rundliche, gelbliche Flecke 
sichtbar, auf welchen mehrere (15—40) schwarze Perithecien er- 


391 


scheinen. Das interzelluläre Mycelium verursacht an der Blattunter- 
seite die Bildung sehr kleiner, halbkugliger, aus hohen, palisaden- 
ähnlichen: Zellen aufgebauten, bis 270 u breiten Gallen, welche 
dicht nebeneinander stehen. Im Innern jeder Galle entwickelt sich 
ein (seltener zwei) anfangs ganz eingesenktes, rundliches Perithecium, 
dessen Mündungsteil die bedeckenden Zellenschichten durchbricht 
und oben, rings um das sehr schmale Mikropyle, ein 90 —100 w 
hohes, 240—290 u breites, aus dunklen. radiär divergierenden Hy- 
phen aufgebautes, frei über das Gallenscheitel ausgebreitetes Kissen 
bilden. Dieses ist, von oben gesehen, nicht kreisfórmig, sondern 
sternartiglappig, mit 3—5, meist aber mit 4 deutlichen, so langen 
wie breiten, radiären Lappen. Die Hyphen, welche dieses Kissen 
aufbauen, reproduzieren zwischen den Hyphen Schleimgallerte und 
werden durch Jod blaugefärbt, die Enden dieser Hyphen laufen in 
konische braune. stachlige, leicht abfallende, 6—7 u an der Basis 
dieke, 18—22 u lange Stacheln aus. Nur die an der Mündung 
nächstgelegenen Teile des Peritheciumgehäuses sind schwarz, die 
mehr basalen blaßbraun. Paraphysen fadenförmig dünn. Asci dünn- 
wandig, schmal keulenförmig, 90— 96 u lang, 17—20 u breit, acht- 
sporig. Peritheeialhöhle kuglig, 130—150 u breit. Ascosporen farb- 
los, glatt. in einer Reihe liegend, oval, an den Enden abgerundet, 
13—17 u lang, 6—7 u breit. 

Auf verschiedenen, lianenartigen Dissochaetaarten in Depok, aut 
dem Salak und Gedeh häufig. 


Myrmaecium Milletiae Rac. 

In den Blättern bilden sich runde, anfangs grünlichgelbe, dann 
selbe, 0:5—1 em breite Flecke, in deren Zentrum das die Perithe- 
cien bildende Stroma angelegt wird. Farblose Hyphen wuchern 
zwischen den Mesophyll-, besonders den Palisadenzellen und bilden 
nachher zwischen den Epidermiszellen und den Palisaden ein an- 
fangs ganz farbloses, etwa 50 u dickes Stroma, welehes 1—5 mm 
breit ist. In diesem Stroma werden sehr GERS Perithecien an- 
gelegt, welche die Epidermisschicht warzenartig nach oben heben 
und diese mit ihren braungelben, niedrigen Mündungspapillen endlich 
durchbrechen. Oberhalb der Perithecien dringen die Hyphen in die 
Epidermiszellen ein, werden hier schwarz und verwandeln dieselbe 
in eine uotis, auch die oberflächliche Lage des Stromas zwi- 
schen den Perükenien wird schwarz. Die Perithecien haben eine 

BulletintIII. 6 


392 


difierenzierte, dunkelbraune Wandung, ‚entweder eine flache, oder 
eine nach unten gewülbte Basis, sind entweder linsenförmig, oder 
rund, ihre Höhle ist 100—190 u hoch, 200—260 u breit, mit einer 
dieken, abgerundeten Mündungspapille. Unter dem Druck der em- 
porwachsenden Mündungspapille wird die stromatisch veränderte 
Epidermisschicht entweder radiär in spitze, bleibende : Lappen, oder 
hysterioid mit einer Spalte, oberhalb mehrerer dicht nebeneinander 
stehenden Perithecien gesprengt. Paraphysen fehlen. Asci sehr zahl- 
reich, wurstfürmig, 9—12 u breit, 38—44 u lang, achtsporig. Spo- 
ren in zwei Reihen liegend, zweizellig, glatt, oval, 3—4 u breit, 
7—9 u lang, an den Enden abgerundet, nicht eingeschnürt. Die 
untere Zelle ist so lang wie breit, schwarzbraun, die obere bedeutend 
länger, nicht gleichmäßig schwarzbraun, sondern neben der Quer- 
wand mit einer hyalinen Membranquerzone. Auf den Blättern der 
Milletia sericea in Diasinga westlich von Buitenzorg. 


Botryosphaeria tjampeana Rae. 


Auf der Unterseite der Blätter stehen oberbalb der dickeren 
Nerven vereinzelte Gallen. Diese sind anfangs grün, nachher gelb, 
endlich rußschwarz, indem in dem parenchymatischen, ven kur- 
zen Gefäßbündeln durchzogenen Gallengewebe unterhalb der Ober- 
fläche ein dickes, schwarz berindetes Stroma gebildet wird. Die 
‘Gallen sitzen mit verschmälerter Basis, sind im Umriß rundlich 
oder rundlich eckig, 1:5 —3 mm breit, im Längsschnitt oval, verflacht, 
an der Oberfläche höckerig. nicht glänzend, 1—2 mm hoch, an den 
Seiten abgerundet. Stromarinde außen schwarz, innen weißbräunlich, 
aus fast isodiametrischen, parenchymatischen, nicht vertikal ge- 
streckten Zellen aufgebaut, Stroma im ganzen 620—800 w dick. 
In dem Stroma sind sehr zahlreiche genau kugelige Perithecien, 
von 300—340 u Breite eingesenkt, von welchen eine zylindrische, 
200 bis 220 w lange Mündung bis zur Oberfläche führt und da mit 
einer niedrigen Papille endet. Paraphysen nicht gefunden. Die Wan- 
dung deutlich ausgebildet. dunkler als Stroma. Asci sehr dicht ste- 
hend, achtsporig, in der Mitte etwas dicker, 10—12 u breit, 38— 
43 u lang. Ascosporen in dem breiteren Ascusteil gekreuzt liegend, 
einzellig, glatt, farblos, oval, 3—4 u breit, 9—11 u lang. 

Auf der Unterseite der Blütter des Mallotus Blumeanus Müll. Arg. 
in Tjampea bei Buitenzorg. 


393 


Botryosphaeria Uncariae Rac. 

 Mÿcel interzellulär, unter der Epidermis‘ der Blattoberseite ein 
schwarzes, rundliches Stroma bildend. Rings um dieses Stroma wird 
das Blattgewebe gerotet. dicht am Rande des Stromas gallenartig 
verdickt, oberhalb des Stromas zersprengt, so daß das schwarze 
Stroma frei liegt. Stroma bis 05 mm hoch, 1—3 mm breit, in der 
Mitte flach und dünn (später häufig —Á' am Rande pido! 
mig verdickt. In der verdiekten Randwulst sitzen, zu einem. Ring 
angeordnet, die ganz eingesenkten, kuglig runden Perithecien von 
350—500 u Breite, ohne eine deutlich differenzierte Wandung, mit 
sehr schmaler, eingesenkter Mündung. Asei kurz keulig, achtsporig, 
Sporen einzellig, farblos, dünnwandig, glatt, oval, beiderseits abge- 
rundet, gerade oder ein wenig gebogen, 19—24 u lang, 811 w 
breit. 

Auf der Oberseite der Blätter von Uncaria sp. In einer China- 
plantage bei Soekanegara —Preanger. 


Helotium helvolum (Junghuhn) Patouillard. 


Syn: Peziza helvola Jungbuhn, Praemissa in floram crypto- 
gamieam Javae insulae. Batavia 1839 S. 30. Fig. 17. 

Cenangium helvolum Saccardo, Syll. fung. VIII S. 570. 

Helotium helvolum Patouillard, En. en. 8.120. 


Gewöhnlich auf Knoten, seltener mitten auf Internodien am 
unteren Teil der Bambusastimme auftretend. Das Mycelium ist 
braunwandig, dringt durch junge adventive Wurzeln, oder an Wund- 
stellen in den Stamm und entwickelt sich besonders in dem spär- 
lichen Parenchym der Leitbündel, diese ganz mit Hyphen erfüllend 
und schwarz färbend. In den sklerenchymatischen Fasern entwickelt 
sich das Mycelium nur wenig, ohne die verdickte Wand zu lösen, 
und diese durch zahlreiche braune Hyphen senkrecht durchbohrend. 
Die Fruchtkörper brechen sukzessive durch die Epidermis nach 
außen, stehen dicht gedrängt auf rundlichen, 2—8 cm breiten Flek- 
ken. Die Fruchtbecher sind kurz gestielt, ihr Stiel ist 0:3—0:8 mm 
hoch, bis 0‘6—1 mm breit. Apothecien anfangs ganz geschlossen, 
nachher ausgebreitet, in die Breite wachsend, rundlich oder unre- 
gelmäßig rundlich, 3—10 mm breit, lederig, dünn, flach vertieft, 
nach dem Austrocknen nach innen gerollt und dann gewöhnlich 
dreieckig oder schmal oval. Die ganze Oberfläche, besonders die der 

Ce 


394 


noch jungen Fruchtkörper zottig, und zwar dicht mit unregelmäßi- 
gen zottigen, oder unregelmäßigen konischen, bis 120 u langen, pa- 
renchymatischen Emergenzen bedeckt, und ebenso wie die nur 
undeutlich dunklere Fruchtscheibe ochergelb. Fruchtgehäuse dünn, 
nur auf der Oberfläche zottig, sonst ebenso wie das. Hypothecium 
und der Stiel aus geschlängelten Hyphen aufgebaut. Paraphysen 
farblos, fadenförmig, unverzweigt, ohne Epithecium, 1:5 w dick, an 
der Spitze nieht verdickt. Asci linear, an der Spitze abgerundet, 
dünnwandig, 70—80 u lang, 5—6 u breit, achtsporig. Sporen ein- 
zellig liegend, oval, glatt hyalin, 6—7 u lang, 2—25 u breit, schon. 
in dem Schlauch durch eine Querwand geteilt, nicht eingeschnürt. 

Von Junghuhn auf Merapi gesammelt, wo ich es auch ge- 
funden habe. Bei Buitenzorg häufig auf Gigantochloa- und Bambusa 
arten. 





22. O zmianach peryodycznych trescı widzianych obra- 
zöw. — Sur les variations périodiques du contenu des 
images vues dans un contour donné. — Mémoire de 
M. LÉON CHWISTEK, présenté par M. N. Cybulski m. t. dans la 
seance du 1 Février 1909. 


I. 


Introduction. 


On peut distinguer deux types fondamentaux de variations pé- 
riodiques des images réelles. Le premier groupe comprend tous les 
phénomènes d’apparition et de disparition périodique des parties de 
l'image; ces phénomènes, relativement peu compliqués, ont été l'ob- 
jet de nombreuses recherches expérimentales et théoriques. Leur 
explication doit être basée sur les variations périodiques de la lon- 
gueur du rayon de courbure du cristallin de l'oeil, variations ob- 
servées pour la première fois par M. W. Heinrich!). Le deuxième 
groupe comprend les images réversibles. Dans ce groupe, il y a lieu 
de distinguer plusieurs groupes secondaires: 


1) W. Heinrich: Zur Erklärung der Intensitätschwankungen eben merkli- 
cher optischer u, akustischer Eindrücke, Bulletin de l'Acad, des Sciences de Cra- 
covie 1898. 

W. Heinrich u. L. Chwistek: Über das periodische Verschwinden der 
kleinen Punkte. Zeitschr. f, Sinnesphys. 1906. - 


395 


1. Les images perspectives. Ce groupe comprend les phénome- 
nes de variation périodique de la localisation dans l’espace des par- 
ties d’une image ou d’un modèle. On trouvera un aperçu très re- 
marquable de ces phénomènes dans la monographie de M. Wal- 
lace Wallin). Ils se présentent sous deux aspects différents: 
a) Dans le premier type, le contour de l’image reste immobile tan- 
dis que ses parties intérieures se déplacent perpendiculairement au 
plan du contour qui est le plan de symétrie de ce déplacement 
(concavités, rainures, convexités, protuberances, ainsi que basreliefs, 
matrices etc.; dessins correspondants). b) Le second type comprend 
ce qu'on peut appeler phénomènes de réversion totale ou partielle 
de l’image (modèles et dessins perspectifs de figures géometriques). 
M"* A. Wyezólkowska, à l'aide de mesures ophtalmométriques 


Fig. le 


du rayon de courbure du eristallin de l’oeil, a démontré la simul- 
tanéité des variations subjectives des dessins géométriques avec les 
oscillations décrites par M. Heinrich?). Indépendamment de ces 
recherches, j'ai eu aussi l’occasion de constater personnellement 
l'existence de cette simultanéité, en exécutant des expériences d’après 
les conseils de M. le prof. Heinrich. 

2. Le deuxième groupe comprend les phénomènes de groupe- 
ment et d’accentuation subjective des diverses parties de l’image; 
M. Schumann a décrit beaucoup de phénomènes remarquables 
de cette eatégorie?). Un des plus intéressants est le suivant: Con- 


1) J, E. Wallace Wallin: Optical Illusions of Reversible Herepeotive 
Princeton N. J. 1905. 
?) A. Wyezolkowska: Illusions of En Perspective. Eaych. Review. 
13 (4) 1906. 
3) M. Schumann: Beiträge zur Analyse der Gesichtswahrnehmungen. Zeitschr. 
f. Psych. u. Physiol. der Sinnesorgane 23, 24. 


396 


sidérons un Carré dont l’aire est partagée, par des lignes. droites 
parallèles à ses côtés, en plusieurs petits carrés. On peut grouper 
subjectivement une partie des droites de cette figure de différentes 
manières, en sorte qu'elles constituent une figure nouvelle. Une de 
ces figures est représentée sur la fig. 1. M. Sehumann remarque 
que. l'apparition: de cette figure ne peut dépendre de l'aecommoda- 
tion de l'oeil ); mais il énonce cette opinion sans l’appuyer de 
preuves. . i 2 | 

3. Le troisième groupe est celui qui fait le sujet de cette Note. 


ree A: 
Description du phénomène, | 


En regardant attentivement les figures N% I, VI VII, nous 
constatons sans peine que leurs contours sont identiques. Sur les 


Nr Nr. VI; | - 
Fig. 2: Fig. 3. 


figures N® VI et VII on a ajouté quelques lignes et on a obtenu 
de cette manière des dessins schématiques qui représentent un aigle 
et un magicien. Considérons la figure N° I et demandons-nous si 
elle représente le contour d'un magicien ou d'un aigle. Les réponses 
seront variables. On peut bien voir un magicien ou un aigle sur 
la figure mais on peut aussi ne voir ni l’un ni l’autre. Supposons 
quà un moment donné, la figure N° I représente le contour d'un 
magicien. Si l'on prolonge un peu la durée de l'observation, on con- 


de 


397 


state que le magicien disparait, en cédant la place à l'aigle. Après 
quelque temps, Daigle disparaît à son tour et nous retrouvons le 

magicien, et ainsi de suite. Ceci précisément est le phénoméne de 
variation périodique du contenu d’une image plane. Les variations 
sont aussi précises et indépendantes de la volonté de l’observateur 


que les autres variations dont il a été question plus haut au § I. La 


Fig. 4. Fig. 5. 
construction de dessins analogues aux précédents est facile; un 
des plus intéressants est la fig. 5 qui m'a été proposée par M. 
Niesiolowski; on y voit une femme ou un vase. C'est la série 
des figures N% I— VI qui a servi d'objet à mes expériences. 


III. 
Expériences. 


Je me proposals tout d'abord de mesurer les périodes des va- 
riations observées avec des dessins ayant le méme contour que le 
N* I. Ces dessins sont rangés en une série N% I—VI de manière 
que chaque dessin suivant contienne toutes les lignes du dessin pré- 
cédent et une ligne nouvelle ajoutée de plus; le dessin N° VI con- 
tient ainsi toutes les lignes qui se trouvent dans les dessins précé- 
dents. Les. observations étaient inscrites: sur un cymographe à l’aide 
d'une aiguille mise en mouvement par un courant électrique. Sur 
la méme ligne verticale se trouvait une autre aiguille en commu: 
nication avec un chronomètre de Jacquet qui enregistrait chaque 
einquiéme de seconde. Pendant toute la durée de la vision du ma- 


398 


gicien ou éventuellement de celle de l'aigle, l'observateur appuyant 
sur un bouton de contact électrique faisait passer le courant. J'ai 
yarié de trois maniéres les conditions dans lesquelles les expérien- 
ces étaient exécutées. Le premier groupe comprenait ce que nous 





Nr. II | Nr. III 
Fig. 6. Fig. 7. 


avc 
Ah vi 
RK 


appellerons observation libre (la tête est immobile, les mouvements 
des yeux ne sont pas exclus, la disposition psychique est noncha- 





Me LV; Nr. V 


Fig. 8. Fig. 9. 


lante); dans l'autre, j'engageais lobservateur à tácher de voir l'aigle 
aussi longtemps que possible; e’est ce qu'on peut appeler observa- 
tion contrainte. Dans le troisième groupe ‘d'expériences: l’obser- 
vateur fixait les yeux sur le sommet dé la figure (pointe du bec 
de l’aigle). Deux personnes servaient de sujets à mes expériences: 


399 


M' Louise Bohusz-Siestrzencewicz (L. B. S.) et moi- 
méme (Ch). Dans le premier cas, l’observation était monoculaire, 
la distance du dessin à l'oeil était de 1” 25; dans le second cas, 
l'observation était binoculaire et la distance était de 0" 60 5. 


IV. 
Résultats. 


Les périodes moyennes de la vision du magicien et de celle de 
l'aigle varient, dans mes expériences, dans des limites considérables. 
Cependant, si l’on fait abstraction de quelques cas exceptionnels, 
on peut arriver à démêler certaines régularités. 

Pour chaque expérience on a évalué la période movenne de la 
vision (M.), ainsi que la période maximum (Max.) et la période mi- 
nimum (Min.); enfin on a évalué ce qu'on appelle erreur moyenne 
(E.) On trouvera encore dans les tables le nombre des notes enre- 
gistrées (N.) et le nombre des expériences dont on a résumé les 
résultats (N. d'exp.. Pour une série d'expériences exécutées avec 
le même observateur, on trouvera trois tables. Dans la première, 
on a résumé les résultats obtenus par l'enregistrement des durées 
de la vision du magicien, dans l’autre, ceux qui ont été obtenus par 
l'enregistrement des durées de la vision de l'aigle. La troisième 
table donne les valeurs moyennes des périodes et des erreurs moy- 
ennes de toutes les expériences ainsi que le nombre total des no- 
tes enregistrées et la période totale de la vision (P. t). La durée 
de la vision est évaluée en secondes. 


I. Série. Observation libre. 


Considérons les résultats de la premiére série de nos expérien- 
ces qui sont résumés dans les tables I—VI (voir p. 400 —401). 

a) Durée de la vision du magicien. Si l'on compare les 
unes aux autres les périodes moyennes de la vision du magicien 
qu'on a obtenues pour les divers dessins de notre série, on peut 
constater que si l'on passe d'un dessin donné au dessin suivant dans 
cette série, on observe en général un accroissement de la période 
moyenne de la vision du magicien. En d'autres termes, si dans un 


1) Je dois adresser mes sinceres remerciments à Mlle Bohusz-Siestrzen- 
cewicz qui pendant toute la durée des expériences a. toujours temoigné la plus 
grande persévérance. 



























































L: B. S. I. Observation libre. 
On a noté les durées de Ja vision du magicien. 
ol Magicien Avira 64 y 
en M | Max. | Min, E | N| M !Max|Min| E | N = 
= i —— (GIS = = = = = — 
N° I. | 225 | 574 | 054 | 047 | 59 | 2:28 | #26 | 121 | 03 | 55 5 
N? I| 2:55 | 447. |. 009 | 047 | 46 | 213 | 4:58 | 06,1,087 411 5 
No HL| 2:19 | 361 | 14 | 039, 33 | 23 | 404 | 02 | 052 | 29 | 4 
No Iv. 446 | 896 | 005 | 0% | 29 | 147| 948 | 0-08 | 025 | 26 | 4 i 
N° V || 338 102 | 016 | 112 | 29 119 | 286 01 | 08 T294 
No VL| #91 | 944 | 1% | 1°66 | 20 || 14 | 256.1 07 | 03 | 22 4 
| I | 
pp II. Observation libre. 
On a noté les durées de la vision de l'aigle. 
NU du Magicien Aigle E 
desein | | Max.| Mal Banh NM. Max. | Ming |, 8 | N = 
No I. | 203 | 334 | 114 | 034 (52 | 179 | 314, 104 | 0:35 | 56 Eg 
NOIL | 2:37 | #27 | 108 | 045 | 59 | 18% | 337 | 075 | 085 | 66 | 6.. 
No IL 225 | £88 1  |.046 43 | 173 | 28 | O06 | 036 mis: 
No IV. 382 | 919 | 112 | 113 | 40 | 104 | 191 | 0:34 | 0:18 | 44 5 
NOV, | 3-98 11158 | 0:62 | 0:88 | 30 | 112 |. 257 | 009 | 035 | 45 | 5 
N° VL| 401 11491 | 105 | 1:14 | 46 "s 24 | 2:09 | 0:54 | 022 | 51 | Br 
| | BRUT. ' 
DABIS: III. Observation libre. 























Valeurs moyennes des périodes et des erreurs moyennes 


dans toutes les expériences. 








ins 
































š | 
| she | . 

Neda [o TE | a AE ni dla 
dessin |: y E NUM SR 

No 1. | 213 | 04 111 207 | 082 |100| 42 
N° II. | 244 | 046 |105| 197 | 036 106) 341 
vm 222 | 043 | 76| 1°99 1.048 | 77,221 
N° IV.| 441 | 1-04 | 69| 1-23 | 021 | 70| 534 
N° V. || 382 |*099 | 67| 13 | 033 |:74| 521 
No VL| 438 | 135 | 66| 1:21 | 085 | 78| 5-69 














401 




























































































Ch. IV. Observation libre. 
On a note les durées de la vision du magicien, 
"M"a Tete N AC: Ge d Ce 

N° du. RE ; 1 d E 

N - —|F—-———- 7 ~ — tds 
dessin | A | Max. | Min. | E... N | M | Max. | Min. | E. LA Le 
wo I.| 123 | 266 | 0-17 .022 | 35 | 207 | #77 | 116 | 04 | 33 | 3 
N? II 138 | 324 | 0:08 | 024 | 45 | 1'8 267 | 0°07 | 053 | 44 | 3 
N° III 458 3:99 | 1:07 | 0:37. 41 193 | 326 | 0:89 | 029 | 39 | 3 
N° IV.|| 198. 554 | 092 | O44 | 41 | 1:71 | 2:98 | 0°96 | 0119 | 40 | 3 
nov. | 159 | 326| 074 | 029 | 421 | 86 | 145 | 039 CAE) 
N° VL. 2:08 3:96 |. 017 | 038 | 34 | 2:19. | 35L.% 0:07 |. 0:32. 35: lle 3; 
Ch. V. Observation libre. 

On a noté les durées de la vision de J’aigle. 
spen Magicien Aigle 8 
dessin | wu | Max | Min, E | N | M. Max. | Min. | E. N | à: 
- SE 

N? I. || 2:19 | 3:52 1:58 | 0-26 | 29 1°28 174 | 0:6 018 | 31 3 
NO dhl) 183 1 37 | 063 | 032 | 38 | 145 | 398 | 021 | 047 | 41 3 
No ml 165 | 253 | 112 | 016 | 40 | 142 | 3-16 | 056 | 0-22 | 41 | 3 
N® IV. 2:16 392 | 1:21: | 03 40 || 125 | 259 | 054 | 019 43 || 3 
No V. 9:59 | 621 | 1:12 | 072 | 33 || 1:86 | 335 | 056 | 047 | 34 || 3 ^ 
N° VI.| 277 | 682 | 15 054 | 32 | 1:81 | 315 | 092 | 037.| 70 | 3 : 
Ch. VI. Observation libre. 





























Valeurs moyennes des périodes et des erreurs moyonngs 


: dans toutes les expériences. 























No du Magicien GA Cl et 
, = | Pit: 
dessin. || m | CEA RRE CHE 
NOT. | 171 | O24 | 64 | 1:67 | 028 | 64 || 3°38 
N° TI. | 161 | 028 | 83 || 1:63 -|.0°5 .| 85 || -3-24 
NO HL ||" 472.) 027 | 81 || 4:67 1 0:26 | 80)|| 3:39 
N° IV.| 2:07 | 037 | 81 |. 1:48 | 019 | 83 | 3:55 
N° V. | 209 | 050 | 77 | 198 | 043 | 77 || 4-07 
"No vil 243 | 0-46 | 66 || 2 0:37 

















402 


dessin l’on ajoute quelques details empruntés au dessin N° VI, la pé- 
riode moyenne de la vision du magicien en général augmente, Ce sont 
surtout les résultats obtenus avec Ch. qui justifient cette règle. Nous 
voyons en effet qu'à l'exeeption d'un seul eas particulier (la période 
moyenne du N° I est un peu trop grande) toutes les périodes sa- 
tisfont à la règle précédente. Les résultats obtenus avec L. B. S, 
contienhent deux cas exceptionnels (les périodes moyennes des N” II 
et IV sont trop grandes). | 

b) Durée de la vision de laigle. Si l'on passe d'un des- 
sin donné au dessin suivant de la série I— VI, la période moyenne 
de la vision de l’aigle en général augmente. Mais chez Ch. la pé- 
riode moyenne du N? I est trop grande, celle du N? IV est trop 
petite; chez L. B. S., la période du N? I est encore trop grande et 
de plus. les périodes des N® IV, V. VI sont toutes plus petites que 
celles des N° II et III. 

c) Période totale. La période totale moyenne de la vision 
(magicien + aigle) augmente avec le numéro du dessin; cependant 
les dessins N^ I et IV donnent des nombres trop grands. 


Il. Série. Observation contrainte. 
(Voir Tab. VII—XII p. 403—404. 


a) Durée de la vision du magicien. Ici, nous constatons 
encore l'accroissement de la période moyenne de la vision du ma- 
gicien, simultanément avec la progression du numéro .du dessin, dans 
la série I—VI. Mais, chez L. B. S., la période du N° I et pbs Ch., 
celle du N° IV sont trop grandes. j 

b) Durée dela vision de laigle. La période moyenne de 
la vision de l’aigle diminue en général si, dans la série I—VL l'on 
prend un dessin d’un numéro plus grand que celui du dessin donné: 
cependant la période du N° IV chez Ch. est trop petite. 

c) Période totale. La période totale de la vison diminue en 
général si l’on passe d’un numéro donné au numéro suivant. Mais, 
chez L. B. 8, la période du N° IV est égale à celle du N° III et 
la période du N° V est trop petite. 


Résumé. 


Remarquons d'abord que les résultats des deux premières séries 
présentent beaucoup d’analogie entre eux, tandis que ceux de la 


403 



























































DB S VII. Observation contrainte. 
On a noté les durées de la vision du magicien, 

Ne du Magicien | Aigle = 

A Gi We 
dessin | w |Max.|Min| E|N| M | Max.| Minh E N|z 
No I. 116.) 216 | 0-7 0:39 | 30-1} 5:65 | 10:27. 2:07 | 1:52 | 29 | 4 
N° Il. 088 | 1:48 | 0:59 | 016 28 549 | 123 all. 3:91 1.252, 4 
N° HLI 0:89 | 2:35 .| 0°68 | 222 | 31 | 436 | 11:03. 217 | 122 | 29 || A 
Ne EIV.l. 216 .| 4°18.) 101 | .0:57 | 28.11 418 4 652 | 173,1 111.1 27.1 4 
Noy. | 185. 37 | 072. 043 | 34 | 2:44 | 2:74 | 073.| 0:63 | 33 | 4 
No VL| 203 | 3°95 | 118 | 047 | 35 | 227 | 412, 107 | 047 | 30 | 4 
Baebes: VIII. Observation contrainte. 

On a noté les durées de la vision de l'aigle. 

N° du Mareıcien Aigle B 

5 TER T 
dessin || wv | Max. | Min. | E | N | M | Max. | Mi. | E | N' | z 
N° I. || 1:48 | 234 | 083 | 033 | 2 6:04 | 13:15 | 2:12 | 1:58 | 21 | 4 
N° II. | 1-05.| 1°74 | 0:78 | 012 | 25 || 513 | 1003 | 0:74 | 1:69 | 24 | 4 
No HL| 14 .| 308 | 0°71 | 0:25 | 18 | 498 | 1012 | 21 2 20 || 4 
N°. VL |. 1:6 9-38 | 0:03 | 0:28 | 27 | 8:68 | 1489 | 1:36 | 082 | 24 | 4 
N? V. 1924 3024 1 0:39 | 28 | 8:44 6:6 076 | 0:61 29 || 4 
No VL| 275 | 5:96 | 1:18 | 05442 3:46 | 10:21 | 0:52 | 074 | 25 || A 
EDS. IX. Observation contrainte. 












































Valeurs moyennes des périodes et des erreurs moyeunes 


dans toutes les expériences. 


















































No du Magicien » Aigle + 
dessin M E NM E N 

get | 132 | 03353] 5-84 | 158 | 50 | 716 
Nou. | 097 | 014 | 53 | 531 | 18 | 49 | 628 
No IIL| 114 | 023 | 49 | 467 | 161 | 49 | 581 
No IV.| 1:88 |. 041 | 55 ||.3-93 | 0:96 | 51 | 581 
Nev. | 1:89 | 041 | 62 | 2:93 | 0:62 | 62 || 4:82 
Ne VL| 232 | 05 |57 | 286 |.061 | 55 | 518 











404 











































































































Ch. ^X. Observation contrainte. 

On a note les durées de la vision du magicien. 
TFA l Magicien 1474.6 Ei 

è e e 7 n ae P a E > STI ` T 

Pas Ig | Max. | Mins | E | N| M | Max | Min. | E N = 
N° I. are 2 | 0:38 | 0:33 | 17 | 6:51 9:92 | 3 1°52 | 18 | 3 
N° II. | 144 | 3:02 | 047 | 0:62 | 20 | 5:67 | 12:19 | 241 LST Y ESSI 
No IIL| 197 | 342 | 05 | 05 |20 | 521} 909| 2:33 | 1-31 | 20 | 3 
N° IV. 3:16 | 6:54 | 121 | 1:03 | 24 | 3:49 566 | 1:5 0734 2103 
N° V. | 3°11 658 | 119 | 101 | 17 | 426 | 64 | 2:57 | 073 | 90 | 3 
N° VI. 2:99 | 532 | 086 | 0:79 | 21 || 3:9 594 | 2:98 07623 S 
Ch. . XI. Observation contrainte. 

On a noté les durées de la vision de l'aigle. 
N° du | Magicien A dete 
dessin À w | Max. | min! =°| m || M'| Max’! Min | 
= == T — : T 
No 1. | 2-94 | 402| 0:59 | 041 | 18 | 582 | 1029 | 255 
N°’ II. | 2:3 383 | 137, 037 | 20 | 54 969 | 1:58 
N° IIL. || 2:88 | 3:59" 1:95 0:27.21 18% 2:7 698 241 
N° IV. || 472 | 10°83 | 2:59 | 0:77 | 20 | 3:23 668 | 12 
N° V. | 3:05 | 611 | 121" 0:96 | 227] 8:96 578| 2:14 
N° VI || 428 | 826 194 | 12 21 3°16 805 | 0:9 
Ch. XII. Observation contrainte. 


Valeurs moyennes des périodes et des erreurs moyennes 


dans toutes les expériences. 





| = | 
| Aigle | 

















N° du | Magicien | 
dessin m Bow s 
No I. | 155 | 037 | 35 
N° IL. || 1-87 | 049 | 40 
No HIL| 24 | 0:36 | 38 
N° IV.| 394 | 09 | 44 
N° V. || 308 | 0:98 | 39 
N° vi.| 363 | 0-97 | 42 
| 


























405 


troisième série, comme on va le voir, sont tout à fait différents. 
Or, les deux premiéres séries donnent lieu aux remarques suivan- 
tes: 1° les régles générales concernant les relations des diverses 
périodes moyennes d'une méme table sont identiques pour la vision 
du magicien et elles sont contraires pour la vision de l'aigle. 2° les 
dessins N° I et N° IV présentent le plus grand nombre d’excep- 
tions, ils donnent souvent des périodes trop grandes (N? I) ou trop 
petites (N° IV) lorsque l'observation est contrainte. Ajoutons que 
la plus grande diflérenee des périodes qui se rapportent à deux 
dessins voisins est celle entre la période de la vision du magicien 
du N° IV et celle du N° IIT. 

En passant de lobservation libre à l'observation contrainte on 
eonstate chez Ch. l'augmentation de la période moyenne de la vi- 
sion du magicien. La moyenne des périodes moyennes de tous les 
dessins est: 

L. B. S. obs. libre 3:18; obs. contr. 1:59; Ch. obs. libre 1:93; 
obs. contr. 274. Les mêmes moyennes pour la vision de Faigle 
sont: L. B. S. obs. libre 1:64; obs. contr. 4:25; Ch. obs. libre 
1:73; obs. contr. 4:61. Ainsi, lorsqu'on passe de l'observation libre 
à l'observation contrainte on constate chez les deux personnes une 
augmentation de la vision de l'aigle. 


HI. Série. 


Si l’on fixe les yeux sur le sommet de la figure. on obtient des 
résultats inattendus. 
(Voir Tab. XIII—XVIII p. 406—407). 


a) Durée de la vision du magicien. Chez L. B. S. les 
périodes moyennes dela vision du magicien qui se rapportent aux 
N° T, IL IV, VI vont en augmentant, celles des N” II, II, V 
vont en diminuant. Ce que l'on constate chez Ch. peut paraitre 
invraisemblable: les périodes diminuent, avec une seule exception 
(la période du N° II est plus grande que celle du N? I) lorsqu'on 
passe d'un dessin donné au dessin d'un numéro plus grand. 

b) Durée de la vision de l'aigle. Chez L. B. S., les pério- 
des moyennes dela vision de l'aigle diminuent depuis le N? I jus- 
qu'au N? IV, et depuis le N° V au N° VI, mais la période du N° V 
est plus grande que celle du N° I. Chez Ch. les périodes des N° II, 
IV, V, VI vont en diminuant et celles des N° I, III, IV augmentent. 


406 


L.B.S- XII. On a fixé l'oeil sur le sommet de la figure. 


On a note les durées de la vision du magieien, 











H H | 4 Ai 
N° du e igle 





dessin Min. | E | N| M | Max | Min. | E 


M | Max. 











Ne I. | 1:63 | 548 | 0:35 | 078 | 36 | 3:43 | 576 | 084 | 0:82 
No, || 188 | 376 | 051 | 058 | 33 || 377 | 715 | 16 | 146 
No HL| 151 | 3:69 | 012 | 044 | 40 | 29 | 5:38 | 0:31 | 0:68 
No IV.| 287 | 647 | 0:13.) 0°84 | 35 | 227 | 55 | 0:13 | 0:57 
Nov, | 188 | #08 | 0:22 | 05 |25 | 417 | 7:38 | 012. 086 | 
No VL| 38 | 661 | 05 | 117 25 | 372 |. 717 | 099 | 082 | 


| 
j I 



































L. B. S. XIV. On a fixé l'oeil sur le sommet de la figure. 


On a noté les durées de la vision de l'aigle. 








No du | M a riie deen Aigle 





dessin | | 


M | Max. Min! E ,N | M | Max. | Min! E 











| 

nor. | 237 | 383 | 008 | 051 |34| 261 | 754 | 008 | 1-09 
Nom, || 398 | 6 | 0-09 | 086 | 34 | 114 | 244 | 018 | 037 
N° HL| 36 | 68 | 014 | 085 | 35 | 156 | 352 | 012 | 044 
No IV.| 328 | 718 | 012 | 078 | 29 | 1:44 | 375 | 018 | 043 
N° v. | 298 | 461 | 173 | 081 | 29 | 2:31 | 54 | 0:66 | 0-72 
No VL| 388 | 654! 14 | 093 | 25 | 259 | #37 | 073 | 0:65 


{| | 



































L.B.S. XV. On a fixé l'oeil sur le sommet de la figure. 
Valeurs moyennes des périodes et des erreurs moyennes 
dans toutes les expériences. 




















No du || Magicien | Aigle | = 
dessin IM E N M E N 

em J T - 
NY Lil 2 | 064 | 70 | 301 | 0:95 | 67 || 501 


No IL | 275 | 072 | 67 || 245 |. 076 |.67 | 52 
No IIL| 2:55 | 0:64 | 75 || 293 | 0:56 | 77 | &78 
No IV.| 3:09 | 081 | 64 | 1:86 | O5 | 66 | 495 
N° V. | 243 | 065 | -54 || 324 | 0-79 | 57 | 576 
No VL| 358 | 1:05 | 50 || 316 | 0-77 | 49 | 6:74 






































407 



















































































Ch. XVI. On a fixé les yeux sur le sommet de la figure 
On a note les durées de la vision du magicien. 
: m | | E 
N° du Magicien Aigle a 
i ü > "a 
een M | Max, | Min. | E |N| M | Max.| Min. | E |.N | 
NOT. | 276 | 551 | 0:57 | 079 | 32 | 4:57 9:07. 008| 12 | 35 | 4° 
N° II. | 385 | 666 | 04 1:06 | 22 || 482 | 8:38 | 221 | 1:12 | 22 | 4 
Kb d 358 | 7:84 | 021 | 111 | 26 | 452 | 1108 | 01 143 | 25 | 4 
No ıv.|| 2:83 | 534 | 077 | 1:05 | 26 | 504 | 10:68 | 218 | 081 | 24 | 4 
NOV. | 3:14 | 6:86 | 1:06 | 0:83 | 24 | 494 | 7 2:39 | 086 | 24 | 4 
NO VI.| 2:2 476 | 016 | 076 | 34 || 422 | 814) 006 | 1:58 |:32 | 4 
Ch. XVII. On a fixé les yeux sur le sommet de la figure. 
On a noté les durées de la vision de l'aigle. j 
No du Magicien Aigle 3 
e : = © 
dessin | w | Max. | Mi, | E |N| M | Max Min E. | N| zz. 
N° I. | 356 | 704| 0:43 | 1:18 | 30 | 373 | 989 | 1704 | 139 | 29 | 4° 
N° II. | 467 | 859 | 276 | 114 | 18 | 496 | 861 | 22 1 17 || 4 
No III.|| 438 | 1019 | 006 | 1:19 | 25 | 397 | 694 | 004 | 096 | 25 | 4 
N° 1V.! 485 | 1426 | 018 | 246 | 22 | 4:38 | 766 | 0°55 | 118 | 22 | 4 
Nov. || 338 | 898 | 0:66 | 1:06 | 23 | 434 | 812 | 011 | 139 | 28 | 4 
Ne VL| 326 | 529 | 104 | 077 | 26 || 445 | 83 145 | 082 | 27 | 4 
| 
Ch. XVIII. On a fixé les yeux sur le sommet de la figure. 
Valeurs moyennes des periodes et des erreurs moyennes 
dans toutes les experiences. 
No du Magicien Aigle 
dessin M VE N 
N° I. | 316 | 0:99 | 62 | 415 | 13 | 64 | 7°31 
N° IL. || 426 | 11 | 40 | 489 | 106 | 39 | 915 
No IIL| 398 | 1:15 | 51 | 424 | 119 | 50 || 822 
N° IV.| 384 | 176 | 48 | 471 | 1 46 || 8:55 
NOV. || 326 | 094 | 47 || 464 | 113 | 52 | 79 
N° VL| 273 | 076 | 60 | 434 | 12 | 59 | 707 
Bulletin III. 7 










































































408 


c) Periode totale. Chez L. B. S, la période totale augmente 
d'un numéro à lautre, mais les périodes des N** I et II sont plus 
grandes que les périodes des N° III et IV. Chez Ch. les périodes 
des N° II, IV, V, VI vont en augmentant. 

Ainsi, les résultats de cette série ressemblent peu aux résultats 
des séries précédentes, mais aussi les conditions des expériences 
y étaient beaucoup plus compliquées. Une hypothèse s'impose tout 
naturellement. Puisque la fixation des yeux sur un point du dessin 
entraine des modifications aussi prononcées dans les résultats des 
expériences, il semble que le phénoméne qui nous oceupe dépende 
probablement d'une manière ou d'autre des mouvements de l'oeil. 
Cette hypothése a fait lobjet d'une étude spéciale. Les expériences 
qui s'y rapportent étaient disposées de la maniére suivante. Trois 
aiguilles étaient placées sur une méme verticale. L'une enregistrait 
chaque cinquième de seconde à l'aide du chronométre de Jacquet, 
les deux autres remuaient sans bruit au moyen d'un mécanisme 
pneumatique. L’oeil de l'observateur (L. B. S.) était regardé à l'aide 
d'une lunette, pendant que l'observateur lui-méme enregistrait les 
périodes de la vision du magicien (N? I) La ligne verticale de la 
croix de la lunette était placée de maniére à étre tangente au bord 
extérieur de l'image de liris. De cette manière on pouvait observer 
les mouvements de l'oeil par rapport à cette ligne. La poire en 
caoutchouc était comprimée du moment où l'oeil se tournait à droite 
jusqu'au moment où l'oeil se dirigeait vers la gauche. On a enre- 
gistró ainsi 210 mouvements de l'oeil et 178 oscillations subjectives 
de la figure; or, ee n'est que dans un seul cas qu'on a observé la 
simultanéité de ces phénomènes. Dans 40 cas environ les deux ya- 
riations étaient presque simultanées. Nous pouvons done conclure 
quil n'y a pas de connexion immédiate entre les oscillations sub- 
jeetives du dessin N? I et les mouvements de l'oeil fixé sur le 
dessin. 

Observons que, pour les dessins N° IV et V, la période moy- 
enne de la vision du magicien est toujours plus grande que pour 
le dessin N° I. 


V. 


Pour répondre à la question si les oscillations dont il a été ques- 
tion plus haut.sont les mémes que les oscillations de type connu, 
jai fait des mesures des périodes 1? du rapproehement et de l'éloi- 


409 
gnement de la figure N° I, 2° de la réversion des modèles et 3° de 
la disparition d'un petit point lumineux. 


1. Rapprochement et éloignement de la figure N° I. 


Fixons les yeux sur la figure N? I et, oubliant ce qu'elle repré- 
sente, demandons-nous si elle se trouve plus prés ou plus loin de 
nous que le plan du dessin, c’est-à-dire si nous y voyons une con- 
vexité ou une coneavité. Une fois on y verra une convexité, une 
autre fois une concavité. Les périodes de ces oscillations ont été 
mesurées. On voit que les périodes moyennes qu'on a obtenues sont 


XIX. 
L. B. S. Expériences sur le rapprochement et sur l'éloigne- 
ment de la figure du N° I. 








Genre des Rapprochement Éloignement 





| 


notations M Max. | Min. E N M Max. Min. E N 


N. d’exp. | 
Wl 








On à note’ || 378| 707 079| 07 |201 347| #56| 207| 062|19| 4| — - 
e rappr. | ; 


ne 843/54 | 175| 0:64 119|| 318) 616| 16 | 07 |28| & | = 
oign. f 




















Valeur | | 
moyenne dans 36 | — | — | 067/39] 332| — — | 066) 42|) 8 | 692 


toutes les exp.| | | | 









































XX. 
Ch. Expériences sur le rapprochement et sur l'éloignement 
de la figure du N° I.’ 
































COE Rapprochement Éloignement D SCH 
notations | M | Max, | Min E INI M | Max. |Min.! E |N |z 
On a noté 1 k | TA E T SO 
Ee #29 | 991 | 1:97) 1:28} 1562. | 10:46 | 1611172 |15| 3 | — 
On a note \ h > : WS A Le : : 
l'éldigà: 582 | 1114 | 08 |184/18/|495| 812 | 1:37 | 1:82 | 15|| 3 | — 
D 
Valeur 
moyenne dans.505 | — — [156281558 — — |177 | 30| — || 10-63 
toutes les exp. : | 












































410 


presque les mêmes pour le rapprochement que pour l'éloignement 
de la figure, mais elles sont d'un type tout-à-fait différent de celui 
des périodes de la premiere série, 


2. Modéles. 


= J'ai employé trois modèles faits en fil de laiton. Le modèle fig. 10 
est composé de deux baguettes reposant sur la surface d’un cône 
et qui sont jointes par des cercles perpendiculaires à l’axe du cône. 
Le plus petit de ces cercles était le plus rapproché de l'observa- 





teur et posé parallèlement au plan frontal de celui ei. Le modèle 
fig. 11 est un fauteuil qui a été présenté de côté à l'observateur. 
Le modèle fig. 12 est un parallélépipède isolateral. Appelons pro- 
fondeur du modèle la distance des deux plans parallèles au plan 


Fig. 11. Fig. 12. 


frontal qui enferment le modèle et ont tout au moins un point com- 
mun avec lui. La profondeur du modèle fig. 10 était de 22 cm. 
environ, celle du modèle fig. 11 était de 7 em., enfin celle du mo- 
dèle fig. 12 était de 3 cm. Les conditions dans lesquelles se fai- 
saient les expériences étaient les mêmes que précédemment; cepen- 
dant, on prenait 1" 25, pour Ch., comme distance du modèle. Les 
variations de Ja localisation dans l’espace des parties de ces modè- 
les présentent deux types différents. Les réversions complètes ne 


411 


s’observent que rarement; on observe communément les deplace- 
ments perpendiculaires au plan frontal de diverses parties du mo- 
dele. Les oscillations des deux types ont été notées. 







































































XXI. 
LABS Modèles. 
On a noté les durées de la vision normale. 
Modèle Vision normale Réversion H 
A o Gei 
fig. | M | Max. | Min. E-|N| M Max | Min | EO! N Ie 
10 2°35 | 54 056 | 074 | 34 | 2°64 | 7:24 | 09 | 071 | 32 | 4 
11 363 | 803 | 27 082 | 15 | 315 | 565 | 14 093 | 14 | 3 
12 6:7 16-79 | 0:85 | 3°69.| 14 | 401 | 8:04 | 063 | 1°81 | 15 | 4 
XXII. 
L. B. S. Modèles. 
On a noté les Curées de la réversion. 
Modèle Vision normale Réversion 8 
pM Ei 
| M mer Min} E | RI M j Max. | Min. | E Iw | 











10 | 46 |11342| 062 | 122 | 30 | 232 | 72 096 | 071 | 28 | 4 
11 301 | 599 | 045 | 087 | 21 | 299 | 7-82 | 041 | 118 | 24 | 3 
12 81 |1887 | 251 | 212 | 15 | 437 | 11-64) 12 195 | 32 | 4 
































XXIII. 
Br Bis: Modeles. 


Valeurs moyennes des périodes et des erreurs moyennes 
dans toutes les expériences. 








; Vision normale Réversion 
Modele ! 


fig. 

















11 || 3:32 | 1:04 | 36 | 307 | 105 | > 6:39 
12. 4 74 | 2911.29 ATO | 1:95 EA 




















412 


XXIV. 
Ch. Modéles. 


On a noté les durées de la vision normale, ) 
























































Modèle | Vision normale | Réversion 8 
en A Ta | TE ET T 
feel ach | x kaafe Tanz anc dad JEN Le 
| | E ed It. a U | 
| ait | | | | 
10 | 49 |1336| 24 | 152 | 15 | 2-29 | 849 | 047 | 1:35 | 14 || 2 
i1 | 302 | 557| 122 | 0-74 | 20 | 2% 514 | 05 | 109 | 20|/'2 
12: $ 201|-97-| 111.) 043 | 22 || 174 2584 092 | 04 | 2 |3 
| | | | | | | H 
XXV. 
Ch. Modeles. 
On a noté les durées de là réversion. 
| deg gy 72 = | E 
Modéle| Vision normale | Réversion (B 
"NE. = s= - | 


M. | Maz. | Ming |) Eee a Min. mer E 














| | Pa el Al; aut sl, | st 
10 | 47. | 1114 | 1521 1:93 | 19] 181.| 848 | 01 | 072 | 20 | 2 
11, | 321 | 692| 13 lan |17| 282 | 465 | 098 | 07 |47 || 2., 
12. | 312| 5:18 | e 093 | 25|| 15 | 32 | 047 | 098 | 97 | 2 
| | | | | | | | I 
XX VI. 
Ch. Modèles. 


Valeurs moyennes des périodes et des erreurs moyennes 
dans toutes les expériences. 








- 

Modèle | Vision normale | Reversion hera 

fig. | | | | = 1 7 = E . L. 
| | 


10 | 445 | 172 |34 | 176 | 1-03 | 34 || 621 
11 | 344 | 092 | 37 || 288 | 089 | 37 || 599 
12 | 256 | 068 | 47 | 162 | 069 | 50 | 418 























L 


Pour Ch. les périodes moyennes de la vision normale dimi- 
nuent simultanément avec la profondeur des modèles. Pour L. B. S., 
la période moyenne de la vision normale est maximum pour le 
modèle fig. 12. Il importe de faire remarquer que pour L. B. S., 
les réversions completes du modéle fig. 10 étaient extrémement 


413 


rares, & ce point que souvent aucune ne se produisait pendant 
toute la durée d'une expérience et que l’on n'observait que les 
déformations partielles du modèle. Si l'on compare les résultats de 
cette série à ceux que l'on a obtenus dans les expérienees sur les 
variations des dessins N° I—VI on constate qu'il n'y a aucune 
ressemblance entre ces résultats. 


3. Point lumineux. 
Les périodes moyennes de la disparition d'un point lumineux 
qu'on a trouvées pour L. B. S. (distance 1" 20) ne semblent pas 
comparables aux périodes des variations dont il a été question plus 


XXVII. 
L.S.B. Disparition périodique d'un petit point lumineux. 


On-a noté les durées de la disparition. 








T | : SEN EH 
Vision | Disparition x 





1 ` | T 5 || os 
M | Max.| Min. | E N| M | Max. Min | E | Nig 


Nombre 
de degrés 








400 logs 2:66 | 005 | O41 |14| 8-81 | 2522 | 092 | 5:36 |18| 5 lan 
50° || 3:06 | 68 | 00% | 078 |19| 462/148 | 054 | 215 | 25) 6 |7:68 
70° || 75 | 914, 092 | 1-44 |21| 184 | 714| 031 | 076 |26| 6 |559 
90° | &u8 | 18:82 | 0:18 | 2:34 |30| 089 | 356 | 0:07 | 0-79 |37 | 7 |6:97 


| 
| | 
i | | 


















































haut. Les nombres exprimés en degrés dans la table représentent 
l'intensité relative de la lumière employée dans les diverses expé- 
riences, 0° designant le minimum et 90° le maximum d’intensite. 


NE 


De toutes nos experiences nous pouvons conclure que les dessins 
de la série N° I—VI présentent une catégorie nouvelle d'images 
oscillantes dont les périodes ont un caractère différent de celles des 
oseilations connues. Je me borne à rapporter ces résultats sans 
essayer d'en donner une théorie. Leur explication exigera sans aucun 
doute des travaux plus approfondis. 

Les recherches que nous venons de résumer ont été exécutées 
au Laboratoire de Psychologie Expérimentale de l'Université de 
Cracovie. 


Nakladem Akademii Umiejetnosei. 


Pod redakcya 
Sekretarza Wydziału matem.-przyıod. Władysława Natansona. 


Kraków, 1909. — Drukarnia Uniwersytetu Jagiellońskiego, pod zarządem J. Filipowskiego. 


3 Kwietnia 1909. 






















BULLETIN INTERNATIONAL 


DERNIERS MÉMOIRES PARUS. 
(Les titres des Mémoires sont donnés en abrégé). 


Mineralogie; Géologie etc. 


*K. Olszewski. Die Verfliissigung der Gase 

K. Jablezynski. Katalyse in heterogenen Systemen . : 

M. Dziurzynski. Umlagerung des Diphenylhydrazophenyls unter der 
— Einwirkung von HCl N 

J. Lewinski, Depöts jurassiques ate EE 

. Z. Klemensiewiez. Antimonchlorür als ionisierendes EE 
K. Jablezynski. Kinetik der Folgereaktionen . 

K. Jablezynski. Rührgeschwindigkeit und SE 
K. Kling. O-, m-, p-Tolyläthylalkohole .. . 
A. Korczynski. Anormale Salze ol AN D RE ee 
J. Buraezewski, T. KoZniewski. Jodderivate des Strychnins etc. 
F. Kamienski. Microphotographie stéréoscopique . 

J. v. Kowalski. Beiträge zur Kenntnis der Luminiszenz 

L. Natanson. Elliptic polarization of light transmitted Kb an 


E absorbing naturally-active medium 
- €. 6. Wilenko, Z. Motylewski. Wirkung von Na Se dents 
= in der Lösung in Amylalkohol 
L. Gosiewski. Sur la moyenne arithmetique et Si loi de ondes 
: St. Loria. Die Dispersion des Acetylens und Methans e 
= J. Morozewiez. Über Hatchettin von Bonarka bei Krakau . 

= W. hozinski. Mech. Verwitterung d. Sandsteine im gemäss. Klima 
L. Natanson. Elliptie polarization of light transmitted through an 
absorbing naturally-active body. Supplementary Note 
“S. Zaremba. Calcul numérique des fonctions demandées dans le Pro- 
blème de Dirichlet et le Problème hydrodynamique 
St. Loria. Die Dispersion des Äthylens und Äthans 
J. Morozewicz. Gewinnung seltener Erden aus Mariupolit 
Br. Radziszewski. Sur les glyoxalines : 
2. Jakubowski, St. Niementowski. Säuren des 88- Dineh : 
L. Bruner, J. Vorbrodt. Einfluß der Lösungsmittel auf die Vertei- 
Inne derIsomere 52.0. C ay es e ER DON NC td 


* Ce Mémoire se vend aussi séparément. 


A). Mathématiques; Astronomie; Physique; Chimie; 


Mai 
Mai 


Mai 
Mai 
Juin 


Juill. 


Juill, 
Juill. 
Juill. 
Juill. 
Juill. 
Oct. 


Oct. 


DE L'ACADÉMIE DES SCIENCES DE CRACOVIE 
CLASSE DES SCIENCES MATHÉMATIQUES ET NATURELLES. 


1908 
1908 


1908 
1908 
1908 
1908 
1908 
1908 
1908 
1908 
1908 
1908 


1908 


1908 
1908 
1908 
1908 


. 1909 


. 1909 


. 1909 
. 1909 
« 1909 
. 1909 
. 1909 


. 1909 





~ 


B). Sciences biologiques. 


Ed. Janczewski. Anthères stériles des groseilliers 

B. Namyslowski. Wawelia regia nov. subfam. gen. sp. x 

H. Zapalowiez. Revue critique de la flore de la Galieie. XIV 

€. Rouppert. Discomycetum species novae tres : 

P. Wisniewski. Fruchtform bei Zygorhynchus Moelleri. Vuil. aks 

M. Siedlecki. Der javanische Flugfrosch (Rhacophorus reinw.) 

B. Konopacka. Gestaltungsvorgänge d. zentrifugierten Froschkeime 

H. Wielowieyski. Morphologie und Entwicklungsgeschichte des In- 
sektenovariums. Dritte Mitteilung Ba 

K. Bialaszewiez. Wachstumsvorgänge bei Amiens 

St. Bondzynski, V. Humnicki. Verhalten von Salol und Distearyl- 
salizylglyzerid im Organismus e e SÉ 

W. Gawinski. Ausscheidung von Proteinsäuren im Harn . 

A. W. Jakubski. Stützgewebe des Nervensystems im vorderen EH 
hinteren Körperende der Hirudineen ete. . 

St. Kopeć. Entwicklung d. Geschlechtscharaktere bei o Mentre: 

R. Minkiewiez. Synchromatisme de Hippolyte varians Leach. 

S. Krzemieniewski. Untersuchungen über Azotobacter chroococcum 
Beij. hor . : J at 

J. Niedzwiedzki. Eine neue miozäne katetoa Ostia Bosnie 

A. Maciesza. Anthracose des poumons et des organes abdominaux 

A. Maciesza. Augeborene abnorm weite Foramina parietalia 

St. Kozlowski. Verhältnisse von anorganischen Basen zu Säuren 
im normalen Menschenharn dt 

A. Tysowski. Zur Kenntnis des ER SC seiner Boite 
gen zur Schwimmblase bei den Clupeiden 

E. Kiernik. Chilodon hexastichus nov. sp. ; 

St. Welecki. Einfluß d. Adrenalins auf CO,- und red 

K. Kostanecki. Einleitung d. künstlichen Parthenogenese bei Aricia 

W. Friedberg. Gattung Turritella im Miozän von Polen 

M. Raciborski. Einige javanische Uredineae GK: SE 

M. Raciborski. Fossile Pangiumart aus dem Miozän ege a 

J. Hirschler, Entwicklung der Keimblätter und des Darmes bei Ga- 
stroidea viridula Deg. (Coleoptera) . 


Juill. 


Juill, 


Juill. 
Juill, 


Juill. 
Juill. 
Juill. 


Juill, 


Oct. 


Nov. 
Nov. 


Nov. 
Nov. 
Nov. 


Nov. 
Déc. 
Dee. 
Dee. 


Janv. 


Janv. 1 
Janv. 
Janv. 
Févr. 
Févr. 
Févr, 
Févr. 


Févr. 


N 


Les livraisons du Bulletin Int. se vendent séparément. Adresser les ` 


demandes à la Librairie »Spółka Wydawnicza Polska«, 
Cracovie (Autriche). 


` 











- BULLETIN E A 
DE L'ACADÉMIE DES Ee 


DE CRACOVIE. 





|... CLASSE DES SCIENCES MATHÉMATIQUES ET NATURELLES. 
E : : es + K 
A Bo DER | - / 
AKADEMIE DER WISSENSCHAFTEN 
E TE IN-KRAKAU. 
= MATHEMATISCH - NATURWISSENSCHAFTLICHE KLASSE. 
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= | 
SE p CRACOVIE 
MEE IMPRIMERIE DE L'UNIVERSITÉ 


ES 1909. 











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k 


L'ACADÉMIE DES SCIENCES DE CRACOVIE A ÉTÉ FONDÉE 


PROTECTEUR DE L'ACADÉMIE: 
S. A. I. L'ARCHIDUC FRANCOIS FERDINAND D'AUTRICHE-ESTE 


* a " 
iff ud gek 


VICE-PROTECTEUR: Vacat. 2 


PRESIDENT: S. E. M. LE COMTE STANISLAS TARNOWSKI. 


SECRÉTAIRE GÉNÉRAL: M. BOLESLAS ULANOWSKI. 


EXTRAIT DES STATUTS DE L’ACADEMIE: l 


(§\2). L'Académie est placée sous l’auguste patronage de Sa Majesté Im- 
périale Royale Apostolique. Le Protecteur et le Vice-Protecteur sont nommés par 
S. M. lEmpereur: ) 
(S 4). L'Académie est divisée en trois classes: 
a) Classe de Philologie, à; | 
b) Classe d'Histoire et de Philosophie, SE 
c) Classe des Sciences Mathématiques et Naturelles. 

(§ 12). La langue officielle de l'Académie est la langue polonaise. 





Depuis 1885, l'Académie publie, en deux séries, le „Bulletin International‘ ` 
qui parait tous les mois, sauf en aoüt et septembre. La premiere série est con- 
sacrée aux travaux des Classes de Philologie, d' Histoire et de Philosophie. La se- 
conde est consacrée aux travaux de la Classe des Sciences Mathématiques et Na- 
turelles. Chaque série contient les procès verbaux des séances ainsi que les résumés, 
rédigés en français, en anglais, en allemand ou en latin, des travaux présentés 
à l' Académie. = < 


Publié par l'Académie - - 
sous la direction de M. Ladislas Natanson, 
Secrétaire de la Classe des Sciences Mathématiques et Naturelles. 


Naktadem Akademii Umiejetnosci. 
Krakow, 1909. — Drukarnia Uniwersytetu Jagiellofiskiego pod zarzadem Jözefa Filipowskiego. 


JUL 221909 


BULLETIN INTERNATIONAL 
DEVACADE MIE DES SCIENCES DEUCRACOVIE. 











Sommaire: 23. R. GUTWINSKI. Flora Algarum montium Tatrensium. 
24. S. ZAREMBA. Sur l'unicité de la solution du probleme de Dirichlet. 
25. S. KREUTZ. Kristallisation von Salmiak. 
26. A. KORCZYNSKI. Über anormale Salze. II Teil. 
27. J. KOZAK. Über die Wirkung des Kaliumhydroxyds auf das Acetyl-ps- 
Isatin- Dioxim. ; 
28. J. BURACZEWSKI und M. DZIURZYNSKI. Bromierung des Strychnins, 
Brucins und anderer Alkaloide. I Teil. 
29. ST. MOSTOWSKI. Uber das Verhalten von Glukoso-Phenetidid und Te- 
tracetyl-Glukoso-Phenetidid im tierischen Organismus. 
30. A. DZIERZBICKI. Einige Beobachtungen über den Einfluß der Humus- 
stoffe auf die Entwicklung der Hefe und auf Alkoholgärung. 
31. N. CYBULSKI und J. DUNIN-BORKOWSKI. Einfluß von Membranen 
und Diaphragmen auf elektromotorische Kräfte. 
32. J. JAROSZ. Stratigraphie des Kohlenkalks in der Umgebung von Krakau. 





Seance du lundi I Mars 1909 [Suite et fin !)]. 


23. Flora glonów tatrzańskich. — Flora Algarum montium 
Tatrensium. — Mémoire de M. R. GUTWINSKI, présenté par 
M. J. Rostafinski m. t. 


(Accedunt tabulae duae: VII et VIII). 


PARS I. 
A. De situ et natura montium Tatrensium. 


Media in parte Carpathorum montium, quae ad occidentem spe- 
etat, inter 499 5’ 40" et 49° 19' 35" septentrionalis latitudinis atque 
inter 37? 13' 15" et 319 58' 40" orientalis longitudinis a F., Tatren- 
ses montes continui (vertice Gerlach) ad 2663 m s. m. assurgunt 
atque a fluvio Orava usque ad vallem Cepusiensem in orien- 
tem porriguntur. Longitudo montium Tatrensium a Siwy Wierch 
(1806 m s. m.) ultimo vertice, qui ad occasum prospectat, usque ad 
portas montium, quae Zdzarska przełęcz appellantur, 52:5 km efficit, 
maxima autem latitudo inter vieos Szezyrba (Csorba) et Mur 
Zasichle 17 km non egreditur?) Iugum prineipale lineam anfra- 


1) Voir ce Volume, page 311. 

*) Rehman A. Ziemie dawnej Polski i sasiednich krajów słowiańskich opi- 
sane pod względem fizyezno-geograficznym. Cz. I. Karpaty. Lwów 1895. 

Bulletin III. Avril. 1 


416 


ctam efficit, in septentriones et meridiem iuga brevia vallibus dis- 
iuneta emittit hoe modo, ut septentrionalia meridionalibus in iugo 
principali nusquam fere occurrant. Haec iuga brevia, quod ad for- 
mam attinet, iugo principali plane similia sunt, costaeque eorum 
vallibus minoribus secernuntur. 

Medulla montium Tatrensium ex granitibus composita, quae 
saxa in parte ad meridiem spectanti nullis aliis saxis obteguntur. 
In parte ad oecasum vergenti (a deflexione iugi Liliowe dicta 
1981 m s. m. ad occidentem) gneysibus et saxis fissillibus crystalli- 
nis, quae in meridie in vallem Cepusiensem-Liptoviensem descen- 
dunt, in parte autem, quae ad septentriones spectat, saxis sedimen- 
tariis praecipue calcibus (et dolomitibus) oceultantur. Quae calces 
montibus Tatrensibus in parte eorum septentrionali formam montium 
ealeariorum propriam et peculiarem dederunt. Saxa ealearia ab 
Siwy Wierch (1806 m s. ml quod cacumen in Orava situm est, 
usque ad Bujaezy Wierch (Stirnberg 1947 m s. m.) montem in co- 
mitatu Cepusiensi situm continuo extenduntur et solum rivis in 
Tatrensibus montibus nascentibus erosa et perfossa sunt. Quod 
autem a principali iugo remota sunt, eo fit, ut brachia horum men- 
tium septentrionalia partim ex granitibus vel saxis fissilibus ery- 
stallinis partimque ex calcibus composita sint. 

Montes Tatrenses aquis omnium iugorum, quae Carpathos mon- 
tes efficiunt, locupletissimi sunt. In parte septentrionali Bialka, 
Bialy et Czarny Dunajee aquas in fluvio Dunajec iungunt, Oravi- 
ca autem atque Studeny in flumen Oravam influunt. In parte me- 
ridionali Biala Zdzarska (Béla in charta milit), Biala Koperszadzka 
(Weisswasser)  Kamienisty (Steinbach) Zimna Woda (Grosser 
Kolbach)  Wielieki (Felkabach), Batyzowiecki, Poprad. Mlyniea 
aquas in fluvio Poprad iungunt, ex rivis: Bialy Wag, Biala Kry- 
wanska (Bela), Raezkowa, Smreezanka, Jalowicki flumen Wag nascitur. 
Qua re fit, ut et ex parte montium Tatrensium, quae ad septentriones 
spectat, et ex parte, quae in meridiem vergit, flumina partim ad mare 
Balticum, partim ad Pontem Euxinum aquam volvant iugumque Ta- 
trense magno divortio aquarum Europaeo in transversum scissum sit. 

Praeter rivos commodum enumeratos multis cum minoribus 
rivulis affluentibus et numerosos minores fontes, quorum fontem 
,Lodowe* sub claustris Zawrat 1820 m s. m. dictis situm, cuius 
aqua temperaturam ca. 2190 possidet, hie commemorare volo, 
montes Tatrenses fontibus maioribus, qui „wywierzyska“ appel- 


417 


lantur copiamque aquarum vehementer in superficiem terrae eiciunt, 
abundant. Hie adnumerantur: fons „Lodowe“ in planitie quadam 
vallis Koseieliska situs (967 m s. m.) eximiam copiam aquarum, 
quarum temperatura 4 41°C est, eiciens, fons rivi Biały D u- 
najee supra Kuźnice in valle Bystra situs, fons ad deflexionem 
iugi, quae Goryezkowa przełęcz appellatur, fons in valle 
Olezyska. Etiam thermae Jaszezurówka, quarum temperatura 
prius + 20°C erat, nune autem, cum fons alius frigidus ex latere 
in eas influxerit, tantum — 16:5? C metitur, visu dignae sunt. Hae 
thermae deversoribus, qui in Zakopane menses aestivos agunt, bal- 
neis sunt. 

Praeterea numerosae catarractae, quae ex inaequali descensu val- 
lium. Tatrensium et ex liminibus, quibus singulae partes vallium 
disiunguntur, naseuntur, res observatione dignae sunt. Maxima earum 
„Siklawa“ catarracta aquas lacus „Wielki staw“ (unius ex „Quin- 
que Polonicis lacubus“) in praeceps 67 m altum mittit, catarractae 
Mickiewiezii (ca. 1115 m s. m.) atque ,Siklawica“ (1095 m s. m.) 
in valle „Strążyska“, cuius pars superior 9:8 m inferior autem 
12:9 m alta est. in parte montium Tatrensium ad septentriones ver- 
genti, catarractae autem in valle „Zimna Woda“ (Kolbach) in 
parte, quae ad meridiem spectat, sitae sunt. 

Sed montes Tatrenses cum aliis montibus Europae centralis com- 
parati facillime dignoseuntur tantá copia laeuum, ut paeninsula Scan- 
dinaviea atque Finlandia solae hae re montibus nostris anteeant. 
In amplitudine enim montium Tatrensium, quae ca. 150 km ? explet, 
112 lacus, quae stagna (stawy) appellantur, exsistunt, totidem aquis 
iam privati atque in loeos paludosos, turfosos transformati seu 
prorsus exsiecati sunt. Hic eos tantum lacus commemorabo, ex 
quibus speeimina algarum sumpsi. Atque in valle „Gasienico- 
wych stawów“: „Czarny staw“, cuius superficies 22:81 ha me- 
titur, 1626 m s. m. situs, 47 m altus est. Aquae eius mensibus 
aestivis in superficie ca. 4 10°C temp. praebent, cum temp. aëris 
ca. + 899 C est. (Summa temp. aëris 18. VIII, 1892, 12:5" p. 
meri 199 ( ima, autem..25:,VII, 1892. 10:25 Tanim — 439). 

„Zielony staw“ 16751) m s. m., 145 m altus, 3°45 ha continet. 
Temp. aquae = 4 11°C (die 20. et 28. IX. 1892). 


1) Birkenmajer L. O stosunkach temperatury glebokich jezior tatrzan- 
skich 1901. Kraków. Rozprawy Akad, Um, Wydz. mat.-przyr. t. X., pag. 186—441. 


1* 


418 


„Dwoisty staw“ 1648 m s.m., euius altitudo ignota est, super- 
ficies = 12 ha. 

„Długi (v. Kuklaty) staw“ 1790 1) m s. m. Altitudo eius = ea. 
7 m, superficies autem — 1°52 ha. 

,Kurtkowiec^ 1701 m s. m.; superficies eius = 1°74 ha. 

„Sobköw staw“ 1628 m s. m. 

„Zmarzły staw“ supra „Czarny staw“ 1795 1) m s. m. Altitudo 


eius = 4 m — 5 m, superficies = 0:21 ha. 
In valle „Pięciu Polskich stawów“ (Quinque Polonieorum sta- 
gnorum): „Przedni staw* 1672 m s. m., altitud. = ca. 28 m (30 m 


indicat Dziewulski), superficies eius = 7'7 ha. temp. aquae (VII 
et VIII mensibus) = + 1077? C. 

„Wielki staw* 1669 m s. m., altitud. = 78 m, superficies = 
34-84 ha, temp. aquae (iisdem mensibus ut supra) = + 10:1? C. 
„Mały staw“, cuius altit = ca. 2 m, superf. = ca. 0:25 ha. 

„Czarny staw“ 17571) m s. m., temp. aquae (iisd. men. u. s.) = 
+ 11:06? C. 

„Zadni staw^ 1889 m s. m, superf. eius = 5'6 ha, temp. 
aquae = ea. 8:69 C. 

Deinceps lacus „Morskie Oko“ 1384 m s. m., altid. eius 


45 m (48 m?). superfic. — 33 ha. Temp. aquae media diurna — 
+ 12:89 C, temp. autem aéris = 104°C; aéris temp. med. anni = 


+ 2:89 C, aestatis autem (mens. VI—VIII) = + 12-15? C. 

.Czarny staw^ supra lacum Morskie Oko situs, 1588 m s. m. 
Altit. eius = ca. 75 m, superficies autem — 21:32 ha. Hie lacus 
diebus longis aestivis tantum per 5 horas insolatur, a mense Octobri 
ad Martium constanter obumbratur aquisque affluentibus perfrigidis 
nutritur. Quo fit, ut temperatura aéris in convalle sua eum temp. con- 
vallis lacus prioris comparata ca. 1:29C, aquae autem 2:59C differat. 

In valle „Za Mnichem“ ad deflexionem iugi, quae „Wrota 
Chałubińskiego“ dieitur, parvus lacus (innominatus) ca. 2000 m s. m. 

In valle „Sucha Woda“: ,Toporowy staw^ 1095!) m s. m. 

In valle „Kościeliska“: ,Smreezyüski staw^ 1226 m s.m., su- 
perf. eius = 0'84 ha. Demum lacus ,Szezyrbskie* 1351 m s. m., 
cuius altit. maxima — 19 m, superficies autem — 20:4 ha. 

Aqua lacuum Tatrensium pellueida, eolor eius autem smaragdinus 


1) Birkenmajer L. O stosunkach temperatury- głębokich jezior tatrzan- 
skich 1901. Kraków. .Rozprawy Akad. Um. Wydz. mat.-przyr. t. X., pag. 186—411. 


419 


est et cum altitudine aquarum in nigrum mutatur, lacus Alpium mon- 
tium aquam intense caeruleam habent. Color aquae praecipue lacuum 
vallis „Gasienicowych stawów“ ad ripas et nonnullorum aliorum 
lacuum omnino ferrugineus — ruber est; id ferrum hydroxyda- 
tum efficit, quo saxa submersa obteguntur. 

Nonnullis exceptis omnes lacus Tatrenses in epocha glaciali 
orti sunt veteresque moles nivium frigoribus eonglaciatas signifi- 
cant. Nives perennes montibus Tatrensibus desunt; parvi enim 
campi nivei, qui locis praecipitibus saxis obtectis in summo iugo 
inveniuntur, cum tegumento nivali aliorum montium altorum Euro- 
pae comparati nullo sunt numero. 

Aquae coelestes in montibus Tatrensibus ecpiosiores sunt aesta- 
te quam hieme D: qua re fit, ut his montibus fines perennium ni- 
vium desint, qui fines epocha glaciali hie in altitudine 1500 m in- 
veniebantur. 

Flora phanerogama montium Tatrensium has regiones format:?) 


1. Regio eampestris (Avena sativa, Solanum tube- | (regio 
rosum) 700—1122 m | subtatrensis). 

2. , Fagi et Abietis 1122—1260 m | (regio 

3. „ silvarum Piceae excelsae 1260—1561 m | silvarum). 

4. , Pini pumilionis densae et altae 1561—1189 m | (regio subalp. 

a »  dissipatae et humilis 1789 —1960m | pascuorum). 

6. „ superior alpina (sine Pin. pum.) 1960—2250 m | (regio 

7. , laciniarum nivalium 2250—2663 m | saxorum). 


B. Qui viri docti quosque libros de algis mon. Tatr. 
adhue scripserint atque quae loca ipse algas legens 
pervestigaverim. 


Algae Tatrenses nondum accuratius eognitae sunt. Quantum 
ego in literis algas traetantibus inveni, prima mentio algarum 
Tatrensium apud Kalehbrennerium?) invenitur, qui 10 species 
in montibus Tatrensibus inventas sine designatione locorum indi- 


1) In Zakopane mensibus 1V—IX 715 mm. mensibus autem X— III 320 mm. 

? Kotula B. Distributio plantarum vasculosaram in montibus Tatricis. 
Sumptibus Acad, Literarum Cracoviensis. Cracoviae 1889—1890. 

3) Kalehbrenner L. A szepesi moszatok jegyzéke. Math. Term. .Közleme- 
nyek Magy. Tud. Akadem. IV kötet, 1865—1866. Pest 1866. Pag. 343—365. 


420 


cat. Hae sunt: Æpithemia Argus (Ehrb.) Kuetz., Gleocapsa fusco- 
lutea Naeg., Phormidium Boryanum Kuetz. („a Täträn, a Krivän“), 
Nostoc macrosporum Menegh., Palmella mucosa Kuetz., Hydrurus 
irregularis Kuetz., Prasiola Sauteri Menegh., Gloiotila ferruginea 
(Ehrb.) Kuetz., Lemanea torulosa (Roth) Ag. b. frigida = L. Kalch- 
brenneri Al. Braun in Rabenh. Exs. 834., Chroolepus Jolithus (Linn.) 
Ag. Postea I. Schumann!) 205 species diatomacearum Tatren- 
sium publieat. qui numerus a me?) ad 237 auetus est. Anno 1883. 
dissertatio Professoris Dris J. Rostafinskii „Hydrurus i jego 
pokrewieństwo 3)“ in lucem prodit, eam dissertatio, quae „Sphaero- 
gonium 4)“ inscribitur, sequitur. Hoe in libello auctor 7 species 
generis Sphaerogonium descripsit atque 8 species aliarum alga- 
rum commemoravit. Deinde dissertationes M. Raciborskii5) 
floram algarum montium Tatrensium 50 speciebus auxerunt. Prae- 
terea anno 1886. Prof. V. B. Wittrock®) novum genus in lacu, 
qui Szezyrbskie appellatur, inventum deseripsit. 

Ipse montes Tatrenses, quod ad algas pertinet, mense Iunio 
1899. anno penetrare inceperam et has microscopicas plantulas 
usque ad finem mensis Augusti collegeram. Annis insequentibus 
in excursionibus complurium dierum has partes montium nostro- 
rum scrutatus sum, quas anno 1899. omiseram, atque die 13. Au- 
gusti mensis anno 1903. finem legendi feci. Praeterea professor 
Ignatius Król, colleza meus, 8 specimina benevolentissime mihi 
permisit, quorum tria algas ex his laeubus vallis Quinque Poloni- 
corum stagnorum continebant, in quibus ipse algas non collegeram. 


1) I. Schumann. Die Diatomeen der hohen Tatra. Verh. d. zool. bot. Gesell. 
Wien. 1867. 

2) R. Gutwinski. Przyczynek do znajomości okrzemek tatrzańskich. (Bacil- 
lariaceae tatrenses), Spraw. Kom, fiz. Akad. Um., tom XXII. Kraków 1888. 

3) Rozpr. Wydz. mat.-przyr. Akad. Um. Tom X, pag. 60—86. Kraków 1883. 

4) Ibidem, pag. 280—305. 

°) M. Raciborski. De nonnullis desmidiaceis novis vel minus cognitis, quae 
in Polonia inventae sunt. Pam. Wydz. mat.-przyr. Akad. Um., tom X. Kraków 


1885. 


Idem, Materyały do flory glonów Polski. Spraw. Kom. fiz. Akad. Um., tom 
XXII. Kraków 1889. 

Idem, Przegląd gatunków rodzaju Pediastrum. Rozpr. Wydz. mat.-przyr. 
Akad. Um., tom XX. Kraków 1889. 

Idem, Desmidye nowe. Pam. Akad. Um., tom XVII. Kraków 1889. 

5) V. Wittrock. Om Binuclearia et nytt Confervacé-slägte. Bih. till k. 


Svens. Vet.-Ak. Handi Bd. XII. Afd. III. Nr. 1. Stockholm 1886. 
t 


421 


Specimina, quibus ad hane rem conseribendam usus sum, his 
locis sumpta sunt: 

I. Vallis Kościeliska: 1. In fonte „Lodowe“ appellato (967 m 
s. m.). 2. In rivo prope viam in „Cracoviam Tatrensem“ (ca. 1300 m 
s. m.) 3. In lacu ,Smreczynski staw“ (1230 m s. m.). 

II. Vallis „Mala Laka“: 1. Ad ostium vallis. 2. In uvidis ad 
ripas rivi. 3. In uvidis ad rivum prope viam in ,Przyslop Mietusi“. 
4. Ad saxa in rivo (Haee 4 specimina leg. prof. I. Kröl). 5. In 
rivo ad viam ex valle ,Mietusia^ exeuntem. 6. Locis uvidis, mu- 
scosis ad dextram viae, quae in plateam „Koscieliska“ ducit. 

III. Vallis „Strążyska“: 1. In rivo prope saxum Jelinekii. 2. In 
rivulo qui ad dextram rivi in eum influit prope pratum „hala 
Strążyska“. 3. Ad saxa aquis catarractae ,Siklawica“ irroratis. 4. 
In catarracta ipsa. 

IV. Ad Kasprusie: in pratis prope ostium vallis commodum 
commemoratae. 

V. Vallis „Ku Dziurze“: in saxis rivo submersis in parte su- 
periore vallis. 

VI Vallis „Białe“: 1. In saxis rivo submersis. 2. In parietibus 
vallis, qui ad orientem spectant aquisque lenissime defluentibus 
irrorantur. 

VIL ,Antolówka* collis: in uvidis declivitatis supra hortum 
„Park“ appellatum. 

VII In silva inter plateam nominis Chalubinskii et viam „Na 
Koziniec“. 

IX. In Bahledöwka. 

X. Prope collem „Koziniec“ : locis uvidis graminosis partimque 
muscosis aqua leniter fluenti irroratis (ca. 800 m s. m.). 

XI. Vallis „Bystrej“: 1. Ad saxa in rivo rapidissime fluenti in 
Kuzniee. 2. In fonte („wywierzysko“) rivi Bystra ad „Kalatöwki“ 
(1745: m... m.). 
= XII In fossis ad viam publicam inter „Bystre“ et ,Jaszezu- 
röwka“. 

XIII. In Jaszezurówka: in aquis e thermis defluentibus. 

XIV. In pratis uvidis, museosis prope montem Nosal. 

XV. Vallis „Olezyska*: 1. Locis uvidis, muscosis ad silvam 
eaesam iuxta rivulum in rivum Oleza ex sinistra influentem. 2. In 
fonte (,wywierzysko^) rivi Oleza. 3. Ad saxa in rivo Oleza Hy- 
druro obtecta. 


422 


XVI. „Toporowa Cyrhla“: in declivitate juxta viam publicam 
ex Jaszezuröwka ad Roztoka ducentem. 

XVII. In lacu ,Toporowy staw“. 

XVIII. Prope locum ,Capówka* appellatum, locis uvidis silve- 
stribus ad dextram viae supra (XVI) citatae. 

XIX. Vallis „Gasienicowych stawów“: 1. Ad saxa aquis leniter 
defluentibus irroratis ad sinistram viae ex „Hala Gasienicowa“ 
versus lacum ,Ozarny staw“ ducentis. 2. In lacu Czarny staw: 
æ) in ostio, B) ad ripas prope casam „Schronisko“, y) inter Spha- 
gna in regione insulae, 5) in aquis ex lacu decurrentibus infra 
molem. 3. In lacu „Sobków staw“. 4. Inter saxa in aquis inter 
laeum commodum dictum et „Zielony staw^ defluentibus. 5. In lacu 
Zielony staw. 6. Inter saxa in aquis e lacu „Dlugi staw“ defluen- 
tibus supra lacum ,Kurtkowiee^ (ca. 1700 m s. m.) 7. In lacu 
„Dwoisty staw“. 8. In lacu „Długi („Kuklaty“) staw“. 

XX. In eatarraeta inter lacum ,Zmarzly staw^ (1791 m s. m.) 
et ,Ozarny staw Gasienieowy^ (leg. prof. I. Król.). 

XXI. In fonte „Lodowe“ ad viam in „Zawrat“ (1820 m s. m.). 

XXII. In aquis, quae ex nivibus iuxta flexionem iugi „Zawrat“ 
sitis defluunt (ca. 2100 m s. m.). 

XXIII. Vallis „Pięciu Polskich stawów“: 1. In scrobiculis tur- 
fosis ad radices montis „Kozi Wierch“. 2. In scrobiculis et locis 
aquä leniter defluenti irroratis supra lacum „Zadni staw“ (ca. 1900 m 
s. m.). 3. Locis irroratis supra lacum „Ozarny staw“ (ca. 1800 m 
s. mi 4. In lacu „Wielki staw“ 1) loco, ubi aquae ex lacu decur- 
runt (1669 m s. m.) 5. In lacu „Mały staw“ 1) 6. In lacu „Przed- 
ni staw“ 1) in parte lacus, quae ad orientem vergit (1672 m s. m.). 
7. In saxis iuxta viam, quae ex valle ad Roztoka ducit, supra ca- 
tarractam „Siklawa“ appellatam. 

XXIV. In lacu „Czarny staw“ supra lacum „Morskie Oko“ 
sito: 1. Ad ripas lacus. 2. Ad saxa submersa. 

XXV. In lacu „Morskie Oko“: 1. Ad saxa submersa. 2. Ad 
saxa submersa iuxta ripas. 3. Loco, ubi aquae ex lacu decurrunt. 

XXVI. Ad saxa aquis leniter defluentibus irroratis supra viam, 
quae in ripis lacus „Morskie Oko“ ad lacum XXIV ducit. (ca. 
1400 m s. m.). 2. Ad montes „Miedziane“ in saxis in rivo supra 
lacum Morskie Oko. 


1) Leg. prof. I. Król. 


423 


XXVII. Vallis „Za Mnichem“: in stagnis et locis uvidis ad 
deflexionem iugi, quae „Wrota Chalubinskiego* dicitur. 

XXVIII. Vallis ,Bialej Wody“: in parvis rivulis in rivum 
,Poduplazki* influentibus. 

XXIX. Vallis „Roztoki“ in scrobiculo saxi granitiei prope ca- 
tarractas , Mickiewiczii“. 

XXX. Vallis ,Waksmundzka“: inter montes ,Koszysta“ et 
„Woloszyn“ ad saxa in rivo rapide fluenti. 

XXXI. In silva inter vallem „Panszezyca“ et „Sucha Woda“ : 
locis turfosis. 

XXXII. Vallis ,Ciemnosmreezynska^ („Koprowa“): 1. In ri- 
vulis. 2. Prope „Pod Banska“ ad saxa in rivo „Koprowy“. 

XXXIII. In magna catarracta rivi Kolbach. 

XXXIV. Locis uvidis, muscosis prope viam ,Clotildae“ inter 
vicos , Westerowo“ et „Hagi Wyżne“. 

XXXV. In lacu ,Szezyrbskie* (Csorber See). 

Ut ex hae compositione apparet. scrutationibus meis totam am- 
plitudinem montium Tatrensium Poloniae (valle „Chochołowska“ 
excepta) cum eorum laeubus, locis uvidis, aquis fluentibus, prae- 
stantibus fontibus eomplexus sum. — Si autem locos: 1) „Pod 
przełęczą Cichą“ (videlicet , Tomanowska“) inter Czerwony Wierch 
et Tomanowa Polska montes, ubi algas M. Raciborski legit, 2) 
vallem Jaworzynka, 3) vallem Mlyniea, unde algas prof. Dr. J. 
Rostafiünski profert, postremum locos a I. Schumannio pe- 
netratos i. e. 4) vallem „Mięguszowiecka“, 5) regiones, quae a monte 
„Polski Grzebien“ ad septentriones (1911 m s. m.) et 6) in meri- 
diem (17858 m s. m.) spectant, ergo vallem „Swistowa“ et vallem 
„Wielka“, 7) Superiorem partem vallis „Zimna Woda“ (Klein Kol- 
bach) 2039:98 m s. m., 8) locum 12643 m s. m., a Szmeks 25 km 
distantem, oceidentem versus situm, locis in eompositione nostra 
commemoratis adiunxerimus, dieere licebit, opuseulum nostrum ima- 
ginem eompletam fere huius microscopicae florae montium Tatren- 
sium praebere. Cum haee teneo, non dubito, quin investigationes 
posteriores, quae ante omnia ad cacumina alta montium, haud nu- 
merosos eampos niveos, plantas in aquis pendentes (Plankton) la- 
euum Tatrensium intendendae sunt, novas species in lucem prola- 
turae, numerum specierum iam cognitarum aucturae sint, sed haec 
omnia formam florae propriam et peculiarem hoe opusculo demon- 
stratam non mutatura esse confido. 


424 


C. Quaestio de flora algarum montium Tatrensium 
summatim proponitur. 


Cum numero algarum, quae a me locis supra commemoratis 
(I—XXXV) inventae sunt, algas ab auctoribus prioribus collectas 
addiderimus, summa haec erit rei: 


I. In valle Kościeliska . lectae sunt 158 species algarum 


IL , „ Mala Laka k ohh RS à A 
DL „ , Strazyska . gn. SS i N 
IV. Ad Kasprusie . AN 228 s 
V. In valle Ku Dziurze 5 AW A29 » à 
Dame te. Biale’. ^ SD t 
NES, Us Antolówka . » : 20 5 
VIII—X. Prope Koziniee = 62 a 2 
XI. In valle Bystrej 5 NI à x 
XII. Inter Bystre et Jaszezu- 
rowka . HH tes Bau sg SEI * 
XIII. In thermis Jaszezurówka  , od qe d » 
XIV. Prope Nosal a 100915 A 2 
XV. In valle Olezyska 5 lab 64 n ` 
XVI. In Toporowa Cyrhla 5 zi: SP x p 
XVII. In lacu Toporowy staw , ;' 42128 > - 
XVIII. Prope Capówka * we #56 Le ` 
XIX. In valle Gasienicowych 
stawöw Abo Fo AMOUR „ 523 à 5 
XX. Inter lacus Zmarzly et 
Czarny staw À 5 perg a » 
XXI. In fonte ad Zawrat . b 500795 " d 
XXII. Iuxta Zawrat On su D. AO s o 
XXIII. In valle 5-Polonieorum 
stagnorum UM 5 , 9959 $ 5 
XXIV. In laeu Czarny staw 5 po m1 $ 3 
KANV y E Morskie (Okie? ie co add j $ 
XXVI Propelaeum MorskieOko ` , DIU DO j n 
XXVII. In valle „Za Mnichem“ „ pM n n 
KRV LEDs „u y" Biat Wody m Di MMS , n 
OTK) OS Roztoka* A d D 5 a 
XXX. , , ,Waksmundzka" „ zt mu » " 


425 


XXXI. In valle „Panszezyca- 


Sucha Woda“ . . . . lectae sunt 27 species algarum 
XXXII. In valle ,Koprowa^. . „ ON AO) : ; 
XXXIIL ,  , „Starolesnianska“ 

(Grat kolba. un 3 0102 N 3 
XXXIV. Inter Westerowo et Han af M AO M Li 
XXXV. In lacu „Szezyrbskie“ N, ao o J 


1. Inter montes Czerwony Wierch et Tomanowa Polska 11 sp. alg. 
EE, EN 0 es MOL MASON MR A AU AA 
ep ine valle, da orzy sca), Pts Pesan. PN WEES NNN. „TEENS NN 
qu EME US ZOWIEE CK AE VAA A DE RA ae: 
ONCE. KE Eeer EE rie, Lt Geht 
S ONE Ka: EN i A MB De E 
te „ Zimnej Wody (Klein Kölsch)" RI M COM ED Re 
8. Gear Ee E A eiusd ODA NE ARNI 
Sin valle MIvniea i mu dps : prom enm ar 


Qui numeri quamquam summam TON T relative inopiae flo- 
rae algarum singulorum locorum non exprimunt, tamen magni sunt 
momenti: non solum posteris serutatoribus monstrant, quae ad loca 
accuratius diligentia vertenda sit, sed etiam numeris his relativa 
abundatia algarum singulorum locorum aliquatenus indicatur. 

Etsi fines distributionis algarum secundum regionum supra mare 
altitudinem tam accurate quam fines distributionis plantarum pha- 
nerogamarum determinari non possunt, tamen — distributionem 
hane in montibus Tatrensibus serutans — animadverti, nonnullas 
quamquam haud numerosas species non nisi in quibusdam regioni- 
bus inveniri. Itaque: 

In regione campestri (700 m — 1122 m): Cosmarium: 
granatum, holmiense, dovrense, reniforme; Pleurostauron Smithii; A- 
chnanthes exigua, gibberula; Synedra: Lina, amphicephala; Fragilaria 
capucina; Cystopleura: gibba, Zebra; Nostoc commune; Oscillatoria 
sancta. 

In regione silvarum 1122 m — 1561 m: Oocystis solitaria; 
Hyalotheca dissiliens; Cosmarium pseudoamoenum; Arthrodesmus Tn- 
cus; Staurastrum: dejectum, saxonicum; Navicula: hemiptera, zellensis, 
minutissima; Cymbella Caesatii; Pseudoeunotia pachycephala; Chroococ- 
cus turgidus. 

In regione subalpina 1561 m — 1789 m: Cosmarium: 
microsphinctum, homalodermum; Euastrum crassicole; Staurastrum : 


426 


pygmaeum, varians; Navicula: molaris, firma, obliquestriata; Gompho- 
nema: longiceps, micropus; ÆEunotia Camellus; Cyclotella stelligera ; 
Lyngbya aeruginev-coerulea; Oscillatoria simplicissima; Coelosphaerium 
Kützingianum; Gleocapsa purpurea. 

In rivulis solis (algae rhyacophilae) inveniuntur: Chantransia, 
Lemanea, Hydrurus, Prasiola fluviatilis. 

In lacubus solis has species (algas limnophilas) observavi: Bi- 
nuclearia, Oocystis solitaria, Sphaerozosma: vertebratum, excavatum ; 
Spondylosium pulchellum; Roya obtusa; Arthrodesmus Incus; Fua- 
strum: sinuosum, rostratum. elegans, amoenum, scitum; Staurastrum 
deiectum, varians, alternans. polymorphum; Navicula appendiculata, 
microstauron, serians; Gomphonema: Vibrio, insigne, micropus; Nitz- 
schia gracilis; Pseudoeunotia pachycephala, Cyclotella stelligera; Lyng- 
bya aerugineo-coerulea, Phormidium autumnale, Coelosphaerium Kiitzin- 
gianum; Dinobryon. 

Ut primae libelli partis finem faciam, primum numerum omnium 
algarum adhuc in montibus Tatrensibus cognitarum secundum or- 
dines proferam, deinde eum cum numero algarum aliarum regio- 
num Galiciae, quae accuratius, quod ad floram algarum attinet 


cognitae sunt, comparabo: 










































































À NEO: Species 
Ord o Genera | Species EE 

Fiorideae | 3 | 5 | 5 

Fucoideae | 2 2 : 

Chlorophyceae 31 56 64 

Conjugatae | 21 203 260 

Bacillariaceae | 40 274 398 

Myxophyceae | 30 79 89 

Flagellatae | 2 6 8 

Summa | 129 625 827 

KC dag, arg Ager 1 
SE SE | es e SE S Wadowice. 
DU ; | ponens: pss Maków 
Florideae 5 | € | pa | E 
Fucoideae 2 1 — 2 
Chlorophyceae | 56 110 103 109 
Conjugatae | 203 257 173 | 311 
Bacillariaceae | 274 206 226 226 
Myxophyceae | 79 52 52 43 
Flagellatae | 6 == = = 
nt mm à | 

Summa | 625 626 | 554 691 





427 


Denique gratias maximas ago summo magistratui scholas Galiciae 
administranti pro vacatione muneris, qua in hoc opusculo finiendo 
adiutus sum. 


Cracoviae, die 30. Ianuarii 1909. 


PARS II. 
Algae praeceptis artis ordinantur. 
Class. Florideae. 
Fam. Batrachospermeae. 
Gen. Batrachospermum Roth. 
1. B. vagum (Roth) Ag. 


Hab. in lacu Smreezyüski staw in valle Kościeliska (Rac. Fiz. 

XXI. 81). 
Gen. Chantransia Fries, 1825. 

2. Ch. chalybea (Lyng.) Fries. Hansg. Prodr. pag. 25. 

Cell: crass. == 6:6, lp. — 22; lg. cel. termin. — 55, sporangia: 
crass: =— 6:6, le = 606 

Hab. in valle Waksmundzka ad granites in rivo rapide fluenti 
Lemaneae insidens. Magna catarracta rivi Kolbach, in Lemanea. 


3. C. pygmaea Kuetz. 
Hab. in valle Młynica (Rostaf. Rozpr. X. 282). 


Fam. Lemanaceae. 
Gen. Lemanea Bory 1808. 
4. L. torulosa (Roth) Ag. b. frigida = L. Kalchbrenneri Al. 
Braun in Rabenh. Exs. 834. 
Hab. in montibus Tatrensibus („a Täträn“) Kalchb. 1. s. c. 
pag. 364. 
5. L. fluviatilis Ag. 
Hab. in valle Waksmundzka et in magna catarracta rivi Kolbach. 
Class. Fucoideae. 
Fam. Phaeothamnieae. 
Gen. Phaeothamnion Lagerh., 1884. 


1. Ph. confervicolum Lagerh. 
Hab. in lacu Toporowy staw. 


428 


Fam. Hydruraceae. 
Gen. Hydrurus Ag. 1824. 

2. H. foetidus (Vill.) Kirch. 

Hab. in valle Koseieliska ad saxa in rivo iuxta viam ad Cra- 
coviam Tatrensem, in valle Biale, in valle Strazyska; in lacu Czarny 
staw Gasienicowy, in valle Waksmundzka; in magna catarracta 
rivi Kolbach. — In vallibus: Jaworzynka, Mlynica (Rostaf. Rozpr. 
X. 60, 61). 

var. irregularis (Kütz.) Rabenh. 

Hab. („a Täträn“) in mont. Tatrens. Kalchb. l s. c. pag. 358. 


Class. Chlorophyceae. 
Ordo Confervoideae. 
Fam. Coleochaetaceae (Naeg.) Pringsh. 
Gen. Coleochaete Bréb. 1884. 
1. C. orbieularis Pringsh. 
Long cel = 11 mc vcrass."==8'8. 
Hab. in lacu Szezyrbskie. 


Fam. Oedogoniaceae (De-By.) Wittr. 
Gen. Bulbochaete Ag. 1817. 
2. B. Nordstedtii Wittr. Hirn, Monogr. pag. 332—333. Tab. 
LIII, fig. 341. 
Oogonia: 44 u crass., 33—39°6 longa. 
Long. nannandr. = 22— 242 y. 
Cell. veg.: 11—15°4 u crass., 39:6 —66 u long. 
Hab. in laeu Szezyrbskie. 
B. spec. (sterilis). 
Hab. in laeu Dwoisty staw prope montem Świnica. 


Gen. Oedogonium Link 1820. 

3. O. Boscii (Le Cl) Wittr. Hirn, Monogr. pag. 122. Tab. XIII. 
fig. 74. 

Crass. fil. supra oog. — 8:8 u, infra oog. — 11 u. 

Altitudo cell. veg. = 88—110. 

Oogonia: 374 u crassa, 946 u longa. 

Oosporae: 352 y erassae, 62 u longae. 

Hab. in laeu Toporowy staw; 13. VII. 1899 oogoniis haud maturis. 


429 


4. O. obesum (Wittr.) Hirn, Monogr, pag. 166. Tab. XXVI, 
fig. 148. 

Crass. filam. = 13:2—15:4 u, long. = 42—46 u. 

Oogon. 41:8 u crassa, 44 u longa. 

Oosporae crass. = long. = 33 u. 

Hab. in valle Ciemnosmreezynska — in rivulis 10. VIII. 1900. 

Sterilia specimina huius generis etiam in: valle Ku Dziurze, 
in lacubus: Dwoisty staw et Szezyrbskie observavi. 


Fam. Ulvaceae (Lamour.) Rabenh. 
Gen. Prasiola Ag. 1821. 

D. P. fluviatilis (Sommerf.) Aresch. 

Hane speciem a Kalchbrennerio D „in montibus Tatrieis“ lectam 
in valle Waksmundzka dicta et in magna catarracta rivi Kolbach legi. 

var. Hausmanni Grun. De-Toni Syll., pag. 145. 

Vallis Koseieliska: in rivulo rapide fluenti ante viam in ,Cra- 
coviam“ Tatrensem. 


Fam. Ulotrichiaceae (Kuetz.) Borzi. em. 
Gen. Hormiscia Fries 1835. 

6. H. subtilis (Kuetz) De-Toni Syll. p. 159. 

Crass. fil. = 88 u; long. cell. = 5—11 u. 

Laeus „Wielki staw“ in valle Pieciu Stawöw (leg. I. Kröl.) 

7. H. flaccida (Kuetz.) Lagerh. 

Crass. fil. = 88 u; long. cell. 88 u — 22 u. 

Laeunae in viis campestribus ad Bahledöwka. 

var. minor Hansg. Prodr. pag. 61. 

Crass. fil. = 66 u; long. cell. = 44 y. 

Zakopane: in silva inter plateas Chalubiüskii et „Na Koziniec“ 
dietas. 

8. H. zonata (Web. et Mohr.) Aresch. 

In vallibus Waksmundzka et Strazyska dictis in rivulo rapide 
fluenti saxa obducens. 

var. valida Rabh. De-Toni l. e. pag. 164. 

Crass. flam. = 176  — 24 u — 35 — 44 — 52 y. 

Long. cell. = 16—22 u. Filamenta ad apices angustata, cellula 
apicalis conica ad basim 13 y crassa, cellula anteapicalis 17:6 u 


1) Kalehbrenner l. s. c., pag. 361. 


430 


crassa, octava (in parte apicali filamentorum) 26 u crassa. Zoospo- 
rangia 48 u crassa; maerogonid. 17:6 long. 11 u crassa; mierogo- 
nidia 6°6 u crassa, 88 u longa. 

Ad saxa submersa in rivulo rapidissime fluenti Bystra dieto 
ad Kuźnice. 


Gen. Draparnaudia Bory 1808. 
9. D. glomerata (Vauch.) Ag. De-Toni l. e. 192. 
Crass. truncorum 55 — 60 u; ramorum 19:8—35 u; ramulo- 
rum — 1s} var. 
In museosis emissarüs aquae ad deelivitatem Toporowa Cyrhla 
ad viam ex Jaszezurówka ad Roztoka. In valle Biala Woda 
dieta in rivulis rivo Poduplazki affluentibus. 


Gen. Conferva L. 1731. 

10. ©. bombycina (Ag.) Lagerh. 

In valle Strazyska, in valle laeuum, qui Gasienieowe dieuntur, 
(emissaria inter lae. Sobków staw et Zielony) In emissariis iuxta 
viam ad Roztoka ante locum ,Capówka^ dietum. In valle Roz- 
toka ad catarractas Miekiewiezii atque in turfosis silvae inter 
valles Panszezyca et Sucha Woda dietas. In lacu Szezyrbskie dicto. 

11. C. Raciborskii Gutw. Mat. do fl. gl. Gal. III, pag. 110. fig. 1. 

Crass. fil. = 33—44 u; crass. membr. = 44 y. 

In museosis emissariis aquae deelivitatis loci Toporowa Cyrhla 
dieti; in magna eatarraeta rivi Kolbach. 


Gen. Microspora Thur. 1850. 

12. M. floccosa (Vauch.) Thur. De-Toni l. e, pag. 226. 

Crass. fil. = 13 u; lg. cell. = 24—35 u; crass. membranae 
ad 2 u. 

In aqua ex thermis Jaszezurówka dietis decurrenti. 

13. M. amoena (Kuetz.) Rabh. De-Toni l. e, pag. 227. 

Crass. fil. = 24 u, lg. cell. = 26—44 u; er. memb. = 44 y. 

In valle Bialej Wody dicta in parvis rivulis rivo Poduplazki 
affluentibus. 


In Zakopane (Rostaf. Rozp. X. 284). 





Gen. Binuclearia Wittr. 1866. 


14. B. tatrana Wittr. Om Binuelearia pag. 9, tab. I. Tab. nostra 
I, fig. 1—3. 


431 


In valle Quinque Polonicorum lacuum in lacu Maly staw dicto 
(leg. I. Kröl.); in lacu Szezyrbskie appelato. 

Adnotatio: Haee species primum a cl. prof. V. Wittrockio 
in lacu, qui Szezyrbskie dicitur, die 27. VII. 1885 inventa, de- 
seripta delineataque (Om Binuclearia étt nytt Confervacé-slügte, 
Bih. till k. Svenska Vet.-Ak. Handlingar. Bd. XII. Afd. III. Nr. 1. 
Stockholm 1886) nee non „in aquario“ ad „Bydalsfjället* Norve- 
giae a cl. prof. N. Wille lecta, postea a Brunone Schrödero 
ex Asciburgio monte in dissertatione „Neue Beiträge z. Kenntnis 
d. Ale d. Riesengebirges^ pag. 19—21 et „die Algenflora der Hoch- 
gebirgsregion d. Riesengeb.“ pag. 11. Breslau 1896, à W.Schmidle 
in libello, qui „Einige Alg. a. preuss. Hochmooren“ inseribitur, pag. 
157—159. plenius reddita est. Eandem speciem in lacu Szezyr- 
bskie legit Br. Schröder die 18. Julii a. 1898, ut ex eius ex- 
plicatione supra citata pag. 20. cognoscimus, atque ego die 13. 
VIII. a. 1903. 

Quamquam de specie, de qua agitur, auetores multa observata 
conseripserunt, tamen cognitio structurae atque evolutionis Binuclea- 
riae manca esse videtur. Quo faetum est, ut ad hane serutandam 
summo eum studio animum intenderim. Atque observationes me 
docuerunt, chlorophora, zoosporas modumque, quo zoosporae cellulas 
vaeuas faciunt, nondum nota esse. 

Apud Wittrockium l. s. e. pag. 4. invenimus: Kloroforer 
ensamma i hvarje cell, väggstälda, bandformiga eller halft ringfor- 
miga“. W. Sehmidle l. s. ce., pag. 158. scribit: „Nur selten sah 
ich Zellen mit noeh wandstündigem Chromatophor; diese waren 
meist quadratisch; äusserst selten waren lange, rechteckige Zellen 
mit nieht contrahiertem Protoplasma, wie sie Schröder l. c. zeich- 
net, vorhanden.“ et pag. 159. „Daß unsere Alge Schwärmspo- 
ren bildet, ergiebt sich aus der Beobachtung Schröders mit Si- 
cherheit. Ich selbst konnte dieselbe mehrere Male wiederholen, 
nicht selten sah ich dabei in der zerrissenen Zelle noch ein run- 
des grünes Körperchen. zweifellos eine zurückgebliebene Spore. Und 
an einem solehen Faden fand ich ein Mal in einer noch unverletz- 
ten Zelle vier völlig augebildete Schwärmsporen“. 

In dissertatione Br. Schröderi pag. 20. autem legimus: „Zwar 
konnte ich die Zoosporen nicht beim Ausschlüpfen aus dem Zoo- 
sporangium wahrnehmen, jedoch fand ich in älteren Fäden (Fig. 
1. f.), bei denen der Zellinhalt fehlt, einen in der Längsachse des 


Bulletin III Avril. 2 


432 


Fadens gerichteten mehr oder weniger offenen Spalt in der Mem- 
bran, durch welehe die Sporen ausgeschlüpft sein dürften“. 

Cum autem ipse specimina e lacu Szezyrbskie diligentissime 
serutabar, filamenta in varia positione i. e. in obliqua, perpendicu- 
lari, horizontali, inter positionem horizontalem rotata observavi. In 
observando oculis meis se obtulit, quod chlorophora non semianu- 
laria sunt, sed iustum anulum efficiunt. Anuli illius tamen unum 
latus in longitudinem diffissum est ibique aut margo anuli alter 
altero oceultatur (Cfr. Tab. nost. VII fig. 1 d), aut margines rimam 
oblongam efficiunt (Fig. 1. e) Nuncleos binos („nutritivos“) in 
speciminibus meis, quae in formalaldehido conservata erant, non 
conspexi, sed cum haematoxylinam adhibueram, factum est, ut 
unum nuncleum in medio cellulae situm semper animadverterim 
(Cfr. Tab. nost. VII, fig. 2). Cellulas quoque evacuatas observavi at- 
que conspexi, eas se poro circulari aliarum Confervacearum 
instar non rima longitudinal (Cfr. Br. Schröder L c. Tab. I. 
fig. 1. f.) aperire (Tab. nostr. VII. fig. 3). Zoosporas non vidi. Quod 
ad acinetas pertinet, observationes meae planissime cum observa- 
tionibus supra commemoratorum auctorum congruunt (Cfr. Tab. 
nostr. VIL. fig. 1. e. et Wittrock |. s. e. tig. IX XIM) 

Species adhue ex regionibus montanis et septentrionalibus nota 
ael.Maxio Sehmidtio in dissertatione, quae „Grundlagen einer 
Algenflora der Lüneburger Heide* (Hildesheim 1905) inseribitur, 
pag. 61, ex uvidis campis stagnisque locorum demissorum Germa- 
niae prolata est. Etiam H. Roy ers enumerat Binueleariam in libello 
„Beitrag z. Algenfl. d. Bergischen Landes u. benachb. Gebiete“ 
(Ebersfeld 1903) pag. 43. atque W. et G. Westii in „Freshwat. 
Alg. fr. the Orkneys and Shetlands* (Edinburgh 1904) pag. 12. 
speciem hane ex Hoy, Lerwick, Bressay proferunt. Specimina ab 
H. Royers in fossa ad Ohligs provineiae Rhenanae lecta sunt. 


Fam. Chroolepidaceae (Rabh.) Borzi. 
Gen. Trentepohlia Mart. 1817. 
15. T. aurea (L.) Mart. De-Toni Le pag. 236. 
Hab. in saxis in valle Kościeliska. 
var. tomentosa Kuetz. 
Crass. fil. 11—22 y, long. cell. 33—40 u. 
Saxa iuxta viam sita in valle Biale dicta. 
var. subsimplex Casp 


433 


Hab. in declivitate montis Gewont, quae ad meridiem vergit, 
ad viam ad locum, qui ,hala Kondratowa“ dieitur. 

16. T. Bleischii (Rabh.) Wille var. Piceae Wille, De-Toni, pag. 243. 

Crass. fil. 13—15:4 u, lg. cell. = 176—19 u. 

Zoogonidangiorum diameter 24 u, membrana = 2:2 y. 

Zakopane in cortice Piceae excelsae. 

17. T. Jolithus (L.) Wallr. 

In montibus Tatrensibus („a Tatran“) Kalchbr. 1. s. e., pag. 364. 

In saxis graniticis in Kuźnice. 

18. T. malleiformis nov. spec. Tab. nostra VII, fig. 4. 

T. caespitulis strietis, parvis, aggregatis, rarius confluentibus, 
lutescentibus, siccatis griseis; filamentis ramosis, ramulis nune pa- 
tentibus nune adscendentibus et tortuosis, 13:2—16'4 u crassis. 
ramis ad 17:6 u crassis; cellulis vegetativis eylindrieis haud tumidis 
176—39°6 u longis. zoogonidangiis terminalibus, cellulä inter- 
calari parvä apici cellulae ultimae (cellularum in filamentis Oedo- 
gonii ad instar) inserta excentrice fultis, transverse ellipti- 
cis, polos versus leniter angustatis itaque malleum mentientibus, 
poro rotundo in polo breviore sito apertis. Longitudo zoogonidan- 
giorum 41:8 —52 u, crassitudo autem = 176—24 u. 

Hab. in cortice Piceae ad Zakopane. 


Gen. Microthamnion Naeg. 1849. 


19. M. Kuetzingianum Naeg. 
Hab. in silvatieis emissariis aquae ad viam, quae ex Jaszezurów- 
ka in Roztoka ducit, ante locum Capówka dietum. 


Fam. Cladophoraceae (Hass.) Wittr. 
Gen. Cladophora Kuetz. 1843. 
20. C. glomerata (L.) Kuetz. De-Toni Le 295. 
Crass. truncor. = 88—99 u; ultim: ramul. = 46—59 u; long. 


cell. = 220—660 u. 
Hab. in aqua ex thermis Jaszezuröwka dietis deeurrenti. 


Ordo Siphoneae Grev. em. 
Fam. Vaucheriaceae (Gray) Dum. 
Gen. Vaucheria DC. 1803. 


21. V. geminata (Vauch.) DC. var. verticillata (Kuetz.) Rabh. 
De-Toni l. c., pag. 400. 
KE 


434 


Oogonia 75—84 u longa, 62—66 u crassa. 

Hab. in fossis iuxta viam inter Bystre et Jaszezuröwka sitis. 

22. V. hamata (Vauch.) Lyngb. De-Toni l. s. c. 

Oogonia 180 u longa, 114—154 u crassa. 

Hab. in valle Strazyska dicta in rivulo 16. VI. 1899. In Zako- 
pane (Rostaf. Rozp. X. 282). 

23. V. uncinata Kuetz. Götz, Zur Syst. d. Gat. Vauch., pag. 38, fig. 40. 

Hab. in fossis iuxta viam publicam inter Bystra et Jaszezurów- 


ka 26. VIII. 1899. 


Ordo Protococcoideae (Menegh.) Kirchn. 
Fam. Volvocaceae (Cohn) Kirchn. 
Gen. Eudorina Ehrenb. 1831. 
24. E. elegans Ehrenb. De-Toni |. c., pag. 537. 
Diameter familiae — 75 u, crass. cell. = 132—16 u. 
Hab. in lacu Toporowy staw ad ripas turfosas. 


Gen. Chlamydomonas Ehrenb. 

25. C. caudata Wille, Algol. Notizen IX—XIV. 1903. pag. 135. 
Tab II ed 

Dong. — 374 y, lat. = 106 2 

Hab. inter Sphagna ad ripas lacus Czarny staw Gasienicowy dicti. 

26. C. subcaudata Wille l. c., pag. 136. Tab. III. fig. 15. 

Hab. in aquis ex nivibus, quae declivitatem montis ad iugi defle- 
xionem Zawrat dietam obruunt, decurrentibus. 

27. C. pisiformis Dill., Wille l. c., pag. 138. Tab. IV. fig. 8. 

Pony 20 0 lat = 

Hab. in laeu Toporowy staw dieto. 

28. C. flavo-virens Rostaf. 

Hab. in montibus Tatrensibus (Rostaf. Rozp. VIII, p. VIII—XI). 


Gen. Haematococcus Ag. 1828. 
29. H. lacustris (Girod) Rostaf. (Chlamydomonas pluvialis (Flot.) 
A. Br.). 
Hab. in montibus Tatrensibus (Rostaf. Rozp. VIII, p. VIII—XI). 


Fam. Palmellaeeae (Decais.) Naeg. em. 
Gen. Scenedesmus Meyen. 1829. 
30. S. bijugatus (Turp.) Kuetz. 


435 


Hab. locis graminosis, muscosis, humidis in silva sub colle Kozi- 
niee appellato; in lacubus: Toporowy staw et Morskie Oko. 

31. S. quadricauda (Turp.) Breb. 

Hab. in lacu Toporowy staw atque in emissariis aquae in silvis 
ad viam publicam, quae ex Jaszezuröwka ad Roztoka ducit, ante 
locum, qui Capówka appellatur. 

82. S. antennatus Bréb. 

Hab. in laeu Toporowy staw. 

33. S. costatus Schmidle Beitr. z. alpin. Algfl. Tab. XIV., 
fig. 5—6. 

Hab. in lacubus: Czarny staw Gasienicowy, Smreezynski staw 
in valle Koscieliska et in lacubus Wielki staw et Maly staw dictis 
atque in valle Quinque Polonicorum lacuum sitis (leg. I. Kröl.). 

var. poriferus nov. var. Tab. nostra VIL, fig. b — Coelastr. Boh- 
linii Schmid. et Senn. 

Cellulae habitu earundem varietatis () coelastroides sed dimensio- 
nibus maioribus: 33 u longae et 176 u latae; costae intus poris 
ad dimidium erassitudinis costas perforantibus praeditae. Cellulae 
e vertice spectatae 10 erenis acutioribus ad peripheriam exornatae. 

Hab. in lacu Czarny staw Gasienicowy ad ripas. 


Gen. Coelastrum Naeg. 1849. 
34. C. sphaericum Naeg. 
Hab. in lacu Czarny staw Gasienieowy dicto. 
35. C. irregulare Schröder, Alg. d. Versuchsteiche in Forschg- 
brecht. d. Plöner-Station 1897, pag. 14, 15, Tab. IIL, fig. 1. 
Hab. in lacubus: Dwoisty staw, Toporowy staw et in lacu Czar- 
ny staw, qui supra lacum Morskie Oko dictum situs est. 


Gen. Pediastrum Meyen 1829. 


36. P. forcipatum (Corda) A. Br., Rae. Ped. Tab. IL, fig. 17. 

Hab. in valle Stawów Gasienicowych dicta in lacubus Czarny 
et Zielony staw appellatis. 

37. P. Boryanum (Turp.). 

var. brevicorne A. Br., Rac. Pediastr. 

Hab. locis uvidis graminosis et muscosis in silva ad collem 
Koziniec. 

for. glabra Rac. Le, pag. 13. 

Hab. similibus locis ad declivitatem loci Toporowa Cyrhla appellati. 


436 


var. granulatum A. Br., Racib. Le, Tab. IL, fig. 15, 16. 

Hab. in emissariis aquae in silva ad viam publicam, quae ex Ja- 
szezurówka ad Roztoka ducit, ante locum Capówka dictum; in 
lacubus: Zielony staw Gasienicowy et Toporowy staw. 

38. P. angulosum (Ehrenb.) Menegh. 

var. araneosum Rac. 

Hab. in Molkówka (Rac. Rozpr. XX. 100). 

for. brevicornis Rac. 

Hab. in Molkówka (Rac. Rozpr. XX. 103). 

39. P. Tetras (Ehrenb.) Ralfs. 

Hab. in lacu Toporowy staw. 

for. excisa A. Br., Rac. Le pag. 32. 

Hab. cum forma typica. 


Gen. Ophiocytium Naeg. 1849. 

40. O. maius Naeg. 

Hab. in Antolówka locis uvidis. 

41. O. cochleare (Eichw.) A. Braun. Lemmermann, Das Genus 
Ophioeytium, pag. 30. Tab. IIL, fig. 11. 

Hab. in lacu dieto Toporowy staw. 

42. O. capitatum Wolle. Lemmermann 1. c., pag. 31. Tab. IV. 
fig. 16—17. 

Hab. eodem loco cum praecedenti. 

43. O. parvulum (Perty) A. Braun. Lemmermann I. c. Tab. IV., 
fig. 30—33. 

Hab. locis uvidis graminosis, muscosis prope Koziniee; in valle 
Biale dieta in rivulo. In laeubus: Czarny staw Gasienicowy, Topo- 
rowy staw. In laeu Wielki staw dicto in valle 5 Polonieorum la- 
cuum (leg. I. Kröl.). 

Gen. Rhaphidium Kuetz. 1845. 

44. R. polymorphum Fresen. 

Hab. in lacu Toporowy staw. 

var. falcatum Rabh. 

Locis uvidis graminosis muscosis prope Koziniec. 

Gen. Tetraëdron Kuetz. 1845. 


45. T. minimum (A. Br.) Hansg. 


Hab. inter muscos ad saxa in rivo Koprowa prope locum Pod 
Bańską dictum. 


437 


46. ? T. irregulare (Reinsch) De-Toni Le, pag. 611. Tab. nostr. 
VIL, fig. 6. 

Diameter cell 35 —42 u; erass. — 22 u. 

Hab. ad ripas laeus Czarny staw Gasienicowy dieti. 


Gen. Cerasterias Reinsch. 1867. 
41. C. rhaphidioides Reinsch. for. obtusata Reinsch. Algenfl. Tab. 
V: figs le: 
Tantum quatuor radii adsunt. 
Hab. in aqua inter saxa granitica e lacu Sobköw staw et Zie- 
lony staw decurrenti. 


Gen. Eremosphaera De-By 1858. 
48. E. viridis De-By. De-Toni l. e, pag. 616. 
Diameter cellularum = 9 u. 
Hab. ad ripas turfosas et in aqua lacus Smreezyüski staw 
dieti in valle Kościeliska. 


Gen. Tetraspora Link 1809. 
49. T. lubrica (Roth.) Ag. 
Diam. cell. = 7—8 u — 9 u — 11 u — 132 u 
Hab. in lacu Czarny staw dieto, qui supra lacum Morskie Oko 
appellatum situs est; in declivitate loci Toporowa Cyrhla. 


Gen. Crucigenia Morren 1830. 
50. C. rectangularis (Naeg.) A. Br. 
Hab. inter Sphagna ad ripas lacus Czarny staw Gasienicowy 
appellati. 


Gen. Oocystis Naeg. 1855. 
51. O. Naegelü A. Br. 
Hab. in lacu Toporowy staw dieto atque in lacu Morskie Oko 
appellato; etiam ad saxa irrorata iuxta viam in ripa lacus Morskie 
Oko dieti positam, quae ad lacum Czarny staw ducit. 


Gen. Gleocystis Naeg. 1849. 
53. @. gigas (Kuetz.) Lagerh. 
Cell. e. membr. 33 u, s. membr. 26 u longae. 
ee CARRE 5 Eich 1 latae: 


438 


Hab. in lacu dieto Maly in valle 5 Polonicorum lacuum (leg. 
prof. I. Kröl.). 


Gen. Palmella Lyngb. 1819. 


54. P. mucosa Kuetz. 
Hab. in montibus Tatrensibus (a Täträn) Kalchb. 1. s. c.. pag. 358. 


Gen. Urococcus Hassal 1845. 

55. U. insignis Hass. 
Diam. cell. eum integum. — 84 u! 

3 , Bine 5 — UD 
Hab. in lacu dieto Czarny staw supra lacum appellatum Mor- 

skie Oko. 
Gen. Dimorphococcus A. Br. 1849. 

56. D. lunatus A. Br., Bohlin. Die Alg. d. erst. Regnelschen Exp. 


Tab. L, fig. 38—39. 
Hab. in aqua ex lacu dicto Zielony staw Gasienicowy decurrenti. 


