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DICTIONNAIRE
TURK-ORIENTAL
DICTIONNAIRE
TURK-ORIENTAL
DESTIKÉ PtINCIPALBMENT il FACILITER Lt LECTUHK
DES OUVRAGES DE BÀBER, n'ABOULGÀZl
ET r>F. MlH-AL1-CH1R-I4EVAi.
PAR M. PAVËT DE COURTEILLE,
PROPBHSBUH ли COLLKGE DR FHAilCE.
PARIS.
IMPHIMÉ ГАК UKDttt: DE L'ËMPEKËUK
A L'IMPRIMERIE IMPÉRIALE.
M DCCC LXX.
T5A-
■и.
PRÉFACE.
Si Ton jette les yeux sur une carte de l'Asie centrale, on peut se
convaincre facilement, par les noriis des montagnes, des fleuves,
des lacs, des déserts, des peuplades, de Timmense étendue de
pays qu'occupent la langue turke et ses nombreux dialectes. Quoi-
qu'il soit encore prématuré, dans l'état actuel de la science, d'en-
treprendre une classification régulière et rigoureuse des langues
touraniennes, il n'en est pas moins vrai que nous possédons sur
plusieurs d'entre elles d'estimables travaux, dus en grande partie au
zèle et à l'activité des savants russes et allemands. Pour ne parler
que de la Sibérie, nous citerons en première ligne le grand et beau
travail de Bohtlingk sur la langue des Jakouts [Ueber die Sprache
der Jakuten, Saint-Petersburg, i85i). De tous les dialectes de la
Sibérie, c'est celui qui se rattache de plus près à la langue turke
proprement dite, tout en renfermant un nombre considérable de
mots mongols. Toutefois, il ne peut venir à l'idée de personne d'af-
flrmer comme Erman [Eirdeilung, p. Û3) qu'un Jakout né sur les
bords de la Lçna s'entendrait facilement avec un habitant de
Constantinople. Une aussi étrange allégation n'a pas même besoin
d'être réfutée. Vient ensuite le travail d'Alexander Castren sur la
langue des Tongouses {Grundzuge einer tungtistschen Spra>chlehre,
Saint-Petersburg, i856). Ce dialecte ne se rattache à la langue
turke que par la syntaxe, la partie étymologique dérivant presque
A.
Il . PREFACE.
tout entière du niaiidcliou et du mongoi. La même remarque
s'applique à la langue des Karagass et des Koïbals qui habitent le
long du haut Jenisseï vers Krasnoiarsk, langue qui se rapproche
beaucoup de celle des Jakouls et n'en diffère souvent que par des
nuances plus ou moins sensibles dans la prononciation. Les mots
mongols y abondent, même pour exprimer les idées les plus com-
munes, mais ils sont pris quelquefois dans un autre sens que celui
qu'ils ont dans leur pays natal. (Gastren, Versuch einer kotbalischen
undkaragasstschenSprachlehre y SaintrVetersburg, 1857.) C'est encore
à Castren que nous devons des recherches sur les dialectes des
Bouriats, au delà du Baïkal, tous plus ou moins rapprochés du
Mongol (^Versuch einer bwjàtischen Sprachlehrey Saint-Petersburg,
1867), et sur ceux des Ostiaks et des Woguls (Versuch einer ostja-
kischen Sprachlehre^ Saint-Petersburg, i858). Ceux qui se rap-
prochent beaucoup du hongrois sont parlés le long de l'Irtich et
sur l'Obi; le sourgdat sur le haut Obi et l'obdor sur le bas Obi.
A ces travaux, qui ne concernent que la grammaire et la lexico-
graphie, il faut ajouter la grande publication du docteur Radloff
sur les chants des peuplades turkes du sud de la Sibérie [Proben
der Volkslitteratur der tûrkischen Slàmme SudSibiriens ^ Saint-Peters-
burg, 1866). Quoique ces chants soient remplis en partie de sou-
venirs boudhiques introduits par l'influence mongole, il ne serait
pas moins précieux pour nous d'en posséder le texte original. Le
savant traducteur, qui n'en a donné jusqu'à présent qu'une version
russe et une version allemande, prépare un dictionnaire et une
grammaire qui offriront le plus grand intérêt.
Quoique le kalmouk ne soit presque composé que de mots
mongols, comme il se rattache, par sa syntaxe, au groupe des
idiomes tatares, je ne puis passer ici sous silence l'excellent travail
du savant M. Julg, qui a publié un texte original de cette langue,
accompagné d'une traduction allemande et d'un vocabulaire {Die
Màhrchendes Siddi-Kûr^ kalmûkischer Text mit deutscher Uebersetzung ,
Leipzig, 1866). Ce livre, ainsi que celui de Bergmann [Nomadische
Streifereten unter den Kalmuken in den Jahren 180 a und i8o3)^ doit
PREFACE. ш
attirer l'attention de tous ceux qu'intéressent ies études relatives
aux langues et aux populations de l'Asie centrale.
Tandis que ces dialectes à demi sauvages, parlés par des peu-
plades barbares et ne possédant que peu ou pas du tout de monu-
ments littéraires connus, avaient le privilège de solliciter l'attention
de quelques savants, la vraie langue turke, le type pur et primitif
de cet idiome que les Osmanlis modernes ont laissé écraser sous l'in-
vasion toujours croissante des mots arabes et persans restait oubliée
et dédaignée, au moins dans l'Europe occidentale. L'intérêt immense
qu'offre l'étude de l'arabe, le préjugé funeste, mais dû surtout aux
écarts des écrivains ottomans qui semblent faire fi de la langue de
leurs pères, préjugé en vertu duquel un livre turk bien écrit ne
doit être qu'un pastiche où tout est arabe et persan, sauf quelques
mots indispensables et la construction, le manque d'originalité de
ces livres qui ne sont que des traductions ou des imitations, la
rareté des*textes turks-orientaux , la disette de dictionnaires , tout a
contribué à ce résultat. Quand je parle de la rareté des textes im-
primés, je veux dire la difficulté de se les procurer. En effet, on
n'a qu'à parcourir le catalogue des livres imprimés à Kasan dressé
par M. B. Dorn sous ce titre : Chronologisches Verzeichniss der seit dm
Jahren 1801 bis t866 im Kasan gedruckten arabischen, iurkischerty tata-
rischen und persischen Werke, etc. y pour se convaincre que les presses
ne sont pas restées oisives. Quoi qu'il en soit, le mal existait et j'ai
cru de mon devoir, à cause même de l'enseignement qui m'est confié
au Collège de France, de travailler à le réparer. Evidemment la pre-
mière chose à faire était de publier un dictionnaire qui renfermât le
plus possible de citations à l'appui du sens attribué à chaque mot.
C'est assez dire que cet ouvrage n'a pas la prétention d'offrir un
répertoire général de la langue turke, entreprise immense et même
prématurée, mais seulement un instrument utile, quoique bien
imparfait, pour ceux qui voudront étudier la véritable littérature
turke, celle qui est originaire des pays situés au delà de la mer
Caspienne. J'avoue que la difficulté de l'entreprise m'a d'abord fait
hésiter : je n'osais trop m'engager sur un terrain si glissant et où
IV PREFACE.
je n'avais guère de secours à espérer de personne. L'estimable tra-
vail de M. Zenker commençait à peine à voir le jour et celui de
M. Vambéry n'avait pas paru. Toutefois, ayant en ma possession
des matériaux précieux, je me suis décidé à les coordonner et à les
publier, afin de mettre à la disposition des personnes studieuses
des renseignements dont elles pourraient profiter. L'aperçu som-
maire qui va suivre éclairera suffisamment le lecteur sur la valeur
des éléments dont se compose ce travail.
Je citerai en première ligne le précieux lexique turk-persan in-
titulé Khoulâceh-i'Abbâci y composé, d'après l'ordre. de Ghâh-Abbâs-
Kadjar, par Mohammed-Khouveï sur le fameux Senguilâkh de Mirza-
Mehdi-Khan, dont il n'est que l'abrégé. Mohammed-Khouveï a soin
de prévenir qu'il a conservé absolument tous les mots de l'original,
doftt il n'a retranché que les formes dérivées, lesquelles se déduisent
tout naturellement de la racine, et les exemples, ce qui est très-
regrettable. L'explication toute sèche d'un mot turk par un mot
persan, lequel peut avoir plusieurs sens, m'a souvent laissé dans
des doutes qu'un seul exemple aurait levés immédiatement. Le livre
commence par une préface où sont exposés rapidement les principes
de la langue turko. L'auteur remarque avec raison que, dans les
mots où il y a un J, la prononciation est assez difficile à fixer, les
Ëuzbegs et les peuplades du Mâ-Veran-Nahâr a:rticulant avec un é
ce que les Turkomans et les gens du Khârism articulent avec un *iC
Il ne fait pas une observation moins bien fondée lorsqu'il dit que
souvent il est indifférent de mettre un ô ou un ^, tandis que dans
d'autres cas il faut bien se garder de les confondre, comme dans
^j-jjiju, qui signifie rassemblei^ et (^^яы , qui signifie détruire. Quant à
l'emploi du ^ pour le ^ , comme dans ysç\ pour уц»! , il s'explique
facilement par l'identité de prononciation dans la bouche des Turks
de ces deux lettres arabes qui représentent le ^^ K taUre). Le
Senguilâkh y dont le Khouldcek-i-Abbâci est à peine la dixième partie et
na que le volume d'un gimn qui tient dam la main JLM (^J^j^ ««х^
смумоj ^Vi^jUm jU^I j\ ^SJ^^^ <^^^ f^ uf^^^. ^Т pU ^, est un livre
d'une rareté insigne cl dont il m'a été impossible de me procurer
PREFACE. V
un exemplaire. J'ignore quand il a été composé, mais ce ne peut
être qu'après la mort de Mir-Ali-Ghir-Nevâï (i5oo de notre ère),
puisqu'il a été fait pour faciliter la lecture de ses œuvres. Quant à
l'abrégé que j'ai inséré tout entier dans mon travail, j'en ai eu à
ma disposition deux manuscrits : l'un , qui appartient à la Biblio-
thècpie impériale, est assez fautif et offre des lacunes; l'autre, beau-
coup meilleur sous tous les rapports, m'a été envoyé de Perse par
mon ami M. Amédée Querry, consul de France à Tebriz.
Le Ndciri est un dictionnaire turk expliqué en persan et renfer-
mant la substance des meilleurs ouvrages de ce genre. Composé >, * /
par Mîrga-Kouli , surnommé Hidaiet^ et dédié au roi de Perse Nasr- '^ ' ' '^'' '
ed-din-Châh, il est précédé d'une préface de cinquante-huit pages /^'''"^*
où sont expliqués en grand détail les principes de la grammaire
turke. Je suis assez porté à croire que cet ouvrage n'est qu'une
reproduction du Senguilâkh y auquel il a emprunté l'inutile addition
de la conjugaison de chaque racine, ce que le Khoulâceh'-i-Abbdci
a eu la sagesse de ne pas faire, mais dont il a également rejeté
les exemples. Les feuilles que j'ai à ma disposition et que m'a com-
muniquées mon savant collègue et ami M. Barbier de Meynard,
auquel je dois égsdement la connaissance de quelques passages
tirés d'un manuscrit persan appartenant à la Bibliothèque impé-
riale, ne comprennent malheureusement qu'un fragment allant
jusqu'au mot ^jjçU^I. Elles ont été lithographiées à Tebriz, si je ne
me trompe , il y a une quinzaine d'années , et j'ignore si le travail
a été poursuivi.
L'n travail d'une grande valeur pour la lexicographie turke-orien-
lale, c'est le dictionnaire connu sous le nom d'Abouchka et qui est
spécialement destiné à faciliter l'intelligence des œuvres de Nevâï.
L'auteur, qui m'est inconnu, ne se contente pas d'expliquer les
mots en turk-osmanli ; il cite à l'appui des exemples soit en prose,
soit en vers empruntés pour la plupart à Nevâï ou bien à d'autres
écrivains célèbres, tels que Lutfi,Bâber-Mirza, Obeïd-Khan, Sultan-
Husseïn, Mir-Haïder, etc., ce qui est pour nous d'un prix inesti-
mable. M, Vambéry, dans l'édition de YAbouchka qu'il a donnée à
VI PREFACE.
Pesth en 1862, a cru devoir mettre de côté les exemples en se
contentant d'accompagner les mots turks d'une traduction hon-
groise. De son côté, M. de Véliaminof-Zernof vient de publier une
édition très-soignée du texte complet sous ce titre : Dictionnaire Dja-
ghataî turCy publié par V. de Véliaminof-Zernof, Saint-Pétersbourg,
1869, le tout précédé d'une savante préface. Avant l'apparition
de ce travail, qui m'a été très-utile pour la révision des épreuves,
j'avais fondu dans mon dictionnaire tout YAbouchka en accompagnant
chaque exemple de la traduction française, quelque difficulté que
j'éprouvasse à saisir le sens d'un si grand nombre de vers isolés.
Mais il y avait, suivant moi, un grand intérêt pour le lecteur à
ne rien perdre de ces citations qui, au besoin, lui mettent sous les
yeux une véritable chrestomathie turke orientale. C'est le même
motif qui m'a décidé à insérer ci-dessous le texte et la traduction
d'une pièce de vers qui se trouve en tête du livre. Je suis l'édition
de M. de Véliaminof-Zernof, en y introduisant quelques corrections
que me fournissent mes manuscrits, dont un m'a été gracieusement
communiqué par M.^Vambéry lui-même.
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VIII
PREFACE.
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Cent louanges à celui dont la langue est impuissante à décrire les attributs,
quoiqu'elle reçoive de lui la faculté de la. parole! Dût-on réunir en un concert
toutes les langues que parlent les hommes, le louer dignement serait toujours
chose impossible. Et ce roi des prophètes, dont la personne est le rayon lumineux
qui conduit tous les hommes, à l'intercession duquel ont recours le roi et le
mendiant, si quelqu'un veut faire allusion à son nom et à ses qualités, dis-lui :
Invoque la bénédiction de Dieu sur le Prophète, et abandonnez-vous à sa di-
rection.
Pourquoi ce livre a été composé, et d'où vient que celte allocution a été écrite.
Lorsque l'action de la voûte tournante eut fait prendre à mon esprit le che-
min de mon corps, je tombai tout éperdu au milieu de ce monde. Là chacun,
PREFACE, IX
comme frappe de vertige, s efforce et travaille de tout son pouvoir, cherchant à
se procurer les moyens de vivre. A cette vue, je résolus de me retirer dans un
coin, sans compagnon, sans confident, dérobant à tous les autres mes yeux et
mes oreilles, rentrant mes pieds sous le pan de ma robe, tandis que mon écri-
ture fatiguait ma plume et que ma plume couvrait le papier d'ornements. Du
fond de ma retraite, que personne ne partageait avec moi, mon occupation
était d'écrire les événements de ma vie. J'avais pour compagnons assidus les
œuvres des hommes d'élite, œuvres dans lesquelles se reflètent fidèlement leurs
belles âmes. Ainsi je parcourais grand nombre de parterres et de jardins, je me
promenais au milieu des plates-bandes odorantes, je respirais le parfum des
fleurs embaumées, considérant d'un œil attentif les roses et les jacinthes, lorsque
mes pas m'ont conduit vers un jardin dont je me suis mis à contempler les
merveilles. Ses roses avaient un éclat et un parfum tout particuliers; ses rossi-
gnols faisaient entendre des mélodies inconnues; ses cyprès s'élançaient majes-
tueux dans les airs; ses palmiers, aux fruits savoureux, charmaient par leur
beauté; sa verdure resplendissait ч1е fraîcheur et de vie; ses tulipes marquées
d'un fer rouge semblaient ravies en extase. A cette vue l'oiseau de mon âme
s'éprit de ses roses comme le rossignol , mon cœur s'enveloppa dans les replis
de ses jacinthes: je devins l'humble esclave de ses fiers cyprès, je baissai la tête
devant ses timides violettes. Ses tulipes imprimèrent sur mon âme une brûlure
qui la rendit insensible aux beautés des autres jardins. De son sol s'exhalait
une odeur de musc de Tartarie : c'était le jardin de Mir-Ali-Chir. Je m'y suis
promené sans jamais connaître la fatigue, j'en ai visité tous les coins. Alors mon
cœur s'est trouvé possédé du désir de recueillir toutes les expressions qu'on
rencontre dans les œuvres de ce grand maître. Je me suis prosterné à ses pieds
et je lui ai présenté mes hommages. Tout ce qu'il a admis comme légitime a
trouvé droit de cité dans ce recueil. J'espère que les hommes de mérite et de
talent embelliront ce travail par leurs corrections, de manière à ce que moi,
artisan imparfait et sujet aux faux pas, moi, qui suis à Mir-Ali-chir ce que le
sieh-^ouch est au lion dont il recueille les restes, je sois h tout jamais célèbre
parmi les hommes, alors même que la poussière de mon corps aura été balayée
par le vent.
Il existe à Goiistantinople une autre rédaction de YAbouchka qui
paraît nôtre qu'un abrégé de la première^ autant que j'en puis
juger par un spécimen que m'a envoyé mon savant maître et ami
Chinaci-efendi. Л la pièce de vers citée plus haut est substituée une
préface qui commence ainsi :
^уХз JULtwXjUW' iJJ^'^JyjJLUy ^Uh ^«Xj «XJ; JjиАjЦу* CA^^
I PRÉFACE.
j^ »JOjJ^L«t еЦрАгачj ^yUjt^ ^Jûi ^^^1 J^IiXXa eJsipiÂ^U^I J
Û^^^l lôXb ^l^jAi^A. J3I A^;^lj:> »:>Jb^ ^««X^t» (yé^^\ ^^
y^y\ Ы ftjJôlJb v>^y ^^^1 U>9^^^ AÂ3l^ «^LJLaïU :^ LjJti&t
Le joyeux buveur du cabaret de lamour et de la passion, le perroquet qui
aime à croquer le sucre dans le palais de la poésie et de Téloquence, c est Mir-
Ali-chir-Nevâï, puissent les lumières divines sanctifier sa tombe! Dans les co-
pies de ses compositions poétiques et autres, qui sont répandues parmi les beaux
esprits de tous les pays et les grands maîtres de la parole, le système d'ortho-
graphe constamment suivi est celui-ci : toute lettre prononcée avec nn/atah est
suivie d'un elif; toute lettre prononcée avec un damma est suivi d'un vav; toute
lettre prononcée avec un kesra est suivi d'un ta. Ces lettres se prononcent quel-
quefois, mais dans la plupart des cas elles ne servent qu'à indiquer avec quelle
voyelle doit être articulée la consonne qui les précède et n'ont pas de valeur à
elles dans la prononciation.
Le dictionnaire débute ainsi :
jOs»! »ù^jSb d^y^\ Jy^âU »<x5jk3t
Cette courte citation suffit pour faire voir que la rédaction du
second Abouchka est plus abrégée que l'autre et qu'au besoin on y
trouve des mots qui ne sont pas dans le premier, comme par exemple
^^T. Peut-être cet ouvrage est-il celui que M. de Véliaminof-Zernof
mentionne page 2 5 de sa préface sous ce titre ^jly ^UJ ^^ ouOll?
La dernière source orientale que j'ai à mentionner est le ^Л1шj
^и^ дМ1 Jotâj, publié à Calcutta en 1825. C'est un catalogue de
mots sec et sans critique. II est utile, mais il ne faut le consulter
qu'avec précaution. Il donne souvent des explications qui sont à
PREFACE. XI
peine intelligibles, si Ion n'a pas un exemple qui en détermine le
sens et la portée.
• De tous les ouvrages publiés en Europe, celui qui m'a été le
plus utile, quoiqu'il n'ait été mis à ma disposition que pendant
la correction des épreuves, c'est le Cagatatsche Sprachstudien de
M- Vambéry, publié à Leipzig en 1 867. Ce livre renferme des textes
très-intéressanfs et inédits à la suite desquels l'auteur a placé un
dictionnaire rempli de bons renseignements tirés de sa cbrestoma-
thie elle-même ou de son expérience pratique. J'avoue tout de suite
que j'ai mis à contribution ce dictionnaire, en insérant dans mon
travail, autant que je le pouvais, les mots qui me manquaient,
sauf ceux, en petit nombre, sur l'interprétation desquels M. Vam-
béry n'est pas d'accord avec les sources originales, ou bien qui ne
sont que des expressions persanes vulgarisées. Quoi qu'il en soit,
le Cagatatsche Sprachstudien est un livre des plus instructifs et qui
fait grand honneur à son auteur.
L'ouvrage de M. Zenker, Tiirkisch-arabischr'persisches Handworter-
buchy est un travail consciencieux, tel qu'on devait l'attendre d'un
homme aussi savant et aussi studieux. Malheureusement l'impres-
sion ne va pas vite, puisqu'elle a été commencée, à Leipzig, en
1862, et qu'à l'heure où j'écris le tout s'arrête à la page 5 18, au
mot с^.€ш. M. Zenker a admis dans son livre le turk oriental qui s'y
trouve très-richement représenté. Quoique son plan, qui embrasse
un cadre Immense, ne lui permette pas de multiplier les exemples
comme je le fais moi-même, il m'a plusieurs fois aidé à comprendre
les explications énigmatiques du lexique de Fazl-ullah.
J'ai fait quelques emprunts, mais très- discrets, au recueil d'ex-
pressions tatares et arabes de M. Joseph Guiganoiï, imprimé à Saint-
Pétersbourg en 1803. Ce livre est destiné avant tout à la langue
vulgaire.
A la suite du catalogue des livres Imprimés et manuscrits chinois
et mandchous de la Bibliothèque royale de Berlin, on trouve un
vocabulaire tiré d'un manuscrit de la Bibliothèque impériale de
Paris et publié par Klaproth sous ce titre Uigurisches Worteirei^'-
\
iii PREFACE.
zetchniss mit anderen tûrkisch-tatarischen Dialecien verglichm : je l'ai
consulté avec fruit.
Si je m'étais borné à mettre à contribution les livres que je viens
de citer, je n aurais fait qu'une compilation plus ou moins utile,
mais qui n'aurait pas rempli mon but. Ce qui m'a inspiré l'idée de
composer cet ouvrage, c'est avant tout le désir d'éviter aux autres
les difficultés que j'ai rencontrées la première fois que j'ai entrepris
la lecture approfondie du Bâber-ndineh. N'ayant pas alors à ma
disposition le КкоиШек-гчгЬЬасгу qui d'ailleurs ne m'aurait pas suffi ,
j'ai été obligé de me créer peu à peu un vocabulaire qui allait s'é-
largissant à mesure que j'avançais et que j'ai complété par l'étude
du précieux Cheàjerehr-i-iurki d'Aboul-Gâzi et du volumineux recueil
des œuvres de Nevâï. Les mots et les exemples que je recueillais
ainsi ont été comme le noyau de ce dictionnaire, où les citations
ne sont pas épargnées. Je voudrais engager les jeunes orientalistes
studieux à porter leur attention sur les mémoires de Bâber, cette
mine inépuisable de renseignements de toute espèce, ce livre si
original, si curieux, si différent des ennuyeuses et sèches compo-
sitions de tant d'écrivains arabes, offrant un échantillon unique de
la vraie langue turke, de celle qu'on n'entend plus à Constanti-
nople. Poserais presque appeler les mémoires de Bâber les Commen-
taires de César de l'Orient. J'espère que la traduction française que je
suis en train d'en préparer contribuera à faire connaître un ouvrage
si instructif. Quant à Nevâï, sur lequel on peut consulter l'excellente
notice de M. Belin, il a joui d'une immense popularité et Bâber va
jusqu'à dire, page 3, que ses livres, quoique composés et publiés
à Herat, sont écrits dans la langue même que tout le monde com-
prend à Endidjân.
* jз^ ^^ J^ ^ jУ "-i^^ ^^
Tout est bien changé aujourd'hui, au rapport de M. Vambéry,
qui dit, page 3i de ses Cagataische Sprarhstudien, que ceux qui corn-
PREFACE. XIII
prennent Nevâï appartiennent aux classes éleyées.zurfeingebildeten
Classe gei'ecImeL Le livre d'Aboul-Gâzi, à part son intérêt historique,
a cela de précieux, que la langue dans laquelle il est écrit a toute
la Irudesse sauvage d'un idiome que n'a point encore amolli la civi-
lisation musulmane.
Toutes les fois que dans cet ouvrage on trouvera des citations en
prose ou en vers, sans indication de source, c'est qu'elles appar-
tiennent à YAbouchka et sont puisées soit dans Nevâï, cinq fois sur
six, soit dans les autres poètes cités plus haut, sans compter celles
que j'ai ajoutées moi-même d'après Nevâï. B. indique le Bdber-
nameh; A. G. Aboul-Gâzi; M. et L. le poëme de Medjnoun et Leila,
en turk de Г Azerbaïdjan , rédaction de Fuzoulî, lithographie à
Tebriz en 1267 (18З1-18З2); V. qui ne se rencontre pas aussi
souvent que je l'aurais voulu, renvoie au grand recueil publié par
M. de Véliaminof-Zernof , à Saint-Pétersbourg en 1866, et intitulé :
Matériaux pour servir à Г histoire du Khanat de Crimée. Ce recueil très-
intéressant m'est tombé trop tard entre les mains pour que je pusse
insérer dans mon dictionnaire tous les exemples que j'en avais
extraits. Il est à remarquer, toutefois, pour ne rien celer de la
vérité, que ces exemples ne sont pas trop à regretter, attendu que
tous, pour ainsi dire, avaient trait à des mots que le lecteur rat-
tachera facilement à des racines connues, ou à des locutions pro- '
vinciales qui sont plutôt du ressort de la langue vulgaire que de
la langue littéraire et cultivée. Je me bornerai à remarquer d'une
manière générale que dans le dialecte de Crimée on emploie très-
souvent le ^ pour le ^^ au commencement des mots, comme l:As^
pour c:>l» étranger, jùUJ;U?- pour jùUJjl? cadeau, j'Ls?- pour ^^ nou-
veau, ^Is?- pour ^Ij ennemi, d'où ^>jêi|^W- et ^jjJ^ii^U»-, (^j\л^
pour (^j\лj envoyer, jj?- pour^ lieu, J^ pour J^? année, t>X»l:r
pour vjAiU mauvaise qualité, etc. le J pour le j, comme dans ^Iko
drogman, et le p pour le lj, comme dans 0^^ avec, pour ^:^,
(j^^ pour çjt^ cou , etc.
La lettre m. placée après un mot veut dire mongol, a. arabe,
p. persan, s. sanscrit, h. hindoustani.
XIV PREFACE.
J'ose espérer qu'on accueillera avec indulgence ce travail qui
m'a coûté bien des recherches et qui pourra aider ceux qui vien-
dront plus tard à faire mieux que moi. Je serai heureux s'il con-
tribue à répandre un peu plus l'étude d'une langue si peu connile,
quoiqu'elle ait une importance philologique si considérable. Cette
vérité n'a pas échappé à la sagacité des savants orientalistes russes,
aux excellentes publications desquels nous sommes redevables d'une
bonne partie de ce que nous savons sur l'Asie centrale. Puissions-
nous suivre leur exemple et ne pas laisser refroidir cette ardeur
que la Société asiatique de Paris et les hommes éminents qui la
dirigent encouragent de tous leurs efforts !
DICTIONNAIRE
TURK-ORIENTAL
t
9 9
o • • . -»-»
/ö^п pousser, en parlant de l'herbe. — ^ÿ^" faire pousser.
v^t particule donnant de l'intensité. — ö' v' très-blanc.
•Ol, Li oncle paternel. — B. 5o6. ç^j ^ f^Jj^ «x^ipi ^I ^
^^:>j^\jyiyi ^^»o\ jil>*- Cheikh Aboul-Vahid Farigui, qui était
oncle paternel de Cheikh Zeïn Khavafi.
4^1 , ul sœur atnée.
y^^b V:)'»^¥' ;?. bon, brave, bien. — B. Ay.j^ ^^^vsJ^w ybl^T de braves
guerriers. — B. 66. ^^Ш il** c-^^ e)'"^' à «^Is' cx^Ui n'ayant
pas pu bien observer les jours de la convalescence. — B. 365. ^bl^l
^^Lcj^yS" il ne fut pas vu bien distinctement.
