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Full text of "Dictionaire des sciences médicales"

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DICTIONAIRE 


DES 


SCIENCES  MÉDICALES 


XtlWtlWWMMW 


TOME  SOIXANTIEME. 


IMPRIMERIE  DE  C.  L.  F.  PANCKOUCKE. 


DICTIONAIRE 

DES  SCIENCES  MÉDICALES, 

PAU  UNE  SOCIETE 
DE  MEDECINS  ET  DE  CHIRURGIENS  : 


MM.  AMEI.O.S,  Alibetit,  Barbier,  Bayle,  Bégin,  Brrarp,  Biett 
BoYBR ,  Breschet  ,  Bricheteau  ,  Cadet  de  Gassicourt ,  Chambhret  , 

ChABUETON  ,  ChAUSSIER  ,  ClOQUET  ,  COSTE  ,  CULLERIER  ,  CuvIER  ,   De 

Lkns,  Delpkch,  Df.lpitjDemours,  De  Villiers,  Dubois, Esqdiroi. 

FLAMANT,     FODÉRÉ  ,    FoURNIER  ,    FrIEDLANUER  ,    GaLI.  ,     GaRDIEN 

Guersekt,  Guillié  ,  IIallé,  Hébréard  ,  Heurteloup,  Htisson,  Itaro 
JouRDAN ,  Keraudren  ,  Larrey  ,  Lattrent  ,  Legai.lois  ,  Lbrminier 
Loiseleur-Deslongchamps,  Louyer-Willermay,  Marc,Marjolin 
Marquis,  Ma ygrier,  Mér AT,  Montfalcon,  Montegre,  Murât 
Nachet  ,  Nacquart  ,  Orfîi-a  ,  Pariset  ,  Pâtissier  ,  Pelletan 
Percy.  Petit,  Pinel,  Piorry,  Renauluin  ,  Reyde3l,let,   Ribes 

AlCHEAAND,  Roux,  ROYER-COLLARD,  RuiXlER  ,  SaV  ARY  ,  SÉDILLOT 

Spurzhkim,  Thillaye   Gis,  Toluard  .   Tourdes  ,  Vaidy  ,    V1LI.E 

WBUVB  ,     Vir-LERMÉ,  ViREY. 

TABLE  DES  MATIÈRES. 
APPENDICES. 


PARIS, 


a  L.  F.  PANCROUCRE,  ÉDITEUR 

UUE    DES    POITEVINS,    N°.     I /j. 
1822. 


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iVlAY 

G 


D~ 


DES  MATIERES.  m-j 

Sous-dcuto-sulfate  de  mercure,  sulfate  demercure  au  maxi- 
mum, sulfate  de  mercure  avec  excès  d'oxyde  ou  turbith 
minéral  ,  ibicl.  —  Ses  propriétés  physiques  et  chimiques  , 
ibid.  — Action  qu'il  exerce  sur  l'économie  animale,  ibid. 

Nitrates,  sulfate,  hydrochlorate  ammoniaco -mercuriels, 
XLllI.  545. 

Vapeurs  mercurielies  et  mercure  très-divisé,  ibid. 

Préparations  arsenicales  ,  XLIII.  546. 

Arsenic  métallique,  ibid.  —  Ses  propriétés  physiques  et 
chimiques  ,  XLIII.  547.  —  Son  action  sur  l'économie  ani- 
male, ibid. 

Acide  arsenieuï,  oxyde  blanc  d'arsenic,  arseqic  blanc, 
ibid.  —  Ses  propriétés  chimiques  et  physiques  ^  ibid,  — 
Son  action  sur  l'économie  animale,  XLIII.  55i.  —  Lé- 
sions de  tissu  qui  lui  sont  attribuées,  XLIII.  553. 

Propriétés  et  effets  des  arsenites  ou  combinaison  de  l'acide 
arsenieux  avec  une  base ,  XLIII.  555. 

Propriétés  et  action  de  l'acide  arsenique ,  XLIII.  556;  — 
des  arseniates ,  XLIII.  55^  ;  —  du  sulfure  d'arsenic ,  ibid.  ; 
: — de  l'oxyde  noir  d'arsenic,  ses  caractères  ,  ses  effets  , 
XLIII.  5595  —  de  la  poudre  aux  mouches  ,  ibid.  ;  —  des 
vapeurs  arsenicales,  ibid. 

Des  préparations  anlimoniaies ,  XLIII,  56o.  — Du  lartrate 
de  potasse  antimonié,  ihid.  —  De  l'oxyde  d'antimoine  et 
du  verre  d'antimoine  ,  XLIII.  563.  —  Du  sous-hydro-sul- 
lalte  sulfuré  d'antimoine,  ou  kermès  minéral,  ihid.  — 
De  l'hydro-chlorate  et  sousiiydro-chlorate  d'antimoine 
XLIII.  564-  —  Du  vin  antimonié  ou  vin  émétique,  XLIII. 

565.  —  Des  diverses  préparations  d'antimoine,  ibid. 

Des  vapeurs  anlimoniaies, ii!>iV/. — De  l'cmétique  .XLIII 
566. 

Des  préparations  de  cuivre  ^ibid. —  Des  préparations  d'élain 
XLIII.  570.  —  Des  préparations  de  zinc,   XLIII.  571. — 
Du  sulfate  de  zinc  ou  vitriol  blanc,  ibid. 

Des  préparations  d'argent,  ihid. —  JN'itrate  d'argent  fondu, 
ibid. 

Des  préparations  d'or ,  ibid.  —  Hydrochlorate  d'or ,  ibid. 

Des  préparations  de  bismuth,  XLIII.  577.  —  Nitrate  de 
bismuth,  ibid. 

Des  acides  concentrés,  XLIII.  Srg.  —  De  l'acide  sulfuri- 
que  ou  huile  de  vitriol ,  ibid.  —  De  l'acide  nitrique  ou 
eau  forte,   XLIII.  582.  —  De   l'acide  hydro-chlorique 

ou  murialique  ,  XLIII.  586 De  l'acide  phosphorique 

XLIIL  587.  —De  l'acide  oxalique,  XLIII.  588.  —  De 
l'acide  nitreux  ,  XLIIL  589.  — De  l'acide  hydro-phlho- 

TAIU.E    I.  82 


(5«  TABLE 

)i<(ue  ou  fliiofique  ,  ibid.  —  De  l'acide  sulfureifx  liquide, 
ibid.  —  De  l'acide  lartarique,  ibid. 

Des  alcalis  causticiues  ou  carbonates,  XLIII.  Sgo.  — De  la 
potasse,  ibid.  — De  la  soude,  XLîIl.  Sgi.  —  De  l'am- 
moniaque liquide,  ou  aleaii  volaUl ,  fluor  et  du  sous-car- 
bonate d'ammoniaque  ,  XLIII.  ^Ç)i.  —  De  l'hjdro-chlo- 
ralc  d'aliimoniaque  ou  sel  ammoniac,  ibid. 

Des  terres  alcalines  causii'.[ues  ,  ibid.  —  De  la  baryte  et  des 
sels  baryliques  ,  i6z(/.— De  la  cl)aux  vive  ou  oxyde  de  cal- 
cium, XLlil.  594.  —  Du  pliosphore,  XLIII.  'jçp.  —  Du 
sulfate  de  ter  du  commerce  ou  proto  sulfate  de  i'er,  ou 
couperose  verle,  XLIII.  597. 

Du  verre  et  de  i'ëmail  léduitsen  poudre,  XLUÏ.  SgS, — De 
l'iode,  XLIII.  599. — De  l'hydro  sulfate  suUuré  dépo- 
tasse, ou  foie  de  soufre,  XLIII.  600. 

Des  canlharides,  XLIII.  601. 

Caractères  des  poisons  aslriiigcns,-  XLIII.  602.  —  Prépara- 
lions  saturnines ,  XLIII.  6o3. 

Caractères  des  poisons  acres,  ibid.  —  Ellébore  blanc,  ibid. 

—  Ellébore  noir,  XLIII.  6o5.  —  Bryone,  XLIII.  606. — 
Elalérium,  ibid.  —  Coloquinte,  ibid.  —  Gommc-gulle, 
XLIII.  607.  —  Garcu,  ibid.  —  Ricin,  XLIK.  608.— 
Euphorbe,  ibid.  — Feuilles  de  sabine,  ibid.  —  Ilhus  ra- 
dicans,  XLIII.  609.  — Rhus  vcrnix,  ibid.  —  Anémone, 
XLIII.  610.  —  Chélidoine,  ibid.  — Slapiiysaigre,  XLIII. 

611.  —  Narcisse  des  prés,  ibid.  —  OEnanllie,  ibid. — 
Gratiole,  ibid.  —  Pignon  d'Inde,  ibid.-—  Scille,  XLIII. 

612.  —  Vermiculaire  brûlante,  ibid.  —  Ilenoncuie  , 
ibid'.  —  Colchique,  XLIII.  6i5.  —  Divers  végétaux 
acres,  jtzW.  —  Jalap  ,  XLIÎI.  61  4. 

Caractères    des  poisons    narcotiques,  ibid.  —  Opium,  ses 

effets ,  iV^/rf.  —  Morphine,  XLIII.  Gi  5.  —  Jusquiamc, 

XLIII.  617. 
Acide  hydro-cyanique  ,   ibid.  —  Action  de  l'acide  hydro- 

cyanique  sur  Pcconomie  animale,  XLIIL  618. 
Laurier-cerise,  XLIII. 620.  —  Laitue  vireuse,  XLlil,  621. 

Douce-amère,  Xl-lil.  622.  —  U",  XLIII.  62^.  —  Herbe 

de  Saint  Christophe,  ibid. 
Végétaux   divers  narcotiques,  XLIII.  624.  — Safran  ,  ibid. 
•  Du  gaz  azote  et  de  ses  composés^  ibid. 
Caractères  des  poisons  narcotico-àcres ,  XLIII.  626.  —  Bel- 

Jadonc,    ses   effets,  ibid.   —  Pomme   épineuse,  ihid.  — 

Tab&c  ,  XLIII.  627.  —  Digitale  pourprée,  XLIII.  62(). 

—  Mouron  rouge,  XLIII.  63o.  —  Aristoloche,  ibid.  ~ 
Ciguë,  ibid.  —  Upas  tienlé,-  XLIII.  632.  —  Fève  de 
Saml-Ignace  ,  ihid.  —  Anguslure  ferrugineuse  ,  if'/V/.  — 


DES  M.VllERES.  6S9 

Upas  atîliar,  XLllI.  63  \.  —  Ticuuas,  ibid.  -—  Woorora 
et  curara,  XLIII.  G35.  —  Campluo,  XLIII.  636.  — 
Champignons  venënoux  ,  XLIII.  6J7. — Alcool  ou  espni- 
de-via,  ibid.  —  Elher  sulfurique,  XLIII.  639.  —  Gaz 
acide  carbonique  et  gaz  oxyde  de  carbone,  ibid.  —  Seiùlc 
ergoté,  ibid. — Ivraie,  ibid. —  Manceniljier  ,  XLIII.  640. 
—  Per^il  d'àne  ou  cerfeuil  sauvage  ,  ibid.  —  Fleurs  odo- 
rantes ,  ibid. 

Caractères  des  poisons  sepli(|ue3  ou  putrc'fians  ,  ibid.  — 
Acide  h;) dro- sulfurique,  ibid.  —  Miasmes  dégagés  da 
malières  en  putréfaction  ,  XLIII.  642.  —  Àlimeus  cor- 
rompus ,  XLIII.  b^S.  —  Animaux  venimeux,  ibid. 

Auteurs  qui  en  ont  traité,  ib^id. 
POISSONS;  caractères  de  ces  animaux,  IL  i53.  — Plusieurs 

sont  dangereux  et  vénéneux,  II.  lôg.  XLIII.  647- 

De  la  propriété  électrique  dont  certains  sont  doués,  XLIIL 

Pro[uiété  électrique  des  torpilles;  diverses  expériences  à  ce 

sujet,  XLIII.  649. 
Description  de  l'organe  dans  lequel   réside  celte  propriété 

électrique  ,  XLIil.  654- 
Du  tiichiure  éleclriaae,  XLIII.  656.  —  Son  organe  élec- 
trique, XLIII.  658. 
Du  malaptérure  électrique  ,  XLIII.  660. 
Poissons  vénéneux,  XLIII.  661. 

Empoisonnement  par  l'ingestion  de  ces  animaux,  XLIII.  664. 
Traitement  de  cet  empoisonnement,  XLIII.  6o5. 
Causes  qui  peuvent  rendre  les  poissons  vénéneux,  XL'li. 

667. 
Conclusion  ,  XLIII.  6-/^. 
La  chair  de  la  plupart  des  poissons  favorise  la  sécrétion  du 

sperme,  XIY.  4^5. 
Les  inaîadies  de  ces  animaux  se  communiquent  à  l'homme  , 

XIlLSg. 
Du  poisson  frais  comme  aliment,  ^  I.  loi.  —  Du  poisson 

coc  ,  fumé  et  salé  ,  VI.  102. 
POITPlIXAIHE  ;  XLIY.  1. 
POITPiIXE;  considérations  générales,  XLIV.  i 

Description  ,  XLiV.  2.  —  Muscles  des  parois  de  la  poitrine, 

XLIV.  4-  —  Vaisseaux  ,  XLIV.  5. 
Parties  contenues  dans  la  cavité  de  la  poitrine  ,  ibid. 
Action  de  la  poitrine  ,  XLIV.  6. 
Signes  fournis  dans  les  maladies  par  l'examen  de  l'estéricur 

de  la  poitrine  ,  ibid. 
Maladies  de  cette  cavité,  XLIV.  r.  — Tumeurs,  ibid. 
Plaies    contu>c'»  -   XLIV.   !^.    —    Plaies    non   pénvlranteî , 


66o  TABLE 

XLIV,  9.  —  Plaies  pénétrantes,  ibid.  —  Triple  danger 
qu'entraînent  ces  dernières  lésions,  111.  îo^. 

Corps  étrangers  ,  XLIV.  lo.'  , 

Lésions  des  artères  intercostales,  XLIV.  ti.  —  Hernies  du 
poumon,  XLIV.  12.  —  Emphysème,  ibid, 

Epanchement  de  sang,  XLIV.  i3.  —  Signes  de  l'épanche- 
nient  du  sang  dans  la  poitrine  ,  ibid. 

De  la  réunion  immédiate  des  plaies  péaétranles  dans  la  poi- 
trine, avec  lésion  du  poumon  et  hémorragie  plus  ou 
moins  considérable,  XLIV.  î5.  —  Observations  à  ce  su- 
jet,  XLIV.  17. 

Fracture  des  côtes,  XLIV.  19.  —  Pleurodynie,  ibid. — 
Pleurésie  ,  ibid.  —  Pneumonie,  ibid.  —  Péricardite,f/6i<i. 

—  Cardite  ,  ibid.  —  Inflammation  du  médiastin  ,   ibid. 

—  Hémoptysie,  ibid.  —  Palpitations ,  z/'iVi.  —  Ané- 
vrysmes  ,  ihid. —  Hydrothorax  ,  ihid.  —  Pneumo-thorax  , 
ibid.  —  Pneumocèle  ,  ibid.  —  Hydro-péricaede  ,  ibid.  — 
Phthisie  pulmonaire,  ibid. Asthme  ,  ibid. 

POIVRE;  XLV.  20.  —  Il  passe  pour  aphrodisiaque,  II.  225. 

—  Poivre  d'eau  ,  XLIV.  ig. 
POIVKÏEPi  ;  description,  propriétés  et  usages  des  plantes  de 
ce  genre ,  ibid. 
Culture  des  poivriers  ,  et  variétés  qu'elle  a  produites ,  XLIV. 

21. 
Falsification  du  poivre,  XLIV.  25. 
Son  emploi  médicinal,  XLIV.  24. 
Du  principe  poivré  ,  XLIV.  26. 

Description,  propriétés  et  usages  du  poivre  long,  XLIV.  27. 
Dlî  poivrier  cubèbe  ,  ibid.  —  Emploi  médical  des  cubèbes . 

XLIV.  28.  —  De  la  poudre  anglaise,  ihid. 
Analyse  chimique  du  poivre  cubèbe  ,  XLIV.  29. 
Poivrier  bétel  ,   XLIV.  3o.  —  Poivrier   enivrant,  ihid.  — 

Poivrier  de  la  Jamaïque,  ibid. 
POIX;  manière  de  la  préparer  ;  ses  caractères  ,  ibid.  —  Végé- 
taux qui  la  fournissent,  XLIV.  5i.  — Ses  usages  ,  ibid. 
Réflexions   sur    les  diffërens  produits  résineux  des  pins , 

XLIV.  32. 
Térébenthine,  ihid. — Galipoi,  barras  ou  résine  blanche  , 

XLIV.  33.  — Re'sine,  résine  jaune  ou  poix  résine,  ihid. 

—  Goudron,  ihid.  —  Poix,  ihid.  —  Brai  ,  ihid. 
POLAPlITÉ;   définition,  XLIV.  34-  —  Considérations  géné- 
rales sur  la  faculté  qu'ont  les  corps  d'acquérir  la  polarité , 
ibid. 

POLE;  XLIV.  37.  —  Pôle  magnétique,  ibid.  —  Considéra- 
tions sur  l'aiguille  aimantée  cl  les  phcuoincnes  qu'elle  in- 
dique ,  ibid. 


DES  MATIERES.  661 

POLEMOINEj  desciiplion  et  vertus  de  ce  genre  de  plantes , 

XLIV.  40. 
POLIATRE;  considérations  générales  sur  l'exercice  de  la  mé- 
decine dans  les  villes  et  à  Paris ,  XLIV.  qo. 
POLICE  MEDICALE  ;  considérations  générales  sur  la  police 

médicale  et  ses  différentes  branches,  XLIV.  42. 

De  l'exercice  passé  et  présent  de  la  médecine  ,  XLIV.  46. 

Difficultés  de  la  médecine  actuelle  ,  XLIV.  48. 

Examen  critique  de  divers  procédés  chirurgicaux  ,  XLlV.So. 

Bandages  et  compression  ,  XLIV.  5i. 

Extraction  de  corps  étrangers  ,  XLIV.  62. 

Extirpations,  XLIV.  53. 

Ponctions  mortelles  dans  quelques  hydropisies  ,  XLIV.  54- 

Dangers  de  l'application  inconsidérée  de  la  chimie  à  la  mé- 
decine, XLIV.  57. 

Examen  de  la  pratique  actuelle  des  accouchemens,  XLIV.  61. 

Questions  importantes  de  police  médicale,  XLIV.  63. 

De  lagastrotomie  dans  les  grossesses  extra-ulérines,  XLIV. 

Examen  de  la  question  :  qui  l'on  doit  sauver  de  la  mère  ou 
de  l'enfant  dans  un  accouchement  impossible?  XLIV.  68. 
Des  devoirs  des  médecins  dans  les  cas  de  mort  vraie  ou  appa- 
rente des  femmes  enceintes,  XLIV.  78. 
Moyens  d'obtenir  une  bonne  police  médicale,  XLIV.  80. 
De  l'instruction  médicale,  XLIV.  81.  — De  la  surveillance 

de  la  pratique  médicale  ,  XLIV.  83.  . 
Des  moyens  de  prévenir  les  abus  de  la  médecine,  XLIV.  86. 
Auteurs-qui  en  ont  traite,  XLIV.  89. 

POLLENINE;  XLV.  297. 

POLLINCTORES  ;  XLIV.  92.      ' 

POLLUTION;  XLIV.  92.  —  Ganses  des  pollutions  diur- 
nes ,  ibid.  —  Leur  histoire ,  XLIV.  94.  —  Leur  diag- 
nostic, XLIV.  96.  —  Leurs  phénomènes,  ibid.  —  Dangers 
qui  les  accompagnent,  XLIV.  97.  — Leur  traitement,  XLIV. 
100. 

Pollutions  nocturnes,  XLIV.  io5.  —  En  quoi  elles  diffèrent 
des  diucncs ,  ibid. 

Pollutions  nocturnes  non  maladives ,  XLIV.  104.  — ■  Pollu- 
tions nocturnes  maladives  ,  XLIV.  106.  — ïnconvéniens  qui 
résultent  de  ces  pollutions  ,  ibid.  —  Causes  qui  les  produi- 
sent, XLIV.  110.  —  Effets  qu'elles  produisent,  ibuL  — 
En  quoi  elles  diffèrent  de  la  blennorrhée,  XLIV.  120. 
Traitement,  XLIV.  l'u. 

POLYCEPHÂLE  ;  habitation  de  ce  ver ,  II.  265.  XXll.  611. 

POLYAEMIE:  \L1V.  rfi. 

POLYCHOLIEj  XLIV,—  Causes  et  signes,  III.  i3r. 


Cnh  TABLE 

T'OLYCHRESTE;  XLIV.  i/p.— Sel  poijcluesle,  ibul. 

rOLYCHROlTE;  XLIV.  142.  XLV.  190. 

POLYCHRONlQUE;XLlV.  142. 

POLYDACTYLIE;  XLIV.  142. 

rOLYDIPSIE;  XLIV.  143. 

POLYGALiVj  desciiplion ,  propriétés  et  usai^es  de  ce  genre 

de  plantes,  XLIV.  ]45. — Emploi  du  po!_ygala   dans  le  ca- 
tarrhe pulmonaire,  1\  .  358. 
POLYGÀLÉES;  description,  propriétés  et  usages  des  plantes 

de  cette  famille,  XLIV.  146. 
POLYGAMIE  ;  considérations  ge'neralcs  sur   la   polygamie, 

XLIV.    1^6.  —  Causes  de  la  polygamie  dans  l'espèce  liu- 

•rnaîne ,  XLIV.    i48-  —  Ses   effets   moraux  el    politiques, 

XLIV.  i52. 
POLYGONE;  XLIV.   134.  —  Plantes  polygones,  ibid.  ~- 

Polygone  de  Wallis,  ii!>i(^. 
POLYGONEESj  description,  propriétés  et  usages  des  plantes 

de  cette  famille,  XLIV.  i54. 
POLYLYxMPHIE;  XLIV.  i55. 
POLYMERISME;  XLIV.  i55. 
POLYPE;  XLIV.  i55.  —  Considérations  générales  et  histo- 

ri>|ues  sur  les  polypes  ,  II.  i5i.XLlV.  i56. 

Diverses  espèces  de  polypes,  XLIV.  iS^. 
Polypes  vésiculaires ,   muqueux  et   mous,  ibid.  —  Polypes 

durs,  XLIV.  i58. 

Dégénérescences  des  polypes,  XLl^' .  160.  —  Analogie  entre 
les  polypes  et  les  loupes,  XLIV.  i63. 

Nombre  et  différences  des  polypes  sur  le  même  individu, 
ibid. 

Identité  d'organisation  ou  de  nature  de  ces  excroissances  , 
XLIV.  164.  —  Leurs  causes,  XLIV.  166.  —  Leurs  carac- 
tères pathologiques,  XLIV.  168.  —  Leur  terminaisou  , 
XLIV.  169 

De  la  mort  causée  par  eux,  XLIV.  i-ji. 
Pol/pes  cancéreux,  III.  5fd8.  —  Pronostic  des  polypes,  XLIV. 

Traitement  des  polypes  des  sinu«  frontaux,  XLIV.  176; 
—  de  ceux  des  sinus  sphénoïdaux  ,  ibid.-,  —  de  ceux  du 
conduit  auditif,  XLIV.  177  ;  —  de  ceux  des  sinus  maxil- 
laires, ibid. 

Signes  de  cette  dernière  affection  ,  XLIV.  1 79.  —  Observa- 
tion à  son  égard,  XLIV.  180.  —  Son  pronostic  ,  XLIV. 
181. 

Extraction  des  polypes  du  sinus  maxillaire  ,  XLIV.  184.  — ■ 
Leur  destruction  par  le  caustique,  XLIV.    i8:jj  —  par 


DES  MATIERES.  m^ 

rariacliemenl ,  XLIV.  187  ;  —  par  l'excision  el  la  cau- 
lerisalion  acUiellc  combinées  ,  XLIV.  188. 

Traitement  des  polypes  des  fosses  nasales  ante'iieures,XLlV. 
198;  —  par  la  compression,  XLIV.  200;  —  par  l'exsic- 
calion  ,  XLIV.  201  ;  —  par  la  çaulerisalion  ,  ibid.  ;  — 
par  la  suppuration,  XLIV.  2o3  ;  — par  l'excision,  XLIV. 
204  ;  —  ])ar  l'arrachemeat,  XLIV.  207;  —  par  la  liga- 
ture ,  XLIV.  214, 

Trailcmenl  des  polypps  des  narines  postérieures  et  de  l'ar- 
rière-bouche,  XLIV.  218. 

Traitement  des  polypes  du  larynx  et  de  l'œsophage,  XLIV. 

225. 

Traitement  des  polypes  de  l'estomac,  XLIV.  227. 

Traitement  des  polypes  des  intestins,  XLIV.  228. 

Traitement  des  polypes  du  rectum,  XLIV.  22g. 

Traitement  des  polypes  dularynx,  de  la  trache'e-artèreet  des 
bronches,  XLIV-  281. 

Traitement  des  polypes  de  la  vessie  ,  XLIV.  2.32. 

Traitement  des  polypes  de  l'utérus  et  du  vagin ,  X.LIV.  235. 

Des  variétés  qu'ils  présentent,  XLIV.  234. 

Leurs  causes,  XLIV.  235.  — Leurs  symptômes  ,  XLIV. 
236.  —  Leur  pionnslic  ,  XLIV.  25'^. 

Maladies  qui  peuvent  les  simuler,  XLIV.  258. 

Cautérisation,  XLIV.  243. — Torsion,  ibid.  —  Résection, 
XLIV.  245.  — Ligature,  XLIV.  246. 

Auteurs  ([ui  en  ont  traité,  XLIV.  255. 
POLYPHAGE  ;  XLIV.  256.— Histoire  de  divers  polyphages, 

IV.  198.  199. 
POLYPIIARMACIE;  considérations  générales  sur  l'adminis- 
tration des  médicainens  dans  la  pratique  médicale,  XLIV. 

2  56. 
POLYPIER  ;  XLIV.  260. 
POLYPIFORME;  considérations  générales  sur  les  concrétions 

fîbrineuses  du  sang,  leurs  causes,  leurs  effets  ,  XLIV.  262. 
POLYPODE  j  description,  propriétés  et   usages  de  ce  genre 

de  plan'.cs,  XLIV.  26). 
POLYPOSIE;  XLIV.  266. 
POLYSARCIE  ;  XLIV.  266. 
POLYTPiIC  ;  description,  propriétés  et  usages  des  plantes  de 

ce  nom  ,  XLIV.  26G. 
POLYTROPHIE;  XLIV.  267. 
POLYURIQLE;.XLIV.  267. 
POMA.CEES  ;  description,  propriété?  et  usages  des  plantes  de 

cette  famiile,  XLIV.  267. 
POMMADE;  XLIV.  268.  —  En  quoi  une  pommade  diffère 

d'un  cérat  cl  d'un  onguent,  IV.  438.  —  Considérations  gé- 


6(34  TABLE 

noiales  sur  les  diverses  pommades,  leur  confection  et  leurs 
usages,  XLIV.  a68. 

POMME;  I.  387.  XLIV.  26a 

Pomme  d'Adam  ,  ihid.  —  Pomrae-d'araour,  ihid.  —  Pomme 
épineuse,  ibid. 

Description,  proprie'tés  et  usages  de  la  pomme-de-terre, 
VL  122.  XLIV.  ■271.  — Elle  fournit  un  biscuit  de  bonne 
qualité,  III.  \^o.  —  Ellepeut  servir  à  la  fabrication  de  la 
bière,  III.  110. — La  fécule  y  est  presqu'à  nu,  I.  348. 
—  Conditions  nécessaires  pour  la  panifier,  I.  SSy. 

POMMETTE;  XLIV.  275. —  Description  de  l'os  de  la  pom- 
mette ,  ibid. 

POMMIER;  description,  propriétés  et  usages  des  plantes  de 
ce  genre,  XLIV.  276. 

POMPHOLIX  ;  XLIV.  279. 

PONCTION;  XLIV.  279. 

Ponction  du  crâne,  ihid.  —  Ponction  dans  le  cas  d'hydrora- 
clils,  ibid. — Ponction  de  l'œil,  XLIV.  280.  —  Ponction 
de  la  poitrine,  II.  SSg.  XLIV.  280.  — Ponction  du  péri- 
carde, XLIV.  281.  —  Ponction  de  l'abdomen  ,  lizV/.  —  Ponc- 
tion de  l'hydrocèle,  ibid.  —  Ponction  de  la  vessie,  XLIV. 
2S2.  — Ponction  de  la  vésicule  du  fiel ,  ibid.  —  Pouctiou 
des  articulations  ,  ibid.  —  Ponction  des  abcès  ,  ibid. 

POXT-DE-VAROLE;    définition,  synonymie,  XLIV.  288. 

POPLITE,  XLIV.  284.  —  Description,  connexions  et  usages 
du  muscle  poplitë,  ibid. 

Artère  poplitée,  XLIV.  286.  —  Considérations  pathologi- 
ques sur  ce  vaisseau  ,  XLIV.  287. 
Anévrysme,  XLIV.  288. 

Veine  poplitée, XLIV.  289. —  Ganglions  et  vaisseaux  lym- 
phatiques poplités,  XLIV.  290.  —  Nerfs  popliiéà,  ibid. 

POPULAIRE;  considérations  générales  sur  la  médecine  po- 
pulaire, son  exercice,  les  ouvrages  qui  en  traitent,  ses  in- 
convéniens  et  ses  avantages,  XLIV.  290. 

POPULATION;  considérations  générales  sur  la  population, 
son  évaluation,  su  conservation,  son  augmentation,  sa 
diminution,  et  les  causes  qui  y  concourent,  XLIV.  3o4- 

POPULEUM;  composition  de  cet  onguent,  XLIV.  517. — 
Ses  usages,  XLIV.  3 18. 

PORC  ;  qualités  de  la  chair  de  cet  animal ,  VI.  98.  99. 

PORES;  considérations  générales,  XLIV.  3  18. 
Des  pores  chez  les  animaux  ,  XLIV.  319. 

Pores  moléculaires,  ibid.  —  Poies  vasculaires,  XLIV.  322. 
— Pores  exhalans,^6^W.— Phénomènes  qu'ils  présentent,  ibid. 

Pores  absorbans,  phénomènes  qu'ils  présentent,  XLIV.  326. 

Pores  des  glandes,  XLIV.  329.  — Pores  qui  donnent  passage 


DES  MATIERES.  Gr.5 

aux  poils,  ihid. —  Pores  des  membranes  et  des  parenchymes , 

ihid.  —  Porcs  biliaires,  XLIV.  33o. 
POROCELE;  définition,  XLIV.  33o. 
POROMPHALE.  définition,  XLIV.  33 1. 
POROSITÉ;  XLIV.  53 1. 
POROTIQUE  ;  définition ,  XLIV.  332. 
POUPHYRE;  XLIV.  332. 
POUPHYRISATIOX  ;  XLIV.  333. 
PORKACÉj  XLIV.  333.  —  Bile  porracee,  ibid.  —  Crachats 

porracc's ,  ibid. 
PORRIGINEUXj  XLIV.  333. 
PORRIGO  ;  inconvéniens  du  porrigo  ,  XLIV.  333.  —  De  sa 

conformation,  XLIV.  334- 

R'jsuhats  de  l'usage  de  la  pondre  à  poudrer  les  cheveux  rela- 
tivement au  poirigo,  XLIV.  334. 

Différence  du  porrigo  et  de  la  teigne  furfuraccc  ou  porrigi- 
neuse ,  ibid. 
PORTE;  XLIV.  554. — Machine  à  réduire  la  luxation  du 

bras  ,  ibid. 

Description  de  la  veine  poite,  XLIV.  335. 

Me'canisme   de   la  circulation    du    sang  dans   cette   veine, 
XLIV.  337.  — Usages  du  sang  qu'elle  renferme,  XLIV. 
338.  —  Maladies  qui  l'atteignent,  XLIV.  540. 
POETE- AIGUILLE,  description   et   usages   de  cet   instrument, 

XLIV.  340. 

PORTE   BOUGIE,  XLIV.   34o. 
POETE-MÈCHE,  XLIV.  34o. 
PORTE-riEEEE,  XLIV.   340. 
rORTE-SONDE,  XLIV.  342. 

poKTE-FAix,  considérations  générales  sur  les  maladies  spécia- 
les des  porte-faix,  leurs  causes  et  les  moyens  de  \cs  pré- 
venir, XLIV.  342. 

PORTER  ;  remède  contre  l'ivresse  produite  par  cette  liqueur  , 
11!.  119.  —  Ses  usages  médicinaux,  III.  120. 

POllTIEilS;  considérations  générales  sur  les  maladies  spé- 
ciales des  portiers,  leurs  causes  et  les  moyens  de  les  pre'venir, 
XLIV.  545.. 

PORTULACEES;  description,  propriétés  et  usages  des  plantes 
de  cette  famille,  XLIV.  347. 

POSOLOGIE  j  considérations  générales  sur  les  doses  de  me'- 
dicamens  à  administrer,  XLIV.  5/i8. 

Tableau  par  ordre  alphabétique  des  médicamens  les  plus 

ordinaiics  et  des  doses  auxquelles  on  les  administre,  ibid. 

Quelques  exceptions  qui  réclament  l'attention  du  médecia 

dans  l'adiDinistralion  des  médicamens ,  XLIV.  365. 
Signes  abréviatifs  ernploycs  pour  désigner  les  parties   de 

TABLE    I.  83 


66G  TABLE 

sub&lances  médicameoteuses ,  la  manipulation  et  la  dose, 
XLIV.  366.  .    ,      .  _ 

POSSÉDÉ  ;   considérations  générales   sur  les  possédés  et  les 

différentes  sortes  qu'on  en  remarque,  XLIV.  3G7. 
POTaGE.  usages  et  confection  des  potages  pour  l'état  de  ma- 
ladie, XLIV.  567. 
POTASSE;  préparation  de  cet  alcali ,  XLIV.  S^o.  —  Subs- 
tances qui  eu  contiennent ,  ibid. 

Quanlilé  d'alcali  contenue  dans  la  potasse  du  commerce, 
XLIV.    372.  —  Purification   de  cette    potasse,   XLIV. 
375. 
Caractères  de  la  potasse  pure,  XLIV.  375. 
Action  de   l'air  sur  elle,  ibid.  —  Action  de  l'eau,    XLIV. 

376.  —  Décomposition  ,  I.  3oo. 
Ses  usages  ,  XLIV.  376.  —  Son  emploi  médicinal ,  XLIV. 
377. 
POTASSIUM;  histoire  de  ce  métal  ,  XLIV.  377.  —  Ses  ca- 
ractères physiques  et  chimiques,  XLIV.  379. 
POTENTIEL;  XLIV.  38o. 

POTENTILLE;  description,  propriétés  et  usages  des  plantes 
de  ce  genre,  XLIV.  38 1. 

De  la  potentille  ansérine  ,  ibid.  —  De  la  potenlille  tormen- 

tillej  XLIV.  382.  —  De  la  potentille  rampante  ,  XLIV. 

384- 

POTIERS  ;  considérations  générales  sur  les  maladies  spéciales 

des  potiers  d'étain  ,  leurs  causes  et  les  moyens  d'y  remédier , 

ihid. 

Considérations  générales  sur  les  maladies  spéciales  des  po- 
tiers de  terre ,  leurs  causes  et   les  moyens  d'y  remédier  , 
XLIV.  385. 
POTIRON;  V.  271.  XLIV.  387. 
POTION;  XLIV.  387. 

Potions  purgatives,  XLIV.  388. —  Portions  purgatives  émé- 

tiqaes,  ibid.  —  Portions  purgatives  proprement  dites,  ibid. 

Additions  faites  aux  potions,  XLIV.  38g. 

POU,  description  de  cet  insecte,  XLIV.  3^9.  —  Causes  de  la 

multiplication  des  poux,   XLIV.  Sgo.  —  Moyens    de    les 

détiuire ,  ihid. 
Leur  influence  dans  certaines  maladies,  XLIV.  391. 
POUCE;  organisation,  mouvemens  et  maladies  de  ce  doigt, 
XLIV.  392. 

La  faculté  de  l'opposer  aux  au  très  d  oigts  est  considérée  comme 
une  des  principales  causes  de  la  perfectibilité  humaine, 
XIV.  3o8. 
POUDRE;  considérations  générales  sur  les  poudres  ,  leur  prc- 
paralion,  leurs  diverses  espèces,  leurs  ussgcs,  ibid. 


DES  MATIERES.  667 

Inconvcniens  de  la  poudre  à  poudrer,  surtout  pour  le  sol- 
u'al  ,  V.  3o. 
Poudre  de  Rousselot,  sa  coraposilion  ,  III.  655.  IV.  3^6. 
Poudre  de  Saint-Ange,  sa  composition,  IV.  4^- 
POULAIN;  XLIV.  395. 

rOULA-RDE;  qualités  de  la  chair  de  cet  oîseau,  I.  364- 
POULET;  propriele'setusages  dupouîet  comme  aliment,  qua- 

iilcs  qu'il  doit  avoir,  XLlV.  SqS. 

OEuf  de  poule,  XLIV.   396.  —  Vin  de   poule,  ihid.  — 
Chair  de  poule,  XLIV.  397. 
POULIE;  considérations  sur  l'usage  des  poulies  dans  les  arts, 

en  chirurgie,  dispositions  analoraiques  qui  s'y  rapportent, 

XLIV.  397. 
POULIOT;  description,  propriétés  et  usages  de  celte  plante, 

XLIV.  399. 
POULS;  considérations  générales  sur  le  pouls,  ses  signes,  ses 

causes,  et  les  variétés  qu'il  préseule  suivant  '.'âge,  le  sexe,  le 

climat,    le   tempérament,    l'état  actuel  de   l'individu,  etc. 

etc. ,  XLIV.  400. 

Histoire  de  l'étude  du  pouls  ,  XLÎV.  4o6. 

Son  mécanisme,  XLIV.  '\\'6. — Son  rliythme  et  ses  variétés, 
XLIV.  42'  ;  —  à  la  naissance  et  selon  l'à^e,  ihid.;  — 
selon  le  icrnpérainent ,  XLIV.  4^2;  —  selon  le  sexe, 
XLIV,  423  ;•' —  chez  la  l'emme,  à  l'apparilion  des  mens- 
trues, XLIV.  424;  —  ^"  moment  de  la  puberté  dans  les 
deux  sexLS  ,  XLIV.  425  ;  —  selon  le  climat,  XLIV.  427  ; 
—  selon  la  profession  ,  ibid.  ;  —  selon  le  léginic  de  vie  , 
XLIV.  428;  —  pendant  la  grossesse,  XLIV.  4'^9  j  — 
selon  l'état  de  mouvement  ou  de  repos  ;  XLIV.  43o  ;  — 
selon  celui  de  sommeil  ou  de  veille  ,  ihid.  5  ; —  selou  les 
affections  de  l'ame,  XLIV.  43o. 

Ses  états  palliologiqucs  ,  XLIV.  44'* 

Altérations  qu'il  préseulc  dans  i'état  pathologique,  XLIV. 
443. 

Influence  des  âges  sur  le  siège  des  maladies  ,  XLIV.  45o. 

Division  du  pouls  en  inférieur  et  eu  supérieur,  ibid. 

Caractères  du  pouls,  XLIV.  45 1. 
Pouls  supérieur,  ibid.  —  Pouls  rebondissant  ,  XLIV.  452.  — ■ 

Pouls  pectoral,   ibid.   —  Pouls  guttural,  XLIV.   4^3.  — 

Pouls  nasal ,  ibid.  —  Pouls  inférieur,  XLIV.  455.  —  Pouls 

stomacal ,  XLIV.  456.  —  Pouls  intestinal  ,  XLIV,  457.  — 

Pouls  de  la  matrice,  XLIV.   45B.   —    Pouls    hépatique  , 

XLIV.  459.  —  Pouls  de  la  rate,  XLIV.  461.  —  Pouls  hé- 

jnonoidal  ,  ibid.  —  Pouls  rénal  ,  XLlV,  462. 

Composition  ou  combinniscin  des  pouls  critiques  entre  eux  , 
ibid. 


608  TABLE 

Différences  du  pouls  dans  les  deux  côlës  du  corps  ,  XLIV. 

467- 
Caractères  du  pouls  dans  les  conlusions  h  la  fête ,  XLIV. 469. 

L'alteralion  du  pouls  est  un  signe  pathognomonique  de  la 

fièvre,  XLIV.  472. 
Du  pouls  dans  les  bains,  XLIV.  474  î  —  pendant  l'action 

des  lavemens  ,  des  vésicans,  etc.,  XLIV.  475- 
Du  pouls  sous  rinfluence  de  l'action  des  médicamens  ,ibid.  ; 

—  du  kermès  minéral ,  ibid.  •  —  du  mercure  ,  ibid.  ;  —  du 
quinquina  ,  ihid.  j —  de  l'émélique,  XLIV.  479;  —  ^^^ 
purgatifs,  ibid. 

Diagnostic  du  pouls,  XLIV.  477* 

Sa  fréquence,  XLIV,  47S.  —  8a  rareté,  XLÎV.  47g. 

Toids  vite,  XLIV.  481.  —  Eouls  lent,  XLIV.  482.  —  Pouls 
dur,  ibid.  —  Pouls  mou,  XLIV.  485.  —  Pouls  grand, 
XLIV.  486.  —  Pouls  petit,  XLIV.  487.  —  Pouls  fort, 
XLIV.  489.  —  Pouls  faible,  XLIV.  490.  —  Pouls  égal, 
XLIV.  492-  —  Pouls  inégal,  ibid.  —  Pouls  intermittent, 
XLIV.  493.  —  Pouls  insensible,  XLIV.  496.  —  Pouls 
composé  ,  XIjIV.  498. 
Auteurs  qui  en  ont  traité,  XLIV.  5oo. 

POUMON  ;  considérations  générales  ,  XLIV.  5o5. 
Description  de  ce  viscère,  XLIV.  5o5. 
Situation  ,  forme,  rapports,  ibid.  —  Couleur,  XLIV.  Soy. 

—  Densité,  XLIV.  5o8.  —  Pesanteur  ,  XLIV.  609.  — 
Volume,  XLIV.  5 10.  —  Organisation  ,  XLIV.  5m.  — 
Conduits  aériens,  ibid.  —  Membrane  fibreuse,  XLIV. 
5 12.  —Membrane  muqueuse  et  ses  fonctions  exhalantes , 
XLIV.  5i5.  —  Vaisseaux  sanguins,  XLIV.  5i8.  — 
Nerfs,  XLIV.  52o.  —  Glandes,  ganglions,  vaisseaux 
lymphatiques,  XLIV.  S^i.  —  Tissu  cellulaire,  XLIV. 
5:x3.  —  Tissu  propre,  ihid.  —Irritabilité,  mouvement, 
ibid. 

L'action  du  froid  ,  même  le  plus  intense ,  ne  paraît  pas  se 

porter  sur  son  intérieur  ,  I.  261. 
Maladies,  XLIV.  53 1. 
Plaies  ,  XlilV.  534.  —  Cas  extraordinaire  de  plaie  d'arme 

à  feu  ,  ÏV.  222. 
Déplacemens ,  XLIV.  555.  —  Issue  au  dehors  à  la  suite 

d'une  plaie  pénétrante  dans  la  poitrine  ,  ibid.  —  Hernie, 

XLIV.  558.  — Corps  étrangers  dans  les  voies  aériennes, 

XLIV.  558. 
Cas  de  concrétions  pierreuses  dans  l'inlcrieur  des  poumons , 

IV.  21 6. 
Maladies  des  glandes  et  follicules  de  la  membrane  muqueuse 

du  conduit  aéiien,  ibid.  —  Catarrhe,  ibid.  —  Diiaîalion 


•DES  MA.TIERES.  66;) 

ries  bronclies ,  XLIV.  543.  —  Emphysème  ,  XLIV.  545. 

Hisloii'c  gc'nc'rale  da  cancer  du  poumon,  III.  6|5.  —  Ses 
symptômes,  III.  6/j6.  —  Son  trailemcnt ,  ihid. 

Maladies  des  capillaires  satiguins  de  la  muqueuse  pulmo- 
naire,XLIV.  546.. — Hémoptysie,  apoplexie  foudroyante, 
ibid.  —  Peiipncumonie  ou  pneumoplcgie ,  XLIV.  549» 

—  Terminaison  de  la  pncumoplcgie  ,  altérations  de  tissu 
qu'elle  peut  causer  dans  le  poumon,  œdème  ,  signes  elca- 
ractèrcs  anatomiques  ,  XLIV.  ^5i. 

Engorgemcns  sanguins,  XLIV.  554»  —  Induration,  carni- 
fication  ,  XLIV.  558.  —  Abcès  dans  Tintérieur  de  l'or- 
gane ,  I.  16.  —  Adhérences,  concrétions  membraneuses  , 
XLIV.  559.  —  Adhérences  au  diaphragme,  I.  i53. 

Pleurésie, j'/iic/. — Terminaison  de  la  pleurésie  par  un  abcès, 
XLIV.  5Go  •  —  par  gangrène,  XLIV.  502  j  — -  par  gan- 
grène non  circonscrite,  ibid,;  — par  gangrène  circonscrile 
ou  partielle  .  XLIV.  563. 

Inflammation  lymphatique,  tubercules,  phlhisie  ,  iZ>/rf.  — 
Ulcères,  XLIV.  564.  # 

Dégcnération  de  l'inflammation  combinée  des  vaisseaux  san- 
guins et  lymphatiques,  XLIV.  565.  —  Encéphaloïdes  , 
/Z*fU— Mélanose,  ibid.  —Kystes,  hydatides ,  XLIV.  546. 

Productions  cartilagineuses,  osseuses ,  calculeuses  ,  crétacées  , 
XLIV.  567. 

Augmentation  ou  modification  de  l'irritabilité  ,  XLIV.  56g, 

—  Asthme,  ihid.  —  Toux  ,  ihid.  —  Asphyxie  ,  ihid. 
Angine  de  poitrine,  XLIV.  570. —  Orthopnée  .  dyspnée, 

ibid.  —  Cauchemar,  ibid.  —  Atrophie,  XLIV.  571. 
Analogie  des  maladies  du  poumon  entre  elles  ,  leur  conver- 
sion les  unes  dans  les  autres  ,  ibid. 
Auteurs  qui  en  ont  traité  ,  XLIV.  5^3. 
POUPvPIER;  propriétés  et  usages  de  celle  plante,   XLV.  i. 
POURPRE  ;  XLV.  2.  —  Pourpre  de  Cassius ,  ibid. 
POURPRÉ;  XLV.  2. 
POURRITURE  D'HOPITAL;  XLV.  1. 

Considérations  générales  et  historiques  sur  celte  maladie  et 

sur  les  causes  qui  la  déterminent  ,  ibid. 
Saison  favorable  a  son  développement ,  XLV.  4- 
Marche  de  celle   maladie,  XLV.  5.  —  Description  de  ses 
symptômes ,   XLV.    6.    —  Fièvre   qui    l'accompagne  , 
XLV.  7. 
Variétés  qu'elle  présente, XLV. 8. —  Son  ctiologie,XLV.  g. 
Caractères  du  pus;  ihid.  —  Taches  grisâtres,   ihid.  —  Ex- 
trême sensibilité  cl  rougeur  des  bords  de  la  plaie,  XLV.  10. 
Causes  prédisposantes  de  la  pourriture  d'hôpital  ,  ihid. 
Causes  déterminantes ,  jT/fV/.  —  Tùiasmes    putrides,   ihid.— 


670  TABLE 

Hunjidiié  froitlt; ,    XLV.    n.  —  Plaies,  XLV.    12.  — 
Affections  de  l'urne,  ihid. 
Causes  variées  accldenlelles,  XLV.  ]  3. 
Piopriélé  contagieuse  de  cette  affccliou,  ibid.  —  Expe'rience 

à  ce  sujet,  XLV.  16. 
Trailemenlj  XLV.  19.  —  Emploi   du  feu  ,  ibid.  ;  —  des 
caustiques,  ibid.  ; — des  autres  moyens  topiques  ,  XLV.  20. 
Traitement  général  ,  ibid.  —  Changement  d'air,  ibid. 
PPiATIQUE;  Considérations  générales   sur   la    pratique,  ses 
avantages  pour  la  société  ,  ce  qui  constitue  une  bonne  pra- 
tique ,  etc. ,  ibid. 
PRÉCIPITÉ  •  XLV.  20.  —  Des  deux  espèces   de  précipité  , 

ibid.  —  De  la  formation  des  précipites  ,  XLV.  ^1. 
PRECOCE;  causes  et  inconvénicns  de  la  précocité  ,  XLV.  43. 
PRÉCORDIAL;  XLV.  44._Ptcgion  prccordiale,  ibid. 
PRÉCURSEUR;   des  signes  précurseurs  et  de   leur  valeur, 

XLV.  44. 
PPiÉDISPOSANT  ;  XLV.  44.    ^ 
PREDORSAL  ;  XLV.  45.  V 

PRÉD'ORSO-ATLOÏDIEN  ;  XLV.  45. 
PREJUGES  des  malades  et  des  médecins  ,  XLV.  45. 
Définition  du  préjugé,  XLV.  46. 

Causes  de  préjugés  chez  les  médecins  j   préjugés   <|ui   déri- 
vent de  chaque  espèce  de  cause  ,  XLV.  47 • 
Prcjuge's  causés  par  le  tempérament,  ibid.  ;  —  par  le  goût , 
ibid;  —  par  les  dispositions   morales,  XLV.  48.;  —  par 
l'intérêt,  ibid.  ;  —  par  l'orgueil  ,   XLV.  49  ;  —  pa»"  ^a 
faiblesse,   XLV.  5o  ;  —  par   l'amitié ,  z^i"c^.  ;  —  par  la 
haine,  XLV.  5i  ; — >  par    l'envie,   ihid.\  —  par  l'imagi- 
nation ,  ibid.  ;  —  par  la  paresse,  XLV.  5?.  ;  —  par   l'o- 
pinioii  popuhiiie,  ibid.  ;  —  par  les  souvenirs,  XLV.  5  >  ; 
—  par  Tinfluence  des  professeurs,  XLV.  64  j — par  l'éru- 
dition ,  ibid. 
Conclusions ,  XLV.  56. 
PPiÉLE  ;  description,  propriétés  et  usages  des  plantes  de  ce 

genre,  XLV.  67. 
PRELOMBAIRE  ;  XLV.  58.  —  Région  prélombaire,  parties 

qui  s'y  trouvent,  maladies  qui  s'y  développent  ,  ibid. 
PRELOMBO-SUS-PUBIEN  ;  XLV.  58. 

J-RELOMBO-TUROCHANTINIEN  ,     ibid. 
PRELOMBO-THORACIQUE,  i'ÔJC?. 

PRENOTION  ;  XLV.  59. 
PREPARATE  ;  XLV.  59. 

PREPARAT10N.S  AN  ATOMIQUES;  leur  utilité,  XLV.  îg. 
Considérations  historiques  à  leur  égard  ,XLV.  Go. 


DES  MATIERES;  671 

Réflexions  gi-iicralcs  sur  les  moyens  de  les  conserver  ,  XIjV. 
6\. 

Conservation  provisoire,  ihid. 

Dispositions  préliminaires  à  l'empîoi  des  moyens  de  conser- 
vation ,  XLV.  ()2. 

Injections,  ihid.  —  Injection  évacuative  ,  ibîd. — Re'plétive  , 
XLV.  63.  —  Antiseptique  ,  ibid. 

Lavage  ,  ibi'd.  —  Dégorgement ,  ibid.  —  Corrosion  ,  XLV, 
64.  — Dissection,  XLV.  65.  — Dégraissage,  ibid.  —  Li- 
gature des  vaisseaux,  ibid.  —  Séparation  et  disteusioa 
des  parties,  XLV.  66. 

Conservation  des  pièces  anatomiques  par  la  dessiccation  , 
ihid. 

Préparations  préliminaires  à  la  dessiccation  des  pièces  ana- 
tomiques ,  ibid. 

Mace'ration  dans  V alcool  ^  ibid.  ;  —  dans  une  dissoîulioa 
métallique,  XLV.  67. 

Séjour  dans  les  sels  terreux  on  alcalins,  ibid.  —  TannagCj 
ibid. 

Dessiccation  des  pièces  anaîomiques ,  ibid. 

Moyens  de  préservation  ,  XLV.  68. 

Vernis  propres  à  enduire  les  pièces  d'anatomie  desse'che'cs , 
ibid. 

Vernis  à  l'alcool,  î'Z'/fi. —  Huile  de  vernis,  ibid.  —  Vernis 
blanc  ,  XLV.  69. — Vernis  mastic  ,  ibid.  —  Vernis  jaune  ^ 
ibid. 

Conservation  des  pièces  anatomiques  dans  des  liquides, 
ibid.  —  Vases  destinés  a  les  contenir,  XLV.  70.  — •  Ma- 
nière de  fermer  ces  vases  et  de  les  lulcr,  XLV.  7  i. 

Causes  qui  allèrent  et  détruisent  les  pièces  d'anatomie, 
XLV.  72.  —  Manière  de  les  restaurer,  ibid. 

Conservation  des  dilférens  tissus  ,  XLV.  75. 

Tissu  cutané,  ibid.;  —  cellulaire,  ibid.  ;  —  fîbi-cux  ,  ibid.  ; 
osseux  ,  XLV.  74» 

Blanchiment  des  os  ,  XLV.  ^5.  — Tissu  synovial ,  ibid,;  — 
séreux,  XLV.  76;  —  musculaire,  ibid. 

Encéphale,  moelle  épinière  el  nerfs,  ibid. 

Vaisseaux,  ibid.  —  Cœur,  XLV.  77.  —  Poumon,  ihid.  — i 
Larynx ,  ibid.  —  OEi\,ibid.  —  Oreille,  XLV.  78. 

Foie,   ibid.   —   Pancréas,   ibid.  —  Rate,   ibid.  —  Rein, 

Organes  de  la  génération  ,  ibid.  — Matrice,  ibid.  —  Hymen  , 
ibid.  — Testicule,  ibid.  —  Dartos ,  ibid.  —  Pénis,  cli- 
toris ,  ibid. 

L'^embryon  et  les  enveloppes  du  fœtus ,  XLV.  80. 


«7  2  TABLE 

Nouveau  moyeu  de  couserver  les  pièces  ariatomiques,XLV. 
8i. 

Considérations  générales  sur  les  préparations  chimiques  et 
pharmaceutiques,  et  sur  les  mo3'ens  de  les  faire,  ibid. 
PllEPUCE  ;  description  ,   organisation   et  usages  de  ce  repli 

cutané ,  XLV.  83. 

Considérations  pathologiques,  XLV.  84. 

Cas  d'iraperforation  ,  iV.  i63.  XXIV.  iSg.  XL.  182. 
PRESAGE  ;  XLV.  86. 
PRESBYTE  ;  XLV.  86. 
PRESBYTIE;  mécanisme  et  causes  de  celle  infirmité,  XLV.  87. 

Différens  phénomènes  visuels  qu'elle  présente  ,  ihid. 

Exemple  d'une  presbjlie  qui  a  succédé  à  une  myopie,  XLV. 

Myopie  et  presbytie  existant  concurremment  sur  le  même 
individu  ,  XLV.  92. 
PRÉSER"V  ATIF  ;   considérations  générales  sur  les  médica- 

mens  préservatifs  cl  leurs  usages  ,  ihid. 
Préservatifs  cjui  ont  pour  base  d'action  le  pouvoir  de  l'imagi- 
nation ,  XLV.  g3.  —  Amulettes,  ibid. 
Préservatifs  dont  l'objet  est  de  modifier  les  agens  extérieurs 

qui  peuvent  devenir  cause  de  maladie,  XLV.  95. 
Préservatifs  contre  les  virus,  ihid.  ;  —contre    les  miasmes, 
XLV.   96,'  —  contre  les   variations   de    l'atmosphère, 
XLV.  98. 
Préservatifs  qui  sont  destinés  à  agir  sur  le  corps  en  changeant 

son  état  actuel ,  XLV.  99. 
Préservatifs  contre  les  maladies  non  existantes,  mais  dont  le 
principe  est  apporté,  ihid.  ;  ■ — contre  la  rage,  XLV  100  ;  — 
contre  la  morsure  d'animaux  venimeux,  ihid.  ;  —  contre 
l'absorption  de  miasmes,  XLV.  1015  —  contre  les  altec- 
lions  déjà  existantes  ,  mais  à  un  très-faible  degré,  ihid. 
Valeur  réelle  du  mot  préservatif  en  médecine;  corollaires 

qui  en  découlent,  XLV.  io5. 
Conclusion  ,  XLV.  104. 
PRESPINAL;  XLV.  io5. 
PRESSE -ARTÈRE  ;  XLV.  io5. 
PRESSE  URETRE;  XLV.  106. 

PPiESSION;   considérations  générales   et  historiques  sur  la 
pression  abdominale,  ihid. 

Maladies  dan^  lesquelles  on  peut  l'exercer,  XLV.  107. 
Pleurésie,  XLV.   108. — Péripncumonie  ,  ihid.  —  Hydro- 
thorax ,  ihid.  —  Hydropéricarde  ,  ibid.  —  Anévrysmc  du 
cœur ,  XI^V.  109. 
Appréciation  de  la  pression  abdominale  comme  moyen  diag- 
uosliquc,  XLV.  110. 


DES  3IATIERES.  Q-j 

PRESURE;  XLV.  114. 
PRETIBIAL5  XLV.  114.  —  Muscle  ileo-piëtibîal,  it/^.  — 

Muscle  iscliio-pretibial ,  ibid. 
PRIAPJSME  ;  defitiilion  et  synonymie,  XLV.  1 1  4 Classi- 

lîcaiion  ,  XLV.  1 15.  —  Causes  ,  ibid.  —  ûesciiplion  et  phé- 
nomènes, XLV.  118.  — Observations,  XLV.  iig.  —  Trai- 
tement, XLV.  120. 
PRIMEVÈRE;  description,  propriéte's  et  usages  des  plantes 

de  ce  genre,  XLV.  122. 
PLIMULACÉES;  description  ,  propriétés  et  usages  des  plantes 

de  celte  famille,  XLV.  124. 
PPilNClPE;   considérations  générales  sur  le  principe  vital 

XLV.  125. 

Diverses  théories  ii  son  sujet,  XLV.  127. 

Son  siège  ,  XLV.  1 3 1 .  —  Ses  fonctions ,  XLV.  1 32. 

Ce  qu'on  entend  par  principes  des  minéraux  ,  XLV.  i36. 

Considérations  générales  sur  les  principes  cl  produits  des 
végétaux  et  des  animaux,  ibidi 

Divisions  établies  parmi  eux,  XLV.  142. 

Puissance  de  la  vie  pour  disposer  des  principes  élémentaires 
son  impuissance  pour  créer,  XLV.  i44- 

Appréciation  des  principes  élémentaires  dans  les  corps  orija- 
nisés,  XLV.  i45. 

Règles  générales  des  lois  des  proportions  cbimic|ues  dans 
les  corps  organisés  ,  ibid. 

Composés  inorganiques  que  contiennent  les  corps  orgaiji'!*is 
XLV.  146.  ^        -  5 

Oxydes,  ibid.  —  Eau  ou  oxyde  d'hydrogène,  ibid.  — Po- 
tasse ou  oxyde  de  potassium,  ibid. — Soude  ou  oxyde 
de  sodium ,  ihid.  —  Chaux  ou  oxyuL;  calciufii ,  XLV.  1  47, 
—  Magnésie  ou  oxyde  de  uiaguesiurn  ,  ibid.  -—  Alumine 
ou  oxyde  d'aluminium,  ibid.—SiïicQ  ou  oxyde  de  sili- 
cium, ibid.  —  Oxyde»  de  fer  et  de  njaiiganèse,  ibid. 

Ammoniaque ,  XLV.    14^.   —  Acida^  ibid.  —  Sels,/Z'V^, 

Sulfates,  l'i/W.  —  Sulfate  de  potasse,  zT^iW.  ;  — .  de  soude. 
XLV.  149  ;  —  de  chaux  ,  ibid. 

Sulfites,  ibid.  —  Sulfite  sulturé  de  soude  ,  ibid. 

Nitrates, ii/fZ.  — Nitrate  de  potasse,  iZ/iV/.  5  —  de  chaux 
ibid.  ;  —  de  soude  ,  ibid. 

Muriates,  ibid.  — Muriate  de  potasse;  ibid.  ■  —  de  soude, 
ibid.  ;  —  d'ammoniaque,  ibid.;  —  de  chaixXy ibid.  ;  —  de 
magnésie ,  ibid. 

Phosphates  ,  ibid.  —  Fluales  ,  ibid. 

Caibonates,  ibid.  —  Sous-carbonate  de  potasse,  ibid.  ;  — - 
de  soude ,  ibid.  ;  —  de  chaux  ,  ibid.  :  —  d'aramouiaque  , 
XLV.  i5o ;  —  de  magaciic ,  ibid. 

TABLE    t.  éî4 


6:4  TABLE 

Hydriodalcs  ^  ibid. 

Principes  immédiats  et  produiis  médiats  ou  artificiels  des 

vcgclaux  et  des  animaux  , /fe/of. 
Leurs  variétés  de  proportion  suivant  les  corps,  les  temps, 

les  lieux  ,  etc. ,  ibid. 
Tableau  de  leur  classification,  XLV.  i58. 
Acides  organiques  ou  combustibles,  XLV.  lôg.  —  Leurs 

caractères  ,  ibid. 
Tableau  de  leur  classification  ,  XLV.  i6i. 
Acides  ternaires,  ox\'génés,  végétaux,  cristallisables  ,  fixes 

et  inodores  ,  ibid. 
Acide  mucique  ou  saccho-lacliquc,  ihid.  —  Acide  melîili- 

que  ou  honigslique,  ihid.  —  Acide  ménispertnique  ,  ibid. 

—  Acide  stryclinique  ou  igasurique  ,  ibid.  —  A.cid<"  lar- 
•     tri({ue  ;   tarlarique  ou  tarlareux  ,  ihid.  —  Acide  kinique, 

XLV.  162. —  Acide  sorbique,  ihid. 

Acides  ternaires  ,  oxygénés  ,  végétaux  ,  crislallisablcs  ,  de  mi- 
volatils,  c'est-à-dire  se  volatilisant  et  se  décomposant  en 
partie  ,  inodores,  ibid. 

Acide  pyro-sorbique  ou  pyro-maliqne,  XLV.  i63.  —  Acide 
pyro  tartriquc,  ihid.  —  Acide  oxalique,  saccharin,  ibid. 

—  Acide  rlieuinique,  ibid.  —  Acide  citrique ,  li^/tf. — 
Acide  bolélique,  XLV.  lôj.  —  Acide  moiique  ou  uio- 
roxalique  ,  ibid.  — Acide  succinique  ,  ibid.  — Acide  gaîli- 
qiie,ibid.  —  Acide  ellagiquc,  XLV.  i65. 

Acides  ternaires,  oxygénés  ,  végétaux  ,  ciistallisî.bles .  com- 
plètement volatils  , ibid.  —  Acide  pyro-mucique ,  ib/d.  — 
Acide  méconique,  ibid.  —  Acide  benzoique ,  flcuis  de 
benjoin  ,  ibid.  —  Acide  subérique  ,  XLV.  166.  —  Acide 
caniphorique,  ibid.  —  Acide  acétique,  ibid. 

Acides  ternaires,  oxygénés  ,  végétaux,  incristallisables  ,  vo- 
latils et  odorans,  XLV.  168.  — Acide  laïupique ,  j^/tV.  — 
Acide  jatioplii({ue  ,  ibid.  • 

Acides  ternaires,  oxygénés,  végélaax  ,  incrisiallisables,  fixes 
et  inodores  .  ibid.  — -  Acide  lungique  ,  ibid.  —  Acide  kra- 
naérique,  ibid,  —  Acide  n»aîique  ,  XLV.  169.  —  Acide 
zumique  ou  nanceu[ue  ,  ibid. 

Acides  ternaires,  oxygénés,  animaux  ,  incristallisables,  fise& 
et  inodores  ,  ibid.  —  Acide  lactique  ,  ibiJ. 

Acides. ternaires,  oxy:-'énés,  animaux,  incristallisables,  vo- 
latils et  odorans,  i/rid.  —  Acide  formiquo,  ibid.  — Acide 
bulyric[ue,/Z>/rf. —  Acide  delphmique,  XLV.  ino. 

Acidrs  lernairt-s  ,  oxygénés,  animaux  ,  crisiallisables  et  vo- 
Jatils  ,  ibid.  —  Acide  riiargarique  ,  ibid.  —  Acide  béba- 
cique,  ibid.  —  Acide  pyro-sébaciquc  ,  XLV.  17  t. 


DES  MATIERES.  G75 

Acides  ternaires  ,  oxygènes,  animaux,  cristallisables,  fixes, 
ihid. — Acide  cbolesterit|iic  ,  ibid. — Acide  ambreique, 
ibid.  —  Acide  oléi(|ue,  ibid. —  Acide  ludique,  ibid. 
Acides  lernaires,  non  oxygènes,  communs  aux  animaux  et 
aux  vegtii.aiix  ,  ciisiallisables,  volatils  et  odorans,  XLY. 
172;  —  Acide  hydiocyanique  ou  prussique  yibid. 
Acides  quaternaires ,  animaux,  cristallisables  et  volatils  y 
ibid.  —  Acidt;  pyro-uriqnc,  ibid.  * 

Acides  quatert;aires  ,  animaux  ,  cristallisables,  fixes  et  ino- 
dores, ibid. —  Acide  amniotique,  ibid.  —  Acide  urique, 
lithique,  ibid.  —  Acide  rosacique,  XLV.  173.  —  Acide 
pui  purique ,  ibid. 

Acid's  quaternaires,  animaux,  incristallisables,  fixes  et  iao- 
dores,  ibid.  —  Acide  caséi(juc  ,  ibid. 

Alcalis  org.iniqnes  ou  cond)UStibles,  XLV.  174- ~~  Leurs 
caractères  et  leurs  propritlës  ,  ibid. 

Morpbinc  ,  XLV.  i-S. —  Sirychuine  ^  ibid.  — Picrotoxine  , 
XLV.  176.  — T)e\ph'unne ,  ibid.  —  Cinclionine,  ibid.  — 
Vératriiie  ,  ibid.  —  Aconiline ,  ibid.  —  Cicutine  ,  ibid.  — 
Hjoscyamine  ,  ibid.  —  t\tiO[ixne yibid.  —Digitaline,  z£t</. 
—  Dal urine ,  ibid. 

Principe  acre  du  dapbne  alpina  ,  ibid. 

Oxide  cystique  ,  XLV.  177. —  Oxyde  xanthique  ,  ibid.  — 
Oxyde  casée  ux  ,  ibid. 

Ciistallinites,  ibid. 

Dre'e  ,  ibid.  —  Gantharidine,  zti</.  —  Narcotînc  ou  sel  de 
Deiostie,  X*LV.  178. — A^édoide  f  ibid. —  Asparaginc  , 
ibid.  —  Dapboine  ,  ibid. 

Saccbariiiitcs  ,  ibid. 

Sucic  proprement  dit ,  XLV.  lyg.  —  Sucre se'liforme,  ibid. 

—  Sucre  cristalloïde  ,   ibid.  —  Sucre  du  dl^hèles  .,  ibid, 

—  Sucre  artificiel,  ibid. —  Sucre  liquide  ,  XLV.  180. 
SaccharOïtcs,  i/^iV/. 

Piincipe  doux  des  huiles,  ibid.  —  Picromel ,  ibid.  — Sucre 
de  iait,  ibid.  —  Mannite,  XLV.  18 1.  —  Olivioe  ou 
olivile,  ibid.  — Glycyrrbyzine ,  ibid.  — Sarcocolline  , 
ibm. 

Goinmites ,  XLV.  1 82.  —  Bassorine ,  ihid.  —  Cérasine ,  ibid. 

—  Gomme  proprement  dite,  XLV.  i83.  —  Mucilage, 
ibid.  —  Gelée  végétale ,  ibid.  . 

Zoo-gominites,  XLV.  iS/\.  , 

Mucus,  ibid.  —  Gélatine,  ibid. 

Féculites,  ibid. 

Amidonite  ,  ibid.  —  Amidine ,  XLV.  i85.  —  Inulinc ,  ibid. 

—  Datisciue,  ibid.  — Caséine,  ibid. 


6-6  TABLE 

Ligniles  ,  XLV.   186.  —  Hordeine  ,  ibid.  —  liigninc  ,  ibid. 

—  Gossjpine,  ibid.  —  Subériue,  ibid.  —  Mëdulline  , 
ibid.  —  Fuugine,  îhid. 

Amaiiniies  ,  XLV.  187.  —  Scilliliue  ,  ibid.  — •  Caféine ,  ibid. 

—  Cytisine,  ibid.  —  (jtniianéine,  XLV.  188.  —  Quas- 
sinc,  ibid.  —  Tanin",  ibid. 

Chroraites,  XLV.  i8c). 

CijTomilc»  azotées,  ibid.  —  Indigoline,  ibid.  — •  Poudre 
rouge  de  F omcroy  ,  ibid.  — Héaialine,  ibid.  — Rham- 
nine  ,  XLV.  igo.  —  Polychroïle  ,  ibid. —  Matière  colo- 
rante du  Jichcn  de  la  fausse  angusturc,  ibid.  —  Zoor 
h e' mal! ne,  ibid. 

Cluoiiiiles  non  azotées^  ou  résinoïdes,  ibid.  —  Carminé, 
XLV.  191. —  Carthaniite,  ibid.  —  Sanlaline,  ibid. — • 
Matière  colorante  de  Torcanetle ,  ibid.  —  Matière  colo- 
ranle  du  curcuma  ,  ibid.  —  Capliopicrite  ,  ibid.  —  Ciilo- 
Topbyllc  ,  résine  verte  ,  matière  verte  des  végétaux,  etc. , 
XLV.  192.  • 

Résiniies ,  ibid.  —  Résines  pures  ,  ibid.  —  Guaiacine,  ibid. 

—  Succin  ,  ambre  jaune,  ou  karabé,  XLV.  190.  — Jayet, 
ibid.  —  UJmine  ,  ibid.  —  Gluiiie,  ibid.  —  Caoutchouc  j 
ibid. 

A-romites ,  XLV.  ig^. —  Camphre,  ibid.  —  Huiles  vola- 
tiles, ibid.  —  Huiles  enipyreumati(|ues,  îZ»/V/.  —  Esprit 
pyro  acrtiquc,  ibid.  —  Principes  acres  et  volatils,  ibid, 

—  Alcool  ,  XLV.  195.  —  Ethers  ,  ibid. 
jCérites ,  ibid. 

Ccriles  sapotiifiables ,  ibid.  —  Cire,  ibid.  —  Stéarine,  ibid. 
Elaïnc ,  ibid. 

Cériles  di'iîcilement  saponifiables  ,  ibid.  —  Céline  ,  ibid. 
•    Céritcs  non  saponifiabîes  ,  XLV.  196.  —  Cérine,  ibid.  — 
Clioleslériue  ,  ibid.  —  Ambréine,  ibid. 

Principes  azotes,  non  cristallisablcs  cl  inclassés  ,  ibid. 

Fcrmcul ,  XLV.  197.  —  Gluten,  ibid.  —  Pollénine,  XLV. 
198.  — Fibrine,  iBid.  —  Caséum  ou  caillé  ,  ibid.  ^Al- 
bumine, ibid.  —  Oimazome , ibid. 
PRINTANJNTEPt  j  caractères  des  maladies  printanieïes ,  L 

PRliNTEMPS  ;  considérations  générales  sur  les  causes  astrono- 
miques de  la  variation  des  saisons  ,  et  sur  l'époque  à  laquelle 
commence  le  printemps,  XLV.  200. 
Effets  salutaires  de  la  cousiitution  vernale  ou  printannière 

sur  les  corps  vivatis  ,  XLV.  202. 
Da  quoi  dépend  le  caractère  particulier  des  maladies  que 

celle  saison  anxèue ,  l.  271. 


DES  MATIERES.  677 

Malaise  qu'on  ressent  au  printemps,  influence  nuisible  de 
cette  saison  sur  le  corps ,  XLV.   ?.o5 . 
PIiïSME;  instrument  de  piiysi<]ue,  XLV.  207. 

Forme  prismatique,  XLV.  208. 
PPiISON  ;  considëralions  générales  et  historiques,  ibid. 

Bâliracns  servant  de  prisons  ,  XLV.  209.  —  Leur  emplace- 
ment, ilnd.  —  Leur  construction  et    leur  distribution; 
air,   lumière  ,  ibid. 
Nombre  et  grandeur  des  prisons  considérées  par  rapport  à  I4 

quanlilé  d'individus  qui  y  sont  renfermés  ,  XLV.  312. 
Conditions  que  doivent  avoir  les  bâlimens  qui   servent  de 

prisons,  XLV.  2i3. 
Latrines  et  griachcs,  XLV.  216.  —  Vêteraens  ,  XLV.  217. 

Lits ,  XLV.  219. 
Piopréié  des  prisonniers,  XLV.  221.  — ?  Propreté  générale 

des  prisons,  XLV.  222. 
Chauffage,  ibid. — Nourriture,  XLV.  223.  —  Sommeil  et 

veille,  XLV.  '^29. 
Défaut  d'exercice  corporel,  oisiveté  ,  ibid.  — Travail,  XLV. 
23o.  — Ateliers  et  genre  de  travaux,  XLV.  252.  —  Ré- 
création et  repos  ,  XLV,  234. 
Usages  suivis  dans  la  })lupail  des  prisons,  ou  du  moins  dans 
un  très-grand  nombre  ,  et  qui  oiit   la   plus  nuisible  in- 
fluence sur  la  sanlé  et  sur  le  moral  des  détenus,  ibid. 
Cachots  et  fers  f  ibid.  —  Bien-venue  ,  coups  et  autres  mau- 
vais îraileniens,  XLV.  235. 
Pislole,  ibid. 

Affections  morales,  XLV.  256. 
Secret,  XLV.  207.  ^^ 

Ce  qu'éprouve  J'accuse  au  moment  des  assises^A^LV.  288; 
quand  un  jugement  l'absout  ou  qu'on  lui  a  fait  grâce  , 
XL  V  j  339.  —  quand  il  est  dans  l'attente  d'une  liberté  peu 
éloignée ,  ibid. 
Mœurs  des  prisonniers,  XLV.  240. 
Conséquences  à  lJ4er  de  ce  qui  précède  pour  le  plan  d'une 

prison  gc'ncrale,  XLV.  243. 
Autres  moyens  propres  à  ramener  les  prisonniers  dans  la 

bonne  voie,  XLV.  a^^. 
Maladies,  XLV.  246.  —Mortalité,  XLV.  25o. 
Différentes  sortes  de  prisons  établies  en  France  par  les  lois, 

ibid. 
Prisons  de  prévenus  et  d'accusés,  ibid.  —  Prisons  ordinaires 

de  condamnés,  ou  prisons  pour  peine;  XLV.  262. 
Maisons  de  correction  ou  de  4'-'lefî"s  pour  peines  correclion- 
ribViQi  ^  ibid. 


6^8  TABLE 

Maisons  de  réclusion  ou  de  force  ;  maisons  centrales,  ibid. 

Prisons  des  condamnes  aux  travaux  forces,  XLV.  2'j5. 

Elal  des  forçais  avant  leur  arrivée  dans  les  porls,  ibid.;  — 
Jors  de  l'arrivée  de  la  chaîne  à  sa  destination  ,  cl  avant 
leur  entrée  dans  les  baqnes,  XLV.  '^54. 

Etat  des  forçHs  dans  le  bagne  ,  XL"V.  9.55  ;  —  à  leur  sortie 
du  bagne,  et  quelque  temps  après ,  XLV.  25(). 

Dépôts  de  mendicité,  ou  maisons  de  répression  de  vagabon- 
dage ,  ibid. 

Prisons  pour  délies,  XLV.  261.  —  Prisons  des  cnfans  déte- 
nus à  la  requête  de  leurs  parens  ,  ibid. 

Auteurs  qui  en  ont  traité,  XLV.  262. 
PPilSO'VNlER  ;  considérations  sur  la  santé  des  prisonniers, 
XLV.  263. 

Condition  des  prisonniers  de  guene  !ors(ju'iIs  tombent  ou - 
viennent  de  tomber  en  la  puissance  de  rennemi ,  XLV. 
264. 

Muxhes  qu'ils  font  pour  se  rendre  au  lieu  de  leur  destina- 
lion  ,  XLV.  265. 

Lieux  (|ui  leur  servent  de  prison ,  XLV.  267. 

Lt-ur  état  quand  ils  sont  logés  cliez  les  hobitans  ,  ibid.  j  — 
ou  remis  dans  des  dépôts,  XLV.  268  j  —  ou  ronfi'iniés 
dans  des  pontons,  XLV.  271  ;  —  ou  rassemblés  dans  une 
île  inhabitée  et  inculte,  XLV.  270. 

Quelques  con-idéralions  sur  les  meilleures  dispositions  à 
pretuhe  pour  conserver  la  santé  des  prisonniers  de  pueire 
réunis  en  nombre  plus  ou  moins  grand  ,  XLV.  27^. 

Piietour  des  prisonniers  de  guerre  dans  leur  patrie  ,  XLV. 

2'7". 

PPii VAll'iCm  ;  considérations  générales ,  ihid. 

PRIX;  considérations  générales  sur  les  prix  d'émulation,  et 

sur  l'efict    qu'ils    produisent  pour    le   développement    des 

sciences ,  XI-V.  279. 
PROC\THARTlQÙÈ  ;  XLV.  282. 
PRIXIÉDE;  considérations  sur  les  procéde's  opératoires  en 

chirurgie,  XLV.  282. 
PROCÈS  5  dciinition  ,  XLV.  28'). 

Pioccs  ou  processus  demi-circulaire,  ibid. 

Procès  capillaires  ,  ibid.  —  Procès  ciliaires  ,  ibid. 

Corps  ciliaire  ,  XLV.  28^. 

Procès  ciliaires  de  la  choroïde  ,  ibid. 

Procès  ciliaires  du  corps  vitré,  XLV.  286. 

Circulation  de  ces  parties  ,  ibid. 

Fxisteace  des  vaisseaux  sanguins  dans  la  membrane  du  corps 
vilré  et  du  cristallin ,  XLV.  292. 


DES  MATIERES.  67g 

Cristallin ,  XLV.  3o  i .  —  Humeur  aqueuse  et  sa  membrane  > 

XLV.  3o3.  ^ 

Conclusion,  XLV.  3i4. 
PROClDENCEj  XLV.  3i8.  —  Procidonce  de  l'iiis,  ihid.  — 
Sa  description  ,  XLV.  3 19.  —  Ses  phénomènes  ,  ihid.  — 
Ses  causes,  XLV.  320.  — Son  tiaite}nenl ,  ibid. 
PROCTALGIE  ;  considérations  générales  sur  cette  alfeclion  , 
ies  maladies  dans  lesquelles  on  l'observe  ,  et  les  indicalious 
curalives  qu'elle  présente  à  remplir,  XLV.  320. 
PROCTILE  ;  définition,  XLV.  52i.  —  Description  ,  ibid. — 
Symptômes,  zZ>;rf.— Causes ,  ibid. —  Trailemenl,   XLV. 

PROCTOCÈLE;  définiiion,  XLV.  3i2. 

PllO-  TOSE  ;  défini  lion  ,  XLV.  322.  —  Causes  el  phénomènes , 

ibid.  — Traitement,  XLV.  323. 
PRODUCTION;  considiirations  géne'rales    sur    les  produc- 
■  lions  composées  ,   leur  formation  ,  leur  terminaison  et  leur 
traitement ,  ibid. 

Considérations  géne'rales  sur  les  productions  organiques  , 
leur  formation,    leur  fréquence,  les  malad-ies  daii^  les- 
quelles ou  ies  observe  ,  les  moyens  de  les  piévenir ,  XL\. 
32  5. 
PROÉGUMÈNE;  XLV.  325. 
PROEMLNEN T,  XLV.  325. 

PROFESSEUR;   considéiations  géne'rales  et  historiques  sur 
renseignement  delà  science,  les  professeurs  publics  et  leurs 
devoirs  ,   los  professeurs  particuliers  ,  XLV.  325. 
PROFESSION  ;  XLV.  333.  XXV.  286.  LUL  3o{J.  —  Néces- 
sité des  professions,  XLV.  353. 

Leur  influence  physique,  XLV.  535. —  Leur  infl  lenco  sur 
in  moral ,  XLV.  oSp.  —  Leur  classification  ,  XLV    S.jS. 
Professions  dans  les({uelles  l'esprit  surtout  est  exercr  ,  XLV. 
344-  —  Gens  de  letlies,  ibid.  —  Savans,   ibid. —  Ar- 
tistes, ibid. 
Professions   dans   lesquelles  le  corps  surtout  est  occupe, 

ibid. 
Professions  dans  lesquelles  l'on  n'emploie  rien  d'insaluuie, 

XLV.  545. 
Professions  qui  exi:;cnt  beaucoup  de   forces  musculaires  , 

ihid.     • 
Professions  qui  exif^ent  des  attitudes  vicieuses  de  quelques 

parties  du  corps,  ibid.  ** 

Professions  sédentaires  qui  n'exigent  que  peu  d'action  nuis- 

culairc,  XLV.  348. 
Professions  qui  exigent  l'usage  trop  fréquent  de  l'orgiitie  de 
Ja  voix  ,  ibid. 


68o  TABLE 

Professions  qni  exigent  l'usage  prolongé  de  quelque  organe 
des  sens,  XLV.  347. 

Professions  traumatiques,  c'est-à-dire  dans  lesquelles  on  est 
expose'  à  être  blessé  par  les  iustrumeus  qu'on  emploie  j 
XLV.  348. 

Professions  nuisibles  par  les  lieux  où  elles  s'exercent,  l'at- 
mosphère  dont  ou  est  entouré,  ou  les  matériaux  qu'on 
emploie,  ibid. 

Professions  qui  s'exercent  dans  des  lieux  bas  et  humides, 
ibid. 

Professions  nuisibles  à  cause  des  matières  gazeuses  à  l'ac- 
tion desquelles  on  se  trouve  exposé,  XLY.  549- 

Professions  dans  lesquelles  on  emploie  des  matériaux  nui- 
sibles ,  XLV.  35o. 

Substances  nuisibles  par  la  pcnétralion  de  leurs  molécules 
pulvérulentes  dans  les  voies  intérieures,  ibid. 

Matière  amylacée,  ibid.  —  Substances  pulvérisées,  XLY. 
35i.  —  Matières  pierreuses,  grès,  etc.  ,  ibid.  —  Matières 
pulvérulentes  nuisibles,  ibid. 

Profession^  dans  lesquelles  on  travaille  des  matières  nuisi- 
bles, XLV.  352.  ; —  des  métaux  ;  iZ;/^.  —  des  substances 
diverses ,  ibid. 

Professions  dans  lesquelles  on  est  susceptibles  d'acque'rif 
des  maladies  par  communication,  XLV.  353. 

Professions  dans  lesquelles  on  est  susceptible  d'acquérir  des 
maladies  par  communication  avec  des  enfans,  ibid. 

Professions  dans  lesquelles  on  est  susceptible  d'acquérir  des 
maladies  par  communication  avec  des  adultes  ,  tZ^zW. 

Auteurs  qui  en  ont  traité,  XliV.  556. 
PROFOND;  XLV.  356. —  Description,  connexions  et  usages 

du  muscle  profond  ,  XLV.  35^. 
PRONOSTIC;  XLV.  358. 

PROGRESSION j  considérations  générales,  XLV*  558. 
PROLAPSUS  ;  XLV.  359.  • 

PROLEPTIQUE;  définition,  XLV.  359. 
PROMENADE;  considérations  générales  et  historiques  sur  la 

promenade,  ses  effets  sur  l'écojjomic,son  emploi  médicinal , 

XLV.  359.  —  Manière  dont  elle  peut  opérer  la  cure  des 

maladies  nerveuses,  I.  201. 
PROMENOIR j  XLV.  567.  —  Considérations  générales  sur 

les  promenoirs,  leur  indispensabilité  dans  les  hôpitaux,  les 

conditions  qu'ils  doivent  réunir,  et  les  règles  de  leur  emploi, 

XLV.  368. 
PRONATEUPi;  XLV.  36g.  — Description,   connexions  et 

usages  du  muscle  grand  ou  rond  pronateur ,  ibid.  ;  —  «lu 

muscle  pfitii  ou  carré  pronateur,  XLV.  370. 


DES  MATIERES.  68 1 

PRONATJON;XL\.37o. 
PRONONCIATION;  XLV.  371. 
PRONOSTIC  ;  considëralious  générales  ,  XLV.  372. 

Nccessilépouile  tncdccin  d'établir  son  pronostic,  XVL.BtS. 
Inccriilude  du  pronostic,  XLV.  3^7, 

Le  pronostic  considéré  d'une  manière  générale,  dans  les  di- 
verses alleclioiis ,  XLV.  583. 
Variétés  relatives  au  t^enre  et  à  l'espèce  de  maladie,  l'bid.  ; 
—  à  l'âge  ,  XLV.  58(3;  ^«au  sexe,  XLV.  087  ;  —  au  tem- 
pérament,  XLV.  589;  — aux  aOections  de  l'ame,  XLV. 
Sqo  j  —  à  !a  saison  et  au  climat,  XLV,  Syi, 
Crises ,  XLV.  5i;2. 

Ce  qu'on  entend  par  signes  pronostiques  ,  XLV,  394. 
Slgnts  tiiés  de  l'habitude  extérieure  du  corps,   des  mouve- 
mens  et  de  la  position  ,  XLV.  596;  — de  J'élal  de  l'ame 
€l  des  facultés  intellecluellts  ,  XLV.  397  ;  —  de  la  res- 
piration,  XLV.  399;  — ^  de  l'état  des  piemicres  voies  , 
XLV.  400  ;  —  du  sommeil ,  XLV.  4oi  ;  —  des  douleurs, 
XLV.  402. 
Auteurs  qui  ont  traité  du  pronosUc,  XLV.  4o4. 
PROPATHIE;  XLV.  4oG. 

PROPHYLACTIQUE  ou  PROPHYLAXIE;  considérations 
générales  sur  la  prophylactique,   son  étendue,  ses  bases  et 
la  manière  de  la  diriger,  XLV.  406. 
PROPHYLE  ;  définition  ,  XLV.  4 18. 

PROPoLLS;  description,  propriéte's  cl  usages  de  celte  subs- 
tance, XLV.  4 '8. 
PROPORTION  ;  XLV.  420.  —  Le  plus  ou  le  moins  de  jus- 
tesse des  proportions  du  corps  établit  les  divers  degrés  de 
beauté ,  ibid. 
Les  proportions  établissent  les  divcis  degrés  de  la  force  et 

de  la  santé,  XLV.  ^12. 
Variétés  des  proportions  suivant  l'âge,  XLV.  4'i7  ;  —  sui-. 
vant  le  sexe,  XLV.  4'^9  '  —  suivant  le  tempérament, 
XLV.  i52;  — suivant  les  modes,  les  iiabitudes  ,  les 
moeurs,  ibid.  ;  —  suivant  les  professions,  XLV.  433j  — ^ 
suivant  les  climats  ,  XLV.  434» 
Proportions  des  divers  sjslèines  de  l'e'conomie  entre  eux , 

XLV.  4  \5. 
Proportions  des  viscères,  XLVII.  436. 
PROPRETE  ;   considérations  générales  sur  la  propreté,  ses 
avantages  ,  les  abus  qui  peuvent  en  résulter  ,  et  les  maux  que 
peut  causer  la  malpropreté,  surtout  dans  quelques  profes- 
sions, xfjV.  437. 
PROPRIÉTÉ  ;  considérations  générales  sur  les  propricics  des 

TABLE    I.  8j 


68?.  TABf.E 

corps,  sur  celles  en  particulier  des  corps  organisés  vivans, 
Jeurs  principaux  pliénomènes  pcndamla  vif,  cl  tncm«  après 
la  mort,  et  les  conséquences  qu'on  peut  en  tirer,  XLV.  44^- 
Composiliou  et  usages  de  l'elixir  de  propriété,  XLV.  ^66, 

PROPTOME;  définition  ,  XLV.  460.  —  Considérations  yé- 
néralcs,  XLV.  467. 

PROPTOSE;XLV.467. 

PROSCARABE  ;  description,  propriétés  et  usages  de  cet  in- 
secte ,  XLV.  4^7' 

PROSECTEUR;  considérations  générales  et  historiques  sur 
les  prosetteurs  ,  leur  institution  ,  leurs  fonctions,  leur  utilité 
pour  l'avancement  de  la  science,  la  manière  dont  ils  sont 
choisis ,  XLV.  468. 

PROSOPALGIE  ;  maladies  dans  lesquelles  on  observe  ce 
symptôme,  indications,  curalives  qui  en  découlent,  XLV. 

474.     • 
PROSOPOSE;  définition,  XLV.  475. 
PROSOSTaSEj  définition,  XLV.  475. 
PROSTATE;  description  de  celle  glande,  XLV.  473. — Son 

organisation,  XLV.  476. 

Considérations  pathologiques,  XXX.  SSg.  XLV.  4^6. 

Engorgement  variqueux  ,  XLV.  477- 

Concrétions  pierreuses,  IIL  645.  XLV.  47^'  —  Analyse  de 
ces  calculs  ,  IIL  467. 

Volume  excessil"  de  la  prostate,  XLV.  479-  —  Causes  de 
son  induration,  IIL  176.  —  Pourquoi  elle  est  plus  fré- 
quente chez  les  vieillards  ,  ibî^. 

Le  squirre  de  ce  corps  passe  rarement  à  l'état  de  cancer  ul- 
céré, III.  645. 

Caractères  de  la  phlegmasie  chronique,  ibid. 

Description   des  prostates  iniérieures  ,  ou  petites  prostates  , 
XLV.  47q. 
PROSTATIQUE;   XLV.   480.  —  Muscle  prostatique  supé- 
rieur, ibid.  —  Muscle  prostatique  inférieur,  ibid. 
PROSTITUTIOr*f  ;    considérations   générales    et  historiques 

sur  la  prostitution,   ses  effets  sur  le  moral  et  le  physique 

des  hommes,  XLV.  4^0. 

Réglomerts  relatifs  aux  prostituées  à  Paris,  XLV.  490. 
PROSTRATION;  considérations  générales  et  historiques  sur 

Ja  prostration ,   phénomènes    qu'elle  présente ,    ses   causes, 

conclusions   et   inductions  de  thérapeutique  qu'on  en  peut 

tirer,  XLV.  49^. 
PROTHESE;  considérations  générales  et  historiques  sur  la 

prothèse,  et  les  moyens  qu'elle  emploie,  XLV.  5io. 
PROTHOPATHIQUÈ;  XLV.  4.5. 
PROTOXIDE;  XLV.  4'3. 


DES  MATIERES.  6^53 

PROTUBÉRANCE  ;  XLY.  41 5. 

PROVERBE;  histoire  des  proverbes  médicinaux,  XLV.  4i4- 

PROVOCATOIRE;  XLV.  517. 

PRUDENCE;  XLV.  517.  — Considérations  générales  sur  la 

prudence  nécessaire  au  médecin  ,  eL  sur  les  obligations  qu'elle 

lui  impose  ,  XLV.  5 18. 
PRUNE ,  L  386.  XLV.  5^6. 
PRUWIER;  description  ,  propriétés  et  usages  des  plantes  de 

ce  genre,  XLV.  526. 
PRUNELLIER;  desctiption,  propriétés  et   usages   de  cette 

plante  ,  XLV.  5:.o. 
PRUNELLE;  XLV.  55i.  —  Sel  de  prunelle,  ibid. 
PRURIGIE  ou  PRURIGO  ;  délinition,  XLV.  532. 

.Tableau  du  prurigo  formicaiil ,  XLV.  533.  —  Son  influence 
sur  les  maladies  intelleclutlles,  XLV,  636.  —  Sa  ter- 
minaison, XLV.  537. 

Résultats  de  l'examen  cadavérique,  ibid. 

Ses  causes,  XLV.  53y.  —  Son  liailemcnt  ,  XLV.   54'. 
PRURIT;  XLV.  544.  —  Causes,  ibid.  —  Maladies  qu'il   ac- 
compagne ,  ibid.  —  Moyens  d'y  remédier  ,  XLV.  545. 
PRUSSIATE;  considérations  générales,  XLV.  5^6. 

Propriétés  du  cyanogène,  ibid,  —  Hydio-cyanate  de  1er, 
XLV.  547.  —  Cy;inure  de  niercure ,  XLV.  548.  —  Pius- 
siate  de  potasse,  ibid. 
PRUSSIQUE  ;  considérations géucralcs  sur  cet  acide  ,  XLV. 

55o. 

Son  histoire  ,  XLV.  55i. 

Son  développement   spontané  et    accidentel ,    XLV.    555  ; 

—  dans  le  sang  ,  ibid. ,  —  dans  le  lait,  XLV.  556  ;  — dans 
les  urines  ,  ibiJ.  ;  —  dans  les  sueurs,  ibid.;  —  dans  les 
crachats,    XLV,    557;  — '^^"^  les  voiuissemens ,  ei/VA  ; 

—  dans  la  sérosité,  ibid.  ,  — •  dans  la  suppuration  ,  ibid.  ; 

—  dans  les  excrémens ,  ibid. 

Formation  artihciellc  et  extraction  de  cet  acide  ,  XLV.  558. 

Ses  propriétés  physiques  et  chimiques,  XLV.  55cj. 

C'est  lui  (jui  donne  ramerlurae  et  la  tonicité  à  beaucoup  de 
semences  émulsives  ,  L  355. 

Ses  usages .  XLV,  562. 

Son  action  physiologique  et  toxique  sur  l'homme,  XLV. 
564;  —  sur  les  autres  mammifères,  XLV.  567  ;  —  sur 
les  oiseaux  .XLV.  56c);  — sur  les  reptiles  et  les  poissons, 
ibid.  ;  —  sur  les  mollus(iues,  XLV.  570  ;  — sur  les  vers , 
ibid.  ;  —  sur  les'crustacés ,  ibid.  ;  —  sur  les  insectes  ,  ibid.  ; 

—  sni-  les  zoophytes,  ibid.  ;  —  sur  les  végétaux,  ibid. 
Variations  qu'aïqiorient  dans  son  action  l'âge,  le  sexe  et  1- 

tcnipciamcni ,  III.  171. 


6134  TAIU.E 

Traitement  de  rcnipoisomicmcnt  causé  par  lui;  discussion 

d'une  (jueslion  mt-dico-légale  à  ce  sujet,  XLV.  572. 
Applications  qu'on  en  a  faites  à   Ja  thérapeutique  ,  XLV. 
675  ;  —  dans  les  fièvres  et  phlegmasies  ,   XLV.  576  ;  — 
dans  les  hémorragies,  ibid.;  — dans   les  névroses,  ibid.; 
—  dans  les  maladies  oiganir|ues,  XLV.  578;  —  dansiez 
maladies  vertnineuscs  ,  XLV.  58o. 
Modes  d'admitiislralion,  zi?»/V:/. 
Auteurs  qui  en  ont  traité,  XLV.  58i. 
PSAMMISME;  dcfiuiiion,  XLVl.   i.  , 
PSELLISME;  définition,  XLVL  I. 
PSEUDARTHKOSE;  XLVL  i. 

ÏSEUDO   ASTHME,  XLVI.  3. 

PSEUDO-ELEPSIE,  ibid. 

PSEUDOllYDROPYSlE  ,  ibid. 
PSEUDO-LIEN  ,  ibid. 
PSEUDO-MEDECIN.,   XLVL   4* 

PSEUDO-  MOLE ,  ibid. 
psEuno-PHTHisiE ,  ibid. 

PSEUDO-PLEURESIE,  ibid,] 

PSEUDO- POLYPE,  ibid. 

vsEUDO-REXiE ,  ibid. 

PSILAPHIE;  XLVL  4. 

PSILOTHRë;  XLVL  4. 

PSITTACION;  acceptions,  XLVL  4. 

PSOAS  ;  description,  connexions  et  usages  du  muscle  granJ 

psoas,  XLVI.  4. 

Du  muscle  petii-psoas  ,  XLVL  5. 

Considérations  pathologiques  sur  les  muscles  psoas,  XLVL 
6.  —  Leur  inflammation  ,  ibid.  —  Leur  rupture  ,  ibid.  — 
Leur  ossification  ,  ibid. 
PSOITE  ;    XLVL   6.  —  Description    de    celte  phlegmasie  , 

XLVI.   7.  —  Considérations   gcnéralcs    sur    sou   hisloiie  , 

XLVL  8. 
PSORA;  définition,  XLVL  9. 
PSOKALEA;  description,  propriétés  et  usages  de  ce  genre 

de  plantes,  XLVI.  9. 
PSOIUASIE;   dctiMiti..n,  XLVL  q. —Description,   XLVI. 

10.  —  Causes .  ibid.  —  Traitement ,  ibid. 
P.>ORIQLlE;  XLVI.  10. 
PSOROPHTALMIE;  XLVI.  10. 
PSYCHAGOGIQLE;  XLVL  11. 
PSYCHOLOGIE;  considérations  ge'néralcs  sur  l'cxislencc  de 

l'ame,  XLVI.  u. 

Diverses  considérations  sur  la  puissance  animatrice  des  ani- 
maux et  de  l'homme  en  paiiiculier ,  XLVL  14. 


DES  MATIERES.  Or^S 

Dlffeiens  degrés  de  l'inlelligcnce  cl  de  Tame  cliez  les  ani- 
maux ,  XLVI.  17. 

Siose  de  l'amc  pensante   chez  rhomme  et  les  animaux , 
XLVI.  19. 

Division  de  J'aninialitc',  XLVI.  10. 

Rctlicrclies  sur  les  propriclés  de  la  force  qui  anime  les  corps 
vivans ,  iln'd. 
PSYCHOMÈ'IRE;  XLVI.  i5. 
PSYCHllQUE;  XLVI.  25. 
PSYDRACIE;  XLVL  25. 
PSYLLE  ;  XLV!.  26. 
PSYLLION  ;  description  ,  propriétés  et  usages  de  celte  plante, 

ibitl 
PTARMIQUE:  XLVL  27. 
PTEROCARPE;  propriétés  et  usages  des  plantes  de  ce  genre, 

XLVI.  3i. 
PTERYCÎONE;  XLVL  27. 
PPERYGION;  m.  587.  XLVL  27.— Description,  causes  et 

traitement  de  cette  affeciion  ,  XLVI.   27. — Plcrjgion  des 

doigts  et  des  orteils,  XliVI.  28. 
PTERYGOANGULO  MAXILLAIRE;  XLV].  28. 

PTKUYGO-COLLl    MAXILLAIRE  ,    XLVI.    28. 

PTERYGOIDE;  XLVI.  28. 

PTERYGOIDIEN;  XLVI.  29.  — Fosse  ptérygoïdienne,  ibid. 

—  Conduit  ou   trou  ptéiy^oïdien  ,  ihid.  —  Aitcre  ptciyf^oï- 
dientie  cxleme,  ibid.  —  Ancre  picrygoïdit-iine  intcrm',  ihid. 

—  Nerf  piéiyijoïdien  interne,  ibid.  — Muscle  piérvg<  ïilitn 
exiorne,  ibiri.  —  Muscle  ptc-rygoiMioii  iijlcrnc,  XLVi.  3o. 

PTERYGO-MAXILLAIRE;  XLVI.  3o. 

PTERYGO-PALATiN,  /'^<V/.  — Tiou  plerygo  - pa'atiu  ,  ibid,  — Ar- 
lèie  piéiygo  n;»l;>litie,  ibid. — V  tiue  picrygo-pulatiuc  ,  ibid. 

FTtRYGO-PIIARYNGlEN  ,   ibid. 
PTtliYGO   STAPHYLIN,  ibid. 
PTÉRYGO-SYNDESMO-STAPHIU-PHARYNGIEN,  ibid. 

PTILOSK;  XLVI.  ^i. 

PllSANE;  XLVI.  3i. 

PiYALAGOGlJE;XLVl  3f. 

PTYALlSiUK;  XLVI.  5-. 

PÏYSIMAGOGUE;  XLVI.  32. 

IUaNTLUK;  XLVi.  52. 

PUlJÈRE;  XLVI.  32. 

PLJjEUTE;  consid<ialions  générales  et  historiques  sur  la  pu- 
berté ,  divers  usages  des   peuples  lelativemcnl  à  elle  f  épo- 
que (ju'on  lui  a  assignée,  XLVI.  32. 
Phénomènes  généraux  qui  fa  caractérisent ,  XLVI  34- 
Appareil  générateur  ,  ihid.  —  Système  osseux,  ibid.  —  Sys- 


686  TAHLE 

lèiiie  sanguin  ,  iuid.  —  Syslèoie  nerveux,  XLVl.  55.— 
Cervelet,  XLVl.  36.  — Système  glandulaire,  ibid.  • — 
Tissu  cellulaire,  ihid.  —  Viûsseaux  capillaires  ,  ibid. — 
Système  pileux,  ibid.  —  Parties  de  la  l'ace,  ihid.  —  Fonc- 
tions viscérales,  XLVl.  3'j. 

Phénomènes  propres  à  l'homme,  Xl."i8g.  XLVJ.  38. 

Action  des  testicules  sur  l'économie  animale  de  l'homme, 
XLVl.  4i. 

Phénomènes  propres  à  la  femme,  XLVl.  ^-i.  —  Actioti  des 
ovaires  sur  l'ècononiie  animale  de  la  femme,  XLVl.  ^-j. 

Variétés  que  l'époiiue  de  la  puberté  présente  suivant  le 
sexe,  XLVl.  4^;  —  suivant  le  climat  ,  ibid.;  —  suivant 
les  mœurs,  XLVL  5i. 

Cas  de  puberté  précoce  chez  un  garçon ,  IV.  2o3  ;  —  chez  de 
jeunes  filles,  ibid. 

La  puberté  considérée  comme  moyen  curatif,  XLVL  52;  — 
comme  cause  de  maladie,  XLVL  55. 

Règles  d'hygiène  à  observer  au  moment  de  la  puberté  , 
XLVL  56. 

Circumfusa  ,  ibid. —  Applicata^  ibid.  —  Vèlemens  ,  XLVL 
57.  —Lit,  XLVL  58. 

Ingénia.^  ibid. — iijrrreZrt,  XLVL  Sq.  —  Gesla,  ibid.— 
La  promenade  ,  la  course,  la  natation,  le  jeu  de  paume, 
l'escrime,  ibid.  —  La  danse,  XLVL  60.  —  La  musique, 
XLVL  61.  —  Le  repos,  XLVL  62.  —  La  veille,  le  som- 
meil ,  ibid.  "-—  Passions,  XLVL  63. 
PUBIEN  ;   XLVl.  64.  —  Symphyse  pubienne  ,  ihid.  —  Trou 

sous-pubien,  ihid.  —  Anneau  sus-pubien  ,  XLVl.  65. 

Organes  que  renferme  Ja  région  pubienne,  ï.  37. 
PUBIO-FEMORAL;  descrij)lion,  connexions  et  usages  de  ce 

muscle,  XLVl.  65.     , 

Description,  connexions  et  usages  du  muscle  sous  pubio  fé- 
moral ,  ibid. 

rUBIO-SOUS-OMlilLICAL  ,  XLVl.  Ç>^. 

PUBIS  j  XLVl.  66.  —Description  de  cet  os,  111.  26.  XLVl. 

66.- — Diffureuces  (ju'il  présente  chez  le  fœtus,  l'adulte,  la 

femme,  rhomme,  ill.  26.  XLVl.  66. 

Description  et  structure  de  l'arliculalion  des  pubis  entreeux  , 
m.  28. 

Mobilité  obscure  de  cette  articulation,  111.  29. 

Autres  moyens  d'union  entre  les  pubis,  ihid. 
-  Ecarteraent  des  blanches  et  de  ces  os  pendant  la  grossesse  et 
les  couches,  par  l'effet  du  ramollissement  et  de  l'augmen- 
tation naturelle  de  volume  de  leurs  cartilaiîcs  ,XLV1.  70, 

Controverse  relativement  auxUvanlages  clauv  iucouvéuicus 
de  cet  écar'.cnical ,  XLVl.  72. 


DES  MATIERES.  687 

Section  de  la  symplij'se  du  pubis,  XLVI.  58. 
PUCE  ;  description  de  cet   insecte,  XLVI.  7b.  —  Son  accou- 
plement, ibid.  —  Sa  piqûre ,  XLVI.  79.  —  Moyens  de  les 

àclruiie ,  ibid.  * 

PUDENDAGRE  ;  XLVI.  80. 
PUDENDUM;  XLVI.  80. 
PUDEUR;  considérations  générales  sur  la  pudeur,  ses  causes 

et  SCS  résultats,  XLVI.  bo. 
PUDICITE  ;  considérations  générales  et  Iiistoriques  sur  la  pu- 

dicilé,   et   les  lois   qui  favorisent   les  femmes  impudiques, 

XLVI.  82. 
PUERPERAL  ;  XLVI.  88.  —  Fièvre  pneipérale,  ibid.  — 

ija  nature,  ibid.  —  Ses  causes,  XLVI.  bg. 

Examen  des  questions  suivantes  :  si  la  fièvre  puerpérale  est 
une  fièvre  essentielle,  XLVI.  qo. 

Si  elle  consiste  dans  rinfianimulion  de  la  matrice,  XLVI. 
Ç)i;  —  dans  une  affection  du  tissu  niuqueux  de  la  matrice 
après  l'accouchement,  XLVI.  ç)^  ;  • — du  tissu  cliainu, 
XLVI  93  j  —  du  tissu  séreux ,  XLVI.  94. 

Si  elle  est  une  inflammation  des  viscères  du  bas-ventre,  ibid. 

Si  elle  consiste  dans  l'inflammation  du  péritoine,  XLVI.  g5. 

Histoire  de  la  péiiloniie  puerpérale,  XLVI.  97. 

Ses  causes  ,  iliid.  —  Invasion  ,  XLVI.  100.  —  Ses  symplô- 
mes  particuliers  on  caractéristiques  ,  XLVI.  loi.  —  Ses 
symptômes  généraux  ou  sympathiques,  XLVI.  102.  — 
Sa  marche,  XLVI.  io3. 

Sa  terminaison  par  résolution,  ibid.;  —  par  suppuration  , 
XLVI.  lo^  ;  —  par  gangrène,  XLVI.  io5  ;  —  par  chro- 
nicité ,  ibid. 

Son  pronostic,  XLVI.  106. 

Résultats  généraux  des  ouvertures  ca<lavériques,  XLVI,  107. 

Analyse  chimique  de  la  matière  li<|uide  que  l'on  trouve 
dans  l'abdomen  des  cadavres,  XLVI.  109. 

Complications  diverses  de  la  péritonite  puerpérale  avec  les 
fièvres  primitives  qui  constituent  les  principaux  types  de 
la  maladie  appelée  fièvre  puerpérale  ,  XLVI.  11 3. 

Péritonite  puerpérale  compliquée  de  fièvre  angioténique, 
ibid.;  —  de  fièvre  méningo-gasirique,  XLVI.  ii4;  — 
de  fièvre  adéuo-méningée ,  XLVI.  ii5  ;  —  de  fièvre  ady- 
namique,  XLVI.  116  j  —  de  fièvre  ataxique,  XLVI.  117; 
—  de  lièvre  intermiltenle,  XLVI.  n8. 

Traitement  de  la  péritonite  puerpérale,  XLVI.  120J  — 
dans  son  invasion  ,  ibid.  ;  —  dans  son  développement 
complet,  XLVI.  122. 

Traitement  de  la  complicaiiun  avec  les  fièvres  primitives , 
XLVI.  ï'^4;  — ^^'^'^  '^  fièvre  angiolcniquc,  ibid.;  — avec 


6B8  TABLE 

la  fièvre  m4ningo-gaslric{ue,  XLYl.   120;  —  avec  la  fiè- 
vre adéno-meningée  ,  XLVl.  127;  — avec  la  fièvre  a(l\- 
namique,  XLV!.  12B;  —avec  la  fièvre  alaxique,  XLVl. 
*      1^9»' — avec  la  fièvre  intcrmiueute  ,  ibid. 

Auteurs  qui  en  ont  traite,  ibid. 
PUGILAT  5  considéralions  gcncrales  et  historiques  sur  cette 
partie  de  la  gyfiinastique  des  anciens,  ses  divers  proccidés  , 
et  ses  résultais  fàclieux,  XLVl.  i3o 
L'action  de  i)oxer  comparée  au  pugilat,  XLVl.  i34. 
PUISSANCE;  diverses  manières  d'envisager  celte  expression, 

XLVl.  i35. 
Puissance,  rtlativeaiont  à  îa  mécanl(|ue  animale,  ihid.  —  Puis- 
saur.e  vitale,  XLVl.   i36. —  Puissance  virile ,  XLVl.    137. 

—  Pui>sance  ou    supéiiorilé  relative  des   homme»,   ihid. — 
Puissance  de  volonté,  ibid. 

PUITS;  ccnsidéralions  gcncyiles  sur  les  maladies  descnrcurs 
de  |)uils,  leurs  causes  et  les  moyens  de  les  prévenir,  XLVl. 
i58. 
Curcurs  dVgoûis,  XLVl.  \l\0. 

PULlCAlllE;  XLVl.  i4i. 

PULMONAIRE j  XLVl.    i4i.— -Artère  pulmonaire,  ibid. 

—  Sun  organisation  ,  XLVl.  \f\'S. 

Veines   pulmonaires,  ibid. — Plexus  pulmonaire,  XLVl. 

144. 
Description,  propriétés  et  usages  de  la  plante  appelée  pul- 
inotiiiire,  XLVI.  1  45. 

PULMONIE;  difi.ii lion,  XLVl.  146. 

PULMONIQUE;  XLVl.  1  46. 

PULPE  ;  considérations  générales  sur  les  pulpes  des  végétaux  , 
la  manière  de  les  extraire  ,  leur  conservation  et  leurs 
usages ,  XLV  1.  i4<>. 

PULPEUX    XLVl.  148. 

PULPOIR;  XLVl.  i4B. 

PULSaTIF;  Jifiiiiii.)n,XLVI.  148. 

PULSATILLE  ;  description  ,  propriétés  et  usages  de  cette 
plante-,  XLVl.   149. 

PULS  \TIOi\  y  considérations  générales  sur  les  pulsations  na- 
turelles, accidentelles  ou  morbides,  et  les  points  de  l'éco- 
nomie où  elles  se  manifestent,  XLVl.  i5o. 

PULSIMAlNTIE;  considérations  générales  sur  la  pulsimaniie, 
son  abus ,  et  les  limites  auxquelles  elle  doit  être  réduite , 
XLVl.  i5i. 

PULSIMETRE;  XLVl.  i55. 

PULVERISATION  j  considérations  générales  sur  la  pulvéri- 
sation, les  diverses  manières  d'y  procéder  avec  ou  sans  in- 


DES  MATIERES.  689 

termèdes ,  îe  choix  de  ces  dernières  suivant  les  substances 
que  l'on  veut  pulvériser,  les  résultats,  XLV.  i53. 
PUNAISj  puanteur  qui  dépend  des  maladies  du  nez,  XLVI. 
1 57  j  —  ou  du  catarrhe,  XLVI.  1 58  j  —  ou  de  l'ozène ,  ibid. 
Puanteur  du  nez  sans  causes  morbides,  XLVI.  160. 
Puanteur  du  nez  qui  provient  des  maladies  de  la  bouche  , 

ibid.  ;  —  des  parties  placées  audessous  de  la  tête,  ibid. 
La  puanteur  du  nez  considére'e  sous  le  rapport  de  la  méde- 
cine légale,  XLVI.  162. 
PUNAISE;  description  et  mœurs  de  cet  insecte,  XLVI.  164. 
—  Effets  de  sa  piqûre  ,  ibid,  —  Moyens   de  le  détruire 
XLVI.  i65. 
PUNAISIE;XLVI.  i65. 
PUOGENIE  ,  XLVI.  166. 
PUOTURIE;  XLVI.  166. 

PUPILLAlRE  ;  description  de  cette  membrane,  XXIV.  141, 
XXVI.  Ç»^.  —  Epoque  de  sa  rupture  ,  ibid.  —  Son  injection  , 
XLVI.  168.  —  Formation  de  l'anneau  artériel  de  l'iris,  ibid. 
PUPILLE  ;  XLVI.  169.  —  Variétés  que  présente  la  pupille  , 
XLVI.   170;  —  dans  sa  position,  ibid.;  —  dans  son  dia- 
mètre ,  XLVI.  1 7  1 5  —  dans  sa  forme  ,  ibid. 
Sa  figure  ou  sa  disposition  ,  XLVI.  rj2. 
Différences  qui  existe  entre  la  petite  circonférence  de  l'iris  et 
le  reste  de  son  étendue,  XLVI.  174- 
Sensibiliié  de  la  pupille  ,  XLVI.  lyS. 
Action  de  la  belladone  sur  elle,  diverses  opinions  et  expé- 
riences sur  le  mécanisme  de  cette  action,  XLVI.  176, 
Dilatation  de  la  pupille  ,  XLVI.  178. 
Maladies  auxquelles  elle  est  sujette ,  XLVI.  17g. 
PURGATIF;  considérations  générales  sur  les  purgatifs,  leur 
emploi  et  leur  mode  d'action  ,  XLVI.  17g. 
Substances  médicinales  qui  possèdent  la  propriété  purgative, 

XLVI.  182. 
Convolvulacées,  ibid.  —  Cucurbitacées,  ibid.  —  Euphor- 
bes,XLVI.  i83. — Renonculacées,  ibid. —  Légumineuses  , 
ibid.  —  Polygonées  ,  ihid.  —  Aloès,  XLVI.  184.  —  Gut- 
tifères  ,  ibid. 
Substances  minérales  purgatives,  ibid. 
Formes  pharmaceutiques  qu'on  fait  prendre  aux  substances 

purgatives,  XLVI.  i85. 
Effets  immédiats  qu'elles  produisent ,  ibid. 
Leur  action  locale,  XLVI.    i86.  —  Irritation  qu'elles  pro- 
duisent à  la  surface  du  canal  intestinal  ,  XLVI.  187, 
Distinction  à  établir  entre  elles,  XLVI.  160. 
Précautions  à  prendre  lorsqu'on  les  administre ,  XLVI.  igt . 

TABLE    I  86 


ÔQO  TABLE 

Lear  action  sur  la   membrane  rausculeuse   des  inteslirïs  , 

XLVL  192. 
Déjections  "auxquelles  elles  donnent  lieu,  XLVl.  193.  — 

Quantité  de  ces  déjections ,  ibid.  —  Leur  nombre ,  XLVl. 

Quantité  des  matières  évacuées ,  XLVl.  196. 

Idées  des  anciens  sur  les  purgatifs,  XLVl.  199. 

Rôle  important  qu'ils  jouaient  dans  l'ancienne  médecine, 
IV.  428. 

Action  générale  des  purgatifs  ,  XLVl.  200. 

Leur  emploi  en  thérapeutique,  XLVl.  2o3j  —  dans  la 
fièvre  inflammatoire,  XLVl.  207  ;  —  dans  l'embarras  gas- 
trique, ihid.;  — dans  la  fièvre  ataxique,  XLVl.  208^ 
—  dans  la  fièvre  tjphode,  iLid.-j  —  dans  la  fièvre  inter- 
mittente, XLVl.  209. 

Dans  les  phlegmasies  cutanées,  muqueuses  et  séreuses, XLVl/ 
210. 

Dans  les  inflammations  des  organes  parenchymateux  ,  XLVl. 
312  ;  —  dans  les  rhumatismes,  ibid.  ;  —  dans  les  hémor- 
ragïfes,  ihid.;  —  dans  la  menstruation  tardive  ,  XLVl. 
2i5;  —  dans  les  affections  spasmodiqucs ,  ihid.  ;  — dans 
les  paralysies,  ihid.  ;  — dans  l'hypocondrie ,  la  manie ,  etc., 
XLVl.  2i4;  —  dans  l'asthme  ,  ihid.  ;  — dans  la  syphilis  , 
ihid.; —  dans  l'hydropisie  ,  XLVl.  21 5  j  — dans  la  lacta- 
tion, XLVl.  216. 

Auteurs  qui  en  ont  traite',  ihid. 
PURGAT10^^  ;  XLVl.  220. 
PURIFICATION  ;  considéralions  générales  sur  la  purification 

des  médicamens  simples  elles  diverses  manières  de  l'opérer, 

XLVl.  220. 
PURIFORME;    XLVl.    222.   —    Origine   des    fluides  puri- 

formes ,  XLVl.  228. —  Ciractcres  distinctifs  des  crachats 

puriformes  et  puruleus  ,  ibid. 
PURPURIQUE:  caractères  de  cet  acide,  XLV.  1 73.  XL  VI.  224. 
PURULEWTj  XLVl.  224. 
PUS;  définition,  XXII.  87.  XLVl.  2î4'  —  Le  pus  peut  exister 

dans  deux  e'tals  diflérens,  11.  52. — Le  pus  concret  finit  par 

s'organiser,  II.  55.  —  On  ne  doit  pas  le  confondre  avec  la 

sanie  renfermée  dans  les  abcès  ,1.2.-—  Il  est  acide  suivant 

Haller,  1.  iSg. 
PUSILA  (  eaux  minérales  de  ),  XLVl.  224. 
PUSILLANIMITÉ;  définition  ,  considérations  géne'rales  sur  la 

pusillanimité,  les  individus  chez  qui  on  l'observe  le  plus  fré- 
quemment, ses  causes,  ses  effets  et  les  moyens  d'y  remédier, 

XLVl.  2î5. 

Considérations  sur  la  poltronnerie,   les  lois  dont  elle  était 


DES  MATIEIŒS.  691 

l'objet  chez  les  anciens  peuples ,  les  dilféiens  noms  qu'on 

lui  a  donnés,  les  variété  qu'elle  présente,  ses  causes  et  son 

influence,  etc.,  ihid. 

PUSTULE  ;  considérations  générales  ,  XLVl.  246. 

Pustule  causée  par  une  piqûre  d'insecte,  XLVl.  247.  — Pustule 

psorique  ,  XLVi.  248. 
Pustule  produite  par  la  malpropreté  ,  ihid. 
Pu*/w/e  maligne    causée  par  le  contact   d'animaux  malades  ,^ 

ibid.  ;  —  causée  par  la  chaleur,  XLVl.  25o. 
Pustulechez  les  enfans  ,/è/c?.  —  Pustule  chez  les  femmes  grosses, 
ibid. —  Pustule  chez  les  adolcsccns,  XLVl.  26 1.  —  Pustule 
chez  les  vieillards,  ibid. 
Pustules  malignes,  pestilentielles,  ibid. 

Pustules  varioliques  ,   ihid.    — Pustules  pseudo  -  varioliques, 
XLVL  252.  —  Pustules  de  la  vaccine,  ibid.  —  Pustules  de 
la  pseudo-vaccine,  XLVI.    i52. 
Pustule  maligne  éiéphanliaque  ou    d'Alep,    XLVL   254.   — 
Pustule  critique  ,   ibid.  —  Pustules    péiiodiques   chez    le» 
femmes,  ibid. 
Pustule  syphilitique  ,  ibid.  —  Pustule  scorbutique,  ibid. 
Pustule  des  scionliuleux  ,  des  rh^matisans,  des  hypocondria- 
ques ,  XLVL  255. 

Causes   gétiérales  des  pustules,   ibid.  —  Leur   pronostic, 
XLVL  25^.  — Lulicalions  générales  du  traitement,  ibid. 
Définition  de  la  pustule  maligne,  XLVL    238.  —  Sa  des- 
cription ,  XLVL  25g. 
Première   période,   ibid.  —  Deuxième   période,  ibid.  — 
Troisième  période,   XLVL  260.  —  Quatrième  période  , 
ibid. 
Ses  causes,  XLVL  261.  —  Son  siège,  XLVL  203.  — Son 
diagnostic,  ibid.  —  3on    pronostic,  ibid.  —  Sa  termi- 
naison ,  XLVI.  264.  —  Ses  variétés  ,  ibid.  —  Son  traite- 
ment ,  XLVL  265. 
Caractères  qui   la   distinguent  du   charbon  et  de  l'autrax  , 
.     IL  i83.  XLVL  269. 
Considérations  générales  et  historiques  sur  les  pustules  ve'- 

nériennes ,  XLVL  271. 
Différentes  espèces  admises  par   les  auteurs,  XLVI.  278. 
Pustules  orliées,  ibid.  —  Pustules  miliaires,  XLVL  274.  — 
Puilules  galeuses  ,   ibid.  —  Pustules  lenticulaires  ,  ibid.  — 
Pustules  merisécs,   ibid.  —  Pustules  muqueuses,  ibid.  — 
Pustules  séreuses,  ibid.  — Pustules  sqammeuses,    XLVI. 
2-5.  —  Pustules  croùteuses  ,  ibid.  —  Pustules  ulcérées,  ibid. 
—  Pustules  vivaces  ou  végétatives,  ibid. 
Pronostic  des  pustules,  XLVI.   2^7.  — Leur  traitement , 
ibid. 
PU.->TULEUX  ;  XLVI. 208- 


6cja  TABLE 

PUTIET;  description,  piopriélés  et  usages  de  celle  plante, 

XLVI.  282. 
PUTREFACTION  ;  considérations  générales,  XLYl.  284. 
Circonstances   propies  h  favoriser  la  putréfaction ,  XLYI. 

284. 
Elle  n'a  lieu  qu'en  l'absence  de  la  vie,  I.  266.  XL'VI.  284. 
Elle  exige  le  concours  de  l'humidilé,  ibid.  ;  —  de  la  cha- 
leur,  XLVI.  285  ;  —  et  du  contact  de  l'air  ,  ibid. 
Phénomènes  qui  la  caractérisent ,  ibid. 
Produits  qu'elle  donne,  XLYI.  287. — Gaz  seplique ,  XLY I 

28S. 
Effets  de  la  putréfaction  sur  les  animaux  ,  XLYL  289. 
Moyen  do  s'opposer  à  son  action,  ibid. 
Utilité  qu'elle  peut  avoir,  XLYI.  290. 
PUTRIDE;  XLYI.  291. 

PUTUIDITÉ  ;  considérations  générales  sur  la  putridité  ,  ses 
causes,  son  action  sur  les  liquides  et  sur  les  solides,  dans 
l'état  de   maladie  comme  dans  celui  de  santé,  et  sur  le» 
moyens  de  s'y  opposer,  XLYL  2c;6.  —  Ce  qu'on  doit  en- 
tendre par  putridité  des  humeurs,  I.  256. 
PUTRILAGE;  XLYL  296  . 
PYCNOTIQUE  ;  XLYL  269. 
PYLOPHAGE  ;  XLYI.  296. 
PYLORE;  description  de  cet  orifice,  XLYI.  296. 
Son  mode  d'action,  XLYI.  298. 
Ses  maladies ,  ibid. —  Obstructions ,  squirre ,  cancer ,  ibid.  — 

Inflajumalion,  ibid. 
Auteurs  qui  en  ont  traité,  ibid. 
PYLORIQUE;  XLYL  3oi.  —Orifice  pylorique,  ibid.  — 

Artère  pylorique,  ibid.  — Yeine  pylorique,  ibid. 
PYLOSE;XLYI.  3o2. 
PYOGENIE;  considérations  générales  ,  XLVI.  3o3. 

Tissus  qui  peuvent  s'enflammer  et  fournir  du  pus ,  ibid. 
Influence   des    divers  systèmes  sur  la  formation  du  pus, 
XLYL  3o4.  —  Cette  formation  est  dépendante  de  la 
vie,  XLYl.  3 10. 
Caractères  du  pus  de  bonne  nature,  XLYL  3i4- — Causes 

qui  peuvent  le  modifier,  XLYL  3i5. 
Rapports  qui  existent  entre  ses  caractères  et  le  degré  d'in- 
flammation ,  ibid.  ;  —  enlre  lui    et    les    divers  tissus  , 
XLVI.  817. 
Mécanisme  de  sa  formation ,  XLYI.  524  ;  —  de  sa  résorp- 
tion ,  XLYL  326. 
Métastase  purulente,  XLVI.  827. 

Action  du  pus  sur  les  parties  avec  lesquelles  il   entre  en 
contact,  XLYL  539.  .—  Son  action  sur  les  plaies ,  ibid. 


DES  MATIERES.  6ij3 

Auteurs  qui  en  ont  traité,  XLVl.  33o. 
PYORRHEÊ;XLVl.  35i. 
PYRACANTHE  ;  description ,  propriéle's  et  usages  de  celte 

p)aDte,  XLVI.  53 1. 
PYRAMIDAL;  XLVL  35 1.  —Description  de  l'os  pyramidal 

ou  cunéiforme,  IV.  112.  XLVI.  35i  ;  —  du  mnscle  pyra- 
midal  du  iitz,  XLVI.   332; —  du  muscle  pyramidal  de 

l'abdomen  ,  ibid.  ;  —  du  muscle  pyramidal  de  la  fesse , 

ibid. 
PYRENACËES;  XLVI.  332. 
PYRENOCIDE;  XLVI.  333. 
PYRETHRE  ;   description  ,    propriétés   et  usage»  de  celle 

plante  ,  XLVI.  333. 
PYRETIQUE;  XLVI.  334. 
PYREÏOLOGIE  ;  XLVI.  334. 
PYRMONT  (  eaux  minérales  de);  XLVI.  354- 
PYRO-ACETIQUE;  caractères  de  cet  esprit,  XIV,  194.  XLV). 

354. 
PYROLE;  description,  propriétés  et  usages  des  plantes  de  ce 

genre  ,  XLVI.  ^34- 

De  la  pyrole  à  feuilles  rondes,  ibid.  — De  la  pyrole  en 
ombelles,  XLVI.  335. 
PYRO-LIGNEUX;  caractères  de  cet  acide,  XLVI.  335. 
PYROMETRE;  considérations  générales  sur  les  pyromètres, 

leur  origine,  leur  confection,  les  substances  avec  lesquelles 

on  les  construit ,  et  leurs  usages,  XLVI.  335.   . 
PYRO-MUQUEUX  ;  caractères  de  cet  acide ,  XLVI.  338. 
PYROPHORE  ;  considérations  générales  et  historiques  sur  le 

pyrophore  et  son  origine,  XLVI.  338. 

Manière  de  l'obtenir,  XLVI.  33(j. 

Ses  caractères  chimiques  et  physiques ,  ibid.  —  Ses  usages , 
XLVI.  540. 
PYRO-MALIQUE;  caractère  de  cet  acide,  XLV.  i65. 
PYRO-SEBAGIQUE  ^  caractères  de  cet  acide,   XLV.    171. 

XLVI.  14 1. 
PYROSIS;  considérations  générales  et  historiques,  IV.  5q. 

XLVI.  34.. 

Classification,  XLVI.  342.  — Description ,  ^■Z>;■rf. — Variétés, 

XLVI.  343.  — Caractères,  XLVI.  344.  —  Durée,  XLVi. 

345^.  —  Diagnostic,  ibid.  —  Pronostic,  ibid.  —  Causes, 

XLVI.  346.  —Traitement,  XLVI.  347. 

PYRO-SORBIQUE  ;  caracières  de  cet  acide  ,   XLV.    i63. 

XLVI.  349.  * 

PYRO-TARTAREUX;  caractères  de  cet  acide,  XLV.  i63. 

XLVI.  349. 
FYROTIQUE  ;  XLVI.  35o. 


694  TABLE 

PYRO-  URIQUE  ;  caractères  de  cet  acide  ,  XLV.  173.  XLVl. 

35o. 
PYULQUE  ;  XLVI.  35o. 
PYURIEj   définition,  XLVl.  35o.  —  Difficulté  d'établir  le 

diagnostic  de  cette  afleclion,  III.  178. 

Q 

QUADRIGA  ;  description  de  ce  bandage,  XLVL  35o. 
QUADRI JUMEAUX  5  XLVL  35i.  —  Tubercules  quadri- 

jumeaux  ,  ibid. 
QUALITES  j  influence  des  qualités  morales  sur  la  santé  et  la 

longévité,  XLVL  SS^. 

Sources  de  ces  qualités,  et  pourquoi  on  observe  tant  de  dif- 
férence dans  les  caractères ,  XLVL  SSg. 

Rapports  des  qualités  morales  avec  les  tempéramens  et  les 
habitudes  acquises,  XLVI   364- 

Causes  des  bonnes  et  mauvaises  qualités  morales,  leur  ac- 
tion sur  l'économie,  XLVI.  Sby. 
QUAMOCLIT  ;   description ,  propriétés  et   usages  de  cette 

plante  ,  XLVI.  372. 
QUARANTAINE;  considérations  générales   sur  les  quaran- 
taines ;  leurs  avantages  ;  réglemcns  qui  les  régissent  j  modi- 
fications qu'on  pourrait  y  apporter,  XLVI.  Z']i. 
QUARTE  ;  définition  de  la  fièvre  quarte  ,  XLVL  38i.  —  Ses 

causes,  XLVI.  382.  —  vSa  marche  et  sa  durée,  XI-VI.  384- 

—  Sa  terminaison,  XLVI.  3d3.  — Sa  classification,  XLVI. 

384. 

Fièvre  quarte  simple,  XLVI.  38^.  —  Fièvre  quarte  bi- 
lieuse, ihid.  —  Fièvre  quarte  muqueuse,  XLVL  388. 

Traitement  ,  XLVI.  389. 
QUASSIA;  description,  propriétés  et  usages  de  cette  plante, 

XLVI.  3q3. 
QUASSINÈ  ;  XLV.  188.  XLVI.  39^. 
QUEUE  jrédexions  sur  la  queue  dans  l'espèce  humaine,  XLVL 

589. 

Ce  qu'on  entend  par  queue  de  cheval  ,  XLVI.  397  ;  —  par 
queue  de  pourceau,  ihid.  ;  —  par  queue  de  souris,  ibid. 

Description^  propriétés  et  usages  de  cette  dernière  plante, /Z»/<7. 
QUINQUINA;  description,   propriétés  et  usages  de  ce  genre 

de  [fiantes  ,  \IiVI.  390. 

Partie  hiitoriquo  ,  XLVI.  400.  —  Partie  botanique,  XLVL 
410.  —  Partie  chimique,  XLVI.  44^-  —  Partie  pharma- 
ceutique, XLVI.  4<^9' 


DES  MATIERES.  6g5 

Piépaiàlions  de  quinquina  sous  formes  solides  ,  XLVI.  470, 

—  Pilules,  XLVI.  471.  — Extraits,  XLVI.  472.  —  Ex- 
trait alcoolique  ,  XLVI.  /^-j'â. 

Préparahons  de  quinquina  sous  forme  molle  ,  XLVI.  /J74. 

—  Bols,  ibid.  — Electuaires  extemporanes,  ibid. 
Préparations  de  quinquina  sous  forme  liquide,  XLVI.  475. 

—  Décoction,  infusion,  macération,  ibid.  —  Potions, 
mixtures  ,  XLVI.  47^-  —  V  in,  ibid. — Bière  ,  XLVL  477- 

—  Sirops,  ibid. — Teintures,  XLVI.  47B. 
Partie  économique  ,  XLVI.  479- 

Choix  des  écorces  de  quinquina  dont  ou  use  le  plus  fré- 
quemment ,  ibid. 

Plantes  cryptogames  qui  végètent  sur  le  quinquina,  XLVI. 
482. 

Commerce  du  quinquin'a  ,  XLVI.  485. 

Succédané^  de  cette  substance,  XLVI.  49' •  —  Croton  cas- 
cariila  ,  ibid.  —  Achras  sapola  ,  ibid.  —  Bornpiandia  tri- 
foliala  ,  ibid.  —  Guspa  ,  XLVI.  492.  —  Porllandia  hexan- 
dra  ,  ibid. 

Quinquina  de  Surinam,  ibid.  —  Quinquina  d'Atacamez, 
ibid. — Macrocuemumcorymbosum,XLVI.  4^3. —  Cornus 
sericea ,  ibid. 

Lirioilendrum  lulrpifeia  ,  ibid.  —  Swietenia  febrifuga,  ibid. 

—  Conocarpus  erecta  ,    ibid.  —  Paullinia  asiatica  ,  ibid. 

—  Brucea  ferrugiuea,  XLVI.  494*  —  Unanuea  febrifuga, 
ibid. 

Quassia  amara,   ibid —  Iva  frutescens  ,  ibid.  —  Calea  lo- 

bata  ,  ibid.  —  Scoparia  dulcis  ,  ibid. 
Gentiana  ofQcinalis ,  XLVI.  495.  — Cliironia  polchella  , 

ibid.  — Anthémis  nobilis,  ibid.  — Anthémis  cotula,  XLVL 

4(^6.  —  Matricaria  ofiîciualis,  ibid.  — Valeriana  officina- 

lis  ,  ibid.  —  Geum  urbanum  ,  ibid. 
Arlhemisia  absiuihiun»  ,  ibid.  —  Tanacetum  vulgare  ,  ibid. 

—  Menianthes  trifoliata  ,  ibid.  —  Santolina  chamœcypa- 
rissus,  ibid.  —  Aristolochia  rolunda  ,  ibid.  —  Cichorium 
intybus  ,  ibid. 

Taraxacum  officinale,  ibid. — Centaurea  calcitrappa,  XLVI, 

497.  —  Carduus  marianus,  ibid.  —  Teucrium   chamœ- 

drys ,  ibid. 
T^epidium  ruderale  ,  ibid.  — Thaliclrum  flavum,  ibid. — 

Papaver  somniferum,  ibid.  — Pheliaudrium  aquaticum  , 

ibid. 
Imbricaria   parietina  ,   ibid.  —  .^sculus    bippocastanum  , 

ibid.  —  Salix  alba,  ibid.  —  Qucrcus  robar,  XLVI.  498. 
Prunus   spinosa,  ibid.  —  Fraxinus  excelsior,  .'bid.  —  Ilex- 


696  TA.BLÊ 

aquifollum,  ibid.  — Cornus  mascula,  ibid. — Amygdaluî 
communis ,  ibid. 

Partie  médicale,  XLVI.  5oi. 

De  l'emploi  du  quinquina ,  XLVI.  5o5  •  —  comme  fébri- 
fuge, ibid.  ;  —  dans  les  fièvres  conlinues  simples,  ibid.  ;  — 
dans  les  fièvies  adynamiques,  ataxiques,  typhodes,  etc., 
XLVI.  5o6  ;  —  dans  les  fièvres  continues  graves,  rémit- 
tentes ,  XLVI.  507  ;  —  dans  les  fièvres  intermittentes 
graves  ou  pernicieuses,  XLVI.  5o8;  —  dans  la  fièvre 
larvée  périodique,  XLVI.  Sog;  —  dans  la  fièvre  inter- 
mittente simple,  XLVI.  5 10. 

Son  emploi  comme  tonique  dans  les  maladies  inflamma- 
toires ,  XLVI.  5 1 1  j  —  dans  les  hémorragies ,  XLVI.  5 1 3  ; 
—  dans  les  névroses,  XLVI.  5i4;  —dans  les  maladies 
lymphatiques ,  XLVI.  5i5;  — 'dans  les  maladies  vermi- 
neuses,  XLVI.  5i6j  —dans  les  maladie^  organiques, 
ibid.  ;  —  dans  les  convalescences  des  maladies,  XLVI.  5 17. 

Administration  de  cette  substance,  XLVI.  5i8.  —  Temps 
de  cette  administration,  XLVI.  5ig. 

Choix  des  préparations,  XLVI.  52 1.  —  Poudre,  ibid.  — 
Décoction,  XLVI.  622.  —  Via,  XLVI.  523.  — Sirop, 
XLVI.  525.  —  Extrait ,  ibid. 

Association  du  quinquina ,  XLVI.  527. 

Reproches  qui  lui  ont  été  faits,  XLVI.  53o. 

Bibliographie,  XLVI.  536. 
QUINTANE  ;  histoire  de  cette  fièvre  ,  XLVI.  542. 
QUINTEFEUILLEj  XLVI.  544. 
QUINÏESCENCE;  XLVL  544. 
QUOTIDIENNE  ;  histoire  de  celte  fièvre ,  XLVI.  546.—  Sa 

description,  XLVI.  547.  — Ses  causes,  XLVI.  548.  —  Ses 

variétés,  XLVI.  549.  —  Ses  phénomènes,  XLVI.  55o.  — 

Son  T^tonoslic, ibid.  —  Sa  durée, son  irailement, XLVI.  555. 


R 


RABDOIDE  ;  XLVI.  556. 

RABOTEUX  ;  XLVI.  556. 

RACE  ;  XLVI.  557. 

RACHEj  XLVL  557. 

RACHIALGIE;  XLVI.  557. 

RACHIDIENj  XLVI.  558.— Canal  rachidien,iAiy.  — Trous, 

ibid.  —  Ligamens ,  ibid. 

Prolongeniant  rachidieti  de  l'encéphale ,  ibid.  ;  —  de  la  mé- 
ninge, ibid. 


DES  MATIERES.  697 

Arlèrcs  rachidiennes  ,  ibid.  —  Veines  rachidicnnes,  ibid. 

Veines  dorsi-spinales,  XLVl.  55g.  — Veines  basi-spinales, 
XLVI.  56o.  — Veines  médulli-spinales,  XL VI.  56i. 

Réseau  veineux  rachidien  ,  XLVI.  502.    • 

Grands  vaisseaux  mëningo-rachidiens  ,  XLVI.  563. 

Communication  du  système  veineux  du  lachis  avec  le  sys^ 
tème  veineux  généra)  ,  ibid. 

Circulation  dans  le  système  veineux  du  rachis,  XLVI.  564» 

IVerf»  rachidiens ,  XLVI.  565. 
RACHIS  ;  XLVI.  565. 
RACHIS  AGRE  ;  définition ,  XLVI.  566. 
HACHITIQUE;  XLVI.  567. 

RACHlTISj  généralités  historiques  ,  XLVI.  567.  — Descrip- 
tion de  la  maladie,  XLVI.  570. 

Développement  des  facultés  intellectuelles  dans  cette  affec- 
tion, XLVI,  572. 

Caractères  des  urines  des  racîiitiques,  XLVI.  573. 

Rachitisme  chez  les  adultes,  XLVI.  576. 

Résultats  des  ouvertures  de  cadavres  ,  XLVI.  57g.  —  Par- 
ties molles,  ibid.  —  Tissu  osseux  ,  XLVI.  58o.  —  Os  des 
membres  ,  XLVI.  58i  j  —  du  bassin ,'  XLVI.  582  ;  —  de 
la  poitrine,  XLVI.  584  î  —  *^^  ci  âne,  ibid.  ;  —  de  la  co- 
lonne veilébraie  ,  XLVI.  585. 

Comparaison  du  rachitis  avec  diverses  lésions  organiques 
des  os,  XLVI.  58g.  —  L'ostéo-sarcome,  ibid,  — La  phthi- 
sie  des  os,  XLVI.  590.  —  Leur  fragilité,  leur  friabilité, 
XLVI.  592. 

Examen  et  ouverture  des  cadavres,  XLVI.  594. 

Rapports  qui  existent  entre  Je  rachitisme  et  le  scrofule, 
XIjVI,  5g5  ;  — entre  la  syphilis  et  le  rachitisme,  XLVI. 
598;  — entre  le  rachitisme,  la  goutte  et  le  rhumatisme, 
XLVI.  Sgg;  — entre  le  rachitisme  et  le  scorbut ,  XLVI. 
6005  —  entre  le  rachitisme  et  la  dégénérescence  cancé- 
reuse, ibid. 

Nature  du  rachitisme,  XLVI.  6of.  —  Complications, 
XLVl  607.  —  Variétés,  ibid.  —  Causes  ,  ibid.  —  Trai- 
tement,  XLV  L  612. 

Emploi  des  révulsions,  frictions,  irrilans  ,  ventouses,  etc., 
XLVI.  61 3  5  —  des  bains  froids,  des  bains  de  vapeurs, 
XLVI.  6i5;  —  des  toniques,  XLVI.  616;  —  du  sirop 
de  Bellet,  des  anliscorbutiques ,  des  amers,  XLVJ.  6175 
—  des  substances  alcalines,  XLVl.  6i8;  —  des  ëmé- 
tiques  et  purgatifs,  XLVI.  6ig;  —de  la  garance,  XLVl. 
Ô20  ;  —  du  phosphate  de  chaux ,  XLVI.  621  ^  -r-  de  l'os- 
monde ,  ibid. 
Machines ,  XLVl.  623. 

TABLE    I.  87 


6ç)S  TABLE 

Auteurs  qui  en  ont  trailé  ,  XLVI.  626. 
R \ CHOSIS  ;  définiiion  ,  XLVl.  628. 
RACINE?  XLVIl.  I. 

Récolle  des  racines,  ihid.  —  Manière  de  les  conserver  , 

ibib. 
Racine  de  disette,  XLVlI.  2. 
Histoire,   description,  propriéie's  cl  usages  dej  la  racine  de 

Jean  LiO^pez  ^  ibid. 
Racine  vieige,  XLVII.  5. 
RACLOIRE  ;    description   et    usages    de    cet   instrument  , 

XLVII.  5.  • 
RACLURE;  XLVII.  6. 

RADESYGE?   description   de  celte  maladie,   son   origine  et 
ses  causes  ,  XLVII.  8.  —  Son  pronostic  et  son  traitement , 
XLVII.  9. 
RADIAIR.ES;  caractères  de  ces  animaux  ,  11.  i5i. 
RADIAL;  XLVII.  10,  —  Bord  radial,  ibid.  —  Région  ra- 
diale ;  ibld. 

Description,  connexions  et  usages  du  muscle  grand  ou  pre- 
mier radial,  ibid.  •  —  du  petit  nu  second  radial ,  XLVII. 
1 1  j  —  du  radial  antérieur  ,  ibid. 
Nerf  radial,  ibid.  — Artèi-e  radiale,  XLVII.  i3.  —  Veine 

radiale ,  ibid. 
Anévrysmc  et  plaies  de  l'artérc  radiale,  ibid, 
RADICAL 5 1.  120.  XLVII.  16. 
Fluide  radical  do  la  vie,  ibid. 
Traitement  radical,  XLV^II.  17.  — Dangers  du  traitement 

radical  envisagé  d'une  manière  ççétiérale,  ibid. 
Vice  radical  des  humeurs,  etc.,  XLVII.  18. 
RADIEES;  description,   propriétés  générales  et  usages  des 

plantes  de  cetie  famille,  ibid. 
RADIO-CUBITAL;  XLVU.  20.  —  Mécanisme  de  celte  arti- 
culation ,  II.  466. 
RADIO-PHALANGETTIEN;  XLVII.  20. 
RADIS;   description,   propriétés  et  usages  de  cette  plante, 

XLVII.  20. 
RADIUS;    description  de  cet  os,   XLVM.  20.  —  Extrémité 
huraérale,  XLVII.  2f.  —  Extrémité  carpienne  ,  ibid.  — . 
Corps  ou  partie  moyenne,  ibid. 
Etal  du  radins  chez  le  fœtus,  XLVII.  22.  —  Ses  mouve- 

mens',  ibid. 
Articulation  radio-cubitâle ,  ibid. 

Fracture  du  radius,  ibid.  —  Sa' fréquence,  ibid. —  Ses 
causes.  XLVII.  25.  —  Ses  phénomènes,  ibid.  —  Ses 
signes,  ibid.  —  Ses  résultais,  XLVU.  26.  —  Son  traite- 
ment ,  ibid. 


DES  MATIERES.  699 

Luxations  de  rexirémité  supcricure  du  radius,  XLVll.  28. 
Diverses   manières   dont  celle   luxation  peut   s'opérer,  ses 
causes,  ses  signes  et  sou  traitement;  ihid. 
B.A.DOTAGE;  eousidëiations  générales  sur  Je  radotage,  ses 

causes  et  l'âge  auquel  il  s'observe,  XLVII.  82. 
RAFRAICHISSANT;  XLA'II.  35. 

]a.AGE;  définition,  XXXIV.  3 10.  XLVII,  56.  — Synonymie, 
XLVII.  39.  —  Classification,  XLVII.  ^o.  —  Histoire  de  la 
maladie,  XLVII.  41. 
Animaux  qui  y  sont  sujets,  XLVIL  44- 
Animaux  chez  lesquels  elle  peut  naître  d'une  manière  spon- 
tanée ,  XLVII.  45- 
Animaux  qui  peuvent  la  propager,  et  animaux  qui  peuvent 

la  recevoir ,  ihid. 
Sa  propriété  contagieuse  peut  être  communiquée  à  l'homme, 
XLVn  47. 

Production  de  la  rage  à  la  suite  de  la  morsure  d'hommes  ou 
d'animaux  qui  ne  sont  pas  enragés,  XLVII.  48. 

Conclusion ,  XLVll.  49- 

Causes  de  la  rage  proprement  dite,  ou  circonstances  qui  en 
favorisent  le  développement  S])ontaué,  XLVIL  5o.  — ■ 
Saison,  ibid.  —  Climat,  XLVll,  5i.  —  Nouriilure, 
XLVII.  52.  —  Détaut  de  transpiration,  XLVIL  53.  — • 
Rut,  XLVIL  54. 

Signes  de  cette  maladie  dans  le  chien,  ibid.  ;  — dans  le  loup^ 
*  XLVII.  67;  —  dans  tous  les  quadrupèdes,  ibid. 

Réflexions  sur  le  virus  de  la  rage,  XLVIL  58.  —  Preuves 
de  l'existence  de  ce  virus  ,  ihid. 

Inoculation  de  la  rage,  XLVII.  59. —  Nature  du  virus  rahi- 
que,  XLVII.  61.  —  Sou  siège,  son  affinité  avec  les 
humeurs,  ibid. 

Communication  de  la  rage  par  la  chair  d'un  animal  enragé, 
XLVIL  52. 

Infection  du  sang  dans  cette  maladie,  XLVII.  68.  —  Em- 
poisonnement du  lait  par  le  virus  de  la  rage,  XLVII.  6/|. 
-•-  L'existence  de  ce  virus  dans  le  sperme,  ihid. 

Communication  de  la  rage  par  l'haleine  des  enragés ,  XLVIL 
65;  —  par  leur  sueur,  XLVIL  66, 

La  salive  ou  le  mucus  des  voies  aériennes  Considéré  comme 
véhicule  du  virus  de  la  lage  ,  ibid. 

Autres  parties  ou  humeurs  de  l'économie  considérées  sous 
le  rapport  de  la  communication  de  la  rage,  XLVIL  67. 

Conclusion,  ibid. 

Voies  par  lesquelles  le  virus  de  la  rage  pénètre  dans  le 
corps,  XLVIL  68.  —  Par  la  peau,  ibid.  —  Par  les 


^oo  TABLE 

membranes  muqueuses,  XLVII.  69.  —  Par  les  plaies, 

XLVII.  68. 
Dangers  de  la  dissection  d'hommes  ou  d'animaux  qui  ont 

guccombë  à  la  rage,  ibid. 
Action  du  virus  de  la  rage  déposé  dans  une  plaie,  XLVIT. 

Marche  et  description  de  la  maladie  chez  l'homme  ,  XLVII. 

^3.  —  Période  d'inocuialion ,  ihid. 
Causes  qui  hâtent  ou  paraissent  iiâler  l'invasion  de  la  rage  , 
XLVII.    ^5.  —  Exposition  au   soleil  ,  ihid.  —  Alfec- 
tions  vives,  tristes  ou  violentes,  ibid.  —  Excès  de  table  ^ 
travaux,  XLVII.  76. 
Symptômes  précurseurs  ,  XLVIL  77. 
Accidens  de  la  rage  déclarée,  XLVII.  78. 
Frisson  hydrophobique,  ibid.  —  Envie  de  mordre,  XLVII. 
78.  —  Ardeurs  intérieures,  XLVII.  bi.  — Soif,  ihid.  — 
Bave  écumeuse,  ibid.  —  Excitation  cérébrale,  XLVII.  82. 
Symptômes  de  la  lésion  des  organes  de  la  digestion,  XL^'IÏ. 
83;  —  des  organes  delà  circulation  ,  iè/rf.  ;  — de  la  peau, 
ihid.  ;  —  des  organes  de  la  voix,  XLVII.  84. 
Satyriasis,  ibid.  —  Influence  de  l'âge  et  du  sexe,  ihid. 
L'aérophobie  en  est  quelquefois  un  symptôme,  ï.  i54«  -"• 
Durée  de  la  rage,  caractères  de  l'agonie  dans  cette  mala- 
die ,  XLVII.  84. 
Rage  chronique  et  intermittente,  XLVIi.  85. 
Diagnostic  de  la  maladie,  ihid.  — Pronostic,  tant  des  claies 
faites  par  un  animal  enragé  que  de  la  rage  déclarée, 
XLVII.  87. 
Bésullats  des  autopsies  cadavériques,  XLVII.  90. 
Altérations  offertes  par  les  voies  aériennes,  recherches  sur 

la  source  du  virus  de  la  rage  ,  XLVII.  91 . 
Poumon,  XLVII.  94*  —  Organes  de  la  circulation,  altéra- 
tion du   sang,  XLVII.  95.  —  Encéphale  et  prolonge- 
ment rachidien^  XLVII.  96.  —  Organes  de  la  digestion, 
XLVIL  98. 
Considérations  générales   sur   le  traitement   de  1»  rage , 

XLVII.  100. 
Traitement  préservatif  local,  XLVII.  102.  — Dégorgement 
sanguin  ,  ibid.  —  Succion  de  la  plaie ,  ventouses  ,  XLVII. 
io3.  — Lotions,  ibid.  —  Linimens  et  frictions,  XLVII. 
104.  —  Suppuratifs  ,  XLVII.  io5. —  Incisions,  ibid.  — • 
Excision,  amputation,  XLVII.  107. 
Cautérisation ,  XLVII.  107  j  —  par  le  feu,  ibid.  j  —  parles 

caustiques,  XLVII.  108. 
Réflexions  sur  l'efficacité  de  plusieurs  préservatifs  locaux > 
XLVII.  112.  —  Spécifiques  locaux,  XLVIL  ii3. 


DES  MATIERES.  701 

Traitement  préservatif  gênerai ,  XLVII.   ii/\.  — Mcdica- 
jTicns,  ibid.  —  Bains  ,  XLVII.  1 15.  —  Mertuie,  XLVlI. 
1 16.  —  Ammoniaque,  XLVII.  1 18.  —  Acide  murialique 
oxygéné  ou  liydro-chîoriquc,  XLVIT.  119. 
Végétaux  réputés  spécifiques,  XLVII. 120. — Bédéguar, 
ibid.  —  Anagaliis,  ibid.  —  Belladone,  ibi'd.  —  Tabac, 
lichen,  etc.,  XLVIL  121.  —  Scutellaria,  ibid. 
Substances  que  lournit  le  règne  animal,  XLVII.  122.  — 
Foie  de  cliien  enragé,  ibid.  —  Ecaille  d'huître,  ibid.  — 
Ecrevisse  calcinée,  ibid.  —  Méloc  ,  ibid. 
Remèdes   composés,    XLVII.   i23,  —  Poudre  de   Juliea 

Pauimier,  ibid. —  Poudre  de  Tunquin  ,  XLVII.  124. 
Traitement  curatif ,  ibid.  — Emploi  de  la  racine  de  fluteau , 

XLVII.  125. 
liiiineision  dans  l'eau  froide,  ibid. 

Emploi  du  vinaigre,  ibid.;  —  de  la  morsure  de  la  vipère, 
ibid.-^  —  du  galvanisme,  XLVII.  126  j  —de  la  saignée, 
ibid. 
Opium,  musc,  camphre,  etc.,  XLVII.  i3o.  — Acide  prus- 
siquc  ,  XLVII.   i3i. —  Oxyde  de  zinc,  éraétiq^ue  ,  etc.  , 
XLVII.  i32. 
Conclusions,  XLVII.  i33. 
Auteurs  qui  en  ont  traité  ,  ibid. 
PiAlE;  ((ualités  de  la  chair  de  ce  poisson,  I.  366. 
RAIFORTj  description,  propriétés  et  usages  des  plantes  de 
ce  nom,  ibid.;  — du  raifort  des  jardins,  ibid.  j  —  du  rai- 
fort sauvage,  XLVII    i56j  — du  raifort  d'eau,  XLVIL 
137. 
RAINURE;  définition,  IV.  389. 
RAIPONCE  ;  description,  propriétés  et  usages  de  cette  plante, 

111.525.  XLVII.  1J7. 
RAISIN  j  L  588.  XLVil.  i38. 

Raisin  de  renard  ,  ibid.  —  Raisin  de  bois,  ibid.  —  Raisia 
d'ours,  m.  407.  XLVII.  i38. 
RAISINE;   diifcrcnles   manières  de  préparer  cette  substance 

alinienlîiire ,  XLVII.  i38. 
RAlSOJN'NEMENT;  considérations  générales  sur  le  raison^- 
mentiRins  l'homme  et  les  aiiimaux  ,   sur  les  causes  ou  les 
facultés  auxquelles  il  est  dû,  son  mécanisme  et  ses  résultats, 
XLVII.  ,40. 
RALE;  XL.  22.  XLVII.  i56.  —  Indications  données  par  le 

râle  dans  les  maladies  ,  ibid. 
Haie  des  agonisans  ,  XLVII.  157. 

Caractères  divers  qu'il   présente  dans  les  maladies  de  poi- 
trine,XLVII.  i58.  —  Râle  crépitant ,  ibid.  —  Râle  mu- 


703  TABLE 

queux  ,  ibid.  —  Râle  sonore  sec  ,  ibid.  —  Râle  sibilant  » 
XLVII.  iSg.  —  Râle  trachéal ,  ibid. 
RALEMENT;  XLVU.  iSq. 
IIALEUX;  XLVII.  iSq. 
RAMEAU;  XLVII.  i6o. 

RAMIFICATION;  importance  de  la  connaissance  des  ramifi- 
cations nerveuses  ,  XLVII.  i6o. 
RAMOLLISSEMENT;  XLVIL  i6i  ;  — par  infiltration,  z^W.; 

—  par  fonte,  ibid.  ;  —  par  fonte  de  parties  non  analogues  , 

XLVII.  162. 

Causes  de  ramollissement  ,  ibid. 
RAMONEURS;  considérations  géne'ralcs  sur  les  ramoneurs, 

leur  genre  de  vie  et  de  travaux,  leurs  maladies,  leurs  causes, 

et  les  moyens  de  les  en  préserver  ,  XLVU.  i63. — Cancer  des 

ramoneurs,  XLVII.  166. 
RAMPANT;  XLVU.  167. 

Bandage  rampant ,  ibid. 
RAMPE  du  LIMAÇON;  XLVIL  167. 
RANGE  ;  inconvéniens  qui  résultent  de  l'usage  des  substance* 

rances,  XLVII.  168. 
RANCIDITE;XLVn.  168. 
RANINE  î  XLVII.  169.  —  Artère  ranine,  ibid. 
RANULE ;  XLVII.  169.  —  Description ,  ibid.  —  Traitement, 

ibid, 
RAPETTE;  description,  propriétés^  et  usages  d€  celte  plante, 

XLVII.  175. 
RAPHANEDON  ;  XLVIL  175. 
RAPHANIE;    causes    de   cette  affection,   XLVH.    lyS. — 

Ses  symptômes  ,  XLVII.  176.  — Ses  phénomènes  ,  XLVII. 

277. —  Son    diagnostic,  ibid.  — Son  pronostic,   ibid.—' 

Son  traitement,  ibid. 
RAPHE;  XLVIL  177. 
RAPPORTS  ;  ce  qu'on  appelle  ainsi  en  pathologie,  XLVIL 

178. —  Causes  des  rapports,  signes  qu'on  en  tire  et  moyens 

d'y  remédier,  ibid. 

•Sens  du  mot  rapport  en  médecine  légale,  XLVII.  17g. 
g|  Considérations  générales  et  historiques  sur  les  rapports  fu- 
■        diciaiies  des  médecins,  pharmaciens  et  chirur|Pcns  ,  ibid. 

Conditions    indispensables    à    la    validité    d'un    rapport  , 
XLVII.  i83. 

Certificats  d'excuse  ou  d'exoine,  XLVII.  i86. 

Rapports  d'exhumation,  XLVII.  187. 

Talens  nécessaires  pour  bien  faire  toutes  sortes  de  rapports,. 
XLVII.  189. 

Formes  et  modèles  de  rapports,  XLVIL  192. 

Rapport  à  la  suite  d'une  prévention  d'infanticide,  XLVIL 


DES  MATIERES.  ^oS 

ic)3;  —  d'infanticide  par  omission  de  la  ligature  du  cor- 
don ,  XL  VU.  194. 
îlappnii  sur  une  accusation  de  suppression  de  part,  XLVII," 

Ilapport   sur  l'état  d'une  plaie  de  poitrine  durant  depuis 
trois  mois  ,    et  dont  les  causes   paraissent   douteuses  , 
XLVIT.  197. 
Piapport  sur  l'analyse  chimique  d'une  substance  alimentaire 
qui  a  produit  Ici  symptômes  d'empoisonnement ,  XLVII, 
198. 
Rapport  sur  le  commodum  et  l'incommodum  du  voisinaf^e 
d'une  fabrique  d'acides  minéraux  et  autres  produits  chi- 
miques ,  XLVII.  200. 
Auteurs  qui  ont  traité  ce  sujet,  XLVII  .202. 
RAPURE;  XLVII.  2o3. 
RAQUETTE;    description,   propriétés  et   usages   de   cette 

plante,  XLVII.  2o3. 
RAREFACTlOlV  ;  considérations  générales  sur  ce  phénomène, 

SCS  causes  et  ses  résultats,  XLVII.  2o3. 
RAREFIANT;  manière  d'agir  des  raréfians  sur  réconomie , 

XLVII.  207. 
RASCATION  ;  XLVII.  207. 

RASOIR;  usages  de  cet  instrument,  XLVII.  208. 
RATAFIA;   XLVII.  208.  —  En  quoi  ils  diffèrent  des  H-, 
queurs ,  XLVII.  209. 

Manière  de  préparer  le  ratafia  des  quatre  fruits ,  XLVII. 
209;  —  celui  de  genièvre,  XLVII,  210;  —  de  fleurs 
d'oranger ,  ibid.  ;  —  d'angélique,  ibicL  ;  —  d'oranges  ,  ci- 
trons ,  cédrats,  bergamolle,  XLVII.  211. 
L'escubac,  ibid.  —  L'eau  de  noyau,  ibid.  — L'anisetle  de 
Bordeaux  ,  ibid.  —  L'eau  d'anis  ,  ibid. 
Ratafia  de  café,  ibid.  ;  —  celui  de  sept  graines  ,  ibid.  ;  —  de 

vespétro,  ibid.;  —  l'arkelmès  de  Florence,  XLVII.  212. 
Ratafia  àe  coings,   ibid.  y    —   de    brou   de   noix,   ibid.'j — 

d'œillet,  ibid. 
Ratafia  provençal ,  ibid.  ;  —  de  Mexico  ,  ibid.  ;  —  l'eau  de  la 
côte,  ibid.  ;  —le  baume  divin,  ibid.;  —  le  baume  humain, 
XLVII.  2i5. 

La  crème  de  créole,  ibid.  —  Le  cédrat  façon  des  îles,  ibid. 
—  L'eau  divine  ,  ibid.  —  L'eau  des  Raibadcs  ,  ibid.  — 
L'huile  de  Vénus,  XLVII.  214. 
La  liqueur  de  menthe,  ibid.  —  L'anisetle  de  Hollande, 
ibid.  —  L'eau  de  vie  de  Danlzick,  ibid.  —  La  crème  im- 
périale ,  ibid.  —  Le  curaçao  de  Hollande,  ibid.  —  Le 
fosolio  de  Turin ,  XLVII.  21 5.  —  L'élixir  de  Garus ,  ibid. 


7o4  TABLE 

Coloralion  des  liqueurs  ou  ratafias,  îbitL  —  Tcitilure  d'in- 
digo ,  ibi'd.  —  Couleur  verte  ,  XLVll.  a  i6. 
Effets  et  iucouvcniens  généraux  de  ces  sortes  de  liqueurs, 

III.  2iç). 

Ratafia  employé  médicinalement ,  XL VII.  216.  —  Ratafia  du 

commandeur  Caumartin,  ibid.  —  Ratafia   de  quinquina, 

ibid. 
RATANHIA-    description,    propriétés    et    usages    de   cette 

plante,  XLVII.  216. 
RATE  ;  XLVII.  222.  L.  466.  —  Description  de  cet  organe , 

XLVIL  222. 

Singularités  dans  sa  forme ,   sa  situation  et   son  volume, 

IV.  154. 

Rates  multiples,  XLVII.  222. —  Absence  de  la  rate,  XLVII. 

223. 

Situation  ,  ifci<5?.  —  Tunique  fibreuse  propre,  XLVII. 226. 
Artère  splénique ,  XLVII.  228.  —  Veine  splénique, 
XLVII.  229.  —  Vaisseaux  lymphatiques,*  XLVII.  23o. 

—  Nerfs ,  ibid.  —  Tissu  cellulaire,  XLVII,  25 1. 
Texture  de  cet  organe  ,  ibid.  —  Ses  propriétés ,  XLVII.  254. 

—  Ses  usages,  XLVII.  235. 

Ses  maladies  et  son  anatomie  pathologique  ,  ibid.  —  Plaies, 

ibid. 
Pronostic  de  ses  lésions ,  III.  207. 
Inflammation,  XLVII.  237. 

Terminaison  par  résolution,   ibid.;  —  par   suppuration, 

XLVII.  238.  I.  21  j  —  par  gangrène,  XLVII.  208;  — 

par  induration,  i/>W.  ;  —  par  des  adhérences,  XLVil.  2^0. 

I.  i55  ;  —  par  des  incrustations  cartilagineuses  ,  IV.  228. 

Le  cancer  de  la  rate  est  fort  rare,  III.  64^. 

Déplacemensdelarate,et  variations  de  son  volume,  XLVII. 

2^0.  —  Ossification  ,  XLVII.  242.   —  Ramollissement , 

ibid.  —  Hydalides  ,  XLVII.  243. 

Exemple  d'extirpation   de  ce  viscère  sur  les  animaux  et 

même  sur  l'homme,  ibfd. 
Auteurs  qui  en  ont  traité,  XLVII,  247. 
RATELEUX;  XLVII.  247. 
RATIONNEL;  considérations  générales  sur  les  traitemens  ra- 

tiontiels  ,  XLVII.  247. 
RAUCITE;  ses  causes  et  ses  variétés,  XLVII.  249. 
Maladies  dans  lesquelles  on  l'observe,  XLVII.  25o. 
Sou  pronostic  et  son  traitement,  XLVII.  25 1, 
RAUQUEj  XLVII.  25i. 
RAVE;  usages  de  cette  plante  ,  XLVII.  25t. 
RAVISSEMENT  j    considérations   générales  et  opinions  di- 
verses sur  le  ravissement,  ses  causes  morales  et  physiques, 


DES  MATIERES.  -o> 

> 

soseffcts,  et  les  individus  qui  y  sont  leplus  disposés ,  XLVIT. 

RAYGR/VSS;  propriélcs  de  celte  plante,  XLVlï.  9.G4. 
RAYON;  XLVll.  264. 

RÉACTIF;  considcralions  £;cneialcs  sur  les  rcacîifs  ((ue  doit 
connaître  le  médecin,  XLVU.  2(35. 

Effets  des  réactifs  acides,  ibid.  ;  —  des  réactifs  alcalins  ou 
sous-alcajins ,  ibitl. 
Réactifs  pour  les  vins,  XLYII.  26'j  ;  —  pour  l'air  ,  ihid.  ;  — 

pour  les  poisons  ,  ihid. 
REACTION;  considérations  générales  sur  ses  pliénomèncs  et 
son  mécanisme,  XLVII.  26'j. 
Réaction  physique  chez  l'homme,  XLVII.  -268. 
Réaction  morale ,    son  influence  sur  toutes  les  fonctions  de 
l'économie,  XL"V1I.  269. 
RÉALGAR;  XLVII.  273. 

REBOUTEUR  ;    considérations  générales  sur    l'exercice  du 
tr-'iitement  des  luxations  et  fractures  par  certaines  familles 
historiques,  XLVII.  273, 
RECHUTE  ;  XLVII.  279.   —  Maladies  qui  sont  le  plus  ex- 
posées aux  rechutes  et  aux  re'cidivcs,  XLVII.  2ho. 
Maladies  cndémi(jues,  ihid.  ;  —  épidéniii]ues,  ihid.  ;  —  ai- 
guës; XLVII.  281  ;  —  ciuoniques,  ihid. 
Ulcères,  ihid.  —  Pourriture  d'hôpital,  XLVII.  282.  —  Frac- 
turcs,  XLVII.  283.  —  Dcgcncrations  cancéreuses  ,  fjïd. 
—  Maladies  des  voies  urinaircs,  ibid.  —  Hémorroïdes, 
XLVil.  284.  —  Anévrysmes  ,  ibid. 
Fhlegmasies  cutanées,  ibid.  —  Phlcgmasies  des  membranes 

muiiueuses,  ihid. 
Ophthalmic,  ibid.  —  Catarrhe,  XLVII.  2H6.  —  Dysente- 
rie ,  ibid. 
Engelures ,  phlegmon  ,  XLVII.  287. — Rhumatisme,  goutte  , 

ihid.  —  Hémorragie ,  ihid. 
Névroses,  ibid.  —  Epilepsie,  ihid.  —  Hyslcrie,   XLVII. 

288. 
Hydropisie,  ibid. 

Causes  des  rechutes  dans  les  maladies,  ihid. 
Insuffisance  du  traitement ,  ibid,  — Idiosyncrasie,  consti- 

■  tution  ,  tempérament,  XLVII.  2C)0. 
Sexe,  XLVII.  291.  —  A^e,  ibid.  —  Saison,  XLVII.  2q5. 
Climat,  lieux,  XLVII.  29/1.  —  Profession  ,  ibid.  —  Cir- 
cumfusa  ,  itzVA  —  Applicata,  XLVII.   296.  —  Ingesta  , 
ibid.  —  Excréta  ,  XLVU.  297.  —  Acta,  XLVII.  298.  — 
Percepta,  ihid. 
Irrégularité  des  crises,  XLVU.  299. 
Signes    des    rechutes,    ilfid.  —    Leur  pronostic,   XLVII. 

TAULE   I.  88 


706  TABLE 

3o3.  —  Danger  qui  les   accompagne,  XIAII.  3o3.  — 
Précaulioiis  à  prendre  pour  les  éviter,  XLVIi.  'Sn/^. 

RÉCIPIENT;   description  des  diflëreulcs  sortes  de  recipieos, 

XLYII.  4'>'- 

Récipient  de  la  machine  pneumatique,  XLVII.  20'i. 
RÉCONFORTATIF  ;  XLVII.  3^6. 
RÉCOXFORTATION  ;  XLVII.  3o6. 

RÉGRËMENTj  XLVII.  3o6.  —  Considérations  ^"enérales  , 
XLVII.  207. 

Récrcfmens  qui  servent  à  la   génération,  XLVIL  3<>8  ;  —  à 
la  digestion,  XLVII.  Sog;  —  à  la  lubiélaclion  des  par- 
lies,  XLVII.  3 10 
De  la  graisse,  XLVII.  3i2. 
RECREMENTITIEL;  XLVII.  3.3. 

RECRUDESCEXCE  ;  considérations  ge'nérales  et  historiques 
sur  les  recrudescences  ,  ihid.  —  Leur  causes  ,  XLVII.  319, 
—  Leurs  elïets,  XLVII.  52i.  —  lueurs  terminaisons  , 
XLVII.  T^ii.  —Leur  gravité,  ibid.  — Leur  irailemeiU  , 
XLVII.  324. 
RECTIFICATION  ;  XLVII.  5^5. 
RECTO  VAGINAL;  caractères  et  liaitemcnt  de  la  fistule  de 

ce  noni,  IV.  5i4-  5i5. 
RECTUM  ;  XXV.  549.  XLVII.  3^5. 

Fonctions  de  cet  intestin  ,  ibid.  —  Ses  vices  de  confoi  malien, 
rbid.  —  Cas  d'insertion  dans  le  vagin,  IV.  i56  ;  —  dans 
la  vessie ,  ibid. 
Existence  d'une  cloison  mince  dans  son  intérieur,  à  une  cer- 
taine dislance  de  l'anus  ,  IV.  iSy.  —  Absence  du  rectum, 
ÏV.   i58. 
Plaies,  ihid.  —  Corps  étrangers  ,  XLVII.  826.  —  Dévelop- 
pement de  poils  dans  son  intérieur,  ibid.  — Abcès,  per- 
l'orations ,  ulcérations,  ibid.  —  Chancres,   IV.    5i  j. — 
Poî^-'pes  ,  ibid.  —  Déchirement  de  la  cloison    recto-vagi- 
nale ,   ihid.  —  Rétrécissement ,  ibid.  —  Dilatation  ,   ibid. 
—  Paralysie,  ibid. 
Squirre  ,   ibid.  —  Causes   de  celte  affection  ,   III.  Go5.  — 
Symptômes  qui  l'annoncent,  ibid.  —  Résultats  de  l'au- 
topsie cadavérique,  III.    607.  —  Maladies  qui  la  simu- 
lent ,  IV.  607. —  Traitement  qu'elle   réclame,  IV.   4'^. 
Chute  du  rectum  ,  ibid. 
RÉCURRENT;  XLVIL  026.  —  Nerf  récurrent ,  ibid. 

Artères  récurrentes ,  ibid.  ;  —  récurrente  radiale  ,  ihid.  ;  — 
récurrente    cubitale  ar.lcrieurc,  ibid.:,  —  récurrente  cu- 
bitale postérieure,  i7;/<^.  ; —  récurrente  radiale  postérieure, 
ibid.;  —  lécurrente  tibiale  ,  XLVII.  328. 
REDONDANCE;  XLVIL  33o. 
REDOUBLEMENT;  XLVII.  53o. 


DES  MATIERES.  707 

REDOUL;  description,  propriétés  et  usages  de  cette  plaute  , 

XLVll.  33o. 
RÉDUCTiOIV  ;  XLVlI.  532. 
RÉFECTION  ;  XLVlI.  33.Î. 
RÉFLÉCHI  ;  XLVIl.  354. 

REFLEXION  ;    considérations   générales  sur   la  faculté   de 
réflécliir,  ses  résultais,  les  moyens  de  la  développer  et  de 
ranéanlir,  XLVII.  335. 
REFllACTlONj  XLYIL  338.—  Causes  de  la  réfraction; 
XL  Y II.  359. 

Réfraction  de  la  lumière  et   du  calorique,  îbid.  —  Réfrac- 
lion  astronomique  ,  ibîd. 
RP^FRIGERANT  ;   description   de   l'instrument  de  ce   nom, 
I.  290.  XLVlI.  340  ;  —  Sa  description  ,  I.  290. 
Cjnsidéralions   générales  sur   les  moyens  de    réfrigération 
des  corps,  XLVII.  340. 
REGENERATION  ;  controverse  au  sujet  de  la  régénératioiv 
des  parties  ;  phénomènes  d'où  on  a  cru   pouvoir   tiier   de» 
inductions  en  sa  faveur,  ibifi. 
REGIME;  considérations  générales  et  historiques  sur  le  ré- 
gime ,  son  emploi ,  et  les  avantages  qu'on  en  peut  retirer  , 
XLVII.  546. 
Régime  duns  les  maladies  aiguës,  XLVII.  352. 

De  l'adminiàlration  des  aiimens,  leur  qualité,  leur  quan- 
tité, époque  à  laquelle  on  doit  les  administrer,  XLVIL 
35,. 
Variétés  dans  le  régime  suivant  le  sexe,  XLVII.  365;  — - 
l'âge,  XLVII.  366;  —  les  saisons,  le  climat  ,  XLVIL 
3683  —  le  tempérament, XLVI.  371; — leshabiludcs,^/)/'^?. 
Régime  dans  les  maladies  chroniciucs  ,  XLVII.  573.  —  Exer- 
cice, XLVII.  3  9. 
Les  aircctions  de  l'ame  envisagées  comme  moyen  de  guéri- 
son  ,  XLVII.  58 1. 
•Air,  XLVII.  384-  —  Erreurs  de  régime  ,  XLVIL  386. 
Usages  des  vomitifs  ,  XLVII.  388;  —  des  purgatifs,  ibid.  ; 

—  de  la  saignée,  ibid. 
Auteurs  qui  en  ont  traité  ,  XLVII.  38q- 
REGION;  XLVIL  390. 
REGLES;  XLVII.  390. 

REGLISSE;  description,  propriécés  et  usages  de  celte  plante, 
XLVII.  590;  — de  sa  racine,  XLVII.  391  ;  —  de  son  ex- 
trait ,  suc  ou  jus  ,  ibid. 

On  l'emploie  quelquefois  dans   la  fabrication  de  la  bière , 
m.  110. 
REGNE;  considérations  générales  sur  les  différens  règnes  de 


7o8  TAULE 

la  nature  ,  les  corps  qu'ils  conipreanenl  ,  el  les  lois  qui  les 
j(;gisseiit ,  XL\  II.  3(j7.. 

Ex|)Osdde  Ja  nouvelle  classification  ,XLVII.  Soi. 
llEGOKGEMENT  ;  XLVIl.  400. 

Ganses  ,  phcuomèucs  et  traitement  du  regorgement  d'urine  , 

riegor^ement  de  bile  ,  XLVlI.  4oi.  —  Regorgement  séminal  , 
ibid.  —  lle.gorgemeiil  de  la  cavité  droite  du  cœur,  ibid.  — 
P»c»orgemcnt  des  alimens  ,  ibid. 
KEGULE;XLVII.  402. 
KEGULIEll  ;  XLVII.  4o5. 
KEGURGITATION  ■  XLVIL  4o3. 
PuEINE;  XLYII.  404. 
llEINE  DES-IjOIS;  description  ,  propriétés  el  usages  decette 

plante  ,  XLYII.  404. 
E.EI1V  ■■,  description  de  cet  organe  ,  XLYII.  4o4«  —  Son  orga- 
nisation ,  XLYII.  4of^« 

Substance  corticale,  ibid.;  —  tubuleuse  ,  ibid. 
Calice  ou  entonnoir,  XLVIl.  4<>9.  —  Bassinet,  ibid. 
Enveloppes  du  rein  ,  ibid.  —  Nerl's,  XLYII.  ^\o. 
Vaisseaux  lymphatiques ,  ibid,  —  Vaisseaux  sanguins  ,  ibid. 
Dcvcloppenient  des  glandes  rénales,  XLVII.  ^\7.. 
Capsules  surrénales,  XLVII.  4» 3.  —  t^iquide  qu'elles  con- 
tiennent, ibid.  —  Leurs  usages  ,  XLVII.  4i4- 
Fonctions  des  reins,  XLVII.  4^^^^ 

Sympathie  qui  existe  entre  la  scnction  de  l'uiine  et  celle  de 
la  transpiration  cutanée,  XLVIL  4^9  5  —  entre  l'esto- 
mac et  1rs  reins,  iZ>z<i. 
Quanlilë  de  la  sécrétion  urinaire  ,  XLVIL  4^3. 
Promptitude  avec  laquelle  elle  s'exécute  ,  ibid.  —  Son  mé- 
canisme ,  ibid. 
Maladies  des  reins,  XXX.  335.  XLYII.  424.  —  Plaies, 

ibid.  —  Pronostic  de  ces  lésions  ,  III.  208. 
Déplacement,  XLYII.  4^7-  —  ^ g^&  hydatides,    ibid.  — 
Calculs,  XLYII.  4'i8. — Ischurie,  ibid. — Inflammation,i^z^, 
Il  se  forme  assez  souvent  des  abcès  dans  les  reins ,  I.  24.  — 
Ceux-ci  s'évacuent  quelquefois  par  les  urines,  I.  24.  — 
Ou  bien  le  pus  se  rassemble  dans  un  point  de  lu  subs- 
tance de  l'urgane  ,  ibid. 
Signes  qui  annoncent  ces  abcès,  I.  24.  —  Us  se  font  quel- 
quefois jour  à  l'extérieur,  ibid. 
Suppression  d'urine  ,  ibid.  —  Se5  causes  ,  ibid.  — •  Ses  symp- 
tômes ,  XLYII.  4^9-  —  Observations  il  ce  sujet,  XLYII. 

Son     traitement  ,    XLVII.     .'\'^i.    —    Ses    complication»  , 
XLVII.  452." 


DES  MATIERES.  -joq 

Ulcères,   fîslulcs,  XLYII.  432.  —  Adhérences,  XLVU. 
436.  —  Gangrène  ,  ibid,  —  Diabète  ,  ibid. 
Mal  de  rein,  douleur  de  rein  ,  ibid. 
Mctaslases  qui  ont  lieu  sur  les  reins,  ibid. 
Dcgene'rescence ,    XLVII.    43;.    —  Induration,    ibid.   — 
Sléalome,  ibid.  —  Squirrc  ,  ibid.  —  Cancer,  111.643.  644- 
—  Transformation  de  tissu  ,  XLVU.  43B. 
Auteurs  qui  en  ont  traite,  ibid. 

KELACH.ViNT  ;  XLYll.  4io. 

RELACHEMENT;  considérations  générales,  XLYII.   44o. 

Relâchement  du  tissu  cutané,  XLVU,  44'  J  —  du  tissu  cellu- 
laire, ibid.  j  —  du  tissu  fibreux  ,  XLVII.  44*^  >  —  ^^  tissu 
musculaire ,  ibid.  ;  —  des  organes ,  XLVII.  443  ;  —  des 
membranes  ,  XLVII.  444* 

RELEVEUR;  XLVII.  444*  —  Description,  connexions  et 
usages  du  muscle  releveur  ou  élévateur  de  la  paupière  supé- 
rieure, ibid.;  —  du  muscle  releveur  du  menton  ,  ibid.  ;  — 
du  muscle  releveur  de  la  luette,  ibid.  ;  —  du  muscle  rele- 
veur de  l'anus,  ibid. 

REMEDE;  considérations  générales  et  historique  sur  l'origine 
et  l'emploi  des  lemèdes,  XLVII.  447" 

REMISSION  j  considérations  générales  sur  les  rémissions 
dans  les  maladies,  les  indications  qu'elles  fournissent  et  leurs 
causes,  XLVU.  448. 

REMITTENCE;  XLVU.  45o. 

REMITTENT;  XLVII.  45o. 

REMORA;  description  et  usages  des  instrumens  de  ce  nom, 
XLVII.  45o. 

RENAL;  XLVII.  45i. 

RENIFORME  ;  XLVII.  45i. 

RENlTENT;XLyil.  45 1. 

RENONCULACEES  ;  description  ,  propriétés  et  usages  des 
plantes  de  celte  famille  ,  XLVU.  45i. 

RENONCULE;  description,  propriétés  et  usages  des  plantes 
de  ce  genre  ,  XLVU.  454- 

De  la  renoncule  acre,  ibid.  —  De  la  renoncule  bulbeuse  , 

XLVU.  455. — De  la  renoncule  scélérate,  ibid.  —  De  la 

renoncule  flammule,  ibid. — De  la  renonculeficaire,  ibid. 

Symptômes  de  l'empoisounemeut  produit  par  la  renoncule 

scélérate  ,  XLVU.  45B.  —  Rire  sardonique  ,  ibid. 
Empoisonnement  des  flèches  ,  XLVU.  45g. 
Expériences  tentées  pour  constater   les  effets   délétères  des 
renoncules,  XLVJl.  460. 

RENOUEE;  description,  propiiélcs  et  usages  de  celte  plante, 
XLVU.  164. 

RENVERSEMENT;  XLVU.  ^6:.  —  Renvcisemeui  de  ma- 


■j\o  TABLE 

tricc ,  ihid.  —  Circonstances  qui  peuvent  y  donner  lieu» 

XLYll.  467. 

Causes  prédisposantes, XLVII. 468.  — Causes  occasioneiles, 
XLVll.  469.  —  Signes ,  XLVII.  473. 

Accidens  produits  par  ce  reuversemeut,  XLVII.  482. 

Pronostic,  XLYll.  484. 

Traitement,  XLVll.  485.  —  Réduction,  XLVII.  486.— 
Amputation  de  la  matrice,  XLVll.  483. 

Auteurs  qui  en  ont  traité  ,  XLVll.  499- 
REt'AS;  nombre  des  repas  habituels  de  l'homme  en  santé, 

XLVll.  5oo.  —  Heures  les  plus  favorables  pour  les  prendre, 

distance  qu'on  doit  mettre  entre  eux,  XLVll.  5o6. 

Epoques  et  quantité    des   repas  des  valétudinaires  et  des 
malades ,  XLVll.  5o8. 
REPERCUSSIF  ;    considérations  générales    sur    les    réper- 

cussifs,  leur  mode  d'action,  leurs  usages,  les  dangcis  qui 

en  peuvent  résulter,  et  les  organes  auxquels  on  les  applique, 

XLVll.  5(0. 
REPERCUSSION;  XLVll.  5i6. 
R.EPOS  ;    considérations  générales   sur   le  repos  ,  son  action 

sur  r.'conomie  animale,  et  le  parti  avantageux  qu'on  peut 

cil  tirer  dans  la  thérapeutique,  XLVII.  5i<3. 
REPOUSSOIR  j    description  et   usages  de   cet    instrument  , 

XLS  H.  511.  — Repoussoir  d'arête,  XLVII.  522. 
REPPi.ODUCTIOXj  cousidcralions  générales  cl  historiques, 

XLVII.  522. 

Causes  de  lu  reproduction ,  leurs  eflels  sur  l'espèce  hu- 
maine, XLVII.  526. 

Reproduclion  considérée  chez  les  animaux,  et  surtout. chez 
!f>s  tuammifères ,  XLVII.  53o. 
REPTILES  ;  caraclères  des  animaux  de  celle  classe,  II.  i53, 

XL\II.  535. —  Animaux  nuisibles  qu'elle  renfernie,  II.  i58. 
REPUGNANCE  ;  considérations  générales  sur  la  re'pugnance, 

ses  causes,  les  organes  qui  eu  sont  le  siège,   ses  effets,  le 

danger  do  vouloir  la  vaincre,  et  les  méuagemens  qu'elle  ré- 
el;» nie  en  thérapeutique,  XLVII.  534- 
REPULSION  ;  XLVII.  537. 

RESEAU  ;  XLVII.  537.  —  Réseau  de  Malpighi ,  ibid. 
RESECTION  ;  considérations  générales  et  observations  sur  la 

résection  des  parties,  XLVII.  53-. 

Procédé  opératoire  pour  la  résection  de  la  tête  de  l'humérus, 
XLVII.  5^4;  —  pour  celle  de  l'ariiculalion  huméro-cu- 
bilale  ,  XLVII.  54";  —  pour  celle  de  l'ariiculalion  ra- 
dio carpienne,  XLVII.  55o.  ;  —  pour  celle  des  côtes, 
55 1.  XLVII. 

Tour   celle  de  rarliculation  coxo-fénjorale ,  XLYll.  555. 


DES  MATIERES.  .jn 

—  pour  celle  de  J'arliculalion  fémoro  tibiale ,  XLVIL 
554  j  —  pour  celle  des  os  de  la  jambe  dans  leur  conii- 
«mité,  XL VII.  556. 

Pour  celle  des   esquilles  des  fractures,  XLVII.   55-:;   — 

pour    celle    de   i'arliculalion    libio-tarsienne  ,    XLVIL 

559;  —  pour  celle  qu'où  pratique  à  lu  suite  d'ainpula- 

tions,  XLYII.  56o. 

RESEDA;  dcscripiion  ,  propricte's  et  usages  de  celle  plante  , 

XLVIL  5G3. 
RESEDACEES  :  XLVIL  564. 

RESERVOIR;  XLVIL  56^.  —  Réservoir  de  Pecquet,  ihid, 
RESIDU;  XLVIL  564. 
RESINE;  XLVIL  5b4.  —  Caraclères  physiques  et  clu'miques 

de  ce  produit  végétal  ,  XLVIL  565.  —  Corps  qui  fouruis- 

seul  des  résines  ,  ibid. 

Différences  que  les  résines  animales  piésenlent  avec  les  re'- 
sines  végétales,  ihid. 

Manières  d'obtenir  les  résines,  XLVII.  565. 

Dificrentes  espèces  de  résines  ,  XLVII.  56y. 

Résine  d'acajou,  XLVIL  568;  —  alouclié,  ihid.  ;  —  anime'* 
ihid.  ; — du  Canada,  ibid.  ;  — de  Copahu  (baurne),  XLVll. 
569;  —  de  Carpalhie  (baume),  ihid.;  —  de  Hongrie 
(  baume)  ,  ibid.  ;  —  de  Judée  (  baume)  ,  ibid.  ;  —  de  poix 
(baume)  ,  XLVIL  570. 

Résine  de  sucrier  (  baume),  ihid.  ;  —  verte  (baume) ,  ibid.  ;  — . 
blanclic,;i/V?.  ;  —  de  Botany-Uay ,  ibid.  ;  — de  Cacliibou 
XLVII. 571  ;  — de  Caragne  ou  Careigne,  ihid.;  —  de 
cèdre ,  ibid. 

Résine  copal ,  ibid.-,  —  copal  fossile,  XLVIL   5^2;  — de 
cyprès,  ibid.;  —  élastique  (caoutcliouc) ,  ibid.  ;  — élémi 
ibid.  ;  —  eltach  ,  ihid.  ;  —  gulle  (  gojnmc  ) ,  ibid.  ;  —  Je 
gayac  ,  ibid.  ;  —  de  galipot,  ibid. 

Résine  de  jalap  ,  XLVII.  573  ;  —  laque,  ibid.  ;  —  ladanum 
ou  labdanum  ,  XLVIL  5^4;  —  du  larix  ,  ibid.;  — du 
lierre,   ibid.;   —  mastic,   XLVII.  575;   —  du   mélèze 
ibid. 

Résine  Olampi,  ihid.;  —  d'oHvier,  ihid.  ;  —  du  peuplier 
no\r  ,  ihid.  ;  —  du  pin, du  sapin  , /izV;^.  ;  —  du  pistacJiier, 
XLVII.  576;  —  sandaraque  ou  satidarac,   ou  ré>ine  de 
vernix,ou  gomme  d'(jxycèdre  ,  ibicL;  —  sang-dragoj» 
ihid,; — succii]  ou  ambre  jaune,  ou  karabé  ,  ibid. 

Résine  de  sumac,  XLVII.  577  5  —  du  tacatnaliaca  ,  ihid.  • 
—  de  turbilli ,  ibid.;  —  de  vernix  ,  ibid.  ;  — verte,   ihid 
RESINEUX;  XLVIL  579. 
RESINITES;XLV.  19?..' 


jii  TABLE 

RESISTANCE;  XLV II.  579. 

RESOLUTIF;  considérations  générales  sur  les  re'solulifs, 
leur  division,  leur  mode  d'action  sur  l'économie,  et  leur 
emploi  ihorapeutique  ,  XLVII.  58i. 
RÉSOLUTIOlN  ;  XL  VII.  533.  — Considérations  générales  sur 
la  résolution  ,  ses  causes  ,  et  les  phénomènes  qu'elle  pré- 
sente ,  XLVII.  584. 

De  la  résolution  examinée  dans  les  différens  tissus  de  l'or- 
ganisation humaine,  XLVII.  587;  —  dans  les  organes 
parenchymateux  et  celluleux ,  ibid.  ;  —  dans  le  système 
dermoïde,  ibid,  ;  —  dans  les  membranes  muqueuses  , 
XLVII.  588;  —  dans  le  système  séreux  ,  ibid. 
Moyens  d'obtenir  et  de  favoriser  la  résolution  dans  les  ma- 
ladies, XLVII.  589.  — Moyens  pharmaceutiques,  XLVII. 
590.  « 

RÉSOMPTIF  ;  XLVII.  Sgo. 

RESORBANS;  considérations   générales   sur    les   résorbans, 
leur  non  existence,  l'utilité  dont  ils  pourraient  être,  XLVII. 
590. 
RESPIRABLE;  XLVIU.  i. 

R.ESP1RATI0N  ;  considérations  générales  sur  la  respiration 
et  sur  son  importance,  XLVIII.  2. 
Caractères  physiques  et  composition  de  l'air  atmosphérique, 

XLVIII.  5. 
Anatomie  de  l'appareil  respiratoire,  XLVIII.  8. 
Variétés  que  cet  appareil  présente  dans  les  diverses  classes 

du  règne  animal ,  ibid. 
Os  du  thorax,  XLVIII.  9.  —  Muscles,  XLVIII.   11.— 

Mouvemens ,  XLVIII.  12. 
Organes  proprement  dits  de  la  respiration  ,  XLVIII.  i3   — 

Organisation  du  poumon,  XLVIII.  \^. 
Ramifications  de  la  trachée-artère  ,  ibid.  ;  —  de  l'artère  pul- 
monaire, XLVIII.  16  ;  —  des  veines  pulmonaires ,  XLVIII. 

Artères  et  veines  bronchiques  ,  XLVIII.  18.  —  Vaisseaux 
lymphatiques  du  poumon,  ibid.  —  Nerfs  de  ce  viscère, 
XliVlIl.  i().  —  Tissu  interlobulaire,  ibid.  —  Plèvre, 
XLVIU.  20. 

Considérations  générales  sur  le  mécanisme  de  la  respiration, 
XLVIU.  21. 

Causes  de  la  sensation  du  besoin  de  respirer  ;  son  siège,  et  sa 
manière  d'agir  sur  l'économie,  XLVIU.  aô. 

De  l'action  musculaire,  volontaire,  respiratoire, XLVUI.  28. 

Mécanisme  de  l'inspiration  ;  muscles  qui  en  sont  les  agens  ; 
leur  mode  d'action  ;  changement  de  forme  que  cctie  action 


DES  MATIERES.  71 3 

imprime  an  lliorux,  et  la  quantile  d'air  qu'elle  inuoduit 
dans  le  pournoiî,  ibid. 
Fonctions  diverses  auxquelles  se  rapporte  l'inspiralion  , 
XLVIII.  37.  —  Odorat,  ibid.  — ■  Lccomolion,  ibid. — 
Parole,  ibid.  —  Gestes,  ihid.  —  Sovpir,  bâillement, 
rire  ,  ibid.  —  Digestion  ,  ibid.  —  Excrclions  ,  ibid. 

Variete's  qu'offie  l'inspiralion  sous  le  seul  tappoi  t  de  la  res- 
piration, XLVUÏ.  38.  — Soupir,  ibid,  —  Bâillement, 
XLVlil.  39. 

Phénomènes  de  rcxpiratiori ,  XLVIII.  42- 

Cause,  sie-^c  et  effets  du  sentiment  du  besoin  d'expire'r,  ibid. 

Action  propre  du  poumon  dans  l'expiratiou  ,  XLVIII.  44' 

Action  du  thorax,  ibid.  — Expiration  passive,  ibid.  — Ex- 
piration active  ,  XLV  III.  45. 

Fondions  divcises  qui  inûuent  sur  l'expiration,  XLVIII.  48. 
■ — Odorat,  ihid.  —  Locomotion  , /Z^/t^.  —  Voix,  ihid.  — 
Gaie .,  ibid.  —  Digestion ,  i7>/^A  — Excrclions,  ihid. — 
Toux,  expectoration,  cracher,  eternuement  ,  moucher, 
ibid. 

Rapports  de  l'expiration  avec  l'inspiration  ,  ibid.  —  Degre's 
qu'elles  présentent  ,  XLVIII.  49-, 

De  l'association  des  mouvemens  d'inspiration  et  d'expira- 
tion, XLVIlî.  So. 

Variétés  que  présentent  ces  mouvemens,  XLVIII.  52;  — 
selon  la  disposition  organique  dans  laquelle  on  se  trouve, 
ibid.;  —  selon  la  volonté  qui  les  règle,  XLV^Iil,  53. 

Phénomènes  que  présente  la  respiration  proprement  dite , 
XLVIII.  54. 

Considérations  générales  et  expériences  sur  l'hématose,  ibid. 

Elémens  soumis  à  l'action  de  la  respiration  dans  l'hémalose  , 
XLVUl.  56. 

Cbangemens  qui  surviennent  dans  ces  elémens  ,  XLVIII.  58. 

Ciiangemens  éprouvés  par  l'air,  1.  249.  275.  XLVIII,  61. — 
Enlèvement  d'oxygène,  ibid.  ;  —  Enlèvement  d'azote, 
XLV^llI.  63.  — Addition  d'acide  carbotn'que  ,  ibid. — 
Soustraction  de  principes  étrangers,  XLViiï.  64. 

Quantité  d'oxygène  consumée  dans  un  temps  donne' ,  ibid. 

Changemens  éprouvés  par  le  fluide  hématose  ,  XLVIII.  65. 

Examen  des  rapports  qui  existent  entre  les  altérations  qu'ont 
subies  les  principes  soumis  à  l'action  de  la  respiration  dans 
l'hématose,   ou  rapports  existans  entre  les  pertes  de  l'air 
et  les  qualités  acquises  par  le  sang  artériel,  XLVIII.  67. 
Mécanisme  de  l'hématose,  XLVIII.  71. 

Action  du  poumon  dans  l'acte  de  la  respiration  et  dans  i'hé- 
uiatose,  XLVlIi.  7a. 

TABLE    I.  89 


71 4  TABLE 

Action  élaboralrice  de  ia  respiration  ,  conside're'e  comme 
organique  et  vitale,  et  non  comme  physique  ou  chimique  ; 
théories  diverses  et  controverse  à  ce  sujet,  XLVUl.  -[jS. 

Théorie  nie'caoique,  ibici. 

Tliéorie  chimique ,  XLVIII,  r-g.  —  Diverses  modifica- 
tions qu'a  su"bies  la  théorie  chimique  de  la  respiration  , 
XLVliI.81.  —  Objections  qu'on  lui  a  opposées,  XLVlil. 

Théorie  organique  et  vitale,  XLVIII,  93.  — Objections  à 
opposer  aux  principes  énonces  dans  la  théorie  organique 
el  vitale  de  la  respiration  ,  XLVIÏL  g5. 

Preuves  que  la  respiration  n'est  pas  l'unique  foyer  de  la 
chaleur  animale,  IIL  49^-  —  Pourquoi  le  froid  Je  plus 
rigoureux  ne  l'active  en  rien,  L  261. 

De  la  respiration  par  d'autres  organes  que  I5  poumon  , 
XLVllL  98. 

De  la  production  du  calorique  dans  l'économie  par  la  res- 
piration, XLVIII.  99. 

Objections  à  opposer  à  la  théorie  de  la  formation  du  calo- 
rique par  !a  respiration  ,  XLVIII.  loi. 

Auteurs  (jui  en  ont  traité  ,_  XLVIII.  104. 
RESSERREMENT  3  considérations  générales  sur  le  resserre- 
ment  dans   l'évacnation  des   fèces,  les    phe'aomèues  qu'il 

présente  ,  et  ses  causes,  XLVIII.  107. 
Resserrement  physique  des  organes  ,  XLVIII.   109.  —  Ses 

causes,  XLVIII.  i  io.  —  Différentes  parties  qui  peuvent  en 

être  le  siège,  ibid. 

phénomènes  qu'on  observe  dans  quelques  cas  ,  ibid. 
RESTAURANT;  XLVIU.  ii5. 
RESTIFORIVIE  ;  XLVllL    1 13.  —  Description  de  ce  cordon 

nerveux,  XLVIII.  ii4-  —  Son  mode  de  développement, 

ibid. 
PiÉTENTION  ;  considérations  générales  et  historiques  sur  les 

rétentions  d'urine  ,  XLVIII,  11 5. 

De  la  vessie  et  des  points  sur  lesquels  on  doit  l'inciser  , 
XLVIII.  117. 

Symptômes  de  la  re'tenlion  d'urine,  XLVIII.  1 18.  — Acci- 
dens  qui  l'accompagnent,  XLVIII.  lao. 

Sa  terminaison  par  la  rupture  de  la  vessie,  XVLIII.  122. 
—  Siège  de  la  rupture,  XLVIII.  iîS. 

Résultats  des  ouvertures  de  cadavres,  XLVIII.  124. 

Diagnostic  des  rétentions  d'urine,  XLVIII.  125.  —  Leurs 
signes  ralionels  et  équivoque*,  XLVIII.  127.- —  Leuis 
signes  caractéristiques,  XLVIII.  i^ij. 

Variétés  qu'elles  présentent ,  ihid. 


DES  MATIERES.  7i5 

Causes  de  la  rétention  d'urine,  ibid.  —  Prouoslic  ,  XLYIII. 

129.  —  Traitement ,  XLVIII.  i5i. 
Considérations  gëne'rales   sur   la   forme  et  le   volume  des 

sondes  ,  et  la  substance  dont  elles  doivent  être  composées  , 

XLVIII.  i32. 
An  de  sonder,  ihid. 
Obstacles  qui  peuvent  s'opposer  à  l'introduction  de  la  sonde 

dans  la  vessie,  XLTIII.  iSn. 
Imperforation  ou  rétrécissement  du  prépuce,  ihid.  —  Dévia- 
lion   de   l'urètre,    XLVIII.    1 38.  —  Oblitération  de  ce 

canal,  ihid.  —  Contusions  du  périnée,   ibid.  —  Abcès, 

XLVIII.  139.  —  Dépôts  urineux.,  XLVIII.  142. 
Tumeurs  lymphatiques,  XLVIII.    148.  —  Maladies  de  la 

prostate,  ihid.  —  Déchirement  de  l'urètre,  ihid.  —  Corps 

étrangers  dans  son  intérieur  ,  XLVIII.  149- 
Corps  étrangers  dans  le  col  de  la  vessie  et  le  bulbe  de  l'u- 
rètre, XLVIII.  i5o. 
Engorgemens  sanguins  du  col  de  la  vessie  et  du  bulbe  de 

l'urètre ,  ihid.  * 

Inflammation  de  l'urètre,  XLVIII.  i53. 
H^trécissemenl  de  ce  canal,  XLVIII.  i55. 
Emploi  des  caustiques  dans  ce  rétrécissement  ;  leurs  incon- 

véniens  ;  cas  dans  lesquels  ils  sont  indiqués,  ibid. 
Divers  procédés  qu'on  suit  pour  celte  application  ,  XLVÎII. 

i58. 
Procédé  de  Huntcr,  de  Home ,  ibid.  —  Procédé  de  Wha- 

tely,  XLVIII..159. 
Cathétérisme forcé, XLVIII.  161.— Fausses  routes,  XLVIII, 

i63.  —  Accidens  t[ui  résultent  du  cathétérisme  forcé  et 

des  fausses  routes,  XLVUl.  i6ô. 
Perforation  de  l'urètre  par  le  périnée  ,  procédé  de  Vignerie, 

XLVIII.  167. 
Incision  de  l'urètre  sur  le  cathéter,  procédé  de  M.  Dubois , 

ibid. 
Traitement  du  rétrécissement  de  l'urètre  par  les  bougies  , 

XLVIII.  168. 
De  la  boutonnière  et  de  la  ponction  de  la  vessie,  ihid. 
Du  rétablissement  de  l'urètre  oblile'ré  ou  détruit,  procédé 

opératoire  de  Verduin  et  de  Fine  .  ihid. 
r.ÉTICULAIRE;  XLVIII.    173.   —Membrane  réticulaire  , 

ihid.  —  Substance  ou  tissu  réticulaire  des  os  yihid. 
RETIFOB.ME  ;  XLVIII.  174. 
RÉTINE;  XXXVII.  i48.  XLVm.  174. 