Class. Conjugatae. 
Fam. Zygnemaceae (Menegh.) Rabenh. 
Gen. Zygnema Ag. 1824. 

1. Z. stellinum (Vauch.) Ag. 

Hab. in serobiculis turfosis ad radices montis dieti Kozi Wierch 
in valle „Quinque Polonicorum lacuum“. 

2. Z. cruciatum (Vauch.) Ag. 

Tantum exemplaria sterilia observari in fossis luxta viam pu- 
blicam inter locos Bystre et Jaszezurówka dictos. in lacu Czarny 
staw supra laeum  Morskie Oko appellatum sito, in laeu dieto 
Przedni staw in valle „Quinque Polonicorum laeuum* (ubi leg. 
prof. I. Król) atque in laeu dieto Szezyrbskie. 


Gen. Spirogyra Link. 1820. 


3. S. longata (Vauch.) Kuetz., Cleve, Zygnem. Tab. IIL, fig. 8, 
10; Petit, Spirog. Tab. V., fig. b. 


Zygotae long. = 52:8—55—51—51—968 u. 
+ crass. = 31—35—31—29—29 u. 
Cell. evacuat. lg. = 77, lat. = 89 u. 


5 veget Zee 
Taenia chloroph. 1. anfract. 2—2!/,-— 3. 


439 


Hab. locis uvidis graminosis muscosis prope Koziniec. 

4. S. Lutetiana P. Petit, Spir. pag. 21, Tab. IV., fig. 9—13. 

Zygot. crass. = 418 u — 44 u — 396 u. 

» long. = 748 y — 726— 80 y — 116 u. 

Cell. veg. crass. = 35—396 y. 

Observ.: Ob taenias chlorophyceas distinctas deficientes de- 
signatio huius speciei manca esse videtur. 

Hab. in uvidis museosis aquis defluentibus irroratis in silva 
prope collem Koziniee 17. VII. 1899. 

5. S. punctata Cleve Zygn. pag. 23., Tab. VI. fig. 1- 4. 

Hab. in valle Olezyska. 

S. spec? Exempla sterilia! observavi in lacu D woisty staw dicto 
et locis uvidis ad locum Toporowa Cyrhla dietum. 


Fam. Desmidiaceae (Kuetz.) De-By. 
Gen. Hyalotheca Ehrenb. 1840. 


6. H. dissiliens (Sm) Bréb. var. tatrica Rae. De nonn. Desm. 
185b. pas sc Tab XIV. (V2, fig. 5. 

Hab. in lacu dieto Smreezynski staw in valle Koscieliska ap- 
pellata, locis uvidis iuxta viam ex loco Hala Gasienieowa dieto ad 
lacum Czarny staw Gasienicowy sitis et in lacu Szezyrbskie ap- 
pellato. 

In uvidis prope lacum Toporowy staw (Rae. Pam. X. 64). 

var. bidentula Nordst. 

Hab. in uvidis prope laeum Toporowy staw (Rae. Pam. X. 64). 


Gen. Spondylosium Bréb. 1844. 

1. S. secedens (De-By) Arch. 

Hab. in laeu dieto Toporowy staw. 

8. S. pulchellum Arch. var. bambusinoides (Wittr.) Lund.; Sphae- 
rozosma bambusinoides Wittr. Skand. Desm. sec. Nordst, Freshw. 
Alg. New. Zeal, pag. 28, Tab. IL, fig. 11. 

Long. cell: = u, lt — 11 u, isth — 35 jp apex—crass. — 66 p. 

Hab. in lacubus dietis Smreezyüski staw in valle Koscieliska 
et Toporowy staw. 


Gen. Sphaerozosma Corda 1835. 


9. S. vertebratum (Breb.) Ralfs, Brit. Dem. Tab. VL, fig. 1. 
Hab. in laeu dieto Dwoisty staw et in lacu appellato Morskie Oko. 


440 


10. S. excavatum Ralfs. l. e. Tab. VI. fig. 2. 
Hab. in laeubus: Toporowy staw, Wielki in valle Quinque Po- 
lonicorum laeuum, Morskie Oko et in lacu dieto Szezyrbskie. 


Gen. Gymnozyga Ehrenb. 1840. 


11. G. moniliformis Ehrenb. 
Hab. in lacu Smreezynski staw dicto et ad turfosas ripas 
eiusdem lacus. 


Gen. Gonatozygon De-By 1856. 

12. G. asperum (Bréb.) Cleve. 

Long. = 176 u! lat. = 88 ul! apex = 66 y. 

Hab. in lacubus: Przedni staw — in valle Quinque Polonico- 
rum lacuum (leg. prof. I. Król), et Morskie Oko in saxis, ubi ri- 
vus e lacu decurrit. 

var. vulgare Rac. 

Hab. in uvidis prope collem Koziniec (legi ipse 17. VII. 1899), 
inter montem Czerwony Wierch et Tomanowa Polska. (Rac. Pam. 
X. 67). 

var. tatricum Rae. 

Hab. in uvidis supra lacum Kurtkowiee (Rac. Pam. X. 67). 

15. G. Ralfsii De-By. De-Toni, Sylloge, pag. 801. 

Hab. in lacu Toporowy staw dicto. 

var. pilosellum Nordst. West. Plankton of Scot. Lochs. Tab. 
Vi; fig, 1 


Long — 17 176 — ER eent. ‚231 272 385,91 
Lat = 9:9—132—133—154—11—1333—154 —154 u 
Apex = 11 u — 154 — 154—116 -176 u 


Chlorophora taeniaeformia torta singula rarissime bina. 

Hab. in lacu Szezyrbskie appellato. 15. VIII. 1903. 

14. G. Kjellmanii Wille, Ferskvandsalger fra Novaja Semlja, 
pag. 59, Tab. XIV. fig. 78. | 

Raciborski, De non. Desm. nov. v. m. cogn. Pamietn. Ak. Um. 
t. X, pag. 67. Tab. XIV. fig. 10 sub var. vulgare Race. 

Long. = 374—53 u; lat = 6:6—9 u; apex = 44 y. 

Hab. loeis uvidis graminosis et muscosis in silva prope Kozi- 
niee; in laeubus: Sobków staw Gasienieowy dicto et in Szezyrbskie 
apellato. 


441 


Gen. Spirotaenia Breb. 1848. 


15. S. condensata Bréb. 

Long. = 184 u, crass. = 24 u. 

Hab. in lacu Toporowy staw dieto ad ripas turfosas. 13. VII. 
1899. In Zakopane (Rac. Pam. X. 62). 


Gen. Mesotaenium Naeg. 1849. 


16. M. Braunü De-By. 

Long. cell. = 22—26—29 y. 

Lat. cell. = 13—15— 13 u. 

Hab. locis uvidis ad collem Antołówka dictum et in lacu Dwoisty 
staw dicto ad muscos gelatinam sordide - cinereo - fuscam efficiens. 
14. VIII. 1899. 

17. M. Endlicherianum Naeg. 

Long. = 22—35—50 y, lat. = 11—13 u. 

Hab. loeis uvidis in declivitate loci Toporowa Cyrhla dicti et 
in lacu Czarny staw Gasienicowy. 20. VI. 1899. 

var. grande Nordst. 

Long. = 66 u, lat. = 22 u! (plasmate non violaceo!). 

Hab. cum forma typica ad „Toporowa Cyrhla“. 


Gen. Cylindrocystis Menegh. 1838. 


18. C. Brébissonii Menegh. Penium Brebissonii Ralfs. Brit. 
Desm. Tab. XXV., fig. 6, Delponte Tab. XIV., fig. 28, 32, 36. 

Hab. locis uvidis graminosis muscosis ad collem Antolöwka 
dictum, in lacubus: Dwoisty staw, Sobköw staw atque Czarny staw 
Gasienicowy appellatis nec non in aquis ex nivibus, quae declivi- 
tatem montis ad flexionem iugi Zawrat dicti obruunt, decurrenti- 
bus 16. VIII. 1899., atque loeis uvidis ad viam publicam ex Ja- 
szezurówka ad Roztoka ducentem ante loeum Capówka dietum sitis. 

var. Jenneri (Ralfs) Reinsch et Kirchn. (Penium Jenneri Ralfs.). 

Hab. in valle Strążyska in catarracta ,Siklawiea^ (Rac. Pam. 
XVII. 74). 

f. minor. West Tab. nostra VIL, fig. 6*. 

Hab. in laeu Sobków staw Gasienieowy. 

19. C. tatrica Rac. 

Hab. in valle Strążyska prope ,Siklawiea^ inter muscos aqua 
eatarraetae irroratos (Rae. Pam. X. 59). 


Gen. Roya W. West et G. S. West 1896. 
20. R. obtusa (Bréb.) W. West et G. S. West. 


Hab. in serobieulis turfosis ad radices montis Kozi Wierch 
dieti; in lacu Wielki dieto in valle Quinque Polonicorum lacuum 
(leg. prof. I. Kröl.). 

var. montana W. West et G. S. West, On some new Brit. Alg. 
pag. 152. Tab. III, fig. 23—24. 

Hab. in lacubus: Czarny staw Gasienieowy, Toporowy staw et 
Wielki staw, ubi leg. I. Król. 

var. minus Rac. 

Hab. in uvidis inter montem Czerwony Wierch et Tomanowa 


Polska (Rac. Pam. X. 63). 


Gen. Closterium Nitzsch 1817. 


21. C. pusillum Hantsch. var. monolithum | Wittr. Bot. Notiser, 
pag. 138. 1886. 

Hab. in laeu Toporowy staw dieto. 

var. majus Race. 

Hab. in uvidis vallis „Gasienicowych stawöw“. (Rae. Pam. X. 63). 

22. C. directum Arch. 

Hab. in valle Koscieliska in lacu Smreezynski staw (Rac. 
Pam. X. 63). 

23. C. striolatum Ehrenb. Ralfs, Brit Desm. Tab. XXIX., fig. 
2. et 2. a. 

Hab. in serobiculis turfosis ad radices montis Kozi Wierch 
appellati in valle Quinque Polonieorum lacuum atque in lacu, qui 
Szezyrbskie dieitur. 

24. C. strigosum Bréb. Klebs, Desm. Tab. I, fig. 3. 

Hab. locis uvidis ad viam publicam ex Jaszezurówka ad Roz- 
toka ducentem ante locum Capöwka dictum. 

25. C. Lunula (Muell) Nitzsch. Ralfs L e. Tab. XXVII., fig. 1. 

Hab. loeis uvidis graminosis muscosisque sub colle Koziniee 
appellato et in laeu Dwoisty Gasienieowy staw dieto. 

26. C. costatum Corda. 

Hab. in aquis ad sinistram viae ex loco Hala Gasienieowa dieto 
ad laeum Czarny staw Gasienieowy ducentis. 30. VI. 1899. 

var. subtumidum Race. 

Hab. in paludosis prope Molköwka inter Utriculariam vulgarem 
(Rac. Pam. XVII. 74). 


445 


21. C. acutum (Lyngb.) Breb. in Ralfs L c. Tab. XXX, fig. 5. 

Hab. in laeu Szezyrbskie appellato. 

28. C. Dianae Ehrenb. Klebs, Desm. Tab. I, 13. e. et 13. g: 

Hab. loeis uvidis muscosis ad dextram viae publicae ex Jaszezu- 
rówka ad Roztoka ducentis in declivitate loei Toporowa Cyrhla 
dieti et ante locum Capówka dietum. 

29. C. Venus Kuetz. Klebs, l. e. L fig. 14 c—e. 

Hab. in lacu Toporowy staw appellato. 

30. C. parvulum Naeg. Einz. Alg. Tab. VI C, fig. 2. 

Long. = 121—132 y, lat. = 176 u, apex = 3 u. 

Hab. in laeu Dwoisty staw Gasienieowy appellato et in saxis 
aqua irroratis ad viam, quae in ripa lacus dieti Morskie Oko ad 
lacum Czarny staw appellatum ducit, sitis. 4. VIII. 1899. 

31. C. Archerianum Cleve in Lund. Desm. Suec , pag. 77., Tab. 
Ve or ERKI ebs lk er lab... figs Toa: 

Long. = 119 y, lat. = 154 u, apex 44 u. 

Hab. loeis uvidis ante locum dictum Capówka cum Cl. Dianae 
13. VIII. 1899; in serobieulis turfosis ad radices montis Kozi 
Wierch dieti in valle Quinque Polon. lacuum et in laeu Toporowy 
staw dieto. 

82. C. Jenneri Ralfs, 1. e. Tab. XXVII. fig. 6. 

Hab. in saxis cet... eum Cl. parvulo. 

33. C. moniliferum (Bory) Ehrenb. 

Hab. loeis uvidis ad rivum in valle dieta Mala Laka (leg. prof. 
I. Król) in aqua rapide fluenti rivi in valle Strazyska appellata 
ad saxa. 16. VI. 1899. 

var. angulatum (Hantsch.) Rabenh. 

Crass. = 29 u. log. = 202 u, apices 6:6 —44 u. 

Hab. inter museos in valle dicta Mala Laka (leg. prof. I. Król.). 

34. C. Leiblenii Kuetz. Ralfs l. e. Tab. XXVIII. fig. 4. 

Hab. in fossis iuxta viam publieam inter Bystre et Jaszezurów- 
ka; in lacubus Sobków staw Gasienicowy dieto atque ad saxa in 
aqua ex laeu Morskie Oko appellato decurrenti. 

35. C. setaceum Ehrenb., Delp. Tab. XVII, fig. 41—44. 

Crass—10 m lons = 36954! 

Hab. inter Sphagna ad ripas lacus dicti Toporowy staw. 


444 


Gen. Penium Breb. 1848. 

36. P. margaritaceum (Ehrenb.) Ralfs Brit. Desm. Tab. XXV., 
fig. 1. d. 

Hab. inter Sphagna ad ripas lacus dieti Smreczynski staw in 
valle Kościeliska (specimina 68 j longa, 26:4 u lata); locis aqua 
irroratis ad sinistram viae (semitae) ex loco Hala Gasienicowa ap- 
pellato ad lacum Czarny staw Gasienieowy ducentis; in lacubus 
dietis: Sobków staw, Dwoisty staw; in scrobiculis turfosis ad radi- 
ces montis Kozi Wierch dicti in valle Quinque Polonicorum la- 
euum; in saxis aquá decurrenti irroratis ad viam iuxta catarraetam 
„Siklawa“ in Roztoka ducentem; in lacu dieto Morskie Oko ad 
saxa in effluvio lacus; in turfosis in silva inter valles Panszezyca 
et Sucha Woda dietas; in laeu Toporowy staw appellato. 

37. P. exiguum West Alg. of. West Irel., pag. 126, Tab. XIX., 
fig. 17 

var. attenuatum nov. var. Tab. nost. VIL, fig. 7. 

A typo semicellulis apices versus attenuatis, pyrenoidibus in 
unaquaque semicellula singulis atque membrana haud granulata (?) 
differt. 

Long. = 22 y, lat. 6-6 u, apices = 54 y. 

Hab. ad ripas in laeu Czarny staw Gasienicowy. (20. VI. 1899). 

38. P. spirostriolatum Barker. 

Long. — 161 y; erass. — 40 y! 

Hab. locis muscosis ad declivitatem loci Toporowa Cyrhla dieti 
ad viam publieam ex Jaszezurówka ad loeum Roztoka ducentem. 

39. P. phymatosporum Nordst. Desm. in Ital. et in Tyrol. Tab. 
XIL, fig. 1. 

Hab. locis uvidis graminosis muscosis prope collem Koziniec; 
inter Sphagna ad ripas lacuum appellatorum: Czarny staw Gasie- 
nicowy et Toporowy staw. 

40. P. polymorphum (Perty) Lund. Desm. Suec. pag. 86. Tab. 
V.. fig. 10. b. 

Hab. in lacu dieto Sobków staw; in serobieulis turfosis ad ra- 
dices montis Kozi Wierch in valle Quinque Polonicorum lacuum; 
in laeu Szezyrbskie appellato 

41. P. Digitus (Ehrenb.) Bréb., Ralfs l. c., tab. XXV., fig. 3. 

Hab. in laeu Smreezyüski staw in valle Koseieliska; loeis 
uvidis graminosis muscosis in silva prope collem Koziniec dictum; 
in lacu dieto Dwoisty staw Gasienicowy; ın serobieulis turfosis ad 


445 


radices montis Kozi Wierch appellati in valle Quinque Polonieorum 
lacuum; ad locos aqua defluenti irroratos supra lacum dietum 
Czarny staw in valle 5-Polonicorum stagnorum; in rivulis vallis 
Ciemnosmreezynska dietae et in lacu Szezyrbskie appellato. 

var. ventricosum Lagerh. Bot. Notiser 1897, pag. 93, fig. 1—3. 

Long. = 66 u; lat. infl. = 242 y; lat. apie. = 132 u. 

Hab. inter Sphagna ad ripas iacus Czarny staw Gasienicowy dicti. 

42. P. interruptum Breb., Ralfs l. c. tab. XXV., fig. 4. 

Hab. locis uvidis ad sinistram viae (semitae) ex loeo dieto 
Hala Gąsienicowa ad lacum Czarny staw Gasienicowy ducentis 
sitis; in lacu Dwoisty staw dicto. 

43. P. rufescens Cleve, De-Toni Sylloge 856. Tab. n. VII, fig. 8. 

Long. = 53 u, lat. = 242 u. 

Hab. in lacu Sobków staw Gasienicowy dieto. 

44. P. closterioides Ralfs 1 c. Tab. XXXIV., fig. 4. 

Hab. locis uvidis ad dextram viae publicae ex Jaszezuröwka ad 
locum Roztoka dictum ducentis sitis ante locum Capówka appella- 
tum; in laeu dieto Sobków staw Gasienieowy; in serobiculis turfo- 
sis ad radiees montis Kozi Wierch in valle Quinque Polonicorum 
lacuum; in laeubus dietis: Toporowy staw, Szezyrbskie. 

var. subeylindricum Klebs, Desm., tab. IIL, fig. 2 c—e. 

Hab. in laeubus: Sobków staw Gasienicowy, Zielony staw Ga- 
sienicowy; Wielki staw in valle Quinque Polonicorum lacuum (leg. 
prof. I. Krol); locis aqua defluenti irrroratis supra lacum dietum 
Czarny staw (in valle 5 Polonie. laeuum); locis uvidis muscosis 
deelivitatis loei Toporowa Cyrhla appellati ad dextram viae pu- 
blieae ex Jaszezuröwka ad locum dietum Roztoka ducentis; in lacu 
Toporowy staw dicto. 

45. P. Navicula Bréb. 

Hab. in lacu Szezyrbskie dicto. 

46. P. truncatum (Breb.) Ralfs. Tab. XXV., fig. 5. 

Hab. inter Sphagna ad ripas lacus dicti Czarny staw Gasienicowy. 

47. P. didymocarpum Lund. Desm. Suec., pag. 85., tab. V., fig. 9. 

Long. = 35 y, lat. = 154 y. 

Hab. in lacu Szezyrbskie appellato. 

48. P. polonicum Rae. 

Hab. in valle Kościeliska in lacu Smreezynski staw. (Rac. 
Pam. X. 61). 

49. P. Moreanum Archer. De-Toni l. c., pag. 862. 


446 


Zygotae long. = lat. = 33 u, crass, = 22—264 u. 

Cell. evacuatae long. = 30 u, lat. = 154 u. Tab. n. VIL, fig. 9. 

Specimen nostrum paulo a figura II. in Schmidle, Algfl. d. 
Schwarzw. u. d. Oberrheins abhorret. 

Hab. inter Sphagna ad ripas lacus Czarny staw Gasienicowy 
dicti. 16.) VIL.1899. 

50. P. minutissimum Nordst. Norges Desm., pag. 46, fig. 21. 

Loney essi ee dat, = 10 y: 

Hab. in aqua decurrenti inter saxa granitiea supra lacum Kurt- 
kowiee dietum. 

51. P. oblongum De-By., Delp. l. e. Tab. XV., fig. 40. 

Long = 118:3 u, lat. = 33 ol 

Hab. in valle Koseieliska dieta ad ripas et in turfosis lacus 
Smreezynski staw appellatı. 

52. P. lamellosum Bréb., Delp. l. e. Tab. XV. fig. 13. 

Hab. in valle Koscieliska cum antecedenti; locis uvidis, grami- 
nosis muscosis in silva prope collem Koziniee dietum; in lacu Sob- 
köw staw Gasienicowy appellato; locis muscosis uvidis declivitatis 
loci Toporowa Cyrhla dieti ad dextram viae publicae; ad saxa in 
lacu Morskie Oko dieto; in aqua ex saxis iuxta viam in ripa lacus 
Morskie Oko ad lacum Czarny staw dietum ducentem decurrenti; 
in turfosis in silva inter valles Pañszezyea et Sucha Woda dietas. 

53. P. cucurbitinum Bisset in Journ. Roy Mier. Soc. 1884, pag. 
157, tab. V. 

for. minor West New Brit. Freshw. Alg., pag. 4. 

Long. = 484 u, lat. = 22 u, isth. = 198 u, apex ad 10 y. 

Hab. ad saxa in rivo vallis, quae „Ku Dziurze“ appellatur. 
1. VII. 1903. 

Gen. Tetmemorus Ralfs 1845. 

04. T. Brebissonii (Menegh.) Ralfs, Le, tab. XXIV. fig. 1. 

Hab. in lacu Smreezynski staw dieto in valle Koscieliska ad 
ripas lacus et locis turfosis in ripis lacus; in laeu dieto Czarny 
staw Gasienicowy et Wielki staw in valle Quinque Polonieorum 
laeuum (ubi legit prof. I. Król), in rivulis vallis appellati Ciem- 
nosmreezynska. 

var. attenuatum Nordst. Freshw. Alg. of N. Zeal. and Austral., 
pag. 66, Tab. III. fie. 18. 

Hab. loeis uvidis ad dextram viae publicae ex Jaszezuröwka ad 
Roztoka ducentis ante locum Capówka dictum. 


55. T. granulatus (Breb.) Ralfs L e., tab. XXIV. fig. 2. 

Hab. in laeubus: Czarny staw Gasienicowy, Morskie Oko, Czar- 
ny staw supra Morskie Oko, Toporowy staw; locis uvidis muscosis 
ad viam publicam ex Jaszezuröwka ad Roztoka ducentem; in saxis 
aqua decurrenti irroratis prope viam iuxta catarractam Siklawa ad 
Roztoka ducentem; in rivulis vallis Ciemnosmreezynska appellatae. 

56. T. levis (Kuetz.) Ralfs l. c., tab. XXIV., fig. 3. 

Hab. locis uvidis graminosis muscosis in Antołówka et prope 
collem Koziniec; ad sinistram viae ex loco Hala Gąsienicowa dicto 
ad lacum Czarny staw Gasienicowy ducentis atque in lacubus: 
Czarny staw Gasienicowy, Zielony staw Gasienicowy, Dwoisty 
staw; in lacu Smreczyúski in valle Koscieliska dicta; in aqua 
decurrenti supra lacum Kurtkowiee dictum; in scrobiculis turfosis 
ad radicem montis Kozi Wierch appellati; in aqua defluenti supra 
lacum Czarny staw in valle Quinque Polonicorum laeuum; in lacu 
Czarny staw supra lacum Morskie Oko sito; locis uvidis ad de- 
clivitatem loei Toporowa Cyrhla et ante locum Capówka dictum; 
in rivulis vallis Ciemnosmreezynska appellatae. 

var. attenuatus Wille, Schmidle, Alp. tab. XIV, fie. 24. 

Hab. in Toporowy staw. 


Gen. Disphinctium Naeg. 1849. 

57. D. curtum (Breb.) Reinsch. (Cosmarium curtum (Breb.) Ralfs 
Le Abe XXXII “tre: 9)! 

Hab. in fonte supra lacum dictum Zmarzly staw sito. 

var. Regelianum (Naeg.) Hansg., Naeg., Kinz. Alg., tab. VI, fig. E. 

Long 942 u, lat. == 18 um ist == 154m apex ==" 6:6 "ug. 

Hab. ad saxa in rivo vallis, quae „Ku Dziurze“ appellatur 
7. VIII. 1903. 

58. D. cruciferum (De-By.) Hansg. var. tatricum nov. var. Tab. 
nostr. VIL, fig. 10. 

Cylidraceum utrinque rotundatum, medio non constrictum, chlo- 
rophoris 6 radiantibus, pyrenoidibus binis. 

Bons. eel — 24. m lat "M6 u: 

Hab. ad saxa in rivulo, qui in parte superiore vallis „Ku Dziu- 
rze“ fluit. (7. VIII, 1903). 

A varietate pluriradianti Wittr. differt dimensionibus minori- 
bus atque cellulis non constrictis. 

59. D. Palangula (Breb.) Hansg., Klebs 1. e., tab. III, fig. 8 b—d. 


Bulletin III. Avril. 3 


448 


Hab. inter Sphagna ad ripas lacus, qui Czarny staw Gąsienice- 
wy dieitur, in lacubus: Dwoisty staw, Sobków staw. Zielony staw; 
in scrobiculis turfosis ad radicem montis Kozi Wierch in valle 
Quinque Polonicorum lacuum et in uvidis supra lacum Czarny staw 
in eadem valle; in Toporowy staw; in turfosis silvae inter 
valles: Panszezyea et Sucha Woda diétas; in rivulis vallis dictae- 
Ciemnosmreczyńska. 

60. D. Cucurbita (Bréb.) Reinsch. Klebs. l. e. Tab. IIL. fig. 8. e. 

Hab. ad collem Antołówka. 

var. inflatum nov. var. Tab. nost. VIL, fig. 11. 

Varietas semicellulis ad basin paulo inflatis, cellulis e latere 
spectatis fusiformibus. 

Long. = 396—407 u, lat. = 176—22 u, istb. = 15-4—176 u, 
apex, = 17.6 u. 

Hab. in laeu Smreezyüski staw in valle Koscieliska ad ripas 
turfosas. (2. VIII. 1899). 

61. D. quadratum (Ralfs?) Hansg. 

Hab. in rivulis parvis rivo Poduplazki dicto affluentibus in valle 
appellata Białej Wody; inter Sphagna ad ripas lacus Czarny staw 
Gasienieowy dieti; in laeu Sobków staw Gasienieowy appellato; in 
lacu, qui Przedni staw Quinque Polonicorum laeuum dieitur (leg. 
prof I. Król); in lacu Toporowy staw appellato; loeis uvidis decli- 
vitatis loci Toporowa Cyrhla dieti; in rivulis vallis Ciemnosmre- 
ezynska vocatae et in lacu Szezyrbskie. 

62. D. Cylindrus (Ehrenb.?) Naeg., Ralfs. Brit. Desm., tab. XXV., 
fiv. 2. ( Penium Cylindrus). 

Hab. in aqua decurrenti ad sinistram viae ex loeo Hala Ga- 
sienieowa dieto ad lacum Czarny staw Gasienicowy ducentis; inter 
Sphagna ad ripas eiusdem lacus; in lacu Sobków staw Gasienicowy 
dieto; in serobieulis turfosis ad radiees montis Kozi Wiereb appel- 
lati; in saxis iuxta viam supra catarraetam Siklawa dietam. ad 
Roztoka ducentem; in laeu Toporowy staw. | 

63. D. Ralfsii (Kuetz) Hansg. forma apicibus paullulo concavis. 

Long. = 119 y, lat. = 20 prit 22 E 

Hab. in lacu Smreezyüski staw appellato in valle, quae Koseie- 
liska dicitur. 

64. D. Thwaitesii (Ralfs) De-Toni, Sylloge, pag. 890. Cosmarium 
Thwaitesü Ralfs |. c., tab. XVIL, fig. 8. 


449 


Hab. ad saxa in aqua rivuli rapide fluentis in valle, quae Waks- 
mundzka dieitur. 

var. penioides Klebs, Desm., pag. 26., tab. HL, fig. 5—7. 

Hab. in lacu Przedni staw dicto, in valle Quinque Polonicorum 
lacuum (leg. prof. I. Król.). 

var. incrassatum Wille, Norges, tab. IL, fig. 24, forma tatrica 
nov. for. Tab. nost. VIL, fig. 12. 

Forma lateribus semicellularum minus convexis (fere subparal- 
lelis), apieibus magis obtusis, subtruncatis. 

Long? = 606 m lat = 297 isthi = 2105 u- 

Hab. ad sphagnosas ripas lacus Czarny staw Gasienicowy. (15. 
MET: 1899): 

65. D. Rehmanii nov. spec. Tab. nost. VIL, fig. 13. 

Disphinetium 1:5 longius quam latius medio leniter constrictum; 
semicellulis semielliptice conicis, apicem versus magis magisque 
attenuatis, ad apices obtuse rotundatis; e vertice visis cireularibus; 
membrana levi, pyrenoidibus in unaquaque semieellula binis. 

Long == 52:8. alate. = 951 p, sth! —1:206! y. 

Hab. in Zakopane prope collem Koziniee loeis uvidis graminosis 
aquis defluentibus irroratis. 

Species nostra C. Thwaitesii Ralfs subaffinis. 

66. D. speciosum (Lund.) Hansg. (Cosmarium speciosum Lund. 
Desm. Suec., tab. IIL, fig. 5). 

Hab. ad saxa in rivulo vallis „Ku Dziurze“ appellatae (speci- 
mina tantum lg. = 40—44 y, lat. = 26:4 u, isth, = 15°4 u me- 
tientia); loeis uvidis graminosis muscosis prope collem Koziniee 
dictum; ad saxa submersa iuxta ripas lacus Morskie Oko; in lacu 
Szezyrbskie. In catarracta Siklawica vallis Strazyska. (Rae. Pam. 
XVII. 82). 

var. rectangulare Borge. Süsswass.-Chlor. Gouv. Archangel. pag. 
2 alo DE. fis. 10: 

Long. = 33—40, lat. = 21 — 22, isth. = 154 u, membrana glabra. 

Hab. in laeu dieto Przedni staw in valle Quinque Polonicorum 
laeuum (leg. prof. I. Król); in laeu Morskie Oko appellato atque 
in parvis stagnis et locis uvidis ad radices montis Mnich appellati 
prope flexionem iugi, quae Wrota Chałubińskiego dicitur. 

67. D. anceps (Lund.) Hansg. (Cosmarium anceps Lund. l. c., 
tab. IIL. fig. 4). ; 

Hab. in laeu dicto Przedni staw eum var. antecedenti (leg. prof. 

3% 


450 


I. Król) in lacu appellato Szezyrbskie (hie specimina 33 y long. : 
20 u lata, isthmo 13 y lato, apicibus 11—12 y latis). 

for. pusillum Hansg. 

Hab.in valle Strazyskain catarracta Siklawiea.(Rae. Pam. X VII. 82). 

var. minimum Gutw. Mater. do fl. Gal. Pars II., pag. 9, tab. I., fig. 2. 

Bons = Bade u 

Hab. in aquis defluentibus ad sinistram viae ex loco Hala Ga- 
sienicowa dieto ad laeum Czarny staw ducentis. (30. VI. 1899). 

forma tatrensis nov. for. Tab. nost. VIL, fig. 14. 

Forma 176 y — 198 u longa, 88 u — 99 u — liy lata 
(ad basin), isth. 66 u — 77 u lato, apice 7°7—8:8 u lato, varietati 
minimum Gutw. Mat. do fl. gl. Gal., pag. (9), tab. I., f. 2. proxima, 
differt dimensionibus atque lateribus semicellularum apicem versus 
non convergentibus sed supra basin retusis, in apicem dilatatum 
desinentibus. 

Formae nostrae (. sublobatum (Bréb.) Arch. v. minutum Gutw. 
l s. e, pag. 10, tab. L, fig. 3. simile videtur sed isthmo angustiore 
atque aspectu verticali et laterali valde abhorret. 

Hab. in laeubus: Czarny staw Gasienicowy (20. VI. 1899), To- 
porowy staw (13, VII. 1899), Zielony staw Gasienicowy (22. VII. 
1399), in serobieulis supra laeum Zadni staw 5-Polonicorum sta- 
gnorum (6. VIII. 1899), in lacu Morskie Oko (9. VIII. 1900). 

68. D. sinuosum (Lund.) Hansg. De-Toni I. e, pag. 894. 

var. decedens (Reinsch) Nordst. Desra. aret, pag. 38. 

(Cosm. decedens (Reinsch) Racib. e. boreale Raciborski, Nowe 
desmidye 1889., pag. 8.). 

Long. = 40, lat. = 20, ist. — (Uri: apex — 198 u. 

Hab. in lacu Czarny staw Gasienicowy dicto. 

forma basiornata nob. Tab. nostra VIL, tig. 15. 

Forma ad basin semicellularum seriebus tribus punctorum ma- 
iorum exornata, isthmo angustiore. 

Long. = 44 y, lt. bas. = 20 u, med. semic. = 176 u, apic. = 
22 u; isth. = 11 u; crass. corp. — 132 u. 

Hab: eum C. decedenti var. carpatico Rac. in lacu Czarny staw 
Gasienicowy. 20. VI. 1899. 

var. carpaticum Rac. l. e. Tab. I., fig. 1. 

Long. = 40 y, lat. bas. = 22 u, lat. subapic. — 176 y, lat. 
ape: = 198 u; lat. isth = 176 u. 

Hab. cum antecedentibus. (20, VI. 1899). 


Gen. Pleurotaenium Naeg. 1849. 


69. P. nodosum (Bail.) Lund. 

Crass. ad inf. med. = 57 y; crass. medii semicell. = 55 u; 
crass. apic. — 264 y, lat. isth. = 462 u; long. cell. = 460 y. 

Hab. loeis uvidis graminosis muscosis in silva prope collem 





Koziniec. 

10. P. minutum (Ralfs) Delp. [(Calocylindrus minutus (Ralfs), 
Penium minutum (Ralfs) Cleve}. 

var. alpinum Race. 

Hab. in lacu Smreezynski staw in valle Koscieliska. (Rac. 


Pam. X. 61.). 


Gen. Pleurotaeniopsis Lund 1871. 


71. P. elegantissima Lund., Desm. Suec., pag. 53., tab. IIL, fig. 20. 

Hab. prope collem Koziniee cum specie antecedenti et in lacu 
Czarny staw dieto, qui supra Morskie Oko situs est (hie specimina 
long =="? late +24 20). 

72. P. Cucumis (Corda) Lagerh., Klebs, Desm., pag. 30. tab. III. 
fig. 11—12 et 15. 

Hab. in lacubus: Czarny staw Gasienicowy, Zielony staw Ga- 
sienicowy, Dwoisty staw; inter saxa granitica supra lacum Kurt- 
kowiee dictum in aqua ex lacu Długi staw defluenti; in aqua ex 
saxis ad viam in ripis lacus Morskie Oko sitis defluenti; in rivu- 
lis parvis rivo Podupłazki dicto in valle Białej Wody dicta afflu- 
entibus; locis uvidis deelivitatis loci Toporowa Cyrhla dicti ad 
dextram viae publicae ex Jaszezurówka ducentis. 

13. P. Ralfs (Breb.) Lund. 

var. alpina Rac. 

Hab. ad lacum Kurtkowiee (Rac. Pam. X. 71.). 

var. montana Race. 

Hab. in Zakopane (Rac. Pam. X. 71.). 

var. angulosa Rac. Desm. okolic Krakowa, pag. 15., tab. I., fig. 6. 

Long. = 112 u! lat. = 110 y! isth. = 264 u! 

Hab. in valle Koscieliska ad ripas turfosas lacus dieti Smre- 
ezynski staw. 

In lacu Toporowy staw. (Rac. Pam. X. 71.). 

74. P. pseudoexigua (Rac.) Lagerh. 

Hab. in Zakopane. (Rae. Pam. X. 11.) 


Gen. Cosmarium Corda 1835. 


75. C. granatum Breb.. Ralfs, Brit. Desm., tab. XXXII., fig. 6. 

Hab. loeis uvidis graminosis muscosis prope collem Koziniee 
in Zakopane. 

for. Borgei Lagerh., Nuova Notarisia IL, pag. 25. (= forma in 
Borge Sibir. Chlor. pag. 12. fig. 7.). Long. = 33, It. = 22, isth. = 
11 u, apex = 66-8 y. 

Hab. ad saxa in rivulo vallis, quae „Ku Dziurze* appellatur. 
1. VIIL 1903. 

76. ©. conicum W. et G. West, Freshw. alg. of Madagas.. pag. 
KEE OO Vill, fig. 12. 

var. brevius nov. var. Tab. nost. VIL, fig. 16. 

Varietas tantum 1°6-plo longior quam latior, lenius constricta, 
seriebus transversis 2 vel 3 punctorum prope basin destituta. 

ons. ==) 33.1, lat == 19:8) a, asthe 195 

Hab. in lacu Sobköw staw Gasienicowy (22. VII. 1899). 

C. Oocystidum West, Welwitsch Afr., pag. 175., tab. 366, fig. 21. 
et C. cucurbita v. attenuatum West Journ. of Bot 42., pag. 286, tab. 
464, fig. 18. varietati nostrae subaffinia sunt. 

77. C. bioculatum Breb.. Ralfs. l. c., tab. 15, fig. D. 

Long. = 18 u. lat. = 154—165 u, ist. = 44 u; membrana 





punctata. 

Hab. in laeu Morskie Oko ad saxa submersa. 4. VIII. 1889. 
et 9. VIII. 1900. 

18. C. Meneghinii Bréb. 

Hab. loeis museosis uvidis declivitatis loei Toporowa Cyrhla 
dieti ad dextram viae publicae ex Jaszezuröwka ad lacum Roztoka 
ducentis; in laeu Toporowy staw. 

var. Braunii (Reinsch) Hansg., Reinsch, Algentl. tab. X., fig. 3 b.c. 

Long: —'40 u "at —'29 5 apex — A20 Tw sf UID NOE 
erass. = 154—18 u. 

Hab. in laeu Zielony staw Gasienicowy 22. VIII. 1899; in 
serobieulis turfosis ad radices montis Kozi Wierch in valle Quin- 
que Polonieorum laeuum; in laeu Czarny staw dicto et supra laeum 
Morskie Oko sito 4. VIII. 1899; in stagnis et uvidis locis ad mon- 
tem Mnich sub deflexione iugi dieta Wrota Chałubińskiego. 

var. octangulariforme Gutw. Materyaly do fl. Galicyi. Pars II. 
(1890), pag. 12., fig. 6. 


453 


Ponse 22%, Tat 176 m sth —— '6:6 u. 

Hab. ad saxa submersa in aqua ex lacu Morskie Oko defluenti. 
9.. VHI. 1900. 

19. C. Regnellii Wille, Sydamer. Algfl, pag. 16., tab. L, fig. 34. 

Long. — lat. — 154 u; isth: = 44 u; crass. = BR y. 

Hab. inter Sphagna ad ripas laeus Toporowy staw. 13. VII. 1899. 

80. C. impressulum Elfv. var. alpicolum forma Schmidle, Alpine 
Algen. pag. 17. tab. XV. fig. 13. 

Hab. ad montem Mnich, cum antecedenti. 

81. C. Garrolense Roy and Bisset, Scot. Desm., pag. 34, tab. 
Kater 4 

Bone 33 Urt. ==. 299] sth 9^9. apex — 198 u; 
e vertice visum ellipticum. 

Hab. inter Sphagna ad ripas lacus Toporowy staw. 

82. C. Etchachanense Roy, On Scot. Desm., pag. 34. tab. I., fig. 15. 

Konz 31 lator 264 ist NT te, erass?— tg 

Hab. in valle Strazyska ad catarractam Siklawica appellatam. 

83. C. alpinum Rae. (C. crenatum c) alpinum Rac. Pam. X., 76. 
tab. DES figs DET! 

Hab. prope catarractam Siklawa. (Rac. l. s. e. 76). 

84. C. Pertyanum Rae. 

Hab. in eatarraeta Siklawiea infra montem Gewont. (Rae. Fiz. 
SX DES SEO.) 

85. C. tinctum Ralfs. 

Hab. in serobieulis turfosis ad radicem montis Kozi Wierch 
in valle Quinque Polonicorum lacuum. 16. VIII. 1899. 

86. C. arctoum Nordst. 

var. tatricum Rac. 

Hab. in Zakopane. (Rac. Pam. X. 79.). 

87. C. pseudoarctoum Nordst. Tab. nostra VIIL, fig. 38. 

Hab. in Zielony staw Gasienicowy. 

88. C. holmiense Lund., Desm. Suec., pag. 49., tab. IL, f. 20. 

Hab. loeis graminosis museosis uvidis prope collem Koziniec; 
ad saxa in rivulo vallis „Ku Dziurze* appellatae (hie 7. VIII. 1903 
specimina 46 u longa, 29 u lata, isth. 154 lato, apice = 22 u 
lato legi). 

var. Nordstedtii Rac. Non. Des. Pol, pag. 81 (25). 

Kong. Bt m lat = 381, sth.) 22 m apex 26:4 u. 

Hab. ad saxa in rivulo vallis „Ku Dziurze“ appellatae. 


454 


var. integrum Lund for. constrieta Gutw. Flora glonöw okolie 
Lwowa, tab. I. fig. 17. 

Long — 255-4 59:4 u — 62 y; lat. = 33 u — 37 y; isth. = 
19:8 u. 

Hab. ad eollem Koziniee cum typo; ad saxa in rivulis vallis 
appellatae Białe et vallis Strążyska; in catarracta „Siklawica“ dicta 
in valle Strazyska. 

89. C. venustum var. excavatum (Eichler et Gutw.). W. and G. 
S. West in Journal of Botany 33., pag. 68. 

C. trilobulatum var. excavatum Eichler et Gutwinski, De non- 
nullis speciebus algarum novarum 1894., pag. 4 (165), tab. IV., fig. 8. 

Forma duplo maior. Tab. nostra VIL, fig. 17. 

Long. = 44 y. lat. = 33 y, lat. isth. = 6:6, lat. apic. = 22 y. 

Hab. loeis uvidis in silva ad dextram viae publicae ex Jaszezu- 





rówka ad loeum Roztoka dietum ducentis prope loeum, qui Capów- 
ka vocatur. 

90. C. pseudospeciosum Racib., Desm. Ciastonia, pag. 364. tab. 
Vi... tie), 21: 

forma latior nov. for. Tab. nost. VIL, fig. 18. 

Forma typo longior ae latior, dorso semicellularum minus evi- 
denter retuso et subtruncato. 

Long. =— 2064 malat —=,154 usta — 26:6, 05 apex kr, 

Hab. in laeu Czarny staw Gasienicowy. (15. VII. 1899). 

90. C. pseudopyramidatum Lund. l. c.. tab. IL, f. 18. 

Hab. in valle Kościeliska ad ripas turfosas lacus „Smreezyn- 
ski staw“. 

91. C. dovrense Nordst, Racib., Nowe Desm., pag. 10. tab. V. 
fig. 38. 

Long. = 35 u — 40 u, lat. = 25—29 y, isth. = 18—20 y, 
erass. = 242 y. 

Hab. ad saxa in rivulis vallium: „Ku Dziurze“ et „Białe“ ap- 
pellatarum. In valle Strazyska ad rupes catarractae Siklawica (Rae. 
Pam. XVII. 82). 

92. C. abbreviatum Rae. 

Hab. prope catarractam Siklawa (Rac. Pam. X. 83.) In laen 
Czarny staw Gasienicowy (legi ipse). 

93. C. pseudoprotuberans Kirch. 

var. alpinum Race. 


Hab. cum antecedenti. (Rae. Pam. X. 83.). 


94. C. eductum Roy et Biss. 

var. tatricum Rae. 

Hab. in Molköwka (Rae. Pam. XVII. 82). 

95. C. ellipsoideum Elfv. var. minus Rac. 

Hab. prope lacum Toporowy staw. (Rac. Pam. X. 84). 

96. C. variolatum Lund. 

var. catharactarum Race. 

Hab. in rupibus ad catarractam Siklawica in valle Strazyska. 
(Rae. Pam. XVII. 19). 

97. C. cambricum Cooke et Wills. 

var. dubium Rae. 

Hab. in Zakopane. (Rae. Pam. X. 79). 

98. C. tetragonum (Naeg.) Arch. 

var. Lundelli Cooke for. tatrica Rae. 

Hab. in Molkówka. (Rae. Pam. XVII. 80). 

99. C. obliquum Nordst., Norges Desm., pag. 23., fig. 8. (N o- 
thocosmarium obliquum Racib. Nowe Desmidye. 1889., pag. 
26, tab. IL, fig. 13). 

Hab. loeis uvidis in Antolówka; in valle Koscieliska eum C. 
pseudopyramidato; im turfosis ad ripas lacus dicti Czarny staw 
Gasienicowy (lg. = 176, lat. = 15:4, isth. = 11 u): in lacu Maly 
staw Quinque Polonicorum lacuum (leg. prof. I. Kröl.); in turfo- 
sis inter valles: Panszezyca et Sucha Woda (lat. = 14 u, isth. = 
id apex = 14:91 loneyt==9 1606) 

forma fatrica nob. Tab. VIL, fig. 19. 

Forma lateribus semicellularum evidentissime constrictis ita ut la- 
tera bicrenata fiant. semicellulis e vertice spectatis semicircularibus ut 
apud typum sed ad apices diametri semicircult parum protractis, mem- 
brana in nonnullis speciminibus ad apicem semicellularum punctis elon- 
gatis exornata (quasi striolata). 

Long. cell. = 176 u — 19 u; lat. 14—154 u; isth. = 11, lat. 
apic. = 143—15 u, crass. = 11 u. 

Forma a nobis descripta maxime formae a M. Raciborski 
Desm. novae, pag. 26, tab. II., fig. 13 a. descriptae affinis videtur, 
quae forma Raciborskii transitum inter typum et formam nostram efficit. 

Hab. in lacu Czarny staw Gasienicowy (20. VI. et 15. VII. 1899). 

Species haec a cl. D-re O. Nordstedtio ad „Bergen; Moen 
i Vossevangen; Seljestad“ primum inventa atque |. s. e. descripta 
ae delineata, postea ab aliis auctoribus indicata est: 


456 


Dr. Scharsehmidt G. (M. T. Akad. Math. Közlem. XVIII, 
1882, pag. 267) C. obliquum in turfosis Mlucha dietis ad Offenbà- 
nya, („Jelentes a Felsó-Magyarorszàgi...^ pag. 7, anno 1888) in 
lacubus Ót-tó, in turfosis prope Csorba invenit. Dr. O. Nordstedt 
speciem hane ex Nova Zelandia et Australia (Freshwat. Alg. ... 
pag. 57. et 80. anno 1888), M. Raciborski ex valle Nowotarska 
ad Ludzmierz (Mater. do fl. gl. Polski. 1888., pag. 29; Desm. nov. 
1889, pag. 26., tab. VI. fig. 13), A. Heimerl ex turfosis Ramsau 
1000 m s. m., regione summi montis Rossbrand 1750—1768 m s. m. 
(Desm. alp. 1891.. pag. 14, W. West ex Helvellyn, Pike of Bliseoe 
(Alg. of the Engl. Lake Distriet 1892., pag. 14, fig. 15), ex Creg- 
gan Longh; Lakes of Longh Bofin; Carrantuchill (Alg. of West 
Ireland 1892. pag. 149), I Lütkemüller ex uvidis locis ad 
Aschau, Eichereben, prope laeum Egel (Desm. a. d. Umgeb. d. 
Attersees in Oberösterr. 1893, pag. 548), O. Borge ex Gariwoj et 
supra ostium fluvii Kusegas in Mezenskoja Pishma (Süsswas.- 
Chloroph. im nördl. Russl.. Gouver. Archang. 1894, pag. 24). W. 
West ex insula Dominiea ,on trees, summit of Trois Pitons 4500 
ft.“ (Alg. from the West Indies 1894, pag. 268) W. et G. S. 
West ex ins. Dominica „on banks, Morne Micotrin, on rocks, 
Castle Bruce River 2000—3000 ft.“ (Alg. of the West Indies 1899, 
pag. 284) proferunt. 

Praeterea utex Nordstedtii Indice Desmid. Supplement.. pag. 
90. apparet: anno 1901: Comére?!) Bohlin, 1908: Max 
Schmidt?) anno 1904: Heering et Homfeld a 1905: Cu sh- 
mann 4), 1906: Migula°), Borge‘) speciem hane indicant. 

100. C. punctulatum Breb. 

var. mesoleium Rac. 

Hab. in Molköwka. (Rac. Pam. XVII. 87). 

101. C. pseudobotrytis Gay, Conjugées Monogr., pag. 61, Pl. I, 
fig. 19. 

Long. —"29 u, lat. = 224 seth =R 

Hab. ad saxa submersa in laeu Morskie Oko. 


1) In Gallia. 

?| In fossis inter Fintel et uvida Hamm. 
3) Ad Hamburg in uvidis prope Eppendorf. 
*) In New Hampshire. 

5) Libelli mihi desunt. 

€) In Suecia. 


102. C. calodermum Gay, Mon. Conj. 

Long. el TUE 35 A, lat. = 24— 28:6 [ly isth, = 10-213 Ii, 
apex = 13 y — 19 p, crass. = 13 y. 

Hab. loeis uvidis, graminosis, muscosis prope collem Koziniee; 
in lacu Czarny staw Gasienieowy; in valle Roztoka in cavo saxi 
granit. aqua impleto. 

108. C. pyramidatum Breb., Ralfs l. e, tab. XV. f. 4. 

Hab. in valle Koscieliska ad ripas turfosas lacus Smreezyü- 
ski staw. 

104. C. Archerii Roy and Bisset, Scot. Desm., pag. 30, tab. L, 
fig. D. forma minor Gutw. De nonnullis alg. novis 1896, pag. [45] 
13. tab. VL, fig. 29. (= C. cymatopleurum Nordst. forma polonica 
Racib. Nowe Desm. pag. 15, tab. V, fig. 36). Tab. nostra VIL, fig. 20. 

Hab. loeis uvidis graminosis muscosis in silva prope collem 
Koziniee in Zakopane. 

Specimina nostra: long. = 90—92 u, lat. = 72:6 u, isth. = 
26:4 u, apex = 33 u. Figura apud Raciborski l. e semicellulam 
haud adultam, nostram superiorem aequantem sistit. In Molköwka, 
valle Koscieliska, Siklawica catarracta. (Rac. Pam. XVII. 87). 

105. C. pachydermum Lund |. e, tab. IL fig. 15. 

Hab. loeis uvidis in declivitate loci Toporowa Cvrhla ad dextram 
viae publicae ex Jaszezuröwka ad locum Roztoka dietum ducentis. 

var. minus Nordst. Norg. Desm., pag. 18, fig. 7. 

Long. = 68—73, lat. = 59, isth. = 22—26 -28 y. 

Hab. loeis uvidis ad viam publicam prope Capówka; in rivulis 
vallis dictae Ciemnosmreezynska. 

106. C. cymatopleurum Nordst, De-Toni l. e, pag. 970. 

Long. = 90 m lat. = 59—64 gu; isth. = 24 jn; apex = 33> p. 

Hab. in pratis museosis sub monte Nosal dieto in Bystre. 

107. C. didymochondrum Nordst.. Desm. Ital. Tyrol, pag. 36, 
tab. XII, fig. 11. 

Hab. in rivulo in valle „Ku Dziurze“ dieta. In rupibus catar- 
ractae Siklawica. (Rac. Pam. XVII. 22). 

forma tatrica nov. for. Tab. nostra VIL, fig. 21. 

A typo differt semicellulis apicem versus rapidius angustatis atque 
granulis nonnullis supra granula bina ad isthmum dispositis ornatis. 

Bone. — 46 m lat 230 asthe ZI a Er AN, 
crass. — 198 u. 

Hab. in valle Olezyska. 19. VI. 1899. 


458 


108. C. difficile Lütkem. Desm. Attersees, pag. 551, tab. VIII, 
fig. 3. 

Hab. loeis uvidis in deelivitate loei Toporowa Cyrhla et prope 
locum Capówka; in valle Quinque Polonicorum laeuum 1. e. in 
serobieulis turfosis ad radices montis Kozi Wierch et in uvidis 
supra laeum Czarny staw; in laeu Morskie Oko et in aqua deflu- 
enti ex saxis supra viam in ripa lacus Morskie Oko ad Czarny 
staw ducentem sitis. 

var. subleve Lütkem. l. e., pag. 552, tab. VIII, fig. 4. 

Hab. inter Sphagna ad ripas laeus dieti Toporowy staw. 

109. C. obsoletum Reinsch. var. angustatum West. 

for. galiciensis Gutw., De nonnul. Alg. 1896, pag. 49, tab. VII, 
fig. 46 

Hab. locis uvidis prope Capówka. 

110. ©. transiens Gay, De-Toni l. e, pag. 916. C. intermedium 
Gay, Monogr., pag. 95, tab. IL, fig. 4 (sub Euastro). 

for. maior nov. for. Tab. nostr. VII, fig. 22. 

Forma margine apieali semieellularum retuso atque dimensio- 
nibus a typo diversa. 

Long. = 29 ur lat = 22 u Sth dd u. 

Hab. ad ripas turfosas lacus, qui Toporowy staw dicitur. 

111. C. margaritiferum (Turp.) Menegh., De-Toni l. e., pag. 979. 

Hab. locis uvidis ad dextram viae publicae ex Jaszezurówka 
ducentis prope Capówka. 

112. C. Botrytis (Bory) Menegh. 

for. typica. 

Hab. loeis uvidis graminosis museosis: prope Koziniee, in de- 
elivitate loei Toporowa Cyrhla, prope Capówka ad dextram viae 
publieae ex Jaszezurówka ducentis; in saxis aqua defluenti irrora- 
tis supra viam in ripa lacus Morskie Oko ad lacum Czarny staw 
ducentem, in stagnis et locis uvidis ad montem Mnich prope de- 
flexionem iugi Wrota Chałubińskiego appellatam. 

var. squamosum Schaarschm., Magyar. Desm., fig. 13. 

Hab. eum typo prope Koziniee. 

var. emarginatum Hansg., Prodrom., pag. 199. 

Hab. eum typo in declivitate Toporowa Cyrhla et in saxis su- 
pra viam ad ripas lacus Morskie Oko. 

115. C. tetraophthalmum (Kuetz.) Bréb. 


459 


Hab. cum antecedenti ad Toporowa Cyrhla. Locis uvidis mu- 
seosis prope eollem Koziniee, in valle Olezyska, in laeu Morskie Oko. 
114. C. Logiense J. P. Bisset, List of Desm. of Lake Winder- 
mere, pag. 3, Roy and Bisset, Scot. Desm., pag. 38, tab. II, fig. 15. 


Long. cell. 51—66—68—'10— 73 u. 


lat. » = 4653 -55—57—62 u. 
isth. „ = 18-22 —20— 22—24 u. 
GRASSES USO ur 


Hab. in saxis submersis ad sinistram viae e loco Hala Gasie- 
nieowa ad lacum Czarny staw Gasienicowy ducentis; in lacu, qui 
Sobków staw Gasienicowy dieitur; in valle Quinque Polonicorum 
laeuum: in scrobiculis turfosis ad radices montis Kozi Wierch et 
supra lacum Czarny staw in aqua defluenti; ad saxa in rivulo sub 
montibus Miedziane supra laeum Morskie Oko; in stagnis et locis 
uvidis ad montem Mnich prope deflexionem iugi Wrota Chalubin- 
skiego appellatam; in rivulis vallis Ciemnosmreczynska; locis uvi- 
dis in declivitate loci Toporowa Oyrhla dieti. 

115. C. dentiferum Corda, Nordst, Bornholm, tab. VI, fig. 45. 

forma maior nob. Tab. nost. VIL, fig. 23. 

Long. = 116 u — 132 y, lat. = 106 y — 119 u: isthe 
33 u — 31 u — 396 u, crass. = 66 u. 

Hab. in lacu, qui Zielony staw Gasienicowy dicitur. (22. VII. 1899). 

116. C. reniforme (Ralfs) Archer, Ralfs l. c., tab. XVI, fig. 2 a—e. 

loue ——' 51-9 lat. "55" istha 19/1; crass "33 Un. 

Hab. loeis uvidis muscosis declivitatis loei Toporowa Cyrhla 
et ante locum Capówka dietum. 

117. C^ eyelicum Lund. l. e, tab. II, fig. 6 d. 

Hab. ad saxa submersa ad sinistram viae ex loco „Hala Ga- 
sienicowa“ dieto ad lacum Czarny staw Gasienicowy ducentis. 

var. maculatum. Schmidle, Weitere Beiträge zur Alg. d. Rheine- 
bene (1895), pag. 76. tab. I. fig. 7. 

for. fatrica nob. Tab. nostra VII, fig. 24. 

Forma in medio semicellularum verrueulis obsita, 49-572 u 
longa, 51—55 u lata; isth. — 19:8 u, apex = crass. cell. = 264 u; 
erenis lateralibus sumicellularum rotundis potius quam quadratis. 

Hab. ad saxa submersa in lacu Morskie Oko; in stagnis et 
uvidis locis ad montem Mnich sub deflexione iugi „Wrota Chalu- 
binskiego“ appellata. 


460 


108. C. Portianum Archer. var. orthostichum Schmidle, Algen 
aus dem Gebiete d. Oberrh., pag. 549, tab. XXVIII, fig. 7. 

Bong, = 135 wat tu; sth — IL y. 

Hab. in lacu Toporowy staw. 

119. C. subspeciosum Nordst, Desm. aret, pag. 22, tab. VI, fig. 
13. sec. De-Toni, Sylloge pag. 986. 

forma tatrica nov. for. Tab. nost. VII. fig. 25. 

Forma lateribus 5-erenatis, tumore supra isthmum septem se- 
riebus granulorum ornato sed serie medianä longissimá (ex granu- 
lis 5), unaquaque autem serierum insequentium uno granulo bre- 
viore. Semicellulae e vertice visae ellipticae, utrimque tumidae, tu- 
moribus 7- granulatis. 

Long. = 41'8 u, lat. = 33 y, isth. = 154 u, crass. = 24 y. 

Hab. in lacubus parvis et stagnis ad radicem montis Mnich prope 
deflexionem iugi, quae Wrota Chalubinskiego dieitur. 10. VIII. 1900. 

"Observatio: Nordstedt in diagnosi l. e. conscripta ,py- 
renoidibus singulis(?)^ dieit, in diagnosi varietatis validioris in 
Freshw. Algae of N. Zeal and Austr. pag. 40. autem „nuclei amy- 
lacei?“ seribit. Observationes nostrae in „De algis a Dre. M. Raci- 
borski anno 1899. in insula Java collectis“ pag. 594. speciem hane 
binos pyrenoides possidere ratum fecerunt. Forma (africa tamen 


pyrenoidibus singulis praedita est, ceterum — characteribus 
supra commemoratis exclusis — cum specie Cosmario subspecioso 


Nordst. plane congruit. Duas itaque species nomine speciosum desi- 
gnatas esse puto, quarum altera pyrenoidibus singulis (Nordst. in 
Desm. aret. |. s. c) altera binis (Nordst. in Freshw. Ale of N. 
Zeal. l. s. e.) praedita est. — Qua ex re sequi videtur, ut varietas 
validius Nordst. pro propria specie habenda eique forma javanica 
Gutw. subiungenda sit. 

120. C. amoenum Breb., Ralfs l. e., tab. XVII, fig. 3. 

Hab. in laeu Toporowy staw. 

121. Cosmarium ordinatum (Börg.) West, N. Amer. Desm., pag. 
251. XV. fig. 14. 

var. montanum nov. var. Tab. nostr. VII, fig. 26. 

A typo differt varietas nostra angulis inferioribus rotundatis 
ineisura mediana abo modo ampliata, verrucis basi semice]lularum 
proximis validioribus, aspeetu laterali eireulari neque depresso eir- 
eulari (Cfr. Börgesen, Symb. ad fl. Bras., pag. 945) atque dimensionibus. 

Long. = 44 y, lat. = 35 u, isth. = 17 y crass == ee 








E e U 







dM ad Ve us 


nets Lien gen Al 


461 


Pyrenoides singuli. 

Hab. iocis uvidis aquis leniter defluentibus irroratis ad dextram 
viae publieae, quae ex Jaszezurówka ad Roztoka ducit, prope Capówka. 

Species haee adhue ex Brasilia (Bórgesen) America boreali 
(West) et Paraguay (Borge) indieata erat. 

122. C. ochtodes Nordst, Wolle, Desm. Un. St, tab. XIV, fig. 4. 

Observat.: Pyrenoides bini. 

Long = 88) gu, lat; = 64 u, isth. == 22 u: 

Hab. in lacu Dwoisty staw in valle dicta Stawöw Gasienico- 
wych; in lacu Przedni staw in valle Quinque Polonieorum stagno- 
rum leg: prof. 1. Knol) 

var. amoebum West — granulosum Lütkem. Alg a. d. Attersee, 
tab. VIII, fig. 9., C. speciosum Lund 9 australianum Nordst. forma 
Gutwinski, Flora alg. agri Lenpol., pag. 50. 

Long: — 88 u, lat. — 17 u, isth. = 242 y. 

Hab. locis uvidis muscosis in declivitate loci Toporowa Cyrhla 
ad dextram viae publicae ex Jaszezuröwka. 

123. C. Hornavanense nov. spec., tab. nostr. VIII, fig. 28. 

(= C. subochtodes Schmidle var. maius Schmidle, Pite Lapp- 
marks... Süsswasseralg. pag. 36, tab. I, fig. 51 et C. spec. Schmidle 
reene 41. ab hehe)! 

Cosmarium permagnum, profunde sinu lineari angustissimo con- 
strietum. Semicellulae subtrapezicae, angulis inferioribus rotundatis, 
lateribus subeonvexis, apice truncato et media in parte evidenter 
leniter emarginato. Membrana ad marginem apice laevi exeepto 
verrucis conicis in series obliquas ordinatis ornata et inter verru- 
eas punetato-serobieulata. Verrueae ad mediam semicellulam dimi- 
nutae et evanescentes ibique membrana serobieulata. Semicellulae 
e vertice visae ellipticae, utrimque late tumidae, ibique plerumque 
et ad angulos semper verrucosae, medio in apiee laeves et media 
in area laevi punetatae, e latere circulares. Pyrenoides bini. 

Long. — 92 y — 99 y — 101 y. 

Lat. = 726 — 748 u — 88 u — 924 u — 968. 

Isth. — 22 u — 24 y — 268 u — 286 y. 

Apex: = 22) u — 28:6 y. 

Speciei huius primum ex lacu Hornavan ad Arjeplong in Pite 
Lappmark l. se indieatae multa legi specimina in lacu Zielony 
staw Gasienicowy (22. VII. 1899) et locis muscosis aquis defluen- 
tibus irroratis in declivitate Toporowa Cyrhla (11. VIII. 1899). 


462 


124. Cosmarium suberenatum Hantzsch., De-Toni, Syll., pag. 1000. 

forma bifaria nov. for. Tab. nostr. VIII, fig. 29. 

Forma margine dorsali leniter 4-erenato ad basin semicellularum 
seriebus granulorum binis exornata. 

Long. = 352 y, lat. = 26:4 y, istb. = 9 u; crass. cell. = 11—13 u. 

Hab. in valle Strążyska ad saxa aquis catarractae Siklawica 
irrorata. 16. VI. 1899. 

125. C. binum Nordst. var. Rac. Pam. XVII, 93, tab. I. fig. 25. 

Hab. in turfosis Molkówka dietis. (Rae. l. ce., pag. 93). 

126. C. Gayanum De-Toni, Sylloge, pag. 994. 

Hab. ad saxa submersa in laeu Morskie Oko. 

121. C. Davidsonii Roy and Bisset, On Scot. Desm., pag. 33, tab. I, fig.8. 

var. simplicius nov. var. Tab. nostr. VIII, fig. 30. 

Varietas typo latior, granulis (in seriebus radiantibus) singulis 
(non „about three in a row“). Semicellulae in aspectu laterali elli- 
ptice eompressae basi modice inflatae, ad angulos inferiores trun- 
eatos 3-crenulatos angustatae. 

Long. = 374 u. lat. =: 29:60. y, isth. = 13 y; crass. = 176 u, 
crass. apicum — 132 u. 

Hab. in lacu Morskie Oko ad saxa, ubi aquae ex lacu decur- 
rant: (9: Vill 1900): 

128. C. emargınulum (Perty) Rabenh. 

var. polonicum Rac. 

Hab. in Smreezynski staw in valle Kościeliska. (Rac. Pam. X. 82). 

129. C. pseudoamoenum Wille var. basilare Nordst. Zeal., pag. 50, 
tab. V, fig. 14. 

Long. = 48:4 u, lat. = 28:6 u, isth. — 154—17°8 u, crass. — 22 u. 

Hab. in lacu dieto Toporowy staw inter Sphagna; in lacu 
Szezyrbskie. 

130. C. microsphinctum Nordst. Tvrol, pag. 33, tab. XII, fig. 9. 

Long. = 31 y, lat. = 20 u, isth. = 132 u. 

Hab. ad saxa in aqua ex lacu Długi staw dicto defluenti supra 
lacum Kurtkowiec; in lacu Przedni staw in valle Quinque Poloni- 
corum stagnorum (ubi leg. prof. I. Kröl.). 

B erispulum Nordst., Wille, Novaja Seml. tab. XII, fig. 23. 

Long. — 36 u — 42 p, lat. = 286 p, isth. = 154 y. 

Hab. loeis graminosis uvidis muscosis prope collem Koziniec; 
in lacubus: Morskie Oko, ad radices montis Mnich prope deflexio- 
nem iugi, quae Wrota Chalubinskiego dicitur. 


463 


131. C. caelatum Ralfs, Brit. Desm., tab. XVII, fig. 1. 

Hab. locis uvidis graminosis muscosis in silva ad collem Ko- 
ziniee, in Antolöwka; ad saxa submersa ad sinistram viae ex loco, 
qui Hala Gasienicowa dicitur, ad lacum dictum Czarny staw Ga- 
sienicowy; in lacubus: Dwoisty staw, Sobköw staw, Czarny staw 
Gasienicowy; in valle Quinque Polonicorum stagnorum: supra lacum 
Czarny staw in saxis aqua defluenti irroratis, in lacu Przedni staw 
(hie leg. prof. I. Król); ad saxa irrorata supra viam Jn ripa lacus 
Morskie Oko, in laeu Czarny staw supra lacum Morskie Oko sito; 
in lacu Toporowy staw; loeis uvidis ante locum Capówka ad dex- 
tram viae publicae ex Jaszezurówka ducentis; in rivulis vallis, 
quae Ciemnosmreezyüska vocatur. 

var. spectabile (De-Not.) Nordst, De-Toni l. e., pag. 1008. 

Hab. in lacu Sobków staw dicto et inter saxa supra lacum Kurt- 
kowiee in aquis ex laeu Dlugi (Kuklaty) staw defluentibus. 

132. C. costatum Nordst., Desm. aretoae, De-Toni Syll., pag. 1012, 
var. tatrense nov. var. Tab. nostra VIII, fig. 31. 

Varietas typo minor, erenis apicalibus truneatis, erenis laterali- 
bus 6 apice emarginatis. 

konz. — 39.0 lat — 89 neat. sth. — ler m 

Hab. in valle Olezyska. (19. VII. 1899). 

Varietas nostra maxime ad figuram in G. S. West. Algaflora of 
Cambridgeshire, tab. 395, fig. 19. accedit. 

133. C. pseudocostatum nov. spec. Tab. nostr. VIII, fig. 32. 

Cosmarium 1:18 longius quam latius, sinu angustissimo profun- 
de constrietum, semicellulis trapezicis, dorso truncatis et leniter 4- 
erenatis, lateribus 5-crenatis, erenis basi semicellularam proximis 
minoribus. Semicellulae e latere spectatae basi tumidae. apicem 
versus angustatae, apice rotundato subtruncatae,in parte subapieali 
atque ad apicem crenatae. Membrana verrucis concentrice et radia- 
tim dispositis emarginatis exornata. Pyrenoides singuli. 

Nome, £226: plates 22, ut dE 48:8 u, marso apical sc 
11—12 u, crass. ad inflationes = 15°4 y, crass. apie. = 132 u. 

Hab. in aquis leniter defluentibus ad sinistram viae. quae ex 
loco Hala Gasienicowa ad lacum Czarny staw ducit. 

134. C. truncatellum (Perty) Rabenh. 

Hab. in Smreezynski staw in valle Koscieliska, (Rae. Pam. X. 79). 

135. C. speciosissimum Schmidle. Alpine Algen. pag, 24, tab. 
XV, fig. 30. 


Bulletin IJI. Avril. 4 


464 


Long. = 46 u — 51 p — 53 y, lat. = 35 u — 40 u — 40 u, 
isth. 18 u. 

Hab. loeis uvidis muscosis in declivitate loci Toporowa Cyrhla; in 
lacu Dwoisty staw; in lacu Przedni staw in valle Quinque Polon. 
stagnorum (hie leg. prof. I. Krol); ad saxa submersa in lacu Mor- 
skie Oko; ad saxa irrorata iuxta viam in ripis lacus Morskie Oko; 
in stagnis et uvidis locis ad montem Mnich prope deflexionem iugi 
Wrota Chalubinskiego appellatam. 

136. C. ornatissimum Schmidle, Berner Alpen, f. 12. 

E vertice elliptieum, medio utringue paullulo tumidulum. Vide 
fim. nostram 36. Tab. VIII. 

Long. = 31 u — 484 u, lat. = 24 u — 35 u, isth. = 11—13 u. 

Hab. in laeu Zielony staw Gasienicowy dicto. 

137. C. Nathorsti for. tatrica nov. forma. Tab. nost. VIII, fig. 33. 

Forma sinu lineari extremo evidentissime ampliato, angulis in- 
ferioribus magis rotundatis, crenis lateralibus eireiter 5. ad basin 
semicellularum infra tumorem basalem serie granulorum singula 
exornata. 

Long. — 418 y, lat. = 374 — 41:8 Hs lat. isth. = 11 It. lat. 
apic. = 154 — 176 y. 

Hab. in lacu Toporowy staw ad ripas sphagnosas. (13. VII. 1899). 

138. C. ornatum Ralfs, Brit. Desm., tab. XVI, fig. 3. 

Long. = 374 u, lat. = 374—40 u. isth. = 13 u, apex = 154 y. 

Verrucae in medio semicellularum in nostris speciminibus concen- 
trice ordinatae sunt. ` 

Hab. iu lacu Toporowy staw inter Sphagna. 

139. C. sublobulatum nov. spec. Tab. nostr. VIII, fig. 34. 

C. paulo longius quam latius medio profunde constrictum sinu 
angustissimo demum subampliato; semicellulis semicirculari-trape- 
zieis, apice truncatis et minute crenatis, lateribus 4—5 crenatis; 
e vertice spectatis ellipticis, medio utrinque tumore 3-crenato prae- 
ditis. Membrana concentrice punctata. Pyrenoides singuli. 

Long. = 275 p 181:— 92 jg, apex lä," Sth EM 
crass, — 13 y. 

Species nostra a C. lobulato Schmidle, Beitr. zur Algenfl. d. 
Schwarzwaldes u. d. Rheinebene, pag. 104, tab. IV, fig. 19—21 
praeter dimensiones minores et apices erenatos pyrenoidibus sin- 
gulis abhorret. 


Hab. in lacu Morskie Oko ad saxa submersa. (4. VIII. 1899). 








465 


140. C. Kjellmanii Wille *) grande Nov. Semlj., tab. XXX, fig. 
33, for. minor Gute. Flor. alg. agr. Leopol, pag. 61, tab. II, fig. 28. 
Long. = 418 y, lat. = 374, isth. = 132 y, ap. = 154 y. 

Hab. in laeu Morskie Oko. (9. VIII. 1900). 

141. C. trierenatum (Boldt.) Gutw. — C. Boldtianum Gutw. Flora 
gri Tarnopoliensis, pag. 56 [100] Tab. III, fig. 36. 

Gong = 31 m lat. 12230, sth. = 142 y3)crass, =) 18: u: 

Hab. ad saxa in rivulo vallis appellatae „Ku Dziurze“. 7. 
VIII. 1903. 

142. C. tatricum Rae. 

Hab. in rivulo prope fontes infra deflexionem iugi, quae Toma- 
nowska przelecz dicitur, inter montem Krzesanica et Tomanowa 
Polska. (Rac. Pam. X. 78). 

143. C. Pokornyanum (Grun.) West. Journ. of Bot. 1900, pag. 
292 |= E. Pokornyanum Grun., E. binale var. angustatum Wittr., 
E. polare Nordst.. C. angustatum (Wittr.) Nordst.| Tab. nostra 
VIII, fig. 39. 

Hab. in valle Strazyska in catarracta Siklawiea [(Rac. Pam. 
XVII. 85) atque auctor], nee non in Zakopane prope Koziniec. 

144. C. pardalis Cohn, Desm. Bongoens. pag. 9, tab. XI, fig. 8, 
Gutwiüski, De algis a Racib. in Java... pag. 600, tab. XXXIX, fig. 52. 

Bong: o—5: 55 lat.) —+484 eet — 17:6 ps erass.\==222 “7. 

Hab. in Toporowy staw inter Sphagna. 

145. C. homalodermum Nordst.. De-Toni, Sylloge, pag. 1043. 

Long. = 64 u — 66 y; lat. = 55 u — 57 ul; isth = 198; 
lat. apice. = 18 u — 24 u; crass. corporis = 31 u. 

Observatio: Pyrenoides singuli! 





Hab. in lacu dieto Dwoisty staw in valle, quae ,Gasienicowych 
stawów“ appellatur; in lacu Morskie Oko in aqua defluenti ex 
lacu 9. VII. 1900; locis uvidis muscosis in declivitate loei Topo- 
rowa Cyrhla ad dextram viae publicae ex Jaszezurówka ducentis. 
11. VIII. 1899. 

146. C. tiroliense nobis (= C. nasutum Nordst. var. euastriforme 
Sehmidle, Beitr. z. alpinen Algenflora, pag. 25, tab. XVI, fig. 2) 
Tab. nostr. VIII, fig. 35. 

Cosmarium profunde sinu lineari angustissimo constrictum; se- 
micellulis subsemicircularibus, angulis inferioribus rectis, lateribus 
inciso trierenatis, apice subprotracto medio late excavato, utroque 
angulo superiore acuto subgranulato. Membrana concentrice et ra- 

Ax 


466 


diatim verrueis ornata, in medio semicellularum verrucae 3 maio- 
res et infra eas ad isthmum verrucae binae. Cellulae e latere visae 
rectangulares ad angulos superiores crenatae, e vertice spectatae 
elhptieae, medio utrinque paulo tumidae, bi-trierenatae, ad polos 
erenatae. Pvrenoides singuli. 

Long. = 30 u — 35:2 u — 314 u, lat. = 25 4 — 286 4 — 308 u, 
istb. =! 1: u crass: ==" 154 u — 16 y. 

Species haee C. aspero West proxima videtur. 

Hab. in lacu Dwoisty staw appellato nee non inter Sphagna 
in lacu Czarny staw Gasienicowy. (15. VII. 1899). 

147. C. subpunctulatum Nordst. Alg. of N. Zeal. and Austral., 
pag. 47, tab. V. fig. 8. 

Hab. in laeu Morskie Oko ad saxa submersa, ubi aqua ex lacu 
defluit. 9. VII. 1900. 

forma formae in Bürgesen Bornholms Desmid., pag. 144, tab. 
VL fig. 4. delineata proxima. Tab. nostr. VIIL, fig. 37. 

Long. — 264 u, lat. = 25:3 u, 18th. == 8:3 u, e H. 

Hab. ad saxa in lacu Morskie Oko. 4. VIII. 1899. 

148. C. staurastriforme nov. spec. Tab. nostr. VIIL fig. 27. 

Cosm. aeque longum ac latum aut parum longius quam latius, 
medio profunde sinu acutangulo mox valde ampliato constrictum. 
Semicellulae transverse ellipticae, apice truncatae vel retusae, ad 
margines laterales acute dentatae. Semicellulae e vertice visae elli- 
ptice-lenticulares, e latere spectatae circulares. Membrana ad an- 
gulos verrucis acutis ornata, eeterum laevis vel subtiliter punctata. 
Verrucae et puncta in series verticales ordinata sunt. Pyrenoides 
singuli, chlorophora axilia quadriradiata. 

Long. = 308 — 286 y, lat. = 286 y, isth = 9—11 y; 
erass. = 154 y — 176 y. 

Hab. in lacubus Sobków staw Gasienicowy et Zielony staw Ga- 
sienicowy (22. VIL 1899), loeis uvidis supra lacum Czarny staw 
5-Polonieorum stagnorum (16. VIII. 1899) in laeu Morskie Oko 
ad saxa, ubi aquae ex lacu defluunt (9. VII. 1900). 


Gen. Arthrodesmus Ehrenb. 1836. 
149. A. Incus (Bréb.) Hass., Ralfs, Brit. Desm., tab. XX, fig. 4. 
Hab. in lacubus Morskie Oko et Toporowy staw. 
150. A. trispinatus West. Tab. nostra VIII, fig. 40. 
Hab. in laeu Toporowy staw. 


467 


Gen. Euastrum Ehrenb. 1831. 


151. E. erosum Lund. var. notabile W. West, Alg. of Engl. Lake 
District., pag. 11, tab. IX, fig. 17. 

for. intermedia nov. for. Tab. nostra VIII, fig. 40*. 

Forma medium inter typum et ornatum Gutw., De nonnullis 
ale. novis (1896), pag. 26 [58], tab. VII, fig. 62, tenens. 

Longs ==) 37:4 u lat 242: i sth. —= 11. 

Hab. in lacu Zielony staw Gasienicowy dieto. 22. VII. 1899. 

152. E. crassicolle Lund, Desm. Suee. tab. IL fig. 8. 

Long. = 29—31 y, lat. = 15—18 y, isth = 6:6 —88 y, 
apex = 8:8—11 y. 

Hab. inter saxa in aqua ex laeu Dlugi (Kuklaty) staw supra 
lacum Kurtkowiee dietum defluenti (22. VII. 1899 legi ipse); in 
lacu „Przedni staw“ Quinque Polonieorum stagnorum (9. VIII. 
1902 leg. prof. I. Król). 

var. dentiferum Nordst., Desm. arctoae, pag. 31. tab. VIII, fig. 32. 

Lone. = 308 ms lator 154. u asthi == 8834, apex ul u, 
Grass: == 120m i 

Hab. locis uvidis museosis ad Antolöwka. 6. VIII. 1903. 

var. minus Rae. 

Hab. prope catarractam Siklawa. (Rac. Pam. X. 91). 

153. E. binale (Turp.) Ralfs l. e, tab. XIV, fig. 8 c. d. 

Hab. in valle Quinque Polonicorum stagnorum in aquis deflu- 
entibus supra lacum Czarny staw; in laeu Czarny staw supra la- 
cum Morskie Oko sito; in lacu Toporowy staw; locis uvidis in 
silva ad dextram viae publieae ex Jaszezurówka ad locum Roztoka 
ducentis prope locum Capówka. 

var. papilliferum nov. var. Tab. nost. VIII, fig. 41. 

Varietas 1:14 —124 longior quam latior, sinu angustissimo line- 
ari, semicellulis trilobis, lobo polari a lateralibus ineisura acutan- 
gula vel obtusangula disereto, in margine apicali obtusangulatim 
inciso, angulis et superioribus et inferioribus in papillam productis, 
lateribus loborum basalium retusis. Semicellulae e latere visae basi 
valde tumidae, e vertice spectatae media inflatione truncata pau- 
lullo inflexa. 

Membrana glabra vel ad margines indistincte granulata. 

Long. = 22—198 u, lat. = 176 u, ist. = 6:6— t1 u, lob. apie. 
lat. — 14 u; crass. = 132 u. 


468 


Hab. in lacubus: Sobköw staw et Zielony staw Gasienicowy 
(22. VII. 99), Wielki staw in valle 5-Polonicorum lacuum. 

154. E. montanum W. et G. S. West, Freshw. Alg. fr. the 
Orkneys and Shetlands 1904. pag. 17. tab. I, fig. 11., 12. 

Long. =.26:6 95. lat! —-22 u, .1sth.. = 66 ju, apex: 152 à 
crass. = 154 y. 

Hab. ad saxa aquis decurrentibus irrorata ad viam iuxta catar- 
ractam Siklawa ad locum Roztoka ducentem 16. VIII. 1899. 

155. E oblongum (Grev.) Ralfs L e. tab. XII. fig. c. 

Hab. in lacu Dwoisty staw in valle „Gasienicowych stawów“; 
in laeu Ozarny staw supra Morskie Oko sito; locis uvidis museosis 
in declivitate loei Toporowa Cyrhla ad dextram viae publicae ex 
Jaszezurówka ad Roztoka ducentis. 

var. oblongiforme . (Oram.) Rbh., Racib. De nonn. Desm. in Pol. 
pag. (37) tab. IV. fig. 13. 

Hab. in declivitate Toporowa Cyrhla eum typo. 

156. E. pinnatum Ralfs var. intermedium Race. 

Hab. prope laeum Toporowy staw [Rac. Pam. X. 93.]. 

157. E. humerosum Ralfs l. e. tab. XIII. fig. 2. 

Hab. in laeu Smreezynski staw in valle Koscieliska. 

.158. E. insigne Hassall. 

var. simplex Rae. 

Hab. in lacu Toporowy staw. [Rac. Pam. X. 92. 

var. montanum Racıb., Opisy now. Desm. pag. 36. tab. XIII. fig. 1. 

Hab. in lacu Sobków staw Gasienicowy et in turfosis in silva 
inter valles: Panszezyca et Sueha Woda. Prope Toporowy staw. 
[Rac. Pam. X. 92]. 

159. E. Didelia (Turp. Ralfs l. e. tab. XIV. fig. 1. 

Hab. loeis uvidis in Antolówka; in lacubus: Sobków staw Ga- 
sienieowy et Czarny staw supra Morskie Oko; locis uvidis musco- 
sis ad viam ,Clotildae“ inter Westerowo et Hagi Wyżne. 

var. tatricum Rac. De non. Desm. tab. XIII. tig. 3. 

Hab. in lacu Smreezynski staw in valle Kościeliska. In Topo- 
rowy staw. [Rae. Pam. X. 92.]. 

for. scrobiculata Nordst. Schmidle, Alp. Alg. pag. 28. tab. XVI. 
fig. 6. et tab. XVII. fig. 12, 13, 14. 

Hab. in lacu Sobków staw Gasienicowy; in lacu Wielki staw 
Quinque Polonicorum stagnorum (leg. prof. I. Król) et in lacu 
Szezyrbskie dicto. 


469 


160. E. dideltoides (Racib.) W. and G. S. West, The Freshw. 
Algae of Ceylon pag. 147. tab. XIX. fig. 12. [E. quadriceps Nordst. 
f. dideltoides Racib. Desm. zebr. przez Ciastonia w podrózy naokolo 
ziemi. pag. 379. tab. IL fig. 31.]. | 

Loneu- 88 milat = Ab, apex — 22; sth. = 154 y. 

Hab. in laeu Toporowy staw ad turfosas ripas. 

161. E. ansatum Ralfs, Brit. Desm. tab. XIV. fig. 2. 

Hab. ad saxa submersa ad sinistram viae ex loco Hala Gasieni- 
cowa ad lacum Czarny staw Gasienicowy ducentis; in lacu Sob- 
ków staw; in lacu Dwoisty staw; in srobiculis turfosis ad. radices 
montis Kozi Wierch in valle Quinque Polonicorum stagnorum; in 
lacu Ozarny staw supra Morskie Oko sito: in lacu Toporowy staw; 
locis muscosis uvidis in declivitate loci Toporowa Cyrhla ad dextram 
viae. publicae ex Jaszezuröwka ad Roztoka; in lacu Szezyrbskie. 

162. E. sinuosum Lenorm., Ralfs, tab. XIV. fig. 3. sec. West 
l. s. e. pag. 148. (= E. circulare: Ralfs 1. c. tab. XIII. fig. 5 a—d). 

Hab. in lacu Sobköw staw Gasienicowy et in lacu Szezyrbskie 
appellato. 

163. E. rostratum Ralfs, l c. tab. XIV. fig. 6. 

Hab. in lacubus: Dwoisty staw et Morskie Oko. 

164. E. divaricatum Lund. var. montanum. Rac. 

Hab. prope lacum Toropowy staw. [Rac. Pam. .X. 94]. 

165. E. elegans (Bréb.) Kuetz, Ralfs l e. tab. XIV fig. 7 et 7 b. 

Hab. in lacubus: Dwoisty staw et Toporowy staw. 

166. E. amoenum Gay, Conjug. tab. I. fig. 7. et Ralfs L c. tab. 
XIV. fig. 8. f. (sub binale). 

Hab. in lacubus: Czarny staw Gasienicowy, Morskie Oko, Topo- 
rowy staw, Szezyrbskie. 

167. E. scitum W. West Alg. of Ireland pag. 141. tab. XXIV. fig. 13. 

Hab. in lacubus: Morskie Oko, Czarny staw supra Morskie Oko; 

Toporowy staw. 
. Observatio: In lacu Toporowy staw inveniuntur praeter typica 
specimina 39:6 u — 42 u longa, 31 u lata, isth. — 11 u lato, 176 u 
crassa, quae in aspectu verticali medio utrinque prominentiam rectan- 
gularem minutam praebent. Pyrenoides semper singuli. 


: Gen. Micrasterias Ag. 1827. 
168. M. Rabenhorstü Kirchn. var. tatrica Race. 
Hab. in paludosis prope Zakopane. [Rac. Pam. XVIII. 106.]. 


470 


Gen. Staurastrum Meyen 1829. 

169. S. dejectum Breb., Ralfs l. e. tab. XIX. fig. 5, Wolle Desm. 
tab. XL. fig. 21. 

Hab. in lacubus: Toporowy staw et Szezyrbskie. 

var. patens Nordst. Alg. of New Zeal. pag 39. tab. IV, fig. 16. 

Hab. in lacu Morskie Oko ad saxa in aqua ex lacu decurrenti. 

170. S. laniatum Delpon., Desm. subalp. pag. 135. tab. X. fig. 22. 

Hab. in Toporowy staw. 

171. S. furcatum (Ehrenb.) Bréb. for. montanum Race. 

Hab. in lacu Smreezynski staw in valle Koscieliska. [Rac. 
Pam. X. 88.]. 

172. S. senarium (Ehrenb.) Ralfs for. tatricum Rac. 

Hab. prope lacum Kurtkowiee [Rac. Pam. X. 88.]. 

173. S. denticulatum (Naeg.) Archer., Naeg., Einz. Alg. tab. VIII. 
fig. C. 3. 

Long. 35 u. lat. sine spin. = 55] [Ms isth. = 11 JL. 

Hab. ad saxa in aqua decurrenti ex laeu Morskie Oko. 

174. S. subbrebissonii Schmidle, Alg. a. d. G. d. Oberrheins pag. 
554. tab. XVIII. fig. 15. 

var. hexagonum nov. var. Tab. nostr. VII. fig. 42. 

Varietas typo maior; semicellulis evidentissime hexagonis, late- 
ribus semicellularum parum concavis, apiee rotundato vel truncato. 
Membrana spinis densius obsita, inter spinas epunctata. Semicellulae 
e vertice spectatae quadrangulares lateribus subconeavis. 

bong. —7" 88 7p lat es ae, = 78 6üm' acul oe. isthe — ven 

Hab. in lacu Zielony staw Gasienicowy 22. VIT. 1899. 

175. S. teliferum Ralfs, l. e. tab. XXXIV. fig. 14. 

Hab. in scrobieulis turfosis ad radicem montis Kozi Wiereh in 
valle Quinque Polonicorum stagnorum. 

var. tatricum nov. var. Tab. nostra VIII. fig. 43. 

Varietas maxime quoad dispositionem spinarum varietati ordi- 
natae Boerges., Ferskv. fra Östgrönland pag. 27. tab. II. fig. 23 b., e. 
affinis, differt autem magnitudine, semicellulis elliptiee- trapezicis, 
membrana praeter aculeos punetis exornata. 

Long. s. acul. 462—484, lat. s. acul. 41:8 u, isth. = 13°2— 154 u, 
crass. s. ac. = 33 u, long. aculeorum = 6:6—8'8 u. 

Hab. in turfosis ad radices montis Kozi Wierch in valle 5-Po- 
lonicorum stagnorum (16. 8. 99.) et ad ripas turfosas lacus Topo- 
rowy staw (13. VII. 99.). 


471 


176. S. rugulosum Breb. in Ralfs, Brit. Desm. tab. XX XV. fig. 19. 

Hab. in lacu Dwoisty staw et Czarny staw Gasienicowy et locis 
uvidis muscosis in silva prope Koziniee. 

177. S. Csorbae nov. spec. Tab. nostr. VIII. fig. 44. 

Staurastrum aeque longum ac latum, sinu angusto lineari con- 
strictum; semicellulis trapezicis angulis inferioribus rotundatis mar- 
gine apicali leniter retuso; membrana praeter basin et apicem se- 
micellularum aculeata. Semicellulae e vertice visae triangulares, 
angulis late rotundatis, lateribus in medio concavis, aculeis aequa- 
liter dispositis. 

hone. == lat, = 242 u; isthi= 8:9 u. 

Hab. in lacu Szezyrbskie 13. VIII. 1903. 

Staurastrum nostrum Staurastro Arnelii Boldt apud W. et G. S. 
West, Notes on Freshw. Algae II Journal of Botany 1900. pag. 297. 
tab. 412. fig. 15—18. non dissimile, ab eo tamen dimensionibus, 
ineisurá medianá, formá marginis apiealis cellulae e fronte visae, 
lateribus magis concavis, angulis obtusius rotuntatis in cellulà e 
vertice adspeetä, atque dispositione aculeorum valde abhorret. 

118. S. trapezicum Boldt, Studier pag. 33. tab. II. fig. 46. 

Hab. loeis uvidis graminosis in Antolówka. 

var. campylospinosum Schmidle, Schwarzwald (1895) pag. $1. 
tab. I, fig. 25. 

Long. sine acul. = 74—77, eum acul. = 83—85 u. 

an es te o2 , -266—'00 u. 

Isth. = 15:4 u — 17 u, apex = 22 y. 

Hab. in lacu Zielony staw Gasienicowy, 22. VII. 1899. 

119. S. saxonicum Bulnh., De-Toni, Sylloge pag. 1173. 

Hab. ad saxa submersa ad dextram viae ex loco Hala Gasieni- 
cowa ad lacum Czarny staw ducentis et in Morskie Oko. 

180. S. trachynotum West var. annulatum West, Alg. of W. Ire- 
land pag. 176. tab. XXIV. fig. 16. 

Hab. in laeu Przedni staw Quinque Polonicorum stagnorum 
(leg. prof. I. K ról). 

181. S. orbieulare (Ehrenb.) Ralfs, Delponte, Desm. subalp. tab. 
IX he Oh 

Hab. in laeu Toporowy staw. 

182. S. pygmaeum Breb. 

Hab. in fonte supra lacum Zmarzły staw ad viam in deflexio- 
nem iugi ,Zawrat^ sito. 





472 


for. maius Wille, Fra. nov. Semlj. tab. XIII. fig. 54—55. 

Hab. in lacu Wielki staw Quinque Polonicorum stagnorum in 
aqua ducurrenti (leg. prof. I. Król). 

183. S. incospicuum Nordst. var. abbreviatum Rae. Desm. Polon. 
pag. 31. tab. XII. fig. 9. 

Hab. in lacu Smreezynski staw in valle Koseieliska ad ripas 
turfosas et in turfosis in ripis lacus. 

Prope Zakopane. (Rae. Pam. X. 87.]. 

184. S. varians Racib. De nonnul Desm. pag. (30). tab. XII. 
fig. 1. 

Long.— 33 u — 42 y, lat. — 29 y — 40 y, isth. = 9—15 u. 
Grass. — 18 y. 

Hab. in lacu Sobków staw Gasienieowy, in aquis defluentibus 
inter saxa granitica, quae inter lacum Sobków staw et Zielony staw 
' Gasienicowy inveniuntur; in aquis defluentibus ad lacum Czarny 
staw supra Morskie Oko situm. 

var. cosmarioides Rac., var. trigonum Rac. et var. tetragonum Rac. 

Hab. prope lacum Kurtkowiee. [Rac. Pam. X. 86.]. 

forma truncata nov. forma. Tab. notra VIII. fig. 45. 

Forma aeque longa ac lata, semicellulis dorso truncatis, angulis 
lateralibus magis acutatis, isthmo latiore. 

Long. 33 u==lat.; isth. 14 u. 

Hab. in lacu Toporowy staw ad ripas inter Sphagna 13. VII. 1899. 

185. S. muricatum Breb., Ralfs l. c. tab. X XII. fig. 2. Nordst., 
Bornh. pag. 203—205. tab. VI. fig. 22. 

Hab. in laeu Zielony staw Gasienicowy atque in silva inter 
valles Panszezyea et Sucha Woda; in lacu Smreezynski staw in 
valle Koscieliska. 

forma tatrica nov. for. Tab. nostr. VIII. fig. 46. 

A typo differt murieibus maioribus in summa fronte evanes- 
centibus. 

Long. = 44 — 46 — 52:8 u, lat. = 37 y, isth. = 10— 154 u; 
crass. — 33 u, long. murieum (aculeorum) = 2:2 u. 

Hab. in laeu, qui Sobków staw dieitur (22. VII. 1899). 

186. S. punctulatum Breb., Ralfs l. e. tab. XXII. fig. 1. 

Hab. locis graminosis muscosis aqua defluenti irroratis in silva 
prope collem Koziniee, in declivitate loei Toporowa Cyrhla, prope 
locum Capówka; ad saxa in rivulo vallis, quae „Ku Dziurze“ dici- 


473 


tur; in lacubus: Dlugi (Kuklaty) staw, Sobköw staw et Zielony 
staw, Gasienicowy; in valle Quinque Polonieorum stagnorum: in 
serobieulis turfosis ad radices montis Kozi Wierch, in aquis defluen- 
tibus supra Czarny staw; in lacu Morskie Oko; in lacu Toporowy 
staw; in parvis rivulis rivo Poduplazki dieto in valle „Białej Wody“ 
affluentibus; in magna catarraeta rivi Kolbach et in laeu Szezyrbskie. 

var. Kjellmanii Wille, Nov. Semlja tab. XIII. fig. 50—53. 

Hab. in aqua defluenti inter laeus Sobków et Zielony staw Ga- 
sienieowy; ad saxa granitica in rivo rapide fluenti in valle, quae 
dieitur Waksmundzka, et in rivo ad montes Miedziane supra Mor- 
skie Oko; in saxis, submersis loco, ubi aquae ex laeu Morskie Oko 
decurrunt; in lacubus ad montem Mnich. 

var. subrugulosum Rac., Desm. pol. tab. XII. fig. 13. 

Hab. in laeu Dwoisty staw Gasienieowy. 

187. S. amoenum Hilse. 

Hab. in laeu Przedni staw Quinque Polonicorum stagnorum (leg. 
nt I. Kröl.); inter Sphagna ad ripas lacus Czarny staw Gasie- 
nicowy. 

subsp. acanthophorum Nordst., Tyrol et Ital. pag. 43. tab. VIII. 
he, 10. 

Long. = 374 u, lat. bas. = 198 u, lat ap. = 24 — 26 u. 
asth. == 15:4 ile 

Hab. locis graminosis muscosis aqua defluenti irroratis in silva 
propre collem Koziniec. 

var. brasiliense Boerg., West, Alg. of Ireland tab. XXIII. fig. 9. 

Hab. in lacu Czarny staw supra Morskie Oko sito. 

var. intermedium nov. var. Tab: nostr. VIII. fig. 47. 

. . Varietas 44 u longa, 22 u lata, 19:8—22 u crassa, isthmo 13:2 u 
lato, habitu var. acanthophoro simillima, sed aspectu semicellularum 
vertieali basalique facile dignoscitur. Semicellulae ex ipsa basi 
spectatae St. pileolatum var. eristatum Lütkem. in mentem revocant; 
verrucae tamen basales maiores, acutiores atque aculei parvi mem- 
branam ornantes varietatem nostrem magis affınem Sf. amoeno esse 
demonstrant. 

Hab. ad ripas turfosas lacus Toporowy staw (15. VIL 1899); 
locis uvidis in Antolöwka; inter Sphagna ad ripas lacus Czarny staw 
Gasienicowy; in lacubus: Sobköw et Zielony staw Gasienicowy; ad 
saxa aqua defluenti irrorata ad viam iuxta catarractam Siklawa ad 
Roztoka ducentem. 


474 


188. S. pileolatum Breb., Ralfs l. e. tab. XXV. fig. 22. 

var. cristatum Lütkem., Attersee pag. 566. tab. IX. fig. 16. 

Long. == 35—40 u, lat. = 11:6 —19:8 —22 u, isth.— 154—164 um, 
apex = 176 y. 

Hab. in lacu Czarny staw Gasienicowy 20. VI. et 15. VII. 1899. 

189. S. Meriani Reinsch. Algenfl. tab. XII. fig. 1. (S. hexagonum 
Racib., De nonnul. Desm. novis [1885] tab. XII. fig. 3.). 

Hab. in laeu Przedni staw Quinque Polonicorum stagnorum (leg. 
prof. I. Król); loeis graminosis muscosis aqua defluenti irroratis 
in silva prope collem Koziniec. 

190. S. alternans Bréb. (S. tricorne Ralfs 1. c. tab. XII. fig. 11.). 

Hab. ad saxa immersa in laeu Morskie Oko, ubi aqua ex lacu 
decurrit; in lacu Toporowy staw. 

191. S. basichondroides nov. sp. Tab. nostr. VIII. fig. 48. 

Staurastrum 1°7 longius quam latius, semicellulis elliptice-he- 
xagonis, angulis acute rotundatis, isthmo subelongato glabro, ad basin 
semicellularum serie granulorum horizontali ornato; membrana se- 
micellularum seriebus granulorum longitudinaliter dispositis ornata. 
E vertice trigonum, lateribus fere rectis. 

Dong: = 352, lat —= 98, isthmi = 12. 

Hab. in rivulis vallis Ciemnosmreezynska, 10. VIII. 1900. 

Species inter St. Kjellmani Wille et St. alternans var. basichon- 
drum Schmidle medium tenens. 

192. 5. dilatatum Ehrenb., De-Toni l. c. pag. 1193. 

Hab. locis uvidis prope locum Capówka ad dextram viae pu- 
blieae ex Jaszezurówka ad locum Roztoka dietum ducentis; in lacu- 
bus: Morskie Oko et Szezyrbskie. 

193. 8. subdilatatum West, Alg. fr. Centr. Africa tab. CCCLXI. 
fig. 16. pag. (in Separat.) 4. 

Long: = 35:2, lat. —33 y; isth. — 132. 

Hab. loeis muscosis aquis defluentibus irroratis in declivitate 
loci Toporowa Cyrhla ad dextram viae publicae ex Jaszezurówka 
ducentis 

194. S. Borgeanum Schmidle, Pite Lappmarks Siisswass. pag. 
60. tab. III. 7 et 16. 

var tatricum nov. var. Tab. nostr. VIII. fig. 49. 

Varietas habitu formae minori Schmidle l. e. proxima, processi- 
bus autem magis protraetis, semicellulis e fronte visis granulis in 


475 


series geminatas ordinatis et ad basin denticulis 4 conspicuis non- 
nunquam emarginatis diversa. E vertice visa triradiata. 

Long. = 39:6 y lat. — 462 u; isth,—= 11-12, y 

Hab. in laeu Morskie Oko ad saxa, ubi aquae ex lacu defluunt. 
9. VIII. 1900. 

W. West et G. S. West Staur. Borgeanum Schmidle St. probos- 
cideo Arch. subjungere voluerunt (Cfr. Freshwat. Alg. fr. the Orkneys 
and Shetlands pag. 28. Nr. 237.), sed diagnosis apud De-Toni atque 
figurae in Ralfs, Brit. Desm. tab. XXIII. fig. 12, cum diagnosi et 
figuris Schmidlei comparatae, demonstrare mihi videntur, Staurastra 
haec species proprias. esse. 

195. S. alpinum Racib., Materyały do flory gl. Polski pag. (29) 
108. Nowe Desm. pag. (27) 99. tab. VII. fig. 6. 

Long. —;9941,1 lat == 22m isth.— 19. u 

Hab.ad eatarractam „Siklawiea“ in valle Strazyska 16. VI. 1899. 
Eodem loeo [Rac. Fiz. XXII. 108 et Pam. XVII. 99]. 

196. S. decipiens Rae. 

Hab. in lacu Smreczyñski staw [Rac. Pam. X. 89]. 

197. S. polymorphum Breb., Ralfs Le, tab. XXII, fig. 9. 

Hab. inter Sphagna in ripis lacus Czarny staw Gasienicowy; 
in lacu Toporowy staw et ad saxa in lacu Morskie Oko, ubi aquae 
ex laeu decurrunt. 

198. S. gracile Ralfs, var. nanum Wille. 

Hab. in laeu Toporowy staw. (Rae. Pam. X. 89). 

199. S. paradoxum Meyen. Ralfs, Le, tab. XXIII, fig. 8. 

Hab. in laeu Toporowy staw inter Sphagna. 

200. S. margaritaceum Ehrenbg., Ralfs l. e., tab. XXL, fig. 9, a. 

Hab. in laeubus: Sobków et Czarny staw Gasienicowy. 

var. alpinum Sehmidle, Berner Alpen, tab. VI, fig. 5. 

Hab. in laeu Dwoisty staw et in parvis rivulis rivo Poduplazki 
affluentibus in valle, quae Bialej Wody appellatur; in lacu Zielony 
staw Gasienicowy (long. = 31 y, lat. = 264—286 yu, isth. = 
11—132 u; crass. == 22; forma quadriradiata). 

201. S. sexcostatum Breb. var. truncatum. Racib. De nonnull. 
Desm., pag. 29, tab, XI, fig. 14. 

Hab. in lacu Dwoisty staw Gasienicowy. 

202. S. tetracerum (Kuetz.), Ralfs 1. e tab. XXIII, fig. 7. 

Hab. in laeu Toporowy staw, 


476 


Class. Bacillarieae Nitzsch. 1817. 
Ordo Rhaphideae H. L. Smith 1872. 
Fam. Naviculaceae (Kuetz. 1844) Heib. 1863. 
Gen. Navicula Bory 1822. 


1. N. nobilis (Ehrenb.) Kuetz. 

Hab. in valle Olezyska locis uvidis muscosis; loco a Szmeks 
2:5 km occidentem versus distanti; in valle Miegoszowiecka; in lacu 
Czarny staw 5-Polonicorum stagnorum. (Schum. Z. B. V. 1867. 70). 

2. N. maior Kuetz., V. H. Syn, tab. V, fig. 3—4. 

Hab. in pratis humidis in Zakopane (Kasprusie) ad ostium vallis 
Strążyska; in lacu Dwoisty staw Gasienicowy; in lacu Maly staw 
Quinque Polonicorum stagnorum (hie leg. prof. I. Król); in laeu 
Morskie Oko ad saxa submersa, ubi aquae ex lacu decurrunt; ad 
saxa aquis defluentibus irrorata supra viam in ripa lacus Morskie 
Oko ad lacum Czarny staw ducentem sita; in lacu Czarny staw 
supra Morskie Oko; in stagnis et uvidis ad montem Mnich prope 
deflexionem iugi, quae „Wrota Chałubińskiego“ dicitur; in parvis 
rivulis, qui rivo Poduplazki in valle Białej Wody affluunt; in lacu 
Toporowy staw; in uvidis muscosis declivitatis loci Toporowa 
Cyrhla; in valle Olezyska; — in rivulis vallis, quae Ciemnosmre- 
ezynska vocatur. Loco 25 km a Szmeks orientem versus distanti, 
in valle Mięguszowiecka. (Schum. I. e. 70). 

3. N: viridis (Nitzsch.) Kuetz, V. H. 1. c. tab. V, fig. 5. 

Hab. loeis uvidis graminosis muscosis in: Antolówka, sub colle 
Koziniee, ad radicem montis Nosal in Bystre; in valle Koseieliska 
in fonte „Lodowe“ et in lacu ,Smreczynski staw“ dieto; in valle 
„Strążyska“ in rivulis et in catarracta, quae Siklawica appellatur; 
in valle „Mala laka“ in uvidis ad rivulum (hie leg. prof. I. Król); 
in laeubus: Dwoisty staw, Zielony staw et Czarny staw Gasieni- 
cowy; Morskie Oko; ad saxa aquis defluentibus irrorata iuxta viam 
in ripis laeus huius ad laeum Czarny staw ducentem; in stagnis 
et uvidis ad montem Mnich sub deflexione iugi, quae Wrota Cha- 
lubinskiego dicitur; in catarracta inter lacum Zmarzły staw et 
Czarny staw (hie leg. prof. I. Król) in parvis rivulis rivo Pod- 
uplazki affluentibus in valle, quae ,Bialej Wody“ appellatur; loeis 
uvidis in declivitate loci Toporowa Cyrhla. In fonte Lodowe in 
valle Koscieliska; prope Szmeks cum ambabus speciebus praece- 


477 


dentibus; in valle Mieguszowiecka; in laeu Wielki staw 5-Poloni- 
corum stagnorum. (Schum. ]. e. 71). 

var. minor Cleve, Finl. Diat., pag. 22, tab. I, fig. 2. 

Hab. in valle Kościeliska ad ripas turfosas lacus Smreczynski 
staw dicti; in lacubus: Sobköw staw, Dwoisty staw, Czarny staw 
Gasienicowy; inter saxa granitica in aquis defluentibus supra lacum 
Kurtkowiee appellatum et supra lacum- Czarny staw in valle Quin- 
que Polonieorum stagnorum; in lacu Toporowy staw. 

var. parallelestriata Pantoc. forma stauroptera Pantoc. Szliaci 
fos. Bac., pag. 6, tab. I, fig. 16. 

Long. = 62 y, lat. = 13 u, costae 6:36 in 10 u. 

Hab. locis uvidis muscosis in declivitate loci Toporowa Cyrhla 
ad dextram viae publicae ex Jaszezuröwka ad Roztoka ducentis. 

4. N. commutata Grun., Pantocsek, Balaton, pag. 31. tab. III, 
fig. 52. (Pin. viridis (Nitzsch) Kuew. var. commutata Cleve). 

Hab. locis uvidis muscosis graminosis prope collem Koziniee et ad 
radices montis Nosal; in lacubus: Sobköw staw et Czarny staw Gasie- 
nicowy, in aqua inter saxa granitica defluenti inter lacus Sobköw 
staw et Zielony staw Gasienicowy; in aquis ex nivibus prope de- 
flexionem iugi, quae Zawrat dieitur, decurrentibus; in lacu Czarny 
staw supra Morskie Oko sito; in saxis aqua irroratis juxta viam 
in ripa laeus Morskie Oko; in stagnis et uvidis ad Montem Mnich 
prope deflexionem iugi, quae Wrota Chalubiüskiego appellatur; in 
laeu Przedni staw Quinque Polonieorum stagnorum (hie leg. prof. 
I. Kröl); in silva inter valles Panszezyca et Sucha Woda in tur- 
fosis; in valle Strazyska in catarracta, quae Siklawica vocatur. 

forma semicruciata Grun., Müller, Bac. a. d. Hochs. d. Riesengeb. 
pag. 82, tab. III, fig. 1. 

Hab. in Przedni staw Quinque Polonicorum stagnorum (leg. 
prot" TK 61): 

5. N. Mágócsyi Pantoc., Balaton, pag. 31, tab. III, fig. 60. 

var. stauroneiformis nov. var. 

Costae media in parte nullae. Long. = 53—75 u, lat. = 9—11 u; 
costae 6—8 in 10 u. 

Hab. locis uvidis muscosis graminosis ad viam publicam ex 
Jaszezuröwka ad Roztoka ducentem ante locum, qui Capówka vo- 
catur, et ad viam Clotildae dietam inter Westerowo et Hagi Wyżne. 

6. N. hemiptera Kuetz., Grun., Nav., tab. (2) IV, fig. 20. 

Hab. ad saxa submersa ad sinistram viae ex loeo ,Hala Ga- 


478 


sienicowa“ ad laeum Czarny staw Gasienicowy ducentis; in lacu 
Toporowy staw et in turfosis in silva inter valles Panszezyca et 
Sucha Woda. 

In fonte Lodowe in valle Koscieliska; in valle Mieguszowiecka; 
in lacu Wielki staw 5-Polonicorum stagnorum; in valle Zimna 
Woda (Klein Kolbach). (Schum. 1. e. 75). 

7. N. lata Breb., Schum., Tatra. tab. IV, fig. 54; V. H. tab. VL 
fig. 1., Schmidt Atlas tab. XLV, fig. 5—7. 

Long. = 84 u, lat. = 31—35 u; costae 3 in 10 u. 

Hab. in lacubus: Sobków staw et Czarny staw Gasienicowy. 
Czarny staw supra Morskie Oko, Toporowy staw; in turfosis in 
silva inter valles: Pańszezyca et Sucha Woda. 

In lacu Czarny staw 5-Polonicorum stagnorum; in valle Zimna 
Woda, (Schum. l. e. 73). 

8. N. divergens (W. Sm.) Ralfs, O. Müller, Riesengb. pag. 25, 
tabs ILE, fig; ;9. 

Hab. ad saxa aquis defluentibus irrorata iuxta viam in ripa 
lacus Morskie Oko ad lacum Czarny staw ducentem. Prope Szmeks 
cum N. nobili; in valle Mieguszowiecka; in valle Swistowa; in 
valle Zimna Woda. (Schum. I. e. 70). 

var. elliptica Grun., A. Schmidt. Atlas, tab. XLIV, fig. 6—7; 
O. Müller, Riesengb.. pag. 25. tab. III, fig. 11. 

Hab. in Antolówka (Zakopane) (specimina 108—114 u longa, 
33 p lata, costis 54 in 10 y); in lacubus: Dwoisty staw, Czarny 
staw supra Morskie Oko (specimina 106 u longa, 33 u lata, costis 
54 in 10 y); in serobieulis turfosis ad radices montis Kozi Wierch 
in valle 5-Polonicorum stagnorum; in uvidis prope locum Capówka. 

9. N. borealis (Ehrb.) Kuetz., V. H., tab. VI, fig. 3. Schum., 
Tatra, tab. IV, fig. 55. 

Hab. locis uvidis in Antolöwka; in saxis submersis ad sinistram 
viae ex loco, qui Hala Gasienicowa dicitur, ad lacum Czarny staw 
ducentis atque in ipso lacu; in laeubus: Sobków staw et Dlugi 
(Kuklaty) staw; in catarraeta inter lacum Zmarzly staw et Czarny 
staw (hie leg. prof. I. Król); in fonte „Lodowe“ supra lacum 
Zmarzly staw sito; in aquis ex nivibus decurrentibus prope defle- 
xionem iugi, quae Zawrat dieitur; in valle Quinque Polonicorum 
stagnorum: in serobieulis turfosis ad radices montis Kozi Wierch, 
in lacubus: Maly et Przedni staw (leg. prof. I. Król) atque inter 
saxa granitica in aqua defluenti supra lacum Czarny staw; in sta- 





479 


gnis et uvidis ad montem Mnich prope deflexionem iugi, quae „Wrota 
Chalubinskiego“ appellatur; ad saxa iuxta viam prope catarractam 
Siklawa ad locum Roztoka ducentem; in valle Roztoka prope catar- 
ractam Mickiewiezii in serobieulo saxi granitici; in lacu Toporowy 
staw; locis graminosis muscosis uvidis ad dextram viae publicae ex 
Jaszezuröwka ducentis prope locum Capówka. 

Prope Szmeks eum N. nobili; in valle Biała Woda; in valle 
Mięguszowiecka; in lacubus Czarny et Wielki staw 5-Polonicorum 
stagnorum; in vallibus Świstowa et Wielka atque Zimna Woda. 
(Schum. 1. e. 74). 

10. N. ’sublinearis Grun: in VH. tab. VL fig. 25, 26: 

Hab. cum specie antecedenti prope Capówka. 

11. N. Brebissonü Kuetz, V. H tab. V, fig. 7. A. Schmidt, Atlas 
tab. XLIV, fig. 17, O. Müller, Riesengeb., tab. III, fig. 4. 

Hab. eum antecedentibus prope Capówka; in laeu Toporowy 
staw; in lacubus: Czarny staw supra Morskie Oko; in Przedni et 
Wielki staw Quinque Polonicorum stagnorum (hic leg. prof. I. Krol), 
in Zielony staw Gasienicowy (hie specimina 103! u longa, 24 y 
lata, striis 54—63 in 10 u observavi); in scrobiculis turfosis ad 
radices montis Kozi Wierch in valle Quinque Polonicorum stagno- 
rum; in aquis inter saxa defluentibus supra lacum Kurtkowiec; ad 
viam ex loeo, qui Hala Gasienicowa dicitur, ad Czarny staw du- 
centem; in laeu Smreezynski staw in valle Koscieliska. In lacu 
Czarny staw 5-Polonicorum stagnorum. (Schum. |. e. 74). 

var. subproducta V. H. tab. V, fig. 9. 

Hab. in lacu Morskie Oko, in stagnis et uvidis ad montem 
Mnich prope deflexionem iugi, quae Wrota Chalubinskiego appella- 
tur; in lacu Toporowy staw: 

var. diminuta Grun., V. H., tab. V, fig. 8: Pant, Balaton, pag. 
33, tab? DCVIE^ fig, 316. | 

Hab. eum var. antecedenti ad montem Mnich; in rivulis rivo 
Poduplazki in valle Białej Wody affluentibus; locis uvidis muscosis 
in deelivitate loci Toporowa Oyrhla ad dextram viae publicae ex 
Jaszezurówka in locum Roztoka ducentis atque ad viam Olotildae 
inter Westerowo et Hagi Wyżne. 

var. angusta Grun., Nav. tab. (3) V, fig. 18. 

Hab. loeis uvidis in silva prope collem Koziniee et in stagnis 
ad montem Mniéh prope deflexionem iugi. quae Wrota Chalubin- 
skiego dieitur. om | 


Bulletin III. Avril. 5 


480 


12. N. molaris Grun, V. H. tab. VI, fig. 20. | 

Hab. inter saxa granitica in aquis defluentibus supra lacum 
Kurtkowiee dictum; in Maly staw Quinque Polonicorum stagnorum 
(hie leg. prof. I. Krol). 

13. N. stauroptera Grun., Nav. tab. (2) IV, fig. 18, V. H., tab. 
Vil ho 

Hab. loeis uvidis prope locum Capówka ad dextram viae pu- 
blicae ex Jaszezurówka ducentis; in fonte „Lodowe“ supra lacum 
Zmarzły staw dietum; in valle Quinque Polonicorum stagnorum: 
in serobieulis turfosis ad radicem montis Kozi Wierch (specimina 
48 u longa, 6'6 u lata, striis 10 in 10 u legi ipse) in lacu Wielki 
staw (leg. prof. I. Kröl); in lacu Morskie Oko. 

var. parva Grun., V. H. tab. VI, fig. 6. 

Hab. inter saxa granitica in aqua defluenti supra lacum Kurt- 
kowiec; ad saxa submersa ad sinistram viae ex loco Hala Gasie- 
nicowa ad lacum Czarny staw Gasienicowy ducentis; ad saxa sub- 
mersa in lacu Morskie Oko; locis uvidis graminosis partimque mu- 
scosis in declivitate loei Toporowa Cyrhla et prope locum Capówka 
ad dextram viae publicae ex Jaszezuröwka ducentis. In fonte Lo- 
dowe in valle Koscieliska. (Schum. l. e. 76). 

14. N. Tabellaria Kuetz., A. Schmidt, Atlas, tab. XLIIL fig. 4, 
Vi Ho tab. VL 76028: 

Hab. in valle Kościeliska in lacu Smreezyüski staw; in lacu 
Sobków staw Gasienieowy; ad saxa submersa, ubi rivus ex lacu 
Morskie Oko decurrit. 

15. N. gibba (Ehrbg.) Kuetz. var. Peckii Grun., Nav. (2) IV, fig. 17. 

Hab. in lacu Czarny staw Gasienicowy. 

In fonte Lodowe in valle Kościeliska; in lacubus Czarny et 
Wielki staw 5-Polonicorum stagnorum; in vallibus Świstowa et 
Zimna Woda. (Sebum, l. e. 76); var. maior in uvidis prope lacum 
Kurtkowiec; leg. Raciborski. (Gutw. Fiz. XXV, 17). 

16. N. bicapitata Lagerst. var. hybrida Grun., V. H. tab. VI, fig. 9.. 

Hab. in lacu Mały staw Quinque Polonicorum stagnorum (leg. 
prof. I. Kröl). 

17. N. appendiculata (Ag.) Kuetz., V. H. tab. VI, fig. 18. 

Hab. in valle Koscieliska in lacu Smreezynski staw; in lacu 
Czarny staw Gasienicowy; inter saxa granitica in aqua defluenti 
supra lacum Kurtkowiee; in lacu Toporowy staw. In lacu Maly 
staw Quinque Polonieorum stagnorum (leg. prof. I. Krol). Prope 





481 


Szmeks eum N. nobilii; in vallibus: Biała Woda, Mięguszowiecka; 
in lacu Czarny staw 5-Polonicorum stagnorum (Schum. l. e. 69); 
in eatarracta Siklawa et ad saxa prope catarractam in valle 5-Po- 
lonicorum stagnorum leg. Raciborski (Gutw. Fiz. XXII. 142). 

var. irrorata Grun., V. H. tab. VI, fig. 30. 

Hab. in lacu Dwoisty staw Gasienicowy. 

18. N. subcapitata (Greg.) A. Schmidt, Atlas tab. XLIV, fig. 
3—56, V. H. tab. VI, fig. 22. 

Hab. locis humidis in Antolówka; in valle Koscieliska in lacu 
Smreczynski staw; ad saxa submersa ad sinistram viae ex loco 
Hala Gasienicowa ad lacum Czarny staw Gasienicowy ducentis 
atque in ipso lacu; inter saxa granitiea in aqua defluenti supra 
lacum Kurtkowiee; in fonte „Lodowe“ supra lacum Zmarzły staw; 
in lacu Morskie Oko; in valle Quinque Polonicorum stagnorum: 
in lacubus Przedni staw, Wielki staw (leg. prof I. Król), in sero- 
biculis supra lacum Zadni staw (legi ipse); in Toporowy staw; 
locis uvidis ad dextram viae ex Jaszezuröwka ducentis in declivi- 
tate loci Toporowa Cyrhla et prope locum Capówka. In rivis vallis, 
quae Ciemnosmreezyüska dicitur; in lacu Szezyrbskie. 

var. Hilseana Jan. Müller, Bac. a. d. Hochs. d. Riesengeb. pag. 
20, tab. IIL, fig. 14. 

Hab. in laeu Toporowy staw. 

[OX N. Braun Grün N. Etap Eer 21: 

Lona. — ou lat. =— u; striae 8-9 in D u- 

Hab. loeis turfosis in silva inter valles Pańszezyca et Sucha 
Woda iuxta „Cicha Woda“. 

20. N. interrupta W. Sm. forma biceps O. Müller, Bac. d. Hochs. 
d Riesengeb., pag. 20, tab. III, fig. 16. 

Hab. in lacu Smreezyriski staw in valle Koscieliska. 

21. N. mesolepta Ehrenb. V. H. tab. VI, fig. 11. 

Hab. in catarracta inter lacum Zmarzly staw et Czarny staw 
(leg. prof. I. Król); in lacu Morskie Oko ad saxa submersa iuxta 
ripas atque loco, ubi aqua ex lacu decurrit; in turfosis silvae inter 


- valles Panszezyca et Sucha Woda; in uvidis prope Capówka. In 


lacu Smreezynski staw in valle Koscieliska; ad ripam lacus To- 
porowy staw; in uvidis prope lacum Kurtkowiec leg. Raciborski 
(Gutw. Fiz. XXII, 142). 

var. thermes (Ehrb.) V. H. tab. VI, fig. 12—13, Schum., Tatra, 
tab. IV, fig. 53. 