/ojJLmU le premier du mois.
Ь'Ы , ЧхЫ , 1сЫ le frère a(né ou cadet du père.
\à\ flanc, côté.
/ö^Ы empêcher, refuser, faire fuir.
(^\jУ^\ être effrayé, être agité. — B. i56. ^Ц^— ^ Ju-rfl yL^>-i
^^âlpJoi ceux qui étaient dans la place furent très-eflrayés. —
B. з55. ^^J^jиЬц; аJоЬ (/^5 А^уСХдГ v^Sy (^^WjJ^I l'émo-
tion qu'il ressentait était telle qu'il tomba et fut renversé deux fois
avant de parvenir jusqu'à moi.
*^»^Jj-3) espèce de porte. ^
DlCT. TDRK.
2 Ol
jJь^! vieux, âgé; professeur.
vi)uuM>i>t défectueux; plus petit, d'un âge tendre, enfant, petit d'un ani-
mal quelconque.
ifUMij! tranquille, silencieux.
^5^*^' aigre.
JЧАJ) suc noir de sésame.
ЧЬ! ;?. furoncle, clou. — B. 219. jU ^аЬЛ^! i^yi^i j\jЛ^ а^^^jл дкД
У^З^ Ч^J^ J^ C^aLùmIj iJf\^ à^j^ é^^fi J^ А^ ^^ ^ь
^«хЛаj Juii 0j«xIU ^^1 д)ни ааХ; ayant été attaqué d une éruption
de furoncles, il perdit l'usage des mains et des pieds et, après avoir
souffert toute espèce de douleurs pendant plusieurs années, il fut
emporté par cette maladie. Page 36 9 , en parlant d'un fruit de l'Inde,
il le compare à un furoncle rouge : a-^ i^^^^ "^^ ^^^ J^>éJ^
j^ъ juaX. — là«m, page /171 : I<X-jh tf^-^b-^?" *^' ^^^^y^^
^«x^l i^^yi une plaie de furoncle s'était montrée sur mon corps.
jfrLi j^»^» mauve.
4jLm^i mari d'une femme. Nom d'un dictionnaire turk-oriental des-
tiné à faciliter la lecture des ouvrages du célèbre Ali-Chir.
^3 ЪjЪ 9JLmy»\ (j^^^^^lî
D'une part la douleur et l'angoisse que lui cause son fib, d'autre part la peine
et Taffliction qu'elle ressent pour la perte de son mari.
^ ^
\^yS m. grand-père. — A. G. Al. ^^ (jj^J ^^bl ^^^S^.
Ol cheval; nom; pensée; opinion.
1<уХлj liLÂAsl jл^! у^ъ \j^\ ох^
jV* i:)^*^' CTîPy i^yS't^AÂi. ,g
0 ma princesse! toi фи mérites d'être appelée pen et Aoun, toi dont le cour-
0^\s] 3
siér s'ëJance rapide comme un div, lance contre mon âme impuissante, 6 ma
princesse I chacun de ces traits devant lesquels fîiit la foule ëpouvantëe.
L'amour m'a rendu incapable de comprendra un nom ; je suis devenu ëtran-
ger aux noms et les noms me sont devenus étrangers.
Ы père, vieШaгd; titre honorifique. — A. G. Зз. iS^y^ys^ JA^ \Ùjj
ЬТ Jч^сш^ кТj<>Х!>- JJLt^ô ^ i^j^. Les Turks donnent le titre Sata
aux personnes honorables ; c'est ainsi qu'ils disent hekm-ata, séid-ata,
— çfS\s\ paternité ; nom d'une dignité dans le Turkestân et le Kha-
rism, chef de tribu; qui élève une personne,
^ДjЫ, vfLobI grand-père, précepteur, instituteur du fils des sultans.
jb^àjh) échange; pièce d'artillerie; combat, lutte.
(J&Ы qui porte le même nom.
éy\ fiancé. — ^аХ^Ы fiançailles, désignation, désigné, fiancé.
Son cœur était attaché aux boudes de cheveux de Mihr; il semblait vraiment
que ces boucles lui eussent été fiancées.
/a^'^^b) nonuner à un emploi; fiancer.
U^bl, j'b) espèce de bouillie; on asperge de la farine avec quelques
gouttes d'eau et on la frotte dans les mains pour la convertir en
petites boulettes. Ce mets s'appelle ^jЛ en persan.
/ajJ^y^ih] fiancé, désigné.
/o^b) nommer, nommera un emploi; fiancer; réciter, lire.
L'ami a prononcé ton nom; puis, par un effet de sa générosité, il t'a honoré
par le don dn trésor du contentement.
1.
Quel est celui dont Khosrev, l'appelant par son nom , dit que Ferhad n'est pas
dans sa manière d'être comme un fils de Thomme?
jL U*^^ f^J-^ ».^JS^ à^\j4i
Quoique chacun de nous ne soit qu un gardien (bâni) pour ceux qui viendront
après lui, on ne laisse pas que de lui décerne)* le titre de fondateur (bâni).
j^ ^^^\^^ chacun des pays qu'il assigna en partage à l'un de ses en-
fants, on le désigna sous le nom de celui de ses fils qui en devint
possesseur.
L'essence de ton être est une perle unique, plus pure que la mer de lumière;
comment pourrais-je nommer eau et terre une nature pareille?
L'un d'eux fiit nommé à Misr et à Bagdad , un autre fut désigné pour le gou-
vernement de Nouchad.
jX^ Oi fourrage pour les chevaux.
J) sans nom. — >a**oI sans chair, maigre.
fUJY appareil de bois à battre le beurre.
яЗ) navette du tisserand.
f^jjù\ qui lance des flèches, combattant. — A. G'. 1/17. J^ *K«#
^ij-rfl cAA^As» t^uJtsf J^^y CSy^^j^^^r? »^1? yUaA-n» Mohammed
Kali Sultan était un bon champion, d'une nature généreuse, lançant
bravement des flèches contre l'ennemi.
/л^УjМ) lancer une flèche, lancer, frapper. — A. G. 161. AAS"t-i^ybI
j^àj^t л^^j^\ {j^ji а^\ 1^^j*а iS^ji^ JJОУ- î's ne cessaient d'avan-
cer, en lançant des flèches. L'un d'eux me frappa à la bouche avec
un trait. — Id. 174. i^ii|yt)J j^l? yUjlô. Ÿум il a repoussé à coups
de flèches les ennemis qui nous assaillaient. — Id. 91. jduy»Ujy
^JО^из! <^ дjс éo^\ ifU^^LÂ. il se lança contre Toktamich-Khan.
ÂjT bénir. — v3-î4^ ^tre b^ï*^'
/o^liij) lire, réciter.
(JikbjJùS combat.
jЛхJ)! célèbre.
1хлj) , obi , Члj1 précepteur, instituteur, père de lait. — >1Цj fi-^^^
mon cbeîkh est le neveu du bey, de sorte qu'il est le fils d'Abd er-
Rezzak, le précepteur. — аJ1з1 •Х-й>-?1? ^Jт j^:> 4^yi j^^ ^£^^^
' jз^ (S^tH^-^ ^^'^ ^ ^^^ do^c évident qu'il est le petit-fils de Cheikh-
Baîezid, le précepteur. — dLJjJiJ gouvernement. — B. 3ii.jju»
^<Од;з«Хjз5^ \<J:!Jа531 JUuûJIjo^ :»;â. Mihr Khord fut admis à
mettre le genou en terre devant moi pour recevoir l'investiture du
gouvernement de Hindal.
/o^"^! courir çà et là, se lever rapidement.
/4^^k3) monter à cheval, se mettre en route, se précipiter sur.
^Ll, c^\tijy>^f coupe de vin que l'on prend lorsqu'on est à cheval;
illustre.
9uvAJ) célèbre; cavalier.
Moi , qui suis renommé pour ma générosité et ma munificence, Mt-ce cent fois
autant, que j*en rougirais encore.
Là , ou ne pouvait compter tous les cavaliers cpii se trouvaient présents ; le gi-
bier s'y trouvait également eu quantité innombrable.
ЧшАj) épervîef.
-* /WÏ jeter, lancer; paraître, en parlant de Гаигоге.
si^\ pain.
{jj^t intercession.
iuJybJOl habile à lancer les flèches.
/&fJtAji acquérir de la réputation; nommer; fiancer.
ifol portée d'une flèche.
^ ^1 qui a faim.
4>:^i, L^i mère; {еште âgée*
— j\£f^\ clef.
<,^L^i sorte de condiment tiré du cornichon oU de conserves dans le
vinaigre.
vi^\ùl^^i se séparer. — B. no. jl i^^y^^^ jflLS'iui^U, JU^ (ji^y^
iàyjUAj^\ ^d une fois le passage effectué du côté nord de la rivière,
nous fûmes séparés de l'ennemi. — Id. 1 15. ^l?;L:^ là^yS^ yWÛ
^^c^l^ ^^Ц^ jйд;у jj^д;^» jУч^^^ ji^jy J JsA-i-^ïy ils se trou-
vèrent face à face, dans les environs de Leklekan et du tchârbâg de
Toulak, mais ils se séparèrent sans avoir combattu,
►) enceinte faite d^erbes sèches et de bois.
] ouvrir; représenter en peinture. — B. аав.^Ьим^ à(S^^ (З^JУ^^
j^^нч^ j^^ *-^l иЦ <^^«bv^ JjjôJo'^umJUu, J^ ^^jsA^ àj\à
il pratiquait avec beaucoup de talent l'art de la peinture, mais il
donnait un mauvais développement aux visages imberbes, chez les-
quels il exagérait les lignes du menton» Quant aux visages barbus, il
les représentait très-bien.
savon.
1 ouvert.
1 le monde d^ici-bas.
Où trouver dans ce monde une beauté dont l'œil, semblable au tien, soit une
source de troubles? Ou trouver un infortuné qui soit victime comme moi de sa
puissance tyrannique?
^b*^ U^^>^ ^ ср-^з' сгУ->' *^У^
Puisse son cœur pur être joyeux dans ce monde! Pui8se4-il régner en maître
sur tous les peuples!
\ plâtre.
• -
ri frère aîné.
/&4NAj^) rendre amer; enflammer par la démangeaison.
/^-^iCj-A^l s'irriter contre l'oppresseur, par compassion pour l'opprimé.
En ce moment, un homme de bien, révolté de ce qu'il voyait, dit : «Ces
hommes-là sont-ils donc des importuns?"
4jC-.aj^) m. rave.
KSfS s'enflammer par la démangeaison.
«JU^i colère; soupir; regret, peine, amer. -«^ A. G. 55. ^^^'^^y^m y^^
1^4^ JИ^' V^ "^^ ^UaXw k ces paroles, la colère du sultan
Mohammed étant venue à un Haut degré. — Id. «X-# ^\ h ^ *»
^f^^^ly (:JVÂA>^ sultan Mohammed ayant comprimé sa colère. —
A. G. 19 2. i^\^ 4^'*^4^ лААЛАг^Т jùl*xi^^ n'ayant pu supporter la
douleur qu'il ressentait à cause de son frère. . . — B. 3 1 1 . (j^4K.#uu:>'l
Г>^jз' ^JУ^ *^'^^*j*f <l^ns ma colère, je lui assénai un coup de
poing sur la figure.
/oi^^KÂAj^i être irrité. — A. G. 35, 4jлАjЛлАг>-1 ^^b! son père s'étant
•# _A
mis en colère.,. — A. G. /i5. «^^^Ua^I {лу^^\ ^UUoj J^ (S^y^
s'ëtant fâcbé de ce qu'il n'avait pas écouté ses paroles.
juJlÂAi^l qui est en colère.
1 être amer.
9I exclamation de douleur ou d'ennui.
UJ^I m. tout animal châtré, principalement le cheval.
/^Uâfek) faire châtrer.
^Uâ^l écuyer, officier qui marche à la tête du cheval. — Ce mot vient
du mandchou et du mongol, akhUky qui signi6e (к cheval hongre,
housse, li Dans Baber, page 1 9, on lit : (^«>J^ ^ ^^*^ д y «^ I il rem-
ptit les fonctions d'écuyer, et non pas de porte-aiguière, ^^^«^IaâI,
conmie traduit le persan, en se fondant je ne sais sur quoi. Le sens
d'écuyer n'est pas douteux, comme on le voit par ce passage de Ba-
ben page 3t 1 : 4;b v=>l ;^j ку^^J^ ^-^ шх^ \ ^l> LU Baba-Djân,
Г«м:иуег« me présenta un très-mauvais cheval. — Page 3 1 8 , il est ques-
tion a la fois des écuyers et des gardes de nuit :
Lorsque cet affli^ entra dans le jardio. Galgoon âait entre les mains de
rêcuver.
— i 4^1^^* faire une enquête, une recherche, scruter.
Il dît ? *Je \e«x V aller инч-чичкие. à rÙEblanC, et :$miter ичк tes coins et
retMu> de ce ifcsert. <»
wj^âvi petit-lils ou pt'tit^ile.
bjfj^l Ш % t M. bretelle de car\|uois, coum>ieii qui [>endent derrière la
ÿ^:*Ие |4>ur tenir le miinteiuu
\jù] 9
tù\Ai ^«XjUiuyJjt les sons inarticulés qui sortent de la bouche des
ivrognes ressemblent aux aboiements des cbiens furieux qui hurlent
les uns contre les autres.
àik) s'enivrer.
«>l colline, hauteur.
/o^-^loi se répondre alternativement en chantant; s'égarer. — A.
G. 129. (jl b V w ^Id J^jl VJU^*Ь^' iS"^"^ ^(^j^ j^ <3^(£^j^
(^«х^Ы ^4ХjнимЫ chacun d'eux s'en alla de son côté; tout en mar-
chant, Kacem-Sultan, son fils, s'égara loin de son père.
v3'«>' sorte d'appareil en bois, au moyen duquel les enfants peuvent se
lever et marcher; fiancé; île; vœu dont on s'acquitte par des au-
mônes; saison; temps déterminé; nom d'un lieu situé dans le Tur-
kestân.
Le'pied de ce cyprès se trouva emprisonné; de libre qu'iJ était, il devint cap-
tif dans ie adak. (M. et L. 63.)
5 .iLHP f^J^jS 1.LJ3I (:^jS"
Amis, si vous arrivez sans blessure, livrez-vous à Tivresse dans la saison des
roses; si je meurs avant d*étre parvenu à mes fins, vous direz de moi dans votre
récit : voilà la victime d'une fière beauté.
(^Ы Jir ^^O^^l pjSy^ ^jHt^t *^
Un voleur avec environ cent ou deux cents compagnons , qui habitait tantôt
dans le Kharism , tantôt à Adak.
jô) colline; monceau.
\jô] terre non ensemencée.
10 ^Sj\
ул^а\ troupeau de chevaux. --^ 45-^^^i celui qui fait pattre les chevaui.
^Ц-j<>1 colline, hauteur.
чДjО) botte ou bottine.
^à\ pas.
-^ 8^i, 1^1 milieu. — 1^1 l;t, U! \^\ humble. — ^^l \Js le mois de chewal.
— ôH^b' milieu; sur ces entrefaites. — B. 45 1. c^t Jз-^ л^^а *>
^ ^S^'^^ j^i^ "^^^ Ь^ ^^j^* w' ^^'^^ sui* <^e^ entrefaites, le sa-
medi onze du moisi la nouvelle arriva que... — 1«>чим1;1 au milieu
de lui. — (J3H* j;i je suis au milieu.
jr,i tle. — B. 435. (j^^з^Ы Viu^^*^!;^ j^ (s^^i^J^ ^З-^иН^
(S^jS bl (:|»^ ayant fait passer son artillerie montée sur une de
ses tles, il se mit à faire feu. — B. 455. ^^-jv-^Lw ^у^^у^ (^^^^
JUL-Ûj^y JЛJ|,1 jЬj^^J ^J^J^^ cb^V^ «^^^-^ l JUU-USI ^jj;^
j^jJUm avant le dtner, comme on apportait les présents, on fit
battre ensemble, dans une tle située en face de nous, des chameaux
et des éléphants furieux.
— C^^b scruter; mettre au milieu; séparer. — B. 90. (^у^^л j^«>aâ5
(2)^«Xjb^l ^^1)1 ij^yi (^^ nous montâmes à cheval pour nous inter-
poser avant qu'il eût fait sa jonction avec Tenbel. — ij.^eu^]j\ se
mettre au milieu, s'interposer. — A. G. 46. ^^^^\ J— 5 ^^ô<^La.
l«XJt^H^ ^«Kém^IjI il s'élança; comme il était sur le point de leur
barrer le chemin (de s'interposer en avant). — W. 174. (^^^а^Ц. JJjju
^^Uh»^ jum^I;! a^^L il n'a pas pu se mettre à i'encontre de l'ennemi
qui nous assaillait.
-- ^Hry ' mitoyenneté.
— (3^y ' chercher; examiner le milieu d'une chose.
{jn\ morceau de bois pointu qu'on place sur le passage des bétes fauves;
parc pour les bestiaux pendant la nuit; remise, hangar.
uyj^ troupe qui marche devant une armée pour éclairer la route.
(Sy I les deux éloiles de la petite ourse qu'on ap[>elle les deux frères,
ou ^!
.■b I -I a .
Зÿj\ 11
1^1 orge.
^\fj\ a. conseiller d'État. — A. G. 199. i^:>j^\ и^-^Л* j' *àJ^Ljlj\ le
nom du conseiller d'Etat était Suleîman.
/o^b;) être conseillé.
^Ixjly I herbe menue qui monte en épis comme l'orge.
^L)i fable, conte, enchantement; formule cpi'on récite devant le trou dun
serpent pour le faire sortir, et sur l'endroit qu'il a mordu f^our em-
pêcher le venin de produire son effet.
On ne comprend pas tout le sel des paroles qa'inspire à Nevai la passion de ses
boucles de cheveui; ce sont les accents de la folie ou des formules capables de
charmer les serpents.
/^u;i faire des enchantements; donner des conseils.
/o^i faucille de moissonneur.
'Cyl défilé, route étroite. Voyez :»;L
/fti^bji, (3^v ^^P^sser, franchir.
^b> jJaJ^ уЬÿн!» >^
Ayant traversé la mer et franchi les montagnes, il marchait, se dirigeant vers
le pays de Roum.
"^ C^j' augmenter, croître; être plié, roulé. — (3^jЗj\ accroître, plier.
3^^ vieil habit. — B. 970. «XJb JO^ аз!^ (^^^Уj^ ^3«>wu0 IJs»^! j^
j^mSj^ i^)& obi^ ^U|! ^L^l Ax> «^Lâ3 dans chaque tente se trou-
vaient des monceaux de malles, de serrures^ de ballots, de vieux
habits, de vases pleins de tengas. •
T^y^Jr javeline.
^ <Дj-^' ce qui est en plus, en reste. — 1ÿмлуJ^ l'excédant, le plus. —
B. 9 10. 44>J^fi^ ^iSj^à^^igm :>^Jôl ^J^Ь \j^ ^Sxém ^^^ ^^a^^l
12 i.^ш^^
^4>s»t л^и^иаы* ла\jj^ Jwuto 1^ууЛуЗj\ j^4X^i elle avait donné sa troi-
sième fille au seid d'Endekhoyd , appelé Smdr-Mirza, plus connu sous
le nom de Seïd-Mirza tout court. — jjн^срв**>з^J excédant; d'une
autre espèce.
«rv4^i objet précieux, qui a plus de valeur que les autres objets de la
même espèce.
/öЛлJ;| être augmenté; se mouvoir çà et là, trotter.
Une larme court, en trottant, sur chacun de mes cils, comme ces jeunes
étourdis qui se font un jeu de monter à cheval sur un tchibouk.
^1 pin qui croît sur les montagnes. — B. 17З. {^if^j\ pUf ^^j^^b
ses montagnes sont très-abondantes en ar£^W. — là, 17&. <^^bb {jЛ^
j^jLêj^, ^ (S^ii^j^^ on n'y trouve pas beaucoup d'arbres, ni même
Sardjas. — Id. fjL Ъу.^ cs^^ *^^' JЗ^ f^ ff^ ^^ Ь ^^b
jy^yi les arbres sont rares dans ses montagnes, on n'y trouve même
pas le Ardja, — Caisse , boîte.
AJ^i division territoriale. On appelle ainsi à Ëndidjân, à Kachgar et
dans les pays adjacents les subdivisions d'un gouvernement, que l'on
nomme ^Ц^^' à Samarkand et à Bokhara, et aJLS^ dans l'Inde.
B. 161.
ôj] partie postérieure d'une chose; derrière; espèce de cyprès de mon-
tagne.
%à^çi!yôj) marcher, monter à cheval l'un derrière l'autre.
^\Jôj] chamelle.
"^ ^JJ espèce de chant populaire chez les Turkomans de l'Irak.
(J^jj\ valoir.
^^уКшjУ lion.
^jy***j^ instrument pour racler ou tailler la pâle.
<jй;1 limon. — A. G. 46. j^y^ 4û5^ *-^^ иУ>? <sv^ ^! J^ajI;!
si les deux timons d'un araba sont en bon état, il marche bien.
^y^^jt aune.
/jД.л u^i auner, mesurer.
^lé;l, tji cours d'eau peu considérable.
^lê;i étoffes tissées.
^^^^lc;l corde qui sert à attacher le bagage sur les chameaux. — B. 3&i.
j^U>Ul# l<i;^^A^ ^^иии-J j^^^^jJ j^:» ^^U. jj^ ^^3? il fut pres-
crit d'attacher les unes aux autres les voitures, à la manière des peuples
de Roum, en y suspendant, au lieu de chaînes, des cordes de peau
de bœuf. — Id. 445. ^j^-ш yU^-C^jP>-? (j^^^lè* ^>^ (s^J^ ^
j^^Xjmy Lj\ùàiij\m l'eau, assez forte pour faire tourner un moulin,
tombe, en*faisant entendre un grand bruit, d'un rocher dont la hau-
teur égale la longueur d'une corde à lier les bagages.
/o^l.>\c;l tromper.
Pauvre insensé que je suis I J'ai cru que je te plairais en jouant mon ftme pour
toi; je me suis imaginé que tu étais un enfant que je séduirais par un pareil
don!
/ajJ, JtiXc^l lieu d'embuscade, difficultés qui barrent le chemin, som-
mets peu élevés qui se trouvent aux flancs des montagnes, vallées et
lieux d'embuscade qui s'y rencontrent.
^^ 5,^KjI, ^^é-^S ^\j^ а^ÿ?! Jl J^^ï
Dans chaque pli de ses boucles de cheveux , il y a cent périls qui attendent
les dévots; on dirait les embûches que tendent les voleurs an milieu des gorges
des montagnes.
14 éj\
(^jЬуС JlJ^I v^b' ^^^^^ J^i (:^^^^3^ sur cette plaine les
flots, en s'entr'ouvrant, laissent voir de nombreuses vallées.
jU^I cheval rapide, plein de vigueur. — ö^' cr^-Ç^ j'* u'^' d^
U**^' j^ U^^ là ûù les Kalniouks dominent la neige ne tient pas ;
là où montent de vigoureux chevaux, il n'y a pas de pentes escarpées.
ijuy^yb^l moulin.
JyJjSéjttf] jeu de saute*mouton; morceau de bois cousu au bonnet.
gujçê;! conmierce des productions de la terre.
U;l dos; génération. — A. G. a 9. yl— :ь. ^— SSL-Л LI g^-J^' *iL-Â--ft-J>H^
4^Jcj,l b^l Ç3I «iltfl t^fj^ ^jôW^(jj:>yU-Jy^ depuis que notre
grand-père Holagou*Khan est venu du Mogoulistân, deux ou trois
générations ont passé.
С;1)и1 espèce de daim. — C'est une espèce de daim rouge, S^y^
JiijH^, qui se trouve dans les environs de Kaboul, B! lyb, 358.
— /о-сJö;» tourner le dos, s'appuyer.
^^^J* appareil sur lequel les porteurs posent le pied pour enlever leur
fardeau.
— (j\ij\ dos. — B. 3io. f^:>j\j (^\ Аяj\9j\ Jь^ ôU c:jjh«-* «^-Л Chah-Hus-
seïn et Chah-Bey tombèrent précisément sur le dos.
..0|
(jM«-3^i caravane.
33^^-^ i les gémeaux.
■" %0j] endroit d'un accès difficile, appelé J*X:5!?I dans les places fortes; châ-
teau fort placé au milieu d'une ville fortifiée; palais royal situé sur
un endroit élevé ; nom du palais du khan à Bokhara.
U^^>-* *^}r-*-^.J CJV^A»- j^ u^^У à
Quelle citadelle! C'était une citadelle poissante et solide, éclipsant par sa
hauteur la forteresse du ciel . comme un château royal éclipse tout ce фи Геп-
toure.
L
j^U)
\ 15
Sa citadelle s'élevait autant au-dessus des neuf cieux que la voûte céleste s'élève
au-dessus du globe terrestre.
(jмсГ)! vague, flot.
^j I chevreau mâle de trois ans et plus ; troupeau.
^ч^! célibataire.
^j^ flancs d'une montagne. — A. G. a i. dJy^jb (^^ÿл* Jj^лjб^!
j^^ ^\-4^ tSj-^ erkene, en mongol, veut dire flancs d'une mon-
tagne ; entrée ou ouverture de la tente.
9fi agacerie, coquetterie; élevé délicatement.
^^jU-й' is^j\* ^j^^ j^ *s3i
Au moment oiî elle a déployé toutes ses agaceries, j'ai perdu ma liberté;
excuse-moi donc, ô donneur d'avisi
C/^j\ nom d'une tribu djagataïenne. — (^jч-ЛиJ^J^-ю Л^ p^t jÿ;1 ceux
qui portent le nom d'Arlat occupent le premier rang.
Qui que ce soit qui pourchasse mon cœur, Mt-ce un baladin, je ne m'en soucie
guère; avec le mirza ne puis-je pas me prémunir contre les Arlats ou les Berlas?
yU;i regret; désir.
En définitive, le mal de la vieillesse est un mal sans remède; après tout, il
ne reste dans mon cœur qu'un seul désir ardent.
j-АЛjЦ^! désireux.
16 ^j\
ij^j^ être malade, fatigué. — A. G. 178. ^^^UL Ai^UJb^ ^^U^l il ne
s'inquiéta pas de ce qu'il était fatigué et épuisé.
«iL«^i drap grossier, camelot.
^\ eau. — \ij\ canal, bras d'une rivière.
sÙ\jj\ bout des doigts.
i3'4^^i chant, modulation.
^^y^j\ housse.
jлу^^у campement d'une armée dans un endroit; espèce d'abricot.
U^i m. bon, pur.
\^j\ abeille; pur.
(jîuJ^I métier de tisserand; établi de menuisier.
iJji maigre; pauvre; pur; Canal.
^LjLam^Jhh^ cJ-4?' t^ y^ *^Л>з' J>>-^' C:5^"^3"-^ ôLLj i^UJy
ЬЪотте se laisse facilement entraîner an mal, mais les larmes dn repentir
qui représentent l'eau de la pénitence le purifient de toutes les souillures du pé-
ché; tu dois donc y avoir recours pour te purifier.
Jusqu'à ce qu enfin cet homme, aux intentions pures, que la nature avait
doué de manières si pleines de modestie. . . .
д;--? ^^^-^ iù-^Ъ
Que le pourfendeur de rochers , aux bras d'acier, ne laisse pas couler Геаи
dans le canal avant mon arrivée.
A force de cacher sa douleur, sa figure était devenue tonte jaune; le flot con-
tinu de ses larmes avait fait de ses veux un canal.
C'est on canal dans lequel coule Геаи de Tâme; que dis-je : Геаи de Tâme?
leau de la vie elle-même.
lï impur, malpropre.
9LjXijj] pureté; maigreur. — уш (^^^j^ eau d'un canal.
(^Ucj^' état maladif pendant lequel les maladies se succèdent et ise ren-
contrent sans interruption.