Description  de  cette  membrane,  son  organisation  ,  XLVîïî. 

175. — Ses  fonctions,  XLVIII.   178.  —  Ses  maladies, 

XLVIII.  179. 


^iG  TABLE 

RÉTRACTEUP.;  XLVIII.  i8o. 
RÉTRACTION;  XLVIII.  180. 
RETROCESSION;  XLVlil.  180. 
RÉTROVERSION  DE  LA  MATRICE;  XLVill  ,  i83. 

Causes  de  cet  accident,  XLVill.  i85.  —  Signes  qui  l'annon- 
cent, XLVill.  187.  —  Sou  pronostic,  XLVill.  190.  —  Son 

traitement ,  XLVill,  ipi,  — PLoduclion,  XLVill.  192. 

Auteurs  qui  en  ont  traité,  XLVIIÎ.  200. 
REUNION;  indications  de  la  reunion  par  première  inlention 

après  les  opérations  chirurgicales  ,  XLVill.  202. 

Ses  avantages  dans  les  amputations  ,  XLVIH.  2o5  ;  —  après 
]a  ligature  d'une  artère ,  XLVill.  217;  -j-après  la  lillio- 
tomie,  ibid.  ;  —  après  l'opération  des  hernies  étranglées, 
XLVIIÎ. 218;  —  après  îe  trépan,  XLVill.  218;- — après 
l'extirpation  du  cancer,  ibid.  ;  —  après  celle  des  loupes  , 
XLVill.  219; — après  les  plaies  d'armes  à  feu,  XLVill. 
010  ;  —  après  les  plaies  pénétrantes  dans  la  poitrine, 
ibid. 

Moyens  de  maintenir  en  contact  les  bords  d'une  plaie  réu- 
nie par  première  intention  ,  XLVill.  2''-2. 

Situation,  ibid.  —  Bandage  unissant,  XIjVIU.  22  4;^^— 
Application  de  bandelettes  agglulinalives ,  suture  sèche, 
XLVill.  229. 

Suture  ,  XLVill.  23i.  —  Des  différentes  espèces  de  sutures  , 
XLVill.  24»  ;  — entrecoupée,  ibid.  ■  — du  pelletier,  ibùL  ; 
—  h  anse,  ibid.  — ;•  à  points  passés  ,  ibid.  ;  —  enchevillée , 
XLVill.  242  ;  — entortillée,  ibid. 

Théorie  de  la  cicatrisation,  XLVill.  243. 

Réunion  médiate,  ibid. 

Régénération  de  parties,  ibid.  —  Production  nouvelle  in- 
termédiaire, i/'iflf. 
REVE;  idée  générale  des  rêves  ,  et  point  de  vue  sous  lequel 

ils  sont  considérés,  XLVIII.  243.  LU.  iSa. 

Disposition  des  facultés  intellectuelles  pendant  le  sommeil 
ou  pendant  les  rcvcs,  et  parallèle,  relativement  à  cette 
disposition  ,  entre  le  délire  et  le  songe,  XLVIII.  246. 

Comment  et  pourquoi  se  forment  les  rêves,  XLVIII.  249- — • 
Commcnl  ils  deviennent  sensibles,  et  ce  qu'on  doit  en- 
tendre par  la  clarté  ou  lucidité  des  songes,  XLVIII.  252. 

Caractère  des  sensations  et  des  idées  pendant  les  rêves, 
perceptions  illusoires  en  particulier,  XLVIII.  259. 

Développement,  marche  et  sujet  des  différentes  espèces  de 
rêves,  XLVill.  186. 

Interprétation  médicale  et  classification  des  rêves  ,  XL\  lU» 
?77- 


DES  MATIERES.  717 

Causes  des  rêves  morbides,  variélés  qu'ils  piéscnlcnl, 
XLYlll.  280. 

Caucliemar,  XLVIII.  284. — Snmnambulisine ,  XLVIII. 
292.  —  Rêverie  ratalepliquc  ,  XLVIU.  29^-, —  Lucidilé 
des  fièvres,  XLYllI.  697.  —  Somnambulisme  magné- 
tique, XLVIII.  iy8.  — liêveil  ,  sa  cause  ,  LU.  86. 
RÉVOl^UTlOA^  ;  consideralions  générales,  XLVIII.  5oo. 
Rcv'ohUions  physiques,  XLVIII.  3oi.  —  Ptévolutions  sidé- 
rales, ibid. 

Influence  des  révolutions  solaires  sur  les  animaux  et  vcgéiaux, 
parliculièrcment  sur  l'homme,  ibid. 

Influence  des  révolutions  lunaires  sur  les  animaux. ,  les  vé- 
gétaux, les  minéraux  et  riîomme  en  particulier,  XLVlH. 
:-'.o6. 

Influence  des  révolutions  terrestres  ,  XLVIII.  807. 

Influence  des  révolutions  atmosphérifjues,  ibid. 

Causes  et  effets  des  révolutions  phj'siologiques ,  XLVIII. 
Sïo 
Révolutions   des    sexes ,    XLVIII.  322.    —  Changemens  et 

mutations  de  tempérament,  XLVIII.  323. 
Rcvolalions    des  maladies  ,    XLVIII.    325.  —  Révolutions 
des  passions,  XLVIU.  527.  —  Révolutions  des  alimens 
et  des  boissons,  XLVIII.  328. 
RcvoluUons  des  professions  ,  XLVIII.  —  53i.  —  Révolu- 
tions des  climats,  XLVIII.  333. 

Causes  et  effets  des  révolutions  morales,  XLVIII.  335.  — 
■  Révolutions  religieuses  ,  ibid.  —  Révolutions  politiques, 

XLViïI.  537. 
Révolutions  sociales,  XLVIII.  "^^o;  —  dans  la  vie  sauvage 

proprement  dite,  ibid.;  — chez  les  pêcheurs  et  chasseurs, 

XLVlli.  1435  —  dans  la  vie  pastorale,  XLVUI.  344 j  — 

xlans  la  vie  agricole,  XLVIU.  34'J;  —  dans  l'état  de  bar- 
barie, XLVIII. ^347  j  — dans  l'etal  industriel,  XLVIII. 

348. 

Considérations  générales  et  historiques  sur  les  révolutions  de 
\9  médecine,  leur  marche,  leurs  causes  et  leurs  effets, 
XLVIII.  35 1. 

De  la  médecine  bornée  à  quelques  traditions  populaires,  et 
exercée  indistinctement  par  tous  les  individus  d'une  même 
peuplade,  XLVIII.  352. 

De  la  médecine  entre  les  mains  de  quelques   familles,  des 
»  chefs  de  peuplades,  des  poètes,  des  jongleurs,  et  livrée 

à  un  aveugle  empirisme,  XLVIII.  354» 
De  la  médecine  exclusivement  exercée  parles  prêtres,  cl  en- 
veloppée de  mystères  associés  aux  pratiques  de  la  super- 
stition, XLVjli.  339. 


71 H  TABLE 

De  la  médecine  cullivce  par  les  premiers  pliilosoplies,  per- 
dant sou  caractère  hypocrite  cl  superstitieux  ,  mais  enva- 
hie par  l'espril  de  système,  XLYlll.  36^. 
De  la  médecine  devenue  l'objet  d'une  profession  distincte  , 
introduction  par  Hippocrate  d'une  observation  mëlliodi- 
que,  enseignement  dans  les  c'coles  de  la  Grèce  ,  XLYIII. 
364- 
Médecine  cultivée  par  les  Arabes,  XLVlll.  368. 
Renaissance  de  la  médecine  hippocratique,  et  retour  à  l'ob- 
servation, XLVIII.  370. 
La  médecine  est  menacée  de  nouveau  par  des  systèmes  qui 
s'appuient  sur  les   principes  des  autres  sciences  ,    mais, 
enrichie  de  leurs  découvertes,  sa  méthode  se  perfection- 
ne, et  son  langage  se  rectifie  ,  XLVll!.  372. 
De   la  médecine  dépouillée  de  thcoties  étrangères,  suivant 
la  méthode  analytique,  associant  l'expérience  ii  l'observa - 
lion ,  et  fond;'i)t  ses  principes  sur  les  lois  de  l'organisme 
animal,  XLVIIi.  575. 
RÉVULSIF;  XLVlll.  58i.  —  Propriétés  des  médicamcns  ré- 

yulsifs^  leur  mode  d'action  et  d'application  ,  ibid. 
R.EVULS10N;  considératians  générales  sur  la  révulsion,  ses 
phénomènes,  les  causes  qui  peuvent  la  produire,  et  les  cas 
où  l'on  doit  la  provoquer,  XLVIIL  384- 
RHACOLE  ;  XLVlll.  5l,3. 

RHAGADES  ;  IV.  5o5.  XLVlll.  594.  —  Causes ,  IV.  428. 
Caractères  qui  distinguent  les   rhagades  syphilitiques   des 

rhagadcs  simples,  XLVlll.  395. 
Traitement ,  IV.  628.  XLVlll.  SgS. 
RHAGOIiîE;  XLVlll.  398. 
RHAiViNEES  ;  description ,  propriétés  et  usages  des  plantes 

de  cette  famille  ,  XLVlll.  398. 
RHAMNINE;  XLV.  190.  XLVlll.  400. 
RHAMiNOlDE  ;  description,   propriétés    et  usages  de   cette 

plante  ,  XLVlll.  4"". 
RHAPHANEDON;  XLVlll.  401. 
R APHANELOEON  ;  XLVlll.  40 . . 
RHAPONTIC  ;   description,  propriétés   et   usages   de    celle 

plante  ,  XLVHl.  4oi. 
RHEUMIQUE;  caractères  de  cet  acide,  XIV.  i63. 
RHEXIS;  XLVlll.  4o5. 
RHIÉNOSE;  XLVlll.  4o5. 
RHINARION;  XLVlll.  4o3. 
Rm^^ENCHYTE;  XLVlll.  4o5. 
RHINOPTE;  XLVlll.  4o3. 
RHINOSE;  XLVlll.  4o3. 
RHINAGRE  ;  XLVlll.  4o3. 


DES  MATIERES.  719 

RHODIUM  ;  moyens  d'obtenir  ce  métal,  ses  propriétés  physi- 
ques et  c!!imi(|uc_s,  XLVli!.  4»4' 
RHODODENDRÉES  ;  description  ,  propriétés  et  usages  des 

plantes  de  cette  famille,  XLVIU.  4o5. 
RHODOMEL;  XL VI 11.  406. 
RHOGMÉ;XLVlil.4o6. 
RHOMBE;XLVlli.  406. 
RHOMBOÏDE;  description  ,  connexions  tt  usages  du  muscle 

rhomboïde,  XLVllI.  406» 
RHUBARBE;   description,  propriétés  et  usages  des  plantes 
de  ce  getue  ,  XLVlli.  409. 

Différentes  espèces  de  rhubarbes,  XLVlll.  4^0  j  —  de  Chine 
ou  palmée,  ibid.  ;  —  de  Moscovie ,  ibicl.  ;  —  d'Europe  , 
XLVlll.  41 1. 
Rhubarbe  rhaponlic,  ihid.  — Rhubarbe  compacte  ,  XLVlll. 
4 12.  —  Rhubarbe  pulpeuse,  ibid. —  R.hubarbc  deTartarie, 
ibid. —  Rhubarbe  hybride,  ibid. 
Culture  de  la  rhubarbe  en  Asie,  ibid. 

Commerce  de  celte  substance  avec  l'étranger*,  XI^VIII.  4i5. 
Résultats  de   son  analyse  chimique  ,  XLV^IU.  4i6.  — ■  Ses 

propriétés  médicinales,  XLVlll.  4 18. 
Son  mode  d'administration  ,  XLVlll.  4'?'2  ;  —  en  substance, 
ibid.  ;  —  en  décoction  ,  XLVlll.  423;   —  en  infusion  , 
ib'id.  ;  —  en  sirop  ,  ibid,  ;  —  en  teinture,  XLVlll.  424. 
Auteurs  qui  en  ont  traité,  ibid. 
RHUE;  XLYill.  425: 

Rhue  de  chèvre  ,  ibid.  — Rhue  de  muraille,  ibid. 
RHUMAPYRE;  XLVIIL435. 
RHUMATALGIE5  XLVlll.  425. 
RHUMATISANT;  XLVHï.  4^5. 

RHUMATISME;  définition  et  synonymie,  XLVlll.  425. 
Considérations  historiques,  XLVlll.  429.  —  Classificaliou 

de  la  maladie,  XLVlll.  45o. 
Ses  causes  prédisposantes,    ibid.  —  Age,   ibid.    —  Sexe, 
XLVlll.  432.  —  Tempérament,  XLVlll.  433.  —  Cons- 
titution, ibid.  —  Disposition  héréditaire  ,  XLVlll.  434* 
—  Habitudes,  XLVlll.  435.  —  Profession  ,  ibid. 
Causes  déternjinantes,  XLVlll.  436.  — Circumfusa  ,  ibid. — 
Climat,  XLVlll.  437.  — Saison,  XLVlll.  438.  —  Appli- 
cala,  XLVlll.  44o.  —  Ingesla,  XLVlll.  44 1.  —  Excréta, 
XLVlll.  442.— Gesia,  XLVlll. 44 i.—Percepta/XLVlH. 
445. 
Diverses  affections  qui  prédisposent  ou  qui  donnent  quel- 
quefois naissance  au  rlm»natisme  ,  XLVlll.  446* 
Embarras  gastrique,   ibid.  —  Fièvres,  XLVlll.  447-  — 
X  Métastases,  XLVlll.  /^{d.  —  dxUniic ,ibid.  —  Dysent 


720  TABLE 

icrie  ,  (](anliee,  XLVlll.  449*  — Suppression  d'cvacua- 
lioas ,  ihid.  —  Syphilis ,  XLVJU.  45f. 
Enumeralion  de  quelques  remèdes  ou  moj'ens  ihe'rapenti- 
ques  qui  ont  souvent  causé  Je  rhumatisme,  XLVlll,  4^2; 

—  de  certains   autres  dont  l'oraission  produit  le  même 
effet,  XL VI 11.  453. 

Considérations  et  remarques  générales  sur  les  causes  du  rhu- 
matisme, XLVlll.  454' 

Causes  prochaines,  causes  hypothétiques,  XLVlll.  459-  — 
Spasme,  XLVlll.  46o.  —  Irritation,  ihid.  —  Débilité, 
XLVlll.  46i-  — Modifications  de  la  sensibilité',  XLVlll. 
46i.  —  Pléthore  locale  ,  ibid.  —  Efforts  hémorragiques  y 
ihid. 

?falure  et  caractères  du  rhumatisme,  ibid. 

Mode  d'apparition  et  d'existence,  XLVlll.  !,J5\.  — Spora- 
dique,  ibid. —  Epidémique,  ibid.  —Endémique;,  XLUl. 
665.  — Idiopathique,  XLVlll.  473.  —  Symptomatiquc, 
ibid.  —  Critique ,  ibid.  —  Contagieux ,  ibid.  —  Conta- 
gion ,  ihid. 

Fréquence  d"  rhumatisme,  XLIIL  474-  —  Son  siège  ,  ibid. 

—  Ses  symptômes  précurseurs,  XLVIIL  482. 
Rhumatisme  aigu,  invasion,  XLVlll.  4B4- 

Svmplômcs  locaux  ,  ihid.  —  Douleur  ,   ihid.  —  Chaleur  , 
"  XLVlll.  488.  —  Gonflement,  ihid.  —  Rougeur,  XLVlll. 
489-  —  Mobilité,  XLVlll.  490.  —  Lésions  du  mouve- 
ment, XLVlll.  492.  —  Situation  des  parties,  XLVIIL 

Symptômes  généraux,  XLVlll.  494*  —  Fièvre,  état  du 
pouls  ,  ihid.  —  Examen  du  sang  ,  XLVlll.  496- 

Lésions  de  la  respiration ,  XLVlll.  498  ;  —  de  la  digestion, 
ihid.  ',  —  de  la  nutrition  ,  ibid.  ;  — ■  des  sécrétions  et  excré- 
tions ,  ibid.;  —  des  facultés  intellectuelles,  XLV  111.  499. 

Marche  du  rhumatisme,  ihid.  —  Type,  XLVlll.  5o3. 
Rhumatisme  chronique  ,  ibid. 

Des  espèces  ou  Variétés  diverses  de  rhumatisme  admises 
par  les  auteurs,  XLVlîI.  Sog; —  musculaire  ,  fibreux  , 
ihid.;  —  du  périoste  ,  XLVlll.  012;  —  du  système  syno- 
vial, ihid.;  —  laiteux,  XLVlll.  SiS;- —  métallique, 
XLV111.5i4;  — général,  XLVlli.5i6;— vague,  XLV lil. 
5iJj  ;  —  latéral,  semi-laléral,  partiel ,  ihid.;  — grave, 
ihid. 
Rhnmalisme  des  muscles  de  l'œil  ,  XLVlll.  5i8  ;  —  de 
l'oreille,  ihid.;  —  de  la  mâchoire,  XLVIH.  5ig.  —  du 
larynx  ,  XLVlll.  52 1  ;  —  du  col  ,  ibid.  ;  —  du  thorax  , 
ihid,  ;  —  de  l'abdomen  ,  XLVlll.  622  ;  —  des  lombes , 


DES  M^VTIERES.  7^^ 

XLVIll.   5i3;  —  du  bassin,  XLVIll.  524;  <îe  Tanus, 
ibid. 
Rhumatisme  des  motnbres  pectoraux  ,   ibid.  ;  —  des  membres 
pelviens,   ibid.;  — de   la  hanche,  ibid.;  —  du  genou, 
XLVni.  325  ;  —  de  hi  plaiitr  des  pieds,  ibid. 

Durée  du  rhurualisrne,  XLVIll.  627. 

Teriiiiiiaiso!), XLVIll.  629  ;  —  par  délitescence,  ibid.  ;  — par 
lésolulion  .  ibid.; — par  sup[)uraliotj ,  XLV  III  5  >o  ; —  par 
induration  ,  XLVIll.  533; — par  gangrène  ,  XLVliJ.  554; 

—  par  évacuations  et  éruptions  crilitjues,  ;Z»/V/.  ;  par  éva- 
cuations aqueuses,  njuqueuscs,  séreuses,  etc.,  XLVIll. 
535; — par  des  sueiirs,  ibid.  ; — par  des  urines,  diarrhées  , 
vomi-^semens ,  sérosités  iiasales  ,  une  salivation  abondan- 
te ,  i/>/V/.  ; —  par  des  évacuations  sanguines,  XLVIll. 
536;  — par  des  hémorragies,  ibid.; —  par  hémoptysie, 
ftux  hémorrhoïdal  ,  ibid,  ;  —  par  des  éruptions,  gale  , 
dartres,  pourpre  ,  vésicules,  ibid. 

Terminaison  par  diverses  espèces  d'affections,  XLVIll.  538; 

—  tumeurs  blantlK-s ,  ibid.  ;  —  luxations  ,  ibid.  ;  — hjdi  o- 
pisie   des   articulations,   XLVIll.  53g;   — carie  des  os  , 

ibid.  ;  —  ankyloscs ,  XLV  lil.  540  ;  —  néciose,  ibid.  ; 

m'.asliise,  conversion,  ibid. 

Rhumatisme  interne,  ibid. 

Rhirnatismc  des  organes  contenus  dans  la  cavité  du  crâne  , 

XLVIll.  544. 
Rhumatisme  hVLi-   l'organe  de  la  vue,  XLVIll.   546; —  dans 
roii;aiie  do  l'ouie,  XLVIil.   54^  ;  —  dans  le  système  gian- 
dulaire, //>/'</.  ;  —  dans  les  organes  de  la  poitriiie.  ibid.;  — 
dans  les  oiganesdiecstifs  ,  ibid.; — l'estomac.  XLVIll.  55^; 
—  les  intestins,   XLVIll.  55-3;—  le  foie  ,  XLVIll    ÔSg  ;  ~ 
la  rate  ,   XLVIll.   56o  ;  —  le  péritoine,    ibid.  ;  —  les  voies 
urinaircs,  ibid.  ;  —  les  organes  génitaux  ,  XLVIll.  562. 
Convalescence  du  ihumatisme,   XLVIll.  565.  —  Kechute 
XLV  1 1 1 .  5t36.  —  lléci d i v  <• .  ibid.  ' 

Diailièse  rhumatismale,  ibid.  —  Cachexie  rhumatismale, 

ibid. 
Complication    et   concomitance  d'affections  diverses   avec 

le  ihuinalisrae, /6<V/. 
Con)plic;it!on  de  lièvre  inflammatoire,  XLVIll.  SGq  ;  — 
d'embarras  gastrique,  ibid.-.  —  de  frèvse  putride,  ady- 
nannque,  gaslro-cntérite  ntMveuse  ,  XLVIll.  568;  —  de 
fièvre  interniiitente,  XLVIll,  569;  —  de  phlegir;asie, 
ibid.;  — de  goutte,  XLVIll.  SyS  ;  —  d'hémorragie, 
XLVIll. .57 4  ;  —  de  névrose,  ibid. ;  —  de  maladies  orgar 
niques,  XLVIll.  575. 
Diagnostic  du  rhumatisme,  XLVIll.  576. 

XA15LE    1.  (\<i 


722  TABLE 

Distinction  du  rhumatisme  d'avec  diverses  affections  qui 
peuvent  le  simuler,  ibid. 

Fièvres  rliamalismales  larvées,  XLYIll.  5^8. 

Tableau  comparalit  d.e  lagoulle  et  du  rhumatisme,  XLVlll. 
58o. 

Autres  aftections  qui  simulent  le  rhumatisme,  XLVlll.  584. 
Hémorragies,  ibid.  —  Névroses  ,  ibid.  —  Affections  orga- 
niques ,  XLVlll.  585.  —  Syphilis  ,  ibid,  —  Scoii)ut , 
XLVlll.  586. 

Du  rhumatisme  sin:ulé  ,  XLVlll.  589. 

Du  rhun>alisrîie  dissimulé,  XliVlll.  590. 

Analogies,  affinités  ,  rapports  du  rhumatisme  avec  d'autres 
affections  ,  ibid.  ;  —  avec  la  goutte  ,  XLVlll.  591  ;  —  la 
dysenterie,  XLVlll.  Sg^  ;  —  les  affections  catarrhaîcs  , 
XLVlll.  593  ;  —  i'crysipèie,  ibid.  ;  —  les  névroses,  ibid.; 

—  la  pierre,  XLVlll.  SgS  ;  —  l'engorgement  des  mera- 
bres  abdominaux,  ibid, — l'acliou  du  froid,  XLVlll. 
60,6  ;  —  les  vents ,  ibid. 

Pronostic  du  rhumatisme,  XLVlll.  597. 

KésuUats  des  autopsies  cadavériques,  XLVlll.  5c)8. 

Recherches  chisniques  sur  le  sang,  XLVlll.  600; — SLir 
l'urine  ,  ihid, 

Traitemetit  da  rhumatisme  aigu  ,  XLVlll.  603  ;  —  du  rhu- 
matisme chronique,  XLVlll.  6o5. 

Modifications  que  ce  traitement  subit  selon  l'âge,  le  sexe  , 
le  tenipe'rameut,  XLVlll.  60 4  ;  —  selon  les  causes  ,  ibid.  ; 

—  selon    le  tissu  nui  est  le  siège  du  mal  ,  XLVlll.  6o5  ; 

—  selon  là  partie  affectée,  XLVUl.  606;  —  selon  les 
complications,  XLVlll.  608. 

Moyens  thérapeutiques  employés  dans  le  traitement  du  rhu- 
matisme, XLVlll.  609. 

Emissions  sanguines  ,  ibid.  — Saignée  ,  ibid.  —  Sangsues  , 
XLVlll.  G 10. —  Ventouses  scarifiées,  ibid. 

Rafraîchissans  et  adoucissans,  ibid.  —  Diaphorctiques  et 
sudorifiques  ,  XLVlll.  Gii.  —  Vomitifs,  XLVlll.   61-2. 

—  Purgatifs,  ibid.  —  Lavemens  ,  XLVlll.  6i3.  —  Caï- 
mans ,  ihid. —  Narcotiques  ,  ibid.  —  Quinquina  ,  ibid.  — 
Camphre,  ibid.  —  Gaïac,  XLVlll.  6ij.  — Térébenthine, 
ibid. — Végétaux  divers,  ibid. 

Substances  animales,  XLVlll.  616.  —  Substances  minérales, 

ibid. 
Préparations   chimiques,   /A/V/.  —  Température  ,  XLVU!. 

617.  —  Moyens  mécaniques  ,  ibid. 
Bains  ,  XLVlll.  618, —  Bains  d«  vapeurs,  fumigations,  ihid. 

—  Douches,  XLVlll.  61,9. 

Cataplasmes,  fomentations,  iiniraens  ^  ibid,-"  Vésicaloircs, 


DES  MATIERES.  72* 

sinapismcs  ,  setons  ,  caulèies  ,    XLVlll.  620.  —  Ustion  , 
moxa,  XLVlll.  621. 
Elccliicilc,  galvanisme,  lîiagnéiisnie,  perkinisme,  XL"V11]. 

622. 
TraitemerU  piophylacliquc  ,  XLVlll.  623.  —  Moyens  hy~ 
giéniques,  ihiti.  —  llcmèdes  préservatifs,  XLVlll.  624. 
Pilmmalisine  chez  les  animaux  ,  ibid. 
Auteurs  qui  en  ont  traité,  ilnd. 
llHUMEj  considérations  générales  sur  le  rliume  ,  son  idculité 
avec  le  catarrhe  pulmonaire  simple,  et  ses  causes,  XLVHl. 
63o. 

Diverses  espèces  de  rhumes,  XL\11I.  632. 
Rhume  inflammatoire,  ibid.;  —  muquea^,   ibid.-,  —  ner- 
veux, ibid.;  —  symptomatique,  XLVlll.  6'i3  ;  —  méca- 
nique ,  ibid. 
Causes,  IV.  33 1.  — 'Symptômes  et  marche,  ibid.  —  Modes 

de  terminaison,  IV.  552.  — Complications,  IV.  333. 
Accidens  particuliers  du  catanhe  pu'monaire  épidémique, 

IV.  336. 
Réfutation   de  la   doctrine  relative  au   catarrhe  suffocant, 
JV.  537.  — Ce  qu'on  doit  entendre  réellement  par  ce  mot, 
ibid.  —  Pronostic,  ibid. 
Traitement   curatif ,  IV.  33B.   XLVlll.  634»  —  Traitement 
préservatif ,  IV.  54o.  XLVHl.  655. 
Rhume,  de  cerveau,  XLVIM.  636.  —  Origine  de  cette  dcno- 

mation  ridicule,  IV.  328. 
lllmme  négligé,  ibid. 
RH VAS  ;  XLIX.  I . 
IIHYPTIQUE;  XLIX.  i. 
RHYTHME;  XLIX.  I. 

RICIN:  description,  propriétés  et   usages  de  cette  plante, 
XLIX.  2. 

Préparation  de  l'huile  de  ricin,  XLIX.  4'  —  Caractères  de 
celte  huile  ,  lorsqu'elle  est  bien  préparée,  XLIX.  7. — Ses 
propriétés,  son  emploi  en  médecine,  ibid. 
Confiision  qui  règne  dans  les  livres  au  sujet  des  fruits  ap- 
pelés ricins,  XLIX.  i5. 
Auteurs  qui  en  ont  traité,  XLIX.  18. 
RIDE;   considérations  générales  sur  les  rides,   l'âge   auquel 
elles  apparaissent,  et  les  causes  qui  les  produisent, XLIX.  ig. 
RIEUR  DE  SANTORINî  ;  XLIX.  32. 

RIGIDITE;  consic^éralions  générales  sur  la  rigidité,  ses  phé- 
nomènes, SCS  causes,  son  di.Tgnostic,  son  pronostic  et  son  trai- 
tement ,  XLIX.  22. 
RIGOP». ,  XL'.X.  3o. —  En  quoi  il  diffère  du  trcaiblemcnt ,  ibid 


7 '4  TABLE 

RIGORISME  ;  considérations  géncralcs  sur  le  rigorisme  en 

niodecine  ,  XLIX.  3o.  * 

RIRE  o(i  RIS;  coiisîdërattons  générales,  XLIX.  34. 

Tlicorie  du  rire,  ibid.  — Son  siège,  XLIX.  38.  —  Ses  causes 
nioralos,  ibid.  — Ses  causes  physiques,  XLIX.  Sg. 
Rire  iniiialif,  XLIX.  ^o. 

Vaiieif^s  (ju'ii  prc-seiite,  XLIX.  4'«  —  ^^  l'ifC  chez  Ici  en- 

f.ins,XLIX.  42. 
iJpes  des  ancien-  peuples  sur  le  rire,  ihid. 
Bu  sourire,  XLIX.  43. 

Le  lire  (onsidéié  dans  Tetal  de  maladie,  XLIX.  45. 
Signes  que  fournit  Je  sourire,  ibid. 

Phénomènes  du  sourire  tétanique  ou  sardonique ,  XLIX.  46. 
Causes    du   sourire  tétanique,   XLIX.    49-  —  Dingnosiic , 
XLIX.  5o.  —  Pronostic,  ibid.  — Traitement,  ihid. 
Rire  sjmpiomatique,  ihid. 

Le  riie  pailiologique  considéré  dans  les  maladies  en  parti- 
culier, XLIX.  5i;  —  dans  les  fièvres,  XLIX.  5-2;  —  les 
phlegraasies,  ibid.;  — Tinflammation  du  diaphragme, 
XLIX.  53  ;  -^  les  névroses,  ihid.  ;  • —  le  sommeil ,  XLIX. 
55  ;  —  les  affections  organiques  ,  ibid. 
Auteurs  qui  en  ont  traité  ,  ihid. 
RISSOLE;  par  quelle  substance  cet  enduit  brun  luisant  des 

viandes  rôties  est  formé,  L  332. 
RIZ;  description,  propriétés  et  usages  de  cette  plante,  XLIX.55. 
Ir)convéniens  de  la  culture  du  riz,  XLIX,  67. 
Analyse  de  celte  céréale,  ibid. 

Pourquoi  onacru  le  riz  resserrant,  I,349-35i. —  Réflexions 
à  ce  sujet ,  I.  35 1.  ■ — Pourquoi  le  pain  fait  avec  celte  cé- 
réale ne  vaut  rien  ,  ibid. 
ROH;  XLIX.  59.  — Des  différens  robs,  de  leur  préparation 
et  de  leur  emploi ,  ihid. 
Rob  de  nerprun,  ibid. 

Rob  anlisyphiliiique  de  Laffecteur,  XLIX.  60. 
ROHINILIi  ;  de^-rription  ,  propriétés  et  usages  des  plantes  àf. 

ce  genre,  XLIX.  6<j. 
KOBORANT;  XLIX. -o. 
RORORATiF;XLIX.'7o, 

IlOCAMBOLE  ;  usages  de  cette  plante,  XLIX.  70. 
ROCHLR;  XXVII.  97.  XLIX.  70. 
ROCOU  ou  ROUCÔU;  description,  propriétés  et  usages  do 

la  plante  qui  fournit  cette  graine  ,  XLIX.  70. 
RODATION;XLIX.  71. 

ROMARIN:  description,  propriétés  et  usages  des  plantes  qz 
ce  genre,  XLIX.  70. 


DES  MATIERES.  7^5 

RONCE  ;  description ,  propriétés  et  usages  des  plantes  de  ce 

genre  ,  XLIX.  ^^. 
ROND  5  XLIX.  ;(). 

Description,  connexions  et  usages  du  muscle  grand  rond  , 
i/nd.  ;  —  du  muscîe  petit  rond  ,  ibid.  ;  —  du  ligament  rond 
de  la  matrice,  XLIX.  77;  —  des  ligamens  ronds  articu- 
laires, j'bt'd.  ;  —  du  muscle  rond  pronateur ,  ibîd. 
RONFLEMENT;  considérations  généraJes  sur  le  ronflement , 

ses  causes  et  son  mécanisme,  XLIX.  -^7. 
ROQUETTE;  description,  propriétés  et  usages  de  cette  plante 

XLIX.   yb,  —  Elle  est  célèbre  par  ses   prétendues   vertus 

aphrodisiaques  ,  II.  226. 
RORIFEKE  ;  XLIX.  79. 
ROSACEES  ;  description,  propriétés  et  usages  des  plantes  de 

celle  (aniille,  XLIX.  79. 
ROSACIQUE;  caractères  de  cet  acide,  XIV.  173.  XLIX. 80. 
ROSAGE;  description,  propriétés  et  usages  des  plantes  de  ce 

genre  ,  XLIX.  80. 
ROSAT;  XLIX.  80.  —  Préparation  de  l'onguent  rosat ,  ibid. 
ROSE;  XLIX.  84. 
ROSE;  XLIX.  8.4. 
ROSEAU;  description,  propriétés  et  usages  des  plantes  de  ce 

genre ,  XLIX.  84. 
Roseau  à  balai  ,  ibid.  —  Roseau  à  quenouille,  XLIX.  85.  — 

Roseau  aromatique  ou  odorant,  ibid. 
ROSEE  ;  XLIX.  86.  —  Manière  dont  elle  se  forme  ,  I.  287. 
ROSIER  ;  description,  propriétés  cl  usages  des  plantes  de  C5 

genre,  XLIX.  87. 
Rosier  de  France ,  ibid.  — Rosier  bifère ,  XLIX.  8S.  — Rosier 

de  chien  ,  ibid. 

Conserve  de  roses  ;  de  son  emploi ,  et  de  diverses  autres  pré- 
parations de  roses  ,  ibid. 
ROSSOLI  •  description,  propriétés  et  usages  des  plantes  de 

ce  genre,  XLIX.  88. 
ROSTRE;  XLIX.  95, 
ROSTRIFORME  ;  XLIX.  gS. 
ROT  ;  définition  ,  XLIX.  gS. 
ROTATEUR;  définition  ,  XLIX.  gS. 
ROTATION  ;  définition  ,  XLIX.  gS. 
ROTI;  ses  qualités  olimentaires,  I.  368. 
ROTTACISME;  XLIX.  gS. 
ROTULE;    description,   connexions   et   usages    de  cet  os, 

XLIX.  96. 

Mécanisme  de  sa  fraciure,  causes  qui  la  produisant,  phé- 
nomènes qu'elle  présente,  son  traitement,  appareil  qu'elle 
réclame,  XLIX.  97. 


726  TABLE 

Causes  de  sa  luxation ,  des  variétés    qu'elle   présente,   mé- 
canisiuf^  de  cliacunc  de  ces  varietffs  ;  leurs  phénomènes  el 
lenr  traitement ,  XLIX.  112. 
ROUEN  (eaux  minérales  de)-  XLIX.  112. 
ROUGE  VEGETAL;  manière  de  le  pre'parer ,  IV.  iii. 
ROUGEOLE;   synonymie,   XLIX.    112. —  Considérations 
historiques,  XLIX.  11^.  —  Nature  de  la  maladie,  XLIX. 

125. 

Observation  de  rougeole  simple,  XLIX.  126. 
Première  période  ,  incubation  du  virus,  ibid.  — Deuxième 
pe'riode,  éruption.    XLIX.    128. — Troisième   période, 
desquamation  ,  XLIX.  i3o. 
Complication  de  la  rougeole  avec  le  pempliigus,  XLIX.  iS?.; 
—  avec  la  variole,   XLIX.  i34;    —   avec  la  niiliaire  , 
XLIX.  i36;  — avec  les  phlegmaiics  des  membranes  mu- 
queuses ,  XLIX  i3S. 
Terminaison  de  la  rougeole  ,  XLIX.  lii. 
Résultats  des  autopsies  cadavériques,  XLIX.  142. 
Analogies  et  différences  de  la  rougeole  avec  la  scarlatinrï , 
XLIX.  144  ;  —  lamiliaire  ,  XLIX.  146;  — les  pétéchies  , 
la  roséole  et  quelques  éruptions  clitauces  sympathiques, 
XLIX.  147. 
Variétés  de  la  rougeole,  XLIX.  148. 
Rougeole  sans  éruption,  XLIX.  149.  — Rougeole  pustuleuse, 
boutonnée  ,  ibid.  —  Rougeole  papillaire  ,  ibid.  —  Rougeole 
hédifimc  ,  maligne,  XLIX.  i5o.  —  Rougeole  adjuamiquo  , 
XLIX.  i5'i.  — Rougeole  ataxiquc  ,  ibid.  —  Rougeole  inflam- 
matoire ,  XLIX.  l'iî.  —  Rougeoie  putrido-maligne,  ibid, 
—  Rougeole  épidémique,  ibiid.  — Rougeole  coatag.ieuse  , 
XLIX.  i56. 

Récidive  de  la  rougeole  ,  XLIX.  167.  —  Causes  de  la  rou- 
geole, XLIX.  i58.  —  Pronostic,  XLIX.  161. 
Traitement  préservatif,  XLIX.   162.   —  Traitement  de  la 
rougeole  simple, //'?</.  ;  — de  la  rougeole  compliquée,  ibid. 
Exameii  des  moyens  thérapeutiques  employés  dans  le  trai- 
tement de  la  rougeole  ,  XLIX.  1  45. 
Vomitifs  ,  purgatifs  ,  ibid.  —  Vésicatoiros  ,  XLIX.  i65.  — 
Toniques,  slimuîans,  ibid.  —  Diaphoréliques  ,  XLIX. 
16G.  —  Antiphlogi5li({ues,  diète  ,  ibid. 
Auteurs  qui  en  ont  traité  ,  XLIX.  168. 
ROUILLE  DES  CEREALES  ;  VI.  110. 
ROUSSEUR;  XLIX.  i&i. 

JîOLTIJXE  ;  considérations  générales  sur  la  routine  en  méde- 
cine et  ses  inronvéniens  grave? ,  XLIX.  170. 
RU.HEFACTION;  considérations  générales  sur  la  rubéfaction, 


DES  MATIERES.  7^^ 

sa  théorie,  les  causes  qui  jjcuveisl  la  p.roduire,  son  uliliic, 
et  la  manière  de  s'en  servir  en  l!i<'r;!peull(|ue,  XLIX.  170. 
RL  DEFIANT;  consideralions  j^^énérales  sur  ies  dilïerens  lube- 

fi;tns  et  leur  acliou  ,  XLIX.  l'jç^» 
Rubéfians   mécaniques  ,  XLIX.    180.  —  Rubefians  par  l'ac- 
tion du  calorique  ,  ibid.  —  Rnhefians  acres  ,  ibid.  —  Rube- 
fians alcalins,  ibid.   —  Rubefians  acides,   XLIX.  iBi.  — 
Rubefians  salins ,  ibid. 
RUBIACEES  ;  desciijiiion,  prupriclé.;  et  usages  des  plantes 

de  celte  famille  ,  XLIX.  181. 
R.UE;  description,  piopriétcseï  usages  de  celle  piaule  ,  XLIX. 
i83. —  Seul  cas  oh.  oti  puisse  l'employer  sans  crainte,  tomme 
enunënagogue  ,  I.  4^8.  4 ^Ij» 
Rue  de  clièvre»,  XLIX.  iv^b.  —  Rue  des  murailles,  ibid, 
R.UGINE  ;  description  et   usages  de  cet  iuslrumeuL  dans   les 

dissections,  II.  43.  XLlX.  18G. 
RUGOSITE  ;  XLIX.  186. 

RUMINATION;  considérations  générales  sur  la  rumination  , 
son  mécanisme,  les  parties  et  les  forces  par  lesquelles   elle 
s'opère,  et  son  influence  sur  l'écouomie  des  aniinaux  chez 
lesquels  on  l'observe  ,  XLIX.  190. 
Auteurs  qui  en  ont  traité,  XLIX.  194. 
Cas  de  rumination  chez  un  homme,  IV.  18^. 
RUPTURE;  XLIX.  187.  —  Pouiquoi  les  anciens  ont  donné 
ce  nom  aux  hernies,  III.  502. 

Rupture  des  tendons,  zZ>t^.  ;  — du  muscle  du  tendon  brachial, 

XLIX.  197  ;  —  du  leudon   du  droit  antérieur  ,  ibid.  ;  — 

du  tendon  du  muscle  plantaire  grêle,  XLIX.  198  j —  du 

icndon  d'Achille  ,  XLIX.  19^,. 

Pronostic  des  ruptures  de  tendons,  XLIX.  201. 

Traitement,    eu  prenant   pour  Ijpe  la  rupture  du  leadou 

d'Achille  ,  XLIX.  202. 
Première  méthode ,  abaudou  ii  la  nature  et  à  la  position , 

ibid. 
Deuxième  méthode  ,  bandage j  observations,  XLIX.  2o5. 
Rupluro   du   cœur,   XLIX.    212.   —  Rupture  complète  , 
XLIX.  21 3.  —  Rupture  produite  par  des  causes  externes, 
XLIX.  21 4-  — Ptupture  survenue  sans  altérations  orga- 
niques ,  ibid. — Rupture  accompagnée  d'altérations  orga- 
niques ,  XLIX.  217. 
Mécanisme  des  déchirures  complètes  du  cœur  ^  XLIX.  220. 

—  Leurs  signes,  XLIX.  221. 
Ilupiure  partielle  du  cœur,  XLIX.  222. 

Rupture  de  la  cornée,  XLIX.  224?  —  de  resîomac,  ibid.  ; 

—  de  la  fourchette  el  de  la  cloison  recto  -  vaginale, 


72Î5  TABLE 

XLIX.  223.  ;  — '  des  intestins,  ibid.  ;  —  de  la  matrice  , 
XLIX.  l'i-]. 

Histoire  de  cette  dernière  affection ,  XLIX.  22^.—  Con- 
sidérations générales,  XLIX,  228. 

Causes  qui  peuvent  lui  donner  naissance ,  XLIX.  229. 

Causes  prédisposantes  ,  ibid.  —  Causes  prochaines  internes  , 
XLIX.  232  ;  —  externes  ,  XLIX.  235. 

Signes  qui  l'annoncent,  XLIX.  2  .6.  —  Accidens  qui  y  suc- 
cèdent ,  XLIX.  îSg. 

Hémorragie,  ibid.  —  De'pôt,  XLIX.  240.  —  Passage  et 
étranglement  de  l'intestin,  XLIX.  243. 

Pronostic   de  celte  rupture  ,    XLIX.   244-  —  Indications 
qu'elle  présente  à  remplir,  XLIX.  249. 

Moyens  prophylactiques  ,  ibid.  —  Moyens  curalifs  ,  XLIX. 
25i.  —  Gastrotomie ,  XLIX.  234. 

Auteurs  qui  en  ont  traité,  XLIX.  240. 

Rupture  du  nerf  optique,  XLIX.  262.  —  Rupture  de  l'œ- 
sophage ,  ibid. 

Rupture  des  os,  XLIX.  26/};  — par  friabilité,  ibid.;  — 
par  l'action  musculaire  ,  \LIX.  %Q'j. 

Rupture  des  vaisseaux,  XLIX.  272. 
RUÏÀCEES  j  description,  propriétés  et  usages  des  plantes  de 

celle  famille  ,  XLIX.  272. 
RUYSCHIENNE;  description  de  cette  membrane,  XLIX.  273. 


SABINE;  description,  propriétés  et  usages  de  cette  plante, 
XLIX.  272.  —  Son  emploi  dans  les  prétendues   carnosités 
de  l'urètre,  IV.  io5.  —  Seuls  cas  oii  on  puisse  l'employer 
sans  crainte,  comme   emtnénagogue  ,  I.  458.  459- 
SABLE;  considérations  générales  ,  XLIX.  277. 
Bain  de  sable  ,  ibid. 
Sable  des  urines,  ibid. 
SABUKRAL;  XLIX.  277. 

SABURRE;  considérations  générales  sur  les  saburres ,  opi- 
nions émises  à  ce  sujet ,  XLIX,  278, 
SAC  ;  coHsidérations  générales  sur  le  sac  herniaire  ,  XLIX.  280. 
Mécanisme  de  sa    formation,   XLIX.   i^jI.  —  Ses  dimen- 
sions, ibid.  — Son    ouverture    de  communication  avec 
l'abdomen,   ibid.  —  Ses  fonctions ,  XLIX.  283.  —  Sou 
organisation,  ifc/W, 


DES  MATIERES.  729 

Sacs  herniaires  à  plusieurs  collets  ,  ihid.  —  Sacs  muîtilocu- 

laiics.XLlX.  2H5. 
Bosselures  des  s:iC''  lioiniaiies,  XLIX.  28';.  —  Sars  Jierniai- 
rcs  à  coilesiiiie'iieuis  ,ibrd.  —  <jbserv;ilions ,  XLIX.  288. 
Signes  q-ii ,  dans  !cs  lu  rnies ,  foui  recomiaîlre  retraiiglement 

cause'  par  uu  coller  inléiitur,  XLIX.  ^92. 
Trailement  dans  ce  cas,  ibid.  —  Observation  ,  XLIX.  spS. 
De    !a    réduction   spoiilanée  du    sac  lurniaire,  XLIX.  "igS. 

—  Do  son  oblite'ralion  et  de  son  atrophie,  XLIX.  296. 
Issues  de  deux  sacs  herniaires  par  le  niômc  anneau,  XLIX. 
297.  —  Communication  du  sac  avec  la  tunique  vaginale , 
ibid. 
Ihi  tii's  qui  n'ont  qu'une  moitié'  ou  un  tiers  de  sac  herniaire, 

XLIX.  298. 
Hernie  de  vessie,  XLIX.  299. 

Hernies  qui  ont   pour  suc  Irerniaire  et  le  pe'ri  toi  ne  et  quel- 
ques autres  organes  ,  ihid. 
Hernies  qui  ii'onl  pas  du  tout  de  sac  heiniaire,  ibid. 
Maladies  du  sac   lieriHaiie,  XLIK.  3oo.  —  Plaies,  ibiJ.  — 

Décliiiures  ,  ihid.  —  1  hiegtnasies  ,  ibid. 
Causes  do  l'inflammation  du  sac  herniaire,  XLIX.  3oi.  — 
Sa    marche,  sa   terminaison,   ibid.  —  Son   traitement, 
XLIX.  5oi. 
Formation  d'une  fausee  membrane  à  la  surface  du  sac  her- 
niaire ,  XLIX.  3o3. 
Epancheinent  de  sérosité  dans  son  intérieur,  ti'/rf.  —  Epais- 

sissement  de  ses  parois  ,  XLIX.  3'>/^. 
Transfoitnation  de  son  tissu  celloiaiie  cxtétieuv ,  ibid  — 
Transfo;niation  fibreuse,  cartilagineuse,  osseuse,  de  ses 
parois,  XLIX.  3o5. 
Ce  qu'on  entend  par  sac  lacrymal  ,  XLIX.  3o6. 
SACCHARLV;  XLIX  3-6. 
SACCHARINITES;  XLV.  i^s.  XLIX.  3o6. 
SACCHAROITES  ;  XLIX.  3n6. 
SACCHO  GOMVIITES;  XLIX.  3..6. 
SAC(HO-LACTATESj  XLIX.  3o6. 
SACHET  ;  XLIX.  3<.6. 

SACP>.E;  XLIX.  Zo'j.  —  Trous  sacrés,  ibid,  —  Canal  sacre', 
ibid.  —  Artère  sacrée  antérieure  ou  moyenne .,  ibid.  —  Ar- 
tère sacrée  latérale,  XLIX.  3o8.  —  Veines  sacrées,  ibid. 
Nerfs   sacrés,  XLIX.  309.  —  Premier,  ibid.  —  Second, 
ibid.  —  Troisième,  ibid.  —  (Quatrième,  XLIX.  3io.  — 
Cincjuicme,  ibid.  —  Sixième  ,  ibid. 
SACRO-COCCYGlEN;XLIX.3ii.  5t6.— Ligamens  sacro- 

coccygiens ,  ibid. 
SACRO-JtPINEUX,  XLIX.  3t8. 

TASLC    I.  ni 


r,3o  TABLE 

SACRO-FÉMORAL,  XLIX.  3ll. 

8AGR0- ILIAQUE,  XLIX.  3ii.  3i8.  — Slruclure  parliculicrc 
<le  celle  articuialion,  IlL  2t).  —  Ligament  sacro  -  iliaque, 
m.  3o.  XLIX.  3ii. 

SAGRO-LOMBAiiiE  ,  description  ,  connexions  et  usages  de  ce  mus- 
cle ,  XLIX.  3ii. 

sacr:^-pubien,  III.  32. 

sACRo-sciAiiQUE  (ligament),  III.  3o.  3i.  XLIX.  3i2.  517. 

SACRO-SPINAL,  description  et  connexions  de  ce  muscle,  XLIX, 
3 12. 

SAGRO-TROCHANTERTErJ  (muSclc),   XLIX.   5l3. 

SACRo-vERTtBRAL  ,  dcfinilion,  111.22.7.  XLIX.  3i3,  —  Liga- 
ment sacro-verle'bra! ,  XLIX.  3i3. 

SACRUM  ;  description  de  cet  os ,  IIL  26.  27.  XLIX.  3i3.  — 
Sa  Slruclure,  XLIX.  3i5. 

Articulation  sacro  vertébrale,  ihid.  —  Articulation   sacro- 
coccygienne,  XLIX.  3i6.  —  Articulation  sacro-iliaque, 
ibid. 
Dispositions   qui  empêchent  cet  os   d'être  déplace'  par   le 

poids  de  la  partie  supérieure  du  corps,  III.  3o. 
Fraclures  du  sacrum,  ibid.  —  Ses  Juxalions,  XLIX.    Sig. 
—  Gangrène  et  ulcération  de  la  région  du  sacrum  ,  ibid. 

SAFRAN  j  description,  propriétés  et  usages  de  cette  plante, 
XLIX.  32.5. 

Résultats  de  son  analyse  chimique  ,  XLIX.  325.  —  Ses  pro- 
priétés médicinales,  XLIX.  5i6.  —  Son  mode  d'adminis- 
tration, XLIX.  328. 

Safran  bâtard  ou  safranuin  ,  XLIX.  33o.  — Safran  des  Indes  , 
ibid.' — Safran  de  mars  apcritit",  IV.  5i.  XLIX.  33o. — Sa- 
fran de  mars  astringent,  ibid.  —  Safran  des  prés,  ibid. 

SAGAPP^NUM;  description  de  cette  substance,  XLIX.  33o. 
—  Résultais  de  son  analyse  chimique,  XLIX.  33i.  —  Pro- 
priétés médicinales  ,  ibid. 

SAGE-FEMME;  considérations  générales  et  historiques  sur 
Jes  sagos-fenuues  ,  XLIX.  332.  —  Nécessité  de  les  soumettre 
h  de  plus  longues  éludts,  1.  102. —  Pourquoi  il  convien- 
drait de  leur  interdire  la  version  par  Jes  pieds  hors  de  la 
présence  d'un  accoucheur,  ibid. 

SAGITTALE;  XLIX.  332. 

SaGOU;  cousidéiations  générales,  I.  33o.  XLIX.  335.  — 
Aibres  qui  fournissent  celle  fécule,  XLIX.  35.5.  — •  Son 
mode  de  préparation,  ibid, 

Sagou  du  commerce,  XLIX.  336. 
Propriétés  du  sagou  ,  XLIX.  337. 

SAIGNÉli;  effets  de  celle  opération,  XLIX.  338. 

De  la  sîtigtîée  remplacée  par  les  sangsues,  XLIX.  Z^o. 


DES  MATIERES.  7:^1 

Ses  effets  immédials,  médicalions  qu'on  oblicnl  à  l'aide  de 
ce  moyen,  XLIX.  34i. 

Effets  locaux,  XLIX.  342. 

Effets  généraux  sur  le  système  circiilaloire  ,  ibid.  ;  —  sur  le 
système  respiratoire,  XLIX.  343  J  —  sur  les  organes  de 
la  digestion,  XLIX.  344;  ""  ^""^  '"^^  ort^unes  de  l'assiiiii- 
lalion,  ihid.  ;  —  sur  les  sécrétions  et  excrétions  ,  XLIX. 
345;  —  sur  les  fonctions  de  relation,  ibid.;  —  sur  le 
cerveau,  XLIX.  346. 

Médicalions  qu'on  peul  obtenir  par  la  saignée  des  veines, 
XLIX.  348. 

Comparaison  des  effets  de  la  saignée  des  veines,  et  de  la  mé- 
dication qu'on  obtient  par  celle  opération,  avec  les  eittts 
des  autres  saignées  en  général  ,  XLlX.  349. 

Arlériolomic,  XLIX.  35o.  — Scarincalions  et  sangsues  , 
XLIX.  35 1. 

Effets  locaux  des  scarifications  et  des  sangsues,  ibid. — Leurs 
effets  généraux, XLIX.  352. — Leurs  efleis  conséculifs,</'iV/. 

Effets  particuliers  des  sangsues  placées  dans  le  voisinage 
des  cavités  ou  des  ouvertures  tapissées  par  des  membranes 
muqueuses  ,  XLIX.  354- 

Application  des  médications  produites  par  la  saignée  au 
traitement  des  maladies  ,  XLIX.  355. 

Application  de  la  saignée  des  veines  en  général  k  la  pro- 
phylactique et  à  la  thérapeutique,  ihid. 

Application  thérapeutique  de  la  saignée  des  veines  en  géné- 
raU; ,  XLIX.  359- 

De  la  saignée  considérés  comme  moyen  palliatif,  ibid.  ;  — 
comme  moyen  curatif,  XIjIX.  35();  — comme  aiuiplilo- 
gislique,  ibid.  ;  —  comme  évacuant,  XLIX.  302;  — 
comme  antispasmodique,  XLIX.  365j — comme  cal- 
mant ,  ibid. 

Application  tiiérapeulique  des  différentes  saignées  en  parti- 
culier, XLIX.  364- 

Distinction  des  saignées  en  révulsives  et  dérivalives,  XLIX. 
365. 

Les  saignées  révulsives  el  dérivalives  considérées  par  rapport 
au  siège  du  mal  cl  au  lieu  sur  lequel  on  les  pratique, 
XLIX.  36d;  —  par  rapport  aux  différences  que  présente 
la  maladie,  XLIX.  36^;  —  par  rapport  au  siège  de  la 
maladie,  XLIX.  369. 

Indications  et  contre-indications  de  la  saignée  ,  XLIX.  3^i. 

Indications  et  contre-indications  indépendantes  de  l'étal  de 
la  maladie,  ibid.;  —  de  l'âge  du  malade,  ibid.;  — du 
tempérament,  XLIX.  373;  —  des  habitudes,  ibid.;  ' — > 
du  climat,  ibid.  j  —  de  la  grossesse  ,  XLIX.  3■J/^. 


7^2  TABLE 

indications  et  contre- indications  basées  sur  les  principaux 

symptômes  de  la  maladie,  ibid. 
Indications  et  conlrt'-indicutioris  tirées  de  l'état  dts  organes 
de  la  circnlalion  ,  ihid.;  —  de  la  lespiiulitm  ,  ihid..  — ^  «le 
la  digesiioii,  XLIX.  377;  —  des  sccieli(Mis,  XLIX.  3^8j 
—  des  sens  ,  XLIX.  38o. 
Auteurs  (pji  en  ont  tiailé  ,  XLIX.  38i. 
SAlGNKlVlENTj  XLIX.  6^  .  —Saignement  de  nez ,  ibid. 
SAILLIE;  considérations    générales   sur   l'impoi tance   de  la 
conn.iissance  des  saillies  osseuses  dans  les  opérations  relati- 
ves aux  vaisseaux  sanguins,  XLIX.  387. 
SAINDOUX;  XLIX.  3o8. 
S.AINFOIX  ;  description  ,  propriétés  et  usages  de  cette  plante , 

XLIX.  388. 
SAtSlS.SEMLNÏ;  considérations  générales  sur  les  causes  du 
saisissement,  XLIX.  388. 

Effets  et  signes  cvidens  des  diverses  espèces  de  saisissement^ 
XLIX.  393. 
SAISON  ;  cause  astronomique  des  saisons  en  chaque  climat 
du  globe  terrestre,  XLIX.  3t,9.  —  Sons  l'équalcur  ,  XLIX. 
4o'2.  — Sous  lis  tro[)iqiies,  XLIX.  4"4"  —  Oans  les  régions 
intermédiaires, ii/W.  — Dans  les  zones  glaciales,  XLIX.  4o5. 
Durée  des  jours  et  des  nuits  selon  les  saisons   en  chat^ue 

climat,  ibid. 
De  la  chaleur  en  été  et  du  froid  en  hiver  dans  les  différent 

climats  du   globe,  XLiX.  4*'7' 
Effets  de  ces  diverses   températures  des  saisons,  des  vents 
quiy  dominent ,  des  qualités  fies  pluies  qui  y  tombent,  et 
des  autres  mutations  atmosphériques,  XLIX.  4'2. 
Considérations  générales  sur  l'influence  des  saisons  pour  la 
santé  et  les  maladies,  XLIX.  4'7- 
SALAlSOiV  ;  quels  en  sont  les  inconvéniens,  I.  369. 
S^LVCIÏÉ;  XLIX.  425. 

SALEP;  1.   349.  XLIX.   4^5.   —  Considérations  générales^ 
XLIX.  4-*t)'  — '  Plante  qui  le  fournil,  son  mode  de  prépa- 
ration et  ses  usages ,  ibid. 
SALICAIRE;  description,  propriétés  et  usa^ges  de  cette  plante^, 
■   XLIX.  42M. 
SALIGINEES;  description,  propriétés  et  usages  des  plantes 

de  cette  famille,  XLIX.  43o. 
SALIFIA  BLE;  classification  des  bases  salifiables,XLIX.  452. 
SALIN  ;  XLIX.  433. 

SALIVAIRE  ;  XLIX.  4^5. — Glandes,  conduits  salivatres, 
ibid.  —  Tumeurs  salivaires  ,  XLIX.   436.  —  Ulcères  sali- 
vaires  ,  ibid. 
Division  des  glandes  salivaiies,  ibid.  —  Parotides,  ibkL 


DES  MATIERES.  733 

Maxillaires,   XLIX.  438.  —  Sublinguales  .  XLIX.  439. 

—  Alahiiits,  XLiX.  /^/fi.  —  Buccalfs,  ibid  —  Falaliiitîs,, 
îbid  —  Lingi<aie!>,  i/^V;^.  —  Labiales, XLIX.  442. — A.niyg- 
dalcs,  ibid. 

Conliiiis  saiivaiecs,  XLIX.  443.  —  Usages  des  glandes  sa- 
li vaicrs  ,  ibuL 

Calculs  oa  piciies  saîivaircs,  zi/V/.  —  Composilicu  cainii- 
tjue  de  CCS  conciclioiis ,  IH.  4^>"' 

YfiS  saiivaifcs,    XLiX.    ^\'o.  —  ïuineui-s   salivaiies  ,  ?7''V/. 

—  Fi.>tii  les  siiîivaii<p ,  ibid. 
Auici'ts  (.lui  et»  ont  liailé,  ibid. 

SALiVaNT.  XLIX.  447. 

SALlVATiON  ;  XLIX.  447.  —  Salivation  mercurielle,  IV. 
4.7. -XLIX.  .,47. 
Inulililé  de  la  sulivalion,  comme  crise  dar.s  le  traitement  Q« 

la  maladie  sypliilaicjue,  XLIX.  l\\'6. 
Siège  de  celle  salivation  ,  XLIX.  449- -^  Accidcns  <|u'olle 

cause,  et  moyens  propies  à  la  combattre,  XLIX.  4'^^. 
Aiteurs  qui  en  ont  traité,  XLIX.  455. 
SALIVE  ;  XLiX.   4->7.  —  Salive  naturelle  ,   ihid.  —  Salive 
contre  nature  ,  XLIX.  458. 
Réservoirs  de  ceue  humeur ,  ibid.- — Quantité   qui  en  est 

sécrétée  dans  un  temps  donné,  ibid. 
Ses  qualités  physiques,  I.  336.  —  Couleur,  XLIX.  459«  — 
Odeur,  XLIX.  4tiO.  —  Saveur ,  ibid.  —  Consi.=;ia!u;e ,  ihid. 

—  Pesanteur, /■/?/<-/.  —  C"mposilion,   I.  336.  XLîX.  4t>o. 

—  Mode  de  sécrétion,  XLIX.  4^^^. — Usai^cs  \\  l'intérieur, 
XLIX.  4'^4  5  —  ^  l'extérieur,  XLIX.  465.  —  Altération» 
par  dii'icrentcs  maladies,  XLIX.  4^6. 

Auteur.';  qui  en  oui  traité,  XLIX.   4*^^7- 
SALPÊTRE;  XLIX.  407. 
SALPIMGO  MALLELN,  XLIX  467. 
Salpingn  pharyngien ,  ibid. 
Snlp2ngo--'tnpliylit7,  ihid. 
SALSLPAUl:.iLLE;  description,  propriétés  et  usages  de  celte 

piaule,  XLIX.  467. 

Sirop  de  salsepareille  ,  XLIX.  47-- 
Salsepareilie  d  Amérique,  XLIX.  473.  —  Salsepareille  d'Al- 

le!aa£;ne ,  ibid. 
SALSlFlXj  de-^ciiption,  propriétés  et  usages  des  plantes  de 

ce  genre,  1.  379.  XLIX.  474*  — Salsiti,x  des  prés,  ihid. — 

Salbifix  à  feuilles  de  poireau,  ibid. 
SALTATîON;  XLIX.  474. 
SALLBRK;  XLIX.  474. 
SALUijRiTEj  considérations  ge'nérales  sur  la  salubrité  des 

lieux,  vêieoieus,  alimens,  boissons ,  jeux  ,  spectacles,  liabi- 


']^  TABLE 

tudes ,  etc. ,  etc. ,  relativement  à  la  santë  de  l'iiommc,  XLIX, 
4-:  5. 
SALVAÏELLE  ;  XLIX.  485. 

S/VLVLVïiilES  ;  description,  propriétés  et  usages   de  cette  fa- 
mille de  plantes  ,  XLIX. -^B 5. 
S  \NDAKA"QUE;  arbre  qui  fournit  celte  gomme,  XLIX.  4.^5. 
SAJN'G;  cor)si(lerutions  fjotic'raies  et  hisloriques  ,  XLiX.   486. 
Propriétés  du  sang,  XLIX.   4^7-  —  Couleur  ,'i/?iW.  —  His- 
toire de  îa  découverte  de  sa  coloration  ,  L  25 1. 
Odeur,  XLIX.  488.  —  Consistance,  ibid, 
Cliatigemens  (ju'il  éprouve  quand  on  l'expose  à  l'air,  ihiù. — 
Quand  ii  est  uni  à  l'eau,  XLIX.  4^9' — Quand  il  est  soumis 
:i  l'action  de  la  chaleur,   ihid.  —  Quand  il  est   placé  ea 
contact  avec   des  gaz,  XLIX.  49'^- 
Phénomènes  de  sa  pulre'laction ,  ibirl. 
licsuUals  de  son  analyse,  L  535.  XLIX.  491. 
Effluve  odorant,  XLIX.  492.  — Sérum,  XLIX.  ^Ç}-j..  — 
Caillot   ou    cruor,    XLIX.  495.   —  Matière  colorante, 
XLIX.  496.  — Fibrine,  XLIX.  4m8. 
Difl'éretîces  et  variétés  du  sang,  XLIX.  499- 
Sati'^  artériel ,  L  25 1.  XXII.  43.  XLIX.  499- 
Sang  vcincuï,  I.  25i.  XXII.  4'2-  XLIX.  5oo. 

Causes  de  la  conversion  de  l'un  dans  l'autre,  I.  25 1. 
DiOerences  que  ie  sang  présente  dans  les  différentes  parties 

du  corps,  XLIX.  5oo. 
Différences  relatives  h  l'âge  et  au  sexe,  XLIX.  5or. 
Proportion  do  ce  liquide  chez  l'homme  ,  ibicl. 
Son  cours  datis   le   cœur,   les  poumons,   les  artères,    les 

veines  et  les  vaisseaux  capillaire-;,  XLIX.  .5o2. 
Altérations  dont  ii  est  susceptible,  ibid. 
JSa  décomposition  dar?s  les  maladies,  XLIX.  5o4. 
Phéuomènes    physiologiques   et   pathologiques    qui   résul- 
tent d'une  grande  efUision  sanguine,  ou  de  la  perte  de  la 
plus  grande  partie  du  sang  ,  XLiX.  5o5. 
Phénomènes  physiologi([ues  et  pathologiques  de  la  surabon- 
dance de  sang  dans  l'économie  animale,  XLIX.  5o6. 
Phénomènes  pathologiques   des   vices   de  conformation  du 
cœur  qui  s'opt)osent  à  la  formation  du  sang  rouge,  ibid. 
Transfusion  du  sang  ,  ibid. 
Auteurs  qui  en  ont  traité,  ibid. 

Le  sang  considéré  comme  aliment,  I.  870.  XLIX.  5i  i  ;  — 
comme  médicament,  XL-IX.  412. 
Sang  de  bœuf;  son  emploi  dans  les  affections  cancéreuses  , 

m.  657. 

sang-dbagon;  cousidérations générales,  XLIX.  4 'S-  —  Végé- 
taux qui  le  fournissent,  XLIX.  f\i^. 


DES  MATIERES.  73.^ 

Ses  propriétés  pliysiques ,  XLIX.  4'5.  —  Ses  propriétés 
médicinales,  XLIX.  4 16.  —  Ses  usages,  ihid. 
SANGLOT  ;  consiciciatioiis  générales  sur  le  siège,  les  causes, 

le  mécanisme  cx  les  effets  du  sanglot,  XLIX.  517. 
SANGSUE;  liisloiiedece  ver,   Xl.lX.  520.  —  Son  annlo- 

mic,  ibid.  —  Son  genre  de  vie,  XLIX.  5a4.  —  Sa  nourri- 
ture 'labiluellc,  ihid. 

Récolte,  choix  et  application  des  sangsues,  XLIX.  525. 

Quantité  de  sang  qu'elles  tirent,  XLIX.  i5i. 

Accidens  qui  peuvent  suivre  leur  application ,  XLIX.  532. 

lulroduclion  d'un  de  ers  animaux  dans  i'inlérieur  de  l'éco- 
nomie, ihid.  —  Douleur  causée  par  les  piqûres,  XLIX. 
533.  —  Affaiblissement ,  ihid.  —  lîidigcslion ,  ihid.  —  Hé- 
morragie, ibid.  —  Suppuration,  XLIX.  534.  —  Trom- 
bus ,  ibid. 

Cas  où  on  emploie  les  sany:sucs  préférablemenl  à  la 
saignée,  XLIX.  535. —  Dans  les  inflammations  ou  tur- 
gescences sanguines  des  vaisseaux  capillaires  ,  XLIX.  536. 
■—  Dans  les  maladies  des  parties  continues,  XLIX.  SS'-. 

—  Dans  les  maladies  des  parties  coDtiguës,  ibid.  — Dans 
les  maladies  externes,  ibid. —  Lorsqu'on  ne  veut  opérer 
nu'une  évacuation  sanguine  faible  ou  graduée,  ibiU. — 
Pour  opérer  la  dérivation  ,  XLIX.  538. 

Auteurs  qui  en  ont  traité,  XLIX.  559- 

Sangsues  artificielles,  XLIX.  5)i. 

SANGUIFICATION;  XLIX.  54  r. 

SANGUIN  ;  XLIX.  54 1-  —  Vaisseaux  sanguins,  ibid. 

Considérations  générales  sur  le  tempérament  sanguin,  ibid. 

Influence  qu'il  exerce  sur  l'extérieur  du  corps,  XLIX.  542; 

sur  la  digestion  ,  XLIX.  543  ;  — sur  la  circulation  ,  ibid.  ; 

—  sur  les  fonctions  aulmales  ou  de  relation  ,  XLIX.  544  ; 

—  sur  les  organes  des  sens,  ibid. -^  —  sur  le  cerveau, 
XLIX.  545  ;  —  sur  les  passions,  ibid.:  —  sur  les  mala- 
dies ,  XLIX.  546. 

Ses  altérations,  causes  qui  les  produisent  ,  XLIX.  547- 
Tempérament  sanguin  lymphatique,  XLiX.  549-  —  Tem- 
pérament sanguin  nerveux,  XLIX.  55o. — Tempérament 
sanguin  musculaire,  XLIX.  55i.  —  Tempérament  san- 
guin bilieux,  XLIX.  552.  —  Tempérament  sanguin  mé- 
lancolique ,  XLIX.  553.  —  Tempérament  sanguin  génital, 
XLIX.  555.  —  Tempérament  sanguin  cérébral,  XLIX. 
556. 
SANGUINOLENT  ;  XLIX.  557. 

SANGUISOKBEES  ;   description,   propriétés  et  usages  des 
plantes  de  celle  famille,  XLIX.  55^. 


736  TAT3LE 

SANICLE  ;  description,  propiieiés  et  usages  de  ce  genre  de 

plantes,  XLIS.  558. 
SÂINIDODE;  XLIX.560. 
SAN! Si;  XLiX.   ,60.    . 
SANîlilX;  XLIX.  56o. 

SANTaL;  descripiioa  ,  propriétés  et  usages  dos  plantes  de  ce 
nom  ,  XLÎX.  56o.  —  Du  santal  blanc,  ibid.  —  Du  santal 
cilrin,  ihid. — Da  santal  rou^c,  XLIX.  5ùi. 
SâMWLINE;  XLIX.  563.  XLV.  191. 

San  lE  ;  XLIX.  563.  —  Consideraiionç  générales  sur  les  ca» 
racières  et  les  modifications  de  la  satilé,  XLIX.  564- 
Auteurs  qui  eu  ont  iraitii,  XLiX.  568. 
Conseils  fie  saille,  XLIX.  569. 
SAISTOLlNE;   description,  propriétés  et  usages  des  piaules 

de  ce  jT«iu'-"j  XLIX.  570. 
SAPA  ;  XLIX.  570. 

SAPlïENEj  XLIX.  571.  —  Nerfs  saphènes,  ibtd.  —  Veines 
saphcius ,  ihid. 

Considérai  ions    palliologiques  sur  ces  vaisseaux,    ihid.  — 
Plaies,  ihid.  —  Ulcères,  ibid.  —  Varices,  ibid.  —  Liga- 
lu.re  ,  XLIX.  075.  —  Piilcboiomic ,  XLIX.  57  4. 
Nerfs  sapliènes,  ibid. 
Lésions  de  ces  nerfs,  XLIX.  S^S. 
SAPHiR;  XLIX.  576. 

SAPIN;    description,  propriétés  et  usages  des  plantes  de  ce 
genre,  XLIX.  376.  111.  120.  121. 

Sapin  commun  ou  sapin   argenté,    XLIX.    576.   —  Sapin 
pesse,  épicéa  ou  faux,  sapin,  ibid.  —  Cèdre,  XLIX.  577. 
—  Sapin  baumier  d'Amcri'jue,  XLIX.  578. 
SAPINDEES;  description,  propriétés  et  usages  des  plantes 

de  cette  famille  ,  XLIX.  579. 
SAPONAIRE;  description,  propriétés  et  usages  des  plantes 
de  ce  genre  ,  XLIX.  570.  IV.  235. 

Remarques  siii  la  nécessité  d'en  surveiller  laculture,  IV.  i35. 
SAPONIFICATION;  XLIX.  5bi. 
.SAPORIFIQUE;  XLIX.  58.. 
SAPOTEES  ;  description ,  propriétés  et  usages  des  plantes  de 

cette  famille  ,  XLIX,  58 1. 
SAPOTILLE;    description,    propriétés     et   usages    de   celte 

graine  et  de  la  pl.uile  qui  la  fournit,  XLIX.  582. 
SAPOTILLIERS  ;  XLIX.  58^. 
SAl  KOPYRE;  définition,  XLIX.  582. 

SARCOCELE  ;  considérations  générales  sur  cotte  maladie  , 
L.  1. 

Sa  description,  L.  2.  —  Ses  causes,  ses  symptômes,   ses 
phénomènes  principanx  ,  âge  auquel  on  Pobserve  le  plus 


DES  MATIERES.  787 

fiéqacmment,  sa  marche  ,  sa  icrminaison  ,  varic'lcs  qu'elle 
présente,  L.  5. 

Observation  d'une  tumeur  énorme  de  ce  genre,  IV.  25y.— 
Maladies  qui  simulent  le  cancer  du  testicule  ,'  IV.  L.  7. 
271.  —  Atïeclions  du  tissu  cellulaire  du  scrotum  ,  ibtcL-y 
—  de  la  membrane  séreuse  des  testicules,  L.  11  ;  —  delà 
membrane  fibreuse  ou  propre  du  testicule,  L.  i3. —  En- 
gori^ement  du  testicule  lui-même,  L.  20.  —  Maladies  des 
cordons  spermaUques  ,  L.  25. 

Conmient  on  le  dislingue  de  la  îiernie  inguinale,  lïl.  SSg. 

Les  maladies  ci-dessus  considérées  comme  autant  de  causes 
du  sarcocèle,  L.  26. 

Diaç;noslicdu  sarcocèle, L.  ^7.  —  Son  pronostic,  L.  28 

Son  trailement,  L.  Sa.  —  IMoycns  de  prévenir  l'hcraor* 
ragie  après  l'opération  ,  L.  35. 

Eléphanlia'sis  du  scrotum,  L.  36.  ^ 

Auteurs  qui  en  ont  traite,  L.  38. 
SARGOCOLLE5  description  de  l'arbre  qui  fournit  celte  subs- 
tance ,  L.  38.         • 
SARCOCOLLINE ,  XLIV.  181.  L.  40. 
SARCO-EPIFLOCÈLE  ;  L.  5o. 

SARCO-EPtPLOMPHALE  ,  ibicî. 

SAr.co-HyDROcÈLE,  îhid. 

SARCOLOGIE;L.4o. 

SARCOME;  L.  40. 

SARCOTIQUE;  L.  4i-  • —  Ces  médicamens  sont  inutiles  dans 

le  sens  qu'on  attache  au  mot  ,1,  11. 
SARDONIQUEj  causes  du  rire  et  signes  qu'on  en  tire  dans  les 
*     maladies  ,  L,  4'  • 
SARMENTACEES;  description,  propriétés  etusages  des  plan-: 

tes  de  cette  famille  ,  L.  42.  • 

SAflRAZIN  ;  description  et  usages  de  celle  plante  ,  L.  42. 
SARRETE  ;  description  ,  propriétés  et  usages  de  celle  plante 

L.  43. 
Sarrèùe  des  teinturiers,  ibîd. 
SARRIETTE;  description,  propriétés  cl  usages  des  plantes 

de  ce  genre,  L.  44- 
SASSAFRAS  ;  description ,  propriétés  el  usages  de  cette  plante 

L.  44.   .  ^  1  . 

SATIETE;  L.  49. 

SATURATION  ;  phénomènes  qu''elle  présente,  L.  48, 
SAT'URNIN;  colique  saturnine  ,  L.  48. 
SATYRIASIS;  définition  et  considérations  générales,  L.  4$. 

—  Description  et  observations,  L.  49. 

Caractères  spécifiques,  !..  55.  —  Symptômes,  L.  5G. 

TABLE    1.  qj. 


738  TABI-E 

Causes  ,  L.  67.  —  Diagnostic,  ibid.  —  Pronostic  ,  L.  58-' 
—  Traitement  ,  ihid. 
SATYRION  ;  description,  propriétés  et  usages  des  plantes  de 

ce  genre  ,  L.  5g. 
SAUGE;  description,  propriétés  et  usages  des  plantes  de  ce 

genre  ,  L.  60. 
SAULE j  description,  propriétés  et  usages  deâ  plantes  de  ce 

genre ,  L.  65. 
SAUMON;  la  chair  de  ce  poisson  pèse  sur  l'estomac,  I.  365. 
SAURIENS  ;  caractères  de  ces  animaux,  L.  68. 
SAURUREES  ;  description  ,  propriétés  et  usages  des  plantes 

de  cette  famille,  L.  69. 
SAUT;  considérations  générales,  XXVIII.  568.  L.  69. 

Tiiéoiic  du  saut ,  ibid.  —  Saut  vertical ,  L.  72.  —  Saut  ho- 
rizontal ,  ibid. 

Le  saut  considéré  chez  plusieurs  animaux,  ihid. 
SAVEUR;  considérations  générales  sur  la  saveur,  les  corps 

qui  en  jouissent,  et  les  modifications  qu'elle  présente  suivant 

les  individus,  la  disposition  actuelle^  l'état  de  santé,  l'ha- 
bitude, la  température,  etc. ,  XIX.  46.  L.  73. 
SAVON;  considérations  générales,  L.  81. 

Différentes  espèces  de  savon  ,  L,  82. 
Savons  alcalins,  ihid.  —  Savons  solides  et  faits  avec  les  graisses, 

ihid.  —  Savon  médicinal,  ibid.  —  Savon  du  commei-ce, 

ihid.  —  Savon  animal ,  L.  83. 
Savons  noirs  à  base  de  potasse ,  L.  84  *,  —  à  base  d'ammoniaque , 

ibid. 
Savons  terreux,  L.  85.  — Savons  métalliques,  L.  86.  —  Em». 

plâtres,  ibid.  » 

Phénomènes  de  la  saponification,  L.  87. 

Analyse  des  savons,  L.  89. 

Co'mbinaison  des  résines  purgatives  avec  les  alcalis  rf:aus- 
tiqucs ,  ibid. 

Emploi  médicinal  des  savons  ,  L.  90.  — Avantages  de  leur 
emploi  dans  les  bains,  II.  543. 

Auteurs  qui  en  ont  traité  ,  ibid. 
SAVONNEUX;  L.  91. 
SAVONULE  ;  L.  91.  —  Composition  du  savonule  de  Star- 

key ,  ibid. 

Considérations  générales  sur  les  savonules,  leur  formation, 
et  la  théorie  de  leur  mode  d'action  ,  L.  93. 
SAVOUREUX  ;  L.  94. 
SAXIFRA-GE;  description,  propriétés  et  usages  des  plantes 

de  ce  genre  ,  ibid. 
Saxifrage  granulée  ou  blanche  ,  ibid.  —  Saxifrage  dorée  , 


DES  MATIERES.  73f> 

L.  9$.  —  Saxifrage  des  Anglais,  ibid.  —  Saxifrage  rouge, 

ibid. 
SAXlFRxAGEES  ;  description, propriétés  et  usages  des  plantes 

de  cette  famille  ,  L.  g5. 
SCABIEUSE;    description,  propriete's  et  usages  des  planles 

de  ce  genre  ,  L.  95. 
Scabieuse  des  champs  ou  des  pre's  ,  ibid.  —  Scabieuse  suisse, 

ibid.^ 
se  ALENE  5  description,  connexions  et  usages  du  muscle  sca- 

lène  antérieur,  L.  g'j  j  —  du  muscle  scalcne  postérieur, 

L.  oH. 
SCALPEL  ;  différentes  espèces  de  scalpels,  L.  99.  —  INévro- 

tome,  ibid. 

Emploi  de  cet  instrument  dans  les  dissections,  IL  45- 
SCAMONEE;  plantes  qui  fournissent  cette  substance,  L.  100. 

—  Manière  de  l'obtenir,  L.  10 1. — Ses  caractères  physiques, 

ibid. 

Procédés  employés  pour  la  falsifier,  L.  102. 

Résultais  de  son  analyse  chimique  ,  ibid. 

Ses  usages  ,  L.  io3.  —  Préparations  dans  lesquelles  on  la 
fait  entier,  L.  io5.  — Ses  succédanées  indigènes,  L.  106. 
SCAPHANDRE  ;  considérations  générales  sur  les  scaphan- 
dres, leur  utilité  et  leur  construction,  L.  lo^. 
SCAPHOIDE;  description  et  connexions  de  l'os  scaphoïde  du 

carpe,  IV.    112.  L.   1125  —  de  l'os  scaphoïde  du  larse , 

ibid. 

SCAPHOÏDO-ASTP.AGALIEN  ,   ibid.  JÊji 

SCAPHOIDO-CUBOÏDIEN  ,  ibid.  ^^ 

SCAPHOÏDO-SUS-PHALANGIEN  du  pOUCC,  L.    Il3. 

SCAPULAIRE  5  description  et  usages  du  bandage  scapulaifc, 

L.  ii3. 

Muscle  sous-scapulaire,  L.  1 15.  —  Artère  scapulaire  supé- 
rieure, ibid.  — Artère  scapulaire  poste'rieiire,  ibid.  —  x\i- 
tère  scapulaire  inférieure  ou  commune,  L.  ii4'  —  Nerf 
sous-scapulaire,  L.  ii5.  —  Nerf  sus-scapulaire,  ibid.  — • 
Extrémité  scapulaire  de  la  clavicule,  ibid. 
scAPULOCLAVicuLAiRE  (articulation),  ibid. 
acAPULo-HUMÉRAL,  ibid. 

Par  qui  fut  faite  pour  la  première  fois  l'amputation  dans  cet 
article,  L  49^.  L.  1 17. 

Procédé  de  Ledran  ,  L  49^^  —  de  Garengeot ,  ibid.  5  —  de 
Lafaye  ,  ibid.  ;  —  de  Dupuylren  ,  L  49^. 

Muscle  scitpulo-huniéral ,  ibid. 

Artères  scapulo-huriiérales  ,  ibid. 

Nerfs  scapulo-huméraux ,  ibid. 

SCAPULO-HU.rvltJElO-OLLCfiAMLN'     ibid> 


7iO  TABLE 

SCAPULO-HYOIDIEN,  /7v/V/. 

scapulo-olécranien  ,  ibid. 

scAPULo-RADiAL,  description,  connexions  et  usages  de  ce  mus- 
cle ,  L.  ii6.  —  Piqûre  de  son  tendon,  L.  117. 
SCARIFICATEUR;    considérations  générales  sur    l'usage  et 

les  avantas^es  de  cet  instrument,  L.  wn. 
SCARIFICATION  ;  L.  1 18.  . 
SCARIOLE  ;  description ,  propriétés  et  usages  de  celle  plante , 

I.  378.  L.  119. 
SCARLATINE  j  dcfiiniion  et  synonymie  ,  L.  120. 

Coiisidéralioiis  géiicrales  et  hisioiiques  sur  cette  affection, 

ibid. 
Ses  causes ,  L.  121.  —  Ses  symplôaies ,  sa  marche  el  sa  ler- 

miuaison  ,  L.  122.  —  Son  diagnostic ,  L.  i25. 
Variétés  qu'elle  présente,  L.  iy.7. 
Scarlaline  bénigne,  ibid.  —  Scarlatine  maligne,  ibid. 
Traitement,  L.  128. 
Auteurs  cjui  eu  ont  traité,  L.  i32. 
SCEAU-DE  SALOMON5   description,  propriétés  et  usages 

de  celle  plante,  L.  i33. 
SCÉLOTYRBE  :  L.  134.    • 
SCEPTICISME,  considérations  générales  sur  le  scepticisme, 

son  orip;ine  et  son  abus  en  médecine  »  L.  i34- 
SCHfDAKEDON;  L.  i34. 
SCHINDELÈSEj  L.  ï34. 

SClATiQUE;  L.  i/|2.  —  Tubérosilé  sciatique,  ibid. — Plexus 
^l^ciatique  ou  sacré,  ibid. 

^^Ramcaux  béaiorroïdaux,  ibid.;  —  vésicaus  ,  ibid.  ;  —  uté- 
■     lins  ,  vaginaux  ,  ibid, 

Nerf  iessier  inléricur,  L.  i43.  —  Rameaux  fessiers  propre- 
ment dits,  ibid. 
Nerf  honteux  ou  génilal,  ibid.  —  Piameau  inférieur  chez 
l'homme  ,  L.  1  44  ?  —  supérieur,  ibid.  ;  —  inférieur  chez 
la  l'eaime,  ibid.j  —  supérieur,  ibid. 
Nerf  scialique  ,  L.  il\3. — Popliié  externe,  ibid.  -—Branche 

muscuio-culanée ,  L.  i4(>« 
Rarac.iu  interne  et  superficiel  du  dos  du  pied  ,  ibid.  ;  —  ex- 
terne el  su  peificicl ,  «/&/«?. 
Branche  tibiaie  anlérieure,  L.  147. 
Rameau  interne  profond  da  dos  du  pied,  ihid.'^  —  externe 

profond ,  ibid. 
Nerf  popliié  exlerne  ,  L.  i^^S;  — ^^saphène  externe  ,  ihid. 
Branche  plantaire  exlerne,  L.  i49j  — interne,  ibid. 
Considérations  pathologiques  sur  le  plexus  et  le  nerf  scia- 
tiques  ,  ilid.  —  Plaies ,  ibid.  —  Diraiauliou  de  volume  y 


DES  MATIERES.  741 

ibUl.  —  Augmeiilation  de  volume,   L.  i5o.  —  Inflam- 
mation, ibid.  — r  NcvraU'jics  ,  ibici. 
Consideialions  généraies  sur  la  scialique,  ihid. 
Sciatique  vraie ,  essentielle  ou  nerveuse,  L.  i5i. 
Sciatique  fausse  ou  symptomalique  ,  ibid. 

Invasion  de  !a  maladie  ,  ibid.  —  Ses  pîicnoniènes  ,  ibid.  — 

Ses  causes,  L.  i53.  —  Sa  terminaison  ,  ihid. 
Elal  pathologique  des  neris  et  autres  parties  euvironnaules  , 

ibid. 
Diagnostic,    L.   i54.  —  Pronostic,  ihid.  —  Traitement, 

ihid. 
Examen  des  moyens  thérapeutiques  employés  dans  le  trai- 
tement de  la  scialique  ,  L.  i55.  —  Moxu  ,  ibid.  —  Vési- 
catoire,L.  i56. — Evacuations  sanguines,  iZ'ifi?. —  Bains, 
ihid. 
SCIE  5  L.  157. —  Manière  de  s'en  servir,  L.  iSq.  —  Scie  ronde 

ou  circulaire,  L.  160. 
SCIENCE 5  de  la  nature  des  sciences,  et  de  leurs  foudemcns 
])ar  rapport  à  l'(  spèce  humaine  ,  L.  161. 
Leurs  inconvënicns  et  leurs  dangers,   manière  de  les  com- 
battre avec  le  plus  d'avantage  ,  soit  en  médecine,  soit  dans 
les  branches  accessoires,  L.  iGli. 
Importance  et  nécessité  des  sciences  démonlre'es  par  leurs 
rcsullals    et  leurs  effets  heureux,  en  médecine    comme 
dans  les  autres  genres  de  connaissances,  L.  lyS. 
Rapports  de  ia  médecine  avec  toutes  les  connaissances  hu- 
maines, L.  X07. 
Des  sciences  acquises  sous  le  domaine  de  la  raison  pure  ,  L, 
i8b.  —  Des  sciences  acquises. so,us  le  domaine  du  senti- 
ment ,  L.  189.  —  Des  sciences  acquises  sous  le  domaine 
de  l'expérience,  ibid. 
SCILLE  ;   description  ,  propriétés  et  usages  des  plantes  de  ce 

genre,  L.  ig8. 
Scitle  m.iritijDc,  ibid.  —  Scille  d'Espagne,  L.   19g  — Scille 
d'Italie ,  ibid. 

Résultais  de  l'analyse  chimique  ,  L.  200. 
Effcls  délélèies  de  la  hcille  sur  l'économie  animale,  L.  201, 
Ses  propriétés  médicinales,  ibid.  —  Ses  usages,  L.  202.  — 

Soir  mode  d'administration  ,  L.  20^. 
Préparations  diverses  cju  on  lui  fait  subir,  ibid. 
Poudre,  ibid.  —  T inaigre,  L.  2o5.  —  Oximel ,  ibid.  • — 

Vin  ,  L.  206.  —  Teinture,  ibid.  Extraits,  ibid. 
Succédane'es  de  la  scille  ,  ihid, 
SCILLITINE  3  déliniiion,  L.  207. 
SCINQUE;  L.  20';.     , 
SCINTILLATION;!-.  207. 


742  TABLE 

SCIRPE;  dcscriplion,  propriétés  et  usages  de  celte  plante, 

L. 207. 
SCISSURE;  définition,  IV.  389.  L.  308.' 
Scissure  de  Glaser ,  ibid.  ;  —  de  Sylvius  ,  ibid. 
SCLAREE  ;  propriétés  de  celle  plante ,  L.  208. 
SCLEREME  ;  L.  208. 
SCLEREMIE;  L.  208. 
SCLERASIS5  L.  209. 
SCLEROME;  L.  209. 
SCLEROPHTALMIÈ;  L.  209. 
SCLEROSA RCOME  ;  L.  209. 
SCLEROTIQUE;  description  de  celle  membrane,  XXXVII. 

1 40.  L.  209. 
SCOLIOSE;  m.  253.  L.  210. 
SCOLOPENDRE;  description,  propriétés  et  usages  de  celte 

plante,  L.  210. 
SCOllOl'OMACHERION  j  L.  211. 
SCORBUT ,  L.  21 1.  —  Histoire  de  celte  maladie,  iUd.  —  Sa 

description,  ibid. 

Différences  qu'elle  présente,  L.  216. — Période  d'imminence, 
ibid.  —  Période  d'invasion  ,  ibid. 

Marche,  phénomènes  et  terminaison,  L.  217. 

Caractères  de  l'atrophie  que  le  scorbut  détermine,  II.  442. 

Résultats  des  autopsies  cadavériques  ,  L.  222. 

Causes  occasionelles  du  scorbut,  L.  223.  —  Causes  prédis- 
posantes ,  IL  208.  L.  225. 

Principales  causes  qui  le  produisent  chez  les  marins ,  IL  293. 
— Production  du  scorbut  par  la  syphilis,  L.  235.  —  Pro- 
nostic ,  L.  237.  —  Cure  proservative,  L.  238.  — Trai- 
tement curatif ,  IL  208.  L.  240. 

Nature  ou  essence  du  scorbut,  L.  246. 

Auteurs  qui  en  ont  traité ,  L.  254. 
SCORBUTIQUE;  L.  258.  —  De  la  disposition  au  scorbut , 

ibid.  —  Ulcères  et  tumeurs  scorbutiques,  L.  260. 

Affections  scorbutiques  de  la  bouche,  L.  262. 
SCORDIUMj  dcscriplion,  propriétés  et  Usages  de  celte  plante, 

L.  266. 
SCORPION;  description  de  cet  insecte,  L.  268.  —  Dangers 

de  sa  piqûre  ,  L.  270.  —  Accidens  qu'elle  produit ,  L.  274. 

—  Leur  traitement,  ibid. 

Huile  de  scorpion,  L.  275. 
SCORSONERE  ;  description,  propriétés  et  usages  des  piaules 

de  ce  genre  ,  L.  275. 

La  scorsonère  considérée  comme  aliment,!.  '»7g. 

Ses  vertus  diaphoréti<jues  ne  aoul  pus  démontrées,  ibid. 
SCOTODYME';  L.  276. 


DES  MATIERES;  ^43 

SCOTOMïE;L.  2«^6 
SCROBIGULE  ;  L.  9,70. 

SCROPJillLMRE  ;  dcscripi  ion  ,  propriétés  ct  usages  des  piau- 
les de  ce  genre,  L.  277. 
Scrophulaire    noueuse  ,    ibid.   —   Scrophulaire  aquatique  , 

iiT). 
SCROPHULESj  considérations  générales  et  historiques,  L. 
278. 

Description  empirique  du  scrophule,  L.  281. 

Ses  caractères  chez  ics  femmes  ,  L.  283  ;  —  cliez  les  hommes, 
ibid.  ;  —  dans  la  jeunesse  ,  L.  285. 

Organisation  scrophuleuse ,  ibid. 

Causes  dos  scrophulcs,  L.  286.  —  He're'dité  de  cette  affec- 
tion ,  L.  288.  —  De  sa  contagion  ,  L.  290. 

Age  auquel  on  l'observe  le  plus  fie'quemment ,  L.  291. 

Tumeurs  scrophuieuses  ,  ibid. 

Marche    de    la  maladie,   L.  297.  —  Sa    terminaison,  L. 

Caractères  de  l'atrophie  scrophuleuse,  II.  44^* 

Théories  diverses  relatives  aux  scrophules,  L.  3oo. 

Affections  organiques  qui  sont  considérées  comme  re'sultals 
de  la  constitution  scrophuleuse,  L.  33i. —  Affections  du 
système  nerveux,  L,  333.  —  Lésions  du  système  lympha- 
tique ,  L.  334;  —  ^^  système  sanguin,  ibid,;  —  de  la 
peau,  L.  335;  —  du  tissu  lamelleux  ,  des  muscles  et  des 
tendons  ,  L.  336  ;  —  des  memb|-anes  séreuses  ,  ibid.  •  — •  des 
membranes  muqueuses,  L.  337.  ;  —  de  l'organe  pulmo- 
naire, L.  338  ■  —  des  viscères  abdominaux,  L.  34i. 

Identité  du  produit  des  altérations  scrophuieuses  dans  les 
différentes  parties  du  corps,  L.  346. 

Traitement  des  scrophules,  L.  352. 

Application  de  la  médecine  mystique  dans  celte  maladie, 
L.  353. 

Traitement  médical  ,  L.  355.  —  Air,  L.  358.  —  Alimens, 
ibid.  —  Boissons,  L.  359.  —  Exercice,  L.  36o. 

Bains  froids,  ibid.  —  Bains  de  vapeurs,  L.  365. 

Médicamcns ,  L.  368.  —  Purgatifs,  vomitifs,  L,  56ç). — 
Mercuriaux  ,  L.  370.  —  Quinquina,  L.  372.  —  Fer, 
ibid, —  Or,  ibid.  —  Terres  et  sels,  h.  3']^.  —  Digitale 
pourprée,  ibid.  —  Ciguë  et  aconit,  L.  374.  —  Muriate 
de  baryte-,  L.  378.  —  Houblon,  L.  37g. 

Traitement  chirurgical ,  L.  38o. 

Auteurs  qui  en  ont  traité,  L.  385. 
SCROFHULEUX  ;  L.  387. 
bCROTOCELEjL.387. 


741  TABLE 

SCROTUM  j  description  et  organisation  ,  L.  877.  —  Maladies 

du  scrotum,  L.  o^g.  —  Cancer,  lll.  583. 
SCRUPULE  ;  L.  589. 

SCUTELLAlPiE;  description  ,  propriétés  et  usages  des  plantes 
de  ce  genre,  L.  389. 

Tiailemenl  de  la  rage  par  la  scutellaria  lateriflora  ,  L.  Sqo. 
SCUTIFORME  ;  L.  593.  —  Os  scuiif orme ,  ibid. 
SCYIMLA;  L.  BgS. 

SEBACE;  considérations  générales,  L.  5g3.  —  Des  humeurs 
sébacées,  de  leur  nature,  des  organes  qui  les  fournissent,  et 
des  variétés  qu'elles  présentent  dans  les  différentes  parties 
du  corps,  L.  394* 

Au  gland,  L.  SgS.  —  Aux  aines  ,  aux  ailes  du  nez,  aux  or- 
teils, à  l'ombilic,  L.  396.  —  Aux  caroncules  lacrymales, 
ibid.  —  Aux  amygdales,  ibid. 
SEBACIQUE  ;  caractères  de  cet  acide, XLV.  170.  L.  897. 
SEBADILLUM  ;  mode  de  préparation  ,  L.  397.  —  Caractères 

physicjucs  et  chimiques,  L.  5g8. 
SEBATE  ;  L.  Sgo. 
SEBEL  ;  défiuiiion  ,  L.  398. 
SEBESTE  ;  arbre  qui  fournit  ce  fruit,  L.  398.  — ,Ses  pro- 

pririés  et  ses  usages  ,  ihid. 
SECHERESSE;  sescîïets  généraux,  L  26j.  264.  —  Circons- 
tance où  elle  peut  nuire,  ï.  264.  —  Dans  quels  cas  l'air  vif 
et  sec  peut  être  utile,  L  278. 
SECONDAIRE  ;L.  399/ 
SECONDLNES  ;  L.  899. 

SECRET;  tonsidéiations  générales  sur  ce  qu'on  entend  par  re- 
mèdes secrets  ,  T...  4oî' 
Do  la  permission  accordée  aux  débitans  de  remèdes  secrets, 

L.  402. 
Législation  relative  à  ces  remèdes,  L.  4o5. 
Moyens  d'en  réprimer  la  vente,  L.  4o8. 
SECRETEUR;  L.  4ii. 

SECRETION  ;  considérations  générales,  L.  ^\.i. 
De  la  séci'étion  en  général  ,  L.  4'5. 
Anatomie  des  organes  sécréteurs,  ibid.  —  Follicules,  L. 

4i5.  —  Glandes  ,  L.  416. 
Mécanisme  des  sécrétions,  L.  420. 

Du  travail  des  organes  sécréteurs  et  des  sécrétions  considé- 
rées comme  le  produit  de  ce  travail,  4^3. 
Des  sécrétions  considérées  comme  action  vitale,  L.  ^t-^' 
Des  sécrétions  en  particulier  ,  L.  434- 
Sécrétions  récrémentitielles,  L,  435. 

Sécrétions  de  sucs  séreux ,  ibid.  —  Exhalation  synoviale  , 
L.  437. 


DES  MATIERES.  ;j45 

Sécrétion  mëcluilairc,  L.  438. — Exhalation  du  tissu  lami- 

neux,  L.  /i5g.  —  Exhalation  aniolaire,  L.  44 '♦ 
Sécrétions  excrémentitielles,  L.  44'^*  — Sécrétions  spéciale^ 

ment  décomposanles,  ibid. 
Sécrétion  urinuirc  ,  ibid.  —  Analomie  de  l'appareil  urinaire  , 

L.  443.  —  Reins  ,  ibid.  —  Urcicres,  L.  445.  — Vessie  , 

L.  446-  —  Urètre  ,  L.  44^. 
Histoire  physiolo§;ique  de  l'urine,  L.  449- 
Sécrétion  de  l'urine,  ibid. —  Sa  transmission  dans  la  vessie  , 

L.  45o.  —  Son  séjour  dans   cet  organe,  L.  ^5i.  —  Son 

excrétion ,  L.  452. 
Analyse  de  l'urine,  sa  quarilité,  variétés  qu'elle  présente  sui- 
vant l'âge  ,  le  sexe  et  le  tempérament ,  L.  455. 
Sécrétions  qui  ne  sont  qu'accessoirement  décomposantes , 

Sécrétions  excrémentitielles  lubréfiantes,  L.  460. 

Sécrétion  folliculaire  sébacée  ,  ibid. 

Sécrétion  folliculaire  muqueuse,  L.  461. 

Sécrétion  des  larmes,  L.  4^5. 

Sécrétions  digestives,   ibid.  — Sécrétion  salivaire  ,  L.  464. 

—  Sécrétion  pancréatique,  ibid. 
Sétrétion  biliaire,  ibid. 

Appareil  de  la  sécrétion  biliaire,  L.  465.  — Du  foie,  ibid. 

—  Du  canal  hépatique,  ibid.  —  De  la  vésicule  du  fiel  , 
L.  466.  —  Du  canal  cyslique,  ibid.  —  Du  canal  cholé- 
doque, ibid. 

Considérations  générales  sur  la  rate,  ibid. 
Mécanisme  de  la  sécrétion  biliaire,   L.  468.  —  De  î'oxcré- 
tion  de  la  bile,  L.  475. — Bile  hépatique,  L.  474^  —  Bile 
cyslique,  ibid. 
Sécrétions  excrémentitielles  génitales  ,  et  excrétions  excré- 
mentitielles colorifiantes  ,  L.  477» 
Sécrétion   spermatique  ,  ibid.  —  Sécrétion  des   menstrues  , 

ibid.  —  Sécrétion  du  lait,  ibid. 
Perspiration  cutanée  ,  ibid.  —  Sueur,  ibid.  —  Perspiratioa 

muqueuse ,  ibid. 
Auteurs  qui  en  ont  traité,  ibid. 
SECTE;  considérations  générales  sur  les  sectes  en  médecine, 
comparaison  des  écoles  de  Montpellier  et  de  Paris,  exposi- 
tion  de  leurs   principes,  et  histoire  de  quelques  médecins 
célèbres,  L.  478. 

Auteurs  qui  en  ont  traité,  L.  494- 
SECTION  ;  L.  495. 
SEDATIF;  considérations  générales  sur  les  sédatifs  ciraclioii 

sédative,  L.  495. 
SEDIMENT;  E.  496. 


-4(^  TABLE 

SEr)ONj  descriplion,  propriéie's  et  usages  des  plantes  de  ce 

genre,  L.  496. 
Sedon  brûlant,  ibid.  —  Scdon  blanc  ,  ibcd. 
SEICHE  ;  description  anatornique  et  usages  de  ce  mollusque , 

L.  5oo. 
SEIGLE  ;  description,  propriclës  et  usages  des  plantes  de  ce 
^enre , L.  5o4. 
La  farine  de  seigle  lève  bien,  I.   556.  —  Pourquoi   elle  ne 

fait  pas  un  pain  agréable  ,  ibid. 
Considcralions  sur  l'usage  du  seigle  ergote  dans  les  accou- 
chemens,  et  son  inelfîcacité ,  VI.  108.  L.  5oG. 
SEIN;  L.  5io. 
SELA.GO;  description,  propriéte's  et  usages  de  cette  plante, 

L.  520. 
SELENITE;  L.  52i.  —  Ses  caractères  chimiques  et  physi- 
siques,  ibid. 

Qualités  des  eaux  qui  contiennent  de  la  sélénite,  L.  522. 
SELENITEUX ;  L.  523. 

SELENIUM;  caractères  chimiques  et  physiques  de  cette  sub- 
stance ,  ibid. 

Résultats  de  ses  combinaisons  avec  les  acides  ,  L.  525. 
SELLE  ;  L.  526.  —  Selle  turcique  ,  ibid. 
SELS  ;  considérations  générales  ,  L.  52'^. 

Table  des  genres  et  des  principales  espèces  de  sels  connus 

aujourd'hui ,  L.  5io.  53i. 
Acétates  ,  ibid.  —  Acétites,  L.  532.  —  Ambréates  ,  ibid.  — 
Amaiotales  ,  ibid.  —  Antimoniatei  et  antimonites  ,  ibid. 
—  Arseniates  ,  ibid.  —  Arseiiites  ,  ibid. 
Benzoates,  ibid. —  Bolétates ,  tZ>iV/.  - — Borates   on  sousbo- 

rates,  ibid.  — Butyrates,  L.  535. 
Camphorales,  ibid.  —  Carbo-muriates  ,  ibid.  — Carbonates, 
ibid.  — Sous-carbonates,  ibid.  —  Caséates  ,  ibid. —  Cé- 
vadates ,  L.  554- 
Chlorates,    ibid.  —  Chlorates  oxigénés ,  ibid.  — Chloro- 
carbonates ,  ibid.  —  Cliloro  cyauales ,   ibid. —  Ghloro- 
iodates  ,  iZ>/^. — Choléstératcs  ,  j/^iV/.  —  Chromâtes,  ibid. 
Chyazates ferrures,  ibid. — Citrates,  ibid.  — Columbates, 
ibid. 
Del  phi  niâtes  ,   ibid. 
Ellagiates ,  ibid. 

Feno-cyanates,  ibid. —  Fluates  ,  L.  535.  —  Fluo-borates  , 
ibid.  —  Fluo-silicate,  ibid. —  Formates,  ibid.  —  Fun- 
gates ,  ibid. 
G  allâtes ,  ibid. 

Hydiaies ,  ibid.  —  Hydriodaies  ,  idid.  —  Hydrochlorates , 
ibid.  —  Hydrocyanatcs,  L.  556.    — Hydrophthorales , 


DES  M;\.T1EUES.  ';47 

ibid.  —  Hydrosélëniates,  ibid.  — Hyclrosulfatcs  ^ibid.  — 
llydrosul (lires,  ibid.  —  Hypo-nitrales ,  ibid. 
lodates ,  ihid. 
Jalrophates,  ibid. 
Kinaics,  ibid.  — Kramërates,  ibid. 
Laccates  ,  ibid.  —  Lactates ,  L.  587.  —  Lampales  ,  ibid.  — 

Lilhiates,  ibid. 
Mal  aies,  ibid. — Marp;arales  ,  ibid. — Mëconales ,  ibid.  — 
Mellilates,  ibid.  —  Mcnispernialcs,  ibid.  —  Molybdates  , 
ihid.  —  Moiai.es,  zT'iV;?. —  Mucales  ,  ibid.—  Muriates,  ibid. 
Mun'aîes  hyperoxigënés,  L.  559. — Muiiales  oxigénés,  zZ>/</. 
—  Muriates  sur-oxigénés,  ibid. 
Nancëalcs,  ibid.  —  Nitrates,  ibid.  —  Nitrites  ,  L.  54o. 
Oléates,  ibid.  —  Oxalales,  ibid, — Oximuriates,  ibid.  — 

Oxiprussiales ,  ibid. 
Pcrchlorales  ,  ibid.  —  Phosphates ,  ibid.  —  Phosphites ,   L. 
541  •  —  Prussiates,  ibid.  —  Prussiales    oxigëncs,  ibid. — 
Piussialcs  sulfures,  ibid.  —  Purpurates  ,  ibid.  —  Pyro- 
muriates ,  ibid. 
Rheu mates ,  ibid.  —  Piosaçates ,  ibid. 

Saccho-lactates,  ibid.  — Sche'elatcs  , /'iiW.  —  Scbates,  L. 
542-  —  Séléniates,  ihid. —  Sih'cates,  ibid. —  Sorbatcs, 
ibid.  —  Strychnatcs,  ihid.  —  Subérales  ,  ihid.  —  Succi- 
iiales,  ibid — Sulfates,  ibid.  —  Sulfites,  L.  545.  —  Sul- 
fites-sulfures, ihid.  —  SuUo-cyanatcs ,  ihid. 
TaïUalates,  ihid.  — Tarlrales,  ihid.  — Tarlriles,   ihid.  — 

TuDgstalos,  ibid. 
Uratcs,  ihid. 
Zumiates ,  L.  544- 

Lois  de  la  compusition  des  sels  ,  ihid. 
Leur  mode  d'extraction  et  de  préparation  ,  L.  545-  —Leurs 

pioprietës  physiques  et  chimiques  ,  L.  546. 
Leur  action  sur  la  lumière,  ibid.;  —  sur  l'air, i/^iV/.  ;  — sur 

l'eau,  L.  547. 
Tableau  de  leur  solubilité,  L.  548;  —  de  leur  sapidité,  L. 

549. 
Changemens  que  leur  fait  subir  le  calorique,  L.  55o, 
Leurs  usages,  L.  552.  —  Leur  manière  d'agir  sur  l'cccno- 

mie,  L.  553. 
Sels  vomitifs,  ibid.  —  Sels  purgatifs,  ibid. — Sels  diuréti- 
ques ,  L.  555.  — Sels   toniques,  ibid.  —  Sels  aslringeiis, 
ibid.  — ■  Sels  sédatifs,  ibid. —  Sels  exctlans ,  ibid.  —  Sels 
irrilans,  corrosifs  ou  escarrotiqucs  ,  ibid. 
SÉMElOTlQUEj  considérations  générales  cl  historiques  sur 
la  sémcioiique,  et  sur  son  importance  on  médecine,  L.  556. 


748  TABLE 

Méthode  la  plus  simple  a  suivre,  L.  505. 

Différence  entre  les  signes  el  les  symptômes ,  ibid. 

Examen  et  interrogation  des   malades,  L,  565.  —  Examcu 
de  l'extérieur,  L.  567.  —  Examen  des  fonctions  ,  ihid. 

Auteurs  qui  en  ont  traite',  L.  569. 
SEMELLE  5  L.  571. 
SEMEN-COISTRA;  plante  qui  fournit  cette  semence,  L.  57?.. 

Description  du  semencontra  du  commerce,  ses  propriétés, 
ses  usages ,  ibid. 
SEMENCE;  acception  de  ce  terme  en  physiologie,  L.  574» 
—  En  matière  médicale  ,  ibid. 

Semences  froides  majeures,  î'^/r/.  —  Semences   froides  mi- 
neures ,  ihid. 
SEMI-FLOSCULEUSES  ;  description,  propriétés  et  usages 

des  plantes  de  cette  famille  ,  L.  574. 
SEMI-LUNAIRE,  L.  b^b.  —  Os  semi-l uuairc ,  IV.  1 12.  L.  575.  — ■ 

Ganglions  semi-lunaires,  L.  5-5.  — Valvules  semi-lunaires, 

ibid. 
SEMINAL;  L.  575. 

SEMINIFÉRE;  L.  575. — Vaisseaux  séminifères  ,  ibid. 
SEMOUILLE;  L.  576. 

SÉNÉ;  description,  propriétés  et  usages  des  plantes  qui  don- 
nent cette  substance ,  Ll.  I. 
Cassiaodorala,  Ll.  2.  —  Cassia  lanceolata ,  Ll.  3.  —  Argucl 

ou  argel ,  ibid. 

Récolte  du  séné  ,  Ll.  4- 

Substances  qu'on  mêle  avec  lui,  Ll.  5. —  Commerce  do 
cette  drogue ,  ibid. —  Celui  du  commerce  renferme  un 
tiers  d'arguel ,  II.  287. 

Résultats  de  l'analyse  chimique,  Ll.  G.  —  Usages  médici- 
naux, Ll.  7. 

Succédanés   du  séné,  Ll.  11. — Séné  américain,  Ll.  12. — 
Séné  bâlard  ,  ibid.  —  Faux  séné,  ibid. 
SENEÇON  ;  description,  propriétés  et  usages  de  cette  plante, 

Ll.  12. 
SENEKA;  description,  propriétés  el  usages  de  celle  plante, 

Ll.  i3.  —  Succédanés  du  sénéka  ,  Ll.  17. 
SENEVEj  Ll.  17. 

SENIL  ;  Ll.  17.  —  Maladies  séniles,  ibid.  — Vue  sénilc,  ibid. 
SENS;  considérations  générales  et  historiques  sur  l'anaLomie 

et  l'étude  des  sens,  ainsi  que  sur  le  rôle  qu'ils  jouent  dans 

l'économie,  Ll.  19. 

Origine,  terminaison  et  fonctions  des  nerfs  des  seris,  ibid. 

Nombre  des  sens ,  Ll.  26. 

Leurs  relations  entre  eux  et  avec  les  principales  fondions 
de  l'économie  animale,  Ll.  5o. 


DES  MATIERES.  749 

Lfs  sens  tles  animaux  compares  h  toux  de  l'homme,  Ll.  ^i. 

Toucher  chez  l'homme,  ibid.  ;  —  chez  les  oiseaux,  Ll.  33  ; 
chez  les  poissons,  ihid.^ — chez  les  cëtaces,  ibid.;  — 
chez  les  repli  les,  Ll.  34;  —  chez  les  mollusques,  ibid.  ; 

—  chez  les  insectes ,  ibid. 

Goût  chez  l'homme  ,  ibid.;  —  chez  les  poissons  ,  Ll.  35  ;  — 
chez  les  repliles ,  ibid.  j  —  chez  les  insectes ,  ibid. 

Odorat,  Ll.  56. 

Vue  chez  l'homme,  ihid.  •  —  chez  les  oiseaux ,  ibid.  ;  —  chez 
les  poissons,  Ll.  57  ;  —  chez  les  cétacés,  ihid.-,  —  chez 
les  reptiles,  ihid.  ;  —  chez  les  mollusques,  ibid.-,  —  chez 
les  insectes,  Ll.  38. 

Ouie  chez  les  quadrupèdes, î/j/c?.;  —  chez  les  oiseaux  ,  ibid.  ; 

—  ciiez  les  poissons,  Ll.  ^9;  —  chez   les  cétacés,  ibid.  ; 
— chez  les  mollusques,  ibid.  ;  — chez  les  insectes,  Ll.  40. 

Phénomènes  de  l'action  des  sens,  ibid. 

Opinions  diverses  émises  à  ce  sujet ,  ibid. 

Siège  probable  del'ame,  Ll.  46. 

Action  des  nerfs  et  du   cerveau   pendant   celle  des   sens, 

Ll.  48. 
Rapports  de  l'ame  et  du  cerveau ,  Ll.  5o. 
Rapports  qui  existent  entre  les  sens  et  l'intelligence,  ibid. 
Opinions  diverses  émises  à  ce  sujet,  ibid. 
Anomalies  des  sens,  Ll.  59. 

Inductions  séméiologiques  qu'ils  fonrnissent ,  Ll.  61. 
Affaiblissement  ou  suspension  complette  de  l'action    d'un 

ou  plusieurs  sens,  ibid. — Exaltaiion  des  scns,Ll.  Ga. 

—  Irrégularité  ou  perversion  de  leur  action,  ibid. 
Auteurs  qui  eu  ont  traité,  Ll.  63. 

SENSATION  ;  XXXL  170.  Ll.  63.  — Considérations  géné- 
rales, Ll.  64. 
Mécanisme  des  sensations,  Ll.  65.  —  Excitans,  Ll.  CG.  — 

Organes,  ibid. 
Réception  de  l'impression,  Ll.  68.  —  Sa  transmission ,  Ll. 

69.  — Sa  perception,  Ll.  71. 
Sensations  externes ,  Ll.  75.  —  Plaisir,  douleur ,  Ll.   77.  — 

Tact  général ,  ibid.  —  Goût ,  odorat,  ibid.  —  Toucher  , 

mouvemens ,  ibid.  —  Vue,  Ll.  78.  —  Ouie  ,  ihid. 
Consi('érations  générales  sur  les  causes,  le  mécanisme,  les 

effets  et  l'influence,  sur  réconomie,  des  fonctions  internes, 

ibid. 
Variétés  que  les  sensations  présentent  selon  l'âge,   Ll.  83  ; 

—  le  sexe,  L!.  84;  — les  tempéramcns,  ibid.;  —  les 
passions,  Ll.  85;  —  le  climat,  ihid.; — les  habitudes, 
Ll.  86  ;  —  les  maladies ,  Ll.  «Sy. 

SENSIBILITE;  considérations  générales,  Ll,  38. 


']5o  TABLE 

Siège  de  la  senslbililë  ,  Ll.  go. 

Aclion  des  nerfs  et  du  cerveau  dans  l'exercice  de  la  sensr- 
bililé  locale,  de  celle  qui  est  bornée  à  la  partie  qui  la 
ressent,  de  celle  que  Bichat  a  appelée  sensibilité  organi- 
que, il  ici. 

Action  des  nerfs  dans  la  sensibité  cérébrale,  c'est-à-dire  celle 
qui  se  rapporte  au  cerveau,  et  que  Bichat  a  appelée  sensi- 
bilité animale,  Ll.  91. 

Degré  de  sensibilité  départi  à  cliaque  organe,  Ll.g'^  •  — au 
cerveau  ,  ibid.  ;  —  à  l'œil,  Ll.  9S  j  —  à  la  peau  j  Ll.  100; 

—  aux  membranes  muqueuses,  Ll.  loi  ; — aux  mem- 
branes de  la  moelle,  Ll.  io3  ;  — aux  productions  fibreu- 
ses, ibid.',  —  au  tissu  cellulaire  ,  Ll.  104  5  —  aux  muscles 
de  l'appareil  d'assimilation,  ibid.  ■  —  aux  organes  glan- 
dulaires ,  ibid.  j  —  aux  artères ,  Ll.  i  o5  ;  —  aux  vefnes  , 
ibid.  ;  —  aux  vaisseaux  absorbans,  ibid.  ;  —  aux  mem- 
branes séreuses,  ibid.;  —  au  système  synovial,  ibid.\ 

—  aux  tissu  cellulaire,  os,  cartilages,  dents,  LL  106^ 

—  aux  ongles,  poils,  productions  cornées,  LL 
Considérations  générales  sur  le  degré'  de  sensibilité  départi 

dans  l'état  pathologique;  au  ceiveau  et  aux  masses  ner- 
veuses, LL  107  ;  —  aux  parenchymes  formés  par  l'cx- 
Irémité  des  nerfs  sensoriaux,  LL  108;  —  aux  neifs  de 
relation  j  ibid.;  — aux  îierfs  du  giand  sympathique  ,  ibid.  ; 

—  h  la  peau,  LL  ioq;  —  aux  membranes  muqueuses, 
LL  iio;  —  aux  membranes  médullaires,  LL  m;  — 
aux  tissus  fibreux,  ibid.;  —  au  tissu  musculaire,  ibid.  ; 
aux  muscles  de  l'appareil  d'assimilation,  LL  1 12  j  — aux 
organes  glanduleux,  1 13  j  —  aux  artères  ,  ibid.  ;  —  aux 
veines,  ibid.;  —  aux  vaisseaux  lymphatiques,  LL  \if\  ; 
— aux  membranes  séreuses,  ibid.  ;  — au  système  synovial , 
LL  1 15  5  —  aux  os  ,  ibid.  ;  —  aux  cartilages  ,  ibid.  ;  —  au 
tissu  cellulaire,  ibid.-^  —  aux  tissus  pileux  ,  épidermoique  , 
corné,  LL  116. 

Considérations  générales  sur  la  sensibilité  morale  de  l'homme 
en  santé  et  dans  l'éiat  de  maladie,  ses  caiîses,  son  siège, 
et  ses  effets,  LL  120. 
SENSITIVE^  description,  propriétés  et  usages  de  cette  plante, 

Ll.  128. 
SENSOUIUMjLLisg. 

SEIVTIMENT^  différentes  acceptions  du  mot  sentiment,  Ll. 
i5o. 

Ce  que  l'on  doit  entendre  précisément  par  là  ,  Ll.  i3i. 
Différence  entre  le  sentiment  et  la  sensibilité,  ibid.  ;  — entre 
le  sentiment  et  la  sensation  ,  ibid. 


DES  MAT1EIIP:S.  ^Si 

Le  sentiment  distingue  cininemment  l'anîmalild,  II.  i63. 
Difficulté  (l'en  prouver   l'existence  chez  un  êlre  autre  (|ue 
soi,  IT.  145. 

SEPTICITÉ;  circonstances  les  plus  propies  à  la  développer, 
II.  21 1. 

SEPTIQU£;LI.  129. 

SEFTON;LI.  i55. 

SEPTOSESjLI.  i35. 

SEPTUMj  LI.  i33. 

SEPTUM  LuciDUM,  ibid. 

SEPTUM   MEDIUM  du  COCUr  ,  iHd. 

SEPTUM  MEDIUM  de  la  poitrine,  ibid. 

SEPTUM  NARIUM  ,  ïbld. 
SEPTUM  PELLUGIDUM  ,  ibid.  j 
SEPTUM  TEANSVERSUM  ,  ibid. 

SÉQUESTRATION  ;  considérations  générales  sur  l'utililé  de 
la  séquestration  des  aliénés,  ses  inconvéniens,  et  les  meilleurs 
moyens  d'y  procéder,  L!.  iS^- 
SEQUESTRE;  LI.  144. 
SEREIN  ;  considérations  générales  sur  les  causes  du  serein ,  ses 

phénomènes  ,  et  ses  effets  sur  l'économie  animale,  ibid. 
SEREUX;  considérations  générales  sur  le  système  des  mem- 
branes séreuses ,  leurs  caractères ,  leurs  propriétés  et  leurs 
usages,  LI.  147. 

Système  séreux  accidentel,  LI.  149. 
SPIRINGUE  ;  diverses  espèces  de  seringues  usitées  en  chirurgie, 
LI.  149. 

Matières  employées  à  la  confection  de  ces  instrumens ,  LI. 
i5o. 
Seringue  anatomique  ou  à  injection ,  ibid. 
Seringue  à  lavcmens  ,  ibid.  —  Seringues  de  l'invention   de 
MM.  Boiscervoise  et  Chemin,  LI.  i5i.  —  Seringue  à  pompe 
de  Heymann  ,  LI.  i52. 
Seringue  vaginale  ,  LI.  i53.  — Seringue  urétrale  ,  LI.  164. — 

Seringue  auriculaire,  ibid.  —  Seringue  oculaire,  ibid. 
SEROSITE;  exhalation  et  absorption  de  cette  humeur,  LI. 
i56. 

Caractères  physiques  et  chimiques  qu'elle  présente,  quand 
on  l'examine  dans  les  dilférentes  membranes  séreuses, 
dans  les  aréoles  du  ti?su  cellulaire,  dans  les  kystes,  les 
phlyclènes,  LI.  159. 
Analyse  de  la  sérosité  des  membranes  séreuses  naturelles  , 
ibid.;  — de  la  cavité  abdominale,  LI.  160;  — de  la 
cavité  des  plèvres  ,  ibid.  ;  —  du  péricarde  ,  LI.  161  ;  — de 
l'hydrocèle  par  épanchement ,  ibid.;  —  de  i'hydroracliis 


7  52  TABLE 

ou  du  spina  bifida ,  LI.  162  ;  —  de  l'hydrocéphale  in- 
terne, ihid.;  de  ramnios  ,  LI.  1645  —  ^^  l'amnios  de 
la  vache,  LL  i65  •  —  des  kystes ,  LL  166;  — du  tissu 
cellulaire,  des  vésicatoiies,  de  la  brûlure,  et  des  divers 
phlyctènes ,  ibid. 
Humeurs  qui  ressemblent  plus  ou  moius  aux  sérosile's  ,  LL 

,67. 
Quelques  considérations  pathologiques  sur  les  sérosités ,  LL 

168. 
Quantité  de  sérosité  qui  se  trouve  exhalée  dans  diverses  ma- 
ladies ,  ibid. 
Influence  de  l'abondance  de  cette  liutneur  sur  l'économie 

animale ,  LI.  170. 
Causes  qui  en  déterminent  l'accumulation,  ibid. 
Propriétés  qu'elle  acquiert  lorsqu'elle  se  trouve  accumulée, 

LL  174. 
Crises  heureuses  des  maladies  causées  par  une  collection  de 
sérosité' ,  LI.  173. 
SÉRPENS  VENIMEUX;  espèces  connues  en  Europe,  ibid.  ; 
en  Afrique,  LL  179;  —  en  Amérique,  ibid.;  —  dans  les 
Indes-Orientales,  LI.  i85- 
Méthodes  curalives  des  morsures  faites  par  ces  animaux ,  LL 

187. 
Auteurs  qui  en  ont  traité,  LL  188. 
SERI^ENTAIRE  ;  description,  propriétés  et  usages  de  cette 

plante,  LL  î8g. 
SERPENTIN;  L  290.  LI.  190. 
SEKPlGINEUXîLL  193. 

SERPIGO;  LI.  193,  —  Serpigo  syphilitique,  ibid. 
SERPOLET  j  description,  propriétés  et  usages  de  celle  plante, 

LL  193. 
SERRATILE;  LI.  194. 
SERRE  -  ARTÈRE  j  LL  195. 

SERRE-NOEUD  j  avantages  de  celui  de  Deschamps,  L  io3. 
SERPi-URîERj  considérations  générales  sur  les  maladies  qui 
attaquent  le  plus  fréquemment  les  serruriers,  leurs  causes, 
et  les  moyens  de  les  prévenir  ,  LI.  195. 
SERUM;  LL  198. 
SÉSAME;  description,  propriétés  et  usages  de  cette  plante, 

U.  198. 
SÉSaMOIDE  ;  LL   200.  —  Description  des  os  sésamoïdes , 

endroits  où  on  les  observe,  ibid. 
SESELI;  description,  propriétés  et  usages  des  plantes  de  ce 

genre,  Lî.  201. 
SÉTON  ;  considérations  générales  sur  l'emploi  du  selon;  Lî 


DES  MATIERES.  753 

202.  —  Manière  de  Tapplic^ucr,  U.  2o5.  —  Ses  usages  ,  LL 
206. 

SEBADILLE;  LI.  206. 

SEVE  ;  considéralious  ge'ne'rales  sur  la  sève  des  végétaux  , 
LI.  206. 

Scve  des  palmiers  ,  LI.  "io-j  ;  —  du  bouleau ,  ihid.  ;  —  de  la 
vigne,  ibid.  ;  —  des  ëiables,  ib:d.  j  —  du  bois  en  général 
ibid. 

SEVICES  •  considérations  ge'ne'rales  sur  les,  se'vices ,  et  sur  ce 
l'on  doit  entendre  parla  dans  le  mariage,  LI.  208. 

SEVRAGE  j  défîniiion,  XXXVL  33o.  LI.  212.  —  Age  au- 
quel on  peut  sevrer  un  enfant ,  ibid.  —  Précautions  à  pren- 
dre pour  qu'il  ne  soutire  pas  de  la  cessation  de  la  lactation, 
LI.  2i3. 

Circonstances   dans  lesquelles  on  doit  retarder  le  sevrage 
I.   i85.  —  Autres  ([ui  obligent  à  y  préparer  l'enfant  d'une 
manière  insensible  ,  ibid. 
Nourriture  qui  convient  le  mieux  après  le  sevrage,  ibid. 
Précautions  que  la  femme  qui  va  sevrer  doit  observer,  1.  43. 

SEXE;  considérations  générales  sur  les  sexes,  et  sur  les  êtres 
qui  en  sont  pourvus,  L!.  218. 
llermaphroditisnie,  LI.  220. 

Différences  que  présentent  les  sexes  ,  LI.  225.  — Organes  du 
^  sexe  masculin,  LL  227.  —  Organes  du  sexe  féminin, 

LI.234. 
Quelques  considérations  s!;,^-  les  sexes  en  général ,  LI.  238 
Absence  relative  du  sexe,  iV.  166.  —  Absence  totale,  IV. 

Importance  de  prendre  le  sexe  en  considération   lorsqu'il 
s'agit  de  juger  nue  lésion,  lll.  21 1. 

SEXTANE;  LI.  244. 

blAGONAGRE;  LI.  244. 

SIALISME;  LI.  244. 

SIALOLOGIE;  LI.  244. 

SIBBENS;  LI.244. 

Analogie  de  celte  maladie  avec  la  syphilis ,  LU  245. 

SICOMORE;  description,  propriétés  et  usages  des  plantes  de 
ce  nom  ,  LI.  245. 
Figuier  sicomore ,  ibid. —  Sicomoie  érable,  faux  platane, 

ibid. 
Du  sucre  d'érable,  LI.  246. 

SICUÉDON  ;  LI.  246. 

SIDÉRAL;  LI.  246. 

SlDERATiON  ;  considérations  générales  sur  l'origine  et  l'em- 
ploi en  médecine  de  cette  expression ,  LI.  ifS. 

SlEFjLl.  248. 

TADLr.     1.  C)^^ 


754  TABLE 

SIËGE  ;  «îimensions  q«>cîoivent  avoir  les  sicgcs,  suitont  ceux 

des  peisonnes  qui  restent  long-letups  assises  j  LI.  '249. 

Maladies  ordinaires  aux  individus  qui  séjournent  trop  Jong- 
lefnps  sur  leur  siège ,  ibid. 
Siège  des  maladies,  LI.  aSi.  — Siège  ou  chaise  chirurgicale, 

LI.252. 

Diverses  espèces  de  sic'geqa'on  emploie  dans  l'accouchement , 
LI.  2.53. — Fauteuils  obstétriques  propicment  dits,  LI.  254. 
—  Lits  obstétriques,  LI.257. 
Inconvéuiens  et  avantages  des  divers  sièges  ,  fauteuils  ,  liig 
et  lits  obstétriques,  LL  258. 
Siège  percé,  LI.  25c). 
SIFFLANT;  maladies  dans  lesquelles  on  observe  la  respira* 

lion  sifflante,  et  indications  qu'elle  iournit ,  ibid. 
SIEFLEMFNT;  LI.  262. 
SIGILLA-IRE  ou  SIGILLÉ;  LI.  262. 
SIGIVIOIDK;  cavités  sigmoïdes  du  cubitus,  LI.  262. 

Valvules  sigmoïdes  de  l'artère  pulmonaire  ,  LI.  2G2; —  de 
l'aorte ,  ihid. 
SIGNATURE;  considérations  générales  sur  les  signatures  ap- 
pose'es  aux  médicamcns  pai  les  anciens,  sur  les  simiatures 
astrales  ,  et  sur  Jes  signatures  des  végétaux ,  LI.  26.2. 
SIGNE  ',  considérations  générales  sur  les  signes  dans  les  ma- 
ladies, et  sur  leur  différence  d'avec  les  sjmplômcs  ,  LI.iG". 
Division  établie  par  eux,  LI.  268. 
Signes  commémoralifs,  ibid.  ;  —  signes  diagnostiques,  ibid.- 
—  signes   palhognomoniques ,  ibid.\  —  signes  conununs, 
LI.  269;  —  signes  accideutels,  ibid.  ;  —  signes  pronostiques, 
ibid. 

Causes  qui  peuvent  faire  varier  les  signes  et  leur  valeur, 
ibid. 
Signes  et  effets  des  affections  de  l'ame  ,  LI.  270. 
Signes  sensibles  par  lesquels  les   passions  se  manifestent  au 
dehors,  Li.  2^3.  ' 

Expression  générale  ,  LI.  2y4'  — Expression  dos  jeux  ,  LI. 
276;  —  de  la  bouche  ,  LI.  q.'J'j  ;  —  de  la  partie  chevelue 
de  la  icle,  LI.  2^8;  —  de  la  voix ,  i/nd.  ;  —  des  diveis 
modes  de  s'exprimer,  ou  du  discours,  LI.  279. 
Signes  tirés  des  déterminations  ,  LI.  280  ;  —  des  alfectiona  li- 
bres, LI.  281  ;  —  des  affections  conirninlcs ,  L!.  282. 
Effets  des  affections  de  l'ame   sur  les  fonctions  iulérieures 

qui  inlcressent  la  santé  et  la  vie,  LI.  284. 
Les  passions  considérées  d'après  leurs  effets  sur  les  propiié- 

lès  organiques ,  ibid. 
Passii>ns  excitantes,  ibid.  —  Passions  débilitantes  ,  ibid,-— 


DES  MATIERES.  ^Sj 

Passions  qui  porleut  le  trouble   dans   Its  ItJiiclions,  Ll. 
285.  —  Passiofis  qui  tnainlioiuient  la  légulariiti  des  fonc- 
lioiis,  ibîd. 
Les  passions  considérées  relalivcmcnl  au  siège  de  leur  ori 
ginc,  286;  —  aux   organes  qui  sont  le   siège    de   leurs 
j)hénomènes,  Ll.  287;  —  organes  de  la  circulation,  l'tiW.  ; 

—  de  la  respiration,  ihid.  ^  • —  de  la  digestion  ,  Ll.  288  ; 

—  des  mouvenicns  volontaires  ,  Ll.  291  j — -des  sensations 
et  des  facultés  intellectuelles  ,  Ll.  292. 

Généralités  sur  les  maladies  produites  par  les  affections  de 
l'ariie,  causes  qui  influent  sur  ces  dernièies  dans  l'ordru 
social ,  ibid. 
Signes  de  la  mort ,  ou  indication  des  caractères  spécifiques 
qui  attestent  avec  certitude  le  passage  de  l'état  de  corps- 
vivant  à  celui  de  cadavre  ,  et  qui ,  par  consc(|ucnl ,  aulo  • 
lisent  à  livrer  celui-ci  h  la  sépultuïe,  Ll.  2cj\. 

Considérations  générales,  ibid. 

Division,  LL  295. 
Signes  tirés  des  causes  qui  onl  pu  amener  la  mort,  Ll.  29G. 
Signes  tirés  de  l'examen  du  corps,  ibid.;  —  du  faciès,  Li-. 

297;  —  de  la  respiration,  Lî.  298;—  delà  circulation 

Ll.  299;  —  de  la  chaleur,  Ll. 3oi  j  —  de  In  raideur,  ibid.- 

-T-de  la  sensibilité  ,  Ll.  3o2j  —  de  la  décomposition,  Llî 

3o3  ;  —  des  épreuves  chirurgicales,  ibid. 

Conclusion  ,  L.  3o5. 
SILENCE;  considérations  générales  sur  le  silence,  son  îii- 

fluence  dans  les  maladies,  LL  3o6. 

Causes  de  la  loquacité  cl  de  la  taciturnilé,  LI.  3oB. 
.SILICE;  propriétés  et  usages  de  celte  terre,  LI.  ôoç). 
SILICIUM  j  caractères  chimiques  cl  physiques  de  ce  mclal , 

LI.  3u. 
SILLON;  IL 388.  LI.  3ii. 
SILPHION  ;  description  ,  propriétés  et  usages  des  plantes  de 

genre  ,  Ll.  3i  i. 
SIMAROUBA  ;   description,   propriétés   et   usages  de   cette 

plante,  LL  3i3. 
SIMILAIRE:  LL319. 
SIMPLE;  LL  319. 
SIMULATION  j  considération'  gétiérales  sur  la  «•imu'ation 

des  maladies,    LL  319.  —  Maladies  qui   sont   simulées  le 

fdus  ordinairement  et  avec  le  plus  de  lacililé,    moyens  de 
es  reconnaître,  LL  324- 

Amaurosc,  ibid,  —  Anévrysme  du  cœur,  Ll.  32G.  —  Ma- 
ladies de  l'amis ,  LL  327.  —  Alopéciq,  Ll.  32H. 
Ballonnement  du    ventre,    LL   2*28.  —   Régaiemeul  ^    LL 
329.  —  Calaiacîo  yibid.  — ■  ClaudicalioM  ,  ibid. 


?5«  TABLE 

Contractures  ,  ibid. — Dartres  ,  LI.  332.  —  Déglutition  dif- 
ficile, ibid.  —  Perle  des  dents,  ibid.  —  Epilcpsie, 
LI.  335. 

Exinanimitc  apparente  et  volontaire,  c'vanouisscmcnt,  pâ- 
leur simulée,  LI.  538. 

Fistules  artiCcicllcs  à  l'anus,  Lï.  35g.  —  Folie,  ibid.  — 
Gonflement  des  jambes,  LI.  34o. 

Hématurie  ou  pissement  de  sang,  ibid.  —  Hétnalémèse  ou 
vomissement  de  sang ,  LI.  3  ^  i .  —  Hémoptysie  ou  crache- 
ment de  sang,  ibid.  —  Hémorroïdes,  LI.  342.  —  Hémi- 
plégie, ibid. 

Hernies,  LI.  345.  —  Hydrocèle,  îW.  i 

Ictère,  ibid.  — Incontinence  d'urine^  LI.  3  Î4.  —  Mutité 
ou  mutisme ,  LI.  345.  —  Myopie  ,  LI.  3^6.  —  Nostalgie, 
LI.  547.  — -Obstipation,  ibid. 

Ophtalmie,  LI.  348.  — Malades  des  oreilles,  ibid. — 
Ozène,  ibid.  —  l'aralysie,  LL  349.  —  Perle  des  testi- 
cules ,  LI.  35i. 

Blaladies  des  pieds  ,  LI.  352.  —  Polypes  ,  ibid.  —  Pul- 
monie,  ph'hisie  pulmonaire,  ibid  —  Kage,  LI.  353. 

Sciatique  ,  ihld. —  Scorbiii,  LI.  354-— ScropUules,  LI.  355. 
—  Strabisme,  ibid.  —  Surdité,  LI.  356. 

Teigne,  LI.  35B.  - —  Transpiration  fétide  ,  ibid.  —  Ti-em- 
blement,   ibid.  —  \} Iciics  ^  ibid.  — Vomissement,    LI. 
36o. 
SINAPISME j  IV.  290.  XXXIV.  436.  LL  366.  —Manière 

de  préparer  et  d'appliquer  ces  topiques,  ibid,  — Manière 

dont  fis  agissent  sur  l'économie  ,  LI.  368, 
SINCIPITAL;  LI.  S-jo. 
SIKCIPUT;  LI.  370. 
SINDON;  LI.  370. 
SINGULTUEUX;  LI.  370. 
SINUEUX;  LI.  370. 

SINUOSITE;  LI.  371.  —  Sinuosité  du  rein,  ibid. 
SINUS;  IV,  3!-9.  LL  371.  —  Sinus  de  la  dure-mère,  ibid.  — 

Sinus  de  la  veine  «.porte,  LL  072.  —  Sinus  uiérins  ou  de 

la  matrice  ,  ibid.  —  Sinus  des  fosses  nasales  ,  ibid.  —  Sinus 

frontaux  ,  ibid.  —  Sinus  spliénoïdaux  ,  ibid.  — Sinus  maxil- 
laires, LL  373. 

Mode  de  développement  c!  :  sinus  ,  Lï.  374.  —  Leur  struc- 
ture, ibid.  — -  Leurs  usages ,  LL  376. 

Maladies  des  sinus  des  fosses  nasales,  ibid- ;  — des  sinus 
maxillaires  ,  ibid.  —  Plaies,  i/nd.  —  Inflammation,  lA. 
3^7.  —  HydBopisie,  LI.  37S.  —  Abcès, LL  3bo.  —  Po- 
lypes, L1.'^3S6.  — 'Fisiuies,  ibid.  -«-  Nécrose,  ibid.  — 


DES  MAÏIEKES.  -j^-j 

Exoslosps,  LK  388.  —  Corps  étrangers ,  LU  389.  —  Ma- 
ladies des  sinus  iromaiw,  ibid.  — Plaies,//?/^.  —  Mi- 
graine, Ll.   3c)i.  —  Iiiflanrî^iialion  et  suppuration,  ihid. 

—  Polj'pes ,  ibid.  —  Coips  eHaiigcis ,  ibid. 
SIPHOIY^  Ll.  294. 
SII\IASE;L1.396. 

SIROP  ;  Ll.  396.  —  Pi'éparalion  des  sirops,  Ll.  397. 

SISON  j  dcscriplion  ,  proprie'lcs  et  usages  des  plantes  de  ce 
^eme ,  Ll.  4oi. 

SiSYMBRE;  descriplion ,  propriétés  et  usages  des  plantes  de 
ce  genre,  Ll.  ^02.. 

Sisymbre  irio  ,  ibid.  —  Sisymbre  à  petite  fleurs ,  ibid.  —-  Si- 
syinbre  officinal ,  Ll.  4o3.  —  Sisymbre  nasturliuin  ,  ou  cres- 
son de  fontaine  ,  Ll.  4<^4* 

SITfOLOGlEjLl.  404. 

SITUATION;  la  situation  envisagée  comme  cause  de  ma- 
ladie, Ll.  4o4  ;  —  comme  moyen  thérapeutique,  ibid.  ;  — 

•  dans  le  traitement  des  plaies,  Ll.  4^^;  — dans  celui  des 
fractures,  Ll.  4^5;  —  dans  les  opéralions,  Ll.  4*^7»  — 
dans  l'accouchement,  ihid. 

La  situation  considérée   comme   signe  dans   les  maladies, 
Ll.  4o8. 

SMEGME  ;  diverses  significations  de  ce  mot,  Ll.  ^\oc). 

SOBRIETE;  considérations  générales  sur  les  avantages  de  la 
sobriété  ,  les  inconvéniens  de  son  excès  ou  de  son  usage  in- 
tempestif, et  ses  effets  sur  l'économie  animale,  1.  52.  53. 
•  Ll.  4og. 

SOCIETE;  conside'ralions  générales  sur  l'origine  des  sociétés 
savantts  ,  Ll.  417- 
Leur  influence  sur  les  sciences  qu'elles  cultivent ,  LI.420  ; 

—  sur  les  hommes  qui  les  composent,  Ll.  4^3;  —  sur 
les  peuples  chez  lesquels  on  la  rencontre  ,  Ll.  425. 

Enumération  de  (juelques-uncs  d'entre  elles,  Ll.  42G.  — 

Leur  mode  de  composition  ,  Ll.  4^7» 
Des  académies  libres,  et  de  celles  qui  sont  protégées  par  les 

gouvernemens ,  Ll.  429. 
Des  sociétés  savantes  consacrées  spécialement  à  l'art  de  gué- 
rir, Ll.  43o. 
SODA;LI.43o. 

SODIUM;  caractères  physiques  et  chimiq^ues  de  ce  métal, 
Ll.  43l.  —  Son  analogie  avec  le  potassium  ,  Ll.  432.  — 
Sels  qu'il  forme,  sulfate,  ihid.  —  Nitrate,  Ll.  433.  —  Mu- 
liate  ,  ibid.  —  Carbonate,  Ll.  435.  — I3orate,  Ll.  42B. 
-—  Phosphate,  Ll.  439. —  Acétate,  icn»  foliée,  cristallisée  , 
U.  440-  —  Tarlrate,  ibid. 


^18  TABLE 

Emploi  de  la  snurie  cl  de  ses  sels  ,  ihid. 
SODOMIE;  Ll.  44'-  —  Considérations  f^éne'ralcs  sur  la  sodo- 
mie, les  lois  répressives  de  ce  vice,  cl  ses  effels  sur  i'e'cono- 
niic,  Ll.  44^' 
S01E;LI.  448. 
SOIF  ;  considérations  générales,  IX.  879.  Ll.  448- 

Comment  Pimpression  de  la  chaleur  la  produit,  L  255.  — 

Phénonièncs  qui  la  caractérisent,  Ll.  45o. 
Circonstances  organiques  qui   la    modiGent ,  Ll.  45i.   — 

Sexe,  ihid.  —  Tempérament  ,  ibid. 
Phénomènes  qu'elle  présente  dans  l'état  de  maladie  ,  Ll.  453. 
Influence  des  circonstances  hygiéniques  sur  elle,  ibid. 
Circumfusa  ,  ibid.  —  Applicala  ,  Ll.  454-  — '  Ingesta  ,  ibid. 
—  Gesta  ,  Ll.  553.  —  Excréta ,  Ll.  456.  —  Percepta,  ibid. 
La  soif  envisagée  comme  affeciion  morbide  esseiilielle  ,  Li. 

459. 
Etal  de  la  soif  dans  les  maladies,  Ll.  46r. 
.S'o//*augmentée  ,  Ll.  4^2.  — -  Soit  diminuée  ou  nulle,  Ll.  464. 
—  Soif  dépravée,  Ll.  4^6. 
Théorie  de  la  soif  ,  ibid.  —  Son  siège,  ibid.  —  Ses  causes 

médiates,  111.  218.  Ll.  468. 
Manière  dont  se  produit  celle  sensation,  Ll.  471»  —  ^O"  ^^^ 

et  ses  usages ,  Ll.  5~2. 
Parallèle  entre  elle  et  Ja  faim  ,  Ll.  473. 
Moyens  qu'elle  exige  ,  Ll.  47l>. 
Moyens  hygiéniques,  ibid.  —  Moj^eus  thérapeutiques,  111. 

218.LI.481  •  * 

Des  substances  propres  à  désaltérer,  et  de  leur  application  à 

l'économie  animale  ,  Ll.  483. 
Traitement  de  la  soif  morbide,  Ll.  485. 
SOL  ;  généralités  ,  Ll.  /^ÇfO. 

Terrains  primitifs  ,  ibid.  —  Terrains  de  transition,  Ll.  491  • 
—  Couches  cssentielicnienl  secondaires  ,  Ll.  493. — Ter- 
rains tertiaires ,  Ll.  /\()6. 
Influence  de  la  nature  du  sol  sur  l'homme  et  sur  les  pro- 
ductions vivantes  de  cha({ue  territoire,  Ll.  5oi. 
S0LÂ.1RE;  influence  solaire,  Ll.  5o5. 
Bandage  solaire,  zT'/c?. 
Plexus  solaire,  Ll.  5o6 
SOLAlMEES;  description  ,  propriétés  el  usages  des  plantes  de 

celte  famille.  Ll.  5o6. 
SOLDANELLE  ;  description  ,  propriétés  et  usages  de  celle 

plante,  Ll.  5o6. 
SOLDAT  ;  Ll.  509. 

S0LEA1RE;  descriplion,   connexions  et  usages  de  ce  mus- 
cle, L!.  5io. 


DES  MATIERES.  ^Sg 

SOLEUj;  L1.  5 10.  —  Du  soleil  par  rapport  auxëtoiles  fixes, 
Ll.  5i  1. 
INuUne  de  cet  astre,   sa    forme  ,   ses  taches,  sa   rotation  , 

son  atn»osphère,  Ll.  5i3. 
Sa  dislan'C  de  ia  terre,  son  volume,  sa  consistance,   ses 

mouvemens  apparens,  L1.5i8. 
Son  iiiiiucnce  sur  les  créatures  animées  et  spécialement  sur 

riioinnie,  Ll.  524. 
Son   influence  spéciale  relativement  à   l'état  de  santé  et  à 

diverses  maladies,  Ll.  SaS, 
Description  ,  propriétés ,  usages  de  la  plante  appelée  soleil 
Ll.  537. 
SOLEN  ,  Ll.  537. 

SOLIDE  ;  considérations  générales  sur  les  solides  organiques  , 
lA.  558.  —  Enumération  de  ceux  qui  entrent  dans  la  com- 
j>osilion  da  corps  humain  ,  LL  53g. 
Généralités  sur  les  solides  organiques  du   corps  humain  , 

LL  540. 
Leurs  propriétés  physiques,  ihid.  —  Leur  nature  chimique, 

LL  541.  —  Leur  texlureou  organisation ,  LL  542. 
Proportion  qui  règne  entre  eux  et  les  fluides  ,  LL  545. 
Leurs  usages,  ibid. 
SOLIDISME;  XXIL  69.   LL  543.  —  Considérations  géné- 
rales sur  cette  doctrine  médicale,   sou  origine  et  ses  prin- 
cipes ,  LL  548. 
SOLIDrrËjLl.  55i. 

SOLITAIRE,  Ll.  55i.  —  Ver  solitaire  ,  ibid. 
SOLITUDE j  considérations  générales  sui'  les  avantages  et  les 
inconvéniens  de  la  vie  solitaire  et  de  la  vie  sociale,  ibid. 
Effets  physiques  de  la  solitude  et  de  la  société  sur  le  corps 
humain,  LL  555. 
SOLSTICE;  LL  562.  —  Différences  que  présentent  les  sols- 
tices relativement  à  leur  influence  sur  l'état  de  l'atmosphère 
et  sur  l'homme  dans  l'état  de  santé  et  de  maladie,  ibid. 
SOLUBILITÉ;  LL  565. 
SOLUIÎLE;  Ll.  565. 

SOLUTION  ;  considérations  générales  sur  la  solution  des  ma- 
ladies, Ll.  566. 
Solution  cnllque  ^  L\.  567. — Solution  sans  crise,  LL   571. 
—  Solution  méïastalique  ou  par  tnélaslase,  LL  570. 
Circonstances  (fui  modifient  les  ditférentes  solutions  des  ma- 
ladies ,  LL  578. 
Ce  (jn'on  entend  en  chimie^par  solution  des  corps  ,  Ll.  J8i). 
Moyens  d'opérer  cette  solution,  LL  58i. 
Causes  qui  rendent  les  corps  plus  ou  moins solublcs,  Ll,  582. 
SOMASCETIQUE;  définition,  L!l.  i. 


nfw  TAIÎLE 

Idées  générales  de  la  somascétiijue  chez  les  anciens,  LIÎ,  ^< 

Histoire  de  la  somascétique  dans  l'anliquité,  LU.  4  ;  —  chci 
lesraoderues,  LU.  t /|  ; —en  Italie,  j'^zW.  j  —  en  Espagne, 
LII.  i5;  —  en  Angleterre,  LII.  i6;  —  en  France,  LU.  17. 

Histoire  de  la  somascétique  médicale,  LU.  21.  -'—  Son  état 
chez  les  modeincs  ,  LU.  26. 

Exercices  exéciilés  ad  gymnase  de  M.  Comte  h  Paris,  LU.  34. 

—  Stade,  course,  LU.  35.  —  Exercice  des  mains  ,  l'bid.  — 
Piaffer  ,  ibid.  —  Foutre  tremblante  ,  LU.  36.  —  Saut  , 
ibid.  —  Grimper,  LU.  37.  —  Lutte ,  ibid.  —  Dynamo- 
mètre ,  ibid. 

Influence  de  la  somascétique  sur  le  caractère  et  les  destinées 
des  grands  hommes  ,  LU.  Sq. 

Ses  avantages  cliez  les  modernes,  LU.  46- 

Orthopédie  ,  LU.  47-  —  Lits  mécaniques  ,  LU.  48.  —  Fau- 
teuils mécaniques  ,  Lîl.  49-  —  Mouvemcns  de  cloche, 
ibid.  —  Saut,  LII.  5o.  — Mât  de  cocagne,  ibid.  —  Trem- 
plin mécauiqi.e,  ibid. —  Barillets,  LU.  5i.  — Fauteuils 
à  roule  tics,  ibid. 

Maladies  qui  céderaient  à  l'influence  de  la  somascétique, 
ibid. 

Effets  spéciaux  des  moyens  qu'elle  emploie,  LU.  56. 

De  la  course,  ibid.  ;  —  de  la  suspension  par  les  mains,  ibid.  ; 

—  de  la  cloche  muette  ,  LU.  67  ;  —  du  piaffer  ,  ihid.  •  — 
du  pont  mouvant,  LU.  5h);  —  de  la  natation,  ibid.;  — ■ 
du  saut,  ibid.  ;  —  du  grimper,  LU.  5g;  —  de  Ja  hille, 
ibid.-,  —  de  i'écruilation,  IJI.  61;  —  du  balancement, 
mouvement  de  rotulion  ,  LU.  02  ;  —  du  châut ,  LU.  65. 

SOMATOLOGIE;  LU.  68. 

SOMMEIL;  XXXÏ.  159.  XXXIV.  454. 

Phénomènes  du  sommeil ,  ÏAl.  7?-.  —  Son  influence  sur  les 
organes  et  leurs  fonctions  ,  LU.  74  ;  —  sur  l'attitude  , 
ibid.;  —  sur  les  facultés  intellectuelles  ,  LU.  75  ;  — 
sur  Its  organes  des  Uiouvemcns  volontaires,  ibid.;  — 
sur  la  vue  ,  LU.  76  y  —  sur  le  goût ,  l'odorat  ,  ihid.  ;  — 
sar  le  tact ,  l'ouïe,  LU.  77  ;  —  sur  les  sensations  internes, 
faim,  soif,   ibid.  ;  sur   les   fonctions  digestives,  LU.  7b  ; 

—  sur  l'absorption  ,  LU.  79  ;  —  sur  la  circulaiion  ,  ibid.  ; 

—  sur  les  séci étions  ,  LU.  82  ;  —  sur  la  respiration, ii/'t/.  ; 

—  sur  la  température,  LU.  b3  ;  —  Siir  les  organes  gé- 
nitaux, LU.  84 j  —  sur  les  sympathies  des  organes, 
ibid. 

Somnambulisme,  LU.  85.  — Songes ,  LII.  86. 

Causes  du  réveil ,  ibid. 

Durée  du  sjmmeil,   variétés  qu'elle  présente  selon  l'âge, 


DES  MATIERES.  rCi 

ÎJÎ.  S3;  —  le  tempcrament ,  LU.  89  ;  —  les  liabiludes, 
ibid.  ;  —  le  climat  ,  la  saison ,  ibid.  ;  —  \à.  disposition 
actuelle  de  l'individu  ,  LIL  90. 

Effets  du  sommeil  dans  l'ëtat  de  santé',  ihid.  —  Ses  effets 
salutaires  dans  l'elat  de  maladie,  LU.  92.  —  Ses  incon- 
ve'niens  dans  certaines  maladies,  ibid. 

Effets  du  sommeil  prolongé  au-delà  de  sa  dure'e  habituelle 
dans  l'état  de  maladie  et  dans  celui  de  sanlé,  LU.  g3. 

Du  besoin  de  dormir,  LU.  95. 

Causes  du  sommeil  ,  LU.  9B.  —  Circumfusa,  LIL  loi.  — 
Ingesta,  ihid. 

Caractères  du  sommeil  provoqué  par  les  ingesta;  en  quoi 
il  diffère  du  sommeil  naturel  ,  LIL  102. 

Caractères  du  jomraeil  profluit  par  l'ingestion  des  narco- 
tiques,  i'/'/V/. —  Excréta  ,  LU.  io3.  —  Applicala  ,  LIL  104. 

—  Acta  ,  ibid,  —  Perccpta  ,  LU.  io5. 

Sommeil  pathologique,  ibid.;  —   causé  par   la  compression 

du   cerveau,  ibid.;  • —  par  l'apoplexie,   LU.    106;  —  par 

la  léthargie,  ibid. 

Moyens  d'allonger  ou  d'abréger  le  sommeil,  LIL  lo'j. 

Cas  de  sommeil  trcs-prolongé  ,  IV.  204. 
i5'ow/?ie/t  magnétique,  LIL  108. 

Inductions  séméioiiques  fournies  par  le  sommeil ,  ibid. 
Sommeil  des  animaux  liibernans  ,  LU.  110. 
Sommeil  des  plantes,  LIL  11 3. 

Auteurs  qui  en  ont  liaité,  LIL  114. 
SOMMET  ;  LIL  1 1 5. 
SOMMITE;   plantes  dont  on  emploie  les  sommités  fleuries; 

récolte  et  conservation  de  ces  sommités;  leurs  usages  en 

médecine,  LU.  1 15. 
SOMNAMBULE;  LIL  116. 
SOMNAMBULISME;  XLVÏII.  294.  LIL  117. 

Considérations  générales  sur  le  somno-vigil ,  LIL  118.  — 
Ses  causes  ,  LIL  121. 

Disposition  héréditaire  ,  ibid.  —  Age  ,  ibid.  —  Sexe  ,  ibid. 

—  Saison,  ibid.  —  Idiosyncrasie,  ibid. 

Ses  causes  ioimédiales,  LU.  12?..  — Ses  phénomènes  ,  ibid. 
Yariétés  qu'il  présente  suivant  l'âge,  le  sexe,  les  habitudes, 

LU.  125. 
Invasion ,  marche  ,  durée,  terminaison  ,  ibid. 
Diagnostic,  ibid.  —  Pronostic,  LU.  126.  — Traitement, 

ibid. 
Auteurs  qui  en  ont  traité  ,  LIL  127. 
SOMNIFÈRE;  LIL  128. 

SOMNOLENCE;  LU.  128.  — C'est  le  premier  degré  de  l'as, 
soupissement ,  11.  3y8.  —  Signes  qu'on  en  lire  ,  IL  390. 

TABLE    I.  Cj') 


:G2  TABLE 

SON  5  considérations  générales ,  LIï.  12g. 

Formation  et  propagation  des  sous,  LU.  i3o, 

Cordes  vibrantes,  LU.  106.  — Instrunaens  à  vent,  LH.  i/jo- 

—  Audition  du  son  ,  LIL  i44>  —  Formation  de  la  voix  , 

LIL  145. 
Influence  du  son  musical  et  du  son  articulé  sur  l'homme  et 

sur  les  animaux,  LIL  146. 
Propriétés  et  usages  de  la  matière  végétale  appelée  son, 

ibid. 
Ce  qu'on  entend  par  son  en  pathologie  ,  LU.  147. 
SONDE;  description  générale ,  ÏV.  345.  LU.  147. 
SBnde  dés  voies  urinaires,  ihid.  —  Cathéter,   ihid.  —  Sonde, 

ihid.  — ■  Bougie  ,  ibid. 
Sonde  à  bec  conique,  \A\.  14^.  —  Sonde  de  femme  ,  ibid.  — 
Sonde  cannelée,  ibid.  —  Soude  à   panaris,  ibid.  —  Sonde 
brisée,   LIL  i49'  —  Sonde  de  Belloc ,  ibid.  —  Sonde  ou 
pince  de  Huuter,  LIL    i5o.  —  Sonde  à  conducteur  ,    ibid. 
—  Avantage»  des  sondes  de  gomme  élastique,  IV.  347. 
SONGE;  considérations  générales  sur  les  songes,  différences 
qu'ils  présentent  d'avec  les  rêves,  LIL  i5o. 
Auteurs  qui  en  ont  traite,  LIL  iSz. 
SOPHISTICATION  ;  LU.  i52.  —  En  quoi  elle  diffère  de  l'al- 
tération ,  L  ^il\.  * 
Considérations  générales  sur  la  sophistication  des  mcdica- 

rnens ,  ibid. 
Diverses  substances  qui  sont  susceptibles  d'être  falsifiées, 

LIL  154. 
Ipecacuanha,  ibid.  —  Jalap,  ihid.  —  Pihubaibe,  ihid.  — • 

Gomme  adragant,  ibid.  —  Salsepareille,  ihid. —  Quin- 
quina, ibid. 
Safran  ,  ibid.  — Tamarin ,  ibid.  —  Cachou  ,  ibid.  —  Opium  , 

ibid. 
Résine  élcmï ,  ihid.  —  Sang-dragon  ,  ibid.  —  Résine  de  ja- 
lap ,  ibid.  — .Baume  de  la  Mecque,  LU.  t55. 
Baume  de  Copahu  ,   ibid.  —  Baume  du   Pérou  ,  ibid.  — 

Storax ,  ibid. 
Scamtuonée  d'Alep  ,  ibid.  —  Huile  «Je  cadc,  ibid. —  Pétrole 

noir,  ibid.' —  Poix  noire,  ihid. 
Huile  d'amandes  douces,  ibid.  —  Huile  d'olives,  ihid.  — 

Huile  de  ricin  ,  ibid.  -^  Beurre  de  cacao  ,  ihid. 
Huile  volatile  do  canelle  ,  ihid.  ;  —  de  gérofle  ,  ibid,  ;  —  de 

muscade,  ihid. 
Colle  de  poisson  ,  (bid, —  Musc,  ihid.  —  Cire  jaune,  LU. 

i56.  —  Cantharidcs,  ibid.  —  Cochonille,  ibid. 
Sophistiqation  des  drogues  composées,  ibid. 


DES  MATIERES,  ^63 

Exilait  (le  ciguë,  ibld.  ;  —  de  quinquina,  ilAd.;  —  de  ge- 
nièvre, ibid. 

Sirop  auliscorbulique  ,  ibid,)  —  de  rhubarb*; ,  ibid.  •  —  de 
chicorée  compose' ,  ibid.  j — de  nerprun  ,  ibid.  ;' — de  salse- 
pareille, ibid. 

Tl)ériaque,  ibid.  —  Pastilles  d'ipécacuanha ,  ibid.  — Basi- 
liciim,  LU.  i5'j. 

Onguent  de  la  Mère,  ibid.  —  Onguent  mercuriel,  ibid.  — 
Onguent  cilrin,  ibid. 

Laudanum,  ibid.  — Tartrate  de  potasse,  ibid.  —  Sulfate 
de  magnésie  ,  LIL  494'  — Emétique  ,  ibid.  — Borax, 
ibid.  —  Rennes,  ibid. 

Nitrate  d'argent  fondu,  ibid. 

Acide  sulfurique,  LIL  i58;  —  nitrique  ,  ibid.  j  —  lijdro- 
chlorique,  ibid.  —  Ëlher  sulfurique,  ibid. 

Auteurs  qui  en  ont  traité,  ibid. 
SOPORATIF  ;  LIL  iBcj. 
SOPORELXjLIL  ijg. 
SORAjLII.  i5q. 
SORBAïEjLïI.  160. 
SORBIER;  description  ,  propriétés  et  usages  des  plantes  de  ce 

genre,  LIL  160. 

Sorbier  domestique,  tZ^^'f/.  —  Sorbier  des  oiseleurs,  LIL  161. 
SORBIQUE;  caractères  de  cet  acide  ,  XLV.  161.  LIL  162. 
SORDIDEjLÎLiôî. 
SORORIANT;LILi62. 
SORT -LIL  162. 
SOUBPiESAULT  ;  en  quoi  il  diffère  delà  convulsion  ,  LU.  i63. 

Maladies  dans  lesquelles  on  l'observe,   et  indications   qu'il 
fournit,  LIL  1G4. 
SOUCHET,-  description  ,   propriétés  et  usages  des  plantes  de 

ce  genre,  LIL  164. 
Sonchet  long  ,  ibid.  —  Souchet  rond  ,  ibid.  —  Soucliet  comes- 
tible ,  LIL  16^  —  Soucket  à  papier^  LIL  166. 
SOUCI  ;   description ,  propriétés  et  usages  des  plantes   de  ce 

genre ,  ibid. 
Souci  officinal ,  LIL  16'^.  —  Souci  des  champs,  ibid.  —  Souci 

des  marais ,  ibid. 
SOUDE  ;  LIL  168.  — ^Procédés  mis  en  usage  pour  se  procurer 

la  soude,  ibid. 
Soude  pure  ou  caustique,  ibid.  — .  Soude  du  commerce,  LIL 

169.  —  Soude  aérée,  ibid,  — Soude  caustique,  ibid. 
SOUFFLE  ;  LU.  169. 

SOUFFLET?  ;  considérations  générales  sur  les  effets  physiolo- 
giques ,  thérapeutiques  et  moibides  des  soufflets,  I-ll.   iii'Q. 


'jG'i  TABLE 

SOtJFFPi.ANCE  ;  LU.   177.  —  Considérations  générales  sur 

les  souffrances  ,  leurs  variétés  et  leur  caractère  ,  LïL  178. 
SOUFRE  ;  liistuire  naturelle  et  cliiniique  de  celtç  substance, 
LIL    i'-8.  — Ses  caractères  physiques   et  chimiques,  ibid, 
—  Corps  qui  en  contiennent ,  LIL  l'jg. 
Il  existe  dans    les   vcgetanx,   L   à^^.  —  Il  paraît  ne  pas  se 

former  dans  les  organes ,  et  pourquoi ,  L  3  jS. 
Variéte's  que  présente  le  soufre  natif,  LIL  180.  —  Soufre 
vitreux  ,  ibld.  —  Soufre  fibreux ,  ibid.  —  Soufre  compacte, 
ibid.  —  Soufre  pulvérulent,  LU.  181. 
Caractères  du  soufre  du  commerce  ,  LIL  182. 
Fleurs  de  soufre ,  ibid.   —  Acide  sulfureux,   LIL   i83. — 

Acide  sulfurique,  ihid. 
Lait  de  soufre  ,  ibid.  —  Soufre  carburé,   LIL   l8/|.  —  Sul- 
fure de  phosphore,  ibid.  —  Baume  de  soufre  ,   ibid.  — 
Pluies  de  soufre,  LIL  i85. 
Emploi  médicinal  du  soufre,  ibid.  —  Son  action  sur  l'éco- 
nomie animale  ,  LU.  186. 
Maladies  dans  lesquelles  on  l'emploie,  LIL  187. 
Différentes  préparations  pharmaceutiques  qu'on  lui  fait  su- 
bir, LIL  193. 
Fleurs  de  soufre,  ibid.  —  Soufre  lavé,  LU.  195.  —  Pas- 
tilles soufrées  ,  ibid.  —  Pommades  soufrées,  ibid.  —  Gé- 
rât soufré,  LU.  194-  —  Liniment  sulfureux  ,  i7)zcf.  —  Sou- 
fre précipité,  ibid. —  Baume  de  soufre,  LU.  ïç)5.  —  Foie 
de  soufre  ,  ibid. —  Esprit  de  soufre,  ibid. 
Soufre  doré  d'antimoine,  ibid. 
Soufre  rouge  ,  ihid.  —  Soufre  végétal ,  ihid. 
SOULIER;  LU.  195. 

SOUPE  j  considérations  générales  sur  les  soupes,  leur  usage, 
leurs  avantages  et  leurs  inconvéniens ,  LIL  195. 
Histoire  des  soupes  économiques,  LU.  198.  —  Leur  com- 
position, ibid.  —  Manière  de  les  préparer,  LU.  202. 
SOUPIPi^  théorie   ^u  soupir,   LIL  204.- —  Son  but,    LU. 
20  5. 

Ses  causes  ,  maladies  et  affections  morales  qui  le  produisent, 
ibid. 
SOURCIL;  description,  LU.  206.  —  Pvôle  que  joue  le  sour- 
cil dans  le  jeu  de  la  physionomie,  ibid. 
Blaladies  auxquelles  il  est  sujet,  LU.  207.  —  Vices  de  con- 
formation, ibid.  — Plaies,  ibid. 
Altenlion  spéciale  que  ses  plaies  réclament  à  cause  des  acci- 

dens  consécutifs  ,  III.  2o5. 
Piqûres ,  LU.  207.— Contusions  ,  LU.  208.  —  Tumeurs  in- 
flammatoires ,  LU.  20g.  —  Loupes,  ihid.  —  SquiirCn 


DES  MATIERES.  -jRf) 

ihîd.  —  Ulcères  ^  ibid.  —  Longueur  prodigieuse  des  poils , 

m.  144. 

SOUIICILIER;  LU.  -2 10.  —  Arcades  ou  ëminenccs  sourci- 
lières ,  ibid.  —  Echancrures  souicitières ,  ibid.  —  Muscles 
soui'ciliers,  ibid.  —  Artère  sourcilièrc,  ibid.  — Nerf  sourci- 
ller, ibid. 

SOURD  5  considérations  géne'rales  sur  les  effets  de  la  surdité 
sur  l'homme,  LU.  211. 

SOURD-MUET;  considérations  et  description  générale  des 
phénomènes  que  présentent  les  sourds  et  muets  de  nais- 
sance ,  leurs  facultés  physiques,  morales,  et  leurs  inclina- 
tions ,  LIL  21 1. 

SOUS'ACRGMIO-CLAVLHUMERALj  LIL  21 5. 

SOtlS-ACROMIO-HTJMÉRAL  ,   LII.  2l6. 

sous-APoiNÉVROTiQUE ,  ibid. 

SOUS-ATLOÏDIEN,  LU.  lin. 

sous-AxiLLAiRE,  ibid. 

sous-AxoÏDiEN,  ibid. 

sous-garboinate;   description  ge'ne'rale,   proprie'lés,  chimiques 

et  physiques  de  ces  sels,  ibid. 
Sous-carbonate  èe  potasse,  de  soude  ,  d'ammoniaque,  LU.  218^ 

—  de  baryte,  ibid.  ;  —  de  masuéde,  LU.  219  ;  —  de  chaux  , 
ibid.  ;  —  de  cuivre  naturel ,  ibid.  ;  —  de  plomb,  LU.  220  ] 

—  de  fer  ,  ibid. 

soTJs-CLAvicuLAiRE,  ibid. — Nerf  sous-claviculaiie  ,  ibid. 

SOUS-CLAVIER,  LU.  221.  —  Musclc  sous-clavicr,  ibid.  — Va- 
gue qui  règne  dans  les  livres  au  sujet  de  celle  dénomina- 
tion appliquée  à  des  vaisseaux  ,  II.  109. 
Artères  sous-clavières,  LU.  221.  III.  292; — droite,  LU. 

221  ;  —  gauche  ,  LU.  222. 
Veines  sous-clavières  ,  ibid. 
Considérations  pathologiques  sur   l'artère  sous -clavière  , 

LU.  223. 

sors-CTJTANÉ,  LIL  227.  — <  Artère  sous  cutanée  abdominale  , 

ibid. 
soiîs-DiAi'HRAGMATiQiJE ,   ibid.  -—  Artcres  sous-diaphragmati- 

ques  ,  ibid.  —  Plexus  sous-diaphragmatique  ,  ibid. 
sous-Éi'iNErx,  ibid.  —  Fosse  sous-épineuse,  ibid.  —  Muscle 

sous  épineux,  ibid, 
sous-MAxiLLAiRE,  LU.  228.  — Sous-maxillo-cutané ,  i&/rf. — 

Sous-maxillo-labial,  i'/'iV^. 

SOTJS-MtTACARPO-LATÉRI-PHALANGIEN,  ibid. 
SOrS-MÉTATARSO-LATÉRI-PHALANGlEN  ,  ibid. 

sous- OCCIPITAL,  îiiVi'. — Nerf  sous-occipital ,  ibid. 

SOUS-OPTl-sPHÉNO-SCLÉROTIClEN  ,  ibid. 

S0U5-0ED1TA1RE,  LU.  23o.  —  Trou-sous-orbilairc ,   ibid.  — - 


7^:6  TABLE 

Arlèie-sous  oi'oitaiio,  il/id.  —  Veine  sous-ojhitaire,  ibiJ. — 

Nerf  sous- oibiiaiie  ,  ibid. 
sovs-POPLiTK,  ibid. 
sors-i'UEiE?î,  ibid.  — •  Trou  sous-pubicn,  ibid.  —  Ligament 

sous-pubien,  ibid. 

Muscle  sous-pubio-coccygien ,  ibid. 

Muscle  sous  pubio-créli-tibia],  ibid. 

Muscle  sous-pubio-fémoral,  ibid.  —  Artère  sous-pubio-fé- 
morale,  ibid. 

Muscle  sous-pubio-pre'libial ,  ibid. 

Muscle  sous-pubio-tiochanlérien-externe  ,  LîL  aSa. 

Muscle  sous-pubio-trochantérien-inlcnie ,  ibid. 
sors-scAPULAiRE ,  LIL  233,  —  Fosse  sous-scapulairc,  ibid. — 

Muscle  sous-sçapulaire,  ibid.  —  Nerf  sous-scapulairc  ,  LîL 

234» — Artère  sons-scapulaire,  ibid. 

sous  SCAPULO  TROCHINIEN  ,  ibid, 
sous   SPINI-SCAPULO-TROCHINIEN  ,  ibid. 
socs  STERWAL,  LIL  235. 
SOUS   TROCHANXÉRIÈN  ,    ibid. 

sous  TROcnANTiiviEN ,  ibid. 

SPAGYr\.ISME  j  considëralious  générales  et  historiques  sur 
la  secte  des  spagytistes,  leurs  principes,  leurs  ouvrages  et 
les  diftérens  onoyens  qu'ils  ont  préconisés,  LIL  235. 

SPANOPOGON^LII.  247. 

SPARADRAP  5  LIL  247.  —  Composition  et  usages  du  taffetas 
agglulinatif ,  LU.  248, 

SPAilADRAPIER  j  description  et  usages  de  cet  instrumcnî , 
LU.  25o. 

SPARGANOSE5  LIL  25 1. 

SPASME  •  considérations  générales,  LU.  25i. 
Causes  différentes  de  l'état  de  spasme,  II.  211. 
Spasme  simple   saus  lésion  des  facultés  de  l'inlelligence , 
LU.  262.  — Spasme  des  organes  du  mouvement  volon- 
taire, ibid.  —  Spasme  de&  muscles  non  soumis  à  la  vb- 
lonté,  LU.  256. 

Spasme  avec  lésion  des  facultés  intellectuelles,  LU.  aSg. 
Auteurs  qui  en  ont  traité,  LIL  ■205. 

SPASMODIQUEj  LU.  267. 

SPASMOLOGIE  ;  LIL  267. 

SPATULE;  description  et  usages  de  cet  instrument,  LIL  267. 

SPECIFIQUE;  considérations  générales  sur  les  remèdes  spé- 
cifiques ,  LIL  268. 
Auteurs  qui  en  ont  traite,  LU.  270. 

SPÉCULUM;  LIL  271. 

^pecitliim  oculi ,  ibid. 

é^fcculum  oris,  LU.  272. 


DES  MATIÈRES.  ';6'7 

Spéculum  a  ni,  ibid. 
L-peculum  îik'ii  ,  iôid. 
SPERMAÏIQUEj  LU.  272.  —  Artères  spermaiiqiics, /i/rf. 

—  Calculs  dans  les  vésicules  de  ce  nom,  Ilï.  4^8, 
SPERMATOGÈLEj  description,  phénomènes  et  trailemcnt 

de  cette  ailection,  LU.  anS. 
SPERMATOLOGIE  ;  LU.  276. 
SPERMATOPÉEj  LIL277. 
SPERMATOSEi  LIL  278. 

SPERME  j   appareil  producteur  de  ce  liquide  spermatiquc, 
XXn.  56.  LIL  277.  — Son  mode  d'excrétion,  LU.  271).  — - 
Ses  caractères  physiqnes,  l'bid. 
Résultats  de  son  analyse  chimique,  ibid. 
Quantité  que  les  testicules  en  sécrètent ,  LIL  280. — Influence 
qu'elle  exerce  sur  l'économie  animale,  LU.  281. —  Temps 
nécessaire  à  son  excrétion ,   LU.  282.  —  Voies  pai'  les- 
quelles s'opère  cette  excrétion,  Lit.  283. 
Du  sperme  chez  la  lémme ,  ibid. 

Altérations  dont  cette  humeur  est  susceptible,  LIL  285. 
Auteurs  qui  en  ont  traité,  ibid.  ' 

Considérations  générales  sur  l'élément  créateur  chez  les  ani- 
maux et  les  végétaux ,  LIL.  286. 
Comparaison  entre  la  nature  de  la  matière  fécondante  des 
vé^jétaux  et  celle  des  animaux,  LU.  288. 
SPERNIOLEJLIL293. 
SPHA^iLEj  considérations  générales,  Lïï.  293. 

AuOTirs  qui  en  ont  traité,  LIL  29^. 
SPHEr^fOIDAL  •  LIL  295.  —  Apophyses  sphénoïda'.es,  ibid. 

—  Cornet  sphénoïdal,  LU.  296. —  Echancrure  ou  feule 
sphénoïdale,  ibid. — Ganglion  sphénoïdal ,  r^/t/.  —  .Selle 
sphénoïdale,  ibid.  —  Suture  sphénoïdale ,  iV^iW.  — Sinus 
sphénoïdaux ,  ibid. 

SPHENOÏDE  ■  description  de  cet  os  ,  LIL  297. 
SPHEINO-MAXILLAIRE;  LU.  3o2.  — Fente  s[)hcno-maxil- 

laire  ,  ibid. 
spnÉNo-occiriTAL  ,   LIL  3o3.  —  Cartilage   sphcno-occipital , 

ibid. — Suture  sphéno-occipitale,  î/»ïV/. 
sphéno-orbitaiee  ,  LU.  3o3.  — Fenlespliéno-orhitaire,  ibid. 
si'HLNO-PALATiN  ,  LU.  3o5. — 'Crcnelure  sphéno  palatine,  ibid. 

—  Echancrure  sphéno  -  palatine  ,  ibid.  — Trou  sphéno- 
palatin , '^Z^^c/.  —  Canal  sphéno-palatin  ,  ibid.  — Artère 
sphéiio-palatine  ,  ibid.  —  Veine  sphénopalaiine  ,  ibid.  — . 
Ganglion  sphéuo-palatin ,  ibid.  — Nerf  sphéno- palatin  , 

ibid. 

sniKNO-PTÉRYGOPALATIN    ,  ibid. 
SPUKNO-SALPINGO   STAPHYLIN  ,  ibid. 
Si'HtlNO-STAPHYLIN  ,  LU.  3o5. 


^68  TABLE 

SPHÉNO-TEMPORAL  ,  îbid.  —  Suture  spueiio-lemporaie,  ibid.  — • 
F^nfe  splicno-lemporale ,  ibid. 

SPHEROÏDE  5  LU.  3o5. 

SPHINCTER  ;  LH.  5o5.  •—  Sphincter  de  l'anus  ,  ibid.  — 
Spliincler  des  lèvres,  LIL  3o6.  —  Sphincter  du  vagin,  ibid. 
Sphincter  de  la  vessie  ,  ibid. 

SPICA;  description  et  usages  de  ce  bandage ,  LIL  3o6. 

SPIGELIE  ;  descriplion,  propriétés  et  usages  des  plantes  de 
ce  genre  ,  LIL  807. 

Spigélie  anthelmintique,  LU.  3o8. 

SPILUS;  LIL3o8. 

SPINA-BIFIDA;  LIL  309. 

SPINA-VENTOSA  ,  description  de  cette  maladie,  LIL  3og. — 
Divisions  admises  par  les  auteurs,  LU.  5ii.  —  Causes, 
LU.  3i5.  —  Diagnostic,  LIL  3i6,  —  Pronostic,  ibid.  -^ 
Traitement,  LU.  817. 

SPINAL  ;  LU.  320. —  Nerf  spinal ,  ibid. —  Artère  spinale  an- 
térieure, LU.  ^7.1.  —  Artère  spinale  postérieure,  ibid. 

SPÏNI-AXOÎDO-OCCIPITAL  5  LU.  32i. 

SPINI-AXOIDO-TRACHELI-ATLOIDIEN  ,   LIL   321. 
aPINO-CRANIO-TBAPKZIEN  ,   LIL  322. 

SPIRA.CÉES;  description,  propriétés  et  usages  des  plantes 
de  cette  famille,  LU.  522. 

SPIRITUEUX;  LH.  322. 

SPIROIDE;  LH.  523. 

SPLANCHNIQUE  ;  LU.  323.  ^ 

SPLANCHNOGRÂPHIE;  LIL  323.  W 

SPLANCHNOLOGIE;  LIL  523. 

SPLANCHNOTOMIE;  LIL  523. 

SPLEEN  ou  splen  5  définition,  causes,  phénomènes  et  trai- 
tement de  celte  affection,  LIL  323. 

SPLENâLGIE;L1L328. 

SPLENEMPHRAXIS5  LIL  529. 

SPLENIQUE  ;  LU.  529. 

SPLENIUS  ;  description,  connexions  et  usages  de  ce  muscle, 
LH.  529. 

SPLENOCELE  ;  LH.  35o. 

SPLENOGRAPHIEjLH.  53o. 

SPLENOLOGIE;  LU.  332. 

SPLENOPARECTAME  ;  LIL  552. 

SPLENOTOxMlE;  LH.  332. 

SPODE;  LU.  532. 

SPOLIATIF;  LII.33  5. 

SPOLIATION;  LIL  333. 

SPONDYLARTHROCACE ;  descriplion,  phénomènes,  mar- 
che et  terminaison  de  celle  maladie,  LH.  333. 


DES  MATIERES.  ^69 

SPONDYLE;  LU.  334. 
SPONGIEUX;  LU. 535.  —  Substance  spongieuse,  îbid.  —Os 

spotij_M'eux  ,  ibid.  —  Porliou  spongieuse  de  l'urèlie,  ibid. 
SPONTANÉ;  LU.  335.  —  Mouvement  spontané,  ihid.  — > 

Lassitude  spontanée,  ibid.  ■' —  Luxation  spontanée,  ibid. 
SPUTATION  ;  maladies  dans  lesquelles  on  l'observe ,  LU.  335. 

—  Traitement,  LU.  336. 
SQUAMMEUXj  LU.  336.  —  Suture  sqaummeuse,  liW. 
SQUELETTE  5  considérations  générales  sur  l'étude  du  sque- 
lette et  sur  sa  composition,  LII.  336.  — Ses  fonctions,  LU. 
337.  -^  Ses  rappoits  avec  le  système  nerveux  ,  ibid.  —  Soa 
développement,  LU.  338. 
Dit(érencesi|u^il  présente  chez  l'honime ,  LIT.  35g;  —  chez 

la  femme,  ibid. ,  —  chez  le  lœtns  et  chez  l'enl'ant,  ibid. 
Parties  principales  qui  le  composent,  ibid. 
Son  organisation  dans  les  diverses  classes  d'animaux,  LU. 
340;  —  chez  l'homme,  LU.  3^?;  —  chez  les  mammifères, 
ibid.  ;  —  chez  les  oiseaux  ,  ibid.  ;  —  chez  les  insectes    ibid. 
SQUELETTOLOGIE  ;  LU.  343. 

SQUELETTOPEE;  considérations  généra  les  et  historiques  sur 
l'art  de  préparer  et  de  conserver  les  squelettes  ,  LU.  343. 
Préparations  propres  à  faire  connaître  la  conformation  des 

os  ,  LU.  346  ;  —  leur  structure,  LU.  347. 
Préparation  du  périoste  ,  LU.  349. 

Préparations  relatives  à   la  coujposition  chimique  des  os 
LU.  35 1  ; — à  leur  développement,  ziiV;?.j — à  leurs  mala- 
dies ,  ibid. 
Préparations  propres  à  faire  connaître  les  connexions  des  os 
et  les  niouvemcns  dont  ils  sont  susceptibles,  LU,  35^ 
Squelettes  naturels,  ibid.  —  S(|uelelles  artificiels,  LU.  35'7. 
Manière  de  faire  les  articulations  artificielles  des  différentes 

pièces  du  squelette  en  particulier,  LU.  36o. 
Articulation  des  dents  .,ibid.  —  Articulation  teœporo  maxil- 
laire, î'^ïV/. —  Articulation  de  la  colonne  vertébrale,  LU. 
36 1.  —  Articulation  alloïdo-axoïdienne, /t/^.  —  Atlicii* 
lalionsacro-cofcygienne ,  LU.  36'i. 
Articulations  de  la  poitrine,  ibid.  —  Articulations  du  bas- 
sin, LU.  363.  —  Articulation  du  pubis,  ibid. 
Aiiiciilation  occipilo-atloïuienne,  ibid.  —  Articulation  acro- 
niio  claviculaire,  ibid.  —  Articulation  sterno-clavitulairc 
LU.  36  |.  — Articulation  scipulo-humérale,  lèi'o'.  —  Ar- 
ticulation huméro-cubilale,  LU,  365.  —  Articulation  ra- 
dio-cubilale  ,  ibid. 
Articulation   des   os   du  carpc^   LU.  366.  —  Artîculatioîi 
carpo  métacarpienne,   LU.  367.  —  Articulation  mviA- 
carpo-phaiaogienne,  t"/'/*^^.  —  Arliculalions  des  phalange* 

TABI.E    1.  ti6 


970  TABLE 

entre  elles,  ibid.  —  Articulation  de  la  main  avec  les  os 
de  Tavaut-bras  ,  LIL  368. 

Articulation  coxo-l'émorale,  ibid.  —  Articulation  fémoro- 
libiale  ,  ibid.  —  Articulation  péronéo-libiale,  ibid.  —  Ar- 
ticulation du  pied,  LU.  369.  —  Articulation  tibio- tar- 
sienne, ibid 

Coupes  que  l'on  doit  pratiquer  sur  les  os  poui-  montrer  la 
disposition  des  cavités  qu'ils  forment  par  leur  rcunion  , 
LU   370. 
SQUINANCIE;  LU.  375. 
SQLIINE;  description  ,  proprie'te's  et  usages  de  la  plante  qui 

touinit  cflte  racine,  Lil.  3;j5. 
SQUIRRE;  LU.  3^8.  —  Caractères  anatomiqucs  et  patholo- 

giqu'^s  du  squirre ,  lll.  552.  LU.  3-9. 

Diiliculics  qu'on  éprouve  quelquefois  à  Se  distinguer  des 
corps  fibreux,  carlilagineus.  et  fibro-carlilagineux.  acci- 
dentels ,  111.  54  !• 

Tissus  qui  peuvent  être  attaque's   par  lui,  Lll.   38i. 

Glandes  maiiimaires  ,  ibid.  — Ganglions  lymphatiques,  ibid. 

—  Testicules,  Lll.  38^.  — Glande  lacrymale,  LU.  383. 

—  Foie  ,  ibid.  —  Rate,  ibid.  —  Reins  ,  Lll.  38^.  —  Ma- 
trice, ibid.  —  Poumons  ,  LU.  385.  —  Cœur  ,  ibid.  —  Ca- 
nal digestif,  ibid. 

Indications  générales  de  thérapeutique  qui  s'y  rappoitent  , 

LU.  386. 
Description  du  squirre  chirurgical ,  LU.  388.  —  Ses  causes, 
lill.  38t).  — Ses  symptômes,  Lll.  3yo. — Son  diagnostic, 
Lil.  391.  —  Son  pronostic  ,  Lll.  392.  —  Sou  traitement, 
ibid. 
Description  de  l'opération  qu'il  réclame,  LU.  SgG. 
Aulenis  qui  en  ont  traité,  LU.  3^^. 
SQUIRREL'XjLII.  398. 
SQUOEjNANTHE;  description,  propriétés  et  usages  de  cette 

plante ,  LIL  3<)9. 
STACHIDE;  description, propriétés  et  usages  des  plantes  de 

ce  g"oie,  LIL  399. 
Stachide  des  bois ,  ibid.  —  Stachide  des  marais ,  ibid.  —  Sta- 

cbide  d'Allemagne  ,  Lll.  4oo. 
STACTEjLU.  401. 
STADr.  ;  Lll.4o<. 
SlAGNATlONiLU.  401. 

SïAHLlAlNISiVlÈ;  principes  de  celte  doctrine,  LU.  ^m. 
Considérations  générales  et  historiques  sur  l'école  de  Stahl ," 

LU.  402. 
Exposition  de  sa  physiologie,  T-U.  409;  —  de  sa  palholo^ 
gie,  LU.  4^5^— de  sa  thérapeutique  ,  Lll.  437. 


DES  MATIERES.  771 

Opinion?  (le  Hoffmann,  Heistei,  lloussel  cl  Barihei,$ur  ccUC 
doctrine ,  LIL  /\^i. 

STAPEDiENjLll.  449. 

STAPHYSE;  Lll.44q. 

STAPHYLINj  LU.  449-  —  Septum-stapliylin,  itid.  —  Pé- 
ristaphylin,  t'bid. 

STAPHYLINO- PHARYNGIEN  ;  LU.  449. 

STAPHYLOME;  LU.  4i9-  —  Description  générale  et  obser- 
vations ,  LU.  45o.  —  Diagnostic,  LH.  /^oô.  — Pronostic, 
j'bid.  —  Traitement,  LU.  457. 

STAPHYSAIGRE;  LU.  4^7. 

STASE;  définition,  LH.  407- 

STATICE  ;  description  ,  propriétés  et  usages  des  plantes  de  ce 
genre  ,  LU  4^7- 

Statice  arineria  ,  ibid.  —  Siatice  limoniiun.,  \M.  463. 

bTATIONj  XX^llL  565.  LU.  463.  —  Station  bipède, 
LU.  464. 

Station  de  la  tête  snr  lerachis,  LIE  467. 
Rachis,  LU.  468.  —  Bassiti ,  LU.  47 '•  —  Membres  infé- 
rieurs ,  LU.  473. 

Mouveniens  des  cuisses  sur  le  bassin,  ibid.  ;  —  des  jambes 
sur  les  cuisses,  LH.  474?  —  ^^'^  jambes  sur  les  pieds  , 
LU.  47^  5  —  <^<^s  pieds  ,  LII.  477. 
Variétés  de  la  station  bipède,  LIE  4}^?  —  selon  l'âge, 
ibid.  ;  —  le  sexe  ,  LU.  480  ;  —  l'habitude  ,  LU.  4^2.  — - 
le  poids  étranger  dont  le  corps  est  surchargé  ,  ibid. 
Stnùon  monopèdc  ,  LU.  4^3.  —  Station  sur  la  j^ointe   des 

pieds,  LU.  484. 
Station  sur  les  genoux,  LIL  485.  —  Station  assise,  LU.  4^6. 

—  Stations  insolites,  ibid. 
STATIONNAIRE;  LU.  487. 

STATISTIQUE  ;  considérations  générales  et  historiques  sur  la 
5tatit,ti([ue  médicale  ,  LU.  488. 

Objets  qu'elle  étudie,  LIE  489.  —  Terrain,  ibid.  —  Pro- 
ductions, LU.   49'^'  —  P».aces  d'hommes  et  d'animaux , 
ibid.  —  Moyens  d'alimentation,  LIL    491-   — No.iibre 
des  hommes  ,  LH.  4<)2.  —  Nombre  des  maladies ,  LIE  493. 
—  Les  suicides ,  LH.  494-  — ^^^  guérisons,  ibid.  —  Les 
besoins  médicinaux ,  ibid. 
STATURE;  considérations  générales  sur  la  stature,  ses  va- 
riétés, les  causes  qui  la  font  varier,  et  les  meilleures  pro- 
portions (jui  lui  conviennent ,  LIE  496.  LIV.  260^ 
STEARINE;  définition,  XLV.  igS.  LU.  5o3. 
STEARIQUE;  caractères  de  cet  acide  ,  LU.  5o4. 
STEATIQUEjLlI.  5o4. 
STEATOCEEE  ;  Lil.  5o4. 


572  TA.BLE 

STEATOME;  XXIX.  80.  LU.  5o4. 

STECHAS;  LU.  5o4. 

STEGNOSE;  LU.  So/^. 

STEGNOTIQUE  ;  LIE  5o4. 

STENOCA.RDIE;  LIE  So/,. 

STERCORAL^E;Ln.  5o4. 

STEREOLOGIE  ;  LIE  5o4. 

STEIULE;  LIE  5o5. 

STERILITE  •  considëiations  générales,  LIE  5o5. 

Causes,  LU.  5o6.  —  Vices  de  conformation  des  parties  de 
Ja  génération,  ibid.  — Maladies  et  dispositions  actuelles, 
LU.  Scg. 
Auteurs  qui  en  ont  traité,  LU.  5i5. 

La  stérilité  envisagée  sous  le  rapport  médico-légal,  LU.  5i4» 
Considérations  générales  sur  ses  causes,   ses  signes  et  les 
conclusions  qu'on  doit  en  tirer,  ibid. 
STERiVALGlE  ;    H.    128.   LU.  523.  —  Histoire  générale  , 
LU.  524. 
Causes  prédisposantes,  LU.  528.  —  Causes  occasionelles  , 

LU.  529. 
Formes  que  peut  revêtir  l'angine  de  poitrine,  LU.  $29. 
Appréciation  de  ses  divers  symptômes,  L!l.  535. 
Douleur  sternale ,  ibid.  —  Douleur  des  bras,  ibid.  —  Res- 
piration ,  LU.  536.  —  Pouls,  ihid.  —  Eructation  ,  LU. 
53^. 
Invasion,   marche,   durée  et  terminaison  de  la  maladie, 

ihrd.  —  Pronostic,  LU.  53q. 
Paralèile  entre  Ja  sternalgie  et  les  maladies  avec   lesquelles 

on  pourrait  la  confondre,  LU.  ^L\rt. 
Asthme,  ibid.  —  Syncope,  LU.  541.  —  Inflammation  cel- 
lulaire du  médiastin  antérieur,  ibid. — 'Squirre  de  l'œso- 
phage ,  i/6i<i. —  Aîîévrysnie  du  cœur,  LU.  542. — Hydro- 
ihorax  ,  ibid.  —  Hydropéricarde  ,  ihid. 
Nature  de  l'angine  pectorale,  son  siège,  altérations  de  tissu 

qui  lui  sont  propres,  LU.  543. 
Traitement,    LU.    547.  —  Anlispasnnodiques   et  calraans, 
LU.   548.  —  Toniques  et  excitans,  ihid.  —  Saignée  et 
autres  autiphlogistiques  ,  LU.  549-  —  Dérivatifs  externes, 
LU.  55o. 
Choix  à  faire  entre  ces  différens  moyens ,    opportunité  de 

leur  emploi ,  LU.  55i. 
Auteurs  qui  en  ont  traité,  LU.  553. 
STER^iO-CLAVICULAIRE  ;  LU.  554- 

STERNO-CLEÏDO-IVIASTOÏDIEN  ,  ibid. 
STtRNO- COSTAL  ,  ibid. 
6XEBN0-C0ST0-CLAVI0-HUMIÎRAL,  LU.  555. 


DES  MATIERES.  773 

5TERÎ?0-ntTMÉRAL  ,  ibid. 
STEREO  HYOÏDIEN  ,  ibid. 
STERNO-MASTOIDIEN  ,  ibid. 
STERISO-PUBIEN,  LU.  556. 
SÏERNO-TUYROÏDIEN,  LU.   557.     ' 

STEE.NUM5  descrip'.ion  de  cet  os,  Lîl.  557.  — Lois  de  son 
ossification  ,  LU.  558.  —  Pièces  qui  le  composent,  LU.  56i. 
PJaies  d'armes  à  feu  compliquées  de  sa  fracture  ,  ibid. 
Causes  ,  description  et  tiaiiement  de  sa  carie,  LU.  502. 
Fractures,  LU.  503.  —  Leurs  causes,  LU.  564,  —  Leurdiag- 
nosuc,  LU.    565.  —  Leur  pronostic,  LU.   566.  —  Leur 
traitement  chirurgical  ,  LU.  572.  — Leur  traitement  mé- 
dical, ihid. 
Observation  d'une  fracture  en  long  du  sternum,  LU.  576. 
STERiNUTATION;  considér^ions  générales  ,  LU.   577,— 
Ses  causes  ,  LU.  578.  —  Mécanisme  de  sa  production,  LU. 

Ses  phénomènes  et  ses  effets ,  signes  qu'elle  fournit  dans  les 
maladies  ,  LU.  58o. 

STEKNUTATOIRE  ;  considérations  générales  sur  les  effets 
et  l'emploi  des  médicamcns  sternutatoires ,  LU.  585. 

STERTOREUX;  LU.  586. 

STETHOSCOPE  ;  considérations  gén*iales  et  historiques  sur 
cet  instrument,  la  manière  de  s'en  servir  et  son  utilité, 
LU.  586. 

STHENIE;  LU.  Soo. 

STHENlQUEj  LU.  Sqo. 

STiBlÉ  ;  LUI.  1.  —  Tartre  stibié  ,  ibid. 

STIMULANT;  considérations  générales  sur  la  propriété  sti- 
mulante, les  corps  qui  la  possèdent,  leur  action  sur  l'éco- 
nomie animale,  et  leur  emploi  en  thérapeulique,  LUI.  1. 

STIMULUS  ;  considérations  générales  sur  le  stimulus,  les 
agcns  externes  et  internes  qui  le  niellent  en  jeu  ,  et  ses  dii- 
fcrences  d'avec  le  stimulant ,  LUI.  2. 

STOECHAS5  propriétés  de  celle  plante  ,  LIÏL  5. 

STOÏCISME  ;  considérations  générales  sur  le  stoïcisme  dans 
les  maladies,  et  sur  les  préceptes  à  observer  pour  y  parve- 
nir, LUI.  5. 

STOMACACE  ;  définition  ,  description  ,  LUI.  18. 

STOMACAL;  LUI.  18. 

STO^IACHIQUE;  LUI.  18.  —Des  substances  stomachiques, 
et  de  leur  emploi  en  général ,  LUI.  20. 

STOMALGIE;  LUI.  22. 

&TOMATIQUE;  LUI.  22. 

STORAX;  description  ,  prcpriétcs  et  usages  des  plantes  qui 
fournissent  celle  substance  ,  LUI.  22. 


774  TABLE 

Différentes   espèces   de   storax  des    officines,    LUI.  24.  ^ 

Storax  en  larmes,  Ibid.  — Storax  en  pain,  ibid. 
Ses  propriétés  et  usages  en  médecine,  LUI.  a5. 
Sophistications  qu'on  Jui  t'ait  éprouver,  LIIL  26. 
STRABISME;  ses  causes  ,  LUI.  27.  —  Moyens  de  le  pre'venir 

chez  les  enlans,  III.  86. 
STRAMOINE;    description,   propriétés    et   usages  de   cette 
piaille,  LUI.  2B. 
Ses  effets  déiéières  sur  l'économie,  LUI.  2<j.  —  Son  emploi 

en  médecine  ,  LUI.  5i. 
Extrait  de  stramoine,  LUI.  32. 
STRANGULATION;    cousidérations    pathologiques   sur   la 
strangulation  ,  LUI.  35. 

Ses  causes,  LUI.  S6.  —  Passions,  névroses  ,  inflammation, 
abcès,  ibid,  —  Goitre,  ibid. — Angine  polvpeuse  , croup, 
LIIL  37. —  Angine,  cynauchie,  ibid.  —  Hydophobie, 
télanoà  ,  hyjjocoiidrie  ,  LUI.  38. 
Dangrrs  qu'elle  cnliainc,  ibid. 
Conditions  nécessaires  à  sa  production,  LUI.  Sg. 
Strangulation  considérée  sous  le  rapport  de  la  médecine  lé- 
gale,  ibid. 
Examen  de  ces  questions  :  Un  homme  trouvé  pendu,  l'a-t-il 
été  duraiit  sa  vie,  «^u  après  d'autres  excès  qui  lui  avi'ient 
déjà  donné  la  mort?  L'éiranglemf  ut  a-t-il  été  l'eilnt  im- 
médiat et  unique  de  la  suspension,  ou  avait-il  dcjà  pré- 
cédé celle  ci  ?   Le    sujd   s'estil  étranglé   lui-mcaie  ,  ou 
l'a-l-il  été  par  d'autres?  LUI  4"' 
Suspension  pendant  la  vie  ou  sprès  la  mort  ,  LUI.  !\2. 
Etranglement  par  suicide  ou  par  violence  ,  ibid. 
Secours  à  donner  aux  prndus  cl  étranglés,  LUI.  44* 
STR\NGLRiE;  causes,  Ul.  173.  LIU  40. 
STRASBOURG  (  eaux  minérales  de)  ;  LUI.  47. 
STRIÉ;  LUI.  47    —  Corps   striés  du  cerveau,  ibid. 
STRONGLE;  LUI.  48. 

STROiNTlANE  ;  moyens  d'obtenir  cet  alcali  à  l'étal  de  pu- 
reté,  LUI.  48.  —  Ses  propriétés  physiques  et  chimiques, 
LUI.  49. 
STRONTIUM;  caractères  de  ce  métal ,  LUI.  5o.  —  Procédé 
pour  l'obtenir,  ibid.  —  Ses  propriétés  chimiques,  ibid.  — 
Ses  usages  ,  LUI.  5i. 
STRUCTURE;  LUI.  5i. 
STRUME:  LUI.  5i. 
STRUMOSITÉ;  LUI.  5i. 
STR1CHNATE;LIIL  5i. 
STRYCHNINE;  XXXVl.  174.  XLV.  175.  LUI.  52. 


DES  MATIERES.  775 

STRICnNIOUE;caiacièresdccct  acide,  XLV.  161.  LUI.  Sa. 

SïLU'KFACTlF;  Llij.  52. 

STUPÉFACTION;  LUI.  52. 

STUPEFIAIST;  LUI.  52.  —  Considéralions  générales,  LUI. 

53. 

Action  que  les  plantes  stupéfiâmes  exercent  sur  l'économie 
animule  .  LUI.  60. 

Ces  platii's   conside'rées  comme  moyens   thérapeutiques  , 
LUI.  65. 