= 


482 


Hab. in uvidis prope Capöwka; in lacu Czarny staw Gasieni- 
cowy. In valle Biala Woda; in lacubus Czarny et Wielki staw 
5-Polonicorum stagnorum; in vallibus: Swistowa, Wielka et Zimna 
Woda. (Schum. l. e. 77). 

var. producta Grun., Nav. tab. (2) IV, fig. 22, a. 

Hab. ad saxa submersa ad sinistram viae ex loco Hala Gasienico- 
wa ad lacum Czarny staw Gasienicowy ducentis, in ipso lacu; in 
catarracta inter lacus Zmarzly staw et Czarny staw (leg. prof. I. 
Król); in valle Quinque Polonicorum stagnorum: in scrobiculis 
turfosis ad radicem montis Kozi Wierch et supra lacum Zadni 
staw sitis; in lacu Toporowy staw. 

var. stauroneiformis Grun.. V. H. tab. VI, fig. 15. 

Hab. in lacu Czarny staw Gasienicowy cum var. antecedenti. 
In valle Zimna Woda (Schum. l. e. 74). In Siklawa vallis 5-Po- 
lonicorum stagnorum leg. Raciborski (Gutw. Fiz. XXII, 142). 

var. constricta Grun., Nav. tab. (2) IV, fig. 22 e 

Hab. in lacu Sobköw staw et in aqua defluenti inter lacum 
Sobköw staw et Zielony staw Gasienicowy. 

var. nodosa (Ehrenb.) Brun. Grun. l. c. tab. IV. fig. 21. 

Mills and Philip, The Diat. of the Hull Distr. tab. XVI, fig. 18, 
A. Schmidt, Atlas tab. XLV, fig. 62—63, Schum., Tatra IV, d 49. 
g. h. (Nav. nodosa Ehrenb., Grun. |. e, Pinnularia nodosa Ehrenb., 
Mills and Philip l. c., Nav. gracillima Greg., A. Schmidt Lei 

Hab. in uvidis prope collem Koziniec; ad saxa submersa ad si- 
nistram viae ex loco Hala Gąsienicowa ad lacum Czarny staw 
Gasienicowy | ducentis atque in laeu ipso; inter saxa granitica in 
aqua defluenti supra laeum Kurtkowiee; in laeu Czarny staw supra 
Morskie Oko; in rivulis vallis Ciemnosmreezynska. Prope Szmeks 
cum N. nobili; in valle Mięguszowiecka; in lacu Czarny staw 
5-Polonicorum stagnorum; in valle Zimna Woda (Schum. I. e. 77). 

22. N. Legumen Ehrenb.. V. H. tab. VI, fig. 16. 

Hab. in lacu Czarny staw Gasienicowy loeo, ubi aquae ex lacu 
deeurrunt; in valle Koseieliska in Jacu Smreczynski staw ad ripas 
turfosas et in turfosis iuxta lacum sitis. In lacu Czarny staw 5-Po- 
lonieorum laeuum; in valle Zimna Woda. (Schum. 1. e. 77). 

forma viz undulata V. H. VI, fig. 17. 

Hab. in valle Koscieliska eum typo. 

var. staurophora Pant., A Szliáesi finon Andes. Bac. tab. I, fig. 17. 

Long. = 59 y, lat. = 11 p, striae 10 in 10 y. 


— eccdi 


485 


Hab. in lacu Dwoisty staw Gasienieowy. 

23. N. zellensis Grun., Nav. tab. (1) III, fig. 34, a. 

Hab. in laeu Toporowy staw; ad saxa submersa ad sinistram 
viae ex loco Hala Gąsienicowa ad lacum Czarny staw Gasienicowy 
dueentis. (Hie speeimina cum figura 14. in V. H. tab. XII con- 
grua). In uvidis prope Kurtkowiee leg. Raciborski (Gut w. Fiz. 
XXII, 144). 

24. N. oblonga Kuetz., V. H. tab. VIL fig. 1. (N. oblonga Kuetz. 
a) macilenta Schum., Tatra. tab. III, fig. 46 a). 

Hab. in lacu Smreezyüski staw in valle Kościeliska; in lacu- 
bus Czarny staw et Dwoisty staw Gasienicowy; in valle Quinque 
Polonieorum stagnorum: in serobieulis turfosis ad radices montis 
Kozi Wierch et in aquis defluentibus supra lacum Czarny staw; 
in lacu Toporowy staw; in turfosis in silva inter valles Panszezyca 
et Sucha Woda; in uvidis deelivitatis loci Toporowa Cyrhla atque 
prope locum Capöwka ad dextram viae publicae ex Jaszezuröwka 
ducentis. 

Prope Szmeks eum N. nobili; in fonte Lodowe in valle Koscie- 
liska; in vallibus: Biala Woda, Mieguszowiecka, Swistowa, Wielka, 
Zimna Woda; in lacubus: Czarny et Wielki staw 5-Polonicorum 
stagnorum (Schum. l. e. 72). In uvidis prope Kurtkowiec leg. 
Raciborski (Gutw. Fiz, XXII, 141). 

var. lanceolata Grun. 

Iisdem locis cum typo (Schum. Le 72). 

var. acuminata Grun. 

Cum typo (Sehum. l. e. 72). 

var. stauroneiformis Gutw. 

Hab. in uvidis prope Kurtkowiee (Gutw. Fiz. XXII, 141). 

25. N. peregrina (Ehrbg.) Kuetz, De-Toni Sylloge 38. 

var. Meniscus (Schum.) Grun.. V. H., tab. VIII, fig. 19. 

Hab. in uvidis muscosis ad sinistrum rivulum, qui rivo Olezy- 
ski potok affluit. in valle, quae Olezyska dicitur. 

var. Menisculus (Schum.) V. H. tab. VIII, fig. 21. 

Hab. in fonte „Lodowe“ supra lacum Zmarzly staw, qui supra 
lacum Czarny staw Gasienicowy situs est. 

26. N. cincta (Ehrenb.) Kuetz. var. Heufleri Grun., Nav. tab. (1) 
BUSH 92332, V. tab AV ag oe Ata pay DB fies 125 1,0; 

Hab. in pratis uvidis in Kasprusie ad ostiam vallis Strazyska, 
in fossis iuxta viam publicam inter Bystre et Jaszezuröwka; in lacu 


484 


Czarny staw Gasienicowy; in valle Quinque Polonicorum stagno- 
rum: in Przedni et in Maly staw (leg. prof. I. Krol); in uvidis 
ad viam Clotildae inter Westerowo et Hagi Wyżne. 

In lacubus: Czarny et Wielki staw 5-Polonieorum lacuum; in 
valle Wielka (Schum. Le 68). 

27. N. gracillima (Pritsch?) Greg. v. V. H. 

Hab. prope Szmeks cum N. nobili; in valle Mięguszowiecka; 
in lacu Czarny staw 5-Polonicorum stagnorum; in vallibus Wielka 
et Zimna Woda ‘Schum. Le 70). 

28. N. gracilis Kuetz., V. H. tab. VII, fig. 8. 

Hab. locis uvidis iuxta viam Clotildae inter Westerowo et Hagi 
W yzne. 

29. N. Semen Ehrenb. 

Hab. in lacu Wielki staw 5-Polonieorum stagnorum. (Sehum. 
l. e. 68). 

30. N. vulpina Kuetz., V. H. tab. VII, fig. 18. 

Hab. in lacu Morskie Oko ad saxa submersa iuxta locum, ubi 
aquae ex lacu decurrunt. 

31. N. radiosa Kuetz., V. H. tab. VII, fig. 20. 

Hab. in uvidis prope collem Koziniee, in pratis humidis in Ka- 
sprusie ad ostium vallis Strazyska, in rivulo et in catarracta Sikla- 
wiea eiusdem vallis; in uvidis in ripa rivi in valle Mala Laka; 
in pratis humidis muscosis ad radicem montis Nosal in Bystre; 
ad saxa in rivo rapidissime fluenti in Kuznice; in valle Olezyska 
locis uvidis museosis; in valle Quinque Polonieorum stagnorum in 
serobieulis turfosis ad radicem montis Kozi Wierch; in lacu Mor- 
skie Oko et Czarnv staw supra eundem lacum sito; in lacu Topo- 
rowy staw; in uvidis muscosis declivitatis loci Toporowa Cyrhla 
et prope Capöwka ad dextram viae publicae ex Jaszezuröwka 
ducentis. 

In fonte Lodowe in valle Kościeliska; prope Szmeks cum A. 
nobili (Schum. Le 69). In lacu Smreezynski staw (Gutw. Fiz. 
XXII, 141). 

var. acuta (W. Sm.) Grun., V. H. tab. VII. fig. 19. 

Hab. in pratis muscosis humidis ad radicem montis Nosal in 
Bystre; in lacu Maly staw Quinque Polonicorum stagnorum (hie 
leg. prof. I. Król); in lacubus: Morskie Oko et Czarny staw, qui 
superius situs est; in uvidis ad viam Clotildae inter Westerowo 
et Hagi Wyzne. 


485 


In fonte Lodowe cum typo; in vallibus: Biala Woda et Miegu- 
szowiecka (Schum. Le 69). In uvidis prope Kurtkowiee (Gu tw. 
Fiz. XXII, 141). 

var. tenella (Bréb.) V. H. tab. VII, fig. 22. 

Hab. ad saxa submersa in rivulo vallis Mala Laka (leg. prof. 
I. Krol); ad saxa aquis defluentibus irroratis iuxta viam in ripa 
laeus Morskie Oko posita; in laeu Toporowy staw. 

32. N. viridula Kuetz., V. H. tab. VII, fig. 25, 26. 

Hab. ad saxa submersa in rivulo vallis Mala Laka dictae (leg. 
prof. I. Król); in uvidis iuxta rivulum ex sinistra rivo Olezyski 
potok dieto affluentem in valle Olezyska; in Zielony staw Gasie- 
nieowy; in serobieulis supra laeum Zadni staw sitis in valle Quin- 
que Polonicorum stagnorum; in turfosis in silva inter valles Pan- 
szezyca et Sueha Woda. 

In fonte Lodowe in valle Koseieliska; in valle Zimna Woda. 
(Stehiuuma147e2368), 

var. slesvicensis (Gran.) V. H. tab. VII, fig. 29. 

Hab. cum typo in Olezyska, Zielony staw et supra Zadni staw, 
praeterea in lacu Czarny staw Gasienicowy et in scrobiculis turfosis 
ad radicem montis Kozi Wierch in valle 5-Polonicorum stagnorum. 

33. N. rhynchocephala Kuetz. Grun. Nav. tab. (2) IV, fig. 31, b. 

Hab. in fonte Lodowe in valle Koscieliska; in pratis humidis 
in Kasprusie prope ostium vallis Strążyska; in fossis iuxta viam 
publicam inter Bystre et Jaszezurówka; locis uvidis ad sinistram 
rivi Olezyski potok in valle Olezyska; in laeu Morskie Oko, in 
saxis aquis defluentibus irroratis iuxta viam in ripa eiusdem lacus 
et in lacu superius sito, Czarny staw appellato; in stagnis et uvidis . 
ad Montem Mnich prope deflexionem iugi, quae Wrota Chalubin- 
skiego dicitur. In laeu Szezyrbskie. 

Iisdem locis eum N. viridula (Schum. l. e. 68). 

var. amphiceros (Kuetz.) Grun., V. H. tab. VII, fig. 30. 

Hab. in laeu Morskie Oko. 

var. rostellata (Kuetz.) Grun. V. H. tab. VIL fig. 24. 

Hab. ad saxa in rivulo vallis Mala Laka et in uvidis iuxta 
viam in „Przysłop Mietusi* (leg. prof. I. Król); in pratis humidis 
in Kasprusie ad ostium vallis Strazyska atque in catarracta Sikla- 
wica eiusdem vallis; locis uvidis muscosis luxta rivulum, qui ad 
sinistram rivo Olezyski potok affuit, in valle Olezyska. Locis uvi- 
dis iuxta viam Clotildae inter Westerowo et Hagi Wyżne. 


486 


var. brevis Grun., Nav. tab. (2) IV, fig. 31, c. 

Hab. locis uvidis prope Koziniee et in lacu Toporowy staw. In 
ripis lacus commodum dicti (Gutw. Fiz. XXII, 142). 

var. biceps (Ehrb.) Grun. 

Hab. inter montem Czerwony Wierch et Tomanowa Polska in 
rivulo; in uvidis prope lacum Kurtkowiee (Gutw. Fiz. XXII, 142). 

var. elongata Grun. l. c. tab. (2) IV. fig. 51, a. 

Hab. in lacu Morskie Oko ad saxa iuxta ripas submersa; in 
fonte Lodowe in valle Koscieliska. 

34. N. eryptocephala Kuetz. 

var. lanceolata Grun., Nav. pag. 527, tab. (2) IV, fig. 28, a. 

Hab. in uvidis ad rivum iuxta viam in „Przysłop Mietusi* du- 
centem in valle Mala Laka (leg. prof. I. Kröl); in pratis in Ka- 
sprusie prope ostium vallis Strazyska atque in Siklawica catarra- 
eta; in uvidis prope collem Koziniee; in laeu Czarny staw Gasie- 
nieowy et in uvidis vallis Olezyska. 

In valle Zimna Woda (Schum. Le 68); in uvidis prope lacum 
Kurtkowiee; in catarracta Siklawa; in rivo inter montes Czerwony 
Wiereh et Tomanowa Polska (Gutw. Fiz. XXII, 142). 

var. rhynchocephala Grun. l. € tab. (2) IV, fig. 28, b. (Nav. 
angustata W. Sm.). i 

Hab. cum antecedenti prope Koziniec; in lacubus: Zielony staw 
Gasienicowy, Przedni staw 5-Polonicorum stagnorum (hie leg. prof. 
I. Król) et Morskie Oko; ad saxa aquis defluentibus irrorata iuxta 
viam in ripa lacus Morskie Oko sita. 

In fonte Lodowe in valle Kościeliska, in valle Zimna Woda 
(Sc hum. e. 68). 

var. minor Grun. l. e. tab. (2) IV, fig. 28, e (N. exilis Kuetz, 
Baeil tab. IV, fig. 6?) V. H. tab. VIII, fig. 2. 

Hab. in uvidis prope Koziniee, in pratis humidis prope ostium 
vallis Strążyska atque in Siklawica catarracta. 

var. intermedia V. H. tab. VIII, fig. 10. 

Hab. in lacu Przedni staw Quinque Polonicorum laeuum (leg. 
prof. I. Kröl). 

var.? pumila Grun. V. H. tab. VIII. fig. 7. 

Hab. ad saxa submersa in aqua rapide fluenti in valle Strazy- 
ska iuxta saxum ,,Jelinekii“. 

35. N. angustata Sm. (non b) rhynchocephala Grun.). 


487 


Hab. in valle Zimna Woda (Schum. l. e. 68); in lacu Smre- 
ezyuski staw (Gutw. Fiz. XXII, 142). 

36. N. hungarica Grun. 

Hab. in fonte Lodowe in valle Koscieliska; in valle Wielka 
(Sch um.l.,e..6). 

37. N. Gastrum Ehrenb., V. H. tab. VIII, fig. 27. 

Hab. in lacu Morskie Oko. 

38. N. Placentula (Ehrenb.) Kuetz., De-Toni Sylloge pag. 55. 

var. lanceolata Grun., Nav. tab. (2) IV, fig. 44. 

Hab. in fossis iuxta viam publicam inter Bystre et Jaszezurów- 
ka; in lacubus: Przedni staw 5-Polonicorum stagnorum (leg. prof. 
I Król) Czarny staw supra lacum Morskie Oko et in stagnis 
atque uvidis ad montem Mnieh prope deflexionem iugi, quae Wro- 
ta Chałubińskiego dieitur. 

In fonte Lodowe cum N. hungarica; in vallibus: Wielka et 
Zimna Woda (Sehum. l. e. 68). 

var. anglica (Ralfs) Grun. l. c. tab. (2) IV, fig. 43, a. Pant, Ba- 
laton pag. 42, tab. V. fig. 109, a. 

Hab.loeis uvidisiuxta viam Clotildae inter Westerowo et Hagi W yzne. 
39. N. Carassius Ehrenb., Grun., Nav. pag. 537, tab. (1) III, fig. 31. 
Hab. in fossis iuxta viam publicam inter Bystre et Jaszezuröwka. 
40. N. dicephala Ehrenb., Grun., Nav. tab. (2) IV, fig. 45, V. H. 

tab. VIII, fig. 34. 

Hab. in humidis museosis pratis ad radiees montis Nosal in 
Bystre; in uvidis vallis Olezyska; in laeu Czarny staw Gasienico- 
wy; in serobieulis supra Zadni staw 5 Polonieorum stagnorum sitis; 
in lacubus Morskie Oko et Czarny staw superius sito; in turfosis 
in silva inter valles: Panszezyca et Sucha Woda; in uvidis de- 
clivitatis loci Toporowa Cyrhla, atque prope locum Capöwka; in 
rivulis vallis Ciemnosmreczynska; in lacu Szezyrbskie. 

41. N. lanceolata Kuetz., V. H. tab. VIII, fig. 16. 

Hab. in catarracta Siklawiea in valle Strazyska. 

In fonte Lodowe socia N. hungarica (Schum. |. e. 69); inter 
montem Czerwony Wierch et Tomanowa Polska (Gutw. Fiz. 
XXII, 142). 

42. N. oculata Bréb. (N. pelliculosa (Grun.) Hilse, De-Tonil.c., pag. 89. 

Hab. in lacu Morskie Oko. 

43. N. elliptica Kuetz, V. H. tab. X, fig. 10, Pant, Balaton tab. 
IV ite. 100, 


488 


Hab. locis uvidis prope Koziniee, in pratis in Kasprusie ad 
ostium vallis Strążyska et in ipsa valle in catarracta Siklawiea; 
in valle Mala Laka (leg. prof. I. Kröl); in valle Biale ad saxa in 
rivulo; in pratis muscosis ad radices montis Nosal in Bystre; in 
uvidis vallis Olezyska; in lacu Smreezynski staw in valle Koseie- 
liska; ad saxa aquis defluentibus irrorata iuxta viam in ripa lacus 
Morskie Oko; in uvidis declivitatis loei Toporowa Cyrhla; in uvidis 
museosis iuxta viam Clotildae inter Westerowo et Hagi Wyżne. 

In fonte Lodowe in valle Koseieliska; in vallibus Wielka et 
Zimna Woda (Schum. Le 69); in uvidis prope Kurtkowiec. 
(Gutw. Fiz. XXII. 143). 

var. minor Rabh. (N. Parmula Breb.). 

Hab. in fonte Lodowe cum typo; in vallibus: Mieguszowie- 
eka, Wielka et Zimna Woda (Schum. Le 69). 

var. cocconeoides Rabh. 

Hab. in fonte Lodowe cum typo (Schum. Le 69). 

var. oblongella (Naeg.) V. H. tab. X, fig. 12. 

Hab. cum typo: prope Koziniec, in valle Strazyska in rivulo 
et in catarracta; atque ad saxa submersa ad sinistram viae ex loco 
Hala Gasienicowa ad Czarny staw Gasienicowy; in lacu Zielony 
staw Gasienicowy; inter saxa in aquis defluentibus supra lacum 
Kurtkowiec; in lacu Maly staw 5-Polonicorum stagnorum (hie. leg. 
prof. I. Król); in aquis defluentibus supra Zadni staw 5-Pol. stagn.; 
in laeu Morskie Oko; ad saxa aquis irrorata iuxta ripam eiusdem 
lacus et in lacu superius sito, Czarny staw appellato. In uvidis 
muscosis iuxta viam Clotildae inter Westerowo et Hagi W vzne. 

In valle Mięguszowiecka; in lacu Czarny staw 5-Polonicorum 
lacuum; in valle Swistowa (Schum. Le 70). 

44. N. carpathorum Pant., Beitr. z. Kennt. der foss. Bac. Ung. III; 
A szliäcsi fin. Andes. Bacillariai pag. 9—10, tab. I. fig. 21. (N. 
elliptica Kuetz. var. grandis Grun.). 

Long. — 70 u! lat. = 31 y! costae 9—10 in 10 u. 

Hab. locis uvidis iuxta rivulum rivo Olezyski potok a sinistro 
affluenti in valle Olezyska. 

45. N. pygmaea Kuetz., V. H. tab. X, fig. 7; F. W. Mills and 
R. H. Philip, Diat. of the Hull Distr. tab. XVII, fig. 17. 

Hab. in pratis muscosis humidis in Kasprusie ad ostium vallis 
Strazyska. 

46. N. Tuscula Ehrenb. (Stauroneis punctata Kuetz.). 


489 


Hab. ad ripas lacus Toporowy staw. (Gutw. Fiz. XXII. 144). 

47. N. mutica Kuetz., Grun. Nav. tab. (3) V fig. 16., V. H. tab. 
X. fig. 17 (var. Cohnii). 

Hab. in uvidis ad rivum iuxta viam in Przyslop Mietusi in 
valle Mala Laka (leg. prof. I. Król); in serobieulis supra lacum 
Zadni staw 5-Polonicorum stagnorum. 

In fonte Lodowe in valle Koseieliska; in lacu Wielki staw 5- 
Polonicorum stagnorum; in valle Swistowa (Schum. l e. 69). 

var. producta Gr. et Cl. V. H. tab: Xie: 120) A. 

Hab. in Czarny staw Gasienicowy. 

var. quinquenodis (Grun.) V. H. tab. X. fig. 21. 

Hab. in Toporowy staw. 

48. N. microstauron (Khrnbg.) O. Meara, De-Toni Sylloge pag. 
116. O. Müller, Bac. a. d. Hochs. Riesengeb. pag. 25. tab. III fig. 6. 

Hab. in lacubus: Smreezynski staw in valle Kościeliska, Czarny 
staw supra Morskie Oko et Toporowy staw; in serobieulis turfosis 
ad radices montis Kozi Wierch in valle 5-Polonieorum stagnorum. 

49. N. fasciata Lagerst.. V. H. tab. XII. fig. 34. De-Toni l. c. 
pag. 117. 

ones) = Ern 

Hab. in pratis humidis in Kasprusie ad ostium vallis Strążyska. 

50. N. Scutum Schum. 

Hab. in fonte Lodowe cum N. hungarica (Schum 1. e. 70). 

51. N. Kotschyi Grun.. Nav. pag. 538. tab. (2) IV. fig. 12. 

Hab. in lacu Czarny staw Gasienicowy et in uvidis declivitatis 
loci Toporowa Cyrhla. 

52. N. Carassius Ehrenb. 

Hab. in valle Zimna Woda (Schum l. e. 68). 

53. N. ambigua Ehrnb., Grun. Nav. tab. (2) IV, fig, 33. 

Hab. in uvidis prope Koziniee; in lacu Mały staw 5-Polonicorum 
stagnorum (ubi leg. prof. I. Król); in laeu Ozarny staw supra 
Morskie Oko sito. 

"In lacu Smreczynski staw in valle Koseieliska (Gutw. Fig. 142). 

54. N. sphaerophora Kuetz., De-Toni l. c. pag. 140. 

Hab. in magna catarracta rivi Kolbach. 

5D. N. serians (Bréb.) Kuetz. 

var. minor Grun., V. H. tab. XI. fig. 8. 

Hab. in aquis defluentibus inter saxa supra lacum Kurtkowiec; 
in rivulis vallis Ciemnosmreczynska. 


490 


var. minima Grun., V. H. tab. XII. fig. 9. 

Hab. in lacu Dwoisty staw Gasienicowy et in serobieulis tur- 
fosis ad radicem montis Kozi Wierch in valle 5-Polonieorum lacuum. 

56. N. exilis Kuetz., Grun.. Nav. tab. (2) IV. fig. 20; V.H. tab. 
XII. fig. 11—12. 

Hab. in Zielony staw Gasienieowy ; in serobieulis turfosis ad 
radicem montis Kozi Wierch in valle 5-Polon. stagnorum; in lacu 
Morskie Oko; in nvidis silvae prope Capówka. 

D7. N. latiuscula Kuetz. 

Hab. in valle Zimna Woda (Sehum |. e. 75.). 

58 N. limosa Kuetz., Grun. Nav. tab. (3) V fig. 8. b. et fig. 9. 
V. H. tab. XII. fig. 21. (Nar. silicula Grun.). 

Hab. loeis uvidis in Antolówka, in valle Olezyska, prope . Ca- 
pówka; ad Siklawiea catarractam in valle Strazyska; in lacu 
Przedni staw 5-Polonie. stagnorum (leg. prof. I. Król); in lacu 
Toporowy staw; in stagnis et uvidis ad montem Mnich prope de- 
flexionem iugi, quae Wrota Chalubinskiego dicitur. In uvidis prope 
lacum Kurtkowiee (Gute Fiz. XXII. 143.) 

var. bicuneata Grun. Nav. pag 545. tab. (3) V fig. 7. 

Hab. ad saxa submersa ad sinistram viae ex loeo Hala Gasie- 
nicowa ad laeum Czarny staw. 

59. N. gibberula Kuetz., Grun., Nav. tab. (3) V. fig. 8, 10., V. H. 
tab. XIT. De: 19. 

Hab. loeis uvidis prope Koziniee, in valle Olezyska; ad saxa 
submersa ad sinistram viae ex Hala Gąsienicowa ad lacum Czarny 
staw Gasienicowy ducentis et in hoe lacu; in catarracta inter la- 
eum Zmarzły staw et lacum Czarny staw Gasienicowy (leg. prof. 
I Król); in valle 5-Polonieorum stagnorum: in laeu Przedni staw 
(leg. prof. I. Kröl); in stagnis et uvidis ad montem Mnich prope 
deflexionem iugi, quae Wrota Chalubinskiego dieitur. 

In fonte Lodowe socia N. Scuto; prope Szmeks loeo 2:5 km 
oecidentem versus distanti; in valle Biala Woda; in laeubus: Ozarny 
et Wielki staw 5-Polonicorum lacuum; in valle Zimna Woda 
(Schum. I. e. 76). 

60. N. ventricosa Ehrb. V. H. tab. XIL. fig. 24. 

Hab. in laeu Dwoisty staw Gasienicowy. 

61. N. inflata Kuetz.. Grun., Nav. tab. (2) IV. fig. 41. 

Hab. in lacu Czarny staw Gasienicowy. In uvidis prope Kur- 
tkowiee (Gutw. Fiz. XXII. 143). 


491 


62. N. bisulcata Lagerst, A. Schmidt, Atlas tab. XLIX. fie. 1., 
et 18. F. W. Mills and R. H. Philip, The Diat. of the Hull Distr. 
tab. X VII. fig. 5: 

Hab. in lacubus vallis Quinque Polonicorum stagnorum: Przedni, 
Wielki et Maly staw (leg. prof. I. Kröl); in laeubus: Dwoisty et 
Zielony Gasienicowy (specimina 48 u longa, 11 y lata), Morskie 
Oko et Czarny staw superius sito; in rivulis vallis Ciemnosmre- 
ezynska. 

var. turgidula Lagerst., De-Toni l. c. pag. 151. 

Hab in fonte „Lodowe“ supra lacum Zmarzły staw; praeter 
cellulas rectas observavi specimina, quorum cellulae in aspectu 
frontali paullulo arcuatae lineisque longitudinalibus crenulatis prae- 
ditae erant. Haee specimina 46 u longa, 8 u lata ad var. furgidu- 
lam refero. 

63. N. alpestris Grun., V. H. tab. XII. fig. 30. 

Hab. in pratis humidis in Kasprusie ad ostium vallis Strazyska; 
in eatarraeta inter lacus Zmarzly staw et Czarny staw Gasienicowy 
(hie leg. prof. I. Kröl); in valle 5-Polonic. stagnorum: in lacu 
Maly staw (leg. prof. I Król), in aquis defluentibus et in serobi- 
culis supra Zadni staw; in aquis defluentibus ad saxa iuxta viam in 
ripa lacus Morskie Oko sita; in turfosis in silva inter valles Pan- 
szezyca et Sucha Woda; in uvidis declivitatis loci Toporowa Cyrhla. 

var. tatrica Gute. Mat. do fl. Gal. Pars II. tab. I. fig. 17. 

Hab. in Smreezynski et Toporowy staw (Gutw. Fiz. XXV. 20). 

64. N. sinuata Schum., Tatra pag. 77. tab. IV. fig. 50 a. 

Hab. in fonte „Lodowe“ supra lacum Zmarzły staw sito. 

Prope Szmeks loco 2:5 km occidentem versus distanti; in valli- 
bus: Mięguszowiecka, 5-Polonicorum stagnorum (Czarny- et Wielki 
staw), Swistowa, Wielka et Zimna Woda (Schum. Le 77.). 

65. N. Esoculus Schum., Preuss. Dat, pag. 58. tab. II fig. 52. 
A. Schmidt. Atlas tab. XLVIL fig. 35, 37. 

Long. = 44—58 y, lat. = 7—8 u, striae ca 14 in 10 y. 

Hab in laeu Przedni staw 5-Polonieorum stagnorum (leg. prof. 
I. Król) et in Morskie Oko. 

66. N. Iridis Ehrnb.. V. H. tab. XIIL fig. 1. 

Hab. in lacu Smreczynski staw in valle Koseieliska; in Zielony 
staw Gasienicowy; in Czarny staw supra lacum Morskie Oko; in 
Toporowy staw; in turfosis in silva inter valles Panszezyca et Su- 
cha Woda. 


492 


var. amphigomphus (Ehrenb.) V. H. 

Hab. in vallibus: Mieguszowiecka, 5-Polon. stagnorum (Czarny- 
et Wielki staw) et Zimna Woda (Schum. I. e. 75); in uvidis 
prope lacum Kurtkowiee (Gutw. Fiz. XXV. 21). 

var. amphirhynchus Ehrnb., V. H. tab. XIII. fig. 5. 

Hab. in lacu Sobköw staw Gasienicowy. 

var. dubia (Ehrbg.) V. H. A. Schmidt Atlas tab. XLIX. fig. 7. 

Hab. in serobieulis turfosis ad radices montis Kozi Wierch in 
valle 5-Polonicorum stagnorum. 

Prope Szmeks loco 2:5 km occidentem versus distanti; in vallibus: 
Mieguszowiecka, 5-Polon. stagnorum (Czarny staw), Zimna Woda 
(Schum. l. e. 70). 

var. affinis (Ehrbg.) V. H. tab. XIII, fig. 4, A. Schmidt, Atlas 
tab. XLIX. fig. 4—5 et 23., Grun. Nav. tab. (3) V fig. 2. 

Hab. loeis uvidis graminosis partim muscosis in silva prope 
Koziniee, in valle Olezyska; ad saxa submersa ad sinistram viae 
ex Hala Gasienicowa ad lacum Czarny staw Gasienicowy; in la- 
cubus Sobków et Dwoisty staw; in scrobiculis turfosis ad radices 
montis Kozi Wierch in valle 5-Polonicorum laeuum ; in lacubus : 
Morskie Oko, Toporowy staw; in uvidis declivitatis loci Toporowa 
Cyrhla et in turiosis in silva inter valles Panszezyea et Sucha 
Woda. In rivulis vallis Ciemnosmreczynska dictae. 

In laeu Czarny staw 5-Polon. stagn.; in valle Zimna Woda 
(Schum Le 70). 

61. N. firma Kuetz, De-Toni Sylloge pag. 155 

Hab. in lacubus: Sobków et Czarny staw Gasienicow v. 

In fonte Lodowe cum N. viridi; prope Szmeks cum N. Jridis 
v. dubia; in vallibus: Mieguszowiecka, 5-Polonic. stagnorum (Czarny 
et Wielki staw). Swistowa, Wielka, Zimna Woda (Schum Le 75). 

68. N. Peisonis Grun., Nav. tab. (1) III fig. 28. 

Hab. locis uvidis àd rivum iuxta viam ad ,Przyslop Mietusi* 
in valle Mala Laka et in lacu Wielki staw 5-Polonicorum stagno- 
rum (leg. prof. I. Król); in lacu. Morskie Oko. In uvidis prope la- 
cum Kurtkowiee (Gutw. Fiz. XXII 143). 

69. N. obliquestriata A. Schmidt. Atlas tab. XLIX fig. 41 et 42. 
Tab. nostra VIII fig. 50. 

Speciem hanc ab A. Schmidt in fluvio „Demerara“ lectam, 
l. s. c. delineatam, | postea a nullo diatomologo — ut ex Sylloge 
De-Toni constare videtur — inventam, in duobus lacubus observavi. 


493 


Specimina nostra, quae l. c. delineavi, 44 u longa, 9 u lata, ad 
apices usque ad 2:2 u angustata, strias 10 in 10 u sub lenticula 
olearia 510 X augente conspicuas praebent. 

Hab. in lacubus: Dwoisty staw et Długi (Kuklaty) staw; in uvi- 
dis ad lacum Kurtkowiee in valle „Gasienicowych stawów“. 

70. N. Bacillum Ehrnbg. Grun., Nav. tab. (2) IV fig. 1. 

Hab. in fonte Lodowe in valle Koseieliska; locis uvidis in valle 
Olezyska; in valle 5-Polonicorum stagnorum : Przedni et Wielki 
staw (ubi leg. prof. I. Król); in stagnis et uvidis ad montem 
Mnich prope deflexionem iugi, quae Wrota Chalubinskiego dicitur. 

In fonte Lodowe in valle Koseieliska; prope Szmeks eum N. 
nobili; in vallibus: Biala Woda. Mieguszowiecka, Zimna Woda 
(Sehum. Le 75); inter montes Czerwony Wierch et Tomanowa 
Polska (Gutw. Fiz. XXII. 143). 

71. N. bacilliformis Grun., V. H. tab. XIII. fig. 11. 

Hab. in laeu Przedni staw 5-Polonicorum stagnorum (leg. prof. 
I. Krol); locis uvidis muscosis ad viam Clotildae inter Westerowo 
et Hagi Wvzne. 

12. N. subhamulata Grun., V. H. tab. XII. fig. 14. 

Bong; —' TSS pe lat =op 

Hab. in pratis humidis in Kasprusie ad ostium vallis Strazyska. 

73. N. Pupula Kuetz, V. H. tab. XIII. fig. 15. 

Hab. in fossis ad viam publicam inter Bystre et Jaszezurówka; 
in uvidis in valle Olezyska; in fonte ,Lodowe“ supra lacum 
Zmarzly staw iuxta viam in Zawrat ducentem; in valle 5-Poloni- 
corum stagnorum: lacus Przedni staw (leg. prof. I. Krol). 

In laeu Czarny et Wielki staw 5-Polon. stagn.; in valle Zimna 
Woda (Schum. l. e. 16). 

74 N. subtilissima Cleve, The Diatoms of Finland pag. 37. tab. 
Il, fig. 15. 

Long. = 324 y, lat. = 54 u; apie. = 27 u; striae etiam sub 
lenticula 1050 X augenti non conspicuae. 

Hab. in Lacu Smreezyriski staw in valle Koseieliska; inter saxa 
in aquis defluentibus supra lacum Czarny staw in valle 5-Poloni- 
eorum stagnorum; in turfosis in silva inter valles Panszezyca et 
Sucha Woda. 

75. N. cocconeiformis Greg., V. H. tab. XIV. fig. 1. 

Hab. in stagnis et uvidis ad montem Mnich prope deflexionem 
iugi, quae Wrota Chalubinskiego appellatur. 


494 


In valle Mieguszowiecka; in laeu Czarny staw 5-Polon. stagno- 
rum (Sehum. l. e. 69). 

76. N, Rostellum Grun, Nav. tab. (2) IV. fig. 10. 

Hab. in fossis ad viam publicam inter Bystre et Jaszezurówka; 
in serobieulis supra lacum Zadni staw in valle 5-Polonieorum sta- 
gnorum (legi ipse) et in Maly staw (leg. prof. I. Król); in turfosis 
silvae inter valles Pañszezyca et Sucha Woda. 

77. N. laevissima Kuetz, Grun, Nav. tab. (2) IV. fig. 5. 

Hab. in laeu Czarny staw Gasienicowy; in uvidis vallis Olezy- 
ska et in declivitate loci Toporowa Cyrhla; in lacu Czarny staw 
supra Morskie Oko sito. 

18. N. binodis Ehrnb., Grun., Nav. tab. (2) IV. fig. 42., Schum. 
Tatra tab. IV. fig. 60 a. 

Hab. in uvidis ad rivum iuxta viam ad „Przysłop Mietusi* in 
valle Mala Laka (leg. prof. I. Król) in valle Olezyska, in declivi- 
tate loei Toporowa Cyrhla; in lacu Czarny staw Gasienicowy. 

In fonte Lodowe in valle Koscieliska; prope Szmeks cum N. 
maiore; in lacu Czarny staw 5-Polonic. stagnorum; in valle Zimna 
Woda (Schum. l. e. 77). 

var. laticeps Gutw., Bacil. tatrenses pag. 143 (6). 

Hab. in eatarracta Siklawa (Gutw. Fiz. XXII. 143). 

49. N. Seminulum Grun; Nav. tab. (2) IV. fig. 2. V. H tab. XIV, 
SH. A et: 10. 

Hab. in pratis humidis in. Kasprusie ad ostium vallis Strazyska; 
in uvidis ad rivum iuxta viam ad ,Przyslop Mietusi^ in valle 
Mala “aka (ubi leg. prof. I. Król); ad saxa submersa ad sinistram 
viae ex loco Hala Gąsienicowa ad lacum Czarny staw ducentis; in 
aquis ex nivibus prope deflexionem iugi Za wrat dietam defluentibus; 
in scrobiculis supra lacum Zadni staw 5-Polonieorum stagnorum; 
in saxis aqua irroratis luxta et supra viam in ripa laeus Morskie 
Oko; in laeu Toporowy staw. In uvidis ad viam Clotildae inter 
Westerowo et Hagi Wyzne. 

In fonte Lodowe cum N. viridi. (Schum. Le 16). 

80. N. Atomus (Kuetz.) Grun., Nav. tab. (2) IV. fig. 6. 

Hab. in laeu Zielony staw Gasienicowy; in serobieulis supra 
lacum Zadni staw 5-Polonicorum stagnorum, 16. VIII. 1899; in 
lacu Szezyrbskie. 

In fonte Lodowe cum N. viridi; in valle Zimna Woda (Schum. 


Lye. 10): 


495 


81. N. perpusilla Grun. 

Hab. in fonte Lodowe cum praecedenti; in lacu Czarny staw 
5-Polonicorum stagnorum (Schum. l. e. 76). 

82. N. minutissima Grun. Nav. tab. (2) IV fie. 3. 

Hab. in Toporowy staw; in rivulis vallis dietae Ciemnosmre- 
ezynska. 

In valle Biala Woda (Schum. l. e. 76). 

83. N. Rotaeana (Rabenh.) Grun. Nav. (4) VI fig. 14. sub Stau- 
roneide; V. H. tab. XIV. fig. 17. 

Hab. in Zielony staw Gasienieowy et in aquis defluentibus supra 
lacum Kurtkowiee; in uvidis silvae prope collem Koziniec; in valle 
Olezyska; in lacu Morskie Oko; in stagnis ad montem Mnich prope 
Wrota Chalubinskiego; in lacu Toporowy staw. 


Gen. Rhoconeis Grun. 1863. 
84. R. trinodis (W. Sm.) Grun. Nav. tab. (2) IV. fig. 8. sub Na- 
vicula. 
Hab. in pratis humidis in Kasprusie ad ostium vallis Strazyska; 
in lacubus: Dlugi (Kuklaty) staw, et Czarny staw Gasienicowy; ad 
saxa aqua defluenti irrorata supra viam in ripa laeus Morskie Oko 


Gen. Stauroneis Ehrenb. 1843. 
85. S. Phoenicenteron (Nitzsch) Ehrnb. V. H. tab. IV. fig. 2. 


Hab. in uvidis ad rivulum, qui rivo Olezyski potok in valle 
Olezyska a sinistro affluit. 

In vallibus Mieguszowiecka et Zimna Woda (Schum.h.e. 149), 

var. lanceolata (Kuetz ) Brun. 

Hab. prope Szmeks eum N. maiore; in vallibus: Biala Woda 
et Zimna Woda (Schum. l. e. 79). 

86. S. Platystoma (Ehrenb.) Kuetz. 

Hab. in lacu Czarny staw 5-Polonicorum stagnorum; in valle 
Zimna Woda (Sehum. l. e. 77); in uvidis prope lacum Kurtkowiec 
(Gute Fiz. XXII. 144). 

87. S. dilatata Ehrenb. 

Hab. in lacu Czarny staw et in valle Zimna Woda cum prae- 
cedenti (Schum. l. e. 78). 

88. S. anceps Ehrnb. V. H. tab. IV fig. 4—5. 

Hab. in uvidis prope Koziniee; ad Kasprusie; in fossis ad viam 
publieam inter Bystre et Jaszezurówka; in uvidis vallis Olezyska; 


Bulletin III. Avril. 6 


496 


ad saxa submersa ad sinistram viae ex loeo Hala Gasienicowa 
versus lacum Czarny staw Gasienicowy ducentis et in hoe lacu 
atque in lacu Dwoisty staw; in scrobiculis turfosis ad radicem 
montis Kozi Wierch in valle 5-Polonicorum stagnorum; in lacu 
Morskie Oko 4. VIII 1899 et 1900. atque in laeu superius sito, 
Czarny staw appellato; in lacu Toporowy staw; ad saxa in rivulo 
rapidissime fluenti in valle Waksmundzka; in muscosis uvidis de- 
elivitatis loci Toporowa Cyrhla. In uvidis ad viam Clotildae inter 
Westerowo et Hagi Wyżne. 

In fonte Lodowe eum N. viridi; in valle Mięguszowiecka ; in 
lacu Czarny staw 5-Polonie. stagnorum ; in valle Zimna Woda. 
(Schum. l. e. 79); ad ripas lacus Toporowy staw (Gute Fiz. 
XXII. 144) 

var. linearis (Kuetz.) V. H. Synops. pag. 69. tab. IV. fig. 8. 

Hab. in lacu Czarny staw supra laeum Morskie Oko sito. 

In fonte Lodowe eum typo; in vallibus: Mieguszowiecka, 5-Po- 
nicor. stagnorum (Czarny et Wielki staw), Swistowa, Wielka et 
Zimna Woda (Schum. l. e. 78). 

var. umphicephala (Kuetz.) V. H. Synops. pag. 69. tab IV. 
fig. 6 et 7. 

Hab. in lacu Sobków staw Gasienicuwy et in lacu Szezyrbskie. 

89. S. Heufleriana Grun. Schum. Tatra tab. IV. fig. 62 a. 

Hab. locis aquis defluentibus uvidis in silva ad dextram viae 
publieae ex Jaszezurówka prope locum Capówka. 

Prope Szmeks cum N. maiore; in vallibus: Biala Woda, 5-Po- 
nie. stagnorum (Czarny staw) et Zimna Woda (Schum. l. c. 19). 

90. S. producta Grun. V. H. tab. IV. fig. 12. 

Hab. in pratis humidis in Kasprusie prope ostium vallis Stra- 
zyska; in lacu Czarny staw Gasienicowy; in Wielki staw 5-Polo- 
nicorum stagnorum (ubi leg. prof. I. Król). 


Gen. Pleurostauron Rabenh. 1859. 


91. P. acutum (W. Sm.) Rabenh. V. H. tab. IV. fig. 3. 

Hab. in uvidis muscosis in valle Olezyska et in declivitate loei 
Toporowa Cyrhla; in laeu Toporowy staw. 

92. P. Legumen (Ehrnbg.) Rabenh. V. H. tab. IV. fig. 11. 

Hab. eum antecedenti in valle Olezyska; in pratis humidis in 
Kasprusie ad ostium vallis Strazyska et ad radicem montis Nosal 


497 


in Bystra atque in uvidis prope Koziniec. In fonte Lodowe in valle 
Koseieliska (Schum. l. c. 79). 

93. P. parvulum Grun. O. Müller, Riesengeb. tab. IIT. fig. 7. 

Longs — 509u lat, nu. 

Hab. in valle 5-Polonicorum stagnorum in aquis defluentibus 
supra laeum Czarny staw. 


Gen. Schizostauron Grun. 


94. S. tatricum (Gutw.) De-Toni. 
Hab prope lacum Kurtkowiee (Gutw. Fiz. XXV. 24). 


Gen. Amphipleura Kuetz. 1844. 

95. A. pellucida (Ehrnb.) Kuetz. V. H. tab. XVII. fig. 14—15. 
Sehum. Tatra tab. II fig. 19. 

Hab. in valle Mala Laka (leg. prof. I. Król) et in valle Białe 
ad saxa in rivulo atque ad saxa in declivitate, quae ad orientem 
vergit. aquis irrorata. 

In fonte Lodowe eum N. viridi (Schum. l. c. 57). 


Gen. Pleurosigma W. Sm. 1853. 
96. P. acuminatum (Kuetz.) Grun. V. H. tab. XXI. fig. 12. 


Hab. in valle Mala Haka ad ostium vallis inter museos (leg. 
prot! E^ Krol}: 

97. P. attenuatum (Kuetz.) W. Sm. 

Hab. in uvidis prope Kurtkowiee (Gutw. Fiz. XXII. 144). 


Gen. Scoliopleura Grun. 1860. 
98. S. alternans (Sehum.) De-Toni (Navic. alternans Schum.). 
Hab in fonte Lodowe in valle Koscieliska; prope Szmeks cum 
N. maiore; in vallibus: Biała Woda, Mięguszowiecka, b-Polonie. sta- 
gnorum (Wielki staw), Swistowa, Wielka et Zimna Woda (Schum. 
Etc) 


Gen. Colietonema Bréb. 1849. 


99. C. lacustre (Ag.) Kuetz. (C. subcohaerens Thw.). 
Hab. in lacu Czarny staw 5-Polonicorum laeuum (Schum. Le 80). 


Gen. Frustulia Ag. 1824. 


100. F. rhomboides (Ehrnbg.), De-Toni, Sylloge pag. 277. V. H. 
tab. XVII fig. 1. 
6* 


498 


Hab. in lacu Czarny staw Gasienicowy; in valle Quinque Polo- 
nicorum stagnorum: in serobieulis turfosis ad radicem montis Kozi 
Wierch et in aquis defluentibus supra lacum Czarny staw; in tur- 
fosis silvae inter valles Panszezyca et Sucha Woda; in uvidis 
muscosis ad viam Clotildae inter Westerowo et Hagi W yzne; in lacu 
Szezyrbskie. 

In valle Mieguszowiecka (Schum. l. e. 79). 

var. obtusa Grun. Nav. tab. (3) V fig. 14. b. 

Hab. in uvidis ad dextram viae publicae ex Jaszezuröwka prope 
Capöwka. 

var. saxonica (Rabh.) Navicula crassinervia Bréb. 

Hab. in lacu Smreczynski staw in valle Koscieliska; in uvidis 
in Antolöwka; in fossis ad viam publicam inter Bystre et Jaszezu- 
rówka; ad saxa submersa ad sinistram viae ex loco Hala Gasieni- 
cowa versus lacum Czarny staw Gasienicowy et in hoc lacu; in 
lacubus: Sobköw, Zielony. Diugi (Kuklaty) et Dwoisty staw Gasie- 
nicowy. inter saxa granitica in aquis decurrentibus supra lacum 
Kurtkowiee et inter lacus Sobköw et Zielony staw; in valle 5-Po- 
lonicorum stagnorum: in lacubus Przedni, Maly et Wielki staw (leg. 
prof. I. Krol) atque in aquis defluentibus et in serobiculis supra 
lacum Zadni- et Czarny staw; ad saxum aquis irroratum juxta viam 
supra catarractam Siklawa ad loeum Roztoka ducentem; in lacubus: 
Morskie Oko atque superius sito Czarny staw; in lacu Toporowy staw 
in turfosis silvae inter valles Panszezyca et Sucha Woda; in uvidis | 
declivitatis loci Toporowa Cyrhla et prope locum Capówka. In ri- 
vulis vallis dietae Ciemnosmreezynska et in laeu Szezyrbskie. 

Prope Szmeks cum N. maiore; in vallibus Mięguszowiecka, Quin- 
que. Polonieorum stagnorum (Ozarny staw) et Zimna Woda (Schum. 
1; 1.5419). 

101. F. bohemica (Ehrenb.) Rabenh. (Nav. Polygramma (Ehrenb.) 
Schum. 

Hab. in valle Wielka (Schum. Le 75). 

102. F. vulgaris (Thwait.) De-Toni, Sylloge pag. 280. (Schizone- 
ma vulgare Thwait. V. H. tab. XVII. fie. 6). 

Hab. in uvidis in valle Olezyska, in declivitate loci Toporowa 
Cyrhla atque in serobieulis supra lacum Zadni staw in valle 5-Po- 
lonicorum stagnorum. 

In fonte Lodowe in valle Kościeliska (Schum. Le 80); in 
uvidis prope Kurtkowiee (Gutw. Fiz. XXII. 144). 


499 


103. F. neglecta (Thwait.) De-Toni live. Ni: tab, XV. fig 37 

Hab. in fossis ad viam inter Bystre et Jaszezuröwka atque in 
lacu Zielony staw Gasienicowy. 

In fonte Lodowe eum specie praecedenti (Schum. l. c. 80). 


Gen. Mastogloia Thw. 1856. 


104. M. antiqua Schum. 
Hab. in valle Mieguszowiecka, Quinque Polonicorum stagnorum 
(Czarny staw) et in valle Zimna Woda (Schum. l. e. 80). 


Fam. Cymbellaceae (Kuetz. 1844.) Grun. 1860. 
Gen. Cymbella Ag. 1830. 


105. C. cuspidata Kuetz. 

In valle Quinque Polonicorum stagnorum ad saxa juxta Siklawa 
eatarractam (Gutw. Fiz. XXII. 144). 

var. naviculiformis Auersw. 

Hab. locis uvidis aqua defluenti irroratis in silva prope Koziniee 
et in pratis humidis in Kasprusie ad ostium vallis Strazyska; in 
lacubus: Dwoisty staw Gasienicowy et Morskie Oko; in parvis ri- 
vulis, quae rivo Poduplazki affluunt in valle Bialej Wody; locis 
muscosis uvidis deelivitatis loci Toporowa Cyrhla et prope Capówka. 

Prope Szmeks cum Nav. maiore; in vallibus: Biala Woda, Mie- 
guszowiecka et Zimna Woda (Schum. l e. 63); in uvidis prope 
Kurtkowiee (Gutw. Fiz. XXII. 144). 

106. C. amphicephala Kuetz. V. H. tab. IL fig. 3. 

Hab. in fossis ad viam publicam inter Bystre et Jaszezurówka. 

107. C. subaequalis Grun. V. H. tab. III. 2. 

Hab. in Siklawiea catarracta in valle Strazyska atque ad saxa 
aquis defluentibus irrorata iuxta viam in ripa lacus Morskie Oko 
ad laeum Czarny staw ducentem. 

108. C. obtusa Greg. V. H tab. IML fig. 1.a. 

Hab. in fonte Lodowe in valle Kościeliska; inter museos in rivo 
ad ostium vallis dictae Mala Laka (hie leg. prof. I. Król); in lacu 
Toporowy staw; in muscosis uvidis iuxta viam Clotildae inter Weste- 
rowo et Hagi Wyzne. 

109. C. delicatula Kuetz. V. H. tab. III. fig. 6. A. Schmidt Atlas 
tab. LXXI. fig. 54. 


Hab. ad saxa in rivulis vallium: Biale et ,Ku Dziurze"; in 


500 


uvidis muscosis in valle Olezyska; in lacu Przedni staw 5-Poloni- 
corum stagnorum (ubi leg. prof. I. Kröl). 

110. C. laevis Naeg. V. H. tab. III. fig. 7, A. Schmidt Atlas 
tab. X. fig. 23. 

Hab. ad catarractam Siklawica in valle Strazyska; ad saxa in 
rivulo vallis Biale; ad saxa submersa ad dextram viae ex loco Hala 
Gasienicowa, prope lacum Czarny staw Gasienicowy; in srobiculis 
turfosis ad radicem montis Kozi Wierch in vaile 5-Polonicorum 
stagnorum; in lacu Morskie Oko ad saxa submersa iuxta ripas 
4. VIII. 1999 et 9. VIII. 1900. 

111. C. Pisciculus Greg. (C. gracilis var. levis Kuetz in V. H. 
tab. HII. fiv. 1. B). 

Hab. ad saxa in rivulis rapide fluentibus vallium Strazyska et Biale; 
in uvidis iuxta rivum sitis in valle Mala Laka (hie. leg. prof. I. Król). 

112. C. uffinis Kuetz. V. H. tab. II. fig. 19. 

Hab. ad saxa in rivulo rapide fluenti iuxta saxum ,Jelinekii* 
et ad catarractam Siklawiea. 

In valle Zimna Woda (Schum. I. c. 64). 

113. C. leptoceras (Ehrnbg.) Rabh. De-Toni pag. 353. V. H. tab. 
III. fig. 24. 

Hab. in fonte Lodowe in valle Kościeliska; in uvidis vallis 
Olczyska; in lacu Morskie Oko. 

In fonte Lodowe in valle Koseieliska; in valle Zimna Woda 
(Schum. l. e. 64) 

114. C. microcephala Grun. V. H. VIII. fig. 36. 

Hab. in lacu Czarny staw Gasienicowy. 

115. Cymbella Tatrensis nov. spec. Tab. nostr. VIII. fig. 51. 

Cymbella parva, 198 u longa, 44 u lata, margine dorsuali leniter 
arcuato, ventrali fere recto ad apices capituliformes paulatim inciso; 
nodulo centrali maiore, nodulis apicalibus parvis, raphe apices versus 
indistincte deflexa, stris 145 in 10 u radiantibus lineam mediam 
linquentibus. 

Hab. locis uvidis silvaticis aquis leniter defluentibus irroratis ad 
dextram viae publieae, quae ex Jaszezurówka ducit, prope locum 
Capówka. 

Species nostra Cymb. norvegicae Grun. in A. Schmidt Atlas 
tab. IX. fig. 67. non dissimilis, sed apicibus magis protractis, raphe 
minus recta abhorret; ceterum species a cl. Grunow |. s. c. deli- 
neata diagnosi earet aecuratius comparari itaque non potest. 


501 


116. Cymbella Brebissoniana nov. spec. Tab. nost. VIII. fig. 52. 

Cymbella minor, 33 u longa, SS u lata, margine dorsuali leniter 
arcuato, ventrali paulo subinflato, apices versus sensim ad dimidium 
latitudinis angustata, apicibus capituliformibus parum protractis, raphe 
lenius quam margo dorsualis arcuata, nodulis mediano et apicalibus 
minutis, strüs 909 in 10 u radiantibus lineam medianam angustissi- 
mam linquentibus. 

Hab. ad saxa submersa in lacu Morskie Oko (leg. 4. VIII. 1899) 

Species a nobis descripta planissime quod ad staturam cum. 
Cocconemate cymbiformi E. in A. Schmidt Atlas tab. X. fig. 27. a, 
delineata congruit. Quae figura Sehmidtii parum tantum brevior 
est nostra apicesque angustiores, sed strias multo remotiores prae- 
bet, nempe 4 in 6 strias figurae nostrae. Quum autem hoc opinatum 
C. cymbiforme cum vero cymbiformi a el. A. Schmidtio l. s. c. 
in fig. 13 ex speciminibus propriis Kuetzingii delineato nihil 
communis habeat, speciem propriam id esse censeo, eandem quidem, 
quam hie nomine C. Brebissonianae ornatam profero. 

117. Cymbella imitans nov. spec. Tab. nostr. VIII. fig. 53. 

Subsemilanceolata. margine dorsuali leniter convexo, ventrali recto 
apices versus paullo conniventi; apicibus subproductis obtuse rotunda- 
tis; raphe haud recta. sed ab nodulo centrali nodulos apicales versus 
lenissime sigmoidi, zona hyalina longitudinali cincta; strüs distinctis 
non punctatis quam lenissime radiantibus, utrimque una mediana stria 
paullulo abbreviata. 

Long. = 30:6 m lat — 54. p, striae ll in 10. u. 

Hab. in lacu Smreezynski staw in valle Koseieliska ad ripas 
laeus atque in turfosis in ripis sitis. 2. VIII. 1899. 

Observatio: Species nostra Cymbellam alpinam in A. Schmidt 
Atlas tab. LXXI. fig. 45. quod ad habitum, C. austriacam l. c. 
fig. 67. autem quod ad raphem attinet imitatur. A C. alpina species 
nostra apicibus, raphe striisque diversa est, ab C. austriaca autem 
toto habitu abhorret. 

118. C. anglica Lagerst. V. H. tab. IL. fig. 4. 

Hab. in uvidis muscosis in valle Olezyska; in lacubus: Topo- 
rowy staw, Morskie Oko; in stagnis parvis et locis uvidis ad mon- 
tem Mnieh sub deflexione iugi, quae Wrota Chalubiüskiego vocatur. 

119. C. alpina Grun. Ueb. ein. n. u. ungen. bek. Art. 1863. 
tab. (3) IV. fig. 19. 

Hab. ad catarractam Siklawiea in valle Strazyska. 


502 


120. C. abnormis Grun. V. H. tab. III. fig. 8. 

Hab. ad saxa in rivulo vallis Biale. 

121. C. austriaca Grun. A. Sehmidt Atlas tab. LXXI. fig. 67. 

Long. = 46—55 u, lat. — 15:4 x, apex — 4 u; striae punetatae 
63 in medio valvae, 8 ad apices in 10 y. 

Hab. in uvidis museosis in valle Olezyska. 

122. C. lunata W. Sm. De-Toni l. e. pag. 361 (non V. H. Atlas!) 

Long. = 23—26 u! lat. =55—66 u! striae 9 in 10 y. 

Hab. in uvidis ad lacum Kurtkowiee in valle Gasienicowych 
stawöw, in rivulis vallis Ciemnosmreezynska. 

123. C. truncata. Rabenh. 

Hab. in fonte Lodowe in valle Koseieliska; in valle Biala Woda 
(Schum. l. c. 64). 

124. C. gastroides Kuetz. V. H. tab. II. fig. 8. 

Hab. in uvidis in silva prope Koziniee, ad radiees montis Nosal; 
ad saxa in rivo Bystra rapidissime fluenti in Kuźnice; in rivo vallis, 
quae „Ku Dziurze* dieitur; in lacu Morkie Oko ad saxa, ubi aquae 
ex lacu decurrunt, et ad saxa aquis defluentibus irrorata in ripa 
eiusdem lacus. 

In fonte Lodowe cum specie praecedenti (Schum. 1. e. 64). 

125. C. lanceolata (Ehr.) Kirchn. V. H. tab. II fig. 7. 

Hab. in rivo et ad catarractam Siklawiea in valle Strazyska; in 
uvidis museosis in valle Olezyska; ad saxa submersa iuxta ripas 
laeus Morskie Oko. 

In uvidis prope lacum Kurtkowiee (Gutw. Fiz. XXI. 145). 

var. aspera (Ehrenb.) Brun. 

Hab. in fonte Lodowe cum C. truncata (Schum. l. e. 64). 

126. C. eymbiformis (Kuetz.) Bréb. V. H. tab. II. fig. 11. 

Hab. in fonte Lodowe in valle Kościeliska; in uvidis museosis 
graminosis prope collem Koziniec, ad radices montis Nosal in By- 
stre atque in vallibus Olezyska et Mala Laka (hie leg. prof I. Krél); 
in rivis vallium: Białe et „Ku Dziurze*; in lacu Wielki staw 5- 
Polonieorum stagnorum (ubi leg. prof. I. Król); in lacu Morskie 
Oko. 

In fonte Lodowe cum praecedenti; prope Szmeks eum Nav. 
maiore; in vallibus: Biala Woda, Mieguszowiecka, Wielka et Zimna 
Woda (Schum. Le 65.); ad ripas lacus Toporowy staw (Gutw. 
Fiz. XXII. 145). 

var. parva (W. Sm.) V. H. tab. II. fig. 14. 


503 


Hab. cum typo in vallibus Olezyska, Mala Laka, Biale, in lacu 
Morskie Oko; etiam in valle Strążyska in rivo ad saxum Jelinekii 
et ad Siklawiea; in uvidis museosis declivitatis loci Toporowa 
Cyrhla. 

In valle Mieguszowiecka (Schum. l. e. 65). 

127. C. Smithii Rabenh. (C. helvetica Sm. non Kuetz.) 

Hab. in uvidis prope Kurtkowiee (Gutw. Fiz. XXII. 144). 

128. C. Cistula (Hempr.) Kirehn. V. H. tab. II fig. 12—13. A. 
Schmidt Atlas tab. X. fig. 1. 

Hab. in valle Strazyska in rivo rapide fluenti; in lacubus: Zie- 
lony et Czarny staw Gasienicowy atque Morskie Oko. 

In fonte Lodowe cum C. truncata; prope Szmeks cum N. maiores 
in valle Biala Woda (Schum. l. e. 65.); in saxis iuxta catar- 
ractam Siklawa; inter montem Ozerwony Wierch et Tomanowa Pol- 
ska. (Gut w. Fiz. XXII. 145). 

var. maculata (Kuetz. Grun. V. H. tab. II. fig. 16. 

Hab. in uvidis muscosis in valle Olezyska. 

In vallibus: Mieguszowieeka, Wielka, Zimna Woda (Schum. 
l. e. 65); ad saxa catarractae Siklawa (Gutw. Fiz. XXII. 144). 

129. C. Cesatii Grun. A. Schmidt Atlas LXXI. fig. 48. 

Speeimina nostra 31 u longa 66 y lata, apicibus ad 2:2 y an- 
gustatis, ad figuram supra citatam plane accedunt. 

Hab. in lacu Morskie Oko et ad saxa aquis defluentibus irro- 
rata iuxta viam in ripa eiusdem lacus ad laeum Czarny staw du- 
centem. | 


Gen. Encyonema Kuetz. 1833. 

130. E. prostratum (Berk.) Ralfs. 

Hab. in fonte Lodowe cum C. truncata; prope Szmeks cum N. 
maiore; in vallibus: Wielka et Zimna Woda (Schum. Le 65). 
In ripis lacus Toporowy staw; in uvidis prope Kurtkowiee (Gutw. 
Fiz. XXII. 145). 

131. E. turgidum (Greg) Grun. V. H. tab. IIL fig. 12. 

Hab. ad saxa submersa ad sinistram viae ex loco Hala Gasie- 
nieowa prope lacum Czarny staw Gasienicowy. 

132. E. caespitosum Kuetz. var. Auerswaldii (Rabnh.) V. H. tab. 
III fig. 14. 

Hab. in pratis ad Kasprusie et in stagnis ad montem Mnich 
sub deflexione iugi, quae Wrota Chalubinskiego dicitur. 


504 


In fonte Lodowe cum praecedenti; prope Szmeks; in vallibus: 
Biala Woda, 5-Polonieorum stagnorum (Wielki staw), Swistowa, 
Wielka, Zimna Woda (Schum. l. e. 65); in catarracta Siklawa 
(Gutw. Fiz. XXII. 145). 

var. Pediculus (Ehrenb.) Brun. (Cymb. Pediculus Kuetz.). 

Hab. in fonte Lodowe cum typo; in vallibus: Mieguszowiecka, 
Zimna Woda (Schum. l. e. 64). 

133. E. ventricosum (Ag.) Grun. V. H. tab. III fig. 15—17. A. 
Schmidt Atlas tab. LX XI fig. 31. 

Hab. in fonte Lodowe et ad saxa granitica in rivo Czarny Du- 
najee prope „Cracoviam Tatrensem“ in valle Kościeliska; in rivis 
vallium: Ku Dziurze, Białe, Strążyska, Kuźnice et Waksmundzka; 
in uvidis vallis dictae Mala Haka (hie. leg. prof. I Krol), prope 
collem Koziniee; in deelivitate Toporowa Cyrhla et prope Capówka; 
in fossis ad viam publicam inter Bystre et Jaszezurówka; in lacu- 
bus: Sobków, Zielony, Dwoisty et Czarny staw Gasienicowy; in 
catarracta inter lacum Zmarzly staw et Czarny Gasienicowy (hie 
leg. prof. I. Kröl.); in lacubus: Wielki et Mały staw 5-Polonicorum 
stagnorum (ubi leg. prof. I. Król) atque in serobieulis supra lacum 
Zadni staw; Morskie Oko; Czarny staw supra lacum Morskie Oko: 
ad saxa aquis defluentibus irrorata iuxta viam in ripa lacus Mor- 
skie Oko; in stagnis et serobieulis ad montem Mnich sub deflexione 
iugi, quae Wrota Chałubińskiego dicitur; in fonte ,Lodowe" supra 
lacum Zmarzły staw et Czarny Gasienicowy sito. In rivulis vallis, 
quae Ciemnosmreczyñska nominatur, in rivo Koprowy prope locum 
Pod Banska (inter museos), in magna catarracta rivi Kolbach dieti 
et in lacu Szezyrbskie. 

134. E. gracile Rabenh. V. H. tab. III fig. 20—22; E. lunatum 
W. Sm. V. H. tab. III fig. 23. 

Hab. in pratis humidis in Kasprusie ad ostium vallis Strazyska 
et in ipsa valle in rivulo et ad catarractam Siklawica; in lacubus: 
Dwoisty, Zielony, Sobkéw et Czarny staw Gasienicowy; inter saxa 
in aquis defluentibus supra lacum Kurtkowiee; in fonte ,Lodowe* 
iuxta viam ad deflexionem iugi Zawrat; in lacubus: Morskie Oko, 
Czarny staw supra hune lacum, Toporowy staw; in uvidis muscosis 
graminosis declivitatis loci Toporowa Cyrhla et prope locum Ca- 
powka; in turfosis silvae inter valles Panszezyca et Sucha Woda; 
in lacu Szezyrbskie. 


505 


In vallibus: Mieguszowiecka, Quinque Polonicorum stagnorum 
(Wielki staw), Wielka, Zimna Woda (Schum. l. e. 63); inter 
montem Czerwony Wierch et Tomanowa Polska; in uvidis prope 
Kurtkowiee (Gutw. Fiz. XXII. 145.). 

var. scoticum (AN. Sm.) V. H. (Cymbella scotica) W. Sm. A. 
Sehmidt Atlas tab. X. fig. 22. 

Hab. in Maly staw 5-Polonicorum stagnorum (leg. prof. I. Kröl). 

135. E. Gerstenbergeri Grun. 

Hab in fonte Lodowe vallis Koscieliska; prope Szmeks cum A. 
maiore; in valle Mięguszowiecka (Schum. L c. 64). 


Gen. Amphora Ehrenb. 1831. 
136. A. libyca Ehrbg. A. Schmidt Atlas tab. XXVI fig. 102—109. 


Hab. in laeu Morskie Oko ad saxa submersa, ubi aquae ex lacu 
decurrunt. 

137. A. salina W. Sm. var. minor V. H. tab. I fig. 20. (A. bo- 
realis Kuetz). 

Hab. in uvidis vallis Olezyska et in laeu Morskie Oko. In fonte 
Lodowe eum E. Gerstenbergeri; in valle Mieguszowiecka (Schum. 
16105) 

138. A. ovalis (Breb.) Kuetz. V. H. tab. I. fig. 1. 

Hab. in fonte Lodowe in valle Ko$cieliska; in rivulis vallis 
dictae Mala Laka; in uvidis museosis declivitatis loci Toporowa 
Cyrhla et iuxta viam Clotildae inter Westerowo et Hagi Wyżne. 

var. gracilis (Ehrb.) V. H. 

Hab. in fonte Lodowe vallis Koscieliska; prope Szmeks cum 
Enc. Gerstenbergeri; in valle Mieguszowiecka (Schum. l. e. 64). 

var. Pediculus (Kuetz.) V. H. tab. I fig. 5. 

Hab. ad saxa in rivo rapide fluenti iuxta saxum Jelinekii. In 
fonte Lodowe in valle Kościeliska (Schum. Le 65). 

for. minor Grun. V. H. tab. I fig. 8. 

Hab. in serobieulis supra lacum „Zadni staw“. 


Fam. Gomphonemaceae (Kuetz.) 1844, Grun. 1860. 
Gen. Gomphonema Ag. 1824. 
139. G. constrictum Ehrnbg. V. H. tab. XXIII. fig. 6. 


Hab. in fossis ad viam publicam inter Bystre et Jaszezuröwka; 
in aquis e thermis Jaszezurówka defluentibus, ad saxa in rivo 


506 


vallis dietae Mala Laka (hie leg. prof. I. Kröl.); in laeu Dwoisty 
staw Gasienicowy. 

In saxis iuxta eatarraetam Siklawa (Gutw. Fiz. XXII. 145). 

var. truncatum (Ehrenb.) Gutw. Bac. tatr. pag. 145. 

Hab. in uvidis prope Kurtkowiee (Gutw. Fiz. XXII. 145). 

var. subcapitatum V. H. tab. XXIII. fig. 5. 

Hab. in lacubus Czarny staw Gasienicowy et Morskie Oko ad 
saxa, ubi aquae ex lacubus decurrunt 

140. G. capitatum Ehrnbg. V. H. tab. XXIII fig. 7., 8. et 11. 

Hab. in laeubus: Sobków-. Dwoisty-, Zielony- et Czarny staw 
Gasienicowy; atque in Morskie Oko et Toporowy staw. 

In fonte Lodowe eum Nav. viridi; in valle Swistowa (Schum. 
l e. 67); in eatarraeta Siklawa; in saxis iuxta Siklawa; in uvidis 
ad Kurtkowiee (Gutw. Fiz. XXII. 146). 

141. G. acuminatum Ehrnhg. 

Hab. in lacu Czarny staw supra Morskie Oko. 

var. coronatum (Ehrnbg.) Rabnh. 

Hab. in fossis ad viam publieam inter Bystre et Jaszezurówka. 

Prope Szmeks eum Nav. maiore; in vallibus: Biala Woda, Mie- 
guszowiecka, 5-Polonicor. stagnorum (Czarny staw), Zimna Woda 
(Schum. l. e. 67); ad ripas lacus Toporowy staw (Gute Fiz. 
XXII. 145). 

var. clavus (Breb.) V. H. tab. XXIII. fig. 20. 

Hab. in lacu Dwoisty staw Gasienicowy; Przedni staw 5-Polo- 
nicorum stagnorum (bie leg. prof. I. Kröl); in lacu Morskie Oko 
4. VIII. 1899 et 9. VIII. 1900. | 

var. intermedium Grun. V. H. tab. XXIII fie. 21. 

Hab. in laeubus: Dwoisty staw Gasienicowy et Morskie Oko. 

var. elongatum (W. Sm.) V. H. tab. XXIII. fig. 22. 

Hab. in laeubus: Przedni staw 5-Polonicorum stagnorum (hie 
leg. prof. I. Kröl) et Morskie Oko. 

142. G. Turris Ehrenb. 

Hab. in valle Mięguszowiecka (Schum. 1 e. 67). 

var. apiculatum Grun. 

Hab. ad ripas lacus Toporowy staw (Gutw. Fiz. XXII. 145). 

145. G. Augur Ehrenb. 

Hab. in fonte Lodowe vallis Kościeliska; in valle Zimna Woda 
(Schum. L e. 66); in saxis iuxta catarractam Siklawa (Gutw. 
Fiz. XXII. 145). 


507 


144. G. montanum Schum. Tatra. pag. 67. tab. IIL, fig. 35 b. 
V. H. tab. XXIII, fig. 33—35. 

Hab. ad saxa in rivis vallium: Ku Dziurze et Waksmundzka; 
in laeubus: Sobków, Dwoisty, Zielony, Czarny et Dlugi (Kuklaty) 
staw Gasienicowy; ad saxa in aquis defluentibus supra lacum Kur- 
tkowiee; in eatarracta inter laeus Zmarzly et Czarny staw (hie leg. 
prof. I. Kröl); in fonte Lodowe ad viam in Zawrat supra lacus 
commodum dietos; in laeu Przedni staw 5-Polonicorum stagnorum; 
in laeu Morskie Oko et ad saxa iuxta viam in ripa eiusdem lacus; 
Czarny staw supra Morskie Oko. Ad saxa in rivo Koprowa prope 
locum Pod Banska; in catarracta magna rivi Kolbach. 

Prope Szmeks cum G. acuminato; in valle Mieguszowiecka; 
in valle Zimna Woda (Schum. l. e. 67); in catarracta Siklawa et 
ad saxa iuxta eam (Gutw. Fiz. XXII, 145). 

var. medium Grun., V. H. tab. XXIII, fig. 37. 

Hab. in pratis ad Kasprusie in Zakopane et in fonte „Lodowe“ 
luxta viam in Zawrat supra Zmarzly staw sito, 

var. subclavatum Grun, V. H. tab. XXIII, fig. 42 et tab. 
XXV fig: Pp 

Hab. Ha saxa in rivis vallium: Strążyska et Białe; in mid 
muscosis prope Capówka. In rivulis vallis Ciemnosmreczynska et in 
lacu Szezyrbskie. 

var. commutatum Grun., V. H. tab. XXIV, fig. 2 

Hab. ad saxa aquis defluentibus irrorata ad viam in ripa lacus 
Morskie Oko; in uvidis museosis in valle Olezvska. 

145. G. longiceps Ehrnbg. Schum. Tatra pag. 67. tab. ITI, fig. 
31, V. H. tab. XXIV, fig. 5 (G: Mustela Ehrbg.). 

Hab. in lacubus: Zielony et Czarny staw Gasienicowy atque in 
Przedni ‘staw 5-Polonicorum stagnorum (ubi leg. prof. I. Krol). 

In fonte Lodowe vallis Koseieliska; in vallibus: Biala Woda, 
Mieguszowiecka (Sehum. l. e. 67). 

146. G. gracile Ehrnbg., V. H. tab. XXIV, fig. 13, 15, 16 et 18. 
(G. gracile v. habilis, D auritum A. Br.). 

Hab. in aquis ex lacu Czarny staw Gasienicowy nn 
ad saxa in aquis defluentibus supra lacum Kurtkowiec; in serobi- 
eulis turfosis ad radices montis Kozi Wierch in valle 5-Polonico- 
rum stagnorum; in lacu Toporowy staw inter Sphagna; in uvidis 
muscosis declivitatis loci Toporowa Cyrhla; in rivulis parvis rivo 


Poduplazki affluentibus in valle Bialej Wody. 


508 


In fonte Lodowe cum @. longicipiti; prope Szmeks eum @. acu- 
minato; in vallibus: Mięguszowiecka, Swistowa, Zimna Woda. 
(Schum. Le 66). 

147. G. dichotomum Kuetz, V. H. tab. XXIV, fig. 8, 19-20 
et 24. 

Hab. in laeu Morskie Oko; ad saxa in ripa laeus Morskie Oko 
eum G. montano var. commutato; in lacu Dwoisty staw Gasienico- 
wy; in uvidis museosis in valle Olezyska et ad viam Clotildae inter 
Westerowo et Hagi Wyzne. 

148. G. Vibrio Ehrnbg. V. H. tab. XXIV, fig. 26. 

Hab. in lacu Zielony staw Gasienicowy et in laeu Morskie Oko. 

Prope Szmeks cum praecedenti; in vallibus: Biała Woda, Zimna 
Woda (Schum. Le 67). 

149. G. intricatum Kuetz., V. H. tab. XXIV. fig. 28—31. 

Hab. in rivulo vallis Białe dictae; in lacubus: Dwoisty, Zielony 
staw Gasienicowy et Morskie Oko. In valle Zimna Woda (Schum. 
l. e. 67); in Siklawa catarracta, ad saxa iuxta eandem; ad Kurt- 
kowiee (Gutw. Fiz. XXII, 146). 

150. G. insigne Greg. V. H. tab. XXIV, fig. 39—40 

Hab. inter saxa in aquis defluentibus supra lacum Kurtkowiec: 
in catarracta inter laeum Zmarzly staw et Czarny staw Gasieni- 
cowy; in fonte „Lodowe“ ad viam in Zawrat; in lacu Morskie Oko. 

151. G. micropus Kuetz.,, V. H. tab. XXIV, fig. 46. 

Hab. in lacu Dwoisty staw et in aquis ex laeu Czarny staw 
Gasienieowy defluentibus in valle iuxta viam ad ipsum laeum. 

152. G. angustatum Kuetz, V. H. tab. XXIV. fig. 44—52. 

(G. angustatum var. obtusatum Kuetz. et var. productum Grun.). 

Hab. in fonte Lodowe in valle Kościeliska; in pratis in Ka- 
sprusie; in uvidis in valle Mala Laka (ubi leg. prof. I. Król); 
in uvidis prope Koziniec et in valle Olezyska; in valle Strazy- 
ska ad saxa in rivo ad saxum Jelinekii; in aquis supra laeum 
Kurtkowiee defluentibus; in lacubus: Długi (Kuklaty) et Zielony 
staw Gasienicowy; in fonte ,Lodowe* ad viam in Zawrat; in 
valle 5-Polonieorum lacuum: in aquis supra laeum Zadni staw 
defluentibus, in laeu Wielki staw (hie leg. prof. I. Król) ad 
saxa irrorata iuxta viam in ripa laeus Morskie Oko; in stagnis 
ad montem Mnich sub deflexione iugi „Wrota Chałubińskiego“; 
in parvis rivulis rivo Poduplazki affluentibus in valle Bialej 
Wody; in uvidis declivitatis loci Toporowa Cyrhla. In rivu- 


509 


lis vallis dictae Ciemnosmreezynska. In valle Wielka. (Schum. 
Ie: 66). 

153. G. parvulum Kuetz, V. H. tab. XXIV, fig. 23, 24, tab. 
XXV, fig. 9 et 11, 12. (G. tenellum Kuetz, G. parvulum var. 
subcapitata). 

Hab. in Kasprusie in pratis; in uvidis prope Koziniee et ın 
valle Olezyska; in aquis e thermis Jaszezuröwka ducurrentibus; 
inter saxa in aquis defluentibus supra lacum Kurtkowiec; in aquis ex 
lacu Czarny staw Gasienicowy decurrentibus in valle iuxta viam 
ad ipsum lacum; in fonte „Lodowe“ ad viam in Zawrat; ad saxa 
irrorata iuxta viam in ripa laeus Morskie Oko; in rivulis vallis, 
quae Ciemnosmreezynska dieitur. 

Prope Szmeks eum G. acuminato; in vallibus: Mieguszowiecka, 
5-Polonicorum stagnorum (Wielki staw) Wielka, Zimna Woda. 
(Schum. Le 67). 

154. G. exiguum Kuetz., V. H. tab. XXV, fig. 37. 

(var. telographicum). 

Hab. in laeu Czarny staw Gasienicowy loco, ubi aquae decurrunt. 

155. G. olivaceum (Lyngb.) Kuetz, V. H. tab. XXV, fig. 20. 

Hab. in uvidis muscosis deelivitatis loci Toporowa Cyrhla. 

In fonte Lodowe vallis Kościeliska; prope Szmeks eum N. ma- 
iore; in valle Mieguszowiecka; in valle Zimna Woda. (Schum. 
16:567: 

var. vulgare (Kuetz.) Grun. (Sphaenella vulgaris Kuetz.). 

In fonte Lodowe, in valle Zimna Woda (Schum. l. e. 66). 

forma curta V. H. (Gomph. clavatum Ehrbg. f. curta V. H. tab. 
XXIII, fig. 12). 

Hab. in stagnis ad montem Mnich sub deflexione iugi, quae 
Wrota Chalubiñskiego dicitur; in magna catarracta rivi Kolbach. 

156. GŒ. glaciale (Kuetz.) Rabenh. (Sphaenella glacialis Kuetz.). 

Hab. in valle Mięguszowiecka (Schum. 1. e. 66). 


Gen. Roicosphenia Grun. 1860. 
157. R. curvata (Koetz) Grun. V. H. tab. XXVI, fig. 1—3. 
Hab. in fonte Lodowe in valle Koseieliska; in muscosis uvidis 
declivitatis loei Toporowa Cyrhla. In fonte Lodowe (Schum. 
16:62). 
158. R. fracta (Schum.) Rabenh. (Gomphon. fractum Sehum.). 
Hab. in uvidis prope lacum Kurtkowiee (Gutw. Fiz. XXII, 146). 


510 


Fam. Coeconeidaceae (Kuetz.) Grun. 
Gen. Cocconeis Ehrenbg. 1835. 

159. C. Pediculus Ehrenbg. V. H. tab. XXX, fig. 28—30. 

Hab. in aquis e thermis Jaszezurówka decurrentibus. 

In fonte Lodowe vallis Koscieliska; in valle Mieguszowiecka. 
(Schum. Le 60); in saxis iuxta catarractam Siklawa. (Gut w. 
Fiz. XXII, 145). 

160. C. Placentula Ehrnbg. V. H. tab. XXX, fig. 27. 

Hab. in fonte „Lodowe“ in valle Koscieliska; locis uvidis et in 
rivo vallis Mala Laka (hie leg. prof. I. Kröl); in rivis vallium: 
Kościeliska, Ku Dziurze, Strążyska, Białe et Kuźnice; in uvidis 
vallis dictae Olezyska; ad saxa in rivo Koprowa prope locum Pod 
Banska. 

In fonte Lodowe cum praecedenti; in vallibus Wielka, Zimna 
Woda (Schum. l. e. 60); in saxis iuxta catarractam Siklawa et 
in catarracta ipsa (Gutw. Fiz. XXII, 145). 

161. C. punctata Ehrenb. 

Hab. in fonte Lodowe nee non in valle Mieguszowiecka (Schum. 
I: &. 760): 

162. C. borealis Ehrenb. 

Hab. in valle Zimna Woda (Schum. l. c. 61). 


Fam. Aehnanthaceae (Kuetz. 1844) Grun. 1860. 
Gen. Achnanthes Bory 1822. 

163. A. undulata Schum. 

Hab. prope Szmeks cum Nav. maiore; in vallibus: Mieguszo- 
wiecka, 5-Polonieorum stagnorum (Czarny et Wielki staw), Zimna 
Woda (Sehum. l. c. 62). 

164. A. subsessilis Kuetz., V. H tab. XXVI, fig. 21—24. 

Hab. in laeu Przedni staw 5-Polonieorum stagnorum. 

In vallibus: Biała Woda, Mięguszowiecka (Schum. Le 62). 

165. A. contracta Schum. 

Hab. in fonte Lodowe in valle Koseieliska (Schum. l. e. 62). 

166. A. hungarica Grun. 

Hab. in eatarraeta Siklawa (Gutw. Fiz XXV, 29). 

167. A. elliptica Schum., Tatra II, fig. 27. 

Long. = 20—21 u, lat. = 7—77 u, crass. = 44 y. 

Hab. in fonte Lodowe in valle Koseieliska; in rivulis rivo Pod- 


511 


uplazki in valle Bialej Wody affluentibus; in lacu Toporowy staw; 
in magna Catarracta rivi Kolbach. 

In fonte Lodowe; prope Szmeks; in vallibus: Biala Woda, Mie- 
guszowiecka, 5-Polonieorum stagnorum (Czarny et Wielki staw), 
Swistowa, Wielka, Zimna Woda (Schum. l. c. 62). 

168. (?) A. marginulata Grun. V. H. tab. XXVII, fig. 45 — 46. 

Hab. in uvidis prope Koziniec; in lacubus: Czarny staw Gasie- 
nicowy; Maly staw 5-Polonicorum stagnorum (hic leg. prof. I. Krol). 

169. A. exigua Grun. V. H. tab. X XVII, fig. 29, 30. 

Hab. in uvidis prope Koziniec; in rivo vallis Biale. 

170. A. obtusa Schum. 

Hab. in fonte Lodowe; in lacu Czarny staw 5-Polonicorum sta- 
gnorum (Schum. |. e. 62). 

171. A. delicatula (Kuetz.) Grun. 

Hab. in fonte Lodowe; in valle Wielka (Schum. 1. c. 61). 

172. A. Biasoletiana (Kuetz.) Grun. V. H. tab. XXVIL fig. 
27 — 28. 

Hab. locis uvidis in valle Mala Laka (leg. prof. I. Krol); in 
valle Strazyska in catarracta Siklawica; in uvidis muscosis prope 
locum Capówka. 

In fonte Lodowe; in lacu Czarny staw 5-Polonic. stagnorum; 
in valle Zimna Woda (Schum. |. e. 62). 

173. A. gibberula Grun. V. H. tab. XXVII, fig. 47—49. 

Hab. in fonte Lodowe in Kościeliska; in vallibus Strążyska 
(rivus et catarracta) et Białe. in uvidis graminosis partimque mu- 
scosis prope Koziniec. (Species ex thermis Indiae orientalis, ubi 
leg. Stoliczka, a De-Toni in Sylloge pag. 483. indicata). 

174. A. microcephala (Kuetz.) Grun. V. H. tab. XXVII, fig. 21. 

Hab. in pratis humidis in Kasprusie (Zakopane); in uvidis iuxta 
rivum in valle Mala Laka atque in lacubus Wielki et Przedni staw 
5-Polonicorum stagnorum (leg. prof. I. Król); in srobiculis turfosis 
ad radicem montis Kozi Wierch in valle 5-Polonic. stagnorum; in 
lacubus: Morskie Oko et Czarny staw lacu superius sito; in parvis 
rivulis rivo Poduplazki affluentibus in valle Biała Woda. 

Prope Szmeks; in lacu Czarny staw 5-Polonicorum stagnorum 
(Schum. l. e. 61); ad ripas lacus Toporowy staw; in uvidis prope 
Kurtkowiec; in catarracta Siklawa et in saxis iuxta eam (Gutw. 
Fiz. XXII, 146). 

118. À exilis-Kuetz. 


Bulletin III. Avril. 


=] 


512 


Hab. in fonte Lodowe; in vallibus: Biala Woda, Mieguszo- 
wiecka, 5-Polonicorum stagnorum (Czarny et Wielki staw), Wielka 
(Schum. l. e. 63); in catarracta Siklawa (Gutw. Fiz. XXII, 146). 

176. A. minutissima Kuetz. V. H. tab. XXVII, fig. 37— 38. 

Hab. in rivo et in catarracta Siklawica in valle Strążyska; in eatarra- 
eta inter lacum Zmarzły staw et Czarny staw (hie leg. prof. I. Król). 

forma curta V. H. ibidem fig. 35—36. 

Hab. in fonte Lodowe in valle Koseieliska; ad saxa granitica 
rivi in valle Waksmundzka. 

In fonte Lodowe; prope Szmeks ut supra; in valle Mieguszo- 
wiecka (Sehu m. l. e. 63). In uvidis ad lacum Kurtkowiee (Gutw. 
Fiz. XXII, 146). 

var. cryptocephala Grun. V. H. ibidem fig. 41 — 44. 

Hab. in fonte Lodowe eum forma curta; in catarracta Siklawiea 
in valle Strazyska; in uvidis in valle Mala Laka (hie leg. prof. I. 
Kröl); in valle Biale ad saxa in rivo; in uvidis muscosis vallis 
dietae Olezyska; inter saxa in aquis defluentibus supra lacum 
Kurtkowiec et in lacubus: Zielony, Dwoisty, Czarny staw Gasieni- 
cowy; in fonte „Lodowe“ ad viam in Zawrat; in saxis irroratis 
iuxta viam in ripa lacus Morskie Oko; in lacu Czarny staw supra 
Morskie Oko sito; in uvidis muscosis prope locum Capówka. In 
catarracta magna rivi Kolbach. 

177. A. linearis (W. Sm.) Grun. V. H. tab. XXVII, fig. 31. 

Hab. in fonte Lodowe in valle Koscieliska. 

In fonte Lodowe; prope Szmeks u. s.; in Czarny et Wielki staw 
5-Polonieorum lacuum (Schum. l. e. 61). 

178. A. lanceolata (Bréb.) Grun. V. H. tab. XXVII, fig. 8—11. 

Hab. in fonte Lodowe cum specie antecedenti; in rivulo vallis 
Mala Laka (hie leg. prof. I. Król); in uvidis muscosis in valle 
Olezyska; in laeubus: Dwoisty, Zielony staw Gasienicowy, Morskie 
Oko; in uvidis muscosis deelivitatis loci Toporowa Cyrhla et ad 
viam Clotildae inter Westerowo et Hagi Wyżne. 

In fonte Lodowe; in vallibus: Wielka, Zimna Woda (Schum. 
l. e. 61); in uvidis ad laeum Kurtkowiee (Gutw. Fiz. XXII, 146). 

var. dubia Grun. V. H. ibidem fig. 12—13. 

In vallibus: Koseieliska et Mala Laka cum typo. 


Gen. Achnanthidium Kuetz. 1844. 
179. A. flexellum (Kuetz.) Bréb. V. H. tab. XXVI, fig. 29—31. 





513 


Hab. in eatarraeta Siklawiea in valle Strazyska; in rivo vallis 
dictae Ku Dziurze; in uvidis muscosis in valle Olezyska; loeis 
uvidis museosis prope Koziniec; in valle 5-Polonicorum stagnorum: 
in serobieulis turfosis ad radices montis Kozi Wierch, in laeubus 
Przedni staw, Wielki staw (hie leg. prof. I. Kröl); in lacubus: 
Dwoisty, Zielony, Czarny staw Gasienicowy, Morskie Oko, Czarny 
staw supra Morskie Oko; in saxis aquis defluentibus irroratis iuxta 
viam in ripa lacus Morskie Oko. 

In fonte Lodowe; prope Szmeks u.s.; in vallibus: Biala Woda, 
Mieguszowieeka, 5-Polonicorum stagnorum (Czarny staw) et Zimna 
Woda (Sehum. l. e. 61). In uvidis ad laeum Kurtkowiee (Gutw. 
Fiz. XXII, 146). 


Ordo Pseudorhaphideae H. L. Smith. 1872. 
Fam. Nitzsehiaeeae Grun. 1860. 
Gen. Nitzschia Hassall. 1845. 


180. N. thermalis (Ehrenb.) Auersw. 

Hab. in fonte Lodowe; in valle Mieguszowiecka (Schum. l. c. 60). 

181. N. Denticula Grun. V. H. tab. LX, fig. 10. 

Hab. in pratis humidis in Kasprusie ad Zakopane. 

In fonte Lodowe; prope Szmeks; in laeu Czarny staw 5-Polo- 
nieorum stagnorum; in valle Wielka (Sehum. l. c. 51). 

182. N. Tabellaria Grun. De-Toni Sylloge pag. 519. (Denticula 
Tabellaria Grun. Nitzseh. pag. 548, tab. XVIII (12) fig. 26). 

Hab. in valle Olezyska locis uvidis muscosis. 

183. N. sinuata (W. Sm.) Grun. V. H. tab. LX, fig. 11. 

Hab. in uvidis museosis prope collem Koziniee et in valle 
Olezyska. 

184. N. dissipata Kuetz. 

var. media Hantzsch. 

Hab. in fonte Lodowe; in valle Mięguszowiecka (Schum. 1. e. 59). 

185. N. sigmoidea (Nitzsch) W. Sm., V. H. tab. LXIII, fig. 5 —7. 

Hab. in uvidis museosis in vallibus: Mala Laka (ubi leg. prof. 
I. Kröl) et Olezyska. In fonte Lodowe in valle Koscieliska 
(Schum. Le 58). 

186. N. vermicularis (Kuetz.) Hantzseh. V. H. tab. LXIV, fig. 1—2. 


7* 


514 


Hab. ad saxa submersa in lacu Morskie Oko, ubi aquae ex 
lacu deeurrunt. 

187. N. Sigma (Kuetz.) W. Sm. 

var. curvula (Ehrenb.) Brun. 

Hab. in uvidis ad lacum Kurtkowiee (Gutw. Fiz. XXII, 146). 

188. N. linearis (Ag.) W. Sm. 

In fonte Lodowe vallis Koscieliska. (Schum. Le 58). 

In uvidis prope Kurtkowiec (Gutw. Fiz. XXII, 147). 

var. tenuis Grun. V. H. tab. LXVII, fig. 16. 

Hab. in eatarracta.Siklawica vallis, quae Strążyska vocatur. 

Cum praecedenti in Lodowe (Sehu m. l. e. 58). Prope Kurtko- 
wiec (Gutw. Fiz. XXII, 147). 

189. N. minutissima Sm. 

Hab. cum praecedenti in Lodowe; prope Szmeks loco 2:5 km 
oecidentem versus distanti; in vallibus: Biala Woda, Mieguszowie- 
eka, 5-Polonieorum stagnorum (Wielki staw) et Swistowa (Schum. 
l. e. 60). 

190. N. subtilis (Kuetz.?) Grun. var. glacialis Grun. V. H. 
LXIX, fig. 9. 

Long. = 264 y, punct. carinal. 19 in 10 u. 

Hab. inter saxa in aquis defluentibus supra lacum Kurtkowiee; 
in aquis ex nivibus decurrentibus prope deflexionem iugi, quae Zawrat 
dieitur; in lacubus: Dwoisty staw Gasienicowy, Przedni staw 5-Po- 
lonieorum stagnorum (hie leg. prof. I. Król); in uvidis prope lo- 
cum Capówka. 

191. N. gracilis Hantzsch. V. H tab. LXVIII fig. 12. 

Hab. in lacu Zielony staw Gasienicowy; in catarracta inter 
Zmarzly staw et Czarny staw Gasienicowy (hie leg. prof. I. Król), 
in aquis defluentibus supra Czarny staw in valle 5-Polonicorum 
stagnorum; in laeu Toporowy staw. 

In vallibus: Biala Woda, 5-Polonieorum stagnorum (Wielki staw) 
(Schum. I. e. 59). 

192. N. Palea (Kuetz.) W. Sm. V. H. tab. LXIX, fig. 23. 

(sub nomine N. (Palea) var. minuta Bleisch.). 

Hab. in uvidis silvatieis prope locum Capówka. In rivulis vallis 
dictae Ciemnosmreczynska. 

var. fonticola Grun. V. H. tab. LXIX, fig. 19. 

Hab. in rivo iuxta saxum Jelinekii in valle Strazyska. 

193. N. communis Rabenh. 


a e mg 


515 


Hab. in fonte Lodowe cum N. minutissima, in valle Mieguszo- 
wiecka (Schum. l. e. 59). 

194. N. amphibia Grun., V. H. tab. LXVIIL fig. 15—17. 

Hab. in rivulo vallis Mala Laka (leg. prof. I. Król); locis uvi- 
dis in valle Olezyska; in saxis irroratis luxta viam in ripa laeus 
Morskie Oko atque in laeu superius posito, qui Czarny staw dicitur. 

195. N. Hantzschiana Rabh., V. H. tab. LXIX, fig. 1—2. 

Bones — 299p lat? 12 je, pünct.vearinal. ——"T0'1n-10 u. 

Hab. in lacu Szezyrbskie. 

196. N. acicularis (Kuetz.) W. Sm. var. closterioides Grun. 

Hab. in fonte Lodowe in valle Koscieliska (Schum. l. e. 60). 


Gen. Denticula Kuetz. 1844. 
197. D. elegans Kuetz. 


Hab. in fonte Lodowe cum N. communi; in lacu Czarny staw 
5-Polonie. stagnorum; in valle Wielka (Schum. l. c. 58). 

198. D. crassula Naeg. (D. inflata W. Sm.), V. H. tab. XLIX, 
fig. 32—34 (sub nom. D. tenuis var. inflata Grun.). 

Hab. in fonte Lodowe in valle Koscieliska; in uvidis in valle 
Mala Laka (hie leg. prof. I. Krol); in lacu Czarny staw Gasieni- 
eowy et Morskie Oko; in saxis irroratis juxta viam in ripa lacus 
postremum dieti; in lacubus: Wielki et Maly staw 5-Polonicorum 
lacuum (leg. prof. I. Król). 

199. D. frigida Kuetz. (D. tenuis var. frigida. V. H. tab. XLIX, 
fig. 35 —38). 

Hab. in rivulis vallium: ,Ku Dziurze^ et Biale; in aquis ex 
thermis Jaszezurówka decurrentibus; in uvidis museosis in valle 
Olczyska; in catarracta Siklawica vallis Strążyska; in lacubus: 
Czarny staw Gasienicowy, Morskie Oko et Czarny staw supra 
Morskie Oko; Mały staw 5-Polonieorum stagnorum (hie leg. prof. 
I. Król) in aquis defluentibus iuxta viam in ripa lacus Morskie 
Oko. In lacu Szezyrbskie. 

In fonte Lodowe; prope Szmeks cum Nite. minutissima; in 
valle Biała Woda; in valle Wielka (Schum. l. e. 58). 

Gen. Hantzschia Grun. 1880. 

200. H. Amphioxys (Ehrbg.) Grun. var. intermedia Grun., V. H. 

tab. LIV, fig. 4. 


Hab. in uvidis muscosis in valle Olezyska; in lacu Szezyrbskie. 
In fonte Lodowe; prope Szmeks cum praecedenti; in vallibus: 


516 


Biala Woda, Mieguszowiecka. 5-Polonieorum lacuum (Czarny, et 
Wielki staw), Swistowa. Zimna Woda (Schum. l. c. 58). In Si- 
klawa catarracta; in uvidis prope lacum Kurtkowiee (Gutw. Fiz. 


XXII, 146). 


Fam. Surirellaceae (Kuetz. 1844) Grun. 1860. 
Gen. Suriraya Turp. 1828. 

201. S. biseriata (Ehrnbg.) Bréb. V. H. tab. LX XII, fig. 1—2. 

Hab. in uvidis iuxta rivulum in valle Mala Laka (leg. prof. 
LL Krol): 

In saxis ad catarractam Siklawa atque in catarracta ipsa; in 
uvidis prope Kurtkowiee (Gutw. Fiz. XXII, 147). 

202. S. linearis W. Sm., A. Schmidt, Atlas tab. XXIII, fig. 27, 
De-Toni l. e, pag. 568. 

Long. = 75 u, lat. 22 u, costae 227 in 10 y. 

Hab. in uvidis muscosis in valle Olezyska. 

203. S. splendida (Ehrnbg.) Kuetz. V. H. tab. LX XII, fig. 4. 

Hab. loeis muscosis aquis defluentibus irroratis deelivitatis loci 
Toporowa Cyrhla. 

Iisdem loeis eum 5. biseriata Gute Fiz. XXII, 147). 

204. S. microcora Ehrenb. 

Hab. in valle Biala Woda (Schum. l. e. 57). 

205. S. constricta Ehrenb., Schum., Preuss., fig. 19. 

Long. = 90 u, lat. — 15 y, lat. med. constrict. — 11 y, costae 
2-27—2°7 in 10 u. 

Hab. in laeu Morskie Oko, ubi aquae ex laeu decurrunt. 

Iisdem locis cum 5S. biseriata (Gut w. Fiz. XXI. 147). 

206. 5. ovalis Bréb. 

In fonte Lodowe vallis Koscieliska (Sch um. l. e. 51). 

var. ovata (Kuetz.), V. H. tab. LXXIII, fig. 5—7. 

Hab. loeis uvidis in valle Mala Laka (leg. prof. I. Król). 

var. minuta (Bréb.) V. H. 

Hab. in fonte Lodowe cum typo (Schum. l. e. 51). 

var. angusta (Kuetz.), V. H. tab. LXXIIL fig. 12. 

Hab. in Mala Laka cum var. antecedenti; in uvidis partim mu- 
seosis prope collem Koziniec; in fossis iuxta viam publieam inter 
Bystre et Jaszezurówka. 

In fonte Lodowe cum typo (Schum. Le 57). 

var. pinnata (W. Sm.) V. H. 


517 


Hab. in fonte Lodowe eum typo (Schum. l. c. 57). 

207. S. spiralis Kuetz. (Campylodiscus spiralis W. Sm.) De-Toni 
l. e. pag. 633. 

Hab. loeis uvidis museosis in valle Olezyska; inter museos ad 
ostium vallis Mala Laka (hic leg. prof. I. Krol). In fonte Lodowe 
vallis Kościeliska (Schum. Le 56). 


Gen. Campylodiscus Ehrnbg. 1840. 


208. C. hibernicus Ehrb., V. H. tab. LXVII, fig. A 

Diameter — 88—9 y. 

Hab. loeis uvidis museosis in valle Olezvska. 

209. C. noricus Ehrenb., V. H. tab. LXVII, fig. 4—6. 

Hab. eum antecedenti atque in pratis muscosis humidis ad ra- 
dicem montis Nosal in Bystre; locis uvidis muscosis declivitatis 
loci Toporowa Cyrhla. 

210. C. nanus Schum. 

Hab. in lacu Czarny staw 5-Polonicorum stagnorum; in valle 


Wielka (Schum. l. c. 56). 


Fam. Diatomaceae (Grun.) Kirehn. 1878. 
Gen. Diatoma DC 1805. 
211. D. vulgare Bory., V. H. tab. L, fig. 3—4. 


Hab. ad saxa granitica in rivo Czarny Dunajec in valle Ko- 
scieliska prope viam in Cracoviam Tatrensem; in valle Mala Laka 
(hie leg. prof. I. Kröl); in catarracta Siklawica in valle Strazy- 
ska; in rivo vallis Biale; in uvidis ad vias campestres in Bahle- 
déwka; in aquis ex thermis Jaszezuröwka decurrentibus (hie nu- 
merosissime!); in lacu Morskie Oko; in stagnis ad montem Mnich 
sub deflexioné iugi, quae Wrota Chalubinskiego dieitur; in uvidis 
muscosis declivitatis loci Toporowa Cyrhla. In magna catarracta 
rivi Kolbach. 

In laeu Czarny staw 5-Polonie. stagnorum (Sehu m. l. e. 55). 

var. breve Grun. 

Hab. in saxis submersis in rivo rapidissime fluenti in Kuźnice, 

var. productum. Grun. 

Hab. ad flexionem iugi, quae Tomanowska przeleez dicitur, 
inter Czerwony Wierch et Tomanowa Polska (G u t w. Fiz. XXII, 147). 

var. capitulatum Grun. 


518 


Hab. ad saxa in rivo Czarny Dunajec in valle Koseieliska et 
eum var. antecedenti in Kuznice. 

var. lineare Grun., V. H. tab. L, fig. 1—8. 

Hab. in rivo in valle Mala Laka (leg. prof. I. Krol); in Sikla- 
wica catarracta in valle Strazyska. 

var. Ehrenbergii (Kuetz.) Grun. 

Hab. in uvidis prope Kurtkowiee (Gute Fiz. XXII, 147). 

var. grande (W. Sm.) Grun. 

Hab. in lacu Czarny staw 5-Polonieorum stagnorum; in valle 
Wielka (Schum. l. e. 55). 

212. D. elongatum Ag. var. hybridum Grun., V. H. tab. L, fig. 10. 

Hab. ad saxa in rivo vallis Biale. 

In laeu Czarny staw 5-Polonieorum stagnorum; in valle Zimna 
Woda (Schum. Le 55). 

213. D. hiemale (Lyngb) Heib. V. H. tab. LI, fig. 1—2. 

Hab. in fonte Lodowe et in rivo Czarny Dunajee in valle Ko- 
scieliska; in vallibus: Mala Laka (hie leg. prof. I. Krol), Strazy- 
ska (in Siklawica et in rivo), Biale. Kuznice (in rivulo rapidissime 
fluenti); in fonte (,Wywierzysko*) ex quo rivus Olezyski potok 
nascitur, in valle Olezyska; in uvidis muscosis: prope Koziniee, in 
deelivitate loci Toporowa Cyrhla; inter saxa in aquis defluentibus 
supra lacum Kurtkowiee, in lacu Zielony, Dwoisty (Tab. nost. VIII, 
fig. 54) et Czarny staw Gasienicowy; in saxis irroratis luxta viam in 
ripa laeus Morskie Oko; in rivulis vallium: Bialej Wody et Waks- 
mundzka. 

In fonte Lodowe vallis Kościeliska; prope Szmeks loco 2:5 km 
remoto oceidentem versus; in vallibus: Biala Woda, Mieguszowie- 
cka, Swistowa, Wielka, Zimna Woda (Schum. Le 55). 

var. mesodon (Ehrbg.) Grun. | 

Hab. cum typo: in Kościeliska, Mala Laka, Strążyska, Białe 
Toporowa Cyrhla, Kurtkowiee, Czarny staw, Morskie Oko (ripa), 
Biala Woda et Waksmundzka. Praeterea invenitur: in lacubus: 
Sobköw, Dlugi et Dwoisty staw Gasienicowy; in catarracta inter 
lacum Zmarzly staw et Czarny staw Gasienicowy; in fonte „Lo- 
dowe^ iuxta viam in Zawrat; in valle 5-Polonieorum stagnorum: 
in lacubus Wielki et Przedni Staw (leg. prof. I. Król); in lacu 
Morskie Oko; in stagnis ad montem Mnich sub deflexione iugi 
Wrota Chalubinskiego dieta. In rivulis vallis Ciemnosmreezynska, 


—— _ = — 


519 


in rivo Koprowa prope locum Pod Bańska; in magna catarracta 
rivi Kolbach. 

In fonte Lodowe eum typo; in vallibus Wielka, Zimna Woda 
(Schum. Le 54). 

var. turgidulum (Ehrenb.) Grun. 

Hab. in montibus Tatrieis (Schum. l. e. 55). 

214. D. anceps (Ehrnbe.) Kirchn., V. H tab. LI. fig. 6. 

Hab. in vallibus Mala Laka et Strazyska; in fonte (, Wywie- 
rzysko“), ex quo rivus Olezyski potok nascitur, in valle Olezyska. 

Prope Szmeks; in valle Zimna Woda (Schum. Le 55). 


Gen. Odontidium Kuetz. 1844. 
215. O. mutabile W. Sm., V. H. tab. XLV, fig. 9—11 d. 


Hab. in uvidis prope Koziniec; ad saxa irrorata iuxta viam in 
ripa lacus Morskie Oko. In fonte Lodowe; prope Szmeks; in lacu 
Czarny staw 5-Polonicorum stagnorum; in vallibus: Swistowa et 
Zimna Woda (Schum. Le 55). In uvidis prope lacum Kurtko- 
wiee (Gutw. Fiz. XXII, 147). 

216. O. Harrisonü W. Sm.. V. H. tab. XLV, fig. 28. 


Hab. in uvidis prope Koziniee. 


Fam. Meridionaceae Kuetz. 1844. 
Gen. Meridion Ag. 1824. 

217. M. eirculare (Grev.) Ag., V. H. tab. LL fig. 12. 

Hab. in fonte Lodowe et in rivo Czarny Dunajec in valle Ko- 
scieliska; in rivo vallis, quae Mala Laka vocatur (hie leg. prof. I. 
Krol); in rivis vallum: Strążyska (hie etiam numerosissime in 
catarracta Siklawiea) Ku Dziurze, Biale; in uvidis prope Koziniec 


et in valle Olezyska; atque in fonte (,,Wywierzysko“), ex quo rivus 


2 
Olezyski potok nascitur; in lacu Dwoisty staw Gasienicowy; in 
aquis ex lacu Ozarny staw Gasienicowy defluentibus in valle infra 
lacum; in saxis graniticis in rivo rapide fluenti in valle Waks- 
mundzka. Inter muscos in saxis submersis in rivo Koprowy prope 
locum Pod Banska. 

In fonte Lodowe; in valle Biała Woda et Zimna Woda. 
(Schum. ]. e. 54). 

218. M. constrietum Ralfs. De-Toni Sylloge pag 643. 

Hab in uvidis muscosis graminosis aquis defluentibus irroratis 
prope collem Koziniec; ad saxa submersa ad sinistram viae ex loco 


520 


Hala Gasienieowa prope laeum Czarny staw Gasienicowy et in aquis 
ex eodem lacu defluentibus in valle infra lacum; in fonte „Lodowe“ 
iuxta viam in Zawrat; in lacu Morskie Oko; in rivulis, qui rivo 
Poduplazki affluunt, in valle Bialej Wody. 

Prope Szmeks; in lacu Czarny staw 5-Polonicorum stagnorum; 
in valle Wielka (Schum. Le 54); in uvidis ad lacum Kurtkowiec 


(Gutw. Fiz. XXII. 147). 


Fam. Fragilariaceae Kuetz. 1844. 
Gen. Synedra Ehrenb. 1830. 


219. S. pulchella (Ralfs) Kuetz. 

Hab. in fonte Lodowe; in valle Biała Woda (Schum. |. e. 56). 

220. S. Vaucheriae Kuetz. V. H. tab. XL. fig. 19. 

Hab. in aquis ex thermis Jaszezuröwka decurrentibus. 

221. S. Ulna (Nitzsch) Ehrnbg., V. H. tab. XX XVIII. fig. 7. 

Hab. in pratis humidis in Kasprusie (Zakopane); locis uvidis 
prope Koziniec; in vallibus Strazyska et Biale in rivis; in aquis ex 
thermis Jaszezuröwka decurrentibus; in uvidis muscosis declivitatis 
loci Toporowa Gyrhla; in Mala Laka (hie leg. prof. I. Krol). 

In uvidis prope lacum Kurtkowiee (Gutw. Fiz. XXII. 148). 

var. splendens (Kuetz.) Brun. 

Hab. in fonte Lodowe (Schum.l. c. 55). 

var. subaequalis (Grun.) V. H. tab. XXXVIIL fig. 13. 

Hab. in uvidis in valle Mala Laka (leg. prof. I. Krol). 

var. amphirhynchus (Ehrnbg.) Grun. V. H. ibid. fig. 5. 

Cum var. antecedenti. Inter montem Czerwony Wierch er To- 
manowa polska (Gutw. Fiz. XXII. 148). 

var. danica (Kuetz.) V. H. ibid. fig. 14. a. 

Hab. in uvidis muscosis prope Koziniec, in valle Olezyska et 
in declivitate loci Toporowa Cyrhla. 

var. oxyrhynchus (Kuetz.) V. H. 

Hab. in fonte Lodowe (Schum. l. e. 56). 

222. S. Acus Kuetz. Grun. Öster. 1862. tab. V. (8) fig. 22. 

Hab. in rivo ad saxum Jelinekii in valle Strazyska; in lacu 
Czarny staw Gasienicowy, ubi aquae ex lacu decurrunt (abun- 
danter !). 

Ad saxa iuxta catarractam Siklawa (G utw. Fiz. XXII. 148). 

var. delicatissima (W. Sm.) Grun. V. H. tab. XXXIX. fig. 7. 


521 


Hab. in fossis iuxta viam publicam inter Bystre et Jaszezu- 
röwka; in pratis muscosis humidis ad montem Nosal in Bystre. 

223. S. radians Kuetz. V. H. tab. XXXIX. fig. 11. 

Hab. in lacu Morskie Oko. 4. VIII. 1899 et 9. VIII. 1900. 

In fonte Lodowe vallis Koseieliska; in valle Zimna Woda 
(Schum. L e. 56). 

224. S. amphicephala Kuetz. V. H. tab. XXXIX. fig. 14. 

Hab. in pratis muscosis in Kasprusie (Zakopane); in rivo vallis 


Biale. 


Gen. Asterionella Hass 1855. 


225. A. formosa Hass. V. H. tab. LI. fig. 19.—20. 

Hab. in lacu Czarny staw supra lacum Morskie Oko sito. 
var. subtilis Grun. V. H. ibid. fig. 21. 

Hab. in lacu Morskie Oko. 


Gen. Fragilaria Lyngb. 1819. 

226. F. virescens Ralfs. V. H. tab. XLIV. fig. 1. 

Hab. inter saxa in aquis defluentibus supra lacum Kurtkowiec; 
in fonte „Lodowe“ ad viam in Zawrat; in rivulis rivo Poduplazki 
affluentibus in valle Bialej Wody; in uvidis declivitatis loci Topo- 
rowa Cyrhla. In rivulis vallis Ciemnosmreczyñska dictae et in rivo 
Koprowy prope locum Pod Banska. 

Prope Szmeks u. s; in vallibus: Biala Woda, Mieguszowiecka, 
Quingue Polonicorum lacuum (Czarny staw), Swistowa, Wielka, 
Zimna Woda (Schum. Le 55). In uvidis ad Kurtkowiee (Gutw. 
Fiz. XXII. 148). 

227. F. elliptica Schum. 

Hab. Prope Szmeks u. s. (Schum. Le 55). 

228. F. capucina Desmaz. V. H. tab. XLV. fig. 2. 

Hab. in Siklawica catarracta in valle Strazyska; in rivulo vallis 
Biale; in aquis ex thermis Jaszezurówka defluentibus. 

Prope Szmeks u. s; in vallibus: Biala Woda, Mieguszowiecka, 
9-Polonieorum stagnorum (Czarny- et Wielki staw), Swistowa, 
Wielka, Zimna Woda (Schum. l. e. 56). 

var. mesolepta Rabenh. 

Hab. ad ripas lacus Toporowy staw (Gutw. Fiz. XXIL 148). 

229. F. construens (Ehrnb.) Grun. De Toni l.c. pag. 688 et 689. 


Hab. in uvidis in valle Mala Laka (leg. prof. I. Kröl) et in 
declivitate loci Toporowa Cyrhla. 

var. pusilla Grun. 

Hab. ad ripas lacus Toporowy staw (Gutw. Fiz. XXII. 148). 

var. binodis (Ehrnbg.) Grun. V. H. tab. XLV. fig. 25. 

Hab. in fonte „Lodowe“ ad viam in Zawrat; in lacubus Przedni 
et Maly staw 5-Polonieorum stagnorum (hie leg. Prof. I. Krol); 
in vaile Olezyska (hie specimina cum fig. 30. tab. XLV. V. Heur- 
ekii congrua, 22 u longa. 72 u lata, stris 17 in 10 x observavi) 
Ad ripas laeus Toporowy staw (Gutw. Fiz. XXII. 148). 

var. Venter Grun. V. H. ibidem fig. 21. a, b., 22. et 24. b. — 
Fr. Venter (Ehrb) Pantoes. Balaton pag. 78. 

Hab. loeis uvidis prope Koziniee, prope Capówka, nec non in 


valle Olezyska (Tab. nost. VIII. fig. 55). 


Fam. Striatellaceae (Kuetz) Heib. 1863. 
Gen. Diatomella Grev. 1855. 


230. D. Balfouriana Grev. De-Toni l. e. pag. 742. 
Hab. ad saxa aquis defluentibus irrorata iuxta viam im ripa la- 
eus Morskie Oko sita. 


Gen. Tabellaria Ehrnbg. 18539. 

231. T. fenestrata (Lyngb.) Kuetz. V. H. tab. LO. fig. 6, 8. 

Hab. in lacu Zielony staw Gasienicowy; in lacu Morskie Oko 
in saxis graniticis, ubi aquae ex lacu decurrunt; in lacu Toporowy 
staw; in uvidis muscosis declivitatis loci Toporowa Cyrhla et ad 
viam Clotildae inter Westerowo et Hagi Wyzne. 

In valle Mieguszowiecka (Schum. l. e. 56). 

232. T. flocculosa (Roth) Kuetz. V. H. tab. LII. fig. 10—12. 

Hab. in lacu Smreczynski staw in valle Kościeliska; in pratis 
ad Kasprusie; ad saxa submersa ad sinistram viae ex loco Hala 
Gąsienicowa prope lacum Czarny staw Gasienieowy ; in hoe lacu 
atque in lacubus: Sobków-, Zielony-, Dwoisty- et Długi staw Ga- 
sienicowy; inter saxa in aquis defluentibus supra laeum Kurtkowiee 
et inter lacum Sobków- et Zielony staw; in catarracta inter lacum 
Zmarzly et Czarny staw (hie leg. prof. I. Król); in fonte „Lodowe* 
ad viam in Zawrat; in valle 5-Polonieorum laeuum: in serobieulis 
turfosis ad radices montis Kozi Wierch; in aquis defluentibus supra 


523 


Czarny- et Zadni staw; in lacu Wielki staw (hie leg. prof. I. Kröl); 
in saxis irroratis iuxta viam in Roztoka supra catarractam Siklawa; 
in lacu Morskie Oko, Czarny staw atque in aquis defluentibus ad 
saxa luxta viam in ripa lacus Morskie Oko; in lacu Toporowy 
staw; in turfosis silvae inter valles Panszezyca et Sucha Woda; 
in uvidis prope locum Capówka; in rivulis in valle Ciemnosmre- 
ezynska; in uvidis ad viam Clotildae inter Westerowo et Hagi 
Wyzne; in lacu Szezyrbskie. 

In vallibus: Biala Woda, Mieguszowiecka, 5-Polonieorum lacuum 
(Czarny staw) Zimna Woda (Schum |. c. 56). 

var. amphicephala (Ehrb.) Grun. 

Hab. in uvidis ad lacum Kurtkowiee (Gut w. Fiz. XXII. 148). 

var. ventricosa (Kuetz.) Grun. 

Hab. in lacu Smreezyüski staw in valle Koscieliska; ad saxa 
catarractae Siklawa; ad Kurtkowiee cum var. praecedenti; in ripis 
lacus Toporowy staw. 


Gen. Tetracyclus Ralfs 1843. 


233. T. rupestris (A. Br.) Grun. V. H. tab. LII. fig. 13—14. 

Hab. in uvidis ad ripam rivi in valle Mala Laka (leg. prof. 
I. Krol); in valle Białe; ad catarractam Siklawica in valle Strazy- 
ska; in lacu Czarny staw. Gasienieowy, ubi aquae ex lacu decurrunt; 
in lacu Morskie Oko et ad saxa aquis defluentibus irrorata iuxta 
viam in ripa eiusdem lacus; inter museos ad saxa in rivo Ko- 
prowy prope locum Pod Banska. 

In valle Mięguszowiecka (Schum. Le 56). Ad saxa iuxta catar- 
ractam Siklawa (Gutw. Fiz. XXII. 148). 

234. T. lacustris Ralfs, De-Toni Sylloge pag. 747. 

Hab. in lacu Dwoisty staw Gasienicowy. 


Fam. Eunotiaceae Kuetz 1844. 
Gen. Cystopleura Bréb. 1849. 
235. C. turgida (Ehrenb.) Kunze. 


var. genuina Grun 

Hab. in fonte Lodowe u. s. (Schum. L c. 51). 

var. zebrina (Ehrenb.) Rabh. 

. Hab. prope Szmeks us: in valle Zimna Woda (Schum. Le 51), 


524 


236. C. gibba (Ehrnbg.) Kunze (Rhopalodia gibba O. Müller, 
1895 pag. 65. Tab. I. fig. 15 - 17). 

Hab. in pratis humidis museosis ad radices montis Nosal in 
Bystre. 

In uvidis ad lacum Kurtkowiee (Gutw. Fiz. XXII. 149). 

var. parallela Grun. V. H. tab. XXXII. fig. 3. (Rhopalodia pa- 
rallela O. Müller ]. e. pag. 64. Tab. I. fig. 13, 14). 

Hab. in uvidis museosis vallis Olezyska. 

var. ventricosa (Ehrbg.) Grun. V. H. tab. XX XII. fig. 4, 5. (Rhopa- 
lodia ventricosa O. Müller l. c. pag. 65. tab. I. fig. 20—-21). 

Hab. in pratis humidis in Kasprusie (Zakopane). In ripis lacus 
Toporowy staw (Gutw. Fiz. XXII. 149). 

231. C. Argus (Ehrnbg. Kunze, V. H. tab. XXXI. fig. 15. 

Hab. inter museos ad ostium vallis Mala Haka (leg. prof. 
I. Król); in rivo vallium Białe et Ku Dziurze; in pratis humidis 
muscosis ad radices montis Nosal in Bystre; in lacu Przedni staw 
5-Polonicorum stagnorum (hie leg. prof. I. Kröl); in laeu Morskie 
Oko; inter muscos ad saxa in rivo Koprowy prope locum, qui 
Pod Banska dieitur. In „mont. Tatricis* Kalehbrenner l. s. c. 

var. alpestris (W. Sm.) Grun. (var. amphicephala Grun. V. H. 
tab: XXXI!" fis: 9) 

Hab. in pratis humidis ad radiees montis Nosal in Bystre. 

In valle Mięguszowiecka (Schum. Le 51). Ad ripas lacus To- 
porowy staw (Gutw. Fiz. XXII. 149). 

var. longicornis (Ehrnbg.?) Grun. De-Toni l. e. pag. 183. 

Long: = "TIO pn, lat. ==" 13" p; lat. later! secund = Tr 

Hab. eum var. praecedenti. 