сИ;' (î)^^ cs^J^ 4^U^' if^ji
Le narcisse a maigri sous les atteintes d'une fièvre continue; ses yeux jaunes
accusent la présence de la jaunisse.
/i^ï être pur, propre; se séparer.
^g^ i^yXsf^ V^y ^iWf^w^^jl?
Une personne dont Tesprit, miroir immaculé, semble refléter la beauté de
mon ami.
<-*-•>;' <j^^ (s^^'^ (Sy-'b-^ (s^y
La chair et la peau s'étaient séparées sous la violence des coups qu'il avait
reçus; ses membres étaient devenus rouges par Teffet des égratignures.
/o4N^i purifier, rendre net.
il peu. — AÂj^jI un petit peu. — jJ)! petite quantité.
j4iV)l peu, un petit peu. — B. i53. ji^-U^ J^jJôUujy^l ^Л^1)1 —
IL i55. i^jy^ *^*-*^л;з' <5'*H^u'***^ O^b' ^^^^ quelques per-
sonnes qui étaient sorties n'ayant pu soutenir le choc. — là, 188.
4^*К-й1 jj^Хд^Ь jl)*>s?j^ o^^l;' il ne se trouvait que peu de fourrage.
/4ll)i diminuer, décroître.
^y(y agitation.
DicT. turk. ï)
18 (jJkJjS
уЗЦ)> bourse.
/^4\>^) orner, arranger.
e ^
t^-i^jf trouver trop petit. — B. 45 1 .
juw^^^^y^tydfti cA^i^ ^^t si Kâmr&n trouve Balkb trop peu de chose,
faites-nous le savoir, afin que nous voyons si, avec l'aide de Dieu,
nous pourrons lui trouver une compensation dans les mêmes gouver-
nements.
^^^lè)! s'égarer. — A. G. i8o. i^^Asj\ t^kS S^\ cet homme s'étant
égaré.
(Щ^JЗ^^ égarer quelqu'un de sa route.
4^^yCjt égaré, stupéfait, troublé, démesuré, mauvais.
i^j^ s'^arer, perdre la raison; maigrir. — A. G. to6. ^^L^^ (:|Ц>'
(^«XÂ> jjol il réunit ceux qui s'étaient égarés et ceu\ qui s'étaient
tenus en bon ordre.
^1 lèvre; bord. — b)l traverses.
/4^Ц)^ s'^n aller en toute liberté: perdre son chemin.
jft^i dents пю1а1ге$.
Ьь\| patience.
З^г ^"^^^* provisions. — B. 1 15. ^^\^^ ^^j^ ô^ -^д^ vwb V^^^
les provisions et les vivres n'arrivaient d'aucun côté. — A. G. i &. Ы
ы^ >; ^ > JU3 s^^y ayant donné des chevaux, d«s provisions et de
Targent.
iyi4y perdre sa route.
S^ébnt hêsé dkr an soDUoeâ. aoo cheval siiNrtît lie b пмер: il se trovni
q*vé avec un oa dm cscfawew
^^^^i^l s'égarer, errer.
ci'^LuuMt 19
jy-i tf^' i£j<-^ J-fHi- ^j^ taaSj^ Ь jJj
Ч
Tai perdu toute ma force au milieu de ses boudes de cheveux; son visage
s'est épanoui dans plusieurs directions; le soir, lançant des éclairs, il a incendie
ma caravane égarée.
(^»» ^» hermine. — A. G. 19. 4>чнÿ? ^J^\jЛ^ ^\ (j^\ recueillant les
fourrures des hermines blanches et des zibelines noires.
jjJо\ш\ mouton bien cuit, vertèbres de mouton; mets très-estimé chez
les Djagataîs et qui doit fîgurer dans tous les grands repas.
On faisait circuler sans interruption les côtelettes de mouton, mais cet infor-
tuné était incapable de manger.
/а^^1ам) laisser pendre.
1 en dessous. — (<îJUiI sous moi.
jbUsîI j\ХшJ^ (ирJи>з jb Л-öд;
Le jardin du paradis et les parterres de délices se trouvent sous les pieds des
mères; si tu désires arriver quelque jour dans les bosquets étemels, deviens
pouasière sous les pas d'une mère.
Qui peut douter qu'il ne faille se courber sous le poids de la montagne de
Tamour? Voyez comme le Kftf a incliné sa tête sous ce pesant fardeau.
I ornement que les femmes laissent pendre derrière la tête; boucles
d'oreille.
^^^LaJumi espèce de turban.
•j.
/
'20 iibj^t
I inférieur; articulation du kesré; placé en dessous.
i articulation du kesré.
\j0ш\ bon, bien.
/ojê\jMi\ observer, regarder, garder, conserver.
Daigne jeter sur moi ie regard d*im envoyé de, Dieu; garde-moi aujourd'hui
et renvoie-moi à ce soir.
Quand rimage de ton ëphélide entre dans mon cœur, elle le remplit d'ardeur :
je la dépose au fond de mes prundles, dans Tintérieur de mes yeux.
/a^Ljm) être observé, gardé. — д^1^1 gardien. — ^jJ^I^I qu'on
doit garder, il faut garder.
(jАкЖ^Кjм) administration, surveillance.
AÂjjtêé] boucle d*oreille.
(jм.лJ\jм1 pitié, compassion.
AjiAM) beaucoup, entièrement.
Sache que le monde est tout à fait périssable et qu'il sert de prison aux sec^
tateurs de la vérité.
4^^-a. jj;-*-! JKij^uôuLl^ ^b ^ ^^^ ^
Alors que je nai plus qae la peau sur les os, ton chien ne trouve pas à se
nourrir de moi, tant ma peau est dure, tant mes os sont tout rongés par la
pourriture.
*- ^jj^^i ivre. Voy. ^j^^^l.
I 21
Ses promesses si mensongères qui ont mis l*incendie dans mon âme ont été
surprises par moi une nuit, qu'étant un peu ivre, j*avaie l'oreille aui aguets.
tdMi sans utilité.
«Зj^^^Ам) éternuement.
^j^>jéé\ lion. — ^аХ»А-ш1 courage, bravoure.
f^idâi] cheval, quadrupède.
^Д^^ХмJ dire adieu, prendre congé.
/0-^1 pendre, suspendre.
Attache, s'il le faut, le grdot du soleil au cou de ton cheval, qui marche
comme le ciel : il réglera chez les Afgans les gémissements de Noé.
(Allusion à une croyance qui place le tombeau de Mehter-Lam,
père de Noé, dans le district de dULfioÀ^, chez les Afgans. B. i63.)
I i>^ JL,# A^ i\Jio ЛУЬ <^t
/
Qu est-ce que Гагс-en-ciel, si ce nest un ta qu'il a tiré avec force et qu'il a
suspendu h la voûte céleste pour en orner la tête des diplôme^?
Ai^Mi chose suspendue, comme lustre, pendeloque.
I utilité, profit; suspendu.
Consacre un certain temps à réunir les matériaux de ce procès; quelle utilité
de soulever une question qui n'a aucun fondement?
22
Ч
Profite de ce que tu as rëuni d*abord; quand tu en auras retiré de Futilité,
irëunis autre choee.
J^pHS! procure-toi, le plus qu'il sera possible, les fruits de Tédu-
cation; enrichis par l'éducation les dons de la nature, et gagne par
là de grands avantages. — ^^a^m) utile; avantageux; suspendu.
Il y a des caractères écrits sur une plaque d'argent que tu trouveras suspen-
due au cou du àiv,
i&l mets, riz cuit avec de la viande et des carottes, nourriture.
^Lûl troupeau de chameaux. — \^J^^ plus, davantage.
A^Lm!, âSJiàS grade; classe; le manger et le boire.
^àSJiJié\ p. cou de chameau. On appelle ainsi un canal souterrain e(
tortueux. B. 1 1 Q.
/44NÀi frotter.
^\ marmite.
** * I
(juJbii) bénédiction.
vfXXdMl aviron.
Au milieu d*un océan de larmes, mes deux yeux ont été comme une barque;
rangée sur deux lignes mes cils font de chaque côté Toffice des rames.
y^Jti) marmite de terre.
^^^jÛi grande auge de bois ou de pierre placée à côté du puits pour
l'usage des animaux.
/лj^^^шш ) greffer un arbre.
(>»>Д1 23
/J^ уЛД? soupçonner. ^
кjJше) céréales, comestibles. — ^^ф^^\ pourvoyeur.
/а-4»б1 dépasser, franchir; saillir la femelle, s'accoupler. — ^^ш,^j^.^\
faire dépasser . . .
/o^l manger. — A. G. 7. v^— ^' jjЛ— й1 ayant mangé les mets. —
(5j6lâ) faire manger.
/Ö gsAt être usé, frotté, brisé.
«3^» cheville du pied, os du coude.
Il est de précepte de laver ses deux pieds et d'en faire autant aux deux coudes.
B. 980. (^«^^L» (:jv^\]^) ^1^ la neige tomba de manière à dépas-
ser la cheville.
v^Lum (3^-X^^^' os protubérant du genou.
/ö4ÿ.*м) se hâter, s'agiter.
Depuis que je marche, je me suis hâté dans cette direction, jusqu à ce que
je me sois rencoutré avec toi.
S'iJ vient, ne vous hâtez pas de me le dire, de peur que je n*expire de joie;
employez Tartifice de la parole pour me faire savoir cette nouvelle.
Avec la patience, beaucoup d'affaires entortillées se débrouillent; combien de
gens on trouve qui agissent avec précipitation dans la vie I
24 ^^\ Jl
Quiconque ne se met pas en tète d'agir avec précipitation tire la soie de la
feuille et le miel de la fleur.
Ч^-А-Ъ ^' '*>Ч^51^ jЬз:> уз^^1 рJ^
Rival jaloux qui convoites mon halva, ne te presse pas tant de m'arracher de
ses lèvres; ignores-tu qu'il faut savoir attendre pour déguster une friandise?
(^1 écusson que Ton introduit dans ГагЬге à greffer.
jk P^ filets; grillages; blanc.
J^ CI frère aîné; seigneur; maître. Voyez Î5t.
Un roi, dont ton père est le frère aîné, qui est pour toi un père et un seigneur.
4^^^' ^ W^ ^bi^ Iredj était doué de beaucoup d'intelligence et de
bonnes qualités; aussi Feridoun l'aimait-il plus que ses deux aînés.
— ^l^' fraternité.
y «»«1 arbre. — (j^à gUI, yb;b gUt espèce de pic-vert. — j^^b ^Lit
orange amère.
»lcY se dit des femmes par opposition à (Хм et (»->^ dame.
J^ (^^'^' ^tre blanc, blanchir.
Les veines enflammées de mes yeux ne se lavent pas sous la pluie de mes
larmes, de même que le corail rouge n'est pas susceptible de blanchir au contact
des flots de la mer.
t ojf^) ^) enceinte faite de bois.
(^ji j), {^^\ p\ tente, tente en rlayonnages.
dlXijdw it 25
Quoique la nuit eût étendu soi» voile au milieu des hommes, ils dressèrent la
tente et son enceinte.
Aussi longtemps que les signes du ciel régleront leur marche, que la pleine
lune fera briller au loin son pavillon, puisse Tun porter toujours le poids de ton
parasol, puisse la tète de Tautre servir de tente à ton ferrfich I
B. s35. p4i^\ 4^U jLîy c;>jiy \ùs^^\ ^1 e^^i^ dans cette
vaste tente on avait étendu quatre tapis. — LL âl vautour. — il
o'6b'* bomme expérimenté et plein de franchise. — ^j, i V jSX^ il
femme âgée. — Ц^^ jl jeune et blanc, en parlant d'un bœuf ou d'un
buffle. — Ц il roi.
-^ A^l, AÏ»! blanchâtre; pièce d'argent ou d'or; aspre.
i^^A^i tirant sur le blanc.
^Lx) épervier.
iy\r*^ lent, soit dans la marche, soit dans la parole, soit dans les ma-
nières.
J^ (Здг^^ poids, fardeaux.
Jr yjUjiS qui éprouve de la douleur.
y iyijiS douleur, peine, qui donne de la douleur; éternuement. — B. 43 y.
• <^^' ^ Jk^' (>*i- {^ *^V*^ elle ne me fit pas souffrir pen-
dant longtemps.
Jf ^уКjj^ douleur, affliction.
^ (3*0^ souffrir, être affecté douloureusement.
ii)lx3^M с\ c'est un jeu dans lequel des enfants s'amusent à lancer au
26
loin un osselet. Celui qui le trouve monte sur le dos d'un de ses ca-
marades, qui le porte ainsi jusqu'à un endroit convenu.
Jr /^^ifii pleurer.
^ t t ^ ^^ blancheur, blanc de cëruse que les femmes se mettent sur la
figure.
* /$^^ ^^^ ^^ haut, monter, dépasser; se tourner.
/o^Lâx) se rouler, se vautrer.
^ /Oi^Ux) être empoisonné.
-^ ^1 poison. — ëiP^t vénéneux.
/ jj^ premier lait qui vient après les couches.
1^ jjjfiS lourd, pesant; précieux. — ;$^XLmjJts\ qui vend des choses pré-
cieuses.
43Ьм%jда1 peson du rouet; planchette arrondie qui couronne le haut du
piquet de la tente; os du genou.
/лАУjjjш^ considérer comme ayant du poids; honorer; être lourd; être
affligé.
^пСеJкшЛУjjjj^ action d'honorer, de traiter avec considération.
j, jj^l bouche. — B. 3i 1. JjUidLj j-wb I J^y^iiju- liljuû ^^T^^U^I juâ^
iù^ y у\уф\ 4^lf l^^l le samedi soir, le 7 du mois, nous étant
rendus à la demeure de Kacim-Bey, nous y romptmes le jeûne (nous
ouvrîmes la bouche). — o>^^ <d^' ^^^^ ^^ graine aromatique;
qui ouvre la bouche ; qui s'agite fortement.
\\ (^-AX) cercle autour de la lune ; parc pour les moutons pendant la nuit.
— B. 2U7. SiS 4yûûy ЛдГа*л--1;1 JuU3 ^j^^y^^\^ y^\ ^^yi
^^у^\л Aju^b^ ^Ijb Jhs^I iù^yi ^3! nous tombâmes au beau milieu
de leurs parcs et de leurs huttes; deux ou trois troupes se mirent
à piller leurs parcs.
f^jç^^sj^ s'entourer d'un cercle, en parlant de la lune. — a^-J^U^I ^^l
jUL J *>Оз5" iu*jy^^y u^j^^l! '*^' dans le mois où la lune s'en-
toure d'un cercle, il pleut; le jour où le soleil dessine un arc, il pleut.
I»j.^t 27
-^ J^A4NXi qui tire sur le blanc, qui montre l'apparence du blanc,
ùôi serment.
Лш^) silencieux.
/Ц^) droit. — ^jil sauvage.
> ff&xi) a. hémiplégie. — B. likS. Après avoir dit qu'il éprouva tine cha-
leur interne, ^^^^^ j^Ue Ь |<\j«Хj ^j\j^j qui le gêna au point de
le rendre presque incapable de s'acquitter de la prière du vendredi ,
il ajoute que le lendemain il eut de la fièvre et un léger frisson,
^ лш-»^\уш ^1^1, et il désigne sa maladie par le terme (s^j^ ^^^*
Je ne pense pas qu'il ait voulu parler de paralysie, quoique ce soit
le sens généralement attribué à ce mot. ^çbl parait être pour ^U.
^ \з\ = le!. — B. а6. t^o^^l 4-4Aa* Ы liUôuî J3-« il lavait fait grand-
maitre du palais. — Id. 99. *fl a A л> l^v h ,»sb ^jj^-ь^ ^^ ^^UaL»
^Js^l bl il était grand maître du palais auprès de Sultan-Ahmed
Mirza.
УАГ^) v3^ cotonnades? — B. i58, parlant des productions de l'Inde,
cite entre autres choses, ош^^ ^), les étoffes blanches, les coton-
nades. — li. i83. Ses soldats ayant pillé une tribut d'Afgans, 3)
(S^y (J'-é^ l^^l «^Ц^ (iJ^H^ cx»^ une grande quantité de coton-
nades tomba entre les mains de l'armée. — Id. 1 8&. On prend à des
marchands afgans jjjАл^>^ оц»^ ^\ (^jylb beaucoup de cotonnades
et d'épices. — ^^bl étoffe fine de poils de chameaux.
^ àLmi\ boiteux.
^ /аj^/Фш9] boiter, marcher en se dandinant d'un côté.
A faucon bknc; nom d'un des émirs de Sultan-Mahmoud le Sel-
djoukide.
]^ Ауш.М repentant; ivre. Voy. |»jшj^1.
^^:>:> j^> j^^i^ а5"р^1 Jo^^I Jj\m^\ ^
^ЗjÿЬ jûaC \j\j^:> dUAiyéf i^^3^ ^\^ tS
Si lu bois du vok, n'en sois pas repentant; car Le chef du courent a dit que,
dans celle eneeinie. c'était le moindre péché que nous puissioDS ooniinetlre.
28 ^yl
JумJ)) cheval rétif; fripon, fourbe.
(jSJ)) écoulement de la salive de la bouche ; bénédiction.
jf /лАjJшкJп éternuer.
> (44» couler.
Par Teffet de la jalousie, mes entrailles sont toujours prêtes h fondre et à cou-
ler (pour couler).
-^ (З^jУ^' faire couler.
^Ьм^) point central du cœur.
/04^' rire à en perdre la raison.
/^^ixiV faire couler.
- J3>-^' ^ f>^ («^
Ce qui prouve la délicatesse de sa cervelle, c*est qu*au contact de la rosée elle
s'épanche en gouttes d'eau.
incursion. — 45^^4*51 qui fait une incursion; troupes légères, créées
dans les premiers temps de l'empire ottoman.
AJ ) , o ) frère aîné; titre d'honneur. — Lorsque Baber appelle ainsi, par
tendresse, Paîendeh-^sultan-begum, veuve de Sultan-Husseïn-Mirza,
je pense qu'il vaut mieux le prendre dans le sens du mongol Цк^
mère. — зЛа. л^,4У^\j^,:> ^\ ^^ ^UaLy «JObL j'appelais eke,
mère, Palendeh-sultan-begum.
Jo I lime.
j^j» I sœur aînée.
0 mon bien aimé, ce nest pas assez de mon âme, c'est mon père, cest ma
mère, mon frère aîné, ma sœur aîoée que je veux sacrifier à ton amour.
^^jSSjj) anneau qui protège le doigt contre la corde de l'arc; chaume.
jMàS) sans père ni mère.
^ i^ATI aigre.
y J^СыйЛ aigrir.
iiL(\AJ) porter, conduire, mener.
^шЛj) petits clous ou coins dont se servent les menuisiers.
Jl présence; front; tromperie; ruse; rouge vermillon; cachet; sceau des
rois turks marqué en rouge sur les diplômes.
^i, ^) gris-violet tendre'; ce qui est de couleurs nuancées, comme la
robe de certains chevaux, la peau d'un lépreux. — «iy Л] , jftL Л\ ,
aJo jЛ\ , trois espèces différentes de canards.
/o^l^l se laisser séduire.
J^ y^y\ de couleurs différentes. — *à^^ ^1 espèce de scarabée.
^Ц^j!) espèce de faucon.
ÂJU^kjl) vent violent, mêlé de neige et de pluie.
L v^^^^i tente ou hutte de feutre et de baguettes flexibles. — B. iu6.
^Js:! j^W ша tente était dressée pour ma mère; quant à moi, on
me construisit un alatchouk à chaque campement.
-^ Aad), A^^l bigarré, de deux couleurs; espèce d'étoffe. — ^j*^ *4"'
espèce de passereau.
i^^>^) m. qui commet des meurtres. — B. i&. aV^-«-? Jm^ <V^3 ö^
j^j4t^ (5-^^' àis^j^j^^^' Dans la langue des Kalmouks çt des
Mongols, on appelle aladji, \уиЛм^j^^ un tueur, un égorgeur.
*j^), pronom de la- troisième personne; au pluriel : eux.
> (4^^^ troubler la vue par l'effet de la colère.
Lm^) dos. — ецл^! choisir, chercher.
Ai4ti y) oiseau plus grand que le pigeon ramier, avec un demi-collier
noir autour du cou.
ЗХН v3^' troublé, confus, mêlé, en désordre.
3V,fc^! louche.
30 ^JLJ^
J^ Ас;Ь^) geai.
^yfSi^^, (^^\ s'agiter; se soulever. — В. З90. ^оуАлJ^! ^п^^ч^
jУ)1^1 а«;1з^^ les habitants, s'étant soulevés tumultueusement,
ouvrent la porte.
vjjuj^l insecte de la grosseur d'une guêpe, répandant une mauvaise
odeur, s'abattant sur les herbes et les champs de blé.
-^ ^,5^^^^ » , (j^^^' Я^"* ^^^^ ^^^ excursion; qui pille. — A. G. 1 7U. yU^t
JЛ;>-^ ч-А^ и^ ^^Ц^' ^^*^J^' *^^ *<>"s les pillards étaient
réonis avec leur butin.
^jlâhj)) ^^^^ sans feu ni lieu.
Lorsque, séparé de ma famille, od m'aura emprisonné dans la terre, ne retire
pas ta grâce de ce malheureux sans feu, ni lieu.
{j^зjу^- У^^jааз errer ainsi, de montagne en montagne, en pillard,
en vagabond, marcher sans domicile, sans lieu où s'installer.
^y\ femme qui conçoit d'un homme pour la première fois; capture.
ОкjкЗ^) gros rat.
*Дз^) hauteurs qui se trouvent sur le bord des fleuves au cours tortueux.
^JÏi 'flamme.
{^y\ corps de troupe. — y)y ^^^t espèce de carabine.
<,^J5i^^) propriétaire d'un cheval de deux couleurs.
v-aJI héros, brave.
ЗЦj) ornement cousu sur le collet d'un vêtement.
yiyj^\ ornement; couronne; ceinture.
t--îJl pendant d'oreille.
yuJI titre royal chez les Tartares. — A. G. Sa. Iô^j-aJL ^)^-^ f^J^
j^j^^ ^UJt лишjуj^] l^oii^ V>!^ aLm^L quiconque, étant padi-
chah à Khan-Balik. s'asseoit sur le trône, on lui donne le titre
d^alUm.
Уj\jJ]^ ^\jj\ tous les six à la fois.
^LaJ) renard rouge, pelisse faite avec son poil et appelée «y^^; roux.
J^^à i^^ji;y (j^.^(^^^ Аж-а^Лй1 (^у^зj
jô.-A^b^gule Акнн? «jUJI Ь^J ^jjà:>
La martre zibeline sur la tête de l'objet aimé, et la pelisse du renard sur son
dos, laissent voir comme une fumée brillante au-dessus d'une flamme.
/&JUjI poumon. .
^ (jS*«iVi soixante; troupe placée tout à la tête d'une armée, entre Tavant-
garde et le général.
O^JJi confusion, chaos.
_^ V:2^^ ^^' — ^^^b ^ иУ^' sceau des rois turks appliqué à Гепсге d'or
sur les fermans, principalement sur ceux qui ont rapport aux bétes
de somme. Ces fermans s'appellent proprement bU ^i^^' Î^J^--
Ceux qui concernent les finances s'appellent lâ^ ^jyJ\ et 'X {jysi\*
èyÇjjj) étoffe brochée d'or.
JL Jp! six. — ^ji <^ (s^\ les six points, c est-à-dire l'est, l'ouest, le nord,
le sud, le dessus, le dessous et les sept cieux.
^ v3^' bas. — jaA*4*' bassesse.
iS^s^ , «yv ' escarpement des flancs d'une montagne.
(^Ib jsiS talc, en arabe ^j^\ J^^^
\^f^ plâtre; inférieur, dessous.
^^^JVdLt espion.
/o^l^i^Jl s'agiter, s'émouvoir par suite de la joie, se hâter.
Si l'on me donnait une coupe de vin, ah! je suis dans une telle misère, que
je serais transporté de joie, comme un pauvre qui trouve des rubis précieux.
32 ЗjJjаЯ
Qaand tes lèvres m'adressent une réponse où elles me font des promesses au
nom de Dieu, quand même elles ne renfermeraient pas Гаппопсе de la vie éter-
nelle, je n'en suis pas moins agité par la joie.
Jr é\^] tromperie.
v>-^ 4^ *^^^ ày^ и^з^
Ses ruses étaient innombrables, ses perfidies et ses tromperies n'avaient pas de
limite ; le vêtement de la fourberie convenait parfaitement h sa taille.
а^)УJ) cajoleur, trompeur.
J; /лjо]^) tromper. — ^^joIaJI trompeur.
L ^ùsJ) tromperie.
^ЛJ) devant. — A. G. 46. ^^^ХЛ^!;! ^^^xJt il s'interposa devant. —
Id. i45. 1*>иjЦ. iJôUslç ;^JJI JJuûcK?' comme il était couché en
avant des autres. C'est proprement le mot cxJI ou *уJ\ , qui semble
signifier «partie antérieure, le devant,» et l'affixe ^^.
(jmJI loin, éloigné. Voy. (ji**ll.
CxJl fard.
^^Ujo^^âJ) prise et don , échange.
O^jîJi provisions, comestibles que les soldats tirent d'un pays sous forme
de tribut.
jjjîji tranquille, lent.
(Дj-J^лJ! bon à prendre, qu'on doit prendre.
Pourquoi me ravir ma patience, mon intelligence? 0 fléau des énios, c'est
luon âme qu'il te faut prendre !
J :..
л!
..:'
{jj^f montagne peu élevée.
/^•dÇyÀJ) tenailles,. pinces.
JS^' réunion.
(^UUi bélier sauvage.
/лj»\лj) faire des vœux pour quelqu'un.
II y a chez toi un manège de coquetteries , mais loin de Nevaï de s'abaisser à
d'humbles prières 1 A mesure que tu le maudis, il te couvre de bénédictions.
1 bénédiction, souhait de prospérité.
/â^^LâuJU) faire des vœux pour quelqu'un.
иХJ ) partie postérieure de la tête.
«M
^ (^1 cinquante, partie antérieure; flanc.
J^l Jl vjJj' еЛ^ S\^} u^
J^IJvjuJi dLuil UIJ3I il
Le bord de sa tunique est souillé de boue , son corps par devant est tout hu-
mide; tout humide, mais, devant cette humidité, il y a la chemise.
-/ U) pomme.
/a^^^JLmU) remuer le pied, piétiner.
^Lui espèce de canard.
/^'Ф^ l de deux couleurs.
-^ (4-1' prendre.
Tu me disais : 11 faut que je te ravisse ton âme; la douleur et le chagrin de
Tabsence ont fait pâlir Téclat de ta lune; puisse ton cœur ne pas s'en relever!
C'est moi le premier qui t'en ai porté la nouvelle.
DicT. типк. 3
3/1 ^jj\
Je ne dëtoome pas mes yeux de la conlemplation de sa beauté, je ne m'ar-
rache pas un seul instant à ses embrassemeots.
Ce verbe âe joint à un autre, que Ton sous-entend même quelque-
fois, pour exprimer Timpossibilité.
En d'autres termes, la confusion le mit tellement hors de lui-même qu'il ne
pouvait même pas lever les yeux.
0 séparation, si tu veux me faire mourir, tu ne pourras jamais trouver mon
corps, tant il est réduit à rien; figure-toi bien que cest déjà un cadavre.
JCl! sangle de la selle.
«iLÂJi arrière-grand-père. — A. G. 4i.^à *iL^t ^^Ы ^^^^1 les
Mongols appellent alindjik le bisaïeul. Conf. |г>п{^^.
M C^U '•> (S^f devant, devant lui.
-5 eblf t^^yS'^j^^ lçjJ\
Échanson, prépare-toi à remplir les devoirs de la politesse; présente-moi le
vin en t'inclinant neuf fois.
0 mon cœur, si personne ne trahit ton secret en présence de Tami , фп mon
esprit pourrait-il avoir à redouter quand je serai devant lui ?
jr^i épine-vinette.
{улуп état; condition.
<3^t triste, troublé, qui a la cervelle dérangée.
Pourquoi la cervelle de la violette se trouve-t-elle toute confuse? C'est parce
qu'elle est honteuse de sa face sombre en présence de ton l^r duvet
siJô^i bois de la flèche.