Différence  d'action  entre  elles  et  l'opium  ,  ibid. 
STUPIÎUK  ;  définition,  LUI.  55.  — Description,  LUI.  68. 

Maladies  dans  lesquelles  la  stupeur  survient,  îi&/^. —  Moyens 
de  la  conibatue,  ibid, 
STUPIDF;.LIIi.G8. 
SlUl^lDlTE;  considérations  générales  sur  la  stupidité ,  "ses 

causes,  et  !<-    phénomènes  qu'elle  présente,  LUI.  68. — Trai- 
tement ,  LUI.  -I. 
STYLET:  LUI.  71. 
STYLIDIEES  ;  description,  proprie'lés  et  usages  des  plantes 

de  crite  famille,  LUI.  72. 
STYLO  CËRATO-HYOIDIEN  3  LUI.  72. 

STYLO-CtRAT'tÏDlI  N  ,  ibid. 

.«TYi.o  GLossE ,  ibid. 

STYLO-HYOÏDIEN  ,  LUI.  73. 

STYLoiDE  ,  ibid. 

STYLo-MASToïDiEN ,  ihid. —  Trou  stylo-raasto'idien,  ibid.  —= 
Artère  stylo -mastoïdienne  ,  ibid. 

STYLO-MAXILLAIRE,  ibid. 
STYLO    PHARYNGIEN  .  LUI.  ']^. 

STYMATOsE;  LUI.  74. 

STYl'TTQUE;  considérations  géne'rales  sur  les  propriéte's  des 

substances  styptiques  ,  leurs  efléts  sur  l'économie  animule, 

et  leur  emploi  en  ntédecine,  LUI.  74. 
STYPtAX;  classification  ,  description  ,  propriétés  et  usages  des 

plantes  qui  fournissent  cette  substance,  LUI,  76. 
SUAVE;  LUI.  77. 
SUBERj  LUL  -7. 
SUBERATE;  LUI.  78. 
SUBERINE,  XIV.  ib6.  LUI.  78. 

SUBEKIQUE;  caractères  de  cet  acide,  XIV.  166.  LUI.  78. 
SUBETH;  considérations  générales  sur  cette  maladie,  LUI. 

78.  —  Sa  description,  LUI.  78.  —  Sa  marche,  sa  durée,  sa 

terminaison  ,  ibid.  —  Sou  traitement ,  LUI.  80. 
SUBGKONDATION-,  LUI.  80. 
SUBINTRANT  ;  définition  de  la  fièvre  de  ce  nom,  LUI,  St. 

—  Sa  descripiiou  ,  LUI.  82. 


--jG  TABLE 

SUBLIMATION;  description,  but  et  usages  de  cette  ope'ra* 

tioii  ,  Llll.  82. 
SUBLIME 5  description,  connexions  et  usages  du  muscle fle'- 
chisseur  sublime,  Llll.  83. 
Ptespiration  sublime,  Llll.  86. 
SUBLIMÉ:  Llll.  87.  — Sublimé  corrosif,  ibid.  —Sublimé 

doux,    ibid. 
SUBLINGUAL;  Llll.  87. 
Artère  sublinguale,  LUI.  88. 
Glande  sublinguale,  ibid. 
SUBMENTAL;  Llll.  89. 

Artère  et  veitie  subnientales,  ibid. 
SUBMERSION  ;   XXXVl.  393.  —  De  la  submersion  con- 
sidérée comme  moyen  de  thérapeutique,  LUI.  89. 
Considérations  générales  sur  ses  effets,  II.  373.  LUI.  89;  — •> 
sur  son  mode  d'emploi  et  sur  les  maladies  qui  ont  été 
traitées  par  ce  moj'e/i  ,  Lill.  89.  ' 

Disputes  sur  la  cause  de  la  mort  des  noyés,  II.  372.  —  L'eati 
pénètre  effectivement  dans  leurs  poumons,  mais  non  en 
assez  grande  quantité  pour  causer  la  mort ,  11.  375. 
Les  noyés  périssent  par  privation  d'air,  ibid.  —  Résultats 

des  autopsies  cadavériques  ,  ibid 
Secours  à  administrer,  IL  74-  —  Danger  des  fortes  secousses, 

ibid.  —  Effets  de  la  suspension  par  les  pieds  ,  ibid. 
La  petite  quantité  d'eau  qui  s'introduit  dans  les  bronches 

ne  nuit  pas  à  îa  réussite  de  l'insufflation  ,  III.  3o3. 
Procédé  de  Légal  lois  pour  l'insufflation,  ibid.  — Procédé  de 

Cliaussier ,  ibid. 
Précautions  à  prendre  avant  cette  opération,  II.  376. 
SUBSTANCE;  LUI.  92. 
SUBSTITUTION;  considérations  générales  sur  la  substitution 

desmcdicamens,  LIII.92. 
SUBVERSION;  LUI.  9I 

SUC;  Lill.  93.  —  Suc  gastrique,  ibid. —  Suc  pancréatique, 
iind.  — Suc  osseux  ,  ibid. 

Gousidérationsgénéra'-  s  sur  les  sucs  des  plantés,  et  les  moye»s 
employés  pour  leurs  prép.irations,  ihid. 
SUCCEDANE  ;  considérations  générales  sur  les  succédanés 
et  leur  emploi  en  médecine,  LUI.  98. 
Précautions  à  prendre  daus  le  choix  de  ces  remèdes,  LUI. 

99- 
SUCCENTURIE;  Llll.  102. 

SUCCi>^  ;  LUI.  102.  Propriétés  physiques  et  chimiques  de  cette 

substance,  Llll.  io4. 

Acide  succinique,  Llll.  io5.  —  Sels  succiniques  ,  Llll.  106; 

—  Huile  de  succin  ,  ibid. 


DES  MATIERES.  77^ 

Usages  en  médecine  du  succin  et  de  ses  préparations,  LU  1. 1 07 . 

Auteurs  qui  en  ont  traite,  LUI.  log. 
SUCCINATE;  LUI.  iio. 
SUCCINIQUE  ;  caraclèrcs  physiques  et  chimiques  de  cet  acide 

XLV.  164.  LUI.  iio. 
SUCCION  j  considérations  générales  sur   l'emploi  thérapeu- 
tique de  Ja  succion  ,  LUI.  m. 
Succion  dans  les  morsures  d'animaux  venimeux  ,  LUI.  1 12.  — 

Succion  du  pus  dans  l'Iiypopyon  ,  LUI.  ii3. 
Succion  dans  les  plaies  de  poitrine ,  LUI.  1  i3.  —  Succion  de 

la  mamelle  des  nouveau  -  nés  asphyxiés,  LUI.  11 5.  —  Suc- 
cion par  le  moyen  des  ventouses,  ihi^^. 

Obstacles  qui  s'opposent  quelquefois  à  la  succion,  et  incon- 
vénicns  qui  résultent  de  l'habitude  de  cette  même  suc- 
cion, LUI.  1 16. 

Succion  du  doigt,  LUI.  318. 
SUCCUBE;  défmition,  LUI.  118. 
SUCCULENT;  LUI.  119. 
SUCCUSSION;  considérations  générales  et  historiques  sur  la 

succussion  de  la  poitrine,  et  procédé  qu'on  emploie  à  cet 

effet,  LUI.  119. 
SUSCEPTIBILITÉ;  LUI.  121. 
SUÇON;  LUI.  122. 
SUCllEj  plantes  qui  fournissent  cette  substance,  XLV.  170. 

LUI.  120. 

Division ,  ibid. 

Description  de  la  plante  qui  le  fournit.  Le  sucre  de  canne 
son  mode  d'extraction  et  de  raffinage,  ibid. 

Propriétés  chimiques  et  physiques  du  sucre,  LUI.  i33. 
Sucre  de  betterave,  V.  275.  LUI.  i34.  — Il  est  le  même  que 

celui  de  canne,  I.  58o. 
Sucre  de  raisin,  LUI.  i35,  —  Sucre  de  miel ,  LUI.  i5G. 
Sucre  de  châtaigne,  ibid,  —  II  est  le  même  que  celui  de  la 

canne,  I.  552. 
Sucre  de  chervi,   V.  27.  —Sucre  de  sorgho,  LUI.  i36. — 

Sucre  de  sève  de  noyer,  ibid.  —  Sacre  d'érable,  Ll.  246. 

LUI.  137.  — Sucre  de  cliampignon  ,  ibid.  —  Mannile,  ibid. 

—  Sucre  d'amidon,  f'/j/zi.  —  Sucre  du  diabète,  LUI.  i38. 

—  Sucre  des  fruits,  ibid. 

Sucre  candi,  ibid.  —  Sucre  orangé  purgatif,  LUI.   i5g.  — 

Sucre  d'orge,  ibid.  — Sucre  rosat  ,  ibid. 
Sucre yeim^iii^c ,  ibid. 

Sucre  de  lait,  XLV.  loo.  LUI.  i58.  —  En  quoi  il  diffère  du 
sucre  végétal,  1.  340. 

Usages   du  sucre,  LUI.  i4o.  —  Usages  diététiques,  LUI. 
142.  —  Il  est  échauffant ,  I.  584-  —  L'eau  sucrée  favorii.c 
TABI.E    l.  <j~ 


.j^8  TABLE 

les  digestions  pénibles ,  ibid.  —  Le  sucre  hvMê  est  encore 
plus  ecliauffant ,  ibid. 

Usages  pharmaceutiques,  LUI.  146.  — Usages  médicinaux, 
LUI.  148. 
Sucre  de  bismuth ,  LUI.  i  "J-S.  —  Sucre  de  plomb ,  ihid.  — Sucre 

rouge,  ibid. 
SUDORIFIQUE  j  considérations  générales  sur  l'emploi  des 

sudorifiques  dans  le  traitement  de  la  maladie  vénérienne, 

LUI.  154. 

Divers  sudorifiques  connus,  LUI.  i55. 

Manière  d'employer  les  bois  sudorifiques,  LUI.  iS-j.  — 
Macération,  infusion,  ibid.  —  Dccoclion  ,  ibid.  — Ex- 
tlait ,  LUI.  iSg.  —  Rob  ,  sirop,  ibid.  —  Vin,  LIU. 
167. — Eiecluaire  ,  ibid.  —Poudre,  ibid. 

Manière  d'administrer  les  sudorifiques ,  et  régime  hygiéni- 
que qu'il  est  nécessaire  d'observer,  LUI.  i63. 

Substances  C[ui  peuvent  les  remplacer  dans  le  traitement 
de  la  syphilis,  Lin.  i6q. 

Mézéréon ,  ibid.  —  Cardinale  bleue,  ihid.  — Astragaliis 
exscapsus,  LUI.  170.  —Roseau  des  marais  ,  ibid.  —  Sa- 
ponaire, ibid.  —  Brou  de  noix,  ibid.  —  Extrait  de  per- 
sil,  z/'/û?.  —  Plantes  stupéfiantes  ,  LUI.  171. —  Tisane  de 
Vigarous,  LUI.  17a. — Ammoniaque,  LUI.  173. — An- 
timoine,   LUI.  174.  -—  Bains  chauds,  LUI.  179. 

Manière  d'agir  des  sudorifiques  ,  LUI.  180. 
SUETTE  ;  considérations  générales  et  historiques  sur  cette 

maladie  ,  LUI.  i85. 

Invasion  et  symptômes  de  la  suettc  des  Anglais,  LUI.  i8f^j 
—  sa  nature,  LUI.  18g;  —  sou  origine,  causes  de 
quelques  circonstances  qui  en  ont  accompagné  et  précédé 
l'invasion  en  Angleterre  ,  ihid. 

Résultats  des  observations  cadavériques,  LUI.  19 1. 

Traitement,  LUI.  igi. 

Histoire  de  la  suette  des  Picards,  LUI.  193. 

Comparaison  entre  elle  et  la  suette  des  Anglais  ,  ibid. 

A-uleurs  qui  en  ont  traité,  LUI.  199. 
SUEUR 5  considérations  générales  sur  la  sueur,  sa  composi- 
tion, ses  propriétés,  les  différences  qu'elle  présente,  le  dan- 
ger de  sa  suppression  ou  de  sa  sécrétion  excessive  ;  des  sueurs 

critiques,  des  sueurs  provoquées,  liUl.  200. 

Auteurs  qui  en  ont  traité,  XXII.  zjg.  LUI.  204. 
Sueur  de  sang,  ibid. 
SUFFOCANT:  LUI.  20G. 
SUFFOCATION  j  phénomènes  qui  ont  iicu  pendant  la  suf 

focalion ,  LUI.  200. 


DES  MATIERES.  7?0 

Différences  qu'elle  pre'sente  dans  ses  effets,  suivant  qu'elle 

est  lente  ou  instantanée,  II.  5'ji. 
Causes  qui  la  produisent,  II.  371. 
Inertie  respiratoire,  LUI.  2o5.  —  Langue  retourne'c  ,  LUI. 

207. 
Inertie  volontaire  d«.s  organes  qui  servent  à  l'introduction 

de  l'air  ,  ibid. 
Dlaladies  dans  lesquelles  on  observe  la  suffocation,  LUI. 
208. 
Su/focalioji  de  la  matrice,  ibid. 

SUFFUSION  ;  acceptions  diverses  de  ce  terme  ,  LUI.  209. 
SUG1LLA.T10N  ;  considérations  médico-légales  sur  les  sugil- 
lations  des  cadavres,  et  les  différences  qu'elles  présentent 
d'avec  celles  qui  auraient  été  faites  avant  la  mort,  LIIF 
20C). 
SUICIDE  j  considérations  générales  sur  le  suicide  ,  ses  causes 
et  les  opinions  de  divers  peuples  sur  cette  action,  LUI. 
ai5.  XXXIV.  3'^8. 
Suicide  provoqué  par  les  passions,  LUI.  ai6j  —  par  la  dou- 
leur physique,  LUI.  219;  —  par  les  affections  mentales  , 
LUI.  220  ;  —  par  l'ennuiou  le  dégoût  de  la  vie  j  LUI.  226. 
parle  découragement,  LUI.  229. 
Suicide  précédé  d'homicide,  LUI.  282. 
Suicide  supposé,  LUI.  241. 

Généralités  au  sujet  des  causes  qui  influent  sur  la  disposition 

au  suicide ,  ibid. 
Lais  répressives  du  suicide  ,  LUI.  278. 
SUIF;  LUI.  283. 
SUINT;  LUI.  283. 

SUINTEMENT;  définition,  LUI.  284. 

SUJET;  considérations  générales  sur  le  sujet  de  Thygiène , 
LU!.  284. 

De  l'homme  sain  considéré  individuellement  ou  comme  su- 
jet de  l'hygiène  privée,  LUI.  285. 
Dilïérences  inhérentes  à  l'existence  même  des  individus,  et 
dérivées  des  tempéramens  ,  ibii^  ;  —  des  âges  ,  LUI.  288  ; 
—  des  sexes  ,  LUI.  296. 
Dilïéreiicrs  imprimées  aux  individus  par  des  choses  dépen- 
dantes de  leur  volonté  ou  de  leur  choix ,  ou  par  des  cir- 
constances dont  la  cause  est  hors  d'eux  ,  LUI.  3oi. 
Différences  que  l'homme  présente  daus  sa  constitution  eu 

raison  de  ses  habitudes  ,  ibid. 
Différences  que  mettent  entre  les  hommes  les  professions 

aiix(juelles  ils  consacrent  leur  vie,  LUI.  5o/j. 
Principes  généraux  d'analyse  pour  exécuter  les  monogra- 
phies médicales  des  proiessioua ,  ibid> 


780  TABLE 

Classifîcalion  méthodique  des  influences  qui  entrent  dans 

l'analyse  médicale  des  diverses  professions,  LUI.  3o6. 
Professions  dans  lesquelles  l'homme  vit,  exposé  aux  différen- 
tes influences  atmosphériques,  ibid.  ; — dans  un  air  libre  et 
renouvelé,  r6/<i.  ; — changement  de  lieux,  d'air  ,  de  climat, 
de  température,z6i(i.  ;  —  dans  un  air  renfermé,  renouvelé 
difficilement,  ibid.  ;  —  dans  un  air  altéré  par  des  émana- 
lions,  l'teV/.  ; — dans  un  air  très-chauffé  et  altéré  par  l'action 
du  feu  ,  LUI.  307  ;  — ■  par  les  poussières  élevées  dans  l'air , 
LUI.   5o8  ;  —  par  la   pression  atmosphérique  ,  pression 
générale  augmentée,  ibid.; —  par  la  pression  particulière 
de  l'air  retenu  dans  les  poumons,  ibid. 
Professions  dans  lesquelles  l'homme  est  exposé  à  l'action  de 
divers   corps  sur  l'organe  de  la   peau,  ibid.  —  Le  corps 
environné  d'Jiumidité  en  tout  ou  en  partie,  ibid.  —  Le 
corps  couvert  de  substances  pulvérulentes  ,  ibid. 
Matières  qui  altèrent  ou  qui  pénètrent  le  tissu  cutané,  ibid. 
—  Corps  qui  agissent  mécaniquement  sur  la  peau,  ibid. 
Professions  qui  nécessitent  différens  genres  de  mouvemens  , 
d'exercices  ou  de  situations  du  corps,  LIIL  Sog.  —  Exer- 
cices généraux  de  tout  le  corps,  ibid.  —  Exercices  avec 
locomotion  et  changement  de  lieu  ,  mouvement  propre 
ou  mouvement  communiqué,  ibid.  —  Exercices  particu- 
liers des  membres  ihoraciques,  ibid. 
Exercices  particuliers  des  membres  abdominaux  ,  LUI.  3io. 

~  Stalion  ,  ibid.  —  Occupations  sédentaires  ,  ibid. 
Exercices  des  organes  de  la  voix  et  de  la  parole,  ibid. 
Sommeil ,  veille,   privation  de  sommeil  ,  échange  du  som- 
meil de  la  nuit  au  jour,  situation  pendant  le  sommeil , 
ibid. 
Professions  dans  lesquelles  les  organes  des  sens  sont  spécia- 
lement intéresses ,  ibid. 
Organe  de  la  vue  avec  lumière  intense ,  avec  lumière  et  cha- 
leur, avec  direction  fixe  sur  l'objet,  l'œil  aidé  ou  non  de 
verres  et  d'instrumens  d'optique,  ibid. 
Organes  de  l'ouie  ,  Lill.  5i  i.  —  Oiganes  de  l'odorat,  ibid. 
Organes  du  goût ,  ibid.  —  Organes  du  tact ,  ihid.  —  Or- 
ganes de  l'amour  sensuel,  ibid. 
Professions  qui  exercent  les  fatuités  intellectuelles,  ibid. — 
Efforts  de  mémoire,  ibid.  —  Efforts  d'abstraction,  ibid. 
— Efforts  d'imagination  ,  ibid. 
Professions  qui  intéressent  les  passions  et  les  affections  de 

l'ame ,  LUI.  3i2. 
Dilféreuces  que  mettent  entre  les  liommes  les  différentes  cir- 
constances dans  lesquelles  ils  se  trouvent  placés  durant  le 
cours  de  leur  vie,  ibid. 


DES  MATIERES.  7»! 

Voyages,  ibid.  — Saiilé,  LUI.  3i3. —  Fortune,  ibùl. —  Si- 
tuation politique,  ibid.  —  Liberté,  ibid.  —  Genre  de 
vie,  LUI.  3 14.  —  Affections  de  l'ame,  ibid. 

De  riiomme  considéré  colleclivenient  ou  en  société  ,  et 
comme  sujet  d'hygiène  publique,  ibid. 

Règles  de  l'hygiène,  LUI.  3i6.  —  Règles  universelles,  LUI. 

Mesure  de  la  niatièie,  ibid.  ;  —  dans  l'alinnentation  ,  LUI. 
3i8.  —  Besoin,  ibid.  —  Plaisir,  LUI.  320.  —  Dans  les 
jouissances  de  l'amour,  LUI.  522.  —  Souffrance,  LUI. 
3?.3. 

Règles  générales  d'hygiène  relatives  à  la  mesure,  LUI.  SaS. 

De  la  manière,  LUI.  327;  —  dans  l'emploi  des  choses, 
ibid.  ;  —  dans  l'emploi  des  organes  ,  LUI.  328. 

Règles  générales  d'hygiène  dans  la  manière,  LUI.  35i. 

De  l'ordre,  ibid.  ;  —  dans  le  régime,  ibid. 

R^èglcs  générales  d'hygiène  relatives  à  l'ordre,  LUI.  356. 

De  la  durée  ,  LUI.  337  ;  —  dans  le  régime,  ibid.;  —  dans 
les  perceptions,  LUI.  54o;  —  dans  les  fonctions  de  l'iii- 
tellect,  LUI.  34i; —  dans  les  autres  fonctions  de  l'éco- 
nomie, ibid. 

Règles  universelles  relatives  à  la  durée  dans  l'usage  des 
choses  du  régime  ,  LUI.  348. 

Règles  générales  du  régime  fondées  sur  la  nature  des  hommes 
et  sur  leurs  rapports  généraux  avec  les  choses  de  l'hy- 
giène, LUI.  35i. 

De  la  force  et  de  ses  caractères  ,  LUI.  552.  —  De  l'existence 
d'une  force  qui  maintient  ou  rétablit  la  santé  ,  ibid.  — Des 
effets  sensibles  de  cette  force,  et  de  la  mesure  de  son  effi- 
cacité, LUI.  355.  — Des  élémens  de  celte  force,  LUI.  355. 

—  Des  proportions  entre  les  élémens  de  cette  force  et  des 
variétés  qui  résultent  de  ces  proportions  ,  LUI.  356. 

De  l'évaluation  des  forces  par  leur  comparaison  avec  les 
résistances  qu'elles  surmontent,  ou  avec  les  influences  aux- 
quelles elles  résistent,  LUI.  36i. 

Des  mesures  de  la  force  considérée  dans  divers  individus 
soumis  h  une  même  influence,  ibid.  —  Des  mesures  de  la 
force  prise  dans  son  développement  habituel,  LUI.  364- 

—  Mesures  de  la  force  organique  prise  du  caractère  de 
la  résistance  qu'elle  oppose  aux  différentes  influences  dont 
elle  doit  supporter  l'effort,  LUI.  568. 

Règles  générales  du  régime  fondées  sur  la  mesure-de  la  force 

des  diffcrens  individus,  LUI.  371. 
Règles  générales  du  régime  fondées  sur  la  nature  des  choses 

considérées  dans  leurs  rapports  généraux  avec  riiomnie  et 

ses  besoins  LUI.  075. 


782  TABLE 

Des  choses  non  disponibles ,  Llïf.  ^jG.  — ~  Choses  appaile- 
teiiatil  h  un  ordre  constant  el  ne'cessaiie,  ibùJ.  —  Choses 
évcnlueiles,  mais  inévitables  ,  ihicL — Choses  dont  le  choix 
n'est  pas   libre ,  il>ùL  —  Choses  disponibles,   LUI.  3'J7. 

Règles  qcnoralos  de  l'usage  des  choses,  LIIL  38o. 
SUr.FATK;  LllL  382. 
Sulfates  d'alumine,  lAll.  584  »  —  d'alumine'  et  de  potasse  , 

ihid.  ;  —  d'ammoniaque,  ibid.  ;  —  d'antimoine,  ibid. -^  — 

d'argent  ,  ibid. 

De  baiyle,  ihi'd.  j  —  de  bismuth,  LUI.  385. 

De  thaux ,  ibid.;  —  de  ceiium,  ibid.;  —  de  cerium  et  de' 
potasse  ,  ibid.  ;  —  de  cobalt ,  ibid.  ;  —  de  cuivre  ,  ihid. 

Sous-sulfate  d'ammoniaque  et  de  cuivre,  ihid. 

De  potasse  et  de  cuivre,  ihid.  ;  —  d'étain,  LllL  386;  —  de 
for,  ihid.  j  —  de  glucine,  ihid.  ;  —  d'iridium,  ibid. 

"Da  magnésie  j  ibid.  ; — ammoniaco-raagncsien,  LUI.  387; 
—  de  potasse  et  de  magnésie,  ibid.  ;  —  de  soude  et  de 
magnésie,  ibid. 

De  manganèse,  ihid.  ;  —  de  mercure,  LIIL  388. 

De  nickel  , /7^7^.  j  —  de  nickel  ammoniacal,  ihid.;  —  de 
nickel  el  de  potasse,  ibid.  ;  —  de  nickel  et  de  fer,  ibid. 

D'or  ,  ihid.  ;  —  d'osmium  ,  ihid. 

De  palladium  ,  ibid.  ;  —  de  platine,  ibid.  ;  —  de  potasse  et 
de  platine,  z'/^ù^.  ;  —  de  soude  et  de  platine,  ihid.;  — ■ 
d'amnioniatjueel  de  platine  ,  LIIL  389;  —de  baryte  et  de 
platine,  ibid,;  —  d'alumine  et  de  potasse,  ibid.;  —  de 
plomb,  ibid.;  —  de  potasse,  ibid.;  —  d'ammoniaque  et 
de  potasse  ,  ibid. 

De  rhodium ,  ibid. 

De  silicium,  ihid.  ;  —  de  soude  ,  ibid.  ;  —  d'ammoniaque  cl 
de  soude  ,  LUI.  3f)0;  — de  slronliane  ,  ihid. 

De  tellure  ,  ibid.  ;  —  de  titane,  ihid.  ;  —  de  tungstène,  ihid, 

D'urane,  ihid. 

De  zinc,  ibid.  ;  —  de  zircoue,  LUI.  Sgi. 

D'ytiria  ,  ibid.  ;  —  de  quinine  ,  ibid. 
SULFITE;  LIIL  391. 
Sidfiles  sulfurés,  définition,  LUI.  392. 
SULFURE;  LIIL  592. 
Sulfures  à  base  non  métallique,  ibid.  —  Sulfure  d'hydrogène^ 

ibid. —  Sulfure  de  carbone  ,  LUI.  393.  —  Sulfure  de  phos- 
phore, ibid.  —  Sulfure  d'ammonia([ue  ,  ibid. 
Sulfures  à  base  métallique,  ibid.  —  Sulfure  d'arsenic,  LUI. 

5j4-  —  Sulfure  d'antimoine  ,  LUI.  395.  —  Sulfure  de  mer- 
cure, ibid. 
Sulfures  oxydes ,  LUL  SgG.  —  Sulfure  de  potasse,  ihid.  — 


DES  MATIERES.  ';K\ 

Sulfure  de  sonde,  1.111.  4'^'^'  —  Sulfure  de.  chaux  ,  ibid.  — 

Siilfiuo  de  (itagne'sîe  ,  Elil.  ^\o2. 
SUIjKURELiX  j  principales  taux  luincralos  sulfureuses  ,  LUI, 

ihid. 

Leurs  propriéte's  physiques  ,  LUI.  /^o^.  —  fiOurs  propriétés 
chimiques,  ibîd. —  Leurs  piopriélcs  incdicinaiw,i/>iV/. — ■ 
Leur  uîode  d'adniinislralion  ,  LUI.  /jo^. 

Eaux  minérales  sulfureuses  artificielles,  LUI.  406- 
siiLFiiP.EUx  ,  effets  de  cet  acide  sur  la  respiialion  ,  IL  SB^. 
SULFUllIQUE  ;  manière  de  faire  col  acide  de  toutes  pièces, 

I.  I  3G.  —  Ses  propriétés ,  I.  x'i'j. 

On  l'a  conseillé  dans  îes»  fièvres  adynaniiques ,  d.uis  les 
alaxiques  et  dans  le  scorbut,  l'ù/d.  j  —  dans  les  catarrhes 
chroniques  et  dans  les  hémorragies  passives ,  ibid.; — dans 
les  affections  cutanées,  ihid. 

Cas  où  il  nuit ,  ibid. 

On  l'emploie  aussi  comme  caustique  ,  ihid. 
SUMAC  j  description  ,  propiiélés  et  usages  des  plantes  do  ce 

genre  ,  LUI.  409*  — Leur  emploi  dans  la  hernie  inguinale, 

III.  3(i3. 
Sumac  des  corroyeurs ,  LUI.  4<>0-  —  Sumac  vénéneux,  LlIL 

4 10.  —  Sumac  fustet ,  LUI.  l\i'i. 
SUPERBE;  LUI.  414. 
SUPERFËTATîOiN  ;  considérations  générales  et  tnédico-lé- 

gaUs  sur  la  superfétation  ;   questions    qui   s'y  rattachent, 

ihid. 

Cas  de  superfétation  ,  IV.  181. 

Auteurs  qui  en  ont  traité  ,  LUI.  ^\ii.       • 
SUPERFICIEL;  LUI.  42s. 
'  SUPERPURGATION  ;  considérations  générales  sur  l'emploi 

excessif  des  purgatifs  ,  les  désordres  qu'ils  ])roduisent, et  les 

moyerïs  d'y  remédier,  LUI.  ^11. 
SUPERSTITION  ;  considérations  générales  sur  la  supersti- 
tion en  médecine,  LUI.  ^i.^. 

Utilité  des  superstitions ,  LUI.  /i'?.^).  —  Inconvéniens  el  dan 
gers  des  pratitjues  superstitieuses  dans  la  pratique  de  la 
médecine,  LUI.  433. 
SUPINATEUR  :  description  ,  connexions  el  usages  du  muscle 

graiid-supinateur  ,  LUI.  ^\i  ;  —  du  muscle  pctit-supinateur, 

ibid. 
SUPINATION;  LUI.  44?..  —Supination  de  la  nvAin  ,  ibid. 

—  Supination   du  corps  considérée  comme  signe  dans  les 

maladies,  î/;/c/. 
SUPPLICIE;  considérations  générales  sur  les  expériences  faites 

sur  des  condamnés  it  être  suppliciés,  LUI.  443. 


7^4  TABLE 

SUl^POSITION  DE  PART  ;  considérations  générales  et  mé- 
dico-iéçales  sur  la  supposition  de  part,  les  circonstances 
dont  elle  peut  s'accompagner,  etles  moyens  de  la  reconnaître, 

LUI.  44/,. 

SUPPOSirOIRE;  considérations  générales  sur  l'emploi  des 

suppositoires,  LUI.  449 
SUPPRESSION  ;  LUI.  452.  — -  Suppression  de  part,  XXIV. 

i/\S.  —  Lois  relatives  à  ce  crime,  LUI.  452. 

PLCclierches  du  crime  de  suppression  de  part  j  manière  d'y 
procéder^  signes  auxquels  on  peut  le  reconnaître,  LUI. 
454. 

Signes  provenant  de  la  mère,  ihid.  —  Signes  provenant  de 
i'enl'ant,  LUI.  457. 

L'extrême  sévérité  des  peines  afflictives  ne  peut  pas  être 
considérée  comme  un  moyen  convenable  pour  le  ré- 
primer, IL   496.  —  Meilleur  moyen    de    le  prévenir, 

.     11.499- 
SUPPURANT  ;  LUI.  459. 

SUPPURATIF  ;  considérations  générales  sur  l'emploi  dès  sup- 
puralifs  ,  LUI.  459. 

SUPPURATION  ;  LUI.  460. 

SURAL;  LUI.  4G0. 

SURCILIER;  LUI.  460. 

SURCOMPOSITIONj  pourquoi  celte  expression  ,  employée 
par  les  chimistes  ,  est  inexacte,  1.  i6g. 

SURCOSTAL  j  description,  connexions,  nombre  et  usages  des 
muscles  suicoslaux,  Llil.4^oj  —  des  muscles  sous-costaux, 
LUI.  461. 

SUR- DEMI -ORBICUL AIRE;  LUI.  461. 

SURDENT;  LUI. 461. 

SURDITE;  considérations  générales  sur  la  surdité,  son  dé- 
veloppement, et  les  phénomènes  qu'elle  présente,  XXXVIU. 
57. —  Causes  immédiates  ,  LUI.  466.  —  Causes  prédispo- 
santes ,  ibid.  —  Causes  déterminantes,  ibid. 
Traitement  de  la  surdité  en  général ,  LUI.  4^7'  —  Perfora- 
tion de  i'éminence  mastoïdienne,  LUI.  475.  —  Perfora- 
tion de  la  membrane  du  tympan,  LUI.  478.  —  Médica- 
tion de  la  trompe  d'Eustache,  LUI.  488. 
Auteurs  qui  en  ont  traité,  LUI.  5o5. 

SUREAU;  description,  propriétés  et  usages  des  plantes  de  ce 
genre ,  LUI.  5ob. 

SURÉPINEUX;  LUI.  609.  —  Fosse  surépineuse,  ihid.  — 
Description,  connexions  et  usages  du  muscle  surépiueux, 
ibid. 

SURFACE;  LIIL  5 10. 

SUROXYGÉNÈSE;  LUI.  5 10, 


DES  MATîERES  -85 

SURPEAU;  LUI.  5io. 

SURRENAL;  LIIL  5io.  XLVII.  4i3.  —  IK^scrlpilon,  con- 
nexions et  usages  des  capsules  surrénales  ,  LIIL  5io. 
Pourquoi  l'usage  que  les  anciens  leur  attribuaient  est  illu- 
soire ,  IL  435. 
Description  des  artères  et  veines  surrénales,  IV.  43. 
SURVIE  ;    considérations  générales  et  médico  légales  sur  les 
diverses  quesiions  relatives  à  la  survie,  LUI.  4'  i. 
Novés  dans  un  accident  connnun  ,  LUI.  5 16.  —  Suffoqués, 

ibid. 
Morts  de  faim  ou  de  soif,  LIIL  517.  —  Morts  par  excès  de 
chaleur,  LIIL5i8.  —  Morts  par  excès  de  iVoid,  LUI. 
519.  —  Morts  dans  un  incendie,  LUI.  bio.  —  Lmpoison- 
nés  dans  un  repas,  ibid,  —  Morts  dans  un  combat,  ou  as- 
saillis par  des  brigands  ,  LUI.  57,i . 
SUS-ACROMIEN;  LUI.  522.  —Nerfs  sus-acromien,  ibld. 
sus-cARpiEN,  ibid.  —  Artère  sus-carpienne,  ilid. 
sus-cLAvicuLAiBE,  ibid.  —  Nerf  sus-claviculaire,  ibid. 

SUS-MAXlLLAIRE,  ihîd, 

sus  MAXiLLo-LABiAL  ,  ibid. — Description,  connexions  et  usages 
du   muscle   grand   sus  rnaxillo-labial ,  ibid.;  —  du  moyen  ■ 
sus-maxillo  labial ,    ibid.; —  du  petit  sus-niaxiilo-labial  , 
LUI.  57.5. 

sus  MAxiLLO  NASAL ,  description,  connexions  et  usages  de  et: 
muscle,  ibid. 

S■US-MÉTACAE^O-LATÉRI-P^ALA^'GtEN  ,  LIIL  524. 
SUS-MLTATARSIEN,  ///ij. 

SUS-MLTATARSO  L  ATÉrI-PHALANGIEN  ,  ibid. 
SUS-OPTI-SPIIÉNO  SCLÉROTICIEN  ,  ibid. 

sus-ORBiTAiRE,  LUI.  524-  — Trou  sus-orbilaire , //>/W. —  Ar- 
tère sus-orbiîaire,  ibid.  —  Nerf  sus- orbiU'i'e,  ibid. 
sus-ruBiEN,  ihid.  —  Artère  sus-pubienne  ,  ibid. 

SUS-PirclO  FÉMORAL  ,  IjIII.  57.5. 

sus-scAPULAiRE,  LUI  526.  —  Nerf  sus-scapu lairc  ,  ibid. 
sus-scAPULO-TRocHiTÉRiEN,  ibid.  — Pcùt  sus-scapulo- trocîji- 

téricn ,  ibid. 
SLSI'ENSION  par  le  cou,  LUI.  525,  —  par  la  lêle,  LUI. 

527;  — par   les  bias  ,  iLid.;  — par  les  pieds,  LUI.    SaS. 
Sn.<pensioji  des  molécules  d'un  solide  dans  un  fluide,  ibid. 
SUSPENSOIRE  ;  LUI.  52b.  —  Ligament  si.spensoire  du  foie, 

ihid.  —  Ligament  suspensoire  du  pénis,  (U'i  leslicules,  ibit/. 

Description  et  usages  du  bandage  appelé   suspensoire,   ras 
qui  en  nécessitent  l'emploi ,  ibid.  —  Il  est  indispensable 
au  cavalier,  V.  258. 
FUTURE;  IL  525.  III.  69.  60.  62.  XLUI.  49.  LUI.  529  — 

Quelle  est  celle  qu'on  a  appelée  sèche,  I.  192. 

T.\Sl.E     1.  Ç^i 


-86  TABLE 

SWIÉTENIE;  cl<^sciiplion,  propriétés  el  usages  des  plantes 

<ie  ce  (^eiire ,  LUI.  53o. 
SYCOMORE  ;  LUI.  55o. 
SYCOSE;  LIH.  53i. 
SYLVE^Ï;   description,  propriétés  et  usages  de  celte  plante, 

LHL53i 
SYiVlBLÉPHAROSE;  LUE  552. 
SYMB(;LOGïE  ;  LIiL  532. 
SYMETRIE;    considérations  générales  sur  la  symétrie  dans 

If  s  organes  des  animaux,  LIIL  532. 
.SYMETRIQUE;  LUI.  537. 
SYMPATHIE;  considérations  générales,  LUI.  537.  XXXL 

S'/ iftpallues  morilles,    LUI.  558.  —  Sympathies  physiques, 
LUI.  h 40. 
Caractères  des  sympathies,  ibid.  —  Leur  histoire  générale, 

LUI.  5  12. 
Considérations  générales  sur  les  sympathies  physiologiques, 
LUI.  55  I  ,  — sur  les  sympathies  pathologiques,  LUI.  552. 
Examen  des  sympathies  en  particulier,  LUI.  555. 

Sympathies  des  tissus,  ibid.;  —  des  nerfs  du  cerveau  et  des 
sens,  ibid,  ;  — ■  des  nerfs  optiques,  LUI.  556;  —  des  nerfs 
maxillaires  et  dentaires,  ibid.  ;  — ■  des  nerfs  pncumo-gastri- 
ques  ,  LUI.  557  ;  —  des  nerfs  diapliragmatiques  ,  ibid. 

Sympathies  du  nerf  trisplanchnique  et  du  centre  épigaslrique, 
ibid. 

Sympathies  de  la  moelle  épinière,  LUI.  558;  —  du  cerveau  et 
du  cervelet ,  LUI.  659. 

Sympathies  des  oigancs  des  sens ,  LUI,  56i.  ;  —  de  l'œil ,  ibid.  ; 
—  de  l'ouïe,  LUI.  502  ;  —  de  l'odorat,  ibid.  ;  —  du  goùl , 
ibid.  ;  —  du  toucher,  LUI.  563. 

Sympathies  des  tissus  osseux  et  fibreux  ,  ibid.  —  Sympathies 
des  muscles,  LUI.  564.  — Sympathies  de  la  peau  ,  LUI. 566. 

Sympathii-'S  des  vaisseaux  sanguins  et  du  cœur,  LUI.  569.  — 
Sympathies  des  vaisseaux  et  des  glandes  lymphatiques, 
LUI.  571.  —  Sympathies  du  système  glanduleux  ,  LUI.  575. 

Sympathies  des  reins,  LUI.  674  ;  —  d"  iole.,  LUI.  575  ;  — des 
organes  génitaux  et  de  l'utérus  ,  LUI.  576;  —  du  poumon  , 
LU!.  579. 

Sympathies  des  membranes  séreuses,  LUI.  58o.  —  Arachnoïde, 
ibid.  —  Plèvre,  ibid.  —  Péricarde,  LUi.  58i.  —  Péri- 
toine, ibid. 

Sympathies  des  membranes  muqueuses,  LUI.  582.  —  Mu- 
queuse de  l'oreille,  ibid.  —  Muqueuse  conjonctive,  ibid. 
Muqueuse  pituitaire,  LUi.  583. —  Muqueuse  de  l'arrière- 


DES  MATIERES.  787 

bouche  el  du  pharynx,  ibki.  —  Muqueuse  du  larynx,  de  la 
Irachee-artèie  et  des  bronches,  LUI.  584.  —  Muqueuse  gé- 
iiîlo-urinaire ,  ibid. 
Sympathies  du  tube  digestif,  LUI.  585  ;  —  du  gros  inlesîin  , 
ihid.  j  —  de  l'iulestiu  grêle  ,  ibid.  5  —  de  l'esloniac  ,  ibid. 
Résumé  ,  LUI.  5c)i. 
Analyse  de  la  sympathie,  LUI.  592.  — ■  Point  de  départ  de 

la  sympathie,   ibid.  —  Organe   qui   est  le   siège   de   la 

synipailiie  ,    LUI,   ogS.  —  Exercice   de   la   sympathie, 

nioycus  de   propagation   de   l'irradiation    synipalhique , 

ibid. 
Examen  de  quelques-uns  des  phénomènes  de  la  sympalliie  , 

LUI.  600. 
Théorie  de  quelques  sympathies,  LUI.  604. 
Maladies  sympathiques,  LlU.  606. 
Sympalhies  qui  se  manifestent  à  l'oc'casion  de  l'action  des 

médicamens  sur  les  organes  ,  effels  qu'oïi  en  peut  retirer 

dans  le  traitement  des  maladies,  LUÎ.  611. 
R.ésumé,  LUI.  618. 
Auteurs  qui  en  ont  traité,  LUI.  620. 
SYMPATHIQUE;   définition,   LUI.   621.  —  Nerfs  grand, 
moyen,  petit,  sympathiques,  LUI.  622. 
Poudre  sympathique,  i/jic/.  — Composition  de  cette  poudre, 

ibid.  ^ 

Auteurs  qui  en  ont  traité,  LUI.  624- 
SYMPHYSE;  Liy.  I. 

Diverses  espèces  d'articulations  que  les  anatomistes  ont  ad- 
mises ,  LUI.  ?. 
De  la  synarlhrose  en  particulier,  ibid.-,  —  dans  les   os  du 

crâne,  ibid.;  — dans  ceux  de  la  face,  LIV.  3;  — dans 

ceux  du  bassin,  L1V.4. 
Considéralions  générales  sur  les  articulations,    d'après  les 

vues  de  Desault  et  la  nouvelle  nomenclature  dcMM.Chaus- 

sier  et  Duméril,  LIV.  5. 
Noms  (]u'on  donne  aux  articulations,  ibid. 
Disposition  des  surfaces  articulaires  ,  LIV.  6.  — Cartilages 

qui  les  encroûtent,  LiV.  7.  —  Ligameus  qui  les  assujc- 

lissent,  LlV.  8. 
Synovie  et  glandes  synoviales  ,  LIV.  10. 
Muscles  qui  entourent  les  articulations  ,  LÎV.  11. 
Vaisseaux  et  neifs  qui  les  avoisinent,  LIV.  12.  — Mouve- 

mens  qu'elles  exécutent,  ibid. 
Symphyses  du  bassin  ,  LIV.  i5.  — Symphyse  ou  articulation 
pubienne  ,  ibid.  —  Symphyse  des  os  pubis ,  ibid.  —  Sym- 
physes sacro-iliaquc«  ou  symphyses  postérieures  dubassiu, 
LIV.  18. 


•jiiS  TABLE 

Dispo>iuon  (Jcs  ns  du  bassin  pendant  la  giosseose,  oii'à  la  suite 
de  l'accouchcmeiil ,  LIV.  19. 

De  la  possibilité  de  récartemenl  des  os  du  bassin  dans  le 
travail  de  l'accouchement,  LIV.  24 

De  la  fréquence  de  cet  ecailcnieut ,  LIV.  25.  —  Du  de^ré 
d'e'carteineiit  que  peuvent  piésentcr  les  os  du  bassin  peti- 
dant  le  travail  de  raccoucliemenl,  LIV.  26.  —  Des  indi- 
vidus chez  lesquels  cet  écarlernetit  s'observe,  ibid.  —  De 
sa  nécessite  pour  l'accomplisscnienl  du  trav;iil  de  l'ac- 
couchement ,  LIV.  3o.  — Signes  qui  l'annoncent,  LIV.  32. 

Moj'cns  c'uatii's  des  accidens  causes  par  lui^  LIV.  34. 

Caractères  de  la  destruction  avec  suppuration  du  tîbro-car- 
lilage  ,  carie  des  symphyses  pubiennes  et  ilëo-sacrees , 
survenue  à  la  suite  de  l'accouchement ,  LIV.  3y.  —  Ob- 
servation, ibi'd. 

Résultais  des  autopsies  cadavériques,  LIV.  58. 

Disjonction  des  os  du  bassin  produite  par  une  cause  ex- 
terne, LIV.  39. 

Ecartement  spontané  des  os  iliaques,  LIV.  /^5. 

Ossification  des  sympl)yses  des  os  pubis,  LIV.  4^» 
SYMPHYSÉOTOMIE  ;  LIV.  49.  —Histoire  de  cette  opéra- 
tion, LIV.  5o.  —  Avantages   réels  qui  en  résultent,  LlV. 

52.  —  But  qu'on  se  propose  en  la  pratiquant ,  L  92. 

De  récarlenietit  qui  se  fait  après  la  division  des  os  pu  bis ,  et 
de  l'amplialion  que  cet  ëcurtemenl  procure  au  bassin  , 
LIV.  53. 

Cas  qui  nécessitent  l'opération  de  la  symphyséotomie , 
LIV.  60. 

Elle  est  exclusivement  indiquée  dans  l'enclavement  irréduc- 
tible de  la  tète  ,  L  90. 

Manière  tic  la  pratiquer  ,  LlV.  64. 

Accidens  qui  peuveiit  se  manifester  h  la  suite  de  cette  opé- 
ration ,  LIV.  69. 

Auteurs  ([ui  en  ont  traité,  LIV.  -72. 
SYMPTOMATIQUE;  LIV.  -5.  —  Médecine  symptomatique , 

ibid. 
SYMPTOMATOLOGIE;  LIV.  75. 
SYMPTOME;  IL  62.  LIV.  76.  —Symptômes  essentiels, LIV. 

'j'j.  —  Symptômes  accidentels,   ibid.  — Symptômes  com- 
muns, ibid.- —  Symptômes  vitaux  et  physiques,  IL  62. 

Durée  des  symptômes,  LTV.  78.  —  Leur  importance  en 
médecine  pratique,  LIV.  71.).  — En  quoi  ils  diffèrent  dos 
signes ,  ibid. 

Auteurs  qui  en  ont  traité,  LIV.  80. 
SYMPIOSE;  LIV.  81. 


DES  MATiEREv^  :«9 

SYNÂMIE;  IL  11 5.  LIV.  8i. 

SYNARTHllOSE;  II.  SaS.  LIV,  2.-81.  —  Sùlure,  ibid.  — 

Gomphose,  LIV.  8a.  — Symphyse,  ibid. 
SYNCHISE  ;  LIV.  82. 
SYIS  CHOIS' DROSE;  II.  325.  LIV.  82. 
SYNCHRONE 5  LIV.  82. 

SYNCOPAL5  LIV.  83.  —  Ficv.c  syncopale,  ibid. 
SYNCOPE;  definitiou ,  considérations  gënéiales  sur  la  syn- 
cope, sa  llicoiie,  ses  symptômes  et  ses  suites,  LIV.  8^. 
Examen  des  causes  qui   la  produisent  en  portant  leur   in- 

lluence  sur  le  cœur  et  sur  la  circulation  ,  LIV.  86. 
Plaies  du  cœur,   ibid.' —  Anévrisme,    ibid.  —  Végétations 
parasites  dans  les  cavités  du  cœur,  LIV.  87.  —  Calculs  , 
concrétions,  ibid. —  Epanchemens  dans  le  péricarde,  ibid. 

—  Inflammation  du  cœur  ou  du  péricarde,  ibid.  —  Pas- 
sions vives,  ibid,  —  Hémorragies,  saignée,  ibid.  —  Plé- 
thore ,  ibid. 

Causes  qui  la  provoquent  en  agissant  à  la  fois  sur  le  cœur 
et  sur  le  reste  de  l'organisation  ,  LIV.  88. 

Inanition  ou  déiaut  d'alimentation,  ibid.  — Evacuations 
excessives,  ibid.  —  Efforts  musculaires  violens  ou  pro- 
longés ,  ibid.  —  Impressions  générales  ou  locales  trop 
vives  ou  trop  soutenues ,  ifc/c?.  — Sensations,  LIV.  89. 

—  Maladies  ,  ibid. 
SYNCRAMENJNE;  LIV.  91. 
SYNCRETISME;  LIV.  91. 
SYNCRISE;  LIV.  91. 
SYNCRITIQUE;  LIV.  91. 
SYNDESMOGRAPHIE;  LIV.  91. 
SYNDESMOLOGIE,  LIV.  92. 
SYNDESMOSE  ;  II.  325.  LIV.  92. 
SYNDESMOTOMIE;  LIV.  92. 

SYNECHIE  ;  description,  symptômes,  diagnostic  et  traite- 
ment de  cette  affection  ,  LIV.  92. 

SYNERGIE;  définition,  LIV.  93. 

SYINESISIS;  LIV.  94. 

SYNEVROSE;  définition,  H.  SaS.  LIV.  94. 

SYNONYMIE;  considéialions  générales  sur  l'origine,  l'élude 
et  l'importance  de  la  synonymie,  LIV.  94. 

SYNOQUE;  LIV.  97. 

SYNOSTEOGRAPHIE  ;  LIV.  97. 

SYN OSTEOTOMIE  ;  LIV.  97. 

SYNOVIAL  ;  considérations  générales  sur  les  capsules  ou 
membranes  synoviales,  LIV.  98.  — Leur  position ,  leur 
configuration  et  leurs  rapports,  ibid. 


;9o  TABLE 

Membranes  ou  capsules  synoviales  articulaiies ,  ihid^  — 
Membranes  ou  capsules  synoviales  des  tendons,  LIV.  loo. 

Conclusions  de  ce  paragraphe  ,  LIV.  102. 

Structure  des  capsules  ou  membranes  synoviales,  ihîd. — 
Leurs  propriétés  et  fonctions,  LIV.  io3. 

De  la  synovie  et  de  sa  source,  LIV.  loq. 

Développement  ordinaire  des  capsules  ou  membranes  sy- 
noviales, ibld Leur   développement  accidentel,  LIV. 

io5. 

Tableau  de  celles  qu'on  observe   dans  l'homme  ,  LIV.  106. 

Membraues  ou  capsules  synoviales  arliculaiies ,  ibid. 

Membranes  ou  capsules  synoviales  des  tendons  de  la  tête  ,  du 
col  et  du  tronc,  LIV.  lO'jj  —  du  grand  oblique  de  l'œil , 
ibid.  ;  —  des  quatre  muscles  droits  de  l'œil ,  ihid.  ;  —  du 
masloïdo-geuien,  ibid.;  — du  zygomato-maxillaire  ,  ibid.  y 
—  du  sternoliyoïdien  ,  ibid.;  — du  pyterygo-staphylin, 
ibid.  ;  •—  du  costo-ciaviculaire,  ibid.;  —  du  diaphragme  , 
ibid. 

Capsules  des  tendons  du  voisinage  de  l'articulation  de 
rëpauie  ,  ibid.; — du  sous-acromio-humeral ,  ibid.;  — 
du  3ous-scapulo-trochinien,  LIV.  108  ;  —  de  l'articulation 
claviculo- coracoïdienne,  ibid.;  —  du  coraco-humcral  , 
ibid.  ;  —  du  costo-coracoïdien  ,  ibid.  ;  —  du  sterno-hu- 
meral ,  ibid.  -, —  desscapulo-huméral  et  lombo-humëra! , 
ibid.  ; —  du  sous-scapulaireii6/c/.  ;  — du  scapulo-huméral, 
ibid.  ;  —  de  la  longue  portion  du  scapulo-radial ,  ibid.  ; 
des  tendons  du  voisinage  de  l'articulation  du  coude,  ibid^ 

Capsule  scapulo-radiale,  ibid.;  —  commune  au  scapulo- 
radial  et  à  l'huméro  -  cubital ,  ibid.  ;  —  cubito-radiale  , 
LIV.  109-  — sus -olecranienne  ,  ibid.;  — du  scapulo- 
huméro-olc'cranien,  ibid.;  —  cubilo  radiale  ,  ibid.;  — 
de  l'épitrochlo-radial,  ibid. 

Capsules  synoviales  des  tendons  du  voisinage  des  articula- 
tions de  la  main  et  des  doigts  ,  ibid.  —  Annulaire  ante'- 
rieure  du  poignet  ou  commune  aux  llechisseurs  ,  ibid.  ;  — 
du  cubilo- phalangettien  du  pouce  ,  ibid.  ;  —  digitale  des 
fléchisseurs  ,  ibid.  ;  —  de  i'épitrochlo-mclacarpicn  ,  LIV. 
110;  —  du  cubilo-carpien ,  ibid.;  —  du  cubilo-sus-me- 
lacarpien,  ibid.;  —  du  cubito-sus-phalangien  du  pouce, 
ibld.  ;  — supérieure  commune  auxhuméroctcpicondylo- 
sus-métacarpicns,  ibid.;  — ■  inférieure  commune,  ibid.;  — 
particulière  à  l'imméro-  sus  -métacarpien  ,  ibid.  ;  —  par- 
ticulière à  l'épicondilo-sus-métacarpien  ,  ibid.;  —  du  cu- 
bilo -  sus  -  phalangettien  du  pouce,  ibid.;  — commune 
aux  tendûuî  de  rcpicondylo-sus-phalangcllieti  commun 


DES  MATIERES.  -qi 

el  h  celui  du  cubito-sus-phaiangellien   de   l'index,  ibicL- 

—  de  répicondylo-sus-pha!;nîgetlien  du  petit  doigl, 
LIV.  111  j  —  àix  cabiio -sus- métacarpien  ,  ztÊd.;  —  des 
palmi-pliaîangions  ,  ihid. 

Capsules  sytiovialcs  du  voisinage  de  l'aiticulalinn  coxo-fd- 
morale  ,  ihid.  ;  —  des  tendons  réunis  des  prelonibo  et 
iliaco-trocliantiniens,  ibid.  ;  —  du  S'.is-piibio-lroclianti- 
nien,  ibid.;  —  du  sacro-iërnoral ,  ibid.;  —  du  grand 
ilio  irochantcrien  ,  77;zV^.  ;  —  du  pelit  ilio-trocbanlérien  , 
ibid.  ; — du  sous-pubio-trochantericn  interne,  ibid.;  — 
commune  à  l'ischio-pretibial  et  à  l'ischio  popiiii-iibial , 
ibid.; — commune  à  l'ischio- popliti  -  tibia!  ,  à  l'ischio- 
sous-trocliantërien  et  à  riscbio-lëmoral,  LIV.  iia.j  — 
particulière  ;i  l'ischio-sous-lrochaatcrien,  ibid.;  —  par- 
ticulière à  l'ischio-trocbanlinicn  ,  ibid.;  —  de  riscîiio- 
lémoral  ,  ibid. 

Capsules  synoviales  du  voisinage  de  l'aiticulation  du  genou  , 
ibid.; —  antérieure  de  la  rotule,  ibid.;  —  du  tri-fémoro- 
rotulien  ,  ibid.  ;  — du  ligament  rotnlien  ou  inférieur  de  la 
rotule,  ibid.  ;  —  comrauae  aus  ischio  ,  ilio  et  sous-pubio- 
prélibiaux,  ibid.;  —  particulière  à  rischio-popliti-tibial , 
ibid.  ;  —  postérieure  à  l'articulation  du  genou  ,  ibid.  ;  — 
du  fémoro-poplili-tibial,  LIV.  1 13  j  —  dei'iscbio-fémoro- 
péronien ,  ibid. 

Capsules  synoviales  du  voisinage  des  articulations  du  pied, 
ibid.;  —  du  tendop  d'AcbilIc,  ibid,  ^  —  du  tibio-sus- 
tarsicn,  ibid.;  —du  péronéo-sus  phalangellien  du  pouce, 
ibid.;—-da  përonéo-sus-phalangettien  commun,  ibid.; 
commune  aux  pcronèo-sous-tarsien  et  grand-përonéo-sus« 
métatarsien  ,  ibid.  ;  — propre  du  péronéo-sus-tarsien,/i6/c^.  j 

—  propre  du  giand  péronéo-sus-me'tatarsien ,  ibid.;  — 
supérieure  ou  postérieure  du  pcronéo-sous  -  piialanget- 
lien  du  pouce,  ibid.; —  inférieure  ou  antérieure,  LIV. 
ii4;  —  propre  du  tibio-sous-phalangettien  commun, 
ibid.;  — digitales  des  lléchisseurs  communs,  ibid.;  — 
commune  aux  tibio-sous  pbalangetlien  commun  et  péro- 
iiéo  sous- plialangetlien  du  pouce  ,  ibid.;  — du  tibio- 
sous-tar»ieu  ,  ibid.;  —  des  planti  sous-pbaiangiens,  ibid. 

Considérations  palliologiques  sur  les  capsules  ou  membranes 
synoviales,  LIV.  ii5.^  —  articulaires,  ibid.;  —  des  ten- 
dons, LIV.  119. 

Auteurs  qui  en  ont  traité  ,  LIV.  121, 
SYNOVIE;   LIV.    122.  —  Considérations  ge'noraies  sur  cette 

lutmeur,  LIV.  i?.3,  —  Ses  caractères  physiques,  LÏV.  12,4. 

—  Résultats   de  son  analyse   chimique,   LIV.    i25.  —  Ses 

usages,  LIV,  126. 


79^  TABLE 

SYNTHÈSE  j  LIV.  126.  — Synihèse  de  coniinuitc,  ibid.  — 

Synthèse  de  contignité,  ibid. 
SYNTH RTISME;  LIV.  126. 
SYNTHEXlSjLIV.  1^7. 
SYPHILIDES;  LIV.  127. 
SYPHiLlRRALGIE;  LIV.  127. 
SYPHILIRRHÉE;  LIV.  127. 

SYPHILIS;   cxpoiilion    des   symptômes    de    celte  affecliou , 
LIV.  127. 

Inflamaialion ,  ulcération  des  membranes  muqueuses,  LIV. 

128.  —  Ecoulemens,  ibid.  — Ulcères,  ibid.  — Pustules  , 

LIV.  129.  ■ —  Excroissances,  LIV.  i3o.  —  Condylomes  , 

ibid.  —  Fies,  ibid.  —  Grêles  de  cocf ,  ibid. 

Verrues,  ibid.  —  Poireaux,   ibid.  —  Choux-fleurs ,  ibid.  — 

Névroses,  LIV.  i3i.  —  Onglade,  pelade,  ibid. 
Bubons,  nodus,  topbus  ,  etc. ,  ibid.  —  Carie  ,  ibid.  —  Ne'- 
vroses,    ibid.   —    Exostoses ,    LIV.    i32.  —  Douleurs, 
ibid. 
Origine  de  la  syphilis,  ibid.  —  Son  traitement,  LIV.  i43. 

—  Ses  moyens  de  propagation,  LIV.  i44' 
Causes  de  sa  diminulion  et  de  sa  cessalion  ,  LIV.  146. 
Moyens  préservatifs,  LIV.  147. 
Anleurs  qui  en  ont  trailc,  LiV.   149- 
SYPHILITIQUE;    LIV.    1G2.  — Considérations  générales, 

LIV.  ,63. 
SYPHON;  LIV.  ]63. 
SYRL^GOTOÎVlEjLlV.  i63. 
SYSSARCOSE;  IL  325.  —  LIV.  164. 
SYSTALTIQUE;  LIV.  164. 

SYSTEME;  considérations  générales  sur  les  différens  systèmes 
<m  doclrin'is  (jui  ont  régné  en  médecine  depuis  Hippocrale 
jiiscju'à  nos  jours,  influence  qu'ils  ont  exercée  sur  les  pro- 
grès de  l'art,  LIV.  iG5. 
Auteurs  qui  en  ont  traité,  LIV.  174. 

Ce  qu'on  entend  par  système  en  anatomie,  II.  42.  LIV.  175. 
Pidfu talion  de  l'idée  de  Bichat  que  chacun  a  des  alfections 
qui  lui  sont  propres,  et  qui  tiennent  à  sa  nature  particu- 
lière, II.  49- 
SYSTOLE  ;  LIV.  181.  —  Systole  du  cœur,  ibid.  —  Considé- 
rations pathologiques,  LIV.  182. 
S/stole  des  arlères.  LIV.    i83.  — ■  Usages  du  bandage  en  T, 
LIV.  i85  ;  —  de  la  tête  ,  ibid.  ;  —  du  nez ,  ibid.  ;  —  de  To- 
rcille  ,  ibid.;  —  de  l'anus,  du  périnée,  de  l'aine,  LlV.  i8'3. 


DES  MATIERES.  ^95 


T 


TABAC;  description  ,  propriétés  et  usages  de  cette  plante, 

LIV.  186.  —  Son  histoire  ,  LIV.  187. 

Inconvéniens  de  l'usage  du  tabac,  II.  i38.  LIV.  1^3. — Ses 
facultés  médicinales,  LIV.  197. 

Résultats  de  son  analyse  chimique,  LIV.  198.  — Son  mode 
d'action  sur  l'économie,  LIV.  199.  — -Son  emploi  à  l'ex- 
térieur ,  LIV.  202. 

Blolifs  qui  ont  forcé  d'v  renoncer  dans  le  traitement  de  la 
pale,IV.  5H8. 

Signes  tirés,  dans  les  maladies  ,  de  l'habitude  de  prendre  du 
tabac,  LlV.  204. 

Doses  et  préparations  pr.ur  l'administration  du  tabac,  ibid. 

Auteurs  qui  en  ont  traité,  LIV.  2o5. 
Tabac  des  Vosges,  LIV.  206. 
TABES  ;  LIV.  206. 
TABlDEjLlV.  207. 
TABIFIQIJE;L1V.  207. 
TABLE;  LIV.  207. —Table  à  la  T i onchlu  ,  ibid.  —  T ahh 

synoptique,  LIV.  208. 
TABLETTE;  mode  de  proparalion  et  usages  des  médicamens 

qui  portent  ce  nom,  LlV.  208. 
Tablettes  de  bouillon,  LlV.  2ti. 

Tablette  de  colle  de  peau  d'âne  de  la  Chine,  LIV.  212. 
TABOURET;  LIV.  212. 
TACAMAQUE;  description  de  l'arbre  qui  fournit  cette  résine, 

LIV.  212. 

Diverses  espèces  qu'on  en  trouve  dans  le  commerce,  LlV. 
2i3.  —  Ses  propriétés  et  ses  usages  ,  LIV.  214. 
TACHE;  LIV.  21 5. 
TAClTURNITE;  signes  qu'elle  fouinit  dans  les  maladies, 

LIV.  2i5. 
TACT;  XXXIX.  58o.  LIV.  216.  —  Organe  du  tact,  LIV. 

216.  —  Physiologie  du  tact,  LIV.   220. 
Tflcf  delapeau  ,  Ll V.  221.  —  Tact  des  membranes  muqueuses  , 

LIV.  226. 

Usages  du  tact,  LIV.  227. 

Considérations  générales  sur  le  tact  médical,  LIV.  23o. 
TACTILE  ;  LIV.  232. 
TiîiNIA^  description  de  cet  animal ,  LIV.  232.  —  Son  hii- 

toire,  LIV.  236, 

TABLE    i  99 


794  TABLE 

Différcnles  espèces  connues  chez  l'homme,  LlV.  238. 
lignes  qui  aanoncciU  la  piésence  de  ces  vers  chez  l'homme, 

LIV.  242. 
Trailement  des  accidens  qu'ils  occasionent ,  LIV.  244* 
Diverses  mélliodes  de  trailemeut  mises  en  usage  jusqu'à  ce 

jour,  LIV.  246. 
Méthode  de  Rosenstein,  ihld.;  —  d'Herrenschwand  ,  LIV, 
247  ;  —  de  Meyer ,  ihid.  ;  —  de  Chabert ,  ibid.  ;  —  de 
Nouffer,  LIV.  24<S  ;  —  de  Renaud,  ibid.;  —  d'Odier, 
ibid.;  —  de  Desault,  ibid.;  —  de  Ralhier ,  LIV.  249;  — 
de  Mathieu,  ibid.;  —  de  Bourdier,  ibid.  ;  —  d'AIslon  , 
LIV.  25o.  —  Poudre  de  Guy,  ibid.  —  Or  massif,  ihid. 
Traite.ment  par  l'essence  de  térébenthine  ,  ibid. 
Auteurs  ((ui  en  ont  traité  ,  Ll  V.  25i. 
TAFFETAS  ;  LIV.  25i.  —  Taffetas  ciré  ou  gommé,  ihid.— 
Taffetas  d'Angleterre  ,   LIV.  253.  —  Taffetas  de   vésica- 
toire ,  ihid. 
TAFIA;  LIV.  254. 

TAIE;  considérations  générales  sur  les  taies  ou  taches  de  la 
cornée,  leurs  causes,  leurs  signes,  leur  traitement,  \.  293. 
LIV.  254. 

Différences  entre  la  taie  et  le  leucoma,  LIV.  260. 
TAILLADE;  LIV.  260. 

TAILLE;  considérations  générales  sur  la  taille  et  les  variétés 
qu'elle  présente,  LIV.  260. 

Causes  qui  peuvent  concourir  à  la  rendre  vicieuse,    lilV. 
265.  —  Débilité,   LIV.  2G4.  —  Mouvemens   exclusifs, 
LIV.  265.  —  Positions  vicieuses,  ibid. 
TAILLEUR;  considérations  générales  sur  les  maladies  pro- 
pres aux   tailleurs,  leurs  causes  et  les  moyens  de  les  pré- 
venir et  de  les  combattre,  LIV.  265. 
TAIN  ;  considérations  générales  sur  les  maladies  propres  aux 
ouvriers  qui  mettent  les  glaces  au  tain  ,   leurs  causes  ,   les 
moyens  de  les    prévenir,  et  ceux  de  \ei,  combattre,  LIV. 
271. 
TALC  ;  usages  de  cette  substance  ,  LIV.  281 . 
TALISMAN;  considérations  historiques  sur  les  talismans  ,  et 

leur  confection,  LIV.  283. 
TALON  ;  LIV.  288.  —  Effets  d'une  chute  sur  le  talon ,  i7>iVi. 

—  Maladies  de  celle  partie  du  coï^s^ibid. 
TALPA  ;  LIV.  288. 

TAMA.R1N  ;  description  de  la  plante  qui  fournil  ce  fruit , 
LIV.  289.  —  Variétés  <jue  présentent  les  tamarins  du  com- 
merce, LIV.  290.  —  Usages  et  mode  d'action  de  cette  sub- 
stance, LIV.  291.  —  Résultats  de  son  analyse  chimique, 
LIV.  291. 


DES  MATIERES.  7.j5 

TAMARISC;  desciiptioti ,  propriclés  ei  usages  des  plantes  de 
ce  ponre  ,  LIV.  2g4. 

TAMARlSClNÉESj  LIV.  295. 

TAMBOUR;  LIV.  295. 

TAMIS;  LIV.  295. 

TAMISATION;  LIV.  295. 

TA.MNEES  ;  piopiiotés  des  plantes  de  celte  famille  ,  LIV.  296. 

TAMPON;  coiisiciL-ralioiis  geiiéiales  et  liisloiiquos  sur  le  tam- 
pon ,  la  matière  dont  il  est  foinië,  et  son  usagedaiis  l'accou- 
cheriietit  ,  LIV.  296. 

TAMPONNEMENT;  consideialions  générales  et  hisloriques 
sur  le  tamponnement  dans  le  cas  de  perle  utérine  après 
l'accouchenient ,  la  manière  de  IN-xccuter  ,  les  matières 
a  employer  ,  les  règles  générales  qui  s'y  rappoileiil ,  et  les  cas 
qui  eu  nécessitent  l'emploi,  LIV.  3oi. 

Emploi  des  tampons  dans  les  hémorragies  u'érines  qui  sur- 
viennent pendant  les  premiers  mois  de  la  grossesse  ,  LIV. 

012. 

Dans  ceik-s  qui  surviennent  pendant  les  dL-micrs  mois,  ou  à 

un  terme  avancé  de  la  grossesse,  LIV.  3i6 
Dans  celles  qui  survicntitnt  pendant  lagrossesse,  et  qui  dé- 
pendent   de    rinqjlanlalion  du    placenta  sur  l'orilice   de 
l'utérus  ou  de  son  décollement,  LIV.  520. 
Dans  celles  (|ui  survienucnV  durant  le  travail   de  l'enfante- 

njenl ,  LIV.  325. 
Dans   celles    (jui   suivent  la  rélenlion    du   placenta  ,   après 
i'avortemenl ,    dans  les  premiers   mois  de   la    grossesse, 
LIV.  3 ■..6. 
Dans  celles  qui  suiviennenl  à  la  suite  de  raccouchemenl  à 
ternie,  L!V.  552. 
TAN  ;  LIV.  557.  —  Emploi  des  sachets  de  tan  dans  la  hernie 

inguinale  ,  III.  364. 
TANAlSIE;  description,  propriétés  et  usages  des  plantes  de 

ce  genre  ,  LIV.  337. 
TANNAGE;  LIV.  33-7. 
TANNE;  LIV.  337. 

TANNIN  ;  XLV.   188.   L!V.  541.  —  Plantes  qui   fournissent 
cette  substance,  ses  propriétés  et  ses  usages  en  médecine, 
LIV.  341. 
Tannin  artificiel  ,  LlV.  343. 

TAP10K.A  ;  plante  d'où  l'on  extrait  eeile  substance ,  LIV. 
343.  —  Sa  préparation,  ses  propriétés  cl  ses  usages,  LiV, 

TARÀxIS;  LIV.  545. 

TARENTISMR;  LIV.  3  jS. 

TARENTULE;  description  de  cet  inscclt,  LIV.  3  17. 


593  TABLE      ' 

Considérations  ^ôneiaks  ci  historiques   sur   les  eflels  de  sa 
piqûre,  XXXV.  72.  LIV.  347. 
TARSE;  parties  qui  concourent  à  former  ceUe  articulation  , 

LIV.  35i.  —  Os  ,  LiV.  552.  — ^^  Articulation  tibio-tarsietine, 

ibid.  —  Articulation  tarsienne  ,  ibid.  —  Articulation  larso- 

métaiarsienne  ,  LIV.  333. 

IVÎouvemcns  du  tarse  ,  ibid. 

Opérations  chirurgicales  que  l'on  pratique  sur  le  larse  ,  ibid. 

Luxations  ,  L! V.  354.  —  Luxation  latérale  simple  du  dIcù, 
LIV.  35^. 

Luxations  compliquées   de  diastasis  des  os  de  la  jambe  -a 
leur  extrémité  iulérieurc,  ibid. 

Luxation  compliquée  de  fractures  du  tibia  et  du  péronée  , 
ou  de  l'un   ou  de  l'autre  dt-  ces  os,  LIV.  255. 

Luxation  compli-quée  du  déplacement  de  l'astragale   dans 
son  articulation  avec  le  scaphoide,  ibid. 

Luxation  compliquée  de  l'issue  du  tiba  à  travers  les    par- 
lies  molles  déchirées,  LIV.  358. 

Luxation  du  pied  en  avant  et  en  arrière,  LIV.  359. 

Ce  qu'on  entend  par  cartilage  tarse  ,  LIV.  36o. 
TARSIEN;   LIV.  3()o. 

TAK^O   SOUS-PUAI.ANUItN  ,  ibiil. 
lARSO    SLS-PilALANGÏElV,  ibid. 

TAKTAlflQUE;  L  137.  XLV.  161.  LIV.  36i.  —  De  quelles 
substances  on  retire  cet  acide,  L  107.  —  Ses  propriétés  cl 
usaf!;es,  L  i38. 

TARïRATE  ;  LIV.  502.  —  Tartrate  de  potasse,  ^Z/^•rf. 

Tartrale  acide  ou  acidulé  de  potasse  ,  LIV.  363  ;  —  de  for  ,111. 
665;  —  de  potasse  et  de  soude,  ibid.;  —  de  potasse  anli- 
monic,  XI.  545.  LiV.  564  ;  —  de  potasse  et  de  ier ,  111.  ■2-j'j. 
LIV.  364;  —  ^'"'  potasse  et  de  cuivre,  ibid.;  —  de  mer- 
cure, Vil.  5;  4.  Ll\ .  364. 

TARTRE  ;  considérations  générales  sur  la  forntaiion  du  tartre 
des  dents,  VIll.  34i.  LIV.  365. 
R.ésultats  de  son  analyse  chimique,  LIV.  366. 
Moyens  do  l'extraire  ,  VIIL  367. 

Tartre  chalybé  ,  LIV.  366.  —  Tartie  émétique,  ibid.  — Tar- 
tre maniai ,  ibid. 

Tartre  martial  solublo,  ibid. 

Tartre  régénéré ,  ibid.  —  Tartre  soluble  ,  ibid.  — -  Tartre  uibié, 
ibid.  —  Tartre  tarlarisé  ,  ibid.  — Tartre  vitriolé,  ibid. 

T\UPS;L1V.  367. 

TAXIS;  considérations  générales,  LIV.  367. 

Réduction  spontanée  des  iicrnies  ,  LIV.  36g; —  opérée  par 
ia  contractililé  du  péritoine,  ibid.  ;  —  opérée  par  la  con- 
Vra'Jiou  lente  et   inseniible  du  tissu  ccÙukiire  cxttii'.uv 


DES  MATIERES.  797 

au  sac,  LIV.  3^0 j  — opérée  par  le  déplacement  que  le 
péritoine  des  parois  abdominales  éprouve  dans  plusieurs 
circonstances,  ibid.  ;  — opérée  par  les  contractions  du  mus- 
cle crémaster,  LIV.  Syi. 

Réduction  des  hernies  obtenue  par  l'art,  mais  par  d'autres 
moyens  (jue  le  taxis  ou  que  l'opération  avec-  l'instrument 
tranchant ,  ibid. 

Diète  et  repos  ,  ibid.  —  Astringens  ,  bains  froids,  affusions 
et  applications  d'eau  froide,  LIV.  3^2. 

Cataplasmes  émolliens  sur  la  hernie,  bains  tièdes, méthode 
de  Desaiik,  LIV.  374. 

Irritation  du  canal  intestinal,  purgatifs,  suppositoires,  la- 
vemens  irritans  ,  injections  de'fumée  de  tabac  par  le  rec- 
tum ,  LIV.  376. 

Purgatifs,  ibid.  — Vomitifs  ,  LIV.  577.  —  Suppositoires  ir- 
ritans,  ibid.  —  Lavemens  irritans  , /t/V;?.  —  Clyslères  de 
fumée  de  tabac,  ibid. 

De  quelques  moyens  auxiliaires  au  taxis  dans  la  réduction 
des  hernies,  LIV.  879.  —  Antispasmodiques,  ibid. — 
Saignée,  LIV.  38o.  —  Perforation  de  l'inlesliu  ,  LIV.  38i. 

llésuiné,  ihid. 

Obstacles  au  succès  du  taxis  ,  LIV.  382. 

Manuel  opératoire  du  taxis,  LIV.  385. 

Phénomènes  de  la  réduction  des  hernies  par  l'opération  du 
taxis ,  LIV.  391. 

Soinsbdonnerau  maladeaprès  l'opération  du  taxis, LIV. Sqt. 

Jugement  sur  le  taxis,  LIV,  596.  —  On  doit  se  l'interdire 
sévèrement  dans  les  cas  d'étranglement,  111.  373. 
TÉGUMENT;  LIV.  398. 
TEIGNE  ;  généralités,  LIV.  5>.,8.  —  Faits  relatifs  à  l'histoire 

particulière  des  teignes  ,  LIV.  399. 

Description  de  la  teigne  faveuse  ,  ibid.  —  Observations , 
LIV.401. 

Description  de  la  teigne  granulée,  LIV.  4^5.  —  Observa- 
tions ,  LIV.  406. 

Description  de  la  teigne  furfuracéc,  LIV.  409.  —  Observa- 
tions ,  LIV.  4io. 

Description  de  la  teigne  amiantacée,  I.  464.  LIV.  412. — 
En  quoi  elle  diffère  de  la  furfuracce  ,  1.  \^f\.  —  Obser- 
vations, LIV.  41 3. 

Teigne  muqueuse  ,  synonymie  ,  T.  1 15.  —  Signes  caractéri.-^- 
tiques,  I.  116.  LIV.  4'0.  —  Caractères  qui  la  distinguent 
de  la  croûte  laiteuse  ,  1.  iib.  —  Effets  qu'elle  produit  , 
1.  J 17. 

Corrélation  entre  l'abondance  de  récoulcmcnt  et  la  jovia- 
iilo  d(,'s  malades ,  1.  118. 


79»  TABLE 

Causes  de  celle  affection  de'puralive ,  ibid. 

Marche  à  suivre  pour  en  modérer  la  violeoce   et  diriger  la 

marche  des  phénomènes  qu'elle  produit ,  ibid. 
Effets  funestes  de  sa  rétropulsion ,  1.  119. 
Remèdes  à  lui  opposer,  ibid. 
Observations  ,  LIV.  4 16. 

Faits  relatifs  à  l'histoire  gc'nérale  des  teignes,  LIV.  420. 
Phénomènes  généraux  qui  caractérisent   la  marche  de  ces 

maladies,  ibid. 
Causes  organiques   qui  influent  sur  leur  développement , 

LIV. 4i3. 
Causes  extérieures  que  l'on  croit  propres  à  en  favoriser  le 

développement,  LIV. '4^6- 
Siège  spécial  des  différentes  espèces  de  teignes,  LIV.  ^1.^. 
Résultats  fournis   par  l'autopsie  cadavérique  dans  chaque 

espèce,  LIV.  429. 
Résultats  fournis  par  l'analyse  chimique  des  malières  croû- 

teuses  et  furfuracées  ,  LIV.  432. 
Considérations  sur  les  méthodes  employées  pour  la  guéri- 
son  de  la  teigne,  LlV.  453. 
Traitement  interne  ,    LIV.  435.  —  Traitement  exlerne  , 

LIV.  456. 
Composition  et  inutilité  de  la  calotte,  lli.  5i8. 
TEINTURE;  LIV.  4,6. 

Teintures  simples,  LIV.  44/»  —  ^^  cachou,  ibid.;  —  de  can- 
tharides  ,  ibid.  ;  —  de  gaïac,  ibid.  —  d'opium  ,  ibid.  j  —  de 
casloreum,  ibid. 
Teintures  composées ,  ibid. ,  —  de  Minsycht,  ibid.  ;  —  thé- 
riacale,  LIV.  44^?  —  de  cardamome  ,  ibid. 
Tableau  des   teintures  les  plus  usitées  en  pharmacie  et  de 

leur  préparation ,  ibid. 
Propriétés  et  emploi  médicinal  des  teinlures  ,  LIV.  ^So. 
Moyens  de  déterminer  les  proportions  d'une  teinluie  qui  ne 
précipite  pas  étant  unie  à  l'eau  ,  LIV.  454. 
TELANGIECTASlE;  LIV.  45^.  —  Accidens  qui  l'accompa- 
gnent, 11.  110.  —  Amputation  proposée  par  Polt,  et  pour- 
quoi ,  ibid 

Influence  de  la  ligature  des  vaisseaux  ,  ibid. 
Relation  d'un  cas  de  celle  nature,  11.  m. 
TELEPHIEN  j  LIV.  4^7. 
TELLURE  ;  propriétés  chimiques  et  physiques  de  ce  métal  , 

LIV. 458. 
TEMPERAMENT;  considérations  générales,  LIV.  4">8. 
Tempérainens  généraux  ,  LIV.  461 . 

Ptoporlious  respectives  entre  les  systèmes  vasculaires  cou- 


DES  MA^TIERES.  799 

sidérées  comme  fournissant  les  caraclères  sensibles  de  la 
diversité  des  tempéramens,  ibid. 
Le  sjslème  nerveux  considéré  dans  ses  rapports  de  sensibi- 
lité avec  les  stiniulans  tant  internes  qu'externes  ,  et  des 
diverses  proportions  de  cette  sensibilité  prises  comme  ca- 
ractères de  la  diversité  des  tempéramens,  LlV.  467- 
Durée  ou  persévérance  des  impressions  reçues,  considérées 
comme  indice  des  différences  constitutionnelles  euire  les 
hommes,  LlV.  4^9.  ^ 

Aptitude  à  la  succession  et  à  l'association  des   impressions 
et  des  affections  considérée  comme  indice  de  différences 
constitutionnelles  entre  les  hommes,  LlV.  471. 
Le  système  musculaire  considéré   dans  ses  rapports    avec 
l'influence  nerveuse,   et  comme  fournissant  un  caractère 
sensible  de  la  diversité  des  tempéramens ,  LlV.  475. 
Les  dispositions   spéciales  des  systèmes  généraux  dans  les 
*        différentes  régions   du   corps,   considérées   comme   une 
source  de  différences  constilulionnelles  entre  les  hommes 
LlV.  478. 
L'influence  qu'exercent  sur  l'économie  générale  les  fonc- 
tions de  quelques  viscères,  considérée  comme  une  source 
de  différences  conslilutiontielles  entre  les  hommes,  LlV. 
481. 
Distinction  entre  les  tempéramens  naturels  ou  primitifs  et 

les  tempéiamens  acquis,  LlV.  485. 
Manière  de  déterminer  pour  chaque  individu,  par  l'observa- 
tion ,  la  nalure  de  son  tempérament  et  le  caractère  de 
sa  constitution,  LlV.  4<^7- 
Caractères  des  divers  tempéramens  admis  par  les  anciens , 

1.  441.111.  i36. 
Auteurs  qui  en  ont  traité,  LlV.  494» 
TEMPERANCE;  considérations  générales  sur  la  tempérance 
et  ses  avantages,  résultats  de  son  observation  ,  effets  qu'elle 
produit  sur  l'économie  animale,  au  physique  et  au  moral, 
LIV.  496. 
TEMPÉRANS  ;  LIV.  5o5. 

Composition  et  usages  de  la  poudre  tempérante  ,  LIV.  5o6. 
TEMPERATURE  ;  III.  486.  LIV.  507. 
Température  du  globe,  LIV.  5 10. 

Température  des  corps  organisés  vivans ,  LIV.  5i5.  —  Effets 
de  la  chaleur  atmosphérique  sur  le  corps,  I.  255. —  Effets 
de  la  vicissitude  du  froid  au  chaud,  I.  269;  —  du  sec  à 
l'humide  ,1.270;  —  de  l'humide  au  sec ,  1.  27  1 . 
Circonstances  qui  favorisent  le  développement  de  ces  effets, 

I.  269. 
Ce  n'est  pas  la  chaleur  qui  cause  les  maladies  dans  les  cli- 


8oo  TABLE 

mais  les  plus  brûlans,  I.  257.  —  Les  diverses  tempéra- 
tures de  l'air  ne  nuisent  re'ellemeat  que  par  leurs  vicissi- 
tudes ,  L  266. 

Principaux  effets  du  passage  rapide  du   chaud   au   froid , 
l.  269.  III.  4^'  —  Circonstances  c^i  favorisent  le  déve- 
loppement de  ces  effets  ,  I,  26g. 
TEMPE  ;  définition  ,  LIV.  5 18.  —  Parties  situe'es  aux  tempes, 

ibid. —  Coups  et  plaies,  etc  ,  aux  tempes,  ibid. — l.oupes  de 

cette  région,  H,V.  519. 
TEMPORAL-   LIV.  519.  —  Description  de  l'os  temporal  , 

ibid. 

Considérations  pathologiques  sur  cet  os,  LIV.  025. 

Fosse  temporale,  ibid.  —  Ligue  courbe  temporale,  ibid.—' 
Muscle  temporal ,  ibid. 

Artère  temporale,  LIV.  524.  —  Artères  temporales  pro- 
fondes ,  LIV.  525. 

Veine  temporale  superficielle,  ibid. 

Considérations  pathologiques  sur  l'artère  temporale,  LIV. 
526.  —  Nerfs  temporaux  ,  ibid. 
TEMPORO- AURICULAIRE;  LIV.  526. 

TEMPORO-CONCHYLIEN,   LIV.   527. 
TEMrORO-MAXILLAIRE,  ïZ»/W. 

TEMPS;  LIV.  527. 

Temps  de  nécessité,  ibid.-  —  d'élection ,  ibid.  ;  —  d'incuba- 
tion ,  ibid.  ;  —  d'invasion  ,  ibid.  •  —  d'accroissement ,  ibid.  ; 
—  de  station ,  ibid.  •  —  de  décroissement,  ibid. 
TÉMULENCE;  LIV.  527. 
TENACITE;  LIV.  527. 
TENAILLE  ;  différentes  espèces  de  tenailles ,  leur  description, 

leurs  usages,  LIV.  527. 
TENDINEUX  ;  LIV.  528. 
TENDON;  description  générale,  LIV.  628. 

Plaies  des  tendons,  LIV.  53o.  —  Exfoliation,  LIV.  532.  — 

Déchirement,  arrachement,  ibid.  —  Piqûre,  LIV.  534-  — 

Rétraction,  ibid. 
Tendon  d'Achille  ,  LIV.  535.  —  Sa  rupture,  XXVI.  3i6. 

Auteurs  qui  en  ont  traité,  LIV.  525. 
TENDU  ;  LIV.  536. 
TÉNESME  ;  LIV.  536. 
TENETTE;  description  de  cet  instrument,  LIV.  537. 

Manière  de  l'introduire  dans  la  vessie,  LIV,  538. 

De  la  tenette  appelée  brise-pierre  ,  LIV.  539. 
TENIA;  LIV.  539. 
TENSEUR;  LIV.  539. 
TENSIF;  LIV.  539. 
TENSION  ;  LIV.  53g. 


DES  MATIERES.  8qi 

TENTE  du  cervelet,  LIV.  5So. 

Description  et  usages  de  la  lente  chirurgicale,  ibid. 
TE^TIGO;  LIV.541. 
TÉNU;  LIV.  541. 
TENUITE;  LIV.  541. 
TEREBENTHINE  ;  propriele's  physiques  et  chimiques  de  ces 

résines,  en  quoi  elles  diffèrent  des  vrais  baumes,  III.  42. 

Diverses  espèces  de  tcrébenlhines  du  coinmerce,  LIV.  543. 
Térébenthine  du  lèrébinthe,  ibid.  — >  Tèrèbentiiine  du  me'- 

lèze  ,  LIV.  544-  — Térébenthine  du  sapin  ,  LIV. 5 45.  —  Té- 
rébenthine cuite,  LIV.  547. — Térébenthine  commune  ou 

du  pin ,  ibid. 

Brai,  LIV.  547.  —  Barras  ,  ibid.  —  Colophotie  ou  argan- 
son ,  ibid. 

Essence  de  térébenthine,  ibid. 

Galipot,  ibid.  —  Goudron,  ibid. 

Huile  de  poix  ou  de  cade,  LIV.  548. 

Poix  jaune  ou  de  Bourgogne,  ibid.  —  Poix  bâtarde,  ibid. 
—  Poix-résine ,  ibid. —  Poix  végétale ,  ibid.^—  Poix  grasse, 
Poix  blaftciie ,  itiW. 

Faux  encens,  ibid.  —  Noir  de  fumée  ou  à  noircir,  ibid. 

llésine  de  cône,  ibid.  —  Résine  jaune,  ibid* —  Résine  de 
Tyr ,  ibid. 
Térébenthine  du  soleil ,  ibid.  —  Térébenthine  en  pâte ,  ibid.  — ' 

Térébenthine  de  Besançon  ,  ibid. 

Baume  des  Carpathes,  ibid. 
Térébenthine  du  pinus  balsamea  ,  ibid.  — Térébenthine  du  co- 

païfera  officinaiis  ,  lii.  i65.  179.  LIV.  549-  — Tcrébeuthine 

de  l'amyris  opobalsamum,  ibid. 
Térébenthine  lack'dsiid  ,  ibid.  —  Térébenthine  du  bursera,  ibid. 

—  Téitbenlhine    du  colophyllum,  ibid.    —    Térébenthine 

des  gommiers  d'Amérique  ou  résine  cachibou,  ibid. 

Usages  médicinaux  des  térébenthines  ,   ibid. 

Leur  niain'ère  d'agir  sur  l'économie  animale^,  111.  ^1. 
TEREB1NTHA.GEES;   description,  propriétés  et  usages  des 

plantes  de  cette  famille,  LIV.  5j3. 
TEREBINTHE;   description,    propriétés  et   usages  de  cette 

plante,  LIV.  555. 
TERMINAISON;   considérations  générales  sur  les  terminai- 
sons des  maladies,  les  variétés  qu'elles  présentent,  et  leurs 

caractères,  LIV.  55y. 
'JERMINTHE;  définition,  LIV.  562. 
TERNE;  detiniiion,  LIV.  5t3. 
TERNsTROMlÉES  ;  propriétés  des  plantes  de  celte  famille, 

ibid. 

TABLE     I.  100 


8o2  TABLE 

'TERRE  ;  consideialions  générales  sur  les   terres   considcre'es 
avant  el  depuis  la  découverte  du  sodium  et  du  potassium  , 
LIV.  5(33. 
Terres  absorbantes,   LIV.  5fj4-   —  Terres  bolaires,  ibid.-^ 
Terres  calcaires,  ibid.  — Terre  cimolée,  ihid.  —  Terre  co- 
nieslible  ,  ibid. 
Terre,  du  Japon  ,  ibid.  —  Terre  da  Lemnos  ,  pourquoi  on  l'ap- 
pelle aiisii  terre  sigillée,  111.  iI\Q.. 
T'erre  mérite  ,  ibid.  —  Terre  sigillée,  111.  il^i..  LIV.  504. 
Terre  noix  j  description  ,  propriétés  et  usages  de  celte  plante  , 

LIV.  565. 
TESTICULAIRE;  LIV.  566.  —  Artère  testiculaire,  ibid. 
TESTICULE;  LIV.  566.  —  Parties  qui  composent   les   tes- 
ticules ,  LIV.  55'j. 

Tunique  éiyûwoiàe  ,  ihid.  —  Tunique  fibreuse,   ibid. — 
Tunique  vaginale  ou  séreuse,  ibid.  ■ —  Tunique  (ibreuse 
ou  albuginée,  ihid. 
Membrane  propre  du  testicule,  LIV.  568.  —  Tissu  propre 

du  testicule ,  ibid. 
Passage  du  testicule  de  l'abdomen  dans  le  scfotum,  LIV. 

569. 
Sécrélion  du  sperme,  ihid. 
Plaies  du  testicule, -IV.  270.  L!  V.  569. 
Inflammation,  1!!.  169.  LIV.  570.  —  Effets  de  l'inflamma- 
tion, 111.  170. 
Suppuration    du    parenchyme   du  testicule,    LIV.  570.  — r 
Règles  k  observer  pour  eu  ouvrir  les  abcès,  I.  i^.  — Pan- 
sement particulier  après  l'opération,  ihid. 
L'atrophie  de  cet  organe  peut  être   causée   par  des   calculs 

rénaux,  XIX.  356. 
Cancer  ,  111.  578.  —  Ossification  du  testicule ,  LIV.  57  (.  — ■ 
Incrustations   cartilagineuses    accidentelles,  IV.   128. — • 
Etranglement  du  testicule  dans  l'anneau   inguinal  ,  ihid. 
Auteurs  qui  en  ont  traité,  ibid. 
TETA.NOS5  généralités,  LV.    1.  —  Histoire,  LV.  2.  —  Des- 
cription, LV.  5. 

Résultats  des  autopsies  cadavériques  ,  LV.  6. 
Division  ,  LV.  7.  — Causes  ,  LV.  9.  —  Pronostic,  LV.  25. 
Précautions  hygiéniques  et  préservatrices,  LV.  24. 
Traitement,  LV.  25. 

L'amputation  conseillée  par  Larrey  dans  le  tétanos  trauraa- 
tique  est  \\n  précepte  hasardé,  I.  475.  < 

Auteurs  qui  en  ont  traité,  LV.  35. 
TETAPvTROPHIE;  LV.  36. 
TÊTE  j  considérations  générales  ,  LV.  56. 


DES  MATIERES.  8o5 

Parties  qui  composent  la  icie,  LV.  87.  —  Caraclcres  qu'elle 

prescnic,  ihid. 
La  léte  considérée  suivant  les  races  d'hommes ,  LV.  38;  — ■ 
caucasienne  ,  ibid.  ;  —  la  race  mongole,  ibid.  ;  —  la  race 
nègre,  ibid.-,  —  la  race   malaie,  ibid.;  —  la  race  amé- 
ricaine ,  ibid. 
Régions  de  la  tête,  ibid.  —  Ses  maladies  ,  ibid. 
Dxenioles  de  grosseur  monstrueuse  de  celle  partie  du  corps  , 

lV/142. 
Circonstances  qui  rendent  difficile  l'appréciation  du   degié 

de  léthalité  de  ses  lésions  ,  111.  ifig. 
Elïels  de  la  piqûre  des  parties  extérieures  quand  elle  se  borne 
aux  tégumens,  ibid.;  —  quand  elle  pénètre  jusqu'à  l'apo- 
névrose et  au  périoste  ,  ibid. 
Considérations  que  les  piqûres  fournissent  au  légiste,  ibid. 
Circonstances  auxquelles  il  doit  avoir  égard  dans  les  meur- 
trissures ou  contusions  ,  IIL  200  ;  —  dans  les  plaies  faites 
par  un  instrument  tranchant,  ibid. 
Auteurs  qui  en  ont  traité,  LV.  09. 
Télé  des  os,  LV.  ^o.  ' 

Téie  wxovie .,  LV.  ^i. 

TETRAGONIA  HERliACEÂ;  ses  qualités  alibiles,  L  378. 
TETRAPHaRMACUM;  III.  23.  LV.  4i. 
TEUCRIUM  ;  LV.  41. 
TEXTURE;  LV.41. 
THALITRON;  LV.  41. 

THE;  LV.  ^\.  —  Descriplion  de  l'arbre  à  ihé ,  LV.  ^1. 
Caractères  dislinctifs  des  espèces  de  thé,  ibid. 
Variétés  du  thé  qu'on  trouve  dans  le  commerce,  LV.  43* 
The's  verts,  LV.  44-  —  Thé  hyswin ,  ibid.  —  Thé  perlé,  ibid. 

—  Thé  poudre  à  canon  ,  ibid.  —  Thé  impérial,  LV.  45. 
Thés  noirs,  ibid.- —  Thé  boui  ,  ibid.  —  Thé  camphon  ,   ibid. 

—  Thé  saot-cliaou  ,  ibid.  — Thé  pekao  ,  ibid. 

Culture  et  récolte  du  ihé  ,  LV  .  46.  — Manipulation,  LV. 
47-  — Commerce,  LV.  5o.  —  Essais  de  culture  du  thé 
hors  du  pays  où  il  croît ,  ibid. 

Altéraliorts  du  thé,  LV.  5i.  —  Conservation,  LV.  bi. 

Introduction  en  Europe,  ibid. 

Principes  constiluans  de  son  infusion,  llï.  228. 

Usages,  L'y.  53.  —  Préparations,  54 Usages  économi- 
ques en  Europe,  LV.  55. 

Ses  effets  sur  l'économie,  ill.  228.  VI.  l4!^  XXXVI.  353. 

Usage  médicinal,  LV.  55.  —  Inconvénieiis ,  LV.  58. 
'  Usages  dans  les  arts,  LV.  5g. 


8o4  TABLE 

Succédanés  exoliqucs  du  the,  ibicl.  —  Snccédanés  européens, 

LV.  60. 
Auteurs  qui  en  ont  traite,  LV.  6r. 

J'/ie  d'Ameiique  ,  LV.   62. — ïhe  des  Apalaches,  z'/^/^f. — 
Tlié  d'Europe,  iifetc^.  —  Thé  de  France,   ibid. — Thé   a 
foulon  ,  ibid. 
Thé  des  ji'suites,  ibid.  — Thé  du  Labrador,  itid,  — Thé  de 

la  nier  du  Sud,  ibid.  —  Thé  du  Mexique,  ibid. 
Tlie'âc  Ja  iNouvelle-HoUande,  ibid.  — Thé  de  la  INouvelle- 
Jersey ,  i/??V/.  —  Thé  des   Norwégiens  ,  î/'/c^. — Thé  de    hx 
NouvellcZ'-lande  ,  ibid. 
The  du  Paraguay,  ibid.  —  Thé  d'Oswego,  ibid.  ■ — Thé  de 
Simon  Paulli,  ibid.  — Thé  suisse,  ibid. 
THEA(^JLES  ;  description ,  propriétés   et  usages  des   plantes 

de  celte  famille,  L^' .  62. 
THEATRE;  considérations  générales   et  historiques   sur   les 
théâtres,  leur  influence  sur  les  tnœuis  et  la  santé  des  peu- 
ple* et  d^s  acteurs  en  particulier,  LV.  63. 
TH  El  FOR  ME;  LV.  66. 
THÉNAR;  LV.  65. 
THEOMANL^j  considérations  générales  sur  les  causes,  les 

sympiô-nes,  et  les  effets  de  cette  maladie,  LV.  85. 
THEORIE  ;  considéraîions  générales  sur  les  théories  en  méde- 
cine ,  leuis  inconvéniens  et  leurs  avantages  ,  LV.  87. 
Auteurs  qui  en  ont  traité  ,  LV.  89. 
TKERAPEUTIQLiE;  LV.  90. 
THÉRAPIE;  LV.  t^o. 

THERIAQUE;  sa  composition,  LV.  qo. —  Sa   préparation, 
LV.  92.  —  Ses  propriétés,  ses  usages  ,  LV.  g3. 
Elle  a  été  vantée  comme  préservatif  de  la  canitie  ,  IV.  8. 
Pourquoi  l'ancienne  théiiaque  diflère  beaucoup  de  relie  qui 
vient  d'être  préparée  ,  I.  4^4* 
Thériaqae  alietuande,  LV.  93.  —  Thériaque  céleste  ,  i/'iV/. 

Auteurs  qui  en  ont  traité,  ibid. 
TUERIOTOMIE  ;  LV.  95. 

THERMAL;   L"V,  qS.   —  Considérations  générales  sur  les 
eaux  thermales,  ibid. 
Opinions  des   auteurs   au  sujet  de   la    chaleur   des  eaux  , 

LV.  96. 
Propriétés  médicinales  des  eaux  minérales  thermales,  LV.98. 
THERMANTIQUE;  LV.  99. 
THERMES  ;  LV.  99. 
THERMOMETRE;  XXXIIL  147.  LV.  99. 
Jhermointlre  de  Drebbcl  et  de  Sanctorius,  LV.  99;  — de 
Florence  ,  \SS .  100.  —  d'Amonlons ,  ibid.;  —  de  JYewIon, 


DES  MATIERES.  8o5 

LV.  loi  ;  — deFanrtnh«il,/^/VA  ;  — dcRf'nuiTiur,  LV.  102  • 
—  de  Leilie,  III.  4^7  ;  —  de  Di  lue  ,  ihid.  ;  —  cciiligiade, 
LV.  io3;  —  à  esprit  de  vin,  LY.  io8j  —  métallique,  LV. 
log  ;  —  à  air,  ibid. 

Thermomètres  difiorencicls  et  thernioscopes ,  LV.  \\o. 

Thermomètres  pour  les  maxima  et  les  minima,  ibid. 
Observations  lluMnionu'Ui(]iifs,  LV.  i>ii. 

THLRMOSCOPL;  111.  487.  LV.  112. 

THESE;  LV.  112. 

THLASlSjLV.  112. 

THLASPl  ;  description  ,  proprie'te's  et  usages  des  plantes  de  C2 
genre,  LV.  1 12.     * 

Z'/i/<î'pi  d<  s  clianips,  LV.  11 3. — Tiilaspibourselte,  ii&/V/. 

THLLPSIE;  LV.  114. 

THORACIQLE;  dcfiniiion,  LV.  114. 

Artères  tlioracicjiics  ,  ihid.  — Veines  thoraciques  internes, 
IV.  ii5.  —  Canal  tlioiacique,  ?/>ity. 

THORACO-FACIA  L  ;  LV.  1 1 5. 

THORAX;  LV.  II 5. 

THORliNNEj  LV  116. 

THROMliUS  j  description  de  cet  accident,  LV.  118. — 
Tiironibus  de  la  villve  et  du  vagin  ,  causes  (]ui  le  produi- 
sent, ses  signes,  moyens  de  le  reconnaître,  son  traitement, 
ibid. 

THYM;  description,  proprie'lës  et  usages  de  ce  genre  de 
plantes ,  LV.  118. 

THYMELEES;  description,  proprie'tés  et  usages  des  plantes 
de  ce  nom  ,  LV.  i  27. 

THYMIATECHNiE;  LV.  128. 

THYMIQUE;  LV.  128.  —Artères  tbymîques,  ibid. 

THYMUS  ;  considérations  générales,  LV .  12g. 

Situation,  ibid.  — Vaiictes,  LV.  i3o.  — Description,  ibid. 

—  Fonctions,  LV.  i35. 
Abcès  (]ui  se  dèvelo|;)pent  dans  l'inte'rieur  de  ce  corps,  I.  18. 
Auteiiis  cfui  en  ont  tiailë,  LV.  1  36. 

THYROCELE  ;  considérations  générales  sur  l'emploi  de 
l'iode  dans  le  (railenunt  de  celle  aOection  ,  LV.  i3f). 

THYRO  ARYTENOIDIEN;  LV.  i4i. 

THYRO-IIYOÏDIEN,  LV.   l42. 
THYRO-PALATIN,  t/»i</. 
THYRO-PHARVMGIEN,  ibid. 
THYRO-PHARYNGO-STAPHYLIN  ,  ibid. 
THYRO-STAPHYLIN  ,  ibid. 

THYROÏDE;  LV.  142.  —Cartilage  thyroïde,  îW.— Corps 
thyroïde ,  ibid. 


8o6  TABLE 

Maladies  du  corps  thyroïde,  LV.   147.  —  Dégénérescences 
diverses  ({u'on  rencontre  dans  son  tissu,  III.'  ^•jg.  —  Ca- 
ractères de  sou   squirre,    ibid.  —  En  quoi  il  diffère  du 
goîîre,  !1I.  58o. 
THYÏIOIDIEN;   définition,   LV.    147.  ~  Artères    thyroï- 
diennes, LV.  i44' — Veines   tliyroïdiennes  ,    LV.    146. — 
Nerfs  thyroïdit-MS ,  [>V.  1/17. —  Vaisseaux  lymphatiques  du 
corps  thyroïde,  ibid. 
TIBIA  ;  dtscriplion  de  cet  os  ,  LV.  148.  —  Ses  articulations , 
LV.  .49. 

Fractures  et  luxations,  LV.  i5i. 
TIBîAL;  LV.  \3<).  —  Artèies  libiales,  l'hid. — Veines  tibiales  , 
LV.  161.  — Neif  libial  antérieur  ,  îi^/c/. 

Considéiations  palhologifjues  sur   les   artères   tibiriles , //?/'c/. 
—  Plaies  de  l'artère  libialc  postérieure,  LV.  i63. 
TIBIO  CaLCANiEN  ;  LV.  1(^4. 

TIDlOS'>TJS-PHALA>'GtTTIEN  ,   ibid. 

TiBio-soxjs-TARsiEN  ,  ibid. 

TIBIO-SUS-TARSIEN  ,   ibid. 

TiBio-TARsiEN,  LV.  iQS.  Scul  cas  OÙ  OU  puissc  amputer  dans 
l'articulation  libio  tarsienne,  L  497-  —  Inconvéniens  con- 
sécutifs de  l'ope'ration  ,  L  49^- 

TiC;  LV.   i65. 

TIGE;  LV.  i(S5. — Tige  pituitaire,  ibid. 

TILIACEES;  description,  propriétés  et  usages  des  plantes 
de  celte  famille,  LV.   i65. 

TILLEUL;  description,  propriétés  et  usages  des  plantes  de  ce 
genre,  LV.  i65. 

TILLY  ;  arbre  qui  donne  cette  graine,  LV.  171.  —  Ses  pro- 
priétés ,  ses  usages  ,  ibid. 

TIMIDITE;  considérations  générales,  LV.  171. 

TINCKAL;  LV.  175. 

TINTEMENT;  LV.  173.  —Tintement  métallique,  défini- 
lion  ,  XL.  19.  LV.  174. 

TINTOUIN-;  considérations  générales  sur  le  tintouin,  les  va- 
riéiés  de  cette  aftcclion  admises  par  Sauvages,  son  vrai 
caractère  ,  et  son  traitement ,  LV.  176. 

TIRAILLEMENT  ;  LV.  176. 

TïPtE-BALLE;  LV.  177. 

TIRE- FOND,  ibid. 

TiRE-Fus,  ibid. 

TIRE -TÊTE,  considérations  générales  et  historiques  sur  le  tire- 

lète  et  son  emploi ,  LV.  177. 

Arrachement  du  tronc  de  l'enliint ,  la  lèlc  restant  dans  la 
matrice  lors  de  l'accouchement,  LV.  178. 


DES  MATIERES.  807 

Signes   qui   annoncent  cet   événement  fatal  ,  LV.    17g.  — 

Moyens  de  l'éviter,  LV.  181. 
Diagnostic  de  Ja  détroiication  ,  ibicl. 
Conduite  à  tenir,   ibid.  —  Abandon  aux  seules  forces  de  ]a 

nature  ,  ibid. 
Nécessité  d'extraire  la  lêle  après  la  détroncalion  ,  LV.  184. 
Inslrumens  proposés  à  cet  effet,  LV.    i85.  —  Manière  de 

s'en  servir,  et  cascjui  en  nécessitent  l'emploi  ,   LV.  iqi. 
Manière  d'extraire  la  tête  ^  LV.  195. 
TISANE  j  définition  ,   LV.    197,  —  Considérations    générales 
sur  l'usage  et  la  composition  des   tisanes   chez  les  anciens 
et  les  modernes,  ibid. 

Leur  composition  ,  LV.  200. —  Leur  température,  ibid. 
Intervalle  a  mettre    entre  l'ingestion   des  doses   prescrites , 

LV.  "202, 

Ditféi entes  espèces  de  tisanes,  LV.  2o3. 
Tisanes  délayantes,   humectantes,  etc.,    ibid.;  — acidulés, 
sudoriiîques,  etc. ,  ibid.;  —  antispasmodiques  ,  LV.  io4  ;  — 
toniques,  excitantes,  ibid. 
Effets  produits  par  les  tisanes  ,  LV.  2o5. 
Inconvéniens  de  l'abus  des  tisanes,  LV.  206. 
Cojnposiiions  et  usac;es  de  la  tisane  royale,  LV.  20g. 
TISSERAND;  considérations  générales  sur  les  maladies  pro- 
pres aux  tisserands  ,  leurs  causes,  les  njoyens  de  s'y   sous- 
traire, et  ceux  de  les  combattre,  ibid. 
TISSU  ;  LV.  209.  —  Differens  tissus  admis  par  les  physiolo- 
gistes, ibid. 

Lésions  organiques  des  tissus,  LV.  î  10.  —  Lésions  du 
tissu  pileux,  LV.  211;  —  du  'système  épidermoïde  , 
ibid.;  —  du  tissu  dermoïde,  ibid,;  —  o"u  système  vei- 
neux ,  ibid.  ;  —  du  système  artériel  ,  LV.  .217  ;  —  des 
nerfs  ,  LV.  218  ;  —  du  tissu  musculaire,  LV.  219  ;  —  du 
système  fibreux  ,  LV.  220  ;  — cartilagineux,  LV.  221  ; 

—  fibro-cartilagineux,  LV.  222;  —  osseux,  ibid.;  — 
médullaire,  LV.  228  ;  —  séreux,  LV.  224.  ;  —  synovial , 
LV.  225; —  muqueux,  LV,  226. 

,  Tissus  accidentels  ,    confusion  qui  règne  à  leur  égard  ,  II.  55. 

—  Classification,  II.  54- 

Enuinération  de  ceux  cjui  sontsans  analoguesparmi  les  tissus 
naturels,  II.  54.  —  Caractères  qui  les  distini;uent,  IL  ^7. 

Enuméralioa  de  ceux  qui  ont  des  analogues,  11.54- — Leurs 
caractères  ,  II.  56. 

Considérations  générales  et  historiques  sur  l'endurcissement 
du  tissu  cellulaire  ,  LV.  229.  —  Description  de  la  ma- 
ladie, LV.  23o.  —  Invasion,  LV.  253. 


8o8  TABLE 

Symptômes,  ibid.  —  Causes ,  LV.  235.  —  Diagnostic  ,  LV. 
9,37.  —  Traitement  ,  ibid. 
TlTAiNE;  manière  d'oxlraire  ce  rne'tal ,  LV.  îSg.  —Ses  ca- 

raclèreà  physiques  et  ses  propriétés  chimiques  ,  LV.  240.  — 

Ses  usages,  LV.  "241- 
TITKYMALEj  description,  propriétés  et  usages  des  plantes 

de  ce  genre  ,  LV,.  i\i. 
Tithjmale  des  roclieis,  LV.  2'i3.  —  Tilhymale-cyprès ,  ibid. 

—  Tilhymaledes  bois,  ibid. —  Tilhymale  à  t'euilles  aiguës  , 

LV.  944. 

Analyse  du  suc  de  l'euphorbia  cyparissias,  LV.  245. 
TITILLATION;  LV.  246. 
TODHALIEj  LV.  246. 

TOILE;  LV.  24^^.  — Toile  d'araignée,  ibid.  — Toile  à  Gau- 
tier ,  ibid.  —  Toile  de  mai ,  LV .  247. 
TOMATE;  description,  propriétés  et  usages  de  cette  plante, 

ihid. 
TOfVIENTUM;  LV.  247. 
TONj   considérations  générales  sur  le   Ion  des  organes  et  les 

causes  qui  rinfluencont ,  LV.  24B. 
TONICITE;  LV.  2 4B. 
TONIQUE  j  considérations  générales  sur  l'action  des  toniques 

sur  le  corps  vivant  et  les  cause-»  de  celte  action  ,  LV.   25o. 

Substances  naturelles  qui  jouissent  de  la  vertu  touique  , 
LV.  252. 

Effets  immédiats  ou  physiologiques  que  produisent  les  mé- 
dicamens  toniques,  sur  la  digestion  ,  LV.  255;  —  sur  la 
circulation,   LV.  257  ;  —  sur   ia  lespiration,  LV.  258  ; 

—  sur  l'absorption  ,  LV.  îSg;  —  sur  les  sécrétions  ,  ibid. 

—  sur  les  exhalations  ,  L  V.  2(10  ;  —  sur  la  nutrition  ,  LV. 
262;  —  sur  les  sensatîons,  LV.  264  ;  —  sur  la  locomo- 
tion ,  ibid. 

De  la  médication  tonique  en  général ,  LV.  265. 

Emploi  ihéiapeutique  des  médicamens  loni({ues\  LV.  167; 

—  dans  les  fièvres  putrides,  LV.  268;  —  dans  les  fièvres 
adynaniiques  ,  ibid.;  —  dans  les  fièvres  malignes,  LV. 
2t3n;  —  dans  Ics  fievrcs  ataxiques ,  ibid.;  —  dans  les 
fièvi es  intermittentes,  LV.  270;  —  dans  les  [jhlegma- 
sies  culatiées,  LV.  271  ;  —  dans  les  phlegmasies  du  tube 
intestinal  ,ihid.;  —  dans  les  phlegmasies  séreuses  ; —  dans 
les  hémorragies,  ibid.;  — dans  les  névroses  des  sens, 
LV.  274?  — dans  k-s  lésions  digestives,  LV.  275;  — 
dans  les  névroses  respiratoires  ,  ibid.  ;  —  dans  la  syphilis, 
LV.  2-6  ;  — dans  les  scrophules,  ilnd.^  —  dans  les  affec- 
tions vermineuses ,  LV.  277. 


DES  MATIERES.  809 

TONNERRE  j  mécanisme  de  sa  production  ,  I.  344- 

Considérations  générales,  relatives  à  r])ygicne  publique,  sur 
le  tonnerre,  ses  causes  et  ses  effets  ^  LV.  26. 

Moyens  de  prévenir  les  accidens  causés  par  la  foudre, LV'283, 

Paratonnerre ,  LV.  280. 

Exemples  élonnans  des  effets  du  tonnerre,  LV.  287. 
TONSILLAIRE;  LV.  29 1> 

Angine  tonsillaire,  ibid,  —  Artères  lonsillaires,  ibîd.  — 
Nerfs  tonsillajres,  ibid. 
TONSILLES;  LV.  291. —  Généralités  sur  les  tonsilles  et  leur 

inflammation  ,  ibid.  —  Traitement,  LV.  292. 
TOPAZE;  LV.  292. 
TOPHACE  ;  LV.^293. 
TOPHUS;  LV.  293. 
^TOPINAMBOUR;  considéré  comme  aliment,  L  379. 
TOPIQUE  5  LV.  293. 

Tableau  des  médications  topiques  ,  LV.  294. — Leur  action, 
LV.  295.  —  Leur  emploi ,  ibid. 

Précautions  à  prendre  dans  leur  application  ,  LV.  296. 

Leurs  eifets  et  leurs  avantages,  LV.  297.  —  Leurs  incon- 
véaiens,  ibid.        '     * 
TOPOGRAPHIE;  considérations  générales  sur  l'importance 

et  sur  les  moyens  d'acquérir  une  bonne  topographie  médi- 
cale, LV.  298. 
TORDYLE  ;  description ,  propriétés  et  usages  des  plantes  de 

ce  genre  ,  LV.  3n. 
Tordjle  officinal,  LV.  3 12. 
TORMENTILLE  ;  III.  264.  LV.  3  n . 
TORPILLEj  LV.  3i2.  —  Ses  commotions  ont  été  conseillées 

contre  la  migraine,  II.  157. 
TORRÉFACTION  ;  L V.  5 1  a. 
TORRIDE;  considérations  générales  sur  le  climat  de  la  zone 

torride,  les  phénomènes  atmosphéri-qnes  qu'on  y  observe, 

leur  influence  sur  les   productions  végétales  et    animales, 

LV.  5i5. 
TORS;LV.  3.9. 

TORTICOLIS j    description,  XXXIV.  600.   LV.  32o.  — 
Considérations  générales  sur  les  causes  et  le  traitement  du 
torticolis,  ibid. 
TORTUE;  LV.  323.  Emploi  médicinal  de  cet  animal,  LV. 

324.  —  Sa  chair  paraît  occasioner  la  diarrhée,  I.  50i>. 
TORTURE;  considérations  médico-lcgaîes  £iir  ce  supplice  : 

génér.ilités  historiques  ,LV.  524. 

Différens  genres  &&  tortures .  I^V.  33o.  —  Effets  qui  en  ré- 
sulientj  LV.  332.  I 

TOUCHER  ;  considéiAtions  générales  .  LV.  336. 

TABLE    1.  Il  IGi: 


8io  TABLE 

Anatomie  de  l'organe  du  toucher,  LV.  SS-].  —  Mécanisme 

de  ce  sens ,  LV.  34i •  —  Ses  usages  ,  LV.  542. 
Ce  sens  est  moins  susceptible  que  les  autres  de  faire  naître 

des  antipathies ,  IIL  2o3. 
Du  toucher  dans  l'art  des  accouchemens,  LV.  347. 
Différentes  manières  d'y  procéder  chez  Ja  jeune  fille,  LV. 

3  19  ; — chez  la  femme  mariée  ,  LV.  35 1  ; — chez  la  femme 

enceiule  ,  ibid.  f — pendant  le  travail  de  l'enfantement, 

LV.  355  ;   —  après  l'accouchement,  LV.  357  j  —  dans 

quelques  maladies  de  l'utcrus  et  des  organes  voisins  , 

359. 
Son  utilité  pour  faire  reconnaître  le   véritable  siège  d'une 

foule  de  lésions  établies  dans  l'abdomen  ,  L  38. 
TOURBILLON;  LV.  368. 
TOURNESOL;  plantes  auxquelles  on  a  donné  ce  nom  ,  LV. 

368. 
TOURNïOLLE  ;  LV.  368. 

TOURNIQUET  ;  définition,  LV.  368.  —  Par  qui  cet  instru- 
ment a  été  inventé,  1.  479- 
Considérations  générales  sur  son  emploi  et  les  modifications 

qu'on  lui  a  fait  subir,  ihid.  —  Manière  de  l'appliquer, 

.  XXIX.  364. 
TOURNOIEMLNT  ;  LV.  372.  , 

TOUX;  considérations  générales,  LV.  373. 

Phénomènes  de  la  toax,  LV.  374- —  Phénomènes  conco- 

mitans,  LV.  376. 
Maladies  dans  lesquelles  on  l'observe  ,  LV.  378.  —  Rhume, 

ibid.  —  Coqueluche,  ibid.  —  Croup,  ibid.  —  Péripneu- 

monie,  LV.  379.  — Pleurésie,  iôid.  — Hémoptysie,  iùid. 

Phlhisie  pulmonaire,  ibid. 
Traitement  de  ia  toux  ,  LV.  58o. 
Toux  convulsivc,  ibid.  —  Toux  férine,  LV.  381.  — Toux 

grasse,  ibid. 
TOXICODENDRON^  LV.  58i. 

TOXICOLOGIE  ;  considérations  générales  sur  les  corps  toxi- 
ques,  lenr  action  sur  l'homme  en  santé   et  dans  l'état  de 
maladie ,  LV.  38' . 
Classification  des  poisons,  LV.  591. 
Considérations  médico-légales  sur  ces  substances,  ibid. — 

Définition  légale  du  mot  poison  ,  LV.  392. 
Divers  modes  d'action  des  poisons  dans  l'économie  animale, 

LV.  393. 
Divers  degrés  d'empoisonnement,  LV.  394. 
'     Conduite  du  médecin  auprès  de  la  personne  plaignante,  LV. 

396. 


DES  MATIERES.  8ïi 

Exaraen  et  analyse  des  symptômes  de  l'empoisonaern  enl , 

ibid. 
Examen  et  analyse  des  substances  supposées  vc'ne'neuses,  LV. 

Caractères  ge'ne'raux  des  poisons  narcotiques  et  narcolico- 
âcres ,  LV.  ^o\,  —  Caractères  généraux  des  plantes  acres , 
LV.  402. 

Règles  générales  pour  toutes  les  analyses  chimiques  médico- 
légales,  LV.  4o3. 

Analyse  par  les  réactifs,  io^;  —  de  l'arsenic,  ibid.  ; —  du 
sublimé  corrosif,  LV.  4o5;  —  de  l'éniétique  ,  LV.  4<^6  j 
—  des  poisons  cuivreux,  LV.  4"7  î  — de  la  pierre  infer- 
nale, LV.  ^0*6,  —  des  poisons  saturnins,  ibid.;  —  du 
verre  et  de  l'émail  piles  ,  LV.  4'^9' 

Examen  du  cadavre,  LV.  410- 

Observation  de  plusieurs  personnes  empoisonnées  en  même 
temps  ,  LV.  4i4- 

Empoisonnement  des  malades  ,  LV.  416. 

Empoisonnement  par  suicide  ,  ibid. 

Thérapeutique  de  l'empoisonnement,  LV.  4i7« 

Généralités  ji/'iW. 

Traitement   de  l'empoisonnement   par    les  poisons   «epli-. 
ques  ,   LV.  419;  —  narcotiques,  LV.  ^10;  —  narco- 
tico-âcres ,  ibid.  — «  acres ,  LV.  421  ;  —  corrosifs  et  escar- 
roliques,   LV.  f\-2.i  ;   —  astringens  et    desséchans ,  LV. 
4285  —  mécaniques,  LV.  429. 

Police  médicale  relative  aux  poisons,  LV.  45o. 
TOXIQUE;  LV.  445. 

TRACHEAL;  LV.   445.  —  Mucus  trachéal,  ibid.  —  Con- 
duit trachéal  ^ibid. — Veines  trachéales,  ibid. 
TRACHÉE;  description  de   la  trachée-artère,  ibid.  —  Son 

organisation,  LV.  447* 

Arceaux  flbro-cartiiagineux  ,  ibid. — Membrane  fibreuse  ou 
extérieure,  ibid.  —  Membrane  muqueuse  ou  intérieure, 
LV.  248. 

Vaisseaux ,  ibid. — Artères ,  ibid. — Veines;  LV.  aSg — Nerfs, 
ibid.  —  Ganglions,  ibid. 

Plaies  de  la  trachée-artère,  ibid.  —  Angine,  LV.  4^^'  — 
Phlhisie,  ibid.  —  Croup,  ibid.  —  Catarrhe  ,  ibid. 

Signes  de  son  inflammation  ,  II.  126.  — •  Rfisultats  de  l'au- 
topsie cadavérique,  ibid.  — Durée,  II.  ii'j.  —  Compli- 
cations ,  ibid.  — Pronostic  ,  ibiiL  —  Traitement ,  ibid. 

Dilatation  des  bronches  ,  LV.  4^3.  — Corps  étrangers  intro- 
duits dans  les  bronches,  ibid. 

Cas  de  corps  étranger  qui  sort  avec  un  abcès  né  dans  Iq  pou- 
mon ,  IV.  217. 


8i2  TABLE 

Circonstances  qui  influent  sur  le  danger  de  ses  iésions,  III. 

TRACHELÂGRE  ;  LV.  456. 

TRÂCHELIE  ;  description  ,  propriétés   et  usages  de  cette 

plante ,  ibid. 
TRACHELIEN;  LV.  456.  «-  nerfs  t^rachéiiens ,  ibid.  —  Vre- 

mier  nerf  cervical,  LV.  457»  —  Second  nerf  cervical ,  LV. 

458.  —  Troisième  nerf  cervical ,  LV.  459. 

Quatrième,  cinquième,  sixième  et  septième  nerfs  cervicaux, 
ibid.  —  Plexus  brachial ,  ibi'd. 
TRACHÉLO-CERVIGAL;  description  de  l'artère   trachélo- 

cervicale,  LV.  46o;  —  du  muscle  trachélo  -  mastoïdien , 

LV.  461. 

TRACUÉLO-OCCIPITAL  ,  ibid. 
TRACHÉLO-SCAPUL-MBE  ,  LV.   462. 
TEACHÉLO-SOUS-CUTANÉ  ,  ibid. 

TRAGHÉOCÈLEj  LV.  464. 
TRACHÉOTOMIE  j  LV.  4'^5.  464. 

Procédé  quand  on  coupe  en  travers  plusieurs  arceaux,  III. 
3i2j  — quand  on  divise  l'intervalle  de  deux,  ibid. —  In- 
convéniens  du  premier  ,  III.  5i3. 
Observation,  ibid. 

Celte  opération  est  nécessaire  dans  l'angine  laryngée,  II.  126. 
TR ACHOM A  ;  définition ,  LV.  46B. 
TRACTION;  LV.  468. 
TRAGACANTHA  ;  LV.  468. 
TRAGIET5  LV.  468. 
TRAGUS  ;  LV.  46li 
TRAINASSE  ;  LV.  478. 

TRAITEMENT:  considérations  générales  sur  le  traitement 
des  maladies  ,  les  règles  qui  doivent  le  diriger,  les  entraves 
qui  viennent  s'v  opposer ,  etc.  ,  LV.  469. 
TRANCHEE  j  LV.  475. 

Causes  des  tranchées  utérines ,  leurs  caractères ,  LV.  477-  — 

leur  traitement,  LV.  678. 
Différence  entre  les  tranchées  utérines  et  les  coliques  ven- 
teuses, LV.  480. 
TRANQUILLISEUR;  LV.  481. 
TRANSFORMATION  ;  considérations  physiologiques ,  LV. 

481. 
Transformations  pathologiques,  LV.  485. 
Transformations  lamineuses  et  graisseuses  ,  LV.  4*^4*  -~ 
Enkystées,  ibid.  —  Fibreuses , /ijf^.  —  Fongueuses,  ibid. 
—  Osseuses  et  cartilagineuses,  ibid.  —  Erectiles  ,  ibid. — 
Cutanées,  ibid.  —  Muqueuses ,  ibid.  —  Pileuses,  cpider- 
miques,  cornées,  ibid. 


DES  MATIERES.  8i3 

TRANSFUSION  ;  considérations  générales  et  historiques  sur 

la  transfusion ,  LV.  4^4- 
TRANSPIRATION 5  considérations  géne'rales  sur  la  transpi- 
ration et  les  organes  chargés  de  cette  fonction  ,  LV.  4'S4' 
Changeniens  qu'elle  détermine  dans  la  composition  de  l'air, 

I.  i']5. 
Phénomènes  qui  succèdent  à  sa  suppression,  I.  aS^. — Varia- 
tions qu'elle  pre'sente  à  différentes  époques  du  jour,  I. 

Transpiration  cutanée,  LV.  297.  —  Transpiration  pulmo- 
naire, LV.  5o2. 
Auteurs  aui  en  ont  traité,  LV.  5o4. 

TRANSPORT;  LV.5o5. 

TRANSPOSITION;  LV.  5o5.  —  Transposition  des  organes 
et  des  viscères  thoraciqueset  abdominaux  def  gauche  à  droite, 
et  vice  versa ,  LV.  5o6. 

TRANSSUDATION  ;  LV.  5o8. 

TRANSVERSAIRE;   LV.    609.  —  Muscle   transversaire , 
LV.  5o8. 
Muscle  transversaire  épineux,  LV.  5 10. 

TRANSVERSAL  ;  LV.  5i  1.— Muscle  transversal  de  l'oreille, 
ibid.  —r  Muscle  transversal  du  nez  ,  ibid.  —  Muscle  trans- 
versal des  orteils ,  ihid. 

TRANSVERSE;  LV.  5ii.  —  Muscle  transverse  de  l'abdo- 
men, muscle  transverse  du  périnée,  LV.  5i2.  — Sinus 
transverse  de  la  dure -mère,  ihid.  —  Sillon  trans  verse  du 
foie ,  ihid. 

TRANSVERSO-SPINAL;  LV. 5 12. 

TRAPEZE;  LV.  5i2.  — Description  et  articulations  de  l'os 
trapèze,  IV.  112.  LV.  5i2. 
Description,  connexions  et  usages  du  muscle  trapèze,  LV. 

5l2. 

TRAPEZIFORME;  LV.  5i3. 

TRAPEZOIDE;  description  et  articulations  de  l'os  trapézoïde, 
IV.  112.  LV.  ii5.  » 

TRAUMATIQUE  ;  LV.  5i  4. 

TRAVAIL;LV.  5i5. 

TREFLE;  description,  propriétés  et  usage  des  plantes  de  ce 
genre,  LV.  5i4- 

TREMBLEMENT;  considérations  générales  sur  le  tremble- 
ment, sa  nature,  ses  causes,  son  traitement,  LV.  5i6. 
Causes,  symptômes  et  traitement  du  tremblement  mercu- 
riel,  LV.  bi\. 

TREMELLE;  description,  propriétés  cl  usage  de  ce  genre  de 
plantes ,  LV.  SsS. 


8i/i  TABLE 

TRÉPAN  ;  LV.'  3i.  —Description  du  trdpan  ,  LV.  /i^. 
Manuel  de  l'opération  du  trépan.  LV.  87. 
Circonstances  dans  lesquelles  et  lieux  où  on  la  pratique, 
LV.  559. 
TRÉL^^NATION;  LV.  54^.  —  Cas  où  l'on  peut  appliquer 
le  trépan  dans  les  plaies  de  la  tète,  LV.  543. 
Fracture  des  os  du  crâne,  îbid.  —  Enclavement  d'une  balle 

dans  les  os  du  crâne ,  LV.  544» 
Epanchemcnt  dans  le  crâne  à  la  suite  des  percussions  de  la 
tête,  ihid.  —  Epanchement  purulent  à  la  suite  de  l'in- 
flammation  iraumatique  des  méninges   et  du   cerveau , 
LV.  545. 
Douleur  fixe  d'un  point  de  la  tête  à  la  suite  d'une  percus- 
sion, LV.  546. 
Céphalalgie ,  IV.  4^7. 
Nécrose  dos  os  du  crâne  ,  LV.  647. 
Epilepsieâ  la  suite  d'une  lésion  de  la  tête  ,  LV.  56, 
Pansement  après  l'opération  du  trépan  ,  LV.  548. 
TRElIDATIONj  LV.  55o.  —  Causes  de  la  trépidation  dçs 

pieds ,  LV.  53i. 
TRESSAILLEMENT  ;LV.  55 1. 

TRIANGULAIRE  ;  LV.  55 1.  —  Muscle  triangulaire  du  nez, 
ï'bid.  ;  —  des  lèvres  ,  ibid.  ■  —  du  sternum ,  LV.  552. 
Ligamens  triangulaires  du  foie,  ibid.  —  Sinus  triangulaires, 
ihid. 
TRIBULCON;LV.  55a. 
TRICEPS  j  LV.  552.  — Muscle  triceps-brachial,  LV.  553.— 

Muscle  triceps-crural,  LV.  554- 
TRICHIASIS,  description,  causes  et  traitement  de  celle  af- 
fection ,  V.  219.  LV.  552. 
TRlCtIlSME;LV.  556. 

TRICHOCÉPHA.LE ;   description  de  ce  ver,  LV.  5  7.  — 
Symptômes  qui  indiquent  sa  présence,  LV.  55g. 
Traitement  curulif,  LV.  56i. 
Trichocephales  étrangers  à  l'homme,  LV.  562. 
TRICHURIDE  ;  description  de  cet  animal ,  LV.  574. 
TRICUSPIDE;  LV.  574. 
TRIFACIÂLjLVI.  I. 
TRIFEMORO-ROTULIEN  ;  LVl.  1 

TRIFEMORO-TIBI-EOTULIEN  ,  LVl,  3." 

TRIGASTRIQUE  5  LVl.  3. 

TRIGLOCHINE;  LVl.  3. 

TRIGOJNE5  description  du  trigone  cérébral  ou  voûte  à  trois 
piliers,  LVl.  3.  —  Sa  structure  pailiculicre ,  i7;/^. — Sou 
développement ,  LVl.  5.  * 


DES  MATIERES.  8i5 

Animaux  chez  lesquels  on  la  rencontre,  et  ceux  qui  en  sont 
prives  ,  LYl.  6. 
TRIGONOCÉPHALE;  LVl.  8. 
TRIJ  U  ME  AUX  ;  nerf,  LVl.  8. 
TRILLIA.CEES;  description,  proprie'tés  et  usages  des  plantes 

de  cette  famille  ,  LVl.  8. 
TRIQUE-MADAME  j  LVl.  q. 

THI-SCAPULO-HUMÉRO-ÔLECRANIEN;  LVl.  g. 
TRISMUS;  définition,  LVl.  9. 

TRISPLAINCHjNIQUE  j   description  des  nerfs  trisp4anchni- 
ques,  LVL  g.  —   Leur  tronc,  ibid.  —  Leurs  ganglions, 
LVL  II. 

Plexus  coronaire  ,  LVl.  i5  5  —  sémi-lunairc,  ihid.  ;  —  sple'- 

nique,  LVl.  1G5  —  mésenterique,  ibid.  ;  —  rénal  ,  LVl. 

1 7  ;  —  spermalique ,  ihid.  ;  —  surrénal ,  ibid.  ;  —  solaire , 

LVl.  18.     ' 

Considérations  générales  sur  l'anatoniie  du  nerf  trisplan- 

chnique,  ibid.  —  Unifornnté  d'existence,  ibid. 
Différences  que  présentent  les  rameaux  internes  et  externes, 

LVl.  20. 
Liaison  et  adhérences  intimes  des  rameaux  internes  avec  les 

artères ,  LVl.  11. 
Développement  du   nerf  trisplanchnique,   LVl.   23.  —  Sa 

structure  intime  ,  LVl.  i.l\. 
Structure  des  ganglions,  LYl.  2G.  —  Structure  des  plexus, 

LVl.  9.9. 
Propriétés  vitales  et  fonctions  de  ce  nerf,  LVl.  3o. 
Rapports  qui  unissent  les  deux  systèmes  nerveux  de  l'éco- 
nomie; différences  ([ui  les  séparent  ;  influence  ïécipro'que 
qu'ils  exercent  l'un  sur  l'autre  ,  LVl.  35. 
Auteurs  qui  en  ont  traité,  LVl.  4^- 
TRISTESSE;  phénomènes  et  caractères  de  la  tristesse,  ibid. 
—  Son  influence  sur  l'homme  ,  moyens  d'y  remédier,  LVl. 
44-  —  Ses  effets  utiles,  LVl.  5o. 
TRISULE;  définition,   LVl.  5i.  —  Manière  d'obtenir  les 

trisules,  ibid.  —  Emploi  qu'on  en  fait ,  ihid. 
TR1TÉ0PHIÊ;LVI.  5-2. 
TRITURATION  ;  LVL  52. 
TRIVELNI  ;  LVl.  53. 

TROCART  ou  TROIS  QUARTS  ;  description  do  cet  instru- 
ment, LYl.  53.  —  Perfectionnement  apporté  par  J.  L.  Petit , 
ibid. 
Trocart  plat ,  LVL  54-  —  Trocart  couibe,  ibid.  —  Trocart  à 

bistouri  ,  ihid. 
TROCHANTER;   LVl.  54.  ^  Grand-trochauter,  ihid.  — 
Petittrochantcr,  LVl.  55. 


8i6  TABLE 

TROCHANTÉRIENjLVl.  55. 

TROCHANTIN;  LVl.  55. 

TROCHANTINIEN;  LVl.  56. 

TROCHIN-,LV].  55. 

TROCHINJENjLVl.  55. 

TROCHISQUE  ;  LVl.  55. 

TROCIIITER  ;  LVJ.  56. 

TROCHITERIEN  ;  LVl.  56. 

TROCHLEE  ;  LVl.  56. 

TROCHLEATEUR  ;  LVl.  56. 

TROENE  5  description  ,  propriétés  et  usages  de  cette  plante , 

LVl.  5-. 
TROMBE;  LVl.  58. 

TROMPE  ;  LVl.  58.  —  Trompe  d'Euslache  ou  conduit  gut- 
tural, XXXVIII.  12.  LVl.  58.  —  Ses  usages,  llî.  445.-455. 
Trompes  de  Fallope  ou  trompes  utérines,  LVl.  58.  — Leur 

découverte ,  ihid.  —  Leur  description  et  leurs  usages  ,  ihid. 

Considérations  pathologiques  sur  elles,  LVl.  59.  —  Vices  de 
conformation,  ibid.  —  Inflammation,  ihid. 

Obstruction  de  leur  orifice  dans  l'utérus,  LVl.  60.  — Elle 
est  une  cause  de  la  stérilité ,  L  i5tj. 

Kystes,  LVl.  60.  —  Grossesse  tubaire,  ibid.  —Tumeurs  y 
ibid. 
TRONC;  LVl.  6t.  —  Troncs  artériels,  veineux,  ibid.  — 

Tronc  brachio-céphaiique,  ihid.  —  Tronc  céphalique ,  ibid. 

—  Tronc  opisto-gastriquc,  ibid.  •—  Tronc  pelvi  crural ,  ibid. 
TR.OPIQUË;  pays  situés  entre  les  tropiques  ,  LVl.  62.  —  Di- 
vision des  saisons  et  de  la  température  dans   ces  contrées, 

LVl.  63.  — Climat  des  tropiques,  LVL  64. 
TROU  ;  LVl.  64.  —  Trou  de  Botal ,  ibid.  —  Trou  des  os  ; 

ce  qu'on  entend  par  là,  IV.  58 _> 
Trou  ovale  ou  sous-pubien  ,  LV4.  64. 
TROUSSE;  iastrumens  cjui  composent  une  trousse,  et  ceux 

Qu'on  pourrait  y  ajouter,  LVl.  Gq. 
TPi'OUSSEAU;  LVl.  64. 
TRUFFE;    description,   analyse,  propriétés  et  usages  de  ce 

végétal,  LVl.  65.  —  Elle  est  dilficiîe  à  digérer ,  i.  36o.  — 

On  la  suppose  aphrodisiaque  ,  IL  225. 
TRUSION;  LVl.  66. 
TRYPHÈRE  ;  LVl.  67. 
TUBE;  LVl.  67. 
TUBE  IjAryngien,  LVl.  67.  —  Uiiliic  du  tube  laryngien  dans 

l'asphyxie  des  nouveau  nés,  ibid.-^Ss.  description,  LVl. 68. 

Cas  qui  en  réclament  l'usage,  LVJ.  69.  — Mani«îre  de  s'en 
servir,  ibid. 


DES  MATIERES.  .S,^ 

De  l'air  à  iiisafflcr  .  LVI,  •;!.  —  Blaniùre  de  pratiquer  l'iri- 
suifJalio!) ,  iuiil. 
TUBE  DE  suEETK ,   SCS   avaiiUges   dans  i"a}ipareil   de  W'ouîf  , 

II.  257. 
TUBER-ISCHIO-TROCHANTÉRIEN  •  LVI.  -/i. 
T[J13EP».CUt>E  ;  LYI.  73.  — Deveioppe-nent  ,  niarclic  cl  carac- 
tères anatoMiiqucs  des  tubercules  dans  leursdivcrses  périodes, 
LVI.  75. 

îléveloppcmcril  et  éiaî  de  crudité ,  11.  54-  LVJ.  73, 
Isoienienl  et  ramollissement,  II.  54-  LVI.  77. 
Evacuation   ou  sortie  de   la    matière  tuberculeuse  hors  du 

kyste  ou  de  la  cavité  qui  la  renferme,  LVI.  79. 
Volume,  variétés  et   formes   des   tubercules,  LVJ.  80. — 

Leur  nature  et  leurs  causes  excitantes  ,  LVI.  82, 
Les  tubercuici".  considères  dans  les  dif'fèrcns  tiisus  qu'ils  sont 
susceptibles  d'allcrer,  LVI.  86;  —  dans  les  tissus  paren- 
chymatoux  vX  cellulaires,  LVI.  87. 
Dans   le    poumon  ,  ibid.  ;  —  la  rate  ,  LVI.  88  ;  —  le  rein  , 
ibid.  ;  —  les  tissus   cellulaires,  l'bid.;  —  les  tissus  qlan- 
duleux,LVI.  8g. 
Dans  le  foie  ,  ibid.  ;  —  le  corps  tliyroïde ,  LVi,  90;  —  le 
testicule,  ibid.;  —  l'èpididymc,  ibid.;   — la  prostate, 
LVI.  f)i  ;  — les  ganglions  ly.naphaliques  , /'Zz/Vi.  ;  —  le  sys- 
tème nerveux ,  ibid. 
Le  tissu  musculaire,  LVI.  o3  ; — les  iissus  osseux  et  fibreux, 

LVL  f)\  ;  —  le  tissu  muqiieux  ,  LVI.  <:)5. 
Dégénérescences  tuberculeuses  non  enkystées,  LVI.  gG.  — 

Caractères  de  ces  dc'générescenccs  ,  LVI.  97. 
Effets  primitifs  et   consécutifs  de  l'affection   tuberculeuse, 
LVI.   q8  ;  —  dans  le  poumon,  ibid.,  —  le  mésentère, 
LVI.  gg  ;   —  le  foie  ,   ibid.  ;  —  le  ceiveau  ,  ibid.  ;  —  le 
sy  s  le  m  e  g  I  a  n  d  u  1  a  i  t  e ,  z7;/'</. 
Signes  de  l'existence  tles  tubercules,  LA'l.  100. 
Traitement  ,  LVI.  iot. 
Auteurs  nui  en  ont  traité  ,  ibid. 
TUBERCULEUSE 5  LVI.  io3. 
TUBERCULEUX^  LVI.  io3. 
TUBEREUSE;  LVI.  10/J. 
TUBEROSITE;  LVI.  lozf. 
•rUBULEUSE;  LVI.  104. 
TUE-CHIEN  ,  LVL  104. 
TUE-LOUP;  LVI.  104. 
TUMEFACTION;  LVI.  ro4. 

TUMEUR  ;  des  variétés  que  présenicnl  les  tumeurs  relative- 
ment à  leur  siège,  aux  organes  qu'elles  intéressent ,  cl  à  leur 
cause  matérielle  ,  LA  l  io3. 

TAGLE     l.  I03 


8.  fi  TABLE 

Tumeurs  formées  par  des  corps  etrang<îrs,  ihul.  ;  —  par  le 
déplacement  des  parties  solides,  ibid.  ;  —  des  parties 
dures,  ibid.;  —  des  parties  molles  ,  ibid. 

Tumeurs  humorales  ,  ibid. 

Tumeurs  formées  par  le  chyle ,  ibid.  ;  —  par  le  sang,  LVl. 
io6j  —  par  la  sérosité,  LVl.  lo'^,  —  par  les  humeurs 
émanées  du  sang  ,  ibid. 

Développement  des  tumeurs,  ibid. 

Précaulioos  à  prendre  quand  on  veut  extirper  une  tumeur 
dont  la  Jialure  est  douteuse,  IL  ii  i. 

Auteurs  qui  eu  oui  traité,  LVl.  107. 

Tumeurs  anomales  ,  LVl.  109. 

Tumeur  blanche  des  articulations, //?/</. —  Définition,  LVl. 
110.  —  Siège  de  ces  tumeurs ,  ibid. 

Epoque  à  laquelle  elle»  sont  plus  fréquente?,  ibid.  —  Leurs 
symptômes,  ibid.  —  Leurs  caractères  ,  LVl.  1 1 1 .  —  Leur 
marche,  LVl.  11?..  —  Leurs  causes,  IL  329.  —  Leur  in- 
fluence sur  réconomie,  LVl.  1 13. 

Résultais  des  autopsies  cadavériques,  ibid. 

Causes  des  tumeurs  blanches  des  articulations,  LVl.  11 5. 

Affections  avec  lesquelles  on  pourrait  les  confondre,  LVl. 
116.  —  Pronostic,  IjVI.  119. 

Traitement,  IL  53o.  LVl.  120. 

Saignée,  ibid. — Vésicatoire  ,  ibid.  —  Topiques,  LVl.  121. 
—  Douches  ,  LVl.  124.  —  Cautère,  LVl.  125.  —  Cauté- 
risation, LVl.  126.  —  Moxa  ,  LVl.  i3o.  —  Topiques 
acres,  irrilans  ,  LVl.  i3i.  —  Ouverture  de  l'abcès  ,  LVl. 
i32.  —  Amputation,  LVl.  i33. 

Indication  à  remplir  quand  celte  affection  survient  dans  la 
blennorrhagie ,  III.  i';3. 

Tumeurs  lacrymales,  LVl.  i36.  — Phénomènes,  ibid. — 
Traitement,  LVl.  \Z-. 
TUNGSTATEj  LVl.  137. 

TUNGSTÈNE  ;  propriéte's  et  usages  de  ce  mêlai,  LVl.  i4o. 
TUNGSTIQUE;  caractères  de  cet  acide,  LVl.  i4i. 
TUNIQUE  j  LVl.  142.  — Tunique  vaginale,  i7?/^. 
TUNRA;  description,  propriétés  et  usages  de  la  plante  qui 

produit  la  fève  luukaj  usages  de  cette  fève,  LVl:  1/^1. 
TURBITH  VÉGÉTAL;  LVl.  145.  —  Sa  description  ,  LVl. 

144.  —  Ses  propriétés,  LY\.  i45,  — Ses  usages,  LVl.  î46. 

TVRBITH  MINÉRAL,  LVl.   \  l\'J . 

TURGESCENCE;  LVl.  147. 
TURQUETTE;  LVl.  147. 
TUSSICULE;  définition,  LVl.  147. 

TUSSILAGE;  description,  piopriéics  et  usages  des  plantes  de 
ce  genre,  LVl.  147. 


DES  MATIERES.  819 

TUTHIE;  LVl.  148. 
TYLOME^LVi.  149. 

TYMPAN;  XXXVlil.  8.  LVllI.  149.  —  Parties  qu'on  dé- 
couvre dans  la  cavité  du  tympan,  III.  44^-  —  Traitement 
de  son  inflammation,  III,  446.  IV.  329. 
Membrane  du  tympan  ,  LVl.  149.  —  Texture  de  cette  racui- 

brane,  LVl.  i5i.  — Usages  qu'elle  remplit ,  II.  455. 
De  sa  perforation,  LVJ.  132. —  Procédé  opératoire,  LVl. 
154.  —  Précautions  à  prendre  avant  de  pratiquer  celle 
opération,  LVl.  i56. 
Usure  de  la  membrane  du  tympan  ,  LVl.  1 57. 
Désordres  qui  surviennent  à  quelques  parties  de  l'organe  de 
l'ouïe  par  l'effet  du  cérumen  épaissi  dans  le  conduit  au- 
dilifex terne,  ihid. 
Observations  ,  LVl.  160. 
TYMPANiTE;  considérations  générales  ,  LVl.  162. 

Diverses  variétés  de  cette  affection,  LVl.  i64- 
Tjmpanite  essentielle,  ibid.  —  Tympanite  symptomatiquc, 
liVl.  ib5. — Tympanite  accidentelle,  LVl.  16'j. 
Siège,  mode  de  développement  et  complications  de  la  ma- 
ladie, LVl.  168. 
Ses  causes  prédisposantes  et  excitantes,  LVl.  169. —  Ses 
symptô.mes ,  sa  marche,  LVl.   170.  —  Son  diagnostic, 
LVl.  17.. 
Résultats  de  l'ouverture  des  cadavres,  ihid. 
Traitement,  LVl.  172. 
Auteurs  qui  en  ont  parlé,  LVl.  174- 
TYPE;  LVl.  174.  —  Inconvéniens  d'y  attacher   trop  d'im- 
portance,, IL  [['].  345. 
TYPHACEES;  description,  propriétés  et  usages  des  plantes 

de  cette  famille,  LVl.  175. 
TYPHODE  ou  TYPHOÏDE  ;  LVl.  175. 
TYPHOMANiE;  LVl.  175. 
TYPHUS;  diverses  acceptions  de  ce  terme,  LVl.  176. 


u 


UDOMÈTRE;  définition,  LVl.  176. 

ULCÉRATION;  LVl.  176.  —  Ulcération  des  artères,  ibid.-^ 

—  de  l'estomac,  LVL  177  ;  —  des  intestins,  LVL  178. 

Perforation  des  intestins,  LVl.  179.  —  Perforation  des  intes- 
tins produite  par  des  vers,  liVI.  182. 

Ulcérations  du  huynx ,  LVl,  184.  — Ulcérations  du  sacrum, 


«20  TABLE 

ifjid^  —  Ulcëraiions  de  la  irachée  et  des  bronches,  LVI. 
iB5.  —  Ulcéialions  de  la  vessie  ^  ibid 
ULCÈRE  ;  différences  qui  existent  entre  la  plaie  et  l'ulcère, 

LVL  .«5. 

Classification  des  ulcères,  LVI.  i86. 

Ulcères  atoniques  ,  LYl.  187.  —  Ceux  des  jambes  sont  plus 
fréifuens  sur  la  gauche  que  sur  la  droite  ,  ibid. 

Causes  qui  favorisent  leur  formation  aux  jambes,  LVI.  18B. 

Mécanisme  ,  formation  et  marche  de  la  maladie,  ibid. 

Aspect  des  ulcères  atoniques,  LVI.  190. 

Traitement ,  ibid. 

Examen  de  cette  question  :  doit-on  ou  ne  doil-on  pas  guérir 
tous  les  ulcères,  LVI.  igS. 

Ulcères  scorbutiques,  LVI.  i<j6. —  Leur  analogie  avec  les 
ulcères  atoniques,  ibid. 

Considérations  générales  sur  le  scorbut;  ses  phénomènes  et 
ses  causes  ,  LVI.  197. 

Traitement  préservatif,  LVI.  2o3.  —  Traitement  local, 
LVI.  2o5. 

LTlccrcs  scrophuleux  ,  LVI.  206. 

Considérations  générales  sur  les  scrophules  et  les  phéno- 
mènes qui  les  accompagnent,  ibid. 

Influence  de  l'âge,  LVI,  20g.  — Constitution  scrophuleuse, 
ihid. 

Scrophule  non  contagieux,  LVI.  21  i.  —  Scrophule  hérédi- 
taire, ibid.  —  Scrophule  endémique,  ibid. 

Traitement  du  scrophule,  LVI.  212.  —  Traitement  des  ul- 
cères scrophuleux,  LVI.  218. 

Ulcères  syphilitiques,  LVI.  219.  —  x\nalogie  et  différences 
entre  eux  et  les  ulcères  scrophuleux,  ibid. 

Considérations  générales  sur  la  syphilis,  son  origine  et  ses 
phénomènes,  LVI.  220. 

Apparition  des  ulcères  syphilitiques,  LVI.  222.  —  Leurs 
caractères,  LVI.  225.  —  Obscurité  de  leur  diagnostic, 
LVI.  224. 

Existence  d'un  virus  syphilitique,  LVI.  226. 

Traitement  des  ulcères  syphilitiques,  LVI.  227.  —  Traite- 
ment de  la  syphilis,  LVI.  22b. 

Emploi  du  mercure  et  méthode  la  plus  avanla^^euse  de  l'om- 
ploj'er  dans  le  traitement  de  la  syphilis,  LVI.  229. 

Précautions  à  prendre  dans  son  administration  ,  LVI.  232. 
—  Sa  manière  d'agir  sur  l'économie,  L\  L  232. 

Emploi  de  l'acide  nilreux  dans  le  traitement  antisyphili- 
tique,  LVi.  234. 

Trailenit'ut  des  ulcères  syphilitiques  secondaires  ,  ibid. 
Ulcères  darlreux,  LVI.  23B.  — Diilérentes  formes  de  dartres  j 


DES  MATIERES.  821 

Lyi.  23q.  ^  Causes  de  celte  affection  ,  ibid.  —  Traitement, 

LVI.  244. 

Danger  de  gue'rir  certaines  dartres,  LVI.  247- 
f7c6re-5  carcinomatCLix,  III.  58i.  LVi,  a/jB.  —  Analogie  de  ces 

ulcères  avec  les  dartres  rongeantes  ,  LVI.  248. 

Siège,  développement ,  marche  de  la  maladie,  LVI.  249. 

Considérations  générales  sur  la  nature  des  alTeclions  cancé- 
reuses,LVI.  25o. — Analyse  du  cancer  et  delà  gaîigrène,ïZ>/rf. 

Siège  ordinaire  du  cancer  et  phénomènes  qu'il  présente, 
LVI.  25i. 

Traitement  des  ulcères  carcinomaleux  ,  LVI.  254.  * 

Llcè/es  teigneux,  LVI.  258.  —  Analogie  entre  la  teigne  et  les 

dartres,  ibid. 

Considérations  générales  sur  la  teigne,  ses  diverses  espèces  , 
les  circonstances  propres  à  son  développement,  ses  symp- 
tômes et  les  phénomènes  qu'elle  présente  ,  LVI.  25g. 

Du  traitement  de  la  teigne.  LVI.  202. 

Llcères  psoriques,  LVI.  265. 

Considérations  générales  sur  la  gale  ,  son  origine,  ses  symp- 
tômes, ses  phénomènes  et  son  traitement,  LVI.  266. 

Auteurs  qui  en  ont  traité,  LVI.  273. 
llcères  calleux,  LVI.  27*5.  — Ulcères  du  cœm^ ,  ibid. 
Llcères  de  la  cornée,  LVI.  276.  — Leur  fréquence,  ibid. — 

leurs  causes ,  ibid. 

Variétés  qu'ils  présentent,  LVI.  277.  —  Leur  pronostic, 
ibid.  —  leur  traitement ,  LVI.  278. 
Llcères  cutanés,  ibid.  —  Leur  traitement,  LVI.  279. 
Llcères  fongueux  ,  LVI.  280.  —  Leurs  causes,  ibid. 
Llcères  de  la  matrice  ,   ibid.  —  Ulcères  du   poumon  ,   LVI. 

281.  —  Ulcères  variqueux  ,    ibid.  —  Ulcères  vénériens  du 

mamelon,  ibid.  —  Ulcères  vermincux  ,  ihid. 
ULMACEES  j  description,  propriétés  et    usages  des   plantes 

de  cette  famille  ,  LVI.  282. 
ULMINE;  LVI.  293. 
UNIFORME;  IV.  Il 3. 

UNGUIS;  description  de  cet  os,  LVI.  283. 
Unguis  on  onglet,  LVI.283.  —  C'est  un  abcès  entre  les  feuillets 

de  la  cornée  transparente,  I.  i5.-i6. 
UNISSANT  ;  LVI.  283. 
URATE;  LVI.  285. 
UREE;  LVI.  i83. 

URETERES;  description anatomionc,  structure  et  propriétés 
vitales  ,    LVI.  283. 

Considérations  pathologiques  sur  ces  canaux,  LVI.  284. 

Rétrécissement,  LVI.  284.  —  Elargissement,  LVI.  285. — 
Déviation  ,  ihid. 


852  TABLE 

Cas  d'inserlion  audessus  du  pubis,  1^  .  iSq. 

Dilatation  de  l'extrémité  vésicale  ,  ibid.  —  Spasme  ,  iiiflain- 
maùon,  ibid.  — Plaies,  IH.  208. 

CoiDS  etiaa^crs  et  pierres  dans  leur  intérieur  ,  LVI.  286. 

Pronoàtic  ,  LVï.   2^7.  —  Traitement,  ibid.  ^ 

Auteurs  qui  en  ont  traité,  LVI.  288. 
UilETERlTE  ;  causes ,  LVI.  288. 
UiŒ'i'ERO-LITHIQUE  5  définition  ,  LVI.  288. 
XJs£riiRO-PUL£GMATiQUE  ,  ibid. 
vzùiÛROPYiqvE.  ,  ibid. 

UKÉTKRO-STOMATIQUi:,   LVI.   289. 
■DStTÉRO-TROMDOÏOE  ,  ibîd, 

miETiQUE;LVI.  289. 

UKETRE  ;  description  de  ce  canal,  LVi.  289.  — Sa  longueur, 
ibid.  — Son  diamètre  ,  LVI.  290.  —  Ses   rapports  ou  con- 
«exions  ,  ibid,  —  Son  organisauon  ,  ibid. 
Portion  membraneuse,  292. —  Portion  spongieuse,  IV.  38'^. 

LVL  292. 
Ses  maladies  ,  XXX.  55g.  LVI.  292. 

ÎEnperl'oration  ,  XXIV.  iSn.  XL.  182.  LVI.292.  —  Hypo- 
spadias,  LVI.  293. —  Epispadias,  ibid.  —  Plaies,  ibid. — - 
Perforations  ibid.  — Inflammation,  ibid.  —  Rcticeisse- 
menl ,  IV.  35 1.  352.  LVI.  293.  —  Ruptures  ,  LVI.  29^. 
—  Corps  étrangers  ,  calculs  ,  ibid 
Estjuiile  de  l'os  pubis  fichée  dans  l'urètre,  LVÎ.  29'y, — ■ 
Épingle,  LVI.  298. —  Soude  brisée  dans  l'urètre,  LVI.  29g. 
Fîslules,  LVI.  3qo.  —  Caruosités,t"o:igosilés  ,  excroissances 

charnues,  ibid. 
Bases  de  la  théorie  des  anciens  sur  ses  carnosités  et  brides  , 
IV.  104.  —  Il  n'y  en  a  pas  ,  IV.  1 06.  —  Influence  funeste 
de  celte  théorie  sur  le  traitement,  IV.  io5. —  Ulcérations  , 
brides  ,  LVI.  Soi.  —  Nodosités  ,  LVI.  3o2.  —  Varices, 
ibid.  — Spasme  ,  ibid. 
Description  de  Turctre  chez  la  femme,  LVI.   5o3.  — Son 

organisation,  ibid. 
Considérations  pathoiogiques ,  ibid. 
Auteurs  qui  en  ont  traité,   LVI.  3o4. 
LRETRHELMIW TIQUE  ;  LVI.  3o5. 
URETRITIS  ;  LVI.  :io5. 
URETRO-BULBAIRE  ;  LVI.  5o5. 
fEîÎTHO-nYMÉNODE  ,  ibid. 
t;eétko-lithique  ,  LVI.  585. 
traÉTRO-PHRAXis  ,  ibid. 
v'stTao-PYiQOE,  LVI.  3o5. 
i3jiii:TRO-TBOMB0ÏD!: ,  ibid. 
URlNAiRE,  LVI.  3o5,. 


DES  MATIERES.  8^3 

Substances  qui  entrent  dans  !a  composilion  des  calculs 
urinnircs,  lîl.  46^^- — Variétés  (ju'ils  prç'scntoiit ,  liï.  /t'ig. 

Dinereiices  entre  ceux  de  l'homme  cl  de.-  animaux  ,  ihi.I. 

Symptômes  qui  annoncent  Icui- présence.  111.  470.  —  Causes 
prédisposantes,  ibid. 

Utilité'  des  lithontriptiques ,  ibid.  —  Ou  doit  rejeter  les  îa- 
jcctions  pour  les  dissoudre,  III.  47'- — Moyens  préserva- 
tifs ,  III.  471.  472. 
URINAL  j  description    et   usages   de    ce  vase,  précautions  à 

prendre  dans  son  emploi ,  LYI.  5o5. 
URINE;    considérations  générales,  L\I.    507.-:-  Propriétés 

physiques ,  X.  4^»  XXII.  55.  L.  449-  LVï.  5o8. 

Moment  propre  à  observer  l'urine,  ibid. 

Sa  couleur,  LVI.  Sop.  —  Changemcns  que  celle  couleur 
éprouve  dans  diverses  affections  pathologiqnes  ,  i^/«Y. 

Odeur  de  l'urine  ,  LYI.  3i3.  —  Celle  des  enians  et  des  her- 
bivores contient  de  l'acide  bcnzoïquc  ,  I.  ia5. 

Changemens  que  son  odeur  éprouve  dans  diverses  affections 
pathologiques  ,  ibid. 

Saveur  de  l'urine  ,  LYI.  3i4 —  Pesanteur  spécifique,  ibid. 

—  Température,  ihid.  —  Limpidité,  liquidité,   consis- 
tance ,  LYI,  3i5. 

Changemens  que   ces   propriétés    éprouvent  dans  diverses 

affections  palhologicjues ,  ibid. 
Effet  du  repos  et  du  refroidissement  sur  l'urine,  LVI.  419. 
Effet  des  réactifs  sur  cettehumeur  ,  LYI.  32i.  —  A.clion  da 

feu  ,  LYI.  322. 
Résultais  de  l'analyse  chimique,  LYI.  323, 
Histoire  de  quelques  matériaux  de   l'urine   en   parlicnlier  , 
■   LVI.  324.  —  A-:ides  bcnzoïfjue  ,îZ'i^.  ; — phosphorinnc  , 

ibid.;  —  lactique,   LYL  325;   —  carbonique,   ibid.-, 

—  urique ,  ibid. 

Urée,  ibid. —  Résine  ,  LYI.  327. —  Substance  noire  parti- 
culière ,  ibid. —  Soufre, LYI.  528.—  Ammoniaque, /^i^/. 

Différentes  espèces  d'urines,  LYI.  829. —  Urine  de  la  boisson, 
ibid. — Urine  du  chyle,  LYI.  33o. —  Urine  du  sang,  ?7>zW. 

Différences  que  présente  l'urine  dans  sa  composition,  ibid. 

—  Sécrétion  de  ce  fluide,  LYI,  53i. 
Auteurs  qui  en  ont  traité,  LVI.  332. 
Usages  de  l'urine,  LYI.  554- 

ItiUuence  de  l'habitation  dans   des   lieux   où  s'cxhaie  une 

odeur  urineuse,  LVI.  336. 
Préju^Js  el  usa-^es,  îanlancicnsque  modernes,  relalivemcnt 

à  l'urine ,  ibid. 
URIQUE  ;  caractères  de  cet  acide,  XLY.  172.  LYI.  3  Ji. — 
Il  n'existe  que  dans  les  urines  de  l'homme  el  des  oiàcuux. 
I.  i38. 


824  TABLE 

UROCRI-.E  ;LVi.  5/41. 

URODYNIE  .  LYI.  Sfi. 

UROMANClÉj LVL  3  ji.— Erreurs  de ruromancicjLVI.  343. 

IJROSCOPIE  ;  LVI.  34y. 

UR.OSES  ;  LVI.  348. 

URTICAIRE  3  LVI.  5  48. 

URTICATION;  Ses  elTets  ,  LVL  348. 

Cas  où  elle  peul  être  employée,    LVL  049.  —  INÏauière  Je 

l'opcrer,  LVL  35o.  —  Moyens  de  calmer  l'irrilalion  qu'elle 

produit,  ibid. 
URTICEESj    description,  propriétés    et   usages  de  diverses' 

plantes  de  celte  faniilie  ,  LVL  35o. 

Arbre-à-pain,    LVL  35f.  —  Ipo,    ibid.  —  Figuier,  ibid. 

—  Mûrier,   ibid.  —  Houblon,    LVL  o52.  -—Chanvre, 

—  ibid.  Pariétaire ,  ihid. 

USINÉE  5  description,  propriétés  et  usages  des  plantes  de  ce 
genre,  LVL  3S2. 

USSaT   (eaux  minérales  de} ,  LVL  253. 

USTIONj  considérations  générales  sur  i'uslion  dans  la  théra- 
peutique, LVL  353. 
Emploi  du  fer  incandescent,  LVL  354- 
Moxa ,  LVL  355.  —  Ancienneté  de  Tusage  du  moxa  ,  ihid. 

—  Maladies  qui  réclament  l'usage  du  moxa,  meilleure 
manière  de  l'employer,  ihid. 

USUEL!;  LVL  36o. 

UTERIN;  LVL  35o,  — Sinus  utérin,  ihid.  — Muscle  utérin, 
ibid.  —  Fureur  utétine,  ibid. 

UTÉROSTOMATOME;  LVL  360. 

UTERUS;  LVL  36 1. 

UTRICUL AIRES  ;  description  ,  proprie'te's  et  usages  des  plan- 
tes de  celle  famille,  LAI.  56:. 

UVAURSI;  LVL  36 1. 

UVÉE;  LVI.  371. 

UVULAIRE  ;  glandes  uvulaîres  ,  LVL  56: . 


V 


VACCIN  ;  description  ,  LVL  362. 

Propriétés  physiques  du  fluide  vaccin  ,  ibid.  — Ses  propriélés 
chimiques ,  LVL  363. 

Causes  qui  peuvent  rempôchcr  de  se  reproduire,  LVl.  354. 
— '  Epoque  à  laquelle  on  doit  le  recueillir,  Ï7\  I.  3()3. 

Caractères  du  fluide  vaccin  bon  h  inoculer;  sa  transmis- 
sion, sa  conseivaiion  ,  LVL  368. 


DES  MATIERES.  S7.5 

Vaccin    transmis   sur    diverses    espèces    franimaux.   LA';, 

369. 
Vaccia  conserve  sur  leveire,  LVI.  3-]i;  —  sarlefil,  LVI. 

rrloyensdeconservcr  le  vaccin  sur  les  corps  ljlamcr,tcux,zY'/<^. 
Sioycns  de  conserver  le  vaccin  desséché  sur  le  fil  ou  autres 

corps  analogues,  LVI.  873. 
Vaccin  conservé  sur  des  lancellcs,  LVL  3-4;  —  dans  des 

tubes  de  verre,  ljVI.375. 

y\cciNATi:uii  ;  LVL  375. 

"V  ACCIXA.TIOjf  ;  considérations  gcncraîes  sur  l'âge  propre  h 
pratiquer  la  vaccination,  LVL  378. 
Etat  de  la  santé  favorable  ii   cette  opération,  LVL  870.  — 

Saison  convenable,  LVL  38o.  —  Procédés  qu'on  cnipioic, 

LVL38ï. 
T'^accitiation  par  vésicatoire,   ibid.;  —  par  incision,  LVL 
382  j  —  par  piqûre,  ibid. 
Liocnlation  du  vaccin  liquide  ,  77;?'(3?.  ;  — du  vaccin  desséché. 

LVL  3.':î5  ;  —  desséche  sur  le  verre,  ibid.-,  —  sur  le  ti! , 

LVL  386  •  —   siir  le  linee,  ihid.  ;  —  sur  la  lancette  , 

LVL  387  j  — >  dans  des  tubcs,  ihid,  \  -—  dans  les  croules 

vaccinales,  LVL  388. 
Observations  générales,  LVl.  58g. 

Quelques  circonstances  qui  peuvent  s'opposer  au  dévelop- 
pement de  la  vaccine,  LVL  3!,)'). 
VACCÏNEj  considérations  historiques,  LVL  Sg:. 

Ancienneté  de. la  vaccine  chez  les  IL'ndous,  ibid.  j — cbcv.  les 

Perses,  LVL  392  j  —  clicz  les  habilans  des  Coidiilièrcs 

des  Andes,  LVL  3g3. 
Origine  de  la  vaccine  en  Europc'et  en  France,  LVL  3t)j' 

—  Sa  propagation  ,  LVî,  896. 
Diverses  périodes  que  présente  la  vaccine  ,  LVL  4-^9- 
Période  à' ineilic  ,  ibid. — Période  d'inflanjmution  ,  LVL 

4 10.  — PJrioiîcdc  dessiccation,  LVL  4[i' 
Anomalies  que  présente  la  marche  de  la  vaccine,  LVL  412. 
Etlots  spcciliques  de  la  vaccination,  LVL  4i4'  —  Eii'ets 

secondaires ,  ibid. 
Caractères  de  la  fausse  vaccine,  IA"L  4'7' 
Variétés  qu'elle  piescnle,  LVL  419»  —  Prcmièic  variété, 

ibid.  — 'Deuxième  variété  ,  LVL  4^0' 
Anomalies  que  présentent  les  deux  vaccines,  LVL  4.3i- 
îlésistauco  de  certaines  constitutions  à  l'effet  du  vaccin,  ibid. 
Coticomitance  de  la  vraie  et  de  la  fausse  vaccines,  ibid. 
Accidens  locaux  qui  peuvent  se  présenter  dans  la  maicbc 

delà  vaccine ,  LVL  4'?-2.  —  Accidens  générau^  LVL  4^^^. 
Contre-épreuve  de  la  vaccine  par  riuoculaliôn  varioliquo, 

TA1.LE   I.  io3 


826  TABLE 

LYI.  li^i  ;  —  par  le  iciour  d'épidomics  varioli(|ues  ,  LVI. 
435. 

Onu  propose  !a  vaccine  comme  ua  piéseivatif  dclaclaveiéc, 
V.  298. —  Expériences  à  ce  sujet,  V.  299. 

Auleius  ({ui  en  ont  tiailé,  LVI.  43^3. 
V/VGCLNIEES;  description  ,  propriétés  fcl  usagfs  de  ces  pian- 

ics,LVI.  446. 
VACHE;  son  utilité,  LVL  444- 
YAGIN;  considéralions  anaiomiques  et  physiologiques  sur  ce 

canal ,  LVL  444. 

Description,  connexions,  fonctions,  ibid. 

Parties  qui  concourent  à  le  torracr ,  LYI.  45i.  —  Son  tissu 
■pvo\!ie  y  ibid. 

Absorption  vaginale,  LVL  ^5i. 

Variétés  ,  irrégularités  ,  vices  de  conformation  et  de  configu- 
ration du  vagin,  LVL  4^3. 

E-accourcisscmcat  et  angusiic,  LVL  454*  —  Dilatation, 
LVL  455. 

Double  vagin ,  ibid. 

Occlusion  du  vagin,  XXVI.  iSa.  LVL  4^^-  ' —  Oblitéra- 
tion, LVL  458- —  Absence  totale,  iV.  162.  LVL*439. 
—  Déviation ,  ibid. 

Maladies  du  vagin  ,  LVL  4^1. 

Les  ascarides  vermiculaires  s'y  introduisent  quelquefois, 
IL  35o. 

Plaies,  LVL  ^61.  —  Déchiruics,  LVL  462.  —  Inflamma- 
tion, LVL  464. 

Manière  d'en  ouvrir  les  abcès,  ï.  23.  —  Ecoulement,  LVL 

4f;6. 

Dureté' de  son  orifice  inférieur  ,  IV.  162.  —  Uicèies,  LYI. 
466.  —  Polypes,  LVL  467-  —  Excroissances,  ibid,  — 
Tumeurs  ,  LVI.  4^^'  —  Lipomes,  LVI.  371.  —  Corps 
étrangers,  LVL  473.  —  Hémorragie,  ibid.  —  Pienvcrse- 
ment ,  LVI.  474-  —  Hernies  ,   LVL  /•.'jQ.  —  Rélrécijse- 
menl,  IV.  161.LYL478. 
Auteurs  qui  eu  ont  traité,  LVI.  481, 
VAGINAL;  LVI.  481.  —  Artère  vaginale,  ibid.  —  Tunique 
vaginale,  ibid. 

Cartilages  accidentels  développés  dans  celte  dernière,  IV^.  126. 
VAGISSEMENT;  LVL   481.  —  Causes  du    vagissement, 

LVL  4^2.  —  Signes  qu'il  fournit,  ibid. 
VAGUE  ;  LVI.  483.    * 
VAIRON  ;  LVL  483. 
VAISSEAU;  LVI.  483. 
Dos  artèrqi,  ibid. 

Inilammalion  des  artères,  LVI.  4B4-  —  Ligature  des  ar- 
IC.C5,  L\I.  '[77.  —  Aricvrysmcs  ibid.  —  \ciucSj  ibid. 


DES  MATIERES.  ^  827 

Des  vaisseaux  lympliatiqucs  ou  absorbans,  ibid. 

Ailleurs  qui  en  ont  liaile  ,  LVI.  488. 
VALERIANE  j  caractères  généraux  ,  description,  propriétés 

et  usages  des  plantes  de  ce  genre  ,  LVI.  49^' 
J^ale'nane  officinale,  iZ;/<i.  —  Grande  valériane,  LVL  49^- 

—  Valériane  pbu ,   ibid.  —  Valériane  celtique,  ibid.  — 

Valériane  locuste,  LVI.  493« 
VALETUDINAIRE  5  régime  convenable  aux  valétudinaires, 

LVI.  494. 
VALVULE;  LVI.  495.  —  Valvules  du  cœur,  ibid,  —  Val- 
vule   triglochiue,  ihid. —  Valvule  jniitrale  ,  ibid.  —  Val- 
vules sigmoïdes,LVI.  496.  —  Valvule  d'EusIache  ,  ibid. 

Considérations  pathologiques  sur  les  valvules  du  cœur,  ibid. 

Inflammation,  ihid.  —  Endurcissement  cartilagineux  et  os- 
seux ,   ibid.  —  Végétations  verruqueuses  ,  LVI.  498.  — 
Végétations  globuleuses,  LVI.  499"  —  Rupture  des  ten- 
dons des  valvules,  LVI.  5oo. 
J^ah'ides  des  intestins  ,  ibid.  —  Valvules  des  veines  ,  ibid.  — 

Valvule  iléo-cœcaie, /Z>it/. 
VANILLE  ;   description  de  celte  plante  cl   de  ses  variétés  , 

LVL502. 

Description  du  fruit  de  la  vanille,  LVI.  5o2.  —  Falsifica- 
tion ,  LVI.  504.  —  Composition  cliimique ,  LVI.  5o5.  — 
Emploi ,  ibid. 
VANILLON;  LVI.  5o8. 
VAPEUR;  substances  qui  fournissenfdcs  vapeurs,  LVI.  5o8. 

Causes  de  la  réduction  des  corps  cri  vapeur,  LVI.  doq. 

Propriétés  physiques  des  vapeurs,  ihid. 

Bains  de  vapeurs  ,  LVI.  5io. 

Opinions  des  anciens  et  des  modernes  sur  ces  sortes  de  bains, 
ibid. 

Invention    des   appareils    fumigatoires    par   encaissement , 
LVL  5i2. 

Différentes  espèces  de  vapeurs,  LVI.  5i4' 

Substances  qu'on  peut  administrer  suus  celle  forme,  LVI. 
5i5. 

Diverses  manières  d'administrer  les  vapeurs  ,  .ibid. 

Bafns  généraux  ou   d'étuves,   ibid.  —  Bains  par  encaisse- 
ment ,  LVI.  5i6.  —  Douches  de  vapeur,  ihid. 

Effets  r)hysioIogiques  dos  différentes  espèces  de  vapeurs  , 
LVL  517. 

Effets  physiologiques  du  calorique  ,  ibid. 

Effets  physiologiques  des  bains  généraux  de  vapeur  ou  des 
étuves  humides  ,  LVI   619.  ' 

Effets  physiologiques  des  bains  de  vapeur  humide  par  cn- 
cm\^..., ,..,,!     f"^."»    "■...  —  Elfois  piiysioln-iquo--  dij  va- 


828  TABLE 

peui5  sèches  ,  LVI.  SîS.  —  Effets  physiologiques  des 

douches  de  vapeurs  ,  LVI.  dzS. 
Nouveau  mode  d'action  ,  ibid. 
Emploi  mcfdicinai  des  vapeurs,  LVI.  SiG. 
Synipalhics  pathologiques  de  Ja  peau,  ihid. 
Les  vapeui^  consideie'es  comme  moyen  hygiénique,  L\  I. 

Pratiques  accessoires  aux  bains  de  vapeurs,  ibicl.  —  Fiic- 

tictis,   ibid.  —  Flagellation,   LYL   628.   —  Massage, 

LVL  529. 
JLiCs  vapeurs  conside'rces  comme  moyen  thérapeutique  ,  LVL 

53o.  —  Dans  les  inflammations  de  la  peau  ,  ibid.  —  Dans 

les  phlegmasies  chroniques ,  ibid.  —  Dans  les  affections 

cutanées  ,  LVL  532.  —  Dartres  ,  ibid. 
Daîis  le  rhumalïsrne,  la  sciatique,  etc.,  LVL  534-.  —  DauS 

la  goutte,  LVI,  535.  — Dans  la  paralysie,  ibid. 
Dans  Ja  gibbosité,  LVL  536.  —  Dans  lu  carie  vcrlébralo  , 

ibid,  —  Dans  les  tumeurs  blanches  des  articulations  aa- 

ky.î  osées  ,  etc. ,  LVî.  ôSg. 
A[;rè.5  l'accouchemont  ^jbid. 

Dans  la  phthisie  ,  LVL  54o.  — D&ns  les  maladies  du  sys- 
tème lymphatique,  ibid.  —  Dans  la  syphilis,   LVL  54i. 

—  Dans  les  maladies  chroniques,  LVL  542. 
Degré  d'utilité  des  bains  de  vapeur,  iind. 
Temps  propre  à  l'administration  des  vapeurs,  LVL  543 
Précantions  h  prendre  et  préceptes  à  observer  pour  obtenir 

des  vapeurs  tous  les  avantages  qu'elles  promettent,  LVL 

Divers    procédés  et   apcareils    propres  à  les  administrer, 

LVL  544. 
Eluves  et  divers  procédés  rhis  en  usa^cpour  administrer 

les  bains  de  vapeur  ,  LVL   545.  —  Chez  les   anciens  , 

ibid.  —  Chez  les  Indiens,   Turcs,   Egyptiens,  Ibid.  — 
•  Ches  les  P,.usses^  P'inlandois  ,  ibid.  — •  Chez  les  Anglais, 

iVL  54G.  —  En  France  ,  ibid. 
Appareils  et  procédés  employés  pour  administrer  des  baitis 

par  encaissement,  LVL  549-  . 
Procédé  de  Glauber,  ibid.  —  Procédé  de  M.  Claude,  Ï^VL 

55o.  —  Elablisserneut  de  Tivoli  ,  ihid.  —  Appareil  de 

M.  Tenon  ,  LVL  552.  —  Appareil  de  M.  Gales,  ihid.  — 

Appareil  de  M.  Darcct,  5:'3. 
'Nouvelle  machine  fumigatoire,  LVL  55^. 
Appareils  fuimgaloires  ii  deux  places  isolées  ,  LVL  SGo. 
,  .A;>paieils  cl   mccéd;'^  i^iCjireï    aux   douches   de   v^sncur, 

'LV,  304.  ^  ■     ■ 


DES  MATIERES.  829 

Appareils  poitalifs  et  procédas  employés  pour  admiiiisUer 

des  bains  de  vapeur  h  domicile,  LVl.  567. 
Appareil  porlalif  de  M.  Lemaire,  LVI.  568.  —  Ncuvel  ap- 
pareil portatif,  L\  I.  571. 
Auteurs  qui  en  'ont  traité,  LVI.  5^5. 

Causes  de  raifection  appelée  vapeurs  en  pathologie ,  LVI. 
5:6. 
VAPOxlEUX;  caractère  des  individus  vaporeux,  LVI.  5^7. 

Moyens  de  prévenir  cet  iétat,  ihid.  • 

VAPOllISATION  ;  LVI.  577.  —  Vaporisation  de  l'eau  ,  ihid. 
Différence  entre  la  vaporisation  et  l'cvaporalion  ,  LVI.  578. 
De  la  vaporisation  des  corps  en  fjénéral  ,  LVI.  579. 
VARICES  •  description  générale,  XXVL  3i2.  LViL  i. 
Marche  progressive  de  cette  affection,    LVII.  3.   — Son 
siège,  ihid. 
Varices  des  veines  de  la  tête,  LVII.  4;  — -  cl^s  veines  jugu- 
laires, ibid.  •  —  des  veines  du   thorax,   LVII.   5j  —  des 
veines  de  l'abdomen  et  du  bassin  ,  ibid.  j  —  des  veines  des 
extrémités  thorachiques ,  LVII.  6;  —  des  veines  des  mem- 
bres abdominaux,  LVII.  7. 

Terminaison  des  varices ,  LVII.  8  ;  —  par  guérison  spon- 
tanée ,  ibid.;  — par  inflammation   et  abcès,  LVIL   10 ; 

—  par  ulcères,  ibid.  ;  — par  rupture,  LVIL  12  j — par 
fongus  hœmalodes ,  ibid. 

Variétés  des  v  a  vices ,  ihid.  — Varices  des  femmes  grosses, 

LVII.  i3.  —  Varices  anévrysmaîes,  ibid. 
Causes  prédisposantes  des  varices  ,  ibid. — Causes  efficientes  , 

LVII.  14.  — Pronostic,  ihid.  — Traitenrent  ,.LVn.  i5.    / 
Remèdes  inlcrnfs  ,  ibid.  —  Applications  astringentes,  ibid. 

—  Cautérisation,  ibid. 

Extirpation  des  varices  et  des  turaeursvariqueuscs , LVII.  lO. 

Incision  des  varices  et  extraction  des  caillots  qu'elles  con- 
tiennent ,  LVIL  17. 

Ligature  des  troncs   veineux  àudegsus  des  dilatations  vari- 
queuses, LVII.  j3. 

Section  en  travers  de  la  veine  audessus  des  varices,  et  com- 
pression du  vaisseau  ,  LVII.  20. 

Repos,  compression  permanente  des  membres  affectés  de 
varices ,  LVil.  21. 

Auteurs  qui  en  ont  traité,  LVII.  28. 
VARICELLE  5  considérations  générales  et  historiques,  LVIL 

28.  —  Description  ,  LVIL  25.  —  Cau&es  ,  LVII.  27.  —  Trai- 
tement, L\  II.  29. 

Tableau  coniffaratif  de  la  varicelle  et  de  la  variole,  ibid. 

Dili'érences  qui  existent  entre  t'iiydroa  ,  le  pcmphigus  et  la 
yaiiccilc ,  LVIL  3i-. 


85o  TABLE 

Aulcurs  qui  eu  ont  traité  ,  ibid. 
VARICOCÉLEj  LVl.  5i 
VARICOMPHALE  ;  LVII.  32. 
VARIOI-E;  histoire,  LYII.  33. 

Moyens  de  communication  de  la  variole  ,  LVII.  3g. 

Divisions  admises  par  les  auteurs,  LVii.  ^o. 

Détiniiion  de  la  variole  discrète,  LVi.  4ï.  —  Sa  description, 
ses  phénomènes  ,  sa  marche  ,  ibid. 

Age  auquel  on  l'observe  le  plus  fréquemment,  LVII.  l\'2. 

Causes c'jicientes  ou  occasionelies  de  cette  maladie,  LVII.  43. 

Période  d'incubation,  ibid. — Période  d'invasion  ,  LV11.4i- 
—  Période  d'éruption,  ibid.  —  Période  de  suppuration, 
LVII. 45. — Périodede  i'cxsiccationdcs  pustules, LVII.  47. 

Différences  entre  la  variole  confluenle  cl  la  variole  discrète, 
ibid. 

Accidcns  qui  peuvent  survenir  (?ans  les  diverses  périodes  de 
celte  variété,  LVII.  40 i  —  dans  la  période  d'incubation, 
ibid.; —  dans  celle  d'ir;vasion,  ibid.  ;  — dans  celle  d'érup- 
tion, ibid.  ;  —  dans  celle  de  suppuration,  LVII.  5o  ;  — 
dans  celle  de  desquamraation  ,  ibid. 

Complications  de  la  variole,  LVII.  5i.  — Pronostic, /Va-V/. 
Traitement  curatif,  LVII.  53. 

Période  d'incubation  ,  ibid. — ^Période  d'invasion  ,  LV^fl.  5  ;. 
Période  d'éruption  ,  LVII.  55.  —  Période  de  suppuration  , 
LVII.  56.  —  Période  de  dessiccation,  LVII.  57. 

Traitement  préservatif,  ibid. 

Auteurs  qui  en  ont  traité  ,  LVîI.  58. 

Avantages  de  l'inoculation  de  la  variole,  LVII.  64. 

Inconvéniens  qu'on  lui  a  reprochés  ,  LVII.  67. 

Préparation  des  individus  qu'on  veut  inoculer,  LVIi.  70. 

Circonstances  qui  précèdent  l'opération,  LVII.  72. 

Age  du  sujet,  Ibid.  —  Sa  constitution,  LVII.  70.  —  I.a 
saison,  LVII.  74.  —  Les  maladies  cpidémiques  ,  ibid. 

Examen  de  quel.jUes  circonstances  relatives  à  la  pratique 
de  r.opcratiou  ,  ibid.  —  Choix  du  virus,  ibid.  —  Con- 
servation de  ce  virus,"  LVII.    76.  —  Lieu  d'élection, 

^'^"-  77:   . 
Préceptes  généraux  sur  rinoclilation  de  la  variole,  ibid. 

Circonstances  qui  la  contre-indiqucnt ,  LVII.  78. 

Méthodes  et  procédés  opératoires,  ibid. 

Simple  contact  de  la  matière  variolique ,  i"/;/â?.  —  Contact 

de  la  matière  variolique  avec  les  membranes  muqueuses, 

LVII.  8(î. 
Selon,  ibid.  —   Vésicaloire  ,     LVII.    'à\f  —   incisions, 

LVII.  1-io.  _  Piqûres,  LVÎI.  83.  ■    ._^ 

Dcsciipiiou  de  la  varioîc  inoculc'e  par  insertion,  I<VIÏ.  85. 


DES  PrlÂTlERIiS.  83c 

Erunîion  locale,  ibid.  — Fièvre  d'invasion,  i.i\  symplômcs 
de  riirilation  ge'néiaie,  LVU.  87.  —  Eruplioti  générale, 
LVII.  8B.^ — Suppuralion  et  dessiccation  des  pustules,  ibid. 
Anomalies  ou  régularité  dans  la  marche  delà  variole  inocu- 
lée ,  LVII.  90. 
Lenteur  de  la  maiche  de  la  maladie  ,  ibid.  —  Accélération 
de  sa  marclie ,   «tiV/.  — Absence  de  l'éruption  générale 
secondaire,  ibid.  —  MuHipiicilé  des  c;i:piions  générales 
secondaires,  i/^ifi. — Eruption  anomale  rosacé,  LVII.  91. 
Complications  qui  peuvent  survenir  ij  la  variole    inoculée, 

ibid. 
Traitement  de  la   variole   inoculée,  LVII.  9-2.  —  Traile- 
rnçnt  hygiénique,  LVII.  gS.  —  Traitement  pharmaceu- 
tique, ibid. 
Histoire  de  l'inoculation ,  LVII.  t)5. 
Auteurs  ([ui.en  ont  traité,  LVîI.  100. 
VARIOLEÙX;  LVIL  loi. 
VARIOLIQUE;  LVII.  102. 

VARIQUEUX;  LVIL  102.  —  Ancvrysme  variqueux  ,  ibid.— 

Description  de  celle  maladie,  ibid.  — Son  siège  ,  ibid. —  Sa 

marche,  LVII.   io5.  —  Son  licitement,  ibid. 

Théorie  de  la  formation'  des  anévrvsmes  variqueux     ibid 

VASCIILAIRE  ou  VASCULELX;  LVIL  io3. 

VASTE  ;  LVIL  io3.  — Muscle  vaste  externe  ,  ibid.  —  Muscle 

vaste  interne ,  ibid. 
\EA.U  ;  considérations    géuéral-es  sur  la  chair   de   veau,    ses 

pi'oprictés  et  ses  usages,  I.  3S3.  IV.  gS.  LVII.  io3. 
\  EGETAL  ;  définiiion  ,  LVIL  1  o5.  —  Il  ne  faut  pas  toujours 
se  guider  sur  leur  saveur  et   leur  odeur  poor  juger  à  priori 
dos  propriétés  médicinales  des  végétaux,  llî.  82. 
Manière  dont  ils  influent  sur  la  salubrité  de  l'air  en  déga- 
geant de  l'oxygène  ,  II.  268  ;  —  en  absorbant  les  gaz  iro- 
purs,  il.  269. 
Définition  de  la  colique  ve'gél.Vle  ,  LVIL  io5. 
Différences   entre  cette  affection  et  la  colique  métallique  ; 

tableau  comparatif  de  l'une  et  de  l'autre,  ibid. 
Histoire,  LVII.  ic.6.  —  Caractères,  ibid. —  Causes,  ibid. 

—  Symptômes  ,  ibid.  —  Traitement ,  LVII.  jo-'. 
Rapports  de  la  colique  végétale  avec  la  colique  bilieuse  j 

tableau  comparatif  de  l'une  et  de  l'autre,  ibid. 
Ce  qu'on  entend  par  végétation  en  pathologie,  LVIL  108. 
Des  diverses  végétations,  LVII.  log. 

Vé::^étations  osseuses,  ibid.  — Végétations  cornées,  ibid.  — 
Végétations  cutanées  ,  ibid.  ' —  Végétations  fibreuses  ,  — 
Végétations  muqueuses ,   ibid.  —  Végétalicns  séreuses , 


83-2  TABLE 

îhicL —  Vr'getalions    vasculaiies,  /Z^z./.    —  Ycgclalions 
éiecliies ,  ibid. 
Causes  des  vëgctalions,  LVIII.  112. 
Traitement,  ibid. 
VEGETO-MI^ERAL;  LVIL  112. 
VEHICULE;  LYIL  112. 

VEILLÉ;  considiiralionsgëncrales  sur  la  veille  ,  XXXI.  iSg. 
LVII.  112.  « 

Temps,  et  dure'c  do  la  veille  ,'LVIÎ.  11 5. 
Vaiie'tésdatis  sa  durée  selon  l'âge,  LVII.  i  iG;  —  le  sexe, 
LVIL   117  J  —  le  tempérament  ,  ibid.;  —  les  habitudes  , 
ibid,  ;  —  le  climat ,  LVII.  118. 
Causes  de  la  veille,  ibid. 
Influence  des  veilles  prolongées  sur  la  constitution,  LViï. 

119- 

La  veille  considérée  comme  objet  de  scniéiojiquc  ,  LVII. 
122  j  —  comme  moyeu  de  tîiérapeusique,  LVIL  i23. 

Comparaison  de  l'état  des  organes  et  des  fonctions  de  l'cco- 
nomie  dans  la  veille  et  dans  le  sommeil ,  ibid 
Veille  cl  sommeil  des  plantes  ,  ibid. 
VEINES^   considérations   générales  sur  ces  vr.isseaux  ,  leur 

nombre,  disposition,  forme,  direction,  calibre,  leur  capa- 
cité ge'ncrale,  leur  division,  leurs  anastomoses  et  leur  1er 

minaison  ,  LVII.  124* 

Organisation  des  veines,  LVIL  127. — Membrane  propre, 
ibid.  —  Membrane  interne,  LVIi.  12B.  —  Valvules  , /Z'iW. 

Action  dos  réactifs  sur  elles,  LVlî.  i2q. 

Tissu  cellulaire,  vaisseaux  et  nerfs  ,  LVII.  i3o. 

Propriétés  vitales  des  veines,  ibid.  —  Leurs  usages,  LVIL 
i3i. 

Causes  du  cours  dn  sang  dans  leur  intérieur,  ibid. 

Pouls  veineux ,  LVil.  i34.  —  Absorption  veineuse  ,  ibid. 

Développement  des  veines,  ibid. 

Plaies,  LVU.  i55.  —  Déchirement,  VIL  x33.  —  Rup- 
ture, LVII.  i36.  —  Inflammation,  i^bid.  —  Oblitération, 
LVII.  157.  —  Ossification,  ibid. —  Varices,  ibid.  — In- 
troduction de  l'air  dans  les  veines,  ibid. 

Description  de  la  veine- cave  supérieure,  LVII.  4^^  —  ^^^* 
la  veine-cave  inférieure,  ibid. 

Usages  de  ces  veines  ,  LVIL  14^.  —  Leurs  maladies,  LVIL 
143.  —  Rupture,  Z/;/^. —  Oblitération,  LVIL  i^5. — 
Ulcérations,  ibid.  —  Ossification^  LVii.  iffi. 

Dcsciiplion  de  la  veine-porlc  ^  ibid. 

AEI^E-DE   MKDIISE,  ibîd. 

VEINEUX;  LVU.  i46.  — Canal  veineux,  111.  532.  LVIL  ufô. 
VELAR;  LVU.  146. 


DES  MATIERES,  833 

VELOUTÉ;  L Vil.  i46. 

VENENEUX;  LVll.  147. 

VENERIEN;  LVII.  147. 

VENIN;  LVll.  147-  —  Auteursqui  en  ont  traité,  LVll.  148. 

VENT;  LVll.  i^a. —  Considérations  générales,  l'bid, 

Vetïts  généraux  ,  ihid,  —  Vents  périodiques  ,  alises ,  oa  moas-- 
sons,  LVll.   l 'ig. —  Venis  de  mer,  LVll.  i5o.  —  Vents 
de  terre,  ibid.  —  Veuis  irréguliers  et  accidentels,  ibid. 
Causes  probables  des  venls ,  LVll.  i5i.  Leurs  effets,  LVll. 
i55.  — Leur  influence  sur  la  lerapérature  de  l'atmosphère 
L  233. 
Ce  qu'on  entend  par  vent  en  pathologie,  LVII.  i43. 
Considérations  générales  sur  les  vents,  leurs  causes,  leurs 

effets  et  leur  expulsion,  i/>iV/. 
Individus  qui  sont  le  plus  sujets  aux  vents ,  LVll.  159. 
Fétidité  des  vents  ,  ibid^ 

VENTEUX  ;  considérations  générales  sur  les  alimens  ven- 
teux ,  leur  usage  cl  les  moyens  de  corriger  cette  propriété , 
ibid, 

VENTILATEUR  j  considérations  générales  sur  l'ulilitc  , 
l'emploi,  la  construction  des  ventilateurs,  LVll.    160. 

VENTILATION  ;  considérations  générales  sur  la  ventila- 
lion  ,  son  importance  pour  la  vie  des  hommes ,  sains  oa 
malades ,  rasseuiblés  en  plus  ou  moins  grand  nombre  dans 
les  hôpitaux,  vaisseaux,  etc,  et  divers  moyens  employés 
pour  la  pratiquer,  LVll.  164. 
Le  feu  est  préférable  à  la  manche  h  vent,  I.  282. 

VENTOUSE  ;  histoire  des  ventouses  et  de  leur  emploi ,  LVll. 
174. 
Description  du  bdellomètre  ,   LVll.    180.  —  Manière  de 

l'appliquer ,  LVU.  182. 
Maladies  pour  lesquelles  les  ventouses  conviennent ,  LVII. 
i85. — Elles  sont  utiles  pour  l'ouverture  des  abcès  par 
congestion  ,  I.  55. 
Auteurs  qui  en  ont  traité,  LVII.  188. 

VENTRAL;  LVII.  189. 

VENTRE  ;  acception  ancienne  de  ce  mot,  IV.  087.  LVII.  189. 

VENTRICULE;  LVII.  189. —Ventricules  latéraux  du  cer- 
veau, ibid.  —  Ventricule  moyen  ,  ihid. 
Comment  toutes  ces  cavités  communiquent  ensemble,  II.  264. 

Ventricules  d\x  coiMv ,  LVII.  189.  —  Ventricules  du  larynx  , 
LVII.  190. 

VENTRIERE  ;  LVII.  190. 

VENTRILOQUE;  LVII.  190. 

VENTROSITE;  LVII.  190 

VENULE;  LVII.  190, 

TAULE     I.  104 


834  TABLE 

VER;  LVII.  Ï91.  — Ver  de  Gui  lice,  M/VA  —  Ver  de  terre,  i^W. 

Huile  de  ver,  ibid. 
T^er  Inlesûu ,  ibid. 

VERàTRINEjXLV.  176.  LVII.  191. 

VERBENAGÉES  ;  descriplioti ,  propriétés  et  usages  des  plan- 
tes de  cette  famille  ,  LVIL  19-2. 
VERCOQUIN  ;  LVIL  193. 
VERDET  ;  définition  ,  LVIL  igS. 
VERGE;  LVII.  194. 
VERGE-D'OR  ;    description ,  propriétés  et   usages  de  celle 

piaule,  LVIL  194. 
VERGETÉ;  LVii.  195. 
VERGETURES;  LVIL  195. 

VLRJUS  ;  propriétés  et  usages,  I.  385.  386.  LVIL  193. 
VEIUVIIGELLE  ;  LVIL  196. 

VERMICULAIRE  ouVERMIFORME;  LVIL  196.  —Pouls 
vermiculaire,  ibid.  —  Mouvement  vermiculaire ,  ibid.  — 
Appendice  vermiculaire,  ibid. 
Vermiculaire  brûlante ,  ibid. 

VERMIFUGE;  considérations  générales  sur  les  vermifuges, 
les  espèces  de  vers  contre  lesquels  ils  agissent. ,  le  mode 
de  cette  action,  LVII.  196. 

Distinction  à  établir  entre  eux,  IL  348.  LVIL  197. 
Substances  qui  agissent  mécaniquement  comme  vermifuges  , 

LVIL  198. 
Substances  qui  agissent  comme  vermifuges,  et  qui  tuent  les 

vers  par  ingestion,  ibid. 
Substances  qui  tuent  les  vers  en  les  asphyxiant ,  LVIL  19g. 
Substances  qui  les  tuent  par  leurs  qualités  acres,  volatiles  ou 

résineuses,  LVII.  200. 
Substances  qui  les  tuent  par  les  principes   amers  qu'elles 

recèlent,  ibid. 
Substances  minérales,  acides,  salines,  qui  tuent  les  vers  par 

leur  activité ,  ibid. 
Les  eiïets  des  vermifuges  cont  moins  certains  qu'on  ne  le 
pense,  IL  548. — Ils  ne  doivent  leur  action  qu'à  leurs  pro- 
priétés purgatives  ou  toniques,  ibid. 
Auteurs  f|ui  en  ont  traite' ,  LVII.  202. 
VERMILLON  ;  préparation,  caractères  et  usages  de  cette  subs- 
tance ,  LVIL  202. 
VERMINE  ;  LVIL  204. 
VERMINEUX;  LVII.  204.  —  Fièvre  vermineuse,  ibid.  — 

Abcès  vermineux  ,  ibid.  —  Ulcère  vermiueax. ,  ibid. 
VERMOULURE;  LVIL  204. 
VEROLE;  LVII.  20 5. 
VEROLETTE  ou  VERETTE;  LVII.  2o5. 


DES  IVUïlERES.  83S 

veroliqup:;  lvil  ^oS. 

VERONIQUE  ;  description  ,  propriétés  et  usages  des  plautcs 

de  ce  genre  ,  LVIL  ao6. 
VERRE;  LVIL  207.  —Verre  d'aniimoine,  LVIL  208. 
VERRIERS;  considérations  générales  sur  les  maladies  pro- 
pres aux  verriers  ,  leurs  causes  et  les  moyens  d'y  remédier, 

LVIL  208. 
VERRUE;  définition  ,  LVIL  210. 
VERS;  description  générale  de  ces  animaux  ,  L\'IL  21 1. 

Considérations  générales  sur  les  vers  intestinaux  ,  11.  i5i. 
LVn.2ii. 

Développement  des  vers  dans  le  corps  humain  ,  LVIL  Î12. 

Phénomènes  dus  à  leur  présence,  LVIL  218.  —  Trouble 
de  la  digestion  ,  LVIL  219. 

Trouble  des  autres  fonctions  ,  ibid. 

Maladies  causées  par  les  vers,  LVIL  221. 

Traitement  curalif ,  LVIL  223. 

Enuméralion  des  vers  qui  se   développent  dans    le  corps 
humain  ,  LVIL  22  |. 
Vers  cylindriques,  LVIL  225.  —  Vers  aplatis,  LVIL  227. — 

Vers  vésiculaires,  LVIL  228. 

Auteurs  (jui  en  ont  traité,  LVIL  23i. 
VERSION  ;    LVIL   233.  —   Version   spontanée   du   fœtus  , 

LVIL  235. 
Version  par  la  tête,  LVIL  234;  — p'ir  les  pieds,  LVIL  237. 

Causes  (jui  nécessitent  la  version  du  fœtus,  LVIL  238. 

Causes  appartenantes  ii  la  mère  ,  ibid.  —  Causes  apparte- 
nantes à  Tenfant,  LVIL  259. 

Conditions  nécessaires  pour  opérer  la  version,  ibid. 

Conduite  que  doit  tenir  l'accoucheur  avant  de  l'effectuer, 
à  réfj;ard  des  parons  do  la  iémme  ,  de  la  femme  clie-même 
et  du  fœtus  ,  LA  II.  240. 

Situation  de  la  femme  pendant  la  version,  LA'II.  241. 

Manière  de  procéder  à  cette  opération,  LVIL  242. 
VERT-DE- GRIS  ;  LVIL  248. 
VERTEimAL  ;  LVIL  248.  —  Artère  vertébrale,  ibid. 

Canal  vertébral  ,  LVIL  261.  —  Sa  description  ,  IIl.  537. 

Colonne  vertébrale  ,  LVIL  254-  —  Son  développement  , 
LVIL  25cj. 

Ligamens  vertébraux  ,  LVIL  262. 

Mal  vertébral ,  ihid. 

Muscles  vertébraux,    ihid.  —  Nerfs   vertébraux,  ihid.  — 
Trous  vertébraux ,  LVIL  203.  — Veines  vertébrales  ,  ihid. 
VERTEBRALITE  ;  LVIL  263. 
VERTEBRE  ;  description  ,  connexions  et  usages  des  03  Je  ce 

nom  ,  LVll.  263. 


