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COLLECTION
DES
LIVRETS
DES
ANCIENNES EXPOSITIONS
DEPUIS 1673 jusqu'en 1800
SALON DE 1796
XXXIX
PARIS
LIEPMANNSSOHN, ÉDITEUR
II, rue des Saints-Pères
/' —
AOUT 187I
EXPOSITION
DE 1796
XXXIX
COLLECTION
DES
LIVRETS
DES
ANCIENNES EXPOSITIONS
DEPUIS 1673 jusqu'en 1800
EXPOSITION DE 1796
•^«>*-»^
PARIS
LIEPMANNSSOHN, ÉDITEUR
1 1, rue des Saints-Pères
\ -
AOUT 1871
NOMBRE DU TIRAGE
DU LIVRET DE 1 796.
375 exemplaires sur papier vergé.
25 — sur papier de Hollande.
10 — sur chine.
in /
N
Ce Ljjfret est vendu seul 4 fr.
NOTICE BIBLIOGRAPHIQUE.
Livret :
DEUX éditions : la première a 117 p. et 85o n"';
elle finit à Viglianis; la deuxième 120 p., 871 n«';
l'addition commence au bas de la p. 117.
Nous suivons le texte de la 2' édition ; mais nous
allons indiquer les passages qui, sur le i*^'' tirage,
diffèrent de notre texte :
Bonnemaison (Ferréal).
N" 71. Un tableau représentant Putipliar retenant Jo-
seph par son manteau.
N" 112 et un coin de la place Newa....
N" i52. De Valmantoue....
Citoyenne Ferrey... chez le citoyen Thomesse...
N° 164 (à la fin de l'article, il n'y a pas :) Ce tableau
appartient à l'auteur.
N» 188.... un cavalier Cimbre chargé de le mettre à
mort, — Oseras-tu bien frapper Caius Marins, lui
dit ce héros, en lui lançant un regard formidable...
le soldat, etc..
xxxix I
- 6 -
Landon (Charles), élève de Regnault, rue du Mont-
Blanc, n° 70.
N° 281
Une ouvrière en dentelle et son chien.
Le citoyen Augustin, peint en miniature.
Le rendez-vous des amans : paysage.
Le lever de l'aurore : esquisse.
Dessins et esquisses.
Thomesse (au lieu de Thonnesse).
N° 717. Six dessins dont 4 projets pour la réunion des
îles et l'établissement d'une gare....
N" 802, D'après...; d'après Gaussier, destinés....
Critiques :
Journal de Paris : g vendém. an V. Ce numéro
contient une note d'après laquelle l'ouverture du salon,
fixée d'abord au 10 du mois, avait dû être remise,
parce que le quart des objets annoncés n'était pas
encore arrivé le 8, ce qui eût empêché beaucoup d'entre
eux de figurer au livret. Le numéro du i3 annonce
l'ouverture pour le 1 5 vendémiaire, et fixe la clôture
au i5 brumaire. Voyez les n°^ des 21 et 23 brumaire
an IV.
Les Rapsodistes au salon ou les tableaux^ en vau-
devilles. — N" I, in-S», 8 p. — N" 2, in-8°, 8 p. —
N" 3, in-S", 8 p. Paris, de l'imprimerie des frères
Rapsodistes. Aux n°' 2 et 3, le titre porte : Critique
du salon, ou les tableaux en vaudevilles. Vllliers et
Capelle publiaient alors les Rapsodies du jour et sont
probablement les auteurs de celte critique.
Les Etrivières de Juvénal, ou satire sur les tableaux
exposés au Louvre l'an V, dialogue en vers libres.
Marchands de Nouveautés, 1796.
EXPLICATION
DES
OUVRAGES DE PEINTURE,
SCULPTURE,
ARCHITECTURE, GRAVURE, DESSINS,
MODÈLES, ETC.
Exposés dans le grand Salon du Musée
central des Arts,
SUR l'invitation du ministre de l'intérieur,
Q^u Mois Vendémiaire, An cinquième de la
République Française.
A PARIS,
De l'Imprimerie des Sciences et Arts,
rue Thérèse, près la rue Helvétius.
V
An 5 de la République.
— 0 —
AVERTISSEMENT.
Ce livret contient quatre divisions indiquées en titre,
ainsi qu'au haut des pages, par l'un de ces mots :
Peinture, Sculpture, Architecture, Gravure.
A la dernière sont joints, i" des Dessins faits
d'après les grands maîtres d'Italie, parce que ces
ouvrages précieux sont connus pour être destinés au
burin ; 2" quelques objets qui tiennent plus ou moins
de l'art du Dessin , mais qu'on ne peut classer sépa-
rément.
Dans chacune des quatre divisions, on a placé par
ordre alphabétique le nom des artistes.
Le nom cité en tête de la notice des ouvrages d'un
auteur indiquant asse^ qu'ils ont été faits par lui, on
ne répétera pas sans cesse à chaque article, par le
cito)^en {tel) peintre, sculpteur, etc. A ces mots oiseux,
le Conservatoire, guidé par son penchant autant que
par son devoir, substituera des choses utiles à l'art, et
en particulier à ceux qui le professent.
Par exemple, pour lever les doutes de l'amateur, et
l'empêcher de faire des pas inutiles, l'Artiste dési-
gnera dans sa notice les ouvrages qui lui appartientvent
en propre. En un mot, les Artistes sont invités à
proposer au Conservatoire ce qu'ils croiront utile ou
d'insérer ou de supprimer dans le livret, afin qu''ony
trouve ce qui peut favoriser les arts, éclairer les ama-
teurs, et qu'on n'y trouve que cela.
Dans l'intention de servir les intérêts des Artistes,
le Conservatoire les invite à mettre désormais dans
leurs notices :
i" Leurs noms, prénoms, demeure, et le nom de leur
maître;
2° L'indication des ouvrages envoyés, qui appar-
tiqinent à Fauteur;
3° Comme on peut envoyer au Conservatoire des
écrits sous des noms supposés, les Artistes auront soin
de signer leurs notices;
4" Dans les morceaux d'histoire ou de genre, l'action
sera précisée. Dans le récit historique qu'enverra l'Ar-
tiste, il indiquera l'action véritable du tableau, en
soulignant le passage qui désigne spécialement cette
action ou ce moment de l'action. Par ce moyen, le
rédacteur en donnant l'extrait du récit historique,
sera sûr d'exposer le vrai sujet du tableau.
Le 2 5 fructidor était le terme de rigueur pour
recevoir les notices; il a été prolongé jusqu'au 3o.
Les notices reçues depuis cette dernière date n'ont pu
être insérées.
— II —
i..£râiii£r;a'sra;
mmmmmFMf.
LES nouveautés, même les plus utiles, ont toujours
éprouvé le choc des opinions; il serait trop heu-
reux que cet effet conduisît à la vérité. Plusieurs per-
sonnes ont paru craindre qu'en ouvrant, tous les ans,
aux beaux-arts, un salon d'exposition, ce terme, trop
rapproché, ne leur devînt funeste. Le plus grand
nombre doit savoir gré au Gouvernement de n'avoir
pas partagé leurs doutes, et de leur avoir facilité ainsi
les moyens de faire connaître des ouvrages qui , pour
la plupart, dans l'espace de deux années, se trouvent
transportés loin de F'aris,
A Londres, l'exposition a lieu tous les ans. On y
invite les artistes étrangers et règnicoles qui habitent
cette ville, à soumettre leurs productions au jugement
public. On dit qu'un jury rejette les ouvrages trop
médiocres, et l'on ajoute qu'il en rejette beaucoup. Les
arts ont-ils gagné en Angleterre, depuis que cet usage
y existe ?
Quoi qu'il en soit, ici les intérêts particuliers, ceux
du moment surtout, disparaîtront avec les circons-
tances, qui changeront en bien. Mais, dès aujourd'hui,
le nombre des inscrits pour l'exposition étant plus
considérable qu'il ne l'était l'année dernière, on a la
— 12 —
preuve que l'invitation du Ministre de l'Intérieur,
relative à l'exposition qiii va avoir lieu, a satisfait le
plus grand nombre des Artistes.
Il a paru utile et convenable de conserver ici le
texte de cette invitation. Le voici :
LE MINISTRE DE L'INTERIEUR,
Aux Artistes de l'Ecole Française.
9 floréal, an IV de la République.
Vous avez prouvé, Citoyens, à la dernière exposi-
tion publique, que le génie des arts est resté le com-
pagnon fidèle du génie de la liberté. Vous aviez eu
trop peu de tems et de loisir, trop peu de calme sur-
tout, pour produire tout ce que l'on peut attendre du-
concours de vos talens; et cependant vous avez excité
l'étonnement et l'admiration, par le grand nombre et
le mérite de vos ouvrages.
Je vous invite à cueillir, cette année, une nouvelle
moisson de gloire. Ce serait trop peu pour l'activité
française, pour le progrès et l'encouragement des arts,
de les borner, comme ils l'étaient avant la i-évolution,
à une seule exposition publique en deux ans. La
carrière s'est agrandie. Un plus grand nombre de
talens y sont entrés; l'émulation va renaître avec les
concours, avec l'organisation de l'Instruction publique
et des travaux d'encouragement: offrez donc, Citoyens,
chaque année, des jouissances à la patrie, de l'aliment
aux arts et au commerce; imposez à l'univers l'obli-
gation d'admirer l'Ecole française devenue fertile,
- i3 —
comme la nature qu'elle étudie, et dont elle se
rapproche.
La Liberté vous invite à retracer ses triomphes.
Transmettez à la postérité les actions qui doivent
honorer votre pays. Quel Artiste français ne sent pas
le besoin de célébrer la grandeur et l'énergie que la
nation a déployées, la puissance avec laquelle elle a
commandé aux événements, et créé ses destinées? Les
sujets que vous prenez dans l'histoire des peuples an-
ciens se sont multipliés autour de vous. Ayez un
orgueil, un caractère national; peignez notre héroïsme,
et que les générations qui vous succéderont ne puis-
sent point vous reprocher de n'avoir pas paru
Français dans l'époque la plus remarquable de notre
histoire.
Pour porter l'encouragement et l'émulation dans
toute l'Ecole, le concours d'expression, fondé par
Caylus, aura lieu le 2 5 du présent mois, provisoi-
rement, selon le mode établi par la ci-devant aca-
démie de peinture et sculpture; et celui de la demi-
figure peinte, fondé par Latour, commencera le 2 5
prairial suivant.
Quant au concours solennel pour les grands prix,
il s'ouvrira le 25 ventôse de l'an prochain. J'invite
les élèves que le mouvement de la révolution aurait
distraits de leurs études, à les reprendre avec plus
d'ardeur, et à fixer leurs regards sur cette couronne
qui a toujours excité une noble émulation dans l'Ecole
française. /
Signé, Benezech.
EXPLICATION
Des Ouvrages de Peinture, Sculpture, Architeâwe,
Gravure, Dessins, Modèles, etc., exposés dans le
Salon du Musée central des Arts.
PEINTURE.
Ansiaux (J.), élève de Vincent, rue de la Monnaie.
n° i5.
Portraits sous le même n°.
/ Un militaire.
J Une femme.
'i Le citoyen B..., architecte, enseignant le
^ dessin à son frère.
Tableaux. Sujets.
2. Les Bergers d'Arcadie.
3. Ganimède donnant à boire à Jupiter.
4. Hébé présentant le nectar à Jupiter.
5. Un cadre renfermant plusieurs miniatures peintes
à l'huile.
i6 Peinture.
Audebert (Jean), rue Mazarine, n" 1541.
5 bis. Une jeune femme, au moment où elle vient
de recevoir un cadeau.
August, élève de Regnault, rue d'Orléans, n° Sg.
6. Virgile lisant l'Enéide à Auguste; tableau de 3
pieds sur deux et demi.
Augustin (Jean-C), place des Victoires, n- i5.
7. Un cadre renfermant plusieurs miniatures, parmi
lesquelles est le Portrait de l'auteur.
8. Plusieurs autres Portraits dessinés, sous le
même n".
Citoyenne Au:{Ou (née Desmarquets),êlhve de Regnault,
rue d'Anjou, au Marais, n" 11.
9. Deux scènes de Daphnis et Philis, tirées de Ges-
ner, fesant pendans.
10. Deux jeunes femmes fesant de la musique.
11. Dinomaché, mère d'Alcibiade, pleurant sur les
cendres de Clinias, son époux.
12. Alcibiade et Timandra.
Ces tableaux appartiennent à l'Auteur.
Baltard (Louis-P.), élève de la nature et de la
méditation, rue de l'Université.
Dessins.
i3. Site sauvage. Cascade. Femme qui sommeille. Un
chien et des chèvres.
14. Vue d'un pays agreste habité par des pasteurs.
Peinture. 17
Une mère joue avec son enfant et un chien :
le père contemple ce tableau; il jouit.
i5. Deux pendans. L'un, bois et rochers, torrens,
figures.
L'autre, habitation de pasteur. Un chèvrier con-
duit son troupeau au pâturage.
16. Deux autres pendans. L'un, une grotte sauvage,
une biche et ses faons, etc.
L'autre, une solitude.
Barry (François), élève de l'Académie de St-Luc,
à Rome, rue Ménilmontant, n» 3.
Portraits.
17. D'un homme assis sur le bord d'un lac.
!De l'Auteur, peint par lui-même, à Rome, en
1788. Ovale.
D'une femme. Ovale,
ig. Un enfant représentant Bacchus, qui s'enivre du
vin qu'il fait.
Beauvallet (Nicolas), au Louvre.
19 bis. Un cadre renfermant plusieurs miniatures.
Belle (Aug.), élève de son père, aux Gobelins.
20. Anaxagore et Périclès.
Périclès avait, par ses bienfaits, fixé ce phi-
losophe à Athènes : il était son disciple, son
ami. Les soins du gouvernement lui ayant fait
quelque tems négliger Anaxagore, celui-ci,
chagrin, et se croyant oublié, s'enveloppe de
xxxix 2*
Peinture.
son manteau et se couche, déterminé à se
laisser mourir de faim. Périclès averti, accourt,
sollicite le philosophe de l'entendre et de lui
continuer ses conseils.... Quand on a besom
de la lumière d'une lampe, on y met de l'huile,
répondit Anaxagore.
Les accessoires sont analogues à sa vie et à
ses divers systèmes.
Ce tableau a lo pieds 6 pouces 8 lignes de
long, sur 8 pieds 2 p. de haut. II est désigné
ainsi par l'Auteur :
Travail d'encouragement national, donné à la
suite de l'exposition de 1791.
Benard (Pierre), rue Saint-Magloire, n. 3.
Dessins sous le même n".
Erato couronné par l'Amour.
Psyché reconnaît l'Amour dans son époux,
cadre contenant des miniatures.
' Un
Citoyenne Benoist (née Laville), élève de David,
Escalier des Archives, au Louvre.
^ , Deux Portraits de femmes. Ovales,
^eux Têtes d'étude.
( De
Berjon, rue Saint-Honorc, n° i5i3.
22. Trois tableaux ronds. Un groupe d'Anges. Por-
traits d'étude.
23. Victimes Lyonnaises, études encadrées.
24. Un autre cadre contenant des études et plusieurs
dessins, sous le même numéro.
Peinture. 19
25. Gravure; nouveau genre inventé par l'Auteur.
Bertaux (Jacques), rue des Postes, n" 48.
26. Deux tableaux, pendans; la Vue d'un camp.
Marche de troupes et de bagages, au passage
d'une rivière.
27. Deux, idem. Un cheval et une charrette. Un che-
val et une charrue.
28. Déroute d'infanterie, poursuivie par des hussards.
2g. Deux pendans. Marches de troupes.
3o. Combat de hussards et de différentes troupes.
3i. Deux pendans. Hussards rejoignant leur camp.
Berthon, rue J.-J, Rousseau, hôtel de Bullion.
32. Tableau représentant Cloé se baignant dans la
grotte des Nymphes.
33. Deux Portraits d'homme.
34. Dessin à l'aquarelle, d'après P. Potter.
Bertin (Jean-V.), élève de Valenciennes, cour
Mandar, n" i.
Paysages,
35. Site d'Italie. Fête au dieu Pan.
36. Une forêt. Vénus retient Adonis.
37. Deux pendans. Offrande à Vénus. Des Pâtres et
leurs troupeaux.
38. Site d'Italie. Appollon poursuivant Daphné.
3g. Un cadre renfermant plusieurs médaillons, et
paysages ronds et ovales, etc., sous le même
numéro.
20 Peinture.
Bertrand (Vincent), rue Vivienne, n" 68.
40. Un cadre contenant des miniatures.
Boilly, rue du Ponceau, n° 43.
41. L'intérieur d'un attelier de peintre.
Une femme assise dessine le portrait d'un
enfant.
42. La queue au lait.
43. Des enfans traînés par un cliien attelé à leur
petite voiture.
44. La laitière.
Ces tableaux appartiennent à l'Auteur.
Bonneval {kndré), disciple de Van-Dae!,rue de BufFaut,
Fb. Montmartre.
45. Un tableau de fleurs.
Bonnemaison (Ferréol), rue du Mont-Blanc, n° 16.
46. Trois Portraits de femme, sous le même numéro.
Boquet, élève de Leprince, chez le cit. Schall,
peintre, au Louvre.
Paysages.
47. Deux Vues de Montmorenci, ornées de figures.
48. Autre Vue de Montmorenci. Voyageurs. Un
troupeau conduit par une femme.
4g. Un jeune garçon fait rester son chien sur l'âne
qu'il conduit. Autres figures et animaux.
5o. Un cavalier sur le devant; figures et animaux.
5i. Vue d'un site en Franche-Comté. Plusieurs figures.
Des moutons.
Peinture. 21
52. L'entrée d'un village, fabriques et figures. Site en
Alsace.
53. Site montagneux. Un pêcheur assis sur un rocher,
autres figures et animaux.
Ces trois derniers tableaux n'appartiennent
plus à l'auteur.
Borilly (Jean-Baptiste), élève de Bounicu, rue de
Vaugirard, n° 9g.
Paysages.
54. Vue du bois de Boulogne, site dit la marre
d'Auteuil.
Cinq pieds sur quatre.
55. Deux Vues du lac de Constance.
56. Une chute du Rhin.
57. Vue d'Italie.
Le premier tableau appartient à l'auteur.
Citoyenne Bouliar (Marie-G.), élève de Duplessis,
place Froidmanteau, n° ig8.
Portraits.
58. De la citoyenne Gambs.
59. Du citoyen Mazade, administrateur du théâtre
des Arts.
60. De la citoyenne Mazade.
61. Du citoyen Lenoir, conservateur du Musée des
monumens Français.
62. De la citoyenne Lenoii-
63. De la citoyenne Arnould.
64. Tableau. Aspasie, demi-figure grande comme
nature.
22 Peinture.
65. Plusieurs têtes de femmes, études sous le même
numéro.
66. Aspasie et deux têtes d'étude, appartenant encore
à l'Auteur.
Bourgoin (François-J.), élève, à Rome, duchev. Mengs,
quai de Chaillot, n° 84.
67. Enée défendu par Apollon, contre Diomède qui
avait blessé Vénus.
Trois pieds sur 2 pieds 9 p.
68. Amusemens champêtres, pendans.
69. Deux autres pendans : Salmacis et Hermaphro-
dite. — Persée qui délivre Andromède du
monstre qui allait la dévorer.
70. Deux autres pendans : Orphée qui perd Euridice.
— Orphée déplorant la perte d'Euridice.
Ces tableaux appartiennent à l'Auteur.
Bouteville.
ji. Un tableau représentant la femme de Putiphar
retenant Joseph par son manteau.
72. Un cadre renfermant différentes miniatures.
Bouton (Joseph-M.), élève de Vincent, place
Vendôme, n" 201.
72 bis. Un cadre renfermant plusieurs miniatures.
Briant (Jean), inspecteur du Muséum de Toulouse,
élève du citoyen Lacour, peintre, à Bordeaux.
73. Œdipe près le temple des Euménides.
Peinture. 23
74. Le berger Forbas, apercevant le jeune Œdipe
suspendu à un arbre.
Brion (Louis) , élève de Restout, rue de Vaugirard,
n" 96.
75. Première leçon d'amour.
Bruandet, barrière Charronne-Fontarabie.
Paysages.
76. Vue des prés Saint-Gervais. Vue de bois, etc.,
sous le même numéro.
Cacault, rue du faubourg St-Denis, n° 11.
77. Le dernier acte de la vie de Caton. Tableau de
i3 pieds sur 10 de hauteur.
Caton, après s'être frappé de son épée au-
dessous de la poitrine, tomba de son lit et fit
tomber une table qui était auprès.
Au bruit, son fils et ses amis accourent; ils
le voient étendu par terre. On met un appareil
sur la plaie; mais Caton revenu de son éva-
nouissement, repousse le médecin , et de ses
mains se déchire les entrailles.
78. Philippe retrouvé par son père.
A Nanci, un soldat du régiment de Château-
vieux, victime d'une trahison, allait subir une
mort honteuse; il s'échappe, vole chez son
amie qui le cache dans un grenier rendu inac-
cessible par la tendresse surveillante. Après de
longues recherches, le père, dirigé vers l'amie
24 Peinture.
de son fils, se fait connaître, et est introduit
par elle dans le secret azile de Philippe.
Caraffe (Armand-C), rue de la Cerisaie, n° 26.
7g. Tableau représentant l'innocence sous la garde
de la fidélité.
Ce tableau appartient à l'Auteur.
Dessins sous le même numéro.
La famille Arabe.
80. } Extérieur d'un Café turc.
Le mariage grec. ,
Casin, Cour du Louvre.
Paysages.
81. Vue du jardin de Mousseaux.
82. Site montagneux orné de figures et d'animaux. "
83. Autre paysage appartenant à la société de la
Réunion des Beaux-Arts.
Chancourtois (de Nantes), rue St-Sulpice, n" 565.
84. Les jardins de l'île enchantée par Armide. C'est
l'instant oij les chevaliers Danois et Ubalde
aperçoivent Armide rajustant sa coiffure dans
un miroir que tient Renaud.
4 pieds sur 3.
85. La statue colossale de Memnon, fils de l'Aurore,
qui rendait un son plaintif au moment où la
Déesse paraissait sur l'horizon; mais alors
Lucifer, autre fils de l'Aurore, l'entraîne vers
un autre hémisphère.
Peinture. 2 5
86. Vues de Tivoly, et Dessins à l'aquarelle sous le
même n°.
Charpentier (Jean), rue de l'Egalité, ci-devant
Bourbon- Villeneuve, n" 3 12.
IUne femme se disposant à plumer une
perdrix.
Le Portrait de l'Auteur.
Chatillon, rue Neuve des Bons-Enfans, n" 6.
87. Un cadre contenant des miniatures et le portrait
en pied de la citoyenne de la V...
88. Imitation d'un tableau Flamand.
89. Portrait de l'auteur et de sa femme à une
fenêtre.
90. Plusieurs autres portraits sous le même n".
Chaudet (Antoine), élève de Stouf, place du Louvre.
Dessins.
91. La sensitive ou l'épreuve du sentiment.
92. L'Amitié en pleurs à la porte d'une prison.
93. Deux Dessins dans un même cadre, destinés à la
nouvelle édition de Racine, par Didot.
94. Les honneurs divins rendus à Psiché.
Par l'Epouse du cit. Chaudet.
95. L'Amour qui vient de dérober une rose. Tableau.
96. Portrait de femme. Ovale.
97. Portrait d'homme. Dessin.
98. Un cadre contenant des miniatures.
XXXIX 3
26 Peinture.
Chauvin (Pierre), élève de Valencicnnes, rue de la
Verrerie, n" 1 3o.
Tableaux, Paysages.
99. Un Soleil levant; un Soleil couchant. Pendans.
Les figures sont du cit. Fleury, à qui ces deux
tableaux appartiennent.
100. Vue des environs de Rheingravenschten , sur les
bords de la Nach dans le Palatinat, ornée de
figures.
Ce tableau appartient à l'Auteur,
loi. Les Salines de Creutzenach dans le Palatinat.
Ce tableau appartient au citoyen Merlin de
Thionville, représentant du peuple.
102. Paysage de décor.
10 pieds sur 5 pieds 7 pouces.
Ce tableau appartient au citoyen Boiveau
Laffecteur.
Christophe , élève de Lantara , palais de l'Egalité ,
n" 29.
io3. Marine. Tems orageux sur les côtes de Hollande.
104. Marine. Rafale.
io5. Autre marine.
106. Vue des Pyrénées, avec des animaux.
Ces tableaux appartiennent à l'Auteur.
Cior (Pierre), rue Bétizij n° 8.
107. Un cadre renfermant plusieurs portraits en mi-
niatures sous le même n".
Peinture. 27
Citoyenne Colins (Sophie), élève de Le Monnier, rue
des Singes, au Marais.
iUn cadre renfermant des miniatures.
Portrait d'un homme de lettres sous le même
numéro.
Crepin (L.-P.), rue des filles St-Thomas, n" 10.
Marines,
log. Sortie du port de Brest, et autres marines peintes
d'après nature.
Damame (M.-F.), élève de David, gallerie du Palais-
Egalité, n" 123.
uo. Tableau représentant l'Etude tourmentée par
l'Amour.
III. Etude et têtes sous le même n°.
Dandrillon, élève de Machy, rue St-Denis, n" ib.
112. Deux tableaux représentant les ruines du temple
de la paix, l'arc de Titus et un coin de la place
Nerva; l'autre un morceau de l'arc de Titus et
le Colisée dans le fond.
ii3. Vue de la gallerie de Florence et du palais vieux,
prise sur le quai de TArno.
Î14. Vue du Colisée à Rome, de l'arc de Constantin,
de celui de Titus et des restes du temple de la
paix.
II 5. Vue du pont et du château St-Ange et de St-
Pierre de Rome.
Ce tableau appartient au cit. Pillol.
28 Peinture.
ii6. Trois petits tableaux, vues d'Italie, sous le même
numéro.
Davesne (P.), élève de F. Coypel, rue du Ponceau,
no lo.
Portraits sous le même n».
(Du citoyen Baré, directeur du Vaudeville.
Du citoyen Henry, Artiste du même théâtre.
ii6 bis. \ De Fépouse d'Hypolite, Artiste idem.
I De Valiere et de son épouse.
^ Du citoyen Jouard.
Citoyenne Delestres (Caroline), cour du Louvre, au
rez-de-chaussée.
117. Portrait de la citoyenne B*** et de ses deux
enfans.
Demarnes, élève de Briard , au Louvre.
Un corps de garde et des joueurs de trictrac.
118. ^ Un corps de garde; une femme se coiffant d'un
casque, même n°.
119. Herminie chez le Berger.
120. Robinson dans son île, paysage.
Ce tableau appartient au citoyen de Naples.
121. Une femme dérobant la flûte d'un berger.
122. Paysage. Vue des Vosges.
123. Intérieur de la ville de Sparte.
Les mères exhortent leurs fils au courage.
124. Des enfans jouant avec des boules de savon.
125. Marché d'animaux.
126. Intérieur d'un camp Espagnol.
Peinture. 29
127. Cincinnatus de retour chez lui, et Cincinnatus
nommé Consul.
128. Scène antique.
12g. Les sables de la Normandie, paysage où l'on voit
des marchands de poisson.
Ce tableau appartient à M. de Vignié.
Deperthes (J.-B.), rue Jean de Beauvais, n" 25.
ij^o. Paysage orné de figures.
i3i. Young méditant au milieu des tombeaux, effet
de Lune.
Desfossej (Charles-H.) , élève d'Augustin, rue
Mêlée, n" i3.
i3i bis. Plusieurs miniatures sous le même numéro.
Desoria (G.-B.-F.), Cour du Louvre.
i32. Portrait de femme avec son enfant.
i33. Une femme occupée du portrait de son époux.
Dessin.
134. Le jugement des morts chez les anciens Egyp-
tiens.
Des juges prononçant sur les bonnes ou
les mauvaises actions de la vie du défunt, lui
fesaient passer l'Achéron, ou le déclaraient
indigne de la sépulture.
Devouge, élève de Demarnes, rue du Bouloy, n" 38.
i35. Portrait du citoyen Demarnes, et plusieurs autres
portraits et études sous le même n".
3o Peinture.
Citoyenne Doucet Suriny, née Glaesner, rue Mont-
martre, n° 247, maison Charot.
i36. Un cadre renfermant plusieurs portraits en
miniature : on y voit celui de la citoyenne
Candeille, artiste du théâtre de la République.
Drahonet, rue des Boucheries, f. G., n° 94.
( Ruines d'un Palais, orné de figures. Gouache.
I '7. \
\ Ruines d'un Temple, figures par Naudet.
i38. Vue perspective de différens monumens d'archi-
tecture, ornée de figures. Gouache.
Dubois (Frédéric), rue Neuve-St-Marc, n° 414.
i3g. Un cadre contenant plusieurs miniatures.
Ducreux (Joseph), élève de Latour, au Louvre, n" 8.
Portraits.
140. Boissy d'Anglas, présidant la convention le
premier prairial.... D'une main il repousse
avec horreur la tête du député Ferraud, qu'on
lui présente au bout d'une pique, et de l'autre
il rappelle l'assemblée au calme.
141. La citoyenne Recamier, en pied.
142. Un Général, membre du Conseil des Anciens.
143. La citoyenne Labouchardie.
144. Le citoyen Etienne Méjan, homme de lettres.
145. Etude d'expression.
Dumont (François), élève de Girardet de Luncville,
aux galleries du Louvre.
146. Essai sur la Liberté, tableau.
Peinture. 3i
147. Quatre Portraits, soui le même numéro.
148. Un cadre renfermant plusieurs Portraits en mi-
niature.
Dumoulin , rue des Filles St-Thomas, n" 7.
14g. La Bataille de Hondscotte, victoire remportée par
les troupes de la république, sur l'armée
Anglaise, commandée par le duc d'Yorck.
i5o. La prise de la frégate la Modeste, dans le port
neutre de Gênes par l'escadre Anglaise. Les
Français de l'équipage de cette frégate, se sau-
vant à la nage, furent poursuivis et massacrés
par les chaloupes Anglaises.
Dunouy..,., élève de Briard.
Vues
i5i. Des Apennins.
i52. De Valmantone, route de Rome à Naples. Figures
par Taunay.
i53. De Castel-St-Heli, dans la Sabine.
154. Du couvent de Casa-Maria , et d'un torrent entre
Rome et Naples : pendans.
i55. De Subbiaco.
i56. Site près Saint-Jean de Morienne.
Duplessis (Michel-A.), élève de Descamps, professeur à
Rouen, rue de l'Echiquier, n° 18,
157. Deux tableaux, haltes de cavalerie.
i58. Un idem, représentant un cabaret.
iSg. Deux paysages, animaux.
160. Un idem. Des soldats arrêtés à la porte d'une
hôtellerie.
32 Peinture.
i6i. Autre tableau. Des voyageurs.
Citoyenne Durieux (née Landragin), rue Saint-
Martin, n° 145.
162. Un cadre renfermant des miniatures.
Duval (Pierre-Joseph), élève de Demarnes, rue du
Fb. St-Denis, maison Periac.
î63. Deux Vues prises dans les Apennins, même
numéro.
Ces tableaux appartiennent à l'Auteur.
Citoyenne Ferrey (Fanni), élève et demeurant chez le
cit. Thonnesse, son beau-père,
Rue Saint-Thomas, n" 270.
164. L'affreuse nouvelle, tableau.
C'est l'instant où une épouse, entourée de sa
famille, apprend, par une lettre, la mort
cruelle de son mari, victime d'un jugement ré-
volutionnaire, à Nantes.
Ce tableau appartient à l'Auteur.
Fleury (Antoine-Claude), élève de Regnault, rue de
Chartres, n° 347.
i65. Un enlèvement : effet de Lune.
Hauteur, 8 pieds; largeur, 6 pieds 6 p.
Petite esquisse du même tableau.
Ces deux tableaux appartiennent à l'Auteur.
166. Une jeune femme enfermée par ses oppresseurs,
est délivrée par son amant. Effrayée du danger
qu'il court, elle s'est évanouie dans ses bras.
Peinture. 33
Déjà il a franchi le seuil de la porte, après
avoir terrassé un de ses ennemis; il défie et
combat encore ses autres adversaires.
Fontaine (M.-D.), rue Pelletier, n" 21.
Gouaches.
1 66^/5. Ruines d'un temple de la Grèce, avec fabriques
et figures.
167. Ruines d'architecture, représentant une buan-
derie, avec figures.
Fontaine (P.-F.-L.), rue Montmartre, n° 219.
168. Deux dessins, vues d'Italie, à l'aquarelle.
Forbin (Auguste), élève de Boissieux, rue du
Croissant, n" 6.
Dessin.
169. Vue du château de la Barben, situé dans le
département des Bouches du-Rhône.
Fortin rue des Saints-Pères, n° 1191.
170. Des voyageurs, descendus dans les catacombes
d'Egypte, y trouvent deux jeunes gens morts.
Dans la main de l'un d'eux est une tablette qui
annonce que ces infortunés avaient été enfermés
dans ces tombeaux. Au même instant les
voyageurs se voient abandonnés par leurs
guides.
171. Ariane abandonnée.
172. La nymphe Hespérie, fuyant ^sacus, tombe et
!^4 Peinture.
meurt de la morsure d'un serpent. Son amant,
après avoir vengé sa mort, se précipite dans la
mer, où il est changé en Plongeon.
173. Diane, esquisse.
174. Vénus et Adonis, esquisse.
Dessins.
175. J. Brutus et M. Brutus, assis sur un même tri-
bunal.
176. Invocation à la Nature.
177. Le triomphe de l'amour, grande frise.
Fouquet (Jean), rue basse Saint-Denis, n" 6.
177 bis. Paysages, figures et animaux.
Fournier (Jean-Simon), rue des Deux-Boules, n° 7.
178. Le Rosier dangereux.
Un jeune homme et une jeune fille se sauvent
d'un serpent caché sous des roses.
179. Effet du tonnerre.
Une jeune fille s'évanouit de frayeur entre les
bras de son amant.
180. Offrande à l'Amour.
Fragonavd fils (Alexandre), Galleries du Muséum.
Dessins sous le même n".
180 bis. 1° César annonce à Cinna qu'il est instruit de
sa conspiration.
2° Le premier Athénien parricide, condamné
à mourir de faim et privé de sommeil, auprès
du cadavre de son père.
Peinture. 35
François (Henri-J.), élève de feu Brenet, rue du
Gaillon, n" 1 1 .
Portraits.
i8i. Femme pinçant de la guitare.
182, De Ducray-Dumenil.
i83. De Bernard.
184. Plusieurs têtes sous le même n".
Garnerey, rue des Arcis, n" i25.
Portraits.
i85. D'une femme accordant sa harpe. Plusieurs autres,
sous le même numéro.
Garnier (Micliel), élève de Pierre, Fb. St-Denis, rue
des Petites-Ecuries, n° 44.
186. Une mère posant une couronne sur la tête de
son enfant.
187. Un déjeûner d'œufs frais.
Gautherot (C), élève dç David.
188. Marius à Minturne.
Caius Marius mérita, par ses triomphes^ le
titre de troisième fondateur de Rome, A l'âge
de 63 ans, proscrit par Sylla, il fut trouvé
caché dans un marais, près Minturne. Conduit
vers les magistrats de cette ville, ils le firent
déposer chez une femme, pendant qu'ils déli-
béraient, et bientôt ils y envoyèrent un cavalier
Cimbre, chargé de le mettre à mort. Le héros
retiré dans un coin obscur de la chambre, les
yeux étincelans, dit au Cimbre : Oseras-tu
36 Peinture.
bien frapper Caitis Marins? Le soldat, laissant
tomber son épée, s'enfuit incontinent.
Largeur 5 pieds sur 4.
189. Bacchus, figure d'étude.
190. Portraits d'un homme, d'une jeune fille, sous le
même numéro.
Gautier (Rodolphe), rue de Bagneux, n" i55. F. S. G.
191. Deux Vues d'Italie, sous le même numéro.
Ces tableaux appartiennent à l'Auteur.
Ga:^ard (F.-V.), de Toulouse, élève de Dexpax,
A Versailles.
191 bis. Tableau, marine. La Vente du poisson, au
retour de la pêche.
Gensoul- Desfonts , élève de Regnault, de
Rome, rue de Bondi, n" 5i.
192. Esquisse peinte.
Tancrède, combattant Clorinde qu'il adore,
quoique son ennemie, lui sauve la vie en parant
le coup qu'un barbare vient lui porter par
derrière.
Ce tableau appartient à l'Auteur.
Georget (Jean), rue Feydeau, no 223.
193. Un cadre renfermant plusieurs miniatures.
Gérard (François), élève de David, au Louvre.
/ Le Portrait d'isabey, peintre.
-. j Quatre Dessins, Amours de Psiché, renfermé
V dans un cadre, même numéro du portrait.
Peinture. 37
Gou:i;ien (René)^ élève de feu Brenet, rue des Bour-
donnais, n" 5, à Versailles.
Portraits de famille.
195. Un jeune homme et sa sœur, artistes, travaillant
aux portraits de leur père, mère et oncle.
196. Le retour de la Vendée.
Le père et la mère du jeune citoyen vont
au-devant de lui ; ils sont devancés par l'un de
leurs enfans.
197. Portrait du citoyen Dijon.
Dessins.
198. Hébé, suivie des Amours, versant le nectar à
Jupiter.
19g. Un laboureur, se reposant sur sa charrue, montre
à ses enfans l'astre qui fait mûrir les moissons.
Harriet (F.-J.), élève de David, rue de la Lune,
n» 119.
200. Ariane abandonnée par Thésée, dans l'île de
Naxos.
Tableau haut de 4 pieds sur 6.
201. Deux tableaux, sujets de Léandre et Héro; même
numéro.
Dessins.
Ï Œdipe à Colonne.
. Sapho et Anacreon.
Ce dernier appartient à la société de la réu-
nion des Arts.
Haver (Jean, J.), rue des Arts, n° 76.
2o3. Le bon et le mauvais exemple.
xxxix 4
38 Peinture.
204. Un vieillard recevant des secours d'une famille
charitable.
205. Un homme ivre et deux jeunes débauchés.
Hemon, rue Antoine, n° i.
2o5. Trois tableaux, paysages ornés de figures et
d'animaux.
Ces tableaux appartiennent à l'Auteur.
Hilair (Jean-Baptiste), élève de Leprince, rue Neuve
Ste-Geneviève, maison Cézerac.
207. Paysage, figures et animaux.
208. Déjeûner sous un berceau, dessin colorié.
Ces deux tableaux appartiennent à l'Auteur.
Holain (N.-F.), rue de Ménil-Montant, n» i32.
2og. L'Amour courant après des papillons.
210. Deux pendans : un jeune garçon; une petite fille
donnant à boire à un chien.
211. Deux paysages, même numéro.
212. Deux portraits en pied, même n".
Houi^eau, rue Neuve-Nicolas, F. M., n" 29.
2 1 3. Allusion à la liberté des Nègres.
L'Égalité tient le niveau au-dessus de deux
enfans qui s'embrassent, dont l'un est noir et
l'autre blanc.
Hue (Jean, F.), aux galleries du Louvre.
Marines.
214. Vue de la rade de Brest, prise sous la batterie
du château en regardant le soulet.
Peinture. 39
Hauteur 6 pieds sur y pieds de largeur.
21 5. Environs de Naples. On voit au clair de la
Lune, des rnatelots qui font cuire du poisson.
4 pieds sur 5.
216. Commencement d'une tempête. Sur le devant,
des matelots se hâtent d'amener la voile de
leur chaloupe.
3 pieds sur 2.
217. Paysage. Vue des environs de Rome. Clair de
lune : des matelots se reposent auprès d'un
feu. Ces deux tableaux sous le même n".
218. Un rayon d'espoir.
Un père, une mère et leur enfant naufragés,
place's sur un rocher au milieu des flots aux-
quels ils ont échappé, découvrent dans un
éclairci à l'horison , un vaisseau qui vient à
toutes voiles de leur côté.
Citoyenne Huin, rue Mêlée, n" 5i.
219. Un cadre renfermant des miniatures.
Jeaurat (Nicolas-Henry) , élève d'Etienne Jeaurat.
220. Portrait de C. J. Gelé, à l'instant où il reçoit le
brevet d'Imprimeur de la gendarmerie natio-
nale; l'artiste en a peint le contenu et le
cachet.
221. Vue de la collégiale et du pont de Corbeil. Sous
le pont passe un coche descendant.
/satej' (Jean -Baptiste), élève de David, rue St-Marc,
n" 27.
222. Plusieurs miniatures sous le même numéro.
40 Peinture.
223. Plusieurs dessins sous le même n"".
Kan;^ (Charles-Chrétien).
Emaux et Miniatures.
224. Un cadre renfermant plusieurs portraits.
225. Deux têtes, bordures ovales, et autres miniatures
sous le même numéro.
Ces derniers objets appartiennent à l'Auteur.
Lafond (le jeune) successivement élève de Barthélemi,
de Suvée, de Regnault,
rue des Martyrs, f. Montmartre.
226. La mort de Timophane.
Timoléon se rend chez son frère Timophane
avec Satj'rus, leur beau-frère et plusieurs amis.
Après avoir exliorté en vain Timophane à
quitter le pouvoir souverain qu'il avait usurpé,
Timoléon se couvre la tête de son manteau et
le tyran est poignardé.
227. Agar dans le désert.
Un Ange venant à son secours, lui montre
une source qui coulait d'un rocher. Il lui dit
de conserver son tils qui devait être la souche
d'un grand peuple.
Lafontaine (Pierre), rue de l'Echelle St-Honorc,
n° 16.
228. Intérieur d'une église gothique de Flandres,
effet de jour.
Les figures peintes par Demarnes.
Peinture. 41
/ Autre Intérieur, idem, les ligures par De-
I marnes.
' Un dessus deAjoëte, même n".
Lagrenée (l'aîné), Galleries du Louvre.
22g bis. Petits tableaux sous le même numéro.
Dieu donne une femme à Adam , et lui dit :
croissez et multipliez.
Le Déluge.
L'Aurore enlève Céphale.
Judith et Holopherne.
Diane et Actéon.
Jupiter, sous la forme de Diane, séduit
Calisto.
Ces tableaux appartiennent à l'Auteur.
Lagrenée (le jeune), élève de Lagrenée l'aîné,
son frère.
230. Le rêve de Psyché, peint sur glace, figures colo-
riées sur fond noir.
Dessins.
23 1. Anaxagore, voulant faire comprendre à Périclès
qu'il l'abandonnait dans son malheur , lui
montre sa lampe qui s'éteint faute d'huile.
232. Achille reconnu par Ulisse.
233. Adam chassé du paradis terrestre.
Lambert, rue Basse-des-Ursins, en la Cité, n° 5.
234. Œdipe à Colonne.
Antigone et Isménie, sa sœur, dans les bras
xxxix 4*
42 Peinture.
de leur père, implorent le pardon de Polinice
leur frère.
235. La piété filiale.
236. Les mœurs de l'âge d'or, deux esquisses à
l'aquarelle.
Landon (Charles), élève de Regnault, au Louvre.
237. Sujet extrait du roman de Paul et Virginie.
238. Les regrets d'Orphée.
239. Le bonheur d'une mère.
240. La mort de Cléopâtre.
Ces quatre tableaux peints sur bois, appartiennent
à l'Auteur.
241. Portrait de femme peint sur métaL
Landry (Louis), rue des Grands-Augustins, n" i5.
242. Tableau de famille.
243. Portraits d'homme, de femme et d'enfans sous
le même n°.
Laneuville (Jean-Louis), rue Froidmanteau, place
du Louvre, n° 196.
244. Portrait de la citoyenne Tallien dans un cachot
à la Force, ayant dans les mains ses cheveux
qui viennent d'être coupés.
Hauteur 5 pieds sur 4.
245. Portrait de P , membre du Conseil des Cinq-
Cents.
246. Portrait de C , membre du Conseil des An-
ciens.
Tableau ovale.
Peinture. 43
247. Autres portraits d'hommes, de femmes, d'enfans,
de vieillards, sous^le même numéro.
Larivière (J.-B.-V.), rue Boucherat au Marais, n» i5.
Miniatures.
248. Suzanne au bain, d'après le tableau du citoyen
Fabre.
249. Portrait d'homme, costume antique.
Dessins.
250. Deux jeunes filles dont l'une envoyé des baisers
et l'autre recommande la discrétion.
25 1. Portrait de femme.
Nota. L'Auteur déclare dans sa notice qu'il
est redevable des progrès qu'il peut avoir faits
aux avis et aux conseils obligeans du citoyen
Isabey.
Laurent (Jean), rue Nicaise, n° 487.
252. L'Amour et l'Innocence.
253. La matinée d'un printems, pastorale.
254. Un cadre renfermant plusieurs miniatures.
Lebarbier, élève de Pierre, Cour du Louvre.
255. "Virginie dans le moment qu'Icilius son amant
l'enlève en présence du décemvir Appius, et
que les dames Romaines prennent sa défense.
6 pieds sur 4 pieds 8 pouces.
256. L'éducation des enfans à Sparte.
On les berçait sur un bouclier et la mère
faisait briller à leurs yeux les armes de leur
père.
44 Peinture.
Lebrun (^J.-B.-P.), élève de Deshaies, de Boucher et de
Fragonard, rue du Gros-Chenet, n° 47.
2b7. Tableau de genre : la statue d'Hercule et acces-
soires.
258. Une estampe à l'eau -forte, d'après Rembrand,
fesant partie de la gallerie des peintres Fla-
mands, etc., publiée par l'Auteur.
Le Brun (Jacques), rue de la Loi, n° 748.
25g. Emma portant son amant sur ses épaules.
Charlemagne instruit de la passion de sa
fille Emma pour son secrétaire, lui avait
défendu de le voir. Malgré cette défense,
s'étant introduit furtivement un soir, dans
l'appartement d'Emma, ils furent effrayés le
lendemain en voyant la terre couverte de neige.
La retraite y laisserait des empreintes qui
allaient trahir Tamant. Alors Emma le charge
sur ses épaules et le transporte loin du Palais.
Charlemagne les aperçoit ; mais touché de
cet ingénieux artifice de l'Amour, il consentit à
leur union.
Leclerc (Pierre-Thomas), élève de Lagrenée l'aîné,
rue des Noyers, n" 3o.
260. Tableau représentant une famille affligée de la
peste.
4 pieds g pouces sur 2 pieds 10 p.
261. Divers tableaux et dessins sous le même n°.
Le Doux (Nicolas), rue des Jeûneurs, n" 22.
262. Un cadre contenant plusieurs miniatures.
Peinture. 45
Ciioycnne Le Doux (Philibcrte), élève de Grouse, rue
d'Orléans, porte St-Denis, n" lo.
262 bis. Tableaux sous le même n°.
Le repos de la peinture.
Deux pendans. De petites tilles à une
croisée.
L'Amour caché.
Ledru (Hilaire), rue Croix-des-Petits-Champs, n''i2i.
Portraits. Dessins.
263. Le général Bonaparte.
264. Le général Beurnonville.
265. Un négociant de Bordeaux.
266. Un homme et une femme à la promenade.
267. Un Représentant du peuple, entouré de sa famille,
répandant des fleurs sur le tombeau de sa
première épouse; d'après le tableau du citoyen
Schall.
268. Etude de femme tenant une lettre.
269. Portrait du citoyen Schall et autres portraits sous
le même n°.
Lefebvre (Robert), élève de Regnault, rue d'Orléans
St-Honoré, n° 17.
270. Deux portraits en pied, même n°.
271. Portrait d'une artiste jouant la comédie.
272. Portrait d'une jeune personne.
273. Portrait d'homme.
274. Portrait de deux sœurs, même n".
275. Portrait d'homme.
4<î Peintures.
Legrand (Sicot) , élève de Descamps , professeur à
Rouen, rue Grenelle St- Honoré, n" 35.
276. Tableau historique : Un bienfait ne reste jamais
dans l'oubli.
C'est le titre que donne l'Auteur à l'action
généreuse de Gange, commissionnaire à la
Force, représentée dans ce tableau. Le trait
en est aussi connu qu'admiré. L'instant est
celui où Gange, cédant avec peine aux instances
des personnes qu'il a obligées, avoue que les
secours sont venus de lui.
277. Portrait du commissaire général du canton de
Berne : tableau de famille.
278. Les contes de ma Grand- Mère. Tableau de
genre.
279. Deux têtes d'étude et deux portraits en minia-
tures sous le même n».
Nota. Les deux miniatures sont de la
citoyenne Legrand son épouse.
Leguay (Etienne G.), élève de Vien , rue de
Bondi, n° 17.
/ Tableau en miniature, représentant une bai-
l gneuse.
Le même sujet peint sur porcelaine.
Un cadre renfermant des miniatures.
Divers dessins de l'épouse du citoyen Leguay.
Lejeune (Nicolas), élève de Lagrenée l'ainé.
Rue Bétizy, n" 344.
281. Portraits sous le même n°.
Peinture. 47
La citoyenne P**" peinte en Hébc.
Une ouvrière en dentelle et son chien.
Le rendez-vous des amans : paysage.
Le lever de l'Aurore : esquisse exécutée chez
le cit. Augustin, peintre en miniature.
Dessins et esquisses.
Letnay (Olivier), cour du Commerce, rue des Fossés,
F. St-Germain.
282. Marine, tempête.
283. Deux paysages fesant pendans.
Ces tableaux appartiennent à l'Auteur.
Citoyenne Lemoine (Marie-V.), rue de la Loi.
284. L'intérieur d'un attelier de femme, peintre.
Tableau de 4 pieds sur 3 et demi.
285. Deux tableaux ovales.
Une jeune fille tenant une colombe.
Un petit garçon jouant du violon.
286. Un cadre renfermant des miniatures.
Lemoine, élève de Latour, rue des Petits-Carreaux,
n° 202.
Portraits dessinés.
287. La citoyenne Gontier.
288. La citoyenne Dugazon.
289. La citoyenne Crétu.
290. Le citoyen Pascaly.
291. L'Auteur, peint par lui-même.
292. Plusieurs portraits sous le même numéro.
48 Peinture.
Nota. Ces dessins sont faits avec un crayon
noir-de-velours , de la composition du citoyen
Coiflfier, rue du Coq-St-Honoré, n" i33.
Le Peintre (C), rue Mazarine, n» i53g.
293. La mère trompée.
294. Un Devin.
295. Deux portraits de femme sous le même no.
Le Roy (François), élève de Vien , rue du
Hurepoix, no 18.
Portraits.
296. De la citoyenne Le Roy, à son chevalet.
297. De la petite fille de la citoyenne Desbrosses,
Artiste des Italiens.
298. De M. R.
299. Plusieurs emblèmes sous le même numéro.
Le Roy (Joseph), élève de Suvée, rue des Saussayes,
Fb. St-Honoré, n° 1239.
3oo. Arria et Pœtus.
Le moment du tableau est celui où Arria,
présentant le poignard dont elle vient de se
frapper, prononce ces mots si célèbres : Prens,
mon cher Pœtus, cela ne fait pas de mal.
Nota. Pour le surplus du trait historique,
voyez le n» 398, R.
3oi. Œdipe et Antigone.
Œdipe, aveugle, exilé par son fils Polinice,
après avoir erré longtems, arrive enfin, accablé
de lassitude et guidé par sa fille Antigone, sur
Peinture. 4g
le mont sacré où est bâti le temple des Eumé-
nides, près de Colonne. Là, n'espérant plus
trouver d'asyle, il dit à sa fille, dont le bras
soutient ses pas chancellans :
Ah! n'avançons pas davantage,
La fatigue m'accable...
Antigone.
Appuyez-vous sur moi.
Œdipe.
Mais dis, où sommes- nous r
Antigone.
Sur un rocher terrible.
Plus loin sont des cyprès; sous leur ombre paisible
On voit un temple antique...
302. Les Chevaliers dans les jardins d'Armide.
303. Portrait d'homme.
Le Roy (Sébastien), élève de Peyron, place du
Louvre, n" 20.
304. Renaud et Armide. Tableau.
C'est l'instant où Renaud saisit le bras d'Ar-
mide, qui allait se percer le sein. Elle reconnaît
celui qu'elle adore, et en détourne ses regards
avec dédain.
Dessins.
305. Apollon inspirant Homère.
306. La Folie arrache le voile à l'Innocence, et lui
montre l'Amour et la Volupté.
307. Il emporte la rose et nous laisse l'épine.
Ces dessins appartiennent à la Société de la
réunion des Beaux-Arts.
XXXIX 5
5o Peinture.
L'Eveillé (Charles-Stanislas), rue du Regard, n° 74.
Dessins.
3o8. Démolition des Cordeliers.
3oq. Ruines des Cordeliers, clair de lune.
3 10. Deux pendans, Ruines gothiques.
Ces dessins appartiennent à l'Auteur.
Mandevare (N.-A.-M.).
3ii. Deux Gouaches.
Elles appartiennent à l'Auteur.
Marchais (Pierre-A.), rue Pave'e, n° 4, section du
Théâtre-Français.
Tableaux, Sujets.
/ Deux Vues de Saint-Germain.
l Deux idem de la forêt de Saint-Germain.
1 Deux Vues, l'une de Chambourci ; l'autre.
3ii bis. ^ des environs de Sceaux.
j Deux Vues, l'une des Prés St-Gervais, l'autre,
f encore des environs de Sceaux.
\ Quatre Vues des environs de Paris.
Martin (Antoine), rue des Prouvaires, n°' 569 et 3o.
3 12. L'instituteur des Sourds et Muets, donnant une
leçon à ses élèves.
Sur la gauche du tableau est un grouppe
d'élèves qui reçoivent les premières leçons; sur
la droite sont ceux plus instruits. Au fond, on
voit le célèbre Instituteur expliquant au public
les différens procédés de sa méthode (*). Le
(*) On est, à regret, obligé d'y renvoyer, pour le
surplus de la notice.
Peinture, 5i
jeune Massieu, indiquant la dernière réponse
qu'il vient de faire, attend une question nou-
velle, avec cette physionomie animée où se
peignent sa pénétration et sa sagacité.
Au bas du tableau sont des attributs et quel-
ques ouvrages de l'Instituteur.
Hauteur, lo pouces et demi-, largeur, i3
pouces.
3i3. Un Portrait en pied.
314. Un cadre contenant plusieurs miniatures à l'huile
et à la gouache.
Martin (Guillaume), élève de Vien , rue de la Liberté,
n" 67.
(Deux tableaux faisant pendans :
Une femme pressant une grappe de raisin.
Une femme portant un rosier.
3 16. Femme tenant un oiseau.
317. Monime, femme de Mithridate, acceptant le poison
qu'il lui envoie.
3 18. Sainte Famille.
Citoyenne Mayer (Constance), élève de Suvée, rue
Mêlée, n" 65.
Portraits.
3ig. La citoyenne Mayer, peinte par elle-même, mon-
trant une esquisse du portrait de sa mère.
320. Un jeune élève portant un carton sous le bras.
32 1. Un enfant.
Miniatures.
322. Le père de l'Artiste, médaillon et dessus déboîtes,
sous le même n".
52 Peinture.
Menjaud (Alexandre), élève de Regnault, rue Grange-
Batelière, n" 24,
323. Supplice d'un parricide.
Solon ne prévit point ce crime.... Long-tems
après ce législateur, un jeune homme d'Athènes
s'en rendit coupable. Il fut condamné à mourir
en prison , enchaîné près du cadavre de son
père, et veillé nuit et jour, pour qu'il ne pût
prendre ni nourriture ni repos.
C'est l'instant où les gardes troublent le
sommeil du coupable et le rendent aux re-
mords.
324. Virgile lisant le sixième chant de l'Enéide, devant
Auguste et Octayie.
Lorsque Virgile, récitant ses vers à la louange
de Marccllus, fils d'Octavie, mort à la fleur de
son âge, prononça ces mots : Tu Marcelhis
eris, Octavie s'évanouit. Elle fit ensuite donner
à Virgile dix sesterces pour chaque vers de ce
morceau sublime.
Ces deux tableaux appartiennent à l'Auteur.
Messier (Jean-L.), rue Saint-Honoré, n° 199.
325. Tableau représentant Salmacis et Hermaphrodite.
Dessins.
326. Socrate buvant la ciguë, au milieu de ses
disciples.
327. Les amis d'Œacides, roi détrôné des Molosses,
sauvent son fils encore à la mamelle, et avec
les femmes qui le servaient , le portent chez
Glaucias, roi d'Esclavonie, qui le prend sous sa
protection.
Peinture. 53
Métoyen, élève de Vincent.
328. Portraits sous le même numéro.
Un Capitaine de grenadiers.
Une jeune personne.
Un adolescent, sous le costume d'un Jokey.
Meynier (Charles), élève de Vincent, au Louvre.
329. Milon de Crotone, voulant essayer sa force, est
surpris et dévoré par un lion.
Ce tableau doit faire pendant à celui d'An-
droclès, exposé au dernier Salon.
Hauteur, 7 pieds 7 p., largeur 6 pieds c p.
330. Une Bacchante éveillée par un jeune Faune.
Deux pieds, sur 2 pieds 6 pouces.
Me^^ieres, élève de Halle, rue des Cordiers, n" 585.
33 1. Quatre Portraits dessinés à la pierre d'Italie, sous
le même numéro.
Michel (G.), rue Neuve de l'Egalité, n° 3i5.
332. Un tableau de genre et deux paysages avec
figures et animaux, sous le même numéro.
Mongin (Pierre-Antoine), rue de Sèves, n" 1104.
Gouaches.
333. Marche d'animaux dans les inondations d'une
ville fortifiée.
334. Paysages et marche d'animaux.
(Un jeune homme reçoit la rose, de la
main de l'Amour.
333. Pendans. \ Une jeune fille dessine dans un
f bosquet, les Amours étendent un
"• voile.
XXXIX 3*
54 Peinture.
336. Deux tableaux ovales, pendans.
„. f Un convoi d'artillerie.
337. i
( Attaque d'un poste, au point du jour.
338. Des baigneuses jouant avec les Amours. Ovale.
Moreau (Louis) l'aîné, au Louvre.
339. Deux tableaux; l'un, un clair de lune; l'autre, un
effet de feu, peints à la gouache.
340. Plusieurs Paysages peints à l'huile, sous le même
numéro.
Moreth, élève de Casanova, faubourg Montmartre,
n° 25.
Gouaches.
341. Vue prise sur les bords de la Tamise.
342. Autre Vue prise aux environs de la ville de
Limoges.
343. Huit autres tableaux de Paysages , sous le même
numéro.
Mouchet (François-Nicolas), au Louvre.
344. Léda. Demi-figure.
345. Tête de jeune fille.
346. Portrait du citoyen P***.
347. Un cadre renfermant plusieurs Portraits en mi-
niature.
Neveu (F.-M.), cour du Louvre.
348. Une jeune fille conduisant son vieux père,
aveugle.
349. Les premiers tems du monde. — Paysage avec
figures.
Peinture. 55
350. Portrait de la citoyenne F*'*.
35 1. Trois paysages, Vues d'Italie, sous le même
numéro.
Citoyenne Orceîle (Alexandrine), élève du citoyen
Augustin,
Rue d'Hauteville, Fb. Poissonnière, n° 5.
352. Un cadre renfermant des miniatures.
Orsin (Joseph), rue St-Dominique, F. G., n" iSo.
353. Un cadre contenant :
Le coucher du Soleil chez Thétis.
Métamorphose de la nymphe Coronis.
L'Amour dansant avec Psyché.
L'extase du père Hilarion.
Petits enfans allant à l'école.
Des nids d'oiseaux.
Un Portrait de femme.
Pajou fils (J.-A.), Gallerie du Muséum, n° 21.
354. Un petit tableau de famille.
355. Plusieurs Portraits ovales, sous le même nu-
méro.
Percier (Charles), rue Montmartre, n° 219.
Dessins.
356. L'Intérieur d'un Muséum, dessin à l'encre de
la Chine.
357. Fragmens d'architecture de Rome, au bistre et à
l'encre.
358. Intérieur colorié dans le goût des Peintures an-
tiques de Pompeia.
56 Peinture.
Perier (Marc-François), rue des Droits de l'Homme,
n» 63.
359. Un Concert dans un salon décoré d'architecture.
360. Le Contrat de mariage; figures et animaux dans
une chambre rustique.
36i. La Surprise.
362. Intérieur : une figure assise.
363. Une femme \<ic par une croisée.
Ces tableaux appartiennent à l'Auteur.
Perrin (Jean-C.-N.), élève de Durameau, au Louvre.
364. Trois cadres sous le même numéro, contenant
six dessins destinés à une édition grand in-folio
du poëte Lucrèce.
365. Portrait d'une femme tenant une lyre. Tableau.
Petit (Pierre-J.), élève de Hue, rue de l'Echiquier,
n" 36.
366. Vue intérieure de la forêt de Fontainebleau.
367. Vue des cascatelles de Tivoli, près de Rome.
Petit (Simon), rue de Grenelle St-Honoré, n" 90.
368. La diseuse de bonne aventure.
369. Le journal du matin.
Ces tableaux appartiennent à l'Auteur.
Peyron (Jean-F.P.), élève de Lagrenée l'aîné, au
Louvre.
370. Bélisairc, à qui un paysan donne l'hospitalité.
Il lui présente sa famille. Mes enfans, dit le
Peinture. 57
paysan, tombez aux pieds de ce héros; c'est
lui qui vous a sauvés du ravage des Huns;
sans lui, le toît que nous habitons aurait été
réduit en cendres; sans lui, vous auriez vu
votre père égorgé et vos enfans menés en escla-
vage; sans lui, mes hlles, vous n'auriez peut-
être jamais osé lever les yeux.
Bélisaire, ému jusqu'au fond de l'âme d'en-
tendre autour de lui cette famille reconnais-
sante le combler de bénédictions, ne répondait
à ces transports qu'en pressant tour-à-tour
dans ses bras le père et les enfans. Seigneur,
lui dirent les deux femmes, recevez aussi dans
votre sein ces innocens, dont vous êtes le
second père; nous leur rappellerons sans cesse
le bonheur qu'ils auront eu de baiser leur libé-
rateur, et de recevoir ses caresses.
371. Fulvie révèle à Cicéron la conjuration de Catilina.
Ce Dessin est destiné à une édition de Saluste,
grand in-folio.
372. Deux cadres contenant des Dessins, sous le même
numéro.
Citoyenne Piètre (née Vallain) , de l'école de David,
rue Boucher, n° 5.
373. Tableau représentar^t Sterne et Juliette. Sujet
extrait du voyage sentimental.
P2)?cAon (Jean-A.), élève de Vincent, rue Caumartin,
n» 744.
374. Deux Portraits, même numéro.
375. Un cadre contenant des miniatures.
58 Peinture.
Citoyenne Pinson (Isabelle), à l'Hospice de l'Ecole
de santé.
376. Trois Portraits, sous le même n".
Point, élève de Vincent, place de Thionville, n° 27.
377. Un cadre contenant des miniatures.
Potain, élève de Vincent, cour Saint-Guillaume, n° 16.
Dessins, pendans.
378. Fermeté des vieillards Romains, qui aimèrent
mieux périr que d'abandonner Rome.
379. Camille rentrant dans Rome, et chassant Brennus,
qui fesait acheter la liberté au poids de l'or.
Pourcelly (Jean-Baptiste), rue et île de la Fraternité,
n» 97.
Gouaches.
38o. Vues de sites de Provence, deux pendans sous
le même numéro.
Nota. Ces tableaux appartiennent au citoyen
Orelly.
Prévost (Jean-Louis), élève de Bachelier, rue de
Bellefond, n" -lO'i.
38i. Un Faisan de la Chine.
382. Des Fleurs et accessoires.
383. Des Fruits idem, tableau ovale.
Prevot (Pierre), rue du Bouloy, n" 37.
384. Paysage au soleil couchant.
385. Un Orage.
Peinture. Sg
386. Autre Paysage au soleil couchant.
387. Paysage.
Ces tableaux appartiennent à l'Auteur.
Prud'lion (P.-P.), au Louvre.
388. Portrait du citoyen C***. Le tems n'a pas permis
de finir les mains ni les vêtemens.
Dessins.
389. Trois Dessins lavés à l'encre de la Chine, sujets
du roman de Daphnis et Cloé, qu'imprime le
citoyen Didot l'aîné.
390. Deux idem, à la plume, sur vélin, sujets tirés de
ce vers de l'Art d'aimer, de Bernard :
Choisir l'objet, l'enflammer et jouir.
Tous ces objets appartiennent au citoyen
Constantin.
Redouté, peintre du Muséum d'histoire naturelle,
Cour du Louvre.
391. Un vase de cristal, rempli de différentes fleurs,
posé sur un socle d'albâtre.
Robert (Hubert) , Gallerie du Louvre.
392. Projet pour éclairer la gallerie du Musée par la
voûte, et pour la diviser sans ôter la vue de la
prolongation du local.
393. Ruines, d'après le tableau précédent.
394. Restes d'un pont triomphal.
395. Plusieurs autres tableaux et dessins coloriés, sous
le même numéro.
6o Peinture.
Robin (Jean-Baptiste-C), rue des Bernardins.
396. Un voyageur en route, donnant l'avoine à son
cheval. Portrait.
Hauteur, 5 pieds sur 4.
397. Esquisse d'un ouvrage à peindre sur un plafond
ou sur une voûte. Le sujet en est pris de
l'opinion la plus générale sur les merveilles du
ciel.
Roger (Pierre), élève de Regnault, rue Saint-Martin,
n- 52.
398. Arria et Pœtus.
Cœcinna Pœtus, lié avec Scribonien, ayant
soulevé l'Illirie contre l'empereur Claude, fut
pris et condamné à la mort. Arria , sa femme,
ne voyant aucun moyen de le sauver, l'exhorta
à prévenir le coup, et sur son incertitude, elle
s'enfonça un poignard dans le sein : aussitôt,
en le lui présentant, elle lui dit : Tiens,
Pœtus, 27 ne m'a point fait de mal.
Cette action courageuse détermina Pœtus à
se donner la mort.
Nota. Le tableau d' Arria et Pœtus appartient
à l'Auteur.
399. Le Portrait d'une Artiste.
400. Anacréon, dessin : sujet annoncé dans le cata-
logue de l'année dernière, sous le nom du
citoyen Fleury, d'après lequel il est copié.
Roland (Jacques), élève de David, rue Ventadour, n" 3
401, Tableau de famille, deux figures.
Peinture. 6i
402. Portrait d'un homme.
403. Deux pendans. Une Laitière, une Marchande de
volaille.
Ces deux derniers appartiennent à l'Auteur.
Romance (Adèle, dite Romany), rue des Jeûneurs,
n» 14.
404. Portrait du citoyen Fleury, dans une maison de
détention.
405. Deux Portraits de femmes et une tête d'enfant,
sous le même numéro.
Rosier (Jacques-A.), élève de Reiser, boulevard de
l'Egalité, à Versailles.
406. Deux Marines, peintes sur bois, sous le même
numéro.
i?q/er (Pierre), rue Neuve de l'Egalité, vis-à-vis celle
des Filles-Dieu, n" 3oi.
407. Vue du château de Basville; elle est prise à mi-
côte de la montagne.
408. Vue du village de Chelsea et du pont de Bater-
sea, aux environs de Londres.
409. Autre Vue des environs de Londres.
Ces tableaux appartiennent à TAuteur.
Sablet (Jacob), élève de Vien , au Louvre.
Nota. Dans les tableaux suivans, les costumes
et les sites sont d'Italie.
410. Le Colin-Maillard.
411. Le premier pas de Tenfance.
62 Peinture.
412. Pendant du précédent. // morticello.
41 3. Le Réveil. Costumes de Frescati.
414. Les Joueuses d'osselets.
41 5. La Pileuse.
416. Le Fluteur.
417. Le Lecteur.
4)8. Trois têtes d'après nature.
419. La diseuse de bonne aventure.
420. Un Soleil couchant.
Saint-Martin (Pau), élève de Leprince et de Vernet,
rue Saint-Roch-Poissonnière, n° 25.
421. Vue de l'intérieur de la forêt de Fontainebleau,
et dans le fond, de la ville de Melun; paysage
enrichi de figures et d'animaux.
422. Autre Vue de la même forêt, et dans le lointain
de la ville de Fontainebleau. Paysage, figures,
animaux.
423. Plusieurs autres paysages, sous le même n».
Sauvage, élève de Giéerard, d'Anvers, mort en 1792,
âgé de 96 ans, au Louvre,
424. Des enfants jouant avec une chèvre; frise imitant
le bronze.
Hauteur, i pied 2 pouces; largeur, 4 pieds 3
pouces.
425. Un cheval marin, des animaux aquatiques et
plusieurs figures; frise imitant le cuivre rou-
geâtre.
Hauteur, 4 pieds 3 pouces, largeur, 3 pieds G
pouces.
Peinture. 63
426. Un Trophée Indien, sur un fond de marbre
blanc.
Schmid, élève de Lantara et de Cazanova, rue
Mazarine, n° 26.
427. Le lever et le coucher du Soleil, deux pendans
sous le même numéro.
Ils appartiennent au citoyen Josselin.
428. Vue de la Suisse
sur les huit heures du matin.
429. Les quatre heures du jour, pendans sous le même
numéro.
Ces cinq derniers tableaux appartiennent à
l'Auteur.
Sénave (Jacques), élève de Julien et de Suvée, rue de la
Liberté, n" 106, section du Théâtre-Français.
430. Deux pendans sous le même numéro, représen-
tant des Places publiques avec beaucoup de
figures.
43 1. Deux autres pendans idem, mêmes sujets.
432. Deux autres pendans idem, Fêtes flamandes.
433. L'intérieur d'une forge.
Serangeli (G.), élève de David, rue des Fossés-
Montmartre, n° 4.
434. Orphée et Euridice, tableau.
435. Un Portrait...
64 Peinture.
Sicard (dit Sicardy), élève de son père, rue du
Théâtre-Français.
436. Cadre contenant plusieurs Portraits en minia-
ture.
437. Deux Portraits, peints à l'huile, sous le même
numéro.
438. Trait historique de la guerre de la Vendée.
A la journée du 28 octobre lygS (vieux style),
le citoyen Guédeperse, canon nier au septième
bataillon de la Somme, défendant sa pièce,
qu'il ne voulut point abandonner, tomba entre
les mains de l'ennemi, dans la plaine de Vitré.
Là il fut condamné à perdre la vie, et fusillé.
Couvert de blessures et laissé pour mort, Gué-
deperse se traîne vers la commune de Vitré; il
y est accueilli par une jeune fille , qui , sachant
le danger qu'il court en ce lieu, le cache dans
la maison de son père, panse ses blessures, et
par des soins et des secours constans, parvient
à assurer sa guérison et à le sauver de ses
ennemis.
L'Artiste a pris l'instant où la jeune fille
applique le second appareil; elle s'arrête et
écoute, craignant d'être surprise.
439. Portrait de Jacques Chicaneau, vigneron, à
Montesson.
Swagers, rue de l'Echiquier, n" 36.
440. Marine et Paysage avec des animaux.
441. Autre. Vue des environs de Rotterdam.
Peinture. 65
Suvée (J.-B.), élève de l'Ecole académique de Bruges,
et en France, de Bachelier; il termina à Rome,
sous la direction de Vien, le cours de ses études.
Au Louvre.
442. Tableau de famille.
Un père lisant Platon, dit à son fils....
Pénétré de ce principe, on ne craint pas la
mort, — C'est l'instant où ces deux prisonniers
attendaient l'ordre de marcher au tribunal
révolutionnaire, le 7 thermidor de l'an 2.
Largeur, 6 pieds 4 p. sur 7 pieds 10 p.
Portraits.
iLe citoyen Travanet.
La citoyenne son épouse, avec ses enfans,
même numéro.
444. Le citoyen Poissonnier, médecin.
Ces trois tableaux ont chacun, largeur, 4 p. sur 5.
Swebach- Desfont aines , cloître St-Jacques-I'Hôpital,
n" 16.
Tableaux représentans :
445. Des Vivandières à la suite d'un corps d'armée.
446. Charge de cavalerie d'émigrés et de hussards.
447. Marche d'armée.
( Convoi escorté par de la cavalerie.
l Halte de cavalerie, même n".
449. Un dessin représentant l'attaque d"un moulin
retranche, et plusieurs autres dessi'ns, sous le
même numéro.
66 Peinture.
Taillasson (Jean-Joseph), élève de Vien. Au Louvre.
450. Timoléon à qui les Siracusains amènent des
étrangers.
Ce grand capitaine, retiré à Siracuse, perdit
la vue dans un âge assez avancé; alors les Sira-
cusains redoublèrent d'attention à son égard.
Ils lui amenaient les étrangers qui venaient
chez eux : Voilà, disaient-ils, notre bienfaiteur,
notre père : il a préféré au triomphe brillant
qui l'attendait à Corynthe, le plaisir de vivre
au milieu de ses enfans. Timoléon n'opposait
aux louanges qu'on lui prodiguait, que cette
réponse :
Les Dieux voulaient sauver la Sicile, je leur
rends grâce de m'avoir choisi pour instrument
de leurs bontés.
Ce tableau a 7 pieds de large, sur 5 pieds 10
pouces de hauteur.
45 1. Herminie traçant le nom de Tancrède son amant.
Ovale. Demi figure grande comme nature.
Ces deux tableaux n'appartiennent plus à
l'Auteur.
Taunay, rue Montorgueil,près le passage du Saumon.
462. Tableaux sous le même numéro.
Sujets :
Les évènemens contradictoires qui arrivent
après un combat.
Vente de tableaux.
Femme guérie par l'attouchement de la robe
de J.-C.
Peinture. 67
Marine.
Autre. Vue d'un port de mer par un tcms
de brouillard.
Ce dernier tableau appartient au citoyen
Perregaud.
Taurel (Jacques), élève de Doyen, rue du Faubourg-
Poissonnière, n" 3i.
Marines.
453. Vue de Fincendie du port de Toulon, prise entre
la tour Baragnié et la tour de l'Aiguillette.
C'est rinstant où les Anglais abandonnent
cette place, vaincus par l'armée Républicaine.
Tableau pour la nation.
454. Suites d'un naufrage. Des corps jetés sur un
rivage escarpé. Plusieurs figures en action.
453. Tempête. Une chaloupe en danger.
456. L'intérieur d'un corps de garde.
Thevenin (Ch.), élève de Vincent, rue Lepelleticr,
n" 14.
457. Echo et Narcisse, pendans.
458. Clytie éprise du Soleil.
459. La partie d'échecs.
460. Portrait d'enfant.
Thibault, Quarré de la Porte St-Martin, n" 368.
461. Trois paysages sous le même n».
Thiboust, rue de la Lune, n" 121.
462. Portrait de la citoyenne L***.
68 Peinture.
463. Portrait de l'Auteur fesant celui de sa mère.
464. Portrait du citoyen Fournier, peintre.
Thomassin (Louis), élève de Vincent, rue des
Lavandières, n» 6.
465. Portrait d'iiomrae.
Thonnesse, rue St-Thomas, n" 270.
Dessin.
466. Les vingt et une victimes d'Arras.
Vue de l'Hôtel-Dieu et de la Providence à
Arras. Ces bâtimens servaient de prisons aux
victimes de Joseph Lebon : on les en fesait
sortir accouplées pour les conduire à la mort.
Sa tyrannie expira le 9 Thermidor.
Valenciemies (Pierre-H.), élève de Doyen, cour
du Louvre.
Paysages.
467. Le Mont Athos, dans la Thrace, taillé en statue
d'Alexandre qui tient une ville dans sa main
droite et de l'autre verse un fieuve dans la
mer.
Psyché, cherchant TAmour, rencontre le vieil-
lard qui lui aide à passer le ravin pour la
468. \ conduire dans sa grotte.
Plusieurs vues d'Italie avec ligures, sous le
même n°.
Peinture. 69
Vallin (Jacques), quai des Augustins, n° 71.
469. Deux pendans : un soleil couchant; une tempête :
paysages.
470. Deux autres, idem, amusemens de Bacchantes.
471. Un autre. Bacchantes.
472. Autre. Sommeil de Bacchantes.
473. Autre. Le serpent caché sous les tleurs.
Vandael (J.), cour du Louvre, n" 5.
474. Une corbeille de différentes fleurs, attache'e à un
chêne.
475. Diffe'rens fruits, peints sur marbre blanc.
Vander-Burch , élève de Vander-Burch, son père,
peintre Flamand.
Rue Boucher, vis-à-vis la rue Etienne, n° 9.
476. Vue de la Gava, ville d'Italie, au pied du Mont-
Métélian, à trente milles de Naples, 6 de
Salerne.
7 pieds sur 5 de hauteur.
Van-Gorp (H.-N.), rue du Coq-Honoré, n° i33.
477. Le plaisir des mères, tableau appartenant au cit.
Masson.
478. Plusieurs portraits sous le même n°.
Van-Pol, rue de l'Echiquier St- Denis, n" 36.
479. Trois tableaux, peints sur marbre, deux de fleurs,
un de fruits.
yo Peinture.
Van-Spaendonck (Gérard), membre de l'Institut
national des Sciences et Arts ,
Au Jardin des Plantes
480. Une corbeille et un vase remplis de différentes
fleurs.
481. Un bouquet de roses, tulipes et pavots, peints
sur marbre blanc.
482. Des pêches et des raisins. Au pastel.
483. Une étude de rose sur marbre blanc.
Van-Spaendonck (Corneille). Au Louvre.
484. Des fleurs dans un vase d'albâtre, et accessoires.
485. Des roses dans un vase de cristal ; un oiseau, un
nid.
486. Corbeille de fleurs et de fruits, sur une table de
marbre.
Varenne (Charles-Santoise), rue St-Honoré, passage
d'Aligre.
487. Deux Marines. Un clair de Lune : un coup de
vent.
488. Deux autres pendans : des baigneuses; un paysage
orné de figures.
Citoyenne Venture (T. -M.), élève de Forestier, quai
de l'Horloge, n" 35.
Portraits.
489. Un homme ayant le col nud.
490. Un officier tirant son sabre.
491. Une femme assise tenant un chien sur ses
genoux.
Peinture. 71
Ferjff (Jean-Baptiste), élève de Bounieu, place
Vendôme, n" 967.
Dessins,
492. La Renommée planant sur le monde.
493. Vénus sortant des eaux.
494. Les amours d'Hercule et d'Omphale.
495. Plusieurs autres dessins sous le même numéro.
Vestier (Antoine), élève de Pierre, cour du Louvre.
496. Portrait d'homme.
497. Portrait de femme.
498. Une femme pinçant de la guitare.
Miniature qui appartient à l'Auteur.
Vien fils (J.-M.), place du Muséum.
499. Un cadre contenant des portraits en miniature à
l'huile.
SCULPTURE
Boyer (J.-L.), rue St-Laurent, F. St-Martin, n- 8.
600. Un buste d'homme et deux de femmes, sous le
même n".
Boi^ot (L.-F.), au Louvre.
601. Une Bacchante portant un faune enfant : en
marbre, 2 pieds de proportion.
G02. Deux bustes en plâtre: l'un d'homme; l'autre de
femme.
6o3. Plusieurs dessins à l'encre de la Chine et à la
pierre noire, sous le même numéro.
Budelot (J.-B.), élève de Bridan, rue du Coq
St-Honoré, n° 124.
604. Bacchante. Figure en plâtre de 2 pieds de pro-
portion.
CarteUier, élève de Bridan, rue Notre-Dame-des-
Champs, n" i388.
6o5. L'Amitié presse contre son sein un ormeau sec
qu'elle arrose en même tems : symbole des
secours que l'on doit à un ami malheureux.
Modèle en terre : 2 pieds de proportion.
Sculpture. 7?
Castex, rue du Faubourg-St-Martin, n" 187.
606. Léda. Modèle en terre, 11 pouces de proportion.
607. Deux grouppes de Centaures : modèles en
terre.
Citoyenne Charpentier (Julie), élève de Pajou, rue
St-Marc, n" 169.
608. Deux portraits en bustes du citoyen et de la
citoyenne Dessoles , artistes du théâtre de la
rue Feydeau.
Delaistre (F.-N.), rue du Faubourg St-Martin, n" 3j.
609. L'Amour et Psyché, modèle en plâtre avec bas-
relief en cire, destiné à servir de pendule.
Il appartient à l'Auteur qui l'exécute en
bronze avec le cit. Thomire.
Demontreuil (Jean), rue du Temple, n° gS.
609 bis. Le Furet et la Fauvette, modèle en terre.
Dumont (Jacques), au Louvre, pavillon du midi.
610. Première image de la mort; sujet tiré du poëme
de Gesner.
611. Une femme sortant du bain se pressant les
cheveux.
612. L'Amour.
61 3. Un buste en terre cuite.
74 Sculpture.
Espercieux, chez le cit. Stouf, rue des Brodeurs,
no 834.
614. Les bustes de G. T. Raynal, de Médar Stouf,
d'un enfant de i3 ans.
Fortin, rue des Sts-Pères, n" 1191.
Gi5. J. Brutus, petite figure en plâtre.
Citoyenne Gensoul-Desfonts (Antoinette), élève de
Carlini à Londres, rue de Bondi, n" 5i.
616. Modèle en plâtre.
La Captivité comptait les heures, l'Amour
■ qui vient la visiter les couvre d'un voile.
Ce modèle appartient à l'Auteur.
Houdon (Jean-A.), élève de Michel-Ange Slodtz, cour
du Louvre.
G 17. La frileuse. Statue en marbre : hauteur 20
pouces.
Cette figure appartient à l'Auteur.
618. Buste de Pastoret. Terre cuite.
Fait l'an i"' de la République.
Joplere, élève de Berruer, rue Pastourelle, n" 7.
Morceaux en ivoire.
619. La mort d'Arria-Pœtus.
620. Le buste d'Hérodias.
621. Cléobis et Biton.
Sculpture. j5
Le Sueur (J.-P.), cour du Muséum.
622. Une figure : terre cuite : 18 pouces de pro-
portion.
623. Un buste en plâtre.
624. Bas-relief rond, en plâtre.
L'Estrade (Gabriel-T.). rue de l'Arbre-Sec, n" 233.
625. Jupiter, sous la forme d'un Cigne, feignant de
l'effroi, se réfugie dans les bras de Leda.
626. Baigneuse, esquisse.
Ces deux objets en terre cuite.
Mérard (Pierre), élève de Bouchardon, rue Neuve-
St-Martin , n» 88. .
627. Portrait du citoyen Ragot, horloger : médaillon.
Citoyenne Milot, cour du Louvre.
628. Buste en plâtre : portrait du citoyen Grandménil.
629. Autre buste et plusieurs médaillons sous le
même numéro.
Monot, élève de Vassé, cour du Louvre,
630. Minerve indique le chemin de la gloire en offrant
des couronnes.
Plâtre, hauteur 6 pieds.
63 1. Une jeune fille découvrant une urne, et s'atten-
drissant sur les cendres qu'elle renferme.
Plâtre, 5 pieds.
632. Une tête d'Amour en marbre. L'Amour a dérobé
la marotte de la Folie.
76 Sculpture.
633. L'Amour guettant le moment de lancer un trait
qu'il cache.
Plâtre de grandeur naturelle.
634. Tête d'enfant eh marbre, portrait.
635. Une jeune fille qui veut attraper des mouches.
Petitot, rue du Roule, n" 117.
636. L'Amour vainqueur, figure en marbre, 18 pouces
de proportion.
637. Deux grouppes, terre cuite. Vénus et l'Amour.
Mercure qui endort Argus.
638. Deux bustes, portraits. Plâtres.
.„ ( Modèle de pendule.
639- 1 n • 1 -
( Dessms sous le même n°.
640. La France reçoit la paix des mains de la
victoire.
641. L'éducation et les récîompenses nationales.
Ramey (Claude), élève de Gois, rue de Beaune,
F. S. Germain, n° 625.
642. L'Amour nouvellement éclos : terre cuite; 18
pouces de proportion.
643. Un portrait : médaillon en plâtre.
645. Sapho appuyée sur sa Lyre, tenant une lettre
adressée à Phaon. Terre cuite 28 pouces.
Roland (Philippe), élève de Pajou.
646. Une pendule, modèle en plâtre pour être exécuté
en bronze.
647. Sujet analogue au tems et aux heures.
648. Jeux de Bacchantes, terres cuites sous le même
numéro.
ARCHITECTURE.
Les cit. Attiret (M.-L.), rue de l'Echiquier, n° i3,
et Lahure (J.-B.),
Rue Honoré, au coin de celle des Poulies.
700. Plans, coupes et élévations, esquisse d'un Palais
pour le Gouvernement Français, suivant la
constitution de l'an 3° (1795, v. st.).
Baltard (L.-P.), rue de l'Université.
701. Elévation géométrale, avec le plan et la coupe d'un
projet de salle d'assemblée pour le Conseil des
Cinq-Cents.
702. Vue perspective et coloriée d'un monument public,
destiné à recevoir et à conserver les tables des
lois républicaines, ainsi que les modèles des
poids, des mesures et des monnaies tant an-
ciennes que modernes.
703. Sur une feuille, en esquisses, trois projets de
ville dans différentes situations, une élévation
générale du plan principal et deux monumens
d'utilité publique.
Cette feuille est dédiée aux malheureux ha-
bitans des contrées de l'Ouest, dont les habi-
tations ont été dévastées et brûlées pendant la
guerre.
Brullée, ingénieur et architecte.
Hôtel de Tours, rue du Paon, n° 3.
704. Plan du canal de Paris à Dieppe, Tréport, St-
Valéry, etc.
XXXIX 7*
78 Architecture.
Nota. La route que doit tenir ce canal, ses
différentes branches et tous les détails relatifs
à ce grand projet, sont indiqués sur le plan.
705. Projet d'un port à établir près St-Valéry pour
l'avantage de la construction des vaisseaux,
leur sûreté, etc.
706. Plan d'une place à former sur les ruines de la
Bastille.
707. Projet d'un pont à construire devant le Musée
d'histoire naturelle.
708. Projet d'embellissement pour l'intérieur de Paris.
709. Vue perspective de l'entrée de Paris au-delà des
Champs-Elisées.
710. F'rojet d'un moyen de détruire les écueils de la
Seine, augmenter le produit de la machine de
Marly, former une garre, etc.
711. Plan des principaux canaux à curer dans l'uni-
versalité de la France, rendre une libre circu-
lation à la navigation, etc.
712. Deux modèles en relief, représentant les princi-
paux ports qui seront établis sur le canal dans
Paris.