238. C. Zebra (Ehrnbg. Kunze V. H. tab. XXXI. fig. 7. 

Hab. ad Nosal eum praecedentibus et in rivo vallis Biale. 

var. saxonica (Kuetz.) Grun. 

Hab. in fonte Lodowe (Schum. l. e. 51); ad ripas lacus Topo- 
rowy staw (Gutw. Fiz. XXII. 149). 


Gen. Eunotia Ehrnbg. 1837. 
239. E. Arcus Ehrnbg. V. H. tab. XXXIV. fig. 2. 


Hab. ın lacu Smreezynski staw in valle Koseieliska; in rivo 
vallis Mala Laka (hic leg. prof. I. Kröl); in valle Biale; in uvidis 
in valle Olezyska; in lacubus: Dwoisty staw et Dlugi (Kuklaty) 


525 


staw Gasienicowy; in aquis ex nivibus prope Zawrat defluentibus; 
in lacu Toporowy staw. 

Prope Szmeks; in vallibus Mieguszowiecka, 5-Polonieorum sta- 
gnorum (Czarny staw), Wielka, Zimna Woda (Schum. Le 54). 

In lacubus: Smreezynski- et Toporowy staw; in uvidis ad la- 
cum Kurtkowiee (Gutw. Fiz. XXI. 149). 

var. minor Grun. V. H. ibid. fig. 3. 

Hab. in lacu Czarny staw Gasienicowy; inter saxa aquis deflu- 
entibus irrorata supra lacum Czarny staw 5-Polonicorum lacuum ; 
in uvidis muscosis declivitatis loci Toporowa Cyrhla. 

var. hybrida Grun. V. H. ibid. fig. 4. 

Hab. ad eatarraetam Siklawica in valle Strążyska; in rivo val- 
lis „Ku Dziurze“; in lacubus: Długi (Kuklaty) et Czarny staw 
Gasienicowy; in aquis defluentibus inter saxa supra lacum Kurt- 
kowiee; in catarracta inter lacum Zmarzły et Czarny staw; ad sa- 
xum aquis defluentibus irroratum iuxta viam in Roztoka ducentem 
supra catarractam Siklawa. 

var. tenella Grun. V. H. ibid tie. 5—6. 

Hab. in aquis defluentikus inter lacum Sobköw et Zielony staw 
in lacu Czarny staw Gasienicowy; in turfosis silvae inter valles 
Panszezyca et Sucha Woda; in uvidis museosis ad viam Clotildae 
inter Westerowo et Hagi Wyzne. 

var. bidens Grun. V. H. ibid. fig. 7, F. W. Mills and Philipp, 
The Diat. of Hull Distr. tab. XV. fig. 12. 

Hab. in rivulo vallis Biale et in uvidis muscosis in valle Ol- 
ezyska. Ad saxa iuxta catarraetam Siklawa (Gutw. Fiz. XXIL 149). 

form. curta Grun. Oster. tab. III (6) fig. 16. a—e. 

Hab. in uvidis museosis vallis Olezyska; in laeubus Zielony et 
Czarny staw Gasienicowy; in lacu Mały staw 5-Polonicorum la- 
cuum (hie leg. prof. I. Król). 

var. trigranulata (Schum.) Gutw. 

Hab. prope Szmeks loco 2:5 km occasum versus distanti; in 
lacu Czarny staw 5-Polonicorum lacuum (Schum |. e. 52). 

240. E. maior (W. Sm.) Rabenh. 

Hab. in vallibus: Mięguszowiecka, Swistowa (Schum. l. e. 53); 
ad saxa iuxta Siklawa (Gute. Fiz. XXII 149). 

var. bidens Sm. 

Hab. prope Szmeks; in vallibus: Mieguszowiecka, 5-Polonicorum 


5 26 
lacuum (Czarny staw), Swistowa, Wielka, Zimna Woda (Schum. 
lie. 54). 

241. E. gracilis (Ehrnbg.) Rabenh. V. H. tab. XXXIII. fig. 1—2. 

Hab. ad saxa submersa ad sinistram viae ex loeo Hala Gasie- 
nicowa prope laeum Czarny staw; in lacubus: Sobków-. Dwoisty- 
et Ozarny staw Gasienieowy; inter saxa in aquis defluentibus supra 
lacum Kurtkowiec; in lacubus: Przedni-, Wielki- et Maly staw 
5-Polonieorum stagnorum (leg. prof. I. Kröl); ad viam supra ca- 
tarractam Siklawa; in laeu Morskie Oko, ubi aqua defluit; in sa- 
xis aquis leniter defluentibus irroratis iuxta viam in ripa lacus 
Morskie Oko (hie specimina eum fig. 200—201. tab. VIII in Pan- 
toesek, Bac. d. Balaton congrua); in lacu Czarny staw, qui superius 
situs est; in parvis rivulis rivo Poduplazki affluentibus in valle Bialej 
Wody; in lacu Toporowy staw; in turfosis in silva inter valles 
Panszezyca et Sucha Woda; in rivis in valle Ciemnosmreezynska. 

In laeu Czarny staw 5-Polonicorum stagnorum; in valle Zimna 
Woda (Schum. l. e. 53). 

249. E. exigua (Bréb.) Rabnh.. Grun. Oster. tab. (6) III f. 15. 

Hab. ad saxa submersa ad sinistram viae ex Hala Gasienicowa 
prope lacum Czarny staw; in ipso lacu et in lacubus: Sobków- et 
Zielony staw Gasienicowy nee non in aquis defluentibus inter hos 
lacus; in fonte „Lodowe“ ad viam in Zawrat; in valle 5-Polonico- 
rum stagnorum: Przedni- et Wielki staw (hie leg. prof. I. Król, 
scrobieula et uvida supra laeum Zadni staw et ad radices montis 
Kozi Wierch; in saxis aqua leniter defluenti irroratis iuxta viam 
in locum Roztoka supra catarractam Siklawa ducentem ; in lacu 
Ozarny staw supra Morskie Oko; in turfosis in silva inter valles 
Panszezyca et Sucha Woda; in laeu Toporowy staw. In rivulis in 
valle Ciemnosmreczynska. 

Prope Szmeks; in vallibus: Mieguszowiecka, 5-Polonicorum la- 
cuum (Czarny staw), Swistowa, Wielka, Zimna Woda (Schum. 
l. e. 52). In catarracta Siklawa (Gutw. Fiz. XXII. 149). 

243. E. Nymmaniana Grun. V. H. tab. XXXIV. fig. 8. 

Hab. in lacu Smreezyüski staw in valle Koscieliska: in rivo 
vallis, quae Ku Dziurze vocatur; inter saxa in aquis leniter deflu- 
entibus inter lacum Sobków staw et Zielony Gasienicowy atque 
supra lacum Kurtkowiee; in lacu Czarny staw supra Morskie Oko; 
in turfosis in silva inter valles: Panszezyca et Sucha Woda; in 
lacu Szezyrbskie. 


wë 


| 


527 


244. E. pectinalis (Dillw.?) Rabenh. De-Toni l. e. pag. 793. (E. 
pectinalis var. minor (Kuetz.) Rbh. et var. stricta Rabnh.) V. H. 
tab. XVXII fig. 15.—16., 18., 20.—21. 

Hab. in lacu Smreezynski staw in valle Koscieliska; in uvidis 
muscosis: in valle Olezyska, in declivitate Toporowa Cyrhla et 
prope Capówka; in laeubus: Sobków-, Dwoisty-. Dlugi- et Czarny 
staw Gasienicowy; inter saxa in aquis leniter defluentibus supra 
lacum Kurtkowiee et inter lacus Sobków et Zielony staw Gasie- 
nicowy; in catarraeta inter lacum Zmarzły staw et Czarny staw 
(hie leg. prof. I. Król); in valle 5-Polonieorum stagnorum: in 
scrobiculis turfosis ad radices montis Kozi Wierch, in lacu Wielki 
staw (hie leg. prof. I. Król); in laeu Morskie Oko; ad saxa iuxta 
viam in ripa eiusdem laeus; in lacu superius sito Czarny staw; in 
laeu Toporowy staw. In rivulis in valle Ciemnosmreezynska, in 
rivo Koprowy prope locum Pod Banska; in magna catarracta 
rivi Kolbach. 

Prope Szmeks; in vallibus: Mieguszowiecka, 5-Polonieorum la- 
euum (Czarny- et Wielki staw), Swistowa. Zimna Woda (Schum. 
1303855): 

In uvidis prope Kurtkowiee, in catarraeta Siklawa (Gutw. 
Fiz. XXII. 149). 

for. biundulata Grun. 

Hab. in uvidis prope Kurtkowiec; in catarracta Siklawa (Gutw. 
l. e. 149). 

for. 4-unduiata Grun. 

Hab. eum forma praecedenti (Gutw. l. c. 149). 

245. E. Soleirolii (Kuetz.) Rabenh. 

Hab. in laeubus: Smreezyüski et Toporowy staw (Gutw. Fiz. 
XXII. 149). 

246. E. Smithii Gute. Prodromus pag. 424 (151) adnotatio 1. 
(E. gracilis W. Sm.). 

Hab. prope Szmeks; in vallibus: [Biala Woda, Mieguszowiecka, 
5-Polonicorum stagnorum (Czarny et Wielki staw), Wielka, Zimna 
Woda (Schum. l. e. 53). 

247. E. Veneris Kuetz., Grun. Österr. tab. III. (6) fig. 17. 

Hab. inter saxa in aquis leniter defluentibus supra lacum Kur- 
tkowiec; in uvidis prope Capówka. | 

248. E incisa Greg. var. obtusiuscula Grun. V.H. tab. XXXIV. 
fig. 35. B. i 


Bulletin III. Avril. 8 


528 


Long. =! 18 m lat. =’7 u, apex — Lu striae’ ca 22 in 10 yr 

Hab. in lacu Zielony staw Gasienicowy ; inter saxa in aquis 
leniter defluentibus supra lacum Kurtkowiec; in serobieulis turfosis 
ad radices montis Kozi Wierch in valle 5-Polonicorum stagnorum; 
in lacu Toporowy staw; in uvidis ad viam Clotildae inter Weste- 
rowo et Hagi Wyzne. 

249. E. praerupta Ebrnbg. V. H. pag. 143. tab. XXXIV fig. 19. 

Hab. in lacu Czarny staw Gasienicowy; in lacu Przedni et 
Maly staw 5-Polonicorum stagnorum (hie leg. prof. I. Król). 

var. laticeps Grun. for. curta O. Müller, Riesengeb. tab. III. 
fig. 30. 

Hab. in aquis ex nivibus prope deflexionem jugi, quae Zawrat 
voeatur, defluentibus; in lacubus Przedni- et Maly staw 5-Poloni- 
eorum stagnorum (hie leg. prof. I. Król). 

var. curta Grun. V. H. tab. XXXIV fig. 24. 

Hab. inter saxa in aquis leniter defluentibus supra lacum Kur- 
tkowiee; in fonte „Lodowe“ ad viam in Zawrat; in lacu Czarny 
staw supra Morskie Oko; in catarracta Siklawica in valle Stra- 
zyska. 

var. inflata Grun. V. H. tab. XXXIV. fig. 17. et 23. 

Hab. in lacubus Sobköw-. Długi (Kuklaty) staw Gasienicowy ; 
Przedni staw 5-Polonicorum stagnorum (hic leg. prof. I. Król); 
Toporowy staw. 

var. bidens Grun. V. H. tab. XXXIV. fig. 20. 

Hab. in Antolöwka; in lacubus: Toporowy staw atque in Prze- 
dni staw 5-Polonicorum lacuum ; in rivulis in valle Ciemnosmre- 
czynska 

form. compacta V. H. ibid. fig. 21. 

Hab. in aquis defluentibus supra lacum Kurtkowiec; in lacu 
Sobköw staw Gasienicowy; in rivo in valle Waksmundzka. 

form. minor V. H. ibid. fig. 22. 

Hab. ad saxa submersa ad sinistram viae ex loco Hala Gasie- 
nicowa prope lacum Czarny staw; in lacu Długi (Kuklaty) staw 
Gasienicowy ; in Przedni staw 5-Polonicorum stagnorum (hie leg. 
prof. IL Krol). 

var. bigibba Kütz. V. H. ibid. fig. 26. 

In eatarracta inter lacum Zmarzły staw et Czarny staw Gasie- 
nicowy; in lacu Czarny staw supra Morskie Oko. 


for. pumila V. H. ibid. fig. 27. 





529 


Hab. in lacu Czarny staw Gasienicowy ; in catarraeta inter 
Zmarzły staw et Czarny staw cum var. praecedenti; ad saxa irro- 
rata supra eatarraetam Siklawa iuxta viam in vallem Roztoka; in 
lacu Przedni staw 5-Polonieorum stagnorum; in rivo vallis Waks- 
mundzka. 

250. E. paludosa Grun. Österr. tab. (6) III fig. 10, Schum. Ta- 
tra tab. I fig. 7. V. H. tab. XXXIV fig. 9. 

Hab. in lacu Smreezyüski staw in valle Kościeliska; inter saxa 
supra lacum Kurtkowiec et in lacu Czarny staw Gasienieowy ; in 
fonte „Lodowe“ ad viam in Zawrat; in aquis ex nivibus prope Za- 
wrat defluentibus; in lacu Maly staw 5-Polonieorum stagnorum 
(hie leg. prof. I. Kröl.). 

Prope Szmeks; in vallibus: Mieguszowiecka, 5-Polonicorum sta- 
gnorum (Czarny- et Wielki staw), Swistowa, Zimna Woda (Schum. 
bee Da: 

251. E. alpina Kuetz. 

Hab. in valle Swistowa (Schum. Le 51). 

252. E. Diodon Ehrnbg. V. H. tab. XXXIII fig. 5, Grun. 
Österr. tab. III (6) fig. 11. 

Hab. inter saxa ad lacum Kurtkowiec; in fonte „Lodowe“ ad 
viam in Zawrat; in lacubus Przedni- et Wielki staw 5-Polonicorum 
stagnorum (ubi leg. prof. I. Krol). 

var. diminuta Grun. V. H. tab. XXXIIL fig. 7. 

Hab. in lacu Czarny staw Gasienicowy ad ostium. 

In vallibus: Mieguszowiecka, 5-Polonicorum stagnorum (Czarny 
staw), Wielka, Zimna Woda (Schum. |. e. 51). In eatarraeta Si- 
klawa; in uvidis prope Kurtkowiee (Gutw. L e. 150). 

253. E. Camelus Ehrenb. Schum. Tatra tab. I fig. 2. 

Hab. in fonte „Lodowe“ ad viam in Zawrat; in lacu Przedni 
staw 5-Polonicorum stagnorum (hie leg. prof. I. Kröl). 

In vallibus Swistowa, Wielka, Zimna Woda (Schum. l. e. 52). 

var. denticulata (Bréb.) Grun. (E. quaternaria Ehrb.). 

Hab. in lacu Czarny staw 5-Polonicorum stagnorum (Schum. 
Brey 32. 

254. E. bidentula W. Sm., Schum. Tatra tab. I. fig. 1. 

Hab. inter saxa in aquis leniter defluentibus inter lacum Sob- 
köw- et: Zielony staw Gasienicowy. 

Prope Szmeks; in lacu Czarny staw 5-Polonicorum stagnorum; 


H 


530 


in vallibus Swistowa, Wielka, Zimna Woda (Schum. Le 51). In 
eatarraeta Siklawa (Gutw. Fiz. XXII. 150). 

255. E. impressa Ehrenb. var. angusta V. H. tab. XXXIII. 
fig. 22. 

Hab. in saxis aquis leniter defluentibus irroratis ad viam in 
ripa laeus Morskie Oko. 

256. E. tridentula Ehrenbg.. Schum. Tatra tab. I fig. 3., V. H. 
tab. XXXIV. fig. 30. 

Hab. in uvidis muscosis in declivitate loci Toporowa Cyrhla et 
prope Capówka; in parvis rivulis rivo Poduplazki affluentibus in 
valle Białej Wody (hie abundanter!) in rivulis in valle Ciemno- 
smreczynska; in uvidis muscosis ad viam Clotildae inter Westerowo 
et Hagi Wyzne. 

Prope Szmeks; in valle Mieguszowiecka; in lacu Czarny staw 
5-Polonieorum stagnorum (Schum. |. c. 52). In uvidis prope lacum 
Kurtkowiee (Gutw. Fiz. XXII. 150). 

257. E. robusta Ralfs, De-Toni Sylloge pag. 802. 

Hab. in saxis submersis in aquis leniter defluentibus ad sini- 
stram viae ex „Hala Gąsienicowa“ prope lacum Czarny staw; in 
lacu Przedni staw 5-Polonicorum stagnorum. 

var. Papilio Grun. V. H. tab. XXXIII. fig. 8. 

Hab. in eatarraeta inter lacum Zmarzły staw et Czarny staw 
Gasienicowy (hic leg. prof. I. Król); in fonte „Lodowe“ ad viam 
in Zawrat; in stagnis ad radices montis Mnich sub deflexione iugi, 
quae Wrota Chalubinskiego dieitur. 

var. tetraodon (Ehrnb.) Ralfs V. H. ibid. fig. 11. 

Hab. in lacu Morkie Oko; in lacu Toporowy staw; in uvidis 
muscosis deelivitatis loci Toporowa Cyrhla et prope loeum Capówka. 

In uvidis prope lacum Kurtkowiec leg. M. Raciborski. Gute. 
Fiz. XXII. 150). 


Gen. Pseudo-Eunotia Grun. 1865. 

258. P. lunaris (Ehrnbg.) Grun. V. H. tab. XXXV fig. 3. 6. 

Hab. in lacu Smreezynski staw in valle Koscieliska; in pratis 
humidis in Kasprusie (Zakopane); in uvidis prope Koziniee; in aquis 
leniter defluentibus supra lacum Kurtkowiee; in lacu Maly staw 
5-Polonicorum stagnorum (leg. prof. I. Król); ad saxa aquis de- 
fluentibus irrorata iuxta viam in ripa laeus Morskie Oko; in tur- 
fosis in silva inter valles Panszezyca et Sucha Woda; in laeu 





531 


Toporowy staw; in uvidis muscosis declivitatis loci Toporowa Cyrhla, 
prope locum Capówka et ad viam Clotildae inter Westerowo et 
Hagi Wyzne. 

In fonte Lodowe; prope Szmeks; in vallibus: Mieguszowiecka, 
Swistowa, Wielka, Zimna Woda (Schum. l. e. 65). 

In lacu Smreezynski staw in valle Koscieliska; in ripis lacus 
Toporowy staw; in uvidis ad lacum Kurtkowiee (Gutw. Fiz. 
XXII. 148). 

var. bilunaris (Ehrb.) Grun. 

Hab. in uvidis ad lacum Kurtkowiee (Gutw. Fiz. XXII. 148). 

259. P. alpina (Naeg.) Grun. V. H. tab. XXXV. fig. 5. 

Hab. in lacu Dwoisty staw Gasienicowy et in uvidis ad viam 
Clotildae cum praecedenti. 

In vallibus: Mieguszowiecka et Zimna Woda (Schum. l. e. 66). 

260. P. depressa Schum. 

Hab. prope Szmeks; in valle Zimna Woda (Schum. 1l. e. 66). 

261. P. pachycephala (Kuetz.) Grun. (E. flexuosa var. pachyce- 
phala Grun. V. H. tab. XXXV. fie. 7). 

Hab. in lacubus: Toporowy staw et Morskie Oko. 

262. P. subarcuata (Naeg.) Grun. Ins. Bank. V. H. tab. XXXV. 
fig. 2. 

Hab. in eatarraeta inter lacum Zmarzły staw et Czarny staw 


Gasienicowy (leg. prof. I. Król). 


Gen. Ceratoneis Ehrenbg. 1840. 


263. C. Arcus (Ehrnbg.) Kuetz. 

Hab. in saxis graniticis in rivo Czarny Dunajec prope ,Craco- 
viam Tatrensem“ in valle Koscieliska; in rivo et uvidis vallis Mala 
Laka (hie leg. prof. I. Król); in rivis vallium: Strążyska, Białe, 
Kuznice, Olezyska et in uvidis vallis Olezyska atque in fonte 
„Wywierzysko“, ex quo rivus Olezyski potok nascitur; in lacubus: 
Czarny staw Gasienicowy et Dwoisty staw, Morskie Oko, Czarny 
staw supra Morskie Oko; in saxis aqua defluenti irroratis iuxta 
viam in ripa lacus Morskie Oko; in stagnis ad radices montis 
Mnich prope Wrota Chałubińskiego. In rivo Koprowy prope locum 
Pod Banska; in magna catarracta rivi Kolbach. 

Prope Szmeks; in vallibus: Biała Woda, Mięguszowiecka et Zim- 
na Woda (Schum. I. e. 65). Ad saxa iuxta catarractam Siklawa 
(Gutw. Fiz. XXII. 150). 


532 


forma curta Holmboe Diat. fr. Indsjver i det sydlige Norg. fig. 10. 

Hab. cum typo in Mala Laka, Kuźnice et Białe. 

var. amphioxys (Rabenh.) De-Toni l. e. pag. 814. 

Hab. in magna catarracta rivi Kolbach. In valle Biala Woda 
(Schum. Le 65). 


Ordo Cryptorhaphideae H. L. Sm. 1872. 
Fam. Xanthiopyxidaceae P. Petit 1889. 
Gen. Stephanodiscus Ehrnbg. 1845. 
264. S. Astraea (Ehrnb.) Grun. V. H. tab. XCV. fig. 5. (Cyclo- 
tella Astraea Kuetz). 
Hab. in lacu Maly staw 5-Polonicorum stagnorum (leg. prof. 
I. Krol). Ad muscos in eatarracta vallis Wielka; in valle Zimna 
Woda (Schum. l. e. 80). 


Fam. Melosiraceae Kuetz. 1844. 
Gen. Melosira Ag. 1824. 


265. M. varians Ag. 

Hab. prope Szmeks; in valle Wielka et Zimna Woda (Schum. 
l. e. 81); in lacu Smreezynski staw vallis Koseieliska (Gutw. Fiz. 
XXII 150) 

266. M. distans Kuetz. V. H. tab. LXXXIV. fig. 21—23. 

Hab. in laeubus: Sobków- et Czarny staw Gasienicowy, Topo- 
rowy staw; loeis uvidis prope Capówka. 

Prope Szmeks; in vallibus: Biala Woda, Mieguszowiecka, Quin- 
que Polonieorum stagnorum (Czarny staw), Zimna Woda (Schum. 
ker 

var. nivalis (W. Sm.) Brun. V. H. tab. LXXXVI fig. 25—27. 

Hab. in catarracta inter lacum Zmarzly- et Czarny staw Ga- 
sienicowy (leg. prof. I. Kröl), in lacubus: Sobkéw Gasienicowy, 
Wielki staw 5-Polonieorum stagnorum (hie leg. prof. I. Król). 

In Lodowe fonte; in valle Zimna Woda (Schum. l. c. 81). 

var. scalaris Grun. V. H. tab. LXXXVI. fig. 30. B. B. 

Hab. in lacu Sobków staw Gasienieowy. 

var. alpigena Grun. V. H. tab. LXXXVI. fig. 28—30. A. 

Hab. in laeu Morskie Oko; in uvidis silvae prope Capówka. 

267. M. crenulata (Ehrb.) Kuetz. V. H. tab. LXXXVIII f. 4—5. 


pnm 


MM e 


533 


Hab. in lacu Czarny staw Gasienicowy; in Morskie Oko; in 
fonte „Lodowe“ ad viam in Zawrat; in rivo vallıs Waksmundzka. 

var. valida Grun. in V. H. tab. LXXXVIII, fig. 8. 

Hab. cum typo in lacu Czarny staw Gasienicowy. 

268. M. granulata (Ehrnbg.) Ralfs, V. H. tab. LXXXVII, fig. 7, 8. 

Hab. in fonte „Lodowe“ ad viam in Zawrat. 

In lacu Czarny staw 5-Polonicorum stagnorum (Schum. I. c. 81). 

269. M. orichalcea Kuetz. 

Hab. prope Szmeks; in laeu Czarny staw 5-Polonie. stagnorum; 
in vallibus: Wielka et Zimna Woda (Schum. l. c. 81). 

var. crenulata (Kuetz.) Kirch. 

Hab. in Siklawa (Gutw. Fiz. XXIL 150). 

270..M. Roeseana Rabenh. V.:H. tab. LXXXIX, fig. 2—3; A. 
Sehmidt, Atlas tab. X, fig. 23. 

Diam. cell. = 29 u—4l u; long. = 51—59:4— 66 u. 

Hab. inter Sphagna ad ripas lacus Czarny staw Gasienicowy; 
in lacu Morskie Oko; in stagnis ad montem Mnich sub deflexione 
iugi, quae Wrota Chalubinskiego vocatur; in parvis rivulis rivo 
Poduplazki affluentibus in valle Biala Woda; in magna catarracta 
rivi Kolbach. 

In saxis iuxta Siklawa catarractam (Gutw. Fiz. XXII, 150). 

var. spiralis (Ehrnbg.) Grun., V. H. tab. LXXXIX, fig. 7. 

Hab. in saxis irroratis iuxta viam in ripa lacus Morskie Oko. 

271. M. arenaria Moore. 

. Hab. in fonte Lodowe; in valle Wielka (Schum. Le 80). 


Gen. Cyclotella Kuetz. 1833. 
212. C. antiqua W. Sm., V. H. tab. XCII, fig. 1. 


Hab. in lacu Maly staw 5-Polonicorum stagnorum (leg. prof. 
I. Król). 

213. C. comta (Ehrnbg.) Kuetz. var. radiosa Grun, V. H- tab. 
XCIII, fig. 1—9. 

Hab. in lacu Przedni staw 5-Polonicorum stagnorum (leg. prof. 
I. Król); in lacu Morskie Oko. À 

274. C. stelligera Cleve et Grun., V. H. tab. XCIV, fig. 22—26. 

Hab. in lacubus: Przedni et Wielki staw 5- Polonieorum : sta- 
gnorum (leg. prof. I. Król. 

. 275. C. Kuetzingiana .Chauv. 


534 


Hab. in lacu Czarny staw 5-Polonicorum stagnorum; in valle 
Zimna Woda (Schum. l. e. 80). 


Class. Myxophyceae Stiz. 1860. 
Ordo Gleosipheae Hansg. 

Fam. Seytonemaceae (Stiz.) Bzi. 1878. 
Gen. Stigonema Ag. 1824. 


1. S. informe Kuetz., Bor. et Flah. Revis. III, pag. 75. 

(= Sirosiphon lacustris Rabenh. Algae exsiec. Nr. 611 et 1035). 

Crass.: ramorum = 22—33—39 u, ramulorum = 15 u. 

Hab. ad ripas lacus Czarny staw supra lacum Morskie Oko; in 
valle Roztoka prope catarractam Mickiewiezii in serobieulo saxi 
granitici; in saxis aquis leniter defluentibus irroratis iuxta viam 
supra catarractam Siklawa. 

2. S. panniforme (Ag.) Bzi., Hansg. pag. 25. 

Crass.: ramorum = 26—30 y, ramulorum c. vag. = 24 y, s. 
vagina E1352 Hs long. cell. = 11 H- 

Hab. in Antolówka; iuxta viam supra Siklawa cum praecedenti; 
in aquis inter lacum Sobków staw et Zielony staw Gasienieowy. 

var. alpinum (Kuetz.) Hansg. l. e. pag. 23. 

Crass. ramorum 35 4—374 u; ramulorum 1. ordinis 22—26— 
28:6—33 u; long. cell. veg. 11 u, lat. — 22 u. 

Hab. ad vias in Koziniec. 

var. compactum (Kuetz.) Hansg. l. e. (Rabenh. Ale exsiec. Nr. 
694). 

Crass.: ramorum et ramulorum = 15:4— 19:8 u, hormogon. — 11 y. 

Hab. in Bystre ad viam in Koziniee prope domum Johannis 
Gąsienica Harendzki N-rus 2/2 47. 


Gen. Scytonema Ag. 1824. 
3. S. myochrous (Dillw.) Ag., Born. et Flah. Revis. III, pag. 105. 
Crass. ramorum c. vag. = 26:4 u, sine vag. = 154 y. 
» i ramalorum MUT TOR eds Set DA 
Hab. in saxo aquis leniter defluentibus irrorato ad viam in 
vallem Roztoka iuxta catarractam Siklawa. 
4. S. figuratum Ag., Born. et Flah. Revis. III, pag. 102. 





Crass. e. vag. = 154—176 u; crass. cell. veg. = 55=66 y, 
long. = 66—11 u; crass. cell. limit. = 55—88 u, long. = 


rn "SC 


en a 


535 


10—17:6 u; crass. apic. filam. e. vag. = 13:2, sine vag. = 88 u, 
long. cell. = 44 u. 
Hab. in ripis non submersis lacus Toporowy staw. 
5. S. Hofmanni (Ag.) Thur., Hansg. Prodrom., pag. 33. 
Crass. filam. cum vagin. = 154 u — 165 u. 
3 cell. veg. = 88 u, long. = 66—88—11 u. 
A „limit == ia long, = 154 198 u. 
5 » hormog. = 88 u, long. = 44—66 y. 
Hab. in saxis supra. viam in ripa lacus Morskie Oko, quae ad 
lacum Czarny staw ducit. 


Gen. Tolypothrix Kuetz. 
6. T. lanata (Desv.) Wartm., Hansg. l. e. pag. 38. 
Crass. filam. e. vag. = 66—88 u, long. cell. = 66 u. 
In thallo Trenthepohliae aureae in declivitate montis Gewont, 
quae ad meridiem vergit. iuxta viam in locum, qui „hala Kondra- 
towa“ dicitur. 


Gen. Plectonema Thur. 1875. 


1. P. Tomasianum (Kuetz. Born. Hansg. l. c. pag. 40. 

Crass. filam. c. vag. — 11 u. s. vag. — 66 u; long. cell. —5:5 y. 

Hab. in Wielki staw 5-Polonicorum stagnorum (leg. prof. I. 
Król) 

Gen. Desmonema Berk. et Thw. 

8. D. Wrangelü (Ag. Bor. et Flah. Bzi, Morf. e Biol. delle 
alghe fieochr., tab. IX et X. 

Crass. cell. veg. = 9—10 u, long. = 44—3 u. 

2 Amit == ‚9-10 u, long. — 1132 „u. 

Hab. in fonte „Lodowe“ ad viam in Zawrat; ad saxa in rivo 
sub montibus Miedziane supra lacum Morskie Oko fluenti; in magna 
catarracta rivi Kohlbach. Inter lacum Morskie Oko et vallem. Roz- 
toka; in rivo Sucha Woda ex lacu Czarny staw fluenti. (Rost. 


Rozpr. X. 291). 


Fam. Rivulariaceae (Stiz.) Rabenh. 
Gen. Rivularia (Roth.) Ag. 1824. 


9. R. haematites (D. C. 1806) Ag. 1824. Born. et Flah. Rev. II, 
pag. 350, Rabenh. Alg. exsic. Nr. 680. 
Hab. in valle Strazyska in Siklawica catarracta nee non in pa- 


536 


rietibus vallis aquis irroratis, qui in orientem vergunt; in laeubus 
Morskie Oko et Przedni staw 5-Polonicorum stagnorum (hie leg. 
prof. I. Krol). 

Cras. fil = 44—55—6°6 u, long. cell. = 44 u. 


, fil cum vagina = 154 u. 


Gen. Calothrix Ag. 1824. 
10. C. parietina (Näg.) Thur. var. pluvialis (A. Br.) Hansg. l. c. 
pag. 49. 
Hab. in valle Roztoka prope catarractas Mickiewiczii in scrobi- 
eulo saxi granitici. 
11. C. solitaria Kirch. Hansg. l. c. pag. 51. 
Hab. in laeu Czarny staw supra Morskie Oko ad saxa. 
12. C. Orsiniana (Kuetz.) Thur. 
Hab. in catarracta Siklawica in valle Strazyska. (Rae. Pam. 
XVII 299), 
Fam. Nostoceae (Kuetz.) Born. et Flah. 
Gen. Nostoc Vauch. 1803. 
13. N. Linckia (Roth.) Born. Hansg. l. c, pag. 58. 


Crass. cell. veget. = 44 u, limitanearum 6:6 u = long. 
Long... a = 9'1—44 y. 


Hab. in muscis in fonte „Wywierzysko“, ex quo rivus Olezyski 
potok in valle Olezyska nascitur. 

14. N. muscorum Ag. Hansg. l. e, pag. 60. 

Crass “cell vee? = "long. — 44 u; limit cr. -— Tong. — 6:08 

Hab. in saxis ad catarractam Siklawiea in valle Strazyska. 

15. N. commune Vauch., Hansg. l. e, pag. 62. 

Crass. cell. veg. = 44—55—6°6 u; long. ante division. = 5 u, 
p. divis. = 44 y;'erass. cell. limit. — 6:6-——8'8 y. 

Crass. vaginarum = 11—13:2—144 y. 

Hab. in Zakopane ad vias graminosas ,popod regle“; in valle 
Strazyska in Siklawica et ad vias graminosas; in Bystre ad viam, 
quae ad Pardolöwka ducit; in declivite montis Krokiew ad viam 
in Kalatöwki prope domicilium Albertinorum. 

16. N. macrosporum Menegh. 

Hab. in montibus Tatrensibus (a Tátrán) Kalchbr., pag. 355. 


Gen. Anabaena Bory 1822. 


17. A. variabilis Kuetz., Hans l. c., pag. 67. 


537 


Crass. filam. = 6 y, long. cell. veg. = 44 u, crass. cell. 
veg. — DD u, crass. sporarum = 8:8 y. 

Hab. in lacu Szezyrbskie. 

18. A. flos aquae (Lyngb.) Breb. Hanse. l. c., pag. 68. 

Hab. in uvidis museosis ad viam Clotildae inter Westerowo et 
Hagi Wyżne. 

19. A. Ralfsii (Thwait.) Hansg. l. c., pag. 70. 

Crass. cell. veg. = 44 u, crass. sporar. = 6:6 u, long. spo- 
aa dom 

Hab. in fossis ad viam publicam inter Bystre et Jaszezuröwka. 

20. A. stagnalis Kuetz. Hansg. Le, pag. 70. 


Crass. cell. veget. — 3:3 u, long. = 44 y. 
» n limit. = 4 p, n —Ó6y 
» sporae = 8 l » Se, ZE H- 


Hab. in uvidis museosis declivitatis loci Toporowa Cyrhla; in 
lacu Szezyrbskie. 

21. A. licheniformis Bory, Hansg. |. c., pag. 71. 

Crass. sporarum — 9 y, long. sporar. — 26:4 y. 

Hab. inter Sphagna in ripis lacus Toporowy staw. 13. VIL 1899. 


Fam. Lyngbyaceae. 
Gen. Microcoleus Desmaz. 1823. 
22. M. vaginatus Gomont Mon., pag. 93, var. Vaucheri (Kuetz.) 
Gom. tab. XIV, fig. 12. 
Crass. filam. = 44 u—6'6 u, long. cell. veg. = 3—44—6:6— 
8:8 u, crass. apie. ramul. 3—3°3 u. | 
Hab. in fonte „Wywierzysko“, ex quo rivus Olezyski potok 
nascitur, in valle Olezyska; in lacu Morskie Oko. 


Gen. Schizothrix Kuetz. 1843. 

23. S. lacustris A. Br., Gom. Monog., pag. 39, tab VI, fig. 9. 

Hab. inter saxa in aquis defluentibus supra lacum Kurtkowiee. 

24. S. penicillata (Kuetz.) Gom. l. c., pag. 43, tab. VIL, fig. 8—9. 

Crass. filam. = 2:4 u, long. cell. = 66 y. 

Hab. in saxis submersis in rivo vallis Biale. 

25. S. Friesii (Ag.) Gom. Mon. pag. 54—55, tab. IX, fig. 1— > 

Crass filam. = 6°6 u, long. BEE = 22—44 u; long cell. ad 
apic. filam. = 6'6 u—11 u. 

Hab. inter lacum Sobköw et Zielony staw Gasienieowy. 


Gen. Symploca Kuetz. 1843. 
26. S. muscorum (Ag.) Gom. l. e, pag. 130, tab. II, fig. 9. 
Crass. fil. e. vag. = 11—132 u. 
D RR une 18:8: a, cell veg? dong. 8:85. 


/ 


Hab. iu Antolówka. 


Gen. Lyngbya Ag. 1824. 
21. L. nigra Ag., Gom. Mon., pag. 165, tab. III, fig. 16. 


Crass. e. vag. = 11 y, s. vag, — BR u; long. cell. = 22-44. 

Hab. in lacu Wielki staw 5-Polonieorum stagnorum (leg. prof. 
1. Kröl): 

28. L. Martensiana Menegh., Gom. Monog., pag. 165, tab. III, 
oT 

Crass. s. vag. = 88 u, e. vag. = 11 u; long. cell. — 2°2 u. 


Hab. in serobieulis et in aquis leniter defluentibus supra lacum 
Zadni staw. 

29. L. spirulinoides Gom. Mon., pag. 166, tab. III. fig. 18. et 19. 

Grass. c vag. lu; long: cell. = 3:9: 

Hab. in rivulis in valle Ciemnosmreczynska. 

30. L. aerugineo-caerulea (Kuetz.) Gom. Mon, pag. 166, tab. 
TV, thio: 1. 

Crass. c. vag. = 6 u, sine vag. = 44—5°5 u; long. cell. 22 y. 

Hab. inter saxa in aquis leniter defluentibus supra lacum Kurt- 
kowiee et in fonte „Lodowe“ ad viam in Zawrat. 


Gen. Phormidium Kuetz. 1843. 


31. P. foveolarum (Montagne) Gom. Mon., pag. 184, tab. IV, fig. 16. 

Hab. in fonte „Lodowe“ ad viam in Zawrat. 

32. P. Retzii Gom. Mon. pag. 195, tab. V, fig. 6—8. 

Crass. c. vag. — 11 y, sine vag. 8'8 u, long. cell. = 3:66 y — 
44 u. 

Hab. in aquis ex thermis Jaszezurówka defluentibus; in uvidis 
aqua defluenti irroratis prope locum Capówka; in fonte „Lodowe“ 
ad viam in Zawrat (hie observavi specimina, quae cellulam apiea- 
lem modo truneatam ut in fig. 6 apud Gomont l. e. modo rotun- 
datam praebent); in rivo rapide fluenti in valle Waksmundzka. 

33. P. ambiguum Gom. Mon., pag. 198, tab. V, fig. 10. 

Crass. cum vag. = 11 u, s. vag. = 8 u! long. cell..— 2:2: 

Hab. ad saxa in rivo Bystra rapidissime fluenti in Kuznice. 


539 


34. P. lucidum Kuetz., Gom. Mon., pag. 199, tab. V, fig. 11—12. 

Crass. filam. = 7 y, long. cell. = 22—44 y. 

Hab. in eatarraeta Siklawiea in valle Strazyska. 

35. P. favosum (Bory) Gom. Mon.. pag. 200 et 201, tab. V, fig. 14. 

Crass. filam. 44—55 u, long. cell. = 44 y. 

Hab. in laeu Wielki staw 5-Polonicorum stagnorum (leg. prof. 
L-Król) 

.86. P. subfuscum Kuetz., Gom. Mon.. pag. 203, tab. V, fig. 17—20. 

Crass filam. — 5:5 u, loreal = 2220 u. 

Hab. in lacu Długi (Kuklaty) staw Gasienicowy. 

var. Joannianum (Kuetz.) Gom. l. e., pag. 204. 

Crass- filam. = 45—7 u, long. cell. = 22—33—44—7 u. 

Hab. in saxis inter Hydrurum in rivo Olezyski potok in valle, 
Olczyska; in rivo Bystra in Kuźnice atque in fonte eiusdem rivi 
qui Wywierzysko Bystrej vocatur. 

31. P. uncinatum Gom. Mon. pag. 204, tab. V, fig. 21 et 22. 

Crass. filam. = 4:4—5:5—6:6 u, long. cell. = 2:2—3:6—44 u; 
crass. apice. = Ca. 4 u. 

Hab. ad saxa in rivo Czarny Dunajee prope ,Cracoviam Ta- 
trensem* in valle Kościeliska; in aquis ex thermis Jaszezuröwka 
defluentibus; in rivo Bystra in Kuznice; in rivo Olezyski potok 
eum specie praecedenti; in muscis fontis „Lodowe“ ad viam in 
Zawrat; in laeu Przedni staw 5-Polonieorum stagnorum (leg. prof. 
I. Król); in parvis rivulis rivo Poduplazki affluentibus in valle 
Bialej Wody. 

38. P. autumnale Gom. Mon., pag. 201—209, tab. V, fig. 23 et 24. 

Crass. filam. = 44 u; long. cell. = 22—3'3—44 u; cell. apie. 
erass. == 25 y. 

Hab. in laeu Dlugi (Kuklaty) staw Gasienicowy; in fonte ,Lo- 
dowe“ ad viam in Zawrat; ad saxa submersa in lacu Morskie Oko. 

39. P. Setchellianum Gom. Mon., pag. 210, tab. V, fig. 25 et 26. 

Crass: filam. — 44 y, long. cell. — 66 u. 

Hab. in serobieulis et loeis aqua leniter defluenti irroratis supra 
laeum Zadni staw. 

40. P. Boryanwm Kuetz. 

Hab. in mont. Tatrensibus, in monte Krzywan („a Tátrán, a Kri- 
van“) Kalehbr..l. s. c., pag. 354. 


540 


Gen. Oscillatoria Vauch. 1803. 


41. O. Agardhü Gom. Mon. pag. 225. 

Crass. filam. = 44 y; long. cell. = 3:3 u. 

Hab. in serobieulis et locis aqua leniter defluenti irroratis supra 
lacum Zadni staw. 

42. O. prolifica (Grev.) Gom. Mon.. pag. 225, tab. VI, fig. 8. 

Crass. flam. = 3°3 u, long. cell. = 44 u 

Hab. in lacu Wielki staw 5-Polonicorum stagnorum (leg. prof. 
TEKTO)! 

43. O. sancta Kuetz., Gom. Mon., pag. 229—230, tab. VI, fig. 12. 

Crass. filam. = 10—11 u, long. cell. = 22 u— 44 u. 

Hab. in saxis submersis in rivo vallis, quae Ku Dziurze voca- 
tur, et inter Phormid. subfuscum var. Joannianum in rivo Bystra 
in Kuźnice. 

44. O. simplicissima Gom. Mon, pag. 239, tab. VII, fig. 1. 

Crass. filam. = 8°8 u, long. cell. = 22 u. 

Hab. in aquis ex lacu Czarny staw Gasienicowy decurrentibus 
in valle prope lacum ipsum; in fonte „Lodowe“ ad viam in Zawrat. 

45. O. tenuis Ag., Gom. Mon. pag. 240—241, tab. VII, fig. 2 et 3. 

var. natans (Kuetz.) Gom. Mon., pag. 241. 

Crass. filam. = 7— 75 u — 99 u; crass. apic. 44 u, long. cell. = 6 u. 

Hab. in catarracta inter lacum Zmarzły staw et Czarny staw 
Gasienicowy atque in Wielki staw 5 Polonicorum stagnorum (leg. 
prof. I. Król); in uvidis prope locum Capówka. 

var. tergestina Rabenh., Gom. Mon., pag. 241. 

Hab. in uvidis graminosis muscosis in silva prope Koziniec. 

46. O. amphibia Ag., Gom. Mon., pag. 241—242, tab. VII, fig. 
4 et 5. 

Crass. filam. = 22 u. long. cell. = 36 p—44—66 u. 

Hab. in laeu Dlugi (Kuklaty) staw Gasienicowy. 

41. O. splendida Grev., Gom. l. c., pag. 244, tab. VII, fig. 7. 

Hab. in serobieulis turfosis ad radices montis Kozi Wierch in 
valle 5-Polonieorum stagnorum. 

var. attenuata W. and G. West, New Brit. Freshw. Algae, pag. 
164, tab. IV, fig. 58. 

Hab. in laeu Szezyrbskie. 

48. O. amoena (Kuetz. Gom. l. c., pag. 245, tab. VII, fig. 9. 

Hab. in magna catarracta rivi Kolbach. 


541 


49. O. brevis Kuetz, Gom. l. c, pag. 249, tab. VII, fig. 14. 

Hab. ad saxa submersa in rivo Bystra rapidissime fluenti in 
valle Kuznice. 

50. O. formosa Bory, Gom. l. c., pag. 250, tab. VII, fig. 16. 

Crass. filam. = 44—6°6 u, long. cell. = 22—44 u. 

Hab. in saxis aquis leniter defluentibus irroratis ad sinistram 
viae ex loco Hala Gasienicowa prope lacum Czarny staw Gasienicowy; 
inter saxa supra lacum Kurtkowiec; in saxis aqua leniter defluenti 
irroratis iuxta viam in ripa lacus Morskie Oko ducentem. 

51. O. chalybea Mertens, Gom. Mon., pag. 252—253, tab. VII, 
io 5: 

var. genuina Gom. Le, pag. 253. 

Hab. inter saxa in aquis leniter defluentibus supra laeum Czar- 
ny staw 5-Polonicorum stagnorum. 

52. O. beagiatoiformis (Grun.) Gom. l. e., pag. 255, tab. VI, fig. 25. 

Speeimina nostra recta erassitud. = 66 u, longitud. = 8:8— 
66—44 u et eras. apic. = 3°3 u praebent. 

Hab. in uvidis muscosis in silva prope Koziniec. 


Ordo Chamaesiphonaceae. 
Fam. Chamaesiphoneae. 


Gen. Sphaerogonium Rostaf. 1883. ' 
53. S. incrustans (Grun.) Rostaf. Rozpr. X, pag. 282. 
Hab. ad museos aquatieos in rivo in valle Ku Dziurze. — In 


Zakopane; in valle Mlyniea (Rost. Rozpr. X, 282). 

54. S. minutum Rostaf. 

Hab. in lacu Morskie Oko (Jezioro Rybie). (Rost. Rozpr. X, 290). 

55. S. subglobosum Rostaf. 

Hab. in Kuzniee ad Zakopane (Rost. l. e. 291). 

56. 5. amethystinum Rostaf. 

Hab. inter vallem Roztoka et lacum Morskie Oko; in rivo Su- 
cha Woda (Rost. l. e. 291). 

57. S. gracile Rostaf. (Chamaesiphon Rostafinskii Hansg.). 

Hab. in valle Strazyska (Rost. l. c. 294). 

58. S. fuscum Rostaf. 

Hab. in Zakopane; in Kalatöwki (Rost. Le 295). 

59. S. polonicum Rostaf. x 

Hab. in valle Koscieliska; in lacu Czarny staw (Rost. Rozpr. 


X. 299). 


542 


Gen. Chamaesiphon A. Braun et Grun. 

60. C. confervicola A. Br., Hansg. Prodr., pag. 124. 

Hab. in fonte Lodowe in valle Koseieliska; in rivo Bystra ra- 
pidissime fluenti in Kuźnice; in aquis ex lacu Czarny staw Gasie- 
nieowy decurrentibus in valle prope ipsum laeum; in fonte ,Lo- 
dowe“ ad viam in Zawrat; inter saxa in Hypno in aquis leniter 
defluentibus supra lacum Kurtkowiec; ad saxa in rivo ad Miedzia- 
ne supra lacum Morskie Oko; in aquis leniter defluentibus supra 
laeum Czarny staw 5-Polonicorum stagnorum; in rivo rapide flu- 
enti in valle Waksmundzka; in catarracta magna rivi Kolbach. 

var. Schiedermayeri (Grun.) Bzi. 

Hab. in Kuzniee eum typo. 

var. curvatus (Nordst.) Bzi. Morf. et Biol. d. alghe ficochroma- 
ceae, pag. 313, Nordst. Sandv. tab. L fie. 1. 

Hab. in Kuźnice cum varietate praecedenti; supra lacum Kur- 
tkowiee cum typo; in catarracta inter lacum Zmarzły staw et Czar- 
ny staw Gasienicowy nec non in uvidis et in rivo vallis Mala 
Laka (leg. prof. I. Król); in rivo in valle Waksmundzka; in ea- 
tarraeta magna rivi Kolbach. 


Gen. Pleurocapsa Thr. em. Lagerh. 


61. P. minor Hansg. l. c., pag. 126. 

Hab. in fonte ,Lodowe^ ad viam in Zawrat. 

62. P. cuprea Hansg. l. c., pag. 128. 

Hab. in foliis muscorum in lacu Dwoisty staw Gasienicowy. 


Ordo Chroococcoideae. 
Fam. Chroococeaceae. 
Gen. Gleothece Naeg. 1849. 
63. G. rupestris (Lyng.) Bor., Hansg. l. c., pag. 136. 
Hab. in eatarraeta Siklawiea in valle Strazyska. 


Gen. Aphanothece Naeg. 1849. 


64. A. microscopica (Menegh.) Rabenh. Hansg. l. ce. pag. 138, 
Cellulae erass. — 3 u, long. — 44 u. 
Hab. in laeu Dwoisty staw Gasienicowy. 


Gen. Synechococcus Naeg. 1849. 
65. S. maior Schröt., Hansg. l. c., pag. 139. 


545 


Crass. cell. = 22 u, long. = 264 u. 

Hab. inter Sphagna in lacu Smreczyński staw in valle Koście- 
liska; in serobieulis et uvidis supra lacum Zadni staw 5-Polonic. 
stagnorum; in serobiculis turfosis ad radices montis Kozi Wierch 
in valle 5-Polonicorum stagnorum. 

var. crassior Lagerh. Hansg. l. s. c. 

Crass. cell. = 264—286 u; long. = 33—35 u. 

Hab. in Sobköw staw Gasienicowy. 


Gen. Glaucocystis Itzigs. 1854. 

66. G. nostochinearum Itzigs. Lagerh. Ber. d. d. b. Ges. 1884. 
Bd. II. Hft. 7, pag. 304, fig. 2, 3. 

Pons == L lat — 154 u. 

Hab. in valle Biale; in declivitate loei Toporowa Cyrhla; in 
lacu Przedni staw 5-Polonicorum lacuum (hie leg. prof. I. Kröl). 

?var. gigas nova var.? 

Long. = 44 y, lat. = 286 u. 

Hab. in lacu Sobköw staw Gasienicowy. 


Gen, Coccochloris Sprengel. 
67. C. stagnina Spreng. var. prasina (A. Br.) Richt., Hansg. Le 
pag. 141. 
Hab. in uvidis declivitatis loci Toporowa Cyrhla ad dextram 
viae publicae ex Jaszezuröwka in locum Roztoka ducentis. 


Gen. Merismopedia Meyen. 1839. 

68. M. glauca (Ehrenb.) Naeg., W. and G. S. West Alga-Flor. 
of Yorks. pag. 154, Nr. 165. 

Hab. in lacu Smreezyüski staw in valle Koseieliska; in catar- 
racta Siklawiea in valle Strazyska; in uvidis ad rivum vallis Mala 
Laka (hie leg. prof. I. Król); in laeubus: Dwoisty, Czarny staw 
Gasienicowy, Morskie Oko; in Przedni staw 5-Polonieorum sta- 
gnorum (hie leg. prof. I. Kröl). 

69. M. elegans A. Br. 

Bar eel OU lone. Oo 

Hab. in lacu Zielony staw Gasienicowy. 


Gen. Tetrapedia Reinsch 1867. 
70. T. glaucescens (Wittr.) Boldt. 


Hab. in saxis submersis in lacu Morskie Oko. 


Bulletin III. Avril. 9 


544 


Gen. Coelosphaerium Näg. 1849. 


71. C. Kützingianum Naeg., Hansg. l. e, pag. 142. 
Hab. in lacubus: Dwoisty staw Gasienicowy, Czarny staw supra 


lacum Morskie Oko; in lacu Przedni staw 5-Polonicorum lacuum 


hie lee. prof. I. Król). 
( g. p 


Gen. Gomphosphaeria Kuetz. 1836. 
12. G. aponina Kuetz., Hansg. l. c., pag. 143. 
Hab. in lacu Czarny staw supra Morskie Oko; in Toporowy 
staw et in laeu Szezyrbskie. 
var. olivacea Hansg. |. c., pag. 144. 
Hab. in fonte , Lodowe* ad viam in Zawrat. 


Gen. Gloeocapsa (Kuetz) Naeg. 1849. 


73. G. fusco-lutea Naeg. 
Hab. in montibus Tatrensibus („a Tátrán*) Kalchbr. l. s. e. 


14. G. purpurea Kuetz., Hansg. l. c, pag. 147. 

Hab. inter saxa granitiea in aquis leniter defluentibus supra 
lacum Kurtkowiec atque inter lacum Sobków et Zielony staw 
Gasienicowy. 

75. G. rupestris Kuetz. 

Hab. in eatarraeta Siklawiea in valle Strazyska. 


— G. spec.? 
Cell: e integ. lat: — 6:61:45 long. il log. 
familiae SONS THAI T RIEN = OC TE 


Hab. in laeu Toporowy staw inter Sphagna. 


Gen. Aphanocapsa Naeg. 1849. 
76. A. membranacea Rabenh., Hansg. l. e, pag. 156. 
Hab. in saxis aqua leniter decurrenti irroratis ad viam in ripa 
laeus Morskie Oko. 
77. A. montana Cram. Hansg. L e, pag. 157. 
Hab. inter saxa in aquis leniter defluentibus inter lacum Sobków 
et Zielony staw Gasienieowy. 


Gen. Chroococcus Nüg. 1849. 


78. C. macrococcus (Kuetz.) Rabenh., Hansg. l.c. pag. 159. 
Diam. cell. = 33 u—45 u; long. fam. 2-cell. = 103 u, lat. = 77 u. 








545 


Hab. in Antolöwka, loeis uvidis; in lacu Toporowy staw. 
19. C. turgidus (Kuetz.) Naeg., Hansg. l. c., pag. 161. 
Long. cell. s. integ. = 22 y, e. integ. — 30:8 4—393 y. 
Lat. TEE a = 11—154 y, c. integ. = 24 y. 
Fam. Cryptoglenaceae. 
(?) Gen. Asterothrix Kuetz. 


80. A. tripus A. Br. Hansg. l. e, pag. 167. 


Hab. in rivo in valle Ku Dziurze. 


Class. Flagellatae. 
Ordo Chrysomonadineae. 
Fam. Ochromonadaceae. 
Gen. Dinobryon Ehrenb. 


1. D. Sertularia Ehrenb. Lemmer., Beitr. z. Kennt. d. Plankton- 
alg. Ber. d. d. bot. Gesel. XVIII. B. 1900. pag. 514, tab. XVIII 
fig. 9—10. 

Long. = 39 0 u; lator) TEr^uwMat?'eonstr.-— 7 y 

Hab. in Toporowy staw. 13.VII, 1899. 

2. D. protuberans Lemm. |. c., tab. XVIII, fig. 12—106. 

Bons. — 930, lat. med — 10 0. lat, onic, —5:8:9 46 infra 
orice, — 66 y. 

Hab. in Sobków staw Gasienicowy. 

3. D. sociale Ehrb. Lemm. XV, Das Phytopl. ein. Plóner See 
1908, pag. 164, fig. 7 b. 

Hab. eum praecedenti. 

4. D. cylindricum Imhof. 

var. divergens (Imhof.) Lemm. Beitr. z. Kenntn. d. Planktonalg. 
Ber. d. d. bot. Ges. XVIII, B. 1900, pag. 517, tab. XIX, fig. 17, 
19 et 20. 

Hab. in lacu Toporowy staw. 

var. holsaticum Lemm. Forschgsber. a. d. biol. St. in Plön, X. 
1903, pag. 162, fig. 6. 

Hab. ad saxa submersa in lacu Morskie Oko. 

var. palustre Lemm. 

Bons — 37 p lat: medi — 3:8 u orifice Mr coli — 66%. 

Hab. in Sobköw staw Gasienicowy. 


546 


Fam. Euglenidae Stein. 
Gen. Euglena Ehrb. 


5. E. viridis Ehrenb., Hansg. l. c., pag. 170. 

Hab. in Czarny staw Gasienicowy et in uvidis declivitatis loci 
Toporowa Cyrhla. 

6. E. pyrum (Ehrenbg.) Schmitz, Hansg. l. e, pag. 173. 

Hab. in Toporowy staw. 


Explicatio tabularum. 


Tabula VII. 


Fig. 1. a—e) Binuclearia tatrana Wittr. 


Fig. 


Fig. 


Fig. 


Fig. 


o 


Fig. 
Fig. 
Fig. 
Fig. 
Eig. 
Fig. 
Fig. 


Fig. 


a) apex filamenti, chlorophorum anuliforme monst:ans 650 X. 

bj ehlorophorum anuliforme 650 X. 

c) cellula in aspectu verticali; chlorophor. anuliforme 650 X. 

d) pars filamenti; cellulae tres chlorophora anuliformia uno latere in lon- 
gitudinem diffissa monstrantes; margo anuli alter altero occultatur 660. 

e) Acinetae; ad sinistram pars cellulae cum chlorophoro anuliformi, euius 
margines rima oblonga disiunguntur. 440 X. 


2—3. Binuclearia tatrana Wittr. 


2. 


3. 
4. 


Filamentum 5-cellulare; in medio cellularum nuclei singuli. 1200 X 
(haematoxylina). 

Media in parte cellulae duae poro circulari apertae. 660 X. 
Trentepohlia mall iformis nov. spec. 

a) c) d) Zoogonidangium e latere 650 X, c) d) 280 X. 

b) zoogonidangium ex polo breviore spectatum. 280 X. 

e) cellula suffultoria zoogonidangii. 880 X. 

f) ramificatio filamenti. 


. Scenedesmus costatus Schmidle var. poriferus nov. var. 430 X. 
. ? Tetraédron irregulare (Reinsch) De-Toni 440 X. 


Cylindroeystis Brébissonii Menegh. forma minor West zygota: a) e fronte, 
b) e latere visa 440 X. 


. Penium exiguum West var. attenuatum nov. var. 440 X. 

. Penium rufescens Cleve 440 X. 

. Penium Mooreanum Archer cum zygota: a) e fronte, b) e latere. 

. Disphinetium erueiferum (De-By) Hansg. var. tatricum nov. var. a) e 


fronte, b) e vertice visum 440 X. 


. Disphinetium Cucurbita (Breb.) Reinsch. var. inflatum nov. var. a) e 


fronte, b) e latere visum 440 X. 


. Disphinctium Thwaitesii Ralfs var. incrassatum Wille forma tatricæ 


nov. for. 440 X. 


. Disphinctium Rehmanii nov. spec. 440 X. 








Bulletin de U’ Acad. des Sciences de Cracovie 1909. 





R. Gutwinski ad nat. del. 


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Bulletin de V Acad. des Sciences de Cracorie 1909. 











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R, Gutwinski ad nat. del. 





Pl. VIII. 








Fig. 
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Fig. 
Fig. 


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Fig. 
Fig. 
Fig. 
Fig. 


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Fig. 
Fig. 
Fig. 
Fig. 
Fig. 


Fig. 
Fig. 


Fig. 
Fig. 
Fig. 
Fig. 
Fig. 
Fig. 
Fig. 
Fig. 


al. 


35. 


40* 


547 


. Disphinetium anceps (Lund.) Hansg. forma tatrensis nov. for. 440 X. 
. Disphinctium sinuosum (Lund.) Hansg. forma basiornata nov. for. a) e 


fronte, b) e vertice 440 X. 


. Cosmarium conicum W. et G. West var. brevius nov, var. 440 X. 
. C. venustum var. excavatum (Eichl. et Gutw.) W. et G. S. West forma 


duplo maior 440 X. 


. C. pseudospeciosum Rac. for. latior nov. for. 440 X. 
. C. obliquum Nordst. for. tatrica nov. for. 440 X: a) e fronte, b) e latere, 


c) e vertice. 

. Archert Roy and Biss. forma minor Gutw. 440 X. 

. didymochondrum Nordst. forma tatrica nov. for. 440 X. 

. transiens Gay forma maior nov. for. 440 X. 

. dentiferum Corda forma maior nov. form. 440 X et 280 X. 

. eyelicum Lund. var. maculatum Schmidle for. tatrica nov. for. 440 X. 
. subspeciosum Nordst. forma tatrica nov. for. 440 X. 


Qe oS GSP COL GS 


. ordinatum (Bórg.) West var. montanwm nov. var. 750 X. 


Tabula VIII. 


. Cosmarium staurastriforme nov. spec. a) c) 880 X a) c) 440 X. 
. Cosmarium Hornavanense nov. spec. 440 X. 


z suberenatum Hantsch. forma bifaria nov. for. 440 X. 

3 Davidsonii Roy and Biss. var. simplicius nov. var. 660 X. 
5 costatum Nordst. var. tatrense nov. var. 440 X. 

a pseudocostatum nov. spec. a) e fronte, b) e latere 440 X. 

y Nathorstii Boldt forma tatrica nov. forma a) 660 X, d) 440 X. 
x sublobulatum nov. spec. 440 X. 

» tiroliense nob. 440 X. 

a ornatissimum Schmidle a) 280 X, á) 440 X, c) e vertice 440 X. 
» subpunctulatum Nordst. forma 440 X. 


H pseudoarctoum Nordst. 440 X. 
Pokornyanum (Grun.) West. 440 X. 


; TEEN trispinatus West 440 X. 


Euastrum erosum Lund. var. notabile. W. West for. intermedia nov. 


for. 440 X. 


. Euastrum binale (Turp.) Ralfs. var. papilliferum nov. var. a) e fronte, 


b) e latere 440 X. 


. Staurastrum subbrebissonii Schmidle var. hexagonum nov. var. a) e fronte 


440 X. c/ e vertice 280 X. 


. Staurastrum teliferum Ralfs var. tatricum nov. var. 440 X. 


5 Csorbae nov. spec. a) e fronte, c) e vertice 440 X. 
2 varians Rac, for. truncata nov. for. 440 X. 

A muricatum Bréb. for. tatrica nov. for. 440 X. 

Ps amoenum Hilse var. intermedium nov. var. 440 X. 
z basichondroides nov. spec. 440 X. 

5 Borgeanum Schmidle var. tatricum nov. var. 440 X. 


. Navicula obliquestriata A, Schmidt 440 X. 


548 


Fig. 51. Cymbella Tatrensis nov. spec. 750 X. 

Fig. 52. o Brebissoniana nov. spec. 660 X. 

Fig. 53. 5 imitans nov. spec. 1050 X. 

Fig. 54. Diatoma hiemale (Lyngb.) Heib. 

Fig. 55. Fragilaria construens (Ehrenb.) Grun. var. Venter Grun. 440 X et 1050 X. 


Libri atque abbreviationes, quibus in hoc opusculo 
conscribendo usus sum: 


Bisset in Journ. Roy. Mier. Soc. 1884 =J. P. Bisset, List of Desm. of Lake 
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Rac. 





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Index 


553 


generum atque specierum, exclusis: varietatibus, formis et synonymis. 


Achnanthes Bory 
Biasoletiana (Kuetz.) Grun. 511,— 
contracta Schum. 510, — delica- 
tula (Kuetz.) Grun. 511, 
ptica Schum. 510, — exigua Grun. 
511, — gibberula Grun. 511, — 
hungarica Grun. 510, — lanceo- 
lata (Bréb.) Grun. 512, — linea- 
ris (W. Sm.) Gran. 512, — mar- 
ginulata Grun. 511, — microce- 
phala (Kuetz.) Grun. 511, — mi- 


— elli- 


nutissima Kuetz. 512, -- obtusa 
Schum. 511, — subsessillis Kuetz. 
510, — undulata Schum. 510. 
Achnanthidium Kuetz. 
flexellum (Kuetz.) Breb. 512. 
Amphipleura Kuetz. ÈS 
pellucida (Ehrnb.) Kuetz. 497. 
Amphora Ehrenb. 
libyca Ehrbg. 505, ale (Bréb. ) 
Kuetz. 505, — salina W. Sm. 505. 
Anabaena Bory . EEE: 
flos aquae (Lyngb.) Breb. 537, — 
licheniformis Bory 537, — Ralfsii 
(Thwait.) Hansg. 537, — stagnalis 
Kuetz. 537, 
536. 
Aphanocapsa Naeg. 
membranacea Rabenh. 544, 
montana Cram. 544. 
Aphanothece Naeg. . . 
(Menegh.) 


— variabilis Kuetz. 


Rabh. 


microscopica 
542. 

Arthrodesmus Ehrenb. jun 
Ineus (Bréb.) Hass. 466, — tri- 


spinatus West 466. 
Asterionella Hass. . 
formosa Hass. 521. 
Asterothrix Kuetz. . 
tripus A. Br. 545. 
Batrachospermum Roth 
vagum (Roth.) Ag, 427. 


Pag. 


510 Binuclearia Wittr. . 


512 


497 


505 


536 


544 


542 


tatrana Wittr. 430—432. 
Bulbochaete Ag. 
Nordstedttii Wittr. 498. 
Calothrix Ag. ato 
Orsiniana (Kuetz.) Thur. 536, — 
parietina (Naeg.) Thur. 536, — 
solitaria Kirch. 536. 
Campylodiscus Ehrnbg. 
hibernieus Ehrnb. 517, — nanus 
Schum. 517,— norieus Ehrnb. 517. 
Cerasterias Reinsch i 
raphidioides Reinsch 437. 
Ceratoneis Ehrenbg. 3 
Arcus (Ehrenbg.) Kuetz. 531. 
Chamaesiphon A. Br. et Grun. 
confervicola A. Br. 542. 
Chantransia Fries . ; 
chalybea (Lyngb.) Fries 427, — 
pygmaea Kuetz. 427. 
Chlamydomonas Ehrenb. . 
caudata Wille 434,— flavo-virens 
Rostaf. 434, — pisiformis Dill. 
434, — subeaudata Wille 434. 
Chroococcus Naeg. . : 
macrococeus (Kuetz.) SE 
544, — turgidus (Kuetz.) Naeg. 
545. 
Cladophora Kuetz. . . . . 
glomerata (L.) Kuetz. 433. 
Closterium Nitzsch . eet 
acutum (Lyngb.) Bréb. 443, — 
Archerianum Cleve 443, — co- 
statum Corda 442, — Dianae Eh- 
renb. 443, — directum Arch, 
442, — Jenneri Ralfs 443, — 
Leibleinii Kuetz. 443, — Lunula 
(Muell.) Nitzsch 442, — monili- 
ferum (Bory) Ehrenb. 443, — 
parvulum Naeg. 443, — pusil- 
lum Hantsch 442, — setaceum 
Ehrenb. 443, — strigosum Bréb. 


Pag. 


430 


428 


536 


517 


434 


442 


‚— striolatum Ehrenb. 442, — 
Venus Kuetz. 443. 

Coceochloris Sprengel . 
stagnina Spreng. 543. 

Cocconeis Ehrenb. T 
borealis Ehrenbg. 510,-- podien- 
lus Ehrenbg. 510, — Placentnla 
Ehrnbg. 510, — punctata Eh- 
renbg. 510. 

Coclastrum Naeg. : 3 
irregulare Schröder 435, — line: 
ricum Naeg, 435. 

Coelosphaerium Naeg . 
Kützingianum Naeg. 544. 

Coleochaete Bréb. 
orbieularis Pringsh. 428 

Colletonema Bréb. : 
lacustre (Ag.) Kuetz. 497. 

Conferva L. : 
bombyeina (Ag.) wed 430, =- 


Raciborskii Gutw. 430. 
Cosmarium Corda UN y oS 
venustum 454, — abbreviatum 


Rac, 454, — alpinum Rac. 453, — 
amoenum Bréb. 460, — Archerii 
Roy and Biss. 457, 
Nordst. 453, — binum Nordst. 
462, — bioculatum Breb. 452, — 
Botrytis (Bory) Menegh. 458, — 


-— arctoum 


caelatum Ralfs 463, — caloder- 
mum Gay 457, — cambricum 
Cooke et Wills, 455, — conicum 


W. et G. West 452, — costatum 
Nordst. 463, 
459, — cymatopleurum Nordst. 
457, — Davidsonii Roy and Biss. 
462, — dentiferum Corda 459, — 
didymochondrum Nordst. 457,— 
difficile Lütkem. 458, — dovren- 
se Nordst. 454, — eductam Roy 
et Biss, 455, — ellipsoideum Elfv. 
455, — emarginulum (Perty) Ra- 
benh.—462,— Etehachanense Roy 
453,— Garrolense Roy and Biss. 
453, — Gayanum De-Toni 462, — 
granatam Bréb, 452, 


— eyclieum Lund. 


— holmien- 


Pag. 


543 


510 


452 


se Lund. 453, — bomalodermum 
Nordst. 465. — 
nov. spec. 461, — impressulum 
Elfv. 453, — Kjellmanii Wille 
465, — Logiense I, P. Bisset 
459, — margaritiferum (Turp.) 
Menegh. 458, — Meneghinii Breb. 
452, — mierosphinetum Nordst. 
462,— Nathorstii Boldt 464,— ob- 
liqaum Nordst. 455—456, — ob- 
soletum Reinsch 458, — ochto- 
des Nordst. 461, — ordinatum 
(Börg.) West 460, — ornatissi- 
mum Schmidle 464, — ornatum 
Ralfs 464, Cohn 
465, —  pachydermum Lund. 
457, — Pertyanum Rac. 453, — 
Pokornyanum  (Grun. West 
465. — Portianum Archer 460, — 
pseudoamoenum Wille 462, — 
pseudoaretoum Nordst. 453, — 
pseudobotrytis Gay 456, — pseu- 
spec. 463, — 
pseudoprotuberans Kirch. 454, — 
pseudopyramidatum Lund. 454, — 
pseudospeciosum Racib. 454, -- 
punctulatum Breb. 456, — py- 
ramidatum Breb. 457, — Regnel- 
li Wille 453, — reniforme 
(Ralfs) Archer 459, — speciosis- 
simum Schmidle 463, — staura- 
striforme nov. spec. 466, — sub- 
crenatum Hantzsch. 462, — sub- 
lobulatum nov. spec. 464, — 
subpunctulatum Nordst. 466, — 
subspeciosum Nordst. 460, — 
tatricum Rac. 465, — tetrago- 
num (Naeg.) Arch. 455, — tetra- 
ophthalmum (Kuetz.) Bréb. 458,— 
tinctum Ralfs 453, 
Gutw. 465, — transiens Gay 
458, — trierenatum (Boldt.) Gutw. 
465. — truneatellum (Perty) Ra- 
bnh. 463,— variolatum Lund. 455. 
Crueigenia Morren. . 2.2.» 
rectangularis (Naeg.) A. Br. 437. 


Hornavanense 


—  pardalis 


docostatum nov. 


— tiroliense 


437 








Cyclotella Kuetz. t 
antiqua W. Sm. 533, — comta 
(Ehrnbg.) Kuetz. 533, — Kuetzin- 
giana Chauv. 533, — stelligera 
Cleve et Grun. 533. 

Cylindrocystis Menegh. party 
Brébissonii Menegh. 441, — ta- 
trica Rac. 441. 

Cymbella Ag.. VAT ORE 

502, — affinis 


abnormis Grun. 

Kuetz. 500, — alpina Grun.501,— 
amphieephala | Kuetz. 499, — 
anglica Lagerst. 501, — austria- 
ca Grun. 502, — Brebissoniana 
nov. spec. 501, — Cesatii Grun. 


503, — Cistula (Hempr.) Kirch. 
503, — euspidata Kuetz. 499, — 
eymbiformis (Kuetz.) Breb. 502, — 
delicatula Kuetz. 499, — gastroi- 
des Kuetz. 502, — imitans nov. 
spec. 501, — laevis Naeg. 500, — 
lanceolata (Ehrenb.) Kirchn. 
502, leptoceras (Ehrenbg.) 
Rabh. 500, — lunata W. Sm. 
502,— mierocephala Grun. 500, — 
obtusa Greg. 499, — Piseieulus 
Greg. 500, — Smithii Rabenh. 
503, — subaequalis Grun. 499, — 
500, 


Tatrensis nov. spec, 
truncata Rabenh. 502. 
Cystopleura Breb. - 
Argus (Ehrnbg.) Kunze 524, — 
gibba (Ehrnbg.) Kunze 524, — 
turgida (Ehrenb.) Kunze 523, — 
Zebra (Ehrenbg.) Kunze 524. 
Denticula Kuetz. 
crassula Naeg. 515, — dans 
Kuetz. 515, — frigida Kuetz. 519. 
Desmonema Berk. et Thw. . 
Wrangelii (Ag.) Bor. et Flah. 535. 
Diatoma DC . 2 "ET 
anceps (Ehrnbg.) Kirch. 519, — 
elongatum Ag. 518, — hiemale 
(Lyngb.) Heib. 518, — vulgare 
Bory 517. 


Pag. 


533 


441 


499 


523 


515 


Diatomella Grev. 2 
Balfouriana Grev. 522. 

Dimorphococcus A. Br. 
lunatus A. Br. 438. 

Dinobryon Ehrenb.. a»d $ 
cylindricum (Imhof) Lemm. 545; — 


protuberans Lemm, 545, — Ser- 
tularia Ehrenb. 545, — sociale 
Ehrb. 545. 


Disphinctium Naeg. Së, 
anceps (Lund.) Hansg. 449, — 
cruciferum (De-By.) Hansg. 
447, — Cucurbita (Breb.) Reinsch 
448, — curtum (Breb.) Reinsch 
447, Cylindrus (Ehrenb. ?) 
Naeg. 448, — Palangula (Breb.) 


Hansg. 447, — quadratum 
(Ralfs?) Hansg. 448, — Ralfsii 
(Kuetz.) Hansg. 448, — Rehmanii 
nov. spec. 449, — sinuosum 


(Lund.) Hansg. 450, — speciosum 
(Lund.) Hansg. 449, — Thwai- 
tesii (Ralfs) De-Toni 448. 
Draparnaudia Bory nmn 
glomerata (Vauch.) Ag. 430. 
Encyonema Kuetz. . SERA ARE 
503, — Ger- 


stenbergeri Grun. 505, — gracile 


caespitosum Kuetz. 


Rabenh. 504, — prostratum (Berk.) 
Ralfs 503, — turgidum (Greg.) 
Grun. 503, — ventricosum (Ag.) 
Grun. 504, 

Eremosphaera De-By. 
viridis De-By. 437. 

Euastrum Ehrenb.. aim 
amoenum Gay 469, — ansatum 
Ralfs 469,—binale (Turp.) Ralfs 
467, — erassicolle Lund. 467, — 
Didelta (Turp.) Ralts 468, 
dideltoides (Racib.) W. and G. 
West 469, — divaricatum Lund. 
469, — elegans (Breb.) Kuetz. 
469, — erosum Lund. 467, 
humercsum Ralfs 468, 
gne Hassall 468, — montanum 


— insi- 


555 


447 


430 


503 


437 


467 


556 


W. et G. West 468, — oblongum 
(Grev.) Ralfs 468, — pinnatum 
Ralfs 468, — rostratum Ralfs 
469. — seitum W. West 469, — 
sinuosum Lenorm. 469. 

Eudorina Ehrenb. . 
elegans Ehrenb, 434. 

Euglena Ehrb. z : 
pyrum (Ehrenbg.) Schmitz. 546, — 
viridis Ehrenbg. 546. 

Eunotia Ehrenbg. 
alpina Kuetz. 529, — AR Eh- 
renbg. 524, — bidentula W. Sm, 
529, — Camelus Ehrenb. 529, — 
Diodon Ehrnbg. 529, — exigua 
(Breb.) Rabenh. 526, — gracilis 
(Ehrnbg.) Rabenh. 526, — im- 
pressa Ehrenb. 530, — ineisa 
Greg. 527, — maior (W. Sm.) 
Rabenh. 525, — Nymmaniana 
Grun. 526, — paludosa Grun. 
529, — pectinalis (Dillw.?) Ra- 
benh. 527, — praerupta Ehrnbg. 
528, — robusta Ralfs 530, — 
Smithii Gutw. 527, — Soleirolii 
(Kuetz.) Rabenh. 527, — triden- 
tula Ehrenbg. 530, — Veneris 
Kuetz. 527. 

Fragilaria Lyngb. . SÉ: 
capucina Desmaz. 521. — con- 


struens (Ehrnb.) Grun. 521, — 
elliptica Schum. 521, — vire- 


scens Ralfs 521. 

Frustulia Ag. BR ER 
bohemica (Ehrenbg.) Rabenh. 
498, — neglecta (Thwait.) De- 
Toni 499, — rhomboides (Ehrnb.) 
De-Toni 497,— vulgaris (Thwait.) 
De-Toni 498. 

Glaucocystis Itzigs . 
nostochinearum Itzings. 543. 

Gloecapsa (Kuetz.) Naeg. 


fusco-lutea Naeg. 544, — pur- 
purea Kuetz. 544. — rupestris 
Kuetz. 544, — spec.? 544. 


Pag. 


434 


546 


or 
bo 
A 


521 


497 


Gleocystis Naeg. . 
gigas (Kuetz.) Lagerh. 437. 

Gleothece Naeg. . 
rupestris (Lyngb.) Bor. EIN 

Gomphonema Ag. e 
acuminatum Ebrnbg. 506, — 
angustatum Kuetz. 508, — Au- 
gur Ehrenb. 506, — capitatum 
Ehrnbg. 506, — constrictum 
Ehrnbg. 505, —  dichotomum 
Kuetz. 508, — exiguum Kuetz. 
509, -- glaciale (Kuetz.) Rabenh. 
509. — gracile Ehrnbg. 507, — 
insigne Greg. 508, — intricatum 
Kuetz. 508, — longiceps Ehrnb. 
507. — micropus Kuetz. 508, — 


montanum Schum. 507, — oli- 
vaceum (Lyngb.) Kuetz. 509, — 
parvulum Kuetz. 509, — Turris 


Ehrenb. 506, — Vibrio Ehrenbg. 
508. 
Gomphosphaeria Kuetz. 
aponina Kuetz. 544. 
Gonatozygon De-By. Sys 
asperum (Bréb.) Cleve 440, — 
Kjellmanii Wille 440, — Ralfsii 
De-By. 449. 
Gymnozyga Ehrenb. : 
moniliformis Ehrenb. 440. 
Haematococcus Ag. = 
lacustris (Girod) Rs 434. 
Hantzschia Grun. Ser 
Amphioxys (Ehrbg.) 515. 
Hormiscia Fries. : 
flaccida (Kuetz.) Gerbe 429, — 
subtilis (Kuetz.) De-Toni 429, — 
zonata (Web. et Mohr.) Aresch. 
429. 
Hyalotheca Ehrenb. 
dissiliens (Sm.) Bréb. 439. 
Hydrurus Ag. 
foetidus (Vill,) Kirch. 498. 
Lemanea Bory 
fluviatilis Ag. 427, — phi a 
(Roth.) Ag. 427. 


544 


440 


440 


434 


515 


429 


Lyngbya Ag.. 4 
aerugineo-caerulea Dome j Gurk 
538, — Martensiana Menegh. 
538, — nigra Ag. 538, 
rulinoides Gom. 538. 

Mastogloia Thw. 
antiqua Schum. 499. 

Melosira Ag. . e : 
arenaria Moore 533, EEN 
(Ehrnbg.) Kuetz. 532, — distans 
Kuetz. 532, — granulata (Ehrnb.) 
Ralfs 533, — orichalcea Kuetz. 
533,— Roeseana Rabenh. 533,— 
varians Ag. 532. 

Meridion Ag. ae 

(Grev.) Ag. 

constrictum Ralfs 519. 


— spi- 


circulare 519, — 
Merismopedia Meyen . À 
elegans A. Br. 543, — GES 
(Ehrenb.) Naeg. 543. 
Mesotaenium Naeg. 
Braunii De-By. 441, — Endliche- 
rianum Naeg. 441. 
Micrasterias Ag. s 
Rabenhorstii Kirchn. 469. 
Microcoleus Desmaz. 
vaginatus Gom. 537. 
Microspora Thur. 3 
amoena (Kuetz. Rabh. 430, 
floecosa (Vauch.) Thur. 430. 
Microthamnion Naeg. . D gal! Ys 
Kuetzingianum Naeg. 433, — 
Navicula Bory ; 
alpestris Grun. 491, — A 
Ehrnb. 489, — angustata Sm. 
486, —  appendiculata (Ag.) 
Kuetz. 480, — Atomus (Kuetz.) 
Grun. 494, — Bacillum Ehrnbg. 
493, — bacilliformis Grun. 493, — 
bicapitata Lagerst. 480, — bino- 
dis Ehrnbg. 494, — bisuleata La- 
gerst. 491, — borealis (Ehrb.) 
Kuetz. 478, — Braunii Grun. 
481, — Brebissonii Kuetz. 479, — 
Carassius Ehrenb. 487, — car- 
pathorum Pant. 488, — cincta 


Pag. 


538 


499 


532 


519 


543 


441 


430 


433 


476 


(Ehrenb.) Kuetz. 483, 
neiformis Greg. 493, —commutata 
Grun. 477, —  cryptocephala 
Kuetz. 486, — dicephala Ehrenb. 
487, — divergens (W. Sm.) 
Ralfs 478, — elliptica Kuetz. 
487, — Esoculus Schum. 491, — 
Kuetz. 490, — fasciata 
Lagerst. 489, — firma Kuetz. 
492, — Gastrum Ehrenbg. 487, — 
gibba (Ehrbg.) Kuetz. 480, — 
gibberula Kuetz. 490, — graci- 
lis Kuetz. 484, — gracillima 
(Pritsch?) Greg. 484, — hemi- 
ptera Kuetz. 477, — hungarica 
Grun. 487, — inflata Kuetz. 
490, — interrupta W. Sm. 481, — 
Iridis Ehrenb. 491, 
Grun. 489, — laevissima Kuetz. 
494, — lanceolata Kuetz. 487, — 
lata Breb. 478, — latiuscula 
Kuetz. 490, — Legumen Ehrenb. 
482, 490, — 
Mágóesyi Pantoc. 477, — maior 
Kuetz. 476, — mesolepta Ehrenb, 


— COCCO- 


exilis 


— Kotschyi 


— limosa Kuetz. 


481, — microstauron (Ehrenb.) 
O. Meara 489, — minutissima 
Grun. 495, — molaris Grun. 
480, — mutica Kuetz. 489, — 


nobilis (Ehrenb.) Kuetz. 476, — 
obliquestriata A. Schmidt 492, — 
oblonga Kuetz. 485, — oculata 
Breb. 487,— Peisoris Grun. 492, — 
peregrina (Ehrenb.) Kuetz, 483, — 
perpusilla Grun. 495, — Placen- 
tula (Ehrenbg.) Kuetz. 487, — 
Pupula Kuetz. 493, — pygmava 
Kuetz. 488. 
484, — rhynchocephala Kuetz. 
485, — Rostellum Grun. 494, — 
Rotaeana (Rabenh.) Grun, 495, — 
Scutum Schum. 489, 
Ehrenb. 484,— Seminulum Grun. 
494, — serians (Breb.) Kuetz. 
489, — sinuata Schum. 491, — 
sphaerophora Kuetz. 489, — stau- 


— radiosa Kuetz, 


— Semen 


558 


roptera Grun. 480, — subcapi- 
tata (Greg.) A. Schmidt 481. — 
subhamulata Grun, 493, — sub- 
linearis Grun. 479, — subtilissima 
Cleve 493, — Tabellaria Kuetz. 
480, — Tuscula Ehrenb. 488, — 


ventricosa Ehrb. 490, — viridis 
(Nitzsch.) Kuetz. 476. — viridula 
Kuetz, 485, — vulpina Kuetz. 
484, — zellensis Grun. 483. 


Nitzschia Hass. 
acicularis (Kuetz.) W. Sm. 515, — 
amphibia Grun. 515, — communis 
Rabenh. 514, — Denticula Grun. 
513, — dissipata Kuetz, 513, — 
gracilis Hanizsch 514, — Hantz- 


schiana Rabh. 515, — linearis 
(Ag.) W. Sm. 514, — minutissi- 
ma Sm. 514, — Palea (Kuetz.) 
W. Sm. 514, — Sigma (Kuetz.) 
wW. Sm. 514, —  sigmoidea 
(Nitzseh.) W. Sm. 513, — si- 


nuata (W. Sm.) Grun. 513, — 
subtilis (Kuetz. ?) Grun. 514, — 
Tabellaria Grun. 513, — ther- 
malis (Ehrenb.) Auersw. 513, — 
vermieularis (Kuetz.) Hantzsch. 
513. 

Nostoc Vauch. 3". 
commune Vauch. 536, — Linckia 
(Roth.) Born. 536, — macrosporum 
Menegh. 536, — muscorum Ag. 
536. 

Odontidium Kuetz. . i : 
Harrisonii W. Sm. 519,— muta- 
bile W. Sm. 519. 

Oedogonium Link. . OR. 
Boseii (Le Cl.) Wittr. 428, — 
obesum (Wittr.) Hirn 429. 

Oocystis Naeg. : 

Naegellii A. Br. 437. 

Ophiocytium Naeg.. - 
eapitatum Wolle 436, — gie, 
are (Eichw.) A. Br. 436, — maius 
Naeg. 436, — parvulum (Perty) 
A. Br, 436. 


Pag. 


Oscillatoria Vauch. 


Agardhii Gom. 540, — amoena 
(Kuetz ) Gom. 540, — amphibia 
Ag. 040,—- beggiatoiformis (Grun.) 
Gom. 541,--brevis Kuetz. 541,— 
chalybea Mertens 541, — formo- 
sa Bory 541, — prolifica (Grev.) 
Gom. 540,— saneta Kuetz. 540,— 
simplicissima Gom. 540, — splen- 
dida Grev. 540,— tenuis Ag. 540. 


513 Palmella Lyngb. 


536 


519 


428 


mucosa Kuetz. 438. 


Pediastrum Meyen . 


angulosum (Ehrenbg.) Menegh. 
436,—Boryanum (Turp.) 435, — 
foreipatum (Corda) A. Br. 435, — 
Tetras (Ehrenb.) Ralfs 436. 


Penium Bréb. 


closterioides Ralfs 445; — eueur- 
bitinum Bisset 446, — didymo- 
carpum Lund. 445, — Digitus 
(Ehrenb.) Bréb. 444, — exiguum 
West 444, — interruptum Breb. 
445, — lamellosum Breb. 446,— 
margaritaceum (Ehrenbg.) Ralfs 
444, — minutissimum Nordst. 
446, — Moreanum Archer 445, — 
Navicula Breb. 445, — oblongum 
De-By. 446, — phymatosporum 


Nordst. 444, — polonicum Rae. 
445, — polymorphum (Perty) 
Lund. 444, — rufescens Cleve 
445, — spirostriolatum Barker 


444 — truncatum (Bréb.) Ralfs 445. 


Phaeothamnion Lagerh. 


confervicolum Lagerh. 427, — 


Phormidium Kuetz. 


ambiguum Gom. 538, — autum- 
nale Gom. 539, — Boryanum 
Kuetz. 539, — favosum (Bory) 
Gom. 539, — foveolarum (Mon- 


tagne) Gom. 538, — lucidum 
Kuetz. 539, — Retzii Gom 538, — 
Setchellianum Gom. 539, — sub- 
fuscum Kuetz, 539, — uncinatum 
Gom. 539. 


Pag, 


540 


438 


435 


444 


427 


538 





Plectonema Thur. OT 
Tomasianum (Kuetz.) Born. 535. 

Fleurocapsa Thr. S 
euprea Hansg. 542, — minor 
Hansg. 542. 

Pleurosigma W. Sm. 5 
acuminatum (Kuetz.)Grun. 497, — 
attenuatum (Kuetz.) W. $m. 497. 

Pleurostauron Rabenh. © 
acutum (W. Sm.) Rabenh. 496, — 
Legumen (Ehrenbg.)  Rabenh. 
496, — parvulum Grun. 497. 

Pleurotaeniopsis Lund. Stee 
Cucumis (Corda) Lagerh. 451, — 

Lund. 451, 
pseudoexigua (Rac.) Lagerh. 
451, — Ralfsii (Bréb.) Lund. 451. 

Pleurotaenium Naeg. . 
minutum (Ralfs) Delp. 451; 
nodosum (Bail. Lund. 451. 

Prasiola Ag. : 
fluviatilis SE ) Anode 429. 

Pseudo-Eunotia Grun. 
alpina (Naeg.) Grun. 531, — de- 
pressa Schum. 531, — lunaris 
(Ehrnbg.) Grun. 530, — pachy- 
cephala (Kuetz. Grun. 531, — 
subarcuata (Naeg.) Grun. 531. 

Raphidium Kuetz. 
polymorphum Fresen. 436. 

Rhoiconeis Grun. SES 
trinodis (W. Sm.) Grun. 495. 

Rhoicosphaenia Grun.. 
curvata (Kuetz.) Grun. 509, 
fracta (Schum.) Rabenh. 509. 

Rivularia (Roth.) Ag. . : 
haematites (D. C.) Ag. 535. 

Roya W. et G. West . 
obtusa (Bréb.) W. et G. West 442. 

Scenedesmus Meyen. : 
antennatus Bréb. 435, — n 
gatus (Turp.) Kuetz. 434, — co- 
status Schmidle 435, — quadri- 
cauda (Turp.) Bréb. 435. 

Schizostauron Grun. : 
tatricum (Gutw.) De-Toni 497. 


Bulletin III. Avril. 


elegantissima 


497 


451 


451 


429 


530 


497 


Schizothrix Kuetz. Ze EM 
Friesii (Ag.) Gom. 537, — lacu- 
stris A. Br. 537, — penicillata 


(Kuetz.) Gom. 537. 
Scoliopleura Gom. . 
alternans (Schum.) De-T 
Scytonema Ag. 
figuratum Ag. 534, — SE 
(Ag.) Thur. 535, — myochrous 


‘oni 497. 


(Dillw.) Ag. 534. 
Sphaerogonium Rostaf. 

polonicum Rostaf. 541, — fuscum 

Rostaf. 541, — gracile Rostaf. 

541, — amethystinum Rostaf. 

541, —  subglobosum  Rostaf. 

541, — minutum Rostaf. 541, — 


inerustans (Grun.) Rostaf. 541. 
Sphaerozosma Corda d 
excavatum Ralfs 440, — verte- 
bratum (Breb.) Ralfs 439. 
Spirogyra Link. RN $ 
longata (Vauch.) Kuetz. 438, — 
Lutetiana P. Petit 439, 
etata Cleve 439. 
Spirotaenia Breb. 
condensata Bréb. 441. 
Spondylosium Breb. ; 
pulehellum Arch. 439, — sece- 
dens (De-By.) Arch. 439. 
Staurastrum Meyen. : 
alpinum Rac. 475, — Assis 
Bréb. 474, — amoenum Hilse 
473,— basichondroides nov. spec. 
474, — Borgeanum Schmidle 
474,— Csorbae nov. spec. 471, — 


— pun- 


decipiens Rac. 475, — dejectum 
Bréb. 470,— denticulatum (Naeg.) 
Archer. 470, — dilatatum Eh- 
renb. 474, — furcatum (Ehrbg.) 
Bréb. 470, — gracile Ralfs 475, — 
Nordst. 472, 
laniatum Delp. 470, — marga- 
ritaceum Ehrenb. 475, — Meriani 


inconspicuum 


541 


439 


438 


441 


439 


470 


Reinsch 474, — muricatum Bréb. 


472, — orbiculare (Ehrenb.) Ralfs 
471, — paradoxum Meyen 475, — 


10 


560 


Pag. 
pileolatum Breb. 474, — poly- Kuetz. 521, — pulchella (Ralfs) 
morphum Breb. 475, — punctu- Kuetz. 520, — radians Kuetz. 
latam Breb. 472, — pygmaeum 521, -— Ulna (Nitzsch.) Ehrenb. 
Bréb. 471, — rugulosum Bréb. 520, — Vaucheriae Kuetz. 520. 
471. — saxonicum Bulnh. 471,— Tabellaria Ehrenbg. : . 
senarium (Ehrenb.) Ralfs 470,— fenestrata (Roth) Kuetz. 529, — 
sexcostatum Breb. 475, — sub- floceulosa (Roth) Kuetz. 522. 
brebissonii Schmidle 470, — sub- Tetmemorus Ralfs . 
dilatatum West 474, — teliferum Brebissonii (Menegh.) Ralfs 446, — 
Ralfs.470, — tetracerum (Kuetz.) granulatus (Bréb.) Ralfs 447, — 
Ralfs 475, — trachynotum West levis (Kuetz.) Ralfs 447. 
471, — trapezicum Boldt. 471,— Tetracyclus Ralfs 
varians Racib. 472, lacustris Ralfs 523, — ear 

Stauroneis Ehrenb. pa. 290 (A. Br.) Grun. 523. 
anceps Ehrnb. 495, — dilatata Tetraödron Kuetz. . TH 
Ehrenb. 495,—Heufleriana Grun. irregulare (Reinsch) De - Toni 
496, — Phoenicenteron (Nitzsch.) 437, — minimum (A. Br.) Hansg. 
Ehrnb. 495, — Platystoma (Eh- 496. 
renb.) Kuetz. 495, — producta Tetrapedia Reinsch. 

Grun. 496. glaucescens (Wittr.) Boldt. 543. 

Stephanodiscus Ehrnb. : 532  Tetraspora Link. 

Astraea (Ehrenb.) Grun. 532. lubriea (Roth.) Ag. 437. 

Stigonema Ag. : . 594 Tolypothrix Kuetz. . 
informe Kuetz. 534, MC ein lanata (Desv.) Wartm. 535. 
me (Ag.) Bzi. 534. Trentepohlia Mart.. 

Suriraya Turp. : . 516 aurea (L.) Mart. 432, — Bleischii 
biseriata (Ehrnbg.) Bréb. 516, — (Rabh. Wille 433, —  Jolithus 
constricta Ehrenb. 516,— linea- (L.) Wallr. 433, — malleiformis 
ris W. $m. 516, — microcora nov. spec. 433. 

Ehrenbg. 516, — ovalis Breb. Urococcus Hassal 
516, — spiralis Kuetz. 517, — insignis Hass. 438. 
splendida (Ehrnbg.) Kuetz. 516. Vaucheria DC 

Symploca Kuetz. 538 -geminata (Vauch.) DC. 433, 
muscorum (Ag.) Gom. 538. hamata (Vauch.) Lyngb. 134, — — 

Synechococeus Naeg. 542 uneinata Kuetz. 434. 
maior Schröt. 542. Zygnema Ag. - 

Synedra Ehrenb. 520 cruciatum (Vauch.) m 438, 
Acns Kuetz. 520, — Det stellinum (Vauch.) Ag. 438. 

Corrigenda. 
Pag. 4 426 Chlorophyceae, numerus specierum 56 — lege 55. 


426 Myxophyceae, 
„ 489 


" 


2:1 TORE ee 


Navieula Carassius Nr. 52 — Nr. 39, pag. 487. 





Pag. 


436 


543 


437 


535 


432 


438 


433 


438 





561 


Seance du lundi 5 Avril 1909. 


Prestpence pk M. ED. JANCZEWSKI. 


24. O istnieniu najwyżej jednego tylko rozwiqzania za- 
gadnienia Dirichleta. — Sur l'unicité de la solution 
du probleme de Dirichlet. Note de M. S. ZAREMBA m. c. 


$ 1. Divers auteurs') mettent en garde avec raison contre une 
interprétation trop large du théoréme suivant lequel le probleme de 
Dirichlet n’admet qu’une seule solution au plus ou, ce qui revient 
au méme, du théoréme suivant: 

Lorsqu'une fonction u, harmonique à Vintérieur d'un certain do- 
maine, est nulle sur la frontière, elle est nulle dans tout le domaine. 

Toutefois on va trop loin quand on affirme, comme on le fait 
quelquefois?) que, pour la validité du théorème, il est nécessaire 
d’être assuré à l'avance de la continuité de la fonction u, même en 
chacun des points de la frontière. Sans doute, la démonstration elas- 
sique ne vaut que dans cette hypothèse, mais le théorème subsiste 
dans des conditions plus générales. Cette remarque est contenue 
implicitement, sans démonstration, dans un travail que j'ai publié 
il y a plus de dix ans?) il y a done quelque intérét à faire voir 
avec quelle simplicite il est possible de la justifier rigoureusement. 

§ 2. Une transformation par rayons-vecteurs réciproques per- 
mettant toujours de ramener le cas d'un domaine s'étendant à l'in- 
fini à celui d'un domaine borné, je n'envisagerai qu'un domaine 
borné (D). 

Considérons d'abord le cas du plan et supposons, sans chercher 
à atteindre le maximum de généralité, que la fonction », harmo- 
nique à l'intérieur du domaine (D) et par conséquent continue en 
tout point situé à l’intérieur de ce domaine, jouisse sûrement dela 
propriété suivante: soit u (P) la valeur de la fonction u en un point 


1) R. d'Adhémar, Exercices et leçons d'Analyse, pp. 118 et 119 (Paris, 1908, 
chez Gauthier-Villars), Correspondance d'Hermite et de Stieltjis, vol. I, pp. 344 
et 345 (Paris, 1905, chez Gauthier-Villars). 

2) Voir le passage cité plus haut de l'intéressant ouvrage de M. d'Adhémar. 

3| Zaremba, Sur le Probléme de Diriehlet. Annales scientifiques de l'Ecole 
normale supérieure, 1897. 


10* 


562 


P, intérieur au domaine (D) et A un point pris arbitrairement sur 
la frontiere; on aura en general: 
(1) im uw(P)—0; 

AP — 0 
la eonvergenee étant uniforme pour lensemble des direetions que 
pourra prendre la droite AP, mais il pourra y avoir incertitude 


pour un nombre fini: 


4, H ARE À, 


de positions exceptionnelles du point A, où l’on sera assuré seule- 
ment de l'existence des relations suivantes: 

u) | | 
(2) lim = — (. (£51, 2,...n) 

A; P=0 log AE d 
avee la méme condition d'uniformité de convergence que pour la 
relation (1). 

N'ayant que les renseignements précédents au sujet de la fone- 
tion 4, il est méme permis de se demander si la fonetion w est 
bornée à lintérieur du domaine (D). Cependant, en réalité elle est 
nulle identiquement à l’intérieur de tout ce domaine. Pour établir 
ce point, déerivons des points A,, 4,,....4, comme centres de pe- 
tits cercles (X) ayant pour rayons une méme petite longueur @ et 
désignons par (D,) le domaine formé par ceux des points du do- 
maine (D) qui sont extérieurs aux cercles (3). Cela posé, désignons 
par L le maximum de distance de deux points situés dans le do- 
maine (D) ou sur la frontière et considérons la fonction v (P) dé- 
finie par la formule suivante: 


n 


L 
(3 { P == Së DË 
) dE D am; 


où € représente un facteur positif. 

On peut évidemment, sans nuire à la généralité, admettre que 
la fonction u est réelle. Cette condition étant remplie, considérons 
les fonctions: 


v(P)—u(P) et v(P)+u(P). 


Chacune d'elles est une fonction harmonique à l'intérieur du 
domaine (D,) et chacune d'elles tend uniformément vers une limite 


563 


déterminée lorsque le point P tend vers un point M situé sur la 
frontiere de ce domaine. 

Si petite que soit la valeur attribuée au facteur positif e, on 
pourra, comme cela résulte des équations (1) et (2), donner à la 
longueur o une valeur non nulle, mais assez petite, pour que les 
limites précédentes soient positives, quelle que soit la position du 
point M sur la frontière du domaine (D,). On aura alors dans tout 
ce domaine: 


v (P)—u(P)>0, 
ainsi que: 
o(P)+u(P) > 0. 
On aura done dans tout le domaine (D,): 
| lu (P) | <v (P). (4) 


Considérons maintenant un point déterminé quelconque Q situé 
à l’intérieur du domaine (D). La longueur ọ étant assez petite, le 
point Q sera situé à l'intérieur du domaine (D,) et il sera permis 
de changer P en Q dans la relation (4). On aura done: 


(u (9) <v (0), 
ce qui, eu égard à (3), peut s'éerire ainsi: 


L — 
AQ 








[u (Q) e A log 


Cette inégalité devant subsister si petit que soit le nombre e, 
on a nécessairement: 


u (Q) —0, 


égalité qui exprime la proposition que nous voulions établir. 

On développera avec la plus grande facilité des considérations 
du méme genre en supposant que le domaine (D) soit à trois di- 
mensions et lon reconnaitra aisément que, dans certains cas, on est 
en droit d'affirmer que la fonetion w est nulle dans tout le do- 
maine bien que, a priori, lexistence de la relation (1) puisse être 
douteuse pour des positions du point A dont lensemble formerait 
des lignes tracées sur la frontière du domaine considéré. 


564 


M. Boggio m'a fait remarquer, dans une lettre récente, que le théorème, pres- 
que évident, mais très utile, que je démontre en quelques lignes au § 3, p. 6, de 
mon mémoire Sur l'intégration de l'équation biharmonique, présenté à l’Acade- 
mie en janvier 1908, est contenu dans une égalité qui se trouve à la ligne 17ième 
de la 10ième page de son mémoire Transformazioni di alcune funzioni poten- 
ziali, publié dans les Rendiconti del Circolo mat. di Palermo en 1906. 





IN 
or 


Krystalizacya salmiaku.— Kristallisation von Salmiak. 
Mémoire de M. STEFAN KREUTZ, présenté par M. J. Moroze- 
wiez m. c. 

(Planches IX et X). 


L 1. Einleitung, Mischbarkeit von Salmiak mit Metallehloriden von verschie- 
dener Zusammensetzung. 


G 


. Topische Achsen der Doppelsalze. 
II. 1. Die Form der Salmiakkristalle. 
a) aus reinen ‚Lösungen, 
b) aus Lösungen mit Beimengung von Kadmiumchlorid. 
2. Optisches Verhalten der Kristalle. 
3. Molekularrefraktion. 
4, Modifikation der Salmiakmischkristalle. 
III. Über den Verlauf der Kristallisation aus Salmiaklösungen. 
1. Untersuchungsmethode. 
2. Kristallisation aus reinen Lösungen. 
3. Kristallisation aus Lösungen mit Beimengung von Lisungsgenossen. 
4. Das Verhalten in zugeschmolzenen Röhren. 
IV. 1. Betrachtungen über die Änderung der Kristalltracht und Ursache der- 
selben. 
2. Allgemeine Bemerkungen über das Kristallwachstum. 
3. Ergebnisse der Untersuchung. 


I 


ı. Einleitung. 


In vorliegender Arbeit wurde versucht, die Untersuchung des 
Einflusses der Lösungsgenossen auf die Kristallform auch auf den 
Kristallisationsverlauf selbst auszudehnen. Als Gegenstand der Un- 
tersuchung diente die Beeinflussung der Form von Salmiak durch 
Zusatz von Chloriden der Schwermetalle. j 

Aus Lösungen von Ammonium-Chlorid, welchen ein Salz eines 
Schwermetalls, vornehmlich ein Chlorid von Cr, Mn, Fe", Fe”, 
Ni, Co, Cu, Cd, Sn, Hg zugefügt wurde, scheiden sich, wie dies 


565 


zuerst O. Lehmann!) gezeigt hat, Kristalle aus, welche geringe 
Mengen von Metallsalz enthalten; bei größerer Konzentration des 
Metallehlorides scheiden sich Doppelsalze aus. Am genauesten wur- 
den die Gleichgewichtsverhältnisse eines solchen Systems im Falle: 
NH,Cl, FeCl, . 6H,0, H,O von Roozeboom?), später von Mohr?) 


untersucht. Die Isotherme Fig. 1 bei 15° stellt die Zusammensetzung 


5 


D 


Fig. 1. 


der Lösungen dar, welche mit den Mischkristallen (Kurve CD), dem 
Doppelsalz FeCl,.2NH,Cl.H,0 (Kurve BC), bezw. mit reinem 
FeCl, .6H,0 (AB) im Gleichgewichte sind. Auf der Abszissenachse 
ist die Zahl der Mol. von NH,Ol auf 100 Mol. H,O, auf der Ordi- 
natenachse der Mol. von FeCl, auf 100 Mol. H,O aufgetragen. Das 
Maximum des Eisengehaltes: 7:29°/, entspricht einer Lösung von: 
2321 e NH,CI 6083 g FeCl, auf 100 g H,O. 

Bodländer*) schreibt diese Mischbarkeit adsorptionsartigen 
Erscheinungen zu. In letzter Zeit beschäftigte sich mit der Frage 
Johnsen 5), welcher auf Grund einer sehr eingehenden Untersu- 
chung zu folgenden Ergebnissen kommt. Da die aus FeCl,-haltiger 
Lösung ausgeschiedenen Rhombendodekaéder dieselbe Felderteilung 
(6 opt. einach. (—) Sektoren) wie die „würfel“-ähnlichen Mischkristalie 


1) Molekularphysik, 1888. 

2) Z. f. Ph. Ch., X, 1892. 

3) Z. rt Ph. Ch., XXVII. 
SENS JE Mo XIL Boil. Bd: 
5) N. J. f. M., 1903, 2. Bd. 


566 


zeigen, so ist die beobachtete Doppelbreckung nicht als anormal zu 
betrachten. Die Interpositionen der das Metallchlorid enthaltenden 
Verbindung müssen demnach optisch anisotrop sein. „Was die Art 
der Einlagerung betrifft, so ist sie nicht isomorph beigemengt, 
doch hat man hier mit einem homogenen Gemisch zu tun. Über die 
Größe der beigemischten Substanz sagt die Phasen-Regel nichts 
aus, und falls es nicht gelingt, zwischen weitgehend polymerisierten 
Molekeln und einem kleinen Kristall einen Unterschied anzugeben, 
so kann man von submikroskopischer regelm. Verwachsung wie 
vom Gemisch reden“. Er weist auf die Mikroperthit-Struktur hin. 

Was die chem. Zusammensetzung der im ,Mischkristall“ ein- 
geschlossenen Metallverbindung betrifft, so läßt sich natürlich nicht 
entscheiden, ob hier ein Doppelsalz oder eine einfache Verbindung 
vorliegt. Im Fall der FeCl, enthaltenden Kristalle spricht der stets 
gefundene Wassergehalt (H,O und NH, aus Differenz) für eine Zusam- 
mensetzung Fe,Cl, . 8H,0 eines unbekannten Hydrates, also wäre dies 
nach Roozeboom wahrscheinlich das unbeständige Fe,Cl,.7H,O. 
Dieser Ansicht schließt sich Johnsen an, während Lehmann 
und Mohr sich für ein Doppelsalz aussprechen. In nickelhaltigen 
Salmiakkristallen könnte die Beimengung die Formel: NiCl, .2H,O, 
in den Cr-haltigen: CrCl, .6H,O haben. 

Die Untersuchung über die Gleichgewichts-Verhiltnisse der Ver- 
bindungen von NH,Cl und von Kadmium-Chlorid hat Rimbach 1) 
durchgeführt. In seiner Arbeit sind kristallographische Bestimmun- 
gen von Traube angegeben. Das rhomboédrische Doppelsalz: 
4NH,Cl.CdCl, zerfällt mit Wasser in das rhombisch kristallisie- 
rende: NH,Cl.CdCl,, wobei mit sinkender Temperatur die Zer- 
legbarkeit wächst: 


ANH,C1.CdCl, > NH,C1. CaCl, + 3NH,Cl. 


Die mikroskopische Untersuchung lehrt nun, daß die Salmiak-Kri- 
stalle die etwas Kadmium-Chlorid enthalten, sowie die FeCl,-haltigen 
Kristalle ausgesprochenen Zonarbau aufweisen. Bei Cd-haltigen Kri- 
stallen sieht man sehr deutlich die stark doppelbrechenden Partien 
mit opt. isotropen abwechselnd aufeinander folgen, bei den anderen 


1) E. Rimbach, Ber. d. d. Ch. G. Berlin, 30. III. 1897, 3073, 35. U. 
1902, 1298. 


567 


auch in gewöhnlichem Licht helle und dunkler gefärbte Partien, 
wie dies schon Mohr erwähnt. Ein solcher Zonarbau ist, wo die 
Zusammensetzung der Schichten in so hohem Maße variiert, trotz- 
dem die äußeren Bedingungen fast unverändert bleiben, mit der 
Annahme einer isomorphen Mischung unvereinbar. E. Sommer- 
feldt!) war der erste, welcher darauf aufmerksam machte. Das 
Auftreten solcher Zonarstruktur beweist nach ihm die Zugehörig- 
keit der Mischung zum Adsorptionstypus, bei welchem es nur auf 
Oberflichenenergie ankomme. 

Mit der Annahme einer adsorptionsartigen Erscheinung (im Sinne 
Bodländers?)) stimmen auch andere Tatsachen: Die von Lehmann 
gemachte Beobachtung, daß die Mischkristalle stärker gefärbt sind 
als die Lösung, ist nur bei sehr geringem Gehalt an Farbstoff in 
Lösung möglich. Bei größerem Gehalt an FeCl, wächst der Gehalt 
an FeCl, in den Mischkristallen viel langsamer als in der Lösung, 
wie es aus folgenden Zahlen Roozeboom’s ersichtlich ist: 


Gehalt der Lösung: 


auf 1002 NEO 35 JU IDEO NE CL T0 T Feel, NO) 
32195 dei 6:16 0:189 
2841 S 15°33 0-53 
25:33 H 25-43 1:00 
23:05 d 34:56 1:49 
25:22 > 3913 1:69 
Kristalle: NH,CI Ea") 

0:319/, FeCl, 0:003 

Uds 0:009 

T6042. 7 0:016 

3:06 » ” 0:031 

SOU, ER 0:039 

SE 0:078 


DN. J. f M; 1902: II. Bd: 
J Er En Oy 


Das entspricht nun der von Bodländer für solche Mischun- 
gen aufgestellten Bedingung. Nach Bodländer kann eine durch 
Haftung an der Oberfläche entstandene Adsorption die Eigenschaften 
eines homogenen Systems, welchem es sich durch Feinheit der 
Verteilung u. s. w. nähert, besitzen. Bei geringem Gas- oder osmo- 
tischem Druck und größerer Oberfläche des adsorbierenden Körpers 
ist die Adsorptions-Kraft diesem Druck proportional. Sind die ad- 
sorbierten Molekel 2, 3...» mal größer als die entsprechenden 
in der Lösung, so wird die Konzentration an der Oberfläche der 
2,3...n-ten Potenz der Konzentration in freiem Zustande propor- 
tional. Bei größerem Druck wird aber die Konzentration langsamer 
wachsen, weil die Oberfläche des fremden Körpers schon bei schwa- 
cher Konzentration mit Molekeln des fremden Körpers bedeckt ist 
und neue Molekel zu ihr keinen direkten Zutritt haben. 

Durch Annahme einer bloßen Oberflächenwirkung ist auch die 
von Roozeboom gefundene „Anomalie“, daß der Eisengehalt der 
nacheinander aus derselben Lösung ausgeschiedenen Kristalle ganz 
unregelmäßig schwankt, so z. B. 500%, 368%, 2°95°/,, 3:77°/,, 
3:07°/, FeCl, oder 0:31°/,, 0'21°/,, 0‘12°/, in einem anderem Bei- 
spiel beträgt, erklärlich. 

Die Mischbarkeit würde sich demnach als Oberfliehenwirkung 
der jeweiligen Oberfläche des wachsenden Kristalls erklären. 

Nachdem nach neueren Ansichten die Mischbarkeit fremder Kör- 
per miteinander mit der Ähnlichkeit ihrer topischen Achsen im 
Zusammenhange steht, so ist eine Diskussion der hier in Betracht 
kommenden topischen Parameter angezeigt. 


2. Topische Parameter der Doppelsalze. 


Th. V. Barker!) hat an einer Reihe von Beispielen gezeigt, 
daß Körper, welehe miteinander eine regelmäßige Verwachsung 
bilden können, ähnliches Mol. V. und top. Achsen (Becke, Muth- 
mann, Tutton) besitzen. Daß in isomorphen Gruppen die Misch- 
barkeit mit der Ähnlichkeit des Äquivalentvolums steigt, hat man . 
schon lange gewußt (vergl. P. Groth; G. Wulff fand, daß K- u. 
Cs-Sulfat sich gar nicht miteinander mischen können. Z. f. K. 


1) Th. V. Barker, Min. Mag., XIV. 66, 235. 1907. u. XV. 68, 43. 1908. 
Z. f. K., XLV. 1908. H: 1. 


569 


XLII. H. 6, 1907. Vergleiche besonders die Arbeiten von Gossner 
in Z. f. K.). Es ist von Bedeutung, daß diese Bedingung auch für 
Verwachsung fremder Körper miteinander gültig ist. 

Der Verfasser!) konnte dieses Ergebnis Barkers an einigen 
neuen Beispielen bestätigen, wobei es sich herausstellte, daß hier 
vor allem die Ähnlichkeit der zusammenfallenden top. Parameter 
in Betracht kommt. So fand er, daß der rhomboédr. Natronsalpeter 
auf gewissen Ebenen des monokl. Barytokalzits orientierte Über- 
wachsungen bildet; längs der sich berührenden Flächen ist die Ver- 
teilung und relative Entfernung der Struktureinheiten sehr ähnlich. 

Natronsalpeter wächst am Kalzit parallel an, wie dies von Fran- 
kenheim beobachtet und in letzter Zeit von Barker bestätigt 
wurde. Es gelang aber nicht, parallele Verwachsung von NaNO, 
auf anderen Karbonaten der Kalzit-Gruppe zu erhalten, trotzdem 
ihre Winkel den entsprechenden des NaNO, ähnlicher sind als die 
des Kalzits. Dagegen gelang es dem Verfasser, eine ganz regel- 
mäßige Verwachsung der rhomboédrischen Modifikation von Lithium- 
nitrat (stabil oberhalb 60°) auf Rhodochrosit und Siderit zu erhal- 
ten, trotzdem die Winkelgrößen hier mehr differieren als die ent- 
sprechenden des Natriumnitrats. 


Aq. V. x a R:R 
LiNO, 29:59 3:18 102° 16:5' 74° 20' 
MnCO, 31:19 3:241 102° 50' 139 00' 
FeCO, 29:85 3:204 103° 04 139 02’ 


Trotz der größeren Ähnlichkeit des Spaltwinkels des Kalzits und 
des LiNO, gelang die Erhaltung einer Überwachsung von Kalkspat- 
Stücken durch Lithiumnitrat nieht (Kalzit R: R = 74°55’, LiNO; 
R: R = 74°20’). Die top. Parameter sind hier zu stark verschieden. 
Kristallographische Ähnlichkeit ist noch keine ausreichende Bedin- 
gung der regelmäßigen Verwachsung. Ein engeres Kriterium der 
Fähigkeit, orientierte Verwachsungen und Überwachsungen zu bil- 
den, liegt in der Ähnlichkeit der top. Parameter. Diese Ähnlich- 
keit kann auch ganz zufällig sein, wie z. B. im Fall von Baryto- 
kalzit und Natriumnitrat (verschiedene Kristall-Systeme). 

Die Betrachtung der top. Parameter der hier in Betracht kom- 
menden Salze führt zu folgendem Ergebnis: 


1) Kreutz, vorgelesen in der Sitz. d. Londoner Min. Soc. 1908. 


570 


Salmiak: NH,Cl. Ag. V. = 3496. Sp. G. 1:531—1:538. Unter 
Zugrundelegung des einfachen kubischen R. Gitters y = 3:2699. 
Doppelsalz: NH,CI.CdCI, rhomb. 


abe — 06056; 1 : 0:7992 (Traube) V = 80:31. 
Für ein rhomb. prismatisches Netz erhält man: 
x = 42015 


wy — 69374 
w — 5'5446 


Diese aber geben die Struktur des Salzes nicht gut wieder. 

Es ist ersichtlich, daß hier eine pseudo-hexagonale Struktur 
zu grunde liegt. Stellt man die Achse a als Querachse auf (a), 
so schneiden sich die zwei anderen, welehe den Durchschnittskanten 


der früheren (110):(001) und (110):(001) entsprechen, unter einem 
Winkel von 62022". Die top. Achsen sind jetzt: 


¥ == Vo — 4091 
ay — 4-2015 
w = 55446 


Die Struktur des Salzes ist von der des Salmiaks gänzlich ver- 
schieden, so daß ihre Anwesenheit im Salmiak unwahrscheinlich 
erscheint. 


Doppelsalz: 4NH,CI.CdCI, hexag. rhomboédr. 
a: c = 11029899 
1011 : 0111 = 61° 09:5' (Johnsen) 


Pseudoregulär; gewöhnliche Komb. (1011) (1120) Rhombendo- 
dekaëderähnlich. Es bildet sich aus kadmiumchloridhaltigen Lö- 
sungen, wenn großer Überschuß von NH,Ol vorhanden ist. Es ist 
folglich von Interesse, dieses Salz direkt mit Salmiak zu verglei- 
chen. Zur Annahme einer Struktur beim Salmiak haben wir eigent- 
lich keinen sicheren Anhaltspunkt. Die gewöhnliche Modifikation 
ist weder mit Kochsalz, noch mit KCl, welchen ein ausgesprochen 
einf. kubisches Raum-Gitternetz zukommt, isomorph. Dagegen ist die 
labile Modifikation von Salmiak mit KCl isomorph, diese dürfte also 
eine ähnliche Kristallstruktur haben. Da beide tesseral kristallisieren, 
so würde dies darauf hinweisen, daß die gewöhnliche Modifikation 
eine andere Struktur besitzt, vielleicht wegen der Häufigkeit der 


571 


Rhombendodekaéderfliichen die des zentrierten Würfels. Gewöhnlich 
wird für Salmiak ein einfaches kub. Netz angenommen, wozu die 
gew. undeutliche Spaltbarkeit nach (100) Anlaß gibt. An einer 
Reihe von Kristallen konnte keine Spaltbarkeit wahrgenommen 
werden. Es ist also zweckmäßig, beide Eventualitäten in Betracht 
zu ziehen. 

Würde ein einfaches hexaédrisches Raumgitter zugrunde liegen 
und das Doppelsalz damit vergleichbar sein, so müßte das auftre- 
tende Rhomboéder (1011) im rhomboédrischen Kr.-system das Sym- 
bol (110) erhalten. Das Hauptrhomboéder wäre durch den Winkel 
a — 89° 00’ charakterisiert. 


4NH,Cl. CaCl, NH,CI 
a — 89° 00' æ — 90° 00° 
x = 3401 x = 3210 


Im zweiten Fall behält die Einheitsfläche des Doppelsalzes 
das Symbol (100). Im Fall der Struktur eines zentrierten Hexa- 
öders bilden die Raumgitterpunkte die Mittelpunke von Kubookta- 
édern. Die wahre Raumgittereinheit ist jetzt aber ein Rhomboéder, 
mit einem Flachenwinkel A = 60° 00°. Dieses entspricht dem am 
Doppelsalz beobachteten. Um den Vergleich beider Salze durchzu- 
führen, kann man dessen Inhalt gleich dem entspr. Äquivalentvolum 
setzen und die Kantenlängen vergleichen. 


4NH,C1. CaCl, NH, CI 
a — 109° 00’ ~ 109° 28/ 
x = 3:6947 35705 


Die Entfernung der Punkte in der Richtung der dreizähligen 
S.-A.: — Doppelsalz — 5:655, Salmiak 5:664. 

Da dieses Salz mit Wasser unter Abspaltung von NH,Cl und 
NH,Cl.CdCl, zerfällt (Rimbach), so wäre das von Lehmann 
beschriebene Zerspringen der „Mischkristalle“ erklärlich. Die weiter 
beschriebene Änderung des Kristallisations-Verlaufes (Verminderung 
der Kristallisstionsgeschwindigkeit) der Salmiaklösun- 
gen, welchen etwas Kadmiumchlorid hinzugefügt wurde, könnte auch 
damit im Zusammenhange stehen; die Endkonzentration ist nur 
wenig von der der reinen Lösung verschieden, also es sind hier 
sicher unbeständige Verbindungen mit im Spiel. 