836  TABLE 

Caractères  commuiis  des  vertèbres  ,  LVll.  •364- 
Oa.ractères  des  vertèbres  cervicales,  LVll.  266;  —  de  la  pre- 
mière vertèbre  du  cou,  LVll.  2665  —  de  la  seconde^ 
LVll.  267  ;  —  de  la  septième ,  LVll.  168. 
Des  vertèbres  du  dos ,  ibid.  —  De  la  première  ,  LVll.  269. 

—  De  la  dixième  ,  ibid.  —  De  la  onzième  ,  LVll.  270. 

—  De  la  douzième  ,  ibid. 

Des  vertèbres  des  lombes  ,  ibid.  —  De  la  cinf|uième,  LVll. 
271. 

Structure  des  vertèbres  ,  ihid.  —  Leur  mode  de  dévelop- 
pement,   LVll.  272.  —  Leurs  articulations  ,  LVll.  277. 

Articulation  entre  elles,  LVll.  2!:!i. — Articulation  avec  le 
bassin,  LVll.  284. 

Mouvemens  de  la  colonne  vertébrale  ,  LVll.  285.  —  Mou- 
vemcns  particuliers  à  chaque  région  ,  LVll.  286. 

Mouvemens  de  la  région  cervicale,  ibid.;  — de  la  région 
dorsale,  ibid.;  —  de  la  région  lombaire,  ibid. 

Mouvemens  particuliers  à  chaque  vertèbre,  LVll.  287.  — 
Mouvemens  de  la  tête  sur  l'atlas  ,  ibid.  —  Mouvemens  de 
la  première  vertèbre  cervicale  sur  la  seconde,  ibid. 

"Usages  des  vertèbres  et  de  la  colonne  vertébrale,  LVll.  288. 

Considérations  générales  sur  les  maladies  des  vertèbres, 
LVll.  290. 

Luxations,  LYII.  292.  —  Déplacement  des  vertèbres  cervi- 
cales, LVll.  2(j3.  — Luxation  de  la  première  sur  la  se- 
conde, LVll.  296.  —  Luxation  des  vertèbres  dorsales  et 
loml)aire9,  LVll.  3o5. 

Fractures,  LVll.  3o6.  —  Ramollissement,  LVll.  309.  — 
Exostoses,  LVll.  3 10.  —  Carie,  ibid.  —  Gibbosité,  LVll. 

5l2. 

Mal  vertébral,  LVll.  3i3.  —  Ankylose,  LVll.  Sri.  —  Spi- 
na-bifida  ,  ihid.  —  Spinitis  ,  LVll.  3i5. 
VERTÉBRÉS  ;  comparaison  des  animaux  vertébrés  et  invcr- 

te'brés,  LVil.  319. 

Caractères  communs  des  animaux  de  cette  section,  H.  i52. 

Formes  du  système  nerveux  simple  ou  composé  des  aninjaux, 
LVil.  323. 

Considérations  sur  l'existence  probable  de  l'élément  ner- 
veux chez  les  zoophytes ,  ibid. 

Formes  du  système  nerveux  chez  les  vers ,  les  insectes  ,  les 
crustacés,  les  mollusques,  LVll.  324- 

Distinction  des  deux  systèmes  nerveux  chez  les  animaux 
doués  d'une  colonne  vertébrale,  LA^ll.  53o. 

Du  système  nerveux  intercostal  ou  trisplancîmique  des  ver- 
tèbres, LVll.  53 1. 
VERTEX  ;  LVll.  534. 


DES  MATIERES.  837 

VERTIGE  j  ses  causes,  signes  qu'il  fournit  dans  les  maladies, 

LVII.334. 
VERUMONTANUM  ;  LVll.  535.  —  Accidcns  causes  par  un 
accroissement  trop  grand  de  cette  énjinence,  LVll.  336. — 
Cas  de  cette  nature,  IV.  23o. 
VERVEINE;  description ,  propriétés  et  usages  des  plantes  de 

ce  genre  ,  LVll.  336. 
VESANIE;  LVll.  339. 
VESCE  j  description,  proprie'le's  et  usages  des  plantes  de  ce 

genre,  LVll.  5^0. 
VESICAf.;  LVll.  342. 
VESlGANTj  considérations  ge'ne'rales  sur  les  ve'sicans ,  leur 

action  et  leurs  usages  ,  LVll.  34a- 
VESICATION  ;  LVll.  343. 

VESICATOn\E  ;  différentes  substances  propres  à  produire  la 
vcsicatiou ,  LVll.  545. 
Divers  topiques  employe's  dans  la  pratique  pour  former  des 

ve'sicatoires ,  ibid. 
Placement  de  ces  corps.  LVll.  347.  — Choix  h  faire  entre 

eux,  LVll.  348. 
Appareils  propres  à  maintenir  l'emplâtre  vt'sicant ,  ibid. 
Choix  du  lieu  où  l'on  e'iablit  un  \esicatoire,  LVll.  349.  — 

Préparation  de  la  partie  où  on  l'établit,  LVll.  35o. 
Forme  et  nombre  des  ve'sicatoires  ,  ibid. 
Application  de  l'emplâtre  vésicant,  LVll.  SSa. 
Durée  du  temps  pendant  lequel  on  doit  laisser  le  ve'sicant , 
ihid.  —  Levée  de  l'emplâtre ,  ibid.  —  Pansement  et  entre- 
tien d'un  ve'sicatoire  ,  LVll.  355. 
Accidens    locaux   qui   l'accompagnent   quelquefois ,  LVll. 

558. 
Accidcns  extérieurs,  LVll.  559;  —  du  bord  de  la  plaie, 

LVll.  36o  ;  —  de  sa  surface,  ibid. 
Action  des  vésicatoires  ,  LVll.  û63. 

Maladies  dans   lesquelles  on  conseille  l'emploi  des  vésica- 
toires, LVll.  365. 
Cicatrisation  de  la  plaie  ,  ihid. 
VESICO-PROSTATIQUE;  LVll.  368. 
VESICULE;  LVll.  568. 

Description  de  la  vésicule  biliaire,  ibid.  —  Son  organisa- 
tion, LV11.36.> 
Tunique  séreuse,  ihid.  —  Tunique  celluîeuse,  LVll.  370. 

Tuuique  mu(jueuse,  ihid. 
Artères,  ihid.  — Vaisseaux  lymphatiques,  ihid. 
Usages  de  la  vésicule  du  fiel,  LVll.  3'ji. 
Mécanisme  de  sa  re'piction  et  de  sa  déplclion  ,  111.  126. 
Canal  cystique  ,  LVll.  371. 


838  TABLE 

Maladies  de  la  vésicule  biliaire  ,  ihid.  —  Plaies,  ibid. —  Pro- 

noslic  de  ces  lésions,   IH.  207. 
Ru  pluie  ,   LVIl.   371.   —  Inflammation  ,   LVll.    3701.  — 
"Ulcères,   LVll.  373.  —  Tubercules,  ibid. — Ossificaliou  , 

ibid.  —  Conlraclioi) ,  ihid. 
Alléralion  de  la  bile  dans  la  vésicule,  LVll,  374. 
Corps  étrangers,  ibid.  —  Calculs  biliaires,  LVll.  075.  — 

Tumeurs  ,  ihid. 
Signes  propres  à  distinguer  son  gonflement  causé  par  la  bile 

retenue  des  abcès  hépatiques  ,  1.  20.  21. 
Les  calculs  qui  se  fornicfit  dans   son   intérieur  deviennent 
«quelquefois  la  cause  d'abcès,  1.  21.  —  Conduite  ù  tenir 
dans  ces  sortes  d'abcès ,  ibid. 
Vésicule  ombilicale,  LVll.  379. 

Description  des  vésicules  séminales,  LVll.  38o.  —  Leur  or- 
ganisation, LVll.  38i. 
Considératiorts  pathologiques  à  leur  sujet,  LVll.  382. 
VESOU  ;  LVll.  383.  —  Il  est  très-nourrissant,  1.  384. 
yESSE-DE-LOUP  ;    description  ,    propriétés   et    usages   des 

plantes  de  ce  genre,  LVll.  383. 
3^ESSIE;  description  anatomique,  LVll.  384- —  Sa  capacité, 
LVIL  385.  —  Sa  direction  ,  ibid. 
Surface  extérieure,  rapports  avec  les  parties  voisines,  LVll. 

38G.  —  Surface  interne,   LVll.  087. 
Organisation  ,  LVll.  389. 
Membrane   séreuse  ,    tunique   externe  ,    enveloppe   périlo- 

néale  ,  ibid. 
Mcmbranemusculuirc,  réseau  tnusculcux,  tunique  charnue, 

ibid. 
Membrane  ccHulcuse,  ibid.  —  Membrane  mu([ueuse,  tuni- 
que   veloutée,    membrane  iuli.'.iKr  ,     tunique    nerveuse, 
LVll.  390.  —  Col  de  la  vessie  ,  ibid. 
Vaisseaux  sanguins  cl  lynqîhatiques,  ibid.  —  Nerfs,  ibid. 
Fonctions  de  la  vessie  ,  ibid. 

Absence  de  cet  organe,  IV.  i58.  —  Il  est  quelquefois  dou- 
ble ,  iV.  log. 
Maladies  dont   il  peut  être  atteint  ,  LVll.  392.  XXX.  357. 
Plaies,  LVll.  092.  —  Bases  sur  lesquelles  on  doit  eu  éta- 
blir le  diagnostic,  111.  208. 
Rupture,  LVll.  3fp.  — Déplacement , //><"t/.  —  Renverse- 
ment,  introversion,  ibid.  —  Exlroversion ,   XIV.   3/|5. 
LVll.  39'.T.  —  Hernie  de  la  membrane  muqueuse,  LVll. 

Corps  étrangers  ,  ibid.  ;  —  introduits,  ibid.  ;  —  nés  dans  le 

viscère ,  ibid. 
Paraly:>ie,/Z'à/,  —  luflumm.ilion  de  iumcuihrane muqueuse. 


DES  MATIERES.  839 

on  catarrhe vcsical ,  ihicL  —  Inflammation  des  cryptes ,  des 
follicules  mu(jucux  cl  des  vaisscnux  sanguins,  ihid. 
Les  ahcèà  ont  ordinaiicnicut  Jeta-  siège  pics  du  col,   1.   it\. 

—  La  cause  ordinaiie  en  est  la  rétention  d'urine,  1.  2.4. 
Gangrène,  LVli.  3n4.  —  Ulcères,  fistules,  ibid. —  Indura- 
tion chronique,  ihid. 
Dégenéralion  scjuirreuse,  ibid.  —  Causes  et   traitement  du 

cancer  ,111.  G'|4. 
Auteurs  qui  en  ont  uailc,  LVIl.  3q4. 
VESTIBULE;  XXVll.  92.  XXXVIII.  18.  LVII.  394. 
VESTIGE;  LVII. 394.  ■ 

VETEMENT;  considérations  géneFaies  et  historiques  sur  les 
vôtemens ,  les  matières  qui  servent  h  les  confectionner,  les 
qualités  qu'ils  doivent  reunir,  les  diflérences  qu'ils  doivent 
éprouver  suivant  les  temps,  lieux,  climats,  sexes,  âges, 
professions,  etc. ,  leurs  effets  sur  rcconomie  ,  et  leur  emploi 
thérapeutique,  LVII.  394* 
Auteurs  qui  en  ont  traité,  LVII,  4i  '• 
VETERIN  A.IR.E  ;  considérations  géuérales  sur  l'e'tude  de  t'art 

vétérinaire  en  France,  LVII.  ^n. 
VEZNIX  (  eau  minérale  de  )  ;  LVII.  4 1 2. 
VIABILITE  ;  considérations  générales  sur  la  viabilité  des  en- 
fans  ,  et  les  lois  faites  à  ce  sujet ,  LVII.  4  '2. 
Signes  de  la  maturité  de   l'enfant   uouvcau-nc  à  la   fin  du. 

ncuvicttie  mois,  LVII.  4i4' 
Il   n'est   pas   prouve  que  l'enfant  ne  soit  viable  qu'à  sept 

mois  révolus,  II.  47^- 
Circonstances  qui  font  varier  l'épo(pie  de  sa  viabilité,  ibid. 
Phénomènes  qui  s'opèrent  lors  du  la  siaissance,  et  qui  seuls 
peuvent  donner  lieu  à  la  viabilité  de  l'enfant,  LVII.  4i6. 
Des  enfans  viables  extraits  par  l'opcialion  césarienne,  LVII. 
420. 
VIABLE;  LVII.  422. 
Vf\NDE;  I.  J59.  LVII.  422. 

Considérations   relatives   aux    bestiaux   qu'on   destine   aux 

boucheries,  VI.  89. 
On  a  tort  de  croire  que  la  salaison  ou  autre  procédé  sem- 
blable assainisse  la  viande  des  animaux  malades  ,  VI.  90. 
Danger  d'échauffer  les  bestiaux  avant  de  les  tuer  ,  VI.  91. 
Débit  et  cotisornmation  des  viandes  de  boucherie,  VI.  92. 
Bestiaux  divers  qu'on  destine  à   la  nouriilure  de  l'homme  , 
VI.  (,6. 
VIBICES;  LVII.  422. 
VIBRAlNT;  définition,  LVII.  422. 
VIBRATILITE;  LVII.  422. 
VICE;  LVII.  422-  — Vice  de  conformation,  ibid. 


84o  TABLE 

VIDANGES  ;   on  donne  ce  nom  aux  cxcrémens  de  l'homme 
ou  des  animaux  ,  LVll.  424- 

Considcralions  générales  sur   les   moyens  employés  et  sur 
ceux  qu'on  pourrait  employer  pour  opérer  les  vidanges 
d'une  manière  salubre,  ihid. 
yiDANGEUllS  ;   considcralions   générales  sur  les  maladies 
propres  aux  vidangeurs,  sur  les  moyens  de  les  prévenir  et 
ceux  de  les  combalire  ,  LVII.  4^6. 
VIDE;  LVll.  452.  —  Considérations  générales,  ihîd. 
VIDIEN  5  LVll.  454.  —  Conduit  vidien,  ibid.  —  Artère  vi- 

dienne,  ibid.  —  Nerf  vidien,  ibid. 
VIEj  définition,  LVl!.  434. 

Considérations  générales  sur  la  vie  et  son  origine  dans  tous 

les  êtres  organisés,  ibid. 
Du  mouvement  de  la  terre  et  des  astres  considéré  comme 

cause  impulsive  de  l'action  vitale ,  LVll.  435. 
Principes  générateurs  du  mouvement  et  de  la  vie  dans 

noire  système  planétaire,  LVll.  ^^^. 
Différences  entre  les  substances  brutes  et  les  créatures  orga- 
nisées vivantes,   caractères  disiinctifs  de  ces  dernières, 
LVll.  452. 
Complication  graduelle  des  élcmens  constitutifs  du  minéral , 

du  végétal  et  de  l'animal  ,  LVll.  460. 
Des  premières  fondions  de  la  vie  dans  les  corps  organisés, 

végétaux  et  animaux,  LVll.  467. 
Examen  de  celle  question  ,  s'il  y  a  eu  des  générations  spon- 
tanées, ou  une  création  d'clres  sur  noire  planète,  et  si  le 
règne  de  la  vie  résulte  des  seules  forces  de  la  matière,  ou 
plutôt  d'une  puissance  intelligente  ,IjV11.  47^' 
Probabilités  philosophiques  d'une  ou  de  plusieurs  créations 
de  germes  de   vie  par  une  puissance  intelligente  sur  le 
globe,  LVll.  486. 
De  l'existence  pour  chaque  espèce  d'une  forme  propre  or- 
ganique, transmissible  par  la  génération,  la  vie  n'étant 
ainsi  qu'un  héritage,  et  la  mort  d'un  individu  fournissant 
des  matériaux  pour  l'existence  de  ceux  qui   naissent , 

LVll.  497- 
Circulation  perpétuelle  de  la  matière  vivante  ou  organique, 

tournant  autour  des  deux  pôles  de  la  génération  et  de  la 

destruclion;  développement  des  espèces,  LVll.  5o6. 
Conclusion  ,  LVll.  5ii. 
Considérations  générales  sur  la  vie  ou  Torce  vitale  sous  le 

rapport  physiologique,  LVU.  5i5. 
Caracicies  physiologiques  de  la  vie,  différences  entre  ses 

lois  et  celles  de  la  physique,  LVll.  S11. 
De  l'intelligence  ou  du  principe  directeur  des  créatures  ani- 


DES  MATIERES.  8ît 

nieps ,  et  de.  SCS  diifJriiUS  degrés  correspondais  avec  l'cial 
de  l'organisaliou  du  système  nerveux  ,  LVll.  5a4- 

De  ranimaùon  des  pailies  liquides  et  solides  du  corps  ani- 
mai, et  de  son  conimenccrnont  par  èlie  eniièrerncnl  un  li- 
fjuide  organique,  LV!!.  53?.. 

Dis  deux  principales  facultés  de  la  vie,  la  motiliië  el  !a 
sensibilité  j  de  la  disti«clion  des  deux  modes  de  vitalité, 
organique  ou  végétative,  animale  ou  scnsiiivcj  des  élé- 
mens  propres  à  chacune  d'elles,  LVll.  556. 

Des  éléfnens  fondamentaux  des  organes,  LVll.  Scî'J. 

Tissu  cellulaire,  ihid.  —  Tissu  musculaire  ,  ibid.  — Pulpe 
médullaire,  LVll.  538. 

Propriétés  de  ces  principes  fondamentaux,  I^Vll.  54'^.- — 
Tonicilé,i7j/(:/. — Irritabilité,  ihid. — Sensibilité,  LVll.  542. 

De  l'appareil  sensitif  et  de  ses  divisions,  LVil.  543. 

De  Torigiae  el  de  la  formation  primitive  de  l'élément  ner- 
veux ou  sensitif,  LVll.  555. 

Dos  premiers  linéamens  de  la  vie  dans  son  origine  par  gé- 
nération, et  des  causes  qui  l'allument  dans  les  orgnacs 
préexistans,  ou  de  Panimation  propre  à  chaque  partie  , 
LVll.  5.8. 

La  vie  peut  être  suspendue  par  le  froid   pendant  pîusieui'î 
jours,   chez   riiomme  ,    sans  être  anéantie,    1.  261.  — 
Moyens  de  la  ranimer  alors,  L  262. 
ViK  DU  FOETUS  ;  de'Onilion  ,  LVll,  S^S. 

Considéraiions  générales,  ihid. 

Accroissement  général  et  successif  du  fœtus,  LVll.  5n4. 

Embryon  de  quelques  jours,  LVll.  675;  —  à  quarante 
jours,  ibid.  ; — à  quarante-six  joars,  ibid.; — à  cinquante- 
deux  jours,  ibid.  ;  —  à  cinquante-quatre  jours,  ibid.  ■  — 
à  soixante- dix  ]ouïs  , ibid.  ;  — ci <fuatre- vingt-quatre  jours 
ibid.  ;  —  à  cent  quatre  jours,  ibid.  ;  —  h  cent  vingt  jours , 
LVll.  5765  —  h  ccTit  vingt-six  jours,  ibid.;  —  à  cinq  mois 
cl  dix  jours  ,  ibid.  ;  —  h  six  mois,  ibid.;  —  à  sept  mois  , 
ibid.  ;  —  à  Jiuit  mois,  ibid.  ',  —  h  neuf  mois ,  ibid. 

Organes  accessoires  au  fœtus,  LVll.  Syi. 

Mt.nibrane  caduque,  LiV.  57B.  —  Caduque  réfléchie  ,  ihiiî. 
Chorion,  ibid.  —  Amnios,  LVll-  579.  —  Eau  de  l'am- 
nios  ,  ihid.  —  Placenta ,  LVll.  58o.  —  Cordon  ombilical 
LVll.  582. 

Formation  successive  des  organes,  ihid. 

Cerveau,  LVll.  585.  —  Colonne  épiniîîre,  ibid.  —  Pou- 
mons, LVll.  584-  —  Cœur  et  vaisseaux  sanguins,  ibid. 
—  Système  digestif,  LVll.  587.  —  Yo'xe^ihid.  —  Orgams 
nrinaircs  ,  ibid.  —  Thymus,  ihid.  —  Org mes  géae'ialeuri, 
LVll.  588. 

ÏACI.E     I.  105 


8/,  2  TABLE 

Sj'slème  osseux  ,  ibid.  ',  —  dans  le  premier  temps ,  ihid  ;  — 
à  cinq  mois,  ibid.;  —  à  huit  mois,  ibid.  ;  —  à  tei  uu- , 
LVIi.  5«9. 
Muscles,  ibid.  —  Tégumens,  ibid. 

Foaclions  du  fœtus,  LVll.  5go.  — Nutrition  ,  ihid.  — Cir- 
culation, LVU.  593.  —  Mouvemens,  LVll.  394. 
Fonctions  excrétoires,    LVJL   595.    —  Fonctions  des  sens 
externes  ,  ihid.  —  Sens  interne  ,  instinct ,  moi  du  fcclus  , 
ihid. 
Maladies  du  fœtus  ,  LVll.  Sgy. 

La  mort  du  fœtus  et  ses  signes,  LVll.  601.  —  Mouvemens 
convulsifs,  ihid. —  Différence  de  poids,  ibid.  —  Absence 
de  mouvemens,  LVll.  6o?>.  —  Circulation,  ihid. 
Séjour  d'un  enfant  mort  dans  l'utërus,  et  clîangemens  qu'il 
peut  subir  ,  LVll.  6o3. 
VIEILLARD;  LVllI.  I. 
A'IEILLESSE;  diverses  périodes  de  cet  âge,  îiVlll.  i. 

Etat  physique  des  différeus  tissus  de  l'honime  ,   de  ses  hu- 
meurs et  de  ses  fonctions  pendant  la  vieillesse,  LVlll.  •>.. 
Phénomènes  qui  la  caractérisent,  L  182. 
Lésions  des  tissus  du  corps   humain  pendant  la  vieillesse  , 

LVlll.  3. 
Tissu  pileux,  ihid.  —  Tissu    épidermoïde,  ibid.  —  Tissti 
cutané,  LVlll.  4-  — Tissu  cellulaire,  ibid.  — Tissu  adi- 
peux, ihid.  —  Tissu  artériel  ,  LVlll.  5.  —  Tissu  vei.neux  , 
ibid.  —  Tissu  capillaire,  ibid.  —  Tissu  nerveux,  LVlll. 
6.  —  Tissu  musculaire  ,  ihid. —  Tissu  fibreux,  LVlll.  7. 
—  Tissu  cartilagineux,  ihid.  —  Tissu  fibro-cartilagineux, 
ibid.  —  Tissu  osseux,  ibid.  —  Tissu  séreux ,  synovial, 
muqueux,  LVlll.  8.  — Tissu  viscéral,  ibid. 
Allérations  des  liquides  dans  la  vieillesse,  LVlll.  g  ;  —  du 
sang,  ihid.-^  — de  la  sérosité ,  LVlll.  10;  —  de  la  bile, 
ibid.  ;  —  de  l'urine ,  ihid. 
Etat  des  fonctions  dans  la  vieillesse,  T^VIll.  11  ;  —  de  la 
circulation ,  ibid.  ;  —  de  la  respiration,  ibid.  ■  —  de  la  di- 
gestion ,  LVlll.  11;  —  de  la  nutrition  ,  ibid.  ;  —  de  l'aVi- 
sorption,  LVlll.  i3  j  — de  l'exhalation  ,  ibid.  ;  —  de  ht 
locomotion,  LVlll.  i4;  —  de  la  génération,  ibid. -,  — 
des  sensations,  LVlll,  i5j  — 'du  sommeil ,  ihid.  j  —  do  la 
veille,  LVlll.  16. 
Etat  moral  de  l'homme  dans  la  vieillesse  ,  ibid. 
Altérations  des  facultés  intellectuelles ,  ibid.;  —  des  per- 
ceptions ,  LVlll.  in  ;  —  de  l'imagination,  ibid.  ;  — •  de  la 
îaémoire  ,  LVlll.  18;' — de  l'attention  ,  ibid.;  —  du  jut^t:- 
ment,  LVlll.  19. 
Passions  chez  les  vieillards , //'/(A  — Conversation,  LVlil. 


DES  MATIERES.  843 

20.  —  Indifférence,  LVUl.  7.1.  —  Credulile  et  méfiance  , 
ibid.  —  Avarice  ,  LVlll.  22.  —  Crainte  de  la  mon,  Jbich 
Maux  divers  qui  accompagnent  la  vieillesse,  I.  ib2. 

Caractères  que  la  vieillesse  imprime  aux  maladies,  LVÎll. 
24  ;  —  aux  fièvres,  LVlll.  26  ;  —  aux  plilegmasies,i7u'«f.  ; 
—  aux  he'morragics  ,  LVlll.  28;  —  aux  ne'vroscs,  ibid.;  — 
aux  maladies  lymphatiques,  LVlll.  295  — aux  maladies 
organiques,  LVUl.  3o. 

Pourquoi  les  maladies  sont  alors  presque  toutes  chroniques, 

Thérapeutique  des    maladies  des  vieillards,    LVlll.   3i. 

1.  190. 
Soins  liygie'niques  à  prendre  dans  la  vieillesse,  LVlll.  36. 
.\nleurs  qui  en  ont  traité,  LVlll.  3g. 
VIERGE;  LVlll.  41. 
VIF-ARGENT;  LVJll.  42. 

VJONE;   description,   propriéle's  et  usages  de  celle  plante  , 
ibid.  —  Vigne  cultivée,  ibid.  —  Vigne  sauvage,  L\'lll.  44- 
Vigne  blanche,  LVlll.  45.  —  Vigne  vierge,  ibid.  — Vigne 
noire ,  ihid. 
VIGUEUR.  ;  sources  de  la  vigueur  physique  chez  les  individus, 
moyens  qui  la  procurent  el  qui  la  maintiennent , LVlll.  4O. 
De  l'hérédité  de  la  vigueur  corporelle  ,  el  de  l'existence  de 
races  chez  lesquelles  la  valeur  et  les  qualités  les  plus  gé- 
néreuses soient  transmissibles,  LVill.  5o. 
Des   moyens  ou  causes  qui  conservent    la  vigueur  dans  les 
races  humaines,  et  de  celles  qui  font  dégénérer  leS  fa- 
milles les  pins  nobles  et  les  pins  généreuses  de  leur  anti- 
que valeur,  LVlll.  55. 
Dclavigueur  morale,  des  moyens  propres  à  l'augmenter  et 
à  la  perpétuer  ,  LVlll.  63. 
^  iLLARSlEj  Vlil.68. 
V  !  LLEU\  ;  définition  ,  LVIII.  69. 
\iN  ;  considérations  générales,  LVlll.  (')().  ^L  i3o. 

Disposition  des  terrains  propres   à    la  culture  de   la  vigne, 

LVUL  no.  —  Composition  de  ces  terrains,  LVlll.  ■]  1. — 

Exposition ,  ibid.  —  Qualités  des  ])lans  de  vigne ,  tbid.  — 

Travaux  d'agriculture,  VI.  1  3i.  LVIII.  72. 

De  la  fermentation  vineuse,  el  des  conditions  qui  lui  sont 

nécessaires ,  ibid. 
Qualités  du  bon  vin,  LVIII.  '^7.  —  Son  analyse,  ibid.  — 

Son  bouquet,  LVIII.  80. —  Sa  lie  ,  LVIII.  83. 
Variétés  sensibles  el  intrinsèques  des  vins,  LVUL  84- 
/''lis  blancs  ou  rouges,   ibid.  —  Vins   secs  cl    de   liqueur  , 
LVlll. 85. — Vins  mousseux  ,  I,.VIIl.  87.  — Vins  mixtes, 
LVIII.  89. 


84  f  TzVlîLE 

Des  vins  vorls,  et  des  diverses  alleralions  qui  arrivent  aux 

vins,  ibîd. 
Elfels  divers  des  diffo'rens  vins,  et  causes  de  celte  diversité, 

111.233. 
Usages  médicinaux,  du  vin,  en  santé'  et  en  maladie,  LYIII. 

Lisages  diététiques,  ihuL;  —  selon  l'âge,  LVIII.  95  ; —  le 
sexe,  LYUI.  yT  ;  —  !a  profession  ,  ibid.-^  —  la  différence 
intrinsèque  du  vin,  LVlIi.  qH. 

Usiige  médicinal ,  LYÎII.  gc)  ;  —  dans  la  mélancolie  ,  la  ma- 
nie tranquille,  LYîlï.  loi  ;  —  dans  riiA'pocIiondrie  ner- 
veuse, ibîd.  ;  —  dans  Thystérie  nerveuse,  LYIII.  102;  — 
dans  l'épuisement ,  ia  consomption  dorsale,  ibid.; — dans 
le  maras.'ne  sénili;,  ibid.-,  —  dans  la  fièvre  hectique, 
L"V1II.  io3;  —  dans  le  scorbut ,  i7/?Vi;  —  dans  les  scro- 
fules, ibid.',  — dans  les  crampes  d'estomac,  LYIII.  io4; 
< — dans  les  fièvres  éruptives,  ibid. -^  —  dans  les  fièvres 
rémillentes  et  intermittentes  malignes,  ibid.  ;  —  dans  la 
diarrhée  atoniquc,  LVÎII.  io5;  —  dans  les  convales- 
cences ,  ibid. 

Usages  pharmaceutiques  du  vin  ,  ibid. 

Yins  falsifiés  ou  eninoisonnés  ,  moyens  de  les  reconnaître, 
YL  i3i.  LYIlî.  107. 

Falsification   par  le  mélangée  avec   d'autres  vins,   LYIII. 
108;  — avec  le  cidre,  Y!.   i35.  LYUI.  log.  5  —  par  ad- 
dition d'alcool.YI.  i36.  LYIII.  110. 
yins  artificiels  ,  ibid. 

Falsification  avec  des  plantes  enivranles ,  LYIII.  m;  — 
par  le  soufre,  ibid.; — par  les  substances  terreuses  elles 
sels  terreux,  YI.  i33.  LYIil.  no.;  —  par  des  matières 
colorantes  ,  YI.  i3g.  —  parles  oxides  de  plomb,  YI.  :38. 
LYIII.  112;  —  par  le  cuivre,  l'arsenic,  le  sublime  cor- 
rosif, LVIII.  ii5;  — par  l'alun,  YI.  i38. 

Liqueurs  fermenlées  économiques  propres  à  suppléer  au  vin, 
LYlil.  117. 

Auteurs  qui  en  ont  traité,  ibid. 

Préparation,  conservation  et  usages  des  vins   médicinaux, 
LYIIL  If 9. 
YlNAIGREj  ce  n'est  pas  de  l'acide  acétique  pur,  YI.  124. 

LYIII.  121. 

Préparation  des  différens  vinaigres,  LYIII.  122.  —  Yinaigre 
devin  ,  ibid.  —  Yinaigre  de  bière,  LYUI.  i24- — Yinaigre 
de  petit  lait,  LYïlI.  i25.  —  Vinaigre  radical,  LYlil. 

123. 

Con) position  du  vinaigre  de  vin  ,  ibid. 


DES  MATîEilES.  845 

Théorie  de  la  fernieulatioa  acëteuse,  et  analyse  du  «vi- 
naigre, LVIU.  iiO. 

Usages' médicinaux  du  vinaigre,  L"ViII.  i3o  ;  —  dans 
les  affections catarrhales,LY III.  i3i  ; —  dans  l'obesilé, 
LVlll.  i32. 

Comme  diuiëtique  et  sudoiifîque ,  ibid.  —  Comme  anti- 
puivlde  ,  ibid.  — Comme  désinfectant,  LVIII,  i54. — 
Comme  astringent,  ibid. 

Ses  usages  pharmaceutiques,  LVIII.  i35. 

Sirop  de  vinaigre,  LVIII.  i36.  —  Oximel  scillitîque  ,  ibid. 

—  Oximel  colchiticfue  ,  ibid.  —  Vinaigre  camphré, 27?zVZ. 

—  Vinaigre  rosat,  ibid.  — Vinaigre  anliscorbutique,  ibid. 

—  Vinaigre  thériacal,  ibid. 

Falsification  du  vinaigre,  et  moyens  de  la  reconnaître,  VI. 

I  25, 

Faux  vinaigres  ,  moyens  de  les  distinguer ,  ibid.  —  Acide 
pyro-ligneux,  LVIII.  142. — •  Acide  lartarique,  malique, 
LVIII.  143.  —  Acide  suifurique,  ibid. 
Auteurs  qui  en  ont  traité,  LVIII.  i44- 
Conservation  ,  préparation  et  usages  des  vinaigres  médici- 
naux, ibid. 
VINAGRILLO5  LVÎIÏ.  143. 
VIlNETTIERj  LVIII.  145. 

VIOL  ;  considérations  générales  et  médico-légales  sur  le  viol 
et  les  lois  dont  il  est  l'objet ,  LVIII.  i43- 
Recherches  et  moyens  employés  en  médecine  légale  pour 
constater  le  viol  et  autres  attentats  à  la  pudeur,  XXIV. 
146.  LVIII.  i5o. 
Précautions  à  prendre  pour  n'en  pas  confondre  les  traces 
avec  celles  des  maux  vénériens ,  IV.  5ii. 
VIOLEES;  propriétés  générales  des  plantes  de  celte  famille, 

LVIII.  i56. 
VIOLETTE  ;  description  ,  propriétés  et  usages  des  plantes  de 

ce  genre,  LVIII.  i56. 
VIOLIER;  description;  propriétés  et  usages  des  plantes  de 

ce  genre  ,  LVIII.  iSy. 
VIOR.NE  ;  description,  propriétés  et  usages  des  plantes  de  ce 

genre,  LVIII.  i6o. 
VU'iRE;  LVIII.  161.  —  Description  de  cet  animal,  LVIIL 
162.  —  Dangers  de  sa  morsure,  XXXIV.  So^.   LI.   1^5. 
LVIII.  164. 

Phénomènes  produits  par  cette  sûorsure,  LVIII.  i65. 
Elle  cause  quelquefois  l'aérophobie,  I.  i65. 
"Usages  de  la   vipère,  LVIII.  167.  — Bouillon  de  vipère, 
ibid.  —  Sel  volatil,  ibid.  —  Graisse,  ibid.  —  Vin  ,  ibid. 
—   Gelée,   dnd.  —  Huile  ci»6enliellc,   ibid.  —  îjczuard 
animal ,  ibid. 


846  TABLE 

La  vipère  a  été  considcrce  comme  piëservalif  de  la  cauilie  , 
Auteurs  qui  en  ont  Uailé  ,  LVIIL  168. 
VIPERINE;   description,  propriétés  et  usages  des  plantes  de 

ce  genre,  LVIIL  i68. 
VIPvLUX  ,  considérations  générales  sur  le  principe  vireux  des 

végétaux,  son  existence,  les  effets  et  les  usages  des  plantes 

qui  ont  des  qualités  vircuses,  LVIIL  160. 
VIRGINITE;  quand  on  est  appelé  à  en  juger,  il  n'est  permis 

d'avoir  égard  qu'à  des  traces  manifestes  de  violence  récente, 

VI.  108. 
VIRIL;  LVIIL  170. 
VIRILLIË;  LVIIL  J71.  —  Considérations  générales  sur  la 

virilité,  l'époque  de  son  apparition,  les  pliénonriènes  qu'elle 

présente,    les   causes   qui   la   conservent   et   l'augmentent, 

celles  qui  la  diminuent  et  la  détruisent,  L    181.  LVIIL 

17'- 

Règles  de  thérapeutique  applicables  aux  affections  qu'elle 

occasione ,  L  189. 
VMiULENT;  LVIIL  180. 

VIRLS;  XXII.  92.  LVlll,  180.  —  Considérations  générales 
sur  les  virus,  leur  existence,   leur  otij^ine,  leur  transmis- 
sion, les  phénomènes  qu'on  leur  attribue  dans  l'économie, 
ihid. 
VlbAG.E;  considérations  générales,  LVIIL  106. 

Proportions  et  principales  variétés  du  visage,  LVIIL  18g. 

—  Sa  structure,  LVIIL  194. 
Os  de  la  lace,  LVIIL  195. 
Signes  physiognomoniques  fournis  par  eux  dans  les  diffé- 

Vens  âges  ,  LVIIL  199. 
Chairs  ou  parties  molles  du  visage,  LVIII.  ^09. 
bigncs    physiognomoniques    qu'elles    fournissent,    LVIIL 

?,  10. 
INcrfs     LVIIL   221.  —  Influence  des  nerfs  sur  les   signes 

physiognomoniques,  ihid. 
Vaisseaux  sanguins  ,  LVIIL  224.  — Rôle  qu'ils  jouent  dans 

la  physiognomonie,  ibid. 
Cliorion,  LVIIL   225.  —  Epidcrme,  iti<i<  —  Réseau  réti- 

culaire ,  LVIIL  226. 
Fonctions  du  visage,  ses  chaugemens  physiognomoniques, 

ibid. 
Expressions  expansives,  LVIIL  229. — ExpressionsconvuL 
sives,  LVill.259. —  Expressions  oppressives,  LVIIL  335. 
Etat  pathologique  du  visage,  LVIïl.  24 '• 
r>o  la  physionomie  médicale  en  particulier,  I^VIII.  247- 
Caractères  physiognoniouiciues  des  maladies  qui  apj)aiticu- 
ucut  aux  muscles  du  visage,  LVll!.  2G. 


DES  ]\UT1ER.ES.  847 

Physionomie  tclanique,  LVlll.  24B. 

Caractères  physiogiiornouiques  des  malaclles  qui  se  rappor- 
tent au  tissu  cellulaire  du  visage,  LVlll.  249. 
Caractères  pliysiognomoniques  des  maladies  qui  se  rappor- 
tent à   la  peau  et  aux  vaisseaux  capillaires  du  visage, 
LVIII.  25o. 
Elat  des  yeux  considère  comme  caractère  pliysiognomoni- 
que  des  maladies,  LVIII.  252. 
VLSCERES  ;   LVIII.   253.  —  Considérations  générales  sur 
l'étude  analomique  et  physiologique  des   viscères,  et  sur 
leurs  fonctions.  LVlll.  2.54. 
Auteurs  qui  en  ont  traité,  LVIII.  255. 
VISCOSITE;  définition,  LVIII.  255. 
VISION;  généralités,  LVlll.  255. 

Fonctions  optiques  de  l'œil,  LVlll.  256.  —  De  îa  vue, 

ibid. 
Recheiches  sur  la  cause  qui  fait  que,  de  deux  perceptions,  il 
ne  résulte  qu'une  impression  dans  l'exercice  du  sens  do  la 
vue,  LVUI.  269. 
Recherches  sur  la  cause  qui  lait  que,  l'image  des  objets 
étant  renversée  sur  la  rétine,  nous  les  voyons  dans  leur 
véritable  situation,  LVIU.  272. 
Manière  dont  nous  jugeons  par  la  vue  de  la  forme,  de  la 
grandeur  et  de  la  distance  des  corps,  LVIII.  2;  3. 
VISITE;  considérations  générales  sur  les  visites  des  méde- 
cins à  leurs  cliens,  la  durée  qu'ils  doivent  leur  donner,  et 
le  prix  qu'ils  doivent  y  mettre,  LViil.  278. 
VISUEL;  LVlll.  278. 
VITAL;  LVlll.  278. 
VITALITE;  LVlll.  278. 
VlTALISTE;  considérations  générales  sur  la  secte  des   vila- 

listes,  LVlll.  278. 
VITILIGO,  LVlll.  282. 
VITRE;  LVlll.  281. 

Corps  vitré,  tunique  vitrée,  ihid.  —  Humeur  vitrée  ,  ibûL 
—  Pituite  vitrée  ,  ihid.  —  Electricité  vitrée,  ihid. 
VITRIOL;  différentes  espèces  de  viiriol,  LVlll.  281. 
VITRIOLIQUE;  LVIU.  281. 
VIVACE,  LVlll.  281. 
VIVACITÉ;  LVlll.  284. 
VOCAL;  LVlll.  284. 
VOIE;  LVlll.  285. 

VOILE  DU  PALAIS  ;  définition  ,  LVlll.  235.  —  De  la  divi- 
sion verticale  du  voile  du  palais  ,  et  des  inconvéniens  qui  en 
résultent  pour  la  formation  de  la  voix,  ihid. 
VOITURE  ;  cousidératiuas  générales  sur  l'usage  des  voilj.ires 


8/,8  TABLE 

et  les  effels  que  cel  usage  produit  sur  rc'conomie  ,  LVllI. 

987. 
VOIX  ;  généralités,  LVllI.  288. 

Examen  de  celte  question  :  si  parmi  les  organes  qui  donnent 
passage  à  l'air  expiré  ,  il  en  est  un  spécialement  destiné 
à  la  production  de  la  voix,  LVIH.  289. 

Espèce  d'instrument  auquel  ou  peut  rapporter  l'organe  vo- 
^       cal,  LVlU.  ^190. 

Assimilation  de  la  glotte  à  un  instrument  à  vcnt^  ihicl.  ;  — 
à  un  instrument  à  cordes  ,  ibid.  j  —  à  un  inslrumeut  à 
anche,  LVill.  291. 

Le  larynx  considéré  comme  remplissant  tantôt  l'usage  d'une 
flûte,  tantôt  celui  d'un  instrument  à  anche,  LVlll.  292. 

La  glotte  considérée  comme  nn  instrument  ^(ag^e/zem,  émi- 
nemment vital ,  et  qui  exécute  par  lui-même  les  mouvc- 
mens  nécessaires  pour  la  production  des  sous  vocaux, 
LVlll.  293.  *  _ 

Phénomènes  qni  influent  sur  les  différens  tons  dont  la  voix 
est  susceptible  ,  circonstances  d'organisation  qui  expli- 
quent le  passage  de  la  voix  d'une  octave  à  l'autre  ,  LVlll. 
295. 

Causes  auxquelles  on  peut  rapporter  le  volume  et  l'inten- 
sité de  la  voix,  LVlll.  3o3. 

Circonstances  d'organisation  que  le  physiologiste  peut  ap- 
précier ,  et  desquelles  dépend  le  timbre  de  la  voix  ,  LVlll. 
3o5. 

Pourquoi  il  n'eu  faut  pas  exercer  trop  tôt  les  organes  chez 
les  enfans,  L  187. 

Auteurs  qui  en  ont  traité,  LVlll.  307. 

Voix  convulsive,  LVlll.  3o8. 

Voix  croupale,i6/V/. 
VOLj  causes  qui  le  rendront  toujours  impossible  à  l'homme, 

—  III.297.XXVIII.   5;0. 

VOLAILLE;  VI.  100. 

VOLATIL  ;  LVlll.  3o8. 

VOLATILISATION  j  LVlll.  Sog. 

VOLITION;  LVlll.  309. 

VOLONTAIRE  j  considérations  générales  sur  les  mouvemcns 

et  les  pensées  volontaires  et  involontaires.  LVlll.  309. 
VOLONTÉ;  dcfini'lion,  LVlll.  3 10. 
VOLTAIQUE;  expériences  qui  tendent  h  prouver  que  les 

actions  électrique  et  magnétique  sont  ducs  à  un  piinci^e 

identique,  LVIH.  3 10. 
VOLVULUS;  LVlll.  3io. 
VOMEPv.;  description  de  cet  os  ,  LVlll.  3i5. 
VOMiqUE;  LVlll.  3iG. 


DES  IVfATlERES.  849 

T^omique  à\i  poumon,  LYI il.  3 16. 

J-^omique  causée  par  un  abcès  dans  le  foie,  LVUl.  32i. 

Auteurs  qui  eu  oui  traité,  LYIU.  022. 
VOMISSEMENT j  considérations   générales  sur  le  vomisse- 
ment, ses  causes,  son  siège,  ses  phénomènes  et  ses  résultats, 
LYIU.  522. 
Expériences  physiologiques,  LVlll.  529.  — Corollaires  sur 

la  théorie  du  vomissement,  LVlll.  34 •• 
Différentes    théories   proposées    pour    l'expliquer,    LVlll. 

342. 
Parties  sous  l'influence  desquelles  les  organes  qui  opèrent  le 

vomissement  exercent  leur  action,  LVlll.  36o. 
Influence  de  la    volonté   dans    le   vomissement,   IV.    ib8. 

LVlll.  363, 
Maladies  dans  lesquelles  le  vomissement  peut  être  provoque 

avec  avantage,  LViil.  364- 
Cas  singuliers  de  vomissement,  IV.  225. 
Auteurs  qui  en  ont  traité  ,  LVlll.  368. 
Vomissement  nerveux  ou  spasmodique,  LVlll.  369. 
Différence  du  vomis?emenl  nerveux  d'avec  le  vomissement 

symplomatique ,  LVlll.  S^o. 
Comment  on  le  distingue  du  cancer  de  l'estomac,  111.  2C6. 
Causes  du  vomissement  nerveux,  LVUl.  371. 
Phénomènes  qu'il  produit,  LVlll.  3^2.  —  Sa  durée,  LVllî. 

5']j3.  —  Son  pronostic;  LVlll.  374-  —  •^^'^'S  complications, 

LVlll.  375.  —  Sa  terminaison  ,  ibid.  ■ —  Son  traitement, 

LVlll.  376.  —  Régime,  ibid.  —  Médicameus ,   LVlll. 

Causes   et  traitement  du  vomissement  de  sang,  LVlll.  3^8. 

VOMITIF, LVlll.  379.— Propriétés  par  lesquelles  les  ;ïiédica- 
mens  qui  font  vomir  produisent  cette  action,  et  différences 
qu'ils  présentent  entre  eux,  ibid. 
Aulcuis  qui  en  ont  traité  ,  LVIII.  38o. 

VOMITLRITION;  LVIÏI.  38i. 

VOR ACE;  LVIII.  38?.. 

VORACITÉ;  LVlIî.  582. 

VOUTE  ;  LVUL  382.  —  Voûte  du  crâne,  ibid.  —  Voûte 
palatine,  LVlIî.  383.  — Voûte  à  trois  piliers,  LVilI.  383. 

VOYAGE  ;  les  voyages  considérés  comme  moyen  d'instruc- 
tion médicale  ,  LY'llI.  5B3j —  comme  moyen  thérapeu- 
tique dans  le  traitement  des  maladies  chroniques ,  LVIII,  5o  \ . 

Voyages  à  pied  ,  LVIII.  392. 

Voyages  k  cheval  ou  en  voiture,  LVIII.  395.  —  Voyages  sur 
l'eau  ,  L\  III.  39  |. 

VR1G-\Y  (eau  minérale  de);  LVIII.  394. 

VUE;.  LVIII.  394.  —  Cas  de  dégénéresceuce  de  ce  sens,  IV.  206. 
TABLE    1.  loG 


83o  TABLE 

Vue   courte  ,  LVIII.    5g4-  —  Vue  diurne ,   ihid.    —  Vue 
double,  LVIII.  400- —  Vue  faible,  i7;i^.  —  Vue  longue, 
ihid.  —  Vue  louche  ,  ibid.  —  Vue  nocturne  ,  ibid. 
VULGAIRE  ;  LVIII.  400.  —  Plantes  vulgaires ,  ibld.^Uè- 

dicamcns  vulgaires  ,  ibid.  —  Médecin  vulgaire  ,  ibid. 
VULNERAIRE  ;  description  ,  propriétés  et  usages  de  cette 
plante  ,  LVIII.  4oi. 
Considérations  générales  .sur  la  récolte,  la  composition  et 

l'emploi  des  vulnéraires  suisses  ,  ibid. 
Considérations  géne'rales  sur  l'emploi  des  médicamens  vul- 
néraires, LVIII.  402. 
VULTUEUXj  LVIIL  404. 
VULVAIRE;  LVIII.  404.  —  Artères  vulvaires ,  i&zW. 

Propriétés  et  usages  de  la  plante  qu'on  appelle  ainsi,  ihid. 
VULVE  ;  parties  comprisessous  ce  nom  générique ,  LVIII.  4o5. 
Fente  vnlvaire,  ihid. 

Considérations  générales  sur  la  vulve,  LVIII.  4o6. 
Maladies    qui     l'atteignent  ,    LVIII.    ^o"].  —   Occlusion, 
XXIV.  i3o.  LVIII.  408.—  Contusions,  LVllL  410.— 
Plaies  et  déchirures,  LVIII.  411.  —  Tumeurs  sanguines, 
LVIII.  412.  — "  Autres  tumeurs,  LVIII.  4 16.  —  Hernies 
LVIII.  417. 
Manière  d'ouvrir  les  abcès  qui  s'y  forment,  I.  25. 
VULVO-UTERIN  ;  LVIII.  420. 


w 


WÉTY-VER  ou  VETY-VER,  description,  propriétés  et 
usages,  LVIII.  ^10. 

WINTERA.NE;  LVIII.  423.  —  Description  de  la  plaate  qui 
fournit  cette  substance,  ihid. 

WOLFRAM^  LVIII.  424. 

WOORORA  5  propriétés  et  usages  ,  LVIII.  424. 

WORMIEN;  corwidérations  générales  sur  les  os  wormiens  , 
leur  forme  ,  leur  volume  ,  leur  organisation  ,  leur  dévelop- 
pement, les  considérations  qu'ils  font  naître  pour  les  opé- 
rations ou  le  traitement  des  plaies  à  la  tète,  V.  826. 
LVIII.  425. 

X 

XÉRASIE;  LVIIL  426. 

XEROPHAGIE;    considérations  générales    sur    l'usage  des 


DES  MATIERES.  *  S'm 

viandes   sèches,   et   leurs   effets  sur  Teconomie    animale, 

LVIII.  426. 
XEROPHTALMIE;  LVllI.  427. 
XEROTRIBIE;   considérations    géne'rales  sur.    les    frictions 

sèches ,  leur  emploi  et  leurs  effets  sur  l'économie,  LVIII.  i'X'j . 
XILOBALSAMUM  5  XXXV 11.  514. 
XIPHOIDE  ;  description ,  variétés  et  maladies  du  cartilage 

xiphoïde,  LVIII.  428. 
XISTRE  ;  usages  de  cet  instrument,  LVIII.  4?8. 


YAW  ;  description  ,  marche ,  durée  et  terminaison  de   celte 

maladie  ,  LVIII.  4?9. 

Affections  qui  paraissent   être  de  la   même  nature  ,  LVIII. 
45o   —  Scherlievo,  ibid.  —  Sibens  ,  LVill.  43i.  —Ma- 
ladie du  Canada  ,  LVIII.  432.  —  Syphilis,  ibid. 
YÈBLE;  LVIII.  434. 
YERVA  ',  LVIIL  435. 
YEUSE  ;  description ,  propriétés  et  usages  de  cette  plante , 

LVIII.  455. 
YEUX  ;  LVIII.  455.— Yeux  d'écrevisse  ,  II.  i56.  LVIII.  435. 
YTTRIA  ;  LVIII.  436.  —  Propriétés  physiques  et  chimiques 

de  celte  terre,  LVIII.  437. 
YTTRIUM  ;  LVIII.  48-7. 
YULAN;  LVIII.  437. 


ZANTHOXILONj    description,    propriétés   et  usages   des 

plantes  de  ce  genre  ,   LVIII.  437. 
ZEDOAIRE  ;  description  -le  celle  plante  ,  LVIII.  438. 
ZERUMBET  ou  ZERUMBEÏH  ;  description  de  cette  plante, 

LVIII.  440. 
ZESTE  ;  LVIII.  442. 
ZINC  ;  LVIII.  4^2.  —  Propriétés  chimiques  et  physiques  de 

ce  métal,  ibid.  —  Ses  usages,    LVIII.  44^-  —  Propriétés 

de  son  oxyde ,  III.  456. 
ZIRCONE  ;  LVIII.  446. 
ZIRCONILM;  LVIII.  447. 
ZOANTHROPIE;  définition,  LVIII.  447. 
ZONA;   IV.  399.  LVIII.   447-  — Symptômes  précurseurs, 


852  TABLE 

LVIII.  449'  —  Marche  de  la  maladie,  ibîd.  — Siège, 
LVIII.  449-  — Terminaison  ,  ibid. —  Complications,  LVlll. 
45o.  —  Causes  ,  ibid. 

Signes  qui   distinguent   le  zona  d'avec  quelques    maladies 
■ — analogues,  LVUI,  45i  ;  — d'avec  l'crysipèle,  ibid.  ; — le 
peniphygus,  LVIII.  4^2  ;  —  les  dartres  ,  ibid. 
Pronostic  du  zona  ,  LYlII.  453.  —  Traitement ,   ibid. 

ZONE;  définition;,  LVIII.  4^5. —  Considérations  générales 
sur  les  différentes  zones  ,  leur  étendue  ,  les  phénomènes 
atmosphériques  qu'elles  présentent ,  les  variétés  qu'on  re- 
marque dans  les  animaux  ,  végétaux  ,  elc. ,  qui  sont  sous 
leur  influence  cliraalérique  ,  ibid. 

ZOOGÈNE  ^  LVIII.  462. 

ZOOHEMATI^Ej  XIV.  19.  LVIII.  462. 

ZOONIQUE  ;  caractères  de  cet  acide,  LVIII.  462. 

ZOONOMIE5  LVIII.  462. 

ZOOPHYTE5  LVIII.  462. 

ZOOTOMIE;  ce  qu'on  entend  par  ce  mot,  II.  87.  LVIII.  462. 

ZOPISSA;  usages,  LVIII.  463. 

ZOSTÈRE ,  description ,  propriétés  et  usages  des  plantes  de 
ce  genre,  LVIII.  4^3. 

ZUMIQUE;  caractères  de  cet  acide  ,  XLV.  169.  LVIII.  463. 

ZYGOMA5  LVIII.  463. 

ZYGOMATIQUEj  LVIII.  465.  —  Région  zygomatique,?i/«', 
—  Arcade  zygomatique ,  ibid. 

Description,    connexions  et  usages  du  muscle  grand  zygo- 
matique ,  ibid.  —  Muscle  petil-zygomatique,  LVIII.  /fidy. 

ZYGOMATO  AURICULAIRE  -,  LVIII.  466. 

ZYGOMATO-COKCHYLIEN  ,  ibid. 
ZYGOMATO- LABIAL,  /è/(tf. 
ZYGOMATO  MAXILLAIRE  ,  zbid. 

ZYTHOGALA  ;  LVIII.  467. 

(PICARD.) 


FIN    DE    LA    TABLE    DES    MATIERES. 


IMPRIMERIE  DE  C.  L.  F.  PANCROUCKE. 


APPENDICES 


DU 


DICTIONAIRE 


DES 


SCIENCES  MÉDICALES. 


APPENDICES 


DU 


DICTIONAIRE 

DES  SCIENCES  MÉDICALES , 

PAR  F.  V.  MÉRAT. 


PARIS, 


G.  L.  F.  PANCKOUCKE,  EDITEUR 

HUE    DES    POÏTEVIMS,    N*^.    1 4- 
1822. 


DICTION  AIRE 

DES 

SCIENCES   MÉDICALES. 


APPENDICES. 

TOME  PREMIER. 

INTRODUCTION. 

Pag.  xxiij ,  lig.  12.  seulemenl ,  lisez  et. 

Ihjd.,  lig.  i3.  on  exposait ,  lisez  on  n'exposait  point ,  comme 
firent  depuis  les  Babyloniens  ,  etc. 

l'ag.  Ixxix  ,  lig.  2.  grand  ,  lisez  célèbre. 

Pag.  cv ,  lig.  25.  Lieuland  ,  lisez  Lieuîaud. 

Pag.  cxxxj  ,  lig.  3  et  4«  f^it  connaître,  lisez  de'montré. 

Jbid.j  lig.  14.  connaissances  nouvelles, //.sez  faits  nouveaux. 

Pag.  cxxxvij  V  lig.  17.  nombreux  ,  lisez  positifs. 

Pag.  cxxxviij ,  lig.  1 1.  nombreux  ,  lisez  raultiplic's. 

Pag.  cil ,  lig.  8.  de  nombreux,  lisez  d'une  foule  de. 

Jhid.,  lig.  28.  nombreuses,  lisez  nouvelles. 

Pag.  cxlj,   lig.   24.   un  grand   nombre,   lisez  une   grande 
uuanlilc. 


Pag.  cxliy  ,  lig.  21.  comble,  lise:  a  comblé. 


4  TOME  1".  INTRODUCTION. 

Pag.  cxU'j ,  lig.  8.  qu'il ,  Ihez  qu'elle. 

Pag.  clxvj  ,  lig.  6,  nous  a,  lisez  nous  ont. 

II  y  a  quelques  inexactitudes  dans  la  tables  des  poids  et  me- 
suie?,  p'accc  à  la  suite  de  l'Introduction,  mais  elles  ont  ete 
rectifiées  a  l'article  poids  et  mesures.  Tome  XLIII ,  page  45o. 

TEXTE. 

Page  4"'  ABESODÏE.  Nom  e'gyptien  de  la  gtaine  de  la 
nigelie  de  Damas.  Voyez  tome  XXXVI,  page  io5. 

4  !•  ARNOPiMAL.  Etat  contre  nature  ou  qiii  n'est  pas  re'- 
çulier.  Ce  mot  commence  à  être  employé  par  quelques  mé- 
decins ,  de  même  que  normal  pour  sig.nitier  l'état  naturel  , 
ou  plutôt  l'êiat  sain. 

56.  ACA.JOU.  Ce  mol  appartient  à  deux  substances  diffé- 
rentes ,  i**.  à  la  «02X  d acajou,  fruit  de  Vanacardhim  occi- 
dentale. Lin.,  cassuviuni  pomiferum,  Lamarck;  il  en  a  été 
traité  au  mot  noix,  tome  XXXVI,  page  i68.  On  appelle 
pomme  d' acajou  le  rc'ceptacle  de  la  noix  ;  2°.  au  bois  d'' acajou  , 
swielenia  mahogoni ,  Lin.  ,  et  non  à  Vanacardiam  occidentale , 
Lin.,  comme  on  l'a  dit  au  mot  anacardier.  Ce  bois  est  celui 
dont  on  fait  des  meubles  (tome  II,  page  \i).  Voyez  •,  pour 
plus  de  détails  ,  Murray  ,  Apparat,  niedicam.  Tom.  II ,  page 
227  ;  IV  ,  4i^  ,  et  VI ,  i32. 

loS.  ACÉPHALOCYSTE.  On  a  déjà  indiqué  pour  ce  ver 
hydalide  dans  les  tables,  le  tome  XXII,  page  171  ;  il  faut  y 
ajouter  le  même  volume,  page  157  ,  et  au  lomc  XX,  la  page 

1T9.  ACHROMATISME.  Tome  XXIX,  page  i5o. 

i35.  ACIDES  ORGANIQUES.  Ainsi  nommés  ,  parce  qu'on 
les  rencontre  dans  les  corps  organisés  ,  pour  les  distinguer  des 
acides  minéraux.  Voyez  priivqipf.s  ,   tome  XLV,  page  iSg. 

1 41 .  ACRIMS.  Médecins  indiens.  Tome  XXXIV,  page  4S0. 

142.  ACOUMÈTRE.  Instrument  dont  M.  Itard  se  sert  pour 
mesurer  le  degré  de  finesse  de  l'ouïe  chez  les  différons  sujets. 
Tome  LUI ,  page  46'i. 


APPENDICES 


DU 


DICTION  AIRE  DES  SCIENCES  MEDICALES. 


AVERTISSEMENT. 


Le  peu  d'espace  qui  nous  rcsle,  nous  force  d'abréger  beau- 
coup ce  qui  devait  composer  ces  appendices.  Nous  avons  e'ié 
obligé  de  le  borner  aux  additions  les  plus  imporlautcs,  et 
souvent  même  nous  nous  sommes  conlentc  d'indiquer  les 
sources  oii  on  pourra  puiser  les  renseignemcns  plus  étendus 
ilont  on  pourrait  avoir  besoin,  afin  de  faciliter  le  travail  à 
ceux  qui  voudraient  s'occuper  de  ces  matières. 

Nous  avons  joint  les  corrections  typographiques  qui  sont 
venues  à  noire  connaissance;  il  en  existe  sans  doute  encore 
d'autres  ,  mais  nous  pensons  avoir  indiqué  les  plus  essentielles  ; 
chacune  de  colles  qui  avaient  déjà  été  faites,  se  trouve  replacée 
à  son  volume  et  à  sa  page,  ce  qui  sera  plus  commode  pour  le 
lecteur,  que  de  l'aller  chercher  à  des  tomes  souvent  éloignés. 

Nous  eussions  égalenient  désiré  reporter  les  eaux  minérales 
à  leur  ordre  alphabétique  pour  plus  de  facilité  ;  mais  comme 
elles  sont  disposées  dans  cet  ordre  à  la  table,  au  mot  eaux 
minérales ,  une  fois  prévenu  de  cela  ,  on  pourra  les  trouver 
à  cet  endroit  sans  beaucoup  de  peine. 

Nous  avons  lire  du  texte  même  du  Dictionaire  une  foule 
de  mots  qui  ne  faisaient  pas  article,  outre  ceux  indiqués  par 
la  table  ,  qui  sont  dans  le  même  cas;  c'est  enrichir  la  nomen- 
clature médicale ,  et  servir  en  même  temps  la  mémoire  qui 
ne  sait  où  aller  prendre  la  signification  de  ces  termes  parfois 
employés. 


La  séparation  par  volume  (le  ces  appendices  ,  dont  Je  numéro 
sera  répété  en  titre  courant,  facilitera  beaucoup  les  recher- 
ches qu'on  aurait  à  y  faire  ,  et  permettra  de  les  placer  à  la 
fin  de  chaque  volume  si  l'on  veut.  Les  chiffres  indiqués  en 
marges  des  articles,  sont  ceux  des  pages  où  chacun  de  ces 
articles  eût  dû  être  placé  dans  l'ordre  alphabétique. 

A  l'exception  des  articles  signés  ,  qui  sont  en  petit  nombre, 
tous  ceux  qui  composent  ces  supplémens  nous  sont  propres. 
Ils  ont  souvent  exigé  des  recherches  trop  hors  de  proportion 
avec  leur  étendue  pour  pouvoir  être  offerts  à  aucun  de  nos 
collègues  ;  ils  demandaient  d'ailleurs  une  connaissance  appro- 
fondie de  tout  l'ouvrage  que  la  direction  du  travail  nous  a 
mis  à  même  de  posséder  plus  qu'aucun  d'eux. 

MÉRAT. 


TOME  I".  ALUMINIUM.  7 

425.  ALUMINIUM.  Métal  que  l'ou  suppose  faire  la  base 
deraluraiue,  par  analogie  avec  les  autres  terres  et  anciens 
alcalis  qui  ont  tous  pour  base  un  métal  d'après  les  découvertes 
des  chimistes  modernes.  Tome  XLIV,  page  432. 

43o.  AMARINITES.  Nom  que  M.  le  docteur  De  Lens  a 
donné  à  une  classe  de  principes  immédiats  des  végétaux ,  qui 
tous  ont  pour  caractère  commun  une  extrême  amertume. 
Voyez  PRINCIPES.  Tome  XLV,  page  1H7. 

466.  AMIDONNIERS  (maladies  des).  Il  en  a  été  traité. 
Tome  XXX ,  page  21a. 

468.  AMNIOS.  On  trouve  de  nouvelles  recherches  sur 
l'analyse  des  eaux  de  l'amnios  dans  le  Journal  de  pharmacie. 
Tome  VII ,  page  562. 


TOME  P'.  ADÉLIPARIE.  5 

i5i.  ADÉLIPARIE.  Sorte  de  polysarcie.  Tome  XXVI , 
page  2/j4. 

i52.  ADÉNOSES.  Nom  que  M.  Aliberl  donne  aux  mala- 
dies des  glandes.  Tome  XXXVI ,  page  243. 

ADIPEUX  (lîssu).  Tissu  confondu  avec  le  cellulaire  par 
Bichat,  et  distingué  par  M.  Béclard,  qui  le  décrit  comme 
un  tisssu  particulier,  lequel  a  pour  fonction  l'exhalation  de  la 
giaisse.  Voyez  ti;>sxt  ,  tome  LV,  page  21 3. 

1 6 1 .  A  DR  AG  ANTHINE.  V  oyez  cérasine  au  mot  principes, 
tome  XLV  ,  page  182. 

166.  AFFECTIONS  DE  L'AME.  On  a  renvoyé  à  ce  mot 
de  inquiétude  (Tome  XXV,  page  265).  Il  n'en  a  pas  été 
traité  à  part.  Voyez  passion,  tome  XXXIX,  page  4ii« 

Ihid.  AFFÉRENS  (vaisseaux).  Nom  donné  aux  vaisseaux 
lymphatiques  qui  entrent  dans  les  ganglions,  et  que  Cruik- 
shauck  appelait  déférens^  par  opposition  à  ceux  qui  en  sortent, 
qu'on  désigne  sous  celui  à'efférens.  Tome  XXV  ,  page  118. 

176.  AGALORRHÉE.  Synonyme  à'agalaxie.  Tomes  I, 
pages  1765  XIV,  65i  j  XXX,  274' 

Ibid.  AGARIC  DES  MOUCHES.  Jgaricus  miiscarius , 
Lin.  On  n'a  pas  fait  mention  de  cette  espèce  que  l'on  vend 
dans  les  marchés  en  Allemagne  pour  tuer  les  mouches,  et  qui  a 
été  employée  en  médecine  contre  la  paralysie  ,  etc.  Elle  paraît 
très-aclive,  et  susceptible  de  produire  une  sorte  de  délire,  etc. 
Voyez  Paulet ,  Histoire  des  champignons  ,  tome  1 ,  page  71 } 
et  Murray,  Apparat,  rnedicam.  ,  tome  V,  page  555. 

192.  AGISSANTE  (  médecine  ).  Ce  sujet  a  encore  été  traité, 
mais  sous  un  autre  point  de  vue,  à  vie'decine  agissante. 
Tome  XXXI,  page  478. 

109.  AGLACTATION.  Suppression  de  la  sécrétion  du  lait. 
Tome  XXXVI,  page  28 1. 

202.  AIAViE  (^rainrs  de).  Graines  que  l'on  préconise 
dans  rinde  conUc  la  colique.  Ce  nom  leur  a  été  donné  par 
les  Portugais  qui  les  tirent  du  Malabar.  On  ignore  jusqu'ici  à 
quelle  plante  elles  appartiennent.  Voyez  Murray,  Apparat. 
Jtred'cam.  Tome  VI,  page  239. 


6  TOME  I".  AIDES. 

202.  AIDES.  Voyez  opération.  TomeXXXVIl,  page  4oi. 

297.  ALBUMINEUSES  (membranes)  ou  couenneuses. 
Nom  que  M.  Chaussier  donne  à  l'épiderme  et  à  l'e'pichorion , 
qu'il  regarde  comme  de  l'albumine  coagulée.  Bicliat.  n'admet 
point  cette  origine  pour  ces  membranes.  Tome  XXXIl , 
page  234,  Voyez  épichorion  ,  tetme  XII ,  page  4^5  ,  et  épi- 
derme,  tome  XII,  page 495. 

3oo.  ALCALIS  ORGANIQUES.  On  désigne  sous  ce  nom  des 
alcalis  extraits  des  corps  organisés,  jusqu'ici  des  vége'laux,  ce 
qui  les  (ait  aussi  appeler  alcalis  végétaux.  On  les  désigne  en- 
core sous  celui  d'alcalis  combustibles,  parce  qu'ils  possè- 
dent celte  propriété.  Tandis  que  les  anciens  alcalis  ont  été 
rayés  des  corps  simples,  et  ont  été  reconnus  (ou  supposés) 
uvoir  tous  pour  base  un  métal  ,  le  nombre  de  ceux-ci  s'accroît 
cbaque  jour.  Voyez  principes,  tome  XLV  ,  page  174. 
Voyez  un  résumé  sur  ces  alcalis.  Bulletin  de  la  socie'té philo- 
malique ,  année  1820,  page  17. 

004.  ligne  i5,  ALCHIMILLE,  lisez  ALCHEMILLE. 

3o6.  ALCOHOLAT.  Nom  que  l'on  donne  dans  le  nou- 
veau Codex  aux.  teintures  spiritueuses ,  à  cause  de  l'alcool 
qui  fait  l'excipient  de  colle  sorte  de  médicament,  ce  qui  re- 
médie à  l'équivoque  du  mot  teinture  employé  dans  un  sens 
différent  en  pharmacie  et  dans  les  arts. 

Jbid.  ALCORNOQUE.  Substance  végétale  aniéricaine , 
dont  l'origine  est  encore  incertaine  ,  décrite  au  mol  liège. 
Tome  XXVIIl ,  page  168. 

018.  ALGIE,  de  {tKyoç ,  douleur.  Nom  que  M.  Baumes 
donne  à  une  des  maladies  de  sa  sous-classe  des  sur-oxygénèses. 

On  sait  que  ce  mot  termine  souvent  le  nom  composé  de 
certaines  affections  douloureuses ,  céphalalgie,  hystéralgfe ,  etc. 

320.  ALHAGI.  Celte  plante  n'est  point  une  espèce  de  genêt , 
comme  on  le  dit  dans  cet  arlicle,mais  un  sainfoin,  hedysarum 
alhagi ,  Lin.  Il  est  encore  mention  de  ce  végétal.  Tome  XXX, 
page  491. 

SgS.  L'gne  39,  iatraliplique ,  lisez  ialraleplique. 

4iï.  Ligne  25  ,  oxallis ,  lisez  oxalis^ 


TOME  II.  ANALOGISME. 

TOME  DEUXIÈME. 


Page  19.  ANALOGîSME.  Nom  que  les  me'docins  de  Ja 
secle  dogmatique  donnaient  à  leur  metliode.  Tome  X,  page  1  iq. 

3G.  ANASPADÎAS  ,  sans  ouverture.  Nom  donne  par  quel- 
ques auteurs  à  l'iniporforalion  de  la  verge,  par  opposition  aux 
étais  appelés  c'pispadias  et  hypospadias.  ron:i.  XXXI  ,  p.  ^jt. 

81.  ANE.  Voyez,  pour  les  services  que  la  nu-decine 
retire  de  cet  animal  ,  le  mot  mawbkfère,  lomc  XXX,  à  la 
page  409?  et  oNOLATEiE  ,  tome  XXXA'^II ,  page  S^S. 

Jhid.  ANÉLECTRTQUE.  Corps  que  le  frottement  ne  rend 
pas  électrique.  Tome  XI ,  page  26  j. 

87.  ANEMOSCOPE.  Instrument  propre  h  indiouer  la  di- 
rection du  vent,  tandis  que  Vanémomètrc  (tome  11,  pai^p87) 
en  mesure  la  force  cl  la  vitesse.  Ces  deux  instrumens  ont  oïd 
h  tort  confondus  dans  ce  dernier  article.  Tome  XXXUJ, 
page   184. 

iî5.  ANGELINE  (c'corce  d').  En  1785  ,  celle  ccorce  fut 
envoyée  de  l'île  delà  Grenade  en  Ecosse,  comme  un  anîlit'l- 
niintique  assuré.  Elle  est  inconiiue  dans  le  commerce  ,  et  on 
ignore  quel  végétal  la  produit.  Voyez  Murray,  Apparat, 
medicam.  Tome  VI,  page  171. 

i56.  ANGINE  AQUEUSE.  Un  des  noms  de  V œdème  de 
la  glotte.  Tome  XV III  ,  page  5o5. 

Ibid.  ANGINE  SPASMODIQUE.  Synonyme  de  rage  dans 
quelques  auteurs.  Tome  XLVIl,   page  09. 

Jhid.  ANGIOPYPJE.  Nom  que  donne  M.  le  profcsst  nr 
Alibert  à  la  fièvre  inflammatoire  (  Nosologie  naturelle). 

Jhid.  ANGIOSES.  Nom  que  donne  M.  le  professeur  Ali- 
bert aux  maladies  du  système  circulatoire  {Nosologie  naturelle). 

137.  ANGLES  TUBAÎRES.  Nom  donné  par  M.  le  profes- 
seur Cliaussier  aux  angles  su  p. 'rieurs  et  latéraux  de  l'utorus.cpu 
correspondent  aux  trompes  utérines.  Tome  XXXI,  page  i84« 


îo  TOME  II.  ANGOLAN. 

i33.  ANGOIjAN,  alangium  clecapctalum,  arbre  révère  des 
Indiens.  Tome  XXXV,  page  14*2. 

iSg.  ANGUILLE  ELECTRIQUE.  Tome X LUI,  page  656. 

Ibid.  AINGUSTURE.  La  matière  colorante  qui  a  été'  trouvée 
dans  celte  écorce,  est  indiquée  au  mot  principes,  lome  XLV, 
page  190,  ainsi  que  la  brucine ,  autre  principe  qu'on  y  a 
observé.  Tome  XLV  ,  page  175. 

166.  ANIMEE  (résine).  Il  en  a  été  traité  au  mot  gomme, 
lome  XVIII,  page  577.  Voyez  Murray ,  yipp.  med. ,  tome  II , 
page  559,  et  lome  A/I,  page  128.  Ce  que  l'on  vend  dans  le 
commerce  sous  ce  nom,  est  le  plus  souvent  un  mélange  de 
résines  diverses. 

176.  ANOMAL  DE  LA.  FACE  ,  nom  donné  p;.r  Albinusà 
un  petit  muscle  que  l'on  trouve  quelquefois  à  la  face  antérieure 
de  l'os  maxillaire.  Tome  XXXiV  ,  page  i83. 

179.  ANSE  NERVEUSE  DE  VIEUSSENS.  Filets  nerveux 
naissant  des  ganglions  cervicaux,  entourant  l'artère  vertébrale, 
et  l'cmbrassaui  en  manière  d'anse.  TomeLVI,  page  10. 

Ibid.  ANTAGONISME.  Action  musculaire  en  sons  inverse 
d'une  autre  ;  les  extenseurs  sont  les  antagonistes  des  fléchis- 
seurs, et  réciproquement.  Lorsque  l'un  de  ces  dtux  ordres 
l'emporte  sur  l'autre  ,  il  y  a  des  postures  forcées  et  vicieuses 
des  parties  ;  si  l'action  musculaire  est  pernsanenle  cl  spasmo- 
dique,  on  a  Xa  contracture ,  le  tétanos,  etc.,  suivant  la  na- 
ture de  la  lésion  j  si  l'action  niorbifique  musculaire  est  pas- 
sagère, on  a  les  soubresauts  ^  les  convulsions ,  etc. 

L'aiitagonisine  est  nécessaire  à  la  station ,  à  la  marche,  à  la 
plupart  de  nos  mouvemcnsj  dès  qu'il  est  rompu,  nous  n'exé- 
cutons qu'imparfaitement,  ou  même  pas  du  tout,  ceux  qui 
tiennent  à  l'action  équilibrée  des  muscles  rii'aux. 

On  a  renvoyé  à  ce  mot  de  locomotion  (tome  XXVIIl, 
poge  56i  ),  mais  il  n'en  a  pas  été  traité  à  part  dans  l'ouvrage. 

j8o.  ANTÉMÉSIE.  Tome  XXXVI,  page  253. 

r8i.  ANTÉVERSIOIN  DE  LA  MATRICE.  Position  con- 
tre nature  de  la  matrice  où  son  fond  est  tourné  vers  le  pubis  , 
tandis  que  son  orifice  se  dirige  vers  le  sacrum.  Trayez  iomes 
XIX,  pages  44G,   et  XXXI  ,  i7.i 


TOME  II.  ANTHRAX.  n 

i83.  ANTHRAX.  M.  le  professeur  Dupuylreii scarifie  main 
tenant  l'anllirax  ,  y  applique  la  pierre  à  cautère ,  et  même 
l'excise  au  lieu  de  le  traiter,  comme  autrefois  ,  par  les  émoi- 
liens.  11  obtient  un  plein  succès  de  ce  nouveau  mode  de  tlic- 
rapeuiique. 

21 5.  ANTOFLE.  Nom  que  l'on  donne  au  fruit  du  giro- 
flier. Tome  XVHI,  page  3t)4- 

Ihid.  ANTHROPOLITE.  Homme  pctrilié.  Tome  XVIl, 
page  566. 

234.  APLOTOMIE.   Sorte  d'incision.  Tome  IX,  page  284. 

Ibid.  APOLINOSE.  Nom  de  la  méthode  au  moyen  de  la- 
quelle Hippocrate  opérait  la  fistule  à  l'anus.  Tome.  XXXI, 
page  559. 

246.  APOPLEXIE  CÉRÉBRALE.  Voyez  un  supplément 
indispensable  de  cet  article  dans  le  tome  i*^^,  pages  129 et  289 
du  Journal  complémentaire  de  ce  Diclionaire.  Voyez  aussi 
RAMOLLISSEMENT  à  l'appcndice. 

Ibid.  APOPLEXIE  GASTRIQUE.  Tome  XXIV,  page  373. 

/Z»/^.  APOPLEXIE  LAITEUSE.  Tome  XXXIIÏ,  page  426. 

Ibid.  APOPLEXIE  PULMONAIRE.  Nom  donné  h  deux 
affections  différentes  ;  l'une  est  une  espèce  de  catarrhe  pulmo- 
naire (  tome  IV,  page  SSy  )  ,  l'autre  une  congestion  sanguine 
du  poumon  (Tome  XIV,  page  i^S). 

Ibid.  APOPLEXIE  UTÉRINE.  Tome  XIV,  page  177. 

Ibid.  APOPLEXIE  VENTEUSE.  Tome  XIV,  page  iGi. 

Ibid.  APOPLEXIE  PAR  RAMOLLISSEMENT  du  cet 
veau,  f^oyez  kamollissemewt  à  l'appendice. 

207.  APPAUVRISSEMENT  DES  HUMEURS.  Voyez 
dissolution,  tomeX,  page  12. 

262.  AQUEDUC  DU  LIMAÇON.  Tome  XXVII ,  page  gS. 

263.  ARACHNOITITE  ou  ARACHNOITIS  ,  inûammatiou 
de  i'urachnoidc.  Voyez  les  mots  ni^ListsiE  (  tome  XLl ,  page 


12  TOME  lï.  AllACHNOITlTE. 

547  )  cl  iivDRocLPiiALE  AiGUL  (  Tome  XXil ,  pagc  219),  où  il 
est  liailc  de  celle  maladie. 

2G5.  ARACK.  Eau-de-vie  que  l'on  relire  du  riz.  Elle  a  à 
])eu  piès  les  mêmes  usages  dans  les  pays  où  celte  gramince  est 
cullivce  ,  que  celles  de  Iromunt ,  de  sucre,  de  raisin  dans  les 
lieux  où  le  blé,  la  caiii.'e  à  sucre,  la  vigne  sont  cultivés.  Celle 
tiue  Pou  fait  avec  la  pornme  de  lerie,  et  dont  ou  fabrique  à 
P;uis  seuleiru'Ml  24,000  litres  par  jour,  menace,  à  cause  do 
s  ju  bon  îuarchc,  d'être  bientôt  la  seule  en  usage. 

'?.(]().  ARrïri.E  A  PAIN.  Un  des  noms  du  jaquier,  arcLocar- 

jins  incisd^  L.  Tome  XXVI,  page  321^. 

287.  Ligne  8  ,  rouillure  ,  lisez  rouillère. 

Jbifl.  ARISTOLOCHïQUES.  Nom  synonyme  d'cmména- 
gogues.  Tome  XI ,  page  54 1  ■ 

Jôicl.  APlMADILLE.  Sorte  de  crustace'e,  analogue  au  clo- 
])orte.  il  en  est  traité  au  mol  i/aecte ,  lome  XXV,  page  335. 

306.  AROMITES.  Nom  donné  par  M.  le  docteur  deLens  à 
des  principes  des  végétaux  qui  ont  lous  pour  caracicre  prin- 
cipal   une  odeur   aromatique   très -prononcée.   Tome    XLV , 

page  194. 

307.  AROPiOWT  ou  ARROW-KOOT.  Sorte  de  fécule 
que  l'on  relire  de  la  racine  du  maranla  indica,  L.  ,  à  la  nia- 
liière  (!e  celle  de  pomme  de  terre.  Celle  plante  est  cultivée  à 
la  Jan!aï{[ue  pour  on  extraire  ce  produit  dont  on  fait  un  cotn- 
mcrcc  assez  considérable.  Celle  (écule  est  un  peu  moins  blaticlie 
(jue  l'amidon  ,  mais  elle  est  plus  douce  au  toucher  et  plus  iîne. 
Oti  s'en  SLit  aux  mêmes  usages  <pie  du  salep,  du  lapioka  et 
L'ulre-j  produits  aniilacés,  c'est-à-dire  comme  nourrissante  et 
léconiorlalive. 

7I;/V/.  ARSENIC.  Voyez  un  article  supplémentaire  indispen- 
sable de  celui-ti  sur  l'usage  médical  de  ce  métal  dans  le  tome  i*'^, 
pages  95  et  219,  Journal  coniplémenlaire  de  ce  Diclionaire. 

5 12.  ARSURE.  Inflammation  superficielle  du  gland  sans 
écoulement  gonorrliéique  ;  gonorrhéc  sèche  d'Astruc.  frayez  le 
mot  Gi.AMi  où  l'on  trouve  une  disscrlalion  étendue  sur  cet  état 
palbologi(pic  (|ue  la  pratiipie  présente  assez  souvent,  et  qui 
càl  ignoïc  du  plus  giund  nombre  des  praticiens. 


TOME  II.  AKTEPaTE.  i3 

321.  ARTÉRITE.  Nom  propose  par  M.  Dalbcrt  (  ilic-îcs  rie 
]a  Faculté  de  médecine  de  Pans,  iHu)) ,  pour  désigner  l'iullam- 
malion  des  arlèrcs.  Tome  LVl ,  page  483. 

536  ASA-FOETIDA.  On  ne  sait  point  encore  bien  positi- 
vement à  quelle  oinbellifère  on  doit  ce  suc  résineux  ,  quoiqu'il 
y  ait  lieu  de  croire  qu'il  appartient,  comme  le  croyait  Linné, 
à  uueespèce  du  ^enieferula.  Wildenow  acruqu'elleétait  pro- 
duite par  un  heracleuni,  qu'il  a  nomrné  Jierncleurn  guininiferunij 
]»arce  qu'ayant  semé  des  graines  attachées  à  celte  substance , 
il  a  levé  une  plante  nouvelle  ,  inconnue  jnsque-là  ,  et  qu'il  a  cru 
être  celle  dont  découiail  Vasa-fœtida.  On  a  souvent  raisonne' 
de  cette  manière  et  à  tort,  suivant  nous;  de  ce  qu'une  graine 
s'est  trouvée  sur  un  produit  végétal  ,  ce  n'est  pas  une  raison 
pour  qu'il  en  émane.  C'est  comme  si  l'on  voulait  faire  iiaîlre 
l'opium  de  la  graine  de  riunex  qui  abonde  à  sa  surlace  lois- 
qu'il  nous  parvient.  On  sait  que  le  plus  souvent,  c'est  une 
ruse  des  marchands  pour  augmenter  le  poids  de  la  substance 
qu'ils  vendent,  ou  pour  détourner  raltcnlion  sur  sa  véritable 
origine  cju'ils  obscurcissent  tant  qu'ils  peuvent  pour  en  aug- 
menter la  valeur.  Puisque  nous  sommes  sur  ce  sujet  ,  nous 
ajouterons  qu'il  faut  mettre  une  sévérité  extrême  dans  les  dé- 
terminations que  l'on  prend  pour  rappoiter  telle  ou  telle  sub- 
stance à  tel  ou  tel  végétal,  et  non  pas  le  faire  avec  légèreté 
comme  on  le  pratique  tous  les  jours;  c'est  écrire  le  roman  de 
la  matière  médicale  et  non  l'histoire.  Il  vaut  bien  mieux  avouer 
qu'on  ne  sait  pas  l'origine  des  choses,  que  d'être  erroné;  c'est 
reculer  la  science  que  de  croire  l'avancer  ainsi ,  car  la  fable 
du  jour  peut  être  renversée  par  celle  du  lendemain. 

35o.  ASELLATION.  Expression  employée  par  M.  le  pro- 
fesseur Percy  pour  désigner  Texercice  sur  un  âne.  J^oyez  ono- 
LATRiE.  Tome  XXXYll ,  page  343. 

363.  ASPHODELE.  On  présente,  dans  quelques  anciennes 
matières  médicales,  les  bulbes  de  l'asphodèle  rameux  {asplw- 
delus  ramobus  ,  L.)  comme  ayant  été  employés  en  médecine. 
On  regardait  leur  décoa:lion  comme  propre  l\  nettoyer  les  vieux 
ulcères  ,  etc.  Maintenant  on  ne  s'en  sert  guère  qu'à  nourrir  les 
porcs  dans  les  provinces  où  la  plante  est  assez  abondante  pour 
cola,  p^oj ez  Mv RRAY ,  Jpparat.  ineilicam. ,  tome  V,  page  140. 

895.  ASPIC.  D'après  M.  Bosc  (  Diclionaire  crhùtoire  natu~ 
relie,  édition  de  Déterville),  l'aspic  ou  vipère  d'Egypte, 
coluber  vipera  ,  L.,  qu'il  ne  faut  pas  confondie  avec  la  vipère- 
mpic ,  n'est  pas  venimeux  et  it'a  pu  tausci  la  moit  de  Cleo- 


i4  TOME  IL  ASPIC. 

pâtre,  comme  on  le  croit  ;  non  plus  qu'aucune  antre  espèce 
de  couleuvre,  puisque  les  animaux  de  ce  genre  n'ont  pas  de 
crochets  venimeux.  Cette  vipère  est  celle  qui  entre  dans  la  fa- 
meuse lhcriai[ue  de  A'^enise,  et  que  l'on  prépare  avec  tant  de 
solennité  dans  la  place  publique  de  cette  ville.  Selon  le 
même  savant,  la  vipère  noire  n'est  pas  de  France,  comme  on 
l'a  avancé  dans  un  article  précédent  ;  elle  n'habite  que  le  uoid 
de  l'Europe. 

4 1  ■2.  ASTOME ,  d'ct  privatif  et  de  (noixa, ,  bouclie  ;  sans  bou- 
clie.  Nom  donné  aux  monstres  qui  sont  privés  de  cette  partie 
du  visage. 

45o.  ATTELABES.  Insectes  qui  ont  clé  employés  contre 
l'odontalgie.  Voyez  insectes  ,  tome  XXV,  page  296. 

454.  AUDIMÈTRE  ,  synonyme  d'acoumètre.  Nom  d'un 
iustruaieul  propre  à  mesurer  l'étendue  de  l'ouie  ,  de  l'iuveu- 
tion  de  M.  le  docteur  Itard.  Tome  LUI,  page  4G2. 

457.  AUGMENT.  Temps  d'accroissement  des  maladies.  Ce 
mot  ({uelquetois  employé  est  plus  ordinairement  remplacé  par 
sou  synonyme  nccroissevieni. 

472.  AVOCATIER.  Nom  français  du  laurus  persea^  L. 
Voyez  les  tomes  XXVll ,  page  824 ,  et  XLI ,  page  320. 

5i5.  AZOTENESES.  Quatrième  classe  des  maladies  de  la 
classilication  de  M.  le  professeur  Baumes.  Tome  X,  page  ^\'6. 

B 

5i8.  BAILLEUL.  Synonyme  de  rebouteur.  Tome  XLVll  ? 
page  273. 

519.  BAILLON  DENTAIRE.  Nom  que  M.  Duval ,  deu- 
tiste,  donne  à  une  plaque  de  platine  qu'il  interpose  entre  les 
dents  pour  les  ramener  à  la  position  qu'elles  doivent  occuper. 
C'est  particulièrement  lorsque,  contre  l'état  ordinaire,  les  dents 
inférieures  passent  au  devant  des  supérieures  et  forment  ce  qu'on 
appelle  menton  de  ç^aloche^  qu'eu  se  sert  du  haillon  dentaire 
pour  les  ramener  à  passer  derrière  ces  mêmes  dents,  ce  qu'il 
produit  ordinairement  au  bout  de  quelques  semaines  de  son 
usage.  Voyez  tomes  VUI ,  page  582  ,  et  IX,  page  77. 

58i.  BALEINE.  Produits  que  ce  cctacé  fournit  à  la  méde- 
ciuc.  Tome  XXX,  page  410. 


TOME  m.  BkR^S  BLA.NC  DES   ARABES,        i5 

TOME  TROISIÈME. 


Page  4.  BAIIAS  BLANC  DES  ARABES.  Sorte  de  lèpre 
dont  il  est  menlioiî.  ïome  XXVIil ,  pap;e  i . 

On  donne  encore  le  uorn  de  haras  a  un  des  produits  vésincuK 
des  pins.  Vojez  térébenlhine  ,  tome  LIV,  page  547. 

12.  BARBEAU,  cypriiius  barbus.  Sorte  de  poisson  d'eau 
douce  dont  les  œuis  deviennent  par  fuis  véncncnx  :  iîs  pur- 
gent avec  violence  surtout  au  printemps.  TonieXLllI,  page 
()6i. 

On  donne  aussi  le  nom  de  barbeau  au  bleuet ,  centaurea 
c/anusj  L.  Voyez  ce  mot.  Tome  111  ,  page  2i(j. 

Ibid.  BARBEPiIE.  Nom  du  corps  des  chirurgiens  ou  barbiers, 
qui  ne  Cuisaient  que  la  petite  cliiiurgie.  Tome  XVl,  pages  617 
cl  545. 

Jbid.  BAR.uIERS.  Nom  qu'oji  donne  h  de-^  douleurs  de  rliu- 
matisme  qu'on  ressent  au  Malabar.  Tome  XLVIII,  page  4'yi" 

17.  BAR.OMETZ  ,  pylopodium  baromelz,h. ,  vulgairement 
agneau  de  Scyihis.  Cette  fougère  a  une  racine  rampante, 
ècailleuse  ,  lanugineuse  ,  mais  élevée  de  terre  par  des  radicules, 
de  manière  à  figurer  grossièrement  le  corps  d'un  mouton  ,  ce 
qui ,  avec  le  suc  rouge  que  rend  ce  végétal,  lequel  a  été  comparé 
a  du  sang,  Ta  fait  regarder  comme  un  animal-plante  ,  et  a 
donné  lieu  de  débiter  mille  rêveries  à  son  sujet.  On  peut  voir 
h  la  (in  du  Traité  des  drogues  de  Monard,  un  chapitre  cl  un 
dessin  grossier  qui  montrent  jusqu'où  la  crédulité  peut  aller. 

Au  surplus,  les  racines  de  cette  fougère  ont  été  administrées 
comme  astringentes. 

La  plante  croît  à  la  Chine  (  Linné),  et,  à  ce  qu'il  paraît,  dans 
plusieurs  lieux  de  l'Orient. 

11.  BARYUM.  Métal  qui  fait  la  base  de  la  terre  appelée 
baryte,  /^q/ez  baryte  ,  tome  111,  page  18. 

23.  BASILIC.  Animal  de  l'ordre  des  sauriens,  décrit  tome 
XXV 111 ,  page  89.  On  donne  aussi  le  même  nom  à  un  serpent 
fabuleux.  TomeLl,  page  179. 

28.  BASSOR.A  (  gomme  de).  Gomnic  qui  est  sou  vent  mêlée 


i6  TOME  III.  BASSORA. 

ovrc  la  gomme  arabique,  el  qui  en  diffère  par  une  origine  dif- 
féicnle  ,  puisqu'elle  paraît  provenir,  d'après  plusieurs  auteurs  , 
<ie  plantes  grasses,  comme  cactus,  niesemhiiantherniim  ,clc., 
et  non  de  ?»7//705^rt  comme  cotte  d<'rnière  {Journal  de  pharmacie, 
tome  V,  page  i84),el  par  ses  qualités  physiques  el  chimiques. 
Elle  est  en  morceaux  assez  petits ,  moins  transparente  que  celle 
d'Arabie;  elle  ne  se  dissout  pas  dans  la  salive  comme  celle-ci, 
et  ne  forme  pas  de  mucilage  comme  Ja  gomme  adra gante. 
Dans  î'eau  elle  se  gonfle  et  forme  des  vésicules  gélatineuses; 
elle  est  inodore  et  contient  un  principe  appelé  bassorine  (Tome 
XLV,  page  182). 

Cette  espèce  est  fort  peu  employée  et  gâte  les  deux  gommes 
dont  il  vient  d'être  parlé,  et  avec  lesquelles  elle  est  souvent 
mélangée  dans  le  commerce. 

4o.  BATEAU.  Ses  effets  sur  le  corps  humain  ,  tome  XVIII, 
page  3o4. 

51.  SECT.    I.  ,  lisez  SIÎCTION  YI. 

fhid.  BAUME  ACOUCHI.  Il  découle  âeVicicaaracouchîni 
d'Aublet;  il  est  suave,  et  les  habilans  de  Cayenne  s'en  servent 
comme  d'un  aromate  précieux  contre  les  blessures.  Il  est  li- 
quide et  ressemble  à  la  térébenthine.  Les  arbres  da  ce  genre 
})!oduisent  presque  tous  un  suc  analogue,  et  on  présume  que 
Viclca  heptaphylla  donne  un  suc  analogue  h  la  gomtne  élémi. 
Voyez  Aublet  ,  plantes  delà  Guyane^  tome  11,  page  Soy. 

52.  BAUME  DÉ  MOMIE.  Nom  do  nné  à  l'asphalte  ou  bi- 
tume de  Judée,  à  cause  de  son  usage.  Tome  XXXIV,  pages 
43  et  53. 

ïbid.  BAUME  NOIR,  sorte  de  labdanum  qu'on  récolte  en 
Espagne.  Torné.  XXVII,  pa^62. 

Jbîd.  BAUME  DE  SA.LAZAR.  Voyez  salazak  (baume  de  ) 
Tome  XLIX ,  page  4'^5. 

54.  BEC-DE-CICOGNE. Sorte  de  bandage.  Tome  XXXII, 
page  21. 

69.  BEDEGUAR.  Le  cinips  qui  le  produit  est  figuré  à 
INSECTES.  Tome  XXV,  pi.  2,  flg.  8. 

•^o.BEHEN.  Outre  les  deux  espèces  de  ^i^/te/i  mcntiotmées 
dans  cet  article,  nous  avons  encore  une  plante  de  nuscnvuous. 


TOME  m.  BEHEN.  17 

•eucubahis  hehen,  L.,  compagnon  blanc  ,  qui  est  indiquée  dans 
quelques  livres  comme  adoucissante  et  fondante,  dont  on  ne 
fait  plus  ou  du  moins  fort  peu  d'usage  en  médecine.  Il  ne  faut 
pas  confondre  les  différentes  sortes  de  behen  avec  le  ben , 
(tome  m,  page  78),  gidlandina  nioringn ,  L.,  dont  la  noix 
fournit  Vlmile  de  ben  ,  et  dont  le  bois  est  connu  sous  le  nom  de 
hois  néphrétique  {lome  XXXV,  page  4'^ 2,). 

70,  BELA-AYE  (  ccorce  de  ).  C'est  le  nom  de  récorce  d'un 
arbre  de  Madagascar,  offerte  à  la  société  royale  de  médecine 
par  Sonnerat  (  Mémoires  de  la  Société  royale  de  médecine  , 
tome  III,  page  689).  11  s'est  guéri  lui-même  d'un  flux  de  sang 
avec  la  poudre  de  ce  médicament,  et  il  a  vu  des  personnes  incom- 
modées de  dévoiement  depuis  deux  à  trois  ans,  en  prendre 
avec  le  même  succès.  On  ignore  le  végétal  qui  fournit  cette 
ccorce  astringente  que  l'on  ne  trouve  pas  dans  le  commerce, 
ïnais  que  l'on  pourrait  se  procurer  par  l'île-de-France  si  l'u- 
sage s'en  répandait.  Murray,  Apparat,  mcdicaminum  ,  tome 
VI ,  page  177  ,  et  Dict,  des  sciences  nat,,  tome  IV  ,page  280. 

70.  BELLOTAS.  On  rapporte  dans  cet  article,  les  glands 
connus  sous  ce  nom  ,  à  ïilex  major,  ce  qui  donnerait  lieu  de 
(Croire  qu'ils  ne  sont  pas  les  fruits  d'un  chêue.  C'est  une  erreur 
qui  a  été  commise.  Elle  provient  de  ce  que  les  anciens  appe- 
iaieut  les  chênes  verts  ilex ,  nom  transporte  par  Linné  au. 
houx,  tandis  qu'ils  appelaient  celui-ci  aquijolium.  ployez 
YEUSE,  tome  LVlll  ,  page  425.  Il  fallait  se  servir  du  langage 
usité  de  nos  jours.  C'est  au  quercus  ballota  de  Desfonlaines 
qu'appartiennent  les  bellotas. 

102.  BENOITE.  On  n'a  parlé  dans  cet  article  que  du  geum 
urbanum  ,  L.  ;  une  autre  espèce ,  le  geum  rivale^  L. ,  commune 
dans  le  Nord  et  surtout  en  Suède,  mais  que  nous  possédons 
aussi  en  France,  a  égalcraent  élé  employée  en  médecine  et 
pareillement  contre  les  fièvres  intermittentes.  Murray  s'en  est 
servi  {Jppar.  medicam..^  tome  III,  page  i32)  contre  ces  ma- 
ladies ,  mais  avec  plus  de  succès  contre  les  vernales  que  contre 
les  autres  espèces. 

On  a  aussi  administré  cette  espèce  de  benoitc  comme  astrin- 
gente dans  les  diarrhées,  les  flux  de  sang,  les  hémorragies 
utérines,  etc.  On  employé  la  racine  en  poudre  à  la  dose  de 
deux  ou  trois  scrupules  par  jour. 

104.  BEZOARD  D'ALLEMAGNE.  Nom  donné  dans  quel- 
ques livres,  aux  Egagropiles.  Tome  XI,  page  240, 

3 


i8  TOME  m.  BICHO  DEL  CULO. 

109.  BICHO  DEL  CULO.  Nom  d'une  vive  douleur  de 
Tauus  causée  par  un  ver ,  au  Bre'sil.  Tome  XII,  2o3. 

Ibid.  BICUSPIDE.  Nom  que  M.  le  professeur  Chaussier 
donne  aux  deux  premières  molaires,  parce  qu'elles  n'ont  que 
deux  tubercules  ou  pointes  à  leur  couronne. 

i53.  BLAIRE  A.  U.  IJrsus  mêles ,  L. ,  petit  quadrupède  dont 
la  graisse  a  été  quelquefois  employée  en  médecine.  Tome  XXX  , 
page  406. 

154.  BLANC  DE  PERLE.  Uu  des  synonymes  du  magistère 
de  bismuth.  Tome  111,  page  142. 

Ibid.  BLANCHISSEUSES  (maladies  des  ).  Tome  XXX, 

page  212. 

i55.  BLENNURIE. Tome  XXXVI,  page  244. 

Ibid.  BLENNÉLYTRIE.  Ibid. ,  page  245. 

Ibid.  BLENNENTERIE.  Ibid. ,  page  244. 

Ibid.  BLENNESTÉRIE.  Ibid. 

Ibid.  BLENNOPHTHALMIE.  Ibid. 

Ibid.  BLENNOPYRIE.  Tome  XXXVI ,  page  245. 

itii/.BLENNORRHAGIE  (addition).  La  verge  augmeotede 
voîumeaussitôtqu'unécoulemenlse  manifeste,  surtout  legland^ 
sans  doute  parce  que  l'irritation  qui  y  est  fixée  fait  aborder 
les  fluides  dans  cette  partie.  Lorsque  celui-ci  diminue,  c'est  un 
signe  que  récouleraent  ne  tardeia  pas  à  cesser,  ce  qui  est  vrai 
dans  le  plus  grand  nombre  de  cas. 

Il  se  manifeste  une  rougeur  notable  à  l'oiifice  de  l'urètre 
aussitôt  que  l'écoulement  va  paraître j  elle  affecte  la  forme 
ovale,  comme  l'est  cet  orifice,  qu'elle  borde  partout,  en  se 
prolongeant  vers  le  frein  en  manière  de  languette:  celui-ci  y 
participe  souvent,  aussi  démange  t-il  beaucoup  vers  la  fin  de 
î'écoulemeut ,  surtout  en  urinant.  L'intcusité  de  cette  rougeur 
marque  assez  bien  celle  de  l'ioGammatiou  blennorrliagique. 
Les  lèvres  de  cet  orifice  sont  collées  par  la  matière  de  l'écou- 
lement, tout  le  temps  ({u'il  dure,  à  moins  qu'il  ne  soit  trop 
abondant;  car  alors  riiumeur  ,  en  s'amassaut,  rompt  l'ad- 
liérence  pour  se  répandre  au  dehors. 

La  douleur  dans  les  bîeimorrhagies  commence  dans  le  canal 


TOME  III.  BLENNORRHÂGIE.  iq 

avant  l'ecouîenient ;  des  picotemens  l'annoncent,  et  elle  aug- 
mente graduellement  ,  pendant  les  quinze  premiers  jours,  au 
point  d'étreatroce,  si  la  maladie  est  très-inllammatoire.  Son  siège 
le  plus  ordinaire  paraît  êlre  dans  la  cavité  naviculaire  j  d'abord 
brûlante,  elle  n'est  plus  que  cuisante  lorsque  le  mal  s'adoucit, 
puis  ce  n'est  pUis  qu'une  démangeaison  ,  et  enfin  un  simple  cha- 
touillement; elle  augmente  beaucoup  pendant  le  passage  des 
urines  ,  lorsqu'elle  est  dans  sa  plus  grande  intensité  ,  sans 
doute  par  l'irritation  qu'excite  un  liquide  aussi  chargé  de  sel , 
snr  des  surfaces  enflammées,  d'autant  que  sa  température 
paraît  augmentée;  c'est  surtout  la  nuit  que  les  douleurs  sem- 
blent plus  fortes,  ce  qui  lient,  sans  doute,  à  la  chaleur  du 
lit ,  et  à  la  position  renversée  qui  accumule  le  sang  vers  celle 
région.  Au  demeurant,  il  y  a  des  individus  chez  lesquels  les 
douleurs  ne  cessent  pas  toujours  avec  l'écoulement ,  qui  en 
conseiveotaucontrairetouteleurvie;  elles  paraisseni  alors  tenir 
aune  iut-inflammation  chronique  de  l'urètre  ,  qui  nécessite  les 
plus  grands  méuagemens  dans  le  régime  et  dans  le  commerce 
avec  les  femmes.  C'est  chez  ces  sujets  que  les  rétrécissemens 
de  l'urèlre  sont  presque  constans  avec  le  temps.  La  douleur 
pendant  récoulemcnt  ne  cesse  pas  toujours  graduellement, 
mais  par  fois  du  jour  au  lendemain,  sans  qu'on  sache  pourquoi. 

On  éprouve  encore  dans  les  blennorrhagies  des  douleurs 
extérieures  au  canal  de  l'urètre  j  on  en  ressent,  par  exemple  , 
à  la  base  de  la  verge,  le  long  des  cordons  spermaticjues ,  dans 
les  aines,  les  testicules  ,  qui  paraissent  dépendre  de  l'irritation 
du  canal,  de  même  que  lorsqu'on  place  un  vésicatoire  dans 
une  région  ,  les  glandes  du  voisinage  deviennent  douloureuses 
et  se  gonflent.  11  se  passe  même  quelque  chose  d'analogue 
dans  les  écoulemens,  et  les  sujets  qui  en  sont  atteints  ont  des 
gonflemcns  des  glandes  lymphatiques  inguinales,  et  croient 
avoir  des  bubons,  ou  un  engorgement  inflammatoire  des  tes- 
ticules. 

On  éprouve  dans  l'érection, pendant  les  blennorrhagies,  une 
douleur  très-marquée  ,  mais  différcnle  de  celle  qui  appartient 
à  l'écoulement  j  ce  sont  des  piqûres  brûlantes  au  bout  de  la 
verge  :  cependant  elles  diminuent  un  peu  à  mesure  qu'il  y  a 
plus  de  temps  que  l'érection  dure.  La  masturbation,  qui  sem- 
blerait devoir  être  tiès-nuisible  pendant  l'existence  de  la  blen- 
norrhagie,  ne  lui  est  pas  très- contraire,  d'après  l'aveu  des  su- 
jets; ils  ont  même  remarqué  que  le  sperme  est  plus  abondant 
et  plus  fluide  alors  que  lorsque  cette  maladie  n'existe  pas^ 
sans  doute  par  suite  de  l'irritation  moibitîque  qui  existe 
dans  le  système  reproducteur.  Une  circonstance  remarquable,, 
c'est  que  l'éjaculalion  n'a  pas  lieu  ,et  que  le  sperme  coule  à  peu 
près  à  la  manière  du  flux  blennorrhagiquc.  L'érection  est  pro- 


ao  TOME  III.  BLENORRHÂ.GIE; 

voquee  par  la  présence  de  l'uiine  dans  la  vessie,  car  en  éva- 
cuant, ce  liquide  elle  cesse. 

Enfin  il  y  a  un  quatrième  genre  de  douleur  dans  cette  ma- 
ladie, c'est  celle  qui  résulte  des  injections  qu'on  lui  oppose 
dans  son  traitement.  Il  est  remarquable,  que  celles  que  l'on 
fait  même  lentement  dans  la  cavité  naviculaire  ,  font  éprouver 
de  la  douleur  au  col  de  la  vessie  ;  ce  qui  ne  doit  pas  étonner 
lorsque  l'on  réliéchil  que  la  présence  de  la  pierre  en  occasione 
au  gland  ,  ce  qui  est  exactement  la  même  chose  en  sens 
inverse.  Les  douleurs  que  causent  les  injections  continuent 
après  que  le  liquide  qui  les  compose  est  sorti  du  canal;  elles 
se  propasjent  aux  aines,  le  long  des  cordons  spermatiques  , 
dans  l'abdomen  ;  elles  sont  lancinantes  ,  ce  qui  est  leur  carac- 
tère particulier;  et  durent  quinze  jours  et  pins  après  la  ces- 
sation de  ce  moyen  ;  elles  annoncent  la  fin  de  l'écoulement, 
d'une  manière  assez  certaine ,  lorsqu'elles  commencent  h 
faiblir. 

L'écoulement  bîennorrhagique  paraît,  comme  on  sait,  dès 
le  troisième  ouïe  quatrième  jour,  après  un  commerce  amou- 
reux. D-ans  mon  opinion,  il  est  le  résultat  de  l'inflammation  , 
plus  ou  moins  marquée,  de  la  muqueuse  de  l'urètre,  et  est 
souvent  produit  par  un  coït  trop  prolongé  avec  une  femme 
malpropre  ou  acrimonieuse  ,  et  n'est  jamais  vénérien.  L'hu- 
meur qui  coule  d'abord  est  foncée  si  la  blennorrhasie  esÈ 
très  aigûe ,  et  quoiqu'elle  ne  paraisse  pas  sanguinolente,  elle 
tache  le  linge  en  rouge  sanguinolent  les  premiers  jours  ;  elle 
devient  vcrie  ensuite  ,  puis  jaune,  puis  grise  comme  le  sperme. 
Je  l'ai  vue  presque  safranée  chez  un  ictérique  qui  avait  un 
écoulement,  et  il  m'a  dit  que  le  sperme  qu'il  rendait  avait 
une  teinte  presque  semblable. 

Il  se  fait,  pendant  le  temps  d'un  écoulement  aigu  de  Turètrc, 
une  transpiration  très  -  abondante  des  parties  génitales;  il 
V  a  même  par  fois  une  véritable  sueur  de  celle  région  du 
corps,  surtout  des  bourses,  qui  mouille  la  chemise;  il  y  a 
en  même  temps  une  odeur  particulière,  analogue,  mais  bien 
plus  forte  que  celle  qui  est  iialurelle  à  ces  parties;  tant  que 
cette  odeur  qui  a  quelque  chose  de  spermatique,  n'est  pas  di- 
minuée, l'écoulement  continue ,  et  la  diminution  annonce  la 
cessation  de  ce  dernier.  On  ne  peut  attribuer  ces  phénomènes 
qu'à  l'augmentation  des  facultés  vitales  dans  ce.te  région, 
qu'y  a  appelées  le  travail  morbifique  qui  s'y  fait. 

Les  testicules  sont  parfois  rétractés,  dans  les  écoulemens 
blennorrhagiques ,  et  le  scrotum  exactement  plissé  sur  eux; 
chez  ces  individus  un  suspensoir  est  inutile,  et  même  bles- 
serait s'ils  voulaient  en  porter, comme  on  en  fait  la  recomman- 
dation banale  sans  distinguer  les  cas. 


TOME  m.  BLENNORRHAGIE.  cïx 

J'ai  par  fois  observé  un  gonflement  œdémateux  du  prépuce 
dans  quelques  blennorrhagies,  mais  rarement ,  et  toujours  pas- 
sagèrement :  on  peut  le  comparer  à  celui  qui  a  lieu  chez  les 
masluibateurs  adultes,  obligés  d'exercer  des  froltemens  long- 
temps el  fortement  répétés  pour  pouvoir  éjaculer.  On  sait  avec 
quelle  facilité  cette  partie  s'œdématie  chez  les  hjdropiques  , 
de  même  que  les  paupières ,  avec  lesquelles  clie  a  plus  d'une 
analogie. 

Il  y  a  un  gonflement  -du  canal  de  l'urètreetun  accroissement 
dans  sa  densité  pendant  la  blennorihagie  aigùe,qui  ne  lui  permet- 
tent pas  de  s'allonger  avec  la  même  facilité  que  lorsqu'il  était 
sain  ,  de  sorle  qu'il  fait  l'arc  pendant  l'érection  dans  cette  ma- 
ladie, ce  qu'il  faut  distinguerde  sa  torsion  qui  n'a  lieu  que  dans 
quelques  cas.  Je  l'ai  même  vu  continuer  à  rester  dur  et  pres- 
que calleux  au  dehors,  après  celte  affection.  L'état  de  gonfle- 
ment du  canal  en  rétrécit  le  calibre  et  gêne  le  passage  des 
urines  ,  dont  le  jet  devient  plus  fin  et  plus  rapide  pendant  les 
blennorrhagies  ,  d'après  un  principe  de  physiiiue  bien  connu, 
qui  nous  montre  les  liquides  coulant  dans  un  canal  plus  étroit 
augmentant  de  vitesse.  On  sait  que  les  urines  pour  être  rendues 
ne  coulent  ^-dS  droit,  mais  au  contraire  en  touinoj'ant  j  ce  tour- 
noiement est  plus  considérable  dans  les  blennorrhagies,  et  il 
est  d'autant  plus  fort  que  la  douleurest  plus  intense.  On  peutse 
faire  une  idée  du  tourn  .iement  naturel  des  urines  ,  en  introdui- 
sant une  sonde  droite  dans  la  vessie  d'une  femme  5  en  l'aban- 
donnant,  celle-ci  subit  un  tour  ou  deux  pendant  que  l'urine 
s'écoule,  ce  qui  suppose  une  assez  grande  force  de  la  part  du 
jet  urinaire.  Si  le  gonflement  de  l'urètieest  trop  considérable, 
il  y  a  strangurie  :  il  peut  même  y  avoir  rétention  des  urines. 
Voyez  ces  deux  mots.  Le  besoin  d'uriner  est  d'autant  plus  fré- 
quent que  la  maladie  est  plus  inflammatoire. 

Le  tiailement  dont  je  me  sers  dans  la  blennorrhagie  se  com- 
pose d'injections  vineuses.  Je  l'ai  décrit  au  mot  injection  [lorae 
XXV,  page  :ii7  ),  et  les  quatre  années  qui  se  sont  écoulées 
depuis  l'impression  de  mon  travail  n'ont  fait  que  me  confirmer 
dans  son  eflicacilé,  de  sorle  que  je  ne  puis  que  le  recomman- 
der en  toute  confiance,  bien  persuadé  que  le  but  constant  des 
médecins  doit  être  de  guérir  pronipleuient  et  virement  une 
maladie  aussi  fâcheuse  que  la  blennorrhagie,  à  cause  de  ses  suites 
si  elle  coule  trop  longtemps,  de  sa  malpropreté  et  des  incon- 
véniens  nombreux  qu'elle  apporte  dans  la  société,  dans  le  cas 
même  où  elle  est  de  peu  de  durée. 

184.  BLENNORRHINIE.  Tome  XXXVI,  page  244. 

/h<f.  BLEU^NOSES.  Nom  donné  aus  maladies  de»  mem- 


2a  TOME  III.  BLENNOSES. 

brancs  muqueuses,  par  M  lepiofesseur  Alibert.  Tomes  XXXVï, 

p.jge  244)  ^^  VlU,  page  568. 

Ibîd.  BLENNOTHORAX.  Tome  XXXVI,  page  244. 

Jbid.  BLENiVOTORRHÉE.  Tome  XXXVl,  page  245. 

Ibid.  BLEN^fURÉTHRIE.  Tome  XXXVI,  page  246. 

216.  BOASI.  Nom  delà  lèpre  à  Surinam.  Tome  XXVII, 

page  483. 

Ibid.  BOAST.  Sorte d'uîcf-ialion  qui  se  montre  dans  l'e'le'- 
phauliasis,  à  Angola.  Tome  XII,  page  igg. 

Ibid.  BOEUF.  Outre  les  indications  qu'on  en  a  faites  à  la 
table ,  voyez  encore  tome  XXX  ,  page  ^o'è. 

217.  BOIS  CANELLE.  Bois  du  launis  cupularis ,  Lamarck. 
Tome  XXVI ,  page  325. 

//;/(/.  B0I3  DAR.TRE,Boi5  de  sa?.g,  boisa  la  fièvre;  noms 
donnes  pat  les  natureîs  de  Cayeniic  ,  aux  hypericum  caianense  , 
laiifoliam  et  sessilifoliiuii  d'Aublet,  et  non  à  Vhypericum  lali- 
folium  seul  du  même  auteur,  comme  il  est  dit ,  tomeXXXUl, 
page  458. 

Ibid.  BOIS -DENTELLE.  Bois  do  daphne  lagetto  ,  W. 
M.  Lamarck  en  a  fait  un  genre  sous  le  nom  de  lagetta.  Son 
écorce  sertd'epispaslique  aux  Antilles. 

Ibid.  BOIS  JAUNE.  Nom  du  bois  du  monts  tinctoria^  L. 
Sous  ce  norn  on  vend  dans  le  commerce  plusieurs  espèces  de 
bois  employés  en  teinture  (  tels  que  ]q  launis  chloroocjlon^  etc.), 
mais  inusite's  en  médecine.  Voyez  pbincipes,  etc. ,  lorae  XLV, 
page  190. 

Ibid.  BOIS  DE  PAVANA.  Il  provient  du  croton  tiglium. 
Voyez  CKOTON,  tome  VII,  page  4'  '• 

Ibid.  BOIS  DE  RAPE.  ÎI  provient  du  delima  sarmentosa  y 
L. ,  aibre  de  Ceylan.  Tome  XXIX,  page  56o. 

Ibid.  BOIS  DE  RHODES.  C'est  à  te  rt  que  l'on  a  dit  h  l'article 
convolvulacées  qu'il  appaileuait  à  un  liseron.  Il  est  le  bois  dis 


TOME  III.  BOIS  DE  RHODES.  i5 

genista  canariensîs  y  L. ,  mais  Je  bois  do  Rhodes  de  la  Jamaïque 
est  celui  de  Vamyris  balsamifera  ^  Liu. 

266.  BOUCHERS  (  maladies  des).  Tome  XXX,  page  214. 

277.  BOULAIVGERS  '_  maladies  des  ).  T.  XXX,  pag.  2i5. 

27§.  BOULEAU.  Son  hiiiîe  pyrogénée  sert,  dil -on,  à  donner 
au  cuir  de  roussi  l'odcnr  ri  rim[jeinicabililé  qu'on  lui  attribue 
{Journ.  de  pharm,^  tome  8^  page  7J  ). 

BOURBOUIL.  Nom  sous  lequel  ou  dcsigne  dans  l'Inde  les 
ampoules  que  ("ont  les  piqûres  des  maringouins  f  espèce  de 
co««/z^.  Tome  XXXIV,  page  43 1. 

188.  BOUSIER.  Sorte  d'insecte  encore  quelquefois  usité 
en  médecine.  Voyez  insectes,  tome  XXV  ,  page  ^gS. 

Ibià.  BOUTEILLE  DE  LEYDE.  Instrument  de  physique 
qui  sert  dans  les  expériences  sur  l'électricité.  T.  XI,  pag.  206, 

390.  BOUTON  CHANCREUX.  Voyez  noli  me  tangere  , 
tome  XXXVI,  page  175. 

291 .  BRANC ART.  Machine  propre  à  transporter  les  malades. 
Celui  convenable  aux  soldats  blessés  a  été  déciit  à  l'article 
despotats.  Tome  Vlll,  page  669. 

293.  BRACHYPOTIE.  Mot  synonyme  de  rage.  T.  XLVII , 
page  39. 

3oo.  BRIOU  (eau  minérale  du).  Cette  source  est  située 
dans  une  propriété  de  ce  nom,  à  une  ii-^ue  r'e  la  Fcrté-Saint- 
Aubin,cn  Sologne.  La  fontaine,  que  j'ai  examinée  moi-même  ^ 
est  siuicc  dans  utie  plaine  (conune  en  présente  toute  la  So- 
logne )  ,  et  coule  peu  abondamment.  On  voit  ,  aux  débris 
dont  elle  est  entourée,  qu'on  en  a  fait  usage  autrefois.  L'eau 
est  froide,  et  a  une  odeur  de  foie  de  soufre  non  équi- 
voque. D'après  une  analyse  imparfaite  due  à  M.  Richard  Des- 
ruez, pharmacien  de  Paris,  elle  contient  un  peu  de  muriate,  un 
peu  de  sulfuiede  soude,  de  l'hydrogène  sulfuré,  et  très-peu  de 
sel  de  chaux.  Elle  est  un  peu  plus  faillie  ,  suivant  lui ,  que  l'eau 
d'Enghien  ,  près  Paris  ,  dont  on  fait  en  ce  moment  assez 
d'usage  sur  les  lieux  ,  où  on  a  bâti  des  bains ,  de  sorte  qu'on 
en  boit,  et  que  l'on  en  prend  en  bains  chauffés  artificiellement. 

Des  eaux  sulfureuses,  dans   un   pays  marécageux  el  mai- 


24  TOME  m.  BRIOU. 

sain  comme   la  Sologne,  ne  pourraient  qu'être  très-avanta- 
geuses à  ses  habilans,  qui  sont  presque  tous  attaqués  de  fièvres 


uu  usage  méthodique. 

Ibid.  BRISE-PIERRE.  Sorte  de  lenettes  propres  à  bnser 
les  pierres  dans  la  vessie.  Tome  XXVIII,  page  45 1.         "^ 

3i8.  BROU.  Enveloppe  charnue  de  la  noix.  Il  sert  à  plu- 
sieurs usages  en  médecine.  Tome  XXXVI,  page  3go. 

4o6.  BUPRESTE.  Ajoutez  à  l'indication  que  présente  la 
table  à  ce  mot ,  les  suivantes.  Tomes  XXV  ,  pages  289  ,  325 
etXLI  ,317, 

BUTUA.  Nom  que  l'on  donne  au  pareirahrava  dans  quel- 
ques auteurs  (Tome  XXXIX  ,  page  283  ).  C'est  sous  ce  nom 
Sue  Geoffroy  en  parle,  tome  II,  page  33  de  sa  Matière  mé- 
icale. 


409.  CAAPEBA.  Racine  de  nature  mucilagineuse  ,  provc' 
hsliU  du  cissempelos  caapcba ,  Lin.,  végétal  qui  a  été  confondu 
avec  celui  appelé  par  le  même  auteur  cissempelos  pareira. 
Voyez  ,  tome  XXXIX,  page  285  ,  une  discussion  à  ce  sujet. 
On  n'en  fait  point  d'usage  en  Europe. 

4io.  CACHALOT.  Physcter  macrocepkalus  ^Liin. ,  un  des 
cétacés  qui  fournissent  le  blanc  de  baleine.  Tome  XXX , 
page4ïO- 

459.  CALCIUM.  Métal  qui  fait  la  base  de  la  chaux. 
Tome  XLIX  ,  page  4^2. 

5i8.  CALORINESES.  Première  classe  des  maladies  éta- 
blies par  M.  Baumes ,  et  qui  comprend  celles  où  il  y  a  excès 
ou  diminution  de  la  chaleur  du  corps.  Tome  VIII ,  page  5o5. 

5iq.  CALYSAYA.  L'un  des  noms  du  quinquina  jaune, 
cinchona  lancifolia.  /^o/ez  quinquina  ,  tome  XLVÎ,  pages 
418,  4i9>  4^o« 


TOME  III.  CAMELEON  aS 

520.  CAMÉLÉON.  Sorte  de  lézard  dont  on  a  fait   usage 
en  mc'deciue.  Voyez  sa  description  ,  lonie  XXYIII,  page  cjo. 

Jhid.  CAMÉLÉON   MINÉRAL.   Combinaison    du   n.an- 
gaiicse  qui  oifre  des  couleurs  variées.  Toaie  XXX,  page  zj32. 

524.  CAMPHRE.  On  trouve  quelques  nouvelles  recher- 
ches sur  ce  produit  végétal  dans  le  Journal  de  pharmacie  , 
tome  VII,  pages  14^  ^^  199-  On  sait  actuellement  que  le 
camphre  est  un  médicament  très-actif;  (jue  deux  gros  dissous 
dans  de  l'huile  tuent  un  chien  d'as^sez  forte  taille  ;  qu'un  mor- 
ceau ,  bien  qu'il  ne  se  dissolve  pas  dans  l'estomac,  y  cause 
des  accidcns  locaux  qui  peuvent  aller  jusqu'à  ulcérer  les  mem- 
bianes  de  ce  viscère. Sa  propriété  se'dalive  nerveuse  est  aujour- 
d'iîui  contestée,  et,  dans  tous  les  cas,  ou  ne  doit  donner  cette 
substance  qu'il  petite  dose. 

53'j.  CANAL  CRURAL.  Canal  forme  par  l'écartement  des 
doux  feuillets  d'origine  àufascia  lata.  Tome  XXXîï,  page  5o4. 

585.  CANEFICIER.  Nom  do  l'arbre  qui  produit  la  casse, 
rnssîa  ^slula ,  Lin.  Le  fruit  porte  aux  Indes  le  nom  de  caué- 
fice.  Tome  IV,  psge  259. 


TOME  IV.  GANTHAIUDES. 


TOME  QUATRIÈME. 


Page  10.  CANÏHAHIDES.  Ccl  animal  est  figuré  h  insecte. 
Tome  XXV,  planche  3,  figure  5. 

4i-  CAPITONES.  Synonyme  de  ivucRocbpnALE.  Tome 
XXXI V  ,  page  21 5. 

Ibid.  CAPlilCORNE.  Soile  d'insecle  col(=oplèic  dont  on 
a  Jiiil  quelque  usage  en  médecine.  Tome  XXV,   page  297. 

48.  CARANGUE.  Espèce  de  poisson  des  mers  de  l'Amé- 
rique, qui  est  véncncux.  Voyez  poisson  ,  t.  XLIII,  p.  662. 

Ihid.  C  VPiAPA  (ecorcedo),  carapa  guiauensis  ,  Aublet , 
PL  f^ui'an.  ;  persoonia  guarecïJes ,  Willd.  :  arbre  qui  croil  à 
la  Guiane ,  dont  le  fruil  doiuie  une  huile  irès-aïuèrc,  em- 
ployée à  la  desiructiou  des  insectes  et  à  en  préserver  les 
élolfes,  etc.  Ou  l'a  présumé  récemment  comme  un  Irès-bou 
vermifuge.  Celte  écorce  est  grisâlre  h  l'extérieur,  épaisse  de 
doux  lignes,  rouge-brune  à  l'intérieur,  et  un  peu  plus  jau- 
DÛlre  vers  l'extérieur  ^  sa  cassure  est  nette,  et  olTie  des  points 
brillans;  la  saveur  de  l'écorce  est  amère  et  analogue  à  celle 
<iu  quinquina  gris  ;  sa  décoction  par  l'eau  est  d'un  rouge- 
jaune,  transparente  et  Iros-amère.  Sa  poudre  ,  chauffée  dans 
un  tube  de  verre ,  offre  une  vapeur  rouge  trcs-reniarquable , 
«lui  se  condense  en  goulleletles  du  plus  beau  pouipre,  puis 
elle  donne  une  huile  enipyreumalique  ,  propriété  qui  se 
leirouve  dans  le  roiigo  ciuchouicpie  soumis  à  la  même  action 
du  calorique.  ]\I.  Ptobiquct  lui  a  trouvé  d'autres  analogies 
itvec  les  quinijuina  ,  et  cuiicUit  de  ses  recherches  ,  <jue  l'écorce 
<lc  carapa  est  composée  etfeclivement  à  peu  près  des  mêmes 
principes  qu'eux,  savoir  ; 

i''.  D'une  matière  alcaline  j  . 

2°.  D'acide  kinique  ; 

3°.  De  rouae  cinchonique; 

4°.  De  matière  rouge  solublej 

5**.  D'un  sel  de  chaux  (peut-être  kinate). 

Celte  écorce  a  guéri  des  fièvres  invétérées  ,  qui  avaient  ré- 
sisté à  toutes  soi  tes  de  traitemens  ( /oHfvmZ  de  pharmacie. 
*iume  VII,  pages  349  cl  /\i\  ). 


sS  TOMC  IV.  CARDIECTÂSÎE. 

6ç).  CARDÎECTA.SIE.  Tome  XXXVI,  page  242. 

Jbid.  CARDIOPALMIE.  Tome  XXXVI,  page  24t. 

^5.  ligne  4|7  pciicardile,  liiez  cardite. 

8^.  Deux  fois,  dans  cette  page,  le  mol  peacedanum  est  éerit 
vcev.danunt. 

106.  CARNOSITÉS  DE  L'URÈTRE.  On  a  renvoyé  à  ce 
mot  de  CAwuLK  (tome  IV,  page  aS).  Il  n'en  a  pas  été'  tiaité  sous 
ce  nom  ,  mais  h  carnosité  (  Tome  IV,  page  jo4} ,  el  à  vkètre, 
loaie  LVI ,  page  3oo. 

120.  CARRIERS  (  maladies  des).  Tome  XXX  ,  page  217. 

259.  Imberl  de  Launes ,  Usez  Itnbert  Delones. 

253.  CASQUE.  Sorte  de  bandage.  Tome  XXXII ,  page  21. 

CASSE  EN"  BOIS  ,  cassia  %;a-«.  Tome XXVII,  nage,  3-2 1. 

261.  CASSONADE.  Sucre  brut,  rjui  a  subi  déjà  (jucique 
purificalion.  On  s'en  sert  piiir  préparer  divers  mc'uicamens, 
deslavemens  ,  etc.  Tomes  LUI,  pages  126  j  Llîl,  1 53.  L'usage 
de  cassonade  trop  impure  cause  souvent  des  dévoicmeus 
(lu'on  ne  sait  à  quoi,  attribuer  ,  lorsqu'elle  est  prise  tous  les 
jours  dans  du  café.  J'ai  vu  récemment  l'exemple  d'un  dévoie- 
nicnt  de  celte  nature  qui  fut  causé  par  l'usage  d'une  cassonade 
presque  rouge. 

284.  CATAMENIAL,  adj. ,  ùc  catame?iia,  règle,  menstrue; 
Jliix  calaménial. 

342.  CiVTASTASE  ,  s.  f.  ,  cnlastasis.  Habitude  du  corps  , 
et,  parexieusion^  manière  d'èuc  des  niuiadies,  catastaie  ftbriie. 

3u5.  Ligne  première,  a  pris ,  lisez  a  prise. 

3 18,  Ligne  21  ,  points,  lisez  poinles. 

32  1.     Ligne  19,  absoibJc,  lisez  absoibc. 

342.  CATIL\RTINE.  M\l.  Lassai:-nert  Fenouîîe  viennent, 
dans  une  nouvelle  analyse  du  séné,  d'y  découvrir  un  principe 
qu'ils  déîignent  sous  le  ucm  àa  caihariine ,  et  qu'ils  icgaidcui 


TOME  IV.  CATHARTINE.  29 

comme  celui  qui  produit  la  pulsation.  11  purge  à  pclile  dose 
(^Journal  de  pliannacie.  Tome  Vil  ,  page  55 1  ). 

Celte  malièie,  extraite  du  cassia  aculifolia,  est  inaislalli- 
sable,  d'une  couleur  jaune-rougcàlrc  ,  d'une  odeur  pailicu- 
iière  ;  eileest  solublcdaiis  l'alcool  et  Tcau  en  toule  proportion  , 
insoluble  dans  l'ellier.  Son  extrait  attire   riiumidité  de  l'air. 

On  peut  voir,  dans  i'ouvrage  cite,  d'autres  détails  pure- 
ment chimitpies  sur  le  principe  purgatif  du  sc'nc. 

387.  CAVIAR.  Aliment  compose'  avec  les  œufs  d'estur- 
geon (Icssocli'Js  et  sales,  dont  on  fait  beaucoup  d'usage  <laus 
Je  nord  de  l'Europe,  surtout  en  Russie.  Tome  XXllI,  page 
062.  Ou  peut  en  composer  avec  toule  es[)èce  d'œuls  de  pois- 
son ;ceux  même  qui  sont  purgatifs,  étant  fiais,  dans  certaines 
saisons,  perdent  celle  propriété  par  la  dessiccation  et  la  sa- 
laison que  l'on  en  fait. 

097  CEDRE.  Voir  la  description  de  cet  arbre  majestueux, 
tome  XLIX,  page  577.  Il  a  éié  (lueslion  de  la  maiiue  de  cè- 
die,  ou  cëdrine  à  jia>:iNE.  Tome  XXX,  page  4^55. 

Jbid.  CEDRiNE.  Nom  sous  lequel  on  désigne,  dans  les 
vieux  auteurs,  une  espèce  de  suc  qui  découle  du  cèdre,  et 
que  l'on  a  pris  pour  une  sorte  de  manne,  de  même  qu'il  en 
découle  d'autres  aibies  de  la  même  famille  autour  de  Brian- 
çon  ,  que  l'on  a  appelé  manne  de  Briancon.  Tome  XXX, 
page  491. 

399.  CEINTURE  MUSCULAIRE.  Nom  donné  par  Wins- 
low  au  muscle  constricteur  du  vagin,  périnéoclitovien  de 
Ciiaussier.  TorneLVl,  pag.  45  «• 

Ibid.  CEINTURE  DE  VÉNUS.  Sorte  de  ligne  de  la  maia 
dont  il  est  lait  mention  à  ciuromancie.  Tome  V,  pag.  65. 

41  |.  CENDRES.  Résidu  que  laissent  les  corps  combuf.li- 
bles  après  leur  igtiition.  Celles  de  bois  ont  des  usages  cco!:o- 
miques  umll'plicsj  elles  en  ont  aussi  de  médicaux  j  on  les  em- 
ploie à  préparer  tles  baiu'j  alcalins,  dont  on  lait  usage  dans 
certains  phleguions,  etc. 

Ibid,  CENDRES  CRWELÉES.  Il  en  est  traité  toaie 
LVill,  page  .-4. 

416.  CENTAUREE  BLANCHE,  laserpiiiani  latifoUum , 
L.  La  racine  de  celle  pb-'iic^  acre,  aromuiique,  chaude,  a 


3o  TOME  IV.  CENTAURÉE  BLANCHE. 

leçu  ce  lion»  (le  Ja  vcrlu  icbtifuge  qu'on  lui  a  prêtée,  mais 
ijui,  apparemment,  ne  s'esl  pas  confirmée,  puisque  l'usage  ea 
est  acluellcmenl  nul.  On  la  dit  bonne  dans  quelques-unes  des 
maladies  des  bestiaux. 

Ibld.  CENTAURÉE  BLEUE.  Un  des  noms  delà  scutel- 
laire.  Tome  L,  page  089. 

4'2o.  Ligne  l^i.  Plétbore ,  lisez  pléthore. 

436.  CÉPHALOSCOPIE.  Expression  dont  Lavater  s'est 
servi  pour  exprimer  l'inspection  du  crâne. 

441.  CÉRÉBELLITE,  Nom  proposé  par  M.  Pinel  fils  , 
pour  designer  l'infiainmalion  du  cervelet. 

Ibicl.  CEREBFlITE.  Nom  proposé  par  le  même,  pour  in- 
diquer l'inilammalion  du  cerveau. 

/|42.  CERF-VOLANT,  Espèce  de  coléoptère  dont  on  a 
f;iil  quelque  usage  eu  médecine.  Ployez  insecte,  tome  XXV, 
page  2f)'2. 

445.  CÉRIUM.  Métal  découvert  en  1804,  dans  la  cérite  , 
par  MM.  Berzélius  et  Hisinger.  II  est  solide ,  très-cassant ,  la- 
jnelleux,  blanc-grisâlre  ,  presque  infusible.  Il  ne  se  trouve  qu'à 
l'état  d'oxyde,  combiné  avec  la  silice  et  l'oxyde  de  fer,  eu 
Suède.  11  est  jusqu'ici  sans  usage. 

482.  CETINE.  Partie  la  plus  pure  de  la  matière  cristal- 
line du  blanc  de  baleine.  Foyez  PRI^G!^E,  etc.,  tome.  XLV, 
page  195. 

5o3.  CHAMPIGNON  DE  MALTE.  Cynoniorium  cocci- 
Jieuni.  J^oyez  cy^iomorium  ,  à  l'Appendice. 

529.  CHANDELLIERS  (maladies  des).  Tome  XXX, 
pag.  218. 

535  CHANTEURS  (maladies  des).  Tome  XXX,  pag.  219. 

Ihcd.  CHAN VBIERS  (  maladies  des  ).  Tome  XXX  ,  page 


542.   CHARBON  (pathologie).  A  ce  mot  on  a  lenvoyc  à 

h:--,vs-.k\  ,  cù  il  u'csl  pa=  ([(.(.sliou  du  viai  chaibuii  uy.  auiIuaSi 


TOME  IV.  CHARCOX.  3i 

acqu'is  et  contagieux.  Il  en  a  été  irailé  à  Vatùc\e  puslule  ma- 
i^gne ,  tome  XLVl ,  j)age  269. 

Jbid.  CHARBONNIERS  (  maladies  des  ).  Tome  XXX  , 
page.  -222.  ' 

572.  CHASSEURS  (maladies  des  ).  Tome  XX^X,  pag.  29.5. 

Jbid.  CHARQUE.  Viande  dessécliée  à  l'étuve  ,  jusqu'à  ce 
qu'elle  soit  réduiie  au  quart  de  son  poids,  que  l'on  vernit 
ensuite,  pour  la  conserver,  avec  du  blanc  d'œuf.  Le  bouillon 
et  le  bouilli  en  sont  aussi  bons  que  ceux  de  viande  fraicbe- 
[Journal  de  pharm.  ^  tome  VIII,  page  88),  de  manière  que 
l'on  peut  s'en  approvisionner  pour  les  longs  voyages  de  lene, 
comme  en  le  fait  en  A. m  crique. 


TOME  V.  CHAT.  33 

TOME  CmoUIÈME. 


Page  4'  CHA.T  ^felis  ',  calas  ,  L.  Partie  de  cet  animal  qui  a 
servi  en  méùecine.  Tome  XXX,  page  406. 

10.  CH AU- D'EAU.  Mélange  de  bière  et  d'œufs  dont  on 
fait  usage  dans  la  dysenterie.  Tome  X,  page  579. 

12.  CHAUFFOiPi..  Sorte  de  bandage  dont  les  femmes  se 
garnissent  lors  de  rc'couiement  menstruel  ou  de  tout  autre 
flux  vaginal  abondant»,  pour  ne  pas  tacber  leurs  vêtemens.  Il 
consiste  le  pUis  souve:u  dans  une  serviette  de  linge  elinie' 
pliëe  en  triangle,  dont  la  base  est  soutenue  par  un  cordoa 
qui  ceint  les  reins,  et  dont  les  bouts  viennent  s'attacber  par 
devant ,  en  passant  entre  les  cuisses.  Les  hommes  qui  ont  des 
écoulemens  hcmorroïques  trop  abondans,  sont  aussi  obliges  de 
s'en  garnir.  Le  nom  de  ce  bandage  vient  de  ce  qu'on  l'appli- 
que après  l'avoir  fait  cbauffer,  dans  la  crainte  que  son  humi- 
dité n'arrête  l'écoulement.  Tome  XXXII ,  page  589. 

a6,  CHENILLES.  Larves  des  papillons,  susceptibles  de 
causer  un  prurit  sur  la  peau  par  le  velu  qui  les  couvre. 
Tome  XXV  ,  page  52  4- 

27.  CHEVAL.   Ajoutez  à  l'indication  donnée  par  la  table 
celles-ci  :  tome  XXX,  page  4*^9  5    et  le  mot  équiiation^  tomo 
XIII,  page  i3f. 

4i.  CHEVPiOTAIN.  Espèce  de  chèvre  sauvage  et  monta- 
gnarde. Tome  XXX,  page  407. 

4^.  Ligne  4.  enl/bus ,  lisez  inCybas. 

Ibid.  Ligne  5.  On  renvoie  à  cnicoRÉE  sauvage;  il  n'y  a  que 
cnicoKKE  à  l'article. 

45.  CHIEN.  Ajoutez  h  l'indication  de  la  table  :  tome  XXX 
page  4o5. 

Ibid.  CHIENDENT.  Des  deux  espèces  de  chiendent,  l'une 
est  le  triliciim  repens,  L.,   qui  est  à  peu  près  le  seul  usit»- - 
Vautre  est  le  panicum  daclylon ,  L. ,  chiendent  pied  de  poule 
dont  on  ne  se  sert  aucunement,  à  Paris  du  moins,  à  cause  de 

5 


54  TOME.  V.  CHIENDENT. 

sa  rareté,  tandis  que  l'autre  inlcsle  les  jardins,  les  vignes,   et 
autres  lieux  cultivés. 

44.  CHIFFONNIERS  (  maladies  des).  T.  XXX ,  p.  224. 

5o.  Ligne  7.  Chimique  géologue,  lisez  le  chimiste  géologue. 

60.  CHIMISTES  (  maladies  des).  Tome  XXX,  page  aaS. 

Ihîd.  CHIQUE.  Ajoutez  à  l'indicalion  de  la  table  :  tome 
XXV,  page  33 1. 

6t.  CHIRAYITA.  Plante  fébrifuge  usitée  dans  l'Inde, 
douée  d'une  amertume  r-iarquce,  et  que  l'on  soupçoiine  ap- 
partenir au  genre  genliana  ^  et  être  ]c  f^enliana  chirayiLa  des 
manuscrits  de  Roxburgii  [Journ.  de  phann  ,  tom.  VII ,  p.  224). 

Ibid.  CIIIE.1ATRES.  Nom  que  portaient,  dans  l'anliquilé, 
les  médecins  qui  guérissaient  par  le  secours  de  la  main. 
Tome  XXIII,  page  337. 

112.  CHIRURGIE  MILITAIRE.  A  la  fin  de  la  bibliogra- 
phie de  cet  article,  M.  L,  B.  avait  promis  d'ajouter  quchfues 
ouvrages  qu'il  réservait  pour  celle  de  me'decinc  mililaire.  Des 
circonstances  particulières  l'ont  empèclic  de  remplir  sa  pro- 
messe; mais  la  plupart  des  ouvrages  qui  y  eussent  clé  indi- 
qués le  sont  à  d'autres  articles  de  médecine,  ce  qui  nous  a 
empêche'  de  suppléer  à  cette  lacune  apparente. 

142.  CHOLÉPYRIE.  Tome  XXXVI,  page  sSq. 

148.  CHOLEPtA  SICCA.  Nom  de  la  colique  venteuse, 
d'après  Hippocralc.  TomeXLIII,  page  354-  Voyez  aussi 
CHOLERA,  tomeV,  page  i45. 

îhid.  CHOLERALGIE.  Tome  XXXVI,  pag.  240. 

170.  CHOU-FLEUR  (pathologie).  A  ce  mot,  on  a  rcn- 
yoyé  à  vÉGiÎTATioN  (LVII  ,  n.  108) ,  pour  y  décrire  le  chou- 
Jïcur.,  Va  fraise  ,  la  framboise,  et  autres  excroissances  véné- 
riennes. Mais,  comme  il  en  a  été  traité  à  ces  mots  meutes,  il 
n'a  plus  été  nécessaire  d'en  parler  d'une  manière  spéciale  h 
ve'gétalion. 

178.  CHRYSO'MÈLE.  Ajoutez  à  l'indication  de  la  table, 
relativement  à  cet  insecte,  la  suivante  :  tome  XXV,  page  2g  j. 


lOME  y.  CHY^'LEN.  Î5 

182.  CHYNLEN  (  racine  (le).  Elle  a  été  appoilee  de  la 
Chine  par  Ekeberf; ,  et  menlionnce  par  Bergius.  Elle  est  cy- 
lindrique, du  volume  d'une  plume  d'oie  au  plus,  revêtue  de 
poils  ccailleiix,  fragile,  et  d'un  jaune  rouge.  Elle  est  d'une 
Bjveur  anière,  et  teint  la  salive  couleur  de  safran.  Les  Clii- 
liois  en  font  grand  cas  ,  el  l'euiploicnl  comme  un  stomachique 
précieux.  Bergius  a  confirmé,  par  sa  propre  expérience,  celle 
qualité.  On  ignore  le  végétal  qui  fournit  cette  racine. 

222.  CIGALE.  Voyez,  au  mot  insecte,  son  usage  comme 
aliment  et  comme  médicament,  tome  XXV,  page  322. 

Ibid.  CINCHONINE.  Alcali  végétal  qui  existe  dans  le 
quinquina  gris,  et  dans  ie  quinquina  rouge.  On  doit  la  décou- 
verte de  ce  principe  à  M.  Gomès,  chimiste  et  naturaliste  por- 
lu;5ais,  qui  l'avait  fait  connaître  sous  le  nom  de  cinchonin 
M.  Houton-Labillardièrc  neveu  entrevit  ensuite  son  alcanéilé 
il  était  réservé  à  RIM,  Pelletier  et  Caveutou  de  mettre  cette 
substance  dans  tout  son  jour,  et  de  nous  faire  connaître  ses 
propriétés  physiques  et  médicales. 

On  l'obtient  en  lavant  l'extrait  alcoolique  du  quinquina 
par  de  l'eau  légèrement  alcalisée,  jusqu'à  ce  que  les  eaux  de 
lavage  cessent  de  se  colorer.  On  Je  prive  de  la  matière  grasse 
;%^'ec  lequel  il  reste  uni ,  en  le  dissolvant  dans  de  l'acide  hj'dro- 
chlorique  faible,  dont  on  le  précipite  par  un  alcali;  on  le  re- 
dissout dans  de  l'alcool  pour  l'obtenir  cristallisé. 

La  cinchonine  est  blanche,  cristalline,  amère  comme  le 
quinquina ,  presque  insoluble  dans  l'eau  ,  très-soluble  dans  l'al- 
cuol  et  l'élher;  elle  forme,  avec  les  acides  qu'elle  neutralise, 
des  sels  solubles  et  cristallisables. 

On  se  sert ,  en  médecine,  de  sulfate  de  cinchonine ,  sans 
doute  parce  qu'il  est  plus  facile  à  obtenir  que  les  autres  sels. 

Des  expériences  non-équivo(|ues  ont  prouvé  la  propriété 
efficace  de  ce  sel  centre  les  fièvres  intermittentes,  et  montré 
(jue  nous  avons  en  lui  un  médicament  précieux.  11  y  a  lieu 
de  croire  que  cet  alcali  est  la  source  de  la  propriété  antifébrile 
du  quinquina  où  il  réside. 

Un  autre  alcali,  qui  a  la  plus  grande  analogie  avec  celui- 
ci  ,  mais  qui  en  diffère  cependant  assez  pour  former  un  corps 
distinct  ,  la  quinine^  ne  se  trouve  pas  dans  le  quinquina  gris, 
niais  dans  Je  jaune;  elle  est  préférée  pour  l'usage  médical, 
également  à  l'état  salin,  sans  doute  parce  que  l'on  peut  l'établir 
à  un  prix  bien  moins  élevé  que  la  cinchonine.  J^oyez  Qtjinuxk  , 
h  l'appendice. 

2j6.  Li^ne  43  ,  vaisseaox  ,  lisez  vaisseaux. 


36  TOME  V.  COPAHU. 

255.  Ligne  4»  audicola,  lisez  andicola. 

256.  Ligne  1 7  ,  mynea ,  lisez  myrica. 

258.  COPAHU.  Cette  te'rébenthine  cristallise  lorsqu'elle 
est  ancienne  ,  et  ses  cristaux  ont  une  double  refraction  d'après 
M.  Biot  {Bull,  pliiloni.,  1820,  page  88). 

268.  CISOIRES.  Sorte  de  tenailles  coupantes  dont  on  se 
sert  parfois  pour  la  résection  des  os.  Tome  LIV,  page  528. 

269.  \À^n(ii ^ladarifer j\l%czladanîfer.  /^o^<?2 polarisation. 

Ihid.  CITRONELLE.  Oa  dit  à  cet  article  que  cette  plante 
est  V arlemhiaponlica^  Lin. ,  appcleeaussipeizVe  absinthe.  C'est 
une  double  erreur.  La  cilronelle  est  Vavtejimia  ahrotanuni, 
L.  ,et  la  petite  absinthe,  Varlemisia  fjcntica  du  même  auteur. 

On  donne  aussi  le  nom  de  cilronelle  à  la  mélisse  officinale, 
parce  qu'elle  présente  une  odeur  de  citron  étant  froisbée. 
Tome  XXXÏI,  page  198. 

271.  Ligne  dernière,  ptccfz,  \\scz  pica. 

4o5.  COGKENILINE.  Principe  colorant  que  l'on  extrait 
de  la  cochenille.  Yoyez  carmin  au  mol  principes.  TomeXLV, 
page  191. 

464.  Ligne  3i ,  pliysiq. ,  lisez  physiol. 


TOME  VI.  COLLIER  DE  MORAND.  67 

TOME  SIXIÈME. 


Page  55.  COLLIER  DE  MORAND.  Sorte  de  topique  pro- 
pose par  Moraud  contre  Je  goitre.  Tome  XYIII,  pap;e  55o. 

6'].  COLOI\IBO.  Ou  dit  dans  le  Journal  de  pharmacie 
(tome  V,  page  128) ,  que  celte  racine  provient  du  meni^per' 
muni  columho. 

D'après  des  recherches  nouvelles,  elle  appartient  certai- 
nement au  menispermum  palmalum  de  Lamarck.  La  plante 
croît  à  la  côte  de  Mosambique  où  elle  est  appelée  halumb 
]>ar  les  Africains.  Elie  a  été  retrouvée  par  M.  Fortin  dans 
l'Inde.  Dans  ce  dernier  pays,  elle  est  connue  des  naturels  du 
pays  sous  le  nom  de  calornha  ou  calojnhra,  et  figurée  dans 
les  AsiaLic.  recjierch.  ^  vol.  x,  p.  3S,  fig.  v  (Decand,  Essai 
sur  les  propr.  me'd. ,  etc.  ,  page  79). 

Nous  ajouterons  à  ce  qui  est  dit  dans  i'aiticle  du  Dictionaire, 
au  sujet  de  son  analyse  par  iM.  Planche,  que  ce  chimiste  y  a 
trouvé  un  tiers  ligneux,  un  tiers  d'une  matière  animale  abon- 
dante, et  uHe  matière  jaune  indécomposable  par  les  sels  mé- 
talliques. 

C'est  surtout  dans  les  dysenteries  que  cette  racine  a  été 
employée. 

71.  COLONNES  DU  RECTUM  ou  de  moegagnî.  Nom 
donné  à  des  rides  formées  sur  cet  intestin  par  la  duplicature 
de  leur  membrane  muqueuse.  Tome  XXV,  page  549- 

Ihîd.  COLONNES  DU  VAGIN.  Nom  donné  par  Haller  à 
deux  lignes  saillantes  qu'on  remarque  il  l'intérieur  du  vagin. 
Tome  LTI,  page  44^- 

75.  COLUMBIUM.  Métal  ainsi  désigné  dn  nom  de  Chris- 
tophe Colomb,  parce  qu'on  l'a  trouve  d'abord  dans  uu  mi- 
néral d'Amérique.  Il  est  d'un  gris  foncé,  raie  le  verre,  et 
prend  l'éclat  métallique  en  le  frottant  sur  une  pierre  à  aiguiser  j 
exposé  au  feu  ,  il  se  change  en  une  poudre  d'un  blanc  grisâtre; 
le  plus  violent  feu  d'une  forge  ne  fait  que  l'agglutiner  j  avec 
l'oxygène,  il  forme  un  acide  faible  appelé  colonihique. 

Ce  métal,  qui  avait  reçu  en  Suède  le  nom  àQtiLane,  est 

sans  usage- 

» 

79.  Ligne  82,  sacrifif.r  ,  liez  scarifier. 


33  TOME  VI.  COMÉDONS. 

87.  COMÉDONS.  Nom  donné  par  EitmuUer  h  une  maladie 
vermineuse  qui  attaque  les  enfans  à  Seyne  en  Provence,  dont 
elle  porte  aussi  Je  nom.  Voyez  crinons  ,  toaie  VII ,  page 567. 

iio.  Ligne  i3  ^accidiam,  lisez  œcidium. 

179.  COMPRESSEUR  DE  L'URÈÏRE  ,  instrument  in- 
venté par  Foabert.  Voyez  presse- urètjie  ,  lome  XLV, 
page  106. 

206.  CONCHES  (eaux  mine'rales  de).  M.  Farradesche- 
Charabasse  nous  a  adressé  sur  ces  eaux  une  notice  dont  nous 
evlrayons  les  renseignemens  suivans  :  les  sources  sont  dans 
la  dépendance  de  la  commune  de  Cbancl ,  département  du 
Cantal.  L'eau  sort  par  plusieurs  filets  ,  pas  trop  tVoidc  ,  mous- 
seuse, d'un  goût  acidulé  très-prononcé,  et  contenant  des  bulles 
d'acide  carbonique  qui  viennent  fréquemment  crever  à  sa  sur- 
face j  elle  dépose  un  sédiment  couleur  de  rouille,  qui  indique  la 
présence  du  fer  dans  cej  eaux.  M.  Farradesclie-Ciiambasse  les 
classe  parmi  les  eaux  minérales  ferrugineuses  acidulés  froides. 

Ces  eaux  sont  toniques,  diurétiijues  ,  propres  à  relever  les 
forces  gastriques,  ii  remédier  à  la  faiblesse  vésica'e  et  aux  cn- 
gorgeraens  abdominaux. 

Il  a  été  parlé  des  eaux  de  Conches,  tome  XXXIII,  page  477' 

Ibld.  CONCOCTRIGE.  Qui  facilite  la  coclion.  Tome  XXV, 
page  t8. 

2TI.  CONDENSATEUR.  Instrument  au  moyen  duquel 
Volta  accumule  l'électricité.  Tome  XXII,  page  606. 

Ibid.  CONDOMS.  Tome  XLVII ,  page  328. 

Ihid.  CONDUIT  DE  STENON.  Tome  XXXIX,  page  367. 

ma.  CONDUITS  incisifs  de  COWPEll.  T.  XXXV, 

page  21  !\. 

21 3.  CONFERVE.  Genre  déplantes  aquatiques,  crj'-ptoga- 
jniques  ,  que  quelques  naturalistes  regardent  comnic  des  poly- 
piers, qui  couvrent  parfois  les  eaux  dormantes,  ks  bassins,  et 
qui  procurent ,  lorsque  l'eau  vient  h  se  dessécher,  des  émana- 
tions nuisibles,  d'une  odeur  fétide,  et  un  peu  analogue  à  celles 
de  certains  champignons ,  ou  plutôt  des  marécages.  Elles  se 
reproduisent  avec  une  facilité  extrême.  J'ai  vu  des  bassins  en 
être  remplis  de  nouveau  quelques  mois  après  eu  avoir  cic  cure*. 


TOME  TI.  CONFERVE.  Sg 

On  nVn  fait  aucun  usage  on  nit'dccine  ;  cependant  Murray 
{Apparat,  medicam.  tome  v,  page  55o)  ,  fait  reoionier 
l'emploi  (k' l'une  d'elles,  confevva  rividaris ^  Lin,,  jusqu'à 
Pline  (  lib.  xxvii ,  chap.  ix),  qui  les  dit  bonnes  à  consolider 
les  fiacluies  étant  appliquées  dessus. 

Ces  plantes  donnent  de  l'alcali  volatil  à  la  distillation. 
Ingcu-Houz  les  a  soumises  à  des  expériences  nonibreusts, 
relativement  à  leur  influence  sur  l'air  atmosphérique.  H 
remarque  qu'elles  ne  clien  lient  point  la  lumière  comme  les 
auties  plantes,  ce  qui  lui  fait  douter  qu'elles  soient  des  êtres 
végétaux. 

J\i.  13ory  Saint-Vincent  forme  du  genre  conferva  de  Linné 
six  familles  et  quinze  genres.  Il  y  a  observé  des  êtres  ({ui  sont 
tantôt  animaux  et  tantôt  plantes  ,  ce  (jui  lui  fait  conjecturer 
que  ce  sont  des  animaux  peut-être  qui  dorment  des  temps 
considérables. 

M.  Vauquelin  ,  qui  a  analysé  les  conferves  des  eaux  ther- 
males ,  les  a  trouvées  composées  de  matières  animales;  l'eau 
surtout  de  la  source  donne  les  mêmes  matériaux  à  l'analyse 
que  les  conferves. 

2 1 5.  CONFLUENT  DES  SINUS.  Tome  XX  VII,  page  291 . 

2.1'].  Ligne  ii^ihuxa,  lisez  thuya. 

Ibid.  CONJOINTES  (  causes  ).  Galien  donne  ce  nom  aux 
causes  que  les  modernes  appellent  anlécédentes. 

229.  CONSERVATION  (  pharmacie).  On  a  renvoyé  à  ce 
mot  de  MIXTION  (  tome  XXXllI ,  page  5o6  ).  Il  n'en  a  pas  été 
traité  dans  l'ouvrage. 

La  conservation  est  une  partie  importante  de  la  pharmacie 
et  de  l'économie  domestique.  Au  moyen  de  procédés  divers  oa 
parvient  à  conserver  pendant  un  certain  temps  des  alimens, 
des  médicainens  au-delà  de  la  saison  où  l'on  peut  se  les  procu- 
rer frais,  et  dans  des  pays  dont  ils  ne  sont  pas  indigènes. 

Les  minéraux  se  conservent  sans  préparation  ;  quelques-uns 
seulement  par  l'abri  de  Tair,  tels  que  la  nature  les    produit. 

On  conserve  les  végétaux  par  la  dessiccation,  par  l'inter- 
mède du  sucre,  des  corps  gras,  du  sel ,  de  l'alcool  et  du  vinaigre. 

Lrs  animaux  se  conservent  par  plusieurs  de  ces  moyens,  et 
de  plus,  par  le  boucariage  ou  l'exposition  à  la  fumée.  Ceux 
uoa  alimentaires,  et  (pii  n'ont  pas  d'usage  en  médecine,  se 
conservent  dans  la  solution  de  muriate  suroxygénc  de  merciire, 
ou  par  l'embaumement. 

Le  défaut  d'espace  nous  empêche  de  donner  les  dévelop- 
«emenï  convenables  à  cet  article. 


4o  TOME  VI.  CONSTITUTION. 

I  bis.  CONSTITUTION.  Nous  devons  prévenir  que  ce  vo- 
lume présentant,  dans  beaucoup  d'exemplaires,  deux  pagina- 
tions différentes,  on  n'y  a  pas  eu  égard  dans  la  table  ,  et  que 
le  mot  con.siiuuion  ,  par  exemple,  est  indiqué  à  la  page  2.5g, 
quoique  celte  page  n'existe  pas  dans  la  première  partie  de  ce 
volume  mais  seulement  dans  laseconde. Quant  h  cette  seconde 
partie,  l'on  a  conlinué  la  pagination  de  la  première  dans  la 
table,  comme  si  elle  existait  réellement.  11  uy  a  que  l'ordre 
alphabétique  qui  pourra  faire  retrouver  les  mots  qui  s'y  trou- 
vent ainsi  indiqués  par  la  table. 

80  bis.  CONTAGIUM.  Expression  latine  retenue  en  fran- 
çais et  admise  par  quelques  auteurs  pour  désigner  le  principe 
contagieux  des  maladies. 

102  bis.  Ligne  i5,  ajoutez  crus  au  commencement  delà 
ligne. 

106.  Ligne  ^.  Spectalce,  Z/sez spectacle. 

210  bis.  CONVULSION  DE  SOLOGNE.  Maladie  pro- 
duite par  I'ergot.  Tome  Xlll,  pages  162  et  166. 

•ï4^  ^i'>-  COPALME.  Baume  liquide  qui  découle  du  liqui- 
dambar  slyracijlua  .,  L. ,  arbre  de  l'Amérique.  Ce  produit  est 
plus  connu  sous  le  nom  de  styrax,  tome  LUI,  page  76  (  qui 
n'est  pas  la  même  chose  que  le  storax  ,  tome  LUI  ,  p;i<;e  22  ). 

II  ne  faut  pas  confondre  le  baume  copalme  (  tomeXXVUl, 
page  322  )  avec  la  résine  copale  (  tome  VI,  page  242  bis  et 
tome  XVII l,  page  58o). 

3o3.  COQUELUCHE.  Le  sang,  comme  on  sait,  se  porte 
avec  violence  i\  la  tète,  dans  les  quintes  de  toux  qui  ont  lieu 
dans  celle  maladie  ,  au  point  que  les  enfaus  deviennent  cramoi- 
sis et  même  violets  lorsqu'elles  sont  intenses;  il  en  résulte  assez 
souvent  des  hémorragies  nasales  et  même  des  vomissemens  de 
sang  ([ui  soulagent  les  enfans  et  diminuent  i'inlensité  du  mal, 
loin  de  leur  être  imisibles;  les  mères  habituées  à  voir  celte  ma- 
ladie ,  ont  pour  principe  quecelu  présage  la  fin  de  la  coqueluche 
lorsque  le  sang  s'écoule  au  dehors.  Cette  circonstance  donne 
à  penser  qu'on  diminuerait  peut-être  l'intensité  de  la  maladie 
par  de  petites  saignées  locales.  La  difficulté  d'opérer  des  émis- 
sions sanguines  chez  de  si  jeunes  sujets,  est  cause  sans  doute 
de  réloignement  pour  ce  modede  thérapeutique,  qui  peut  être 
cependant  d'une  grande  utilité  dans  une  maladie  désespérante 
par  sa  longueur  et  sa  ténacité,  et  où  presque  tous  les  modes 
de  traitement  sont  sans  efficacité  marquée. 


TOME  VI.  CORAIL.  4t 

520-  COR:*lIL.  C'tst  \c  Qor^onia  pretiosa,  Lainarck.  Tome 
XLiV,  page  261. 

3'2.  CORDES  VOCALES.  Productions  ligamenteuses 
qu'on  observe  dans  le  huynx.  Voyez  glotte,  lomc  XVUl , 
p;iye5o^,  cl  LAR\^x ,  Icme  XXVIU,  paj^e  280. 

344.  CORDONNIERS  (maladies  dc5).  Tome  XXX,  p.  227. 

55>..  CORNEITE.  LiUammalion  de  la  coince  tiansparcntc. 

Tome  XXXVii ,  page q  16. 

555.  CORNES  DU  LARY^^X.  Tome  XXVll,  page  276. 

Ihid.  CORNET  DU  LIMAÇON.  Tome  XXVll,  page  94. 

C)  1 2.  COR.ONAIRES  LABIALES  (  ancres  ).  Il  y  en  a  deux , 
l'une  supérieure,  l'auUe  irileiicure.  Tome  XXXI,  page  256. 


TOME  VU.  CORPS  D'HYGMORE.  43 

TOME  SEPTIÈME. 

Pugc  2.  CORPS  D'HYGMORE.  Tome  LIV,  page  568. 

Jbid.  CORPS  FESTONÉ.  Tome  XXXI 1 ,  page  578. 

Ibid.  CORPS  MUQUEUX.  Tome  XXXIX,  page  566. 

Jhid.  CORPS  MAMILLAIRE.  Tomes  LVl,  page  4,  et 
XXX,  page  4oî. 

Jbid.  CORPS PAPILLAIRE.  Tome  XXXIX,  page  $67. 

109.  CORRÉPUGNANCE.  Mot  dont  se  sont  servis  quel- 
ques auleuià  anciens  pour  désigner  une  trcs-forle  indication 
pour  certains  médicamens  ou  autres  moyens  a  employer. 

ii3.  CORROYEURS  (maladies  des).  Tom.  XXX,p.  228. 

1 33.  COSSUS.  Larves  que  l'on  mangeait  chez  les  anciens. 
Tomes  XXV,  page  297  ,  elXXXVl ,  page  3 16. 

134.  COSTALGIE.  Névralgie  qui  a  son  siège  sur  le  trajet 
des  côtes  ou  de  leur  cartilage.  Tome  XXXIV,  page  470- 

i5o.  COTON,  gossjpiiim.  Vëge'tal  précieux  de  la  famille 
des  malvacées,  dont  In  semence  est  entourée  d'un  duvet  sus- 
ceptible de  former  des  tissus  dont  l'iiomme  fait  usage. 

On  se  sert  de  charpie  de  coton  dans  le  pansement  des  plaies 
lorsque  celle  de  linge  manque,  comme  cela  a  lieu  en  Angle- 
terre. En  France,  où  la  toile  de  chanvre  est  commune ,  on  n'en 
emploie  jamais.  Lorsqu'on  est  forcé  de  se  servir  de  colon  en 
charpie,  on  la  fabrique  avec  celui  qui  est  élimé  et  souvent 
'  lessivé ,  parce  que  les  fils  qui  entrent  dans  sa  composition  sont 
moins  accrochans ,  et  irritent  moins  le  derme  entamé.  On  em- 
ploie parfois  exprès  drs  mèches  de  coton  lorsqu'on  veut  irriter 
les  trajets  fistuleux,  ce  qu'elles  produisent  d'une  manière  plus 
marquée  que  la  charpie  de  chanvre. 

Lesvêtemens  de  colon  sont  pi  us  chauds,  surtout  lorsqu'ils  sont 
neufs ,  que  ceux  de  toile,  mais  ils  durent  moins  que  ces  der- 
niers. On  s'en  sert  parfois  pour  pomper  la  sueur,  a  l'instor  de 
ceux  de  Jaiuc.  Ils  sont,  sous  ce  rapport ,  inîerraédiaires  entre 


44  TOME  VII.  COTON. 

ces  derniers  et  ceux  de  loile,  el  sonl  ircs-usilcs  dans  les  [>ays 
chauds. 

i^f).  COUDlllEIl.  Synonyme  de  noisetier.  Tome  XXXVl, 
page   iG5. 

20^.  COUP-DWIIl.  Nom  ([u'on  donne  parfois  aux  douleurs 
vliuuiiUi^malos,  par  suite  de  leur  causeprésuuice.TomeXLViH, 
page  42-. 

ïbid.  COUP-DE-LUNE.  Sorte  de  rlmmalismc  d'après  quel- 
ques auteurs.  TouieXLVlll,  page  5f)5. 

Tbid.  COUPE -BPiIDE.  Synonyme  de  kiolowe.  Tome 
XXV m,  page  4^6.    . 

220.  COUPiAP  ou  COWPi. AP.Noni  que  donne  Bonliusà  une 
espèce  de  dailie  lépreuse  dos  Moluqucs.  Tome  XII,  page  iijj. 

227.  COUSIN.  Cet  animal  est  figure  à //i5ecfe.  Tome  XXV, 
plauclie  1 1  ,  ligures  i  ,  G  et  7. 

9.39.  COXAPtTHROCACE.  .Synonyme  de  luxation  sponta- 
née. Tome  XXXV,  page  53(3. 

522.  CliAPAUDlNE.  C'eU  aussi  le  nom  d'une  plante  (sta- 
clifs recla^L.  ?  ),  dont  la  fleur,  d'un  blanc  jaunâtre,  est  laclicc 
de  points  ou  ligues  noirâtres,  et  qui  n'est  plus  d'aucun  usage 
en  médecine. 

339.  CUEOPHAGIE.  Action  de  se  nourrir  habituellement 
de  chair.  Tome  XXi ,  page  222. 

34' •  CRESSON.  Dans  cet  article,  les  noms  linncens  des 
dillerenles  espèces  mentioiMiées  sont  inexacts  j  nous  allons  les 
rétablir  tels  qu'ils  doivent  être. 

CRESSOK  DE  FONTAINE ,  sisymbryiim  nasturiium  ,  L. 

CRESSON  ALENOis,  lepidiiim  sallvum  ,  L. 

CRESSON  DES  PRES ,  cardanûtie  praleiisis  ,  L^ 

CRESSON  SAUVAGE,  cocMeai'ia  coronopus,  L^ 

CRESSON  d'ipbE  ,  tropeohim  majus  ,  Ls 


Tome  vu.  cresson  doré  45 

CRESSON  DORÉ ,  chrysosplenium  opposidj'olium ,  L. 

CRESSON  -DE  vAViA^  spi'aDthus  acmella,  L.  On  en  a  fait  un 
frcruo  sous  le  nom  (Wxcinella,  plaiito  cie  la  famille  des  corym- 
hifcics,  d'une  savcuramcrc  ,biùianlc,  que  l'on  a  vanlcc  comme 
propic  à  ailôrjucr  les  calculs  vcsicaux  et  îi  guciir  les  douleurs 
ncplnctiqucs. 

Celle  pianlc  indienne  est  cuhivce  dans  les  jardins  comme 
un  puissant  anliscoiLulique  et  un  incisif  énergique. 

392.  CRIST.VL  MINÉRAL.  Nitrate  de  potasse  brûle  avec 
un  peu  de  soufre  et  fondu.  Tome  XXV 111  ,  page  ai  i. 

395.  CRI5TALL1NITES,  Nom  donne  par  M.  le  doclcur  de 
Lens  il  des  principes  immédiats  qui  se  j)rcscntcnt  sous  forme 
cristalline,  sans  odeur  ni  saveur  ,  ou  d'une  saveur  dcsagiéablc. 
Tome  XLY,  page  i';;^. 

4o3.  CROCODILE.  Son  emploi  en  médecine.  T.  XXVHl , 
page  88. 

409.^  Ligne  34-  Senega,  lisez  seneka. 

411.  CROTON,  Il  y  a  confusion  dans  les  noms  botaniques 
linnceris  à  col  article. 

Le  pignon  d'Inde  li'est  point  un  croton  ;  c'est  le  fruit  du. 
jotropha  cnrcas ,  L. 

Le  pignon  de  i5aibarir,  ou  ricin,  n'est  pas  le  même  fruit 
que  le  pignon  d'Inde;  c'est  le  fruit  du  ricinus  comniwds ,  L. 

Les  nnnicros  3  et  4  sont  la  mèinc  chose. 

La  giaine  de  ligii  ou  tiliy  vient  du  croLontiglium   L.  J^oyez 

PIGNON,    RICIN   etTIGLI. 

499.  CR0UPÏS3EMENT.  Siagnation  avec  dccompoM'tion 
des  injuidcs  du  coi  ps  humain  ,  retenus  dans  une  région  plus  ou 
moins  profonde. 

Le  pus  ,  le  sang ,  la  sérosité  croupissent  parfois  et  se 
dciKiturent  au  point  do  ne  pouvoir  cire  reconnus;  ils  al- 
lèrent p!us  ou  moins  les  parties  voisines  par  leur  contact,  et 
celles  qui  sont  cloigtiécs,  parleur  résorption;  ils  piodnisent 
alors  la  fièvre  hcclicjuc  s'ils  sont  en  (juatilité  notable. 

Il  y  a  des  auteurs  (jui  ont  admis  le  croupissenient  du  fluide 
nerveux.  Tome  XIV,  page  298. 

5oî).  CRTJDIVORES,  Expression  d-^nl  lîonière  s'est  servi 


46  TOM:::  Ylî.  CRUDIVORES. 

pour  designer  les  peuples  barbares  (jni  ne  vivent  fjue  d'alînicn? 
crus.  Tome  XIU,  296.  Ce  mot  est  presque  syuonj'me  d'hoina- 
phage.  Tome  XXI,  page  344- 

Ibid.  CRUENTATIO.X  DES  PLAIES.  O.i  trouve  dans  un 
©uviage  de  Ilanchin  {Opuscnl.  ou  Traités  div.  et  curieux  en 
me'd. ,  etc. ,  1  voLin-is,  Lyon  1640),  cliancellier  de  laFaculté 
tic  MoiiSpellier ,  un  Traité  curieux  sur  ce  sujet.  Il  entend  par 
cruentalion  des  plaies  ,  le  saignement  qui  s'opère,  suivant  lui» 
parla  plaie  d'un  cadavre,  lorsque  le  criminel  qui  l'a  faite  su 
prtisenle.  A  cette  époque,  il  pariut  qu'on  ne  doutait  pas  que  le 
phénomène  ne  fût  vrai,  cl  o!i  faisait  passer  le  criminel  sur  le 
cadavre  de  sa  victime,  pour  que  la  cruentalion  eût  iicu,  ce 
qui  devenait  une  preuve  incontestable  de  son  crime,  et  le  fai- 
SAil  condamner.  On  trouve  dans  l'ouvrage  cité,  un  procès- 
vcibal  signe  de  magistrats  (;!ii  virent  celle  sortie  du  sang  se 
pa-ser  sous  leurs  yeux,  cl  Ranchiri  disserte  gravement  pour 
donner  la  raison  de  ce  uhénomènc ,  que  le  peuple  regardait 
corame  un  miracle,  car  lorsque  ceux  qui  étaient  innoecns 
passaient  sur  ce  corp^ ,  la  plaie  ne  saignait  pas. 

11  y  a  lieu  de  croire  que  les  juges  d'alors  comptaient  sur  d'au- 
tres preuves  pour  condamner  les  assassins,  car  iiseussent  risqué 
souvent  de  les  exempter  de  toute  punition,  s'ils  eussent  attendu 
Ja  cruentalion  des  plaies  de  leur  victime. 

5i4.  CRYMODYNIE.  Rhume  chronique.  T.  Vill,  p.  5o5. 

fbid.  CIIYMOSLS.  Nom  que  le  professeur  Baumes  donne 
aux  maladies  causées  par  le  froid.  Tome  Vlil,  page  5o5. 

5iG.  CUIjEBE.  Ajoutez  a  cet  article  ce  qui  en  a  clé  dit  à 
POIVRE  ,  louchant  son  emploi  dans  la  gonorrhce.  Tome  XLIV, 
page  2^.  il  ne  faut  pas  confondre  le  poivie  cubèbe  avec  le  lau- 
rier de  ce  nom.  Tome  XXVll,  page  324. 

52(j.  CUISIX1ER.S  (  maladies  des  ).  Tome  XXX  ,  page  228. 

568.  Ligne  18.  Fouquet,  //^ez  Fouquicr. 

57g.  CUIVRE  JAUNE.  Ce  que  c'est.  Tome  LYlll ,  p.  444. 

Jbid.  CXJL-DE-JATTE.  Nom  que  l'on  donne  à  un  individu 
qui  ne  pcul  marcher,  et  que  l'on  est  obligé  de  porter  d'un  lieu 
3  i\n  autre.  On  le  donne  surtout  a  ceux  qui  sont  privés  des 
cuisses,  et  qui  niellent  leur  tronc  dans  uuc  jatte  pour  se  traîner 
ilcisus  à  l'aide  de  bcquillcs  courtes. 


TOME  VII.  CUL-DE-SAC.  4; 

Ibifl.  CUL-DE-SAC.  Eiifonromen!  sans  issue.  On  dit  le 
{;i  and  cul -de -sac  de  Veotomac.  Tome  Xl!l ,  page  34  i  ;  le  peùl 
i-'ul-dc-sac  de  l'estomac.  Ibid. 

f)0o.  CUR.ARE.  Sorte  de  poison.  TomeXLlll,  page  635. 

607.  CURCUMA.  Ajoutez  à  cet  article  ce  qui  est  relatif!» 
sa  matière  colorante.  Toyes  pniiscu'Es.  Tom.  XLV,  pag.  191. 

620.  CUREURS  DE  PUITS  (  maladies  des  ).  Tome  XXX, 
page  25o. 

636.  CYCLOPE.  Monstruosité  qui  consiste  à  n'avoir  qu'un 
oeil  au  milieu  du  front. 

657.  Ligne  5i.  Crinophorus  ,  lisez  Eriophorus. 

Thid.  CYNIPS  DE  LA  NOIX  DE  GALLE.  CYNÎPS  DU 
PiOSlER.  J^oyez  INSECTE,  tome  XXV,  page  3 19. 

639.  CYNOMORIUM.  C'csl  une  plante  monoïque,  parasite 
«jui  croît  dans  l'ilede  Malle^  en  Sicile  ,  en  Bai  barie,  sur  les  raci- 
nes du  myrte  ,  etc.  ,et  que  l'on  a  prise  autrefois  pour  un  cham- 
pignon,ce  qui  l'a  fait  nommer /£/«§«•>  //ie/iïe/ii/i.  Sa  niacodans 
l'ordre  naturel  n'est  point  encore  assignée  ,  et  jusqu'ici ,  elle  est 
dans  les  incevtce  sedis.  Elle  n'a  ni  corolle  ni  feuilles;  sts  fleurs 
chatonees  consistent  en  une  clamiue  ou  un  pistil  ijui  sont  sépares 
et  entourés  d'écaillcs.  La  plante  contient  un  suc  rouge  qui  a  été 
préconisé  dans  la  dysenterie  ,  et  pour  arrêter  les  hénîoiragies , 
propriétéque  l'on  attribue  volontiers  aux  corps  rouges,  couinii; 
le  sang-dragon,  la  ratanhia ,  le  cachou,  etc.,  à  cause  de  leur 
couleur  analogue  au  sang,  ce  ([ui  se  rapporte  h  la  doc'riue 
des  signatures.  Voyez  ce  mot.  On  l'emploie  aussi  pour  forlifnr 
{os  gencives  que  l'on  en  frotte,  ainsi  que  pour  détergcr  les  vieux 
ulcères;  on  la  donne  desséchée  et  en  poudre,  à  la  dose  d'un 
gros.  Murray  ,  Apparat,  medicam. ,  tome  1 ,  page  i3?.. 

642.  CYSTICERQuE.  Sorte  de  ver  vésiculairc.  Vori'z 
uYDATiDEs,  toni.  X\IÎ  ,  pag.  160,  et  vrus,  lom.  LVli,  pag. 
2  £  1.  • 

686.  CYSTOCELIE.  Tome  XXWI ,  page  240. 


TOME  VIII.  DACRYOLITHES.  4() 

TOME  HUITIÈME. 
D 


Page  1.  DACRYOLITHES.  C'est-à-dire  calculs  lacrymaux 
ainsi  nomme's  par  le  docteur  Wallher  de  Bonn,  qui  a  donné 
l'observation  d'une  fille  chez  laquelle  dcsconcre'tions  pierreuses 
se  formaient  à  l'angle  externe  de  rŒi!,el  dont  on  retirait  jusqu'à 
trois  par  jour,  maladie  qui  affecta  successivement  les deuxyeux. 
Leur  présence  causait  de  violentes  op'athalmies,  qui  exigèrent 
des  saignées  nombreuses,  etc.  Cette  affection,  qui  dura  environ 
dix  semaines,  céda  pendant  l'usage  de  la  solution  de  carbonate 
de  chaux  dans  l'eau  de  carielle  édulcorée  ,  remède  à  peu  près 
semblable  à  celui  de  mademoiselle  Stéphens. 

Les  calculs  étaient  composés  i**.  de  beaucoup  de  carbonate 
de  chaux,  2".  de  quelques  traces  de  phosphate  de  chaux, 
3**.  d'albumine  concréléc  ( /o«r/i.  compl.  Jes  Scien.  médic.  ^ 
lome  7  ,  page  5i  ). 

8.  DANSEURS  (  maladies  des  ).  Tome  XXX,  page  239 
et  23 I. 

iSy.  DÉCIDENCE  DU  VENTRE.  Terme  dont  Mauriceau 
s'est  servi  pour  exprimer  la  chute  du  ventre  lorsque  l'enfant 
est  sans  vie,  et  qu'il  se  porte  du  côté  où  la  femme  se  penche. 
Tome  XXXIV,  page  16. 

166.  DECOCTUIVI  ,  décuit.  Nom  donne'  au  produit  d'une 
décoction,  afin  de  le  distinguer  de  l'opéiatio-n  même. 

174-  DECORTICATION.  Ce  que  l'auteur  avance  dans  cet 
article  au  sujet  du  viedilulliuin  de  l'ipécacuanha ,  n'est  pas 
exact.  11  est  beaucoup  moins  actif,  et  doit  être  rejeté.  Voyez 
ipÉcACUANHA,  tomc  XXVI,  page  i. 

1 84.  DEFFERENS  (vaisseaux).  Nom  donné  par  Cruiksliank 
aux  lymphatiques  qui  arrivent  aux  glanglions.  Tome  XXV, 
page  1 18. 

DÉGÉNÉRESCENCE  BLANCHE.  Nom  donné  par  Bayle 
à  une  lésion  organique.  Tome  XXVH.page  52i. 

7 


5o  TOME  VIII.  DELPIIINA.TES. 

277.  DELPHINATES.  Sorte  de  sels.  Tome  L,  page  534. 

294.  DEMI-CIRCULAIRES  (  canaux  ).  Tome  XXVII , 
page  95. 

3 16.  DÉMONOMANIE.  A  la  planche  trois  de  cet  article, 
M.  Esquirol  a  inscrit  le  crâne  dans  un  triangle,  et  promis  de 
revenir  sur  ce  triangle  aux  mois  idiotisme  el  imbécillité.  11  n'en 
a  rien  fait. 

5o4.  DERMAiTAGRE.  Nom  proposé  pour  remplacer  celui 
de  pellagre.  Tome  XL,  page  82. 

5i2.  DÉSERTEUR.  Il  y  a  dans  V Histoire  philosophique  des 
hémorragies  par  M.  le  docteur  Latour  (^torae  II,  page  46()  ) , 
des  détails  curieux  sur  la  santé  des  déserteurs,  que  le  défaut 
d'espace  nous  empêche  de  transcrire. 


TOME  IX.  DEUTO-NITRATE  DE  MERCURE,     5i 


TOME  NEUVIEME. 


39.  DEUTO-NITRATE  DE  MERCURE.  C'est  le  turbhh 
nitreux.  Tome  XXXIl,  page  /j58. 

Ibid.  DEUTO  SULFATE  DE  MERCURE.  C'est  le  turhiik 
minerai.  Tome  XXXI I ,  page  45G. 

Jbid.  DEUTOXYDE.  Deuxième  degré  d'oxydation  des  corps 
d'après  la  nomenclature  la  plus  récente  des  chimistes. 

Ibid.  DEUTOXYDE  D'AZOTE.  Nom  actuel  du  gaz  ni- 
treux. Foyez  gaz,  tome  XVII,  page  536. 

Ibid.  DEUTOXYDE  DE  MERCURE.  C'est  Voxyderou^e 
de  mercure.  Tome  XXXll ,  page  455. 

60.  Ligne  7.  M.  Baumes  appelle  vertébralities  la  maladie 
de  Pott.  On  y  renvoie  à  cet  endroit  pour  cette  affection  qui  a 
été  traitée  à  gibbosité ,  lomeXVlll  ,  page  S^ij. 

161.  Ligue  44'  D'ACOFE  ,  lisez  diacopé. 

170.  DIAGREDE.  Scammonéc  adoucie  au  moyen  d'une 
préparation  inventée  par  les  anciens.  Voyez  scammoîsée, 
lomte  L  ,  page  io5. 

Idem.  DIALYSE.  Solution  de  continuité.  Tome  XXXVI  , 
page  21 5. 

i83.  Ligne  07.  Dorstenia  drakena  ,  lisez  Dorstenia  con- 
Itayerva.  Il  est  vrai  que  sous  ce  nom ,  on  nous  envoie  aussi  les 
Dorstenia  drakena  ,  Dorstenia  houstoni ,  et  même  le  Dorstenia 
brasiliensis.  On  a  l'ait  la  même  erreur  à  Contraytrva,  tome  V 1  , 
page  1  45. 

265.  DIATRITON.  Diète  de  trois  jours  que  Tliessalus 
ordonnait  à  tous  ses  malades  au  commencement  de  leur  trai- 
tement. Tome  X,  page  107. 

4^7.  lii^ric  19.  duodetjiim,  lisez  le  duodénum. 


52  TOME  IX.  DIGESIF  ANIMÉ. 

452.  DIGESTIF  ANIMÉ.  Onguent  propre  à  exciter  les  ul- 
cères. Tonne  XXXVII,  page  5^i. 

4B7.  DILATATOIB.E.  Agent  aiécanique  au  moyen  duquel 
on  produit  la  dilatation  j  une  bougie  ou  une  soude  sont  les 
dilatatoircs  de  l'urètre;  une  mèche  de  charpie  l'est  d'une 
plaie,  d'une  fistule  ,  etc.  Tome  III,  page  379. 

487.  DILLENIES.  Plantes  dont  les  fruits  bacciformes  sont 
employées  comme  comestibles  aux  Indes.  Tome  XXIX, 
page  56o. 

5o5.  DISETTE  (racine  de).  Nom  qu'on  donne  à  une  variété 
de  betterave  dont  la  racine  est  très- grosse.  ^oydzBACiNE,  tome 
XLVll ,  page  2. 


\ 


TOME  X.  DISTOME.  5!î 

TOME  DIXIEME. 

Page  34.  DISTOME.  Sorte  de  ver  humain,  décrit  au  mok 
VERS.  Tome  LVII ,  page  226. 

1 19.  DOCTRINE  DE  van  HELMONT.  Voyez  duumviiut, 
Tome  X ,  page  296. 

147.  DONDOS.  Sorte  d'albinos.  Tome  XXXV,  pag.  294. 

Ibid.  DORADILLE.  Un  des  noms  de  la  fougère  appelée 
sauve-vie.  Voyez  capillaire  ,  tome  IV,  page  89. 

Ihid.  DOREURS  SUR  MÉTAUX  (maladies des).  T.  XXX, 
page  252. 

i4^-  DORSAL  (long).  On  a  mis  dans  ce  mot  un  renvoi  k 
vertèbres  dorsales ,  qui  ue  fait  point  article  dans  le  Dictio- 
naire.  Il  en  est  traité  à  vertèbres.  Tome  LVU  ,  page  268. 

149.  DORSALES  DU  NEZ.  Artères  provenant  de  la  maxil- 
laire externe ,  et  qui  se  distribuent  sur  le  dos  du  nez.  T.  XXXI, 
page  256. 

177.  Ligue  I,  Dalaruc, //jez  Balaruc. 

239.  DOUM.  Sorte  de  palmier  dont  les  fruits  sont  alimen- 
taires et  dont  la  connaissance  botanique  est  due  aux  savans 
de  l'expédition  d'Egypte.  Voyez  pour  plus  de  détails  sur  cet 
arbre  intéressant ,  YËncyclope'die  botanique,  tomeX,  p.  5iy. 

243.  DOUVE.  Nom  d'un  ver  intestin,  plus  connu  sous 
celui  defasciole,  de  forme  aplatie,  qu'on  rencontre  quelque- 
fois dans  l'homme.  Voyez  vers,  tome  LVll,  page  217. 

244.  DRACOGÉPHALE.  Nom  d'une  plante  décrite  à  son 
nom  le  plus  ordinaire  de  mélisse  de  Moldavie.  Tom.  XXXll, 
page  201. 

Ihid.  DRAGONE.  Sorte  de  reptile  dont  on  mange  la  chair 
en  Amérique.  Tome  XXVUi ,  page  89. 

259.  DRYMIRHIZÉES.  Il  y  a  quelque  confusion  dans  cet 
arlicie.  D'abord  il  fallait  ccv'in:  dry rnyrrhize'cs. 

On  y  cite  la   zcdoaire,  i)uis  après  le  Kœmfffcria    rotunda 


54  TOME  X.  DRYMIRHIZÉES. 

comme  une  autre  plante,  tandis  que  ce  n'en  est  que  le  nom  lin- 
iiëen.  Ony  parle  d'un  kœnipferia  longa  qui  n'a  jamais  existé, 
non  plus  qu'un  maranta  longa  ,  dont  il  _y  est  également  men- 
tion. 

160.  DUDAIM.  Recherches  sur  celte  plante.  Tome  XXX , 
page  427. 

3o2.  DYCYSENIES.  Tome  XXXVl  ,  page  2 1 5. 

353,   Ligne    17,  Le  docteur  Tournelier,  lisez  le  docteur 
Tonnelier. 

374»  Ligne  29.  Psychotria  enietica,  lise?,  callicocca  ipeca- 
cuanha.  Voyez  ipécacuanua  ,  tome  XXVI, page  i. 

4iH.  DYSMNÉSIE.  Affaiblissement  de  la  mémoire.  Tome 
XXXll ,  page  3o4. 

ii/^f.  DYSCYNIE.  Tome  XXXIX,  page  68. 

Ibid.  DYSHOEMORROES.  Tome  XXXVl ,  page  23 1. 

Ihid.  DYSLOCHÎES.  Ihici. ,  ibid. 

Ibid.  DYSMÉNIE.  Tome  XXlll ,  page  140.  Tous  ces  mois 
indiquent  de  la  difficulté  dans  l'écoulement,  la  fonction,  etc., 
mentionnés. 

E 


478.  Ligne  21. Sourcier,  Z/\jes  sorcier. 

539.  EAU  D'EGYPTE.  Solution  légère  de  nitrate  d'argent. 
Tome  XXXVI ,  page  118. 

fbid.  EAU  SECONDE.  Acide  minéral  ,  ordinairement 
l'acide  nitrique  ,  affaibli.  Elle  est  parfois  la  source  d'empoi- 
sonnement. Tome  XL  ,  page  79. 

Ibid.  EAU-DE- VIE. CAMPHRÉE.  Nous  ignorons  ce  que 
l'auteur  de  cet  article  veut  dire  par  affection  ailhénique  ner- 
i'eiise  dans  laquelle  il  recommande  l'usage  interne  de  ce  médi- 
cament ;  il  n'est  point  employé  à  l'intérieur  dans  la  inédccine 
ordinaire. 

Ibid.  EAU  OXYGÉNÉE,  f^ojez  oxvotNLt  (  eau  ) ,  tome 
XXXIX,  page  (34. 


TOME  XI.  ECCHYMOMIE; 


TOME  ONZIEME. 

Page  8i  ;  celle  page  est  marquée  85. 

90.  Ligne  21.  molilZj  Usez  molitx. 

Ihih,  Ligne  26.  Veire,  li'sezyeyre. 

ïbîd.  Ligne  27.  Hucheloup,  Z/^ez  heucheloup. 

1 10.  ECCHYMOMIE.  Tome  XXXVI,  page  242. 

i54'  ECHELLE.  Espèce  de  machine  propre  à  remédier  aux 
fractures,  employée  par  les  anciens.  Tome  XXIX,  page  243. 

255.  ÉLAN.  Ses  usages.  Tome  XXX,  page  407. 

5 1 3.  ELECTROMETPvE.  Instrument  servant  aux  expériences 
électriques.  Voyez  électricité  ,  tome  XI ,  page  261. 

Ibid.  ELECTROPHOIŒ.  Sorte  de  plateau  qui  sert  dans 
les  expériences  électriques.  T^oye'i  électricité  ,  tome  XI , 
page  261. 

397.  Ligne  i5.  Connu  ,  Ihez  conçu. 

425.  Ligne  29.  Paulina;  il  faut  probablement  Vire  paullim'a. 
Quant  à  Yanapsù  apylla,  nous  ne  pouvons  savoir  ce  que  vent 
dire  ce  nom  que  nous  avons  en  vain  cherché  dans  les  livres 
d'Histoire  naturelle  en  notre  possession.  Nous  croyons  qu'il  y 
a  faute  typogiaphique  qui  défigure  entièrement  ce  nom. 

428.  ELEVATEUR  BU  TESTICULE,  f^ojez  crémastfr  , 
tome  III ,  page  345  ,  et  tome  Vil ,  page  335. 

Ibid.  ELEVATEUR  DES  PAUPIÈRES.  Foyez  oeil, 
tome  XXXVll ,  page  161. 

436.  ELLAGATES.  Sorte  de  sels.  Tome  L,  pag.  534. 


56  TOME  XL  ELYTRORRHA.GIE. 

454.  ELYTRORRHAGIE.  Nom  que  M.  Baumes  donne  h 
l'hémorragie  vaginale.  Tome  XXXIII,  page  3oi. 

457.  EMA.il.  Iv  ière  raine'rale  vitrifiée  susceptible  d'être 
donnée  comme  poison.  Tome  LV  ,  pag.  409.  C'est  par  l'ana- 
logie qu'elle  a  avec  cette  substance,  qu'on  appelle  la  couche 
solide  qui  revêt  les  dents  k  l'extérieur,  émail  des  dents. 

5o5.  EMBA.UMEMENT.  Dans  quelques  erabaumeraens  des 
quatorze  et  quinzième  siècles,  on  versait  du  mercure  sur  le 
corps  préparé  et  fixé  auparavant,  jusqu'à  ce  qu'il  le  dépassât , 
comme  moyen  d'en  empêcher  la  putréfaction.  Lorsque  l'on 
viola  les  tombeaux  de  Saint-Denis  (  le  1 7  octobre  1 793  ) ,  on  en 
trouva  dans  celui  de  Charles  vu  ,  mort  en  i46i ,  qni  avait  en- 
core toute  sa  fluidité,  malgré  qu'il  se  fût  écoulé  depuis  trois 
cent  trente -deux  ans  {Génie  du  christianisme  ,  tome  IV, 
page  412). 

Il  est  certain  que  ce  moyen  dispendieux  aurait  la  propriété , 
ea  empêchant  tout  accès  de  l'air,  de  conserver  perpétuelle- 
ment les  corps,  si  on  parvenait  à  trouver  une  pierre  capable  de 
l'empêcher  de  filtrer  à  travers. 

5i3.  Ligne  aS.  Rouyer,  iisezRouillère. 

Jhid.  EMET1NE.  On  n'a  employé  jusqu'ici  que  l'émétine 
colorée;  mais  M.  Pelletier  vient  de  parvenir  à  avoir  celle 
substance  pure,  et  son  action  est  alors  plus  énergique.  Elle  fait 
vomir  à  un  seizième  de  grain  (Magendie,  Formulaire  sur  V em- 
ploi et  la  préparation  de  plusieurs  nouveaux  niédic. ,  page  3o  ), 


TOME  XII.  EMPIGO.  S-j 

TOME  DOUZIEME. 


53.  EMPIGO.  Nom  que  les  Portugais  du  Brésil  donnent  à 
une  sorte  d'éléphcKitiasis  que  l'on  observe  dans  celle  contrée. 
Tome  XII,  page  204. 

47.  EMPOISONNEMENT.  Par  un  oubli  inconcevable, 
cet  article  n'a  pas  été  traité  à  son  ordre  alphabétique  j  celte 
lacune  a  été  rectifiée  à  poison,  tome  XLIII,  pag.  525  ,  et  sur- 
tout à  TOXICOLOGIE,  tome  LV ,  page  38i. 

49.  Ligne  aS.  Gessner ,  lisez  Gesner.  ' 

92.  Ligne  16.  Bogron,  lisez  Bogros. 

147.  ENCENS.  Tqxez  oLiBAN,  tome  XXXVII,  page  245. 
Roxburgl)  prétend  que  le  véritable  encens  découle  du  bosswel- 
lia  serrata  ,  arbre  de  la  famille  des  térébinlhacées  ;  on  répand 
dans  le  commerce  une  multitude  de  produits  résineux  sous  ce 
nom  (Decand. ,  propr.  méd.  des  pi.  128). 

178.  ENCHEVILLÉE  (  suture  ).  Foyez  plaie,  tome  XLIII, 
page  87  ,  et  suture,  tome  LUI,  page  629. 

i83.  ENCLUME.  Un  des  osselets  de  l'oreille.  T.  XXXI , 
page  65. 

Jbid.  ENCOPE.  Sorte  d'incision.  Tome  IX,  page  285, 

256.  ENFANCE.  Affaiblissement  et  même  perte  sénile  des 
fonctions  intellectuelles.  Voyez  démence,  t.  VJII ,  pag.  280. 

335.  ENNUI.  Oisiveté  pénible  de*  l'esprit.  Voyez  percepta, 
tome  XL  ,  page  255. 

359.  ENTERALGIE.  Douleur  des  intestins.  Mot  syno- 
nyme, le  plus  ordinairement,  de  COLIQUE,  ^^o/es  colique  , 
tome  VI,  page  lo. 

Ihid.  ENTERALGIE  PHYSODE.  Tome  XLIII ,  page  554- 

3^0.  ENTEROCELIE.  Tome  XXXVI ,  page  259. 

571.  ENTEROPYRIE.  Tome  XXXVI,  page  239. 

8 


58  TOME  XII.  ENTEROSES. 

371.  ENTEROSES.  Nom  donné  par  M.  Alibert  aux  ma- 
ladies dont  le  siège  principal  est  dans  les  intestins.  T.  XXXVI, 

page  238. 

38!j.  ENTOMESE.  Nom  propose  pour  designer  la  gale  , 
dans  la  supposition  qu'elle  est  produite  par  un  insecte,  ce  qui 
paraît  aujourd'hui  erroné.  L'insecte  se  développe  sur  les  bou- 
tons,  et  n'en  est  pas  la  source.  Tome  XVII ,  page  17g. 

385.  ENTORRHÉE.  Tome  XXXVI ,  page  258. 

337.  ENTRE-FESSON.  Nom  que  l'on  donne,  dans  le 
peuple,  à  une  excoriation  qui  a  lieu  au  pourtour  de  l'anus  et 
vers  les  bourses,  chez  les  individus  gras,  après  avoir  marché 
beaucoup  dans  le  temps  des  chaleurs,  et  qui  gène  alors  la 
progression ,  par  la  douleur  qui  en  résulte.  Des  lotions 
émollienles,  des  onctions  graisseuses ,  le  repos,  et  parfois  le 
saupoudremcnt  avec  des  poudres  absorbantes,  amilucées,  suf- 
fisent pour  guérir  cette  légère  incommodité.  Tome  XXV, 
page  53o. 

44 !•  EPENIDE.  Voyez  pénide,  tome  XL,  page  172. 

465.  EPICONDYLO-SUS-PHALANGETTIEN.  Nom  que 

M.   Chaussier   donne   au   muscle   lon^  extenseur  des  doigts. 
Voyez  LONG  ,  tome  XXIX  ,  page  6, 

504. EPIDERMOIDE(  tissu).  Tome LV,  page  211.  ;%ez 
ÉPiDERME,  tome  XII,  page  495. 

5o8.  EPIGLOTTE.  Ajoutez  et  rectifiez  cet  article  par  ce 
qui  est  dit  de  ce  cartilage  ,  tome  XXVII  ,  page  277. 

545.  EPILOGISME.  Nom  que  les  médecins  de  la  secte 
empyrique  donnaient  à  leur  méthode.  TomeX,  page  119. 

561.  EPIPLOCÉLIE.  Tome  XXXVÏ,  page  239. 

579.  EPISCHÉSIE.  Tome  XXXIX ,  page  68. 

610.  Au  titre  courant,  ENT,  lisez  EPI. 

Tbîd.  EPITHYME.  Plante  congénère  de  la  cuscute  ,  et  dont 
le  nom  vient  de  ce  qu'elle  croît  parfois  sur  le  thym;  mais 
comme  ce  végétal  parasite  vient  aussi  sur  d'autres  plantes, 
ce  nom  n'est  point  exact.  Voyez  ce  qui  eu  a  été  dit ,  i.  VII , 
pag.  620 

xiLUARD,  De  cuseiitd-f  Jëna,  1715. 


TOME  XIII.  EPNOIQUE.  ^9 

TOME  TREIZIEME. 

Page  i5.  Ligne  ^1.  Shenkias,  lisez  Schenckius. 

ïoi.  EPNOIQUE,  Synonyme  à'iatraleplique.  Tome 
XXIII ,  pug.  006  ,  et  tome  XXV ,  page  G  i . 

i4t.  ERAILLEMENT  DES  MUSCLES.  C'est  ainsi  qu'on 
appelle  leur  écartcment.  Voyez  tome  XXXIV  ,  page  691 . 

Ibid.  Ligne  16.  Motion  ,  lisez  locomotion. 

161.  EP.ESIMUM.  Un  des  noms  français  de  Verysimum 
officinale  ^  L. ,  nommé  aussi  vélar,  herbe  au  chantre.  Il  est 
décrit  au  mot  sisymbre,  tome  LI ,  page  ^o3. 

i83.  ERGOT  DE  MORAND.  Appendice  cérébral  qu'an 
rencontre  dans  les  ventricules  latéraux.  Voyez  cerveau  , 
tome  IV  ,  page  4'Î7- 

Nous  ferons  observer,  au  sujet  du  cerveau,  que  cet  organe 
ne  se  trouve  pas  décrit  suivant  le  mode  ordinaire  des  analo- 
mistcs ,  dans  le  Diclionaire,  parce  que  M.  le  docteur  Gall, 
qui  a  fait  l'article,  en  donne  connaissance  à  sa  manière;  c'est 
une  lacune  que  tous  les  traités  d'anatomie  peuvent  remplir. 

Ibid.  ERIGERON.  Plante  de  la  famille  des  radiées,  nom- 
mée par  Linné  erigeron  acre,  et  dans  les  pharmacies,  coniza 
c  ce  ride  a ,  à  cause  de  la  couleur  de  ses  fleurs.  Elle  a  ctf"  em- 
ployée autrefois  contre  les  charmes  et  les  fascinations;  aujour- 
d'hui ,  d'après  Murray  {Jppar.  medicam.,  lomc  i  ,  page  261  ) , 
quelques  personnes,  en  Allemagne,  s'en  servent  encore  contre 
\e  soda,  et  comme  incisive  dans  quelques  maladies  de  poi- 
trine. 

iB5.  EROTIE.  Nom  que  M.  le  professeur  Chaussier 
{Table  synoptique  des  fondions)  donne  au  besoin  de  co- 
puler. 