7i3. Modèle d'un monument projette sur les ruines
de la Bastille. Le grouppe est du citoyen
Chardin, les trophées du cit. Compereau.
Dewailly (Charles), au Louvre.
714. Deux dessins représentant l'intérieur de la salle
des assemblées publiques de l'Institut des
sciences et arts.
71 5. Quatre dessins de l'intérieur des salles au-dessous
de la gallerie d'Apollon au Muséum : ces salles
Architecture. 79
étant destinées à la sculpture, chacune d'elles
porterait le nom de la figure principale qui en
occuperait le centre.
716. Trois dessins, dont l'un représente la grotte de
Mastreicht, pratiquée sous le fort St-Pierre.
C'est dans cette grotte qu'on a trouvé la
fameuse tête de Crocodile qui est déposée au
Muséum d'histoire naturelle. Un autre repré-
sente la vue des 7 montagnes sur le bord du
Rhin. Le 3*, la forteresse qui est en face de
Coblentz.
717. Six dessins dont 4 projets pour la réunion des
îles Saint-Louis et Louvier et l'établissement
d'une garre; les deux autres projets sont
pour un palais national, l'un pour l'achèvement
de la cour du Muséum, et l'autre pour la place
de la Concorde.
Oudinet (G.), élève de feu Souflot et de Carpentier,
rue Miroménil, n" 1191.
718. Projet de prison de police correctionelle.
Topin (Silvestre), élève du citoyen Delanoi, rue de
la Vieille-Estrapade, n° 1007.
719. Plans, coupe et élévation d'une école centrale
projetée pour Paris.
G/jjj-e (André), rue de Thionville, n" 16.
720. Réunion des deux colonnades de la place de la
Révolution par un arc de triomphe.
Colonne à ériger dans cette place, en l'hon-
neur des victoires républicaines.
Esquisse perspective.
GRAVURE
Audouin (Pierre), Fb. du Temple, rue de Carême-
Prenant, n" 19.
800. Trois cadres sous le même numéro.
Le premier contenant : Portraits de Salvator-
Rosa, de Lafontaine, et une estampe d'après
Terburg, fesant partie de la collection du
Muséum .
Le second, Apollon couronnant la Vérité,
d'après Laudon.
Le troisième , une tête de Junius BrutuSj
appartenant à l'Auteur.
Bernard (Denis-Alexandre), rue Honoré, n° 85.
801. Cadre qui renferme, sous verre, une pièce d'écri-
ture faite à la main dont voici le texte :
Tableaux du commerce passif ou d'impor-
tation, et du commerce actif ou d'exportation
de la nation Française, en 17 16 et 1787, avec
chacune des principales puissances ou contrées
de l'Europe, leurs possessions lointaines, et y
compris l'empire Ottoman, les nations Barba-
resques et les Anglo-Américains.
Bouillon (Pierre), élève de Monsiaux.
Dessins.
802. D'après la Cananéenne, peinte par Drouais;
Gravure. Si
d'après Gauffier, destinés tous deux à être
graves.
Chrétien et Fouquet, cour St-Honoré, maison de
Gouzi, libraire.
8o3. Deux cadres contenant des Portraits faits au
physionotrace.
Crussaire (F.-J.), rue de Condé, près le Luxembourg.
804. Tableaux sous verre et faits à la plume, sous le
même numéro.
Un cahos. La lumière dans les ténèbres.
805. Quatre sujets détachés, dans un cadre. Une soli-
tude. L'esprit de Dieu sur les eaux. Dieu créant
les astres. Une méditation.
Tableaux qui n'appartiennent plus à l'Auteur.
806. La Nature, ou Dieu visible. Un tombeau. Un
tems de neige.
Darcis (Louis), dessinateur et graveur,
Rue Montmartre, n°' iio et 98, au coin de celle des
Victoires.
807. Marius à Minturne, gravé d'après le tableau peint
à Rome, par Drouais fils, que les Arts ont eu
trop tôt à regretter.
On peut se procurer cette gravure chez
l'Auteur.
Z)e«on (Vivant) , rue J.-J. Rousseau, maison Bullion,
n" 392.
808. Un jeune taureau, une vache, deux moutons et
un pâtre, d'après P. Potter.
b-i Gravure.
Largeur, li pieds 8 pouces; hauteur, 2 pieds
6 lignes.
809. Paysage : un soir et divers animaux, d'après
Adrien Wandelvelde.
Mêmes dimensions que la précédente.
810. Une nativité, d'après Annibal Carrache.
Lsrgeur, i pied 7 p. 6 1.; hauteur, 2 pieds
6 lignes.
Ces gravures appartiennent à l'Auteur.
Desbuissons (Hypolite), rue Tiquetonne, n° gg.
811. Un cadre contenant des Portraits et autres
sujets, en cheveux.
Dumarest (Rambert), quai de l'Ecole, n° 14.
811 bis. Un cadre contenant un modèle de médaille et
son revers, pour les premiers prix de pein-
ture.
Dutertre, rue de Colbert, n" 182.
Dessins faits d'après les peintures à fresque de
Raphaël, dans les chambres du Vatican,
tableaux connus sous les noms suivans :
812. L'école d'Athènes.
81 3. La dispute du S. Sacrement.
814. Héliodore chassé du temple.
81 5. Le Miracle de la messe.
816. La Prison de Saint-Pierre.
Autres Dessins.
Si 7. La Transfiguration, d'après le tableau de Raphaël,
peint sur bois, qui est à Saint-Pierre-du-Mont,
à Rome.
Gravure. 83
8i8. La Vierge au sac, d'après la peinture à fresque
par André-del-Sarte, à Florence.
819. La Vierge à la chaise, peint sur bois, par
Raphaël, tableau qui est dans le palais Pitti , à
Florence.
820. Le Père éternel, dessin de même grandeur que
le tableau peint sur bois, par Raphaël, à
Florence.
821. La danse des Amours, d'après l'Albane. Ce
tableau, peint sur cuivre, est dans le palais du
sénateur Quarente Sampierri, à Bologne.
822. Sainte-Cécile, d'après Raphaël. Ce tableau, peint
sur bois, est dans l'église de Saint-Jean-du-
Mont, à Bologne.
823. La Cène du Christ avec ses apôtres, peint par
Léonard de Vinci, avec une composition parti-
culière à ce peintre, sur le mur, dans le couvent
des Dominicains, à Milan.
Nota. Tous ces dessins appartiennent à
l'Auteur.
Duval (Louis-H.-P.), élève de Delaunay le jeune.
Grande place du Panthéon, n° 5.
823 bis. Un cadre renfermant six sujets gravés d'après
Moette, Gérard, Wicard.
Duvivier (Bernard), natif de Bruges, élève de Suvée,
Rue de Colbert. n" 182.
Dessins.
824. Quatre têtes, d'après Raphaël, représentant l'.ls-
tronomie, la Justice, la Poésie, la Théologie.
84 Gravure.
S25. Une tête d'après Raphaël, représentant Sainte-
Cécile, du tableau du même nom.
826. Deux Muses grouppées, d'après Raphaël.
827. Dessin lavé à l'encre de la Chine, représentant le
Père éternel avec les symboles des quatre
Evangélistes.
828. Deux enfans, d'après Raphaël; dessin au bistre,
avec un paysage ajouté par le citoyen Duvivier.
829. Une Magdelaine, d'après le Corrége; dessin au
bistre, orné d'un paysage du citoyen Duvivier.
830. Une tête de Christ aux deux crayons, prise de la
Cène par Léonard de Vinci.
83 1. Plusieurs dessins du citoyen Duvivier, sous le
même numéro.
Tous ces dessins appartiennent à l'Auteur.
Guyot (Laurens), rue de la Monnaie, n° 21.
Gravures en couleur.
832. Vue d'une gallerie antique, d'après Robert.
833. La Sainte Famille, d'après Rembrant.
834. Intérieur de jardin. Translation de Voltaire au
Panthéon. Cadre contenant différens sujets,
tous sous le même numéro.
Un Inconnu, rue St-Thomas du Louvre, n" 222.
835. Trois cadres sous le même numéro, contenant
des dessins à l'encre de la Chine, d'après
Rembrant et Raphaël, et des portraits.
Marais (Henry), rue Saint-Dominique, n» 739.
836. L'Apothéose de Racine, frontispice pour l'édition
que prépare le citoyen Didot.
Gravure. 85
837. Les Parques, d'après Michel-Ange, et d'autres
gravures sous le même numéro.
La Citoyenne Métqyen, institutrice de broderie à
l'Institution des Sourds et Muets.
838. Ouvrages en bi'oderie : deux pendans ovales,
sous le même n°.
Un Geai et un Faisan de la Chine.
Miger (C.-S.-C), élève de feu Cochin fils, rue de
la Bucherie, n" 5.
Gravures.
839. Tancrède pansé par Herminie, et son pendant,
d'après J. Môle.
840. Junon empruntant la ceinture de Vénus, d'après
Regnault.
841. La translation de Voltaire au Panthéon, d'après
L. Lagrenée.
842. Quatre sujets destinés pour le voyage pittoresque
de la Syrie, la Phénicie, etc., par Cassas.
843. Quatre Portraits d'après David et Laneuvilie.
Person (P.-C), membre du Lycée des Arts et de la
ci-devant Société d'Agriculture,
Rue des Maçons, n" Sgg.
843 bis. Trois Modèles en buis, exécutés par l'Auteur,
sous le même numéro.
Moulin qui se meut moyennant un levier
mécanique, sans interruption. Echelle de 4 lig.
pour pied.
Machine simple avec laquelle un homme fait
86 Gravure.
agir deux fortes manivelles de forge, ainsi que
le soufflet. Même échelle.
Moulin qui joint aux opérations de moudre
et blutter, celles de battre, vanner, cribler,
retourner les javelles , monter et descendre les
sacs. Echelle de 3 lig. pour pied.
Ponce (Nicolas), élève de feu Delaunay, rue du
Fb. St-Jacques, n" 234.
844. Un cadre contenant les portraits de Bufl'on,
Deshoulières, le Poussin, Lesueur, les Mansard
et Girardon, avec des notices sur la vie de ces
personnages célèbres.
Ces estampes font partie de la collection des
illustres Français, du même Auteur, et sont
gravées d'après le dessin de Marillier.
845. Un cadre contenant cinq vignettes d'après les
dessins des citoyens Cochin, Regnault, Monsiau,
Moreau et Marillier, destinées à orner les
œuvres de Virgile, de Rousseau, de Montes-
quieu et de Deshoulières.
Ces objets appartiennent à l'auteur.
Ruotte, élève de N. Lemire et de F. Bartolozzi.
846. Les mariages Samnites, d'après le dessin de Boi-
zot. Estampe de 18 pouces sur 14.
847. La Leçon inutile, d'après le dessin de Vancorp.
848. Trois sujets de Paul et Virginie, d'après Vallin.
Gravure. 87
Tardieu (Alexandre), élève de Wille père, rue de
l'Arbre-Sec, n» 247.
849. Un cadre renfermant les Portraits,
De l'Ambassadeur d'Hollande, d'après le
tableau de David.
De Montesquieu, d'après Chaudet.
De Franklin, d'après Duplessis.
Un Paysage, d'après Van-Welde, etc.
Viglianis (Jean), élève de Pillement, à Melun.
85o. Dessin. 'Vue d'Italie.
ADDITIONS,
PEINTURE ET DESSINS.
Belloni (François), rue Helvétius, n° 622.
85 1. Un cadre renfermant divers ouvrages de mo-
saïque.
Not.i. Cet art si utilement cultivé en Italie, a
besoin d'être encouragé en France.
Bernard (Joseph), nouveau passage du Cloître
St-Honoré, n° i.
832. Huit têtes en traits de plume, représentant :
Voltaire. J.-J. Rousseau. L'Ingénue. Le premier
symptôme de la fièvre d'amour. Violent accès
de cette fièvre. Les suites inévitables. La Jalou-
sie. Guérison de la fièvre d'amour.
Ces Dessins appartiennent à l'Auteur.
Bidault (Joseph), rue J.-J. Rousseau, maison Bullion.
853. Un tableau représentant le petit Œdipe détaché
par les Bergers.
Plusieurs Paysages sous le même n°.
Bilcoq (Louis), rue du Chaume, au Marais, n° 7.
854. Portrait d'un jeune homme dans un cabinet. Une
tête de vieillard. Une tête de vieille femme.
Additions. 89
Ces trois tableaux, sous le même n°, sont
tirés du cabinet du citoyen Faupe.
855. L'inte'rieur d'une écurie, figures et animaux.
856. Autre intérieur : villageois, scène familière.
Bourgeois, au Louvre, escalier du Télégraphe.
857. Tableau dans le style grec.
858. Autre tableau. Vue d'Italie.
Moreau (Jean, M.) au Louvre.
859. Un cadre renfermant dix dessins des actes des
Apôtres.
860. Un idem, renfermant six dessins du voyage
d'Anacharsis.
861. Un cadre renfermant quatre dessins, deux de
l'Iliade, et deux de Juvénal.
862. Deux dessins de la vie de Phocion, et deux de
celle de Marc-Aurelle, sous le même n°.
Moulinier (Jacques), élève de Clerisseau et de Hue,
au ci-devant hôtel de Penthièvre, près la place
des Victoires.
863. Tableau, paysage composé.
864. Deux pendants : l'un vue du lac de Celanno;
l'autre vue des Cascades de l'Isola di Sora et de
la maison de plaisance de Cicéron.
865. Deux idem, l'un représentant la cascade de San-
Cosimato, et l'autre le lac Borghèse, à Rome.
866. Un tableau, paysage composé.
867. Un tableau représentant les cascatelles de Tivoli.
Qo Additions.
Voinier (Antoine), rue des Quatre-Fils, n" 26.
Dessin à l'aquarelle.
868. Vue de l'isle et du temple de l'Amitié.
Grobon (M.), rue de Thionvillc, n° 1744.
869. Tableau de genre flamand.
870. Portrait d'un jeune homme.
871. Paysage.
Ces tableau.x apj^artiennent à l'Auteur.
FIN.
Xogent-le-Rotrou, imprimerie de A. Gouverneur.
EXPOSITION
DE 1798
XL
COLLECTION
LIVRETS
ufefi
ANCIENNES EXPOSITIONS
DEPUIS 1673 jusqu'en 1800
EXPOSITION DE 1798
'^IB^^tfO^
PARIS
LIEPMANNSSOHN, ÉDITEUR
II, rue des Saints-Pères
SEPTEMBRE iHj l
NOMBRE DU TIRAGE
DU LIVRET DE I798.
375 exemplaires sur papier vergé.
25 — sur papier de Hollande.
10 — sur chine.
Ce livret est vendu seul 4 fr.
NOTICE BIBLIOGRAPHIQUE.
Livret :
DEUX éditions : la première de 96 p. 01*726 n"'; la
deuxième de 100 p. et 901 WK L'addition, qui
se compose d'un Supplément de 4 pages, ne com-
mence qu'à la p. 97 et le bas de la p. 96 est resté
vide. Enfin sur la i"= éd. le titre porte « au Muséum
central des Arts » et « le prix est de i5 sols », tandis
que la 2^ dit : « au Musée central des Arts » et « le
prix est de 75 centimes. » On remarquera que, dans
le Supplément comme dans le Livret lui-même, chaque
division commence avec la centaine. Ainsi la peinture
finit au n° 428 et la sculpture part du n" 5oi.
Critiques :
Journal de Paris . 17, 24 Thermidor (sur la Psyché
de Gérard). — Le Salon fut fermé les 28 et 29 Fruc-
tidor an VII pour faire quelques changements dans
le placement des tableaux. — 6 Vend, (article de Lan-
don), i5 Vendémiaire an VII (ce dernier article signé
Reicrem, lisez : Mercier).
P. Ch(aussard). Examen des tableaux du Salon de
l'an VI. Dans la Décade philosophique. T. IV, p. 274-
82, 335-47, 418) 465-75, 535-42.
XL I
à
EXPLICATION
DES OUVRAGES
DE PEINTURE ET DESSINS,
SCULPTURE,L
ARCHITECTURE ET GRAVURE,
Exposés au Musée central des Arts, d'après l'Arrêté
du Ministre de l'Intérieur, le i" Thermido",
an VI de la République Française.
Le prix de ce Livret est de 7 5 centimes.
- — "^=>-i*-<=4
A PARIS,
De l'Imprimerie des Sciences et Arts,
rue Thérèse, près la rue Helvétius.
An VI de la République.
AVIS.
Afin de prémunir le Public contre l'abus qui existe
au-dehors du Muséum, où l'on revend ce Livret au-
dessus de son prix, l'Administration prévient qu'elle
ne le fait débiter que dans l'intérieur du Musée.
Elle annonce aussi que, dans la même intention,
elle a établi sur le pallier du grand escalier, près la
porte du Salon, des préposés attachés au Musée, aux-
quels on peut avec sûreté confier les cannes, sabres,
manteaux, parapluies, qu'il est nécessaire de déposer
avant d'entrer.
— Q —
AVERTISSEMENT.
Ce Livret contient quatre divisions indiquées en titre,
ainsi qu'au haut des pages, par l'un de ces mots :
Peinture, Sculpture, Architecture, Gravure.
Les dessins sont compris dans la division de la
peinture.
Dans chacune des quatre divisions, on a placé par
ordre alphabétique le nom des artistes.
Le nom cité en tête de la notice des ouvrages d'un
artiste, indiquant asse:{ qu'ils ont été faits par lui, on
s'est abstenu de toute autre explication.
S'il existe dans ce Livret des omissions de prénoms,
de demeure, du lieu de la naissance de l'artiste, du
nom de son maître, ainsi que sur la propriété de l'ou-
vrage, c'est que Vomission existait dans la notice
envoyée.
L'administration du Musée se voit aussi obligée de
renouveler l'invitation qu'elle a adressée aux artistes
lors de la dernière exposition , d'indiquer avec préci-
sion l'action véritable de la production qu'ils envoient,
en soulignant dans le récit historique, le passage qui
désigne spécialement cette action ou ce moment de
l'action. On doit sentir que l'impression de l'article.
précédant pour l'ordinaire la réception au Muséum,
et le rédacteur étant souvent obligé d'élaguer d'un
long récit historique ce qui n'est pas essentiel au
sujet, il faut le mettre à même de conserver l'action
vraie et positive.
(Nota.) Les retards trop habituels dans l'envoi des
ouvrages et même des notices, quoiqu'on en ait pro-
longé le terme, pourront nécessiter un supplément;
dans ce cas, le lecteur observera que les plus hauts
numéros sont ceux qu'il fav.t chercher dans la partie
additionnelle qui se trouve à la fin du Livret.
*i
1
EXPLICATION
Des Ouvrages de Peinture, Sculpture, Architedure,
Gravure, Dessins, Modèles, etc., exposés dans le
Salon du Musée central des Arts, le i" Ther-
midor an VI de la République.
PEINT URE
Ansiaux (J.), né à Liège, élève de Vincent,
rue de la Monnaie, n» i5.
I. Portrait de femme, peint en pied.
( Portrait d'homme. ) .
~-\ r^ . , ^ Jpemts en bustes.
( Portrait de femme. )
Aubry (Louis), né à Paris, élève de Vincent,
rue de la Vrillière, n" 6.
3. Un cadre renfermant plusieurs portraits en mi-
niature.
.Augustin (.I.-B.), né à Saint-Dizier, département
des Vosges,
Place des Victoires, n° i5.
Dessins.
4. Deux portraits, faisant pendants : celui de Swagers,
peintre, et de son épouse.
12 Peinture.
Citoyenne Au^ou (femme), née Desmarquêts, élève
de Regnault,
rue d'Anjou, au Marais, n° ii.
Tableaux.
5. L'incertitude, ou que ferai-je ?
Une jeune fille trouve, en entrant dans sa
chambre, un bouquet et une lettre à son
adresse; reconnaissant l'écriture de son amant,
elle combat entre l'amour et le devoir.
6. La Prudence éloignant l'Amour.
L'Amour s'est glissé auprès de l'Innocence, il
est parvenu à l'intéresser; mais la Prudence
l'oblige à s'éloigner.
7. Un portrait de femme.
Bajetti (el signor) , Architecte et Dessinateur,
demeurant à Turin.
Ouvrages présentés au nom de l'Auteur, par
le Citoyen Barthélemi, Peintre, demeurant au
Palais national des Sciences et des Arts.
Dessins.
8. Aquarelle représentant une vaste campagne au
coucher du Soleil,
g. Ruines.
10. Campagne des environs de Turin, vue après la
pluie.
11. Vue du Lac du Mont-Cenis, prise du côté de la
France.
12. Forêt dévastée par un ouragan.
i3. Campagne couverte de neige.
14. Une ville, vue par un temps de brouillard.
Peinture. i3
Baltard (Louis-Pierre), né à Paris,
rue Dominique, n° aSg.
Dessins, Paysages.
i5. Vue des montagnes et des vallées de l'Isère, près
Montmélian.
i6. Vue de l'arc antique de Suze, près Turin.
17. Vue des Cascatelles de Tivoli, près Rome.
18. Vue d'une côte maritime. Aquarelle.
19. Paysage, au soleil couchant, tiré de l'optique du
G. Charles.
Baraban^ place Maubert, derrière le corps-de-garde.
2C. Des oiseaux peints sur porcelaine pour la manu-
facture de Dihl et Guerhard, dite d'Angou-
lême,
rue du Temple, près le Boulevard.
Barbier (Luc), de Nîmes, élève de David.
Tableaux.
21. Un portrait de famille du G. G**'.
22. Otryade, Spartiate.
Resté seul vainqueur des Argiens, le corps
déchiré de blessures, composant encore de ses
débiles mains une espèce de trophée des débris
qu'il trouve auprès de lui, écrivait avec son
sang, le mot Victoire sur son bouclier.
Baudiot (fils), né à Nancy, élève d'Isabey,
rue ci-devant Royale, n» 17, Chaussée d'Antin.
23. Quatre portraits sous le même numéro.
XL 2
14 Peinture.
Bajin, rue des Prêtres, n" g.
24. Dessin repre'sentant le repentir d'Adam et d'Eve.
25. Portraits d'une femme et de son enfant.
Belin (Claude-Alexandre), né à Paris, élève de Vien,
rue des Petits Carreaux, n" 202.
26. Un cadre contenant des portraits en miniature.
Berjon, de la Commune de Vaize, près Lyon,
Place des Victoires, no i5.
27. Un Tableau de Fruits.
Barthélémy (Jean-Simon), né à Laon, département
de l'Aisne,
au Palais national des Sci'ences et des Arts.
28. Le portrait en buste du Cit. Chéron, Artiste du
théâtre des Arts , représenté en habit de
Consul, costume de son rôle dans l'opéra de
Fabius.
Bertin (Jean-Victor), né à Paris, élève de
Valenciennes.-
rue Montmartre, n» 253.
Tableaux, Paysages.
29. Soleil couchant.
Site montagneux, animaux, jeux de Pâtres
auprès d'une fontaine.
30, Soleil levant.
Site de la Grèce. Des jeunes gens s'exercent
à la course auprès d'un vieux temple.
Peinture. i5
3i. Le milieu du jour.
Site de l'Italie. Ancien monument, baigneurs.
Sur le devant un homme tue un serpent.
32. Deux paysages, forme ronde, bordures quarrées,
même numéro.
Berton (Charles), rue J.-J. Rousseau, maison
Bullion.
33. Deux portraits sous le même numéro.
Bidault (L), rue J.-J. Rousseau, maison Bullion.
34. Grand Paysage.
La figure sur le devant représente Orphée.
Ce tableau est un prix d'encouragement.
35. Paysage peint d'après nature aux environs de
Montmorency.
36. Paysage d'après des études faites à Civita-Castel-
lano, près de Rome.
Bodouin, né à Douai , dép. du Nord , élève de David.
Dessins.
37. L'Amour ayant cassé la corde de son arc, réfléchit
tristement sur cet accident.
38. Narcis, revenant de la chasse, se mire dans un
ruisseau qui lui réfléchit ses traits, dont il de-
vient amoureux.
Boilly (Louis-Léopold), né à la Bassée , dép.
du Nord.
rue du Ponceau, n° 43.
Tableaux.
39. Réunion d'Artistes dans l'atelier d'Isabey.
i6 Peinture.
40. Portrait d'une femme assise touchant du glace-
corde.
41. Portrait du Cit. Elleviou, Artiste du théâtre de
l'Opéra-Comique national, représenté dans le
costume de son rôle dans la jolie pièce du
Prisonnier.
42. Dessin représentant une femme assise, tenant un
livre : fond de Paysage.
Bonnemaison (Teriol), rue des Pères, n° 14.
43. Un Ecolier étudiant sa leçon.
44. L'Auteur, peint par lui-même.
Bonneval (André), né à Saint-Myon, près Riom,
élève de Vandael,
Rue BufFaut, au coin de celle Coquenard.
45. Un tableau de tleurs.
Il appartient à l'auteur.
Boquet (Pierre-Jean), né à Paris, élève de Leprince.
Chez le C. Schall, Peintre, au Palais national
des Sciences et des Arts.
Tableaux, Paysages.
46. Un Conducteur de bestiaux s'entretenant avec
deux femmes.
47. Terrain montueux entouré de bois. Une voiture
sur le second plan : des figures sur le devant.
48. Chevreaux paissans dans une île : diverses figures
passant l'eau à gué. Blanchisseuses, etc.
4g. Un Joueur de flûte, des Pasteurs qui Técoutent.
5o. Plusieurs figures, dont deux isolées.
Peinture. 17
Boniet, rue de Sorbonne, en face du passage Benoît.
5i. Un cadre renfermant cinq miniatures, sujets dif-
férents, dont une Vierge avec son fils, ovale,
appartenant à l'auteur.
52. Un dessin à l'encre de la Chine, représentant
Anacréon servi à table par Lycoris. Sujet pris
d'un poëme.
Bosset (Jean-Frédéric), rue Neuve-Roch, n° 140.
53. Un cadre contenant des pcrtraits peints en émail.
Bosio, rue de la Révolution, n° 688.
54. Tableau représentant l'Amour qui enlève l'objet
qu'il aime. Derrière eux on aperçoit un
Gupidon tenant les rênes de la Frivolité.
Bouché (L.-A.-G.), né à Paris, élève de David,
faubourg Montmartre, à la Boule-Rouge.
55. Le portrait de la citoyenne Saint-Aubin, dans le
le rôle de Lisbeth.
Le moment est celui où elle dit à Gesner, en
lui parlant de son père : Ah ! ce que j'avais à
lui apprendre était si difficile !
56. Etude de vieillard. Portraits dessinés.
57. Le G. Dillon, vérificateur-général des nouveaux
poids et mesures.
58. Le G. Gessart, inspecteur-général des ponts et
chaussées.
59. Le G, Perregot.
60. Deux portraits sous le même numéro.
XL 2*
i8 Peinture.
Citoyenne Bouliard (Marie-Genn.), née à Paris, élève
de Duplessis,
au Palais national des Sciences et des Arts.
Tableaux.
6i. Une femme couverte d'un voile noir, demi-
figure.
62. Une femme tenant une flûte, demi-figure.
63. Les enfans du C. Vernet, peintre, se tenant
embrassés.
Citoyenne Bounieu (Emilie), élève de son père,
rue de Paradis, au coin de celle du Faubourg-Denis.
64. Deux tableaux peints en miniature, renfermés
dans un même cadre.
L'un une tête d'étude, appartenant à l'auteur.
L'autre un portrait de femme.
Bourgeois (Constant), né à Guiscard, dép. de l'Oise,
rue de l'Arbre-sec, n" 25o.
Dessins.
65. Deux vues d'Italie, paysages, même numéro.
Ils appartiennent à l'auteur.
Bouton, né à Cadix, élève du C. Vincent.
66. Un cadre renfermant plusieurs miniatures.
67. Portrait d'une jeune personne, peinte en Erigone.
Erigone, fille d'Icarius, fut aimée de Bacchus,
qui, pour la séduire, se tranforme en grappe
de raisin.
Peinture 19
Bruti (A.-N.), né à Beauvais, élève de Vincent,
rue de Vendôme, n" 2.
68. Tableau, scène de prison.
Une jeune personne ayant obtenu la liberté
de son époux, vient accompagnée de leur fille
le recevoir dans un cloître voisin du lieu de sa
détention. Une voiture les attend à la porte de
la maison d'arrêt.
Citoyenne Bruyère (née Lebarbier), élève de son père.
Dessins.
69. Orphée et Glicère, sous le même numéro.
70. Deux portraits, idem.
Camus (Ponce), né à Paris, élève de David.
71. Trois portraits, dont celui de l'auteur et celui de
son père, même numéro.
Citoyenne Capet (Marie-Gabrielle), née à Lyon, élève
de la citoyenne Labille Guyard, et demeurant
chez elle,
cour du Palais national des Sciences et des Arts.
72. Un cadre renfermant les portraits en miniature
de la citoyenne Guyard, peintre, du C. Vincent,
peintre, de la citoyenne F***, du C. P***, et
autres portraits.
Ca^in (J .-B. -Louis) , élève de Jollain,
au Palais national des Sciences et des Arts, pavillon
du Nord.
Tableaux.
73. Vue d'un port de mer au coucher du Soleil.
\\
20 Peinture.
74. Paysage avec des animaux.
75. Deux dessins à l'encre de la Chine; Paysages, sous
le même numéro.
Citoyenne Chaceré Baurepaire, élève d'Augustin ,
rue Neuve-l'Egalité, n» SgS.
76. Un cadre contenant : tête d'étude d'un vieillard,
portraits , dont celui d'une des filles de
l'auteur.
Chancourtois (Louis), de Nantes, dép. de la Loire-
Inférieure.
Tableaux.
77. Paysage représentant la fin d'un orage, sur le bord
d'un lac.
Nota. Le sujet accessoire des figures est la
dernière scène du cinquième acte de la tragédie
de Guillaume Tel), par Lemierre.
78. Paysage avec des baigneuses.
Citoyenne Charpentier, rue du théâtre de l'Odéon,
faubourg Germain.
79. Portrait en pied du C. F***, ex-représentant du
peuple au Conseil des Anciens.
80. Portrait d'une femme et de son enfant.
81. Portrait d'une femme peintre.
82. Portrait de l'auteur, ovale.
83. Un portrait d'homme.
Peinture. '.
Chasselat (Pierre), né à Paris, élève de Vien ,
rue Jacob, n° 3g.
84. Deux dessins, portraits, sous le même numéro.
85. Deux autres dessins, sous le même numéro.
Chaudet (Denis-Antoine), né à Paris,
au Muséum.
Tableau.
86. Enée fuyant avec sa famille.
Dessin.
87. Les honneurs divins rendus à Psyché.
La réputation de sa beauté était si grande,
que l'on accourait de toutes les parties de la
terre pour la contempler. On abandonnait les
autels de Vénus pour suivre Psyché. Lors-
qu'elle marchait par les rues, on lui présentait
des couronnes, on lui offrait des prémices : la
terre se trouvait jonchée de fleurs sous ses pas;
on se prosternait, on l'adorait et chacun,
en lui rendant hommage, prenait l'expression
et l'attitude de son culte habituel.
Sujet tiré du quatrième Livre de l'Ane d'or
d'Apullée.
Citoyenne Chaudet (Elisabeth), née Gabiou, de Paris.
Tableaux.
88. Portrait en pied d'une femme à sa toilette.
iUne tête d'étude et deux portraits , dont
un d'une jeune fille dessinant, sous le même
numéro.
22 Peinture.
Chrétien, rue Honoré, vis-à-vis l'Oratoire, n"> 35.
90. Un cadre renfermant des portraits au Physiono-
trace , dessinés par Fouquet , gravés par
Chrétien.
Clavareau (Auguste-François), rue des Filles
Saint-Thomas, n° 71.
91. Dessin allégorique, lavé à l'encre de la Chine.
L'Amour, le Plaisir et le Repentir.
Collas (Louis-Antoine), né à Bordeaux, élève
de Vincent,
cul-de-sac Taitbout, n° 10.
92. Portrait de l'auteur, fait par lui-même.
Coste (L.), rue Meslée, n" 166.
93. Paysage, etïet de neige.
94. Un clair de lune.
Ces deux objets, peints sur porcelaine pour la
manufacture de Dhil et Guerhard, dite d'An-
goulême, rue du Temple, près le Boulevard.
Citoyenne Coster (née Vallayer), aux galeries
du Louvre,
Tableaux.
9b. Des fleurs dans un vase de porcelaine garni de
bronze.
Ce Tableau est destiné à faire un devant de
cheminée.
Peinture. 23
96. Des fleurs dans un vase de cristal avec des
fruits.
Tableau ovale, peint sur cuivre.
97. Deux tableaux de fleurs, forme ovale, peints à
l'huile sur taffetas; même numéro.
98. Deux ronds formant dessus de boîtes. L'un des
fleurs et un vase de bronze; l'autre des attri-
buts de chasse et du gibier.
Peints à l'huile sur taffetas.
Crepin (Louis-Philippe), né à Paris, élève de Renaud,
rue de l'Echiquier, n° i3.
Tableau.
99. Vue du port de Brest, prise de la cale de la
vieille Intendance, au moment de l'embarque-
ment du général Hoche.
Ce tableau appartient à l'auteur, qui ayant,
comme réquisitionnaire, servi quatre ans dans
la marine, à Brest, a peint d'après nature.
Dabos, né à Toulouse, élève de Vincent,
rue de la Loi, vis-à-vis celle Villedot, no i256.
Tableaux.
100. L'intérieur d'un cabaret.
Un soldat autrichien et deux femmes.
10 1. Un enfant sur les bras de sa nourrice.
Citoyenne Davin (Césarine-Henriette-Florc), née
Mirvault, de Paris, élève des citoyens
Suvéeet Augustin,
rue du Doyenné, n" 304.
24 Peinture.
Portraits en miniature
102. De la Citoyenne Sallantin, épouse de l'artiste,
musicien du théâtre Feydeau.
Tableaux de Famille.
io3. L'Amour paternel.
104. La Tendresse maternelle.
L'auteur a peint dans ces tableaux son époux,
elle et ses enfans.
Degault fils, à la Bibliothèque nationale de l'Arsenal.
io5. Portrait d'une femme soignant sa basse-cour.
Delafontaine (P. Maxi.), né à Paris, élève de David,
rue de la Monnaie, n» 8.
106. Une scène du Déluge, tirée d'un fragment de
Gesner.
Un amant est parvenu à sauver son amante
sur une pointe de rocher; mais l'eau gagne, la
mort approche de tous côtés. L'amante est
évanouie, et l'amant ne s'occupe que de son
danger.
107. Un portrait d'homme patinant.
108. Un portrait de femme.
Demachy, au Palais national des Sciences et des Arts.
109. Un tableau, représentant une partie de la colon-
nade du Louvre, avec la démolition des maisons
du cloître St. Germain.
Demarne, élève de Briard,
au Palais national des Sciences et des Arts.
Tableaux,
iio. Marche d'animaux.
Peinture.
III. Scène familière.
I )2. Un Maréchal.
1 13. Vue des côtes de Normandie.
1x4. Le petit Poucet retrouvant son chemin.
Desfosse^ (Charles), rue Notre-Dame-Nazareth, n° 11 5.
II 5. Un portrait d'enfant, peint en miniature, sous la
figure de l'Amour.
Deshays, élève de Schmid, rue de Rochechouard,
n° 660.
116. Un tableau, paysage, rochers, fabriques, marche
d'animaux, etc.
11 appartient à l'auteur.
Desoria (Jean-Baptiste), né à Paris, élève de
Restout fils,
au Palais national des Sciences et des Arts.
Tableaux.
117. Achille délivrant Iphigénie, au moment où Cal-
chas allait l'immoler.
1x8. Portrait de la citoyenne Pipelet.
X19. Portrait du C. Martini.
120. Portrait du C. Letourneur, ex-membre du Di-
rectoire, peint en l'an IV.
Desvosge (Anatole), né à Dijon, élève de son père
et de David,
rue St-Jacques, n» 334.
Tableaux.
X2I. Harmonie, fille de Trasibule.
XL 3
26 Peinture.
Les habitans de Syracuse, soulevés contre
Trasibule qui voulait se faire roi, Tobligèreiit
à fuir, et déterminèrent la mort de tous ceux
de sa race. Il ne restait plus que sa fille Har-
monie ; on découvrit sa retraite : mais sa
gouvernante présenta une autre fille sous les
vêtemens de la Princesse, et qui eut le courage
de se laisser poignarder sans désabuser ses
assassins. Harmonie , admirant ce sacrifice
généreux, ne voulut point y survivre; et rappe-
lant les meurtriers, elle se fit connaître et fut
tuée par eux.
122. Un portrait de femme.
Devouge (Benjamin), élève de Regnauld,
Cloître Honoré.
123. Deux dessins représentant, l'un la Mélancolie, et
l'autre le Ravissement.
Doix (F. J. A.), né à Paris, rue d'Argenteuil, n° 271.
124. Paysage, soleil levant.
125. Vue prise dans le Jura, soleil levant.
126. Intérieur. L'atelier d'un peintre qui se prépare à
dîner.
DroUing, né à Oberbergheim, rue Honoré, n" 43.
Tableaux.
127. Un jeune homme et une jeune femme, aperçus
par une fenêtre, se disposent à faire de la
musique.
Peinture. • 27
128. Une jeune fille à une fenêtre, rinçant un pot au
lait.
129. L'éducation.
i3o. Le retour à la vertu.
i3i. Portrait.
Dubois (Frédéric), rue de Grammont, n" 549.
i32. Un cadre renfermant des miniatures.
Duchemin, a présenté pour le G. Robert Pigeon,
demeurant à Rome,
rue de la Harpe, n» 471,
i33. Deux dessins à la mine de plomb, représentant
des animaux.
Ducreux (Joseph), maison de Nesie, rue de Beaune.
Tableaux ovales.
134. Portrait du G. Dupont de Nemours, membre de
rinstitut.
i35. Portrait du G. Dussaux, membre de l'Institut.
i36. Portrait du général Ernouf.
137. Etude d'après l'auteur.
Gitoyenne Ducreux (Rose), chez son père,
maison de Nesle, rue de Baune.
Tableaux.
i38. Portrait de la citoyenne Méhul.
139. Etude d'après une jeune personne.
28 Peinture.
Dumont (François), élève de Girardct,
aux Galeries du Muse'um.
140. Un cadre renfermant des miniatures.
141. Unautre cadre contenant un tableau représentant
la France libre.
La France libre a vaincu les Puissances
coalisées, elle se repose au milieu de ses
trophées, préférant la paix à la victoire.
Dumont (Laurent) , né à Lunéville, dép. de la
Meurthe.
rue Guénégaud, n° 22.
Tableaux.
Deux portraits dans leurs bordures ovales.
{ Deux port
142. s
( Une miniature.
Dunouy (Al.-Hy.), né à Paris, élève de Briard,
rue du Faubourg-Denis, n" 55.
Tableaux.
143. Le danger imprévu.
Une mère et son enfant endormis, sont
menacés d'un serpent, et secourus par une
autre mère.
144. Paris abandonnant la nymphe Œnone dans la
vallée du mont Ida.
145. Vue du Rhône, prise de la Croix-Rousse, fau-
bourg de Lyon : on aperçoit les montagnes de
Savoye et le Mont-Blanc.
146. Vue du village de la Grotte, sur la route de
Naples à Pestum.
Peinture. ig
147. Vue de Savoie, près St-Michel, en Maurienne.
148. Vue de San Scholastico, près Subbiaco en Italie.
149. Plusieurs dessins sous le même numéro.
Duperreux (A.-L.-R.), né à Paris,
rue du Mont-Blanc.
1 5o. Paysage représentant une chasse de Diane.
i5i. Vue de la vallée d'Hasly, prèsMeyringen, canton
de Berne.
i52. Vue du pont de Psartèmprung, sur la Reusse,
près Vassen, prise en descendant du Mont
St-Gothard à AltortF.
i33. Paysage. Mort de Clorinde,
Duplessis, (C.-M.-H.), né à Versailles, élève de
Descamps.
Tableaux représentant
154. Des cavaliers en route.
i55. Un défilé d'équipages.
i56. Deux pendans : l'un, les environs d'un port;
l'autre, un cabaret.
Dutertre.
ib-j. Dessin au crayon noir et blanc, représentant un
rêve.
Ce dessin appartient au C. Rolland.
Citoyenne Duvieux (Marie-Adélaïde), née Landragin,
rue du Faubourg-Martin, n° 145.
i58. Un cadre contenant plusieurs portraits en minia-
tures.
XL 3*
3o Peinture.
Ecliard (Charles), né à Cacn,
rue Neuve-des-Petits-Champs, n° 26.
Tableaux, paysages.
iSq. Vue du Mont-Blanc, prise du pont de Serve en
Savoie.
160. Vue du glacier et des bois de la vallée de Cha-
mouni.
Nota. Ces deux tableaux appartiennent à
l'auteur.
i6i. Deux vues de Hollande, aux environs de Gro-
nincue.
Fleury (C.-A.), élève de Renaud,
rue de Chartres, n° 334.
162. Tableau représentant une femme entrant au
bam.
Fontaine (M.-D.), né à Rambouillet.
A Paris, rue Pinon, n° 12.
Dessin à la gouache.
i63. Ruines d'architecture, portiques corinthiens,
temple et fragmens.
Fontaine (P. E. L.), Architecte,
rue Montmartre, n" 219.
[64. Trois petits tableaux d'Architecture, représen-
tant des vues de Rome, Venise et Sienne, sous
le même numéro.
Fontaillard {i.-¥.),
rue Neuve-Martin, n" 1.
i65. Portrait en pied, miniature.
Peinture. 3i
Fortin, élève de Lecomte, Sculpteur,
place Vendôme, maison d'Arthur.
Tableaux.
Tête d'étude, représentant un Juge.
Une femme endormie.
Dessins à l'encre de la Chine.
167. L'exercice du javelot dans une fête domestique
chez les Lacédémoniens.
168. Un père distribuant des couronnes à ses enfans
après leurs exercices.
i66.
Fournier, né à Paris, élève de Regnault,
rue des Deux-Boules- Opportune, n" 7.
i6g. Trois jeunes femmes s'amusant à orner l'Amour
de fleurs.
170. La perruque blonde, ou le singe faisant toilette.
171. Une jeune femme préludant sur son forte-piano.
Nota. Ces trois tableaux appartiennent à
l'auteur.
Fournier.
172. Portrait de la Cit. C**'.
173. Portrait du C. E***.
174. Portrait du C. P***.
175. Portrait du C. D**'.
176. Portrait du C. S**'.
Fragonard fils (Alexandre-Svaristc), né à Paris,
élève de David,
aux Galeries du Muséum.
Dessins.
177. Portrait d'homme.
32 Peinture.
178. L'Amour faisant danser une jeune tille.
17g. L'Amour enlevant une jeune fille.
François (H.-J.), né dans le Luxembourg, élève
de Brenet.
180. Portrait du poëte Guichard, forme ovale,
l L'auteur, peint par lui-même.
( Etude d'après sa fille.
Garnecy (Jean-François),
rue du Croissant, n" 2.
182. Portrait du G. Grétry.
Garnier (Michel),
rue des Petites-Ecuries, faubourg Denis, n° 44.
Tableaux.
i83. Le saut par la fenêtre.
184. Le mot à l'oreille.
i85. Les lettres découvertes.
Citoyenne Gauffier (Pauline, épouse du citoyen),
maintenant à Florence.
36. Deux tableaux, sujets champêtres, représentant
des paysannes des environs de Terracine.
Gault (P. -M.), élève de Duraman,
rue St.-Marc, n° i63.
187. Vue du Puy-de-Dôme et d'une partie de la chaîne
des montagnes qui en font la base.
Peinture. 33
Le Puy-de-Dôme est élevé au-dessus de la
mer d'environ 1640 mètres.
L'auteur a représenté les figures dans le
costume gaulois : il a tiré son sujet des Com-
mentaires de César, qui dit en parlant de leurs
mœurs et de leur religion : Deum maxime
Mercurium, etc., lib. VI.
Nota. Ce tableau appartient à l'auteur.
Ga^ard, né à Toulouse,
à Versailles.
Tableau, Marine. Le moment du jour est le
matin.
Genilîon (J.-B.-F.),
au Palais national des Sciences et des Arts.
189. Tableau représentant le port de Vendre et la
vue de Collioure.
Georget,
rue Feydeau, n" 223.
190. Portrait ovale, peint en miniature à gouache.
Gérard (François), né à Rome,-élève de David,
au Palais national des Sciences et des Arts.
Tableaux.
191. Psyché et l'Amour.
192. Portrait du C.*** et de sa famille.
193. Portrait de la Cit. ***.
34 Peinture.
Girodet, élève de David.
194. Portrait du C. Belley, ex-représentant des Colo-
nies.
195. Un jeune enfant regardant des figures dans un
livre.
Godeau,
rue neuve des Bons-Enfans, n° 3.
196. Portrait de femme en miniature.
Grognard, élève de Vien,
à Lyon.
197. Portrait de Lantara, peintre de paysages.
Gros (Antoine-Jean), né à Paris, élève de David.
198. Tableau. Portrait du général Berthier, fait à
Milan.
Les Citoyennes Gueret,
rue de la Verrerie, n° 109.
199. Deux portraits, l'un d'une femme en buste,
l'autre de deux sœurs, même numéro.
Guerin (Jean), né à Strasbourg,
quai Voltaire, n° i3.
200. Deux portraits, grande miniature, même numéro.
L'un représente le général Kléber, et l'autre
la Citoyenne ***.
201. Un cadre contenant deux autres miniatures.
Peinture. 35
Guesdon (Denis), né à Paris, élève de Pierre,
rue Meslée, n° i8.
202. Un portrait dessiné.
Citoyenne Labille (dite Giiiard), élève des
ce. Vincent père et fils,
au Palais national des Sciences et des Arts.
20?. Le portrait du C. Charles, professeur de Phy-
sique, membre de l'Institut national,
Faisant une démonstration d'optique et
tenant un réflecteur solaire.
204. Le portrait du C. Janvier, mécanicien-astronome.
Traçant la projection graphique d'un passage
de Vénus sur le Soleil : on aperçoit sur la
table plusieurs figures de planètes et de con-
stellations.
205. Le portrait de la Citoyenne Capet peignant en
miniature.
206. Le portrait du C. ***.
207. Plusieurs portraits sous le même numéro dans
la même bordure.
Hennequin (Philippe-Auguste),
rue Pot-de-Fer, faubourg Germain.
Tableaux.
208. Paris s'arrachant des bras d'Hélène pour aller
combattre Ménélas.
209, Portrait de la Citoyenne Blanc.
2:0. Portrait du général de brigade Marmont.
Celui qui, commandant la deuxième colonne
36 Peinture.
à l'attaque de l'île de Malte, a enlevé le drapeau
de l'Ordre.
Holain (N.-F.-J),
rue du Bacq, n» 249.
211. Tableau. Scène familière dans un intérieur.
Honnet (Alexandre-Romain), né à Paris, élève de
Regnault.
rue André-des-Arts, n" 44.
Tableau.
[2. La séparation de Télémaque et Mentor en
Egypte.
Le fils d'Ulysse demande en vain à Métophis,
ministre prévaricateur de Sésostris, roi
d'Egypte, de n'être point séparé de Mentor :
celui-ci reproche à son disciple sa faiblesse, et
lui dit de se confier aux Dieux, qui ne l'aban-
donneront pas s'il se montre digne de leur
protection.
Hue (Jean-François), né à Versailles,
aux Galeries du Muséum.
Tableaux.
;i3. Vue de la ville, de la rade et du port Malo, prise
de l'anse des Sablons à St.-Cervan, au moment
du naufrage d'un vaisseau occasionné par une
tempête.
Ce tableau fait partie de la collection des
ports de France, continuée par ordre du Gou-
vernement.
Peinture. Sy
214. Vue de mer au soleil couchant, marée montante
par un tems calme.
Citoyenne Huin, élève de David,
rue Meslée, n" 5i.
21 5. Un cadre renfermant divers portraits en minia-
ture, une Hébé, etc.
Isabey (Jean-Baptiste), né à Nancy, élève de David,
rue Marc, n° 27.
216. Portraits en miniature sous le même numéro.
217. Tête d'étude.
Dessins.
218. Isabey et sa famille, dessinés par lui-même.
219. Portrait du C. Duchanois, médecin.
220. Portrait du C. Roche, marchand du Palais-
Egalité.
221. Portraits sous le même numéro.
Labadye, né à Paris, élève de Vincent.
222. Deux portraits peints, même numéro.
Dessins.
223. Portrait du père de l'auteur.
224. Portrait d'un jeune homme appuyé contre un
arbre.
Lafontaine (P.-J.),
rue J.-J. Rousseau.
225. Un intérieur de la ci-devant cathédrale de Paris,
avec figures, par Démarnes.
XL 4
38 Peinture.
Lagrenée (l'aîné),
Galeries du Muséum.
Tableaux.
226. Cassandre avait envoyé des soldats déterminés
pour tuer Olympias, mère d'Alexandre; ils ne
purent soutenir le regard de cette Princesse, et
s'en retournèrent sans avoir exécuté cet ordre.
227. Jupiter foudroyé Phaéton, pour avoir voulu
inconsidérément conduire le char du Soleil.
228. Armide ayant vainement tenté de se venger de
Renaud, désespérée, se retire dans un bois où
Renaud la suit et l'empêche de se tuer.
229. Deux frères qui s'aimaient tendrement, servaient
néanmoins dans deux armées opposées; ils se
battirent sans se connaître. L'un d'eux, lors-
qu'après la bataille on dépouillait les morts,
reconnaît qu'il a tué son frère et s'abandonne
à la douleur.
2 3o. Tarquin précipite du haut des degrés Servius-
Tullus, roi de Rome, et le fait assassiner.
Lagrenée le jeune (J.-J.), né à Paris, élève
de son frère aîné,
aux Galeries du Muséum.
Tableaux.
23 1. Psiché dans le Palais enchanté, où elle a été
transportée par l'Amour.
Des Nymphes la servent ou lui préparent
les plus riches parures; des sons harmonieux
se font entendre; Zéphire brûle des parfums;
mais au milieu de ces délices, Psiché reste
Peinture. Sq
triste et pensive, car elle ne voit personne, ni
même l'Amour qui la contemple.
Dans le fond on aperçoit Vénus qui va se
plaindre à Jupiter.
232, Une Frise représentant des Renommées parmi
des urnes, des trépieds, des casques et des
vases; dessin au bistre rehaussé d'or.
Le tableau et le dessin appartiennent à
l'auteur.
Lafitte (Louis),
rue Molière, n° 2, près le théâtre de l'Odéon.
233. Portrait du C. St.-Prix, artiste du théâtre Fran-
çais.
Esquisse dessinée.
234. Périclès, instituteur de l'Odéon, chez les Athé-
niens, décernant les prix d'encouragement aux
artistes qui se sont le plus distingués dans
la poésie, la musique et le cothurne.
La scène se passe sous le portique de
l'Odéon, devant le peuple d'Athènes et de
l'Aréopage assemblés.
235. Esquisse, sur l'armée d'Italie.
Landry.
rue des Maçons, section des Thermes, n" 407.
236. Portraits des Citoyennes He*** et d'un homme,
sous le même numéro.
Laneuville (J.-L.), élève de David,
maison Longueville, rue Thomas.
237. Portrait d'un enfant.
40 Peinture.
Langlois,
maison de Nesle, rue de Beaune.
238. Un cadre renfermant des miniatures.
Larivière (Victor), né à Toulon, élève d'Isabey,
rue Boucherat, n° 1 5.
Portraits, miniature.
iSg. Deux femmes regardant par la portière d'une
voiture.
Laurent (J.-A.), né à Baccarat, dép, des Vosges,
rue Nicaise, n° 487.
Miniatures.
240. Portrait de femme.
241. Portraits de famille.
242. L'Ecolier maître. Sujet tiré d'une Idylle.
Le Dieu paya mes sons d'un dédaigneux sourire,
Et chanta sur son luth le plaisir d'un amant.
Pour l'écouter, je fis taire ma lyre,
Et j'appris de l'Amour à chanter tendrement.
Laurenty, né à Verviers, dép. de l'Ouest,
élève de Fassin,
rue de Cléry, maison des Pyrénées.
Dessins à la plume.
243. Intérieur avec des animaux.
244- Une vache dans l'eau.
245. Trois têtes d'animaux, grandeur naturelle,
l'estompe.
246. Trois vaches dans l'eau à l'estompe.
Ces dessins appartiennent à l'auteur.
Peinture. 41
Lebarbier (l'aîné),
au Palais national des Sciences et des Arts.
Dessins.
247. Les derniers instants du général Marceau,
248. Vue d'une grotte de Frescati, près de Rome.
24g. Le premier homme et la première femme.
Esquisse.
25o. Six dessins des amours de Daphnis, dans un
cadre.
Lebrun (Jacques), du dép. de Vaucluse.
rue de la Loi, n° 748.
i5i. Un cadre contenant plusieurs miniatures.
Lebrun (Louise-Elisabeth, née Vigée, femme),
élève de son père.
2 52. Portrait de sa fille.
253. Une Sibylle.
Ces deux tableaux ont été envoyés de Péters-
bourg.
Lebrun (Topino), né à Marseille, élève de David.
254. La mort de Caïus Gracchus.
Opinius parvenu au Consulat dont il avait
été éloigné par Caïus Gracchus, alors que
celui-ci était Tribun, fit naître l'occasion de
s'en venger. Devenu puissant, il avait, contre
les lois, introduit dans Rome un corps de
Candiots, gens de trait et frondeurs. Il fit
mettre la tête de Caïus à prix, et le peuple
XL 4*
42 Peinture.
abandonna son défenseur. Appelé devant le
Sénat, Caïus se rendit dans la place en habit
civil Ses amis Licinius et Pomponius le
forcèrent de fuir. Arrivés sur le pont de bois,
ils firent face aux poursuivans, et lui donnèrent
le tems de se jeter dans un bois consacré à la
Déesse de la Fureur. Là, Caïus Gracchus
ordonna à Philocratus, son ami, de le tuer.
L'esclave se tua lui-même après.
Opinius ayant annoncé qu'il paierait cette
tête au poids de l'or; Septimuleius l'ôta à un
soldat qui l'avait coupée, en retira la cervelle
pour y substituer du plomb, et la porta au
Consul, son ami, qui tint sa promesse.
Lecarpentier (Benjamin), élève de Callais,
rue Coquéron, n" 6i.
255. Tableau, paysage.
Lcdni (Hilaire), du dép. de Calais,
quai des Orfèvres, n° 24.
Dessins, portraits en pied,
256. Du général Bernadotte.
257. Du général Scherer, ministre de la Guerre.
258. D'une femme.
2 5g. Scène de prison.
Ce dernier appartient à l'auteur.
Lefevre (Robert), élève de Regnauld.
rue d'Orléans-Honoré, n" 17.
260. L'amour aiguisant ses flèches.
Peinture. 43
Ce tableau est un prix d'encouragement
obtenu dans un des concours.
261. Portrait du C. Laquiante.
262. Portrait de l'auteur, par lui-même.
263. Portrait de femme.
Leguay (C-C),
rue de Bondi, n° 17.
264. Quatre portraits en miniature, peints sur porce-
laine pour la manufacture de Dihl et Guer-
hard, dite d'Angoulême, rue du Temple, près
le Boulevard, même numéro.
265. Deux portraits peints sur ivoire.
Lejeune, élève de Valenciennes et officier-adjoint
du Génie,
faubourg Honoré, rue Madelaine, n° io36.
266. Mort du général Marceau.
Le troisième jour complémentaire de l'an IV,
ce général reçut l'ordre de dérober à la vue de
l'ennemi un mouvement de l'armée de Sam bre-
et-Meuse, en tenant ferme dans la forêt de
Hoëestbach. A cet effet, il y plaça un bataillon
de grenadiers; derrière lui deux escadrons de
chasseurs, et s'avança entre les deux lignes de
tirailleurs dont le feu s'engageait, afin de
reconnaître le lieu où il placerait de nouvelles
troupes.
On apercevait des troupes ennemies qui
descendaient dans la forêt; d'autres plus près
s'avançaient sur la route de Cologne qui la
44 Peinture.
traverse. Un hussard hongrois caracoUait
devant le Général, afin de l'arrêter, tandis
qu'un chasseur Croate lui ajustait de derrière
un arbre un coup de fusil, dont la balle lui
traversa le bras et le corps, et le fit mourir
quarante-quatre heures après.
Le hussard aussitôt s'élança vers le général,
mais il fut tué par le capitaine du Génie,
Souhait, que l'événement funeste du vaillant
Marceau rendit furieux.
Le lieu de la scène qui est au pied de la
plus haute montagne de la Vétéraire, est pris
d'après nature.
Lejeune (Nicolas).
267. Tableau, portrait d'homme en pied.
Citoyenne Lemoine (Marie-Victoire),
rue des Moulins, n° 18.
268. Tableau représentant une jeune Frescatane
écoutant un jeune homme qui joue de la gui-
tare.
269.
Lemoine,
actuellement à Rouen.
Portraits dessinés à la pierre noire, du C. Fra-
gonard, du C. et de la Citoyenne Lecouteulx,
du C. Lezurier, du C. Lafosse, et une tête
d'étude, sous le même numéro.
Peinture. 45
Lepeintre père, né à Paris, élève de Pierre,
rue Mazarine, n" i53g.
Tableaux.
270. La mère trompée.
271. Portraits d'hommes et de femmes, sous le même
numéro.
Leroy (Joseph), élève de Suvée,
rue des Saussayes, faubourg Honoré, n" i23g.
Dessins au noir.
272. Œdipe et Antigone.
Appartenant à l'auteur.
273. Portrait d'une jeune personne assise.
274. Portrait d'une jeune personne touchant du forte-
piano.
Lespînasse,
au Palais national des Sciences et des Arts.
Dessins aquarelle.
175. Deux vues de la ville et du château de Réunion
sur Oise, ci-devant Guise, département de
l'Aine, quartier-général de l'armée de Sambre-
et-Meuse en l'an III, avec accessoires militaires.
Lesueur (Pierre-Etienne),
rue des Marais, n" 16.
176. Un portrait d'homme et deux de femmes, sous
le même numéro.
Esquisse peinte.
177. L'amour filial.
46 Peinture.
Œdipe et sa fille Antigone, passant le mont
Githéron.
Lethiers,
au Palais national des Sciences et des Arts.
Tableau.
278. Philoctète dans l'île déserte de Lemnos, gravis-
sant les rochers pour avoir un oiseau qu'il a
tué.
C'est le moment où Philoctète éprouve une
de ces crises douloureuses causées par la
blessure qu'il se fit au pied en laissant tomber
une flèche d'Hercule.
Sujet :
J'appris à soutenir mes misérables jours.
Mon arc, entre mes mains, seul et dernier recours,
Servit à me nourrir; et lorsqu'un trait rapide
Fesait du haut des airs tomber l'oiseau timide,
Souvent il me fallait pour aller le chercher,
D'un pied faible et souffrant gravir sur le rocher.
27g. Le sommeil de Vénus.
L'Amour et les Grâces jouent autour de Vénus
avec sa ceinture.
280. Deux jeunes femmes au bain, jouant avec un
cygne.
281. Un portrait de femme dans un paysage.
282. Un dessin Frise représentant le 9 Thermidor.
Leroy (François), né à Liancourt, élève de Vien,
rue du Hurepoix, n° 18.
283. Tableau représentant un vieillard aveugle, jouant
de la vielle, et trois enfans qui l'écoutent.
Peinture. 47
Lonsing, né à Bruxelles,
maison Chaumont, près la porte Denis.
Tableau.
Le médecin des urines.
Une jeune fille et son amant le consultent
284.^ et attendent avec inquiétude la décision du
docteur.
V Portrait de l'auteur peint par lui-même.
Lovinfosse, né à Liège, élève de Brenet,
rue du Hurepoix, n" 8.
Deux pendans représentant du gibier et des
285."
lière accrochant de la volaille.
ÎDeux pends
fruits.
Une cuisini
Malard-Sermaise,
rue Nicaise, no 5oo.
Tableaux.
286. Vénus et Adonis.
Vénus trouve Adonis expirant, et met sa
main sur son cœur pour voir s'il palpite
encore.
287. Portrait de femme, bordure ovale.
Malbeste,
rue des Nonaindières, n» 27.
Paysage avec des Baigneuses, dessiné à la mine
de plomb sur vélin.
Il appartient à la Société de la réunion des
Beaux-Arts.
48 Peinture.
Mallet (J. -Baptiste),
rue Thévenot, n° 62.
289. Tableau représentant un concert hollandais.
Marette (Pierre-Antoine),
à Versailles, l'ue Caton, no 8.
290. Un cadre renfermant des miniatures.
Martin (Guillaume), né à Montpellier, élève de
Vien,
rue de la Liberté, n" 67.
Tableaux.
291. L'enlèvement d'Hélène.
Au moment de s'embarquer, cette princesse
sent qu'elle est mère et balance à partir. —
Paris à ses genoux la presse. — Sa nourrice
la conjure. — Ils la déterminent.
292. Cléopâtre devant Marc-Antoine.
Ce Consul romain vit déserter son audience
pour aller au devant de Cléopâtre au moment
où l'on apprit son arrivée dans la ville de
Tarse. Resté seul, il s'en retournait chez lui :
l'auteur suppose que cette reine superbe le
rencontra dans sa marche.
293. Repas donné par Cléopâtre à Marc-Antoine.
Jamais on n'avait vu un festin aussi magni-
fique, une nuit aussi lumineuse; c'est l'instant
où la reine d'Egypte va faire le sacrifice de
cette fameuse perle en faveur d'un homme
qu'elle voulait captiver.
Peinture. 4g
C""" Mayer (Constance),
rue Meslée, n- G5o.
Tableaux.
294. Portrait d'un enfant.
295. Portrait d'un enfant tenant un pigeon.
296. Portrait du père de l'auteur.
Mérimée (J.-F.-L). élève de Vincent,
au Palais national des Sciences et des Arts,
Tableaux,
igy. Vertumne et Pomone.
iq8. Portraits de famille.
Messier (J. L.),
rue des Champs-Elysées, n" 5.
299. Deux portraits dessinés.
Métoyen (François), élève de Vincent,
rue du faubourg Jacques, n° u5.
3oo. Deux portraits de femme, dont l'un ovale, sous
le même numéro.
Meynier (Charles), né à Paris, élève de Vincent,
au Palais national des Sciences et des Arts.
Tableaux.
3oi. Calliope, Muse qui préside au Poëme épique.
302. Clio, Muse qui préside à l'Histoire.
303. Apollon, Dieu de la Lumière, de l'Eloquence et
des Beaux-Arts, accompagné d'Uranie, Muse
qui préside à l'Astronomie.
XL 5
5o Peinture.
Ces trois tableaux appartiennent au C. Boyer-
Fonfrède, de Toulouse. Ils sont destinés à
orner une galerie, ainsi que les autres Muses
dont la suite est demandée à l'auteur.
Michel (Georges),
rue neuve de l'Egalité, n° 3i5,
Tableaux, Paysages.
304. Effet de pluie.
305. Marché d'animaux.
306. Intérieur de cour champêtre, et un autre paysage
sous le même numéro.
Cnne Mîlet-Mureau (Iphigénie), âgée de 18 ans,
élève de Vandael.
chez le Général, son père, rue Dominique.
307. Un tableau de fleurs.
Mongin (Antoine-Pierre), né à Paris, élève de
Doyen,
rue de Sèvres, n° 1104.
Gouaches.
3o8. Paysage; des Baigneuses.
3og. Id. Des Hussards surpris en maraude par leur
chef, se retirent avec confusion.
3 10. Sujet tiré du premier volume du roman de
Henri.
Henri se jette sur Bowsey, assassin de Wevil,
le saisit à la gorge, et lui fait quitter la bourse
et le couteau.
Peinture. 5i
Ces tableaux appartiennent à l'auteur; les
figures sont du C. Dutailly, natif de Lyon.
Monsiau (Nicolas), né à Paris, e'iève de Peyron,
rue neuve des Petits-Champs, n° 26.
Tableaux.
3 11. Zeuxis choisissant des modèles.
Ce peintre célèbre parmi les Grecs, ayant
une Hélène à représenter pour les Agrigentins,
et qu'ils voulaient consacrer dans le temple de
Junon, cette nation lui envoya, par les plus
notables de la ville, ses plus belles filles pour
lui servir de modèles. Zeuxis en choisit cinq,
à qui il distribua des couronnes comme prix
de la beauté. En réunissant les grâces parti-
culières à chacune, il espérait atteindre à la
plus grande perfection.
3 12. Socrate et Alcibiade chez Aspasie.
L'éloquence de cette célèbre courtisane et ses
talens pour la politique la firent rechercher
et admirer par les Athéniens les plus recom-
mandables de son tems. Périclès fut si touché
des charmes de son esprit, qu'enfin il se déter-
mina à l'épouser. Socrate même avec Alcibiade
avaient tant de plaisir à l'entendre qu'ils la
visitaient souvent.
3x3. Dessin d'après le tableau de Zeuxis.
Ces trois tableaux appartiennent à l'auteur.
Moreau jeune, élève de Louis le Lorrain,
professeur aux Ecoles centrales de Paris
au Palais national des Sciences et des Arts.
52 Peinture.
314. Cadre contenant 47 dessins faits pour une édi-
tion de Gesner, en quatre volumes in-S", que
le C. Renouard publiera le i'"' Vendémiaire
prochain.
3i5. Cadre contenant 18 dessins, Actes des Apôtres,
pour l'édition in-8° du nouveau Testament de
Saugrain.
3i6. Un dessin pour Anacharsis.
317. Un dessin représentant Régulus retournant à
Carthage, pour les œuvres de Montesquieu,
in-4°.
C"°" Morin (Eulalie), née Cornillaud, de Nantes,
rue du Mont-Blanc, n° 73.
3 18. Portrait de femme, peint.
Dessins.
319. Amphion.
320. Portrait de femme en pied, fond de paysage.
321. Portrait d'homme.
322. Deux miniatures, sous le même numéro.
Naudet (Charles), né à Paris,
rue des Prêtres-Germain-l'Auxerrois.
Tableau à gouache fait d'après nature, représen-
tant l'ancienne Porte-Paris et le grand Châte-
let, avec figures.
Ce monument fut construit sous Jules-César,
pour servir de défense à la ville de Paris.
Pajou fils (J.-A.), né à Paris, élève de Vincent,
aux Galeries du Muséum.
Peinture. 53
Tableau.
324. Orphée perdant son Euridice pour la seconde
fois.
Sujet extrait des Géorgiques, traduction de
l'abbé Delille.
Presque aux portes du jour, troublé, hors de lui-même,
11 s'arrête, il se tourne... il revoit ce qu'il aime :
C'en est fait, un coup-d'œil a détruit son bonheur.
Le barbare Pluton révoque sa faveur,
Et des Enfers chargés de ressaisir leur proie,
Trois fois le gouffre avare en retentit de joie.
Orphée! ah! cher époux, quel transport malheureux.
Dit-elle : ton amour nous a perdus tous deux.
Adieu : l'Enfer se rouvre et mes yeux s'obscurcissent,
Mes bras tendus vers toi déjà s'appesantissent;
Et la mort déployant son ombre autour de moi,
M'entraîne loin du jour, hélas! et loin de toi.
Elle dit, et soudain dans les airs s'évapore.
Ce tableau appartient à l'auteur.
Palliere (Etienne), né à Bordeaux, élève de
Vincent.
place de la Révolution, arcade n" 2.
Tableau.
325. Une jeune femme assise sur un morceau de
rocher, et se livrant à la mélancolie.
Percier (Charles), né à Paris, Architecte,
rue Montmartre, n" 219.
Dessins coloriés.
326. Intérieur d'un monument consacré aux Arts,
dans le genre de ceux élevés pendant le sei-
zième siècle.
XL 5*
54 Peinture.
327. Intérieur d'une fabrique italienne.
328. Intérieur d'un palais romain.
329. Vue d'une porte de jardin italien.
Perin (Lié-Louis),
cour des Fontaines, n° 100.
33o. Un cadre renfermant des miniatures.
Perrin,
au Palais national des Sciences et des Arts.
Tableaux.
33 1. Jupiter sous la forme de pluie d'or venant visiter
Danaé.
Son père l'avait fait renfermer dans une
tour et garder par une vieille, l'oracle lui ayant
prédit que le premier enfant qu'aurait sa fille
serait funeste à sa maison.
332. Après le meurtre de Dion, sa sœur et sa femme
furent mises en prison par l'ordre de Callipus.
La femme y accoucha d'un garçon qu'elle
résolut de nourrir. Elles en demandèrent la
permission à leurs gardiens, qui l'accordèrent.
Petit (Joseph), né à Tournai, élève de Hue.
333. Deux tableaux, paysages; les figures et animaux
par Demarnes.
L'un est une vue des environs d'Albano,
près de Rome.
L'autre, une vue au soleil couchant, du
temple de la Sybille à Tivoli.
Peinture. 55
Ces deux tableaux, sous le même numéro,
appartiennent à l'auteur.
Peyron (J.-F.-P.), né à Aix, élève de Lagrenée l'aîné,
au Palais national des Sciences et des Arts.
Tableau, peint sur bois.
334. Ulysse demandant l'hospitalité à Nausicaa, fille
d'Alcinoùs, roi des Phéaciens.
Ulysse, battu par la tempête, aborde dans
l'île des Phéaciens, et se repose sur les bords
du fleuve qui l'a sauvé. Nausicaa, inspirée par
Minerve, était venue avec ses compagnes y laver
ses vêtemens, quand Ulysse, réveillé par les
jeux et les chants de ces jeunes filles, ose pa-
raître devant elles, et demande à Nausicaa de
quoi se couvrir pour paraître plus décemment.
Ce tableau appartient au C. Velloni, glacier.
Dessins.
335. Les jeunes Athéniens et Athéniennes tirant au
sort pour être livrés au Minotaure.
Egée, roi d'Athènes, avait fait assassiner An-
drogée, fils de Minos, roi de Crète : celui-ci,
voulant venger la mort de son fils, après avoir
saccagé plusieurs villes qui auraient pu défendre
Athènes qu'il assiégea, la réduisit à demander
la paix en suppliante. Il ne l'accorda qu'aux
conditions que tous les ans elle lui livrerait
sept jeunes garçons et autant de filles pour être
exposés au Minotaure, monstre renfermé dans
le labyrinthe de Crète. Ce traité conclu, Minos
emmena avec lui les premières victimes du salut
de leur patrie.
56 Peinture.
336. Catilina faisant prêter serment aux conjurés.
Ce dessin est destiné à une édition de Saluste,
grand in-folio, que prépare le C. Renouard.
337. Un cadre renfermant quatre dessins du temple
de Gnide.
Pfab (Jean-Pierre), Danois, élève de l'Académie de
Copenhague,
rue Roch-Poissonnière, n" 7.
Tableau.
338. Portrait de l'auteur, peint par lui-même.
. Pinchon (Jean-Antoine), élève des CC. Vincent et
Augustin,
rue Caumartin, n° 744.
Tableaux.
339. Portrait du C. Damas, artiste.
340. Portrait de femme.
Potain (V.-M.), élève de Vincent,
rue de la Loi, cour Guillaume, n» 16.
341. Deux portraits sous le même numéro.
Prévost (Jean-Louis),
rue de Bellefond, n» 202.
Tableau.
342. Des Heurs dans un vase de porphyre.
Peinture. bj
Prévost (Pierre), né à Montigny, dép. d'Eure-et-Loir,
élève du C. Moreth,
rue Grange-aux-Belles, n" i .
343. Paysage au soleil couchant.
Ce tableau appartient à l'auteur.
Prud'hon (P. -P.), né à Cluny,
au Palais national des Sciences et des Arts.
Dessins.
344. Projet de frise représentant une Bacchanale.
345 Phrosine et Melidor, dessiné et gravé par l'auteur.
Robert (Hubert), né à Paris,
aux Galeries du Muséum.
346. Tableau représentant un ancien édifice servant de
bain public.
347. Tableau représentant l'entrée d'un palais antique.
Robin (J.-B.-C),
Tableaux, portraits.
i Le petit accapareur.
(Le château de cartes.
349. Esquisse d'une bataille.
Le sujet en est pris du dernier chant de la
Jérusalem délivrée, du Tasse.
Roger (Pierre-Louis), élève de Regnault,
rue aux Ours, n° 22.
Dessin.
35o. Artémise pleurant sur les cendres de Mausole.
58 Peinture.
Roland (J.-F.-J.), né à Lille, élève de David,
rue Vantadour, n° 3.
Tableaux.
35 1. Portrait de femme en pied, accordant une harpe.
352. Portrait d'homme assis, et portrait de l'auteur,
peint par lui-même.
353. Deux enfans jouant avec un chien.
Sablet (Jacob), élève de Vien,
au Palais national des Sciences et des Arts.
Tableaux.
354. Portrait du C. *'*, membre actuel du Corps lé-
gislatif, tableau allégorique.
La mer est agitée, le Soleil annonce l'approche
du calme. L'acteur unique de la scène s'éloigne
des tombeaux où il a gémi sur le sort de ceux
qu'il a perdus par l'effet de la révolution, il lit
une inscription tracée sur une colonne milliaire,
et paraît en goûter la leçon.
355. Le Colin-Maillard, peint à Rome en 1790.
356. Portrait du C. *** visitant le tombeau de son père
avec son épouse.
357. La diseuse de bonne aventure.
358. Une mère donnant une marotte à son enfant.
359. La tricoteuse, la couseuse : pendans, et autres,
sous le même numéro. 1
Saint-Martin (Alexandre-Pan), né à Mortagne, élève
de Leprince et Vernet.
rue Poissonnière, n" 25.
Tableaux paysages.
36o. Forêt, figures et animaux.
Peinture. 5g
36 1. Deux vues du parc et maison de Ville-d'Avray.
Sauvage, élève de Gie'erard d'Anvers,
au Palais national des Sciences et des Arts.
362. Un bas-relief imitant le bronze, peint sur porce-
laine pour la manufacture de Dihl et Guerhard,
dite d'Angoulême, rue du Temple, près le Bou-
levard.
Schall (Jean-Frédéric), né à Strasbourg,
au Palais national des Sciences et des Arts.
Tableau.
363. La fausse apparence.
Un père en rentrant n'aperçoit plus son en-
fant, dont le berceau était renversé, et voit son
chien accourir à lui, la gueule ensanglantée : il
le tue. Mais cet homme malheureux reconnaît
bientôt son erreur : le fidèle animal avait déli-
vré l'enfant d'un serpent monstrueux qui l'eût
dévoré.
Schmid,
rue Mazarine, n» 1564.
Tableaux.
364. Paysages. Vues de la Suisse; un soleil couchant,
une matinée, ornés de figures, faites par De-
marnes.
365. Deux autres paysages. Un soleil couchant au bord
d'un lac, un incendie au clair de lune.
366. Vue de Suisse, soleil couchant.
Le dernier appartient à l'auteur.
6o Peinture.
Senave (Jacques-Albert),
rue et porte Jacques, à renseigne du port Salut.
367. Tableau représentant une imprimerie.
368.
Serangeli, né à Rome, élève de David,
rue J.-J. Rousseau, maison Bullion.
Tableau, portrait en pied.
La mort d'Euridice, même numéro.
Sevin,
rue de l' Arbre-sec, n° i5.
369. Portrait de l'abbé Delille.
370. Autres portraits, sous le même numéro.
Sicardi (Louis), élève de son père,
rue ci-devant Petit-Bourbon, no 721.
371. Un cadre contenant plusieurs miniatures.
372. Un cadre contenant le portrait de Mole et deux
autres portraits.
373. Un dessin représentant les neveux et nièces de
l'auteur.
Citoyenne Swagers (Elisabeth), née à Paris,
rue de l'Echiquier, no 36.
374. Portrait dessiné au crayon noir d'après nature,
Swagers, né à Utrecht,
rue de l'Echiquier, n° 36.
Tableaux.
375. Paysage. Vue des environs de Monvoord, petite
ville de Hollande.
Peinture. 6i
376. Marine. Vue des environs de Dordrccht.
Swebach (dit Desfontaines), élève du C. Duplessis,
Demeurant derrière le clos de Piquepus, entre cette
barrière et celle de Mandé.
Tableaux représentant
377. Une marche d'armée.
378. Halte de cavalerie.
379. Convoi d'artillerie.
380. Marché aux chevaux.
38 1. Attaque d'un moulin retranché.
382. Rencontre de cavalerie à l'issue d'un bois.
Taillasson (Jean-Joseph), né à Bordeaux, élève du
C. Vien,
au Palais national des Sciences et des Arts.
Tableau.
383. Léandre et Héro.
Léandre, jeune homme de la ville d'Abidos,
traversait l'Hellespont à la nage, pour aller voir
Héro, prêtresse de Vénus : un flambeau allumé
au haut d'une tour, lui servait de guide. Long-
temps l'Amour couronna ses efforts; mais enfin,
sur le point d'arriver aux bords qui lui étaient
si chers, il trouva la mort dans les flots. Héro
ne voulut point lui survivre.
Ce tableau est un prix d'encouragement ac-
cordé par la République.
384. Le même sujet répété.
62 Peinture.
Taunay (Nicolas-Antoine), né à Paris, élève de
Casanova.
385. Tableau représentant l'extérieur d'un hôpital mi-
litaire provisoire.
Taurel (Jacques), né à Toulon, élève de Doyen,
rue du Faubourg Poissonnière, n" 3i.
Tableaux.
386. Esquisse d'une marine, représentant un embar-
quement de troupes.
L'instant du jour est le matin, par un tems
brumeux. Le fond offre les vaisseaux de guerre
qui doivent escorter le convoi. Sur le second
plan, on voit une colonne surmontée de la
statue de la Liberté, et sur le premier plan, un
quai, des figures en action, et le canot destiné
aux officiers supérieurs.
387. Marius assis sur les ruines de Carthage.
Le moment de l'action est celui où Marius
répond à l'envoyé du préteur Sextilius, qui lui
signifie l'ordre de quitter cette Province Vas
rapporter à celui qui t'envoie, que tu as vu
Marius fugitif, assis au milieu des ruines de
Carthage.
388. Ulysse ayant reconnu Télémaque et Minerve sous
la figure de Mentor, s'en éloigne avec précipi-
tation.
La scène est dans l'île déserte où Mentor et
Télémaque étant abordés, trouvent un autre
vaisseau qui attendait, comme eux, un vent
favorable pour partir.
Peinture. 63
Thevenin (Charles), né à Paris, élève de Vincent,
au Palais national des Sciences et des Arts.
Tableaux.
38g. Augereau au pont d'Arcole.
Augereau, général de division à l'armée d'Ita-
lie, s'apercevant que le feu de l'ennemi ralen-
tissait la marche de la colonne chargée de forcer
le pont d'Arcole, met pied à terre, s'avance à
la tête de la colonne un drapeau à la main,
malgré le feu des trois batteries, traverse dans
toute sa longueur une digue de plus de deux
cents toises, arrive sur le pont, et trace ainsi
aux grenadiers français le chemin de la victoire.
Un jeune tambour effrayé du danger auquel
s'expose son général, en continuant de s'avan-
cer, s'eftbrce de l'arrêter; le porte-drapeau qui
suivait Augereau, frappé d'un éclat d'obus, vient
expirer à ses pieds : un chapeau de général, un
fourreau de sabre, et un manteau de cavalier
roulés dans la poussière, indiquent les diffé-
rentes attaques faites inutilement sur ce point.
Ce tableau fait pour le général Augereau,
peut être considéré comme monument histo-
rique; car il est aussi exact pour la vérité du
local, que par la vérité d'action des figures.
390. Œdipe et Antigone.
Fugitif proscrit par ses fils, errant pendant
une violente tempête dans un pays aride et
sauvage, Œdipe tourmenté de ses remords,
s'écrie dans un accès de désespoir; écrasez-
moi, grands Dieux, et punissez mes crimes. Sa
fille s'efforce de calmer son transport, etc.
64 Peinture.
Ce tableau est un prix d'encouragement dé-
cerné dans un concours national.
3gi. Portrait d'enfant de grandeur naturelle, jouant
avec les fragmens de son déjeuné.
Thiboust,
rue de la Lune, n" 121.
3g2. Son portrait peint par lui-même sur porcelaine,
de la manufacture de Dihl et Guerhard.
Thienon (Claude), élève de Moreau,
rue Sainte-Croix, Chaussée-d'Antin.
393. Deux dessins paysages.
Topfer , en Suisse.
Dessin.
394. Vue du Vallais à Montey, au-dessous du pont de
Saint-Maurice.
Ce dessin appartient au C. Roland.
Valencieyines (P. -H.), né à Toulouse, élève de Doyen,
au Palais national des Sciences et des Arts.
Tableaux paysages.
396. Une jeune fille
Ayant trouvé dans les bois d'Idalie, l'Amour
couché sur des roses, essaye sur son amant les
tlèches qu'elle lui a dérobées.
396. Députations des villes grecques au temple de
Delphes.
397. L'Amour jouant à collin-maillard avec les Grâces.
Peinture. 65
398. Matinée dans les environs de Rome.
3gg. Deux vues d'Italie, l'une à l'effet du calme, et
l'autre de l'orage.
Ces quatre derniers tableaux appartiennent à
l'auteur.
Citoyenne Vallain (Nanine).
Tableau.
400. Portrait d'un enfant.
Vallin (Jacques-Antoine),
quai des Augustins, n" 71.
Tableaux.
401. Un vieillard et sa fille demandant l'aumône.
402. Marine, tempête et naufrage.
Vangorp (Henri-Nicolas), né à Paris,
rue d'Orléans, n° 17.
Tableaux.
403. Le retour d'un Hussard dans sa famille.
Il reçoit les embrassemens de sa femme au
milieu de leurs enfans qui appellent ses caresses.
Une jeune sœur aide le père aveugle à se lever,
pour s'approcher de son fils.
Ce tableau appartient à l'auteur.
404. Portrait du Cit. Noudet, peintre.
405. Portrait du Cit. Mennier, musicien.
406. Portrait d'une jeune personne, ovale.
XL 6'
66 Peinture.
Vanloo (César).
407. Vue d'une fabrique de fer située près de l'Isola
de Sora, dans le royaume de Naples.
Van Spaendonck (Corneille),
au Palais national des Sciences et des Arts.
Tableaux.
408. Des pêches jetées sur une table de marbre, avec
un ananas et une grappe de raisin de Maroc.
40g. Des roses dans un gobelet.
410. Différentes fleurs dans un vase d'Albâtre.
Varenne (Charles-Santaire), né à Paris,
rue Bailleuil , passage d'Aligre.
411. Vue d'une forêt, figures et animaux, prise près
Baltimore.
Citoyenne Varillat (née Tornézy),
élève de Regnault,
rue Martin, n" 353.
412. Portrait d'homme, ovale.
Vergnaiix (N.), né à Coucy-le-Château, dép. de l'Aine,
élève de Hue,
rue d'Anjou, faubourg Honoré, n° gSS.
Tableaux paysages.
41 3. L'entrée d'un bois, effet du soir.
414. Rochers couronnés d'arbres et fabriques, effet du
matin.
l'i.iN iiiiU'.. hy
Vcntet (A.-Cli.-Hor.), ne ,'i lionlciuix,
cicvc tic son pcix-,
aux Cînlcrics ilii Miiscuni.
Dessins.
.| I h. l'uiclilc lies liussiuils l'ri\n(,'ais.
Tous les moyens de séduction sont mis en
usa^e pour égarer les braves hussards, ci-iievanl
Herchiny, et ébranler leur lid(îlil«î. On les fait
boire i\ discrétion pendant trois jours; le i]ua-
irièinc on les l'ait monter à cheval et marcher
à travers les terres labourées. \'crs les trois
heures après midi, on leur fait l'aire lialle dans
un endroit où on avait préparé des ral'raîcliis-
seniens pour les hommes et |->oim' les chevaux.
Ils étaient à peu de ilislance de l'emienii, ipii
leur faisait îles signaux avec des mouclioiis
blancs. On les harangue, on étale à leurs yeux
de l'or, on leur fait de magnifiques proiuesses
au nom des Princes rebelles, on leur assure la
liberté de iiiller sous |ieu de jours ;\ discrétion
le territoire (Van(,ais. (Juelques-uns paraissent
ébranlés; le plus grand nombre témoigne son
indignation par de violens murmures; laiiivi-
sion se met dans la troupe, l'ortlre de mettre
bas les cocanles tricolores est donné; on les
arrache i\ ceux qui refusent. Le colonel tue lâ-
chement ini de ceux-ci; l'infâme d'ilmbcrlin en
tue deux. Le brave Popowits crie à ses luissarils;
(à cheval, mes amis, it cheval, il est tems; nous
somn\es trahis.) (-inq odiciers suivent son
exemple, et répètent le même cri; plusieurs
groupes se lormenl à leur voix. Ils n'avaient
68 Peinture.
qu'un seul étendard; un maréchal-des-logis
sort des rangs, en arrache un second des mains
d'un traître dont il coupe le poignet; les groupes
des hussards fidèles se réunissent, enlèvent de
vive force la caisse du régiment avec une partie
des équipages du colonel, et rentrent en France
à toute bride.
Ce dessin appartient au Citoyen Gouthière,
imprimeur.
416. Un cheval qu'on frotte après la course.
417. Un cheval effrayé par la foudre.
418. Un cheval sauvage fuyant des animaux féroces.
419. Un hussard à cheval.
420. Combat de cavalerie.
421. Une femme à cheval.
Vien fils (Joseph-Marie),
place du Muséum.
422. Un cadre renfermant plusieurs miniatures peintes
à l'huile.
Vestier (Antoine), né à Avalon, dép. de l'Yonne,
élève de feu Pierre,
au Palais national des Sciences et des Arts.
423. Deux portraits sous le même numéro.
424. Un cadre renfermant des miniatures.
Vincent (François-André), né à Paris,
élève de Vien,
au Palais national des Sciences et des Arts.
425. L'Agriculture.
Peinture. 69
Pénétré de cette vérité que l'Agriculture est
la base de la prospérité des Etats, le peintre a
représenté un père de famille qui, accompagné
de sa femme et de sa jeune fille, vient visiter
un laboureur au milieu de ses travaux. Il lui
rend hommage en assistant à la leçon qu'il l'a
prié de donner à son fils, dont il regarderait
l'éducation comme imparfaite sans cette con-
naissance.
Nota. Le Commerce et d'autres parties inté-
ressantes de l'éducation , doivent former une
suite à ce premier tableau, qui, ainsi que cette
suite, sont destinés au Cit. Boyer-Fonfrède, de
Toulouse.