572 


Eine Ähnlichkeit zwischen einem Doppelsalz und einer seiner 
Komponenten ist von vornherein zu erwarten, wenn die betreffende 
Komponente sich im Doppelsalz in großem Überschuß befindet. Die 
morphotropisehe Wirkung der anderen Komponente ist nicht sehr 
bedeutend und wenn sie auch, wie hier das CdCl,, ein Auseinan- 
derrücken der Struktureinheiten bewirkt, so wirkt dem die von 
Retgers nachgewiesene Kontraktion entgegen, und das Äquiva- 
lentvolum wird nieht viel verschieden sein !). 

Die infolge der Doppelsalzbildung entstehende Kontraktion kann 
nach Retgers?) so groß sein, daß das sp. G. des Doppelsalzes 
größer ist, als das der Komponenten, z. B. K,SO, — 2664, 
Na,SO, — 2:674, K,Na(SO,), — 269. 

Die Ähnlichkeit des Doppelsalzes mit den Komponenten zeigt 
sich an Dolomit3) Aqu. V. —31:31, add. berechnet: 32:35, x bech, — 
3252, berechnet 38:322, x also beinahe so groß wie bei Magnesit 
(y = 3:201). 

Dureh homogene Deformation der Struktur einer der Kompo- 
nenten kann man die Struktur des Barytokalzits erhalten. Manche 
top. Parameter zeigen mit denen des Kalzits und Natronsalpeters, 
mit welchen er orientierte Verwachsung, bezw. Uberwachsungen 
bildet, große Ähnlichkeit. 


1) Aus der von Groth adoptierten Theorie der Kristailstraktur folgt, daß der 
Vergleich eines Doppelsalzes mit seiner Komponente genau so anzustellen ist, wie 
z. B. der eines isomorphen Mischkristalls. Da die wirklichen M.-Gewichte kri- 
stallisierter Körper meistens unbekannt sind, so ist es zweckmäßig, die kleinsten 
zu nehmen, dabei aber immer tatsächlich äquivalente Molekularvolumina zu ver- 
gleichen (Formeln mit gleichem O-gehalt). Wie Groth (Einleitung in die chem. 
Kristallographie 1904 S. 9) gezeigt hat, ist die Frage der Molekülgröße für sol- 
che Zwecke gegenstandslos, weil die Moleküle in einem Atomraumgitter gar nicht 
existieren und man die „Einheit der Kristallstruktur* ganz willkürlich wählen 
kann; z. B.: „man kann mit gleichem Rechte in verschiedener Weise benach- 
barte S-. O- u. K-Atome zu einer Gruppe SO,K,— oder auch die doppelte Anzahl 
zu einer Gruppe S,0,K, zusammengefaßt denken“. Man kann also ebenso gut 
z. B. im Falle des Kalzits und Dolomits die Formel des ersteren verdoppeln oder 
CaMg 

2 





die dem CaCO, äquivalente ( ) CO, nehmen. Wegen der Einheitlichkeit des 


Verfahrens (vergl. isomorphe Mischungen!) ist das letztere zweekmäßiger. So er- 
gibt sich für das Doppelsalz 4NH,Cl.CdCl, das dem Salmiak äquivalente Vo- 
lum — 32:9. 

2) Z. f. Ph. Ch. 4. 1889, 6. 1890. 


?) Spezifische Gewichtsbestimmung von Retgers. 


573 


Barytokalzit 
Aqu. — 41:47 
AD OE Teh 0:6 254 
dr 106908; 
y= U, —'3:560 
o = 3520 
Gras = 4352, Mas. > 5 564 
Crier == ASS Nam. = 5,909 
[110] : [110] — a, = 104? 41' 
[112]: [001] = a, = 102° 07 


Natronsalpeter Kalzit 
378 36:8 
9, : 5:6 = 0:1995.: 1 :0:64017 GeO a——329:8 D 1:20:6491 
B = 110° 46’ B == 109° 08' 
2 — a) q-— 3460 y = Y w = 3413 
C= 4322 = 4:300 
n= 5'405 7 = 5302 
& — 0 0, - 1029425! a — 101° 55° 


Um den Vergleich durchzufiihren, stelle ich hier den Kalkspat 
und NaNO, monoklin auf. Zwei Spaltflächen erscheinen als Pris- 
menflüchen, die dritte als Basis. Die Größen ¢ und 7 (die Ent- 
fernungen der Struktureinheiten längs der Diagonalen der Rhom- 
boöderebenen) haben hier für die Verwachsung eine besondere Be- 
deutung und sie sind auch am ähnlichsten. 

Das reine Kadmiumchlorid CdCl, . 21H,0 kristallisiert monoklin, 
pseudorhombisch. Wegen der unbekannten Rolle des Wassergehaltes 
ist es schwer, es mit dem Salmiak zu vergleichen. Jedenfalls ist 
das M. V. größer. 

Der Wassergehalt erschwert auch die Vergleichung der top. 
Parameter des Salmiaks mit den meisten Doppelsalzen der anderen 
Schwermetalle, deren Zahl sehr groß ist und die sehr oft pseudo- 
kubisch sind. Johnsen hat eine Reihe dieser Doppelsalze ge- 
messen und deren sp. G. bestimmt. Wir haben hier: 


HeCl, . 2NH,Cl . H,O 


a : b: c = 011198:1:0 71241 rhombisch (Johnsen) 
Sp. G. 2:84 Äqu. V.— 139:36. 


574 


Die Flächen (110) u. (011) entsprechen dem Oktaéder. Für das 
rhomb. prismat. Netz ergibt sich: 
A1 = % = 4:8935 
w — 6:1586 
MnCl, . 2NH,C1 .2H,O monoklin. (Saunders) 
a:b:c=14913:1 : 1:4956 
B= 84°35’ Sp. G. 192 
‚Pseudo-reg. Setzt man statt (111) das Symbol (121), so hat man 
a: b:c— 014556 : 1: 0°7478 
Aqu. V: — 139:84 
4 — di 49629 
O — 5:9506 
CuCl, .2NH,Cl.2H,O tetragonal (Rammelsberg, Johnsen) 
a:e = 13074167 
Comb. (100) (201) (111) Pseudo-regulär. Sp. G. 2°01 
Az. V. = 13606 


Eine den vorigen analoge Aufstellung erhält man, wenn man 
das Salz 1) rhombisch aufstellt. Die Achse c wird zur Querachse 
und das Symbol der Fläche 100 zu 100 


DOT MOTO 
(201) , (110) 
(111) , (121) 


Das Achsenverhültnis ist jetzt: 


a:b:c= 067663 : 1 : 0:67663 
7=—:5:0198 
w = 56890 


Noch deutlicher kommt die Ähnlichkeit mit vorigen Salzen bei 
2) monokliner Aufstellung zum Vorschein. Die erwünschte Stellung 
erhält man durch Drehung des Salzes um die Hauptachse um 45°, 
so daß die Pyramide 201 zur Pyramide I. Art wird, und durch 
Drehung um 43°45’ um die jetzige Querachse. Der Winkel der 
Kante zwischen den Flächen 201:021 zu der Hauptachse beträgt 
43° 45’, während der entsprechende Winkel in einem Oktaéder: 
45° 00’. 


Das Symbol der Fl. (201) wird jetzt zu (110) 
Asie aO; (001) 
(1009975 RPM 21) (121) 


Die Kante [112] wird zur c Achse, und die Kante [112] = 
— 201 : 021 zur a Achse bei dieser monoklinen Aufstellung. 
Die Konstanten sind jetzt: 


a: b: c = 012324 : 1 : 012060 
f = 92° 30° 


und für das schiefe rhomb. prism. Netz 


q, = x, = 49104 
w = 58045 
B — 92° 30 


Wir haben hier drei in drei verschiedenen Systemen kristalli- 
sierende Salze, in welchen die einander vertretenden Elemente 
ziemlich weit voneinander stehen, welche aber 1) eine sehr große 
kristallographische Ähnlichkeit und 2) fast identische Volumver- 
hältnisse zeigen. Die Aqu. V. 13936, 139°84, 136:06 sind so ähnlich, 
wie es selten bei isomorphen Reihen vorkommt. Es ist ein Beispiel 
für das Gesetz, daß die Änderung der Kr.-Struktur, welehe durch 
Einführung verschiedener Elemente hervorgebracht wird, sehr ge- 
ring ist, wenn die gemeinsamen Bestandteile überwiegen, die Ver- 
bindung also kompliziert ist. Hier ist nicht einmal der Wasserge- 
halt konstant, aber es überwiegt das NH,CI. 

Betrachtet man im Zusammenhang mit der Formel dieser Dop- 
pelsalze R^Cl,. 2NH,Cl. H,O das Aqu. V. von (NH,),C], . 2NH,CI, 
(Salmiak) so findet man: V = 15992. 

Die den vorigen x und o entsprechenden Längen eines kubi- 
schen Kristalls von V = 13992 sind: 50501 und 5:8273. 

Unwahrscheinlich erscheintin Salmiak die Anwesenheit der Doppel- 
salze, in welehen NH,Cl nicht überwiegt, wie:FeCl, . 2NH,Cl . H,O, 
V = 93:08, NiCl, .NH,Cl.6H,0 — 1770 ete. 

Es ist zu bemerken, daß die ,Mischbarkeit^, von welcher hier 
die Rede war, mit der isomorphen Mischbarkeit, deren Möglichkeit 
im Falle eines Doppelsalzes und einer Komponente z. T. geleugnet 
wird, nichts zu tun hat. Es handelt sich hier um orientierte Ver- 
wachsung. 


Bulletin III Avril. 11 


576 
IT. 


I. Die Kristallform des Salmiaks. 


Die Dimorphie von NH,Cl wurde zuerst von Lehmann!) be- 
obachtet. Später erhielt Gossner?) bei Sublimation im Vakuum 
isotrope Kristalle, welche sich äußerst rasch bei der Abkühlung 
umwardelten. Die Modifikation ĝ ist isomorph mit KCl. Im Zu- 
sammenhange mit der Dimorphie steht auch die anormale Stellung 
des Mol. V. von gew. Salmiak (Tutton?) Groth‘)) und das Resul- 
tat der Versuche über orientierte Verwachsung (Barker) 5). 

Durch Sublimation erhielt ich nach der Abkühlung der Salmiak- 
dämpfe im Kühlapparat isotrope Würfel (bei Zimmertemperatur, 


Mod. a). 


a) Die Form der Kristalle aus reiner Lösung. 

Bei rascher Abkühlung entstehen dendritische, gitterartige, rektan- 
guläre Gebilde. In Gefäßen bilden sich Skelette, deren Aste den 
Achsen [100] entsprechen. T. IX. Fig. 2. Durch vorherrschendes 
Wachstum in diesen Richtungen bilden sieh einspringende Winkel. 
Die begrenzenden Flächen sind (211) (Marx, Retgers). Die ter- 
minalen, stärker gegen die Wachstumsriehtung geneigten (54° 44’) 
sind klein. Fig. 1. T. IX. 

Oft entwickeln sich von den acht zu der Wachstumsrichtung 
nur wenig geneigten Flächen eines Ikositetraöders nur vier, wo- 
durch die tetr. Trapezoéderform entsteht. 

Aus einer großen Masse des käuflichen Salmiaks kristallisierten 
größere Kristalle Fig. 3. T. IX. Form nach der Winkelmessung: 
(311) und (211). Von den wenig gegen die Wachstumsrichtung ge- 
neigten Ikositetraéderflüchen (311) ist wiederum nur jede zweite 
entwickelt. Da für die Form (311) alle acht Flächen gegen die 
Achse [100] gleich geneigt sind (179 33^), so ist eine solche Aus- 
bildung unerklärlich. Zufällig ist aber diese Ausbildung nicht, da 
eine ähnliche Entwicklung der Fl. (311) auch von L. Wulf‘) und 


1) 4110: 

2) 2. f. Ki, 38. 1903. 

a Z. f. K, 

la ra O. 

5) Min. Mag., XIV. 

6) Sitzungsber. d. Berl. Ak. d. W., 1894, 1085. 


571 


von Slavik!) beschrieben wurde. Betrachtet man aber diese Flä- 
chen als zu (311) vizinale Gyroëder-Flächen, dann kann die Nei- 
gung der vier benachbarten gleichwertigen Flächen zu der Wachs- 
tumsrichtung eine sehr verschiedene sein. So berechnen wir für die 
Flächen der Form (943) folgende Koordinaten: 


hkl p Q 

439 36° 52’ 29° 03:5’ 
394 18° 26’ 670 08:5’ 
943 23° p8 13° 03:5 
113 2) 45° 00° 25° 14! 
1312311 18° 26° 420 21 


Die Pole der hier in Betracht kommenden Vizinalflächen dürften 
den entsprechenden von (311) noch näher liegen, ihre Entwicklung 
würde für eine linke Form sprechen. Die 4 Flächen, welche mehr 
gegen die Wachstumsrichtung [100] geneigt sind, werden bei ra- 
schem Wachstum verschwinden (z. B. die Fläche 394 ete.). 

Es wurde unlängst von V. Goldschmidt?) hervorgehoben, daß 
an Salmiak nur rechte Formen auftreten. Dies würde damit stimmen, 
daß Mügge*) bei KCl nur rechte (Ahl) gefunden hat. Dagegen 
ist aber das einzige, für sich allein auftretende Pentagonikosite- 
traëder (943) (von Slavik5) gemessen) ein linkes. Die Bedeutung 
des Auftretens von 48 Flächen 5) von x an den von Goldschmidt 
gemessenen Kristallen, die folglich als eine Kombination eines rech- 
ten und linken Pentagonikositetraéders zu deuten wären (Zwilling ?), 
ist nicht ganz klar. 


b) Die Form der Salmiak-Kristalle aus Lösungen mit Kadmiumchlorid. 

Lehmann fand, daß Beimischung vor Metallehloriden zur Sal- 
miaklösung die Ausscheidung von verkrümmten Würfeln bedingt. 
Wurde nun zur Lösung CdCl, zugesetzt, so zerfielen die verkrümm- 
ten Formen bei der Abkühlung, wobei einzelne Kristallteile weg- 
geschleudert wurden. Dies deutete er als Ausgleichung der inneren 


1) Z. £1K7186. 

?) Die Koord. der Form (311) nach den Goldsehmidtschen Winkeltabellen. 
3) Z. f. K. 45. H 3. 223. 

t) Zentrbl. 1906, 256. 

5) 2. 2. ©. 

6) a. a. O. T. VII. Fig. 2 und S. 222 (Goldschmidt). 


11* 


578 


Spannungen. später aber als Folge der Umwandlung der 8 Modifi- 
kation des NH,Cl in die @ Modifikation. 

Bereits bei einer Beimischung von 0:0013 Mol CdCl, auf 6 Mol 
NH,CI ist eine deutliche Wirkung auf die Kristallform zu erkennen. 
Am Glas u. d. M. genügt eine äußerst geringe Spur von CdCl,, um 
das Auftreten von würfelförmigen Kristallen zu verursachen. Ein 
Fragment eines solchen, bei gewöhnlicher Temp. erhaltenen Kristalls 
wandelt sich nach der Berührung mit reinen Skelett-Kristallen nicht 
um. Löst man ihn etwas durch Erwärmung, so werden die Skelette 
im Wachstum beeinflußt und wachsen nun in den Richtungen der 
dreizähligen Symm.-Achsen. Kühlt man sie schnell ab, so entstehen 
- ebenfalls gitterähnliche Gebilde, aber der Winkel der sich kreuzen- 
den Systeme beträgt jetzt zirka 70°. 

[111]: [111] = 70° 32 
[111]: 71117 109 28, (T. IX E4) 

An weiter entfernten Stellen bilden sich noch rektanguläre, git- 
terähnliche Formen. 

2) Bei langsamer Kristallisation aus solchen Lösungen bildet 
sich die Kombination (211) (100). Die (100) Flächen sind eben. 
Ts, TX. Be, 

3) Bei Anwesenheit einer größeren Menge von CdCl,, etwa 
0:004 Mol, bilden sich Kristalle wie Fig. 1. T. IX. Es bilden sich 
nur die zu den dreizähligen Achsen wenig geneigten Flächen der 
Form (311) und verschiedener Viz. Fl, so daß solche Gebilde den 
Eindruck eines Zwillings machen. Die dem Kristallkeim zugewen- 
deten Flächen der in einspringenden Winkeln liegenden Kristall- 
teile gehören zu anderen Formen wie die äußeren. Sättigung der 
Lösung z. B. 0:004 M. CdCl, auf 6 Mol. NH,Cl und mehr. Temp. 
30 — 409, 

4) Bei noch größerer Menge von CdCl, erhielt ich spitze, trigo- 
nale Pyramiden. T. X. Fig. 2. Die begrenzenden Flächen sind: 
(311), (320), (hkl) siehe Projektion T. X. Fig. 3. (auf die Oktaéder- 
ebene). 

Von den Flüchen der Form (311) sind nur die zur trigonalen 
Wachstumsrichtung unter 10°02’ geneigten Flächen entwickelt (Fl. 
Norm. zur [111] = 790 58’), also z. B. in der Richtung der Kante [111] 
die Flächen: 113, 311, 131. 

Sind solche Gebilde auch längs einer anderen Achse entwickelt, 


579 


so entstehen zwillingsähnliche Gebilde, wie an der Figur 2. mit ein- 
springenden Winkeln, indem manche Flächen über statt unter den 
benachbarten zu liegen kommen. Ähnliche Formen hat Slavik für 
NH. Dr beschrieben. 

In dieser Ausbildung findet man die Winkel: 


131:311 — 117010’. ber. 115 gem. 
023 13 230,064}: „.u230 
302:320 — 46° 11:5’ 

302.: 230 = 22937". + 


Ihk:113 — zirka 10° und zwei benachbarte At Flächen 84°. 

Der Einfluß der Anwesenheit von sehr geringen Mengen von 
CdCl, in der Lösung von NH,Cl auf die Form der sich ausschei- 
denden Kristalle läßt sich, wie folet, angeben: 

1) Reine NH,CI Lüsung-Ikositetraëder, Wachstumsrichtung [100]. 
Isometrische Kristalle lassen sich auf gewöhnlichem Wege nicht 
erhalten. 

2) Spur von CdCl, in der Lösung: leicht isometrisch entwickelt 
zu erhaltende Kristalle von der Form: Ikositetraéder und Hexaéder. 

3) Mit steigendem Gehalt entstehen in der Richtung der drei- 
zähligen S-Achsen verzerrte Formen. Unter besonders günstigen 
Bedingungen: nur Hexaéder. | 

Der Habitus ist also von der Menge des zur Lösung zugefügten 
Lösungsgenossen abhängig und ändert sich mit ihr in kontinuierli- 
cher Weise, aber innerhalb äußerst enger Grenzen. Eine größere 
Menge von CdCl, beeinflußt den Habitus nicht, schließlich kristalli- 
siert das Doppelsalz fiir sich allein. Es ist hervorzuheben: 1) die 
kleine Menge der Beimischung, welche schon einen merklichen Ein- 
fluß zeigt und 2) daß der Einfluß sich nicht so sehr in der Bildung 
verschiedener Formen äußert, als vielmehr in der Neigung, verschie- 
denartige Verzerrungen hervorzurufen. 


n 


Ein aus einer kadmiumchloridarmen Lösung erhaltener Kri- 
stall verändert sich in reiner gesättigter Salmiaklösung nicht. Die 
manchmal auftretende Trübung wird durch Bedeckung des Kristalls 
mit winzigen, sich aus der Lösung abscheidenden Kristüllehen be- 
wirkt; durch leichtes Erwärmen kann man sie auflösen und sich 
überzeugen, daß der größere Kristall unverändert ist. 

Die unter 3) beschriebenen Kristalle bilden manchmal nach 
einer Richtung ausgezogene Hexaéder, die aus einzelnen, gekrümm- 


580 


ten Gliedern bestehen. Das letzte besteht aus 4 Teilen, von denen 
jeder in der Richtung der dreizähligen Sym. A. entwickelt ist. Fig. 4. 
T.X. Der Kristall wächst in der Richtung der dreizähligen S-Ach- 
sen und dennoch entsteht eine in der Richtung der vierzähligen 
S. A. entwickelte Säule. Ähnlich (Fig. 1. T. IX.) wird die Achse des 
stärksten Wachstums durch kleine Flächen von der Form (211) 
abgestumpft. Normale von 112 : [001] 35° 16". An Stelle der stump- 
feren 113, tritt die Fl. 112—113 : [001] (25° 14^) auf. Bei gleichmäßi- 
gem Wachstum müßte die Form bald verschwinden. Offenbar wird 
hier der Substanzüberschuß bei Berührung mit dem Kristall momen- 
tan bis zur Erreichung des metastabilen Gleichgewichtszustandes 
der Lösung ausgeschieden, bei welchem der Kristall langsam (in 
die Breite) wächst. Mit Abkühlung, bezw. Verdunstung wiederholt 
sich derselbe Prozeß. Vergl Sommerfeldt?) Dieser hält die Un- 
stetigkeit des Wachstums für eine Bedingung der Bildung von 
Adsorptionen. Miers?) hat eine solche Unstetigkeit direkt u. d. M. 
verfolgen können. 


Die Kristallform der aus eisenchloridhaltiger Lösung erhaltenen 
Kristalle ist gewöhnlich der unter 3) S. 578 beschriebenen ähnlich. 
Daß es keine Würfel sind. hat schon Johnsen beobachtet. Sie 
nähern sich aber manchmal sehr der Würfelform. 


2. Das optische Verhalten der Kristalle. 


Die aus mit Metallehlorid versetzten Lösungen ausgeschiedenen 
Kristalle sind meist doppelbrechend. Die Doppelbrechung wird den 
Einlagerungen von Schwermetallsalz zugeschrieben. (Retgers, 
Johnsen; Roozeboom neigte mehr zu der Annahme von Span- 
nungsdoppelbrechung). 

Ist die zugefügte Menge des Lüsungsgenossen klein, so ist nur 
der erste Kristallkeim doppelbrechend und äußerst häufig kommt 
es vor, daß isotrope und doppelbrechende Partien miteinander ab- 
wechseln. Alle aus CdCl,-, auch FeCl,-haltigen Lösung erhaltenen 
Kristalle zeigen dasselbe opt. Verhalten, d i.: den Zerfall in 6 opt. 


') a. a. 0. 
?} Note on the crystallisation of potassium biehromate Min. Mag. 1908 Vol. XV. 





581 


einachsige, negat. Sektoren, a genau senkrecht zur Hexaéderebene. 
Zwischen -Ni sieht man längs der Würfeldiagonalen ein isotropes 
Kreuz. Die Doppelbrechung wächst vom Mittelpunkte gegen den 
Rand zu (Auftreten einer Farbenskala) was sich ohne weiteres aus 
den Fig. 2. u. 3. erklärt. Je weiter vom Mittelpunkte, desto dieker 
der sich doppelbrechend verhaltende Bereich. 








Eigi 2: 


Aus einer zirka 468 g NH,Cl auf 100 g H,O enthaltenden 
Lösung mit 00483 Mol CdCl, im Liter schieden sich Kristalle 
mit einer Doppellbr. y—« = 00005 —0:0005 aus. 

Manche Kristalle zeigen in parallelem Licht bei 4Ni ein dunk- 
les Kreuz, welches sich bei der Drehung der Nicole gleichsinnig 
verschiebt. Längs der Diagonalen der Würfelflächen ist die Aus- 
löschung den Diagonalen parallel, an den der Mitte der Seitenkan- 
ten des Wiirfels benachbarten Stellen ist sie parallel den Würfel- 
kanten. 

Das gewöhnliche Verhalten entspricht genau dem Verhalten, 
welches nach Brauns wenig erwärmte und dann rasch abgekühlte 
Steinsalzwürfel zeigen. Die Beschreibung und die Abbildung der 
bis zum Schmelzpunkt erwärmten Steinsalzwürfel passen genau auf 
den selteneren zweiten Fall (siehe die Arbeit v. Brauns, N. J. 
f. M. 1887, I, S. 47). Die Ähnlichkeit zwischen diesen durch Span- 
nung hervorgerufenen opt. Erscheinungen und dem Verhalten des 
Salmiaks ist so groß, daß sie nicht rein zufällig sein kann. Auch 
die Erwägung, daß die Zufügung ganz verschiedener Salze zur Sal- 
miaklösung im allgemeinen dieselbe optische Erscheinung hervor- 
ruft, führt auch zur Annahme von Spannungserscheinungen, die 


freilich von der äußeren Umgrenzung des Kristalls unabhängig ist. 
Die durch abweichendes Mol. Volum der Beimischung bewirkte 
Spannung müßte sich auf eine senkrecht zur Würfelfläche wirkende 
Kompression, resp. Dilatation zurückführen lassen, da bei anderer 
Druckrichtung das Verhalten zweiachsiger Kristalle hervorgerufen 
würde. Durch Druck | zu der Oktaéderfliche wird ein tesseraler 
Kristall auch einachsig, ist aber praktisch kaum erhaltbar (Pockels), 
und natürlich ist jetzt die Orientierung ganz anders. 

Bei langsamer Kristallisation ist die Doppelbrechung sehr 
schwach. Über die Doppelbrechung in isom. Mischkristallen vergl. 
die Arbeiten von R. Brauns!) und F. Becke?) 

. Es ist übrigens zu bemerken, daß das Verhalten der einzel- 
nen Sektoren wie optisch einachsige negative Kristalle sich bloß 
durch Annahme der Anwesenheit von abwechsenden im Verbältniss 
zur Lichtwellenlinge sehr dünnen Schichten zweier optisch isotro- 
per Substanzen von merklich verschiedenen Brechungsindices erklä- 
ren läßt. Daß ein derartiges System sich so verhalten wird, haben 
Braun?) und O. Wiener?) gezeigt. Auch in diesem Falle müßte 
sich der Fremdstoff parallel den Würfelflächen abgelagert haben. 

Daß fremde Körper sich manchmal nur an gewissen Flächen 
abscheiden und mit diesen Verwachsungen bilden, ist durch zahl- 
reiche Beispiele durch Anwendung von Farbstoffen von O. Leh- 
mann?) nachgewiesen worden; es färben sich nur gewisse Flächen 
des Kristalls und es entstehen abwechselnd farblose und gefärbte 
Sektoren. Auch Gaubert‘) hat zahlreiche neue Beispiele gefunden. 

Aus Lösungen von Ba(NO,),, welche Zi, Pb(NO,), enthalten, 
scheiden sich nach diesem Autor”) Mischkristalle aus, welche in den 
Anwachspyramiden der Oktaöderflächen bis $ so viel von Pb(NO,), 
enthalten, wie in denen des Würfels. Im Zusammenhang damit steht 
die größere anomale Doppelbrechung. 

Auch die zahlreichen Fälle von Zonar- und Sanduhr-Struktur 
wären hieher zu stellen. Vergl. hierüber die Arbeiten von Blum- 


Day 3:1; 

2) T. M. P. M. 25 H. 1—3. 1906 S. 36. 
3) Phys. Zeits., 5. 

) Phys. Zeitschr., 5. 

D. T. Ph. Gh., VLLL 

6) Im Bull. d. la Soc. M. 

}-C. R. 143. 1906. 


583 


. richt), F. Becke?) und die zusammenfassende von Pelikan?) 
Beim Salmiak wären die wirkenden Flächen die Hexaéderflüchen, 
deren Anwachspyramiden die Felderteilung entspricht. 

Es kónnte nun die Frage entstehen, ob die hier behandelten 
Kristalle mit Spuren von Kadmium- und Eisenchlorid nicht der 
Modifikation @ angehören, und es ist angezeigt, auf diese Frage der 
Dimorphie der Alkalichloride einzugehen. 


3. Molekularrefraktion von Salmiak und der Alkalichloride. 


Die Salmiaklósungen werden im Gegensatz zu NaCl sehr leicht 
übersättigt. Die Neigung, übersättigte Lösungen zu bilden, soll nach 
Lecoq de Boisbaudran im Zusammenhang mit der Dimorphie 
stehen. Der Brechungsexponent des festen Salzes sowie der Sal- 
miaklösungen zeichnet sich durch seine Größe aus. 

Überhaupt lassen sich die Eigenschaften der Chloride der Al- 
kalimetalle nicht in eine Reihe bringen, wie aus der angegebenen Ta- 
belle *) zu ersehen ist. 


M.G. Sp. G. V. y Np 
NaCl 584 Far) 26:92 2-9971 1:5443 
KCl 14:6 1:989 3749 3:3468 1:4903 


NH,Cl 55:49 1:531 34-96 3:2699 1:6422 
RbCl 120:95 2:806 43:10 3:5061 1:4932 
CsCl 168:35 3:993 42:15 3:4801 1:6418 


Diese Tatsache wird von P. Groth der Dimorphie zugeschrie- 
ben und hat Th. V. Barker bewogen, die Alkalichloride in zwei 
Gruppen zu teilen. 

Ist aber die von A E. H. Tutton entdeckte Stellung des Am- 
moniums in der Gruppe der Alkalimetalle allgemein, und hier nur 
infolge der Dimorphie verdeckt, so sollte die von dem Zustand des 


Du. Mis Bae 15-1892: 

2) Lotos, N. F. 14. 1894. 

3) T. M. u. P. M., 16. 1896. Die Zonarstruktur ist also „eine orientierte Ver- 
wachsung der Molekel der zweiten Substanz auf dem in der Bildung begriffenen 
Kr. der ersten* 


4) Die Sp. G. und V. sind der Arbeit von Barker, Min. Mag., XIV, 1907 
entnommen. 


584 


Körpers wenig abhängige Größe, die Molekularrefraktion der von 
Tutton!) angegebenen Reihenfolge entsprechen. 

Soweit man aus wenigen Beispielen ersehen kann, ist eine an- 
geniherte Konstanz des Lorenz-Lorentz’schen Ausdrucks auch 
bei Benützung der Brechungs-Indices für ziemlich kleine Wellen- 
längen tatsächlich vorhanden, wenn die mittleren Br. Indices in 
Rechnung gebracht werden °). 


1) Vergl. die zahlreichen Arbeiten dieses Autors in Groth’s Z. f. K. z. B. 27, 
113, 42, 1907. 


2) So berechnet sich: 





27: | n?—1 1 n—1 M n?—1 1 n— 1 
Linie D. nii» d TT Linie C. Pe d CR 
Kalzit 0:1210 0:210 0:1207 0:209 
Aragonit — 01210 —— 0214 01205 ` va 
Diff. 0:0000 0:004 0:0002 0:004 


Brechungs-Indices nach Rudberg. 
Für den Tremolit (Kreutz. Sitzb. d. W. Ak. CXVII. Tr. v. d. Schweiz). 





NOE i al al n—1 

A = 5:89 . 10-5 em > = 2 
0:117 0:206 

Diopsid (W ülfing 1891) 0:115 0:207 


Für den Tremolit berechnet sich nach der Analyse £ — 0'206 (nach Ab- 





zug von 0'25°/, unwesentlicher Bestandteile. Kür 0°61°/, FeO wurde die At. Re- 
fraktion von Fe,0, benutzt, was aber nicht viel ausmacht). 











: : n?—1 1 n—1 n?—-1 n—1 

116110 em TaT d ay À — 5:89.10—5 em Se D) 
Rutil 0:160 0:401 Rutil 0:162 0:414 
Anatas 0:163 0 382 Brookit 0:168 0414 
Brookit 0165 0:400 EE EE E 
Diff. 0:005 0:019 


Die Br.-Indices nach Wülfing (Rosenbusch 1905). Das Material ist natür- 
lieh nieht als rein zu betrachten. 


Rutil a 25071 
y 28415 
Mitt, 2:7043 
Trotzdem die Ausdrücke von Lorenz für A noch nicht berechnet werden 


konnten, sieht man, daß die angenäherte Konstanz der Beziehung durch diesen 
Ausdruck besser wiedergegeben ist. 


585 


In der Tabelle sind zusammengestellt die n? und n Ausdrücke 
für NH,Cl, bereehnet aus Bestimmungen I. an einer konzentrierten 
0:086 N-Lösung b. 200, II. einer verdünnten 1 N (aus Dijkens!) 
Angabe von ? = — 0.001950 berechnet), III. aus den Bestim- 

} D 


mungen am festen Salz (Grailich) für D 








n?—11 n—1 

n?--2 d d 
I. 0:248 0:420 
TE 0:249 0:424. 
III. 0:236 0:419 


I. u. IL stimmen besser miteinander bei Anwendung der Lo- 
rentz’schen Formel. Die M. R. von festem gelóstem Salz ist etwas 
verschieden, wie gewöhnlich Diff. — 0-73. Nach der Mol. Refr. für 
A=589.10-5 em geordnet, erhält man folgende Reihe: 


n2—1 1 ni 1 M fei 








LSC n?--2 d n?--2 d d d 
NaCl 58-4 0:145 8-49 1471 
KCI 746 0:145 10:85 18:35 
RbCl 120-95 0:104 12:53 2111 

T 0:236 fest 1262 £ (22-41 f 
Nu, 0-248 gelöst g. | 22-42 e 
CsCl 168:35 0:009 15:22 21:04 


Wir haben hier genau dieselbe Stellung des Ammoniums in 
der Chlorid-Reihe, wie dies von Tutton in der Sulfat- und Sele- 
natreihe festgestellt und für allgemein gültig erklärt worden ist: 
die M. R. des Am.-Salzes steht zwischen dem Rubidium und dem 
Cs-Salz, und ist nur etwas größer als die des Rb-Salzes. Die 
M. R. von KCl, RbCl und CsCl sind der Reihe nach größer, ent- 
sprechend der Zunahme des M. G. des vertretenen Metalls. 

Die der Berechnung zu Grunde dienenden Werte der anderen 
Salze wurden dem Werke Groths?) entnommen. 


1 Landolt Bórnstein: Tabellen. 
?) a. a. ©. 


586 


4. Modifikation der Salmiakmischkristalle. 


Gegen die Annahme, daß die besprochenen Salmiak - Kristalle 
aus CdCl,-haltiger Lösung der Modifikation 6 angehören, sprechen 
folgende Gründe: 

1) Die Modifikation 9 ist in gewöhnlicher Temperatur äußerst 
labil. Die hier erhaltenen Kristalle änderten sich trotz der Berüh- 
rung mit reinen Salmiak-Kristallen in der Lösung nicht. Sogar nach 
einigen Monaten war keine Veränderung zu beobachten. 

2) Die Kristalle werden nicht nur von den skelettartigen nicht 
aufgezehrt, sondern es werden bei Erwärmung und teilweiser Lö- 
sung der ersteren sogar die Wachstumsrichtungen der letzteren 
beeinflußt. 

3) Das sp. G. dieser Kristalle ist fast dem des reinen Salmiaks 
gleich. In der Regel ist es etwas größer (Schwermetallsalz). Die f 
Modifikation sollte nach der Lage des M. V. ungefähr das sp. G. 
1:24 haben. (Reiner Salmiak 1:532). 

4) Die bereits beschriebenen Formen und die besprochene Ent- 
wieklung beweisen unzweifelhaft die Zugehörigkeit der Kristalle 
zur pentagonikositetraédrischen Symmetrie-Klasse. Aus kupferchlo- 
ridhaltiger Lösung bekam Johnsen die Form (875). 

5) Die Löslichkeitskurve der Mischkristalle weist keine Un- 
stetigkeit auf (Roozeboom). 

6) Der Einfluß von CdCl, als Lösungsgenossen ist zwar sehr 
energisch, aber der Schwellenwert ist nicht viel verschieden von 
dem bisher nur im Falle der Kristallisation des Kalzits allein (von 
H. Vater) genau bestimmten. 

7) Die Abhängigkeit des Einflusses von der Menge des Lisungs- 
genossen (auch wenn sie stets kleiner ist, um additiv die Eigen- 
schaften merklich zu beeinflussen; siehe weiter unten). 

Die Beeinflussung der Kristallform des Salmiaks durch die Me- 
tallehloride ist also in unseren Fällen als Einfluß auf den Habitus 
zu betrachten. 

Wir wollen uns jetzt mit dem Verlaufe der Kristallisation be- 
schäftigen. 


H: 
Über den Verlauf der Kristallisation. 


Zur Messung der Kristallisationsgesehwindigkeit aus unter- 


587 


kühlten Schmelzen wird gewöhnlich die Gernez!)-Tammann sche 2} 
Methode angewendet. Auch zur Messung der K. G. aus übersättigter 
Lösung?) sich ausscheidenden Kristalle wurde diese Methode ange- 
wendet. Über eine andere siehe bei Mare‘). Die genauesten Mes- 
sungen der relativen Wachstumsgeschwindigkeit, welche von Loir, 
Pasteur, C. v. Hauer eingeführt wurden, verdanken wir G. 
Wulff5) und Z. Weyberg®). Siehe auch J. Andrejew (Z. f. 
K. 43). Das Resultat war, daß die von der Richtung abhängige 
K. G. für verschiedene Körper sehr verschieden sein kann, z. B. 
die größte K. G. für Salol — 1 mm pro Min. (209), m- Dinitroben- 
zol K. G. — 1090. (809). 

Zu unserem Zweck der Untersuchung des Verlaufes der Kri- 
stallisation schien ein von Prof. H. A. Miers”) konstruierter und 
beschriebener Apparat geeignet zu sein, mit dessen Hilfe man die 
Br.-Indices der Lösung während der Kristallisation verfolgen kann. 


1. Methode der Untersuchung. 


Bestimmt man während der Kristallisation die Brechungs-Indices 
der Lösung in hinreichend nahe liegenden Zeitabständen, so ermittelt 
man, da die Br. Indices eine Funktion der Sättigung sind, die K. G. 
aus der betreffenden Lösung. Befindet sich in der Lösung nur ein 
einziger Kristall, so bestimmt man so seine Wachstumsgeschwin- 
digkeit. 

Es sollen also die Brechungs-Indices einer kristallisierenden 
reinen Lösung bestimmt werden (mit Berücksichtigung der Zeit) und 
derselben Lösung unter denselben Verhältnissen, der aber etwa CdCl, 
zugefügt wurde, und zwar in so geringer Menge, daß der normale 
Einfluß auf die Löslichkeit von NH,Cl unmerklich sein müßte; diese 


1) Gernez. Recherches sur la durée de !a solidif. ete. C. R. 95. 1862. 
2) Eine Reihe von Arbeiten von Prof. Tammann u. seiner Schüler in Z. f. 
Ph. Ch., auch Pickardt (Z. f. Ph. Ch. 42. 1902), Dreyer Z. f. Ph. Ch. 1904, 
Padoa, Bruni Atti d. r. Ac. d. Lincei 1904, Red. V. XIII, Galeatti Rend. 
x. Acc. Lincei Rom. 2 sem. (5) 13 u. viele andere. 
3, Leonhardt C. r. 141. 1905. 
SZ En. Che 41. 
) 
) 


e 


be eh 
See E 
7) Phil. Trans. of the R. S. Vol. 202. 


588 


Menge genügt aber, um einen bedeutenden Einfluß auf den Habitus 
des Salzes auszuüben. Außer der Zeit sollte natürlich auch die Kri- 
stallisationstemperatur bestimmt werden, eine Größe, die bei Unter- 
suchungen des Einflusses der Lüsungsgenossen gewöhnlich vernach- 
lässigt wird. Die Frage war, ob und welcher Unterschied sich in 
dem Verhalten beider Arten von Lösungen konstatieren läßt +). 
Das hier benutzte Instrument, dessen Benützung ich der Freund- 
lichkeit des Prof. Miers in Oxford verdanke. war ein neu kon- 





| 


Fig. 4. 


struiertes Modell und im Prinzip dem schon beschriebenen ähnlich, 
nur viel größer und mit manchen Verbesserungen versehen. Am 
Limbus können 10” bequem abgelesen werden. Der störende Ein- 


1) Wenn der Schwellenwert des Einflusses eines Lösungsgenossen nicht so 
klein ist, also erst bei größerer Menge des Lösungs-Genossen eine Habitus-Än- 
derung sichtbar wird, sind auch bedeutende Unterschiede selbstverständlich. Hier 
wäre zu untersuchen, ob nicht in der Nähe des Schwellenwertes eine Unstetig- 
keit vorhanden ist. 


589 


fluß von Konzentrationsstrómungen wird dadurch ausgeglichen, daß 
die im Gefäß von 350 em? Inhalt sich befindende Flüssigkeit mit 
Hilfe eines rasch sich bewegenden Ringes oder von Platin-Mühlen 
(welche durch eine elektrische Turbine getrieben werden) in ste- 
tiger Bewegung erhalten wird. Der Verdunstung der Flüssigkeit 
wird durch eine Sehutzschichte von Öl vorgebeugt. Ein die äußere 
Seite des zylindrischen Gefäßes umspülender Wasserstrom von be- 
liebiger Temperatur ermöglicht die Ausführung der Versuche in 
einem Temperatur-Intervall zirka 20°—80° und deren Wiederholung, 
ohne daß etwas an der Aufstellung des Instrumentes geändert 
werden müßte. 

Die Genauigkeit, mit welcher man die Messungen ausführen 
muß, damit der Fehler im Resultat 0:0001 nicht übersteigt, ergibt 
sich aus folgender Betrachtung. Die seitwärts auf die Flüssigkeit 
fallenden Lichtstrahlen werden in dem in der Flüssigkeit einge- 
tauchten Prisma ABC (Fig. 4) an der Fläche AB teilweise reflek- 
tiert. Der Grenzwinkel der Totalreflexion sei y. Die Grenze der 
T. R. wird gegen die Normale der Seite AC fixiert, was durch 
Drehung des Prismas um die Instrumentachse geschieht, bis die 
Grenze in das Fadenkreuz des genau senkrecht zur Fensterscheibe 
des zylindrischen Gefäßes festgeklemmten Fernrohrs fällt. 

Mit demselben Instrument wird auch der Prismenwinkel A ab- 
gelesen. Aus 











1 sin @ 
"M — sy sin TEUS 
folgt 
1 - - 
ee] V1 + sin?a F 2cos Asin , (1) 


je nachdem y 2 A. 


(n — Br.-Ind. beim Übergang aus der Flüssigkeit in das Prisma. 
M3, — aus der Luft) 


oder die von Miers benutzte Scheringsche Formel: n, = cos p, 


__cos A F singi ` 
BEN. sin A 


2 sin (45° ic de) sin (45° E us 


sin A 








590 


Damit die Beobachtung möglich sei, muß 6 < y, also A < 2y 

sein. Nimmt man die Größen Ac und AA als gleich an und nimmt 

: on Ms AUT 

man die Ausdrücke —?' Aa und A AA in ihrem absoluten Wert 
cat c 

(weil wir den Sinn des Fehlers. den wir begehen, bei der Messung 

beider in Betracht kommenden Winkel nicht kennen) so ergibt sich: 


— A" > A — : 9 
Any, — — Jn, — 1 (na + + a) F sin E) A6 


No, Sin? A 





wo A0 = AA = Aa. 


Der Ablesungsfehler beträgt im Mittel 10”, Maximum 30”. Ist 
der Br.-I. des Prismas 1:6, der Lösung 1:4, A — 60° 00’, so ist der 
Fehler im Endresultat An,, — 0:000058 für A9 = 00000485, d. i. 
10” und für 30^ Ang, — 0000174. Aus: 


(n, cos A F sin g) 
Ny, Sin A 





AA 


Os, = 


folgt ein durch einen Ablesungsfehler von 10” bei Messung des. 


Prismenwinkels bewirkte Fehler 0:000031. 
Würde man zur Bestimmung derselben Größe nə, sich einer 
Abbe’schen Halbkugel (Br.-I. des Glases 1:6) bedienen, so würde: 


An, = — er Ay und in unserem Beispiel An, = 0:0000306 
4 
(Fehler von 10”). 


72 


N39 





S — -mal größer, also im Beispiel: 
31 
Ants. = 0:000037, bezw. 000011. 

Also Fehler über 00001 sind nur auf die ungleichmäßige Tem- 
peratur zurückzuführen. Der Br.-Index des Prismas muß natürlich 
wenig gegen die Temperaturänderung empfindlich sein, außerdem 
wurden hier noch Korrekturen angebracht. Immerhin ist die Mes- 
sung bei höherer Temperatur viel weniger genau. 

Das Bestreben, bei konstanter Badtemperatur zu arbeiten, erwies 
sich als zwecklos, da mit Zunahme der Rührgeschwindigkeit auch 
die Abscheidungsgeschwindigkeit aus reiner NH,Cl-Lisung wächst, 
so daß die Erhaltung einer maximalen K. G. (wenn überhaupt 
möglich) ganz unerreichbar wäre. Aus einer mit Salmiak gesättigten 


Der Fehler von #3 ist 


1) Bei Abbe-Pulfrich direkt: An,, = ng; . cos y å y. 


591 


Gummilösung scheiden sich Salmiakskelette sehr langsam aus. Es 
genügt aber, die Lösung in rasche Bewegung zu bringen, damit 
momentane Ausscheidung des Uberschusses eintrete. Dagegen bei 
langsam kristallisierendem Salz (NH,Cl-+ Cd-chlorid + Wasser), wo 
offenbar chemische Prozesse im Spiele waren, hatte die Rührge- 
schwindigkeit nur unbedeutenden Einfluß. Eine solehe Untersuchung 
im Fall einer Lösung mit großem metastabilem Bereich könnte nur 
zur Verfolgung der Abhängigkeit der K. G. von der Übersättigung 
dienen, wenn auch die Temp. in der Lösung selbst wegen Wärme- 
entwieklung nicht konstant wäre. Während des Versuches würde 
die Abscheidungsgeschwindigkeit mit der Annäherung an den Sät- 
tigungspunkt kleiner werden (vergl. die Bestimmungen der K. G. 
übersättigter Lösungen von Leenhardt). 

Für unsere Zwecke genügt es, die Br.-Indices der zu verglei- 
chenden Lösungen bei der Abkühlung zu verfolgen, dabei aber 
darauf zu achten, daß die Wärmekonvektionsverhältnisse möglichst 
ähnlich bleiben und die Rührgeschwindigkeit konstant erhalten 
wird. 

Bei reinem Salmiak sind die erhaltenen Werte umso weniger 
unregelmäßig, je schneller die Bewegung des Rührapparats ist, sonst 
erhält man zum Teil auch wegen ungleichmäßiger Temperatur 
zickzackfürmige „Temperatur-Konzentrations“-Kurven. 

In folgenden Tabellen sind die Resultate einer Anzahl von Expe- 
rimenten angeführt. In jeder Beobachtungsreihe wurde zuerst der 
Verlauf der Kristallisation des reinen Salzes bestimmt und nachher 
eine stets wachsende Menge des Lösungsgenossen zugesetzt und das 
Experiment wiederholt. Die Konzentration von NH,CI bleibt fast 
dieselbe in jeder Beobaehtungsreihe. Die zugefügte Kadmiumchlo- 
ridmenge war in der Regel sehr gering, wie aus den angegebenen 
Zahlen ersichtlich ist. 

Die Bezeichnung: Krist. bedeutet, daß in der Lösung Salmiak- 
kristalle existenzfähig sind. also entweder sich schon bilden, oder 
mindestens nicht mehr aufgelöst werden; U. P. bezeichnet den Um- 
kehrungs-Punkt; es ist die Temperatur, bei welcher die Kurve der 
Temp.-Breehungs-Indices plötzlich bricht. Die Zeit (Z, in Minuten) 
wurde womöglich von der Sättigungstemperatur der entspr. reinen 
NH,Cl-Lósung gezählt. 

In Fig. 5 u. 6 sind einige von solchen Kurven abgebildet. Sie 

Bulletin III. Avril. | 12 





VA a DT 
St 59 ai SE «58 St 5 a At Sh .55 5h SUR D E 


BH: CM oes, = W 


Fi 
2] 
=" 
et | 


TEES uae ie one 


: era == arcey Dn 

























































































CG 24 


AT Lm De 


m 


09 05 Oh .0€ 07 OF =O 2065.05 OR OP sor 09 DEE |, 


o o 































































































'9 ‘SU 








594 


sind nach Zahlen, welche unter denselben Nummern zusammenge- 
stellt sind, konstruiert. 


Ammoniumchlorid-Lösung. 


Konzentr. 6594 Mol NH,CI (in 1 1.) Sätt. P. 42:59 


Le Tia 
Dote, CdCl, — 0:0039 Mol in 11. 

T Np Z T: Np Z 
570 138820 15 575 138835 15° 
50 1:38965 505 138950 
432 139020 0 448 139025 _ 4, 
41 1:39070 Best. 49:5  1:39060 ^ 
395 139040 40:5 ide Krist. 
38 139010 16 398 139090 
355 138925 390 139110 
325 138810 310 139110 
272 138670 60' 355 139125 U.P. 
240 138585 328 139065 20! 
232 138585 305 138905 34 
229 138540 180’ 275 138815 58 
210 138505 255’ 240 138630 90 


226 138605 180’ 
225 138465 720’ 


III. a. IV. a. 

CdCl, — 0:0117 Mol in 11. CdCl, — 0:0234 Mol in 11. 
T Np T n» | 
410 139100 Krist. 700 138635 23 | 
38 1:39140 Dën 138905 
36 1:39165 472 13906 
348 13919 30^ GS 
33 13918 21° 385 13917  10' 
31 13915 — 30' 34 139205 95' 
302 13911 28:5 — 1:3919**-50' E 
300  1:3909 255 13903  85' 


22 13862 277 205  L38655 215’ 





Konzentr. 6:194 Mol in 1 l. Sätt. P. — 35:40 


Ar 
40 
39 
365 
32:2 
30:5 
28 
26:2 
21:0 


Via.) 
CdCl, — 0:438 Mol. 
Np Z 
1:39225 
1:3923 Krisi 


1:3929 

1:39315 

13934 24! 

139551 387 U. ES 
1:3925 512 

13896 127 


2. Beobachtungsreihe. 


AR 


T. np 
I. b. 

CdCl, — 0°/, 
690 13833 
660 1:3839 
565 13855 
545 13859 
510 13865 
ZED 1:3870 
450 1:3873 
415 138715 
389 13883 
365 13886 
354 — 
345 13885 
340 13886 K. 
335 138905 U. P. 
SE 01:3888 
310 13882 
300 13878 
282 538102 
275 13869 
264 138685 
202 13847 


Np 
Ib: 

CaCl, — 0°, 
1:3867 
1:3870 
1:3872 
1:3880 
1:3883 
1:3885 
1:3889 
1:3890 
1:3890 
1:3887 
1:39875 
1:3885 
1:38815 


K 
U 


ri 


st. 
p? 


595 


1) Abkühlung rascher, da etwas Lösang zu Versuchen in zugeschmolzenen 
Róhren verbraucht wurde. 


596 


Np 
1:3866 
1:38675 
1:38725 
1:3874 
1:38755 
1:3880 
1:3883 
1:3889 
1:38905 


Np 
1:3834 
1:3861 
1:38655 
1:3874 
1:3883 
1:3886 
1:3890 
1:3890 


np 
1:38510 
1:38645 
1:38710 
1-381715 
1:38850 
1:38900 
138910 
1:38920 


IT. b, 


SdCl, — 0:00138 Mol in 1 1. 


T 
33:0 
32:0 
30°75 
30:0 
29:0 
28:0 
26:5 
24:2 
Krist. 


III. b. 


Ny 
1:38915 
1:38915 
1:3889 
1:3885 
1:3881 
138735 
1:3872 
1:3854 


CdCl, — 0:00415 Mol in 1 1. 


IV. b. 


N, 
138915 
1'38925 
13893 
1:3899 
1:38965 
1:3894 
1:3889 
1:3852 


CdCl, — 0:00833 Mol in 1 1. 


dE 
33:5 
32-5 
31:5 
30:0 
29:0 
285 
28:0 
265 
230 


Np 
1:38920 
138940 
1:38960 
1:38980 
158975 
138990 
1:38980 
1:38940 
1:38560 


Krist. 


Krist. 


597 


Vib: 
CdCl, — 0:01664 Mol in 11. 
dh Ny ik Ny 
56 1:3859 30:0 139027 U: P: 
50 1:3870 290 1:3902 
42 1:38815 280 138995 
387 13889 270 13898 
355 13898 26°25 1:38965 
340 1:3893 255 1:38945 
323 13898 Krist: 230 13885 
32:0 138965 21:97 31539725 
310 13898 20:1 1159852 


203 1-3852 


Br.-I. naeh der Methode der Minimalablenkung in einem Hohl- 
prisma, dessen brechender Winkel— 59? 58’, im Na: 1:38484 bei 23°. 


Reine Chlorammoniumlösung. 


I. 

d Np T. 715 
469 1:3890 340 138838 
48? 1:3896 390 113882 
40° 1:3898 S3 85 CE IBS OS 
39 — KB. 2921382225 
385 138975 29072153812 
2080159055 28:25. 1/3869 
3170 139035 275 13861 
364 13895 26:0 1:3859 
358 138935 

EE 
CdCl, — 0:010 Mol. 

d Np jt gl 
57 1:3871 350  1:3905 
52 1:3880 345 13906 
46 1:38875 39b 1:3908 
432 1-3893 9240. 0 53900 


425 13895 302 1:3908 


ZE 


69 
63 
58 
51 
48 
45:5 
45 
44 
43:5 


np 
1:38985 
1:3899 
1:38995 
1:3900 
1:3904 


i; 
1:3853 
1:3859 
1:3885 
1:3882 
1:3893 
1:3893 
1:3894 
1:3891 
1:3900 


IFK 


Np 


295 13904 

290 13903 

2825 138985 
77 13896 


212 13894 
200 13848 


d Np 
355 13902 
340 — 1:3908 
330...1:3902 
32:0... 1:3906 
50 13904 
29 1:3902 
28 1:3899 
27 1:3896 

: 1:3855 


225 13850 


Reine Salmiak-Lösung. 


Auf 100 g H,O — zirka 485 g NH,CI. 


Ny 
1:3865 
1:3884 
1:3892 
1:3903 
1:3907 
1:3910 
1:3912 
1:3915 
1:3917 


Z 


0’ 


17 
22! 


Krist. 
ELE: 


26’ 


o 
T: Np 

43 13911 

42 1:3906 

40 1:3903 

385. 13897 

38 1:38935 

37 1:38955 

35 138870 

305 1381760 
.280 138650 


245 138580 


Krist. 


Reine Salmiak-Lösung. 


Auf 100 e H,O — 445 g NH,Cl. 


T. Ny Z d Np Z 
70 1:3843 0 455 1:3883 
68 1:38465 395 13890 
65 1:3851 — — Krist. 
60 1:3857 8 360 13894 Gly ULES 
56:5 1°3869 340 1-3886 81’ 
ye Seale 19° 33:07 ^, 1:288 151. 91 


30 1:98 15,1136" 
29:0. 1, 13865), 2122’ 
29:02,9.8386010732% 


2. Kristallisationsverlauf aus reiner Lösung von NH,CI. 


Der Kristallisationsverlauf ist aus der Kurve Fig. 5, I a ersicht- 
lich. Ein bis zwei Grade unter dem Sättigungspunkte scheidet sich 
der ganze Überschuß spontan aus. Schon früher zeigen sich einige 
wenige Kristall. Die Kurve AB stellt einfach die Änderung des 
Br.-Ind. mit der Temperatur einer bei B gesättigten Lösung. We- 
gen der sehr starken Verminderung der Löslichkeit nimmt der 
Br.-I. bei der Abkühlung, nachdem die Ausscheidung begonnen hat, 
sehr rapid ab. Eine Sättigung, die der des Gleichgewichtszustandes 
bei jeweiliger Temperatur entspricht, wird so schnell erreicht, daß 
die Kurve DC beinahe einer Grenzkurve zwischen zwei Gebieten 
entsprieht; in dem unteren Gebiet entsprechen alle Punkte einer 
untersättigten, im oberen aber einer übersättigten Lösung. 


3. Kristallisationsverlauf aus einer Ammoniumchlorid-Lösung 
nach Zufügung von CdCl,. 


Der Unterschied von der reinen Lösung läßt sich folgendermaßen 
formulieren: 1) Die Temperatur, bei welcher der Brechungs-Index 
zu sinken beginnt, liegt viel tiefer für dieselben Lösungen, denen 
etwas CdCl, zugegeben wurde. 2) Der Br.-Index sinkt in solchen 
Lösungen viel langsamer, trotz den ganz analogen Wärmekon- 
vektionsbedingungen ist die Kristallisationsgeschwindigkeit viel ge- 
ringer. Bei der Temperatur, welche dem Sättigungspunkt der reinen 


600 


Lösung entspricht (B. Fig. 5, IV a), sieht man keine Änderung 
eintreten, d. h. der Br.-Index der Lösung steigt beim Abkühlen 
stetig. Bald darauf wird aber die Zunahme sichtlich geringer, was 
aus einer deutlichen Abflachung der Kurve sichtbar wird. Sie wird 
durch Ausscheidung geringer Substanzmengen bewirkt. Erst einige 
Grade nach Überschreitung der Temperatur, bei welcher der Br.- 
Index der reinen Lösung zu sinken beginnt, kehrt die Kurve plötz- 
lich um: der Br.-Index wird kleiner (Punkt C. Fig. 5). Bei dieser 
Temperatur tritt auch eine nebelartige Trübung der Flüssigkeit 
infolge der plötzliehen Kristallisation in der ganzen Lösung (spon- 
tane Kristallisation) ein. Vor dieser Temperatur scheiden sich nur 
wenige Kristalle aus, die aber ziemlich groß werden können. Aber 
auch nach Überschreitung dieser Temp. (des Umkehrungspunktes) 
sinkt der Br.-Index viel langsamer als in der reinen Lösung. Eine 
der Konzentration der reinen Lösung ähnliche Sättigung wird erst 
nach vielen Stunden erreicht. Dadurch, daß eine merkliche Aus- 
scheidung in solehen Lösungen erst bei einer viel niedrigeren Tem- 
peratur beginnt. erklärt sich, daß ihre Br.-Indices so hohe Werte 
erreichen, trotzdem sie sich bei der Temperatur des Sättigungspunk- 
tes der reinen Lösung nur wenig unterscheiden. (Die Differenz 
ist durch den CdCl,-Gehalt bewirkt). 

So hat z. B. eine Salmiaklösung während der Kristallisation b. 24° 
einen Br.-Index »#,— 13861, dieselbe Lösung mit 0:00415 Mol 
CdCl, in 11. — n» = 1:3870, und mit 00166 Mol CdCl, — 1:3904. Mit 
der Zeit sinkt aber dieser Br.-Ind. zu 1:3852, die Lösung war also 
so stark übersättigt. 

Der Brechungs-Index einer in zirka 32°8° gesättigten Salmiak- 
lösung (6'194 Mol NH,CI + 00166 M CdCl, in 1 l) ist in 
255 Min. nach Überschreitung dieser Temp. 4,— 13885 T. 23° 
405 138725 T.21.92 
Joo = > = R S 13852 T. 20-1? 
Dieser ändert sich nicht mehr. Nach 1400 Min. ist x, = 1:3852 
T. 20:20; 

Sechs Gramm NH,Cl, welche sich in einem der Beispiele aus 
reiner Lösung in 250 Min. ausscheiden (Abkühlung um 14°), schie- 
den sich aus derselben Lösung, wenn etwas CdCl, zugesetzt wurde, 
erst in 1000 Min. ab (unter sonst ähnlichen Verhältnissen). 

Der Einfluß auf die Umkehrungspunkte der Kurve: Tempera- 
tur — Brech.-Indices ist aus folgender Zusammenstellung ersichtlich: 


H N n H H 


601 


Sättigungstemperatur —- Umkehrungspunkt 


Sättigung: 6564 Mol NH,CI+- 0 CdCl, 1:50 
S 0:0039 Mol. CdCl, 990 
À Ooi e 11:50 
í 00234, 140 
H 0:0438 5 14:59 
6194 Mol NH,CI+ 0 CdCl, 20 
à 000138 Mol. CdCl, 3°40 
; 000415 — , 4:80 
n 0:00833 5 6:90 
l 00160 — , 5:40 


Es wurde versucht, die bei einer niedrigeren Temperatur sich 
ausscheidenden Kristalle (CdCl, in Lösung) auch bei einer niedri- 
geren Temperatur in Lösung zu bringen. Doch dies gelang nicht, 
im Gegenteil scheinen sie wahrscheinlich infolge ihrer größeren Kom- 
paktheit noch schwerer löslich zu sein. 

Dieses ganz andere Verhalten der NH,Cl-Lósungen, welchen 
CdCl, zugefügt wurden, könnte man zum Teil durch Annahme der 
Bildung komplexer Ionen erklären, wodurch die Löslichkeit ver- 
größert wäre. So sind z. B. Jodkristalle bei Anwesenheit von KI 
mehr löslich infolge der Bildung von kompl. Ionen K, Ebenso 
kann sich bei Anwesenheit von Br das Salz KBr, bilden. Es sei 
auch an die Anschauungen Werners erinnert. Das Verhalten 
der Metallammoniakverbindungen ist sehr wichtig. Eine solche An- 
nahme reicht aber schwerlich aus wegen der geringen Menge des 
zugefügten Metallchlorides, und eine Beeinflussung der Löslichkeit 
dürfte nicht groß sein. 

Normal würde CdCl, infolge schwacher Dissoziation die Lös- 
lichkeit vermindern. Die Existenz von Hydraten in konzentrier- 
ten Elektrolytenlösungen ist nach Jones!) und Getman wahr- 
scheinlich. Es könnte hier auch ein Einfluß der labilen Modifika- 
tion vorhanden sein?) Die wachsenden Kristalle sind aber stabil. 

Beachtet man nur die durch das Experiment gegebene Seite 
der Erscheinung, so sieht man: Durch Zusatz sehr geringer Men- 


1) Am. Jour. 31. 303; Z. f. Ph. Ch. 46. 

?) Ostwalds Gesetz der nacheinander folgenden Reaktionen: es bildet sich 
die Form, die mit kleinstem Verlust an freier Energie erreichbar ist. Z. f. Ph. 
Ch. XXIL, 1897. 


602 


gen von CdCl, wird die Kristallisationsgeschwindigkeit stark ver- 
mindert. Parallel damit geht die Beeinflussung des Habitus der sich 
ausseheidenden Kristalle. 


4. Das Verhalten der NH,Cl-Losung in zugeschmolzener Röhre. 

Die nach der Methode von Miers ausgeführten Versuche er- 
gaben folgendes Resultat: Reine NH,Cl-Lisungen kristallisieren bei 
derjenigen Temperatur, welche dem Kniekpunkt der Brechungs- 
exponentenkurve entspricht, also bald nach Überschreitung der Sätti- 
gungstemperatur. Mit CdCl, versetzte Lösungen kristallisieren viel 
später. Vor der Beobachtung wurde die Lösung zirka 2 Stunden 
in einer T. 80°—90° gehalten und nachher mit Korundstücken ge- 
schüttelt (im Bad). 

Einige Beispiele mögen angeführt werden: 


Reine Salmiaklösung: 51:67 g auf 100 g H,O 
en pet 2 l bei sehr starkem Schütteln. 
löst sich bei 58° | 

Wenn man die Lösung vor jeder Bewegung schützt. so kann 
man sie bis zu einer T: von 40° und wahrscheinlich zu einer noch 
niedrigeren abkühlen. Dieselbe Flüssigkeit mit etwas CdCl, konnte 
erst bei 42:5? — 43° trotz des heftigen Schüttelns zur Kristallisation 
gebracht werden. 

Die Lösung von Exp. IV.a mit 0:023 Mol CdCl,, welche in reinem 
Zustande etwas unter 4350 kristallisierte, wurde nach heftigem 
Schiitteln etwas trüb, worauf die Kristalle sehr langsam größer 
wurden. Offenbar aber waren noeh nicht alle Keime gelöst, denn 
bei Wiederholung des Experimentes wurden die Kristalle erst 
bei 28? sichtbar, d. i. nahe der Temperatur, bei welcher der Bre- 
chungs-Index zu sinken beginnt. 

Die Beimengung von CdCl, zur Salmiaklösung hat also die 
Wirkung, daß das metastabile Gebiet der übersättigten Lösung sehr 
erweitert wird. 

Der metastabile und labile Zustand der übersättigten Lösung 
bei Miers entspricht dem von Ostwald angegebenen, nur pflegt 
Miers die Flüssigkeit stark zu sehütteln. Vergl. die Untersuchungen 
von Miers und Frl. Florence Isaac über diesen Gegenstand !). 


1) Miers, H. A. and Isaac Fl. Journ. Chem. Soc. 1906, 89, Rep. Brit, Ass. 
for 1906, Proc. Roy. Soc. 1907, Transact. of the Chem. Soc. 1908. Vol 93. 


603 


Kristallisationsverlauf aus eisenchloridhaltiger Lösung. 

Bei geringen Mengen des Lösungsgenossen liegt der Unterschied 
von der reinen Lösung darin, daß die Kurve: Brechungs-Index-Kon- 
zentration keinen scharfen Knickpunkt aufweist, nachher aber 
die Kristallisation schneller verläuft. Der Unterschied ist hier also 
viel geringer, die Wirkung von FeCl, auf den Kristallisationsverlauf 
bedeutend schwächer, als von OdCl;. 

Zirka 50 g NH,Cl auf 100 g H,O. Lösungs-Genosse: 0:0241 Mol 
FeCl, in 11. 


T Np Z 
60 1:3921 0 
56 1:3926 
53°) 1:3931 
49:5 1:3936 10’ 
46:5 — Kr. 
45 1:3933 
39 1:3932 29 
36b 1:3913 45’ 
335 1:3902 


25:2 1:3874 243" 
24-2 1:3870 395 


Kristallisationsverlauf aus harnstoffhaltigen Lösungen. 
Geringe Mengen von Harnstoff haben keinen Einfluß auf den 
Habitus. Auch im Kristallisationsverlauf ließ sich kein merklicher 
Unterschied feststellen. 


01166 Mol in 1 1 CH,N,O 0:0388 Mol CH,N,O 
T. n» Z gt Np Z 
680 1:3899 149 1:3871 0 
64 1:3906 64:5 1:3895 
60 1:3909 61 1:3903 
54 1:3919 58 1:3904 
52 1:3924 50 1:3916 
49 1:3923 46:6 13920 Krist. 
475 1:3923 45 1:3920 
46:9 1:3925 38 1:3900 
45 13923 305 1:3877 93 
40:0 1:3909 34 20 13847 740 
37 1:3902 44 


305 1:3881 12 


604 


Einfluß von Beimengungen auf die Kristallisationsgeschwindigkeit. 

Ein sehr energischer Einfluß von Beimengungen auf die K.-G. 
aus unterkühlten Schmelzen wurde an vielen Beispielen nach der 
Tammann’schen Methode untersucht. Piekardt stellte folgendes 
Gesetz auf: 1) Die Verminderung der K.-G. ist eine kolligative 
Eigenschaft, d. h. äquimolekulare Mengen der verschiedenen zuge- 
setzten Fremdstoffe verzögern die K.-G. der reinen Verbindung um 
den gleichen Betrag, 2) die Verminderung ist gleich der Wurzel 
aus der Konzentration der Verunreinigung. Leenhardt fand das- 
selbe Gesetz für Kristallisation aus übersättigten Lösungen (wasser- 
haltige Salze). 

Das Gesetz von Pickardt konnte von Dreyer und Padoa 
und Bruni nicht bestätigt werden. 

Feststehend ist die Regel, daß ein deutlicher Einfluß auf die 
K.-G. nur dann zu beobachten ist, wenn die Beimengung sich wie 
ein fremder Körper verhält. Wäre es erlaubt, dieses Ergebnis auch 
auf unseren Fall anzuwenden, so würde dies auch noch dafür 
sprechen, daß das Gemisch von Salmiak und kadmiumebloridhaltiger 
Beimengung als Gemenge zu betrachten ist. 


IV. 


1. Betrachtungen über die Änderung der Kristalltracht unter 
dem Einfluls der Lösungsgenossen. 


Eine äußerst geringe Menge von CdCl, in einer Chlorammonium- 
lösung bewirkt, daß die sich ausscheidenden Kristalle nicht in der 
Richtung der vierzähligen, sondern der dreizähligen Symmetrie-Achse 
verzerrt erscheinen. Da die relat. Größe der Kristallflächen durch die 
relat. Wachstumsgeschwindigkeit bedingt ist, so kann die Änderung 
der Kristallform hier entweder durch Steigerung der absoluten Wachs- 
tumsgeschwindigkeit in der Richtung der Oktaëdernormalen er- 
reicht werden oder durch Hinderung des Wachstums in der Rich- 
tung der Normalen der Wiirfelflichen. Für die Erforschung der 
Ursache der Formbeeinflussung ist diese Frage von Bedeutung. Aus 
den besprochenen Experimenten folgt, daß hier der zweite Fall 
vorliegt. 

Daß Kristallisationsgeschwindigkeit und Habitus einander bedin- 
gen, folgt aus zahlreichen Beobachtungen (vergl. Lecoq de Bois- 


605 


baudran, Eackle, Rosieky, Gaubert, und besonders H. Va- 
terund Lehmann). Gaubert fand, daß die sehr charakteristische 
Formbeeinflussung des Steinsalzes oder des Salmiaks durch den Harn- 
stoff gar nicht erfolgt, wenn die Ausscheidung schnell, etwa durch 
Beifügung von Alkohol erfolgt u.s. w. Dies stimmt mit dem Satze von 
H. Vater überein. Der Einfluß der Lösungsgenossen auf die Kri- 
stallisation ist umso größer, je langsamer diese vor sich geht. 

Es scheint von Bedeutung zu sein, daß zur Formbeeinflussung sehon 
eine kleine Menge des fremden Körpers genügt, wenn er von dem 
kristallisierenden Salz aufgenommen wird (Gaubert). In einer 
Reihe von Versuchen wurde von Gaubert!) gezeigt, daß, wenn 
der Farbstoff sich nur an gewissen Flächen absetzt, diese Flächen 
sich ausdehnen und zur herrschenden Form am Kristall werden, 
z. B. im Fall des salpetersauren Harnstoffs mit Methylenblau, von 
Gips, von Strontiumnitrat, der Phthalsäure, des Kupfersulfats. Die 
absorbierte Substanzmenge ist trotzdem äußerst klein, was zahlen- 
mäßig gezeigt wird. 

Genaue Angaben über die Menge des Lósungsgenossen, welche 
eine merkliche Formbeeinflussung schon bewirkt, finden wir in den 
klassischen Arbeiten von Vater?) Über die Kristallisation des 
CaCO,; der Schwellenwert liegt hier bei einem Gehalt von 0:00025 
Mol bis 0:0005 Mol der Kaliumsulfate, Kalium oder Natrium (in 
1 Later). 

Für Cd Cl, im Fall des Salmiaks liegt dieser Wert unter 0:00138 
Mol, wird also von derselben Grófenordnung sein. 

Es ist zu bemerken, daß Kalzit bis 4°/, Gipssubstanz auf- 
nehmen kann 3). 

Andererseits sind Fülle bekannt, wo erst eine grófere Menge 
des Lósungsgenossen die Form beeinflußt, wie z. B. im Falle der 
Einwirkung des Harnstoffes auf die Alkalichloride, der Alkali-Sul- 
fate in der Reihe R”SO, R,SO,.6H,O nach einer Untersuchung 
von Hilda Gerhart‘) u. s. w. Vergl. die Untersuchung von 


Orloff 5). 


1) Gaubert Bull. d. la Soc. Min., 25. 1902; 23. 1900; 27. 1905, S. 180 uad 286. 
2) H. Vater. Eine Reihe von Untersuchungen in Z. f. K. z.B. 30, 1898. 31 ete. 
3) Doss. 

4) T. M. P. M. XXIV. 1906. 

5) Ref. Z. f. K. 13. 516. 


606 


Die Wachstumsgeschwindigkeit eines in seiner gesättigten Lö- 
sung sich befindenden Kristalls wird nach der Nernst’schen 
Diffusionstheorie durch den Ausdruck: 


85. QoS B) 


(1) dt 


charakterisiert, worin x die Sättigung der übersättigten Lösung in 
der Zeit t, S die Konzentration der gesättigten Lösung und O die 
Oberfläche bedeutet (Andrejew a. a. O. und Mare a. a. O.). 

Die Abhängigkeit der Auflösungsgeschwindigkeit von der Ober- 
fläche wurde von L. Bruner und St. Tołłoczko!) studiert, 
und zwar mit dem Ergebnis, daß es sich hier nur um quadratische 
Dimensionen, nieht etwa um kleine Unebenheiten handelt. Die 
Konstanz des Ausdruckes =, In 3 im Fall der Auflösung 
(S-untersättigte Lösung) wurde durch viele Arbeiten bewiesen 
(Whitney u. Noyes, L. Bruner u. St. Tolloczko, E. Brunner). 

Da die Wachstumsgeschwindigkeit von der Diffusionsgeschwin- 
digkeit abhängig ist, so wäre noch zu erwägen. welche Wirkung 
die Lösungsgenossen auf die Diffusionsgeschwindigkeit in der ad- 
härierenden Schicht ausüben können; um eine Beeinflussung der 
Form zu bewirken, muß diese bei Kristallen an verschiedenen Flä- 
chen verschieden sein. 

Wird nun der fremde, als Lösungsgenosse fungierende Körper 
nur an gewissen Flächen adsorbiert ?), so kann durch diese Anhäu- 
fung von fremden Molekeln, welche die betreffenden Flächen über- 
decken, die Diffusion gestört, die Wachstumsgeschwindigkeit gerin- 
ger, die betreffende Fläche daher größer werden. 

Im Fall des Salmiaks sind die Hexaéderflichen die wirkenden 
Flächen, das Wachstum in der Richtung der Hexaéder-Normalen 
hört demnach auf. 

Ähnliches wäre in den Fällen zu vermuten, in welchen nach 
Gaubert die Veränderung der Form mit der selektiven Anlage- 


1) ‘Verh, d. Krak, Ak. d. W. 43. A. u. 47 A. 135 u. Z. f. Ph. Ch. 
*) Reg. Verwachsungen u. s. w. Vergl. Bodländer. Erniedrigt ein Stoff in 
Lösung die Oberflächenspannung, so wird er adsorbiert. Kleine Mengen eines ge- 


lösten Stoffes können die Oberflächenspannung stark erniedrigen, nicht aber ver- 
größern. 





607 


rung des Fremdstoffs (an gewissen Flächen) an den des wachsen- 
den Kristalls stattfindet. 

Dies könnte nur für diejenigen Fälle gültig sein, in denen der 
fremde Körper nachher im Kristall gefunden wird. Unter gewissen 
Verhältnissen könnte auch nur die Konzentration des kristallisieren- 
den Körpers an manchen Flächen geändert sein. 

Der Einfluß der Lösungsgenossen wird auch meistens mit der 
Oberflichenspannung in Verbindung gebracht!) Vergl. die grund- 
legende Arbeit von Curie (Bull. d. la Soc. Min. 1885). 

Nernst?) bringt die Änderung des Kristallhabitus mit der 
verschiedenen Löslichkeit ungleichwertiger Kristalllächen in Ver- 
bindung. Vergl. Becke, Körbs. 


2. Allgemeine Bemerkungen. 


Bruner und Tolloezko, welche zuerst die Nernstsche 
Theorie zur Erklärung kristallographischer Probleme herangezo- 
gen haben, ziehen den Schluß, daß, nachdem die Löslichkeit kristallo- 
graphisch verschiedener Flächen dieselbe oder nur wenig versehieden 
ist, die Lösungsgeschwindigkeit ungleichwertiger Flächen die gleiche 
sein soll; und tatsächlich sind die beobachteten Unterschiede in den 
meisten Fällen sehr gering. Hier stoßen wir aber auf die Frage, ob die 
Löslichkeit verschiedenwertiger Kristalllächen überhaupt verschieden 
ist oder nicht? Während z.B. Nernst (a.a. O. S. 87) die Löslich- 
keit der ungleichwertigen Flächen als verschieden annimmt, hat man 
neulich gegen eine solche Annahme, auch als Hypothese, Bedenken 
erhoben. 

Die Möglichkeit der verschiedenen Löslichkeit scheint jedoch 
nicht ausgeschlossen zu sein, und eine experimentelle Untersuchung 
ist also wünschenswert. Dazu wäre wohl die Miers’sche Methode 
der Bestimmung des Br.-Indices der im Gleichgewichte mit der be- 
treffenden Fläche sich, befindenden Flüssigkeitsschicht geeignet, wo- 
bei von kristallographisch verschiedenen Flächen begrenzte Prismen 
zu benützen wären. Die Sättigung der adhärierenden Flüssigkeits- 
schicht eines wachsenden Kristalls ist, wie Miers gezeigt hat, nur 
sehr wenig von der der gesättigten Lösung verschieden, was mit der 
Nernstschen Theorie in Zusammenhang zu bringen wäre. 


1) Vergl. Ostwald: Allg. Ch. I. Dölter: Phys. Chem. Mineralogie, 1905. 
2) Theor. Chemie 1907. 8. 87. 


Bulletin III. Avril. 13 


608 


Wären kleine Unterschiede in der Löslichkeit verschiedenwer- 
tiger Flächen vorhanden, so würde sich das Auftreten der Ätzfi- 
guren bei sehr schwacher Einwirkung des Lösungsmittels erklären. 
Bei stärkerem Konzentrationsgefäll würden natürlich die Unter- 
schiede unmerklich sein. 

Dagegen könnte man beim Wachstum, wo es sich schließlich 
nur um Diffusionsgeschwindigkeit zwischen einer nur sehr wenig 
übersättigten und der im Gleichgewicht mit der betreffenden Flä- 
che sich befindenden Lösung handelt, die Differenz der Sättigung 
der einzelnen Flächen gegen die Konzentrationsdifferenz der über- 
sättigten und jeder der ,gesättigten“ Lösungen nicht als klein be- 
trachten, und die beobachteten Unterschiede in der Wachstumsge- 
schwindigkeit würden auch erklärlich sein. Wäre die Lösungstension 
der wichtigsten Flächen (manchmal Spaltflächen) die größte 1), so 
müßte die in Gleichgewicht sich befindende Flüssigkeitsschicht die 
größte Konzentration haben und solche Flächen würden langsa- 
mer wachsen; der Kristall würde sich mit solehen Flächen umge- 
ben, wie dies das Gesetz von Haüy-Bravais verlangt. 

Eine der Folgen wäre, daß der Kristall das Bestreben hätte, 
sich mit Flächen nur einer Form (der wichtigsten) zu begrenzen ; 
Wauteville ?) hat gezeigt, daß an schnell rotierenden Kristallen 
die Flächen in der Reihenfolge der zunehmenden Flächendichtigkeit 
verschwinden, z. B. am Alaun (110), (100) und es bleiben schließ- 
lich nur Oktaéderfliichen. 

Natürlich müßte man dann zur Charakterisierung der Sättigung 
einer Lösung außer der Modifikation und Größe der sieh mit ihr 
im Gleichgewichte befindenden Kristalle auch die Symbole der auf- 
tretenden Flächen angeben 3). 

Wäre aber die Löslichkeit verschiedenartiger Flächen dieselbe. 
so müßte man die Begriffe ,Kristallisationsgeschwindigkeit“ und 
„ Wachstumsgeschwindigkeit“ in einer übersättigten Lösung vonein- 
ander trennen. Die Abhängigkeit der Wachstumsverhältnisse von 
der Symmetrie müßte sich durch eine begrenzte verschiedene An- 


1) Vergl. z. B. Fedoroff: Die Löslichkeit ist proportional der Dichtigkeit 
einer Fläche, 

*) Compt. Rend, 124, 1897. 

®) Die Wärmemenge, die zur Auflösung derselben Menge gebraucht wird, 
müßte bei verschiedenen Flächen verschieden sein, also auch bei parallelen im 
all der Hemimorphie. 





Bulletin de l Acad. des Sciences de Cracovie 1909. IPIS 


[001] 


Fig. 2. 





Fig. 1. | 





S. Kreutz. 





Bulletin de D Acad. des Sciences de Cracovie 1909. Pi. 


[iri] MN 





S. Kreutz. 





609 


gliederungsfähigkeit verschiedenartiger Flächen zeigen, etwa so, wie 
dies Küster sich vorstellt. 


3. Ergebnisse der Untersuchung. 


Wir wollen die Ergebnisse dieser Arbeit kurz zusammenfassen: 

1) Durch Zufügung geringer Mengen von Kadmiumehlorid hört 
das Wachstum der Salmiakkristalle in der Richtung der Würfel- 
normalen auf. Der Habitus ändert sich mit der Menge des Lösungs- 
genossen kontinuierlich, aber innerhalb äußerst enger Grenzen. Ei- 
nen merklichen Einfluß übt schon 0:00138 Mol CdCl, in 1 l aus. 

2) Die Beimengung von Kadmiumchlorid wird am einfachsten 
durch Oberflichenwirkung der Würfelebenen erklärt. 

3) Die Beimengung von CdCl, zu der Lösung bewirkt eine 
Verminderung der Kristallisations-Geschwindigkeit der sich aus- 
scheidenden Kristalle. Mit der Menge von Kadmiumchlorid wird die 
Beeinflussung der Ausscheidungsgeschwindigkeit größer. Der Ande- 
rung der Kristalltracht entspricht demnach eine gründliche Ände- 
rung des Kristallisationsverlaufes. 

4) Aus der Zusammenstellung aller dieser Eigenschaften folgt, 
daß die Beeinflussung des Habitus in der Weise vor sich geht, daß 
das Wachstum in der Richtung der Würfelnormalen gehindert 
wird. Dies läßt sich so deuten, daß die Diffusionsgeschwindigkeit 
der übersättigten Lösung zu den Würfelflächen durch die sie be- 
deckenden Fremdstoffpartikeln gehindert wird. 

5) Die Ähnlichkeit der top. Parameter ist eine der Hauptbedin- 
gungen der Fähigkeit verschiedenartiger Körper zusammen zu kri- 
stallisieren. 

6) Aus der Molekularrefraktion der Alkalichloride folgt, daß die 
Stellung des Ammoniumradikals in der Alkalimetallgruppe genau 
der Tuttonschen Regel entspricht. 

Es sei mir noch gestattet, den Vorständen der mineralogischen 
Institute Prof. H. A. Miers in Oxford und Prof. J. Morozewiez 
in Krakau für Ihr freundliches Entgegenkommen und für die Er- 
müglichung dieser Arbeit meinen verbindlichen Dank hier auszu- 
sprechen. 


Oxford 1908 — Krakau 1909. 


13* 


610 


26. O solach anormalnych. Czesé U. — Über anormale 
Salze. II. Teil. Mémoire de M. A. KORCZYNSKI, présenté par 
M. L. Marchlewski m. t. 


In der ersten Mitteilung!) haben wir die Zahl der bis dahin 
bekannten fünf anormalen Ammoniumsalze um weitere siebzehn 
vergrößert, welche entweder bei gewöhnlicher Temperatur oder bei 
0° bis — 17° entstehen; daselbst wurde der Beweis geführt, daß die 
Fähigkeit zur Bildung derartiger Salze unabhängig ist von der 
Stärke der Säure und daß sie durch Anwesenheit gewisser Atome, 
resp. Gruppen im Säuremolekül ausgelöst wird. Wie daselbst aus- 
geführt wurde, übt die Stellung der fraglichen aktivierenden Grup- 
pen im aromatischen Kern, — also sterische Momente, — einen 
großen Einfluß auf diese Betätigung der Nebenvalenzen des Was- 
serstoffs aus. Es wurde z. B. bewiesen, daß bei Dinitrophenolen 
die diortho-Substituierung einen größeren Einfluß auf diese Fähig- 
keit hat als die dimeta- oder ortho-para-Substitution, und zwar daß 
ihr dieselbe Stärke zukommt wie der sym.-Trisubstitution. Da aber 
Trihalogenphenole sich wie Trinitrophenol verhalten, wurde mit 
gewissem Vorbehalt der Satz ausgesprochen, daß im allgemeinen 
die diortho-Substitution den größten Einfluß ausübt. 

Im Lauf der weiteren Untersuchungen hat sich hier ein gewis- 
ser Unterschied zwischen den Halogenen und der Nitrogruppe her- 
ausgestellt, worüber unten berichtet wird. Es blieb auch festzustellen, 
ob die Tatsache, daß 2-Nitro-4-bromphenol eine größere Neigung 
zur anormalen Salzbildung als 2- Nitro- 4, 6- dibromphenol besitzt, 
nicht etwa einen Mangel an Gesetzmäßigkeit bedeutet. 

Die an anderer Stelle von uns mitgeteilten Beobachtungen ?), 
daß die Farbe der Alkalisalze des 2-Nitro-4-bromphenols viel dunk- 
ler ist als die des o-Nitrophenols, aber auch dunkler als die des 
2-Nitro-4,6-dibromphenols, führten auf den Gedanken, daß die glei- 
che Abstufung in der Fähigkeit, anormale Salze zu liefern, keinem 
Zufall zuzuschreiben ist. Es wurde daher die vollständige Reihe der 


1) Anzeiger d, Krak, Ak. d. Wiss. 1908, Juliheft; Chem. Zentralbl. 1908. II. 2009. 
?) Berichte d. deut. chem, Ges. 42, 167 [1909]. 


611 


isomeren Dinitrohalogen- sowie Nitrodihalogen - Phenole [1:2:4:6] 
untersucht und die Resultate unten zusammengestellt. 

Die Analysen der Mononitrophenolsalze wurden durch die des 
m-Nitrophenolsalzes ergänzt, wobei es sich herausgestellt hat, daß 
man die Resultate der Addition von NH, an diese Phenole den 
Resultaten der Addition von HCl an Nitraniline direkt gegenüber- 
stellen kann. Die negative Nitrogruppe begünstigt am meisten die 
Addition von Ammoniak an Nitrophenol in dieser Stellung, in wel- 
eher sie die Addition von Chlorwasserstoff an Nitranilin am meisten 
hindert!). Dinitrophenole wurden schon im I. Teil besprochen; an 
Stelle der Dihalogenphenole, deren Eigenschaft, kleine Mengen von 
Feuchtigkeit hartnäckig zu binden, bekannt ist?), wurden Dihalo- 
genkresole untersucht. Auch eine Reihe von nitrierten Naphtholen 
wurde in den Bereich der Untersuchungen gezogen. Es möge hier 
erwähnt werden, daß 1.6-Dinitronaphthol (2) glatt 2 Mol. Ammoniak 
bei gewöhnlicher Temperatur absorbiert, wogegen 2,4- Dinitrona- 
phthol (1) unter gleichen Bedingungen nur 1 Molekül bindet. Diese 
Erscheinung findet ihre Erklärung in der Kaufler’schen sterischen 
Naphthalinformel °): 


-wobei Stellung 1 und 6 einer Art von diortho-Substitution des Hy- 
droxyls bewirken. welche, wie bereits ausgeführt, bei Dinitropheno- 
len den stärksten Einfluß auf die anormale Salzbildung besitzt. 
Den bei substituierten Phenolen erhaltenen Resultaten werden 
manche auf substituierte Benzoësäuren sich beziehende Messungen 
angereiht. Es war bis jetzt unmöglich, auf letzterem Gebiete so 
viel Gesetzmäßigkeit wie bei Phenolen aufzufinden; dazu wäre es 


1) Die beiden anderen Stellungen lassen auch einen direkten Vergleich zu. 
Die weitere Bearbeitung dieser Frage haben wir uns -in einer vorläufigen Mittei- 
lung (Ber. d. d. chem. Ges. 41, 4379 [1908]) vorbehalten. 
2) Vgl. Hand, Ann. d. Chem. 234, 138. 
3) Kaufler, Ann. d. Chem. 351, 141 [1906], Ber. d. d. chem. Ges. 40. 
3250 [1907]. 
Kaufler u. Karrer, Ber. d, d. chem. Ges. 40, 3262 [1907]. 


612 


nötig, alle disubstituierten Säuren zu untersuchen. Da diese wenig 
bearbeitet sind und öfters von ihren Isomeren erst durch fraktio- 
nierte Kristallisation der Salze getrennt werden müssen, wurde 
einstweilen davon Abstand genommen, an die Untersuehung dieser 
Reihe heranzutreten. Jedenfalls stellte es sich heraus, daß auch auf 
dem Gebiete der substituierten Benzoésiuren gewisse Regelmäßig- 
keiten auftauchen, und zwar daß die Fähigkeit der anormalen Salz- 
bildung nieht nur von der Anwesenheit negativer Gruppen und 
deren Stellung im Molekül, sondern auch ‘von dem Atomgewicht 
dieser Substituenten abhängt. Diese Beobachtung wurde übrigens 
auch bei zwei Reihen von disubstituierten Phenolen, nämlich dem 
para-substituierten o- Nitrophenol und ortho-substituierten p- Nitro- 
phenol gemaeht. 

Die bis jetzt auf dem Gebiete der anormalen Salzbildung erhal- 
tenen Resultate machen die Ergebnisse einer Untersuchung von 
Lloyd und Sudborough!) vollkommen verständlich, wonach 
die diortho-Substitution einer Säure dieselbe an Salzbildung mit Ba- 
sen von hohem Molekulargewicht nieht hindert. Es muß jedoch her- 
vorgehoben werden, daß für unsere Untersuchungen sich Ammoniak 
am besten eignet, weil z. B. Methylamin mit diesen Körpern, von 
denen wir glatt anormale Ammoniumsalze erhalten haben, uns nur 
normale Salze geliefert hatte?) obwohl die Darstellung derselben 
unter gleichen Bedingungen erfolgte. 

Der Vollständigkeit halber führen wir gelegentlich im Text die 
in unserer ersten Mitteilung erhaltenen Resultate an, wenn es sich 
darum handelt, dadurch das Bild einer ganzen Reihe von Verbin- 
dungen zu ergänzen; Analysenresultate werden dabei aber nicht 
wiederholt. Der Kürze halber werden dafür bei Substanzen, aus 
welchen nur normale Salze erhalten wurden (so weit es einen 
direkten Vergleich mit analogen Körpern nieht stört), nur die End- 
resultate der Analyse mitgeteilt. Am Schluß der Abhandlung befin- 
det sich eine Zusammenstellung aller bis jetzt von uns erhaltenen 
anormalen Ammoniumsalze, die auch Daten, betreffend Barometer- 
stand und Temperatur, bei welchen die Salze dargestellt wurden, 
sowie Farbe der entstandenen Verbindungen, soweit sie auftritt, 
enthält. Nach den Untersuchungen von Hantzsch und seinen 


1) Journ. Chem. Soc. 75, 580. 
1) Berichte d. d. chem. Ges. 42, 168 [1909]. 


613 


Mitarbeitern!) treten Salze von Nitrophenolen in drei Modifikatio- 
nen, einer gelben, einer roten und einer orangefarbigen auf, wobei 
die roten und gelben höchst wahrscheinlich wirkliche Isomere sind, 
die orangefarbigen aber Mischsalze oder feste Lösungen dieser 
gelben und roten Isomere Das Kristallwasser hat nur sekundär 
insofern einen Einfluß, als es unter den herrschenden Bedingungen 
labile, bezw. gar nicht existenzfähige Reihen (bald die gelbe, bald 
die rote) konserviert. Denselben Einfluß hat augenscheinlich das 
durch Nebenvalenz gebundene Ammoniakmolekiil, weil beim Über- 
gang des normalen Ammoniumsalzes in das anormale bei vielen 
Nitrophenolen Farbenveränderung eintritt, wie bereits an anderer 
Stelle von uns?) erwähnt wurde. Bei dieser Gelegenheit betonen 
wir also die Existenz gelber und orangefarbiger Formen von Sal- 
zen mancher Nitrophenole, bei welchen diese Erscheinung noch 
nicht studiert wurde. 

Die Darstellung der anormalen Salze erfolgte nach der in der 
ersten Abhanalung beschriebenen Methode. Die an einer Stelle er- 
wähnte Addition von Chlorwasserstoff an Amine erfolgte bei tiefer 
Temperatur unter ähnlichen Arbeitsbedingungen; das Absorptions- 
kölbehen wurde in Äther-Kohlensäuregemisch getaucht und die 
Temperatur an einem Pentanthermometer abgelesen. 

Wir beabsichtigen die anormale Salzbildung bei stereoisomeren 
Oximen und Dioximen zu studieren, sowie eine Tensionsbestimmung 
an den bis jetzt von uns erhaltenen Ammoniakaten vorzunehmen. 


Mononitrophenole. 


o-Nitrophenol bildet 1 Mol. NH,. p-Nitrophenol 1!,, Mol. NH}. 
m-Nitrophenol. 
0:1024 e absorbierten 15'7 em? (0°.760 mm) NH, =0:0119 g NH;. 
C,H,(NO,)OH.NH, Berechnet 109°/, NH, 
Gefunden 104%, , 
Die Addition von Chlorwasserstoff an Nitraniline 
ergab bei —75° folgende Resultate: 
0:1013 g o-Nitranilin absorbierte 46:4 em? (00,760 mm) HCl — 
= 0:0753 g HCl. 


1) Hantzsch und Gorke. Ber. d. d. chem. Ges. 39, 1073 [1906]. 
Hantzsch. Ber. d. d. chem. Ges. 40, 330, 1533 [1907]. 
1) 2) Korezyäski, Ber. d. d. chem. Ges. 42, 167, [1909]. 


614 


(b = 757 mm) C,H,(NO,)NH,.3HCl Berechnet 42-2°/, HCl 
Gefunden 42:6", y. 
01005 g m-Nitranilin absorbierten 45:0 em? (09760 mm) 
HCl = 0:0730 e HCl. 
(b — 154 mm) C;H,(NO,)NH,.3HCIl Berechnet 42-2?/ HCl 
Gefunden 42:09/ , 
0:0850 g p-Nitranilin absorbierten 27:7 em? (00,760 mm) HCl = 
= 0:0450 z HCl. 
(b = 754 mm) C,H,(NO,)NH, .2HCl Berechnet 3460/, HCl 
Gefunden 346°), „ 
In der para- Stellung, in welcher die Nitrogruppe die Bildung 
der anormalen Ammoniumsalze beim Nitrophenol (ähnlich wie bei 
der Nitrobenzoésiure) am meisten begünstigt, hindert sie am mei- 
sten die Addition von Chlorwasserstoff an Nitraniline. Aus folgen- 
der Zusammenstellung kann man es leicht ersehen: 





o- Nitrophenol | m-Nitrophenol | p-Nitrophenol 


| 











Anzahl der gebundenen | | | 1 
NH,-Moleküle 1 : = 


| 











| o- Nitranilin m-Nitranilin p-Nitranilin 
Anzahl der bei — 75° ge- | 3 | 3 2 
bundenen HCl-Moleküle | d 

Dihalogenkresole. 


3.5-Dichlorkresol (4). 
0:1070 g absorbierten 15:7 cm? (05760 mm) NH, = 00119 g NH,. 
CH,C;H,CLOH NH. Berechnet 8'79/, NH, 
Gefunden 10-00, „ 
Bei — 15? absorbierte dieselbe Menge insgesamt 25:8 cem? 
(00,760 mm) NH, = 0:0196 g NH,. 
CH,C;H,CLOH . 2NH, Berechnet 16:1°/, NH, 
Gefunden 16:2°/, , 
3,0-Dichlorkresol (2). 
0:1047 g absorbierten 249 em? (09,760 mm) NH, = 0:0189 g NH,. 
CH,CG,H,CLOH .2NH, Berechnet 16:19/, NH, 
Gefunden 1549?/ , 


615 


Schon nach einigen Stunden entspricht die absorbierte Menge: 
Ammoniak-ungefähr zwei Molekülen; die vollständige Absorption ging 
trotzdem sehr langsam von statten und dauerte zirka 36 Stunden. 

3,5-Dibromkresol (4). 

0:1002 e absorbierten Sp em? (0°,760 mm) NH, = 0:0065 g NH. 
CH;C,H,Br,OH NH. Berechnet 5'6°/, NH, 
Gefunden 6:0°/, , 

Bei —15° wurden insgesamt 16°5 cm? (00,760 mm) = 0:0125 g 
NH, absorbiert. 

CH,C,H,Br,OH .2NH, Berechnet 11°3°/, NH, 
Gefunden 110%, , 

Das entstandene anormale Salz gibt bei gewühnlicher Tempe- 
ratur ein Molekül Ammoniak sogar in dem Falle ab, wenn man 
während dieses Zerfalles die Quecksilberniveaus gar nicht ausgleicht. 

35-Dibromkresol (2). 

01044 g absorbierten 16:3 em? (00,760 mm) NH, = 00124 g NHs. 
CH,C,H,Br,OH . 2NH, Berechnet 11'3°/, NH; 
Gefunden 106%, , 


Trisubstituierte Phenole und Kresole. 
01010 g Trijodphenol absorbierten 81 cm? (00,760 mm) = 
= 0:0062 g NH,. 
C,H,LOH .2NH, Berechnet 6°7°/, NH; 
Gefunden 5704, „ 
Es wurde wie beim Tribromphenol verfahren. Wegen des hohen 
Molekulargewichtes des Trijodphenols sind die Resultate weniger 
genau. 
01048 g Trinitro-m-kresol absorbierten 29:3 em? (09,760 mm) 
NH, = 0:0223 e NH}. 
CH,C,H(NO,),OH.3NH, Berechnet 173°/, NH; 
Gefunden 175, , 


Pentasubstituierte Phenole. 
3,5-Dichior-2,4,6-tribromphenol ?) 
0:1027 g absorbierten 10°7 em? (00,760 mm) NH, = 0:0081 g NH,. 
C,Cl,Br;0H ..2NH, Berechnet 7:7°/, NH; 
Gefunden 73% , 


Pentabromphenol!). 


1) Blanksma, Rec. trav. chim. 27, 25 [1908]. 


616 


0:1022 e absorbierten 9:3 em? (0,760 mm) NH; = 0:0071 g NH,. 
C;Br;OH .2NH, Berechnet .6:5*/, NH, 
Gefunden 6:4?/ „ 


Phenole von der Formel: 
OH ` 
/ NNO, 


ns 


x 
2-Nitro-4-chlorphenol. 
0:1006 g absorbierten 13:9 em? (0°,760 mm) NH, = 00105 g NH,. 
C,H,Cl(NO,)OH . NH, Berechnet 8:9?/ NH; 
Gefunden 94°, „ 
Bei —15° wurden insgesamt 26:8 em? (00,760 mm) — 0:0199 g 
NH, absorbiert. 





C,H4CI(NO,JOH .2NH, Berechnet 16°3°/, NH; 
Gefunden 165" NH; 
2-Nitro-4-bromphenol absorbiert 2 Moleküle Ammoniak. 
Das entsprechende Jodderivat ist nieht bekannt. 
Falls in der oben angeführten Strukturformel x — Cl, NO,, Br, 
so liegt in der Fühigkeit der Salzbildung bei gewóhnlicher Tempe- 
ratur folgende Abstufung vor: 





x— | CI | x0, | Br 











2 


Anzahl der gebundenen NH,-Moleküle 1 LI, 





Phenole von der Formel: 


OH 
ry 
DA 


NO, 
2-Chlor-4-nitrophenol. 
0:1034 g absorbierten 27:1 em? (00,760 mm) NH, = 0:0206 g NH,. 
C,H,Cl(NO,)OH .2NH, Berechnet 163°/, NH, 
Gefunden 165% , 





617 


2-Brom-4-nitrophenol. 
0:1008 g absorbierten 10:2 em? (00,760 mm) NH; = 0:0077 g NH,. 
C,H,Br(NO,)OH . NH, Berechnet 7:2°/, NH, 
Gefunden 73%, „ 
Unterhalb 09 wurden insgesamt 21:1 cm? (09760 mm) = 
= 00160 g NH, absorbiert. 
C,H,Br(NO,)OH .2NH, Berechnet 13:4°/, NH, 
Gefunden 137%, „ 
2-Jod-4-nitrophenol. 
0:1025 g absorbierten 7:6 em? (00,760 mm) NH, = 00058 e NH;. 
C,H;I(NO,)OH.NH, Berechnet 6:0v/, NH, 
Gefunden 5:49/, 


n 





1 


Re Cl 


NO, B 











r | I 
la | 
Zahl der gebundenen NH,-Moleküle | 2 | Bi | TR RUM 
| | | 
Es liegt hier eine vom Molekulargewicht abhängige Abstufung 
vor, die aber von der bei der anderen Reihe beschriebenen ver- 
schieden ist. 


Trisubstituierte Phenole von der Formel: 


TUS 
Na 
x 
Dichlornitrophenol. 
01028 g absorbierten 13:3 em? (00,760 mm) NH, = 0:0101 g NH. 
C,H,Cl,(NO,)OH .NH, Berechnet 7:5°/, NH; 
Gefunden 89%, „ 
Diese Verbindung verhält sich genau wie das entsprechende 
Dibromphenol, d. h. sie liefert keine genauen Analysenresultate. 
Bei — 15? wurden absorbiert 22-7 em? (00.760 mm) NH, = 
== 00172 re NH,. 
C;H,CL(NO,)OH .2NH, Berechnet 14:0°/, NH, 
Gefunden 143°/, 


n 


618 


Dijodnitrophenol. 
0:1024 g absorbierten 6:1 em? (0°,760 mm) NH, = 0:0046 g NHs. 
O,H,I,(NO,JOH . NH, Berechnet 4-10), NHS 
Gefunden 43%, , 
Bei — 15° wurden absorbiert 12°0 em? (00,760 mm) NH, = 
= 0:0091 g NH,. 
C,H,I,(NO,)OH .2NH, Berechnet 8:0v/, NH, 
Gefunden 8:10, , 
4-Chlor-6-brom-2-nitrophenol. 
0:1022 g absorbierten 102 em? (00,760 mm) NH,=0:0077 g NH 
C;HCIBr(NO,)0H . NH, Berechnet 6:35], NH, 
Gefunden 700, „ 
Bei — 15° wurden absorbiert 177 cm? (0°760 mm) NH, = 
= 00134 e NH. 
C,H,C1Br(NO,)OH .2NH, Berechnet 11:89/, NH, 
Gefunden 11:50, „ 
4-Brom-6-chlor-2-nitrophenol. 
0:1042 g absorbierten 124 em? (00,760 mm) NH, = 0:0094 g NH,. 
C,H,CI Br(NO,)OH . NH, Berechnet 63°/, NH, 
Gefunden 82°%, , 
Bei —15° wurden absorbiert 17'7 em? (00,760 mm)—0'0134 g NH, 
C,H,ClBr(NO,)OH . 2NH, Berechnet 11'8%,, NH, 
Gefunden 11:395 „ 


Trisubstituierte Phenole von der Formel: 


Dichlornitrophenol. 








0:1020 g absorbierten 21:9 em? (00,760 mm) NH; = 0:0167 g NHsg. 
C,H,Cl,(NO,)OH .2NH, Berechnet 140°/, NH; 
Gefunden 14:07%, , 
Dibromnitrophenol. 
0‘1016 g absorbierten 15:7 em? (00,760 mm) NH; —0)0119 g NHs. 
C,H,Br,(NO,)OH . 2NH, Berechnet 10:2°/, NH,. 
Gefunden 104%, „ 





619 


Dijodnitrophenol. 
01012 g absorbierten 11:5 em? (00,760 mm) NH; = 0:0087 g NHB}. 
C,H,I,(NO.)OH .2NH, Berechnet 8:0°/, NH, 

Gefunden 790}, 


Trisubstituierte Phenole von der Formel: 
OH 
I NO. 


” 








INA 
NO, 


Dinitrochlorphenol. 
0:1049 g absorbierten 21:5 em? (09,760 mm) = 00161 g NH,. 
C,H,CI((NO,,OH .2NH, Berechnet 13:5?/, NH; 
Gefunden 133%, „ 
Dinitrobromphenol. 
0:1000 g absorbierten 16:8 em? (00,760 mm) = 00128 g NHs. 
C,H.Br(NO,),OH .2NH, Berechnet 11:4?/, NH; 
Gefunden 113%, , 
Dinitrojodphenol. 
0:1028 g absorbierten 15:1 em? (00,760 mm) = 00115 g NH,. 
C,HsI(NO,),OH .2NH, Berechnet 9:8°/, NH; 
Gefunden 100% , 


Trisubstituierte Phenole von der Formel: 


OH 
O,N/ NNO, 








NA 
x 


Chlordinitrophenol. 
0:1052 g absorbierten 21:3 em? (00,760 mm) NH, = 0:0160 g NH,. 
C,H,CI(NO,,OH . 2NH, Berechnet 13:4e/, NH, 
Gefunden 134%, „ 
Bromdinitrophenol absorbiert ebenfalls 2 Moleküle Am- 
moniak. 
Joddinitrophenol. 
0:1025 g absorbierten 8:0 em? (60,760 mm) = 0:0060 e NE. 
C,H,I(NO,),OH.NH, Berechnet 5:2°/) NH; 
Gefunden 55% , 


620 


Dieselbe Menge absorbierte bei —15° 15:3 em? (0°,760 mm) — 
—10 0116 UNE 
C,H,I(NO,,0OH . 2NH, Berechnet 9-80, NH, 
Gefunden 1000, „ 
Vergleicht man die bei trisubstituierten Phenolen erhaltenen 
Resultate, so ersieht man, daß Phenole vom Typus 
OH 
x oe 


NO 

NO, 
eine größere Fähigkeit zur Bildung von anormalen Salzen als die 
der Formel: 


OH 
ne 





3 
X 
besitzen, die Phenole von der Formel: 


OH 
NNO: 








DA 
NO, 


aber eine größere als die isomeren 





Die Verringerung der erwähnten Fähigkeit tritt bei dem letzt er- 
wähnten Dinitrohalogenphenol jedoch erst dann auf, wenn den 
Substituenten x das Halogen vom größten Atomgewicht bildet. 


Substituierte Thymole. 
6-Nitrothymol. 
0:1028 g absorbierten 12:1 em? (0°,760 mm) NH, = 0:0092 g NH. 
C,,H,,(NO,JOH. NH, Berechnet 8:0°/, NH, 
Gefunden 81°, , 





621 


6-Brom-2-nitrothymol. Wegen seiner leichten Schmelz- 
barkeit wurde es nur im Kältegemisch untersucht. 
C, Hj, Br(NO,)OH . 2NH, Ber. 11:0°/, NH; Gef‘11'8°/, 
2,6-Dinitrothymol absorbiert 2 weitere Mol. NH, erst 
bei —150. 
Co (NO OF SNE, Ber. 17:50/,7NH,. Get 18:1% 


Nitronaphthole. 


1-Nitro-2-naphthol bindet 1 Molekül Ammoniak. 
2-Nitro-1-naphthol. 
0:1028 g absorbierten 12:7 em? (00,760 mm) NH, = 06096 g NH. 
bei —15° 23:4 em? (00,760 mm) NH; — 0:0178 g NH}. 
CoH, (NOSOELGNEH,) Ber. (8:20 NH. Gef. | 8:41) 
CDH(NOJOH:2NH; Ber. 1529 NH,. Gef. 14°7°/, 
24-Dinitronaphthol (1). 
0:0998 g absorbierten 9:6 em? (00,760 mm) —0:0071 g NI}. 
bei —15° 24:4 em? 09,760 mm) — 0:0185 g NH,. 
C,,H4,(NO,,OH . NH, Ber. 6'7?/, NH;. Gef. 6:50, 
C,,H,(NO,),0H . 21; NH, Ber. 15:3°/, NH,. Gef. 15°79/, 
1.6-Dinitronaphthol (2). 
0:1012 g absorbierten 19:1 em? (00,760 mm) NH, = 0:0145 g NHsg. 
C,,H;(NO,,OH . 2NH, Berechnet 13:0°/, NH, 
Gefunden 125°, , 


H 


” 


245-Trinitronaphthol (1). 
01057 g absorbierten 17:5 cm? (00,760 mm) NH, = 0:0133 g NH. 
C,,H,(NO;,OH . 2NH; Berechnet 10:869/, NH; 
Gefunden 1111?/ , 
Bei — 15° wurden insgesamt absorbiert: 33:4 cm? (09,760 mm) 
NH; = 00254 e NH;. 
C,,H,(NO,),0H .4NH; Berechnet 19°6°/, NH; 
Gefunden 19:3?/ , 


Verschiedene Phenole. 


Trinitroresorcin. 
0:1025 e absorbierten ` 38:8 em? (00,760 mm) NH, = 00294 g NH}. 
bei —15° 46:0 em? (00,760 mm) NH, = 0:0349 g NH. 
C,H(NO,),(OH), .4NH, Ber. 21°79/, NH;. Gef. 22:3*/, 
C,H(NO,),(OH),.5NH, Ber. 259%, NH;. Gef. 25°7°/, 


b 


622 


p-Oxyazobenzol absorbiert 1 Molekül Ammoniak. 
Ber. 74%, NH,. Get 7:5°%, NH; 
Die Azogruppe absorbiert Chlorwasserstoff, hat also als positive 
Gruppe keinen solchen Einfluß auf die anormale Salzbildung wie 
die Halogene oder Nitrogruppe. 


Orthosubstituierte Benzoésauren. 


o-Fluorbenzo&säure. 
0:1031 g absorbierten 16:8 em? (0,760 mm) NH,—0)0128 g NH,. 
bei —15° 47-1 em? (00,760 mm) NH4,—0:0358 g NH,. 
C,H,FCOOH .NH, Ber. 10°8°%, NH,. Gef. 11:0%, 
C,H,FCOOH ..3NH, Ber. 267*/, NH,. Gef. 257%, 
o-Chlorbenzoésüure bindet bei gewöhnlicher Temperatur 
1 Molekül, bei —15° zwei Moleküle NH. 
o-Brombenzoësäure. 
0:1024 & absorbierten 11-5 cm? (00,760 mm) NH4—0:0086 g NH;. 
, bei —15° 22-3 em? (09760 mm) NH,—0:0169 g NH,. 
GH, BrCOOH NH, Ber 1195 NEE! Ger Tan 
C,H,BrCOOH . 2NH, Ber. 144*/, NH,. Gef. 1419/, 
o-Jodbenzo&säure. 
0:1002 absorbierten 17:3 em? (00,760 mm) NH, = 0:0131 g NHs. 
C,H,ICOOH .2NH, Berechnet 12:0?/, NH, 
Gefunden 11504, , 
Die Abstufung in der Fähigkeit der Bildung von anormalen 
Ammoniumsalzen, welche von dem Atomgewicht des Substituenten 
abhängt, ersieht man in dieser Reihe von Säuren an folgender Zu- 


7 




















sammenstellung: 
Orthosubstituent der Benzoësäure | Eye) 101 | Br | I 

| | 
| 

Anzahl der oberhalb 0° absorb. NH,-Moleküle | 1 1 1 2 
| | | 

Anzahl der ausschließlich unterhalb 0° absorb. "T PT | 1 0 

NH, -Molekiile | 








Meta- und para-substituierte Benzoésauren. 
m-Fluorbenzo&säure absorbiert 1 Mol. NH,. Gefunden 10°79/, NH,. 
Gefunden 10°69/, 
Berechnet 10:8?/, 


p-Fluorbenzoësäure P > 2 





623 


m-Chlorbenzoësäure absorbiert 1 Mol. NH,. 

Berechnet 9°8°/). Gefunden rr 
p-Chlorbenzoësäure absorb., wie bereits mitgeteilt, ebenfalls 1 Mol. NH,. 
m-Brombenzoösäure absorbiert ebenfalls 1 Mol NH. 

Berechnet 7:70/, NH. Gefunden 7:5°/, NH, 
p-Brombenzoésüure bildet, wie bereits mitgeteilt, 1 Mol. NH,. 
m- und p-Jodbenzoësäure absorbieren auch nur 1 Mol. NH,. 
Berechnet 64%), NH. Gefunden 6'6°/,, 63°, 


Di- und Tribrom-Benzo&säuren. 


3,9 -Dibrombenzoësäure. 
0:1015 g absorbierten 16:8 em? (00,760 mm) NH; = 0:0128 g NH. 
C,H;Br,; COOH .2NH, Berechnet 10-8°/, NH, 
Gefunden: HET  , 

3,4,5-Tribrombenzoésiure. 
0:1028 g absorbierten 12:8 em? (00,760 mm) NH; —0:0097 ¢ NH,. 
C,;H,Br,COOH .2NH, Berechnet 8 6%, NH, 
Gefunden 860, „ 

2.4.6-Tribrombenzoeésüure. 
0:1002  absorbierten 11:9 em? (09760 mm) NH, = 0:0090 e NH,. 
C,H,Br,COOH . 2NH, Berechnet 8:6v9/, NH, 
Gefunden 8:2°/, 


n 


Nitrozimtsäuren. 


o-Nitrozimtsäure. 
0:1040 g absorbierten 18:1 cm? (0°,760 mm) NH;,—00137 g NH;. 
@,HL(NO,)CH :CH!.COOH.. 14/,NH, Berechnet: 11;6°/, NH, 
Gefunden 116°), , 
Bei — 15° wurden insgesamt 282 cm? (09760 mm) NH, = 
= (00214 g NH, absorbiert. 
C,H (NO; \CH : CH . COOH . 2!/.NH, Berechnet 18-0°/, NH, 
Gefunden 1700, , 
-Nitrozimtsäure. 
0-1028 g absorbierten 13:8 em? (09,760 mm) NH, = 0:0107 g NH,. 
C,H,(NO,)CH : CH . COOH NH. Berechnet 8:1 of. NH, 
Gefunden 92°, „ 
Bei —15° absorbierte die Säure insgesamt 16:9 em? (00,760 mm) 
NH, = 0:0128 g NH,. 


Bulletin IIT. Avril. Y 14 


624 


C,H,(NO,)CH : CH .COOH . 11; NH, Berechnet (Gol, NH; 
Gefunden 110%, ; 
p-Nitrozimtsüure absorbiert nur 1 Mol. NH,. 
Berechnet 8‘1°/, NH,. Gefunden 80°, 

Die Nitrogruppe hat im Nitrozimtsäure- Molekül den größten 
Einfluß in der ortho- Stellung, den kleinsten in der para- Stellung, 
umgekehrt wie im Nitrobenzoésüure-Molekül. 

Maleinsäure. 

Da bei gewöhnlicher Temperatur die Masse zusammenbäckt und 
infolgedessen die Absorption langsam von statten geht, wurde direkt 
bei —15° absorbiert. 

0:1019 absorb. bei — 15° 37:8 em? (09,760 mm) NH4—0:0286 s NH. 
C,H,(COOH), .2NH, Berechnet 22-00, NH, 
Gefunden 21-94, , 

Bei gewühnlicher Temperatur, unter gleichem Barometerdruck 

(748 mm), behielt die Säure 30:1 em? (09760 mm) = 0:0228 e NH,. 
C,H,(COOH), . 11/; NH, Berechnet 18‘0°/, NH, 
Gefunden 18:2°/, , 

Fumarsäure. 

0:1026 g absorbierten 39:4 cm? (0°,760 mm) NH; —0:0299 g NH,. 
C,H,(COOH), .2NH, Berechnet 22-09/, NH, 
(t = 129—159, b = 746 mm) Gefunden 225%, „ 

Bis jetzt kannte man nur das Ammoniumsalz der Fumarsäure 
von der Formel C,H,O,. NH,. Ein Ammoniumsalz der Maleinsäure 
war nicht bekannt. 

Chinon bildet bei — 15° ein grünlich-schwarzes Additions- 
produkt; Molekularverhältnisse konnten nicht konstatiert werden. 
Zweifellos bilden sich hier Körper, welche mit den von Zincke 
und Hebebrandt erhaltenen !) verwandt sind. 


In dem ersten Teil unserer Mitteilung haben wir das Verhalten 
mancher Trinitrokohlenwasserstoffe gegenüber flüssigem und gas- 
formigem Amoniak beschrieben; wir lassen nun einige eee 
Beobachtungen folgen. 

Trinitro- m- xylol löst sich in flüssigem Ammoniak mit violett- 
blauer Farbe auf, bildet aber mit gasförmigem keine ähnlichen Ver- 


1) Ber. d. d. chem. Ges. 16, 1556 [1883]. 


625 


bindungen wie Trinitrobenzol oder Trinitrotoluol. 3,5-Dinitroanisol 
löst sich in flüssigem NH, mit violetter, m- Dinitrobenzol mit der 
Farbe einer Chameläonlösung auf. Pikrinsaures Kalium wird unter 
der Einwirkung von flüssigem Ammoniak rot; nach Verdunstung 
des Ammoniaks bleiben neben Kaliumpikrat kleine Mengen eines 
roten Körpers zurück, welcher Ammoniak enthält. 


Die in vorliegender Mitteilung angeführten Tatsachen berechti- 
gen zu folgenden Schlüssen: 

1) Die Nitrogruppe übt beim Nitrophenol oder Nitrobenzoësäure 
einen größeren Einfluß auf die anormale Salzbildung in der para- 
Stellung als in der ortho- oder meta-Stellung aus. 

2) Obwohl zwei Nitrogruppen dann den größten Einfluß besitzen, 
wenn sie sich in diortho-Stellung zum Phenol-Hydroxyl befinden, 
kommt Halogenen ein größerer Einfluß in der ortho-para als in der 
diortho-Stellung zu (was bei Kresolen bewiesen wurde). 

3) Wird im 2,4,6-Trihalogenphenol ein Halogenatom durch eine 
Nitrogruppe ersetzt, so vermindert sich die Fähigkeit der anorma- 
len Salzbildung in dem Falle nicht, wenn die Nitrogruppe die para- 
Stellung zum Hydroxyl einnimmt; sie vermindert sich, wenn die 
Nitrogruppe die ortho-Stellung einnimmt. 

Wenn im 2,4,6- Trinitrophenol eine Nitrogruppe durch Halogen 

vertreten wird, so wird die Fähigkeit zur Bildung von anormalen 
Salzen nicht verändert, falls das Halogenatom die ortho - Stellung 
zum Hydroxyl einnimmt; tritt es in die para-Stellung, so kommt 
es zu einer Verminderung dieser Fähigkeit nur dann, falls diesen 
Substituenten das Halogen mit größtem Atomgewicht, also das Jod, 
bildet. 
Allgemeiner: Falls Phenol durch zweierlei negative Gruppen 
(Halogene, Nitrogruppe) in der Stellung 2:4:6 trisubstituiert ist, 
so kann es zu einer Verminderung der Fähigkeit zur Bildung von 
anormalen Salzen nur dann kommen, wenn beide gleichartigen 
Substituenten diese Stellung einnehmen, welcher bei Disubstitution 
der größte Einfluß zukommt. 

4) Die Anwesenheit von Fluor oder Jod im Molekül einer zyk- 
lischen Säure oder eines Phenols vermag die Betätigung der Ne- 
benvalenzen des Säurewasserstoffs auszulösen. (Gleiches haben wir 
in bezug auf Cl, Br, NO, bereits bewiesen). 


626 


5) Die Nitrogruppe hat im Nitrozimtsäuremolekül den größten 
Einfluß auf die anormale Salzbildung in der ortho-Stellung, den 
kleinsten in der para-Stellung, umgekehrt wie bei Nitrobenzoésüure. 

6) Die durch Halogen monosubstituierte Benzoésiure vermag 
nur dann anormale Salze zu bilden, wenn das Halogen sich in 
ortho-Stellung befindet. 

7) Die Fähigkeit zur Bildung von anormalen Salzen ist eine 
Funktion der Anwesenheit von negativen Gruppen im Molekül der 
Säure, der Konfiguration und des Atomgewichts dieser Gruppen. 


Eine strenge Scheidung in negative und positive Gruppen läßt 
sich nach den Untersuchungen von Vorländer!) auf Grund der 
Dissoziationskonstanten nicht durchführen; sogenannte positive Grup- 
pen wie z. B. NH, vermögen nämlich sowohl das Leitvermögen der 
Basen zu vermindern, wie das der Säuren zu erhöhen, genau wie 
negative Radikale. Höchst wahrscheinlich ließe sich aber eine solche 
Scheidung — sei es nur auf dem Gebiet der Molekularverbindun- 
gen organischer Körper — je nach dem Additionsvermögen für Am- 


moniak oder Säuren seitens dieser Gruppen oder je nach dem auf 


diese Additionen von ihnen ausgeübten Einfluß durchführen. 