186.  Ligne  2.  ULCÈRE,  vénérien,  ôtez  la  virgule. 

327.  ESPRIT  RECTEUR.  Nom  que  l'on  donnait,  en  chi- 
mie, à  l'eau  odorante  que  lournisscnt  les  plantes  aromatiques 


6o  TOME  XIII.  ESPllïT  RECTEUR. 

soumises  à  la  dislillation  que  l'on  propose  d'appeler  mainte- 
nant/iyr/ro /ai ,  comme  on  nomme  alcoholat  ie  même  esprit 
obtenu  par  la  distillation  de  l'alcohol  sur  des  substances  odo- 
rantes. (Rectifiez  à  ce  sujet,  et,  dans  ce  sens,  le  mot  alco- 
holat de  l'appendice,  page  6).  ^o/es  esprit,  tome  XIII, 
page  326. 

Ç()6.  ETHERA.T.  Ether  charge'  par  le  moyen  de  sa  distil- 
lation avec  des  substances  odorantes  ,  du  principe  aromatique 
de  ces  dernières.  Comme  l'éther  est  plus  volatil  que  les  subs- 
tances avec  lesquelles  on  l'associe,  il  passe  le  premier  sans  pres- 
que se  charger  de  leur  odeur.  11  en  résulte  qu'il  vaut  mieux 
dissoudre  dans  ce  liquide  les  huiles  essentielles  des  plantes  que 
d'en  faire  des  élhérats ^  si  l'on  veut  employer  cette  espècç  de 
médicament. 

Ibid.  ESPRIT-DE -VIN  DULCIFIÉ.  On  a  renvoyé  à  ce 
mot  de  DULCiFicAfioN,  tome  X,  page  260.  11  n'en  a  pas  été 
traité  à  part;  il  en  est  meulion  à  alcool^  tome  1,  page  3o5 ,  et 
à  vin  y  tome  LVIII ,  page  69. 

426.  ETHJVIOPLÉCOSES.  Tome  XXXVI,  page  244, 

4'?.7.  ETOUPADE.  Plumaceau  fait  avec  de  l'étoupe. 
Tome  XVil ,  page  465. 

496.  EVIGILATION.  Mot  synonyme  de  réveil.  T.  XXXI, 
pag.  159. 

ïh{<J.  EVIRATION.  Privation  des  facultés  viriles.  Tomç 
X.V1I1,  page.  178. 

S'-g.  EXCREATION.  Action  de  rejeter  au  dehors.  Tome 
m,  jiage  6i2. 


TOME  XIV.  EXHILÂRANS.  6t 

TOME  QUATORZIEME. 

Page  i36.  (Dans  le  tableau).  Morbificjues,  lisez  morbifi- 
que. 

i/\Ç>.  Ligne  1 5.  fleurs,  Zisezflueurs. 

iH6.  EXHILARANS.  Mëdicamens  qui  portent  à  la  gaîlé. 
Les  Orientaux  placent  parmi  eux  l'opium,  le  chanvre  j  chez 
nous,  c'est  surtout  le  vin  et  les  liqueurs  spiritueuses  que 
l'on  choisit  de  préférence.  11  est  à  remarquer  que  pour  pro- 
duire cet  effet ,  il  ne  faut  qu'une  dose  modérée  de  ces  subs- 
tances, et  que,  si  on  la  dépasse,  on  tombe  dans  l'ivresse,  le 
coma,  etc.,  et  quelquefois  dans  un  délire  furieux.  Tome  XIV, 
page  242. 

Ibid.  EXINANIMITË.  Mot  synonyme  d'évanouissement. 
Tome  LI,  page  338. 

217.  EXORBITISME.M.  Percy  avait  promis  de  revenir  sur 
ce  sujet,  à  œil,  mais  l'article  a  été  fait  par  un  autre  collabo- 
rateur ,  qui  n'a  pas  cru  qu'il  y  eût  rien  à  ajouter  à  son  travail. 

294.  EXSTROPHIE  DE  LA  VESSIE.  Mot  dont  se  sert 
M.  le  professeur  Chaussier  pour  désigner  Vextroversion  de  la 
vessie.  J^qyez  ce  dernier  mot ,  tome  XIV ,  page  345. 

299.  EXTENSEUR.  On  a  renvoyé  à  ce  mot  de  ccieanéo- 
sus-phalangetùen  (tome  III,  page  4^7  )  ,  mais  il  n'a  pas  été 
fait  à  ce  ùlre.  C'qsI  a  pédieitx  (tome  XL,  page  48)  qu'on 
trouve  la  description  de  ï extenseur  commun  des  orteils» 

319.  EXTERNES  (  maladies  ).  On  appelle  ainsi ,  par  oppo- 
sition i»  maladies  internes,  celles  qui  se  développent  à  la  péri- 
phérie du  corps.  Elles  ne  sont  pas  toutes  du  domaine  du  chi- 
rurgien ,  puis{|u'il  y  en  a  un  grand  nombre  qui  n'exige  au- 
cune opération  manuelle ,  mais  au  contraire  un  traitement 
intérieur  ;  telles  sont  les  maladies  de  la  peau,  etc. 

Ces  aftcclioris  sont  d'un  diagnostic  plus  facile,  puisque  la 
Tnain  ,  et  souvent  l'œil ,  peuvent  sonder  tous  le.s  replis  du  mal , 
et  en  apprécier  les  moindres  circonstances  ,  avantage  que  n'ont 
pas  les  maladies  internes  qui  ne  se  reconnaissent  qu'à  des 
phénomènes  secondaires ,  aux  symptômes  qu'elles  produisent , 


Ca  TOME  XIV.  EXTEIINE. 

et  qui  sont  ainsi  d'un  diagnostic  plus  obscur,  et  par  conséquent 
plus  difficile,  ce  qui  fait  qu'elles  demandent  plus  d'attention 
et  de  perspicacité  pour  être  reconnues  et  traitées. 

Leur  traitement  est  en  général  plus  facile  par  cette  cir- 
constance; il  est  aussi  plus  efficace,  parce  que  le  mal  ri'a,tleint 
pas  toujours  les  organes  indispensables  à  la  vie,  que  la  nature 
a  eu  soin  de  placer  profondément  pour  les  préserver  le  plus 
possible  des  corps  extérieurs. 

Dans  les  grandes  villes,  on  a  par  fois  l'habitude  de  confier 
aux  chirurgiens  le  soin  des  maladies  externes ,  ce  qui  n'est  con  - 
vcnableque  lorsqu'elles  exigent  des  opérations.  Mais  il  serait 
souvent  impossible  de  les  traiter,  si  on  n'avait  pas  en  même 
temps  des  connaissances  en  médecine  et  en  chirurgie  :  aussi 
la  séparation  des  deux  branches  de  l'art  de  guérir  esl-eîle 
une  chose  impossible,  et  dont  tout  homme  de  bonne  foi  de- 
meure pleinement  convaincu. 

Voyez ^  au  sujet  des  maladies  externes,  les  mots  chirurgie 
tome  V,  page  H2,  et  internes  (maladies),  t.  XXV,  p.  498. 

345.  EXTROPION.  Renversement  de  la  paupière  en  de- 
hors. Voyez  OEIL,  tome  XXXVII ,  page  i4o,  et  paupière, 
tome  XXXIX  ,  page  53; . 


588.  FACIES  ,  face,  aspect.  Ce  mot  a  été  conservé  dans 
le  langage  vulgaire,  pour  désigner  la  manière  d'être  ordi- 
naire ou  acquise  d'une  partie  ou  de  tout  le  corps.  Dans  le  pre- 
mier cas,  il  est  synonyme  d'habitude  (tome  XX,  page  22  )• 
dans  le  second,  il  conserve  volontiers  une  valeur  sui  gene-ris. 
C'est  dans  ce  sens  qu'on  du  fades  hippocratique ,  expression 
mauvaise,  comme  l'observe  le  professeur  Cliaussier  ,  puis- 
qu'elle veut  dire  figure  d'Hippdcrale  ,  mais  qui  est  employée 
par  ellipse,  pour  dire  Jacies  des  agonisans  décrit  par  Hip- 
pocraie.  Kop^ez  agonie  ,  tomel,  page  199. 

422.  FAIBLESSE  INDIRECTE.  Nom  que  l'on  donne, 
dans  le  système  de  Brown,  à  la  faiblesse  qui  résulte  de  l'épui- 
sement de  l'incitabililé  par  le  stinmlus,  parce  qu'elle  ne  pro- 
vient pas  du  défaut,  mais  de  l'excès  de  stimulus.  Elle  a  lieu 
chez  ceux  qui  ont  été  trop  nourris,  trop  stimulés,  et  d'autant 
plus  que  ces  excès  ont  duré  plus  longtemps,  /^ojez  asthénie  , 
tome  ri  ,  page  401  ;  browmsme,  tome  111,  page  32o ,  et 
ïNciTAEiLiTÉ,  tomc  XXIV,  pagc  252. 


TOME  XIV.  FALCADÎNE,  63 

436.  FALCADINE.  Nom  d'une  espèce  de  maladie  véné- 
rienne endémique  à  Falca,  en  Italie,  analogue  à  celle  de 
Sclierliewo  et  de  Fiume,  Payez  maladie  de  fjume,  tome 
XXX,  page  264  [Annal,  cliniques  de  Montpellier^  cahier  de 
novembre  et  décembre  1820), 

Ihid.  FALTRANK.  Ajoaitez  à  l'indication  de  la  table, 
celle-ci  :  vulnéraires  suisses  ,  tome  LVIII,  page  401. 

44B.    FASCIA  IHACA.  ' FASCIA  PROPRIA.  FASCIA  SUPERFICtA- 

Lis. —  FASCIA  TRANsvERSALis.  /^o/es  ,  pour  CCS  différentes  apo- 
névroses ,  MÉRocÈLE ,  tome  XXXll ,  page  49^. 

Ihid.  FASCINATIONS.  Erreurs  imposées  à  l'esprit,  dont 
il  est  opprimé,  et  que  la  raison  ne  peut  pas  toujours  faire 
évanouir.  Voyez  aiguillette  ,   imagination  ,    influence. 

Ihid.  FASCIOLE.  Un  des  noms  de  la  douve  ,  ver  intes- 
tinal mentionné  au  mot  vers.  Tome  LVII,  page  217. 

Ihid.  FATUAIRES.  Enthousiastes  qui  se  mêlent  de  pre'- 
dire  l'avenir.  Tome  XIV,  page  44^* 

453.  FAUSSES  DOULEURS.  Douleurs  qu'éprouve  la 
femme  pendant  l'enfantement ,  et  qui  ne  sont  pas  expidsives , 
c'esl-h-dire  qui  ne  sont  pas  causées  par  les  contractions  de  la 
matrice.  Tome  XII,  page  296. 

Ihid.  FAUX  DU  CERVEAU, /aZ:c  cerebri.  Repli  longi- 
tudinal de  la  dure-mère,  le  plus  considérable  de  tous  ceux 
qu'elle  forme,  qui  s'étend  en  cintre,  d'où  lui  vient  son  nom, 
de  l'apophyse  crista-galli  à  la  partie  moyenne  de  la  tente  du 
cervelet,  qui  est  sa  base;  le  bord  concave  et  libre  sépare  les 
deux  hémisphères  du  cerveau,  jusqu'au  voisinage  du  corps 
calleux.  ^ 

Ihid.  FAUX  DU  CERVELET  ,falx  cerehelU.  Repli  de  la 
dure-mère  qui  s'étend  longiludinalement  de  la  partie  moyenne 
de  la  tente  du  cervelet ,  où  est  fixée  sa  base,  jusqu'au  trou  oc- 
cipital où  est  son  sommet;  son  bord  libre  et  concave  sépare 
les  deux  lobes  du  cervelet. 

Ibid.  FAUX  DU  PÉRITOINE  (grande).  Repli  ligamen- 
teux du  péritoine  qui  s'étend  de  l'ombilic  au  bord  anté- 
rieur et  inférieur  du  foie;  on  le  connaît  aussi  sous  le  nom 


64  TOME  XIV.  FAUX  DU  PERITOINE. 

de  Jaux  de  la  veine  ombilicale  y  parce  qu'il  comprend  cette 
veine  entre  les  deux  lames  du  pe'ritoine  qui  le  forment,  et  de 
ligament  suspenseur  du  J'oie ,  parce  qu'on  lui  a  attribué  la 
fonction  de  suspendre  ce  viscère. 

454-  FA  vus.  On  a  renvoyé  h  ce  mot  de  cébion  (  Tome  IV, 
page  44^)'  Il  êQ  a  été  traité  à  teigne,  tome  LIV ,  pa^e  Sgg. 

Ibid.  FEBRICULE.  Petite  fièvre;  accélération  légère  du 
pouls,  avec  présence  à  un  degré  obscur  des  phénomènes  qui 
annoncent  l'existence  de  la  fièvre. 

5o5.  FÉCULITES.Nom  donné  par  M.  le  docteur  de  Lens 
à  des  principes  des  végétaux  qui  participent  tous,  plus  ou 
moins,  du  caractère  de  la  fécule.  Tome  XLV,  page  i85. 


TOME  XV.  FEMORO- COXALGIE. 


TOME  QUINZIEME. 


Page  I.  FEMO^O-COXALGIE.  Nom  proposé  pour  dd- 
sigtier  l'inflammation  chioni(|ue  de  i'ailicuiîftion  coxo-fcmo- 
rale.  Tome  XXXiV,  page  ^no. 

1^^  i58.  FEU  DE  DENTS.  Nom  que  l'on  donne  à  d-e  petites 
-  rougeurs  que  l'on  remarque  au  visage  des  enfans  dans  le  tenq)s 
de  la  premièie  dentition.  On  donne  encore  ce  nom  à  des  rou- 
geurs qui  se  montrent  ii  l'anus,  aux  ftisses  ,  aux  bourses  j  à  des 
txcoriatious ,  des  éruptions,  des  croûtes  qui  s'observent  chez 
eux  à  la  même  époque,  et  que  i'oii  attribue  à  l'excitation 
passagère  queproduii  révolution  dentaire. /^o^ez  croiite  lai- 
teuse, dent  et  GOURME. 

Ibid.  FEU  FOLLET.  Ignilion  du  gaz  hydrogène  sul- 
furé, etc.,  qui  a  lieu  à  la  surface  de  certains  endroits  de  ia 
terre,  et  qu'on  n'aperc^oit  que  dans  l'obscurité,  ce  qui  a  donné 
naissance  à  une  roultitude  de  contes  populaires.  Voyez  hy- 
drogène et  PHOSPHORESCENCE. 

167.  FEUILLE  DE  FIGUIER.  Sillons  produits  par  les 
rameaux  de  l'artère  épineuse,  branche  de  la  maxillaire  interne, 
sur  ia  face  interne  du  pariétal.  Tome  XII  ,  page  546. 

Ihid.  FEUILLE  INDIQUE.  Nom  français  du  malaha- 
fn«m,d'apiès  l'usage.  Vojcz  ce  dernier  mot,  tome  XXX, 
page  142.  11  y  a  des  auteurs  qui  croient  que  \&  feuille  indique 
n'est  pas  Ja  uiémc  chose  que  le  maiahatruni. 

168.  FÈVE  PICHURIM.  Voyez  piciiiukim  dans  les  ap- 
pendices. 

i5.  FIBKO-CARTILAGINEUX  (tissu).  Voyez  les  deux 
articles  qui  précèdent  celui-ci  dans  le  Diclionaire. 

217.  FiCAlPiE.  Sorte  de  renoncule.  T'omc  XLVIi,  p.  4^4- 


TOME  XTI.  FLABELLATION.  G; 

TOME  SEIZIEME. 


Page  1.  FLABELLATION.  Ajoutez  à  l'indication  de  la 
table  ce  que  M.  Percy  a  dit  de  ce  raojen  au  mot  ve>xilatïon. 
Tome  LVII,  page  i'j5. 

39.  FLEURS  ARGENTINES  D'ANTIMOINE.  Tome 
XXXllI,  page  i5. 

Ibid.  FLEURS  CUIVREUSES  DE  SEL  AMMONIAC. 
TomeXXXIlI,pagei4. 

lUd,  FLEURS  DE  MUSCADE.  Nom  impropre  douné 
à  l'arille  de  l'amande  de  la  muscade,  plus  connue  sous  le 
nom  de  macis.  Tome  XXIX,  page  ^^o. 

Ibid.  FLUATES.  Sorte  de  sels.  Tome  L,  page  535. 

43.  FLUO-BORATES.  Sorte  de  sels.  Ibid. 

46.  FLUX  PALPÉBRAL.  Ecoulement  muqueux  des  pau- 
pières. Tome  XXXVII,  page  ^11. 

i5i.  FOIE  UTERIN.  Nom  que  quelques  accoucheurs  don- 
nent au  placenta.  Tome  XLII,  page  53g. 

188.  Se'parez  par  un  trait  la  première  ligne  du  tableau  des 
causes  physiques  ,  ce  nombre  ne  faisant  pas  pailie  de  ceux  qui 
forment  l'addition. 

24o.  FOLLETTE.  Un  des  noms  vulgaires  de  la  grippe, 
ou  catarrhe  épidémique.  Voyez  gkippe.  Tome  XIX,  page  35 1. 

4o5.  FORCES  DIGESTIVES.  On  a  renvoyé  à  ce  mot  de 
PROPRIÉTÉS ,  tome  XLV  ,  page  465.  Il  n'en  a  pas  été  traité 
à  part.  Voyez  règles  de  L'iaoïfiNE,  tome  LUI,  à  l'article 
FORCE,  page  371  ,  et  digestion  ,  tome  IX,  page  354. 

472.  FORFICULES.  Nom  du  perce-oreille,  insecte  dont  il 
est  parlé  à  insecte,  tome  XXV,  page  3ot). 

473.  FORMATES.  Espèces  de  sels.  Tome  L,  page  475. 


68  TOME  XVI.  FOSSES  D'AlSÀNCE. 

493.  FOSSES  D'AISANCE.  On  a  renvoyé  à  ce  mot  d'AS- 
PHYxiE  (Tome  II,  page  363).  Il  n'en  a  pas  élé  traité  à  ceî 
article,  qui  n'est  pas  dans  l'ouvrage  ,  mais  à  latrines,  tome 
XXVII  ,  page  294. 

494.  FOSSOYEURS  (  maladies  des).  Tome XXX, p. 235. 

Ibid.  FOUDROYANT  ,  adj. ,  qui  agit  avec  la  rapidité  de 
la  lottdre  ;  apoplexie  foudroyante  ,  etc. 

5ii.  FOURMI.  On  a  figuré  h  insecte,  tome  XXV,  page 
34'^,  la  iouinii  a  deux  épines  de  Cayenne,  planclie  111^  fig.  2, 

56o.  FRAICHEUR  ,  s.  f.  On  donne  à  ce  nom  deux  accep- 
tions difiércnlesen  tnédecine;  par  la  première,  on  veut  exprimer 
le  coloris  aninîé,  i'élasîicilé  des  chairs,  îa  iermeté  de  tex- 
ture, etc.  ,  qui  accompagnent  la  jeunesse;  par  la  seconde,  on 
désigne  la  cau^e  prétendue  des  douleurs  rhumatismales,  et 
souvent  les  duuiciiis  elles  mèrnes. 


TOME  XVII.  FRELON.  69 

TOME  DIX-SEPTIEME. 


Page  1.  FRELOiN.  Cet  insecte,  nuisible  à  l'homme,  est  ti- 
guie  à  INSECTE.  Tome  XXV,  page  34-2  ,  pi.  i ,  fig.  1. 

89.  FROTTEURS  (maladies  des).  Cetle  profession,  qui 
lie  se  voit  guère  que  dans  les  grandes  villes,  est  une  des  plus 
pénibrîes  qnei'on  puisse  exercer,  et,  disons-le,  une  des  moins 
nécessaires.  Elle  exige  des  efforts  pénibles  des  exlrémite's  infé- 
rieures, surtout  des  muscles  extenseurs  et  des  abducteurs. Pen- 
dant leur  travail,  les  frolleurs  sont  iialetans,  couverts  de  sueur  , 
et  dans  un  état  de  cotilraclion  générale  du  système  musculaire, 
car  on  peut  dire  que  tout  le  corps  participe  à  la  rude  besogne 
à  laquelle  ils  se  livrent.  Aussi  la  plupart  de  ces  artisans  sont 
maigres,  jaunes,  et  vieillissent  de  bonne  heure  j  ils  sont  sou- 
vent forcés  de  quitter  cette  pénible  profession  ,  dans  laquelle 
beaucoup  d'entre  eux  succombent  jeunes. 

Les  frelteurs  sont  fréquemment  affectés  de  maladies  orga- 
niques du  cœur,  d'anévrysme  de  la  crosse  de  l'actrle ,  ce  qui 
n'a  rien  d'étonnant  lorsfjue  l'on  réfléchit  à  l'état  de  tension,  à  la 
iatigue  excessive  du  système  musculaire  qui  a  lieu  pendant  leur 
travail,  à  la  gène  que  la  respiration  et  la  circulation  en  cprou- 
venl.  J'en  ai  vu  beaucoup  venir  à  la  clinique  de  la  Faculté  de 
médecine  de  Paris,  chercher  un  soulagement  passager  à  ces 
maux,  souvent  fort  peu  marqué,  et  qui  s'évanouissait  aussitôt 
leur  sortie.  Je  puis  même  affirmer,  d'après  mon  expérience,  que 
les  gens  de  ce  métier  sont  plus  souvent  atteints  d'hypertrophie 
du  cœur  que  c^ux  d'aucune  aiilre  profession.  L'ouvrage  de 
M.  Corvisaît  en  montre  plusieurs  atteints  mortellement  par  cette 
cruelle  affection,  et  mon  recueil  particulier  d'observations  en 
contient  des  exemples  plus  nouibreux  encore. 

Les  frotteurs  sont  atteints  souvent  aussi  de  maladies  aiguës  j 
échauffés  et  couveits  de  sueur,  ils  ne  prennent  pas  toujours 
toutes  les  pré*  autions  convenables  qu'un  tel  état  exige  ,  soit 
qu'ils  passent  à  yne  température  différente,  soit  qu'ils  ne  chan- 
g<'tU  pas  de  lin.^t' ,  etc.  j  leurs  moyens  ne  leur  peunellent 
Kiême  pî<s  toujouis  de  se  soigner  autant  qu'ils  l^e  voudraient. 

Ils  sont  parfois  aussi  affectés  d'engorgemenî:  du  (oie,  lésion 
dont  la.source  paraît  plus  difficile  à  exp!i(iuer  que  celle  de  l'ac- 
croissement uiu-i,u  la  ire  du  cœur, puisqu'il  n'y  a  pas  compression 
iniiuédiatc  de  cel  organe;  cependant  on  peut  C(.»iijetluiQ*Hu<;  la 
c:,ène  de  la  re>piial!<>n  tl  tel  le  de  la  ciicu  lalion  qui  en  est  nreuile, 
doivcn»  iniluer  sur  les  fonctions  liépati(jues  et  en  troubler  l'ordre 
lidbilue!;  eldc  p!us,  la  coriirattion  constiinte  des  mu.-iclcs  abdo- 


\ 


70  TOME  XV IL  FROTTEURS. 

minaux  et  du  diaphragme,  qui  a  lieu  pendant  le  travail  de 
CCS  artisans,  produit  une  compression  secondaire  du  foie  qui 
ne  peut  qu'augmenter  encore  ce  dérangc^^^^nt.  La  teinte  jaune 
presque  constante  des  frolteurs  montre  que  l'organe  he'palique 
est  dans  uii  e'tat  de  gcue  habituel,  ou  du  moins  que  l'écoule- 
ment biliaire  ne  se  iait  pas  avec  régularité. 

Enfin,  les  Trotteurs  sont  sujets  aux  hernies,  ce  qui  se  con- 
çoit très-bien  par  les  efforts  lépétés  de  pression  des  parois  de 
l'abdomen  qui  tendent  à  chasser  par  les  issues  de  cette  cavité 
les  parties  flottantes  qui  s'y  trouvent.  Ils  ont  aussi  des  entorses, 
des  foulures  ,  des  déchireraens  partiels  des  muscles,  des  rup- 
tures tendineuses,  etc.,  à  cause  de  la  violence  des  contractions 
musculaires  auxquelles  leur  pénible  profession  les  oblige. 

Les  accidens  qu'éprouvent  les  frotleurs  sont  d'autant  plus 
marqués  qu'ils  ont  commencé  leur  métier  dans  un  âge  plus 
tendre,  lorsque  les  organes  n'avaient  pas  encore  reçu  le  déve- 
loppement dont  ils  sont  susceptibles,  ce  qui  s'explique  sans 
qu'il  y  ait  besoin  d'y  insister  davantage.  On  ne  doit  se  livrer  à 
ce  dur  travail,  si  on  ne  peut  mieux  faire,  que  dans  l'âge 
adulte,  et  au  plutôt  à  vingt-cinq  ans.  Comme  le  métier  peut 
s'apprendre  en  une  semaine,  on  est  toujours  à  temps  pour  s'en 
occuper  si  on  y  est  réduit. 

Si  ceux  qui  veulent  se  procurer  le  vain  plaisir  d'avoir  des 
appartemens  bien  frottés  savaient  à  quoi  ils  exposent  les  mal- 
lieureux  que  le  besoin  oblige  de  se  dévouer  a  ce  travail  ,  il  est 
probable  qu'ils  hésiteraient  avant  de  l'exiger. 

97.  Ligne  28.  Chiche,  Usez  ciche. 

98.  Ligne  26.  polachines ,  lisez  polakène. 
101 ,  ligne  iB.  Oxycoccus ,  Ws^z  oxyccos. 

123,  ligne  8  et  127  ,  ligne  29.  Gaulthier,  lisez  Gaultier. 

166.  FUSTET.  Nom  d'une  espèce  de  sumac.  Tome  LUI, 
page  41 3. 

Ibid.  Ligne  ^o.  Amomwn  melequetta  n'est  pas  le  nom  de  la 
maniguelte^  son  nom  linnéen  esi  amomum  granum  paradisi. 

iC)'j.  GAL-GAL  LA.  Nom  de  la  variole  chez  les  sauvages 
de  rÂmciiquc.  TorneXXXI^  page  4^5» 


TOME  XVII.  GALACTOPEES.  71 

168.  GALAGTOPÉES.  Subsiauces  qui  augnicnlcnl  la  sécré- 
tion du  lait.  Tome  XIII,  page  557. 

i6y.  Ligne  12.  nystein  ,  lisez  nysten. 

177.  GALDA  (gomme  de).  Substance  fort  rare,  que  Mur- 
ray  (  Apparat,  niedicam ,  tome  VI ,  page  200  )  avoue  n'avoir 
point  vue,  et  doiilii  tie  parle  que  d'après  quelques  renseignc- 
mens;  Buchner  dit  (ju'elle  est  presque  grise,  lactescente  ,  fria- 
ble, inodore,  d'une  saveur  fortement  amère  et  acre.  Spiel- 
mann,  au  contraire,  la  dit  noirâtre  extérieurement ,  blanche 
en  dedans,  présentant  la' saveur  et  l'odeur  de  la  résine  élémi. 

Cette  substance  est  une  gomme-résine,  mais  oîi  la  résine  do- 
mine, puisqu'une  once  contient  quinze  grains  de  gomme  et 
six  dragmes  de  résine. 

Ses  propriétés  sont  fort  obscures  ;  Seelmatter  (  Diss.  de 
gufjirni  resinis  kikekurnalo  ,  look  et  galcfa)  lui  en  attribue  ce- 
pendant d'admirables-  mais  il  n'y  a  rien  de  positif  dans  ses 
assertions.  Elle  a  été  indiquée  pour  faciliter  l'expectoration 
dans  la  phthisie  inflammatoire  ,  et  y  consolider  les  ulcéra- 
tions des  poumons. 

On  ne  sait  rien  sur  le  lieu  d'où  provient  celle  substance  ni 
sur  le  végétal  qui  la  produit. 

•2,\g.  Ligne  O'j .  Aunusnigra  haccifera  ,  n'est  point  un  aune,  il 
fallait  d'ailleurs  écrire  ainus.  C'est  probablement  la  bourgène^ 
rhapinus  fvangula  .,  Lin.  dont  il  est  ici  question. 

340.  GANGRÈNE  DES  SOLOGNOIS.Nomque  Sauvages 
donne  à  Yergotisme  gangreneux  que  l'on  observe  en  Sologne. 
Tome  XllI ,  page  170. 

555.  GAPv.OU.  Ajoutez  à  cet  article  ce  qui  est  relalifau 
principe  acre  du  daphne  alpina.  Tom.  XLV,  pag.  176  et  178. 

358.  GASTÉRALGIE.  Tome  XXXVI ,  page  238.  Foyez 
MAL  n'ESTOMAG  ,  tomc  XXX  ,  page  1 10. 

365.  GASTPcïMYTHE.  Celui  qui  parle  de  Vestomac,  sui- 
vant l'expression  reçue,  Tome  XII ,  page  5o5.  Ce  mot  est  syno- . 
nyme  de  gastriloque,  tome  XVII  ,    page  358.    J^ojez  aussi 
ENGASTRiMYSME  ,  lomc  XII,  page  3o4. 

408.  GASTROBROSIE.  Tome  XXXVI  ,  page  ^38. 

448.  GASTROREXIE.  Tome  XXXIX,  page  68. 


ya  TOME  XVII.  GASTROSES. 

448.  GASTROSES,  Nom  que  M.  ie  professeur  Alibcrt 
donne  aux  maladies  de'l'eslomac.  Tome  XXXVI,  page  iSH. 

465.  GASTRO-TUBO-TOMIE.  Nom  proposé  par  M.  le 
docteur  Gardien,  pour  désigner  l'opération  par  laquelle  ou 
extrait  le  fœtus  lorsqu'il  occupe  les  trompes  ou  les  ovaires. 
Tomes  XVIÎ  ,  page  455 ,  et  I ,  page  72.    . 

46^.  GAUDES.  Aliment  préparé  avec  de  la  farine  de  maïs. 
Tome XXIII,  page  21.  Voyez  polenta  ,  toni.  XLIV  ,  p.  4o- 

568.  GECKO.  Sorte  de  lézard  dont  il  est  parlé  ,  tome 
XXVUI,page92. 


TOME  XYIII.  GENEPI.  75 

TOME  DIX-HUITIEME. 

Page  1. GENEPI  ou  GENIPl  (blanc),  artemisia  rupestris, 
L.  Plante  alpine  qu'on  nous  envoie  de  Suisse,  comme  vulné- 
raire. Les  paysans  ont  grand  loi  t  de  la  prendre  en  boisson  dans 
la  pleurésie,  comme  ils  le  loul  dans  les  montagnes  ,  parce 
qu'elle  est  fort  contraire  dans  cette  maladie,  à  cause  de  ses 
qualités  excitantes. 

Ibid.  GENEPI  (vrai  )  ,  achillea  alrala,  Lin.  Plante  alpine 
aromatique  qu'on  nous  envoie  de  Suisse,  comme  vulnéraire. 
Elle  est  excitante  et  amèie  j  elle  convient  dans  certains  déran- 
.  gcmens  froids  de  l'estomac,  dans  la  faiblesse  générale. 

On  vend  en  Suisse,  sous  le  même  nom  de  géuipi  Vachillea 
riana ,  Lamarck,  connue  aussi  sous  celui  à'herha  rota^  etplu- 
sieurs  autres  espèces  d'oc/uï/eo,  el  même  dans  ccpaj's  on  appelle 
volontiers  ainsi  toutes  ks  plantes  aromatiques  qui  croissent  sur 
les  hautes  montagnes.  ?'^qKesPTART.iiQUE,tomeXLYI,  page  27. 

70.  GENETPJEPi.  On  a  présenté  dans  cet  article  la  san- 
daraque  comme  provenant  àii  Juniper  us  conimunis  ^  L.  ,  c'est 
une  erreur  ;  elle  découle  du  juniperwi  oxycedrus  ,  Linné 
(  tome  XXXIX,  page  5;  ) ,  suivant  les  uns,  et  du  thuya  arli- 
culata^  d'après  M.  Desfontaiues,  opinion  plus  probable,  puis- 
que ce  botaniste  a  été  sur  les  lieux  mêmes  oîi  croît  ce  végétal , 
et  a  pu  observer  l'écoulement  de  celle  résine» 

i5i.  Ligne  i4-  I-a  geitliana  ainarella  ,  L. ,  n'est  pas  la  même 
espèce  que  la  gent'.ana  germanica ,  Willdenow,  comme  on  le 
dit  dans  cet  article  ;  elle  en  est  seulement  voisine. 

GENTIXNINE.  M.  I^Iagendie  (  Formulaire,  etc.,  page  6")), 
Vnp^eWe irentianin.  Rectifiez  la  pagination  delà  table,  et  lisez 
tome  XLV,  page  ib8,  et  non  XiV,  page  188. 

î5i.  GEOFFROYER  (écorccdc).  En  Amérique,  et  sur- 
tout à  la  Jamaïque  ,  il  croît  un  arbre  de  la  famille  des  légumi- 
neuses qui  a  reçu  le  nom  de  geojfrœa  ,  et  d'umori  en  français 
f Encyclopédie  botanique).  L'espèce  dont  on  fait  usage  est  le 
i^eoffrfeajamaïcensis ,  et,  à  ce  qu'il  paraît,  on  use  aussi  du  geof- 
frœa  inermis  ,  qui  n'en  est  peut-être  qu'une  variété.  L'écorce 
it  le  bois  sont  amers,  presque  comme  l'alocs,  et  sont  réputés  un 
très-bon  vermifuge.  On  emploie  surtout  l'écorce  contre  les  fiè- 
vres, et  comme  purgatif,  associée  à  d'auirci  substances.  La  plante 


1  o 


^;j  TOME  XVIII.  GEOFFROYEPv. 

('tant  d'ailleurs  aclive,  il  fautne  la  prescrire  (ju'à  petites  doses  , 
autrement  elle  produirait  des  accidcns:  on  ne  doit  pa?  passer 
trente  grains  en  poudre  ,  pour  un  adulte  robuste.  En  Europe, 
ce  niédicament  n'est  d'aucun  usage,  du  moins  en  France,  et 
les  n>3ichands  n'en  ont  pas,  et  je  crois  que  peu  de  droguiers 
pri  possèdent.  Les  pharmacopées  anglaises  le  mentionnent,  mais 
j'ignore  si  dans  In  pratique  on  s'en  sert. 

Urie  autre  espèce  qui  croît  surtout  à  Surinam  ,  le  g^eo/Tr^a 
Surinamensis,  est  également  conseillée  contre  les  vers  ,  et  sur- 
tout contre  le  tœnia  ,  et  avec  encore  plus  d'efficacité,  à  ce  qu'il 
p.iraît ,  que  la  précédente.  Nous  ne  pouvons  rien  dire  des 
vertus  de  ces  végétaux,  ne  les  connaissant  que  par  la  lecture  des 
^luteurs  qui  en  traitent,  et  dont  nous  allons  indiquer  les  prin- 
cipaux : 

TAMVi^lir,Appar  medic. ,  t.  ii,p.  48a  ,  et  t.  v!,p.  93. 

KLiNCso'.;!!",    Dissert,   de  geqffiayd  iiiernd ,  ejus  corltce ,  meJuamenl» 

anllietniinlico.  Erlang.,  )^88. 
BONDT,  Disseri.  de  corlice  geofflrœoi  Surinamensis.  Lugd,  Bat. ,    1788, 

ciim  tah. 
EOCERT,  Comment,  deviitule  anihclm.  gcoffrœœ  Suiinamensis.  Marh. , 

1791. 
SCHWARTZE,  Diit.  obs.  de  virlulc  cnrlicis  geoffrœœ  Surinamensis  contra 

tcEniam.  Gœlling.,  1791. 

59a.  GESTATION.  Ce  mot  signifie,  en  médecine  ,  le  temps 
naturel  pendant  lequel  le  lœtus  jeste  dans  le  sein  de  sa  mère, 
de  gestare ,  porter. 

Ou  lui  a  donné  une  autre  acception  dans  le  Dictionaire  ,  en 
l'employant  pour  désigner  les  différens  gestes  considérés  sous 
le  rapport  de  la  gymnastique. 

383.  GILET  DP:  FORCE.  Sorte  de  vêtement  dont  on  se 
sert  pour  les  aliénés  ou  les  malades  en  délire,  afin  de  réprimer 
leurs  inouvemens  désordonnés,  empècljer  qu'ils  ne  se  fassent 
mal,  et  n'en  fassent  aux  autres.  Tome  XXX ,  page  Ij^.  Voyez. 
CAMISOLE  ,  tome  111,  page  5ao. 

/jBq.  GINSENG.  Il  y  a  confusion  dans  cet  article;  on  j 
mêle  ce  qui  concerne  le  n'uisi  avec  ce  qui  est  relatif  au  ginseng  ; 
l'autre  plante  dont  il  est  question  dans  le  troisième  ;ilinca  de 
la  page  890,  est  le  ninsi  ;  le  reste  de  l'article  s'applique  au 
gi'nseng.  ^oyez  ninsi  à  l'appendice. 

4g5  .GLAND.  Nous  ajouterons  les  considérations  suivantes 
\x  cet  article. 

Cette  portion  du  pénis  est  recouverte  ou  non  p.ir  le  prépuce, 
et  il  résulte  de  celte  différence  des  modifications  assez  remar- 
tiuable*  dans  la  manière  dtire  de  celle  pailic  du  corps. 


TOME  XVIII.  GLAND.  ^5 

Elle  influe  n'abord  sur  la  forme  du  giand  et  même  de  j.i 
verge.  Un  gland  recouvert  est  plus  petit ,  tail  plus  la  poiiU<  j 
celui  (jui  ne  l'est  pas  ,  est  plus  volumineux  ,  plusohtus  ,  et  plui 
nious»e  même  sans  éreclion.  En  général  ,  les  individus  à  gland 
recouvert  ont  la  verge  moins  volumineuse  et  moins  longue  (juc 
ceux  qui  sont  dans  un  état  contraire.  Ces  phénomènes  pm- 
vent  provenir  de  la  pression  constante,  tjuoiijue  iaible,  du 
prépuce  sur  le  gland. 

Il  y  a  des  avantages  incontestables  à  avoir  le  gland  découvert. 

1°.  Ceux  qui  sont  ainsi  conformés  ont  toujours  cette  partie 

fyropre,  sèche  et  d'une  teinte  presque  analogue  k  celle  de 
a  peau,  dont  le  contact  de  l'air  la  rapproche  jusqu'à  uu 
certain  point. 

2^.  On  ne  remarque  jamais  chez  ces  individus  de  ces  amas 
de  matières  lilamcntouses,  sébacées,  etc.,  sur  le  glaud,  comme 
cela  a  lieu  chez  ceux  qui  l'ont  recouvert. 

3".  Une  humidité  constante,  qui  entretient  la  mollesse  du 
tissu  du  gland  ,  n'abreuve  pas  sans  cesse  cette  région  ■  ils  n'out 
jamais  de  ces  flux  muqueux,  nommées  Jausse^  gonorrht'es , 
gonorrhée.i  ôcttardds  ,  qu'on  voit,  au  contraire,  assez  souvent 
chez  ceux  qui  ont  l'organisation  opposée  •,  ils  n'ont  jamais 
non  plus  d'urine  stagnante  dans  la  cavité  du  prépuce,  ce  qui 
arrive  atix  très-jeunes  cnlans  qui  ont  ce  prolongement  mem- 
braneux fort  long,  et  ce  qui  leur  cause  des  inflammations  fré- 
quentes   de  cette  partie. 

4°.  Ils  sont  bien  moins  aptes  h  contracter  la  maladie  véné- 
rienne. Le  gland  étant  d'une  texture  plus  ferme  ,  plus  serrét'  , 
étant  plus  peau  ,  pour  ainsi  dire  ,  l'absorption  se  lait  avec  plus 
de  difficultés,  et  le  virus  vénérien  a  moins  de  prise.  L'expé- 
rience montre  la  vérité  de  ce  que  nous  avançons  ici  ,  tantpo«ir 
la  gonorrhée  (jue  pour  les  chancres ,  ce  qui  explique  pourquoi, 
parmi  plusieurs  individus  voyant  la  même  femme,  les  uns  ga- 
gnent la  syphilis  ,  tandis  que  d'autres  n'en  sont  point  atteints. 

5".  Ils  n'ont  jamais  de  phjnioiia ,  et  rarement  de  para- 
phymosis  ;  ceci  n'a  pas  besoin  d'explication. 

6°.  Ils  ne  sont  pas  sujets,  ou  du  moins  le  sont  rarement  à 
la  dégénérescence  cancéreuse  du  gland.  Les  chiiurgieus  et 
M.  le  professeur  Roux  surtout,  ont  <|[piarqué  que  le  cancer 
de  la  verge  se  rencontrait  le  plus  souvent  chez  les  individus 
à  prépuce  recouvert,  dont  le  gland  était  presque  toujouis 
dans  un  état  de  sub  inflammation.  La  pratique  prouve  que 
pres({ue  tous  ceux  à  <jui  on  a  amputé  la  verge  étaient  des  in- 
dividus il  gland  recouvert.  Mon  observatiou  particulière  est 
eu  tout  conforme  h  cette  opinion, 

JNous  avons  fait  une  dernière  remarque,  qui  est  des  plus 
curieuses,  sur  la  présence  ou  l'abseucc  du  prépucesur  le  gland; 


76  TOME  XYIII.  GLAND, 

c'est  que  ceux  qui  sont  dans  ce  dernier  cas,  sont  en  général 
moins  enclins  aux  plaisirs  de  i'amour ,  sont  plus  maîtres  d'eux 
dans  le  coït,  plus  retenus  sur  l'acte  de  ia  gene'ratiou,  do 
sorte  que  ces  individus  font  moins  d'enfans  ,  que  ceux  autre- 
ment confornic-i  ,  et  n'en  font,  en  quelque  sorte,  que  quand 
ils  le  veulent,  tandis  ([ue  les  autres  ont  des  sensations  volup- 
tueuses si  marquées,  des  jouissances  si  vives,  qu'ils  tombent  dans 
une  espèce  de  délire  pendant  la  copulation,  et  ne  sont  plus 
dans  le  cas  de  dirifi;er  leur  volonté. 

Ce  sont  peut  clro  les  de'savantages  qui  re'sullent  d'avoir  le 
gland  recouvert  ,  lesquels  peuvent  encore  être  augmentés  dans 
un  climat  chaud,  qui  ont  poilé  les  Orientaux  à  établir  parmi 
eux  la  circoncision. 

Les  accidens  dont  nous  avoîis  parlé  sont  d'autant  plus  mar- 
qués, que  l'ouverture  du  prépuce  est  plus  étroite,  et  qu'il  se 
renverse  plus  diificilemcnt  pour  mettre  le  ^land  à  découvert. 

C'est  d'après  ces  considérations  qu'il  m'est  arrivé  plus  d'une 
fois  de  fendre  le  prépuce  des  enfans  ,  et  même  des  adultes  , 
pour  leur  éviter  i«.s  maux  nombreuxqucsa  présence  occasioiie  , 
surtout  lors  de  la  répétition  des  inflammations  urinaires  du 
gland  ,  il  la  grande  satisfaction  de  ceux  qui  se  sont  soumis  à 
celle  petite  opération, 

471.  GLANDE  ACCESSOIRE.  TomeXXXlX,  page  SSg. 

Ihid.  GLANDES  DE  BRUNWER.  Nom  donné  aux  folli- 
cules ics  plus  marqués  de  l'estomac.  Tome  XIII,  page  34i  et 

347. 

Ibid.  GLANDES  DE  COWPËR.  Nom  des  petites  pros- 
tates ou  prostates  infères.  Tome  XLV,  page  479- 

Ibid.  GLANDES  LYMPHATIQUES.  On  a  renvoyé  à  ce 
mot,  de  plusieurs  endroits  du  Diclionaire  5  mais  il  n'en 
a  pas  été  traité  h  part.  Voyez  cryptes,  tome  VIT,  page  5i4; 
fOLLTGULES,  tonicXVI,  page  2  jo,  ei  ga.\gho>3  ,  tome  XA' 11, 
page  3o5. 

Ihid.  GLANDES  AoRIFÈRES.  Nom  donné  par  quel- 
ques auteurs  aux  petits  tubercules  qui  se  voient  sur  la  cou- 
ronne du  gland.  Tome  XYIII,  page  428. 

Ihid.  GLANDES  DE  PACCHIONI.  Granulations  qu'on 
aperçoit  sur  la  dure-mère.  Tonae  XXXYIÏI,  page  1^1. 

Ibid.  GLANDE  SALIVAIRE  ABDOMINALE.   C'est  le 

nom  que  Sicbold  donne  au  pancrcas.  Tome  IX,  page  427. 


TOME  XVÏII.  GLANDE  THYROÏDE.  77 

Ibid.  GLANDE  THYROÏDE.  On  a  renvoyé  à  ce  mot  d« 
eANCEii  (  lome  III ,  page  5bi  )  j  il  a  e'ic  Irailé  à  thyroïde.  Tome 
LV,  page  142. 

Ibld.  GLANDES  TRACHÉALES.  Tome  LV,  page  448. 

474.  GLOBE  ou  BOULE  HYSTÉRIQUE.  Sensation  d'un 
globe  qui  remonle  de  répigasUc  à  la  gloiie  chez  les  personnes 
hystériques.  Voyez  hystérie,  tome  XXIII,  page  226. 

Ibid.  GLOBULE.  Molécule  arrondie  des  corps  liquides.  On 
^\\.  globule  du  sang-,  etc.  Boeihaave  en  admettait  de  dilïërens 
volumes,  de  dilféicnies  espèces,  etc.  Koyez  inflammation 
(chirurgie),  tome  XXIV,  page  525. 

Ihld.  GLOBULE  D'ARANTIUS.  On  appelle  ainsi  un  pe- 
tit tubercule  que  l'on  observe  sur  le  bord  libre  des  valvules 
de  l'aorte.  Tome  V,  page  4  27. 

5i5.  GLUCINE.  Substance  range'e  parmi  les  terres,  et  au- 
jourd'hui au  nombre  des  oxydes  métalliques,  sous  le  nom 
d'ocryde  de  glucinàan.  Elle  est  blanche,  insipide,  infusible 
au  feu  de  forge  ,  insoluble  dans  l'eau  •  elle  se  combine  avec  le 
soufre,  à  l'aide  d'une  légère  chaleur. 

Elle  existe  dans  l'émcraude  ,  l'aigue-marine  et  l'cuclase  ,  où 
M.  Vauquelin  la  découvrit  dans  la  première  de  ces  pierres, 
en  1798.  Son  nom  de  glucine  lui  vient  de  la  saveur  douce  des 
sels  qu'elle  forme.  C'est  de  l'aigue-marine  qu'on  l'extrait  le 
plus  abondamment. 

Elle  n'est  d'aucun  usage,  non  plus  que  ses  compose's,  jus- 
qu'à  présent. 

Ihid.  GLUCINIUM.  Métal  que  l'on  suppose  faire  la  base 
de  la  glucine;  jusqu'ici  on  n'a  pu  l'extraire  de  cet  oxyde. 

522.  GODRONÉ  (canal).  C'est  par  erreur  que  dans  quel- 
ques ouvr.iges  oudiltrt/irt/g^oH<i^roA2e';  ce  mot  \ieni  de  godroné 
(frisé)  el  non  de  goudron.  On  a  dit,  à  dissection  (tome  IX, 
page  590),  qu'il  n'existait  pas. 

672.  GOMART.  Substance  re'sineuse  qui  découle  du  bitr- 
sera  gonimijera,  L. ,  et  que  les  Américains  regardent  comme 
vulnéraire.  Elle  porle  le  nom  de  galipot  d' Amérique ^  t.  XYlï;, 
pag.  265  ,  et  celui  de  résine  cachihou  ,  tome  XLVII ,  p.  5^  i 
(en  remplaçant,  dans  ce  dernier  endroit ,  le  nom  de  bolax 
par  celui  de  huvsera). 


78  TOME  XVllI.  GOMBEA.U. 

Ibid.  GOMBEAU  ,  hibiscus  nscidentus ,  L.  Le  fiuil  de  cet 
arbrisseau,  do  la  famille  des  malvacées,  se  mange  en  Amé- 
rique, élant  cuitj  on  rôlit  sa  graine  el  on  s'en  seit  aussi 
comme  de  café,  ou  du  moins  ou  l'y  associe, 

575.  GOMME  AMMONIAQUE.  D'après  une  noie  insérée, 
Journal  de  Pliannacie  (tome  VII,  page  i/]'d),  celte  gomme- 
résine  ne  proviendrait  pas  de  Vheracleum  guniniiferum,  comme 
le  pense  Willdeiiow,  quia  fait  lever  celle  plante  des  graiuca 
adhérentes  h  cette  gomine-résinc ,  mais  d'une  férulacée  soup- 
çonnée ctie  lefenUaJerulago  de  Desfonlaines ,  parce  que  des 
graines  cruesanaloguesà  celles  de  celle  ombellifèie,  sesontaus5i 
trouvéessurdescchanlillons  de  cette  substance.  Celle  hypothèse 
est  aussi  admissible  que  l'autre;  mais  tant  qu'on  n^aura  pas  vu 
la  gomme  ammoniaque  découler  de  la  plante  qui  la  produit  , 
on  ne  peut  rien  assarer  de  positif.  Il  ne  serait  nième  pas  im- 
possible que  plusieurs  ombellifères  la  produisissent. 

5'j.6,   ligne  i  ,  et  538  ,  ligne  -.  Requem,  lisez  Raikem. 

587.  GOMME  D'ACAJOU.  Fo/ez  vioix  d'acajou,  lomc 
XXX VI ,  page  169. 

IbùL  GOMME  DE  BASSORA.  Foyez  bassoka  (gomme  de)  y 
dans  les  appendices. 

Ibid.  GOMME  DES  FUNÉRAILLES.  Un  des  noms  de 
l'asplialte,  fondé  sur  l'usage  qu'on  en  faisait.  Tome  XXXIV, 
page  53. 

Ibid.  GOMME  DE  GAMBIE.  Un  des  noms  dnhinn.  Tome 
XVIII,  page  584-  Ce  produit  vé^!;otal  a  beaucoup  d'analogie 
avec  le  sang  dragon.  Tome  XLIX  ,   page  5  i3. 

Ibid.GOMME  DE  GEDDA.  On  trouve,  dacs  la  gomme 
arabique  du  commerce ,  deux  variétés,  l'une  rousse,  l'autre 
blanche  j  la  première  est  appelée  gomme  de  Gedda ,  du  noni 
du  port  de  l'Aiabie  (Giddah),  d'où  on  la  lire  j  l'autre, 
gomme  turricjue  ,  également  d'un  port  (  Tor)  du  même  pays  ,_ 
qui  nous  la  procure.  11  y  a  au  Sénégal  des  forêts  de  gom- 
miers rouges  ,  et  d'autres  de  gommiers  blancs. 

Ibid.  GOMME  DE  KIKEKUNEMALO.  Voyez  ce  der- 
nier mot  dans  les- appendices. 

Ikid.  GO-MME  DE  LOOK.  Voyez  Look,  dans  les  appen- 
dices. 


TOME  XVin.  GOMME  DE  MAHOGON.         79 

Ihid  GOMME  DE  MADOGON.  Voyez  méliacles,  tome 
XXXll,  page  196. 

Ibid.  GOMME  D'OREMBOURG.  Elle  découle  du  mé- 
lèze. Voyez  MÉLÈZE  ,  lome  XXXII ,  page  196. 

Ihhl  GOMME  DU  SÉXÉGAL.  La  gomme  de  Sénégal  ne 
paraît  pas  dilférer  de  celle  de  l'Arabie,  quoique  produite  par 
un  végétal  différent ,  X^mimosa  Sénégal,  L.  On  y  trouve  les 
deux  variétés  de  gomme  arabique  appelées  gomme  gedda  et 
gomme  turrique f  de  plus  une  autre  variété  pediculée,  et  une 
M  icflet  verdàtre,  que  l'on  rejette  de  l'usage,  attendu  qu'elles 
sont  moins  solubles.  TonieXVlII,  pageBB';. 

4 

Ibid.  GOMME  SÉR AFRIQUE.  Un  des  noms  du  sagape- 
MiM.  Tome  XLIX ,  page  33o. 

Jhid.  GOMME  TURRIQUE.  Foyez  gomme  gedda  ,  à  la 
page  précédeiile. 

5Hj.  COMMITES.  Nom  donné  à  dos  principes  des  végé- 
l.inx  qui  participent  tous  plus  ou  moins  de  la  gomme.  Tome 
XLV ,  page  182. 


TOME  XIX.  GONORRHÉE  BATARDE.  ^i 

TOME  DIX-NEUVIEME. 


Page  6.  GONORRHÉE  BATARDE.  On  désigne  sous  ce 
nom  impropre,  l'écoulement  dont  le  sie'ge  est  à  l'exie'fieurdu 
gland  ;  cette  affection  est  de'crite  au  mot  gland  ,  tome  XVIU  , 
page  4^2. 

J'ai  observé  une  autre  espèce  d'écoulement  semblable  à  celui 
du  gland,  mais  dont  le  siège  était  à  la  base  de  la  verge,  sur 
le  pubis  ;  l'écoulement  tachait  le  linge  absolument  comme  le 
fait  celui  du  canal  de  l'urètre.  Le  jeune  homme  qui  en  étaiî 
atteint  avait  eu  un  commerce  impur  avec  une  fille  publique,  et 
le  flux  s'était  de'claré  le  quatrième  jour  d'après.  En  regar- 
dant avec  soin ,  entre  les  poils  de  cet  endroit ,  la  peau  ne  pré- 
sentait qu'un  peu  de  rougeur,  et  le  malade  disait  y  ressentir 
une  légère  douleurj  du  reste,  il  n'y  avait  pas  d'excoriation 
manifeste  ,  et  le  flux  cessa  au  bout  de  quinze  jours  ou  trois  se- 
maines, par  l'usage  des  lotions  d'abord  émollientes,  puis  uu 
peu  astringentes.  Il  n'y  avait  pas  d'écoulement  concomitant 
dans  l'urètre,  ni  autour  du  gland. 

Voilà  donc  une  troisième  espèce  d'écoulement  blennorrhagi- 
que  quant  au  siège  ;  on  ne  trouve  point  d'exemple  de  ce  dernier 
dans  les  auteurs,  ce  qui  lient  sans  doute  à  sa  grande  rareté. 
Du  reste ,  il  n'y  a  nulle  raison  pour  qu'il  ne  puisse  pas  exister 
là  comme  à  l'extérieur  du  gland,  dont  la  texture,  dans  les 
sujets  où.  il  n'est  pas  recouvert  par  le  prépuce,  se  rapproche 
beaucoup  de  celle  de  la  peau.  Que  par  une  circonstance  parti- 
culière ,  les  tégumens  de  cette  partie  du  corps  soient  plus  fins  , 
plus  délicats,  ce  qui  peut  avoir  lieu  par  suite  de  l'abri  que  leur 
donnent  les  poils,  et  la  saillie  abdominale  qu'on  y  remarque, 
qui  y  entretiennent  une  humidité  presque  continuelle,  et  on 
aura  des  motifs  plausibles  de  la  possibilité  du  sre'ge  d'un  écoule- 
ment analogue  à  celui  des  membranes  muqueuses.  N'a-t-on  pas 
vu  la  conjonctive,  le  mamelon,  etc. ,  devenir  le  siège  d'écoule- 
mens  vraiment  blennorrhagiques? 

Uid.  GONORRHÉE  SÈCHE.  Nom  donné  par  Astruc  à 
l'inflammation  superficielle  du  gland ,  désignée  aussi  sous  celui 
tVarsure.  Tome  XVIII,  page  /ySS. 

272.  GOUTTE  -  CRAMPE.  Nom  que  quelques  auteurs 
donnent  aux  convulsions  des  femmes  eu  couche.  Tome  VI, 
page  207. 

II 


82  TOME  XIX.  GOUTTES  DE  LAMOTTE. 

295.  GOUTTES  DE  LAMOTTE.  Espèce  de  médicament. 
TomeXXXVII,  page  534. 

295.  GOUTTIÈRE  LACRYMALE.  T.  XXVII,  p.  109. 

Ibid.  GRAOES  D'ECARLATE.  Voyez  kermès,  tome 
XXVII,  page  5. 

3og.  GRAND  OS.  L'un  des  os  de  la  seconde  rangée  du 
carpe,  décrit  à  caepe.  Tome  XXX,  page  12. 

Ihid.  GRANULATIONS.  Sorte  de  tubercules  miliaires 
que  l'on  observe  sur  les  membranes  séreuses,  dont  la  connais- 
sance est  due  à  Bichat.  Tome  XL^  page  357,  et  tome  LY , 
page  225. 

3io.  GRASSERIE.  Maladie  des  vers  à  soie,  décrite  h  épi- 
ztotie.  Tome  XIII ,  page  93. 

322.  Ligne  g.  Le  galium  vaillantii  esl  cité  à  tort  comme  sy- 
nonyme d\xvalantia  aparine;  ce  sont  deux  plantes  distinctes. 
Ce  dernier  est  \e  galium  saccharatum  d'Allioui. 

35o.  GRILLON.  Ses  usages.  Voyez  insecte,  tome  XXV, 
page  3 12.  Dans  le  peuple,  cet  animal  est  regardé  comme  d'un 
heureux  augure,  et  on  se  garde  bien  d'inleriompre  son  cliant, 
et  surtout  de  le  tuer. 

366.  GRIPPÉE  (face).  Nom  donné  par  M.  le  professeur 
Corvisart,  à  la  eontraclion  simultanée  des  nuiscles  de  la  face, 
qui  exprime  la  douleur  vive  et  profonde  occasionée  par  cer- 
taines maladies.  Il  a  remarqué  aussi  le  premier  que  les  inflam- 
mations abdominales  y  donnaient  surtout  lieu. 

Ihid.  GROG.  Mélange  d'eau-de-vie  on  âe  toute  autre  li- 
queur alcoolique,  comme  le  tafia,  le  rum ,  avec  l'eau,  dont 
«)n  lait  usage  comme  désaltérant,  surtout  en  mer;  ce  nom  esî 
anglais.  Tome  XLIX,  page  188. 

5no.  GROSSESSE.  Voyezce  qui  a  été  dit  h  l'appendice  du 
tome  XL,  au  mot  PECTORiLOQUE,  de  l'emploi  de  rausculialioii 
pour  reconnaître  cet  état,  d'après  la  découverte  de  M.  le  doc- 
tfcMr  de  Kergaradec. 

546.  GUàCO.  Nom  d'une  plante  célèbre  au  Pérou  contre 
la  morsure  des  serpens.  On  a  renvoyé  de  crotal  (Tome  Vlly 
page  A  10)  à  ce  mol,  qui  n'a  pas  été  traité. 


dfv^. 


TOME  XIX.  GUACO.  83 

Ce  végétal  est  nomme  par  MM.  Humboldt  et  Bonpiand 
(  Plantes  équinox. ,  tome  4  i  page  i36  )  miknnia  guaco  j  il  ap- 
partiet)t  à  la  l'amille  des  carduacées  (  fiosculouses). 

Ou  raconte  qu'il  suffit  d'avoir  un  rameau  de  celle  plante 
sur  soi  pour  être  à  l'abri  de  la  morsure  des  serpens  ;  et  que, 
si  l'on  en  est  mordu  ,  en  instillant  quelques  gouttes  de  son  suc 
dans  la  plaie  faite  ,  elle  guérit  proraptement.  Enfin  ,  les  nègres 
s'en  insinuent  par  provision,  afin  d'en  être  garantis  pour  1  a- 
venir ,  ce  qui  leur  re'ussit ,  assurent-ils. 

On  trouve  ces  détails  dans  la  Madère  me'dicalt  de  M.  Ali^- 
bert  (tome  2,  page  532,  deuxième  édition),  à  qui  M.  Zea 
les  a  transmis;  mais  les  auteurs  de  V  Histoire  des  plantes  e'qiii- 
nojciales  n'en  ayant  rien  dit,  cela  laisse  du  doute  sur  les  mer- 
veilleuses propriétés  de  cette  plante.  Voyez  serpens,  tome  LI, 
page  iy5. 

On  a  présenté  dernièrement  h  l'Académie  royale  des  sciences 
de  Paris  une  racine  venant  du  Brésil ,  et  connue  dans  ce  pays 
sous  \e  r\om  déracine  noire ,  que  l'on  dit  aussi  souveraine  contre 
la  morsure  des  serpens.  M.  le  professeur  Desfontaines  a  été 
chargé  par  cette  compagnie  savante  de  faire  un  rapport  à  son 
sujet. 

Ibid.  GUAO.  Arbre  de  Saint-Domingue,  que  M.  de  Tiissac 
assure  être  \e  comocladia  dentata,Wi\\d. ,  etdont  l'odeur  suffit, 
suivant  lui,  pour  donner  la  mort.  Tome  XXXVII  ,  page  102. 

Jbid.  GUBERNACULUM  TESTIS.  TomeXLIX,  p.  282. 

Jbid.  GUBERNACULUM  DENTIUM.  Tome  XXXVII, 
page  125. 

547.  GUEPE.  Ajoutez  à  l'indication  de  la  table  celle-ci  : 
tome  XXV  ,  page  3i5  :  il  y  a  une  figure  de  cet  animal  à  in- 
secte (Tome  XXV ,  pi.  I  ,  fig.  f),  ainsi  que  d'un  aiguilloa 
d'une  guêpe  de  Cayenne  ,  ibid. ,  fig.  5. 

577.  Ligne  10.  Clubia  ,  lisez  clutia. 

582.  GYMNASÏARQUES.  Seclede  médecins.  Tome  XXV, 
page  402. 

589.  GYMNONOTE ,  ou  anguille  électrique  de  Surinam. 
Tome  XLIII ,  page  656. 

591 .  Ligue  i5.  Aréole  ,  lise^  auréole. 


TOME  XX.  HAMULAIRE.  85 

TOME  VINGTIEME. 
H 

Page  75.  HAMULAIRE.  Sorte  de  ver  intestin  qui  se  ren- 
contre dans  les  bronches.  Voyez  vers,  tome LVII, page  226. 

Ihid.  HANNETON.  Voyez  insecte  ,  tome XXV,  pag.  291 . 

8g.  HARMONIE  PRÉÉTABLIE.  Tome  XXVI,  page  96. 

Ibid.  HÉBÉTUDE.  Espèce  de  stupeur.  Tome  XII,  p.  535. 

91.  HELMINTHÈSE.  Tome  VIÏI,  page  568. 

Ibid.  HELMINTOTIASIE.  Tome  XXXVI ,  page  aSg. 

168.  Ligne  35.  Artères  pulmonaires  j  Usez  artères  palmaires; 

201.  HÉMATOPISIE.  Tome  XIV,  page  606. 

//>iW.HÉMATOPSILIE.  XXXVI,  page  242. 

257.  Ligne  4o.  Transportez  L  (Linne'e)  après  le  mot  mono-^ 
gynie  de  la  ligne  Sg. 

267.  Ligne  ^o.  Franck ,  Usez  Frank. 

268.  Ligne  3o.  Variété ,  Usez  variétés. 

278.  Ligne  21.  Litt.  médic. ,  lisez  Uter.  médic. 

296.HEMOMÈTRE.  Verre  sur  lequel  sont  gravées  des  mar- 
ques qui  indiquent  la  quantité  de  sang  qui  les  atteint  ;  il  est 
figuré  au  mot  vemouse,  tome  LVII^  page  174- 

Ibid.  HÉMOPROCTIE.  Tome  XXXVI,  page  243. 

339.  HEMORHINIE.  Tome  XXXVI,  page  242. 


36  TOME  XX.  HÉMORRAGIE. 

4oo.  On  y  indique  un  renvoi  à  hémorragie  symptomatiqne  , 
article  (|ui  n'exislepas  dans  rouvia^ejil  faut  recourir  à  ^emor- 
ra^ie  ulcritte  et  à  hémorragie  en  ge'néral ,  pour  avoir  dt-s  dé- 
tails sur  les  hémorragies  syoQptomalicjues.  (  T.  XX,  p.  33g.)- 

435.  HEMORRAGIE.  Nous  ajouterons  h.  cet  article  quel- 
ques conside'ialions  sur  les  hémorragies  des  enfansy  dont  il 
n'a  nulleajent  élë  question  dans  aucun  endroit  de  l'ouvrage. 

On  sait  ({ue  plus  les  eujets  sont  jeunes ,  et  plus  les  vaisseaux 
sanguins  se  divisent  chez  eux  à  l'infini,  et  plus  par  conséquent 
1(S  sources  d'hémorragies  sont  nombreuses,  outre  que  les  vais- 
seaux plus  ténus  permettent  plus  faciJfinent  au  sang  de  s'en 
échapper, soil  par  rupture,  soit  par  exhalation. 

Le  système  capillaire  eit  surtout  extrêmement  développé 
chez  eux  -  à  la  naissance  ,  il  est  si  abondant  à  la  surface  cutanée, 
«ju'eîle  en  est  rouge,  et  parfois  noire.  Lorsque  l'air,  par  son 
action  lorn'que,  et  en  quchjue  sorte  astringente ^  a  frappé  pen- 
dant quehpics  jours  la  périplicrie  du  corps,  alors  la  peau  blan- 
chit ,  sans  doute  parce  que  le  sang  n'occupe  plus  autant  de 
capillaires  ,  et  qu'une  partie  de  ceux  (^ui  recevaient  cette  hu- 
meur, admettent  des  liquides  blancs. 

Outre  des  vaisseaux  plus  nombreux,  plus  ténus,  qui  sont 
déjà  dos  causes  occa.sionellcs  d'hémorragies  à  cet  âge,  la  li- 
quidité du  sang  ajoute  encore  à  la  facilité  de  son  écoulement. 
C'est  une  vérité  populaire,  qu..e  plus  le  sang  est  épais,  et  plus 
il  a  de  la  peine  à  sortir  de  ses  vaisseaux,  de  sorte  que  plus 
Ja  qualité  contraire  est  mMi"quée,  et  plus  il  doit  en  résulter  un 
état  opposé. 

Ajoutez  que  les  enfans  sont  en  queUjue  façon  dans  unesorle 
de  pléthore  continuelle,  ce  (jui  se  reconnaît  à  la  vivacité  de 
leur  pouls,  ii  leur  coloration  plus  vive,  à  une  énergie  vitale 
plus  considérable,  etc. 

Voilà  dotic  des  causes  évidentes  ,  et  bien  suffisantes  pour 
expliquer  la  tVéfjuence  des  hémorragies  dans  l'enfance.  Si  on 
ne  les  voit  pas  arriver  plus  fréquemment  encore,  c'est  que  la 
porosité  extrême  de  la  peau,  les  exhalations  de  toute  espèce, 
si  abondantes  et  si  faciles  à  cet  âge  ,  évacuent  la  portion  la  plus 
ténue  et  surabondante  du  sang,  de  manière  à  ne  laisser,  dans 
ce  cas ,  que  ce  qui  est  nécessaire  pour  entretenir  l'équilibre 
circulatoire. 

Ou  remarque  que  ce  sont  surtout  les  hémorragies  des  par- 
lies  supejieures  du  coips  (|ui  sont  les  plus  fréquentes  chez  les 
enfans  ;  les  nasales  sont  particulièrement  celles  qu'ils  éprouvent 
avec  pius  de  facilité,  pour  peu  qu'ils  tombent,  qu'ils  toussent 
longtemps,  qu'ils  se  frottent  le  tiez ,  etc.  Onsait  d'ailleurs  que 
les  enfaus  sont  plus  disposés  aux  maladies  de  la  lêle  qu'à  celles 


TOME  XX.  HEMORRAGIE.  87 

de  loule  autre  région  du  corps,  sons  doute  à  cause  de  l'abord 
plus  aboudanl  du  sang  (]ui  y  a  lieu  nalurellenicul. 

Les  hémorragies  des  ctifans  préscrilcnt  aussi  des  particula- 
rités utiles  à  coiiiiaître.  La  porosilo  i)lus  grande  de  leurs  tissus, 
la  facilité  exhalalive  qu'on  reniarijue  chez  eux,  foulque  les 
hémorragies  s'arrêlenl  moins  promptenient  à  cet  âge  que  chez 
les  adultes.  11  faut  employer  des  moyens  plus  loug-leinps  cuu- 
linués,  plus  efficaces  pour  les  surmonter. 

Lorsque  l'on  applique  des  sangsues  chez  les  enfans,  le  sang 
s'arrête  avec  assez  de  difficulté.  11  y  a  un  grand  nombre  d'exem- 
ples d'accideus  arrivés  par  cette  cuconstance  ,  même  des  cas  de 
mort.  11  a  lallu,  dans  plusieurs  occasions,  cautériser  les  plaies 
des  sangsues  pour  sauver  les  sujets,  comme  cela  est  arrivé 
à  M.  Richerand,  et  comme  je  l'ai  aussi  observé  dans  ma  pra- 
tique. Il  faut  avoir  le  soin,  lorsqu'on  applique  ces  animaux 
aux  enfans  ,  de  ne  les  placer  que  dans  des  endroits  où  l'on 
puisscexercer  une  compression  sulfisante  pour  maîlriser  le  sang, 
c'est-à-dire  sur  des  points  où  des  os  soit;nl  situés  au  dessous. 

J'ai  observé  encore  un  cas  singulier  qui  a  rapport  aux  écoule- 
mens  sanguins  des  enfans.  S'ils  sont  pris  d'hémorragie  nasale 
dans  la  nuit,  comme  ils  sont  couches  sur  le  dos  ,  le  sang,  au  lieu 
de  s'écouler  au  dehors,  comme  cela  arriverait  s'ils  étaient  levés, 
passe  dans  l'arrière-bouche,  parce  qu'ils  le  tètent,  en  quelque 
sorte,  et  de  là  dans  l'œsophage  et  l'estomac.  Il  n'y  a  pas  long 
temps  que  j'ai  été  appelé  pour  un  cnl'^anl  qui  était  dans  ce  cas,  et 
que  je  trouvai  presque  exsangue.  Il  fallut  tamponner  les  fosses 
nasales  ;  l'enfant  vomit  plus  d'une  livre  et  deuiie  de  sang  caille 
en  portant  mes  doigts  dans  sa  bouche  pour  aller  chercher  le 
ressort  de  la  sonde  de  Relloc,  et  y  attacher  le  bourdonnct  dos- 
lérieur.  Je  suis  convaincu  que  beaucoup  d'enfans  (jue  l'ori 
trouve  morts  dans  leur  lit,  doivent  celte  fia  à  des  héntorragies 
dont  le  liquide  s'écoule  ainsi  à  l'intérieur. 

Les  hémorragies,  chez  les  eufans,  sont  surtout  à  craindre 
par  leur  répétition,  mais  surtout  par  la  difficulté  de  les  ar- 
rêter, chez  ceux  qui  sont  empâtés  ,  à  chair  molle  ,  blanche  ,  et 
affaiblis  par  des  maladies. 

Le  ratanhia  est  un  moyen  qui  convient  bien  chez  les  enfans 
qui  ont  de  la  disposition  aux  hémorragies,  ou  qui  eu  ont  déjà 
eu.  On  on  donne  la  décoction  bien  sucrée,  de  manière  à  ea 
laire  une  boisson  qui  n'est  pas  désagréable;  une  demi-once  par 
pinte  d'eau  ,  réduite  d'un  quart  ,  sont  des  prO|)orlion3  que  je 
puis  affirmer  convenables,  cl  qu'ils  prennent  fort  bien.  J'en 
ai  letiré  dan^  plusieurs  occasions  dct.  résultats  avantageux,  cE 
comme  la  îdante  esl  en  même  temps  ionique,  i|  m'a  paru 
qu'cJle  fortifiait  les  tissus,  de   sorte  (pi'ello  m'a  semblé  agir 


88  TOME  XX.  HEMORRAGIE  NASALE; 

contre  les  hémorragies,  autant  par  cette  qualité  que  par  son 
astringence,  qui  est  la  seule  vertu  qu'on  eût  préconisée  en 
elle  jusqu'ici.  Ce  que  je  puis  assurer,  c'est  que  des  enfans 
très -enclins  aux  hémorragies  ont  été  guéris  de  cette  tendance 
par  son  usage. 

Ibid.  HEMORRAGIE  NASALE.  On  a  renvoyé  a  cet  ar- 
ticle de  CAvn-E  (tome  IV,  page  23}  ;  il  n'en  a  pas  été  trailé 
sous  ce  nom  ,  mais  à  tPisTAXis,  tome  XII ,  page  59S. 


TOME  XXI.  nE>ÎOK]l<')SCOPJE.  8j 

TOME  VIXGT-UNIEME. 


Page  i.  HEMuRI'lU.SCOPIE.  L'auteur  de  cet  article  avail 
avancé  ,  de  mémoire  ,  que  Lcgallois  croyait  que  Ju  sang  u'clail 
pas  identique  dans  les  vaisseaux  qu'il  parcouit  ;  ayant  eu  Toc- 
casioa  depuis  de  revoir  l'ouvrage  de  ce  savant,  il  s'ejt  aperçu 
que  celte  opinion  ,  qui  est  celle  du  plus  erand  nombre  des  uhy- 
siolo^iîtes,  était  prccis'jme^t  en  opposiliou  avec  la  sieune. 

5.  HÉMrRÉSIE.  Tume  XXXVi,  page  2.\i. 

Jùid.  HEXXE.  Arbrisseau  qui  croît  dans  l'Orient,  et  qui 
sert  principalement  comme  objet  de  teinture.  C'est  \e  Inwsonia 
iiieriiiis  de  L.  ,  de  !a  f  lUiille  des  salicaires  ,  dont  le  lawionia 
Spinoza  du  même  botaniste  ne  parait  pas  différer. 

Les  feuilles  servent  suifoul  à  teindre  en  jaune  ,  en  fauve  ,  en 
rouge.  Les  E^zvpliens,  les  Arabes,  les  Lidiens  ,  etc.  ,  en  tci^neul 
leurs  ongles,  L-ur  barbe,  leurs  cheveux.,  etc.,  et  même  lu  cri- 
nière et  la  queue  de  leurs  chevaux,   coutume  fort  aiicienne 
puisque  déjà  Dioscoride  en  parle  (lib.  5i  ,  cap.  124  ]. 

La  poudre  de  ces  feuilles  est  estimée  astringente,  et  on  s'en 
sert  pour  dessécher  les  ulcères  des  gencives,  la  sueur  des  pieds. 

Onpre'fere  poiu  l'usage  les  racines  de  cet  arbre;  mais,suivai.t 
la  remarque  de  ]Murray ,  elles  sont  très-rares  chez  nous  ,  ce  qui 
n'est  pas  une  grande  perte,  car  on  n'en  fait  aucun  usace  daus 
nos  Ciimats. 

TO.  HÉPATîSaTIOX.  Etat  d'un  organe  qui  a  ac([U!S  !a 
consistance  et  l'apparence  du  foie,  ce  qui  provient  ordinaire- 
ment d'un  engorgement  sanguin.  Les  poumons  acquicient  sou- 
vent celte  municre  d'être  dans  la  pe'ripneunionie.  Il  a  é;é 
que>lion  de  relte  altération  pathologique  à  orga>es  [  lésions 
des  ) ,  tome  XTvXYIll ,  page  il^'à.  !M.  Uriclieteau  a  donné  un  ar- 
ticle sur  ce  :  ;jct  dans  le  Journal  coniplémen'.aire  de  ce  Dic- 
lionaire,  tome  IX,  page  106. 

llid.  HÉPATISIE.  Torre  XXXVI,  240. 

34.  HÉPATITE  CHRONIQUE.  On  a  renvoyé  à  ce  mot  de 
CA>CEE  (Tome  111 ,  psge  636) ;  i\  n'en  a  pas  été  tiaité  à  pan , 
tuais  aux  mots  foie  ( To.-ue  XYI  ,  page  ie.j!  ,  et  atvi.iiit 
(  l'onse  XXI ,  page  02.  ] 


fjo  TOME  XXI.  HEPATOPHRAXIE, 

31  IIÉPATOPMRAXIE.  Tome  XXXVI,  page  240,  et 
tome  XXXVilîpagc  55. 

gS.  Ligne  1 5.  Centimètres ,  Usez  millimètres. 

i3^.  Ligne  3 1.  Tumear  vaginale  ,  Usez  tunique  vaginale. 

i/j6.  Ligne  9.  Au  dessous  de  l'anus,  Usez  au  dessus  de 
l'anneau.  / 

i5o.  Ligne  38.  Arièrc  crurale.  Usez  arcade  ciuiale. 

i^'î.  HERNIE  DE  L'UVEE.  On  a  renvoyé  à  ce  mot  d'tCAR- 
TEMENT  (ToineXI,  page  io8)j  il  en  a  cte' traite' à  stapiiylome, 
tome  LU,  page  454' 

Jbid.  HERNIE  DORSALE,  Synonyme  û'ischiocèle.  Tome 

XX Y I,  page  154. 

//;z^.  HERNIE  VENTRALE.  On  a  renvoyé  à  ce  mot 
d'ÉCARTEMENT  (  îomc  XI,  page  108);  il  en  a  été  traité  à  éven- 
TKATXON  ,  tome  XIU  ,  page  494- 

Jbid.  HÉROPHILIENS.  Secte  de  médecins.  ToraeXXXil, 
page  21. 

■/Z;iW.HÉTÉROREXlE.  Tome  XXXVI,  page  238. 

T^2.  HEX.lTHYRIDIE.  On  a  renvoyé  à  cet  arliciede  vers 
(  tome  LVII ,  page  22'-  )  ,  poui'  en  donner  une  description  plus 
complelte;  mais  l'extrême  rarelé  de  ces  vers,  jointe  au  peu 
d'espace  que  nous  avons ,  nous  tait  renvoyer  à  l'ouvrage  de 
Treutler,  cite  ii  la  bibliographie  de  cet  article,  les  personnes 
qui  désireront  plus  de  détails  que  ceux  que  nous  avons  donnés 
à  l'endroit  indiqué. 

173.  HIATUS  DE  WINSLOW.  Tome  IX,  page  585,  et 
tome  XH,  page  572. 

175.HIPPOBOSQUE.  Tojes  INSECTE,  tome  XXV,p.33o. 

Jbid.  HIPPOCRATISME.  On  n'a  pas  consacré  d'article 
particulier  h  cette  doctrine,  comme  on  l'a  fait  pour  gale'nisme, 
hrownisme  ^  stahUanisme  ,  etc.,  puisque  c'est  colle  qui  est 
généralement  professée  et  qui  est  exposée  dans  l'ouvrage,  sauf 
quelques  articles  do5  dernicis  volumes,  qui  ont  roinnsi  l'unilc, 


TOME  XXI.  HIPPOCRATISME.  91 

elqul  ne  doivent  être  lus,  par  celte  raison  ,  qu'en  «e  rappelant 
celle  circonstance.  Ils  sont  d'ailleurs  en  petit  nombre  (ce  sont 
ceux  de  MM.  Fournier,  Cliambeiet,  Monfalcon  cl  Bëgin). 

Voyez  MÉDECINE  HippocRATiQUE ,  lomc  XXXI  ,  page  [\\7.  , 
et  DOGMATIQUE,  lome  X  ,  page  119. 

175.  HIPPOMANE.  Sorte  de  philtre.  Tome  XLI,  p.  5io. 

Ibid.  HIPPOPOTAME.  Quadrupède  mammifère  mentionné 
tome  XXX  ,  page  409. 

344.  HOMOEOMERIES.  Nom  qu'Anaxagore  de  Clazo- 
mènes  donne  aux  principes  des  corps,  qu'il  alfîmie  être  des 
particules  semblables.  Tome  XI ,  page  82 1. 

Tbid.  HOXIGSTIQUE  (acide).  Voyez  melexque,  t.  XXXII, 
page  202. 

557.  HOTTENTOTISME.  Prononciation  vicieuse.  Tome 
XXXIX,  page  333. 

608.  HUILE  ANIMALE  DE  DIPPEL.  On  a  renvoyé  à  ce 
mot  de  CERF  (tome  IV,  page  44'  )>  '^  \\&i\  a  pas  été  traité  à 
part ,  mais  à  huile  ,  lome  XXI ,  page  602. 

Ibid.  HUILE  DE  PALME.  Tome  XXXIX,  page  i5i. 

ïbxd,  HUILE  DE  RASE.  Sorte  à^ essence  qui  provient  de 
la  distillation  du  galipot  ;  elle  est  inférieure  à  l'iiuile  de  icré- 
benlhine  ou  essence. 


I 


TOME  XXII.  HUMIDE  RA.DICAL.  o5 

TOME  VINGT-DEUXIEME. 

Page  95.  HUMIDE  RA.DICAL.  Tome  XXIX,  page  37. 

iSg.  Ligne  4^-  Einnéaire,  lisez  linaire. 

Ibid.  Ligne  Ibid,  Anthirrum ,  lisez  anlirrhinurn. 

fbid.hi^ne  10.  Mllians^  lisez  meliceris. 

192.  HYDREiVCÉPHALE.  Nom  que  quelques  auteurs 
donnent  à  l'hydropisie  du  cerveau.  Toaie  XLI,  page  St^. 

Ibid.  HYDRIODATES.  Sels  naentioanës  à  principes.  Tome 
XLV ,  page  i5o, 

248. Ligue  7.  Chez  lui,  lisez  cliez  l'un  d'eux. 

253.  Ligne  20.  Beaucoup  mieux, //^es  beaucoup  moins. 

257.  HYDROGÈNE  PROTOPHOSPHORÉ.  Tom.  XV H, 
page  017. 

258.  HYDROGRAPHIE.  Ccst  par  suite  d'un  malentendu 
t3'pographique ,  que  dans  cet  article,  on  a  mis  des  titres  à  la 
plupait  des  alinéas.  L'auteur  avait  expressément  recommandé 
de  les  supprimer. 

306.  La  planche  doit  être  iulitalée/ournectu  ventilateur  du 
docteur  Wuetlig. 

307.  HYDROMANïE.  Sorte  de  délire.  Tora.  XL  ,  pag.  89. 

36o.  HYDROPHTHORATES.  Sorte  de  sels.  Tome  L, 
page  536. 

474.  HYDROSCHÉONIE.Tome  XXXVI ,  page  243. 

475.  HYDRO-SULFATES.  Hydrosulfales  sulfurés,  etc. 
Voyez  ,  pour  ces  sels ,  tome  L  ,  page  536. 

509.  HYGIÈNE.  Faites  à  cet  article  les  reclificaiions  sui~ 
vantes  : 

5i6.  l^ignc  20.  Impulsions,  liiez  impressions. 

5tB.  Ligne  I.  Piudcucc,  /6es  pudeur. 


9l  TOME  XXI î. 

528.  Ligne  18.  Pour  la  faire ,  liiez  pour  les  faire. 
532.  Ligne  27,  Continuer ,  lisez  contribaer. 
540.  Ligne  Sa.  Présence,  Usez  puissance. 
545.  Ligne  29.  Discrète,  lisez  pure  et  discrète. 
55 1.  Ligne  1 1.  Excédant,  lisez  en  excédant. 

556.  Ligne  6.  De  Pascal,  Usez  Pascal. 

557.  Ligne  2.  Et  par  celle ,  lisez  par  celle. 

rbid.  Ligne  3.  Après  décomposition  de  l'csu,  ajoutez^  enfin 
par  la  puissance  de  l'électricité,  pour  opérer  l'analyse  des  sub- 
stances inattaquables  aux  autres  réactifs. 

565.  Ligne  n  Confirmer,  lisez  excuser. 

579.  Ligne  II.  Troisième,  lisez  treizième. 

Ihid.  Ligne  21.  Buhalija  ,  lisez  Buhualihia. 

Ibîd.  Ligne  22.  Le  juif  de  Farragat ,  lisez  le  juif  Farra- 
gulh. 

Ibid,\À^ne  23.  Ces  auteurs,  lisez^  le  premier  de  ces  auteurs. 

Jbid.  Ugne  Ibid.  Appartiennent ,  lisez  appartient. 

-   Ibid  Ligne  24.  Comme  on  le  prouve,  Zt^ei  comme  le  prouve 
Âstruc. 

Ibid.  Ligne  Ibid.  Au  deuxième  ,  lisez  au  onzième. 

580.  Ligne  36.  Farragat,  lisez  Farraguih. 

58i.  Ligne  5.  Buhalija,  lisez  Buhualihia. 

Ibid.  Ligne  20.  Nonus ,  lisez  Nonnus. 

Ibid.  Ligne  20.  Dont  il  y  a  deux  éditions,  Usez  dont  les 
deux  premières  éditions  sont. 

584-  Ligne  3.  Et  il  y  parle,  lisez  et  l'auteur  y  parle. 

5^*9.  Ligne  I.  ont  ces,  lise^  ont  ses. 


TOME  XXIII.   IIYGROPHOBIE.  95 

TOME  VINGT-TROISIEME. 


Page  98.  HYGROPHOBIE.  Synonyme  d'hydrophobie.Tom. 

XXII,  page  35o. 

Ibid.  HYGROPHTHaLMIQUE.   Synonyme  d'uYGROBLt- 
PHARiQUE.  Tome  XXIIl ,  page  96. 

102.  HYPERCOUSIE.  Nom  sous  lequel  M.  Itard  dtfsig.ie 
l'exaltation  de  l'ouie. 

Ibid.   HYPERCATHARSIS.    Synonyme  de  snperpurga- 
lion.  Tome  XLVI,  page  191. 

Ibid.   HYPEREPHIDROSE.    Synonyme  d'Iiydiopëdèse. 
Tome  XXII,  page  32 1. 

Ibid.  HYPERSTÉSIES.  Tome  XXXVI,  page  2î3. 

243.  HYSTÉRIE  EPILEPTIFORME.  Variété  de  l'/iystérie 
non  indiquée  dans  les  auteurs,  mentionnée  à  uystkrie.  Tome 

XXIII ,  page  243. 

337.  Ligne  6.  Jackem  ,  lisez  Iakem. 
Ibid.  Ligne  7.  Aaskims  ,  lisez  Hackim. 


341.  Ligne  4-  Européens,  lisez  empereurs. 

483.  IDIOÉLECTRIQUE.  Corps  que  le  frottement  rend 
électrique.  Tome  XI,  page  263. 

53 1.  IGOUANE.  Animal  de  l'ordre  des  lézards,  dont  la 
chair  est  bonne  à  manger.  Tome  XXVIII ,  page  90. 

Ibid.  IRAN  (racines  d').  Espèce  de  racine  tuberculeuse 
appartenant  peut-être  à  quelques  orchis,  queMurray  {Appnra!. 
Tv.edic. ,  tome  VI,  page  i65  )  dit  provenir  de  Ja  Chine.  Ou  n'ea 
fait  aucun  usage  en  Europe. 


TOME  XXIV.  INERVATION.  07 

TOME  VINGT-QUATRIEME. 

Page  117.  Ligne  21.  bain,  froid.  Otez  la  virguîeê 

804.  Dans  1(!  versciié  Ignora,  lisez  ignara. 

347.  Ligne  Sa.  Bradipepsie  ^  lisez  bradypepsiec. 

35o.  Ligne  3ô.  Nombbre,  lisez  nombre. 

355.  Ligne  4-  Pour  nous  autres,  lisez  parmi  les. 

Ibid.  Ligne  iq.  Que  les  enfans  mangent  presque  continuel" 
lement,7wez  qu'elle  se  fait  presque  instantanément. 

357.  Ligne  34-  C'est  par  erreur  qu'on  a  dit  dans  cet  endroit 
que  le  mot  dyspepsie  ne  se  trouve  pas  dans  le  Dictionaire  ;  il 
y  est ,  tome  X,  page  420. 

360.  Ligne  7.  A  nos  ,  lisez  aux. 

361.  Ligne  g.  Fonction  ,  fl/oufez  digesiive. 

565.  Ligne  3i.  Ne  pas  satisfaire  son  appétit,  lisez  ne  pas 
le  satisfaire. 

366.  Ligne  34»  Fonction  habituelle,  lisez  travail  habituel. 

371.  Ligne  41»  Affaire,  Z/iez  traiter. 

374.  Ligne  5.  Etablir,  lisez  démontrer. 

376.  Ligne  8.  les,  lisez  la. 

408.  INERVATION.  Nom  que  le  professeur  Chaussier 
{Table  générale  des  fonctions)  donne  à  l'action  intérieure 
des  nerfs  ,  qui  commence  avec  la  vivification  du  germe  ,  cnlie- 
lient  l'animation  générale  du  corps,  les  propriétés  vitales  de 
cliacun  des  organes,  et  détermine,  suivant  son  mode,  la  veille 
ou  le  sommeil. 

476.  Ligne  26.  M.  Dimanche,  lisez  M.  Bouiface. 

497.  Ligne  7.  i555,  lisez  i552, 

i3 


I 


TOME  XXV.  INFLUX.  ^ 

TOME  VINGT-CINQUIEME. 


Page  25.  INFLUX,  de  injluere.  Terme  synonyme  d'in- 
fluence, donl  se  servent  quelques  auieurs.  Influx  des  nerfs, etc. 
Tome  XIII ,  page  024. 

154.  L'gne  52.  Zoomonie,  lisez  zoonomie. 

41 3.  INSTINCT  MÉDICAL.  On  a  renvoyé  à  ce  mot  de 
^o^^DEME^T  (  Tome  X  VI ,  page  3o5  );\\  en  a  été  traité  au  mot 
iivSTiNCT,  tome  XXV,  page  867. 

427.  INSTRUMENT.  Ajoutez  h  cet  article  les  recherches 
curieuses  sur  les  instrumeus  de  chirurgie  trouvés  h  Pompeia , 
imprimées  par  M.  Savenko  dans  le  Bullelin  de  la  société  mé- 
dicale démul.  de  Paris  ,  tome  \^',  page  \^i  (  ibii).  Plusieurs 
d'entre  eux  sont  gravés  dans  l'ouvrage  cité,  et  on  y  retrouve, 
non  sans  étonnement,  la  sonde  de  J.-L.  Petit. 

458.  INTEMPERIE.  Nom  d'une  maladie  endémique  en 
Sardaigne.  Tome  XXX,  page  54 1. 

483.  INTERMÉDIAIRE.  On  a  renvoyé  à  ce  mot  de  iwso- 
LxiBiLiTL  ,  tome  XXV,  page  558.  11  est  synonyme  (ïintermède 
dans  le  langage  ordinaire;  ou  devrait  réserver  ce  dernier  nom 
pour  les  ballets  de  Vopéra. 

562.  INTROPION.  Renversement  en  dedans  des  paupières  ; 
il  en  résulte  presque  toujours  un  trichiasis ,  parce  que  les  cils 
portent  sur  l'œil  et  l'irritent. 

564.  Ligne  17.  (  Note  de  V éditeur)  ,  ajoutez  des  Mémoires 
de  Sully. 

570.  INVALIDES.  On  a  renvoyé  à  ce  mot  d'HOPiTAL 
(  tome  XXÏ ,  page  452)  ;  il  n'a  pas  été  fait,  comme  il  devait 
l'être  ,  par  l'aulcur  de  ce  dernier  article,  par  des  circonstances 
particulières.  C'est  une  lacune  dans  l'ouvrage. 

379.  Ligne  17.  Après  cent  trois  y  mettez  un  point. 

Ibid.  Ligne  24.  Ajoutez  HcnrLa,\a,ni  le  nom  propre. 


loo  TOME  XXV.  IODE. 

Ibid.  Ligne  43.  Ajoutez  une  virgule  après  le  mot  quatre» 

Ibid.  higne  44-  Ajoutez  millièmes  après  le  mot  quarante- six. 

579.  IODE.  Le  complément  de  cet  article  se  trouve  k  thy- 
RocÈLE  ,  tome  LV,  page  i36.  Nous  y  ajouterons  que  depuis 
l'impression  de  ce  dernier  mot,  l'on  a  employé  l'iode  en 
frictions  pour  éviter  quelques  accidens  qui  ont  eu  lieu  par  suite 
d'une  administration  mal  dirigée  lorsqu'on  le  donne  à  l'in- 
térieur (^Administration  de  V  iode  par  frictions,  ï\.e\u.c  médi- 
cale, tome  V,  page  4^3  ).  Voyez  aussi  le  cahier  d'août  1821  , 
du  Bulletin  de  la  Société  médicale  d' émulation  de  Paris  (  tome  I, 
page  297  )  ;  en  y  trouve  quelques  nouveaux  détails  sur  l'em- 
ploi de  ce  moyen  contre  le  goitre. 


TOME  XXVÏ.  IPÉCACUANHA.  »oi 

TOME  VINGT-SIXIEME. 

Page  I.  IPÉCACUANHA.  Il  résulte  d'une  notice  de  M.  Yi- 
rey,  insérée  dans  le  tome  VI,  page  335  du  Journal  complé- 
mentaire de  ce  Dicliouaiie  ,  et  d'après  des  renseignemens  directs 
communiqués  par  M.  le  docteur  Gomès ,  médecin  de  !a  chambre 
du  roi  de  Portugal ,  dont  la  lecture  de  notre  article  iplc  actjaisha 
lui  a  fourni  le  sujet,  que  Y ipécacuanha  blanc  de  Pison  ,  poaia 
hranca  des  Brasiliens,  nomme' par  nous  ipécacuanha aniilacé,  ne 
provien't  point  d'une  wo/effe,  comme  déjà  nous  en  avionscmis 
Je  doute  dans  notre  travail ,  mais  appartient  au  genre  richardiaf 
dont  Jes  botanistes  modernes  ont  fait  richardsonia  ,  à  cause 
de  la  consonnance  de  ce  nom  avec  celui  d'un  botaniste 
français  et  de  Kichardson,  botaniste  anglais,  à  qui  Linné  l'a 
dédié.  Nous  avons  reconnu  nous-mème  celte  racine  adhérente 
à  la  plante  entière  envoyée  par  M.  Gomès,  avec  prière  de  nous 
la  communiquer,  seul  moyen  d'éviter  toute  erreur.  Celle-ci  (jiii 
est  \e  richardsonia  pilosa,  est  figurée  sous  ce  nom  dans  les 
nova  gênera  et  Spec,  plant,  de  MM.  Humboldt  et  Bonpland  , 
tome  III ,  planche  279  ;  et  dans  le  tome  cité  du  Journal 
complémentaire  du  Dictionaire  scus  celui  de  richardia  hrasi- 
liensis  de  Gomès  ;  quelques  personnes  pensent  qu'il  y  a  quel- 
ques différences  entre  la  plante  des  nova  gênera  et  cette  der- 
nière, mais  ce  n'est  pas  notre  avis.  Nous  sommes  sûrs  ,  de  visu^ 
que  celle-ci  donne  Vipe'cacuanha  blanc  amilacé. 

Un  autre  ipécacuanha  blanc  appartient  à  la  viola  itoubou  , 
comme  nous  avons  pu  nous  en  convaincre  par  les  restes  de 
feuilles  attachées  aux  échantillons  envoyés  par  M.  Gomès, 
feuilles  qui  sont  fort  remarquables  dans  cette  plante. 

On  a  donné,  dans  les  Annales  de  clinique  de  Montpellier 
pour  novembre  et  décembre  4820  ,  une  notice  sur  les  effets 
nuisibles  de  l'odeur  de  Vipécacuanha  et  d'autres  substances 
odorantes. 

J'avais  oublié  dédire ,  dans  mon  travail  sur  les  ipe'cacuanhut 
que  le  tableau  inséré  page  3i,  est  extrait  d'un  Mémoire  de 
M.  Loiseleur-des-Lonchamps  sur  les  euphorbes  (cité  pag.  34). 
Je  répare  cette  omission  involontaire,  ayant  toujours  dans 
tous  mes  travaux ,  cité  scrupuleusement  tous  ceux  à  qui  j'avais 
lait  le  moindre  emprunt,  ce  qui  doit  être,  au  surplus,  du 
devoir  de  tout  homme  probe  et  délicat. 

22.  Ligne  3^.  Dover,  lisez  Dower. 

72.  MYOSE  ou  MYOSIE.  C'est  à  ce  dernier  mot  ((ome 
XXXV,  page  126),  qu'il  faut  chcrch«r  celle  maladie. 


ïoa     TOME  XXVI.  ISOLEMENT  DES  ALIÉNÉS. 

229.  ISOLEMENT  DES  ALIÉNÉS.  C'est  à  ce  mot  que 
devait  êlic  traité  séquestration  des  aliénés,  tome  LI, 
page  i34  ;  ce  second  titre  a  été  choisi  parce  que  le  travail  de 
l'auteur  n'était  pas  prêt  lorsque  le  temps  de  l'impression  de 
l'autre  est  arrivé. 

284.  Ligne  19.  Mécoaclian ,  ILez  Méchoacan. 

35 1.  Ligne  19.  Liliacées,  lisez  lilacées. 


354.  JATROPHATES.  Sorte  de  sels.  Tome  L ,  page  536. 

Ibid.  JEAN  LOPEZ  (  racine  de  ).  Voyez  racine  de  jean 
LOPEZ  ,  tome  XLVII ,  page  2. 

417.  JOUETS  D'ENFANT.  Surveillance  que  la  police  de- 
vrait exercer  à  leur  égard.  Tome  LIV,  page  362. 

447-  JUBABE  (  ccorce  de  ).  Murray  a  vu  des  fragmens 
d'écorce  donnés  sous  ce  nom  ,  qui  provenaient  des  ludes  ;  ils 
étaient  roulés  et  d'un  brun  pâle  ;  leur  épiderme  était  rugueux 
et  grisâtre;  l'odeur  et  la  saveur  semblables,  quoique  beau- 
coup plus  faibles  ,  à  celles  de  la  vanille,  surtout  la  première, 
car  la  saveur  possédait  un  peu  plus  d'amertume.  On  a  vanté 
celte  ccorce  comme  nervinc  et  propre  a  remplacer  la  vanille» 
Murray,  Appai\  medicam.,  tome  VI,  page  182. 

5ii.  JURÉ  (médecin  ou  chirurgien).  Leurs  fonctions  ont 
clé  exposées  à  jubispkudence  médicale.  Tom.  XXVI,  pag.  5i  i . 


TOME  XXVll.  KAJEPUT.  io5 

TOME  VINGT-SEPTIEME. 
K 

Page  I.  RAJEPUT  (huiie  de).  Voyez  caieput  ,  tomes  I  , 
pages  470  j  m  ,  44<>  J  XX! ,  49^ 

7^^.  KARERLARS.  Hommes  nocturnes.  Tome  XXXV, 
page  393. 

Ibid.  RIRERUNEMALO  (gomme  de  ).  C'est  le  nom  d'une 
substance  dont  il  est  fait  mention  dans  Murray  (  Appar.  med.y 
tome  Y I ,  page  lo-j)  •  elle  vient  d'Amérique  et  n'est  pas  diffé- 
rente de  la  résine  copale ,  d'après  Scheudo-Van-Der-Bcck, 
étant  elle-mêtae  une  résine.  Il  y  a  au  surplus  beaucoup  d'in- 
certitude sur  cette  substance  ,  que  l'on  indique  comme  résolu- 
tive, nervine  ,  on  l'a  administrée  aussi  à  l'intérieur  dans  le  té  - 
tanos;  mais  elle  paraît  seulement  propre  à  faire  des  vernis 
fort  brillans. 

BcciiNF.R  ei  SEELMATTER.  Diss.  de  gummi-Tesiius  kihekunemalo ,  etc. 

8.  RINA-NOVA.  On  a  introduit  depuis  quelque  temps 
dans  le  commerce  de  la  droguerie  une  écorce  que  l'on  vend 
sous  ce  nom  comme  une  nouvelle  espèce  de  quinquina;  on 
ignore  le  nom  du  végétal  auquel  elle  appartient  j  i'  y  a  tout  lieu 
de  croire  que  ce  n'est  pas  à  une  espèce  du  genre  cinchona.  Elle 
ne  contient  ni  cinchonine  ni  quinine^  de  sorte  qu'elle  est  sans 
vertu  fébrifuge,  ce  qui  doit  porter  à  la  bannir  de  l'emploi 
médical ,  à  moins  que  l'expérience  ne  vienne  nous  révéler  qu'el  le 
est  pourvue  de  quelques  propriétés  inconnues  jusqu'ici. 

Ihid.  RINATES.  Sorte  de  sels.  Tome  L. ,  page  556. 

g.  Ligne  22.  Fruits  ,  Usez  calices  devenus  bacciformes. 

II.  ROFFOL.  Médicament  stomachique  dont  on  use  à  la 
côle  de  Coromande) ,  préparé  avec  la  noix  d'arec,  le  cachou 
et  l'eau  de  rose  (/.  de  Pharm.  Tome  VII ,  page  Syb  ). 

Jbid.  RRAMÉRIQUE  (acide).  Voyei.  principes,  tome 
XLV,  page  iGS  ci  raianhia,  lomeXLYlI,  page  216. 


io4  TOME  XXVIÏ.  KYLLOSE. 

7Z//W.  RYLLOSE.  Nom  que  M.  Chaussier  donne  à  la  torsion 
des  pieds.  Tomes  IX,  page  6i  ;  XXXIV,  235. 

44-  A.  rexplîcation  de  la   planche,    supprimez  le  dernieir 
alinéa  ..{uï  a  ëié  laissé  après  la  correction  du  titre. 

54.  Ligne  10.  Sénégal,  lisez  séue'chal, 

55.  Ligne  38.  Ciiriodora  ^  lisez  triphylla,  ,, 
Jhid.  Ligne  39.  Pontica  ,  lisez  abrotanum. 


63.  Ligue  8.  Slomacais, /iiez  stomacal. 

io3.  LACCA.TES.  Sorte  de  sels.  Tome  L,  page  536, 

120.  LA.CTIGENES.  Me'dicamens  propres  à  augmenter  le 
iait.  Tome  XVII ,  page  169. 

Ibid.  LACTIFUGE.  On  a  renvoyé  à  ce  mot  de  génitales» 
Tome  XVIII ,  page  i  f\o. 

Plusieurs  moyens  contribuent  à  faire  passer  le  lait  chez  les 
nouvelles  accouchées  ou  les  nourrices.  Le  séjour  au  lit,  qui 
facilite  la  transpiralion  cutanée,  la  diète,  l'usage  de  boissons 
abondantes,  déJayaules,  ou  même  légèrement  diaphorétiques, 
et  l'emploi  de  purgatifs  doux  sont  ceux  que  l'on  met  le  plus 
tré(|uemmenl  en  usage  avec  efficacité.  On  a  attribué  à  certains 
végétaux  la  propriété  de  faire  passer  le  lait ,  telles  sont  la  per- 
venche ,  la  mercuriale  et  autres  plantes  qui  composent  le  remède 
anti  laiteux  de  If  eiss.  Voyez  anti- laiteux,  tome  II,  page  190. 

126.  LAINE  PHILOSOPHIQUE.  Nom  que  l'on  donne  à 
l'oxyde  de  ziue  volatilisé.  Tome  XXXVI,  page  106'.  Voyez 
ïOMPuoLYX,  tome  XLIV,  page  279,  et  nihil-album  ,  tome 
XXXV ï,  page  106. 

1S2.  Ligne  7.  Littorale ,  lisez  littoral. 

i83.  LAIT  DE  POULE.  Médicament,  ou  plutôt  aliment 
composé  avec  le  jaup.e  d'œuf  délayé  dans  l'eau  chaude  et 
édulcoré  avec  du  sucre,  que  l'on  emploie  contre  le  rhupae, 
pris  le  soir  en  se  couchant.  Tome  Xll ,  page  \f\'y. 


TOME  XXVII.  LAITUE  DE  MER.  io5 

ic)i.  LAITUE  DE  MER.  Sorte  de  varec  comeslible,  fucus 
laciuca,  Lin.  Tome  XVU  ,  page  ii6. 

218.  LAMBROT  ou  LAMBROUCHE.  Vigne  .sauvage. 
Tome  LVIII,  page  4^- 

218.  LAMELLEUX  (tome  XXVII ,  page  218).  Quelques 
personaes  écrivent lamineux  (tome  LV,  page  2 12);  nous  croyons 
que  c'est  à  tort,  parce  que  cette  dernière  expression  semble 
nlutôt  convenir  à  une  substance  aplatie  par  le  laminoir. 

Jbid.  LAMENTIN.  Espèce  de  cëtaccj  il  faut  écrire  la- 
mantin. Tome  XXX ,  page  4o5- 

Jbid.  LAMINEUSES  (  membranes  ).   Nom  donné  par  le 
professeur  Chaussier  aux  membranes  qui  enveloppent  les  mus- 
cles.  Elles  ne  sont  pas  admises  par  Bichat.  Tome  XXXII,  ' 
page  233. 

Jbid.  LAMPATES.  Sorte  de  sels.  Tome  L  ,  page  536. 

255.  LAQUE.  Complotez  cet  article,  par  ce  qui  conrcerne 
cette  substance,  à  principes.  TomeXLV,  page  200. 

Jbîd.  Ligne  dermère.  Flessing  ,  lisez  Flessingue. 

288.  Ligne  19.  Et  oh  il,  lisez  lorsqu'il. 

352.  LAVURE  DE  CHAIRS.  On  donne  ce  nom  h  des  éva- 
cuations aqueuses,  rougeàtres,  qui  sont  semblables  à  de  l'tau 
dans  laquelle  on  aurait  fait  macérer  de  la  viande  de  bonche- 
îie.  On  en  rend  de  semblables  dans  la  dysenterie.  Tome 
XXXVÏll,  page  161. 

36i.  LAXIDITÉ.  Synonyme  àf flaccidité.  Tome  XVI, 
pages  1  et  2. 

Ibid.  LAXUM.  Principe  des  maladies  admis  par  Thémi- 
son.  Tome  XXII ,  page  io5  ,  et  tome  XXXIII ,  page  222. 

378.  LEDUM,  leduni  palustre.,  L.  Celle  piaule,  d'une  sa- 
veur amère,  d'une  odeur  un  peu  aromalique,  cuivreuse,  croît 
dans  leNord(en  Suède) ,  et  chez  nous,  sur  les  Jiaules  monta- 
gnes, comme  dans  les  Vosges.  Les  Suédois  s'en  servaient  pour 
préparer  la  bière,  avant  que  le  houblon  ne  fût  enqiloyé  à  cet 
usage,  qu'elle  rend  pourtant  enivrante,  el  propre  à  produire 


loG  TOME  XXVII.  LEDUM. 

la  céphalalgie.  Sa  décoction  lue  les  insectes  ,  les  punaises.  On 
avait  dit  que  le  cuir  de  roussi  lui  devait  son  odeur,  mais  cela 
a  été  reconnu  faux  ,  et  on  a  avancé  depuis  que  c'est  l'huile 
empyreuniatique  du  bouleau  qui  la  lui  communique.  On  l'a 
employée  contre  la  coqueluche,  la  variole  épidémique  , 
l'angine,  la  dysenterie,  la  teigne,  etc.;  mais,  chez  nous, 
on  n'en  fait  aucun  usage ,  et  son  activité  doit  faire  prendre  des 
précautions,  si  on  était  tenté  de  s'en  servir. 

4i5.  Ligne  10.  Casseroles  ,  lisez  cassolettes. 

45i.  LÈPRE.  Ajoutez  à  îa  bibliographie  de  ce  mot  l'article 
suivant  : 

BOLLETiss  de  la  faculté  de  medecinfr-de  Paris ,  tome  i,  nage  ()5  (année  1808). 

Ibid.  LÈPRE  SQUAMMEUSE.  On  a  renvoyé  à  cet  arti- 
cle de  LEUCÉ  (Tome  XXVIII,  page  i);  il  n'en  a  pas  été 
traité  à  part,  et  cette  espèce  rentre  dans  celle  décrite  aux 
articles  lèpre,  tome  XXVll ,  page  4i8,  et  lépreêx  ,  tome 
XXYlI,page4-ji. 

4o5.  Ligne  28.  Gledistia ,  Visez  gleditsia. 


TOME  XXVIIl.  LEUCOPYRIE.  107 

TOME  VINGT-HUITIEME. 

Page  3.  LEUCOPYRIE.  Tome  XXXVÏ,  page  ?,43. 

42.  LEUCORRHEE  AN tVLE. «Ecoulement  muqueux  qui 
a  lieu  par  l'anus.  Tome  XX,  pages  472  cl  574- 

Ibid.  LEUCOSES.  Nom  que  M.  Alibert  donne  aux  mala- 
dies des  systèmes  séreux  et  lymphatique.  Tome  XXXVI  , 
page  243  ,  et  tome  XXXV  ,  page  SgS. 

Jhid.  LEUCOZOONIE.  Synonyme  d'Albinos.  Tome  VIIF, 
page  5û3,  etiomeXXXlX,  page  5'j4- 

87.  Ligne  36.   piere  ,  lisez  bière. 

101.  LIANE  ROUGE.  Nom  d'une  plante  de  Cayenne  , 
tetfacera  tigarea.  Tome  XXIX,  page  56o. 

î55.  LICHEN.  Espèce  de  dartre.  Tome  XXIV,  p.  144. 

162.  Ligne  36.    PelUgera  ^  Wsez  pelligera. 

i65.  LICORNE.  Atiimal  dont  il  est  parle  ,  tome  XXX  , 
pase  4io- 

17g.  LIGAMENT  DE  FALLOPE  ,  ou  de  pcupart.  Por- 
tion interne  du  bord  infe'iieur  de  l'aponévrose  du  grand  obli- 
«|ue.  TomeXXXVil,  page  12. 

Ihid.  LIGAMENT  LARGE.  —  ligamekt  rond.  Tome  XV, 
page  3.  Voyez  matrice,  tome  XXXI,  page  187. 

Ihid.  LIGAMENT  SUSPENSEUR  DU  FOIE.  Voyez 
FAUX  DU  PÉRITOINE,  daos  Ics  appendices. 

Ibid.  LIGAMENT  DE  GIMBERNAT.  Tome  XXXII , 
page  5oi. 

Jhid.  LIGAMENT  ORBICULAIRE.  T.  XXXII ,  p.  5oi. 

53y.  A  l'explication  de  la  planche  du  lit  mécanique  ,  lisiez 
Daujon  ,  au  lieu  de  Danjoii, 


io8  TOME  XXVIII.  LIKRAA. 

253.  LIKRA.A.  Nom  synonyme  de  Radesj'ge,  en  Islande. 
Tome  XXVII ,  page  479. 

7.6H.  LIMONADE  SÈCHE.  Nom  de  l'oxalate  acidulé  de 
potasse.  Tome  XXXIX,  page  53. 

283.  LINGUATULE.  C'est  le  nom  que  M.  de  Lamaick 
donne  au  ver  intes'tin  appelé  par  Treutier  hexalhjridium  , 
de'crit  tome  LVII,  page  22'^. 

342.  LIT  SUSPENDU.  Foyez  gestation.  Tome  XVIII , 
page  3o2. 

Jhid.  LIT  A  PIEDS  INEGAUX.  Tome  XVIII,  page  3o2. 

578.  LOCOMOTIVITÉ.  Faculté  de  se  mouvoir.  Tome 
XVI ,  page  24?  >  ^'  ^ovae  XXX Y III ,  page  209. 


TO.VIE  XXIX.  LOOK-  109 


TOME  VINGT-NEUVIEME. 


Page  7^  Ligoe  34-  Tibio-phalangettien  commun  ,  lisez  tihio- 
sous-phalangettien  commun. 

i5.   Ligne  55.  Valisneri ,  lisez  Vallisnieii. 

70.  LOOK  (gomme  de).  Murray  [Jppar.  medicatn.  ^ 
tome  VI,  page  210)  menlieQne  cette  substance  ,  qui  vient  du 
Japon,  mais  dont  il  ignore  la  source;  elle  est  transparente, 
tire  un  peu  sur  le  jaune,  et  si  dure  que  l'ongle  ne  la  raye  pas. 
Elle  n'a  ni  saveur,  ni  odeur;  elle  ne  blanchit  pas  entre  les 
dents,  et  s'enflamme  de  suite  à  la  flamme,  en  se  tuméfiant, 
puis  se  tondant,  avec  une  vapeur  qui  n'a  rien  de  désagréable. 
Une  once  de  celte  substance  contient  cinq  dragmes  de  résine, 
et  seulement  quinze  grains  de  gomme  ,  de  sorte  qu'elle  serait 
mieux  appelée  résine  que  gomme.  Cette  matière  est ,  dit-on  , 
résolutive  ,  fondante,  etc.  Mais,  comme  l'observe  Murray  ,  oii 
nianque  de  données  sur  ses  véritables  propriétés.  Elle  est 
d'ailleurs  inconnue  en  France,  et  on  ne  sait  de  quel  végétal 
elle  découle. 

76.  LOUP  (  quadrupède).  Son  cœur  a  été  employé  en  mé- 
decine. Tome  XXI ,  page  177. 

291.  LYPÉMANIE.  Sorte  de  mélancolie.  Tome  XXXII , 
page  167,  et  tome  XXXIV  ,  page  11 5. 


M 


428.  Le  nom  de  l'individu  de  la  planche  première  doit  cire 
rectifié  et  écrit  comme  dans  l'observation  première  (  pag.  4'^4  )« 
Jean-François  Fremais.  Il  est  arrivé  un  événement  malheureux 
à  l'individu  de  la  planche  deux,  Louis  Vaulé.  Il  paraît  qu'on 
avait  évité  qu'il   se   vît  dans  un  miroir  depuis  sa  blessure  ; 


îio  TOME  XXIX. 

nyant  regardé  le  dessin  que  l'on  fit  de  sa  mâchoire  pour  le  Die 
lionaire  ,il  fut  tellement  désespéré  de  se  trouver  si  hideux,  qu'il 
se  pendit  quelques  jours  après. 

44 1-  Ligne  28.  Etant,  Usez  sont. 

Ibid.  Ligne  33.  Sont  particulièrement  exposés  les  maçons, 
lisez  ils  sont  plus  particulièrement  exposés. 

Jbid.  Ligne  34-  Que  »  Usez  ce  que. 

Ibid.  Ligne  /[O.  En  soulève,  lisez  soulève. 


TOME  XXX.  MAIGRE.  i . , 

TOME  TRENTIEME. 


Page  1.  MAIGRE  (aliment).  On  donne  ce  nonn  h  la  nour- 
riture qui  consiste  en  poisson,  œufs,  lait,  légumes ,  fruits. 
Le  vrai  maigre  même  ne  consiste  que  dans  l'emploi  des  aii- 
mens  végétaux,  ployez  jeune,  tome  XXVI,  page  36o. 

La  religion  catholique  romaine  a  des  jours  où  l'on  ne 
doit  user  que  d'alimens  maigres ,  depuis  l'âge  de  sent  ans. 
Lorsque  l'on  est  malade,  on  est  dispensé  de  faire  maigie  ; 
l'avis  du  médecin,  confirmé  de  tout  temps  par  Jes  ministres 
de  l'autel,  suffit  aux  personnes  les  plus  timorées  pour  cette  dis- 
pense. 

Il  y  a  des  persormes  qui,  même  dans  l'état  de  santé,  ne 
peuvent  faire  maigre,  soit  qu'il  ne  les  nourrisse  pas  assez  , 
soit  qu'il  leur  cause  un  état  morbifique  quelconque.  Je  con- 
nais des  gens  pieux  qui  ont  été  forcés  de  renoncer  à 
l'observance  du  maigre  par  celte  circonstance;  et  d'autres, 
moins  observateurs  du  culte  ,  à  qui  il  est  impossible  de  ne  pas 
manger  de  gras  tous  les  jours,  sans  quoi  ils  défaillent  an 
bout  de  quelq^aes  heures,  et  sont  incapables  d'aucun  travail, 
«quoique  d'une  apparence  robuste,  et  peut-être  h  cause  de  la 
vigueur  de  leur  santé.  C'est  un  cas  de  médecine  publique  pour 
lequel  on  est  parfois  consuhé,  et  sur  lequel  on  ne  doit  pas  ba- 
lancer de  donner  son  avis  en  faveur  de  ceux  qui  ont  celte  idio- 
syncrasie,  lorsqu'ils  ie  soriicitent. 

3G.  MAIN  DE  DIEU.  Nom  donné  à  l'embryon  du  pin  pi- 
nier^  pinus  pinea,  L.  ïome  XLII ,  page  455. 

iio.   Ligne  27.  Peut,  lisez  veut. 

121.  MAL  DE  RATE.  Nom  de  la  pustule  maligne  chex 
les  animaux.  Tome  XLYI ,  page  25o. 

142.  MALABATRUM.  On  doit  ccnrc  inalabralum  ;  il  y  3. 
même  des  auteurs  qui  écrivent  rnalahalhrum.  Dans  cet  article 
on  a  mis  Lamark ,  au  lieu  de  Laniarck.  Voyez  tome  XXVII, 
page  3^3. 

Je  remarquerai  à  ce  sujet  ({ue  rien  n'est  si  peu  uniforme 
dans  les  livres,  que  l'écriture  des  noms  propres,   et  que  rien 


113  TOME  XXX.  MALABATRUM. 

n'offre  plus  de  difficulté  à  l'homme  le  plus  aitentionné.  Je 
pteudrai  pour  exemple  le  non)  de  Mallhiole;  les  uns  c'criveiit 
ce  nom  comme  je  viens  de  le  mettre,  et  c'est  le  plus  grand 
nombre  j  les  autres  écrivent  Mathiole,  tel  que  le  savant  abbé 
Barlliélcmi  (  Voyage  (V Anacharsis^  deuxième  mémoire);  d'au- 
tres, sous  prétexte  qu'un  nom  propre  ne  doit  jamais  changer, 
écrivent  Mattioli ,  ou  Mathioli,  ou  Mallhîoli,  Je  crois  cette 
dernière  prétention  très-peu  fonde'e;  nous  devons  prononcer 
suivant  noire  langue,  et  surtout  d'après  l'usage  reçu,  car  les 
noms  propres  ne  sont  guère  que  le  résultat  de  l'usage.  J'aime- 
jais  autant  entendre  dire  à  ceux-ci ,  qu'ils  vont  à  London  ou 
à  Stamboul,  pour  dire  h  Londres  ou  à  Constantinople,  parce 
que  ces  villes  s'appellentainsi  dans  la  langue  du  pays.  On  écrit 
presque  aussi  souvent  Sanchès  que  Sanchez ,  la  Motte  que  de 
la  Motte,  Andri  que  Andry  ;  on  met  presque  indificremment 
Hofman  ,  Hoffm:in  ou  Hofïmann  ,  quoif[uc  le  dernier  de  ces 
iiotns  soit  celui  qu'il  convienne  d'écrire. 

Nous  saisissons  celte  occasion  pour  prévenir  que,  dans  le 
Dictionaire  même,  et  sous  les  yeux^  des  parties  intéressées,  les 
signatures  des  auteurs  sont  parfois  écrites  différemment,  tantôt 
avec  dos  initiales  ,  tantôt  sans  initiales,  et  quelquefois  avec  une 
orthographe  différente  j  c'est  ainsi  qu'on  y  lit  Montègre,  au 
lieu  de  de  Montègre;  Montfalcon  pour  Monfalcon;  Merat  en 
place  de  Blérat,   etc. 

•217.  MALADIE  ANGLAISE.  Nom  que  Cheyne  donne 
{The  eiiglish  inalady)  au  spleen.  Tome  LU,  page  323. 

270.  MALADIE  DE  LA  BAIE  DE  SAINT-PAUL.  Tome 
XXXVI,  page  aS?.  Ce  mot  est  synonyme  de  sibbens.  Tome 
Lï,  page  244. 

317.  MALADIES  DU  FOETUS.  Tome  LVII,  page  597. 

Ibid.  MALADIES  DU  VAGIN.  On  a  renvoyé  à  cet  ar- 
ticle d'HÉMOP.RAGiE  (  tome  XX,  page  435);  c'est  ii  v.agin  qu'il 
faut  recourir  pour  les  connaître.  Tome  LVI ,  page  44^- 

MALADIES  LYMPHATIQUES.  On  a  renvoyé  à  ce  mot 
de  LYMPHATIQUES  (maladies) .  tome XXIX,  page  208;  on  n'en 
a  pas  traité  à  ce  titre,  mais  à  mal.'dies  du  système  lympha- 
tique ,  tome  XXX,  page  ûi-j. 

Nous  dirons  à  leur  sujet  qu'on  pourrait  diviser  les  maladies 
lymphatiques  en  deux  grandes  classes;  la  première  compieu- 


TOME  XXX.  MALADIES  LYMPHATIQUES.    ii5 

drait  celiez  des  glandes  et  des  vaisseaux  lymphatiques  ;  la  se- 
conde, celles  des  li(|uidcs  lyai[)liati(|ucs. 

Dans  le  premier  groupe,  se  trouveraient  les  scrofules ,  qui 
ett.Kjiienl  surtout  les  glandes,  et  les  liydropin'es,  qui  dtpcndeut 
delà  lésion  des  vaisseaux  lynipliali(|ues. 

D.ins  le  second  ,  se  renconlrcraicni  les  maladies  pnr  altc- 
ratioM  de  la  lyinplnr  pri>|ircnieiit  dite  ,  comme  dadrcs  , 
teigne,  clr. ,  c'esl-à  dire,  loulc  la  st-rio  dos  alTt*  tions  connues 
plus  particulièrenunt  suui  le  nom  ùclyinphatKjues. 

327.  MALADIE  TACHETÉE  DEWERLHOF.  Sorte  d'hc- 
nioriitgie  g«'n('i;ili'  des  systèmes  niu(|iuiix  el  cutané,  (|ui  se 
nl:lnile^te  à  l'exléiicur  par  des  taches  nombreujeâ,  et  souvent 
loil  glandes. 

Celle  allixiinn  ,  décrite  par  Werlhof  sous  le  nom  de  morhiis 
viocnlosiis  henioirliagi'cus,  est  plus  connue  m  Angleteiic  et  en 
Allcmagne<|u'cn  France,  où  nous  ne  poiîsedonssui  son  compte 
que  les  leiiseigncmcns  de  l'auteur  que  nous  venons  de  citer. 

M.  liiaclict,  médecin  de  l>yon,  vient  de  donner  |)luMi<'urs 
obseï vatioiis  cniieiisis  sur  cdic  maladie,  imprimées  dans  le 
BulleU'n  de  la  t<ociêlt'  nte'dicole  déinulation  de  Paris  (  décem- 
bre, 1820  ,  I.  I  ,  p.  4^'9)*  ^'^  M"^*  nous  allons  en  d;reeslextiait 
de  son  mémoire,  qui  otiie  six  cas  de  Cvtle  maladie,  recueillis 
vn  six  années  dans  sa  piuti(pie. 

Celle  aHeclinn  consiste  en  épancîiemrns  sanguins,  qui  scma- 
nileslenl  \\  la  p<au  sous  loi  me  de  péiécliics  plus  ou  nioinsélen- 
due-i, souvent  lorl  abond:iiiles,  sur  la  poiliii  e,  l<s  cuisses ,  etc. , 
cl  pailoisen  de  vasics  ecchymoses,  sans  avoir  été  prétc'dcsdc 
lièvre,  ni  autre  maladie  es.sentielie  ;  les  memliraiirs  minjutuses 
présentent  des  taches  sanguines  el  des  dépôts  de  sang  plus 
aboiidaiis  eiicoie;  souvent  le  mahnle  cradie  ce  licpiidc  noir 
cl  caillelioté  ,  sans  symp'.ôine  de  péiipneumonic j  lesgeiKivcs 
sont  gonflées  et  saignent;  les  urines  sont  sangnino!)  nti  >  ,  ci  dé- 
]>osenl  au  fonddu\aseun  saisg  abnndanl  (pii  se  caille  de  suilr* 
Jors(pic  la  maladie  a  fait  des  pi  <>gi  es,  ce  ijui  a  lieu  (|nvli|iiclois 
en  deux  ou  Irois  jours  ,  il  y  a  de^  ('panchrmens  de  .sani:  ii'Ui  ri 
coagulé  dans  le  lis>u  du  poumon,  de  î-orle  (pie  la  lespiiatiou 
est  gênée,  mais  «riine  aiiiie  maniL-ie  (pie  «huit  le>  maladiis  in- 
llammaioiri  s  «le  la  poitiine,  piiiMpiM  n'y  a  |  a-  de  lievie;  il 
y  a  aus^i  ilvs  ri>i>faxi>  ;  en  un  moi,  ioiitis  le»  nuriibianes  n.u- 
qiMiiMS  peu\eiit  jeter  du  saii>>  siuiiiltiniinciil. 

Un  paieilélat  «anse  un  allaiblis-einnil  eMièmo,  des  U'po- 
ihynties  ltr«jutnie«.  La  l.ic»;  e>l  démli.Ke,  «e  qui  rontiastc 
avec  ie»  places  noiies(pr<>lfient  le»  ecchymoses  cl  Us  péie*  liics  • 
le  pouls  est  ordinairemcnl  régulier  cl  usscz  plciu,  a\aul  que 
rccoulcmcul  du  saug  suit  excessif. 

i5 


ii4         TOME  XXX.  MALADIE  TACHETÉE. 

On  oppose  à  cette  maladie  les  saigne'es,  dans  les  premiers 
instans,  chez  les  sujets  jeunes  et  pléthoriques,  car  îa  maladie 
attaque  tous  les  âges  de  l'époque  adulte  ,  et  dans  tous  les  temps; 
des  boissons  astringentes,  comme  limonade  minérale,  eau 
glace'e,  glace  même  ingérée  par  morceaux  ,  et  aussi  api)lique'e 
à  l'extérieur,  sont  celles  qui  conviennent  le  mieux.  On  sau- 
poudre les  gencives  d'alun  avec  efficacité,  pour  réprimer 
l'abondance  du  sang  qu'elles  rejettent  parfois.  La  ratanliia  a 
été'  employée  avec  succès,  et  nous  semble  devoir  cire  le  re- 
mède par  excellence  de  cette  sorte  d'hémorragie  sans  irritation. 
Le  quinquina  y  a  aussi  été  donné  avec  avantage. 

Cette  maladie  est  grave,  mais  on  peut  en  guérir,  même 
lorsqu'elle  est  portée  à  un  degré  avancé,  témoin  la  malade 
de  la  deuxième  observation  de  M.  Brachet,  qui  rendit  plus  de 
quatorze  pintes  de  sang  en  cin(]  ou  six  jours,  sans  y  suc- 
comber. J^ojez  pour  plus  de  détail  le  mémoire  cité. 

37a.  MALUM  MORTUUM.  On  a  renvoyé  à  ce  mot  de  lé- 
preux (  tome  XXVil ,  page  47^)  j  i^  Vi^xx  est  traité  qu'à  mal 
MORT,  tome  XXX,  page  i36. 

434.  MANGER  DES  DIEUX.  IVom  que  quelques  Orientaux 
donnent  à  ï'asafœlida.  XXXVII,  page  cfj, 

Ibid.  MÂNIGUETTE.  Un  des  noms  de  la  graine  de  Para- 
dis. Tome  XIX,  page  agS. 

58o.  MAR  ANTA.  Un  des  noms  sous  lequel  on  de'signe  quel- 
quefois le  galanga,  maranla  galanga,  L.  Tome  XVII,  p.  173. 


TOME  XXXI.  MARL\G0U1N.  ii5 

TOME  TRENTE-UNIEME. 


Page  48.  MARIXGOUIIV.  Espèce  de  cousin  des  pays 
chauds.  Tome  XXV,  paj^e  329. 

52.  MARMOTTEMENT.  Synonyme  de  mussitation.  Tome 
XXXV ,  page  80, 

65.  MARTAGON.  Espèce  de  lis  doni  il  est  traité  à  l'arlicle 
tis.  Tome  XXVIII,  page  326. 

85.  MASSOY  (ccorce  de).  Ecorce  de  la  Nouvelle-Guince 
dont  Rumpliius  donna  connaissance  en  iG^io.  Elle  est  mince, 
presque  plane,  de  couleur  canelle  obscure;  son  c'piderme  est 
couvert  de  stries  grises  ;  elle  est  odorante  ,  d'une  saveur  douce. 
On  l'emploie  dans  l'Inde  contre  les  tranchées.  La  plante  qui 
la  fournit  est  inconnue.  Murray  ,  Appar,  medicam, ,  tome  V  1  , 
page  i83. 

i35.  MATALISTA  (racine  de).  On  rencontre  assez  vulgai- 
rement cette  racine  dans  les  officines  d'Allemagne  j  elle  est  en 
morceaux  arrondis,  ayant  depuis  quehpies  lignes  jus()u'à  quel- 
ques pouces  d'épaisseur;  elle  est  fendillée  extérieurement, 
très-rugueuse,  plus  blanche  à  l'inlérieur,  où  l'on  aperçoit 
des  lignes  concentriques,  avec  uije  apparence  ipichjnefois  |)o- 
reuse,  ce  qui  pourrait  bien  provenir  du  travail  des  vers.  Elle 
est  originaire  d'Amérique, sans  qu'on  sache  a  quel  végétal  elle 
appartient.  On  l'eniploie  comme  purgative;  on  l'eslifjie  plus 
faible  que  le  jalap  et  un  peu  plus  furte  que  le  mechoacan  , 
de  sorte  qix'on  peut  en  donner  doux  dragmes  à  la  fois.  Murray, 
Appar.  medicam.^  tome  VI,  page  169. 

268.  MÉCANICIENS.  Secte  de  médecins.  Tome  XXV, 
page  2. 

269.  MECHOACAN.  Dans  cet  article,  que  quelques  auteurs 
écrivent  rne'coachan,  il  y  a  parfois  Monard  ,  parfois  Mouardès  ; 
c'est  toujours  le  même  médecin,  avec  laprouoncialion,  tantôt 
française,  la.nlôt  espagnole. 

274.  MECOMETRE.  Instrument  propre  à  mesurer  les  lon- 
gueurs, de  {/.HKoç,  longueur,  et  de  p.mfov ,  mesure.  On  a  ren- 
voyé à  ce  mot  de  cadavre  ,  tome  lll ,  page  ^ii. 


ii6  TOME  XXXI.  MÉDECIN  LÉGISTE. 

280,  MÉDECIN- LEGISTE.  On  a  renvoyé  a  ce  mot  de  ca- 
davre, tome  III ,  paqe  4^9:  ''  '»'a  pa''  î'ic  fait  à  p.irf  ;  il  en  a  clc 
Irailc  h  médecine  légale.  Tome  XXVII,  page  5-8. 

428.  Ligne  SJf.  Mi'zué,  lUez  Mc>uc'. 

4'7.  Li^iir  ''f).  Arlcnn  ia  fa!if><lia,V^>'z  rr(rmi  in  rh-nru'^is, 
L. ,  pl.tiil<'(|  li  es!  c<»mi!it'  p  MIC  ('•!  !<•  «  «■!1>' ;ivcr,  lo»  li'tii  !••>  .Il- l.i 
rju"llc  <n>  I  il)i  i'pjcii  II  <-li  lit'  \v  nin.rn.  WilMcinwcioii  i|ii'oii 
m  ("ail  oiissi  ;ivr(  (clUs  fie  l'rrrtcnu'  init.cl'rn  ,  «•*pict'ln|i  voisine 
<le  notre  ai  irinisc  vuk'aii'-.  Il  paiMÎl  ir.-iiilcins  ijin*  touh-s  peu- 
vent en  loiiriiir,  car  M.  Su  l.iri<Jièic  est  parvenu  à  ru  r:il)ri<juor 
av(C  les  feuilles  de  no're  c*pcre,  arlcniLiu  vu/garis ,  Liu. 
y  oyez  usTiON,  lome  LVl ,  page  355. 


TOME  XXXII.  MÉLANOSE.  1x7 

TOME  TRENTE-DEUXIEME. 


/ 


Fag'-  iJ^.  Ligtin  /{:|.  F.  ers  ,  \i:cz  races. 

i4'-  l-'g'if-'  iS   Caiiocîisliii,  A'^fZ  caiiocosliii. 

iF3.  Î\1ÉI  ANOSE.  T'oiir  lo  cniiij>l('rn<  nt  «le  rrl  oiliclr,con- 
Stilitz  tiii  iiiciiioiie  de  M.  If  «locietir  liitstlul  sur  «c  sujcl  ,  in- 
501  c  «Unis  K-  {oine  [  rciuicr  il'  s  BiiUtlhis  de.  la  société  inetlicale 
dénnilation  de  Paiis  ,  p.i^'S  3t)i  tl  /^O)  (ibii).  Nous  imus  Ici- 
licildiis  do  icliouvcr  plusicuis  des  idées  de  imtie  aiticlc,  pu- 
blic deux  aus  avaiit ,  dutis  rititéicssaut  travail  que  nuus  iu- 
di(juoiiS. 

aoî.  MEIXITE ,  s.  m.,  welli'lum,  nom  que  le  nouveau 
Codex  donne  aus  miela pharinaceultijues. 

207.  Ligne  3o.  Dcmcnlaute,  Usez  stupcfianlc. 

3(»G.  MENINGITE.  Inflanimnlion  des  me'ningcs.  On  a  ren- 
voyé h  ce  mot  qui  (l^t  pus  dictait;  il  est  truite  de  celle  n::il:idic 
à  PHRK^É*lE  ,  lonie  XLI,  page  547»  ^qj'ez aussi  HYDimctpuAur, 
tome  XXII,  page  2«f),  alïectiou  souvent  due  à  celte  iullanitna- 
tion. 

MENUISIERS  (de  la  sanlc'  des).  Cette  profession  est  pcut- 
élre  lu  plus  salubrc  de  mules  celles  que  l'on  coiiii:iiss<-.  Les 
ouvriers  qui  rtxeici'iil  travuilleiit  toujours  a  l'iibri  des  inleiu- 
ps'îiesdc  i'î'ir,  foui  agir  toutes  les  paiii<s  de  leur  corps  pMS<|uc 
en  ég.ilf  pio|)Oition,  n'ont  aucune  posluie  grnre,  ne  le  pinnt 
point  d\  !u:inalions  nuisibles,  n'i  mploÎMit  que  i!cs  n:aii('K'3 
saines,  etc.  Aussi  tous  sont-ils  foits,  mbusles,  (pioiqne  niai- 
giesen  général;  l'ur  Ic-int  Cal  bun ,  et  la  plupait  vivent  ioit 
vieux  ,  exenqtls  de  maladies. 

Celte  prole.ision  est  si  saine,  que  Kou«sran  voulait  (pi'Emile 
fût  nicnuiïier  ,afind'ap|-arlenii  à  la  société  par  un  enqtini  utile. 
J'ai  vu  dans  nia  jiunesise,  à  une  époque  où  le  livie  de  Ut'Usseau 
tournait  t  ou  les  les  Ictes,  que  b"aucoup  de  grnsridics  voulaient 
faire  de  leurs  enlans  des  menuisiers;  les  ateliers  de  celle  pro- 
fession ne  pouvaient  sulfiie  à  recevoir  tous  l«s  ouviîersg»  niils- 
hommcs;  njais  cela  cessa  aussitôt  que  ie  livre  du  phiiosopiid 
(enevois  ne  fit  plusfareur. 


ii8  TOME  XXXII.  MENUISIER. 

Je  ne  connais  vériiab'eraent  aucune  maladie  qui  soit  parti- 
culière à  celle  profession  ;  car,  quoiqu'elle  s'exerce  debout  ^ 
les  ouvriers  n'ont  pas  d'ulcères  aux  jambes,  comme  dans 
certains  autres  métiers  où  l'on  a  la  même  posture,  ce  qui  tient 
sans  doute  à  ce  qu'ils  ne  sont  pas  immobiles,  comme  dans  ces 
derniets. 

Je  ferai  remarquer  qu'en  bonne  police,  on  devrait  peut-être 
reléguer  lesateliers  des  menuisiers  dans  des  lieux  écartes , ou  du 
moins  isolés  des  villes .  car  les  matières  scches  sur  lesquelles  ils 
ti availl en t,  surtout  les  copeaux  (ju'ilsfont,  sont  sujets  à  devenir 
des  causes  d'incendie  ,  d'autant  (jue  les  ouvriers  ne  piétinent  pas 
toujours  toutes  les  précautions  pour  éviter  cet  inconvénient.  Je 
tremble  toujours,  en  passant  dans  les  rues  de  Paris,  de  voir  des 
ateliers  de  menuisier,  de  iajelier,  etc.,  où  l'on  travaille  le 
soir,  avec  une  chandelle  ou  une  lampe,  dont  les  flammèches 
peuvent  incendier  en  un  instant  tout  un  quartier  en  tombant  sur 
des  copeaux  aussi  minces  que  du  papier,  qui  sont  audessous. 
On  devrait  au  moins  astreindre  les  chefs  de  ces  maison?  à  avoir 
des  lampes  à  double  courant ,  qui  n'ont  pas  l'inconvénient  de 
laisser  tomber  des  flammèclies,  et  qui  se  placenta  demeure  dans 
un  coin  de  la  pièce  de  travail. 

453.  -VIEIL  On  a  renvoyé  à  ce  mot  de  géographie  médicale 
(Tome  X\'ill,  page  i65  ;  ;  il  n'en  a  pas  été  traité  à  part  ;  mais 
tout  ce  que  ce  sujet  peut  comporter  de  médical  se   trouve  à 

ATMOSPHÈEE  MARITIME  (  TomC  II  ,  page  4^0  )  ,  Cl  à  EAU  DE  MER 

(  Tome  X ,  page  5o2  ) . 

Ibïd.  MERCURE.  Voyez  ce  qui  a  été  dit  de  ce  métal  comme 

moyen  de  préserver  les  corps  de  la  putréfaction,  dans  ces  ap- 
pendices. 

565.  Ligne  4'  »  et  578  ,  ligne  44-  Sliench,  lisez  ScLenckius. 

5-6.  MÉ.SEXTERIE.  Tome  XXXVI ,  page  243. 

577.  MÉSEXTERITE  CIIHOXIQUE.  Vofez  carreau, 
sujet  qui  a  été  traité  à  ATRôraiE  MÉsE>TtRiQrE,  tome  II,  p.  44  4- 


TOME  XXXIII.  MÉTASTOSE.  119 

TOME  TRENTE-TROISIEME. 


Page  io5.  METASTOSE.  Synonyme  de  mctaptose.  Tome 
XXX ,  page  192. 

195.  METHEMERIXE.  Galion  dit  que  les  Grecs  ont  donné 
ce  nom  à  une  f;èvre  dont  les  accès  icvicnncnl  chaque  jour,  et 
qu'il  appelait  ampliiniérine  (  Tome  II.  page  47^)*  On  a  ren- 
voyé à  ce  mot  de  colliémérine ,  lome  lY,  page  842,  mais  l'ar- 
ticle n'a  pas  etci  fait  dans  l'ouvrage,  et,  elfeclivcmenl ,  il  n'of- 
frait à  diie  que  ce  qui  est  mentionné  ici. 

265.  BIETOSCOPES.  Gens  qui  devinent  par  l'inspcclion 
des  traits  du  visage ,  ou  plutôt  du  front. 

353.  3IIA.  Xom  brasilien  de  la  syphilis.  Tome  XII,  p.  ■204. 

461,  Ligne  35.  Quant  aux  eaux  thermales,  lisez  quant  à 
l'usage  des  eaux  thermales. 

Ibid.  Ligne  45.  Neuvième,  lisez  onzième. 

494-  MIROIRS.  Instrumens  de  physique.  Tome  XXIX, 
page  137. 

5o2.  3IISTRAL.  Vent  du  nord-ouest  qu'on  éprouve  en 
Provence.  Tome  LVIII ,  page  1 5"]. 

Sog.  MIXTUM.  Un  des  genres  de  causes  des  maladies 
suivant  Thémison.  Tome  XXXIII  ,  page  222. 

569.  MOIGXOX.  Nom  que  l'on  donne  à  la  saillie  mobile 
que  fait  un  membre;  on  dit  le  moignon  de  l'e'paule. 

On  nomme  plus  volontiers  ainsi  ce  qui  reste  d'un  membre  , 
après  l'amputation ,  jusqu'à  l'articulation  voisine.  Ainsi ,  Je 
moignon  du  bras ,  de  l'avant-bras ,  de  la  cuisse  ,  etc. ,  est  ce  qui 
restede  ces  parties  jusqu'à  l'articulation  située  audessus.  Il  est  de 
règle,  dans  les  amputations  du  bras,  de  laisser  le  moignon  le  plus 
long  possible,  ce  qui  fait  qu'on  ne  doit  pratiquer  celle  du  bras 
dans  l'article  que  lorsqu'il  n'y  a  pas  moyen  de  faire  autrement , 
surtout  chez  les  gens  obligés  de  travailler;  c'est  tout  le  con- 
L-^aire  dans  celle  de  la  jambe.  Tome  XLIV  ,  page  3. 


TOME  XXXIV.  MOLIMEN. 

TOME  TRENTE-QUATRiEME. 


Page  27.  MOLIMEN.  Nom  conservé  en  Français  par 
quelques  auteurs  ,  pour  signifier  effort  y  qui  est  le  met  qui  y 
iépond  dans  notre  Janguej  le  molimen  hémorragique^  etc. 
Tome  XXXIV,  page  457. 

55.  MOLYBDATES.  Sorte  de  sels.  Tome  L,  page  537. 

93.  MONOCLE.  Un  seul  œil ,  mono  oculus;  nom  que  l'^n 
donne  à   une   monstruosité  qui  consiste  à   avoir  un  seul  œil 
ordinairement  placé  à  la  racine  du  nez,   ou  sur  le  milieu  du 
iront,  comme  la  fable  représente  chaque  cyclope,  dont  ce  mot 
est  à  peu  près  synonyme. 

97.  MONOGAME.  Qui  n'a  qu'une  femme,  par  opposi- 
tion à  polj'game,  qui  en  a  plusieurs.  On  a  renvoyé  à  ce  mot 
de  HOMME.  Tome  XXI.  page  191. 

Sur  la  plus  grande  partie  de  la  surface  du  globe  ,  les  hom- 
mes sont  monogames,  ce  qui  prouve  (jue  cet  élat  est  le  plus 
naturel,  ou  du  moins  le  plus  contoruie  à  leurs  besoins  en 
société. 

Pour  les  travaux  intérieurs,  le  soin  des  enfans,  etc.,  une 
femme  seule  paraît  suffire  au  plus  grand  nombre  des  mé- 
nages. 

Quant  h  la  population,  la  monogamie,  loin  de  lui  cire  dé- 
favorable ,  comme  on  serait  tenté  de  le  croire ,  lui  est ,  au  con- 
traire ,  avantageuse,  puisque  les  pays  où  elle  a  lieu  sout  plus 
populeux  que  ceux  où  la  polygamie  est  en  usage.  Gela  peut 
s'expliquer,  puisque,  toutes  proportions  gardées,  les  associa- 
tions nionoganies  sont  plus  fécondes  que  les  polygames  et  on 
a  l'exemple  qu'une  même  femme  peut  avoir  jusqu'à  vingt-six 
enfaus. 

Jja  polygamie  suppose  d'ailleurs  l'esclavage  des  femmes  ce 
qui  ne  peut  s'accorder,  ni  avec  nos  mœurs  ,  ni  avec  nos  prin- 
cipes d'attachement  et  de  religion. 

Nous  sommes  obligés  de  nous  arrêter  ,  ne  pouvant  faute 
d'espace,  donner  plus  de  développement  à  ces  idées,  et  nous 
étendre  sur  d'autres  considérations  qu'exigerait  ce  sujet. 
Voyez  POLYGAMIE,  tome  XLIV,  page  14^). 

12G.  Ligne  1 4-  Soi-même, //Vez elles-mêmes. 

16 


111  TOME  XXXIV.  MONTS-DE-MARS. 

270.  MONTS-DE  MARS;  —  de  jupiter;  —  de  la  lttne; 
—  de  mercure;  —  de  Saturne;  — de  venus,  etc.  Soiies  de 
signes  (jue  l'on  observe  dans  la  main,  et  qui  servent  à  la  di- 
vination. Tofnc  XXVIII,  page  252. 

290.  MOROXÏLÎQUE  (acide).  Voyez  morique  (acide), 
tome  XXXiV,  page  287. 

295.  MORPHINE.  On  a  sif^nalé  cette  substance  dans  le 
seigle  ergolé,  le  cachou  ,  le  kino  (gomme) ,  le  cafë.  Gmelin 
dit  qu'elle  existe  combinée  à  la  potasse  dans  l'ccorce  exté- 
rieure de  la  ralanhia.  M.  Vauquelin  en  a  reconnu  la  présence 
dans  l'opium  indigène.  Tome  XLV ,  pages  154?  162  ol  iGi). 
Voyez  un  travail  de  M.  Magendie  sur  l'usage  de  la  morphine, 
Ballet,  de  la  soc.  philom. ,  année  1818,  page  55  ,  el,  pour 
SCS  usages  en  médecine,  celui  qu'il  a  publié  plus  récemment 
dans  son  Formulaire ,  etc.,  page  i5. 


348.  MORT  APPARENTE.  On  a  renvoyé  de  plusieurs 
endroits  de  l'ouvrage  à  cet  article,  dont  il  n'a  pas  élé  traité  à 
part  ;  il  en  al  mention  à  cas  rares  ,  tome  IV  ,  page  19^  ,  et  à 
signes  de  la  mort,  tome  LI ,  page  29/}. 

Ibid.  MORT- AUX  RATS.  Nom  d'une  substance  métalli- 
que, ordinairement  Ja mine  de  Cobalt  (qui  est  toujours  mêlée 
d'arsenic),  dont  on  se  sert  pour  empoisonner  les  rats,  en  eu 
mêlant  en  poudre  dans  la  graisse  ou  d  autres  alimens. 

Ce  moyen  devient  la  source  de  plusieurs  dangers,  et  même 
de  crimes.  Comme  il  se  vend  librement  ciicz  les  épiciers  ,  il  est 
parfois  devenu  une  cause  d'empoisonnement  avec  connaissance 
de  cause,  lorsque  le  crime  s'en  est  servi  pour  détruire  ses 
victimes  en  en  mêlant  aux  aliracus  ,  etc. 

Il  estmême  aussi  l'occasion  d'empoisonnement  involontaire; 
les  rats,  après  en  avoir  avalé,  cherchent  à  se  désaltérer,  et 
vont  boire  partout  où  ils  trouvent  de  l'eau,  dans  les  seaux  , 
dans  les  jarres,  etc.  Ils  einpoisoinjcnt  cette  eau  en  s'y  noyant, 
ce  dont  on  ne  s'aperçoit  pas  toujours.  Us  empoisonnent  tout 
un  poulailler  en  allant  se  désaltérer  au  pot  des  volailles,  de. 

On  doit  donc  défendre  de  vendre  de  la  mort-anx-rals  sans 
attestation  de  la  moralité  des  individus  qui  en  achètent ,  et 
les  gens  prudens  devront  même  ne  pas  s'en  servir,  dans  la 
crainte  d'accidens;  des  pièges  ,  des  irapes,  etc.  ,  rempliront  le 
même  objet,  et  ne  seront  sujets  à  aucun  fâcheux  résultat. 

Ibîd.  MORT-BLANC.  Maladie  des  vers  à  soie,  déciite  à 
ÉPizooTiE,  tome  Xlil,  page  89. 


TOME  XXXIV.  MORT-IVRE.  i23 

34s.  MORT-IVRE.  Etat  cl'un  liomme  pris  de  vin  au  point 
de  lie  pouvoir  ni  parler,  ni  voir,  ni  entendre  ce  (jui  se  passe 
autour  de  lui.  Cet  elat  simule  plutôt  l'apoplexie  que  la  mort, 
puisque  la  respiration  et  la  chaleur  du  corps  existent,  ce  qui 
n'a  pas  lieu  dans  la  syncope  complette,  qui  ressemble,  au 
contraire,  beaucoup  à  la  mort. 

On  jette  parfois  des  sujets  dans  cet  e'tat,  pour  en  abuser, 
ce  qui  offre  des  cas  de  médecine  légale  assez  curieux.  On  le 
provoque  chez  les  hommes  pour  les  voler,  etc.,  et  chez  les 
femmes  pour  en  jouit,  etc. 

J'ai  vu  plusieurs  fois  apporter  des  hommes  dans  les  hôpi- 
taux, qu'on  avait  ramassés  dans  les  rues,  tt  que  l'on  C! oyait 
frappés  d'apoplexie;  le  lendemain,  le  prétendu  malade  s'en 
retournait  bien  portant.  Voyez^  quant  aux  précautions  à  prendre 
relativement  aux  morts-ivres,  l'article  l^•DIGESTI0N ,  tome 
XXIV,  page  875. 

Ibid.  MORT  DU  SAFRAN.  Nom  d'une  maladie  qui  atta- 
que l'oignon  de  ce  végétal.  Tome  XLIX,  page  Sii. 

38y.  Ligne  i3.    Cupio ,  lisez  laboro. 

4o3.  MOUCHES.  Petit  vésicant  que  l'on  place  sur  les 
tempes,  dans  Vophthalmie,  Vodontalgie,  etc.  Tome  XXXVII , 
page  1 13. 

Ibid.  MOUCHES  (insectes).  \^ç.  stomoxe ,  ou  mouche  pi- 
quante ,  a  été  décrit  à  insecte,  tome  XXV ,  page  3^6.  La  mou- 
che carnière  pond  quelquefois  ses  œufs  dans  les  plaies,  et  fait 
croire  h  la  présence  de  vers  ,  et  à  des  plaies  vermineuscs  ;  d'au- 
tres mouches,  taons,  guêpes  ,  abeilles,  etc.  ,  piquent  l'homme 
et  les  animaux,  leur  causent  des  tumeurs,  des  bosses  ,  etc. 
J^oyez  INSECTE,  tome  XXV,  page  287. 

Ibid.  MOUCHES  VOLTIGEANTES.  On  a  renvoyé  à 
cet  article  de  maladies  des  yeux,  tome  XXX,  page  342.  11 
n'en  a  pas  été  traité  à  ce  mot,  mais  à  imaginations  ,  tome 
XXIV,  page  80,  et  à  nuages  voltigeans  ,  tome  XXXVI, 
page  475. 

429.  Lignes  g  et  i5.  Margrave,  lisez  Marcgrave. 

494.MUCIPARES  (glandes).  Follicules  de  la  langue  ou  de 
toute  autre  partie  des  membranes  muqueuses,  qui  excrèunt 
du  mucus. 


124  TOME  XXXIV.  MUMIE. 

53i.  MUMIE.  J^oyez  momie,  tome  XXXIV,  page  38. 

Ibid.  MUQUEUX  (corps  ).  Une  des  parties  constituâmes 
du  derme.  Voyez  peau,  lome  XXXIX,  page  56n. 

554.  Ligne  ii.  Magistrales,  lisez  officinales. 

56o.  MUSCARDINE.  Maladie  des  vers  à  soie  ,  décrite  à 
ÉPizooTiE.  Tome  XIII,  page  89. 

624.   MUSCLE  lîURSÂL.   Nom  donne  par  Bartholin  k 
Vobturateur  de  la  cuisse.  Tome  III ,  page  288. 

Ibid.  MUSCLE  CUTANÉ.  Fojez  vzkvc\v.v.  ,  t.  XXXIX  ^ 
pageôn. 


TOME  XXXV.  MUSCULEUSES.  ia5 

TOME  TRENTE-CINQUIEME. 

Page  lo.  MUSCULEUSES  (niembranes).  Membianes  ad- 
mises par  M.  Chaussier  et  non  parBichat.  Voyez  mlsguleux, 
tome  XXXII,  page  234 ,  et  le  tome  XXXV,  page  to. 

82.  MUTILLE.  Inseele  hyme'uoplère  ,  de'crit  à  insecte 
Tome  XXV,  page  3 18. 

96.  MYGALE.  Espèce  d'araignëe  à  laquelle  on  a  renvoyé 
du  mot  INSECTE  (tome  XXV,  page  336),  et  dont  il  n'a  pas 
e'te'  traité. 

Cet  animal,  nommé  mygala  avicularia^  Lalreillc;  aranea 
avicularia ,  L. ,  est  un  des  plus  gros  du  genre  ,  puisqu'il  a  plus 
de  deux  pouces  d'étendue;  son  corps  est  velu,  et  ses  pattes 
sont  armées  de  forts  crochets  ,  surtout  chez  les  mâles. 

Au  Brésil,  d'après  Pison  ,  on  enchâsse  les  grilfes  des  man- 
dibules de  ces  araignées  dans  de  l'or,  pour  s'en  servir  en  gui^e 
de  cure-dents ,  et  même  comme  d'un  très-bon  pdoiitalgique. 

La  piqûre  de  ces  animaux  ,  qui  habitent  les  contrées  ciiaudes 
de  l'Amérique,  est  venimeuse  ,  ainsi  que  la  sérosité  qui  dis- 
tiJle  de  leur  bouche.  La  partie  piquée  devient  livide,  s'enfle, 
et  le  mal  devient  parfois  incurable,  au  rapport  de  Pison.  La 
piqûre  d'une  espèce  voisine,  la  mygale  crabe  du  Cap,  tue  des 
poulets.  Les  poils  ,  dont  le  corps  de  ces  animaux  est  revêtu  , 
laissent  des  traces  de  leur  passage  sur  la  peau ,  en  forme  de 
lignes  brunes. 

Cette  araignée  ne  file  que  difficilement  ou  peut-être  pas  du 
toutj  elle  loge  dans  les  fentes  des  terres  ou  des  pierres;  elle 
vit  d'insectes,  et  même  de  petits  oiseaux,  comme  colibri,  su- 
crier, etc. 

Ihid.  MYLABP>.E.  Insecte  vésicant.  Tome  II,  page  iS^. 
J'oyei.  INSECTE  ,  lome  XXV,  page  3o8  ;  il  y  en  a  une  espèce 
fî^rée  pi.  m,  flg.  3  ,  de  ce  dernier  article. 

On  emploie  encore  aujourd'hui  le  mylabre  de  la  chicorée, 
dans  les  pharmacies  d'Italie,  surtout  à  Naples ,  seul,  ou  mêlé 
avec  la  caniharidc  ;  les  Chinois  font  le  même  usage  du  mylabre 
pustule  d'Olivier ,  qui  se  trouve  dans  leur  pays. 

i35.  Ligne  11  A  la  citation  de  Vhorlus  malaharicus ,  ajou- 
tez :  tome  IV. 

i35.  MYRRHE.  Lourciro  (  Flor,  roc/i;».,  tom.  T ,  pag.  3oB) 
admet  un  laurus  myrrha,  dont  toutes  les  parties  sentent  ht 
ïQynhe  officinale,  et  que  l'on  emploie  à  sa  place  dans  celle 


i:tO  TOME  XX'vY.  MYRRHE. 

partie  de  l'Inde.  Il  se  demande  si  ce  serait  là  l'arbre  quL four- 
nit ailleurs  la  myrrhe? 

N 

145.  NAGATES.  Voyez  isegates  ,  tome  XXXV,  page  877. 

Ihid.  NAGEURS  (maladies  des).  L'exercice  de  la  natation 
est  très-salutaire  j  il  contribue  à  la  propreté  du  corps,  à  faci- 
liter la  transpiration,  à  exercer  des  muscles  qui  ne  le  sont  pas 
souvent  h  un  degré  aussi  marqué,  et  à  rafraîchir  dans  les  ar- 
deurs de  l'été. 

Il  i^xxgp  des  soins  et  des  attentions  pour  pouvoir  être  prali- 
<{ue  sans  danger,  et  demande  surtout  de  la  prudence  pour  ne 
pas  compromettre  la  vie  de  ceux  qui  s'y  livrent. 

Le  moindre  des  inconve'niens  qu'il  en  puisse  résulter  est 
d'éprouver  une  fatigue  excessive  des  muscles  des  épaules,  des 
reins  et  des  cuisses  ,  surtout  des  adducteurs,  qui  sont  ceux  qui 
font  avancer  le  corps  en  pressant  l'eau  pendant  leur  contrac- 
tion, pour  ramener  les  mains  sur  la  poitrine  et  les  talons  sur 
les  lesses.  On  peut  éprouver  une  véritable  courbature  par  la 
natation,  lorsque  l'on  s'y  livre  avec  fureur.  J'ai  vu  des  Jeunes 
gens  forcés  de  garder  le  lit  plusieurs  jours,  par  suite  d'excès 
de  ce  genre. 

Comme  c'est  dans  les  chaleurs  de  l'été  que  l'on  prend  le 
plaisir  de  la  natation,  il  en  résulte  que  le  corps  est  exposé  aux 
rayons  brùians  du  soleil,  et  qu'on  peut  éprouver  des  cuissons 
de  la  peau,  un  éiylhème  plus  ou  moins  marqué,  et  fréijuem- 
nient  des  coups  de  soleil;  i!  ne  faut  que  voir  les  nageurs  pour 
les  reconnaître  à  leur  peau  brûlée  et  noircie,  surtout  ceux  qui 
l'ont  naluiellement  blanche  et  tendre. 

Où  est  sujet  il  se  faire,  dans  l'eau,  des  blessures  plus  ou 
moins  graves  contre  les  cailloux  ou  pierres  tranchantes  qui 
peuvent  être  au  fond  ou  sur  ses  bords,  on  avec  des  corps 
coupans,  piquans,  qui  s'y  rencontrent  fortuitement.  Les  pieds 
sotrt  les  parties  du  corps  qui  sont  le  plus  souvent  exposées  à 
ces  sortes  de  blessures,  parce  qu'en  marchant  dans  l'eau,  ou 
en  donnant  des  coups  de  talon  pour  s'élancer,  on  rencontre 
ces  corps  vulnérans. 

On  se  fait  sur  l'eau  des  contusions  plus  ou  moins  violentes^ 
lorsque  l'on  s'y  jette  d'un  lieu  un  peu  élevé,  sans  précaution.  Si , 
au  lieu  de  porter  les  mains  appliquées  les  bras  étendus  au- 
dessus  de  la  lùte,  qui  doit  pénétrer  la  première  [faire une  tête) , 
on  s'y  jette  à  plat- ventre,  à  plat-dos,  ou  h  plat-cul,  on  peut  se 
faire  des  tuulusions  très-fortes  sur  ces  régions,  suitoul  sur 
celle  de  l'abdomen,  à  cause  des  viscères  nombreux  qui  y  seul 


TOME  XXXV.  NAGEURS.  127 

eonlenus  ot  qui  reçoivent  le  choc  de  l'eau.  On  a  vu  des  gons 
perdre  la  vie  par  suite  de  ces  clmtcs  ,  soit  que  la  tête  allât 
frapper  vivemeut  le  tond  de  i'oau  ,  lorsque  celle-ci  n'est  p^s 
assez  profonde,  soit  qu'il  y  ait  eu  quelque  rupture  iuleuie 
par  suite  du  contre-coup. 

Le  séjour  dans  l'eau  peut  incommoder,  lorsque  la  diges- 
tion stomacale  n'est  pas  achevée;  on  voit  des  accidens  arriver 
tous  les  jours  pour  s'être  baigné  après  avoir  mangé,  quoique 
cela  ne  soit  pas  sans  exception.  Des  indigestions,  des  fièvres, 
sont  la  suite  de  cette  imprudence.  11  faut  au  moins  qualie 
heures  d'intervalle  entre  un  repas  et  le  bain.  On  peut  manqtT 
dans  l'eau  même,  si  on  ne  doit  pas  tarder  d'en  sortir,  et  si  la  (!i- 
gestion  ne  doit  pas  cona/nenccr  avant  qu'on  s'en  jelire.  La  meil- 
leure heure  pour  se  baigner  est  le  malin  à  jeun,  mais  ce  n'est 
pas  celle  que  l'on  choisit  pour  nager ,  parce  qu'alors  Jachaicvir 
n'y  convie  pas  autant  que  dans  le  jour  ou  le  soir  ;  c'est  le  soir 
que  l'on  prélère  généralement,  et  c'est  effectivement  Theure 
la  plus  commode. 

Un  accident  fréquent  aux  nageurs,  et  qui  leur  est  souvent 
bien  funeste,  est  la  crampe,  parce  qu'elle  les  empêche  de  na- 
ger, et  les  noyé,  faute  de  pouvoir  faire  les  mouvemens  conve- 
nables pour  se  soutenir  sur  l'eau.  L'impression  de  l'eau  produit 
un  resserrement  général  de  la  peau,  et  même  de  toutes  les  fibres, 
qui  peut  expliquer  celui  des  muscles,  ou  la  crampe  ;  cette  im- 
pression est  telle  que  certains  individus  ne  peuvent  la  suppor- 
ter et  sont  menacés  de  suti'ocation  s'ils  n'en  sortent  pas  au  plus 
vite.  Il  faut  que  celui  qui  est  sujet  à  cet  accident  évite  de  se 
baigner  en  eau  profonde,  et  ne  quitte  pas  les  bords,  ou  d;i 
moins  ne  s'éloigne  pas  de  personnes  qui  peuvent  lui  prêter  du 
secours.  Les  meilleurs  nageurs  ne  sont  pas  à  l'abri  de  ce  mal- 
heur, et  cet  ouvrage  a  à  regretter  l'un  de  ses  collaborateurs 
(i\L  Hébréard),parjreffet  d'une  crampe  qui  lui  prit  en  passant 
la  Seine,  ce  (tu'il  avait  fait  cent  fois  auparavant  avec  habileté. 

Le  plus  redoutable  et  le  plus  fâcheux  de  tous  les  accidens  oui 
puissent  arriver  aux  nageurs,  est  la  submersion.  Elie  arrive 
aux  novices,  aux  nageurs  malhabiles,  et  même  aux  plus  habiles 
que  leurs  forces  trahissent.  Il  est  remarquable  que  la  natation 
fait  périr  plus  de  monde  qu'elle  n'en  sauve;  car  lorsqu'on  ne 
sait  pas  nager,  on  fuit  les  occasions  où  le  danger  pourrait  se  pré- 
senter, et  si  on  se  baigne,  on  ne  quitte  pas  pied,  tandis  que  le 
bon  nageur  fait  des  tours  de  force  et  commet  des  imprudences. 
La  frayeur,  dans  un  novice,  est  encore  une  cause  fréquente  de 
submersion;  il  voit  le  bord  loin,  s'efforce  de  le  gagner,  fait 
beaucoup  de  mouvemens  précipités  qui  épuisent  ses  forces, 
et  il  se  noie;  tandis  qu'en  allant  prudemment,  lentement,  ei 
sans  se  troubler,  il  eut  gagné  le  rivage  sans  fatigue  et  sans 
malheur.  Dans  les  bains  pc-blics,    le  trop  grand  nombre  des 


Ï28  TOME  XXXV.  NAGEURS. 

baigneurs,  en  gùnanl  les  mouvemens  de  ceux  qui  sont  moins 
assurés,  peut  Lauser  la  submersion,  si  on  ne  les  secourt  eii 
tendani  la  perche,  ou  les  prenant  aux  cheveux,  car  il  faut  bien 
se  garder  de  se  laisser  saisir  par  un  homme  qui  se  noie,  parce 
qu'il  empêche  vos  mouvemens,  et  risque  de  vous  faire  périr 
avec  lui.  T^oyez  moyés,  tome  XXXVI ,  page  5g5. 

On  se  noie  souvent  en  faisant  le  plongeon,  parce  que  îe  besoin 
de  respirer  vous  trahit;  il  y  a  des  gens  très-habitués  à  rester 
sous  l'eau  deux,  trois  minutes,  ce  qui  est  considérable,  et  qui 
y  périssent  parfois  en  beaucoup  moins  de  temps.  J'ai  vu  suc- 
comber, il  y  a  quelques  années,  de  cette  manière  ,  le  maître 
nageur  de  l'école  de  natation  ,  quoique  très-habitué  depuis  son 
enfance  à  plonger  pendant  plusieurs  minutes. 

Un  accident  qui  n'est  guère  que  plaisant  ,  c'est  celui  de 
boire  un  coup,  ce  qui  arrive  lorsqu'on  ne  prend  pas  bien  ses 
mesures  pour  respirer  hors  de  l'eau  ,  ou  lorsqu'en  faisant  le 
plongeon  ,  on  ne  revient  pas  assez  vite;  on  en  est  quitte  pour 
pousser  l'eau  hors  de  la  trachée  en  toussant  et  crachant  ;  hors 
des  narines  en  se  mouchant;  des  paupières  en  les  pressant  ,  et 
des  oreilles  eu  les  secouant.  Il  faut,  si  l'on  veut  rester  sous 
l'eau  ({uelque  temps,  sans  ces  inconvéniens,  y  entrer  enfer- 
mant la  bouche,  et  poussant  l'air  par  les  narines,  ou  se  les 
boucher  aussi,  ce  qui  est  plus  sûr. 

1  ■^3.  Ligne  25.  A  la  citation  de  la  Flore  cT Àmboine,ii']oulcz  : 
tome  II. 

194.  NARCOSE.  TomcXXXlX,  page  68. 

Ihid.  NARCOTINE.  Suivant  M.  Magendie  (  Formu- 
laire, etc. ,  page  '20),  cet  alcali  ne  doit  pas  être  employé 
comme  médicament;  il  ne  conseille,  des  deux  alcalis  de 
l'opium,  que  la  morphine. 

228.  NASO-PALPÉBE.AL.  On  donne  aussi  ce  nom  à  la 
branche  nasale  des  nerfs  de  l'œil.  Voyez  tome  X,  page  256, 
à  l'article  droit. 

34  {.  Ligne  9.  Après  David,  «/ou^ez  et  Wiedmann. 

5-5.  Ligne  7.  Après  1793,  ajoutez  le  docteur  Jourdan  a 
publié,  en  1808,  une  traduction  de  cet  ouvrage. 

466.  NEPITYMIES.  Maladie  de  la  classe  des  débilités  , 
d'après  Sauvages.  TomeXXXVl,  page  210. 

5oo.  NEUTRALISiVTION.  On  a  renvoyé  h  ce  mot  de 
CHIMIE  (tomcV,  page  48);  il  n'en  a  pas  été  traité  à  cet  article, 
mais  à  ^E^TIlE,lome  XXXV..  pageôoo,  cl  à  sels  ,  t.  L  ,  p.  Si-i. 


TOME  XXXVI.  NEZ  ARTIFICIEL.  i:>9 

TOME  TRENTE-SIXIEME. 


Page  98.  NEZ  ARTIFICIEL.  On  a  renvoyé  a  ce  mol  de 
NEZ  (  lome  XXXVI j  page  63  ),  il  n'en  a  pas  été  tiaittf  à  paît. 
Il  en  est  tjiiestioti  à  ia  fin  de  l'article  wez  (même  volume, 
page  97  )• 

106.  NIHIL  ALBUM.  Oxyde  blanc  de  zinc  obtenu  par  le 
feu.  Tome  XXXVI,  pa^;e  lot). 

1 07.  NINSI  ou  NINZIN ,  sium  ninsi ,  Lin.  Celte  plante  de  la 
famille  des  ombeliiferes,  à  cause  de  laconaonnance  des  noms  et 
de  l'analogie  de  ses  propriétés,  est  souvent  coniondne  avec  ie 
ginseng  (tome  XVIIi,  page  089),  quoiqu'elle  ne  soit  ni  du. 
inênje  genre  ,  ni  de  la  même  farniile;  c'est  ce  qui  a  eu  lieu  dans 
cet  ouvrage  même. 

Le  ninsi  se  rapproche  lelienicnt  de  notre  chervi  (Tome  V, 
page  2n  )  5mm  sisarum ,  Lin.,  que  les  botanistes  sont  embar- 
rassés pour  bien  établir  les  différences  entre  ces  deux  plantes, 
et  ce  n'est  que  parce  que  le  uinsi  est  bulbifère  sur  les  tiges, 
qu'on  le  distingue  bien. 

On  n'eniploie  que  les  racines  du  ninsi;  elles  sont  oblongues, 
tubéreuses  et  fasciculées  ;  elles  ont  l'odeur  du  panais,  comme 
celles  de  chervi,  qui  sont  polagèies  dans  quelques  oays,  tt 
qui  devraient  l'être  dans  toas. 

Cette  racine  est  estimée  à  la  Chine  et  au  Japon  comme  un  cor- 
dial excellent  et  un  très-bon  fortifiant.  Elle  est  pourtant  beau- 
coup moins  prisée  que  le  ginseng  dont  le  prix  est  excessif,  sans 
doute  à  cause  de  sa  rareté,   tandis  que  le  uittsi  y  est  commun. 

On  ne  fait  en  France  usage  ni  de  l'une  ni  de  l'autre  de  ces 
racines  ,  et  ce  n'est  que  comme  objet  de  curiosité  qu'on  en  pos- 
sède dans  quelques  droguiers.  Il  e'tait  essentiel  de  rectifier  ce 
qui  concerne  ces  deux  substances. 

NITRATE  D'ARGENT.  D'après  M.  Sementiui ,  professeur 
de  niédeciue  à  Naples,  si  on  mêle  ce  sel  ii  un  extrait  végétal  , 
il  le  réduit  à  l'état  d'oxyde,  et  il  devient  inerte  {Journal 
de  pharmacie ,  tome  viii,  page  gS  ).  Il  faut  donc  avoir  égard 
à  cette  circonstance  lorsqu'on  l'ordonne,  et  ne  pas  le  mêler 
à  des  extraits  végétaux  pour  en  former  des  pilules.  Il  faut  pré- 
férer alors  la  goaime  ou  la  mie  de  pain. 

•7 


i3o  ÏOME  XXXVI.  NOIR  DE  FUMÉE. 

108.  Ligne  6.  Sllial ,  lise/.  Sluîil. 

iG5.  NOIR  DE  FUMÉE.  Tome  LIV,  page  548. 

172.  NOIX  DE  BA.NDA.  Nom  que  portait  la  muscade  du 
temps  d'Avicenne.  Tome  XXXIV,  page  55^. 

Jhid.  NOIX  DES  BARBADES.  Un  des  noms  du  j}ignon 
fV Inde.  Tome  XLII  ,  page  44^- 

Ihid.  NOIX  DE  GALLE.  On  a  figuré  à  insecte,  tome 
XXV,  planche  u,  figure  6,  le  diplolèpe,  dont  la  piqûre 
produit  l'excroissance  connue  sous  le  nom  de  noix  de  galle. 

Quelques  auteurs  écrivent  noix  de  gale  ;  on  a  cru  devoir  pré- 
férer l'orUiograplie  adoptée  ici  ,  pour  distinguer  le  mot  galle, 
de  la  gale  ,  bien  que  l'élymologie  soit  probablement  la  même 
pour  les  deux  noms. 

Ihid.  NOIX  VOMIQUE.  Deux  parties  paraissent  agir  dans 
ce  médicament,  une  résine  qui  en  est  extraite  par  Talcool  ,  et 
la  strychnine  ;  celle-ci  est  plus  active  ,  parcequc,  dans  la  résine, 
elle  n'est  que  partie  constituante.  Voyez  le  travail  de  M.  Ma- 
gendie  {Formulaire  pour  la  préparation  de  nouveaux  médi- 
tanicns  ,  page  i  ), 

201.  NORMALE,  adj.  normalis ,  régulier.  On  se  sert  assez 
souvent  maintenant  de  cet  adjectif  dans  les  ouvrages  de  mé- 
decine ,  et  de  son  composé  ahnonnal ,  pour  signifier  qui  n'e^t 
pas  régulier. 

389.  NOYAU  COMMUN.  Partie  du  limaçon.  T.  XXVII, 
page  93 • 

5i5.  Ligne  42-  LHerminier,  //.v^z  Lerminier. 

55o.  NYCIITEMERON.  Mot  qui  signifie  :  union  du  jour 
cl  de  la  uuil.  Tome  XXVI,  page4'2ii- 


TOME  XXXV II.     OBLIQUITÉ.  i3c 

TOME  TRENTE-SEPTIEME. 
0 


Page  ï 5.  OBLIQUITÉ.  On  a  renvoyé  à  te  mot  do  dévia- 
tion (  loiue  IX,  page  -j-^  )  ,  et  de  matrice  (tome  XXXI,  p;)ge 
326);  il  n'en  a  pas  été  traité  dans  l'ouvraf^e.  A  cet  aiticle  ne 
se  rapporte  guère  que  l'obliquité  de  la  matrice,  dont  il  est 
parlé  aux  deux  endroits  que  je  viens  de  citer. 

59.  OBTURATEUR,  OBTURATRICE,  adj.  (anaiomie). 
On  connaît  sous  ce  nom  deux  muscles,  une  artère,  une  veine 
et  un  trou. 

Les  muscles  sont  au  nombre  de  deux,  l'un  ,  V  obturateur  ex- 
terne ,  a  été  décrit  sous  le  nom  de  sous-ptlBIo-TBOcHA^'TÉ^,lLN 
EXTERNE  (tome  LII,  page  aSa)  ,  qui  est  le  nom  que  lui  donne 
le  professeur  Chaussier;  l'autre,  V obturateur  interne ^  Fa  été 
sous  celui  de  soijs-pubio-trochantérien  interne  (même  page 
cl  même  volume) ,  qu'il  porte  -lans  la  même  nomenclature. 

Uartère  obturatrice  a  été  décrite  à  sous-pubio-féiviorai.  , 
tome  LII  ,  page  23o. 

La  veine  suit  le  trajet  de  l'artère  ;  elle  vient  de  l'iiiaque  in- 
terne ou  liypogastrique.  TomeXXIIl,  page  19 ï. 

Le  trou  obturateur  a  été  décrit  sous  le  nom  de  trou  sols- 
yuBiEN.  Tome  LU,  page  aSo. 

i35.  OEDONOSOPHIE.  Sorte  de  flux  d'air.  T.  XXXVI, 
page23i. 

143.   Ligne  29.  Absorblion  ,  Z/.sez  observation. 

i44'  Ligne  20.   L'iris, /iVez  l'air. 

Jbid.  Ligne  56.  Face,  lisez  lame. 

i53.  Ligne  44-  Trous , /j5ez  troncs. 

l'jg.  OEIL  DE  PERDRIX.  Nom  que  l'on  donne  aux  tlian- 
c:(s  du  gland,  à  cause  de  leur  ressemblance  avec  l'eeil  de  cet 
animal. 


i32  TOME  XXXVII.  OENOPHOBE. 

i86.  OENOPHOBE.  Qui  ne  peut  boire  de  vin.  Tome 
XLIV,  paje  48.  Voyez  hydropote,  tome  XXII,  page  457. 

200.  OEUFS  DE  NA.BOTH.  Petites  concrétions  muqueuses 
qu'on  observe  dans  les  follicules  du  cofde  la  matrice.  Tome 
XXXI,  page  187. 

364-   Ligne  6.  Noveau  ne,  lisez  nouveau-né. 

2o5.  OMPHALO-MÉSEXTÉRIQUE.  Les  doux  planches 
de  CCI  arliclc  ont  e!é  mal  numérotées.  Celle  ii".  i  doit  être 
mise  u**.  2  ,  et  vice  versa, 

347.  ONOPORDE,  pet  -  d'àne  ,  ono>i;or^uw  acanthiumyh. 
Plante  de  la  famille  des  carduacées,  d'une  haute  stature,  et 
<lont  le  réceptacle  est  susceptible  d'être  mangé  comme  le  cul 
d'artichaut,  autre  espèce  de  réceptacle  d'une  plante  qui  en  est 
fort  voisine.  En  Italie,  on  mange  aussi  sa  racine.  Les  ânes  se 
nourrissent  avec  délice  de  son  large  feuillage,  d'où  lui  vient 
son  nom.  Ses  semences  peuvent  fournir  une  huile  abondante, 
trop  négligée.  Vingt  livres  de  tête  de  fleurs  mûres,  donnent 
douze  livres  de  graines  ,  qui,  à  une  forte  pression,  rendent  trois 
livres  d'huile,  très-bonne  à  brûler.  La  plante  est  si  commune 
qu'on  pourrait  en  tirer  partie  sous  ce  rapport. 

Le  suc  de  cette  plante  a  été  fort  vanté  contre  les  ulcèrc« 
chancrcux  de  la  face.  BorcUus,  Timmcrmann  ,  Ross,  Elîcr, 
Mohring,  l'ont  employé  avec  succès  contre  cette  maladie.  Le 
célèbre  Stalil  dit  même  qu'il  s'est  guéri  en  quatorze  jours 
d'un  chancre  commençant  à  la  face,  qui  avait  résisté  à  tout 
autre  moyen ,  par  le  suc  d'onoporde.  Goelick  a  écrit  un  traité 
sur  les  propriétés  de  ce  végétal  dans  le  cancer  [Diss.  de 
Ofwpordo  ,  carcinowalis  averrunco  ,  Francf.,  l'jôg).  Ce  qu'il 
y  a  de  remarquable,  c'est  que  l'emploi  de  cette  plante  contre 
le  cancer  du  sein  ,  a  été  infructueux,  singularité  qu'Eller  attri- 
bue à  la  plus  grande  malignité  de  celte  espèce. 

566.  Ligne  20.  Mannoir  , //^ez  Maanoir. 

4t4-  OriIIOPv.I\iIIZE.  Ce  mot,  qui  signifie  racine  contre 
la  morsure  des  serpens ^  est  le  nom  de  VopJiiorrhiza  muniras 
de  L. ,  plante  de  la  lamiile  des  apocinées;  c'est  une  racine 
épaisse  comme  le  doigt,  noueuse,  flexiieusc,  blanche  à  l'inlé- 
ncur,  recouverte  d'une  écorce  fongueuse,  rousse,  sans  odeur. 
On  raconte  ([ue  l'ichneumon  [mwigOy  en  portugais),  lors- 
qu'il est  mordu  par  lennja,  espèce  de  serpent,  va  rongci* 
celte  lacinC;,  qui  ie  guérit ,  ce  qu;,-  l'homme  a  imite.  La  mcdc- 


TOME  XXXVII.  OPHIORRHIZE.  i35 

cine  serpentaire  est  tellement  remplie  de  contes  ridicules, 
qu'il  est  difficile  de  se  faire  une  idée  précise  de  la  vérité 
(  Voyez  Murray ,  Appar.  medicam. ,  tome  I ,  page  542  )•  Elle 
est  d'ailleurs  inusitée  en  Europe,  où  elle  est  des  plus  rares. 

11  y  a  encore  une  autre  piaule,  appelée  ophioscjlum  serpen- 
tinuni,  par  L. ,  ou  bois  de  serpent ,  qu'il  ne  faut  pas  confondre 
avec  le  bois  de  couleuvre,  indiqué  tome  III,  page  217  ,  en 
rectifiant  le  nom  de  strychnos  ^  qui  est  écrit  strycnos  à  cet  en- 
droit. Il  est  vanté  contre  la  morsure  des  serpens,  les  maladies 
malignes,  etc. ,  et  également  inusité  et  fort  rare. 

442.  OPHTHâLMIE  interne.  On  a  renvoyé  à  cet  ar- 
ticle de  MALADIES  DES  YEUX  ,  tome  XXX,  page  34 f-  H  n'en  a 
pas  été  traité  â  part,  mais  ii  oi'uthalmie.  Tome  XXXVII, 
page  4i6. 

Ibid.  OPHTHALMIE  PURIFORME  DES  ENFANS. 
TomeXXXVIl,  page  424. 

Ihid.  OPHTHALMIE  VÉNÉRIENNE.  On  a  renvoyé  à  ce 
mot  de  BLENNORRHAGiE  (tome  III ,  page  i56)  ;  il  n'en  a  pas  été 
traité  à  part,  mais  dans  le  courant  du  même  article,  même 
volume,  page  170. 

Ihid.  OPHTHALMITïS.  On  a  renvoyé  à  ce  m-ot  de  mala- 
dies DES  YEUX,  tome  XXX,  page  34i.  H  n'en  a  pas  été  traité 
à  ce  mol ,  mais  à  oplilhalniie .  Tome  XXXVII,  page  4i5. 

507.  OPIUM.  Ajoutez  à  la  bibliographie  de  cet  article, 
l'ouvrage  suivant  : 

COTJRDEM ANCHE.  Des  iiouvelles  dc'convcrtcs  sur  l'opium.  Thèse  soniçnue  de- 
vant l'école  de  pliarmacie,  novembre  1821. 

On  y  trouve  l'analyse  des  découvertes  de  INIM.  Derosnes  ,  Sertnerncr, 
Robiquet  sur  la  morpbine,  la  naicoiine  ex  l'acide  méconique,  ainsi  que 
des  détails  sur  l'emploi  du  snlfate  et  de  l'acétate  de  morpliine  ,  le  sirop  de 
morpliinc  ,  les  pouties  calmantes  de  morphine,  préconisés  par  M.  IMa- 
gendie  (  Formulaire  pour  In  préparation  et  Remploi  de  plusieurs  non- 
féaux  médicnmens).  Il  y  a  nn  extrait  de  celle  Thèse  dans  le  Journal  de 
pharmacie,  lome  vu  ,  page  554- 

545.  OR  BLANC.  Voyez  platine,  lomeXLlII,  page  1G4. 
549.  Ligne  8.  Le  suc,  lùez  le  fruil. 


TOME  XXXVIII.  ORGANICIENS.  i35 

TOME  TRENTE-HUITIEME. 


Page  i63.  Ligne  3i.  De  petits  squirres,  lise?,  sont  de  petits 
squines. 

2o5,  ORGANICIENS.  Synonyme  de  vitahstes.  Tome 
XXV,  page  2. 

362.  ORYREGMIE.  Sorte  de/er  chaiul.  Tome  XXXIX  , 
page  84. 

377.  OS  CROCHU.  Un  des  os  du  carpe,  qui  porte  aussi 
le  nom  d'unciforme.  Voyez  carpe,  tome  IV  ,  page  ii5,  et 
u^cIF0RME,  tome  LVI ,  page  282. 

379.  OSEILLE.  A  cet  article  on  a  renvoyé  à  patience 
(  tome  XXXIX  ,  page  534  )  poui'  traiter  de  la  patience  rouge, 
rumex  sangidneus ^  L. ,  et  de  la  patience  aquatique,  rurnex 
aquaticus ,  L.  Il  n'a  été  question  ,  à  ce  mot ,  que  de  cette  der- 
nière espèce.  On  dira  quelques  mots  de  l'autre  hi  sang-dragon, 
dont  elle  porte  aussi  le  nom  ,  dans  les  appendices. 

385.  OSPHRÉSIOLOGIE.  Nom  que  M.  Hippolyte  Clo- 
quet  a  donné  à  l'histoire  du  sens  et  des  organes  de  l'olfaction. 

Ibid.  Ligne  12.  De  cet  os ,  lisez  de  ces  os. 

390.  OSSIFICATION  ACCIDENTELLE.  On  a  renvoyé 
à  ce  mot  (  tome  III,  page  54i  )  ,  dont  il  n'a  pas  été  traité  sous 
ce  titre  dans  l'ouvrage,  mais  à  ossification  (auatomie  patiio- 
logique).  Tome  XXXVIIl ,  page  Sgo. 

404.  Ligne  10.  Maker,  lisez  Macquer. 

Ibid.  OSSIFICATION  DES  ARTÈRES.  On  a  renvoyé  k 
ce  mot  d'iNCRUsTATioN ,  tome  XXIV,  page  291  j  il  n'est  pas 
traité  spécialement  de  ce  sujet  dans  l'ouvrage,  mais  il  en  est 
parlé  à  ossification  (anatomie  pathologique).  T.  XXXVIIl , 
page  397. 

5o3.  OSTEOTOMIE.  Préparation  des  os ,  tome  IX,  page 
!Î33,  et  squelettopée  ,  tome  LU,  page  543. 

55 1.  OURS.   La  graisse  de  ce  quadrupède  mammifère  est 
Hsilée  en   médecine  dans  (juelques  pay».   Tome  XXI  ,    page 
177  ,  et  tome  XXX,  page4o6. 


TOME  XXXIX.  OXYDE  DE  CARBONE.        iS; 

TOME  TRENTE-NEUVIEME. 

Page  65.  OXYDE  DE  CARBONE.  Tome  XVH,  page  5 12. 

55.  Ligne  i5.  Oxalis  compressa;  mettez  une  virgule  après 
compressa. 


100.  PALETTATION  ou  FERULATION.  Action  de  se 
percuter  avec  la  palette.  Tome  XXXIX,  page  100. 

123.  PALM-WINE.  Vin  de  palmier.  Tome  XLII,  p.  I^'j^. 

i5i.  PALPITATION.  Mettez  §.  m,  en  tête  de  Valinea 
de  cette  page. 

198.  PAPAYER.  On  trouve,  dans  la  Matière  médicale  de 
M.  Alibert,  tome  1,  page  38o,  des  détails  plus  étendus  sur  le 
suc  de  cet  arbre  ,  que  ceux  qui  sont  dans  le  Diclionaire. 

Ibid.  Ligne  25.   Passa ,  Usez  passe. 

240.  PARACTÉNIE.  Tome  XXXIX,  page  68. 

262.  PARALYSIE  SCORBUTIQUE.  Tome  XL,  page  85. 

265.  PARANOIES.  Maladies  mentales.  Tome  XXXVI 
page  2i3. 

Ihid.  PARAPHRYNIE.  Tome  XXXIX ,  page  m. 

384.  PARATONCIE.  Tome  XXXVI,  page  24a. 

3oo.  Ligne  3^.  Du  gosier,  lisez  de  gosier. 

Jbid.  Ligne  89.  De  l'inflammation,  ôiez  le  de. 

407.  PASSALE,  pa55flf/«5.  Insecte  dont  on  mange  la  larvg 
\  Surinam.  Voyez  iksecte,  loinc  XXV,  page  294- 


i3;?       TOME  XXXIX.  PATHOLOGIE  ANIMÉE. 

534.  PATHOLOGIE  ANIMÉE.  On  a  renvoyé  à  cet  arlicîc 
du  mot  iNSEGTE  (  tome  XXV,  page  336).  Ou  donne  ce  nom 
aux  maladie^  causées  par  des  animaux  vivans  sur  l'homme  (  ou 
les  animaux)  ou  dans  son  intciieur  j  ainsi  les  maladies  vermi- 
neuscs ,  la  gale,  les  affections  produites  par  les  cousins ,  les 
puces ,  le  ciron  de  la  peau  de  l'homme  ,  le  scorpion  ,  la  vipère , 
la  tarentule,  etc.  ,  sont  du  domaine  de  la  patholo£;ie  animée. 
Les  cors,  les  verrue^;,  sont  attribués,  par  un  professeur  célè- 
bre, a  des  polypes  qui  se  développent  dans  la  peau.  Les  an- 
ciens regardaient  la  matrice  comme  un  animal  vivant  dans 
un  autre  animal.  11  faut  consulter  chacun  de  ces  articles  eu 
particulier  pour  avoir  une  idée  de  ces  lésions  diverses. 

545.  PAVIA.  Espèce  de  niarronier  d'Inde.  Tome  XXXI, 
page  57. 

566.  Ligne  /\o.  Corps  capillaire,  lisez  papillaire. 

Sijg.  Ligne  12.  Cruikhaid';.,  /ziez  Cruikshank. 


TOME  XL.  PECTORi LOQUE.  i3<j 

TOME  QUARANTIEME. 

Page  9.  PECTORILOQUE.  A  l'article  vie  du  foettjs  (  lome 
LVII,  page  602  ) ,  M.  le  piofesseur  Fodéré  avait  annoncé  que 
M.  Maior  (ci  non  Movat  ,  comme  il  est  dit  à  l'cndroil  cité), 
cliirurgien  à  Genève,  avait  découvert  le  hallcment  du  cœnr 
du  fœtus  au  moyen  de  l'oreille  appliquée  sur  le  ventre  de 
la  mère,  bien  distinct  de  celui  de  cette  dernière,  et  dit  que 
par  ce  genre  d'investigation  on  pouvait  reconnaître  facilement 
si  l'enfant  était  vivant,  tandis  que  si  on  ne  l'entendait  pas,  c'était 
qu'il  était  mort;  cette  dernière  conclusion  n'est  pas  tout  à  lait 
exacte  ,  et  n'est  pas  celle  de  l'endroit  de  la  Bibliothèque  univer- 
selle {[."K^  p. '24H  ,etc.  ),  d'oîi  notre  collaborateur  atirécefait- 

M.  le  docteur  de  Kergaradec  a  appliqué  l'instrument  donE 
1S\.  Laënnec  se  sert  pour  reconnaître  les  maladies  de  la  poi- 
trine à  l'auscultation  do  la  matrice  pendant  la  gestation.  "Voici 
les  résultats  de  son  observation,  tels  qu'ils  sont  consignés  dans 
un  inémoire  lu  à  l'académie  de  médecine,  et  qu'il  vient  de 
faire  imprimer  [Mémoire  sur  V auscultation  appliquée  à  la 
grossesse,  Paris,  1822). 

On  entend  fort  distinctement  (dans  1j  plus  grand  nombre 
des  cas)  deux  ordres  de  battemens  5  l'un,  qui  se  rapporte  à  la 
circulation  fœtale,  a  lieu  cent  quarante  à  cent  soixante  fois 
par  minute,  et  est  double  dans  chaque  battement,  comme 
J'orei  Ile  appliquée  sur  la  poitrine  l'épi  ouve  pour  ceux  du  cœur. 
Ces  battemens  s'entendent  vers  cinq  h  six  mois  ,  quelquefois 
seulement  passé  cette  époque  ;  ils  sont  plus  ou  moins  forts, 
ce  qui,  suivant  l'auteur,  vient  de  la  position  de  l'enfant;  il 
croit  que  lorsque  son  dos  est  placé  en  devant,  on  les  trouve 
plus  marqués  que  dans  aucune  autre  posture.  H  y  a  des  cas  où 
on  ne  les  entend  pas  du  tout ,  d'autres  oîi  ils  se  suspendent  mo- 
mentanément, et  où  pourtant  l'enfant  n'est  pas  mort,  de  sorte 
qu'il  ne  faut  pas  conclure  de  leur  absence  ,  la  perte  du  fœtus  , 
tandis  que  leur  présence  annonce  sa  vie  avec  ceitilude. 

On  entend  un  second  battement,  avec  soiijle ,  a  chaque 
pulsation,  qui  est  analogue  à  la  circulation  de  la  mère,  et  que 
M.  de  Kergaradec  lui  attribue;  il  paraît  causé  par  le  passage 
du  sang  de  la  mère  à  l'enfant.  Le  lieu  où  on  l'entîind  indique, 
suivant  lui  ,  le  point  d'attache  du  placenta.  Il  pense  que, 
dans  le  cas  de  grossesse  composée,  on  entendrait  autant  de 
fois  ce  battement  qu'il  y  aurait  de  placentas  (  de  même  que  Von 
entendrait  le  double  battement  autant  de  fois  qu'il  y  aurait  de 
iœtus).  Ces  battemens  se  perçoivent  plutôt  que  les  précédens, 
et  on  les  a  entendus  une  lois  à  trois  mois  de  gestation. 


i^o  TOME  XL.  PECTOIIILOQUE. 

Les  avantages  que  Von  peut  espcrer  de  rclirer  de  cet  em- 
ploi du  pccloiiloque,  que  l'oreille  appliquée  sur  le  vcnlre 
peut  remplacer  assez  bien,  sont:  i°.  de  reconnaître  sûrcmenl 
îa  vie  de  reniant  si  les  baltemens  du  fœtus  ont  lieu  ;  2*^.  d'ap- 
précier le  déféré  de  force  et  de  vie  du  fœtus,  à  la  force  des  pul- 
sations ressenties,  et  par  le  nombre  des  battemens  doubles  qu'il 
donne;  3°.  de  savoir  s'il  y  a  plusieurs  cnfans;  4*^,  peut-être  de 
parvenir  à  estimer  la  position  actuelle  du  fœtus  par  le  point 
où  l'on  éprouve  les  battemens  ;  5°.  de  connaître  le  lieu  d'attache 
du  placenta  ,  et  de  ne  pas  inciser  sur  ce  lieu  ,  si  on  était  oblige 
de  pratiquer  l'opération  césarienne;  6°.  d'éclairer  sur  les  gros- 
sesses exlra-utérincs  ,  où  le  touclier  n'est  qu'un  moyen  négatif; 
"j".  de  porter  quelque  lumière  sur  la  circulation  de  la  mère  ^ 
l'enfant. 

Mais  l'avantage  le  plus  réel ,  suivant  l'auteur,  de  son  moyen 
de  reconnaître  la  grossesse  ,  sera  d'évit,er  aux.  femmes  l'inconvé- 
nient du  toucher,  si  pénible  pour  la  yjlapart  d'entre  elles,  et 
de  le  réserver  pour  l'instant  de  l'accouchement,  et  seulement 
pour  explorer  l'étal  du  col  de  l'utérus  pendant  cet  acte. 

io3.  PELOTE  DE  MER.  Agglomérations  formées  des 
feuilles  ou  librilles  qui  se  trouvent  à  la  base  du  zostère^ 
P'^ojez  ce  dernier  mol,  tome  LYIIIj  page  463. 

172..PENETB.ATION  (des  plaies).  On  a  renvoyé  à  ce 
moi  de  MÉSENTÈRE  (  tome  XXXll ,  page  558).  Il  n'en  a  pas  été 
traité  h  part  ;  c'est  à  l'article  des  diftorenies  plaies  ,  plaies  de 
POITRINE,  plaies  DE  l'abdomen  ,  ctc,  qu'il  faut  recourir  pour 
s'en  faire  une  idée. 

211.  PEBCE  -  OREILLE.  Foyez  insecte,  tome  XXV, 
page  509. 

287.  PERCHLORATES.  Sorte  de  sels.  Tome  L  ,  p.  54o. 

375.  PÉRICHISTiME.  Espèce  d'opération.  Tome  XXIVy 
page  245. 

432.  Ligne  19.   Averlof ,  Usez  Wcrlhof. 

4h2.  PÉRÎPNEUMONIE  LAITEUSE.  Tome  XXXII, 
page  4^6. 

477.  PÉRISTOLE.  A  l'indication  de  la  table,  ajoutez 
celle-ci:  tome  XXXIV,  page  455.  C'est  surtout  aux  mouve- 
mens  alternatifs  de  tension  et  de  relâchement  de  l'estomac  pen- 
dant la  digestion,  que  l'on  donne  ce  nom. 


TOME  XLI.  PERSE  A.  i4i 

TOME  QUARANTE-UNIEME. 

Pag.  16.  PERSEA.  Plante  célèbre  chez  les  Egyptiens  ;  cVst  le 
balaniles  egypliaca,  Delille.  Il  ne  faut  pas  la  confondre  avec 
le  laurus  persea,  h.  ^  qui  est  l'avocatier.  Voyez.  LAURitîi. 
Tome  XXYII,  page  324. 

56.  PERTURBATEUR.  On  a  renvoyé  à  ce  mot  de  GUÉnisos 
(tome  XIX,  page  558  ).  I!  n'en  a  pas  e'ié  irailé  sous  ce  nom, 
mais  à  perturbation  ,  tome  XLI ,  page  36. 

59.  Ligne  16.  Nicholson  ,  lisez  de  Nichoîson. 

60.  PESANTEUR  D'ESTOMAC.  Tome  XVIÏ,  page4îo. 

192.  PEZIZE.  Série  de  c^lamp!^non  décrit  dans  cet  ouvrage 
sous  le  nom  d'oREiLLE  de  judas.  Tome  XXXVIII ,  page  i-i^;. 

590.  PHLÉBOTOMIE.  Dissection  des  veines.  Tome  IX, 
page  616.  On  n'a  parle  dans  le  Dicdonaire  (tome  XLI,  pai;e 
363)  de  la  phlébolomie  ^  que  sous  le  rapport  de  la  scciioa  des 
veines  pour  opérer  la  saignée. 

430.  Ligne  3'j.  Les  membranes ,  Usez  ces  membranes. 

477.  PHLEGMONITIE.  Tome  XXXIX  ,  page  68. 

Ibid.  PHLEGMONS-INSECTES.  On  a  renvoyé  à  ce  niot 
d'iNSEGTE  (tome  XXV,  page  507),  il  n'en  a  pas  clé  ttaileà 
part. 

On  donne  ce  nom  à  des  tumeurs  phlegmoneuses  causées  par 
le  développement  d'insectes  audessous  de  la  peau  dans  i'iîomnie 
et  les  animaux  j  ils  sont  surtout  communs  chez  ces  dcrnicis, 
tandis  que  ce  n'est  guère  que  dans  les  climats  chauds  i^u'o» 
en  observe  dans  l'espèce  humaine. 

Ces  tumeurs  sont  formées  par  les  insectes  qui  percent  !a  peau 
et  y  insinuent  leurs  œufs  qui  s'y  développent  et  grossisscul  jîis- 
qu'à  ce  que  les  animaux  tjui  en  éclosent  trop  volumineux,  en 
sortent;  d'autres  fois,  ils  percent  la  peau  et  y  pénètrent  en  entier; 
d'autres  fois  enfin,  ils  sefourrentdans  les  cavités  muqueuses  tt  y 
séjournent  plus  ou  moins.  Le  premier  mode  de  production  do 
ces  tumeurs  est  le  plus  fréquent ,  et  Y  œstre  nous  en  fournil  uu 


i42  TOME  XLI.  PHLEGMON -INSECTES. 

exemple  assez  ficqueiit.  Voyez  insecte.  Tome  XXV,  pages 
33o  et  SS'y. 

Lorsque  l'on  a  reconnu  ces  tumeurs ,  et  qu'on  veut  en  dé- 
barrasser ou  les  animaux  ou  les  hommes,  on  les  lave  avec  des 
décoctions  acres  ,  amères ,  des  dissolutions  salines  pour  détruire 
les  œufs  ou  les  larves  qui  en  sont  sortis  j  ensuite  on  panse  ces 
plaies  simplement.  Il  faut  parfois  les  ouvrir  pour  en  extraire 
ces  corps  ëtranf^ers.  Dans  la  campagne  on  a  l'occasion  de  voir 
quelquefois  ce  genre  de  maladie. 

Ihid.  PHLOGMOSE.  Tome  XXXIX,  page  68. 

479-  PHLOGOÉSIE.  Genre  de  la  classe  des  liydroge'ncses 
de  M.  Baumes  ,  qui  contient  des  maladies  inflammatoires.  Tome 
XXII,  page  257. 

547.  PHOTOMETRIE.De  cpwToij- , gén.  de  9«(r,  lumière,  et 
de^STpa;/,  mesure.  Considérée  sous  les  rapports  de  l'hygiène  et 
de  l'économie  domestique,  la  comparaison  des  intensités  rela- 
tives de  lumière  fournie  par  divers  combustibles,  est  une  dé- 
termination assez  importante  pour  que  les  physiciens  aient 
cherché  les  moyens  de  lui  donner  toute  la  précision  dont  elle 
peut  être  susceptible-,  or,  de  tous  les  procédés  jusqu'à  présent 
imaginés,  il  n'en  est  qu'un  seul  qui  remplisse  assez  bien  les 
conditions  exigées.  Ce  procédé  repose  sur  les  deux  principes 
suivans. 

1°.  En  arrière  d'un  corps  opaque  éclaire  ,  il  se  forme  une 
ombre  d'autant  plus  noire,  que  l'espace  environnant  est  plus 
vivement  illuminé. 

2"^.  Quand  on  s'éloigne  d'une  source  de  lumière,  son  intensité 
diminue  comme  le  carré  de  la  distance  augmente. 