Lui corneille rousse.
(j**^t éloigné, loin, de loin.
/A4Cà^\ faire un échange; en venir aux mains; se ravir mutuellement
une chose; s'habituer.
/öjу) action de prendre, d'acheter; produits.
Ô toi qui, pour acquérir la fiancée de ce bas monde, as donné Targent de ton
corps, sache que, par ce marché, tu as vendu la vie et acheté la mort.
L /^j^jЛjJ) laisser, abandonner.
^ЦшСуЛJJ) s'arrêter, retarder, rester en arrière.
J^ \iAjJi main, force, pouvoir. En mongol, de deux couleurs. Gonf. ^* (^i^.
J^ С5У ' partie de devant; front; sein plein de lait. — ^j^ч^' bas, en bas.
L |»i remède; parties naturelles de la femme. — gUI pi instrumeiit aratoire
de fer, grande pièce de bois, à laquelle est attaché l'animal qui
tourne au moulin ou à la machine hydraulique. — j^l J plante
médicinale.
}j3 yw«) espèce d'arbre. — B. З67 compare les feuilles du bananier,
quoique plus longues, à celles de cet arbre,
^ 4iL«i peine-, fatigue, prix de la peine. — jèl^ dLtt compagnon de peine.
^Ix^) peine, fatigue, action de ramper à terre comme les enfants. —
B. 958. AXkj vib^^ иЦу^ и>*^Ц- ^^^^*^^ ^' ijTff^ Уjз^^г- ö'*^^
jl». S^^ J-41^ *^^АлЗ ^UiAj on a beaucoup de peine à obtenir le
3.
36 y)
calme et l'ordre dans une troupe de cinq ou six mille hommes qui
s'élancent à bride abattue pour faire une course. — A. G. 9 1 . J3I
«5^' j<y^ U^ *d*^l Jj^ ^jàf lî •y^jàf fS'^^:^j^\ J^ ^iJôI ^
c'était un chemin tel, qu'un chameau ou un cheval n'y pouvait pas-
ser qu'avec b.eaucoup de peine.
Lorsqu*il lui fut possible de mardier, il avait pour habitude, dès sa petite en-
iimce, de ramper à terre.
«iLJUt peau de veau que l'on bourre de paille et qu'on place auprès de
la mère pour qu^elle se laisse traire. Espèce de fruit dans le pays de
Kaboul V et que les Turiis nomment *jS^t^. Baber dit, en parlant
de ce fruit, i6u, ^^^^^^у^ •уь^ у9 Ьj-i t^l ^^y» jbu«-^ I^y ^^jь
on le trouve en grande quantité dans la vallée de Nour, mais il ne
se voit pas autre part.
M. petit esprit. — A. G. io3. J3I (c5^j^^ y ^s^cs^^^ JUUi dLlutl
* Quant au sens du mot ЛкjЛ^ il faut savoir que, dans ce temps-là,
la lan};ue mon^jole n était |>as encore entièrement oubliée. Djetum en
arabo, koHch dans la langtie dt^ Tadjiks* 1ам dans celle des Eozb^,
com>s|>ondent au mot mongi^ ^. Le l^qui se trouve dans ^Ljui,
li^ Antbes ГарроИеп! krfJn diminnùf. Les Euibegs emploient dans ce
sons tantôt iUL^, tanti\t jU^: ils disent « par exemple, *àfti \^\^
pour un t( jH^it cheval, V еГj(дрс^аЗ|м>иг un « |>etit homme, -q JLiUI
\4n1t donc dire « jH^tit esprit. ^ Conf. p-
^д^ж^! vivant,
^1 articulation, joinlurt' d^^^ a>.
uSiJÙbl 37
h bi mère; ici, là.
d^^bt châtrer.
лГЬ) , ub) nourrice ; sage-femme ; gouvernante. On donne aussi à la
mère du khan le titre de дКjЬ, sage-femme. — A. G. 4i. aj bl
^j^L^ U^^ ^^ dame qui faisait les fonctions de sage-femme. —
/it/. 90.^4^ (:^:ин>з j^^bi Ajuj^^t ^Â^^l». ayant choisi des nour-
rices pour le fils du khan.
\t} Л^j) «. mangue.
J^AJU ^^Js?ï 4*^.1 jb^J^L^Ue
"'^ • • •• • • *•
U avaj't préparé des soucoupes élégantes; sur les unes étaient dès mangues,
sur d'autres des feuilles de bétel. (Conf. B. 366).
serment. — B. 1 4o. a5^^^^l-^I j^сжj) ils jurèrent que —
4o8. *f)l^ JUsB?! очjГдиз ^^ d)LJ40 «^У^еЗ il faut jurer par le
saint nom de Dieu.
(^byijt m. doux. Conf. \j 1^ Л j i ^.
Д^ l , Isç? t à ce degré. — ^6 ^e ly^l à ce point. — (j)й*а:^1 ainsi.
Л seulement; comme cela; mais.
^i subtilité; finesse.
V
^ sXJi, iXJ) se dit proprement d'une tribu qui contracte des alliances
avec une autre. Les Mongols l'emploient comme terme d'amitié à la
place de frère, d'oncle paternel, de tante maternelle. Us disent, en
signe de bienvenue ^ l*xj|, c'est-à-dire mon frère, mon cher. — Là.
-j^ 4^1 ùsi! qui est là. — (jj^lJo! à l'accusatif.
-* i3'^^' ainsi, de cette manière.
Jj^ù^il genévrier.
/oJùsii espèce de loup cervier.
i mari de la sœur, beau-frère,
ut fard.
T .Л.
38 yS^S
JuiÂ3) flèche de grande dimension, munie d'un large fer, servant parti-
culièrement à la chasse.
^LJbl clef.
5 Jbt pointe de flèche; sans gène; sans cérémonie.
j^JU), ОÿJЫ oiseau aquatique, plus petit que Toie et plus grand que
le canard, au plumage nuancé de noir, de blanc et de rouge, tirant
sur le jaune, ^^^j,^ (JIav^uVo'
jЫ esprit, intelligence; joue. — ^^-ix-ûL Ь ^\^ ^^y^^\ ^J^^ (^\
U^V^t jЗ^хJ^ ô mon Dieu, ne fais pas de mon enfant une étoile dans
la région des belles aux joues de soleil !
Ixii, Ц^1ХЗ) jusqu'à lui, jusqu'à cela.
i^lx3! menton; graisse?
«iL«d^i, viWiX^i, «iL«43sXi) fureter, se mettre en embuscade, écou-
. ter en cachette.
Dans ia solitude, elle s'abandonnait è sa douleur; sa mère Técoutait en ca-
chette.
jз^ %j\лjкт (jтj;йш:> ^ibUjj^t 4-*y*xXit iSj^^^ jы uu voleur qui fure-
tait partout a enlevé leurs turbans.
4^:ллхЗ) fard.
^^KXi) intelligence.
L ^JрЛкхЗ) comprendre, mentionner, se souvenir d'une chose.
J^lÂXJ) artichaut.
^jj^^) ^ jjSjb) sans esprit; soudain^
viX^*^-AXi) mettre à l'entour, environner. — Чу^у^ V^?^* (S^^jy^ зj'"'^
^^j^\ [j^^jу^jы bl l^x^j^à comment Khosrev, ayant investi la ci-
tadelle 5 a construit tout à Tentour une autre citadelle.
^AXil champ cultivé, dont la récolle vient d'élre enlevée et où il ne reste
plus que des débris; terre en friche.
•I 39
|(ХаJ1)) la seconde des cinq prières canoniques.
»Wl courtier, crieur.
^ r%ii à cause de cela.
S'il a commis une faute en cela, c^est parce quil a refusé d*obëir aux ordres
du roi.
S^) petit du lion, du chien, et des bétes fauves en général.
«^^^.^Ail jambe.
лЗ) croître, grandir.
Lorsque le chien de ta concupiscence est jeune encore, tue-le avant qu'il gran-
disse; autrement, il te ferait périr, hélas! il est si méchant I
^1 chasse; individu. — 3^ j^ un homme, un individu.
I|<x^ ]U^ У^х^
0 Dieu, tout le monde reconnaît ta suprême puissance; un roi, dans Téclat
de sa majesté, n'est qu'un pauvre par rapport à toi.
jз^ J^l A-&1 (jj-г«хЛ?' (è^ ^ ^j^
Celui qui sera sorti de la foule anra de Texpérience, quiconque sait ce que
c'est que la pauvreté est vraiment roi.
Des rangs d'Alexandre un guerrier poussa son cheval , pareil au rayon luini'
nenx qui sort de l'édair.
- ^
I chasseur.
40 U!r-Î^?5'
Ь tj) nid.
U^l^l grand-père. Conf. ^^-^.
^^"^Ijl rouler, tourner. — j^^ <-^^1з' г*«н^ ^cy^^(<>^!/^'
et Gheîkh Ibrahim, le gagiste, qui tournait des briques.
Jr Vç9^i baiser.
^ y$ ^ petite tente , lieu de campement ; soir.
Aj^i, u^) blanc de céruse dont se servent les femmes.
^L^l chameau mâle.
{sk^ C^v^' ^® ^*' ^^ 1^-. — ^- G- *77- t)^6*^^ 1£$!^j^j-ы t)
(^^>^ ;^ly^i ;ÿ ^"^ 1^з' '^(^^^1 1б khan, avec quelques homn
ayant devant lui d'autres personnes dispersées de ci de là.
JS?^^» arme, particulièrement cuirasse.
Or, cette image est plongée des pieds à la tète dans une cuirasse de fer, bril-
lante comme le feu.
JLa) сjь^з' armé, cuirassé.
JJI^' J^l U>3 L^*^^Lнз^ sî tu couvres la nudité d'un malheureux, cela
te fera un vêtement qui ne vieillira pas.
АХJÿ), 1лjj) poumon. — ^iWi^^l bravoure, courage; courageux.
liW^l^^l s'animer, s'irriter.
JлЛ^) malade.
j^^-^l couvrir. — (jМ^з' foire couvrir,
b «iA'i^i embrasser.
CS^^^^ 'w. maladie. Conf. рпп^^.
jj^j-л**^^) m. pâturage, fourrage verl et sec. Conf. |a^Ç9^.
JjрЭÿ) huppe qui est sur la tête de certains oiseaux. — ^^yà ^^3' l'oi-
seau appelé hxifpe.
J^ 0^1 feu; herbe; remède, purgatif, poison; vert, en parlant du bois. —
B. 175. jl»^ ^ilJUj < j^jy» с5з1 vert ou sec, cet arbre brûle égale-
ment bien. — jз^ Акjц^ ^LuL^^jw* s::»^\^j^^ 01^ '(^ iiS'i^^\
^З^ о5^ ^(j^t (j^^HjI* •^^'зjз^ Лй^ля^jУЧ)' ^* signifie une chose
brûlée; il renferme aussi le sens de passage; on l'applique au jeu de
dés, et, dans ce cas, c'est un impératif; il signifie encore passer au
feu n'importe quelle chose pour en ôter tous les poils; il se dit aussi
d'un mouvement qu^ éloigne d'un objet quelconque.
k^t au delà, de l'autre côté.
^Ь^) intendant, surintendant, payeur. — B. З17. jab^t ç^^j^ A5Câo
i^^j\jMt ^ «^C5'^l *чч^^ ^^ J^ Pechkèh, le surintendant, qui
avait été envoyé en ambassade de compagnie avec Kali-Bey.
C5>? O^'^^J^^^ depuis le temps passé jusqu'à aujourd'hui.
^b^i, ^Ьÿ) tente;' lieu où l'on s'assoit. — A. G. i5. ^y»y^ ^Ьу plan-
tant une tente.
Ахи^) plume d'oiseau, principalement celles que l'on place sur sa tête,
dans un combat, comme un signe de bravoure. — B. 176. 5^— *-
jз^ ^Aib^l gUw les plumes pour orner les cheveux proviennent du
héron. C'est un des articles de commerce transportés de Kaboul dans
l'Irak et le Khoraçân.
^b^i le milieu, au milieu; passager, étranger.
i Ll^ d^}' le jour passé.
/ö^Ьj) sarcler. — JLtb^l répondre, payer.
^lilyl, Ubb^t de ce côté-là.
9
^ v5|i^' lieu où l'on s'assoit, où l'on fait halte; vétéran.
д«J^| en face; conjointement avec; compensation.
42 Joo^bo^l
Il arriva à un point, où partout vis-à-vis de lui, de quelque côté qu'il portât
ie regard, resplendissait le miroir de Téternité.
v^J^Jthb' Isfendiâr ayant marché contre Rustem, ce héros vint
au-devant de lui avec des paroles de conciliation et d'humilité.
tfHW \bi^^ cr^ *3 ^зJJОз^ tôt
ewt wXli 4.^ Ь;9*'гН^' L«*
Charmé de se voir en possession d'une si grande jouissance, il se mit à réflé-
chir sur ce qu'il pourrait lui donner en compensation.
Jjj^^l mensonge. — tS 9.^^\ ^^ъ ^il^j^jj^^ 4jЯз' f^ '^JУ^J^
jуъ sÙyiS^\ ^jt^xiU les paroles entachées de mensonge, fussent-
elles en petite quantité , n'en renferment pas moins un poison mortel.
/o-^^jUy! , /ö^цу^! avoir honte.
0 sucre candi, ne dispute pas en douceur avec la lèvre de mon ami, puisque
Veau de la vie s'est cachée d'elle dans sa confusion.
С^JУ^У^ (З^JJ^^ ^^^^® sauter en l'air les dés, la poussière; laisser
tomber de sa main , perdre.
La rose s'étant montrée passionnée pour ce jeu y perd jusqu'aux parcelles
enfouies dans son sein.
vlX^lXjjï faire passer; réciter; exécuter; faire impression; pénétrer.
Que tu le délournes de cette manière d'être, que lu le guides dans la voie de
la générosité.
lorsqu'il eut vu sa face bénie , 1 amour paternel le fit sortir, sur-le-
champ, de cette pensée.
л;<^У (лй^>Нö-Л15 ^^j^Л^ ^iS^\
En délivrant ma personne impuissante de cet effi*onté, fais-lui violence;
emmène-le et entratne-le loin de moi.
Tes deux lèvres sont un rubis taillé pour y faire passer le fil de tes paroles ;
ta bouche est Touverture qui se dessine au milieu de ce rubis limpide.
B. io6. JJчичи> ^у^ jы Ь1^ {^'^^ jуj^з^ Ъ^З •*^^Иöj jмЬ
^^:»jКj^1 ^^.hAîI jLj ^ bUSÎ JLû^t ^^:>j<з^\ v^l? »(<\зТ il réci-
tait continuellement des kacidèhs et des gazels. Ayant adapté à un
air sur le mode neva un gazel qui m'était dédié, il le récita. Dans ces
circonstances, il récita un quatrain qu'il avait fait, — Id. ù^k.
^^Jol ч^J^з^ \^^\à Уыо j ^liUAA*^^t *iJlJ4jy^ il avait lu, sous
la direction du molla , la plus grande partie de ses œuvres. — /i. 3 э s .
^^^j^^\ (s^Jtt&A^ ^jU^pL il exécuta un air qu'il avait composé. —
^^öjКзз! ^^ ^уу^ ^^улуш étant entré dans ce même canal, j'y fis
mes ablutions et m'y plongeai seize fois; le froid de l'eau me fit
beaucoup d'impression.
viWl^ij^l contrefaire, imiter; vivre; passer le temps.
Le cyprès, en vpulaat se comparer à ta taille, a éprouvé une défaite; est-il
juste qu'une paille entre en rivalité avec le eyprès élancé ?
(^^^^' un fils de seïd qui imite les bjladins doit apprendre à jouer
avec les singes et à façonner des fuseaux.
44 (J^^^^
jj^^\ impétueux, violent, passant, rapide, tranchant, pénétrant. —
A. G. 91. j^^ (f)UOj^y (ji:AA f£Ê»(^j^ dUftj (j^ Коиц signifie :
très-rapide, escaipé.
vy^jj^^) faire passer.
Cet infortuné a passé sa vie à espérer la possession du bonheur; mais, я
chaque instant, й s'est trompe de direction.
{j^^^^ passant; pénétrant, faisant impression ; espèce de fer de flèche.
»
Les flèches pleuvant sur moi dans une averse de douleur que tu me causes
ont transpercé mon Ame et mon cœur; grand Dieul qud malheur, ce dâoge
m'a traversé de part en part
"У^з' celui qui passe, qui traverse.
Am^Y m. ours. Gonf. Ц) Лм^,.^.
(jйГ^Ц^ I partie ; côté ; étage ; peu à peu.
Dans la prison de la tristesse et de la peine toutes les angoisses de la capti-
vité viennent coup sur coup assaffiir mon cœur.
v^^t 4;^^^ i>*iu (:jv-»i»U^lf v>ly^ '«i^^l c^^' ensuite un djinn dit
qu'il l'apporterait en un clin d'œil. Salomon lui ayant ordonné de
le faire , il l'apporta. Ayant placé ce trône dans une maison à sept
étages, il remplit de stupeur tous ceux qui le voyaient.
Jf^ /^^^^ pâturage, foin.
^ (3'^^^' mettre le feu ; pattre ; crier, appeler.
j^Xij^y espèce d'oiseau de proie.
^yL)^) endroit abondant en herbe; enflammé.
^Uyljy) espèce d'ëtoumeau.
«îlU^i pain sans beurre. — (^Ц^! boulanger.
Jr /4f[^' enlever en Tair les dés, la poussière; passer au feu une peau pour
la débarrasser de ses poils; gagner, vaincre.
«Д^) passer; dépasser; faire impression; pénétrer; chanter; débiter des
riens; pardonna; lire, réciter. — B. 117. lAïl^jb^t au moment
où nous passions par là. . . — Id. 5o&. {^.^^^зjуч^у» J^^ûMt t<>t Jl»-
jy^P^^ la situation est grave pour lui et (passe par cela que) com-
porte que. . .
Comment pourrais-je ne pas me tordre de douleur dans ma solitude, lorsque
mes entrailles et mon cœur sont traversa de part en part par les aiguilles de la
séparation ?
11 y a cinq jours dans Tannée pendant lesquels elle s'épanouit; dix jours ne
sont pas écoulés qu'elle est répandue sur la terre.
A. G. 176. dl^oof^l 0i&U5"Jj^ (yX^ nous avons pardonné au
peuple sa faute. — B. 4З9. J^JоЛз! t-^b^l ^\)^j^\ â)U après avoir
récité la prière un peu de bonne heure, nous montâmes à cheval.
A^]^) son produit par le chant des oiseaux; épi de blé vert que Ton fait
griller à la flamme ; peau de béte que Ton passe au feu pour faire
tomber les poils.
|fuO^) plantes médicinales et alimentaires.
^j^^j^) m. celui qui bande les fractures et les guérit. Gonf. \yLà2iAj^.
jÿjÿ) nomades habitant la tente.
^J^у^ espèce de tarière.
46 ^j^
J> (Л^J^J^ s'asseoir.
^ jу^^ trente.
^jу^у incrusté de perles.
^^^jу^у fs^û*6 passer, laisser aller.
lool шл\ъ {^è^^^ ^^jyi vHi^^--
(Jisity^ MlàÀ^j4f9 (j^^с^з C^4>yi^'
Il répandit là les graines de cent espèces de roses, ensuite il n'y posa plus
le pied; il ne laissait pas aller son eau un seul instant, car il désirait tirer de
cette eau tout le lustre de sa personne,
v>4>à^->^v se dépasser mutuellement; chanter, réciter ensemble.
«il^^i passé; pantoufle, botte ou bottine; rouleau de papier; volume con-
tenant le récit des événements; étrenne.
,^âv^r,T ^^3Ji Jl4h? i^j^ ^^^^
Les bijoux d'or qui font mal à Toreille sont comme des chaussures d'or fondu
qui rendent le pied endolori ; sache que la perie d'une parole ingénieuse est le
plus bel ornement de loreille et qu*une chaussure lai^ est le repos du pied.
i^^^^ bottier.
sfL«yJy) payer.
f^y emprunt. — (s^y3^ demandeur, emprunteur.
viLf^jy) prier, demander.
Jr jrji bout; tête d'une chose; vengeance. — B. iqS. Лкл^ f^j^ I^jIjuI^
Jij^ *>чиЬЬ jЦц с^ JÎ;^ Ь?-^1 9^y» \^yi^ K^}jî^^ les plus con-
sidérables parmi ceux de l'aile droite se tenaient à l'extrémité, c'est-
iWlire sur le flanc de la ligne.
Jf gjl trois.
,!, lik^) dos; refuge. — jул làpL-^^t il est sous ma protection;
cuisse, croupe; côte. — J^^л^ъ^ j\jl^^ a-P;^I aaâUw) (^«x^^ji^
jl)T b^^^La^^l (j^^;^*'*-*^^ leurs manières dérangent Téconomie
de leur turban, et le bout de leur turban leur fait mal au dos. — r
^^0УXj^ j.^\лз i^yftyi lorsqu'il eût achevé de bâtir cette maison, ren-
dant grâce à Dieu, il appuya son dos contre la muraille de la kâba
et se félicita de son ouvrage. — Il est d'usage chez les Djagataïs,
dans les repas, de mettre à part les côtes des animaux tués et de les
servir, soit au roi, soit aux personnes que Ton veut honorer.
Qu'on juge des proportions de ce festin, où l'on avait servi les côtes de neuf
mille chevaux.
jL ..M^Ui i6*s à^) 1h?« e^
En s'inclinent profondément, tout en joignant les mains aux genoux, tenir
également ses côtes dans cette posture.
^L^^) bois des montagnes qui flambe longtemps; marché; entraves; trois
à trois.
o|д^^«î^^^ chemin plus escarpé, plus élevé.
^y^^ coussin qu'on place sous la selle.
(j&l^»^) dispute, querelle.
/o^ldfe^! disputer, contester.
J^ ^L^^i foyer de la cuisine; famille; grande tribu; collier de fer qu'on
place au cou des criminels.
J^Lb^jl trèfle.
ji)l>y) appui, soutien du toit; trône.
^jЪ^j troisième.
Л8 ty^j'
0^-5^^^^» ^-5^^^ О^^^^и^' c^^Wlj' ^^s trois, tous les trois à
la fois.
Le roi , le prince royal et le vizir expërimentë ëtant sortis tous les trois à la
fois.
missaire, courant en toute hâte, nous apporte la tête des trois à la
fois dans un délai convenu.
^U^l grande embarcation.
1jJ>^i se rencontrer, se présenter à la vue.
*
^(iji ig-y-i) j\s^ Jif^fi^\ 5»HW
Telles étaient les occupations auxquelles il se livrait, lorsqu'un homme s oflfrit
à sa vue dans la plaine.
^:>\j:>.^\ ^t£f^ ^^\ S^yit ^àJ^ tf4>ft A^ \:>^уАj^ la sai-
son du pèlerinage était passée quand je fis le voyage de la Mecque ;
je rencontrai trois personnes.
Jfl>^%^b^Y clavicule du cou.
1 récemment écoulé, passé. — ^-^à^l^Aji ^yS^ tf^ ^^}^^3^ >?
^d^U^iAit {j^^ jy^^ dans ces derniers temps, par un décret du
ciel à la voûte renversée, et par un commandement de la fortune
inconstante.
I qui vole vite, qui marche rapidement; cordon, cordon pour lier
le caleçon.
\i Фш9^\ arbre creux qui a trois écorces superposées.
i^i traiter amicalement. — ^^.^Лд^^! pas.
i) fer de flèche à trois barbes.
i) étincelle, flamme, éruption d'un volcan.
.^1 А9
иУЦ-У иУЦг^' ЧЧГ^' à^ {^^Jéfj6» (^^4f^
L'amour, qai a donné une place dans le ciel au foyer de mon corps, en a tiré,
Tune après l'autre, des flammes qui s'éparpillent dans Геврасе.
Son œil était éclairé d'un flambeau; le soleil étincelant nen était qu'une
flamme détachée.
L>»y) aux ailes rapides; qui lance des étincelles.
•jl bouc, chèvre.
y*Lit:> ^^ ^j\ji^ ^ji^\JL^ Aijio
Laissant pendre sa belle barbe comme un gracieux sourire, il monta sur les
deux arbres comme une chèvre.
/^Лj^) commettre des actes d'hostilité.
^», ÿЛ'^^' gros fil avec lequel on coud les couvertures de cheval et les
sacs.
Ai».*Vy) , l»,"^i flancs escarpés d'une montagne, escarpé ; nouvelle ; mûre.
— B. 5з. с^>з1 ч^у^уj ^j4t л??^1^ цйнЛ?! vb^^' ^dyi jb ЬjуJö
<s^^ (^^''^З^ yf ^^ ifi^y^ dans sa fuite il rencontra la route des
moiitagnes, où il trouva des montées et des descentes escarpées, dont
il ne se tira qu'avec beaucoup de peine. — Id.ioo. ^t<XJ»^ oûl^ ^^
jAiLçt {j^x>^ ^^j^^yi *^3^s f^^ jamais nous n'avions eu à marcher
par des chemins aussi étroits et escarpés. — Id. 186. i^9?^\ jL fsj^
^^ Jsj' l'autre côté était escarpé.
^U^l, ^l^s^^), (J-ê-^î paradis.
J' /Ö »*^) voler en l'air ; être effacé , anéanti; s'agiter, se démener; cligner,
en parlant de l'œil; battre, en parlant du cœur. '
DicT. ТГ11. h
50 Л^ФJ^ь\
Sans doute, ie moment bienheureux qui doit nous réunir est an*ivé pour mes
yeux et mon cœur, tant sont rapides les mouvements de mes yeux et les batte-
ments de mon cœur!
Mes yeux s agitent poiur voir bien vite ta noble face; les paupières sont pour
eux de véritables ailes.
\ faîre voler, précipiter en bas.
Si le vent de ses soupirs fait voler sa poussière, si Геаи de ses larmes éteint
son feu.
(juif *«4i^^3b f*'^^ {jу^з^ «^^W
Ayant ainsi préparé beaucoup de flèches et de pierres, les uines pour percer
le corps, les autres pour faire sauter la tète.
«iLtâ^t sVteindre, en parlant du feu.
U> **" \yèj^^^ (J-^ *-**' i£^j^ *K
{jy^yf jy^ iM»>* *-^' c^^^' c«*
Quoique la saison de 1« rose soit passée, que la prairie oootinne à être parfu-
mée; quoique la bougie soit éteinte, que le soleil répande toujours sa lumière .
puisque Ventrée du paradis a été accordée an diehxM^^ et que Tempire du
monde a été donné au suhan.
I éloindr^*.
«- .4
liiiUi« ne pleura pas Ut^> dans k ft>u de Гдгооиг. car c'fsl une flamme ф1*ои
n44eiut pas avec de Г<ч1и.
:^) temps, époque; accomplissement d'un présage, réalisation d'un
songe; réponse.
Jr A«>%ftj^), AjyS^$^\ précipice, flancs escarpés d'une montagne.
J^ jУ^^^ à bon marché. — А^jугз^ être à bon marché. — (^j^з^ faire
bon marché.
h (jâ^-s^f vol dans les airs.
L ijyS^j^S pustule, maladie des parties naturelles chez la femme; signe dans
l'œil.
<i)*J^i bougie ou feu qui ne va plus; à demi consumé, fané.
Ils se réunirent autour de lui comme des papiHons; mais il gieait inanimé,
pareil à une bougie qui ne jette plus d'éclat.
^ ^V^^ '^ monde d'ici-bas; à cause, parce que,
Jf KS^y^J^^^ é^^' troisième.
^) J^!, é\j^9^\ effets, habillements. — B. 3oq. Ijca-jcJI»» ^^.Jc-^.»».*
^^•xJUi» д^^мАм ^йjз' лJ^J З^j^з^ о^ ^1 ^^ч^ dans son ivresse,
Abd-Allah se jeta à l'eau avec sa tunique et ses habits. — Id, 3 lo.
<^Uè^ Vis)^' ^^ «JЫ^з' и^ nageant avec sa tunique et ses habits,
il sortit de l'eau.