426. Le portrait du C. Roland, sculpteur, membre de
l'Institut national des Sciences et Arts.
Viquet ,
rue de la Féronnerie, n" 167.
Tableau.
427. Un modèle prenant son repas dans l'atelier d'un
peintre, entre deux séances.
Wallaert (Pierre), né à Lille,
rue Honoré, n° 1436.
Tableau,
428. Marine, naufrage. Plusieurs figures en action.
L'auteur est propriétaire du tableau.
— 7°
SCULPTURE.
Biaise,
rue d'Orléans-Honoré, n" 12.
5oi. Modèle de pendule.
La Renommée, accompagnée de deux Génies,
dépose sur un autel la récompense de la vertu.
Un des Génies dit à l'autre : Grave sur le
marbre ce que la Renommée vient d'annoncer.
5o2. Deux esquisses en terre cuite, représentant Vénus
et Diane au bain, même numéro.
Boisot (L.-S.), né à Paris,
élève de Michel-Ange Slodtz,
au Palais national des Sciences et des Arts.
3o3. Médaillon en plâtre, portrait du général Buona-
parte, fait de réminiscence, encadré d'une cou-
ronne de laurier.
Ce portrait appartient au Citoyen Directeur
Barras.
Boisot.
504. Buste en plâtre, d'après nature, du C. Daubenton,
âgé de 83 ans.
Ce buste fait partie d'une collection de por-
traits des fameux Naturalistes.
Sculpture. 71
Boquet (Simon-Louis),
passage du bois de Boulogne.
505. Une Bacchante, pendule.
506. Deux bustes, portraits, même numéro.
Boulliet (Jacques-Antoine), né à Paris,
élève de Briard, peintre, et de Beauvalet, sculpteur,
rue du Temple, no g8.
Plâtre couleur de terre cuite.
507. Portrait en buste du C. Adanson, membre de
l'Institut national.
Ce buste faisant partie d'une collection de
portraits, doit être exécuté en marbre.
508. Figure de femme en pied, plâtre, de proportion.
Elle représente le symbole de l'Amour, et
appartient à l'auteur.
Bowrrezjf (Louis-Jérôme), élève du C.Vassé,
rue neuve de l'Egalité, n" 3o6.
Terre cuite.
5og. Trois figures représentant l'Amour enivré par la
Folie, et un Satyre.
Ce groupe supporte un mouvement de pendule.
Il appartient à l'auteur.
Chaudet (Denis-Antoine), né à Paris,
élève de Stouf.
5 10. Modèle en plâtre de grandeur naturelle.
Ciparisse pleure un jeune cerf qu'il chéris-
sait, et qu'il a tué par méprise.
Métamorphoses d'Ovide.
72 Sculpture.
Chinard,
membre associé de l'Institut national,
résidant à Lyon.
5 II. Un enfant, portrait de grandeur naturelle.
Cet enfant échappe au naufrage en se faisant
une nacelle des armes de l'Amour, et une voile
de son bandeau.
5 12.' Deux bustes, même numéro.
5x2 bis. Une esquisse improvisée pour le passage du
général Buonaparte à Lyon, représentant Mars
arrêté par la Paix, et couronné par la Victoire.
Corbet (Charles-Louis),
rue du Faubourg Honoré, n" 6i.
Modèle en plâtre.
5i3. Portrait en buste du général Buonaparte, fait
d'après nature.
Nota. Ce buste doit être exécuté en marbre
pour le Gouvernement.
Delaitre,
faubourg Martin, no 37,
Terre cuite.
514. Une esquisse représentant Hébé.
Dclaville (Louis), né dans la commune de Jouy-
Sousthelle, dép. de l'Oise,
rue des Pères, faubourg Germain, n" i5.
Terre cuite.
5i5. Deux portraits, proportion naturelle, des CC. Joly
père et fils.
Sculpture. yS
Le premier, ancien garde des estampes et
planches gravées de la Bibliothèque nationale;
le second, conservateur actuel des mêmes
objets.
Desehte,
Cour du Palais national.
5i6. Une Vestale alimentant le feu sacré.
517. Michel Montaigne, buste en plâtre.
5 18. Une tète de Flore, étude.
5 18 bis. Une Figure en pied représentant Flore.
5ig. Buste du Citoyen Trouille, membre du Corps
législatif.
520. Buste du Citoyen Bergevin, membre du Corps
législatif.
521. Buste du Citoyen Noël.
Dutnont (J.-Edme), élève de Pajou,
au Palais national des Sciences et des Arts.
Terre cuite.
522. Figure représentant le berger Céphale.
Espercieiix (Jean-Joseph), né à Marseille,
élève de ceux qui m'ont donné de bons avis,
rue Pot-de-Fer, faubourg Germain.
523. La Liberté, modèle en plâtre.
Cette figure, assise sur un cube, est coiffée du
pileus; elle foule sous ses pieds un joug brisé.
La petite statue qu'elle tient d'une main repré-
sente la Félicité publique. Dans l'autre main
XL 7
74 Sculpture.
sont une épée et le flambeau de la Philosophie.
On lit sur la plinthe :
La Liberté tient dans sa main la Fe'licité
publique. On acquiert et on conserve la Liberté
par la philosophie et par les armes.
Nota. La figure de la Liberté est un prix ob-
tenu dans un concours national.
Gois (Edme),
élève de son père,
au Palais national des Sciences et des Arts.
524. Vénus sortant du bain.
Figure en plâtre, grandeur naturelle.
525. Adonis, allant à la chasse, aperçoit Vénus.
Figure en plâtre, grandeur naturelle.
526. Psyché tenant la lampe et le poignard.
Figure en terre cuite.
527. Portrait du C. Gois, professeur des Ecoles cen-
trales de Peinture et Sculpture.
Terre cuite bronzée.
528. Portrait d'un enfant de deux jours, en plâtre.
Lestieur ,
au Palais national des Sciences et des Arts.
529. Deux bustes en plâtre, portraits, nature.
Lorta,
rue de Sèvres, n° 1091.
53o. La Paix.
Modèle en plâtre; prix d'un concours natio-
nal.
Sculpture. -jb
La Paix est représentée assise, levant de la
main gauche un voile qui couvrait le Génie des
Sciences, des Arts et du Commerce, caractérisé
par ses attributs; il se ranime à l'aspect de la
branche d'olivier et de l'épi de blé, symbole de
la Paix. De l'autre côté de la figure principale,
on voit un bouclier, un sabre, une couronne de
laurier qui montrent que c'est par la Victoire
qu'on obtient la Paix.
Lucas ,
rue du Mont-Blanc , n" 6S.
53 1. Buste en plâtre, grandeur naturelle, du Citoyen
Lecouteulx-de-Canteleux, membre du Conseil
des Anciens.
Monot ,
élève de Vassé,
au Palais national des Sciences et des Arts.
532. Minerve rémunératrice.
Statue en plâtre, comme étude.
533. Une jeune fille contemplant des cendres qui sont
dans une urne.
Modèle en plâtre, de grandeur naturelle,
étude.
Monpellier ,
rue de Sartine, n° i5.
Plâtre bronzé.
534. Portrait en buste du Citoyen Hubert, architecte.
535. Une Cariatide.
yfi Sculpture.
Morgan (J.-J.)' élève de Dejoux,
rue de Nazareth, n° i33.
536. Le Commandement des Armées et la Paix.
Ces figures en plâtre font partie des huit
statues représentant les vertus civiles et mili-
taires qui décorent le salon du général Buona-
parte.
Pajou, père,
aux Galeries du Muséum.
bSj. Buste en marbre d'un enfant.
Ce buste appartient à la société des Amis des
Arts.
Petitot (Pierre), élève de Cafieri,
rue du Honoré, n" 117.
Plâtre.
538. Portrait en buste du C. Dessaux, ancien chirur-
gien de l'Hôtel-Dieu.
Terre cuite.
53g. Portrait en buste du C. C***.
540. Hébé, esquisse.
Renaud (J.-M.),
rue Taitbout, n° 33.
541. Le portrait en pied du C. Corbel père, modèle en
cire, renfermé dans un cadre.
Roland (Philippe), né à Lille,
élève de Pajou,
au Palais national des Sciences et des Arts.
Sculpture. 77
542. Portrait en buste, proportion nature.
543. Bacchante montée sur un bouc.
544. Groupe en marbre, composé de trois figures, re-
présentant le Serment d'amour.
545. Une pendule modelée par Roland, représentant
les quatre Saisons sur un char tiré par deux
lions, conduits par l'Amour.
Le socle est orné des signes du Zodiaque. Le
bronze fait par Thomire, rue Porte-Foin, au
Marais, n" 7; le modèle appartient au Citoyen
Lignereux, rue Christine, n° 2.
Stouf,
rue de Crussol, n" i3, section du Temple.
546. Vincent-de-Paule, fondateur des Hospices des En-
fans-Trouvés, considéré comme philosophe.
Statue en marbre, grande nature. Prix d'un
concours national.
347. Femme effrayée d'un coup de tonnerre qui vient
de rompre un arbre à côté d'elle. Terre cuite.
548. Sujet pastoral.
Une femme et ses deux enfans, dont l'un
placé dans un charriot traîné par un chien.
Terre cuite.
549. Mausolée, bas-relief, esquisse en terre cuite.
7*
78-
ARCHITECTURE.
Baltard (Louis-Pierre), né à Paris,
rue Dominique, n° 239.
601. Dessin géométral d'un Monument triomphal en
l'honneur des Armées de la République, faisant
partie d'un projet pour Bordeaux, sur l'empla-
cement du Château-Trompette.
602. Quatre feuilles (sous le même numéro) d'un ou-
vrage élémentaire sur l'Architecture, que l'au-
teur se propose de faire graver.
Brogniard (Et.-J.),
rue Marc, n» 14 et ig3.
Dessins.
6o3. Vue perspective de l'intérieur du Panthéon-
Français, avec obélisques et tables d'inscrip-
tions pour renforcer les quatre pilliersdu dôme,
sans nuire à la décoration actuelle de ce monu-
ment.
Ceux qui voudront se procurer de plus grands
renseignemens sur l'état de ce monument,
peuvent consulter le mémoire historique du
Panthéon-Français, par Rondelet, architecte;
et les moyens de le restaurer, par Rondelet et
Brogniard, architectes.
Architecture. 79
604. Deux vues du port de la Re'ole, sur la Garonne,
au-dessus de Bordeaux; l'une représentant ce
port comme il est, l'autre comme il pourrait
être.
605. Vue perspective de l'avant-scène du théâtre des
Arts, arrangée l'an V par le G. Brogniard, avec
la vue du palais fait pour la remise du ballet
de Paris.
606. Modèle en bois peint d'un des quatre pilliers du
dôme du Panthéon-Français, avec les accessoires
nécessaires à son renforcement.
Person (P.-G.),
élève des Ponts et Chaussées, membre du Lycée des
Arts,
rue des Maçons, n° 447.
607. Modèle d'une machine propre à porter de prompts
secours aux incendiés.
608. Pont d'une seule arche, aussi simple que solide.
60g. Modèle d'une machine pour amener sur la grève
les trains de bois par coupons, afin d'éviter
aux travailleurs le danger d'être journellement
dans l'eau.
Sobre, architecte,
rue du faubourg du Temple, n" 27.
610. Projet d'un obélisque à placer à l'Etoile; au-dessus
des Ghamps-Elysées.
Ge monument, dans la proportion de 65 mètres
(ou 200 pieds), est orné de signes hiérogly-
phiques représentantdescaractères républicains.
8o Architecture.
Il est porté par quatre élephans, symboles de
la Force et de la Reconnaissance.
Par un Citoyen de Brest, anonyme.
Ouvrages remis par le Citoyen Trouille, re-
présentant du peuple.
Gii. Deux plans d'hospice maritime, projetés pour
Brest, en 1798 (v. s.), l'un de 6000 hommes,
pour être exécuté sur le local de l'ancien hôpital
incendié en 1776, et des fortifications adja-
centes, devenues inutiles par la nouvelle en-
ceinte; l'autre de même nombre, pour être placé
en dehors, sur le bord de la rade, à environ
cinq kilomètres de Brest.
Pour l'intelligence de ces projets et la con-
naissance exacte des dispositions intérieures
des salles, on a joint à ces deux plans, une
feuille de détail, sur laquelle sont tracées des
portions de plans, coupes, et élévations de
l'hospice proposé pour l'intérieur. Les coupes
des salles étant particulièrement communes aux
deux projets.
Les observations et légendes inscrites sur les
plans, dispensent de plus amples explications.
4^
— »I —
GRAVURE
Andrieu (Bertrand),
passage du Commerce, faubourg Germain.
701. Un cadre renfermant des gravures sur acier, dans
le genre de la gravure en bois.
Benvic,
aux Galeries du Muséum.
702. L'éducation d'Achille, gravé d'après le tableau de
Regnauld.
703. L'Innocence, d'après le tableau de Mérimée.
Cette dernière planche est destinée à la so-
ciété des Amis des Arts.'
Clément,
place de l'Estrapade, n" 18.
704. Le génie des Arts couronnant la Vérité.
Estampe gravée en pointillé, d'après le des-
sin de Landon.
Copia (Louis), né à Landau,
rue du théâtre Français, n" g.
705. La Constitution française, gravée d'après le des-
sin de Prudon.
82 Gravure.
706. Le triomphe de la Liberté, d'après le dessin de
Fragonard fils.
707. L'Innocence en danger, d'après le dessin de De-
voge fils.
708. La mort de Turnus, d'après le dessin de Gérard.
709. La jouissance, d'après le dessin de Prudon.
Coqueret (Pierre),
rue de Surêne, n° i386, faubourg Honoré.
710. Junius-Brutus condamnant ses fils à la mort.
711. Virginius, capitaine de légion, tue sa fille pour
lui sauver l'honneur et la liberté.
712. Une frise allégorique sur le 9 Thermidor.
Ces trois estampes gravées d'après les dessins
de Lethiers.
Darcis (J.-L.).
71 3. Le racommodement faisant pendant à la brouille,
gravés d'après les dessins de Guérin.
Duviviev,
aux Galeries du Muséum.
714. Médaille de Buonaparte, présentée à l'Institut.
Monument consacré à la reconnaissance des
Sciences et des Arts, pour ce général et son
armée, qui, en terminant la guerre à Campo-
Formio, nous ont procuré un des fruits les
plus agréables de la paix , par les monumens
d'Italie, savans et pittoresques qu'ils ont con-
quis.
Gravure. 83
Le général conduit par la Valeur et la Pru-
dence, présente au Continent l'oliTier de la
paix, et la Victoire qui le couronne, porte au
lien de d^xmîlles militaires, des joanoscrits et
l'Apollon do BdTeder.
Cette médaille se trouve à la monnaie des
médailles, ainsi que les deux suivantes.
-;5. L'abbé Barthélémy, auteur d'Anacîiarsis, garde
du cabinet des médailles de France.
" 1 6. Le père de l'auteur, lequel a cru pouvoir présen-
ter ensemble ces deux hommes qui ont si bien
mérité, chacun dans son genre, de l'art nunais-
matiqoe.
Godefroy (François), né à Rouen.
élève de Lebas.
rue des Francs-Bourgeois, porte Michel, faubourg
Germain, n» 127.
17. Un cadre contenant plusieurs estampes.
La principale est la première épreuve (barrée
à la plume) du Congé absolu destiné aux dé-
fenseurs de la patrie.
L'auteur de la gravure oppose, à ce sujet,
l'esprit du goirremement actuel à celui du gou-
vemement précédent, en renaarquant que ci-
devant la parcimonie la plus rigoureuse prési-
dait à tout ce qui concernait le soldat: tandis
que dans Ifô voyages de la cour on gravait
avec luxe les affiches des spectacles adressées
au domicile des courtisans, et que les militaires
en sous ordre étaient même exclus des jardins
publics.
84 Gravure.
718. Un cadre contenant plusieurs gravures.
La principale est une vue de la forêt des
Cèdres, dans les montagnes glacées du Liban.
Gravure destinée au voyage de Syrie, par le
G. Cassas.
Langlois (P.-G.) de F'aris,
rue Vieille-Estrapade, n° 8.
719. Le portrait du Dominiquin, gravé d'après le ta-
bleau peint par lui-même, de la galerie de Flo-
rence.
720. Le portrait de Fontenelle dans sa vieillesse, d'après
le tableau du C. Voiriot.
Marchand (Jacques), né à Paris,
rue d'Enfer, n° 146.
721. Cheval anglais partant pour la course.
Gravé à la manière noire, d'après le dessin
de Vernet.
Masquelier (Louis-Joseph), né à Lille,
élève de feu Lebas,
rue de la Harpe, n° 493.
722. Un cadre contenant quatre estampes, savoir :
Vue de Macao, en Chine.
Vue de St. Pierre et St. Paul
au Kamtschatka.
Tombeaux de la baye de
Castrie.
Vue du Sérail.
du Voyage
de Lapeyrousc.
du Voyage
de Grèce.
à
Gravure.
85
Autre cadre contenant
Pirogue de Tchoka.
Pirogue de l'île de Pàque.
Parao, bateau de passage de' Ju voyage
Manille. (de Lapeyrouse.
Sarambeau, radeau de pêche
de Manille.
*àque. j
àsage de ' du Vc
Massard père (J.),
rue des Fossés-Victor, no 32.
724. Socrate prêt à boire la ciguë, d'après le tableau
du G. David.
Massard (R.-V.),
rue des Fossés-Victor, n" 32.
725. Le sacrifice d'Enée sur le tombeau de son père
Anchise.
Sergent, artiste,
rue des Poitevins, n" iG.
726. Portrait gravé en couleur du général Marceau,
beau-frère de l'auteur.
— 86 -
SUPPLEMENT
PEINTURE.
Bosio (J.-F.),
rue de la Révolution, n« 688.
80 1. Portrait en pied d'un enfant de trois ans, sym-
bole de l'Innocence, et le portrait de l'auteur
peint par lui-même, sous le même numéro.
802. Homère chez le berger Glocus.
Homère aveugle, étant passé dans l'Ile de
Chio, fut abandonné sur la rive par les mate-
lots qui l'avaient conduit. Il erra pendant deux
jours, et fut rencontré par le berger Glocus,
qui le sauva de ses chiens et lui donna l'hos-
pitalité. Homère en reconnaissance, lui récite
ses aventures.
J
Caruelle.
8o3. Portraiten miniature d'un représentant du peuple,
beau-père de l'auteur.
Colette,
chef d'atelier à la manufacture nationale des Gobelins.
804. Le portrait de l'auteur peint par lui-même, à
l'âge de quatre-vingt-cinq ans.
Supplément. 87
Dubourg (Augustin, dit), né à St.-Dicz,
dép. des Vosges.
rue François, n» 434.
8o3. Le portrait de l'auteur peint par lui-même, mi-
niature.
Dumont (N.-A.), natif de Lunéville,
élève de François Dumont, son frère,
rue de l'Egalité, n° 291.
80Ô. Portrait en pied du C. '*', agent de change.
Halley,
professeur de l'Ecole centrale de Gemmappes.
Tableaux, portraits.
807. Le général Beaulieu.
808. La Mère attentive.
Henry,
élève de Regnault et de Landon,
quai de l'Ecole, n" 14.
809. Quatre dessins, portraits.
Hue (J.-F.), né à Versailles,
aux Galeries du Muséum.
Tableau.
810. Paysage représentant un site des environs de
Rome, où sont des femmes cueillant des
fruits.
i^i^ SuPPLÉiMENT.
Romany (Adèle-Romance, dite),
élève de Regnault,
rue du Mont-Blanc, n» 21.
811. Portrait du C. Fleury, artiste du The'àtre fran-
çais.
Pajou fils,
Tableau.
812. Portraits de famille.
Un père consulte son épouse avant de donner
des livres à leur fille comme un prix de son
assiduité à l'étude.
Dessins.
81 3. Une mère explique à sa fille un passage de
l'Emile.
814. Portrait, forme ovale.
SCULPTURE.
Démontreuil, élève de Cabirole,
professeur de l'Académie de Bordeaux.
901. Un bas-relief représentant des fieurs, sculpture
en bois.
FIN.
Nogent-le-RotroH, imprimerie de A. Gouverneur.
EXPOSITION
DE 1799
XLI
COLLECTION
DES
LIVRETS
DES
ANCIENNES EXPOSITIONS
DEPUIS 1673 jusqu'en i8oo
EXPOSITION DE 1799
.^«►<K>i^
PARIS
LIEPMANNSSOHN, ÉDITEUR
II, rue des Saints-Pères
NOVEMBRE I 87 I
NOMBRE DU TIRAGE
DU LIVRET DE 1799.
375 exemplaires sur papier vergé.
2 5 — sur papier de Hollande.
I o — sur chine.
Ce livret est vendu seul 4 fr.
NOTICE BIBLIOGRAPHIQUE.
Livret :
Deux éditions : La première a gb p. et 736 n"; la
2' le même nombre de pages et j3S n'K Ces deux
numéros additionnels ne sont séparés du reste du
livret par aucune rubrique indiquant un supplément.
En outre la i"'*' édition de ySô n°' ne contient pas les
adresses d'Augustin (n" 7 et 8) et de Chatillon (n''4i-
45), ni le dernier article de Carafïe : Plafond rond qui
se voit à l'Ecole Clynique:
Il est possible qu'il ait existé des exemplaires sans
le Supplément qui commence à la p. 91 du livret
original. On aurait ainsi une édition antérieure aux
deux autres que nous signalons. Mais nous n'avons
pas trouvé un seul exemplaire sans ce Supplément.
Ainsi avons-nous supposé que le livret n'avait pas été
mis en vente sans le Supplément.
Critiques :
Journal de Paris : 23 fructidor, i", 3* et 6' jour
complémentaire an VII, 6, 12, 17, 18, 28 vendémiaire
et I*' brumaire an VIII.
XLI I*
p. Chaussard. Examen des tableaux du Salon de
l'an VII, dans la Décade philosophique. T. VIII,
p. 543-52 et t. IX, p. 36-43, 94-102, 212-228.
Voyez aussi sur le débat de Girodet et de Mlle Simon
Candeille et sur le portrait satirique de cette actrice,
envoyé au Salon de 1799 et exposé quelques jours
seulement, l'article de M. Th. Arnauldet sur les Es-
tampes satiriques, imprimé dans la Ga:{ette des Beaux-
Arts en 1859 (T, IV, p. m), et accompagné d'une
reproduction d'une vue de Salon fort rare où le
tableau désigné joue le rôle principal.
EXPLICATION
DES OUVRAGES
DE PEINTURE ET DESSINS,
SCULPTURE,
ARCHITECTURE ET GRAVURE,
DES ARTISTES VIVANS,
Exposés au Muséum central des Arts, d'après l'Arrêté
du Ministre de l'Intérieur, le i"' Fructidor,
an VII de la République Française.
Le prix de ce Livret est de yS centimes.
-J«>*Hai^
A PARIS,
De l'Imprimerie des Sciences et Arts,
rue et butte des Moulins, N" 5oo.
An VII de la République.
AVIS.
Afin de prémunir le Public contre l'abus qui existe
au-dehors du Muséum, où l'on revend ce Livret au-
dessus de son prix, l'Administration prévient qu'elle
ne le fait débiter que dans l'intérieur du Musée.
Elle annonce aussi que, dans la même intention,
elle a établi sur le pallier du grand escalier, près la
porte du Salon, des préposés attachés au Musée, aux-
quels on peut avec sûreté confier les cannes, sabres,
manteaux, parapluies, qu'il est nécessaire de déposer
avant d'entrer.
— q —
AVERTISSEMENT.
Ce Livret contient quatre divisions indiquées en titre,
ainsi qu'au haut des pages, par l'un de ces mots :
Peinture, Sculpture, Architecture, Gravure.
Les Dessins sont compris dans la division de la
Peinture.
Dans chacune des quatre divisions , on a placé par
ordre alphabétique le nom des Artistes.
Le nom cité en tête de la notice des ouvrages d'un
Artiste, indiquant asse^ qu'ils ont été faits par lui, on
s'est abstenu de toute autre explication.
S'il existe dans ce Livret des omissions de prénoms ,
de demeure, du lieu de la naissance de l'Artiste, du
nom de son Maître, ainsi que sur la propriété de l'ou-
vrage, c'est que Vomission existait dans la notice
envoyée.
Les retards trop habituels dans l'envoi des ouvrages
et même des notices, pourront nécessiter un supplé-
ment; dans ce cas, le Lecteur observera que les plus
hauts numéros sont ceux qu'il faut chercher dans la
partie additionnelle qui se trouve à la fin du Livret.
Nota. Comme il n'y a point eu de Jury nommé
cette année, pour l'admission des ouvrages présentés,
l'Administration du Musée a dû recevoir tous ceux
qui ont été apportés pour l'exposition et le concours.
^
L'Administration du Musée central des Arts a cru
devoir rappeler, en le plaçant en tête de la présente
Notice, l'avis que le Ministre de Vlntérienr fit insérer
dans les Journaux, au mois Floréal, présente année.
LE MINISTRE DE L'INTERIEUR
AUX ARTISTES.
Citoyens, après avoir rassemblé pour votre instruc-
tion les Trésors de plusieurs siècles et de plusieurs
contrées, et ouvert ainsi au génie, avec une magnifi-
cence inconnue jusqu'à ce jour, les sources les plus
abondantes, il ne restait plus au Gouvernement qu'à
vous assurer des travaux, et à vous indiquer leur
direction philosophique et morale ; en effet, c'est par
ce mérite de composition qu€ l'Ecole française va sur-
passer cette Ecole fameuse, à qui elle semble déjà
s'égaler par le talent d'exécution pur et sévère qu'elle
a montré depuis le moment où elle est revenue à
l'étude de la nature et 'de l'antique.
C'est par là aussi qu'elle s'assurera auprès du Gou-
vernement et de la postérité une juste considération.
Un nouveau mode de concours pour la distribution
des travaux d'encouragement, a été adopté et couronné
par le succès.
L'exposition solennelle dans le Salon du Muséum, a
tenu lieu de concours; et le jugement du Jury a décerné
les Palmes et les Prix.
Ce mode sera adopté pour la distribution des tra-
vaux d'encouragement à accorder en l'an VIII. En
conséquence, les Artistes seront invités par l'Adminis-
tration du Musée, à faire porter dans la Salle consacrée
à cette exposition, celles de leurs productions qu'ils
jugeront les plus dignes de concourir.
Le Salon sera ouvert depuis le i'='' Fructidor de la
présente année, jusqu'au i"' Brumaire; un Jury qui
se rassemblera vers le milieu du mois Fructidor,
prononcera sur le mérite et le talent des ouvrages
exposés.
Les noms de ceux qui auront été distingués et
honorés par des travaux d'encouragement, seront
proclamés au Champ-de-Mars.
Que ces honneurs qui n'ont lieu que dans les Répu-
bliques, rappellent aux Artistes le sentiment de leur
propre dignité et tout ce qu'ils doivent à un Gouver-
nement libre; qu'au moment où ils saisissent le
crayon, le pinceau et le ciseau, ils assistent par la
pensée à cette proclamation solennelle ; qu'ils croient
alors entendre la voix de la Patrie même, leur dire :
Artistes, honore^ une Nation qui vous honore!
- i3
EXPLICATION
Des Ouvrages de Peinture, Sculpture, Architeâure,
Gravure, Dessins, Modèles, etc., des Artistes
vivans, exposés dans le Salon du Musée central
des Arts, le i" Fructidor an VII de la Répu-
blique.
PEINTURE
Anonyme.
Tableau.
I. Régulus abandonnant sa famille pour se rendre à
Cartilage.
Autre anonyme.
2. Un Portrait d'homme.
Ansiaux (J.), né à Liège, élève de Vincent,
au Palais national des Sciences et des Arts.
PORTRAITS PEINTS.
3. De la C"^ Se , en pied, grandeur naturelle.
4. De la C"° M , nourrissant son enfant.
5. De la G- V
XLI 2
14 Peinture.
C"' Aubry (Angélique), née à Paris, élève
de Jacob Sablet.
6. Un portrait de femme en pied.
Augustin (J.-J.), né à St-Diez, département
des Vosges.
Place des Victoires, n" i5.
7, Un cadre renfermant plusieurs miniatures.
8. Un tableau de famille.
C"° Au^ou (née Desmarquet), élève de Regnault,
rue d'Anjou, au Marais, n" ii.
Tableaux,
g. Une Hébé, i m. 5o c. sur i m. 35 c.
lo. Une jeune femme lisant.
Baltard (L.-P.), né à Paris,
rue Dominique, près celle du Bacq, no 239.
11. Un Tableau représentant un projet de monument
consacré à rappeler la mémoire de l'assassinat
des Ministres français à Rastadt.
Prix d'encouragement accordé dans la séance
du Jury des Arts, le 27 Ventôse an VII de la
République.
Dessins.
12. Deux paysages, dont le i" offre un site de rochers
et de cascades, le 2° une vue maritime, sous
un même cadre.
i3. Paysage héroïque. Sur le devant, Cincinnatus (L.
Quintius) conduisant la charrue.
« Cincinnatus avait vendu ses biens pour
Peinture. i5
indemniser des citoyens qui s'étaient rendus
caution en faveur de son tils qui avait fui en
Etrurie : il lui restait un champ de quarante
arpens qu'il cultivait de ses mains, lorsqu'après
une année de retraite, étant à labourer, vêtu
depuis les reins jusqu'aux genoux seulement,
il fut averti de quitter son travail et de se pré-
parer à recevoir une députation du Sénat.
Bientôt après parurent les Députés ; il fut
salué Consul, et les Licteurs prirent ses ordres.
Alors jetant un regard sur les champs qu'il
abandonnait, en versant quelques larmes, il
dit : Mon champ ne sera donc pas ensemencé
cette année.
Son consulat fut illustre et avantageux à la
République. »
Baudiot (François), élève d'Isabey,
rue de Chartres, n° 347.
14. Trois portraits de femmes.
Dessins, sous le même numéro.
Bélin (Claude- Alexandre), élève de Vien père,
rue du Petit-Carreau, n° 35.
i5. Un cadre renfermant cinq portraits-miniatures.
Belle ^ élève de son père,
aux Gobelins.
i6. Portrait de famille, représentant une mère allai-
tant son enfant.
I m. 5 déc, sur i m. 2 déc.
i6 Peinture.
Bellier,
rue des Victoires nationales, n° 96.
17. Portrait d'homme peint sur toile.
Berjon,
place des Victoires, n" i 5.
18. Un tableau de fruits.
Bertin (J.-V.), né à Paris, élève de Valenciennes,
rue Montmartre, n° 253.
TABLEAUX, PAYSAGES.
ig. Site montagneux, soleil couchant, des baigneuses,
un berger et son troupeau.
20. Soleil du matin, des jeunes gens jouent au disque.
21. Deux paysages faisant pendans. Même numéro. .
22. Dessin, paysage, sur papier de couleur.
Besson,
rue du Goq-Honoré , n° 122.
23. Quatre Dessins dans le genre des cartes géogra-
phiques, représentant : les hautes Alpes cou-
vertes de neiges et de glaciers; un pays volca-
nisé avec différens cratères; un port de mer;
un pays montagneux cultivé. Sous le même
numéro.
Bidauld.
24. Tableau; paysage composé d'après une vue de
Frascati, aux environs de Rome.
25. Deux autres paysages, sous le même numéro.
Peinture. 17
Bluteau (Augustin), né à Versailles, élève
de Lagrenée jeune,
à Paris, place Cambrai, n" 8.
iô. Tableau, paysage.
I m. sur 8g c.
Ce tableau lui appartient.
Boilly (L.-L.),
rue du Faubourg-Denis, n" 14.
27. Tableau représentant un jeune manœuvre.
Hauteur i m. 80 c. sur i m. 16 c.
28. Tableau représentant une jeune femme assise sur
l'appui d'une croisée : près d'elle un enfant
qui regarde dans un télescope.
Bonnemaisoti,
rue des Pères, n° 14.
21). Tableau. Une jeune femme s'étant avancée dans
la campagne , se trouve surprise par un
orage.
3o. Deux portraits, sous le même numéro.
Bouillon (Pierre), né à Thiviers, département
de la Dordogne, élève de Monsiaux.
rue du Théâtre français, n° 17.
il. Œdipe et Antigone.
Tableau de i m. 80 c, sur i m. 43 c.
Œdipe accablé du souvenir de ses malheurs
que lui rappellent le mont Cythéron et l'aspect
du temple des Euménides, dans l'horreur de
î8 Pe)I»TIJKE.
î»i» é^naïi'Oïi iîjvyqui; la jnyrt; mai» Aiiîi^unfc
■dï'àTtiiéè, conjure Ife ciel de ne puint eiLaucsr
It» voeux de son père malheureux.
Bouton fJosejjh'M'rtiie^, ni; a Cadrx, en Espagne,
élève de Vincent.
rue du Mail, n* 23.
7 abl'jatrx.
?2, Flore^ demi-figtM'e-
33. Portrait de lèmmi; icnyin «oi, -juiiu m ,ju!
catesse.
Cacault 'y\'^'r*i)t de Waotes, élevé '.)•
a >iaiU£%.
34. Fortran, l&t grande comme nature.
Ca//«/ (A^F.)^ né à Fari»,
ay Palais nalioiiaJ des Scienceè et de* An*.
35, Marcus Curùu» *e dévouatit pyui »a i^atîie.
Vwî> J'jin 362, la terre tétait entr'yu verte
datië ut^ |jlace de Kwuie; J'oracle con»ullé «u^
ce prétendu prodige, répondit que le ggufïre
ne pouvait être comblé qu'ew y jetant te que
Je peuple rottiaio avail de plu» jyécieux. Les
fetîimîi* y jetèrent leur» bijoux ; J'eticen* fumait
?;« vaii) »ur loue les autd»; mai» Curtiue ,
jeune homme plein de courage t-t de rclipi<m ,
crut ^É le» Dieux demat)daient une victime
buiBftiAë^ il se t^écipita «olennellement tout
Avn\é, avec !,' dan» J'abj'ine, ei |)ii!>»B
aypiysi des ••. •" pour avoii muivi hn
Peinture iO
patrie par ce sacriticc, la terre s'étant, dit-on,
relennée dès qu'elle l'eut reçu.
3 mètres sur 4.
Carabe (A.), élève de Lagrenée,
chez le C. Constantin, cjuai de l'Kcole.
36. Sept Dessins appartenant au citoyen Ciienard ,
sous le même numt'ro.
Mamelouks s'exerçant à la course.
Tournois turc.
Pompe funèbre.
Danseuses arabes ou aimée.
Danse albanaise.
Extérieur d'une mosquée et les diverses atti-
tudes de la prière.
Un Dessin représentant un Turc à cheval.
37. Six Dessins appartenant à l'Artiste, sous le même
numéro.
Les Lutteurs.
Une Peste.
Voitures de Turcs à Constantinople.
Mariage grec.
Extérieur d'un café.
Arabes bédoins campés près les pyramides
de Gisa.
Plafond rond qui se voit à l'Kcole clynique
de médecine, rue des Pères, faubourg (jcrmain.
Il représente l'Etude ramenant aux hommes la
santé, sous la figure d'Egya.
C"" Chacheré-Beaurepaire, élève d'Augustin,
rue Claude, n" 393.
38. Un Médaillcr contenant jilusieurs miniatures.
20 Peinture.
Chancourtois,
rue Sulpice, n" 565.
Paysage historique.
3g. L'arrivée de Thésée au port de Trézène , reçu par
son fils Hypolite.
On remarque devant le temple de Jupiter,
qui était sur la place du port, le tombeau de
Pittée, sur lequel étaient trois sièges, où il
rendait la justice avec ses deux assesseurs.
Charpentier (Jean),
rue Neuve-l'Egalité, porte Denis, n" 3 12.
40. Trois Tableaux représentant : — une Scène de
marché, — une Laitière, — Scène familière.
Même numéro.
Chatillon (Charles), né à Doullan,
rue Florentin, n" 6.
41. Paysage peint à la gouache.
42. Camée d'après l'antique.
43. Un Amour sur un Dauphin, miniature.
44. Portrait de l'auteur, miniature.
45. Plusieurs autres portraits, miniatures , sous le
même numéro.
C"« Chaudet (Elisabeth), née Gabiou, de Paris,
au Muséum des Arts.
Tableaux.
46. Une petite fille voulant apprendre à lire à un
chien.
47. Une femme occupée à coudre. •
Peinture. 21
Chéry.
48. Portrait peint du citoyen Chevalier, Général de
brigade.
49. Portrait du citoyen Lefranc, chef d'escadron.
Cior (Pierre), né à Paris,
rue de la Monnaie, n» 27.
5o. Un cadre contenant les portraits en miniature du
citoyen Saintomer, Professeur d'écriture; delà
citoyenne Blot, et plusieurs autres portraits.
Collas (L.-A.), né à Bordeaux, élève de Vincent,
cul-de-sac Taitebout, n" 10.
5i. Etude de femme, grande miniature.
52. Un cadre renfermant plusieurs portraits en mi-
niature.
Collot (J.-L.), élève de David et de Vincent,
rue de Varennes, n" 426.
53. Tableau, paysage.
54. Portrait de l'auteur.
Colon, né à Vézelay, départ, de l'Yonne, élève
de Pérignon,
rue Chapon, n° 16.
55. Quatre paysages peints à la gouache, sous le
même numéro.
22 Peinture.
Crépin (Louis), né à Paris, élève de Regnault,
rue de l'Echiquier, n" i3, faub. Poissonnière.
Marines.
56. Esquisse terminée "du glorieux combat de la
Bayonnaise, corvette française de 24 canons de
8, commandée par le C. Richer, prenant à
l'abordage VAmbuscad , frégate anglaise de 26
canons de 16, le 24 Frimaire an VII.
57. Vue générale du même combat.
Ces tableaux appartiennent à l'auteur.
Dabos (Laurent), né à Toulouse, élève de Vincent,
rue de la Loi, n" i256.
Tableaux.
58. Portrait du C. Brunet, dans le rôle du désespoir
de Jocrisse.
5g. L'intérieur d'un ménage où une jeune fille dévide
du fil.
60. Une jeune personne faisant de la dentelle.
61. Une cuisinière plumant une volaille.
62. Une jeune fille allant chercher du lait.
63. Une marchande de fruits et de fleurs appelant les
chalands.
Les cinq derniers tableaux appartiennent à
l'auteur.
Dandrillon (C.-P.), né à Paris, élève de Machy,
rue du Faub.-Denis, n° 25.
Tableau.
64. Vue du Colisée, de l'arc de Constantin, de l'arc de
Peinture. 23
Titus et du temple de la paix, dont une por-
tion est réédifiée.
Ce tableau est mis en perspective d'après le
plan de Rome.
2 m. 35 c, sur i m. 76 c.
Darsonval (Durand, dit), né à Paris,
rue Neuve-l'Egalité, n° 3i5.
65. Un cadre renfermant plusieurs miniatures, au
nombre desquelles est le portrait de l'auteur.
C»= Davîn-Mirvaut (C.-A.-Fl.), née à Paris,
élève de Suvée et d'Augustin,
rue du Doyenné, n» 804.
66. Etude d'après nature, miniature.
Debret CJean-Baptiste), né à Paris,
élève de David.
Tableau de 2 m. g3 c, sur 3 m. 25 c.
67. Aristomène , général Messénien , pris par des
archers Cretois, profite de l'ivresse et du som-
meil de ces derniers, pour se faire couper les
liens qui l'attachent, par la fille de la femme
chez laquelle on l'avait conduit pour passer la
nuit.
LesLacédémoniens firentune trèvede quarante
jours avec les Messéniens , pour célébrer la
fête d'Hyacintha. Pendant ce temps, quelques
archers crétois, alliés des Spartiates, ne se cru-
rent pas obligés de s'abstenir de tout acte
24
Peinture.
d'hostilité, et ravageaient les environs du mont
Ira. Dans une de leurs courses, ils trouvèrent
Aristomène qui s'était écarté de son camp sur
la foi du traité. Ils le prirent et le lièrent.
Aussitôt deux d'entre eux se détachent pour
porter cette agréable nouvelle à Sparte. Les
autres gardent le prisonnier, et le conduisent
à un village de la Messénie, car ce fut le soir
qu'ils le prirent. La chaumière où ils le con-
duisirent était habitée par une veuve qui avait
sa fille avec elle. Cette jeune fille observe atten-
tivement les yeux du prisonnier, et comprend
au moindre signe ce qu'il souhaite qu'elle fasse;
elle apporte du vin , et fait boire les archers
jusqu'à ce qu'ils s'endorment. Alors elle prend
l'épée d'un d'eux, et coupe les courroies dont
ils avaient lié leur prisonnier (c'étaient les cour-
roies de leurs carquois) ; elle donne ensuite
l'épée à Aristomène qui égorgea sur-le-champ
les Cretois qui l'avaient pris. Pour lui marquer
sa reconnaissance, il l'emmena avec lui, et la
maria à son fils Gorgus.
Delafontaine (Pierre-Maxi.) , né à Paris,
élève de David,
rue de la Monnaie, n° 8.
5. Portrait peint en pied , du C. Lenoir, Conserva-
teur du Musée des monumens français.
2 m. 27 c. de haut., sur i m. 62 c.
Peinture. 25
Demames, né à Bruxelles,
au Palais des Sciences et des Arts.
Tableaux.
.6g. Une grande route.
Il appartient au C. Naudou.
70. Deux pendans : l'un la moisson, l'autre les ven-
danges. Même numéro.
71. Côtes de Normandie, marine.
72. Marine où l'on voit un chien qui pleure son
maître.
73. Animaux.
74. Scène familière.
Deshays (Jean-Eléazar), élève de Schmid ,
né à Paris,
rue Rochechouard, n° 660.
75. Tableau, paysage, figures et animaux.
Il appartient à l'auteur.
Désoria, élève de Restout ,
au Palais national des Sciences et des Arts.
76. Portrait de la Citoyenne G***, fille du Poëte
Roucher.
77. Portrait de la Citoyenne M***.
Desrais (C.-L.), élève de F. Casanove,
rue des Fontaines, près le Temple, n° 2g.
78. Le Triomphe de Bacchus dans les Indes, dessin
lavé à l'encre de la Chine.
Ce dessin appartient à l'auteur.
XLI 3
20 Peinture.
Devouge, élève de Rcgnault et de David,
cloître Honoré, n° lo.
Dessins.
79. Une Française consultant un Augure sur le sort
de son époux.
80. Une Femme abandonnée exprimant ses regrets.
81. Trois portraits peints à l'huile, sous le même
numéro.
Doix (F.-J. Aloyse), né à Paris,
rue d'Argenteuil, n° 271.
Tableaux sous le même numéro.
(Paysage, soleil levant, d'après nature.
Paysaige, clair de lune, vue du Mont-Blanc.
) Paysage.
\ Préparatifs d'un repas champêtre.
Ces trois derniers tableaux appartiennent à
l'auteur.
Dubois (Frédéric),
rue de Grammont, n° 649.
83. Un cadre renfermant plusieurs miniatures.
Dtibost (A.), né à Lyon, élève de Vincent.
Tableau de i m. 48 c, sur i m. 16 c.
84. Brutus, désespérant de ses affaires en Italie, pour-
suivi par les soldats d'Antoine, est au moment
de s'embarquer sans faste et sans suite. Sa
femme Porcie, fille de Caton , prête de le
quitter, jette, pour se consoler, ses regards sur
Peinture. 27
une peinture consacrée aux Dieux; elle y voit
les adieux d'Hector et d'Andromaque, qui doi-
vent être éternels ; elle se trouble, et pour se
rassurer, elle ramène ses yeux sur son époux :
ses larmes s'échappent, son courage l'aban-
donne, l'amour conjugal l'emporte sur l'amour
de la patrie.
85. Etude de cheval.
Ducq (Jos.-Franç.), né Belge , département de la Lys,
élève de Suvée,
rue Denis, maison Chaumont, n° 18.
Tableau allégorique.
86. L'Amour chassant les mauvais Songes.
Larg. 2 m. 70 c, haut. 65 c.
Ducreitx (Joseph),
maison d'Angevillers, près l'Oratoire.
Portraits.
87. Du C. Xavier Audouin.
88. Du C. Pieyre, de l'Institut national.
8g. Du C. Verdiere, général de division, commandant
la place de Paris,
go. Une étude.
C'" Ducrcux (Rose), élève de son père,
maison d'Angevillers, près l'Oratoire.
gi. Une étude.
2 8 Peinture.
Dumont, né à Lunéville, département de la Meurthe,
élève de Giiardet,
aux Galeries du Muséum, n" 5.
92. Un cadre renfermant plusieurs portraits en mi-
niature.
Dumont (N.-A.), né à Lunéville, élève de F. Dumont,
son frère,
rue Neuve-Egalité, n" 291.
Portraits peints.
q3. La Citoyenne *** entre sa fille aînée et ses deux
petites jumelles.
94. Le général de brigade Dufresse, commandant la
première division, marchant sur Naples. Dans
le fond on voit cette ville et le mont Vésuve.
93. Le C. Martin, officier de santé, buste, grandeur
naturelle.
96. La citoyenne Martin, buste, idem.
Dunouy,
faubourg Denis, au-dessus de la foire Laurent,
97. Tableau, paysage, étude d'après nature.
98. Dessin, paysage représentant l'île enchantée où les
Portugais arrivent sous la conduite de Gama.
Sujet tiré de la Litsiade de Camoens.
Duperreux (A.-L.-R.), né à Paris,
rue du Mont-Blanc, au coin du boulevard.
Tableau.
99. Vue du Lac de Thun, en Helvétie, faite d'après
nature.
Peinture.
Haut. 5 déc. 8 c, larg. 4 déc. 4 c.
Ce tableau appartient à l'auteur.
Duplessis (M.-H.), élève de Descamps,
rue de l'Echiquier, n" 18.
100. Deux tableaux, pendans ; l'un représentant une
marche d'artillerie, l'autre une marche de
Dupuis (F.-N.), né à Paris, élève de Lépicié,
professeur de Dessin à l'école centrale
du dép. d'Eure-et-Loir, Chartres.
Tableau.
Largeur, i m. un tiers, hauteur, i m.
loi. Psyché à l'instant où elle vient de recevoir de
ses sœurs le poignard et la lampe.
Fayn, graveur,
rue Garenciers , n» iioo.
Trois Dessins à la plume, représentant des vues
d'après nature, des environs de la ville de
Liège, département de l'Ourthe, sous le même
numéro.
Fleury (Antoine), élève de Regnault,
rue de Chartres, n" 347.
Tableau.
Hauteur, 3 m. 24 c. sur 2 m. 24 c.
io3. La fureur d'Athamas.
Junon ayant envoyé Tisiphone dans le palais
XLI 3*
3o Peinture.
d'Athamas, y cause tant de trouble et de dé-
sordre, que ce prince, devenu furieux, écrase
contre une muraille le jeune Léarque son fils;
il poursuit ensuite sa femme Ino, qui se pré-
cipite dans la mer avec Mélicerte, son autre fils.
Fontallard (J.-F.), élève d'Augustin,
rue Neuve-Martin, n° 8i.
104. Portrait de femme, grande miniature.
io5. Portrait d'un chasseur, dessin à la manière
noire.
106. Autre portrait, même manière.
Forbin (Augustin), élève de David.
107. Tableau, paysage représentant un matin avant le-
lever du soleil.
Ce tableau appartient au citoyen Siméon fils.
Fortin.
Tableaux.
108. Marine, tempête.
109. Une femme endormie.
iio. Bas-relief, peint sur marbre noir, représentant
des Bacchantes sacrifiant à l'Amour.
III. Une invocation à la nature et une esquisse, sous
le même numéro.
Fournier (J.-S.),
rue des Deux-Boules-Opportune, n° 7.
112. Tableau représentant trois jeunes femmes offrant
des fleurs à l'Amour.
Peinture. 3 1
Fragonard fils (Alexandre), élève de David,
galerie du Muséum, chez son père.
Dessins.
11 3. Psyché montrant ses richesses à ses deux sœurs.
114. Des balanceuses.
1 15. Portrait d'homme.
François (H.-J.), né dans le Luxembourg,
élève de Brenet.
Portraits peints.
ii6. Portrait de son fils.
117. Quatre autres portraits dont deux d'enfans. sous
le même numéro.
Fribourg, né à Paris, élève de Suvée,
rue Louis, près le palais de Justice, n° 23.
118. Portrait dessiné à la manière noire.
iig. Autre portrait, miniature.
Fulchiron (J.-C), né à Lyon,
à Paris, rue Helvétius.
120. Deux paysages peints d'après nature.
Garnerey (F.-J.), né à Paris, élève de David,
rue du Croissant, n" 2.
Portraits peints.
121. Du citoyen Ch...., homme de lettres.
122. De la citoyenne Piersse,
( Du citoyen Alix, graveur en couleur,
et celui de son épouse, même numéro.
32 Peinture.
124. Deux bas-reliefs imitant le bronze.
Gantier, né à Cloud, dép. de Seine-et-Oise,
élève de Pierre,
rue des Petites-Ecuries.
Tableaux.
125. Le coup de vent.
126. Une femme venant de recevoir le portrait de son
mari, le présente à la place qu'elle lui destine.
Citoyenne Garnier (Thérèse), née à Paris,
élève de Vestier,
Tue du Faubourg-Montmartre, n" 25.
127. Trois portraits, un d'homme et deux de femmes,
sous le même numéro.
Gautherot (Claude), né à Paris, élève de David,
rue de l'Arbre-Sec, n° 247.
Tableau.
3 m. sur 2 m. un tiers.
128. Pyrame et Thisbé.
Métamorphoses d'Ovide, livre \".
Genain (Antoine), peintre,
aux ci-devant Carmes, place Maubcrt.
Dessins.
j L'un représente une colonnade dorique.
( L'autre un site avec figures. Même numéro.
Ils appartiennent à la Société de la réunion
des Beaux-Arts.
Peinture. 33
i3o. Les ruines d'un temple antique, renfermées dans
un parc.
Ce dessin appartient au citoyen JoUain.
i3i. Fabriques, figures et paysages.
Ce dessin appartient à l'auteur.
Genillon.
au Palais national des Sciences et des Arts.
i32. Dessin aquarelle, repre'sentant le bombardement
de Fontarabie, fait sur les lieux, au moment de
l'action, d'après les ordres du ministre de la
marine.
Gensoul (J.), du département du Gard,
rue de Bondi, n" 5i.
Tableaux : sujets.
i33. Quintius Cincinnatus, après avoir occupé les
premières dignités de la république romaine,
retourna cultiver son champ. Il conduisait la
charrue quand il reçut la députation chargée
par le Sénat de lui faire accepter le comman-
dement des armées romaines.
134. Un jeune guerrier, armé pour la gloire, résiste
aux attraits des plaisirs.
i35. Hercule, emblème de la force et du courage,
brise les chaînes qui tenaient la Vertu captive.
i36. Portrait du C. Bouvier, représentant du peuple
au conseil des Cinq-Cents.
Le fond du tableau est une partie de la tri-
bune de la salle du conseil.
34 Peinture.
G°° Gensoul (Ant* femme), département *
de la Seine.
Tableaux, sujets.
iSy. Le goûter de Philis et de Daphnis.
Philis, ayant apporté des figues, des grenades
et du raisin, prit la plus grande grappe ; et
mettant le premier grain sur les lèvres de
Daphnis, elle mangea le second, et elle conti-
nua ainsi jusqu'à ce que la grappe fût mangée.
La mère les regardait d'un air riant. (Extrait
du poème de Gessner.)
i38. Portrait de femme ayant une lettre à la main.
iSg. Une laitière portant son lait au marché.
140. Une jeune fille parlant à un jeune homme à la
fenêtre.
Genty (J.-B.), né à Andouville, dép. du Loiret,
élève de David,
rue du Faubourg-Montmartre, n" 32.
141. Portrait peint d'un enfant tenant une corbeille de
fleurs.
142. Portrait du C. Malbeste, artiste, dessin.
143. Portrait du C. Genty dans son atelier, occupé à
faire un tableau. Derrière la toile est la Misère,
représentée sous la figure d'une femme ron-
geant un os. Dessin.
C"" Gérard, née à Grasse, département
du Var,
aux Galeries du Muséum , n" i .
Tableaux.
144. Un jeune homme offrant un bouquet.
Peinture. 35
145. Portrait d'une femme assise, tenant une jeune
fille sur ses genoux.
146. Une jeune fille effeuillant une marguerite. Peint
sur bois.
147. Portrait de la citoyenne ***.
Girodet (A.-L.), né à Montargis, dép. du Loiret,
élève de David ,
au Palais national des Sciences et des Arts.
Tableaux.
148. Portrait de la Citoyenne M. Simons, née Lange.
haut. 9 déc. sur 8.
149. Une jeune nymphe au bain, étude à mi-corps.
haut. 8 déc. sur 7.
Gounod (François-Louis),
aux Galeries du Louvre.
i5o. Une figure d'étude représentant un chasseur.
2 m. sur I m. 5o c.
i5i. Un portrait.
Granet (Marius), élève de David.
i52. Tableau. Intérieur d'un cloître.
Guérin, élève de Regnault, pensionnaire
de la République.
Tableaux.
i63. Le retour de Marcus Sextus.
Marcus Sextus, échappé aux proscriptions de
36 Peinture.
Sylla, trouve à son retour sa tille en pleurs
auprès de sa femme expirée.
;>, m. 5o c. sur 2 m. 25 c.
154. La séduction.
Harriet (F.-J.), élève de David,
faubourg Denis, près la rue de l'Echiquier.
i55. Portrait de la Citoyenne G*** au bain.
I m. i5 c.
Hennequin (P.-A.), né à Lyon, élève de David,
rue de Vaugirard, maison des ci-devant Carmes.
Tableau allégorique.
i56. Le triomphe du peuple français, ou le 10 Août,
allégorie relative à cette journée célèbre.
Le Peuple armé de sa massue, et tenant la
balance de la justice, vient de renverser le
colosse de la royauté, dont la chute est ex-
primée par ses attributs brisés. Avec elle tom-
bent les chaînes de l'esclavage et de l'ignorance
qui sapent les chefs-d'œuvre des arts. Sur ces
débris de la tyrannie s'élève la Liberté triom-
phante : d'une main elle s'appuie sur le Peuple,
et semble s'identifier avec lui ; de l'autre, elle
pose une couronne sur le marbre qui doit
transmettre à la postérité cette époque sublime
de la révolution. Au-dessous, le chêne de la
Vertu étend ses branches immortelles. Aux
pieds de la Liberté s'agite la Discorde, dont la
torche à demi-éteinte ne reçoit plus d'aliment :
elle pousse des cris, et les serpents se replient
Peinture. Sy
sur sa tête, tandis que la Calomnie, implacable
ennemie du Mérite et de l'Equité, déchire de sa
dent venimeuse le laurier de la Gloire, et s'ef-
force de sa main crochue d'étendre sur l'ins-
cription un voile ensanglanté.
Dans le haut du tableau est la Philosophie
écartant les nuages qui cachaient la Vérité que
le Temps amène. Cette Déesse, son miroir à
la main, éblouit et terrasse les Crimes. La
Rage, armée d'un glaive et s'arrachant les
cheveux, le sombre Désespoir, la Fureur jetant
un enfant qu'elle vient d'égorger, cherchent à
se dérober à l'éclat victorieux qui les poursuit.
Plus avant est le Fanatisme abattu, armant
d'un fer homicide les mains de la Crédulité,
qui s'attache encore à un autel renversé.
Sur le troisième plan, et à l'écart, paraît la
Trahison. Cette dernière échappe seule à la
juste punition du Peuple, derrière lequel elle
se cache; elle ne peut soutenir les rayons de
la Vérité, et déjà elle s'apprête à se couvrir de
son masque et à se servir de son poignard.
Ce tableau a 6 m. 94 c. sur 4 m. 3 c. Il
appartient à la République.
Henry, élève des citoyens Renault et Landon,
maison Maulu, quai de l'Ecole.
Dessins.
iSy. Cinq portraits, sous le même numéro.
38 Peinture.
Hilaire (le Dru), du département de Calais,
rue des F'ossés-Montmartre , n» 33.
Dessin.
Haut. I m., sur yS c.
i58. La fortune perdue.
Un jeune Savoyard et sa famille, assis sur
les degrés d'une maison, déplorent la perte de
la marmotte qui faisait leur gagne-pain. A la
croisée au-dessus d'eux, un enfant touché de
leur peine , leur donne furtivement l'argent
qu'il possède.
159. Un portrait.
Hooghstœl (Jean-Marie), élève de Vincent,
i-ue de la Monnaie, n» i5.
160. Portrait du C. ***.
Huet (Villiers), né à Paris, élève de son père,
au Palais national des Sciences et des Arts.
161. Un cadre renfermant plusieurs portraits; celui
du C. Huet, peintre, père de l'auteur, grande
miniature et autres, sous le même numéro.
162. Portrait d'étude, grande miniature.
Cne Hiiin, élève de David,
rue Mêlée, n» 5i.
iG3. Figure d'étude.
1G4. Portrait d'homme.
Peinture. Sg
Hyppolite (Auguste), élève de Regnault,
rue Honoré, Café militaire.
i65. Un cadre renfermant des miniatures.
Jallier, l'un des architectes des bâtimens civils
de la République.
Trois dessins à l'ac-juarelle.
i66. Vue de l'église de S. Etienne, à Caen.
167. Vue de celle de S. Patrice, à Bayeux.
168. Vue de l'église du village de Oyestrom , près le
bord de la mer, à deux myriamètres de Caen,
le jour de la fête du 14 juillet.
Ces vues appartiennent à l'auteur : il les a
dessinées et plusieurs autres, d'après nature,
pendant une mission que le gouvernement lui
avait donnée en l'an G, pour Caen.
Cne Janinet (Sophie),
rue du Chauma, n° 4.
169. Un dessin à l'encre de la Chine, représentant la
mort de Lucrèce.
Isabey,
170. Dessin, i m. i5 c, sur i m.
Miniature. Même numéro.
iTzKSOH (François), né à Bruges, département de la Lys,
élève de l'Ecole flamande,
aux Ecuries, rue Thomas-du-Louvre.
Tableau.
Haut. 2 m. 92 c. sur 2 m.
40 Peinture.
171. Portrait en pied d'une femme appuyée sur une
harpe ; elle est vêtue d'une robe de soie noire
drapée d'un schals rouge.
Lafontaine (M.-D.), né à Rapibouillet, départem.
de Seine-et-Oise,
rue Honoré, n° 22.
172. Ruines d'architecture, à la gouache, représentant
plusieurs monumcns antiques , fragmens ,
chute d'eau, etc.
Lagrenée (A.-F.), fils de Lagrenée l'aîné,
élève de Vincent,
Galeries du Muséum.
173. Deux cadres, sous le même numéro, contenant
des portraits en miniature et en camée.
Peinture sous glace.
174. Une table ronde (de 86 centim. de diamètre),
représentant un zéphir jetant des fleurs, en-
touré d'une frise d'ornement rehaussée d'or.
175. Une table de 80 cent, sur 60 cent., représentant
une course de chars grecque, ornée de deux
panneaux sur fond d'or.
Ce genre de peinture arabesque peut s'adapter
et s'incruster à toute sorte de meubles, tels
que table, cheminée, chiffonnière, glace, caba-
ret, frise d'app-artemens , panneaux de bou-
doirs, etc., etc. Le temps ne peut là faire
changer, ni l'or perdre son éclat, le travail
étant fait derrière et sur la glace même.
I'einture. 41
Landon (Charles-Paul), ne à Nonant, dép. de l'Orne,
élève de Renault,
au Palais national des Sciences et des Arts.
Tableaux.
176. Dédale et Icare. /
177. Un portrait d'enfant.
Laneuville (J.-L.), né à Paris, élève de David,
maison Longueville, rue Thomas-du-Louvre.
Portraits.
1 Le G. D "j Représentans du peuple,
( Le G. G...1. ) dans leur costume.
Hauteur de chacun des tableaux, i m. 3o c.
sur 90 c.
179. Du C. Dubois de Crancé, ex-représentant du
peuple, avec son épouse.
180. Un portrait de femme.
I m. 3o c. sur autant.
Larivière (Victor), né à Toulon,
élève d'Isabey.
Son atelier, rue Marc , n" 69, près celle
Montmartre.
Portraits, Dessins.
181. Du général M**'.
182. De la Gitoyenne ***.
Laurent (J.-A.),
rue Nicaise, n" 417.
i83. Un cadre renfermant deux tableaux et quelques
portraits en miniatures.
XLI 4*
42 Peinture.
Les deux tableaux représentent, l'un une
jeune fille assise sur l'hoche d'une fontaine :
on a essayé de peindre la douce mélancolie.
L'autre, un jeune chevrier jouant au bord
d'un ruisseau, avec son chevreau chéri.
184. Deux paysages, dessinés au lavis, sous le même
numéro; l'un le printemps, l'autre l'automne.
Lebrun (Jacques), du département de Vaucluse,
rue de la Loi, n" 748.
Tableau.
i85. Porcia,
Dont le courage soutenait dignement la
gloire de Caton son père, et de Brutus son
époux, s'aperçut que celui-ci avait l'esprit agité
de quelque grand dessein qu'il affectait de lui
cacher. Elle aimait tendrement son mari , et
voulait partager avec lui le poids de son inquié-
tude : en conséquence elle résolut de faire une
épreuve sur elle-même, et d'essayer jusqu'où
elle pourrait porter la constance à supporter la
douleur, pour détruire la prévention contre les
femmes, qu'on ne croit pas capables de garder
un secret. Elle fait sortir de sa chambre toutes
ses suivantes, prend un couteau et se l'enfonce
profondément dans la cuisse. Le sang coule en
abondance; les douleurs violentes sont bientôt
suivies de la fièvre. Brutus, plein de trouble et
d'alarmes, ne savait que penser : alors Porcia,
d'un air calme, lui montre la blessure qu'elle
s'est faite, et lui rend compte de son motif.
Brutus, ravi en admiration, lui lail part de
Peinture. 48
tout le projet de la conspiration, et il n'eut pas
lieu de se repentir de la confiance qu'il prit en
elle, et qu'elle avait si bien méritée.
Ce tableau appartient à l'auteur.
186. Clytemnestre,
Ayant découvert que, sous le prétexte d'unir
sa fille à Achille, Agamemnon ne l'avait fait
venir dans le camp des Grecs que pour im-
moler Ipliigénie, s'échappe et fuit avec elle.
Eriphile, leur captive, instruite de leur fuite,
en prévient aussitôt le grand-prêtre Calchas,
qui ordonne, au nom du ciel, ce barbare sacri-
fice, et de concert avec Ulysse, excite l'armée à
la poursuite d'Iphigénie.
Gouache appartenant à l'auteur,
187. Portrait en pied d'une personne occupée à écrire.
188. Portraits de la famille de l'auteur.
Cne Lebrun (Rosalie), née à Paris,
élève d'Isabey,
rue J.-J. Rousseau, maison Bullion.
189. Le portrait de l'auteur, grande miniature.
Lecarpentier (B.), élève de Callais,
demeurant commune de Bussy-St-Georges,
canton de Lagny.
190. Tableau représentant le printems.
Citoyenne Ledoux (Jeanne-Philiberte), née à Paris,
élève de Greuze,
rue Lancry, n" 28, boulevard Martin.
191. Tableau représentant l'Amour surpris.
44 PEIiNTURE.
192. Tête de jeune fille, portrait.
193. Portrait du frère de l'auteur.
Lefèvre (Robert),
rue d'Orléans-Honoré, n° 7.
Tableaux.
194. Andromède attachée à un rocher par l'ordre de
Junon, pour être dévorée par un monstre
marin. L'Amour pleure sur le sort qui attend
cette malheureuse victime.
igS. Le portrait d'un chasseur se reposant et caressant
son chien.
196. Portrait de la mère de la Citoyenne Devienne.
197. Plusieurs autres portraits, sous le même numéro.
Le Guay,
rue de Bondi , n° 17.
Plusieurs portraits peints sur porcelaine de la
manufacture de Dihl et Guerhard, sous le même
numéro.
Cne Le Guay,
rue de Bondi, n" 17.
199. Plusieurs Dessins, sous le même numéro.
Le grand (P. -S.), né à Rouen.
Tableau de 3 m. 58 c, sur 2 m. 60 c.
Prix d'encouragement.
ioo. La mort de Pline l'ancien, physicien et natura-
liste, lors de la première éruption du Vésuve.
PeiiNture. 45
Aux calendes de Novembre, Pline fut averti
qu'il paraissait sur le Mont Vésuve un nuage
d'une forme extraordinaire : il juge le phéno-
mène digne d'être examiné de plus près : il
s'embarque, dirige sa course droit au danger;
il écrit sur ses tablettes les différentes formes
que prenait successivement ce phénomène ter-
rible; mais les vaisseaux se couvraient de
cendres, de pierres noircies, calcinées, mises
en éclat par la violence du feu. Il s'arrête, in-
certain s'il ne revirera pas ; le pilote l'y
exhortait; il rejette ce conseil timide La
fortune, dit-il, favorise les hommes courageux;
allons à Stables où est actuellement Pompo-
nianus; c'était un de ses amis qu'il trouva
occupé à faire les préparatifs nécessaires pour
échapper, par la fuite, au péril qui le mena-
çait. La terreur était dans tous les cœurs, les
discours tranquilles de Pline ne consolent
personne; sa froide raison ne calme point les
esprits. Le péril est évident; la maison est tel-
rement ébranlée par les fréquens tremblemens
de terre, qu'elle menace à tout moment d'une
chute prochaine. Enfin, on se détermine à
sortir; et pour se garantir des pierres, chacun
s'attache des coussins sur la tête. Déjà le soleil
commençait à paraître, mais il était rougeâtre ;
autour de Pline circulait une vapeur sombre
qu'il fallait vaincre par la lumière des flam-
beaux. On gagna le rivage pour voir si la mer
était navigable; elle était plus furieuse que
jamais. Pline se jeta sur un drap qu'il fit
46 Peinture.
étendre par terre; il demanda une seconde
fois de l'eau froide qu'il but. Dans le moment
se répand une odeur de soufre que la flamme
suivit de près. Tout le monde se sauve. Pline
se lève , appuyé sur deux esclaves ; mais
suffoqué par la vapeur, il tombe, et Pline est
mort.
Esquisse.
201. Chute de Phaëton.
Tableau de i m. 3o c, sur i m. 8 c.
C'est le moment où la Terre embrasée, offre
sa prière à Jupiter. On voit autour de cette
déesse, des mères au désespoir, poser sur leurs
seins des enfans naissans. Ces innocentes
créatures semblent aussi implorer la mère
commune. La déesse est exaucée. Jupiter lance
la foudre contre un jeune orgueilleux dont
l'ignorance et la vanité ont failli anéantir le
genre humain.
202. Esquisse de la mort de Pline.
203. Deux têtes d'étude sous le même numéro.
204. Des enfans au bain.
Ces tableaux appartiennent à l'auteur.
205. Le retour à l'amitié.
L'auteur a voulu représenter le tems de l'âge
où les feux de l'Amour commencent à s'éteindre;
mais les époux se retournant vers la douce
Amitié, voyent encore un avenir consolant et
heureux. Pénétres de cette idée, ils disent: si
l'Amour s'envole, du moins la sincère Amitié
nous reste : nous n'avons rien perdu
Peinture. 47
Lejeime, élève de Valenciennes.
Tableau.
■206. Premier passage du Rhin, le 20 Fructidor an 3.
Cette action ouvrit aux armées françaises la
route qu'elles ont tenue à diverses reprises en
Allemagne, au-delà du Rhin, jusqu'aux fron-
tières de la Bohême. Elle fut commandée par
le général en chef Jourdan, sur toute la ligne
du Rhin, et sur ce point parle général Kléber,
ayant sous ses ordres les généraux de divisions
Lefèvre, Championnet, Grenier et Tilly. Le
général du génie, Déjean, dirigea les détails,
tels que ponts de bateaux et autres objets de
passage qu'il fit préparer en Hollande. Le
général Damas y fut blessé.
La vue est d'après nature.
Lemagniet (N.-F.), né à Paris, élève de Vien père,
rue de Cléry, n» 58.
îoy. Plusieurs dessins, sous le même numéro.
Citoyenne Lemoine (M.-V.), née à Paris,
rue des Moulins.
Tableau; haut. 2 m., larg. i m. 36 c.
io8. Une jeune femme appuyée sur le bord d'une
croisée.
Lemonier, peintre,
au Palais national des Sciences et des Arts.
209. Esquisse d'un fort grand tableau que fait l'auteur,
représentant les ambassadeurs du sénat de
4^ Peinture.
Rome devant l'aréopage d'Athènes, chargés
d'en rapporter les lois de Solon.
An de Rome, 3oo.
2 10, Portrait en pied du C. D***.
Cne Lcnoii- (née Binard),
au Musée des monumens français.
Portraits.
211. Du C. Gauthier de Claubri, chirurgien.
2 12. D'une jeune personne.
21 3. Du G. Sage, démonstrateur de chimie.
Lepeintre père,
rue André-des-Arts, n° 42.
214. Un tableau de genre.
21 5. Deux portraits en pieds, l'un d'homme, l'autre
de femme. Même numéro.
Leroy (François), né à Liancourt,
élève de Vien ,
rue du Hurepoix, n° 18.
216. Tableau représentant un vieillard qui vend des
Amours de plâtre à des jeunes filles.
217. Paysage peint à gouache.
Lethiers,
au Palais national des Sciences et des Arts.
Portraits peints.
218. Une femme à la harpe.
219. Une femme appuyée sur un porte-feuille.
Peinture. 49
Citoyenne Mayer (Constance),
rue de la Loi, n° 904.
Tableaux.
220. Une petite fille en prière.
221. Une jeune personne surprise par un coup de
vent.
222. Portrait d'enfant.
223. Miniature à l'huile, représentant une petite fille
tenant une colombe.
Mérimée (J.-F.-L.), élève de Vincent,
au Palais national des Sciences et des Arts.
124. Tableau représentant Vertumne et Pomone.
Citoyenne Miht-Mureau (Iphigénie).
Tableau de fleurs.
225. Une corbeille et un vase placés sur une balus-
trade et remplis de fleurs.
226. Tableau de fruits.
Mongin (P.-A.) , né à Paris,
rue de Sèvres, n° 1104.
Gouaches.
227. Des baigneuses surprises par des hussards.
228. Robinson est saisi d'épouvante à la vue de l'im-
pression sur le sable du pied d'un sauvage.
22g. Robinson panse un chevreau qu'il a blessé.
23o. Deux vues des Palestres des Tuileries, ' sous le
même numéro.
bo Peinture.
Moreau (L.-G.), né à Paris, élève de Machy,
au Palais national des Sciences et des Arts.
23 1. Huit tableaux dont quatre peints à l'huile et
quatre à gouache, représentant différens pay-
sages, sous le même numéro.
2 32. Un autre tableau représentant un orage.
Citoyenne Morin , née à Nantes, élève de Lethiers.
>33. Tableau, portrait de femme, sur un fond de
paysage.
>34. Dessin, portrait de femme, fond de paysage.
Mouchet, né à Gray, dép. de la Haute-Saône,
au Palais national des Sciences et des Arts.
Tableau de 3 m. deux tiers de haut, sur 3 m.
de large, qui fait partie des travaux d'encoura-
gement décrétés par l'Assemblée législative.
i35. Le 9 Thermidor, ou le triomphe de la Justice,
allégorie.
Le Génie de la France, après avoir précipité
la Terreur dans le fleuve de sang qu'elle-même
avait fait couler, rétablit l'empire de la justice,
et la couvre de son égide; il tient le livre delà
Constitution ouvert à cet article : La Loi est la
même pour tous, soit qu'elle protège, soit qu'elle
punisse.
La Justice, d'une main appuyée sur ce livre,
tient le glaive, et des couronnes; de l'autre elle
accueille la Vérité qui descend du ciel pour
l'éclairer dans la distribution des récompenses
et des peines.
Peinture. 5i
L'Innocence, sous la figure d'un entant, re-
pose sur les genoux de la Justice.
Dans l'un des coins du tableau, un petit
Génie répand sur la terre une douce rosée qui
revivifie tous les germes que le passage de la
Terreur avait desséchés.
Dans l'autre coin, des bastilles sont consu-
mées par la foudre.
Munier (A.-J.), né à Paris, élève de Demarnes,
Place des Quatre-Nations, n° 1890.
236. Tableau, paysage avec animaux, vue de Suisse
du côté de Berne.
237. Tableau, intérieur de cour, étude d'après nature.
238. Autre paysage, d'après nature, appartenant à
l'auteur.
Musson,
boulevard Montmartre, maison Mercy, n» 24.
i3g. Un cadre renfermant plusieurs miniatures.
Naudet (Charles),
rue des Prêtres-Germain-l'Auxerrois, n» 46.
240. Tableau peint à gouache; vue des Tuileries,
prise de la place de la Révolution.
Odevaere (J.), né à Bruges, département de la Lys,
élève de Suvée ,
à Paris, cloître Nicolas.
241. Tableau représentant un jeune homme avec un
cheval.
Haut. 2 m, 64 c, sur 2 m. 16 c.
52 Peinture.
242. Autre tableau représentant Ajax.
Haut. 2 m. 16 c, larg. i m. 64 c.
Citoyenne Femme Oyon, élève de la Citoyenne
Lebrun,
rue des Fossés-Montmartre, n° 2 5.
i43. Un portrait d'enfant.
Pallière (E.), né à Bordeaux, élève de Vincent,
Place de la Révolution, arcade n° 2.
Tableaux, Sujets.
244. Le vent ayant rompu un arbre, et séparé deux
noms qui y étaient gravés, des amans vou-
draient les réunir.
245. Une mère promenait ses deux enfans dans un
bateau dont elle tirait la corde, marchant sur
le bord d'un lac, la corde rompt, et son chien
fidelle tâche d'en saisir le bout que l'on voit
flotter.
246. Portrait de la Citoyenne P***, avec ses enfans :
d'une main elle tient un porte-crayon, et de
l'autre le portrait de son mari.
247. Portrait du C. ***, appuyé sur un rocher, où il
vient de graver : A Vamitié je dois mon
bonheur.
Citoyenne Peigné, élève de Chardin, et de Van
Spaendonck,
demeurant à Versailles.
248. Un Tableau représentant un vase rempli de
Peinture. 53
fleurs, posé sur une table de marbre et entouré
de fruits.
249. Tableau représentant un vase de bronze et des
fleurs dans un panier, posé sur un soc de
marbre.
ibo. Deux petits tableaux de fleurs et de fruits. Même
numéro.
Perrin,
au Palais national des Sciences et des Arts.
Tableau de 3 m., sur 2 m. et demi.
201. Sujet tiré de Lucrèce, lorsqu'il parle des pre-
miers habitans de la terre.
Ils se retiraient dans les antres comme les
animaux féroces qu'ils étaient obligés de com-
battre pour leur conservation. Ils n'avaient pas
encore eu l'intelligence de se construire des ca-
banes, ni même de se vêtir des dépouilles de
leurs ennemis.
L'action du tableau est ce combat. Sur le de-
vant, les femmes, inquiètes du succès, fuient
effrayées, emmenant leurs enfans.
Peyron (J.-F.-P.), né à Aix, département
des Bouches-du-Rhône,
élève de Lagrenée l'aîné,
au Palais national des Sciences et des Arts.
i52. Tableau allégorique représentant le Tems et
Minerve, qui n'accordent l'immortalité qu'à
ceux qui ont bien mérité de leur patrie.
Solon, comme Sage et Législateur, se pré-
XLI 5*
54 Peinture.
sente à leur jugement : Platon, disciple de So-
crate, doit bientôt l'éprouver.
La Sagesse propose, et le Tems indique la
place que les Grands-Hommes doivent occuper
dans le Temple de mémoire.
Le Génie de l'Histoire attend leur décision
pour la transmettre à la Postérité.
Ce tableau de 2 m. de haut, sur i m. i quart
de large, est un prix d'encouragement accordé
à l'auteur par le Jury de l'an IIL
253. Esquisse du même sujet, composée différemment.
Petit (Louis), né à Paris,
rue du Faubourg-Poissonnière, n" 92.
254. Portrait de femme.
255. Portrait du G. Leclerc, élève de l'école d'Archi-
tecture.
256. Un Bas-relief d'après nature.
Petit (P.-J.), élève de Hue,
rue de l'Echiquier, faub. Denis, n° 36.
Tableaux, Paysages.
257. Vue d'Italie et animaux.
258. Vue d'Albano, aux environs de Rome.
Pfab (Jean-Pierre), Danois,
rue Roch-Poissonnière, n° 7.
Tableau.
259. Portrait de son enfant avec sa nourrice.
Peinture. 55
Pinchon,
rue Caumartin, n" 744.
260. Deux portraits en pied.
Citoyenne Pottier (Esther), née à Paris,
rue du Ponceau, n° 27.
261. Portrait de femme.
Prévost (P.), né à Montigny, département
d'Eure-et-Loire, élève de Moreth,
rue Grange-aux-Belles, n" i.
262. Tableau, paysage au crépuscule.
I m. 32 c, sur 2 m.
Prévost (J.-L.), né à Nointel, département
de Seine-et-Oise, élève de Bachelier,
rue Cadet, n" 443.
203. Un tableau de fleurs.
264. Un tableau de fleurs et fruits, peint à gouache,
ovale.
Prud'hon (P^-P.), né à Cluny, département
de Saône-et-Loire,
au Palais national des Sciences et des Arts.
Tableau allégorique, de 3 m. 66 c. carré.
265. La Sagesse et la Vérité descendent sur la terre,
et les ténèbres qui la couvrent se dissipent à
leur approche.
266. Quatre projets de frises, analogues aux quatre
saisons; Dessins, sous le même numéro.
56 Peinture.
Rabillon (F\-P.), natif de Beaucaire, départ,
du Gard, élève de Regnault.
267. Reproches d'Hector à Paris.
Hector, fils de Priam, n'apercevant point son
frère Paris, à l'instant où l'on allait combattre,
le cherche et le trouve auprès du lit d'Hélène
sa femme. Enflammé de colère, il lui reproche
sa mollesse au moment où sa patrie est sur le
, point d'être saccagée par les Grecs.
Citoyenne Rat (Henriette), née à Genève, élève
d'Isabey.
268. Une tête, grande miniature, d'après nature, repré-
sentant Platon tenant son traité de l'Immorta-
lité de l'Ame.
Ravault (Ange-René), né à Montargis,
élève de Suvée ,
rue Montmartre, n» i5.
Tableau allégorique.
269. Bonaparte invoquant la fortune.
Bonaparte commande le débarquement dès
qu'il est à la vue de la côte d'Egypte, et l'effec-
tue malgré la violence des flots. C'est en ce
moment qu'il s'écrie : Fortune, m'abandonne-
rais-tu? Qiioi ! cinq jours seulement. A cette
exclamation, le Génie de la Victoire apparaît :
d'une main il écarte le trident dont Neptune,
indigné d'une audace fatale aux Anglais qu'il
favorise, soulève les flots; de l'autre il tend
Peinture. b-]
à Bonaparte la nouvelle palme qui lui est
promise.
6 déc. 4 c. sur 5 déc. 5 c.
Riesnerr, élève de David,
à l'Arsenal.
170. Portrait d'un père et de son fils.
Robinot (Auguste),
rue du Croissant, n" 16.
i"]!. Un cadre renfermant quatre portraits peints à
l'huile, et la tète d'un chien.
Roéhn (Adolphe), né à Paris,
rue de Lille, n" 644.
272. Tableau représentant un marché.
273. Tableau représentant une halte de soldats espa-
gnols.
Ces 2 Tabl. appartiennent à l'auteur.
Romany (Adèle), élève de Regnault,
rue du Mont-Blanc, n° 21.
Portraits.
274. De la Cne R. en pied, dessinant dans un paysage.
275. Du C. F. en pied, dans un paysage.
276. D'une jeune fille assise sur un tabouret.
277. Tableau représentant deux jeunes femmes occu-
pées d'une lecture.
278. Tableau : l'Amour se plaignant à sa mère d'avoir
été piqué par une abeille.
279. Deux Portraits ovales, sous le même numéro.
58 Peinture.
Sablet (Jacob), né à Mohge en Suisse,
canton Léman, élève de Vien,
au Palais national des Sciences et des Arts.
280. Un tableau représentant la Tarentelle, danse na-
politaine.
Larg. 2 m., haut, i m. 3o c.
281. Portrait d'un ami de l'auteur.
282. Tête, grandeur nature. Portrait.
283. Portrait du C, Vaume.
284. Deux Portraits en pied, sous le même n°.
Sablet (François), né à Mohge en Suisse,
élève de Vien.
285. Tableau représentant un orage.
286. Paysage avec figures.
287. Deux Intérieurs, sous le même n°.
288. Deux Portraits, sous le même n".
Schmid (J.-J.), né à Paris,
rue de Seine, n° 78.
Tableaux, Paysages.
28g. Deux Pendans : un matin et un coucher du
soleil. Même numéro.
290. Quatre paysages, représentant les quatre heures
du jour. Même n".
291. Quatre paysages. Même n".
292. Vue d'un lac en Suisse.
293. L'antre d'un rocher.
Ces Tabl. appartiennent à l'auteur.
Peinture. Sq
Serangeli, né à Rome, élève de David,
rue J.-J. Rousseau, maison Bullion.
294. Portrait. Tableau de deux figures.
Dim. 2 m. sur i m. 35 c.
Sergent-Marceau,
au Rosenthal, à Chaillot, n° r.
Dessin aquarelle.
ig5. Il représente les costumes des filles suisses, pay-
sanes bernoises, servantes du margraviat , de
la Forêt noire. Elles sont groupées dans l'inté-
rieur d'une chambre suisse, et s'occupent à dif-
férens travaux.
Dessiné d'après les femmes qui servent dans
la vacherie suisse du Rosenthal, ferme établie
dans le jardin Marbeuf, connu sous le nom
d'Idalie.
Sicardi, né à Avignon, élève de son père,
rue du ci-devant Petit-Bourbon, faubourg Germain,
no 721.
296. Un cadre contenant plusieurs miniatures.
297. Portrait à l'huile, de la C"^ Devienne, actrice du
Théâtre français.
208. Portrait d'homme.
Citoyenne Silvestre, élève de Regnault.
299. Portrait du C. Giroult, sculpteur.
300. Deux autres portraits, sous le même n".
6o Peinture.
Citoyenne Smitt, d'Amsterdam.
3oi. Un Paysage à l'aquarelle.
Sivagers (F.), né à Utrecht,
rue de l'Echiquier, n° 36.
Tableaux, marines.
302. Une mer calme, plusieurs vaisseaux hollandais,
vue d'une matinée.
303. Une mer agitée, vue des environs du Moordik,
vaisseaux hollandais.
Par la Citoyenne femme Swagers, née à Paris.
304. Dessin au crayon noir, portrait d'homme d'après
nature.
Sivebac (dit Desfontaines),
rue Martin, n° 179.
Tableaux.
305. Le derrière d'une armée, au moment d'une atta-
que générale.
306. Course à Cheval.
307. Chasse au cerf.
Ces tableaux appartiennent au C. Duval,
marchand, boulevard Martin, n" 29.
Taillasson (J.-J.), né à Bordeaux,
élève de Vien,
au Palais national des Sciences et des Arts.
3o8. Olympias.
Cassandre, un des successeurs d'Alexandre,
envoya une troupe de soldats pour tuer Olym-
pias, retirée avec sa famille dans Pydna. Désar-
Peinture. 6 1
mes par le respect, ayant eux-mêmes horreur
d'un assassinat, ils ne voulurent pas obéir.
Le peintre suppose qu'elle était dans un lieu
où il y avait une statue de son fils, et qu'en
découvrant son sein, en montrant la statue,
elle s'écria : Osez frapper la mère d'Alexandre.
Taré,
à l'Ecole centrale du Panthéon.
Sog. Portrait d'homme, au pastel.
3 10. Portrait de femme, à l'huile,
3n. Etude de raisin.
3i2. Esquisse, offrande à Jupiter.
3i3. Académie, d'après nature.
314. Esquisse, faite à Bucques, d'après nature.
Taurel (J.), né à Toulon, élève de Doyen,
rue du Faubourg-Poissonnière, n" 3i.
3i5. Tableau, marine.
2 m. 60 c. sur I m. 60 c.
Il représente l'entrée de l'armée de la Répu-
blique française, commandée par le général
Championnet, dans la ville de Naples : le point
de vue est pris au bord de la mer, sur le che-
min qui conduit à Portici.
Ce tableau appartient à l'auteur.
Valin (J.-A.),
rue André-des-Arts, no 42.
Tableaux.
3i6. L'Amour conduisant deux amans au temple de
l'Hymen.
XLl 6
02 Peinture.
317. Un paysage avec des baigneuses.
3 18. Deux intérieurs de corps-de-garde hollandais.
Ces 2 derniers appartiennent à l'auteur.
Wallaert (Pierre) , né à Lille,
rue Honoré, n° 1436.
Tableaux, Marines.
3ig. Vue de la ville et du port de Cadix, prise du
côté du fort de la porte de terre.
Ce tableau appartient à l'auteur.
320. Un clair de lune.
Ce tabl. appart. au C. Lange, sculpteur.
Citoyenne Vallain (Nanine).
Portraits.
32 1. D'un jeune homme peint à l'huile.
322. De la C""" A. V., actrice du théâtre des Arts,
miniature.
323. De la C"' A. G., dessin.
Van Dael (J.), né à Anvers,
au Palais national des Sciences et des Arts.
Tableau.
324. Offrande à Flore.
Devant la déesse, sur un autel d'albâtre, orné
de bas-reliefs, on voit une masse de fleurs.
Au pied de la statue qui est entourée de guir-
landes, sont des corbeilles, des vases remplis
aussi de fleurs, et des instrumens de musiq;ie.
Haut. 2 m. sur 5 déc.
Peinture. 63
Van der Biirc/i.
au Palais national des Sciences et des Arts.
325. Un paysage historique.
Haut. 3 m. 59 c; larg. 2 m. bg c.
Un laboureur des fermes d'Aumont, com-
mune de Monsérat, de'partement de l'Ariége,
nommé Philippe Rouzeau, affligé de voir son
pays désolé par les ravages qu'un ours y fai-
sait, en dévorant les troupeaux, résolut de faire
la chasse à ce redoutable animal. En effet,
n'ayant d'autre arme que son fusil, d'autre
compagnon que son chien, il tenta seul une si
périlleuse entreprise, et fut assez heureux pour
le tuer. Le moment représenté est celui où
Rouzeau ayant découvert la retraite de l'ours,
dans une gorge étroite, profonde et ténébreuse,
sur les bords d'un précipice affreux, s'avance,
pénètre, découvre enfin le terrible animal, dont
les proportions gigantesques ne peuvent l'inti-
mider. Maître de lui, il l'observe, l'examine, et
l'ajuste d'un bras ferme : le coup part; il est
mortel; il a porté entre l'épaule et le corps.