Cela  posé,  on  conçoit  que,  si  dans  un  endroit  obscur,  on 
allume  une  bougie  et  un  quinquet,  un  plan,  mis  à  égale  dis- 
tance, recevra  simultanément  la  lumière  émanée  de  ces  deux 
sources  j  en  plaçant  ensuite  une  baguette  à  deux  ou  trois  dé- 
cimètres en  avant  de  ce  plan,  on  y  verra  paraître  deux  ombres, 
l'une  est  produite  par  l'interception  des  rayons  émanés  de  la 
bougie,  et  l'autre  dépend  de  l'interception  de  la  lumière  four- 
nie par  le  quinquet.  Ces  ombres  sont  bien  loin  d'être  pures, 
puisque  la  portion  du  plan  qui  reçoit  la  première  est  éclairée 
par  le  quinquet ,  et  que  la  partie  de  ce  même  plan  où  se  des- 
sine la  seconde  est  frappée  par  la  lumière  de  la  bougie.  Dès- 
lors  l'obscurité  des  espaces  partiellement  privés  de  lumière 
oii  Vinlensilc  des  ombres  ne  pourrait  être  la  même  que  dans  le 
cas  où  les  deux  sources,  à  raison  de  leur  éloignement,  enver- 
raient sur  le  plan  un  même  nombre  de  rayous  lumineux  ;  par- 


TOME  XLl.  PHOTOMETRIE.  145 

cotiscquent  il  laiit,  poui  que  cela  ail  lieu,  que  leur  dislance 
soit  j)ro[)orlioniiclle  à  la  racine  carre'e  de  la  lumière  qu'elles 
e'ineUent:  supposons,  par  exemple,  que  le  quinquet  en  four- 
nisse neuf  lois  plus  que  labou£;ie,  il  faudra  qu'il  soit  trois  lois 
plus  éloigné  du  plan,  condition  indispensable  pour  que  les 
deux  ombres  aient  la  même  intensité,  ce  dont  l'œil  ju{i;o  assez 
bien,  tandis  qu'il  ne  saurallévaluerexaclement  des  différences 
même  assez  fortes.  A  la  vérité,  la  nature  du  combustible  et  la 
manière  dont  on  en  fait  usage,  font  naître  dans  les  teintes  de 
Ju  lumière,  des  nuances  assez  diversifiées  pour  qu'il  soit  impos- 
sible d'arriver  à  cette  égalité  absolue  sur  laquelle  repose  l'opé- 
ialion  que  nous  venons  de  décrire;  aussi  nous  ne  la  présen- 
tons que  comme  une  méthode  approximative,  et  non  comme 
un  mode  d'évaluation  rigoureux. 

On  a  renvoyé  ce  mot  de  lumièee  ,  tome  XXIX,  page  i3i. 

BOUGDER.  Traité  d'optique  sur  la  gradation  de  la  lumière,  i  vol.  in-8°.  Paiis, 
1760.  (thillaye) 


TOME  XLII.  PHTHISÎE  DES  OS.  i^^, 

TOME  QUARANTE-DEUXIEME. 

Page  i5.  PHTHISIE  DES  OS.  Tome  XLVI ,  page  590. 

168.  PHTHISIE  RACHIALGIQUE.  Nom  donné  au  der- 
nier degré  de  l'inflammalion  clironique  des  vertèbres.  Tome 
XXXIV,  page  470. 

Ibid.  PHTHISIE  SACPiO  COXALGIQUE.  Nom  donné  cm 
dernier  degré  de  l'inflammation  chronique  de  l'arliculaliou 
coxo-fémorale.  Tome  XXXIV,  page  470. 

i85.  PHTHISURIE  SUCRÉE.  Nom  donné  au  diabètes  par 
MM.  Nicolas  et  Gueudeville  dans  leur  travail  sur  celte  mala- 
die. Tome  IX,  page  i25. 

3o3.  PHYSIOLOGIE  PATHOLOGIQUE.  On  a  renvoyé  .a 
ce  mol  de  nez  (tome  XXXVJ ,  page  58).  Il  n'en  a  pas  été  traité 
à  part  j  ce  qui  la  concerne  est  indiqué  à  l'article  physiologie 
(tome  XLli,  à  partir  de  la  page  273. 

La  physiologie pallwiogiqne  ou  l'altération  des  fondions  du 
corps  humain  est  une  des  branches  de  la  pathologie  générale; 
celle-ci  con^prend  non-seulement  la  lésion  des  oiganos,  mais 
encore  le  dérangement  obligé  des  fonctions  qai  eu  est  la  suite. 
C'est  donc  à  tort  qu'on  a  voulu,  dans  ces  deruieis  temps,  la 
distinguer  et  en  faire,  en  qaelque  sorte,  une  science  à  part, 
la  donner  comme  fondement  d'une  médecine  nouvelle.  I!  lu; 
peut  y  avoir  de  vraie  pathologie  sans  elle;  c'en  est  même  j;i 
partie  la  plus  essentielle  pour  le  médecin  ,  puisque  c'est  sur  la 
lésion  des  fonctions  qu'est  fondé  le  diagnostic  de  la  plupart 
des  maladies  internes. 

Le  mot  physiologie  pathologique  est  d'ailleurs  impropre  et 
redondant,  car  il  signifie  a  la  lettre,  discours  sur  la  nature  et 
discours  sur  la  maladie  ;  physiologie  niorbifîcjue  vaudrait  mieu  x, 
mais  ne  serait  pas  encore  très-correct. 

Ces  réflexions  sur  rimpropriélé  des  lermess'appliqucnt  aussi 
à  l'expression  médecine  physiologique  ,  également  cm[)loyce 
depuis  peu  par  les  mêmes,  pour  designer  une  théorie  médicale 
récente,  comme  si  ce  n'était  que  depuis  eux  que  la  médccitic 
emprunte  le  secours  de  la  physiologie,  et  comme  s'il  pouvait 
y  avoir  une  médecine  non  physiologi(jue,  c'est-à-dire  qui  ne 
s'aidât  pas  de  la  physiologie  dans  le  diagnostic  des  affections 
morbifîqucs  ou  leur  ihcrapeuiiquc.  Il  ne  peut  pas  plusy  avoir 

'9 


lî'i        TOME  XLII.  PHYSIOLOGIE  PATIIOL. 

de  médecine  sans  plij'^siologic  ,  que  de  cliirurgie  sans  anatomic, 
et  pourtant  personne  ne  dit  la  chirurgie  anaiomique.  Le  terme 
de  médecine  emporte  avec  lui  l'idée  de  l'alliance  de  toutes  les 
branches  scientifiques  dont  elle  se  compose. 

Ce  sont  sans  doute  ces  motifs  qui  ont  porté  d'autros  médecins 
à  préférer  à  l'cpitliète  de  médecine  physiologique  celle  de  nou- 
velle doctrine^  mais  elle  ne  convient  pas  encore  ,  puisque  dt;- 
puis  qu'elle  est  enseignée,  il  y  en  a  eu  plusieurs  autres  depro- 
posées,  ne  fussent  que  les  systèmes  indiqués  par  MRL  Lauiois 
et  Seigueurgens. 

Le  mieux  ,  suivant  nous ,  serait  de  donner  aux  opinions  d'un 
auteur,  le  nom  de  i;ct  auteur  même,  comme  plus  propre  h 
éviter  toute  équivoque,  c'est  ainsi  qu'on  dit  :  la  doctrine  de 
Rasori  ^  de  T'omniasini  ,  de  Browii ,  etc. 

348.  PICHURIM.  On  a  renvoyé  à  ce  mot  de  laurier  (tome 
XXVII ,  page  3i4)-  H  'l'en  a  pus  été  traité. 

C'est  une  espèce  d'amande  qui  nous  vient  du  Brésil  par  l<! 
Portugal,  et  (jue  l'on  croit  appartenir  au  fruit  d'un  laurie/. 
Elle  est  aromatique,  convexe  en  dessous  ,  concave  en  dessus, 
jevêlue  d'une  écorcc  brune.  On  la  dit  propre  à  guérir  les  co 
liques,  \'à  diarrhée  et  même  les  lièvres.  On  n'en  fait  auciia 
usage  chez  nous  où  elle  est  fort  rare.  Le  finit  que  j'ai  sous  les 
yeux  m'a  été  donné  par  M.  le  docteur  Geoffroy.  Ceux  qui  dé- 
sireraient de  plus  amples  renscignemctis  sur  celle  substance  eu 
trouveront  dans  Murray,  /Ippar.  medic  ,  tome  IV,  page  54<> 
Le  végétai  n'est  décrit  nulle  part ,  parce  que  l'on  n'est  pas  cer- 
tain de  son  espèce,  et  ce  n'est  que  d'après  quelques  conjectures 
qu'on  le  croit  cire  un  laurier. 

417.  Ligne  i3.  Vénéneuse  des  plaUles,  lisez  des  plantes 
vénéneuses. 

419.  PIED  EQUïN.  Nom  que  l'on  donne  à  une  sorte  di; 
torsion  du  pied  ,  où  la  pointe  est  tournée  en  bas.  ïome  XLli , 
page  4o5. 

44^.  PILLLES  DE  ÏANJORE.  Médicament  employé  pour 
déuuirc  l'effet  du  venin  des  seipcus.  Tome  iil,  page  18';. 

4,30.  PIMENT  DE  LA  JAMAÏQUE.  Foycz  myrte,  tome 
XXXV,  page  i4i. 

Ibid.  PIMENT  ROYAL.  On  a  renvoyé  à  ce  mot  de  îiivnrE 
(tome  XXXV,  page  142).  H  n'en  a  pa%élé  Irailé  à  ()ait.  (l'i.sl 
\c  luyrica  gnle^  f -. ,  prlit  arbrisseau  qui  cruîl  cheziious  dâiis 


TOME  XLII.  PIMENT  ROYAL.  1^7 

1rs  marais  tourbeux,  et  qui  laisse  suinier  une  sorte  de  matière 
ri'sineusc  ou  de  cire;  ou  n'en  fait  auc:ui  usage  eu  France.  Des 
espèces  congénères  donnent  eu  Ainoriqnc  une  matière  semblable 
dont  on  fait  des  bougies.  La  saveur  de  ses  feuilles  lui  a  fait 
donner  le  nom  de  piment. 

460.  PINCE  A  FAUX  GERME.  Tome  XXXIV,  page  24. 

474-  PIPERINE.   Alcali  nouveau  annoncé  dans  le  poivre 
et  le  piment,  capsicum  annuiim.  Tome  XLIX ,  page  433. 

Ihid.  PIQUE  DE  PAMAKD.  Sorte  d'instrument  propre  à 
opérer  Ja  section  de  Ja  cornée.  Tome  XXXVII ,  page  459. 

Ihid.   PIQUE  ,   PIQUET.  Maladie  du  porc  dont   il  a  elé 
ipieslion  à  lpi/.ootie.  Tome  Xlll,  page  6g. 


TOME  XLIll.  PLAIES  PÉNÉTRANTES.        149 


TOME  QUARANTE-TROISIEME. 


Page  125.  PLAIES  PÉNÉTRANTES  DE  LA  POITRINE. 

On  a  renvoyé  à  ce  litre  (Î'hlmorragie  (chirurgie) ,  torae  XX, 
page  373.  il  n'en  a  pas  été  traité  sous  ce  nom,  mais  à  plaies 
DE  POITRINE.  Tome  XLIII,  page  85. 

i33.  PLAN  INCLINÉ.  Nom  donné  par  M.  Catalan  fils  à 
une  plaque  qu'il  interpose  obliquement  entre  les  dents  dans 
le  MENTON  DE  GALOCHE.  Tomc  YIII,  page  382. 

i63.  PLANUM  (os).  Portion  de  l'elhmoïde.  Tome  XIII , 
page  4o2. 

Ibid.  PLAQUE  DE  LOTTERI.  Sorte  de  machine  propre  à 
remédier  à  l'hémorragie  de  l'artère  intercostale.  Tome  XXIX, 
page  366. 

177.  PLEINTHIUM.  Machine  employée  par  les  anciens 
pour  réduire  les  fractures.  Tome  XXXH,  page  21. 

217.  PLEURÉSIE  (fausse)  d'Hoffmann.  Ce  médecin  don- 
nait ce  nom  à  l'inflammation  de  la  portion  costale  de  la  plèvre  ; 
dans  le  sens  ordinaire  on  n'entend  par  cette  épilhète  que  celle 
des  muscles  intercostaux. 

Ibid.  PLEURITE.  Inflammation  de  la  plèvre.  T.  XXXVI, 
page  241. 

224.  PLEXUS  0PIST0GASTR1QUE.T.XXXIX,  p.  420. 

Ibid.  PLEXUS  PULMONAIRE.  Tome  XLVI ,  page  1 44- 
Voyei  pour  les  différens  plexus  nerveux  le  mot,  trisplancuni- 
QLE,  tome  LYI,  page  9. 

3 12.  PLOMBAGE.  Nom  d'une  opération  que  Ton  pratique 
sur  les  dents  creuses ,  et  qui  consiste  à  accumuler  et  à  presser  des 
feuilles  de  plomb  pour  empêclier  l'air  de  pénétrer  dans  leur 
inte'rieur.  Vojez  dent  (pathologie).  Tome  VIII ,  page  368. 

392.  PNEUMON  ALGIE.  Tome  XXXV  ï ,  page  241. 


i5o  TOME  XLIII.  PNEUMONITE. 

447.  PNEUMONITE.  Tome  XXXVI,  page24f. 

Ihîd.  PNEUMOPLÉGIE.  Terme  par  lequel  on  désigne 
ritiflammalion  du  poumon.  Tome  XLIV,  page  54g. 

448.  POCHE  DES  EAUX.  Nom  que  l'on  donne  à  la  saillie 
que  lorment  les  membranes  h  travers  l'orifice  de  la  matrice  au 
moment  de  raccoucheraenl.  Tome  XII,  page  29g.  11  y  a  quel- 
quefois une  double  poche  dans  le  cas  de  grossesse  double 
[Bibliolh.  médic. ,  mai  1821  ). 

Ibid.  POCGEPiEBE  (écorce  de).  C'est  le  nom  d'une  sab- 
slatice  médicamenteuse ,  mentionnée  sous  ce  titre  par  Murray 
[Appar.  i/iedi'cam.j  tome  VI,  page  i84)  provenant  d'Anié- 
ii(jue  ,  sans  désignation  du  végétal  auquel  elle  appartient  , 
et  qu'il  dit  propre  à  combattre  la  diarrhe'e ,  la  dysenterie,  le 
iiux  hépatique,  etc.  Elle  est  inusitée  et  inconnue  parmi  nous. 

5i4-  POIRE.  On  a  renvoyé  à  ce  mot  de  cidre  (Tome  V^, 
page  186)  •  il  n'en  a  pas  été  traité;  il  en  est  lait  mention  à 
liOissoN  ,  tomellî^  page  25'-, 

524.  POIS  A  GRATTER.  C'est  le  fruit  du  ^^^/c/i05  priuiens  y 
L.  («jifcu/îad'Adanson  )  ;  les  capsules  des  C«e^ii*  .genre  de  la 
famille  des  terchinlhacées ^  égalemtnt  couverts  de  poils,  sont 
de  même  piquaus  et  cuisans,  ce  qui  a  fait  donner  aux  espèces 
qui  le  composent,  le  nom  de  grattiers. 

Le  pois  à  gratter  est  une  espèce  de  gousse  de  quatre  h  cinq 
poiices  de  long  ,  épais  comme  le  doigt,  contourné  en  S,  cou- 
veile  de  poils  serrés,  pre.-:que  roux  et  iuisans,  qui  ne  parais- 
sent pas  treus.  Lorsque  l'on  en  frotte  le  dos  de  la  main ,  ils 
ne  causent  pas  d'abord  de  cuisson  ,  mais  bientôt  on  sent  un 
jjclit  prurit,  puis  de  la  douleur  comme  après  la  morsure  des 
e  ousins;  la  peau  se  gonfle,  on  y  aperçoit  de  petits  points  rouges  , 
muis  au  bout  d'une  heure  tout  cela  disparaît  spontanément. 

On  a  administre  avec  succès  les  soies  piquantes  qui  recou- 
vrent les  gousses  du  dolichos  pruriens  contre  les  yers;  ces  soies 
tombent  facilement  de  la  gousse  et  on  les  incorpore  dans  de 
la  tlicriaque,  du  miel  ,  du  mucilage  de  gomme  arabique,  etc. 
Ce  qu'il  y  a  de  singulier,  c'est  qu'elles  ne  paraissent  pas  nuire 
à  l'œsophage  ni  à  l'estomac,  comme  elles  font  sur  la  peau  ; 
elles  paraissent  agir  sur  les  vers  qu'elles  tuent  en  les  piquant, 
cl  par  conséquent  comme  agent  mécanique,  car  leur  décoction 
n'a  pas  la  mêaie  propriété.  C'e-sl  une  espèce  de  vermifuge  de 
l^dus  h  ajqulcr  aux  espèces  qu:  nous  ayons  indiquées  a  l'article 


TOME  XLlï.  POIS  A  GRATTEPi.  i5i 

VEiiMiFUGE.  Tome  I.Yll ,  payre  i  oO.  W.  Cliambct  laine  ,  ciii- 
luroieii  angluis ,  a  donne  un  Mcrnoiic  sur  reilicacite'  du  pois 
à  p-aUer  contre  les  vers.  A  praciical  /réalise  on  llic  ejficacy 
of  sLiiolohiiun  or  cowhage ,  etc.,  in-8".  London  ,  1784. 

M.  Charles  Biiaiit  [Horn  diϔicn),  propose  de  remplacer 
les  poils  du  doUchos  qui  sont  caducs,  el  (pie  l'on  trouve  rare- 
racnl  sur  les  gousses,  comme  vermifuge,  par  ceux  que  l'on 
lencoiilre  si  abondamment  dans  les  calices  grossis  et  ramollis 
de  l'églantier  ou  autres  rosiers.       • 


TOME  XLIV.  POLENTA.  i53 

TOME  QUARANTE-QUATRIÈME. 

Page  f>o.  POLENTA.  Article  oublié  dans  la  lahle. 

i4i.  POLTRONNERIE.  Cet  article  a  été  placé  à  la  suite 
du  mot  piisillanimile  (  tome  XL'VI,  page  23/(),  ne  s'élant  pas 
trouvé  prêt  pour  être  inséré  à  son  ordre  alphabétique. 

Jhid.  POLYANDR.IE.  Plusieurs  mâles  pour  une  femelle.  La 
ioi  n'a  point  admis  la  poij'andrie  dans  les  pays  civilises,  pour 
riiornme,  parce  (ju'ellc  est  contraire  aux  fins  de  la  nature,  la 
propagation  de  l'espèce.  Ut!  homme  peut  féconder  plusieurs 
terumes ,  mais  plusieurs  hommes  seraient  en  général  plus  niu- 
siblesà  la  fécondation  d'une  seule  femme,  qu'u!]  seul. 

Dans  les  animaux,  la  polyandrie  a  souvent  lieu,  mais  el!e 
est  presque  toujours  inutile. 

Dans  les  végétaux,  elle  est  l'état  le  plus  ordinaire.  Tome 
XIV ,  page  537. 

Ibid.  POLYCÉPHALE.  Rectifiez  l'indication  de  la  table,  et 
Usez:  tome  XXII,  page  16^.  T^oyez  aussi  ver,  tonie  LVII , 
page  228. 

1 55.  POLYOREXIE.  Tome  XXXVI ,  page  238. 

164.  Ligne  dernière.  Lallemant ,  Usez  Lallemand. 

2  |0.  Ligne  3.  Eoudon  ,  lisez  Boudou. 

u>55.  POLYPES  CANCÉREUX.  On  a  renvoyé  à  gct  article 
de  CANCER  (  Tome  III ,  page  588)  ;  il  n'en  a  pas  été  traité  à 
paît ,  mais  à  polype  ,  tome  XLIV,  à  1.?  page  i55. 

Ibid.  POLYPES  DU  NEZ.  On  a  renvoyé  h  ce  mot  de  ca- 
M;LE(Tome  IV,  page  25)  ;  il  n'en  a  pas  été  traité  à  part,  mais 
à  POLYPE,  à  la  division  intitulée /7o/y/;c?5  des  fosses  nasales  y 
lomeXLlV,  page  194. 

25'j.  Ligne  aS.  Ces  parties,  Usez  les  parties. 

267.  POLYURIE.  Tome  XXXVI ,  page  2  \o. 

283.  Ligne  2-.  Menouret,  Usez  Menurct. 

20 


ï54  TOME  XLIV.  PORTE- ATTELLE. 

285.  I^igne  17.  Poslcrieur,  lisez  améiicar. 

Jhid.  Ligne  î8.  Solaire,  lisez  soleaiie. 

3 16.  Ligne  42.  Roqiietli ,  lisez  Riquetli. 

32g.  Ligue  40.  Sébacées  (glandes) ,  li.'>ez  sébace'es  (organes.) 

341.  PORTE- ATTELLE.  Morceau  de  toile  qui  sert  à  rou- 
er les  allelles  dans  l'appareil  employé  dans  le  traiteuienl  des 
fractures.  T.  XV,  page  23. 

Ibid.  PORTE-NOEUD.  Tomes  XLIV  ,  page  247 ,  et  LV, 
page  195. 

347.  Ligne  29.  Attaché,  lisez  attaches. 

348.  POSITION  DU  PAYS.  On  a  renvoyé  à  ce  mot  de  dié- 
tétique, loiTie  IX,  page  338.  Il  n'en  a  pas  élé  traite  h  part  ; 
c'est  à  CLIMAT  (Tome  V,  page  53o  ) ,  à  géogbapuie  médicale 
(Tome  XV  III,  page  i5i  ),  et  à  haiutation  (  Touic  XX,.  p.  i  ), 
qu'il  faut  recourir  pour  avoir  uns  idée  des  avantages  ou  des 
inconvéniens  de  la  position  du  pays. 

369.  POSTILLONS  (maladies  des).  On  a  renvoyé  à  ce  mot 
d'ÉQUiTATioN,  tome  XII,  page  iSc).  On  donne  le  nouj  de  pos- 
tillons à  ceux  qui  font  le  service  de  la  poste  aux  chevaux  ,  et, 
par  extension, à  ceux  qui  conduisent  les  chevaux  des  dih'gcnces, 
voitures,  etc.  Les  maladies  propres  aux  personnes  docetlc 
profession  s'étendent  à  tous  ceux  qui  vont  à  cheval  ,  tels  (juc 
cavaliers  (dans  la  troupe),  courriers,  écuyers  ,  estafettes,  etc. , 
etc.  Celte  classe,  comme  on  le  voit,  est  très-nombreuse. 

Le  service  autour  des  chevaux  expose  à  des  accideiis  nom- 
breux ;  les  coups  de  pied,  les  morsures  de  ces  animaux,  etc., 
sont  des  causes  fré([uentes  de  blessures  graves  ,  de  contusions 
considérables  ,  de  fractures  ,  et  souvent  de  mort  prompte.  Ou 
sait  que  fréquemment  un  coup  de  pied  sur  la  poitrine  ou  l'ab- 
domen a  suffi  pour  tuer  sur  le  champ  celui  qui  l'a  rec^u.  La 
morsure  des  chevaux  a  causé  plus  d'une  fois  le  tétanos ,  soit  à 
cause  de  la  proiondeur  de  la  plaie,  soit  à  cause  de  la  dilacé- 
ralion  étendue  (jue  des  dents  aussi  fortes,  mues  par  des  nmscles 
aussi  vigoureux,  causent.  Les  pressions  entre  plusieurs-chevaux 
peuvent  causer  des  écrase:neus  ;  les  portillons  en  garanlissrujt 
leurs  jambes  au  moyen  des  bottes  fortes  ,  qui  ont  aussi  l'avan- 
tage de  les  faire  tenir  mieux  en  selle,  à  cause  de  leur  poiris. 
Un  cavalier  p:u   habitue  au  cheval  ,  ou  le  plus  habitué  ,  si 


TOME  XLIV.  POSTILLONS.  i55 

ceiuî-ci  est  r<!lif ,  indocile  ,  oh  capricieux  ,  peut  être  demonlc, 
jeté  avec  plus  ou  moins  de  violence  a  bas  ,  ce  qui  donne  lieu 
à  des  accidens  plus  ou  moins  graves,  suivant  la  partie  frappée, 
la  violence  de  la  contusion ,  et  la  nature  du  sol  où  elle  a  lieu. 
On  a  vu  souvent  le  crâne  se  rompre  avec  violence  contre  le 
pave,  et  i'individu  rester  mort  sur  la  place  j  souvent  aussi  il 
en  résulte  des  Iraclurcs  du  bias,  de  la  cuisse,  de  la  jambe,  etc., 
ou  une  violente  contusion  de  (juclque  région  du  coips.  A  tout 
prendre,  cependant  ,  une  cliutc  de  cheval  est  moins  souvent 
dangereuse  que  les  coups  de  pied  de  cet  animal ,  qui  sont  si 
violens  et  si  meurtriers. 

Les  pièces  de  riiarnachement,  qui  servent  ordinairement  à 
assurer  l'équilibre  du  cavalier  sur  le  cheval,  peuvcnlcependanl, 
dans  quelques  occasions,  contribuer  à  ce  qu'il  soil  blesse  plus 
fréquemment  que  si  le  cheval  eût  été  monte  à  poil.  Elfcclive- 
meni ,  les  pieds  de  l'ccuyer  peuvent  se  prendre  ,  lors  d'une 
chute  ,  dans  les  etriers ,  dans  la  bride  ou  le  bridon  ,  la  crou- 
pière, la  selle  ,  au  moyen  des  éperons  ,  et  l'homme  rester  ac- 
croche et  traîné  par  son  cheval,  ce  que  l'on  voit  tous  les  jours; 
aussi  les  éperons  devraient-ils  être  bannis  de  l'équipage  du 
cheval,  et  les  élriers  devraient  toujours  être  larges,  sans  angles, 
et  fort  lisses ,  afin  que  la  jambe  puisse  se  débarrasser  facile- 
ment. Les  Turcs,  avec  leurs  étriers  cambrés  et  en  bateau  ,  sont 
moins  exposés  qae  nos  cavaliers,  surtout  parce  qu'ils  n'ont  pas 
d'éperons,  l'étrier  en  servant  au  besoin,  chose  que  nous  pour- 
rions imiter,  et  qui  préserverait  de  bien  des  accidens  soit  à 
cheval  ,  soit  à  pied  ,  car  les  hommes  qui  en  portent  se  font  à 
eux,  ou  aux  autres,  des  blessures  avec  celte  espèce  d'aiguillon. 
11  faut ,  pour  se  tenir  à  cheval ,  en  acquérir  la  possibilité  , 
paa"  l'habitude,  ou  par  principe  dans  les  manèges.  Ce  que 
l'on  n'acquiert  jamais  qu'avec  le  temps  ,  c'est  d'y  habituer  les 
parties  sur  lesquelles  porte  le  corps  du  cavalier;  les  fesses  s'en- 
tament facilement  chez  un  novice,  et  rien  n'est  si  douloureux 
que  cette  écorchure;  il  semble  qu'on  ait  des  milliers  d'épingles 
brûlantes  qui  vous  lardent;  il  faut  plus  de  temps  qu'on  ne 
pense  pour  arriver  à  pouvoir  contracter  l'habitude  du  cheVal 
de  manière  à  ce  que  le  croupion  ne  s'entame  plus.  J'ai  ouï  ra- 
conter à  un  colonel  de  cavalerie ,  qu'il  avait  dans  son  régiment 
des  hommes  qui  y  étaient  depuis  plus  de  trois  ans ,  et  dont  la 
peau  s'entamait  encore,  ce  qui  pourrait  être  un  raotif  de 
réforme  pour  celte  arme,  et  ce  qui  prouve  que  ce  genre  de 
service  exige  infiniment  plus  de  temps  pour  s'y  faire  que 
celui  de  fantassin.  Sauvages  nomme  la  simple  rougeur  e'rysi- 
pélateuse  des  fesses  erythema  paratrima,  et  l'ccorchure  qui  a 
souvent  lieu  au  pourtour  de  l'anus  même  ,procla[gia  intertri- 
ginosa;  il  y  a  parfois  des  tumeurs  produites,  soit  a.  l'anus, 


j55  tome  XLIV.  postillons. 

soit  dans  le  tissu  cellulaire  des  fesses  par  le  monter  du  cîicvaK 

Mais  il  faut  dllficilement  ajouter  foi  à  ces  recils  de  cava- 
liers qui  disent  avoir  eu  des  lati;beaux  de  peau  emportes  à  la 
suite  de  courses  de  plusieurs  jours  sans  descendre  de  cheval. 

On  remédie  à  ces  maux  par  le  repos,  des  bains,  des  onctions 
grasses,  des  cataplasmes  emoUiens,  des  lavemens,  etc.  Le  re- 
mède le  plus  ordinaire  des  cavaliers,  et  qui  leur  réussit  fort. 
bien  ,  est  de  se  frotter  avec  un  bout  de  chandelle  ,  et  ordinaire- 
ment leur  entrejhsson  cesse  du  jour  au  lendemiùn,  s'il  est  lé- 
ger. Au. surplus,  avec  l'usage  ,  on  se  fait  si  bien  à  l'exercice  du 
cheval,  que  les  vieux  postillons  ont  les  fesses  calleuses  et  en- 
durcies au  point  qu'ils  supportent  le  poids  du  corps,  presque 
toujours  à  cheval ,  sans  en  ressentir  le  moindre  dommage. 

La  pratique  du  cheval  provoque  souvent  les  hémorroïdes,  par 
l'irrilalion  qu'elle  appelle  dans  la  partie  qui  en  est  le  siège, et 
c'est  ua  bon  moyen  à  employer  pour  les  rappeler  chez  les  gens 
chez  qui  on  veut  les  faire  reparaître  ,  dont  on  ne  connaît  pas 
assez  la  valeur  dans  les  grandes  villes,  oîi  l'exercice  du  che- 
val est  peu  usité,  et  qui  vaut  certainement  mieux  que  l'aloës, 
ou  autres  moyens  incendiaires  que  l'on  emploie  pour  obtenir 
ce  résultat. 

L'exercice  du  cheval  ne  lèse  pas  que  l'anus  et  le  croupion  ; 
on  l'a  vu  produire  des  écoulemens  blennorrhagiques  chez  ceux 
qui  n'avaient  pas  l'habitude  de  monter  cet  animal  j  les  testicules 
peuvent  être  également  endommagés  ;  ils  peuvent  être  pressés 
entre  la  selle  et  le  cavalier,  surtout  chez  ceux  qui  ont  les  bourses 
lâches,  et  particulièrement  le  gauche,  qui  descend  toujours 
plus  bas  que  le  droit.  11  en  résulte  des  contusions  douloureuses 
de  cette  partie,  et  même  son  inflammation.  Les  répétitions  de 
semblables  lésions  peuvent  amener  des  squirrhosités  de  ce:  qf- 
gane  ,  et  par  suite  un  véritable  sarcocèle.  Le  pincement  des 
testicules  arrive  surtout  lorsque  les  selles  dont  on  sp  sert  sont 
trop  relevées  du  devant,  ou  lorsque  le  cavalier,  mal  équilibré 
sur  SCS  arçons,  se  penche  trop  en  devant,  ou  si  ses  étriers  sont 
trop  longs;  il  évitera  par  conséquent  ces  accidens  en  prenant 
les  précautions  qu'indique  chacune  de  ces  causes  diverses.  Il 
y  aurait  plus  de  danger  encore  si  îe  cavalier  avait  une  gonor- 
rhée  déjà  un  peu  ancienne  ;  il  risquerait  alors  de  la  voir  toni- 
herdans  les  bourses^  suivant  l'expression  usitée,  accident  très- 
iréquent  dans  la  cavalerie,  et  qui  exige  une  dispense  momen- 
tanée de  service  toutes  les  fois  qu'il  a  lieu. 

Hippocrate  a  prétendu  (  De  a'ére^  aquis ^  et  locis  ) ,  que  lé 
long  usage  du  cheval,  par  la  compression  habituelle  qu'il  opère 
sur  les  testicules,  pouvait  rendre  stérile,  et  il  cite  en  exemple, 
pour  prouver  ce  qu'il  avance,  les  Scythes,  dont  beaucoup 
étaient  dans  ce  cas,  et  même  impuissans,  par  l'obliléraliondeâ 


TOME  XLÎY.  POSTILLONS.  i5n 

vaisseaux  scininifcres,  causée  par  le  froissement  Iiabiluel  du 
leslicuie,  affection  qu'il  dcsignc  sous  le  nom  d'iTTroupiv.  Sans 
nier  la  possibilité  tic  ce  résultat,  par  un  usage  excessit  du  che- 
val, nous  dirons  qu'il  est  inconnu  chez  nous,  el  que  les  pos- 
tillons ont  au  contraire  beaucoup  d'enfans,  de  sorte  que  le 
sentiment  d'Aristole  (  libr.  iv,  Prabl.  12),  qui  croit  que  ceux 
qui  vont  à  cheval  sont  très-enclins  à  Tamour,  à  cause  de  la 
chaleur  continuelle  et  du  frottement  des  parties  génitales, nous 
semble  plus  exact.  Ces  deux  opinions  peuvent  être  vraies, 
mais  il  faut  établir  cette  différence,  que  le  résultat,  indiqué 
par  Hippocrate  est  sans  doute  celui  d'une  équilation  immodé- 
rée, tandis  que  celui  d'Aristole  ne  regarde  que  celle  qui  sera 
modérée. 

On  reconnaît  ceux  qui  ont  l'habitude  du  cheval  h  une  allure 
particulière  j  un  vieiix  cavalier,  par  exemple,  a  les  Jambes 
écartées,  cambrées  en  dehors,  les  genoux  déjetés  dans  le  même 
sens  ,  à  cause  de  la  pression  continuelle  des  flancs  du  cheval  ^ 
il  a  un  air  gauche  à  pied  ,  et  semble  hors  de  son  élément  lors- 
qu'il faut  pousser  les  cailloux,  suivant  l'expression  reçue  dans 
la  troupe.  A  cheval ,  au  contraire,  il  est  h  son  aise  ;  il  se  prête 
h  tous  les  mouvemens  de  cet  animal ,  et  semble  faire  corps  avec 
lui.  La  fable  des  centaures  n'a  pas  d'autre  fondement  que  l'ha-  , 
bileté  de  certaines  peuplades  à  se  tenir  à  cheval  ,  comme  l'ont 
remarqué  les  interprètes  des  anciens. 

L'exercice  du  cheval,  lorsqu'il  n'a  rien  de  trop  fort  et  de 
trop  prolongé,  imprime  au  corps  des  secousses  salutaires,  fa- 
cilite le  mouvement  des  fluides  dans  tous  les  vaisseaux,  em- 
pêche leur  stagnation  dans  ceux  d'un  ordre  inférieur ,  empêche 
par  conséquent  les  engorgemens  ,  et  peut  m«me  les  résoudre  s'ils 
sont  commençant  et  peu  considérables.  C'est  en  cela  que  l'équi- 
tatiou  a  toujours  été  préconisée  par  les  médecins  ,  et  surtout  par 
Sydenham,  contre  les  maladies  chroniques,  et  particulièrement 
pour  les  éviter.  C'est  un  moyen  irès-efticace,  dont  on  relire  tous 
les  jours  de  grands  avantages,  surtout  avec  les  riches  Parisiens 
des  deux  sexes,  ensevelis  dans  la  mollesse  et  l'oisiveté.  Joignez 
aux  vibrations  viscérales  si  utiles  qu'il  produit,  un  air  plus  pur, 
qui  se  renouvelle  à  chaque  inspiration,  la  distraction,  la  vue 
de  sites  champêtres  ,  etc.,  et  vous  expliquerez  les  heureux  ré- 
sultats qu'on  retire  de  l'exercice  du  cheval.  On  remarque  que 
ceux  qui  se  servent  fréquemment  du  cheval  engraissent  beau- 
coup et  qu'ils  sont  en  général  gros  mangeurs. 

Mais  si  l'usage  du  cheval  est  excessif,  que  les  mouvemeos  de 
l'animal  soient  trop  durs,  trop  faîigans  ,  il  peut  résulter  des 
accidens  fâcheux  et  variés.  Le  cheval  dur  est  connu  pour  don- 
ner lieu  à  des  inflammations  des  reins  et  de  la  vessie,  ce  dernier 
organe  recevant  les  premières   et  les  plus  fortes  secousses 


i58  TOME  XLÎV.  POSTILLONS. 

qui  vonl  en  s'ainuiiidi  issant  à  mesure  qu'elles  s'cioigncnl  (îa 
poiui  de  départ ,  ce  qui  fait  que  les  c'cuyers  pissent  souvent  du 
sang  :  eWcs  peuvent  causer  des  hernies  par  ie  baloltement  des 
viscères  abdominaux.  On  a  vu  l'usage  du  cheval  rompre  des 
vaisseaux  dans  la  poilrine  (  Baillou  ),  causer  des  paralysies  des 
lombes  et  des  cuisses  (  Hipp.,  Epid.  iv,  n°.  l'j  ).  Un  résultat 
frpquent  de  chevaux  trop  durs ^  est  la  production  de  douleurs 
vives  dans  quelques  panlies  des  reins,  de  la  poitrine  ou  du 
ventre;  on  a  vu  de  ces  douleurs  qui  avaient  inspiré  les  plus 
grandes  craintes,  céder  au  repos  ,  et  ne  pas  récidiver  en  se  ser- 
vant ensuite  d'un  cheval  d'une  allure  plus  douce. 

Généralement,  l'usage  du  cheval  échauffe  et  constipe;  ce- 
pendant, à  cheval  ,  les  extrémités  perdent  leur  caloriijue  ,  dans 
Ja  saison  froide  ,  plus  vile  qtie  le  corps;  les  j;;mbes  de  l'écuyer 
sont  surtout  Irès-sujetles  à  cela,  cl  les  cavalier;  y  remédient  en 
les  otant  des  élriers  et  les  laissant  pendre;  le  froid  saisit  bien 
plus  vite  à  cheval  f[u'à  pied,  et  souvent  les  cavaliers  sont  obli- 
ges de  descendre  et  de  marcher  pour  se  récliaulicr. 

Bien  que  les  jambes  soient  presqtie  pendantes  lorsque  l'on 
est  à  cheval ,  on  n'observe  pas  que  les  cavaliers  soient  plus  su- 
jets aux  varices  ,  aux  ulcères  de  celle  partie,  que  les  autres 
individus,  ce  qui  parait  tenir  à  ce  qu'ils  ont  liabituellement 
des  bottes  ou  des  bottines  qui  leur  serrent  celle  parlic  du  corps. 

L'exercice  dii  cheval  est  contr'indi(]ué  dans  les  maladies  in- 
flammatoires, douloureuses,  dans  les  anévrysmes  des  gros  vais- 
seaux et  du  cœur,  lors  de  calculs  des  reins  ou  de  la  vessie, 
dans  la  plupart  des  maladies  de  ce  dernier  organe,  si  l'on  a 
des  hémorroïdes,  de  la  céphalalgie,  etc. 

Lorsque  l'on  monte  fré(iuenunent  à  cheval,  on  doit  avoir  : 
1°.  des  botles  plus  on  moins  foites,  qui  consolident  l'homme 
et  l'assurent  sur  son  cheval  ;  i°.  un  suspensoir  pour  relever  les 
bourses  et  empêcher  les  accidensqui  peuvent  naître  de  la  com- 
pression des  testicules;  3^.  une  ceinture  de  corps,  qui  lasse  plu- 
sieurs tours,  ou  une  ceinture  élastique,  afin  d'empêcher  le 
ballotlement  des  viscères  abdominaux  ;  4°-  une  housse  moel- 
leuse sur  sa  selle,  pour  rompre  les  secousses,  et  empêcher  les 
contusions  qu'on  éprouve  a  chaque  fois  qu'on  retombe  sur  Je 
cheval  ;  5°.  une  peau  de  mouton,  ou  autre  fourrure  sur  la 
poilrine ,  si  on  va  contre  Je  vent;  6".  un  manteau  pour  se  pre'- 
server  de  la  pluie. 

Les  postillons  proprement  dits  sont  sujets  h  des  maladies 
aiguës,  rhumatismales,  etc.,  par  l'obligation  où  ils  sont  sou- 
vent d'aller  nuit  et  jour  ,  par  toute  espèce  de  temps  ;  ils  cou- 
chent le  plus  souvent  dans  les  écuries,  où  l'odeur  des  fumiers, 
réraanation  des  animaux,  corrompent  l'air  ,  et  peuvent  deve- 
nir ainsi,  pour  eux ,  des  causes  de  maladies. 


TOME  XLIV.  POUDRE  D'ALGAROTIT.         1^9 

3()5.  POUDRE  D'ALGA]iOTM.  Voyez  tiviiViiQUE,  lome 
XI  j  page  526. 

Ibid.  POUDRES  COMPOSÉES.  On  a  renvoyé  à  cei  article 
de  MIXTION,  tome  XXXIII,  pai,"-  5o8.  il  n'en  a  pas  été  iraiték 
part;  c'est  à  poudre  (  Tome  XLIV,  page  392)  qu'il  faut  re- 
courir pour  en  prendre  connaissance. 

399.  POULIE  ARTICULAIRE  DE  L'HUMÉRUS.  Tome 

XXll  ,  page  3.  ^ 

400.  POULlOT  DE  CR.ETE ,  leucrlum  creliciun ,  L.  Cotte 
espèce  devrait  entrer  dans  la  coniposilion  de  la  ihrriaque;  on 
lui  substitue,  à  cause  de  sa  rareté,  le  Itucrinin  jjolinni ,  L. ,  ou 
sa  varic'lc,  le  teucrium  nionlanum  ,  L. ,  (pii' croissent  sur  nos 
collines  chaudes  ,  et  ([ue  l'on  désigne  sous  le  uoiu  à^  pouUoL  de 
montagne.  Ces  plantes  sont  amèics  et  toniques. 

535.  Ligne  4*  Pcctoriloquie,  U.'-ez  pcctori loque. 

5-4.  POUMOX  DU  FOETUS.  Nom  que  quelques  actou- 
cUeurs  donnent  au  foie  du  {'œlus.  Tome  XLli,  page  54o. 


TOME  XLV.  PREPUCE. 


TOME  QUAPiANTE-CiNQUIÈME. 


83.  PRÉPUCE  (filel  du).  On  a  dcjà  dit  à  l'ariicle  riLET 
(lomc  XY  ,  page  4o*^  )  j  M"c  celui  du  prépuce  pouvait  èlie  si 
court  qu'il  ne  permît  pis  à  celui-ci  de  se  renverser  audessous 
du  gland  ,  en  arrière  au  moins.  Je  Jui  ai  vu  produire  un  autre 
résultat  qui  présente  un  cas  de  médecine  légale  assez  curieux. 

Un  jeune  homme  ,  n^arié  depuis  quatre  ans  avec  une 
femme  bien  consliluce,  avait  le  pénis  fait  de  manière  que  , 
dans  l'élection,  il  imitait  l'arc  par  le  sommet,  à  cause  de  lu 
tension  exliènie  du  filet  du  prépuce,  (jui  semblait  Je  retirer 
en  bas.  Ce  sujet  m'avoua  qu'il  n'éjaculait  pas  le  sperme  conmio 
les  autres  hommes,  et  (pi'il  no  sortait  en  quelque  sorte  que 
par  î^outte.  Je  proposai  la  section  du  filet  du  prépuce  dans 
l'espoir  que  la  verge  pourrait  re'cupérer  sa  rectitude,  (jui  est 
nécessaire  pour  que  l'éjacnlation  ait  lieu  avec  force.  11  s'y 
sounn't  queique  mois  après;  mais,  soit  que  robîiquité  de  celte 
partie  fût  trop  ancienne  pour  être  vaincue,  soit  que  ce  phé- 
nomène ne  puisse  se  réaliser  qu'avec  beaucoup  de  temps,  deux 
ans  après  il  n'avait  pas  encore  retrouve  ia  faculté  d'éjaculer  ; 
seulement  il  lui  semi)laitt{ujc  le  membre  viril  était  un  peu  moins 
courbe,  et  il  ne  désef^pérait  pas  qu'il  ne  retrouvât,  avec  le 
temps,  la  forme  qu'il  a  chez  tous  les  autres  hommes  ,  et  <|u'il 
ne  pût  enfin  devenir  père.  Ce  cas  ,  dans  la  supposition  de 
non  curabililé,  serait  certainement  uti  de  ceux  où  le  mariage 
pourrait  être  dissous  pour  cause  de  stérilité. 

Dans  la  blcnnorrhagie  cordée  y  il  n'y  a  pas  non  plus  d'éja- 
culation  ,  ce  qui  peut  tenir  à  la  torsion  qu'épreuve  le  canal 
de  l'urètre.  J'ai  remarcjue'  qu'il  n'y  en  a  pas  non  plus  dans 
le  plus  grand  nombre  <les  cas  de  gonorrhée  simple;  dans  l;i 
période  indammaloire ,  le  spernîe  ne  sort  que  goutte  h  goutte, 
il  semble  que  la  nature  n'ait  pas  voulu  permettre  une  géné- 
ration impure.  11  est  probable  que  celle  circonstance  tient 
au  boursouflen»ent  de  l'urètre  dans  quehjue  point,  qui  obstrue 
le  passage,  et  qui  ne  permet  pas  à  ce  liquide  d'èlre  lance 
avec  force. 

io5.  PRÉSOMPTIFS  (signes).  Tome  XL ,  page  544. 

Il  4"  PRETRES  (santé  des).  Celte  profession,  dans  la  re- 
ligion catholique  romaine  ,  impose  des  privations  nombreuses, 
telles  que  le  célibat,  la  continence,  des  jeûnes  multiplies, 

21 


i62  TOME  XLV.  PRÉTllES. 

l'usage  fréquent  du  maigre,  de  longs  séjours  dans  les  églises, 
etc.,  qui  ne  peuvent  manquer  d'influer  sur  la  santé  de  ceux, 
qui  l'exercent. 

Les  ecclésiastiques,  religieux  observateurs  des  devoir?  que 
leur  impose  l'église,  sont  souvent  maigres,  jaunâUes,  sur- 
tout s'ils  s'y  livrent  avec  une  austérité  blâmable  sous  le  rappoit 
de  leur  santé;  la  privation  de  la  plupart  des  plaisirs  aux- 
quels l'homme  du  monde  se  livre,  les  rend  mélancoliques, 
tristes  ,  parce  qu'elle  exige  des  combats  perpétuels  pour  résister 
ctïicacement  aux  besoins  que  la  nature  leur  impose.  Les  pas- 
teurs proteslans ,  sous  ce  point  de  vue  ,  comme  sous  plusieuis 
autres  ,  sont  dans  une  position  plus  naturelle  sous  le  rappoit 
de  leur  santé,  en  ne  jugeant  les  choses  que  par  la  règle  com- 
mune aux  autres  hommes. 

Le  séjour  prolongé  dans  les  églises,  que  les  nombreuses  pra- 
tiques de  la  religion  romaine  exigent.,  influe  beaucoup  sur  la 
santé  des  serviteurs  de  Dieu  ;  ces  lieux  ,  toujours  sombres,  hu- 
mides, peu  aérés,  souvent  froids  et  glacials  ,  les  décolorent, 
leur  font  contracter  des  jhumes,  des  catarihes ,  des  rhuma- 
tismes, des  inflammations  des  viscères,  etc.  Le  froid  des  pieds, 
qui  est  presque  continuel  dans  cette  classe  d'hommes,  paice 
qu'ils  sont  sans  cesse  sur  des  pierres  épaisses,  leur  donne 
■  des  coliques  et  des  maux  d'entiailles  fréquens;  les  ordies 
religieux  où  on  allait  pieds  nus  y  étaient  plus  sujets  encore  , 
ce  que  l'on  avait  remarqué  dans  l'anliquité  pour  les  sacrifica- 
teurs qui  allaient  pieds  nus  dans  les  temples.  La  tête  décou- 
verte des  prêtres,  les  rend  également  sujets  à  éprouver  des 
céphalalgies  intenses,  qui  seraient  encore  bien  plus  fréquentes 
sans  le  camail  qu'ils  poilent  l'hiver,  et  la  calotte  qu'ils  ont 
en  tout  temps,  et  qui  s'agrandit  en  proportion  de  la  facilite 
du  sujet  J»  se  refroidir. 

Au  surplus,  le  séjour  froid  et  humide  des  églises,  dans 
cette  saison,  n'indispose  pas  que  les  prêtres;  les  fidèles  en 
sont  également  atteints,  et  en  éprouvent  des  indispositions  di- 
verses. On  ne  voit  pas  pourquoi  la  discipline  de  l'église  ne 
permet  pas  aux  hommes  de  s'y  couvrir  la  tête,  puis(jue  les 
prêtres  l'ont  couverte  ,  que  les  femmes  l'ont  également ,  et  jus- 
qu'au suisse,  tandis  que  le  laïque  est  oblige'  de  s'enrhumer  et 
de  se  morfondre  de  froid.  Les  femmes  délicates  contractent  ie 
germe  Je  plusieurs  maladies  dans  les  temples  ,  par  un  trop  long 
séjour  aux  offices.  J'ai  vu  des  curés  renvoyer  des  femmes  do 
l'église,  en  leur  disant  que  leur  santé,  autant  que  les  soins  do 
leur  ménage,  exigeait  qu'elles  ne  demeurassent  pas  aussi  loni;- 
lemns  dans  la  maison  du  seigneur.  Les  médecins  sont  à  porUo 
df*  savoir  que  le  séjour  trop  prolongé  dans  les  églises  est  la 
soîirce  d'une  multitude  de  maladies,    et  une  piélé  cclaiiec  ne 


TOME  XLY.  PllÉTRES.  i63 

l'(  xigcra  jamais  de  ceux  qui  peuvent  en  éprouver  des  derange- 
iiseiis  dans  la  santé.  On  ne  peut  vouloir  ce  qui  est  audessus  des 
ibi  ces  de  riiomme  ;  sous  ce  rapport ,  les  prolestans  ,  qui  cliaul- 
il  lit  leurs  églises  parquetées,  qui  n'y  font  que  de  courts 
srj  ours ,  sont  plus  favorisés  que  ceux  qui  suivent  le  rit  romain. 

Les  douleurs  rhumatismales  qui  accablent  les  vieux  prêtres, 
cl  qu'ils  doivent  au  séjour  des  églises  ,  leur  permettent  par- 
iois  difficilement  d'exécuter  les  divers  gestes  que  le  service 
de  la  messe  exige;  on  en  voit  qu'il  faut  soutenir  pour  monter 
à  l'autel,  ou  faire  les  génuflexions  usitées  pendant  sa  célé- 
Ijialion.  Je  connais  un  ancien  prêtre  iqui  a  le  genou  droit 
calleux  à  force  de  se  mettre  à  genou. 

La  continence  où.  vivent  les  prêtres  donnent  parfois  lieu  à 
tics  maladies  des  parties  sexuelles,  ou  a  des  névroses  qui  ru 
dépendent.  Il  n'y  a  que  peu  de  mois  que  j'ai  donné  dés  soins 
à  un  curé  attaqué  d'un  sarcocèle  qu'on  fut  obligé  d'amputer. 
On  sait  qu'autrefois  les  religieuses  étaient  plus  sujettes  aux 
ulcères  de  matrice  qu'aucune  autre  classe  de  femmes. 

Les  ecclésiastiques  sont  sujets  à  recevoir  les  émanations  déle'- 
tères  des  gens  qu'ils  confessent,  des  malades  qu'ils  assistent,  des 
morts  qu'ils  enterrent,  des  hôpitaux  et  des  prisons  qu'ils  visi- 
tent, etc.  ;  sous  ce  rapport  ils  peuvent  être  assimilés  aux  mé- 
decins, pharmaciens  et  autres  personnes  soignant  les  malade.'. 
Dans  les  épidémies ,  dans  les  pestes  publiques  ,  ils  périssent  en 
j^i  and  nombre,  comme  des  exemples  récens  nous  le  montrent,  en 
même  temps  qu'ils  nous  prouvent  que  la  crainte  de  la  mort  ne 
saurait  les  empêcher  de  prodiguer  les  trésors  de  la  consoialioa 
aux  victimes  de  ces  calamités. 

lies  ministres  de  la  religion  sont  maintenant  trop  ér'airés  , 
Il  op  pénétrés  de  son  esprit  de  tolérance  et  de  bonté,  pour  avoir 
i»  redouter  de  leur  part  des  démarches  indiscrètes,  et  àplusfoitc 
litisou  la  violence  au  sujet  delà  croyance  des  malades,  ce  qui 
Ici  ait  de  leurs  derniers  instans  des  momens  de  désespoir;  ils 
savent  qu'ils  ne  doivent  leur  ministère  qu'à  ceux  qui  le  récla- 
ment ,  et  leur  devoir  est  de  s'y  prendre  avec  les  ménagcmens  ({uc 
«  oinporle  l'état  de  faiblesse  de  ceux  qui  désirent  leur  pieuse 
;»s.sistance.  Tropsouvent  les  médecins  onteu  agéniir  sur  l'aggra- 
vation de  la  maladie,  à  l'approche  des  actes  religieux,  pour 
îio  pas  souhaiter  qu'ils  ne  soient,  autant  que  possible  ,  exercés 
q'.ie  par  des  ecclésiastiques  déjà  anciens  dans  le  sacerdoce,  et 
pius  à  même  par-là  de  compatir  aux  faiblesses  de  l'homme  et  de 
t' iiir  le  langage  de  miséricorde  et  de  paix  si  bien  dans  l'esprit  de 
TEvangilc.  J'ai  connu  des  chapelains  des  hôpitaux  ,  qui ,  pour 
1 1  tuédier  à  cet  inconvénient ,  avaient  pris  l'habitude  de  parler  , 
<ii>>  leiir  arrivée,  aux  malades,  de  manière  hsc  familiariser  avec 
tux,  et  à  ne  plus  leur  donner  de  icrréur  si  leur  ministère  de* 


i64  TOME  XLV.  PRÊTRES. 

venait  ndcesiaire.  C'est  une  pratique  qui  nous  semble  fort 
boutie  à  imiter. 

Les  sœurs  des  hôpitaux,  sous  le  rapport  de  la  santé,  ont 
plus  d'une  analogie  avec  celle  des  prêtres  et  des  médecins  ; 
elles  viventau  milieu  d'une  atmosphère  impure,  et  parfois  cou- 
tugieuse,  dont  elles  sont  souvent  victimes.  Cela  ne  diminue  pas 
le  zèle  de  ces  saintes  filles,  qui  prodie;uent  aux  malades  les 
soins  les  plus  assidus,  toujours  pe'uibies  et  souvent  dcgoû- 
tans ,  avec  un  dévouement  que  la  charité  cluélieime  seule  peut 
donner  ou  souteîiir.  La  peste  de  Barcelonne  vient  d'offrir 
I  exeinplo  de  deux  pauvi'.s  sœurs  s'cxposant  à  une  mort  presque 
certaine,  sans  aucun  autre  espoir  de  récompense,  que  celle 
que  la  religion  leur  pouvait  olfrir,  et  devenir,  par  leur  cou- 
rage  religieux,  l'admiration  de  l'Europe. 

Les  it.jdecins  préfèrent,  pour  le  service  des  liôpifanx ,  les 
sœurs  aux  infirmiers  ir.ercenaires,  parce  que  les  malades  sont 
mieux  tenus,  mieux  soignés  j  mais  ils  exigent  qu'elles  ne  se 
tijclent  jamais  que  de  ces  soins,  et  qu'elles  n'oublient  pas 
qu'elles  doivent  se  borner  au  rôle  de  subordonnées. 

«95.  Après  le  §.  xv  ,  ajoutez  :  Principes  azotes  non  crital- 
lisables,  non  classes. 

322.  PROCTORRHËE.  Tome  XXXVI ,  page  23 1. 

335.  PROFESSIONS.  On  a  renvoyé  à  cet  article  d'une 
multitude  de  mots  du  Dictionairc,  et  quelques-uns  des  points 
de  vue  pour  lesquels  on  y  renvoyait  n'ont  pas  toujours  été 
traités  à  ce  titre  ,  mais  aux  professions  en  particulier.  On  y  a 
renvoyé  entre  autre  d'tQuiTATioN  (  tome  XIII ,  pag^^  ^^9)?  pour 
ce  qui  concerne  les  accidens  du  cavalier,  du  postillon.  Foyez 
ce  dernier  mot  à  son  ordre  alphabétique  daus  les  appendices. 

475.  PROSTATE.  Ajoutez  aux  indications  de  la  table, 
celle-ci  :  Tome  XXVI,  page  21 5. 

480.  PROSTATITE.  Xom  que  M.  Swédiaur  donne  à  l'in- 
flammation de  la  prostate.  Tome  XXVI,  page  2i5. 

5 1  o.  PROTHÈSE,  On  a  renvoyé  à  ce  mot  de  fistule  (  tome 
XV,  page  620),  pour  le  détail  d'une  machine  utile  pour  ob- 
vier aux  inconvéniens  de  l'anus  ariificiel.  Il  n'en  est  pas  ques- 
tion îi  ce  mot.  Ou  en  a  parlé  à  hernie,  tonieXXI,  page  157. 

31 3.  PROTOCHLORURE  DE  MERCURE.  Xom  du  ca.. 


TOME  XLV.  TROTOPSIS.  i65 

lomelns ,  suivant   la  nomenclature   chimique  actuelle.   Tome 
XXXII,  page  457. 

5i3.  PROTOPSIS.  Synonyme  de  procidence;  saillie  delà 
cornée  au  devant  de  l'œil  ,  solide  chez  les  enfans,  concave  et 
amincie  chez  les  adultes.  Tome  VI ,  page  35 1  bis. 

Tbld.  PROTOXYDE  D'AZOTE.  Gaz  qu'où  retire  du  ni- 
trate d'ammoniaque.  Tome  XV II,  page  499. 

Ibid.  PROTOXYDE  DE  MERCURE.  Nom  chimique  de 
Yœthiops  minéral.  Tome  XXXII ,  page  455. 

Ihid.  PROTUBÉRANCES  CYLINDROIDES.  Nom  que 
]\l.  Chaussier  donne  aux  cornes  dAmmon  {pedes  Hypocampi). 
Tome  XLIl ,  page  41 5. 


TOME  XLYI.  PSYCOSE.  167 

TOME  QUARANTE-SIXIÈME. 

Page  25.  PSYCOSE.  Tome  XXXIX ,  page  68. 

282.  PATHOMANIE.  Sorte  de  vésanie  distinguée  par 
M.  31althcy.  Tome  LVII ,  page  540. 

35o.  PYTHIOCAMPE.  Chenille  velue  qui  irrite  la  peau 
par  ses  poils.   Tome  XXV,  page  324- 

# 
Jhid.  Ligne  23.  Avel ,  lisez  Anel. 

Q 

55 1.  QUADRTJUMEAUX.  A  cet  article  on  n'a  décrit  que 
les  tubeicules  de  ce  nom  ,  et  non  les  muscles  ,  qui  le  portent 
aussi ,  qui  sont  les  jumeaux  et  le  carré  crural,  il  en  est  traité 
à  ces  deux  derniers  noms,  tome  IV,  page  119,  et  t.  XXXVl , 
page  4i2. 

893.  QUASSIA.  Ajoutez  à  cet  article  ce  qui  est  relatif  au 
gobelet  de  quassia  ,  qui  est  exposé  tome  XV 111 ,  page  52o. 

SgS.  QUESTION.   Voyez  tokture,  tome  LV,  page  324. 

899.  QUINQUINA.  Depuis  l'impression  de  notre  travail 
sur  les  quinquina^  MM.  Pelletier  et  Caventou  ont  public  celui 
qu'ils  composaient  alors  sur  l'analyse  de  cette  écorce,  et  dont 
nous  avons  dit  quelque  chose.  Us  ont  donné  une  analyse  plus 
complète  (jue  celles  que  Ton  possédait  sur  les  trois  princi- 
pales espèces  usitées  en  médecine  ,  le  gris ,  le  jaune  et  le  rouge  ; 
ils  y  ont  découvert  deux  principes  nouveaux  ,  c'est-à-dre  deux 
espèces  d'alcalis  particulieis ,  dans  lesquels  résident,  suivant 
eux,  les  vertus  de  ces  écorces  ;  ils  les  nomment  cinchonitie  et 
quinine.  Voyez  ces  deux  mots  dans  les  appendices.  Nous  ren- 
voyons au  mémoire  de  ces  chimistes  pour  avoir  connaissance 
de  l'analyse  dont  nous  venons  de  parler,  et  qui  n'intéresse 
guère  que  sous  le  rapport  de  la  chimie  [Analyse  chimique  des 
quinquina  ^  hvocharc  in-B".  de  88  pages,  Paris  1821  ).  Nous 
indiquerons  aussi  une  bonne  classification  des  écorces  de  quin- 
quina ,  donnée  depuis  notre  travail  ,  par  M.  Guibourt,  dans 
son  Histoire  abrégée  des  drogues  simples{  tome  I ,  page  3(3 2  ). 


i68  TOME  XLYI.  QUINQUINA. 

Enfin,  nous  otfriroris,  à  la  suite  de  Varùcle  quinine ,  les 
titres  de  plusieurs  notes  ou  mémoires  publiés  depuis  notre 
article  sur  les  quinquina  ou  leurs  principes,  pour  compléter 
la  bibliographie  de  ce  médicament  célèbre. 

Nous  ne  terminerons  pas  cet  appendice  à  l'article  quinquina, 
sans  faire  part  à  nos  lecteurs  d'une  anecdote  curieuse  sur  cette 
écorcc.  On  a  gravé  sur  la  tombe  de  M.  llomero,  médecin  es- 
pagnol ,  qui  se  voit  depuis  trois  ans  au  cimetière  du  Père  La- 
cliaise ,  à  Paris,  que  c'était  lui  qui  avait  appris  aux  médecins 
français  à  faire  usage  du  quin(|uina  à  grande  dose  !  !  !  Il  fau- 
drait avoir  oublié  les  noms  des  Torti ,  des  Verllioff ,  des  Pinel  , 
etc.  ,  nour  que  celte  petite  forfatjierie  ,  plus  digne  du  pays 
en-deçà  des  Pyrénées  que  de  celui  au-delà,  eût  quelque  crédita 

542.  QUINQUINA  DE  VIRGINIE.  Nom  donné  à  l'ccorce 
du  magnolia  glauca.  Tome  XXIX,  page  562. 

Ibid.  QUINQUINA  NOVA.  Foyez  kina  noya,  dans  le» 
appendices. 

Ibùd.  QUININE.  Alcali  végétal  dont  la  découverte  est  dae 
à  MM  Pelletier  et  Cavenlou;  il  se  trouve  dans  le  quinquina 
jaune  et  le  quinquina  rouge,  et  non  dans  le  gris,  qui  recèle  au 
contraire  la  cinchonine.  Cet  alcali  se  distingue  de  ce  dernier 
en  ce  qu'il  n'est  pas  cristallisable ,  mais  offre,  au  contraire, 
une  masse  d'un  blanc  sale,  étant  pur;  il  est,  par  rapport  à 
la  cinchonine,  avons-nous  dit,  dans  notre  article  quinquina , 
ce  que  la  manne  est  au  sucre. 

On  obtient  la  quinine  par  p'i  procédé  analogue  h  celui  dont 
on  se  sert  pour  avoir  la  cinchonine,  et  que  nous  avons  dé- 
crit en  parlant  de  cette  substance  ,  page  35  des  appendices. 

La  quinine,  disons-nous,  ne  cristallise  jamais  ;  desséchée, 
elle  forme  une  masse  poreuse  d'un  blanc  sale;  elle  est  très- 
peu  soluble  dans  l'eau  froide,  et  il  ne  s'en  dissout  qu'infînimcnt 
peu(o,oo5)  dans  l'eau  bouillante;  celte  substance  est  très- 
amère,  elle  se  dissout  très-facilement  dans  l'alcool.  Elle  est 
bien  plus  soluble  que  la  cinchonine  dans  l'éther.  Exposée 
à  l'air,  elle  n'en  éprouve  aucune  allér-alion  ,  et  donne  au  feu 
des  matières  non  azotées. 

Elle  s'unit  aux  acides,  et  forme  des  sels  solublcs  et  plus 
cristallisables  que  ceux  de  cinchonine.  Le  sulfate  de  quinine, 
entre  autres,  cristallise  très-bien;  il  est  sous  forme  d'aiguille» 
ou  de  lamcsétroiles ,  allongées,  nacrées  et  légèrement  flexibles, 
ressemblant  à  l'amiante,  qui  s'enlacent  en  mamelons  étoiles. 
Le  sulfate  de  cinchonine  est  formé  de  lames  plus  dures,  evl 
moins  amer  cl  plus  soluble. 


TOME  XLVI.  QUININE.  169 

Le  sulfate  de  quinine  se  fond  plus  facilement  à  la  chaleur 
que  ce  dernier,  et  prend  alors  l'aspect  de  cire. 

Quant  aux  autres  sels  que  forment  les  acides  avec  la  qui- 
nine ,  ils  sont  sans  usage  ,  et  n'intéressent  que  le  chimiste. 
On  se  sert,  dans  la  pratique,  du  sulfate  de  quinine j  on  a 
calculé  que  dix  grains  représentaient  environ  une  once  de 
quinquina  jaune  ,  ce  qui  peut  fixer  sur  les  doses  à  employer. 
On  le  donne  effectivement  depuis  six  grains  jusqu'à  douze, 
en  une  ou  deux  fois ,  chez  les  adultes,  et  h  proportion  chez 
les  enfans.  Il  est  rare  qu'on  soit  obligé  d'en  donner  plus  de 
quarante  à  cinquante  grains  pour  couper  une  fièvre  ordinaire.: 
On  le  donne  dans  quelques  cuillerées  d'eau,  où  il  est  plus 
suspendu  que  dissous,  ou  en  pilule  dans  du  pain  à  chanter. 

On  emploie  le  sulfate  de  quinine  comme  on  prend  le  quin- 
quina ,  et  avec  les  précautions  que  nous  avons  indiquées  pour 
cette  écorcc  ;  c'est-à-dire  qu'on  le  prend  le  plus  loin  possible 
des  accès,  qu'on  le  continue  à  dose  décroissante  après  qu'ils 
ont  cessé,  etc.;  il  coupe  ordinairement  les  fièvres  après  la 
première  ou  la  seconde  dose  ,  et  après  le  premier  ou  le  second 
accès. 

On  prend  les  mêmes  soins  que  lorsque  l'on  administre  le 
quinquina  en  substance,  c'est-à-dire  que  l'on  fait  vomir  le 
malade  s'il  y  a  embarras  gastrique,  qu'on  le  saigne  s'il  y  a 
pléthore,  etc.  On  peut  se  dispenser  de  donner  aucune  boisson  , 
du  moins  aucune  boisson  amère ,  et  user  seulement  de  dé- 
layans. 

On  donne  le  sulfate  de  quinine  dans  les  fièvres  intermit- 
tentes simples  j  on  l'a  administré  aussi  dans  les  douleurs  pé- 
riodiques ,  dans  les  fièvres  pei'nicieuses ,  en  un  mol ,  dans  toutes 
les  maladies  où  l'on  donne  le  quinquina. 

On  peut  le  prescrire  comme  tonique  à  l'instar  de  l'écorce 
du  Pérou  ;  ainsi  on  l'a  vu  réparer  les  désordres  de  la 
digestion,  doimer  du  ton  à  l'appareil  intestinal,  etc.  On  l'a 
aussi  employé  avec  quelque  apparence  d'avantage,  dans  les 
scrofules  et  dans  quelques  cas  de  goutte  et  de  rhumatisme  lors- 
qu'ils ont  des  paroxysmes  marqués. 

Cet  alcali  ne  paraît  point  avoir  la  violence  des  autres  aîcalis 
de  son  espèce  ,  tels  que  l'éraétine,  là  brucine,  la  vératrine,  etc. 
M.  Magendie  s'est  assuré  de  son  innocuité  sur  les  animaux  à 
des  doses  assez  fortes ,  sans  qu'il  y  ait  eu  aucun  mauvais  effet 
de  produit.  Dix  grains  injectés  en  une  seule  fois  dans  les 
veines  d'un  chien  n'ont  produit  aucun  effet  sur  cet  animal. 

L'emploi  du  sulfate  de  quinine  est  maintenant  éprouvé  par 
trop  de  médecins,  pour  qu'on  puisse  élever  le  moindre  doute 
sur  son  efficacité.  Mais  il  y  a  à  craindre  qu'on  ne  le  falsifie, 
car  déjà  plusieurs  médecins  se  plaignent  qu'il  n'agit  pas  aux 

22 


Ï70  TOME  XLVI.  QUININE. 

closes  indiquées,  et  ils  ont  souvent  opc'ré  avec  du  quinquina  ce 
qu'ils  n'ont  pu  faire  avec  le  sulfate  de  quinine,  inconve'nient 
qui  pourrait  avoir  les  suites  les  plus  graves.  Cette  falsification 
est  difficile  à  reconnaître,  parce  qu'on  l'opère  avec  un  sel  k 
peu  près  semblable,  en  apparence  ,  à  celui  de  quinine.  Il  n'y  a 
que  la  saveur  de  ces  corps  salins  qui  soit  différente  de  celle  de 
cet  alcali,  laquelle  est  d'une  amertume  prononcée  qu'aucun 
autre  sel  usité  ne  présente  à  un  pareil  degré. 

Ce  sel  a  l'avantage  de  ne  pas  offrir  la  saveur  désagréa- 
ble des  quinquina ,  si  rebutante,  qu'il  y  a  des  malades  qui 
ne  peuvent  en  prendre  la  moindre  parcelle;  on  peut  d'ailleurs 
masquer  celle  du  sulfate  de  quinine  avec  du  sucre  ,  ou  en  l'en- 
veloppant  dans  des  pellicules  de  fruit  ou  du  pain  enchanté  ; 
il  a  aussi  l'avantage  non  moins  précieux,  à  cause  du  peu  de 
volume  sous  lequel  i!  agit,  de  ne  pas  gorger  l'estomac  d'une 
poudre  volumineuse;  et  enfin,  de  pouvoir  être  pris  sous 
forme  liquide  et  avec  facililé'*3ans  les  cas  où  la  déglutition  est 
difficile. 

Le  défaut  d'espace  nous  empêchant  d'entrer  dans  plus  de 
détails  sur  ce  sel ,  nous  allons  indicjuer  les  sources  où  l'on 
pourra  puiser  des  renseignemens  plus  complets  sur  son  compte. 
♦• 

PELLETIER  ct  CAVENTOU,  Analyse  chimique  des  quinqaina  ,  saivie  d'observa- 
llons  médicales  sur  l'emploi  de  la  quinine  et  de  la  cinchonine;  i  vol.  in-8°. 
Paris,  1821. 

CHOMEL,  Observations  sur  l'emploi  des  sulfates  de  quinine  ct  de  cinchonine. 
V.  IVoufeau  Journal  de  médecine,  tom.  i.p.  257-385. 

MOUTEAU  procédé  pour  obtenir  la  quinine.  V.  Journal  de  pharmacie  ,  t.  vir, 
p.  396.  —  Note  sur  le  sulfate  de  quinine.  V.  idem,  p.  ^0-2.  —  Sa  phos- 
phorescence. V.  idem,  p.  579. 

BON  EMPLOI  des  snlfat<s  de  quinine  et  de  cinchonine  dans  les  Gèvres  pernicienses. 
V.  Reçue  médicale  ,  t.  iv,  p.  228.  —  Observations  snr  les  préparations  des 
sulfates  de  quinine  et  de  cinchonine.  V.  idem,  p.  45^.  —  Des  sels  que 
l'on  peut  obtenir  par  la  combinaison  de  la  quinine  et  de  la  cinchonine  avec 
les  acides.  V.  idem,  p.  4 12. 

BOTE  snr  les  sulfates  de  quinine  et  de  cinchonine.  V.  Annales  de  chimie  , 
f.  xvn,  p.  3  16.  —  Procédé  pour  extraire  les  sulfates  de  quinine  et  de  cin- 
chonine. V.  idem,  p.  273.  — Préparation  de  sulfate  de  quinine.  V.  idem, 

t.  XVI ,  p.  4-'9* 
CONSIDÉRATIONS  snr  les  sulfates  de  quinine  et  de  cinchonine,  V.  Gazette  da 

santé,  5  janvier  1821.  —  Nouveau  procédé  pour  obtenir  le  sulfate  de  quinine. 

V.  idem,  25 juillet  iSii. 
DOUBLE,  Mémoire  sur  l'emploi  do  sulfate  de  quinine  dans  les  fièvres  mler- 

niiilcntes  ct  quelques   nuircs  maladies  (  névroses  ,  scrofules  ).  Co  nouveau 

travail  vient  d'étra  lu  à  l'Académie  des  wiiencts. 


TOME  XLVI.  RACHIDIOÎÎ.  «71 

R 


565.  RACHIDION.  Nom  proposé  par  M.  Pincl  fils  pour 
désigner  l'inflaramation  du  prolongement  rachidien.  Voyez 
VERTÈBRES.  Tome  LVII ,  page  3i5. 

Ihid.  Ligne  4-  N'ait  profilé,  lisez  n'ait  pas  pu  profiler. 

617.  Ligue  21 .  Un  gros ,  lisez  un  grain. 

628.  RACHITOME.  Couteau  dont  M.  Esquirol  «e  sert 
pour  couper  le  rachis.  Voyez  vertébral.  Tom.  L'VII,  p.  aSiJ^l, 


TOME  XL  Y II.  RACK.  173 


TOME  QUARANTE-SEPTIEME. 


5.  Rx\CR  ou  ARA.CR.  Nom  donné  à  une  liqueuralcoolique. 
On  n'est  pas  d'accord  sur  la  substance  d'où  on  l'extrait;  les  uns 
pensent  qu'elle  provient  deladislillatiou  du  laitou  dupelil  lait 
de  jument  (  Morelot,  Dicl.  ries  drogues  ,  tome  II,  page  ?.38)  , 
nommé  aussi  kumiss  par  les  Tartares  (  ïome  XXVI ,  p.  23'y  )  j 
d'autres  croient  qu'il  cet  le  résultat  de  la  distillation  du  suc 
d'une  espèce  de  palmier,  areca  calhecu  d'où  il  pourrait  bien 
tirer  son  nom;  d'autres  enfin,  le  regardent  comme  le  produit 
de  la  distillation  du  riz  fermenté  CTome  XLIX,  page  Sq).  Ce 
que  l'on  vend  le  plus  souvent  dans  les  cafés  sous  ce  nom ,  ne 
paraît  pas  différer  du  rum ,  et  est  probablement  extrait, 
comme  lui,  de  quelque  résidu  de  la  canne  à  sucre.  Au  sur- 
plus l'alcool  étant  identique,  quel  que  soit  le  corps  d'où  on 
l'extrait,  il  n'y  a  pas  de  grands  inconvcniens,  sous  le  rapport 
médical ,  à  donner  l'iin  pour  l'autre.  Il  csi  probable  que,  d'ici 
à  peu  de  temps,  on  ne  tiouvcra  plus  dans  le  commerce,  d'autre 
alcool  que  celui  de  pomme  de  terre,  et  il  n'y  aura  guère  que 
les  gourmets  qui  pourront  s'en  plaindre. 

rage  5.  RACRASIRA  (baume),  /-"ojez  Etsi^E.  T.  XLVII, 
page  570. 

i35.  RAGE  DE  DENTS.  Ployez  odomalgie.T.  XXXVII, 
page  108. 

i38.  RAISIN  DE  MER  cAi  RAISIN  DES  TROPIQUES. 
Noms  que  porte  le  fucus  vesiculosus ^  L.  Tome  XVII  , 
page  116. 

i63.  RAMOLLISSEMENT  DU  CERVEAU.  On  entend 
par  celle  expression  ,  une  espèce  de  liquéfaction  d'une  partie 
de  la  substance  cérébrale,  le  reste  conservant  à  peu  près  sa 
consistance  ordinaiie.  Je  dis  d'une  partie,  parce  que,  quand  le 
cerveau  en  totalité  est  ramolli ,  fût-il  réduit  en  une  espèce  de 
bouillie  difflutnle,  nous  ne  pourrions  pas  avoir  la  certitude 
que  celle  altération  est  le  résultai  d'une  affection  pathologique. 
Cette  mollesse  peut  dépendre  en  effet  de  l'époque  à  la<juelle 
on  examine  le  cerveau  ou  de  l'élal  général  des  solides  au  mo- 
ment de  la  mort  (Lallcmand). 


17  î  TOME  XLVII.  11A.M0LLÎSSEMENT 

Cotte  maladie  était  fort  peu  connue  jus(]u'à  ces  derniers 
temps  ;  Morgagni  eu  a  cilé  quelques  exemples  dans  ses  re- 
cheiciies  sur  la  cause  et  le  siège  des  maladie?  ;  MM.  Bayle  et 
Cayol ,  à  l'aiticle  cancer  de  ce  Dictionaire,  tome  Uï,  p.  64B, 
eu  ont  donné  une  description  incomplète.  Depuis  plusieurs 
années,  M.  Rccamier,  médecin  de  l'Hôtel-Dieu  de  Paris,  a 
fixé  dans  ses  leçons  cliniques,  l'attention  des  élèves  sur  cette 
altération  ;  M.  Piochoux  ,  dans  sa  Monographie  sur  l'apoplexie, 
traite  du  ramollissement  cérébral.  M.  Abercrombie,  dans  un 
Mémoire  sur  l'inflammation  chronique  du  cerveau  ,  MM  Bri- 
cheteau  et  Moulin  en  ont  aussi  parlé  d'une  manière  plus  ou 
moins  accessoire.  C'est  aux  travaux  récens  de  M.  Lallemand  , 
professeur  à  la  Faculté  de  médecine  de  Montpellier,  et  de 
M.  Rostan,  médecin  à  la  Salpêtrière,  que  l'on  doit  une  des- 
cription exacte  du  ramollissement  cérébral.  Les  ouvrages  de 
ces  deux  médecins  nous  serviront  de  guide  dans  cet  article. 

Fréquence  du  ramollissement  cérébral.  Cette  maladie  est 
loin  d'être  rarej  M.  Rostan  croit  même,  d'après  le  relevé  de  ses 
observations ,  que  c'est  la  lésion  cérébrale  la  plus  fréquente  à 
Id  Salpêtrière  j  elle  se  présente  plus  souvent  que  l'apoplexie 
sanguiue.  Pourquoi  cette  maladie  étant  si  commune,  est-elle 
restée  si  long-temps  inconnue?  «  On  cessera  de  s'en  étonner, 
dit  M.  Piostan ,  lorsqu'on  saura  que  celte  altération  occupe 
quelquefois  un  si  petit  espace,  que  les  personnes  même  à  qui 
on  la  fait  voir,  ne  la  reconnaissent  pas  ;  qu'il  faut  beaucoup  de 
patience,  d'attention  et  d'habitude,  qu'il  faut  l'avoir  vue  déjà 
plusieurs  fois  et  à  des  degrés  très-prononcés  ,  bien  souvent  la 
couleur  naturelle  n'étant  pas  changée.  Si  vous  ajoutez  à  cela 
que  les  ventricules  contiennent  fréquemment  beaucoup  de  sé- 
rosité, dans  cette  circonstance,  il  vous  sera  facile  déjuger 
qu'on  a  dû  prendre  souvent  cette  affection  pour  une  apoplexie 
soit  disant  séreuse;  que,  dans  le  cas  oîi  l'on  n'a  pas  trouvé  de 
sérosité,  il  a  été  plus  aisé  et  plus  commode  de  reconnaître  un« 
apoplexie  nerveuse,  que  de  chercher  péniblement  une  alté- 
ration de  ce  genre.  Les  coups  de  sang  ,  les  inflammations  de» 
méninges  ne  sont-ils  pas  là  d'ailleurs  fort  à  propos  pour  rendre 
raison  delà  mort  et  empêcher  une  investigation  laborieuse?  Pour 
nous, depuis  que  nous  recoimaissons  cette  lésion,  nous  n'avons 
plus  rencontré  d'apoplexie  séreuse  ni  d'apoplexie  nerveuse.  » 

Causes.  Les  causes  prédisposantes  et  déterminantes  sont  à 
peu  près  les  mêmes  que  celles  de  l'apoplexie  j  les  affections 
morales,  tristes,  l'abus  des  liqueurs  fermentées,  la  suppression 
des  flux  menstruel  ou  héniorroidal ,  une  constitution  apoplec- 
tique, disposent  au  ramollissement  du  cerveau.  Quant  aux 
causes  dcterminanles ,  après  l'action  directe  des  agens  exlé- 
lieuis  sur  le  ciàne  et ,  par  suite ,  sut  le  cerveau ,  il  n'y  en  a  peut- 


DU  CERVEAU.  175 

élre  pas  de  plus  manifestes  que  la  congestion  cérëhiale  pro- 
duite par  les  vomissemens.  On  sait  que  les  affections  des  nerfs 
ont  une  grande  influence  sur  le  cerveau  j  mais  aucune  obser- 
vation n'a  mis,  je  crois,  celte  vérité  aussi  bien  en  évidence  que 
le  fait  cité  par  M.  Lallemand,  dans  lequel  l'inflanmialiou  d'une 
partie  du  plexus  brachial  droit  a  été  suivie  d'intluniiiialion  et 
de  suppuration  de  la  partie  postérieure  de  l'hémisphère  gauche 
du  cerveau. 

En  général ,  les  individus  chez  lesquels  la  maladie  se  déve- 
loppe spontanément  sont  d'un  âge  avancé;  cependant  elle 
peut  affecter  tous  ies  âges.  Sa  marche  est  plus  rapide  chez  les 
jeunes  gens. 

Symptômes.  Les  -sj'mptôines  précurseurs  du  ramollissement 
se  réduisent  aux  congestions  cérébrales  plus  ou  moins  fortes  , 
plus  ou  moins  fréquentes,  à  une  exaltation  des  facultés  intel- 
lectuelles et  à  la  céphalalgie.  Ces  symptômes,  qui  annoncent 
une  fluxion  plus  active  de  sang  vers  le  cerveau,  peuvent  à  la 
vérité  précéder  une  apoplexie  ou  une  inflammation  du  cer- 
veau ,  mais  l'erreur  est  ici  sans  conséquence,  puisque  l'indi- 
cation à  remplir  est  la  même.  L'invasion  de  la  maladie/Csl  tan- 
tôt lente,  tantôt  elle  est  brusque  et  foudroyante  comme  dans 
l'apoplexie. 

On  peut  distinguer  deux  périodes  dans  le  ramollissement, 
celle  de  spasme  ou  d'irritation  ,  et  celle  de  paralysie  ou  d'af- 
faissement. Les  symptômes  d'irritation  précèdent  toujours 
ceux  de  l'affaissement,  parce  que,  dans  le  commencement,  le 
tissu  du  cerveau  n'est  point  encore  altéré;  ils  se  confondent 
lorsque  cette  altération  survient.  Quand  l'irritation  est  passée 
et  la  désorganisation  achevée,  il  ne  reste  que  la  paralysie  avec 
résolution,  flaccidité  comme  dans  l'apoplexie.  La  succession 
de  ces  deux  ordres  de  symptômes  permet  non-seulement  de 
distinguer  le  ramollissement  des  apoplexies,  mais  même  de 
reconnaître  quand  le  ramollissemeiit  succède  à  la  paralysie. 
Pour  donner  une  idée  des  signes  et  de  la  marcl'.e  de  la  maladie, 
nous  allons  rapporter  les  deux  exemples  suivans,  extraits  de 
l'ouvrage  de  M.  Lallemand. 

Première  observation.  M.  W....  âgé  de  soixante-dix  ans  , 
d'une  constitution  délicate,  est  apporte  à  l'Hôtel-Dieu  (de  Paris), 
le  4  novembre  181 5,  sans  qu'on  ait  pu  rien  apprendre  de  ceux 
qui  l'accompagnaient,  sinon  qu'on  présumait  qu'il  avait  reçu 
fjuelques  coups,  et  que,  depuis  quatre  jours ,  il  était  dans 
l'état  où.  nous  le  voyions,  sans  qu'on  ait  pu  employer  pour  l'en 
retirer  aucun  moj'en  un  peu  actif.  Le  malade  voit  et  entend 
très-bien;  mais  il  fait  de  vains  efforts  pour  répondre,  et  ne 
rend  que  des  sons  mal  articulés;  sa  langue,  (ju'iî  lire  avec  dil- 
fitulié,  est  h'gèrement  déviée  i*  droite^  la  commissure  des  lèvres 


176  TOME  XLVIÎ.  RAMOLLISSEMENT 

est  un  peu  lirée  à  gauche,  la  bouche  est  presque  toujours  en 
mouvement,  le  membre  supérieur  droit  est  immobile  et  insen- 
sible, excepté  à  la  partie  externe  et  inférieure  de  r avant-bras  ; 
Ja  jambe  et  la  cuisse  sont  aussi  immobiles,  mais  la  peau  de  la 
jambe  a  conservé  plus  de  sensibilité  que  celle  de  l'avant-bras  ; 
tes  muscles  du  bras  gauche  ont  perdu  de  leur  énergie;  du  reste  , 
pouls  à  peu  près  naturel,  toux  légère  (  décoction  do  six  gros  de 
café,  dans  une  infusion  de  sureau  ;  arnica  miellée  avec  acétate 
d'ammoniaque ,  deux  onces  ,  et  sirop  de  quinquina  ;  douze  sang- 
sues derrièi'e  les  oreilles).  Le  soir,  on  remarque  de  la  raideur 
dans  les  membres  paralysés ,  surtout  lorsqu^on  veut  les  étendre. 
Le  6  novembre,  cinquième  jour  de  l'invasion  ,  le  malade  paraît 
ne  plus  entendre,  et  la  vue  est  presque  entièrement  perdue  ; 
le  bras  droit  est  tout  à  fait  insensible.  Pendant  la  nuit,  on  a 
commencé  à  remarquer  dans  les  muscles  de  la  face  de  légers 
mouvemens  convulsifs,  qui  augmentèrent  le  matin,  ils  ne  du- 
raient qu'un  instant  et  revenaient  chaque  cinq  minutes  environ, 
en  commençant  par  les  muscles  surciliers,  puis  gagnaient  les 
paupières,  tous  les  muscles  de  la  face,  les  lèvres,  enfin  le 
sterno-mastoïdien  gauche  ;  alors  la  tête  était  tournée  à  droite  , 
la  bouche  tirée  à  gauche,  et  les  yeux  immobiles  et  insensibles 
à  la  lumière,  se  dirigeaient  à  droite  pendant  toute  la  durée 
de  l'accès;  la  respiration  était  très-laborieuse,  l'inspiration 
surtout  exigeait  de  grands  efforts  musculaires,  ce  qui  paraît 
tenir  à  un  spasme  du  larynx  coïncidant  avec  la  contraction 
des  muscles  de  la  face  et  du  cou.  Le  malade  semblait  menacé 
d'asphyxie  ,  quelquefois  le  paroxysme  commençait  par  le 
muscle  sterno-mastoïdien  droit,  la  face  se  tournait  tout  à  coup 
\i  gauche,  puis  entrait  on  convulsions  (valériane  sauvage  avec 
sirop  de  quinquina  ,  deux  onces  ;  douze  pilules  de  camphre  de 
deux  grains  chaque;  décoction  d'arnica).  Les  7  et  8  novembre, 
les  convulsions  continuent  de  la  même  manière,  mais  un  peu 
moins  fortes  :  même  prescription.  Il  se  joint  aux  autres  symp- 
tômes une  roidcur  comme  tétanique  du  col ,  qui  maiulietii  la 
têle  fortement  renversée  en  arrière;  mort  dans  la  journée  du 
SjScplième  jour  de  la  maladie. 

Autopsie  cadavérique.  Télé.  La  surface  supérieure  des  deux 
hémisplières  cérébraux  était  recouverte  d'un  cpanchemcnt  san- 
guin assez  considérable;  h  la  partie  antérieure  de  l'hémisphèie 
gauche,  du  sang  était  épanché  dans  la  substance  grise  du  cer- 
veau, et  formait  deux  caillots  séparés,  chacun  du  volume 
d'une  aveline.  Autour  de  chaque  caillot,  la  substance  céré- 
brale était  fort  injectée,  pénétrée  de  sang  comme  infiltré  ;  à  la 
pariie  postérieure  du  ventricule  gfluc/ie ,  la  pulpe  cérébrale 
était  ramollie,  réduite  en  une  espèce  de  bouillie  presque  dif- 
flucnlcsous  le  sca'pei;  ses  parois  étaient  même  détruites  dans 


DU  CERVEAU.  177 

plusieurs  points,  comme  par  suppuration,  de  manière  à  laisser 
une  cavité  en  forme  de  ventricule  accidentel.  Ou  n'a  rien  trouve 
de  remarquable  dans  les  autres  cavités. 

Denjcièine  observation.  Le  1^^  avril  1816)  on  apporta  à 
rriôtcl-Difu  (  de  Paris)  ,  un  homme  âgé  de  soixante-seize  ans, 
replet,  fort ,  d'une  constitution  apopIectique.il  avait  clé  trouve 
la  veille,  étendu  dans  sach:imbre,  sans  connaissance.  Autrefois 
limonadier,  et  depuis  peu  de  temps  sans  étal ,  il  avait  toujours 
mené  une  vie  fort  rcgulièie  et  n'avait  jamais  éprouvé  do  symp- 
tômes semblables.  Examiné  à  la  visite  du  soir,  il  est  couché  sur 
le  dos  ;lcsmembres  ducolcganche  ont  penlu  le  mouvement  et  le 
sentiment^  mais  ils  sont  à  demijlêchis^  roides  et  conlraclés^  sur- 
tout quand  onessaiede  les  e'tendre.  Les  mouvemcns  du  côté  droit 
sont  libres  et  assez  faciles.  Le  malade  porte  souvent  la  main  à 
son  nez,  comme  pour  prendre  une  prise  de  tabac.  La  bouche  est; 
entr'ouvcrle ,  la  lanf:;iie  sèche  et  noire,  les  yeux  fermés,  la 
respiration  assez  paisible,  l'ouie  un  peu  dure,  le  pools  assez 
développé,  mais  point  fréquent.  Les  fonctions  intellectuelles 
ne  sont  pas  entièrement  abolies  (lavement  purgatif),  évacua- 
tions abondantes.  Le  lendemain  matin,  même  étal  (lavement 
purgatif,  sinapismcs  aux  pieds).  Le  3  avril,  peu  de  change- 
ment (  allusions  sitr  la  tète  à  la  température  do  quinze  à  seize 
degrés,  et  ensuite  plus  froides  pendant  cinq  minutes).  Après 
l'afiusion,  le  malade  ouvre  facilement  les  yeux,  entend  mieux, 
donne  des  signes  d'une  intelligence  moins  obtuse,  mais  se  ré- 
chauffe lentement;  la  figure  est  plus  naturelle,  la  peau  a  peu 
changé.  Deux  heures  après  l'allusion,  nouveau  lavement  pur- 
gatif, nouveaux  sinapismes  aux  jambes.  Dans  la  journée, 
le  mieux  se  soutient,  le  malade  prend  du  tabac  avec  la  main 
droite;  on  le  fait  même  chanter  pour  en  avoir;  la  langue 
devient  humide  et  reprend  à  peu  près  sa  couleur  naturelle  5 
le  soir,  on  renouvelle  l'afl^usion  froide,  elle  produit  les 
mêmes  effets  que  le  matin,  c'est-ii-dire  que  l'intelligence  et 
les  sens  sont  plus  éveillés,  mais  le  malade  se  réchauffe  dif- 
ficilement. Le  4i  retour  des  accidens,  affaissement  plus  mar^ 
que  que  la  veille  au  malin,  engourdissement  plus  considé- 
rable de  rinlelligcnce,  pouls  fréquent,  bouche  toujours  hu- 
mide :  on  cesse  les  affusions.  Le  6  avril,  septième  jour  delà 
maladie,  les  yeux  sont  ternes;  mort  vers  midi. 

Autopsie  cadavérique.  2  été  :  l'adhérence  du  crâne  avec  la 
dure-mère  étant  très-intime,  il  s'écoule  dans  les  efforts  qu'on 
fait  pour  les  séparer  ,  une  grande  quanliié  de  sérosité.  En  ren- 
versiint  la  dure-mère  du  côl6  droit ,  on  remarque  qu'elle  ad- 
hère a  l'arachnoïde  par  une  couche  mince  couenneuse ,  facile  à 
voir  au  moment  où  l'on  sépare  ces  membranes,  mais  sanscon- 
gislance  et  se  rompant  au  plus  léger  tiiaillement.  L'arachnoïde, 

25 


1^8  TOME  XLVil.  lUMOLUSSEMENT 

toujours  du  côlc  droite  est  un  peu  épaissie  ;  la  pie- mère  adhère 
datts  nue  grande  étendue  des  lobes  moyen  et  postérieur,  avec 
la  substance  grise.  Dans  cet  endroit,  le  cerveau  d'un  blanc  sale, 
est  tellcnjent  diflluent  qu'il  s'enlève  avec  les  membranes  et  re- 
loiiibe  eu  gouttes  comme  du  pus  épais.  Vers  la  partie  posle'- 
jieiire  du  lobe  postérieur,  on  trouve  gros  comme  un  pois  de  vé- 
ritable pus  sur  la  nature  durjuel  il  est  impossible  d'élever  le 
moindre  doute.  Vers  la  partie  inférieure  du  l«be  moyen  se  trouve 
infiltréeplutôl  qu'épanchée  dans  la  substance gme,  aussi  une 
petite  quantité  de  sang  qui  lui  donne  un  aspect  brunâtre;  dans 
cet  endroit,  les  vaisseaux  sont  plus  dilatés,  comme  gorgés  de 
san" ,  et  la  substance  cérébrale  est  au  moins  aussi  molle  que 
celle  dont  nous  avons  parlé.  Le  lobe  antérieur  et  les  autres 
points  de  col  hémisphère  sont  fermes  et  dans  l'état  ordinaire. 
Le  ventricule  latéral  de  ce  côté  (droit  ),  contient  une  certaine 
quantité  de  sérosité  ,  l'autre  est  sec.  Du  côté  gauche  ,  les  mcm- 
bt  ânes  el  la  substance  cérébrale  sont  partout  dans  l'étal  naturel  j 
les  autres  cavités  n'ont  pas  été  ouvertes. 

Les  synq>lôuies  propres  au  ramollissement  sont  bien  carac- 
linisés  dans  celle  observation  ;  on  y  voit  cette  maladie  à  deux 
degrés  dilférens  dans  le  même  hémisphère;  la  substance  grise 
de  la  surface  intérieure  du  lobe  moyen  était  de  couleur  bru- 
nâtre comme  imprégnée  de  sang  el  environnée  de  vaisseaux 
irès-dilatés.  La  substance  grise  des  lobes  moyen  et  postérieur 
avait  pris  l'aspect  et  la  consistance  du  pus,  et  présentait  même 
un  petit  foyer  purulent. 

On  peul  bien,  en  théorie,  envisager  les  maladies  dans  leur 
état  de  sinq^licité,  les  étudier  isolément  ;  mais  dans  la  pratique, 
lien  n'est  plus  difilcile  à  rencontrer,  qu'une  maladie  exemple 
de  toute  complication.  Aussi  parmi  les  observations  qui  ont 
été  recueillies  sur  le  ramollissement ,  en  est-il  irès-peu  danS' 
lesquelles  l'affection  du  cerveau  n'ait  été  accompagnée  de 
quehjue  autre  plus  eu  moins  grave;  de  lii,  des  symptômes 
particuliers  «{u'il  est  important  de  ne  pas  attribuer  à  l'affection 
cérébrale.  I^orsque  deux  ou  plusieurs  maladies  existent  en 
même  temps,  il  n'en  résulte  pas  seulement  un  mélange  des 
symptômes  propres  à  chacune;  mais  l'influence  qu'elles  exer- 
cent réciproquement  l'une  sur  l'autre  ,  change  quelquefois  leur 
])liVsionomic  au  point  de  les  rendre  méconnaissables  (M.  Lal- 
iomand). 

Examinons  chaque  symptôme  en  particulier. 

Céphalalgie.  Le  mal  de  tête  circonscrit ,  fixe  et  opiniâtre, 
annonce  un  travail  local  dans  le  cerveau  ;  elle  a  lieu  dans  i'm- 
vasion  et  la  première  période  de  la  maladie;  mais  elle  semble 
diminuer,  et  disparaître  même  entièrement,  à  mesure  que  \e% 
bialades  tombent  dans  rassoupissemcnl  ,  perdent  connais- 
jTdULo  ,  etc. ,  et  par  la  lucme  raison  ,  c'csl-ii-diic  parce  que  l'ai- 


DU  CERVEAU.  179 

tt'ration  du  cerveau  ne  lui  permet  pas  (ie  continuer  ses  fonc- 
tions, et  par  conséquent  de  percevoir  les  sensations.  Tant  que 
la  douleur  de  tête  persiste,  le  médecin  doit  être  sur  ses  gai dr;-. 
Comme  la  langue  est  IVéquemmeut  paralysée  et  riiitclligcnce 
parfois  obtuse  ,  le  malade  ne  peut  accuser  celte  douleur;  mais 
alors,  aprèi  avoir  été  sollicité  plusieurs  fois,  il  porte  pénible- 
ment à  la  tète  du  côté  opposé  a  la  paralysie  ,  le  membre  reste 
sain.  ]\I.  Roslan  accorde  une  grande  contiance  à  ce  signe,  qu'il 
regarde  comme  propre  h  caractériser  presque  seul  le  ramollis- 
sement. 

Trouble  des  fonctions  intellectuelles.  Elles  sont  tantôt  cxal- 
le'es ,  tantôt  amorties  j  leur  exaltation  disparaît  dès  que  les 
niouvemens  convulsifs  et  la  paralysie  surviennent  j  elles  sont 
alors  engourdies  ;  les  réponses  sont  lentes,  tardives  ,  cmharas- 
sées  ,  souvent  contradictoires^  la  mémoire  est  chancelante  ou 
cnlièrenient  abolie;  la  ligure  a  perdu  toute  expression  ,  et  porto 
l'empreinte  de  la  stupeur.  L'intelligence  s'affaiblit  daus  la  même 
proportion  que  la  paralysie  des  membres  augmente. 

Délire.  On  regarde  généralement  le  délire  comme  un  symp- 
tôme des  iiiflamraations  an  cerveau.  M.  Lallemand  pense,  an 
contraire,  qu'on  n'observe  jamais  le  délire  dans  les  inflamma- 
tions du  cerveau  ,  exemples  de  complication  ;  que  ce  symptôme 
appartient  spécialement  aux  inflammations  de  l'aracluioide  ; 
qu'on  aété  induit  en  erreur  parles  cas  très-nombreux  dans  les- 
quels l'affection  de  l'arachnoïde  avait  précédé  celle  du  cerveau. 
Lcsaffeclions  de  l'aiachnoïde  influent  sur  les  fonctions  du  cer- 
veau de  la  même  manière  que  les  affections  de  la  plèvre  influent 
surlesfonctJonsdupoumon.il  est  impossible  que  l'arachnoïde 
soit  enflammée,  sans  que  la  surface  du  cerveau,  qui  est  eu 
contact  avec  elle,  en  soit  affectée;  mais  son  tissu  n'en  élant 
point  ahéré,  il  résulte  seulement  de  ce  voisinage  une  exaha- 
lion  dans  ses  fondions:  quand,  au  contraire,  l'inflammation  a 
son  siège  dans  !a  substance  même  du  cerveau  ,  la  congestion 
est  trop  violente,  son  tissu  en  est  trop  proniplement  altéré, 
pour  qu'il  pui.^se  continuer  ses  fondions.  Il  y  a  paralysie  des 
tondions  intellectuelles  ,  comme  paralysie  des  mouvemeus  vo- 
lontaires. 

Lésions  des  sens.  Les  tintemens,  les  bourdonnemens  dans 
les  oreilles  qu'on  observe  dans  le  principe,  disparaissent  quand 
les  fonctions  intellectuelles  sont  affaiblies,  quand  la  paraly- 
sie a  fait  des  progrès;  l'oreille  devient  alors  paresseuse,  les 
malades  n'entendent  que  lorsqu'on  crie  très-fort. 

La  rétine  éprouve  quehjuefois  dans  la  première  période  une 
telle  sensibilité  ({u'elle  ne  peut  supporter  l'impression  de  la 
lumière;  plus  lard,  la  pupille  est  conlraetée  tt  inunolMle, 
enlin  ,  dans  les  dcrnii-rs  inslans  ,  elle  icstc  dilatée.  L'état  de  \x 
pupille  Biérilo  d'auUut  plus  d'allculiou  q^u'cUc  csL  coi.itruclc« 


iSo  TOME  XLVil.  RAMOLLISSEMENT 

dans  Je  ramollissement  et  dilatée  dans  l'apoplcxiej  que  son 
resserrement  a  lieu  chez  les  malades  qui  éprouvent  des  con- 
tractions musculaires,  et  que  la  pupille  s'clargit  à  mesure  que 
]a  paralysie  fait  des  progrès. 

Plusieurs  malades  éprouvent  dans  les  membres  paralyse's 
des  douleurs  aiguës,  pongitives,  lancinantes,  qui  augmentent 
lorsqu'on  touche  le  membre,  surtout  lorsqu'on  veut  i'clcndre. 
Ces  douleurs  paraissent  avoir  leur  sicge  dans  les  muscles  : 
M.  Rostan  les  regarde  comme  un  signe  à  peu  près  exclusif  du 
ramollissement,  quand  il  existe  en  même  temps  d'autres  symp- 
tômes d'afirciion  cérébrale. 

Respirolion.  Elle  ne  paraît  pas  sensiblement  losc'e  par  les 
maladies  du  cerveau;  elle  est  ordinairement  calme,  souvent 
lente  et  toujours  régulière;  mais  dans  le  plus  grand  nombre 
des  cas,  la  veille  ou  le  jour  de  la  mort,  la  rcspiiaiion  s'embar- 
rasse, devient  pénible ,  précipitée  ,  sterloreuse.  La  dyspiiée  , 
quand  elle  survient,  est  donc  un  symptôme  fâcheux  dans  les 
aft''ections  cérébrales. 

Circulalion.  En  g'néral ,  le  pouls  n'est  pas  sensiblement  al- 
téré dans  le  ramollissement  j  lorsque  la  fièvre  existe,  elle  pa- 
raît due  à  rinflammalion  de  quehfue  autre  organe. 

Système  musculaire.  Les  symptômes  qui  dépendent  de  la  lé- 
sion des  fonctions  du  système  musculaire  se  présentent  sous 
deux  aspects  tout  à  fait  opposés,  avec  augmenlalion  ou  dimi- 
nution d'action  ,  avec  des  phénomènes  d'irritation  ou  de  pros- 
tration.On  observe  quelquefois  ces  deux  ordres  dcsymplômcs 
dans  toutes  leurs  nuances,  depuis  les  soubresauts  des  tendons 
jusqu'aux  contractions  convulsives  ,  comme  tétaniques  ;  depuis 
J'cngourdissemcnt  des  membres  jusqu'à  la  lésolution  la  plus 
complette  ,  les  accès  épilcpliques,  les  contractions  des  mem- 
bres ^  les  mouvemcns  conviilsils,  les  soubresauts  des  tendons, 
sont  les  symptômes  ordinaires  de  l'inflammation  de  l'arach- 
noïde, et  si  on  les  remarque  dans  le  cas  de  ramolîisscnîcnt  du 
cerveau,  c'est  que,  dans  les  maladies  de  cet  organe,  il  est  très- 
rare  que  l'arachnoïde  ne  participe  pas  à  l'irritation;  mais  ces 
symptômes  sont  bientôt  remplaces  par  la  paralysie  ,  et ,  le  plus 
souvent ,  par  le  plus  singulier  mélange  de  paralysie  et  de  phé- 
nomènes spasmodiques. 

Le  symptôme  que  M.  Lallemand  signale  comme  le  plus 
constant  et  le  plus  iemarquable,  c'est  une  contraction  perma- 
nente des  muscles  des  membres,  qui,  en  raison  de  la  prédo- 
minance des  fléchisseurs  sur  les  extenseurs,  produit  une  lifxion 
plus  ou  moins  considérable  de  toutes  les  articulations.  Il 
n'existe  quelquefois  qu'une  simple  rigidité,  d'autres  fuis  la 
contraction  est  portée  au  point  (|ue  le  poignet  resie  applique 
contre  l'épaule,  et  le  talon  contre  la  fosse.  Quand  on  essaie 
d'étendre  les  membres ,  on  éprouve  une  icsislancc   qu'il  e»li 


DU  CERVEALT.  i8i 

quelquefois  impossible  de  vaincre,  cl  l'on  produil  quelquefois 
de  vives  douleurs  qui  paraissent  avoir  leur  siège  d.'ms  les  mus- 
cles. Les  tendons  soulèvent  alors  la  peau  comme  des  cordes  j 
quelquefois  celte  roideur  des  niemlMes  est  précédée  ,  pendant 
peu  de  temps,  de  fourmillcniens,  de  douleurs  lancinâmes  et 
spontanées,  plus  prononcées  dans  les  membres  supeiicurs  que 
dans  les  inférieurs.  La  roideur  commence  aussi  toujours  par  les 
bras,  et,  à  moins  qu'elle  ne  soit  portée  au  dernier  degré,  elle 
y  est  toujours  plus  prononcée  que  dans  les  jambes.  Quelque- 
fois elle  est  bornée  au  bras,  ou  elle  ne  s'clend  à  la  jambe  que 
fort  long-temps  après. 

Les  muscles  de  la  face  participent  ordinairemenl  h  cet  état 
spasraodique,  alors  la  boucbe  est  tirée  du  côlé  paralyse,  ce 
qui  est  le  contraire  de  ce  qu'on  observe  dans  les  apoplexies  ;  les 
paupières  sont  quelquefois  fermées  parla  conlraclion  du  mus- 
cle orbiculaire,  et  non,  comme  darrs  les  apoplexies,  par  la  jia- 
ralysie  du  releveur  delà  paupière  supéiieure  ;  aussi  sont-elles 
appliquées  l'une  contre  l'autre  d'une  manière  ticlive  ;  quand 
on  veut  les  ouvrir,  on  éprouve  de  la  résistance  et  elles  se  re- 
fermentaussîlôtf|ue  l'on  cesse  de  les  écarter.  Quelquefois  on  ob- 
serve un  strabisme  permanent  de  l'œil  du  côté  alTecté,  ce  qui 
indique  que  les  muscles  moteurs  de  l'œil  participent  à  l'état 
de  ces  deux  membres.  Ces  conlraclions  permanentes  des  mus- 
cles peuvent  cire  produites  par  une  inflammation  aiguè  de  l'a- 
rac.hnoidc;  mais  ce  qui  les  dislingue  de  celles  qui  sont  produites 
par  le  ramollissement  du  cerveau ,  c'est  que  ces  dernières  sont 
accompagnées  de  véritable  paralysie. 

La  contraction  permanente  des  muscles  ne  dure  pas  jusqu'à 
la  fin  de  la  maladie;  elle  est  quelquefois  remplacée  par  dos 
niouvemens  convulsifs,  avec  alternative  de  flexion  et  d'exten- 
sion, qui  ne  durent  qu'un  instant,  et  qui  reviennent  par  accès 
de  plus  en  plus  éloignés.  Dans  l'intervalle  de  ces  accès,  les 
membres  sont  paralysés  el  dans  un  étal  de  résolution  couqilcle. 
D'autres  fois,  celte  contraction  diminue  pour  faire  place  à  la 
paralysie  avec  flaccidité  des  membres  et  perte  lolalc  de  la  sen- 
sibilité. Règle  générale,  la  conlraclion  permanenlc  diminue 
dans  la  même  pi  oportioii  que  la  paralysie  augmente  ,  c'esl-li- 
dire  ii  mesure  que  i'alléralion  du  cerveau  fait  des  progrès.  Ce- 
pendant, lorsque  le  ramollissement  du  cerveau  succède  h  i\n 
épancbemcnt  de  sang  dans  ce  viscère,  la  paralysie  précède 
long-temps  la  rigidité  des  membres  ;  cette  diricrcncc  sert  à  dis- 
tinguer le  ramollissement  de  l'apoplexie,  et  mc-me  à  recon- 
naître (juand  le  ramollissement  succède  à  l'apoplexie. 

Plusieurs  nialades  éprouvent  des  aiîernalivcs  bien  Irandiée» 
d'excitation  et  de  coUapsus,  do  mouvcmcns  convulsifs  et  do 
paralysie  aveclJaccidiie  dcsmctubres.  L'alternative  de  ces  deux 


iSa  TOME  XLVIl.  RiVMOLLÏSSEMENT 

ordres  de  symptômes  esl  très-remarquable,  parce  que  les  in- 
flammations de  l'arachnoïde  produisent  aussi  quelquefois  des 
mouvemens  convulsifs  qui  reviennent  par  accès  plus  ou  moins 
longs,  à  des  intervalles  plus  ou  moins  éloignes  ;  mais  entre  ces 
accès,  les  membres  ne  sont  pas  paralyses,  parce  que  le  tissu 
du  cerveau  n'est  pas  altère.  Quelquefois  les  deux  côtes  du  corps 
participent  à  ces  accès  convulsifs  après  lesquels  l'un  des  deux, 
reste  seul  paralyse.  Dans  ce  cas  il  existe  une  inflammation  de 
l'ai aclmoïde  des  deux  côtes,  et  un  ramollissement  du  côté  op- 
posé aux  membres  paralyses.  Ces  accès  offrent  chez  les  ma- 
lades un  grand  nombre  de  variétés. 

Paralysie.  Elle  n'est  pas  toujours  précédée  ou  accompagnée 
de  mouvemens  convulsifs  ;  dans  ce  cas  elle  survient  d'une  ma- 
nière graduée  et  progressive.  Quelques  malades  commencent 
par  perdre  la  vue  ,  éprouvent  de  l'embarras  dans  la  parole  ,  un 
sentiment  de  pesanteur  et  d'ongourdisscmenl  dans  le  membre 
qui  va  être  paralysé  ;  chez  d'autres,  la  bouche  et  la  langue  se 
devient,  ensuite  la  paralysie  envahit  successivement  les  mem- 
bres supérieurs  et  inférieurs;  enfin,  lorsque  la  maladie  a  sou 
siège  dans  la  protubérance  annulaire  des  deux  côtés  à  la  fois  , 
elle  finit  par  affecter  les  deux  parties  du  corps.  La  paralysie 
commence  le  plus  ordinairement  par  les  membres  supérieurs  ; 
celle  de  la  peau  suit  en  général  la  même  progiession  que  celle 
des  muscles,  mais  avec  celte  différence  qu'elle  conmience  plus 
lard,  et  qu'elle  est  toujours  moins  intense  pendant  très-long- 
temps, en  sorte  que  les  membres  ont  déjà  perdu  entièrement 
la  faculté  de  se  mouvoir  ,  que  la  peau  conserve  encore  toute  sa 
sensibilité. 

Marche  et  durée  de  la  maladie.  Il  est  rare  que  les  symp- 
lômes  du  ramollissement  suivent  une  marche  régulière  et  con- 
tinue; le  plus  souvent  les  malades  éprouvent  des  alternatives 
d'amélioration  et  de  rechutes;  ils  sont  tantôt  assoupis  ,  tantôt 
agités;  ils  perdent  et  recouvrent  la  connaissance;  la  paralysie 
diminue  pendant  quchjues  instans  pour  augmenter  ensuite;  ils 
éprouvent  quelquefois  une  amélioration  si  remarquable,  que 
le  médecin  les  croit  presque  hors  de  danger.  On  ne  remar(|ue  ' 
pas  ces  inégalités  dans  la  marche  des  apoplexies,  et  cela  doit 
être,  puisque  les  sympiomes  sont  produits  par  un  épanche- 
ment  de  sang  qui  n'est  pas  susceptible  de  varier  d'un  instant  à 
l'autre.  Les  syrnptômes  irréguliers  et  bizarres  qu'on  observe 
parfois  dans  les  ramollissemens  ,  ont  fait  conclure  que  cette 
maladie  était  produite  par  une  fièvre  alaxique  ,  nerveuse,  per- 
nicieuse ou  maligne. 

Quant  il  la  durée  du  ramollissement,  M.  Lallemand  dit  que 
sur  quarante-un  malades,  vingt-deux  sont  moits  dans  le  prcr 
niier  septenaiie,  cl  dix-neuf  sculenicut  dans  les  deux  auucs,- 


DU  CERVEAU.  iH3 

La  marcîie  de  la  maladie  est  le  plus  souvent  rapide;  alors  elle 
est  accompagno'e  de  symptômes  intenses;  (juelquefois  elle  dure 
plus  long  temps  et  se  développe  lentement. 

I.e  ramollissement  du  cerveau  est  une  maladie  grave  et  mor- 
telle, si  l'on  ne  lui  oppose  pas  dans  le  commencement  le  trai- 
tement antiplilogisiique. 

Influence  du  ramollissementdu  cerveau  sur  le  de'veloppement 
des  symptômes  des  maladies  qui  peuvent  exister  simultané' 
.ment.  Les  malades  alleints  de  ramollissement  du  cerveau  sont 
souvent  attaques  en  même  temps,  soit  d'une  péritonite,  soil 
d'une  fièvre;  l'abdomen  est  alors  tantôt  indolent,  tantôt 
douloureux;  celle  différence  dans  la  sensibilité  de  l'abdo- 
men tient  à  l'état  du  cerveau  dans  le  moment  où  l'on  examine 
le  malade.  Si ,  dans  ce  moment ,  l'organe  qui  peiçoit  les  sensa- 
tions jouit  de  ses  facultés,  le  malade  donne  des  sjgnes  de  dou- 
leur, sa  figure  se  grippe,  etc.  Dans  le  cas  contraire,  n'esi 
ayant  pas  la  conscience,  il  ne  peut  la  manifester  par  aucud 
phénomène  extérieur.  Toutes  les  fois  que  les  fonctions  du  cer- 
veau sont  troublées,  et  qu'il  existe  en  même  temps  une  in- 
flammation dans  un  autre  organe,  la  douleur  produite  par 
cette  inflammation  diminue,  et  môme  disparaît  entièrement. 
Ce  n'est  pas  parce  que  la  douleur  de  têie  est  plus  forte,  que 
celles  du  ventre,  de  la  poitrine,  etc.,  disparaissent;  car  sou- 
vent il  n'existe  pas  de  céphalalgie  :  ce  n'est  pas  non  plus  parce 
que  l'inflammation  est  plus  forte, puisqu'un  éparichement san- 
guin ou  séreux  peut  produire  le  même  effet;  c'est  parce  que 
la  douleur  étant  le  résultat  d'une  sensation  perçue  par  le  cer- 
veau, tout  ce  qui  peut  altérer  ses  fonctions  fait  disparaître  ce 
symptôme  de  l'inflammation.  Mais  si  elle  est  grave,  elle  n'est 
point  entravée  dans  son  développement  par  l'affeclion  céré- 
brale; tous  les  autres  phénomènes  persistent,  parce  qu'ils  no 
sont  pas , comme  la  sensibilité,  sous  l'empire  du  cerveau;  la 
maladie  parcourt  ses  périodes  d'une  manière  d'autant  plus 
dangereuse  qu'elle  est  plus  difficile  à  reconnaître,  et  produit  Ja 
mort,  qu'on  attribue  à  l'affection  du  cerveau  qui  n'est  qu'ac- 
cessoire. Si  l'on  fait  l'ouverture  du  corps  avec  quelque  atten- 
tion ,  on  est  surpris  de  trouver  si  peu  de  rapports  cntrj  les 
symptômes  observés  pendant  la  vie,  et  les  altérations  mor- 
bides ;  et  ce  mécompte  jette  de  la  défaveur  sur  la  médecine  et 
sur  l'anatomie  pathologique  en  parliculier.  Il  est  donc  de  la 
plus  grande  importance,  toutes  les  fois  qu'on  observe  quelque 
symptôme  qui  indique  une  altération  dans  les  fondions  du 
cerveau ,  de  ne  pas  s'en  laisser  imposer  par  l'absence  de  la  dou- 
leur. Il  faut  alors  interroger  avec  d'autant  plus  d'attention  les 
autres  phénomènes  ,  qu'étant  indépendans  de  la  sensibilité  et 
<3e  la  yolonlc,  ils  ne  varient  pas.  Ainsi ,  quoiqu'un  malade  ait 


îS4  TOME  XLVII.  RAMOLLISSEMENT 

l'abdomen  souple,  et  ne  manifesle  aucune  douleur  (]uand  on 
comprime  les  régions  épigastrique,  ombilicale,  iliaques  droile 
et  gauche,  si  la  peau  est  brùîanle  et  sèche,  si  la  langue  est 
rouge,  le  pouls  IVéquenl,  etc.  ,  vous  reconnaîtrez,  maigre  Tab- 
sence  de  la  sensibililé  et  de  la  conlraclion  dos  parois  abdomi- 
nales, une  inflammaliou  de  la  muqueuse  gaslro-inteslinale  j  si 
h  ces  syriiplômes  se  Joint  du  dcvoiement,  vous  jugerez  que 
l'inflammalion  a  son  siège  vers  la  valvule  iléo-cœcale,  ou  dans 
les  gros  intestins.  Ces  symptômes  propres  sont  d'autant  plus 
précieux  que,  par  une  sorte  de  compensation  assez  bizarre,  si 
les  altérations  du  cerveau  masquent,  pour  ainsi  dire ,  certaines 
inflammations  de  l'estomac,  en  faisant  disparaître  la  douleur, 
il  arrive  très-souvent  aussi  que  les  inflammations  cérébrales 
produisent  sympalhiquement  des  nausées,  des  vomissemcas 
opiniâtres  ,  qu'on  pourrait  regarder  comme  des  symptômes 
«l'une  inflammation  de  l'estomac;  mais  alors  la  peau  est  fraîche, 
la  langue  blanche,  humide,  le  pouls  naturel,  etc. 

C'est  encore  ii  la  diminution  de  sensibilité  qu'il  faut  attribuer 
la  distension  de  la  vessie  et  l'inflammation  de  sa  membrane 
muqueuse,  qu'on  observe  si  fréquemment  dans  les  maladies 
du  cerveau  et  de  ses  membranes,  qui  sont  accompagnées  de 
stupeur,  de  somnolence,  etc.  Le  malade  ne  fait  aucun  effort 
pour  expulser  l'urine  contenue  dans  sa  vessie,  parce  qu'il  ne 
perçoit  pas  l'impression  qu'elle  fait  sur  la  membrane  mu- 
queuse j  elle  s'y  accumule  par  conséquent,  et  distend  ses  parois 
tant  qu'elles  peuvent  prêter  :  alors  la  résistance  que  l'urine 
éprouve  de  leur  part  étant  plus  giiande  que  celle  que  lui  pré- 
sentent le  col  de  la  vessie  et  l'urètre,  à  mesure  qu'il  en  arrive 
dans  la  vessie  une  nouvelle  quantité,  elle  s'écoule  au  dehors 
dans  la  même  proportion  et  avec  la  même  vitesse  qu'elle  est 
apportée  par  les  uretères,  c'est-à-dire  goutte  à  goutte.  Les 
malades  urinent  alors  par  regorgement.  Après  la  mort,  on 
trouve  la  membrane  muqueuse  de  la  vessie  injectée,  couverte 
de  plaques  ou  de  points  sanguinolcns  ;  souvent  le  fond  de  la 
vessie  est  plein.  Cette  inflammation  est  probablement  due  à 
l'iinpiession  prolongée  d'une  urine  déji\  en  partie  décomposée. 
La  phlegmasie  vésicale  étant  un  accident  fàcl.cux,  on  ne  doit 
jamais  négliger  dans  les  affections  cérébrales  d'explorer  l'hypo- 
gastre,  pour  s'assurer  si  la  vessie  n'est  pas  distendue,  surtout 
dans  les  cas  où  l'on  prétend  que  le  malade  a  une  incontinence 
d'urine. 

C'est  encore  au  défaut  de  perception  des  sensations  que  l'on 
doit  attribuer  la  difficulté  dis  vomisscmens,  toutes  les  fois  que 
le  cerveau  est  gravement  affecté,  comme  dans  les  apoplexies 
et  les  raniollissemens.  Eti  effet  ,  le  vomissement  n'est  pas  un 
acte  enlicrcnicnl  involontaire;  l'estomac  a  besoin  d'être  aide, 


IIU  CEPcVEAU.  iM-, 

dans  ses  efforts,  par  le  diaphragme  et  les  mdscles  abdon.inaux. 
Lear  action  doit  être  simultanée,  et,  pour  cela,  ii  faut  î'iiir 
lluence  du  cerveau;  mais  comme  l'e'mclique ,  lorsqu'il  ri'est 
pas  vomi ,  produit ,  par  son  séjour  dans  Tcstomac  ,  une  inflam- 
mation de  la  membrane  muqueuse,  il  s'en  suit  que,  dans  ce 
cas  ,  l'affection  du  cerveau  influe  indireclcmenl  sur  le  déve- 
loppement de  riiiflatnmalion  (Lallemand). 

ISnture  du  ramollissement.  Quelques  médecins,  entre  au- 
tres M.  Recamier,  regardent  les  ramollissernens  du  cerveau 
comme  une  altération  sui  generis ,  une  dégénérescence  parti- 
culière, qu'ils  comparent  à  certains  ramollissernens  de  la  rate. 
M.  Pvecaœier  croit  ces  désorganijations  indépendantes  de  toute 
inflammation,  et  produites  par  une  cause  générale,  une  mala- 
die de  toute  l'économie,  une  fièvre  ataxique ,  nerveuse,  nio- 
ligne  ou  pernicieuse ,  qui  se  porte  sur  le  système  nerveux  ,  tt 
spécialement  sur  Je  cerveau,  dtitruil  et  désorganise  son  lissu. 

Pour  résoudre  celle  (]Uestion  importante,  interrogeons  les 
faits.  Dans  le  plus  grand  nombre  des  observations,  le  ramol- 
lissement du  cerveau  est  accompagné  d'une  inflammatioîi  ai- 
guë ou  chronique  de  l'arachnoïde,  ou  d'adhérences  cotitre  na- 
ture, qui  existent  exclusivement  ou  principalement  vis-à-vis 
de  la  partie  du  cerveau  qui  est  malade  :  c'est  déjà  une  cir- 
constance fort  remarquable;  dans  la  deuxième  observation 
<pie  Jious  avons  citée  plus  haut  (page  177),  la  maladie  a  pré- 
senlë  deux  époques  disliJictes,  c'est-à-dire  qu'après  une  amr- 
Jioration  bien  marquée,  le  malade  éprouva  une  rechute;  la 
substance  grise  de  Ja  partie  supérieure  des  lobes  moyen  et 
postérieur  droil.'?,  était  d'un  blanc  sale,  et,  contenait  plusieurs 
abcès  ,  tandis  que  celle  de  la  partie  inférieure  des  raénies  lobes 
qui  était  pénétrée  de  sang,  avait  une  couleur  brunâtre.  Ce  dou- 
ble changement  de  couleur  de  la  substance  grise  s'explique 
d'une  manière  toute  naturelle  ,  par  son  mélange  avec  le  pus 
d'une  pari,  et  avec  le  sang  de  l'autre;  ces  deux  altérations 
ûoïïl  l'une  avec  injection  sanguine  cl  l'autre  avec  suppura- 
lion,  présentent  tous  les  caractères  d'une  inflammation  aiguë, 
observée  à  deux  époques  différentes;  et  celte  probabilité  se 
change  en  certitude  ,  par  la  coïncidence  parfaite  des  deux  sé- 
ries de  symptômes  observés  pendant  la  vie  avec  les  deux  de- 
grés de  l'altération  en  question.  Les  mêmes  circonstances  se 
trouvent  dans  la  première  observation  :  la  substance  grise  de 
la  partie  antérieure  de  l'hémisphère  gauche  était  très-injectée, 
comme  pénétrée  de  sang,  et  la  partie  postérieure  du  ventricule 
gauche  était  détruite  comme  par  suppuration,  do  manière  à 
laisser  une  cavité  en  forme  de  ventricule  accidentel.  Ces  deux 
observations  nous  semblent  prouver  jusqu'à  l'évidence  la  na - 
lure  inllammaloire  du  ramollissement  cérébral. 


iF6  TOME  XLVII.  RAMOLLISSEMENT 

La  porlion  du  cerveau  ramollie,  présente  deux  e'tats  dilYe- 
let^.s,  suivant  la  pe'n'ode  où  on  rexamitic.  Mais,  avant  loul  , 
îl  faut  se  rappeler  «juc  la  substance  grise,  qui  reçoit  beaucoup 
de  vaisseaux  ,  et  les  plus  volumineux  ,  est  plus  disposée,  par 
ieiie  raison  même,  au  ramollissement,  que  la  substance  blan- 
tho  qui  en  reçoit  peu  et  de  Irès-tlelics. 

Dans  ia  première  période,  la  portion  de  cerveau  raniollie, 
offre  uiie  injection  vasculaire,  une  iutîUralion  sanguine  et  une 
coloration  particulière.  Celle  couleur  est  irès-variable  ,  et  les 
diflerenles  nuances  qu'elle  présente  tiennent  moins  ii  l'injec- 
sion  vasculaire  qu'a  la  combinaison  de  ces  différentes  propor 
lions  du  sang  et  de  la  substance  grise  :  cela  est  si  vrai,  que 
«ians  les  cas  où  l'on  a  trouve'  la  substance  grise  et  la  substance 
blanche  également  ramollies  dans  le  même  cerveau  ,  celle  der 
nière  ne  parlicipait  en  rien  à  la  coloration  de  la  substance 
grise. 

Dans  la  seconde  période,  la  substance  grise,  atlcinle  de 
rauioliissemenl ,  est  décolorée,  d'un  blanc  sale,  jaunâlre, 
v.-^dàtre,  etc.  M.  Lallemaud  auribue  cette  altération  a  la  pré- 
sence du  pus,  qui  n'est  encore  qu'infiiîré  dans  la  subslancy 
grise  ,  et  qui  bientôt  se  réunit  en  foyer  distinct. 

Jusqu'à  présent  nous  n'avons  paile  que  de  ia  substance  grise, 
T)arce  que  sa  couleur  naturelle  nous  offre  un  terme  de  compa- 
laison  que  nous  n'avons  })as  datis  la  substance  blanche.  Mais, 
de  même  que  l'injection  sanguine  donne  à  celle  dernière  une 
teinte  rosée  ou  rouge  plus  ou  moins  foacée ,  de  même  le  pus^ 
lorsqu'il  est  coloré,  lui  communique  son  aspect  jaunâtre,  ver- 
dàtre,  etc.;  et  comme  il  arrive  quelquefois  que  le  pus  est 
d'un  blanc  plus  ou  moins  mat ,  on  conçoit  qu'îi  ne  peut  chan 
ger  la  couleur  de  la  substance  blanche.  M.  Laliemand  avoue 
tfue  ce  cas  est  foit  obscur,  peu  susceptible  d'une  démonstra 
tion  positive,  et  qu'il  n'y  a  (jue  l'analogie  qui  puisse  entraînei 
Ja  conviction;  il  compare  le  ramollissement  du  cerveau  aux 
inflammations  phiegmoneuses.  «  Quand  on  examine  le  tissu 
d'un  organe,  dit-il,  qui  a  été  affecté  d'inflammation  aigué  , 
arrêtée  par  la  mort ,  au  milieu  de  sa  première  période,  ou 
trouve  son  parerschyme  infiltré  de  sang  rouge-brun,  violacé  , 
SCS  plus  petits  vaisseaux  sont  développés,  son  tissu  est  très-fa- 
cile à  déchirer,  lin  peu  plus  tard,  vous  rencontrerez  çà  et  là 
un  peu  de  pus  infiltré  dans  les  mailles  du  tissu  cellulaire,  qui 
a  pris  une  teinte  grisàlie ,  jauudlre,  est  devenu  plus  fragile 
encore  :  quelques  goulies  de  pus  commencent  déjà  à  se  réunir 
en  uifférens  points,  mais  le  reste  de  l'oigane  est  encore  gorgé 
du  sang;  la  partie  du  phlegmon  qui  conmience  à  suppurer, 
est  environnée  d'une  atmosphère  de  vaisseaux  dilatés  ;  plus 
taidrinjecliou  vasculaire  diminue,  disparaît  ciUièremeni,  peu 


DU  CERVEAU.  187 

à  peu  le  pus  remplace  le  sang,  s'infittic  dans  les  arëo'eà  du 
tissu  celkilaiie ,  presque  prive  de  cohésion  ,  se  coiubiite  pour 
ainsi  dire  avec  lui.  Si  vous  divisez  l'ort^anc  malade,  vous  n'y 
trouvez  pas  encore  de  loyer  purulent  bien  distinct;  mais  ou 
Je  pressant  entre  les  doigts,  vous  en  faites  sortir  des  goultclelies 
de  pus,  dont  la  présence  devient  évidente  alors  par  ia  réunion 
des  molécules  éparses  en  globules  distincts.  Je  n'ai  pas  besoin 
de  dire  pourquoi  il  n'est  pas  possible  de  l'exprimer  ainsi 
de  la  substance  cérébrale  diins  laquelle  il  est  infiltré  de  la 
même  manière  :  il  est  évident  aussi  que  cet  état  correspond  h 
celui  des  ramoUissemens  avec  coloration  jaunâtre,  verdù  • 
trc,  etc.,  ou  simplement  avec  décoloration  de  la  substance 
grise.  Plus  tard  le  pus  se  réunit  c\^  petiîs  foyers  vers  ie  contre, 
tandis  qu'à  la  circonférence,  il  n'est  encore  qu'infiUre  dans  le 
tissu  cellulaire  ;  mais  ces  petits  foyers  ne  forment  i>as  esicnrc  un 
véritable  abcès  à  cavité  bien  circonscrite.  Au  boni  de  (jnelqucs 
jours,  ces  petits  foyers  se  réunissent  pour  n'en  faire  ([irua 
principal,  dont  la  cavité  est  plus  exaciement  limitée,  dont  les 
parois  sont  njieuX  dessinées  ;  il  existe  un  abcès  propremcnï 
dit.  Enfin,  quand  la  marche  de  l'inilannuation  est  plus  lenle  , 
quand  le  pus  séjourne  plus  long-temps  au  milieu  des  lissus 
affectes,  cinq  à  six  mois,  par  exemple,  les  parois  du  foyer  s'or- 
ganisent; il  se  développe  a^ulour  du  pus  une  véritable  mcnii- 
brane,  comme  il  s'en  forme  autour  de  tous  les  corps  clrari  • 
gers  qui  séjournent  dans  l'économie 5  autour  des  caillots  ùc 
sang  dans  les  apoplexies,  par  exemple,  etc. ,  etc.;  on  voit 
que  les  inflammations  du  cerveau  présentent  les  mc»nes  phé- 
nomènes et  suivent  la  même  marche  que  celle  de  tous  \c^  oi  - 
î^anes  parcnchymatciix  ,  sauf  quelques  légères  différences  uni 
tiennent  à  la  mollesse  de  la  substance  lu-rveuse  ,  et  au  peu  de 
tissu  cellulaire  qui  entre  dans  la  composition  du  cerveau,  n 

Si  on  lit  avec  attention  les  observations  publiées  par 
M.  Lalle.mand  ,  et  les  réflexions  qui  les  acconq)agnenl  ,  ou 
reste  convaincu  ,  à  notre  avis,  de  la  nature  inflammatoire  du 
1  amollissement  du  cerveau.  Celle  maladie  n'est  doue  que  la  cé- 
plinlUe  des  auteurs. 

Siège  du  rainolUiseinent.  Il  résuite  des  faits  recueillis  par 
jU.  Lallemand,  que  sur  quaranle-six  obseï  valions  ,  la  maladie 
a  eu  son  siège  principal  trente-trois  (ois  dans  la  subslance  grise 
ou  dans  des  organes  qui  en  sont  principalement  formés  ,  ei  huit 
lois  seulement  dans  la  substance  blanche.  Et ,  ce  qui  est  en- 
core assez  remarquable,  la  surface  des  circonvolulions,  où  hi 
.'•ubstance  grise  existe  sans  mélange  ,  a  été  affectée  seize  fois  , 
le  corps  strié  et  la  couche  des  nerfs  optiques  qui  en  sont  eu 
grande  partie  formés ,  treize  fois,  et  la  protubérance  annu- 
laire ,  où  l'on  en  lenconire  moins ,  ne  l'a  été  que  qnaliG  fois.  11 


i88  TOME  XL VII.  RAMOLLISSEMENT 

est  vrai  qu'il  faut  avoii-  égard  à  la  grande  étendue  qu'occupe 
en  surface  la  substance  grise  des  circonvolutions  ,  au  volume 
du  corps  strié,  de  la  couche  des  nerfs  optiques,  et  de  la  pro- 
tubérance antuilaire.Quoi  qu'il  en  soit,  la  disproportion  entre 
le  nombre  des  affections  de  la  substance  grise  et  de  la  subs- 
tance blarjchecàt  trop  grande  pour  qu'on  puisse  l'attribuer  au 
hasard.  Ce  rapport  de  fréquence  coïncide  parfaitement  avec  la 
disUibulion  des  vaisseaux  dans  la  substance  cérébrale,  comme 
nous  l'avons  dit  plus  haut. 

Des  caraclèrei  ijid  distinguent  le  ramollisse  nient  d'avec  les 
autres  affections  du  cerveau.  Les  maladies  du  cerveau  et 
celles  de  l'arachnoïde,  par  leur  ioUuence  sur  les  fonctions  du 
cerveau,  se  manifestent  à  l'extérieur  par  la  lésion  des  mêmes 
lonclions,  c'est-à-dire  par  des  symptômes  qui  ont  rapport  à 
la  perception  des  impressions  produites  par  les  agens  exté- 
rieurs ,  à  l'intelligence  et  aux  raouvemcns  volontaires.  Les 
symptômes  des  inflammations  du  cerveau  présentent  deux 
caractères  tout  à  fait  opposés,  ceux  d'irritation  et  ceux  de 
collapsus.  De  là  ,  d'une  part,  l'exaltation  des  facultés  intel- 
lectuelles, la  cépiialaigie ,  la  sensibilité  de  la  rétine,  la  cou- 
traclion  contiime  ou  intermittente  des  muscles  ;  de  l'autre,  la 
diminution  de  l'intelligence  ,  la  slupeur,  la  somnolence,  la 
dureté  de  l'ouïe  ,  la  perte  de  la  vue,  de  la  parole,  la  paralysie 
des  muscles,  l'irrsensibilité  de  la  peau.  Les  premiers  de  ces 
symptômes  s'observent  aussi  dans  l'inflammation  de  l'arach- 
noïde, et  les  seconds  dans  l'apoplexie  5  mais  on  ne  les  trouve' 
réunis  que  dans  les  inflammations  du  cerveau,  parce  que,  dans 
le  premier  cas,  il  y  a  irritation  du  cerveau  sans  altération  de 
son  tissu;  dans  lesecond,  i!  y  a  d'abord  altération  sans  irritation, 
ce  n'est  que  dans  l'inflammation  du  cerveau  (le  ramollissement) 
()u'il  peut  y  avoir  successivement  iriilatiorj  et  désorganisatiou. 
Quand  la  paralysie  précède  les  symptômes  spasnrodiques  , 
c'est  (]ue  l'altération  de  tissu  précède  l'infl.aœmaiion,  c'est-à- 
dire  qu'il  s'est  fait  d'abord  un  épanchement  de  sang.  Enfin  ,. 
quand  les  sympiônies  spasmodiques  manquetJt  ,  la  marche 
lente  et  progressive  de  la  paralysie  peut  facilement  la  faire 
distinguer  de  celle  qui  est  produite  par  une  apoplexie.  Ainsi, 
en  dernière  analyse,  dans  l'inflammation  de  l'arachnoïde, 
symptômes  spasmodiques  sans  paralysie  ;  dans. l'apoplexie  , 
paralysie  subite  sans  symptômes  spasmodiques  ;  dans  l'in- 
flammation du  cerveau  (ramoliisse/nent ),  symptômes  spas- 
modiques, paralysie  lenie  et  progressive ,  marche  inégale  et 
intermiltente  (Lallemand  ). 

'Jfailement.  L'analomic  pathologique  ne  serait  qu'aune 
étude  de  pure  curiosité,  si  elle  se  bornait  à  la  description  des 
altéralijiis  moibldcsi  il  ne  sulfit  pas  non  plus  de  chcrciier  les 


DU  CERVEAU.  189 

sympiôinesqui  les  font  reconnaître  peudaui  la  vie,  il  fautar- 
îiver  à  la  cause  de  ces  alttiations  et  au  meilleur  mode  de 
trailemeol  possible j  car  c'est,  en  dernière  analyse,  le  but  au- 
quel doivent  tendre  tous  nos  efforts.  «  Ainsi,  dit  M.  Lalle- 
mand ,  quoique  j'aie  mis  quelque  importance  à  l'étude  des 
symptômes  propres  à  faire  distinguer  les  ramollissemens  du 
cerveau  de  l'apoplexie  et  des  inflammations  de  l'arachnoïde, 
j^en  ai  attaché  davantage  à  démontrer  que  ces  ramollis- 
semens étaient  le  résultat  d'une  inflammation,  parce  que 
l'opinion  qu'on  se  forme  de  la  nature  d'une  maladie,  influe 
directement  sur  la  manière  dont  on  la  traite.  Le  médecin  le 
plus  empirique  se  forme  toujours  une  idée  quelconque  de  la 
maladie  qu'il  veut  guérir  et  de  la  manière  d'agir  des  moyens 
qu'il  met  en  usage,  seulement  il  est  probable  que  celui  qui  la 
traitera  le  mieux,  sera  celui  qui  en  connaîtra  mieux  la  cause, 
le  siège  et  la  nature.  » 

L'observation  démontre  que  l'émétique,  à  la  dose  ordi- 
naire ,  et  à  plus  forte  raison  à  haute  dose  ,  augmente  les  affec- 
tions cérébrales,  lorsqu'il  produit  des  vomissemens,  et  déter- 
mine l'inflammation  de  la  muqueuse  gastro-intestinale,  lors- 
qu'il n'est  pas  vomi.  Ainsi  ce  moyen  ne  doit  pas  être  mis  en 
usage;  il  en  est  de  rncme  des  toniques  qui  ont  constamment 
aggravé  les  symptômes.  L'expérience  apprend  qu'il  faut  re- 
courir aux  saignées  répétées  dès  le  début  de  l'inflammation  , 
parce  qu'il  est  alors  plus  facile  d'en  arrêter  les  progrès  ,  le 
tissu  du  cerveau  n'étant  point  encore  désorganisé;  si  l'on  par- 
vient h  faire  avorter  la  fluxion  sanguine,  les  fonctions  se  ré- 
tablissent à  l'instant,  îe  malade  n'a  pas  de  convalescence. 
On  doit  en  même  temps  appliquer  de  la  glace  sur  la  tête  :  ce 
moyen  est  un  des  plus  puissans  contre  les  maladies  cérébrales  ; 
viennent  ensuite  les  sinapismes,  les  vcsicatoires ,  etc. ,  etc. 
M.  Lallemand  rapporte,  dans  sa  seconde  lettre,  plusieurs  ob- 
servations qui  prouvent  l'efficacité  de  ce  mode  de  traitement, 
qui,  du  reste,  est  commun  à  toutes  les  afleclions  de  l'eueé- 
pliale. 

RECHERCHES  anatomico-pathologiques  sor  l'encéphale  et  ses  de'penilances  ;  par 
F.  Lailciumid  :  [«remière,  deuxième  et  troibièaie  lelirej  Paris,  1820,  1821, 
in-»". 

Notre  article  est  extrait  en  grande  partie  de  cet  ouvrage  ,  qui  fait  beau- 
coup d'honneur  à  son  auteur. 

liKCHtRciiES  sur  une  maladie  encore  peu  connue  ,  qui  a  reçu  le  nom  de  ra- 
violUsscment  du  cerveau  ;  par  M.  Rostan  ;  Paris  ,  1820  ,  in-8°. 

(eATISSIEB) 

1G4.  Ligne  4^.  Qu'on  eût,  lisez  qu'on  ait. 

1G7,  RAMPER.  On  a  rcuvoyc  à  ce  mot  de  MyoGiVAi-uiL 


iQo  TOME  XLVIl.  RAMPER. 

(Tome  XXXV,  page  98  ).  Il  n'en  a  pas  clé  traite  à  pari,  ccUc 
espèce  de  mouvement  n'étant  pas  propre  à  l'homme,  du  moins 
dans  le  sens  positif. 

3i6,  RA.TANHIA.  La  décoction  de  cette  racine  est  d'une 
amertume  qui  ii'esl  point  desagréable  ,  et  qui  se  marie  bien  avec 
le  sucre. 

Elle  est  d'un  beau  rouge  de  sang,  de  sorte  qu'elle  trompe 
et  fait  croire  que  les  malades  vomissent  le  sang  lorsqu'ils  la 
rejellent,  ou  la  rendent  par  le  nez  après  une  ingurgitation  de 
travers. 

Elle  colore  la  langue,  les  dents,  les  gencives  en  rouge,  de 
mf^a'iière  à  simuler  l'enduit  rougeâtre  qui  a  lieu  dans  quebjues 
fièvres  ataxiques  ou  adynamiquesj  elle  tache  le  linge  d'une 
manière  très  prononcée ,  mais  ces  taches  s'en  vont  bien  à  la 
lessive. 

Ce  doit  être  un  bon  bois  de  teinture  ,  et  son  prix  ,  peu  con- 
sidérable (  40  sous  la  livre),  permettrait  d'en  essayer  l'usage 
en  France  comme  on  iefait  en  Amérique  j  on  eu  obtiendrait 
sans  doute  de  belles  nuances.  > 

On  ajoutera  à  la  bibliographie  de  cet  article  l'ouvrage  suivant: 

JJie  ratanhiawurzel,  etc.;  cVst-à-cIne ,  Mémoire  sui  la  racine  et  l'extrait  de 
laianbiaj  in-fol.  Stutigard  ,  1820. 

275.  Ligne  39.  J'allais,  Zi,yez  j'allai. 

297.  Lignes  9  et  18.  Lallement,  lisez  Lallemaiid. 

090.  REGLES  DEVIEES.  On  a  renvoyé  h  cet  article  de 
iMASTODYNiE  (  tomc  XXXI,  pagc  94);  il  Ji'cu  a  pas  été  traite 
à  part  ;  il  en  est  question  à  menstkuation  ,  tome  XXXll , 
page  38o. 

Jbîd.  REGLISSE.  Ajoutez  à  cet  article  ce  qui  concerne  les 
âeux  principes  particuliers  reconnus  dans  celte  racine,  dési- 
gnés sous  le  nom  d'agedoïcle  (tome  XLV,  page  17H),  et  de 
^Ifcyrrhizine  (  tome  XLV,  page  181  ). 

448.  REMÈDES  DE  PRÉCAUTION.  T.  XIII,  p.  2o5. 

45 1.  REMPLISSAGE.  On  a  renvoyé  à  ce  mot  de  coussi- 
ivET  (tome  VII,  page  228).  Le  remplissage  consiste  à  placer 
des  coussinets  remplis  de  baie  d'avoine  ,  de  coton  ou  de  bourre 
entre  les  attelles  ou  autres  pièces  de  l'appareil  d'une  fracture 
et  les  parties  creuses  d'un  membre",  pour  qu'elles  ne  portent 
pas  seulement  sur  les  endroits  saillans.  Voyez  iracruRE 
(tome  XVI,  page  534). 


TOME  XLVIT.  RENÏXIGRADE.  iqî 

45i.  RENIXIGRADE  (bandage).  T.  XKXVll/p.  285. 

ÏJbid.  RENAR^D.  Nom  que  l'on  donne  au  lumbago,  dans 
le  Voiiou.  Tome  XXIX,  page  i25. 

Jhid.  RENARD.  Usages  de  ce  quadrupède.  Tomes  XXI , 
page  (  Y)  '■>  XXX ,  page  4^5 ,  et  XXXVIII ,  p.  4^2> 

Ibid.  RENNE.   Usage  de  ce   quadrupède.  Tome  XXX ^ 

page  407. 

568.  Ligne  27.  Fimipi  ^Wstzfuupi. 

570.  Ligne  11.  Produite  par,  Usez  co?ileiiue  dans 
Ibid,  Ligne  i3.  Page  23  ,  /wezpageaSi. 

Jhid,  Ligne  18.  Rackaseia  ,  /«'ses  rackasira. 

571.  RÉSINE  l'E  CAGHIBOU.  Cette  résine  découle  da 
harsera  giiuwiifera,  L. ,  gomart  d'Amérique,  et  non  du  bolox. 
Elle  prend  son  nom  des  feuilles  du  galanga  j aime  y  dans  le- 
quel on  l'envoie  ,  nommé  cachihoii  par  les  nègres, 

Jbid.J{ÉSmE  CARAGUE  ou  G  \R AUNE.  Elle  découle  du 
caragua  nuncupata  de  Hernandez,  végétal  que  l'on  n'a  point 
encore  rapporté  à  un  noip  linnéen.  C'est  Varbre  de  la  folie ^ 
nornmé  en  mexicain  thahucUloca  quahuilt.  J^oyez  gomme  oa- 
KANNE,  tome  XVIIi,  page  58o. 

573.  Ligne  39.  Fourmis  volantes  ,  /iVez  gallinsecles. 

57G.  Ligne  12.  J'.inipcrus  com/nunis,  L. ,  lisez  thuya  artica- 
laCa,  De&f. 

577.  Ligne  2t.  Résine  verte ,  ajoutez  :  ou  chloro-phylle  de. 
]\1M.  Pelletier  et  Cavenlou.  Tome  XLV,  iC)2. 

5-9.  RÉSINE  DE  M.  CHAUSSIER.  Sorte  de  résine  am- 
inée, provenant  d'Améri({ue,  que  M.  Cliaussier  a  tait  con- 
naître. Il  y  en  a  une  analyse  détaillée  dans  l'Histoire  abrégée 
des  drogues  simples,  de  M.  Guibourt ,  tome  II,  page  247. 
Elle  est  inusitée. 

Jbid.  RÉSINE  DE  COUMIA.    Elle  découle  de  Vamyvi> 


192         TOME  XLVII.  RÉSINE  DE  COUMIA. 
ambrosiaca,  arbre  qui  croît  à  Cayenne.   Elle  sert  d'encens 
dans  celte  île.  Ou  l'employé  aussi  dans  les  diarrhées. 

Ibid.  RESINE  JAUNE.  Suc  jaune  concret  provenant  de 
]a  Nouvelle-Hollande  ,  dont  on  ne  connaît  pas  le  végétal  pro- 
ducteur. Elle  ressemble  un  peu,  au  premier  abord,  à  la 
gomme-gutte,  mais  elle  en  est  fort  diftérente  par  ses  qualités  , 
puisqu'elle  est  bonne  contre  la  dysenterie.  Voye-z  Murray, 
Appar.  medic.^  tome  VI,  page  229. 

58i.  RÉSISTANCE  VITALE.  On  a  renvoyé  à  ce  mot  de 
PROPRIÉTÉS  (  tome  XLV,  page  463) ,  et  de  règles  de  l'hygiène 
(  au  mot  SUJET  de  l'hygiène)  ;  il  n'en  a  pas  été  traité  à  part, 
/^oyez  principe  VITAL  (tome  XLV,  page  i25)  et  vie  (tome 
LVII,  page  433). 


TOME  XLVHl.  riKYEtl..  iqI 

TOME  QUAIUNTE-HUITIEM] 


\E. 


Page  3  )o.  KEVEIL.  Moment,  de  la  cesiaiioa  du  sommeil. 
Tome  LU,  pjge  86. 

Guillemets  omis. 

Page  3o8  :  depuis  le  mot  nul  doute,  i  3*  li^jne  du  2"^  para- 
graphe, jusqu'à  la  fin  de  ce  paragraphe. 

Page  342  :  depuis  le  mol  on  ,  i3^  ligne  du  dernier  paragraphe, 
jusqu'à  Ja  fin  de  ce  paragraphe. 

Page  35a  :  2®  paragraphe,  '^^  lig^^j  depuis  ic  mot  toutefois  ^ 
jusqu'au  i^^"  pnragrapiie  de  la  page  354- 

Page  555  :  depuis  le  \^^  paiagraphe,  jusqu'au  i*""^  paragraphe 
de  la  page  35(3. 

Page  357  :  dernier  paragraphe,  3^  ligne  ,  depîiis  ces  mots  les 
prêtres ,  jusqu'à  la  page  562  ,  8"  ligne,  au  met  moiitrer. 

Page  362  :  depuis  le  moi  jusque  /à,  3^  ligne  du  dernier  para- 
graphe ,  jusiju'au  mot  tour  à  tour,  a  la  iiu  du  dernier  para- 
giapiic  de  la  page  364. 

Page  365  :  dernier  paragraphe,  7®  ligne,  depuis  le  mol  Ilip- 
pocrate ,  jusqu'au  mot  desavouer .,  6^  ligne  de  la  page  367. 

Page  368  :  premier  paragraphe,  3®  ligne,  depuis  ces  mots  les 
ouvrages,  jusqu'à  la  fin  de  ce  même  pas agrophc. 

Page  569  :  au  second  paragraphe  tout  entier. 

Page  3^0  :  de  la  18^  ligne  ,  aux  mots  les  alchimistes ,  jusqu'à 
la  9*  ligne  de  la  page  371  ,  au  mot  indkjucr. 

Page  372  :  au  2®  paragraphecommencépar  ces  mots  le  ge'r.ie , 
et  au  3^  paragraphe,  (jui  commence  par  les  mots  au  niiliea. 

Page  375  :  depuis  la  20^  ligne,  au  mot  bientôt y]u.=,!\i\i\  la  lia 
du  paragraphe. 

Page  374:  au  3"  paragraphe  en  entier. 

4o5.  RHÎNNOriPJiÂGTE.  Synonyme  à\'i}istaxis.  Tome 
XU  ,  page  698. 

Ihid.  PvHINXORPiHEE.  Ecoulement  muqueux  par  le  nez. 
Tome  YIII,  page  SiJQ. 

7W.P.HODIOLE,r/ior//oZrrro^e^,L.P]ante de  la  famille  des 
joubarbes,  dont  la  racine  épaisse,  giise ,  charnue,  blancîie  en 
dedans,  répand  une  odeur  de  rose  liès-marquc'c  e'ia-?'  fraîche, 

2  5 


t94  RHODIOLE.  TOME  XLVIII. 

qui  embaume  les  montagnes  de  la  Laponie ,  de  Suisse  et  de 
Fiance  où  elle  croît,  tandis  qu'elle  est  moins  marque'e  lorsque 
la  plante  est  cultivée.  On  en  obtient  parla  distillation  (  de  la 
racine  fraîche),  une  eau  qui  a  l'odeur  et  la  saveur  de  la 
rose  ,  et  une  huile  essentielle  jaunâtre,  qui  est  dans  le  même 
cas.  Sèche  ,  la  racine  ne  donne  ni  de  l'une  ni  de  l'autre. 

On  dit  celle  racine  bonne  pour  apaiser  les  douleurs  detêle, 
étant  fraîche;  on  la  réduit  en  pulpe  que  l'on  applique  sur  le 
fiont;  on  la  croit  propre  aussi  contre  le  scorbut  :  elle  est  peu 
ou  point  usitée  en  France  ,  et  ne  saurait  d'ailleurs  l'être  que 
dans  les  pays  oîi  l'oii  peut  se  la  procurer  récente,  puisque  ce 
n'est  que  dans  cet  état  qu'elle  a  des  propriétés  qui  la  distin- 
guent. Elle  est  alimenlaire  dans  les  climats  glacés  de  la  La- 
ponie. 

406.  RHODODENDRON.  Voyez  rosage.  Tome  XLIX  , 
page  80. 

407.  rhomboïde  (Muscle).  Ajoutez,  comme  synonyme  , 
dorsoscapulaire ^  Chaussier.  TcraeX,  page  149. 


TOME  XLIX.  RICIN.  ig- 

TOME  QUARANTE-NEUVIÈME. 


Va^c  2.  RICIN.  Ajoutez  à  la  bibliographie  de  cet  article  le 
travail  suivant. 

TAiENTiN  (Louis),  Noticc  suf  Tboile  de  pa'ma-chrisii  oo  de  ùéaÇ  Journal 
de  médecine  de  Corvisart,  etc.  ;  tome  xii ,  page  4^9)- 

'J2.  ROIDEUR.  On  a  renvoj'^ë  à  ce  mot  de  signes  de  la 
7?iorf  (TomeLI,  page  3o2  );  il  n'en  a  pas  «ilé  traité  sous  ce  titre  , 
mais  à  rigidité  (Tome  XLIX  ,  page  22  ).  Sur  la  rigidité  mus- 
culaire des  cadavres,  on  peut  consulter  l'ouvrage  de  Nysten , 
intitulé  :  Recherches  de  phy^siologie  el  de  chimie  pathologique  ^ 
page  384. 

84.  ROSATATES.  Sorte  de  sels,  Tome  L ,  page  54 1. 

Ihid.  ROSE  CROIX.  Secte  de  médecins.  Tome  XXXII  ^ 
page  48. 

87.  ROSEOLA.  Sorte  d'éruption  cutanée.  Tome  XLIX , 
page  147. 

95.  ROT  VAGINAL.  Tomes  XXXI ,  page  233  et  XLIII, 
page  558. 

170.  ROUTE  (fausse).  On  donne  ce  nom  à  des  perforations 
faites  par  la  sonde  dans  les  voies  urinaires.  Tome  XLIX, 
page  i63. 

272.  RUSE.  On  a  renvoyé  à  ce  mot  de  impostube  (Tome 
XXIV,  page  i5o);  il  n'en  a  pas  été  traité  à  part  ;  ce  que  ee 
mot  peut  avoir  de  médical  est  mentionné  k  simulation  des 
MALADIES.  Tome  LI ,  page  3 19. 


3o6.  Ligne  38.  Du  saccho-laclique,  /iVez  ou  sacclio-Iaclifjuc. 
Ibid.  SACHET  DE  PIBRAC.  Tome  XXVII ,  page  aSi. 


KjG  TOME  XI.IX.  SACRO-CC^XÂLGIE. 

3iG.   SACllO-COXALGlE.    ini'lamtnaiiou   cluonîque   des 

symphyses  sacrû-iiia'|ues.  Tome  XX.XIV,  page  ^'^o. 

SiQ.  Ligne  28.  En  Espagne,  lisez  l'Espagne. 

387.  SAIGNEE  BLANCHE.  Incision  faile  par  la  lancelte 
sans  ecoulcmcnl  de  sang  de  la  veine  que  l'on  voulait  ouvrir. 
Ton)c  XLI,  pap;e  078.  On  donne  paifoisaussi  ce  nom  au-s.  pc- 
cdluves.  Tome  XL ,  page  5i. 

3qi.  Ligne  3  [.  Yipèie  à  collier,  /aes  couleuvre  à  collier. 
Lisez  de  plus  pour  recliiication  i'aillclc  viviiRi:.  Tome  LYiil, 
p;ige  161. 

4^5.  SALACISME.  Désir  immodcrc  des  jouissances  véné- 
riennes. Tome  XXXIX ,  page  (J8. 

4:^3.  Ligne 23.  Eu  gramme,  Usez  do  graine. 

433.  Ligne  5.2.  Solauee,  lisez  solaninc. 

456.  SALIVATION.  Dans  cet  article,  on  n'a  traiié  que  de 
la  salivation  raercurielîo. 

Il  existe  une  autre  sorte  de  salivation.,  c'est  celle  qu'on  peut 
appeler  crilique ,  et  qui  se  monUe  dans  quelques  maladies 
qu'elle  juge,  l^es  oraliciens  renconlrcnt  des  atfeclions  morbides 
qu'une  abondante  expectoration  saiivaiie  termine  d'une  nia- 
Jiière  avantageuse;  elles  om  lieu  dans  des  maladies  fort  dispa- 
i  ates,  le  plus  souvent  pourtant  dans  cellesde  la  poitrine,  surtout 
des  poumons ,  des  bronches  ,  clans  l'angine;  on  les  rencontre 
parlois  dans  celles  de  la  bouche.  On  les  voit  surtout  encore 
dans  la  petite  ve-role,  la  rougeole,  la  scarlatine,  etc. 

Elle  se  manifeste  comme  presque  toutes  les  crises,  spon- 
tanément, et  sans  provocation,  sans  qu'aucun  phénomène 
iasse  préjuger  son  apparition.  Il  est  probable  pourtant  qu'elle 
a  lieu  après  un  travail  pre'paraloire  dans  les  glandes  sali- 
vaires  ,  c'est-à-dire  après  qu'une  irritation  a  développé  et  y  a 
déterminé  un  afilus  dans  leur  tissu  ,  ce  qui  a  lieu  d'autant 
plus  facilement  que  le  siégo  du  mal  est  plus  voisin  d'elles. 

Foyez  ce  que  l'on  a  dit  au  mot  cKisi;(lome  Vil,  page  383) 

do  laSALlVATIOK  CRITIQUE. 

5i3.  SANG-DE.AGON.  Nom  vnigaire  d'une  espèce  d'oseille 
ruinex  san{;idncus ,  l^. ,  à  la(jiiell-e  on  a  renvoyé  de  osEiLLr. 
(  tome  XXXVIU ,  page  079  )  ;  il  n'en  a  pas  clé  traité  a  fatiekcl 


TOME  XLIX.  SANG-DRAGON.  197 

ROUGK  (tome  XXXIX  ,  p.tge  539  )  où  on  avait  indiqua  sa  des- 
cription. 

C'est  une  plante  vivace  qui  cioîl  dans  les  pre's  Iiumidcs  de 
TAisace  el  de  l'Auvcigne,  mais  qui  paraît  orifjiuaire  de  Viï- 
f:i;!iiie,  dont  les  fouilles  sont  larges,  bouillounces  et  marquées 
de  grosses  veines  vouges;  les  pétioles  sont  tout  rouges;  on  la 
jcullive  dans  les  jardins  oii  elle  est  connue  sous  le  nom  dlierbe 
an  dtarpendcr ,  de  sang- dragon,  j  etc.  On  applique  ses  fei  -iii;;. 
sur  les  plaies  rccenv.js  pour  en  étancher  le  sang,  et  ses  grain  ^ 
sont  parfois  administrées  pour  arrêter  les  flux  niuqueux  tro^ 
ahondatis  ;  Ja  réputation  d'aslringence  de  la  piaule  lui  a  valu 
tes  emplois;  mais  elle  est  à  peu  près  inusitée  dans  les  villes. 
O.:  se  sert  aussi  de  ses  racines  en  dticoctiou,  comme  laxativcs, 
ainsi  que  de  ses  feuilles. 

IhùL  Ligne  45.  Imprime,  lùez'im^nmé. 

520.  SANGSUE.  Nous  n'avons  point  assez  insisté  dans  notre 
article  sur  la  difliculté  qu'il  y  a  d'arrêter  le  sang  chez  les  en- 
lans  auxquels  on  a  appliqué  des  sangsues.  On  doit,  lorsque 
l'on  est  obligé  d'en  enq>loyer  chez  eux,  les  placer,  autant  (jue 
possible,  sur  un  lieu  où  lacoiapression  soit  possible.  J^oyez 
uÉ.MoiiiUGiE  DES  E^'FA^;s  dans  les  appendices. 

558.  SANGUISORBE  OFFJtlNALE,  sangmsorha  offici- 
nalis  ,  L.  Celte  plante  de  la  même  famille  que  la  pimpreuelle 
(Tome  XLII,  page  45o) ,  poterium  sanguisorba,  L. ,  et  qui  a  été 
souvent  confondue  avec  elle  pour  ses  propriétés,  qu'elle  pa- 
raît d'ailleurs  posséder  à  un  degré  presque  analogue,  s'en 
dislingue ,  outre  ses  caractères  botaniques ,  parce  qu'elle  est 
itiodore.  C'est  à  elle  que  Linné  rapporte  ce  que  Palraarius  dit 
de  ia  propriété  anli-liydrophobiquc  de  la  pimpreuelle. 

5-6.  SAPIDITE.  On  a  renvoyé  à  ce  mot  de  iksïpide  (Tome 
XXV,  page  552)  ;  il  n'en  a  pas  été  traité  sous  ce  litre,  mais  à 
SAVELi'.,  tome  L,  page  73. 


TOME  L.  SARCOPTE.  199 

TOME  CINQUANTIEME. 

40.  SARCOPTE.  Insecte  qu'on  avait  legardé  comme  cause 
de  la  gale  (tonicXVll,  page  191);  des  obscrvationsplus  recenles 
paraissent  porter  à  croire  qu'il  vient  seulement  se  déposer  sur 
Jes  pustules  de  celte  maladie.  J^oyez  une  note  à  ce  sujet, 
tome  XI,  page  78  du  Journal  complémentaire  de  ce  Diclionaire. 

4».  SARCOSE.  Nom  que  donne  M.  le  professeur  Chaussier 
(  table  synoptique  des  fonctions  )  k  la  nutrition  des  chairs. 

73.  SAUTERELLE.  Voyez  ce  qui  a  été  dit  de  cet  insecte 
alimentaire,  tome  XXV,  page  3 10. 

Ihid,  SAVETTE.  Nom  du  mal  de  mâchoire  dans  le  Viva- 
rais.  Tome  LV,  page  6. 

100.  SCAMMONËE.  Nous  avons  indiqué  avec  tous  les  au- 
teurs, le  convoh'ulus  scammonea^  L. ,  comme  ayant  la  fleur 
blanche;  cependant  il  paraît  que  c'est  une  erreur.  Ce  liseron 
étant  irais,  a  la  fleur  jaune,  ce  qui  est  très-remarquable,  car 
je  crois  que  dans  le  genre  si  nombreux  Convolvulus^  il  n'y  a  que 
Je  convoh'ulus  umhellatus ,  Lamarck,  qui  croît  à  Saint-Do- 
mingue, qui  soit  dans  le  même  cas.  Du  botaniste  qui  a  récolté 
le  liseron  scamrnonce  dans  l'Archipel  grec  en  iby.o ^  m'en  a 
lenids,  et  c'est  après  sa  coniVontatiou  avec  les  herbiers  les  plus 
riches  de  la  capitale,  qu'il  s'est  assuré  que  ce  végétal  était  celui 
qui  fournissait  la  scammonée.  Ce  qui  a  pu  induire  en  erreur, 
c'est  que  la  couleur  de  la  fleur  passe  par  la  dessiccation,  et  n'e.st 
plus  alors  que  d'un  jaune  terne,  de  sorte  qu'on  aura  cru  qu'elle 
était  primitivement  blanche,  couleur  qui  prend  volontiers 
cette  nuance  dans  les  herbiers  en  séchaui. 

107.  SCAPHA.  Sorte  de  bandage  auquel  on  a  renvoyé  de 
DiscRiMEN  ,  tome  IX,  page  49B.  L'article  n'a  pas  été  fait.  Ce 
bandage  sert  à  maintenir  l'appareil  compressif  de  la  saignée 
de  la  temporale,  et  consiste  eu  tours  de  bande  que  l'on  roule 
autour  des  pariétaux  en  les  dirigeant  obliquement  vers  la  nuque. 

ii5.  SCAPULALGlE.  Inflammation  chronique  des  os 
omoplats,  ou  scapulum.  Tome  XXXIV,  page  470. 

^  208.  SCIRROCCO  ou  SIROCO.  Vent  chaud  et  humide 
d'Afrique  qui  a  traversé  la  Méditerranée;  et  qui^  par  sa  qualité 


:ioo  TOME  L.  SCIRROCCO. 

énervante,  cause   des  maladies   en   llalic,  en   Provence ;,  cic- 

Tome  XXX,  page  249?  £l  VomeLViî,  page  i5(3. 

210.  SCOLOPENDRE  ( insecte) ,  scolopendra.  On  y  n  ren- 
voyé d' INSECTE  (  lonie  XXV,  page  336);  il  n'eu  a  pas  clé 
traité  à  part. 

Los  Scolopendres  ou  mille-pieds  sont  des  insectes  aptères  , 
que  M.  de  Lamarck  a  rangés  dans  les  arachnides,  famille  des 
poij-podes  ;  elles  sont  aplaties  ,  composées  d'anncait^;  égaux  , 
(]ui  s'accroissent  en  nombre  avec  l'âge,  ainsi  que  les  pattes  ,  au 
nombre  de  deux  sur  cliacjue  article  (  quatre,  Geoffroy);  elles 
habitent  sous  les  pierres  et  dans  les  trous  humides  des  niu- 
jaillcs;  elles  courent  vite  en  serpentant;  elles  mordent  et 
produisent  quelque  enflure  à  l'endroit  mordu  ,  ce  qui  les  a 
fait  appeler  du  nom  de  malfaisans  dans  quelques  cantons. 

A  la  planche  n  ,  fig.  i  du  mot  insecte  (tome  XXV)  on 
a  figuré  la  grande  scolopendre  des  Anliiles ,  animal  plus  dan- 
gereux que  nos  espèces  à  cause  de  son  volume  et  de  la  force 
de  ses  morsures. 

a58.  SCORBUT  DES  ALPES.  Tome  XL,  page  83. 

9.75.  SCOPlPION.  Cet  animal  est  figuré  h  insecte  (  Tome 
XXXV,  page  33ô,  planche  i,  figure  ?.  ). 

39g.  SÈCHE  ,  5e^/«  cfficinalis ^  Lin.  Tvîolusque  céphjb- 
pode,  coniersant  un  os  inicricnr  ,  conrm  sous  le  nom  d'os  de 
sèche ,  de  biscuit  de  mer ,  qui  entre  dan?  la  com])Osilion  de 
quelques  poudres  dentifrices.  L'animal  habite  les  burds  de  la 
Méditerranée  et  de  l'Océan. 

Ibid.  SECHERESSE.  On  a  renvoyé  h  ce  mot  de  kphémé- 
BiDEs  (Tome  XH  ,  page  453  ).  H  n'en  a  pas  été  traité  ;  on  a 
indiqué  h  la  table  les  endioits  du  Dictionaire  où  il  en  est 
question. 

5 14.  SEL  DE  DEROSNE.  Un  des  principes  cristallins  de 
l'opium.  Tome  XXXI,  page  2^5.  Voyez  karcotine,  tome 
XXXV,  page  194. 

517.  SEL  MARIX  (muriatc  de  soude).  Ce  sel  a  des  usages 
économiques  nombreux  dont  il  n'est  pas  de  notre  ressort  de 
parler  ici  ;  qu'il  suffise  de  savoir  Cju'il  est  un  engrais  précieux  , 
et  que  les  bestiaux,  les  pigec^is ,  etc.  le  recherchent  avide- 
ment ;  il-l'es  engraissé  \\  petite  dose  ,  sans  doute  en  stimulant 
leur  appétit,  ce  qui  leur  fait  prendre  une  nourriture  plus 
aboiidante. 


TOME  L.  SEL  MARIN.  -.oi 

L'homme  s'en  seit  dans  la  plupart  de  ses  alimens  qui  man- 
quent de  sapidilé  ,  et  dont  il  ne  mangerait  qu'avec  dégoût  sans 
ce  condiment.  Nous  avons  calculé  que,  dufort  au  faible,  chacjue 
individu  en  consomtnc  environ  quatre  Jivres  par  an  ;  c'est 
donc  à  peu  près  cent  millions  de  livres  qu'on  emploie  en 
France  pour  la  nourriture  seulement  ,  en  compensant  ce  que 
les  enfans  dépensent  en  moins ,  et  les  vieillards  en  plus.  Le 
.sel,  pris  ainsi  par  petites  doses,  stimule  l'appétit,  facilite  lu 
digestion,  agit  comme  incisif  des  voies  intcslinaks ,  et  peul- 
êlre  comme  fondant.  C'est  le  condiment  le  plus  employé  et 
effectivement  le  plus  indispensable  à  l'homme  surtout  dans  les 
climats  froids  et  Immides  où  il  abonde.  Il  paraît  que,  dans 
les  contrées  chaudes,  les  aromates  sont  plus  utiles  ij  réconomie 
animale,  aussi  y  croissenl-iis  en  quantité  considérable.  La 
nature  a  toujours  soin  de  présenter  avec  profusion  les  choses 
utiles  dans  tous  les  climats. 

A  plus  grande  dose  ,  le  sel  marin  est  un  moyen  actif,  Irès- 
puissant,  et  dont  on  fait  usage  dar;s  une  nmltilude  d'occasions» 
On  en  dissout  dans  l'eau  des  pcdiluves  pour  les  rc^ndre  plus 
révulsifs;  on  fomente  les  tumeurs  que  l'on  veut  résoudre  avec 
sa  solution  chargée;  on  en  met  dans  les  lavemens  pour  les 
rendre  fortement  purgatifs  et  irrilans  dans  les  maladies  oîi  il 
y  a  perte  de  la  sensibilité  ou  du  sentiment  ;  on  en  fait  avaler 
des  pincées  dans  l'apoplexie  ,  la  paralysie,  etc. ,  pour  pro- 
duire une  dérivation  prompte,  etc.  INous  en  avons  iait ,  il  y 
a  quelques  temps,  un  usage  heureux  que  nous  croyons  devoir 
mentionner  ici.  Arrivé  près  d'un  enfant  de  quinze  riiois,  qui 
venait  d'avtar  des  convulsions  horribles ,  et  qui  paraissait 
mort  sur  les  bras  de  sa  mère;  les  parens  me  demandaient  à 
grands  cris  de  leur  conserver  leur  fils  unique;  le  moment  était 
urgent  ;  il  n'y  avait  pas  moyen  de  recourir  assez  promptement 
au  pharmacien;  j'imaginai  de  demander  du  sel,  et  j'en  mis 
plusieurs  pince'es  dans  la  bouche  de  l'enfant;  sa  saveur  amère 
et  forte  le  fil  remuer  ;  il  ouvrit  les  yeux;  il  vomit  peu  après 
et  cria.  On  put  alors  lui  faire  avaler  des  liquides,  et  admi- 
nistrer les  moyens  ordinaires  qui  euient  les  plus  heureux  ré- 
sultats. Nous  avons  été  porté  a  recourir  au  sel  ,en  réflécinssant 
que  les  convulsions  sont  produites  ou  par  une  lésion  céié-' 
brale,  ou  par  un  étal  gastrique,  et  que,  dans  ces  deux  cas, 
]e  nmriate  de  soude,  par  son  action  irritante ,  produirait  *le 
double  effet  nécessaire,  c'est  à  dire  diminuerait  la  congestion 
de  l'encéphale  ,  ou  provoquerait  le  vomissement.  Nous  pen- 
sons donc  qu'en  pareille  occasion  on  pourra  s'en  servir  avec 
quelque  avantage,  et  qu'on  pourra  diminuer  par  son  moyen 
la  mortalité  si  grande  de  la  plus  redoutable  maladie  de  l'en- 
fance.  Voyez  soriivM  ,  tame  LIII^  page  433. 

26 


202  TOME.  L.  SELENIATES. 

521.  SELËNIATES.  Sorte  Je  sels.  ïome  L,  page  S^a. 

572.  SEMEN  CONTRA.  Ce  que  j'ai  désigné  commo  graine 
dans  la  descriplion  de  ce  médicament,  ne  m'a  paru  êlre,  à  un 
examen  plus  attentif,  que  de  petites  folioles:  j'ignore  si  elles 
appartiennent  à  la  plante  dont  on  les  retire  et  ce  qu'elles  y 
sont,  car  ce  ne  sont  ni  des  divisions  de  feuilles  ni  des  écailles 
calicinalcs  ;  elles  sont  en  trop  grand  nombre  pour  eue  des 
bractées  ou  des  stipules. 

Je  dois  observer  que  l'on  distingue  dans  le  commerce  trois  es- 
pèces de  femeii  contra^  celui  iV Alep^  celui  A^ Alexandrie  et 
celui  de  Barbarie.  Les  deux  prerriiers  sont  glabres  cl  me  pa- 
raissent êlie  la  même  cliose  j  seulement  dans  le  premier,  les 
fleurs  sont  plus  développées  et  beaucoup  sont  entières^  cette 
espèce  est  rare  et  chère;  autrefois  elle  était  la  plus  commune, 
car  Lemery  et  Pomct  en  parlent  comme  de  celle  (jui  était  le 
plus  en  usage  de  leur  temps,  ce  que  l'on  recoimait  à  la  des- 
cription qu'ils  en  donnent.  Le  second  ne  se  compose  (jue  de 
fleurs  brisées  cl  de  bûchettes  avec  des  boulons  de  fleurs  non 
développées;  c'est  celle  commune  dans  le  commerce,  et  que 
j'ai  décrite  dans  le  Dictionaire.  La  troisième  espèce  est  plus 
pâle  ,  plus  légère  et  velue  à  la  loupe.  Les  fleurs  en  sont  brisées 
comme  dans  le  semen  contra  d'Alexandrie. 

On  ne  dislingue  point  de  graines  dans  ces  trois  espèces  de 
semen  contra;  serall-ce  parce  qu'étant  plus  lourdes,  elles  au- 
ront tombé  par  terre,  en  faisant  subir  un  vannage  à  ce  médica- 
ment ,  ce  qui  ne  serait  pas  impossible?  Serait  ce  paice  que  la 
fleur  n'étant  pas  mùie,  elles  n'y  sont  pas  encore  visibles  ? 
Ainsi ,  rigoureusement,  le  nom  de  semen  ne  convient  pas  à  ce 
médicament. 

On  croit  que  le  semen  contra  de  la  première  espèce  vient  de 
Vartemisia  j'.idaica  ,  qui  est  glabre,  tandis  que  le  second  serait 
le  produit  de  Vartetniiia  contra,  qui  est  un  peu  velu  ;  peut- 
être  pourrait-on  soupçonner  que  V artemisia  odoratissima  de 
Desiontaines ,  planle  Irès-odoranle  qui  croit  en  Barbarie,  le 
produit  aussi;  mais  il  est  impossible  de  rien  affirmer  de  rigou- 
reux aces'ijel  ;  on  ne  peut  qu'avoir  dessonp(;ons  plus  ou  moins 
fondés.  Jeserais  tenté  de  croiie  que  les  semen  contra  sont  pro- 
duits par  des  aimoises  à  ieuilles  simples  et  linéaires,  car  on  ne 
rencontre  (pie  des  débris  linéaiies  dans  leur  composition; 
s'ils  appartenaient  à  des  espèces  à  feuilles  composées,  on  en 
trouverait  ceilainement  des  traces  dans  le  médicament  de  ce 
nom.  Toutes  les  espèces  d'armoises  sont  vermifuges  ,  et  peu- 
vent être  données  comme  telles,  ce  qui  lait  que,  sous  le  rapport 
médical ,  il  y  a  peu  d'importance  à  ajouter  ^ur  la  pureté  plus 


TOME  L.  SEMEN  CONTRA.  2o3 

ou  moins  grande  du  semen  contra,  pourvu  que  la  falsification 
ue  soil  due  qu'h  d'autres  espèces  de  ce  genre. 

On  serait  teuté  de  croire  que  l'on  fait  une  sorte  de  broye- 
ment  des  fleurs  des  armoises  avant  de  les  mettre  en  vente, 
pour  donner  l'aspect  que  nous  voyons  dans  le  commerce  aux 
semen  contra. 

Il  résulte,  comme  je  l'ai  dit  dans  mon  article  semen  con- 
tra j  que  nous  manquons  encore  de  donne'es  bien  précises  sur- 
ce  médicament.  M.  le  docteur  De  Lens  s'occupe  de  recherches 
sur  les  armoises  tnédicales ,  qui  éciaircirout  sans  doute  ce  sujet 
obscur  comme  le  sont  encore,  au  surplus,  beaucoup  de  ceux  de 
matière  médicale,  à  cause  de  la  difficulté  d'en  connaître  les 
sources  avec  exactitude. 

M.  Bouillon-Lagraiige  a  donné  dans  le  tome  VII  du  Jour- 
nal de  pharmacie ,  p^ge  5^2,  une  notice  sur  l'huile  volatile  du 
semen  contra  ;  on  obtient  celte  huile  en  distillant  le  semen 
contra;  il  eu  donne  un  demi-gros  par  livrej  on  la  prend  par 
gouttes  dans  de  l'eau  sucrée  ou  du  sirop;  on  en  fait  aussi  un 
sirop  particulier.  Nous  ne  voyons  pas  ce  que  cette  préparatioa 
huileuse  a  de  préférable  sur  l'emploi  de  la  fleur  en  nature. 

La  harboline ,  qui,  pour  beaucoup,  n'est  qu'un  nom  sy- 
nonyme de  semen  contra  ,  est  pour  d'autres  un  médicament 
différent  composé  des  débris  des  fleurs  de  Vartemisia  campes- 
tris ,  pour  d'autres,  de  Vartemisia santonica  ou  même  delà 
tanaisie. 


TOME  LI.  SENE.  noS 


TOME  CINQUANTE-UNIEME. 

Page  t.  SENE.  On  a  mieux  distingué  depuis  quelque  len)p5 
dans  ]e  séné  du  commerce  une  nouvelle  espèce  donl  nous 
avions  dit  quelque  chose  dar)S  notre  travail  sui  cette  substance, 
page  3 ,  ligne  dernière,  sous  le  nom  de  se'né  de  Tripoli-  la 
piaule  qui  le  produit  est  certainement  un  casda  ;  muis  on 
ignore  quelle  espèce. 

Ses  feuilles  se  rapprochent  de  celles  du  st'né  h  feuilles  aiguës, 
cassia  acnta  ;  elles  sont  comme  elles  très-enlières  ,  glabies, 
mais  plus  vertes  et  beaucoup  plus  longues  ,  plus  étroites  ,  plus 
minces  et  plus  ai£;uës  encore  ;  les  fruits  ont  également  un  tiers 
de  longueur  eu  plus  et  sont  plus  droits;  leur  sommet  est  pres- 
tjue  latéral,  et  terminé  par  une  petite  pointe  déliée;  leur  cou- 
leur est  rembrunie. 

Ce  séné,  appelé  actuellement  séné  de  l'Inde^  paraît  être 
h  M.  le  docteur  De  Lens  ,  celui  que  l'on  appelait  du  temps 
de  Lemery  et  de  Pomet,  sétié  moka  ,  séné  de  la  pique  ,  ce  qui 
est  fort  probable  d'après  la  phrase  de  ce  dernier  sur  la  longueur 
des  feuilles.  M.  Lemaire-Lisancourt  [Journal  de  pharmacie . 
tome  VII,  page  347),  fait  de  la  plante  qui  le  produit, 
on  ignore  sur  quel  fondement,  une  espèce  nouvelle  qu'il 
appelle  cassia  elongata;  il  dit  qu'elle  se  récolte  sur  la  côte  oc- 
cidentale d'Afrique,  depuis  Corée  jusqu'à  Sierra -Leone.  A. 
moins  d'avoir  la  plante  en  feuilles,  fleurs  et  fruits,  il  est  im- 
possible de  rien  affirmer  sur  ce  sujet ,  et  c'est  ce  que  l'auteur 
eût  dû  dire,  et  ce  qu'il  ne  dit  pas,  ce  qui  laisse  beaucoup  de 
doute  sur  son  assertion. 

Les  anciens  n'estimaient  pas  ce  séné  ,  sans  doute  parce  qu'il 
purge  peu;  il  serait  ne'cessaire  de  faire  des  expériences  com- 
paratives sur  ses  vertus  pour  s'assurer  si  leur  opinion  est 
fondée. 

Depuis  l'impression  de  l'article  séné,  on  a  fait  une  ana- 
lyse plus  complète  de  ce  médicament  {Journal  de  pharmacie , 
tome  VII ,  page  55i  )  ,  et  on  y  a  trouvé  un  principe  particu- 
lier, que  l'on  a  désigné  sous  le  nom  de  cathariine.  Voyez  ce 
mot  dans  les  appendices,  page  28. 

Jbid.  Ligne  4'-  Fait ,  lisez  font. 

2.  Ligne  9.  Qynnanchum,  Usez  rynanchum. 

ï3,  SENEKA.  On    trouvera   dans  rouviagc  de  M.  Lou!» 


9.o6  TOME  Ll.  SENERÂ. 

Yaleniin,  sur  le  croup  (paj^e  571),  des  détails  relatifs  à  l'usage 
du  seneka. 

i33.  SEPTUM  TRANSYERSE  DU  CERVEAU.  Nom  de 
la  tente  du  cervelet  d'après  M.  Chaussier.  Tome  X,  pag.  2^1. 

Ihul.  SEPTUM  MEDIUM  DU  CERVELET.  Nom  de  la 
petite  faux  du  cervelet  d'après  M.  Chaussier.  Tome  X,  p.  272. 

\Zi.  SEPS.  Espèce  de  lézard  cru  venimeux.  Tome  XXVIII, 
page  94. 

147.  SEREIJNAGE.  Exposition  à  l'air  des  effets  soupçonnés 
eiupreiuts  de  miasmes  contagieux.  Tome  XXVII ,   page  877. 

i/'/V/.  SEPiEINE  (goutte).  Synonyme  d'AMAUROsis.  Tome 
I,  page  450. 

i55.  SEPlMEINT.  Les  médecins  nommés  pour  faire  un  rap- 
port en  justice,  soîii  d'abord  obligés  d'aller  prêter  serment  de- 
vant le  juge,  et  de  le  prêter  encore  s'ils  doivent  être  entendus 
à  l'audience. Ces  formaliiés  ordonnées  par  la  loi,  nous  semblent 
surabondantes  en  ce  qu'un  médecin,  s'il  est  digne  de  ce  nom, 
lie  doit  prononcer  qu'en  conscience  et  d'après  sa  conviction  la 
plusinlime  ;  elles  sont  cause  que  les  médecins  très-occupés  re- 
doutent d'êtreappelés  devant  les  tribunaux  ,  parce  qu'elles  exi- 
gent beaucoup  de  temps,  et  que  ces  fonctions  sont  à  peu  près 
gratuites ,  tant  les  honoraires  en  sont  modiques ,  et  tant  ils  exi- 
gent do  formaliiés  pour  eue  perçus,  ce  qui  fait  que  le  plus  sou- 
vent on  les  abandonne.  Il  résulte  de  cette  répugnance  que  les 
rapports  en  justice  sont  souvent  abandonnés  à  des  gens  peu. 
capables,  et  qui  peuvent  compromettre  par  ignorance  la  vie 
ou  l'honneur  des  personnes  mises  en  jugement  et  sur  lesquelles 
ils  sont  appelés  à  prononcer. 

On  exigeait  autrefois  des  médecins,  un  serment  avant  qu'ils 
exerçassent  leur  art,  dans  lequel  ils  promettaient  de  se  com- 
porter avec  probité  et  désinléressemetit.  Hippocrate  a  laissé  un 
serment  qui  est  un  modèle  à  suivre,  qui  devrait  être  affiché  dans 
le  cabinet  dechaijue  lionmie  de  l'art,  parce  qu'il  trace  les  de- 
voirs de  tout  médecin  honnête.  Il  est  transcrit  à  médicale  (ins- 
truction). Tome  XXXll  ,  p.Tgô  17.  M.  Duval  a  donné  une  no- 
tice sur  les  sermens  en  vu'dccine  ,  et  une  traduction  française 
de  celui  d'Hippocrate  (Liblioth.  niédic.  Tome  LX ,  page  271, 
année  1818).  M.  le  docteur  Godclle  avait  également  donné 
trois  mois  avant  (février  i8i8),  dans  le  même  ouvrage,  une 
traduction  de  ce  serment. 


TOME  LI.  SEKRE-BRAS.  707 

166.  Ligne  32.  Membrane  fans^^e  ,  lisez  membrane  (fausse). 

195.  SERRE-BRAS.  Sorte  de  bandage  dont  on  cm  ouïe  la 
c.oniDiesse  des  vesicaioires  pour  la  maiiitetiit.  {I  sert  à  pou- 
voir se  panser  soi-même.  Voyez  vÉsicAToiRt  ,  tome  LYll, 
page  548. 

IblJ.  SERRE-COU.  Tome  XXYl,  page  486. 

Jbid.  SERRE-NOEUD  DE  ROUCHET.  Tome  XLIV, 
page  -r^i. 

20?.  SESELl  DE  CANDI.  Tome  LV%  page  3 12. 

Jbid.  SESSEYEMENT.  Habitude  de  prononcer  tiop  fort 
les  consonnes  silflantes.  Tome  XXXIX  ,  page  332. 

218.  SEX-DIGITAIRE.  Monslrunsité  qui  consiste  h  avoir 
six  doigls  aux  mains  ou  aux  piid?.  Tome  XXXIV,  page  190. 
Ployez  POLYDACTYLiE,  tomcXLlV,  page  142. 

2'i4' ^EXCELLES  (parties).  On  a  renvoyé  h  ce  mot  de 
OVAIRE  Tome  XXXIX,  page  49;  il  n'a  pas  cte'  fait;  c'est  à 
SEXE,  tome  Ll  ,  page  218  (ju'est  traité  tout  ce  «ju'il  com- 
porte. 

Tbid.  SHINACH.  Blaladicpartîtalièrc  aux  vaches  d'Irlande. 
Tome  VII,  page  241.  Oa  croit  que  c'est  le  cowpox  (  tome 
VII,  page  239. 

282.  Ligne  (\i.  Qui  donne  naissance,  lisez  qui  doit  sa  nais- 
sance. 

284.  Ligne  3i.  Considérations,  lisez  conditions. 

290.  Ligne  23.  Les  secousses,  lisez  la  secousse. 

3o5.  SIGYNES.  Nation  dont  parle  Strabon,  qui  paraît 
être  la  peuplade  nommée  M^rrocep/m/epar  Hippocrate  ,  tome 
XIl,page23o.  Voyez  macf.oclpiiales,  tome XXIX,  page 449* 

809.  SILER.  Synonyme  de  i.aseb.  Tome  XXVII ,  pag.  289» 

Ibid.  SILICATES.  Sorte  de  sels.  Tome  L  ,  page  '^-^i. 

3i5.  Ligne  12.  De  Gayenne,  lisez  de  la  Guyane. 


2oR  TOME  LI.  SILURE. 

3j3.  SILURE.  Poisson  électrique.  Tome  XLIII,  page  660. 

Ibid.  SIMAROUBA.  On  trouve  une  analyse  i-ecenle  de  celle 
ëcoice  dans  le  Journal  de  pharmacie  ,  lonie  VIII ,  pjge  5j. 

3ig.  SIMOON.  Vent  brûlant  et  suffocant  de  l'inlérieur  de 
l'Afrique.  Tome  XXXII,  page  45i. 

5i4.  SINUS  DE  MORG-AGNI.  Cul-de-sac  que  l'on  observe 
dans  l'oreiilelte  gauclie  lortne  par  le  bord  tranchant  de  la 
Valvulo  du  trou  de  Botal,  Voyez  coeur.  Tonie  V,  page  4'^5. 

Ibid.  SINUS  VEINEUX.  Tome  XXXI ,  page  189. 

Ihid.  SINUS  DE  LA  VEINE  PORTE.  Tome  XLIV, 
page  336. 

409.  SITUATION  FIXE.  On  a  renvoyé  à  ce  mot  de  pro- 
priétés (Tome  XLV,  page  4^^3  ).  11  n'en  a  pas  été  traité  dans 
l'ouvrage. 

Bar t liez  {Nouveaux  élémens  de  la  science  de  Fhonime) ,  a 
donné  Je  nom  de  force  de  situation  fixe  à  la  résistance  que 
préscMlent  les  muscles  pendant  la  vie  ,  à  des  puissances  qui 
les  de'chireraient  après  la  mort;  il  est  probable  qu'elle  existe 
aussi ,  suivant  lui ,  dans  le  périoste  et  les  îigamens.  11  rapporte 
(page  5?.  de  cet  ouvrage,  deuxième  édition)  des  faits  nom- 
breux de  fractures  des  os,  ducs  a  Ja  force  de  ia  situation  fixe. 

443.  SOIE  (maladie  des  ouvriers  eu)  (1). 

Le  nombre  des  ouvriers  en  soie  dans  Ja  seule  ville  de  Lyon 
cjui  est,  il  est  vrai,  leur  terre  classique,  ne  peut  être  évalué 
à  moins  de  qualre-vingt  mille;  plusieurs  villes  du  midi  de  la 

(i)  Cet  article  qai  complète  les  maladies  des  artisans ,  maladies  qui  sont 
traitées  plus  complètement  dans  le  Diclionaire  que  dans  aucun  autre  ouvrage, 
nous  a  été  envoyé  trop  tard  (21  octobre  1821)  pour  pouvoir  être  iasëré  à  soa 
ordre  alphabétique  ^  nous  l'avons  réservé  pour  les  Aiipendices. 

Mais  depuis  nous  l'avons  vu  imprimé  dans  un  volume  intitulé  :  Traité  des 
maladies  des  artisans  ,  où  il  est  inséré  avec  un  extrait  puisé  souvent  textuelle- 
ment dans  les  nombreux  articles  sur  le  même  sujet ,  que  nous  avons  donnés  au 
Diclionaire,  concurremment  avec  la  réimpression  d'un  grand  nombre  de  passages 
de  la  traduction  de  Rama/.zini. 

Quel  qu'ait  été  notre  éionnemeiU  à  la  vue  de  ce  recueil ,  nous  n'avons  pas 
dû  pour  cela  ne  pas  imprimer  le  travail  de  uotre  collaborateur  qui  manijuerait 
ici  ,  puisqu'il  complète  la  série  des  maladies  des  artisans.  Nous  le  pouvions 
avec  d'autant  moins  de  scrupule  que  nous  avions  une  possession  antérieure,  et 
que  celui  qui  a  réuni  les  matériaux  dota  nons  venons  de  pailer,  ne  l'aura 
sans  tlouie  obtenu  de  l'anteur  qu'averti  par  lui  qu'il  devait  être  iiisérd  dans  le 
Diclionaire  des  sciences  niédicalt-s. 


TOME  Ll.  SOIE  (ouvriers  en).  209 

France  en  conlicnnenî  une  grande  multitude  ;  ils  ont  des  mala- 
dies qui  paraissent  leur  être  particulières,  et  leurs  habitudes 
physiques  et  leurs  habitudes  morales  méritent  de  fixer  l'allen- 
tion  des  médecins  5  cependant  Rauiazzicrî  et  ceux  qui  à  son 
exemple  ont  étudié  l'influence  des  professions  sur  la  santé,  ont 
oublié  d'observer  sous  le  rapport  médical,  cette  classe  d'arti- 
sans si  considérable  et  si  utile.  On  chercheiait  en  vain  dans  les 
ouvrages  publics  par  les  médecine  lyonnais,  quelques  laits  sur 
les  maladies  propres  aux  ouvriers  en  soie  ;  Pouteau  et  ses  suc- 
cesseurs n'ont  rien  écrit  snr  cet  important  sujet. 

Oa  peut  comprendre  sous  la  dénomination  générique  d'ou- 
vriers en  soie,  un  grand  nombre  d'individus  qui  exeiceri  des 
prolessions  irès-ditïércntcs;  ceux  là  filent  la  coque  du  piccicux 
bombix  ,  ceux-ci  (les  mouliniers)  mettent  sur  le  muulin  la 
soie  des  bobines;  elle  est  tordue  et  livrée  au  commerce,  soit 
à  l'étal  de  trame,  soit  ^  celui  à^orgamin.  Lorsqu'elle  a  été  se- 
chée  au  degré  convenable  dans  des  éluvcs  dis[)0sées  pour  lui 
faite  éprouver  celte  préparation,  le  teinturier  s'en  empare,  la 
revêt  de  couleur  et  la  remet  à  la  dcvideuse.  Celle-ci  étend  les 
longs  et  épais  écheveaux  du  tissu  animal  autour  de  cvlindres 
fabriqués  avec  des  tiges  de  jonc,  et  à  l'aide  d'une  mécanique 
ingénieuse  qui  fait  tourner  rapidement  à  la  fois  un  nombre  plus 
ou  inoins  grand  de  ces  machines,  elle  dévide  la  soie,  c'eal-à- 
dire  couvre  de  ses  fils  une  grande  quantité  de  bobines  de  bois. 
De  très  jeunes  enlaiis  ou  des  individus  des  deux  sexes  qui 
n'ont  pas  la  force,  le  temps  ou  le  talent  d'occuper  un  métier, 
filent  encore  les  bobines,  el  au  moyen  de  rouets,  font  passer 
le  tissu  qui  les  enveloppe  sur  un  graiid  nombre  de  Uès-petits 
cylindres  de  jonc  (cauclles)  ,  que  l'ouvrier  introduit  chargés 
de  soie  dans  la  navette.  Ici  commence  la  fabrication  des  étoffes  ; 
ceux  qui  s'en  occupent  spécialement  sont  les  ouvriers  propre- 
ment dits.  Les  procédés  par  lesquels  on  fabrique  des  velours 
des  satins  ne  sont  pas  les  mêmes  (jup  ceux  qui  servent  à  perfec- 
tionner les  éloites  dans  lesquelles  l'or  est  allié  à  la  soie,  ou  dont 
le  liisu  présente  aux  yeux,  desllcurs ,  de  riches  compartimens 
des  dessins  divers. 

Le  nom  de  salinairc.^  n'a  jamais  eu  cours  que  parmi  les  ou- 
vriers en  soie;  ou  les  désignait  autrefois  pur  celui  de  lafj'elaliers^ 
mais  cette  expression  est  aujourd'hui  tout  à  l'ait  inusitée,  et 
ils  la  prennent  en  mauvaise  p:irl.  On  la  trouve  cependant  en- 
core dans  llousseau.  L'autorité  locale  les  appelle  dans  ses 
oidonnai]ces  ,  ouvriers  de  la  fahricjiie  de  r.yon  ^  ou.  simple- 
ment, ouvriers  de  ht  fabrique  ;  cvV.e  dénomination  est  celle 
qui  leur  p'aît  le  plus,  peut  être  parce  qu'elle  les  représente 
comsue  formant  une  corporaliou  distincte  ,  la  première  de  la 
cité  par  son  gcnrcd'in.dustric. 

27 


2IO  TOME  Ll.  SOIE  (ouvriees  en). 

11  n'y  a  rien  dans  la  soie  teinie  qui  puisse  exposer  celui  qui 
la  liavaille  à  des  maladies  spéciales,  c'est  donc  à  d'auues 
causes  (ju'il  faut  attribuer  celles  dont  les  ouvrieis  de  la  i;.- 
hrique  sont  affectés,'*  ce  lie  profession  n'est  donc  nuisible  que 
par  les  altitudes  vicieuses  auxquelles  elle  contraint  qucbjues 
parties  de  leur  corps  pendant  une  grande  partie  du  jour  cl  de 
la  nuit;  mais  mou  travail  serait  incomplet,  si  ne  voyant  ces 
artisans  qu'en  action,  jç  les  isolais  de  leurs  habitudes  domesti- 
ques et  morales;  et  les  utis  et  les  autres  de  ces  modificateurs 
se  réunissent  pour  altérer  leur  constitution  ,  et  lui  imprimfr 
un  caractère  particulier. 

Un  teint  pâle,  des  membres  grêles,  ou  bouffis  par  des  sucs  lym- 
phaliijues  ,  deschairs  molles  et  frappées  d'atonie  j  une  stature  en 
général  audessous  de  la  moyenne ,  telle  est  la  constitution  phy- 
sique ordinaire  aux  ouvriers  en  soie  lyonnais.  U  y  a  dans  leur 
physionomie  ,  je  ne  sais  quel  air  de  simplicité  ei  de  niaiserie  j 
leur  accent  dans  la  conversation  est  singulicreraent  lent  et  plat. 
Tout  en  eux  annonce  la  prééminence  d'action  des  vaisseaux  et 
des  tissus  blancs  sur  les  muscles  et  les  nerfs ,  et  surtout  sur  les 
vaisseaux  sanguins.  Leur  corps  manque  de  proportion,  leurs 
extrémités  abdominales  sont  déformées  de  bonne  heure  par  le 
rachilis.  Us  ont  une  allure  qui  les  fait  reconnaître  partout  ; 
lorsque,  les  jours  de  fêtes,  un  habit  plus  propre  semble  les 
confondre  avec  les  autres  citoyens  ,  on  les  reconnaît  encore  au 
développement  irrégulier  du  squelette  et  à  leur  démarche  in- 
certaine et  entièrement  dé^Jourvue  de  grâce.  La  juste  propor- 
tion des  parties  semble  mieux  conservée  dans  les  fenunes.  Cette 
différence  tien^lrail-elle  à  l'interruption  plus  fréquente  des 
travaux  qui  a  lieu  souvent  par  ces  dernières  ,  plus  essentielle- 
ment appliquées  au  soin  et  à  l'entretien  du  ménage,  ou  faut- 
il  l'attribuer  à  la  manière  de  se  vêtir,  à  une  sorte  de  coquette- 
rie qui  leur  inspire  les  mo^^ens  de  déguiser  cette  altération  des 
formes  corporelles?  Les  jeunes  gens  des  campagnes  voisines 
deLvn  qui  arrivent  dans  cette  ville  pour  y  embrasser  la  pro- 
fession de  fabricant  d'étoffes  de  soie,  ne  tardent  point  à  perdre 
leur  fraîcheur  et  leur  embonpoint ,  et  des  etigorgemens  vari- 
queux des  jambes  et  plusieurs  maladies  qui  appartiennent  à 
la  classe  des  scrofules,  signalent  bientôt  la  révolution  qui  se 
fait  en  eux. 