^ ^Lâhâ^Y semblable, ressemblance.
J7 /AAXJÙé^yi ressembler ; flatter, louer, sembler bon ; être vraisemblable. —
A. G. 1/16. (j-ULùô^^î ^зЦнц ч^ с^jуг tool^y wilrf^ ^^U. re-
chercher la possession du pays tant que le khan est en vie , ne semble
pas raisonnable. — (js^ ^ji^UIaâ-^I jÔILAaj лдаАj iS^^i^Ajj^ ^^1 ô
mon Dieu, à quelque chose qu'ils t'assimilent, tu n'y ressembles pas!
Il est vraisemblable que, si tu n'es pas Rehram, du moins tu occupes un rang
élevé.
'1.
52 CT^'^Uj'
J^ ^Uk^^l faire ressembler, trouver bon. — A. G. 17. c^ûol j
{jлjуХжл j) {jjgA ^XîUwjlAi^^t je ferai ce que vous trouverez bon
de faire. — Id. 106. j^JwUâ.^1 ^l^^li^ (>V». la multitude pensa
qu'il fallait se retirer.
(jujiiu "^^i jeune chameau d'un an.
J^ ç^^ii^^\ dormir, sommeiller. — B. i43. ^,:>'^^\ aIâ^^ je som-
meillai un instant.
Jf ù^\ bile, fiel; emprunt; feu.
i«>^) chambre; haut, élevé,
jillj^) payement, rétribution; plafond.
(^^-**'*^jK (3^'Л>' payer, sVquitter.
sJ^Jù^] timide, effrayé.
I»3^1 maison, muraille.
jj^O^t m, jour* CiOnf. V^û^.
U ..^ikJfit bois à brûler.
^^Jj) emprunt « dette.
%^^\ là. dans cet eiidroil.
yy hauteur; dinn^lion dans laquelle souffle le zépb\T; sorte de tumeur
qui se forme sur les membres: ciel; fossé: en haut: en amont.
^jl^^ Кч%\ ^^Ad^ Ai» j);^ ЛИ
t.<4r^ri) j;;rai>it iii>e (Vtile. il a k» athin^ de la fumée qui s'^ève; lorsqu'il
«егччп)4и ^«№ е>ч^и11чЧ1з^ ^U^ Ь |>ùiÙ¥^. tm croîraît \x«r «в mon Ion.
\ч lu lO U ^^^^\fe jy^ ils crV4l>aîsrv^t un f V cSîè*
U%t ^\Ant^>4V<te; qxù lyrste eloi^>é.
44^Jk^^M^l s^^j>|4^Kt mulu<^)h4Ut^U jvAT *W ms AU nomment du rampe-
jH^iU.b;jl 53
j\j^ bonheur. — A. G. yù^y»^ y^^) ^^^^ y^j^j^ les heureux
d'entre nous s'échapperont, les malheureux seront pris.
-^ ^!л? f^"x» faucille. — B. \hi. jt^l у^ъу.ет^ ^ & a Ъ öЬ-j'.5 ir^^^
4^Lx^l une corde, une faucille, une hache, tout ce qu'il fallait pour
traverser l'eau. — (s^h^^ moissonneur. — ^^y ^j^\ cigale.
^у^) mëtier, industrie; cri de ralliement; nom du cri ou du mot au
moyen duquel les Turks d'une même tribu se reconnaissent entre eux.
Le mot des Kavai est ^W^^K des Mangui i^^y des Kenegoz J^Ц-,
des Khitaî b^^l , des Koungrat ^^^UJjuL^ , etc. etc. — Conjecture , sup-
putation. — B. lag. y^ ^siJLiJi j^к^ jyl^^ ^yl^y^yj> Лц\ ^j\j^\
^1 jju Aju^^ju-^:» ooCûbjST ^Js?' pj;^^3 ^з^^Ь ^jl;jl Ь(Ауз1 J^i
j^â J^ j!^t f<vS"j^lAv^ Айми;^ р|/д^. Il y a deux espèces de mots
de ralliement. L'un est spécial à chaque tribu ; l'autre est commun à
toute l'armée. Dans un combat, quiconque se sert de ce mot est sûr
de retrouver ceux de son parti. Dans cette bataille, le mot de rallie-
ment était Tachkend et Seïram. Au mot Tachkend on devait répondre
Seîram comme mot de ralliement entre ceux du même parti.
irbjf^i levain.
/ö^в*-3jj^) pousser, se dit de l'herbe, des cheveux, des poils de la figure.
1»|л^1 rue, faubourg.
Ojj^l flamme, étincelle, cendre rouge, incendie d'une plaine.
Maintenant que ces quatre stations se sont trouvées sur ma route, je suis
aussi éclairé que si une flamme brillante me montrait le chemin.
4^ bjj^l milieu; intervalle. — (J4tj^ bj^l timon.
L i-AAil^l^^i qualité; mesure moyenne. — B. 9. t^*>^l jbt jA^iLa^ly^!
c'était un tireur de moyenne force.
5i ~Л9
г^J^ compagnon, associé.
vfLeloyi mettre le feu à, enflammer.
ô Nevaî, dans 1 excès de mon amour pour lui j'ai fait à mon cœur bien des
blessures; mais s'il m'a brAlë, à mon tour je Tai bnilë aussi.
i. ^V^ ъj^=^ ;^^\ Jз1 >é^j^\ ^\=r
Cette beauté, au \isage enflammé, est une vraie fournaise pour incendier
mon âme; la garniture bleue qui Tentoure. c'est le soufre incandescent qui fait
resplendir Féclat de ses traits.
viWbji^f prendre feu, s^enflammer, être entièrement consumé.
Un malheureux dont la lampe baisse, en s'éteignant, sera bientôt consumé,
quand même sa quantité dЪшle serait augmentée.
Jp V5^V^ placé au milieu; mitoyen.
^ ^^J^y y{)^ couverture; surtout: caché; couvert; brûlé.
iS^JJr divisions de territoire dans le pays d'Endidjân et de Kachgar cor-
respondant au sandjak.
L ^^Jy campement royal; camp.
S Jд^) habitation des femmes du sultan; tente particulière. — Л. G. 1 07.
iS^yè 4*^ g^^! Ьа:»д^1 (jUaIm le sultan, dépouillé de ses annes,
était caché dans la tente de ses femmes. — (^-«-^ >>)^1 matrone;
mattre d'hôtel.
{j^jy enclume.
Un^^i ignorant.
•• л
ly^^-j'' ^г^Цл?' femelle. — A. G. 38, (^^j^^j'di)^ ^^j-ц\ а^
j^уj jLçj i£jyf tcheneh, en mongol, veut dire loup, soit le mâle,
soit la femelle. Gonf. L^1:^sl.
муЬjj^) nom d'un mode en musique. — Jjlu^^I ^j^^ (iy^y^ ^^
bô3*>^-^ tV* ^J **^ âji5 iiy^t^*>^ jЬ^*- »^' Лj^]jЛ\ ^jj^
Ensuite il y a le kouchouk, qui appartient au rhythme de Yot^uchtek,
Il en est fait mention dans plusieurs livres où il est traité des cercles
de la musique. G'est une poésie chantée sur le rhythme dont se servent
les Arabes pour faire marcher les chameaux, et qui appartient au ré-
mel murebbâ mahzouf. En voici un exemple :
Hélas! quelle douleur me cause la perte de cette lune, quelle brûlure im-
pnme à mon cœur la séparation d'avec elle I C'est un feu qui consume mon âme,
c'est un fléau qui attaque mon existence.
^il^^^^^' (S^^ ^^•'ЬЬмö ^\jj\ j^xf<f grâce à lui, ses sujets voient
leurs palais et leurs jardins dans une situation florissante, les soldats
lui doivent leurs succès et leur gloire; grâce à lui encore les dames
turkes charment leurs nuits par le chant de Yorgouchtek,
\Jj^\ tente, pavillon. — A. G. i8. I*X-jI» J^-^^ \(^^\ (^\ ^^Jt tJ^l» jLi^l
i^^jyxSJ^ l^^l ^t (s^\ il fit planter du côté droit six pavillons blancs,
et du côté gauche six autres pavillons blancs.
^y^cjf^l, ^„J^J^ fossé d'une forteresse.
^^j^-amlT^^i m. épine. Gonf. lo^^AyLin^ .
*ö1^^| qui s'effraye, qui prend de l'ombrage, farouche.
^^^ijù\^ araignée.
56 ^J^^'
43^ (S^^jy^ ^^^ vilUx^à
Devant des amis le château de Khaïbar lui-même est à ras de terre; pour re-
pousser Tennemi ia demeure de i'araignée est une puissante forteresse.
tu ne restes pas à terre , derrière le rideau , si tu n'es pas comme l'arai-
gnée de la porte.
^U^i corde avec laquelle on lie un ballot.
vil^LJ^jl s'instruire; s'habituer. — B. i54. JкJэ â^^Js»! ^iUftj»U ^j— ^
j^5bUL д)чм |МЬ Jцг! (:;\<>(()^l АЭ(ÿ^ ц^ les gens de Khosrev-
châh, qui avaient appris à pratiquer la violence et l'indiscipline,
commencèrent à vexer le peuple. — ЛJ:^j^\ enseigner.
-5 V-5 ^^^ Pléiades.
чДл;^) s'effrayer; prendre de l'ombrage; sauter.
^jy somnolence; frayeur.
«F^^i crinière du cheval; bosse du chameau; hauteur, sommet d'une
montagne.
viLe^y^jl, \ÿ^j!уjjj^\ sommeiller.
Avec le nuage Thumiditë se montra de telle sorte que le narcisse, baissant la
tète, s'abandonna au sommeil.
siU^^l tourner autour. — B. 1 13. jЬ^j^jз^ чзjу*. \jЫ f^j^c^*^^
^^4X^1 jkl 'f^^^j^ j*ii iS^y quant à ceux qui faisaient le tour en
marchant à pied, ils n'accomplissaient pas un tour sans que l'aurore
parût. — là. 379. A^yU ^ tfy^t^ûii*? vA? UJ' ^J^^^uk^
j^^iXj^^l leur méchanceté ayant décuplé, ceux d'entre eux qui
étaient bons tournèrent au méchant. — A. G. 138. 4^Lx*«*jJj ^^jI
\^bj^ j:^jLm ^yiy^^S ^j^j^tri Ju(^u^ JL^ t «XJ^S^il gardait la place
(У^jJ^ 57
d'Ourguendj 9 en faisant des rondes de jour et des rondes de nuit à la
lueur des torches. — B. 1 6 1 . -^ jJ^^I ^(^jy^ ^у^^j^ je fis le tour
d'un grand tamarisc. — «^Цд^j^^' ^tre fait tourner tout à Tentour.
(j^jl déluge.
Vois mon chagrin 1 Si l*ami veut s'approcher de moi pour s'informer du sujet
de ma tristesse, je ne puis y consentir, tant est redoutable le déluge du toҥent
de mes pleurs.
Ayjy frayeur; sauvagerie.
siL*2j[^) aller en haut, monter; filer, tresser.
TantAt, Ravissant des l^^uteurs, ils montent jusqu'à la voûte du ciel; tantôt,
descendant, ib s'enfoncent jusqu'au septième étage de la terre.
jL^^^t se mettre en dessus, couvrir. — u'^>^ ^^^-^ннсл^^--*^
^Jsj^^l il regarda les os en putréfaction de sa monture; il vit qu'ils
tenaient tous les uns aux autres et que la chair les recouvrait.
^Ц)j| espèce de tissu fait de poil de chameau.
иЦлJ forêt, jungle, endroit couvert de roseaux.
«Дj^^1 araignée,
v^ (3^J frapper; assiéger; aboyer; moissonner.
Sème avec générosité la graine de la bienfaisance dans le champ de ce monde ,
car à la fin tu recueilleras précisément ce que tu auras semé.
fS^,
Z.J ^\
lE- Tniwsnamt
. <( m*^ a |«2^ iDrufé^oiZiê
il rftric:*?
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^ >19 ^lo^g^* res^eiiiblaoce.
(3^тЛ9^ prendre pbce, faire place. — ^Ьд^^ faire prendre place, ins-
taller solidement.
lyijy^ ^tre congédié.
iy^y^Jjy mourir subitement d*une hémorragie à la bouche.
^jj^ silo pour le grain: bélier.
^Л19 can^pen^nt: station: parc pour les animaoï. Conf. ^^yyt-
iyib)jy camper, s'arrêter.
^ ^^JJy action de s'entre-firapper, combat.
*'^Ь à ^Siy». ^j-^r^jl^ 1^^— rw' â
Que les hnmmes me combattait oa me feeeet des propositioiB de pux. сош-
ment poiimîje combattre contre eox Ions on m'enlcndre avec eoi?
^«xJ^ i=y^ c^lXp t^^jiji^l ч^Х^йЛуА Gnerchàb mourut dans le com-
bat contre Afirasiâb.
r^J и^5Л9 ^ni^ ^^ chaîne d'une étoffe.
v3 FiJ^ parent, famille: clarté du jour: ensemencement, agriculture.
— B. 18. ^s^j^yi ÔW* ^fSxi c^l,:» ^W ^Ы dLÂAi^U dUUÂA^
il était parent de ma grand'mère, ban-devlet-begum. — Ы.Ъ\. у^
parenté entre Haran-Yâkoub et cet ambassadeur qui arrivait,
(j&bb Зл1у parents, famille, alliés. rlienU.
** ^ - I ..,!•, .j;-JJi,
H 61 appeler les пучиЬге^ de sa boulin: il mil <*e d^lib^rali^n la cf>ndattf
qn'il fallait tenir dans «rite aHairp.
58 tWJ»^'' tilj'
Comme ie paysan qui sème le grain, le moissonne prëcisëment au moment
convenable.
le mal, et n'en a pas moissonné la récolte? — а^jз^ se battre.
•j^\ tresser, natter; souffler, gonfler.
A^j) boutons qui poussent sur la peau quand on entre dans Геаи froide
au sortir de Геаи chaude; espèce de grosse corde, tresse.
tlSJLJ * tll5 pls^ce, endroit; échange.
j>j3^ tJJ^ 4;^' C:^*^ *^*^^ "^^^
Quoique Tenfer soit le séjour réservé aux infidèles , lui , à cause de sa justice ,
résidera dans le ЬаггЫск (gouffre entre Tenfer et le paradis).
Nevaï s'est tellement consumé de chagrin loin de toi que ceux qui regardent
à la place où il gtt se disent : Est-ce qu'il aurait déjà disparu ?
ОУJУ^ ^^j^-î^ ^fSj^'j^"^ ^»Ъ^ UJt>^' ^j?.^^y »>b i'5l^j5'dans
sa chemise, il y a des places de récentes brûlures; tu as d'abord
appliqué sur toutes le froc qui te couvre toi-même.
0-uJ ^^j^\ ^^\ ^jлы j;^
11 se fait un habit de satin de couleur; sur sa tête, au lieu de beiark, il met
comme une sorte de coupe.
Depuis que ta figui*e ne se montre plus à mes yeux , mon sang ne peut suflire
à remplacer les flots de mes larmes.
^Im^I image; ressemblance.
(3^ J^ prendre place, faire place^. — {З^^jз^ faire prendre place, ins-
taller solidement.
/4^ji être congédié.
/O4^i;jl mourir subitement d'une hémorragie à la bouche,
jyjï silo pour le grain; bélier.
Одjj^! campement; station; parc pour les animaux. Conf. ^jy.-
/^43 151 camper, s'arrêter.
^ (jôg^j» action de s'entre-frapper, combat.
Que les hommes me combattent ou me fassent des propositions de paix , com-
ment pourrai-je combattre contre eux tous ou m*entendre avec eux?
^«xJ^j cj^ v^;^'^(â^>;jl vW^L^' Guerchàb mourut dans le com-
bat contre Afrasiâb.
yij ijf^^)^ trame et chatne d'une étoffe.
O F^J^ parent, famille; clarté du jour; ensemencement, agriculture.
— B. 18. i^^^ j^^, öл>^' ^fSj^ ^^:> y^ÉÉrfl ç^bl *iUftjj.bl ^iU^Âx*
il était parent de ma grand'mère, Isan-devlet-begum. — Id.ii.y^
j^^ U*^' J^ j^dv^^ A*vy^ (:Г*»^ ^J^45^' ij^^^ il y avait
parenté entre Haçan-Yâkoub et cet ambassadeur qui arrivait.
(j^Y^ ^Xli parents, famille, alliés, clients.
Il fit appeler les membres de sa famille; il mit en délibération la conduite
qu'il fallait tenir dans cette aflaire.
60 Jjl
Les péris et les houris sont parentes de cette lune; mais là il n'y a personne
qui puisse se dire de sa parente.
ÖЛ;з' (JЬ*-г >^l^*^?î J^'j iS^j^JAi *^«5i^ vW|/»l Jur^ **4^>*Lr*
j^4^^l (i^bb il envoya , pour repousser Afrasiâb , Tous et Faramourz ,
qui , tous les deux , étaient ses proches parents. — ^jy^l yi^J^^^^^J^JЛ
ji^d (^Ьу^ u^'>^' ^^ ^^ ^^ grandeur d'âme est la proche parente
de la générosité, disons mieux, c'est sa sœur jumelle. — (^j^\ se dit
proprement du frère et des plus proches, jâLI» de ceux qui sont alliés.
^Ь)^^ cordes, entraves mises aux pieds des chevaux; séjour, campement
dune armée; prune, abricot; enflé.
fj^j^^ habileté, expérience dans les exercices militaires et le maniement
des armes. — ^J^^ ^^ t^dUël öз^У^ (<^->^рл;з' ^^^5^^$^^^
j^j^Чг^ dans tous les exercices militaires, tels que décocher des
flèches, manier le javelot et le sabre, il était si agile et arrivé à un
4el degré d'habileté dans tout ce qui concerne un homme de guerre,
qu'il faisait l'admiration de ses contemporains.
^^jSFjyjl w. pauvre, mendiant.
/ö^^<>öл][^| élire, choisir.
J^ЧйЛJ' choix.
^^^4SJL9 housse de la selle.
«iXi^^i brillant, lumineux; ouverture du haut de la tente.
Jôjjjj^l m. petit-fils, neveu, descendants. Conf. L\y^A^ descendance.
d^'^JJr vêtement, couverture.
bjj^y colonne.
{Sj^^ ф^^ ^® ï^v®> 4^^ se dresse. — ^^j^I jjijJty^ dont la queue se dresse;
le scorpion.
l j^i éloquent; habile: cent; en dessus; soi-même; parent: connaissance;
(j|лj' 61
moelle ; crème d'une chose ; limon collant. - — (S^j3^ homme de mé-
rite. — B. 1 08. i^ Jsjl v5bu>0 *^i5^55^ iS^h^^ ^JУ^ '^^^ quoî-
. qu'il fût très-éloquent en paroles, il était plus faible le sabre à la main.
Ll^GîÂî' f UL^G^li^ '^ J^^^'' d'avant-hier, jour long.
^ 31)j' ^^Щ^^у long. — ^^jà\ (^\jy\ marasme.
^|Д^| blessure, tumeur; descente; veine qui sort du -cœur; moelle rouge
dans le bois; pépin; pulpe; murmure de la mer.
gîuAjI^^I marche, départ.
U (4*y^'» (З^J^ ^^^^ lo'^S' allongé, couché, croître.
A voir ton œil s'allonger gracieusement sur un lit de tulipes et de roses, ne
dirait-4)n pas une gazelle couchée sur des fleurs de Khoten ?
B. З70. j^^^^ (ЬЪу^ ^J^ <5^^ {J^Ьз^ ^j^З С^^ ^ mesure que les
branches et les feuilles se développent, le feuillage devient d'un vert
plus foncé. — çM'j^' laisser aller; expédier; reconduire; allonger.
Ayant dit cette parole, trouvant un homme éloquent ils l'expédièrent, tristes
à la fois et souriants.
B. 11. j^с5^1)з1 (^<>^i on la laissa partir de là. — Id. ioq. blj^l
je sortis pour le reconduire.
^t^t espèce de récitatif dont les paroles ne sont assujetties à aucune
des règles ordinaires de la prosodie chez lesTurks, et dont on attribue
l'invention à Ogouz-khan et à Khara-khan, son père, fils de Mogoul-
khan; qui vient d'être sevré. On trouve un exemple de ces vers libres
dans une pièce d'Akif-efendi , commençant par ces mots :
62 ^j^\
^h^t qui bat du tambour, en chantant ce chant.
\^ j^^j^^ élrier.
A:>^a1 suivant moi-même , toi-même, lui-même.
A^j.>)^l haut-fond. — B. iio. t^^WjJjvS'^jl Lj\f\» *^\^j^ (^.^ (^j[t
^Jsil ^^^jjt ty3^ (^^.Osil nous eûmes pied pendant plus de la
moitié de la traversée; ensuite vint un haut-fond.
Ovi)uj*>j^! à la manière de moi-même, toi-même, lui-même.
V *))^ï sur, dessus.
ЗГу^j^ chantant le ^1>з1.
V) D)jt autre, différent.
*^t5î>>^ (^»^J-^ ^^iHHft 3^1
Heureux celui qui, en sachant voir ses défauts, trouve en lui-même les mé-
rites de cent hommes d'ëlite. Qu'est-ce à dire? Ayant devant les yeux la repré-
sentation de ses propres défauts, il tire le rideau sur ceux du prochain.
I,X^I3 tjyJ^I A^LAïv^ >V «I j-i (:JwU^
La coupe de via se trouve être toute différente de ce que tu crois; ô dévot
ne réprouve pas les gens de ce cabaret sans savoir ce qu ils sont.
Ьз' » ^^^6^^ d'une manière différente, spéciale. — B. q8o. yi
J^viL) les daims et les daines de ces montagnes sont entièrement
noirs, sauf la queue, qui est d'une couleur différente.
Faut-il s'étonner si je suis exceptionnellement trisle parmi les amoureux,
puisque cette beauté fait preuve ù mon égard d'une dureté excessive?
siU)ji 63
Jf jУ}j^^ lui-inéme, soi-même.
Le lendemain la multitude revint à elle-même en considérant la forme et la
couleur de cette plume.
^ц^.Г^j| débordement de Геаи qu on ne peut plus traverser qu'à la nage.
Ц}j) échelle, escalier.
siL«2J|^) demander, désirer.
/йА^уЬ^ÿJjj^j boue collante, limon.
j1^J)jv personnalité; existence; de soi-même.
Sa personnalité sortit de lui-même; il se purifia de Tidée même de sa per-
sonnalité.
\ДjJ)j| la rue, espèce d'herbe.
L /4^J ^^ vanter, réciter le ouzan; surpasser, devancer.
4p sÙ*^j^ briser; cueillir; arracher; nager.
(jS^jl^y jш^уш (^^«мДJым^ {^У**^
J'ai brisé entièrement le fil des incantations; j'ai fait voir comment s'ouvraient
les talismans.
B. 366. jз^и^ '*Nj3' j^3^|дз' ^<^jSS\ souvent on se met à
Ip cueillir quand il est encore vert; il mûrit à la maisoA. — là, 368.
j^3^^ Лйми^ VJÙ3' **^ ^^^^ {^,^yij^ partout on trouve à le
cueillir à la main et à le manger.
H dit : 0 ami , il n y avait pas lieu à condamnation ; n ayant pas appris a
napper, j'ai été submergé.
66 (JН^^
^'Lij! briser. — В. 998. А^х^лукj b;L^*U *Juu в^ e^lu ^^U-y
^^^Lâb' «^aajIm^I ^\jуш Noukhaï-piadehle perçant avec une javeline,
il en brisa la pointe avec ses dents et la jeta par terre.
Si tu désires briser ces liens, ne te laisse pas captiver ici bas : tei est mon
copseil.
/aJLLûj), /^X***u«ji être brisé. — ^j-î^U^I démembrer, fendre.
J? J^^^f menu; petit garçon. — ^j^ЛjЦj! diviser en morceaux.
jLm^i cela, ce, cette.
0-^oJ^ ^ »;à Ö>? i^ (:JЙ^ J^ ^^l j<NjU»
En vain mes gémissements couvrent les accents du rossignol , elle ne se soucie
pas de soD pauvre esclave; 6 Baber, mon cœur est plein des angoisses que fait
naître en lui cette rose.
^Lam^I cette quantité, autant.
9
I^^ÂdM^i, l^ôuwj) au même endroit. — Is^-WiXjLû^l jusqu'au même
endroit.
éiisJkjié^)^ ^j^]y^\jSé^) tellement; de la*méme manière.
/S-^uàji être privé de sentiment et de mouvement.
^J^Jui^ï cheville du pied.
<ft^J^JUMj) injustice, oppression.
j^ jj^^лJJj^] oseille.
AJLàjl mari. — yUL ç^V^l (j^*>v^l J^^ м^^\ LJ^ ^Jо^ yUL
yi^^j^jyi (jй«>ö1 1^1 UJ^ silAJyïUjI si elle a une mauvaise langue,
le cœur de son mari en sera blessé; si elle est vicieuse, il en sera
couvert de confusion.
/ö<^) se précipiter de tous les côtés; se réunir dans un seul lieu; faire
mal ; gémir. — сИд^^.^' ^^^^^ Ц^^ ''^" ^^ préci|)ite ensemble.
t
y^jl, ^Icjl 67
/^jJléu^ A^FV^^t autant que cela; en cette quantité.
/ö4^jм^1 se hâter, e'agiter.
j^A*^ (:Г^*^з' Ч^у^з^ f^^ ty^ J^' j-^tS^N?^ *
Cette coquette , disent-ils , s agite à chaque instant et sort de la maison : ainsi
fait Vâme; elle s*agite sans cesse pour trouver une issue.
y*^^U ôy^J^^ celui-là.
jl^-^ 0^-*^ "^JŸ^ J^.>' iù^
Mais celui-là est un être charmant qui brûle tous les amoureux , et dont chaque
rayon embrase tous les espaces.
jЗÿЛЛjй^), <ЗÿJÿ>^j) soupçon, conjecture.
(^(Xi^-ÂM^I attaque subite, assaut, action de fondre sur quelqu'un.
Яj^) la charpente supérieure de la tente; espèce de botte faite de peau
non tannée. — öз^з' fossé.
Ij^^«c^), (j'cjl Dieu.
jjз :>;:> у^ J(j Здд^ ЧЗОУ^
Nevrouz et Gui , voyant cette peine de cœur, remuèrent la langue pour rendre
grâce à Dieu.
Cent actions de grâces de ce qu'aujourd'hui mon Dieu ta fait mille fois plus
que je ne le pensais I
Par un effet de la toute-puissance de Dieu , sans le secours du plongeur, ils
trouvèrent dans la mer une perle d'une rare beauté.
j.
68 J>^1
JLû ^Ц^^ nom générique. — ^ B. 169. iàii ул \jJ^^jy:> J^l Jlu ^jU^l
j^3 Jlû yUy foS^j^^jbbu ^jUil bJU j^2» *й^-û les habitants sont
nommés JLâ ^U^t , mot bien connu à Kaboul. C'est probablement
une altération de l'expression jU«u ^jUit à mine d'Afgan.
J^ (3^1/4$ ' (3^ J^^ rencontrer, surtout en mauvaise part; passer par.
V> i^J^jgr^' vol; doué de bonheur.
> kSj^^ voleur. — (:й^з' caché; doucement.
> ir^ê^i chevreau de quatre mois.
> ^"^kx^i enfant, fils. Chez les Mongols, titre des princes du sang impé-
rial, comme mxrza chez les Persans et sviJUm chez les Osmanlis. —
(^Jm\ ^^^1 testicult castoriê?
m
^ jy^y intention; bénédiction; bonheur,
-t (3^ >l>^ voler, dérober.
h <S^J^y furtivement, à la dérobée.
/öjод^х^) réussir, prospérer.
j^^ peu intelligent, ignorant: mortier de bois.
{JлшЛу petit-fils.
^ чНЬ ^^' — ^^ «JJЛ' '* mercuriale. — vÏJ3*^.^' caviar.
/o^lad^«ê^i traiter avec honneur,
^j^^i Dieu; canal souterrain.
vibjl petit, menu. — öУ^Ц^' ^^^^^ P^*'*- — öЬ-*з' ^®"* menu.