Un cri effroyable de l'ours épouvante le chien
de Rouzeau, qui se réfugie, en tremblant, aux
pieds de son maître. Tout-à-coup l'ours furieux
s'élance; Rouzeau n'a plus d'arme; c'est en
vain qu'il veut éloigner le féroce animal avec
le bout de son fusil; l'ours se jette sur le canon,
le saisit et des pattes et des dents, le secoue,
l'arrache, se précipite sur Rouzeau, le terrasse.
L'intrépide chasseur saisit un de ses sabots,
en frappe à coups redoublés sur les dents du
64 Peinture.
monstre, et parvient à lui faire lâcher prise;
puis, profitant du moment où l'animal épuisé
chancelé, il saute sur lui, lui appuie fortement
les genoux sur la poitrine; et tandis que son
chien, ranimé par le danger de son maître,
tient l'ours en arrêt par une oreille, le téméraire
Rouzeau lui plonge le bras droit dans la gueule,
lui intercepte la respiration, et après une heure
de combat, il parvient à l'étouffer.
Ce tableau est un prix d'encouragement.
326. Un petit paysage sur bois.
Van Gorp (H.-N.), né à Paris,
rue Honoré, n° 2o3.
327. Portrait du C. Robertson, physicien.
328. Portrait d'enfant faisant des bulles de savon.
329. Portrait de l'auteur, par lui-même.
Vatt Loo (César),
rue Notre-Dame des Victoires, n" 20.
Trois tableaux de même dimension.
Larg. I m. 78 c, haut, i m. 40 c.
330. Vue du chemin qui conduit à Veroli, dans
l'Abruzze.
33 1. Vue des montagnes du Piémont, couvertes de
neige.
332. Vue de Castellamare dans les états de Naples.
Le sujet est Marius que Geminius fait pour-
suivre par ordre du sénat romain.
Peinture. 65
Van Pol, peintre,
rue de l'Echiquier, n» 36.
333. Deux tableaux de fleurs. Même numéro.
Vau^^elle, élève de Perrin,
rue Croix, près les Capucins, n" i3.
Dessin.
334. Vue de la salle du i3' siècle, au Musée des mo-
numens français.
Ce Dessin appartient au C. Lenoir, conser-
vateur.
335. Deux portraits de femme, sous le même numéro.
Vernet,
Galeries du Muséum.
Dessins.
336. Bataille de Millésimo.
337. Bataille de Mondovi.
338. Passage du Pô, devant Plaisance.
33g. Bataille de Lodi.
340. Bataille de Saint-Georges, sous Mantoue, le 29
Fructidor.
Ces dessins font partie des tableaux histori-
ques des campagnes et révolutions dltalie ,
pendant les ans 4, 5, 6, et 7 de l'ère républi-
caine, dont la première livraison paraît. On
souscrit rue Lazare, n° 88, division du Mont
Blanc.
341. Un hussard français dans une sortie.
6*
66 Peinture.
Vien fils (J.-M.), élève de son père
et de Vincent,
place du Muséum.
Portrait.
342. De la C"^ Vien.
343. Un cadre renfermant trois miniatures à l'huile :
portrait de la C"^ Présye, femme de l'adjudant-
général; celui de la C°' Baillard, femme d'un
négociant; celui du Cit. Tastory, négociant.
Citoyenne Femme Villers (née Lemoine),
élève de Giraudet.
Tableaux.
344. La Peinture.
345. Une Bacchante endormie.
346. Un portrait.
Vincent (F.-Ph.), né à Paris, élève de David,
rue de la Monnaye, n» 14.
347. Portrait de l'auteur, peint à l'huile, par lui-
même.
Dessins.
348. Un naufrage.
349. Une femme dormant au clair de la lune.
350. Vénus sortant du sein des ondes.
35 1. Psyché surprise par l'Amour.
Ces 4 compositions appartiennent à l'auteur.
352. Autre portrait de l'auteur, dessiné par lui-même.
Vincent (Louis), né à Versailles, élève
de Lagrenée le jeune,
rue de Varennes, n° 1495.
Peinture. 67
Tableaux.
353. Œdipe détaché de l'arbre par le berger Phorbas.
L'oracle avait prédit à Laius, roi de Thèbes,
que l'enfant qui naîtrait de son mariage avec
Jocaste, lui donnerait la mort. Laius, l'esprit
troublé de la prédiction, ordonna à un domes-
tique affidé d'aller exposer l'enfant dans un
lieu désert, et de l'y faire périr. Celui-ci, tou-
ché de pitié, se contenta de lui lier les pieds,
et le suspendit à un arbre, ce qui fit donner à
l'enfant le nom d'Œdipe, qui signifie, j'ai le
pied enflé.
Ce tableau appartient au Citoyen Hébert,
architecte.
354. Animaux buvant à une fontaine, peint sur
bois.
Ce tableau appartient au Citoyen Guédin,
entrepreneur.
— 68 -
SCULPTURE.
Boquet.
400. Esquisse représentant le Génie de la liberté tra-
çant sur des tablettes les victoires des Français.
401. Esquisse d'un tombeau.
Boyer (J. L.),
rue Laurent, n" 8.
402. Un buste, portrait du G. Livry, en marbre,
grande nature.
403. Un cheval, terre cuite.
Boi^ot, né à Paris, élève de Michel-Ange
Slodz,
au Palais national des Sciences et des Arts.
404. Quatre bas-reliefs en plâtre ;
La Morale et l'Instruction,
Le Commerce et l'Industrie,
L'Abondance et l'Agriculture,
La Victoire et la Paix.
Ges ouvrages sont destinés à orner les portes
d'un salon au palais directorial.
Bridan tils, né à Paris, élève de son père,
au Palais national des Sciences et des Arts.
4o5. Paris présentant la pomme à Vénus.
Fig. en plâtre d'un m. 80 c. de proportion.
Sculpture. 69
Budelot (.I.-B.), ne à Dijon, élève de Bridaut,
rue du Coq-Honoré, n" i34.
406. Groupe de l'Amour et l'Amitié.
407. Danaé recevant Jupiter en pluie d'or.
Ces deux plâtres bronzés, sujets de pendules.
408. Une tête de Flore, plâtre, grandeur nature.
Ces ouvrages appartiennent à l'auteur.
Couasnon, né à Culan, dép. du Cher,
élève de d'Huez,
rue de Thionville, n» 45.
409. Deux enfans , portraits demi -nature. Même
numéro.
410. Quatre bustes, grandeur nature, dont l'un repré-
sente Clément Marot, terre cuite; un autre le
C. Parmentier, membre de l'Institut, plâtre
couleur terre cuite, et un portrait d'homme et
de femme, terre cuite. Même numéro,
411. Un buste d'homme, demi-nature.
Delaitre,
rue du Faubourg-Martin, n" Sy.
412. Deux têtes d'après nature, l'une d'une jeune tille,
l'autre d'un enfant.
Delaville, élève de Boizot.
4i3. Un groupe représentant des enfans jouant à la
main-chaude.
yo Sculpture.
Deseine,
au Palais national des Sciences et des Arts.
414. Une statue, modèle en plâtre, représentant une
nayade exprimant l'eau de ses cheveux.
Proportion, i m. 5o c.
Citoyenne Drouin (née Lemaistre).
41 5. Le buste du général Léonard MuUer, comman-
dant en chef l'armée du Rhin.
416. Portrait du C. Pajou, père, sculpteur, membre
de l'Institut national.
417. Autre buste, portrait d'une jeune fille.
Ces trois plâtres, couleur terre cuite, gran-
deur nature.
Dumont, né à Paris, élève de Pajou.
.^i8. Deux petites figures, l'une de femme, l'autre d'un
jeune homme, couchées sur des lits et tenant
des couronnes. Terre cuite.
41g. Buste de la C"" V'' Dumont.
420. Une figure de liberté.
Egensviler, élève de Mouchy.
rue Maubuée, n° 53o.
421. Sujet de pendule en marbre, représentant le génie
de Jupiter et accessoires.
Cet ouvrage appartient à l'auteur.
Fortin,
422. Un buste en plâtre.
Sculpture. 71
Foucou (J.-J.)j né à Riez, département des
Basses-Alpes,
au Palais national des Sciences et des Arts.
423. Duguesclin.
« A la célèbre journée de Cocherel, où Du-
» guesclin remporta la victoire sur les Anglais,
» il courait partout les bras nus et l'épée en-
» sanglantée à la main, criant aux Français :
» Vaillans compagnons, la victoire est à nous! »
Cette statue, en marbre, a été ordonnée par
le gouvernement : elle est de deux mètres de
proportion'.
Julien,
au Palais national des Sciences et des Arts.
424. L'Etude assise et appuyée sur un tombeau égyp-
tien, figure en marbre,
de 60 c. sur 40 c.
Cette figure appartient à l'auteur.
425. Un groupe représentant le Tems portant un
globe contenant une pendule, marchant sur des
ruines, et accompagné de son génie qui lui
montre un sablier.
Haut. I m. 3o c, larg. 46 c.
Lange, de Toulouse,
aux ci-devant Capucins, chaussée d'Antin.
426. Philopœmène, Mégalopolitain.
A la tête de ses concitoyens, combattant leurs
ennemis, il reçut un javelot qui lui perça les
cuisses de part en part. Les plaies n'étaient pas
72 Sculpture.
mortelles, mais elles l'empêchaient de marcher.
Se voyant inutile pendant le fort du combat, il
s'agite avec tant d'impatience, qu'il rompit le
javelot entre ses cuisses; il en arracha les tron-
çons et fut combattre de rechef les ennemis,
qu'il vainquit.
Modèle en plâtre, i m. 2 c. de hauteur.
427. Tête en plâtre, moulée sur le marbre original qui
a été exécuté par l'artiste.
Elle représente le caractère bon, impassible,
calme et parfait de la divinité, qui ne participe
à aucune passion humaine.
Cette tête a été faite pour étude, devant servir
à un groupe de trois figures que l'artiste a
composé, et qu'il espère pouvoir exécuter s'il
parvient à en avoir les fonds.
Lucas (J.-R.-N.), né à Rouen, élève de Pigalle,
rue Mêlée, n° yS.
428. Portrait de femme, médaillon grandeur nature.
429. Une vestale, figure en terre cuite.
Elle appartient à l'auteur.
430. Bélisaire, figure d'étude en plâtre.
I m. de proportion.
Mérard (Pierre),
rue Neuve-Martin, n» 88.
43 1 . Deux bustes, portraits, grandeur nature.
Citoyenne Milot,
maison d'Angevilers.
432. Buste d'Algernon Sidney, martyr de la Liberté en
Angleterre.
Sculpture. 73
433. Buste de la G"° Joly, actrice du Théâtre français,
fait après sa mort.
Petitot (Pierre),
faubourg Honoré, n" 117.
434. La Concorde, esquisse en plâtre.
Projet d'exécution du prix d'encouragement
obtenu par l'auteur au concours de l'an 7.
/?e«flwrf (J.-M.), né à Sarguemines, départ.
du Bas-Rhin,
rue ci-devant cul-de-sac Taitbout, n" 20.
435. Portrait du C. Robertson.
436. Portrait de femme.
437. Autre portrait, tous trois encadrés.
Sigisbert,
rue de la Ville-l'Evêque, no 991.
438. Iris exécute le message de Junon, en coupant à
Didon le cheveu fatal qui unissait son âme à
son corps. La déesse remonte à l'Olympe sur
son arc-en-ciel.
439. Le buste en marbre de Lucrèce, sortant du lit
après l'action de Tarquin.
440. Statue, figure de l'Antinous.
Suzanne, sculpteur, élève de d'Huetz,
rue des Messageries, n" 18, faub. et div.
Poissonnière.
441. Une figure bronzée, de 40 c. de proportion, re-
XLI 7
74 Sculpture.
présentant le général Bonaparte, fait d'après
nature pour un des frères d'armes de ce
général.
442. Une figure cariatide, d'un mètre de proportion,
servant de candélabre, et pouvant être emplo-
yée à tout autre sujet, si on le désire.
443. La Liberté, modèle en plâtre, de 2 mètres de
proportion, s'appuyant de la main droite sur
un faisceau, tenant dans sa main les emblèmes
de la force et de l'agriculture; de la gauche elle
maintient la table des lois, posée sur un cube
emblème de la stabilité; elle a sur sa tête le
symbole du Génie des arts et du commerce.
Nota. Cette figure est le prix d'un concours
national donné au C. Morgant, en l'an 2 de la
République; mais la mort l'ayant frappé pen-
dant l'ébauche de cet ouvrage, il fut nommé,
en vertu d'un ordre du ministre de l'intérieur,
une commission pour examiner si cette figure
méritait d'être achevée : cette commission ayant
été pour l'affirmative, le C. Suzanne fut choisi
par elle, et autorisé par le ministre pour termi-
ner entièrement cet ouvrage.
- 73 -
ARCHITECTURE
Anonyme.
5oo. Sept dessins d'un projet pour faire de la place de
la Révolution un cirque destiné: i° aux jeux
publics les jours de fêtes nationales; 2° à deve-
nir un lieu de réunion pour les citoyens de
Paris, et qui serait pour la plus grande com-
mune de la République française, ce que fut
jadis le Forum pour les Romains. Même
numéro.
5oi. Trois dessins d'un temple chrétien du culte pro-
testant. Même numéro.
Baltard (L.-P.), né à Paris ,
rue Dominique, n° 293, près celle du Bacq.
5o2. Projet de métairie, composé des bâtimens néces-
saires à l'habitation du propriétaire et des ou-
vriers, ainsi que ceux que nécessitent l'exploi-
tation des terres et la conservation de leurs
produits.
Ce projet fait partie d'un ouvrage d'architec-
ture que l'auteur se propose de publier; il est
composé de 4 dessins renfermés dans un même
cadre.
76 Architecture.
Clojuet (J.-B.), professeur de dessin à l'Ecole
des mines, élève des CC. Rousseau et l'Espinasse,
né à Fontainebleau,
rue Cassette, n" 847.
5o3. Dessin lavé à l'encre de la Chine, représentant la
projection perspective de l'ombre de différens
solides réguliers dans l'intérieur d'une niche.
Durand (J.-N.-L.), né à Paris, élève de Boullée,
et professeur d'architecture à l'Ecole
polytechnique.
504. Modèles d'un temple à l'Egalité et d'un temple
décadaire, prix obtenus au concours de l'an
3, par Durand et Thibault. Même numéro.
Ces deux modèles ont été exécutés par J. P.
Fouquet, ils appartiennent à la République.
505. Six planches d'un parallèle des édifices de tout
genre, anciens et modernes, remarquables par
leur beauté, leur grandeur ou leur singularité;
dessinés sur la même échelle. Même numéro.
Giot,
rue de Menil-Montant, n" 160 (bis), près
le parc St-Fargeau.
5o6. Modèle d'architecture.
Il représente un temple de la Victoire, dédié
à la gloire du général Bonaparte; on y voit re-
présentées en bas-reliefs, les quatre premières
actions de ce grand homme, depuis son départ
de Paris jusqu'à son débarquement en Egypte,
où la victoire l'immortalise.
Architecture. 7-
Ce monument appartient à la Citoyenne Bo-
naparte.
507. Modèle représentant la fameuse tour de Pise, en
Toscane, connue sous le nom de la tour pen-
chante, exécuté sur les dessins du C. Cassas.
(Ce monument lui appartient).
Ces deux modèles sont exécutés en liège.
Gisors (A.-J.-B.-G.), élève de Chalgrin,
inspecteur des bâtimens du conseil
des Cinq-Cents.
508. Projet de Bibliothèque nationale dans l'édifice
commencé pour la paroisse de la Magdelaine.
Plan, dans un cadre de 1 m. i3 c. de haut,
sur 98.
Coupe et élévation ensemble, dans un cadre
de I m. 63 c. de large, sur i m. 16 c.
Autre plan comparatif des constructions
qu'exige le projet, avec celles commencées. Ce
plan est dans un cadre de 73 c. sur 42.
Norry (Charles), élève de Dewailly,
au Palais national des Sciences et des Arts.
5og. Colonne de Pompée.
Bonaparte voulant honorer la mémoire des
guerriers morts à la prise d'Alexandrie, arrêta
que leurs noms, précédés d'une inscription, se-
raient gravés sur ce monument.
Nota. Ce projet est celui qui fut présenté à ce
général pour remplir ce but.
5io. Plan d'un lazaret projeté à Alexandrie, sur l'em-
placement appelé le Cap des Figuiers, attenant
XLI 7*
yS Architecture.
au port vieux. Ce lieu fut clioisi par la com-
mission de santé, comme le plus convenable.
Nota. Le projet rendu a été remis au général'
Bonaparte.
Person, né à Paris, membre du Lycée des Arts,
de la Société d'Agriculture,
rue des Maçons, n" 447.
5ii. Modèle, deuxième invention de l'auteur, pour
sauver du feu quatre personnes à la fois.
Maison dont l'escalier est intercepté par les
flammes; on y voit en relief toute la' manœu-
vre, ainsi que les victimes échappées au danger
par le moyen d'une mécanique simple et peu
dispendieuse.
5 12. Relief de la Bastille, en bois, avec tous ses dé-
tails et ses alentours.
Nota. La tour de la Bertaudière, ainsi que la
chapelle, sont représentées en ruine afin de
laisser apercevoir la construction intérieure, et
l'épaisseur des murs.
Peyre, oncle, membre de l'Institut national.
5i3. Projet du plafond d'une salle d'opéra, dessin.
L'ouverture du lustre, au centre du plafond,
est entourée d'une large frise où sont repré-
sentées par des figures ailées, les Heures circu-
lant dans les airs; elles enchaînent les Ris, les
Jeux et les Plaisirs avec des guirlandes, et ré-
pandent des fleurs sur la scène.
Une toile ricliement ornée est attachée par le
Architecture. 79
haut à la bordure de cette frise, et par le bas à
la doucine qui termine un ordre de caryatides.
La tention de cette toile forme trente-six arcs
qui procurent autant de petites loges.
Sobre (J.-N.), né à Paris, élève
de Ledoux.
Faubourg du Temple, n° 27.
514. Projet d'un temple à l'Im.mortalité, consacré
aux grands-hommes, à ériger dans les Champs-
Elysées.
Prix d'encouragement.
5i5. L'élévation et la coupe, sur un même châssis.
5 16. Deux plans sur un même châssis.
5 17. Le plan général.
5 18. Un modèle du monument sur un plateau.
Thierry (Ch.-S.), né à Paris, élève
du C. Bellissard,
rue du Faubourg-Martin, n' i8j.
5ig. Monumens àélever en l'honneur de la République
française, sur l'emplacement aftecté à la cons-
truction de la ci-devant église de la Mag-
delaine.
Ces projets présentés le 27 Fructidor an 5,
par l'autuur, à la commission nommée par le
conseil des Cinq-Cents, dans sa séance perma-
nente du 19 Fructidor, même année, sont
détaillés dans les dessins suivans, savoir :
N' I. Plan général représentant : A, un
temple dédié à la Liberté et aux Victoires na-
8o Architecture.
tioiiales, où seraient représentés tous ces traits
de dévouement et de courage, qui par cinq
années de victoires ont anéanti une coalition
insensée; où le nom des vainqueurs serait gravé
au milieu des dépouilles sanglantes de nos
ennemis humiliés et vaincus; où les autorités
constituées viendraient tous les ans prononcer
le serment de haine à la monarchie^ et les
jeunes citoyens , parvenus à leur vingtième
année, celui de vivre et mourir libres.
B. Place projetée.
C. D. E. F. Arcs de triomphe destinés à
éterniser les quatre principaux événemens mi-
litaires de notre révolution, la conquête de la
Hollande, la conquête de la Belgique , celle de
l'Italie et celle des bords du Rhin.
G. Hyppodrome environné de gradins destiné
aux fêtes nationales.
H. H. Colonnes triomphales placées aux
extrémités de l'épine.
I. Théâtre couvert, de trois cents pieds de
diamètre.
K. K. Bois sacré où la patrie reconnaissante
décernerait des statues aux grands hommes qui
auraient bien mérité d'elle.
L. Boulevard projeté.
N" 2. Plan du Temple.
3. Elévation du Temple.
4. Coupe sur la largeur.
5. Elévation sur l'angle.
G. Coupe sur la longiieur.
7. Coupe générale.
Architecture. 8i
8. Vue perspective de l'ensemble de tous ces
monumens.
Vignon (B.), né à Lyon,
place de la Liberté, près le Louvre, n° 1 16.
520. Tribunal de paix pour les diverses communes de
la République.
Ce modèle, exécuté aux frais du gouverne-
ment, a été ordonné à l'auteur, dans un con-
cours public, à titre de récompense nationale.
Voi)iier, architecte, né à Paris.
Dessins aquarelle.
b2i. Vue d'un jardin pittoresque et de la principale
façade d'une habitation décorée dans le genre
gothique.
522. Arc de triomphe à la gloire des défenseurs de la
patrie. Ce monument projeté pour être élevé
sur le terrain dit de TEtoile, au haut des
Champs-Elysées, formerait l'entrée de Paris,
en arrivant par la route de Neuilly, en face du
Palais national.
82 -
GRAVURE
Baltard (L. P.), né à Paris,
rue Dominique, n" 23g, près celle du Bacq.
boo. Etudes à l'usage de ceux qui cultivent l'art du
dessin.
Six feuilles composant le troisième cahier de
cet ouvrage.
Blot (Maurice), né à Paris, élève de St-Aubin,
cloître Honoré, n° 5.
6oi. Deux estampes renfermées dans un même cadre.
Jupiter et lo.
La fable grecque d'Io et de ses malheurs,
n'était qu'une traduction de la fable égyptienne
d'Isis. Cette divinité égyptienne était l'emblème
général de la Nature et le symbole particulier
de la Lune.
Jupiter sous la forme de Diane , séduit
Calisto.
Jupiter ayant trouvé endormie une belle
nymphe de Diane, Calisto, obtint ses faveurs,
sous la forme de Diane, et la rendit mère
d'Arcas. Pour la consoler et la soustraire à la
jalousie__Me Junon, il la plaça avec son fils dans
le ciel ; là, ils forment les constellations de la
grande et la petite Ourse.
Gravure. 83
Bovinet, élevé de Patas,
place Maubert, n" i3.
602. Trois vues de paysages, même numéro.
Vue des tombeaux du voyage pittoresque de
la Syrie, de la Phénicie, d'après un dessin de
Cassas. Les deux autres vues d'Italie, d'après
des tableaux de Valenciennes.
Chrétien, né à Versailles,
rue Honoré, vis-à-vis l'Oratoire, n" 45.
6o3. Un cadre renfermant 48 portraits dessinés au
physionotrace, et gravés par Chrétien, inven-
teur de cet instrument.
Desnoyers,
rue Neuve-Egalité, n" 3oo.
604. Estampe représentant Vénus désarmant l'Amour,
d'après le tableau du C. Lefèvre.
Godefroy (F.), né à Londres, élève
de J.-P. Simon,
rue d'Angevillers, n° 1 54.
60 5. Un cadre contenant deux gravures pour la nou-
velle édition de Didot l'aîné, des Amours de
Daphnis et Chloé, d'après le dessin de F. Gé-
rard.
606. Le portrait de la C"" Barbier-Walbonne, d'après
le tableau peint par F. Gérard.
607. Un sujet de la tragédie d'Andromaque, pour la
nouvelle édition de Didot l'aîné, des Œuvres de
Racine, gravé d'après le dessin de Girodet.
84 Gravure.
Guyot (Laurent),
à l'Elysée, faubourg Honoré.
608. Cadre renfermant plusieurs estampes des livrai-
sons du Musée des monumens français ,
publié par Alexandre Lenoir, conservateur du
dit Musée.
Henrique:^^ (B.-L.), né à Paris,
rue Louis, division du Pont-Neuf, n° 38.
609. Chasteté de Joseph, d'après A. Van der WerfF.
610. Repos de la Vierge, d'après Pezares.
611. St-Jean dans le désert, d'après Joseph de Ribera,
un des sujets de la galerie d'Espagne.
Citoyenne Janinet (Sophie),
rue du Chaume, n" 4.
6 12. Un bas-relief à l'imitation du bronze, représen-
tant la Paix, d'aprè le C. Sauvage.
Lemire,
rue de la Harpe.
6i3. L'Annonciation, d'après Solimen.
614. Le gouverneur du sérail, choisissant des femmes.
Massard (J.-B.), né à Paris, élève
de son père,
place Thionville, n° 27.
61 5. Psyché surprise par l'Amour.
616. Zéphir et Flore.
617. Assemblée des Dieux, pour les noces de Psyché
et l'Amour.
Gravure. 85
Gravé à l'eau-forte, d'après le dessin origi-
nal de Jules Romain, sur la composition de
Raphaël.
Les 3 planches appartiennent à l'auteur.
Massard père,
rue des Fossés-Victor, no 32.
6i8. Cloé prise par les Mitiminiens, d'après Gérard.
Par Raphaël-Urbain Massard.
619. Oreste et Hermione, d'après Girodet.
Michel (M.-O.), élève d'Aliamet,
rue du Four-Germain , n" 290.
620. Plan et protil (en deux cadres, sous le même n")
des fameuses écluses de Slyckens, près d'Os-
tende, construites en lySy, indiquant les dé-
gradations qu'elles ont éprouvées par la tenta-
tive infructueuse des Anglais , au premier
Prairial an 6.
Miger, élève de feu Cochin.
62 r. Le portrait du G. Robert, peintre.
622. Un cadre contenant plusieurs gravures, représen-
tant des morceaux d'histoire naturelle.
Ponce (N.), né à Paris, élève de Delaunay
l'aîné,
rue du Faubourg-Jacques , enclos des ci-dev.
Feuillantines.
623. La Comédie et la Tragédie, d'après Moreau.
XLI 8
86 Gravure.
624. Un cadre contenant six estampes, représentant
les portraits de Lebrun, Edlink, Audran, Per-
rault, SouHot, J.-J. Rousseau, Racine, Descartes,
Lully, Quinault, et allégories relatives à ces
hommes célèbres, d'après les dessins du Cit.
Marinier.
Ces estampes font partie de la collection des
illustres Français, du. C. Ponce.
Roger (B.), de Lodève , élève de Copia,
Pavillon des Archives, chez le C. Prud'hon,
peintre.
625. Un cadre contenant deux sujets des Amours de
Daphnis et Chloé, un de la Tribu indienne,
gravés d'après les Dessins de Prud'hon, et une
allégorie de la République française, d'après
le dessin de Naigeon aîné.
Simon (H.),
au Palais-Egalité, n" 88.
Gravures faites à l'atelier national , sur pierres
hnes et acier trempé.
626. Un cadre de 9 pouces de diamètre, renfermant
cinq pierres gravées et une gravure sur un
morceau d'acier trempé.
Tête de Démosthène, gravée en relief sur une
agathe onix.
Tête de femme, gravée en relief sur agathe
onix.
Un Amour navigateur, gravé en relief sur une
sardoine onix.
Gravure.
«7
Une grande cornaline, gravée en creux, re-
présentant Apollon dans son char, tiré par deux
chevaux.
Une gravure en relief sur calcédoine, de
deux têtes, d'Aspasie et Périclès.
Tête de Minerve, gravée au touret sur un
morceau d'acier trempé.
Les épreuves de soufre et plâtre.
Viel (P.), né à Paris, élève de B.-L. Prévost.
627. L'aveu du sentiment, d'après le tableau de
Trinquesse.
628. Un sujet des Géorgiques de Virgile, d'après le
dessin de Gérard.
— 88
SUPPLEMENT
PEINTURE.
Bruandet^
Cloître Honoré, maison du Méridien.
700. Paysage représentant une forêt.
70 1 . Deux autres paysages, figures de Sweback. Même n°.
Citoyenne Capet (M. -G.), élève de la C'"' Labille
Guiard.
Pastels.
702. F*ortrait du C. Suvée, peintre , professeur de
l'Ecole, etc.
703. Plusieurs portraits, sous le même n°.
Miniatures.
704. Portrait de la Cne D***, tenant dans ses bras son
enfant.
705. Portrait du G. Suvée, peintre.
706. Portrait du C. Mesnier, peintre.
707. Plusieurs portraits, sous le même n».
Citoyenne Charpentier,
Place de l'Odéon,
Deux tableaux faisant pendant : la veuve d'une
année, la veuved'une journée. Ils appart. à l'aut.
Peinture. 89
709. Portrait de l'auteur et de sa fille.
710. Deux portraits de femme. Même numéro.
711. Un portrait de femme, ovale.
712.
Colson.
Portrait de femme.
Tête de vieillard.
Portrait d'homme.
Portrait de femme, ovale, sous le même n°.
De La Rive (P.-L.), de Genève.
Tableaux.
71 3. Cours d'un torrent dans la vallée de Loberland,
canton de Berne.
714. Vue de la montagne de Salève et d'une partie du
bassin dans lequel est Genève. On y aperçoit
le cours de l'Arve.
71 5. Vue du Môle, dans les environs de Saint-Foire.
Ces tableaux appartiennent à l'auteur.
Gérard (François), né à Rome, élève de David,
au Palais national des Sciences et des Arts.
716. Tableaux, portraits, sous le même n".
Holain,
rue du Bacq, n" 249.
Tableaux.
717. Intérieur : des enfans se disputent, autres figures
et animaux.
go Peinture.
718. Paysage : une cabane à la porte de laquelle est
un marchand d'images.
719. Paysage : un cabaret, des paysans à table lisant
un journal, un jokey, etc.
720. Scène familière dans un intérieur.
721. Amusemens d'enfans, dans un intérieur.
722. Portrait en pied, d'un enfant dans un jardin.
723. Le portrait de l'auteur.
Citoyenne Labille, dite Guiard, élève des CC. Vincent,
père et fils,
au Palais national des Sciences et des Arts.
Tableaux.
724. Portrait de la C"* Ch***, tenant dans ses bras son
enfant qu'elle nourrit.
725. Portrait du C. Delamalle, représenté plaidant.
726. Portrait du C. Dublin , artiste du théâtre
français.
Citoyenne Laville-Benoist , élève de David,
rue et hôtel d'Angevillers.
727. Tête d'étude, peinte sur bois.
728. Portrait, ovale.
729. Portrait de femme.
780. Tête d'étude, de femme.
Legros, élève de Sweback,
rue et vis-à-vis le Temple, n" 126.
781. Portrait peint sur porcelaine, du C. Boyer,
sculpteur, dans l'action de modeler l'auteur.
Peinture 91
Citoyenne Lows/er (née Contouly), élève du C.Regnauld.
rue du Temple, n" 24.
732. Un cadre renfermant six miniatures.
Menjaud (A.), élève de Regnault,
rue de Ciéry, n° 66.
733. Portrait peint.
734. Portrait, dessin.
Vigneux, peintre,
rue Beautreillis, no 26.
Dessins.
735. Portrait du C. Raoul, membre du tribunal de
cassation.
736. Portrait du G. Fridzeri, artiste.
Lassaux, né à Lunéville, âgé de 65 ans,
élève de Girardet,
rue de l'Egoût, faubourg Germain.
737. J.-B. Féline attendant au guichet de sa prison,
une lettre de son amie. A ses pieds est son
chien, compagnon fidelle de sa détention.
738. A.délaïde Dégen parvient, malgré la défense, à
faire passer quelques alimens à Féline.
FIN.
Nogent-le-Rotroii, imprimerie de A. Gouverneur.
EXPOSITION
DE 1800
XLIl
COLLECTION
DES
LIVRETS
DES
ANCIENNES EXPOSITIONS
DEPUIS 1673 jusqu'en 1800
EXPOSITION DE 1800
H(»-<a^«-
PARIS
LIEPMANNSSOHN, ÉDITEUR
II, rue des Saints-Pères
JANVIER 1872
NOMBRE DU TIRAGE
DU LIVRET DE 180O.
375 exemplaires sur papier vergé.
2b — sur papier de Hollande.
lo — sur chine.
N°
Ce livret est vendu seul 4 fr.
NOTICE BIBLIOGRAPHIQUE.
Livret :
Deux éditions : La première a go p. et 65 1 n"'; la
seconde renferme un supplément de 6 p. et a par
conséquent 96 p. et looi n". Les numéros de chaque
série du livret commencent toujours à la centaine. La
peinture va ainsi de i à 387; la sculpture (p. 69) de
400 à45i; l'architecture (p. 79) de 5oo à 5 16; la gra-
vure (p. 83) de 600 à 65 1. Pour le supplément la
peinture commence à 700 et va jusqu'à 725; la sculp-
ture 800 et 801 ; l'architecture 900 et 901 ; enfin la
gravure 1000 et looi.
Critiques :
Journal de Paris : i5 fructidor an VIII et 4 ven-
dém. an IX (vers sur un tableau de C, Vernet).
(Esménard). Sur le salon de l'an VIII, 3o p. In-8°,
dans le Mercure de France.
Landon (Ch. Paul). Explication des ouvrages du
salon de l'an VIII. In-12.
Le verre cassé de Boilly et les croûtes en déroute
XLII I
— 6 —
ou nouvelle critique des objets de peinture et sculp-
ture exposés au salon, en prose, en vaudeville et en
vers. Paris, exposition de l'an IX. 1800, In-S".
(F. F.). Observations critiques sur quelques-uns
des tableaux les plus remarquables de l'Exposition
par ordre de numéros. Paris, Aubry, s. d. In-80.
Gilles et Arlequin au Muséum. A Paris, de l'imp. de
Jusseraud. In-8° de i5 p. N" i et 2. fig. gravées.
Jocrisse dans le Muséum des Arts, ou critique-folie
en prose et en vaudeville, des peintures, sculptures,
gravures, dessins, etc., qui y sont réunis. A Paris, à
l'Œil parfait, de Timprim. de Gouache. Exposition de
l'an VIII. 16 p. In-i2 (en prose et vers).
Arlequin au Muséum, aimez-vous les portraits, on
en trouve partout. Prix : 6 s. ou 3o c. In- 12, 24 p.
(s. 1. n. d.) avec un frontispice gravé à l'eau forte, re-
présentant Arlequin (en prose et en vers).
Le tableau des Sabines exposé publiquement au
palais national des Sciences et des Arts, salle de la ci-
devant Académie d'Arcliitecture, par le G'" David,
membre de l'Institut national à Paris. De l'imprimerie
de Didot, an VIII, 16 p.
L'exposition de 1800 a en outre été l'objet de deux
gravures représentant chacune deux côtés du Salon
carré du Louvre pendant l'Exposition. Ces estampes à
l'eau-forte, assez noires d'aspect, portent ce titre : «Vue
des ouvrages de peinture des Artistes vivans, exposés
au Musée central des Arts en l'an VIII de la R. F. —
Dessiné et gravé par Monsaldy et Devisme. «
On nous a assuré que les mêmes artistes avaient
reproduit d'autres Expositions de cette époque; mais
nous n'avons pu en retrouver l'indication exacte et le
Cabinet des Estampes n'en possède pas d'exemplaire.
EXPLICATION
DES OUVRAGES
DE PEINTURE ET DESSINS,
SCULPTURE,
ARCHITECTURE ET GRAVURE,
DES ARTISTES VIVANS,
Exposés au Muséum central des Arts, d'après l'Arrêté
du Ministre de l'Intérieur, le i5 Fructidor,
an VIII de la République Française.
Le prix de ce Livret est de yS centimes.
A PARIS,
De l'Imprimerie des Sciences et Arts,
rue et butte des Moulins, N' 5oo.
An VIII de la République.
AVIS.
Afin de prémunir le Public contre l'abus qui existe
au-dehors du Muséum, où l'on yevend ce Livret au-
dessus de son prix, l'Administration prévient qu'elle
ne le fait débiter que dans l'intérieur du Musée.
Elle annonce aussi que, dans la même intention,
elle a établi sur le pallier du grand escalier, près la
porte du Salon, des préposés attachés au Musée, aux-
quels on peut avec sûreté confier les cannes, sabres,
manteaux , parapluies , qu'il est nécessaire de déposer
avant d'entrer.
- 9 -
AVERTISSEMENT.
Ce Livret contient quatre divisions indiquées en titre,
ainsi qu'au haut des pages, par l'un de ces mots :
Peinture, Sculpture, Architecture, Gravure.
Les Dessins sont compris dans la division de la
Peinture.
Dans chacune des quatre divisions , on a placé par
ordre alphabétique le nom des Artistes.
Le nom cité en tête de la notice des ouvrages d'un
Artiste, indiquant asse:{ qu'ils ont été faits par lui., on
s'est abstenu de toute autre explication.
S'il existe dans ce Livret des omissiotjs de prénoms,
de demeure, du lieu de la naissance de l'Artiste, du
nom de son Maître, ainsi que sur la propriété de l'ou-
vrage, c'est que romission existait dans la notice
envoyée.
Les retards trop habituels dans l'envoi des ouvrages
ÏLII I*
— lO —
et même des notices, pourront nécessiter un supplé-
ment; dans ce cas, le Lecteur observera que les plus
hauts numéros sont ceux qu'il faut chercher dans la
partie additionnelle qui se trouve à la fin du Livret.
«i
EXPLICATION
Des Ouvrages de Peinture, Sculpture, Architeâure,
Gravure, Dessins, Modèles, etc., des Artistes
vivans, exposés dans le Salon du Musée central
des Arts, le ib Fructidor an VIII de la Répu-
blique.
PEINTURE.
A bel (Louis), né à Liancourt, élève
du C. Guérin,
rue du Hclder, ci-devant cul-de-sac Taitbout, n" 4.
I. Trois portraits en miniature, dont l'un du Citoy.
Hugot l'aîné, artiste du Théâtre Feydeau.
Alexandre (Louis), né à Reims, département
de la Marne,
rue du Renard Sauveur, n" 20.
2. Portrait du général Grouchy.
3. Portrait de l'auteur.
Allin, élève de Baltazard, né à Stenay,
dép. de la Meuse,
rue des Blancs-Manteaux, cul -de-sac Pecouay.
4. Plusieurs portraits peints, sous le même n".
1 2 Peinture.
Ansiaux (J.), né à Liège, dép. de l'Ourthe,
élève de Vincent,
rue d'Angivilliers, n° i55.
5. Portrait en pied de Mlle M..., artiste du Théâtre-
Français de la République.
Aubry (Louis), né à Paris, élève des Citoyens
Vincent et Isabey,
rue Neuve des Petits-Champs, n" 40.
6. Deux portraits en miniature.
Augustin (Jean-B.),
place des Victoires, n" i5.
7. Un cadre renfermant diverses miniatures.
Augustin dit Dubourg.
8. Une femme à sa toilette. Miniature.
Au:fOU, née Desmarquest (M""), élève
du C. Regnault,
rue d'Anjou, au Marais, n" ii.
g. Le portrait en pied du C. Regnault.
jo. Un portrait de femme, préludant sur le piano.
1 1 . Un autre portrait de femme.
Bâcler Dalbe, né à S.-Paul, dép. du Pas-de-Calais,
peintre et ingénieur géographe.
Rue des Moulins, n° 542.
Tableaux à gouache.
12. Paysage ovale, avec figures.
Peinture. i3
i3. Deux paysages, sous le même n°, vues d'Italie.
14. Vue du glacier de la Drance, près du grand Saint-
Bernard.
1 5. Vue de la caverne de Balme , dans le Mont-Blanc.
16. La bataille de Lodi.
17. Le passage du Pô.
Ces deux tableaux ont été peints en Italie,
sous les yeux du général Bonaparte, à qui l'au-
teur était attaché. Ils faisaient partie de la col-
lection de Batailles, dont les dessins ont été
enlevés à l'auteur , lors de la retraite de
Milan.
Barraband, né à Aubusson, dép. de la Creuse,
élève du C. Malaine,
quai des Ormes, au coin de la rue des Nonandières.
18. Une corbeille de fleurs, avec un vase d'or, posés
sur une table de marbre.
Ce tableau appartient à l'auteur.
Bertaux (Jacques),
rue de Fourcy, n° 7.
19. Bataille de Pultava, gagnée par le czar Pierre-le-
Grand, sur Charles XII, roi de Suède, Histoire
de Charles XII, par Voltaire.
20. Attaque d'un convoi par des hussards,
Bertin (J.-V.), né à Paris, élève
de Valenciennes,
rue Montmartre, n" 253, près le passage
du Saumon.
14 Peinture.
Tableaux, Paysages.
21. Site romantique, éclairé à l'heure de midi, figures
et animaux sur ditïérens plans.
22. Un paysage éclairé au matin. Sur le premier plan
deux bergers, Daphnis et Philis, prétendent
au prix du chant; le vieux Palémon est leur
juge.
23. Un intérieur de forêt, soleil couchant; sur le
devant, un tombeau; deux époux y conduisent
leur fils.
24. Deux pendans ronds : une matinée et un soir.
25. Deux petits tableaux faisant pendans : un abreu-
voir, et l'extérieur d'un parc.
Dessins.
26. Dessin sur papier de couleur : site pittoresque.
27. Deux autres, faisant pendans : une entrée de
forêt et un clair de lune.
Berthon, élève de David,
rue des Droits de l'Homme, n° 55.
28. Un portrait d'homme.
Bertrand (Guillaume), élève de Carie Vanloo
et Halle,
rue du Marché-Palu, près le Petit-Pont, n" 9.
Tableaux.
2g. Une vue du Petit-Châtelet, prise du côté du nord,
et d'un troisième étage.
3o. Un héron mort, suspendu à une ficelle.
Peinture. i5
Besson (Alex.-Ch.), inspecteur des Mines,
rue du Coq-Honoré, n" 122.
3 1. Quatre dessins de cartes topographiques, dont
trois de pays couverts de rochers et de monta-
gnes ; la quatrième, d'un port de mer.
Mme Binart (Adélaïde), femme Lenoir,
née à Paris.
32. Portrait du.C. Sage, démonstrateur de chimie à la
Monnaie.
Boessey (Mlle), née à Lisieux, départ, du Calvados,
élève du C. Corneille Van Spaendonck.
rue de Varennes, n° 460.
33. Un dessin à la gouache, représentant des fleurs
dans une corbeille posée sur une table de marbre.
Boguet, peintre français, établi en Italie.
34. Vue du lac de Nemi, près de Rome, prise au soleil
couchant.
Boilly (Louis),
rue du faubourg Denis, près le Boulevard,
la 2" porte cochère à gauche.
35. Un intérieur d'atelier de peinture.
36. Une femme assise près d'un poêle, occupée de son
ménage.
37. Portrait du C. Boïeldieu, compositeur.
38. Un trompe l'œil.
39. Plusieurs portraits, sous le même n", faits chacun
en une jséance de deux heures.
i6 Peinture.
Bonnemaison,
au jardin des Capucines, en face le Panorama.
40. Etude d'après nature.
Une femme âgée et son petit-fils, après avoir
perdu leur fortune, et par suite leurs amis, se
trouvant dans l'impossibilité de gagner leur
vie, sont contraints d'implorer la pitié des
passans.
41. Un portrait.
Bonvoisin (Jean), né à Paris, élève de Callet,
Doyen, et à Rome, sous la direction
du C. Vien,
au Palais national des Sciences et des Arts.
Tableau allégorique.
42. L'Homme délivré de l'esclavage.'
Comme ce n'est qu'à l'aide de la Raison et
du génie de la Liberté, que l'Homme, asservi
par le Despotisme, peut retrouver dans la Na-
ture ses droits usurpés, et sortir enfin de l'es-
clavage, le peintre a tâché de rendre sensible,
par une allégorie, cette vérité à laquelle nous
devons notre révolution , en représentant
l'Homme esclave, conduit vers la Nature par
la Raison et le génie de la Liberté; la Nature
lui montre les Droits de l'Homme; la Raison
les lui fait connaître, en soulevant le bandeau
qu'il a sur les yeux; et le Génie de la Liberté
lui donne la force de briser ses fers. Le fond
représente le séjour de la Nature, et les quatre
Elémens y sont indiqués par un volcan en
i
Peinture. i-j
éruption, un aigle planant dans l'air, une chute
d'eau, et diverses productions de la terre.
Ce Tableau est un des travaux d'encourage-
ment décrétés par l'Assemblée constituante.
Boquet (Pierre-Jean), né à Paris, élève de Le Prince,
chez le C. Schall,
au Palais national des Sciences et des Arts.
43. Deux paysages faisant pendans.
44. Une forêt avec figures et animaux; sur le devant,
des femmes se disposant à entrer dans l'eau,
un homme les observe sans être vu.
45. Un site montagneux, avec chute d'eau, des voya-
geurs, un pâtre; et, sur le devant, plusieurs
figures et animaux.
Ces tableaux appartiennent à l'auteur.
Bosset (Jean-Frédéric),
Quai des Orfèvres, n° 24.
4G. Un cadre renfermant plusieurs portraits en minia-
ture.
Bouché (L.-A.-G.), élève de David,
Faubourg Montmartre, à la Boule rouge.
47. Un Spartiate, donnant des armes à son fils, lui
fait jurer, devant ses Dieux pénates, de défen-
dre sa patrie.
Bouchon,
rue des Fossés-du-Temple, n" 134.
î. Le portrait de Thomas Tome, grenadier.
XLII
) 8 Peinture.
Bouilliard,
rue Thomas, n° 720.
4g. Quatre portraits à la gouache.
Bounieu (Emilie), Mlle, élève de son père,
rue de Paradis, n" 55.
5o. Hélène, occupée à broder, voit arriver Laodice.
5i. Une tête de jeune garçon. Miniature.
Bourgeois (Constant), né à Guiscard,
départ, de l'Oise,
au Palais national des Sciences et des Arts,
pavillon du Télégraphe.
62. Six dessins du Panorama, ou vue de Toulon et
de ses environs, au moment du départ de l'es-
cadre commandée par Buonaparte, pour l'expé-
dition d'Egypte. Le vaisseau amiral est encore
à l'ancre, signalant les différentes divisions.
Ces Dessins appartiennent à l'auteur.
Bourgeois (Charles), élève du C. Kimly,
né à Amiens,
rue des Moulins, n° 53o.
53. Plusieurs portraits et têtes d'étude, sous le même
numéro.
54. Portrait du citoyen Josse, chimiste.
Nota. — Ce portrait a été peint avec les
couleurs fabriquées par le C. Josse, chimiste
de la Manufacture de Porcelaine de la rue
Amelot, n" 9.
Peunture. 19
Broc, élevé de David,
chez le C. David,
au Palais national des Sciences et des Arts.
35. L'Ecole d'Apelles.
Tableau de 4 m. 70 c, sur 4 m. 2S c.
Brwi (Nicolas-Antoine), né à Beauvais,
élève du C. Vincent,
rue de Tracy, n° 6.
56. Portrait d'un jeune homme, dans son cabinet,
tenant une lettre.
57. Une jeune personne agenouillée et distraite, fai-
sant l'offrande d'un cierge à S.-Nicolas.
Bruyère (M'"^), élève du citoy. Lebarbier,
son père.
58. Portrait du citoyen Lebarbier.
5g. Trois autres portraits, sous le même numéro.
60. L'Amitié qui console l'Amour.
61. Deux miniatures, sous le même n°.
Buguet (Henri) , né à Fresne.
62. Un portrait en pied, représentant le Cit. Campan
fils
Callet ,
Membre de la ci-devant Académie de peinture,
au Palais national des Sciences et des Arts.
63. Tableau allégorique du 18 Brumaire an 8, ou la
France sauvée.
20 Peinture.
Nota. — Ce Tableau ne sera exposé que peu
de jours, l'auteur s'occupant à l'exécuter en
grand.
64. Une esquisse de la bataille de Maringo.
Un portrait, sous le même numéro.
Capet (Gabrielle), Mme, née à Lyon, élève
de M'"'' Vincent, ci-devant Guyard,
cour du Palais national des Sciences et des Arts.
65. Portrait de Madame D...,, tenant son enfant dans
ses bras.
66. Portrait de Mademoiselle Mars aînée, artiste du
Théâtre de la République.
67. Portrait du G. Houdon, sculpteur, mem.brc de
l'Institut national, travaillant un bronze de
Voltaire. Miniature, quart de nature.
68. Portrait d'une femme âgée tenant un livre.
69. Plusieurs portraits, sous le même n".
Caraffe (A.), élève de Lagrenée,
place de l'Estrapade, n" 979.
Tableau.
70. L'Amour abandonné de la Jeunesse et des
Grâces, se console, dans le sein de l'Amitié,
des outrages du Temps.
Deux esquisses.
71. La mort de Philopemen, au G. Chenard.
72. L'Espérance soutient le mallieureux jusqu'au
tombeau.
73. Plusieurs portraits, sous le même n".
Dessins.
74. I. Une esclave apporte à une dame du Caire, le
Peinture. .: i
pain quotidien que son amie lui a laisse en
mourant, dans l'intention, par ce bienfait, en
apparence léger, de se rappeler tous les jours
à son souvenir, et de la garantir du besoin
dont la plus brillante fortune ne met pas tou-
jours à l'abri.
-jb. 1. Un Musulman, dans un naufrage, cherchait à
diriger la planche sur laquelle une mère effrayée
flottait au hasard avec son enfant. Cette infor-
tunée, incertaine du dessein de son bienfaiteur,
lui emporte le pouce d'un coup de dent. Celui-
ci, malgré l'excès de la douleur, lui pardonne
sa méprise et- la sauve de la fureur des flots.
76. 3. La prison, les supplices.
77. 4. Le salut, les devoirs de l'hospitalité.
Le tout appartient à l'artiste.
Castellan, élève du C. Valenciennes,
rue de Grammont, n° 21.
78. Vue de la ville d'Athènes et de ses principaux
monumens, prise de l'entrée des Jardins de
l'Académie.
C'était dans les Jardins de l'Académie que
Platon donnait ses leçons à ses disciples. —
Diogène apporte, sous son manteau, un coq
en vie et sans plumes, et le jette au milieu de
l'assemblée, disant : Voilà l'homme de Platon,
Il voulait démontrer que la définition que
Platon avait faite de l'homme (un animal à
deux pieds, sans plumes) n'était pas exacte.
(Voyage d'Anacharsis, 2' vol.).
79. Deux études faites d'après nature, à Luciennes.
XLII 2*
22 Peinture.
Cajin (Jean-Baptiste-Louis), né à Paris,
élève du C. Jollain,
au Palais national des Sciences et des Arts.
80. Vue de l'intérieur d'une grande voûte sur le bord
de la Seine, communiquant de la première
arche du pont Notre-Dame, à celle du pont au
Change. Sur la gauche, un percé de ciel laisse
apercevoir les anciennes tours du palais de
Justice.
81. Vue d'une partie de l'église des Bernardins de Paris,
et de diverses constructions subsistantes avant
son entière destruction.
Ces deux Tableaux appartiennent à l'auteur.
Challiou (P.-J.),
cloître Benoît, n° 35o.
Deux dessins faisant pendans, sujets tirés de
l'Enéide.
1. Hélène, s'étant retirée dans le temple de
Vesta, pendant l'embrasement de Troyes, est
secourue par Vénus, au moment où Enée allait
l'immoler à la vengeance de sa patrie, dont
elle avait causé les malheurs.
2. Enée et Didon, étant à la chasse, sont
surpris par un orage; ils se retirent dans la
même grotte. Aussitôt les célestes feux éclai-
rent leurs amours et servent de flambeau à
l'Hymen.
Peinture. 23
Chancourtois Beguyer (Louisj,
élève du C. Peyre ,
rue Sulpice, n° 565.
83. Vue du pont et du temple dit de la Sybille, à
Tivoli.
84. Deux tablettes renfermant douze petites vues de
Rome, de Naples et des environs.
Charpentier (M°"=) ,
rue du Théâtre-Français, n° 17.
85. Portrait de M""' Delille, artiste de l'Odéon.
86. Portrait d'une petite fille.
87. Plusieurs portraits, sous le même n°.
Chatillon,
rue Florentin, n" 6.
88. Une tête d'expression, grande miniature.
8g. Plusieurs autres portraits en miniature, sous le
même numéro.
M""= Chaudet,
place du Muséum,
go. Un déjeûné d'enfans.
gi. Une petite fille jouant avec un chat.
g2. Une jeune femme occupée à coudre.
g3. Deux portraits, sous le même n".
Cloquet (Jean-Baptiste), né à Fontainebleau, pro-
fesseur de dessin à l'Ecole des mines,
élève des citoyens Rousseau et Lespinasse,
rue du Vieux-Colombier, maison dite des Orphelins.
24 Peinture.
Dessins sous le même n°.
94. I. Deux morceaux lavés à l'encre de la Chine, re-
présentant les projections perspectives de diffé-
rens solides réguliers, et de leurs ombres cau-
sées par la lumière du soleil.
2. Vue générale de la Vallée des lacs de
Natron, de celle du fleuve sans eau, et d'une
partie du désert de Lybie. La base de ce des-
sin est d'environ 2400 mètres; il est fait de
réminiscence, et d'après le mémoire du général
Andréossi.
3. Vue du couvent cophte, appelé Zaïdi et
Baramons, situé dans la vallée des lacs de
Natron.
4. La vue d'une partie du Delta et de la mos-
quée d'Abou-Mandour.
Nota. — Ces deux dernières vues ont été
faites d'après les croquis dessinés sur les lieux
en 1777, par l'auteur.
Colon, né à Vézelay, départ, de l'Yonne,
rue du Temple, n° Sg.
95. Vue des ruines du Château d'Harcourt.
Nota. — Voyez ce qu'en dit le C. Bernardin
de St-Pierre, dans ses Etudes de la Nature.
96. Effet de nuit.
Collot, élève des CC. Vincent et David,
rue de Varennes. n" 426.
97. Un tableau, grand paysage.
Peinture.
Combette (Joscph-Marcellin), né à Nozeroy,
élève du C. Dejoux,
rue Poupée, n. i3.
98. Deux portraits d'homme, sous le même n°.
Courteille ,
cour Abbatiale, n" 1129, faubourg Germain.
99. Sapho à Leucade , déplore l'insensibilité de
Phaon.
Ce tableau appartient à l'auteur.
Crépin (Louis), né à Paris, élève du C. Regnault,
rue Neuve des Bons-Enfans, n" 6 et i3i2,
100. Une figure d'étude de grandeur naturelle, repré-
sentant lo (Métam. d'Ovide).
10 1. Un port de mer où l'on voit des vaisseaux en
construction, un atelier de sculpteurs, où plu-
sieurs sont occupés, à travailler la figure qui
doit orner la proue d'un vaisseau du premier
rang.
102. Un site montagneux, le matin : on voit sur le
devant des pêcheurs qui débarquent les pois-
sons que des femmes se partagent.
Dabos (Laurent), né à Toulouse,
élève du C. Vincent ,
rue de la Loi, vis-à-vis celle Villedot , n" i256.
Tableaux.
io3. L'Infortune.
104. Une marchande de poissons, tenant à sa main
une anguille.
Peinture. 26
io3. Poi'trait du C. C... fixant avec satisfaction le
buste du héros de la France.
106. Portrait du G. Crétu père.
Les deux premiers tableaux appartiennent
à l'artiste.
Dalvimart (Octavien), né à Paris.
107. Divers dessins faisant partie d'une collection qui
devait servir au Voyage pittoresque de l'Empire
ottoman.
M""= Davin (née Mirvault), née à Paris,
élève des CC. Suvée et Augustin,
rue des Filles-St-Thomas, n"" 3 et 56.
Miniatures.
108. Un enfant dans un paysage.
109. Une jeune personne affligée du sort de Clarisse,
dont elle lit le testament.
Tableaux, Portraits,
iio. Un tableau de famille.
111. Portrait de la C°°...
112. Portrait de la G""...
Delarive (Pierre), né à Genève,
rue de Gléry, n° g5.
11 3. Un intérieur de village.
1 14. Le devant d'une auberge.
11 5. Vue de la vallée de Salenches, près du Mont-
Blanc.
116. Vue de la vallée de Feverges, dans le Mont-
Blanc.
117. Deux dessins. Paysages.
Peinture. 27
Demarne. né à Bruxelles, ci-devant agréé
de l'Académie de peinture.
Tableaux.
1 18. Des animaux.
iig. Une grande route.
120. Une grande route.
121. Un âne mort.
122. Une bataille.
123. Une scène de voleurs.
Deperthes (Jean-Baptiste), né à Reims,
élève du C. Valenciennes,
rue Pavée André-des-Arts. n» i.
124. Le lever de la lune, paysage.
Deshayes (Jean-Eléazar), né à Paris,
élève de Schmidt,
rue Rochechouard, n" 660.
125. Un paysage représentant une offrande à Cérès.
Devouge, élève des CC. Regnault
et David.
1 26. Plusieurs portraits, sous le même no.
Doix (François-Joseph-Aloyse) , né à Paris,
âgé de 23 ans ,
rue Nicaise, n" g.
127. Un paysage, soleil couchant.
128. Deux paysages, soleil couchant, et soleil
levant.
129. Deux paysages, d'après nature.
28 Peinture.
M"* Doucet Siiriny, née à Lyon ,
boulevard St-Martin, n° 70.
i3o. Un cadre renfermant plusieurs portraits en mi-
niature.
Droîing, né à Oberbergheim,
rue de la Révolution, à côté de la Marine, n» 686.
i3i. Portrait d'une jeune femme faisant sécher des
plantes.
i32. Un musicien ambulant.
i33. Un jeune homme lisant la Bible à une fenêtre,
par laquelle on voit une partie de la place
Vendôme.
1 34. Portrait de l'auteur.
Dumont (François), né à Lunéville, élève
de Girardet,
aux Galeries du Muséum, rue des Orties, n° 5.
i35. Un cadre renfermant plusieurs portraits en mi-
niature, entr'autres celui du G. ûuvivier, gra-
veur de médailles.
Dumont (Nicolas-Antoine), né à Lunéville,
élève de F. Dumont, son frère,
faubourg Poissonnière, n° 20.
i36. L'adjudant-général Doucet, chef de l'état-major
de la place de Paris.
iSy. Portrait d'homme.
Peinture. 29
Dunouy, élevé de Briard ,
faub. Denis, au-dessus de la foire Laurent,
n» 55.
i38. Plusieurs études d'après nature, prises à Villers-
Paul et Hyères.
Duval (Eustache-François), élève de Hue,
rue Louis, près le Palais de Justice, n" 5.
iSg. Un paysage et animaux.
140. Plusieurs portraits, sous le même n°.
Favart (M""), élève du C. Bachelier,
rue du Lycée, n° 1086, au Palais du Tribunal.
141. Portrait de feu le C. Favart père, composant sa
comédie de l'Anglais à Bordaux. C'est à l'ins-
tant où il trouve les vers suivans :
Tandis que tristement ce globe qui balance
Me fait compter les pas de la mort qui s'avance,
Le français, entraîné par de légers désirs,
Ne voit sur ce cadran qu'un cercle de plaisirs.
142. Le portrait de M"»^ de Montalembert posant deux
vers au buste de son mari.
143. Portrait en pied du C. N
144. Plusieurs autres portraits sous le même nu-
méro.
Fleury, élève du C. Regnault,
rue de Chartres, n» 347.
145. L'enlèvement d'Hélène du temple de Diane, par
Thésée et Pirrithoûs.
XLII 3
3o Peinture.
Foisil (Zosime-René),
rue neuve de la Fontaine.
146. Paysage historique, sujet tiré de l'opéra d'Ana-
créon.
C'est le moment où Anacréon fait embar-
quer le jeune Olphile, pour le soustraire aux
fureurs et aux poursuites du roi Policrate dont
il a épousé en secret la fille nommée Anaïs.
Elle est sur le devant du tableau, saisie de
crainte et de frayeur, pressant tendrement entre
ses bras un fils, fruit de ses amours.
Fontaine (Jean-Michel-Denis, dit la),
né à Rambouillet,
rue Honoré, n° 22, près la barrière des Sergens.
147. Vue ajustée des tombeaux du troisième acte de
l'opéra de Roméo et Juliette , au théâtre Fay-
deau. Gouache, figures par Mongin.
Appartenant à l'auteur.
Fortin (Auguste), né à Aix, élève du C. David.
148. Un paysage.
14g. Un intérieur de chapelle.
Fragonard fils,
aux Galeries du Louvre.
Dessins.
I 5o. Le portrait de la G"'' D...
i5i. Un tableau.
Peinture.
François (Charles-Philibert), né à Chàions-
sur-Marne,
place de l'Ecole, n" 44.
ibi. Portrait de l'auteur, à gouache, et verni.
i53. Tète de femme, à gouache, sans vernis.
Cette tête appartient à l'artiste.
154. Un petit portrait d'homme.
François (H.-F.),
né à Luxembourg ,
i55. Trois petits portraits sous le même numéro.
Freund (Ph.),
rue Xaintonge au Marais, n" i3.
i56. Deux petits paysages.
Garnerey, né à Paris,
rue du Croissant, n° 18.
lôy. Portrait en pied du C. D..; genre flamand.
i58. Deux bustes ovales, sous le même n°.
Garnier (Etienne-Barthélemi),
né à Paris,
au Palais national des Sciences et des Arts.
159. La consternation de la famille de Priam après la
mort d'Hector.
Acliille, vainqueur près des sources du Sca-
mandre, retourne au camp, traînant à son char
le corps d'Hector dans les rangs des grecs,
accourant en foule pour contempler cette vie-
32 Peinture.
toire. Quelques-uns, ne pouvant se contenir,
outragent les restes de celui qui eut la gloire
d'embraser leurs vaisseaux.
Les cris et les gémissemens dont retentit la
ville de Troyes, ont redoublé l'inquiétude d'An-
dromaque. Suivie de deux femmes et de son
fils Astyanax, elle court et monte sur le rem-
part, au-dessus des portes Scées, s'avance au
milieu des soldats, dirige de tous côtés ses
regards : elle aperçoit le char et les rapides
coursiers traînant le corps de son époux devant
les murailles! Aussitôt ses yeux se couvrent
d'un épais nuage; elle tombe évanouie entre
les bras de ses femmes, qui s'empressent de
la secourir; les soldats même lui rendent des
soins.
Hécube , succombant à sa douleur, reste
abattue sur les degrés du rempart, persécutée
par l'image de la barbarie exercée sur ce fils
qu'elle vient de voir périr victime de son cou-
rage. Elle avait épuisé les plus touchantes
prières pour l'engager à ne pas s'exposer seul
contre Achille. — Hector, mon cher fils (s'était-
elle écriée, en découvrant son sein inondé de
larmes), rappelez-vous avec quels soins j'ap-
paisais vos cris dans votre enfance : rentrez
dans nos murs, et, par pitié pour moi, déro-
bez-vous à cet ennemi implacable. Elle déchire
ses vêtemens et s'arrache les cheveux. Sa fille
Laodice la presse dans ses bras pour modérer
les transports de son désespoir. Assise aux
pieds d'Hécube, Polyxène, la plus jeune de ses
Peinture. 33
filles, absorbée par le pressentiment des suites
d'un tel événement, paraît une victime dévouée
aux mânes d'Achille.
Paris, cause de cette guerre, se détourne et
se couvre les yeux pour échapper aux repro-
ches de tout ce qui l'environne.
Priam, saisi de trouble et d'indignation, veut
descendre pour aller réclamer le corps de son
fils. Il s'oppose aux conseils de ses amis, qui
s'efforcent de le retenir. Laissez-moi (dit-il)
sortir de ces murs : j'irai seul supplier cet
homme terrible, dont la fureur n'a point de
bornes-, mon extrême vieillesse lui rappellera
peut-être le souvenir de son père, et lui inspi-
rera du respect et de la compassion.
Panthéus, prêtre d'Apollon, est aux pieds de
Priam, et l'arrête par son manteau : Antenor
représente à ce père infortuné les périls aux-
quels il va livrer sa personne et tout son
peuple. Auprès, sont Ucalégon, Clytius, fils de
Laomédon. Cassandre, éperdue, ne pouvant
obtenir de confiance, se précipite sur les genoux
de son père pour lui fermer le passage. Polyda-
mas et un autre chef de Troyens se prosternent
devant lui, et le supplient de ne pas les aban-
donner. (Iliade, Chant XXII.)
Ce tableau, de 6 m. sur 4 m. 3o c, appar-
tient au Gouvernement.
Garriques, élève du C. Vincent,
rue de Bourgogne, n" 1465.
160. Un portrait. Dessin.
XLII
34 Peinture.
Gaudar (Alphonse), né à Bourges,
élève du C. Vincent,
rue Caumartin, n" 23.
i6i. Ciparisse, jeune chasseur de l'île de Cos, pleure
un faon qu'il chérissait, et qu'il avait tué par
mégarde. (Métamorphoses d'Ovide.)
Gauiherot (Claude), né à Paris,
élève de David,
rue de la Vrillière, maison de l'Envoi des lois.
162. Pyrame et Thisbé. (Métamorphoses d'Ovide,
livre 4.)
Ce tableau appartient à l'auteur.
i63. Portrait du Citoyen ...., hussard de Chamboran.
Genain,
aux ci-devant Carmes de la place Maubcrt.
Dessins à l'aquarelle.
164. Les ruines d'un château d'eau et d'un aqueduc.
i65. Un parc.
GenilliGn, dessinateur des côtes de la marine,
au Palais national des Sciences et des Arts.
166. Vue du château St-Ange, au moment oii les
Français l'occupaient.
Cette vue est prise au-dessous du port de
Ripeta : dans le fond on voit le dôme de St-
Pierre, le Vatican jusqu'au Belvédère.
Peinture. 35
Girodety élève du G. David,
au Palais des Sciences et des Arts.
Tableaux.
167. Portrait du G. B...
168. Portrait de M"»"...
169. Un jeune enfant étudiant son rudiment-
Dessins.
170. Un cadre renfermant cinq dessins, sujets tirés de
l'Andromaque de Racine.
1. Oreste vient, de la part des grecs, demander
à Pyrrhus qu'il lui livre Astianax.
2. Entrevue d'Oreste et d'Hermione.
3. Pyrrhus ordonne à Andromaque d'aller
l'attendre au temple où il doit l'épouser.
4. Hermione abandonnée de Pyrrhus, le me-
nace de sa vengeance.
5. Oreste , après avoir tué Pyrrhus par
l'ordre d'Hermione, se présente à elle : Her-
mione lui reproche son crime.
Ces dessins appartiennent au G. Didot aîné,
et sont destinés à la nouvelle édition in-folio
des Œuvres de Racine qu'il prépare, actuelle-
ment sous presse.
Godefroy (Marie-Eléonorc), née à Paris, élève
d'Isabey , et enseignant le dessin dans l'institut
de M"' Gampan, à St-Germain-en-Laye.
171. Portrait d'une jeune personne à son piano.
Dessin. ^^
Granet (Marius) , né à Aix,
élève de David,
172. Trois intérieurs d'églises souterraines.
174-
36 Peinture.
Greu^e (J.-B.),
rue Basse-Denis, n° 14.
173. Le départ pour la chasse.
Portrait du C.*** et de sa femme, dans un
paysage.
Deux tableaux faisant pendans. Même nu-
méro,
/ Un enfant hésitant de toucher un oiseau, dans
^ la crainte qu'il ne soit mort.
) Une jeune femme se disposant à écrire une
V lettre d'amour.
Ces deux tableaux appartiennent au Cit. de
l'Epine, horloger.
175. Portrait. Une jeune tille préludant sur un forte-
piano.
176. Deux portraits d'hommes. Même numéro.
177. Trois têtes de difiérens caractères. Même nu-
méro.
La peur de l'orage.
La crainte et le désir.
Le sommeil.
178. Deux pendans. Même numéro.
L'Innocence tenant deux pigeons.
Une jeune fille bouchant ses oreilles pour ne
pas entendre ce qu'on lui dit.
Guet in (Jean), né à Strasbourg,
quai Voltaire, n° i3.
179. Deux portraits, sous le même numéro.
180. Un cadre renfermant plusieurs miniatures.
Peinture. 3 7
Harriet (Fulcran-Jean), élève du C. David,
et pensionnaire de l'Ecole des arts, à Rome,
rue Germain-l'Auxerrois, n" i3.
181. Virgile mourant.
Virgile mourut dans cet âge où l'homme de
génie peut le mieux produire des ouvrages
parfaits, les forces de l'imagination étant ba-
lancées par un jugement sain et un goût
épuré. Ses derniers soupirs furent des pensées
poétiques.
L'auteur suppose que la Parque, ennemie du
genre humain, se fît un jeu cruel de le ravir
avant qu'il eût terminé son Enéide, un des
chefs-d'œuvre de l'esprit humain. Calliope
ne pouvant retenir son âme et son génie, est
prête à s'envoler en faisant un cri douloureux.
182. La mort de Raphaël, dessin allégorique.
Raphaël, peintre célèbre, aimait beaucoup
les femmes. S'étant livré inconsidérément au
plaisir, il tomba malade, et s'obstina à taire la
cause de son mal. Les médecins de ce tems-là
ne surent pas la deviner, et le saignèrent. II
en mourut âgé de 36 ans, laissant imparfait
son admirable tableau de la Transfiguration,
qui fut terminé par son élève Jules-Romain.
Ce dessin est l'esquisse d'un tableau que
l'auteur doit faire pour pendant à la mort de
Virgile. Il existe une grande conformité entre
ces deux hommes célèbres. Leurs ouvrages sont
pleins de correction, de simplicité et de grâces.
Tous deux ont laissé imparfait un chef-d'œuvre
de leur art.
38 Peinture.'
i83. Un portrait de femme.
Hemon (Jean-Marie), élève du C. Hue,
demeurant rue Antoine, n° i.
184. Un paysage orné défigures et animaux.
Ce tableau appartient à l'auteur.
Hennequin (Philippe-Auguste), de Lyon,
élève du C. David,
rue de Vaugirard, n° 820, aux ci-devant Carmes.
i85. Les remords d'Oreste.
La longue absence d'Oreste du palais de son
père, lui avait facilité les moyens de rentrer
dans Argos sans y être reconnu. Comme étran-
gers, Pilade et lui visitant les lieux chéris de
leur naissance, arrivent près d'une fontaine.
Là, ils aperçoivent une personne accablée par
l'affliction et la douleur; ils s'approchent d'elle
et Oreste lui demande des nouvelles d'Aga-
memnon, Clytemnestre son épouse, et d'Elec-
tre, leur fille chérie : il va même jusqu'à en
demander d'Oreste. C'est alors que les larmes
coulèrent de ses yeux et la firent reconnaître à
son frère qui ne tarda pas à se découvrir pour
le fils d'Agamemnon. Electre lui apprit aussitôt
les malheurs qu'elle avait éprouvés, et l'affreux
parricide que Clytemnestre avait commis sur
son mari pour épouser Egyste son amant.
Livré à la douleur la plus profonde, excité par
la vengeance que sa sœur alimente, Oreste pré-
pare tout pour immoler Clytemnestre aux
Peinture. 3 9
mânes d'Agamemnon. Déjà le moment est
arrivé : la main d'Oreste a frappé Clytem-
nestre n'est plus! Ce crime, qui révolte la
nature, les lois et les Dieux, trouble sans cesse
le repos d'Oreste. Poursuivi par ses remords,
qui le chassent et le retiennent, déchiré par
les furies qui l'accablent de coups, il ne peut
se cacher à lui-même. Sans cesse une d'elles est
occupée à lui montrer le poignard encore plongé
dans le sein maternel, spectacle affreux que
lui seul aperçoit, qu'il voudrait éviter, mais
que le sort le condamne à voir, jusqu'à ce
que les lois d'Athènes l'aient absous de son
crime.
Ce tableau a 5 m. 2 déc. de large, sur 3 m.
8 déc. de hauteur.
Hilaire Le dru,
rue des Fossés-Montmartre, n" 33.
18G. Etude d'une Querculane.
Nymphe des bois, dont la vie est attachée à
celle des chênes, à la conservation desquels
elles président particulièrement.
C'est avec d'inutiles efforts que celle-ci vou-
drait ne point se séparer de son écorce frappée
par la foudre.
187. Portrait du ci-devant chevalier de Boufflers.
188. Portrait de M-"» St-Aubin.
189. La mort de Latour-d' Auvergne.
Ce dessin est un prix d'encouragement obtenu
en l'an 7.
40 Peinture.
Honnet, élève de Regnault, et pensionnaire
de l'école des Beaux-Arts,
igo. Pyrame et Thisbé reconnus par leurs parens.
Hue.
191. Vue de la ville et du port de Granville, assiégés
par les Vendéens, au moment où ses habitans
dévouent la basse ville aux flammes, pour en
chasser les rebelles.
Ce tableau appartient au Gouvernement , et
fait suite à la collection des ports de la Ré-
publique.
192. Vue du goulet de la rade de Brest, prise au
soleil couchant au moment d'une tempête.
193. La vue d'un phare à la mer par un tems calme
au clair de la lune. On y voit des pêcheurs
occupés à faire cuire du poisson.
194. Un paysage agreste; on y voit Œdipe et Anti-
gone traversant un torrent sur un pont de
bois.
195. La vue d'un bois.
Huet (J.-B.) , membre de la ci-devant Académie
de peinture , né à Paris , élève
de feu J.-B. le Prince,
au Palais national des Sciences et des Arts.
Tableaux.
196. Deux moutons.
197. Vue d'un étang; on voit sur le devant des
laveuses.
198. Vue d'un four de Bougival, au soleil couchant.
Peinture. 41
199. Un pâtre gardant son troupeau.
200. Un paysage.
201. Deux petits tableaux d'animaux, sous le même
numéro.
Dessins.
202. Gouache représentant une étable.
203. Une marche d'animaux, dessin lavé à Thuile.
204. Vue d'un chêne d'après nature.
205. Dessin d'animaux et figures.
206. Un jeune taureau.
207. Trois paysages d'après nature, sous le même
numéro.
Huet (Villiers), né à Paris, élève
de son père,
au Palais national des Sciences et des Arts.
208. Un cadre renfermant diflerens tableaux et por-
traits en miniature, savoir :
209. Une famille préparant des fleurs pour une fête.
210. Une femme se reposant au pied d'un arbre.
2u. Une femme assise sous des lilas dans un jardin
anglais.
212. Une autre, idem, à l'entrée d'un bois.
2i3. Autres portraits.
Jousselin (Michel), né à Versailles,
élève de la Nature,
rue de Grenelle-Honoré, no 26.
214. Un paysage représentant l'extérieur d'une ferme,
à l'entrée d'une forêt.
42 Peinture.
Feu Julien (Simon), de Toulouse.
2 1 5. Titon et l'Aurore, au moment où la Déesse sort
des bras de son époux pour commencer dans
son char sa course qu'elle parsème de Heurs.
Nota. Ce tableau avait été fait pour la récep-
tion de l'auteur à la ci-devant Académie de
peinture, dont il était membre agréé; les cir-
constances avaient changé sa destination.
Il est à vendre. S'adresser au C. Turrel, notaire,
rue des Prouvaires, près St-Eustache.
■2 1 6. Jupiter endormi dans les bras de Junon sur le
mont Ida,
217. Figures académiques, sous le même n°, l'un un
Bacchus et l'autre un berger.
Dessins.
218. L'Etude qui repousse le Sommeil.
21 g. Vénus blessée par Diomède.
220. Le Qitos ego de Virgile, ou colère de Neptune
contre les vents.
221. Moïse recevant les tables de la loi sur le mont
Sinaï.
La Coupie (Marie-Philippe-Coupin), né à Sèvres,
élève de Le Guay et Girodet,
rue du Bacq, n» 558.
22. Deux dessins, sous le même n°.
Lafond, jeune, élève du C. Regnault,
rue Helvétius, n» 61.
i23. Supplice de Sextus Lucinius.
Gomme Marius sortait de sa maison, pour
Peinture. 4?
prendre possession de son septième consulat,
il trouva, sur son chemin, un sénateur nommé
Sextus Lucinius; il le fit prendre et précipiter
de la roche Tarpéienne.
Appian ajoute, que la femme de ce sénateur
se dévoua au même supplice, par amour pour
son mari, et par haine pour les férocités de
Marius.
Dans ces temps de calamités publiques, les
femmes et les enfans n'étaient point épargnés.
(Plutarque, Vie des Hommes illustres).
Lagrenée (Jean-Jacques), le jeune, né à Paris,
élève de Lagrenée l'aîné, son frère.
224. La muse Erato, tableau sur marbre.
225. La Victoire et la Paix, tableau collé sur glace,
les bordures décorées d'ornemens sous glace.
226. Frise en marbre, représentant deux Renommées.
Cette frise est faite par un procédé de l'in-
vention du C. Lagrenée. Il consiste à faire sur
marbre, en incrustation, toute sorte de dessins,
d'une manière presqu'indestructible et qui peut,
par conséquent, aller à la postérité la plus re-
culée. Une partie des belles inventions des
plus célèbres peintres de la Grèce, nous aurait
sans doute été transmise par ce moyen, tandis
qu'elles sont détruites.
227. Une esquisse représentant un triomphe.
228. Idem, représent, les enfans de Niobé, tuées par
Apollon et Latone.
44 Peinture.
Lagrénée (Athelme-Franç.) , fils de Lagrénée l'aîné,
né à Paris, élève de Vincent.
22g. Portrait d'un commissaire de marine.
230. Deux portraits d'homme, sous le même nu-
méro.
23 1. Un portrait de femme.
Peinture sous glace.
232. Un Grec conduisant un char orné de panneaux
d'arabesques sur fond d'or.
Ce genre de peinture peut s'adapter à toutes
sortes de meubles, tels que cabarets, guéridons,
frises d'appartemens, de voitures, etc.
233. Un cadre contenant des miniatures et des
camées.
234. Dessin à la sépia, rehaussé de blanc.
Un jeune Grec a été attaqué par un tigre ; il
est entraîné sur un pont trop faible, par son
cheval effrayé, qui tombe dans un torrent où
se désaltéraient deux lions qui se jettent sur
lui. Le jeune homme reste suspendu aux débris
du pont; le tigre, blessé, furieux, cherche à
s'élancer sur cet infortuné.
M-^ L. G.
235. Un tableau peint à l'huile, représentant des us-
tensiles de ménage.
Landon, élève de Regnault, pensionnaire de l'école
nationale des beaux arts,
au Palais national des Sciences et des Arts.
i36. Un sujet pastoral.
Peinture. 4?
Laneuville (J.-L.),
liôlcl Longueville, rue Thomas-du- Louvre.
sSy. Un portrait de famille, ovale.
M""' Laville Le Roulx, (M.-G.), femme Benoit,
élève du G. David.
238. Portrait d'une négresse.
Laurent (J.-A.), né à Bacarat, département
des Vosges,
rue Nicaise, n" 487.
iSg. Portrait en pied d'une femme portant son en-
fant. On la suppose aller au-devant de son
mari, qu'elle est sensée apercevoir dans l'éloi-
gnement.
140. Portrait d'un enfant, sous la figure de l'Amour,
se cachant avec ses armes dans le calice d'une
rose.
i4i. Portrait d'un jeune homme.
M°"^ Lebrun (Rosalie), femme Vaysse,
élève d'Isabey,
rue J.-J. Rousseau, hôtel Bullion.
242. Un cadre renfermant plusieurs portraits en mi-
niature, parmi lesquels se trouve le sauvage de
l'Aveyron.
Le Carpentier (L. -Benjamin), élève
du G. Gallet.
243. Un paysage.
XLII 4*
46 Peinture.
Leclerc, de Charmes, départ, des Vosges (J.-C).
Il a étudié seul jusqu'à présent,
rue Dominique, n" i5i4.
244. Un cadre renfermant les portraits en miniature
de l'Auteur de la manière d'instruire les aveu-
gles, d'une dame et de l'artiste.
Leguay (Etienne-Charles).
245. Plusieurs portraits en miniature, sur porcelaine
de la manufacture de Dihl, et sur ivoire.
[Vjrac Leguay (née Victoire Jaquotot), née à Paris,
élève de Leguay.
246. Deux études et un portrait. Dessins, sous le
même numéro.
Le Jeune, Aide-de-camp du général Berthier,
élève de Valenciennes.
i47. Vue, d'après nature, du siège et de l'embrasement
de Charleroi.
Le 7 Messidor an 2, on amena dans la
tranchée ouverte devant la ville de Charleroi,
un ballon captif qui , monté à une très-
grande hauteur, servit à découvrir toutes les
dispositions des assiégés pour la dclense de la
place.
Ils furent tellement découragés de voir que,
par le moyen du ballon, les Français avaient
acquis, en lisant pour ainsi dire dans leur
pensée, le moyen de déjouer les mesures que
Peinture. 47
leur fournissait l'art trompeur de la guerre,
que le commandant se vit forcé d'obéir à la
sommation qui lui fut faite de se rendre sur
l'heure à discrétion.
Le général en chef Jourdan, exigeait la
prompte reddition de la place, avec d'autant
plus de rigueur, que le ballon lui signalait,
dans le même instant, l'arrivée d'un corps
d'armée considérable, qui cherchait à faire
lever le siège, et qui, en arrivant, trouva non-
seulement la place rendue, mais encore que
l'on avait pris toutes les mesures qui ont assuré
la fameuse victoire de Fleurus, remportée le
lendemain par 60,000 Français, contre 80,000
Autrichiens.
C'est aux soins et au zèle du savant chimiste
Guyton de Morveau, alors représentant du
peuple, que l'on doit l'heureux emploi de
l'aërostat, comme machine de guerre, pour
tenir lieu, avec l'avantage de la mobilité, des
tours ou élévations que le général d'armée
désire toujours trouver près d'un champ de
bataille.
Depuis cette époque, peu de généraux ont
voulu se servir du ballon. Cependant, pour
prouver les grands avantages de cette machine,
qui met à même de combiner les mouvements
d'une armée d'après ceux de l'ennemi, il suffit
de comparer deux armées à un jeu d'échecs, et
dire : Que serait ce jeu, si un joueur ne voyait
que sa partie?
48 Peinture.
Le Monnier, né à Rouen,
peintre d'histoire,
au Palais national des Sciences et des Arts.
248. Un portrait en pied.
Lemoine, né à Rouen, élève de Latour,
rue Thévenot, n" 2.
249. Portrait du ministre de la marine.
250. Portrait de l'auteur.
25 1. Plusieurs portraits, sous le même numéro.
Lespinasse (L.-N.), membre de la ci-dcvanl
Académie, né à Pouilly, département
de la Nièvre.
252. Vue intérieure de Paris, prise de la maison ci-
devant Montbarray, à l'Arsenal.
Cette vue représente l'entrée de la rivière
dans la ville, le quai St-Bernard, le pont de la
TournelJe, partie de l'île de St-Louis, le quai
des Célestins, l'île Louviers, etc. Elle fera suite
à celles déjà connues et gravées par le Citoyen
Berteaux.
Leroy (F.), né à Liancourt ,
élève du C. Vien,
rue Villedot, n° 704.
253. Un capucin posant des scapulaires à des jeunes
filles.
254. Portrait en pied du C. Lefêvre.
Peinture. 40
Mlle Lorimier (Henriette), élève
du G. Rcgnault,
rue Fromentcau, n" 196, maison de G. Pajou.
255. Une tête d'après nature.
M"" Lousier (née M.-S. Goutouly) de Paris,
élève du G. Regnault,
rue du Temple, n° 24.
256. Un cadre renfermant plusieurs miniatures.
Mallet (Jean-Baptiste), né à Grasse,
département du Var, élève de Simon Julien,
rue du Marché-neuf, n° 28.
257. Un tableau représentant un antiquaire.
Marbel (Jean), né à Paris, élève de Greuze,
rue Meslée, n" 75.
258. Trois portraits, sous le même numéro.
Marchais (Pierre-Antoine),
rue de l'Eperon, n" 2.
259. Un paysage et des ruines.
260. Deux vues du bois de Boulogne, sous le même
numéro.
Mlle Mayer,
rue de la Loi, n" 904,
261. Portrait en pied d'un homme à son bureau.
5o Peinture.
Dessins à la manière noire.
262. Une femme assise sur un banc , fond de
paysage.
203. Un jeune homme représenté en chasseur.
Maupérin,
rue et place de l'Estrapade, n» i3.
264. Un portrait d'homme.
Menjaud (Alexandre), né à Paris,
faubourg Poissonnière, n» 6.
205. Ctésias régnait à Samos. Un prince de sa famille,
dévoré d'ambition, parvient à le renverser du
trône et à s'y asseoir. Pour assurer son auto-
rité , il le fit jeter en prison avec ses deux
cnfans, et les condamna à périr. Ces infortu-
nés viennent d'entendre leur arrêt; ils sont
dans l'attente de la mort ; le bruit des verroux
se fait entendre, la porte s'ouvre, leur supplice
est prêt.
Meynier (Charles), élève du C. Vincent,
au Palais national des Sciences et des Arts.
266. Télémaque, pressé par Mentor, quitte l'île de
Calypso , en se dégageant des bras de la
nymphe Eucharis qui cherche à le retenir au-
près d'elle.
Dans le même instant, Calypso arrive de la
chasse, accompagnée de plusieurs de ses nym-
phes. Elle est témoin des regrets des deux
Peinture. 5r
amans; une jalousie terrible et concentrée se
peint sur son visage.
Ce tableau appartient au C. Fulchiron.
267. Polymnie, muse qui préside à l'éloquence; elle
est représentée à la tribune, un diadème est
sur sa tête, un sceptre est à côté d'elle.
268. Erato, muse qui préside à la poésie lyrique; elle
est représentée par une jeune fille couronnée
de fleurs; elle trace, avec une des flèches de
l'amour, des vers qu'il semble lui inspirer.
Ces deux derniers tableaux servent à com-
pléter les neuf Muses , dont trois ont été
exposées il y a deux ans.
M"' Michaud (Joséphine-Antoinette),
femme Lodin, élève du C. Letellier,
rue Taitbout, n« 14.
26Q. Portrait d'homme.
Michel, né à Paris , élève de Taunay,
rue Lenoir, n° 467.
270. Un convoi militaire.
271. Une halte de cavalerie.
Mongin (P. -A.), né à Paris,
rue de Sèvres, n" 1104.
272. Marche d'artillerie traversant un gué.
Ce tableau appartient à l'auteur.
273. Une scène imitée de la Philosophie du bonheur.
274. Le passage du Danube par l'armée française, le
3o prairial an 8.
Ce dessin appartient au général Moreau.