Considéré  au  njoral ,  l'ouvrier  en  soie  lyonnais  est  doux, 
inoffensif,  très-attaché  à  ses  préjugés;  son  intelligence,  sauf 
les  exceptions,  est  extrêmement  bornée,  et  l'habitant  des  con- 
trées les  plus  sauvages  a  un  plus  grand  nombre  d'idées,  et 
sait  les  combiner  plus  habilement  que  lui.  H  y  a  une  singula- 
rité remarquable  dans  la  trivialité  de  son  langage;  elle  con- 
siste dans  le  sens  qu'il  donne  à  certains  mots,  détournés  par 


TOME  LI.  SOIE  (ouvriers  en).  211 

lui  de  la  manière  la  plus  bizarre  de  leur  acception  ordinaire  j 
de  même  que  les  femmes  des  halles  de  Paris  ont  une  originalité 
tout  h  fait  locale  ,  de  même  les  ouvriers  des  fabriques  de  Lyon 
ont  dans  leurs  manières,  et  surtout  dans  leur  langage,  un  ca- 
ractère entièrement  étranger  aux  gens  du  peuple  des  autres 
parties  de  la  France.  Les  habitudes  physiques  de  ces  artisans 
deviennent  de  jour  en  jour  moins  saillantes,  moins  caractéris- 
tiques ,  et  le  temps  n'est  pas  loin  où  elles  ne  seront  plus  présen- 
tées que  parla  tradition.  Depuis  la  révolution,  tout  ce  qui 
distinguait  extérieurement  et  caractérisait  si  bien  les  profes- 
sions, a  dis[)aru  par  degrés,  et  il  n'y  a  plus  entre  les  diffé- 
rentes classes  de  la  société,  sous  le  rapport  des  vêtemens  et  des 
habitudes,  que  des  nuances  peu  sensibles.  Un  écrivain  lyon- 
nais ,  Charles  Bordes,  a  bien  peint  l'ancien  caractère  dos  ou- 
vriers en  soie,  dans  une  petite  comédie  (jui  ne  mérite  d'être 
rappelée  que  sous  ce  rapport.  Tandis  que  les  ouvriers  de  Man- 
chester se  livrent  avec  une  grande  violence  h  des  excès  fort  ré- 
préhensibles  lorsque  les  manufactures  sont  oisives ,  les  quatre- 
vingts  mille  ouvriers  en  soie  de  Lyon,  lorsque  l'inactivité  des 
métiers  les  réduit  à  la  misère,  ne  comiuettenl  aucun  désordre, 
et  ri'opposeut  à  l'indigence  qu'une  force  d'inertie.  Les  plus 
paresseux  d'entre  eux  parcourent  le  soir  les  rues  de  la  ville  , 
demandant  l'aumône  eu  chantant,  et  il  n'y  a  pas  d'exemple 
que  pendant  ces  momens  critiques,  heureusement  fort  raies  « 
ils  se  soient  réunis  pour  former  une  opposition  quelconque  à 
l'autorité.  Cependant  les  archives  de  la  cité  conservent  la  mé- 
moire de  quelques  émeutes  populaires  causées  par  eux  ;  ils  ne 
furent  pas  étrangers  aux  désordres  révolutionnaires  qui  af- 
fligèrent la  ville  en  1793  et  en  1794 1  mais  il  faut  ajouter 
qu'alors,  ils  se  montrèrent  bien  moins  féroces  qu'avides  de 
pillage. 

Ijaborieux  pendant  la  semaine,  ces  ouvriers  sont  incapables 
do  se  mettre  en  mesure,  lorsque  le  commerce  fleurit,  contre 
la  misère  qui  les  attend  lorsqu'il  languit  :  le  dimanche  et  le 
lundi,  seuls  jours  pendant  les({uels  ils  tassent  un  peu  d'eter- 
cice  hors  de  leurs  ateliers,  voient  se  consommer  en  orgies,  en 
parties  de  plaisir  de  toute  nature,  le  salaire  du  travail  de  la 
semaine  entière.  Fidèles  à  leur  imprévoyance ,  ils  traversent 
la  vie  toujours  pauvres  ,  quelquefois  très-misérables  ,  et  peut- 
être  toujours  heureux. 

La  corruption  des  mœurs  parmi  eux  est  tiès-grande;  elle 
s'y  montre  avec  une  naïveté  qui  passerait  pour  une  extrême 
elfronterie  dans  une  classe  plus  éclairée.  Rousseau  en  présente 
nri  exemple  rernurquable  dans  la  première  partie  des  Confes- 
sions (livic  IV);  mais  il  n'aurait  pas  dît,  établissant  un  prin- 
cipe îur  un  fait ,  ajouter  ci  soti  récit  ces  paroles  calomnieuses  : 


aii  TOME  LI.  SOIE  (ouvriers  en). 

«  il  m'en  est  resté  une  impressioa  peu  avantageuse  au  peuple 
de  Lyon,  et  j'ai  toujours  regarde  cette  ville  comme  celle 
de  l'Europe  oîi  règne  la  plus  affreuse  corruption.  »  Leurs 
communications  entre  eux  sont  si  intimes ,  que  le  libertinage 
existe  chez  eux  bien  long-temps  avant  que  les  organes  aient 
acquis  la  force  et  le  développement  nécessaires  pour  le  sup- 
porter j  une  soupente,  qui  a  tout  au  plus  dix  pieds  carrés, 
reçoit  souvent  toute  la  maison  dans  cet  étroit  espace,  c'est-à- 
dire  le  père,  la  mère,  deux  ou  trois  enfans,  un  ouvrier  et  une 
ouvrière.  L'habitude  de  la  masturbation  est  chez  eux  tellement 
prématurée,  qu'on  ne  peut  guère  fixer  l'âge  auquel  ils  com- 
mencent à  la  prendre  5  il  règne  dans  une  parte  de  celte  classe 
un  sigisbcisme  grossier,  le  parrain  d'un  ou  de  plusieurs  en- 
fans  d'un  de  ces  artisans,  est  chez'lui  Tami  de  la  maison. 

Mais  suivons-les  dans  leurs  demeures.  Ils  occupent  les  par- 
ties les  plus  malsaiues  d'une  ville  immense,  dont  les  rues 
sont  en  général  trop  étroites,  relativement  à  l'extrême  hauteur 
des  maisons  Le  quartier  Saint-Georges ,  remarquable  par  Ten- 
tasseraent  des  maisons  mal  construites,  mal  aérées,  dans  un 
espace  étroit,  resserré  entre  la  Saône  et  la  montagne  Saint-Justy 
•conticijl  un  grand  nombre  de  ces  artisans.  Beaucoup  d'indivi- 
dus sont  réunis  dans  un  petit  appartement,  ils  couchent  sur 
des  soupentes,  et  n'ont  audessus  de  leur  tête  pendant  qu'ils 
dorment,  qu'une  colonne  d'air  de  vingt  à  vingt-quatre  pouces 
de  hauteur.  Peu  de  propreté  dans  leurs  habitations,  ajoute 
encore  à  tant  d'inconvéniens  ;  l'air  emprisonné  dans  des  rues 
étroites,  dans  des  rues  obscures  et  profondes  que  le  soleil  ne 
vivifie  janiais ,  exhale  habituellement  une  odeur  acide  qui 
dépend  de  ce  qu'il  n'est  pas  renouvelé,  et  des  miasmes  que  dé- 
gagent, soit  les  immondices  contenues  en  grande  quantité  dans 
Jes  maisons,  soit  les  poumons  du  grand  nombre  d'individus 
des  deux  sexes  et  de  tous  les  âges  ,  qui  vivent  rassemblés  dans 
un  espacede  terrain  fort  resserré.  Leurs  alimcnsdans  la  semaine 
sont  gro:5siers,  souvent  malsains. 

A  l'action  puissanto  de  ces  modificateurs  hygiéniques  ,  réu- 
nissons celle  (fui  résulte  des  attitudes  de  plusieurs  parties  du 
corps  des  ouvriers  en  soie  pendant  qu'ils  travaillent. 

Des  enfans  très  jeunes  sont  placés  au  rouct  destiné  à  faire  les 
canettes;  là  ,  constamment  courbés  ,  sans  mouvemens  généraux, 
sans  pouvoir  respirer  un  air  libre,  ils  contractent  des  irrita- 
lions  qui,  par  la  suite,  deviennent  des  maladies  scrofulcuses  ; 
leurs  faibles  membres  se  contournent,  leur  colonne  vertébrale 
se  dévie,  ils  s'cliolent,et  dès  leurs  premières  années,  ils  sont  ce 
qu'ils  doivent  être  toujours,  débiles  et  valékidinaires.  D'autres 
enfans  sont  occupés  à  tourner  des  roues  qui  mettent  en  niou- 
verriC'Ul  de  longues  mçcanjqucà  à  dévider  j  la  vie  des  hïixi  s'aç- 


TOME  LI.  SOIE  (OUVRIERS  Ew).  2i3 

croît  anx  ddpens  de  celle  dos  jambes,  et  ces  petits  malheureux 
onl  souvent  les  membres  abdominaux  déforme's  par  le  raciiitis. 
A  la  même  me'caniquc,  sont  placées  des  femmes  qui  dirigent 
le  dévidage,  elles  sant  sans  cesse  debout,  et  le  bruit  qui  les 
environne  les  oblige  à  parler  très-haut  j  de  Ih,  des  prédisposi- 
tions aux  engorgemeiis  abdoniinaux ,  aux  varices  des  cuisses 
et  des  jambes  et  aux  inflammalious  pulmonaires. 

Un  ouvrier  en  soie  cornme.acc  sa  journée  de  grand  malin  , 
el  la  prolonge  fort  avant  dans  la  nuilj  quand  la  lumière  da 
jour  lui  manque,  il  y  supplée  par  celle  de  la  lampe.  Assis 
sur  un  banc  élevé,  ses  deux  pieds  portent  à  faux  sur  le  sol.  Pen- 
dant que  l'unedeses  jambes estdaus  unparfaitrepos  (c'est  tou- 
joursla  même),  rautiepresseallernalivement  de  longs  morceaux 
de  bois  ou  falons,  qui  correspondent  h  la  trame  du  métier. 
Le  corps  un  peu  incliné  en  avant  donne  aux  deux  mains  qui 
sont  appliquées  contre  le  tissu ,  cliacuue  de  son  côlc,  la  faculté 
de  recevoir  et  de  renvoyer  alternativement  la  navette.  Chaque 
fiircuni  à  la  trame  de  l'étoffe  parcelle  opération  est  assujéti 
contre  celui  qui  le  précède  au  moyen  d'un  balancier  qui  vient; 
frapper  le  tissu  •  le  choc  est  reçu  sur  le  tissu  et  immédiatement 
par  un  gros  cylindre  de  bois  autour  duquel  l'étoffe  est  roulée^ 
et  avec  lequel  le  ventre  et  le  bord  inférieur  de  la  poitrine  de 
l'ouvîier  sont  eu  contact.  Dans  les  changemcns  imporîans  que 
les  métiers  ont  subis  depuis  quelques  années  ,  les  inventeurs  se 
sont  plus  appli({ués  à  perfectionner  le  liavail  qu'à  découvrir, 
pour  l'ouvrier  en  soie,  une  gymnastique  plus  comniode.  1  !  faut 
distinguer  trois  circonstances  dans  la  manœuvre  de  l'ouvrier 
en  soie  qui  travaille  :  i°.  l'action  de  ses  bras,  dont  l'un,  le 
gauclic,  fait  continuellement  un  mouvement  d'élévation  et 
d'abaissement,  tandis  que  le  droit  avance  et  recule  sans  cesse 
dans  un  sens  liorizonlal  pour  conduire  le  balancier  (  bat- 
tant) j  2".  la  situation  de  ses  jambes,  dont  Tune  est  sans  cesse 
en  repos,  et  l'autre  toujours  en  mouvement;  5°.  le  coup  qu'il 
reçoit  immédiatement  à  cliaque  instant  dans  la  région  épi- 
gastrique  par  la  percussion  des  balanciers  contre  léloffc 
t  issue. 

Ces  considérations  sur  les  habitudes  physiques,  morales  et 
domestiques  des  ouvriers  en  soie,  et  sur  les  attitudes  de  leur 
corps  pendant  qu'ils  travaillent  ,  expliquent  leurs  maladies, 
et  je  pourrais,  ces  données  posées,  me  dispenser  de  les  énu- 
mércr.  Les  maladies  qui  leur  sont  propres  sont  stnéralcmcnt 
celles  du  système  lynjphatique  ;  elles  dépendent  de  l'énergie 
des  vaisseaux  et  tissus  blancs  et  de  leur  prééminence  sur  les 
vaisseaux  sanguins.  Aussi  voit  o:)  chez  eux,  et  en  i;rand  nom- 
bre, pendant  l'enfance,  descngorgomens  dos  glandes  lynquia- 
UqiJcs,  des  tumeurs  blanches,   des   uicéralion»,  dcsopliral- 


2i4  TOME  LI.  SOIE  (ouvriers  en). 

mies  scrofuieuses,  le  rachitis,  Je  carreau  (assez  rarement  la 
phthisie),  des  gibbosilés  vertébrales.  Ces  maladies  dépendent 
i))oins  de  leur  profession  q.ue  de  leur  genre  de  vie,  que  de 
l'inlluence  prolongée  des  modifications  hygiéniques  ,  l'air  , 
riiabilalion  ,  le  régime.  Beaucoup  d'affections  vénériennes  sont 
le  résultat  de  leurs  débauches;  plusieurs  phlegmasies  cuta- 
nées, la  gale  surtout,  sont  causées  chez  eux  par  le  défaut  de 
propreté.  Voyons  maintenant  quelles  maladies  résultent  plus 
immédiatement  de  l'exercice  de  leur  profession. 

Ils  se  plaignent  souvent,  et  surfout  les  femmes  ,  de  tiraille- 
mens  incommodes  dans  les  muscles  du  dos  et  de  la  poitrine. 
On  croirait ,  au  premier  abord  ,  que  ces  douleurs  vagues,  ob- 
tuses et  profondes  annoncent  la  période  encore  latente  d'une 
phthisie  qui  ne  tardera  pas  à  désorganiser  le  poumon  ;  il  n'en 
est  rien  pourtant,  et  la  suspension  des  travaux,  secondée  par 
quelques  embrocations  sur  les  parties  douloureuses  avec  l'huile 
camphrée  ou  le  baume  tranquille,  ne  manque  guère  de  dissi- 
per ces  symptômes. 

La  percussion  qu'éprouve  si  souvent  leur  région  cpigastri- 
que,  trouble  la  digestion  et  Je^  dispose  aux  fièvres  gastriques, 
fort  communes  chez  eux,  comme  riiistoire  de  leurs  habitudes 
a  dû  le  faire  présumer. 

Presque  tous  ces  artisans  ont,  dans  un  âge  avancé,  mais 
souvent  dès  l'âge  adulte  ,  des  engorgemens  et  des  ulcères  vari- 
queux, aux  extrémités  abdominales,  spécialement  aux  jambes, 
maladie  qui  tient  à  ce  qu'étant  assis,  ils  ont  sans  cesse  les 
jambes  pendantes.  Celle  qui  est  en  repos  est  plus  fréquemment 
malade  que  l'autre.  Les  ulcères  variqueux  des  ouvriers  en  soie 
entretenus  par  la  cause  qui  les  a  produits,  sont  affectés  d'une 
inflammation  chronique.  Ils  appartiennent  à  la  classe  de  ceux 
qu'on  nomme  habituels;  leur  fond  est  pâle,  leur  bord  livide, 
et  gorgé  de  sucs  séreux.  On  ne  peut ,  dans  la  plupart  des  cas  , 
iesiaire  cicatriser  sans  compromettre  la  santé  de  l'ouvrier  qui 
les  porte,  surtout  si  on  n'a  pas  eu  la  précaution  d'établir  un 
cautère  avant  de  les  guéiir.  Cette  maladie  n'est  point  locale. 
La  véritable  cause  de  l'ulcère  est  un  engorgement  chronique 
de  l'un  des  organes  abdominaux  à  parenchyme,  surtout  de  la 
rate.  La  position  habituelle  des  jambes  n'cslque  la  cause  oc- 
casionelle.  Ce  qui  a  été  dit  de  la  situation  du  corps  des  ou- 
vriers pendant  leur  travail  fait  présumer  que  la  circulation 
veineuse  abdoniinalc  est  très-lente  chez  eux  ;  une  circonstance 
fréquente  de  ces  lésions,  est  l'habitude  qu'ont  ces  artisans  de 
se  remettre  à  l'ouvrage  immédiatement  après  avoir  pris  leur 
repas. 

Comment  prévenir  ces  différentes  maladies?  LTne  giande 
partie  des  ouvriers  en  soie  de  Lyon  est  déjà  soustraite  à  l'in- 


TOME  Ll.  SOIE  (ot'VRtKRs  E>).  2i5 

fluenre  si  funeste  de  riiabitmion  dans  un  lieu  mal  sain;  beau- 
coup ont  quitté  la  ville  et  fixé  leur  séjour  soit  aux  Brottcaux, 
plaine  que  le  Rhône  sépare  de  la  cité  et  arrose  quelquefois, 
ioit  à  la  Croix  Rousse ,  faubourg  considérable,  situé  sur  une 
haute  montagne,  et  dans  une  position  très-t'avorable  à  la  con- 
Sf-rvalion  de  la  santé.  Là,  le  ptix  du  vin  et  des  alimcns,  plus 
modique  ,  leur  permet  une  nouniture  plus  saine  et  plus  abon- 
dante; là  ,  les  rues  sont  en  général  larges  et  bien  percées  ,  les 
maisons  mieux  construites,  les  cours  plus  vastes,  les  ateliers 
plus  grands;  là  enfin,  des  promenades  ombragées  d'arbres  et 
une  campagne  dans  laquelle  circule  un  air  vif  et  pur,  les  in- 
vitent à  l'exercice,  et  leur  offre  cbacjue  jour  une  distraction 
utile  et  agréable.  Un  seul  hôpital  engloutit  tous  les  malades 
d'une  ville  de  cent  soixante  mille  âmes;  en  le  supposant  par- 
faitement administré  et  construit  d'après  les  principes  les  plus 
convenables  aux  établissemens  de  cette  nature,  ou  aurait  en- 
core à  lui  reprocher  un  inconvénient  d'une  haute  importance, 
celui  d'enfermer  un  trop  grand  nombre  d'individus  dans  un 
espace  resserré.  La  construction  d'un  hôpital  secondaire,  d'ua 
hôpital  spécial,  ou  simplement  d'un  hospice  de  convalesccns, 
serait  un  présent  inestimable  fait  à  la  population  lyonnaise.  Les 
ouvriers  en  soie,  que  des  maladies  chroniques  font  si  souvent 
languir  et  périr  dans  les  salles  du  grand  Hôtel  Dieu,  trouve- 
raient dans  l'hôpital  de  la  Croix-Rousse  la  convalescence  et  la 
santé. 

Les  mcdicamens  qui  re'ussissent  le-mieux  dans  le  traitement 
de  leurs  maladies  scrofulcuses  ,  sont  les  révulsifs  et  les  to- 
niques. 

O/i  guérit  leurs  ulcères,  ou  plutôt  on  s'oppose  à  leur  trop 
grand  accroissement,  par  le  repos  de  la  jambe  malade  et  l'usage 
habiluel  d'une  compression  méthodique  faite  avec  un  bas  de 
peau  de  chien  lacé.  Beaucoup  do  ces  ouvriers  se  garnissent  la 
jambe  qui  est  en  action,  d'atclles  de  bois  pour  la  préserver 
dos  contusions  et  des  effets  du  frottement.  (momfalcon) 

448.  SOIE  ou  SOYON.  Maladie  du  porr,  décriie  à  epizootie. 
Tome  Xlll ,  page  (ig. 

507.  SOLA.]SriNE.  Principe  alcalin  découvert  dans  la  mo- 
relle,  solanwn  nigriim ,  L.  ,  et  la  douce-amère,  solarium  dul- 
camara,  L.  ,  par  M.  Desfossos ,  pharmacien  à  Besançon  •  c'est 
surtout  dans  les  baies  de  la  morelle  qu'elle  existe  en  plus  grande 
quantiu". 

Ou  l'obtient  en  versant  de  l'ammoniaque  sur  le  sur.  filtré  de  ces 
baies  bien  mûres,  ce  qui  détermine  un  précipité  grisâtre  que  l'on 
place  sur  un  filtre  pour  le  laver  à  l'alcool  bouillant;  l'évnno- 


2i6  TOME  LI.  SOLANINE. 

ration  de  ce  liquide  donne  de  suite  l'alcali  assez  pur.  Celle 
substance  est  sous  forme  de  poudre  blanche,  opaque,  siui'i 
odeur,  d'une  saveur  légèrement  amère  et  nause'abondo  ,  qui  se 
développe  par  sa  solution  dans  l'acide  acétique;  elle  forme  des 
selsincristallisables.  Lasolanine  est  insoluble  dans  l'eau  froide  ; 
l'eau  chaude  n'en  dissout  qu'un  -j~—,  et  l'alcool  fort  peu.  Elle 
n'exige  (ju'une  petite  quantité  d'acide  pour  être  saturée. 

Qualre  grains  de  cette  substance,  introduits  dans  l'eslomac 
d'un  chien  ou  d'un  chat,  excitent  des  vomissemens  violens  , 
suivis  d'un  assoupissement  qui  dure  plusieurs  heures.  Un  jeune 
chat  a  supporté  sans  mourir  l'irjtroduclion  de  huit  grains  de 
celle  substance.  Elle  n'a  poiul  encore  été  employée  sur 
l'homme. 

Les  propriétés  vomitives  de  celte  substance  paraissent  plus 
développées  que  celles  de  l'opium,  les  propriétés  narcotiques 
le  sont  beaucoup  moins  (  Mageudie,  Formulaire  pour  la  pré- 
paralion  et  ï emploi  de  plusieurs  nouveaux  me'dicamens , 
p;jge  56). 

Jbid.  SOLANO.  Vent  chaud  d'Afrique  que  l'on  éprouve 
euEspagne.  C'est  îe  même  que  le  scirocco  d'Italie. Tome  XXX, 
page  249. 

583.  SOLUTUM.  Nom  latin  employé  pour  désigner  le  ré- 
sultat de  l'opération  pharmaceutique  connue  sous  le  nom  d'in- 
fusion ,  et  la  distinguer  de  celle-ci.  Tome  LI ,  page  5l)C. 


TOME  LU.  SOMTTO-VIGIL.  Î17 

TOME  CINQUANTE-DEUXIEME. 


Page  129.  SOMNO-VIGïL.  Synonyme  de  somnambule. 
Tome  LU,  page  117. 

147.  SONDE  A  DOUBLE  COURANT.  M.  Jnlcs  Cloquet, 
chirurgien  en  second  de  l'hôpilal  Saint-Louis ,  a  renouvelé 
l'iisage  de  la  sonde  à  double  courant,  composée  de  deux  ca- 
naux accoles  dans  toute  Icuf  longueur  ,  ayant  deux  pavillons^ 
et  chacun  un  œil  à  leur  extrémité  postérieure,  mentionnée  par 
Haler  {Statique  des  animaux ^  trad.  par  Buffori ,  p.  ■?.:>.  t).  Par 
l'un  ,  et  au  moyen  d'un  tuyau  de  gomme  élastique  adapîé  à  un 
réservoir,  il  introduit  de  l'eau  disLiiléc,  chauffée  à  la  tempé- 
rature du  corps  [Zi  degrés)  ,  qui  se  répand  dans  la  vessie,  l;i 
lave,  la  baigne ,  la  distend  si  l'on  veut,  et  lessorl  ensuite  par 
l'autre  tube.  On  conçoit  (juels  avantages  considérables  peuvent 
résulter  d'un  semblable  moyen  thérapeutique.  L'auteur  fait 
passer  jusqu'à  cinquante  litres  d'eau  en  quelques  heures  dans 
la  vessie  ,  sans  fatigue.  Il  emploie  ce  moyen  dans  le  caiarrhe 
vésical ,  les  douleurs  de  vessie  ,  la  contraction  de  cet  organe.  Il 
ne  désespère  pas  de  pouvoir  fondre  la  pierre  même  à  l'aide  d'un 
liquide  convenablement  approprié.  Pour  les  détails  de  l'appa- 
reil, voyez  Nouveau  journal  de  médecine, ']và\\ev  1821,  p.  .izQ. 

i55.  Ligne  21.  Scamonea  ,  lisez  secamone. 

162.  SORCIER.  On  a  renvoyé  à  ce  mot  de  folik  (tome 
XYI ,  page  188).  11  n'en  a  pas  été  traité.  Voyez  sort,  tome 
LII,  page  162. 

Ibid.  SOR.GO  ou  SORGHO.  On  a  renvoyé  h  ce  mot  de 
MILLET  (tome  XXXIII,  page  /\jCi).  Il  n'en  a  pas  été  traité. 

C'est  une  plante  graminée,  holcus  sorgho,  L. ,  naturelle  à 
l'Afrique,  et  dont  les  graines  servent  de  nourtilurc  aux  peu- 
ples des  contrées  les  plus  chaudes  de  ce  pays,  avec  le  millet. 
C'est  Vholcus  saccharatus  qui  est  le  plus  avantageux  h  culti- 
ver, et  on  peut  l'employer  à  l'instar  du  maïs ,  dont  il  a  toutes 
les  bonnes  qualités;  de  plus,  on  en  relire  un  sirop  et  même 
du  sucre.  On  cultive  aussi  Vholcus  cajfronun. 

177.  SOUFLET  APODOPNIQUE.  Sorte  de  souOet  em^ 
ployé  dans  l'asphyxie  des  noyés.  Tome  XXXVI,  page  .|  23. 

igS.  Ligne  23.  Et  vêtement,  rayez  ces  mot>. 

2i5.  SOUR.IRE.  Voyez  eire,  tome  XLIX,  pages  /p  ci  4  ><. 


2i8  TOME  LU.  SOURIRE  ASPAMIQUE. 

Ibid.  SOURIRE  ASPAMIQUE.  Tome  XXIX,  page  33o  , 
et  tome  LVIII ,  page  229. 

Ibid.  SOUPilS.  Quadrupède  dont  il  est  parle',  tome  XXX, 
page  4o6. 

227.  SOUS- CUISSE.  Sorte  de  bandage  propre  à  empêclier 
de  remonter  les  bandages  de  corps ,  ainsi  nomme'  parce  qu'il 
passe  en  dedans  de  la  cuisse.  Tome  XV,  page  23. 

228.  SOUS-ZIGOMATIQUE.  Nom  que  M.  Chaussier 
donne  au  nerf  massolérien.  Voyez  massetérique,  tome  XXXI, 

page  84. 

239-   Ligne  19.  Arnold  ,  /iVez  Arnauld. 

245.   Ligner).  Rudolphe,  Z/^ez  Pcodolphe. 

271.  SPECTACLE,  /^orez  THÉÂTRE  ,  tomeLV,  page  63. 

274.  SPEDALSKHED.  Nom  synonyme  de  radesyge.  Tome 
XXVIÏ,  page  479-  On  y  a  renvoyé  de  lépreux, 

275.  SPERMATISME.  Difficulté  de  rendre  le  sperme. 
Tome  XXXiX ,  page  68 . 

3o5.  SPHEX.  Sortes  d'insectes  analogues  aux  fourmis  ,  et 

qui  font  des  piqûres  très  vives.  Tome  XXV,  page  319. 

322.  SPINITIS.  Inflammation  de  la  moelle  de  l'épine. 
Tome  LVII,  page  3i5. 

Ibid.  SPIRITUALISTES.  Secie  de  médecins  anciens,  la 
même  que  les  pneumatiques,  dont  il  est  question  à  ce  mot, 
lome  X,  page  107. 

Ibid.  SPITAELSKA.  Sorte  de  ièprc  ou  dartre  ende'mique 
aux  îles  Feroë,  et  en  Islande,  causée,  suivant  HorreboAvs, 
par  l'usage  excessif  du  poisson.  Tome  XII ,  page  187. 

329.  SPLENIFICâTION.  Etat  morbifique  d'une  partie  qui 
offre  l'apparence  du  tissu  propre  à  la  rate.  Tome  XXIV, 
page  554. 

335.  SPRUCE.  Sorte  de  bière  faite  avec  la  décoction  de 
pin  ou  de  sapiu.  Tome  III,  page  121.  M.  Kéraudren  a  donné 
une  notice  sur  une  bière  de  celte  nature,  ([ui  peut  être  très- 
utile  en  mer.  Voyez  Bulletins  de  la  société  de  la  faculté  de 
médecine  de  Paris ,  1807 ,  lome  1 ,  page  1 16. 

543.  SQUELETTIQUE.  Mot  synonyme  de  marasme.  Tome 
m,  page  621. 

399.  SQLIRROGASTRIE.  TomeXXXVI,  page  oSi 


TOME  LÎI.  SQlllROS ARQUE.  219 

Ihid.  SQUIRROSAPlQUE.  On  a  renvoyé  à  ce  mol  de  des- 
calorinèses.  Tome  VIII,  page  5o5. 

4o3.  (Cet  errata,  depuis  la  page  4^3  jusqu'à  la  page  44^» 
appartient  à  l'arlicIcsTAnLiANiSME  ,  fjui,  imprimé  loin  des  yeux 
de  l'autiur,  n'a  pu  être  soumis  à  sa  révision).  Ligne  3.  De 
ceux  qui  n'obéissent  pas,  lisez  de  ceux  qui  n'y  obéissent  pas. 

/{o5.  Ligne  'il.  De  mois  empruntés  de  la  scolastique,  lisez 
de  termes  cmprunlés  de  la  philosophie  de  l'écoie. 

406.  Ligne  12.  Aucune  opération  chimique  ne  peut  avoir 
lieu  dans  le  corps  humain  que...,  lisez  nulle  opéralion  chimique 
ne  peut  avoir  lieu  dans  le  corps  humain, si  ce  n'est. 

407.  Ligne  i6.  Quiddicam  ,  lisez  quidscriham. 

408.  Lignes  i  et  2.  Les  trois  principales  divisions  de  la  mé- 
decine en  physiologie,  ctc.,lissz]es  trois  principales  divisions 
de  la  médecine,  savoir  la  physiologie,  etc. 

4oy.  Ligne  8.  Vrais  ,  lisez  trois. 

410.  Ligne  1 3  et  suivantes.  Par  le  moyen  de  l'organisme,  etc. 
lisez  par  le  moyen  d'un  système  particulier  de  machines,  le- 
q.uel  fait  partie  de  l'organisme  général ,  et  dont  l'action  con- 
court au  même  but,  savoir,  cfc. 

Ibid.  Ligne  17.  Cet  organisme,  lisez  l'organisme. 

7/«'t^.  Ligne  5,  e/7àces  mais. 

4  II.  Ligne  19.  Après  odeurs,  ajoutez  que  nous  avons  déjà 
perçues. 

'  4i2.  Ligne  3.  Le  sang ,  lisez  le  mélange. 

Jbîd.  11  faut  insérer  ceci  entre  le  premier  et  le  second  alinéa. 

La  respiration  agitant  sans  cesse  le  tissu  du  poumon  ,  con- 
court puissamment  à  la  production  de  la  chaleur  visale;  cc- 
])etidanl  il  n'est  pas  douteux  que  dans  l'acte  de  l'inspiration,  le 
phlogiste,  <f>\oyta'Tov,  ou  léu  principe  de  Tair,  ne  pénètre  dans 
ce  viscère,  et  de  là  dans  la  masse  des  humeurs  (  The'or.  nie'd.  ).. 

4 1 4- Lignes  i  et  1.  Ce  me  semble,  lisez  ce  semble. 
Ibid.  Ligne  26.  Et  à  raclivilé,  lisez  de  l'activité. 
Ibid.  Les  sept  lignes  du  quatrième  alinéa  doivent  être  mises 
en  note. 

417.  Ligne  24.  Sa  plus  haute  période,  lisez  son  plus  haut 
période. 

4 18.  Ligne  5.  Das  en  brèche  ,  lisez;  das  er  endlicli  brèche. 


220  TOME  LU.  STAPHYLORAPHIE 

4jg.  I*remîer  alinéa  :  les  dix  lignes  sont  une  note, 

Ibid.  Ligne  26.  A  la  nécessité,  Z/^ez  au  besoin. 

420.  Ligne  21.  A  l'humeur  salivaire,  Usez  à  la  salive. 

Ihid.  Ligne  26.  Que  cette humeuv  subit,  lisez  qu'il  subit, 

4'22.  Ligne  20.  Et  «l'un  mouvement  qui  provient,  etc.,  lise% 
cl  d'un  mouvement  qui,  partant  de  l'objet  extérieur,  réagit 
sur  le  premier. 

Ihid.  Ligne  24.  Instantané ,  lisez  instantanée. 

425.  Ligne  23.  A  une  heure  marquée,  lisez  à  des  heures 
pi  arquées. 

424.  Ligne  i3  et  suivantes.  Elles  paraissent  isoler,  pour 
ainsi  dire  ,  l'amc  pensante  en  concentrant  toute  son  activité  sur 
des  idées,  etc. ,  lisez  elles  paraissent  concentrer  toute  l'activité 
de  Tame  pensante  sur  des  idées,  etc. 

Jhid.  Ligne  i3.  Connaît  sur-îe-champ  ,  Usez  intuitivement. 

]hid.  Ligne  3.  Voit  un.  Usez  voit  tout  un. 

425.  Ligne  8.  Tendent  à  se  porter  au  dehors,  lises  se  portent 
DU  tendent  à  se  porter  au  dehors. 

Ibid.  Ligne  9.  L'homme  ,  lisez  le  corps. 

426.  Ligne  29.  Avec  les  maladies.  Usez  avec  la  maladie. 
432.  Ligne  29.  Un  arbre  ,  lisez  le  tronc  d'un  arbre. 

/|33.  Ligne  i4-  Toutes  les  affections,  lisez  toutes  affections, 

443.  Ligne  27  et  suiv.  Hoister  a  omis  de  dire,  etc. ,  il  y  a  ici 
sept  lignes  qui  doivent  être  mises  en  note. 

4^4-  Ligne  25.  En  devoir  suivre  les  idées,  lisez  en  devoir 
suivre  loules  les  idées. 

445»  Ligne  16.  Mais  il  y  a  deux  forces,  lisez  mais  il  a  deux 
forces. 

44^'  Ligne  22.  Pouvait,  lisez  pourrait, 

449.  STAPHYLORAPHIE.  Nom  donné  par  M.  le  profes- 
seur Roux  a  la  réunion  du  voile  du  palais.  Ployez  voile  du 
j>ALAi3 ,  tome  LVlll,  page  285. 

5o4.  STELLlOiy.  Sorte  de  lézard  fort  célèbre  dans  la  mo-» 
4eçine  égyptienne.  Tome  XX\Tn ,  page  98. 


TOME  LUI.  STOMA.TOIIKHAGIE.  aai 

TOME  CINQUANTE-TROISIEME. 

Page  22.  STOMATORRIiAGlE.  Synonyme  d'hémorragie 
de  la  bouche. 

Ibid.  STOMOXE,  stomoxys  calckrans,  Fab.  Mouche  qui 
pique  l'homme  dans  les  jours  chauds  ^de  l'ëlé.  Tome  XXV  , 
page  326. 

47.  STllICTUM.  Principe  des  maladies  admis  par  Thé- 
mison.  Tome  XXII ,  page  i o5 ,  et  tome  XXXIil ,  page  222. 

71.  STUPORISME.  Tome  \III,  p.  568,  et  t.  XXXIX 
page  68. 

98.  SUC  DE  RÉGLISSE.  Nom  que  l'on  donne,  dans  le 
public,  à  V extrait  de  réglisse.  Ployez  réglisse  ,  tome  XLVII , 
page  390. 

m.  SUCCINITE.  Poussière  jaune  qui  se  sublime  au  col 
de  la  cornue  pendant  la  distillation  du  succin.  Tome  LUI, 
page  106. 

118.  Ligne  07.  Aloé's ,  lisez  aloë. 

170.  Ligne  29.  JuglauSy  lisez  juglans. 

216.  Ligne  7.  Paucas,  lisez  pancas. 

Ibid.  Ligne  11.  Quatre  à  cinq  cents,  effacez  cents. 

27^.  Avant  Y  alinéa  commençant  par  :  Dans  l'arlicle  fo- 
lie, etc. ,  mettez  i^. 

283.  Avant  V alinéa  commençant  par  :  L'exposition  du  trai- 
tement ,  etc. ,  ajoutez  4^^. 

402.  SULFURES  SULFURÉS.  On  a  renvoyé  à  ce  mot 
de  HYDRo-suLFUBEs  (  tomc  XXII ,  page  478  ) ,  c'est  sulfites  sut" 
Jurés  qu'il  faut  lire.  Tome  LUI,  page  892. 

460.  SURCALOlUNÈSES.  L'une  des  classes  de  maladies 
admises  par  M.  Baunics.  Tome  YIII ,  page  5o5. 


232  TOME  LUI.  SUROXIGËNÈSES. 

5io.  SUROXYGÉNÈSES.  Tome  LUI ,  page  5io.  On  y  a 
renvoyé  de  désoxygéivèses  { tome  Vlll ,  page  568  ). 

526.  SUSPENSEUR  DU  TESTICULE.  Nom  du  muscle 
crémasler.  Tome  XIII ,  pafre  270. 

528.  SUSTENTA.TION(base  de).  Lieu  sur  lequel  porte 
le  corps.  Voyez  station,  tome  LII ,  page  464' 

529.  SUTURE  DE  GALIEN.    Espèce  de  gastroraphie. 
Tome  XVII,  page  442. 

Ihid.  SUTURE  ROYALE.  Couture  que   l'on  faisait  du 
sac  herniaire  dans  toute  sa  longueur.  Tome  III,  page  362. 

532.  SYMBLEPHARUM.   Synonyme   de  symblepharosk 
(  cite  tome  XXIV ,  page  142  ).  Tome  LUI ,  page  532. 


TOME  LIV.  SYNCHONDROTOMIE.  -xiZ 


TOME  CINQUANTE-QUATRIEME. 


Page  82.  SYNCHONDROTOMIE.  Section  du  pubis.  Tome 
LIV,  page  62. 

164.  SYRMAISME.    Vomksemens  diclëtiques.  T.  XXII, 

page  536. 


208.  TABLES  DE  MORTALITÉ.  On  a  renvoyé  à  ce  mot 
de  FORCES  (tome  XVI,  page  388);  il  n'en  a  pas  e'té  traité 
sous  celte  dénorainalioa,  mais  à  mortalité.  Tome  XXXI V, 
page  388. 

212.    TABLIER  DES  HOTTENTOTES.    Tome  XIV, 

pages  246  et  5i4. 

Ibid.  TABLIER  A  PANSEMENT,  D'OPERATION ,  etc. 

On  donne  ce  nom  à  une  espèce  de  vêtement  que  le  chirurgien 
met  devant  lui  pour  empêcher  ses  hardes  d'être  gâtées  par  le 
sang  dans  Jes  opérations,  les  dissections  ,  par  le  pus  des  plaies,  la 
phir.he  des  lits,  etc.  Dans  les  hôpitaux,  tout  le  monde  en  porte, 
à  l'exception  des  médecins,  et  porter  le  tablier  est  déjà  uu 
honneur  envié  des  élèves.Ils  sont  de  toile  ordinaire  pour  qu'ils 
puissent  se  lessiver,  et  ont  une  poche  transversale  pardevanr , 
pour  contenir  du  linge  à  pansement ,  de  la  charpie ,  des  inslru- 
mens ,  etc.  Les  chirurgiens  y  joignent  parfois  des  bouts  de 
manche ,  pour  préserver  également  les  manches  de  leur  habit. 
Pour  les  dissections,  on  les  fait  de  toile  de  couleur,  comme 
moins  salissante. 

212.  TABOURET  D'ÉQUITATION.  T.  XVIII,  p.  5oo. 

2i5.  TACHE  DE  VIN.  Nom  que  l'on  donne  h  des  taches 
congéniales  de  couleur  de  vin,  qui  se  voient  sur  la  peau. 
Voyez  N^vus  maternus,  tome  XXXV,  pag.  i45. 


224  TOME  LIV.  TACON. 

216.  TACON.  Maladie  de  roignon  du  safran.  T.  XLIX^ 
page  322. 

253.  Avant  taffetas  à  vésicatoire ,  mettez  3". 

283.  TALISFAR.  Nom  sous  lequel  Avicenne  parle  du 
MACER.  Tome  XXIX ,  page  294. 

294.  TAMARISQUE  :  Belon  [des  Singularités ,  liv.  U, 
c.  XXV  )  dit  qu'en  Egypte  ces  arbres  portent  des  galles  nom- 
breuses appelées  par  les  Arabes  chersamel ,  et  qui  e'taient 
usitc'es  en  médecine  ;  il  ne  dit  pas  h  quel  usage. 

Soi.  TAMPONNEMENT.  On  n'a  traité  dans  l'ouvrage 
(tome  i.iv,  page  3oi)  que  du  tamponnement  du  vagin  ;  il  con- 
vient de  parler,  sommairement  du  moins  ,  des  autres  espèces  de 
tamponnement  usitées. 

11  y  a  deux  espèces  de  tamponnement  fort  distinctes  :  l'une 
sert  à  produire  une  irritation  dans  les  parties  ,  et  à  en  déter- 
miner l'inflammation  et  la  suppuration  ;  l'autre  est  employée 
pour  procurer  l'occlusion  des  vaisseaux  sanguins. 

La  première  espèce  de  tamponnement  est  aujourd'hui  à  peu 
près  abandonnée.  Autrefois  on  bourrait  les  plaies,  surtout  après 
l'amputation  des  membres,  avec  de  la  charpie  ,  pour  en  provo- 
quer ritiflammation  ,  la  suppuration  et,  par  suite  ,  la  cicatrisa^ 
lion.  On  croyait  en  tamponnant  hâter  ce  dernier  état  des 
plaies  ,  parce  que  effectivement  on  produisait  une  suppuration 
plus  abondante  à  cause  de  l'intensité  de  l'inflammation  qui 
résultait  de  la  présence  d'un  corps  étranger  au  milieu  des  par- 
lies  molles;  mais  on  ne  tarda  pas  h  s'apercevoir  que  ce  mode 
de  thérapeutique  chirurgicale  était  défectueux  ,  qu'il  dormait 
naissance  a  beaucoup  d'accidens,  comme  à  une  fièvre  trauma- 
lique  plus  forte  et  plus  longue  ,  à  une  inflammation  beau- 
coup plus  grave  (ju'elle  n'eût  été,  à  une  douleur  plus  vive, 
parfois  au  tétanos,  outre  qu'il  relardait  la  guérison.  On  a 
donc  cessé  de  bourrer  les  plaies  de  charpie  ,  et  on  s'en  est 
tenu  à  les  panser  mollement ,  ce  qui  a  beancoup  mieux  réussi 
jusqu'à  l'époque  où  on  les  a  pansées  simplement ,  c'esl-a-tUve 
sans  corps  étranger  et  à  plat.  Les  grandes  plaies  à  lambeaux 
ont  été  réunies  par  première  intention  [Trayez  elunion,  tome 
XLVIIl  ,  page  202),  et  sans  interposition  de  charpie  à  l'in- 
térieur, et  leur  cicatrisation  a  été  aussi  prompte  ('u'clle  était 
longue  autrefois  ,  puisque  quelques  jours  sulfisent  où  il  fallait 
plusieurs  mois.  Il  n'csl  don,:  plus  permis  ,  dans  l'étal  actuel 
de  la  science  ,  de  tamponner  les  plaies  comme  moyen  de  hàier 
leur  cicatrisation  ,  et  de  faciliter  leur  guérison  j   il  n'y  a  plus 


TOME  LiV.  TAMPONNEMENT.  y.o5 

que  dans  quelques  occasions  ,  forl  laros  même,  où  ce  moiJi; 
est  encore  usité  pour  aviver  «juclques  u'.ccios  mous ,  à  cliitin 
baveuses,  comme  moyen  excitant,  et  propre  à  les  changer  cii 
plaies  de  meilleure  qualité. 

Le  second  mode  de  tamponnement,  c'est-à-dire  celui  où  l'on 
se  sort  de  la  charpie  pour  arrêter  les  hémorragies,  est  au  cou- 
Iratrc  fort  usité.  Si  nous  cherchions  à  savoir  par  quel  modo 
il  opère  la  cessation  de  l'ccoulemcnt ,  nous  pourrions  peut- 
être  éprouver  quelque  embarras.  Serait  ce  la  présence  du 
tampon  qui,  irrilaiît  la  partie  où  il  est  placé,  ironcerait  les 
vaisseaux  béants  en  changeant  leur  mode  de  vitalité  actuciie? 
Serait-ce  tout  uniment  que  le  sang,  se  coagulant  entre  Jes  libres 
de  la  charpie ,  iail  caillot  jusqu'à  l'orifice  du  vaisseau  ouvert  ? 
Celte  dernière  manière  de  voir  paraît  la  plus  rationnelle,  et  il 
(St  certain  que,  dans  plusieurs  des  cas  (juc  nous  avons  souvent 
sous  les  yeux  ,  nous  voyons  la  coagulation  du  sang  être  la 
cause  de  la  cessation  des  hémorragies,  comme  dans  le  tampon- 
îiemont  des  narines,  où  le  sang  ne  cesse  de  couler  que  lorsque 
la  cavité  nasale  est  remplie,  et  que  ce  liquide  fait  caillot. 

On  tamponne  lorsque  des  vaisseaux ,  situés  dans  des  cavités 
profondes  ,  ne  peuvent  être  liés  ,  comme  dans  les  narines  ,  le 
jeclum,  le  vagin,  ou  bien  lorsque  des  vaisseaux  ,  même  vi- 
sibles ,  sont  trop  petits  pour  eue  liés,  comme  cela  a  lieu  à  la 
surface  de  la  peau  dans  plusieurs  occasions,  où  on  lamponne 
une  plaie  superficielle  dans  la  seule  vue  d'arrêter  le  sang  qui 
eu  suinte  trop  abondamment ,  el  de  manière  à  menacer  les 
jours  du  malade. 

Le  tamponnement  des  plaies,  dans  la  vue  d'arrêter  l'hémor- 
ragie, a  le  même  inconvénient  que  celui  que  nous  lui  repro- 
chons lorsqu'on  l'exerce  pour  obtenir  la  guérison  des  solu- 
tions de  continuité  ,  c'esl-à-dire  qu'il  augmente  la  douleur  , 
la  fièvre,  e!c.  ;  mais  ici  le  péril  imminent  qui  menace  la  vie 
des  sujets,  (pai  mettrait  fin  à  leur  jour  si  on  lardait  d'appii- 
<]uer  le  moyen  convenable,  çb-'igc  à  endurer  ces  accidens 
moindres;  une  demi- heure  de  retard  pourrait  parfois  être 
suivie  de  la  mort  :  ou  voit  combien  alors  le  tamponnement  est 
précieux  lorsqu'il  peut  êlrc  euiplo^'é. 

Taniponnemenl  à  la  surface  de  la  peau.  Le  procédé  pro- 
pre à  opérer  le  tamponnement  est  si  simple,  qu'il  a  à  jjeine 
besoin  d'être  indiqué.  Lors([ue  des  poudres  astringentes  et  ab- 
sorbantes, comme  la  colophane  ,  l'alun,  etc. ,  n'ont  pas  réussi , 
non  plus  que  l'amidon  préparé,  le  papier  brûlé,  à  arrêter 
l'hémorragie,  on  jette  de  la  raclure  de  ciiarpie  ou  de  la  char- 
])ic  très-fine,  puis  de  la  p'ius  grosse  sur  la  plaie,  et  on  assujétil 
Ja  compresse  qui  la  soutient,  avec  plusieurs  tours  de  bande 
que  l'on  serre  d'abord  assc?  fort,  sauf  à   la  relâcher  (jU'bpicî 


226  TOME  LIV.  TAMPONNEMENT, 

temps  après.  Ordinairement  le  sang  se  caille  entre  les  fibres 
de  la  charpie,  et  bouclie  l'orifice  des  vaisseaux  ;  il  ne  faut  ôter 
l'appareil  qu'au  bout  de  deux  à  trois  jours,  afin  qu'il  y  ait  de 
la  suppuration  de  produite,  ce  qui  change  le  mode  de  vitalité 
de  la  partie,  et  contribue,  ainsi,  ii  éloigner  les  écoulemens 
qui* auraient  pu  venir  par  la  suite. 

Lorsque  le  sang  est  tort  liquide,  comme  cela  a  lieu  chez 
1«5  cachectiques,  chez  les  ent'ans,  etc.  ,  ce  mode  ne  suffit  pas 
toujours  pour  arrêter  son  écoulcnien;  ;  on  est  parfois  obligé 
de  renouveler  plusieurs  fois  l'appareil,  et  morne  d'en  venir  à 
l'ustion  du  lieu  d'où  part  le  sang,  au  moyen  du  fer  rouge,  et 
de  le  promener  sur  la  surlace  de  la  plaie  ,  s'il  est  rendu  dans 
une  assez  grande  étendue. 

Les  piqûres  de  sangsues,  les  plaies  anciennes  des  vésica- 
toires  ,  les  solutions  de  conlinuilé  récentes  ,  les  ulcères  mous  , 
cancéreux  ,  etc. ,  donnent  assez  souvent  l'occasion  de  pratiquer 
ce  tamponnement. 

Tamponnement  des  plaies  à  la  suite  d'opérations.  Celles  de 
la  taille  et  de  la  fistule  à  l'anns  nécessitent  parfois  le  tam- 
])onncment.  Celui  delà  plaie,  après  l'opération  de  la  taille, 
a  été  décrit  à  lithotomie,  tome  XXVIII,  page  4tJ2j  et  celui 
de  la  fistule  anale,  à  fistule,  tome  XV,  page  570. 

Tamponnement  des  caK>ilés  naturelles.  Trois  cavités  sont 
seules  susceptibles  d'ctra  tamponnées,  le  rectum,  le  vagin  et 
les  fosses  nasales. 

Le  tamponnement  du  rectum  est  le  même  que  celui  que 
l'on  fait  après  l'opération  de  la  fistule,  dans  le  cas  d'hémor- 
ragie des  bords  de  la  plaie.  Tome  XV,  page  5no. 

Le  tamponnement  du  vagin  (celui  de  la  matrice  exige  le 
même  procédé)  a  été  décrit  aux  mots  tampon,  tome  LIV, 
page  296,  et  tamponnement,  tome  LIV,  page  3oi. 

Le  tamponnement  des  narines  a  été  décrit  à  sonpe  de  belloc, 
tome  LU,  page  i49-  Nous  y  ajouterons  quelques  détails  sur  le 
procédé  propic  h  mettre  eu  usage.  Dans  la  manière  ordinaire, 
on  laisse  un  fil  ciré  au  bourdonnet  que  l'on  insinue  dans  l'ori- 
fice postérieur  de  la  narine,  et  dont  on  fait  sortir  les  deux 
bouts  par  la  bouche,  pour  aller  s'attacher  sur  le  bonnet  du 
malade,  avec  les  deux  bouts  qui  ont  servi  à  le  faire  péné- 
trer dans  les  narines ,  et  qui  attachent  le  bourdonnet  antérieur. 
[iOrsqu'on  veut  enlever  l'appareil,  après  avoir  coupé  les  fils 
des  narines,  cl  ôlé  le  bourdonnet  antérieur,  on  retire  le  pos- 
térieur au  moyen  des  fils  de  la  bouche  ;  mais  pour  cela  il  faut 
que  la  charpie  introduite,  suivant  sa  longueur,  rebrousse  che- 
min, et  que  le  bourdonnet  se  renverse  enlicremcnt;  ii  en  ré- 
sulte que  cela  exij^e  dos  tractions  assez  fortes,  surtout  si  le 
bourdonnet  est  lo!)g.   M'étant  trouvé  dans  u!i  cas  où  j'avais 


TO?flE  LIV.  TAMPOiNNEMENT.  c^a; 

oublie  de  mellre  les  fils  poslérieuis,  j'étais  embarrasse  pouc 
retirer  Iç  bourdonnet  des  arrière -narines,  que  j'aurais  pu  re- 
pousser avec  la  sonde  droite,  ce  que  je  n'osai  faire  dans  la 
crainte  de  renouveler  l'hémorragie  qui  avait  pense  faire  périr 
le  sujet;  en  refle'chissant  que  les  narines  sont  plus  e'troites  pos- 
tcrieuremenl  qu'antérieurement,  et  qu'une  fois  le  fond  fran- 
chi ,  le  bourdonnet  pourrait  revenir  en  devant  ,  je  fis ,  avec 
les  fils  des  narines,  des  tractions  douces  en  divers  sens,  pour 
faire  avancer  le  bourdonnet ,  et  après  quelques  efforts,  il  vint 
en  un  seul  coup,  après  avoir  passe  le  lieu  le  plus  resserré.  On 
peut  donc  se  dispenser  de  mettre  les  fils  postérieurs,  qui  gê- 
nent beaucoup  dans  la  bouclie,  surtout  pour  manger,  qui 
peuvent  être  coupés  dans  la  mastication,  et  qui ,  de  plus, 
font  rebrousser  sur  lui-même  le  bourdonnet  postérieur.  Cela 
simplifie  de  beaucoup  le  procédé  habituel. 

J'observe  que  le  séjour  dans  la  narine  du  bourdonnet  pos- 
térieur ,  l'imprègne  d'humidité ,  de  sanic  puni  lente  ,  ce  qui  lut 
permet  de  s'allonger  avec  assez  de  facilité.  Il  f;:ut  avoir  soin  do 
mettre  des  fils  forts,  en  fil  de  Bretagne  bien  cirés,  sans  quoi 
ils  pourraient  se  pourrir  et  se  casser,  ce  qui  ne  laisserait  d'au- 
tre ressource  pour  avoir  le  bourdonnet  postérieur,  que  de  le 
repousser  avec  une  sonde  de  femme,  et  si  le  malade  chez  lequel 
ce  cas  arriverait  était  un  enfant,  il  faudrait  avoir  grand  soin 
qu'il  n'avalât  pas  ce  bourdonnet  en  le  retirant,  parce  qu'il 
pourrait  aller  boucher  la  trachée  et  le  suffoquer. 

Une  hémorragie  par  le  canal  auriculaire  pourrait  être  tam- 
ponnée également  avec  de  la  charpie. 

Ruysch  a  arrêté  une  hémorragie  du  gland  ,  très-redoutable  , 
par  une  sorte  de  tamponnement  fort  ingénieux.  Le  sang  coulail 
d'un  ulcère  syphilitique  en  abondance  extraordinaire,  cl  rien 
n'avait  pu  l'arrêter,  lorsque  liujsch  recouvrit  le  gland  avec  le 
prépuce,  serra  ce  dernier,  et  comprima  par  dessus  la  peau  ,  à 
l'endroit  d'où  venait  le  sang ,  ce  qui  fit  cesser  l'hémorragie. 

357.  TANGUIN,  tanghuinia^  Dupetit-Thouars.  Arbre  de 
Madagascar,  dont  le  fruit,  et  surtout  le  noyau,  sont  véné- 
neux. On  dit  que  l'on  donne  ce  dernier,  râpé  cl  mêlé  à  une  bois- 
son ,  pour  découvrir  si  un  individu  a  commis  tel  ou  tel  ma- 
léfice; s'il  succombe,  le  fait  est  prouvé;  s'il  vomit,  il  peut 
survivre,  et  alors  il  est  démontré  qu'il  n'est  pas  criminel 
(Journal  de  Pharmacie  ^  tome  VUI,  page  90). 

3  .;.3.  TANTALATES.  Sorte  de  sels.  Tome  L,  page  543. 

Ibid.  TAl^TALE.  Nom  synonj'mc  de  (  olumbium.  p^orez 
ce  dcuiicr  mot  dans  les  appendices,  pngc  37. 


2?:^  TOME  LIV.  TAON. 

3(3.  TAON.  Iti^cclc  (Jiplère  iiuisibic  à  l'homme  et  aux 
.'ir.imaiix.  Forez  injecte,  tomeXXVj  page  326.  11  «si  %ui(i 
].laiKhc  II,  fig,  2,  de  cet  article. 

84^.  TAllBO.  Sorte  d'ulcération  qui  survient  en  Egypie 
dan»  i'éléplianliasis.  Tome  Xil,  page  199. 


347.  TARENTULE.  Celte  araignée  est  figurée  pi 
fig.  4  t'c  rarticie  insecte.  Tome  XXV,  page  356. 


anche  m , 


EiJ  Crimée,  ia  lareninle  cause  des  accideiis  fort  graves ,  et 
même  la  mort  (d'après  les  observations  de  M.  Graperon,  mé- 
<icc:n  franc  lis  établi  dans  ce  pays  ,  transmises  par  M.Valentin), 
si  on  ne  cautérise  pas  de  suile  la  plaie  avec  un  fer  rouge  [Joiir-^ 
liai  générai  de  médecine  ,  tome  LXIII ,  page  4o4-) 

366.  TATOUAGE.  Marques  que  se  font  sur  la  peau  des  peu- 
plades américaines,  asiatiques,  etc.  Tome  XIV,  pages  44^  ^' 
5i>5  ,  et  tome  XXXV,  page  4oB. 

367.  Taxe  des  Médecins,  etc.  ^ojez  rapports, 

tome  XLVII,  page  187. 

3g8.  TECTOLOGIE.  Mortalité  dans  les  diverses  mala- 
dies. On  a  renvoyé  à  ce  mot  de  nécrologie.  Tome  XXXV, 
page  534. 

Kien  ne  serait  plus  cuvleux  qu'un  tableau  bien  fait  et  exact 
de  la  mortalité  dans  les  diverses  maladies;  mais  rien  n'est  en 
môme  temps  plus  difficile  à  exécuter  qu'un  tel  travail,  à  cause 
de  la  difficulté  de  donner  rigoureusement  un  nom  aux  mala- 
dies. Les  relevés  que  l'on  fait  dans  les  grandes  villes  sont  des 
plus  infidèles  sous  ce  rapport ,  et  on  ne  peut  nullement  s'y  fier. 
Un  pareil  travail ,  s'il  est  possible,  ne  pourra  être  bien  exécuté 
que  dans  un  graod  hôpital ,  encore  les  chances  de  mort  y  sont- 
cilts  plus  frcqueiites  qu'en  ville,  parce  que  les  malades  y  arri  - 
vent  fort  tard  ,  et  souvent  lorsqu'ils  sont  sans  ressources.  D'ail- 
leurs, on  y  manque  souvent  de  renseignemens  sur  l'origine 
des  affections  morbifiques. 

On  a  déjà  quelques  données  sur  la  tectologie  y  mais  elles  ne 
sont  ni  assez  nombreuses,  ni  assez  certaines  pour  en  tirer  des 
conclusions  utiles.  Ce  travail  ne  peut  être  que  le  résultat  du 
temps  et  de  l'observation  la  plus  suivie. 

457.  TELEGRAPHE  ELECTRIQUE.  Nom  d'une  espèce 
de  pile  galvanique  inventée  par  Sœmmerring.  Il  y  en  a  une 
desctipliuu  dans  le  tome  V,  page  217  du  Bulletin  des  sciences 

inc'dicalcs  {  loio),  recueil  devenu  assez  rure ,  à  l'clat  complet. 


TOME  LIV.  TEi^ESME  VESICAL.  22*) 

556.  TENESME  YESiGAL.  Constiiclion  douloureuse  de 
la  vessie,  que  quelques  malades,  pris  de  dysenterie,  éprou- 
vent dans  les  violens  efforts  qui  accompagnent  les  déjections 
et  qui  le;'r  fait  rendre  parfois  des  glaires  par  l'urètre.  Tome  X  , 
page  349. 

542.  TEREBENTHINE.  Ajoutez  aux  produits  qui  en  dé- 
pendent le  suivant  : 

Huile  de  rase.  Galipot  mou,  que  l'on  fait  cuire  dans  un 
alambic,  et  qui  donne ,  pendant  sa  cuisson,  nuti  essence  que 
l'on  de'signe  sous  ce  nom^  elle  est  moins  estimée  que  celle 
de  térébenthine. 

Ibid.  Ligne  28.  Chiche ,  lisez  ciche. 

565.  TERRE  FOLIÉE  MERCURIELLE.  Tome  LVIII, 

page  140. 

Ihid.  TERRE  D'OMBRE.  Tome  XXXVII,  page  86. 


TOME  LV.  TETANOS  RABIEN.  a5i 


TOME  CINQUANTE-CINQUIEME. 


Page  56.  TETANOS  RABIEN.  Nom  sous  lequel  M.  Gi- 
rard désigne  la  rage. 

4i.  Ligne  lo.  Alembic,  Usez  alambic. 

Ihid.  TETIIAODON.    Poissoa  vénéaetix.   Tome  XLIII , 

page  673. 

Gi.  Ligne  ig.  Au  repas,  Zwez  aux  repas. 

66.  Ligne  16.  des  vbofessions  ,  Usez  professions. 

THERAPEUTIQUE.  Nous  espérions  donner  ici  cet  article 
que  M.  le  docteur  Barbier,  d'Amiens,  s'était  engagé  à  fournir 
au  Dictiouaire  ;  nous  avons  le  regret  d'être  trompé  dans  nos 
espérances,  qui  ne  se  sont  tout  à  fait  évanouies  que  depuis 
quelques  jours. 

Nous  croyons  devoir  faire  connaître  les  motifs  que  nous 
iransmet  notre  honorable  confière  à  ce  sujet,  dans  la  lettre 
suivante,  qui  nous  parait  d'ailleurs  un  article  thérapeutique 
en  raccourci. 

Nous  ferons  remarquer  au  surplus  qu'il  est  traité  de  la  thé- 
rapeutique dans  beaucoup  d'endroits  du  Dictionaire,  et  que 
c'est  plutôt  un  résumé  sur  cette  partie  de  la  médecine  qui  man- 
que ici  que  l'article  entier.  Voyez  les  diverses  classes  de  mala- 
dies ,  celles  des  médicamens,  et  chaque  maladie  et  médicanïent 
eu  particulier. 

.  Amiens,  le  i\  mars  1822. 

Monsieur  et  cher  confrère, 

Vous  me  demandez  les  raisons  qui  m'empêchent  de  vous 
envoyer  le  mot  thérapeutique  dont  j'avais  été  chargé  pour  le 
Dictionaire  des  sciences  médicales.  A  l'époque  où  ce  mot  me 
fut  confié  ,  je  le  reçus  avec  une  satisfaction  que  je  ne  chercherai 
pas  à  dissimuler:  je  tenais  à  honneur  de  traiter  ce  sujet ,  Je 
faisais  tous  mes  efforts  pour  rendre  mon  travail  digne  du  re- 
cueil qui  devait  le  recevoir.  Je  rencontrai  des  obslacles  dont 
je  n'avais  pas  d'abord  aperçu  toute  la  force.  Ces  obstacles  ont 


252  TOME  LV.  THÉRAPEUTIQUE, 
une  origine  que  je  dois  ici  signaler  :  ce  sont  les  modifications 
qui  s'opèrent  sous  nos  yeux  en  pathologie,  qui  me  les  ont  sus- 
cite's.  11  n'est  pas  permis  de  voir  en  malièie  de  pratique  comme 
en  matière  de  théorie.  On  peut ,  sans  que  la  conscience  en  mur- 
mure ,  avancer  un  principe  douteux  de  physiologie;  mais 
doit-on  être  aussi  hardi  quand  il  est  question  de  préceptes  thé- 
rapeutiques :  ici ,  les  conséquences  d'une  erreur  sont  effrayantes. 
J'avais  sous  lesyeuxcequi  arrive  pour  le  traitement  des  fièvres  : 
les  secours  dont  on  se  sert  aujourd'hui  sont  opposés  à  ceux 
<{ue  Ton  conseillait  naguère  ,  et  ces  maladies  ne  sont  plus  si 
longues,  si  dangereuses.  Qui  oserait  aujourd'hui  répéter  le 
conseil  d'administrer  dans  toutes  les  névroses  les  mcdicamcns 
irrilans  ou  stimulans  que  l'on  a  préconisés  contre  ces  affec- 
tions ? 

Pendant  que  je  m'occupais  de  rédiger  l'article  théiapeu- 
ihique ,  le  mouvement  qu'ont  reçu  les  sciences  médicahs 
continuait.  L'observation  me  prouvait  journellement  qu'il  de- 
vait conduire  k  d'heureux  résultats,  que  le  traitement  des  ma- 
ladies perdrait  tout  ce  qu'il  tenait  de  l'empirisme,  qu'il  ne 
serait  avoué  par  la  science  que  quand  il  se  montrerait  ratio - 
iiel.  Je  hâtais  donc  ce  mouvement  de  mes  vœux  ;  mais  la 
marche  toujours  égïle,  toujours  réglée  du  Diclionairc  ,  fit  ar- 
river le  mot  thérapeutique  avant  que  j'eusse  amassé  mes  ma- 
tériaux, éclairci  tous  mes  doutes.  Mon  travail  n'était  pas  prêt, 
il  fut  convenu  qu'on  le  placerait  dans  un  supplément.  En 
même  temps  je  sus  qu'on  ne  pouvait  plus  lui  accorder  autant 
d'étendue  que  j'en  désirais.  :  j'étais  forcé  de  changer  le  plan 
que  je  m'étais  tracé;  je  perdais  parla  les  avantages  qui  auraient 
diminué  au  moins  l'imperfection  de  cet  article  :  je  me  décou- 
rageai. De  plus,  des  causes  contre  lesquelles  rna  volonté  était 
impuissante,  m'empêchèrent  de  m'en  occuper  tout  de  suite. 
Maintenant  vous  ne  pouvez  plus  m'accorder  un  délai  aussi 
long  qu'il  me  le  faudrait  pour  traiter  ce  sujet  avec  le  soin  et 
avec  l'étendue  qu'il  exige.  Je  ne  puis  plus  que  vous  offrir 
mes  regrets.  Je  soulfre  de  manquer  :\  ma  promesse,  c\e  ne  pas 
répondre  à  la  hienveil lance  avec  laquelle  on  a  bien  voulu 
accocillir  les  autres  articles  que  j'ai  fourtiis  au  Dictionaire. 

Pcrmeltez-moi ,  monsieur  et  clicr  confrère,  devons  exposer 
en  peu  de  mots,  ie  plan  que  je  suivais  dans  V  Ar\'\c]c  ihérnpentujue. 
Nous  ne  sommes  plus  au  temps  où  il  aurait  sulfi  de  parcourir 
un  cadre  nosograpliique ,  de  citer  les  noms  des  maladies,  et 
d'énumérer  les  remèdes  que  l'on  a  vantes  contre  chacune  d'elles. 
La  thérapeutique  ne  se  compose  plus  de  la  connaissance  de 
recettes  qui  font  des  miracles,  demédicamensdoutl'ezpérience 
a  toujours  constaté  les  vertus.  La  mcdccine  prend  une  ai:tic 


TOME  LV.  THÉRAPEUTIQUE.  233 

altitude  ;  comme  la  chirurgie,  elle  raisonne  ses  opérations,  se^ 
procèdes  j  comme  la  chirurgie,  elle  veut  queh[ue  chose  de  po- 
silif  dans  son  action,  d'exact  dans  l'elTet  des  instrumens  dont 
elle  se  sert.  Les  maladies  sont  dues  à  des  chançerrtens  d'c'tat  ou 
à  des  lésions  des  tissus,  des  organes  ,  des  appareils  organiques 
du  corps.  La  thérapeutique  étudie  d'abord  la  nature,  le  carac- 
tère, le  produit  de  ces  lésions;  si,  pour  effacer  ces  dernières 
pour  rétablir  les  parties  malades  dans  leur  condition  première 
elle  met  en  jeu  divers  moyens  tirés  do  l'hyi^icne,  de  la  m^- 
lièrc  médicale,  etc.,  c'est  qu'elle  a  reconnu  une  opposition 
entre  ces  lésions  et  l'opération  des  remèdes  dont  elle  vent  su 
servir. 

On  ne  recueille  plus  aujourd'Iiui  les  sjmpiômcs  pour  en 
composer  une  maladie,  pour  lui  imposer  un  nom  on  lui  trou- 
ver une  plate  dans  un  système  nosogiapliique,  Ori  observe  ces 
sj'mpiômes  ,  mais  c'est  pour  arriver  à  la  lésion  qui  les  produit, 
pour  découvrir  Taltéralion  orçani([ue  dont  ils  sont  l'expres- 
sion. On  ne  forme  plus  avec  les  synq)lùriies  une  maladie  i»  côté 
du  malade;  on  les  laisse,  si  j'ose  ainsi  parier,  dans  l'économie 
animale;  on  suit  leur  roule,  on  remonte  à  leur  origine  pour 
rencontrer  la  lésion  pathologique  qui  les  suscite.  Mais  la  lésion 
dont  s'occupe  le  thérapeulisle ,  n'est  pas  celle  que  dévoilent 
le-=  recherches  analomiipiPS.  Ce!]i'-ci  a  gagné  son  dernier  terme: 
elle  a  dépassé  les  limites  où  les  secours  médicinaux  pouvaient 
l'arrêter.  Quand  on  considère  If's  désordres  que  l'on  trouva 
dans  les  cadavres,  et  que  l'on  réfléchit  ensuite  à  la  faiblesse  des 
armes  dont  un  praticien  peut  disposer,  on  éprouve  une  soiie 
de  découragement ,  on  est  conduit  ii  désespérer  d'obtenir  aucun 
succès  dans  le  traitement  de  ces  maladies.  Que  peuvent  faire 
nos  médicamens  contre  des  tissus  organiques  ({ui  sont  endui  cis, 
changés  de  forme,  de  couleur,  de  nature,  méconnaissables,  etc.  ? 
Mais  ces  lésions  ont  eu  un  commencement,  un  début;  c'est 
alors,  et  encore  pendant  leur  développement  que  le  théra- 
peutiste  les  attaque  avec  avantage.  Estimées  à  cette  période 
de  leur  existence  ,  on  conçoit  la  possibilité  de  les  combattre 
avec  nos  nioyens  curatifs.  On  trouve  de  ia  proportion  entre  lit 
puissance  ou  i'efh  t  de  ces  derniers  et  ce  qui  forme  la  mala'iie. 
On  se  rend  facilement  raison  des  cures  que  l'on  obtient  jour- 
nellement dans  la  pratique  de  la  médecine. 

IN'oublions  pas  de  plus  qu'il  manque  dans  les  iésioni,  telles 
que  nous  les  présentent  les  cadavres,  une  fouie  d'élémens  pa- 
thologiques qui  ont  disparu  avec  la  vie  et  qui  entietenaicta  un 
grand  nombre  de  symptômes  directs  ou  syinpaibiqucs  conti»^ 
les(piels  la  thérapeutique  agit  avec  utilité.  La  mort  a  snbsiiiui: 
an  froid  uniforme  aux  exaltations  de  température  que  l'on  re- 
marquait dans  divers  points  du  corps  malade  :  la  pâleur   a 

3o 


a34  TOME  LV.  THÉRAPEUTIQUE, 

remplacé  les  rougeurs  que  l'on  y  voyait  j  les  taclics  vlolace'es 
mêmes  que  l'on  rencontre,  étaient  environnées  d'une  auréole 
qui  s'est  évanouie.  Où  il  y  avait  tension,  il  y  a  laxité;  le  gon- 
flement qu'entretenait  l'aiguillon  de  la  plilogose ,  en  attirant 
le  sang  dans  les  vaisseaux,  capillaires,  s'est  dissipé  parce  que 
cet  aiguillon  a  cessé  de  se  faire  sentir,  et  que  les  petits  vais- 
seaux après  le  moment  fatal  conservent  encore  assez  d'activité 
pour  reporter  le  sang  dans  les  vaisseaux  d'un  calibre  plus  gros. 
Ainsi  bien  des  causes  pathologiques  qui  réclament  l'attention 
du  praticien  et  contre  lesquelles  il  dirige  des  secours  médicinaux, 
ne  se  trouvent  plus  dans  les  cadavres.  La  mort  y  laisse-telle 
toujours  la  raison  de  l'ardeur  intérieure  qui  tourmentait  le 
malade  ,  de  l'érélhisme,  de  l'agitation,  de  l'excès  de  sensibilité, 
d'activité,  etc.  ,  dont  il  se  plaignait?  Ce  sont  donc,  non  pas 
les  lésions  des  appareils  organiques  que  l'on  rencontre  dans 
les  cadavres  ,  mais  celles  que  révèlent  les  symptômes  et  que  fait 
reconnaître  la  physiologie,  que  le  ihérapeutiste  doit  étudier: 
parce  que  c«  sont  ces  dernières  ,  telles  qu'elles  sont  pendant 
que  la  vie  existe,  qu'il  faut  traiter.  Des  changeraens  organiques 
que  décelaient  des  accidens  morbides ,  des  symptômes  sail  lans , 
dont  l'existence  ne  pouvait  être  contestée,  ne  sont-ils  pas  im- 
perceptibles lorsqu'on  les  cherche  après  la  mort? 

11  ne  suffit  pas  en  thérapeutique  de  connaître  les  lésions  qui 
constituent  les  maladies,  il  faut  de  plus  s'occuper  des  remèdes 
propres  à  les  guérir.  Or,  c^est  l'action  physiologique  de  ces 
remèdes,  ce  sont  les  effets  immédiats  que  leur  administration 
provoque,  qui  doivent  principalement  occuper  le  thérapeutiste. 
Que  les  moyens  qu'emploie  ce  dernier  sortent  de  l'Jiygiène ,  de 
la  matière  médicale,  de  la  physique,  pî:u  importe.  H  faut  tou- 
jours examiner  en  eux  une  chose.  C'est  le  pouvoir  qu'ils  ont  sur 
les  organes  ou  sur  les  appareils  ore;aniques  j  c'est  l'action  qu'ils 
exercent  sur  le  corps  vivant.  Cette  action  est  ce  qui  les  rend 
propres  à  combattre  l'état  de  maladie,  à  détruire  les  causes 
qui  l'entretiennent:  le  thérapeutiste  doit  donc  la  bien  connaître, 
il  doit  estimer  sa  force,  étudier  son  caractère,  apprécier  la 
portée  de  sa  puissance,  sa  durée  ,  être  au  fait  de  toutes  les  mo- 
difications ,  de  toutes  les  mutations  qu'elle  est  capable  de  pro- 
duire. Les  remèdes  sont,  a-t-on  dit,  les  instrnmensde  l'art  de 
guérir;  il  faut  donc  que  l'artiste  sache  tout  ce  qu'ils  peuvent  opé- 
rer. L'étude  de  la  puissance  physiologique  des  remèdes  est  une 
matière  tout  à  fait  négligée  :  tant  que  l'on  a  cru  que  les  médi- 
camens  guérissaient  par  des  vertus  occultes,  on  a  dû  se  mettre 
peu  en  peine  de  cette  étude  :  toutefois  elle  n'en  est  pas  moins 
d'une  très-haute  importance,  et  l'examen  des  effets  physiolo- 
giques des  secours  médicinaux  aura  une  grande  influence  sur 
le  perfectionnement  des  méthodes  curatives. 


TOME  LV.  THÉRAPEUTIQUE.  ^35 

La  médecine  aura  rempli  une  grande  partie  de  son  objet  ; 
elle  méritera  les  hommages  de  tous  les  hommes,  le  jour  où  elle 
pourra  démontrer  clairement  quelles  sont  les  lésions  qui  cau- 
sent nos  maladies,  et  justifier  toujours  l'emploi  des  remèdes 
par  leur  action  première,  par  les  chaogemens  organiques 
qu'ils  vont  produire.  La  pratique  de  la  médecine  s'appuie  sur 
des  bases  solides,  sur  des  raisonnemens  suivis  ;  elle  cesse  d'être 
conjecturale,  alors  qu'elle  offre  ces  deux  données  ;  i°.  une  lé- 
sion bien  reconnue;  i",  des  remèdes  dont  l'ope'ration  est  pré- 
vue. Il  est  inqiossible  que  la  médecine  guérisse  toujours,  et 
les  limites  de  sou  pouvoir  ont  été  posées  par  le  créateur  lui- 
même. 

Telles  étaient,  monsieur  et  cher  confrère,  les  idées  mères 
démon  travail.  Je  regrette  beaucoup  de  n'avoii*  pu  les  déve- 
lopper. J'apprendrai  avec  bien  «lu  plaisir  que  vous  les  approu- 
viez. Recevez  avec  mes  regrets  l'assurance  de  mon  sincère  at- 
tachement, et  croyez  aux  sentimens  distingués  avec  lesquels 
J'ai  l'honneur  d'être,  etc. 

BARBIER. 

95.  TMËRIAQUE  D'ANGLETERRE.  Nom  que  porte 
dans  les  environs  de  Cimbridge,  la  germandrée ,  teucrium 
chaniœdris  ,  L.  ,  d'après  Ray.  Tome  XVIII ,  page  224. 

ïhid.  THÉRIAQUE  DE  MER.  Nom  que  Nicander  don^ 
xidiÀi^n fucus  rouge.  Tome  XVli,  page  121. 

89.  THÉRAPEUMANES.  Tome  XXIII,  page  33o. 

99.  TKERMAZOTE.  Nom  donné  par  Brugnalelli  au  gaz 
azote. 

1  r  4.  THORA.  Espèce  de  renoncule  nuisible.  Tome  XLVIl, 
page  4^0. 

142.  THYROPHRAXIE.  Tome  XXXVI,  page  284. 

167.  TICUNAS.  Poison  américain.  Tome  XLIII,  pag.  634, 

ini.  TIMAC.  (  racine  de).  Substance  connue  en  Espagne 
sous  le  nom  de  liane  à  coureiix;  on  l'emploie  à  Saint-Do- 
mingue conUe  l'bydropisie.  On  ne  la  connaît  pas  dans  nos 
pharmacies;  je  la  mentionne  ici  d'après  Murray,  Jppar. 
medlcain. ,  tome  \  I ,  page  170. 

1-5.  TIMNL'S.  Sorte  do  poison  auquel  on  a  renvoyé  de 


aDÔ  TOME  LV.  TIMNUS. 

manceuilli'er ,  tome  XXX,  page  4i5.  Nous  ne  l'avons  trouvé 
inenliontié  nulle  pari  sous  ce  nom,  de  sorte  que  nous  ignorons 
ce  que  c'est. 

1^5.  TIQUES.  Voyez  insecte.  Tome  XXV,  page  3ci5. 

20'j.  TISANERIE.  Lieu  où  l'on  prc'pare  en  grand  les  tisanes 
dans  ici  iiôpilaux.  Gedoit  être  uii  endroit  spacieux  ,  d;ilé,  ayant 
un  ecoulcuieiil  pour  les  eaux,  pourvu  d'un  large  manteau  de 
clieniinc'e  avec  de  vastes  chaudières  en  cuivre  élamé,  montées 
sur  un  Iburiieau  placé  sous  ce  manteau,  où  on  prépare  les  ti- 
sanes. On  n'en  l'ait  <jue  de  quatre  ou  cinq  sortes  de  ces  dernières 
dans  les  grands  établisscuiens,  et  tous  les  jours  on  les  renou- 
velle. On  Jf^it  surveiller  la  propreté  des  vases  qui  servent  à 
les  préparer,  la  qualité  des  substances  qui  les  composent,  et 
l'aire  jeter  celles  qui  restent  tous  les  mutins  ,  parce  qu'elles 
s'uigriîsent  et  deviennent  alors  nuisibles. 

?.?,().  Ligne  4-'!.  Calharrc  ,  lisez  catarrhe. 

:).'29. TISSUS  ANALOGUES.  Tome  XXYII,  page  5o4  et 
5^0, 

Ihid.  TISSUS  NON  ANALOGUES.  Tom.  XXVII,  p.  604. 

24B.  TONDIX.  Sorte  de  bois  employé  contre  la  lèpre.  Tome 
XXVll,  page  44^« 

s'-^,  TONISME.  Nom  que  M.  le  docteur  Baumes  donne  au 
léianos. 

9.911.  TOllPEUPi.  Engourdibsement  qu'éprouvent  certains 
îininjaux  ,  comme  les  uurs ,  les  marmottes,  les  loirs,  les  ser- 
pcns  ,  etc.  pendant  l'hiver,  ce  qui  les  a  lait  aussi  appeler  /«- 
hernans.  Voyez  graisse.  Tome  XIX ,  page  299. 

368.  TOUll  DE  REINS.  Extension  forcée,  ou  rupture  de 
fibrilles  aponévroiiques  ou  charnues  des  muscles  des  iombes. 
Tomes  XXVîll,  pages  584ctXLlV,  343. 

372.  TOUTE  EPICE,  QUATRE  ÉPICES.  Noms  du  pi- 
ment de  la  Jamaïque,  viyrtus  pimenta,  L.  Toinc  XXXV  , 
page  141. 

Ibid.  TOUTE  SAINE.  Nom  de  Miypericiini  androsœnium , 
L.  Voyez  MiLLE-PERTuis,  lome  XXXllI ,  page  436. 

/i45.  TOXICOSE.  Nom  synonyme  deinpoisonncmcnU 
Xome  XWIX-,  page  Ki'i. 


TOME  LV.  TOXICOSE  RABIQUE.  ^37 

Ihîd.  TOXICOSE  IIABIQUE.  Vu  des  noms  de  la  rage. 
Tome  XLVll ,  page  ^9. 

4H4.  TRACHÉLO  SOUS  OCCIPITAL.  Nom  que  donne 
M.  Cliaussier  aux  muscles  droits  auléiieuis  delà  tête.  Voyez 
T>Rovr ,  tome  X,  page  256. 

468,  TKACHOPHOJNIE.  Voix  dure  ou  rude.  T.  XXXIX, 

page  272. 

Jbid.  TRACTEURS  MÉTALLIQUES.  Nom  d'un  instru- 
ment dont  on  se  sert  dans  le  peikinisnic.  Tome  XXIX, 
page  5 16. 

47.5.  TRAMONTANE.  Veni  du  sud-est ,  très-froid ,  que  l'on 
éprouve  en  Provence.  Tome  LVIl,  page  157. 

48'..  TRANCHÉES  UTÉRINES.  On  a  renvoyé  à  ce  mot 
de  LOCHIES  (tome  XXVIII ,  page  Sig).  Il  n'en  a  pas  été  traité 
sous  cette  déijomination,  maisà  trancuées.  Tome  LV,  page  475. 

53 1.  TRÉMOUSSOIR.  Machine  propre  à  procuref  beau- 
coup de  mouvement  sans  sortir  de  sa  chambre.  Tome XVIII» 
page  3cio. 


i 


TOME  LVI.  TRIORCHIDE.  ^39 

TOME  CINQUAINTE-SIXIÈME. 


Page  9.  TRIORCHIDE.  Qui  a  trois  teslicuîcs.  Tome  XIII, 
page  449. 

Jhid.  TRIPLOIDE.  Sorte  d'clcvatoire  ,  décrit  à  élévatoire. 
Tome  XI ,  page  43 1 . 

Jhid.  TRISME.  On  a  renvoyé  à  ce  mol  de  masseter  (Tome 
XXXI,  page  84);  c'est  trismus  qui  est  plus  usilé  et  qui  est 
traité  daus  l'ouvi âge.  Tome  LV,  page  i . 

52.  TRITOXYDE.  Troisième  degré  d'oxydation  des  corps. 
Le  colcolhar  est  un  tritoxyde  de  1er.  Tome  XXXî  ,  page  63. 
Les  deux  premiers  sont  le  proloxyde  et  le  deuloxyde.  Audes- 
sus  il  n'y  a  que  les  peroxydes. 

64.  TROU  AVEUGLE.  Tome  XXVII ,  page  226. 
Ibid.  TROU  JAUNE.  Tome  XLVIII ,  page  176. 
Ibid.  TROU  OPTIQUE.  Tome  XXXVII,  page  i5o. 
Jbid.  TROU  PALATIN,  Tome  XXX,  page  224. 

Jhid.  TROUS  INCISIFS  de  Cowper.  Tome  XXXV,  p.  224. 

65.  TRUFFE.  Cet  article  doit  être  igné  Mérat ,  et  non  des 
initiales  F.  v.  m. 

iSg.  TUMEURS  SÉBACÉES.  On  a  renvoyé  à  ce  mol  de 
LOUPES  (Tome  XXIX,  page  84).  H  n'en  a  pas  élé  traité  à  part, 
le  mot  LOUPE  renfermant  tout  ce  que  l'on  peut  dire  sur  ces  es- 
pèces de  tumeurs,  qui  n'en  sont  pas  distinctes. 

lUd.  TUMEUR  VARIQUEUSE.  On  a  renvoyé  à  ce 
mol  de  FONDEMENT  (Tome  XV  i ,  page  3/j4)-  H  n'en  a  pas  élé 
traité  sous  celte  dénomination  ,  mais  à  varices,  tome  LVII, 
page  I. 

i4">.  TUPINAMBIS.  Sorte  de  lézard  dont  on  mange  la  clmir. 
Tome  XXVI II ,  page  89. 


24o  TOME  LVr.  TURBITH  B/VTARD. 

147.  TURBITH  BATARD.  Un  des  noms  du  laser.  Tom^ 
XXYIÏ,  page  289. 

149.  TUYAUX  LACTIFÉRES.  Tome  XXX,  pa^'o  589. 

175.  TYPHOMANIE.  Prospei-  Alpin  donne  ce  nom,  eu  le 
détournant  de  son  sens  ordinaire  ,  h  la  maladie  appelée  en 
Egypte  dem-el-muia,  c'est  une  espèce  de  frénésie  causée  par 
des  vents  brùlaiis.  Tom.  VIII ,  pag.  278. 

176.  TYPHUS  AMÉRICAIN.  Nom  qu€  qucUfnos  méde- 
cins donnent  à  la  fièvre  jaune,  TomcXLI,  page  i54. 


U 


176.  UIOPHOBIE.  Sorte  de  vésanie  caractérise'e  par  une 
aversion  pour  ses  enfans.  Tome  LVII ,  page  340. 

182.  ULCÈRE  PHAGÉDÉNIQUE.  On  a  renvoyé  à  cet 
article  de  thagédénique  ,  tome  XLI,  page  i()3.  Il  n'en  a  pas 
été  traité  à  part,  parce  que  ce  genre  d'ulcère  rentre  dans  le 
carcinomateux .  Ployez  celte  espèce,  tome  LVI,  page  248. 

Ihid.  ULLEM  0!i  HOF.ME.  Sorte  àe  pyrosis  causé  par  !e 
lait  de  rennes  et  l'usage  des  viandes  fumées.  Tome  X(l, 
page  187. 

353.  USTILiVGlNEUSE  (gangrène).  Sorte  de  gangrène 
causée  par  l'usage  du  seigle  ergoté;  son  nom  vient  â'iistilago  , 
rouille.  Tome  VI,  page  110. 

36o.  UTÉPtOMANlE.  Synonyme  de  nympiio-vivnie.  Tome 
XXIII,  page  255,  et  tome  XXXVI,  page  56i. 

36f.  UYTZET.  Espèce  de  bière  sur  laquelle  M.  Vauters  a 
donné  une  dissertation.  Tome  111,  page  j34- 


t:ome  l^'i.  vaginal. 


481.  VAlGïNALE  (hernie).  On  a  renvoyé  h  ce  mot  de  pes- 
SAiRE  (tOTnc  XLI,  page  6())  ;  il  n'en  a  ]ms  ele  traité  sous  ce 
nom,  mais  à  vagin.  Tome  LVl,  page  4';^- 

488.  VAISSEAUX  COURTS  ,  vas  hreve.  Vaisseaux  qui 
viennent  de  la  rate  à  l'estomac.  Tome  XIII,  page  347. 

Jbid.  VAISSEAUX  (bâtimens  de  mer).  On  a  renvoyé  à  ce 
mot  dk  DtsiNFEGTioN  (  tonic  VIII,  page  5i3).  Ou  a  traité  à 
HYDROGRAPHIE  ( tome  XXII ,  page  ibS)  de  ce  qui  concerne  la 
salubrité  des  vaisseaux. 

49^».  VALGI.  Torsion  des  pieds  dans  laquelle  ils  présen- 
tent au  sol  leur  bord  interne  ou  tibial.  Tome  XLii,  page  890. 

Ibid.  VALIDITE  (médecine  légale).  On  a  renvoyé  à  ce 
mot  de  GKMTALEs.  Tome  XV III,  page  i4i. 

C'est  l'élal.de  bonne  conformation  des  organes  génitaux, 
qui  caractérise  l'homme  ou  la  femme  en  éïal  d'engendier. 
C'est  le  contraire  d'impuissance. 

lùid.  VALSALVA  (traitemonl  de).  Nom  que  l'on  donne  ati 
traitement  proposé  par  ie  médecin  italieii  de  ce  nom  conire  les 
anovrvàmes,  et  qui  consiste  à  saigner  !e  malade  jusqu'à  dé- 
faillance, et  h  le  mettre  à  une  diète  presque  absolue,  /"orts 
j.m[,vrys3ie,  tome  II,  page  94- 


TOME  LVII.  VARI.  2',3 


TOME  CINQUANTE-SEPTIEME. 


Dans  VAverlisiement.  Ligne  3i.  Effacez  le  mot  soit- 

0 

Page  I .  VARI.  Torsion  des  pieds  dans  laquelle  ils  prése)ilCML 
au  sol  leur  bord  cxlerue  ou  péronier.  Tome  XLII,  page  5go. 

Jbid.  VARIÉTÉS  DE  LA  MILIAIRE.  Ce  litic,  on  peiiies 
capitales  ,  placé  lonie  XXXllI,  page  4i3  ,  semble  indiquer  un 
arlicie  à  pari.  11  n'est  que  le  renvoi  à  un  alinéa  d'une  page 
suivante,  417- 

II.  Ligne  37.  Leveiilie,  /iVez  Lévciilc'. 

191.  VER  LUISANT,   fojez  insecte,  t.  XXV,  p.  29G. 

UÙL  VER  PALMISTE,  f^oyez  insecte,  t.  XXV,  p.  296. 

i<)5.  VERBERATION.  Action  d'exposer  une  patiie  rui 
soleil.  C'est  en  ce  sens,  qui  n'est  pas  l'ordinaire,  que  ce  mol  a 
clé  employé,  tome  VllI,  page  212.  Ployez  insolation  ,  tome 
XXV,  page  322. 

206.  VÉROLE  D'AMBOINE.  Tumeurs  gommeuses  que 
l'on  observe  aux  Moluques  ,  et  qui  y  sont  endémiques.  Tome 
XII,  page  lyy. 

208.  VERRE.  On  a  renvoyé  à  ce  mot  d'iEiTis  (l.XXVl, 
pag.  91);  on  n'en  a  pas  traite  sous  ce  titre,  mais  à  lunette. 
Tome  XXIX,  pages  162  et  210. 

Jfnd.  VERREE.  Mesure  de  boissons  que  l'on  indique  sou- 
vent aux  malades;  elle  doit  contenir  quatie  onces  de  liquide. 

227.  Dans  tout  l'atliclc  vkrs,  au  lieu  (Vliexathyriiivi  ^  liscr 
hexalhjridiam  et  hexalhyridie. 

383.  VESPAJUS  ou  GUÊPIER.  M.  Malvani,  cîiirurgien- 
major  d'un  régiment  sarde,  a  décrit,  dans  \e  Journal  général 
de  médecine  ^  tome  xiv  ,  deuxième  séiie,  page  1  4^  ,  une  va- 
riété de  l'antlirax  ordinaire  qu'il  désigne  sons  ce  nom.  Elle 
doit  son  nom  à  ce  qu'elle  présente,  lorsqu'elle  s'ouvre  spon- 
lauémeul ,  plusieurs  ouvertures  au  lieu  d'une,   à  l'instar  des 


M\  TOME  LVII.  VESPAJUS. 

trous  d'un  guêpier;  on  la  traite  en  y  faisant  des  incisions,  où 
l'on  place  la  potasse  caustique  ,  conmie  on  traite  actuellement 
l'anthrax  simple.  Voyez  ce  dernier  mot  dans  les  appendices, 
page  II. 

385.  VESSE  DE  LOUP.  Thunberg  dit  {Voyages,  etc.  , 
tome  I ,  pa^e  264,  traduit  de  Tanglais) ,  qu'il  croil-en  Cafrerie  , 
près  du  Cap  de  lîonne  espérance,  une  vesse  de  loup,  qu'il 
<.\^])g\\q  lycoperdon carciiiojuale ^honna  contre  le  cancer,  étant 
réduite  en  poudre.  ÎNous  ne  connaissons  pas  ce  médicameal  cfr 
France. 

M.  Paulcl  {Traité  des  champignons,  tome  11,  page  44*^)5 
dit  qu'il  y  a  des  espèces  de  vesse  de  loup  liuisibles  ,  et  d'au- 
tres qu'on  peut  manger,  mais  seulement  avant  qu'elles  pas- 
sent à  l'élat  de  poussière;  il  cite  comme  comestible  la  j'esse  de 
loup  citrouille,  qui  acquiert  jusqu'à  six  pieds  de  circonférence 
et  le  poids  de  seize  livres  ;  elle  croît  parfois  en  France. 

6o5.  VIE  DE  RELATION.  C'en  une  des  deux  vies  admises 
par  Bichat;  il  l'appelle  aussi  vie  animale.  C'est  celle  qui  met 
les  individus  en  rapport  avec  les  objets  extérieurs,  tandis  que 
la  vie  (Mganique  se  rapporte  seulement  à  l'individu.  L'une  est 
entretenue  par  le  système  nerveux  cérébral ,  tandis  que  l'autre 
l'est  par  les  nerfs  ganglionnaires;  cette  dernière  commeuce 
avec  la  conception  ,  tandis  que  l'autre  ne  s'exerce  qu'à  la  nais- 
sance de  l'individu.  Voyez  Bichat ,. Recherches  physiologiques 
sur  la  vie  et  la  niorl ,  page  1 1 5- 1 5z. 


TOME  LVIII.  VINAIGRE  DE  BOIS.  24S 


TOME  CINQUANTE-HUITIEME. 

Page  144.  VINAIGRE  DE  BOIS.  Tome  LVIII,  pag.  14-2. 

loi.  "VIPÈRE.  Mangili  vient  de  faire  de  nouvelles  expe'- 
licnces  sur  ]e  veuin  des  vipères ,  dont  il  résulte  qu'on  peut 
l'avaler  impunément;  il  a  donné  à  des  animaux  le  venin  de 
plusieurs  vipères ,  et  ils  n'en  ont  éprouvé  aucun  dommage. 

Fonlana  avait  dit  que  ce  venin  ne  conservait  sa  propriété 
malfaisante  que  huit  à  neuf  mois  au  plus  ;  l'auteur  que  nous 
venons  de  citer  a  fait  périr  des  pigeons  en  leur  insinuant  dans 
une  plaie  du  venia  séché  depuis  vingt-six  mois  {Bull,  de  la  soc. 
philom. ,  181 7  ,  page  43  ). 

Page  ib2  de  cet  article  (  vipère  ),  lignes  7  et  S  ,  /«.sez  cou- 
leuvre au  lieu  de  vipère. 

Ajoutez  à  la  bibliographie  de  ce  même  article,  l'ouvrage 
suivant  : 

DECERFz  (t.-p.-e.),  Essai  SOT  la  morsure  des  serpens  venimeux  de  la  France 
(Tbèse  in-4°.i  Paris,  1817). 

Qi54.  VISION  (hallucination  de  la  vue).  On  a  renvoyé  à 
ce  mot  de  hallucination  (tome  XX,  page  71  );  on  n'en  a 
pas  traité  à  part,  parce  que  les  nombreux  articles  de  médecine 
iiienlale  de  cet  ouvrage  donnent  une  connaissance  suffisante  de 
ce  délite  de  la  vue.  Ce  mot  est  employé  quelquefois  fîguré- 
jnent  pour  indiquer  le  dérangement  analogue  des  autres  sensj 
uinsi  on  appelle  les  aberrations  de  l'intellect ,  des  visions. 

284.  VIVISECTION.  Nom  que  l'on  donne  à  la  dissection* 
des  animaux  vivans. 

285.  VOCAL  (son  ).  On  a  renvoyé  à  ce  mot  de  phonation 
(tome  XLI ,  page  4^4)5  ''  "'^"  ^  P^^  ^^^  traité  à  part,  mais  à 
l'article  voix,  lume  LVUI ,  page  288. 

3o8.  VOL  (foiiciion  des  oiseaux).  Ou  a  renvoyé  à  ce  mot 
de  MYOGRAi'fiiE  (tome  XXXV  ,  page  98).  On  n'en  a  pas  Irailé 
à  part,  mais  à  i,oroMOTioN,  lomeXXVlll,  page  5-o.  Voyez 
aussi  totne  III,  j)agc  297.    . 

38o.  Ligne  18.  Volume,  /âcz  développement. 


246  TOME  LVllI.  VOMITO. 

38i.  VOMITO.  Nom  que  porte  la  fièvre  jaune  au  Bicail 
et  aulres  lieux  de  l'Amérique. 


W 


4^4-  WOBA.  Nom  employé  par  les  raahomcians  de  la  Car- 
îialique  pour  désigner  une  maladie  (jui  a  ravagé  encore  récem- 
nientles  Indes  Orientales,  et  qui ,  d'après  Cullen ,  doit  appar- 
tenir au  genre  diarrhœa.  Le  Woba  a  été  connu  depuis  long- 
temps des  liabitans  de  la  Carnatique,  sous  les  diftcrens  noms 
de  modexini  (  tome  XXXIV,  pag.  281) ,  de  hicohea  ,  de  sheni 
€t  de  ojiduma-tiiiuchi.SdLavai^es  et  Sagar  paraissent  le  ranger 
parmi  les  choiera,  et  les  médecins  anglais  l'appellent  choiera 
•"•pasmodica ,  expression  très-inexacte.  M.  le  professeur  Pinel 
n  en  fait  meiition  sous  aucune  dénomination  ,  et  il  serait  assez 
difficile  d'en  fixer  la  classilication  et  la  nonieucialure. 

Cette  maladie  a  régné  épidémiqucment  dans  la  Carnatique, 
pendant  les  années  1780,  1781  et  17B2.  Elle  se  montra  encore 
plus  terrible  dans  la  guerre  de  Nagpoie.  De  là  elle  s'est  ré- 
pandue, en  i8i8,  dans  tout  l'Iodostan  et  les  îles  indiennes. 
Un  régiment  perdit ,  dans  l'espace  de  trois  jours  ,  trente  Euro- 
péens et  deux  cent  soixante-dix  Indous. 

Le  woba  est  épidémique  cliez  les  indigènes  indous  ,  et  règne 
toute  l'année.  Leur  mauvaise  nourriture  ,  leurs  vètemens  légers, 
et  même  la  couleur  de  leur  peau  ,  les  rendent  très-sujets  à  ton- 
traclcr  celte  maladie  pendant  les  saisons  pluvieuses. 

La  marche  du  woba  se  divise  en  trois  périodes  :  savoir,  pé- 
riode de  diarrhée,  période  de  froid,  et  période  apoplectique. 

Selon  l'opinion  le  plus  généralement  adoptée,  le  woba  est 
inflammatoire. 

L'ouverture  des  cadavres  a  toujours  montré  que  la  mort 
était  la  suite  de  la  compression  du  cerveau  ou  de  l'épanche- 
menl  qui  se  fait  à  sa  surface  ou  dans  ses  ventricules. 

Les  méthodes  de  traitement  employées  contre  celle  maladie, 
sont  aussi  variées  que  les  opinions  émises  sur  sa  cause  ,  mais  les 
indications  à  remplir  dans  le  Avoba  sont  subordonnées  à  la  série 
des  symptômes  qui  se  manifestent. 

Selon  iVl.  Samuel  llood,  qui  a  écrit  utie  assez  longue  dis- 
sertation [Voyez  ^  pour  \i(  détails  cl  les  observations  de  celle 
maladie,  la  dissertation  ayant  pour  titre  :  Du  woba  ou  cho- 
iera indien,  par  S.  Hood  [Collecl.  des  thèses  de  la  faculté  de 
médecine  de  Paris,  in-4°.  de  1821  ,  n.  33  )  sur  celle  maladie, 
et  dont  cet  ai  ticle  est  extrait  ;  ai;ssitôl  que  le  médecin  est  assuré 
que  le  malade  est  ari'cd.é  du  wala  ^  il  doit  lui  donuer  une  once 


TOME  LVllT.  WOBA.  ^-j 

de  bonne  rau-de-vicavec  la  liinonane  minérale.  Ensuite,  il  doit 
l'exposer  à  la  vapeur  de  l'alcool  el  du  camphie.  Si  le  mede- 
tiii  est  appelé  Irop  lard  ,  et  (jue  Ja  maladie  ail  lait  déjà  do 
grands  prog;rès ,  il  commencera  le  traitement  j)ar  une  saignée 
copieuse.  Dans  tout  le  cours  de  la  njaladie  ,  on  peut  permettre 
Je  libre  usage  de  l'eau  froide,  pour  laquelle  le  malade  a  une 
grande  appétence.  Des  sangsues  appliquées  aux  pieds  et  ii 
i'épigastre  favoriseront  beaucoup  la  réaction.  Ceux  qui  prr- 
lèrent  une  méthode  de  irailement  plus  compliquée,  pourioni 
y  joindre  les  teintures  aromatiques,  les  étbets  ,  les  cautères  sur 
le  ventre,  avec  l'acide  nilri(]uc;  l'acide  dont  on  se  Sfrt  pour 
cette  cautérisation  est  étendu  d'une  égale  quanlilé  d'eau  ;  et 
après  son  application,  on  lave  la  plaie  avec  une  solution  de 
carbonate  de  poiasse.  Ce  moyen  ,  dit  M.  Hood,  a  réussi  dan» 
les  cas  de  woba  les  plus  graves. 


X 


4?.6.  XENIE,  s.  f .  ,  ^htov  ^  don,  On  nommait  ain<;i  clic/, 
les  Grecs  les  présens  qu'on  offrait  pour  reconnaître  (juel'juc 
service  rendu. 

On  n'a  traité  dans  aucun  endroit  du  Diclionaiie  de  ce  qui 
est  relatif  aux  presens  (jue  l'on  offre  aux  médecins  ;  afin  de  ne 
laisser  aucune  bicune  dans  l'ouvrage  ,  tious  saisissons  celt«" 
occasion  pour  dire  quelques  mots  sur  ce  sujet  dont  l'usage 
remonte  aux  lenqjs  les  plus  anciens.  On  offre  des  présens  aux 
médecins  dans  trois  occasions  ,  i^.  lorsqu'on  désire  leur  pro- 
tection pour  obtenir  quelque  service  d'eux  ou  par  leur  crédit  ; 
î.".  pour  les  remercier  des  soins  ptirticnliers  qu'ils  ont  pu  avoir 
de  quelijues  malades  précieux,  sauvés  d'une  maladie  grave  ; 
3\  pour  reconnaître  des  soins  dont  ils  n'ont  pas  voulu  rece- 
voir les  honoraires. 

Dans  le  premier  cas  ,  les  présens  sont  à  peu  près  étrangers 
à  la  inédccuie  ;  c'est  le  crédit  de  i'iiomme  que  l'on  paie  ,  et 
non  son  talent  ;  il  est  vrai  ([ue  l'un  peut  Venir  de  l'autre; 
mais  cela  est  si  rare  (ju'on  peut  lo  legarder  comme  une  excei)- 
lion  il  la  loi  roumuine.  Le  crédit  et  la  répuladon  naissent  p.'iu 
aujourd'hui  du  savoir  laire  ({ue  du  savoir  ,  à  moins  que  celui-ci 
ne  soit  tiaïtscendant ,  ce  qui  est  encore  plus  rare.  Dans  ce  cas, 
un  présent  est  en  quelque  sorte  une  injure  ;  c'est  le  prix 
d'une  chose  (fui  i:ous  est  étrangère ,  et  l'accepter  serait  laiio 
supposer  qu'elle  a  été  laite  en  vue  d'intérêt.  IVous  pensons 
que  la  délicatesse,    ipii    devrait    faire  paille  de  loule   ijonue 


2(8  TOME  LVIII.  XÉNIE. 

t-ducalion  rac'dicale  ,  e\ige  que  l'on  refuse  de  tels  dons  comme 
déshonoriins,o»  au  moins  comme  incompatibles  avec  la  dignité 
de  notre  profession. 

Les  presens  offerts  pour  des  soins  affectueux,  prolonge's  , 
pénibles,  surtout  dans  les  cas  de  maladie  grave,  et  chez  des 
sujets  précieux  et  fortunés  ,  peuvent  être  acceptés  comme  un 
témoignage  de  gratitude  des  malades  ,  si  ce  don  est  borné  dans 
sa  valeur,  et  surtout  s'il  est  le  produit  du  talent  du  malade. 
Il  est  bien  certain  qu'on  n'est  pas  quitte  avec  un  médecin  en 
lui  tenant  compie  de  ses  honoraires  ;  on  a  tout  au  plus  pajJ 
]e  matériel  de  la  profession,  la  partie  en  quelque  sorte  mer- 
cantile de  l'art-  mais  peut-on  s'acquitter  autrement  qu'en 
reconnaissance,  en  bons  procédés,  en  sentimens  honorables  de 
J'altachement  que  nous  portons  à  nos  malades,  d'une  multitude 
d'attentions  affectueuses  que  nous  leur  prodiguons,  des  soucis 
<jue  nous  éprouvons  de  leur  fâcheuse  situation  ,  des  nuits 
blanches  qu'ils  nous  font  passer  lorsqu'ils  sont  en  danger,  et 
d'autres  soins  infinis  que  nous  prenons  pour  leur  faire  recouvrer 
la  santé?  Ce  n'est  pas  avec  de  l'argent  que  l'on  peut  tenir  compte 
«le  procédés  semblables,  le  cœur  seul  peut  les  acquitter;  et  si 
parfois  les  malades  désirent  que  des  gages  moins  fugitifs  restent 
comme  l^'moignage  de  la  reconnaissance  qu'ils  éprouvent,  il 
n'y  a  guère  moyen  de  pouvoir  les  refuser.  Ce  serait  une  fausse 
délicatesse  que  celle  qui  nous  ferait  répugner  à  les  accepter 
dans  ce  cas;  car  qui  accepte  oblige,  suuoutsi  celui  qui  donne 
a  contracté  des  obligations;  toutefois,  nous  le  répétons,  il 
laut  que  la  chose  oflerte  soit  de  peu  de  valeur. 

f..es  présens,  lorsqu'on  refuse  des  lionoraircs ,  ne  doivent 
également  être  acceptes  que  s'ils  sont  sans  prix  remarquable, 
cl  seulement  pour  laisser  croire  aux  malades,  par  un  raline- 
ment  de  délicatesse,  qu'ils  sont  quittes  vis-à-vis  de  nous.  Il 
y  a  des  personnes  qui  seraient  trcs-morlifiées  qu'on  ne  voulût 
pas  recevoir  ce  qu'elles  supposent  l'équivalent  de  nos  soins, 
fct  qui  penseraient  que  ce  serait  pour  les  humilier  qu'on  agi- 
rail  ainsi. 

Il  est  hors  de  doute  que  lorsqu'on  est  salarié  peur  donner 
des  soins,  on  ne  doit  jamais  accepter  !c  moindre  don  des  in- 
dividus que  l'on  a  traités;  ainsi  ,  les  médecins  des  élablisse- 
mens  publics  se  manqueraient  il  eux-mêmes,  s'ils  tenaient  une 
conduite  contraire,  à  plus  forte  raison  ne  doivent-ils  pas  eu 
accepter  de  ceux  qu'ils  emploient ,  comme  pharmaciens  ,  etc. 

En  général,  ou  devrait,  refuser  avec  rigidité  toute  espèce 
de  présent;  la  délicatesse  répugne  à  contracter  celle  espèce 
d'obligation,  et  à  altérer  ainsi  ce  <^[ue  notre  conduilc  peut 
avoir  d'honorable,  cl  dont  la  véritable  lécompense  est  dans 
le  témoignage  de  notre    propre   conscience  cl    i'cslinic    pu- 


TOME  LVIÎI.  XENIE.  249 

blique.  Dans  tous  les  cas  ,  on  doit  toujours  y  tnellre  les 
r<!slriclious  indiquées  plus  haut ,  sous  peine  de  déslionortn-  sa 
prolession.  11  u'y  a  guère  que  les  souvenirs  des  grands  per- 
sonnages qui  puissent  être  acceptes  sans  autant  de  dilficultés. 

Nous  devons  avouer  qu'il  y  a  des  gens  sordides,  qui  profi- 
tent de  leur  position,  vis-à-vis  des  malades,  pour  eu  extorquer 
des  présens  par  des  voies  plus  ou  moins  délournées  :  de  tels 
personnages  sont  la  honte  de  l'art ,  et  méritent  plutôt  le  nom 
d'usuriers  que  celui  de  disciples  d'Hippocrale.  11  faudrait  qu'ils 
eussent  sans  cesse  devant  les  yeux  le  tablean  où  ce  grand 
homme  refuse  les  présens  d'Artaxercès  ,  et  les  préceptes  qu'il 
donne  dans  son  serment  (Tome  XXXIl,  page  17  ). 

Avouons  aussi  que  les  médecins  ont  moins  que  jamais  l'oc- 
casioD  de  refuser  des  dons  indiscrets.  L'ingratitude  est  plus 
souvent  le  sentiment  qui  anime  les  malades  que  la  recon- 
naissance. C'est  beaucoup  déjà  lorsque  le  plus  grand  nombre 
d'entre  eux  s'acquitte  avec  nous;  mais  leurs  torts  ne  doivent 
pas  nous  en  donner. 


^ig.  Ligne  2/^.  Ibbens ,  lisez  sîhbens. 

431.  h'alinéa  commençant  par  facaldine  doit  être    placé 
après  les  deux  qui  le  suivent. 


44o»  ZEINE.  Substance   jaune  ,    ayant  l'aspect  de  la  cire, 
que  John  Gorham  a  obtenue  après  avoir  traité  par  l'eau  une 
certaine  quantité  de  maïs.   Ou  filtre,  on   traite  par  l'alcool 
on  fait  évaporer  la  substance  insoluble  dans  lé  premier  liquide. 

Cette  substance  est  molle  ,  ductile  ,  tenace  ,  élastique ,  insi- 
pide, presque  inodore,  plus  pesante  que  l'eau  ;  chauffée,  elle 
se  gonfle,  brunit,  exhale  une  odeur  de  pain  brûlé  avec  une 
odeur  animale,  et  laisse  un  charbon  volumineux;  elle  ne 
donrie  point  d'ammoniaque  ;  insoluble  à  l'eau,  elle  se  dissout 
bien  dans  l'alcool,  l'huile  volatile  de  térébenthine,  l'élher 
sulfuriqae,  et  en  partie  dans  les  acides  minéraux,  les  alcalis 
caustiques  ;  elle  est  insoluble  dans  les  huiles  fixes  ,  mais  peut 
se  mêler  aux  résines. 


25o  TOME  LVIII.  ZEINE. 

Différente  de  touies  les  matières  végétales  connues  ,  la  zeine 
se  rapproche  à  quelques  égards  du  gluten  ,  dont  elle  se  dis- 
tingue néanmoins  par  l'absence  de  l'azote  et  par  sa  fixité,  car 
elle  ne  change  point  de  nature,  ou  ne  se  détériore  pas  à  l'air, 
et,  de  plus  ,  par  sa  solubilité,  dans  l'alcool.  Elle  se  rapproche, 
parcelle  propriété,  des  résines,  puisqu'elle  se  dissout  aussi 
dans  les  huiles  volatiles,  et,  en  partie,  dans  les  alcalis  caus- 
tiques, les  acides.  Enfin  ,  cette  substance  est  inflammable,  et 
composée  d'oxygène,  d'hydrogène  et  de  carbone. 

On  peut  extraire  la  zeine  aisément,  en  faisant  digérer  dans 
de  l'alcool  chaud,  pendant  quelques  heures,  quelques  onces 
de  farine  de  maïs.  On  filtre  et  l'on  évapore  ,  la  zeine  reste 
{Journal  de  pharmacie  ,  tome  viii,  page  4^). 

463.  ZOOGOMMITES.  TomeXLV,  page  184. 

465.  ZUMIATES.  Sorte  de  sels.  Tome  L,  page  5^4, 


Additions  aux  Appendices. 

Tome  XLYI,  page  167,  ligne  2.  L'iris,  lisez  l'iritis. 

]'bid.  Page  1^8  ,  ligne  l'i.  Portions,  lisez  parties. 

Jèîi/.  Page  565,  ligne  4.  N'ait,  lisez  ait  (Rectifiez  sur  ce 
point  les  Appendices,  page  171  ,  ligne  4)' 


FIN    )jE5    Al'iJENDlCtS* 


ERRATA  DES  APPENDICES. 


Page  4,  ligne  3.  Tables,  lisez  table. 

Page  0,  ligne  20.  Teintures  spirilue 
lalion. 

Page  59,  ligne  19.  Surtout  de  la  source  ,  lisez  sortant  de  ïa 


Page  0,  ligne  10.  Teintures  spirilueuses ,  ajouiez  par  diè 
tillalion. 


soMrcCô 


AVIS 


Sur  les  trois  volumes  qui  composent  la  dernière  livraison  du 
Dictionaire  des  sciences  médicales. 

Le  tome  LYIII  se  compose  du  reste  du  lextc  du  Dictio- 
naire et  d'une  partie  de  la  table. 

Le  LIX  >  en  entier  de  la  table. 

Le  LX ,  du  reste  de  la  table  et  des  appendices. 

On  pourra,  à  la  reliure  ,  composer  le  tome  LVIII ,  soit  du 
texte  seul,  soit  du  texte  et  des  appendices j  dans  le  premier 
cas,  on  pourrait  reporter  les  appendices  à  la  fin  de  chaque 
volume  ,  ce  que  leur  distribution  par  tome  permet.  La  table 
devra ,  dans  l'un  et  l'autre  cas ,  former  deux  volumes. 

On  pourra  encore  composer  le  LVllI  du  texte  seul  j  le 
LIX  des  appendices  seuls,  et  le  LX  de  toute  la  table  5  mais  ils 
seront  alors  fort  ine'gaux. 

Les  volumes ,  tels  que  l'ordre  d'impression  a  permis  de  les 
brocher,  contiennent,  dans  leur  ensemble,  le  nombre  de 
feuilles  ordinaires  à  chacun  d'eux. 


DICTIONAIRE 

DES 

SCIENCES   MÉDICALES. 

— ■■■■»i>W»»»>»M»l'«CCK«ttWwmi 

LISTE 

DE  MM.  LES  SOUSCRIPTEURS. 


ABADIE,  chirurgien,  à  Cbâteaa-Landon. 

ABRADIE,  cliirorgien-major  de  la  légioa  tles  Hautes-Pyrénées,  à  Toulon. 

ABEL-REMLISAT,  membre  de  l'insiitnt,  à  Paris. 

ABRI  AL  (comte  ),  à  Paris. 

ACERRO  et  MARGARITIS,  n<<gocianc,  à  Paris.  (  4  exemplaires.  ) 

ACHARD ,  docieiir-medecin. 

ADAMINI,  docteur- médecin,  à  Milan. 

ADELON,  docteur-médecin,  à  Paris. 

AGASSE,  libraire,  h  Paris. 

AGINFL  ,  officier  de  la  léet.-d'honneur  ,  à  Paris. 

AJLLAUD,  doctem-mtdccin,  h  Marseille. 

AILLAUD ,  libraire,  à  Pans.  (  68  exemplaires.  ) 

ALARD,  docieur-médecin   ,  à  Paris. 

ALBERT  (  Jeau  ) ,  doctenr-mtdecin,  h  Lonviers. 

ALBERT,  docteur-médecin  ,  à  Paris. 

AURFRT,  docteur-médecin  (auteur),  h  Paris. 

ALLAHD,  docieur-médecin,  à  Paris. 

ALLARD  (  B-inard-Pierre) ,  docteur-médecin  ,  à  Craou. 

ALLARn,àParis. 

ALLEGRE  (  J.-J.-Bienveuu ),  docteur-médecin,  à  Hjères. 

ALLEM  AIN  D  ,  docteur  en  chirurgie ,  à  Marseille. 

ALLIENS ,  médecin ,  à  St.-Sulpice. 

ï 


3  LISTE  DE  MM.  LES  SOUSCRIPTEURS. 

ALt.O  ,  lihi  aire  ,  h  Amiens.  (  5  ex  eru  pi  a  ires.  ) 

ALZI^K  ,  lihiaiie,  n  Pipipjian.  (4o  exemplaires.  ) 

A>lALBE^'r,  floct.  en  chirurgie,  maiie  à  Perinis. 

AM  AR ,  <1oLt'-ur-niéi-'ecin,  tx-cliiruigicn-iaajor  de  la  CLarilé ,  à  Lyon. 

A'MBHO^ONE,  coaimis&ionuaire  ,  h  Paris. 

AMhT, 

AMIEL,  professeur  île  l'école  royale  de  médecine  ,  à  TouloDse. 
AMIEL,  nied.cin  ,  h  Cb..l  bre. 

AMILl.ET  (  Conie  A !<  sandre) ,  docleur-médecin,  à  Vivône. 

AMOU  DKÏ  ,  libraire  ,  à  Noyou. 

AMSlTIN, 

AMVERX  ,  propriélaire  ,  à  Huy. 

ANCELLE,  libraire,  h  Ev.eux. 

A  iNCELLE ,  libraire ,  à  Anvers.  (  27  exemplaires.  ) 

ANCEY,  doclenr-médecin,  à  Paris. 

AÎNGÉ,  libraire,  à  Versailles.  (  6  exemplaires.  ) 

ANGELOL, 

ATNGLADA  (J.-S.),  pharmacien,  h  Tours. 

ATNGOT  ,  en  hon  cbâtran  ?i  Chandor ,  commune  de  Bacilly. 

ANNOY-VAUDEVYVERE  ,  imprimeur-libraire,  à  Ypres. 

ATNXHOUARb,  docteur-médecin,  au  Vigan. 

ANTOINE  ,  docteur-médecin,  à  Dijon. 

ARBAUD,  docteur  médecin  ,  àCorrens. 

ARREL,  h  riiôpital  St. -Louis,  à  Paris. 

ARCHEOEACON ,  à  Paris. 

ARD0UI]N.2.Pa.is. 

ARGELLIER,  médecin,  à  Vertaison. 

ARLIGNER, 

ARLIN  (Stanislas)  ,  doctcnr-médecin  ,  h  Poitiers. 

ARMRRUSTER,  docteur-médecin ,  à  Aix-la-CbapeUc. 

ARM ETZ,  docteur-médecin,  h  Valencicnnes. 

ARMET ,  avocat ,  h  Paris. 

ARMET,  J»  Valencicnnes. 

ARMSTROTNG,  h  Verdan. 

ARNAUD-D'ARGENTEUIL,  doctcnr-médecin ,  à  Aulnay. 

ARNAUD  ,  docteur-médecin  ,  h  Calais. 

ARNAUD  (  J.-Josepli-Amédée) ,  ex-cliirnrgiea  aux  armées ,  à  Aix, 

ARNAUD  ,  ilocteur-nj(i  lecin. 

ARNAULT,  médecin,  à  Ponl-Labbé. 

ASSAILLY  (Henri  J.-Bapt.  ) ,  chargé  du  service  des  vivres  de  terre,  à  Toulon. 

ASSEGOND  (Albert),  docteur-médecin. 

ASSELIN  (Ch.  EJonard),  offic.  de  santé  de  la  marine,  à  Cheibonrg. 

ASTES  (Pierre  ) ,  docteur-médecin ,  à  Bordeaux. 

AS  TRIÉ  (  F.-G.  ) ,  docteur-médecin. 

ATHENAS,  pharmacien,  à  Paris. 


LISTE  DE  MM.  LES  SOUSCRIPTEURS.  3 

AUBAN  (  J.-Cypnen  ) ,  doct.-niéd. ,  en  rctraiieà  Toiiion. 

AUBAINEL,  libiaiie,  h  Avignon.  (8  excmplaiies.  ) 

AL  BAR,  docicnr-médccin  ,  à  Pans. 

AURAR,  (locieur-nu'dccin,  h  Angoiilème. 

AUBENAS,  docicn; -médecin  ,  h  Vaireas. 

AUBERT,  professeiu  de  luédtcine,  à  Toulon. 

AU  BIIN  (  Louis  ) ,  chii iirgiLH  du  la  luaiiue  ,  à  Toulon. 

AURRAY, 

ALBRY  (  veuve) ,  libraire  à  Avesnes. 

AL  BRY  ,  docteui  -médecin ,  h  Segré. 

ALDEMARD,  officier  de  sanié,  J»  Toolon. 

AL  DES  ,  docteur- médecin  ,  à  Préa-ix. 

ALDOT,  libraire,  à  Paris.  (  3  exemplaires.) 

ALGER,  membre  fie  i'insiitut. 

AUPLY  ,  officier  de  sanié  ,  à  Moras. 

ALSSANDON  ,  docteur-médecin^  h  Paris. 

AY  ,  libraire,  à  Perpignan  f  20  exemplaires.  ) 

AY  (Fr.  ),  pharmacien,  h  Rivcsaltes. 

AYCARD  ,  chirurgien  de  la  marine  ,  h  Toalon. 

AYMARD,  négociant,  à  Cucuron.  ^ 

BABILLE ,  propriétaire ,  h  Patîs. 
BACHELIER , 
BACHEL  X- AGATHON, 

BACK.FFÎE  (de) ,  professeur  an  pensionnat  de  Ste-Anne,  à  Lez-Conrtrai. 

BACON  (Renand  Hubert  ),  docteur-médecin  ,  à  Colmar. 

BADOU  ,  soas-prcfet ,  h  Bellac. 

BAGARD,  doctenr-médecin,  à  Libourne. 

BAGEL,  libiaire,  à  Wesel  (  4  exemplaires.  ) 

BAGET.  pliai  macien,  à  Paris. 

BAGNERIS  ,  doctenr-médecin  ,  h  Paris. 

BAILLE,  docteur-médecin,  i\  Paiis. 

BAILLIERE,  libraire,  h  Paris.  (  i3  exemplaires.  ) 

BALAT,  h  Paris. 

BALENCIE,  doctenr-médecin,  à  Argelés. 

BALEROY  ,  h  Bordeaux. 

B  ALET  TE  ,  docteur-médecin  ,  h  Sorèze. 

BALISTE( Honoré  ),  docteur- médecin,  direct,  delà  poste  anx  lettres,  an  Luc. 

BALLARD,  doctenr-médecin  en  chef  de  l'hôpital,  h  Saint-Omer. 

BALS,  doctenr-médecin,  h  Villefranche. 

BALZAC,  propriétaire  ,  h  Tours. 

BAMPS,  docteur-médecin  ,  .'i  lïasselt. 

B  AMPS  ,  doctenr-médecin  ,  à  Pat  is. 

BAIN C ARE L,  médecin,  à  Villencuve-snr-Lot. 

BANCEL,  doctear-iaédecin ,  directeur  des  postes ,  à  Marquise- 


4  LISTE  DE  MM.  LES  SOUSCRIPTEURS. 

BANCFJ., ,  Cliiriirg  -major  an  régt  de  dragons  de  la  garde  royale. 

BARBA,  libraire,  à  Pa.is 

BARBAROUX  ,  rotdtcin  ,  à  Turin. 

BARBE,  d'ictent-iiii-decin ,  ?»  Dieppe.  i 

BAhBIFR  .  hibiiothécairp  de  S    M    ,  à  Paris. 

B'\BB1FR,  (lort/'iir  nu'.Ji'cin  ,  à  Aruiens. 

BARBIE^^'.-NKU  VILLE,  du  f  de  div.  au  minislère  des  relat.  exl. ,  i  Paris. 

BARBîF.R  ,  libraire,  à  Poitiers.  (2  exemplaires.) 

BARBOLAIN  ,  dortenr-mtderin,  à  Chaiimont. 

BARBLIAT  DLPLESSIS.cliev.  de  St.-Lazare,  maire  de  Cussanges. 

BARDOL,  d'jci.-méd.,  insp.  des  hôpit.  niilit.  de  la  ai^  div.  milit.,  à  Bourges. 

BARDON  ,  à  Paris. 

BARDY,  docienr-niédrcin  ,  à  Belfort. 

BABGF,  doclew-niL-dccin,  à  Paris. 

BARINEOUD,  cbirurgicn  ,  à  !a  Clayette. 

BAROLLAU,  libraire,  à  Paris. 

BARILLKAU  ,  doclenr-médecin  ,  à  Paris. 

BARON,  diiectenr  adjoint  du  Mont-de-Piéte,  à  Paris. 

BARPFIZ,  ducteur-me'dccin,  à  Boulogne. 

BAEIVFLE  (F.-L.  de  Doré  de),  maira  de  Croixmard,  h  Yvctot. 

BARALLIER  ,  libraire,  à  Tonlon. 

B.\RRAU  ,  doctear-médecin,  à  Provins. 

BARRAULT,  à  Sarre  Loni.s. 

BARRÉ,  doctem-médecin,  à  Paris. 

BARREY ,  docteur  médecin ,  à  Besançon. 

BARRIER  .  pharmacien  ,  à  Pootarlier. 

BARILLEAU  ,  docteur-médecin,  professeur  à  l'école  secondaire  de  Poitiers. 

BARROILHET  ,  docteur-médecin. 

BARROIS  (J.-B- Alexis),  propriétaire  ,  h  Brest. 

BARROIS  père  (Th.  ),  libraire,  à  Paris.  (  2  exemplaires.  ) 

BARTHELEMY  (Pierre),  pharmacien,  à  Marseille. 

BARTHELEMY  ,  med.  de  la  fac.  de  Montp. ,  anc.  cbir.  àes  arm.,  au  Castellet. 

BARTHOLDY,  docteur-médecin ,  â  Coliuar.. 

BAS  (Guil.-Parf.  ),  doct.-méd. ,  cbir.  en  chef  de  l'hôp.  gen.  de  Poitiers. 

BASSOT  ,  docteur-médecin  à  Roaune. 

B ASTIN ,  pharmacien  ,  à  Hur. 

BASTON  (  J.-L.-Valentin  ),  pharmac. ,  ex-pharm.  de  la  garde  inip.,  à  Laon, 

BATIS.SE,  chirurgien,  àSt.-Gervais. 

BATTAGLIA,  chirurgien,  à  Turin. 

EATTUT  (  Jean-Gaspard  )  docteur-médtclD,  à  Gelîes. 

BAUCHET  (  veuve  ) ,  à  Paris. 

FiAUDARE,  à  Paris. 

BALDFT  DU  LARY  ,  à  Paris. 

BArFiN,  chirurgien,  à  Nantua. 

BAUDOIN,  libraire,  à  Loricot. 


LISTE  DE  MM.  LES  SOUSCRIPTEURS. 

BAUDRON  (  Jrian-Denis-Ignace  ) ,  pharmacien  ,  à  Calais. 

BAUDRY  ,  imprimeni,  à  Rouen. 

BAUDUIN,  docieur-médecin  ,    à  Rennes. 

BAUGNIET,  àParis. 

BAUMES,  docteur-médecin,  à  Montpellier. 

BAUMONT,  bandagist8,àLyon. 

BAUSSAC ,  dociear-medecin, 

BAUSSIER,  docteur-médecin,  à  Vendôme. 

BAUT,  libraire  ,  à  Paiis. 

BAL'THIAS,  pharmacien,  à  Besancon. 

BAVA  Y,  docteur-médecin,  à  Lamballe. 

BAVOUX,  libraire,  à  Paris, 

BAYARD,  docteur  en  chirurgie,  h  Paris. 

BAYEUL,, libraire,  à  Paris.  (  3  exemplaires.) 

BAYLE,  docteur-médecin,  à  Paris. 

BAYLLET,  docteur-médecin,  à  Paris. 

BAYOL,  médecin  militaire,  à  Boston. 

BAYON,  médecin,  à  Toulouse. 

BAZAIIVE, 

BAZOCHE,  capitaine  de  frégate,  à  Brest. 

BEAUCHEMIN,  doctenr-médecin,  à  Lorient. 

BEAUCHENE ,  docteur-médecin  ,  à  Paris. 

BEAU  COLIN  ,  libraire.  (  6  exemplaires.  ) 

BEAU  JEU,  chirurgien- ri  ajor  de  la  légion  du  Rhdne. 

BEAUME,  libraire,  à  Bordeaux. 

BEAU  MER ,  docteur-médecin ,  à  Lyon. 

BEAUPOILE ,  doctenr-médecin  ,  à  Chatellerauh. 

BEAUSON,  officier  de  santé,  à  Sillé-le-Guillaume. 

BEAUSSIERE  DE  MONTOIRE ,  à  Vendôme. 

BEAU  VOIX,  docteur-médecin,  à  Verviers. 

BÉBIAN ,  h  Paris. 

BECHET  aîné,  libraire  ,  h  Paris.  (  19  exemplaires.  ) 

EECHET  jeune,  libraire,  à  Paris.  (  5  exemplaires.) 

BECHON  ,  à  Paris. 

BECOUKT, docieur-médecin,  h  Thani». 

BEDOIRE,  cIiirurglL-n  ,  à  Saint- Même. 

BEDOR,  doctenr-médecin  ,  à  Paris. 

BEGIN,  docteur-médecin,  à  Paris, 

BKGUIN,  libraire,  à  Paris. 

BI'^ILLE,  docteur-médecin,  à  Beanfort. 

BFISSER  (André)  ,  docteur-médecin  ,  à  Ribanvillc. 

BELAIR. 

BEl-EIN,  dorteur-méilecii},  à  Colmar. 

BELIN-LEPRIEUR,  libraire,  h  Paris   (2  exemplaires. 

BELtIN ,  tucdecin  eu  chef  de  la  marine  ,  au  Havic, 


6  LISTE  DE  MM.  LES  SOUSCRIPTEURS. 

BELLE  AU,  doctenr-médecin. 

BELLEBON(  Laurent),  docteur  médecin,  chirurgien-major,  an  port  de  Brest. 

BELLEGARDE. 

BELLET. 

BELLIER  ,  docteur-médecin,  à  Paris. 

BELLITV  ,  doctenr-méflecin,  à  Corval-Lorgueilleax. 

BELLOIRE,  docteur-médecin,  à  Cambrai. 

BELLO Y-K ARDO  W ICK ,  libraire ,  à  Brest. 

BELMER,  docteur-médecin. 

BELON  ,  libraire ,  an  Mans. 

BELOUINEAU  ,  docteur-médecin ,  à  Tifaugc-: 

BENABENT ,  médecin ,  à  Carbonne. 

BENAC,  docleur-mcdecin ,  à  Marseille. 

BENIT ,  libraire  ,  à  Verdun.  (  i4  exemplaires.) 

BENOIT  (François-Joseph),  docteur-médecin,  à  Metz. 

BERARD,  docteur-médscin,  à  Toulon. 

BERARD  (  Victor  ),  à  Paris. 

BÉRARD,  chirurgien. 

BERARD  (Pierre),  cliirurgien,  h  Gensac. 

BERARD  et  MONDON  ,  libraires ,  à  New-Yorck. 
BERARD  ,  docteur-médecin  ,  à  Montpellier. 

BERAUD,  docteur  en  chirurgie,  à  Marseille. 

EERENBROCK.,  banqnier,  h  Paris. 

BÉRENGER  (  J  -M.  ) ,  officier  de  santé ,  à  Cégreste. 

BERGF.RON  ,  docteur-médecin  ,  h  Tonrmn. 

BERGOUNIOUX ,  docteur-médecin ,  à  Paris. 

BERLAM  ,  médecin  ,  à  Céret. 

BERNARD  (Félix)  ,  chirurgien  de  la  marine,  h  Toulon. . 

BERNARD  (André),  docteur-médecin,  à  Saverdnn. 

BERNARD  (  François),  chirurgien  h  la  résidence  de  Concarnean  ;  ancien  chi- 
rorpirn  des  épidémies  de  la  sénéchanssée  de  Concarnean. 

BERNARD,  rentier,  à  Lyon. 

BERNARD  ,  docteur-médecin,  h  MonllucL 

BKRNARD,  docteur-médecin,  à  Carpentras. 

BERNARD,  doct.-méd.,  chirurg.  de    i*^^  classe  à  la  succursale  tîes  militaires 
invalides,  à  Arras. 

BERNIS ,  chirurgien  de  la  marine,  à  Toulon. 

BER'I  ALOZON,  avocat ,  à  Turin. 

BERTALOZON-D'ARACHEL  (le  comte),  h  Turin. 

BERTHACD,  docteur-médecin. 

BER THELET ,  chirurgien  ,  à  Digoin. 

BERTHET,  docteur-médecin,  h  Paris. 
BERTHOLET,  docteur-médecin,  à  Visé. 
BERTHOMIEUX ,  a  Paris. 
BERTHOT,  libraire,  à  Brnsellcs.  (47  exemplaires.) 


LISTE  DE  MM.  LES  SOUSCRIPTEURS.  -j 

BERTHOUD,  libraire  ,  à  Londres.  (  3  exemplaires.  ) 

BERTIN-DESMARDELLES. 

BERTIN,  homme  de  lettres,  à  Paris. 

BERTINI,  médecin  ,  à  Tarin. 

BERTRAND,  docieur-médecia  ,  à  Coramercy. 

BERTRAND ,  docteur-médecin ,  à  Hanaut. 

BERTRAND  ,  chirurgien  ,  à  Givry. 

BERTRAND  ,  médecin,  maire  au  Pont-da-Châtean. 

BERTRAND (  Auhus  ),  libraire,  à  Paris.  (  27  exemplaires.) 

BERTRANT  père  et  Gis,  libraires  ,  à  Lisbonne.  (  27  exemplaires.) 

BESSON ,  docteur-médecin  ,  h  Baigne. 

BESSIN ,  doctenr-midecin  ,  h  Châieaugontier. 

BESSY ,  pharmacien ,  à  Chàlons. 

BETTEND  ,  l.braiœ  ,  à  Lyon  . 

BEUCHOT,  homme  de  lettres,  à  Paris. 

BEULAC,  doclcur-médecin  ,  à  Marseille. 

BIBLIOTHÉCAIRE  DE  LA  VILLE  DE  ZURICH  (  Suisse.) 

BIBLIOTHÈQUE  DK  LA  VILLE  DE  MELUN. 

BIBLIOTHÈQUE  DE  L'HOTEL-DE-VILLE  ,  à  Rouen. 

BIBLIOTHÈQUE  D'AUXONNE. 

BIBIOTHÈQUE  DE  NEMOURS. 

BIDAT,  doctear-médecin,  médecin  en  chef  de  l'hôpital  militaire,  à  Longwy. 

BIDAUT,  chirurgien  interne  à  l'hôpital  deBicétre,  h  Paris. 

BIDEGARAY ,  chirurgien. 

BIEN  AIMÉ,  Hbraire. 

BIENAIMÉ,  directeur  de  la  poste  aux  lettres  ,  à  Bergeus. 

BIENVENU  ,  chirnrgien-major  de  la  marine,  au  port  de  Brest. 

BIESSY  ,  docteur-médeci'.i,  membre  de  la  société  de  ruéd.  de  Paris,  ù  Lyon. 

BIETT  ,  docteur-médecin,  à  Paris. 

BIGEON  ,  docteur-médecin  ,  à  Dinan. 

BIGESCHI. 

BIGNON  (  baron  de  ) ,  à  Verclivrs. 

BIGNON,  docteur-méJcciu  ,  à  Snint-Jenn-d'Angely. 

BIGOT  (  Thi'odfire-Chai  les". ,  rieve  en  médecine  ,  à  Paris. 

BIGOT  DE  PRÉAMEN  EUX  ,  k  Pari.. 

BILLAD,  pharmacien,  aux  îli's  Canaries. 

BILLENAVE  (  Bernard  ) ,  à  Paris. 

BILLIOD.  docienr-méd«'Ctn,  à  Paris. 

BILLIOTET  ,  docleiir-méd-'cm  ,  à  Saini-Laurent-Chamonssé. 

BILLOT  (  Gaillaome  Pascal  ) ,  docteur-médecin ,  à  Nayanue. 

BINARD  ,  docteur-médecin  ,  à  Crecy. 

BIN  rOT ,  libraire  ,  à  Besançon. 

BISCARAT,  docteur-médecin,  à  Paiis. 

BISSON ,  chirurgien  ,  à  Nogcnt-le-Rotrou. 

BIVERT. 


8  LISTE  DE  MM.  LES  SOUSCRIPTEURS. 

BIZARD ,  conseiller  à  la  cour  royale  ,  à  Angers. 

BIZET  ,  docteur-médecin ,  à  Paris. 

BIZZOT,  docteur-médecin  ,  à  Anch. 

BLACKE  (  Adam  ) ,  à  Edimbourg. 

BLAISE  (  Louis  Nicolas  ) ,  doct.-méd. ,  chirurg.-mnj.  en  retraite,  ^ ,  à  LaOQ. 

BLAISE,  libraire,  à  Paris. 

BLANC,  directeur  delà  poste  aux  lettres,  à  Moutiers. 

BLANC  ,  à  la  Ciotat. 

BLANC  ,  père  et  fils  ,  à  Grenoble. 

BLANC,  négociant ,  à  Marseille. 

BLANCH,  doctenr  en  chirurgie,  à  Alicante. 

BLANCHARD  fils ,  secrétaire  de  la  sous-préfectnre,  h  Contances. 

BLANCHARD  ,  comniit-saire-ordonnateur  de  la  aS^  division  ,  à  Ajaccio. 

BLANCHARD ,  intendant  militaire. 

BLANCHARD, 

BI.ANCHETON  ,  docteur-médecin  ,  à  Paris. 

BLANCHEMIN,  négociant,  à  Ronen. 

BLANCLIN,  docteur-médecin  ,  à  Nivebeau. 

BLENY  (Bernard)  ,  doctcnr-médecin  de  la  faculté  de  Paris,  chirurgien  et* 

chef  de  l'hôpital  civil  ce  militaire  de  Valognes. 
BLETRY  ,  docteur-médecin  ,  à  Befort. 
BLEUET,  libraire,  à  Paris,  (ii  exemplaires.) 
BLOSSE,  libraire,  à  Paris. 
BLOT, 

Bl.OUET,  libraire,  b  Rennes. 
BORAN. 
BOBILLIER  (Pierre)  ,  docteur-médecin,  chknrgien-aide-major  à  l'hôpital 

militaire  de  Toulon. 
BOCCA  ,  hbraire,  à  Turin.  (49  exemplaires.) 
BOCQL'ET  (J.-L.  ),  docteur  en  médecine  ,  à  Hesdin. 
BODIN  DE  LA  PICHONERIE  ,  médecin ,  à  la  Charlre. 
BODINIER  ,  docu-u. -médecin,  à  Hedc. 

BOGAEKT-DU MORTIER,  libraire,  à  Brnges.  (  27  exemplaires.  ) 
BOGEON  ,  docieur-iutdecin  ,  à  Dinan. 
BOGGK)  ,  médecin ,  à  Aoste. 
BOGUES,   pharmacien. 

BOHAIRE ,  libiane,  à  Lyon.  (  1 7  exemplaires.  ) 

BOHAN  ,  clihurgicii-mojor  de  la  marine,  en  retraite,  à  Rasan,prè$  Quiiuper. 
BOILEAU  (  Paul  ),  maire  fie  Baguèies-de-Luchon. 
BOÎLLEAU  ,  dcca-  ur-médrcin  ,  à  l'hôpital  mihtaire,  à  Turin. 
BOlN  ,  tio'-ieiir-nud>  cin  ,  à  Bourges. 

BOISA RGON  (  Aim^nd-Alexandre  ,  marquis  de) ,  à  Poitiers. 
BOIS*^AT,  (locicui-méd'.'cin  ,  h  Vienne. 
EOIVlLLP:((le),  à  B..rd-a.,x. 
BOLUT ,  chirurgien  ,  à  l'hôpital  du  Yal-de-Giâcc,  à  Paris. 


LISTE  DE  MM.  LES  SOUSCRIPTEURS.  9 

BONACIES  ,  principal  du  collège  d'Auch.  ^ 

BONAR,  doctcur-médL-cin  ,  a  l'Eau. 

BON  DESSIN,  libraire,  à  Valognes   (  4  exemplaires   ) 

BONDiLLE  (  jeune) ,  officier  de  santé,  à  Marseille. 

BONDIL,  docteor-médecin,  à  Moustiers. 

BOINET  (  Louis- Félix),  chirurgien-major  de  réiablissement  de  la  côle  d'A- 
frique, au  Séuégal. 

BONHOMME,  chirurgien   en  clief  de  l'hi^pital  de  Villeftanclie  d'AveyroQ. 

BONHOMME,  docteur  en  médecine,  à  Villefrauche  de  i'Aveyron. 

BONa'ACE,à  Paris. 

BONiN,  h  Ars(îlede-Ré.) 

BONlNARDEL,  chirurgien  de  la  marine,  h  Toulon. 

BONNAUD  (P.-L.-C),  officier  de  sanié  de  i"  classe  de  la  marine,  à  Toulon. 

BONNAUD,  docteur-métleciii ,  à  Péiigoé. 

BONNEAU  ,  chirurgien,  à  Kiort. 

BONNFAU  ,  pharmacien  ,  à  Paris. 

BONNEFOY  fJuli  n),  libraire,  à  Toulonse. 

BONNEMAISON ,  chirurgien. 

BONNET  (Victor),  docteur-médecin,  à  Montpellier. 

BONNET  ,  docteur-médecin,  à  Pari',. 

BONNET  DES  MAISONS,  a  Saim-Armand. 

BONNET,  docieur-mé'Jecin  ,  à  Montolieu. 

BONNET  (Napoléon),  cbiiurgien,  à  Cassagnebère. 

BONNET,  chirurgi.n,  à  Villefort. 

BONNETI'l,  docteur-médecin,  à  Riblers.  # 

BONl'É  DE  LA  MARÏ'INIÈRE  (  Aug.-Gbarles  )  ^,  à  Coutauces. 

BOUTENS. 

BONVOUST,  libraire,  à  Alençon. 

BONZOM  ,  libraire,  à  Bayonne.  (  i3  exemplaires.) 

BOQUIS  ,  docteur-médecin  ,  à  St.-Tropcz 

BORDA  (  François  de  ) ,  maire  de  St. -Vincent,  près  Dax. 

BOREL  ,  libraire,  k  Lisbonne.  (  6  exemplaires.  ) 

BOREL,  libraire  ,  à  Naples.  (  a6  exemplaires.  ) 

BORELLY,  vice-présiileut  au  tribunal  de  i^'^«  instance,  à  Marseille. 

BORGES  (  Henti-G^iillaume  ) ,  <loctenr-médeciii ,  conseiller  de  régence,  di- 
rcc(eur  du  collège  royal  médic.'il  ,  séant  h  Munster. 

BORGELLA ,  inspecteur  des  eaux  de  Bsrrèges ,  à  Bagnères-de-Bigorr«, 

BORGHINIE ,  libraire. 

BORLA,  médecin,  à  Turin. 

BORLE,  docteur-médecin  ,  à  Hay, 

BORMAN,  docteur-médecin  ,  h  Brée. 

BORVILLE  (  Pierre-Hvpolite  de  ).  médeci.n ,  à  Putangcs, 

BOSC  ,  membre  de  l'institut ,  à  Paris. 

BOSCHER  ,  docteur-niedccm  ,  h  Caen. 

BOSQUIER,  docteur  en  chirurgie,  à  Bellaignc. 


10  LISTE  DE  MM.  LES  SOUSCRIPTEURS. 

BOSSANGE,  père  et  fils,  libraires,  à  Paris. 

BOSSAiNGE  et  MASSON ,  libraires  ,  à  Paris. 

BOSSE  ,  phainiacien  ,  à  Paris. 

BOUCARD  ,  chirnrgieii,  à  Ruelle. 

BOL'CAULT  jeune,  docteur- médecin,  à  Goarnay. 

BOUCHAD,  médecin,  à Si.-Amani-Tuilende. 

BOUCHARD,  chirnrgien,  à  Lyon.  ,  •    i  ^, 

BOUCHARD,  docieur-medecin  ,  à  Paris.  Bitu? 

BOUCHER,  à  Château-Renault.  -  ,v  ; 

BOUCHET  (Casimir),  docteur-médecin,  à  Serrières. 

BOUCHET  ,  docteur-médecin  en  chef  de  l'hôpital,  à  Bonrbon-Vendt^, 

BOUDARD. 

BOUDET,  docteur-médecin,  à  Sigean. 

BOUDET  ,  pharmacien,  à  Paris. 

BOUDIER,  docteur-médecin  ,  à  Tournus. 

BOUDRYE,  dociear-medecin  ,  à  Tulle. 

BOUE,  docteur  médecin  du  château  royal  de  Rambonillet,  à  Rambonillet. 

BOUET  ,  docteur-médecin,  à  Eirépagny. 

EOLGAREL  (Charles-Louis),  doct.-mc'd.,  chir.-maj.  en  retraite,  à  Evreux. 

BOUGAULT  ,  doctenr-médecin ,  à  Paris. 

BOUILHAC  (de),  sons-chef  de  bureau  au  trésor  royal,  à  Paris. 

BOUILLARD  (Aignan-Antoine),  docteur-médecin,  à  Barbonne. 

BOUIN  (  Jcan-Jacqnes) ,  vétérinaire  ,  an  dépôt  royal  d'étalons  de  St.-Maixënt. 

BOUIN  ,  chirurgien,  à  Monchamps. 

BOULAND ,  avoué ,  à  Paris. 

BOULAKGER. 

BOULLAIND,  doctenr-médecin,  à  Sainle-Menehonid. 

BOULLAY  ,  pharmacien,  à  Paris. 

BOULLF^GER,  dincteur  dei  contributions,  àEvreux. 

BOURBOULON,aParis. 

BOURDEL  ,  docteur- médecin  ,  à  Honfleur. 

BOURDE  r,  docteur-médecin,  an  Mans. 

EOURDET  ,  docteur-médecin  ,  à  Paris. 

BOURDON,  docteur-médecin  ,  à  Châlons. 

BOURDON  DU  FAY ,  à  Blois.  ,       > 

BOUREE,  doctenr-médecin,  à  Cbalillon. 

BOURGEOIS,  médecin,  à  Moosele,  près  Menin. 

BOURGEOIS,  avoué,  à  Colmar. 

BOURGEOIS  (Pierre-Gabiiel),  docteur-me'decin ,  chirnrgien  employé  aO  fort 

de  Pierre-Châtel. 
BOURGUES  (Angnsliti-Pierre),  ex-chirnrgien  de  i^"^^  classe  de  la  marine, 

doctenr-médecin  ,  administrateur  de  l'hospice  civil  de  Brest. 
BOURGUILLAUT,  docteur-médecin , à  Boulogne. 
BOURNISSON,  négociant,  à  Marseille. 
BOURQUIN  (  F.-A.  )  ,  chirurgien,  à  Pérignac. 


LISTE  DE  MM.  LES  SOUSCRIPTEURS.  1 1 

BOURRET ,  à  Paris. 

BOURSIN  ,  cliiiurgien  entretenu  de  i«  classe  <le  la  marine,  an  port  fie  Brest. 

BOUSQUET,  à  Paris. 

BOUSSART  ,  capitaine  de  vaisseau. 

BOUSSENARD  ,  docteui-médeHn  ,  à  Montaigu. 

BOUTRON  (  Antoint-Francois)  ,  pliarinacit-n ,  membre  de  la  société  d'encon- 

ragemeni  ponr  findustrie  nationale  ,  à  Paris. 
BOUVENOT  ,  auteur. 
BOUVET  ,  libraire ,  à  Neufcbâtel. 
BOUVlER,à  Conrgoin' 
BOVY,  doclenr-médecin,  à  Liège. 

BOY  AVAL-HOLVOET  ,  receveur  des  douanes  ,  à  Menin. 
BOYER  ,  docteur-médecin  ,  à  Verdun. 
BOYER  (  Alexandre  )  ,  cbirurgien  de  la  marine  ,  à  Toulon. 
BOYER  ,  professeur  ,  membre  de  l'insiitut ,  Ji  Paris. 
BOYN-BUSSY  ,  doclpur-mt-decin  ,  à  Germiny-l'Exempt. 
BRABANDER-DELEVIIN'GINE,  renlior  ,  à  Connrai. 
BRANCARD  (  Jean-Josepli  )  ,  !^,  cbirurgien  ,  à  Meru. 
BRAVET  ,  doctonr-médecin,  à  Paris. 
BRASSIER,  docienr-mtdecin  ,  à  Strasbourg. 
BRAULT  (  Louis  )  ,  pbarmacien  ,  à  Vendôme. 
BRAULT  (  Henri  )  ,  cbirurgien  à  Beaumont-la-Ronce. 
BRAVAIS  ,  docteur-médecin,  à  Annonay. 
BRECHETTE ,  à  Paris. 
BREMOND ,  à  Paris. 

BR?2M0NT  ,  docteur-médecin  ,  à  Pont-St.-Esprit. 
BRESSIEUX  (  baron  de  ) ,  à  Vinclles. 

BRET  (  Picrre-Francois-Augnsle  ),  <loctenr-médecin ,  à  Lyon. 
BRETIN  ,  librairie  protestante ,  à  Paris,  (  3  exemplaires,  ) 
BRETONNET  ,  diirorgien-major. 
BRIANT  (Ferdinand-Cbarles  ),  pbarmacien,  à  Paris. 
BRIBOSCAT,  docteur-médecin  ,  à  Namur. 
BRICHETEAU,  docteur-médecin,  à  Paris. 
BRIGOT  ,  libraire,  h  Reims. 
BRIGUET,  libraire,  à  Cbâions. 
BRIOT ,  docteur-médecin ,  à  Besançon. 
BRISEZ,  docteur-médecin  ,  à  Anisy-le-Cliâtean, 
BRISSEZ  ,  ofEcier  de  santé  ,  à  Cautin. 
BRIZARD  (Jean  ) ,  élève  eu  chirurgie  ,  à  Avillcy. 
BRIZZOLOR  A  ,  libraLrc  ,  h  Milan. 
BROCHAND-D'AUFREVILLE. 
BRONNER-BAUWENS  ,  libraire,  à  Dunkerque. 
BROENKER  ,  libraire,  à  Francfort-sur-le-Mcin. 

BRONON VILLE  (René) , chirurgien  de  a"  classe  delà  marine;  à  Tculoa. 
BROUCKAERT ,  docieur-médccia. 


12  17'=^TT.  DE  MM.  LES  SOUSCRIPTEURS. 

BPOUIÎ  LIAHD    rli,  iiici<ri  ^  la  l^^^ion  <1<'  l'Oinc. 

BRU l  il-'  l.'l',  i<f>cle.ii  ii.cdtcin,  à  Beaujtréan. 

FROrH  Î.ON 

BROLSS.UN  ,  riori.tii-mé'îerin,  h  P.tris. 

BHLÈRE.  (liimrjiicn  <U-  !"«  riassc  lîe  la  marine  ,>.à  Brest. 

BRCG(iF\l  A?f ,  rhiinrgien  ,  à  Zwcvegfirm  ,  pi  es  Conrtrai. 

BRLTN   (  Itlix-Angii'îiin-Désiié),  ex-cliiiurgien  de  2«  classe  de  la  marine,  à 

A'  bognc. 
BRUN  ,  (lirericnr  des  pos'.os,  à  Tiic. 
BRUN,  .Ic.cietii-méilfcin  ,  à  Aiib;igne. 
BRUINET  ,  1  braire.  (  1  exemplaires.) 
BRUNET,  docteur-médecin,  à  Issoire. 
BRU  >  ET. 

BRUMT  ,  docirnr-médecin  ,  à  Pa'is. 

BRUNNIINGHAUSEN,  doctenr-nié:lccin  et  cbiriv.gicn  ,  h  Vnrzbonrg. 
BRUÎNOT,  doniciu-médcrin,  h  Frfsncs. 
BRUi\Or  LABRE,lih,aire,àPa.is. 
BRY  ,  docienr-médecin  de  l'hospice  de  St. -Charles,  membre  da  jury  médical , 

à  Anfjrrs. 
BUCHMULLER-,  dorlrnr-mecbcin  ,  h  Massiac. 

BUDAN  ,  docteur  médecin  ,  inspecteur- général  de  l'université,  à  Paris. 
BUES,  cliirnri>ieti ,  à  Volonnc. 
BUISSON  ,  aide  majoi  ai;  1 1 1^  régt.  de  ligne. 
BUISSON ,  aide- major  au  29'  régi. ,  à  Valenciennes. 
BUNIS.  maiie  de  Bize. 
BUNIVA,  doct- tir-mtde'-în,  à  Turin. 
BURCK.  (  te  )  ,  avocat ,  è  Courtrai. 
BUREL  ,  (  oct-  iir-médeein  ,  à  Melun. 
BURDET,  imprîmecr  libraire  ,  à  Annecy. 
BURDIN  ,  doctenr-raédecin  ,  h  Entre-Denx-Guilly. 
BUREAU,  médecin  en  cliefde  l'hôpital  militaire,  à  Udine, 
BU  RE  AU ,  pharmacien  ,  à  Paris, 
BUREAU,  avoué,  à  Paris. 
BUREL,  docteur  en  chirurgie,  à  Rouen. 
BURET  (  Jicques  )  ,  docteur-médecin ,  à  Uriiville. 
BUROLLEAU,  docteur-médecin  ,  J>  Vihiers. 
BUROLEAU,  docienr-médecin,  à  l'hospice  de  la  Pitié,  h  Paris. 
BURON  ,  docteur-médecin  ,  à  Machccoul. 
BURON  D'IBAS  (Jcan-Pierre) ,  docteur-médecin  ,  à  T.jrbes. 
BURON  D'IBAS  fris  (Jean  Pieire),  docteur-iuédeciu ,  à  Tarbe$. 
BUSSEUIL,  aîné  et  jeune,  libraires,  à  Nantes. 
BUSSOT  et  MARLOING,  à  Paris. 
BY  ASSON  ,  docteur-médecin  ,  à  Miélan. 


LISTE  DE  MM.  LES  SOUSCRIPTEURS.  i3 

CABART. 

CARIRAN,  médtcin  ,  à  Toulouse. 

CABIRAN  fils,  doctenr-méd.  cin  ,  h  Ne'iac. 

CACHEN  ,  doctenr-rnédccin  ,  à  Bi)iincval. 

CADET  DE  G ASSICOU  RT ,  pliarmacicn ,  à  Paris. 

CAFFAGNFS. 

C  AFFE ,  (ioctcnr-medecin ,  h  Sauniur. 

CAILLAUD,  doctein-mtdecin,  à  Bonlogne. 

CAILLE  cl  RAMER  ,  libiaiirs,  h  Paris.  (  45  exemplaires.) 

CAILfTES,  doricnr- médtcin,  à  Paris.        i 

CAIRE  (  Reini- Nicolas)  ,  docteur-médecin  ,  h  Chanibon. 

CAIVEL. 

CALEINE  (Etienne  )  ,  cliinirpien  de  i*""^  classe  de  la  marine  ,  à  Toulon. 

CALIXTE  BONNET ,  pharmacien  ,  à  Valence. 

CALLET  (  JtMn-Jo'icliini-Fiau:ois) ,  médecin  ,  à  Paris. 

CALMET,  d'icieur-médcciii ,  à  Villcfranclic  d'Aveyron. 

CALVINIA(J,  docteui -médecin  de  la  faculté  de  Monipjlîier,  à  Moniaiiban. 

CAMATTE  ^Grégoire),   doclenr-médecin,  ancien  chiiiir. -major  des  armées, 

médi  cin  des  salines  de  IMoycnvie  ,  à  Vie. 
CAMRIER  ,  docteur-médecin  ,  h  Paris.  j 

CAMBOIS  (  Paul),  à  l.-i  Rocbefoucanlt. 
CAMBON  ,  libraire  ,  à  Beziers.  (  2  exemplaires.  ) 
CAMBRIELS  {B;irilieltmy)  ,  officier  de  santé ,  à  Tantavel. 
CAMOIN  (  Joseph)  ,  médecin  de  Toulon,  actuellement  établi  h  Odessa, 
CAMOIN  ,  iiJK.iire  ,  à  Maiseille.  (  18  exemplaires.  ) 
CAMPET,  docteur-médcin,  à  Dax. 
CAMPARDON  (J.-B.),   docteur -médecin   de  la  faculté  de  Monipeliior  , 

memlne  de  l'alhéiiée  médical  de  Paris  ,  h  Auch. 
CANDELIER,  officier  de  santé,  à  iVlaillysur-Somme. 
CANDILLAC  ,  docteur-médecin,  à  Bergerac. 
CANE  ,  médecin  ,  h  Toulouse. 
CANELLA,  à  Paris. 

CANQUOIN,  directeur  de  l'enregisUrment  desdomaines,  à  Paiis. 
CANRON  (  Paul- Victor-Auguste  )  ,  cbirurgien  ,  h  Avignon. 
CAPONY  (  Pascal-JeanRomain  ) ,  docteur-médecin  ,  h  Gisors. 
CAPRIAULO  ,  libraire  ,  à  Alexandrie.  (  3  exemplaires.  ) 
CARACCI ,  directeur  des  postes  ,  à  Piombiuo. 
CARBONNEL,  doctenr-médeein ,  à  Aix. 
CARCASSONE. 
CAREAU  ,  propriétaire  ,  à  Paris. 
CARÉRE  (  baron  de  ) ,  préfet  à  Albi. 

CAREY,  pi^reet  fils,  libraires,  h  Philadelpliie.  (  26  exemplaires.  ) 
CAREZ-TH01V1INE  et  FORTIE,  libraires  ,  à  Paris.  (  a3  exemplaires.) 
CARILLET  (  Pierre- Charles),  doc'eur-me'decin  ,  ^ ,  à  Fonlenai-lès-Briis 
CARITAN. 


i4  LISTE  DE  MM.  LES  SOUSCRIPTEURS. 

CARMOI ,  docicnr-médeciii ,  à  Parray-lc-Monial. 

CARON  BERQUIER,  libraire,  à  Amiens. 

CARON-BUNELLE,  libraire  ,  à  Amiens. 

CAROSIN, 

CARPENT/>ER ,  doctenr-raéfîecin  ,  à  Paris. 

CARQUET  (  Pierre-Lonis  ) ,  docteur-médecin ,  à  Sommosons. 

CARRERE,  chirurgien,  à  Patis. 

CARRERE,  docteur-mcdecin ,  à  Marciac. 

CARRIERE  (Antoine) ,  médecin,  h  Céret. 

CARTERON ,  chirnrgieii-major,  à  riiô[>iial  de  Maçon. 

CARVILIjE,  doctear-niédecin  ,  h  Aiilcnil. 

CASA  LEON,  chirurgien,  à  l'hôpital  de  Lille. 

CASIMIR-ÎMEYSONNIER,  officier  de  santé  ,  à  Pédarrides. 

CASSAIGNARD  ,  docteur-médecin ,  h  Trie. 

CASSASOLES ,  docteur-médecin  ,  h  Saramont. 

CASSIN  (  Hypolite) ,  pharmacien  ,  h  Avignon. 

CAS'lïlLET ,  docteur-médecin  ,  à  Aix. 

CASTELTNATJ  ,  h  Paris. 

CASTFRMAINN  ,  libraire  ,  à  Tournay.  (  3  exemplaires.  ) 

CASTEX  ,  docteur- médecin  ,  h  Mazères. 

CASTEX^,  docteur-médecin,  à  St.-Clar. 

CASTURA,  docteur-médecin,  k  Lnneville. 

CATElilN    îné,  chirurgien  de  2*^  classe  de  la  marine,  h  Tonlon. 

CATILLON ,  à  Obis. 

CATINEAU,  librai.e,  à  Poitiers. 

CAUCHY  ,  réféiendaire  à  la  chambre  des  pairs. 

CAL'SSE  (  Jean-Pierre  ),  docteur-médecin,  à  Saint-Pourcain. 

CAVALIER,  docteur  en  chirargie,  à  Marseille. 

CAVAl  1ER  ,  docteur  en  chirargie  ,  à  Paris. 

CAVARÉ,  h  Ilsle-Jourdain. 

CAVARET,  docteur-mc'dccin,  U  Verdun. 

CAVET.IER,  coromîssionaire  en  librairie,  à  Paris. 

CAVENAC  (  marquis  de  ) ,  propriétaire  ,  à  Marseille. 

CAYOL  ,  docteur-médecin  ,  à  Paris. 

CAYRE. 

CAYREL.,  doclenr  en  chirurgie,  îi  Toulouse. 

CAYRET,  imprimeur-libraire,  à  Moni-de-Marsan.  (  33  exemplaires.  ) 

CAZENAVE ,  docteur-médecin ,  h  Cadillac, 

CAZIN  ,  docteur-médecin ,  à  Calais. 

CELARIUS,  docteur-médecin ,  h  Sainie-Marie-anx-Mines. 

CELLIER,  médecin ,  à  Clermont-Ferrand. 

CELLOT,  imprimeur-libraire,  à  Paris. 

CESBROK-BLACHOT,  propriétaire,  à  Bressuirc. 

CHABA]NES, à  Bordeaux. 

CHABAUD  (  E,-J,-A.) ,  chirurgien,  employé  à  Thôp.  des  invalides ,  h  Paris. 


LISTE  DE  MM.  LES  SOUSCRIPTEURS.  i5 

CHABERT,  docteur-médecin,  à  Sorgne. 

CHABERT,  médecin,  à  Clermont-Ferrand. 

CHABOT  ,  doctenr-médecin,  à  Rufec. 

CHABOL)ILLE,chef  de  bureaoà  la  préfecture ,  à  Paris. 

CHABRIÉ,  médecin,  à  Bourbon. 

CHABRINIAC ,  propriétaire ,  à  Brugeilles. 

CHAIX ,  libraire ,  à  Marseille.  (  20  exemplaires.  ) 

CHALLON. 

CH AMBAUDOEV  (  comte  de  ) ,  à  Paris. 

CHAMBERET,  professeur  à  Lille. 

CHAMBERLAN,  àPari«. 

CHAMBET,  libraire,  à  Lyon. 

CHAMBRE  DES  DÉPUTÉS  ,  à  Paris. 

CHAMBRETTE. 

CHAMPENOIS,  cbirurgien-accoucheur,  à  Paris. 

CHAMPEREAU. 

CHAMSERU,  doctenr-médecin,  à  Chamseru. 

CHANDRU  ,  docteur-médecin,  h  Belesme. 

CHAINIE  ,  sons-inspecteur  aux  revues,  h  Bitclie. 

CHANTOT  (  Antoine) ,  cbirurgien  à  la  Basiide-dn-Temple. 

CHAPIN,  négociant,  à  Cayenne. 

CHAPIOTIN  ,  docteur-médecin  ,  à  RelbeL 

CHAPLAIN-DUROCHER  ,  médecin  du  roi,  à  Mamers. 

CHAPUIS,  docteur  en  cbirurgie,  à  Verviers. 

CHARBOINNI ,  docteur-médecin  ,  à  Paris. 

CHARDIN ,  doctenr-médecin,  à  Lorient. 

CHARDOILET ,  à  l'île  de  France. 

CHARLARD  ,  pharmacien ,  à  Paris. 

CHARLES,  ci  devant  imprimeur,  à  Paris. 

CHARLES ,  à  Paris. 

CHALIER ,  docteur  en  chirurgie. 

CHARLIER ,  à  Paris. 

CHARMONT,  colonel,  à  Verdun. 

CHARPY ,  docteur-médecin ,  à  la  succursale  d'Avignon. 

CHARRON,  libraire,  h  Paris.  (  a  exemplaires.) 

CHAR'viY  ,  docteur-médecin. 

CH  AIE  AL  GIRON  (  de),  à  Paris. 

CHAIEAUNEUF. 

CHAIÉDUC. 

CflATELET ,  doctear-médecia ,  à  Ville-Franche-d'Aveyron. 

CHAUDK  ,  iil  raire,  à  Paris. 

CHAUDOUET ,  cKef  de  bureau  de  l'euvoi  des  lois,  à  Paris.  (  16  exemplaires. } 

CHAUMAS,  docl.'ur-médecin. 

CtlAUMET  ,  pharmacien  ,  à  Paris. 


i6         LISTE  DÇ  MM.  LES  SOUSCRIPTEURS. 

CHAUMETON,  docieur-médecin  ,  à  Paiis. 

CHAL1METTE(  Louis).  /^ 

CHAU METTE-DES- FOSSÉS,  à  Paris. 

CHAUSSARD ,  professeur  de  Luérature,  à  Paris. 

CHAI  SSIER  ,  professeur,  à  Paris. 

CHAUVELIER,  curé,  à  la  Flèche.  , 

CHAUVIN,  pharmacien,  an  Mans.  -sfrîsrf  ,:tp,^ttnido    " 

CHEDIOU,  à  l'hospice  delà  Piiié,  à  Paris.;    ....;  ,     .   " 

CHELLÉ,  à  Paris. 

CHEMERAUD  (  Ferdinand  ) ,  doclenr-me'decin ,  à  Poiiiers. 

CHEMIN,  h  Ponihicry.  t^ 

CHERADAME  ,  ire'sorier  de  l'école  de  pharmacie,  à  Paris. 

CHEREAU,  chirurgien. 

CHERIEUX  ,  chirurgien  à  l'hospice  civil  de  St.-Pourcain. 

CHERON  (P.-N.-A.  ) ,  chirurgien  h  l'hôpital  militaire  de  Phalsbourg. 

CHEVILLE']',  à  Besançon. 

CHEVREAU ,  chirurgien  major  de  la  légion  du  Calvados,  à  Quimper. 

CHEVREUIL ,  docteur-médecin ,  à  Angers. 

CHINARD,  docteur-médecin  ,  à  Lyon. 

CHIR.VC  ,  libraire,  à  Tulle.  (  5  exemplaires.  ) 

CHIROL,  pharmacien,  à  Marseille. 

CHOCARDELLE ,  chirurgien-major. 

CHOMEL  ,  propriétaire ,  à  Montreuil. 

CHOMEL,  receveur  des  contributions,  à  Courtray. 

CHOMET,  chirurgien  ,  à  Clermont-Ferraild. 

CHOMET,  docteur-médecin,  à  Vendôme. 

CHOPELET,  docteur-médecin,  à  Montpellier. 

CHRÉTIEN-SALAINES,  à  Paris. 

CHRESl'IEN ,  docteur-médecin ,  chirurgien-major ,  à  Angers. 

CINOT,  négociant,  à  Paris. 

CIVILLE(de),  propriétaire,  à  Rouen. 

CLAMORGANT,  libraire,  à  Valogne.  (  7  exemplaires.) 

CLARET  ,  médecin ,  à  Céret. 

CLAUDE,  docteur-médecin  des  hôpitaux  militaires. 

CLÉMENT  (  J.  F.  ) ,  docteur-médecin  ,  à  Granville. 

CLÉMENT-DES-MAISONS  ( François- Amable),  rentier,  à  Paris. 

CLEMENT,  docteur  en  chirurgie,  à  Strée. 

CLER,  docteur-médecin ,  ancien  chirurgien-major  des  armées,  à  Rive  de  Giers. 

CLERC  ,  docteur-médecin  ,  à  Chilly. 

CLERC  (Antoine-Bernard  ),  docteur-médecin,  à  Besancon. 

CLERET  ,  médecin  ,  à  Carhais. 

CLERJON,  docteur-médecin,  à  Vienne. 

CLER  M  ()NT,  docteur-médecin  ,  à  Lyon, 

CLERMOWT,àPari«. 


LISTE  DE  TIM.  LES  SOUSCRIPTEURS.  17 

CLIER  .  chirurgien- major  de  la  Cliarité,  h  Lyon. 

CLOGENSOIN  ,  hbliothécaiie,  à  Alençoii. 

CLOPIER,  propriétaire,  à  Epancy  ,  près  Falaise. 

CLOQUE  r ,  docienr-niéd<  dn  ,  à  Paris. 

CLOSSET  (  J.-J.)  ,  docteur-médecin,  à  Cornesse. 

CLOT,  médecin,  à  Toulouse. 

CLLZEL,  pharmacien,  h  Paris. 

CLLZLL ,  docteur  médecin ,  à  Lauzerte. 

CLUZOU,  chirurgien,  à  Moniortrat. 

COCHARD  ,  docteur-médecin  ,  à  Paris. 

COCHON  ,  docteur-médecin  ,  à  Beaugé. 

COCQLEREAU, 

COCULET,  chirurgien,  à  Ste  -Foy, 

CODRIKA.àParis. 

COEFFItR,  chirurgien,  à  Chàleaudun. 

COFFIN,  docteur-médecin. 

COGIVON  ,  docteur-médecin  ,  h  Calais. 

COHIN  ,  négociant,  à  la  Ferté-Bernard. 

COHADON  ,  médecin  ,  maire  à  Murat-le-Quaire. 

COI  IN  (  Gnill.mme),  médeciu  ,  maire  de  la  ville  de  Sainl-Gervais, 

COLLAHDIN,  libraire,  à  Liège.  (  i4  exemplaires.) 

COÎXASS,  chirurgien-major  au  i*'  régi,  de  grenadiers,  à  Melz. 

COLLET. 

COLLETTE,  docteur-médecin,  à  Dijon. 

COLLIGNOiN  ,  Hgent  d'aff.ires  ,  à  Paris. 

COLLIN  ,  docteur-médecin  ,  à  Giraiide.  • 

COLLINEALi  ,  docteur-médecin,  à  Paris. 

CO'  IMET.ph-.rraarien 

COLOMRF.L  !  de),  maire,  à  Caumnnt-snr-Scîne. 

COI-^OMBEL,  libraire,  à  St.-Etirnnc.  f^  2  exemplaires.) 

COM  BETTES-CAL  MONT,  à  l'île-du-Tam. 

COLOMES,  phaimacien  ,  à  Fleurenre. 

C()LS(JN  ,  docteur-médecin,  à  Commercy. 

COMBES  ,  médecin  ,  à  Lacaune. 

COMBE  {  Anioine),  rhirnrgien,  à  Malemort. 

COMHAIRE,  docteur-médecin,  professeur  de  l'qniversité,  à  Liège. 

COMMARD,  libraire,  à  Paris. 

CCJMMECY  ,  officier  de  santé,  à  Mainnevillc. 

COMMOY  ,  docteur-médecin  .  à  Morez. 

COMPAING,  chirurgien,  à  Elbeuf. 

COMPERAT  (Antoine),  docteur-médecin,  chirurgien-major  de  la  légion  da 

Clii-r ,  à  Phalsboiug. 
COMPÈRE,  libraire ,  a  Paris.  (  i3  exemplaires.) 
COINCHE  (Pierre),  officier  de  santé,  à  Monilerraud. 


i8  LISTE  DE  MM.  LES  SOUSCRl.         ^.S. 

CONCHON,  (loctenr-médecin  ,  à  Décizc. 

COKCHON,  fÎ0f.l<ut -médecin,  à  Paris. 

CO]NQ€ERAlND  (  Pierre-Louis-Nicol&s),  médecin,  à  Coulances. 

CONSTANT  (Auguste),  doclem-niéHecin,  à  Colignac 

COIN  rA MINE,  chirurgien  ,  à  LamJiecie. 

COiNTÉ  ,  docleur-Ditderin,  à  Toulouse. 

COQUET  ,  lijjraire,  a  Dijon.  (  3  exemplaires.) 

CORBIN  ,  d.)ct..ui-médecin,  h  Vai ville. 

COnHY,libiaiie,  àParis. 

CORINAC,  docteur-médecin  ,  à  Paris. 

COHINÉLIS,  médecin,  à  Oudenarde. 

CORNILLEAU,àParis. 

CORNU,  docteur-médecin  ,  à  Brest. 

CORON  A  ,  docteni-médecin  ,  à  Paris. 

CORPON(  Antoine) ,  chirurgien-major  de  la  a®  légion  des  Côtes-du-Nord ,  i 

Cou  tances. 
CORUSARTEIE,  secrétaire  général  aux  archives,  à  Paris. 
CORVISIER, 

COSMAR,  chirurgien  de  !<"■-  classe  delà  marine,  ^  ,  à  Toulon. 
CO.SMARD  DUPARK.E,  docteur-médecin,  à  Gouta.ices. 
COSSÉ  BRISSAC  ,  à  Paris. 

COSTE  (  Jacqncs-Hubert  ),  ofBcier  de  santé  de  la-marine,  h  Toulon. 
COSTE,  docteur-médecin 
COSTE-AMABLE,  à  Paiis. 
COSTEfj  ,  |iliarmacien,  à  Paris. 
CQl'HELET  ,  médecin,  à  Marville. 
COUCHET,  docteur-médecin. 

C0L1ILLARD(  Paul-Casimir },  docteur-médecin,  à  Valogne. 
COULOMB  (  Auguste-François-Amable),  docteur-médecin,  à  Coutanccs. 
COULLON,àSaDJou. 
COULON.àParis. 

COLiP.\RD,  docteur-médecin,  à  Avranches. 
COURBASSIER,  docteur-médecin,  à  Cacrs. 
COURCIER  (  Madame  veuve) ,  Jibraire,  à  Paris.  (6  exemplaires.) 
COURTANT  Gis,  négociant,  h  Vervicrs. 
COURTOIS  (René),  doclcur-médeciu ,  îl  Ville-Sonris. 
COURTOIS,  à  Auxerre. 

COLRTOIS,  libraire,  à  Clierbourg.  (4  exemplaires.) 

CCUhIN-DANELLE  ,  libraire,  à  Rennes.  (  a  exemplaires.)  - 

COUSIN,  docteur-médecin  ,  à  Pari.s. 

COUSSIEU  (Pierre-Joseph-Manrice),  docteui-mcdecin ,  à  Figeac. 
COUTANCEAU ,  docteur-médecin",  à  Paris. 
COUTURIER,  officier  de  santé,  à  Hirson. 
CRAH.W  ,  docttnr  en  cliinwgie,  à  Liège. 
CRAPART  ,  libraire,  à  Paris.  (  I2  esempluires.) 


LISTE  DE  MM.  LES  SOUSCRIPTEURS.  19 

CRESPELLE  (  Jcan-Bapiiste- Joseph),  chiruigien,  aide-major  charge  dn  ser- 
vice (le  sanié  dii  port  royal  de  Cherbourg. 

CRETZSCHMAR,  cliirurgien-majorda  ngt.d'inf.  de  S.  A.  I.  et  R.  le  grand- 
duc  de  Wiirtiboiirg. 

CRE  THÉ ,  chirurgien  ,  à  Charny. 

CRETEX  ,  docteur-médecin  ,  à  Salins. 

CRETIN  ,  doclenr-raedecin  ,  à  Paris. 

CRETTE,  docteur-médecin. 

CREV^ELT,  docienr-niédecin  ,  à  Bonn. 

CREVEL  ,  négociant ,  à  Paris. 

CREVOT,  libraire  ,  à  Paris.  (  qd  exemplaires.  ) 

CROCHARD,  libraire,  à  Paris.  (57  exemplaires.  ) 

CROM ARIAS,  cbirurgien-major  au  régt.  des  chass.  des  Pyrénées,  à Lnnc'villc. 

CROSILHES  ,  libraire  ,  à  Villeneuve-d'Agcn  (  10  exemplaires). 

CROL'LLEBOIS  ,  libraire  ,  à  Paris.  (  57  exemplaires.) 

CROUSEILLES,  doctenr-médecin ,  à  Oleron. 

CRUEL,  chirurgien  ,  à  Guérard-Goste-de-Crecy. 

CUGNEAL' ,  chirurgien  ,  à  Lannion. 

CULLERIER,  cL-irurgicn  en  chef  de  l'hôpital  des  vénériens,  à  Paris. 

CUMANO,  docteur  en  chirurgie,  à  Tiieste. 

CUQUEMELLE  (Benjamin),  docteur-médecin,  à  Montebourg. 

CURKT,  libraire,  à  Toulon.  (  54  exemplaires.) 

CUVIER,  professeur ,  membre  de  l'institut. 

DABRY,  doctenr-médecin,  à  Saint-Chamont. 

DAGASSAN  (Daniel),  doclenr-médecin,  à  Granges. 

DAGONNET,  docteur-médecin,  à  Paris. 

DAGUIN  (Armand),  propriétaire,  à  Niort. 

DAIMÉ ,  à  Sedan. 

DALEN,  dociewr-médecin  ,  à  Rotterdam. 

DALLIEZ,  chirurgien,  à  Miramont. 

DALLOT. 

DALMEINESCHE ,  pharmacien  ,  h  Candebec. 

DAMBLARD,  chirurgien-major,  au  dépôt  de  la  lég.  dn  Cher,  à  Bonrges. 

DAMELINCOURT,  chirurgien-major  du  3^  régt.  d'art,  à  cheval,  à  Metz. 

DAMESTOlf  (  Etienne  )  ,  docteur-médecin  ,  à  Bardes. 

DAMOTTE  ,  docieur-mcdecin,  à  Beanne. 

DAMZEAUX-RENOZ,  négociant ,  à  Verviers. 

DAN-DE-LA VAUTERIE  (P.-  A.)  ,  docteur-médecin  de  l'ancienne  faculiil- 

de  Caeu,  aggrégé  à  celle  de  Paris,  à  Caen. 
DANIEL,  doctetu-médecin,  à  Beaavais. 

DANILLON  (Alexis- Alexandre) ,  doctenr-médecin,  à  Lavalclte. 
DANNAY , 

DANNOVILLE  (Florîan  ),  maire  de  Menacville-sar-aier. 
DANTAN ,  à  St.-Cyr. 


20  LTSTE  DE  MM.  LES  SOUSCRIPTEURS. 

DANVFRS.  .iocteiir  iiit'Heoiii .  à  Passy. 

DARA^TI^R^  .  .hinirçi'-n  mi'i  ai.c.  ,. 

DARPARF  MA1^  GIN.  à  St  -MJÙel. 

DARrrUI'.Y- HUBERT  ,  h  Maimontel. 

DARIKL,  flociciir-nse  itcin ,  à  Viiicux. 

DAR[S,  'Îi>rtcnr-iiiéc1''<'iii ,  h  S   -Pierre. 

DARISTE  aîné  ,  à  la  MartinhjMe. 

DARNE    spcrétaiie  René' al  despostfs,  à  Paris. 

DARRAS,  I  braire,  à  Amiens.  (  3  exemplaires.) 

DAR'I'KIUE  ,  (Socit'Ur  ni'de.^in,  k  Lyon. 

DASTE    B'rn.-irfl-CvpTès) ,  rlocicur-medecin ,  à  Lagraiilet. 

DAL'DIBERTIÈRES  ,  Hoctenr-mdclccin,  à  St-Progeihe. 

PAUPHIN,  lihiaire,à  Aiuun.  (3  exemplaires.) 

DAL'VIN  ;le  baron),  à  Hocloniuont. 

DAVAN  ,  rldccnr-médeciQ,  à  Lavaur. 

DAVEJEAN,à  Anch. 

DA  VEREDE,  maire ,  à  Jnllienas, 

DAVIf),  chiniigitn  ,  à  Paris. 

DAVID,  rliinirgien,  h  Laigle. 

DAVID,  à  Ma.-eillc. 

DAX'IO  ,  Pi -rre-FrancoisI .  mc-rlccin  de  l'hôpital  civil  et  militaire  de  Glaye. 

DA\  ID   J   N.),  à  l^amomont. 

DAMl^SON, 

DA\'IEFj.  cliirnrgien  de  la  marine,  à  Roebefort. 

DAVIÈRFS,  libraire 

DAVlGN''N,  ))b.iimacieH,  ?i  Verviers. 

D AVIGNON,  (ils  aîné. 

DAVISAR-T,;,  Palis. 

DAVOL'ST,  aiici«B  senatenr,  à  Paris. 

DAYRFNS,aF!ord«-a.;î. 

DEAIi(J  -1/-.I.  H  ),  doctmir-médpcin  ,  à  Bponvais, 

D'LARASTII.LE.  doneur-me-lecin  ,  à  Espas. 

DFROHA'VI .  à  (ir.inv.Hiers. 

DEROiVNINGIJES,  docienr-médecin  ,  à  Guincs. 

DERRAY ,  à  Ni»mes. 

DEBRAY  .libraire ,  h  Paris.  (  ^  exemplaires.  ) 

DFR'  AY. 

DKBRI'  LO. 

DKBRINAY,  à  Nenng-sur-Beurroa. 

DERRLGES,  agent  de  change,  à  Park. 

DFB-^LSGF-DUMESNIL,  h  Paris. 

DEBliRF.I.hrai.e,àPa.is 

DECA^1P.S  '  J  -B.-D.  ) ,  médecin  d.  î'hospîce  et  des  prisons,  h  Quimper» 

DE<1A^H\S,  diirnrgien  de  i"  classe  de  la  marine,  i"i  Brest. 

DECARRIERS,  chiruigien  de  i"'  classe  de  la  marine  ,  à  Brest, 


LISTE  DE  MM.  LES  SOUSCRIPTEURS.  21 

DECASSAÎV. 

DFCEP.F7,    Jo5.  Pliil.'Em.  J ,  docteur-médecin  de  la  fac.  de  Paiis,  àla  Cliàtre. 

DECKSSAC .  oQkier  de  saiiié,  à  Paris. 

DECHALONKU  ,  avoué ,  h  Pari:,. 

DEHAN.S\  ,  l.b.aie,  à  Paris. 

DECHAUD,  (Ici.teor-mtdecin  de  riiôpilal,  h  MoTitluçon. 

DECHAZOTE,  piopiiétaire,  à  Lyon. 

DECHOMPHÉ. 

DECOU  R ,  <l  cienr-mtdecin ,  à  Paris. 

DECQ  .  libraire  ,  à  P.ris. 

DECUGIS  .docienr-iiicdccin,  à  Signes. 

DEFAIjCAMBER(;E,  doctem-médccin,  à  Gien. 

DEFAY  ,  libraiie,  à  Langrcs.  (  7  exim|)la.iit'S.) 

DEPTIS.  (locienr- médecin,  h  Moilaas. 

DFGASCQ  ,  h  Paris. 

DEGLSSEV,  rliiiLirpen,  à  Epcmon. 

DEGÉNETAIS  ,  phant'ari.n.  à  Fccamp. 

DFGOESllN-VERH AEGH ,  libraire ,  h  Gand.  (  4  exemplaires.  ) 

DFGOUY  ,  libiaiie  ,  à  îiaiimnr.  (  ^  exempLiircs.  ) 

DEIS,  iibiairc,  a  Bes.'.nçou.  (26  exemplaires.) 

DEJACGHERE. 

DEJAER  '  H.  )  ,  docienr-medecin  ,  h  Liège. 

DEJAGHER ,  chirurgien  ^  la  iés^ion  des  Basses-Pyrénées ,  à  Pau. 

DEJOU  ,  docteur-médecin,  à  Jussac. 

DEJOLIY  ,  à  Paris. 

DEJOY  \\]\  ,  df)rteiir-méd.  cin  ,  à  S(. -Etienne. 

DEJUSSIEU,  libraiie,  à  Cluîlnns.     3î  exemplaires.  ) 

DEJUSSIEU,  libraiie,  à  Auiun.  (3  exemplaires.) 

DELABAR. 

DELABORDF',  libraire,  à  Vesoul.  (  2  exemplaires.  ) 

DELABROLSSE. 

DELACHAISE  ,  à  Paris. 

DELACROIX  ,  à  Moni-Pont. 

Pa^XAFAYE,  docienr-mcdocin  ,  h  Brossac. 

DELAFONT  ,  dodenr-médecin. 

DEL AG A  RENTIÈRE, 

DELAGARDE  DUMONT,  maître  en  cbiiordic,  à  Cérans. 

DELAGUETTE,  iii;primeur,  à  Paris.  (  3  exemplaires.) 

DELAHAYE  ,  à  Lions. 

DELAJONCHÈRE  ,  à  Paris. 

DELALEAU  ,  propriétaire,  à  Elbenf. 

DELAMAGDELAllSE , 

DELAMAISONROLGE  ,  directeur  des  postes,  à  CorLic. 

DELAMORmiÈRE,  rcnuei,  à  Puris, 

DELAMYRE,àParis. 


22  LISTE  DE  MM.  LES  SOUSCRIPTEURS. 

DELAPORTE,  cliinugien  en  chef  de  la  marine,  à  Brest. 

DEEAPORTE  (  Isidor)  ,  floct.-méd.  de  la  fac.  ne  P. ,  chir.-acc. ,  à  Vimouticr. 

DELAPRADE,  docienr-médecin  ,  à  Lyon. 

DELAPRÉVOTIÈRE  (Victor-Hyppoliie) ,  inspect.  des  domauies,  à  Rouen. 

DELAROCHE  LACARELLE,  maire,  h  Saint-Léger. 

DELAROCHFFOUCALLT-LIANCOURT,  h  Paris. 

DELAROCHETTE,  employé  à  la  poste. 

DELAROIERE. 

DELAROY  ,  docteur-médecin  ,  à  Lyon.' 

DELARJJE  (  Jean-Claude) ,  médecin  ,  à  Biéhal. 

DELALINAÏ  (Ciande-Antoine),  docieur-médecin  ,  ^,  à  Valencienaes. 

DELAUNAY,  chirurgien-major  an  a®  régi,  de  ligne. 

DELAUNOIS-LECLERQ,  libraire,  à  Reims.  (21  exemplaires.) 

DEL.^UR  ,  chirurgien,  àPoyanne. 

DELAVIGKE  ,  chinugien-deniisTe,  à  Roacn. 

DELAVILLLE,  ciiirurgien, 

DELBANDE,  vicaire  ,  à  Hesdin. 

DELRART  (Etienne-François),  chirurgien,  à  Albert. 

DELBOSC  ,  médecin  ,  à  Toulouse. 

DELCASSAN  (Alexis),  propriétaire  ,à  Hesdin. 

DEr.CHAMBRE-D'HERSTAL  ,  bourgmestre ,  à  Luy. 

DELCOAIllNETE,  pharmacien  ,  à  l'hôpital  militaire  de  Strasbourg. 

DELCOLRT,  curé,  à  Ascq. 

DELCROS  ,  libraire,  à  Anch.  (  4  exemplaires.  ) 
DEI.EAU  ,  ex-chirurgien  an  4®  de  cuirassiers,  à  Vezelise. 
DEf/ÉCLUSE  (  Armand) ,  docieur-médecin,  cbirr.rg.  de  la  marine  ,  h  Breti. 
DEF.KNS  ,  docieur-médecin,  à  Paris. 

DELESPINASSE,  à  Rouen. 

DELEYMERIE,  docteur-médecin ,  à  Madrid. 

DFLFOSSE  ,  négociant,  à  Bruxelles. 

DELHEZ,  docteur-médecin-,  à  Charneux. 

DELSHCIMS-,  docteur-médecin,  àFrégeac. 

DELIGINY  ,  professeur  de  mathématiques. 

DELMAS,  libraire,  à  Montpellier.  (  4  exemplaires  ) 

DELORE ,  docteur-médecin  en  chef  à  l'hôpital  militaire  de  Strasbourg. 

DELORME ,  docteur-médecin  ,  à  Bellçville. 

DELPIT,  docteur-médecin,  à  Paris. 

DEMARRAIS,  officier  de  santé ,  à  Paris. 

DELPEG  ,  docteur- médecin ,  à  Villefrancbe. 

DEl.PECH,  docteur-médecin. 

DELPECH ,  docteur-médecin ,  à  Caussade. 

DELTEL  ,  chirurgien  ,  à  Aramont. 

DELVAUX,  docteur-médecin  ,  à  Liège. 

DELYS,  Irbraire,  à  Saintes.  (  7  exemplaires.) 

DEMAKUEON,  docteur-médecin;  à  Paris. 


LISTE  DE  MM.  LES  SOUSCRIPTEURS.  23 

DEMARQUE,  docteur  en  cbiiurgic,  à  Sl-Gcrniain-cn-Laye. 

DEMARTAINVILLE. 

DEMBÉHIELIX,  le.nier,  à  Lyon. 

DEMASGONTHIÈRE. 

DEMAT  ,  libraire,  à  Braxelles.  (69  cxcniplairct. ) 

DEMAUX  ,  curé. 

DEMAY,  docteur-médecin,  à  Libourne. 

DEMELLET,  marécbal-de-ramp,  commandant  à  Bordeaux. 

DÉMÉTRIUS-NOULOPOULOS,  médecin  ,  à  Idra. 

DEMEYER,  cliirurgien-major  de  pontonniers,  à  Strasbourg. 

DEMICHELIS,  professeur  de  chirurgie  ,  ea  Sardaigne ,  à  Cagliari. 

DEMOINMEROT,  à  Saint-Denîs. 

DEMONNIER,  docleur-médecin,  à  Paris. 

DEMONVILLE ,  imprimeur-libraire,  à  Paris  (  1  exemplaires. ) 

DEMORTREUX  (  l'abbé  ),  bibliod.écaire,  à  Vire. 

DEMULDER,  docteur-médecin,  à  Paris. 

DEMUSSET,  àParis. 

DENIS,  docteur-médecin  ,  h  Argentan. 

DENIS  fils  ,  étudiant  en  médecine  ,  à  Paris. 

DENIS,  imprimeur-libraire,  à  Commercy.  (  7  exemplaires.  ) 

DENISLONG,  docieur-médecir. ,  à  Die. 

DENIS-PATUEL  ,  clururgien  ,  à  Paris. 

DEMZOT  (  Jean-Désiré  ) ,  chirurgien  ,  à  Cc'rilly. 

DEKNÉ,  libraire  ,  à  Madrid.   (  36  exemplaires.  ) 

DENOUE,  docieor-mcdecin  ,  à  Lormc. 

DENTU,  libraire,  h  Paris. 

DEPOMMEREUIL  ,  général,  à  Paris. 

DEREGN AL' COURT,  imprimeur-libraire  ,  à  Douay. 

DERIEN ,  à  Painpol. 

DERM(  Jean-Denis)  ,  doct.-méd.,  raéd.  en  chef  de  l'hospice ,  à  Morlais. 

DEROGNAT,  commissionnaire  en  librairie,  h  Paris. 

DERONZIÈRE,  pharmacien,  à  Vendôme. 

DEROUSSY  ,  notaire  ,  à  Noyon. 

DF'RT,  agent  d'affaires,  à  Paris. 

DERUE. 

DERUEZ,  doct.  en  chir. ,  ex-cbir. -major des  Lôpitaax  militaires,  ^^ 

DERVAUX,  dentiste, 

DESAINT-AULAIRE. 

DES  ^INT-FRESNE ,  docteur-médecin ,  à  Caen. 

DES  ANGES,  chirurgien  ,  à  Riom. 

DESAUGFS,  libraire. 

DESAVEUSE,  propriétaire,  h  Amiens, 

DESAYVRE,  chirurgien,  à  Chatellcrault. 

DESBAREAUX,  officier  de  santé,  à  Dargis. 

DESBIES,  docteur-médecin,  à  Paris. 


a4         LTSTE  DE  MM.  LES  SOUSCRIPTEURS. 

DESBORDF.S,  doctcui-ruédecin,  à  Lyon. 

DESRORDES  ,  docteiir-méde.ii) ,  à  Lonnoy. 

DFSBORDEAUX  ,  prof,  en  nittl. ,  méd.  en  ibef  des  liospices,  h  Caen. 

DESBUKFAUX,  (J.-B   J.),ex  chnur.des  armées,  rliiiingicn,  à  Dargis. 

DESCAIV1P5,  maire  de  la  paraisse  d--  St.  Maurice,  a  Lille. 

DESCHAMPS  (  Jr-an)  ,  doct^ui -médecin ,  à  Sinàac. 

DESCHAMPS  ,  cliirurgion  de  2«  classe  de  la  marine,  à  Brest. 

DESCLAUT,  officier  de  san(é,  à  Toulouse. 

DESCLEALX,  médecin  ,  à  Blauiac. 

DESCLEAUX,  médecin  ,  à  Mnret. 

DKSCOÏ,  chef  de  bnreau  delà  facullé  de  médecine,  à  Paris. 

DESCOURTIl.S,  docteur-médecin. 

DESCURE  ,  chirnr^ien-major  de  la  marine  ,  à  Paris. 

DESEIMOUR ,  à  Paris. 

DESENWEVILLE ,  propriétaire. 

DFSENNE  ,  libraire,  à  Paris. 

DESEPVRAY, 

DESET ANGES, 

DESEVE,  fïravenr,  h  Paris. 

DESFORGES,  docteor-médecin,  à  Beanfort. 

DESGENE  ['TES  (baron  ),  à  Paris. 

DESGRANGES,  h  Luxeuil. 

DESGRAVIER ,  docteur- médecin  ,  à  la  Roclie-Chalais. 

DESIMIAINE ,  à  Paris. 

DESJARDINS  ,  docteur-médecin ,  au  Havre. 

DESLANDES  ,  docteur-médecin 

DESLEE-MAES  ,  banqnier  ,  à  Conrtrai. 

DESMARE  (  Alpb.-Fré(léric-Ad.  ) ,  offic.  de  sanlé  de  la  marine,  à  Cherbonrg. 

DESMARETS  ,  libraire,  h  Paris. 

DESMARIES ,  ingénieur  des  ponts  et  cbanssées. 

DESMEZERAIS,  chirurgien,  à  Bauloa. 

DESMOLLINS, 

DESOER  ,  libraire,  k  Liège.  (9  ey.emplaires.  ) 

DESOER  ,  docteur  en  chirurgie  ,  h  Liège. 

DESOER  ,  libraire  ,  h  Paris. 

DESOUDIN  (  J-Ch.  ) ,  dbirargien  h  l'hôpital  de  Metz. 

DESPAGNE. 

DESPALIERES ,  doclenr-médccin ,  h  Lagnenx. 

DE.'îPREZ  ,  docteur-médecin. 

DESPRIETZ,  avoué,  à  Liège, 

DESROSIER,  à  Moulins. 

DESRUELLES,  chimrgien-major  an  8^  régt.  d'artillerie  h  pied,  à  Rennes. 

DESRUELLES  (Heori),  docteur -médecin. 

DESRUISSEAUX,  pharmacien,  à  Versailles. 

DESAINT-MARTIN,  doctear-médecin,  à  Chartres. 


LISTE  DE  MM.  LES  SOUSCRIPTEUIIS.  25 

OESSIRIER. 

DESTOUCHES,  cliirnrgîen-major  au  S*"  régt.  du  génie,  à  Moiy^iellier. 

DETHIER ,  cure ,  à  Dieyc. 

DÉTHIER ,  à  INédercane. 

DETIEjNINE  ,  CQié,  à  Walefles. 

DE  VAL ,  médecin  ,  h  Riom. 

DEVAUPRÉ. 

DEVAUT  (  Antoine) ,  docteur-nicdecin ,  à  Bassy-le-Repos. 

DEVENDEUIL,  à  Paris. 

DEVERNON. 

DEVERRE ,  chirurgien  de  a*  classe  de  la  marine  ,  à  Brest. 

DEVlGNES,àHerve. 

DEVILLIERS,  docteur-médecin. 

DEVILLY  ,  libraire,  à  Metz.  (36  exemplaires.) 

DEVOS  ,  docteur-nicdecin  ,  à  Paris. 

DEVOUGES  ,  capitaine  ,  à  Paris. 

DEWINCOP  (Madame)  ,  libraire,  à  Rocbefort. 

DHALIINGHEN  ,>^  ,  propriétaire,  à  Marconne. 

DHERBÈS  ,  propriétaire,  à  Ay. 

DIDELOT  DE  LA  FERTÉ,  ù  Paris. 

DIDOT(Pie»Tc). 

DIEU  ,  doctciir-mé<lecin ,  à  Paris. 

DIJOT  (  Gustave) ,  docteur-médecin,  àSorbacIi. 

DINDAL  ,  à  Bruxelles. 

DIRAC  ,  cliirurgicn-major  de  la  légion  du  Poy-de-Dôme. 

DIVERNERESSE  ,  docteur-médecm ,  à  Paris. 

DODELIN,  pliatmacieu  ,  à  Yvetot. 

DOFFIGNI  (Martin)  ,  docteur-médecin  ,  à  Rouen. 

DOMINIEL,  docteur-médecin,  et  chirurgien  en  chef,  à  Caen. 

DORTNIER ,  docteur-médecin  ,  à  Paris. 

DOSMOIND  (Al(xandre) ,  docteur-médecin,  à  Paris. 

DOSSEUR ,  avocjt ,  à  Paris. 

DOUBLAT  ,  receveur  général  du  dépt.  des  Vosges  ,  à  Epinal. 

DOUDIER  (Jtiiien  ),  docteur-médecin  ,  à  Paris. 

DOUESINEL  (  Piei  re-Frédéric  )  ,  docteur-médecin  ,  â  Bayeux. 

DOUFFRAGUES  (Etienne  ) ,  officier  de  santé,  à  Arles. 

DOUGE  ,  chirurgien  ,  à  Ramern|). 

DOUIINEAU  ,  chirurgien ,  à  Monljeaii. 

D'OULTREMONT  (  le  comte) ,  à  Wégimont. 

DOURILLE  DE  CREST  ,  libraire ,  à  Valence.  (4  exemplaires.  ) 

DOURLEN  ,  chirurgien,  à  Lille. 

DOUSSIN-DUBREUIL.doctenr-médecin,  à  Paris. 

DOUVRELEUR,  médecin ,  à  la  Barbaie. 

DRAHONNET,  docteur-médecin,  à  Nachamp. 
DRAPIER ,  marchand ,  à  Paris, 


26  LISTE  DE  MM.  LES  SOUSCRIPTEURS. 

DROGUET,  médecin  en  chef  de  la  mariae,  à  Brest. 

DROiVSART,  à  Bonchain. 

DROUEi',  docleur-ruédccln,  à  Paris. 

DRUON  ,  biblioihécaiie  de  la  chambre  des  dépiUés  ,  à  Paris. 

DUBOILLE  ,  docteur-médecin  ,  à  Aire. 

DUBOIS ,  (Hrectcur-économe  de  l'hôpilal  dn  Val-de-Grâce,  à  Paris. 

DUBOIS,  profcssenr ,  à  Paris. 

DUBOIS  ,  docteur-médecin  ,  à  Bagny-St.-Maolon. 

DUBOIS,  libraire,  à  Mcaux.  (6  exemplaires.  ) 

DtTBOIS,  chirurgien  principal. 

DUBOIS  ,  officier  de  sauté  ,  à  Yvre-le-Paulin. 

DUBOIS  (  Amable) ,  docieur-médecin  ,  à  Amiegs. 

DUBOR  ,  ex-doct.-méd. ,  ^ ,  en  son  château  ,  à  Maligné. 

DUBOSC,  docteur-médecin,  à  Lcsncvea. 

DUBOSC  ,  nîédecin,  à  Clairac. 

DUBOSQ,  <locteur-a)tklecin,  à  Quimper. 

DU  BOSQUET. 

DUBOURG  ,  docîenr-médecin,  à  Troyes. 

DURRAC-DESFORGES,  docteur- .médecin  .  à  Barbarie. 

DUBREUIL  ,  chirurgien  attaché  aux  liospiccs  civils,  à  Paris. 

DUBREUIL  (  Heclor-Etienue  ),  chir.  interne  attache  aux  hôp.,  à  Paris. 

DUBREUIL,  docteur-médecin,  à  Moustey. 

DU  BREUIL  ,  à  Bordeaux. 

DUBREUIL,  chirurgien  de  i"*  classe  de  la  marine  ,  professeur,  à  Toulon. 

DU  BUISSON  ,  docteur-médecin  ,  à  Paris. 

DUCHATEAU  ,  chirurgien,  à  Bessines. 

DUCHATEAU  ,  chirurgien ,  à  Paris. 

DUCHÎiiNE  ,  chirurgien ,  à  Roncn. 

DUCHEINE  (Ch.-Ji)s.),  doct.-méd.,  ex-chirur.-maj.dn  81'=  de  ligne,  àRoaen. 