Anzahl der | 
2 - z | gebunde- | Barometerstand und | Farbe 
EE nen NH,- Temperatur 3) | der Salze 
Moleküle 2)| | 
pNiikophenol 2a 22.2 12.2.1 E 745 mm, 169—219 | gelb 
2,4-Dinitrophenol . . . . .| 1% 757 mm, 240 
3 5- b rk P EP 755 mm, 23°— 28° i 
2,6- » Oe ere TE 2 752 mm, 27° | x 
LE 1 NH, orange 
> 9 xr 9 0__990| 
3,5-Dinitrokresol (4) . . . . 2 740—742 mm, 16°—22° 9 NH, gelb 
3-Nitrokresol (4) . Ar 1 [2] 739 mm, 140—170 orange [gelb] 
3,5-Dichlorkresol (4) . . . . 1 [21 733 mm, 14° — 18° 
3,5- 5 (dy OC 2 | 738—749 mm, 139— 18? 
3,5-Dibromkresol (4) . . . .| 1[2] 755 mm, 209 
3,5- 5 (2) . | 2 760 mm, 18° 


1) Ann. d. Chem. 320, 99. Vgl. Henrich „Über d. negative Natur unge- 
sättigter Radikale“ Habilitationsschrift, Erlangen 1900. — Ber. d d. chem, Ges, 
35, 1773, 2326 [1902]. Vorlünder Ber. d. d. chem, Ges, 35, 2309, 4142 [1902]. 

*) Die in Klammern angeführten Zahlen beziehen sich auf Temperaturen unter- 
halb 0°; dasselbe gilt bei der Farbenbezeichnung. 

3) Temperatur, bei welcher der Versuch ausgeführt wurde; bei Versuchen im 
Kältegemisch Temp. des Gasbehälters. 





627 

















Anzahl der 
ZEE gebunde- | Barometerstand und Farbe 
Name der Verbindung nen NH,- Temperatur der Salze 
Moleküle 
4-Nitro-2-chlorphenol . 739 mm, 89—15^ gelb 


4- , -2-brompkenol . 
4- , -2-jodphenol . 
2- „ -4-chlorphenol . 


2- „ -4-bromphenol . 


2,4-Dinitro-6-chlorpheno! 


2,4- „  -6-bromphenol 
2,4- ,  -6-jodphenol 
2,6- , -4-chlorphenol 
2,6- , -4-bromphenol 
2,6- , -4-jodphenol 


2,4-Dichlor -6-nitrophenol 
2,4-Dibrom- 6- 5 
2,4-Dijod -6- : 
2,6-Dichlor -4- S 
2,6-Dibrom-4- 

2, ee Dijod -4- 


4- Chlor-6-brom-2- open 
4-Brom-6-chlor-2- an 


Dinitrothymol 
Bromnitrothymol 
2-Nitro-1-naphthol . 
2,4-Dinitronaphthol (1) 
1,6- ” (2) 
Trinitronaphthol 
Trinitro-m-kresol 
Trichlorphenol 
Tribromphenol . 
Trijodphenol 
Trinitropheuol 


3-Brom-5-nitrokresol . 


3,5-Dichlor-2, 4, 6- ser 


Pentabromphenol 
Trinitroresorein 
o-Fluorbenzoësäure 
o-Chlor 
o-Brom 
o-Jod » 
[o-Nitrobenzoésáure] 
m-Nitrobenzoésáure 


” 


H 


» 
o-Nitrozimtsäure 
m- S a 
|p-Nitrozimtsaure| . 
3,5-Dibrombenzo&säure 
3,4,5- Tribrombenzoésáure 
2,4,6- ” 


2 ,4-Dinitrobenzoësäure 





— - 

nn —— Ww 
Ww 
= 


bo 
o 


man 
WWM pew wo wnwnwr D 


py 


[ope or ae 
LF bo by OS BO béi 
nv ——— L— LR 
E 


= 


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bo = keck va PRR 
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ES |—— M .— [NS e b) 
voa uw uo es v eo IN I D I Π


en 


1 


>] 


j 
— 

Se 
=e 
NOR Cen 


| 750 mm, 14°; 





740 mm, 11°—140 
754 mm, 16?--199 


739 mm, 179— 18? 


734 mm, 8° 
763 mm, 17° 
756 mm, 179—209 
746 mm, 13? 


754 mm, 13° 


752 mm, 11° 
745 mm, 119—149? 
757 mm, 169—179 
763 mm, 18? 
769 mm, 16° 
767 mm, 17° 
755 mm, 18° 
740 mm, 16° — 18° 
760 mm, 17° —18? 
746 mm, 12° 
756 mm, 18° 
748 mm, 9° 
762 mm, 159 
755 mm, 17° 
747 mm, 14? —17? 
740 —7450 mm, 10°—12° 
753 mm, 15°—18° 
750 mm, 11°—16° 
760 mm, 13° 
741— 744 mm, 189—209 


764 mm, 18° 


740 mm, 13° 
747 mm, 13° 
739 mm, 12° 


740 mm, 12° 
751 mm, 14° 16° 
760 mm, 18° 
740 mm, 18° 
757 mm, 22° 
757 mm, 240 
755 mm, 18°—21° 
730 mm, 14° 
730 mm. 14° 
731 mm, 13° 
752 mm, 14°—15° 
767 mm, 18° 
736—753 mm, 15°—20° 
754 —756 mm, 22° 





"n 


rot [gelb] 

1 NH, orange 
2 NH, gelb 
gelb 
orange 
1 NH, orange 
2 NH, gelb 
rot [gelb] 
orange [gelb] 


" » 


j gelb ` 


^ 


orange [gelb] 


n " 


[gelb] 
rot [rot]! 
orange |gelb] 
gelb 
gelb [gelb] 
gelb 


gelb 
1 NH, orange 
2 NH? gelb 


gelb [gelb] 


628 


21. O dzialaniu wodorotlenku potasowego na dwuoksym 
acetyloizatyny. — Uber die Wirkung des Kaliumhydro- 
xyds auf das Acetyl-ps-Isatin-Dioxim. Note de M. JEAN 
KOZAK, présentée par M. L. Marchlewski m. t. 


In der Abhandlung der Herren L. Marchlewski und E. 
Sehunek unter dem Titel: „Zur Kenntnis des Isatins“, die ın 
den „Berichten der deutschen chemischen Gesellschaft“ vom Jahre 
1896 S. 203 u. ff. veröffentlicht wurde, befindet sich im Abschnitte 


über Acetyl-ps-Isatindioxim folgender Satz: „Aus der alkalischen 


Lösung kann Acetyl-ps-Isatindioxim im ersten Momente unverän- 
dert ausgefällt werden, nach längerer Einwirkung jedoch bleibt 
die Lösung nach dem Ansäuern klar, und Äther extrahiert eine 
kristallisierbare Substanz, die jedoch nicht weiter untersucht wurde“. 

Auf freundl. Rat des Herrn Prof. Marchlewski habe ich 
diesen Abschnitt zum Ausgangspunkt meiner Arbeit gewählt. Denn 
von den zahlreiehen Derivaten, die das Isatin mit verschiedenen 
Verbindungen erzeugt oder erzeugen kann, wäre es doch interessant, 
das Isatindioxim selbst in der Formel: 


wegen seiner gewissen Verwandtschaft mit Indofenazin zu erhalten 
und zu untersuchen. Da man jedoch durch direkte Wirkung des 
Hydroxylamins auf Isatin nicht das Isatindioxim, sondern nur das 
Isatinmonoxim in der Formel: 


AS GN FTH 


Lon 
Keng 


erhalten kann und der obenangeführte Abschnitt einen gewissen 
Weg zur Darstellung des Isatindioxims anzeigt, so war ich bemüht 
zu prüfen, ob man nicht auf diesem Wege diese interessante Ver- 
bindung erhalten könnte. 





e Acetyl-ps-Isatin. 


Diese Verbindung erhielt ich durch Kondensation chemisch rei- 
nen Isatins mit Essigsäureanhydrid derart, daß ich 10 e Isatin mit 
20 g Essigsäureanhydrid in einem kleinen Kolben mit Rückflußkühler 
anwärmte. Nach zweistündiger Wirkung und nachfolgender Ab- 
kühlung schlugen sich von der Lösung braune Kriställchen nieder, 
die ich von der Lösung abfiltrierte und mit Benzol so lange abspiilte, 
bis die Lösung farblos abträufelte. Ich erhielt auf diese Weise gelbe 
prismatische Nadeln in einem Quantum von 9:26 e Nach einigen 
ähnlichen Proben erhielt ich von 39 g Isatin 343 g Acetyl-Isatin, 
d. i. 690/, theoretischer Ergiebigkeit. 

Die Formel dieses Körpers ist: O,,H;O4N, dagegen liegt der 
Schmelzpunkt bei 141°C. Die Durchführung der elementaren Ana- 
lyse des Acetyl-Isatins hielt ich für überflüssig, da dasselbe schon 
ein seit jeher bekannter und genau untersuchter Körper ist. 


Acetyl-ps-Isatindioxim. 


Diesen Körper habe ich durch Kondensation des Acetyl-Isatins 
mit zwei Molekülen von Hydroxylamin dargestellt. Zu der kalten 
gesättigten Lösung von 5 g Acetyl-Isatin in Alkohol fügte ich 
407 g Hydroxylamin - Chlorhydrat hinzu, welches ich mit 3:08 g 
Natriumkarbonat neutralisierte, und ließ diese Lösung stehen. 
Nach einigen Tagen schlug sich darin eine weiße undeutliche 
Kristallsubstanz nieder, die ich durchfiltrierte, mit Wasser abspülte 
und aus Eisessig umkristallisierte. Auf diese Weise erhielt ich 
weiße, sehr kleine Nadeln in Quantum von 2:645 g. Ich habe meh- 
rere solche Proben durehgeführt und als Resultat erhielt ich von 
30 g Acetyl-Isatin 11 g Acetyl-ps-Isatindioxim, d. i. 317 %/, theo- 
retischer Ergiebigkeit. Diese Verbindung schmilzt bei 2399 C. bei 
gleiehzeitigem Zerfall. Zur Formel: 





fiel folgender Prozentgehalt aus: 


C = 5479 , H = 410%, N = 199. 


630 


Die elementare Analyse ergab jedoch das Resultat: * 
CAS MEE — 4.23%, ON 18 820 


Dieses Resultat stimmt auch mit der Analyse des Herrn Prof. 
Marchlewski: 


C = 54539, H = 416%, N = 189 vj, 
194 °/, 


überein. 


Abscheidung der Acetylgruppe von dem Acetyl-ps-Isatindioxim. 


Diese Abscheidung führte ich auf die Weise durch, daß ich 
Acetyl-ps-Isatindioxim im Ueberschu8 von 15°, Kaliumhydroxyd- 
lösung löste und sie während 2—3 Wochen in gewöhnlicher Tem- 
peratur stehen lief). 

Die anfangs blutrote Losung nahm nach einigen Stunden hell- 
gelbe Fürbung an, die nach mehrtügiger Wirkung ein wenig nach- 
dunkelte. Die durchsichtige Flüssigkeit machte ich alsdann mit 
Salzsäure unempfindlich, indem ich dieselbe bei gleichzeitigem Schüt- 
teln der Flüssigkeit tropfenweise hinzugab. Die Lösung schäumte 
und erzeugte einen Geruch von Essigsäure, nach vollständiger 
Abstumpfung sonderte sie einen hellgelben Rückstand ab, jedoch 
nur dann, wenn sie genügend verdickt war. Diesen Rückstand 
filtrierte ich, spülte ihn mit kaltem destilliertem Wasser ab, da er 
sich darin ziemlich schwer löst, und kristallisierte ihn mehrmals 
aus heißem Wasser um. Dadurch erhielt ich gelbe Säulchen im qua- 
dratischen System. Aus verdünnten Lösungen sondert sich durch 
Abstumpfung der gelbe Rückstand nicht ab, die Lösung bleibt 
durchsichtig, und erst mittels Äther kann man von ihr die 
obige Verbindung absondern, da die gelbe Ätherlösung nach 
Abdampfung einen gelben Rückstand zurückläßt, der, falls er aus 
heißem Wasser kristallisiert wird, ebensolche gelbe Säulchen gibt, 
wie früher. Bedeutend schneller und leichter kann man die Ab- 
scheidung der Acetylgruppe derart durchführen, daß man die Ace- 
tyl-ps-Isatindioxim-Lösung während einer halben Stunde in einem 
kleinen Kolben am Rückflußkühler anwärmt und nach Abkühlung 
mit Salzsäure unempfindlich macht. Von 1 g Acetyl-ps-Isatindioxim 
erhielt ich 0:34 g gelben Kristallkörper, d. i. 46°/, theoretischer 
Ergiebigkeit. Als Resultat erhielt ich jedoch von 10 g  Dioxim 





631 


35 g der obigen Kristallsubstanz. die nach genauem Trocknen bei 
1000 C. bei 197°C. zu schmelzen beginnt und bei 202°C. vollstän- 
dig geschmolzen ist und sich gleichzeitig zersetzt. Dieser Körper 
löst sich leicht in Alkohol, warmem Wasser, Mineralsäuren, in 
Alkalien, schwerer in Äther und überhaupt nicht in Benzol, Toluol 
und sämtlichen aromatischen Kohlenwasserstoffen. 

Die elementare Analyse dieser Verbindung hat folgendes Re- 
sultat ergeben: 


C=5863°%, H—3920, N—1760, 
58-77 0/, 3:86 */, 17:02 0/, 
17-16 °/, 


Da das Isatindioxim in Prozenten folgenden Gehalt haben müßte: 
C= 5418", H= 398%, N = 2377 Yo 


wie dieses aus der Formel: 


hervorgeht, so kann die obige Verbindung in keinem Fall Isatin- 
dioxim sein. Ihr Gehalt in Prozenten entspricht nur dem Isatinmon- 
oxim, da sich aus der Formel: 


ENGEN 


| 
C=O 
3806 d 


C—5920%, H=373%, N=1731%, 


ergibt, was beinahe vollständig mit den Resultaten der obenange- 
führten Elementaranalyse übereinstimmt. 

Daraus geht hervor, daß die gelbe Kristallverbindung in Säul- 
chen, die durch Abscheidung der Acetylgruppe vom Acetyl-Isatin 
erhalten wird, nicht Dioxim, sondern nur Isatinmonoxim ist. 

Dies wird durch die Begründung und noch durch den Umstand 
bestätigt, daß sowohl der Schmelzpunkt, wie auch das Verhalten 


632 


dieses Körpers in bezug auf die reagierenden Substanzen mit den 
Eigenschaften des Isatinmonoxims vollständig identisch ist. 

Auf dem von mir gewählten Wege kann man also nicht durch 
die Wirkung des Kaliumhydroxyds auf das Acetyl-ps-Isatindioxim 
die Acetylgruppe allein abscheiden und das Isatindioxim erhalten, 
sondern mit der Acetylgruppe trennt sich sofort eine Oximgruppe 
derart ab, daß als Resultat das bloße Isatinmonoxim entsteht. Die 
Konzentration der Alkalilauge hat keinen Einfluß auf die Qualität 
der Reaktion, denn ich habe verschiedene Kaliumlaugeverdiinnun- 
gen von 19/,—309/, gebraucht und immer nur das Monoxim er- 
halten. Es ist überhaupt zweifelhaft, ob das Isatindioxim allein 
bestehen kann, da auch die von Herrn Prof Marehlewski 
erhaltene Substanz, welche er in der Einleitung seiner obenange- 
führten Abhandlung erwähnt, dennoch nieht Isatindioxim ist, obwohl 
sie in Blechsehuppen, die Kristallisationswasser enthalten, anders 
kristallisiert, da sie Stickstoff in Prozenten 


Ni 130%, 
19:08°/, 
enthilt, also bedeutend weniger als dies dem Isatindioxim entspre- 
chen würde. 





28. Bromowanie strychniny, brucyny i innych alkoloidéw. 
Część I. — Bromierung des Strychnins, Brucins und 
anderer Alkaloide. 1. Teil. Mémoire de MM. J. BURACZEWSKI 
et M. DZIURZYNSKI, présenté par M. L. Marchlewski m. t. 


In einer neulich publizierten Arbeit über Jodderivate des Strych- 
nins und Brucins !) haben J. Buraezewski und T. Kozniew- 
ski durch Einwirkung von Jod in CS,-Lösung auf alkoholische 
Lösungen dieser Basen Dijodstrychnin und Dijodbruein darge- 
stellt. Obwohl die weitere Untersuchung dieser Körper noch fort- 
gesetzt wird, so scheint doch sehon jetzt insoferne jeder Zweifel 
ausgeschlossen zu sein, daß man da nicht mit Substitution, sondern 
mit Addition von Jodatomen zu tun hat und daß diese Körper 


1) J. Buraczewski und T. KoZniewski: Jodderivate des Strychnins und 
Brucins, Bulletin de l'Académie des Sciences de Cracovie, 1908, S. 644. 





633 


anderseits als Basen der von Jörgensen beschriebenen Perjo- 
dide !) zu betrachten sind. 

In dieser Arbeit haben wir uns vorgenommen, die Einwirkung 
von Brom auf Strychnin, Bruein und andere Alkaloide bei analo- 
gen Verhältnissen zu studieren. Die Bromierung der Alkaloide war 
in viel höherem Grade Gegenstand eingehender Studien gewesen 
als deren Jodierung; die einschlägige Literatur bringt mehrere Mit- 
teilungen über verschiedene Bromderivate, auch solche der Strych- 
nosalkaloide. während entsprechende Jodderivate außer den von 
Jörgensen beschriebenen Perjodiden ?) fast vollständig fehlen. 

Bei Strychnin sind folgende Derivate bekannt: zwei Monoderi- 
vate, u. zw.: -Derivat 3) vom Schmelzpunkt 222? und ß-Derivat 5); ein 
Dibromderivat, nämlich Dibromstryehnin ^) C,,H3,Br,N,O,, bei 250° 
zersetzlich, und ein Bromstrychnindibromid 5) C,,H,,BrN,Br,, oder 
bromwasserstoffsaures Bromstrychninbromid C,,H,,BrN,0,H BrBr. 

Bei Bruein sind folgende Bromderivate beschrieben worden: a) 
Monobrombruein €) C,,H,,BrN;0,. welches in kleinen, bräunli- 
cher Nadeln kristallisiert und sich nicht mit Salpetersäure rö- 
tet; b) Tribrombruein "1. von verschieden angegebenen Formeln: 
Cas Has Br,N,O, oder Cas Hoe NoO,Br oder C,,H,,N,O,HBrBr, 5). Aus 
der wäßrigen Lösung dieses Körpers wurden von Beckurts wäh- 
rend des Eindampfens Kristalle von bromwasserstoffsaurem Bruein 
erhalten, während die Mutterlauge beim Eindunsten ein rotbraunes 
Pulver von der Zusammensetzung C,,H,,Br,N,O, hinterließ. 

Naeh Kippenberger?) existieren weitere Bromderivate des 
Stryehnins, resp. Brucins, mit mehr Bromatomen; da derselbe aber 
bei der Bromierung dieser Alkaloide mehr analytische Zwecke ver- 
folgte, so hat er nicht versucht, diesbezügliche Verbindungen zu 
isolieren. 


1) Journal f. prakt. Chemie [2] 2, S. 434, 1870. 

Beckurts, Berichte d. deutsch. chem. Ges. 18, 1236, 1885. 
2) Shenstone, Journ. Chem. Soc. 47, 140. 
3) Loebisch und Schoop: Mon. für Chemie 6, 885, 1885. 
4) Beckurts, Ber. d. deutsch. chem. Ges. 18, 1237. 
5) Archiv. Pharm, 1890, S. 325 und 323. 

Ber. d. deutsch, chem. Ges. 1885, S. 1237. 
6) Laurent, Jahresber. über die Fortschritte der Chemie 1847/48, 629. 
1) Berichte d, deutsch. chem. Ges. 18, 1238; 23, (2) 496. 
8) Archiv der Pharm. 1890, S. 326. 
9) Zeitschrift für anal. Chem. 39, S. 609. 


634 


Alle beschriebenen Bromverbindungen wurden dureh Bromierung 
der wäßrigen Lösungen der Salze der in Rede stehenden Alkaloide 
erhalten, außer dem Laurent’schen Monobrombrucin, das. durch 
Einwirkung von Brom auf wäßrig alkoholische Lösung des schwe- 
felsauren Brucins erhalten worden war; es muß hier noch hervor- 
gehoben werden, daß Beekurts dasselbe Produkt unter den von 
Laurent angegebenen Bedingungen nicht erhalten konnte. In al- 
len den Fällen, wo diese Körper nicht. wie bei Monoderivaten, 
durch Fällen ihrer Salze mit Alkalien dargestellt worden sind, ist 
die Möglichkeit, wenn nicht die Sicherheit vorhanden, daß brom- 
wasserstoffsaure Salze zustande kommen konnten. 

Da wir in unserer Arbeit die Alkaloidbasen in alkoholischer 
Lösung der Einwirkung von Brom unterworfen haben, so ist der 
Umstand als vollständig ausgeschlossen anzusehen, und zwar umso- 
mehr. als die Entstehung der von uns erhaltenen Körper fast mo- 
mentan nach Zusatz von Brom zu den entsprechenden Alkaloidlö- 
sungen verläuft. 


Bromierung der Strychninbase. 


Wir haben versucht, Strychnin durch Versetzen einer heißen 
alkoholischen Lösung dieser Base mit einer Lösung des Broms in 
Schwefelkohlenstoft zu bromieren, ganz analog, wie es J. Bu- 
raczewski und T. Kozniewski bei der Jodierung des Strych- 
nins und Brucins getan haben. Bromlösung wurde portionsweise 
zugesetzt und nach jedem Zusatz trat sofort Entfärbung ein; erst 
nach Zusatz von größerer Menge Brom blieb die Flüssigkeit län- 
gere Zeit bräunlich gelb. 

Der Versuch wurde von uns mehrmals mit gleichem Erfolg 
ausgeführt; in keinem Falle wurde auch nur eine Spur eines Nie- 
derschlages erhalten. Es ist klar, daß hier ein tieferes Eingreifen 
des Broms stattfinden mußte; jedoch die Erörterung dieses Eingrei- 
fens soll späterer Zeit überlassen werden. Wir nahmen eine kalte 
gesättigte Strychninlösung und setzten tropfenweise CS,-Bromlo- 
sung hinzu. Schon einige Tropfen dieser Lösung färbten die Strych- 
ninlösung zeitweilig gelb, nach weiterem Zusatz von Bromlösung 
unter starkem Rühren trat ein fein verteilter Niederschlag von 
rein gelblicher Farbe auf, dessen Menge bei weiterem Zusatz von 
Brom immer mehr und mehr zunahm. Nach jeweiligem Absetzen 
dieses Niederschlages war die darüber stehende Flüssigkeit einige 





635 


Zeit rein gelblich gefärbt, in ziemlich kurzer Zeit entfärbte sie . 
sich wieder vollständig. Wenn man mit Bromzusatz fortfährt, gelangt 
man endlich dahin, daß die Flüssigkeit eine bräunlich gelbe Fär- 
bung annimmt; obwohl auch jetzt nach längerem Stehen eine Ent- 
färbung eintritt, so muß man dennoch von weiterem Bromzusatz 
absehen, da dies allmählich zu vollständiger Auflösung führt. Falls 
diese Auflösung eintritt, kann der frühere gelbliche Niederschlag 
nicht mehr aus der Flüssigkeit erhalten werden; die Flüssigkeit 
entfärbt sich auch bei großem UÜberschuß von Brom nach längerem 
Stehen vollständig. | 

Wenn man mit dem Bromzusatz zu rechter Zeit aufhürt, setzt 
sich der gelbliche Niederschlag ziemlich gut zu Boden. Die darü- 
ber stehende Flüssigkeit wurde nun abgegossen, der Niederschlag 
auf ein gehärtetes Filter gesammelt, mit Alkohol einige Male ge- 
waschen, ausgepreßt und zuerst an der Luft. dann im Trocken- 
schrank bei zirka 80°C getrocknet und analysiert. 

Die Analyse ergab folgende Resultate 1): 


Der Kórper verkohlt, ohne zu schmelzen. 


0:1776 g Sub.— gaben 0:3284 g CO, und 0:0705 g H,O 


0:201 85. ES > Sl oem N- db — STE 
0:2146-, y a 01623 g AgBr nach Carius. 
Erhalten Berechnet nach der Formel C4,H;,, N,O, Br, 

C — 50:42", 50:89 

H— 441°), 4:48 - 

N — 563°, 5:69 

Br — 32:16?/, 32:36 


Der Kórper ist also ein Dibromderivat des Strychnins. 

Er ist in gewöhnlichen organischen Lösungsmitteln bei gewöhn- 
licher Temperatur beinahe unlöslich. 
Beim Kochen mit Äthyl- und Methylalkohol erleidet er eine voll- 
ständige Veränderung, indem die gelbe Färbung verschwindet; die 
Art dieser Veränderung wird von uns später näher untersucht 


1) Kohlenstoff und Wasserstoff wurden wie üblich bestimmt, Stickstoff nach 
Dumas, Brom nach Carius. Brom kann hier aber auch durch Kochen dieses Kör- 
pers mit Silbernitrat und Salpetersäure als Bromsilber abgeschieden und bestimmt 
werden. Das hierbei erhaltene Resultat war mit dem nach Carius erhaltenen 
übereinstimmend. 


636 


‘werden. In kaltem Wasser ist der Körper vollständig unlöslich, 
beim Erwärmen aber erleidet er eine Veränderung, indem ein 
ziemlich kleiner, auch in größerer Menge siedenden Wassers un- 
löslicher Niederschlag zurückbleibt. Wenn man nun die Umstände. 
unter welchen dieser unsere Körper entsteht, mit denen des Bec- 
kurts’schen Dibromstrychnins zusammenstellt und seine Eigen- 
schaften, besonders aber die fast vollständige Unlüslichkeit in kal- 
ten organischen Lösungsmitteln, mit der leichten Löslichkeit des 
letzteren vergleicht, so leuchtet sofort ein, daß die beiden Körper 
ganz voneinander verschieden sind. Die weitere Untersuchung die- 
ses Körpers, sowie seiner Beziehung zu dem Beckurts’schen 
Dibromstryehnin, wird von uns fortgesetzt werden. 


Wie schon oben angedeutet wurde, erleidet unser Dibromderi- 
vat des Strychnins beim Kochen mit Wasser eine Veründerung 
in dem Sinne, daß ein kleiner, in kaltem und siedendem Wasser 
unlöslicher Niederschlag zurückbleibt. Beim Versetzen des Filtrats 
mit Alkalien erhielten wir einen weißen, voluminösen Niederschlag, 
der äußerst leicht in Alkohol löslich ist und aus einer sehr verdünn- 
ten. heißen, alkoholischen Lösung beim Erkalten in feinen, seiden- 
glänzenden, weißen Fäden sich ausscheidet. Die Analyse dieses Kör- 
pers ergab folgende Resultate: 


0:185 g Sub. gaben 0'412 g CO, und 0:0885 g H,O 


02150. 085 ce ASA eme IN b= bere 
0:3498., -., „ 01592 g AgBr nach Carius 
Gefunden Berechnet nach der Formel CH. BrN,O, 
C — 60:449/, 60:980/, 
H — 528", 510%; 
N— 677%, Dr BT 
Br — 19:36*/, 19:350/, 


Den Analysenresultaten zufolge wäre der Kürper als ein Mo- 
nobromstrychnin zu betrachten; wie schon aus seiner Darstellungs- 
weise hervorgeht, ist er eine Base; in der Tat ist er in Säuren un- 
ter Bildung von Salzen sehr löslich. Man sollte annehmen, daß er 
mit dem @-Monoderivat des Strychnins identisch sei, dagegen spricht 
aber sein viel niedrigerer Schmelzpunkt 1). Seine Ähnlichkeit mit 


1) 250°, während das a-Derivat den Schmelzpunkt 222° aufweist. 





637 


a-Bromstrychnin wird durch den Umstand noch größer, daß es ähn- 
lich wie a@-Bromstrychnin zwei Atome Brom addieren kann. Hier 
tritt aber wieder der Umstand hervor, den wir schon bei Dibrom- 
strychnin konstatiert haben: während Beckurt’sches Bromstrych- 
nindibromid sich leicht in Alkohol löst, ist unser Bromierungspro- 
dukt des Bromstrychnins in Alkohol beinahe unlüslich, und die 
kleine Menge, die sich löst, unterliegt rasch einer Veränderung, 
indem sich die Flüssigkeit in kurzer Zeit vollständig entfärbt. 
Über die Bromierung unseres Bromstrychnins können wir folgen- 
des mitteilen: der Körper wird in Alkohol gelöst und CS,-Brom- 
lösung tropfenweise unter Aufrühren hinzugefügt. Schon nach Zu- 
satz des ersten Tropfens dieser Lösung beginnt sich ein kleinflok- 
kiger, hellgelber Niederschlag zu bilden, der sich nieht mehr auf- 
löst; (bei Bromierung des Strychnins rufen die ersten Tropfen der 
Bromlösung nur gelbliche Färbung hervor, aber keinen Niederschlag); 
bei weiterem Bromzusatz bildet sich der hellgelbe Niederschlag 
immer reichlicher bis zu einem gewissen Punkte, wo er bei wei- 
terem Bromzusatz dunkelgelb zu werden beginnt und die Neigung 
zeigt sich zu lösen; wenn man mit Bromzusatz immer weiter fort- 
fährt, löst sich der Niederschlag endlich auf, die Flüssigkeit ent- 
färbt sich aber auch bei großem Bromüberschuß in einigen Stun- 
den vollständig. 

Das von uns analysierte Präparat wurde mit einem kleinen 
Bromüberschuß erhalten, es war überhaupt viel dunkler gefärbt, 
als die Präparate, bei deren Darstellung kein Bromüberschuß ange- 
wendet worden war. 


Analyse: 
0:3099 g Sub. gaben. 12:0 em? N p= 7455 mm, t: 22? 


Q 


W230, esas » 0267 g. AgBr nach Carius 
02557 n y ” 02652.  . „ 5 
Gefunden Berechnet nach der Formel 
.N— 460%, ` C,,H,,BrN,O,Br, 
Br — 4421,/,, 4415°/, N — 4'88°/, 
Br — 41°85°/, 
` nach der Formel C, HN, Bis 
N — 4309, 


. Br—49°002/, 


635 


Wir haben also etwas mehr Brom bei der Analyse erhalten, 
als für Tribromstrychnin zu erwarten war, das andere Präparat aber, 
das in kleiner Menge bei Anwendung noch größeren Bromüber- 
schusses erhalten worden war, gab zirka 49°/, Brom, also eben die 
Menge, die sich für Tetrabromstrychnin berechnen läßt. Es kann 
somit gesagt werden, daß wir im ersten Falle mit einem Tribrom- 
strychnin, dem eine geringe Menge Tetrabromstrychnin beigemischt 
war, zu tun hatten. 

Beim Kochen einiger unserer Bromierungsprodukte des Mono- 
bromstrychnins, die eine helle Farbe besaßen und ohne Bromüber- 
schuß bereitet waren, mit Wasser konnten wir dieselbe Beobach- 
tung machen, die wir beim Kochen des Dibromderivates mit Was- 
ser gemacht hatten. 

Es bildete sich immer ein in Wasser unlöslicher, weißer Körper, 
und zwar in viel reichlicherem Maße, als es beim Kochen des 
letzten Körpers der Fall war. Aus dem Filtrat fällen Alkalien eben 
solehen weißen, in Wasser unlüslichen, in Alkohol aber sehr leicht 
löslichen Niederschlag. 

In der Bildung des in Wasser unlüslichen Körpers sehen wir 
einen weiteren Beweis dafür, daß unser Tribromderivat von dem 
Beckurts’schen verschieden ist. Beekurts hat sein Tribrom- 
derivat mit Wasser gekocht, jedoch die Bildung eines in Wasser 
unlöslichen Körpers nicht beobachtet. 

Wie schon angedeutet, setzen wir unsere Untersuchungen über 
Bromierungsprodukte des Strychnins weiter fort. 


Bromierung des Brucins. 


Wir gingen nun an die Bromierung des Brueins in der Hoff- 
nung, ähnliche Resultate wie bei Strychnin zu erhalten, wie es J. 
Buraezewski und T. Kozniewski bei Jodierung des Brucins 
gelungen ist. Es stellte sich aber heraus, daß Brucin, unter ganz 
gleichen Bedingungen wie Strychnin mit Brom bebandelt, sich dem- 
selben gegenüber vollkommen verschieden verhält. Beim Zusatz von 
CS,-Bromlósung zur alkoholichen Lösung des Brucins bildet sich 
anfangs ein gallertartiger, farbloser, in Alkohol fast unlöslicher Nie- 
derschlag, welcher sich bei weiterem Bromzusatz allmählich löst. 
Bromlösung wurde so lange zugesetzt, bis der ganze oben erwähnte 
Niederschlag sich vollständig auflöste. Läßt man die Lösung stehen, so 
setzt sich langsam ein dunkelgelber Niederschlag ab, wenn aber Brom 





639 


in großem Überschuß hinzugefügt wird. so setzt sich der erwähnte 
gelbe Niederschlag nicht, die Flüssigkeit färbt sich aber allmählich 
immer mehr und mehr rot mit violettem Stich und wird nach län- 
gerem Stehen (nach einigen Tagen) dunkel rotviolett. 

Wir haben beide Niederschläge folgendermaßen isoliert: der 
erste weiße gallertartige Niederschlag !) wird auf ein Filter gesam- 
melt, zuerst mit Alkohol, dann mit Äther gut ausgewaschen; das 
Waschen mit Äther kann nicht unterbleiben, weil sonst der Nie- 
derschlag beim Trocknen an der Luft eine harte, hornartige Masse 
bildet. Nach dem Verdunsten des Äthers erhielten wir einen wei- 
Ben, pulverigen Körper, der in kaliem Wasser und gewöhnlichen 
organischen Lösungsmitteln beinahe unlöslich ist. Die Analyse er- 
gab, daß der Körper ein Monobrombruein sein muß. Es wäre vor- 
eilig schließen zu wollen, auf welche Weise das Bromatom in dem 
Körper gebunden ist; seine Eigenschaften, sowie seine Darstellungs- 
weise zeigen aber ganz klar, daß er unmöglich ein Brucinhydro- 
bromid sein kann. 


Analyse: 
0:1826 g Sub. gaben 03898 g CO, und 0:096 g H,O 
0:2324 „= „ 12:D4em5N p=- (47 mm, t—23° 
0:3060 und 0:2651 e Sub. gaben 01053 g und 0:100 g AgBr ?) 


Erhalten Berechnet nach der Formel C,,H,;BrN,O, 
C — 58:219/, 58°32°/, 
H— 584°/, 5'32°/o 
N— 592%, 5.93%, 
Br — 16:059/, 16°03°/, 16:869/, 


Der Körper kann auch unbedingt mit dem Laurent'schen Mo- 
nobrombruein nieht identisch sein, weil dieser bräunliche Nadeln 
bildet, sich mit Salpetersäure nicht rötet, während der unsrige weil, 
amorph ist und nicht nur mit Salpetersäure, sondern, wie es weiter 
noch erörtert werden soll, sich mit allen Mineralsäuren rötet. 

Will man den zweiten gelben Niederschlag erhalten, so muß 
man, wie sehon gesagt, zu der alkoholischen Flüssigkeit, welche 


1) Bei seiner Entstehung muß man darauf achten, daß nicht zu viel Brom zu- 
gesetzt wird, da sonst der Niederschlag gelb wird und große Neigung zeigt, sich 
zu lösen. 

2) Direkt durch Kochen der Substanz mit AgNO, und IINO, erhalten. 


Bulletin IIT. Avril. 15 


640 


den gallertartigen Niederschlag enthält, ohne denselben abzuson- 
dern, weitere Mengen Bromlösung zusetzen, bis zu dessen vollstän- 
diger Lösung, den beim Stehen gebildeten gelben Niederschlag auf 
ein Filter sammeln, mit Alkohol gut durehwaschen, auspressen und 
an der Luft trocknen. 

Die Analyse dieses Körpers ergab, daß hier ein Brucinmolekiil 
3 Atome Brom enthält. 


Analyse: 


0:3011 g Sub. gaben 12:1 cm? N, p— 741 mm t— 20:6? 
02204 ., ,; » 01966 g AgBr nach Carius 


Erhalten Berechnet nach der Formel C,,H,; Br, N,O, 
N— 444 4:449/, 
Br — 31:969/,. e 38:009/, 


Der letztgenannte Körper wäre seinen Eigenschaften nach am 
meisten dem Beckurts'sehen Brueintribromid ähnlich; ähnlich 
wie dieser verhält er sich auch beim Kochen mit Wasser: er löst 
sich in demselben mit roter Farbe. Er besitzt aber auch Eigen- 
schaften, die ihn von dem Beekurts’schen Brueintribromid wohl 
unterscheiden: er ist gar nicht hygroskopisch. Während das Bec- 
kurts’sche Brucintribromid an der Luft zu einem rotgefärbten Sy- 
rup zerfließt, haben wir verschiedene Präparate unseres Körpers 
einige Wochen lang in einem ziemlich feuchten Raume offen ge- 
halten, ohne irgend eine Gewichtszunahme konstatieren zu können. 
Es ist jedoch höchst wahrscheinlich. daß das Beekurts’sche Tri- 
brombrucin ein bromwasserstoffsaures Brucindibromid ist, während 
bei der Bildung unseres Körpers kaum eine bromwasserstoffsaure 
Verbindung zustande kommen konnte. 

Ganz eigenartig ist das Verhalten des ersten gallertartigen Kör- 
pers, wie schon gesagt, den Mineralsäuren gegenüber. Während er 
in kaltem Wasser vollständig unlöslich ist, löst er sich wohl in 
demselben beim Versetzen mit irgend einer starken Mineralsäure, 
und zwar mit reiner kirschroter Farbe; diese Farbe wird auch 
beim nachherigen Kochen der Lösung wohl intensiver. Diese Wir- 
kung wird unseres Wissens von folgenden Säuren hervorgerufen: 
HCl, HBr, HJ, HF, H,SO,, H,PO,, HNO,. — HCl-Gas ruft, in den 
mit Alkohol versetzten Körper eingeleitet, eben dieselbe Wirkung 
hervor; nach dem Verdunsten des Alkohols bleibt ein amorpher 





641 


kirséhroter Körper zurück, der keine hygroskopischen Eigensehaf- 
ten zeigt. 

Kocht man aber Monobrombruein mit geringer Menge Wasser, 
so löst er sich darin vollständig unter gleichzeitiger grundsätzlicher 
Veränderung: wenn man zu der abgekühlten Lösung irgend eine 
Mineralsäure zusetzt, so tritt keine Spur obiger Färbung auf. 

Auf eben dieselbe Weise verhält sich unser Tribrombrucin Mi- 
neralsäuren gegenüber. Weitere Untersuchungen über dieses inter- 
essante Verhalten sind im Gange, und wir werden kürzlich darü- 
ber berichten. 

Von den anderen Alkoloiden haben wir bis jetzt nur mit Cin- 
chonin Versuche gemacht. Dieses verhält sich augenscheinlich dem 
Brom gegenüber wie Strychnin. Der dabei entstehende hellgelbe 
Niederschlag ist ziemlich schwer isolierbar, denn bei geringstem 
Bromüberschuß löst er sich vollständig auf; auch scheint er unter 
Einwirkung von Alkohol leicht veränderlich zu sein. Zur Zeit ha- 
ben wir geringe Mengen Cinchonin zur Verfügung gehabt und den 
Niederschlag nicht isoliert. Beim Stehenlassen der Flüssigkeit bil- 
den sich am Boden bräunliche, derbe Kristalle, die sich ziemlich 
leicht isolieren lassen. Nach langem Stehen der davon abgegosse- 
nen Flüssigkeit fängt dieselbe an, stark zu fluoreszieren. Im zwei- 
ten Teile unserer Mitteilung hoffen wir, über die Einwirkung von 
Brom auf Cinehonin und einige andere Alkoloide Näheres berich- 
ten zu können. 


29. O zachowaniu się glukozofenetydydu 1 cztero-acetylo- 
| glukozofenetydydu w organizmie zwierzecym. — Über 
das Verhalten von Glukoso-Phenetidid und Tetracetyl- 
Glukoso-Phenetidid im tierischen Organismus. Note de 
M. ST. MOSTOWSKI, présentée par M. L. Marchlewski m. t. 


Auf Anregung Prof. Marchlewski’s, der bekanntlich Glukoso- 
phenetidid durch Erhitzen einer alkoholischen Lösung von Glykose 
und Para-phenetidin gewonnen hat, habe ich eine Reihe von Ver- 
suchen ausgeführt, um die Art der physiologischen Wirkung der 
Substanz aufzuklären, sowie das Schicksal der Substanz im tieri- 
schen Stoffwechsel zu verfolgen. 

15* 


642 


In Lippmanns: „Chemie der Zuckerarten“ 1894, $. 527 findet 
sich die Bemerkung, daß Glukophenin (Synonym für Glukosophe- 
netidid) stark toxische Eigenschaften besitze. 

Ich habe mich besonders dafür interessiert, ob und in welchem 
Grade die Einführung von Glukosemolekel in die Molekel des 
Phenetidins die evidente Toxizität der letztgenannten Substanz zu 
modifizieren imstande sei; andererseits wollte ich mich überzeugen, 
ob diese auf die obengenannte Weise gebundene Zuckermolekel 
beim Passieren des Organismus der Oxydation unterliegt und auf 
solche Weise Anlaß zur Entstehung einer gepaarten Glukuronsäure 
gibt. 

Glukophenetidid ist eine Anhydrobase; a priori erschien schon 
die Hoffnung nieht unbegründet, daß es im tierischen Stoffwechsel 
zu einer gepaarten Glukuronsäure oxydiert wird, nur müßte diese 
gepaarte Glukuronsäure nach einem Aldehydimintypus gebaut sein, 
also eine analoge Struktur aufweisen, wie die von Neuberg und 
Neumann!) synthetisch erhaltene Ureidoglokuronsäure, der die 
genannten Verfasser folgende Formel zuschreiben: 


NH, . CO . N = CH — (CH OH), . COOH 


Die Entstehung einer solehen Sáure im Organismus würde zur 
experimentellen Begründung der Fischer-Piloty’schen Hypothese 
einen Beitrag geben; nach den genannten Verfassern muß die Al- 
dehydgruppe des Zuckers zuerst mit irgend einem Körper eine Ver- 
bindung eingehen ; erst wenn sie auf solche Weise festgelegt und 
dadurch vor Oxydation geschützt wird, unterliegt die primäre Al- 
koholgruppe der Oxydation, was die Bildung einer gepaarten Glu- 
kuronsäure zur Folge hat. 

Glukophenin erschien mir sogar mehr zur experimentellen Prü- 
fung der Richtigkeit der Fischer-Piloty’schen Hypothese geeignet, 
als die zu diesem Zwecke bisher angewandten Verbindungen, d.h. 
Chloralose ?) oder Phenolglukosid und Benzylglukosid *), weil im 
Gegensatz zu den letztgenannten Verbindungen Glukophenin nicht 
als eine leicht zerlegbare Substanz betrachtet werden kann; unter 
dem Einflusse von verhältnismäßig energisch wirkenden chemischen 


1) Z. f. physiol. Chemie, 44, S. 100. 

*) P. Meyer: Experimentelle Untersuchungen über Kohlenhydratsäuren, Zeit- 
scht für klin. Med. 1902, B. 74, S. 78.: 

3) Falk: Münch. Med. Wochschft. J. 49, S. 1489. 





643 


Agentien, wie 3 Stunden langes Erwirmen im Wasserbade mit 
3°/, Schwefelsäure in einer Druckflasche, wird Glukophenin in ganz 
geringem Grade in ihre Komponenten, d.h. in Glukose und Phe- 
netidin gespalten; und sogar 14 Stunden langes Erwärmen im 
Wasserbade mit 6°/, H, SO, ist nicht imstande, Glukophenin voll- 
ständig zu spalten; die entfärbte Flüssigkeit dreht nämlich noch 
immer nach links. 

Die spezifische Drehung des Glukophenins, das durch Hinzu- 
fügung eines Äquivalents Salzsäure zu der in Wasser suspendierten 
Substanz in Lösung übergeführt war, berechnete man auf 


[æ] = —52° 20° 


Diese theoretische Deduktion wurde durch meine Versuche nicht 
bestätigt. Zu meinen Versuchen habe ich Hunde verwendet, denen 
das Präparat mit Milch gereicht wurde. Glukophenin ist wenig 
löslich in Wasser; 100 cem Wasser lösen in Zimmertemperatur 
kaum 0:39 g; ungeachtet dessen wird es leicht resorbiert; ohne 
Zweifel geht es mit der Salzsäure des Magensaftes eine leicht lös- 
liche salzartige Verbindung ein, wobei der dreiwertige Stickstoff 
fünfwertig wird. 

Glukophenin besitzt gar keine toxischen Eigenschaften. Ein Hund 
von 5 kg Gewicht verträgt 25 g der Substanz, d.h. 5 g auf 1 kg 
des Körpergewichts, ohne daß man irgend welche abnorme Erschei- 
nungen in seinem Verhalten konstatieren könnte. Das heißt 1:9 ¢ 
Phenetidin auf ein kg des Körpergewichtes ist, sobald es die Ver- 
bindung mit Glukose eingegangen hat und somit eine Anhydrobase 
bildet, vollständig unschädlich geworden. Die toxische Dose von 
Phenacetin beträgt 045 g pro kg Körpergewicht !); Phenetidin 
wirkt bekanntlich viel giftiger als Phenacetin. 

Glukophenin reizt die Niere nicht. Der Harn enthält niemals 
Eiweiß nach seiner Darreichung. 

Die Substanz ist nicht imstande, die normale Temperatur des 
Körpers zu erniedrigen, sogar nicht in einer Dose von 25 g. Eine 
künstlich durch Einspritzen von diphtheritischem Toxin gesteigerte 
Temperatur wird zwar erniedrigt, aber nicht eklatant. Glukophenin 
wurde in Dosen von 05—1 g auf ein kg des Körpergewichts ge- 


1) Hinsberg und Treupel: Uber die physiologische Wirkung des p-Ami- 
dophenols und einiger Derivate desselben. Arch. für exper. Path. und Pharmakol. 33. 


644 


reicht; um die Temperatur zu erhöhen, spritzte man den Tieren 
0-03—-0:07 eem von diphtheritischem Toxin subkutan ein; das Toxin 
enthielt in 1°85 eem 100 toxische Einheiten. 


Protokoll I. 
Gew. des Hundes 8 kg 500 g. 

















Datum Stunden Temperatur 
22/XII 10°55 | 40°2 
11:0 Einspritzen von 0:03 cem Toxin 
1 40:2 
| 2:39 412 
| 3 41:2 
| 3°30 Darreichen von 5 g Glukophenin 
| 43:0 407 
| 5 4074 
| 5:30 40 
| 6 39:9 
| 630 40 
| 7 401 
| 7:30 402 
815 045 








Das heißt, in 2*/, Stunden naeh der Darreichung des Präparates 
erniedrigt sich die Temperatur um 1:39; 2 Stunden später steigt 
sie wieder um 0'6° C. 


(Siehe Protokoll II Seite 645). 


Im letzten Experimente sinkt die Temperatur nach Darreichung 
von Glukophenin nur um 6°C; erst nach 4!/, Stunden beträgt die 
Differenz 1:490; da sich aber kein nachheriges Steigen der Tem- 
peratur konstatieren läßt, so bin ich geneigt, das Sinken der Tem- 
peratur eher auf Nachlassen der Toxinwirkung als auf die durch 
Glukophenin verursachte Antipyrese zurückzuführen. 

Aus den genannten Versuchen muß man schließen, daß Gluko- 
phenin sich im Tierorganismus durchaus passiv verhält. 


Protokoll II. 
Derselbe Hund. 














Stunden Temperatur 
8 40 
8:45 | Einverleiben von 0:03 ccm Toxin 
10:20 | 40:2 
11:50 | 40:2 
12:15 | 40:6 
1 Abermaliges Einverleiben von 0°03 ecm Toxin 
2:10 40:7 
3 41 
3°40 411 


Darreichen von 5 g Glukophenin 


4.30 40:9 
5 40:9 
5:30 | 40:8 
6:30 40:5 
7:80 40 

8:35 39:7 





In Zusammenhang mit dieser physiologischen Passivität kann 
vielleicht die Tatsache gebracht werden, daß Glukophenin durch 
die Nieren ohne jede Veränderung ausgeschieden wird. Nach Dar- 
reichung von 25 g Glukophenin scheiden sich binnen einiger Stun- 
den aus dem abgegebenen Harne 125 g, das ist die Hälfte der 
Substanz in kristallinischem Zustande aus. Nach einmaligem Um- 
kristallisieren aus Alkohol bestimmte ich den Schmelzpunkt, der 
sich mit dem Schmelzpunkte des reinen Glukosophenetidids als 
identisch erwies und bei 159 — 160°C lag. 

Nach Darreichung von 5 g Glukophenin einem 4 kg schweren 
Hunde gewann ich die ganze Menge des Präparates im Harne, 
worüber ich mich durch Zuckerbestimmung nach der Fehling- 
schen Methode überzeugen konnte; Glukophenin reduziert nämlich 
die Fehlingsche Lösung beim Kochen direkt. 

In allen Versuchen untersuchte ich den Harn auf Paraamido- 
phenol mit Hilfe der Indophenolreaktion, die ich in der Hinsberg- 


646 


Treupel'schen Modifikation t) anstellte, also auf solehe Weise, daß 
zum gekochten Harne 1—2 cem konzentrierte Salzsäure hinzuge- 
setzt und nach dem Erkalten 3 — 5 Tropfen Karbolwasser und 
1—2 Tropfen gesättigte Chromsäurelösung zugesetzt wurden. Schich- 
tet man nun auf die rotgefärbte Flüssigkeit vorsichtig Ammoniak, so 
soll die rote Farbe ins Blaue übergehen. 

Nach Glukophenindarreichung trat nach Ammoniakzusatz nicht 
die blaue Farbe, sondern die grüne auf; die Reaktion mit dem 
letztgenannten Farbenwechsel ist nicht für Paraamidophenol charak- 
teristisch, sie wird ebenso durch Glukophenin verursacht. 

Auf Grund des negativen Ausfalles der Indophenolreaktion darf 
ich annehmen, daß Paraamidophenol im tierischen Organismus nach 
Glukophenindarreichung nicht entsteht. 

Da Glukophenin durch Säuren nur sehr schwer zerlegbar ist, 
so war ich bei der Lösung des Problems nach der An- oder Ab- 
wesenheit der Glukuronsäure im Harne vorzugsweise auf die Orcin- 
reaktion angewiesen; die Reaktion war jedoch immer negativ; nur 
einmal zeigte der Amylalkoholextrakt einen schwachen Absorptions- 
streifen zwischen C und D; gefärbt war er wohl, immer aber ohne 
Zweifel durch Zersetzungsprodukte des Phenetidins; diese winzige 
Menge der Glukuronsäure darf als zufällig betrachtet werden; aber 
auch im Darmkanal abgespaltenes Phenetidin kann wohl Anlaß 
zur Bildung von Glukuronsäure geben. 

Daß jedoch die Spaltung des Glukophenins weder im Darm- 
traktus, noch in den Geweben, wenn sie überhaupt stattfindet, eine 
beträchtliche sein kann, beweist die Tatsache, daß die Menge der 
gepaarten Schwefelsäuren sogar nach Darreichung größerer Gluko- 
phenindosen nur sehr wenig ansteigt. 

Das Verhältnis der Sulfate zu den gepaarten Schwetelsäuren 
beträgt nach Darreichung von 5 g Glukophenin auf H, SO, be- 
rechnet 722:1; jenes Verhältnis betrug bei demselben Hunde 
vor dem genannten Versuche 9:84 : 1. 

Die Versuche haben bewiesen, daß Glukophenin sich dem tie- 
rischen Organismus gegenüber durchaus passiv verhält und daß es 
den Körper unangegriffen verläßt. 

Ich bin nicht berechtigt, auf Grund meiner Experimente mich 
für oder gegen die Richtigkeit der Fischer-Piloty’schen Hy- 


1) Archiv f. exper. Path. und Pharmak. 33. 


647 


pothese der Glukuronsäurebildung auszusprechen, aber die Tatsache, 
daß Glukophenin, indem die Aldehydgruppe der Glukose durch 
Phenetidin festgelegt wird, trotzdem im tierischen Organismus, nicht 
einmal in Spuren, zur gepaarten Glukuronsäure oxydiert wird, 
scheint mir nicht ganz ohne Bedeutung zu sein. 

Man könnte annehmen, daß für die Tatsache. ob die gepaarte 
Glukuronsäure entsteht oder nicht, die Bindungsweise der Aldehyd- 
gruppe mit Phenetidin entscheidend ist; man darf erwarten, daß 
die Glukuronsäure aus der Verbindung entstehen werde, in der 
Glukose als Anhydrid eines siebenwertigen Alkohols fungiert, ähnlich 
wie die Glukoside und die mit Phenolen oder Alkoholen gepaarten 
Glukuronsäuren. Zu dem Zwecke stellte ich synthetisch Tetracetyl- 
glukosophenetidid dar; ich erhielt die Substanz durch Einwirkung 
von 2 Mol. Phenetidin auf ein Mol. Tetracetylbromglukose in äthe- 
rischer Lösung. Der Synthese nach muß man der Verbindung nach- 
folgende Formel zuschreiben: 

NH — C; H, . OC, H, 
| 
HERR 
Sed 
CH 
(CH O. CO . CH3); 
ÒH, o 00. OT, 


Ich versuchte, den Körper zu verseifen, um einen nach dem 
Glukosidtypus gebauten Körper zu erhalten ; alle diesbezüglichen 
Versuche sind leider mißlungen. 

Ebenso verursachte die Verseifung mit Ba(OH), in wässeri- 
ger Lösung nach Fischer und Armstrong!) als auch die 
Verseifung mit methylalkoholischer Ba(OH),-Lösung die Zerset- 
zung der Substanz, d. h. Spaltung in ihre Komponenten. 

Ich mußte mich somit mit der Prüfung des physiologischen 
Verhaltens des Tetracetylderivates des unbekannten Phenetidinglu- 
kosids begnügen. 

Ich reichte den Hunden je 5 g Substanz. Zur Prüfung der 
antipyretischen Wirkung der Substanz erhöhte ich die Temperatur 
auf oben erwähnte Weise durch subkutanes Einverleiben von diph- 


1) Ber. d. deutsch. Chem. Ges., 24. 2889. 


648 


theritischem Toxin. Diese Art der Temperaturerhöhung erwies sich 
als nicht praktisch; das Einspritzen von ganz geringen Mengen des 
Toxins wie 0:03 eem (1:85 eem Toxin enthielten 100 tcxisehe Ein- 
heiten) rief, trotzdem man Toxin in stark verdünnter Lösung appli- 
zierte (auf 0:03 eem Toxin 20 eem 0°85°/, NaCl-Lósung) eine 
heftige Entzündung an der Applikationsstelle hervor; der Entzündung 
folgte Brand, dem alle auf solehe Weise behandelte Tiere erlagen. 
Das Toxin war keimfrei; beim Einspritzen ging man mit streng- 
ster Asepsis vor, man muß also die Entzündung sowie den Brand 
auf die irritierende, bezw. deletäre Wirkung des Toxins selbst zu- 
rückführen. 
Protokoll III. 
Hund Gewicht 5 kg 800 g. 























| 
Datum | Stunden Temperatur 
11/X | 4 39:3 
| 4:30 Einspritzen von 007 cem Toxin 
| 7 39:8 
| 915 40 
12/XH | 6:30 früh 40 
| 9°45 40°5 
| 10:20 404 
10:30 Darreichen ee ee EE 
11:15 40:6 
11:55 402 
12:30 39'8 
1 39:2 
1:30 39 
2 39:2 
| 3:30 39:8 
5:30 39:5 
| 8 395 
9 39:6 
13/XII | 7:30 früh 39-5 
9:30 39:8 
12 40 








649 


Drei Stunden nach Darreichung von Tetracetylglukophenetidid 
sinkt die Temperatur um 15°C. 

Die Wirkung ist langsam und nicht sehr überzeugend, wenn 
man berücksichtigt, daß die Temperatur 7 Stunden nach dem Max- 
imum des Sinkens kaum um 0°6°C steigt, also auch ohne dieses 
Antipyretikum eine Tendenz zum Sinken zeigt. 

Die Untersuchung der Fäces ergab, daß die Substanz nicht 
vollständig resorbiert wird. Die Fäces, welche 48 Stunden vom 
Moment der Darreichung der Substanz gesammelt wurden, trocknete 
ich im Wasserbade bei einer Temperatur unter 70°C; nach Ent- 
fettung mit Petroläther extrahierte ich die Fäces mit Äthyläther, 
aus dem nach Einengen Tetracetylglukosophenetidid kristallisierte. 

Nach Genuß von 5 g der Substanz fand ich in den Fäces des 
Hundes 1:7 g von unverändertem Körper wieder; nach einmaligem 
Umkristallisieren aus Äther zeigt die Verbindung den Schmelzpunkt 
1320 C; bei dieser Temperatur schmilzt auch unverändertes, reines 
Tetracetylglukosophenetidid. 

Die quantitative Bestimmung der Sulfate zeigte eine beträcht- 
liche Vermehrung der gepaarten Schwefelsäure; nach Darreichung 
von 5 g meiner Verbindung überstieg die Menge der gepaarten 
Schwefelsäure mehr als zweimal die Menge der in ungebundenem 
Zustand ausgeschiedenen Schwefelsäure. Das Verhältnis von SO,- 
(Sulfate) zu SO,-(gepaarte Schwefelsäure) beträgt 1:237; am 
Tage vor dem Experimente betrug dieses Verhältnis bei meinem 
Hundetok i 

Ich war dagegen nicht imstande, Tetracetylglukosophenetidid 
im Harne wiederzufinden. 

Beim Ausschütteln des Harnes mit Äther direkt oder nach vor- 
herigem Ansäuern des Harnes mit Schwefelsäure fand ich als Rück- 
stand beim Abdestillieren des Äthers kaum einige Kristalle, die 
ihrem Aussehen und ihren Löslichkeitsverhältnissen nach dem Te- 
tracetylglukosophenetidid entsprachen. 

Da die letztgenannte Verbindung die Fehling’sche Lösung 
erst nach vorheriger Spaltung mit Säure reduziert, kochte ich den 
Harn naeh Hinzufügung der Schwefelsäure bis zu 1°/, und unter- 
suchte ihn nach dem Neutralisieren auf sein Reduktionsvermögen. 

Der Versuch fiel negativ aus, 

Bei der Indophenolreaktion konstatierte ich einen ähnlichen 
Farbenwechsel, wie bei Glukophenin, d. h. NH, rief eine grüne 


650 


Farbe hervor. Eine durch Aufkochen bereitete, wässerige Tetrace- 
tylglukosophenetididlösung gibt dieselbe Reaktion; der positive Aus- 
fall dieser feinen Reaktion beweist ebenso wie die aus Ätherauszug 
isolierten Kristalle, daß Tetracetylglukosophenetidid in geringer 
Menge in den Harn übergeht; andererseits beweist der Ausfall der 
Reaktion, daß Paramidophenol abwesend war. 

Berücksichtigt man, daß ich fast ?/ der Verbindung in den 
Fäces wiederfand. im Harn dagegen kaum Spuren der Substanz 
nachweisen konnte, berücksichtigt man ferner die beträchtliche 
Vermehrung der Ätherschwefelsäure, so erscheint die Annahme am 
wahrscheinlichsten, daß dieser Körper nur in ganz geringer Menge 
resorbiert. dagegen im Darmtractus gespalten wird; das resorbierte 
Phenetidin erniedrigt die Temperatur und verursacht die Vermeh- 
rung der gepaarten Schwefelsäure. 

In weleher Form verbindet sich nun Phenetidin mit der Schwe- 
felsäure? Ich war imstande, unverändertes Phenetidin aus dem Harne 
nach dem Spalten der gepaarten Schwefelsäuren mit HCl, mit Äther 
zu extrahieren. Da die Substanz nur sehr wenig resorbiert wird, 
vermag ich dieses Problem nicht näher aufzuklären. 

Darstellung von Tetracetylglukosophenetidid. 30g 
Glukose digerierte ich unter starker Kühlung und völliger Abhal- 
tung von Feuchtigkeit mit 102 g Bromacetyl unter stetem Rühren 
4— 6 Stunden lang (nach Königs und Knorr)!). 

Die Ausbeute von Glukose--bromtetracetat betrug 50—70 g; 
der Körper war nun in wasserfreiem Äther gelöst und mit 2 Mol 
von unmittelbar vorher destilliertem Phenetidin versetzt, das ebenso 
in Äther gelöst war; die Flüssigkeit wurde über die Nacht stehen 
gelassen. 

Das Filtrat von bromwasserstoffsaurem Phenetidin verdunstete 
ich im Vakuum bei Zimmertemperatur; den nach einigen Stunden 
fest gewordenen Rückstand extrahierte ich mit Äther in der Siede- 
temperatur des Äthers; Tetracetylglukosophenetidid ist leieht in 
Äther löslich und kann ohne jede Mühe von in Äther vollständig 
unlöslichem bromwasserstoffsaurem Phenetidin getrennt werden. Man 
kristallisiert Tetracetylglukosophenetidid aus Äther, eventuell nach 
Hinzufügung von Petroläther, in welcher Mischung die genannte 


1) Ber. der deutsch. Chem. Gesell., 34. 956. 





651 


Verbindung schwer löslich ist. Die Ausbeute beträgt unter günstig - 
sten Bedingungen 8 —10 g. 

Die Substanz kristallisiert in weißen Nadeln. ist unlöslich in 
kaltem Wasser, schwer löslich in Alkohol, unlöslich in Petroläther, 
leicht löslich in Äthyläther. 

Schmelzpunkt 132? C. 

Die Elementaranalyse gab folgende Resultate: 


0:285 e Substanz gaben 8 eem N. T. 179 C, b 7463 


gefunden berechnet auf 
DENS E Coo H5, Oo N 
EN = 9:00 


Bestimmung von C und H 


0:1774 g Substanz gaben 01 g H,O und 03634 g CO, 


gefunden berechnet auf Co, Hy, O,oN 
Hr a — 63 El — 10:20 
"jo © = 559 Die C = 56:49 


30. Kilka spostrzeżeń nad wpływem związków pröchnico- 
wych na rozwój drożdży 1 fermentacyq alkoholową. — 
Einige Beobachtungen über den Einfluß der Humus- 
stoffe auf die Entwicklung der Hefe und auf Alkohol- 
gärung. Note preliminaire de M. ADAM DZIERZBICKI, présentée 
par M. E. Godlewski m. t. 


Ich habe mich vor kurzem in dem hiesigen Agrikulturchemi- 
schen Laboratorium mit Untersuchungen über die Frage befaßt, 
ob es nicht möglich wäre, durch einfache Ernährungsversuche mit 
gewissen Mikroorganismen einige Anhaltspunkte zur Beurteilung 
des Gehaltes verschiedener Bodenarten an assimilierbaren Nähr- 
stoffelementen zu gewinnen. Gewisse positive Resultate, welche ich 
in dieser Hinsicht, namentlich in bezug auf Phosphorsäure, erhal- 
ten habe, sollen den Gegenstand einer besondern Publikation bil- 
den, hier will ich nur über einige Beobachtungen berichten, die 
ich bei Untersuchung des Einflusses der Humusstoffe auf die Ent- 
wicklung der Hefe und auf Alkoholgärung gemacht habe. Die Asche 
der Hefe ist bekanntlich reich an Kali. Da sich nun die Hefe bei 


entsprechender Ernährung rasch entwickelt, so wird hiedurch die Ver- 
mutung nahe gelegt, daß sie sich vielleicht zur Prüfung des Bodens 
auf Gehalt an assimilierbarem Kali wird verwenden lassen. und zwar 
auf diese Weise, daß man zu einer kalifreien, aber andere Nähr- 
stoffelemente in hinreichender Menge enthaltenden Nährlösung eine 
gewisse Menge des zu prüfenden Bodens als Kaliquelle hinzusetzt, 
die Mischung sterilisiert, mit Hefe infiziert und den Verlauf der 
Gärung beobachtet. 

Zum orientierenden Versuch wurde der Boden aus zwei Par- 
zellen des hiesigen Versuchsfeldes verwendet, von denen die eine 
seit etwa 15 Jahren jährlich eine vollständige Düngung, also auch 
eine Kalidiingung erhält und sehr üppige Ernten liefert, dagegen 
die andere jedes Jahr ohne Kali gedüngt wird und wegen ihrer 
großen Kaliarmut des Bodens immer eine nur kümmerliche Vege- 
tation hervorbringt. 


Versuch I. 


Eine Serie von 6 Erlenmayerschen Külbchen à 250 eem 
Inhalt wurden mit je 100 eem Glykoselösung mit Kali und eine 
andere Serie von ebenfalls 6 Kolbehen von gleicher Größe und glei- 
cher Gestalt mit je 100 eem Glykoselösung ohne Kali beschickt. 
Die Zusammensetzung beider Lösungen, welche wir mit A und B 
bezeichnen wollen, war folgende: 


Leitungswasser 1000 cem 1000 eem 
Glykose 100 g 100 g 
Asparagin 15 g 15 g 
Ca (H,PO,), 2:0 g 2:0 g 
Ms SO, 02 g 02 g 
K Cl 10 g ~~ 


Von jeder Serie blieben 2 Kölbehen ohne Erdezusatz, 2 erhiel- 
ten 10 g Erde aus der mit Kali gedüngten Parzelle, 2 ebenfalls 
10 g Erde aus der mit Kali nicht gedüngten, also schr kaliarmen 
Parzelle. Alle Kölbehen wurden im Autoklav sterilisiert und mit 
einer ganz geringen Menge einer Reinkultur der Hefe geimpft, 
welche ich der Gefälliskeit des Herrn Krupa, Professors an der 
hiesigen Staatsgewerbeschule verdanke. Die mit Wattepfropfen ge- 
schlossenen Kölbehen wurden gewogen und im Thermostat bei na- 
hezu konstanter Temperatur von 28° C. gehalten. Alle zwei oder 





653 


drei Tage wurden die Kölbehen gewogen, um aus ihren Gewichts- 
verlusten auf die Energie der in denselben stattfindenden alkoho- 
lischen Gärung schließen zu können. Indessen darf man nicht den 
ganzen Gewichtsverlust eines Külbchens auf die Entweichung der 
in demselben durch Gärung gebildeten Kohlensäure setzen, da ja 
bei einer Temp. von 28° C. die Lösung ziemlich stark transpirie- 
ren muß. Als Maßstab der Gärung konnte also nur die Differenz 
zwischen dem ganzen und dem durch Transpiration der Lösung 
bewirkten Gewichtsverluste gelten. Um die Verdunstung der Lösun- 
gen abzuschätzen. stellten wir in den Thermostat außer den Versuchs- 
kölbehen noch zwei Kölbehen von gleicher Größe und Gestalt wie 
diejenigen, welche auch mit je 100 cem gleicher Nährlösung be- 
schickt, mit Wattepfropfen geschlossen. sterilisiert, aber mit Hefe 
nicht infiziert worden waren. In diesen Kölbehen erfolgte also keine 
Gärung und ihr Gewichtsverlust während des Versuches konnte nur 
durch Verdunstung bewirkt werden; demnach war man berechtigt, 
die Gewichtsverluste dieser beiden Kölbehen als wenigstens annäh- 
ernden Maßstab der Verdunstung der Lösungen im Versuchskölbehen 
anzunehmen und sie zur Korrektion der Zahlen, welche die Ener- 
gie der Atmung angeben sollen, zu verwenden. 

Die Zahlen, welche in den in dieser Notiz zusammengestellten 
Tabellen als durch Gärung entwichene Kohlensäure angegeben sind, 
wurden also in der Weise erhalten, daß man immer von den Ge- 
wichtsverlusten des Versuchskölbehens die Mittelzahlen aus den 
Gewichtsverlusten beider mit Hefe nicht infizierten und gleich- 
zeitig mit Versuchskölbehen gewogenen Külbchen in Abzug brachte. 


TABELLE I. 


Kohlensäuremengen, durch Gärung aus den Kélbchen entwickelt in g. 





nach nach nach nach 
3 Tagen 6 Tagen 8 Tagen 10 Tagen 
x : 042 0-22 0-4 67 
Eu e ua MD) a Ras : 0:477 s 0744. Co 1-169 
ohne Erdezusatz ^ gäe 0:727 1:073 1-664 | 
EE 0286]. 0741 1:069 "v" 1:510 E 
ohne Erdezusatz 0:477 | 9 194 2-535 
2 07381 . 2273 3:156 3:968 
NU Cas g Loan 2395 18248 | 4123 
0:864 | 518 3540 4979] ` 


654 
é 0:723 2-585 3476 3 857 
ee ee (uerg Le | 3-387 | 3.809 
alireiche 0563 | 2:371 | 3:287 | 3:761 | 
T 1:090 2745 3:536 3:731 
BEE PET | 2.056 | 5 701 | 5.902 
aliarme 1:272 | 3-167 | 3-866 | 4:073 | 
5 1499 3487 3:786 3-869 
yos iesu | 1293 | 3.083 | 709 | 2060 
in 0-948 | 2-680 | 3-639 | 4-232 | 


Aus diesen Zahlen wurden die Zahlen der nachfolgenden Ta- 


belle berechnet, welche den Verlauf der Gärungsenergie während. 


der Dauer des Versuches veranschaulichen. 


TABELLE II. 


Kohlensäuremengen, in 24 Stunden durch Gärung entwickelt. 


152.79: Tam." #5, 6 Tag. iy. E OF ETO Lacs 


. RN NID ES 0-033 0:094 0129 
picado neben | 0.069 | 6090 0133 | 0212 
ohne Erdezusata “4-995 | 0-147 | 01173 0:296 | 
uc op 0095) eh On] 0-164 0.220) ` 
0-127 0:258 
ohne Erdezusatz 0139 | 5 | Gë 0:297 
d 0-246 0:512 0441 0-406 
Dung a 10€ 0:267 | ossa L 476 losss 
u 0-288 0:551 | 0:511 0:370 | 
" 0341 0-621 0-447 0-190 
ee Laang l o612 loss Laang 
SEN anaes | 0:603 | 0458 | 0236 | 
3 0-350 0-565 0.095 - 0:098 
RE ee | 0.387 | 0.598 | 0373 Laun 
aliar 0424 | 0:632 | 0350 | 0-104] 
A 0-500 0-663 0:147 0-044 
roae D TAE | 0-408 | 0*620 | 0:313 | 0-170 
0-816 0:577 0-480 0:296 


Aus den Zahlen dieser beiden Tabellen ist zunüchst zu ent- 
nehmen, daß es im obigen Versuche nicht gelungen ist, sich aus 
dem Verlaufe der Gärung irgend ein Urteil über den Kalireichtum 
des der Lösung zugesetzten Bodens zu bilden, da die Gärung über- 
haupt nicht auf Kalizusatz zur Lósung positiv reagierte. Offenbar 
waren die benutzten Materialien, insbesondere die Glykose (Mereks 
reiner Traubenzucker) nieht rein genug, so daß die Lösung auch 
ohne besonderen Kalizusatz für die normale Gürung ganz ausrei- 


————————————————Óm 


655 


chende Mengen dieses Elementes enthielt. In dieser Hinsicht muß 
also obiger Versuch als mißlungen betrachtet und mit wirklich 
reinen Materialien wiederholt werden. Aber dieser mißlungene Ver- 
such hat in anderer Hinsicht ein höchst interessantes und ganz 
unerwartetes Resultat ergeben: er hat nämlich gezeigt, daß der 
Erdezusatz, ganz unabhängig davon, ob der Lösung Kali zugegeben 
wurde oder nicht, ob die Erde aus der kaliarmen oder der kali 
reichen Parzelle stammte, auf den Verlauf der Giirung außerordent- 
lich günstig wirkte. Diese günstige Wirkung der zugesetzten Erde 
konnte nicht durch die darin enthaltenen Mineralstoffe verursacht 
werden, da ja diese, namentlich in der Lösung A, ohne Ausnahme 
reichlich vorhanden waren; auch konnten sie nicht von dem Stick- 
stoff der zugesetzten Erde herrühren, weil die Lösung Asparagin 
enthielt; endlich können hier auch die Mikroorganismen der zuge- 
setzten Erde diese Wirkung nicht hervorgebracht haben, da die 
Kölbehen nach Zusatz von Erde sterilisiert worden waren. Infol- 
gedessen konnte man daran denken, daß der günstige Einfluß des 
Erdezusatzes auf die Gärung auf dessen Gehalt an Humusstoffen 
zurückzuführen ist, ähnlich wie es sich in den Versuchen Krze- 
mieniewskis für den Einfluß des Erdezusatzes auf die Entwick- 
lung des Azotobakters herausgestellt hat. Demnach war es ange- 
zeigt zu versuchen, ob auch die aus der Erde isolierten Humus- 
stoffe ähnlich wie die Erde selbst auf den Verlauf der Gärung 
wirken werden. Dies sollte der folgende Versuch entscheiden. 


Versuch I. 


7 Versuchskölbehen wurden mit je 100 cem Nährlösung A be- 
schickt, 3 von ihnen erhielten keinen weiteren Zusatz, 2 je 10 g 
Erde und 2 je O01 g humussauren Natron. Sämtliche Kölb- 
chen wurden sterilisiert, mit ganz kleiner Menge reiner Hefekultur 
infiziert und in den Thermostat bei 28° C. gestellt). Daneben standen 
auch 2 sterilisierte, nicht infizierte Kölbehen mit je 100 ccm glei- 
cher Lisung, welche zur Bestimmung der Wasserverdunstung aus 
den Nährlösungen dienten. Die ermittelten Verdunstungszahlen wur- 


den wie im vorigen Versuch von den Gewichtsverlusten der Ver- 


1) Die Temperatur während dieses Versuches war nicht ganz konstant, weil 
zwischen dem 9. und 10. Tag die Flamme im Thermostat infolge einer eingetre- 
tenen Störung in der Wirkung des Thermoregulators erlosch. 


Bulletin III. Avril. 16 


656 


suchskölbehen in Abzug gebracht und die Differenzen als Maßstab 
der Gärung betrachtet. In Tabelle III sind die auf diese Weise 
korrigierten Zahlen zusammengestellt. welche die dureh Gärung 
ausgeschiedenen Kohlensäuremengen bezeichnen. 


TABELLE III. 


Kohlensäuremengen, durch Gärung aus Kölbehen entwickelt in g. 


nach nach nach nach nach 
3 Tagen 6 Tagen 9 Tagen ` 10 Tagen 11 Tagen 
Lösung mit 0:269 0:476 0:721 0:804 — 
Asparagin ohne 0:138 40:185 0:253 (0:335. 0'430 (0:546 0:513 | 0:628 0:611 
Erdezusatz 0148 0:276 0:485 0:569 | 0:686 
LösungmitAspa- 0'267 | 1179 2:299 | 2:673 | 
ragin +10 g 0:444 1:487 2-700 3:080 
Erdezusatz 0:621 | 1:179 3:100 3:488 | 3:949 
Lösung mit Aspa- 0488 | 1553 | 2:788 | 3197 | 3755 | 
Er 0:445 | 1:456 -2601 2-987 | 3.547 
Naton 0402| 1:346 | 2415 | 2-777 | 3-339 | 


Aus diesen Zahlen wurden die Zahlen der folgenden Tabelle 
berechnet, welche den Verlauf der Gärungsenergie während der 
Dauer des Versuches veranschaulichen. 


TABELLE IV. 


Kohlensäuremengen, in 24 Stunden durch Gärung entwickelt. 


1:9. SU Tag, 3.16.0297 38, 9 Tar 0X Tac 115 Das 


Lósung mit VUE 0:069 0:081 0:082 — { 
Asparagin ohne 0:046 | 0'061 0:038 | 0:050 0:059 ; 0:070 0:083 | 0:083 0:098 | 0:108 

Erdezusatz 0'049 0:043 0:070 | 0:083 0:117 

Lösung mit 0-089 | 0 303 | 0:408 | 0:374 | — 
Asparagin und | 0:148 | 0:348 | 0:421 | 0:381 

Erdezusatz 0'207 0:393 0-434 0:387 0:462 
Lüsung mit Aspa- 0:163 | 0:355 | h 0:412 | 0:409 | 0539 | 
ragin und humus- 0:148 - 0:335 0:384 -0:386 0:560 

saurem Natron 0-134 | 0315 | 0:356 | 0:362 | 0:562 | 


Zur Kontrolle dieser dureh Gewichtsverminderung der Külbchen 
für die Gärungsenergie erhaltenen Resultate wurden noch am Schluß 
des Versuches die Lösungen jedes einzelnen Kölbehens der Destil- 
lation unterworfen, die Destillate gewogen und in denselben durch 
Bestimmung des spezifischen Gewichtes Alkohol bestimmt. In fol- 
gender Tabelle sind einerseits die durch Gewichtsverluste ermittel- 
ten Mengen der entwichenen Kohlensäure, anderseits die in den 


—— 


657 


Lösungen unmittelbar gefundenen Alkoholmengen nebeneinander 


zusammengestellt. 
TABELLE V. 
Kohlensäure, Alkohol, 
entwickelt gefunden 
in g in g 
Lösung ohne Zusatz 1 — 0 320 
2 0:611 0:367 
3 0:686 0:390 
. mit 10 g Erdezusatz 1 2:673 2:640 
2 3:949 0:329 
» mit 0'1 g humussaurem Natron 1 37755 38:23 
2 3:389 3:0065 


Aus diesen Zahlen ist zu entnehmen, daß die ermittelten Alko- 
holmengen durehwegs etwas kleiner gefunden wurden, als es nach 
den ermittelten Gewichtsverlusten der Lösungen zu erwarten wäre. 
Dieses Resultat war ohne Zweifel durch die durchaus nicht ein- 
wandsfreie Methode der Abschätzung der Wasserverdunstung aus 
den Nährlösungen bedingt. Es ist ja selbstverständlich, daß in den 
gärenden Flüssigkeiten die Verdunstung etwas größer sein konnte 
als in den Kontrollkölbehen, und zwar nicht nur infolge der Be- 
günstigung der Verdunstung dureh das Entweichen der Kohlen- 
säurebläschen, sondern auch aus diesem Grunde, weil die Glykose- 
lösung infolge der Gärung sich immer mehr verdünnte, wodurch sie 
rascher verdunsten mußte als die konzentriertere Lösung der Kontroll- 
kölbehen. Man hat demnach die Verdunstung, namentlich bei weiter 
fortgeschrittener Gärung, wahrscheinlich zu niedrig abgeschätzt, wo- 
durch wieder die Zahlen für die entwichene Kohlensäure zu hoch 
ausfielen. Dies beeinflußt aber nicht im geringsten die Richtigkeit 
des Hauptresultates unseres Versuches. Es handelte sich ja in die- 
sem Versuche durchaus nicht um eine genaue Ermittelung der bei 
der Gärung entwichenen Kohlensäuremengen, sondern nur um an- 
nähernde Abschätzung der Gärungsenergie in den Lösungen mit 
oder ohne Zusatz von Erde, bezw. von Humusstoffen. Die angege- 
benen Zahlen, sowohl diejenigen, welche annähernd die Mengen 
der entwiehenen Kohlensäuremengen. bezeichnen sollen, wie auch 
die viel genaueren, welche durch unmittelbare Bestimmungen des 
gebildeten Alkohols gewonnen wurden, lassen nicht den geringsten 
Zweifel zu, daß der: Zusatz von Erde, bezw. des humussauren Na- 

162 


658 | 


trons zu den Nährlösungen einen in hohem Grade beschleunigen- 
den Einfluß auf Alkoholgärung, also auch auf Hefeentwicklung 
ausgeübt hat. Es drängt sich nun selbstverständlich die Frage auf, 
wie man sich die Wirkung der Humusstoffe auf Entwieklung der 
Hefe und auf alkoholische Gärung zu erklären hat. Es wäre denk- 
bar, wenn auch nicht wahrscheinlich, daß die Humusstoffe eine be- 
sonders gute, dem Asparagin überlegene Stickstoffquelle für die 
Hefe bilden, oder daß man hier mit einer ähnlichen, vorläufig noch 
rätselhaften Wirkung der Humusstoffe, wie sie von Krzemieniew- 
ski für Azotobakter nachgewiesen wurde, zu tun hat. Um dieser 
Frage näher zu treten, wurde noch folgender Versuch ausgeführt. 


Versuch III. 


6 Versuchskölbehen wurden mit je 190 eem der Nährlösung A 
beschickt. Von denselben erhielten 2 keinen weiteren Zusatz, 2 er- 
hielten je 10 g Erde und 2 je 0:1 g humussauren Natron. Außer 
diesen 6 Kolbehen wurden noch 3 mit einer Nährlösung ohne 
Asparagin beschickt (auch je 100 cem), von denen in zwei dieses 
dureh je 0-1 g humussauren Natron, in einem durch 10 g Erde 
ersetzt wurde. Alle Kölbehen wurden sterilisiert und mit einem 
großen Tropfen dicker Hefeemulsion in Bierwürze infiziert. Hier 
wurde also eine verhältnismäßig sehr reiche Hefeinfektion vorge- 
nommen. Wie in den vorigen Versuchen wurden auch hier zwei 
nicht infizierte Kölbehen zur Bestimmung des Verlaufes der Ver- 
dunstung der Versuchslösungen während des Versuches in den 
Thermostat gestellt. Die Resultate des Versuches in bezug auf die 
Kohlensäureentweichung sind in folgender Tabelle zusammengestellt. 


TABELLE VI. 
Kohlensäuremengen, durch Gärung aus Kölbchen entwickelt in g. 
nach nach nach nach 
2 Tagen 3 Tagen 4 Tagen 10 Tagen 

Lösung mit Asparagin 1444 | 2:628 dono 4763 
und 0'1 g humussaurem > 1:116 2:379 3:650 4 444. 

Natron 0-789 | 2431 3:362 | 4:195 

- : e 0:603 468 2:386 ‘840 
FA EE ons "lan 7 laus °°" lasse 

a 0-833 1944 3:084 | 3:867 

: : ‘841 GER 3t i 

DURE en Logg a 1:986 GN 3:073 MES 

nen ES 0859 | 1946 3:108 4015 


659 


Lösung mit 0‘1 g humus- 101 | 0:191 Lä d pape | 0-472 
saurem Natron allein 0-140 | 0.436 | 
Lösung mit Erde allein 0:058 — — 0:258 
TABELLE VII. 
Kohlensäuremengen, in 24 Stunden durch Gürung entwickelt. 
land, leer 3. Tag 4, Tag 
Lösung mit Asparagin 0722 | 1 134) 1:330 | 0:134 | 
und 0'1 g humussaurem | 0558 1:263 1:280 0131 
en 0394 | 1:343 | 1:231 | 0427 | 
x e à 0:301 0 866 0:918 0:242 
Lot mite di ls 359 | 0.988 | 1:099 j | 0:186 
Henn 0-416 | 111 | 114 | 0134 | 
4 s à 0:420 1:086 1111 0:07 
Lósung mit Asparagin | 0:425 | 1-087 | 1-137 i2 | 0:115 
u Bin 0499 1:087 | 1:163 | 0151 | 
Lösung mit humussau- 0:051 | 0-060 5s Hn: 0:048 | 0:044. 
rem Natron allein 0-070 | 0:040 | 
Lósung mit Erde allein 0 029 — — 0:025 


Aus diesem Versuche ist zunächst zu entnehmen, daß bei einer 
sehr reichen Impfung der Lösung mit Hefe die Unterschiede zwi- 
schen der Gärung in den Lösungen mit oder ohne Humusstoffe 
bedeutend kleiner ausfallen als bei einer Impfung mit sehr klei- 
ner Hefemenge, und zwar aus diesem Grunde, weil bei reicher 
Impfung auch in den Lösungen ohne Humusstoffe die Gärung ver- 
hältnismäßig rasch verläuft. 

In den Lösungen, in welchen man das Asparagin weggelassen 
und es durch eine bestimmte Menge Erde oder humussauren Na- 
tron als Stickstoffquelle ersetzt hat, trat eine verhältnismäßig nur 
sehr schwache Gärung ein, was deutlich beweist, daß die Humus- 
substanzen, als Stickstoffquelle benutzt, Asparagin nicht zu ersetzen 
vermögen. Daraus ist aber der weitere Schluß zu ziehen, daß die 
eminent günstige Wirkung der Humusstoffe auf die Entwieklung 
der Hefe (namentlich bei spärlicher Hefeaussaat) nicht auf eine 
besonders vorteilhafte Stickstoffernährung durch diese Substanzen 
zurückzuführen ist. Es ist viel eher anzunehmen, daß die Humus- 
substanzen die Entwicklung der Hefe und Alkoholgärung auf eine 
ähnliche, zur Zeit noch rätselhafte Weise beschleunigen, wie sie 


660 


das in bezug auf die Entwicklung des Azotobakters und der Stick- 
stoffbindung durch denselben tun. 

Die Resultate dieser kleinen vorläufigen Notiz lassen sich also 
in folgenden Punkten zusammenfassen: 

1) Die Humusstoffe der Ackererde sind imstande, einen sehr 
günstigen Einfluß auf die Entwicklung der Hefe und auf Alkohol- 
girung in einer aus Wasser, Glykose, Asparagin und Mineral- 
stoffe bestehenden Lösung auszuüben. 

2) Dieser günstige Einfluß äußert sich insbesondere sehr deutlich 
dann, wenn es sich um Entwieklung der Hefe aus einer sehr kleinen 
Aussaatmenge handelt, bei einer reicheren Hefeaussaat entwickelt 
sich die Hefe auch in humusfreier Lösung gut, so daß dann die 
Wirkung der Humusstoffe zwar nicht unterbleibt, aber weniger 
deutlich hervortritt. 

3) Der günstige Einfluß der Humusstoffe auf Hefeentwicklung 
und alkoholische Gärung ist nicht auf den unmittelbaren Nährwert 
der Humusstoffe zurückzuführen, sondern muß wahrscheinlich der 
zur Zeit noch rätselhaften Wirkung dieser Stoffe auf die Ent- 
wicklung des Azotobakters und der Stiekstoffbindung an die Seite 
gestellt werden. 


Agrikulturchemisches Laboratorium der Jagellonischen Universität in Krakau. 


31. Wptyw bfon 1 przegród na sity elektromotoryczne. — 
Einfluß von Membranen und Diaphragmen auf elek- 
tromotorische Kräfte. Mémoire de MM. WAP. CYBULSKI m. t. 
et J. DUNIN-BORKOWSKI. 


Es ist eine längst bekannte Tatsache !), daß die elektromotori- 
schen Kräfte der Flüssigkeits- und Konzentrationsketten Verände- 
rungen erfahren, wenn zwischen die Flüssigkeiten der Kette Mem- 
branen oder andere Stoffe eingeschaltet werden. Diese Wirkungen 
haben aber besondere Bedeutung gewonnen, seitdem man begonnen 
hatte, die elektrischen Erscheinungen in den Geweben als Ströme 
zu betrachten, welche von den elektromotorischen Eigenschaften der 


') Worm-Miiller, Poggendorffs Annalen. Bd. 140, S. 116. 1870. 
Grünhagen. Elektromotorische Wirkungen der Gewebe, 1873. 


661 


in den lebenden Geweben vorhandenen oder unter gewissen Umstän- 
den erzeugten Lösungen abhängig sind. 

Bernstein!) war der erste, welcher unter der Voraussetzung, 
daß die Muskelströme als Konzentrationsströme aufzufassen seien 
und sich somit der Nernst’schen Regel fügen, streng konsequent 
zu der Überzeugung gekommen ist, daß einerseits der Muskel selbst, 
andererseits die Elektrode oder die den Muskelstrom ableitende 
Flüssigkeit sich durch verschiedene Wanderungsgeschwindigkeiten 
der Ionen auszeichnen müssen. da nur unter Erfüllung dieser Be- 
dingung eine Stromerzeugung überhaupt möglich erscheint. Tscha- 
gowetz?, Cybulski’) und später Brünnigs*) haben auf ex- 
perimenteller Grundlage den Beweis erbracht, daß bei allen asym- 
metrischen Systemen tatsächlich Ströme erzeugt werden, deren 
Intensität durch die Natur sowohl der Lösungen wie auch der 
Diaphragmen bedingt ist. Cybulski hat auf Grund seiner im 
Jahre 1903 ausgeführten Experimente, in denen er die Stromrich- 
tung bei der durch Gelatineeinschaltung erzeugten Asymmetrie 
{H, SO, 4/100 (He SO, 1/10) Gelatine (H, SO, 4/;99)} berücksichtigte, 
die Meinung ausgesprochen, daß unter diesen Umständen die, Strom- 
erzeugung durch die herabgesetzte Wanderungsgeschwindigkeit des 
Kations in der Gelatine verursacht ist. Keiner von den genannten 
Forschern hat sich indessen näher mit dieser Erscheinung befaßt, 
obgleich Tsehagowetz und noch mehr Brünnigs derselben 
ein besonderes Gewicht zuzuschreiben geneigt sind. Brünnigs 
will sogar dieses System mit dem Spezialnamen einer diosmoti- 
schen Kette bezeichnen. 

In unserer Arbeit haben wir uns die Aufgabe gestellt, die Ver- 
änderungen der elektromotorischen Kräfte in 3 Kettentypen zu 
untersuchen, und zwar: 1) in der in bezug auf Kation reversiblen, 
2) in der in bezug auf Anion reversiblen und 3) in der gewöhn- 
lichen Flüssigkeitskette unter der Wirkung von Einschaltung von 
gewissen bestimmten Diaphragmen. (Selbstverständlich waren alle 
Kettentypen aus einer und derselben Lösung zusammengesetzt). Es 


1) Pflügers Archiv. Bd. 92, S. 521. 1902. 

?) Newrologitscheskij Wiestnik. Bd. I, H. 6 und Otscherk Elektritsche- 
skich Jawlenij, Petersburg 1903. 

3| Ein Beitrag zur Theorie der Entstehung der elektrischen Ströme. Bull. de 
l'Académie d. Sc. de Cracovie, 1903, S. 622. 

*) Pflügers Archiv, Bd. 100, S. 377. 1903. 


662 


wurden diese Kettentypen deswegen gewählt, weil sie die Anwen- 
dung der Nernst'schen Gleichungen gestatten, aus welchen sich 
jeder einzelne Potentialsprung berechnen läßt, so daß es möglich 
wird zu untersuchen, inwiefern in diesen Erscheinungen eine Kon- 
stanz, eine Regelmäßigkeit besteht. Derartige Berechnungen sind 
selbstverständlich mit irgend welcher Genauigkeit bei Anwendung 
von gewöhnlichen physiologischen Elektroden, wie es Tsehago- 
wetz getan hat, unausführbar. 


Untersuchungsmethode. 


Die. elektromotorische Kraft der Ketten wurde mit der Kom- 
pensationsmethode nach Poggendorff gemessen. Die Stromstärke 
des Kompensationsstromes ist mit Hilfe des Siemens’schen Am- 
peremeters bestimmt worden; sie wurde so gewählt, daß 1 mm der 
Rheochordskala 0:0001 Volt entsprach; diese Einstellung erleich- 
terte bedeutend die Bestimmung der elektromotorischen Kraft. weil 
die zur Kompensation notwendige Millimeterzahl des Rheochords 
unmittelbar in 0:0001 Volt abgelesen werden konnte. Die Empfind- 
lichkeit des Galvanometers betrug 5 . 10710. Selbstverständlich wurde 
sowohl die Empfindlichkeit des Galvanometers wie der Rheochord- 
widerstand im Läufe der Versuche kontrolliert. Besonderes Gewicht 
wurde auf die Reinheit der Reagentien gelegt. Diese wurden sämt- 
lich von Kahlbaum bezogen und dreifach kristallisiert. Die Natron- 
lauge wurde aus metallischem Natrium bereitet. Die HCl-Lisungen 
wurden folgendermaßen bereitet: Zur reinen Salzsäure wurde kon- 
zentrierte Schwefelsäure gegossen; das sich entwickelnde HCl-Gas 
wurde durch eine Waschflasche in dreifach destilliertes Wasser ge- 
leitet und der Titer mit Ag NO, bestimmt. (Wägen im Gooch’schen 
Tiegel). 

Die Kalomelelektroden (Fig. 1) wurden nach Ostwald unter 
Berücksichtigung aller Kautelen hergestellt: Hg, Cl, wurde mit der 
betreffenden Salzlösung verrieben; aus so vorbehandeltem, dreifach 
gewaschenem Kalomel hergestellte gesättigte Lösung wurde für die 
Elektroden verwendet. Die Gaselektroden (Fig. 2) bestanden aus 
Platinblechstückehen von der Größe 2 X 1, welche mit in die Glas- 
röhre mit Quecksilber (b) eingeschmolzenem Platindraht befestigt wa- 
ren. Die Platinblechstückehen waren mit Platinschwarz überzogen. 
Wasserstoff wurde im Kipp’schen Apparat entwickelt und durch 
das Röhrchen (a) in die in der Elektrode (A) befindliche Flüssig- 





663 


keit geleitet und in KMnO,, NaOH und in der Elektrodenflüssig- 
keit gewaschen. Vor Gebrauch wurden die Elektroden zwei Stunden 
lang mit Wasserstoff gesättigt und erst dann zum Versuch verwen- 
det, wenn mehrfach wiederholte Messungen stets eine und dieselbe 
elektromotorische Kraft ergaben. Wenn es sich um Bestimmung 
der elektromotorischen Kraft einer normalen Elektrode von einem 





gewissen Typus handelte, wurden die untersuchten Lösungen in 
2 vertikale, 10 em lange und 1 em breite Röhrchen gebracht, wel- 
che durch ein doppelt gebogenes Röhrchen f~} von 11/, mm Weite 
untereinander verbunden waren; selbstverständlich waren mit diesem 
Röhrchen die mit gleichnamigen Lösungen gefüllten Elektroden ver- 
bunden. Wo es darauf ankam, Membranen zwischen die Lösungen 
einzuschalten, verwendeten wir besonders zu diesem Zwecke kon- 
struierte Röhrchen, wie dies aus Fig. 3 ersichtlich ist. Die kurzen 
Arme der beiden Röhrchen waren in dicht gegeneinander geschlif- 
fenen Kautschukplättchen befestigt. Zwischen diesen zwei Platten 
wurde die betreffende Membran (Fischblase, Pergamentpapier) ge- 
bracht und die beiden Platten mittels zwei Schraubenklemmen an- 
einander gedrückt, so daß ein absolut dichter Verschluß zwischen 
den beiden Röhrchen erzeugt wurde, da sie nur durch die betref- 


664 


fende Membran voneinander getrennt waren. Dann wurde das eine 
Röhrehen mit der einen, das andere mit der anderen Lösung ge- 
füllt und mit den entsprechenden Elektroden in Verbindung ge- 
bracht. Sollte Gelatine als Diaphragma eingeschaltet werden, dann 
wurde in ein am anderen Ende mit einer Glasplatte abgesperrtes 

















Fig. 4. 


Röhrehen 10°/, angewärmte Gelatinelösung gegossen; nach dem Er- 
starren wurde die Glasplatte entfernt und die beiden Gummiplätt- 
chen aneinander gedrückt. Die gewöhnliche Dicke der Gelatine- 
schicht betrug 3 em. Bei Anwendung von Hühnereiweiß wurde ein 
U-förmig gebogenes Röhrchen von derselben Weite genommen. Zu- 
nächst wurde das Eiweiß und dann die beiden Lösungen gegossen. 
Das Eiweiß wurde durch Versenken in kochendes Wasser zur Ge- 
rinnung gebracht. Die Dissoziation wurde nach den Tabellen von 
Kohlrausch!) berechnet. 


Versuche. 
Konzentrationskette, Typ. I, Nr. I. 
TAB Uer 220 
Hy | HCl 1/5, | HOL1/4,5,|:H55—:0:0195. Volt. 


Fischblase . 002680 4 
Eiweiß SCD. 
Gelatine s —50:0635 i 
Pergamentpapier . = 00148 „ 


?) Kohlrausch. Das Leitvermögen der Elektrolyte, 1898. 


665 


Der elektromotorischen Kraft der oben genannten Kette ent- 
spricht die folgende Nernst’sche Formel: 








C u—v c © 
E = RT — RTI “l RUMP Ty 
RTIn ^ + en, Tin S (1) 
= C QUE C 22 C 
== "IL; 2 BETT] a rt - RTI 2 i 
k ge? -|- uo Tin 5 uuo 5 


u bedeutet die Wanderungsgeschwindigkeit des Kations, v — 
die des Anions, À — die Gaskonstante. 7'— die absolute Tempera- 
tur, C — den elektrolytischen Lösungsdruck des Metalls, e, und e, — 
die Konzentrationen der Lösungen (e > ¢,). 

Die nach dieser Formel berechnete elektromotorische Kraft der 
Kette Typ. I, Nr. 1 beträgt 0‘0202 V; die unmittelbar bestimmte 
0:0195. Die Differenz also zwischen der berechneten und der be- 
stimmten Größe beträgt kaum 0:0007 V. Die elektromotorische Kraft 
der normalen Kette (ohne jede Membraneinschaltung) setzt sich zu- 
sammen, wie wir eingangs erwähnt haben. aus drei Potentialunter- 
schieden: aus zwei Potentialsprüngen an den Elektroden (Elektro- 
denpotentiale) und einem an der Berührungsstelle zwischen den 
beiden verschiedenen Lösungen. [Wir wollen das letztgenannte als 
Diffusionspotential (Kontaktpotential) bezeichnen]. Die beiden ersten 
sind bedingt durch die Eigenschaften des Metalls (C) und durch die 
Konzentrationen der Lösungen, der dritte durch die Konzentrationen 
der Lösungen und durch die Wanderungsgeschwindigkeit der Ionen 
des benutzten Stoffes. 

Es ist klar und unterliegt keinem Zweifel, daß nach Einschal- 
tung von Membranen zwischen die Lösungen in dieser Kette die 
Elektrodenpotentiale keine Veränderung erfahren können, so daß 
die Veränderung von E, ihre Zu- oder Abnahme unter dem Ein- 
fluß der eingeschalteten Membran ausschließlich und allein von dem 
Diffusionssprung abhängig sein kann. Wenn nun: 


E = 00195 Volt = e + e, (Tab. J), 


e= RIln ® 
Das 
E E 
und e= PEE QU e | (2) 
dann wird das Elektrodenpotential e, = — 0:0590 Volt; also das Kon- 


taktpotential e = H — e, = — 0:0195 — (— 0:0590) = 00395 Volt. 


666 


Wenn wir dieselbe Berechnung auf den Fall anwenden, wo 
zwischen die beiden Lösungen eine Blasenmembran eingeschaltet 
wurde und wo e, = — 0:0263 — (— 0:0590) = 0:0327 Volt ist, dann 
seben wir, daß der Diffusionspotentialsprung eine Abnahme auf- 
weist, und zwar daß zwischen den Potentialsprüngen vor und rach 
der Membraneinschaltung folgendes Verhältnis besteht: 

Eo 
Ki 

Wenn wir von der Voraussetzung ausgehen, daß die Nernst- 
sche Formel auch auf die membranhaltigen Ketten angewendet 
werden kann, dann müssen wir annehmen, daß die Ab- und Zu- 
nahme von E mit einer Veränderung der Wanderungsgeschwin- 
digkeit der Ionen nach der Membraneinschaltung zusammenhängt, 
so daß wir anstatt # und » nunmehr mit #, und v, zu tun haben, 


e 4 
da sonst = — 1 sein müßte. 
b 


Wir wissen schon, daß folgendes Verhältnis besteht: 





u—v o 
EEN 
e u-tv Co 

(3 a) T= S à — 12. 
WERE Rn 
UV: Co 


Hre d 1 
Wenn das Verhältnis = für die Blasenmembran eine konstante 
b 


Größe darstellt, dann können wir, wenn wir eine andere Kette mit 


























Fig. 5. 


einem anderen Potential nehmen, mit Hilfe dieser Größe sowohl 
die Stromriehtung wie den Betrag der Veränderung von Ein die- 











667 


ser neuen Kette neben der unmittelbaren Beobachtung berechnen. 
Nehmen wir z. B. eine sogenannte Fliissigkeitskette, welche eben- 
falls HCl, und zwar in gleichen Konzentrationen wie die erste Kette 
enthält !): 


KOT) | KCL EE oo). | HCl Yo) | KCl Ha: 


Die elektromotorische Kraft dieser Kette beträgt 00374 Volt; 
wenn wir zwischen die HCl-Lisungen eine Fischblase einschalten, 
wird Æ = 0:0305 Volt. In dieser Kombination haben wir gar nicht 
mit Elektrodenpotentialen zu tun. Æ ist lediglich von den Sprüngen 
(1) und (3) abhängig. Diese Sprünge lassen sich nach der folgen- 
den Formel berechnen: 





N EM AC 
b= (Ty cpu) BIN Ca (4) 
E— — 00002 — 0-:0386 = — 00388 Volt. 
E für Fischblase = — 0:0002 — = — _ (0323 Volt. 


In dieser Berechnung bedeuten w und v die Wanderungsge- 
schwindigkeiten der Ionen von KCl. v, und v, von HCl. Unmittel- 
bare, an der genannten Kette ausgeführte Messung ergab eine elek- 
tromotorische Kraft von — 0:0374 Volt; die Berechnung — 0:0388 
Volt; nach Fischblaseneinschaltung — 0:0305 Volt; die Berechnung 


auf Grund des Verhältnisses a = |:2 (aus der Kette Nr. 1) ergab 


b 
die Größe von — 00323 Volt, so daß der Unterschied zwischen 
der unmittelbar gefundenen und der berechneten Größe kaum 
0:0018 Volt beträgt. Dieser geringfügige Unterschied beweist, daß 
die von uns gefundene Beziehung tatsächlich konstant ist. Diese 
Konstanz muß um so wichtiger erscheinen, da wir in einer Flüssig- 
keitskette annehmen, daß sich die Sprünge 2 und 4 gegenseitig auf- 
heben, und obwohl in den beiden Versuchen dieselben Lösungen 
zur Anwendung gelangten, wir doch mit verschiedenen Stücken 
derselben Membran zu tun hatten, was voraussichtlich nicht ohne 
gewissen Einfluß auf das Versuchsergebnis bleiben konnte. Diese 


! Der Strom wurde mittels zwei Kalomelelektroden abgeleitet, welche KCl 1/4, 
enthielten. 


668 


; e ; : ? 
Konstanz der Beziehung `". welche wir weiter auch für andere Kom- 
e, 


binationen stets auftreten sehen werden, gab uns die Basis dazu, 
sie in anderer Gestalt auszudrücken, und zwar in Gestalt des Ver- 
hältnisses von Überführungszahlen der Ionen, wodurch diese Be- 
ziehung eine viel mehr umfassende und allgemeine Bedeutung be- 


kommt. Auf Grund der Definition der Überführungszahl: 


u—v 
—— = 1— 2n, 

(5) SE n, 

wo z die Überführungszahl des negativen Ion bezeichnet, können 

wir, indem wir den Ausdruck (5) in die Gleichung (3) einführen, 

zur folgenden Beziehung gelangen: 


lae 

1—2n 
Da für HCl die Überführungszahl n — 0:112!) beträgt, können 
wir, indem wir diesen Wert in die Gleichung (6) einführen, », 
die Überführungszahl bei Blasenmembraneinschaltung berechnen, 
und zwar ist s», — 0:226. 

Für die Fälle, wo die Messungen an den benutzten Ketten einen 
Wert von E ergeben, der dem theoretisch berechneten sehr annä- 
hernd gleich ist, lassen sich die Überführungszahlen auf eine an- 
dere viel einfachere Weise berechnen: 


(6) r2. 





pA? pgs oru el 
GE el e a 
da 
TT. 
€ 
so ist 
(7) a= = 


Derartige Berechnungen für die ganze Tab. I enthält Tab. IL 
Wir ersehen aus Tab. II, daß nach Einschaltung der Membran 
(Blase, Eiweiß, Gelatine) das Diffusionspotential der Kette eine Ab- 
nahme aufweist; für die Gelatine wird es sogar negativ, d. h. daß 


1) Kohlrausch, S. 201. 


"fü EC. 1m ee Mh 


———————————————————— 





669 














PAB. IL 
À en] 
€ e, 2 n 
HCl v Rue. 0:03950 — u | 0172 
Bischblase e = 0:0328 (KOU 0:221 
Eiweiß... . =- 0-0119 85209 NO397 
Gelatine Le. = — — 0:0045 — 855 0:535 
Pergamentpapier — 0:0442 0:89 0:126 











die Wasserstoffionen in der Gelatine eine geringere Wanderungs- 
geschwindigkeit als die Chlorionen besitzen. Die einzige Ausnahme 
bildet das Pergamentpapier; hier nimmt das Diffusionspotential zu, 
woraus selbstverständlich geschlossen werden muß, daß im Perga- 
mentpapier umgekehrt wie in der Gelatine die Wanderungsgeschwin- 
digkeit der Chlorionen eine Abnahme aufweist, da es überhaupt 
nur schwer ginge anzunehmen, daß irgend welche Faktoren eine 
Zunahme der Wanderungsgeschwindigkeit verursachen könnten. Aus 
Tab. II ersehen wir gleichfalls, daß während der Einschaltung von 
Fischblase, Eiweiß und Gelatine die Konstante » zunimmt, bei Per- 
gamentpapier dagegen unter ihren normalen Wert herabsinkt. Eine 
größere Versuchsreihe, die sowohl an denselben, wie auch an an- 
deren Elektrodentypen, unter Anwendung der in oben genannter 
Weise gefundenen Konstante v für die Berechnung von Æ von uns 
ausgeführt wurde, beweist, daß die Nernst'sehe Gleichung sich 
vortrefflich auf die Fälle anwenden läßt, wo Diaphragmen oder Mem- 
branen zwischen zwei Lösungen von verschiedener Konzentration 
eingeschaltet werden. Auf diese Weise war es uns möglich, den un- 
mittelbar beobachteten Wert von E mit dem auf Grund von » be- 
rechneten bei Anwendung einer und derselben Membran zu ver- 
gleichen. Als Beispiel möge Tab. III dienen. 


TAB. III. 
Kettentypus L ^ 
: E gef. E berechnet 
H, HOI | HCl Yooo | Hy 00385 Volt 00402 
Fisehblase! 770784 0:9545 0027. 0:0522 


670 


E gef. E berechnet 
Eiweiß . . . . ..0:0956 Volt 0:0945 
Gelatine re eee ` zem HS, 5.042584 
Pergamentpapier . . 00360 „00301 
Non: i AE 2» (0:259) 


Kettentypus II. 


E gef. E berech, 
Hg | Hg, Cl, | HCl !/4, | HCl !/,60 | Hg; Cl; | Hg —0:0964 Volt 0:0965 
Euschhlaser 2 . .. v.42 200850) 2501590 
Gelatine EI EINBINDEN 
Persamentpapier mo 20. 8 01030060: 7, 702368 
Kettentypus III. 
KCI KCH 99 | HOl/,,,|] HCE KCl4/,,  — 0:0374 Volt 0-0388 
Fisehblase . . . . . — 00305 „— 00322 
Eiweiß `. . ....,. . . — 00090 „— 00120 
Pergamentpapier . . — 00400 , — 0:0433 
Ton . o ncs — 00260 00283 
Gelatine . . . . .=+ 00148  ,--0:0090 
Kettentypus IV. 

HC TACH HOLEN. 2: Or Volt 0 
Fischblase > 10... 00047." 005s 
Pergamentpapier . . —00041 „— 0:0047 

HOL1/ 551] HOW HOLA oo er. Deelt 0 
Gelatine: P eub:m anes 200452829 00424 


Für den Kettentypus II (Kalomelkette) wurde Æ nach der fol- 
senden Formel berechnet: 


E = 2 (1—n) 00002 T log 10, 
für die beiden letzten Kettentypen nach der Formel: 
UE LE ZE A o9 m a 6 
E= C (1—2n) ) . 0:0002 T log q 
u und v bezeichnen für den Kettentypus III die Wanderungs- 


geschwindigkeiten von KCl, für den Kettentypus II von HCl. In 
der angeführten Tabelle ist neben der Übereinstimmung der un- 





671 


mittelbar beobachteten und der berechneten Werte noch besonders 
der Umstand hervorzuheben, daß in der Flüssigkeitskette bei Ge- 
latineeinschaltung und in der asymmetrischen Kette (Typus IV) 
bei Pergamentpapiereinschaltung bei unmittelbarer Beobachtung die 
Stromrichtung und bei theoretischer Ableitung auch das Zeichen 
eine Umkehrung aufweisen. 

Dieselbe Gesetzmäßigkeit weist eine Silbernitratkette auf. 


TAB. IV. 
E n 
Ag | AgNO, 4/1) | Ag NO; 4/100 | SÉ 0:0590 1) Volt 0:507 
Fisehblase . . 0:0125 =, 0:650 
Pergamentpapier . . 0533 2 00:108 
Gelatine sen. 20-0676. 51 0:023 


Die in der zweiten Kolonne angegebenen Werte von » wurden 
zur Berechnung von Æ in der folgenden Kette benutzt: 
KNO;!/4, | KNO31/;00 | AgNO; Lee | AZNO5"/10, KNO3%/10 
E gef. Volt E ber. 
+ 0:0041 + 0:0045 


Fischblase . . . . --00196 -00190 
Pergamentpapier . . — 00002 — 0:0004 
Gelatine. . . . . --00054 + 00158 


Außer einer weitgehenden Übereinstimmung bei Einschaltung 
von Blasenmembran und Pergamentpapier sehen wir hier auch eine 
Divergenz bei Gelatineeinschaltung auftreten, welche in den frü- 
heren Kettentypen fehlte. Diese Tatsache erscheint uns leicht er- 
klärlich, wenn wir berücksichtigen, daß Silbernitrat eine chemische 
Wirkung auf Gelatine ausübt; tatsächlich konnten wir bei den von 
uns benutzten Silbernitratkonzentrationen deutliche Trübungsspuren 
in der Gelatine sehen, welche am stärksten an der Berührungs- 
stelle der Gelatine mit der Lösung auftraten. 

Angesichts der gesetzmäßigen Abhängigkeit der Konstante 2 von 
den zwischen zwei HCl- sowie zwei AgNO,-Lösungen eingeschal- 
teten Diaphragmen war es interessant, das Verhalten von Æ und m 
in Natronlauge bei Anwendung derselben Membranen zu unter- 
suchen. 


1) E berechnet = 0'0588. 
Bulletin III. Avril. 17 


TAB. V. 
E n 
H, | Na OH; estima H a 1.2:0:0255 Volt-0:820 
Fisehblase . . d emi 0960 1o MOST 
Pervamentpapiers -aa ....:11:000520 . , 702419 
Tone PUE. sO OO. AA 
Gelatine MEAE S. 15e 5.000044, - 0:601 
E gef. E ber. 
NaCl1/, | NaCL1/,50 | NaOH +/100| NaOH1/,| NaCl!/,, 0:0205 Volt 0:0255 
Hischblase;. .>. . . 090015 | 00% 
Pergamentpapier. . . 00113 , 00130 
Monten, o 2 Paulo OS 
Gelatine . . . . .— 00029 ,— 000002 


Da die NaOH enthaltenden Ketten zu den sehr inkonstanten 
gehören, darf die gefundene Übereinstimmung als vollkommen aus- 
reichend betrachtet werden, umsomehr da bei Gelatineeinschaltung 
eine Übereinstimmung in der Umkehrung der Stromriehtung zwi- | 
schen der Beobachtung und der Berechnung besteht. 

Alle bis jetzt angeführten Versuche beweisen, daß im System | 
Elektrolyt | Diaphragma | Elektrolyt die Überführungszahlen eine 
Veründerung erfahren. Bei den von uns angewandten Diaphragmen 
nahm fast immer die Überführungszahl vom Anion zu; eine Aus- 
nahme bildet nur das Pergamentpapier. Derselbe Effekt wurde schon 
von Bein!) beobachtet, welcher auf elektrolytischem Wege die 
Zunahme der Überführungszahl im System Elektrolyt | Fischblase | 
Elektrolyt nachweisen konnte. Die Ergebnisse von Bein lauten 


folgendermaßen: 
n bei normal. # bei Blaseneinschaltung 


BONN. 0:176 0:290 
Cupo, Be) UV. 0:645 0:788 
ROMIE ls cgo 0:505 0:531. 
Wir haben in unseren Versuchen folgende Werte bekommen: 
STEET EL 0:178 0:269 (Hg, Cl- El.) 
m Are A 0:226 (H,-Elektr.) 
KCl nns i 0:508 0-639. 


Wir hatten die Absicht, unsere Ergebnisse mit den Zahlen von 


1) Zeitschrift für physik. Chemie, Bd. 28, 1898. 





675 


Bein auch in bezug auf Cu SO, zu vergleichen; leider aber er- 
gaben unsere Versuche bei Anwendung der beiden Kettentypen eine 
so geringe elektromotorische Kraft (viel geringer, als es auf Grund 
von theoretischen Berechnungen zu erwarten wäre), daß die Resul- 
tate gar nicht mitberücksichtigt werden konnten. Wie aus der oben 
angeführten Tabelle zu ersehen ist, stimmen qualitativ die Verän- 
derungen von x für KCl und HCl vollkommen mit den Ergebnis- 
sen von Bein überein; was die quantitative Divergenz betrifft, so 
kann sie sowohl durch Unterschiede der Untersuchungsmethodik 
wie der jeweiligen Beschaffenheit der Fischblase erklärt werden. 
In seiner hier zitierten Arbeit befaßt sich Bein nicht näher mit 
der physikalischen Bedeutung der von ihm gefundenen Konstante; 
erst die Arbeiten von Nernst und Riesenfeld!) werfen ein 
gewisses Licht auf diese Erscheinung. Diese Autoren befassen sich 
zwar mit bedeutend einfacheren Fragen, indem sie die Veränderung 
der Konstante » im folgenden System untersuchen: Elektrolyt in 
Wasser | Phenol oder Nitrobenzol | Elektrolyt in Wasser. Unter Be- 
rücksichtigung des Einflusses der Konzentration in den beiden Pha- 
sen auf die elektrolytischen Erscheinungen kommen Nernst und 
Riesenfeld zur Formulierung der folgenden Gesetzmäßigkeit: 
„Der Elektrolyt diffundiert in die beiden Lösungsmittel nach 
Maßgabe des Teilungsverhältnisses und des Verhältnisses der Qua- 
dratwurzeln aus dem Diffusionskoeffizienten“, d. h.: 


- 
= ? 
Mo 


wo m, und m, die durch den Kë Querschnitt in der Zeit- 
einheit diffundierenden Substanzmengen, D, und D, die Diffusions- 
konstanten in den beiden Lösungsmitteln, K die Verteilungskon- 
stante von Elektrolyt zwischen beiden Lösungsmitteln bezeichnen. 





Die Verfasser weisen nach, daß wenn k- Ma viel größer als 1 
2 


ist, n die Überführungszahl in dem das flüssige Diaphragma bil- 
divider Stoffe darstellt, wie dies in den Versuchen der Verfasser 
der Fall sein sollte. 

Riesenfeld?) meint, daß die elektromotorische Kraft einer 


1) Annalen der Physik, Bd. 8, S. 600, 1902. 
2) Über elektrolytische Erscheinungen und elektromotorische Kräfte an der 
Grenzfläche zweier Lösungsmittel, Göttingen 1901. 


de 


674 


derartigen Kette ausschließlich durch die Konzentration und die 
Überführungszahl der Elektrolyte im Diaphragma (das zweite Lö- 
sungsmittel) bedingt ist. Die elektromorische Kraft einer von Rie- 
senfeld untersuchten Kette setzt sich aus 5 Potentialsprüngen 
zusammen: 





1 m € "T! "T ^s 
E = RTin — RTin / Pin — 
5 + + 


+ RTin as 





Sa 
o 


c, und c, bezeichnen die Kationkonzentrationen in Wasser, y, und y; 
dieselben in Phenol, E die Verteilungskonstante des Kation zwi- 
schen Wasser und Phenol, u und v die Wanderungsgeschwindig- 


; c 5 
keiten der Ionen im Phenol. Nehmen wir an, daß ^ = E dieser 


C Ya 
Fall findet statt, 1) wenn der Elektrolyt vollständig in den beiden 
Lösungsmitteln dissoziiert ist, 2) wenn er in dem einen Lösungs- 
mittel vollständig, in dem anderen nur minimal dissoziiert ist. Dann 
wird die Summe der Sprünge (2) und (4) — 0, und die Gleichung 
lautet orne 


A 





c 

RTlog 2 = 2 n R Tlog 2 
m I I € 

Zwar haben wir in unseren Versuchen zwischen die beiden Lö- 
sungen des Elektrolyts entweder einen festen oder einen kolloidalen 
Körper eingeschaltet, trotzdem aber spricht die Gesetzmäßigkeit der 
Ergebnisse unzweideutig dafür, daß diese Versuche wahrscheinlich 


die Bedingung a = 7 erfüllen müssen, d. h. daß die von uns er- 
3 2 

haltenen Werte von n und 1—» tatsächlich die Überführungszah- 
len der Elektrolyte in den betreffenden Diaphragmen darstellen. 
Nernst und Riesenfeld benutzten für ihre Versuche ausschließ- 
lich Ketten vom Typus II (Kalomelketten) und haben gar nicht 
die erzielten Ergebnisse auf deren Konstanz hin geprüft. Wir sind 
nun der Meinung, daß unsere Versuche umsomehr die Nernstsche 
Theorie bestätigen und unterstützen, als sie eine Übereinstimmung 
für verschiedene Kettentypen aufweisen. 

Den Ausgangspunkt für unsere Versuche bildete die Untersu- 
chung der elektromotorischen Kräfte der lebenden Gewebe, da aber 





675 


die bis jetzt verwendeten Lösungen für Untersuchungen an lebenden 
Muskeln wenig geeignet waren, so haben wir noch eine Versuchs- 
reihe mit KCl und NaCl unternommen, wobei wir neben den schon 
früher verwendeten Diaphragmen auch lebende, sowie in den letzten 
Versuchen durch Wärme erstarrte Muskeln untersuchten. Für diese 
Versuche benutzten wir die Ketten vom Typus II und III. Auf 
Grund der nach Einschaltung des einen oder des anderen Dia- 
phragmas unmittelbar bestimmten elektromotorischen Kraft wurde 
n nach der folgenden Formel berechnet: 


Bann Ben. 
ei 


n bedeutet die normale Überführungszahl des Anions des unter- 
suchten Elektrolyts, », die Überführungszahl nach Einschaltung des 


Diaphragmas 
TAB EM 7240: 
E n 
Ho Hes Cl CRIT PCI age) al CL Hg . 00545 Volt 0:508 
EE ee EE ae 0630 
EE EE 20:0 
Pergamentpapier. . . . . 00625 „ 0-445 
TON MM aT RE" TO OH RD as VA 
Muskele me e 72.0227 ee O0GZDY LS 0449 
Muskel iit? ery son, EE 
Muskel MAS) OR E 22 00 
Muskeleveoy. ne. EEN, 01908 


da) Ah 
TR 2(1—n) RTlog i 1 ~n 


2 2(1—n,) RTlog 2 AE 


2 








2) Muskelwand vom Bauch eines Frosches berührt mit der Innenseite die 
schwächere Lösung. 

3) Muskelwand vom Bauch des Frosches berührt mit der Innenseite die stär- 
kere Lósung. 

4) Froschschenkel mit dem Querschnitt gegen die stärkere Lösung gerichtet: 
nach der Enthäutung der unteren Extremität wurde durch einen Schnitt im Knie 
der Unterschenkel vom Oberschenkel getrennt, dann durch einen zweiten das un- 
tere Drittel vom Oberschenkel abgeschnitten und mit dem Knie in ein von den in 
Fig. 4 abgebildetes Röhrchen geschoben. 

5) Dasselbe Präparat umgekehrt eingeschoben. 


676 


Die in diesem Versuch eingeschalteten Diaphragmen wurden 
sofort nach Bestimmung von E ohne Wechsel der Lösungen in eine 
Flüssigkeitskette eingeschaltet, deren Æ wie in den früheren Ta- 
bellen einerseits unmittelbar beobachtet, anderseits auf Grund der 
in Tab. VI angegebenen Werte von n berechnet wurde. 