Im^i violence, colère.
\Ù^jyiy souffler avec la bouche.
L jji flèche; perches qu'on emploie dans la construction des tentes; essieu:
timon; aussitôt; vite; précisément; argent comptant. — B. 17, axj
^«хЛаэ сАJиЦ^ «^^Ц; ö^1 tS^^^vy^ j^ '^^ accordai précisément les
mêmes égards et la même amitié qu'auparavant.
^1^1 69
.Nevaï demande que la jouissance de ta demeure lui soit donnée comptant,
]es faux dëvots se contentent de ]a promesse du paradis; tant il y a précisément
de différence entre les gens instruits et les ignorants !
j^кjц» (^j^\ serpent-flèche.
^Ь^ I haut, élevé; héron. Le senguilâkhi rend ce mot par JuJ^ grue ; mais
cette traduction ne semble pas exacte, puisque B. 172 ne cite l'oi-
seau appelé jbjl qu'après avoir parlé de аjд^*, qui est véritablement
la grue. La traduction persane rendjb^t parjlfyy^, pigeon ramier;
mais il est surtout question ici d'oiseaux aquatiques, et, comme il
s'agit du commerce que l'on fait des plumes du jb^', p. 176,
j'aime mieux croire avec Erçkine qu'il s'agit ici du héron, dont les
plunies servaient à orner le turban des grands.
ij-5^i coupe; dartre.
/4^iJi^i hennir tout doucement en cherchant à manger.
Jjl^ki^i,yi^j)^i,^ji?i^^l rouleau, cylindre pour aplatir la pâte; rocher.
> /ö^^^Ц^! lancer une flèche; avoir le culte de soi-même.
> (Jijif^f lecture.
j, (jИуj^' lire, réciter. — à^é^î^^^ s'appeler, être appelé. — A. G. 5o.
^^ jOaj^I J^^I ç^^jj^ j>A*3- iS^y^ ^у^ igSùJâ?, il le traita avec beau-
coup d'honneur et lui donna sa fille : il fut traité de fils. — е^jу^у^з^
être fait récité, appelé.
^) poils du corps; appui, pilastre. — «3J^I le devant, devant.
OU^I marche tranquille et bien réglée.
Ъ vill^o^l apprendre, enseigner. — A. G. 6. f^^<ij^y\ (j^yW ^yf ^^ал^
il lui enseigna à faire un vaisseau.
IxJd^I présent, don.
^Ojl qui n'est pas parent par le sang; adopté. — lîl ^^1(51 belle-mère. —
70 èymS'^\
A. G. 38. ^^аЛ\ 4^bl ^^^ ^yàj^KAj^ J^з' son fiis Harmeleii'
koum épousa sa belie-mère.
f^l, uu^l inutile; déplacé; qui trouble; colère; force; avantage.
Si tu n as pas à ta disposition les paroles qui troublent le cœur, il n en existe
nulle part; comment pourraient-elles venir de nous?
sa décision déplacée ôte la vie à un homme, à quoi lui sort alors de
se repentir?
0 donneur d'avis, puisque la vie est passagère, laisse-la sMcouler dans les
plaisirs; quand tu nous dit d'abandonner la joie, ce conseil jette le trouble dans
nos cœurs.
JjJUS^t inutilité; fort, avantageux,
^uu^l qui se fâche, se met en colère.
f^y brave, violent.
A^i talon; poltron. — - ^^àsл^ *-^з' il a tourné promptement.
«iX-i'^Xç^i, iiL«j(A^>^1 frapper de l'éperon; blesser au talon, en par-
lant d'un cheval qui en frappe un autre.
Oôïiyi^l fil.
J; viX-^Vj» enseigner. — liLc^l s'instruire.
«ilu^J^i élevé.
^j-шJj» orphelin.
Ь J^, ^\jуш^^ toux.
j; л*^\уаееJ9^ tousser, éclater.
\ sàyéêèJ^ défectueux; peu.
JХО 71
Depuis que le cabaretier m'a enivre dans le couvent, faut-il s'étonner si le
soleil paraît à mes ^eux plus petit qu'un atome?
^^УХjшшJ^] , Jkf^^éiâéS^) dinainuer, être en déficit.
Tu as perdu le tact de l'odorat, ta barbe est devenue blanche; de même aussi
ton intelligence a diminué et ton ignorance s'est accrue.
Il a lavé avec l'eau de la pluie la surface de la terre; la souillure de la pous-
sière a diminué, grâce h ce lavage.
•^ cdX^i accumuler, entasser. — iiU5^l louer.
j\(jЛ (<\5"Jз1 jg/Ь^ »ЗАйй>^
j\(,{ f^j^^ i^»jl jUa^ a^ .
Celui qui renverse les échecs sur l'échiquier y trouve plusieurs pièces de bois
qu'il rassemble.
JДз5^1 être rassemblé.
Il vit de tous côtés des dépouilles en nombre incroyable; partout étaient en-
tassés cent trésors de Kâroun.
TantAt ils faisaient l'éloge des belles de Khoten ; d'autres fois ils célébraient
les charmes des beautés de Roum.
'2 , О*^'
Q^Xj^f récolte; amas.
^^1 hibou; fissure daas la glace; bonnet de nuit.
O^i conseil.
lÀ^fjSj^] moudre.
j^^i jument de quatre ans; habitué. -^ <^^^' avant.
Aîj^Xi^i, ^^j^i vertèbres du dos, épine dorsale.
(^JJ^^ détourner. — à\>^^ se détourner. — A. G. 7Д. J^У^ <^lki^
^адР^! ji^ ^ô yU^^Us?- vy>^ 3I? le peuple du Khataï, étant de-
venu ennemi, a détourné sa face de Djenguiz-khan. — Id. 116. дМ
4-л^^1# A-i (jй--з1# u^^r^b^v' (^*>^»^ s'étant détourné du midi
et allant vers le couchant.
-^ ^^J^jy pleurer en criant. — i^yJM\ ук*'* JI*>ocpI /oS'aKj^ ^^j^l ^iL^^ bU
j^Ъ *i)U;^l Jа)^ ^j^yi f^J^ (^.'^^ffy^^ ÖЬ^
Pour dire que Ton pleure en poussant de grands cris et des gémis-
sements démesurés, on se sert du mot JU;^— S^l. Cette expression
se trouve employée en turk dans le distique suivant :
Mon occupation est de traîner de tous côtés sur les montagnes le torrent de
mes larmes, c'est de gronder, à chaque instant, comme les nuages, dans le
trouble où me jette la séparation d'avec ce qae j'aime.
J> jy^j^ conseil; bœuf. — <4>^Jt^' Ь plante appelée anlr-Ae-^bœuf.
viLe^^Tj) donner des avis.
(ji^Jj^i beaucoup; multitude.
^1 слЛj^jj^ J5Ь ^jJt^j^
Лй1 t^l# yfi^^\ 4^UU ъ^
Que la personne de chacune d'elles entourée d'accessoires remarquables se
montre aux regards avec beaucoup de merveilles.
Jjl 73
«^1, ^^\à^ jû^l v^5 Jyv
»^.-^5 i::,U^K' «^-W u4>.
Ta beauté se révèle à chaque instaDt dans la création sous beaucoup de formes
différentes.
\i)^jSj^\ rendre mou.
{jj^f autre; outre.
Je ne demande autre chose à Dieu que le bonheur de jouir de toi; ô mon
Seigneur, puisse être exaucée cette prière de ton esclave I
f^y repentir; pénitence.
J^ (3jM^^ôy[^ 1 instrument avec lequel les cardeurs séparent le coton de sa
graine.
J^ Sj^^^o^J^i aiguillon pour stimuler les bœufs.
Jmt^I se repentir.
sÙJijjS^ agiter, remuer un berceau ou autre chose de ce genre.
J^i lui, elle; humide, frais; eau, mer. — B. З67. yLç ^ J^l sùj^j^
j^yi 1гшФ^ сгЧ^ toutes fraîches, ses fleurs ne sont pas mauvaises;
on peut les manger.
Tirant le vaisseau à la mer, rapides comme Toiseau , ils partirent aussitôt pour
visiter ses vastes espaces.
Ô Nevaï, garde-toi de cacher dans ta manche la supplique destinée à cette
lune; car cette manche se changerait en océan à force d'essuyer des larmes tou-
jours renaissantes.
74 (3^%^
9
У^) m. montagne élevée. Conf. j-^лИх^.
J? O^j! ]a mort, mortalité. — B. ai. ts^y^ aV ^^ 6'*^' лзсл^у J^l
^^ô^L^l; ^^1 chuiLôuj j^l аЦ^ лЦ^ j<vS" dans cette occasion , il
y eut une telle mortalité parmi les chevaux, que ces animaux, tom-
bant par bandes, commencèrent à périr.
Jf (jà^^l part, portion.
Js^ sA^i^y^) partager, distribuer.
J? /ojumjI^I fils ou cordes tordus ensemble et façonnés en forme de lien.
V) 3f ^Jr travail sans salaire; cheval; courrier; petit bateau. — сЯз— *
jyfjkir^jj)\j^[M» jiyi ч^J^^ {^:)Ъ^^ quand il chassait, il n'avait
pas de chevaux, mais il se livrait à cet exercice en se faisant porter
sur les bras d'une personne très-grande. — iJ-i^^ï partir.
1^ O^J^ endroit de chasse. — B. 438. ^^jl ^^L-a-miLjLj ^*^j^^^\»jъ ^у^
j^oJaj \Ju>jja i^A^Pj^ ils représentèrent les bords de la rivière Sarou
comme un bon endroit de chasse. — A. G. .55. b^J^^t jg^b^^? ^з^
4;^ъ^Ц- ayant appelé Mahmoud-aavoudj dans un lieu de chasse.
u
Ct^^ grandir.
Quand il est encore jeuue, tue le chien de tes passions avant quil ait pris
croissance; car, lorsqu'il sera devenu grand, cet ennemi te fera périr toi-même.
^ (3" J chasser. — (З^^з^ être chassé.
9
/^^^1 attacher, joindre. — ^>4^^' être joint, attaché. — ^Jjс^^! faire
joindre. — а^jу^Ъ^ être fait joint. — ^j-e^^^l se joindre, s'attacher,
se communiquer. — (^^^^ arriver, atteindre.
f^jim ^>^ c^^iW J^й*»У^ Js**A.U.
I^s chaînes de tes cheveux ont attire Lulli vers Dieu; rallégorie a abouti à
la réalité et n'a plus eu de raison d't^trc.
j? viLo^^i hurler, en parlant du chien et du chacal.
«^^лJj! rouge; fard.
vibLiU^i pièce de cuir que Ton coud sous la semelle de la botte; espèce
de plateau de bois et de roseaux sur lequel on met des fruits pour
les exposer en vente.
«
11 n'a |M)ur semelles de bottes que de grossières socques de bois, mais il met
sous ses pieds la création entière.
сÿ^j^jу^jу placer, faire asseoir. — B. 38.
л-^
»^— «w
j:^<^ъ'^У^jулЛ^ ils le firent asseoir sur le trône de Samarkand. —
là, З91. ts^jy^jy^!^ адаУ)^! Jиии^^Ы il le fit asseoir à la place de
son père.
Ayant montré un endroit convenable pour son accomplissement, Tayant place
comme il le fallait.
J^ iy^jy^^ s'asseoir. — I^aI^J place où se mettent les rameurs.
Jr ^^y^jjjji^^ habitation, demeure; domicilié. — B. Дз. ^L^^l^ j\ />n ■»■
j^JyU \^^^^y^^ les Mongols domiciliés dans le district de Hissar.
— IL 388. l-J>j \Ь^^УJУ^Ъ^ Ь^j J.A partout où Ton s'installerait.
{Щ^уjу^у se reposer, s'asseoir, s'installer.
AjU^i hameçon.
AaL^i, lai^i prise, butin, prisonnier; cette quantité; ce qui. — ; B. ЗЗ9.
j^j^yi les gens d'Alem-khan sont occupés à piller les habitants et à
recueillir du bu tin. — ILhbb.j^j^ 9^^\ Jb;^^ »^ ils s'emparent
des chameaux et des bagages. — A. G. 3o. ь-^^а-^ *4*^1 ^^Ь^. g'^^^'
ayant fait prisonnier le khan d'Ourguendj.
76 гАз"^
:> 4^1^ i^jl lowj^J
Ce qu il y a de plus étrange dans tout ce qui le concerne, ce qui se fait sur^
tout remarquer dans cette affaire.
]p ^Ч^j' nouvelle; convocation d'une armée par le roi.
Ayant fixé à son armée le jour et le lieu du rassemblement, des commissaires
portèrent de tous côtés des messages de convocation.
^Ls^i hommage qui se rend chez les Mongols en plaçant un genou en
terre, une main sur la tête, et en baisant le genou de celui qu'on
veut honorer.
J^ ^Ц^' mesure pour le grain, fil à mesurer, mesure; égal; conforme.
Je supporte avec patience tous les coups que m'applique ce meurtrier, et
pourtant il n'est personne qui pût s'y résigner, s'il en mesurait un seul sur
son propre corps.
/o^lflij) acquérir une chose; capturer.
viLoftVai^), viX^lfl^) rendre l'hommage appelé (^laL^K offrir un pré-
sent à un supérieur.
é^ viLolab^i mesurer.
(^laL^i m. bonheur, bénédiction, d'où le mot mongol yc^lal^t possesseur
de félicité, de bonheur. ^ signifiant possesseur. Gonf. pi.r^^'n y.
^^^âte^ls»^) action de rendre hommage, d'offrir un présent.
Jw«^Aai^! piller, capturer — A. G. laA. ^у^^j^ ^^yjsm jjAi. (jU;^:>
^^ЪJ^У o^A-jjL^t les princes de Samarkand avaient pillé la tribu de
Dourman.
(У^з' couverture? — A. G. i /i6. J^cb-? рз4з' jУ^ J^lrf^'rf ^^J^
ajo^i, bq^i 77
«
JЛ;У *^<4)l^' *^ '•>-ааJ:^5 45^ J^T;^■^^ *^ i* vit qu un cava-
lier, vêtu d'une couverture de cheval, monté sur un chevîil revêtu d'une
armure, à la queue coupée, rapide, s'avançait en se cachant, le sabre
sur l'épaule.
jjji cire.
/a^TvJiJ^), /a^uU^i, /ö^\шя}^) grandir; vieillir; tomber dans l'inertie
à cause de l'âge. — [^Х^ул», с^оJ^ы а^л* ^\яа^, ^^Kl^l ii:9yhs^ J^t
^^LiL-^L ^^tjT ьу^ДйййД^Г j > ^ i^^yi j-«î 4^*>ЧйЦз' l'arbre qu'avait
planté ce saint personnage avait grandi au bout de quelques années ; il
reçut l'ordre de le couper et d'en faire un vaisseau. — A-^i» (<v*j^5
(^^^i j(^^ Jчу« Abraham, pour complaire à Sarah, le conduisit avec
Agar dans le désert de la Mecque où il les laissa. Ismaêl , ayant grandi ,
se procura un sabre et montrait un goût constant pour la chasse. —
j^à^l ^>^î-U ^^ôjbjb pliujl ç^:>j^\ is^j^^ *-**йиЛз' a3*N/* Feridoun
étant très-avancé en âge n'était pas capable de tirer vengeance de leur
crime. — y^-^ ^^i^! ^r^jxj lu! (jjviàJ»U>L «-^йЛаj Лу* J^ jТ ^Ы
^jJ^ JybÔM. A^cpôUft vyy ^АгУ^^^^' ^ч«^*Jз' son père, qui
l'avait désigné pour hériter de la couronne, lui céda la royauté; conune
il était lui-même parvenu à un âge avancé, il s'ensevelit dans la retraite
et ne s'occupa plus que d'actes de piété. — t^Us?! лJл» U>-ap^L у^з^]
(^jJ^ Jу^4 х^лJлj I JoUiUI^t (^^^1 jз^ jusqu'à l'âge de trente ans,
il n'avait pas cultivé la poésie; mais quand il fut plus avancé en âge,
il se mit à faire des vers. — ^s^jJ сjумjи ap fj^j^:> ^fJiS^bi^^»:^
dans sa jeunesse, il exerçait le métier de cordonnier; on cite de lui
des vers de cette époque. Quand il fut parvenu à la vieillesse, il s'a-
donna beaucoup plus à la poésie. — Э-сч^Ьк)^! faire grandir, élever.
АхJÿ), IxJ^i province, ville, pays, fief.
78 JuJji
Ou est ma troupe de cent hommes pour qu'on me fasse envie? Où est mon
llef , où mille braves montent à cheval ?
> у1лJ^) mort. — 0^3' grand, puissant.
л5Jj) mesure; 1« signe de la Balance. — jу^з^ 'es Pléiades.
(jôjXljl flétri, fané.
«£)^J^i humidité, fraîcheur.
> ^^1 être.
Que ces gens retournent dans leur patrie avec un cœur content , que tous
soient comblés de nos dons.
J^ jЦÿ! mourir.
Quoique je fusse une fille galante aux yeux de Bânou, au moment de mourir,
je suis honteuse , toute honteuse.
^Цjj^^J faire mourir.
Désolée de ce qii elle-même Tavait fait mourir, elle prenait le deuil , tout en
pleurant.
«iXÂj^) vert, endroit riche en verdure, prairie; espèce de chant en usage
chez les Turks pendant les noces. Les jeunes filles le font entendre
dans la demeure de la mariée pour célébrer les mérites de l'époux
et pour vanter ensuite, tout en dansant, les qualités de l'épouse,
dans la demeure de l'époux.
La voûte circulaire du ciel avec ses étoiles est une prairie azurée parsemée de
railla espèces de roses.
vik^>fcjJ^l ^79
J.JU5J A-Â4H»l V^>-?J^' '•
^ '^^А^Jз' U^A* v^ï *^з'
La surface claire des ëtangs ressemble à un miroir sur lequel la verdure des
prairies laisse voir de la rouille.
sâ^^^) rendre humide.
(jÉ»^J^i peuple, rassemblement, tribu.
kàjjJéijJj) à moitié mort.
(ji^J^i troupe, escadron; part, portion.
Depuis que mon peuple a rencontre lé meurtre et le pillage, sur dix troupes,
il en est venu une de ce côte.
C'était un ancien usage chez les Mongols, que celui qui s'était
distingué par sa bravoure contre l'ennemi reçût, dans les grandes
occasions, telles que les fêtes ou les repas, une part exceptionnelle
appelée tsj^^ сЯ^з' B. Зд.
u^' из^з' j^^*^ 4'^b^ «J^^лУни
Echanson , élève la voix en faveur de celui qui pleure ; apporte-moi une coupe
couleur de rose pour ma part de festin.
Sache aussi qu'il est de précepte de se frotter la tête; sur les quatre parties,
accomplis-en au moins une.
«
0 rose, si Ton te demande une part de beauté, qu'y trouves-tu à redire? Les
riches ne sauraient se mettre à l'abri des demandes du panvi'e.
siLpft^^i aboyer les uns contre les autres.
1
80 3 ^Ц!
(j fyJ^^ grand, âgé; ignorant. — ^L». a-S'^^^xJL*»» ^^\Xi (^^^\ ^IjoI
JЗ^J^ ^^AjUbJ^ ^b) il éleva des moDuments si considérables qu'on
en voit encore actuellement les traces et les vestiges.
vfl^J^) mort.
i; <Д«СО^Jÿ] se marier.
J^ f^^^ la mort; écume du lait de chamelle.
^ tib^^J^i devenir grand, puissant; aboyer.
0 Nevaî, si les chiens ont aboyé cette nuit, pendant un instant, dans la rue
qu'habite cette lune, c'est qu'ils ont appris ma mort.
^ d^Xe^^i qui est bon à tuer, qui mérita la mort.
viXJ^Jy) bois de la flèche.
/^Jw^^l essence; être.
Ь^Ц^), t«y) os de l'articulation de la cuisse.
^ ^Цj? espèce de bouillie de farine.
(3 ^Ц^» race, famille, parent, — Gun-khan, étant monté sur le trône,
fit un grand festin. Vingt-quatre notables furent placés par lui en
dehors de la tente; douze près de l'entrée, douze autres plus loin pour
garder les chevaux des princes. Les descendants de ces vingt-quatre
personnages furent appelés ^^^з', c'est-à-dire famille, parents. — A.
j^у ^\^jЗ^ à »iL*éS5u^^M chaque troupe forme une famille à part.
— Oumak veut dire proprement os. Quand les Turks veulent s'en-
quérir de l'origine d'un homme, ils lui disent : De quel oumak es-tu?
* c'est-à-dire, de quelle race sors-tu?
J^У^ y^iS^yi y^^^^s^^J 5*^ Ь^ЗUзl siik^yitm
Pour prix d'une âme qui se donne à vous, vous avez mis à contribution toutes
les ressources de la tyrannie; est-ce ainsi que Ton agit, ô jeunes filles? Sonl-ce
là vos procèdes dans la tribu qui vous a donne naissance?
/^^SUjl s'enhardir. — B. Д8. ylk-Li*. i^-oLjAiU^I \s^us^ ^у^j^
j^^^иц^ 4^jb iiL?H^ л*А-^^Уз' ^^^Ъj^ J^ les habitants de Sa-
markand, s'enhardissant, sortirent, en conduisant une armée, au de-
vant du sultan Ali-Mirza. Conf. le mongol ^ * n j n y fierté.
/а1Ц^) mettre la tête en bas et le talon en haut.
4çUji attente, espérance. — Us^I gros morceau de bois, piquet,
/j СУ||Ш.|<ÿ) désespérer.
^1Я^^|,^jлл^) clavicule du cou.
/0-^1 attendre, espérer. — ^МЦ^' s'atteqdre à.
ULJ*t>^ caleçon, pantalon large. — \xi^yè^\ croupe d'un animal.
jy^j^^ épaule.
j^ tu ^*^' ^^^^' ^^^ d'une chose que l'on écrase; farine,
/o^bji consentir à, acquiescer à.
^\Jà^\ A«^^l s^Jr vb^' **л^з' iy-*^
Je consens à supporter le feu de Tenfer, mais je ne puis me résigner à subir
les tortures de la séparation; peu m'importe que mes années s'écoulent, mais je
ne saurais me résoudre à ne plus le voir.
JL^^I cjv^^ JU^ yU- ^аЦ,!
11 ne m'a pas été donné de baiser ses lèvres au рпк de ma vie; bâasi pou]>-
quoi mon âme ne m'est-elle pas restée jusqu'à ce que je l'eusse fait condescendre
à mes désirs?
j^^й^jЫ a^JmajU Kâbil, séduit par la beauté de sa sœur cadette,
avait de l'amour pour elle; il ne voulut donc pas consentir à ce qu'on
la donnât à Hâbil.
ybji m. droit, sincérité, vérité. Conf. u-iiA^.
DiCT. TBBE. 6
82 viW^I
/oÙNi^i oublier. .
M^ftjLb^f emprunt, dette.
^" t
.^^l emprunter.
^ji là; perle.
^щ^^ dette, emprunt, demande.
\У^^ chirurgien, médecin.
/öjJ)>J^) une dizaine.
vjL^t^J^I élever la voix, appeler. — A. G. 6. A-i J^-j ^^^ gjb j^j
^dlJO^I il appela le peuple à la voie droite.
^iJO^t âjiJ^UJ* АJJЛ5 ^^l^r^
Il appelle tous les voyageurs qui sont revenus du monde; il leur demande des
nouvelles détaillées de ces parages.
^^^;^i4ij) crieur. — A. G. 2З. A-^Uy^^^^^^^Oô^ dU^j J^>-t ^5"! si le
crieur de la mort ne vient pas.
J^^^jy haut, élevé; vicieux; laid. — ^>^з*^з' concilier, calmer.
Abaisser le corps de poussière , élever le ciel aux teintes élincelantes.
Jjij) mensonge.
^ui3^i à bon marché, à bas prix.
^Ub^i m. poulain, ânon. Conf. 11*1 1 în*^.
viLi^t côté droit, droit, juste; d'abord; couleur. — U^Lfc^^jLi^l j|; Uuâ.
с;^^^!^^^ A^^^Uby {jлj^ a6o oJS^ A^^lyjuwjÂ.^ quand un pro-
jet mal conçu ne réussit pas, ceux qui ne Tout pas empêché en sont
solidaires; bien plus, on soupçonne même ceux qui en ont éprouvé
du dommage. — и^з' droit; heureux; grand. .
Il
H
Jl^^I 83
:iL*^ •:>l>4-û (j^rf^joL Jj^' VJt;^
L'Slustre vizir dont la sage administration donnait du lustre à la face de lem-
pire marchait k sa gauche; à sa droite s'avançait Ferhâd, le prince royal; le roi
était rempli de joie; non moins joyeux était le 61s du roi.
L'un d'eux est le teiamun qui consiste k procéder à ses ablutions par le c6ié
droit.
/A^ 1x3^1 faire réussir une chose, s'en acquitter; rendre droit; guérir.
/аЦхЬ^) guérir, se raffermir; devenir droit. ,
;^l^j! ocque; facile. — t^iC^^' 3>-"b ap^j^UI^ ^j^\ t^j'jl? j^Jз'
;^уа\м»j^\ ^Ш le marché du camp est fort pour se trouver des res-
sources ; il n'achète pas une ocque et vend très-cher.
J^еШ)ХЗ^) la droite et la gauche.
JарЯХЗ^! la main droite.
iji croître, pousser; réussir.
jЛЗj! obstiné, rusé, tyrannique. — J^^Cî^l ruse, opiniâtreté.
sà^JijSii^} renverser.
jiy^^ frange grossière.
vild^Xi^l devenir meilleur.
iyi^^ se diviser par dix. — A. G. i8i. j^-X^JS' Ju^S" t-^^^5 c^^U^
ils venaient au secours par troupes de cinq, de dix.
tiW^i pousser, croître, doubler. — Voy. ^iU^^I.
c.
84 у».J^, ^У
Qu'importe qae le narcisse pousse dans tous les jardins, puisque Lutfî reçoit
la mort quand il regarde tes yeux.
O^^) oubli.
1дj1 oui, certainement.
jUaI animal qui tourne le flanc.
jj«>U^) chute d'un animal sur le flanc, sans qu'il puisse se relever.
/ö^jдj! être sans sentiment.
«рд^1 paume de la main. — ау^з^ ^зз^ espèce de jeu que l'on appelle
aussi CAJU»* ^^ pair ou impair.
/o^*^L>^^) prendre avec la paume de la main.
(Здj^ charpente ou clayonnage de la tente.
Jдj! campement, village de nomades.
(joUUi^^l placé sous la même ombre; voisin.
jJUi^^i impudent, sans honte.
iy€^y se consoler; s'occuper. — а^зз^ occuper; consoler.
Mon cœur brise s'est réjoui de cet ordre; il s'est consolé par une assurance si
consolante.
h j^^ff C^^' maison, tente ; bœuf ou vache ; la constellation du Taureau. —
^^1 JJU>«>4^ étant entré avec son cheval dans l'intérieur de la mos-
m
quée , il dit : «^ Cette maison est-elle la demeure du sultan Mohammed? т^
Ils le conduisirent dans la maison, hors de lui-même, après l'avoir lié avec
des chaînes.
^1^1 85
A. G. 18. i£^jyii^ j^з' иУ^' ayant fait planter une tente d'é-
toffe d'or
(jvJLiî JJч>^^^^\ t^ûw^- LJ^ j1й^
Que pourra faire )e lion de sa griffe redoutable s'il a à lutter contre la ruse
de la vache ?
A côté He lui , il voit le cheval du ciel pareil h un bœuf qui marche en tritu-
rant sa rëcolte; si ce n'était pas un bœuf cTestinë à travailler sur Taire, pourquoi
donc se tratnerait-il toujours lentement, sans être capable d^une course fringante?
Si tu demandes une preuve palpable de lexistence de la récolte et du bœuf, ne
te suffit-il pas de voir Tëpi et la voie lactée (^LuX^^ )?