52 Peinture.
Monsiau,
rue neuve des Petits-Champs, no 26.
275. Adonis partant pour la cliasse.
Vénus ne voulant pas se séparer de son cher
Adonis, et pressentant les dangers qu'il va
courir, employé et prières et caresses pour le
retenir auprès d'elle.
276. Eponime et Sahinus. Esquisse.
C'est le moment où cette vertueuse femme
vient rejoindre son mari dans le souterrain oîi il
s'était caché après la bataille qu'il perdit contre
Vespasien.
jVlmc Morin , élève du C. Lethiers,
rue neuve Augustin, maison des Petites-Affiches.
277. Une femme assise dans un jardin. Dessin.
278. Une femme tenant un enfant. Miniature.
279. Une tête, portrait à l'encaustique.
Munie (André-Jacques), élève du C. Demarne.
280. Un paysage d'après nature.
281. Un petit tableau représentant un enfant, et une
femme brodant à une fenêtre.
Noeh élève des citoyens Silvestre et Joseph
Vernet,
rue du Foin, n" ibb.
î82. Dix gouaches. Marines, dont plusieurs sites
sont pris sur les côtes d'Espagne et de Por-
tugal ;
Peinture. 53
Savoir :
283. Un clair de lune et une neige.
284. Une tempête.
285. Un calme.
286. Un coup de vent, dans une rade.
287. Un brouillard.
288. Un incendie.
289. Un gros tems de nuit, en pleine mer.
290. Engagement de plusieurs vaisseaux.
291. Vue du portât de la ville de Malaga.
292. Vue de l'intérieur du port de Lisbonne.
Ces deux vues font partie des ports d'Espa-
gne et de Portugal, dont une partie est déjà
gravée.
293. Un naufrage.
Pajou fils, né à Paris , élève du C. Vincent,
aux Galeries du Muséum, n°. 21.
294. Portrait, grandeur naturelle, de Mlle. **'.
295. Portrait du C. A***., grandeur naturelle.
Dessin.
296. Portrait du C. P***. P.
Pallière (Etienne), élève de Vincent,
rue de la Révolution, n". 7.
297. Le rosier défendu.
Parant (Louis-Bertin),
rue des Prêtres, n°. 46.
298. Un cadre renfermant plusieurs camées.
XLII
54 Peinture.
Pellier, élève du C. Regnault,
rue Martin, no. 325.
2qQ. Portrait d'un enfant.
Petit, (Pierre-Joseph), élève du C. Hue,
rue de l'Echiquier, n". 36.
Paysages.
3oo. Vue des ruines de la porte St-Jean, à Rome.
3oi. Vue, au soleil couchant, des environs de Pou-
zoUe, près de Naples.
3o2. Vue d'un chemin de chasse, dans la forêt de
Fontainebleau.
Petit (Louis), né à Paris,
rue du Faubourg-Poissonnière, n". 92.
303. Un portrait d'homme.
304. Deux bas-reliefs, d'après nature, représentant des
sujets d'enfans.
Peyron (Jean-François-Pierre), de la ci-
devant Académie de peinture, élève du
C. Lagrenée l'ainé,
•îoS. Un dessin représentant la séduction.
Peytavin (Jean-Baptiste), né à Chambéry, élève
du C. David.
rue de Babylone, n°. 696.
3oG. Phryné, accusée d'un crime capital, par Euthyas,
est traduite devant l'Aréopage , pour y être
jugée. Au moment où l'orateur Hypéride, son
Peinture. 55
défenseur, après avoir employé toutes les res-
sources de l'éloquence, sans avoir attendri les
juges, qu'il voit tous disposés à la condamner
à la mort, arrache, comme par inspiration, les
vétemens qui la couvrent, et abandonne à la
beauté et aux larmes le succès de sa cause.
Pigeon (Robert), né à Rouen, y demeurant,
élève de feu Descamps.
307. Deux dessins de paysages, faits d'après nature.
Pinchon (Jean-Antoine), élève des CC. Vincent
et Augustin,
rue neuve Augustin, n°. 26, maison de
M. Nanteuil.
3o8. Portraits, dont un en miniature, sous le même
numéro.
Mlle Pinson (Isabelle),
à l'Hospice de l'Ecole de Médecine.
309. Une jeune Personne dans son atelier, regardant
dans son porte-feuille.
Point,
rue du Coq-Honoré, n°. i35.
3 10. Un cadre renfermant plusieurs portraits en mi-
niature.
Prévost (J.-L.), né à Nointel, élève de Bachelier,
quai Voltaire, n". i3.
3 11. Un tableau de lilas.
3 12. Une esquisse à gouache.
56 Peinture.
Prévost (Pierre), né à Montigny, département
d'Eure et Loire,
rue Christine, n". 2.
Paysages.
3i3. Soleil couchant.
. même numéro.
Un orage.
iîei'erc/ïon (Xavier,) adjoint du Génie,
rue du Champ-Fleuri, hôtel de Bordeaux.
314. Quiberon.
Cette vue offre le tableau d'une des époques
à jamais mémorables de la valeur française et
de la perfidie anglaise. Ce gouvernement cruel,
au nom duquel se faisait cette expédition ,
vint enfin recevoir le prix de ses affreux calculs,
le 3 Thermidor an 3. Le général en chef.
Hoche , mit le comble à sa renommée, en or-
donnant l'attaque d'une presqu'île, défendue
par 10,000 hommes, et soutenue par une flotte
formidable.
L'attaque républicaine se fit par un tems
affreux. Mais, comme rien ne résiste à nos
troupes, ainsi qu'à nos généraux, cette forte-
resse fut prise d'assaut. Ainsi s'évanouirent les
projets de destruction du coupable gouverne-
ment anglais.
Le plan topographique indique les différen-
tes attaques et les différens débarquemens qui
précédèrent la prise de Quiberon.
Peinture. Sy
Roehn (Adolphe), né à Paris,
rue Benoît, au coin de la grande rue Tarannc.
3i5. Une parade de charlatans.
3 16. Deu.K petits tableaux, faisant pendans, et repré-
sentant deux corps-de-gardes hollandais.
317. Un tableau représentant des pêcheurs.
Roger (P ierre-Louis), élève du C. Regnault,
rue Grange-Batelière, n". 3.
Dessins.
3 18. Zéphir enlevant Psyché endormie.
3ig. Portrait de mademoiselle R***.
320. Portrait du C. Rochat.
321. La séparation d'Ovide et de Julie, par ordre
d'Auguste.
Roland (Jacques), né à Lille , département du Nord,
élève du C. David,
rue de Ventadour, n". 3.
322. La sécurité de l'Innocence, ou l'Innocence en
danger.
M"". Romance, dite Romany (Adèle de),
élève de Regnault ,
rue du Mont-Blanc, n° 21.
323. Portrait de l'auteur, avec ses deux enfans.
324. Portrait du C. Vigée.
32 5. Portrait d'une jeune personne et de son frère.
5*
58 Peinture.
Roy (J.-Auguste), né à Paris, élève de J.-P. Lebas,
graveur.
rue des Vieux-Augustins , n°. 3o et 228.
326. Plusieurs portraits dans un cadre.
327. Un autre séparé.
Sablet (Jacob), élève de Vien,
au Palais national des Sciences et des Arts.
328. Deux portraits, dont l'un de famille.
Saint-Martin (Alexandre Pau), élève des CC. le
Prince et Vernet.
rue Roch-Poissonnière, n°. ib.
32g. Vue de Paysage, prise dans le parc deSaint-Cloud,
près le grand réservoir.
330. Vue des environs de Varennes. Paysage ,
idem.
33 1. Intérieur d'écurie, avec figures et animaux.
Le premier de ces tableaux appartient à
l'auteur.
Sauvage (Piat-Joseph), élève de Guérard,
d'Anvers,
au Palais national des Sciences et des Arts.
332. Deux petits bas-reliefs peints en porcelaine avec
les couleurs du G. Dhil. L'un représente Mi-
nerve donnant une leçon de folie; et l'autre,
Vénus donnant une leçon de sagesse.
Schmid (Jean-Joseph), né à Paris,
rue de Seine, n". 1436.
333. Un paysage au coucher du soleil.
Peinture. 5g
Seignoret, élève de Regnault,
rue Helvétius, n". 66.
334. La seconde femme de Phocion étant un jour
visitée par une dame ionienne, à l'affectation de
celle-ci de faire pompe d'une riche parure, et
de la tenter par de précieux bijoux, l'athé-
nienne répondit qu'elle s'estimait mieux
parée par la gloire de son époux, qu'elle
ne le serait par toute la magnificence asiatique.
Phocion est occupé à répondre aux offres
du roi de Macédoine, par une lettre de refus.
Sujet donné; la plupart des personnages sont
portraits obligés.
Senave (Jacques-Albert), élève du C. Suvée,
quai des Augustins, n°. 33.
335. L'épicière flamande, dans l'intérieur de son comp-
toir, débitant du thé à une femme de cam-
pagne.
336. Une jeune femme s'apprêtant à plumer un canard,
sur ses genoux , environnée de ses enfans, de
légumes, et d'ustensiles de cuisine.
337. Le fils de Covielle, à sa croisée, commençant
ses parades pour débiter sa poudre d'argent.
338. La fruitière vendant du fromage de Brie.
Ces tableaux appartiennent à l'auteur.
Sicardi, né à Avignon, élève de son père,
rue du Petit-Bourbon, n°. 721.
33g. Un cadre contenant plusieurs portraits en minia-
tures.
6o Peinture.
340. Un tableau représentant deux entans allant jouer
au cerf-volant. Portraits.
Soiron, né à Genève,
rue Montmartre, vis-à-vis la rue du Croissant.
341. Un cadre renfermant quatre émaux.
Savoir: Trois portraits et un vase de
fleurs.
Swagers, né à Utrecht,
rue de l'Echiquer, n". 36.
342. Marine et paysage, par un tems de pluie et de
vent ; vue des environs de la ville de Dor-
drecht.
Ce tableau appartient à l'auteur.
343. Une mer calme; vue des environs de Rot-
terdam.
344. Une petite marine, réprésentant un incendie oc-
casionné par un orage.
M""= Swagers (Elisa),
rue de l'Echiquier, n". 36.
345. Portrait de femme. Dessin au crayon noir.
346. Un portrait d'homme. Dessin au crayon noir.
Swebach (dit Fontaines),
faubourg Martin, n°. 179.
347. Un quartier de vivandiers, sur les derrières d'un
camp.
348. Une course dans les environs de Long-Champ.
349. Un choc de cavalerie.
Peinture. 6i
Tliévenin (Charles), élève de Vincent,
au Palais national des Sciences et des Arts.
35o. Prise de Gaëte par le général de division Rey,
commandant l'avant-garde de l'armée de Naples,
le . . . Nivôse an 7.
Le général Rey, tîdelle à ses instructions,
se présente devant Gaëte. Cette place défen-
due par 4,000 hommes, 70 pièces de canon
22 mortiers, etc. etc.... annonce qu'elle veut se
défendre.
Le général Rey fait placer un obusier, fait
jeter plusieurs obus dans la place ; le désordre
est bientôt dans la garnison: le général ennemi
demande à capituler ; on lui répond de se ren-
dre, ou point de quartier: il obéit.
(Extrait d'une lettre du général Championne!,
commandant en chef l'armée de Naples, datée
de Calvi, le ib Nivôse an 7.)
Tarenne (Georges"),
rue des Deux Portes Sauveur.
35 1. Etude pour la carte topographique , à la
plume.
Taurel (Jacques), du département du Var,
élève de Doyen,
rue du Faubourg-Poissonnière, n". i3.
352. Une marine représentant un naufrage.
Ce tableau appartient à l'auteur.
02 Peinture.
Thiboust ,
rue de la Lune, n°. 121.
353. Portrait de femme regardant à une croisée,
et se garantissant du soleil avec son mou-
choir.
354. La diseuse de bonne aventure.
Cet ouvrage appartient à l'auteur.
Ces tableaux sont peints sur porcelaine, avec
les couleurs compose'es par le C. Jossc, chi-
miste.
Vaffiard (Pierre-Auguste),
élève du C. Regnault.
Tableau historique.
355. Arthémise et Mirza, princesses du sang royal,
d'une des principales îles de la Grèce, aimaieat
Illissus, jeune homme d'une naissance distin-
guée; son cœur était tout entier à Mirza
L'amour d'Arthémise augmentait en lui le
dégoût qu'elle lui avait inspiré. Le mépris
d'IUissus pour cette princesse excita en elle les
plus violentes passions Pour se venger et
punir sa rivale, elle fit poignarder son amant,
et le fit transporter dans une des salles de son
palais, où elle réservait à Mirza le dernier effet
de sa vengeance. Elle la fit venir, et fit décou-
vrir à ses yeux le cadavre de celui qui avait
charmé son cœur. A cette vue, Mirza s'évanouit;
et par un excès de sensibilité, perdit la vie en
tendant les bras à son cher Illissus. Pour
Arthémise , elle jouissait du succès de sa ven-
geance.
Peinture. 63
M""^ Valayer Coster.
356. Un tableau , représentant du Gibier , un jam-
bon, etc.
357. Deux tableaux de fleurs.
35cS. Un tableau représentant un petit bas-relief en
terre cuite.
Valenciennes (Pierre-Henri),
né à Toulouse, élève de Doyen, et ci-devant
académicien.
359. Un paysage, vue d'Italie, avec figures.
360. Autre paysage, avec figures.
36 1. Paysage, site d'Italie.
Van der Burch (Jacques-Edouard), né à Montpellier,
élève de son père,
au Palais national des Arts et des Sciences.
362. Etude faite à Ermenonville.
Van Spaendonck (Corneille) ,
au Palais national des Sciences et des Arts.
363. Un tableau représentant un panier de fleurs sur
une table de marbre , sur laquelle on voit dif-
férentes espèces de raisins, un ananas, des pê-
ches, etc.
364. Autre, représentant deslilaset des roses jetés sur
une table de marbre, où l'on voit un vase de la
lave du Vésuve.
Van Gorp, né à Paris,
rue Honoré, vis-à-vis celle d'Orléans, n°. 2o3.
365. Plusieurs portraits, sous le même numéro.
64 Peinture.
V. N.
366. Plusieurs portraits sous le même numéro.
367. Portrait en miniature, de Mme. .1. M.
Van der Lyn, né aux Etats-Unis,
élève du C. Vincent,
rue du Helder, n". 20.
?68. Plusieurs portraits, sous le même numéro, parmi
lesquels se trouve celui de l'auteur.
Van Loo (César) , de la ci- devant
Académie ,
au Palais national des Sciences et des Arts.
369. Soleil couchant. Composition.
Ce tableau est un prix d'encouragement.,
370. Clair de lune ; vue d'une ferme aux environs de
Turin.
371. Matinée d'hiver; le château de Mont-Calier, aux
environs de Turin.
Ces deux derniers appartiennent à l'au-
teur.
Vasserot (Jean), né à Joigny, élève du
C. Valenciennes,
rue du Regard, n». 810.
372. Un paysage au crayon noir, représentant des
bergers allant au temple d'Apollon, et rencon-
trant le tombeau d'Amintas.
373. Un dessin, forêt et sujet de chasse.
Ces objets appartiennent à l'auteur.
Peinture. 65
Verne t (Carie),
aux Galeries du Musée.
Dessins.
374. La mort J'Hyppolite.
'iyb. Un conducteur de char, venant de remporter le
prix de la course, ramène avec lui sa compagne,
à qui il laisse conduire ses coursiers.
Ces dessins vont être gravés de même gran-
deur.
Vie>i, fils (Joseph-Marie,) élève de son père et du
C. Vincent.
place du Muséum.
376. Un portrait d'homme, grandeur naturelle, appuyé
sur une table, tenant d'une main le Journal
des Arts, et de l'autre ses lunettes.
377. Autre portrait, devant un appui de fenêtre.
378. Portrait de l'auteur.
379. Portrait de Mme Vien, son épouse : miniature à
rhuile.
Vieilh Varenne,
rue Antoine, n". 5i.
380. Deux dessins de paysage à la pierre noire, sous
le même numéro.
ll[me Vincent, née Labille, (ci-devant Guiard) ,
élève de son mari,
au Palais national des Sciences et des Arts.
38 1. Tableau, portrait de famille.
3 m. sur 2. m. un tiers.
Le C. D , entouré de sa famille, s'occupe
de l'instruction de son fils ; il met sous ses
yeux les remarques de Vaillant sur des oiseaux
xm G
G6 Peinture.
d'Afrique. L'épouse du C. D.... quitte son ou-
vrage pour écouter la lecture , tandis que sa
fille , qui jouait à la poupée , curieuse de voir
les oiseaux , attire à elle le cahier. Son frère
lui fait signe d'écouter leur père. Celui de
madame D.... vient pour concourir à cette ins-
truction, et s'arrête à considérer sa fille.
Vincent (Antoine-Paul), né à Paris,
Faubourg-Montmartre, n". 63.
382. Un cadre renfermant plusieurs portraits en
miniature.
Wallaert (Pierre), né à Lille,
rue Honoré, n°. 1436.
383. Le déluge.
Watelet, né à Paris, élève du C. Malbeste.
384. Paysage, site pittoresque au soleil couchant.
385. Effet de la pluie.
386. Autre paysage faisant pendant.
Willemin (C.-N.-X.j, né à Euville, élève de Taillasson
et de Lagrenée jeune,
rue des Petits-Augustins, au Musée des
monumens français.
387. Un cadre renfermant une page de dessins à la
plume, représentant des coiffures de femmes
grecques, et une gravure de bijoux grecs, avec
le prospectus de l'ouvrage de l'auteur, dont
la 7"" livraison va paraître sous quelques jours.
-67-
SCULPTURE.
Beauvallet, élève du C. Pajou,
au Palais national des Sciences et des Arts.
400. Une statue représentant la Force.
Elle est appuyée sur sa massue, et pose le
pied sur un lion.
Boii^ot.
401. Portrait du premier consul,
402. Le génie victorieux de la France, présentant la
paix. Modèle en plâtre.
Le portrait de M""^ L sous la figure
d'Uranie. Même numéro.
Bouvet (Claude), né à Paris,
âgé de 45 ans,
faubourg Martin, n° 199.
4o3. Le général consul Bonaparte, conduisant un char
avec la rapidité d'un héros qui sait vain-
cre tous les obstacles. La victoire le cou-
ronne.
Bas-relief appartenant à l'auteur.
Un petit bas-relief représentant le premier
consul. Même numéro.
68 Sculpture.
Boyer (Jean-Louis),
rue Laurent, n* 8.
404. Un portrait. Terre cuite.
Bridan, père, professeur,
au Palais national des Sciences et des Arts.
Cinq ligures, grandeur naturelle, en marbre.
Cinq autres ïigures de deux pieds de propor-
tion, aussi en marbre.
La difficulté du transport des objets ci-de.s-
sus, oblige le C. Bridan à inviter les amateurs
à venir les voir dans son atelier, au ci-devant
Louvre, pavillon du Nord.
Son atelier sera ouvert pendant la durée de
rexpositîon des ouvrages modernes au Muséum,
et aux mêmes heures.
Bridan (Pierre-Charles), né à Paris,
élève de son père.
4o5. Figure en plâtre, représentant rimmortalité.
Chandet (Denis- Antoine), né à Paris,
élève de Stouf,
au Musée, escalier de TEcole.
406 Tètes d'étude et portraits.
M'"^ Charpentier (Julie),
aux Gobelins.
407. Portrait du C. François Montgolâer.
40S. Petit médaillon ovale, en pierre de Tonnerre.
409. Bixste en plâtre de M"" Scia
Sculpture. 69
Corbet (Charles- Louis), ne à Douay,
clcve de Berruer.
410. Le général Bonaparte, premier consul de la Ré-
publique, exécuté en marbre, par ordre du
directoire , pendant l'expédition d'Egypte.
41 1. Latour- d'Auvergne -Corrct , premier grenadier
de la république, modelé sur les dessins faits
d'après nature, par l'auteur.
Cartellier , né à Paris , élève de
Bridan,
rue de Fleurus, n" i388.
412. La guerre.
Fig. de 3 pieds de proportion, destinée à être
exécutée en pierre à l'extérieur du palais du
Sénat Conservateur.
Chardin (Sébastien), né à Paris,
cloître Benoît, n° 363.
41 3. Le C. Sicard, instituteur des sourds et muets.
414. Massieu, son élève, professeur.
Chinard, élève du C. Biaise.
41 3. La reconnaissance d'Andromède délivrée par
Pcrsée. Groupe en plâtre.
416. La justice. Figure en plâtre.
417. Plusieurs portraits sous le même numéro.
418. Diane préparant ses traits, buste ressemblant à
M"'" Verninac, épouse du préfet du département
du Rhône.
XLII 6*
yo Sculpture.
Couasnon, élève de Deshayes,
rue de Thionville, n° 45.
419. Plusieurs bustes sous le même numéro.
420. Buste de M"'' Maillard, artiste du théâtre des
Arts. Buste demi nature.
Deseine.
421. Le buste en marbre, de Winckelmann.
422. Les bustes en plâtre, d'Héloïse et d'Abeilard.
Ces ouvrages sont destinés au Musée des
monumens français, aux Augustins.
Delaistre (Nicolas),
faubourg Martin, n" Sy.
423. Portrait de M"" L. V. Modèle en plâtre grand
comme nature.
Esquisses.
424. La Paix.
425. Une Minerve tenant une branche d'olivier.
Dumont,
au Palais national des Sciences et des Arts.
426. La Liberté.
Elle tient d'une main, pour attribut une pi-
que surmontée d'un bonnet , emblème de la
liberté conquise par la valeur ; de l'autre elle
s'appuie sur une petite statue de Minerve, sym-
bole des vertus et de la sagesse.
Cette figure est le prix d'un concours natio-
nal accordé en l'an 2.
427. Le buste du général Marceau.
Sculpture. 71
Il doit être exécuté en marbre pour la galerie
des consuls.
Duret,
rue de Vaugirard, n" 1194.
428. Figure assise; elle représente le Tems tenant un
bouclier sur lequel est une allégorie.
429. Tête de vieillard, portrait en plâtre.
430. Deux esquisses représentant des trophées d'ar-
mes, sous le même numéro.
Francin (Guillaume), élève de Coustou
et de son père,
au Palais national des Sciences et des Arts.
401. Amiot (Jacques), évêque d'Auxerre, né à Melun,
le 3 octobre i5i4, mort le 6 février i5g3 , âgé
de 79 ans. Buste en plâtre.
Gois père ,
professeur des écoles spéciales de peinture
et sculpture, membre de la Société libre des sciences,
lettres et arts de Paris, et du Lycée des arts.
432. Une jeune fille jouant de la flûte.
433. Plusieurs dessins de composition, sous le même
numéro.
Gois (E.-E.-F.) fils, élève de son père,
au Palais national des Sciences et des Arts , n" 9.
434. Les trois Horaces. Groupe exécuté en plâtre.
Après avoir prêté le serment sur l'autel, ils
partent peur combattre les Curiaces. L'aîné
72 Sculpture.
des Horaces exhorte ses frères à soutenir digne-
ment le grand intérêt confié à leur valeur.
Mais le plus jeune était l'amant d'une des sœurs
des Curiaces contre lesquels il allait combattre;
il détourne la tête, et se montre plus lent dans
sa démarche.
Cet ouvrage appartient à l'auteur.
435. La Victoire, grande figure.
Cette statue est un prix d'encouragement ;
elle appartient au Gouvernement.
436. Buste en marbre de Gustave-Adolple.
Destiné pour la galerie des consuls.
Quatre portraits sous le même numéro.
1
Henriet (Paul) , né à Paris, élève du C. Vallée,
rue de Jouy, n° 3o.
437. Deux ovales représentant un oiseau défendant ses
petits de l'approche d'un serpent. Les colom-
bes de Vénus sous le flambeau de l'hymen,
bronzes, sous le même numéro.
Houdon , membre de l'institut national.
438. Plusieurs bustes en marbre et en plâtre, sous le
même numéro.
Lorta,
rue de Sèvres , n° igoi.
43g. Hercule, en repos, tenant dans la main les pom-
mes conquises au jardin des Hespérides. Fig.
de bronze.
440. Le buste , en plâtre, d'Helvétius.
Sculpture. 73
Le Sueur (J.-P.), ne à Paris,
au Palais national des Sciences et des Arts.
Bas-relief.
441. Une figure de femme endormie, sous les traits de
M"'= Joly, actrice du Théâtre-Français. Modèle
en plâtre.
Il est destiné à être exécuté sur son tom-
beau.
Pajou (Augustin), membre de l'institut
national,
442. Buste, en plâtre, d'un jeune homme; grandeur
naturelle.
Petitot (Pierre) , né à Langres,
faubourg Martin, n" 204.
443. Groupe en marbre, représentant un tombeau sur
lequel une mère pleure son fils, et l'amour
filial caractérisé par sa fille, à ses genoux.
444. Buste, en terre cuite, de la jeune personne repré-
sentée dans le monument.
445. Un médaillon en cire , idem.
Renaud (Jean-Martin), né à Sarguemines,
rue du Helder, n" 20.
446. Un cadre contenant dix sujets: l'éclipsé de soleil,
deux esquisses, Timoclée devant Alexandre et
la continence de Scipion, portrait du fils de
l'auteur, une jeune fille, une tête de satyre,
trois petites scènes familières.
447. Vénus jouant avec l'Amour.
448. Portrait de la femme de l'auteur.
74 Sculpture.
Roland (Philippe), né à Hesse,
élève de Pajou.
44(). Le buste en marbre du C. Pajou, statuaire.
Sigisbert,
rue de la Ville l'Evêque, n° 991.
450. Deux lions, modelé en plâtre, dans le goût de
l'antique, qui pourraient servir à la décoration
d'un portique, au bas d'un escalier.
Stouf.
45 1. Statue, en marbre, de Michel Montaigne exécu-
tée pour le gouvernement. Proportion de
2 mètres.
L'artiste a représenté le philosophe français
dépouillé des habits de son siècle. Montaigne'
occupé toute sa vie à la recherche de la vérité,
et appliqué à la connaissance de l'homme, qu'il
étudia dans lui-même , est caractérisé par le
miroir, symbole de la vérité, de la prudence et
de la science, et par sa devise favorite, sur-
montant la balance du scepticisme, que sais-je:
Montaigne a dit, en parlant de lui, qu'il aimait
à se voir nu, et que la coutume d'aller nu n'a
rien de contraire à la nature; l'artiste en a pro-
fité pour la statue, qui est son apothéose: les
Grecs et les Romains ont consacré cet usage
par des chefs-d'œuvre. Montaigne est appuyé
sur les livres qu'il a écrits. Son traité de l'a-
mitié a donné lieu à l'emblème de la vigne
mariée à l'ormeau, que l'on voit en bas-relief
sur l'un des côtés du piédestal auquel la statue
I
Sculpture. j5
est adossée; et son éducation a motivé le prin-
cipal bas-relief, où l'on voit une femme réveil-
lant au son de la guitare, l'enfant dormant au
berceau.
Montaigne naquit en i533, dans le Périgord,
aujourd'hui département de la Dordogne. Il fut
élu maire de Bordeaux, en i58i, après le ma-
réchal de Biron. Il avait étudié sous Grouchy,
Guérente, Buchanam et Muret. Il parut avec
éclat aux Etats de Blois. 11 mourut en 1592, à
60 ans. Montaigne s'est peint dans ses Essais.
Bernardin -de-Saint-Pierre l'a justement appelé
le père de la philosophie en France, le Plutar-
que français.
M"' Windisch, née à Mayence,
rue Claude, n° 349.
452. Trois groupes de fleurs, en biscuit.
Ils appartiennent à l'auteur.
-76-
ARCHITECTURE.
Davy-Chavigné ,
ci-devant auditeur des comptes,
amateur d'architecture, élève du C. Vial, architecte,
demeurant île St-Louis, n" lo.
5oo. Plan, élévation et détails d'un pont en fer coulé,
destiné à rétablir la communication entre l'île
Saint-Louis et la Cité, et à servir de monument
public à la gloire des armées françaises.
Voyez l'explication jointe au projet.
Delagardette ,
pensionnaire à l'Ecole des arts, à Rome,
élève du C. David le Roy.
5oi. Un cadre contenant quatre projets de monumens,
en l'honneur des braves guerriers qui se sont
signalés dans les combats; présentés au con-
cours des colonnes départementales.
La surface de chacun de ces monumens est
divisée en autant de parties , qu'il y a de can-
tons dans le département. Au-dessous du nom
du canton se lisent ceux des braves de son ar-
rondissement.
Détournelle.
rue de la Roquette, n° 42.
5o2. Plan Général et élévation d'une caserne de cava-
Architecture. 77
Icrie, au-dessous de Iti garrc , propre à loger
I200 cavaliers et i5oo chevaux.
503. Elévation et coupe d'un des bàtimens de cette
caserne.
504. Détails de la charpente de Philibert-de-l'Orme.
6o5. Monument projeté à la gloire de cet architecte.
-SoG. Projet d'un manège couvert.
Duhameau (G.-P.-R.), architecte des travaux
publics,
rue Projetée, n° 802.
607. Projet d'une maison de détention, pouvant con-
tenir huit cents condamnés, logés séparément,
et occupés, pendant leur détention , à différens
travaux.
La description est jointe au projet.
Gisors (A.-J.-B.-G.), architecte des bàtimens
du corps législatif, élève du G. Ghalgrin,
rue de la Michodière, n° 7.
508. Un projet d'opéra à exécuter sur les constructions
de la Magdeleine, dans trois cadres.
509. Projet de restauration des supports de la tour du
dôme du Panthéon français.
Le Grand (J.-G.), architecte des travaux publics,
né à Paris, élève du G. Glérisseau.
5 10. Monument à ériger dans la commune de Tou-
louse, à la gloire du chef de brigade Dupuy,
mort les armes à la main au Caire, et à celle
de la 32°" demi-brigade qu'il commandait.
XLII 7
78 Architecture.
M or eau (C).
5ii. Œuvre d'Architecture, faisant suite à l'œuvre de
Degodets.
5i2. Projet de la colonne nationale, faisant partie de
ceux qui sont maintenant au concours.
Normand (Charles), pensionnaire de la République,
rue du Parvis Notre-Dame, n° g.
5i3. Modèle d'une colonne départementale, projetée
pour Melun, chef-lieu du département de Seine-
et-Oise.
Deux cadres renfermant des plafonds ara-
besques gravés à l'eau - forte. Même numéro.
Petit Radel, inspecteur-général des bâtiments civils,
rue de la Cerisaie, n" 16.
514. Vue intérieure d'un temple égyptien.
5i5. Vue d'une galerie précédant une naumachie.
5 16. Destruction d'une église, style gothique, par le
moyen du feu.
Pour éviter les dangers d'une pareille opéra-
tion, on pioche les piliers à leurs bases sur
deux assises de hauteur; et à mesure que l'on
ôte la pierre, l'on y substitue la moitié en cube
de morceaux de bois sec, ainsi de suite; dans
les intervalles, l'on y met du petit bois, et en-
suite le feu. Le bois, suffisamment brûlé, cède
à la pesanteur ; et tout l'édifice croule sur lui-
même en moins de dix minutes.
L'auteur a voulu présenter, dans ces trois ta-
bleaux, le parallèle des architectures romaine,
égyptienne et gothique.
- 79 -
GRAVURE
Berthault (P ierre) , ne à St.-Maur, département
de la Seine,
rue Louis au Marais, n" 147.
ôoo. Quatre vues de Paris, d'après les dessins du C.
Lespinasse, savoir :
Celle du Port-au-Bled, du port St.-Paul, du
Pont-Neuf au pont ci-devant Royal, et de celui-
ci au Pont-Neuf.
Blot (Maurice) , né à Paris,
rue des Moulins, près celle Thérèse.
601. Le jugement de Paris.
Bouillard,
rue Thomas, n° 720.
602. La Sainte Famille, d'après Anniba! Carrachc.
Go3. Poliphile présentée à Eleuthérilide.
604. Borée et Orythie.
605. Daphné et Apollon.
606. Portrait de Bartolozzi.
607. Philippe II et sa maîtresse.
608. L'amour taillant son arc.
609. Vénus qui se peigne.
6io. Portrait de Rouché.
611. Portrait du C. Petit Radel.
8o Gravure.
Caraffe.
612. Le criminel vis-à-vis de lui-même.
A l'eau-forte.
Cathelin (Louis-Jacques), né à Paris,
membre de la ci-devant Académie,
élève de Lebas,
rue de l'Arbre-Sec, n° 188.
6i3. Esseid-Aly-Effendy , ambassadeur de la sublime
Porte-Ottomane.
614. Portrait de Nicolas Poussin, peint par lui-
même.
61 5. Portrait de Buffbn.
616. Portrait de Bernard de Jussieu.
Coqueret (P.-C),
rue de Surenne, n" i386.
Portraits gravés à la roulette.
617. Le général Monnier.
618. Le général Marbot.
Darcis,
rue Montmartre, n" iio.
6in. La brouille. ) ,, , „ , .
^ ^ , ; d après Guerin.
620. Le raccommodement. )
Fosseyeiix, né à Paris, élève de
Moreau le jeune,
rue des Carmes, n" 27.
621. Portrait en pied de Fernand Cortez, pour la
galerie d'Espagne.
Gravure. Si
Godefroy (J). élève de Simon,
rue des Brodeurs , n° 848.
621. La fausse apparence, d'après Schalle.
623. Une petite fille qui fait lire son chien d'après
M""' Chaudet.
624. Plusieurs gravures d'après Gérard, Prud'hon,
etc., sous le même numérov
Hubert, élève de Beauvarlet.
623. La crèche, d'après Murillos.
Jeuffroy, né à Rouen,
rue des Tournelles, n° 85.
626. Un cadre renfermant plusieurs gravures en pierres
fines.
M"' Janinet, (S.)
Û27. L'abondance, gravée en manière de bronze, d'a-
près Sauvage.
628. Portrait du consul Bonaparte, au lavis.
Leiièvre, élève de Taraval.
rue de Malte, n» i3.
Ô29. Un cadre renfermant, plusieurs objets graves en
relief, sur pierres fines.
Masquelier (L.-J.), élève de feu Lebas,
rue de la Harpe , n° 493.
63o. Un cadre renfermant quatre estampes ;
ILII 7*
Sz Gravure.
Savoir :
La bataille de Millesimo , 24
Germinal an 4.
D'après Vernet. i Celle de Mondovi , 3 Floréal
an 4.
1 Entrée des Français dans Milan.
63 1. La réception de Mirabeau au Champs-Elysées,
d'après Moreau, le jeune.
Massavd (J.-B.-R.-U.),
rue Hyacinthe, n° 674.
632. Deux gravures, sujets tirés de la tragédie d'An-
dromaqùe. La première représente la 2° scène
du 2" acte , entre Oreste et Hermione.
HERMIONE.
Enfin, qui vous a dit que, malgré mon devoir,
Je n'ai pas souhaité quelquefois de vous voir ?
ORESTE.
Souhaité de me voir ! ah ! divine princesse...
Mais, de grâce, est-ce à moi que ce discours
s'adresse ?
Ouvrez vos yeux , songez qu'Oreste est devant
vous !
La z", la 3° scène du 5° acte entre les
mêmes.
ORESTE.
Vous seule avez poussé les coups.;...
HERMIONE.
Tais-toi , perfide.
Et n'impute qu'à toi ton lâche parricide.
Vas faire chez tes Grecs admirer ta fureur;
Vas, je la désavoue, et tu me fais horreur.
Gravure. 83
Massard, lils aîné (J.-B.-L.), élève de son père
rue de Thionville, n" 27.
633. Madeleine pénitente, d'après Ségers.
634. La Paix, précédée de la Renommée, et guidée
par la Victoire, amenant Bonaparte sur le sol
français. Allégorie.
Mercoli (Michel-Ange) , né à Milan ,
élève du G. Bâcler- Dalbe ,
rue des Moulins, n» 642.
635. Le passage du Pô à Plaisance, par l'armée fran-
çaise, le 18 Floréal an 4.
Miger, membre de la ci-devant Académie,
rue de la Bucherie, n° 5.
636. Le chameau.
637. L'ours polaire, ou maritime.
638. L'autruche (le mâle).
639. Le casoar.
Ces quatre estampes forment la première li-
vraison d'un ouvrage grand in-folio, qui est
sous presse.
640. L'éléphant mâle.
Cette estampe entrera dans la deuxième li-
vraison dudit ouvrage.
641. Un portrait.
Morel , né à Paris ,
rue de la Patrie, n" 2.
642. Bélisaire, d'après le tableau du C. David
84 Gravure.
Piranesi (François), né à Rome,
rue de l'Université, n° 296.
643. Six estampes représentant des statues antiques et
des vues d'architecture, faisant partie de la col-
lection de planches , en 23 volumes , qu'il a
apportée de Rome.
Rambert-Dumarest , né à Saint-Etienne ,
quai de l'Ecole, n" 14.
644. Un cadre renfermant des médailles.
Ransonnet (Pierre-Nicolas) ,
rue du Figuier, n» 43.
645. L'Ecole clinique de médecine.
Simon (Henri),
professeur de l'École nationale de gravure,
rue de l'Université, maison d'Aiguillon.
646. Portrait du premier consul, gravé sur une grande
cornaline, et plusieurs autres objets en pierres
précieuses, sous le même numéro.
Troll (Henri), né à Winterlhour ,
en Helvétie,
rue du Batoir, n° 6.
647. Vue du lac de Walleustadt.
648. Vue du lac des Quatre-Cantons.
649. Chute du Rhin.
Gravure.
85
Vieilh- Varenne, né à Paris,
élève du C. Vien,
rue Antoine, n" 5i, vis-à-vis les Messageries.
65o. Une estampe, d'après Potain, gravée à l'eau-fortc,
par Berteau ; au lavis, par Alix ; le trait rentré
au burin, par Vieilh- Varenne.
On trouvera aussi chez le C. Vieilh- Varenne,
cette estampe imprimée en noir.
Viel (Pierre), né à Paris, élève de
B.-L. Prévost
rue Victor , n" 20.
65 1. La mort d'Adonis, d'après P. Véronèse, un des
sujets de la galerie d'Espagne.
— cSb —
SUPPLEMENT.
PEINTURE.
Beaurepaire (JA"") élève d'Augustin,
rue de Cle'ry, n" 67.
700. Un portrait de femme avec son enfant. Minia-
ture.
Belloni, élève de Nicolas Devechis.
Peinture en mosaïque.
Un cadre renfermant diverses mosaïques ,
savoir :
701. Un chien de chasse dans un paysage.
702. Un Amour qui joue de la lyre, assis sur
un lion.
703. Une Diane en camée.
704. Un Bacchus en camée.
705. Un vase décoré de figures étrusques.
706. Une menade étrusque.
707. Un satyre, idem.
Bidault (J.),
maison d'Angiviliers, rue de l'Oratoire.
708. Un paysage.
Peinture, 87
Delestres (Caroline) ,
maison d'Angiviliers , rue de l'Oratoire.
709. Un tableau de famille.
Dubois (Frédéric),
place des Victoires, n° 27.
710. Un cadre renfermant des miniatures,
711. Un portrait de femme, aux crayons de cou-
leur.
Ducreux.
712. Portrait du C. Bitaubé , membre de l'ins-
titut.
71 3. M""" Robierre.
714. Le C. Robierre.
Dufau, né au Port-au-Prince,
élève de David,
rue J.-J.-Rousseau , maison Bullion.
71 5. Le comte Ugolin et ses quatre fils condamnés à
mourir de faim dans une tour, par Tordre de
Roger, archevêque de Pise , après les guerres
civiles des Guelphes contre Nino Visconti.
Sujet tiré de l'Enfer du Dante, Chant 33.
Grobon, de Lyon, département du Rhône,
rue du Bacq, n" 618,
71 G. Un paysage représentant l'intérieur d'une
grotte.
717. Un tableau représentant un rémouleur.
718. Un moulin à eau.
88 Peinture.
Henry, de Versailles, élève de Regnault,
rue neuve des Petits-Champs, n° lo.
719. Un portrait de femme.
Le Gros (F .-A.), élève de Swebach,
rue et vis-à-vis le Temple, n» 126.
Peinture sur porcelaine
720. Le i"'' consul Bonaparte à cheval.
721. Portrait du général Lasnes à cheval.
Schell,
rue du Marché-neuf, n" 9.
722. Un paysage historique.
La sybille interrogée par Enée, lui indique le
chemin des enfers par lequel il doit descendre
pour aller chercher le rameau d'or.
Taillasson, (J.-J.) né à Bordeaux,
élève du C. \'ien,
au Palais national des Sciences et des Arts.
723. Andromaque offrant des dons funèbres à la cen-
dre d'Hector.
« Andromaque offrait des dons funèbres à la
» cendre d'Hector, près de la ville de Buthrote,
» dans un bois sacré qu'arrosait un ruisseau, au-
n quel elle avait donné le nom de Simois. C'est
» là qu'elle appelait les mânes de son cher Hec-
» tor, à qui elle avait élevé un tombeau de ga-
» zon au milieu de deux autels : triste objet
Architecture. 89
» qui entretenait sa douleur et faisait sans cesse
» couler ses larmes. »
Enéide, liv. III.
Ce tableau est un des travaux d'encoura-
gement.
Taunay (Nicolas-Antoine), né à Paris,
élève de Casanova,
724. Un petit paysage. Coup de vent.
725. Des hommes et des femmes allant puiser de l'eau
à une fontaine.
Ces deux tableaux appartiennent à la Société
des amis des arts.
SCULPTURE.
Roland (Philippe) né à Lille,
élève de Pajou ,
au Palais national des Sciences et des Arts.
800. Le buste en marbre du C. Pajou père.
Tkienet, ciseleur, élève du C. Monnot,
rue de Belleville, passé la barrière neuve, n" 299.
801. Un portrait d'enfant, modèle exécuté en bronze
par le même.
ARCHITECTURE.
Bourjot , architecte , et aide de camp
du général Miranda, à l'armée du nord.
900, Un grand paysage d'architecture, représentant un
XLH 8
go Gravure.
pont construit entre deux rochers, communi-
quant à une grande ville.
901. Deux intérieurs; vues perspectives de prison,
lavées à l'encre de Chine.
GRAVURE.
Boutrois (Philibert) dessinateur et graveur ,
rue du Marché-Palu, n° g.
. Plusieurs cadres renfermant des gravures faisant
partie de l'ouvrage intitulé Galerie antique.
Elles doivent composer les 8°= et g""= livraisons
sur le point de paraître.
Le G. J.-B. Heluis, dessinateur et graveur,
rue du Cherche-Midi, n° 776. Même numéro.
Difterentes feuilles appartenantes au même
ouvrage.
Jacquinot (Louise) , née à Paris ,
élève de Delaunay jeune.
looi. Portrait du C. Edme-Sébastien Jeaurat , gravé
d'après le dessin du C. Goispère, sculpteur.
Nogent-le-Rotron, imprimerie de A. Gouverneur.
TABLE GENERALE
DES ARTISTES EXPOSANTS
DU DIX-HUITIÈME SIÈCLE
TABLE
GENERALE
DES ARTISTES AYANT EXPOSÉ
AUX SALONS DU XVIIP SIÈCLE
SUIVIE d'une
TABLE DE LA BIBLIOGRAPHIE DES SALONS
PRÉCÉDÉE
DE NOTES SUR LES ANCIENNES EXPOSITIONS
ET d'une liste RAISONNÉE DES SALONS
DE 180I A 1873
PAR
J. J. GUIFFREY
^h($^
PARIS
J. BAUR, LIBRAIRE
1 1 , RUE DES SAINTS-PÈRES
1873
AVERTISSEMENT.
On trouvera en tête de cette table des addi-
tions sur lesquelles il est nécessaire de donner
quelques explications :
1° Notes sur l'organisation des Expositions au
xvni"^ siècle (1673 à 1800), rédigées à l'aide
de documents inédits tirés des Archives de la
Maison du Roi, et des renseignements fournis par
les livrets ou les critiques.
On a groupé sous des rubriques distinctes tous
les détails relatifs à l'organisation des anciens
Salons, à leur décoration, aux livrets et aux cri-
tiques.
2" Supplément à la bibliographie des livrets et
des critiques.
On a réuni dans ce chapitre les renseignements
recueillis depuis l'impression des livrets.
3" Description des ouvrages exposés au Con-
cours ouvert en 1727 par le duc d'Antin.
Ce catalogue , imprimé en 4 p. in-4", est
presque aussi rare que celui du Salon de 1673;
toutefois ce n'est pas à proprement parler,
comme on le verra plus loin, un livret de Salon.
4° Bibliographie des Expositions des Beaux-
Arts de Paris, depuis 1801 jusqu'en 1873 inclu-
sivement.
TABLES.
A la table des noms des artistes on a joint une
table spéciale des critiques et de leurs auteurs
nommés dans la bibliographie placée en tête de
chaque Salon. On avait même songé à publier
une table générale de tous les noms propres,
comprenant non-seulement les personnages dont
les portraits figurent aux livrets, les amateurs
cités, les noms des villes auxquelles étaient desti-
nées les œuvres d'art, mais encore tous les noms
de l'histoire ou de la mythologie, enfin toutes les
indications pouvant aider à faire retrouver l'au-
teur d'une œuvre non signée. Cette table aurait
formé un répertoire complet des principales
productions de l'Ecole française au xviii" siècle.
Le manuscrit était entièrement préparé, mais
l'exécution de ce projet rencontrait de graves
difficultés ; on a dû y renoncer et s'en tenir au
plan primitif, c'est-à-dire à l'indication seule des
exposants.
Les Notes sur les Salons du XV 111° siècle seront
publiées séparément, et sans la table, avec les
documents inédits qui ont servi à les rédiger.
NOTES
SUR LES SALONS DU XVIII" SIÈCLE
(lôyS-iSoo)
Une liste publiée au début de la réimpression des
livrets du xviii" siècle, et due à M. Saint- Vincent
Duviyier, établissait que le nombre des Salons de
l'ancienne Académie ne correspondait pas exactement
au nombre des livrets connus jusqu'ici. Il est peu
probable qu'on retrouve désormais un exemplaire
d'un livret encore ignoré. On peut donc considérer
comme une liste définitive celle que nous avons
reproduite. Il y aurait eu, de lôyS à 1791, trente-six
catalogues de salons.
Mais il s'en faut qu'on en soit arrivé au même
degré de certitude sur le nombre des Expositions
dont aucun livret ne nous a conservé la date précise
et la composition. M. Saint-Vincent Duvivier en
compte neuf de 1667 à 1727; mais avant tout
n'en a-t-il point omis ? les registres qu'il a pu
consulter n'offraient-ils aucune lacune, aucune omis-
sion? doit-on enfin admettre comme exposition, dans
le sens strict du mot, certaines exhibitions orga-
— vni —
nisées par l'Académie à l'occasion de quelque réjouis-
sance publique?
Et d'abord il faut rayer, semble-t-il, de la liste
de ces Expositions primitives sans livret, celles que
notre auteur place en 1706 et en 1727. En 1706,
l'Académie admet le public à visiter, à l'occasion de
la fête du Roi, les morceaux de réception et les objets
d'art lui appartenant; c'est-à-dire qu'elle invite les
amateurs à pénétrer dans le sanctuaire, à examiner,
mais pendant un jour seulement, les salles où se
tenaient ses séances. Peut-on considérer cela comme
une véritable Exposition .-'
En 1727, c'est autre chose. Le duc d'Antin a ouvert
un concours entre un certain nombre d'artistes. Pour
ne pas assumer la responsabilité d'un jugement difficile,
il appelle les Académiciens eux-mêmes et le public à
décider sur le mérite des concurrents. Les œuvres
commandées par le Roi restent sous les yeux des
visiteurs pendant tout un mois (i). Nous ne retrouvons
pas là toutefois les caractères essentiels d'une Expo-
sition, telle que nous la concevons maintenant, telle
qu'elle était déjà corn prise au xvin^ siècle (2). Combien
d'exhibitions analogues a-t-on vues de nos jours, qui
ne doivent à aucun titre, bien qu'accompagnées de livrets
et suivies de réclames et de critiques, figurer dans la
liste des Salons de peinture. Aussi faut-il en rabattre,
(i) C'est ce concours qui fut l'objet d'une Descrip-
tion imprimée dont on trouvera la reproduction à la.
suite de ces notes.
(2) Voyez sur ce concours la Correspondance de
Grimm, t. III, p. 348, 349.
jusqu'à nouvel ordre du moins, du chiffre d'Expo-
sitions sans livrets ajoutées par M. Saint- Vincent
Duvivier aux Salons authentiques. Quand on aura
retrouvé des détails plus précis sur ces fêtes acadé-
miques, nous verrons si nous devons nous montrer
moins exclusif; mais jusque-là nous ne tiendrons
compte que des trente-six Salons, bien connus main-
nant, ouverts par l'ancienne Académie de peinture,
depuis sa fondation jusqu'en 1791, année de sa sup-
pression. C'est de ceux-là seulement que nous devons
nous occuper; c'est sur ceux-là et sur ceux de la
Révolution que nous allons donner quelques détails
tirés des publications contemporaines ou puisés
iians les Archives de l'ancienne Maison du Roi.
Le Surintendant ou le Directeur général der> bâti-
ments du Roi ordonne et surveille les Expositions.
Par une marque de déférence, et aussi par un
souvenir de l'intervention efficace de Colbert dans
l'organisation des premières Expositions académiques,
le ministre chargé de la haute direction des Beaux-
Arts est toujours cité comme le promoteur officiel
du Salon. Après Colbert, après Mansard, lorsque
la surintendance est supprimée, le Directeur des Bâti-
ments hérite de la prérogative d'ordonner les Expo-
sitions. Pendant tout le cours du xvm" siècle on voit
les différents personnages qui se succédèrent dans cette
charge, le duc d'Antin, M. Orry, M. Le Normand de
Tournehem, le marquis de Marigny, l'abbé Terray, et
enfin le comte d'Angiviller, figurer en tête du livret
comme ordonnateurs de chae^ue Salon.
Voici en quelques mots les formalités qui précé-
daient l'ouverture de l'Exposition.
Le Directeur des Bâtiments, sur l'avis du Directeur
ou du Secrétaire de l'Aeadémie, qui se chargent au
besoin de rappeler au ministre la date prochaine
du Salon, soumet au Roi la proposition d'exposer
les œuvres des Académiciens. Immédiatement après
avoir obtenu l'autorisation du Souverain , il transmet
au premier des officiers de la compagnie l'ordre
de commencer les préparatifs. La date de l'ouverture
est presque invariablement fixée au 25 août, jour
de la fête du Roi.
Le rôle du Directeur des Bâtiments ne se borne pas
à cette formalité. Il exerce personnellement une sur-
veillance réelle sur l'organisation du Salon. Le livret lui
est soiamis avec les observations de l'Académicien
chargé de sa rédaction, et il décide en dernier ressort
des changements ou des retranchements à y apporter.
Il s'occupe activement de donner à la solennité le plus
d'éclat possible en invitant spécialement à y prendre
part les artistes chargés de travaux pour le Roi. Il
visite les salles d'exposition avant l'admission du public,
afin que rien ne choque les bienséances; et il fait
retirer, de son autorité privée, les œuvres qui pour-
raient devenir l'occasion d'un scandale. Il prolonge à
son gré la durée de l'Exposition. II institue enfin le
jury chargé d'exercer une censure sur les tableaux
ou les statues envoyés par les membres eux-mêmes
de l'Académie. Car l'institution d'un jury n'est pas,
comme on pourrait le croire , une innovation
moderne; elle remonte au milieu du xviii^ siècle.
Seulement à l'époque où les Salons étaient ouverts
aux seuls Académiciens, le jury avait une mission
différente, comme nous le verrons tout à l'heure, de
celle qu'il a reçue de nos jours.
Composition des Salons.
Les Académiciens ou les Agréés de l'Académie
avaient seuls le droit d'envoyer leurs œuvres au Salon.
Ce privilège, qui nous paraît exorbitant aujourd'hui,
n'offre plus le même caractère exclusif si on songe à
l'organisation de l'ancienne Académie et aux conditions
dans lesquelles avaient lieu ses Expositions.
Le nombre des membres de l'Académie Royale de
peinture et de sculpture n'était point alors invariable-
ment fixé à un chiffre restreint. Dès qu'un artiste
avait donné des preuves de dispositions réelles, il
obtenait assez facilement l'agrégation qui lui con-
férait le droit d'exposer au Louvre. Il dépendait
de lui seul d'obtenir le titre d'Académicien. C'est
ainsi qu'à une certaine époque (i) on compte près de
cent Académiciens et de quarante agréés, sans com-
prendre dans ce nombre les honoraires amateurs ou
honoraires associés libres. Tout artiste pouvant offrir
la garantie d'une aptitude bien marquée pour son art
pouvait, on le voit, rapidement obtenir l'accès de ces
Expositions privilégiées.
Nous n'avons point à nous occuper de la consti-
tution de l'ancienne Académie de peinture; mais on
nous permettra de faire remarquer en passant que
(i) Voyez les Almanachs des Artistes de 1776 et
1777.
son mode de recrutement offrait de grands avantages
sans aucun inconvénient. Accessible à toutes les
manifestations du mérite, et recrutée dans les genres
les plus divers, l'Académie ne donnait point à cette
époque le triste spectacle de cet esprit de parti,
de ces violences, de ces exclusions systématiques qui,
de nos jours, ont souvent nui à sa considération.
Toutefois les intérêts de l'art étaient sauvegardés, car
les charges les plus importantes appartenaient de droit
aux artistes qui s'étaient illustrés dans les genres les
plus élevés et les plus difficiles; ils conservaient
ainsi une influence prépondérante dans la haute
direction de l'enseignement confié à la compagnie.
Les anciennes Expositions n'étaient donc point
aussi exclusives qu'on pourrait le croire au premier
abord. Tout artiste un peu bien doué obtenait
aisément le droit d'y paraître. D'ailleurs il ne faut
point oublier noa plus que l'Académie tenait de la
faveur royale seule tous ses privilèges; qu'elle devait
au Roi non-seulement son existence, mais toutes ses
ressources; que les Expositions dont l'entrée était
toujours gratuite se tenaient dans le Louvre, c'est-à-
dire chez le Roi; enfin que l'Académie, logée au
Louvre, entretenue par la libéralité du Souverain,
n'avait à supporter qu'une bien faible partie des
dépenses qu'entraînait l'Exposition, tandis que la
vente du livret devenait pour elle une source de revenus
importants.
Rien de plus logique donc et de plus sage que la
condition imposée aux artistes qui voulaient profiter
du bénéfice de ces Expositions officielles. Libre à eux
de renoncer aux avantages qu'entraînait l'admission à
l'Académie, et d'aller demander aux expositions e'cour-
tées de la place Dauphine, ou plus tard à celles que
parvint à organiser l'Acade'mie de St-Luc, s'ils étaient
en état de payer les frais élevés de réception dans la
communauté, une publicité sans examen préalable et
sans contrôle.
Le Jury.
Le rôle du jury auquel nous avons déjà fait allusion
devait être, cela se conçoit, beaucoup plus restreint
qu'aujourd'hui. L'idée de son institution appartient à
M. Le Normand de Tournehem; il fît son apparition
au Salon de 1748. On le trouve signalé dans la
critique de ce Salon par Saint- Yves (i). Nous avons
rencontré un document qui donne bien mieux que la
brochure de Saint-Yves les véritables causes et les
détails de cette innovation.
Dans une lettre adressée à Coypel au commencement
de l'année 1748, après avoir invité les Académiciens à
redoubler d'efforts et à donner à l'Exposition pro-
chaine le plus d'éclat possible afin de justifier la
faveur du Roi qui venait de se déclarer le protecteur
de la compagnie, M. de Tournehem, alors Directeur
général des Bâtiments, ajoutait judicieusement que ce
n'est pas le grand nombre, mais le beau choix des
tableaux qui rend les Expositions brillantes. Sans
doute dans le cours des années précédentes avaient
(i) Observations sur les Arts et sur quelques mor-
ceaux de peinture et de sculpture exposés au Louvre
en 1748 par Saint- Yves (p. 24).
b
été exposées des œuvres faibles et peu dignes du
renom de leurs auteurs. Pour arriver au but dé-
siré, M. de Tournehem ordonnait de faire déposer
dans la galerie d'Apollon, au moins huit jours avant
l'ouverture, c'est-à dire dès le 17 août, tous les
tableaux envoyés par les artistes. Une commission
composée du Directeur de l'Académie, de deux Rec-
teurs, de deux adjoints à Recteurs et de douze autres
membres élus par les Académiciens parmi les Pro-
fesseurs et Conseillers, devait passer en revue les
tableaux destinés à l'Exposition, les examiner sans
partialité et sans passion, et exclure, par la voie du
scrutin, ceux qu'ils ne jugeraient pas dignes d'être
exposés.
Dès sa première apparition, le jury se trouve cons-
titué suivant les règles de l'équité la plus stricte. Si
les principaux officiers de l'Académie y entrent de
droit, les Académiciens, c'est-à-dire tous les exposants,
concourent à l'élection de la majorité des membres,
ce qui est la meilleure garantie d'impartialité et le
plus sûr moyen de prévenir toute récrimination. Enfin
les juges sont invités à apporter dans leurs arrêts
la plus complète indépendance; et pour les préserver
des animosités ou des rancunes auxquelles la publi-
cité du vote pourrait donner naissance, le Directeur
des Bâtiments décide que l'exclusion sera prononcée
au scrutin secret. N'est-il pas assez curieux qu'on ait
atteint, dès cette première expérience du jury, le dernier
degré de perfectionnement auquel nous soyons parve-
nus après des tâtonnements sans nombre et des
plaintes générales:
D'une lettre de M. de Marigny du 24 juillet 1755,
adressée à Cochin, secrétaire de l'Académie, il résulte
que la commission instituée par M. de Tournehem
en 1748 ne cessait de fonctionner régulièrement
depuis cette époque.
Le rôle de ce jury primitif ne se bornait pas à
statuer sur la valeur artistique des ouvrages destinés
au Salon; il devait aussi et surtout exercer un contrôle
sévère sur leur moralité. Plusieurs fois des plaintes
fort vives avaient été formulées sur l'indécence des
ouvrages exposés. En 1763, un tableau de Baudouin (i),
représentant un prêtre catéchisant des jeunes filles,
avait été retiré sur la plainte de l'archevêque de Paris.
Mais cet acte de sévérité semble avoir produit peu
d'eflét à en juger par une lettre de Pierre du 16
juin 1773; on y lit que le public avait été vive-
ment choqué en 1771 des nudités et des choses
hasardées, c'est le terme dont il se sert, admises à
l'Exposition. Cette lettre fait aussi mention d'une
particularité curieuse : les officiers de l'Académie
n'étaient point soumis au contrôle de la Commission
d'admission. C'était les exempts du temps. Aussi
doivent-ils être invités particulièrement « à faire un
choix dans leurs ouvrages qui exigent du nud. »
La correspondance de Pierre avec le Directeur des
Bâtiments nous révèle l'existence du jury jusqu'aux
derniers jours de l'ancienne Académie. Pierre écrit le
12 août 1785 ; « Demain on examinera les morceaux
qui seront admis au Salon, » et il ajoute qu'on sera
(i) C'est le n" 148 du livret, et non le n° 3o comme
nous l'avons dit par erreur dans la notice bibliogra-
phique de 1763.
peut-être obligé de repousser une figure de Houdon à
cause de son inconvenance. Le livret n'indique point
de sujet auquel puisse s'appliquer la critique de
Pierre. Il est donc probable que le célèbre sculpteur
fut en 1785 la victime delà rigueur du jury.
Nous voyons à la même épo'que le premier peintre
assiégé d'autres scrupules encore plus singuliers.
Debucourt avait peint un ouvrage intitulé : Trait de
bienfaisance du Roi. Ce sujet ne ligure point au
livret, et nous voyons par la correspondance conser-
vée dans les Archives de la Maison du Roi que
l'artiste n'obtint l'autorisation d'exposer son tableau
qu'en changeant les traits de la rigure principale
et en supprimant du catalogue le titre primitif.
Curieux signe des temps ! Les louanges les plus
hyperboliques avaient à peine paru suffisantes pour
honorer les vertus royales quelques années aupara-
vant, et on n'osait même plus rendre au successeur
de ces princes trop vantés un éloge mérité.
Sous les Expositions républicaines provoquées, soit
par les Assemblées, comme en 1791 et en I7g3,
soit, comme plus tard, par les ministres, le jury
fut très-probablement supprimé; n'était-il pas incom-
patible avec les idées de liberté qui avaient ouvert à
tous les artistes les portes de l'Exposition : L'avertis-
sement de 1799 nous apprend que pour cette année
au moins, il n'y eut point de jury chargé d'exercer
un contrôle sur le mérite des œuvres envoyées. 11 en
fut sans doute de même pour les autres Salons de la
Révolution. Toutefois une commission était nommée
pour veiller à l'organisation matérielle de l'Exposi-
tion et au respect des lois et des mœurs.
— XVII —
Local des Expositions.
Les Expositions du xviu" siècle se tinrent, à très-
peu d'exceptions près, dans le grand Salon du Louvre
que nous appelons aujourd'hui le Salon Carré. La
première dont le livret nous soit parvenu fut installée
dans la cour du Palais Royal. En 169g, les exposants
émigrèrent dans la grande galerie du Louvre, c'est-à-
dire dans la galerie du bord de l'eau qui les reçut
encore en 1704. Dès lySy, ils occupent le Salon
Carré qui leur fut désormais consacré jusqu'au jour
où la Révolution ouvrit l'accès de l'Exposition à tous
les artistes (i). Dès lors l'ancien emplacement deve-
nait insuffisant, et force fut aux organisateurs d'enva-
hir la galerie, le vestibule et de placer des tableaux
jusque dans l'escalier.
Nous ne pouvons ici nous étendre davantage sur
la topographie du Louvre à cette époque. On retrou-
vera dans les plans de l'Architecture française de
Blondel des renseignements précis qui feront mieux
comprendre que toutes les explications écrites l'an-
cienne disposition du Salon Carré. On y voit figurer
l'escalier qui donnait accès à cette époque à la
salle d'exposition, et dont Gabriel de Saint-Aubin
nous a conservé dans sa charmante eau-forte la
vivante physionomie. Cet escalier débouchait dans
l'angle du Salon Carré, à l'endroit où est aujour-
d'hui placée la Belle Jardinière de Raphaël. Les
(i) Voyez Correspondance de Grimm, T. III, p. 348-
349.
b.
deux gravures de Martini fourniront des détails plus
précis encore sur la disposition des deux Salons
qu'elles représentent. On y reconnaît en effet les
principaux tableaux énumérés dans le livret comme
dans plusieurs autres eaux-fortes de la fin du xviii^
siècle que nous avons indiquées à leur date.
Rédaction du Livret.
Le livret fut d'abord rédigé par le concierge de
l'Académie qui exerçait en même temps les fonctions
de trésorier (i).
(i) On ne songea pas tout d'abord à employer les
numéros pour aider le public à retrouver les objets
exposés. Dans les premiers livrets on décrit l'un après
l'autre, en grand détail, chaque panneau, de manière
que l'œuvre du même artiste, si elle ne se trouve pas
au même endroit, sera éparpillée à travers tout le livret.
On revint à ce système en lygi et gS ; mais son
incommodité força bien vite l'administration à y
renoncer. Le premier livret classé par numéros est
celui de lySS. Malgré la simplicité des recherches
avec ce nouveau procédé, on essaya un jour une
amélioration qui rendait l'usage du livret presque
superflu. De distance en distance des cartouches, dont
ceux du musée du Louvre peuvent donner une idée,
indiquaient aux visiteurs le sujet et l'auteur des
tableaux placés au-dessus. Cette innovation n'avait
qu'un inconvénient, c'était de restreindre singulière-
ment l'usage et par conséquent la vente du livret et
le profit de l'Académie. Aussi l'essai fait une fois ne
paraît-il pas avoir été renouvelé. Au reste l'entrée du
Salon étant gratuite, le public qui venait le visiter
était bien en état de payer un livret de douze sols.
Le secrétaire de la compagnie contrôlait son travail
qu'on soumettait à l'approbation du directeur des
Bâtiments avant de le livrer à l'imprimeur. C'est en
ij38 que figure pour la première fois le nom du
rédacteur. Il s'appelle Reydellet et prend le titre de
concierge et receveur de l'Académie. Lépicié, alors
secrétaire, était chargé de revoir la rédaction. Le
produit de la vente, qui d'abord appartenait au corps
académique et qui constituait une de ses principales
ressources, fut peu à peu abandonné au concierge
par la négligence de Lépicié. C'est au moins ce qui
résulte d'une lettre fort curieuse de Cochin datée
du 17 avril 1755.
A cette époque, le dernier concierge de l'Académie,
était-ce Reydellet ou son successeur? nous ne pourrions
le dire, étant mort insolvable, et l'Académie s'étant
trouvée obérée à la suite de cet événement, les fonc-
tions de trésorier furent enlevées au concierge et
séparées de celles de rédacteur du livret. Chardin
devint trésorier, et Cochin, nommé secrétaire de
l'Académie, s'occupa pendant plusieurs années de la
composition du catalogue. 11 nous apprend de plus,
par une lettre du 5 août, que le préambule placé en
tête du livret de lySS est de lui. Ce renseignement
donne à ce préambule très-bref, et où cependant
l'auteur trouve le moyen de faire à la fois l'éloge du
Roi, de M. de Marigny et de M'"'= de Pompadour, un
intérêt particulier.
M. de Marigny, consulté par l'artiste, lui avait
répondu que le produit du livret ne devait pas plus
revenir au concierge qu'au secrétaire de l'Académie,
mais au corps lui-même, et que la question ne pouvait
présenter aucun doute. Cochin avait revendiqué la
somme, mais pour en faire un don gracieux à ses
confrères; toutefois la décision de M. de Marigny
ne lui laissa pas même le mérite de cette généro-
sité. En effet le Directeur des Bâtiments faisait observer
judicieusement que l'usage constant laissait aux
Académies le produit des ouvrages imprimés par
elles, bien que le secrétaire seul fût chargé de la
besogne.
Or, cette besogae devint bientôt une véritable
corvée. Renou, qui remplaça Cochin dans les fonctions
de rédacteur du livret, à une époque qui n'est pas
exactement connue, mais probablement vers le temps
où Pierre devint premier peintre, et où Cochin perdit
du coup une partie de son influence et de ses fonctions,
nous apprend par une lettre du 3 décembre lySS,
les ennuis et la perte de temps que la rédaction du
livret causait à l'académicien chargé de ce soin. Non
seulement il devait tenir pendant deux mois sa porte
ouverte à tous les artistes qui venaient, soit lui
remettre des notices sur leurs envois, soit changer
leurs indications primitives; mais il lui fallait encore
répondre aux lettres des amateurs, propriétaires
d'œuvres d'art envoyées à l'Exposition.
Le livret une fois composé, Renou devait en mettre
au net trois copies, une pourle Directeur des Bâtiments,
une autre pour l'imprimeur, et une troisième pour y
inscrire les corrections nouvelles. Pour tout ce travail
il lui était alloué 3oo livres; l'expédition des copies
absorbant la moitié de cette somme, il lui restait
i5o livres comme indemnité de la perte de deux mois
de son temps.
— XXI —
Et, en même temps, le concierge a deux sous et les
modèles de l'Académie autant sur chaque volume
vendu. Or, le dernier livret s'est vendu à près de vingt
mille exemplaires, il a donc rapporté près de deux
mille livres au concierge et deux autres mille livides
aux modèles, tandis que l'artiste qui avait toute la
peine recevait un dédommagement presque dérisoire.
Cette choquante disproportion frappa M. d'Angiviller,
et il fixa pour l'avenir la rétribution du rédacteur du
livret à 600 livres. Renou déclara qu'il n'osait pas
espérer autant et continua ses ingrates fonctions
jusqu'en 1791. Dans cette circonstance, s'il faut en
croire le rapport du plaignant, Cochin se serait montré
assez mauvais confrère. Lui qui demandait jadis les
avantages pécuniaires que la vente procurait au con-
cierge, se montra très-sévère pour la réclamation de
Renou; il affecta d'être choqué de son avidité. N'était-
ce pas bien austère, et avait-il le droit de traiter si
ddrement un collègue moins fortuné, qui ne jouissait
pas, comme il le fait fort bien observer lui-même, d'un
revenu de neuf mille livres sur les libéralités du Roi
aux artistes.' En terminant, Renou se venge par un
mot piquant du procédé peu loyal de son collègue :
« C'est Sénèque, dit-il, au milieu de l'abondance,
qui prêche le mépris des richesses. »
A qui doit-on la rédaction des livrets depuis lygS
jusqu'en 1800 r L'Académie vient d'être emportée par
la tourmente révolutionnaire, les anciennes traditions
sont rompues. La direction suprême de ces fêtes
artistiques passe en quelques années par différentes
mains. En lygS, elle semble appartenir à une déléga-
tion nommée directement par les artistes eux-mêmes
pour tomber, en lygS, dans les attributions du
ministre de l'instruction publique, puis dans celles
du ministre de l'intérieur les années suivantes. Il
est probable que la rédaction du livret devient
une pure affaire administrative et qu'elle restera
désormais confiée à quelque employé d'un des bureaux
ministériels. Le livret lui-même reste muet sur son
auteur. Il est curieux de suivre d'année en année les
différentes innovations qui furent alors tentées pour
en rendre l'usage plus commode au public. Ne
s'imagina-t-on pas en lygi et lygS de suivre dans
l'impression du livret le classement des tableaux dans
les salles, de manière à diviser l'œuvre du même
artiste, à mêler tous les genres, à intercaler les statues
et les gravures au milieu des peintures, à produire
enfin une confusion générale au milieu de laquelle
on n'arrive à se retrouver qu'au moyen de la table
alphabétique placée à la fin du volume (i) !
On ne tarda pas à imaginer un système plus
simple et plus logique qui rendait superflue l'ad-
dition de cette table. C'est celui qui est encore
suivi de nos jours. Les exposants sont divisés par
(i) Il est à remarquer que le premier catalogue
officiel du musée de peinture du Louvre, celui de
1793, est rédigé d'après le même principe; et c'est
avec intention que les rédacteurs ont introduit cette
variété ou plutôt ce désordre dans la composition du
livret. Ils ont soin de nous prévenir qu'ils ont voulu
rendre la visite du musée moins monotone et partant
plus attrayante en divisant les œuvres d'un même
auteur. Il est fort probable d'ailleurs qu'au Musée,
comme au Salon, les rédacteurs du catalogue ont suivi
le classement des tableaux sur les murailles.
catégories suivant les genres, en peintres, sculpteurs,
architectes et graveurs, et sont classés dans chaque
division suivant l'ordre alphabétique. Dès 1 795 ce
classement fut invariablement observé pour chaque
Exposition.
On pourra aussi remarquer, comme un signe des
préoccupations de l'époque, et comparer entre eux les
curieux préambules placés en tête de chaque livret;
.le ministre lui-même prend la peine, sinon de les
rédiger, au moins de les signer.
La préface de la plupart de ces livrets contient
ce passage qu'il est bon de noter : « Les retards
trop habituels dans l'envoi des ouvrages et
même des notices, quoiqu'on en ait prolongé le
terme, pourront nécessiter un supplément. » On verra
par la liste des livrets depuis cette époque jusqu'à
nos jours que les habitudes n'ont guère changé.
Jamais on n'a pu obtenir des exposants une exacti-
tude complète, et il n'y a pour ainsi dire pas un livret
depuis 1800 qui ne comporte un supplément ou une
addition.
Les lecteurs qui voudraient avoir des détails plus
étendus sur l'histoire et l'organisation des Expositions
révolutionnaires, les trouveront dans l'Histoire de
l'art pendant la Révolution, ouvrage posthume de
M. Jules Renouvier, publié et annoté par M. Anatole
de Montaiglon (i).
Impression, vente et prix des livrets.
Par un arrêt du Conseil d'Etat du Roi, le privilège
(i) Paris, i863, in-8°, chez M™^ veuve Renouard.
exclusif de faire imprimer, non seulement les livrets
des expositions, mais aussi les conférences, disser-
tations, mémoires lus dans les réunions académiques,
et aussi de faire graver les ouvrages des membres
de la compagnie, fut accordé à l'Académie au mois
dejuin 1714. En vertu de cet arrêt, l'Académie choisit
pour imprimeur ordinaire le sieur CoUombat, déjà
imprimeur des Bâtiments du Roi. On trouvera cette
pièce curieuse, répétée à la fin de presque tous les livrets
du xviii" siècle, à la suite de notre réimpression de
celui de lyBy. La charge d'imprimeur de l'Académie
resta dans la famille Collombat jusqu'en 1763. Elle
passa alors à Jean-Thomas Hérissant, acquéreur de
l'imprimerie des Collombat, qui en fut officiellement
investi par un article ajouté à la suite du privilège
et reproduit dans notre bibliographie de lyôS. La-
veuve Hérissant conserva l'impression des livrets
jusqu'en 1795. L'année suivante seulement, nous
voyons figurer sur le titre une nouvelle maison, appelée
l'Imprimerie des Sciences et des Arts. Peut-être est-ce
simplement la même imprimerie qui a adopté ce
nouveau nom pour se conformer au goût du temps.
Quelques notes recueillies çà et là dans la corres-
pondance administrative des Bâtiments du Roi nous
permettent de déterminer exactement le prix de
revient du livret, le prix de vente, le nombre des
exemplaires vendus et le revenu net que cette affaire
produisait à l'Académie.
Voici d'abord une facture détaillée de Collombat
lui-même pour le livret de 1755. Il avait fourni huit
mille exemplaires. Nous avons vu que d'après l'asser-
tion de Renou la vente, en 1783, atteignait le chiffre
— XXV —
de vingt mille (i). Une discussion s'était élevée entre
l'imprimeur et l'Académie au sujet du payement. Au
lieu de 120 livres par mille exemplaires, on ne voulait
payer que 80 livres. Une transaction intervint, et il
fut établi pour l'avenir que le prix ne dépasserait
pas 70 livres par mille.
La notedeCollombat se trouva réduite de 1 179 1. 5o s.
à 835 1. 5 s. Le détail de cette note fournit de curieux
renseignements sur la distribution d'un certain nombre
d'exemplaires. On en faisait dorer sur tranches et
brocher en papier gaufré deux cent cinquante destinés
sans nul doute aux membres de l'Académie de Pein-
ture et probablement à ceux de l'Académie d'Archi-
tecture et à quelques commis des Bâtiments du Roi.
L'exemplaire unique en maroquin bleu , aux armes
royales, est très-certainement destiné à Louis XV, tan-
dis que les treize exemplaires en maroquin rouge avec
les mêmes armes ont dû être offerts aux membres de
sa famille. Le marquis de Marigny et la favorite sont
aussi bien traités que le Roi; chacun d'eux reçoit un
exemplaire spécial à ses armes. Enfin, en cas d'oubli,
on fait encore relier six autres livrets comme ceux de
la famille royale, mais sans armes, et neuf autres avec
dentelles et roulettes à fleurs de lis. Probablement ces
derniers sont distribués aux ministres ou aux person-
(i) En 1763 Mathon de la Cour, dans ses lettres,
évalue le nombre des visiteurs du Salon à sept ou
huit cents personnes par jour « figurez-vous une salle
immense où se réunissent tous les jours sept ou huit
cents personnes de toutes les provinces et de presque
toutes les nations. » Le Salon aurait eu alors, toute
proportion gardée, autant de visiteurs qu'aujourd'liui.
c
— XXVI —
nages de la Cour dont l'Académie tient à se ména-
ger les bonnes grâces. Cela résulte d'ailleurs des
termes d'une lettre de Pierre qui, en envoyant le
8 août le manuscrit du livret à M. d'Angiviller, le
presse de renvoyer promptement le volume à l'impri-
meur, afin qu'il puisse être distribué aux personnes
de la Cour avant le 25, jour de l'ouverture du Salon.
Ces frais obligatoires n'augmentent que dans une
très-faible proportion la note de l'imprimeur et, tout
compris, chaque exemplaire ne revient guère qu'à 2 sols.
D'après une note jointe ù la lettre déjà citée de Renou,
la vente de 20,000 exemplaires ayant dû produire
12,000 livres, il résulte que l'exemplaire se vendait
12 sous, ce qui laissait à l'Académie un bénéfice
net de 10 sous. Elle en abandonnait deux à son
concierge, dépositaire et vendeur du livret, et deux à
ses modèles; il lui restait encore 6 sous pour faire
face aux frais du Salon et pour son bénéfice. Or nous
avons l'état des dépenses de plusieurs Salons. En
1735 les journées d'hommes employés à accrocher
les tableaux, les clous, la corde et divers accessoires
montent en total à 3 16 1. 4 s. Encore dans ce chiffre
est comprise une dépense extraordinaire sur laquelle
nous aurons à revenir, et qui ne se reproduit que
très-rarement. En lyôg les frais divers de l'Exposition
ne dépassent pas 222 livres.
Par des lettres desi6 juin 1771 et 1773, nous savons
que l'Académie n'avait même pas à supporter les
frais de la gratification de 25o 1. donnée aux Suisses
qui gardaient les salles du Louvre pendant la durée
de l'Exposition. Cette somme était fournie à la com-
pagnie sur les fonds des Bâtiments du Roi. Vers 1787
cette gratification est portée à 35o 1., et au Salon de
1787, six invalides sont adjoints aux Suisses, à cause
des circonstances. Il leur est accordé 3o 1. en tout.
Avant d'en finir avec les gardiens de l'Exposition, il
est à noter qu'en 1789 on jugea prudent d'employer
à ce service un corps moins impopulaire que les
Suisses. On proposa la milice nationale; mais en
jSn de compte la garde et la police du Salon furent
confiées par les administrateurs du district de Saint-
Germain-l'Auxerrois aux élèves de l'Académie qui
s'acquittèrent de ces fonctions à la satisfaction géné-
rale.
Un mémoire des dépenses causées par l'installation
du Salon de 1783 fait voir que les frais avaient
notablement augmenté depuis 17 5g. Ce mémoire
monte à ySS 1.; il comprend, il est vrai, les dépenses
de toute nature causées par l'Exposition, et jusqu'à
des gants fournis aux ouvriers pour manier les
bordures. Ces ouvriers n'étaient autres que les mo-
dèles de l'Académie. Si les frais ont augmenté, les
recettes s' étant accrues dans la même proportion, le
profit de l'AcadémJe est encore considérable. En
effet nous possédons la copie d'un budget des recettes
et des dépenses de l'Académie en 1783. Parmi
les recettes figure en première ligne, avant même le
produit de la location des boutiques du Pont-Neuf,
celui de la vente du livret qui s'élève net à
3,5oo livres environ. Ce cliiffrc n'a rien d'exagéré,
puisque l'Académie recevait près de 6,000 liv. comme
nous venons de l'établir, l'impression et la commis-
sion du vendeur payées.
— xxvm —
Tapissiers et décorateurs des Expositions.
Dès l'origine des Salons de peinture un artiste fut
chargé par ses confrères de veiller à l'arrangement et
à la décoration des salles d'Exposition, au placement
des tableaux et des statues. Ce n'était pas une petite
affaire, et le malheureux investi de ces délicates
fonctions était en butte à bien des griefs et à d'inter-
minables réclamations.
Le livret de lôyS n'indique pas le décorateur du
Salon. Mais, dès 1699, l'artiste chargé de ce soin est
nommé. C'est d'abord un peintre de paysage, Hérault;
il conserve ces fonctions pour le Salon de 1704.
Quand les Expositions de l'Académie recommencent,
en 1737, Hérault n'existe plus; un autre académicien,
Stiémart, est devenu décorateur de l'Exposition et
garde cette charge jusqu'en 1740 ou 1741; le livret
de 1741 ne nomme pas le décorateur pour cette année.
A Stiémart succède Portail en 1742. Le lecteur
pourra trouver des détails très-complets sur ce peintre
peu connu dans la notice biographique que lui a
consacrée M. le marquis de Chennevières dans les
Portraits inédits d'artistes français et dans une
note rédigée par M. de Montaiglon pour le premier
volume des Publications de la Société de l'Histoire
de l'Art français. Portail figure d'ailleurs comme
le tapissier en titre des Expositions dans la cor-
respondance administrative des Bâtiments, et no-
tamment dans une lettre de M. de Marigny du
24 juillet 1755. Il exerçait en même temps les
fonctions de garde des tableaux du Roi, et c'est en
— XXIX —
cette qualité que lui incombait l'aiTangemcnt du
Salon. Mais à sa mort, arrivée vers la fin de l'année
1759, Cochin fit observer à M. de Marigny que la
charge de garde des tableaux obligeant l'artiste qui en
était investi à résider à Versailles, celui-ci ne pouvait
surveiller l'arrangement de l'Exposition comme s'il
avait habité Paris. En conséquence les fonctions de
décorateur du Salon furent réunies à celles de trésorier
de l'Académie, et c'est à la suite de cette décision que
Chardin s'occupa, à partir de 176 1, de la décoration du
Salon. Il y mit tous ses soins, s'il faut en croire une
lettre de Cochin du 11 février lyôS, et y consacra
beaucoup plus de temps que son prédécesseur. Aussi
dès 1763 Cochin demande-t-il pour lui, à l'occasion
d»u dérangement que lui cause l'Exposition, un sup-
plément de pension qui fut immédiatement consenti
par M. de Marigny.
Chardin avait déjà plus de soixante ans quand il
fut chargé de l'arrangement des Salons. Il fut
obligé, avant la fin de sa vie, de se débarrasser de
cette corvée assez fatigante sur un de ses confrères
plus jeune et plus ingambe. En 1775, le décorateur
est Vien ; aux deux Expositions suivantes, et proba-
blement aussi en 1781, Lagrenée l'aîné et Renou, le
rédacteur du livret, sont chargés ensemble de l'ar-
rangement du Salon; puis ce soin est confié, en 1783
et en 1785, à Amédée Van Loo. Nous ignorons le nom
du décorateur des Expositions de 1787 et 1789;
c'est peut-être Durameau ; c'est lui du moins qui orga-
nisa le Salon de 1791.
Nous venons de voir que Chardin avait obtenu
en 1763 une augmentation de pension en raison des
c.
dérangements que lui causait la de'coration du Salon -,
quand cette corvée fut imposée successivement à
chacun des membres de l'Académie, on s'occupa de
les rémunérer de leur peine d'une façon différente.
Une lettre de M. d'Angiviller du 14 septembre 1779
approuve le don fait par l'Académie à Lagrenée l'aîné
d'une bourse de 200 jetons d'argent en reconnaissance
des soins donnés aux deux Expositions dont il s'était
occupé, c'est-à-dire à celles de 1777 et 1779.
Dans les dernières années de l'Académie, les désa-
gréments qu'entraînait l'organisation de l'Exposition
dégoûtaient tous les artistes de cette besogne. Une
lettre de Pierre du 20 juillet 1785 nous apprend
qu'on eut beaucoup de peine à décider Amédée Van
Loo à accepter une seconde fois ces fonctions désa-
gréables. A force d'insistance, on obtint cependant
son consentement, et c'est alors qu'il proposa des
changements notables dans la disposition du Salon.
L'emplacement était fort étroit; les Expositions
devenaient chaque année plus nombreuses, et on
était réduit à accrocher des tableaux au-dessus de la
corniche. On proposa d'augmenter les parois de la
salle en installant près des fenêtres des cloisons
mobiles en planches, destinées à recevoir les petits
tableaux. Cet agencement devait disparaître après
la clôture et être remis en place pour le Salon
suivant. Nous ignorons si M. d'Angiviller approuva
la dépense proposée.
On employa plusieurs autres expédients pour
donner satisfaction aux plaignants. Une lettre de
Pierre du 24 septembre 1785, nous apprend qu'on
imagina après la durée habituelle de l'Exposition, de
descendre les tableaux commande's pour le Roi, tous
placés à une très-grande hauteur, et de les exposer
seuls aux regards du public pendant une semaine.
D'une lettre de Cochin du 7 novembre suivant, il
résulte que ce changement avait produit un très-
heureux effet pour certaines œuvres et que Peyron
notamment y avait singulièrement gagné (i). Mais si
ce changement était avantageux aux bons tableaux, il
était loin d'avoir le même résultat pour les œuvres
médiocres. Ainsi que l'écrit Pierre le 7 octobre 1787
à la suite d'un remaniement analogue à celui de
1785, a les mauvais tableaux deyiennent épouvantables
dans l'examen des détails. »
Les sculpteurs n'étaient pas moins difficiles à
contenter que les peintres. Ils changeaient sans cesse
la place de leurs statues, quelquefois sans aucune
autorisation, comme le prouve la singulière aventure
de Gaffiéri qui, en 1783, s'arrangea de manière
à obstruer à la fois le passage et le jour de la fenêtre
d'un bureau occupé par un employé des Bâtiments.
Cette fois M. d'Angiviller n'y put tenir; il fit remettre
à sa place primitive la statue déplacée (c'était proba-
blement le modèle en plâtre de la figure de Molière)
(i) Déjà à plusieurs reprises la durée du Salon avait
été prolongée pour donner le temps au public de
voir des ouvrages arrivés en retard. Ainsi, en 1750,
le Directeur des Bâtiments laisse le Salon ouvert
jusqu'au i°' octobre, parce que les tableaux de de Troy,
alors directeur de l'Académie de Rome, n'étaient
arrivés que le 23 septembre. En 1779, l'empressement
du public fit prolonger le Salon, qui devait fermer le
3o septembre, jusqu'au dimanche suivant 3 octobre.
— XXXII —
et ne ménagea pas l'expression de son mécontente-
ment.
Cependant on s'ingénia pour calmer les plaintes
sans cesse croissantes des sculpteurs et empêcher
leurs perpétuels déplacements. En 1787, Pierre
imagina et soumit à l'approbation du Directeur des
Bâtiments l'expédient suivant : Chaque sculpteur
choisira dorénavant sa place par ordre d'ancienneté,
et, ce choix une fois fait, aucune réclamation ne sera
admise.
En 1791, ce fut une bien autre difficulté. Les
Salons académiques comptaient deux cent cinquante
à trois cents numéros; jamais le nombre des œuvres
exposées n'avait dépassé le chiffre de trois cent
cinquante, et tout d'un coup il fallait recevoir près de
huit cents ouvrages. On ouvrit alors aux artistes
la grande galerie du bord de l'eau, on installa comme
on put des tableaux dans le vestibule, dans l'escalier ;
les statues envahirent jusqu'à la cour qui précédait
l'entrée . Les indications du livret de 1791 donnent
assez bien l'idée de cet encombrement général et du
désordre qui s'ensuivit.