ABS PEULL A0 


E gef. E ber. 
KNO,!/,, | KNO52/109 | KCl1/,,, |KCl1/,, | KNO;1/, 40.0014 V + 0:0023 
Fischblase . . . . -00164 „ +0'0173 
Gelatine . . . . . —-0:0085 , + 0:0095 
Pergamentpapier . . — 0:0042 „ — 0:0040 
Ton... Soy) Lise de eae 010046, . —— 01D 1 
Muskel I. . . . . —00051 „ — 0:0040 
Muskel IT . . . . —00091 „ — 00081 
Muskel HI . . . . —00048 „ -00063 
Muskel IV . . . . +0:0050 „ +0:0085 


Die zwei angeführten Tabellen mit KCl weisen mehrere inter- 
essante Einzelheiten auf: 1) Gelatine, welche in analogen Ketten 
mit Säure oder Natronlauge sehr stark die elektromotorische Kraft 
veränderte, beeinflußt sie bei KCl nur sehr wenig, 2) Ton, wel- 
cher bis jetzt keine Abweichungen aufwies, zeigt in der letzten Kette 
die frühere Regelmäßigkeit nicht mehr. Uns aber erschienen diese 
Versuche besonders interessant in bezug auf das Verhalten der 
Muskeln. Die in der Tabelle angeführten Zahlen beweisen, daß die 
Muskeln, obwohl sie sich ungleich je nach der Lagerung verhalten, 
im großen und ganzen dennoch eine bedeutsame Gesetzmäßigkeit 
bieten. Wenn als Diaphragma die ganze muskulöse Bauchwand des 
Frosches eingeschaltet wurde, indem der Strom in der Querrich- 
tung die Muskelfasern durchströmte, verhielt sie sich ähnlich wie 
Pergamentpapier unabhängig davon, ob der Muskel einen Eigen- 
strom besafzoder nicht. Wurde aber der Muskel in der Längsrich- 
tung durchströmt, wie dies in III und IV für den unteren Ober- 
schenkelabschnitt der Fall war, dann wirkte der Muskel ähnlich 
wie Gelatine, so daß die elektromotorische Kraft eine Abnahme, 
im ersten Falle eine Zunahme erfuhr. 


4 





Versuche mit NaCl. 
AE VIIT. 


Hg | Hg, Cl, | NaCl 1/4, | NaCl 2/459 | i Cl, | Hg 
Fischblase . ae d 
Gelatine 
Pergamentpapier . 
ony ee ame 
Muskel It). 

Muskel II . 
Muskel IH. 
Muskel IV. 
Eiweif flüssig 
Eiweiß geronnen 


0:0390 Volt 0:617 


0:0261 
0:0380 
0:0458 
0:0368 
0:0618 
0:0532 
0:0546 
0:0362 
0:0435 
0:0542 


0-775 
, 0627 
480588 
» 06530 
, 0393 
, 0418 
„ 0464 
» 0650 
0:513 
0:532 


Tab. IX enthält nebeneinander die Ergebnisse der unmittelbaren 
Messung von E sowie deren Berechnung in der Flüssigkeitskette 
auf Grund der in Tab. VIII gefundenen Werte von m. 


TAB. IX. 

E gef. E ber. 

KNO; | KNO31/199| NaCl1/,,,] NaCl!/;o| KN 0:0110 Volt 00131 
Fischblase 1000 0:0210 , 0:0238 
Gelatine 00100 „  0:0162 
Pergamentpapier 0:0030 ,  0:0060 
Tone 900.0 en en OOOO) oe | UU Od: 
Muskel I . 0. . .— 00032 „— 0:0197 
Muskel II . . . . .— 00021 ,— 000040 
Muskel IT . . . . .— 00010, ,— 00015 
Muskel IV . . . . ..+00133 ,-1-0:0183 
Eiweiß flüssig . . . .+00041 „00046 
Eiweiß geronnen . . .— 00050 „— 0:0014 


Obgleich die Versuche mit NaCl mehrfach wiederholt wurden, 
ergaben sie nicht die erwartete Übereinstimmung; trotzdem die Un- 
terschiede zwischen Beobachtung und Berechnung mitunter bis 5 
Millivolt erreichen, betrachten wir die Resultate als vollkommen 
zufriedenstellend. Diese Versuche haben aber noch ein bemerkens- 


1) Die Muskeln I. II. III. IV. wie in Tab. VI. und VII. 


678 


wertes Ergebnis geliefert, da sie die Ursache der Meinungsver- 
schiedenheit zwischen Hittorff auf der einen und Bein, Rie- 
senfeld und Nernst auf der anderen Seite erklären. Unsere 
Versuche beweisen nämlich, daß Gelatine so wenig die Uber- 
führungszahl der Salze beeinflußt, daß Hittorff!) vollkommen be- 
rechtigt war, auf Grund seiner Versuche, wo er CdCl, elektroly- 
sierte, zu behaupten, daß die Überführungszablen in der Gelatine 
unverändert bleiben. Diese Behauptung trifft aber in bezug auf an- 
dere Kolloide und Membranen nicht zu; wir haben nämlich eine 
Reihe von Beispielen gesehen, wo derartige Veränderungen ganz 
bestimmt auftreten, so daß in dieser Hinsicht Bein und Riesen- 
feld vollkommen Recht haben. 

Wir haben oben bemerkt, daß die Versuche mit NaCl und KCl 
von uns zur Erklärung der Wirkung der als Diaphragmen ein- 
geschalteten Muskeln vorgenommen wurden. Die zwei zuletzt an- 
geführten Tabellen, wo neben anderen Diaphragmen auch Muskeln 
zur Anwendung gelangten. beweisen, daß lebende Muskeln zweifel- 
los einen Einfluß auf die Überführungszahl ausüben, daß aber 
wenigstens bei Anwendung von NaCl die Veränderungen der Über- 
führungszahl nicht ausschließlich durch der als Diaphragma ein- 
geschalteten Muskel bedingt sind, sondern auch von der elektromo- 
torischen Kraft des Muskelstromes abhängen. Als wir diese Ver- 
suchsreihe in Angriff nahmen, hatten wir tatsächlich Bedenken, ob 
es denn angesichts des bestehenden Eigenstromes des Muskels über- 
haupt möglich sei, die Überführungszahl im Muskel zu bestimmen. 
Natürlich muß sich der Eigenstrom des Muskels algebraisch mit 
dem Strom der Kette summieren und dessen elektromotorische Kraft 
E verändern; da wir aber auf Grund unmittelbarer Beobach- 
tung von E n berechnen, so muß folglich dieser Wert durch 
zwei Faktoren bedingt sein. und zwar durch den Muskel als Dia- 
phragma und durch den Muskel als Stromquelle Wenn es sich 
also allein um Berechnung von » handelte, dann könnten wir nach 
Einschaltung des Muskels als Diaphragma nur diejenigen Fälle 
berücksichtigen, wo er von Eigenstrom frei wäre. Zum Nachweis 
des eventuellen Vorhandenseins des Eigenstromes diente die Lage 
des Muskels im Apparat, indem dieser Muskel zunächst mit der 
einen Seite, beziehungsweise mit dem einen Ende zur sehwächeren 


1) Hittorff, Annalen der Physik, Bd. 9, S. 243. 





679 


Lösung, mit dem anderen zur stärkeren gerichtet war, indem aber 
nachträglich derselbe Muskel oder eventuell ein neues Präparat 
derselben Art in entgegengesetzter Richtung eingeschaltet wurde, 
Je größer die Stärke des Eigenstroms des Muskels war, desto größer 
war der Unterschied der elektromotorischen Kraft einer und der- 
selben Kette bei entgegengesetzter Lagerung des Muskels. 

Aus den oben angeführten Tabellen ersehen wir, daß bei An- 
wendung von KCl die durch den Eigenstrom des Muskels verur- 
sachten Unterschiede sowohl bei Einschaltung der Bauch- wie der 
Oberschenkelmuskeln außerordentlich gering sind, so daß die be- 
rechnete Überführungszahl mit der tatsächlichen als annähernd über- 
einstimmend betrachtet werden darf. 

Deswegen ergibt auch die in Tab. VII auf Grund dieser Kon- 
stante ausgeführte Berechnung von » in hohem Grade übereinstim- 
mende Werte. Anders aber verhält sich ein in NaCi eingeschalteter 
Muskel; hier werden die Unterschiede bei differenter Einschaltung 
sowohl eines und desselben wie verschiedener Präparate beträcht- 
lich größer. 

Es erschien uns aber in hohem Grade auffallend, daß nach Ein- 
führung der auf Grund dieser Versuche (Tab. VIII) berechneten 
Konstante » in die Gleichung der Flüssigkeitskette (Tab. IX) und 
nach Vergleichung des theoretisch abgeleiteten # mit dem unmit- 
telbar beobachteten sich nur ganz geringe Unterschiede zwi- 
schen den für die Muskeln erhaltenen Werten ergeben; mitunter 
waren die Unterschiede sogar geringer als bei andereren Dia- 
phragmen. Angesichts der Tatsache, daß n in Tab. VIII eigentlich 
keine Überführungszahl der Ionen darstellt, schen wir uns genötigt, 
eine Erklärung in der Nernst' schen Formel selbst zu suchen. In 
der Tat beweist die weiter unten ausgeführte, sehr einfache Analyse 
des Falles, wo die Membran selbst die Quelle eines mehr oder we- 
niger starken Stromes bildet, daß die Übereinstimmung der Ergeb- 
nisse ganz selbstverstindlieh ist. 

Gesetzt, wir hätten mit einer Wasserstoffkette zu tun, z. B. 
H, | HCl 1/4, | Blase | HCl 1/,,,| H2, dann wird wie bekannt: 


E=2nRTin 2 : 
Ci 
wenn 


RTI, = = C, 


Cy 


680 


dann wird 


Das auf diese Weise berechnete » führen wir in die Gleichung der 
Flüssigkeitskette KC11/,, | KCl!/o0 | HOl 1/;9, | Blase | HCl 1/4, | KCl 4/4, 


ein, wo im Sprung (3) 
) ^ 
e= (1—2 n) RTlog —; 
l ) 6 
wir bekommen somit 
pe (1-50): C)=—C+ EH. 
Somit wird in der Fliissigkeitskette 
7 7 UH 
H=e— ETC, 
indem e, die elektromotorische Kraft des ersten Sprunges bezeichnet. 
Nehmen wir an, daß in der Wasserstoffkette zwischen HOl'/, 
und HCl!/,, ein Diaphragma eingeschaltet wurde, welche eine eigene 
elektromotorische Kraft K besitzt. Dann wird EL, —=2n,0--K, wo 


nı, wie oben angenommen wurde, die Uberführungszahl vom Anion 
im Diaphragma bezeichnet; wir sehen dann, daß 





Wenn wir dasselbe Diaphragma mit derselben elektromotori- 
schen Kraft in die Flüssigkeitskette zwischen HOI (aa und HCI!/,o 
einschalten und denselben Wert n, in die Gleichung der Kette ein- 
führen, ergibt sich für den Potentialsprung (3), daß 
Bk: (1 Dn SE, ES Md CE Bd ci +2K C_. 

20 20 
——C-- k. 

Somit wird die elektromotorisehe Kraft der Flüssigkeitskette 
mit eingeschaltetem Diaphragma E =e, — E, + C. 

Also sehen wir, daß nach Einführung von n das endgültige Er- 
gebnis vollkommen von der eigenen elektromotorischen Kraft vom 
Diaphragma unabhängig ist. 





Wenn wir als Diaphragma einen Muskel benutzen, müssen wir 
noch mit dem Übelstand rechnen, daß er nicht nur eine elektro- 
motorische Kraft entweder besitzt oder nicht, sondern auch daß 
diese Kraft nie konstant bleiben kann und in jeder Kette einen 


— B di emm 


681 


anderen Wert hat; außerdem können auch im Laufe des Versuches 
Veränderungen an der Oberfläche des Muskels durch Imbibition 
erzeugt werden, da er mit zwei Lösungen von ungleicher Konzen- 
tration in Berührung kommt. Wenn wir nun, um die elektromoto- 
rische Kraft des Muskels selbst zu bestimmen, in einer und der- 
selben Kette dessen Orientierung in bezug auf die beiden Lösungen 
verändern, dann haben wir nachher wegen der Veränderung der 
Muskeloberfläche mit ‘einer ganz neuen elektromotorischen Kraft zu 
tun. Um diese Fehlerquelle zu umgehen, haben wir sie in zwei Ket- 
ten in entgegengesetztem Sinne eingeschaltet; so entnahmen wir 
z. B. die beiden Hälften der Bauchmuskulatur bei einem und demsel- 
ben Frosch und schalteten zunächst die eine Hälfte in die Kette mit 
der Innenfläche gegen die schwächere Lösung ein und später die 
andere Hälfte mit derselben Fläche gegen die stärkere Lösung. 
Nachdem die elektromutorische Kraft in der einen Kette bestimmt 
worden war, wurde der Muskel mit demselben Röhrchen in die an- 
dere Kette vom Typus II übertragen. Ähnlich verfuhren wir mit 
der Oberschenkelmuskulatur: es wurde an einem Präparat das un- 
versehrte untere Ende, d. h. das Knieende, in das Röhrchen ein- 
geführt und gegen die stärkere Lösung gerichtet und der Quer- 
schnitt mit der schwächeren Lösung in Verbindung gebracht, wäh- 
rend das andere Präparat in entgegengesetzter Richtung eingeschaltet 
wurde. Auf ähnliche Weise wurde auch der m. sartorius behandelt. 
Außer den Unterschieden zwischen den einzelnen Muskeln, die auf 
Präparierung selbst zurückgeführt werden müssen, oder von irgend 
welchen individuellen Eigentümlichkeiten abhängig waren, konnte noch 
die Art der Befestigung im Apparat eine Fehlerquelle bilden. Da- 
mit sich die beiden Lösungen nieht unmittelbar gegenseitig berüh- 
ren, war eine Quetschung der Muskel zwischen den Kautschuk- 
plittchen mehr oder weniger unvermeidlich, was selbstverständlich 
eine Läsion erzeugte, die in zwei zu vergleichenden Fällen ver- 
schieden sein konnte. Abgesehen von allen diesen Schwierigkeiten 
war in vielen Versuchen der Eigenstrom des Muskels verhältnis- 
mäßig sehr schwach, so daß in solchen Fällen die gefundene Über- 
führungszahl als dem Muskel angehörend angesehen werden konnte. 
Um die durch den Eigenstrom des Muskels verursachte Fehler- 
quelle auf das Minimum zu reduzieren, haben wir noch eine Ver- 
suchsreihe ausschließlich am m. sartorius unternommen, welcher in 
die Kette einmal genau in der Quer-, das andere Mal ebenso genau 


682 


in der Längsriehtung eingeschaltet wurde. Zu diesem Zwecke sahen 
wir uns genötigt, unsere Röhrchen zu modifizieren. Die Öffnungen 
in den Kautschukplatten wurden bis auf Zi: mm reduziert, damit 
sie der in der Querrichtung anliegende m. sartorius vollkommen ver- 
schließen könne. Für die Bestimmung der Überführungszahl an dem 
in der Längsrichtung eingeschalteten m. sartorius wurde ein neuer 
Apparat konstruiert, der in Fig. 6 abgebildet ist. Der in seiner gan- 
zen Ausdehnung frei präparierte Muskel wurde an die Öffnungen 





2 A 


Fig. 6. 


a und b gelegt und mit Schraubenklemmen mit Hilfe einer Glas- 
platte derartig festgedriickt, daß die in den Röhrchen A und B be- 
findliehen Lösungen die Oberfliche des Muskels berührten und 
miteinander nur unter Vermittelung der in der Lüngsrichtung ver- 
laufenden Muskelfasern verbunden waren. 

Die Ergebnisse dieser Versuchsreihe sind in Tabelle X und XI 


zusammengestellt. 


TABELLE X. 


E n 
Hg | Hg, Cl, | Na Clt/,, | Na Oli | Hg; Cl; | Hg 0:0425 Volt 0:617 
— Muskel I!) . © 00570 > 0481 
os qp da DE mah - adi BO UNE 
ET rain. Ai Ba COMES 

Et eecht uni me e DO A. a 


Dieselben Muskeln wurden mit denselben Lisungen in der 
asymmetrischen Kette untersucht. // ist unmittelbar bestimmt und 


1) I—IV wie in der Tabelle IX. 


683: 


auf Grund der in Tab. X gefundenen Werte von n berechnet. 
worden. 


TABELLE XI. 
E get. E ber. 
NaCl 1/4, | Na Cl 4/199 | Na Cl 1/ O0 Volt 0 
+ Muskel Ebro: | 00084. >; \ 00130 
SC ANE 0.00094, => -O0150 
-—— S iii. -0:0585 0:0529 
— NA i. — 00155 a. inis 0:0431 


In Tabellen X und XI gibt der Bauchmuskel in der Kalomel- 
kette eine elektromotorische Kraft, deren Werte für die beiden 
Orientierungen des Muskels relativ wenig voneinander differieren; 
die Überführungszahlen unterscheiden sich gleichfalls nur unbedeu- 
tend voneinander und die Einführung dieser Größe in die Gleichung 
der asymmetrischen Kette ergibt eine übereinstimmende Abnahme 
des Betrages. Im Gegensatz dazu hat der als Diaphragma einge- 
schaltete Oberschenkel in einer und derselben Kalomelkette sehr 
beträchtliche Unterschiede der elektromotorischen Kraft gegeben, 
die zu ganz unmöglichen Werten von » führten, da sich derselbe 
in der Tabelle IV größer als 1 herausstellte. Da die nach Einfüh- 
rung von n berechneten Werte von Æ mit den direkt beobachteten 
nicht übereinstimmen, so muß angenommen werden, daß hier ein 
prägnanter Fall von im Laufe des Versuches schwankender elek- 
tromotorischer Kraft des Muskels vorlag. 


TABELLE XII. 


E n 
Hg | Hg, Cl, | Na Cl!/;o | Na CHol Hg, Cl, un Hg 003711) Volt 0:617 
F 2) Sartorius . . 0:0476 „0:09 
II " Zn 7 0:0428 , 0529 
III 5 eh gë viet OOH , 0260. 
H 5 PAS DOS „ 0465 
zerriebene eet Et . . 00665 „ 0314 
dieselbe gekocht . . . . . 00520  , 0463 


1) Der geringe Betrag von E ist in diesem Falle dadurch verursacht worden, 
daß während des Versuches in die 1/100% Elektrodenflüssigkeit ein wenig von der 
4/499” Na Cl eingedrungen war. 

2) I Sartorius der Quere nach eingeschaltet. 

II Sartorius der Länge nach eingeschaltet. 
III Sartorius-Querschnitt gegen die schwächere Lösung gerichtet. 
IV Sartorius-Querschnitt gegen die stärkere Lösung gerichtet. 


684 


Dieselben Muskeln in derselben Weise in der asymmetrischen 
Kette eingeschaltet: 


TABELLE XIII. 


E gef. E ber. 

NaCl 4/,9 | NaCl!/,oo | Na Clio gru olf d 
— Muskeln n t0 797 6000561" 22 70:0 100 
EE wee pops 600046" En 0:0035 
LEE u cona 0000200077 00370 
IV Up Jo SEO 001207 ME 
Muskelmasse . . 00280 „ 00266 
dieselbe gekocht . 00155 „ 00151. 


In den Versuchen XII und XIII wurde statt des Oberschen- 
kels der m. sartorius benutzt. Die Präparation wurde folgender- 
maßen ausgeführt: Nachdem die untere Sehne präpariert worden 
war, wurde sie mit einem Faden gefaßt, an dem der ganze Muskel 
vorsichtig gehoben und freigelegt wurde; dann wurde er ungefähr 
in der Mitte quer durchgeschnitten und mit Hilfe des Fadens in 
eines der beiden Röhrchen — a (Fig. 2) eingeführt; die Öffnung 
des Röhrchens betrug 2—2!/, mm, so daß der Muskel sie fast voll- 
ständig verschließen konnte, indem er mit seinem Querschnitt hin- 
einragte. Der aus dem Röhrenen am Faden herausgezogene Mus- 
kelabschnitt wurde auf eine Kautschukplatte gelegt, und mit einer 
anderen Kautschukplatte bedeckt, wobei wir uns nach Möglichkeit 
bemühten, mit der Muskelsehne die Öffnung des zweiten Röhrchens 
zu verschließen. Dann wurden die beiden Kautschukplatten mit 
Schraubenklemmen aneinander gedrückt und die Röhrehen mit Lö- 
sungen gefüllt: einmal kam an den Querschnitt des Muskels die 
stärkere Lösung, das andere Mal die schwächere. Diese Orientie- 
rung des Muskels erlaubte uns die Größe des Ruhestromes zu be- 
stimmen. In den Tabellen sind diese Präparate mit Nr. III und IV 
bezeichnet. 

Schließlich wurden dieselben Versuche an Flüssigkeitsketten 
wiederholt. 








TABELLE XIV. 
E n 
Hg | Hg, Cl, |NaClt/,, | NaCl*/19) | Hg; OL | Hg ` 0:0390 Volt 0:617 


Muskel I1) . . 00450 , 0558 
EI . 00456 _  ODB2 
Maus re. |. 00645 0308 

IM a 0:0440 0568 


a ORS, N Ne 4 

n aus der Tab. XIV ist in die Gleichung der Flüssigkeitskette 
eingeführt, in welcher dieselben Muskeln in dieselben Lösungen 
eingeschaltet waren. 


TABELLE XV. 


E gef. E ber. 

KN0,1/,, KNO; 1/00 NaCl1/ 00 NaCL/16KNO31/10-0-0110 V +0131 
HA Muskel I. . . . . 00080,  0-0086 
zn dE 011*09:0085*: 5 10:0078 
SR SE 
in AT Vak A RE 00 TO 0:0096 


Die aus Tab. XV ersichtliche Übereinstimmung sowie die re- 
lativ geringen Unterschiede für die Muskeln sub I, II und IV 
der Tabelle XIV sprechen dafür, daß die Überführungszahl we- 
nigstens für die Nr. I, II und IV sehr wenig von ihrem tatsäch- 
lichen Betrag für die Muskelsubstanz differieren muß. 

Es wurde noch eine Versuchsreihe ausgeführt, wo die Über- 
führungszahl unter Anwendung von NaCl einerseits an einem le- 
benden. andererseits an einem durch höhere Temperatur (zirka 55°) 
erstarrten Muskel verglichen wurde. 


TABELLE XVI. 
E n 


Hg | Hg, Cl, | NaCl4/,,| Na Cl4/,9)|Hg,Cl,|Hg 00385 Volt 0:617 
MRC) A UIN 1-"gopepe EES 


derselbe, gekocht 7.2... . T0 06I8" 20/386 
Dt begleitet 0051477, 20.190 
derselbe zekoeht. 9. . .-.0:0002 "5 707401 


n wurde in die Gleichung der Flüssigkeitskette eingeführt. 


1) I, IL, III, IV wie in Tabelle XII. 
1) Wie in Tab. XII. 


686 


TABELLE XVII. 


E gef. E ber. 

KOL: | KC11/,50 | NaCl4/,99 | NaCl!/ıo | KCl2/,, 00086 Volt 0-0108 
I. Muskel mi 29 2st . U0050 2 2900025 

derselbe gekocht . . . . 00130 , 00128 

Ty Muskel €- 9 9. (00096 tee taba 

derselbe gekocht . . . . 00120 , 00102 


Aus den Tabellen XVI und XVII ersehen wir, daß tatsächlich 
die größte Übereinstimmung sowohl in der Überführungszahl der 
Ionen wie in den beobachteten und berechneten Werten von E an 
dem gekochten Muskel auftreten. in welchem die Entstehungsbedin- 
gungen der Eigenströme auf das Minimum reduziert sind. 

Nach der bis jetzt allgemein angenommenen Theorie von Her- 
mann über die Ströme in lebenden Geweben soll die Läsion des 
Muskels oder der Nerven sowie überhaupt jedes anderen Gewebes 
das ursächliche Moment darstellen, welches den Potentialunterschied 
zwischen der unversehrten und der lädierten Stelle erzeugt, wobei 
sich die letztere stets durch ein viel niedrigeres Potential auszeich- 
net. Die Ursache dieser Potentialabnahme soll bekanntlich nach 
Hermann das Absterben des Gewebes bilden. Zwar findet sich 
in der langen Reihe von Aufsätzen Hermanns kein einziger, wo 
es der Verfasser unternommen hätte zu erklären, oder wenigstens 
in Gestalt einer Hypothese darzustellen, warum der vom Muskel 
oder vom Nerv abgeleitete Strom in der für ihn charakteristischen 
Richtung fließt, trotzdem müssen wir annehmen, daß nach Her- 
mann der am Querschnitt sich vollziehende Absterbeprozeß mit 
gewissen chemischen Veränderungen einer Gewebsschicht verbunden 
ist und daß die neu entstandenen chemischen Stoffe eine Flüssig- 
keitskette bilden. Dieser Gedanke wurde bekanntlich von einer 
ganzen Reihe von Forschern angenommen, indem sie sogar die Ent- 
stehung von elektrischen Strömen in den Geweben mit Flüssig- 
keits- oder Konzentrationsketten zu erklären suchen und die Haupt- 
quelle des Stromes in die absterbende Gewebsschicht am Quer- 
schnitt verlegen. Übrigens geht von allen diesen Forschern Tscha- 
gowetz allein so weit, daß er den Ruhestrom und dessen Stärke 
durch die sich an der absterbenden Schicht des Querschnittes ent- 
wickelnde Kohlensäure zu erklären sucht. Aber weder Tschago- 
wetz noch sonst irgend ein anderer Forscher haben Beweise er- 


Lb — 





687 


bracht, warum im Muskel der Ruhestrom vom Querschnitt in der 
Richtung zu der unversehrten Oberfläche fließt. 

Zwar hatten schon die früheren Versuche von Cybulski an 
asymmetrischen Ketten die Vermutung nahegelegt, daß ein Muskel, 
als Diaphragma eingeschaltet, sich den Säuren gegenüber ähnlich 
wie Gelatine verhält; wir haben aber ungeachtet dessen die Mus- 
keln in dieser Beziehnng mit Hilfe von Kalomelketten untersucht. 


TABELLE XVIII. 


E n 
Error Oly HET, | Ol! fing) bes Oly) ae 00950 Volt 0172 
Sartorius UE ee one RE 10:512 
derselbe gekocht . . . 00503 „ 0:561 
Sartorius in der ae INT 
derselbe gekocht. 7. Wee." 00579"), = 0495 


Das Verhalten derselben Muskeln in der Fliissigkeitskette zeigt 
Tabelle XIX. 


TABELLE XIX. 


E beob. E ber. 
KCI1/,5 | KCI1/,,, | HOl1/,, | HC14/,9| KOl/,, — 00370 Volt — 0:0386 
Sartorius 1) . . . .+00070 , -1 0012 
» 2). . . :4-00095 , —+0:0070 
a 3) .. .—00120 , — 00200 
: 4)... 00021. „ — 00010 
TABELLE XX. 
E n 
Hg. Hg, CL | HC11/, | HClYYıo | Hg, CL | Hg 00960 Volt 0:172 
a) Bauchmuskulatur!) . . . . 00540 , 0535 
b) o Dental 35:40:0620, » 500486 
c) Sartorius in der Längsrichtung 00600 , 0431 
dderselbe gekocht. 3:2)... 0:0560: ,.0:5L7 
ON Sartoriusnquers on alle la. 5520:0060: 10500451 
f) derselbe gekocht . . . . . 00620 , 0466 


1) Mit der äußeren Fläche gegen die schwächere Lösung gerichtet. 
2) Mit der inneren Fläche gegen die schwächere Lösung gerichtet, gekocht. 


Bulletin III. Avril. 18 


: TABELLE XXI. 


E beob. E ber. 

KCl1/,, | KCl1/,,, | HOl1/,0, er — 0:0372 Volt — 0:0386 
Muskel a . . .--00100 , + 0-0030 

> b... .--00020 , — 0:0042 

s qe . +0:0010 , — 00022 

d M . + 0:0050 , --0:0022 

s €. . . .—00050 , — 00083 

FLO 0000 CD TS 


Aus den letzten 4 Tabellen ersehen wir, daß der Muskel die 
Überführungszahl ähnlich wie die Gelatine verändert, indem er die 
Wanderungsgeschwindigkeit des Kation herabsetzt. Diese Herab- 
setzung äußert sich, wie dies die in Tab. XIX und XXI angege- 
benen Werte der beobachteten elektromotorischen Kraft zeigen, auf 
diese Weise, daß der eingeschaltete Muskel die Stromrichtung der 
Flüssigkeitskette umkehrt. Das bedeutet, daß im Muskel die Wan- 
derungsgeschwindigkeit des Chlorion größer ist als die Wande- 
rungsgeschwindigkeit des Wasserstoffion. Würde nun der Ruhestrom 
des Muskels durch fortschreitende Ansäuerung der absterbenden 
Muskelschicht erzeugt und wäre an der Stromerzeugung irgend- 
welche Säure beteiligt, dann müßte wegen der geringeren Wan- 
derungsgeschwindigkeit des Wasserstoffion im unveränderten Mus- 
kel, d. h. in der Richtung vom Quer- zum Längsschnitt im Vergleich 
mit der Wanderungsgeschwindigkeit in der Elektrode, beziehungs- 
weise in der den Querschnitt umspülenden Flüssigkeit, die letztere 
eine positive Ladung aufweisen; es müßte also der Querschnitt im- 
mer positiv elektrisch sein; was aber in Wirklichkeit nicht statt- 
findet. Wir sehen also, daß die Untersuchung der Wanderungs- 
geschwindigkeit der Ionen in den eingeschalteten Diaphragmen uns 
vollkommen zu der Behauptung berechtigt, daf) die saure Reaktion 
vom Muskel. oder Nervenquerschnitt keine Quelle des Ruhestromes 
sein kann, und daß die elektromotorische Kraft an einer anderen 
Stelle als am Querschnitt oder am Orte der Gewebsläsion zu su- 
chen ist. 

Angesichts unserer Versuche scheint auch die Annahme von 
Bernstein unrichtig zu sein, daß die Wanderungsgeschwindig- 
keit des Anion im Muskel = 0 ist, trotzdem er, auf dieser An- 
nahme fufend, die Muskelstróme als Konzentrationsstróme betrach- 
tet und in einer Reihe von Versuchen und Berechnungen zu einer 





689 


gewissen Übereinstimmung gelangt 1). Wir sehen nämlich, daß betreffs 
der Säuren nicht die Wanderungsgeschwindigkeit des Anions, son- 
dern die des Kations eine Abnahme zeigt. 

In neutralen Salzen haben wir eine herabgesetzte Wanderungs- 
geschwindigkeit des Anions beobachtet. aber der dadurch erzeugte 
Unterschied ist sehr gering, wie wir aus den letzten Tabellen ersehen. 

Unsere Versuche weisen noch darauf hin, daß die Behauptung 
von Brünings, als ob in seinen diosmotischen Ketten, die nach 
unserer Ansicht gewöhnliche asymmetrische Ketten sind, die elek- 
tromotorische Kraft von der Konzentration unabhängig sei?), der 
Wirklichkeit vollkommen widerspricht. Was endlich Tschago- 
wetz betrifft, welcher in seinem Buche?) in einer längeren Aus- 
einandersetzung den Beweis zu erbringen sucht, daß die Einschal- 
tung von beliebigen Diaphragmen in allen Elektrolyten eine Herab- 
setzung des Potentialunterschiedes erzeugt, so müssen wir diese 
Behauptung in jeder Hinsicht als unrichtig bezeichnen. 





32. Stratygrafia wapienia weglowego w okregu krakow- 
skim. — Stratigraphie des Kohlenkalks in der Umge- 
bung ‘von Krakau. Mémoire de M. JAN JAROSZ, présenté 
par M. Lad. Szajnocha m. c. 

(Planches XI et XII). 


1. Lage. 


Der Raum, auf dem sieh in der Umgebung von Krakau der 
Kohlenkalk nachweisen läßt, liegt nördlich vom Dorfe Rudawa 
und Krzeszowice (an der Bahnlinie Krakau-Trzebinia) und umfaßt 
beinahe 17 km?. Östlich vom Eliaszówka-Tal bilden das Hangende 
derselben die Jura- und westlich die Trias-Formationen. Kohlenkalk 
dagegen ist nur an den Abhängen der sich im Bereiche seiner 
Verbreitung befindenden Bachtäler, u.zw. des Szklarka-, Raclawka-. 


1) „Wir dürfen es daher als sehr wahrscheinlich betrachten, daß der Muskel- 
strom ein Konzentrationsstrom ist und daß seine Kraft annähernd durch die Formel 


2v c ; - Z 
JE — . RTln + ausgedrückt wird“. Bernstein a. a O., S. 541. 


n + v CG 
2) Pflügers Archiv, Bd. 117, 8. 459, 1907. 
Beis er Os, tS 240 





18* 


690 


Eliaszówka- und Czernka-Baches, wie auch im Miekinia- und Ka- 
mienice-Tale aufgeschlossen worden. 


2. Geschichtliches. 


Als erster, welcher das Alter des Kohlenkalks in der Gegend 
von Krzeszowice bestimmte, ist J. B. Pusch!!) zu nennen. Mit 
diesem Kohlenkalk vereinigte er aber die devonischen Kalkschich- 
ten der Marmorbrüche von Debnik. 

In den Erläuterungen zu Hoheneggers Karte 2) zählt Fal- 
laux aus dem Krakauer Kohlenkalk 46 schon von andersher be- 
kannte Versteinerungsarten auf und spricht von 18 „neuen“. Aus 
dieser Sammlung war Römer imstande, im Jahre 1870 nur 3 
Arten bestimmt zu bezeichnen. 

Römer?) gab aus unserem Kohlenkalk 14 Versteinerungen an, 
deren größten Teil er an der Grenze von Königreich-Polen im Ra- 
clawka-Tale im Steinbruche vom Jahre 1865 gefunden hatte. In 
seinem Werke sagt er auf Seite 60: „Auf der Höhe zwischen 
den beiden Tälern (Eliaszówka- und Raclawka-Tal) treten die 
durch die Marmorbrüche von Debnik aufgeschlossenen devoni- 
schen Kalkschichten hervor. Im großen und ganzen sind wahr- 
scheinlich die Kohlenkalkschiehten mantelfürmig um diese devoni- 
sche Erhebung gelagert. Dieses im einzelnen nachzuweisen, genügen 
jedoch die vorhandenen Aufschlüsse nicht“. 

Die Tietze’sche Karte?) und die Erläuterungen 5) zu derselben 
sind hinsichtlich der Verbreitung des Kohlenkalks ungenau. Man 
kann aus den späteren Publikationen von Zareczny *) beweisen, 
daß die Verbreitung des Kohlenkalks überhaupt zu weit bezeichnet 
ist. Die Zugehörigkeit des Kohlenkalks vom Kamienice-Tale zum 


1) J. B. Pusch: Geognost. Beschreib. v. Polen. Stuttgart 1836. I. TI. S. 
142—149. 

2) Geognost. Karte des ehemal. Gebietes von Krakau u. s. w. von weil. 
L. Hohenegger, zusammengestellt durch Cornelius Fallaux; Wien 1866; 
(Erläuterungen zu der Karte). 

8) Ferd. Roemer: Geologie von Oberschlesien. Breslau 1870. S. 59. 

^) Geolog. Karte der Umgebung von Krakau von Dr. E. Tietze. Wien 1888. 

5) Die gnognost. Verhältnisse der Gegend von Krakau v. Dr. E. Tietze. 
Wien 1888. 

6) St. Zareczny: Atlas Galicyi III. Kraków 1894. S. 12. 


SS o ssl ZZ 





691 


Karbonsystem hält Tietze ohne Angabe paliontologischer Gründe 
für möglich. 

Die erste eingehendere Untersuchung rührt von Zareezny!) 
vom Jahre 1890 her, und eine Zusammenfassung der Resultate 
seiner Arbeit bildet der Abschnitt über den Kohlenkalk in den 
Erläuterungen zu seiner geologischen Karte der krakauer Gegend. 
Das Werk von Zareczny gibt eine genaue Beschreibung unseres 
Kohlenkalks in orographischer, petrographischer und paläontologi- 
scher Hinsicht, ohne sich mit der stratigraphischen Einteilung nä- 
her zu befassen. Zareczny führt 59 Versteinerungsarten auf 
(unter diesen 33 Brachiopoden), von denen allerdings einige irrtüm- 
lich als spezifisch bestimmt sind, so daß aus diesem Grunde die 
stratigraphische Einteilung unseres Kohlenkalks in Horizonte, wel- 
che wir sogar in Handbüchern ?) finden, nicht mit der Wirklich- 
keit übereinstimmt. 

An meinen Untersuchungen habe ich in dem geologischen In- 
stitut der Jagellonischen Universität unter Leitung der Professoren 
WI. Szajnocha, J. Grzybowski und des Dr. K. Wójcik 
gearbeitet; den genannten Herren spreche ich hier meinen besten 


Dank aus. 


Aufschlüsse. 


1. Marmorbruch an der Grenze von Königreich-Polen im 
Szklarka-Tal (Karte Nr. 1) 

Dunkle oder schwarze Kalksteinbänke (Marmor) mit Hornsteinen. 
Eingelagerte bituminöse Tonschiefer. Oben Krinoidenkalkbank (Pe- 
tit granite). 

Hiervon bestimmte Versteinerungen : 


1. Dielasma sp. vielleicht hastatum Sow. 

2. Athyris Roysii L'Év. 

3. N squamigera De Kon. 

4. d lamellosa L’Ev. 

5. Spirifer tornacensis De Kon. Taf. Fig. 1. u. 2. 


1) St. Zareczny: Studya geologiezne w krakowskim okregu. Spraw. kom. 
fizyogr. Akad. Umiej. w Krakowie. T. XXV. 1890. 
2) A. Lapparent: Traite de Geologie. B. II. Fünfte Auflage. Paris 1906, 
5S. 940. 
F. Frech: Lethaea geognostica. I. Teil. B. 1L Stuttgart 1899, Taf. XXI. 


69 


6. 


20. 


2 


E? 


Spirifer striatus Mart. in ver- 


schiedenen Varietäten. 


J cinctus De Kon. = 
Spir. Sowerbyi DeKon. 
Taf. Fig 6. 

E bisulcatus Sow. 

p cuspidatus Mart. 

: subrotundatus M’Coy. 

T Urii Flem. 

s glaber Mart. 

A lineatus Mart. auch 


var. reticulatus Sow. 


. Strophomena analoga Phill. 
. Orthothetes 


Phill. 
auch var. Kellii M’Coy. 


erenistria 


. Dalmanella resupinata Mart. 


" Michelini L'Év. 


. Productus corrugatus M'Coy. 


b semireviculatus 
Mart. auch var. Mar- 
tint Sow. 

7 margaritaceus 


Phill. 


21. 


Productus pustulosus Phill. 
auch var. pyxidiformis 
De Kon. 
mesolobus Phill. 


3. Chonetes Hardrensis Phill. in 


verschiedenen Varie- 
titen. 
Diseina Davreuxiana De Kon. 


D. Lingula Credneri Gein. 
. Euomphalus sp. 

. Chemnitzia sp. 

. Conularia sp. 

. Pecten sp. 

. Griffithides Brongniarti 


Eichw. (Pygidium). 


. Zaphrentis cornu copiae 


M. Ed. e. Haime. 


. Michelinia favosa De Kon. 


‘enestella sp. 


. Ascopora bigemmis Keyserl. 
. Platyerinus laevis Mill. 
. Poteriocrinus erassus Mill. 


Die häufigsten Fossilien sind: Krinoiden. Korallen und Bryo- 
zoen; von den Brachiopoden: Spirifer tornacensis, striatus, Orthothe- 
tes crenistria, Dalmanella Michelini, Productus margaritaceus, Cho- 
netes Hardrensis. 
Ähnliche petrographische Eigenschaften zeigt der Kohlenkalk im 
ganzen Szklarka-Tal. ist aber weniger dunkel, vorwiegend dunkel- 
grau mit rotem Reflex. 
In der Felsenwand an der Forellenzüchterei (Karte Nr. 2) sind 
bisher folgende Versteinerungen gefunden worden: 


1. Spirifer striatus Mart. 
2. Rhynchonella reniformis Sow. 


3. Orthothetes crenistria Phill. 
4. Syringopora sp. 


Stradlina (Karte Nr. 3). 


Unten mehr dunkle, dunkel rotgraue, oben hellere Kalkbinke 
mit eingelagerten Schiefern. 





Aus denselben bestimmte Formen: 


1. Athyris Roysi L'Év. 4. 


693 


P cuspidatus Mart. 


2. Spirifer tornacensis De Kon. 5. Rhynchonella sp. 


Taf. Fig. 5. Textfig. 1. 


. Orthothetes crenistria Phill. 


. Dalmanella Michelini L'Év. 





Fig. 1. Spirifer tornacensis De Kon. 


auch var. attenuatus 


Mart. . 15. 


6 
1 
8. Productus margaritaceus Phill. 
9 


= pustulosus Phill. 
auch var. pyxidifor- 
mis De Kon. 


$ mesolobus Phill. 


. Chonetes Hardrensis Phill. 
. Poteriocrinus crassus Mill. 
3. Spirifer striatus Mart. in ver- 13. 

schiedenen Varietäten, 14. 


Platycrinus laevis Mill. 
Zaphrentis cornu copiae 

M. Ed. e. Haine. 
enestella sp. 


Krinoiden, Korallen, Spirifer striatus, Dalmanella Michelini und 
Chonetes Hardrensis sind die häufigsten Versteinerungen. 


Der von Zareczny sogenannte Roemersmarmorbruch v. J. 1865. 
im Raclawka-Tal (Karte Nr. 4). 


Oben schwarze Schiefer, unten dunkelgraue, mergelige Kalk- 
steinbänke mit Hornsteinen und eingelagerten Schiefern. 
Aus denselben sind folgende Formen bestimmt worden: 


m 


. Dielasma vielleicht hastatum 10. 

Sow. LE 

2. Athyris Roysü L’Ev. 12. 

3 5 lamellosa L’Ev. 13. 
Lies ambigua Sow. 

5. Spirifer tornacensis De Kon. 14. 

Taf. Fig. 3 u. 4. 15. 

6. A striatus Mart. in ver- 16. 


schiedenen Varietäten, 17. 


„auch var. princeps 


M'Ooy. 
SE o euspidatus Mart. 18. 
8. x subrotundatus M’Coy. 
gi d Urii Flem. iS) 


Spirifer glaber Mart. 

5 lineatus Mart. 
Strophomena analoga Phill. 
Orthothetes crenistria Phill. 

auch var. radialis Phill. 
Dalmanella resupinata Mart. 
z Michelini L'Ev. 
Productus corrugatus M’Coy. 
semireticulatus 


7 
Mart. auch var. con- 
cinnus Sow. 

ñ longispinus var. spi- 


nosus Sow. 
i margaritaceus Phill. 


694 


20. Productus pustulosus Phill. 25. Griffithides Brongniarti Eichw. 


auch var. ovalis Phill. (Pygidium). 
und pyxidiformis De 26. 5 seminiferus Phill. 
Kon. (Pygidium). 
21. T spinulosus Sow. 27. Pecten ellipticus Phill. 
var. granulosus Phill. 28. Aviculopecten subelongatus 
22. e mesolobus Phill. M’Coy. 
23. Chonetes Hardrensis Phill. 29. Grammysia sp. 


24. Lingula Credneri Gein. 


Productus pustulosus, margaritaceus und Chonetes Hardrensis sind 
die häufigsten Formen. Gasteropoden: 30. Naticopsis sp. und 31. 
Euomphalus sp.. außer den Bryozoen aus den Gattungen: 32 Fene- 
stella, 33. Ascopora, 34. Glaukonome, von den Krinoiden vor allem: 
35. Poteriocrinus sp. und wenige Einzelkorallen ergänzen das Bild 
der Fauna dieses Ortes. 


Mühlensteinbruch im Ractawka-Tal (Karte Nr. 6). 


Dunkle rotgraue oder schwarzgraue Kalke. 
Aus denselben bestimmte Versteinerungen: 


1. Dielasma hastatum Sow. 6. 5 semireticulatus Mart. 

2. Spirifer cuspidatus Mart. 7 ^ margaritaceus Phill. 

3. a glaber Mart. var. de- 8. e pustulosus Phill. 
corus Phill. 9. 2 mesolobus Phill. 

4. Orthothetes crenistria Phill. 10. Chonetes Hardrensis Phill. 


5. Productus corrugatus M'Coy. 


Außerdem zitiert Zareezny noch von diesem Orte Spirifer 
striatus Mart. 


Steinbruch am Dorfwege im Ractawka-Tal (Karte Nr. 5). 
Helle gelblich- oder bläulich-graue körnige oder dichte Kalk- 
steinbänke, oft rötlich geadert. 
Bisher bestimmte Versteinerungen: 


1. Dielasma hastatum Sow. 6. mus subtilita Hall. 

2. P sacculus Mart. 7. Spirifer integricosta Phill. 

3. Athyris globularis Phill. 8. 5 trigonalis Mart. Taf. 
AE ambigua Sow. Fig. 7. Außer dieser 
Di Ts expansa Phill. Form auch var. latus 





13. 


18 
19 


24 
25 


26 


27. 
28. 


29 


” 


Sehellw. Einige For- 
men könnten auch der 
Art Spir. bisulcatus 
Sow. zugerechnet wer- 
den. 

triangularis Mart. 
convolutus var. rhom- 
boideus Phill. 
subrotundatus M’Coy. 
ovalis Phill. 
planatus Phill. 
Urii Flem. 
glaber Mart. 
lineatus Mart. 
var. ellipticus Phill. 
Oceani D’Orb. 


auch 


. Spiriferina cristata Schloth. 
. Rhynchonella reniformis Sow. 


acuminata Mart. 
auch var. platiloba Sow 
pugnus Mart. 
pleurodon Phill. 
angulata L. 


. Strophomena analoga Phill. 
. Orthothethes crenistriu Phill. 


auch var. senilis Phill. 


. Dalmanella resupinata Mart. 


Michelini L’Ev. 
Keyserlingiana 
De Kon. 


. Productus giganteus Mart.(?) 
30. 


semireticulatus 


J Mart. auch var. Mar- 


tini Sow. 


695 


31. Productus costatus Sow. 
32. 2 longispinus Sow. 
33. à undatus Defr. 


34. 5 Wrightii Dav. 
3D. S aculeatus Mart. 
36. S Youngianus Dav. 
a A pustulosus Phill. 


38. T fimbriatus Sow. 
var. elegans M'Coy. 

39. " punctatus Mart. 

40. A plicatilis Sow. 

41. à sublaevis De Kon. 
Taf. Fig. 8. 

42. t Nystianus De Kon. 

43. A Deshayesianus De 
Kon. 

44. Chonetes(?) comoides Sow. Taf. 
Fig. 12. 

45. 5 papilionacea Phill. 
Taf. Fig. 13. 

46. S Dalmaniona De Kon. 

47. x Kutorgana Semen. 

48. Shumardiana De 


H 


Kon. 

49. Brachymetopus Maccoyi Port- 
lock. (Pygidium). 

50. Griffithides globiceps Phill. 
(Pygidium). 

51. Phillipsia Eichwaldi Fischer(?). 

(Pygidium). 

gemmulifera Phill. 

(Pygidium). 

53. Dechenella sp. Kayser (Gla- 
bella). 


52. ” 


Außerdem Gasteropoden aus den Gattungen: 54. Huomphalus 


55. Bellerophon, 56. Patella, auch ein Bryozoon: Fenestella sp. 


Am häufigsten sind: Spirifer trigonalis, Dalmanella Michelini, 


Productus elegans und semireticulatus. 


696 


Eliaszöwka-Tal. 
Dichte, helle, weiße oder fleischgraue Kalke, unten im Tale 
etwas dunklere. 
Zareezny zählt aus der Schlucht bei Kulenda (Karte Nr. 7) 


1. Productus striatus Fischer und 2. Syringopora sp. auf. 


In den Sammlungen der Krakauer Akademie der Wissenschaf- 
ten befinden sich außerdem: 
3. Spirifer striatus Mart. 5. Productus giganteus Mart. 
4, à lineatus Mart. 6. Chonetes (?) comoides Sow. 
Beim Dorfe Czatkowice fand Römer und später auch Za- 
ręczny: 
1. Productus latissimus Sow. 2. Productus semireticulatus Mart. 
Syringoporen und Krinoiden. 
In den Sammlungen der Krakauer Akademie der Wissenschaf- 
ten befinden sich außerdem: 


3. Productus giganteus Mart. 4. Productus corrugatus M’Coy. 


Petrographisch ähnlich sind auch die Aufschlüsse im Dorfe 
Czatkowice selbst (graue dichte Kalke). Stur fand hier im J. 1870: 


1. Spirifer striatus Mart. (häufig). 2. Productus giganteus Mart. (sel- 
tener) neben anderen 
Brachiopoden. 


Czernka-Tal. 


Oben im Tale (Karte Nr. 9) helle weiße und graue dichte Kalke. 
Aus denselben bestimmte Versteinerungen: 


1. Dalmanella Michelini L'Év. 4. Chonetes papilionacea Phill. 
2. Productus Youngianus Dav. 5. Euomphalus sp. 

3. corrugatus M'Coy. 6. Syringopora sp. 

Taf. Fig. 9. 


” 


Unten im Tale in der „roten Wand“ an der Mühle (Karte Nr. 8) 
unten rotgraue Mergelkalke, oben braune und blutrote Tone und 
dunkelbraune Tonschiefer; an diesen zuletzt rotbraune Kalkbänke 
mit großer Menge von Foraminiferen. 


697 


Bisher gefundene Fossilien: 


1. Dielasma sp. 8. Productus latissimus Sow. Taf. 

2. Athyris ef. globularis Phill. Kor Ji 

3. Spirifer striatus Mart. (nach 9. o semireticulatus Mart. 
Zareezny). 10. 5 puctatus Mart. 

4. 3 lineatus Mart. Linn Jimbriatus Sow. 

5. Strophomena analoga Phill. var. 12. Chonetes comoides Sow. 
distorta Sow. 19. a papilionacea Phill. 

6. Orthotetes crenistria Phill. 14. Naticopsis sp. 

7. Productus giganteus Mart. Taf. 
Fig. 10. 


A. Rzehak zählt außerdem Foraminiferen aus den Gattungen: 
Endothyra, Climacammina, Tetrataxis und Archaediscus auf, St. Za: 
reezny fügt noch: Textularia und Nodosinella hinzu. 

Die häufigsten Fossilien sind Foraminiferen, Productus giganteus 
und latissimus. 


Miekinia-Tal. 
Helle, weißlich-graue Kalke mit großen Produkten (z. B. Pro- 
ductus giganteus Mart.?) und Chonetes papilionacea Phill. 


Kamienice-Tal. 


Helle, weiße, hellgraue, feinkörnige oder dichte (dann graue) 
Kalke. 
Aus den Kalkbänken führt Zareczny an: 


1. Spirifer trigonalis Mart. 4. Cyathophyllum sp. 
2. Productus striatus Fischer (?). 5. Syringopora Sp. 
3. o giganteus Mart. 


Aus der Halde unter den Felsen (Karte Nr. 10) bisher be- 
stimmte Versteinerungen sind: 


1. Dielasma sp. 4. Spirifer duplieicosta Phill. 

2. Spirifer integricosta Phill. 2) glaber Mart. 

3. d trigonalis Mart. Einige — 6. T lineatus Mart. 
Formen könnten auch 7. Rhynchonella reniformis Sow. 
der Art Spir. bisulca- 8. acuminata Mart. 
tus Sow. zugezählt ER l pleurodon Phill. 
werden. 10. Strophomena analoga Phill. 


7 


1 


698 


11. Orthothetes erenistria Phill. 16. Productus aculeatus Mart. 
12. Productus giganteus Mart. Dis 3 Jimbriatus Sow. 
13. - semireticulatus Mart 18. d plicatilis Sow. 

14. £ costatus Sow. 19. ^ sublaevis De Kon. 
Po? - longispinus Sow. 


Korallen aus den Gattungen: 20. Cyatophyllum, 21. Syringopora 
und verschiedene Krinoidenstiele ergänzen das Bild der Fauna 
dieses Ortes. 


Stratigraphische Schlüsse. 


Indem wir unsere Aufschlüsse im Kohlenkalk hinsichtlich der 
Brachiopoden-Fauna betrachten, sehen wir gleich zwei verschiede- 
ne Faunen. Am besten vertreten ist die erste im Marmorbruche 
an der Grenze von Königreich-Polen im Szklarka-Tal, in Stradlina 
und in Roemers Steinbruch, wie auch im Mühlensteinbruch im Ra- 
clawka-Tal, die andere im oberen Teile des Raclawka-Tales an sei- 
nem westlichen Abhange im Steinbruche am Dorfwege, im Tale des 
Eliaszówka- und Czernkabaches, im Miękinia- und Kamienice-Tal. 

Die Aufschlüsse also, welche die erste Fauna enthalten, findet 
man östlich vom Devonrücken, d. h. im Szklarka- und Raclawka- 
Tal, die andere Fauna dagegen findet man westlich vom Devon, 
d. h. im Eliaszówka-, Czernka-, und Miękinia -Bachtal, wie auch 
im Kamienice-Tal, außerdem in einem Aufschlusse am Abhang des 
Raclawka-Tales östlich vom Dorfe Paczółtowice. Über das Verhält- 
nis des hellen Kalkes in diesem Aufschlusse zu den dunklen Kal- 
ken aus Roemers Steinbruch und zum Aufseblusse an der Mühle 
im Raclawka-Tal kann man derzeit nichts Bestimmtes angeben. 
(Den Kontakt dieser heiden Horizonte gelang es mir bis jetzt nicht 
festzustellen). 

Die stratigraphische Stellung des Kohlenkalks am Zbik westlich 
von Lysa Góra ist derzeit auch nicht klar. Wahrscheinlich bildet 
dieser Kalk die untersten Schichten des Kohlenkalks. 

Die Kohlenkalke, welche diese zwei verschiedenen Faunen be- 
herbergen, unterscheiden sich sehr scharf auch in petrographischer 
Hinsicht voneinander. Den Horizont mit der ersten Fauna bilden 
mehr oder weniger dunkle, oft bituminöse, hie und da eine Fülle 
von Hornsteinen enthaltende Kalke. Zwischen den Kohlenkalkbän- 
ken sind dünne Schiehten ebenso dunkler Schiefer eingelagert und 


P x et Ae, 


699 


an einer Stelle (Szklarka-Tal) ist eine für den untersten Horizont 
in Belgien sehr charakteristische dünne Krinoidenkalkbank (petit 
granite) vorhanden. Der die andere Fauna enthaltende Horizont 
besteht größtenteils aus hellen, dichten oder körnigen, weißlich-, 
gelblich- oder blüulieh-grauen, manchmal auch rötlich geaderten, 
diekbankigen Kalken. Bloß an einer Stelle, nämlich in der roten 
Steinwand im Czarna-Tal (die obersten Schichten unseres Kohlen- 
kalks) gibt es andere, nämlich mergelige, rot-graue Kalke, wie auch 
rote, dunkel-braune Tonschiefer und blutrote Tone. 

Zu den bisher gefundenen, den beiden Faunen gemeinsamen 


9 


Arten gehören: 1. Dielasma hastatum. 2. Athyris ambigua. 3. Spiri- 
fer striatus. 4. bisulcatus. 5. subrotundatus. 6. glaber. 7. Urii. 8. line- 
atus. 9 Rhynchonella reniformis. 10. Strophomena analoga. 11. Ortho- 
thetes crenistria. 12. Dalmanella resupinata. 13. Michelini, 14. Pro- 
ductus corrugatus. 15. semireticulatus. 16. longispinus. 17. pustulosus. 

Zu den bloß der ersten Fauna eigenen Formen gehören: 1. Athy- 
ris Royssü. 2. squamigera. 3. lamellosa. 4. Spirifer tornacensis. D. cinc- 
tus. 6. cuspidatus. 7. Productus margaritaceus. 8. spinulosus. ‚9. me- 
solobus. 10. Chonetes Hardrensis. 11. Lingula Credneri. 12. Discina 
Davreuxiana. 

Zu den Arten, welche ausschließlich in der zweiten Fauna auf- 
treten, gehören: 1. Dielasma sacculus. 2. Athyris expansa. 3. globula- 
ris. 4. subtilita. 5. Spirifer duplicicosta. 6. trigonalis. 7. triangularis. 
8. rhomboideus. 9. planatus. 10. ovalis. 11. integricosta. 12. ellipticus. 
13. Oceani. 14. Spiriferina cristata. 15. Rhynchonella acuminata. 
16. pugnus. 17. pleurodon. 18. angulata. 19. Dalmanella Keyserlin- 
giana. 20. Productus striatus (?). 21. giganteus. 22. latissimus 23. co- 
status. 24. undatus. 25. Wrightü. 26. Nystianus. 27. aculeatus. 28. 
Youngianus. 29. fimbriatus. 30. punctatus. 31. Deshayesianus. 32. pli- 
catilis. 33. sublaevis. 34. Chonetes comoides. 35. papilionacea. 36. Dal- 
maniana. 37. Shumardiana. 38. Kutorgana. 

Von den (17) unseren beiden Faunen gemeinsamen Arten treten 
(soweit mir bekannt ist) in beiden belgischen Horizonten (Tour- 
nay und Vise) folgende Arten auf: 1. Dielasma hastatum. 2. Spi- 
rifer bisulcatus. 3. subrotundatus. 4. glaber. 5. lineatus. 6. Stropho- 
mena analoga. 7. Orthothetes crenistria. 8. Dalmanella resupinata. 9. 
Michelini. 10. Productus corrugatus. 11. semireticulatus. 12. longi- 
spinus. 13. pustulosus. 

1. Athyris ambigua und 2. Spirifer striatus sind nur aus Visé, 


700 


1. Spirifer Uri nur aus Tournay bekannt. Das Vorkommen aber 
von 1. Rhynchonella reniformis in einer der oben genannten Örtlich- 
keiten fand ieh nirgends nachgewiesen. 

Von den oben zitierten Arten Athyris ambigua ist auch aus der 
untersten Zone des Kohlenkalks, nämlich aus den Grenzschichten 
zwischen Devon und Karbon in Arpatschai!) bekannt. Spirifer 
striatus in verschiedenen Varietäten ist aus dem belgischen Waul- 
sortien bekannt, welches jetzt allgemein als eine den beiden oben 
genannten belgischen Horizonten entsprechende Korallfazies betrach- 
tet wird, dagegen ist er ganz bestimmt kein charakteristisches Fossil 
für den Horizont von Visé (Productus giganteus) *). Spirifer Uri 
ist eine langdauernde Form, welche sich wahrscheinlich auch noch 
im Perm befindet, bekannt aber ist er ebenso wie Rhynchonella 
reniformis aus dem Horizonte mit Productus giganteus aus dem 
Moskauer Kohlenbecken °). 

Von den der ersten Fauna eigenen Arten sind unserer Fauna 
und der von Tournay folgende gemeinsam: 1. Athyris Royssü. 2. 
squamigera. 3. lamellosa. 4. Spirifer tornacensis. 5. cinctus. 6. cuspi- 
datus. T. Discina Davreuxiana. 

1. Productus margaritaceus. 2. mesolobus. 3. Chonetes Hardrensis 
sind sowohl von Tournay wie auch von Visé bekannt. 

Das Vorkommen von Lingula Credneri in einer der oben ge- 
nannten Ortlichkeiten fand ich nirgends nachgewiesen. 

Nur eine Art, nämlich Productus spinulosus, wird nur von Visé 
zitiert; bei uns ist sie in der Varietät Productus granulosus Phill. 
aus Roemers Steinbruch im Raclawka-Tal bekannt. Unsere Art 
unterscheidet sich ein wenig von derjenigen von Phillips. Die 
Größe des Wirbels wie auch die Wölbung der Stielklappe entspre- 
chen am besten der devonischen, auch aus Oberdevon bekannten 
Form Productus subaculeatus Murch. 31. die Granulation der Klappe 
aber entspricht am richtigsten der karbonischen Form Productus 
granulosus Phill. (Th. Davidson Carb. Brach. Taf. XXXIV, Fig. 20), 


obwohl auch in dieser Hinsicht eine ganze Reihe von Übergängen 


1) F. Frech: Lethaea pal. S. 296. 

?) H. Seupin: Die Spiriferen Deutschl. S. 117. 

3) A. Struve: Über die Schichtenfolge in den Karbonablag. im südl. Teil des 
Mosk. Kohlenbeckens. Mém. d. L'Ac. Imp. d. Sc. de St. Pétersbourg, VII. Serie 
Bd. XXXIV, N. 6, S. 20 und 21. 

4) Th. Davidson: British devonian Brachiopoda, S. 101, Taf. XX, Fig. 1 und 2. 





01 


von dicht aneinander bis zu entfernt stehender Granulation be- 
obachtet werden könnte. Es ist möglich. daß unsere Art eine Uber- 
gangsform vom devonischen Productus subaculeatus Murch. zu der 
karbonischen Form vou Vise Productus granulosus Phill. bildet. 

Indem wir die zweite Fauna unseres Kohlenkalkes betrachten, 
finden wir, daß auf 37 Brachiopodenarten, welche bis jetzt mit vol- 
ler Sieherheit von mir bezeichnet wurden, folgende Formen mit der 
Fauna von Visé gemeinsam sind: 1. Dielasma sacculus. 2. Athyris 
globularis. 3. Spirifer duplicicosta. 4. trigonalis. 5. triangularis. 6. 
rhomboideus. 7. ovalis. 8. elliptieus. 9. Oceani. 10. Rhynchonella acu- 
minata. 11. pugnus. 12. pleurodon. 13. angulata. 14. Dalmanella 
Keyserlingiana. 15. Productus giganteus. 16. latissimus. 17. costatus 
18. undatus. 19: Nystianus. 20. aculeatus. 21. fimbriatus. 22. puncta- 
tus. 23. Deshayesianus. 24. plicatilis. 25. sublaevis. 26. Chonetes como- 
ides. 27. papilionacea. 28. Dalmaniana. Die von Römer und Za- 
reczny aus dem Eliaszöwka-Tal zitierte Art Productus striatus ist 
weder in meinen Sammlungen noch in denen der Krakauer Aka- 
demie der Wissenschaften vorhanden. 

Von den übrigen 9 Arten sind die folgenden: 1. Athyris expansa. 
2. Spirifer planatus. 3. Productus Wrightii. 4. Youngianus. 5. Cho- 
netes Shumardiana. 6. Kutorgana zwar aus keinem der beiden bel- 
gischen Horizonte zitiert, aber die Formen Athyris expansa und 
Productus Youngianus sind aus dem Horizonte mit Productus gigan- 
teus aus dem Moskauer Kohlenbecken !) und samt Spirifer planatus 
‚auch von England ?) bekannt. Productus Wrightii ist aus demselben 
Horizont von Irland und Chonetes Kutorgana von Altwasser in 
Schlesien ?) bekannt. Chonetes Shumardiana wird von De Koninck 
von Kentucky *) in Amerika angegeben. 1. Spirifer integricosta und 
2. Spiriferina cristata sind sowohl von Tournay wie auch von 
Vise bekannt; nur eine einzige Form, nämlich Athyris subtillita 
wird (nach Davidson) nur von Tournay angegeben. 

Aus der obigen Übersicht der Braehiopoden (— die anderen 
Gruppen werden bald nach Beendigung der Bearbeitung erscheinen; 
die Beschreibung beginne ich mit den Trilobiten—) erhellt, daß 
unser Kohlenkalk in faunistischer Hinsicht nicht nur zwei deutlich 


1) A. Struve: Über die Sch. im Mosk. Kohlenbecken, S. 17, 20 u. 30. 
?) Th. Davidson: Br. Carb. Brachiopoda, S. 235—242. : 

3 P. Semenow: Schl. Brachiopoden, S. 351. 

4) L. De Koninck: Monographie u. s. w., S. 192. 


charakterisierte und verschiedene Fannen besitzt, sondern auch daß 
die erste von ihnen der Fauna des unteren Horizontes, also der 
Fauna von Tournay, und die andere der Fauna des oberen Ho- 
rizontes, also derjenigen von Visé. entsprechen. Für den unteren 
Horizont, welcher im allgemeinen weniger Leitfossilien besitzt, ist 
schon die Art Spirifer tornacensis allein bezeichnend. Der obere 
Horizont besitzt bei uns wie auch überall eine ganze Reihe von 
ihm eigenen Versteinerungen und vor allem: Productus gigan- 
teus, latissimus, punctatus, plicatilis, Spirifer duplicicosta, Athyris 
globularis, Rhynchonella pleurodon, Chonetes comoides u. s. w. Eine 
genauere stratigraphische Einteilung bei uns durchzuführen, wäre 
in der Zukunft auch möglich. So sehen wir z. B., daß im Horizonte 
mit Productus giganteus die Aufschlüsse im Czerna-Tal, welche 
Productus latissimus, giganteus und Foraminiferen in großer Fülle 
enthalten, stratigraphisch höher als die Kohlenkalke vom Kamie- 
nice-, Miękinia- und Paczéltowice-Tale (Steinbruch am Dorfwege 
im Raclawka-Tal) sind. Auch im Horizonte mit Spirifer tornacensis 
können gewisse Unterschiede zwischen den Faunen der einzelnen 
Punkte beobachtet werden. Keinesfalls aber eine faunistische Glie- 
derung der einzelnen Schichten in beiden Horizonten, wie man das 
in Rußland oder Belgien getan hat, ist bei uns zur Zeit durch- 
führbar. 

Hinsichtlich der Ausbildungsweise gehören unsere Kohlenkalke 
samt dem ganzen Karbon zur westeuropäischen geologischen Provinz 
und bilden im ganzen nach der Einteilung von Lapparent!) die 
Dinantienserie. Die Schiefer und die Glimmersandsteine ?), welche 
nach Olszewski ihnen aufliegen, können — wie es scheint— ebenso 
derselben Serie von Dinant zugezählt werden, obwohl bis jetzt ihr 
Verhältnis zum Kohlenkalk (was die konkordante oder diskordante 
Lage anbetrifft) nicht genau bestimmt ist, da zur Zeit solche Auf- 
schlüsse, wo sie unmittelbar auf unserem Kohlenkalk lägen. nicht 
bekannt sind. Diese Behauptung findet ihre Begründung in den 
Versteinerungen (Spirifer pinguis und striatus) è), welche man in 


‘) De Lapparent: Traité de Géologie, 5. Aufl., S. 922, 953. 

2) St. Olszewski: Krótki rys wycieczki geol. w W. Ks. Krak. S. 247, 
Kraków 1878. 

3) R. Michael: Über neuere Aufschlüsse unterkarbonischer Schichten am 
Ostrande des oberschlesischen Steinkohlenbeckens. Jahrbuch der Königl. Preuß. 
Geolog. Landesanstalt. 1907. Bd. XXVIII, H. 2, S. 193. 





703 


den Schiefern von Zalas, Tenezynek, Miekinia und in den Sand- 
steinen von Golonög (Phillipsia acuminata und andere) gefunden hat. 

Unsere Kohlenkalke wurden nach ihrer Ablagerung auf dem 
Oberdevon von der horizontalen Lage in der Zeit der Bildung der 
paläozoischen Gebirgszüge in West- und Mittel-Europa emporgeho- 
ben. Das Messen des Fallens (im Szklarka- und Raclawka-Tal NE, 
im Eliaszöwka- und Czernka-Tale SW) bildet einen Beweis, daß 
die Kohlenkalkschichten vom devonischen Debnik-Siewierz-Rücken 
in zwei entgegengesetzten Richtungen als zwei Arme einer ` Anti- 
kline abfallen. Das Wiedererscheinen der Kohlenkalke im Kamie- 
nice-Tal bei Filipowice beweist, daß mit unserem Devonrücken we- 
nigstens noch ein zweiter, aber vielleicht niedrigerer, parallel läuft. 
Eben aus diesem Grunde ist die vortriadische Denudation in 
demselben nicht so weit fortgeschritten, und deshalb finden wir 
hier überall nur den Kohlenkalk des oberen Horizontes (Produetus 
giganteus), während im Szklarka-Tal und am linken Abhang des 
Raclawka-Tales, also in dem ganzen Berge Lubartowska-Göra nur 
der Horizont mit Spirifer tornacensis auftritt und darauf — wie es 
scheint—schon unmittelbur die Schichten des braunen Jura liegen. 

Eine genauere Vergleichung unseres Kohlenkalks mit anderen 
Ausbildungen des unteren Karbon in Europa wird erst nach einer 
gründlichen Bearbeitung seiner reichen Fauna durchführbar sein. 
Jedoch schon jetzt kann man andeuten, daß er an der Grenze zwi- 
schen West-Europa und Süd-Rußland steht. In der Ausbildungs- 
weise finden wir eine Analogie erst in Süd-Belgien und Süd-Eng- 
land, andererseits aber existiert eine unbestreitbare Ähnlichkeit mit 
der Ausbildung in Rußland, vor allem am Donetz, obwohl in der 
Ausbildung unseres Unterkarbon bis jetzt keine Kohlenspuren ge- 
funden worden sind. (Am Donetz enthalten die Schichten C? kla- 
stische Sedimente mit Kohleneinlagerungen "). 

Wichtig ist auch die Tatsache, daß auch der Oberdevon, nämlich 
sein mittlerer Teil (Frasnien und Unter-Famennien), der höchste, 
der bei uns von Gürich am Zbik und Palkowa-Göra aufgefunden 
worden ist, einen ähnlichen Gang der Entwicklung wie in Zentral- 
Rußland und an der Südgrenze von Belgien aufweist ?). „In beiden 


1) Th. Tschernyschew: Guide géologique du VII. Congrés, XVI. S. 6. 

2) G. Gürich: Das Devon von Debnik bei Krakau. Beiträge zur Paläont. 
u. Geolog., Bd XV, 1903, S. 164. 

Bulletin III. Avril. 19 


704 


diesen Gebieten wird der Übergang aus devonischen in karbonische 
Ablagerungen ohne Unterbrechung innerhalb einer flachen See an- 
genommen (Lethaea S. 294. 319)*. Bei uns im Szklarka-Tal und 
am linken Abhange des Raclawka-Tales, wie auch in Paczoltowice 
bei der Mühle, am rechten Abhange des Raclawka-Tales habe ich 
das Auftreten des Horizontes mit Spirifer tornacensis, aber mit 
deutlich karbonischer Fauna nachgewiesen. 

Obige Analogie unseres Oberdevons mit dem Oberdevon Zen- 
tral-Rußlands und Süd-Belgiens und die von Gürich ausgespro- 
chene Behauptung, daß während der Bildung des Oberdevons in 
Debnik keine größeren Schwankungen des Meeres sich vollzogen 
haben und „die Fazieslinie einen verhältnismäßig ruhigen Verlauf 
nimmt“, zwingen mich zu der Behauptung, daß zwischen dem karbo- 
nischen Horizont mit Spirifer tornacensis und dem unteren Famen- 
nien auch der obere Famennien (die Sehichten von Maliwka- 
Murajewnia oder der Kohlenkalk von Etroeungt) am Zbik oder 
nördlich (vielleicht am Nord-Abhang von Palkowa-Göra) zwischen 
Palkowa-Göra und dem Steinbruche an der Mühle in Paezoltowice 
oder irgendwo an der Grenze von Devon und Karbon im Raclawka- 
Tal existiert. 

Diese Behauptung gewinnt an Wahrscheinlichkeit angesichts der 
Versteinerungsfunde Gürichs vom Jahre 19031). Er gibt nämlich 
an aus den Stromatoroporenkalken, eigentlich aus dem „mürben 
Dolomitsandstein*, der im Streichen derselben in der Rokiezany- 
und Zarnöwezany-Sehlucht auftritt, Productus sublaevis (2) und von 
den Spiriferen eine karbonische Form Syringothyris (Spirifer) cuspi- 
data Mart. und eine zum oberdevonischen Spirifer tenticulum (wel- 
cher z. B. in Arpatschai ‘in Armenien für die Grenzschichten von 
Devon zum Karbon bezeichnend ist ?)) nahestehende Form. 

Aus dem oben Gesagten ergibt sich ganz klar das Verhiltnis 
unseres Karbon zu dem Devon. Auf dem unteren, in Palkowa-Göra 
und am Zbik entwickelten Famennien finden wir die Versteinerun- 
gen des oberen Famennien (SE-Abhang von Palkowa-Göra) und 
unmittelbar darauf der Horizont mit Spirifer tornacensis (im Stein- 
bruche an der Mühle in Paezoltowiee); es besteht als» eine Konti- 


') G. Gürich: Eine Stromatoporide aus d. Kohlenkalke Galiziens, Beiträge 
z. Paläont. Wien u. Leipzig, 1905, Bd XVII, S. 1. 
2) F. Frech: Lethaea, S. 295. 








J 


Bulletin 


Jarosz. 


di 


l Académie 


des 


NCW CES 


di 


Cracovie 


1909 





Bl. xO | 





DRUKARNIA UNIWERSYTETU JAGIELLOŃSKIEGO W KRAKOWIE 








Bulletin de l’Académie des Sciences de Cracovie 1909. 





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72722 
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Kartenskizze der Kohlenkalk-A 


J. Jarosz. 





‘Meist nach $ 





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2 


—l—. Fallen und Streichen der Schichten. 


Grenze der Kohlenkalk-Aufschlüsse. 





4244€ Devon-Grenze. 





Zahlen bezeichnen die Fundorte 


von Versteinerungen. 





Krakauer Gebiete. 


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705 


nuität der Sedimente vom Mitteldevon bis zur sudetischen Stufe 
hinauf. 

Wenn wir eine Analogie zwischen unserem Kohlenkalk und 
dem uns am nächsten benachbarten Unterkarbon in Schlesien su- 
chen, fallen uns sofort Faziesunterschiede zwischen diesen beiden 
Entwieklungsarten auf. In Oberschlesien sind die dem Horizonte mit 
Spirifer tornacensis und dem unteren Teile von Productus giganteus 
entsprechende Schichten nicht aufgeschlossen, der Kulm von Leszno 
und Tost dagegen entspricht —wie es scheint — den oberen Schich- 
ten des Horizontes mit Productus giganteus. 

In Niederschlesien finden wir Gneiskonglomerate des Eulenge- 
birges und des Fürstensteiner Grundes von gleichem Alter wie 
unsere Kalke mit Spirifer tornacensis, und auch hierin sollen viel- 
leicht die untersten Schichten des Konlenkalks von Rothwaltersdorf, 
welche eine Mutation des Spirifer tornacensis enthalten, zugeteilt 
werden 4), 

Der Kohlenkalk mit Productus sublaevis von Neudorf bei Silber- 
berg sollte auf Grund der Analogie im Krakauer Gebiete dem 
Horizont mit Productus giganteus zugeteilt werden, da bei uns diese 
Art inmitten einer fiir den Horizont von Visé typischen Fauna 
hervortritt. Ebenso entsprechen die übrigen Schichten von Roth- 


waltersdorf, Altwasser, Falkenberg, Steinkunzendorf, Rudolfswalde, 


also Schiefer, Pflanzengrauwacken, Konglomerate und eingelagerte 
Kohlenkalke von diesen Ortschaften unseren Kohlenkalken mit Pro- 
ductus giganteus. 


Tafelerklärung. 


(Die photographischen Aufnahmen sind mit Apparat des Herrn Prof. H. Hoyer 
von Hrn $. Udziela gemacht worden, wofür ich diesen Herren an dieser Stelle 
meinen besten Dank ausspreche.) 


Fig. 1. Spirifer tornacensis De Kon. Stielklappe aus dem Steinbruche im Szklarka- 
Tal. Meine Sammlung. 

Fig. 2. Spirifer tornacensis De Kon. Dorsalklappe aus demselben Orte. Meine 
Sammlung. 

Fig. 3. Spirifer tornacensis De Kon. Stielklappe aus Roemers Steinbruch im Ra- 
elawka-Tal. Sammlung von Zareczny in der Akad. d. Wissensch. in Krakau. 


1) Lethaea S. 310. 


706 


Fig. 4. Spirifer tornacensis De Kon. Stielklappe (etwas beschädigt). Area und 
Deltidium sichtbar. Sammlung wie Fig. 3. 
Fig. 5. Spirifer tornacensis De Kon. Stielklappe eines jungen Exemplars mit 
sichtbarer innerer Struktur aus Stradlina. Sammlung der Akad. d. Wiss. in 
Krakau. 
Fig. 6. Spirifer cinctus De Kon. — Spir. Sowerbyi De Kon. Stielklappe (etwas 
beschädigt) aus dem Steinbruche an der Grenze von Königreich Polen im 
Szklarka-Tal. Meine Sammlung. 
Fig. 7. Spirifer trigonalis Mart. Dorsalklappe aus dem Steinbruche am Dorfwege 
im Raclawka-Tal. Meine Sammlung, 
Fig. 8. Productus sublaevis De Kon, Stielklappe (etwas beschädigt). Ort und Samm- 
lung wie Fig. 7. 
Fig. 9. Produetus corrugatus M’Coy. Stielklappe aus hellen Kalken im Czernka- 
Tal. Sammlung der Jagell. Univ. in Krakau. 
Fig. 10. Produetus giganteus Mart. Stielklappe (größtenteils Steinkern) mit sicht- 
barer innerer Struktur aus der s.g. roten Steinwand im Czernka-Tal. Samm- 
lung wie Fig. 9. 
Fig. 11. Produetus latissimus J. Sow. Dorsalklappe (etwas beschädigt). Ort wie 
Fig. 10. Sammlung wie Fig. 3. 

g. 12. Chonetes comoides. J. Sow. Stielklappe (stark beschädigt). Ort und Samm- 
lung wie Fig. 7. 

Fig. 13. Chonetes papilionacea Phill. Stielklappe. Ort und Sammlung wie Fig. 7. 


Fi 


~ 


Nakladem Akademii Umiejetnosei. 


Pod redakeya 
Sekretarza Wydziału matem.-przyıod. Władysława Natansona. 


Kraków, 1909. — Drukarnia Uniwersytetu Jagiellońskiego, pod zarządem J. Filipowskiego. 


7 Maja 1909. 





~ BULLETIN INTERNATIONAL | 
DE /L’ACADEMIE DES SCIENCES DE CRACOVIE 
CLASSE DES SCIENCES MATHEMATIQUES ET NATURELLES. 


| DERNIERS MÉMOIRES PARUS. 
(Les titres des Mémoires sont donnés en abrégé). 


A). Mathématiques; Astronomie; Physique, Chimie; 
Minéralogie ; Géologie etc. 


*K, Olszewski. Die Verflüssigung HEAR en OL ee E EE OS 
K: Jablezyñski. Katalyse in heterogenen Systemen . . Mai 1908 

M. Dziurzynski. Umlagerung des a ihydrasophenyla- unter pu 
; Einwirkung von HCl . . . uti ooa LT LS LIEU MET GROS 
J. Lewinski, Dépóts jurassiques pres B. rur Mai 1908 
Z. Klemensiewiez. Antimonchlorür als ionisierendes Tösunkemittel Juin 1908 
K. Jablezynski. Kinetik der Folgereaktionen . . Juill. 1908 
K. Jablezynski. Rührgeschwindigkeit und Rose hönseodchwindigkait Juill. 1908 
K. Kling. ®-, m-, p-Pelylàthylalkohole ^. . ... . . . - . . Juill 1908 
A. Korczyński. Anormale Salze . . . REES 
J. Buraczewski, T. Kozniewski. Does vate a Stryehnins etc Juill. 1908 
F. Kamieński. Microphotographie stéréoscopique . . . . +... Juill 1908 
J. v. Kowalski. Beiträge zur Kenntnis der Luminiszenz . . Oct. 1908 

L. Natanson. Elliptie polarization of light transmitted dagh. an 
absorbing naturally-active medium . . Oct. 1908 

G. G. Wilenko, Z. Motylewski. Wirkung von Wes auf Ste 
— in der Lösung in Amylalkohol A se Nov. 1908 
- L. Gosiewski., Sur la moyenne arithmétique et Ja. loi ds Gauss . Déc. 1908 
St. Loria. Die Dispersion des Acetylens und Methans + . . . . Déc. 1908 
J. Morozewicz. Über Hatchettin von Bonarka bei Krakau . . . Dee. 1908 


W. Lozinski. Mech. Verwitterung d Sandsteine im gemäss. Klima Janv. 1909 
L. Natanson. Elliptic polarization of light transmitted through an 


absorbing naturally-active body. Supplementary Note . . . Janv. 1909 

S. Zaremba. Caleul numérique des fonctions demandées dans le Pro- 
— blème de Dirichlet et le Probléme hydrodynamique . . . . Févr. 1909 
St. ‘Loria. Die Dispersion des Athylens und Âthans . . . . . Févr., 1909 
J. Morozewiez. Gewinnung seltener Erden aus Mariupolit . . . Fevr. 1909 
Br. Radziszewski. Sur les glyoxalines `, . . Févr. 1909 


Z. Jakubowski, St. Niementowski. Säuren de 88- Dichinolyls . Févr. 1909 
L. Bruner, J. Vorbrodt. Einfluß der Lösungsmittel auf die Vertei- 


lung der Isomere . . . : 3 2 4 EE D a LOU ONU 
K. Zorawski. Konforme Eege des Flüchen I we RE 
L. Sawicki. Causses; Skizze eines greisenhaften Karstes . . . . Mars 1909 


* Ce Mémoire se vend aussi séparément. 


N 


UM s. © IN AN e. a À, D Gë bo COMENT, 11.4 OR a CS RS 
| D # dE, PAU ane - ^ x DE N ot ey EE 


B). Sciences biologiques. 


Ed. Janczewski. Anthéres stériles des groseiliers . . . . . . Juil. 


B. Namyslowski. Wawelia regia nov. subfam. gen. sp. . . . . Juill. 
H. Zapalowicz. Revue critique de la flore de la Galicie. XIV . . Juill. 
€. Rouppert. Discomycetum species novae tres . . soya ee Ux. 
P. Wisniewski. Fruchtform bei Zygorhynchus Moelleri Vuill. bic 
M. Siedlecki. Der javanische Flugfrosch (Rhacophorus reinw.) Juill. 


B. Konopacka. Gestaltungsvorgänge d. zentrifugierten AR AS Juill 
H. Wielowieyski. Morphologie und Entwicklungsgeschichte des In- 


sektenovariums. Dritte Mitteilung . . . a tise SE 
K. Bialaszewiez. Wachstumsvorgänge bei EE? Och 
St. Bondzynski, V. Humnicki. Verhalten von Salol und Distearyl- 
salizylglyzerid im Organismus . . TT EE ae E 
W. Gawinski. Ausscheidung von Proteinsäuren im Han [IR vou Nom 
A. W. Jakubski. Stützgewebe des Nervensystems im vorderen und 
hinteren Körperende der Hirudineen etc. . <. Nov. 
St. Kopec. Entwicklung d. Geschlechtscharaktere bei Schmetterlinge Nov. 
R. Minkiewicz. Synchromatisme de Hippolyte varians Leach. . ~ Nov. 
S. Krzemieniewski. Untersuchungen über Azotobacter chroococcum 
Bei A Nov, 
x Niedźwiedzki. Eine neue miozäne ER Osien ES Ee Dee. 
A. Maciesza. Anthracose des poumons et des organes abdominaux Dee. 
A. Maciesza. Angeborene abnorm weite Foramina parietalia . . Dee. 
St. Kozlowski. Verhältnisse von anorganischen Basen zu Säuren 
im normalen Menschenharn . . foc cs ars 
A. Tysowski. Zur Kenntnis des Gehörorganek ah seiner Be£iehuris 
gen zur Schwimmblase bei den Ciupeiden . . . . . . . Janv. 
E. Kiernik. Chilodon hexastichus nov. sp. . . Janv. 


St. Welecki. Einfluf d. Adrenalins auf CO,- und e mer M Janv. 


K. Kostanecki. Einleitung d. künstlichen Parthenogenese bei Aricia Févr. 


W. Friedberg. Gattung Turritella im Miozän von Polen . .. . Févr. 
M. Raciborski. Einige javanische Uredineae . . . . . . . . Févr. 
M. Raciborski. Fossile Pangiumart aus dem Miozän Java's . . .. Févr. 
J. Hirschler. Entwicklung der Keimblätter und-des Darmes bei Ga- 
stroidea viridula leg, (Coleoptera) . . . . . : Ee 
S. Ciechanowski, L. K. Glinski. Fistulae oes. BEN cong. . Mars 
M. Raciborski. Parasitische und epiphytische Pilze Java’s . . . Mars 
L. Chwistek. Variations périodiques des images . . . . . . Mars 


1908 
1908 
1908 
1908 
1908 
1908 
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1908 
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1909 
1909 
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190 
1909 
1909 
1909 


1909 
1909 
1909 . 
1909 ` 


Les livraisons du Bulletin Int. se vendent séparément. Adresser les 
demandes à la Librairie »Spólka Wydawnicza Polska«, Rynek gt., 


Cracovie (Autriche). 





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F BULLETIN. INTERNATIONAL 


DE L’ACADEMIE DES SCIENCES 


DE CRACOVIE. 


‘CLASSE DES SCIENCES MATHEMATIQUES ET NATURELLES. 


ANZEIG ER 


DER 
AKADEMIE DER WISSENSCHAFTEN 


IN KRAKAU. 


En 


~ .MATHEMATISCH - NATURWISSENSCHAFTLICHE KLASSE. 
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\ CRACOVIE 
IMPRIMERIE DE L'UNIVERSITÉ 
j 1909. 





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L'ACADÉMIE DES SCIENCES DE CRACOVIE A | ÉTÉ FONDÉE EN 1873 P 
x S. M. L'EMPEREUR FRANÇOIS JOSEPH I. 


PROTECTEUR DE L'ACADÉMIE: 
S. A. 1. L'ARCHIDUC FRANÇOIS FERDINAND D'AUTRICHE-ESTE 


VICE-PROTECTEUR ` Vaent. 


( PRESIDENT: S. E. M. LE COMTE STANISLAS TARNOWSKI. 


SECRETAIRE GENERAL: M ae ULANO WSKI. 










EXTRAIT DES STATUTS DE L'ACADÉMIE : 2 
(8 2). L'Académie est placée sous l’auguste patronage de Sa Majesté Im- 
périale Royale Apostolique. Le Protecteur et le Vice-Protecteur sont nommés par 
S M. l'Empereur. 
(S 4). L'Académie est divisée en “trois classes: 
a) Classe de Philologie, 
b) Classe d'Histoire et de Philosophie, 
c) Classe des Sciences Mathématiques et Naturelles: 
i& 12). La langue officielle de l'Académie est la langue polonaise. 
= : Pe = - D * 
À N NOM 
Depuis 1885,  Acadéinte publie, en deux-séries, le „Bulletin International“ — 
qui parait tous les mois, sauf en août et septembre. .La premiere série est con- 5 4 
sucrée auc travaux des Classes de Philologie, d’ Histoire et de Philosophie. La se- t 
conde est consacrée aux travaux de la Classe des Sciences Mathématiques et Nava 
turelles. Chaque série contient les procès verbaux des séances ainsi que les résumés, — d 
e en français, en anylais, en allemand ou en latin, des travaux présentés 
à l'Académie. 


Publié par l'Academie 
sous la direction de M. Ladislas Natanson, 
Secrétaire de la Classe des Sciences Mathématiques et Naturelles, 
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Naktadem Akademii Umiejetnosci. d 
Krakow, 1909. — Drukarnia Uniwersytetu Jagiellonskiego pod zarzadem Jözefa Filipowskiego. ` 


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BULLETIN INTERNATIONAL 
DE L'ACADÉMIE DES SCIENCES DE CRACOVIE. 


CLASSE DES SCIENCES MATHÉMATIQUES ET NATURELLES. 








No 5. ivo Mai! 1909. - 





Sommaire: 33. J. KOWALSKI und U. RAPPEL. Entladungs-Potentiale bei Wech- 


selstrom ; Einfluß der Krümmung der Elektroden auf dieselben. 

34. J. DZIERZBICKI und J. KOWALSKI. Über die Phosphoreszenz von or- 
ganischen Substanzen bei niedrigen Temperaturen. 

35. M. STRZELECKA. Über Xylol-Sylfocyanate. 

36. T. KOZNIEWSKI. Jodderivate der Chinaalkaloide. 

37. J. DUNIN-BORKOWSKI und Z. SZYMANOWSKI. Agglutination und 
Hämolyse von roten Blutkörperchen unter dem Einfluß von Salzen schwerer 
Metalle. 

38. ST. WEIGNER. Studien im Gebiete der Cenomanbildungen von Podolien, 
I. Die Fauna der cenomanen Sande von Nizniów. 

39. J. SIEMIRADZKI. Sur la faune dévonienne des environs de Kielce d'aprés 
les collections originales du feu le prof. L. Zejszner. 





Séance du lundi 3 Mai 1909. 


Prestpenck DE M. ED. JANCZEWSKI. 


. 83. O potencyatach wyładowania w przypadku prądu prze- 


miennego i o ich zależności od krzywizny elektrod. — 
Entladungs- Potentiale bei Wechselstrom; Einfluß der 
Krümmung der Elektroden auf dieselben. Mémoire de 
MM. J. KOWALSKI et U. RAPPEL, présenté par M. Lad. Natan- 


son m. t. 
Einleitung. 


Mit den Erscheinungen der disruptiven Entladung, wie auch mit 


- der Messung der entsprechenden Entladungspotentiale haben sich 


manche Physiker beschäftigt. In dem ausgezeichneten Werke von 
J. J. Thomson!) finden wir eine ausführliche Zusammenstellung 
der darauf bezüglichen Arbeiten. Speziell sind sorgfältige Messun- 
gen von Lord Kelvin, Paschen, Baille, Heydweiller, 
Orgler, v. Kowalski, Voigt, Algermissen und C. Müller 


- ausgeführt worden, und zwar alle mit Gleichstrom. Alle bisherigen 


mit Wechselstrom ausgeführten Messungen haben mehr technischen 


= Charakter. vielleicht mit Ausnahme der Arbeiten von C. Stein- 


1) J. J. Thomson: Elektrizitäts-Durchgang in Gasen. 1906. S. 366. u. ff. 
Bulletin IIT. Mai. 1 


708 


metz!). Aber auch diese letzteren können mit den heute vorlie- 
genden Methoden in mancher Hinsicht vollkominener durchgeführt 
werden, und daher schien es uns von Interesse zu sein, die folgende 
Arbeit zu unternehmen. Dabei haben wir uns bemüht. eine Methode 
zu gebrauchen, welche eine möglichst große Genauigkeit gestattet, 
da uns die bisherige (1°/, bis 2°/,) als nicht genügend für die Ver- 
wertung der Messungen für theoretische Folgerungen erschien. 

Im ersten Teile der Arbeit beschreiben wir die Methoden, die 
wir zu diesem Zwecke gebraucht haben, und geben die Resultate 
der direkten Messungen an. Im zweiten Teile werden die erhalte- 
nen Zahlen verwertet, um die von verschiedenen Forschern vor- 
geschlagenen Erklärungen der Abhängigkeit der Entladungspoten- 
tiale von der Krümmung der Elektroden näher zu prüfen. 


I. TEIL, 


Methode und Apparatur. Die Anordnung des Stromkrei- 
ses ergibt sich aus Fig. 1. B bezeichnet eine ;Akkumulatoren- 





Fig. 1. 


Batterie, welche einen sehr konstanten Gleichstrom liefern und 
deren Spannung zwischen 110 und 130 Volt geregelt werden 
kann. M ist ein Gleichstrommotor mit Nebenschlußwickelung und 
entsprechenden Anlaß-Widerständen. Direkt mit dem Motor ist ein 
Einphasen-Wechselstrom-Generator von 3°5 Kw. gekuppelt, welcher 
speziell für diese Messungen von der Comp. él. de Genève kon- 
struiert worden ist. Die Spannungskurve desselben ist beinahe eine 
Sinuskurve, wie man sich davon aus dem aufgenommenen und in 
Fig. 2 reproduzierten Oszillogramm überzeugen kann. 


5) C, Steinmetz: Trans, of Amer. Inst. of El. Eng. Bd. XV, S. 281, 1898. 


709 


Die Klemmen des Generators sind unter Vermittlung eines 
Rheostaten mit den Primär-Klemmen eines Hochspannungs-Transfor- 
mators von Brown, Boverie & Co. in Baden (Schweiz) verbun- 
den. Der Transformator konnte bei 70 Volt Primär-Spannung eine 
sekundäre Spannung von 50.000 Volt geben. 

V und A bezeichnen ein Voltmeter und ein Ampermeter, wel- 
che in den primären Stromkreis zur Orientation eingeschaltet waren. 

Die Hochspannungsklemmen sind mit dem Entlader verbunden, 
deren Ansicht in Fig. 3 gegeben ist. Der Entlader wurde zum 





Fig. 2. 


Zwecke unserer Arbeit nach den Angaben des einen von uns von 
der Société genevoise pour la construction d’instruments de physique 
in Genf konstruiert. Eine von den zwei in Fig. 3 sichtbaren 
Marmorsäulen ist stabil und fest unter Vermittlung eines Ebonit- 
blockes mit einer soliden, aus Eisenguß konstruierten Bank ver- 
bunden; die andere Marmorsäule ist in einem ähnlichen Ebonitblock 
befestigt, der letztere ist aber längs der Bank mittels einer Schraube 
verschiebbar. Die Schraube wurde mit der bekannten Sorgfalt von 
der Société genevoise ausgeführt; der Schraubengang war bis auf 
ein Hundertstel mm genau gearbeitet und gleich 1 mm. Parallel 
mit der Schraube läuft eine Millimeterskala, und ein Zeiger erlaubt, 
die ganzen Millimeter abzulesen. Eine mit der Schraube verbundene 
1* 


710 


Kreisteilung erlaubt noch, die Hundertstel mm abzulesen. Das Ende 
der Schraube ist vermittels eines Kugelgelenkes mit einem zylind- 
rischen Ebonitstab von 85 em Linge und 4 em Durchmesser ver- 
bunden. Das andere Ende dieses Stabes ist mit einer Kurbel und 
einer Kreisteilung versehen, so daß man ohne Gefahr, wenn auch 
eine Hochspannung an den Entlader angeschlossen ist, die Schraube 
in Bewegung setzen und deren Fortschreiten bis auf 0:01 mm 
genau ablesen kann. Auf den Marmorsiulen sind zwei Metallzylin- 
der sorgfältig zentriert und stabil befestigt; diese sind mit Schrauben 
versehen, auf die man verschiedene Kugel-Elektroden aufschrauben 
kann. Die weiteren Verbindungen wurden entsprechend der ge- 
brauchten Methode gemacht. 

Bei den meisten bisherigen Bestimmungen haben die Forscher 
bei konstant gehaltener Entfernung der Elektroden die Potential- 
differenz zwischen denselben allmählich gesteigert, bis zum Eintritt 
des Funkenüberganges. Dieses Verfahren erschwert sehr infolge der 
Trägheit der Meßapparate eine genaue Ablesung der Potentialdiffe- 
renz, und wir sehen auch, daß öfters bei sehr sorgfältigen Bestim- 
mungen die einzelnen Ablesungen recht voneinander differieren. 
Um diesen Mißstand zu eliminieren, haben wir folgendes Verfahren 
eingeschlagen. Die Enden der Zuleitungen zu den Kugelelektroden 
wurden mit einem Präzisions-Milliampermeter von Siemens und 
Halske vermittels geeigneter Widerstände verbunden. Dabei war 
die eine Elektrode stets geerdet. Nachdem das Milliampermeter 
einen konstanten, bestimmten Ausschlag gab, wurden die Elektro- 
den durch Verschieben der geerdeten langsam genähert. bis eine 
Entladung eintrat. Man konnte auf diese Weise, indem man noch 
die von Warburg!) und anderen beobachtete Verzögerung durch 
Belichtung mit einer Bogenlampe aufhob, Resultate erhalten, welche 
für dieselbe Ablesung des Milliampermeters höchstens um 0:20} 
voneinander differierten. 

Das Wechselstrom-Milliampermeter wurde sorgfältigst kalibriert. 
Es konnte bis 30 Milliampere angeben, aber es wurde nur die 
Skala zwischen den Teilungen 10 und 27 benutzt, wo die Ablesung 
bis auf ein Hundertstel Teilung genau geschehen konnte. 

Als Vorschaltwiderstände wurden genau geeichte, von Siemens 
u. Halske selbstinduktionsfrei und kapazitätsfrei gewickelte Man- 


1) Warburg, Ann. d. Phys. 5. S. 811, 1901. 


| 
3 
I 








712 


ganinwiderstände gebraucht. Messungen, welche bei einer anderen 
Untersuchung mit dem Helmholtz’schen Pendel ausgeführt wur- 
den, ergaben, daß man praktisch sowohl die Selbstinduktion wie 
auch die Kapazität derselben in der Tat vernachlässigen kann. Der 
Wert der Widerstände, wie auch des Meßinstrumentes wurde sorg- 
fältig mit Normalwiderständen, welche von der Phys.-Technischen 
Reichs-Anstalt kalibriert waren, verglichen. Der Totalwert der zur 
Verfügung stehenden Widerstände hatte den Betrag von 1.298.800 
Ohm. Alle diese Widerstände waren imstande, längere Zeit ohne 
wahrnehmbare Erwärmung den Strom von 30 Milliampern zu ver- 
tragen. 

Die Kugel-Elektroden, welche benutzt wurden, waren sorgfältigst 
von der Société genevoise ausgeführt. Die Durchmesser der aus 
Kupfer angefertigten Kugelpaare waren gleich 2, 3:85, 10, 15, 20 und 
30 em. Kathetometrische Messungen ergaben, daß die Unregelmäßig- 
keiten nicht 02 mm übersteigen. Es sei uns hier gestattet, unseren 
Dank der Société genevoise für die so ausgezeichnete Ausführung der 
sehr schwierigen Aufgabe auszusprechen. 

Bei jeder Versuchsreihe wurde sowohl der Nullpunkt der Ent- 
fernung der Kugeln, wie auch der Barometerstand und die Tem- 
peratur bestimmt. 

Selbstverständlich ergibt die Messung die effektiven Spannun- 
gen. Will man die Maximalspannungen erhalten, so muß die Form 
der Spannungskurve aufs genaueste bekannt sein. Zu diesem Zwecke 
wurde ein nach dem Blondel’schen Prinzip von der Firma Sie- 
mens u. Halske konstruierter Oszillograpb benutzt. Die kleine 


: 1 
Eigenschwingungsperiode des Galvanometer - Systems (som sec ) 


erlaubte bei dem Wechselstrom von der Frequenz von 33 eine sehr 
genaue Aufnabme der Spannungskurve. Die Messungen wurden in 
dem Hochspannungskreise unter Anschluß an die entsprechenden 
Elektroden und den durch das Milliampermeter bedingten Neben- 
schluß ausgeführt. Trotz des Anschlusses eines Wechselstrompols 
an die Erde müssen derartige Oszillogrammaufnahmen mit der 
größten Vorsieht vorgenommen werden, da ein falsches Manöver in 
der durch die Versuche bedingten Dunkelheit mit Lebensgefahr 
verbunden ist. Aus den Oszillogrammen und Milliamper-Ablesungen 
wurde in bekannter Weise der Wert der Maximalspannung bestimmt. 


713 


In der folgenden Tabelle sind die gefundenen Werte des Form- 
faktors zusammengestellt. 


TABELLE 1. 


Durchmesser der 
Kugelelektroden 
in cm 


2 


Anzahl der s Mittelwert 
Widerstandssätze Formfaktor des Formfaktors 


1:442 
1:439 
1:438 
1:439 


1:44 


1:440 
1:443 
1:441 
1:437 


3°85 
1:44 


10 1:430 
1-432 
1:430 


1:431 


1:43 


1:432 
1:430 
1:429 1:43 
1:429 
1:429 


15 


1:432 
1:428 
1:430 
1:431 


20 
1:43 


1:432 
1:429 
1:428 
1:433 


30 
1-43 


a ©! © D CO ei 0» C2 © CO Où À © © o0 © x © I OÙ © © -3 2» 02 


Die Zusammenstellung der Resultate für die Entladungspoten- 
tiale ist in den folgenden Tabellen gegeben. 


714 


TABELLE II. 


Durchmesser der Kugelelektroden 2 cm, Formfaktor 1:44, Wechselstrom- 
frequenz 33, Druck 745 mm, Temperatur 20°C. 


Schlagweite in cm FRE ERR MP E 
0:0850 2750 3931 
0:1364 3884 5593 
0:1767 4133 6816 
0:2200 5680 8179 
0:3163 7607 10954 
0:3723 8764 12620 
0:4936 11094 15975 
0.5370 11876 17101 
0.6724 14549 20663 
0:8752 17802 25635 
0:9533 19028 27400 
1:0689 20830 29995 
13536 24383 59112 
1:5316 26332 37918 
1:7473 28047 40388 
2-2151 31207 44938 


TABELLE III. 


Durchmesser der Kugelelektroden 3°85 cm, Formfaktor 1°44, Wechselstrom- 
frequenz 33, Luftdruck 720 mm, Temperatur 19° C. 


Schlagweite in cm ECH EE E EEN 
0:1030 3106 4472 
0:1452 4026 5797 
0:1812 4779 6882 
0.2379 5982 8614 
0.3110 1442 10716 
0:3871 8992 12948 
0-5070 11291 16259 
0:6903 14674 21130 
0:8425 17492 25188 
0:9293 19055 27439 
1:0416 20966 30191 
1:2526 24555 35359 
1:3703 26482 38134 
1:4735 28194 40599 


1:6597 31032 44686 





715 


TABELLE IV. 
Durchmesser der Kugelelektroden 10 em, Formfaktor 1°43, Wechselstrom- 
frequenz 33, Luftdruck 716 mm, Temperatur 19°C. 


Schlagweite in cm a une pepe 
0:1119 3279 4689 
0:1549 4180 5977 
0:1981 5094 7284 
0:2475 6140 8780 
0:3057 1295 10432 
0:4030 9220 13185: 
0:5185 11454 16379 
0:6425 13722 19622 
0:8632 17161 25398 
0:8848 18161 25910 
0:9902 20050 28614 
1:2365 24259 34692 
1:3404 26011 31280 
1:4360 27805 39761 
1:5932 30368 43429 
1:7800 33450 47834 

TABELLE V. 


Durchmesser der Kugelelektroden 15 cm, Formfaktor 1:43, Wechselstrom- 
frequenz 33, Luftdruck 714 mm, Temperatur 20° C. 


Schlagweite in cm Es Spanpang a tnia 
0:1154 3318 4744 
0:1534 4118 5888 
0:1900 4868 6961 
0:2365 5823 8326 
0:2927 6940 9924 
0:3766 8600 12298 
0:4627 10231 14630 
0:5426 11755 16809 
0:6560 13882 19851 
0:8172 16737 23933 
0:9410 18995 27162 
1:0109 20306 29037 
1:2380 24201 34607 
1:3546 26245 31530 
1:4793 28268 40423 
1:6514 31085 44451 


1:8730 34683 49597 


716 


TABELLE VI. 


Durchmesser der Kugelelektroden 20 cm, Formfaktor 1:43, Wechselstrom- 
frequenz 33, Luftdruck 716'% mm, Temperatur 21° C. 


Schlagweite in cm dir EE pce c D 
0:1148 3290 4104 
0:1504 4063 5810 
0:2351 5845 8358 
0:2883 6396 9861 
0:3817 8131 12485 
0:4717 10436 14923 
0:5444 11822 16905 
0:6546 13888 19859 
0:8123 16684 23858 
0:9961 19993 28589 
1:1088 21967 31412 
1:2419 24252 34680 
1-3540 26202 37468 
1:4430 27756 39691 
16310 30969 44285 


TABELLE VI. 


Durchmesser der Kugelelektroden 30 em, Formfaktor 1°43, Wechselstrom- 
frequenz 33, Luftdruck 716:9 mm, Temperatur 19? C. 


Schlagweite in em ae EE a scat 
0.1144 3273 4680 
0:1493 4029 5161 
0:2311 5758 8233 
0:2846 6801 9725 
03777 8644 12360 
0:4666 10335 14779 
0:5380 11700 16731 
0:6485 13783 19709 
0:8040 16540 23652 
1:0360 20618 29483 
1:1166 22100 31600 
1:2470 24324 34783 
1:3599 26311 37624 


1:4606 28023 40072 


717 


Ein direkter Vergleich der erhaltenen Zahlen mit den Messun- 
gen anderer Forscher ist schwer durchzuführen. Entladungs-Poten- 
tiale für Wechselstrom sind selten in wohl definierten Verhältnissen 
gemessen worden. Die Steinmetz’schen Bestimmungen, welche 
bis jetzt als die zuverlässigsten gelten, berücksichtigen gar nicht 
die Erscheinung der Verzögerung, welche speziell bei kleineren 
Abständen viel zu hohe Werte der Funkenspannungen ergeben 
kann, wie das übrigens Warburg!) und Starke?) genügend 
nachgewiesen haben. Dementsprechend sind unsere Werte für die 
Funkenspannungen bei gleichen Entfernungen kleiner, als die von 
Steinmetz erhaltenen. Da aber die Übereinstimmung zwischen 
den Einzelbeebachtungen von Steinmetz keine größere Genauig- 
keit als 4°/, zuläßt®), so sind die Abweichungen von 4*/, bis 6°/, 
wohl auf den erwähnten Grund zurückzuführen. Es ist aber ein indi- 
rekter Vergleich mit den für Gleichstromspannungen von anderen 
Forschern erhaltenen Werten möglich. Nach dem von M. Toepler‘) 
ausgesprochenen Grundsatz gilt folgende Beziehung: Betrachtet man 
die Funkenspannung in Teilen der Funkenspannung, die dem Ver- 
hältnis qs 1 entsprieht, wo x die Schlagweite und d der Durch- 
messer der Kugeln ist, so ist der Verlauf der so erhaltenen relati- 
ven Funkenspannungen ein ganz bestimmter. 

In der folgenden Tabelle ist dieser Verlauf für unsere Bestim- 
mungen mit denen anderer Forscher zusammengestellt. 


Beobachter: Freyberg Heydweiller Kowalski u. Rappel 
d in em: 1:0, . 20 1:0: =). 2:0 2-0 4 9:85 
2:d—=01 018 019 —.. 018 018 0183) 
0:2 037 032 032 032 0:32 0:32 
0:3 045 044 — 045 0:44 . 0:44 
0:4 0:54 005 053 058 055 053 
05 0:65 0:65 — 069 066 — 
0:6 075 074 074 079 075 — 
071 082 — — — 083 — 
0:8 090 — 090 — 090 — 
0:9 098 — — — 096 — 


! Warburg, Ann. d. Phys. 5, S. 811, 1901. 

?) Starke, Wied. Ann. 66, S. 1009, 1898. 

3 Russell, Phil. Mag. Bd. 11. VI Ser., S. 265, 1906. 

4) M. Toepler, Elektr. Zeitsch., S. 998, 1907. 

5) Die Zahl 0:18 ist diesen Rechnungen zugrunde gelegt worden. 


718 


Der allgemeine Verlauf stimmt also mit dem von anderen Phy- 
sikern erhaltenen sehr gut überein. Dagegen sind die absoluten 
Werte der Spannungen durchwegs um 4°/, bis 6°/, kleiner als 
diejenigen, welche man bei Gleichstromspannungen erhalten hat 
(unter Berücksichtigung des Paschen’schen Gesetzes). Ob der 
Grund dafür in der Aufhebung der Verzögerung oder in der Natur 
der Messungen mit Wechselstrom liegt, ist vorläufig schwer zu ent- 
scheiden. Dementsprechende Versuche sind im Gange. 


IL TEIL. 


Abhängigkeit des Entladungspotentials vom Krümmungsradius 
der Elektroden. 


In der letzten Zeit hat A. Russell!) versucht, eine Theorie 
der Abhängigkeit des Entladungspotentials von der Krümmung der 
Elektroden aufzustellen. Früher wurde öfters angenommen, daß die 
Entladung immer dann eintritt, wenn die maximale Feldstärke zwi- 
schen den Elektroden eine gewisse Grenze überschritten hat. Da 
sich diese Annahme zur Erklärung der beobachteten Tatsachen als 
nicht zureichend erwiesen hat, versucht A. Russell eine Zusatz- 
hypothese zu Hilfe zu ziehen. Er nimmt an, daß für Entladungs- 
Entfernungen, welche größer als O1 em sind, bei der Berechnung 
der maximalen Beanspruchung (stress) vom gemessenen Entladungs- 
potential ein gewisser Betrag € abzuziehen ist, welchen er als Ver- 
lust-Spannung (lost Volts) bezeichnet. Für die Luft setzt Russell 
diese Verlustspannung gleich 800 Volt. Die folgenden Betrachtun- 
gen sollen zur Prüfung der vorgeschlagenen Theorien dienen. 


Formeln für die Feldstärlie zwischen Kugelelektroden. 


Die Formeln für die Feldstärke zwischen zwei Kugeln von glei- 
chem Radius wurden schon von Kirchhoff?) angegeben und sind 
neuerdings von Russell in eine elegante Form gebracht worden. 

Sind die beiden Kugeln auf die Potentiale V, und V, gebracht. 
so gilt die Formel: 


1) A. Russell, Phil. Mag. Bd. XI, Ser. 6. S. 237, 1906. 
2) Kirchhoff, Crelles Journal, S. 89, 1860. 


4 
Se 7 


CR T 


719 


205 (P te. 
Dr Ig Sure I 


CV Qc? «v 1—g 


an—1 
SE oh a (1-1 get APE 





wo a der Kugelradius ist und g durch folgende Gleichung defi- 
niert ist: 





a 4 Nam 
a a 
wo A die Entfernung zwischen den beiden Zentren der Kugeln ist. 
Im Fall, wenn V, = — JV, =} ist, erhalten wir: 
Snax = n; ; II. 
"WO | 





v eee icf 9) da. qe 
I yog 1—g S rer e 


‘wenn wir mit xz die kleinste Entfernung zwischen den beiden Ku- 
:geln bezeichnen. 

Ist V, = und V, —0, wie dies in unserem Falle ist, so er- 
halten wir: 


p. 
Ge AE ae 5 





Mea ae Deel oes 
Re 1 — 0 - Pier 


Zur Berechnung von f, haben wir uns folgender Formeln be- 
dient, welche alle eine Genauigkeit von über 0:001 geben. 





x biz 

ar = 1 
Ne a | ) 
£ ba ] x? 9 
gU UR or LIS grs agas " 
z£ (ister f 
aci TOR EIER Haste 3) 


720 


und 
ise. ewm | kk'K? 


st? 





wo man fk, k und K aus hike Beziehungen berechnet: 


4) 
Vite V aei 2 tote... 





/2Kk’ ean ` ne me 4 9 
Ve ne don E 


Da CR 


A 
M pfi. his 





A bezeichnet die Entfernung der Zentren. 
015 —1 
a 


wo 





Blas) Yates igdid eo He 








a 
x b (a U ep 
(C) Ca) (9 
und A dieselbe Bedeutung hat wie in Formel 4) 
x x 1 1 
> lief = + Ts: 
6) a ar Fa z Kr 3 
she (G HUC 
In den folgenden Tabellen sind die Resultate der Rechnung zur 
Prüfung der Russell'sehen Theorie zusammengestellt: 





Schlagweite 
in cm 


0:085 

0:1364 
0:1767 
0:2200 
0:3163 
03723 
0:4936 
0:5370 
0:6724 
0:8752 
0:9533 
1:0689 
1:3536 
1:5316 
1:7473 
2:2151 


Schlagweite 
in em 


0:1030 
0:1452 
01812 
0:2379 
0:3110 
0:3871 
0:5070 
0:6903 
0:8425 
0:9293 
1:0416 
1:2526 
1:3708 
1:4735 
1:6597 


Durchmesser der Kugeln: 2 cm, 


x 
a 


0:085 

0:1364 
0:1767 
0:2200 
0:3163 
0:3723 
0:4936 
0:5370 
0:6724 
0:8752 
0:9533 
1:0689 
1:3536 


 1:5316 


1:7473 
2:2151 


Si 


1:0285 
1:0459 
1:0596 
1:0744 
111131 
1:1372 
1:1956 
1:2184 
1:2960 
1:4290 
1:4837 
1:5690 
1:7897 
1:9356 
2:1183 
2:5303 


Maxim. 
Feldstärke 
in Vo 

cm 
47568 
42871 
40856 
39944 
38549 
38549 
38696 
38801 
39827 
41853 
42645 
44028 
46423 
47918 
48960 
51332 


Durchmesser der Kugeln: 3°85 cm. 


fi 


1:0178 
1:0251 
1:0314 
1:0415 
1:0541 
1:0679 
1:0893 
1:1310 
1:1676 
1:1900 
1:2206 
1:2742 
1:3216 
1:3567 
1:4201 


Maxim. 


Feldstärke 


. Volt 
IN mn 
44196 
40929 
39159 
37713 
36332 
35716 
34934 
34620 
34908 
35137 
35385 
35970 
36780 
37383 
38235 


721 


Beanspruchung 
nach Russell 
Volt 

in 


cm 
37888 
36739 
36063 
36038 
35689 
36106 
36759 
36986 
38285 
40547 
41400 
42854 
45366 
46907 
47991 
50418 


Beanspruchung 
nach Russell 
. Volt 

in 


cm 


36291 
35281 
34607 
34211 
33620 
33509 
33216 
33310 
33800 
34113 
34448 
35156 
36009 
36647 
37551 


722 


Durchmesser der Kugeln: 10 em. 


Maxim. Beanspruchung 

Schlagweite x 3 Feldstärke nach Russell 
in em a à in Volt in Volt 
cm cm 
01119 0:0223 1:0075 42226 35021 
0.1549 0:0309 1:0103 38986 33769 
0:1981 0:0396 1:0132 37154 33063 
0:2475 0:0495 1:0165 35038 31753 
0:3057 0:0611 1:0204 34820 32150 
0:4030 0:0806 1:0269 33596 31558 
0:5185 0:1037 1:0348 32689 31093 
0:6425 0:1285 1:0432 31860 30562 
0:8632 0:1726 1:0582 31151 30171 
0:8848 0:1769 1:0597 31101 30143 
0:9902 0:1980 1:0669 30892 30030 
1:2365 0:2473 1:0838 30683 29982 
1:3404 0:2680 1:0937 30419 29767 
1:4360 0:2872 1:1012 30480 29867 
15932 0:3186 11343 30919 30349 
1:7800 0:3560 11553 31046 30527 

Durchmesser der Kugeln: 15 cm. 

Maxim. Beanspruchung 

Schlagweite x Feldstärke nach Russell 
in em a f "E Volt ai Volt 
cm cm 
0.1154 0:0153 1:0051 41335 34366 
0:1534 0:0204 1:0068 38649 33399 
0:1900 0:0253 1:0068 36945 32700 
0:2365 0:0315 1:0105 35578 32160 
0:2927 0:0390 1:0130 34339 31571 
03766 0:0502 1:0167 33200 31041 
0:4627 0:0617 1:0205 32661 30897 
0:5426 0:0723 1:0241 31725 30216 
0.6565 0:0874 1:0291 31144 29889 
0:8172 0:1089 1:0365 30358 29344 
0:9410 0:1254 1:0421 30082 29197 
1:0109 0:1347 1:0453 30025 29198 
12380 0:1650 1:0556 29507 28825 
1:3550 0:1806 1:0609 29393 28697 
1:4793 0:1972 1:0665 29144 28568 
1:6514 0:2202 1:0744 28921 28401 


1:8730 0:2497 1:0846 28722 28259 


123 


Durchmesser der Kugeln : 20 em. 


| Maxim. Beanspruchung 

Schlagweite x f Feldstärke nach Russell 
in cm a 1 is Volt in Volt 
em em 
01148 0:0115 1:0058 41118 34126 
0:1504 0:0150 1:0050 37705 32361 
0:2357 0:0236 1:0078 35733 32313 
0:2883 0:0288 1:0096 34526 31725 
0:3875 0:0387 1:0127 33120 30998 
0:4717 0:0472 1:0157 32133 30411 
0:5444 0:0544 1:0181 31615 30119 
0:6546 0:0655 1:0218 30999 29751 
0:8123 0:0812 1:0270 30167 29156 
0:9961 0:0996 1:0332 29653 28823 
1:1088 0:1109 1:0372 29384 28636 
1:2419 0:1242 1:0417 29089 28428 
1:3540 0:1354 1:0455 28932 28315 
1:4430 0:1443 1:0486 28842 28261 
1:6310 0:1631 1:0549 28645 28128 


Durchmesser der Kugeln: 30 cm, 





Maxim. Beanspruchung 

Schlagweite a : Feidstärke nach Russell 
in cm a Ji x Volt = Volt 
em em 
0:1144 0:0076 1:0025 41012 34002 
0:1498 0:0099 1:0033 38707 99391 
0:2811 0:0154 1:0051 39802 32324 
0:2846 0:0189 1:0063 34387 31559 
03777 0:0252 1:0084 33000 30865 
0:4666 0:0311 1:0104 32000 30268 
0:5380 0:0358 1:0119 31468 29964 
0:6485 0:0432 1:0144 30831 29580 
0:8040 0:0536 1:0178 29944 28932 
1:0360 0:0690 1:0230 29115 28325 
1:1160 0:0744 1:0248 29049 28315 
1:2470 0:0831 1:0277 28666 28007 
1:3595 0:0906 1:0302 28511 27905 
1:4606 0:0973 1:0324 28328 27763 


D 


Bulletin III. Mai. 


724 


Es ergibt sich aus diesen Tabellen, daß die nach Russell be- 
rechnete Beanspruchung keine konstante Zahl ist. Vielmehr sieht 
man eine gewisse Regelmäßigkeit des Verlaufes der Russell’schen 
Zahl, und zwar scheint dieselbe für eine bestimmte Schlagweite 
ein Minimum zu erreichen. Eine Erklärung für die beobachteten 
Tatsachen gibt also die Russell’sche Theorie nicht. 





34. O fosforescency1 ciat organicznych w temperaturach 


nizkich. — Uber die Phosphoreszenz von organischen 
Substanzen bei niedrigen Temperaturen. — Mémoire de 


MM. J. DZIERZBICKI et J. KOWALSKI, présenté par M. A. Wit- 
kowski m. t. 1) 


Mit der Phosphoreszenz bei niedrigen Temperaturen hat sich zu- 
nächst Dewar ?) beschäftigt; er hat gefunden, daß zahlreiche or- 
ganische Stoffe, welche bei gewöhnlicher Temperatur keine Phos- 
phoreszenzfähigkeit besitzen, eine solche bei der Temperatur der 
flüssigen Luft erlangen. Weitere Beobachtungen wurden angestellt 
von C. C. Trowbridge?) F. J. Micheli‘) und in letzter Zeit 
von E. L. Nichols und Merritt?) sowie von P. Borissoff®). 
Die beiden letztgenannten haben bis jetzt am ausführlichsten die 
Phosphoreszenz einiger organischen Verbindungen untersucht. Sie 
gebrauchen meistens einheitliche Körper, Borissoff untersucht 
auch Lösungen in verschiedenen Lösungsmitteln, und zwar meistens 
ziemlich konzentrierte Lösungen. Eine Beziehung zwischen der Kon- 
stitution und Phosphoreszenz ist bei diesen Untersuchungen nicht 
gefunden worden, auch wurde auf die Reinheit der Präparate kein 
besonderes Gewicht gelegt. Infolgedessen erschien uns eine metho- 


1) Diese Arbeit wurde aus den Mitteln des „Elisabeth Thompson Fund“ in 
Boston ausgeführt und wir erlauben uns, dem Kuratorium desselben unseren Dank 
auszusprechen. 

?) Dewar, Proc. Roy. Soc., Bd. 5, S. 340 und Proc. Roy. Soc., Bd. 14, 
S. 665. 4895. 

3) C. C. Trowbridge, Science, 10, S. 245. 1899. 