DUCHESINE,  docteur-médecin,  à  Jemmapes. 

DUCHESINE  ,  libraire  ,  à  Rennes.  (  26  exemplaires.  ) 

DUCHE  r,  docteur-chirurgien,  à  Tartas. 

DUCHIER  ,  doctenr-médccln ,  à  Tulle. 

DUCHON,  docteur-médecin. 

DUCOROY  ,  lieul.  au  3«  de  ligne ,  à  Nevers. 

DUCOS  (  Jcan-Bapliste  ) ,  docieur-médecin  ,  à  Mirande. 

DUCOS,  chirurgien,  à  Si. -Laurent. 

DUCLOS  ,  prof,  de  l'école  royale  de  médecine ,  à  Tonlouse. 

DUCOUDRAY  ,  ù  Vaugirard. 

DUCPiOS  ,  médecin  ,  à  CIcrmont-Fcrrand. 

DUDOUYT  (Jean  Baptiste  Siméon  ) ,  docteor-medecia  ,  à  Coutances^ 

DUFART  ,  libraire,  à  Paris.  (  i3  exemplaires.  ) 

DUFAU  ,  pho-rmacien  ,  à  Paris. 

DUFAUR,  chirurgien  ,  à  Ecooen. 

DUFOUR  (  Fclix  ) ,  médecin ,  à  Livourne. 


LISTE  DE  MM.  LES  SOUSCRIPTEURS .  23 

DUFOUR,  libraire  ,  à  Falaise.  (  6  exemplaires.  ) 

DUFOUR  ei  D'OCCAGNE  ,  libraires  ,  à  Paris.  (  7  exemplaires.) 

DUFOUR  ,  doctenr-meclecin  ,  à  Lectonre. 

DUFOUR  ,  docteur-midecin  ,  à  Paris. 

DUFOUR  et  COMPAGNIE,  libraires,  à  Amstcrdara. 

DUFOUR,  docteur-médecin,  à  Montargis. 

DUFOUR,  officier  de  santé. 

DUFFOURD  ,  médecin  de  l'hospice ,  à  Toulonse. 

DUFRENOIS  (Pierre) ,  doct.-méd. ,  professeur  d'acconchemens ,  à  Paris. 

DUFRESNE.àParis. 

DUGAS ,  docteur-médecin  ,  h  Marseille. 

DUGOîNE  (Antoine). 

DUGUET. 

DUHALDE  ,  dsctenr-raédccin. 

DUHAMEL (  François-Joseph  )  ,  doct.-méd.  de  la  fac.  de  Paris ,  à  Falaise» 

DUHAMEL  ,  officier  de  santé,  à  Rouen. 

DUJARDIN,  idjraire,  h  Gand.  (  3;  exemplaires.  ) 

DUJARDIN-SALLY,  à  Paris. 

DULAU,  libraire,  à  Londres.  (  i3  exemplaires.) 

DULOCLE  (Joseph-Richard-Dcsiié),  doct.-méd.,  luéd.  des  épid  ,  à  Pontarlier. 

DUMAGNOU  ,  libraire,  à  Paris. 

DUxMAINE  (  Jhéodore  )  ,  à  Bordeaux. 

DUMAS  (  Pierre) ,  doctcur-inédeciu  ,  à  Paris, 

DUMAS  ,  chirurgien  ,  à  Paris. 

DUMAS,  ex-chirurgien-maior  du  10''  régt.  de  hussards,  h  Lyon. 

DUMERY,  négociant,  h  Paris. 

DUMESNIL  (Léon-Francois-André  ) ,  pharmacien,  à  Falaise. 

DUMESTRE,  docteur-médecin  ,  h  Tarbes. 

DUMONT  (Jean-Bapiiste-Auguste-François) ,  docteur  mcdccin,  à  Paris. 

DUMONT,  offlcier  de  santé,  à  Berney, 

DUMONT,  à  Paris. 

DLMONT,  médecin ,  h  Renais. 

DUMUIS. 

DUNANT  (David)  ,  libraire,  li  Genève. 

D  UN  AND  ,  docleur-mcdecin  ,  à  Boulognc-sur-mer. 

DUNES,  docteur  en  chirurgie,  à  Marseille. 

DUPARC,  avoné  aa  tribunal  de  1"^'^  instance  ,  h  Paiis. 

DUPERCHE,àParis. 

DUPÉRÉ  (  Nicolle) ,  pharmacien. 

DUPERRY  (Henri-Gaspard),  docteur-médecin,  à  Cliooz. 

DUPEYRE,  médecin  ,  à  Toulouse. 

DUPEYRON  ,  médecin,  à  Saini-Marlory. 

DUPLAN,  ciiirurgicn,  h  l'hôpital  du  Val- de  Grâce  ,  à  Paris. 

DUPLESSY ,  (  2  exemplaires.  )  ■ 

DUPLESSY  ;  sous-préfct ,  ;i  Knntna, 


»8  LISTE  DE  MM.  LES  SOUSCRIPTEURS. 

CUPONT,  officier  de  santé,  h  Saint-Jouln. 

DUPONT,  cliirnrgien-major  h  la  3"  compagnie  des  gardes-do-corps. 

DUPONT  ,  docteur-médecin  ,  à  Liège. 

DUPONT,  impiimear-libraire,  h  Péiigneox.  (8  exemplaires.) 

DUPONT ,  docteur-médecin ,  à  Gournay. 

DUPORT,  libraire,  à  Paris. 

DUPORTAL ,  doct.-méd.,  aide  majorh  la  lég,  des  Landes,  à  Mont-de-Marsair. 

DUPOUY,aBordeanx. 

DUPRE,  cbirnrgien  ,  à  Cerisiers. 

DUPRL ,  docteur-médecin  ,  à  Paris. 

DU  PUIS  ,  docteur-médecin  de  l'hospice  civil,  b  Lonvrcs. 

DUPUIS,  négociant,  à  Saint-Quentin. 

DUPUIS  (  P.-Ch.  ),  doct.-méd.  de  la  fac.  de  P. ,  méd.  de  l' hosp.  de  Lonvre^ 

DUPUIS,  pharmacien. 

DUPUY,  docteur-médecin,  h  Paris. 

DUPUY ,  doctenr-niedecin ,  à  Sorges. 

DUPUY,  doclenr-médecin,  à  ;Fontenay. 

DUPUY  ,  officier  de  sanié,  h  Bonlogrie-sur-mer, 

DUPUY  ,  docteur-médecin  ,  à  Sévérac. 

DUPUY,  docteur-médecin,  à  Lvon. 

DURAND,  docteur-médecin,  à  Paris. 

DURAND  ( Louis- Angnste-Firmin  ),  pharmacien  ,  à  Abbeville. 

DURANTON,  médecin,  h  Cassenenil. 

DURF,T,  docteur-médecin  ,  h  Nuits. 

DURET,  chirurgien  de  i'''"*  classe  de  la  marine  ,  h  Brest, 

DUQUESNE. 

DURAND. 

DURFORT  ,  médecin  ,  à  la  Ferté-Bernard. 

DUSAULCHOIS,  homme  de  lettres,  h  Paris, 

DUSSAULT,  homme  de  lettres,  h  Paris. 

DUSSAND  ,  h  Gren.nde. 

DUTERQUE ,  à  Nesle. 

DUTOUR,  doctenr-médecin  ,  à  Laadan, 

DUVAL,àParis. 

Du  VAL,  cliiruigien  ,  à  Caen. 

DUVAL,  second  médecin  en  chef  de  la  marine,  h  Brest. 

DUVAL  ,  doctenr-médecin,  à  Poitiers. 

DUVAL  (Achille),  docteur-médecin,  àPouancé. 

DUVAL  (Vincent  ),  docicnr-raédccin ,  à  St.-Sulpice  de  Grainbonvîlfe, 

DUVAL-LE-GRIS  ,  professeur  d'histoire  naturelle  médicale  ,  à  Brest. 

DUVERDIER  DE  MARCILLAC,  docteur-médecin  ,  à  Aurillac. 

DUVERGE  ,  doctenr-médcrin  ,  à  Brest. 

DUVERGIER,  libraire,  h  Dinan. 

DUVIARD,  doctenr-nié'îcrin  ,  à  Lyon, 

DU  VIVIER,  libraire,  j*  Liège. 


LISTE  DE  MM.  LES  SOUSCRIPTEURS.  29 

DU  VOISIN,  docteur-médecin,  à  Monihron. 

EMPEREUR  D'AUTRICHE.  (  S.  M.  1') 

ECOT  (  Prndont  )  ,  dncieur-inc;lccin  ,  h  Angers. 

EDIMBOURG  (  la  bibliotlièque  des  avocats  d'  ). 

EECHMAN,  pharmacien  ,  à  Lille. 

ECQUIER,  libraire,  h  Compiègne.  (  2  exemplaires  ) 

EDET- VALLÉE  et  COMPAGNIE,  libraires,  à  Rouen.  (4i  exemplaires.  ) 

EHLEU,  négociant,  à  Paris. 

EICHELBERG  ,  doctenr-médecîn  ,  h  WeseL 

ELARAC-t'AGET,  doclenr- médecin  .  h  Paris. 

ELRENDORF  ,  docteur-médecin  ,  à  Pans. 

ELFES  ,  docteur-médecin  ,  à  Ncnss. 

EMANGARD,  doctenr-médecin. 

EMHRY  ,  docteur-médecin  ,  à  Cuxac-Cabardé. 

EMERY,  pliarmacien  ,  à  Anvers. 

EKTRAIGUES  (  Jules  d'  ) ,  au  cbûtean  do  la  Monslière  (  Valancay  ). 

ESCOFFIER.  ' 

ESCOUBAS,  doctenr-médecin,  à  Lyon. 

ESPIAUD  f  Pierre- Arnould),  doctenr-médecin  de  la  faculté  de  Paris. 

ESPINASSE  (J.-G.),  doct.-méd.  de  la  lég.  du  Finistère,  i\  Vaknciennes. 

ESQUIRO'L,  docteur-médecin,  à  Paris. 

ESQUOT. 

ESS  (  Panl) ,  propriétaire,  à  Lyon. 

ESTRIBAULD  ,  docieur-médccin  ,  à  l'hôpital  de  Carcassonne. 

ETOC  (jeune)  ,  pharmacien  ,  an  Mans. 

ETOC  DEMARY  ,  pharmacien  ,  au  Mans. 

EUDES,  docteor-médccin  ,  à  Baveux. 

EUSEBE-SALVERTE,  homme  de  lettres. 

EVRAT,  docteur-médecin,  a  Paris. 

FABRE,  docteni -médecin ,  à  Eavcrmeu. 

FABUREL,  aîné. 

F  ABU  REL,  jeune. 

F AGET ,  «loctcur-médecin ,  à  Bordeaux. 

FAIDEGONDE  (  le  comte  de  ) ,  à  Paris. 

FAILLE,  docteur-cI)irur£;ien,  à  Joinviile. 

FAILLEMISSET  ,  chirurcien. 

FAILLIER  (R.-J.-C.  )  ,  offic.  de  santé,  cx-aide-maj.  des  armées,  à  Brétè». 

FAILLY  ,  procnrenr  du  roi,  à  Parthenay, 

FANTIN,  docteur-médecin,  à  Normans. 

FANTIN  et  COMPAGNIE,  libraires,  à  Paris.  (  i3  exemplaires.) 

FARGE,  libraire  ,  à  Lyon. 

FASEUILHE,  médecin  ,  à  Laymont. 

FAU  (  Gabriel  )  ,  (îocteur  médecin  ,  A  Lave'anef. 

FAUCHER-DU PESSAU  ,  chirurgien  de  marine,  à  Brest. 


3o  LISTE  DE  MM.  LES  SOUSCRIPTEURS» 

FAUGERON,  clève  en  médecine ,  à  Angers. 

FAURE  ,  officier  de  santé ,  à  l'île  d'Aix. 

FAURE,  pharmacien,  à  Paris. 

FAURE  ,  médecin-oculiste,  ù  Paris. 

FAURET  (Félix),  docteur-médecin,  ù  Auv.llars. 

FAUVEL  (M.  ),c!iirurg.  aux  chass.  à  cbcv.delagarde  royale,  à  Sarrcgucmine* 

FAUVERGE,àParis. 

FAVRE,IU.raire,  à  Paris. 

FAVROT,  docieur-me'decin  ,  à  Paris. 

FAYE,  libraire,  à  Rochefort.  (  54  cxeuiplaires, ) 

FAYET,  chirurgien-major,  docteur-mtdecin. 

FA  YOD,  à  Paris. 

FAYOLLE,  libraire,  à  Paris. 

FAZEULHE,  tlocteur-raédtcin,  à  Ricumes. 

FERCOQ.àHam. 

FEIGNEAUX  (  Engène-Louis) ,  méd.-cin,  à  Bruxcllfs. 
FERET  (  François  ) ,  médecin  ,  a  Perpig'iatj. 

FERON ,  doctenr-médecin  de  la  société  des  a:  ts  du  Mans. 

FERRA,  libraire,  à  Paris. 

FERRAGUET  (  baron  de  ) ,  maire  de  P.  tnéron. 

FERRE  ,  chirurgien-major  de  la  marine,  à  Cherboarg. 

FERRERO-BALDASSAR ,  propriétaire  ,  à  Tinin. 

lERTE. 

FEUILLET,  biijliothécaire  de  rinsli(nl,à  Paris. 

FIZEAU  ,  docteur-médecin  ,  à  Patis. 

FICHEFET  ,  docienr-niedecin  ,  à  Paris. 

FICHER  (  Pierre-Antoinc-Henry  ),  cliirur.  de  1'^''° classe  de  la  mâtine,  à  Grcst.. 

FICHET  ,  chirurgien  de  1  "^  classe  de  la  marine,  en  retraite,  à  Toulon. 

FIEVET ,  dorteur-médecin  ,  à  Paris. 

FIEVET-VARIN,  libraire,  à  Epernay.  (3  exemplaires.) 

FILHASTRE  ,  médecin ,  à  Limoges. 

FILHOL,  à  Grenade. 

FILIPPI,  professeur  de  ckirnrgic,  à  Turin. 

FILOLEAU  ,  ofGcier  de  santé  ,  à  Lucé. 

FION,  élève  en  chirurgie,  à  Liège. 

FIORY,  doclenr-tnédecii),  ^  ,  à  la  Fiiche. 

FIOUPPE  ,  chirurgien  de  la  marine,  à  Toulon. 

FLAGEY  ,  docteur-médecin,  à  Besançon. 

FLAHAUT,  docteur-médecin  ,  à  Boniognesnr-iner. 

FLAMANT  ,  professeur  à  la  facnlté  de  Sirosboing. 

FLAUBERT,  chirurgien  en  chef  do  rfiôtel-Ditu,  à  Rouen. 

FLESCHEMER ,  Lemiaire-bandagiste ,  à  Paris. 

FLEURET  ,  docleur-médecin,  à  riiôpital  de  Lille. 

FLEURY,  docleiir-niédocin  ,  à  Paris. 

FLEL'RY  père,  ancien  avocat  an  parlement  de  Grenoble,  à  Sî.-Vallier- 


LISTE  DE  MM.  LES  SOUSCRIPTEURS.  3i 

FLEURY  ,  libraire,  h  Ronen.  (  i  ezcmplaires.) 

FLEURY  ,  libraire,  h  Paris.  (  3  exemplaires.) 

FLEURY,  cbirurgien  en  chef  des  hospices  de  Clcriuont-Fcrrand. 

FLIC.K.,  Iibir,ire,  à  Râle  (Suisse).  (  3  exemplaires.) 

FLOGERGUES,  avocat. 

FLORES  ,  docteur-médecin  ,  h  Cadix. 

FLO'I  TARD  ,  chirurgien  ,  h  Toulouse. 

FOCILLON  ,  doctenr-mcdecin  ,  à  Paris. 

FODERE  ,  docteiir-médtcin  ,  à  Strasbourg. 

FONSSARD  ,  docteur-médecin  ,  accoucheur,  h  Patis. 

FONTAINE  (J  -M.  ) ,  d»ctenr-raedecin ,  à  Cabis. 

FONTAINE,  docteur-médecin  ,  à  Si  -André. 

FONTAINE,  docreur-niédccin,  à  SaiiU-IVlaio. 

FONTAiNE  «loct.-méd.,chir.-m.  de  la  lég.  des  Pyr.-Oricnt.  ^,  ù  Perpignan. 

FONTELLIAU  ,  doctear-ntédecin  ,  à  Patis. 

FORESTIER. 

FORET.  . 

FORICFION,  doctenr-médecin,  an  Montet-aus-Moines. 

FORLElNZîi:,  docteur-médecin,  à  Paris. 

FORNARAKI,  étndiant^eri  inédecine,  à  Paris. 

FORTIN  ,  pharmacien  h  Paris 

FORTIN ,  cliirurgien ,  ù  Gonquigny. 

FORZANI,  médecin  ,  h  Mondovi. 

FOSSENQUI,  chirurgien  de  2«  classe  de  la  marine,  à  Toulon. 

FOUBERT,  docieur-médccirï  ,  an  Havre. 

FOUCAULT,  docteur  médecin  ,  h  Paris. 

FOUCAULT,  libraire,  à  Paris.  (  3o  exemplaires.  ) 

FOULON ,  libraire  ,  h  Paris.  (  2  exemplaires.  ) 

FOUREAU  DE  BEAUREGARD  (Louis) ,  doct  -méd.  de  la  F.  de  Paris; 

FOURIER-MAME  ,  h  Angers. 

FOURIER-MAME,  libraire,  h  Angers.  (42  exemplaires.) 

FOURNÈS  (Pierre  ),  prêtre,  à  Perpignan. 

FOURNES,à  Dourgne. 

FOURNIER-PESCAY  ,  docteur-médecin  ,  à  Paris. 

FOURNIER,  propriétaire,  à  Paris. 

FOURNIER  (St.-  ) ,  chirurgien  ,  h  Beanmont-sur-Vingcanne. 

FOURNIER  (Antoine),  médecin  ,  à  Motttfcrrand. 

FOURNIER  ,  libraire  ,  ù  Paris. 

FOUROT  (  J.-B.  ),  diirnrgion  à  la  légion  du  Haut-Rhin  ,  i  Colmar. 

FOURRE,  docteur-médecin,  è  Nantes. 

FO VILLE  (Achille-Louis) ,  xlocteur-médecin,  à  Ponloise. 

FOY,  pharmacien,  à  l'Hôiel-Dieu. 

FRANGEZ  ,  doctear-médecin. ,  à  Lourdes.  ^ 

FRANÇOIS,  chirurgien,  à  l'hôpital  militaire  de  Strasbourg. 

FRANS,  h  Paris. 


32  LISTE  DE  MM.  LES  SOUSCRIPTEURS. 

FRANVALEr  (P.-N.-F.  ),  chirargien-majoi- ,  ^. 

FRAPPAS  ,  niétiec.n  en  chef,  à  Duukerqfie. 

FRAPPAS  ,  cliiriiigien  de  i"«  classe  de  la  uiaiinc,  à  Brest. 

FRASSACHATY  dcies ,  iiégocians ,  à  Marseille. 

FRÉDERICQ ,  pliaimacien  ,  à  Verviers. 

FRÉGORE  (  baron  de  ) ,  à  Paris. 

FRENEUIL ,  bibliothccaire  ,  à  TArsenal,  h  Paris. 

FRERE  (  Camilie  ) ,  pbaruiaciun  ,  d  Paris. 

FRÈRE  ,  aînti,  libraire  ,  à  Rouen. 

FRESLON  ,  tîfGcier  de  samé  ,  à  la  Suze. 

FRESSINOLX  ,  docteur-médecin  ,  à  Saint-Elienne. 

FRI  l'IDLAIN  DER  ,  doctenr-raédecia ,  à  Paris. 

FRISOjN  ,  docteur-médecin. 

FROGER  ,  commissaire  des  guerres. 

FROîiJSHELlSER,  vérificateur  de  reiiregistrement ,  h  Cohnar. 

FHOMEÎN  r,  docteur-médecin,  à  Lavacqueriiî. 

FROMENT,  docteur-médecin  ,  adjoint  au  maire  de  la  comm.  de  Lavacqucrie. 

FROMENTIN  de  Saint-Cbai les,  sous-inspccteur  aux  revues. 

FROMENTIN  ,  libraire ,  à  Soissons.  (  3  exemplaires.  ) 

FROSSARD. 

FRLICY ,  docteur-médecin. 

FSYCHA,  négociant,  à  Marseille. 

FUILHAN,  docteur-médecin,  à  Madiran. 

FUMBERT. 

FUMERO ,  médecin  ,  h  Cararaagna. 

FUGET,  docteur-médecin,  au  Pouget. 

GABON,  libraire,  h  Paris.  ('267  exemplaires.) 

GAGHASSIN ,  docteur-médcciu  et  chirurgien,  à  Castres. 

GADOIS  ,  pharmacien ,  au  Mans. 

GAETANO-CORTESE ,  docteur-médecin ,  à  Nantes. 

GAILLARD,  docteur  en  chirurgie,  à  Toulouse. 

GAILLARD  ,  médeciu  ,  h  Villeiiouvellc. 

GAILLARDOT,  docteur-médecin,  à  Luuévillc. 

GALAND  fils ,  officier  de  santé ,  à  Prades. 

GALES ,  phatmacien ,  à  Paris. 

GALIAY,  docteur-médecin,  à  Tatbes. 

GALL,  docteur-médecin,  à  Paris. 

GALLAND  ,  libraire  ,  à  Paris. 

GALLE  T,  caissier  du  timbre,  à  Paris. 

GALLICHER. 

GALLON  ,  libraire,  à  Toulouse.  (3  exemplaires.) 

GALLI  (  Antoine  )  ,  médecin  ,  à  Novare. 

GALt)lJZEALl  (Chatles-Euphémie) ,  officier  de  santc  retiré,  à  Bazy. 

GALPIN ,  olficier  de  saule  ,  à  Lucé. 


LISTE  DE  MM.  LES  SOUSCllIPTEURS.  33^ 

GAMBART  DE  COURVAL,  libraire ,  à  Courirai.  (  26  exemplaires.  )  • 
GAIVIBART  DLi JARDIN  ,  libraire,  h  Ypres.  (  8  exoraplaires.) 
GAMBIER,  libraire,  h  Bruxelles.  (  6  fxtini|)iaires). 
GANARD  (  C.  P.  A.  ) ,  doct.raéd.  de  la  f .  de  P.^  mspect.  des  eaux  minérales 

de  Segrais,  à  Filhiviers. 
GANDOLPH. 

GATNNE,  Hoctenr-médecin  ,  à  Rablay, 
GANOT  ,  médecin  ,  à  Malicorne. 

GANTELME  (  Touisaini-Benoit-lVlaiie  ),  chirargien  ,  à  la  Seyiie 
GARCIN,  libraire,  à  Mâcon.  (  6  excm["Jaires .  ) 
GARDANTE,  docieur-médecin  ,  h  Paris. 
GARDIEN  ,  docteur-médecin  ,  h  Paris. 
GARDON,  cliinirgieu-major dans  les  armées  piémontaises. 
GARNIER  (  J.  ) ,  officier  de  samé  à  St.-Scïne-l'Abbaye. 
GARNIER ,  à  Moniargis. 
GARNIER  DE  ST.-JUST. 
GARNIER  ,  docieur-médecin  ,  h  Angers. 

GARNOT  (  Prosper  )  ,  chirurgien  de  a«  classe,  au  port  de  Brest 
GASC ,  médecin  militaire. 
GASPARD,  docteur-médecin,  à  Frousac. 
GASPARIN,  docteur-médeciu,  à  Orange. 
GASSIOT,  libraire,  h  Bordeaux.  (  10  exemplaires.) 
GAUBE  ,  docteur-me'deciii  ,  à  Nérac. 
GAUBOT  ,  cliirurg.-niajor  des  cliasseurs  du  Gard, 
GAUDEMARD  (  Maxime)  ,  pharmacien,  h  Ollioulie. 
GAUDICHAUD  ,  pbarmacieu  ,  à  Rochefoit. 
GAUGIRAN  ,  médecin  ,  à  Toulouse. 
GAULAHD-MARIN,  libraire  ,  à  Dijon. 

G  AULAY,  cbirurgien  an  régt.  de  lanciers  de  la  garde  royale,  à  Beauvaîî. 
GAULTIER  DE  CLAUBRY  ,  docteur-médecin  ,  à*  Paris. 
GAUQUIER  ,  chirurgien,  h  Roubaix. 
GAUTIER  5  docteur-médecin,  h  Bréey. 
GAUTIER,  chirurgien-accoucheur,  it  Paris. 
GAU'l'IKR  ,  chirurgien,  à  Cbâleauiieiif-sur-Tjoire. 
GAUTHON,  artiste  vétérinaire,  h  Châiiaobriand. 
GAVOTY  ,  commis  principal  de  la  «narine,  â  Toulon. 
GAY  (Pierre  ),  officier  de  santé  ,  h  Civray. 
GAYE  ,  «loctcur-médecin  ,  h  Samarlet. 
GAZOT,  docteur-médecin  ,  à  Hodimont. 
GELLIE  (  François  ) ,  docteur-médecin,  à  Bourg- snr-Gircndc 
GENDRON,  docteur-médecin,  à  Savenière. 
GENOUX,  libraire,  h  Gap.  (  2  cxemplaiies.  ) 
GENlJL  ,  dirccienr  du  timbre  ,  h  Paris. 
GEOiFROY,àParis. 
GEOFFROY  ,  docieur-médecin  ,  au  Thor. 

K 


34  LISTE  DE  MM.  LES  SOUSCRIPTEURS. 

GEORGFS  ,  IiIm  niie  ,  à  Epina!  (  8  cxcmpl.'iirfs.  ) 

GEOhGET  DL  TjREUIL  ,  «liliurgiea  de  i"'"=  classe  ,  h  Tusson. 

GEORGIADESZALÏK,  à  Paris. 

GEHADON. 

GÉHARD,  i)l)armacien  ,  à  Colmar. 

GERARD,  libraire  ,  à  Paris.  (  2  exemplaires.) 

GERALD. 

GERBE  AUX  ,  cffîcicr  tic  santé,  à  Gaud. 

GEREiNTET ,  docieur-médecin  ,  Ji  Monlbrison. 

GERIN  ,  avoué,  à  Vienne. 

GERMAIN ,  ofGcicr  de  sanié  ,  h  Ecoraoy. 

G  f"  RM  AIN  ,  docîeur-médecin  ,  à  Sprimont. 

GERMAI i\  ,  docteur-médecin,  h  San-Coin. 

GERMIGNAC  ,  docteur-médecin  ,  h  Lescure. 

GERMOINT,  cliirnrgicn,  au  Val-de-Grâce ,  à  Paris. 

GÉRON,  docteur-médecin,  à  Malmedy. 

GERVAIS ,  h  Paris. 

GESSARD  ,  pharmacien  ,  à  Lagny. 

GESTA,  cfiirurgieu,  à  Bagnères. 

GHFRSI,  médecin,  à  Rannis. 

GHYSENS  ,  docteur-médecin  ,  h  Heik-ia-ville. 

GIARD  aîné',  libraire  ,  h  Yalcncienncs.  (  14  exemplaires.  ) 

GIANOl.IO  (Laurent  ),  médecin,  à  Cherasco. 

GIRERT. 

GlEGLER  ,  libraire,  h  Milan.  (  26  exemplaires.  ) 

GIFFARD,  docteur-médecin. 

GIGAKON  ,  pharmacien,  àMontluçon. 

GILBERT,  docienr-médecin,  h  Paris. 

GILIRERT  (  Charles  de  ) ,  maue  de  Darapuiat ,  à  Biivcs. 

GILLE,  libraire,  à  Bourgo*.  (  i3  exemplaires.  ) 

GILLE  ,  docteur-médecin  ,  à  Paris. 

GILLES  (  J.-F.) ,  docteur-médecin  ,  à  Lorient. 

GILLET,  rentier,  à  Lyon. 

GILLET ,  officier  de  santé ,  à  Ainay-le-CbAleau. 

GILLONBOIS. 

GIINET ,  à  Paris. 

GITNET ,  docicur-médecîn  ,  à  Lyon. 

GIORERT,  professeor  de  cJiimie,  à  Tuaiversité  de  Turin. 

GIORDANO ,  cbircrgien  ,  à  Turin. 

GIRAL  ,  à  Varizc. 

GIRAKD,  docteur-médecin,  à  St.-Etienue. 

GIRARD,  doc  leur- médecin,  à  Paris. 

GIRARD  ,  libraire ,  à  Besançon.  (22  exemplaires.  ) 

GIRARDOT-DE-VEMEINOUX. 

GIRAUD,  chirnrgiea-major  de  la  légion  corse,  à  Baslia. 


LISTE  DE  MM.  LES  SOUSCRIPTEURS.  55 

GIRAUD ,  à  Pmis. 

GIRAUDY-DE-BOL4LLARD,  docteur  en  chirurgie,  à  Marseille. 

GIRAUD-SAINTROME  ,  fils  ,  docieur  en  cliirnrgie,  à  Marseille. 

GIRAULT,  doctenr-médtcin,  h  Paris. 

GIROD  (François- Vincent  ),  officier  de  santc,  ^  Largilliai. 

GIROD  ,  docicm -médecin  ,  à  Lyon. 

GIRODET,  docteur-médecin,  à  Paris. 

GIROD  Y  ,  docteur-médecin ,  à  Paris. 

GIROUD  ,  horlof;er,  au  dépôt  d'.horlogerie,  A  Paris. 

GISSOT  ,  doctenr-me'decin  ,  à  Paris. 

GLASSIER,  doctenr-médecin,  à  Lavaur. 

GLASSON  .  inspecteur  des  droits  réun's  ,  h  Paris. 

GLUCKSBERG  et  COMPAGNIE,  libraires,  à  Varsovie.  (  lo  exemplaires.  } 

GOBERT  (  Jacques-Alexandre)  ,  docteur-médecin  ,  à  Délabre. 

GODEFROID,  rbirorgien. 

GODIN  ,  c'indiant  en  médecine,  i  Liège. 

GODIN  ROL'RDILLON,  chirur^i-^n  ,  ;\  ChAteanroax. 

GODRON  ,  ciiirurgien  à  l'iicipiia!  milita-re  de  Lille. 

GOEDORP,  chirurgien  à  Pliôpiial  militaire  de  Lille. 

GOELO  ,  doctenr-médecin,  à  St.-Po!-dc-Léon. 

GOHIER  ,  doctenr-médecin  ,  à  Pont-Hébert. 

GOLDIE. 

GOKDRET,  docteur-médecin,  à  Paris. 

GONTARD ,  pbai;macien,  à  Chatilton. 

GORRÉE. 

GOSSE  ,  doctenr-médecin ,  à  Paris. 

GOSSE,  libraire,  h  B  lïoniie.  (  38  exemplaires.  ) 

GOSSEMENT,ci)irnrgien,  h  Arcis-snr-Aubc. 

GOSSINfl'abbii). 

GOUFFR  AN  ,  libraire,  à  Bagnères-Lnclion. 

GOUIFFES  ,  doclear-médecin,  h  Qriimper. 

GOUJON,  libraire,  à  Paris. 

GOULLARD,  médecin,  à  Beanmont-Lomagne. 

GODLLET,  libraire,  à  Paris.  (2  exemplaires.  ) 

GOUPIL,  rccevcnr-général  dn  département  de  la  Sarthe,  an  Mans. 

GOUPIL  ,  chirurgien  à  l'hôpital  militaire  de  Lille. 

GOURAUD,  chirurgien-major,  .h  Tours. 

GOURBERT,  doctenr-médecin,  h  Amhert. 

GOURIER,  libraire,  h  Paris.  (  n  exemplaires.  ) 

GOURRAUD,  doctenr-médecin,  i  Paris. 

GOURSSIES ,  h  Bordeaux. 

GOURSSIES  (  Jean  ) ,  doctenr-me'decia  de  la  F.  de  Montpellier,  à  Ra'uan. 

GOUT  ,  docteur-médecin  ,  à  Foix. 

GOUYON. 

GO  Y  EAU  D ,  pharmacien  ,  à  Bourg. 


36  LISTE  DE  MM.  LES  SOUSCPaPTEUP.S. 

GOYON,  chirnrgien,  à  Paris. 

GOYOT-BUSSY ,  notaire  et  maire,  à  Luzaichcs. 

GOZE  ,  pharmacien  en  c'rief  ,  à  Paris. 

GRAF.L,  cLef  de  division  an  trésor  royal ,  à  Paris 

GRAFF,  négociant,  à  Eusival. 

GRAMMAIRE  ,  docteur-médecin  ,  h  Epcrnay. 

GRAND,  docteur-médecin,  à  Craponne. 

GRAINDJEAN ,  avoné,  à  Paris. 

GRANDJE.A,N  ,  cliirargien-ruajor  retraité,  à  Picrrefitte. 

GRATVDPRÉ,  libraire,  à  Laval. 

GRAINIER,  docteur-médecin,  h  S;iiiit-Pons. 

GRANSALLT,  docleur-mé^lecin  ,  à  Sabriac. 

GRANVAL  ,  chirorgien-aide-major  ,  à  Ajaccio. 

GR  AN  VILLE ,  docteur-médecin ,  h  Londres. 

GRAS  ,  doctenr-médecin. 

GRAS  (  Lniiis-Archangf)  ,  officier  de  santc  de  la  marine ,  h  Tonion, 

GRASSAL,  médecin  ,  à  St.-Floiir. 

GRASSîN  ,  doctenr-médecin  ,  à  Paris. 

GRAVELOTTE,  directeur  des  droits  réunis  ,  à  Strasbourg. 

GRAVET  (  Madame) ,  à  Paris. 

GR  A  VOT ,  docteur-médecin ,  h  Cliatil!on-sur-Loing. 

GRAZIANI,  médecin  ,  h  Bastia. 

GREGOIRE  ,  libraire,  à  Paris.  (  2  exemplaires.) 

GRÉGORIE  ,  à  Paris. 

GRELAUD  ,  chirurgien  ,  h  Dun. 

GRELET,  docteurmédcoin. 

GRELICHE  (  Pierre) ,  médecin,  et  maire,  h  Fayet. 

GREMAUD  ,  doctenr-.iiédccio  ,  cbirnrgien-raajor. 

GRENET-GUILLEBERT,  marchand  de  vin  en  gros,  à  Paris. 

GRENET,  doctenr-médecin. 

GRIESHAMMER,  libraire,  à  Leipsick.  (11  cxemplaîics.) 

GRIMAULT,  pharmacien  ,  au  Lyon  d'Angers. 

GRISET  jenne  ,  libraire,  à  Bonlogne-snr-mer. 

GROSJEAN,  dor.tcnr-inédecin  ,  h  Faucaugney. 

GROSBOIS ,  docteur-médecin  ,  h  la  Cbataigneray, 

GROS  LAMBERT. 

GRODL'f ,  libraire,  à  Baveux.  (  9  exemplaires.  ) 

GLEMBERTEAU  ,  à  Pa.  is. 

GL  EN  E  A  L -DE-MUSS  Y . 

GLIENIFEY-DE-SAVONNIERE,  à  Paris. 

GfEPIN  ,  doctenr-médecin  ,  à  Angers. 

GUEPRATTE,  directeur  de  l'observatoire  de  la  maiiac,  à  BtCst. 

GUERAL^LT  ,  doctcnr-me'decin. 

GUERGUI  ,  doctenr-mcdecin ,  à  Parniers. 

GUERIN,  docteur- médecin  ,  à  Lyon. 


LISTE  DE  MM.  LES  SOUSCRIPTEURS.  87 

GUÉRIN ,  doct.-méfl.  de  la  F  de  P. ,  associé  émérite  de  la  société  d'instruc- 
tion médicale,  ii  Cliâtillon-snr-Iiidre. 
GUERSENT,  docteur-médecin,  h  Paris. 
GUÉi^Y. 

GUEYDAN  ,  doctcnr-medecin  de  S,  A.  S.  la  dach.  cîonair.  d'Orl. ,  à  Paris. 
GUEZENNEC,  chiirurgien  de  i^"^*  classe  de  la  marine,  à  Brest. 
GUIARD  ,  docteur-médecin  ,  h  Marseille.  ^ 

GUIBOUT  ,  awocat  aux  conseilsdn  roi,  à  Paris. 
GUICHANET,  docieor-médecin  .  h  Lvon. 
GUICHOU  ,  docteiir-mëd''cin  ,  h  Moniesqnicn. 

GUIGNARD  ,  docieur-mederin  ,  prnfes.  à  l'école  second,  de  méd.  de  Poitiers. 
GUIGNE,  doctenr-niédecin,  h  Beaiijen. 
GUILBT'.RT  ,  doclenr-médecin. 

GUILHERY  ,  chiruigien  à  l'Iiôpital  de  Picpns,  à  Parisk 
GUILHOTM  ,  cliirnrgirn  externe  à  la  Charité,  h  Paris. 
GUILLARD,  doctenr-nit'defin  ,  h  Ambonn;iy. 
GUIT.LAUME-KOCHETTE,  docunr-méd.cin  ,à  BricHde. 
GUILLEGUAULT ,  doctcnr-m.^decin  ,  à  Congis. 
GUILLEMINET,  libraire,  à  Paris  (  9  exemplaires.  ) 
GUILLEMOT,  à  P,nis. 
GUILLIE  ,  doctenr-médecin  ,   à  Paris. 
GUILLIERMANT,  pharmacien  ,  à  Lyon. 
GUILLON  ,  docleDr-méilecin  ,  à  Paris. 
GUILLOT,  iogénienr-graveur. 
GUILLOT,  rentier,  à  Paris. 
GUmCOURT. 

GUIOT,  dortear-médecin ,  à  St.-Rambert. 

GUIOTH  (  Adrien),  doctenr-médeci-u  ,  «hirargien-major  d'artill. ,  h  Mclz. 
GUIRAUD  (  Loiiiâ-Benoît) ,  cliir.-maj.  an  6^  légt.  d'artillerie  à  pied. 
GUITEL ,  libraire,  à  Paris.  (67  exemplaires.) 
GUITHER  (  J.-J.) ,  docteur-médi-ciiT  ,  à  Deuze. 
GUIVARA  ,  imprimeur -libraire,  à  Reilicl. 
GUY  ,  pharmacien  ,  h  Milhaud. 
GUYON  ,  officier  de  santé,  à  Tuffé. 
GU  ÏOT  fils  ,  médecin  ,  St  Villeneave-snr-Lot. 
GUYTON-MORVEAU  (  baron  ) ,  5  Paris. 

HAKEN  ,  doctcnr  en  cliirnrgfe,  à  Charneux. 

HAILLECOURT,  ducteor-mcdecin,  h  Paris. 

HAI^'.E,  docteur-mé<lecin ,  secrétaire  de  la  société  me'dicale ,  à  Touis. 

HALLE  ,  dnci«ur  médecin  ,  a  Paris. 

HAMKL,  dor'ieiir-médecin  ,  à  Laniiinn. 

HAMOIR  '  E'imond  ) ,  négociant ,  h  Valenciennes. 

HAMOIN  (  Joseph-Franç.tis),  phaimacien,  à  Rennes, 

HAMY  ,  culiivalcuc ,  à  Bresmes. 


38  LISTE  DE  MM.  LES  SOUSCRIPTEURS. 

HANGRIN  (  d')  ,  piopriéiaire,  h  Lille. 

HANININ,  tlocieut-mcdecin  ,  à  Paiis. 

HA]NTRAYE,àPans. 

HARAINEDER  ,  h  Paris. 

HARRAUR  ,  médecin  du  roi  des  Pays-Bas,  h  Bruxelles. 

HAUDY  ,  docieni-médecin,  à  Podley-snr-lc-Homme. 

HARMAKT  (  François)  ,  propriétaire,  à  Achcnx. 

H.ARSANS  ,  docteur-médecin  ,  h  Rambouillet. 

HALZEUR  ,  docieur-mcdecin  ,  à  Liège. 

HAVARD  (J.-M.-Aibcrt),  médecin,  à  la  Martinique. 

HAXHE,  docteur-médecin,  à  Olae. 

HEBERT  ,  pharmacien  ,  h  Noyon. 

HÉRRÉARD,  doctcnr-médeciu  ,  à  Bicétre. 

HECTOR  ,  propriétaire. 

HEDELHOFER  ,  cliirorgien-raajor  de  la  garde  suisse,  à  Paris. 

HFXEINES  .  dortenr-mcdccin  ,  à  Bayenx. 

HÉLÈNE  LE  BARON,  libraire  ,  à  Caen.  (  6  exemplaires.  ) 

HFLLIS  ,  docteur-médecin ,  à  Paris. 

HE  VELO  T  ,  chiiurgien-major  de  l'école  de  cavalerie. 

HENNEL ,  h  PiMis. 

HFNFLING,  officier  de  santé,  à  Bick. 

HENNLY  ,  libraire,   à  Sedan. 

HENRARD ,  officier  de  santé  ,  h  Forville. 

HENRY,àPa.is. 

HENRY.  ilf)ciem  -médecin.  ,  à  Lncbes. 

HENRY  DE  LA  VALGLIERIES  (  P.-A.),  raéd.  en  chef  de  l'hospice  milit  , 

à  CoulanL'es. 
HENRY  ,  doclenr-médtcin  ,  chirurgien  à  St.  Arnoult. 
HEINSAY  ,  docteur-médecin  .  h  Cologne. 

HÉRALID  ,  ditMazel  (M.-J.-J.  ),  ex-ehirnrg. -major  des  armées,  à  Lyon. 
HÉRAULT. 

RERBKLET,  libraire,  à  Verdun.  (6  exemplaires.  ) 
HERDER ,  à  Fribonrg. 
HERE  \L/  ,  docieiH -médecin,  àParis. 
HERHIN  ,  docteur-médecin  ,  à  l'hôpital  militaire  de  Calvi. 
HERICARD  ,  floctenr-médecin  ,  à  Paris. 

HERN  ATSDEZ ,  profcss.  à  l'école  de  méd.  navale  de  Toulon  ^  ,  à  Toulon. 
HEROLD  et  W  AHLS  l  AB  ,  libraires,  à  Lnnébonrg. 
KEROTN  (  P.-J.-H.  ) ,  docteur-médecin,  à  la  Louppe. 
HERRMANN  ,  chirnrgien-aide-major  de  la  garde  royale. 
HFRVE-LICOIS  ,  docicnr-médecin  ,  à  Tiercé. 
HERVÉ  aîné,  doctenr-méderin,  à  Villevêrjae. 
HFR\  É  jeune,  docteur-médecin. 
HERVFY  (  Auguste),  à  Paris. 
HERVEZ. 


LISTE  DE  MM.  LES  SOUSCRIPTEURS.  39 

HESEQUE. 

HliU  ,  (locteiu-naédecin  ,  à  Ai  bois. 

HKUDIER. 

HEUMANN,  chirnrgien-major  dn  8^  regt.  de  la  garde  royale. 

HEYSE  ,  iiiipiirneur-libraire  ,  à  Cremen. 

HILAIRE  ,  chirurgien,  à  Rouen. 

HILLAIRE  ,  rentier  ,  à  Paris. 

HITSCHLER  ,  pasteur,  président  (Je  l'église  protestante,  à  Colmar. 

IIOATZON. 

HOCQUART,  libraire,  à  Paris. 

HODOUL  (  Lonis-Aiiloilie),  chirurgien,  à  Beanuiont. 

HOFFMANN,  homme  de  lettres  ,  à  Paris. 

IIOFRE,  chimiste,  à  Mulhouse. 

HOLLOT  ,  notaire  ,  aux  Andelys. 

HONNET.àPar.s. 

HONJVORAT  ,  doctenr-rm^decin  ,  à  Digne. 

IIOOPER  (  Georges-Syaie)  ,  docteur-médecin  ,  à  l'iie  de  Jersey. 

HORGNIES-RENIER  ,  libraire,  à  Bruxelles.  (38  exemplaires,  j 

HORNEZ-DUBOIS. 

HOR'l'ALA  ,  docteur-médecin  ,  à  la  Liriuière. 

HOrOT  (  Pierre) ,  doct.-méd.  de  Montp. ,  maire  de  la  Hayc-du-Pui  îs. 

HOU  ARD  ,  docteur-médecin. 

HOUDAILLE  ,  doclenr-raédecin,  à  Vilteaux. 

HOUIN  ,  fiicteor  près  la  Douane,  à  Menin. 

HODRELLE,  ducteur-médecin  ,à  Reims. 

HOUSEL  ,  directeur-général  du  livre  de  la  dette  pnbliqae,  à  Paris. 

HUARD  ,  ciiirnrgien  ,  b  Buyeux. 

HUAliD  ,  liomme  de  lettres  ,  à  Paris. 

HUART  ,  libraire ,  à  Dinan. 

HUET  (F.-L.  ),  ex-chir.-maj.  au  dép.  de  Brest ,  retraité,  à  Landerneau. 

HUET  DE  l'RORERVlLLE,  ex-legislateur,  à  Orléans. 

HUGIJET  DE  BUSSY. 

HUGUET-LETAING  ,  docteur  médecin,  à  Bénévent, 

HULLKS  (  des  .  P.  F.  ),  chirurgien  ,  h  Piron. 

HUMBEÎIT-FLEURY  ,  docieur-médcein,  a  Moilaix. 

HUON,  médecin,  ex-chirurgien-major  des  armées  ,  à  Marseille. 

HUPIER,  officier  de  sauté  ,  à  Mamers. 

HUREL,curé. 

HUSARD,  libraire,  à  Paris. 

HUSSON  ,  libraire  ,  à  Nenfchâteau. 

HUSSON  ,  docteiir-médeciti ,  à  Paris. 

HUTTIER,  docteur-médecin,  à  Paris.. 

ICHERY,  docteur-médecin,  à  Bordeaux. 

IDRAC  (  Eiicnnc-Anîoiue-Josepli  )  ,  docieur-médeciii ,  à  Besancon. 


4o  LISTE  DE  MM.  LES  SOUSCRIPTEURS. 

IGONETTE  ,  libraire,  à  Paris. 

IMBERT,  flocu-nr-médecin  ,  maire  de  la  commune  de  Bansset. 

INGHAND ,  «locici'r  en  chirurgie. 

INSTITUT  DE  FRANCE. 

IHIBARNE-AITCIINE,  docteur-médecin  ,  à  St.-Jeaû-Pied-de-Porl. 

ÎSN  ARDY  ,  bibliothécaire ,  à  Boulogne-sur-mer. 

ISOARD,  docteur  en  chiruige,  à  Marseille. 

ITARD ,  docteur-médecin  ,  à  Paris. 

IV ART  ,  membre  de  l'Institut,  à  Paris. 

ÎVE  ,  cbiiurgicn  ,  à  Rouen. 

JACK-SON  ,  aux  États-Unis. 

JACOB  ,  borioger,  à  Paris. 

JACOB  ,  docicur-médecin  ,  à  Paris. 

JACQUELIN ,  négociant ,  à  Rouen. 

JACQUEMIN  ,  docienr-médecin  ,  a  Paris. 

JACQUEMYNS  ,  médecin  ,  propriétaire  ,  à  Dadezecle,  près  Menin. 

JACQL'INOT  ,  docieur-médecin  ,  à  Jouvel. 

JADIOUX  ,  docteur-médecin,  à  Paris. 

JAHYER  ,  libraire  ,  à  Blois.  (  3  exemplaires.  ) 

JALY  ,  cbirurgien-major  des  laucitrs  de  la  garde ,  à  Versailles. 

JAMES,  à  Paris. 

JAMES,  commissaire  des  guerres. 

JAMMES  (J.)  ,  docteur-médecin,  à  Souilhanels. 

JAWET  ,  libraire  ,  à  P'aris. 

J ANET  et  COTELLE  ,  libraires ,  à  Paris.  (  (  2  exemplaires.  ) 

JAINOYER  ,  docteur-médecin  ,  à  Fain. 

JANSAUD,  docteur-médecin,  à  Paris. 

JAINTON  ,  doctcur-médtcin. 

JARROU  (J.-M.),  docieur-médecin 5  à  Bernac-de-Bas. 

J  AU  SERT  ,  contrôleur  des  postes  ,  à  Paris. 
JAUZION  ,  docteur-médecin ,  à  St.-Paul-de-Damiette. 
JEANNIN,  chirnrgien,  h  Vauvrc. 
JE.\QUEU  ,  docteur-médecin  ,  à  Valence. 
JEMINA  (  J.-B.  )  ,  doctoor-médecin,  à  Mondovi. 

JERON,  docteur-médecin,  à  Paris. 

JESLIN,  maître  en  cbirur. ,  an  Mans  ,  profcss.  d'accouchetnens  ,  à  Paris, 

JEUMET,  docteur-médecin,  àChampagnol. 

JOBERF  ,  docieor-médeciu  ,  à  Lyon. 

JORET  (Piorre  )  ,  docteur-médecin  ,  à  la  Rochelle. 

JOBIT  f  Engèiie  ) ,  chirurgien  ,  à  Cognac. 

JOHA]NNEAU  ;  libraire,  à  Paris.  (6  exemplaires.  ) 

JOIN  LA~SAVINIERE  ,  maître  en  chirurgie,  à  Lucé. 

JOLY  ,  libraire,  à  Dôle.  (  8  er.cmplaircs.  ) 

JOLY  (François-Constant  ) ,  chirurgien  ,  à  Champigny, 


LISTE  DE  MM.  LES  SOUSCRIPTEURS.  4^ 

JOLY  ,  chiinigien  ,  à  Albert. 

JOLLANS,  (locteui -médecin,  à  Paris. 

JOLLY  (  Piètre- AlexaiKÎre  )  ,  dccteiir-medecin,  h  Poitiers. 

JOLLIVET  (  le  comte  )  ,  ?i  Paris. 

JOMBERT  ,  libraire  ,  h  Paris.  (  27  exemplaires.  ) 

JOUAINNEAUX  ,  libraire,  h  Paris. 

JOUAS  ,  chirurgien  ,  h  ïbiberville. 

JOUBERT  ,  à  Paris. 

JOUD  ,  chiiurgieQ-acconcheur. 

JOULLIETÏON  ,  (loctenr-médecin ,  h  Civray. 

JOULLIETTON  ,  conseiller  de  préfecture  du  dépt.  de  la  Crense ,  à  Gtiéret. 

JOURDAIN,  docieur-médecin  ,  à  Mugron. 

JOURDAIN  ,  chirurgien-major. 

JOURDAN,  docteur-médecin ,  à  Paris, 

JOURDAN  ().' re  ,  à  Paris. 

JOURNAL  DE  BLOIS. 

JOURNAL  GÉNÉRAL  DE  MÉDECINE  ,  h  Pari?. 

JOURNAL  DES  DÉBATS. 

JOURNAL  DU  COMMERCE  ,  h  Paris. 

JOURNAL  MILIIAIRE  ,  par  Biron. 

JOURNAL  D'AMIENS. 

JOURNAL  DE  CHAUMONT. 

JOURNAL  GÉNÉRAL  DE  FRANCE. 

JOURNAL  D'ALLEMAGNE. 

JOURNAL  DE  CLERMON T. 

JOURNAL  DE  LA  MOSELLE. 

JOURNAL  DE  TOURS. 

JOURNAL  DES  PRCH^RIÉTAIRES  RURAUX  de  Bemand,  à  Paris, 

JOURNAL  DE  LA  MEUSE. 

JOUSSKM ,  à  Loriem. 

JOUVE,  doct.-raéd.  de  la  F.  d.-P.,  méd.  liiul.  de  l'hosp.  de  laMiséric.,à  Aix. 

JOUVE,  docienr-inédic'n  ,  à  Lyon. 

JOUVE,  libraiie,  h  B.lfort.  (a  .x>;ii)plaires.  ) 

JUBINAL  ,  receveur  et  maiie  de  Bi  iare. 

JUCHEREAU, docieur-médecin,  à  la  Flèche. 

JUDENNE,  à  Paris. 

JUDEY  ,  docteur-médecin  ,  à  Abbevillc 

JUGE  (  Je.in-Julieu  )  ,  doct.-rr.éd    de  la  F.  de  Paris  ,  à  Montecb. 

JUIN  ,  doctenr-médecin,  à  Piiyceley. 

JULIEN,  pharmacien,  h  Manbenjre. 

JULIEN,  docteur-médecin,  à  Trévoux. 

JULIEN  ,  docteur-médecin,  à  Brignolles. 

JULLIENNE ,  rhircigien ,  à  l'hôpital  du  Hâr.-e. 

JUMILHACàPariï. 


4?.  LTSTE  DE  MM.  LES  SOUSCRIPTEURS. 

JUSSY  (  C.-H.)  ,  doct.-méd. ,  méd.  des  aimées,  pcnsionnaiie  du  roi,  et  mcd 
e:i  chef  des  Jiùpitaux  de  Verdun. 
/JU  VILLE. 

KESTIEIl ,  à  Poperingue. 

KIEFFER,  professeur  de  turc,  à  Paris. 

KLIPPEL,  docteur-médecin  ,  à  Mulhouse. 

RINAB,  libraire  ,  à  Lansanne.  (  17  exemplaires.) 

RŒHLER  ,  docteur- médecia  ,  h  Ribeauvillers. 

KŒMPFEN  ,  cil irurf^icn -major  du  régt.  suisse  FrcuUer,  à  Dijon. 

KŒNIG  ,  libraire  ,  à  Paris. 

KOREFF,  docieiir-médecin,  à  Berlin. 

KORN  ,  libraire,  à  Bieslan. 

KORTS  ,  officier  desantc,  h  Nancras. 

KOSSMANN  ,  pharmacien  ,  à  Nenfbrisaclj. 

KRAUS,  cLirargien,  à  Gonrnay. 

LABADIE  ,  docteur-chirurgien ,  à  Nantes. 
LARALLE,  à  Paris. 

LABARTHE  ,  docteur-médecin,  à  Dammartin. 
LA  BITTE,  libraire  ,  à  Paris. 
LABORDE  ,  juge-de-paix,  h  Luz. 
LABORDE. 

LABORÉE  ,  doctenr-médecin  ,  h  Lyon. 
LABOURGADE,  chirurgien,  k  Bonne-Marie. 
LABROUSSE  ,  docieor-médecin ,  à  Cadouin. 
LABURTHE  ,  doctenr-médecin  ,  5  l'hôpital  militaire  de  Strasbourg. 
-LAC AVE  ,  premier  chirurgien  du  roi  Charles  iv,  .^  Rome. 
LACAZE,  rliirurgien-major  delà  légion  de  Tarn-el-Garonnc. 
LACÉPÈDE  (  comte  de  ) ,  à  Paris. 
LACHAISE  (  Claude)  ,  docteur-médecin  ,  h  Paris. 
LACHAIZE  ,  doctenr-médeein  ,  h  Bellegarde. 
LACHATJLME  ,  docteur-médecin  ,  an  Dorât. 
LACOMBE  ,  docteur-médecin ,  à  Paris. 
LACORDAIRE. 
LACOSTE  ,  chirurgien ,  5  Bielle. 
LACOSTE ,  docteur-médecin  ,  et  maire  de  Vitleaox. 
LACOSTE- DUMONS  ,  docteur-médecin ,  à  Tulle. 
LACOSTE. 

LACROIX ,  chirnrgien  de  la  légion  de  la  Haate-Loire ,  à  Monl-Louis. 
LACROIX  ,  chirurgien  h  l'hospice  de  Mâcoii. 
LACROIX ,  libraire ,  à  Anvers. 
LADEVÉZE,  médecin,  h  Bordeanx. 
LAENNEC,  ilocteur-médecin ,  à  Paris, 
LAFAGE,  docteur-me'decin,  à  Paris. 


LISTE  DE  MM.  LES  SOUSCRIPTEURS.  43 

LAFARGUE  ,  dentisle,  à  Paris. 

LAFERRIÈRE  (Maurice). 

LAFFOND ,  méJeciu  ,  à  Toulouse. 

LAFFIE,  libraire,  à  Bordeanx.  (  17  exemplaires.  ) 

LAFLOU  (  P'iançois  )  ,  officier  de  santé ,  h  Tresserre. 

LAFON  ,  maîlre  en  cliirurgie,  au  Cap-Brelon. 

LAFOND,  doclenr-médecin  ,  h  Nantes. 

LAFOKTAN ,  banquier  ,  à  Paris. 

LAFORET  ,  .^  Paris.  (  I  o  exemplaires.  ) 

LAFORGUE  ,  fils  aîné,  libraire,  à  Montaubau. 

LAFOSSE  ,  doctear-médecia  ,  à  Caen. 

LAG  ARDE  ,  doct.-méd.  ,  chir.  du  dépôt  de  la  lég.  des  Ardennes,  h  Mizières. 

LAGARDE,  docteur-médecio ,  à  Foix. 

LAGIER,  libraire,  à  Dijon. 

LAGLEIZE,  libraire,  à  Tarbes.  (  4  exemplaires.  ) 

LAGNIER  ,  docteur-médecin  ,  à  St.-Etienne. 

LAGRANGE  (  Joseph),  cLirnrgien  à  l'hôpital  militaire  de  Rennes. 

LAHAYE  ,  médecin,  à  Foalletourte.  - 

LAIGNEL  ,  docteur-médecin,  à  Paris. 

LAIGINEÏ  ,  chirurgien  ,  J»  Chambray. 

LAIR(P.-A.),  conseiller  de  préf.  ,  et  sec.  de  la  s.  d'agr.  et  de  comm.de Ronen. 

LAIR  (Pierre-Aimé)  ,  conseiller  de  pre'fecmre,  àCacD. 

LAISNE,  chirurgien  de  la  mariue ,  à  Toulon. 

LAISNÉ  (  J.  ) ,  pharmacien  ,  h  Orléans. 

LAISNEY  ,  libraire,  à  Pcronne.  (  8  exemplaires.  ) 

LA  JUS  (l'abbé),  cnré  à  Lalanne. 

LALAURIE  ,  médecin  ,  à  Villeneave-sur-Lot. 

LALIL-THLMECOURT  ,  docteur-médecin,  à  Trévoux. 

LALOY,  libraire,  à  Paris.  (  a  exemplaires.) 

LAMAIGNERE  ,  à  Nantes. 

LAMANDOUR  ,  doctenr-médecin ,  à  Ploanez. 

LAMARCHE,  docteur-chirurgien,  à  Verviers. 

LAM ARCHE,  chirurgien-major,  chevalier  de  la  réunion,  à  Paris. 

LAMARE-PiCQUOT  (François- Victor) ,  chirurgien,  au  Mesnil-Tonffray. 

LAMARE-PICQUOT,  chirurgien  ,  h  Bayeux. 

LAMARQUE  ,  médecin  ,  à  Toulouse. 

LAMARQUE ,  chirurgien-aide-major  h  l'hôpital  milit.  d'instroclion  ,  à  Lille. 

LAMBERT  ,  docteur-médecin  ,  à  Orgeval. 

LAMOTHE  (Romain)  ,  doctenr-médecin,  à  Captieux. 

LAMOTHE  (G.-E.),  docteur- médecin,  à  la  Réole. 

LAMOTTE,  àNew-Yorck. 

LAMOTTE  (  Alexandre) ,  doctenr-médecin,  h  Condé-sur-Noireaa. 

LAMOTTE  ,  ex-offic.  de  santé  de  la  marine,  retraité  ,  h  Landivisiaa. 

LAMOTIE  ,  docicnr-nii-decin  ,  à  Sainl-Denis-d' Anjou. 

LAMOTTE,  docicur-médcciu ,  à  Banon. 


44  LISTE  DE  MM.  LES  SOUSCRIPTEURS. 

LAMOUREIJX  ,  doctear-médecin  ,  à  Poitiers. 

LAMY  ,  diiruigien,  à  Tivaiix. 

LAMY,  chef  du  génie,  à  Paris. 

LANAUD;  cliirurgien,  an  Val  de-Grâce. 

LANDES,  dociein.rue'dccin  ,  i  Castres. 

LANDIINI-PARISIO  ,  dnctenr  en  cliirnrgie,  h  Grenoble. 

LANPRF, ,  docteur-mérlfcin. 

LAN DRÉ-BEAU VAIS  ,  doctor-mé.lecin ,  à  la  Salpêlrière. 

LAiNEFRANQUE,  docicnr-médecin  ,  à  Clcrmont. 

LANGE  (  Cliarles-A'iolphe) ,  docteur-médecin,  h  Watrelos. 

LANGLOIS  aîné  ,  libraire,  h  Paris.  (  ^  exf-niplaircs  ) 

LANNEAU  ,  ex-chiiurpicn  de  la  marine,  ù  Lemeven. 

LANTENOIS,à  Paris. 

LAPERCHE,àParis. 

LAPLACE  ,  ofilcier  de  saiîlé. 

LARA  (Benjamin),  docl.-méd.,  profess.  de  phys.  au  collège  roy.  d'Edimbonrç. 

LARDIERE,  chirurgien  juré  aux  rapports,  au  port  de  Roscoff. 

LARIVE,  artiste  vétérinaire,  h  Vienne. 

LAROCHE  ,  «iocleur-mtdecin,  à  Lyon. 

LAROCHE,  doctear-médecin,  à  Angers. 

LAROCHE  DE  BASEE,  à  Bourg. 

LAROCHE,  libraire,  h  Angoiilème. 

LARRA  ,  docteur-médecin  ,  h  Paris. 

LARREY,  professeur  de  l'école  royale  de  médecine,  à  Toulouse. 

LARREY,  doctenr-mcdecin  ,  à  Paris. 

LARLELLE  ,  libraire,  à  Aix-la-Chapelle.  (i  exemplaires.) 

LAS  ALLE  DURAT,  docicnr-ir.édecin  de  la  F.  de  P.,  à  Monfaiiban. 

LASSERVE  ,  docteur- médecin,  ri  Montignac-le-Cointe. 

LASSEVERIE,  médecin,  à  VilIeneuvc-sur-Lot. 

LASSUS,  officier  de  santé,  à  Morlaas. 

LASTERBOURG,  docteur-médecin,  à  Lyon. 

LASTEYRAS,  docteur-médecin  ,  h  Paris. 

LATAIJD,  docteur-médecin,  à  Strasbourg. 

LATOUR  ,  impriiueor-librairc,  à  Liège.  (3  exemplaires.) 

LA'rOLlR-MARLL\C  ,  docteur-médecin  ,  à  Granges. 

L  ATOLR  ,  libraire  ,  à  Paris.  (  2  exemplaires.  ) 

LATOUR,  doctenr-médcciu  ,  à  Orléans. 

L  ATY  ,  libraire,  à  Avignon  (  4  exemplaires.  ) 

L ALBERT,  docteur- médecin. 

LAUBRY  ,  premier  médecin  de  S.  A,  le  prince  de  Saède. 

LALGIER  ,  docteur-médecin,  à  Grenoble. 

LAURAIN  ,  docteur- médecin  ,  à  Paris. 

LAURENT  ,  dpcteur-méd.,  chirurgien  de  i'^'^*  classe  de  la  marine,  à  Toolon. 

LAUREN  r  (Hilnire),  chirurg.  à  la  Icg.  d'Indrc-et-Loire  ,  à  Nancy, 

LAURENT  3  docteur-médecin. 


LISTE  DE  MM.  LES  SOUSCRIPTEURS.  45 

LAURENT  (Joseph)  ,  à  Paris. 

LAUTH,  professeur  d'anatomie  ,  à  Strasiionrg. 

LAVAUD  (  Piètre) ,  doi^tcur-médecin  ,  h  Abun. 

LAVAUD  ,  fioctenr-médecin,  h  Aubusson. 

LAVEAUX  ,  avocat. 

LAVERGNE  ,  docienr-médecin  ,  h  Crt'cy. 

LAVErîlNY,  lieiucnant-coîoDfl ,  à  Lou^wy. 

LAVETIZON ,  docteur-médecin  ,  à  Crepy. 

LAViLLE  1  ELLE  ,  docteur-médecin ,  à  Paris. 

LA  W  ALLE  je'ine,  libraire,  à  Rordeanx.  {  t  6  exemplaires.  ) 

LAWMOINT  ,  docie.u  médecin,  à  GRÈENOCK. 

LAYRAS  DE  ST.-ANDRÉ  ,  k  Clermont-Forr.ind. 

LAZO  ,  professeur  a  l'école  royale  de  médecine  de  Cadix. 

LEBALCH,  docteur-médecin,  à  Landivisiau. 

LERAUBE  ,  pharmacien  ,  à  Toulon. 

LEBAS ,  doctyiM-méilecin,  à  Paris. 

LERE'AU  ,  libraire,  h  Provins.  (  4  exemplaires.) 

LEBF^L  ,  docteur-médecin  ,  à  Caianlan. 

LEBLAINC  ,  rbirurp;icn  à  l'bcspii^e  des  vénériens,  à  Paris. 

LEBLANC  ,  imprimenr-lihraire,  à  Paii«. 

LEBLAINC  DE  LA  CALDRIE  ,  docteui-raëdecin,  à  Paris, 

LEBLED,  docteur -médecin  ,  à  la  Suzc. 

LEBOUCHER,  phaimacien.  au  Mans. 

LEROUCHER  ,  docienr-médecin  ,  à  Lesneven. 

LEBOIJTEUX ,  libraire  ,  à  Aix. 

LEBOUR  .libraire,  à  Paris. 

LEBREC  (  Cliai  les  )  ,  chapelier  ,  à  Brest. 

LEBRETON  ,  docteur -médecin  .  à  B.est. 

LEBRLN  ,  doctenr-médicin  ,  à  l'hôpital  des  enfans  malades,  à  Paris. 

LEBRUN  ,  conifôleur  dos  postes  ,  à  Agen. 

LEBRUN  v^i  ATJDEFROY. 

LEBUFE  (Jean)  ,  chirurgien,  à  QnetrevilJe. 

LEGANU  (  J.-L.-T.  )  ,  pliarmacîcn,  h  Paris. 

LECANU,  docteur-médecin  ,  à  Baveux. 

LECANU  ,  docieur-médeciu,  à  Yvetot. 

LECHANTEUR ,  à  Paris. 

LECHARLIER ,  libraire,  à  Bruxelles.  (  3 1  exemplaires.  ) 

LECHEVREL  ,  docteur  médecin  ,  an  Havre. 

LECHIN,  docteur-médecin,  à  Lcugny. 

LECIEUX  (  Antoine  )  ,  docteur  en  chirurgie,  à  Bayeux. 

LECLER  ,  docteur-médecin  ,  à  Ambérien. 

LECLER  ^,  inspecteur  des  eaux  de  Luxeuil. 

LECLERC  ,  inspecteur  des  domaines,  h  Arles. 

LECLERC  (  Adrien  ) ,  libraire ,  à  Paris. 

LECLERC  (J-M.j^,  chir.  en  chef  des  ports  et  armées  nav,  ,  relr.  à  Toulon. 


46  LISTE  DE  MM.  LES  SOUSCRIPTEURS. 

LECLER  ,  libraire  ,  à  Paris. 

LECIiERC  ,  floctrnr-médecin ,  à  Amberieux. 

LECI.EHC ,  I  h  trniacieii ,  à  Paris. 

LECT-EPiC  {  Tlieodore  )  ,  libraire,  à  Paris. 

LECLERCQ  ,  impr-rueut-libraire,  à  Arras.  (  4  exemplaires.  ) 

LECLERCQ,  cliirurgi-n,  à  Si  -Jtan-de-Marsrcq. 

LE(]Œî.  R,  doclenr-médecin  ,  à  Chàleau-Cliinon. 

LECOJNTE  ,  directeur  des  pos'es. 

LECORDlER,  docteur-médecin,  à  Paris. 

LECORIEKTE,  docteur-médecin,  à  Beaurepaire. 

LECORREUR  (  Louis-Ch.-Abel),  notaire,  à  Doullcns. 

LE(]OSSE.  doctenr-rnédecin. 

LECOUAT,  libraire  ,  h  Saint- Awoia.  (  2  exctnpiaires.  ) 

LECOULTEUX  (le  comte). 

LECOUPPEY ,  sons-chef  an  trésor  public  ,  à  Paris. 

LECRIVAIN  (E^ide-Alexandre) ,  chirurgien  à  l'hôpital  de  Colinar. 

LECUIER,  doctenr-médecin,  à  St.-Brïeux. 

LEDAIN  (H.-H.  ) 

LEDILY  ,  à  Bordeaux. 

LEDISCOT,  docteur-me'decin,  à  Loricnt. 

LEDOIJX ,  doctenr-médecin. 

LEDOYEN  ,  docteur-médecin,  à  Lille. 

LEDOYEN,  librai.e  ,  à  Reims. 

LEFAIVRE  ,  premier  médecin  du  roi ,  à  Paris. 

LEPAlVRE,chcv.  de  St. -Michel, mcd.-inspect.  deseanx  min.  de  Bonrboune 

LEFEBVRE  QUINQUENPOIX,  libraire  ,  à  Doulens. 

LEFEBVRE,  imprimeur,  h  Rrims. 

LEEEBVRE,  chirurgien  ,  an  bourE;-de-Rfmy, 

LEFEBVRE  ,  docteur-médecin  ,  à  Noirmontiers. 

LEFEBVRE ,  à  Paris. 

LEFEVRE  ,  chirmg.  de  1""  classe  de  la  marine,  à  Brest. 

LEFEVRE,  chirurgien-accoucheur,  h  Villeguier-au-Mont. 

LEFEVRE  (  Elle)  ,  propriétaire,  à  Rouen. 

LEFEVRE  (Emilien  ),  à  Paris. 

LEMLASTRE  ,  chirurgien  de  i*"  classe  de  la  marine,  h  Avranclw;, 

LEFOR'l',  cnré  ,  à  Ailhenay. 

LEFORT.  iniprimenr-libvairc,  à  Lille. 

LEFOIJRIVIER  et  DÉPERIEZ,  libraires,  à  Brest.  (  Sa  exemplaires.  ) 

LEFR  ANC,  docteur-médecin,  à  Montigny-Lancoup. 

LEFM.ANÇOIS,  doctenr-médecin,  à  Ij  Mambrole. 

LEGALL,  docteur-médecin,  à  Tréguier. 

LE(i Af.LOÎS  ,  donieur-mcdi'cin  ,  à  Paris. 

LEdAULT,  pharmacien  ,  à  Rennes. 

LEGAY  ,  aticien  chirnrgien  d'artillerie,  en  retraite  à  Boalognc-sur-mer. 

LEGENDREj  doctcur-médeciD,  à  Paris. 


LISTE  DE  MM.  LES  SOUSCRIPTEURS.  47 

LEGER  (Thimoléon-Alatcrne) ,  docteur-médecin,  à  Montpellier. 

LEGER  (  Flcuros-Olivier) ,  docteni-médccin,  nu  Qaesiioy. 

LEGER,  ex-cbirurgieu  de  la  marine,  propriéiaire  h  IMootmorency. 

LEGLEAU,  chirurgien  de  a*  classe  de  la  marine,  à  Brest. 

LEGOUX,  docteur  en  chirurgie,  chirurgien  des  hôpitaux  du  Mans. 

LEGRAND,  docteur-médeoin  ,  à  Valeiieienues. 

LEGRAND,  bibliothécaire,  à  Quiraper-Corentin. 

LEGRAND  (J.-J.-Tiie),  doct.-méd.,  chir.  de  !"«  cl.  delamar.,  à  Toulon. 

LEGROS  ,  doctenr-medecin  ,  h  Paris. 

LEGl'ILLEZ,  pharmacien,  à  Darnetal. 

LEGUILLON  (Nic.-Fr.) ,  offic.  desamé  de  la  marine,  à  Cherbourg. 

LEHELLOCO,  chirurgien-major  de  la  marine,  au  port  de  Brest. 

LEHIR,  commissaire-rapporteur  près  les  tribunaux  maritimes,  à  Brest. 

LEHOC-FOURNÎER,  docteur-médecin  ,  h  Paris. 

LEJEUNE  (ils ,  docteur— médecin  et  chirurgien,  à  Réihel. 

LEJEUKE  ,  tloctcur-médeciu  ,  à  Vervii'rs. 

LELEUX,  lib.  de  LL.  AA.  S.  et  R.  les  ducs  d'Orléans  et  Glocestcr,  i  Calais. 

LELEUX,  libraire,  à  Lille.  (  64  exemplaires.) 

LEMAIGNEN  ,  libiaire  ,  à  Blois. 

LE  MAIRE  ,  à  Paris. 

LEMAIRE  (  M«  V«) ,  libraire,  à  Bruxelles.  (  22  exemplaires.  ) 

LEMAIRE  ,  officier  de  santé,  à  Cioisilles. 

LEMAITRE,  docteur-médecin. 

LEMAITRE  ,  librai.e,  à  Valognes. 

LEMARCHAND,  conseiller  à  la  cour  royale  de  Rouen. 

LEMARCHAND,  à  Paris. 

LEMARQUANT,  docteur-médecin. 

LEMATHEUX  ,  docteur-médecin ,  h  Angers. 

LEMERCIET  DU  HARDAS ,  docteur-médecin ,  à  Châtean-Gonthicr. 

LEMERCIER,  docieur-mé^ccin  ,  à  St.-Martin-du-Bois. 

LEMERCIER-MOTTERIE  ,  docieui-médecin,  méd.  des  épid. ,  à  Maycant. 

LEMESLE  ,  chirurgien  ,  à  Chonzé. 

LEMIGNON ,  docteur-médecin ,  à  Granville. 

LEMILLIER,  docteur-médecin,  à  Paris. 

LEMiRE  ,  propriétaire,  à  Fécamp. 

LENOAL  (  J.-J.  ) ,  chirurgien-accoucheur ,  à  Paimpol. 

LEIMOT  ,  membre  de  l'institut ,  à  Paris. 

LEMOTEUX  ,  docteur-médecin,  à  Châteauroux. 

LEMPEREUR  ,  doctenr-ruédecin  ,  k  Ambériou. 

LENFANT,  receveur  de  loterie,  à  Paris. 

EENvOIR-LAROCHE  ,  ancien  sénate-n- ,  à  Paris. 

LENORMA^T,  l^b^aire,  à  Paris.  {,  27  .-x^mpUires.  ) 

LFPAIN  THEDR,  docteur-médecin,  ?,  Sourdeval. 

LEPîCiTlFR  ,  ilurteur-médt  cm ,  à  D<icy. 

LEPREVOST  ,  propriétaire  ,  à  Rouen. 


48         LISTE  DE  MM.  LES  SOUSCRIPTEURS. 

LEPPvÉVOST  ,  (locteur-iai-i'ecirij  à  Rouen. 

LEPRÉVOT  père  (Thomas- Piacidc),  vétérinaire,  meœbre  de  rAcadémic  roy. 

des  sciences,  lettres  et  arts  de  Ro'un,  à  Pvouen. 
LEPKIFUR  ,  docieur-médecin ,  à  Pont-Àudenier. 
LEQUÉRU  ,  docteur-médecin  ,  à  Caen. 
LEQLIEN  ,  libraire  ,  à  Paris. 
LERE'IZ,  docteur-médecin  ,  à  Bourgnenf. 
LERICHE,  libraire,  à  Paris.  (  4  exemplaires   ) 
LERICHE  ,  clfirurgien  ,  à  Bonneville-la-Lonvet. 
LEROND  jeune  ,  libraire ,  à  Paris. 

LEROL'GE  aîné,  l'an  des  adniinist.  de  la  soc.  méd.-phiIantropiqae  de  ParU. 
LEROU  X  ,  doclear-médecin ,  à  Lannion. 
LERNIINIER,  docteur-médecin,  à  Paris. 
LEROY  ,  pharmacien  ,  au  Mans. 
LEROY,  doctcar-mé.iecin  ,  à  Ronen. 
LEROY  ,  docteur-méflccin  ,  à  Milan. 
LEROY,  libraire,  à  Paris   (3  exemplaires.) 
LEROUX  ,  libraire  ,  à  Mayence.  (  1 1  exemplaires.  ) 
LERRY  fils  ,  pharmacien  ,  profess.  de  pliysiqueetde  chimie,  à  Caeu. 
LESAIVE,  chiriirgirn-major  au  Val-de-Grâce. 
LES  (  baron  de  ),  gardc-du- corps  du  roi. 
LESAAS  ,  chirnigicn,  à  Elbcnf. 
LESED  RE  ;  Gervais  ) ,  libraire ,  h  Nancy. 
LESIELR  (J.-J.  ),  docteur  médecin  ,  à  Bayenx. 
LESINE  [  Charles),  docteor-medecin ,    i^"^  chirurgien  de  S.  A.  R.  cl  L  l'ar- 

chiili'.c  Charles  ,  à  Vienne. 

LESOURD. 

LESOURD-BE AD  REGARD  ,  docteur-médecin,  à  Paris. 

LESPINASSE  ,  propriétaire,  à  Aigueperse. 

LESPINE,  doctenr-médecin,  à  Verdnn. 

LESSirsES ,  à  Paris. 

LESTCREY  ,  doctenr-médecin ,  h  Fourraentot. 

LETELLIER ,  à  Nesle. 

LETERREUR ,  à  Paris. 

LETOREY  (Piene  ) ,  doctenr-mé<leciu  ,  à  Pont-Aadeiaer. 

LF.TULLE,  chirurgien  au  12*  de  ligne. 

LEVALLOIS. 

LEV  .ASSEUR,  chir.-maj.  de  la  marine ,  en  retraite ,  à  Lanilis,  près  Brest. 

LEVASSES  R  ,  m  lître  en  chirurgie,  à  Bruxelles. 

LEVAVASSELIR  ^,  docteur-médecin. 

LÉVEQLE-LASUURCE  ,  dncieur-médccin,  h  Paris. 

LEMEIL  DE  LA  MARSOININIERE,  docteur-médecin,  à  Poitiers. 

LE\  ÎLLAIjN,  docteur- médecin  ,  à  l'école  de  médecine  de  Paris. 

LEVRAUD  ,  docreur-niedeciii,  à  Barbezienx. 

LEVR.\XJLT,  libr^te,  à  Strabboarg.  (36exeaip!aires.) 


LISTE  DE  MM.  LES  SOUSCRIPTEURS.  49 

LEVRET ,  à  Mayence. 

LÉVY,  libraire,  h  Melz. 

LEW\5,  docleur-médecin,  et  chirnrgien-major  an  service  de  Russie. 

LEYER  (  L.-V.-M.  ) ,  docteur-niédecia ,  cliiiurgien  au  port  de  Brest. 

LHÉRITIER  ,  docteur-médecin. 

LHERMINOTTE ,  à  Liège. 

LHERMITE  (J.-P.) ,  doctenr-médecin ,  à  St.-Calaîs. 

liHOMME  ,  doctcur-mc'decin  ,  à  Sancoins. 

LHOMME  ,  jardinier-fienriste,  à  Paiis. 

LHOSTE,  ingénienr,  à  Meanx. 

LHURIER  ,  propriétaire,  àEmltot. 

LIAUZUN  (  J.-J.  )  ,  docteur-médecin,  à  Najac. 

LIBERGE  ,  docteor-médecin ,  de  la  société  des  arts  du  Maos 

LIBRAIRIE  grecqoe,  latine  et  allemande,  à  Paris. 

LIERA ULT  ,  officier  de  santé ,  et  maire  à  Fanlqnemont. 

LIENARD,  employé  ans  droits  réunis,  h  Paris. 

LIENGOU  (J.-A.-M.-S.),  docteur-médecin  ,  h  Rennes. 

LIEUTAUD  (  Louis) ,  cbirursien  ,  à  Sollier-le-Pont. 

LIIMPSON. 

LINACIER,  docteur-médecin,  à  Chmon. 

LmOWURM  ,  cliirurgien,  à  Colmar. 

LINGKE,  docteur- médecin. 

LINTERMAINN,  à  Liège. 

LINTILHAC  ,  pharmacien,  à  Paris. 

"LIVET,  élève  en  pharmacie,  à  Fre!>nay. 

LIZET  ,  médecin,  à  CIcrmonl-Ferrand. 

LOGERAIS ,  docleur-médecin  ,  à  Angers. 

LOGIÉ  ,  chiiingien  ,  à  Wcrwick.  v' 

LOISEAU  (Antoine-Joseph),  doeteur-mc'dccin  ,  à  Besançon.  '* 

LOISEL,  cliirnraien-major  de  la  légion  de  l'Oise. 

LOISELEUR-DESLONGCHAMPS,  docteur-médecin  ,  à  Parif, 

LOLLIER,  prêtre,  à  Neuilly-St. -Front. 

LOMBARD,  doclenr-raédecin  ,  h  Villers  St.-Simcon. 

LOMBARD  ,  lîocteur-médecin,  à  Issy. 

LOMBARD,  docteur-médecin,  h  Liège. 

LOMPRE ,  docleur-médecin  ,  à  Blesle. 

LONDEjdoctenr-médecin  ,  à  Caen. 

LONDRES.  (  bibliothèque  royale  de) 

LONG,  employé  an  journal  des  Débals,  à  Paris, 

LONGCHAMP ,  libraire ,  à  Paris. 

LONGUEVILLE. 

LOINHIENNE  ,  rentier ,  à  Broux. 

LORENTZ,  docteur-médecin,  i\  Alikiick. 

LORENZ  ,  médecin ,  aux  Etats-Unis. 

LOREY,  chirurgieu-niajor. 


5o  LISTE  DE  MM.  LES  SOUSCRIPTEURS. 

LORGERIL  (  de  ) ,  maire  de  Rennes. 

LORIERS ,  docieur-médecin ,  à  Paris. 

LORIN  (Alphonse) ,  docleur-médecir.  ,  à  Trévoux. 

LOTTIN-DUCLOUGET,  officier  de  sanic,  à  la  Pôte-les-Kids. 

LOUBIGNIAC  ,  maire  de  la  commune  de  Larche. 

LOUSIER,  docteur-médecin,  à  Paris. 

LOUVARD  ,  libraire,  à  Paris.  (  3  exemplaires.) 

LOUÏER-WILLERMAY ,  doctear-médecin. 

LUCADON,  à  Bordeaux. 

LUCAS,  doctear-médecin,  à  Trégoier. 

LLiCAS-DE  MONTIGINY,  àParis. 

LULLIER-VINSLOW,  docteur-médecin  ,  à  Paris. 

LUSSAN  ,  pharmacien,  à  Toulouse. 

LUSSAUL'I",  chirur{;ien,  à  Calais. 

LUXCEY  ,  doctenr-niédecin,  à  Paris. 

LXJXEUIL. 

LUZEAU  ,  doctenr-médecin ,  à  Paris. 

LUZEAU,  second  chirurgien  en  chef  de  la  marine  ,  à  la  Martiniqne. 

MAC ,  doctenr-médecin ,  à  Château-Dan. 

MACARIS  ,  chirurgien-major  de  la  légion  de  l'Aude ,  à  Bordeaux. 

IMAGE,  doctenr-médecin,  A  Rennes. 

MACE,  propriétaire,  h  Sî.-Lambert-dc-Lattay. 

MACHAPiD  (Claude-Hyaciiîihc),  docteur-médecin,  à  Dâle. 

MACRER,  chirurgien,  h  Colmar. 

MACKER  ,  médecin  h  l'hôpital  de  St. -Louis ,  à  Paris. 

MACMILLA  (  John) ,  docteur-médecin  ,  à  Paris. 

MACORS,  pharmacien,  à  Lyon. 

MADIER  ,  docteur-médecin  ,  à  Bagnol. 

MA  DOUX,  doctenr-médecin,  à  Meximieux. 

MAGAGNOS  ,  pharmacien,  à  Toulon. 

MAGAIL  ,  docteur-médecin  ,  à  Marseille. 

MAGDELAIN  ,  libraire  ,  à  Toulon.  (  72  exemplaires.) 

MAGNEUC  ,  doctenr-médecin  ,  à  Gourdon.  * 

MAGNY.à  Paris. 

MAHEUX  ,  docteur-médecin  ,  h  Evreux. 

M  AHON ,  homme  de  lettres ,  à  Paris. 

MAHOU  ,  docteur-médecin  ,  à  Paris. 

M  AlGNAN ,  pharmacien ,  à  la  Fîèche. 

M  AIGRIER ,  docieur-médecin. 

MAILL.\RD,  libraire,  à  Paris. 

MAILLARD ,  docteur-médecin  en  chef  des  atmëes ,  ^  ,  à  Parts. 

MAILLARD,  docteur-médecin,  à  Stenay. 

MAILLARD,  docteur-médeciu  ,  à  Gray. 

MAILLARD ,  pharmacien ,  k  Maubeuge, 


LISTE  DE  MM.  LES  SOUSCRIPTEURS.  5i 

MAILLKAUCHEÀU  ,.îocienr-mcdecin,  h  Angers. 

MAILLIER  (Nicolas-Victor  ),  (iocteiu -médecin,  à  Dreax. 

MAINE  DE  BIRAN  ,  député,  i\  Paris. 

MAIRE,  libraire,  h  Lyon.  (  i^4  <^'^'^™P'^'''^*- ) 

MAIRIE  DE  PERPIGNAN  (pour  la  bibliothèqae  de  cette  ville.) 

MAISON ,  h  Paris. 

MALROLCHE,  à  Castres. 

MALCUISANT,  doctenr-mwlecin  ,  ^r  à  Besançon.   * 

MALFAI  T,  vicaire  de  la  paroisse  de  St.-Manrice,  à  Lille. 

MALHARME ,  vicaire  ,  à  Chaitmont.       > 

MALHÈRE,  marchand  ,  à  la  Fèrc. 

MALHIEUX  ,  docteur-médecin. 

MALLET,  docteur- médecin,  à  Paiis. 

MALLET,  docteur-médfrin,  de  la  société  des  arts  au  M;ins. 

MALLET-MOUQUE,  négociant,  Ix  Lille. 

MALO,  libraire,  h  Lille. 

MALGRE,  médecin  ,  à  Aniillac. 

MALTEBRTJN,  homme  de  lettres. 

MAMY  ,  propriétaire,  h  Paris. 

MANCAUD,  docteur  niidecin,  h  Egleton. 

MANGEToi'CHERBULIEZ,  libraires  ,  à  Genève.  (  2  exemplaires.) 

MANGIN  (C.  ),  2*  chirurgien  en  chef  de  la  marine,  ^,  en  retraite,  à  TotsioB. 

MANGIN,  colonel  d'artillerie. 

MANOURY  aîné,  libraiic,  h  Caen,  (  I3  esemplairis.) 

MANRY,  docteur-médecin  à  riiôpilal  de  St. -Louis  ,  à  Paiis. 

MANSUT,  libraire  ,  à  Paris. 

MANUEL  ,  secrétaire  de  la  faculté  des  lettres,  à  Paris. 

MAQUINAY  fils,  à  Verviers. 

MARADAN  ,  libraire. 

MAR  ATO  ,  médecin  ,  à  Constaniinoplc. 

MARBOTIN  (Casimir),  cliirurgicn  en  chef  de  rHôtel-Diea  de  Valencierines. 

MARC  ,  docteur-médecin,  h  Paris. 

MARCHAL,  docteur-médecin,  à  Evreux. 

MARCHAL,  négociant,  à  Verdun. 

MARCHAND,  libraiie,  h  Paris. 

MARCHANT,  le  baron,  maire  de  la  ville  de  Metz. 

MARCHANT  (Pierre-Charles),  docteur-médecia ,  à  Besaiiçon. 

MARCQ  (Léopold) ,  à  Paiis. 

MAPvCUS,  propriélsire,  aux  Etangs. 

MAfiECHAL,  docteur-médecin,  à  Hannut. 

M ARÉCHAL-SÉNY  ,  docteur-médecin  ,  à  Dinaut. 

MARÉCHAL  DE  LONGEVILLE,  propriétaire  ,  à  D61e, 

MARÉCHAL  (J.-B.),  docieur-méilecin,  à  Dieux. 

MAREVILLET  ,  libraire ,  h  Moi  tagme. 

JM^iRGAlKE-RAFflN. 


5i  LISTE  DE  MM.  LES  SOUSCRIPTEURS. 

MARGINIÈRE ,  docieur-médecin  ,  à  Marcillac. 

MARIANDE,  raedecin  ,  à  b't.-Gaudens. 

ÎVIARIAIVO-ORRIT,  méd.  et  chir.  de  l'ccols  œil.  des  cliev.  cadets ,  à  Valenee. 

MARIE  (P.-A.  ),  pharmacien,  à  l'hôpital  militaire  de  Metz. 

MARIE  (P.-F.),  doct.-méd.,  chirurgien-major  au  corps  royal  d'tiililleiicj  régt» 

de  Metz, à  Anxonne. 
MARIE  fils,  h  Paris. 
MARIE,  commis,  ÎParis, 

MARIGNE,  pharmacien  de  la  société  des  arts,  au  Mans. 
MARIOLLE,  pharmacien,  h  Paris. 
MARION,  institiUeur,  à  Paris. 
MARJOLIN  ,  docteur-médecin  ,  à  Paris. 
MAROTTA  et  VAjNSPANDOCH-,  libraires,  h  Naplcs. 
MARQUANT,  docteur-médecin,  à  Paris. 

MARQUEZ  (  P. -M.  ),  chirurgien  aux  chasseurs  de  la  Moselle,  ù  Nancy. 
ISIARQUIS  ,  ùocienr-médecin,  à  Rouen. 
MARQUIS,  docteur- médecin,  à  Paris. 
MARSEILLE  (bibliothèque  de  la  ville  de). 
MARSEILLE  (  Hôtel-Dieu  de  la  ville  de  ). 
MARSSON  ,  à  Paris. 

MARTAINVILLE,  homme  de  lettres,  rédacteur  du  Drapeau  blanc ,  à  Pans. 
MARTEL,  chirurgien  de  !a  marine,  à  Toulon. 
MARTEL,  à  Paris. 

MARTIN  (Jean)  ,  ex-cliirnrgien-niajor  à  la  Charité,  doct.-méd,  ,  à  Lyon. 
MARTIN  ,  docteur-médecin,  chirnrg. -major  à  Thôpiial  milit.  de  Dunkerque, 
MARTIN,  doclenr-médecin,  à  Paris. 

MARTIN  (J.-B.-M  ),  doct. -méd.,  chir.de  i®^"^  classe  de  la  marine,  à  Aubagoe. 
MARTIN  ,  pharmacien ,  h  Troyes. 
MARTIN ,  ofBcier  de  santé  ,  à  Landun. 
MARTIN ,  pharmacien  ,  à  Compiègne.  , 

MARTIN ,  docteur-médecin ,  h  Donzy. 
MARTINEAU  ,  chirurgien-dentiste,  à  Coîmar. 
MARTINENG  ,  capitaine  de  vaisseau  ,  h  Toulon. 
MARTINET,  libraire,  h  Paris.  (3  exemplaires.) 
]M  ARTINET ,  docteur-médecin. 

MARTRA  ,  docteur-médecin,  propriétaire,  à  Savigny. 
MARUCCHI,  médecin  ,  à  Turin. 
IMASNOU  (Antoine),  médecin,  à  CInyra. 

MASSON  (  L.-A.  ) ,  doct.-méd.  de  la  faculté  de  Montpellier,  à  l'Iste. 
MASSON  (Grand-Jean  ) ,  chirurgien-oculiste,  à  Paris. 
MASSON,  père  et  fils  ,  libraiies,  i\  Paris. 
MASSON,  docteur-médecin,  h  l'hôpital  Necker,  à  Paris. 
MASVERT,  libraire  ,  à  Marsejlle.  (  49  exemplaires.  ) 
MATHIEU  ,  docteur-médecin,  h  Langogne. 
MATHIEU ,  docleiu-médecin ,  à  la  Charité-sur-Loire. 


LISTE  DE  MM.  LES  SOUSCRIPTEURS. 

MATHIOT,  libraire,  à  Paris. 

IVl  ATHON ,  docteur-médecin ,  à  Lyon. 

MATHOIN  fils  ,  lilnaire,  h  Kenfchâiel.  ( 3  exemplaires.) 

MAÏIL  (Constantin),  instituteur,  à  Lille. 

jVIALinLANC,  docteur-médecin,  à  Paris. 

MAUCOURT,  ancien  chirurgien-major,  à  Aigny. 

MAUCOURT. 

^AUGAZE,  docteur-médecin,  ;\  Angers. 

MAUGK  ,  docteur-médecin,  à  Reauge. 

JMALIGRAS,  chirurgien-major  au  3o^  régt.  de  dragons. 

3MAUPAS  (  comte  de) ,  à  Paris. 

MALiPETir,  chirurgien,  à  Chaunny. 

MALIR,  docteur-médecin,  à  Plaisance. 

MAUREL  (  Bernard),  chirurgien  de  la  marine,  h  Toulon. 

MAURICE,  médecin,  à  Beaumont-Lomagne. 

JMALlRiCE-FKESSANGES,  à  Clermont.^ 

MAURIN , ,  docteur-médecin. 

MAURRIC,  chiiurgien  de  2*^  classe  de  la  marine,  à  Toulo,n. 

MAXmiLIEN. 

MAZKRAL 

MEIGINAN  ,  docteur-médecin  ,  à  la  Flèche. 

WEILHAC  ,  libraire  ,  a  Paris. 

MELIZ,  à  Limons. 

IVIELLET  (Duraiid-Loui:),  docteur-médecin  ,  h  Paris. 

MELON  ,  libraire,  à  Bordeaux. 

MELQLlIOiND,  docteur-médecin,  à  Grenoble. 

MELQUIONN  ,  libraire,  à  Moutiiellier. 

MELQL'IONN ,  libraire,  h  Aix. 

MELQUIONN  ,  libraire ,  a  Nismes. 

IVIENARD,  docteur-médecin,  à  Lunel. 

MENEUST,  docteur-médecin  ,  à  Paris. 

MEN GIN,  colonel  d'artillerie. 

MÉQUIGNON-MARVIS,  libraire,  à  Paris.  (171  exemplaires.  ) 

MÉQUIGNON  junior,  libraire,  ;\  Paris,  (a  escmpiaires.) 

MERAT,  docteur-médecin,  à  Paiis. 

MERCIER,  médecin,  à  Rocliofort. 

MERCIER. ,  docteur-médecin,  à  Dieppe. 

MERGNANT,  docteur-médecin ,  à  Tcul. 

MÉRICOURT. 

MÉRIEUX ,  docteur-médecin  ,  à  St.-Gilles. 

MÉRIGOT. 

MERLHIOÏ,  docteur-médecin  ,  h  Exideuiî. 

MERLIN,  libraire,  à  Paris. 

MERHEM,  conseiller  de  régence,  îi  Cologne. 

MERTRUD,  négociant ,  à  INIarscillc. 


54  LISTE  DE  MM.  LES  SOUSCRIPTEURS. 

]V1ER\' ,  veuve  Bergeict ,  libraire  ,  à  Bordeaux.  (  6  exemplaires.) 

MESLIER,  (îocfcur-medecin ,  à  St.-Geor{?es. 

MERRAGER  ,  à  Paris. 

MESSANOT  (F. -M.  ) ,  chirargien  de  la  marine  au  départcmcnL  (5e  Brest. 

MEUNIER,  notaire,  à  Tournaus. 

IMEUR  DE  FROY. 

MEURDRAC  ,  docteur-médecin,  h  Caen. 

IS'IEURET,  docteur-médecin,  à  Sl.-J<^'an  de  nome?. 

AIEYER,  libraire,  à  CiianinoiU,  (  4  exciniibiiie».) 

MEYER  (de),  cliiiurgien-majordepontonuiers,  ît  Slra)>b()urg. 

MEYLAX,  relieur,  à  Paris. 

MEYNARD. 

IMEYJN'ARD  ,  docteur-médecin,  h  Orange.    - 

ÎVIEYNIER,  «locteur-médecin  et  cliirnr^icii  ,  à  Dûlc. 

IV1EYRAND,  avocat  ,  à  Monoiiiue-Lebbinc. 

MEZANGE,  chiruigien  ,  h  Vaudenrs. 

IMICHAUD,  libraire,  à  Paris. 

IVIICHAULT,  docteur  médecin  ,  h  Paris. 

MICHEL  ,  doctcur-niéiieciu  ,  à  Louriuarain. 

IMICHEL ,  doctenr-uiiidccin . 

IMICHEL  (Tbéopliilc-Laurent  )  ,  cbiinrpion  ,  à  Cliailie}'. 

I^lIGHEL  (Frédéric-Louis)  ,  docteur-mcdccin  ,  à  S.iai union. 

MICHELANT,  à  St.-Diez. 

MIGNO]N,  àPaiis 

MIGNOT,  cbirurgicn  h  l'hôpital  milil;.ire  de  Lille. 

MIGNOT,  chir.-rnaj.  du  8®  régt.  d'artillerie,  à  Tordouse. 

MILAN,  docleur-tné.lccin. 

MILHET,  doctcur-méderin,  à  St.-Avid. 

MILLEREAU  ,  propriétaire,  ù  Lorme. 

ÎMILLON  cadet,  libraire,  à  Lvon.  ('■g  exemplaires.) 

MILLOT-TOUSSAINTet  compagnie,  au  Havre. 

IMINISTÈRE  DE  L'INTÉRIEUR,  à  Paris. 

MINISTÈRE  DE  LA  MARINE. 

MINVTELLE  ,  cbinugien  au  fort  royal,  à  Cberbonrg. 

MiQUEL  ,  docteur-rnédccia,  à  Paris. 

MIRA,  à  Paris. 

MIRIEL, docteur-médecin ,  à  Brest. 

MOL  AS  (Louis  )  ,  docteur-médecin,  à  Auch. 

MOLE  (le  comte  de),  pair  de  France,  eiclirect.  gén.  des  |)oats  et  cli.  ,  h  Pàriis» 

MOLIN,  doclenr-ruédecin,  à  La  Cbansséc. 

MOLINI ,  libraire,  à  Paris.  (  6  exemplaires.  ) 

MOLLARD  (Cbarles  ) ,  docteur-médecin. 

MOLLET,  second  cbiiurgieu  en  cbcf  de  la  marine ,  à  Brest. 

MOLLIEX  (ÎV!arc-Malo  ) ,  Lbraire,  k  Reunes. 

MONAL,  coQimissioanairc  en  libijiiic,  à  Paris. 


LIST^  DE  MM.  LES  SOUSCRIPTEURS.  55 

MOiVBRUN  ,  aide-major  au  3°  régt.  (ie  la  gardc-d'Lionaeur. 

MONCEAU,  libraire,  à  Orléans. 

MONCOURRIER,  docteur  en  cliirnrgio,  à  Nanterre. 

MOU  DON,  floctcm-intdccin,  à  Veidun. 

M0NES7IKR.,  a'icien  conseiller  de  la  cour  de  Riom  ,  à  lisoire. 

MONESI'IER,  médecin,  à  Clcimont-Ferrand. 

MOKET,  docteur-médecin,  à  St.-Symphoricu-de-Laye. 

MONFALCON  ,  docteur-médecin  ,  ù  Lvon.. 

MONFRAY  ,  docteur-médecin  ,  h  Créleil. 

MONGENOTGls,  a  Paris. 

MONGIE  aîné,  libraire,  à  Paris.  (  3  exemplaires.  ) 

MONGIK  ienne,  libraire,  à  Paris. 

MONGOLFIER ,  à  Annonr.y. 

MONNE  (  Jidcs),  officier  de  santé,  à  Paris. 

MONNOT,  doclenr-médecin  ,  h  Porcntrny. 

MONTACRET,  docteur-iuédecin  ,  à  Chasselay. 

MONTAGNE,  docteur-médecin,  à  Paris. 

MONTAUDON ,  docteur-médecin. 

MONTECUCULLI ,  à  Modène. 

MONTÈGRE ,  docteur-médecin. 

MONTELLIER,  avoué  près  ie  tribunal  de  i*'^  instance,  au  Puy. 

MONÏEIX ,  officier  de  santé ,  à  Tauvcs. 

MONTENARD,  cliirmgien  de  la  marine,  à  Toulon. 

MON  riGNY  ,  directeur  de  l'IiApital  de  la^garde  royale,  à  Paris. 

MONTPELLIER  (cabinet  littéraire  de  MM.  Gabon  et  compagnie,  libraires  à). 

MONTREUIL,  doctenr-médecin,  h  Paris. 

MONTJOLY  ,  docteur-médecin,  à  St.-Mariic. 

MONTROL  ,  docteur-médecin. 

MORAEL,  doct.ur-médecin,  à  Paris. 

MORDRET  ,  médecin  ,  au  Mans. 

MOREAU  DESLIGNIÈRES,  libraire.  (  a  exemplaires.  ) 

MOREAU,  docteur-médecin,  à  Paris. 

MOREAU  ,  iihraire  ,  It  Angouième.  (  lo  exemplaires.) 

MORE  AD  ,  bibliothécaire  de  l'école  de  médecine,  à  Paris. 

MOREL ,  docteur-médeciu  ,  à  Montbelliard. 

MOREL ,  chirurgien  de  la  marine  ,  à  Touloa. 

MOREL,  docteur-médecin  ,  méd.  des  maisons  d'arrêt  du  li°  arrondis,  du  Donbsi 

MORICHEAU-BEAUCHAMP,  doct.  et  professeur  en  médecine,  à  Poitiers, 

MORIN,  médecin  ,  h  Coutanccs, 

MOSCATI  (  le  comte  ) ,  à  Milaa. 

MOSCHARD,  docteur-médecin ,  à  Montier-Grand-Val. 

BIOSSIER  ,  médecin,  à  Clerraont-Ferrand. 

MOSSY  ,  libraire,  à  Marseille.  (  i3  exemplaires.) 

MOTHE,  docteur-médccio,  h  Lyon. 


56         LISTE  DE  MM.  LES  SOUSCRIPTEURS. 

MOTREF,  cx-cliiruigicn  de  la  marine,  doctenr-médecin  ,  à  Guingamp. 

MOURLET-PRIVAT  (  G.-A.  ) ,  docteur-médecin ,  u  Tarascon. 

IMOTJCHEL,  docteui-médecin. 

MOLETTE. 

MOL'GEAT,  doct.-raéJ.,  prof,  d'anat.  pbysiol.  h.  l'école  de  santé  de  Brest, 

IVIOUILLEI' ,  docteur-médecin  ,  à  Paris. 

MOUQUÉ,  pharmacien,  à  Paris. 

MOUREAU  fds  ,  libraire,  à  Saint-Quentin. 

IMOURGUES,  docteur-médecin  ,  à  Paris, 

MOLIRGUETS,  doctenr-médecin  ,  au  Puget. 

MOURGUÏE  ,  docttur-médecin,  à  St.-Mariin-de-Valméroax. 

IMOURIÈS  ,  docteur-médecin  ,  à  Vinsobre.  , 

IMOLRON-DESSIN. 

MOURON  (  F.-P.-H.),  doctenr-médecio,  à  Corsier. 

MOUTIN  ,  ox-chirurgicii-major  de  la  Charité,  h  Lyon. 

MOUTON,  négociant,  à  Baionne. 

MOUTON,  docteur-médecin,  à  Paris. 

MO\'NE  ,  docieiir-miidecin,  à  Libonrne. 

MOUREAU  (  Jean-Denis  ) ,  docteur-médecin ,  ex-cbirnrg. -major,  à  BoHrgc»^ 

MOYSIN  ,  docienr-medecin,  à  Lisie  en  Dodon. 

MOZAG  DU  CHAMBON,  propriétaire,  près  Issoire. 

MUCK. 

MULLER,  libraire,  à  Paris.  (  3  exemplaires.) 

MURAT,  doctecr-médecin ,  à  Paris. 

MURAT,  doctear-médtcin  ,  ît  la  Chapeile-BIarival. 

MURAT  ,  docteur-médecin ,  à  Aubin. 

MUSSET,  docteur-médecin. 

MUSSY  (Alexandre de),  docteur-médecin,  à  Corfou. 

MUTIN,  homme  de  lettres,  h  Pans. 

NACHET,  professeur  de  l'école  de  pliarmacie,  à  Paris. 

NACQUART,  docteur-médecin  ,  h  Paris. 

NAGELE ,  docteur-médecin ,  à  Dusseldorff. 

NAIRAC  ,  à  Paris. 

NANTEUIL,àParis. 

NARCE  (  le  comte  de),  h  Champiié. 

NAUDENS  ,  docteur  en  chirurgie,  à  Tonlouse, 

N AU  Z AIS  ,  h  Angouicme. 

NAVARRE ,  négociant ,  fabricant  de  vinaigie,  à  Tartas. 

N.WARRE ,  officier  de  sanle,  cl  maire  de  Bigorry. 

NAVE,  oflicier  de  sauté. 

N  Aï  ROD ,  docteur-médecin ,  à  Laonion. 

NECONHAM  ,  à  Far-nbaud.    . 

NEDEY ,  docteur-médecin ,  à  YesouL 


LISTE  DE  MM.  LES  SOUSCRIPTEURS.  $7 

IVEPPLE ,  (locteur-mctlecin ,  à  Lyon. 

NERBONNEAU. 

NESPOLI,  àFIoreucc. 

NESTLER,  docteur-médecin,  h  Strasbourg. 

NEUBOURG  ,  diierieur  des  sabsistances  de  la  marine  ,  à  Brest, 

rŒUKIRCH  ,  libraire,  à  Coinaar.  (3  exemplaires.) 

2NEUKIRCH,  libraire,  à  Bâie. 

KEWBOURG ,  doctenr-médecin  ,  à  DreviUc. 

NICAISSE,  libraire,  à  Vitry. 

MCLOSE  ,  pharmacien  ,  à  Metz. 

NICOLAS,  doctenr-médecin,  à  Mclz. 

IVICOLLE  ,  libraire,  h  Paris.  (9  exemplaires.  ) 

NICOLLE,  libiaire,  à  B.nyenx. 

INICOLLE,  docteui-médecin,  à  Besançon. 

NIOU  ,  conseiller  afl  ^nseil  des  prises  ,  à  Paris. 

NOBLET. 

NOELLAT  ,  libraire  ,  h  Dijon.  (  5  exemplaires.  ) 

INOGUER  ,  médecin  ,  à  la  Roque-de-Fer. 

NOGUES,  doctenr-médecin,  dDan. 

WONLABADE. 

NOUBEL  ,  libraire,  à  Agcu.  (  i5  exemplaires.) 

]\OZERAN,  libraire,  à  Paris. 

KYON,  libraire,  à  Paris.  (4  exemplaires.) 

NYPELS,  libraire,  à  Mastricht.  (  3  exemplaires.) 

INYSTEN,  docteur-me'dccin  ,  à  Paris. 

OEUF  ,  doctenr-médecin  ,  à  Sisteron. 

OLENET,  docteur-médecin,  à  Montereati-Fanlt-Yonne, 

OLIVE,  doctenr-me'decin  ,  à  Arcis-snr-Aube. 

OLLAGNIER,  pharmacien-major  à  Tbôpital  de  Dimkerque. 

OLLIVIER  ,  diirurgien-major  à  l'bôpitai  militaire  d'Udine. 

OLLIVIER  ,  élève  en  médecine ,  ù  Paris. 

OLLIVRI ,  docteur-médecin,  à'Quimper. 

ORCEL,  libraire,  à  Coinibre.  (  16  exemp!<\ircs. ) 

ORDINAIRE,  <lflctcur-médecin,  à  Besançon. 

ORDINAIRE ,  docteur-médecin ,  à  Paris. 

ORFILA  ,  doctenr-racdccin,  à  Paris. 

ORMIERES  ,  docteur-médecin  ,  à  Toulouse. 

OTTAVIANI ,  secrétaire  général  de  l'imprimerie  et  de  la  librairie. 

OTTO,  officier  de  santé,  à  Altrain. 

OTZ  (  Henri-Louis) ,  doctenr-médecin,  h  Coriaiilod. 

OLVRARD  ,  docteur  en  chirnrgie  ,  cliirnrgien  ea  chef  à  l'hôp.  gén.  de  Dijon. 

OUVRARD,  docteur-mcdecin,  à  Aogersi 


53  LISTE  DE  MM.  LES  SOUSCRIPTEURS. 

PACROS ,  mé(kcin ,  à  Aiiitci  I . 

PAFON  ,  doctcnr-raédccin  ,  à  Ruffcc. 

PAGES,  officier  tle  saule,  à  Perpignan. 

PAGES  ,  doctcnr-méùecin,  à  Poiit-de-Vaux. 

PAGES ,  chef  de  division  à  la  diveclion  <le  la  librairie. 

PAGET ,  à  Champagnol. 

PAGNIER,  médcrin-vététinaire,  h  Paris. 

PAISANT,  docteur-médecin,  à  Essay. 

PALIER,  père  et  fîls,  imprimeurs-libraires,  h  Boîs-lc-dnc. 

PALISAUX. 

PAMPAGNAC,  à  Riberac. 

PAKCKOUCKE  mère  (Madame  )  ,  à  Paris. 

PAIXDROM  (  André) ,  docteur  médecin  ,  à  Paris. 

PAjNNETIER  ,  libraire  ,  à  Colmar,  (  a3  exemplaires.) 

PAIMNETRAT. 

PANTOLI. 

PAOLO-ROSSINI. 

PAPILOLN  ,  docteur-médecin  ,  à  Langoiran. 

PAPILLON,  libraire,  à  Rocliefort.  (a  exemplaires.) 

PARA  ,  docteur-médecin,  médecin  h  l'école  vétéiioa>re  de  LyoD. 

PARAIGE  I  docteur-mcdccin,  h  Evrenx. 

PARIR  ,  colonel  du  génie,  h  Soissons. 

PARISET,  doctenr-médecin  ,  à  Paiis. 

PARRIIN  ,  docteur-médecin,  à  Gervais. 

PARROISSK  (J.-B.),  docienr-midcLin  et  chirnrgien,  médecin  à  Soissons. 

PARROISSE  (Jean  ),  docteurniédecia  des  facultés  de  Naples  et  de  MndiiJ  ,' 

^,  ex-i'"''  médecin  du  roi  d'Espagne,  à  Toulon-sur-Aroux, 
PASCAL,  chirurgien  en  chef  à  l'Hôiel-Dieu  «le  Biie. 
PASCAL-CANTEGRIL,  docteur-ruédecin,  h  Muret. 
PASCnOUD,  libraire,  à  Genève.  (  17  exemplaires.  ) 
PASQUFER,  artiste- vétérinaire,  à  Varades. 
PASSAGUEY. 
PASTRE,  libraire,  à  St.-Omer. 
PASTURAL,  docteur-médecin,  à  Bessenay. 
PATAU  (Simon),  artiste-vétérinaire,  à  Perpignan. 
PATISSIER,   docteur-médecin,  à  Paris. 
PATOUILLOT  ,  médecin  ,  à  Gendrey. 
PATRIS,  libraire  ,  au  Havre.  (  6  exemplaires  ). 
PAUCHET  ,  docteur-médecin  ,  à  Paris. 
PAUL. 

PAULET,  docteur-médecin,  à  Nîmes. 
PAUPINEL  ,  docteur-médecin  ,  h  Brest. 
PA  VIE  ,  libraire,  à  la  Rochelle.  (  5  exemplaires.  ) 
FAYEN. 
PA^RÀU  (<j:aillaome  ) ,  ofllci»  da  i«aié,  à  Soumensac. 


LISTE  DE  MM.  LES  SOUSCRIPTEURS.  Sq 

PEAN,  docteur-médecin,  à  Brest. 

PÉCHAD,  doctenr-médeciii  ,  à  Lyon. 

PECOUL,  docicur-médecin. 

PEDEVILLA ,  h  Paris. 

PEILHON ,  directear  des  douanes ,  h  Rouen. 

PELICAN  ,  officier  de  santé  ,  à  Possesse. 

PELICIER  ,  libraire,  h  Pa.is.  (  1 3  exemplaires. ) 

PELIGOT,  administrateur  des  hôpitaux,  h  Paris. 

PELLEGRIN  (C.-F.  ),  chir.  maj.  de  lalég.  de  la  llaula-Loire,  à  MoulLoui». 

PELLETAN  ,  docteur-médecin  ,  à  Paris. 

PELLION,  docteur-médecin ,  à  Annonay. 

PELOU,  docteur-médecin,  à  Bourg. 

PELTIER,  doctenr-raéJecin ,  pharmacien  ,  à  Paris. 

PELTIER  ,  propriétaire,  à  Paris. 

PENARD  ,  chirurgien,  à  St.-S  ivinien. 

PENE  ,  df>cteur-niédeein,  à  Lambeye. 

PENISSAT,  pharmacien,  ?i  Cleimonl-Ferrand. 

PE1NSEUS  (Fierre  ) ,  médecin  anx  hôpit.  milil.  lit  eivils  ,  à  Briançon. 

PERADEL,  chirurgien. 

PERAlRE,àBordeanx. 

PERARD,  docteur-médecin  ,  à  Béthunc. 

PERCIVAL.àrf'ublin. 

PERCY,  le  baron  ,  docteur-médecin,  à  Paris. 

PERDREAU  ,  <locteur-mé4«rin  ,  h  Angers. 

PERE  ,  docteur-médecin  ,  h  la  Bastide. 

PERIGNON,  avocat  à  la  cour  royale  de  Pari». 

PERIN-SEVIGNY. 

PERISSE  ,  libraire  ,  à  Paris. 

PERISSE,  libraire,  a  Lyon.  (4  exemplaires.) 

PERNET,  clùrurgien-deniiste,  à  Paris. 

PERON. 

PEfîRIEN  (comte  de),  à  Hennebout. 

PERRIN,  pharmacien,  à  Manies. 

PERSIiN  ,  à  Paris. 

PESCHE ,  pharmacien  de  la  société  des  arts  du  Mans ,  au  Mans. 

PESCflE  ,  pharmacien,  à  Ja  Ferlé-Bernard. 

PESCHE,  libraire,  au  Mans. 

PESSEN  ,  pharmacien ,  h  Maubonrguet. 

PETEL,  docteur-médecin,  à  Paris. 

PETEL,  pharmacien,  à  Rennes. 

PETFRS  (N.) ,  étudiant  en  médecine,  à  Liège. 

PÉTIAU. 

PETIE T,  docteur-médecin  ,  h  Gray. 

PETIT  (  J.-J.) ,  doclenr-médecin  ,  h  Tirlemont. 

PEUT,  docteur-médecin ,  à  la  légion  de  l'Aube,  à  Troye». 


6o  LISTE  DE  MM.  LES  SOUSCRIPTEURS. 

PETIT,  docteur-médecia  ,  à  Corbeil. 

PETIT,  doctear-médecin,  a  Paris. 

PETIT  (J.-P.  ),  doclenr-médccia  ,  à  Raliéyillo. 

PETIT  ,  curé,  à  Beinm  )in. 

PETIT  ,  officier  de  santé,  à  Condé. 

PETIT-JEAN  ,  brasseur,  à  Verdnn. 

PETIT-JEAN-AUBERT ,  à  Paris. 

PETIT-PIERRE-SCHWITZER  ,  doctem-médecin ,  à  NeufcbâteL 

PETIT'.  ROCH ,  docleur-médecin  ,  à  Paris. 

PETITOT ,  à  Paris. 

PETROZ  ,  docteur-médecin ,  à  Paris. 

PEYROCAYE. 

PEYRON,  docteur-médecin  de  la  marine,  à  Marseille, 

PEZENAT,  docteur-médecin  ,  à  CbaroUes. 

PFTUGUER ,  «braire,  ù  Paris. 

PHILIBERT  ,  homme  de  lettres. 

PHILIPPE,  libraire,  à  Paris. 

PIATTI,  libraire,  6  Florence.  (  6 exemplaires.  ) 

PIALD  ,  chirurgien  de  2«  classe,  à  Toulon. 

PIC  ,  libraire,  à  Turin.  (  109  exemplaires.  ) 

PICARD,  docteur  médecin,  t\  Lizicux. 

PICARD  ,  docteur-médecin  ,  au  Havre. 

PICARD-DUBOIS,  libraire,  à  Paris.  (2  exemplaires.   ) 

PICHARD  ,  libraire  ,  à  Pa.is. 

PICHAUT,  officier  de  santé. 

PICHON ,  chirurgien  de  i  «""«  classe  de  la  marioe ,  à  Brest. 

PICHON  ,  pharmacien,  à  Mamcrs. 

PICHON,  chirurgien-major,  à  Limoges. 

PICHOT,  docteur-médecin,   à  Paris. 

PICQUET  DE  LA  HOUSSIEZ  ,  docteur-médecin,  à  Ronen. 

PIERAGGI-BIAMONI,  chir.  à  la  lég.  de  l'Hérault,  à  Bonifacio. 

PIERANGELI ,  docteur-médecin  ,  à  Basti.-,. 

PIERRON  (  P.-P.- A.  ) ,  chirnrgien-major  an  48°  régiment ,  à  Parla. 

PIERROT ,  curé ,  à  Sampigny. 

PIERSON,  docteur-médecin  ,  à  Verdun. 

PIET,  docteur  en  chirnr|;ie ,  à  Parts. 

PIFFON  (J.-B.) ,  docteur-médecin ,  A  Lcspare. 

PIGNARD. 

PIGNATEL,  doctenr-médecin,  à  Lyon. 

PIGNOLLET,àParis. 

PIGORE AU,  libraire,  à  Paris. 

PIHOREL,  docteur-médecin,  à  Falaise, 

PILHES,  doctenr-médecio  ,  à  Pamicrs. 

PILLET,  imprimeur-libraire,  à  Paris. 

PILLQN  ,  docicuï-médeciu ,  à  St-Vallicr, 


LISTE  DE  MM.  LES  SOUSCRIPTEURS.  Gi 

PILLONEL-BÉA T ,  à  Eslavayer. 

PINCHEDEZ,  rentier,  à  Paris. 

PINÇON  ,  chirurgien. 

PINEt/,  docicur-mc'decin  ,  à  Paris. 

PINGRENON  (F.-S  -J.  ),  chir. ,  sons-aîfle-major  à  l'hôp.  milit.  de  Givct. 

PINQUER  ,  docteur-médecin,  au  Havre. 

PION,  clnrnrgicn-major  au  20^  régt.  de  chasseurs  à  cheval. 

PIORRY  ,  docteur-mc'deciii ,  il  Paris. 

PîORRY  (Georges)  ,  doctcur-médtcin,  à  Poitiers. 

PISSON,  libraire. 

PITIOT,  chiruriiicn-aide-major  au  8'-'  u'gt.  d'ai  lillcrie,  à  Toulouse. 

PITTION  ,  docieur  en  chirurgie,  à  Jujurieux. 

PL.'\CE(comtedeIa). 

PLACE  CHAUVAC,  à  Paris. 

PLANCHE,  pliarmacien,  à  Paris. 

PLANE,  cliirurgien,  a  Riora. 

PLEE  ,  libraire.  (  2  exemplaires.  ) 

PLOCHE,  chirurgien-major  de  la  légion  de  Seine-et-Marne  ,  à  Arras. 

POETTE,  officier  de  sanie,  h  Favel. 

POGGI  (  Anioine-Paul  ),  doctenr-inédecin,  à  St. -Florent  en  Corse. 
POGNON  (J.-P.),  inspecteur  des  postes,  à  Paris. 

POINTE  ,  docteur- médecin  ,  à  Lyon. 

POIRSON,  docieur-iïiédi'ciii,  à  Flavigny. 

POIRSON,chiiuigien-iiiaior  du  6^  rcgt.  de  la  garde  royale,  à  Vcineil. 

POIRSON  ,  chirurgien  au  3o''  de  ligne. 

POI'TEVIN,  instituteur,  k  Paris. 

POITEVIN  ,  à  Pons. 

POMPIGNAN  (  le  comte  de),  à  Pompignan. 

PONCEAU ,  docteur-médecin  ,  à  Cheniillé. 

PONCET,  àParis. 

PONCET  ,  médecin  ,  à  Thiers. 

PONSEKO  ,  doct.-méd. ,  profess.  de  philosopliie  au  collège  royal  de  Suïc. 

PONTIS,  entrepreneur  de  bàtiraens,  à  Paris. 

PONTONNIER  ,  juge^de-paix,  au  Lude. 

PORTA  ,  chirurgien,  à  Lyon. 

POPiTALAIR,  docteur-médecin  ,  à  Baibantanc. 

PORTALEZ,  docteur-médecin,  àAiMluze. 

POTEL,  chirurgien,  à  Neufchàtel. 

POTEY  ,  liiiraire,  à  Paris.  (  14  exemplaires.) 

POUGENG. 

POUGET,  chirurgien  militaire, ;\  Paris.  ♦ 

POUPART-DUPLESSIS,  à  Paris. 

POURCELOT,  doctrur-:nédccin  ,  à  Vaucliîsottc. 

POUVREALT,  chirurgien,  à  G.-n(:.ay. 

POUZET  jdocleui-iuédïcin,  h  Piivas. 


6a  LISTE  DE  MM.  LES  SOUSCRIPTEURS. 

PRAT  ,  tlocteiir-inétlccin  ,  à  Paris. 

PRAVAZ  (Cl).-G.),  docteur-médecin  ,  h  Ponl-Beanvoisin. 

PRÉVENCHÈRE,  docieur-medecin  ,  à  Rouen. 

PRÉVOST  (Liévin),  propriétaire,  h  Hcsdin.  , 

PREVOST  ,  docteur- médecin ,  h  Haîcbrouck. 

PRIEUR,  médecin,  à  Issoire. 

PRIEUR  (A.-J.),doct.cnchir.,  chir-dePhosp.  civ.eimilit.  desprisons,  à  Aucb; 

PROJNT,  à  Paris. 

PROST,  docteur-médecin. 

PROUi"j]T  (Jean  ) ,  cliïrnrgien  de  i"^^  classe  entretenu  de  la  marine  ,  à  Brest. 

PRUDHOMME  ,  libraire,  à  Paris.  (  o  exemplaires.  ) 

PRUDHOMME,  libraire,  à  St.-Brieuc.  (  4  exemplaires.) 

PRUINET  ,  sous-chef  an  grand-livre  de  la  dette  pnblifjne. 

PRUNIERAS  (Joseph  ) ,  doclenv-iiiédecin,  à  Freignac. 

PRUS,  docteur-médecin  ,  à  Lorient. 

PUIX,  médecin  .  à  Olelle. 

PUJOL  (  Momoiilin  )  ,  doctenr-médecin. 

PULLEYRO(L.-A.  ),  i^"^  méd.  de  l'hAp.  mifit.  delà  Gnognc,  à  Bordeauï. 

PURY  ,  docteur-médecin,  à  Neulchâtel. 

PUY-PAGNON  ,  doclenr-mé.iecin  ,  à  Boèn. 

PUZENAT  ,  docteur  en  cLirnrgie  ,  à  Digoin. 

PY  ,  doctenr-mé(iccin  ,  h  Narhonne. 

PYOT  (J.-J. -Richard)  ,  docleui -médecin,  à  Clairvaux. 

QUELNEL,  libraire,  à  Paris,  (a  exemplaires.  ) 

QUEN  AULT  (  P.-E.  )  ,  chirurgien  eu  chef  de  l'hospice  de  Coutance». 

QUÉNEL-BASMEINID  (Jacques  ) ,  chirurgien ,  h  Blainville. 

(^UENIN,  docteur-médecin  ,  maire  de  Maussane. 

QUENIN  ,  doctenr-médecin,  à  Moulins. 

QUENTIN,  ofBcier  de  santé  de  la  marine,  à  Paris. 

QUESNEL,  docteur-médecin  ,  à  Dozulé. 

QUOILIN,  docteur-médecin  ,  à  Liège. 

QUOTARD  ,  chirurgien  à  l'hôpital  de  la  garde  royale  ,  h  Paris, 

RABUSSON  (François-Victor),  docicrtr  médecin,  h  Paris. 

RAGET  (J.-J.) ,  docteur-médecin  ,  à  Tarascon. 

RAGON,  phîvrmacien,  h  Paris. 

RAGUET,  àParis. 

RAIFFER,  chirurgien-major  des  dragons  de  la  garde,  à  Paris. 

RAIMOND,  inspecteur. 

RAINEVIIXE  ,  libraire,  à  Nonancom  t. 

RAISIN ,  (if>cleur  et  professeur  en  médecine  ,  ;i  Caen. 

RAISIN  ,  libraire  ,  à  Contances.  (  aS  exemplaires.  ) 

RAMBAUD,  doctear-médccin  ,  à  Pdiis. 


LISTE  DE  MM.  LES  SOUSCRIPTEURS.  63 

BAMEY  (  Nicolas  ),  à  Chenevrey. 

RAMOUX  ,  (locteiir-cliimrgien ,  h  Liège. 

RAMPELBERG.  imprimnu-llbtaiic-,  à  Bruxelles. 

RAiMPON. 

RANGÉS  (  Frédcric  )  ,  à  Paris. 

RANCOURT,  libraire  ,  à  Charlevilk-. 

RANQUE,  docteur- médecitî,  à  Orléans. 

RASICO,  cliirnrgien,  h  la  Ferlé. 

RASPIELER  ,  avocat ,  à  Colmar. 

RATHEAU  ,  ilccteur  médeciu  ,  à  Paris. 

RAUMEITE. 

RAVAUDÉ  ,  mc'decin  ,  h  Méieray. 

RAYMOND,  iliirnigien- major  des  dragons  de  la  Loire. 

RAYNAL  (J.-B.  ),  doct.-méd.  de  la  F.  de  P. ,  h  St.-Antonin. 

RAYNAL,  adjoint  au  maire  de  Locininé. 

RAYNAUD,  chirurgien  à  l'hôpital  militaire  de  Lille. 

RAYNAUD,  doci.  en  philosophie  et  en  méd.  ,  médec.  de  l'hosp.  eiv.  de  Caers. 

RAYOU  ,  avoca» ,  à  Paris. 

REBOLLE,  pliarHiacien,  à  Lescar. 

REBOULET,  à  Grenade. 

RECAMIER  (Jacquts),  banquier,  h  Paris. 

REFFAY,  libraire,  à  Mantes. 

REFU VEILLE,  pharmacien^  Elbcuf. 

REGARD  DES  ROUSSES  ,*octeur-médccin,  à  Gcx. 

REGIMBAUD  ,  doetem-médecirs,  à  Bras. 

REGNAUD  (  François  ) ,  second  chirurgien  en  chef  de  la  marine,  à  Toulon. 

REGNAUT,àLagny. 

REGNER  ,  chirurgien  ,  au  Val-de-Grâce. 

REGNIER,  docteur-médecin,  à  Coulomiers. 

REGNIER,  chirurgien  major  des  hôpitanx  militaires,  à  Colmar. 

REJOUX  ,  docteur-médecin  ,  h  Rochefort. 

REMACLE,  négociant,  à  Hodimont. 

REMY  (Philippe-Esprit),  chirurgien,  à  Cliaiillon. 

RENAND,  libraire,  à  Paris. 

RENARAD,  à  Paris. 

RENARD,  libraire  ,  à  Paris.  (  3  exemplaires.  ) 

RENARD,  docteur-médecin  ,  à  Domfront. 

RENARD,  à  iMayence. 

REN AU LDIN,  docteur-médecin  ,  à  Paris. 

RENAULT  (  l'abbé),  vicaire  général,  à  Bayenx. 

RENAULT,  libraire,  a  Lisieux. 

RENAULT  ,  libraire  ,  à  Rouen.  (  27  exemplaires.  ) 

RENAULT  ,  docteur- médecin  ,  à  Caen. 

RE^ON  ,  docteur-médecin  ,  à  Angoiiléme. 

RENOU  ,  pharmacien  à  la  Salpéiricrc,  à  Paris, 


64  LISTE  DE  MM.  LES  SOUSCRIPTEURS. 

RETHORÉ,  libraire,  à  Montauban.  (  ;  exemplaires.  ) 
REVERDIT  (  Cljrisioplie) ,  doclcur  en  médecine  et  en  chir. ,  à  BargemOD, 
REVIAL  (  l*". -Clément  ),  propiiétaire,  à  Aiitun. 
REVOl^AT,  flocieur-mécJecin  ,  à  Bordeaux. 
REY  ,  doctcat-médecin ,  à  Lyon. 
REY  ,  docteur-médecin,  à  Paris. 
REY  ,  docieiK-naédecin,  à  Marseille. 
REY  et  GRAVIER  ,  libraires.  (  loa  cxemplaiies.  ) 
REYDELLET,  docteur-médecin,  à  Paris. 
REYDELLET,  doctear-médecin  ,  à  Nantna. 
REYMOND,  pharmacien,  à  P.iri;,. 
REYMOINJNE  l ,  docteur  en  chirurgie,  à  Montpellier. 
REYMOISINET,  pharmacien  ,  à  Marseille. 
REYMOINE^JE  ,  docteur  en  chirurgie  ,  à  Marseille. 

REY  N  AL  (  de  ) ,  doct.-méd. ,  président  du  comité  central  de  naéd  ,  à  Evrenxi 
REYNAL  fils  (M.-P.-A.);  à  Beaumoni  Îc-Roger. 
REYINARD,  pharmacien,  à  Amiens. 

RIBERO-FRAINÇA  (  Dominique),  libraire  ,  à  Porto.  (  i3  exemplaires.  ) 
RIBES  ,  docienr-nicdecin .  à  Paris. 
PiICARD ,  docteur-médecin  ,  à  IMarscille. 
RICHARD  ,  chiiurgien-major  au  So"^  de  ligne. 
RICHARD  ,  libraire. 

RICHARD,  officier  de  sanié,  à  Poniiieux.        ^ 
RICHARD,  doctenr-nLédecin  ,  à  Paris. 
RICHARD,  doclcur-médccin  ,  à  Colniar. 

RICHARD ,  docteur-médecin  ,  ex-chirurgien  entretenn  de  la  marine. 
RICHARD  fils,  docteur-médecin  ,  à  Colmar. 
RICHAKD-CALVE  (Biaise  )  ,  docieur-médeciu  ,  à  Abrics. 
RICHERAIND,    docteur-médecin,  à  Paris. 
RICHIER  ,  dvctcur-médeciu,  à  Orange. 
RIDAR,  docteur-médecin,  à  Andar. 
RIECSSEG^àParis. 
RIIFALT,  libraire  ,  à  Rochefort. 
RIGAL  ,  cliiiuigien ,  à  Nantene. 
RîGAUDET,àParis. 

RINGtJELET  (Auguste),  docJenr-médecin,  à  Conrtcsonl. 
RIOTTE  fils,  officier  de  santé,  à  Dieppe. 
RISSE  et  ALCET,  libraires,  à  Moscou. 
RIVALS,  doctenr-médccin  ,  à  Lavaur. 
RIVIERE ,  doctenr-médecin ,  à  Tulle. 
RIVIERE  ,  commissionnaire  en  librairie,  à  Paris. 
RI  VOIR  ,  docteur-médecin  ,  à  Paiis. 
ROBEKT,  docteur-médecin,  à  Marseille. 
ROBERT  ,  docteur-médecin,  àBurdinnes. 
RODERT  ,  doctcnr-mcdecin,  ^,  médecin  en  ebcf  des  hôpitaux  de  Langres.' 


LISTE  DE  MM.  LES  SOUSCHIPTE  URS.  65 

ÏÎOBERT ,  à  Suasbourg. 

ROBER.T,  (locicui-médcciii  ,  h  Crcspy. 

ROBIIN  ,  (locteiir-iné'lccin  ,  h  Paris. 

îlOBIN-PRÉVALLEt:(J.-B.-L.)>  ,  docteur-méJecin ,  à  Péries. 

ROBIN,  cliiriirgien-mnjor  aa  92^  rc'et. 

ROBIN,  libraire  ,  h  Niort.  (  18  exemplaires.) 

ROBIN  ,  (îoctenr-nicJccin  ,  à  St. -Saturnin. 

ROBINEATJ  aîné,  propriétaire,  h  Angers. 

ROCH ,  commissaire  des  guerres,  à  Paris. 

ROCHARD,  flocteur-njédecin  ,  à  Slrashourg. 

ROCHEMONT  ,  doctcar-médecin,  h  Brest. 

ROCHERE,  cliirnrgicii,  h  Montendre. 

RODIER  ,  iloclcnr-iné(^ecin,  à  Marans. 

RODRIGUEZ,  libraire,  à  Paris.  (  i4  exemplaires.) 

ROECHLING  ,  doctenr-ώdecin  ,  h  Saarebruck. 

ROGER,  imprimeur-libraire,  à  Lyon.  (6  exemplaires.) 

ROGER-L AHUNIERE ,  propriétaire ,  à  Ablis. 

ROLLAND,  médecin,  h  Ax. 

ROLLAND  ,  marchand  de  papier ,  à  Paris. 

ROMAIN-SABATIER,  docttnr-médecin  ,  à  Grcaalhet. 

ROMAN. 

ROMER,  h  Zurich. 

ROlMIEUX  (Edrae) ,  lîonteur-  médecin  ,  premier  médecin  des  hôpitaux  civils,' 

et  professeur  d'accouchemens  h  La  Rochelle. 
ROMIGUIERES,  avocat,  à  Toulouse. 

RONDOT  (Frcdéric-Joseph-Syriaqae),  doclcur-mcdecin,  h.  Rigney. 
PiONY  ,  docienr-médecin  ,  h  Paris. 
ROQUELIN ,  docteur-médecin  ,  à  Dinan. 
ROOUES  ,  docteur-médecin,  à  Toulouse. 
ROQUES,  docienr-médecin  ,  à  Paris. 
RORET  et  ROUSSEL  ,  libraires ,  à  Paris.  (  4  exemplaires.  ) 
ROSIERE  (  V;ci'M  de  ),  jj^  ,  à  Besançon. 
ROSSEE,  avocat  général,  h  Colmar. 

ROSSET,  chirurgien-major  retraité,  à  Pont-de-Beaiivoisin. 
ROSSI,  professeur  de  chirurgie,  à  Turin. 
ROSSOLIN  ,  chirurgien  de  la  marine ,  à  Toulon. 
ROSS"ï  ,  chirurgien-dentiste ,  h  Marseille. 
ROI  TÉE  ,  à  Béihisy-St.Picrrc. 
ROTTIER,  libraire  ,  à  St.-Malo.  (  i5  exemplaires.) 
ROUALDES  ,  médecin,  à  St.-Gaudens. 
ROUBAUD,  docteur-médecin,  h  Marseille. 
ROUDEL  ,  cliirnrgien-major  des  vétérans,  à  Paris. 
ROUGERON,  libraire,  à  Paris. 
ROUGET,  libraire,  ;\  Paris.  (  3  exemplaires.  ) 
ROUGET  (J.-M.),  doct.-uîéd. ,  chir.  de  la  lég.  du  Cher,  à  Phalsbonrg, 

9 


66  LISTE  DE  MM.  LES  SOUSCRIPTEURS. 

HOUILLARD  (Edouard),  docteur- médecin,  à  Montmirail. 

ROUILLY,  libraire  ,  h  Paris. 

ROULHAG ,  marchand  de  papier,  à  Limoges. 

BOULLAND,  docteur-médecin,  à  Paris. 

BOULLIER  ,  doctenr-médecin ,  à  Majcnce. 

ROULLOIN. 

ROULODIN  ,  doctenr-médecin  ,  h  St.-Pol-de-Léon. 

ROU  MAGE  et  compagnie  ,  ncgocians,  à  Paris. 

ROUSSEAU,  cliiriirgien,  anxVoves. 

ROUSSEAU  ,  libraiie,  h  Paris.  (  i5  esemplaires.  ) 

ROUSSEAU  ,  cliirurgien ,  à  Villeneuve-la-Gnerre. 

ROUSSEAU,  doctenr-médecin. 

-ROUSSEL  ,  docteur  en  cliirnrgie,  à  l'île  de  Bonin.    , 

ROUSSEL  (G.-G.-P.  ),  doctenr-médecin,  5  St.-André-de-Magenconlcs. 

ROUSSEÏ ,  docteur  en  chirurgie  ,  chirurgien  des  prisons  de  la  ville  (la  Maut, 

ROUSSET  (  Félix  ),  docteur-médecin  ,  à  Paris. 

ROUSSET  ,  doctenr-médecin  ,  à  Sarregnemines. 

ROUTIER. ,  doctenr-mcJtcin  ,  à  Amiens. 

ROU  VIERE,  chirurgien,  h  Marseille. 

ROUVIN  ,  doctenr-médecin  ,  à  Decizc. 

ROUX  ,  libraire,  à  Paris.  (  2  exemplaires.) 

ROUX  ,  avocat,  à  Paris. 

ROUX  ,  docteur-médecin  ,  h  Paiis. 

ROUX,  médecin,  h  Barcclonne. 

ROUX,  officier  de  santé,  h  Gouriac. 

ROUXIVILLE  (de),  propriétaire,  à  Bayeax. 

ROUZET  (  Léon  ) ,  docteur-médecin  ,  à  Paris. 

ROYER  ,  négociant ,  maire  de  St.-Etienne. 

ROYER-COLLARD  ,  député. 

ROYER-COLLARD  ,  inspecteur  de  runiversilé,  à  Paris. 

ROZY  ,  docteur-médecin,  h  la  Canonrgne. 

RUBBEINS,  doctenr-médecin,  à  Paris. 

RUBINO,  médecin,  h  Bielle. 

RUBY,  docteur-médecin ,  attaché  à  l'académie  de  St.-Pétersbonrg, 

RUETTE  ,  doctenr-médecin ,  h  Paris. 

RUFFIN  ,  chirurgien  en  chef  de  l'hôpital  Saint-Loais,  à  Paris. 

RULLIER,  docteur-médecin  ,  à  Paris. 

RUMEBE  ,  .médecin,  b  Touionse. 

RUMÉBE,  docienr-médecrn,  chirnrgîen-major. 

RUSNET,  chirurgien  à  l'hôpital  militaire  de  Givet. 

RUSSEL,  médecin,  à  Tonlonse. 

RUTTEN  ,  doctenr-médecin,  h  Ver vicrs. 

RUY  ,  docteur-médecin  ,  k  Belgeniier. 


LISTE  DE  MM.  LES  SOUSCRlPTEUPvS.  67 

SONGER ,  cliirurgien ,  h  Egnisbeim. 

SA GET  fils,  a  Toulouse. 

SAHUQL'E,  doctcxir-médccin. 

SAILLARD.à  P;iris. 

SAINT- ANDRÉ  ,  professeur  de  l'ëcole  royale  de  médecine ,  k  TcMnlousa. 

SAINT-ANGE-MICHALLET,  docleur-mcdecia  ,  à  Paris. 

SAJNTOURENS,àTartas.  "   ' 

SAINT-BRIS,  médccirt ,  à  Motiflan<]uin. 

SAINT-CYR  (  Frédéric) ,  propriétaire,  h  Paris. 

SAINT-FARE^àParis. 

SAINT-LAURENT  fils,  médecin,  à  l'isle  Jourdain. 

SAINT-LAURENT. 

SAINT-MARTIN  ,  officier  de  santé  du  brick  le  Coureur ,  à  Géaes, 

SAIN^r-QUENTIN  ,  propriétaire  ,  à  Versailles. 

SAINT-YVES  (  de  ). 

SAINTIN  ,  libraire. 

SALETTE ,  docienr-médcriii ,  à  Tonrnon. 

SALGUES  ,  docteur-médecin  ,  ?i  Rennes. 

SAINTON  ,  officier  de  santé  ,  à  Troyes. 

SAISSY  ,  docteur-raédcciii ,  à  Lyou. 

SAJOU,  imprimeur-libraire,  à  Paris. 

SALLES,  chirurgien  ,  h  Pareiitis-cn-Born. 

SALLET  ,  docicur-médecin,  à  la  Souterraine. 

SALTP^ZER  ,  docteur-médecin  ,  h  Barr. 

SALVAGE ,  d'ictenr-médtcin  ,  à  Paris. 

SAMAZEUILH. 

SAMODES  (Lalande),  doclenr-raédccin  ,  h  Feoîllet. 

SAMONZET,  docteur-médecin  ,  à  Paris. 

SANGUIN,  médecin,  à  St.-Chamas. 

SANSON,  cliiriirgien-major. 

SAR  fils,  docteur-médecin  ,  à  Forges-d'Hcrserange. 

SARDOU-CAUSSE  (P.-F.-A.),  officier  de  santé,  au  Catinet. 

SARON  ,  docteur-médecin  ,  h  Arbois. 

SARRAN  ,  dociriir-médccin ,  médecinde  l'hospice  civil  et  militaire  d'Aaclî. 

SARRUT  (D.-G.  ),  chirurgien  de  riiôpitnl  du  Val-de-Grâce,  h  Paris. 

SARUY  fils,  chirurgien:,  h  Toulouse. 

SAULPIC  (M.-S.-F.),  docteur-médecin,  à  Chateandun. 

SAUNOIS  (  J.-C.  ) ,  doct.  en  cbir,  de  la  F.  de  P.,  prof,  d'aocouch.,  h  Dij^Bw. 

SAURET  ,  médecin,  ùl  Cournon. 

SAU  RINE  ,  évêque ,  h  Strasbourg. 

SAUVAN,  docleur-médccin,  h  Avignon. 

SAUVE,  chirurgien,  .i  Mayenne. 

SAUVEUR,  docteur-médecin  ,  professenr  de  l'aniTcrsiié,  à  Liège. 

SAVARY,  doctenr-nicdecin,  h  Paris. 

SAVÉ ,  an  Havre. 


68  LISTE  DE  MM.  LES  SOUSCRIPTEURS. 

SBILAT,  ofGcier  de  samé,  à  Ponf-BeaDvoisiii. 

SCHALnACHER  ,  libraire,  à  Vienne.  (2  exemplaires.  ) 

SCHELLIKX,  doctc'.ir-chirurgien,  à  Huy. 

SCHH  LY,  docien: -médecin  ,  A  Lyon. 

SCHLESIIXGER  ,  libraire,  à  Berlin. 

SCHLOGEL,  docteur-médecin  ,  à  Ciney. 

SOOTT ,  docteiu -médecin  ,  h  Londres. 

SCOUTETÏEN  (H.-J.),  cl.irDrg.-sous-aide-major  à  l'hôpital  de  Picpas. 

SCnUARllNGER  ,  h  Suasbonrg." 

SCHWARZENCERG  , libraire,  à  Aix-la-C!iapelle. 

S^'CRETA1N,  cliiruigicn-accouchcur  ,  à  Bellnarv. 

SÉGAUD,  mcJecin  ,  h  Marseille. 

SEGERS  ,  cliirnrgicn,  àConrtrai. 

SÉGOND,  officier  de  santé  ,  h  Correns. 

SECOND,  à  Paiis. 

SEGRET-LOMI'RÉ  ,  médecin,  h  Bresle. 

SEGUIER  ,  pair  de  France,  premier  président  à  la  cour  royale  ,  à  Paris^ 

SEGUIN,  docteur-médecin,  k  Alhy. 

SEGUIN,  cliirurgieR-accoucheiir  ,  à  Beaune. 

SEGUIN  (Hypolite),  libraire,  à  Paris. 

SÉGUY  ,  médecin  ,  à  Candies. 

SEGU  ï  ,  pharmacien ,  à  Périgiieux. 

SEGUY,  docteur-médecin,  i  Paris. 

SEIRERT(Panl),  à  Bayeux. 

SEIGNEURGENS  ,  docteur-médecin  ,  à  Parisl 

SÉAIÉLADIS. 

SEMEZIE. 

SÉNAG,  libraire,  à  Ton'.ouse.  (  49  exemplaires.  ) 

SENECHAL  ,  négociant  à  Paris. 

SENGENSSE(Jfan),doc(enr-raédecin,  h  Paris. 

SENNE VOY-L'ÉPINE,  commissionnaire,  à  Marseille. 

SENTEX,  pharmacien  ,  à  Fleurance. 

SERAN  ,  docteur-médecin  ,  à  Sclielestatt, 

SER^AND ,  chirurgien  de  i"^''^  classe  de  la  marine  ,  h  Brest. 

SER?dAND,  docteur-médecin  ,  k  Vaison. 

SERRES,  artistc-vélérinaire,  à  Villeneuve-sur-Lot. 

SEPiRIKRES,  docteur-médecin,  à  Nancy. 

SERRURIER,  docteur-médecin,  à  Paris, 

SE V ALLE  ,  libraire,  à  Montpellier.  (  16  exemplaires.  ) 

SHINA,  médecin,  à  Turin. 

SI8ILLE  (  J.-B.-A.  ) ,  à  la  Flotte. 

SICARD  ,  libraire ,  à  Nantes. 

SlEPiE,  maire  de  Roqnefoit. 

SIGNAT,  doctenr- médecin,  à  Asqnes. 

SILVAIN  (Pierre)  ,  docteur-chirurg.-major  ans  dragons  de  la  Saône,  à  Aire» 


LISTE  DE  MM.  LES  SOUSCRIPTEURS.  69 

SILVESTRE  (Vincent) ,  ancien  nicd.  coosuluiu  des  ariutcs  esp.,  à  Botdeaux. 

SIMOiV,libiaiie,àPaiis. 

SIMON  (  salon  littéraire  de  ),  à  Paris. 

SDIONIS  ,  h  Vervie.s. 

SIMROCK,  dnctem-nicdccin ,  à  Paris. 

SIMSON,  docteur,  à  York. 

SIREJEAN  ,  pLarniacien,  h  Verdun. 

SIRE  Y. 

SNYERS  ,  docteur-médecin  ,  à  Corlhys. 

SOCBE  ,  métîecin  ,  à  Zomergliem. 

SOCIÉTÉ  ROYALE  DES  ARTS ,  an  Mans. 

SOLAGES,  le  vicomte,  à  Alby. 

SOLEURE,  secrétaire  de  la  régence,  à  Liège. 

SORBETS,  docteur-médecin  ,  à  Paris. 

SORIA  ,  médecin  du  roi  Charles  iv  ,  à  Rome. 

SORIEUL,  docteur- médecin  ,  à  Doiiifront. 

SOUDAN. 

SOUILHAC  (J.-P.),  docteur-médecin,  à  St.-Céré. 

SOULAGES,  méilecin,  à  Toidouse. 

SOULEèlAT,  médecin  ,  à  Bagntres-de-Luchon. 

SOULER  AT,  médccio  ,  à  Cordes. 

SOUTER  (  Jolm  )  ,  libr;iire  ,  à  Lotidres.  (  6  exemplaires.  ) 

SOUVESTRE.,  doctenr-médecin,  h  Gninganip. 

SOU  VILLE  ,  doctcnr-nK'decin  ,  à  Caiais. 

SOUVILLE  ,  chirurgien  m;ijor  de  lu  marine,  au  port  de  Brest, 

SOVTCHE  (J.)  ,  à  St.-Eiierine. 

SOYMIE,  vicaire,  à  Snrzean. 

SPANGENBERG  ,  docteur-médecin. 

SPIGELTHAL,  chirurgien  militaire,  à  Paderborn. 

SPURZHEIM  ,  docteur-médecin,  à  Paris. 

Sf  AMPA  (  comic  de  ),  à  Milan. 

STAPLEAUX  ,  imprimeur,  h  Bruxelles.  (  i  j  exemplaires.  ) 

STEINBACH,  docteur-médecin  ,  à  Malniédy. 

STENER. 

STEPHANOPOLI,  docteur-médecin  en  chef  de  rhôpital  milii.,  à  Ajaecio. 

STEVE,  curé,  à  St.-Laurent-de-Cordon. 

STEYNEN  ,  docteur-médecin  ,  à  St. -Trou. 

STOCII. 

STOKER,  docteur-médecin  ,  chirurg, -major  au  régt.  suisse  de  Sali»,  ù  Lyon. 

STOKLY,  docteur-mcriecin  ,  chirurgien-major,  ù  Paris. 

STRAMBIO,  docieur-médecin  ,  à  Milan. 

STROYKENS  ,  chirurgien-major  au  Sa®  de  ligne. 

SUARD. 

SUBERCASEAUX,  doclcur-médecio  ,  i  Tauriac. 

SUE,  proftsseur  h  l'école  de  luédcc'ue,  à  Paris. 


•jo  LISTE  DE  MM.  LES  SOUSCRIPTEURS. 

SDÉRUS  (Bernard) ,  officier  Je  santé  ,  h  Hcsdin. 
SULTEZER  ,  docteiir-ruédecin,  à  Barr. 
SURIR  AY,  doctcur-iiîédccin,  au  Havre. 
SYLVA,  à  Paris. 

TAILLEFER  ,  dùctenr-médccin ,  à  Paris. 

TAILLEFERIE,  doclenr-mcdecin  ,  à  Paris. 

TALMA,  docleur-medecin. 

TAIMELIER  ,  maire  de  l,-i  commune  de  BlosHille-Boiisecours  ,  à  Rouen. 

ÏANRASDE,  conGseur,  à  Paris. 

TARADE  (  de),  maire,  ^  ,  h  Corbeille. 

TARDES  ,  cliirur^ien  ,  h  Pujmaurin. 

TARDES  ,  médecin  ,  h  Toulouse. 

TARDY,  cliirnrgien  de  In  marine,  à  Roclicfort. 

TAUREAU  ,  docteur-médecin,  à  Angers. 

TARTARIN  -,  libraire  ,  à  Deaune. 

TAPvTRA,  docieur-mcdccin  ,  ;\  Paris. 

TASCHER.Ï]AU,  doctcnr-médecia  ,  à  Azaz-le-Ridean. 

TASSART. 

TASSEL  ,  desservant ,  à  Langres. 

TASTU  ,  père  et  fils,  imprimeurs-libraires  ,  à  Perpignan.  (  5  exemplaires), 

TAVERNIER,  libraire,  h  Bois-le-Dnc. 

TEILLARD  (  Pierre)  ,  cliirnrgien  à  l'hôpital  miliiaire  de  Bonifacio. 

TEILLET  ,  docicnr-médccin  ,  à  Donzenac. 

TEISSEYRE,chirur{!;icn,  à  R.-.meville. 

TEMOI ,  docteur-médecin  ,  h  Gninçîamp. 

TENAIND  ,  docteiv-raédecin  ,  à  Belley. 

TENDRON,  officier  de  santé,  à  Coulans. 

TERREUX  ,  officiel  de  -.anté,  h  Bêche. 

TERREVILLE  ,  cbirurgicn-mnjor  du  5^  régt.  de  la  garde  lojale. 

TERRIS  ,  libraire,  â  Ai.t.  (  5  exemplaires.  ) 

'i  ERRISSE  ,  à  Litiiours. 

'llilSSIER,  pharmacien,  professeur  de  chimie  ,  à  Lyon. 

TESSIER,  docteur-médecin  ,  b  Chàteau-rlu-Loir. 

TESTORI ,  chirurgien  de  1^"  classe  de  la  marine  ,  ^  ,  à  Marseille. 

TEXIER  ,  chirurgien  de  i^'^*  classe  <!e  la  inaiine  ,  à  Brest. 

TEYXONNIERE,  docteur  médecin,  à  Bourganeuf. 

THALER  ,  docteur-médecin  ,  à  INIassevaux. 

THAU3IUR  CIs  ,  cliîrnrgieu  de  2®  classe  de  la  marine,  h  Brest. 

THEBAUT,  cliirurgicn-major  ,  à  Paris. 

THELU  (Théodore),  àDunkerque, 

THERME  ,  doctenr-médccin,  h  Lyon. 

THERON ,  docteur-médecin ,  à  Coursan. 

THERRIN  ,  chirurgien-major. 

THERRY,  Lotaire,àPans, 


LISTE  DE  MM.  LES  SOUSCRIPTEURS.  ^i 

J'HEVENEAU. 

THEVEjNIN,  eiitreprerirïur  principal  des  tabacs ,  h  Blois. 

THEVENON,  (îocteut-iuédcrin  ,  à  Craponne. 

THEV'EINOT  ,  docteur  en  cliiiui  gie  ,  à  St.-Gaudcas. 

THEY  (VinccHt),  officier  dcsanlé,  à  Basiia. 

THIBAUT,  à  Pat  is. 

THIBIERQUE ,  pharmacien ,  à  Paris. 

THIÉBAULT,  docteur-mcdecin  ,  à  Verdnn. 

THIERAUT,  lieiUenant-colonel  du  génie,  à  Verdan. 

THIEL  ,  libraire,  à  Mets.  (  3  exemplaires.) 

THIERY  ,  pharmacien  ,  à  Paris. 

THIERRY,  chirurgien,  h  Paris. 

THIERRY.POUX  (  J.-F.) ,  docicnr-médecin  de  la  F.  deM.,  àMontanban. 

THILLAYE  ,  docteur-médecin  ,  à  Paris. 

THILLAYE  (  Aug.  ) ,  méd.  attaché  à  la  bibliotlièque  de  la  F.dcniéd.dePatis. 

THILLOU-LAVERGNE ,  docteor-médecin ,  à  Paris. 

THIRIAFiT,  impiiineur,  à  Cologne. 

THIRION  ,  doctenr-médccin ,  à  Remiremont. 

THIRY,  docteur -médecin  ,  à  Huy. 

THOMAS  ,  doctenr-médecin  ,  à  Sanlieu. 

THOMAS  ,  docteur-médecin  ,  à  St. -Etienne. 

THOMAS  jeune,  libraire,  à  Tulle. 

'i'HOMAS  aîné  (Joseph  ) ,  tt  Dorian. 

THOMAS,  h  Paris. 

THOMASSIN  ,  chirnrgien-major  ,  h  Bar-sur- Anbc. 

THORE  ,  doctenr-médecin  ,  naturaliste,  à  Dax. 

THOURON. 

THOVENEL  ,  h  Poi^t-à-Mousson. 

THROUILLET  ,  pharmacien  ,  à  Paris. 

THUILLIER  ,  docteur  en  chirnrgie  ,  à  Amiens. 

THULLIER  (  Louis),  libraire  ,  à  Hesdin. 

TILLIARD  frères,  à  P.-ais. 

TILS  ,  doctenr-médecin,  h  Bonn. 

TIREAU  ,  pharmacien ,  au  Mans. 

TOCHON,  à  Paris. 

TOFFART ,  docteur-médecin, 

TOLLARD  ,  botaniste,  à  Paris. 

TOMASSIN,  doctenr-raédccin,  h  l'île  des  Groaix. 

TOMBEUR,  doctenr-médecin,  à  Lens-St. -Servais. 

TONELIER-FERDIN AND ,  docteor-médecin ,  à  Tonruay. 

TONY-CAP,  pharmacien  ,  h  Mâcon. 

TOPINO  ,  libraire,  à  Arras.  (  26  exemplaires.  ) 

TORT. 

TOUCAS  (  Ant.  ) ,  officier  de  santé ,  à  Vienne-le-Châtean. 

TOUCHARD  (Louis-Easèbe  ) ,  à  Montereaa. 


72  LISTE  DE  MM.  LES  SOUSCRIPTEURS. 

TOURET,  floctcur-raéiiecin  ,  h  St.-Qucutin. 
TOURETTE,  à  Toulon. 

TOURlNADPiE  père,  ancien  inspcct.  de  renrcgistiement,  à Clerraonl-FerranJ, 
TOURIN'IER,  docieiir-médeciii ,  a  Lyon. 
TOURMER  ,  doctcnr-médccin  ,  h  Murât. 
TOURVIELLE  (F.-E.  ) ,  docleui -médecin  ,  à  Thneyis. 
TOUSSIN  ,  négociant,  h  Rouen. 

TOUSTAIN  (de)  ,  receveur  général  du  dcpt.  d'îlle-et-Vilaine  ,  à  Rennes, 
TOUTAIN  ,  limoiie,  au  Mans  (  4^  exemplaires.  ) 
TOUVENED  (  A.-G.-F.  ) ,  cliirnrgien  A  l'hôpital  de  Rennes. 
TOUZET  (Claude),  docteur-médecin,  h  Vitteaux. 
TRANCHARD  (  B.  )  ,  ofûcier  de  santé,  à  Rebais. 
TREITLINGER  ,  à  Paris. 
TRELAT  ,  notaire  ,  à  Moniargis. 
'J'REMEAU,  avocat,  à  Vienne. 

TRÉMEAU  et  compagnie,  libraires,  h  Angonlème.  (6  exemplaires.) 
TRÉMOLIERE,  pharmacien,  à  Marseille. 
TRENLE  ,  architecte,  t»  Colmar. 

TREUTTEL  et  yVURTZ ,  libraires,  à  Paris,  (  86  exemplaires.) 
TRIPIER,  cijirnrgicn,  à  Airainps. 
TRIQUET,  libraire,  à  Nismes.  (  2  exemplaires.  ) 
TROILLET ,  docieuï-médccin ,  à  Lyon. 
TROSSEVIN. 

TROUETTE  (  J.-D.  ) ,  chirorgien  de  2^  classe  da  la  marine ,  à  Toulon, 
TRLBERT. 

TRUC,  chirurgien  de  la  marine,  à  Toulon.  • 

TRUCHY  ,  libraire,  à  Paris. 
TUEFFliR  ,  doctcnr-mciiccin  ,  h  Montbellinrd. 
TULLIEZ-ALFFSTON,  libraire ,  h  Hesdin  (  5  exemplaires.  ) 
TL  RGiNE ,  cliirurgien-major. 
TL'RLE,  officier  de  sanié,  h  Caries. 
TLIRKER,  docteur-médecin,  à  Londres. 
T\'MAN,  médecin,  à  Oudenarde. 


UG  ALDE  (J.-A.  de) ,  chirurgien  titulaire  de  la  ville  deBilbao. 
UILLIER  ,  frères,  banquiers,  à  DôIe. 
UILLET  ,  médecin,  à  Rahon. 

VIKCENT ,  chirurgien  de  i^^^  classe  de  la  marine,  à  Brest, 

VIIN CEINT,  docteur-médecin,  à  Paris. 

VllNAY  ,  docteur-médecin,  à  Lyon. 

VIREY  ,  docleut-médecin,  à  Paris. 

VISEZ  fils  ,  docteur  en  chirurgie,  h  Verviers. 

VISSAGUFIT,  docieur-niédecin ,  à  Atuberi, 


LISTE  DE  MM.  LES  SOUSCRIPTEURS.  73 

VAAST  ,  cliirnrgicn  ,  à  Batilly. 

VACHE ,  commis  du  M.  Morcau  ,  marchand  de  fer ,  h  Paris. 

VACHERON  ,  chirargien  ,  à  Comgivaiix. 

VACILIERES  ( Charles ) ,  docteur-médecin,  ;\  Salles-Courbatiés. 

VADAL  ,  doctenr-médecin  ,  à  Warermiie. 

VADPiOT  ,  (Etiemie)  ,  docteur  en  médecine  de  la  facalté  de  Paris. ,  cx-chir. 

major  aux  armées,  à  M»ursaalt,  près  Beanne. 
VADROT,  doclenr-médecin  ,  à  Autiin. 
VAIDY  ,  docteur-médecin  ,  à  Lille. 
VALADOU  ,  chirnrgien-accoucheur  ,  à  Clnyc. 
VALENTIN  ,  docteur-médecin ,  à  Mcnde. 
VALEN,  officier  de  santé  au  Val-de-Grâce  ,  à  Pa'ris. 
VALFRÉ,  médecin,  à  Bra. 
VALLEE,  (Charles- Jacques),  ^  ,  chiraigien-major  an  i*  régiment  da  ge'nie, 

docteur  en  médecine. 
VALLEE  ,  à  l'école  normale,  à  Paris. 
VALLEE,  officier  de  santé  ,  à  Montmirail. 
VALLEE,  chirurgien  ,  h  Vibrayc. 
VALLERA"Ï  ,  docteur-médecin  ,  à  Paris. 
VaLLIENjNE,  (Joseph) ,  chirurgien  ,  h  Savigné-Levéqne. 
VALMONT-LALRIOL. 
VANACKERE  ,  imprimeur-libraire,  h  Lille. 
VANAQLE  ,  chiiurgien  ,  h  Remy. 
VANBOCKEREN  ,  libra^c  ,  à  Groningne. 
VANBRABANT  ,   docteur-médecin  ,  à  Loo/,. 
VANDENBROUKE  ,  aide-major,  à  Tournai. 
VANDERSMISSEIN  ,  à  Lasselt. 
YANDERSEILT. 

VAINDEWALLE  ,  dociem-médccin  ,  à  Hazebrouck. 
VANDORPE,  chirurgien,  à  Courirai. 
VANHAREN  .  docteur-médecin,  à  Saint-Tron. 
VAINHORLE  ;  pharmicien  ,  à  Liège. 
VAÎSHOLITE,  chirurgien  ,  à  Conrlrai. 

vakpuyvelde; 

YANTAL  ,  négociant,  à  Paris. 

VANTIIOLL,  conservateurà  la  bibliothèque,  (dépôt  de  littérature)  ,  à  Piuis. 

VANVRECK-EM ,  docteur-médec-in  ,   à  Paris. 

VAMZANLVOORDE,  docteur-médecin,  ;\  Gand. 

VAU Z ANTVOORDE ,  médecin  ,  à  Courtrai . 

VARELIAUD  ,  doctenr-médecin  ,  à  Paris. 

VARICE  (Louis  ) ,  dentiste  ,  à  Chiiion. 

VASE  (fils) ,  chirurgitin  do  2®  classe  de  la  marine  ,  ù  Brest. 

VASNIER,  doctenr-médecin,  ;\  Lagraveric. 

V.\SSET  (Théophile-Parfait  )  cliinugien  ."i  la  légion  du  Doubs  ,  h  Bellori. 

VASSILLIERE,  chirurgien,  à  l'hospicc  niiliiaire  ,  à  Toulouse. 

lO 


:4  LISTE  DE  MM.  LES  SOUSCRIPTEURS- 

VATARD  ,  libraire,  à  Rennes. 

VATARD-DÉSAUBIÉ  (  veove) ,  à  Pari». 

VAUDIN ,  pharmacien  ,  k  LaoD. 

VAULLAIN. 

VAVAL  ,  docteur-méJecin  ,  à  Paris. 

"VEILLET ,  J^,  chirurgien  en  chef  de  l'hôpital  militaire,  h  Naney. 

VELTER  ,  docteur-médewn  ,  à  Bonn. 

VENDRIN  ,  libraire,  à  Paris.  (  4  exemplaires.  ) 

VENLIERDE  ,  rentier  ,  à  Paris. 

VENTE  ,  libraire  ,  à  Paris. 

VERARDI ,  médecin  ,  à  Yvrce. 

VERBARE ,  docteur-médecin ,  à  Tournay. 

YERDIÉRE  ,  libraire,  à  Paris.  (  gS  exemplaires.  ) 

VERGj^IN  ,  médecin  militaire  ,  ^  ,  h  Marseille. 

VERGER  (  Antcine),  chirurgien-major,  à  Paris. 

VERGÉS,  médecin  ,  à  Vinça. 

VERGNON. 

VÉRI5SEL ,  ex  chinirg.-maj.  à  l'HAtcl-Dieu,  docteor-médecin,  à  Lyori. 

VERLHIAC,  docteur-médecin  ,  h  St.-Denis. 

VER  MET. 

VERNEZOBRE  ,  officier  d'artillerie ,  à  Paris. 

VERINIER,  ancien  chef  de  division  au  ministère  de  la  marine ,  a  Paris. 

VEUBRIGUER,  négociant,  à  Lyon. 

VEUILLEMONT ,  chirurgien  ,  à  Arsonval. 

VIAL ,  docienr-rnédecin  ,  à  St.-Geoire. 

VI.\L,  docteur-médecin  ,  à  Cressange. 

VIALARS  ,  (  Baptiste  ) ,  chirurgien  et  maire  i  Cardaiilac-Figeac. 

VIART,  (Pierre-François),  doyen  curé  d'Auxerrc,  vicaire  général ,  h  Anxerre. 

VICAIRE  ,  (  François) ,  chirurgien  de  a"  classe  de  la  marine ,  à  Tooion. 

VIDAL,  doctcur-médscin  ,  :\  Montbrison. 

VID.AL  ,  officier  de  sanlé,  à  la  Motte. 

VIDART  ,  docteur-médecin  ,  à  Lédoral. 

VIEUSSECX  ,  libraire,  à  Toulouse.  (4  exemplaires.) 

VIGAROZY. 

VIGNÉE,àParis. 

VIGNES  ,  à  Aigoes-Morlc*. 

VIGNEUX ,  à  Paris. 

VIGREUX. 

VILLAINE,  officier  desanlc,  à  Mamers. 

VILLARD  ,  (  Pierre-Aimable  )  chirurgien  ,  à  Granvillc. 

VILLARD ,  docteur-médecin ,  h  Varennes. 

VILLEFOSSE,àParis 

VILLEGI/V,  docteur-chirurgien,  à  Liège 

VILLEMSEMS,àParis. 

Vîr.LE!NEUFVE,(J.-L.),  ex-thir.-majr.i  d«  la  gai  de  imper-,  à  Satire, 


LISTE  DE  MM.  LES  SOUSCRIPTEURS.  7 5 

VILLENEUVE  ,  négociaoi,  h  Lyon. 

VILLENEUVE,  Jocteur-médecin  ,  h  Paiw. 

V'ILLERMÉ,  docteur- médecin,  à  Paris. 

VILLERS  ,  (  François  ),  doctenr-médecin  de  la  facnlté  de  Parie ,  «hirargien  de 

i**^*  classe  de  la  uarine,  entretena  an  port  de  Toulon,  à  Toulon. 
VILLET  ,  libraire,  à  Verdan.  (  9  exenaplaires.  ) 
VILLEVER  (André  ) ,  docteur-médecin  ,  à  Thoirelte. 
VILLIER,  libraire,  à  Paris.  (3  exemplaires.) 

VILLIERS ,  doclenr-médecin ,  (  i^"^*  classe  do  la  marine),  à  Tonlon. 
VIMEUX,  (Nicolas-Casimir-Clément  ) ,  docteur-médecin,  à  Maignalay. 
VIMONT,  avocat,  à  Bayeux. 
VIMONT,  docteur-médecin,  à  Cliâtcan-Salins. 
VINCENOT ,  libraire ,  à  Nancy.  (  6  exemplaires.  ) 

VINCENT ,  ex  chirurgien  entretenu  àe  la  marine,  doctenr-midecin,  à  Tréguie» , 
VIVENS  (J.-B.-A.  ),  doctenr-médecin,  àHesdin. 
VOGLET ,  libraire ,  à  la  Flèche  (  3  exemplaires.  ) 
VOILLEMIER,  pharmacien,  à  Senlis. 
VOISIN  ,  doctenr-médecin,  à  Paris. 
VOLLEGEARE. 
VOLLET. 

VOLPI ,  <loctenr-iuédeein,  piofessenr  de  l'école  de  mcdccmc,  à  MiUn. 
VOSS,  libraire,  à  Leipsick  (  i  exemplaires.  ) 

WAGENER  ,  doctenrchirnrgien  ,  à  Soumagne. 

WAILLE  (  Victor-Amédée),  doctcur-ruédecin  ,  à  Paris. 

WARÉE,  libraire  ,  à  Paris. 

WARÉE  ODcle,  libraire,  à  Paris. 

WARIN-THIERRY  ,  libraire  ,  h  Epernay. 

WATBLÉ,  chirurgien  de  a^  classe  de  la  marJnC,  a  Biest, 

WATSON. 

WEGELER,  docteur-médecin,  à  CoWentz. 

WEIDMANENN  ,  professcof  en  chirurgie  ,  à  Mayence. 

■WEYKE5\  ,  libraire,  à  St.-Pélersbonrg.  (  7  exemplaires.) 

WE'ÏLANDX',  chirurgien  à  l'hôpital  militaire,  à  Toulouse. 

WEYLER  ,  employé  au  ministère  de  la  macine,  h  Pans. 

AVILKEN  ,  bibliothécaire  correspondant  de  l'Institut  da  France,  à  Hwdelberij 

WILLEBOIS,  doctenr-médecin,  à  Bois-le-Duc 

VVILLERVAL,  imprimeur-libraire,  h  Douai. 

WIN  AND  (  J.-H.  ) ,  négociant ,  à  Vcrvicrs. 

WOLF  (  Jacques  ) ,  docteur-médecin ,  à  Bonn. 

"ÏON,  libraire,  à  Dijon.  (  i  exemplaire.) 
YVERT,  maréchal-vétérinaire,  à  Rouen. 
Y  VON ,  pharmacien  du  roi ,  J«  Mamers, 


76  LISTE  DE  MM.  LES  SOUSCRIPTEURS. 

ZALLONY  ,  ex-doctear  en  médecine ,  propriétaire ,  h  Marseille. 

ZAMAN  ,  doctenr-me'decia ,  à  Paris. 

ZANG. 

ZAWADZKY  ,  libraire  de  l'université ,  à  Wilna.  (  4  exemplaires.  ) 

ZINK  ,  Jocteor-chirargien ,  membre  de  la  société  helvétiqne  des  sciences  nam- 

rclles,  à  Lausanne. 
ZOLEAUD  DE  ST.-MAURICE ,  doctear-raédecin,  à  Paris. 


LISTE  SUPPLEMENTAIRE 

DE  MM.  LES  SOUSCRIPTEURS  DU  DICTIONAIRE. 


ALBERT  ,  docteur-médecin  ,  à  Niort. 

ALLIÉS,  à  Paris. 

ALLONEAU  ,  doctenr-médecin ,  à  Thouars. 

ANDRÉ  (  L.  ) ,  officier  de  santé ,  à  St.-Lambert. 

ANNOÏE-VANDEVWERE  ,  imprimeur-libraire,  à  Ypres. 

ABBEY,  docieur-mëdecin  ,  à  Chatiilon-sur-Seine. 

ARMAND,  à  Paris. 

ARRAULT  ,  médecin  ,  à  Joigny. 

ASSELIN,  médecin,  à  Caen. 

AUBERTFN  ,  étudiant  en  médecine,  à  Paris. 

AUBŒUF,  pharmacien,  à  Châlons. 

AUBRIER,  à  Saint-Queniin. 

AUDOtlARD.àParis. 

AUGEREAU ,  à  Paris. 

BACKER  (de) ,  professenr,  à  Sic- Anne. 

BADAUD,  officier  de  santé,  à  Becon-lc-Lonronx. 

BALENCHANA ,  docteur-médecin. 

BARBETTE  ,  médecin  ,  à  Niort. 

BARBIEUX,  médecin. 

BARBU  AT,  médecin  ,  à  Bonrges. 

BARRAS ,  doctenr-médecin ,  à  Paris. 

BAST ,  étudiant  en  médecine. 

BAUME,  médecin  ,  à  Rians. 

BEAUFINET,  docteur-médecin,  à  Chef-Bontonne. 

BEAUMONT  (de),  à  Saint-Pétersbourg. 

BEAU  VIEUX ,  étudiant  en  médecine. 

BECOUR,  chirurgien,  à  Chateaudua. 

BELLENAND,  à  Péronne. 

BELLIER,  à  Nantes. 

BENOITS,  à  Paris. 

BENOITS,  à  Rouanne. 

BERGER,  vétérinaire  en  chef,  à  Paris. 

BERGERON  ,  officier  de  santé ,  à  Rochefort. 

BERGERON  (J.-J.  ),  docteur-médecin. 

BERGERON  (  J.-J.  ) ,  officier  de  santé  de  la  marine,  an  port  de  Rocliefori. 

BERGERON ,  à  Paris, 

l 


2  LISTE  SUPPLEMENTAIRE 

BERNARD  ,  docteur-médecin  ,  î»  Pczcnas. 

BERNARD,  vétérinaire,  à  Desvre. 

BERTRAND ,  médecin  des  eaux  du  Monl-d'Or,  à  Clermoiil  Feiiaiïd. 

BERTRAND,  chirurgien,  à  Givry. 

BEUGNOT,  docteur-médecin. 

BLANC,  maiie  de  Cbâions. 

BLANC,  imprimeur-libraire,  à  Mouùers.  (  6  exemplaires.  ) 

BLANC  ,  médecin,  à  Cbàteau-Doubie. 

BLANCHE,  h  Pa.is. 

BLATIN,  docteur-médecin,  à  Clermonl-Fcrrand. 

BLIN  ,  h  Paris. 

BLOMME,  à  Lootenhulls. 

BLONDEAU,àHam. 

BODEAU  ,  docteur-médecin,  à  Niort. 

BOÎLEAU,  médecin,  a  Nancy. 

BOISPERRÉ,àParis. 

BOISSIÊRE ,  médecin ,  à  Bergerac. 

BONNAL,  médecin,  h  Paris. 

BONNEFO"ï  ,  cbirurgicn-major,  h  Paiis. 

BONNEU  ,  chirurgien,  à  Périgny. 

BONNOT,  médecin,  à  Toulon-sur-Arroujs. 

BORDOT,  docteur-médecin,  à  Paris. 

BOREL ,  docteur-médecin ,  h  Paris. 

BORIE,  à  Paris. 

BORNET-LEGER,  à  Neuvic. 

BOTTKX,  médeciu,  à  Lyon. 

BOUDIER,  maire,  à  Tournu. 

BOUGAREL ,  chirnrgieu-major. 

BOUILLARD,  médecin,  J,  Nantes. 

BOUIS  ,  officier  de  santé,  et  pharmacier. ,  à  Saint-Tropez. 

BOLLEY,  artiste-vétérinaire  ,  h  Paris. 

BOURDON-DELAUNAY,  à  Paris. 

BOURGEOIS,  chirurgien,  à  Moorscele. 

BOURILLON,  docteur-médecin,  à  Cliampdeniers. 

BOUVIER,  à  Paris. 

BOY  AVAL-HOLVOET,  receveur  des  douanes,  à  Menin. 

BOYÉ,  à  Paris. 

BOYER,  àPaiis. 

BOYER,  chirurgien,  à  Clermont-Fcrraad. 

BOYVEAU-LAFFECTEUR,  médecin,  à  Paris. 

BRABANDERE-DELEVINGÎNE  (de),  à  Courtrai. 

BRACHET ,  docteur-médecin  ,  à  Lyon. 

BRESCHET,  médecin,  à  Paris.' 

BRIOLET,  pharmacien,  à  Châions. 

BRJSSE T ,  doclenr-médecin  ,  à  Paris. 


DE  MM.  LES  SOUSCRIPTEURS. 

BRISSON,  (loctonr-méilecin,  h  Bénct. 

KRIVIN,  (loctenr-médccin,  à  INioit. 

nROTlLLOT.hDôle 

BRUGGEMAN,  ohinirgien,  à  Zweveghciu. 

BRUNEAU.àChonlleur. 

BUCHET  ,  cliirurgieu-iuajor ,  à  Tartas, 

BUISSON ,  docteur-médecin , 

BlJRCK{de). 

BURCK  (de),  avocat. 

CALMAR-LAFAYETTE ,  an  Puy. 

CARBILLET,àLangres. 

CARCASSONNE,  médecin,  à  Cliâlons. 

CARTERON,  médecin  ,  à  Troyes. 

CASAUGRAN ,  médecin,  à  Monirejan. 

CASSE ,  médecin  ,  à  Saint-Germain-en-Laye. 

CASTAJGNET,  à  Basas. 

CASÏERMAN ,  fils  aiaé ,  à  Tournai. 

CAVIOLA,àParis. 

CAZALIS,  chirurgien ,  à  Arrengosse. 

CHABROL,  à  Paris. 

CHAIVIMAND,àParis. 

CHAMPEIL ,  officier  desanié,  ?»  Saint-Julien-aax-bois. 

CHANDURIE,  chir.maj.à  rhôpitaimiliiaiic,  à  l'île  d'Olei  on. 

CHAINTREAU,  médecin. 

CHAPEL,  à  Paris. 

CHAPOTlN.àParis. 

CHARDEL  aîné  ,  médecin ,  à  Paris. 

CHARPENTIER,  médecin ,  h  Gnerigny. 

CHARPENTIER,  médecin,  à  Bourges. 

CHAUDON,  médecin,  à  Valensolle. 

CHAUVET,àParis. 

CHAUVET ,  à  Mantes. 

CHERON ,  médecin,  à  Argentan. 

CHESNET,  médecin,  h  Paris. 

CHEVALIER-RUFIGNY,  médecin,  à  Paris. 

CHEVREUX,  à  Saint-Gcnis. 

CHEYSSOM ,  médecin  ,  à  Nogent-sur-Seioe. 

CHONIPPE  ,  médecin ,  à  Paris. 

CHRESTIEN-LALANNE ,  à  Paris. 

CL  ARCK ,  doc  leur-médecin ,  à  Rome. 

CLEMANDOT,  à  Paris. 

CLÉMENT,  médecin,  à  Bitchc. 

CLÉMENT,  médecin,  à  Paris. 

CLOQUET  jeune,  à  Paris. 


4  USTE  SUPPLÉMENTAIRE 

COCHAKD  ,  chirurgien,  à  Nantes. 

COLLIN,  docieur-médecin ,  â  Paris. 

COMPAl]NG,àRoaen. 

COPIN ,  médecirî ,  à  Cambrai. 

CORDIER ,  à  Paris. 

CORDIER ,  à  Laon. 

CORDON,  médecin,  à  Montpellier. 

CORNELIS,  médecin,  à  Oulenarde. 

CORNUDET,  à  Laroche-Bernard. 

COUZIN,  docteur-médecin  ,  à  Sainl-Jean-d'Angely, 

CROZE ,  docteur-médecin ,  à  Lezoux . 

CRUVEILLIER ,  à  Paris. 

CUENOT,  docteur-médecin,  à  Besançon, 

CUNY,  docteur-médecin,  à  Nancy» 

DAMIRON  ,  docieur-médecin,  à  Paris, 

DAMY ,  à  Paris. 

DANVERS,àCorbeil. 

DASSONNEVILLE,  à  Paris. 

DAUBAN,  médecin,  à  Paris. 

DAUSSE  ,  à  Paris. 

DAVID,  médecin. 

DECHASSÉ  ,  propriétaire ,  à  Toarnas, 

DEFOS,  médecin,  à  Alby. 

DEGAGE,  médecin,  à  Nantes. 

DEGUISE  ,  médecin ,  h  Paris. 

DELACROIX,  à  Paris. 

DELADREU  ,  fils  aîné,  h  Paris. 

DELAFONDRÉE,  doctear-médecia ,  à  Paris, 

DELAVAUX,  médecin ,  à  Mosle. 

DELBARRE,  chirurgien  ,  à  Cambrai. 

DELBARRE ,  médecin,  à  Pont  l'Evéque. 

DELHERBE,  à  Paris. 

DELOISY,  membre  de  la  chambre  des  députés,  à  Dijon, 

DELSERIES,  à  Paris. 

DEMOURSjàParis. 

DENEUX,  médecin,  à  Paris. 

DERAIN  ,  chirurgien  ,  à  Senneoey-Ie-Grand, 

DESCHAMPS,  àChâteau-Chinon. 

DESCHAMPS  Gis ,  médecin,  à  Bordenn, 

DESCKACK.EN,  chirurgien  militaire. 

DESCURET,  docteur-médecin,  h.  Paris.. 

DESJARDIN ,  médecin ,  à  Troyes. 

DESLÉE-MAES,  banquier,  à  Contlrai, 

ÇlESMAROUJ ,  ï  Paris, 


DE  MM.  LES  SOUSCRIPTEURS.  5 

DESORMEAUX ,  piofessear  de  la  faculté  de  médecine ,  à  Paris. 

DESPORTES,  à  Paris. 

DEVERGIE ,  docteor-médecia ,  à  Paris. 

DEVILLE,àParis. 

DEZEIMERIS  ,  étudiant  en  médecine. 

DOUVERA ,  docteur-médecin  ,  à  Paris 

DROUET ,  h  Paris. 

DUBOIS  ,  propriétaire,  h  CMlons. 

DUCAMP.hParis. 

DUCHENE  (C.-J.  ),  de  Rouen,  ex-cLir.-maj.  del'ex  8i«  régt.  de  ligne,  etc. 

médecin, 
DUFRENOIS,àParis. 

DUHAMEL  (F.-J.) ,  docteur-me'decin  de  la  faculté  de  Paris. 
DUIMERIL,  professeur  à  la  faculté  de  médecine,  à  Paris. 
DUMONT  ,  médecin,  à  Renais. 
DU  PLAN ,  médecin  ,  à  Paris . 
DU  PRÉ,  à  Paris. 

DUPONCHEL ,  officier  de  santé  de  la  garde  royale,  à  Paris. 
DURET,  doctenr-médecin. 
DUMOINT,àParis. 
DUROCHEL ,  médecin ,  à  Paris. 
DUROSE Y  ,  médecin ,  à  Lisienx. 
DUTRONÏ ,  à  Paris. 
DUVAL,àParis. 

EMELIN,àEbrenil. 
ESPIAUD ,  à  Paris. 

FARRADESCHE-DECH  AN  BASSE,  docteur-médecin  ,  à  Allanche. 

FAUDON,  hPreuiily. 

FEBVREL,  êioctenr-médccin ,  à  Rcmliervilliers. 

FENEC A ,  docteur-médecin ,  à  Marseille. 

FERIAUD ,  à  Saint-Julien. 

FERNAUT,àParis. 

FE VRE  ,  chirurgien  ,  à  Saint-Marc . 

FEYTANA,àHarIlngen. 

FILLION ,  docteur-médecin ,  à  Bourbon- Lancy. 

FILLOLET,  docteur-médecin. 

FLAMME,  à  Paris. 

FLEURY,  à  Toulon. 

FLEUR  Y  ,  chirurgien ,  à  Châlons. 

FLEURY  aîné,  à  Paris. 

FOBBE ,  chirurgien ,  à  Zomerghem. 

FORSSE,  à  Paris. 

FOUCQUES  ,  étudiant  en  médecine. 


r,  LISTE  SUPPLÉMENTAIRE 

FOUnCADELLE.à  Pa.is. 

FOUKCAULT  ,  à  Homlan. 

rOUR^ERET,  à  Paris. 

FOURREAU ,  à  Bean.egaid. 

FOURNIER,  à  Versailles. 

FRAIGNEAU  ,  cliirnrgien,  à  Mézièics. 

FRANCK  ,  médecin,  à  Paime. 

l'RAPART,  médecin,  à  Paris. 

FREBAULT,  cliimrgien  en  chef  de  l'hôpital ,  à  Nevers. 

FREJACQUE,  ruédecin,  à  Carcassonne. 

GALLOT,  mcdocin  ,  à  Auxonne. 

GANDER AX ,  inspecteur  des  eaux  thermales ,  à  Bagnères. 

GARNIER ,  médecin ,  à  Saint-Didier. 

GARON  ,  médecin  ,  à  Paris. 

GASTEX,  médecin,  à  Grar.ville. 

G ASTINE,  médecin,  h  St.-Trivier. 

GAUDCHOUX,  chirurgicn-majoi-  des  chaesenrs  de  la  Vienne, 

GAUQUELIN-DESPALLIÈRE  ,  rfoctenr-medecin  ,  à  Evreux, 

GAUTHIER  (  A.-R.  ) ,  interne  à  l'hôpital  S t- Louis ,  à  Paris. 

GAUVm ,  à  Pont-l'Evéque. 

GAZAN,  médecin,  à  Paris. 

GF,FFROY,  à  Vir. 

GENDRIN,  médecin,  h  Paris. 

GENOIS  ,  à  Paris. 

GENGU VILLE,  docienr-médecin  ,  à  Paris. 

GEOFFROY  ,  docteur-médecin  ,  à  Paris. 

GERARD,  docteur-rnédecin  ,  à  Landrecies. 

GERANDIN,  docteur-médecin  à  Paris. 

GIRARD,  professenr,  îi  l'école  vétérinaire,  à  Alfort. 

GIRARD ,  médecin ,  h  Paris. 

GIR.ARD,  médecin,  à  Laferié- Bernard- 

GODELLE ,  docteur-médecin  ,  5  Soissons. 

GOFFIN ,  à  Gosselin. 

GRANT  ,  inspecteur  des  bôpitanx  anglais  ,  à  Londies. 

GRAVIS ,  à  Bayay. 

GRENET-CHOLLET  ,  médecin,  à  Joigny. 

GUIARD  ,  h  Paris. 

GUIBOURT,  médecia,  à  Paris. 

GUILLEMEAU  jeune,  docteur-médecin ,  à  Niort. 

GUILLEMOT,  médecin,  à  Louhans. 

GUILLIER,  médecin  ,  h  Laroche-Gnyon. 

GUIOLLOT  ,  doctcui-médecin  ,  à  Saint-Florentin. 

HAGUETTE ,  docienr-médecin,  à  Paris. 

HAILLARD-D'HEROU,  mspectear  de  rimpiimcrie  et  de  la  librairie,  à  Paris. 


DE  MM.  LES  SOUSCRIPTELTlS. 

IIALENCOURr  (  tl'  ),  etudiaiil  fcu  médecine  ,  ù  Paris. 

IIALlRliGARD,  docunr-médecin  ,  à  Paris. 

HENNKC  ART  ,  mudccin  ,  à  Vorvins. 

HENNEQUIN  ,  médecin,  à  Paris. 

HILLAIRET,  àSt.-Gcnis. 

HILLAIRET  ,  à  Mit ambeaa . 

HONORE,  médecin  ,  à  Paris. 

HOUDET  (C.) ,  ofGcier  de  sanlé,  à  Montfaucon. 

HOUELBEGQ,àParis. 

HOUIN,  facteur  des  douanes,  à  Menin. 

HUVELlN,àParis. 

ICARD  ,  docteur-médecin ,  h  Draguignan. 
ISNARD-CEVOULES,  docteur-médecin  ,  à  Giasse. 
ISSOARD ,  à  Paris. 

JAGQUEMARD,à  Paris. 

JACÇ)UEMY]NS,  propriétaire,  médecin  à  Dadezeclo, 

JOEK ,  propriétaire ,  h  Châlons. 

JODERT  fils  ,  à  Paris. 

JOSLÉ,  h  Poitiers. 

JOUFFROY  ,  médecin. 

KAPELER,  médecin,  à  Paris. 

KERGARADEC. 

KOSTOMAROFF,  médecin,  h  St.-Pétersbourg. 

LABONARDIÈRE ,  docteur  médecin. 
LABORIE,  docteur-médeoin ,  à  Paris. 
LABRAKCHE,  ofDcier  de  sanié  ,  à  Alianche. 
LACHÈZE,  à  Angers. 
LACHOME,  médecin  ,  à  Paris. 
LACROIX  (F.-M.  ),  docteur-médecin. 
LAl'ORET,  à  Paris. 
LAFO\  ,  propriétaire,  à  Biizy. 
LAGWEAU,  médecin,  h  Paris. 
LAHALLE ,  à  Blamont. 
LAMARE-PIQUOT,  médecin,  à  Caen. 
LAMARQUE,  médecin,  à  Richelieu. 
LAMBRON  ,  médecin  ,  à  Ernée. 
LAMY,  de  St.-Lô,  médecin. 
LAINGERON,  pharmacien ,  à  Lounans. 
LAINGRY  ,  chirurgien  aide-mnjor  <ies  armées. 
LAINNOLLIER,  docteur-médecin  ,  à  Gaitelnaudary. 
FjANOIX,  médecin  de  l'hôpitai  générai,  à  Orléans. 
LARBAUD,  médecin,  à  Paris. 


8  LISTE  SUPPLEMENTAIRE 

LAROCHE,  libraire,  h  Angonième. 

LAROCHE ,  Hiédecio ,  à  Nontron. 

LAROCHE  (J.  )  >  doclear-médecin. 

LATANÉ,  à  Bergerac. 

LATAUD ,  médecin  ,  à  Tonrnns. 

LAUNAL  médecin,  à  Angers. 

LAUREKT,  cbirurgien-major,  h  Vincennes. 

LALTOUR,  h  Paris. 

LAVIGERIE  (L.-C),  chirnrgien,  à  Périgneax. 

LAVILLE,  à  Coutance. 

LAVILLETELLE,  à  Paris. 

LEAGE-MARNHIAC  (L.-A.) ,  doctcnr-médecÎQ. 

LEBEAU,  àMaubeuge. 

LEBER  ,  docteur-médecin,  à  Paris. 

LEBRETON,  médecin,  à  Paris. 

LECACHEUR,  à  Angers. 

LEFEVRE ,  à  Paris. 

LEFEVRE  ,  médecin  ,  à  Tilïy. 

LEGOUAS,  à  Paris. 

LEGOLVE,  médecin,  à  Châlons. 

LEGTJYER,  docteur-médecin. 

LEIDIE,  doctenr-médecin,  à  Noyers. 

LEIRAL ,  à  Canse. 

LEMAIRE ,  à  Cambrai. 

LEMARCHAINT,  cbirnrgien,  à  Cambrai. 

LEMERCIER,  médecin. 

LEMONNIER,  doctenr-médecin  ,  à  la  NoDvelle-OrJéans. 

LENOBLE  ,  à  Versailles. 

LÉPIiNE ,  chirurgien ,  à  Châlon»» 

LERIN  (  Jean-Denis),  à  Paris. 

LEROY ,  médecin ,  à  Versailles. 

LESAULNIER,  docteur,  k  Redon. 

LESTOURGIE,  à  Argental. 

LESTOURGIE ,  à  Beanlieu. 

LETOLRNEUR ,  docieor-médecin. 

LEVESQIJE,  à  Orléans. 

LHUILMER ,  à  Orléans, 

LOTTE  AU  ,  h  Paris. 

LOYDREAU,  médecin,  à  Ar^ay-^e-Duc. 

LtlLLIER-WIINSLOW,  docteur-médecin,  à  Paris. 

LU ARD,  docteur-médecin,  à  Honfleur. 

MACARTAN,àParis. 

MAHUZIES,  doctenr-médecin,  b  Castre». 

MAILHAL,  inslitnlenr,  à  Paris. 


DE  MM.  LES  SOUSCRIPTEURS. 

MAILLARD  (J.-E.) ,  ^,  e\-médecin  eu  chef  drs  armées. 
MAILLIER  ,  docteiu- médecin  ,  à  LaLonpc. 
MAISONNABLE,  professeur  d'accouclKiucns,  à  Paris. 
MANGEf,  médecin. 
MARÉCHAL,  à  Fumay. 
MARTEL ,  à  Pouiivy. 
MARTEL,  à  Biilay.' 
•MARTIN  ,  à  Cassillones. 
MARTIN  ,  médecin,  à  Paris. 
MARTIN,  médecin, à  Ligny. 
MARTIN  aîné,  proprictaiie,  à  Niort. 
MARTIN-GIMARD ,  à  Paris. 
MARTIN-SOLON,  doctear-racdecin ,  à  Paris. 
MASAGNA ,  à  Paiib. 
MATHIAS,  pliai  macien  ,  à  Pi^ris. 
MAUGER,àParis. 

MAURICE-TOUZET-DUPOUGET  fils ,  docteur-médecin. 
MAURIN,  à  Versailles. 
MAZIER,  étudiant  en  médecine,  à  Paris. 
MÊGE ,  docteur-médecin  ,  à  Paris. 
MENARD,  à  Paris. 

MERCIER  ,  docteur-médecin  ,  h  Namnr. 
MEY  ,  médecin ,  à  Lyon . 
MICHAUX,  à  Paris'. 
MICHEL ,  à  Moulins. 
MILLET,  chirurgien  aide-major. 
MILLET,  h  Paris. 
MISSA,  àParis. 
MON  FANGE,  à  Paris. 
MONTELOI.àParis. 
MONTFORT,à  Auxerrc. 
MONTROL ,  étudiant  en  médecine,  à  Paris. 
MOREL,  pharmacien,  à  Naucy. 
MORIN,  curé,  à  Saint-Cyr. 
MOUGEOT,  à  Chaumont. 
MOllYANNE.àLespare. 

NANDIN(de),àCadix. 

NIDART,  médecin,  à  Pari». 

NOLETTE,  médecin,  il  Paris. 

NOZOUGHLIN,  docteur-médecin,  à  Boulogne-sur  IMcr. 

O'BEIRNE,  docteur-médecin ,  h  Edimbourg. 

OCHIER ,  médecin,  ;\  Cluny. 

ORFILA,  h  Paris. 

ORTIZ  (P.)  ,  docteur-médecin ,  au  Brésil.- 


lo  LISTE  SUPPLEMENTAIRE 

PAIX-DE-BEAU  VOYS,  officier  de  santé,  à  Angers. 

PALLUSIE,  (loctenr-métlccin,  à  Niort. 

PETRAKI  (  A.  )  ,  à  Chio. 

PARENT,  à  Hondan. 

PARENT,  médecin  ,  k  Paris. 

PARIS,  àPaiis. 

PARISOT,  doctcur-médeciu  ,  à  Danccvoir. 

PASQUIER,  à  Paris. 

PAUARD  jenne,  propriétaire,  à  Châlons. 

PAULIN,  médecin,  h  Paris. 

PERREYMOND,  médecin,  à  Lorgnes. 

FERRIER,  h  Amboise. 

PERRIN-CORVAL  jeune,  propriétaire,  à  Châlons. 

PETIT-JEAN ,  docteur-inédecia  ,  à  Aurosey. 

PETIT,  docîeur-médecin  ,  à  Niort. 

PEZET-CORVAL,  propriétaire,  à  Cbâions. 

PIET ,  à  Paris. 

PIGARCHE  (A.),  dcctear-niédeciu  5  à  Saint-Cloud. 

PIGEOTTE,  médecin,  à  Troyes. 

PIGîS  ,  médecin  ,  à  Lisieus. 

PIN  DAT,  à  Paris. 

PINGUET,à  Laroche-Guyon. 

PISSOT  ,  médecin ,  à  Vassy. 

PITIOT  ,  propriétaire ,  à  Dracy. 

PHILIPPE,  médecin,  à  Laferté-Bernard. 

PLASTOUKOFF  ,  médecin  ,  à  Moscou. 

POLINIAIRE,àLyon. 

PONTARD,  doctenr-médecin. 

POSTEL  ,  médecin,  à  Paris. 

POTIN  ,  médecin  ,  à  St.-Gerranin-en-Laye. 

POUSALGUES,à  Ascié. 

POUSSIN  ,  à  Lorient. 

PRESLE  DUPLESSIS,  médecin,  à  P.vis. 

PRU NEYRE ,  étudiant  en  médecine ,  à  Paris. 

PSOMA  (A.  ),  à  Sancta-Maura. 

QUESNEL,àParis. 

QUILLET  ,  docteur-médecin  ,  à  Ponl-Lévéque. 

RAMPELBERGH ,  imprimeur ,  à  Bruxelles. 

RAVEL,  médecin,  à  Pertuis. 

RECAMIER,  professeur  à  la  faculté  de  médecine,  à  Paris. 

REGNART,  médecin,  à  PaiJs. 

REIMONIN  ,  médecin,  h  Marseille. 

REMONT,  à  Guiilon. 


DE  MM.  LES  SOUSCRIPTEURS.  it 

RRNARD,  pharmacien,  à  Paris. 

RENNES,  chirurgien,  à  Paris. 

RENOU,àlaFléche. 

RIBIÉ  ,  chirurgien ,  à  Châlons. 

RICARD,  me'decin,  à  Saint-Léger. 

RICHARD,  àChauny. 

RIESENKAMP,  doctenr-médecin. 

ROCHOT,  médecin,  à  Seurre. 

ROSTAN,  médecin,  à  Antibes. 

KOULLIN,àParis. 

ROUSSEL,  à  Lyon. 

ROUTY ,  pharmacien  ,  à  Châlons. 

ROUXEL,  médecin,  à  Boalogne-sur-Mer. 

ROÏ  ,  à  Paris. 

SALET,  à  Valence. 

SALOMON,  médecin,  à  Villenenve-les-Avignou. 
SANDTMANN ,  doctear-raédecin  ,  î»  Hambonrg. 
SANSON ,  à  Paris. 
SARRASIN ,  à  Beilinglive. 
SAVARDAN,àParis. 
SAVIN,  chirurgien,  à  Châlons. 
SEGERS,  chirurgien,  à  Courtrai. 
SEMEN ,  à  Chartres. 
SENE  ,  docteur-médecin  ,  à  Dijon. 
SERRA-MANNA ,  médecin ,  à  Cagliari. 
SERRE ,  docteur-médecin  ,  à  Paris, 
SERVOIN.àParis. 
SICURO ,  A  Zantes. 
SILBESTRE  ,  ?»  Bordeaux. 
SIMON  ,  médecin,  h  Lisienx. 
SIMONNET ,  ex-sons-prcfet ,  à  Châlons. 
SOHLER,àAUkirch. 
SPEER,  àTouJon. 

SPINASSE  { A.-L.  )  ,  étudiant  en  médecine. 
^SUE ,  médecin  ,  à  Marseille. 
SURIRAY,  docteur-médecin  ,  an  Havre. 

TABOU RIER ,  docteur-médecin  ,  à  Chambny. 

TEALIER,àPa-is. 

TESNE  ,  médecin,  à  Ligny. 

TEXIER,  médecin,  î^  Paris. 

TEYSSEIRE  (  C.  ),  ex-chirurgien  de  marine. 

THERIOT,  médecin,  à  Paris. 

THEULLIER,Ù  Paris. 


12  LISTE  SUPPLEMENTAIRE 

THIBAULT  ,  médecin  ,  à  Versailles. 

THOUET  ,  doctenr-médecia ,  à  Vihiers. 

THUILIER,  doctenr-médecin ,  à  Limoges. 

TISSE\RE ,  chirurgieu ,  à  Châlons. 

TOISON,  cbirnrgien,  à  Oaronx. 

TOKNET  ,  docteur-médecin  ,  à  Niort. 

TORDELXjàAvesnes. 

TORTERA,  médecin,  h  Villiers-Saint-Benoist. 

TOURNEL ,  chirurgien-major. 

TOUSSAINT  ,  chirurgien ,  à  Charties. 

TRASTOUR,  médecin,  à  Tonlon. 

TRILHE,àParis. 

TUFFET,  chirurgien  ,  à  St.-Maixcnt. 

TYMAN,  médecin,  à  Oudenardc. 

VAFFIER,  chirurgien,  à  Cuisery. 
VALETTE,  médecin,  à  Rnsscy. 
VALIENTÉ,  aux  États-Unis  d'Amérique. 
VALLET,  médecin,  à  Paris. 
VANDENBROCKE,  aide-major,  à  Tournai. 
VANDORPS,.  chirurgien,  à  Conrirai, 
VANHOUTE,  chirurgien ,  à  Courtrai. 
VANZANT  WOORDE  ,  médecin ,  k  Courtrai. 
VËRMANDOIS,  officier  de  sauté,  à  Bourg. 
VERMILLEZ.,  chirurgien. 
VERNEUIL,  médecin,  à  Lacbatrc. 
VERNHES,  docteur-médecin,  à  Niort. 
VIALA ,  à  Cahors. 
VIE,  docteur-médecin,  à Carcassonne. 
\TLLELA,  doctenr-médecin,  à  Lisbonne. 
VILLENEUVE,  docteur-médecin  ,  à  Paris. 
VITRY ,  médecin,  à  Versailles. 
VOISIN,  docteur  en  chirurgie,  à  Versailles. 

WERBIEST,  h  Willeren. 
VVIOTTE,  à  Dieppe. 


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