Il faut noter ici une importante modification appor-
tée en 1789 à la disposition du Salon. Il avait été
éclairé jusque-là par huit fenêtres latérales , six du
côté de la rivière et deux du côté de la cour de
l'Infante; on imagina, soit pour augmenter la place,
soit pour procurer aux tableaux un jour plus favorable,
de boucher ces fenêtres et d'éclairer la salle par le
haut. Survint une tempête qui enleva une partie de la
toiture et cassa un grand nombre de glaces. Cet
accident, en montrant les inconvénients de l'inno-
— XXXIII —
vation, fit décider qu'on reviendrait à l'ancien système;
mais il est probable qu'on n'eut ni le temps ni le
moyen d'opérer ce nouveau changement, et c'est
très-vraisemblablement à l'administration de M. d'An-
giviller qu'on doit l'installation primitive du vitrage
qui surmonte le Salon Carré du Louvre.
Dès i6gg, le directeur des Bâtiments du Roi profita
de la publicité de l'Exposition pour mettre sous les
yeux des visiteurs les plus belles tapisseries de la
manufacture des Gobelins. Ces tapisseries ajoutaient
en même temps à la richesse de la décoration du
Salon. Plusieurs fois pendant le cours du xviii' siècle
des ouvrages importants sortis de la manufacture
royale furent employés au même usage. Nous n'insis-
terons pas davantage sur ce sujet. Notons toutefois un
curieux détail. En 1791, au mois de décembre, au
milieu des préoccupations politiques les plus graves,
on s'occupait d'organiser au Louvre, dans l'ancien
appartement des Pairs, une exhibition des produits
de la manufacture royale de porcelaines. Il serait
assez singulier que ce projet eût reçu son exécution
dans un pareil moment.
Ces exhibitions de produits des manufactures
royales prouvent qu'on ne négligeait aucun moyen
de donner aux Salons de l'Académie le plus d'éclat
et de splendeur possible.
On est revenu plusieurs fois depuis le commence-
ment du siècle à cette ingénieuse disposition. 11 existe
même des catalogues des produits des manufactures
nationales mis sous les yeux du public à diverses
Expositions. Ces catalogues, indépendants du Livret
officiel, sont peu connus et deviennent rares.
— XXXIV —
Concours et commandes.
Sans entrer dans de grands détails sur les encou-
ragements donnés aux Beaux-Arts par l'ancienne
monarchie, il n'est pas hors de propos de signaler
ici les tableaux commandés pour le Roi ou pour les
châteaux royaux, depuis l'année 1678 où les grandes
batailles d'Alexandre furent exposées aux yeux du
public, jusqu'à la veille de la Révolution, alors que
M. d'Angiviller s'efforçait, par des séries de com-
mandes, de soutenir la peinture historique presque
abandonnée, et de lutter contre l'invasion générale
des sujets de chevalet et des tableaux de genre.
Tout d'abord, dans cet ordre d'idées, se présentent
deux ou trois faits exceptionnels. Je veux parler des
grands concours ouverts entre les peintres les plus
renommés de l'Académie par le duc d'Antin et ensuite
par M. Le Normand de Tournehem. Le premier eut
lieu en 1727, le second vingt ans après, en 1747;
malgré les précautions prises pour assurer l'impar-
tialité des jugements, les résultats ne répondirent pas,
on devait s'y attendre, à l'espérance des organisateurs
de ces concours. Les mécontents, et tous ceux que le
jugement de leurs pairs n'avait pas mis en première
ligne étaient de ce nombre, protestèrent contre la
décision des juges, et ces solennités n'eurent d'autre
résultat que d'exciter entre les concurrents des jalou-
sies sans fin. C'est probablement pour cela qu'on
renonça à cette idée, et on fit bien.
M. d'Angiviller inaugura une autre méthode. Il
chargea un certain nombre de peintres et de sculpteurs
— XXXV —
d'exécuter de grandes scènes historiques ou des figures
d'hommes illustres; ces commandes devaient représen-
ter aux Expositions périodiques le grand art qui tendait
de plus en plus à disparaître. D'après une liste fort cu-
rieuse des différentes commandes faites dans ce sens de
1776 a 1791, on voit que chaque Salon devait recevoir
une dizaine de tableaux de ditférentes tailles, variant de
i3 pieds sur 10 à 8 sur lo. Les sujets, proposés par
le Premier Peintre du Roi ou par les artistes eux-
mêmes et définitivement choisis par le Directeur des
Bâtiments, représentaient des actions héroïques, des
traits de courage ou de vertu pris dans l'histoire
ancienne ou dans l'histoire de France , et étaient
destinés à composer ainsi une galerie des plus
beaux faits historiques (i). Le prix de ces tra-
vaux variait, suivant les dimensions, entre 6,000 et
3,000 1. Il est à peine besoin de dire que les premiers
artistes de l'Académie étaient, à tour de rôle, chargés
de l'exécution de ces commandes, et que les plus
célèbres obtenaient les sujets les plus importants.
Le nombre des sculpteurs étant plus limité et les
frais de la sculpture dépassant ceux de la peinture,
on ne commandait que quatre statues pour chaque
(i) La suite des tableaux et des statues commandés
pour le Roi forme le sujet d'une brochure composée
par un sieur Turpin qui obtint l'autorisation de la
vendre à la porte du Salon. Gochin entreprit en 1785
de graver cette suite de tableaux avec l'assistance du
graveur Née. Nous avons trouvé l'idée de ce projet
dans une série de lettres de Gochin d'un très-vif
intérêt que nous avons l'intention de publier prochaine-
ment.
^4-
— XXXVI —
Salon. Les modèles de ces statues étaient pris ex-
clusivement parmi les grands hommes de la France.
Les écrivains célèbres, les philosophes, les savants,
les prélats illustres et les artistes étaient largement
représentés dans cette sorte de Panthéon où les
capitaines et les marins avaient aussi leur place.
Ainsi les statues demandées pour les Expositions de
1777 et dé 1779 devaient représenter Descartes, Sully,
L'Hôpital, Fénelon,d'Aguesseau, Bossuet, Montesquieu,
Corneille, c'est-à-dire des magistrats, des écrivains,
des ministres, et pas un homme de guerre. Ce n'est
qu'en 1787 et les années suivantes que Tourville,
Catinat, Condé, Turenne, Vauban auront leur tour;
mais sans qu'on oublie jamais les hommes qui ont
fait honneur au pays par leur science, leur vertu ou
leurs talents.
D'ailleurs nous publierons dans les documents inédits
sur les Expositions la listecomplètedesouvrages, tantde
peinture que de sculpture, commandés par M. d'Angi-
viller pendant la durée de son ministère. On verra
qu'un certain nombre de commandes n'ont jamais été
exécutées, soit que les artistes fussent pressés par
d'autres travaux, soit que le sujet ne leur eût pas
convenu.
Nous avons déjà dit que ces ouvrages destinés au
Roi n'étaient pas des mieux traités dans le classe-
ment des tableaux de l'Exposition. Comme ils dépas-
saient généralement la taille des autres cadres, on les
accrochait tout en haut, presque hors de la portée de
la vue. Pour remédier à ce grave inconvénient, on dut
faire une seconde Exposition spéciale pour les tableaux
du Roi, après celle des œuvres de tous les Académi-
— xxxvn —
ciens. Au reste certains artistes ne justifiaient que
trop cette sorte de dédain affecté pour ces œuvres
de commande. M. d'Angiviller se plaint à plusieurs
reprises dans sa correspondance que les tableaux
destinés au Roi ne soient considérés par certains
artistes que comme une sorte de gratification, et que
leurs auteurs se préoccupent beaucoup moins de bien
faire que de terminer lestement leur ouvrage. Sou-
vent aussi ils négligeaient la commande du Roi pour
d'autres et n'étaient pas prêts lors de l'exposition à
laquelle ils devaient figurer. Le Directeur des Bâtiments
était alors obligé de leur rappeler qu'il n'était pas
convenable de sacrifier les tableaux destinés au Roi à
ceux des particuliers et que les travaux ordonnés par
lui devaient au contraire passer en première ligne.
Sans doute ces commandes n'auraient pas produit
le résultat désiré par M. d'Angiviller, et il ne serait
pas parvenu par ce moyen à remettre en honneur la
peinture de sujets historiques tombée en discrédit.
Mais il n'en faut pas moins savoir gré à ce ministre
d'avoir vu le mal et d'avoir cherché à y remédier. La
tâche était au-dessus de ses forces; mais cela ne
diminue en rien le mérite de ses efforts qui furent
certainement dirigés avec intelligence et dans le but
le plus louable.
Pour compléter cet article, il faudrait exposer les
encouragements accordés aux artistes pendant la
période révolutionnaire. Mais ces développements
nous entraîneraient trop loin. Nous renvoyons le
lecteur à l'ouvrage déjà cité de M. Jules Renouvier
sur l'art pendant la Révolution. Nous ne pourrions
qu'abréger sommairement ici les détails qu'il renferme.
d
On y trouvera la preuve que la sollicitude de la
Convention et ensuite du Directoire s'étendit, malgré
les difficultés d'une situation sans pareille, sur l'art
et sur les artistes, que les divers gouvernements qui
se succédèrent alors s'efforcèrent de suppléer, dans la
mesure de leurs moyens, aux ressources que les
circonstances enlevaient aux hommes de mérite. On
vit figurer aux divers Salons les tableaux d'encou-
ragement commandés par le ministère. M. J. Renou-
vier a fait grand usage des livrets de cette époque
pour constater l'état de l'art pendant la Révolution.
C'est une preuve nouvelle et décisive des renseigne-
ments que renferment ces documents si arides en
apparence.
Particularités de certaines Expositions.
Nous n'avons pas la prétention de relever tous les
faits singuliers et dignes de remarque que fournit
l'examen des livrets ou la lecture de la corres-
pondance administrative relative à notre sujet. Nous
nous contenterons de signaler quelques points prin-
cipaux et de citer quelques œuvres singulières qui
se recommandent par leur importance.
En lyô.'i, le grand pastel de Latour aujourd'hui
au Louvre, qui représente M"'^ de Pompadour,
avait été l'objet d'une attention particulière de
la part des organisateurs du Salon. On l'avait installé
sur un chevalet, entouré d'une balustrade, et comme
l'artiste n'avait probablement pas trouvé le jour
favorable à son œuvre, elle avait été changée de place
pendant le cours de l'Exposition. Aussi cet apparat
— XXXIX —
entraîna en 1755 un surcroît de dépenses auquel
nous avons précédemment fait allusion. Ordinai-
rement de pareils honneurs étaient réservés aux
effigies royales, et différentes lettres nous appren-
nent que les grands portraits officiels du Roi ou de
la Reine étaient ordinairement entourés d'un appareil
extraordinaire.
Le portrait de Louis XV par Carie Van Loo,
exposé en lySi, fut placé sous un dais qu'on fit
venir du garde-meuble à cette occasion.
Nous ignorons dans quelle circonstance et où fut
exposé en 1787 le portrait de Marie-Antoinette par
M"" Le Brun. Ce ne pouvait être au Salon de
l'Académie fermé depuis plusieurs mois, et cependant
il semble résulter d'une lettre du 19 janvier 1788
qu'à cette époque ce portrait avait été mis sous les
yeux du public, puisque Pierre demande qu'on donne
plus de pente au tableau. Il ne peut être question
que d'un tableau actuellement exposé.
Ces deux exemples montrent suffisamment de
quelle pompe étaient honorées les représentations des
personnes royales.
Deux lettres de Gabriel l'architecte , et de Go-
chin , du 24 et du 3o septembre 1765, nous
révèlent un fait bien autrement singulier et dont
il faut avoir sous les yeux la preuve catégorique
pour le croire. Le Dauphin , désirant connaître
l'Exposition sans se déranger, ne trouvait rien de plus
simple que de faire transporter de Paris à Versailles
les tableaux et les statues les plus remarquables. On
juge des inconvénients, sans parler des frais, d'un
pareil déménagement. Toutefois, durant plusieurs
— XL —
années, on n'osa opposer au caprice du prince aucune
objection. Enfin, en 1765, les personnes chargées de
l'exécution de cette fantaisie s'enhardirent et, sur
leurs représentations, le Dauphin renonça au déplace-
ment des ouvrages exposés. C'est avec un empresse-
ment qui semble indiquer une certaine satisfaction
que Cochin envoie à M. de Marigny avis de ce
contre-ordre. Il a tellement hâte de le prévenir
qu'après lui avoir écrit à son domicile, il lui envoie
une autre lettre chez M"= Geoffrin dans l'espérance
que celle-ci lui arrivera plus tôt que l'autre. Il ne lui
restait d'ailleurs pas de temps à perdre; sa lettre
porte la date du 3o septembre, et ce singulier voyage
devait commencer le premier octobre.
Ordinairement le Roi et les personnes de sa famille
ou de la Cour prenaient la peine de se déranger pour
venir visiter le Salon, soit avant l'ouverture, soit un
jour fixé à l'avance et pendant lequel le public n'était
pas admis. Pierre nous a conservé dans une lettre du
28 août 1783 le souvenir d'une visite de M"" Elisa-
beth accompagnée de Madame, sœur du Roi, et
suivie de près de la comtesse d'Artois. On voit à la
confession ingénue du premier peintre dans quel
trouble l'avait jeté cette visite imprévue.
Les personnes de la famille royale n'étaient pas les
seules qui réclamassent le privilège d'être admises au
Salon soit avant l'ouverture, soit à des heures inter-
dites au public. Plusieurs demandes dans ce sens sont
adressées à M. d'Angiviller pour ce Salon de 1783 par
la marquise de Choiseul la Baume, et par MM. Hoc-
quet, de Laborde, de Pio. Naturellement chacun des
solliciteurs a d'excellents motifs à invoquer à l'appui
de sa demande; chacun d'eux obtient d'ailleurs très-
aisément la permission désirée. Même remarque pour
l'année lySS. Le nombre des visiteurs privilégiés va
en augmentant. Nous connaissons les noms de neuf
d'entre eux; quelques-uns ne se contentent pas d'une
seule visite, et, après avoir obtenu une première
permission, ne craignent pas d'en solliciter une
seconde. Et très-probablement la plupart des sup-
pliques de ces demandeurs importuns ne nous sont
pas parvenues. De celles que nous connaissons
nous pouvons conclure que le nombre en était
grand.
Une autorisation qui est plus d'une fois demandée,
mais qui est moins facilement accordée, est celle
d'exposer parmi les œuvres des Académiciens certains
objets d'art que leur auteur désire faire connaître du
public. Sur ce point le Directeur des Bâtiments est
intlexible; il sent bien qu'une fois une pareille
permission donnée, il serait assiégé par la foule des
amateurs importuns envers qui un refus est toujours
embarrassant.
Tout au plus permet-il de placer à la porte du
Salon, mais en dehors, et avec l'assentiment du
premier peintre, les morceaux d'anatomie d'un sieur
Pinçon et un dessin lavé à l'encre de Chine, représen-
tant l'assaut et la prise de Mahon par un capitaine
au régiment de Médoc, nommé Hardy.
Si l'accès du Salon est si difficile aux profanes, les
abords en restent libres à tout le monde et on sait
que la plupart des brochures si nombreuses qui
parurent sur les derniers Salons académiques se
vendaient aux portes du Louvre.
d.
En 1773 le Directeur des Bâtiments sut résister,
comme en 1771, à une nouvelle demande qui se
présentait cependant sous un haut patronage. Le duc
d'Aumont, cet amateur passionné d'objets d'art, solli-
citait pour Gouthières la permission de mettre au
Salon deux tables de porphyre qu'il venait de mon-
ter. Il est plus que probable que le duc d'Aumont
avait des motifs particuliers pour s'intéresser si
vivement à ces deux ouvrages du fameux ciseleur. On
voit en effet figurer au catalogue de sa vente sous le n" 3 1 8
deux tables de porphyre décorées en style égyptien par
Gouthières. Elles furent achetées pour la Reine 28,9991.
19 s. La supplique du noble duc n'eut pas plus d'effet
que celles des sieurs Pinçon et Hardy. Sur la proposi-
tion de Pierre, consulté à ce sujet, Gouthières fut
autorisé à placer ses tables hors du Salon, au rez--de-
chaussée, à l'entrée des pièces qui servaient de passage
de la cour au jardin de l'Infante. Il n'est pas besoin
de dire que ces œuVres admises par faveur à la porte
du Salon ne figuraient jamais au livret officiel de
l'Académie. Certains critiques en ont cependant parlé
dans leurs brochures.
L'Académie de Saint-Luc avait ouvert, comme on
sait, vers le milieu du xviii' siècle, des Expositions
rivales de celles de l'Académie royale; on connaît les
livrets des sept Expositions de Saint-Luc. Quand les
maîtrises et communautés furent supprimées par un
édit royal, diverses tentatives furent faites pour
donner aux artistes qui n'appartenaient pas au corps
privilégié le moyen de soumettre leurs œuvres au
jugement des amateurs. L'Académie voyait cette
concurrence d'un œil jaloux et il n'est pas douteux
qu'elle ait contribué de toutes ses forces à faire avorter
ces essais. On retrouve la trace de cette préoccupation
dans la curieuse lettre écrite par M. d'Angiviller à
M. Lenoir pour le prier d'empêcher les Expositions
du Colisée qu'il traite de déshonorantes pour les arts.
Avec de si puissants adversaires, l'entreprise n'avait
aucune chance de succès, et c'est ainsi que la tentative
faite au Colisée en 1776 pour remplacer les Salons
de la communauté de Saint-Luc ne put se renouveler.
Cette opposition systématique de l'Académie et de
l'administration à toute entreprise rivale de ses Expo-
sitions explique l'insuccès de Cahin de la Blancherie
et du Salon de Correspondance. L'aventureux inno-
vateur aurait eu de la peine à réussir sans cette
redoutable inimitié; c'est merveille qu'il ait pu lutter
quelques années dans des conditions aussi désavan-
tageuses. Sur toute cette curieuse affaire, nous
renvoyons le lecteur aux intéressants articles publiés
par M. Emile Bellier de la Chavignerie, dans la Revue
universelle des arts.
Critiques.
M. de Montaiglon s'est chargé de tracer à grands
traits l'histoire des critiques de Salon au xviii^ siècle.
Il est inutile de recommencer un travail dont il a su
fort bien s'acquitter. Nous ne nous arrêterons donc
pas plus aux éloquentes improvisations de Diderot
qu'aux niaises brochures dont un titre baroque faisait
souvent tout le mérite. Nous ne pouvons nous empê-
cher toutefois de regretter que M. Walferdin n'ait
pas mis encore à exécution le projet depuis si longtemps
annoncé de donner une édition complète et définitive
— XLIV —
des Salons de Diderot. Cette honorable mission lui
appartient à trop de titres pour que personne songe
à marcher sur ses brisées ; mais ce serait, nous sem-
ble-t-il, une raison de plus pour qu'il se préoccupât de
donner satisfaction le plus tôt possible à l'impatience
générale. On pourra toujours retrouver et réunir les
Salons inédits qu'il a publiés dans la Revue de Paris
en 1857, on pourra même profiter des notes substan-
tielles qu'il a jointes à cette publication ; mais per-
sonne ne connaît et n'aime Diderot comme M. Wal-
ferdin, et personne ne saurait en conséquence suppléer
à ce que nous perdrons s'il ne se décide pas à nous
donner l'édition promise.
Les critiques des Salons fourniraient, si on les
dépouillait attentivement, beaucoup de renseignements
précieux. Nous n'avons pas eu le loisir de nous livrera
ce travail assez fastidieux, et nous n'aurions pas la place
d'en retracer ici les résultats. Contentons-nous de
recueillir quelques détails dans la correspondance
administrative de la maison du Roi, comme nous
l'avons fait sur différents autres sujets.
Dès 1748 les critiques préoccupaient et chagrinaient
fort les Exposants. Cela résulte d'une lettre de M. de
Tournehem du 17 septembre; et cependant on n'était
alors qu'aux débuts de ce nouveau genre littéraire et
les Aristarques montraient encore une certaine modé-
ration relative. En vain M. de Tournehem conseillait
aux artistes de n'opposer aux attaques de leurs
détracteurs que le silence et le dédain, leur promettant
que le mépris public ferait bien vite justice de
l'impertinence des écrivains. L'amour-propre blessé
ne se console pas si aisément, et l'Académie ne tarda
— XLV —
pas à solliciter et à obtenir des mesures de répression
contre les libelles que l'ouverture de chaque Salon
faisait éclore. Une lettre de Cochin du 17 septembre
1765 nous apprend que, depuis plusieurs années
déjà, M. de Malesherbes, puis M. de Sartines, avaient
exigé des écrivains que leur manuscrit fût commu-
niqué, avant l'impression, au Directeur des Bâtiments
du Roi. L'autorisation d'imprimer n'était accordée
que sur l'avis de ce personnage. Cochin demandait en
outre que tout écrivain fût obligé à signer sa brochure,
et ne pût abriter sa malveillance ou son ignorance
sous le voile de l'anonyme.
Cependant la nécessité d'attirer l'attention du public,
soit par l'excentricité du titre, soit par la singularité
de la forme, soit par la malignité des appréciations,
devait rendre ces piqûres de plus en plus insuppor-
tables aux Académiciens. Dans une correspondance
relative aux critiques de 1779, nous voyons tour-à-
tour le lieutenant de police et le Directeur des Bâti-
ments inviter les écrivains à la modération. M. d'An-
giviller se plaint, dans une de ses lettres, que la
plaisanterie arrive quelquefois « à égratigner jusqu'au
sang. » D'ailleurs, ajoute-t-il, il s'est fait une loi de
n'approuver et de ne désapprouver aucune de ces
brochures, laissant au bon sens du public le soin
d'en faire justice. Nous allons cependant le voir
intervenir tout à l'heure quand le pamphlétaire ira
trop loin et s'attaquera, non plus aux œuvres, mais à
la personne et à la réputation de l'exposant. Une
lettre de M. d'Angiviller de la même année 1779
demande la suppression de deux vers dans le Miracle
de nos jours. Ce sont les vers suivants :
— XLVl —
C'est que tous les deux
Ne sont pas de l'Académie (i).
Quelquefois cette correspondance nous apprend le
nom de l'auteur d'une brochure anonyme. Ainsi les
Connaisseurs ou la matinée du Salon est d'un certain
Laus de Clauseau. Une autre critique était d'un
nommé Gabiot, tout aussi inconnu dans la littérature
que Laus de Clauseau. Peut-être le Miracle de nos
jours doit-il être attribué à ce Des Labiés qui s'em-
presse de se rendre aux observations provoquées par
sa critique. Nous ignorons à quelle brochure fait
allusion la lettre adressée à M. de Savigny par le
Directeur des Bâtiments le i8 octobre. L'administra-
tion elle-même, comme on le voit dans cette lettre,
commençait à être fatiguée des attaques de cette nuée
d'écrivailleurs, d'autant plus qu'ils ne s'en tenaient
pas à reprendre les ouvrages, mais se permettaient
de blâmer le choix des sujets, et comme les plus
importants étaient ordonnés par le Directeur des
Bâtiments, cette critique devenait une censure directe
de son administration.
On trouvera dans la bibliographie des critiques de
1779 un exemple du détour que prenaient les auteurs
pour rétablir dans son intégrité leur œuvre mutilée
par la censure, lis distribuaient à leurs amis des
exemplaires où on avait ajouté en manuscrit les
morceaux ou les couplets retranchés à l'impression.
(i) En effet, sur l'édition imprimée du Miracle de nos
jours on voit, page 28, les deux vers retranchés par
M. d'Angiviller remplacés par deux lignes de points.
Il s'agit de Greuze et de Fragonard qui faisaient partie
de l'Académie, mais seulement à titre d'Agréés.
— XLVII —
Nouvelle correspondance de M. Lenoir et du comte
d'Angiviller au sujet des critiques de 1781. Comme
par le passé, le Directeur des Bâtiments, tout en
affectant le mépris le plus complet pour ces produc-
tions éphémères, retranche les traits les plus mordants;
il avoue en même temps qu'il n'aurait pas laissé
subsister grand'chose des brochures communiquées,
s'il avait effacé « tout ce qui ne lui en plaît guère. »
En 1783 un fait plus grave se produisit. Les
Académiciennes, mesdames Guyard, Vallayer-Coster et
Lebrun furent grossièrement diffamées dans une
brochure qui avait échappé à la surveillance du
lieutenant de police. L'auteur, probablement quelque
ennemi d'une de ces dames , sachant bien qu'il
n'obtiendrait pas l'autorisation nécessaire pour
imprimer, avait pris un moyen nouveau pour échap-
per à cette formalité. Il avait fait graver le texte de
son pamphlet. Aussi ne fut-il connu que quand les
libraires l'eurent mis en vente. Presque aussitôt après
son apparition, une plainte de iM"" Guyard amena la
saisie, mais le principal dépositaire refusa obstinément
de livrer le nom de l'auteur. Il est à supposer que les
exemplaires de ce libelle en vers et gravé, comme
nous l'avons dit, furent saisis rapidement et détruits
avec un grand soin, car nous n'avons pu arriver à
en connaître même le titre, et M. Chéron, qui a eu
l'extrême obligeance de faire sur notre demande des
recherches particulières à la Bibliothèque Nationale,
n'a pas été plus heureux que nous. Nous ne pouvons
plus compter que sur le hasard pour retrouver un
jour un exemplaire de cette brochure que nous
signalons à l'attention des bibliophiles.
XLVIII —
Il nous reste à ajouter que M. de Montaiglon a déjà
parlé de ces couplets satiriques dont la connaissance
lui avait été révélée par une requête de Ducis à
M"' d'Angiviller pour obtenir la suppression de la
brochure. On juge par toutes ces démarches du scan-
dale causé par cette critique introuvable.
Il fallait du reste que l'auteur eût dépassé toutes
les bornes, car on s'étonne de trouver certaines
attaques fort peu indirectes sur la vertu des dames
académiciennes dans des écrits tolérés par la police.
Qu'on lise le passage relatif à M"" Lebrun dans
VAvis important d'une femme sur le Salon de 1785 et
on verra qu'il était permis d'aller bien loin sans
encourir les rigueurs de M. Lenoir.
En 1785, le Directeur des Bâtiments ne crut pas
devoir s'opposer à la publication d'une critique qui
lui est signalée comme des plus mordantes. Il s'agis-
sait de l'Espion des Peintres de l'Académie Royale.
On attribue cette brochure à Nogaret; nous reprodui-
sons ce renseignement sans garantir son authenticité,
parce que le nom de l'auteur donnerait un peu plus
d'intérêt et de poids à ses méchancetés anonymes.
Pour terminer cet article, il ne nous reste plus
qu'à citer une lettre de Cochin, pleine de sens et de
jugement, comme presque tout ce qu'^jl a écrit. Elle
porte la date d'octobre 1787. En se plaignant de la
recrudescence d'inepties dirigées contre les artistes,
Cochin se contente de réclamer l'exécution de la règle
imposée jadis par M. de Sartines aux écrivains, et il
ajoute très-judicieusement que puisqu'un artiste signe
son œuvre, celui qui le critique doit également signer
sa brochure. Cochin impute à Pierre l'abandon de
cette mesure protectrice, et il ne se gêne pas pour
exprimer sa rancune contre le premier Peintre du
Roi. Il nous apprend enfin qu'il songeait à venger
plusieurs de ses confrères des attaques du Journal de
Paris en répondant lui-même à l'auteur des articles.
On sait que ce n'était pas la première fois que le
spirituel graveur descendait dans la lice pour se faire
le champion des Académiciens, et il était de force à
se mesurer sans désavantage avec tous les méchants
Salonniers de l'époque. Toutefois en reconnaissant la
justesse de ses observations, M. d'Angiviller semble
vouloir se dérober à un engagement formel, soit que
l'influence de Pierre, dont Cochin se plaint si vive-
ment, ait triomphé, soit que le Directeur des Bâtiments
redoutât de se créer des embarras dans un moment
où la presse s'affranchissait de toute crainte et de
toute règle.
Tels sont les renseignements que nous avons pu
recueillir sur les anciennes Expositions de peinture.
Nous n'avons pas la prétention d'avoir épuisé le sujet,
mais nous croyons ne rien laisser d'important
derrière nous, et nous avons préféré en finir d'un coup
avec les Salons du xviii' siècle, plutôt que d'attendre
une autre occasion pour donner au public le résultat de
nos recherches. Comme nos lecteurs ne s'intéressent pas
tous également aux sources originales, comme d'ailleurs
l'introduction d'une table ne comporte guère de longs
développements, et encore moins l'insertion de pièces
justificatives étendues, nous avons cherché à résumer
dans les pages qui précèdent le contenu de ces docu-
ments inédits que nous ferons imprimer à un petit
nombre d'exemplaires avec la notice, mais sans la
e
— L —
table des Salons. Ainsi pensons-nous donner satisfac-
tion à tout le monde.
J. J. GUIFFREY.
ADDITIONS
A LA BIBLIOGRAPHIE DES SALONS ET DES CRITIQUES.
Salons.
1737. Sur un exemplaire de la 2" édition, le blanc
qui se trouve au bas de la p. 22, après : le tout décoré
par les soins de..., est rempli par une note imprimée
à part et collée sur la page, ainsi conçue :
Omission.
La Vertu enchaînée par l'Amour.
Deux figures en terre cuite; l'une, Amphitrite sur
les eaux; l'autre, la Sagesse qui dompte l'Amour. Par
M. Vinache, agréé de l'Académie.
1783. 11 existe une édition de 3i5 n" seulement,
antérieure par conséquent aux quatre tirages décrits
dans la Bibliographie de ce livret. Dans cette édition
manque le n" 3 12. Portrait de madame de la Ferté,
par Moreau le jeune.
1798. Un amateur nous a dit avoir vu un exemplaire
sur lequel la peinture allait du n° 801 au n° 820.
Critiques.
1743. Couplets satiriques sur quatre modèles de
tombeaux pour le cardinal de Fleury exposés au Salon
de 1743 (le projet de Vinache n'est pas mentionné).
— LU —
Ce pamphlet a été publié dans les Archives de l'art
français, par M. Jules Cousin (t. V, p. 62), d'après
un manuscrit de la bibliothèque de l'Arsenal.
1748. Les lettres écrites de Paris à Bruxelles...
(dont nous citons le manuscrit; p. 8) ont été publiées
par la Revue universelle des Arts (t. X, p. 433-
462).
1748. Observation sur les Arts... (par St-Yves), a en
tête un frontispice gravé.
lybo. Lettres de M. le Chevalier de Tincourt sur
les tableaux exposés en 1760. — Paris, Merigot, ijbi,
(v. cat. Villot, 1870, n" 877).
1753. Le Salon, avec une eau-forte, in-8° Sg p., est
attribué à Lacombe par M. P(ierre) D(eschamps). Voy.
son catalogue. — Potier, i863.
1753. Description d'un tableau allégorique -de
M. Delobel, peintre ordinaire du Roy et de l'Aca-
démie royale de peinture et de sculpture, sur l'avè-
nement d'Henri IV à la couronne de France, exposé
au salon du Louvre en 1753.
Manuscrit de 2 feuillets in-folio, publié dans les
Archives de Part français (t. VI, p. 2 3).
1763. Description des ouvrages de sculpture exposés
au Sallon du Louvre en 1763. Supplément à la
description des tableaux avec des Remarques par la
même Société d'amateurs (s. 1. n. d.), i5 p.
En tête de cette critique une note annonce qu'elle
sera remise gratuitement aux personnes possédant
déjà la description des tableaux. S'adresser aux
bureaux du Mercure dont cette notice est extraite.
Elle se termine par une liste des femmes acadé-
miciennes.
i77-^- Productions de messieurs de l'Académie
royale de peinture et de sculpture. Compte-rendu du
Salon de 1775, inséré dans l'AImanach des peintres
de 1776, par l'abbé Le Brun. — Paris, V° Duchesne,
1776 (p. 88-108).
1783. Avec le Malborough au Salon... outre les huit
eaux-fortes doit se trouver une complainte gravée de
4 pages (Catalogue P. D.).
La pièce de Mercure et les Ombres est de Pariseau.
Les Connaisseurs ou la Matinée au salon est d'un
certain Laus de Clauseau.
Le Miracle de nos jours est très-probablement d'un
nommé des Labiés.
1785. L'espion des peintres de l'Académie royale
est attribué à Nogaret par M. P. D..
Dans une édition, Les Tableaux ou réflexions tardi-
ves... sont attribués à Cochin (vente Lechaudé d'Anisy).
En tête d'un exemplaire de l'Avis' important d'une
femme sur le Sallon de 1785, on lit cette note
manuscrite : « Critique qui a été au jour le 24 sep-
tembre et défendue le lendemain 25 dudit mois. »
Probablement à cause des articles sur M™" Lebrun et
M"= Guyard,
1787. Lettre sur les inscriptions pour mettre au bas
de différents tableaux exposés au Sallon du Louvre, s. 1.
n. d. (Paris), in-8 (vente Lechaudé d'Anisy).
Examen des critiques... par M. C... attribué à
Cochin par P. D. Serait-ce la réponse de Cochin
annoncée dans une de ses lettres et dont nous parlons
plus haut? (voy. p. xlix).
Lanlaire au salon par M. L. B. de B. (le baron de
Batz, cat. P. D.).
e.
L'Ami des Artistes au Salon par l'A. R. est attribué
à l'abbé Rive par le cat. P. D.
1791. On trouve une étude sur ce Salon dans les
« Lettres choisies sur les principaux événements de la
Révolution par le marquis Charles de Villette » à
Paris, chez les marchands de nouveautés et chez
Clousier, imprimeur, rue de Sorbonne, 1792 in-8° de
iv-336 p, avec un portrait gravé par Gaucher. Voy.
sur le salon, p. 234 à 246.
1791. A la notice bibliographique du salon de
1791 nous croyons devoir joindre la mention
des pièces suivantes. Elles ont un rapport trop
immédiat avec le bouleversement radical qui
s'opéra à cette époque dans la composition des
Expositions officielles, pour qu'il n'y ait pas
intérêt à en signaler l'existence bien qu'elles
n'aient rien de commun avec les critiques des
Salons.
i" Projet de décret du Comité d'instruction publique
sur les réclamations des artistes qui ont exposé au
Salon du Louvre, imprimé par ordre de l'Assemblée
nationale (17 septembre), Imp. nat. 2 pages.
2° Opinion de M. Huet-Froberville, député du
département du Loiret, sur le rapport du Comité
d'instruction publique et sur la pétition des Artistes
concernant la nomination des Juges pour les prix
d'encouragement accordés aux Arts par l'Assemblée
nationale Constituante (s. 1. n. d.). 11 p.
3° Rapport et projet de décret présentés à l'As-
semblée nationale par M. Quatremère au nom du
Comité d'instruction publique, le 14 novembre 1791,
sur les réclamations des artistes qui ont exposé au
Salon du Louvre à Paris. De l'imprimerie nationale.
1791- 9 P-
4° Rapport du Ministre de l'intérieur fait à l'Assem-
blée nationale le 28 novembre 1791, relativement à la
clôture de l'exposition des tableaux au Salon du
Louvre (les Artistes voulaient retirer leurs tableaux
alléguant que l'Exposition qui avait été prolongée
devenait déserte). 3 p.
5° Projet de décret présenté à l'Assemblé nationale
au nom du Comité de l'instruction publique par
M. Romme le 29 novembre et ajourné au samedi
3 décembre 1791 sur les réclamations des Artistes qui
ont exposé au Salon du Louvre (ce décret porte prin-
cipalement sur le mode de répartition des travaux
d'encouragement). Imp. nat. 4 p.
K
CONCOURS DE 1727
Nous faisons précéder l'explication des tableaux
envoyés à ce concours de la note publiée par le
Mercure de France du mois de juillet à cette
occasion.
« Le duc d'Antin, surintendant des Bâtiments
du Roi et protecteur de l'Académie, annonce en
1726 qu'il a obtenu du Roi une somme de 5oool.
pour récompenser ceux des peintres de l'Aca-
démie qui feroient les deux plus beaux tableaux.
Chacun eut le droit de choisir le sujet qu'il devoit
traiter. Les dimensions furent fixées à 6 pieds de
large sur 4 pieds 1/2 de haut.
» Douze peintres prirent part au concours. L'Ex-
position eut lieu durant mai et une partie de juin
(i) Nous publions cette notice d'après la description
imprimée en 4 pages in-4° dont nous n'avons eu
connaissance que depuis l'impression des livrets. Mais
cette exposition, comme nous l'avons dit plus haut,
ne doit pas être comptée parmi les Salons. C'est un
concours spécial entouré d'une solennité exceptionnelle
qui n'a aucun des caractères d'une exposition ordinaire.
- LVII —
dans la galerie d'Apollon : De Troy le fils, Gazes,
Charles Coypel, de Favanne, Lemoine, Restout,
CoUin, Noël Coypel, Massé, Courtin, Galloche
et Dieu.
» 3o juin 1727. Distribution solennelle des
prix. L'Assemblée s'assemble extraordinairement;
M. de Boullogne, chevalier de Saint- Michel,
I" peintre du Roi et Directeur, accompagné des
principaux officiers, alla recevoir le duc d'Antin
à la descente de son carosse et le conduisit dans la
grande salle où l'Académie assemblée l'attendoit.
Dès qu'il eut pris séance , il fut complimenté par
le secrétaire de l'Académie, M. de St-Gelais
(nous passons le discours, il n'a aucun intérêt).
)) Le duc d'Antin rendit les deux prix égaux et
les composa chacun de 2 5oo ^j il les accorda à
MM. De Troy et Lemoine. Le Roi fit retenir
pour lui le tableau de M. Ch. Coypel. »
EXPLICATION
DES TABLEAUX EXPOSEZ DANS LA GALLERIE d'ApOLLON PAR
MESSIEURS LES PEINTRES DE l'AcADÉMIE ROYALE DE
Peinture et de Sculpture.
Au mois de may 1727.
A la première croifée en entrant : Tableau de
6 pieds fur 4 :
I. Un Retour de chajjfe de Diane. Diane revenue
— LVIII —
de la chaffe fe repofe dans un antre frais & i'e fait
deshabiller par fes Nymphes pour fe baigner.
par M. De Troy, fils.
A côté tableau de même grandeur.
2. La NaiJJance de Vénus. Les poètes difent qu'elle
fut engendrée de l'écume de la mer. Les Amours
voltigent autour d'elle : les Triftons joyeux de fa
naiffance font retentir leurs conques marines; et les
Naïades Ira offrent à l'envi du corail et des perles, qui
font les produirions de la mer.
par M. Cas;e.
A la deuxième croifée : tableau de même grandeur.
3. Andromède attachée à un rocher. Perfé revenant
de couper la tête à Médufe apperçut Andromède , fille
de Céphée, attachée à un rocher pour expier le crime
de fa mère Caffiope qui s'eftoit vantée de paffer- en
beauté les Naïades : il combat le monflre qui venoit
pour la dévorer, le tue et époufe Andromède.
par M. Ch. Ant. Coypel, neveu.
A côté: tableau de même grandeur.
4. L'Amour filial d'' H érode. Hérode, gouverneur de
Judée, sous le règne de l'empereur Augufte, allant à
fon gouvernement, emmené avec lui fa mère, fa fœur
& fa future epoufe avec fes officiers et fes efclaves. Le
char qui portoit fa mère s'étant renverfé en chemin,
elle fut dangereufement bleffée à la tête; Hérode
croyant que fa mère alloit mourir, tire fon épée pour
fe tuer et en efl empêché par ses officiers.
par M. de Favanne.
A la troisième croifée : tableau de fix pieds cinq
pouces, fur quatre pieds trois pouces.
5. La Continence de Scipion. Scipion, général
romain, à l'âge de trente-cinq ans aïant remporté une
vicloire fit plufieurs efclaves, et entr'autres la maîtrefle
du gouverneur de la ville pour en jouir. Mais ayant
fçu qu'elle eftoit promife au gouverneur, il la lui
rendit avec la mère, sans y avoir touché; et une
partie de ce qu'il avoit remporté à la victoire.
par M, Lemoine.
A côté : tableau de six pieds sur quatre.
6. L'Adieu d'Hector & d'Andromaque. Hector, fils
de Priam, roy de Troyes et frère de Paris, allant au
combat contre le vaillant Achilles, capitaine grec, dit
adieu à Andromaque, fon époufe & à la famille,
recommandant fon fils Allianax aux Dieux. Andro-
maque pleure, prévoyant le malheur d'Hector qui y
tut tué par Achilles.
par M. Reftout.
7. La Maladie d'Antiochus. Le Père d'Antiochus
rillullre s'étant marié en fécondes noces, Antiochus
devint amoureux de fa belle-mére, dont il tomba
malade de langueur, ne voulant point déclarer la
caufe de fa maladie; mais fon médecin s'en étant
aperçu par l'agitation que lui caufoit la préfence de fa
belle-mére, le déclara fecrétement à fon père , lui
parlant en ces termes : Sire, le prince eft amoureux
de ma femme ainfi il n'y a rien à efpérer pour lui; ce
que le Roi ayant entendu lui promit la moitié de fon
royaume s'il vouloit lui donner fa femme. A quoi le
médecin répartit : Sire, s'il étoit amoureux de la vôtre,
la lui donneriez-vous? 11 répondit : plut aux Dieux
que ce fut la mienne. Le médecin répliqua : Sire,
c'eft de la votre qu'il elt amoureux , non pas de la
mienne; ce que voyant le Roi, il lui fit epoufcr fa
femme & par ce moyen rétablit la lanté de fon fils.
par M. Colin.
A côté : tableau de la même grandeur.
8. L'enlèvement d'Europe. Jupiter amoureux d'Eu-
rope, fille d'Agénor, roi de Phénicie, prit la forme
d'un taureau & fe gliffa dans les troupeaux d'Agénor.
Europe charmée de fa beauté & de fa douceur prit
plaifir à le parer de fleurs fur le rivage & fe hafarda
de monter deffus. Jupiter fe lança dans l'eau,
emporta la princefle dans l'Ile de Crète. Les Divinités
de la mer le regardent avec curiofité. Zephir & les
Amours favorifent fon entreprife.
par M. Coypel Voncle (i).
A la cinquième croifée : tableau de même grandeur.
g. La Jaloufie de Junon. Junon, jaloufe de ce
qu'Enée, fils de Vénus & d'Anchifes, alloit s'établir
en Italie, engage Eole, dieu des vents, à exciter une
tempête pour fubmerger fa flotte & lui promet pour
récompenfe Driopée, la plus belle de fes nymphes.
par M. Majjé.
A côté : tableau de même grandeur.
10. Syrinx changée en rofeau. La nymphe Syrinx
pourfuivie par le dieu Pan implore le secours du
fleuve Ladon, fon père, qui la reçoit dans fes bras &
repouffe l'infolence du dieu Pan & la change en rofeau.
par M. Courtin.
A la fixieme croifée : tableau de même grandeur.
11. Le combat d'Horacius Codés. Horacius Coclès
(i) C'est-à-dire Noël Nicolas, second fils de Noël, frère
cadet d'Antoine et oncle de Charles Antoine nommé
plus haut.
— LXI —
fait lui feul face à l'armcc de l'ennemi à l'entrée du
pont & les empêche de paffer pendant que les Romains
derrière lui détruifent le pont. Après la rupture du
pont, il pafla le Tibre à la nage au travers une grêle
de traits que lançoient fes ennemis, & arrive heureu-
fement du côté des Tiens. Par cette belle adion, il
préferva la ville de Rome que les ennemis vouloient
furprendre & piller.
par M. Dieu.
A côté ; tableau de même grandeur.
12. Hyppoméne & Attalante. Plufieurs rivaux
s'empreffoient auprès d'Attalante pour la mériter : fon
père inftruit par l'oracle ne la voulut donner qu'à
celui qui la vaincrait à la courfe. Hippoméne implore
le fecours de Vénus qui lui donna trois pommes d'or;
il les jette au milieu de fa courfe & pendant qu'Atta-
lante s'arrête pour les ramaffer, il prend le devant &
fe rend le vainqueur.
par M. Galoche.
i3. L' Audience de V Ambaffadeiir Turc au château
des Tuilleries le 21 mars i~23, par M. Paroucelle.
Permis d'imprimer et débiter ce i5 mai 1727.
Signé : Hérault.
De l'imprimerie de Sévestre. Pont St-Michel.
^B-J^-O^
/
TABLE CHRONOLOGIQUE
LIVRETS DES EXPOSITIONS OFFICIELLES
DE BEAUX-ARTS
DE l80I A 1873.
Cette table ne présentera pas, comme la bibliographie
placée en tête de chacun des livrets réimprimés, la
succession et les caractères distinctifs des différents
tirages de chaque livret. Elle indique seulement le
nombre des pages et des numéros de l'édition la plus
complète, y compris, s'il y a lieu, les suppléments.
Dès les premières années de ce siècle, on adopta un
système d'addition qui rend fort difficiles la recherche
et la constatation du tirage définitif. En effet, en
même temps qu'on ajoutait parfois à la suite du
livret, comme par le passé, un ou plusieurs supplé-
ments avec de nouveaux numéros, on intercalait dans
le corps du volume, sans interrompre la série des
articles et en se contentant d'ajouter un bis, les objets
en retard dont la description n'occupait pas beaucoup
de place. Ainsi est-il nécessaire de collationner numéro
— LXIU —
par numéro un grand nombre d'exemplaires pour
découvrir ces additions peu apparentes. Il arrive
même quelquefois qu'un second tirage ne comprend
que quelques articles doubles ou triples et qu'une
troisième ou une quatrième addition ont ajouté de
nouveaux bis et de nouveaux ter aux complications du
livret. On juge par là quelles difficultés on rencontre
quand on se propose de retrouver l'édition la plus
complète des livrets contemporains. Cette besogne
aride et rebutante avait été préparée par un travailleur
courageux à qui doit revenir le mérite de cette cons-
tatation. C'est d'après les notes laissées à M. Hubert
Lavigne par le regretté E. Bellier de la Chavignerie
qu'ont été indiqués dans le tableau suivant les numéros
bis, ter ou quater des différents livrets.
Il a paru inutile de donner à chaque exposition le
titre détaillé du catalogue. La date qui suit la mention
de Tannée indique le jour de l'ouverture de l'exposition.
On sait qu'après 1800 les salons de peinture ont reçu,
comme auparavant, l'hospitalité au Louvre. Cet état
de choses a duré jusqu'en 1848; les inconvénients
qui résultaient de l'installation provisoire des œuvres
modernes dans le Musée national du Louvre firent
placer les Salons dans ditïérents monuments de
1849 à i853; ils ne trouvèrent enfin un asile définitif
qu'après l'Exposition universelle de i855, dans le
palais construit pour elle et qui reçut depuis lors le
nom de Palais des Champs-Elysées,
Bien que les notices bibliographiques aient été
réduites au strict nécessaire, on a dû cependant
ajouter à un certain nombre d'entre elles des déve-
loppements nécessités par la publication d'une notice
séparée du livret , mais cependant rédigée à l'occasion
del'exposition etayantuncaractèreofficiel.Parfoisaussi,
la complication extraordinaire des différents tirages
(voy. i85o) exigeait des explications assez longues.
Il est bon de remarquer que, jusqu'en 1814, les diffé-
rentes sections, Peinture, Sculpture, etc., commen-
cèrent toujours par le premier numéro d'une centaine
ou d'une dizaine nouvelle, en laissant inachevée celle
dans le cours de laquelle se terminait la précédente
série. Ainsi le dernier numéro du livret ne doit pas
être considéré comme le chiffre exact des objets
exposés; on devra, pour le connaître, se reporter au
catalogue et additionner ensemble les totaux de chaque
section.
A partir de 1817 seulement l'ordre des numéros 'fut
suivi sans interruption du commencement à la fin, et
les suppléments eux-mêmes continuèrent purement et
simplement les numéros du livret.
En i833, le faux-titre du livret porte cette mention :
76""° exposition des artistes vivants. Cette indication
disparut de certains livrets postérieurs, puis fut rétablie
en 1857, 1866, 67, 68, 69, 70. Elle paraît maintenant
définitivement consacrée par l'usage. Le prix des livrets
a augmenté avec le nombre des numéros. On a vu
que l'Académie au xviii" siècle comptait la vente du
livret comme une des sources de ses plus clairs
revenus. Elle le faisait payer alors 60 centimes. Le
prix a, depuis 1800, été parfois abaissée 5o centimes;
mais il atteignait le plus souvent 75 centimes ou
I franc. Depuis 1857, il était fixé à i franc 5o cent.
Depuis 1872,1e livret imprimé à l'imprimerie nationale
ne coûte plus que i franc.
— LXV —
1801 — i5 fructidor an IX.
Un supplément, 92 pages, 720 n".
N" bis : 24, 123, i5g, 347, 368, 416, 710.
1802 — i5 fructidor an X.
Quatre suppléments, 120 pages, 1004 n".
N" bis : 81 et quelquefois 216.
N" ter : 142.
1804 — i"' jour complémentaire an XII.
Un supplément, 120 pages, g3o n°*.
N°"bis : 711,903,916, 922.
N°" ter : 909, 914.
N» quater : go5.
1806 — i5 septembre.
Un supplément^ 128 pages, 705 n°'.
N" bis : 241.
i8o8 — 14 octobre, second anniversaire de la
bataille d'Iéna.
120 pages, 834 ^"•
1810 — 5 novembre.
Un supplément, i38 pages, 12 10 n".
N" bis : 733.
Une page blanche à la suite du livret est paginée
139. — La même année a lieu l'exposition des prix
décennaux avec livret de 2 3 p. et 61 n°'.
181 2 — I novembre.
Un supplément, 140 pages, i353 n°'.
N°' bis : 526, i3i5.
N" quater : 1342.
1814 — I novembre.
Un supplément, 140 pages, 1442 n°'.
/.
— LXVI —
N°' bis : i5g, 489, 53o, 669, 1237, i3j3.
Il y a de nombreux tirages de ce livret différant les
uns des autres par des détails insignifiants.
1817 — 24 avril.
Deux suppléments et une addition, i25 pages,
I loo n°'.
1819 — 2 5 août.
Un supplément et un errata, 180 pages, 1702 n°'.
N"' bis : 40, 407, 524, 673, 820, II 52.
1822 — 24 avril.
Deux suppléments, 198 pages, 1802 n"".
N" quater : 1693.
1824 — 2 5 août.
Deux suppléments, 2 58 pages, 2371 n°".
N°' bis : 43, 2091.
1827 — 4 novembre.
Trois suppléments, 264 pages, 1834 n°".
N°' bis : i56j, i63g, 1659, 1701, 1765.
Nombreux tirages différents; suppléments publiés
isolément.
i83i — I mai.
Six suppléments, 278 pages, 3 182 n".
N" bis : io63.
i833 — I mars.
Un supplément, 260 pages, 33 18 n"".
1834 — I mars.
216 pages, 33 14 n".
N" bis : 573.
En tête de ce livret doit se trouver une notice de
22 p. intitulée: Musée Royal, donnant la description
— LXVII —
des travaux de décoration et surtout des plafonds
exécute's au Louvre à cette époque.
i835 — I mars.
Un supplément, 25o pages, 2536 n°',
i836 — I mars.
228 pages, 2122 n"'.
N°' bis : 222, 544, 775.
1837 — I mars.
226 pages, 2i3o n".
i838 — I mars,
228 pages, 2o3i n°'.
1839 — I mars.
261 pages, 2404 n°".
1840 — 5 mars.
2i3 pages, 1849 '^°'-
1841 — i5 mars.
264 pages, 2280 n"'.
1842 — • i5 mars.
25 r pages, 2121 n°'.
1843 — i5 mars.
227 pages, 1597 n°'. Avec une table alphabétique
des exposants.
1844 — i5 mars.
345 pages, 2423 n°'. Table alphabétique.
1845 — i5 mars.
33 1 pages, 2332 n°'. Table alphabétique.
1846 — 16 mars.
355 pages, 2412 n°'. Table alphabétique et Indication
— LXVIII —
par ordre de salle des ouvrages faisant partie de
l'Exposition.
1847 — 16 mars.
326 pages, 232 1 n". Table alphabétique et Indication
par ordre de salle, etc..
1848 — i5 mars.
3g5 pages, 5 180 n°'. — Le format du livret devient
un peu plus grand.
On vendait à la porte de l'Exposition une petite
brochure de 12 pages destinée à réparer les omissions
du livret officiel.
1849 — '^ i*^'" (3UX Tuileries).
234 pages et un errata formant une page de plus
non numérotée. 2 586 n"'.
Il faut joindre à ce livret une Notice historique
sur le palais des Tuileries, in-12, 21 ou 24 pages
(2 édit.).
i85o — 26 décembre (au Palais-Royal).
Un supplément, 332 pages, 3923 n"', avec 2 plans
des salles et 2 pages explicatives des plans.
Les numéros du supplément se trouvent intercalés
à leur ordre alphabétique dans un tirage postérieur
audit supplément qui a le même nombre de pages
et de n°' que le premier. Ce sont les n°' 36 à
36 8", 384, 390 1° et 2°, 1084, io85, 11 18 1° et 2°,
1928, 2086, 2229 à 2229 4°, 2473, 25o5 1° et 2",
2532 à 2532 3°.
N»' bis (en dehors de ces numéros supplémentaires) :
38, i52, ii3o, 1259, i3i9, 1376, 1708, 1737, i865,
2128, 2214, 3o8i, 3333, 3778, 378X, 38o6, 386i,
3875, 3877.
Nombreux tirages difle'rents.
A ce livret doit se joindre une notice historique sur
le Palais-Royal, in- 12, 21 p.
i852 — I avril (au Palais-Royal).
280 pages et 38 p. de liste alphabétique des exposants,
plus deux plans de l'exposition, lySy n°'.
Le sous-titre du livret porte : soixante-quinzième
exposition des artistes vivants.
i853 — i5 mai (aux Menus-Plaisirs).
296 pages et un plan de l'Exposition, 1768 n°".
N'" bis : 385, loSy, 1738, 1741.
Il faut joindre à ce livret la liste des artistes vivants
ayant obtenu des récompenses antérieurement au
I mai i853. In-12, 35 p.
i855 — j5 mai (au Palais des Beaux-Arts).
ExposixioN Universelle.
Quatre suppléments, 634 pages, 5 12g n".
N" 6/s : 539, i5i6, 1592, 1744, i855, igSS, 2893,
3164.
N° ter : 1744.
A joindre à ce livret, la liste des artistes français et
étrangers exposants, 82 p. in-12.
1857 — i5 juin (Palais des Champs-Elysées).
488 pages, 3487 n"' (le relevé des travaux exécutés
dans les monuments publics est inséré pour la pre-
mière fois au livret).
N°' bis : 1497, 2195, 2908, 3140.
N°* ter : 2769, 2874.
1859 — i5 avril.
533 pages, 3894 n"'.
N°" bis : 487, 942, 1297, 23oo, 2gi3, 3172, 3173.
— LXX —
1861 — I mai.
556 pages, 4102 n°".
N°^ bis : 2o5, 206, 207, 2556, 2924, 343g, 3970.
N» ter : 2556.
i863 — I mai.
414 pages, 2923 n°'.
N"'' bis : 32, 5oi, i43i, 1896, 2357, 2457,2499,
2563.
N" ter : 790.
N» quater : 2269.
Le n" 2577 se trouve répété cinq fois, avec les
lettres A, B, C, D.
A ce livret on doit joindre le « Catalogue des
ouvrages de peinture, sculpture, etc.. refusés par le
jury de iS63, et exposés par décision de S. M. l'Em-
pereur au Salon annexe, le i5 mai i863. Prix 75 cen-
times. Paris, in-i2,68 p. et 687 n°'.
1864 — 1 mai.
61 3 pages, 3473 n°'.
N"èîs : 108, 2i3, 353, 765, 2178.
i865 — I mai.
5o2 pages, 3559 '^°'-
N°' éfs : 122, 2784, 3o3i.
1866 — I mai.
469 pages, 3338 n"'.
N"' bis : 1281, 2192.
N"' ter : 41 1, 2414.
1867 — I mai.
406 pages, 2745 n°".
N" bis : 608, 1940, 26G2.
N°' ter : 1049, i3ig.
— LXXI —
Exposition Universelle : Le catalogue très-défec-
tueux des œuvres d'art (groupe I, classes i à 5; Paris,
Dentu) eut plusieurs tirages : i° de 240 p. la Belgique
ne s'y trouve pas; 2° Belgique ajoutée, 2 58 pages;
3° 288 pages. En outre, à la suite de chaque tirage se
trouvent xii pages d'annonces et plusieurs feuillets
blancs pour notes manuscrites.
1868 — I mai.
576 pages, 421 3 n"'.
N° bis : 3853.
1869 — I mai.
62g pages, 423o n°'.
N" bis : io36.
1870 — I mai.
760 pages, 5434 n°'.
N" bis : 4887.
Le n° i368 et sa description donnés dans le
premier tirage ne se trouve plus dans celui où le
n" 4887 est bis.
1872 — 10 mai.
338 pages, 2067 n"'.
(incertain nombre d'oeuvres admises et déjà inscrites
au Livret ayant été retirées spontanément par leurs
auteurs sur la demande du gouvernement, les n°' que
ces ouvrages avaient reçus ayant été purement sup-
primés, des cartons remplacèrent les pages où ils
figuraient. Voici les n°" qui manquent : 3, 72, 507,
880, 1127, 1428, 1469, i83g. En outre, la page i63-4
a été remplacée par un carton, bien qu'aucun numéro
ne manque.
D'après la pagination du livret, il manquerait
— LXXII —
8 pages au commencement ; on a dit que le compte-
rendu de la distribution des récompenses du Salon
précédent avait été retranché après l'impression,
1873 — 6 mai.
369 pages, 2142 n°'. '
Le faux titre porte cette mention : 90" exposition
officielle depuis l'année iG-j?).
Il faut joindre à ce livret le Catalogue de l'exposition
des œuvres d'art refusées à l'exposition officielle de
1873 (Champs-Elysées). Imp. Martinet, in-8 de 27 p.
et 422 n°'. Toutes les œuvres exposées ne figurent pas
sur ce catalogue.
TABLE DES ARTISTES
AYANT EXPOSK AUX SALONS DE l'aCADÉMIE ROYALE
ET A CEUX DE LA RÉVOLUTION,
DE iGy'i A 1800.
La table renvoie à l'année et à la page de notre réim-
pression. Quand un artiste a exposé plusieurs fois,
pour éviter les répétitions, on a remplacé les deux
premiers chiffres de l'année par un tiret; le chiffre
indiquant la page est séparé de celui de l'année par
un point et virgule. Ainsi l'indication suivante
— 3(); 3i équivaut à année 1739, page 3i . Plusieurs
chiffres séparés seulement par une virgule indiquent
les différentes pages du même livret auxquelles le
lecteur devra se reporter.
Les abréviations sont les abréviations ordinaires : p. à
la suite d'un nom veut dire peintre; se, sculpteur;
gr., graveur; arch., architecte; ing., ingénieur; dess.,
dessinateur.
A
Abel (Louis, p.): 1800; p. ii.
Adam /'a/wé (Louis Sigisbert, se.) : 1737; p. 24, 26,
27, — 38; 3i — 39; 22, 23, 34, — 40; i5 — 41 ;
i5 — 42; i5, 16 — 43; 16, 17 — 45; 20, 21 —
46; 17 — 47; 21, 22 — 48; 19 — 5o; 18, 19 — 5i;
3o — 53; 19.
Adam le jeune (Nicolas Sébastien, se): 1737; p. 33
2 Agescy.
— 38; 3i — 39; 24 — 40; 28, 29 — 41; 28, 29 —
42; 3o, 3i — 43; 35, 36 — 46; 26, 27 — 47;3i, 32
53; 3i, 32 — 63; 35, 36 — 65; 36.
Agescy (Bernard d'— , p.); voy. Bernard-Dagescy.
AiUier (p.): lôyS; p. 27, 36.
AIexand7-e (Louis, p.) : 1800; p. ii.
Aliamet (Jacques, gr.) : i753; p. 17 — 67; 41 — 71;
5o — 73; 48— 77; 5i - 79; 53 —81; 53 —87;
57 — 99; 85.
Alix (gr.) : 1795; p. 82 — 1800; 85.
Allais (se.) : 1791; p. 33, 55.
Allegrain (Gabriel, p.) : 1737; p. 3o — 38; 29 — 3q;
20 — 40; 18 — 45; 25 — 47; 24.
Allegrain (Christophe Gabriel, se.) : 1747; p. 33 —
53; 21 — 57; 35 — 67; 35 — 69; 33 — 77; 41.
Allin (p.) : 1791; p. 28, 29, 55, — 1800, p. 11.
Allou (Gilles, p.) : 1737; p. i5, 23, 28, 29, 3o, — 38;
21, 2 5, 26, 27, 29 — 39; 18, 20, 22 —40; 18—41;
19 — 42; 19 — 5o; 29.
Atnand (Jacques François, p.) : 1765; p. 3o, 3i — 67;
28— 69; 24.
Andrieu de Murent (Bertrand, gr. en méd.) : 1791;
p. 3i, 55 — 98; 81.
ANom'MES (peintre) : 1799; p. i3 — voy. Besson.
(architectes) : 1795; p. 75 — 98; 80 — 99; 75.
(graveur) : 1796; p. 84.
Anselin (Jean Louis gr.) : 1791; p. 39, 44, 55 — 93;
56, 75.
Ansiaux (Jean Joseph Eléonor Antoine, p.) : 1793.
p. 12, 26, 3o, 35, 56, 75, 93 — 95; i3 — 96; i5 —
98; n — 99; i3 — 1800; 12.
Araynes (Jean François Marie d' — , p.) : 1781; p. 3g.
Arnavon {ch&nomQ qX dess.) : 1789; p. 55.
Asselin (p.) : 1791; p. 49, 5o, 55.
Avril. 3
Attiret (M, L., arch.) ; 1796; p, 77.
Aubée (p.) : 1791; p. 25, 55 — 95; i3.
Aubry (Angélique, p.) : 1799; p. 14.
Aubry (Etienne, p.) : 1771; p. 38 — 73;. 35, 36 —
75; 28, 29 — 77; 26, 27, 48 — 79; 3i, 32 — 81;
29 — 87; 58.
Aubry {L,ou\^ p.): 1798; p. 11 — 1800; 12.
Audebert (p.) : 1795; p. i3 — 96; 16.
Audouin (Pierre, gr.) : 1796; p. 80,
Audran (tapissier) : I753; p. i5, 16.
August (p.) : 1796; p. 16..
Auguste ou Augustin (p.) : voy. Dubourg (Augustin).
Augustin (Jean Baptiste Jacques, p.) : 1791; p. 36,
55 — 93; 14, 75, 104 — gS; 14 — 96; 16, 29, 55
— 98; 1 1, 20, 23, 56 — 99; 14, 19, 23, 3o — 1800;
12, 26, 55, 86.
Auroux (Etienne, arch.) : 1793; p. 75.
Autereau père (Jacques, p.) : 1738; p. 29.
Autereau (Louis, p.) : 1738; p. 18, 22 — 09; 20 —
40; 29 — 43; 39 — 45; 3o, 3i —47; 27, 28—48;
23 — 5o; 24 — 5i; 3i — 55; 19 — 5g; 18, 19.
^M^Î'OM (M"" Pauline —, née Desmarquet -la-Chapelle,
p.) : 1793; p. 79, 108 — g5; 14 — 96; 16 — 98; 12
— 99; 14 — 1800; 12.
Aved (Jacques André Joseph, p.): 1737; p. 14, i5, 24,
25, 26, — 38; 16, 27, 3i — 39; ig, 21 — 40; 24,
25, 26, 32 — 41; 24, 26 — 42; 23, 24 — 43; 24
— 45; 24 — 46; 20, 21 — 47; 23 — 48; 22 — 5o; 2 1
— 53; 22 — 55; 18 — 57; 16, 17 — 59; 17, 18. —
67; 40 — 87; 48.
Aveline (Pierre Alexandre, gr.) : 1738; p. 26, 27 —
39; 26 — 40; 3o — 41; 3o — 53; 34 — 57; 35.
Avril père (Jean Jacques, gr.) : 1791; p. 33, 3g, 55
— g^; 45, 75 — 95; 84.
Avril fils (Jean Jacques, gr.) : i7gi; p. 32, 55.
4 Babouot.
B
Babouot (Antoine, se.) : 1791; p. 44, 55 — gS; 34,
75..
Baccari (Antoine, se.) : 1791; p. 41, 54, 55— gS; 66,
75.
Bachelier (Jean Jacques, p.) : 1751; p. 2g — 53; 27
— 55; 20, 21, 22 — 57; 18 — 59; 19,20 — 61; 19, 20
— 63; 20, 21 — 65; 16 — 67; i5 — 91; 16, 56 —
96; 58 — 99; 55 — 1800; 29, 55.
Bachiche (p.) : 1793; p. 34, 92.
Bâcler d'Albe (Louis Albert Ghislain, baron de — , p.
et ing.) : 1800; p. 12, 83.
Baër (gr. en pierres fines) : 1793; p. 44, 75.
Bailly (p.): 1791; p. 52,56.
Bajetti (arch. et dess.) : 1798; p. 12.
Baldrighi (p.) : 1757; p. 23.
Baltard (Louis Pierre, p.) : 1791; p. 29, 49, 56 ^-
03; i5, 23, 33, 47, 75 — gS; 14, i5 — 96; 16, 17,
77 — 9^; i3, 78 — 99; i4> i5, 75, 82.
Balthasard (p.) : 1791; p. i5, 16, 20, 33, 40, 42,45,
56 — g3; 46, 75, 107 — 1800; 11.
Balzac (Louis Charles, arch.) : 1793; p. 5o, 54, 75,
g3 — gS; 84.
Baptiste (Jean Baptiste Monnoyer, dit — , p.) : 1673;
p. 34.
Baraban (p. sur porc.) : 1798; p. i3 — 1800; i3.
Barbier-Walbonne (Jacques Luc, p.) : 1798; p. i3.
Bardin (Jean, p;) : 1779; p. 38, Sq, 40—81; 37 —
83; 37 — 85; 37— g5; i5.
Barraband (p.). Voy. Baraban.
Barrois (p.) : lygi; p. 24, 56.
Barroy (se.) : 1704; p. 38.
Bdin^x (François, p.) : I7g6; p. 17.
Bartolo^^i (gr.) : 1786; p. 86.
Bklle. 5
Battoni (Pompeo —, p.) : 1779; p. 49 — 87; 56.
Batidesson (Jean François, p.): 1699; p. 17 — 1704; 4--
Baudesson (Nicolas, p.) : 1673; p. 32, 33.
Baudet (Etienne, gr.) : lôiio; p. 2 5 — 1704; 18.
Baudiot (F'rançois, p.) : 1798; p. i3 — ()9; i5.
Baudouin (Pierre Antoine, p.) : 1763; p. 3o — 65; 23
— 67; 21 — 69; 19 — 93 ; 37, 38.
Baujil (p.) : 1793; p. 54, 75, 93.
Ba:^in (p.) : 1793; p. 92 — 95; i5 — 98; 14.
Beaubrun (Henri, p.) : 1673; p. 3o.
Beaufort (Jacques Antoine, p.) : 1767; p. 34 — 69; 3o
— 7'; 3o — 7^; 3o — 75; 21, 22 — 77; 24 — 79;
■.•;8, 29 — 8i; 26, 27 — 83; 23, 24.
Beaurepaire (Mlle de —, p.), voy. Mlle Chaceré de
Beaiirepaire.
Beauvallet (Pierre Nicolas, se.) : 1791; p. 39, 41, 42,
43, 44, 56 — g3; 60, 76 — 95; 63 — 96; 17 —
98; 71 — 1800; 67.
Beauvarlet (Jacques Firmin, gr.) : 1763; p. 38, 39 —
65; 41 — 67; 40, 41 — 6g; 40 — 71; 5o — 73; 48
— 75; 42 — 77; 49, 5o — 79; 5o — 81; 5i — 83;
55 — 93; 40, 76 —1800; 81.
Beguyer de Chancourtois (René Louis Maurice, p.) :
1791; p. 12, 56 — g3; 33, 4g, 78, g2, 106 — g6;
24, 25 — g8; 20 — gg; 20 — 1800; 23.
Bélanger (dess.) : ijg3; p. 39.
Belin (Claude Alexandre, p.) : 1798; p. 14 — 99; i5.
Beljambe igr.) : 1793; p.' 42, 76.
Belle (Alexis Simon, p.) : 1704; p. 22, 37 —45; 37 —
75; 41 - 77-, 49-
Belle (Augustin Louis, p.): 1791; p. 48, 56 — 93; 25,
36, 37, 76 — 96; 17, 18 — 99; i5.
Belle (Clément Louis Marie Anne, p.) : 1759; p. i5
— 67; i5 — 71; i3, 14 — 96; 17 —99; i5.
I.
6 Bellengé.
Bellengé (Michel Bruno, p.) : 1763; p. 3i — 65; 24 —
67; 22 — 69-, 19, 20 — 71; 22 — 73; 23, 24 — 75;
17 — 77; 19 — 79; ^5.
Bellier (Jean François Marie, p.) : 1791; p. 20, 56 —
95; 15—99; 16.
Bellissard (arch.): 1799; p. 79,
i3e//o?!2 (François, mosaïste) : 1796; p. 88— 1800; 86.
Benard (Pierre, p.) : 1796; p. 18.
Bena:^ech (p.) : 1793; p. 109.
Beno/s? (Antoine, p. et se.) : 1699; p. )3.
Benoist (Mme Marie Guilhelmine — , née Laville-Le-
roux, p.) : 1791; p. 19, 21, 25, 62 — 95"; 39 — 96;
18 — 99; 90 — i8oo; 45.
Berjon (Antoine, p.) : 1791; p. 16, 17, 18, 29, 56 —
96; 18, 19 — 98; 14— 99; 16,
Bernard (Denis Alexandre, calligraphe) : 1796; p. 80.
Bernard (Joseph, calligraphe) : 1796; p. 88.
Bernard (Samuel, p.) : lôy?; p. 3o.
Bernard -Dagescy (p.) : 1791; p. i5, 25, 45, 46, 49,
53, 56.
Bernard- Dagescy {Mme — , p.) : 1791; p. 26.
jBen-wer (Pierre, se.) : 1765; p. 38 — 67; 37 — 69;
36 — 71; 43 — 73; 39 — 75; 35, 36 —77; 33, 44
— 7g; 44 — 81; 43, 44 — 83; 5o — 85; 47 — 87;
49, 5o — 89; 45 — 93; 65, 66, 76 — 96; '74 —
1800; 69.
Bertaux (Jacques, p.) : 1793; p. 12, 18, 19, 20, 76,
100 — 95; i5 — 96; 19 — 1800; i3.
Berthault (Jean Pierre, gr.): 1787; p. 34 — i8oo; 71),
85.
Berthélemy (se.) : 1791; p. 38, 56— 93; 58, 76.
Berthellemy (Jean Simon, p.) : 1777; p. 38 — 79;
37, 38 — 81; 32 — 83; 29, 3o — 85; 24, 25 — 87;
60 — 89; 20 — 91; 14, 23, 24, 39, 56 — 96; 40 —
98; 12, 14.
BOESSEV. 7
Berthon (René Théodore Charles, p.) : 1796; p. 19
— 98; i5 — 1800; 14.
Bertin (Jean Victor, p.) : 1793; p. 23, 76, 109 — 96;
19 — 98; 14, i5 — 99; 16 — 1800; i3, 14.
Bertin (Nicolas, p.) : 1704; p. 43, 44.
Bertrand (Guillaume, p.) : 1791; p. 16, 28, 29, 49,
56 — 93; 16 — 1800; 14.
Bertrand (Philippe, se.) : 1704; p. 22, 24, 26, 27.
Bertrand (Vincent, p.) : 1796; p, 20.
Berwic (Jean Guillaume, gr.) : 1785; p. 55 — 91; 34,
56 - 98; 81.
Besson (Alexandre Charles, dess.) : 1795; p. 87 — 99;
16 — 1800; i5.
Beville (Charles, p.) : 1699; p. 24.
Bidault (Jean Joseph Xavier, p.) : 1791; p. 14, 17,
19, 46, 52, 56 — 93; 10, 12, i3, 18, ig, 21, 33,
35, 76, 92, 99 — 96; 88 — 98; i5 — 99; i6 —
1800; 86.
Billot r aine (arch.) : 1793; p. 76, 97.
Binard (Mlle —, p.) : voy. Mme Lenoir.
Bienaimv (Pierre Théodore, arch.) : 1795; p. 73.
Bilcoq (Marie Marc Antoine, p.) : 1787; p. 45 — 89;
33, 34 — 91; 20, 25, 3i, 53, 56 — 96; 88, 89.
Biaise (Barthélémy, se): 1787; p. 54 — 93; 70, 76 —
98; 70 — 1800; 69.
Blanchard {l^om?, Gabriel, p.) : 1Ô73; p. 3i — 1699;
'7-
Blondela (p.) : 1793; p. 76, 102.
Blondin (Mlle Aglaé —, p.) : 1795; p. 16.
Blot (Maurice, gr.) : 1799; p. 82 — 1800; 79.
B/w/eaM (Augustin, p.) : 1793; p. 76, m — 99; 17.
Bodesson (p.), voy. Baudesson.
Bodouin (p.) : 1798; p. i5.
Boessey {h\\\Q —, p.) : iSoo; p. i5.
8 BOGEL.
Bogel (p.) : 1791; p. i6, 56.
Boguet (Nicolas Didier, p.) : 1800; p. i5.
Boichot (Guillaume, se.) : 1789; p. 5i, bi — 91;
24, 32, 38, 42, 56 — 93; 49, 52, 76 — 95; 63.
Boilly (Louis Léopold, p.) : lygS; p. 10, i3, 14, 35,
45, 76, gi ' — g5; 16 — 96; 20 — 98; i5 — 99; 17
— 1800; i5.
Boischegrain (p.) : 1791J p. 3i, 56.
Boisset (p.) : 1795; p. 88.
Boissieux (p. et gr.) : 1796; p. 33.
Boi^ot (Antoine, p.) : 1737; p. 20, 29 — 38; 21, 25,
26, 27 — 3g; 14, 21 — 40; 25 — 41 ; 24 — 42; 25
— 43; 24,25 —45; 3o — 46; 23 — 47; 27 — 48;
23 — 5o; 23, 24, 28 — 5i; 26 — 53; 25 — 55; ig
— 57; 17 — 59; 18 — 61; 18, 19 — 63; ig, 20 —
— 65; 18 — 71; 17.
Boi^ot (Louis Simon, se.) : 1773; p. 43 — 75; 39
— 77; 46, 47 — 79; 45 — 81; 46 — 83; 52 — 85;
48 — 87; 5o — 8g; 46, 47 — gi; 34, 57 — g3; 61,
62, 76 — g5; 64 — g6; 72, 86 — 98; 70 — 99;
68, 69 — 1800; 67.
Bonnefoi (gr.) : 1793; p. 45, 76.
Donnemain (gr.) : 1793; p. 76.
Bonnemaison (Feréol, p.) : 1796; p. 20 — 98; 16 —
99) ^7 ~ 1800; 16.
Bonneuil (Mme —, p.) : 1795; p. 16.
Bonneval {h-nàvé, p.): i7g5; p. 17 —96; 20 — g8; 16.
Bonneville (p.) : i7g3; p. 33, 5o, 76, gg.
Bonnier (dess.) : 1793; p. 37.
Bonvoisin (Jean, p.) : i7gi; p. 4g, 57 — g3; 14, 24,
3o, 3i, 32, 33, 55, 56, 76 — 1800; 16.
Boquet (Pierre Jean, p.) : 1791; p. i5, 28, 45, 47,
48, 49, 56 — 93; i3, 14, 21, 3i, 54, 76, gi, — g5;
17 — 96; 20, 21 — 98; 16, — 1800; 17.
BOULIARD. 0
Boquet (Simon Louis, se) : ijcSy; p. 04 — 89; 49 —
91; 39, 42, 5b — 93; 70, 76 — 98; 71 — 99; 68.
Boquet (p. en miniatures) : 1793, p. 11, 76, 92,
Boril, voy. Bau^il.
Borilly (Jean Baptiste, p.): 1796; p. 21.
Bomet (p.) : 1798; p. 17,
jBos/o (Jean François, p.) : 1793; p. 19, 20, 28, 3o,
34, \(^, 5i, 76, 99, 100 — gH; 17, 86.
Bosset (Jean Frédéric, p.) : 1798; p. 17 — 1800;
17-
Bouchardon (Edme, se.) : 1737; p. 3i, 32 — 38; 2(),
3o — 39; 22, 23, — 40; 28 — 41; 27, 28 — 43;
33, 34, 35 — 45; 23—46; i8 — 71; 49 — 96;
Boucher (François, p.) : 1737; p. 18, 22, — 38; 16,
24 — 39; 14, 16, 19 — 40; 14 — 42; 14, 29 —43;
i5, 3i, 32 — 45; 35, 37, 38 — 46; i5 — 47; 20
— 48; 16, 17, 26 — 5o; 14, 1 5 — 5i; 27 — 53; i5,
34, 36 — 55; 36, 39 — 57; i3, 32, 34 — 61; i3,
32, 34 — 63; i3, 37 — 65; 12, i3 — 67; 42 — 69;
II, 40 — 71; 5i — 73; 46, 47, 48, 49 — 75; 41,
44 — 79; 5o — 96; 44.
Bouchet (Louis André Gabriel, p.) : 1791; p. 3o, 5-
— 98; 17 — 1800; 17,
Bouchon (p.) : 1800; p. 17.
Bougault (p.) : lygS; p. 17.
Bouillard (Jacques, gr. et p.) : 1791; p. 32, 57 —
1800; 18, 79.
Bouillon (Pierre, p. et gr.) : 1796; p. 80, 8i — 99; 17,
18.
Boulanger (arch.) : 1791; p. 39, 57 — 93; 76, 97,98
— g5; 73.
Bouliard (Mlle Marie Geneviève, p.) : 1791; p. 28, 57
— gS; 20, 22, 27, 52,77, 102, 108 — gS; 17 — g6;
21, 22 — g8; i8.
lO BOULLÉE.
Boullée (arch.) : lyyg; p. 76.
BouUiet (Jacques Antoine, se.) : 1798; p. 71.
BoiiUongne (Louis de —, le père, p.) : 1673; p. 3o.
Boullongne (Bon de —, p.) : 169g; p. 18, 22 — 1704;
18, 19, 20 — 57; 33, 34.
Boullongne (Louis de — fils, p.) : 169(1; P- i^> -4 ~
1704; 26, 27 — 77; 20.
Boullongne (Geneviève de —, p.) : 1673; p. 36 —
1704; 19.
Boullongne (Magdeleine de —, p.) : 1673; p. 36 —
1704; ig.
Boulogne : 1793; p. 77.
Bounieu (Mlle Emilie, p.) : 1793; p. 23, 77 — 98; 18
— 1800; 18.
Bounieu (Michel Honoré, p.): 1769; p. 3o, 3i — 71;
33, 36 — 73; 27 — 77; 28, 29, 3o — 79; 33, 34 —
g6; 21, 71 — i8oo; 18.
Bourgeois (Charles Guillaume Alexandre, p.) : 1800;
p. 18.
Bourgeois (Constant Florent Fidèle, p.) : i7()i;p. 14,
i5, 18, 29,31, 57— 93; i3, i5, 23,24, -^) -6, 3o,
77 — g5; 17 — 96; 89 — 98; 18 — 1800; 18.
Bourgoin (François Jules, p.): 1796; p. 22.
Bourguignon (p.) : 1673; p. 35.
Bourjot (Ferdinand, arch.) : 1800; p. 8g, go.
Bourreiff [homs-ievôma, se.) : 1798; p. 71.
Bouteville (p.) ; 1796; p. 22.
Bouton (Joseph Marie, p.) : 1791; p. 37, 57 — g3;
76, io3 — g5; 18 — g6; 22 — 98; 18 — gg; 18.
Boutrois (Philibert, gr.) : 1800; p. go.
Bouvet (Claude, se.) : 1800; p. 67.
Bouys (André, p.) : i6gg; p. 24 — 1704; 3o, 3i — 37;
i5, 3o.
Bovinet (Edme, gr.) : 179g; p. 83.
Brullée. 1 I
Boyer {iQ&n Louis, se.) : 1796; p. 72 — 99; 68 —
1800; 68.
Boyer (Michel, p.) : 1704; p. 45.
Boyer pcre, voy. Royer (Pierre, p.)
iîojfg (Joseph, p.) : 1791; p. 22, 27, 28, 29, 37, 45,
57.
Bréa (p.) : 1793; p. i3, 77.
Brenet (Nicolas Guy, p.) : 1763; p. 3o — 65; 26, 27
— 67; 26 — 6g; 24, 25 — 71; 26, 27 — 73; 26 —
75; 12, i3 — 77; 12, i3 — 79; 17, 18 — 81; i5, 16
— 83; 16, 17, 59 — 85; 14 — 87; 14, i5 — 89; 10,
1 1 — 91; 19, 57 — 96; 35, 37 — 98; 32, 47 — 99;
3i.
Briant (Jean, p.) ; 1796; p. 22, 23.
Briard (Gabriel, p.) : 1761; p. 27 — 65; 26 — 69; 24
— 96; 28, 3i — 98; 24, 28, 71 — 1800; 29.
Bricean (Mlle—, p.) : 1791; p. 43, 57.
Bridan (Charles Antoine, se.) : 1765; p. 37 — 73; 41
— 75; 34, 35 — 77; 42 — 81; 43 — 83; 47 — 85;
44, 45 — 87; 48, 49 — 89; 44 — 91; 34, 57 — 93;
61, 77 — 96; 72 — 99; 68, 69 — 1800; 68, 69.
Bridan fils (Pierre Charles, se.) : 1799; p. 68 — 1800;
68.
Brion (Louis, p.) : 1796; p. 23.
Broc (Jean) : 1800; p. 19.
Brocero (p.) : 1793; p. 53, 77.
Brochât (p.) : 1791; p. i5, 57.
Brongniart {E\. J., areh.) : 1795; p. 74 — 98; 78,
79-
Bruand, voy. Bruandet.
Bruandet (Lazare, p.) : 1791; p. 12, ig, 20, 52, 57 —
93; 17, 29, 3o, 46, 48, 55, 77 — 95; 18 — 96; 23
— 99; 88.
Brullée (ing. et arch.) : 1796; p. 77, 78.
12 Brun.
Brun (Nicolas Antoine, p.) : 1798; p. 19 — 1800,
19.
Brunet (se) : lygS; p. 58, 5g, 77.
Bruyère (Mme Elise —, née Lebarbier, p.) : 1798; p.
19 — 1800; ig.
Bruyère jeune (se.) : 1793; p. 36, 58,77.
Budelot (Jean Baptiste, se.) : 1791; p. 38, 42, 43, 57
— g3; 66, 67, 77 — gS; 64 — 96; 72 — 99; 69.
Budelot (Philippe, p.): i793; P- i9> 77.
^Mg-we^ (Henri, p.) : 1800; p. 19.
Buyster (Philippe de—, se.) : 1673; p. 3o.
C
Cabirole (se.) : 1798; p. 88.
Cacault (Pierre René, p.) : i7g5; p. 18 — 96; 23, 24
— 99; i^-
Cadet (Mme —, p.) : 1791; p. 17, i8, 43, 57.
Caffieri (Jean Jacques, se.) : 1757; p, 3o, 3i — 59;
2g — 61; 3o — 63; 35 — 65; 36 — 67; 36, 37 —
6g; 34, 35 — 71; 40, 41 — 73; 37, 38 — 75; 34
— 77; 4i> 42, 52 — 7g; 42, 43 — 81; 43 — 83; 46,
47 — 85; 44 — 87; 47, 48 — 8g; 43 — 98; 76.
Callamard {C\i&v\qs Antoine, se.) : 1793; p. 58, 77.
Callet (Antoine François, p.) : 1779; p. 38 — 81; 3i
— 83; 28, 2g — 85; 24 — 87; 23 — 8g; ig, 07 —
91; 44, 57 — 93; 34 — 95; 18, 19 — 98; 42 — 99;
i8, 19, 43 — 1800; 16, ig, 20, 45.
Callier (p.) : 1795; p. 19.
Camus (Ponce, p.) : i7g8;p. ig.
Canchij (se.) : i7g3; p. 60, 77.
Capet (Mlle Gabrielle Marie, p.) : 1791; p. 40, 57
— 93; loi — g5; ig — g8; ig — gg; 88 — 1800;
20.
Caraffe (Armand Charles, p.) : I7g3; p. 77, iio, m
Chaalon. i3
— g5; ig, 20 — 96; 24 — gq; 19 — 1800; 20, 21,
80.
Carat (p.) : 1791; p. 43.
Cardon (se.) : 1793; p. 70, 77.
Caresme (Philippe, p.) : 1767; p. 33, 34 — 69; 3o —
71; 34, 35 — 75; 26, 27 — 77; 28.
Carlier (p.) : 1793; p. 77, 102.
Carmona (Salvador, gr.) : 1759; p. 34 — 65; 40.
Carpentier (arch.) : 1796; p. 79.
Cars (Laurent, gr.) : 1737; p. 27 — 38; 26 — 47; 34
— 53; 2g — 55; 35 — 57; 3i — 61; 32.
Cartellier (Pierre, se.) : 1796; p. 72 — 1800; 69.
Caruelle (p.) : 1798; p. 86.
Casanova (p.) : 1763; p. 27, 28 — 65; 23 — 67; 20,
21 -^ 69; 19 — 71; 20, 21 — 75; 16^ 17 — 79; 24,
2 5 — 81; 24 — 83; 24 — 96; 54, 63 — 98; 62 —
99; 25 — iSoo; 89.
Castellan (Antoine Laurent, p.) : 1793; p. 33, 77,
107 — 95; 20 — 1800; 21,
Castello, voy. Castellan.
Castillon (jésuite, dess.) : 1769; p. 38.
Cathelin (Louis Jacques, gr.) ; 1775; p. 44 — 77; 5o—
7g; 5i — 81; 52 — 83; 56 — 87; 56 — 89; 55 —
1800; 80.
Ca;^enave (p. etgr.) : 1795; p. 20.
Ca^es (Pierre Jacques, p.) : 1704; p. 44 — 37; 12, 29
— 48; 14.