B. 1 8 1 . (^yS ur-^3^y iS^^ (J^^ il s'y trouva beaucoup de bœufs et
de buffles. — ^£у\ vallée; idée. — 1*>4?з' l*x^k par monts et par vaux.
1^1 sœur cadette.
^У}' pudeur, honte; défaut; faute. — ^^^le^' honteux; vicieux.
(y^\ Jч^А-м ô^t ^l, •JOu AiCUa^U
Le soleil est couvert de confusion à Taspect de ta beauté; la jacinthe, si re-
nommée dans les jardins, estTesclave de tes cheveux.
^ ^^If^l craindre; rougir. — B. 3io. (jj^^KaxJJUum ^I Jj^a^s-I^â. ^j-Lï
c^^lj^i rougis devant la barbe blanche de Koullouk Khodja.
jLj! taon, cousin.
]p irLj! éveillé.
86 fjil^\
Le maflre ne sachant pas s'il ëtait ivre ou dans son bon sens, ne discernant
pas s'il ëtait endormi ou éveille.
/^дЬÿ^ se coucher, en parlant des astres^
C'est un singulier jeu que nous montrent là les révolutions du ciel , comment
le soleil 8*est couché, comment son rival à tête blanche est resté à Thorizon.
Dans chaque corps où il allume le feu de la mort Tastre de la vie se couche et
disparaît.
0 toi qui te lèves et qui te couches toujours en même temps que la lune et le
soleil, tun*es pas aussi stable que le p61e, 6 cœur volage comme une planète!
^if^l peau du vetitre et de la gorge du petit-gris.
jjlf^i les côtes.
/oil;^) être honteux, rougir.
ô conseiller, cesse de me dire d un ton de reproche que les pierœs de la folie
sont tombées en pluie sur ma tête; ne t'imagine pas que je rougisse d'un sem-
blable blême.
A. G. 1&6. j^^l»^! Wl5"Lt^ Ajîjëb JUUJU ils rougissent de venir
auprès de moi.
^L^i bride du cbeval; chameau.
^)4>o^l bomme de loi qui parcourt les villages pour y enseigner la pra-
tique du jeûne et de la prière.
(jIiXj^I endroit marécageux, bumide et plein d'berbes.
3jjjiy^ v3jH^^ i'un après l'autre, successivement. — B. ДоЗ. Ж^
nous envoyâmes successivement k leur secours Molla Hussein et
d'autres personnes. — Il vaut peut-être mieux lire Цзj^у^ ÖЛГ^^'*
Jum^!^! homme sans intelligence, suivant les écarts de son imagination.
> f^\ju^\ éveiller.
Jr >bwj! éveillé. — A. G. З7. j'^,:>j^^\ ^jU^^t {j^j^ c^y ils s'assirent,
éveillés chacun à leur tour.
H m'est apparu spiendide dans l'horizon du r^ard , soit pendant le sommeil ,
soit quand j'étais éveillé.
J^ i^WvÂj^i qui n'est pas éveillé.
^ ^\ju^] s'éveiller. — A. G. З7. ^^^ôU^^I SsJùa^j^ le matin elle
s'éveilla.
Jj^i^) qui s'attache à quelqu'un. — иУЧз^ qui convient.
[j j^^V, jМ^ sommeil.
/öjаj|^JЬj) s'endormir.
Ix^i colère, violence; temps du rut chez les animaux.
sà^y\Xi^] se mettre en colère; être en rut. — A. G. 34. {jу^з^ *à^\
^'^^^\ s'étant fâché à cause de cela.
^jjлJj! poumon. — ^^\ paresse, négligence.
«iMT^^^i contrefaire, .imiter.
,^Jji pays, contrée.
Аи!^Ц^1 délibération, conseil.
88 (juLb^'
(J^'^Jï'' C^^:^' songer, réfléchir.
(iL^^^^I, «iW^^I s'établir, se marier.
jL^^^^^I se figer, se glacer, en parlant du sang, en sorte qu'un irn
devienne insensible.
(jJbjt cuisse; ravin, enfoncement.
JJLuÎ maître de maison, chef de famille, homme marié, famille.
Le monde n'est que le dix-huit millième de ton empire; dans le monde, il u'y
a qu un mettre; Adam et Eve sont tes esclaves.
tj.jJuS'xp^^w-*;^ \jуь* Jouuw^t u^^*^ aI^ j^o^i;^* les fils d'Ali-
Chir-bey étant venus oflVir leurs services à sultan Abou-Seïd-mirza ,
avec quatre ou cinq mille chefs de famille desTurkomansKarakoïlouks.
— A. G, 63. jJн^J^^з' ^iJ^^^^ ^1 ^cr-*b ^^j^ рЛ-ill g^
j^d^Lujb ils donnèrent au kadi et au cheïkh-ul-islam cinquante
mille chefs de famille.
^Ц^) l'heure de midi; ainsi. En mongol, affaire. Conf. l^ti^^^'K-
(jWjï dé à coudre; tribu, peuplade.
^ r^y creuser; bander une plaie; se conformer à, obéir; dormir. — B.
8l. jl?y 4P-A-^^# j»^^^^^ iS^yi (^^гЬj^ j^ JS!3' (à'^. sÙj^Jiy**^
{^^) 0Ы (^^on banda la tête de Chehsuvâr : il s'en trouva bien;
il n'y avait personne pour bander la tête de Hamid. — го^j^з^ ч^.^
jil^P^U (^ааХ^ gjut рЦз Саj1»з 4^oJ[^5'on raconte que Noé s'étant
endormi, sa nudité vint à s€ découvrir. Ham, à ce spectacle, se mit
à rire, mais Japhet et Sam le réprimandèrent et couvrirent le corps
de leur père.
A^r^i sculpture; excavation; profond.
} (jîbUJi^l femme aimée, maîtresse.
Ll 89
J^ чЗ'^^^ place que la gazelle dispose pour lui servir de retraite; joueur,
folâtre, inconstant; jointure, articulation.
Jf (^Lbj! jouer.
sÙ>J^^jyi,y faire choix, mettre à part.
J la gale.
1 querelleur, disputeur.
кЬу^^j^ creusé; borne-indicateur placée à l'entrée des chemins. .
/ajojpjul dormir; se figer, se coaguler. — A. G. з5. с$^>?з' ^y^j^jynS
j^y» vf)Uy (S^y^. ^^^3' on dit, en parlant du lait, ouioudi. Lors-
que le lait est à Tétat liquide, il ne forme pas un tout adhérent. Mais
lorsqu'il est coagulé et que toutes les parties adhèrent entre elles ,
ouioudougui se dit de lui, dans le sens de : il s'est coagulé. — (3^^.з^
se coaguler, se figer. — Id, 4i. ^jb у1Ц^з1 IjL jл^ ^ fS^jj^'A vit
qu'il y avait une portion de sang coagulé.
-й^» jeu, plaisanterie; portion, ration. — B. 182. ^«XjUàjy^Ijyjbu!
сЯчН[' u^^ (J^ jз^ ^У>!з1 l^lJUJuut» quand les Afgans ne pou-
vaient plus soutenir la lutte , ils se présentaient devant leurs ennemis
en tenant de 1ЪегЬе entre leurs dénis, comme s'ils avaient voulu
dire : Nous voilà, nous sommes votre part.
3^^l celui qui va à un repas sans y être invité.
<iXj^^1 plumes de flèche.
\f \^\ lune; mois. — jaIjÏ mensuel; solde d'un mois.
b) paume de la main; oncle.
Ll mattre; compagnon.
Nevaï, sans son ami, était comme un chien qui n'a pas de maître; ô mon
Dieu , puisse Tesclave n être jamais séparé du sultan !
, 90 jjJL!
^ C^ieK^H nuit pure et sans nuage, temps clair; froid, gelée.
h O p\^) pied; fin; coupe. — B. 274. Ь j\A jjч« J^У ^ ia ^» de cette
même année. — (5^У échanson.
:^>!5 U»^ r*^^ 4^*>Jy 4ii^ ^
Écbaneon, remplis-nous la coupe à plein bord, car voilà le festin, le temps
de la joyeuse vie et de la gaieté.
4^ i-AArL) échasses.
/^4yi disparaître; se coucher, en parlant du soleil et de la lune.
Quand la lune a disparu et que le délaissement porte de nouveau la désola-
tion dans mon cœur, je pleure amèrement dans la tristesse que me causent ces
ténèbres qui m'environnent.
ir Li nourrice.
jjti les côtes.
«iWj^ur, viL*j/Li devenir maître, possesseur.
Quand il fut maître de la couronne, de la royauté et de son habitation, il
trouva son ennemi réduit à se cacher avec les araignées.
fSà>l\xf\ le maître du moulin, ayant senti la convoitise s'allumer dans
ses yeux à la vue de son cheval et de sa tunique, le tua et s'empara
de ses effets.
jJu\A signe en forme de média, que l'on tire dans la transcription de la
musique, son doux et agréable, tel (|пе le chant du rossignol ou
toute mélodie qui charme le cœur.
Quelque agréable que soit le son de ta voix, il faut que je pleure amèrement.
Exécute d'une voix pleine de charmes la chanson des Turks; accompagne du
Bon de la guitare tes accents mélodieux.
A son câté étaient un batteur de tambour indien, un danseur indien, un
chanteur aux accents mélodieux.
L*état de FerhAd fut pour eux tous conune une agréable mélodie ; la situation
de ce malade infortuné les ravit comme un chant harmonieux.
/^Li refuser, empêcher: épargner, ménager; avoir pitié.
Dieu très-haut, ne lui refuse pas, dans aucune de ses entreprises , les dons les
plus particuliers.
Ad^Uy si, ne refusant pas les étoffes précieuses pour se revêtir de tis-
sus grossiers; si, ne répudiant pas les mets délicats, il ne se nourrit
pas de pain sec
92
J*ai jetë un seul regard et je suis derenu esclave de cette lune; aussi ne sau-
rais-je lui refuser ni le sacri6ce de mon âme, ni celui de mon cœur. Si Dieu me
fait jamais parvenir jusqu^à mon roi , je ne me défendrai pas de dire en sa pré-
sence tout ce qui m'est arrivé.
..Н^Хл^ jлЗ vj^l \r^ JUrfl c^ciu^ U>Xxï
ff
11 s*est avancé pour me tuer, il a relevé le pan de sa robe jusqu'à sa ceinture ,
il a tiré son glaive; ce bourreau empêchera-t-il son vêtement de se souiller au
contact du sang?
^^ 4^àik^l, ^^j^^jji^ ^ibUi^^y jC>^.iljU::^LM
^J^li! ^ул yj (jjч^ iS' J^^\ ^jАш» (^«x-çl ^!y
Tes cheveux ont enlacé une trame h chaque plume de Г oiseau de mon cœur;
passe donc, ô Nevaï; car pour moi, tu vois par quel obstacle je suis arrêté.
A. G, Зз. ^аЫ 4р.4<».Алj> (^jys*' Djourlik épargna son jeune frère.
J^ V^^ corde; habileté. — jЦй' musc, aioès, ambre, tout parfum.
^yJuL {^) hache suspendue à la seiie.
^ ^^Ц-J' la soie.
JS^-Cj) tissu noir; gros fil.
чjЦи^^j! composer; tresser. — A. G. 3. t «xXJjLi^t iJ^Jd^t^jU^I
dans Tart de comprendre les vers et de les composer.
viL^S'lA^i' maladie du dragonneau.
i, JuJLuI fil.
être frais; récent; humide.
siJjvi^i huppe des oiseaux.
(iL^.^I manger.
jySî}» brillant. — kiU^JVA^t se mouvoir, se démener.
M • ••
v^U'^lLTlb! 93
J^ <:jJл chien; viande. — ^^j^ *^iK^\ espèce de teigne.
Ô mon rival, quand bien même tu te serais fait son chien de garde, prends
pitië de nous; va-t-en de la rue qu'elle habile; quoique le feu de son amour soit
aussi brûlant que Tenfer, pousse-nous de ce côté de tes propres mains.
vb iS 4*-*-^' u>^ îr^' jb*^^
Lorsqu'il buvait le vin généreux dans le parterre de tulipes, on servait dans
son festin de la chair d'onagre en kebâb.
/aJLLyyUj}) brandir avec la main; lancer; faire tomber.
J^-^3 (»■ i> ^ рл^ J^ ъг^
Frappant ZAI à la poitrine renverse-le et deviens confident du 'sanctuaire de
l'intimité.
tillÂJi bouche; flanc d'une montagne; extrémités d'une plaine; bord
d'une robe. — B. i86. 1оч« bjiljuA^ S^^S^^ jb yU»l мÿ^о
^^•>Jÿj quelques Afgans se montrèrent sur les éminences qui sont
au pied de la montagne.
Secouant du pan de sa robe la poussière des affaires de ce monde; se conten-
tant de prendre un os dans chaque main.
villVikJUjJ agiter le pan de sa robe sur le feu, remplir le pan de sa
robe; recueillir.
94 JmwI
Je suis venu, le pan de ma robe rempli de perles royales; puisse le rai les
accepter de son esclave I
aX31jL>) espèce de faucon.
vjluJuut pan de la robe*
i^JÙ^^ ^^^^ moreile.
^^uL}! m. perdrix, gelinotte. Conf. .^и-Д^л,.
^gjj\f OV.I chien de mer, en persan j^àS^, en arabe ^>^^.
ji fruit de l'églantier.
Ji espèce de coquillage petit et blanc.
y f^jyjf^ ^:^лjj\ coloquinte purgative. En arabe, jl^ Д2^.
Jf ^X^^^тi^ <^^^> membrane nerveuse qui s'étend du coin de l'œil jusqu'à
la paupière, ptéryge.
jf vfL««Jut déchirer, mettre en pièces.
^Ixâjum с:лj) espèce de grosse mouche. — cvbl» оц{1 chauve-souris.
vAjuI place du marché.
(ЗГÿЛjО! bavard, rapporteur.
Jui perdu; perte,
/o^^ib) rechercher.
liMN^I faire; s'en aller; pousser avec la main; perdre, être perdu; sentir;
être aigu, aiguisé; pain. — oi^l fais.
Les accents de la vocation se font entendre d'une (eut autre manière; ils
semblent dire : Fais devant moi le sacrifice de ta vie.
1^ Jьй' il a fait.
95
/A^i чЬj^ Hâ^Jui jб^jJЛ .ь^к^
Celui qui a mis le premier la main à la création de ce monde, dont le pinceau
merveilleux a tracé d^admirables contours; celui qui a donné à Thomme le pri-
vilège de la parole, et lui a permis de s'enorgueillir du talent de la poésie.
i»y3û>l , ^зд5^ r>^' ^ ^^^^ 4"^ j^ fas8e.
^^ «Cil ^уЛу. jlà ^C^\
Qu41 n*aille pas non pfais se figurer que nous devions concevoir des craintes
de sa colère.
Il faut absolument que je sache ce qui cause ce retard; ahl il faut que tu
viennes, ou plutôt c'est moi qui dois aller!
JjuJU)! faisons.
•• «•
Bienheureux celui qui, au printemps, trouve dans ce bas monde tout ce quil
lui faut pour se réjouir; si rien nest prép&ré pour nous, tirons de nous-mêmes
en gens de goût, moi, les sucreries et les friandises ^ toi, le vin généreux.
Paut-il que j'attende les paroles que tu vas dire; si tu ne dis rien, dois-je
aller bien vite chez elle?
JkLs^l depuis qu on fait; pour faire.
96 «jLmI
f^} o4i»*>ie öнJ^^ <i^^^ >y^À
L'ami a accuse ses aman(s pour pouvoir les faire përir; ô mon Dieu, donnez
à Nevaï la première place à une pareille fétel
4-нЛ?1 t)4a^ <i*^' J*>^ (S>-^ в
Dieu t'a fait roi pour rendre la justice et tu as porté la désolation dans ie
peuple par ton injustice.
4^-^^l{ ^VJai^ J4-Ш 4^UA^ f«>^J3^ j1ч?5АЛв
Depuis que tes flèches, brisant, pénétrant tout, ont déchiré Tenveloppe de
mon âme, on dirait une pagfe que Ton déchire quand elle est chargée de fautes.
^UVa^I on ne peut pas faire.
Son cœur, témoin de mes larmes, s'aiguise à la tyrannie, comme Tacier qu'on
ne saurait polir sans avoir de l'eau.
e^U^^t il ne fait pas.
L'aigle volant (constellation) ne parcourrait pas tous.ses remparts, quand bien
même il irait durant cent siècles.
(S^\ il s'en est allé.
Mon intelligence, mon esprit, ma patience ont dispara, en voyant les rangées
de ses cils : trouvant trop dur de mounr petit à petit, je n ai pas su faire usage
de mes forces.
^ù^\ цйийч! îl s'était égaré.
Mon pauvre cœur insensé , qui s'était égaré à cause de tes lèvres et de tes boucles
de cheveux, je Tai retrouvé la nuit, dans un liçu de débauche, ivre et tout en
d^ordre.
^^w-j 9^ъуjАЛл ^\еj\»jуз (s^\ yUiÎAô. (j^J^^ ^J* celui qui est
sorti de la voie de la justice s'est perdu, et celui qui a marché droit
est arrivé à son but.
La terre se soulevant de sa place et s'élançant en flots de poussière, au milieu
desquels le ciel bleu disparut.
Le chasseur et le gibier avaient été engloutis sans pitié et avaient disparu.
*
Ensuite cette troupe, paralysée par Tinquiétude, se mit à la recherche de son
Joseph, qui avait disparu.
B. 486. j^Us?! 4-^1 (s^\» с^с5^»лjи {^:>j^j\i yi une partie des
rebelles, sauvant leur personne, s'en allèrent. — АЛJ^} agir mu-
tuellement, se pousser mutuellement.
Jf vfL«^^Ju) perdre, égarer, laisser tomber; faire partir, faire arriver en-
semble; aiguiser.
DicT. типк.
98 S*J^\
Je ferai pai4ir la Iroupe de cette plaine, ensuite je te ferai sentir aussi le poids
de .ma colère.
<^ l «KÂ^ j&й; «Л^Ь АjЦз fj\^ym ^^jуУСj! (JуЛjЗ ^^io $^y»é^
^^Ц^ son cure-dent est une lime pour aiguiser la dent de l'avidité,
et dans son porte-peigne il y a un instrument de flatterie pour la
sensualité.
^>ob^ ç^l la lune dans sa croissance.
djJLji bottes. — i^y^ bottier, fabricant de chaussures en peau de cas-
tor. — A. G. 4i. (^ynS l?3 ij^ sSjy^ isy. {^>^:^^ dnt depuis sepi
générations (littéral, sept dos), je suis forgeron, ou bien fabricant
de chaussures. Conf. Ip^-^ castor.
viAJybl perdu, égaré; rapide; aigu, aiguisé.
^^'^' j^O^-Ç' uЧ;^^ ài^j^
lis avaient écrit une lettre à Alexandre et lui avaient envoyé un messager
rapide.
•? •
*^Ьлй' ö^*^ U^^} cxii^U (:Jч-шАаС»1 duuô(^ ^
0 rose, cesse d'aiguiser la pointe de tes eus pour les enfoncer dans mon
cœur; qu'estril besoin de rendre plus piquante Tépingle de Tépine?
«jL^k^Ajbt hâter, presser.
Nevrouz bâtait sa marche lorsqu'il entendit soudain le bruit des pas des che-
vaux.
4^ЛАJ) maladie chronique. — ^\ ou ^,^^\ chant.
.г1 »9
> >jj dedans, l'intérieur. — Ш ^.1, ^j^з' ^.' jeune page. — js] ^ dé-
voiement. — Jl^uS".^! avoir la diarrhée. — Jlg^l intestins.
«M
K» froment torréfié et écrasé que Ton mange avec des douceurs,
uyî^ sœur aînée. Conf. j-^^=^^.
:ÿ?| coussin qu'on place sous la selle.
8 «^1 au milieu de, en dedans.
AÂ^i avoir des éructations.
fJ^jj^M^ éructation.
ioJ^J^Asf^y être étonné, stupéfait.
^^jJb С^аЛАлЗ (JV^U;L оЦ)*^'^''
Frappé de stupeur, il laissa échapper le poisson de ses maios; dans son éton-
nemenl, il se mordit le doigt et resta immobile.
Ixijîl mince, délicat.
^^I^lx;*?! ce qui est à l'intérieur.
;^1л^) en dedans.
pi action de boire, de déguster; partie de débauche; intestin. —
^ylt^jfsS boisson, bon à boire, ivre, buveur.
^> vi^^l Jsîb K-it cfy^ Ч^у.
Il perdit connaissance comme un homme ivre; i( était couché sur une plandie
comme un corps inanimé.
^1 m. père. — A. G. 3a. jк>-» J-Ь»^ ^j^f-i.^ *%?' âb' Jy^
Ы 4X-.A.^3 bl fTvC». JJLtj^à bt 4;^c^ûiJS"les Mongols disent е^с/аЪ
4>^^ч pour ate, père; les Turks appellent а\л les personnes hono-
rables; c'est ainsi qu'ils disent \кеЫш ata, séid aia.
i^ai?! intime, intérieur; chèvre.
7-
100
'.т-^<
Jjçi. OvA.:^? iS'^yf df^^ér^ (:Гву^
Lorsque Bebmen sortit, accompagne de plusieurs cavaliers, un des courtisans
intimes, homme sincère, dit.
j^dlÂ^s JSi^jS' c^4>spy (5^:>^3b iilijû^jJo J3I
<^;-яй ç^ljfCl JLi»- jз^) J^l jfljS'j^jS'jJLt (j^--*-^.*-
<
Par rinfluence de son bonheur, la chemise est venue au monde avec la même
couleur que ce corps charmant; quelle heureuse ëtoile est la sienne I Elle est la
eonfidente intime de ses secrets les plus caches.
B. 45. AÎ4^ i^i^^ jflS^^^Js!» J^\^ V>* ö'*^' i^j^ij'^3^
^^ JSî' ^^j^ сААдйö Aï^^^^-ôjM ses enfants étaient si liés et si intimes
avec lui, qu'il semblait qu'il y eût entre lui et eux les rapports d'un
amant av«c sa maîtresse.
Ji 4iL*i9?) boire.
Tout ce qui est destiné à nourrir Thomme et à étancher sa soif et qui est dé-
sirable soit pour manger, soit pour boire.
^ tl>^ pour; à cause de — ^ibyy?! jaquette de femme.
/öjу^^^яj! mensuel.
Jf СЛ?^» dedans. — jjl (jv^s??! au milieu de. . .
£n vçdn Tâme et le cœur disaient qu'ils sauraient bien se garder des attaques
de la flèche; hélas I ils ont été ti4)ublés quand ils lont vu dans leur enceinte.
^^jуö viU^it^USlfe ^ ЛРрjу 4-лаХаJ çly !;J C^JV^Ij^l W^S^, cr^Î"
^^2)1^^ il établit dans l'Iran les princes appelés mulouk-tavatf; grâce
•-.. - T.
101
aux discordes qui régnèrent parmi eux pendant trois cent soixante
ans , aucun d'eux ne causa de dommage aux peuples de Roum.
^LaJs^i vieillard; chef; intendant; considéré, considération; gouverne-
ment , pouvoir. — B. 1 6- с-jЛа* <^jUa*.I Jl^^I ^ул il l'avait fait gou-
verneur de sa maison. — Id. 1 7. jLajl^! «^.^^^^Uo 14>м^ХуАо1 jUaj4S«
^^b^Uxel^^loi.! if^gJu^ j£шЛ ^^^УJ^ Ч^у^ îl fut maître-gouver-
neur dans ma maison ; jusqu'à la fin de sa vie , il trouva beaucoup de con-
sidération et d'estime. W. 26. silÀAJi^AA^I v^UajV^t^ *^^^' ^УЫш
^«>ot i^^ ^y ^^W^Â^I il lui avait donné le gouvernement de la
maison de sultan Ahmed-mirza. — Id. 45. cs*№' Ju^ jl^y '^1 é^Jjf!
c'était un bey grand, considéré. — Id. an. j^,;-«м( ^у-=^ j)i\j..X^ym
^JvJ v^^ jVfH^^' par la suite, elle avait joui d'une grande considé-
ration. A. G. 9З. Aàj^jJ^ yli^a. j^l ^j^^Uxi^l 003 »^f^j^
fS^j^j pendant un certain temps, il délégua son pouvoir à émir
Tchouban-Seldour.
<ХИ odeur, senteur. — B. 166. j,^X^(j^«Xjl ^^Js?' iiLû^ il en sort une
odeur de musc. — Id. З7 9. jlA^-^l (^^s?' g^b son parfum ressemble
à celui de l'orange.
^i4>ol intendant chargé de l'entretien de l'armée. Conf. э^^з'-
^\c\ aj\ , ^jrlc! à^\ arbre à parfum.
.^ji>o! intelligent.
iiL.^^dol sentir.
il)^<Xj) état. — у«>ч' la partie inférieure de la tente.
^«XjI maître, possesseur. — A. G. 5i. J^-*-^ ^^^р^jс-л i^y^ <^*>^^
jyiy^ vi)l^* iiUIoJ^à 1*ХлХа5 idi'kout, en mongol, signifie heureux,
fortuné, maître de félicité. — A. G. a5, donne une autre étymolo-
gie de ce nom, mais je ne reproduis pas ce passage, qui me semble
corrompu.
(jSkJjiXj! vase, soucoupe; action d'agir, de faire.
Echanson, laisse là le luxe des vases de porcelaine de Chine; car, aux yeux
102 «Оу , by
des gène qui ne font pas de cérémonie, la cruche est plus agréable que la bou-
teille.
vUa^y>^ ^^Jdftj (Лjо1 ,^jj^
,En outre, ayant ajouté à son énumération un vase de graines de sésame, il
adressa, à ce propos, une nouvelle apostrophe.
^ ^dsj| clair de lune, lumière, clarté.
[I homme, homme libre; mari; de bonne heure; chant. — *ibJ^i vi-
rilité.
•^ O /^jтй' éloigné; bouc des montagnes.
yUJ) homme, homme libre. — ^il^l^l virilité.
0 toi qui gagnes ta vie par ton travail et qui as une nombreuse maison,
sache que tu as le droit de te montrer un homme et un homme libre.
J^lwji avant-garde. — A. G. 67. 4^-4^ ^з!^' ayant rais a Tavant-garde.
— Id. iTli.ti^^j^ ^^з]jч} ^i^yti ^^^ч^. (jfi4 Jy ces cinq braves
allèrent à lavant-garde. — B. 8a. 267. écrit aussi J^l^ ou J^l^.
(jîkbl^l terrain bas.
X>^), b-j)| d'abord; antérieur; de bonne heure; autrefois; début de
1 aurore. B. 173. j^:> ^j*>5"jдиö;УJЬуj^з15 Aj^I bJUjS"»;^
dans la passe de Kourèh , ie passage des oiseaux a lieu au printemps.
Id. й83.а\jи^jц\ (j^^x^lwjU ayant la prière du soir. — {j^^\ изjУ^
i^fLÀ ylCjyS" b^l^ \jлjш les poètes qui ont vécu autrefois et les
hommes éloquents qui existaient dans les temps passés. — S^ji^
primitif; ancien; fable, conte.
Uq)uis que Lutfi lient un compte exact de toutes les peines que lui cause ton
Jri^ 103
absence, les livres d'amour des temps anciens ne sont plus que de fades inven-
ions.
Si chaque matin le ciel tire Гёрее de laurore pour m'anëantir, il n^y a là rien
de bien étonnant, car c'est mon plus ancien ennemi.
là^l^k^l autrefois.
\j^ xjiXJ ^»>J^ ^Uà ^у^
Après un compliment ingénieux accompagne d*une invocation , il dit : autre-
fois il y avait à Debli
lAib-ji premières lueurs de l'aurore.
ÂJw)l discernement du bien et du mal.
yjjiijj) caleçon.
/J^-iNiJe^i» montrer ses dents en riant.
^JJ^ refus; insuccès.
olêw) g, ouvrier. Conf. êpyohtjs.
/^j9\éj,f] sauter. — (>irU^I mouvoii% agiter.
il faut que Nouchirvân regarde cela, qu'il secoue la (été eu se frappnul les
deux mains.
^^U^I être mû, agité, s'agiter.