4) F. J. Micheli, Arch. de Genève. IV. 12, S. 5. 1901. 

5) Nichols and Merritt, Phys. Rev. 18, S. 355. 

6) P. Borissoff, Luminiszenz einiger organischen Verbindungen. St. Peters- 


burg 1906. 


ud d S een 


125 


dische Durchforschung der Phosphoreszenz bei niedriger Temperatur 
für eine bestimmte Gruppe von organischen Verbindungen von gro- 
Dem Interesse um so mehr, da in letzter Zeit interessante Beziehun- 
gen zwischen Fluoreszenz und Konstitution der organischen Ver- 
bindungen gefunden worden sind. 

Die Vorversuche zeigten, daß schon sehr geringe Verunreinigun- 
gen einer Substanz durch eine andere die den Verunreinigungen 
zukommende, charakteristische Phosphoreszenz hervorbringen. Wenn 
man z.B. bei der Temperatur der flüssigen Luft sehr reinen Äthyl- 
alkohol untersucht, so findet man eine sehr schwache, kaum sicht- 
bare, violette Phosphoreszenz. Schon ein Zusatz z. B. von 0:1 °/, 
Nitranilin bringt eine zwar kurz dauernde aber außerordentlich 
intensive, gelbe Phosphoreszenz hervor. Daraus folgt, daß eine Unter- 
suchung einheitlicher organischer Substanzen sehr erschwert ist, da 
es in den meisten Fällen sehr schwer wäre, eine genügende Rein- 
heit zu erzielen. Infolgedessen haben wir uns entschlossen, verdünnte 
äthyl-alkoholische Lösungen zu untersuchen. Wenn wir nämlich 
die organische gelöste Substanz sorgfältig reinigen, so können wir 
erwarten, daß die Verunreinigungen dann in solcher Verdünnung 
vorkommen, daß sie nicht mehr den Charakter der Phosphoreszenz 
beeinflussen können. 

Auf diese Weise ausgeführte Versuche bestätigten diese Ver- 
mutung. Die Versuchsanordnung war die folgende: in einen flachen, 
gegen Erwärmung durch entsprechende Packungen geschützten Be- 
hälter für flüssige Luft konnten 3 bis 6 kleine Porzellannäpfe hin- 
eingestellt werden. Dieselben waren ganz von flüssiger Luft um- 
spült und enthielten die zu untersuchenden alkoholischen Lösungen. 
Nachdem diese längere Zeit in der flüssigen Luft eingetaucht waren, 
so daß man sicher annehmen konnte, daß sie bereits die Tempera- 
tur der flüssigen Luft angenommen hatten, wurden sie von oben 
mit einer Quecksilberquarzbogenlampe von Haereus belichtet.. 
Die Belichtung dauerte beinahe immer je 15 Sek.; Vorversuche 
haben gezeigt, daß bei längerer Belichtung als D Sek. ein Einfluß 
der Beliehtungsdauer nicht mehr zu beobachten ist, was übrigens 
schon früher Borissoff gefunden hat. Sodann wurde der die 
Lampe speisende Strom unterbrochen und eine Vergleichs-Unter- 
suchung über die Intensität und Dauer der Phosphoreszenz ausge- 
führt.. Diese Lichterscheinung wurde stets mit ausgeruhten Augen 


beobachtet, indem einer von uns alle Manipulationen ausführte und 
93 


726 


der andere nur im Augenblick der Beobachtung die Augen öffnete. 
Diese in voller Dunkelheit abwechselnd von beiden Beobachtern 
ausgeführten Untersuchungen wurden vielmals wiederholt und nur 
übereinstimmende Resultate notiert. 

Auf diese Weise wurden folgende Resultate erhalten: 

1. Lösungen von 0'1 Normal von Ortho-, Meta- und Paraxylol: 





CH, CH, CH, 
: NAH. T y^. 
eus 
GE + x A. 
H; 


Farbe der Phosphoreszenz: violett. 

Die größte Intensität der Phosphoreszenz sofort nach der Be- 
lichtung !) zeigt die Para-Verbindung, sodann die Meta- und die 
schwächste die Ortho-Verbindung. 

Dieselbe Reihenfolge gilt auch für die Dauer der Phosphoreszenz. 

2. 01 Normal-Lösungen von Ortho-, Meta- und Para-Kresol: 


OH OH OH 


Frag range 
NA AE Se 
CH, 


Farbe der Phosphoreszenz: violett. 

Reihenfolge der Intensität der Phosphoreszenz sofort nach der 
Belichtung: 1) Para-, 2) Meta-, 3) Ortho-Verbindung. Dieselbe Rei- 
henfolge für die Dauer der Lichterscheinung. 

3. 0‘1 Normal-Lósungen von Ortho-, Meta- und Para-Kresol- 





Methyläther: 
OH OH OH 
e 23 | | | | 
N e ER ^ 
SE wel? CH NA 


O.CH, 
Violette Phosphoreszenz. 
Am intensivsten und am längsten phosphoresziert die Para- 


1) Jedesmal, wo wir schlechtweg über Intensität der Phosphoreszenz sprechen 
verstehen wir die unmittelbar nach der Belichtung beobachtete Intensität. 


127 


Verbindung. Eine Differenz zwischen der Meta- und Ortho-Ver- 
bindung ist kaum zu erkennen. 

4. Sehr verdünnte Lösungen von Ortho-, Meta- und Para-Nitr- 
anilin (ungefähr 0'01 Normal): 

NH, NH, NH, 
ES ` 
id Na: we 

NO, 

Sehr kurze, aber intensive gold-gelbe Phosphoreszenz. 

Sowohl die Intensität wie die Dauer der Erscheinung ist bei 
der Para-Verbindung am größten. Eine Differenz zwischen der Meta- 
und Ortho-Verbindung ist schwer festzustellen. 

D. Ortho-, Meta- und Para-Toluidin in 0:1 Normal-Lösung: 

NH; NH, NH, 
SE 





Le | 
OH, 

Sehöne, intensive und andauernde blau-violette Phosphoreszenz. 
Gleich nach der Beliehtung beobachtet man eine ausgeprägte Diffe- 
renz in der Intensität, und zwar ist wiederum die Erscheinung am 
intensivsten bei der Para-Verbindung; sodann folgen die Meta- und 
Ortho-Verbindung. Die Dauer ist merklich größer bei Paratoluidin. 
Zwischen der Dauer der Phosphoreszenz bei Meta- und Orthoto- 
luidin ist kaum ein Unterschied vorhanden, doch scheint die Er- 
scheinung bis zu vollständiger Auslöschung intensiver bei der Meta- 
Verbindung zu sein. 

6. Ortho-, Meta- und PUR. Nr not: 


OH OH 

eR SERA 
NO, / 
Wa 2 / 

(EN N, No 


geben erst in äußerster Verdünnung eine schwache gelbliche Phos- 
phoreszenz, welche sehr kurz andauert. Man kann trotzdem sehr 
gut beobachten, daß die Para-Verbindung die intensivste und am 
längsten dauernde Lichterscheinung ergibt. 


728 


Genau dieselbe Beobachtung wurde gemacht mit: 
7. Ortho-, Meta- und Para-Nitrobenzoësäure 


COOH COOH COOH 
fe df) a 
ER PN. DM } EA 
und mit 
8. Ortho-, Meta- und Para-Nitrotoluol 
CH, CH, CH, 
( E ( ) i 
NO, | | 
No E : y 
NO, 
sowie mit 


9. Ortho-, Meta- und Para-Amidobenzoësäure in 01°, Normal- 
Lösung 


NH, NH, NH, 
/ Kee ^ ` s 
k a | COOH | 
COOH 


Die Ortho-Verbindung gibt eine hell-blaue Phosphoreszenz, die 
Meta-Verbindung eine gelb-grüne und die Para-Verbindung eine 
violett-blaue Lichterscheinung. 

Trotz des Farbenunterschiedes ist im ersten Augenblick nach der 
Belichtung auch hier die Phosphoreszenz der Para-Verbindung als 
die intensivste zu erkennen, und die Erscheinung dauert auch am 
längsten bei dieser Verbindung. 

10. Brenzkatechin, Resorein und Hydrochinon: 





OH OH OH 

/ NOH y 

22 she CH 

Ève Var NY 
OH 


Die Phosphoreszenz des Brenzkatechins ist dunkel-violett, die 
des Resorcins grünlich und die des Hydrochinons hellblau. Am in- 





129 


tensivsten und am andauerndsten ist die Erscheinung bei Hydro- 
chinon; die beiden anderen Verbindungen sind infolge der Farben- 
Differenz schwer miteinander zu vergleichen. | 

In allen diesen Fällen scheint also die Para-Ver- 
bindung die intensivste Phosphoreszenz zu geben 
und auch die Zeitdauer der Lichterseheinung ist bei 
diesen Verbindungen am längsten. 

Wir möchten hervorheben, daß auch Hartley ein ähnliches 
Verhalten für die Absorptions-Spektra der Benzolderivate konsta- 
tierte. Er findet nämlich. daß die Oberfläche, welche durch von ihm 
erhaltene Absorptionskurven beschrieben wird, bei den Para-Ver- 
bindungen stets größer ist, als bei den Meta- und Ortho-Verbin- 
dungen. 

Es wurden weiter untereinander verglichen: 

11. Lösungen von Benzol C,H,, Phenol C,H;OH, Toluol C,H,CH,, 
Para-Kresol C,H,(CH,)OH, Benzoësäure C,H,COOH. Alle diese 
Körper phosphoreszieren violett, und zwar im ersten Augenblick 
nach der Belichtung kann man dieselben nach der Intensität der 
Phosphoreszenz in folgende Reihe ordnen: Benzoësäure, Para-Kresol, 
Toluol, Phenol und Benzol. Nach der Dauer der Phosphoreszenz 
läßt sich aber eine andere Reihe bilden, und zwar: 1) Toluol, 
2) Benzol, 3) Kresol, 4) Benzoésüure, 5) Phenol. 

12. Lösungen von Benzol C,H,, Anilin C;H;NH,, Toluol C,H;CH,, 
Anilinchlorhydrat. Die Phosphoreszenz von Benzol und Toluol ist 
violett, von Anilin und Anilinchlorhydrat blau-violett. Reihenfolge 
nach der Intensität: 1) Anilin. 2) Anilinchlorhydrat, 3) Toluol, 
4) Benzol; nach der Dauer der Erscheinung: 1) Toluol, 2) Benzol, 
3) Anilinchlorhydrat, 4) Anilin. 

13. Lösungen von Benzol, Toluol, Ortho-, Meta- und Para-Xylol. 
Phosphoreszenz violett. Die Reihenfolge nach der Intensität der 
Phosphoreszenz ergibt, daß die Einführung einer CH, -Gruppe in 
den Benzolkern die Phosphoreszenz vermehrt und daß die Einfüh- 
rung von zwei Gruppen eine Vermehrung nur dann bewirkt, wenn 
dieselben in Para-Stellung erscheinen; in der Tat erhalten wir fol- 
gende Reihe: 1) Para-Xylol, 2) Toluol und Meta-Xylol gleich, Or- 
tho-Xylol kaum schwächer, 3) Benzol. 

14. Eine weitere Einführung einer CH,-Gruppe vermehrt noch 
die Intensität der Phosphoreszenz; es zeigt sich, daß Mesitylen 
O,H,(CH,) (symmetrische Form), wie auch das Pseudocumol 


730 


C,H,(CH;), (1.2.4) in alkoholischer Lösung stärker als das Para- 
Xylol phosphoreszieren. 

15. Lösungen von Benzol C,H,, Anilin C,H,NH, und Ortho-, 
Meta- und Para-Toluidin CH,.C,H,NH, ergeben ein ähnliches Ver- 
halten; nach der Intensität der Phosphoreszenz geordnet. ergeben 
dieselben folgende Reihe: 1) Para-Toluidin, 2) Anilin und Meta- 
Toluidin, 3) Ortho-Tboluidin, 4) Benzol. Die Einführung der NH,- 
Gruppe verstärkt die Phosphoreszenz; eine weitere Einführung der 
CH,-Gruppe verstärkt diese Lichterscheinung nur dann, wenn sie 
zur NH,-Gruppe in Para-Stellung steht. 

16. Aus dem Vergleich der Lösungen von Benzol C,H,. Toluol 
C,H,CH,;. Phenol C,H;OH und Anilin C;H;NH, ergibt sich, daß 
die Gruppe NH, im ersten Augenblick nach der Belichtung die 
Total-Intensität der Phosphoreszenz mehr vergrößert als die Grup- 
pen OH und CH;; in zweiter Linie kommt die Wirkung der OH- 
Gruppe und am schwächsten wirkt die Einführung der. Methyl- 
gruppe. Was aber die Dauer der Phosphoreszenz anbetrifft, so phos- 
phoresziert am längsten die Toluollösung, sodann diejenige des 
Benzols, dann die des Anilins und am kürzesten leuchtet die Lö- 
sung des Phenols. 

17. Ein Vergleich von Benzol C,H, und Nitrobenzol C,.H-NO, 
ergibt. daß auch die NO,-Gruppe die Phosphoreszenz-Intensität 
vermehrt. 

18. Penzol C,H,, Chlorbenzol C,H,Cl. Ortho. Meta- und Para- 
ehlortoluol CH, .C,H,.Cl und Toluol C,H,CH,, in sehr verdiinnten 
alkoholischen Lösungen miteinander verglichen, ergeben, nach der 
Intensität der Phosphoreszenz geordnet, folgende Reihe: 1) Toluol, 
2) Benzol, 3) Ortho-Chlortoluol (sehwach), 4) Meta-Chlortoluol 
(schwach). 5) Para-Chlortoluol (sehr schwach), 6) Chlorbenzol (sehr 
schwach). 

Ein Vergleich von Anilin, Ortho- und Para-Chloranilin ergab, 
daß auch hier die Einführung des Chlors eine Schwächung hervor- 
bringt. Sehr interessant ist die Tatsache, daß in diesem Falle die 
hervorgebrachte Schwächung am geringsten ist, wenn sich die schwä- 
chende Gruppe zur anderen in der Ortho-Stellung befindet. am 
größten dagegen in der Para-Stellung. 

Um die Versuche zu deuten, könnte man analoge Betrachtun- 
gen anstellen, wie es H. Kaufmann, R. Meyer und andere 
über Fluoreszenz getan haben. Da aber eine Erweiterung dieser 


131 


Untersuchung unsererseits augenblicklich im Gange ist und speziell 
auch spektrographische Studien über diese Erscheinung von einem 
von uns vorgenommen worden sind, so ziehen wir es vor, mit der 
theoretischen Deutung diese weiteren Versuche, welche ein vollstän- 
digeres Material darbieten werden. abzuwarten. Inzwischen wollen 
wir nur bemerken, daß wir mit Sicherheit die Phosphoreszenzfä- 
higkeit der Nitraniline und Nitrophenole nachgewiesen haben. Da 
dabei Versuche mit Parachinon-Lösungen eine vollständige Abwe- . 
senheit der Phosphoreszenz bei dieser Substanz zeigen, so glauben 
wir, daß dies Verhalten nicht für eine chinoide Konstitution der 
Nitraniline spricht. 


35. O siarkocyanianach ksylolowych. — Über Xylol-Sulfo- 
cyanate. Note de M'* MARIE STRZELECKA, présentée par M. Br. 
Radziszewski m. t. 


Die aromatischen Sulfocyanate R—S—CN haben im Vergleich 
mit den Isosulfocyanaten oder sogenannten Senföülen R—N—CS, wel- 
che viel eingehender studiert wurden, bis jetzt ziemlich geringe 
Beachtung gefunden. Deswegen richtete ich meine Aufmerksamkeit 
auf dieses weniger behandelte Gebiet. Ich erhielt sechs Xylol- 
Sulfocyanate R-S—CN. 

Diese Arbeit habe ich im Laboratorium des Herrn Prof. Ra- 
dziszewski ausgeführt; ich möchte mir gestatten, Ihm an dieser 
Stelle meinen verbindlichsten Dank auszusprechen. 

Ich erhielt die erwähnten Verbindungen aus Xylyl- und Xy- 
lylenbromiden, indem ich sie mit Sulfocyankalium in verdünnter 
alkoholischer Lösung erwärmte. Alle entstehen leicht, manche sogar 
ohne vorhergehende Erwärmung. Die Xylylsulfocyanate schmelzen 
bei niedrigerer Temperatur als die Xylylen-Isomere. Alle zeichnen 
sich durch sehr unangenehmen und ätzenden Geruch aus, welcher 
die Schleimhäute angreift. 

Um genauer die genannten Sulfocyanate zu charakterisieren, habe 
ich sie der Einwirkung des Ammoniaks ausgesetzt. Diese Unter- 
suchungen sind noch nicht abgeschlossen. deshalb beschränke ich 
mich nur darauf, die Darstellungsweise und die physikalischen 
Eigenschaften dieser Verbindungen kurz zu beschreiben. 


1. p-Xylylsulfocyanat 1) 
CH,—C,H,—CH,—SCN. 


p-Xylylbromid wurde mit Sulfocyankalium in alkoholischer Lö- 
sung einige Stunden lang erwärmt, dann der Alkohol abgedampft 
und das Kaliumbromid in Wasser gelöst. Die ausgeschiedene ölar- 
tige Flüssigkeit erstarrt allmählich in der Kälte. Aus Alkohol um- 
kristallisiert, bildet das p-Xylylsulfocyanat einen glasartigen Körper, 
welcher bei 21:5—22:5* C schmilzt. Er zeichnet sich durch einen 
nicht sehr ätzenden Geruch aus und ist in Äther löslich. 


01859 g Subst. ergaben 0:2707 e BaSO, 
01328 g „ 2 Il ecm"N (205 715mm) 
S N 
Gef.: 19:91 8:56 


Berech.: für C,H,NS 19:65 8:60 


2. p-Xylylensulfoeyanat 
NCS—CH,—C,H,— CH,—5CN. 


Es wurde auf dieselbe Weise wie der oben besprochene Körper 
aus p-X ylylenbromid erhalten. Aus Chloroform umkristallisiert, bil- 
det es kleine, farblose, bei längerer Wirkung der Luft vergilbende 
Nadeln, welche in Alkohol und Äther unlöslich sind. Schmelzpunkt 
134°C. Dieses Sulfocyanat zeichnet sich durch einen milderen Ge- 
ruch als die übrigen aus. 


0:0849 g Subst. ergaben 002468 e BaSO, 


010649 , > 122 eem N (170 732 mm) 
5 N 
Gef.: 29:06 1277] 


Berech.: für C,,H,N,S, 29:11 12°73 


') Im Jahre 1902 habe ich (Bull. de Acad. d. Sciences de Cracovie 1902, 13) 
eine Verbindung als p-Xylylsulfocyanat beschrieben, die bei späterer Untersuchung 
sich als p-Xylylensulfocyanat erwies. Ich wurde damals durch eine Schwefelbe- 
stimmung (l. Messinger. Ber. 21, 2910) irregeführt, was ich jetzt berichtige, 


133 


3. m-X ylylsulfocyanat !) 
CH,— C,H, —CH,—SCN 


Das erhaltene Produkt ist eine ölartige, hellgelbe Flüssigkeit, 
welche nieht erstarrt. Die Hauptfraktion siedet unter vermindertem 
Druck (30 mm) bei 170°; bis —40° abgekühlt, gefriert sie und 
bildet schöne, seidenartige, große, weiße Nadeln, welche in Alkohol 
und Äther löslich sind und wahrscheinlich bei ungefähr 0° schmel- 
zen. Der Geruch ist außerordentlich widrig und greift stark die 
Schleimhäute an. 


011498 e Subst. ergaben 02152 g BaSO, 


(KENIA ou. Se 0 0:6 cem N.(119.710 mm) 
S N 
Gef.: 19:66 8:56 


Berech.: für C,H4NS 19:65 8:60 


4. m-Xylylensulfoeyanat 
NCS—CH,—C,H,— CH,—-SCN. 


Dieses Produkt entsteht augenblicklich, sogar bei Zimmertem- 
peratur. Aus Alkohol umkristallisiert, bildet es kleine, farblose Na- 
deln, welche bei 60° schmelzen und in Äther unlöslich sind. 

Dabei zeichnet sich dieses Sulfocyanat durch einen höchst ätzen- 
den Geruch aus, welcher die Kleider und die Geräte durchdringt 
und lange Zeit nicht verschwindet. 


00623 g Subst. ergaben 0:0182 g BaSO, 


00634 g „ , TD eem N (18°, 731:46 mm) 
S N 
Gef.: 2911 1313 


Berech.: für C,,H,N.S, 29:11 12:73 


5. o-Xylyisulfocyanat 
CH,;—C,H,—CH,—SCN. 


Das rohe Produkt erstarrt bei längerer Abkühlung. Aus Alko- 
hol umkristallisiert, bildet es einen glasartigen Körper, welcher 


1) Diese Verbindung wurde schon früher von Henry L. Wheeler und 
Treat B. Johnson als bei 147° (12 mm) siedendes Öl beschrieben. Zentralblatt 
- 1901, IL, S. 766. 


734 


bei 189—183? schmilzt und in Alkohol und Äther löslich ist. Der 
Geruch ist auch sehr ätzend. 


02181 g Subst. ergaben 03101 g BaSO, 


01524 g , ^ 12:1 cem N (409, 717 mm) 
S N 
Gef.: 19:50 819 


Berech.: für C,H, NS 19:65 8:60 


6. o-X ylylensulfoeyanat 
NCS— CH,—OC,H,— CH, —SCN. 
Aus Chloroform umkristallisiert, bildet es ziemlich große Pris- 


men, welche bei 79° schmelzen und in Alkohol und Äther unlös- 
lich, aber in Chloroform löslich sind. Der Geruch ist auch ätzend. 


0:0941 g Subst. ergaben 0:02736 g BaSO, 
UO ao a d 11:77 eem N (21°, 731:64 mm) | 
S N 
Gef. 29:07 12:88 


Berech : für C,)H,N,S, 29:14 12773 


Lemberg, I. Chem. Universitätslaboratorium. 


36. Jodowe pochodne alkaloidów chinowych.—Jodderivate 
der Chinaalkaloide. Mémoire de M. T. KOZNIEWSKI, pré- 
senté par M. L. Marchlewski m. t. 


Bis zur letzten Zeit sind die sogenannten Perjodide oder Super- 
jodide, welche ihrer Natur nach zu den Salzen der Alkaloide ge- 
hören, die einzigen Repräsentanten der Jodderivate der Alkaloide 
gewesen. In der Molekel eines Superjodides findet sich das System 

" H : ‚CH, 

»NC D Nains, 
A ST VA Ex 
im allgemeinen 


„alkyl oder aryl 


135 


und außerdem zwei oder auch mehr Jodatome, die, wie man allge- 
mein zu sagen pflegte, nur lose mit dem übrigen Teil der Mole- 
kel verbunden sind. Einerseits infolge der ungemein einfachen Dar- 
stellungsweise der Superjodide,— da diese direkt unter Einwirkung 
einer wäßrigen Jodjodkalium-Lösung auf neutrale oder nur schwach 
saure wäßrige Lösungen von Alkaloidsalzen entstehen, —und ander- 
seits infolge ihrer großen Kristallisationsfähigkeit bei ziemlich ver- 
schiedenen Bedingungen, sind bis jetzt die Superjodide aller ge- 
meinen und mehrerer selteneren Alkaloide dargestellt und beschrie- 
ben worden. Das von Pelletier und Bouchardat!) angebahnte 
Studium der Perjodide wurde von Jörgensen, Bauer’), 
Hilger‘) und Hesse) in den Jahren 1869—1877 weiter fort- 
gesetzt. Prescott und Gordin®) und auch Kippenberger’) 
haben die Fähigkeit der Alkaloide, Perjodide zu bilden, zu ihrer 
maßanalytischen Bestimmung benutzt, ohne indessen die entspre- 
chenden Perjodide in reinem Zustande abzusondern und zu unter- 
suchen. Die meisten Daten, die sich auf die chemische Zusammen- 
setzung und das Verhalten der Perjodide, hauptsächlich aber auf 
deren kristallographische und optische Eigenschaften beziehen, fin- 
den sich in den schönen Arbeiten von Jörgensen. 

Bezüglich der Konstitution dieser Verbindungen vertritt dieser 
Autor zwei folgende verschiedene Meinungen: 1) Es sollen Ver- 
bindungen von Alkaloidsalzen mit lose gebundenem Jod sein, 
der passend „Molekularjod“ genannt wird, da er in mancher Be- 
ziehung die Eigenschaften des freien Jods besitzt. Jörgensen 
betrachtet somit diese Verbindungen als Molekularverbindungen, 
indem er dieselben als solche bezeichnet, „die sich der Theorie der 
konstanten Atomigkeit nicht anpassen wollen“ 5). 2) „Wenn man aber 


1) Manuel de Matiére médicale, de Thérapeutique et de Pharmacie, 4. Edi- 
tion, 1864. 2. Vol. 

2) Journ. f. Prakt. Chemie |2] 2, S. 433. 1870; 3, S. 145, 328. 1871; 14, S. 
213, 356. 1876; 15, S. 65, 418. 1877. 

3) Jahresber. Chem. 1874. S. 860. Arch. der Pharm, 205, S. 289. 

4) Uber die Verbindungen des Juds mit den Pflanzenalkaloiden. Würzburg 1869. 

5) Ann. 135, (328) 1865. 

6) Journ. Amer. Chem. Soc. 20, S. 329 — 339, 716 — 729. 

Chem, Zentrlbl. 1898. II. S. 113, 512, 861. 

1) Zeitschrift f. Anal. Ch. 34, S. 295. 1895; 35. S. 10, 407, 422. 1896; 38, 
S. 230 (226, 278), 280. 1899; 39, S. 435. 1900. 

8) Journ. f. Pr. Ch. [2] 15, 1877. S. 422, 423. 


736 


dieselben“, sagt er weiter !). „als chemische Verbindungen betrachten 
will, so scheint es mir am einfachsten, ihre Theorie aus der Viel- 
wertigkeit des Jods zu entwickeln“. Die Addition des loser gebun- 
denen Jods würde somit vermittelst des sich am Stiekstoff befin- 
denden Jods im Sinne des Schemas 


J J—J 
REN JL |; REN JL ME? 
NH NI SH IET 
zustande kommen, oder im Sinne des Schemas ?) 
J J—J 
Ak Ak 
J J—J 


Aufer den Arbeiten Jórgensens scheint die Literatur über 
die Konstitution der  Alkaloidperjodide sehr spärlich zu sein, 
ich finde wenigstens in der diesbezüglichen Literatur keine Anga- 
ben darüber. In einer Arbeit über „Jodderivate des Strychnins und 
Brucins“ von J. Buraezewski und T. Kozniewski?) werden 
zwei Verbindungen Dijodstryehnin und Dijodbruein angeführt, die 
zu einer anderen Reihe der Alkaloidjodderivate gehören. 

Diese sind durch Einwirkung von OS,-Jodlisung auf alkoholi- 
sche Lösungen von freien Stryehnosbasen erhalten worden. Es sind 
kristallinische, schwer zersetzliche Verbindungen, deren charakte- 
ristisches, sie von allermöglichen Superjodiden scharf unterschei- 
dendes Merkmal ihre sehr geringe Löslichkeit in Alkohol und Ace- 
ton bildet, während alle Superjodide der Alkaloide in heißem Al- 
kohol verhältnismäßig leicht, in Aceton aber schon in der Kälte 
ungemein leicht löslich sind. 

Gegenwärtig ist es mir auf demselben Wege gelungen, Dijod- 
derivate einiger Chinaalkaloide, und zwar des Cinchonins und des 
Chinidins (Couchinins) von der Zusammensetzung C,5H,,N,O0J, und 
C;,;H,,N,0,J, zu erhalten. 

Diese sind ihrem äußeren Aussehen so wie auch ihren allge- 
meinen physischen und chemischen Eigenschaften nach dem Di- 
jodstryehnin und Dijodbrucin, hauptsüchlieh aber dem ersteren sehr 
ähnlich. 


1) Journ. f. Pr. Ch. [2] 15, 1877. S. 430. B. d. Ch. Ges. 2, S. 465. 1869. 

2) Guareschi, Einführung in das Studium der Alkaloide. Deutsche Bearbei- 
tung v. Dr. Kunz-Krause, S. 435. 

3) Bulletin de l'Académie des Sciences de Cracovie. 1908. 


737 


Die chemischen Eigenschaften aller diesen Körper lassen 
keinen Zweifel darüber, daß eine Addition, nicht aber eine Sub- 
stitution der Jodatome zustande kommen mußte. Es ist dies auch 
schon von vornherein wahrscheinlich, wenn man die direkte, sofor- 
tige Ausscheidung dieser Körper nach Zusatz von OCS,-Jodlósung 
berücksichtigt. Die Tatsache, daß in allen diesen Körpern ein Jod- 
atom weder eliminiert, noch durch ein H-Atom, CN oder irgend eine 
andere Gruppe substituiert werden kann, bestätigt noch die Annahme 
einer Addition der Jodatome; andererseits wird unter Einwirkung 
der alkoholischen Kalilösung die ganze Menge Jod abgeschieden, 
indem die freie Base dabei unverändert regeneriert wird. Bei die- 
ser Operation ist es zweckmäßig, eine Auflösung von Kalium- 
hydroxyd in reinem Methylalkohol anzuwenden, um die Entfernung 
des andernfalls entstehenden Jodoforms zu vermeiden. 

Das Verhalten des Dijodeinehonins und Dijodchinidins gegen 
alkoholisches Kali ist demgemäß gänzlich von dem Verhalten des 
von Comstock und Königs!) dargestellten Dibromeinchonins 
verschieden; das letztere gibt bei dieser Behandlung Dehydrocin- 
chonin. 

In wäfrigen, nicht allzu konzentrierten Alkalien, Ammoniak und 
Minezalsäuren sind die Dijodderivate der Chinaalkaloide unlöslich, 
erleiden aber eine allmähliche Zersetzung bei Einwirkung von 
konzentrierteren Säuren. Schüttelt man sie mit 40—50°/,-iger wäß- 
riger Kalilosung, 10.bis 15°/,-iger Silbernitratlósung oder einer Sus- 
pension von metallischem Quecksilber, so geben sie einen Teil des 
Jods ab. 

In Ligroin sind sie absolut unlüslich; Äther, Benzol und Schwe- 
felkohlenstoff werden von ihnen kaum gefärbt; etwas besser lösen sie 
sich in Aceton, absolutem Äthylalkohol, Essigäther, Amylalkohol und 
Chloroform. Dijodeinehonin mit größerer Menge Alkohol unter Rück- 
fluBkühler erhitzt, löst sich ziemlich geschwinde auf. wird aber 
dabei zersetzt, und beim Abkühlen scheiden sich aus soleher Lösung 
keine kristallinischen Körper ab. Dijodchinidin löst sich in warmem 
Alkohol viel leichter auf und kann bei gewisser Vorsicht aus 
90°/,-igem Alkohol umkristallisiert werden; es ist aber angezeigt, 
dasselbe nicht zum Sieden zu erhitzen. Bei wiederholtem Umkristal- 
lisieren erhält man sicher ein jodärmeres Produkt, da der Jodver- 


1) B. d. d, Chem. Ges. 17, S. 1995. 1884; 19, 2856. 1886. 


138 


lust von 1°/, bis 1°5°/, steigt; dieser Jodverlust kann durch Hin- 
zufügen einer geringen Menge CS,-Jodlisung zu der Flüssigkeit 
vor dem Filtrieren vermieden werden. 

Jedenfalls sind warmer Methyl- und Äthylalkohol die einzi- 
gen Lösungsmittel, wenn man Dijodeinchonin oder Dijodchini- 
din gewissen Reaktionen unterziehen will, bei denen der Zusammen- 
hang zwischen der Jod- und Alkaloidmolekel weder eine Auflö- 
sung noch eine Veränderung zu erleiden scheint. 

Erwärmt man eben gepulvertes Dijodeinehonin mit Jodmethyl 
und Alkohol unter Rückflußkühler, so tritt eine Verbindung zwi- 
schen Dijodeinchonin und einer Molekel Jodmethyl ein, indem ein 
Körper von der Zusammensetzung C,,H,,N,O.CH,J entsteht; Di- 
jodehinidin reagiert mit Jodmethyl, Jodäthyl und sogar mit anderen 
Hologenalkylen, wie z. B. mit C,H;Br. Die Fähigkeit des Dijodchi- 
nidins, auch andere höhere Halogenalkyle aufzunehmen, hängt wahr- 
scheinlich mit seiner größeren Stabilität beim Erwärmen mit Alko- 
hol zusammen. Die Produkte der letztgenannten Reaktionen gehören 
zur Reihe der Superjodide, die ungemein leicht in Aceton und 
ziemlich leicht in Alkohol löslich sind und das charakteristische 
System 


CH (/5 Hv 
SNC i oder MNA i 
A AT Via JJ 


besitzen, außer den zwei schon in Dijodderivaten befindlichen Jod- 
atomen. 

Die Tatsache, daß die Verbindungen C,,H,,N,0J. . CH, J 
C,;H,,N,0,J,. CH;J, €O,,H,,N504,J,. C,H;J u. s. w. durch vorheri- 
ges Einführen von zwei Atomen Jod und nachheriges Hinzufügen 
von einer Molekel Haloidalkyl entstehen, spricht gegen die Annahme, 
daß diese zwei Jodatome mit dem Rest der Molekel vermittels des 
am Stickstoff stehenden Jods verbunden sein sollen, und bezeugt 
die gegenseitige Unabhängigkeit jener zwei „Jodgestalten“. 

Man kann die Reihenfolge ändern, indem man vorerst eine Mo- 
lekel Jodmethyl, resp. Jodäthyl hinzufügt und die auf diese Weise 
erhaltene Jodalkylverbindung der Jodierung auf eben dieselbe 
Weise wie bei freier Base unterwirft. 

Man bekommt in diesem Falle ein mit dem früheren ganz iden- 
tisches Produkt. das dieselbe Zusammensetzung und dieselben che- 
mischen Eigenschaften, denselben Schmelzpunkt und dieselbe kri- 


739 


stallinische Struktur besitzt. Auf diese letzte Weise hat eben Jür- 
gensen seine Superjodide der Chinabasen erhalten; sein Verfahren 
zeigte nur den Unterschied, daß er in größeren Verdünnungen und 
häufig auch mit wäßrigem Alkohol operierte, da er nieht CS,-. son- 
dern Alkoholjodlösung gebrauchte. : 

Die von ihm dargestellten Superjodide besitzen um 209 — 25° 
niedrigere Schmelzpunkte als die meinigen; es ist höchst wahr- 
scheinlieh, daß sie Kristallisationswasser enthielten. 

In seinen Superjodiden bestimmte Jörgensen nur den Jodge- 
halt, indem er dieselben mit Zink und Ammoniak zerlegte und das 
Filtrat mit Silbernitrat fällte. Es konnten wohl bei der Aufstellung 
der Formel für so große Molekeln auf Grund der Jodzahl allein 
Differenzen bezüglich anderer Elemente oder Gruppen entstehen. 
Die totale Analyse wurde von ihm nur für Cinchoninsuperjodid !) 
ausgeführt, in welchem er auch die Anwesenheit einer Molekel 
Kristallisationswasser feststellte, wobei er als Formel desselben 
Cal, N-O: . H,O aufstellte (für Cinchonin war damals bekannt- 
lich die Formel C,,H,,N,O in Geltung). Die von mir beabsichtigten 
kristallographischen Messungen werden wahrscheinlich auf diese 
Frage ein besseres Licht werfen; ebenso hoffe ich durch Umkristal- 
lisieren meiner Superjodide aus wäßrigem Alkohol Körper zu erhal- 
ten, die die Schmelzpunkte der Jirgensen’schen Superjodide 
besitzen. 

Die Bestimmung des Kohlenstoffs und Wasserstoffs in den wei- 
ter unten beschriebenen Präparaten wurde in einer mit Kupferoxyd 
gefüllten und neben einer kupfernen Spirale noch mit einer sil- 
bernen Spirale versehenen Röhre ausgeführt. Die Jodbestimmung 
wurde nach Carius und nach Pringsheim?) durch Verbrennen 
der Substanz mit Hilfe des Natriumsuperoxyds in einem speziellen 
Tiegelehen ausgeführt. Diese letztere Methode gab bei sorgfältiger 
Ausführung ganz gute Resultate, die mit den nach Carius erhalte- 
nen sehr gut stimmten. 

Die Bestimmung des Jods nach Carius in den an Jod so rei- 
chen (gegen 50°/,) Körpern erwies sich jedoch immer als die zu- 
verlässigste und entsprechendste, umsomehr da es in diesem F alle 
vollständig genügte, die Röhre nur auf 220—240° zu erwärmen. 


1) Journal f. Prakt. Ch. [2] 3, S. 149, 150. 1871. 
2) Ber. d. deut. chem. Ges. 36, 4244. 1903; 38, 2459. 1905; 41, 4267. 1908, 


Bulletin III. Mai. SE) 


740 


In den Superjodiden können ?/, der ganzen Jodmenge, also die 
den zwei Atomen entsprechende Menge, maßanalytisch bestimmt wer- 
den, wenn man 0°5—0°8 g Superjodid in 15—20 g Aceton auflöst, 
wobei sich dieser braun färbt, und mit 1/,, n Natriumthiosulfatlö- 
sung bis zur Entfärbung, welche ganz scharf zustande kommt. 
titriert. 

Kippenberger, der als erster die charakteristische Lösungs- 
fähigkeit der Alkaloidperjodide in Aceton beobachtete, berichtet 
über seine Versuche, solehe Lösungen mit Natriumthiosulfatlösung 
zu titrieren; er war aber mit den Resultaten wenig zufrieden, weil 
diese immer zu niedrig ausfielen; die bei der Bestimmung verloren 
gegangene Jodmenge war immer ziemlich hoch, wenn die Aceton- 
superjodidlösung vor der Bestimmung längere Zeit (einige Stunden) 
stehen gelassen wurde. Die Ursache davon ist, daß das Jod sogar 
in neutralen Lösungen auf Aceton einwirkt; und in diesem Falle 
muß eine langsame Jodabspaltung vor sich gehen. Der Verfasser 
hat sich aber überzeugt. daß man ganz unbedeutende Differenzen 
bekommt, „wenn man sofort nach dem Auflösen des Superjodids 
in Aceton titriert“ 1). Leider gibt er aber die Zahlen nicht an. Ich 
habe mich überzeugt, daß die Resultate genügend genau sind, wenn 
man reine, troekene Superjodide, die genau in einem kleinen Er- 
lenmayerkolben abgewogen werden sollen, und als Lösungsmittel 


ganz reines, trockenes Aceton verwendet. Es ist selbstverständlich, 


daß die Titration sofort nach Auflösung des Superjodids ausgeführt 
werden kann und muß; eine Verzögerung der Titration um 15—20 
Minuten ist jedoch ohne jede Bedeutung. Jörgensen hat einige 
in kaltem Alkohol leicht lösliche Superjodide, wie Cinchonin- und 
Morphin-Superjodid. in alkoholischen Lösungen mit Natriumthiosulfat 
titriert und dabei gute Resultate erhalten, die den ?/, resp. ?/, des 
ganzen Jods entsprachen. Diese Zi resp. ?/, sind, wie er sagt, loser 
gebunden. Aber die Anwendung von Aceton ermöglieht und verein- 
facht die Titration aller Superjodide. 


Dijodcinchonin 


bildet orangegelbe Kriställehen, die, unter dem Mikroskope betrach- 
tet, kurze, immer einartige Prismen darstellen. Der Schmelzpunkt, 
der zugleich auch Zersetzungspunkt ist, wurde zu 147 — 149? be- 


1) Z. f. Anal. Chem., 35, S. 407. 


Dnm -———— SS a ——— 


741 


stimmt. Die Kristalle sind schwer und sinken in der Fliissigkeit 
leicht zu Boden. Man sammelt sie am besten auf einem harten Filter 
unter vermindertem Druck und wiischt mit Alkohol und Ather aus. 


Analyse: 
0:1926 e Sub. gaben 0:294 CO, und 0:0752 H,O 
ON TAO yore »  8:5 em? N bei t? 20° und Druck 742 mm 


02109, » 0181 g Ag] (Carius) 
Gefunden Berechnet nach der Formel 

CH, BO), 
Gleck C°/, = 41°61 
H°/, = 437 A = 05 
N° = 545 NY m 512 
J0/,— 46:31 J°/, — 46:30 

Dijodchinidin 


bildet ein analoges Produkt. Der Schmelzpunkt und zugleich Zer- 
setzungspunkt 157—159°. 


Analyse: 
01797 g Sub. gaben 02714 CO, und 0:0683 H,O 
QD n 2201703 > a ASJ (Carins) 


Gefunden Berechnet nach der Formel 
C; H3,N5,0,J, 
Qo/, — 41:19 C°/, — 41:52 
H?/,— 426 TO al 
J9/, = 43:94 J?/, — 43:89 


Cinchoninsuperjodid (Dijodcinchoninhydrojodid). 
Cra Hes Ns OT HJ ECK 

Wenn man bei Einwirkung von Jod auf Cinchonin etwa 10 — 
15°/, Jod mehr verwendet, als theoretisch zur Bildung von Dijod- 
einehonin nötig, so wird die Qualität des erhaltenen Produktes gar 
nicht beeinträchtigt, die quantitative Ausbeute aber erleidet eine 
erhebliche Verminderung. 

Die von der kristallinischen Masse abfiltrierte Flüssigkeit hin- 
terläßt beim freien Abdampfen an der Luft in einem flachen Ge- 
fäße eine dunkle, mehr oder weniger spröde Masse, die eine etwas 

3* 


142 


unbestimmte kristallinische Struktur aufweist. Das Umkristallisie- 
ren aus 90—96°/,-igem Alkohol gelingt nicht. In 50°/,-igem Alkohol 
in der Wärme löst sich der größte Teil dieses Rückstands auf und 
beim längeren Stehen nach Abkühlung scheiden sich aus der Lö- 
sung schöne kirschrotgefürbte Kristalle aus vom Schmelzpunkt 
89 — 91° Diese Kriställehen lösen sich außerordentlich leicht in 
Aceton und sind, wie sich aus ihrer Analyse erweist, nichts an- 
deres als ein Superjodid des Cinchonins mit einer Molekel Kri- 
stallisationswasser. 


Analyse: 
071992 g Substanz gaben 02414 CO, und 0:0835 H,O 
02074 „ d » 0211 € As) 
Gefunden Berechnet naeh der Formel 
(H2 NSOJSEIJOSEDO 
0%, = 39:05 Oil = 32:86 
Hor E de Be SRE a 
J0/, — 54:97 J°/, — 54:85 


Zur Entfärbung von 07277 g Substanz. welche in 25 g Aceton 
gelöst war, wurden 20°75 em? Natriumthiosulfatlósung verbraucht, 
von der 1 em? 0:012543 g Jod entspricht. 

Diese Menge Natriumthiosulfat ensprieht 35°78°/, J und nach 
der obigen Formel entsprechen zwei Atome 36/56", Jod. 


Das Produkt der Einwirkung des Jodmethyls auf Dijodcinchonin. 
Dijodcinchoninjodmethylat. 
CIS Hes Ne OJSC ELSE 

Wenn man das gepulverte Dijodeinehonin mit etwas mehr als 
einer Molekel Jodmethyl und 20—30-facher Menge 96°/,-igen Al- 
kohol erwärmt, so geht es in Lösung über, aus welcher sich spä- 
ter dunkle Kristalle abscheiden. Man filtriert und wäscht sie wie 
gewöhnlich und trocknet im Exsikkator. Sie schmelzen und zerset- 
zen sich bei 193 — 195°. In Aceton lösen sie sich außerordentlich 
leicht. 


Analyse: 


0:1875 g Substanz gaben 0:24085 CO, und 0:0629 H,O 
017939, , 01832 AgJ. 


— 


n 


oe ee Cee Se TS ae wf 


— —"— R E 


743 


Getunden Berechnet nach der Formel 
C,,H5,N,0J, . CHjJ 
Co), = 35°02 C°/, = 34:79 
E 208716 Hop == 3:65 
IN 552 J0/, =55:16 


Zur Entfärbung von 07045 g in Aceton gelöster Substanz wur- 
den 2015 em? der oben erwähnten Natriumthiosulfatlósung ver- 
braucht. Dies entspricht 35°88°/, Jod; J, beträgt in Prozenten be- 
rechnet nach der obigen Formel, 36°78°/,. 

Da das von Jórgensen aus Jodmethyleinehonin erhaltene 
Superjodid, von demselben Methyleinchonintrijodid genannt, den 
Schmelzpunkt 161 — 162° besaß, so lag die Vermutung nahe, daß 
bei Einwirkung von Jodmethyl auf Dijodcinchonin das Jodmethyl 
sich am N-Atome in dem Lepidin- und nicht in dem Loiponteile 
des Alkaloids binde Diese Vermutung ist aber nicht richtig. 

Das nach Freund!) und Rosenstein oder Stahlschmidt ?) 
dargestellte Jodmethyleinchonin wurde durch Umkristallisieren ge- 
reinigt, so daß sein Schmelzpunkt genau bei 254° lag; sodann wurde 
es mit CS,-Jodlüsung versetzt. Das Produkt der Reaktion war mit 
dem bei Einwirkung von Jodmethyl auf Dijodeinchonin erhaltenen 
identisch. Schmelzpunkt 195°—196°. 

Ein anderes Präparat ergab 194—195°. 


Jodbestimmung. 
0:2102 g Subst. gaben 02142 g AgJ. 
Gefunden Berechnet 
JY = 55:05 Jeo = 0910 


Auf 0:447 g der in Alkohol gelösten Substanz wurden 127 cm? 
der oben genannten Natriumthiosulfatlösung verbraucht. 


Gefunden Berechnet 
Jen — 53:69 Je 230718 


Dijodeinehonin verbindet sich nicht mit Jodäthyl. Bei dem 
wie bei Methylierung analog angestellten Versuche scheiden sich 
aus der alkoholischen Lösung auch bei längerem Stehen keine Kri- 


1) Ann. 277 (277) 1893. 
2) Ann, 90 (219). 


744 


stalle aus. An der Luft abgedampft, gibt die Lösung einen Rück- 
stand von unbestimmt kristallinischer Struktur, der nach Umkristal- 
lisieren aus 50"/,-igem Alkohol sich einfach als Cinchoninsuper- 
jodid von der Formel ©,,H,,N,OJ,HJ.H,Q0 und Schmelzpunkt 
89 — 91? erweist. 

Das a-Jodüthyleinchonin (nicht aber das Skraup’sche isomere 
B-Jodäthyleinchonin) gibt aber bei auf gewöhnlichem Wege durchge- 
führter Jodierung ein Trijodderivat. Dieses Superjodid schmilzt bei 
160 — 162°, während der Schmelzpunkt des von Jórgensen dar- 
gestellten Athyleinchonintrijodids bei 141 — 142° liegt. 


Analyse: 
02017 g Subst. gaben 0:2670 CO, 
0:1675 g Subst. gaben 0:1664 Agl 


Gefunden Berechnet nach der Formel 
C,, Haha. G;H;J-1-J; 
Ch 3640 C°/, = 35:81 
Jo =a 68 J == D407 


Das einfachste Superjodid des Chinidins habe ich in kristalli- 
nischer Form nicht erhalten können. 


Das Produkt der Einwirkung des Jodmethyls auf Dijodchinidin. 
Dijodchinidinjodmethylat C,,H,,N,O0,J, .CH,J. 
Dijodehinidin mit Jodmethyl gab, wie oben behandelt, einen 
schönen kristallinischen Körper, der etwas heller zimmtfärbig ist 
als die Superjodide des Cinchonins. Der Schmelzpunkt verschie- 
dener Präparate beträgt 195 — 197°, 195 — 196°, 194°. 


Analyse: 
01722 g Substanz gaben 02196 CO, und 0:0587 H,O 
0:1930 „ 3 „ 01885 Ag) 
Gefunden Berechnet nach der Formel 
CHAN Orden GEM 
C°/, — 3478 Däi. 2:35:01 
js un: Hal Nas 
J%/, = 52°77 Jo/, = 52:86 


Zur Entfärbung von 05351 g Subst. wurden 15°0 em? Natrium- 
thiosulfatlüsung verbraucht. 





745 


Gefunden Berechnet nach der Formel 
Co eNO. CHS 
Jh == 35:16 Jo", d = 3524 


Vergleichshalber habe ich das Jodmethylat des Chinidins dar- 
gestellt und dasselbe nach Auflösen in heißem Alkohol mit CS,- 
Jodlösung behandelt. Das auf diese Weise erhaltene Produkt war 
mit dem obigen identisch; sein Schmelzpunkt beträgt 194 — 195°. 
Das entsprechende: Superjodid Jörgensen’s schmolz bei 164 — 
165° 1), 

Die Jodbestimmung in meinem Superjodid ergab folgende Re- 
sultate: 


0:1879 e Subst. gaben 0:1839 AgJ (Pringsheim). 


Gefunden Berechnet 
J°/, = 52:88 J/g 92:86 


Zur Entfärbung von 07236 g meines in Aceton gelösten Super- 
jodids wurde 1) 20:2 em? Natriumthiosulfat verbraucht 2) von 
0:7882 g — 22:15 ems. 


Gefunden Berechnet 
1) J°/, — 35.020), : del — 9074 
ZI ERES E 


Das Produkt der Einwirkung des Jodàthyls auf Dijodchinidin. 
Dijodchinidinjodäthylat C,,H,,N,O,J, C, HJ 

wird auf analoge Weise erhalten; die Ausbeute ist viel kleiner. 

Dasselbe ist ein kristallinischer, zimmtgelbgefärbter Körper, der sich 

in kaltem Alkohol viel leichter als die früheren Superjodide löst. 

In heißem Alkohol löst er sich sehr leicht. Schmelzpunkt 176°—178° 


Analyse: 
0:1965 e Subst. gaben 0:1876 g AgJ. 


Gefunden Berechnet nach der Formel 
C,,H,,N,0,J, . C,H; J 
TO OOS Jen 2189 


Titration: Zur Enfärbung von 0:7156 g des in Alkohol gelösten 
Superjodids wurden 194 em? Natriumthiosulfat verbraucht. 


746 


Gefunden Berechnet fiir J, 
J°/, = 34:36 J0/, = 34:57 


Über die Produkte der Einwirkung des Brommethyls und an- 
derer Halogenalkylate auf die beschriebenen Dijodderivate werde 
ich später berichten. 

Was die Dijodderivate anderer Alkaloide betrifft, so habe ich 
folgende erhalten: 

Dijodpapaverin (goldgefärbte Nadeln, Schm.-P. 126°—127°), Di- 
jodberberin (dunkelgelbe Nädelchen), ein Jodderivat des Narceins, 
Dijodthebain (rote Prismen. dem Dijodstrychnin sehr ähnlich), da- 
gegen konnte ich entsprechende Körper weder aus dem in Alkohol 
schwer lösliehen Morphin, noch aus dem leicht in Alkohol lösli- 
chen Kodein erhalten. Ebenso mißglückten mir die Versuche mit 
Akonitin, Kolchicin und Veratrin. Mit den Studium der Jod- und 
Bromderivate des Chinins ist zur Zeit, so viel ich weiß, Dr. J. 
Buraczewski, mit dem ich gemeinschaftliche Studien über die 
Jodderivate der Alkaloide begonnen habe, beschäftigt. Aus den 
bisher erhaltenen Resultaten kann man schließen, daß die Fähigkeit. 
additive Dijodderivate zu bilden, denjenigen Alkaloiden eigen ist, 
die den Chinolin- oder Isochinolinkern besitzen. 

Diese Verbindungen konnte" man als jodsubstituierte Dihydro- 
chinolinderivate betrachten. 

Zu dieser Auffassung berechtigt uns die Tatsache, daß entspre- 
chende Derivate der einfachsten Chinolinkörper wirklich existieren 
(Dijodchinolin ete.) +). 


31. Aglutynacya 1 hemoliza ciatek krwi za pomocą soli 
metali ciężkich. — Agglutination und Hämolyse von 
roten Blutkörperchen unter dem Einfluß von Salzen 
schwerer Metalle. Mémoire de MM. J. DUNIN - BORKOWSKI et 
Z. SZYMANOWSKI, présenté par M. L. Marchlewski m. t. 


Die Forschung nach hämolytisch wirksamen Verbindungen wird 
heutzutage mit Eifer betrieben. Diese Forschung bezieht sich jedoch 


1) Die entsprechende Literatur siehe bei Roscoe-Schorlemmer, Lehrbuch 
der Organischen Chemie. Band VII, S. 535. 


zu. 


147 


vorwiegend auf die Wirkung von Säuren, Basen und orga- 
nischen Verbindungen; dagegen sind die anorganischen Salze 
fast unbeachtet geblieben. Für die Theorie der Hämolvse wäre es 
wichtig zu wissen, inwiefern die hämolytische oder agelutinierende 
Wirkung einer Verbindung der chemischen Verwandtschaft der 
Elemente parallel ist. So z. B. wissen wir nicht, ob die mit den 
Quecksilbersalzen so nahe verwandten Kupfersalze gleichfalls eine 
starke hämolytische Wirkung entfalten. Das Wesen der Agglutina- 
tion ist bis jetzt noch wenig aufgeklärt. Man sollte erwarten, daß 
eine Blutkörperchensuspension sich unter gewissen Umständen ähn- 
lich verhält wie eine Kolloidemulsion. 

Unsere Versuche haben orientierenden Charakter; sie verfolgen 
den Zweck, Tatsachenmaterial zu liefern, um tieferes Eindringen 
in das Wesen der hämolytischen und der Agglutinationsreaktion 
zu ermöglichen. 

Die zum Versuch verwendeten Blutkörperchen sind zunächst 
mindestens dreimal in isotonischer, 1:3070/, Lösung von reinstem 
NaNO, (Kahlbaum) gewaschen worden. Als Reagentien wurden 
nur reinste Präparate von Merck benutzt, gleichfalls in 1:307°/, 
NaNO,-Lösung. Es wurde nach der üblichen Methodik der hämoly- 
tischen Untersuchungen verfahren. In eine Reihe möglichst gleicher 
Eprouvetten wurde zunächst die hämolysierende Lösung gegossen 
und mit physiologischer NaNO,-Lösung bis 5 cem aufgefüllt; dann 
wurden 5 cem einer 4°/, Blutkürperchensuspension zugefügt. Nach 
genauer Durehmisehung kamen die Röhrchen auf 2 Stunden in 
einen Brutschrank von 37° und dann auf 12 Stunden in den Eis- 
kasten. 

Leichte Metalle und alkalische Erden haben wir bei Seite ge- 
lassen, da die Untersuchungen iiber Isotonie eine Fiille von dies- 
beziiglichen Tatsachen enthalten. 

Versuche mit Eisensalzen haben wir in der Literatur fast 
nicht gefunden, wenn wir von einer Mitteilung tiber die Wirkung 
der Adsorption von kolloidalem Eisen durch Blutkörperchen auf 
die hämolytische Wirkung des Saponins !) absehen. 

Unsere Versuche sind in den Tabellen I und IA zusammen- 
gestellt: 


1) Comptes Rendus de la Soc. de Biologie, Band 61, SS. 39, 41, 124, 1906. 


748 


TABELLE I. 


FeSO, Hämol FeCl, Hämol 
0:001 n 0:1—0:9 eem 0%, 0001 x 01—09 cem £h 
0012 01 202 001n 01 4, Sedi- 
0:2 100 „ 0:2 4, ment 
0:3 100 „ 0:3 8, rot 
0:4 90% 04 LCE 
0:5 Flüssigkeit 0:5 
0:6 bierbraun, 0:6 
von zu- 
07 nehmender 07 154174 : 
0:8 E 08 Flüssigkeit und 
0-9 Re ag 0-9 Sediment braun 
Oia OA 0.1 rst 
02 Der Nieder- 02 | 
0:3 schlag wird 0:3 
04 immer 0:4 
05 | zeichlicher 05 Flüssigkeit hellgelb 
06 | 06 | Sediment grau, 
15 EE 15 kompakt 
2-0) Fl. hellgelb | Niederschlag 2-0 
4:0 F1. wasserklar| braun 4-0 
TABELLE IA. 
Fe(NO;), 
0:25°/, 01 cem 
02 Flüssigkeit klar, farblos; Blutkörperchen 
0:3 mikroskopisch unverändert, deutlich am 
075 Boden agglutiniert 
0*6 
07 Flüssigkeit gelblich 
0:8 Flüssigkeit gelblich-rot 
0:9 
25°, 01 | Hämolyse zirka 40°/,, 
0:3 Niederschlag flockig 
0:5 | 


07—40 eem Blutkörperchen im Sediment (von schwarzer 
Farbe) gut erhalten 


Nach unseren Versuchsergebnissen wird vollständige Hämolyse 
nur dureh FeSO, erzeugt. Der Farbenumschlag bei 0:5—0'9 eem 





749 


einer 0‘01-normalen Lösung wird wahrscheinlich durch sekundäre 
Einwirkung von Eisen auf die hämolysierte Flüssigkeit verursacht. 
Das Sediment ist flockig und enthält keine Blutkörperchen. Ganz 
anders als FeSO, und FeCl, verhält sich Fe(NO,),. Bei den schwäch- 
sten Konzentrationen 0'1 — 06 eem einer 0:25?/ Lösung erfolgt 
eine deutliche Agglutination von morphologisch unveränderten. rot 
gefärbten Blutkörperchen. Von 0'7 eem ab bekommt die Flüssig- 
keit eine rötlich-gelbe Farbe von zunehmender Sättigung; die Blut- 
körperchen werden dunkel und trübe; das Sediment zeigt immer 
mehr flockige Beschaffenheit, die Farbe der Flüssigkeit, welche je- 
denfalls als Effekt einer der Hämolyse sehr nahe stehenden Er- 
scheinung zu betrachten ist, erreicht bis 40°, der Skala. Weiter 
wird die Farbe immer heller, die Blutkörperchen bilden einen kom- 
pakten, fast schwarzen Klumpen am Boden der Eprouvette und 
sind mikroskopisch fast unverändert geblieben. 

Mangansalze erzeugen weder Hämolyse noch Agglutination. 

Chromsalze sind für hämolytische Beobachtungen wegen 
ihrer intensiven Farbe wenig geeignet, CrO, wirkt agglutinierend; 
in Gegenwart von 0‘1—09 ccm einer 0:01°/, Lösung wird das 
anfänglich rote Blutkörperchensediment nach und nach chokolade- 
braun; von OD eem einer 01?/, CrO,-Lósung ab wird das Sedi- 
ment intensiv braun gefürbt. 

Kobalt- und Niekelsalze wirken verschieden. CoSO, und 
NiSO, sind hämolytisch unwirksam. Anders verhalten sich die Chlo- 
ride dieser Metalle. 


TABELLE IL. 








CoCl, .6H,O NiC], . 6H,O 
Ol n O1—05 cem O0 0 
Lu 30¢/, 0 
20 40 n 0 DER 
30 Dh 0 ON 
4:0 40 Spuren von 0 Agglutination 
5:0 30 "DR TEL NE gg von zunehmen- 
6:0 30 R 0 | der Stärke 
? 
70 25 » 0 Vollständige Agglu- 
S tination, Blutkörper- 
8-0 20 , Bo en mur Do: 
9:0 20 5 0 | den zusammengeballt 


750 


Zinksalze (ZnCl, und ZnSO,) in ul »-Lósung wirken stark 
agglutinierend, ohne die rote Farbe der Blutkörperchen zu verändern. 

Kupferchlorid (CuCl,) agglutiniert ebenfalls sehr stark schon 
in 0:001 »-Lüsung. ohne Hümolyse zu erzeugen. 


0:001 x O01 eem 


02 Hämolyse — 0 
0:5 Agglutination sehr stark, 
ro Sediment rot 
2:0 
3:0— 9:0 Sediment grau bis braun. 


Eine 0:1 #-CuCl,-Lüsung agglutiniert nahezu momentan. 
Von den Bleisalzen haben wir Pb(NO,), und PbCl, unter- 
sucht. 


TABELLE III. | 
Pb(NO,), PbCl, 


001 x 01—09 cem | er (e gesättigt O1 eem Ov, 
01 » 0-2 Freck 0-2 Ei 
0:3 15, 0:4 —0:9 GK: 
0:4—0:6 15, gesättigt 01 De 
0-7—0°9 TA 0:2 30 „ 
1-5 Je 03 60 , 
2:0 ae 04 50. 
40 0:5 40 „ 
50 | 0:6—0:8 en 
60 0, 15 10 
70 | 40 Ds 


Über die Wirkung der Bleisalze berichtet Preti?) Bleinitrat 
soll die stärkste, das Hydroxyd die schwächste Wirkung ausüben; 
das Phosphat und das Karbonat sind unwirksam; nach unseren 
Erfahrungen wirkt PbCl, stärker als Pb(NO,),. 

Für die Versuche mit Silbersalzen wurden die Blutkörper- 
chen so lange mit NaNO, gewaschen, bis das Waschwasser keine 
Reaktion mehr auf Chlorionen gab. Die Silbersalze zeichnen sich 
durch außerordentlich starke hämolytische Reaktion aus: auch in 
Zimmertemperatur dauert die vollständige Lösung nur wenige Mi- 


1) C. R. de la Soc. de Biol. 65, S. 52. 1908. 





WETTER 


751 


nuten. In stärkeren Konzentrationen wird die Hämolyse schwächer. 
die Blutkörperchen klumpen sich rasch am Boden der Eprouvetten 
zusammen, wobei sie morphologisch fast unverändert bleiben. ob- 
gleich das Sediment einen Farbenumschlag aufweist. Dabei ist eine 
eigentümliche Erscheinung zu notieren: bei einer gewissen, gewühn- 
lich für das gegebene Salz konstanten Konzentration — in der Ta- 
belle mit * bezeichnet — bleibt das Sediment fast in der ganzen 
Flüssigkeitsmenge verteilt und fällt nur äußerst langsam nieder. 
Wir haben hier mit einer auffallenden Hemmung der Sedimentie- 
rung zu tun, welche bei allen Silbersalzen auftritt; man könnte 
hier von partieller Agglutination sprechen, da die Blutkörperchen 
in kleinen Klümpchen zusammengeballt, nicht vereinzelt auftreten. 
Bei etwas stärkerer Konzentration, in den nächst folgenden Röhr- 
chen, findet eine sehr starke Agglutination statt: die Blutkörperchen 
fallen fast momentan zu Boden und geben auch mikroskopisch das 
typische Bild der Agglutination. Am schönsten tritt diese Erschei- 
nung auf mit Borsilber in einer Konzentration von 05—07 eem 
einer gesättigten Lösung. Überhaupt erzeugen alle Silbersalze in 
Konzentrationen, die höher sind als diejenigen, welche die vollstän- 
dige Hämolyse herbeiführen, eine typische Agglutination, wobei die 
Blutkörperchen mit erhöhter Geschwindigkeit zu Boden sinken und 
eharakteristische Klümpchen bilden. Gleichzeitig ist ein deutlicher 
Farbenumschlag zu verzeichnen: die Blutkörperchen gewinnen eine 
exquisit chokoladebraune Farbe, obgleich sie morphologisch un- 
verändert bleiben. 


TABELLE IV. 


AgNO; AgClO, 
000022 30:07 eem. . 1°) 01 cem 400), 
0:2 SIE: 0:2—0:3 40 „ 
0:3 TO 0:4—0:5 DU 
04 80 , 07 60 ,, 
0-5 Oe 0:8 70 , 
0:6— 0:9 100 „ 0:9 307 
0:002 n 01—09 OOE 01—09 100 , 
0:01 n 0:2 I" 0:1— 0:6 100 , 
0:4 80 , 0:8 60 ,, 
0:6 "LOS Ue 1:0 HO 


0:8 10 1:2 40, * 


1:0 eem 60°), 14 eem 192/75 
1:5 25 , 1:6 6% 
2:0 9 1:8 6, 
2-5 Bis 2:0 65 
30 0, 40 Org 
TABELLE V. 
Silbersulfat Siberborat 
n 10 cem = 6'5 cem 01 AgNO, — n 10 cem = 12 eem 01” AgNO, 
0:001 2 01 eem 0%, OO rt sO “ceme ol EI 
0:3 Ki 0:3 20 , 
05 SP 0:4—0:5 25; 
0-8 80 , Up 50 „ 
0:01 n 0:1 100 „ 07 OS 
02—09 100% 0:8—0:9 100 „ 
01 2 01 100 „ 01 x 01--09 100 „ 
^  092--09 100 „ n 0:1—0:5 100 „ 
n 01 100 „ 0-6 JUS 
0:2 TO. 07 50 „ 
0:3 Hr 08 30 , 
04—2:0 HK 0-9 20 „ 
30 ÄIS Lu S, 
40 Dr, 15 Aë 
TABELLE VI. 
KAg(CN), Arg. lactic. (gesättigt = n) 
QI Mie eeng 0), 001 na 001 eem 3%, 
02 I, 0:03 6% 
0:3 ir; 0:05 107 
0:4 6. 01 100 „ 
0:5 DE 03—10 1005 
0:6 25 „ 1:0—5:0 100 „ 
07 30 „ n 01 20 
US 40 „ 0:8 0), 
0:9 50!» 05 03 
05 n "02 90% 0:8 Ds 
04 100 „ 1:0—5:0 dë 


06—48 100 , 


753 


TABELLE VII. 
Arg. colloidale (0°2 g in 1000 eem NaNO.) 
0:01 eem =  109/, 


0:02 30 , 
0:05 100 „ 

01 100 , 

03 100 E 

0:5 100 i | Flüssigkeit dunkelsch warz 


KAg(CN), verhält sich ganz anders als die übrigen Silbersalze; 
die Hümolyse beginnt bei viel hóheren Konzentrationen und selbst 
48 eem 1/, n-Lösung erzeugt noch keine Agglutination. Man könnte 
denken, daß die Agglutination in höherem Grade als die Hämolyse 
von der Konzentration der freien Ionen abhängig sei. “Diese An- 
nahme wird unterstützt dureh die Wirkungsweise von AgNO,, 
AgClO, und Ag,SO,, welche bei folgenden Konzentrationen Agglu- 
tination erzeugen: 


0:3 eem AgNO, 0-1 » 0:39 cem Ag,SO, 0-1 x 04 cem AgCIO, 01 x. 
Wismutsalze sind sehr schwer löslich: sogar in gesättigten 
Lösungen wird keine Wirkung auf die roten Blutkörperchen ausge- 


übt. Man kann die Löslichkeit durch Säurezusatz steigern, dann aber 
muß die hämolytische Wirkung derselben berücksichtigt werden. 


TABELLE VIII. 


Bi,O, gesätt. in 1/,, n HNO, END ar 
0277 cem. 02, Weccm 70 
0:5 0, 0-5 ZE: 
0 8—2:0 Oe 08 107 
30 Du 1:0 103 
4-0 To 2:0—':0 40 „ 
50 205, 8:0 207; 
60— 90 60 „ 9:0 20',, 


Bi(NO,), gesätt. in 1/4 » HNO; 
0:2 ecm 10°/, 


0:5 10 , 
0:8—1:0 10, 
20—70 40 , 


8:0— 9:0 20, 


154 


Somit verhält sich Bi O; der Säure gegenüber wie eine schwa- 
che Base, da es deren hämolytische Wirkung herabsetzt. Mit zu- 
nehmender Konzentration wird die Hämolyse stärker und übertrifft 
sogar die Wirkung der Säure. Wismutnitrat verhält sich anders. 
indem es von vornherein die Säurewirkung verstärkt. 


TABELLE IX. 
SbCl, — gesättigte Lösung 
loo gesätt. 40 eem 100°, 
50 80, — Flüssigkeit braun 
6:0— 90 60 „ — Niederschlag 
Gesätt. 01—30 10% 
40 — 90 05 


SbCl, wird bekanntlich durch Wasser zersetzt; es bilden sich 
Oxychlorverbindungen, die weiter in Oxyde und HCl zerfallen; die 
Anwesenheit des letzteren verursacht wahrscheinlich die starke Hä- 
molyse. 

As,O, in gesättigter Lösung erzeugt weder Hämolyse noch 
Agglutination. 


TABELLE X. TABELLE XI. 
Na,AsO, 2 n SnCl, . 2H,0 
1:0 eem OT, 0:015; — 0/8 3 ween SE 
2-0 D 1:0 10 „ 
50 ek 12 15, 
6:0 10 1:5 30 „ 
70 Ke 2:0 30 , 
8:0 DIE 25 50 ,, 
9:0 20 „ 40 60 ,, 
5-0 80 ,, 
Ol» 0:8 100 „ 
1:0—5:0 100 „ 


Die SnCl,-Kristalle sind gewöhnlich an der Oberfläche etwas 
oxydiert. so daß man keine vollständig klare Lösung bekommt; 
unsere 0'1 »-Lösung mußte filtriert werden. Die Farbe der hämo- 
lysierten Flüssigkeit ist durchwegs bräunlich. 

Goldsalze wirken sehr intensiv hämolytisch, aber sie agglu- 
tinieren auch in stärksten Konzentrationen nicht. Die Schätzung des 


155 


Hämolysegrades ist wegen der intensiv braunen Farbe der Lösung 
nur annähernd möglich. 

Platin wirkt ähnlich wie Gold, nur tritt bei höheren Konzen- 
trationen Agglutination auf. 


TABELLE XII. 


AuCl, 
0:020 mut. Lüge eem: -39/, 
0:2 10% 
0:3 OX, 
04 30, 
95 50 „ 
0:6 1007; 
0:8—1:0 100 , 
dee 0:1 100 = ns net a von 
0:5—08 100 ” er 
09 100, kein Niederschlag 
PtCl, 
0:3°/, 0:6—0'9 eem 100 
z 5:0 Je 


Wenn wir die Ergebnisse aller mit unserem Material angestell- 
ten Untersuchungen zusammenfassend betrachten, so sehen wir, daß 
die hämolysierende und agglutinierende Wirkung der Metallverbin- 
dungen weder zur Wertigkeit, noch zur chemischen Verwandtschaft 
und zur Konzentration, welche dem elektrolytischem Druck des 
Metalls entspricht, in irgend welcher Beziehung steht. 

Es drängt sich aber hier eine Reihe von anderen zum größten 
Teil neuen Fragen auf. Vor allem haben wir schon oben die Er- 
scheinung der Hemmung von Sedimentation agglutinierter Blutkör- 
perchen unter der Wirkung von Silbersalzen von ganz bestimmter 
Konzentration hervorgehoben; es besteht hier vielleicht eine Analogie 
mit der Stabilisierung der Kolloide. Ferner haben wir auch mehrere 
Male den Farbenumschlag der agglutinierten Blutkörperchen erwähnt. 
Die spektroskopische Untersuchung ergab die Anwesenheit von 
Oxyhämoglobin in den chokoladebraunen Blutkörperchen. Diese 
scheinbar paradoxe Tatsache ließe sich nur dadurch erklären, daß 
der Farbenumschlag sich vielleicht ausschließlich auf die Oberfläche 
der Blutkörperehen beschränkt, während die inneren Partien unver- 


Bulletin III. Mai. - 4 


756 


ändert bleiben. Eine exakte Feststellung dieser Tatsache wäre ein 
schlagender Beweis dafür, daß die Obertliichenschichten in der Ag- 
glutination der roten Blutkörperchen die entscheidende Rolle spielen 1). 

Besondere Aufmerksamkeit mußte der kombinierten Wirkung 
von zwei hämolytischen Verbindungen zugewendet werden. haupt- 
sächlich wegen des komplexen Charakters hämolytischer Sera. Be- 
kanntlich werden die roten Blutkörperchen erst dann durch inakti- 
ves hämolytisches Serum gelöst, wenn frisches normales Serum 
(Komplement) zugesetzt wird; es ist weiter bekannt, daß rote Blut- 
körperchen die Fähigkeit besitzen, aus inaktivem Serum dessen 
spezifische Bestandteile zu fixieren (Amboceptor). Die Wirkung von 
H,BO, und KCN bietet in dieser Beziehung eine weitgehende 
Analogie. 

Der Versuch wurde folgendermaßen angestellt. Die Blutkörper- 
chen wurden eine Zeitlang in Berührung mit KCN 2) belassen und 
dann abzentrifugiert. So vorbehandelte Blutkörperchen wurden von 
einer gesättigten Lösung von H,BO, aufgelöst, während frische 
Blutkörperchen in H,BO, keine Hämolyse zeigten. 

75 eem gründlich gewaschene Blutkörperchen wurden mit 35 
cem NaNO, und 75 eem 1/,, n KCN vermischt. Nach 1!/, Stun- 
den wurden die Blutkörperchen abzentrifugiert und mit ihnen die 
übliche Versuchsreihe mit gesättigtem H. BO, angestellt (Kolonne II). 
Gleichzeitig wurden Versuche (Kolonne I) mit frischen Blutkörper- 
chen mit gleichen Mengen von HBO, gemacht. In den in Ko- 
lonne III zusammengestellten Experimenten wurden zu frischen 
Blutkörperchen zu gleicher Zeit H;BO, und 0:1 eem inn KCN 


zugesetzt. 


1) Die oben angeführte Erklärung verdanken wir Herrn Prof. Cybulski. Die 
Beobachtungen am Spektroskop sind von uns vorläufig in zu bescheidenen Gren- 
zen ausgeführt worden, als-daß wir berechtigt wären, daraus weitergehende Schluß- 
folgerungen zu ziehen. Es wäre interessant zu untersuchen, ob die Geschwindig- 
keit und der Grad der Agglutination in irgend welcher Beziehung zu der Ab- 
nahme des Oxyhämoglobingehaltes steht. 

?| KCN wirkt zwar an und für sich hämolytisch, aber erst in erheblich stär- 
kerer Konzentration als die von uns in diesen Versuchen angewandten Lósungen 


mcd 


el 


~] 
En 


TABELLE XIII. 
Hämolyse in 0}, 


H,BO, gesittigt I IT ET 
0:5 0 9 0 
1:0 0 15 0 
15:5: 0 20 0 
2:0 0 30 0 
3:0 0 60 0 
4-0 0 80 0 


Die quantitative Bestimmung von KCN!) in der von den zen- 
trifugierten Blutkörperchen abpipettierten Lösung ergab, daß in der 
Kolonne II auf jedes Röhrchen 0:048 cem !/, n KON entfiel. 
10 eem der abpipettierten Lösung entspricht 31 eem Yo n 
AgNO,, so daß 42:5 cem der Lösung = 13:17 1/,, » AgNO,. Die 
von 75 eem Blutkörperchen fixierte Menge von KON = 15 — 
1317 = 1:83. Da in unseren Versuchen jedes Röhrchen 10 eem 
einer 2°/, Blutkörperchenaufschwemmung enthielt, befand sich in 
jedem Röhrchen der Kol. IL 0:048 je n KCN. Die in den Röhr- 
chen der Kol. III zugesetzte Menge ist mehr als zweimal größer; 
trotzdem aber ist hier die Hämolyse — 0. 

Ähnliche Ergebnisse erhielten wir mit der Wirkung von Fe- 
und Mn-Salzen auf cyanisierte Blutkörperchen; hier scheinen sich 
jedoch die Verhältnisse komplizierter zu gestalten wegen der zwi- 
schen den Salzen und KON auftretenden Niederschläge. 

Es muß hervorgehoben werden, daß diese Sensibilisierung von 
Blutkörperchen von der Wirkung von Doppelsalzen grundsätzlich 
verschieden ist; wir haben schon oben gesehen, daß z. B. KAg(CN), 
eine bedeutend schwächere Wirkung entfaltet als seine beiden Kom- 
ponenten. 

Zum Schluß erfüllen wir die angenehme Pflicht, Hrn. Prof. Dr. 
J. Nowak, in dessen Institute diese Untersuchung ausgeführt 
worden ist, unseren verbindlichsten Dank auszusprechen. 


Während der Drucklegung unserer Arbeit ist zu unserer Kennt- 
nis die Abhandlung von L. Hirschfeld?) gelangt, in welcher 
sich der Verfasser mit der Agglutination der roten Blutkörperchen 


1) Nach Volhard; nach AgNO,-Zusatz wurde rasch filtriert. 
2) Arch, für Hygiene 63. 237. 1907. 


158 


unter dem Einfluß von Sera, Kolloiden und schweren Metallen be- 
schüftigt. Auf Grund seiner Versuche kommt er unter anderem zu 
dem folgenden Schlusse: „Die Ionen der zweiwertigen Metalle wirken 
um so besser agglutinierend, je kleiner ihre Entladungsspannung ist“. 
Auf Grund unserer Versuche sind wir zu einer entgegengesetzten 
SchluBfolgerung gelangt. Wir hoffen demnichst niher auf diese 
Angelegenheit zuriickzukommen. 


Krakau. Mikrobiologisches Institut (Direktor: Prof, Dr. J. Nowak). 


38. Studya nad cenomanem podolskim. I. Fauna piasków 
miniowskich. — Studien im Gebiete der Cenoman- 
bildungen von Podolien. I. Die Fauna der cenomanen 
Sande von Nizniöw. Mémoire de M. STAN. WEIGNER, pre- 
senté par M. Lad. Szajnocha m. e 


Am westlichen Rande der podolischen Platte ist das Cenoman 
in Form von liehten, grauen und gelblichen Sanden, sandigen Kon- 
glomeraten, welche lokal in eine Phosphoritschicht übergehen kón- 
nen, und von grobbankigen, grauen, sandigen Mergeln entwickelt. 
Diese in den Tälern der Flüsse Zlota Lipa, Koropiee und im 
Dniestr-Tale von Ujście Zielone bis ungef. Zaleszezyki gut aufge- 
schlossenen Schichten waren schon längst bekannt, ebenso wie ihre 
Zugehörigkeit zu der cenomanen Stufe. Die nähere Horizontierung 
aber und deren Parallelisierung mit anderen, an der podolischen 
Platte entwickelten Cenoman-Ablagerungen war unmöglich wegen 
der großen Armut an bezeichnenden Fossilien. 

Während meiner Cenoman-Studien in Podolien habe ich meine 
Aufmerksamkeit auch diesen Schichten zugewendet, und es gelang 
mir, in ihnen eine Fauna aufzufinden, welche zwar an Gattungen 
nieht besonders reich, jedoch immerhin geeignet war, auf diese 
Fragen ein Licht zu werfen. 

Die Fauna fand sich in der längst bekannten und von Alth !) 
beschriebenen Entblößung am rechten Dniestr-Ufer, 3 km nördlich 
vom Stüdtehen Nizniów. 


1) Alth: Die Gegend von Nizniów und das Tal der Złota Lipa in Ost-Gali- 
zien. — Jahrb. d. k. k. geol, Reichs-Anstalt. XXVII, Wien 1877, s. 319. 


159 


Man sieht dort folgende Sehiehtfolge, welche für die Ausbildung 
des Cenomans dieses Gebietes als typisch angesehen werden kann 
(vergl. Fig. 1). 

Bis ungef. zur Mitte der Uferwand reichen gelbliche und weiße, 
grobbankige, etwas dolomitisehe Jurakalke mit Feuersteinen. Über 
ihnen liegt eine Serie der cenomanen Schichten. 

1) Unmittelbar auf dem Jurakalke bemerkt man eine Kon glo- 





















































Fig. 1. 


merat-Schicht von geringer und wechselnder Mächtigkeit (bis 
zirka 20 cm). Schwarzes Hornstein-Gerüll, Jurakalk-Brocken, 
mitteldevonische Dolomite und Kalke von Wallnuß- bis Faustgröße 
bilden die Komponenten dieses Konglomerats, grobkörniger, glauko- 
nitreicher Sand tritt als Bindemittel auf. 

2) Es folgt eine 15 m mächtige Sandschicht. Der Sand ist 
hell, von graulicher bis gelblicher Farbe und besteht aus mittel- 
großen, gut abgerundeten durchsichtigen Quarzkornehen; manche 


760 


Partien des Sandes sind durch ein kalkiges Bindemittel verkittet 
und bilden einen lockeren, leicht verwitternden Sandstein. In 
den oberen Teilen der Schicht sind hie und da unregelmäßige, ab- 
gerundete, kleine, schwarze Hornsteinsplitter zerstreut, deren Zahl 
nach oben rasch zunimmt, so daß die Sandschicht in einen 

3) sandigen Konglomerat übergeht. Die Hauptmasse die- 
ses Konglomerats ‚bilden die oben erwähnten schwarzen, kleinen 
Hornstein-Splitter und -Gerölle und ein grünlicher, ziemlich grob- 
körniger, kalk- und glaukonitreicher Sand. Daneben treten auch 
zahlreiche unregelmäßige Phosphoritknollen, sowie phosphoritische 
Molluskensteinkerne und Hexactinelliden-Skelette auf. Die 
Mächtigkeit dieser Schicht beträgt ebenfalls zirka 15 m. 

4) Ein dunkler, sehr kalk- und sandreicher Ton mit Phospho- 
ritknollen und vielen kleinen Glaukonitkörnchen überlagert als 
eine dünne, 25 — 30 em mächtige Schicht diesen sandigen Konglo- 
merat. Über ihn liegt 

5) licht-grauer sandiger Mergel. Er ist grobbankig, hart 
und unterliegt der Verwitterung nicht so leicht, wie die unteren 
sandigen Schichten, bildet deshalb eine aus der Unterwand hervor- 
ragende, zirka 2 m mächtige Schwelle. Seine unteren Partien füh- 
ren noch schwarze Hornsteingerölle und zahlreiche Phosphoritkon- 
kretionen, die oberen Partien werden allmählich immer heller, 
immer mehr kalkhaltig und gehen so langsam in den weißen Krei- 
dekalk über. An Fossilien ist dieser Mergel sehr arm, Alth (a.a. 
O., S. 334) zitiert aus ihm folgende Formen: Pecten laminosus, Ne- 
ithea quinquecostata, Spondylus ef. striatus, Ostrea sp., Terebratulina 
sp. (T. chrysalis), Inoceramus ef. concentricus, Rhynchonella octopli- 
cata (2), Terebratula sp., Belemnites sp., Serpula sp. 

Der sandige Mergel schließt die Serie der cenomanen Schichten: 
auf ihm liegt die turone. bzw. senone „weiße Kreide ohne Flinten“ 
(ohne Versteinerungen), welche von diluvialen Schottern und Löß 
überlagert ist. 

Aus der großen Zahl der Fossilien, welche ich in den Schich- 
ten 2), 5) und- 4) gesammelt habe, ließen sich folgende Formen 
bestimmen 1). 


1) Die aus dem galiz. Podolien bisher nicht angeführten Formen sind mit 
Sternchen * bezeichnet. 





761 


Brachiopoda. 


1. Rhynchonella compressa Lam., seltene kleine Exemplare, den 
bei Geinitz!) Taf. 36. F. 22. abgebildeten ähnlich. 

*2. Rhynchonella antidichotoma Buv. Unsere Formen gehören un- 
zweifelhaft dieser Gattung an, obgleich sie einige von den typi- 
schen ?) etwas abweichende Merkmale zeigen: etwas niedrigeren 
Schnabel, größere Wülbung der kleinen Schale, etwas tieferen Sinus. 
Diese Merkmale zeigt auch die von Tiessen aus subherzynen Tour- 
tiabildungen beschriebene 3), der Ah. antidichotoma Buv. naheste- 
hende Rh. subhereynica Tssn., nur sind sie hier noch stärker aus- 
gebildet, als bei unseren Formen. 

3. Rhynchonella sigma Schl. (selten). 
#4. H Grassiana d'Orb. (selten). 


Lamellibranchiata. 


5. Ostrea (Alektryonia) carinata Lam. (häufig). 

6. „ (Gryphaea) hippopodium Nilss. (nicht selten). 

7. Exogyra canaliculata Sow. Tritt in den Sanden (Sch. 2) in 
Hunderten von Exemplaren von verschiedener Größe und Form auf. 

8. Exogyra conica Sow. (sehr häufig). 

= r cf. E. haliotoidea Sow. (einige Exemplare). 

#10. Pecten inserens Geinitz. Diese von Geinitz (a.a.O., S. 197, 
T. 44, Fig. 7) kurz beschriebene, durch seine Berippung leicht er- 
kenntliche Gattung scheint in Niżniów nicht selten zu sein. 

11. Pecten (Syncyclomena) orbicularis Sow. (häufig). 
mou NE Galliennei D’Orb. (selten). 
13. Janira (Neithea) quinquecostata Sow. (selten). 

*14. Pteria (Oxytoma) pectinata Sow. Die zahlreichen Exemplare 
stimmen gut mit den Formen überein, welche Woods *) aus eng- 
lischem Gault und Cenoman beschrieben und abgebildet hat. 

#15. Plicatula gurgitis Pict. et Roux. Unsere Formen unterschei- 
den sich von den von Woods (a. a. O., S. 137, Taf. 25, Fig. 13 
bis 21) abgebildeten durch ihren regelmäßigeren Verlauf der Rip- 


1) Geinitz, Elbtalgeb. Paläontographica. XX. 1. 

2) Z. B. bei Orbigny, Paleont. Franc. IV. Taf. 500, F. 1—4. 

3) Tiessen. Die subhereyne Tourtia. Zeischr, d. deutschen geol. Ges. 189. 
S. 461, Taf. XVII. F. 4. 

4) Woods. A Monograph of the eret. Lamellibr. of Engl. Pal. Soc. 1905. 
T. VII. Fig. 8-14 


pen und ähneln in dieser Hinsicht mehr den Figuren 6 und 7. 
Taf. 463 bei d’Orbigny (Pal. France. — Plicatula radiola = 
Pl. gurgitis). 

*16. Aucellina gryphaeoides Pomp. Zahlreiche Steinkerne und be- 
schalte Exemplare habe ich in Nizniöw in den Schichten 3 und 4 
gefunden. Sie stimmen mit den Beschreibungen und Abbildungen, 
wie wir sie z.B. bei @Orbigny'), Pompeckij?) und Woods?) 
finden, überein. 

17. Inoceramus striatus Mant. Goldf., ein Bruchstück. 


Cephalopoda. 


18. Belemnites ultimus d’Orb. Aus dem sandigen Konglomerate 
(Sch. 3) und dem sandigen Ton (Sch. 4) habe ich zahlreiche 
Exemplare dieser an dem elliptischen Alveolarende, der kurzen 
Fissur, der leicht spindelförmigen Gestalt des Rostrums nicht 
schwer erkennbaren Belemnits gefunden. Sie stimmen mit den An- 
gaben und Abbildungen Schlüters *) vollständig überein. 

#19. Belemnites Tourtiae sp. n. Der Konglomerat (Sch. 3) lieferte 
neben dem Belemnites ultimus noch eine Anzahl von Belemniten, 
welche ich als neue Art bezeichnet habe. Diese Formen (Fig. 2, 
3, 4) zeichnen sich durch ihre geringe Größe aus: sie überschreiten 
30 mm nicht, die Länge der Durchschnittsexemplare beträgt zirka 
23 mm. Die Gestalt des Rostrums ist mehr oder weniger spindel- 
formig: die größte Dicke befindet sich etwas unterhalb der Mitte. 
während nach unten das Rostrum rasch abnimmt und sich auch 
oben ein wenig verschmälert. Das Alveolarende hat elliptischen 
Querschnitt, ebenso wie die seichte kleine Alveole. Der Schlitz ist 
an den meisten Exemplaren nicht sichtbar, einige zeigen jedoch an 
der dorsalen Seite eine sehr kurze Vertiefung. An beiden Seiten 
des Rostrums sieht man immer deutliche, obzwar nicht tiefe Furchen 
verlaufen, welche bis ungef. zu dessen Ende reichen. Unter der 
Loupe bemerkt man an besser erhaltenen Exemplaren außerdem 
noch zwei parallele vertiefte Linien, welche den Gefäßeindrücken 
mancher Belemniten nicht unähnlich sind. — So gestaltete Formen 


1) D'Orbigny, a. a. O., T. 403, Fig. 6—8 (Inoc. Coquandianus). 

2) Pompeckij. Uber Aucellen. Neues Jahrb. f. Min. u, Geol. Beil.-Bd. XIV, 
S. 354, 365, Taf. 16, Fig. 6—8. 

Be Woods; 21410) WeiSa72% Tat 

4) Schlüter, Cephalopoda. Paläontogr. XXIV, S. 184, T. 52, Fig. 1—5. 


763 


unterscheiden sich wohl von dem nahe verwandten Bel. ultimus: der 
Querschnitt, welcher bei Bel. ultimus nur am Alveoralende elliptisch, 
im übrigen aber rund ist und an unseren Formen infolge der Sei- 
tenimpressionen immer etwas verdrückt erscheint, das Vorhanden- 





a 
E — b 
AS 
^ — 
, € 
j N 
E ñ 
if 
CAMP: a. à US 
veux 
Ries Segen Fig. 4. a) untere Hälfte des 
Bel. Tourtiae a) Seitenansicht, Rostrums, b) Alveoralende von 
b) Rückenansicht. oben gesehen, zweimal vergrófert. 


sein der Furehen und Gefäßeindrücke, die bei Bel. ultimus gänzlich 
fehlen, endlieh die allgemeine, mehr ausgesprochen spindelfórmige 
Gestalt konnen als trennende Merkmale gelten. 

Sehr ähnliche, wenn nicht identische Belemniten erwähnt und 
zeichnet Schlüter +) aus dem Grünsande mit Pecten asper von 
Herten in Westphalen. Die Dürftigkeit des Materials — er besaß 
nur einige kleine Bruchstücke — erlaubte ihm nicht, eine neue 
Gattung auszuscheiden. 


Vermes. 


20. Serpula gordialis Schl. ziemlich häufig. 

Außerdem fanden sich in unseren Schichten einige unbestimm- 
bare Gasteropoden-Steinkerne, Fisch-Wirbel und -Zähne (Lamma, 
Oxyrhina, Pyenodus complanatus Ag.), Saurier-Zähne, eine große 
Anzahl Schwämme und Stücke von versteinertem Holz. Die Kom- 
ponenten des unteren Konglomerats zeigen häufig Bohrlócher von 


Gastrochaena Ostreae Gein. 


1) Schlüter, a. a. O,, S. 185, Fußnote, Taf. 52, Fig. 6—8. 


164 


Wollen wir jetzt auf Grund der angeführten Fauna an die Ho- 
rizontierung unserer Schichten herantreten. Es kommen hier beson- 
ders zwei Formen in Betracht, nämlich Belemnites ultimus d’Orb. 
und Aucellina gryphaeoides Pomp. Der erstere ist eine untercenomane 
Form; er steigt zwar auch höher. wird aus dem Varians-, ja aus 
dem Rhotomagensis-Pläner genannt !), ist aber in diesen oberen ce- 
nomanen Horizonten recht selten, während er im unteren Cenoman, 
der Tourtia massenhaft auftritt und für diesen Horizont in Nord- 
westdeutschland die leitende Form ist. Ebenso für die Tourtia lei- 
tend kommt in England und in NW-Deutschland Aucellina gry- 
phaeoides vor, die zwar auch die Grenzen des unteren Cenomans 
nach unten und oben überschreitet. in den oberen Horizonten je- 
doch sehr selten erscheint. 

Dieses Zusammentreten der beiden Formen in einer großen 
Anzahl von Exemplaren in den Sanden und Konglomeraten von 
Nizniöw spricht für das untercenomane Alter derselben. 

Die übrige dort gefundene Fauna widerspricht diesem Schlusse 
in keiner Weise. In der ganzen Liste der 19 Arten, die wir in 
derselben finden, gibt es nur eine einzige Form, die aus der Tour- 
tia noch nicht bekannt war, die unterkretazische Rhynchonella anti- 
dichotoma Buv. Einige Formen sind oberhalb des unteren Cenomans 
nicht bekannt (Rhynchonella sigma, Pecten inserens, Pteria pectinata, 
Plicatula gurgitis), die anderen im ganzen Cenoman verbreitet. Be- 
merkenswert ist hier die große Zahl von Formen, welche aus der 
unteren Kreide bekannt sind: auf 19 Arten der Liste finden sich 
10 (also mehr als die Hälfte) von solchen, die die Grenze des Ce- 
nomans nach unten überschreiten. 

Der untere Cenoman ist bisher von Podolien nicht bekannt. 
Nach der Auffassung Zareczny’s ?) (welehe dann von allen spä- 
teren Forschern übernommen wurde) bildeten die untersten Glieder 
des podolischen Cenomans die Spongien-Schichten von Warwarynce 
(am Seret), die Zareezny als Äquivalent des untersten Varians- 
pläners betrachtet. Die Sande und Konglomerate am Dniestr, Koro- 
piec u.s.w. entsprachen nach Zareczny’s Meinung dem obersten 
Cenoman, dem Horizonte mit Acanth. Rhotomagensis. 


1) Stolley, Zur Kenntnis der NW-deutschen oberen Kreide. Jahresber. des 
Ver. f. Naturwiss. zu Braunschweig, XIV, Brannschw. 1905, S. 6. 

*) Zareezny, O éredniem ogniwie warstw cenomañskich w Galieyi Wscho- 
dniej. Berichte des Physiogr. Komm, der Krakauer Akad. 1573. 


165 


Unsere Resultate führen uns zu einem anderen Schlusse: Die 
untere Grenze des Cenomans und der Beginn der cenomanen 
Transgression über den westlichen Rand der podolischen Platte 
müssen nach unten verschoben sein. Die untersten transgredierenden 
Bildungen des Cenomans sehen wir hier in den Sanden und Kon- 
glomeraten am Dniestr, an der Zlota Lipa und am Koropiee, wel- 
che ich unter dem Namen „Nizniower Sande“ zusammenfasse 
(Zareezny’s oberster Cenoman). Die hangenden sandigen Mergel 
(Schichte 5) von Nizniów bilden wahrscheinlich das Äquivalent der 
von Zareezny beschriebenen, an der Strypa und dem Seret typisch 
entwickelten Varians-Mergel. 


Aus dem geölogischen Institute der Jagellonischen Universität in Krakau. 


39. Zbiory L. Zejsznera z Kieleckiego dewonu. — Sur la 
faune devonienne des environs de Kielce d’apres les 
collections originales du feu le prof. L. Zejszner. Note de 
M. J. SIEMIRADZKI, présentée par M. F. Kreutz m. t.1). 


(Planches XIII et XIV). 


Malgré la publication d’une belle monographie sur les fossiles pa- 
léozoïques de la Pologne par M. Gürich, il m'est possible de compléter 
son important travail par une riche série qui provient de la collection 
du feu le prof. Zejszner et qui contient un nombre considérable 
d'espèces nouvelles pour le Dévonien polonais. En renvoyant le lec- 
teur à la monographie de M. Gürich pour l’ensemble de la faune 
dévonienne, je me borne dans les lignes suivantes à l'énumération 
des espèces qui n’ont pas été recueillies par ce savant. 

1) Cyathophyllum obtortum M. Edw. e. Haime. 1853 Brit. Foss. Corals, 
p- 225 tb. 49, fg. T. 

Une espèce différente de C. heterophyllum. Polypier cylindrique, 
avec une épithèque rayée, 70 cloisons divisées nettement en deux 
séries. Les cloisons primaires atteignent le centre et. sont enroulées 
à gauche. Dans leur partie extérieure ces cloisons sont fortement 
épaissies par la superposition de deux lamelles de stéréoplasme, tan- 


1) Cette Note est le resume d’un Mémoire paru dans les Sprawozdania de la 
Commission de Physiographie de l'Académie des Sciences de Cracovie, Vol. 43. 


166 


dis que les eloisons secondaires restent fines et ne se prolongent 
pas jusqu’au centre. La difference de la coupe transversale entre 
notre espéce et C. heterophyllum consiste en ce que les cloisons pri- 
maires y sont réunies dans leur moitié extérieure par 15 lamelles 
verticales; dans la partie intérieure on ne voit que des simples vé- 
sicules qui ne touchent pas les cloisons. 

Localités: Skały (horizon à Calceola sandalina). 


2) Cyathophyllum helianthoides var. philocrina Frech. (Mitteldevon: 
p. 36, pl. 4, fg 1—4). 
Un seul individu des calcaires à Stringocephalus de Skaty. 
3) Cyathophyllum quadrigeminum. Gf. 


(1886 Frech, Cyathophylliden u. Zaphrentiden d. Mitteldevons, 
pL 725 pl. 5, fe::1). 

Skaly (Dévonien moyen). 

4) Cyathophyllum Sedgwickii M. Edw. e. Haime. (Brit. Devon. Corals, 
p. 231. pl. 52, fg. 3). 
Localités: Wietrznia, Brzeziny (couches à Rhynch. cuboides). 
5) Cyathophyllum aff. anisactis sp. nova. 

Voisine du C. anisactis Frech (Cyathophylliden u. Zaphrentiden 
ete., p. 76, pl. 7, fg. 14), cette espéce en différe par sa taille plus 
grande, par ses cloisons secondaires plus faibles, ainsi que par l'en- 
roulement des cloisons primaires au milieu. C. isactis en diffère par 
ses eloisons qui sont égales dans les deux ordres. 

Localités: Zyznów et Radzimice (couches à Rh. cuboides). 

6) Cystiphyllum vesiculosum Gf. 

plusieurs échantillons de Skaly. Lagöw et Wietrznia. 

7) Cystiphyllum cristatum Frech (Cyathoph. u. Zaphrentid. etc. p. 
109, pl. 8. fg. 26). 

Localite: Skaly. 

8) Cystiphyllum lateseptatum Frech (Cyathophyllid. ete., p. 108, pl. 8, 
fg. 2. fg. 22). 

Localité: Skaly. 

9) Clisiophyllum (Dibunophyllum) praecursor Frech (Korallen d. Ober- 
devonjopaS9b;upboafgaob) 

Localité: Lagów. 

10) Actinocystis granulifera Frech. (1885: Ub. d. Kalkgerüst der 
Tetrakorallen. Zeitschr. d. deutsch. geol Ges. pl. 41, fg. 1). 

Un bel échantillon de Skaly est identique à la figure citée de 

Frech. 





767 


11) Zaphrentis Guilleri Barrois. (1831. Recherches s. l. terrains an- 
ciens des Asturies, p. 197, pl. 7, fg. 3). 

Un échantillon de Łagów. 

12) Hallia callosa Ludw. (Frech. |. e. Mitteldevon, p. 84, pl. 8, fg. 
1, 4, 4—a, 11—15, 18, 19). 
Localité: Sniadka. 
13) Microcyclus Eifliensis Kays. (Zeitschr. d. deutsch. geol. Ges. 1872, 
p. 692, pl. 225. £2:58). 
Localité: Sitka. 
14) Acanthocyclus devonicus n. sp. 

Petit polypier diseoide, à cloisons composées de 100 rangées ra- 
diales de tubereules qui sont également visibles sur les deux faces 
du disque. Epithéque ornée de tubereules serrés qui se groupent en 
anneaux concentriques et de côtes radiales irrégulières. Localité: 
Sitka; échantillon unique. 

15) Aulopora serpens Schlth. de Sitka. 

16) Plasmopora devonica n. sp. 

differe des especes siluriennes de ce genre par la disparition des 
eloisons et par les vésieules plus grandes du réseau intercellulaire. 

Localité: Skaly; échantillon unique. 

17) Emmonsia hemisphaerica M. Edw. e. Haime. 
Localité: Sitka. 
18) Polypora striatella Sandb. Sitka. 
19) Lingula anatinaeformis Pusch. (L. subparallela Sandb.) Lagów. 
20) Lingula paralleloides Gein. Localité: Kostomloty. 
21) Orbiculoidea discoides Pusch. (Polens Paläontologie p. 93, pl. 9, 
fg. 3). 

Différe de O. nitida, avec laquelle M. Gürich la confond, par 
la position différente du sommet de la valve inférieure qui est rap- 
proché du bord antérieur, tandis qu'il est central chez O. nitida. 
Bratków (schistes à Posidonia venusta). 

22) Orthis interlineata Sw. (Davids, Brit. foss. Brachiop). Localité: 
Wietrznia, Skaly (couches à Rhynch. cuboides). 
23) Skenidium (Mystrophora) n. sp. indet. 

Kadzielnia (couches à Ah. cuboides). 

24) Leptaena retrorsa Kays. (Zeitschr. d. deutsch. geolog. Ges., 1881, 
p- 335, pl. 19, fg. 5). 

D'après M. Gürich, dans le calcaire devonien super. de Ka- 

dzielnia doit se trouver Strophomena interstrialis; pourtant, cette 


768 


espèce ne dépassant pas la limite du Dévonien moyen, cette affır- 

mation me paraissait douteuse. En effet un échantillon bien con- 

servé des calcaires à Rh. cuboides de Brzeziny appartient sans au- 

cun doute à L. retrorsa Kays. 

25) Leptaena Sedgwickii Arch. e. Vern. 1890 (Oehlert, Dévonien 
d'Angers, pr iror poste. 8; pl. 20, Fat): 

Un peu plus bombée et plus courte que la forme type. Loca- 
lités: Skiby et Brzeziny (calcaires à Rh. cuboides). 

25) Strophomena anaglypha Kays. (1871, Zeitschr. d. deutsch. geol. 
Ges, p. 628, pl. 14, fg. 3). 
Loealite: Skaly. 
27) Thecidea Kielcensis n. sp. 
constitue probablement un genre nouveau. Je posséde deux valves 
séparées des marnes à Calceola de Skaly que je ne puis encore 
déerire positivement. Le test trés épais est ponetué et montre des 
impressions des muscles et des veines trés bien conservées qui ne 
laissent pas de doute que cette forme appartient à la famille des 
Thécidéidés. 
28) Atrypa flabellata G£, de Skaly. 
29) Pentamerus brilonensis Kays., un échantillon de Sitka. 
30) Rhynchonella wralensis m. (nov. nomen) 
1885. Hh. nympha var. emaciata Tschernyschew (non Bar- 
rande) Fauna des unt. Devon am Westabhange des Ural, 
p. 50, pl. 7, fg. 88). 
Localité: Skały (marnes à Calceola). 
31). Dielasma Whidbornei Dav. 

Cette espece est ordinairement eonfondue avee D. sacculus qui 
est une espece du Carbonifere inf. Pour la forme devonienne, il 
convient d’appliquer le nom donné par Davidson. 

Localité: Skaly (couches à Stringocephalus). 

32) Dzieduszyckia nov. gen. 
Dzieduszyckia Kielcensis F. Rim. (sp.) 
1837. Terebratula amphitoma Pusch, Polens Paläontologie, pl. 
fg. 10. — 1866. Terebratula Kielcensis F. Römer (Zeitschr. d. 
deutsch. g. Ges., p. 671). 

Plusieurs valves bien conservées dont une, tout & fait semblable 
à la figure de Pusch, a conservé ses spirales. Les noyaux sans 
test rappellent par leur forme à s’y meprendre Rhynchonella incon- 
stans du Jurassique supérieur. Bee perforé, avec une aréa triangu- 


769 


laire. Un échantillon qui a conservé son test montre une structure 
fibreuse, avec des cötes plates et larges, séparées par des intersti- 
ces étroits. Du sommet recourbé nait une forte cloison médiane qui 
se dirige vers le bord frontal. L’appareil brachial se compose d’une 
simple spirale étroitement serrée dont les sommets coniques diffe- 
rent par leur position de tous les genres connus des Atrypides: 
les sommets des cônes divergent vers les angles extérieurs de la 
charnière. La surface ornée de 25—40 côtes plates est entrecoupée 
de stries d’accroissement onduleuses et serrées. 

Localité: Kadzielnia (couches à Hh. cuboides (?)). 

33) Cucullaea tenuiarata Sandb. Localité: Skaly. 
34) Posidonia acuticosta (?) Sandb. 

Une Posidonie appartenant au groupe de P. Becheri se trouve 
dans les schistes bitumineux de. Bratków (couches à Clymenies). 
35) Avicula Wurmii Römer. (Harzgebirg., pl. 6, fg. 7). Même localité. 
36) Aviculopecten sp. Même localité. 

37) Murchisonia (Hormostoma) clavicula, Oehlert. Localité: Zbrza. 

38) Pleurotomaria bicoronata Sandb. Un échantillon défectueux de 
Sitka. 

39) Pleurotomaria bifida Sandb. de Lagöw. 

40) Dentalium taeniolatum Sandb. de Kadzielnia. 

41) Orthoceras planicanaliculatum Sandb. de Lagow. 

A lexeeption de plusieurs espèces nouvelles, l'ensemble de la 
faune est tout à fait identique à celui du bassin du Rhin. Les espe- 
ces mentionnées ci-dessus augmentent le nombre des formes com- 
munes aüx deux bassins. 


Explication des planches. 


Dans le texte original de ce Mémoire, publié aux Comptes hendus de la Com- 

mission de Physiographie (Sprawozdania Komisyi Fizyograficznej) de l'Académie 

des Sciences de Cracovie, Vol. 43, on trouvera une énumération complete des fos- 

siles du Dévonien de Kielce provenant de la collection Zejszner. Quelques for- 

mes qui jusqu'à présent n'ont pas été décrites ou ne l'ont été qu'imparfaitement 
sont représentées dans les planches XIII et XIV. 


Planche XIII. 


1. Rhynchonella uralensis Siem. de Skały. 3 X 1. 
Skenidium sp. n. (?) de Kadzielnia. 3 X 1. 
3. Deieduszyckia kieleensis Róm. de Kadzielnia. Gr. nat. 
a, c, d, e, f: noyaux sans test; b: valve dorsale vue par la face interne; 


P 


g: valve dorsale avec fe test. 


-1 
~] 
O0 -1 O» Om e 


DI = 


km go 


on =] m c 


. Cyathophyllum Sedgwickü E. H. de Wietrznia. Gr. nat. 

. Plasmopora devonica n. sp. de Skaly. Gr. nat. 

. Thecidea (2) kielcensis n. sp. de Skaly. 5/, X 1. 

. Acanthocyclus devonicus n. sp. de Sitka. 3X 1. a: en dessous, b: en dessus. 
. Acanthocystis granultfera Frech. de Skały. Gr. nat. 


Planche XIV. 


. Cyathophyllum n. sp. aff. anisactis Frech. de Żyznów, a: gr. nat., b: grossi. 
. Cystiphyllum vesiculosum Goldf. de Lagów. ?/, X 1. 
. Cyathophyllum heterophyllum E. H. de Skały; a: 3/, X 1, b: gr. nat. 


Avicula Wurmii Róm. de Bratków. Gr. nat. 


. Endophyllum elongatum Schlüt. de Lagów. 3/, X 1. 
. Cystiphyllum lateseptatum Frech. de Skały. ®/, X 1. 
. Clysiophyllum praecursor Frech. de Lagów. 3/, X 1. 
. Cyathophyllum obtortum E. H. de Skały. ®/, X 1. 

. Polypora striatella Sandb. de Sitka. ?/, X 1. 

10. 
11. 
12. 
13. 
14. 
15. 


Microcyclus Eifliensis Kays. de Sitka. ®/, X 1. a: en dessous, b: en dessus 
Lingula anatinaeformis Pusch. de Lagów. 3/, X 1. 

Atrypa plana Kays. de Skaly. Gr. nat. 

Cyathophyllum helianthoides Goldf. de Lagów. 3/, X 1. 

Cyathophyllum helianthoides mut. philocrina Frech. de Skały. 3/, X 1. 
Cystiphyllum cristatum Frech. de Skały. 3/, X 1. 


Errata: 


Page 682, ligne 10 en descendant: au lieu de: A und B, lire A. 
Même page: remplacer la lettre A au dessous de la Fig. 6., par la 


lettre b. 


Page 684, ligne 18 (de haut en bas): au lieu de Fig. 2., lire Fig. 3. 


Nakładem Akademii Umiejetności. 


Pod redakcya 


Sekretarza Wydziału matem.-przyrod. Władysława Natansona. 


Kraków, 1909. — Drukarnia Uniwersytetu Jagiellońskiego, pod zarządem J. Filipowskiego. 


2 Czerwca 1909. 





1909. 


Sciences de Cracovie. 


des 


l’ Acad. 


Bulletin de 





zki. 


Siemirad 


J: 


Dr. 


XI. 


PI. 





) W KRAKOWIE 


DRUKARNIA UNIWERSYTETU JAGIELLCNSKIEG 








Bulletin de ! Acad. des Sciences de Cracovie. 1909. 








Dr. J. Siemiradzki. 


P XE 





DRUKARNIA UNIWERSYTETU JAGIELLOŃSKIEGO W KRAKOWIE 





171 


Table des matières par noms d'auteurs 


contenues dans le Bulletin International de l’Académie des Sciences de Cracovie 
(Classe des Sciences Mathématiques et Naturelles). 


Année 1909, — Premier semestre. 


Le nombre inserit à la suite de chaque Mémoire indique la page. 


Borkowski-Dunin (J) und Cybulski (N). Einfluß von Membranen und Dia- 

phragmen auf elektromotorische Kräfte 660. 
— und Szymanowski (Z). Agglutination und Hämolyse von roten Blutkör- 

perchen unter dem E nfluf von Salzen schwerer Metalle 746. 

Bruner (L) und Vorbrodt (J). Einfluß der Lösungsmittel auf die Verteilung 
der Isomere 221. 

Buraezewski (J) und Dziurzynski (M). Bromierung des Strychnins, Bracins 
und anderer Alkaloide. I Teil 632. 


Chwistek (L). Sur les variations périodiques du contenu des images vues dans 
un contour donné 394. 

Ciechanowski (St) und Glinski (L. K). Fistulae oesophago-oesophageae conge- 
nitae 241. 


Cybulski (N) v. Borkowski-Dunin (J). 


Dzierzbicki (A). Einige Beobachtungen über den Einfluß der Humusstoffe auf 
die Entwicklung der Hefe und auf Alkoholgärung 651. 

Dzierzbicki (J) und Kowalski (J). Über die Phosphoreszenz von organischen 
Substanzen bei niedrigen Temperaturen 724, 

Dziurzynski (M) v. Buraczewski (J) 


Friedberg (W). Beschreibung der Gattung Turritella im Miozän von Polen 253. 


Glinski (L. K) v. Ciechanowski (St). 
Gutwinski (R). Flora Algarum montium Tatrensium 415. 


Hirschler (J). Über die Entwicklung der Keimblätter und des Darmes bel Ga- 
stroidea viridula Deg. (Coleoptera) 284. 


Jakubowski (Z) und Niementowski (St). Über Säuren des 8.8/-Dichinolyls 219. 
Jarosz (J). Stratigraphie des Kohlenkalks in der Umgebung von Krakau 689. 


Kiernik (E). Chilodon hexastichus nov. sp., ein auf Süßwasserfischen parasitie- 
rendes Infusorium, nebst Bemerkungen über Vakuolenhautbildung und 
Zellteilung 75. 

Korezynski (A). Über anormale Salze. II Teil 610. 

Kostanecki (K). Einleitung der künstlichen Parthenogenese bei Aricia 238, 

Kowalski (J) und Rappel (U). Entladungs- Potentiale bei Wechselstrom; Ein- 
flu der Krümmung der Elektroden auf dieselben 707. 

— v. Dzierzbicki (J). 


Bulletin III. Premier Semestre. 


712 


Kozak (J). Über die Wirkung des Kaliumhydroxyds auf das Acetyl- ps - Isatin- 
Dioxim 628. 

Kozlowski (St). Über die Verhältnisse von anorganischen Basen zu Säuren im 
normalen Menschenharn 37. 

Kozniewski (T). Jodderivate der Chinaalkaloide 734. 

Kreutz (S). Kristallisation von Salmiak 564. 


Loria (St). Untersuchungen über die Dispersion des Liehtes in Gasen. II. Die 
Dispersion des Äthylens und Äthans 195. 


Łoziński (W). Über die mechanische Verwitterung der Sandsteine im gemäßig- 
ten Klima 1. 


Morozewicz (J). Gewinnung von seltenen Erden aus dem Mariupolit 207. 
Mostowski (St). Über das Verhalten von Glukoso-Phenetidid und Tetracetyl- 
Glukoso-Phenetidid im tierischen Organismus 641. 


Natanson (L). Note Supplementary to a Paper „On the elliptie polarization of 
light transmitted through an absorbing naturally-active medium“ 25. 
Niementowski (St) v. Jakubowski (Z). 


Raciborski (M). Über einige javanische Uredineae 266. 
— Über eine fossile Pangiumart aus dem Miozän Java’s 280. 
—  Parasitische und epiphytische Pilze Java's 346. 
Radziszewski (Br). Sur les glyoxalines 213. ` 
Rappel (U) v. Kowalski (J). 


Sawicki (L). Causses; Skizze eines greisenhaften Karstes 334. 

Siemiradzki (J), Sur la faune dévonienne des environs de Kielce d’aprés les 
collections originales du feu le prof. L. Zejszner 765. 

Strzelecka (M). Uber Xylol-Sulfocyanate 731. 

Szymanowski (Z) v. Borkowski-Dunin (J). 


Tysowski (A). Zur Kenntnis des Gehörorganes und seiner Beziehungen zur 
Schwimmblase bei den Clupeiden 45. 


Vorbrodt (J) v. Bruner (L). 


Weigner (St). Studien im Gebiete der Cenomanbildunden von Podolien. I. Die 
Fauna der cenomanen Sande von Nizniów 758. 

Welecki (St). Studien über den Einfluß des Adrenalins auf die CO,- und Harn- 
ausscheidung 119. 


Zaremba (S). Sur le caleul numérique des fonctions demandées dans le Probléme 
de Dirichlet et le Prob.éme hydrodynamique 125. 
— Sur l'unicité de la solution du probleme de Dirichlet 561. 
Zorawski (K). Über konforme Abbildungen der Flüchen 311. 





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BULLETIN INTERNATIONAL 


DE L'ACADÉMIE DES SCIENCES DE CRACOVIE 


| CLASSE DES SCIENCES MATHÉMATIQUES ET NATURELLES. 


DERNIERS MÉMOIRES PARUS. 
(Les titres des Mémoires sont donnés en abrégé). 





























A). Mathématiques; Astronomie; Physique, Chimie; 
Minéralogie; Géologie etc. 


_ Z. Klemensiewiez. Antimonehlorür als ionisierendes Lösungsmittel Juin 1908 
.[K. Jablezynski. Kinetik der Folgereaktionen . . Juill. 1908 
K. Jablezynski. Rührgeschwindigkeit und eet eet Juill, 1908 
xt uk. Kling. O-, m-, p-Tolyläthylalkohole . . . . . ... =>. . Juill. 1908 
b Ho Korczynski. Anormale Salze =... . . .. 5 0. 7. . . . Juil. 1908 
£ LA à Buraczewski, T. Kozniewski. Jodderivate des Strychnins ete. Juill. 1908 


v. Kowalski: Beiträge zur Kenntnis der Luminiszenz . . Oct. 1908 
Natanson. Elliptie polarization of light transmitted through an 

absorbing naturally-active medium . . . Oct. 1908 
. G. Wilenko, Z. Motylewski. Wirkung von Na Ze: Cholesterin 

in der Lösung in Amylalkohol . . . . . Nov. 1908 
L. Gosiewski. Sur la moyenne arithmetique et i loi de FA . Déc. 1908 
St. Loria. Die Dispersion des Acetylens und Methans . . . . . Déc. 1908 
J. Morozewiez. Über Hatchettia von Bonarka bei'Krakau , . . Déc. 1908 
"W. Lozinski. Mech. Verwitterung d. Sandsteine im gemäss. Klima Janv. 1909 
— L. Natanson. Elliptic polarization of light transmitted through an 

SC absorbing naturally-active body. Supplementary Note . . . Janv. 1909 


F. 

j » Jz 
ali; 

G 


SS. Zaremba. Calcul numérique des fonctions demandées dans le Pro- 

: E? bleme de Dirichlet et le Probleme hydrodynamique Mee keer. 41908 
Loria. Die Dispersion des Athylens und Athans — sete JA Biye TIRE 
= J. Morozewiez. Gewinnung seltener Erden aus Mariupolit . . . Févr. 1909 

Br. Radziszewski. Sur les glyoxalines . . . Févr. 1909 

— Z. Jakubowski, St. Niementowski. Säuren des 88- Diehinolyls . Févr. 1909 

LES Bruner, J. Vorbrodt. Einfluß der ee auf die Vertei- 

lung der Isomere . . . ui ie MOVERSE 

AR Zorawski. Konforme russes Be Flächen SEAT oud du a MARS 

u Sawicki. Causses; Skizze eines greisenhaften Karstes . . . . Mars 1909 

S. Zaremba. Sur l'unieité de la solution du prohlöme de Dirichlet. Avril 1909 

Kreutz. Kristallisation von Salmisk . . . . . . . . . . Avril 1909 

A. Korczyński. Über anormale Salze. II Teil. . . . . Avril 1909 
. Kozak. Wirkung d. K-Hydroxyds auf Acetyl-ps-Isatin Dioxim . Avril 1909 

J Bt 'aezewski, M. Dziurzynski. Bromierung d. Strychnins ete. Avril 1909 

ee Verhalten. v. Glukoso-Phenetidid ete. im Organismus Avril 1909 


Kamieñski. Microphotographie stéréoscopique . . . . . . . Juill 1908 . 


B). Sciences biologiques. 


P. Wisniewski. Fruchtform bei Zygorhynchus Moelleri Vuill. . . Juill. 
M. Siedlecki. Der javanische Flugfrosch (Rhacophorus/reinw.) . . Juill 
B. Konopacka. Gestaltungsvorgänge d, zentrifugierten Froschkeime Juill 
H. Wielowieyski. Morphologie und Entwicklungsgeschichte des In- 
sektenovariums. Dritte Mitteilung. . :. . ere So RO qa HIR V 
K. Bialaszewiez. Wachstumsvorgänge bei Amphibienembryonen s Oct 
St. Bondzynski, V. Humnicki. Verhalten von Salol und Distearyl- 
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hinteren Körperende der Hirudineen etc. . . . . Nov, 
St. Kopec, Entwicklung d. Geschlechtscharaktere bei feRniettärlingeh Nov. 
R. Minkiewiez. Synchromatisme de Hippolyte varians Leach. . . Nov. 
S. Krzemieniewski. Untersuchungen über Azotobacter chroococcum 
Beij 7 53 DO. Nov. 
J. Niedzwiedzki. Pis. neue miozüne fce data Eet © Dee. 
A. Maciesza. Anthracose des poumons et des organes abdominaux Dee. 


A. Maciesza. Angeborene abnorm weite Foramina parietalia . . Dee. 
St. Kozlowski. Verhältnisse von anorganischen Basen zu Säuren 
im normalen Menschenharn . . - . Janv. 
A. Tysowski. Zur Kenntuis des Ghor or Rien GE seiner Becher IE 
gen zur Sehwimniblase-bei den Ciupeiden . = . |... . Janv." 
—E. Kiernik. Chilodon hexastichus nov. sp. . . Su BEE Janv. 


St. Welecki. Einfluß d. Adrenalins auf CO,- und Harnkossehreidudg Janv. 
K. Kostanecki. Einleitung d. künstlichen Parthenogenese bei Aricia Févr, 


W. Friedberg. Gattung Turritella im Miozän von Polen . . . . Févr. 
M. Raciborski. Einige javanische Uredineae . . . . . ./. . Févr. 
M. Raciborski. Fossile Pangiumart aus dem Miozän Java's . . . Févr. 
J. Hirschler. Entwicklung der Keimblätter und des Darmes bei Ga- j 
stroidea viridula Deg. (Coleoptera) ay a à : Loc BEES 
S. Ciechanowski, L. K. Glinski. Fistulae TN cong. . Mars 
M. Raciborski. Parasitische und epiphytische Pilze Java's . . . Mars 
L. Chwistek. Variations périodiques des images . . . . . . . Mars 
zb Gutwinski. Flora Algarum Montium Tatrensium, . . . Avril 


A. Dzierzbicki. Einfluß d. Humusstoffe auf Entwicklung d. Hefe . Avril 
N. Cybulski, J. Borkowski. Membranen etc. u. el.-motor. Kräfte Avril 
J. Jarosz. Kahlenkalk in der Umgebung von Krakau . . . . . Avril 


* Ce Mémoire se vend aussi séparément. 


demandes à la Librairie »Spólka Wydawnicza Polska«, Rynek gt 
Cracovie (Autriche). KE 











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