Ca^in (J. B. Louis, p.) : 1791; p. i5, 28, 5o, 57 —
93; g, 11, 12, i3, i5, 18, 21, 23, 24, 3i, 35, 77 —
g5; 20 — g6; 24 — 98; 19, 20 — 1800; 22.
Ca^iin (M-% p.) : 1793; p. 36, 77.
Cernel (M"'^ p.) : 1793; p. 38, 77.
Chaalon (p.) : 1793; p. 77.
14 Chaceré.
Chaceré de Beaurepaire (M"% p.): 1798; p. 20 — 99;
19 — 1800; 86.
Chaise (Charles Edouard, p.) : 1791; p. 17, 46, 5o,
5-2, 57 — g3; 10, 28, 78.
Chalgrin {3ean François Thérèse, arch.) : 1799; P- 77
— 1800; 77.
Challes (Charles Michel Ange, p.) : 1753; p. 27 —
55; 22 — 57; ig — 59; 16, 33 — 61; 17 — 63; 18
— 65; 16.
Challes {Smon, se.) : 1755; p. 32 — 57; 29, 3o — 59;
2g — 61; 29, 3o — 63; 35 — 65; 36, 37.
Challiou (P.-J., dess.) : 1800; p. 22.
Champagne (Jean Baptiste de — , p.) : 1673; p. 3i.
Champagne (Pliilippe de — , p.) : 1673; p. 2g,
Chancourîois (p.), voy. Begwjer de Chancourtois.
Chardin (Jean Baptiste Siméon, p.) : 1737; p. i3, i5,
18, 20, 21, 28, — 38; 14, i5, 25, 2g — 3g; i3, 1.4
— 40; 21, 26, 27 — 41; 21, 26 — 42; 3i — 43; 20,
21, 37 — 45; 34, 37 — 46; 20 — 47; 23, 3o — 48;
21 — 5o; 28 — 5i; 24 — 53; 21, 22, 2g — 55; 17, 36
— 57; 16, 34 — 5g; 16, 17 — 61; 17, 18, 33 — 63; i8,
ig — 65; 17 — 67; 16 — 6g; i5 — 7i;i5— 73;i8 —
75; 13 — 77; 17— 7g; 21 -99; 52.
Chardin (Sébastien, se.) : 1791; p. 38, 57 — 96; 78 —
1800; 6g.
Charmeton (Georges, p.) : 1673; p. 34.
Charpentier (Jean Baptiste, p.) : 1791; p. 18, ig, 22,
23, 5o, 57 — g3; 11, 12, i5, 18, ig, 78, ga — g5;
20, 21 — g6; 25 — gg; 20.
Charpentier {W Julie —, se.) : I7g3; p. 67, 78 — gS;
21 — g6; 73 — g8; 20 — gg; 88, 8g — 1800; 23,
68.
Chasselat (Pierre, p.) : i7g3; p. 26, 33, 78, 92 — g8;
21.
Chasteau (Guillaume, gr.) : 1673; p. 33,
CioR. 1 5
Chastelain (Charles, p.) : 1740; p. 26 — 41; ib —
42; 25 — 43; 25 — 45; 3o — 46; 24 — 47; 27 —
5o; 24 — 5i; 26 — 53; 25.
Châtelain (p.) : 1791; p. i3, 58.
Chdtillon (Charles, p.) : 1795; p. 21 — g6; 25 — 99;
20 — 1800; 2 3.
Chaudet (Denis Antoine, se.) : 1789; p. 53 — 91; 35,
37, 38, 40, 41, 42, 58 — 93; 24, 37, 46, 47, 54,
78, 92, 97 — 95; 64, 65 — 96; 25, 87 — 98; 21,
71 — 1800; 68.
Chaudet (M"" — , née Gabiou, p.) : 1796; p. 25 — 98;
21 — 99; 20 — 1800; 23, 81.
Chaufournier (Jean, p. et gr.): 1748; p. 25 — 5o; 21,
22 - 53; 35.
Chauvin (Pierre Athanase, p.) : 1793; p. 18, 54, 78,
91, io3 — 96; 26.
Chavanne (de —, p.) : 1737; p. i5, 16 — 38; 21.
Chéreau (p.) : 1793; p. 52, 78.
Chéron (M"« Elisabeth Sophie, p.) : 1673; p. 36 —
1699; 24 — 1704; 28.
Chéry (Philippe, p.) : 1791; p. 10, 58 -- 95; 83, 84
-99; 21.
Chevalier {t^.) : 1787; p. 56.
Chevreux (p.) : 1791; p. 14, 16, 20, 25, 5o, 58 — 93;
25, 78.
Chinard (Pierre, se.) : 1798; p. 72 — 1800; 69.
Choffard (Pierre Philippe, dess. et gr.) : 1785; p. 53
— 93; III.
Chrétien (Gilles Louis, gr.) : 1793; p. 43, 78 — 95;
3o — 96; 81 — 98; 22 — 99; 83.
Christophe (Joseph, p.) : 1704; p. 38 — 37; i3 — 38;
14, 25 — 39; i3 — 43; 38.
Christophe (p.) : 1793; p. 78, 97 — 96; 26.
Cior (Pierre Charles) : 1796; p. 26 — 99; 21.
i6 Clavareau.
Clavareau (Auguste François, dess.) : 1798; p. 22.
Clément (gr.) : 1798; p. 81.
Clérisseaii (Charles Louis, p.) : lyyS; p. 28 — ■]b; 20
— 83; 26, 27 — 96; 89 — 1800; 77.
Clodion (Michel —, se.) : 1778; p. 43, 44 — 79; 47—
83; 33, 53, 54 - 85; 28 - gS; 78.
Cloquet (Jean Baptiste Antoine, dessin.) : lygS; p. 84
— 99; 76 — 1800; 2 3, 24.
Cochin père (Charles Nicolas, gr.) : 1737; p. 28— 39;
26 — 40; 27, — 42; 32, 33, 34 — 43; 32 — 46;
25 — 5o; 27.
Cochin fils (Charles Nicolas, dess. et gr.) : 1741;
p. 3i — 43; 32, 37 — 45; 36 — 46; 28 —
48; 27 — 5o; 27, 3o — 53; 34, 36 — 55;
32, 33, 34, 38, 39 — 57; 3i, 34 — 61; 32, 33, 37,
38 — 65; 38, 39 — 67; 38, 39, 42 — 69; 38, 41 —
71; 46, 49, 5 1 — 73; 46, 49 — 75; 40, 42, 44 —
77; 5i, 52 — 7g; 52, 53 — 81; 49, 5o — 83; 56,
57, 58 — 85; 53 — 91; 44 — 93; 37, 38, 1 1 1 — 96;
86.
Cointreau (Louise, p.) : 1793; p. ,78, 98, 99.
Cointreau (Marie) : 1793; p. 78. .
CoUbert (Nicolas, gr.) : 1793; p. 36, 5i, 78.
Colinion {\> .) : 1793; p. 78, 102.
Colins (M"= Sophie, p.) : 1796; p. 27.
Collas (Louis Antoine, p.) : 1798; p. 22 — 99; 21.
Co//ef (Jacques Auguste, se): 1793; p. 58, 78, et ad-
dition au supplément.
Collet (Jean Baptiste, p.) : 1793; p, 78, 109.
Collin de Vermont (Hyacinthe, p.) : 1737; p. 16,
17, 18, 20, 22, 23, 25, 28 — 38; 16 — 40; 14, i5
— 43; 16 — 45; 18 — 46; i5, 16 — 5o; i5, 16 —
5i; 14 à 21 — 53; 16 — 55; 14 — 59; i3 — 69; 41
— 73;47-
Collot (J. L., p.) : 1799; p. 21 — 1800; 24.
Courtois. 17
Co/owè<?/ (Nicolas, p.) : 1699; p. 21 — 1704; 35.
Colon (p.) : 1799; p. 21 — 1800; 24.
Colson (Jean François Gille, p.) : 1793; p. 3i, 33, 34,
78, 91, 104 — 95; 21 — 99; 89.
Combette (Joseph Marcellin, p.) : 1800; p. 25.
Contant (Pierre, arch.) : 1763; p. 24.
Contouly (M"'' M. S., p.). Voy. M"" Lousier.
Copia (Louis, gr.) : 1795; p. 84, 85 — 98; 81, 82 —
99; 86.
Coqueret (Pierre Charles, gr.) : 179S; p. 82 — 1800;
80.
Corbet (Charles Louis, se.) : 1798; p. 72 — 1800;
69.
Corneille fils (Michel, p.) : 1673; p. 35— 1699; i6 —
1704; i?) 45, 46-
Cornillaud (M"«). Voy. M""' Morin.
Cornu (Jean, se.) : 1704; p. 26.
Corte (de —, p.). Voy. Decort.
Coste (L., p.) : i7g5; p. 21, 22 — 98; 22.
Coster (M™% p.). Voy. M"« Vallayer.
Cotelle fils (Jean, p.) : lôyo; p. 35 — 1704; 32.
Cotibert (p.) : 1793; p. 14, i5, 5i, 52, 53, 78.
Couasnon (Jean Louis, se.) : 1795; p. 65 — 99; 69 —
1800; 70.
Couché (se.) : 1795; p. 65.
Coursier (serrurier) : 1793; p. io5.
Courteille (p.) : i7g3; p. 22, 2q, 56, 78, 104— 1800;
25.
Courtin (Jacques François, p.) : 1737; p. 14, 20, 24
— 38;23, 29 — 40; 17, 18 — 41; 19 — 42; 19— 43;
20 — 45; 25—46; 21 — 47; 24 — 48; 22 — 5o;
22 — 5i; 24.
Courtois (Nicolas André, p.) : 1771; p. 37 — 73; 34
— 75; 28 — 77; 3o.
1 8 COUSTOU.
Coustou fils (Guillaume, se.) : 1740; p. 32 — 41; 3o
— 43; 20 — 45; 21 — 5o; 19 — 55; 3o — 69; 43,
44 — 77; 39, 40 — 1800; 71,
Coustou (Nicolas, se.) : 1704; p. 20.
Coypel (Antoine, p.) : 1699; P- 18, 19, 21 — 1704;
21, 22, 23 — 40; 28 — 45; 38 — 46; 2g.
Coypel (Charles Antoine, p.) : 1737; p. i3, 14, 36 —
38; 12, i3, 28— 41; 12, i3 — 42; 12 — 43; 12 —
45; 34, 37 — 46; 12, i3, 25, 27 — 47; 3i — 48;
25 — 5o; 28, 29 ~ 55; 36 — 71; 14 — 83; 56.
Coypel (F., p.) : 1796; p. 28.
Coypel (Noël, p.) : 1699; P- Hj i5, 24 — 1704; 12,
i3, 14.
Coysevox {kniome,, se.) : 1699; p. 12 — 1704; 11.
Colette (tapissier de haute-lisse) : i753; p. i5, 16 —
65; 43 — 69; 42 — 73; 5o — 98; 86.
Co:{ette fils (tapissier) : 1773; p. 5o.
Crépin (Louis Philippe, p.) : 1796; p. 27 — 98; 23 —
99; 22 — 1800; 25.
Creville (p.) : 1791; p. 3o, 58.
Crussaire (F. J., p.) : 1793; p. 78, 98 — 96; 8i.
Cuesnot (menuisier) : 1793; p. 73, 78.
Curtius (se.) : 1791; p. 42, 58.
D
Dabos (M°"= Jeanne, née Bernard, p.) : 1791; p. 39,
58.
Dabos (Laurent, p.) : 1791 ; p. 19, 26, 46, 58 — 98;
23 — 99; 22 — 1800; 25, 26.
Dagescy, voy. Bernard-Dagescy.
Daiteg (se.) : 1791; p. 39, 58 — 93; 63, 78 — 95; 65,
66.
Dalvimart (Oclavien, dess.) : i8oo; p. 26.
Debucourt. 19
Damame (Michel François, p.) : 1796; p. 27.
Damerval (M"'=, p.) : 1793; p. 79, 106.
Dandré Bardon (Michel François, p.) : 1737; p. 17,
26, 3o — 38; i5, 23 — 39; i5 — 43; 17 — 53; 20
- 55; 37.
Dandrillon (Pierre Charles, p.) : 1795; p. 22 — g6;
27 — 9g; 22, 23.
Danloux (Henri Pierre, p.) : 1791; p. 11, 12, i3, 23,
29» 43, 47» 58 — 93; 42.
Durcis (J. Louis, gr.) : 1793; p. 11, 79 — gS; 85 —
g6; 81 —98; 82 — 1800; 80,
Dardel (Robert Guillaume, se.) : 1791; p. 34, 58 —
93; 64, 79.
Darmancourt (Jean Augustin, p.) : 1792; p. 22.
Darnaud (p.) : 1793; p. 79.
Darsonval {Durand, dit — , p.) : 179g; p. 23.
Daullé (Jean, gr.) : 1742; p, 3o — 43; 32 — 45; 35 —
48; 26 - 5o; 28 — 53; 3o — 55; 36 - 57; 32 -
59; 3i.
Davesne (P., p.) : 1793; p. 49, 79 — 96; 28.
David (Jacques Louis, p.) ; 1781; p. 56 — 83; 3g —
85; 3o — 87; 28 — 8g; 23 — gi; 17, 18, 25, 27,
5o, 58 — g3 ; 38, 40, 45 — g5; 22, 83, 85 — g6;
18, 27, 35, 36, 37, 39, 57, 60, 63, 85, 87 — g8;
i3, i5, 17, ig, 24, 25, 3i, 33, 34, 37, 3g, 41, 58,
60, 85 — gg; 21, 23, 24, 26, 3o, 3i, 32, 34, 35,
36, 38, 41, 57, 5g, 66, 8g, go — 1800; 14, 17, ig,
24, 27, 2g, 34, 35, 37, 38, 45, 54, 57, 83, 87.
Davin (M°° Césarine Henriette Flore —, née Mir-
vault, p.) : I7g8; p. 23, 24 — gg; 28 — 1800; 26.
Davy de Chavigné (FT&nçois Antoine, arch.) : 1800;
p. 76.
Debret (Jean Baptiste, p.) : 1799; p. 23.
Debucourt (Louis Philibert, p.) : 1781; p. 3g, 40 —
83; 38, 09 — 85; 37.
20 Decort.
Decort (Henri François, p.) : 1781; p. 37.
Defrance (p.) : 1791; p. 14, 21, 26, 58 — gS; 33, 49,
79-
Degault fils (p.) : 1798; p. 24.
Dejoux (Claude, se.) : 1779; p. 46 — 81; 47 — 83;
53 — 85; 49 — 87; 5i — 89; 47 — 91; 54, 58 —
95; 65 — 98; 76 — 1800; 25.
Delafontaine (Pierre Maximilien, p.) : 1798; p. 24 —
99; 24.
Delagardette (arch.) : 1800; p. 76.
Delaistre (François Nicolas, se.) : 1785; p. 5i — 87;
54 — 89; 5i — 91; 35, 58 — 93; 62, 64, 79 — 95;
66 — 96; 73 — gS; 72 — 99; 69 — 1800; 70.
Delaistre (Jacques Antoine, p.) : 1745; p. 26, 27 —
47; 25 — 5o; 22 — 5i; 3i.
De La Marre (Florent Richard, p.) : 1704; p. 38.
Delannoy (arch.) : 1796; p. 79.
Delaplace (p.) : 1795; p. 22.
Delaplaye (arch.) : 1791; p. 43, 68.
Delarive (Pierre, p.) : 1800; p. 26,
De La Rue (Philibert Benoît, p.) : i753; p. 3o, 36 —
55; 28 — 73; 29.
Delaunay l'aîné (Nicolas, gr.) : 1777; p. 52 — 79; 53 —
83; 58 — 85; 64 — 87; 58 — 89; 60 — 91; 40, 41,
58 — 96; 86 — 99; 85.
Delaunay le jeune (Robert, gn.) : 1791; p. 34, 58 —
96; 83 — 1800; 90.
Delaville (Louis, se.) : 1798; p. 72, 73 — 99; 69.
Delestres (M"" Caroline, p.) : 1 796; p. 22 — 96; 28
— i8oo; 87.
Delobel (Nicolas, p.) : 1737; p. 20, 24, 25, 27, 29 —
38; 16, 17, 18, 25, 27 — 40; 23, 24 — 41 ; 22, 23,
24 — 42; 23 — 43; 22, 23, 24 — 45; 29, 3o — 47;
25 — 48; 23 — 5o; 23 — 5i; 25 — 53; 25.
Deseine. 2 1
Delorme (M"', p.) : 1791; p. i5, 20, 27, 28, 2q,
32, 58.
De Machy (Pierre Antoine, p.) : 1757; p. 27 — Sq;
22 — 61; 23 — 63; 24, 25 — 65; 22 — 67; 19 —
71; 17, 18, 26 — 73; 21, 22, 23 — 75; i5, 16 —
77; 18, ig — 81; 21, 22 — 83; 22, 23 — 85; 20, 21
— 87; 20 — 91; 21, 23, 63 — 93; 17, 18, 21, 23,
27» 79 — 95 ; 23 — 96; 27 — 98; 24 — 99; 22,
5o.
Demarne (Jean Louis, p.) : 1783; p. 42, 43 — 85; 38,
39, 40 — 87; 40, 41 — 89; 35, 36 — 93; 9, 10, I r,
12, 20, 26, 3o, 32, 46, 49, 5i, 79, 99 — 95; 23 —
96; 28, 2g, 32 — 98; 24, 25 — 99; 25, 5i — 1800;
27, 52.
Démars (se.) : 1793; p. 63, 79.
Demarteau (gr.) : 1767; p. 41, 42 — 69; 41 — 71;
49 — 73; 46 — 75; 41-
Demonpetit (M"", p.) : 1793; p. 19, 34, 49, 79,
99-
Demontreuil (Jean, se.) : 1791; p. 12, 23, 24, 36, 43
63 — 93; 71, 79 — 95; 70 — 96; 73 — 98; 88.
Démure (se.) : 1793, addition au supplément.
Denis (p.) : 1791; p. i 5, 5i, 58.
Denon (Dominique Vivant, p. et gr.) : 1787; p. 27 —
yi; 33, 37, 58 — 95; 85 — 96; 81, 82.
Depelchin (p.) : 1791; p. 3o, 59 — 93; 49, 79 — 92;
23.
Deperthes (Jean Baptiste, p.) : 1793; p. 20, 79 — 95;
23 — 96; 29 — 1800; 27.
Desbuissons (Hypolite, gr.) : 1796; p. 82,
Descamps (Jean Baptiste, p.) : i753; p. 3o — 65; 24
— 96; 3i — 98; 29 — 99; 29 — i8oo; 55.
Deseine (sourd et muet, se.) : 1791; p. 39, 43, 44, 59
— 93; 63, 64, 79.
Deseine (Louis Pierre, se.) : 1785; p. 5i — 87; 53 —
22 De Sève.
Hcy, 5o, 5i — 93; 79 — 98; 73 — 99; 70 — 1800;
70.
De Sève (dess.) : 1793; p. 79, m.
Desfonts (p.) : 1791; p. 26, 45, 59 — 93; 46, 54, 55,
79-
Desfonts (M'"% se.) : 1791; p. 33, 59 — g3; 36, 59,
79-
Desfosse^ (Charles H., p.) : 1796; p. 29 — 98; 25.
Deshayes (Jean Eléazar, p.) : 1793; p. 33, 79 — 98;
25 — 99; 25 — i8q£>; 27.
Deshays (Jean Baptiste, p.) : 1759; p. 23 — 61; i5,
16 — 63; 17 — 65; i5, — 96; 44.
Deshays (p.) : 1765; p. 29, 3o — 67; 28 — 69; 28
— 71; 32 — 79; 54.
Desjardins (Martin, se.) : 1673; p. 32.
Desmarest (gr. en méd.) : 1793; p. 39, 79 — 96; 82,
Desmarquet (M"', p.). Voy. M"" Au^ou.
Desmurs (se.) : 1791; p. 41, 59.
Desnoyers (Auguste Gaspard Louis, gr.) : 1799; p.
83.
Désoria (Jean Baptiste, p.) : 1791; p. 14, i5, 49, 59
— 93; 10, 20, 37, 49, 79, io3 — 95; 24 — 96; 29
— 98; 25 — 99; 25.
Desportes (Alexandre François, p.) : 1699; p. 17, 23
— 1704; 18 — 37; i3, 1 5, 16, 17, 18, 22, 23, 3i —
38; i3, 14, i5, 20, 22, 23, 24 — 39; 16, 17, 18 —
40; 16, 17 — 41; 17, 18 — 42; 17, 18,
Desportes fils (Claude François, p.) : 1739; p. 21.
Desportes le neveu (Nieolas, p.) : 175 5; p. 29 — 57;
24 — 59; 21 — 61; 22, 23 — 63; 24 — 65; 21 —
69; 18 — 71; 17.
Desrais (Claude Louis, p.) : 1793; p. 43, 79 — 99;
25.
Desvosge (Anatole, p.) : 1793; p. 33, 79 — 95; 24,
85 — 98; 25, 26, 82.
Dreppe. 2 3
Detaré {p.) : lycjS; p. 24.
Détournelle (Ath., atxh.) : lygS; p. 74, yS — 1800;
77-
De T'rox (François, p.): 1699; p. ig, 20, 25 — 1704;
23, 24, 25.
De Troy (Jean F'rançois, p.) : lySy; p. 12, i3, 14,
29 — 38; 12 — 40; 12 — 42; i3 — 47; 3o — 48;
3i, 32- — 5o; 35 — 53; 33, 34 — 73; 47 — 75; 41,
42 — 77; 48, 49 — 81; 5 1 — 83; 55 — 93; 40.
Devaupré (M""», p.): 1793; p. 35, 80, 92.
Devechis (Nicolas, mosaïste) : 1800; p. 86.
Devouges (Louis Benjamin Marie, p.) : 1793; 2 5, 2G,
34, 79, 108 — 95; 25 — 96; 29 — 98; 26 — 99; 2G
— 1800; 27.
Dexpax (p.) : 1796; p. 36.
D'Huèj (Jean Baptiste, se.) : 1761; p. 3i, 32 — 63;
36 — 65; 37 — 69; 35 — 71; 41, 42 — 73; 38 —
99; 69, 73.
Diébolt (p.) : 1793; p. 10, i3, 80, 107.
Doix (F. J. A., p.) : 1798; p. 26 — 99; 26 — 1800 ;
27.
Dorigny (Nicolas, p. et gr.)": 1739; p. 18 — 40; 3i
— 41; 21 — 42; 36 — 43; 38, 39.
Doucet-Suriny (M""", p.) : 1793; p. 25, 80, 1 1 1 — 95;
24 — 96; 3o — 1800; 28.
Douet (p.) : 1773; p. 32.
Doyen (François, p.) : 1759; p. 26, 27 — 61; 24, 25
— 63; 26 — 67; 20 — 71; 49 — 73; i5, 16 — 77;
10, 1 1 — 79; i5, 16—81; 14 — 87; i3, 14 — 96;
67, 68 — 98; 62, 64 — 99; 6i — 1800; 16, 61,
63.'
Drahonnet (p.) : 1793; p. 25, 26, 80 — 95; 24 —96;
3o.
Dreppe (p.) : 1793; p. 80, 107.
24 DrOLLING;
Drolling {Manm, p.) : lygS; p. 9, 11, 21, 22, 3i,8o,
100 — 95; 25, 2G — 98; 26, 27 — iSoo; 28.
Drouais fils (François Hubert, p.) : ijbb; p. 29 — 57;
25, 26 — 59; 22, 23 — 61; 23, 24 — 63; 25, 38 -
65; 22, 41 — 67; 20, 40 — 69; 18, 39 — 71; 18
— ih 23 — 75; i5, 44.
Drouais (Germain Jean, p.) : 1796; p. 80, 81.
Drouais (Hubert, p.) : 1737; p. 26, 3o — 38; 28 —
39, 24 — 40; 22 — 41 ; 32 — 45 ; 28 — 46 ; 22 —
47; 28 — 53; 24 — 55; 18.
Drouin (M"", née Lemaistre, se.) : 1799; p. 70.
Duboc (A. C, dess.) : 1793; p. 43.
Dubois (Frédéric, p.) : 1795; p. 26 — 96; 3o — 98; 27
— 99; 26 — iSoo; 87.
Dubost (A., p.) :-i7g9; p. 26, 27.
Dubourg (Augustin, dit —, p.) : 1793; p. 26, 75, 80,
91 — 98; 87 — 1800; 12.
Duchange (Gaspard, gr.) : 1743; p. 3i — 46; 25 —
47; 3o —48; 25.
Duchdteau (M"'% p.) : 1791; p. 28, 59 — 93; 34,
80.
Duclos (Antoine Jean, gr.) : 1795; p. 85.
Di'.clos {W^% p.) : 1793; p. 44, 80.
Ducq (Josepli François, p.) : 1799; p. 27.
Ducreux (Joseph, p.) : 1787; p. 56 — 91; i3, ig, 20,
25, 28, 49, 59 — 93; 16, 17, 22, 26, 27, 80 — 95;
26, 83 — 96; 3o — 98; 27 — 99; 27 — 1800; 87.
Ducreux (M"'' Rose, p.) : 179 1; p. 17, 48, 5g — g3;
27, 2g, 80 — 95; 26 — 98; 27 - gg; 27.
Dufau (p.) : 1800; p. 87.
Duhameau (C. P. R., arch.) : 1800; p. 77.
D'Ulin (Pierre, p.) : 1737; p. 19, 21, 26, 27 — 38;
i3, 14 — 41; 26 — 47; ig.
Dumarest (Rambert, gr- en méd.) : 1795; p. 85 —
i8oo; 84.
DUPLESSIS. 2 5
Dumas (p.) : lygS; p. 80, 107.
Dumont (Edme, se.) : l'jô'i; p. 33 — 53; 32 — Cn; 3i
— 69; 36 — 71; 42 — 1800; 70, 71.
Dumont (François, p.) : 1789; p. 32 — 91; 17, 26, 59
— 93; II, i5, 19, 80 — 9?; 2(3 — 96; 3o, 3i — 98;
28, 87 — 99; 28" — 1800; 28.
Dumont (Jacques Edme, se.) : 1791; p. 43, 5i) — 93;
66, 80 — 95; 66, 67 — 96; 73 — 98; 73 — 99; 70
— 1800; 70, 71.
Dumont (Jean Joseph, p.) : 1737; p. 12, 2/ — 38; 18
— 40; 25 — 42; 24 — 46; 23 — 47; 26 — 5i; 25
— 53; 35.
Dumont (Nicolas Antoine, dit Laurent, p.) : 1798; p.
28, 87 — 99; 28 — 1800; 28.
Dumont le Romain (Jacques, p.) : 1737; p, 12, 14, 21
— 42; i3, 14 — 43; 14, i5 — 48; 16 — 5o; i3, 14
— 5i; i3 — 61; 12 — 83; 56.
Dumont (M^ p.) : 1793; p. 53, 80.
Dumoulin (p.) : 1796; p. 3i.
Dumoutier (Adrien, p.) : 1791; p. 34, 59.
Dunouy (Alexandre Hyacinthe, p.) : 1791; p. 52, 5g
— 95; 26, 27 — 96; 3i — 98; 28, 29 — 99; 28 —
1800; 29.
Dupasquier (se.) : i793; p. 80 et addition au sup-
plément.
Dupaty (p.) : 1793; p. 53, 80.
Du Ferreux (Alexandre Louis Robert Millin, p.) :
1793; p. 9, 10, I?, i3, 54, 55, 80, 108 — 95; 27
— 98; 29 — 99; 28, 29.
Duplessis (Joseph Silfred, p.) : 1769; p. 3i, 32 — 71;
36 — 73; 33 — 75; 23, 24 — 77; 25, 26 — 79; 3i,
52 — 81; 22, 23 — 83; 23, 5g — 85; 21, 22,
52, 54, 55 — 87; 56 — 89; i5, 56 — gi; 27, 5g —
g3; 12, 14, 21, 23, 26, 2g, 80 — 96; 21, 87 — 98;
18,61.
26 DuPLESSIS.
Duplessis (C. Michel H, p.) : 1791; p. 29, 3o, 59 —
— 9^; 91 — 9G; 3i, 32 — 98; 29 — 99; 2g.
Duplessis- Ber taux (dess.) : lygô; p. 86.
Dupvé (Augustin, gr. de mon.) : 1791; p. 36, 40, 41,
59.
Dupréhel (gr.) : 1793; p. 44, 80.
Dupuis (François N., p.) : 1795; p. 28 — 99; 29.
Dupuis (Nicolas Gabriel, gr.) : 1737; p. 28 — 41; 32
— 5i; 29, 3o - 55; 37 - 39; 33 - 65; 39.
Dupuis (Pépin, p.) : 1793; p. 9, 80, io5.
Dupuy (p.) : 1673; p. 34.
Duraman (p.) : 1798; p. 32.
Durameau (Louis, p.) : 1767; p. 3i, 32 — 73; 32 —
75; 24, 25 — 77; i3, 14, i5 — 79; 18, 49 — 83;
17, 18 — 89; II — 96; 56.
Durand (p.) : voy. Darsonval.
Durand (J. N. L., arch.) : 1799; p. 76.
Duret (se.) : 1791; p. 33, 36, 59 — gS; 60, 80 —
1800; 71.
Durieux ou Duvieux (M"'', p.) : voy. M"" Landragin.
Duruisseau (gr.) : 1795; p. 86.
Diitaly (dess.) : 1793; p. 39.
Dutertre (gr.) : 1796; p. 82, 83 — 98; 29.
Dutrie (se.) : 1793; p. 69, 8q.
Duval (Eustache François, p.) : 1793; p. 10, 23, 33,
37, 81 — 95; 28 — 1800; 29,
Duval (Louis H. P., gr.) : 1796; p. 83.
Duval (Pierre Joseph, p.) : 1796; p. 32.
Duval (gr. en méd.) : 1701; p. 40, 5g.
Duvivier (Benjamin, grav. en méd.) : 1765; p. 42, 43
— 69; 41 — 73; 48, 49 — 75; 42, 43 — 77; 5o —
79; 5o, 5i — 81; 5i, 52 — 83; 55, 56 — 85; 52,
53 — 89; 54, 55 — g3; 45, 81 — 98; 82, 83.
Fenouilh. 27
Duvivier (Bernard, p.) : lygSj p. bi, 81, 104 — 96;
83, 84.
Duvivier (Jean, gr. en méd.) : 1737; p, 3o — 39; 25
— 40; 27 — 46; 27, 2g — 5o; 2(3, 27.
Duvivier (M"«, p.) : J791; p. 19, 28, 29, 59.
Edelinck (Gérard, gr.) : 1699; p. 25.
Egensviler (se.) : 1799; p. 70.
Eisen (Charles, p. et gr.) : 1793; p. 38.
Eschard (p.) : 1791; p. 12, i3, 19,45, 47, 49, 5o, 59
— 98; 3o.
Espercieux (Jean Joseph, se.) : 1793; p. 61, 81 — 95;
67 — 96; 74 — 98; 73, 74.
Fabre (François Xavier, p.) : 1791; p. 14, 27, 59 —
93; 35, 81 — 96; 43.
Fâche (p.) : 1793; p. 53, 56, 81 — g5; 28.
Falconnet (Etienne Maurice, se.) : 1745; p. 37, 38 —
46; 28 — 47; 32, 33 — 48; 27 — 5o; 3o — 5i; 28
53; 32 - 55; 3o, 3i - 57; 28 - 6i; 28 - 63; 33,
38 — 65; 33, 34 — 75; 39.
Famé, voy. Taré.
Fassin (p.) : 1798; p. 40.
Favannes (Henri de —, p.) : 1704; p. 26, 28 — 37;
14, 21, 26 — 46; i3 — 47; 18 — 48; 14, i5 — 5o;
i3 — 5i; 12.
Favart (M""", p.) : i8oo; p. 29.
Favray {Pi.ntomQ, p.) : 1763; p. 26, 27 — 71; 18, 19,
20 — 79; 24.
Fayn (gr.) : 1799; p. 29.
Feneau (se.) : 1793; p. 61, 81.
Fenouilh (p.) : 1740; p. 3o, 3i.
28 Ferdinand.
Ferdinand pcre (Louis Elie, p.) : lôyS; p- 3i.
Ferrey (M™% p.) : 1793; p. 36, 8i — 96; 32.
Fessard (Etienne, gr.) : i753; p. 34 — 55; 38 — 57;
34 — 59; 33 — 61; 34 — 63; 37.
Filleul (M"^, p.) : 1779; p. 5i.
Flamen père (Anselme, se.) : 1699; p. 12 — 1704; 34,
Flciiry (Antoine Claude, p.) : 1795; p. 28 — 96; 32,
33 — 98; 3o — 99; 29, 3o — 1800; 29.
Flipart {ie&n Jacob, gr.) : 1755 : p. 38, 39 — 57;
34 — 63; 37, 38 — 65; 40 — 67; 39 — 71; 5o —
73; 47 — 77; 5o — 79; 53.
Florion (se.) : 1793; p. 69, 70, 81.
Foisil (Zosime-René, p.) : 1800; p. 3o.
Fontaillard (p.): voy. Fontallard.
Fontaine (Jean Michel Denis la— , p.): 1793; p. 26, 8i
— 96; 33 — 98; 3o — 99; 40 — 1800; 3o
Fontaine (Pierre François Louis, areh. et p.) : 1791;
p. 35, 60 — 93; 5r, 53, 74, 86 — 95; 29 — 96; 33
— 98; 3o.
Fontallard (Jean François Girard, p.) : 1798; p. 3o
— 99; 3o.
Fontenay (Jean Baptiste Blain de — , p.) 1699; p. 17,
2 3 — 1704; 40, 43.
Forbin (Louis Nicolas Philippe Auguste, comte de — ,
p.) : 1796; p. 33 — 99; 3o — 1800; 3o.
Forest (Jean Baptiste, p.) : 1699; P- '7^ -^ — 1704''
14, 41, 43.
Forestier (Adolphe, p.) : 1796; p. 70.
Forget (p.) : 1791; p. 28, 60 — 93; 14, 19, 24, 26,
55, 81, 91.
Fortin (Augustin Félix, se. et p.) : 1789; p. 52, 53 —
91; 23, 3i, 37, 41, 42, 60 — 93; 62, 68, 81 — 96;
33, 74 — 98; 3i — 99; 3o, 70.
Freund. 29
Forty (Jean Jacques, p.) : 1791; p. 21, 26, 29, 33, 53,
60 — 93-, 81, 106 — 95; 2g.
Fosseyeux (Jean Baptiste, gr.) : lygS; p. 43, 81. —
1800; 80.
Foucou (Jean Joseph, se.) : 177g; p. 47, 48 — 85; 5o
— 8g; 48, 4g — 91; 34, 35, 60 — 93; 8i et addi-
tion au supplément; — 99; 71.
Fougeat (p.) : i7g3; p. 2 5, 81.
Foulon (M"'^, p.) : i7g3; p. 10, 32, 49, 81, g3,
Fouquet (Jean, p.) : 1793; p. 43 — gô; 3o — 96; 34,
81 - 98; 22.
Fournier (Jean Simon, p.) : 1791; p.- 14, 17, 20, 27,
60 — 93; 35, 81 — g5; 3o — 96; 34 — 98; 3i —
99; 3o,
Fournier (p. de port.) : 1798; p. 3i.
Fourreau (se.) : 1791; p. 33, 41, 60 — g3; 81.
Fragonard (Alexandre Evariste, p.): 1793; p. 81, log
— qb; 3o — 96; 34 — 98; 3i, 32, 82 — 99; 3i —
1800; 3o.
Fragonard (Honoré, p.) ; 1765; p. 3i, 32 — 67; 29
— 77; 52 — 79; 5i, 52, 53 — 83; 58 — 87; 55, 58
— 91; 40 — 93; 38, 40 — 96; 44.
Francin (Claude, se.) : 1737; p. 32, 33 — 40; 3o —
43; 36, 37 — 45; 36-
Francin (Guillaume, se.) : 1793; p. 58, 81 — 1800;
71-
Francisque Milet père : voy. Milet.
Francisque (Jean Milet dit — , p.) : voy. Milet.
François (Charles Philibert, p.) : 1800; p. 3i.
François (Henri J., p.) : 1791; p. i3, i5, 20, 23, 24,
26, 45, 5o, 60 — gS; 12, 81 — 95; 3o — 96; 35 —
98; 32 — 99; 3i — 1800; 3i.
Frémin (René, se.) : 1704; p. 27, 2g, 3i.
Freund (Ph., p.) : 1800; p. 3i.
3.
3o FrI BOURG.
Fribourg (p.) : 1799; p. 3i.
Fricquet de Vauro:{e (Jacques Claude, p.) : 1G73; p.
32 — 169g; 21, 23 — 1704; 37.
Frontier (Jean Charles, p.) : 1743; p. 37 — 45; 33 —
46; 24 — 47; 28, 29 — 5o; 24 — 5i; 26.
Fulchiron (J. C, p.) : 1799; p. 3i.
Gabiou (M"' Elisabeth, p.) : voy. M"'' Chaudet.
Gadbois (p.) : 1791; p. 3o, 46, 60 — 93; 35, 37, 81
— 95; 3i.
Galimard (Claude Olivier, gr.) : i753; p. 33, 34 —
55; 37.
Galloche (Louis, p.) : 1737; p. 23 — 38; 1 3 — 39; 21
— 40; 12 — 43; i3, 14 — 45; 14 — 46; 12 — 5o;
12 — 5i; 12.
Gamo:; (Noël — fils, p.) : 1791; p. 42, 64.
Garnier (Etienne Barthélémy, p-) : i793; p. 16, 20,
3o, 3i, 82 — 95; 3i, 32 — 1800; 3i, 32, 33.
Garnier (Jean, p.) : 1673; p. 35 — 1704; 28, 34, 38,
Garnier l'Allemant (p.) : voy. Lallemant.
Garnier (Michel, p.) : 1793; p. 10, 11, 82— 95; 32 —
96; 35 — 98; 32 — 99; 32.
Garnier (M""= Thérèse, p.) : 1799; p. 32.
Garnerey (Jean François, p.) : 1791; p. 17, 60 — g3;
14, 29, 37, 39, 82, 108 - 95; 3i, 83 - 96; 35 -
98; 32 — 99; 3i, 32 — i8oo; 3i.
Garriques (p.) : 1800; p. 33.
Gatteaux (Nicolas Marie, gr. en méd.) 1791; p. 42,
Go.
Gaucher (Charles Etienne, gr.) : 1793; p. 42, 43, 82.
Gaudar (Alphonse, p.) : i8oo; p. 34.
GlÉERARD. 3l
Gauffier (Louis, p.) : 1789; p. Sq, 60 — \\i; 16, 45,
48, 49, 5o, 60 — 96; 81.
Gauffier (M""" Pauline, p.) : 1798; p. 3-2.
Gault de Saint Germain (Pierre Marie, p.) : 1791; p.
28, 60 — 93; 33, 82 — 95; 32, 33 — 98; 32, 33.
Gault de Saint Germain (M""", p.) ; 1791; p. i5, 19,
28, 3i, 60.
Gautherot (Claude, p.) : 1793; p. 32, 34, 82 — 96;
35, 36 — 99; 32 — 1800; 34.
Gautier (Rodolphe, p.) : 1793; p. i5, 20, 49, 82, 99
— 9?; 33 — 96; 36,
Ga^ard (F. V., p.) : 1796; p. 36 — 98; 33.
Genain (p.) : voy. Génin.
Genillon (Jean Baptiste François, p.): 1791; p. i3, 16,
19, 28, 60 — 93; 29, 3o, 5i, 54, 82, 98, 99 — 98;
33 — 99; 33 — 1800; 34.
Genin (Antoine, p.) : 1793; p. 37, 82, H2 — 96; 33
— 99; 32, 33 — 1800; 34.
Gensoul-Desfonts (J., p.) : 1796; p. 36 — 99; 33.
Gensoul- Desfonts (M' Antoinette, se.) : 1796; p. 74 —
99; 34.
■ Genty (J. B., p.) : 1799; p. 34.
Georget (Jean, p.) : 1796; p. 36 — 98; 33.
Gérard (François, p.) : 1791; p. 16, 60 — 93; 17, 82
— 95; 33 — 96; 36, 83 — 98; 33, 82 — 99; 83,
85, 87, 89 — 1800; 81.
Gérard (gr.) : 1793; p. 40, 82.
Gérard (M°"=) : 1793; p. 38 — 99; 34, 35.
Geuslain (Charles Etienne, p.) : 1737; p. 14, ib, 16,
17, 18, 28 — 38; 19, 26 — 41; 21 — 42; 21 — 45;
28.
Gibelin (Antoine Esprit, p.) : 1795; p. 33, 34.
Giéerard d'Anvers (p.) : 1796; p. 62 — 98; 59 —
1800; 58.
32 GiLLET.
Gillet (Nicolas François, se) : lybb; p. 02 — 67; 3o.
Giot (arch.) : 1799; p- 76.
Givardet (p.) : 1798; p. 28 — 99; 28, 91 — 1800;
28.
Girardon (François, se.) : 1673; p. 3o — 1699; p. 12,
i3, 14 — 1704; 10, II.
Giraud {iQan Baptiste, se.) : 1789; p- 5i, 60.
Girod (p.) : 1793; p. 82, m.
Girodet-Trioson (Anne Louis, p.) : 1793; p. 3o, 82 —
98; 34 — 99; 35, 66, 83, 85 — 1800; 34, 42.
Giroust (Jean Antoine Théodore, p.) : 1787; p. 45, 46
— 89; 3i, 58, 59 — 91; II, 52, 60.
Gisors (A. J. B. G. de — , arch.): 1799; p. 77 — 1800;
77-
GU;(e (André, arch.) : 1796; p. 79.
Gobert (Pierre, p.) : 1704; p. 10, 3i, 33, 44— 37; i5,
19, 20.
Godeau (p.) : 1798; p. 34.
Godefroy (Jean, gr.) : 1793; p. 40, 82 — 98; 83, 84
— 99; 83 — 1800; 8i.
Godefroy (Marie Eléonore, p.) : 1800; 3b.
Gais (Edme Etienne François, se.) : 1798; p. 74 —
1800; 71, 72.
Gois (Etienne Pierre Adrien, se.) ; 1767; p. 37, 38 —
69; 36 — 71; 43 — 73; 39, 40 — 75; 36 — 77; 42,
43, 44 — 79; 43, 44 — 83; 47, 48, 49 — 85; 45 —
89; 44, 45 — 93; 58, 82 — 96; 76 — 98; 74 —
1800; 71, 90.
Gouette (p.) : 1793; p. 10 1.
Gounod (François Louis, p.) : 1799; p. 35.
Gou:{ien (René, p.) : 1796; p. 37.
Granet (François Marius, p.) : 1799; p. 35 — 1800;
35.
Granier (se.) : 1704, p. 32.
GUYARD. 33
Grégoire (Paul, p.) : i7ij3; p. 47, 48, 53, 82.
Gre«;5-e (Jean Baptiste, p.) : ly^ô; p. 29, 3o — 57; 26,
27, 3i, 33 — 59; 24, 25 — 61; 25, 26 — 63; 28,
29, 37, 38 — 65; 24, 25, 26, 41 — 67; 39 — 6g;
27, 28, 40 — 71; 5o, 5i — 77; 5o — 83; 55, 58 —
85; 56 — 87; 56 — 89; 54, 55 — 93; 42 — 96; 45
— 99'; 43 — 1800; 36, 49.
Grevenbroeck (Charles Léopold de — , p.): 1738; p. 32
40; 22 — 41; 21, 22 — 42; 22 — 43; 21.
Grimoux (Alexis, p.) : 1740; p. 26.
Grobon (M., p.) : 1796; p. 90 — 1800; 87.
Grognard (p.) : 1 798; p. 34.
Gros (Antoine Jean, p.) : 1798; p. 34.
Guay (Jacques, gr. en pierres) : 1747; p. 34 — 48; 28
— 5o; 25 — 53; 26 — 55; 37 — 57; 33 — Sg; 32.
Gudin (p.) : 1793; p. 04, 82, 106.
Guéret ainée {W^", p.) : i7g3; p. 19,45, 46, 82 — gS;
34 - 98; 34.
Guéret la jeune (M"'', p.) : 1793; p. 17, 45, 55, 82,
93, 107 — gS; 34 — 98; 34.
Guérin (François, p.) : 1761; p. 26 — 63; 2g — 65;
26 — 67; 24 — 6g; 20, 21 — 71; 23 — 73; 24 —
— 75; 17. 18 — 77; 20 — 7g; 25 — 81; 24 — 83;
24, 25.
Guérin (Jean, p.) : i7g8; 34, 82 — 1800; 11, 36, 80.
Guérin (Pierre Narcisse, p.) : i7g5; p. 35 — gg; 35,
36.
Guesdon (Denis, p.) : i7g8; p. 35.
Guillebault (Simon, p.) : î6gg; p. 23.
Guillois (François Pierre, se.) : i7g3; p. 82, ()8.
Guillon (p.) : i7gi; p. 25, 45, 60.
Guijard (M""=, depuis M™» Vincent, p.) : 1783; p. 34,
35 — 85; 2g, 3o — 87; 26, 27, 28 —8g; 22, 23 —
91; 10, n, 12, i3, i5, 18, 23, 24, 5i, 60 — 95;
35 — g8; ig, 35 — 99; 88, 90 — 1800; 20, 65, 66.
34 GfYOT.
Guyot (Laurent, gr.) : ijgS; p. Sg, 62. — (p; 86 —
96; 84 — 99; 84.
H
//aZZ (Pierre Adolphe, p.): 1771; p.36 — 73j 33 — -5;
28 — 77; 3o — 79; 34 — 81; 33, 34 — 83; 35 —
85; 35 — 87; 38 — 89; 34.
HalIé (Claude, p.) : 1699; p. 20 — 1704; 29.
Halle (Noël, p.) : 1746; p. 28, 29 — 47; 33 — 46;
21 — 5o; 20, 21 — 5i; 24 — 53; 20, 21 — 55; i5
57; i5 — 59; 14 — 61; 14 — 63; 14 — 65; i3, 14
67; 12, i3 —69; 12, i3 —71; II, 12 — 73; n —
75; 9 — 77; 9 — 79; II, 12, 5i — 81; 5o — 96;
53 — 1800; 14.
Halley (p.) : 1798; P- 87-
Hane^{p.) : 1791; p. 27, 61.
Harriet (Fulgiron Jean, p.) : 1796; p. 37 — 99; 37 —
1800; 37, 38.
Hauer (p.) : 1793; p. 83, 93.
Hauré (se.) : 1791; p. 41, 61.
Haver (J. J., p.) : 1795; p. 35 — 96; 37, 38.
Heidloff {Victor, p.) : 1791; p. 27, 61.
Helman (Isidore Stanislas, gr.) : i79i;p. 40, 61 — 93;
40, 83.
Hemon (Jean Marie, p.) : 1796; p. 38 — 1800; 38.
Henard : 1791; p. 61.
Hennequin (Philippe Auguste, p.) : 1798; p. 35, 36 —
99; 36, 37 — 1800; 38, 39.
Henriet (Paul, se.) : 1800; p. 72.
Henrique^ (Benoît Louis, gr.) : 1799; 4). 84.
Henry (p.) : 1798; p. 87 — 99; Sj — 1800; 88.
Hérault (Charles, p.) : 1699; p. 19, 21, 25 — 1704;
40, 41, 43, 44, 46.
Hilair (Jean Baptiste, p.) : 1796; p. 38.
HuiN. 35
Hilaire-Ledru : voy. Ledru.
Hollain (N. F. J., p.) : 1791; p. i5, iG, ib, 45, Gi —
93; iQ, 29, 37, 83, 102 — 96; 38 — 98; 3G — 99;
89, 90.
Hollain (se.) : 1791; p. 43, 6).
Honnet (Alexandre Romain, p.) : 1798; p. 36 — 1800;
40.
Hooghstoel fils (Jean Marie, p.) : 1793; p. 22, 83 —
99; 38.
Nouasse (René Antoine, p.) : 1673; p. 26, 35.
Houdon (Jean Antoine, se.) : 1 771; p. 45 — 73; 41,
42 — 75; 38, 39 — 77; 44, 43, 46 — 79; 44, 45 —
81; 45, 46 — 83; 3i, 52 5ô; — 85; 48 — 87; 5i —
89; 47 — 91; 37, 54, 61 — 93; 67, 83 — 95; G7
— 96; 74 — 1800; 72.
Houel (Jean Pierre Louis Laurent, p.) : 1775; p. 3i,
32, 33 — 81; 34, 35, 36 — 89; 35 — 91; 47, 61.
Hou:(eau (p.) : 1793; p. 83, loi — g5; 35 — 96; 38.
Hubert (François, gr.) : 1791, p. 37, 61 — 1800; 81.
Hue (Jean François, p.) : 1781; p. Sg — 83; 2 3, 3 1
— 85; 26, 27 — 87; 24, 25 — 89; 20, 21 — gi; 18,
21, 22, 24, 3o, 46, 47, 48, 49, 5o, 53, 61 — 93; 27,
83 — 95; 36 — 96; 38, 3g, 56, 8q — 98; 36, 37,
54, 66, 87 — gg; 54 — 1800; 2g, 38, 40, 54.
Huet (Jean Baptiste, p.) : 176g; p. 26, 27 — 71; 27,
28 — 73; 27, 28, 46 — 75; 20 — 77; 22 — 7g; 27
— 81; 25 — 85; 43 —87; 21, 22 — gg; 38 — 1800;
40, 41.
Huet (Villiers, p.) : i7g9; p. 38 — 1800; 41.
Huilliot (Claude, p.) . 1673; p. 35 — 1699; 17, 24.
Huilliot (Pierre Nicolas, p.) : 1737; p. i5, 17, 27 —
38; ig, 22, 24, 29 — 40; ig, 20, 21 — 41; 20, 21
— 42; 20, 2 1, 35, 36 — 43; 3g — 45; 27, 28 — 46;
23 — 47; 25 — 48; 3o — 5o; 22, 23.
Huin (M""% p.) : 1796 p. 39; — 98; 37 — 99; 38.
36 HULLIOT.
Hulliot (p.) : voy. Huiliot (Claude).
Hurtrelle (Simon, se.) : 1699; p. 12.
Hutin (Charles François, p. et se.) : 1746; p. 28 —
59; 34 — 69; 17.
Huvé [arch..) : 1793; p. 35, 48, 72, 83.
Hyppolite (Auguste, p.) : 1799; p. 39.
I
Imbault (p.) : 1793; p. 83, 106.
Ingouf jeune (François Robert, gr.) : 1793; p. 109,
1 10 — g5; 69.
Isabey (Jean Baptiste, p.) : 1793; p. 9, 24, 83 — o,b;
36 — 96; 39, 40 — 98; i3, 37, 40 — 99; i5, 39,
41, 43, 56 — 1800; 12, 45.
Jacob (se.) : 1793; p. 66, 83.
Jacquinot (Louise Françoise, gr.) : 1800; p. 90.
Jallier (areh, : 1 791; p. 2 5, 26, 61 — 99; 39.
Janinet (François, gr.) : 1791; p. 26, 27, 3i, 61 — g3;
32, 44, 83.
Janinet (M"" Sophie, p.) : 1799; p. 3g, 84 — 1800;
81.
Jaquotot (M"% p.), voy. M"" V. Leguaij.
Jaij (dess.) : 1783; p. 56.
Jeaurat (Etienne, p.) : 1737; p. 14, 18, 19— 38; 25,
28 — 39; i3, 14 — 41; 14, i5, 27 — 42; i5, 29,
35 — 43; 16 — 45; 18, 19, 33 — 46; 16, 25 — 53;
16, 17 — 55; i5 — 57; 14, 32 — 59; 12 — 61; i3
— 63; i3 — 69; 12 — g6; 3g.
Jeaurat de Bertry (Nieolas Henri, p.) : 1757; p. 2 3
— g6; 39.
Jeuffroy (gr. en pierres) : 1800; p. 81.
Jollain (Nieolas René, p.) : 1767; p. 3o, 3i, 39 — 69;
Klauber. 37
28, 29, 42 — 71; 33 — 73; 3i — 76; 22, 23 — 77;
24, 25 — jq; 2g, 3o, 3i, 64 — 81; 28 — 83; 28 —
89; ig — 91; 16, i8, ig, 20, 25, 2G, 61 — 98; ig
1800; 22.
Joplere (se.) : I7g6; p. 74.
Jouet (p.) : 1791; p. 28, 61 — gS; 83.
Jousselin (Michel, p.) ; 1800; p. 41.
Jouvenet (François, p.) : 1704; p. 36 — 1737; 23, 25,
27 — 38; 25 — 3g; ig — 40; 17 — 41; 18 — 42;
19 — 43; 20, 3i — 45; 24, 25 — 47; 24.
Jouvenet (Jean, p.) : 1699; p. 17, 18, 22 — 1704; i5,
16, 45.
Jouy (gr. en pierres) : i7g3; p. 83, g7.
Judlin (p.) : 1791; p. 39, 61 — g3; 83, 109.
JiiUart (Jacques Nicolas, p.) : i755; p. 28, 2g — 57;
25 — 5g; 23 — 61; 24 — 65; 22 — G7; 20 — Gg;
18, ig — 81; 24 — 85; 23.
Julien (Biaise, se.) : 1795; p. 68.
Julien (Pierre, se.) : 177g; p. 45, 46 — 81; 47 — 83;
5o — 85; 47, 48 — 89; 45, 46 — gi; 32, 54, 61 —
g5; 67, 68 — gg; 71.
Julien (Simon, p.) : 1783; p. 41, 42 — 85; 38 — 87;
39, 40 — g6; 63 — 1800; 42, 49.
Juste père (Juste d'Egmontr p.) : 1G73; p. 3o.
K
Kans (Charles Chrétien, p.) : I7g3; p. 22, 83 — gb;
40.
Kimly (p.) : 1800; p. 18.
Kinson (François, p.) : i7gg; p. 3g, 40.
Klauber (Ignace Sébastien, gr.) : 1785; p. 56 — 87;
56 — 8g; 55.
4
38 Labadie.
Labadie et Moreau (gr.) : 1791; p. 37, 61.
Labadye (p.) : 1798; p. 37.
Labille (M"% p.) : voy. M°"^ Guyard.
Laborey (M""", p.) : i7g3; p. 23, 28, 3o, 34, 83 — g5;
36.
La Couple (Marie Philippe Goupin , dess.) : i8oo;
p. 42.
Lacour (p.) : 1796; p. 22.
La Datte (François, se.) : 1737; p. 33 — 38; 3o —
— 39; 23 — 40; 29 — 41; 29 — 42; 26, 27 — 43;
2g, 3o, 3i.
Ladey (Jean Marc, p.) : 1741; p. 25 — 43; 28 — 46;
32 — 47; 28.
Lafitte (Louis, p.) : 1791; p. 32, 33, 38, 61 — gô;
36, 37 — 98; 39.
Lafond (Charles Nicolas Raphaël, p.) : 1796; p. 40 —
1800; 42, 43.
La Fontaine (J. M. D., p.) : voy. Fontaine.
Lafontaine (L. T., arch.) : 1791; p. 35.
La Fontaine (Pierre J. de —, p.) : 1789; p. 40, 41 —
gi; 10, 14, 20, 22, 2g, 3o, 3i, 5o, 5i, 62 — 93;
i3, i5, 3o, 32, 83 — 96; 40, 41 — 98; 37.
La Fosse (Charles de —, p.) : 169g; p. 20 — 1704;
14 — 37; 36.
Lflgrewee (Anthelme François, p.): 1799; p- 40 —
1800; 44:
Lagrenée aîné (Louis Jean François,' p.) : 175 5; p. 26,
27 — 57; 22, 23 — Sg; i5, 16 — 63; 16 — 65; 14,
i5 — 67; 14, i5 — 6g; i3, 14 — 71; 12, i3 — 73;
i3, 14, i5 — 75; 10, II — 77; 10 — 79; 12, i3,
49 — 81; 12, i3 — 83; 14, i5 — 85; 12, i3 ^87;
12, i3 — 8g; 10, 54 — g5; 37, 38 — 96; 41, 44,
Laneuville. 39
85 — 98; 38, 55 — 99; 19, 40, 53 — 1800; 20, 43,
54.
Lagrenée jeune (Jean Jacques, p.) : 1771; p. 37 — 73;
34 — 75; 25 — 77; i5, 16, 17 — 79; 19, 20 —
81; 16, 17, 18, 19 — 83; 18, 19 — 85; 14, i5, i6
— 87; i5 — 89; II, 12 — gi; II, 3i, 32, 36, 52,
62 — 93; i3, 21, 5i, 83, 100, loi — g6; 41 — 98;
38, 3g — 99; 17, 66 — 1800; 43, 66.
Lahure (J. B., arch.) : 1796; p. 77.
La Joue (Jacques, p.) : 1737; p. 16, 18 — 38; i5, 21
— 40; 18, ig — 41; 20 — 42 ; 20 — 45; 26, 37 —
4.6; 21, 22 — 47; 24, 25 — 48; 22 — 5o; 22 — 5i ;
25 - 53; 24.
Lallemant (Philippe, p.) : 1699; p. ig, 24 — 1704;
28,44.
Lambert (p.) : 1793; p. 84, io3, 104 — g5; 38 — 96;
41, 42.
Lambertin (mécanicien) : 1795; p. 87.
Laminqy (Simon, p.) : 1673; p. 34.
Lamotte Senone (p.) : 1793; p. 84, 108.
Lamy (Charles, p.) : 1737; p. 25, 29 — 38; i5, 16 —
3g; i5 — 40; 25 — 42; 24, 25.
Lancret (Nicolas, p.) : 1787; p. 19, 21 — 38; 20, 21,
22, 32 — 39; i3, 14, 21, 23 — 40; 3i — 41; 26,
32 — 42; 18, 2g — 43; 33 — 45; 34 — 48; 26 —
55; 36 — 5g; 33.
Landey (p.) : i7g5; p. 38.
Landon (Charles Paul, p.) : i7gi ; p. 14, 5o, 62 —
g3; 23, 55, 84, 104, io5 — g5; 38, 3g — g6;42,
80 — g8; 81, 87 — gg; 37, 41 — 1800; 44.
Landragin (M"= Marie Adélaïde —, femme Durieux,
p.) : 1793; p. 14, 84 — 95; 39 — g6; 32 — g8; 2g.
Landry (p.) : 1791; p. 25, 26, 45, 62 — g3; 26, 28,
84 — g6;42 — g8; 3g.
Laneuville (J. Louis, p.) : 1791 ; p. i3, 26, 27, 62 —
40 Lange.
g3; 22, 29, 34, 35, 46, 5o, 56, 84, 92, 102 — gS;
38 — 96; 42, 43, 85 — 98; 39 — 99; 41 — 1800 ;
45.
Layige (se.) : 1799; p. 71, 72.
Langibout (arch.) : 1795; p. 75.
Langlois (p.) : 1793; p. 19, 84 — 98; 40.
Langlois (Pierre Gabriel, gr.) : 1798; p. 84.
Lanta (se.) : 1795; p. 68.
Lantara (Simon Mathurin, p.) : 1796; p. 26, 63.
Laperche {M""', p.) : 1791 ; p. i6, 17, 18, 28, 62.
Laplace (p.) : 1793; p. 84, qg.
Largillière (Nicolas de — , p.) : 1699; p. 16, 18, 23
— 1704; 33, 34 — 37; 2g.
Larive (Pierre Louis de —, p.) : 1799; p. 89.
Larivière (J. B. V., p.) : 1796; p. 43 — g8; 40 — gg;
41.
Larmessin (Nicolas de — , gr.) : 1737; p. 3i — 38; 27
— 39; 26 — 41; 26 — 42 ; 29 — 43; 3i — 45; 34
— 46; 3i — 47; 3i — 48; 26 — 5i ; 27 — 53 ;
29.
Larmier (se.) : 1791, p. 44, 62 — gS; 62, 84.
La Rue (de —, p.) : voy. De La Rue.
La Sarric (dess.) : 17g 5; p. 87.
Lassaux {}?.)■. 1799; p. 91.
La Tour (Maurice Quentin de — , p.) : 1737; p. 33
— 38; 14, ig, 20 — Sg; ig — 40; 3o — 41; 29, 3o
— 42; 3i — 43; 35, 38 — 45; 36 — 46; 27 — 47;
29 — 48; 24 — 5o; 25 — 5i; 24 — 53; 22, 23, 24
— 56; i8, 36 — 57; 17 — 59; 18 — 61; 18 — 63;
ig — 65; 43 — 6g; 16 — 73; 18 — 76; 44 — 96;
3o, 47 — 1800; 48.
Laudon (p.) : voy. Landon.
Lautiay (de — , se.) : 178g; p. 60.
Laurent (Jean Antoine, p.) : i7gi; p. 5i, 62 — g3;
Lebrun. 41
22, 37, 84 — g5; 39 — 96; 43 — 98; 40 — 99; 41,
42 — 1800; 45.
Laurent (Pierre, gr.) : 1791; p. 34, 38, 43, 44, 62.
Laurenty (p.) : 1798; p. 40.
La Vallée-Poussin (Etienne, p.) : 1789; p. 40 — 91;
44, 62.
Laville (M"') : voy. M"» Le Roux de Laville.
Le Barbier (Jean Jacques François, p.) : 1781; p. 37,
38 — 83; 37, 38 — 85; 34 — 87; 3i — 89; 25, 26
— 91; i3, 26, 32, 33, 34, 36, 37, 45, 5i, 62 — 95;
39, 40 — 96; 43 — 98; 41 — 1800; 19.
Lebarbier (M"«) : voy. Bruyère (M"').
Le Bas (Jacques Pliilippe, gr.) : 1737; p. 33 — 38; 26
— 39; 24 — 40; 29 — 41; 29 — 42; 3i — 43; 32,
33 — 45; 35 — 46; 26 — 48; 26 — 5o; 28, 29 —
5i; 28 - 53; 3o - 55; 36 — 57; 33 - 5q; 32 —
61; 33 - 63; 36, 37 — 65; Sg — 67; 39 - 69; 38
— 71; 46, 47 — 73; 45 — 75; 40, 41 — 77; 47, 48
~ 79j 49 — 81; 49; 5o, 54 — 93; m — 98; 83 —
1800; 58, 80, 81.
Le Bel (Antoine, p.) : 1746; p. 28 — 47; 29 — 48;
24 — 5o ; 24, 25 — 53; 26 — 55; 20 — 57; 18 —
61; 19 — 65; 18 — 67; 17 — 69; 17.
Le Blanc (Jean, gr. en méd.) : 1738; p. 26 — 40; 26.
Le Blond (Jean, p.) : 1779; p. 5o.
Le Brun (Charles, p.) : 1673; p. 29 — 1747; p. 3o —
87; 57.
Lebrun (i)(F., p.): 1795; p. 40,41.
Lebrun (Jacques, p.) : 1793; p. 55, 84, 98 — 96; 44
— 98; 41 — 99; 42, 43.
Lebrun (Jean Baptiste Pierre, p. et marcliand de
tableaux) : 1793 ; p. 5i, 57, 84 — 95; 41 — 96; 44
Lebrun (Topino, p.) : 1798; p. 41, 42.
(i) C'est très-probablement le même que le suivant.
4-
42 Lebrun.
Le Brun (M°"' Louise Elisabeth — , née Vigée, p.) :
1783; p. 33, 34 — 85; 28, 2g, 52 — 87; 25, 26, 56
— 89; 21, 22, 58 — 91; 5i, 52, 53, 62 — gS; 42 —
98; 41 — 99; 52.
Lebrun (M"' Rosalie, p.) : 1799; p. 43 — 1800; 45.
Lecarpentier (L. Benjamin, p.) : 1798; p. 42 — 99;
43 — 1800; 45.
Leclerc (P. Th., p.) : 1795; p. 41 — 96; 44.
Le Clerc (Sébastien, gr.) : 1673; p. 36.
Le Clerc Jîls (Sébastien, p.) : 1737; p. 21, 25, 29 —
5i; i3.
Le Comte (Félix, se.) : 176g; p. 37 — 71; 43, 44 —
73; 40 — 77; 44 — 81; 44, 45 — 83; 5i — 87; 5o
— 8g; 46 — gi; 53, 62 — 93; 84, 97 — g8; 3i.
Lecorre (p.) : i7gi; p. 18, 62.
Ledoux (Claude Nicolas, arch.) : i7gg; p. 7g.
Ledoux (Nicolas, p.) : i7g6; p. 44.
Ledoux (M°" J. Philiberte, p.) : I7g3; p. 84, 104 —
96; 45 — gg; 43, 44.
Ledru (Hilaire, p) : i7g5; p. 41 — g6; 45 — 98; 42
— gg; 38 — 1800; 3g.
Le Febvre (Claude, p.) : 1673; p. 3i.
Lefebvre (p.) : i7gi; p. 21, 23, 24, 3i, 49, 52, 53,
62 — g3; 32, 56, 84.
Lefebvre (M-"", p.) : I7g3; p. 5i, 56, 57, 84.
Légillon (Jean François, p.) : 178g; p. 32, 33 — 91;
10, II, 20, 38,45, 62 — gS; 42.
Legrand (J. G., arch.) : 1800; p, 77.
Legrand (P. Sicot, p.) : I7g6 ; p. 46 — gg; 44, 45,
46.
Legrand (M"", p.) : 1796; p. 46.
LegrosÇF. A., p.) : i7gg; p. 90 — 1800; 88.
Leguay (Etienne Charles, p.) : 1795; p. 42 — 96; 46
— 98; 43 — gg; 44 — 1800; 42, 46.
Lemoyne. 4J»
Leguay (M°«^ Victoire —, née Jaquotot, p.) : 1799; p.
44 — 1800; 46.
Le Hay (M"'^ p.) : voy. M"« Chéron.
Le Hongre (Etienne, se.) : 1673; p, 32.
Lejeune (p.) : 1793; p. io5 — 99; 47.
Lcjeune (Louis François, p.) : 1798; p. 43, 44 —
1800; 46, 47.
Le;e«Me (Nicolas, p.) : I7g3; p. 11, 20, 84, 104 — 96;
46, 47 — 98; 44-
Lelièvre (gr. en pierres) : 1800; p. 81.
Le Lorrain (Louis, p.) : I753; p. 33 — 55; 27, 28 —
57; 23 — 98; 5i.
Le Lorrain (Robert, se.) : 1704; p. 35, 36 — 37; 24.
Lélu (p.) : 1793; p. 46, 47, 48, 5o, 5i, 52, 53, 84.
Lemagniet (N. F., p.) : 1799; p. 47.
Le Maire (François, p.) : 1673; p. 33.
Lemaistre (M"% se.) : voy. M"= Drouin.
Lemarie^ [se.) : 1793; p. 59, 84.
Le May (Olivier, p.) : 1791; p. 3o, 34, 62 — 96; 47.
Letnire (Cliarles, p.) : 1793; p. 84, 108 — 95; 42.
Lemire (Nicolas, gr.) : 1796; p. 86 — gg; 84.
Lemoine (p.) : 1795; p. 42, 43 — 96; 47, 48 — 98;
44 — 1800; 48.
Lemoine (M°' Marie Victoire, p.) : 1 796; p. 47 — 98;
44 — 99; 47-
l£ Môle (p.) : 1793; p. 45.
Le Monnier {Anicet Charles, p.) : 1785; p. 42, 43 —
87; 43, 44. 45 — 89; 38, 39 — 91; 47, 48, 62 —
93; 10, 26, 34, 5o, 84, iio — 96; 27 — 99; 47, 48
— 1800; 48.
Le Mqyne (François, p.) : 1747; p. 34 — 53; 29 —
55; 35 — 61; 32 — 69; 41.
44 Lemoyne.
Lemoyne fils (Jean Baptiste, se.) : lySy; p. 32 — 38;
3o — 42; 17 — 43; 19, 20 — 45; 21 —46; 17 —
47 ; 22 — 48 ; 29 — 5o; 19 — 53 ; 19 — 55; 37 —
57; 28 - 59; 33 - 61; 27, 28 - 63; 33 - 65; 33
— 67; 34, 35 — 69; 33 - 71; 38, 5i.
Le Moyne (Jean Louis, se): 1704; p. 43, 44 — 37; 17.
Lempereur (Louis Simon, gr.) : 1761; p. 34 — 63;
37 — 65; 41, 42 — 67; 39, 40 — 69; 40 — 73; 47
— 75; 42 — 77; 49 — 79; 5o — 81; 5i — 89; 54.
Le Nain (p.) : 1759; p. 3i.
Lenfant (Pierre, p.) : 1741; p, 32 — 42; 34— 5i; 26,
3i — 53; 25 — 55; 19, 20 — 57; 17 — 59; 19 —
61; 19.
Le Noir (Simon Bernard, p.) : 1779; p. 40 — 83; 37
89; 56 — 96; 43.
Lenoir (M"" Adélaïde—, née Bénard, p.): 1795; p. 43
— 99; 48 — 1800; i5.
Le Peintre (p.) : 1796; p. 48 — 98; 45- — 99; 48.
Lépicié (Bernard, p. et gr.) : 1737; p. 27 — 38; 28 —
40; 26 — 41; 26 — 45; 33 — 46; 25 — 47; 3o —
48; 2 5.
Lepicié (Nicolas Bernard, p.) : 1765; p. 3o — 67; 28
— 69; 25, 26 — 71; 14, i5 — 73; 17 —75; 12
— 77; II, 12 — 79; 16, 17, 49— 81; 14, i5 — 83;
i5, 16 — 85; 14, 55 — 99; 29.
Lépine (gr.) : 1793; p. 41, 42, 84.
Le Prince (Jean Baptiste, p.) : 1765; p. 27, 28, 29 —
67; 22, 23, 24 — 69; 20 — 71; 22, 23, 5i —
73; 19, 20, 21 — 75; 14 — 77; 17, 18, 47, 52 —
79; 22, 23, 53 — 81; 20, 21 — 85; 54 — 96; 20,
38, 62 — 98; 16, 58 — i8oo; 17, 40, 58.
Le Roi (M"°, p.) : 1791; p. i6, 18, 62.
Le Roux de la Ville (M"% p.) : voy, M°"^ Benoist.
Le Roux de la Ville (M"« —, cadette, p.) : 1791; p-
i5, 62.
Levasseur. 45
Leroy (François, p.) : lygS; p. 43 — 96; 48 — g8;
46 — 99; 48 — i8oo; 48.
Le Roy (Jean David, arch.) : 1800; p. 76.
Leroy (Joseph, p.) : 179^; p. 42 — 96; 44 — 96; 48,
49 — 98; 45.
Leroy (Sébastien, p.) : i7g5; p. 43, 44 — 96; 4g.
Lespinasse (Louis Nicolas de — , p.) : 1787; p. 33, 34,
35 — 8g; 28, 29 — g3; 5o, 84 — gS; 44 — 98; 45
— 1800; 23, 48, 79.
Lessant (dessin.) : 1793; p. 44, 43, 84.
Lestrade (Gabriel T., se.) : 1793; p. 70, 84 — 96;
75.
Le Sueur (Eustache, p.) : 1795; p. 84.
Le Sueur (Jacques Philippe, se) : 1791; p. 35, 36, 63
— g3; 20, 61, 84 — g5; 68 — g6; 75 — 98; 74 —
1800; 73.
Lesueur (Pierre, p.) : 1741; 3o — 43; 37 — 46; 27 —
47; 32 — 48; 24, 25 — 5o; 25 — 5i ; 27 — 53;
26.
Le Sueur (Pierre Etienne, p.) : i7gi; p. 21, 22,
24, 26, 27, 45, 46, 47, 48, 5i, 62 — 93; 24, 35,
5i, 84, 100 — gS; 44, 45 — 98; 45, 46.
Le Suire (p.) : 1791; p. 63.
Le Suire (M"", p.) : 1791; p. 36, 63.
LetelUer (p.) : 1793; p. 11, 85, 104 — 1800; 5i.
Lethière (Guillaume, p.): 1791; p. 18, 85 — 93; i3,
18, 85, 108 — g5; 45, 46, 88 — 97; 46, 82 — 99;
48, 5o — 1800; 52.
Lettre (de — , p.) : voy. Delaistre.
Levasseur (arch.): 1793; p. 73, 85 — g5; 75, 76.
Levasseur (Jean Charles, gr.) : 1769; p. 41 — 71; 49
— 73; 46, 47 — 75; 41 — 77; 48 - 79; 49, 5o —
81; 5o — 83; 55 — 87; 56 — 89; 54.
46 Lheine.
L. G. (M"% p.) : 1800J p. 44.
Lheine (dess.) : 1793; p. Sg.
Liger (p.) : 1795; p. 46.
Linger (M"", gr.) : 1793; p. 85.
Lodin (M""», p.) : voy. M"« Michaud.
Loir (Alexis, p.) : 1747; p. 33 — 48; 27 — 5g; 24 —
79; 32.
Loir (Nicolas, p.) : 1673; p. 2g.
Loir (M"% p.) : 1748; p. 27.
Lonsing (p.) : 1798; p. 47.
Lorimier (p.) : 1791; p. 18, 3i, 63 — g3; 23, 26, 85.
Lorimier (M"^ Henriette, p.) : 1800; p. 4g.
Lorrain (Claude, p.) : 1763; p. 37 — 71; 47.
Lorta (Jean Pierre, se.) : i7gi; p. 34, 63 — g3; 67,
68, 85 — gS; 68 — g8; 74, 75 — 1800; 72.
Louis (Victor, arch.) : 1791; p. 32.
Lousier (M"" — , née Contoulij,-p.): i7gg; p. gi — 1800;
49.
Loutherbourg (Philippe Jacques, p.) : i763; p. 3i, 32
— 65; 27 — 67; 27, 28 — 6g; 22, 23, 40 — 71;
24, 25, 26 — 7g; 27 — 91; 44.
Lovinfosse (p.) : 1798; p. 47.
Lucas (Ange, p.) : 1751; p. 25.
Lucas (J. R. N. se): 1791; p. 35, 38, 44, 63 — g5; 69
- 9«; 7^ — 99; 72.
Lundberg (Gustave, p.) : 1743; p. 25 — 5o; 26 — 67;
16, 17.
Lijen (Jacques François de — , p.) : 1737; p. 16, 17,
22, 23 — 38; 16, 18 — 40; 21 — 41; 26 — 45; 28,
37 — 46; 22 — 47; 26.
M
AfagMzer (Laurent, se.) : 1673; p. 34.
Massard. 47
Mailly (p.) : lygB; p. 85, 104.
Malaine (p.) : 1791; p. 46, 48, 63 — 1800; i3.
Malard-Sennaise : 1798; p. 47.
Malbeste (p.) : 1798; p. 47.
Mallet (Jean Baptiste, p.) : 1791; p. 3o, 63 — 93; 11,
i3, 32, 39, 85, 91, 92, 108 — 98; 48 — 1800; 49.
Mandevard (N. A. M., p.) : i7g3; p. 20, 22, 85, 109
— 96; 5o.
Manglard (Adrien, p.) : 1739; p. 22.
Manière (se.) : voy. Magnier.
Mansart (Jules Hardouin) : 1699; p. 11, 25 — 1704;
9-
Mansuij (p.) : 1793; p. 32, 5o, 85, 112.
Mantelay (p.) : 1791; p. 40, 63.
Marais (Henry, gr.) : 1796; p. 84.
3/arèe/ (Jean, p.) : 1800; p. 49.
Marchais (Pierre Antoine, p.) : 1793; p. i5, 53, 85,
91 — 95; 46 — 96; 5o — 1800; 49.
Marchand (Jacques, gr.) : 1798; p. 84.
Marette (Pierre Antoine, p.) 1798; p. 48.
Marinier (Clément Pierre, dess. et gr.) : 1793; p. 37,
38 — 96; 86 — 99; 86.
Marin (Joseph Charles, se): 1791; p. 3i, 32, 37, 38,
41, 63 — 93; 61, 62, 71, 85, 94 — g5; 69.
Marolles (ingénieur et dess.) : 1739; p. 20.
Marot (François, p.) : 1704; p. 38.
Martin (Antoine, p.) : 1796; p. 5o, 5i.
Martin (Guillaume, p.) : 1771; p. 37 — 73; 34, 35
— 75; 28 - 77; 3o - 81; 34 - 83; 36 - 85; 35
— 87; 38 — 96; 5i — 98; 48.
Masquelier (Louis Joseph, gr.) : 1793; p. 41, 85 —
98; 84, 85 — 1800; 81, 82.
Massard père (Jean Baptiste, gr.) : 1785; p. 5(> — 87;
48 Massard.
59 — 89; 56 — 91; 37, 63 — 98; 85 —99; 85
— 1800; 82, 83.
Massard fils (Jean Baptiste Raphaël Urbain, gr.) :
1798; p. 85 — 99; 84, 85 — 1800; 83.
Masse (Samuel, p.) : 1737; p. 27, 28 — 38; 2 5, — 40;
17 — 45; 25.
Masson (Antoine, gr.) : 1699; p. 2 5.
Masson (François, se.) : 1793; p. 62, 68, 69, 85.
Mauperché (Henri, p.) : 1673; p. 3i.
Mauperin (p.) : 1791; p. 16, 17, 21, 23, 24, 26, 29,
63 — 93; 5o, 85, io5 — 1800; 5o.
Maure (se.) : voy. Hauré.
Maijer (M"« Constance, p.) : 1796; p. 5i — 98; 49
— 99; 49 — 1800; 49, 5o.
Mellini {On.., gr.) : 1763; p. 38, 39 — 65; 42 — 67;
40 — 69; 40 — 71; 5o — 77; 5i.
Ménageât (François Guillaume, p.) : 1777; p. 37, 38
— 79; 36, 37 — 81; 3i, 32 — 83; 20, 21 — 85; 16,-
17, 18 — 89; 54 — 91; 39, 46, 63.
Menjaud (Alexandre, p.) : 1796; p. 52 — 99; 91 —
i8oo; 5o. -
Mérard (Pierre, se.) : 1795; p. 70 — 96; 75 — 99;
72.
Mercoli (Michel Ange, gr.) : 1800; p. 83.
Mérimé (J. F. L., p.) : 1791; p. 3o, 63 — 95; 46 —
98; 49, 81 — 99; 49.
Merlot (p.) : 1793; p. 49, 85, io3.
Messier (Jean L., p.) : 1796; p. 52 — 98; 49.
Metaij (dess.) : 1793; p. 42
Métoijen fils (François, p ) : 1793; p. loi — 95; 46,
47 - 96; 53 — 98; 49.
Métoyen (M°", p.) ; 1793; p. 85, loi — 95; 87 — q6;
87.
Mettay (Pierre, p.) : 1757; p. 27.
MiLOT. 49
Metjnier (Charles, p.) : 1795 ; p. 47 — 96; 53 — 98 ;
49, 5o — 1800; 5o, 5i.
Mes^ihe (p.) : 1793; p. 85, io3 — 96; 53.
Michallon (Claude, se): 1793-, p. 62, 70, 85.
Michaud (M"" Joséphine Antoinette — , femme Lodin,
p.) : 1800; p. 5i.
Miche (dessin.) : 1793; p. 85, 98.
Michel (Georges, p.): 1791; p. 45, 46, 63 — g3; 9,
i3, 29, 3-2, 85 — 95; 47 — 96; 53 — 98; 5o —
i8oo; 5i.
Michel (M. O., gr.) : 1799; p. 85.
Miger (Simon Charles, gr.) : 1779; p. 5i, 52 — 83;
56, 57 — 85; 53 — 93; 45, 85 — 96; 85 — 99; 85
— 1800; 83.
Mignard (Pierre, p.) 1775; p. 44.
Migneron (ingénieur) : 1793; p. 72, 86.
Mignot (Pierre Philippe, se.) : 1707; p. 3i — 59; 3o
— 61; 3i — 63; 36 — 65; 37.
Milandre (constructeur de plans en relief) : 1791;
p. 37, 63.
Milberte (p.) : 1793; p. 86, io3.
Milet-Mureau (M"« Iphigénie —, p.) : 1798; p. 5o —
99; 49.
Millet (Francisque, p.) : 1673; p. 36.
Millet (Jean, dit Francisque, p.) : 1737; p. i5 —
— 38; 20, 21, 22 — 39; 18, 19, 20, 22 — 40; 22,
23 — 41 ; 22 — 42; 23 — 43; 22 — 45; 28, 29 —
46; 22 — 47; 26 — 48; 22 — 5o; 23 — 5i; 25 —
53; 24 — 55; 19 — 57; 17 — 59; 18 — 61; 18 —
63; 19 — 65; 18 — 67; 16 — 69; 17 — 71; 16 —
73; 21 — 75; 17.
Mîlot (René, se.) : 1785; p. 5i — 87; 5i — 89; 5o —
91; 35, 44, 63 — 93; 6q, 86.
Milot {U'"' —, se.) : 1795; p. 70 — 96; 75.
5
5o MiRVAULT.
Mirvault (M"^ — , p.) : voy. M""' Davin.
Mirys (p.) : 1795; p. 47, 48.
Moitié (Jean Guillaume, se.) : 1783; p. 54 — 85; 5o, 5i
— 87; 53 — 89; 5o — 91 ; 18, 23, 34, 5i, 52, 53,
63.
Moitié (Pierre Etienne, gr.) : 1761; p. 34 — 63; 37
— 65; 41 — 67; 40 — 69; 40 — 71; 5o — 75; 41
— 79; 5o — 87; 53, 55 — 93 ; 44 — 95; 83 — 96;
83.
Moles (Pascal Pierre, gr.) : 1775; p. 44.
Monet (dess.) : 1791; p. 40 — 93; 38, 40.
Mongin (Antoine Pierre, p.) : 1791; p. 17, 23, 34,
63 — 93; 86, 107 — 95; 48 — 96; 53, 54 — 98; 5o
— 99; 49 — 1800; 5i.
Monier (Pierre, p.) : 1699; p. 20.
Monnet (Charles, p.) : 1765; p. 32 — 67; 29 — 71;
32, 33 — 73; 32 — 75; 26 — 77; 52 — 81; 33.
Monnoiier (Jean Baptiste — , dit Baptiste, p.) : voy.
Baptiste.
Monot (Martin Claude, se.) : 1769; p. 37 — 71; 44,
45 — 73; 41 — 75; 37, 38 — 79; 46, 47 — 81; 47,
48 — 83; 53 — 85; 49 — 87; 5g — 89; 48 — 91;
35, 63 — 95; 70 — 96; 75, 76 — 98; 75 — 1800;
89.
Monpellier (se.) : 1798; p. 75.
Monsiau (Nicolas, p.) : 1787; p. 46 — 89; Sg, 40 —
91 ; 10, II, 24, 26, 27, 3o, 32, 45, 63 — 93; 9, 40,
86 — 96; 80, 86 — 98; 5i — 99; 17 — 1800;
52.
Montagne (Nicolas de Platte- Montagne, p.) : voy.
Platte-Moniagne.
Monijoye (p.) : 1793; p. 34, 49, 86.
Monipetii (M™"), voy. Demonpetit.
Montreuil (de — , se.) : voy. Demontreuih
MULLER. 5l
Montviol (p.) : 1793 ; p. 8'3, 97 — gSj 48.
Moreau (gr.) : voy. Labadie.
Moreau (C, arch. et p.): 1791; p. 5i, 64 — 1800; 78.
Moreau l'ainé (Louis, p.) : 1791; p. 14, 17, 18, 19,
■icj, 3o, 64 — 93; 28, 86 — g5; 48 — 96; 54.
Aloreau le jeune (Jean Michel, dess. et gr.) : 1777; p-
52 — 81 ; 49, 53, 54, 55 — 83; 58, 59 — 85; 54,
55 — 87; 58 — 89; 55, 56 — 91; 37, 38, 39, 40, 46,
64 — 93; 38, 86, g3, 98 — 96; 86, 89 — 98; 5i,
64 — 99; 85 — 1800; 80, 82.
Morel (gr.) : 1800; p. 83.
Moreth (p.) : 1796; p. 54 — 98; 57 — 9g; 55.
Morgan (J. J., se.) : 1791; p. 41, 64 — gS; 60, 86 —
98; 76.
Marin (M"" Eulalie — , née Cornillaud, p.) : 1798; p.
52 — 99; 5o — 1800; 52.
Mosmann (se.) : 1793; p. 68, 86.
Mosnier (p.) : 1787; p. 46 — 8g; 3i, 32.
Motelet (p.) : 1793; p. 32, 86 — g5; 48.
Mouchet (François Nicolas, p.) : I7gi; p. 5o, 64— 93;
86 — g5; 48, 4g — g6; 54 — gg; 5o, 5i.
Mouchy (Louis Philippe, se.) : 1767; p. 38 — 69; 35
— 71; 42 — 73; 38, 39 — 75; 35 — 81 ; 43 — 83;
49, 5o — 85; 45, 46 — 87; 49 — 89; 45 — gi; 54,
^n — 99; 70-
Moulinier (Jacques, p.) : I7q3; p. 21, 86 — 96; 8g.
Mouricault (p.) : 17g 5; p. 4g.
Moyreau (Jean, gr.) : 1737; p. 27 — 38; 27 — 3q; 26
— 40; 28 — 41; 27 — 42; 3o — 43; 32 — 45; 35
46; 26 — 48; 26 — 5i; 28 — 53; 3o — 55; 35 — 57;
32 — 5g; 3i — 61; 33.
Mudelot. Voy. Budeïot.
Muller (Jean Gautier, gr.) : 1777; p. 4g — 81; 5i —
&b; 52.
52 Mulot.
Mulot {M""" —, se.) : 1799; 72, 73.
Munie (André Jacques, p.) : 1799; P- 5i — 1800; 52.
Musson (p.) : 1799; p. 5i.
N
Naigeon (Jean, p.) : 1791; p. 20, 53 — 93; 49, 5o,
56, 86 — 99; 86.
Natoire (Charles Joseph, p.): 1737; p. 14, 19, 20, —
38; i5, 19,24—39; 12, 14—40; 14 — 41; 14 — 4-;
14, )5 — 43; 16 — 45; 17, 18 — 46; i5 — 47; 20
— 48; 17 — 5o; i5, 33, 34 — 53; 34 — 55; 14, 38
— 57; 14, 34 — 59; 33 — 61; 34 — 63; 37,
Nattier (Jean Marc, p.) : 1707; p. i5, 19, 20, 28 —
38; ig, 20, 28 — 40; 3i — 41; 19, 20 — 42; 19, 20
— 45; 26 — 46; 19, 20 — 47; 23 — 48; 20 — 5o;
20 — 5i; 23 — 53; 20 — 55; i5, 37 — 57; i5 —
59; 12, 33 — 61 ; 14 — 63; 14 — 69; "42 — 73; 33
— 75; 44 — 87; 49-
Naudet (Charles, p.) : 1795; p. 49 — 98; 52 — 99;
5i.
Nandou (p.) : 1793; p. i3, 86.
Nebel (p.) : 1793; p. 86, m.
Neveu (F. M., p.) : 1793; p. 28, 3o , 37, 46, 48, 52,
53, 86, 107 — 96; 54, 55.
Nicasius (Bernaert), p.) : 1673; p. 26, 34.
Nicolet (Bernard Antoine, gr.) : 1793; p. 43, 86.
Niert (de —, dess.) : 1746; p. 25.
Niquet (Claude, gr.) : 1793; p. 41.
Nivard (Charles François, p.) : 1783; p. 43, 44 — 85;
40 — 87; 41 — 89; 36, 37 — 91; 20, 48, 5o, 64.
Noël (p.) ; 1800; p. 52, 53.
Nonnotte (Donat, p.) : 1741; p. 25 — 42; 26 — 43;
27, 28 — 45; 32 — 46; 24 — 48; 23 — 5o; 28, 29
— 53; 25 — 55; 19, 36 — 65; 18.
Pajou. 53
Normand (Charles, arch.) : 1800; p. 78.
Non-y (Charles, arch.) : 1799; p. 77, 78.
Notté (p.) : 1793; p. 86, 106 — qS; 49,
Nouvion (arch.) : 1795; p. 76.
O
Odevaere (Joseph Denis, p.) : 1799; p. 5i, 52.
Ollivier (Michel Barthélémy, p.) : 1767; p, 32 —
69; 29 ~ 71 ; 33, 34 — 77; 27, 28 - 79; 33 -
81; 49.
Orcelle (M"" Alexandrine, p.) : 1796; p. 55.
Origny {A' — ) : voy. Dorigny.
Orsin (Joseph, p.) : 1796; p. 55.
Oiidinet (G., arch.) : 1796; p. 79.
Oudry fils (Jacques Charles, p.) : 1748; p. 28, 29 —
5o; 26 — 5i; 27 — 57; i8 — 61; 19.
Oudry (Jean Baptiste, p.) : 1737; p. 12, 17, 19, 23,
28, 2(| — 38; 12, 14, 16, 21, 22, 24 — 39; 12, i3,
14,21, 22 — 40; i5, 16 — 41; 16, 17, 3o — 42;
16, 17 — 43; 17, 18, 19 — 45; 19, 20 — 46; 16, 17
— 47; 20, 21 , 3o — 48; 18, 19, 2 5 — 5o; i6, 17,
18 — 5 1 ; 21 — 5 3 ; 17, 18, 19 — 59 ; 3 i .
Oyon (M"^ — , p.) : 1799; p. 52.
Paillet (Antoine, p.): 1073; p. 26, 3o — 1699;
17-
Pajou (Augustin, se.) : 1759; p. 3o — 61; 3o, 3i —
63; 34, 35 — 65; 35, 36 — 67; 35, 36 — 69; 33,
34 — 71; 40—73; 37 — 75; 34 — 77; 41 — 79;
42 — 81; 42 — 83; 45 — 85; 44 — 87; 47 — 8g;
42, 43 — 91; 35, 54, 64 — 96; 73, 76 — 98; 73, 76
— 99; 70 — 1800; 67, 73, 74, 89.
Pajou (Jacques Augustin, p.) : 1701 ; p. 12, 45, 64 —
5.
54 Pallière.
93; 37, 86, 92 — g5; 49 — 96; 55 — 98; bi, 53,
88 — 1800; 53.
Pallière (Etienne, p.) : 1798; p. 53 — 99; 52 —
1800; 53.
Parant (Louis Bertin, gr. en pierres) : i8oo; p. 53.
Parelle (dess.) : 1795; p. 49.
Paris (p. et arch.) : 1791; p. 52, 64.
Parois (comte de —, gr.) : 1787; p. 55.
Parrocel (Charles, p.) : 1737; p. 14, 16, 20, 3o, —
38; 14, 28 — 45; 21, 22 — 46; 17, 18.
Parrocel (Joseph, p.) : 169g; p. 22,
Parrocel (Joseph Ignace François, p.) : i755; p. 28 —
57; 24, 25 — 59; 24 — 61; 25 — 63; 28 — 65; 24
— 67; 26 — 71; 32 — 79; 32, 33 — 8i; 33.
Parseval (Auguste, p.) : 1791; p. 12, 17, 18, 20, 26,
27, 28, 45, 46, 64 — 93; 37, 87, 93, 99 — 95; 5o.
Pasquier (Pierre, p.) : 1769; p. 3i — 71; 28 — 73;
28, 29 — 75; 20, 2 1 — 77; 23 — 79; 27 — 81 ; 2.6
- 83; 27.
Pasquier (se.) : 1791; p. 32, 53, 54, 64.
Patas (Jean Baptiste, gr.) : 1791; p. 34, 64 — 99;
83.
Pater (Jean Baptiste Joseph; p.) : 1745; p. 34.
Pau de Saint-Martin (p.) : voy. Saint-Martin.
Peigné {M"" —, p.) : 1799; p. 52, 53.
Pellier (Pierre Edme Louis, p.) : 1800; p. 54.
Perceval, voy. Parseval.
Percier (Charles, arch.) : 1793; p. 5i, 74, 86 — 95;
29 — 96; 55 — 98; 53, 54.
Perdriaiix (gr.) : 1795; p. 87.
Perier (Marc François, p.) : 1796; p. 56.
Pérignon (Nicolas, p.): 1779; p. 3i — 81; 29 — 99;
21.
Perin (L. L., p.): 1793; p. 17, 87 — gS; 5o —98; 54.
Peytavin. 55
Pernet (dess.) : 1793; p. 39 — 95 ; 86.
Perrard Montreuil (arch.) : I7g3; p. 74, 87.
Perrier (p.) : I7y5j p. 5o.
Perrin (Jean Charles Nicaise, p.) : 1787; p. 35, 36 —
89; 29 — 91; 21, 22, 53, 64 — 93; 16, 87 — 95; 5o
— 96; 56 — 98; 54 — 99; 53, 65.
Perronneau (Jean Baptiste, p.) : 1746; p. 3i — 47;
33 — 48; 27, 28 — 5o; 28, 3i — 5i; 29, 3i — 53;
27, 28 — 55; 23 — 57; 19 — 59; 20 — 63; 21 —
— 65; 19 — 67; 18 — 69; 17, 18 ~ 73; 21 — 77;
39 — 79; 24, 52.
Person (p.) : voy. Poerson.
Person (P. C, ingénieur mécanicien): 1793; p. 60,87
— gS; 76, 77—96; 85, 86 — 98; 79 — 99; 78.
Petit (Louis, p.) : 1793; p. 26, 87 — 95; 5i — 99; 54
— 1800; 54.
Petit (Pierre Joseph, p.) : 1791 ; p. 14, 22, 64 — gS;
i5, 24, 25, 28, 87, 100 — g5; 5i — g6;. 56 — 98;
54 — gg; 54 — 1800; 54.
Petit (Simon, p.) : I7g5; p. 5i — g6; 56.
Petit (gr.) : i7g3; p. 44 - g5; 87.
Petit-Couperay (p.) : i7gi; p. 17, 20, 49, 64 — 93;
9, 16, 19, 21, 87.
Petitot (Pierre, se.) : 1793; p. 63, 87 — gS; 71 — 96;
76 — 98; 76 — gg; 73 — 1800; 73.
Petit-Radel (Louis François, ing. et arch.) : I7g3; p.
72, 87 — 1800; 78.
Peyre (Antoine François, arch.): I7g5; p 77, 78, 7g,
80 — gg; 78, 7g — 1800; 23.
Peyre neveu (arch.) : I7g5; p. 80.
Peyron (Jean François Pierre, p.): 1785; p. 40, 41,4'^
— 87; 32, 33 — 8g; 27, 28 — gi; 17, 21, 23, 82,
34, 36, 47, 64 — g6; 4g, 56, 57 — g8; 55, 56 — gg;
53, 54 — 1800; 54.
Peytavin (Jean Baptiste, p.) : 1800; p. 54, 55.
36 Pfab.
Pfab (Jean Pierre, p.) ; 1798; p. 56 — 99; 54.
Picart (Etienne, dit le Romain, gr.) : 1673; p. 34 —
1699; 25 — 1704; 40.
Pierre (Jean Baptiste Marie, p.) : 1741; p- 3o, 3i —
42; 28 — 43; 28, 29 — 46; 22, 23 — 46; ig, 3i —
47; 22, 3i — 48; 19 — 5o; ig, 20 — 5i; 22, 29 —
53; 34 — 57; 14, 32 — 59; 34 — 61; i3, 14, 34 —
63; i3, 14, 38 — 65; 42 — 69; 12 — 73; 46, 47
— 96; 43, 71 — 98; 35, 45, 68 — 99; 32.
Piètre (femme — ) : voy. Vallain (Nanine).
Pigalle (Jean Baptiste, se.) : 1742; p. 35 — 43; 33 —
47; 22 — 48; 3o — 5o; 20 — 5i; 23 — 53; 19, 21
— 65; 41 — 99; 72.
Pigeon (Robert, p.): 1798; p. 27— 99; 27 — 1800; 55.
Pillement (p.) : 1796; p. 87.
Pillon (se.) : 1791; p. 38, 41, 65.
Pinchon (Jean Antoine, p.) : 1795; p. 5i — 96; 57 —
(j8; 56 — 99; 55 — 1800; 55.
Pinson (se. anatomiste) : 1793; p. 87, ici.
Pinson (M° Isabelle — , p.) : 1796» P- 58 — 1800; 55.
Piranèsi (François, gr.) : 1800; p. 84.
P latte-Montagne (Nicolas de —, p.) : 1673; p. 33 —
1699; i5 — 1704; i5.
Poerson (Charles François, p.) : 1699; p. 12, 21.
Point (p.) : 1796; p. 58 — 1800; 55.
Poitreau (Etienne, p.) : 1740; p. 25, 26 — 41; 24 —
42; 25 — 43; 25 — 45; 3o — 46; 23, 24 — 47; 27
— 48 ; 23 — 5o; 24 — 5i ; 26 — 53; 25 — 57; 17
— 5g; 18.
Ponce (Nicolas, gr.) : 1791 ; p. 37, 65 — 93; 37, 38,
87, 92 — 96; 86 — gg; 85, 86.
Porporati (Charles, gr.) : 1777; p. 49 — 87; 56.
Portail (Jacques André, p.) : 1742; p. 7 — 43; 7 —
4.5; 9 — 46; 7 — 47; 9, 29 — 48; g — 5o; 7, 25 —
3i; 7, 3o — 53; g — 5g; ig.
Raon. :'7
Potain (V. M., p.) : lygS; \\ 'i-j, 55, 87 — gô; 58 —
98; 56.
Pottier (M"" Esther —, p.) : 1799; p. 55.
Poultier (Jean, se.) : 1704; p. 41.
Pourcelly (p.) : 1791; p. 33, 65 — 93; 49, 87, loi —
96; 58.
Poussin (Nicolas, p.) : 1673', p. 33 — 1704; i8 — 59;
3i - 87; 55 -93;44-
Poutrel (p.) : i795; p. 5i.
Preisler (Jean Georges, gr.) : 1787; p. Sg.
Prévost (Jean Louis, p.) : 1791; p. 21, 23, 24,49, 5o,
65 — 93; 17, 29, 5q, 54, 87 — 95; 5i — 96; 58 —
98; 56 — 99; 55 — 1800; 55, 85
Prévôt (Pierre, p.) : 1796; p. 58, 59 — 98; 5? — 99;
55 — 1800; 56.
Prieur (arch.) : 1793; p. 72, 87.
Prou (Jacques, se.) : 1704; p. 12, 3i.
Prudhon (Pierre P., p.) : 1791 ; p. 40, 65 — 93; 28,
29, 53, 87, loi — 95; 84, 85 — 96; 59 — 98; 57,
8i, 82 — 99; 55, 86 — 1800; 81.
Putman (se.) : 1793; p. 36, 60, 87.
R
Rabillon (P. P., p.) : 1799; p. 56.
Rabon (Pierre, p.) : 1673; p. 32.
Rabonot (se.) : 1791; p. 44.
Radel (areh.) : voy. Petit-Radel.
Rambert Dumarest (gr.) : voy. Dumarest.
Ramey (Claude, se.) : 1793; p. 66, 71, 87 — 96; 76.
Banc (Jean, p.) : 1704; p. 43, 44.
Rançonnet (Pierre Nicolas, gr.) : 1791; p. 34, 65 —
1800; 84.
Raon (Jean; se.) : 1673; p. 35 — 1699; p. 20.
38 Raoux.
Raoux (Jean, p.) : 1740; p. 28 — 45; 35 — j3; 48 —
87; 58.
Rat (M"" Henriette —, p.) 1799; p. 56.
Ravault (Ange René, p.) : 1795; p. 52 — 99; 56, 57.
Redouté aine (p.) : 179^; p. 87, loi, 102 — 95 ; 52,
87 — 96; 59.
Redouté jeune (p.) : 1795; p. 52.
Regnaudin (Thomas, se.) : 1673; p. 3i — J699; i3,
20 — 1704; 21.
Regnauld (Jean Baptiste, p.) : 1783; p. 3g, 40 — 85;
3o, 3i — 87; 28, 29 — 8g; 23 — 91 ; 22, 27, 5i,
52, 65 — g5; 52, 53 — 96; 16, 32, 40, 42, 45, 52,
60, 85, 86 — 98; 12, 23, 26, 3o, 3i, 36, 42, 57, 66,
81, 87, 88 — gg; i3, 22, 26, 2g, 35, 37, 3g, 41, 56,
57, 5g, gi — 1800; 12, 25, 27, 2g, 40, 42, 44, 4g,
54, 57, 58, 62, 88.
Regnault {ExxennQ, p.) : 1704; p. 3o, 32.
Reiser (p.); i7g6; p. 61.
Renard (M""' Adèle —, p.) : 1793; p. 37, 87.
Renaud (Jean Martin, se.) : 1798; p. 76 — gg; 73 —
i8oo; 73.
Renou (Antoine, p.) : 1767; p. 32, 33 — 69; 29, 3o —
71; 34 — 73; 32, 33 — 75; 26 — 79; 23, 24 — 81;
23.
Restout (Jean, p.) : 1737; p. 14, 20, 21, 22, 25, 26
— 38; 23, 24, 26, 27 — 39; i5, 16, 17 —40; 12 —
43; 14, 38 — 45; i 5, 16 — 46; i3, 14 — 47; 19 —
48; i5 — 5o; i3 — 5i ; i3 — 53; 14 — 55; 12,
i3 — 57; 35 — 5g; 12 — 63; 12 — 65; Sg — 69;
41 — 73; 47-
Restout (Jean Bernard, p.) : 1767; p. 3o — 71; 28, 29
— 91; i3, 20, 24, 27, 65 — 93; 56, 88 — 96; 23 —
99; 25.
Reverchon (Xavier, p.) : 1800; p. 56.
Reydellet (concierge de l'Académie) : i738; p. 82 —
Roger. 5g
39; 9, 26 — 40; 32 — 41; 32 — 42; 36 — 43; 39 —
45; 38 — 46; 3 1 — 47; 34 — 48; 32 — 5o; 34 — 5 1 ;
3i - 53; 30.
Ricour (se.) : 1793; p. 62, 70, 71, 88 — gS; 71.
Riesener (p.) : 1793; p. 112 — 99; 57.
Rieux (arch.) : 1793; p. 72, 88.
Rieijka (M"" — , p.) : 1793; p. 43.
Riffauli (arch.) : 1793; p. 88, 97 — 95; 53.
Rigaud (Hyacinthe, p.) : 1704; p. 10, 14, So, 40, 41
— 1738; 28 — 42; 3o, 35 — 43; 32, 38 — 45; 35
— 46; 27 — 59; 34.
Robert (Hubert, p.) : 1767; p. 24, 25 — 69; 21, 22 —
71; 23, 24 — 73; 24, 25 — 75; 18, 19— 77; 20,21
— 79; 25, 26 — 81; 25 — 83; 25, 26 — 85; 22, 23
— 87; 20, 21 — 89; i5, lô — 91; II, i3, 20, 21,
22, 23, 3o, 5o, 65 — 93; 20, 21, 35, 88 — 95; 53,
86 — 96; 59, 84 — 98; 57.
Robert Lefèvre (p.) : 1791; p. 12, i3, 16, 47, 48, 62
— 95; 41. 42 — 96; 45 — 98; 42, 43 — 99; 44,
83.
Robin (Jean Baptiste Cl., p.) : 1773; p. 36 — 75; 29
— 77; 3o à 33 — 79; 35 — 81; 34 — 83; 36 — 85;
35 — 87; 38, 39 — 89; 34, 35 — 91; 1 1, 5o, 65 —
96; 60 — 98; 57.
Robineau (Auguste, p.) : 1791; p. 27, 29, 65 — 99;
57.
Roehn (Adolphe, p.) ; 1799; p. 57 — 1800; 57.
Roettiers (Charles Joseph, gr. en méd.) : 1737; p. 3i.
Roettiers (Charles Norbert, gr, en méd.): i753; p. 34
— 61; 34 — 65; 40 — 69; 39 — 71; 47, 48, 49 —
75; 42.
Rogat (p.) : 1791; p. 28, 65.
Roger (Barthélémy, gr.) : 1799; p. 86.
Roger (Pierre Louis, p.) : 1795; p. 87, 88 — 96; 60
— 98; 57 — 1800; 57.
6o Roland.
Roland (Jacques F. J., p.) : 1796; p. 60, 61 — 98; 58
— 1800; 57.
Roland (Philippe Laurent, se.) : ij83; p. 54 — 85;
5o — 87; 52, 53 — 89; 49 — 91; 39, G5 — 93; 71,
88 — 95; 71 — 96; 76 — 98; 76, 77 — 1800; 74,
89.
Roland de la Porte (Henri Horace, p.) : 1761; p. 27
— 63; 29, 3o — G5; 23 — 67; 21, 22 — G9; 19 —
71; 21, 22 — 87; 21 — 89; 17.
Romatiy (Adèle Romance, dite — , p.) • 179^; P- 22,
35, 75, io3 — 95; 54 — 96; 61 — 98; 88 — 9g; 57
— 1800; 57.
Ropia (M"" —, p.) : 1793; p. 88, 108.
Rosier (Jacques A., p.) : 179G; p. Gi.
Roslin (Alexandre, p.) : 1753; p. 35 — 55; 25 — 57;
21 — 59; 21, 34 — 61; 22 — 63; 23 — 65; 21 —
67; 18 — 69; 16 — 71; 16, 17 — 73; 18, 19 — 77;
49, 5o, 52 — 79; 22 — 81 ; 20 — 83; 22 — 85; 19,
20 — 87; 19, 20 — 89; i5 — 91; 14, iG, 24, 26,
27, 5o, 52, 65.
Roslin (M»" —, p.) : 1771; p. 3o.
Rosset {se.) : 1793; p. 66.
Rouquet (p.) : i753; p. 35 — 55; 28 — 57; 25.
Rousseau (Jacques, p.) : 1673; p. 33.
Rousseau (p.) : 1800; p. 23.
Rousselet (Gilles, gr.) : 1673; p. 32.
Rousselet (M"» —, dess.) : 1791; p. 43, 65.
Roy (J. Auguste, p.) : 1800; p. 58.
Royer (Pierre, p.) : 1791 ; p. 25, 44, 65 — 93 ; 88,
92, 99 — 95; 54— 96; 61.
Ruotte (gr.) : 1793; p. 40, 88, 93 — 95 ; 88 — 96;
86.
S
Sablet (François, p.) : 1795; p. 54 — 99; 58.
SÉNAVE. 6l
Sablet (Jacob, p.) : 1791; p. 12, 18, 65 — gS; 27,42,
88 - 95; 64' 85 — 96; 61, 62 - 98; 58 - 99; 58
— 1800; 58.
Saint-Aubin{PMg\xsûn. de — , gr.) : 1771; p. 5i — 'j3;
49, 5o — 75; 43 — 77; 5i, 52 — 83; 57, 58 — 85;
54 — 89; 56 — 93; 39, 40, 88, 93 — 99; 82.
Saint-Martin (Alexandre Pau de — , p.) : 1791; p. i3,
17, 23, 26, 47, 52, 53, 65 — 93; 9, 10, 18, 32, 46,
52, 54, 88 — 95; 54, 55 — 96; 62 — 98; 58, 59 —
1800; 58.
Saint-Ours (Jean Pierre, p.) : 1791; p. i3, 47, 48, 65.
Saly (Jacques, se.) : i75o; p. 32, 33 — 5i; 3o — 53;
21.
Sambat (p.) : 1793; p. 32, 88.
Sando:^ (p.) : 1793; p. 88, log.
Santerre (Jean Baptiste, p.): 1704; p. i3, 17, i8, 27,
33, 44 — 57; 32.
Sarrasin (se.) : 1781; p. 41.
Sarra:{in (p.) : 1791; p. 12, 21, 53, 66 — g3; 21, 88.
Sauvage (Fiat Joseph, p.) : 1781; p. 40, 41 — 83; 32,
33 — 85; 25 — 87; 27 — 89; 21 — 91 ; 12, i3, 19,
37, 46, 66 — 93; 18, 34, 40, 88, io5 — 95; 55 —
96; 62 — 98; 59 — 99; 84 — 1800; 58, 81.
Schall (Jean Frédéric, p.); i793; p. 10, 88, 107 — 9G;
20 — 98; 16, 59 — 1 800; 8 1 .
Schall (p.) : 1793; p. 22, 34, 35, 88 — 1800; 88.
Schmidt (Georges Frédéric, gr.) : 1742; p. 35 — 43;
38.
Schmidt (Jean Joseph, p.) : 1793; p. 35, 5 1, 88 —
96; 63 — 98; 25, 59 — 99: 25, 58 — 1800; 27, 58.
Ségaud (p.) : 1793; p. 5o, 88, m.
Seignoret {p.) : 1800; p. 59.
Sellier (gr.) : 1793; p. 44, 88.
Sénave (Jacques Albert, p.) : 1791; p. 3o, 66 — 96; 63
— 98; 60 — 1800; 59.
62 Serangeh.
Serangeli (Gioachino, p.) : lygS; p. 27, 82 — 96; 63
— 98; 60 — 99; 59.
Sergell {it^n , se.) : 1779; p. 54.
Sergent-Marceau (gr.) : 1793; p. 40, 41, 88, gS, 109
- 98; 85 - 99; 59.
Servandoni (Jean Jérôme, p. et arch.): 1737; p. i 5, 18,
22, 3o — 38; i5 — 39; i5 — 40; 3i — 41 ; 32 —
42; 21 , 22 — 43; 21 — 5o; 34 — 53; 24 — 65;
17, 18.
Sève (Gilbert de — , p.) : 1673; p. 3o.
Sevin (p.) : 1798; p. 60.
Sicardi yère (p.) : 1798; p. 60— 1800; Sg.
Sicardi fils (Louis, p.) : 1791 ; P- 34, 66 — 93 ; 88,
loo — 96; 64 — 98; 60 — 99; 59 — 1800; 59,
Go.
Sigisbert (se.) : 179 1; p. 36, 66 — 93; 70, 88 — 99;
73 — 1800; 74.
Silvestre (Louis de — , jeune, p.) : 1704; p. 40, 41 —
1750; 12 — 57; II, 12 — 1800; 52.
Silvestre (arch.) : 1795; p. 80.
Silvestre (M"" — , p.) : 1799; p. 5g.
Simon (Henri, gr. en pierres) : 1799; p. 86, 87 — 1800;
81, 84.
Simond (Philippe (r), se.) : 1791; p. 41, 43, 44, 66.
Simonet (Jean Jacques François, gr.) : 1791; P- 40,
C)6.
Slodt^ (Paul-Ambroise, se.) : 1741 ; p. 3i — 42 ; 34
45; 32, 33 — 48; 20, 21 — 5i; 23.
Slodt^ (René Michel Ange, se.) : i753; p. 33 — 55;
3i — 96; 74 — 98; 70 — 99; 68.
Smitt (M""», p.) : 179g; p. 60.
Sobre (Jean Nicolas, arch.) : i7gi; p. 3i , 66 — gS;
81 — 98; 79 — 99; 79-
Soiron (François, p.) : 1800; p. 60.
SWEIÎACK. 63
Soufflât (arch.) : 1761; p. 23 — 96; 79.
Stella (Jacques, p.) : 1673; p. 33 — 1785; 56.
Stiémart (François, p.) : 1737; p. 9, 3i — 38; 9, iz
— 39; Q, 26—40; 9, 32.
S^om/ (Jean Baptiste, se.) : 1785; p. 49 — 87; 52 —
89; 48 — 91; 35, 40, 66 — 95; 71 - 96; 25, 74 —
98; 7i> 77 — 1800; 68, 74, 75.
Strange (Robert, gr.) : 1765; p. 43 — 67; 41 — 77;
5i - 81; 53 — 83; 57 - 85; 53 — 87; 57.
Subleyras (Pierre, p.) : i753; p. 33.
Suriny (M"" de —, p.) : 1791; p. 25, 66.
Sunigue (Louis, gr.) : 1737; p. 29 — 38; 28, 29 —
40 ; 28 — 41 ; 26 — 42 ; 29 — 43 ; 32 — 46 ; 34 —
46; 25 — 47; 3o, 3i — 48; 29 — 5o; 27, 28 — 5i;
27 — 53; 29 — 55; 35 — 61; 33.
Sunigue (Pierre Louis, gr.) : 1742; p. 34, 35 — 43;
■ 37, 38 — 45; 36, 37 — 46; 27 — 47; 3i — 48; 2g
— 5o; 29 — 5i; 28 — 53; 3i — 55; 36 — 57; 33 —
5g; 32 — 61 ; 33.
Suvée (Joseph Benoit, p.) : 1779; p. 41 — 81; 3o, 3i
— 83; 21, 22 — 85; 18, 19 — 87; 16 — 89; 12, i3
— 91; 14, 21, 36,47,48, 5o, 52,66—93; 17, ^4, 55,
88 - 95; 55, 56 — 96; 40, 48 5i, 63, 65, 83
— 98; 23, 45 — 99; 23 , 27, 3i , 5i , 56 — 1800;
26, 59.
Su:![anne (François Marie, se.) : 1793; p. 62, 89 — 95;
72 — 99; 73, 74.
Swagers (François, p.) : 1791; p. ir, 12, 23, 29, 46,
66 — 93; 12, 22, 54, 89 — 95; 56 — 96; 64 — 98;
60, 61 — 99; 60 — i8oo; 60.
Swagers (M°" Elisabeth — , p.) : 1798; p. 60 — 99; 60
— 1800; 60.
Sweback-Desfontaines (Jacques, p.) : 1791; p. 29, 3i,
47, 66 — 93; 9, 10, 12, 14, i5, 18, 19, 23, 3i, 32,
47, 5i, 89, 91, io3 — 95; 57 — 96; 65 — 98; 6i
— 99; 60, 90 — 1800; 60, 88.
04 Taillasson.
T
Taillasson (Jean Joseph, p.) : ly^S; p. 40, 41 — 85;
3i, 32 33 — 87; 29, 3o — 89; 24 — gi; 10, 1 1, 29,
66 — 93; 10, 17, 20, 3i, 89 — gS; 57 — 96; 66 —
98; 61 — 9g; 60, 61, 66 — 1800; 88, 89.
Taraval (Hugues, p.) : 1765; p. 32, 33 — 67; 29, 3o
— 69; 26 — 73; 26, 27 — 75; 19 — 77; 21, 22 —
79; 21 — 81 ; 19, 20 — 83; ig, 20 — 85; 16 —
1800; 81.
Tardieu (Nicolas, gr.) : 1738; p. 27 — 41; 26 — 42;
29 — 43; 3i — 45; 34 — 47; 3o — 48; 25.
Tardieu fils (Jacques Nicolas, gr.) : 1743; 38 — 45;
37 — 46; 27 — 48; 26, 27 — 5o; 29 — 53; 3i —
55; 37 — 57; 33, 34 — 59; 33 — 65; 3q — 6g; 3g
— 75; 41 — 77; 48.
Tardieu (Jean Charles, p.) : i7g3; p. 52, 8g, io3.
Tardieu (Pierre Alexandre, gr.) : i7gi; p. 33, 66 —
93; 89, 98 — 96; 87.
Taré (p.) : 1791; p. 14, 16, 20, 25, 66 — g3; 8g, 93,
io3 — 99; 61.
Tarenne (Georges, ing.) : 1800; p. 61.
Tassy (p.) : 1791; p. 23, 42, 66.
Taunay (Nicolas Antoine, p.) : 1787; p. 41, 42, 43 —
8g; 38 — gi; 14, i5, 22, 3o, 3i, 48, 52, 66 — g3;
10, II, 14, i5, ig, 23, 3o, 53, 54, 8g — g6; 66,67
— g8; 62 — 1800; 5i, 8g-
Taurel (Jacques, p.) : i7g3; p. 11, 12, 28, 3o, 45,
8g, g2 — g5; 57, 58 — g6; 67 — 98; 62 — 99; 61
— 1800; 61.
Tavernier (François, p.) : 1704; p. 3g, 44 — 37;
36.
Tellier (p.) : I7g3; p. i 5, 8g.
Terbouche (M°"^ Anne Dorothe'e Leicinska, femme — ,
p.) : 1767; p. 26.
TOURNIÈRE. 63
Tessier (se.) : lygS; p. 67, 89.
Testelin (Henri, p.) : lôyS; p. 3o.
Theaulon (Etienne, p.): lyyS; p. 3o, 3i — 77; 35, 36.
Thévenin (Charles, p.) : 1793, p. 5i, 89 — 93; 58 —
96; 67 — 98; 63, 64 — 1800; 61.
Thibaut (p.) : 1795; p. 58 — 96; 67.
Thiboust (Jean Pierre, p.) : 1793; p. 35, 89 — 95;
58 — 96; 67, 68 — 98; 64 — 1800; 62.
Thiénon (Claude, p.) : 1798; p. 64.
Thierard (se.) : 1791; p. 32, 35, 40, 42, 66.
Thierret (se.) : i8oo; p. 8g.
Thierry (Ch. S., areh.) : 1793; p. 53, 73, 89 — 95;
81 — 99; 79, 80, 81 .
Thomassin (Louis, p.) : 1796; p. 68.
Thomassin (Simon Henri, gr.) : 1737; p. 29 — 38; 29
— 40; 27.
Thonesse (p.) : 1791; p. 20, 37, 49, 52, 67 — 96;
32, 68.
Tocqué (Louis, p.) : 1737; p. 17, 21, 22, 25, 26 —
38; i5, 18, 19, 20 — 09; i3, 20, 21, 22 — 40; 27
— 41; 26 — 42; 22, 23 — 43; 21, 22, 38 — 45; 24 —
46; 20 — 47 ; 23 — 48; 21 — 5o ; 21 — 5i ; 24 —
53; 22, 33 — 55; 17, 18 — 59; 17 — 61; 33 — 75;
44 — 77; 49-
Topfer (dess.) : 1798; p. 64.
Topin (Silvestre, areh.) : 1796; p. 79.
Topino- Lebrun, voy. Lebrun.
Torne:^y (M"° — ) voy. M"= Varillat.
Tortebat {ieSiTi, p.) : 1704; p. 36.
Tourcaty (Jean François, gr.) : 1793; p. 38, 89.
Tournier (p.) voy. Townière .
Tournière (Robert, p.) : 1704; p. 42 — 37; 23, 24 —
41; i3, 14 — 42; 12, i3 — 43; 12, i3, 32 — 45; 14,
i5 — 46; 14 — 47; 19, 20 — 48; 16.
6.
66 TouzÉ.
Tou^é (p.) : 1791; p. 33, 45, 49, 67.
Tremolières (Pierre Charles, p.) : ijSj; p. 12, 14, 22
— 38; 22, 24, 26, 27 — 40; 24.
Trinquesse (p.) : 1791; p. 19, 20, 24, 29, 45, 5o, 67
— 93; 14, 21, 3o, 89, iio — 99; 87.
Troll (Henri, gr.) : 1800; p. 84.
Turpin (marquis de — , p.) : 1787; p. i3.
V
V. N. (p.) : 1800; p. 64.
Vafflard (Pierre Auguste, p.) : 1800; p. 62.
Valade (Jean, p.) : 1751; p. 2g — 55; 26 — 57; 21,
32 — 63; 23 — 65; 21 — 67; 18, 19 — 69; 18 —
81; 23.
^ Valenciennes (Pierre Henri de —, p.) : 1787; p. 36,
37, 38 — 89; '-9, 3o, 3i — 91 ; 10, II, 12, i3, 67
— g3 ; 33, 5o, 89 — 95 ; 59 — 96; 19, 26, 68 —
98; 14; 43, 64, 65 — 99; 16, 47, 83 — 1800; i3,
21, 27, 46, 63, 64.
Valentin (p.) : 1781; p. 52 — 91; 25, 52, 67.
Vallaert (Pierre, p.) : 1795; p. 5g — 99; 62.
Vallaiit (Nanine— , iomme Piètre, p.): 1793; p. 35,
54, 89, 92, 93, 106, — 95; 59 — 96; 57 — 98; 65
— 99; 62.
Vallayer-Coster (M"" Anne—, p.): 1771; P- 29, 3o
— 73; 29 — 75; 21 — 77; 23, 24 — 79; 27, 28 —
81 ; 26 — 83,'; 27, 28 — 85; 23, 24 — 87; 22, 23
— 8g; 17, 18 — g5; 60 — 98; 22, 2 3 — 1800;
63.
Vallée (se.) : 1800; p. 72.
Vallet (Guillaume, gr.) : 1673; p. 26, 33 — 1699;
2 5.
Vallin (Jacques Antoine, p.) : 1791; p. i5, 45, 67 —
93; 19, 24, 89 — g5; 59 — 96; 6g, 86 — 98; 65 —
gg; 61.
Van Loo. 67
Van Clève (Corneille, se.) : 1704; p. 23.
Van Daél (Jean François, p.) : 1793; p. 28, 89 —
g5; 60 — 96; 20, 69 — 98; 16, 5o — 99; 62.
Vander (pour Van der Burch (r), p.) : 1791; p. 16,
67.
Van der Burch (André Jacques Edouard, p.) : 1793;
p. 22, 3i, 34, 46, 52, 90 — 95; 60 — 96; 6g — 99;
63, 64 — 1800; 63.
Van der Lyn (p.) : 1800; p. 64.
Van der Meulen (Antoine François, p.) : 1673; p.
35.
Van der Voort (Michel, se.) : 1738; p. 3i — 40;
3o.
Vangopf (Henri Nicolas, p.) : 1793-, p. 18, 90 —
95; 60 — 96; 6g, 86 — 98; 65 — 99; 64 — 1800;
63.
Van Gorp, voy. Van Gopf.
Van Léen (p.) : 1793; p. 29, 90.
Van Loo (Amédée, p.) : 1 761; p. 16 — 63; 17, iS
— 69; 14, i5 — 71; 14— 73; i5 — 75; II — 77; 10
— 79; 14, i5 — 81; i3 — 83; i5 — 85; i3.
Van Loo (Carie, p.) : 1737; p. i3, 21, 22 — 38;
16, 19, 24 — 39; 12 — 40; 12 — 41; 14 — 42; 14
— 45; i6, 17, 37 — 46; 14 — 47; 20 — 48; 25— 5o;
14 — 5i; i3, 3o — 53; 14, i5, 29, 36 — 55; i3,
14, 36 — 57; i3 — 59; 12, i3, 33, 34 — 61; 12,
i3 — 63; II, 12, 38 — 65; 11, 12, 41, 43 — 67;
42 — 69; 40 — 71; 5o — 73; 46, 48 — 75; 41, 42
— 79; 5i — 1800; 14.
Van Loo (César — , p.) : 1785; p. 33, 34 — 87; 3o
— 89; 24, 2 5 — g3 ; 28, 90 — 98; 66 — 99; 64 —
1800; 64.
Van Loo (Jean Baptiste, p.) : 1737; p. i3, 17 — 59;
33 — 71; 49.
Van Loo (Louis Michel, p.) : 1743; p. 32 — 53; i5.
68 Van Loo.
i6 — 55; 12 — 57; 12 — 59; II, 12 — 6r, 11, 12
— 63; 12, i3, Sg — 65; 12 — 67; 11, 12 — 69;
12, 42 — 73; 48, 49 — 75; 44 — 79; 52 — 81; 52
— 83; 56, — 95; 83.
Van Loo, neveu (Charles (r) p.) : 1747; p. 34.
Van Pol (p.) : 1791; p. 3o, 67 — gS; 60 — 96; 69 —
99; 65.
Van Schuppen (Jacques, p.) : 1704; p. 35, 36, 37,
38.
Van Spaendonck (Corneille, p.) : 1789; p. 33 —
91; 47, 48, 5i, 67 — 93; 33, 90, 102 — g5; 60,
61 — 96; 70 — 98; 66 — 1800; i5, 63.
Van Spaendonck (Gérard, p.) : 1777; p. 36 — 7g; 36
— 81; 32, 33 — 83; 3o, 3i — 85; 25 — 87; 24 —
89; 16 — 91; 14, 17, 67 — 93; go, 106 — 95; 60
— 96; 70 — gg; 52.
Van Waétjenbergh (se.) : I7g3; p. 64, 65, go.
Varenne (Charles Santaire, p.) : i7g6; p. 70 — g8;"
66.
Varillat (M"" — , née Tornezy, p.) : i7g5; p. 5g —
98; 66.
Varin frères (gr.) : i7gi; p. 32, 37, 67.
Vassé (Louis Claude, se.) : 1748; p. 29 — 5o; 32 —
5i; 3o — 53; 26 — 55; 3i — 57; 2g — Sg; 28 —
61; 28, 2g — 63; 33, 34 — 65; 34, 35 — 67; 35 —
71; 38, 3g — 96; 75 — 98; 71, 75.
Vasserot (p.) : 1793; p. 90, 109 — 1800; 64.
Vauro:^e (Fricquet de — ), v. Fricquet.
Vaui^elle (Jean Lubin, p.) : 179g; p. 65.
Vavoque (p.) : i7g3; p. iio.
VaxUler (p.) : I7g3; p. 3o, go.
Vaysse (M""» —, p.) : voy. M"' Rosalie Lebrun.
Venevault (Nicolas, p.) : 1753 ; p. 26 — 55; 20 —
57; 18 — 5g; ig — 63; 20 — 67; 17 — 71; 17.
VlEN. 69
Venture (M"" T. M. —, p.) : 1796; p. 70.
Verbeck (se.) : 1737; p. 33 — 39; 2 5.
Ferrf/^r (François, p.) : 1704; p. i5.
Verdot (Claude, p.) : 1779; p. 5i.
Vergnaux (p.) : 1793; p. 90 — 98; 66.
Vernansal (Guy Louis, p.) : 1699; P- '^ — i704i
3i.
Vernet (Joseph, p.) : 1746; p. 29 — 47; 33 — 48;
28 - 5o; 3i — 5i; 28 — 53; 28 — 55; 23, 24,
2 5 — 57; 19, 20, 21 — 59; 20, 21 , 3i — 6i ; 20,
21, 22, 33 — 63; 21, 22, 23, 37 — 65; 19, 20, 3g,
40, 42 — 67; 16, 39 — 69; 16 — 71 ; i5, 16, 47,
5o — 73; 18, 47, 48 — 75; i3, 14 — 77; 17 — 79;
21, 22, 49, 53 — 81; 20 — 83; 22 — 85; 19 — 87;
18, 19, 55 — 89; 14, i5 — 93; 43, III — 96; 62 —
98; 58, 67 — 1800; 52, 58.
Vernet (Carie, p.) : 1789; p. Sg — 91; 22, 67 — 93;
23, 90, 98 — g5; 61 — 98; 67, 68, 84 — 99; 65 —
1800; 65.
Verselin (Jacques, p.) : 1699; p. 17.
Ver:^y (Jean Baptiste, p.) : 1793; p. 54, 90 — 96; 71.
Vestier (Antoine, p.) : 1785; p. 42 — 87; 3i , 32 —
89; 26, 27 — 91 ; 12, 14, i5, 16, 28, 3i, 46, 49,
5o, 53, 67 — 95; 61, 62 — 96; 71 — 98; 68 — 9g;
32.
Vial (arch.) : 1800; p. 76.
Vidal (gr.) : 1793; p. 38, 90.
Vieilh-Varenne (dess. et gr.): I7g3; p. 49, 90, 112 —
1800; 65, 85.
Viel (Pierre, gr.) : 1793; p. 42, 90 — gg; 87 — 1800;
85.
Vien (Joseph Marie, p.) : i753; p. 32, 33 — 55; 16,
17 — 57; i5, 16 — 59; 14, i5 — 61; i5 — 63; 14,
i5 — 65; 14, 40, 41 — 67; i3 — 6g; i3 — 73; 12,
i3 — 75; 10 — 7g; )2, 5o, 5i — 81; 11 — 83; i3,
70 ViEN.
14 — 85; 1 1, 12 — 87; II, 12, 5g — 89; y, 10 —
qi ; 3o, 67 — 93; 3i, 32, 90 — 96 ; 48, 5i, 61, 66,
— 98; 14, 21 , 34, 46, 48, 58, 61, 68 — 99; i5,
18, 47, 48, 58, Go — 1800; 16, 48, 58, 85, 88.
Vien fils (Joseph Marie, p.) : 1796; p. 71 — 98; 68 —
gg; 66 — 1800; 65.
Vien (M""' Marie — , née Reboul, p.) : 1757; 24 — 59;
21, 22 — 63; 24 — 65; 21, 22 — 67; 19 — 77; 33.
Fzg-fer (Philibert, se.) : 1699; p. i3.
Viglianis (Jean, dess.) : 1796; p. 87.
Vignalis (p.) : 1791; p. 12, 49, 67 — g5; 62.
Vigneux (p.) : i7gg; p. gi.
F/g-«o« ^/s (Claude François, p.) 1673; p. 34— 1699;
19, 25.
Vignon (Pierre, arch.) : 1793; p. 73, 90 — 99; 81.
Viguier (se): voy. Vigier.
Villers (p.): lyQ^; p. 5i, 90.
Villers (M"" —, p.) : 1799; p. 66.
Vinache (Jean Joseph, se.) : 1738; p. 3i — 42; 26 —
43; 25, 26, 27 — 45; 3i, 32 — 46; 24 — 47; 28.
Vincent (Antoine Paul, p.) : 1798; p. 68 — 1800;
p. 66.
Vincent (François André, p.) : 1777; p. 36, 37 — 79;
36 — 81; 36 — 83; 3i, 56 — 85; 25, 26 — 87; 16,
17, 18 — 89; i3, 14 — gi; 10, 24, 28, 2g, 32, 5i,
67 — g5; 62 — g6; i5, 22, 53, 57, 58, 67, 68 — g8;
11, 18, ig, 23, 35, 37, 4g, 52, 53, 56, 63, 68, 8g —
gg; i3, 18, 21, 22, 26, 38, 40, 49, 52, go — 1800;
12, ig, 24, 25 , 33 , 34, 44, 5o, 53, 55 , 61 , 64,
65.
Vincent {¥■ Ph., p.) : i7gg; p. 66.
Vincent (Louis, p.) : i7gi; p. 20, 32, 67 — 95; 62 —
gg; go.
Vincent (M"<=— , p.), voy. M""' Guyard.
Wleughels. 7 1
Vincent (mécanicien) : lygS; p. 88.
Viquet (p.) : lygS; p. 35, go, 92 — 98; 69.
Vivien (Joseph, p.) : 1704; p. 17, 21,41 — 85; 54.
Voille (p.) : 1795-, p. 62.
Voinier (arch.): 1795; p. 81, 82 — 96; 90 — 99; 81.
Voiriot (Guillaume, p.) : 1759; p. 23 — 61; 24 — 63;
26 — 67 ; 20 — 71 ; 18 — 89; 57 — 91 ; i3, G7 —
98; 84.
Voys (Aride, dess.) : 1793; p. 42.
W
Wailly (Charles de — , arch.) : 1771; p. 3o, 3i —
73; 5o, 3i — 75; 22 — 8i; 27, 28 — 85; 43 — 89;
18, 19 — 93; 33, 34, 35, 73, 80, 92 — 95; 75 — 96;
78, 79 — 99; 77-
Wallaert (F'ierre, p.) : 1798; p. 69 — 1800; 66.
Wanpool, voy. Van Pol.
Watelei (Claude Henri, p.) : 1765; p. 42.
Watelet (Louis Etienne, p.) : 1800; p. 66.
Watteau (de Lille, p.) : 1795; p. 61
Wertmuller (Adolphe Ulric, p.) : 1783; p. 60 — 85;
33 - 87; 3o.
Weyler (Jean Baptiste, p.) : 1775; p. 33 — 77; 36 —
81; 29, 3o —83; 28 —87; 23 —89; 58—91; 28, 67.
Wicar (Jean Baptiste, p.): i7q3; p. 52, 90 — 96; 83.
W/Z/e (Jean Georges, gr.) : 17^7; p. 34 — 59; 04 —
61; 33 — 63; 37 — 65; 40 — 67; 39 — 69; 39 —
71; 47 — 77; 48 — 79; 49 — 96; 87.
Wille (Pierre Alexandre, p.) : 1775; p. 29, 3o, 42 —
77; 33, 34, 49 —79; 35— 81; 34 — 83; 36, 37 —
85; 35, 36 — 87; 39.
WiUcmin (C. N. X., p.) : i8oo; p. 66.
Windisch (M°"=, se.) : 1800; p. 75.
Wleughels (Philippe, p.) : 1673; p. 34.
tabi:e alphabétique
DES CRITIQUES DE SALONS
DE 1G73 A 1800.
Ah! Ah! Encore une critique du Sallon ! Voyons ce
qu'elle chante : 1779; p. 7 — 81 ; 7.
Ah! Ah! ou relation véritable, intéressante, curieuse -
et remarquable de Marie Jeanne la Bouquetière et
de Jérôme le Passeux, au Sallon du Louvre : 1787;
p. 8.
Ambigu-Comique (théâtre de 1') : 1783; p. 10.
Ami des Artistes au Sallon (L'), par Robin : 1787;
p. 6.
Amour (L') des Arts consolant la Peinture... par La-
grenée : 1781; p. 8.
Amusements du cœur et de l'esprit (Les) : 1737; p. 6
— 41; 6.
Année Littéraire : 1757; p. 6 — ôq; 5 — 6r; 5 —
63; 5, 6 — 65; 6 — 67; 6 — 69; 6 — 71; 5 — 73;
6 — 79; 6 — 8i; 6 — 83; 6 — 85; 5 — 87; 5 —
89; 5.
Annonces et affiches de Paris : 1775; p. 5.
Annonces, affiches et avis divers, ou Journal général
de France : 1781; p. 6.
Table des critiques. 73
Apelle au Salon lySS; p. g.
Aristarque (L') moderne au Salon : lySS; p. G.
Arlequin au Muséum... : 1800; p. 6.
Arnauldet (M. Thomas) : 1746; p. 6 — 53; 7 — 63;
6 — 83; 8 — 99; 6.
Arsenal (bibliothèque de 1') : 1748; p. 8.
Art de faire des tableaux sous presse par Gautier :
1751; p. 6.
Art de voyager loin sans sortir d'une chambre (ma-
nuscrit) : 1775; p. 6.
Artiste (1' — , journal) : 1673; p. 27 — 1777; 5.
Avis aux critiques des tableaux exposes au Sallon :
1759; p. 6.
Avis important d'une femme sur le Salon : 1787; p. 7.
B
B*** : 1795; p. 6.
Bachaumont (Mémoires secrets de) : 1765; p. G — C7;
5 _ 6g; 6 — 71; 5 — 73; 5 — 75; 5 — 77; 5 — 7g;
6 — 81; 5, 6 — 83; 6, 7 - 85; 6 — 87; 5.
Bade (Lettres à la margrave régnante de— , manuscrit):
1773; p. 5.
Baillet de Saint-Julien : 1748; p. 8 ' — 5o; G — 53;
8.
Beffroy de Reigny : 1783; p. 8 — 87; 7.
Bellier de la Chavignerie (M.) : 1G73; p. 18.
Béquille de Voltaire au Salon (la) : 1791; p. G.
Berlue des connaisseurs (la) : 1781; p. 8.
Bonneval (M. de) : 174G; p. G.
Bordures des tableaux (Eloge des — , par Florent le
Comte) : 1G99; p. 6, 7.
Bouquet du Salon à Emilie (le) : 1 787; p. 7.
Bourbonne (le président de) : i753; p. G.
Bourgeoise au salon (la) : 1787; p. G.
74 Table des critiqués
C
C*** (M.) : 1787; p. 7.
Cabinet (le) de l'Amateur et de l'Antiquaire: 1673; p.
17,18.
Cabinet des Estampes, à Paris : 1673 ; p. 22 — 1704;
6 — 5o; 6 — 53; 7 — 1800; 6.
Cabinet des singularitez, etc.. (de Florent le Comte) :
1699; p. 6, 7.
Caen (Académie des belles-lettres de) : 1763; p. G.
Cahin de la Blancherie : 1783; p. 6.
Camburat (M. de) : 1769; p. 6.
Candeille (M"' Simon) : 1799; p. 6.
Capelle, voy. Villiers.
Capperonnier (l'abbé) : 1786; p. 6.
Carmontelle : 1779; p. 7 — 81; 6.
Carré : 1781; p. 8.
Caylus (comte de) : i753; p. 7.
Changez-moi cette tête, ou Lustucru au Salon: 1783;
p. 8.
Charmois (vers sur M"" Lebrun par M. de — ) : 1785;
p. 5.
Château (M. du —, avocat) : 1737; p. G.
Chaussard (P.) : 1798; p. 5 — 99 ; 6.
Chéry, peintre : 1791; p. 6.
Chinois (le) au Salon : 1769; p. G.
Chronique des Arts et de la Curiosité : 1673; p. 18.
CocHiN : 1763; p. 6 — 69; 6.
Colbert : 1673; p. 8, 9.
CoNDÉ (le prince de — ) : 1781; p. 8.
Les Connaisseurs, ou la Matinée du Sallon des tableaux :
1779; p. G.
Coriolan : 1747; p. 6.
CoRRARD de Bréban (M.) : 1G73; p. 22, 25.
DES Salons. "jb
Correspondance SECRÈTE : Voy. Grimm.
Coup d'œil exact de l'arrangement des peintures du
salon du Louvre, par Martini : lySS; p. 8.
Coup d'œil sur le Salon par un aveugle, par Lesuire :
1775; p. 6 —77; 6 — 83; 9 — 85; 6.
Coup d'œil sur les ouvrages de peinture... exposés au
Sallon de cette année: 177g; p. 8.
Coup de patte sur le Salon de 1779, par Carmontelle :
1779; P- 7 — 81; 6 — 83; 8 — 85; 7 — 89; 6.
Courtes, mais véridiques rétieXions sur l'Exposition
des tableaux de l'année 1775 : 1775; p. 5.
Cousin Jacques hors du Sallon (le), par BefFroy de
Reigny : 1787; p. 7.
CoYPEL (Charles Antoine, p.) : 1747; p. 7 — 5i; 6.
Critique de la Lettre sur les arts... écrite à M. d'Yfs :
1763; p. 6.
Critique de la lettre à M*** sur les Peintures... exposées
dans le Salon du Louvre : 1765; p. 6.
Critique des peintures et sculptures de messieurs de
l'Académie royale : 1765; p. 6.
Critique des quinze critiques du Salon par Dulaure :
1787; p. 7.
Critique du Salon de 1777 par Joshua Reynolds :
1777; p. 5.
Critique (la) est aisée, mais l'art est difficile : 1783;
p. 9.
Critique impartiale des ouvrages exposés au Sallon
(attribuée à Ducreux) : 1789; p. 6.
Critique sur les tableaux exposés au Salon : 1795;
p. 6.
D
Daudé de Jossan : 1769; p. 6 — 73; 6.
Décade philosophique : 1798; p. 5 — 99; 6.
yô Table des critiques
Décret de la cour du Parnasse qui juge en dernier
ressort toutes les critiques, etc.... : 1787; p. 8.
Delecluze (M.) : 1673; p. 27.
Delovnes (collection) : iGyS; p. 25, 27.
De Non : 1787; p. 8.
Description en vers latins de différents tableaux exposés
au Louvre : 1781; p. 8.
Desboulmiers : 1769; p. 5.
Description d'un tableau représentant le sacrifice
d'Iphigénie, peint par M. Carie Van Loo : 1757-,
p. 6.
Description des tableaux exposés au sallon du Louvre
avec des remarques : 1763; p. 6.
Description des ouvrages de sculpture exposés au
salon du Louvre en 1763 (Supplément à la descrip-
tion des tableaux, etc.): voy. Intr. à la table, 1763.
Description des tableaux exposés au sallon du Louvre,
avec des remarques, par une Société d'amateurs :
1773; p. 5.
Description raisonnée des tableaux exposés en ij3S :
1738; p. 6.
Description raisonnée des tableaux exposés au salon
du Louvre en 173g : lySg; p. 5.
Dévidoir du Palais-Royal (le) : 1773; p. 6.
Devisme (gr.) : 1800; p. 6.
Dialogue de M. Coypel, premier peintre du Roi sur
l'exposition... : 1747; p. 7.
Dialogues sur la peinture, 2' édition enrichie de notes :
1773; p. 6.
Diderot : 1709; p. 6 — 61; 5 — 65; 5 — 67; 5 — 69;
6 — 71; 5 — 75; 5 — 81; 6.
Discours ou Mémoire justificatif de M. Renou, etc. :
1787; p. 8.
Discours sur l'origine... de la peinture en France,
DES Salons. 77
pour servir d'introduction au Salon : 1783; p. 6 —
87; 6 — 89; 3.
DucHESNE aîné : 1704; p. 6 — 1787; p. 60.
Ducis (Lettre de) : 1783; p. lo-
DucREux ; 1789; p. 6.
DuLAURE : 1787; p. 7.
DuPLEssis (M. Georges) : 1673; p. 22, 25 — 1704; 6 —
87; 60.
E
Elèves (les) au Salon ou l'Amphigouri : 1789; p. 6.
Eloge des tableaux exposés au Louvre : 1773; p. 6.
Eloge du Salon et des peintres en général , etc., par
Fréron : 1 753; p. 6.
Encore un coup de patte pour le dernier, ou dialogue
sur le Salon, par Lefevre : 1787; p. 7.
Encore un rêve, suite de la prêtresse : 1779; p. 7.
Entretien entre un amateur et un admirateur sur les
tableaux exposés au Sallon : 1789; p. 6.
Entretien paisible entre un Français et un Anglais
sur les peintures du Salon, par J. B. Gence : 1783;
p. 9.
Entretien sur l'exposition des tableaux de l'année
1775 : 1775; p. 6.
Entretiens sur les tableaux exposés au Salon : i783;
p. 8.
Epître au roi sur quelques tableaux exposés au Louvre
pour le concours proposé par M. de Tournehem
... par M. B. : 1747; p. 7.
Epître à Duplessis sur le portrait du Roy exposé cette
année au salon du Louvre : 1775; p. 6.
EsMÉNARD : 1800; p. 3.
Espion anglais (1') : 1777; p. 5.
Espion (1') des peintres de l'Académie royale : 1785;
p. 6.
7-
78 Table des critiques
Essai sur la méthode à employer pour juger les ou-
vrages des beaux arts... et principalement ceux qui
sont exposés au salon du Louvre : 1791; p. 5.
EsTÈvE, de Montpellier : lyôS; p. 7.
Etrennes pittoresques, allégoriques et critiques, etc.,
par Nougaret : 1777; p. 6.
Etrivières (les) de Juvenal : 1796; p. 6.
Examen critique et concis des plus beaux ouvrages
exposés au Salon, par J. H. de la Ser*** : 1795;
p. 6.
Examen des critiques qui ont été publiées sur l'ex-
position des tableaux au salon du Louvre, par
M. C*** : 1787; p. 7.
Explication des ouvrages du Salon de l'an VIII, par
Landon : 1800; p. 5.
Explication et critique impartiale de toutes les pein-
tures, etc.. exposées au Louvre (par Chéry) : 1791;
p. 6.
Explication par ordre de numéros et jugement motivé
des ouvrages... exposés au palais National des arts :
1798; p. 6.
Exposition au salon du Louvre en 1787, par Martini :
1787; p. 8.
Exposition des tableaux du Louvre faite en l'année
1769, par M. de Camburat : 1769; p. 6.
Extraits concernant les brochures qui ont paru sur
l'Exposition de cette année, etc. par Fréron : I753;
p. 6.
F
Feutry (Lettre de M. — sur le Salon : 1777; p. 5.
Figaro au salon de peinture : 1785; p. 7, 8,
FoNTENAY (l'abbé de) : 1785; p. 6.
France Littéraire (la) : 1747; p. 6.
Fréron : 1753; p. 6, 7, 8 — voy. Année Littéraire.
Frondeur (le), ou Dialogues sur le Salon : 1785; p. 7.
DES Salons. 79
G
Galimatias anti-critique des tableaux du Salon : 1781;
p. 6.
Garrigues de Froment (abbé) : ij53; p. 8.
Gault de Saint-Germain : 1673; p. 27.
Gautier : 1761; p. 6 — 53; 6, 7, 8.
Gazette des Beaux-Arts : 1746; p. 6 — 53; 7 — 63; 6
— 83; 8 — 99; 6.
Gence (Jean-Baptiste-Modeste) : 1783; p. 9.
Gilles et Arlequin au Muséum : i8oo; p. 6.
Goddé (catalogue) : 1673; p. 25 — 73; 5 — 77 5 6 —
79; 8.
GoRSAS : 1785; p. 7 — 87; 8.
GouGUENOT de Croissy (bibliothèque) : i75o; p. 6.
Grande Assemblée des Barbouilleurs ou la révolution
de la peinture : 1789; p. 6.
Grandes prophéties du grand Nostradamus sur le
grand salon de peinture par Pujoulx : 1787; p. 7.
Gresset : 1737; p. 6.
Grimm (correspondance secrète de) : 1753 ; p. 6 — 57;
6 — 59;6 — 63;5 — 75 ;6 — 77; 5 — 81; 5 —
83; 6 - 85; 5.
H
Histoire littéraire d'Amiens : 1783; p. g.
HuQuiER : 1753; p. 8.
I
Ifs (M. d'-) : 1763; p. 6.
Impartialité (P) au Salon, par Renou : 1783; p. 6, 8,
9, 10.
Impromptu sur le salon des tableaux exposés au Louvre :
1785; p. 8.
Innocents (fontaine des) : i753; p. 7.
8o Table des critiques
Inscriptions pour mettre au bas des différents tableaux
exposés au Salon : lySS; p 8 — 87; 6.
J. H. de la Ser*** : lygS; p. 6.
Janot au Sallon ou le Proverbe : 1779; p. 6.
Jeandel (M.) : i6j3; p. 7.
JÉRÔME (M. — râpeur de tabac) : 176g; p. 6.
Jésuites (Tableaux qui sont dans la maison professe
des — , à Paris) : 1690; p. 7.
Jocrisse dans le Muséum des Arts... : 1800; p. 6.
JoLY DE Saint-Just : 1787; p. 6.
JOMBERT : 1753; p. 8.
Journal de Nancy : 1781; p. 7.
Journal de Paris : 1777; p. 5 — 79; 6 — 81; 5, 6, 7,
8 — 83; 6 — 85; 5 - 87; 5, 8 — 89; 5 - 91; 5,-^
93; 6 — 95; 6 — g5; 6 — 98; 5 — 9g; 5 — 1800;
5.
Journal des Débats : 1673; p. 27.
Journal encyclopédique : 1761; p. 5.
Journal général de France : 1785; p. 6.
JouRSANVAULT (M. de — ) : 1779; p. 7.
Jugement d'un amateur sur l'exposition des tableaux :
1753; p. 7, 8.
Jugement d'un musicien sur le salon de peinture :
1785; p. 7,
Jugement d'une demoiselle de quatorze ans sur le
Sallon de 1777, par Lesuire : 1777; p. 6 — 83; g.
Jugements sur les principaux ouvrages exposes au
Louvre le 27 août 1751 : 1751; p. 6.
Jugements sur nos peintres et nos sculpteurs : 1781;
p. 8.
Jury (origine du) : 1673; p. n.
DES Salons. 8i
L. B... de B... (M.) : 1787; p. 6.
L. N. (M.) : 1787; p. 6.
Lafont de Saint- Yenne : 1746; p. 6 — 48; 7 — 53;
6,7.
La lanterne magique aux Champs-Elysées, etc.: 1775;
p. 6.
Lamothe : 1783; p. 10.
Landon (Charles, p.) : 1800; p. 6.
Lanlaire au salon académique de peinture, par M. L.
B... de B... : 1787; p. 6.
La Porte (abbé de — ): 1761; p. 5.
Laugier (abbé) : i753; p. 7.
Le Blanc (abbé) : t747; p. 6, 7— 48; 7 — 53; 6.
Le Comte (Florent) : 169g; p. 6, 7.
Le Comte : I75i; p. 6.
Lefebure (L. J. h.) : 177g; p. 6.
Lefevre : 1787; p. 7.
Lenoir : 1787; p. 6.
Lesuxre : 1775; p. 6 — 77; 6 — 7g; 6 — 81; 6 — 83;
9 — 85; 6.
Les Tableaux, comédie par Panard : 1747; p. 7.
Lettre à Emilie sur quelques tableaux du Salon : 1785;
p. 8.
Lettre à M"" la marquise de S. P. R. : 1738; p. 6.
Lettre à messieurs de l'Académie de peinture sur l'ex-
position des tableaux au salon du Louvre, par Nau
Deville : 1791; p. 6.
Lettre à M. Chardin sur les caractères en peinture :
1753; p. 8.
Lettre à M. D*** sur celles qui ont été publiées ré-
cemment... (attribuée à M. Tannevot) 1748; p. 8.
Lettre à M. de la Tour par M. de Bonneval: 1746; p. 6.
82 Table des critiques
Lettre à un amateur en réponse aux critiques qui ont
paru sur l'exposition des tableaux : iyb3; p. 8.
Lettre à un ami sur l'exposition des tableaux faite
dans le grand salon du Louvre, par Estève : ij53;
p. 7.
Lettre à un partisan du bon goût sur l'exposition des
tableaux, etc. — Seconde lettre à un partisan du bon
goût... : 1755; p. 6.
Lettre au sujet du portrait de Son Excellence Saïd-
Pacha... : 1742; p. 6.
Lettre critique à un ami sur les ouvrages de messieurs
de l'Académie exposés au Sallon du Louvre ; 175g;
p. 6.
Lettre d'Artiomphile à madame Mérard deSt-Just sur
l'exposition: 1781; p. 7.
Lettre de l'auteur des Réflexions etc., par La Font de
Saint-Yenne : 1746; p. 6.
Lettre de M. De Non en réponse à une lettre d'un
étranger sur le Salon : 1787; p. 8.
Lettre de M. des Roches à M. le comte de *** : i753;
p. 8.
Lettre de M. Poiresson-Charmarande... au sujet des
tableaux exposés au salon du Louvre : 1741; p. 6.
Lettre de M. Raphaël le jeune, élève des Ecoles gratuites
de dessin... sur les peintures... exposées cette année
au Louvre : 1771; p. 6.
Lettre des jeunes élèves de peinture à M. L. F. sur les
Réflexions : 1746; p. 6.
Lettre d'un amateur de Paris à un amateur de pro-
vince sur le salon de peinture : 1787; p. 6.
Lettre d'un particulier à un de ses parents peintre en
province sur le Sallon : 175 5; p. 6.
Lettre sur la cessation du salon de peinture en 1 749 :
1748; p. 8.
DES Salons. 83
Lettre sur le salon de lyôS, adressée à ceux qui la
liront : lyôS; p. 6.
Lettre sur le salon de 1763, à M. d'Ifs : 1763-, p. 6.
Lettre sur le salon de peinture de 17^9 : 1769; p. 6.
Lettre sur les peintures... exposées cette année au
Louvre, par M. Raphaël, etc. : 1769; p. G.
Lettre sur les tableaux à madame V*** : 1750; p. G.
Lettre sur l'exposition... de l'année 1747... à M. R. D.
R. (par l'abbé Le Blanc) : 1747; p. G.
Lettre sur l'exposition des tableaux au Louvre avec des
notes historiques : I753; p. 8.
Lettre sur l'exposition des ouvrages de peinture et de
sculpture au salon du Louvre : 176g; p. 6.
Lettres à madame *** sur les peintures, etc. exposées
dans le salon du Louvre, par Mathon de la Cour :
1763; p. G.
Lettres à M. *** sur les peintures, etc. exposées au
salon du Louvre en 1765 : 1765; p. 6.
Lettres analitiques, critiques et philosophiques sur les
tableaux du Salon : 1791; p. 5.
Lettres écrites de Paris à Bruxelles sur le salon de
l'année 1748 : 1748; p. 8.
Lettres pittoresques à l'occasion des tableaux exposés
au Sallon de 1777 : 1777; p. 6.
Lettres (trois) sur la peinture à un amateur, par
Baillet de Saint-Julien : 1750; p. 6.
Lettres sur les peintures, sculpture et architecture. A
M. *** : 1748; p. 7.
Lettres sur les peintures... exposées au salon du Louvre
en 1767 : 17G7; p. G.
Lettres sur les peintures, sculptures et gravures de
messieurs de l'Académie royale, depuis 17G7 jusqu'en
1779 : 17G7; p. G.
LiEUDÉ LE Sepmanville : 1747; p. 6.
84 Table des critiques
Lit de justice du Dieu des Arts ou le Pied de nez des
critiques du Sallon : 1779; P- 7-
Le littérateur au Sallon ou l'examen du paresseux,
suivi de la critique des critiques : 1779; p. 7, 8.
Loterie pittoresque pour le Salon : 1783; p. g.
M
Magasin Pittoresque (le) : 169g; p. 5, 7, 8— 1787; 5.
Malborough au sallon du Louvre, etc.. par Beffroy de
Reigny : 1783; p. 8.
Marmontel : 1759'; p. 5.
Martini : 1785; p. 8 — 87; 5, 8.
Mathon de la Cour : 1763; p. 6 — 65; 6 — 67; G.
Mélanges de doutes et d'opinions sur les tableaux
exposés au Salon : 1785; p. 6.
Mémoires secrets : voy. Bachaumont.
Mende Maupas (le comte de — ) : 1789; p. 5.
Mérard de Saint-Just (M""^) : 178 i; p. 7.
Mercier : 1798; p. 5.
Mercure de France : 1737; p. 6 — 38; 6 — Sg; 6 —
40; 5 — 41; 6 — 42; 5 — 43; 5 — 45; 7 — 46; G —
47» 6> 7 — 48; 7 — 5o; 5, 6 — 5i; 5, 6 —53; G —
55; 6 — 57; 5 — 59; 5 — 61; 5 — 63; 5, 6 — 65;
5 — 67; 5— 6g;5 — 71; 5 — 73; 5 — 75; 5 —
77; 5 — 7g; 6 — 81; 5 — 83; 5 — 85; 5 — 87; 5 —
1800; 5.
Mercure et les Ombres : 1783; p. 10.
Merlin au Salon : 1787; p. 6.
Messieurs, Ami de tout le monde : 1783; p. 7.
Minos au Salon, ou la Gazette infernale : 1785; p. 7.
Miracle (le) de nos jours... et la bonne Lunette : 1779;
p. 7-8i;8.
M1RAMOND (M. de — ) : 1783; p. 10.
Misotechnites aux Enfers (les), par Gochin : 1763;
p. 6.
DES Salons. H 5
Momus au Salon, par J. B. Pujoulx : 1783; p. 8.
Mgn-sai,dy (gr.) : 1800; p. 6.
MoNTAiGLON (M. Anatole de — ): 1673; p. 7, 8, 9, 16,
17, 18, 26, 27 — 1699; 5 —1739; 6 — 48; 8 — 5q;
5, 6 - 81; 8 — 83; 9, 10 — 85; 8 - 87; 6.
Mort (le) vivant au salon de 1779, par Lesuire : 1779;
p. 6 — 83; 9.
Morte (la) de trois mille ans au Salon, par Lesuire :
1783; p. 9.
Muette (la) qui parle au salon de 1781 : 1781; p. 6
— 83; 9.
Muse (la) errante au Salon : 1771; p. 3.
N
Nau Deville : 1789; p. 6 — 91; 6.
NoDiLLE DE RosNY : 1775; p. 6.
NosTRADAMUS : Voy. Grandes prophéties de, etc., etc.
NouGARET : 1777; p. 6.
Nouvelles de la république des lettres et des arts :
1783; p. 6.
Nuits de Paris (les) : voy. Rétif de la Bretonne.
O
Observateur (1") au Sallon : 1789; p. 6.
Observateur Littéraire (1') : 1759; p. 6 — 61; 5.
Observations critiques sur les tableaux du Salon : 1785;
p. 6 — 87; 6 — 89; 5.
Observations critiques sur quelques-uns des tableaux
les plus remarquables... s. d. : 1800; p. 6.
Observations d'une Société d'amateurs sur les tableaux
exposés au Sallon : 1761; p. 5.
Observations générales sur le salon de 1783..., par
l'abbé P... : 1783; p. 7.
Observations philosophiques sur l'usage d'exposer les
86 Table des critiques
ouvrages de peinture et de sculpture, par Viel de
St-Maur : lySS; p. 8.
Observations sur le Salon : ijSb; p. 6.
Observations sur les arts et sur quelques morceaux
de peinture, etc. : 1748; p. 7.
Observations sur les ouvrages de MM. de l'Acadcmie
de peinture et de sculpture exposés au Sallon du
Louvre en l'année 1753, par l'abbé Le Blanc: i753;
p. 6.
Observations sur les ouvrages exposés au sallon du
Louvre... : 1775; p. 5.
Observations sur les tableaux exposés dans le salon
du Louvre au mois d'août 1751 : i75i ; p. 6.
Ombre (P) de Raphaël, ci-devant peintre de l'Académie
de Saint-Luc, à son neveu Raphaël : 1771; p. 6.
Ombre (F) de Rubens au Sallon, par Lenoir : 1787;
p. 6.
Panard : 1747; p. 7.
Panard au Salon : 1781; p. 6.
Patte (la) de velours : 1779; p. 7 — 81 ; 6 — 83; 8.
Paysan (le) de Béotie : 1783; p. 9.
Peintre (le) anglais au salon de peintures... : 1785,:
p. 7.
Peintres (les) volants : 1783-, p. 9.
Peinturomanie (la), ou Cassandre au Salon : 1781;
p. 6.
Petit (M.) de Creil : 1673-, p. 22.
Petites Affiches : 1783; p. 6.
PlDANSAT DE MaIROBERT : IJJj; p. 5.
PiOT (M.) : 1673; p. 17.
Pique-nique convenable à ceux qui fréquentent le
Salon : 1 781 ; p. G.
DES Salons. 87
PiTHON : 1791; p. 6.
Plaidoyer en faveur de la peinture devant le public :
1739; p. 6.
Plaintes de M. Badigeon, marchand de couleurs, sur
les critiques du sallon de 1771 : 1771; p. 6.
Plaisir (le) prolongé, le retour du Salon chez soi et
celui de l'abeille dans sa ruche, par Pithon : lyqr,
p. 6.
Plume (la) du coq de Micille, etc. : 1787; p. 8.
Poiresson-Chamarande (M.) : 1741; p. 6.
Portefeuille d'un homme de lettres : 1759; p. 6.
PoRTiEN : 1753; p. 7.
Portraits (les) : 1785; p. 8.
PoTOCKi (comte) : 1787; p. 5.
Pourquoi (le), ou l'Ami des artistes : 1781; p. 7.
Prêtresse (la) ou nouvelle manière de prédire ce qui
est arrivé : 1777; p. 6.
Première lettre à un virtuose qui ira bientôt à Rome
apprendre qu'un beau tableau doit être d'une mau-
vaise couleur... : i755; p. 6.
Promenade de Critès au Salon, par Gorsas : 1785;
p. 7 - 87; 8.
Promenades d'un observateur au Salon : 1787; p. 6
- 89; 6.
PujouLX (J. B.) : 1783; p. 8, 9 - 85; 7, 8 — 87; 7.
R
Raffle de sept, ou réponse aux critiques du Salon :
1781; p. 7.
Raphaël, peintre de l'Académie de Saint-Luc : 1769;
p. 6.
Rapsodies du jour (les) : 1796; p. 6.
Rapsodistes au Salon (les) ou les tableaux en vau-
devilles, attribués à Viiliers et Capelle : 1796; p. 6.
88 Table des critiques
Réflexions d'un petit Dessinateur qui voit peut-être les
choses trop en grand, etc. : 1777; p. 6.
Réflexions impartiales sur les progrès de l'art en
France et sur les tableaux exposés au Louvre, par
l'abbé Soulavie : 1786; p. 6.
Réflexions joyeuses d'un garçon de bonne humeur sur
les tableaux... : 1781; p. 7.
Réflexions nouvelles d'un amateur des Beaux-Arts,
adressées à M"" de *** : 1747; p. 6, 7.
Réflexions sur la critique des ouvrages exposés au
sallon du Louvre : 1757; p. 5.
Réflexions sur quelques causes de l'état de la peinture
en France par La Font de Saint- Yenne : 1746; p. 6.
Réflexions sur quelques circonstances présentes con-
tenant deux lettres sur l'exposition du Louvre en
1748, par Baillet de St Julien ; 1748; p. 8.
Reicrem : voy. Mercier.
Remarques sur les ouvrages exposés au Salon , par le
comte de Mende-Maupas : 1789; p. 5.
Remerciement à M. B***, auteur des lettres sur la
peinture..., etc.. par M. Z., peintre de l'Académie de
St Luc : 1750; p. 6.
Renou : 1783; p. 9 — 87; 8.
Réponse à la Lettre critique sur les tableaux du Louvre ;
1757; p. 6.
Réponse à toutes les critiques sur les tableaux du
Salon : 1783; p. 10.
Réponse à une lettre adressée à un partisan du bon
goût sur l'exposition des tableaux... : i755; p. 6.
Réponse à une lettre critique contre les tableaux exposés
au Sallon : 1759; p. 6.
Réponse de l'amateur à la première lettre sur la pein-
ture : 1750; p. 6.
Réponse de M. Jérôme, râpeur de tabac, à M, Raphaël:
1769; p. 6.
DES Salons. 89
Réponse d'un aveugle à messieurs les critiques des
tableaux exposés au Salon : 1755 ; p. 6.
RÉTIF DE LA BretojNne (les Nuits de Paris, par — ): 1787;
p. 5.
Revue de Paris : 176g; p. 6 — 71; 5 — 76; 5 — 8i;6.
Revue Rétrospective : 1783; p. 10.
Revue Universelle des Arts : 1673; p. 27 — 1777; 6
- 87; 6.
Reynolds (Joshua) : 1777; p. ?.
Robin : 1787; p. 6.
RuLHiÈRE : 1777; p. 5.
S
Saïd-Pacha, ambassadeur du Sultan : 1742; p. 6.
Saint-Aubin (Gabriel de) : I753; p. 7 — 65; 6.
Saint Vincent Duvivier (M.) : 1673; p. 7, 16, 18 —
1704; 6.
Saint- Yves : 1748; p. 7.
Salon (le) avec une eau-forte, par de Caylus i753; p. 7.
Salon de 1753, par Grimm : i753; p. 6.
Salon (le) à l'encan : 1783; p. 9.
Sallon de peinture : 1791; p. 5.
Sallon (le), ouvrage du moment : 1779; p. 7.
Sans-Quartier au Salon : 1783; p. 9.
Sentiments d'un amateur sur l'exposition des tableaux
du Louvre : i753; p. 8.
Sentiments sur les tableaux exposés au Salon : 1769;
p. 6.
Sentiments sur plusieurs des tableaux exposés cette
année dans le grand sallon du Louvre : i755; p. 6.
Sentiments sur quelques ouvrages de peinture, sculp-
ture et gravure, par de la Font de Saint-Yenne :
1753; p. 6, 7.
SiREuiL : 175 1 ; p. 5.
go Table des critiques
SoLEiNNE (catalogue) : 1785; p. 8.
Songe (le), ou la Conversation à laquelle on ne s'attend
pas, par J. B. Pujoulx : 1783; p. g.
SouLAViE (rabbé) : 1785; p. 6.
SouLiÉ (M. Eudore) : 1673; p. 27.
Spectateur (le) françois au Sallon : 178g; p. 6.
Sur la peinture, avec une réplique à la réfutation
insérée dans le Journal de Paris : 1781; p. 8.
Sur l'exposition des tableaux au Sallon, par Nau
Deville : 1789; p. 6.
T
Tableau allégorique exposé en 1740 au salon du
Louvre, etc. : 1740; p. 6.
Tableau des Sabines exposé publiquement... parle cit.
David : 1800; p. 6.
Tableau historique des quatre grands hommes exposés
au salon du Louvre : 1 781 ; p. 8.
Tableau de Paris (le) : 1673-, p. 7.
Tableaux (les) du Louvre où il n'y a pas le sens
commun : 1777; p. 6.
Tableaux (les), ou Réflexions tardives d'un bonhomme
qui arrive de la campagne sur le Salon : 1785; p. 7.
Tannevot (M.) : 1748; p. 7, 8.
Tarare au salon de peinture : 1787; p. 6.
Thoisy (collection de — ) : 1673; p. 25, 27.
Triumvirat (le) des arts : 1783; p. 8 — 85; 7.
Trois (les) salions de' 1773, 1777, 1779 (manuscrit):
1773; p. 5.
Trois (les) siècles de la peinture en France : 1673; p. 27.
TuRPiN : 178 1 ; p. 8.
V
Vallet de ViRiviLLE (M.) : 1673; p. 18.
Vasse (la baronne de — ) : 1783; p. 8.
DES Salons. 91
Véridique au Sallon (Je) : lySS; p. 8.
Vérité (la), critique des tableaux exposés...: 1 781; p. 7.
Vérités agréables, ou le Salon vu en beau, par l'auteur
du Coup de patte : 1789; p. 6.
Verre (le) cassé de Boilly... : 1800; p. 5.
Vers à M'°° Lebrun par M. de Miramond : 1783; p. 10.
Vers de M. de C. sur le Salon : 1785; p. 7.
ViEL DE Saint-Maur : 1785; p. 8.
ViLLiERS et Capelle : 1796; p. 6.
ViLLOT (M.) : 1673; p. 17.
Vision du juif Ben-Esron, fils de Sépher, marchand
de tableaux : 1773; p. 6.
Visionnaire (le) ou Lettres sur les ouvrages exposés
au Sallon, etc. : 1779; p. 6.
Vue des ouvrages de peinture des Artistes vivans,
exposés au Musée central des Arts, par Monsaldy et
Devisme (2 gravures) : i8oo; p. 6.
Vue du salon du Louvre en l'année 1753 (eau-forte) :
1753; p. 7.
— en l'année 1765 (dessin) : 1765; p. 6.
W
Walferdin : 1769; p. 6.
Nota : Voyez aussi le supplément à la bibliographie
des livrets et des critiques qui accompagne l'Intro-
duction placée en tête de ces Tables.
Nogent-le-Rotrou, imprimerie de A. Gouverneur.
CONDITIONS DE LA SOUSCRIPTION
REIMPRESSION DES ANCIENS LIVRETS
Chaque volume sera livré aux souscripteurs moyen-
nant le prix :
De I fr. 2 5 sur papier vergé;
De 2 fr. 5o sur papier de Hollande;
De 3 fr. sur papier de Chine.
Les souscripteurs de Paris recevront les volumes à
domicile. Ceux de province ou de l'étranger pourront
se les faire envoyer en payant en surplus les frais de
poste, s'ils ne préfèrent les faire réclamer aux bureaux
de souscription.
On souscrit :
Chez M. LiEPMANNSsoHN, libraire, ii, rue des Saints-
Pères.
On trouve à la même librairie,
Le duc d'Antin et Louis XIV, rapport sur l'admi-
nistration des bâtiments annotés par le Roi, publiés
avec une préface, par J.-J. Guiffrey.
Sous presse,
LES ARTISTES FRANÇAIS, notices et documents
pour faire suite aux Archives de l'art français,
Bubliés par MiM. An. de Montaiglon et J.-J. Guinrey.
'n fort volume sur papier vergé tiré à petit nombre,
titre en deux couleurs. Prix, 12 fr.
Nogent-le-Eotrou, imprimerie de A. Gouverneur.
COLLECTION
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DEPUIS 1673 jusqu'en 1800
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SEPTEMBRE I 87 I
CONDITIONS DE LA SOUSCRIPTION
A LA
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domicile. Ceux de province ou de l'étranger pourront
se les faire envoyer en payant en surplus les frais de
poste, s'ils ne préfèrent les faire réclamer aux bureaux
de souscription.
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Chez M. LiEPMANNssoHN, libraire, ii, rue des Saints-
Pères.
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Le duc d'Antin et Louis XIV, rapport sur l'admi-
nistration des bâtiments annotés par le Roi, publiés
avec une préface, par J.-J. Guiffrey.
Sous presse,
LES ARTISTES FRANÇAIS, notices et documents
pour faire suite aux Archives de l'art français,
publiés par MM. An. de Montaiglon et J.-J. Guiffrey.
Un fort volume sur papier vergé tiré à petit nombre,
titre en deux couleurs. Prix, 12 fr.
Nogent-le-Rotrou,' imprimerie de A. Gouverneur.
COLLECTION
DES
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DEPUIS 1673 jusqu'en i8oo
SALON DE 1799
XLI
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II, rue des Saints-Pères
NOVEMBRE 187I
RÉIMPRESSION DES LIVRETS
EXPOSITIONS DE L'ACADEMIE DE SAINT-LUC.
Quand la réimpression des livrets des anciens salons
de l'Académie royale sera terminée, nous publierons
dans le même format, avec les mêmes caractères, sur
un papier semblable, les sept livrets connus des Expo-
sitions de l'Académie de St-Luc. Cette publication sera
faite en un seul volume, avec une table des noms
d'artisteset des portraits, au prix de huit francs. Elle
ne sera tirée qu'à un petit nombre d'exemplaires.
Les souscripteurs qui désireraient recevoir chaque
Salon en une orochure séparée, sont priés d'en faire la
demande à l'éditeur des Salons.
TABLE DES LIVRETS
DE 1673 A 1800.
La table des livrets promise aux souscripteurs sera
envoyée à l'impression aussitôt après la publication du
Salon de 1800. La plus grande partie de cette table
est déjà préparée; mais son étendue en retardera
forcément la publication, et MM. les souscripteurs sont
prévenus qu'ils ne la pourront recevoir que quelques
mois après la publication du dernier Salon.
Avis important. — Les souscripteurs sont priés de
placer dans la bibliographie du Salon de 1783 le carton
qu'ils ont reçu avec le livret de 1 796, en place des pages
qui portent les mêmes chiffres.
Avec un des derniers livrets, nous donnerons une
addition au supplément du livret de 1793.
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COLLECTION
DES
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ANCIENNES EXPOSITIONS
DEPUIS 1673 jusqu'en 1800
SALON DE 1800
XLII
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1 1 , rue des Saints-Pères
JANVIER 1872
RÉIMPRESSION DES LIVRETS
DES
EXPOSITIONS DE L'ACADÉMIE DE SAINT-LUC.
Quand la réimpression des livrets des anciens salons
de l'Académie royale sera terminée, nous publierons
dans le même format, avec les mêmes caractères, sur
un papier semblable, les sept livrets connus des Expo-
sitions de l'Académie de St-Luc. Cette publication sera
faite_ en un seul volume, avec une table des noms
d'artistes et des portraits, au prix de huit francs. Elle
ne sera tirée qu'à un petit nombre d'exemplaires.
Les souscripteurs qui désireraient recevoir chaque
Salon en une brochure séparée, sont priés d'en faire la
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DE 1673 A 1800.
La table des livrets promise aux souscripteurs sera
envoyée à l'impression aussitôt après la publication du
Salon de 1800. La plus grande partie de cette table
est déjà préparée; mais son étendue en retardera
forcément la publication, et MM. les souscripteurs sont
prévenus qu'ils ne la pourront recevoir que quelques
mois après la publication du dernier Salon.
Avis important. — Les souscripteurs sont priés de
placer dans la bibliographie du Salon de 1783 le carton
qu'ils ont reçu avec le livret de 1 796, en place des pages
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addition au supplément du livret de 1793.
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TABLE
GENERALE
DES ARTISTES AYANT EXPOSÉ
AUX SALONS DU XVIIP SIÈCLE
SUIVIE d'une
TABLE DE LA BIBLIOGRAPHIE DES SALONS
PRÉCÉDÉE
DE NOTES SUR LES ANCIENNES EXPOSITIONS
ET d'une liste RAISONNÉE DES SALONS
DE 180I A 1873
PAR
J. J. GUIFFREY
6^ê(p
PARIS
J. BAUR, LIBRAIRE
II, RUE DES SAINTS-PÈRES
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EN VENTE A LA MEME LIBRAIRIE :
1° Collection des livrets des expositions de l'Aca-
démie Royale de Peinture et de la Révolution depuis
1673 jusqu'en 1800 avec la table des exposants et des
critiques, en .tout quarante-trois parties imprimées en
caractères anciens sur papier vergé, avec fleurons et
culs de lampe copiés sur les livrets originaux ;
prix: 60 fr.
II reste quelques exemplaires sur papier de Hollande
et sur papier de Chine.
La table des exposants aux salons du dix-huitième
siècle, avec les notes sur les anciennes expositions est
vendue séparément. 10 fr.
2° Notes et documents inédits sur les expositions du
dix-huitième siècle, un volume tiré à cent cinquante
exemplaires. 10 fr.
3° Réimpression des sept livrets de l'Académie de
Saint-Luc (1751-1774) avec une introduction et une
table des exposants, dans le même format et sur le
même papier que les Salons de l'Académie ro-
yale. 7 fr. 5o
Jusqu'à la fin de l'année 1873, les souscripteurs aux
salons de l'Académie royale pourront faire retirer
chez l'éditeur la réimpression des livrets de l'Académie
de Saint-Luc, au prix de 5 fr.
4° Pour paraître prochainement : Le salon du
Colisée de 1776, un volume in- 12 faisant suite aux
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5064
G8
V.5
Guiffrey, Jules Marie Joseph
Collection des livrets des
anciennes expositions
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