J}\c^-!)) crochet. — ^gjj\ espèce de saule.
*Уj^г?) racine de la plante appelée, en arabe, ^^чХ*^^ ^^ mélisse.
viUJI choix; puissance; libre arbitre.
104
• J **
Hftrout a va la magie de ton œil, il a été saisi de coniiision; pour se cacher
il a fait choix du puits de Babylone.
Quelque effort qu^il fît pour fermer sa bouche aux gémissements, il n avait pas
assez de puissance pour comprimer ses soupirs douloureux.
-rtTyj) bouc; en construct. ne pas encore. — ^j-f^ ^iy*W^ il n'a pas encore
trouvé. — ^j^^ o-Uy^il n'est pas encore venu.
vi)k4>&D*j) se réunir autour de...; badiner, caresser. — B. lûG. ^^-I^l
и^бз^ ^J9^- ч-^^б^' лJч^сj^'^ ^^ с^чи» Jннÿй^ les grands et
les petits qui ne cessaient de marcher, en se réunissant autour de
moi, avec confiance dans ma fortune.
«i)!^^) mâle; chant; degré; rang.
^Do) étant; célibataire. Se construit avec un verbe pour interroger.
Voy. (s^jj^.
sÙXjiS ramasser; réunir. — \Ù\jfpj^\ berceau en forme de balançoire.
ЛJ^) canard; élevé avec tendresse; espèce de navette. Conf. »S^\,
iiXxJLiMkxIjJi grain d'un chapelet; noyau de datte et autres choses sem-
blables.
iSr^rf^ particule d'interrogation avec un verbe.
fi^ ij^j^^ c^^^UrfJ ^^^ tS'o^jio à
Mon pied est arrivé au terme de cent dix ans; quelle vérité mon écriture n'a-
^jЛ 105
t-elle pas retracée ? Quelle production mgënieuse ma plume n'a-t-elle pas con-
signée sur le papier dont ma douleur est tout ce qui en reste aujouгdЪui dans
mon esprit?
iiL^J^JjJ)! être porté à; pencher vers.
A chaque parole d'un fou on se trouve porté à rire; s'il réunissait toutes ces
paroles il ne ferait qu'augmenter le rire.
^ДллJГj)! , АлjкJГj»! charpente supérieure d'une tente de nomades.
/A^jLj) chanter; réciter.
> g*JLji bifurcation d'un cours d'eau, d'une route.
Оj^Ц/5^ petit fleuve.
оЦгй' fleuve.
L (^j^ séparer. — (^.^^jЛ se séparer, être séparé. — ^«x^^j^^^aJLt JlU
i^j^u'^''*^^ С:Г^^с4)^,Г*? ^®"^' ^^^^ ^^^ séparés l'un de l'autre par
un décret du ciel.
J) déchirer, briser.
\iLe%j) être, arriver, parvenir.
0 troupes, ô cavaliers qui étiez mes serviteurs, je puis bien le dire, qui étiez
mes esclaves dévoués
1^ (S-b^3 »iWl c^^j^> ijftH^è^^^l
D avait entendu parler avantageusement de lui ; il savait que c'était le com-
pagnon choisi de Ferhâd.
^^éoi^ 1мJуj ^^гкжл J^\ ^^ IL
Le supplice du tombeau est particulièrement rëservë aux infidèles; si , parfois «
les sectateurs de la vérité se rendent coupables de rébellion, leur droit est de
profiter de Tintercession des prophètes au premier rang desquels se trouve
Mohammed.
Quelque chose qui arrive du ciel, bois du vin; car peu importe, si tu lui
rends grâce pour ne pas f avoir fait sentir les effets de sa colère.
Une chose à raccomplissement de laquelle le consentement ne vient pas de
toi , il ne dépend pas de toi de rechercher si tu Tacceptes ou non.
y-jl lèvre, lèvre inférieure. — A-èJL^jj^l ^^^зз^ ^iSj^ jы ^^ аj^У
^у^^ ses lèvres, qui ne se rejoignent plus, sourient à Taspect de
leur décrépitude.
En te nourrissant des feuilles de la tulipe ta lèvre trouve des rubis sur des
perles.
{^3 îr^' iAy^ <^»*Mk-ft ^S^'^^ ^jуЛ\Л^^\
0 toi qui as un corps d argent, à voir sur la face de ta beauté ta lèvre char-
mante, on dirait Jésus, qui a établi son séjour dans le soleil.
»^Цр51 107
(Jji) petit-lait; pièce de bois qui sépare les chevaux dans les écuries.
Jb^i bord, bordure, lisière.
|ftA%j) 9 (^ Лг!' habileté dans les exercices militaires. — л еХ,л UL^y^jt
^^1 lâljL AP^^UMb»- à l'exception de Joseph, il nV avait pas déjeune
homme aussi beau que lui, et son adresse dans tous les exercices mi-
litaires était d'accord avec sa beauté. Ai\^^ p^l A^ A^Xài ^j^
^y> c;»;.^ V^^ joignant à beaucoup d'intelligence une habileté
incomparable dans les exercices militaires, il acquit de la célébrité.
JUjiJi isolé, seul; étranger; autre; espèce de chiendent dont l'usage en-
graisse le bétail.
iS^^ji^ isolément.
f^jiri) racine courbe ; tourbillon dans l'eau.
JuJe^jl fort; épais. — - B. Û56. i^^\y^^ а>^а-j Jч^-^аЛ ^Уj^ *в?.|^
Khodja Abd-ouch-chehid et Khodja-Kelân furent revêtus de vêtements
euzbegs à tissus solides , et de robes d'honneur convenables. — Peut-
être faut-il lire i^JL^I ou *^4^>»i. Le traducteur persan, et,
après lui Erskine, ont eu une toute autre leçon sous les yeux.
> {^jii séparé; carcan qu'on pose sur le cou des criminels; chameau à
deux bosses. — B. 355. JJч^^^^J ^^ч^^^j^ à^^^j^ JJчи-ЬЬ »Ц-
j^j^ 4у»»^ *^ч^ «âUiÀ^ lOs^^H»»!;! après avoir fixé solidement sur
le bord du puits une pièce de bois, on dispose une roue au milieu
de la saillie qu'elle fait en forme de carcan. — Autrement.
] Dieu.
^jJi chameau portant le joug; chameau à deux bosses.
gS*.^) la chaîne de la toile.
liLo^jj' parvenir; arriver par derrière; obéir.
viX^^i^J dur; rude; grossier; de bonne heure.
108 sùS^j^S
DttDS la voie de la pauvreté ne rougis pas d*un grossier vêtement de laine, car,
k chaque mouvement, il lime les liens des soucis terrestres.
jjy^à слРJ; ^j-Цэ «^^^S'^^JOaXaj
Il est reconnu que la nature du ciel est pleine de convoitise et qu'il faut de
très-bonne heure lui Qpposer des obstades.
Ju^jL^I difficulté; arrivée au terme, au but; possession.
U «jU. JuUuoi. JU. ^*^ЦН!'
j\m^^ <••* I C
Dans les temps difficiles, ingénieux à trouver des ressources conti*e ГеппетГ;
dans les circonstances pénibles, caressant ses sujets.
JiJt^jJ) être terrible, dur; se lever de bonne heure; être contrarié, fa-
tigué, dégoûté.
Un jour cette lune bien policée s'étant levée de bon matin, le désir d'aller à
Técole se présenta à son esprit.
Je suis fâchée d'être confinée dans ce séjour sans agrément; je désire me pro-
mener dans le parterre.
X
Chacun demande itérativement le récit de ce qui s'est passé; pour lui, sans
se fâcher, il raconte tout d'un bout à l'autre.
Чр-й1 109
;) chanteur» musicien.
^jjI augure bon ou mauvais; espérance, chimère. — A. G. i o. m^I j)
JcJ^à ^Уз! Jyt ^з|)з1 ^'jAS^j^JOil 4-л^1 prenant cela pour un
bon augure , ils disent : il vivra longtemps et jouira d'une grande
puissance. — Id. i5. 4^-^^ ^j^\ <^UJ^b J-^ОJз'з '^^i^^, ti-
rant un bon augure de ce que l'arc et les flèches avaient été trouvés.
— Id. h']. S^.^jy^ {j^, ^f^j^} iip^ ils jugèrent que cela était
d'un mauvais augure. — JLA4^^I espèce de fromage.
Jf «iXifol fondre, se fondre.
Au moment où Tincendie de la colère divine ne se calmant plus, Je ciel se
fondra comme un miroir de plomb.
JUïl i^j^\ ^jiij^:^ (^^ ^^.j"^ {ji'^^j à chaque instant, mes
entrailles sont sur le point de fondre de jalousie et de couler.
yyiri^ feutre de la selle; espèce de chaussure. — JlÂj^l fainéant.
(jLâ^) ordure, pus. — dL«y^JL^^t suppurer.
<^
««|1 nom d'une drogue.
^! trace du pied; nom d'un oiseau appelé en arabe J^iolj»-.
3]jj\ pied.
sy^yyf} suivre les traces, rechercher. — A. G. ai. (j^Jчм^Ь' ^^^^^l*
JlJu^U? (^^yt\ tiy^, cherchant une route à travers la montagne , trou-
vons-la.... — Id. %Ш. i}\)y^^^^} jиj^й il faut voir à faire cher-
cher un endroit.
sÙ^j^\ frotter, enduire; turlupiner. — A. G. i3/i. liLjL-A-jj-A-? (jl-4»
j^iS^j^^ j3yii '>?' Ч^ ч^ {j^ y^^^^,^ ils ne cessaient de nous
turlupiner, en disant : Gomme tu es notre frère. — A-^t sorte de
mets.
(j*»J>i intelligence; odeur, perception de l'odeur; rouille.
110 /'4Jеш^\
^oJUiju «^3! i^Mi^l v^l «'ÂJub J^^
Se frappaDt à coups redoublés^ elle fit on tel tomnlte que son esprit , s af-
faiblissant, s'égara et fut renverse.
La bnppe dit : Tu confesses donc que ton intdfigenoe est bouleversée par le
юеспе»
APj«^U:> V>ç^ ^U-^' c5û^
Rassasiant mon palais de parfums exquis, firottant leur visage contre mes
pieds.
JЗ^ *T*^^ 1*^^-^ У^J^ *^ «^>J^ b^^^l joS'j^^^àjj,-- Afrp
jу^ 'Уч^(^мьл\ ^з! ^jytji ils demandèrent au serviteur s'il y avait
de quoi manger dans la maison. Oui» répondit-il, il y a tout ce qu'il
faut pour faire la cuisine. Eux, tout étonnés, disaient : Аиjоигс1Ъш,
le parfum de la demeure de Pharaon sort de cette maison. — dt|^V<».^t
qui a de Todeur, de l'intelligence.
#
viLo^Utfbjl prêter l'oreille à, écouter.
■jl faucon.
^ sà^^JJmJ) demander, rechercher.
'* • .
La volonté supérieure est donc que je fasse de ton souvenir lomemcnt de mes
poésies.
Jf /j .(S Ш| >) . chauffer ; avoir la fièvre.
Ses lèvres ont allumé le feu dans mon âme et ont prononce des paroles
amères; en effet, les boissons amères sont bonnes à ceux que Tabus des dou-
ceurs a rendus malades de la fièvre.
Jusqu'au moment où j'ai été délivré' des ténèbres de la séparation, j'ai été
pris, comme le soleil, d'une fièvre brûlante; versant des torrents de larmes, j'ai
frissonné, les joues couvertes d'une teinte jaunâtre.
Хÿьш^) fièvre.
\) ifi^^^ poivre.
ir fc^uU^q»! chaud.
vjL«Ju«mJ() vieillir.
t
V /ö^о«й^1 mordre; manger.
Quoi que ce soit qu'il ait entassé ainsi il le laisse de cette manière; celui qui
mange trop vomit, et les chiens viennent s'y rassasier.
8 yMàJi\ de ce côté-là.
!i once.
^^^\ sommeil, songe.
«iLo^lx^MJi accepter; tenir compte de.
Si, la nuit, tu viens me trouver dans ma tente, ne tiens pas compte des obs-
112 ^Ч^м^)
tades qae te saseitera an rival; à qai contemple la lone dans son plein qa'im-
portent les aboiements d'nn chien ? '
siLxjt^l9j)i^ m ■>! ^^^ù<^^S\y ^к^з Jf »^Ьч^^«зJ^1 tu n'as pas pris
garde aux menaces réitérées des grands.
\) «^>M^i vieux.
1^) vieillir, s*user.
Examine le voile de mon âme marqué au coin des œillades brûlantes de la
coquetterie; vois conmie ce l^r tissu de soie s'est usé sons l'empreinte des
tyrans de la beauté.
j^^^ i^\^ji$^} si tu prétends que la nourriture ne vienne jamais
à manquer, partage-la avec les pauvres , et si tu désires que tes liabits
ne vieillissent pas, couvre ceux qui sont nus.
iiUuXAwJ;! vieillir.
> v^-é''^LMJ)i agiter.
viLOLk^Jj) confier; diviser, partager.
tAA%jéij\ sentir, flairer; écouter.
Il va flairant la pomme de ton menton; demandant h embrasser, soit ta joue,
soit ta lèvre.
Après cent vaines protestations de fidélité tu m'as frappé mille fois avec le
glaive de la trahison ; j'ai eu beau pousser des cris de détresse tu n'as pas même
daigné les écouter.
j^j^àUiUsjl (j^^з-ш iiUjfcjt {^>^J^^ Houd les appela à la foi pen-
dant cinquante ans ; mais eux , par insouciance autant que par orgueil ,
refusèrent d'écouter ses paroles.
j^ /Ai^^L»«*j| être gâté; s'humecter; sentir.
«Лшj| piaillerie des oiseaux.
/uJl^Uyol recommander. — aI^UvujI message; délégation.
jkcwiKjt souffler; flairer. — S^^^ ^^fi^^ t)^C«-^^ ^уJ^ ^j*JЬ (^iji^^y^
là^j^UchyL (:jv^l/^ *1^ A>^ le décorateur du printemps ayant allumé
la lampe des tulipes avec le souffle des zéphirs à l'haleine continue. . .
«
Principalement lorsque la tempête, se déchaînant de la plaine de la destruc-
tion, soufflero sur toute Tëtendue de cette terre.
Renconlre-t-il Геаи d'un torrent, il la boit comme du vin; trouve-t-il les
cailloux d'un ravin, il les sent comme si c^ét^ient des roses.
■ji sain et sauf; vrai, authentique.
viLoLÂ.MiJ) avoir envie de dormir, bâiller.
cjj' ij^j^f^ ortie.
^ ^^^1суЛйЕ*Jj) rougir, avoir honte; être chaud; s'adapter.
Il le prit et regagna son si^e; il le fit rougir par les grâces dont il le combla.
r
Лх^.л^шь>) pendants d'oreille.
DicT. тгкк. S
114 и&^1
Lee bijoux (for qni font mai à ГогеШе sont comme des cbaussores d'or fondn
qui rendent le pied endolori.
h %а<л€jj^шш^^ refuser ; avoir pitié.
^ O f^:^ chaud; chaleur. — B. 33o. 1^Ли\jЛ Ы^ ^jни-' ö1*)0^^1
^Ulf dans une température si chaude, ne s^nquiétant pas de ses
compagnons. — Dans A. G. il est question du lac chaud ii^ çf^ y
auprès duquel habitait Turk, fils de Japhet.
О-Й^Д- A ***■>!> y=^ 4^U) 1й;1!
Ne pouvant 8*ouvrir un asile contre la chaleur, il trouve sous un pont de
Tombre et une chambre à coucher.
^^JUêàm}}i grain de beauté, cicatrice d'une brûlure ; blé niellé.
^ /p fi^'>^ être chaud.
> U^^f travail; guerre , combat; paix; compagnon; lien; terme de musique.
Au jour du combat, quand il caracole sur ce coursier fougueux, il renverse
devant lui des myriades d*ennemis.
Dans Tëtat où me met ton absence le chagrin trouve les débris de mon cœur
au milieu de mes larmes, comme au jour du combat on retrouve dans le sang
ceux qui manquent à Tappel.
B. 339. j(^UI 9^ул \ъj^^j^ \()з1 (5)й^jу-öиj à part les préludes,
îl n'excellait pas autant dans la composition des airs. — là. â(jf^t>»^
115
jjyUu^ (^У^ (j)-й^ j й exécuta parfaitement un air sur la flûte. —
Id. лрЦ- •>а5"Ь^ о^ t^*fl4 âu^' Jз' il joua très-bien et très-
purement le même air sur la guitare.
> diluai âne.
Quelqu'un qui prodigue Гог à des gens vils, est semblable à celui qui verse
du safran devant un âoe.
.£ JUot herbe du désert. — j^yi JUsîI épinards.
JboUoI bâiller.
ijL^LâNjt avoir confiance , s'attacher à. — a^Ià^I i^yii^^ д^Цÿ jubyl^
ne t'unis pas à une femme et ne t'attache pas à un infâme mignon.
.«uLâol caleçon de dessous.
r A
L'amadou ne convient pas pour faire des chemises ni des caleçons ; à n'im-
porte quel prix il n*est pas propre à cet usage.
i9 Ju&J) flots, soit de la mer, soit d'un lac ou d'un fleuve.
/o^NMhj!! manger, faire manger une bouchée.
^ siUxUhjl entendre. — ^^^j^^^^JJ 45^2» jU^u^j! Ujc^J (jjjуш ca^^à J^l
jÿ^:кjш^\ j\ÿ^ ils se prêtaient mutuellement l'oreille , en disant : S'il
nous prêche, ne l'écoutons pas. — liL^yc^A^I être fait entendu. '
^ ^^jЛш&ту] siffler. — еЦуЬ&^! espèce de jarre, munie d'un robinet et
d'ouvertures dans ses flancs et qui résonne lorsqu'on la fait tourner ;
éclair accompagné de vent.
|t champ de bataille; combat.
vixAxAji. Voyez ii^jijSi^\ dans son premier sens.
^ zy^d^^ occupation, travail. — ^^J^' espèce de roseau.
(^JvX^t cours de l'eau; cheval qui marche bien; marche du cheval.
8.
116 jlLi^}
^ jJьЛ^л«кJ(1 faire une chose; attacher, lier.
Jf (j)Лм^1 qui a beaucoup agi; expérimenté.
Jp ^xlduk }\ occupation.
Jr ^^Ц&j;) pisser.
Jfi viLcCloi tordre le (il; creuser la terre; unir, attacher ensemble.
Uëlëvation de son esprit trouva le moyen de creuser chacun des deux mille
empans.
Séparé de cette personne dont la taille est comme un' fil, mon corps est de-
venu lui-même semblable à un fil; Ь ciel, sois compatissant, unis ensemble ces
deux fils.
^jZj »ГЛнн^ .-.чийч?» (^^ J^
Vite elle s'est fait de sa bouche uç verre au doux nectar, et de ses cheveux
elle a attaché autour de ses reins une ceinture pleine de charmes.
Son fil est attaché par la force de la fidélité; sob cœur est percé par le gra-
veur du destin.
B. 343. c;^bU4.3 ^\^ ^^^\ J^Д)! j^JчА^! ^и^Jцй^ ijJ\i
j^(sAxA. tout en combattant (enjoignant les mains), ils sortirent
sains et saufs du milieu d'une armée nombreuse.
^vAdubjl;chose brillante, vef luisant.
Ы 117
Depuis que tu as disparu, les belles, au visage de lune, se pavanent dans
leurs atours; c est ainsi que, dans lobscuritë, quand le soleil s'est retire, on dis-
tingue Tœil du ver luisant.
(jv^Unl; pourrai-je, malgré tous mes efforts, convertir en un soleil
brillant au milieu des ténèbres le corps obscur du ver luisant?
vj)L/oUi.u»J!i briller, étinceler.
Cette mouche, dont la robe brille aux yeux comme de Гог, sache, que, la
plupart du temps , c'est Tordure qui prolonge ses heures de repos.
La flamme s'élance vers le ciel instable, la mouche brillante reste sur le vase
aux ordures.
^M^i foi, confiance.
Jf ^Jj fcjuunjl brillant; casque; le grand air, la lumière.
Jr \^л,Л*ш}) maison, palais; porte.
Quelque porte que je choisisse pour entrer dans sa rue, je la trouve toujours
fermée; tant qu'il ne s'en ouvrira pas une, ma tête et le seuil ne feront qu'un.
^:^l ^y^^ ^:> ^\jAyi i^f^xj\x^J ^Uû^I ^схJз:> ^ j'étais
tombé , pareil à la poussière , au seuil de cette porte puissante. — «-^^3
^^:>1ш1 J^I алАй! I()^v5^t vju-^ J3' *J^ CrjrfbgUA^ fî^j^j^:> ,on
dit qu'il tailla des planches dans le bois et en façonna des portes pour
118 l^t
les maisons. — ^jy JjJviLftAsît tout près. — B. 1З7. ».
^^b 4-*азТ^5з1 j^ Мкл ^:>jit JjJ;^ d^AjfJ^S un fantassin , me lan-
çant une flèche de très-près (de la distance du porche à la porte d'une
maison), s'enfuit.^ — U. З00. Jj^dl^A^t (jj^Jчз^*^ is^^jia *^ *У^
^Os»! VJU^ t^ljj^l «^Ц^У Tenbel, avec une autre personne, se te-
nait en avant de sa troupe, à une distance très-rapprochëe.
;^1ХлАдJ m. feutre. Conf. vW^-^^^^.
JS-u^jt éclair,
arbre.
-^ o
/^i«Âj;) exercer l'hospitalité.
/oja^Âjti sortir.
0Ц(! cheval.
/ö4ц) réunir; dévaster, détruire. Voyez
ЗЬии! homme, c'est-à4lire sujet à la destruction.
jjл^] nom d'une tribu turque. — A. G. 1 1 , s5. jjfj^ J^-a^ Sj^ jt^'
jдд^ xjLmUaa jybuol» p>^ A^A^lf ^^(£ьлл le mot ^ur est turk;
le sens en est bien connu; il veut dire : s'agglomérant, se coagulant.
1 maladie qui empire de jour en jour, espèce d'épilepsie.
/öj) direction en aval sur un fleuve, le courant.
3ubi commun; inutile; folâtrerie, discours vide de sens.
tomber. — (jй»Л1 courant d'un fleuve.
«-a1aj() violon.
v>ji fureur; maladie dangereuse; fuseau.
1^1 possesseur, maître.
Le roi dq famour, h son arrivée, a chassé la raison de son séjour; & peine
venait-^lle de reprendre possession de sa patrie qu'il Геп a bannie.
é-'^jbCjî 119
«rlXjt se construit avec un autre mot, dans le sens de (g^t, tandis qu'il
""' est, qu'on est, que je suis.
Tous les Babyloniens se mirent en route; je notais pas encore arrive à la fête
qu'eux étaient déjà présents.
»b jbi z^^ J^t z^
Lutfi était au comble de la prospérité quand il aperçut ta taille; quoiqu'il
soit sorti de lui-même il n'en est pas moins resté un bomme plein de droiture.
^IX^I sœur aînée. — j^:> j^l^ ^ <^bji>* J^^^^S^g^^l pl^l
j^jit^ Jи^Сци*» à'^^^f^^!^^ (s^^^ (S^^3^ j^yi3 les Persans désignent
par le mot de khàher la sœur atnée et la sœur cadette; quant aux
Turks, ils appellent la sœur atnée ikaàji, et la sœur cadette singuil.
\> j\^\ selle.
Des selles d'or, des brides d'or, des boucles d'or, des ornements du même
métal.
(^^ImI; J^t j)i^\ ^^^^^^ il façonna des selles pour les chevaux,
^jr^l^i qui tourne, qui fait tourner; suite d'un prince.
j^^j^ч^ (<v^SyH!l bv^T
Les chameaux, tournant dans la plaine , étaient comme des moutons au mi-
lieu du tumulte.
\p «iW^l^t faire seller un cheval. — A. G. tSa. t^*xj^l<it tTil fit sel-
ler un cheval.
120 jио:^ь:г1
MvXgt tourner, faire tourner; suivre,
^^ j'jî^ tr^ a^' t:>vï)Uj»^t
Dans ses évolutions il nest pas comme le ciel tbomant, dont chaque point,
dans son mouvement de rotation , est comme tiré au compas.
«■
dIXji lime; menton.
«M
11 s*est affranchi , par la force de sa passion , de ces solides entraves que la
lime demeure impuissante à couper.
B. â3. (^«X-^i \>S^ (J^ il avait de la barbe au menton.
^^IXjI tous deux ensemble.
Tous deux se repaissent de leur mutuelle union, se tenant côte à côte, dans
leur accord, comme la perle et le rubis.
jUxj) tous deux. — Apjuv$^* ^\y»> л1кj Job aj
(^ЬJ^ Js!^ maintenant, je suis capable d'enfiler les perles de la
composition dans les deux langues à la fois; ^ue dis-je? Je me sens
même le désir de produire un divan complet.
Дкjj AiAA46 J3I3 aKaj (jJV*
AJ4I »;U ^yj^^^\ Juv^
Tel est mon état, tel est Tétat de cette dame; viens donc nous porter secours
à tous deux à la fois.
liJ^^v^j! devenir maître, s'emparer de. — jj^l t^^^ju* «Xjuui»^! yllaLi»
(^^^^t {^.y^^^^^ iS^^ J^U^MMt sultan Abou-Setd-Mirza anéan-
tit leur race et s'empara de leur royaume.
i:
D faut que j'аШе m'emparer de cet argent et que je me rende de nouveau
vers Lât et Menât
^iX-c^l^j! s'arrêter, séjourner.
ylX^i étant, tandis qu il est. — ^^,:>j:iV ^ Ьу\<^1 jjJ-ûL J^лГ^мГ
(jй^ a- *jJt\ j^yi ^Ue t^jbl jаJэз ^о^ 1о)Л« lorsqu'il était epcorè en
bas âge, on Voyait briller en lui les traces d'une intelligence et d'une
nature d'élite.
Medjnoun reconnut que c*étaitson père; il poussa un soupir et tomba devant
lui.
xr^l^i jusqu'à ce qu'il soit, autant qu'il est.
«iWv^t avoir du penchant pour
Amis, ne demandez plos de. moi ui patience, ni tranquillité, car quiconque
a vu cette figure belle comme le soleil ne peut résister au penchant qui Tentralne
vers elle.
*lxji tous deux à la fois. — J^^l^I dualité.
^^^-л^ Ъу^\ с;.сJи*2 J^ï ^1Сй1
Tous deux, accablés de ces peines, se mirent à pleurer «longtemps ensemble
avec douleur.
U leur livra les trésors à tous les deux après leur avoir fait comprendre ce qui
concernait Tanneau.
«22 ^^1
•д»^*^^ fuseau?
^jyy^\f jljlxji tous deux à la fois.
Ces deux maîtres étaient nés jumeaux dans le royaume du Khata.
«
\} 5>^l jujube.
^,ySj]t ySKjùsXjt cheval dont le père et la mère sont de race diffé-
rente; Tu rie dont la mère est Indienne; tout ce qui est de deux races
différentes.
g'KXJ)! avoir des nausées.
J^|^Xj)t gémir.
«iLJ^Xjt peine y chagrin.
(дjа^1^Хj1 anneau qui protège le doigt de l'archer.
{^Jлjj] de travers, oblique; espèce de guitare.
•V-çj^XJ) espèce de mouche.
цjЦ^Хj! tourbillon dans l'eau.
Je suis tombé, sans espoir d'en sortir, dans le tourbillon de la mer de l'amour;
la passion, dans cet océan, m'a entièrement fait perdre la tête.
^JК^ tourbillon dans Геаи; feutre qu'on place sous la selle.
Dans sa соШ^ rapide il s'avance comme un vent impétueux ; dans ses évolu-
tions il laisse voir un tourbillon.
Lorsqu'il a donné aux moutons la force de se jouer à l'entour de la plaine,
il a fait aussi tourbillonner les eaux dans leurs profondeurs.
it 12«
J|«дХJ|( plus haut, élevé. — B. 356. (j^^c^yb ^Jfiшы ^jу^ <^^Ц«^-^
ol2>^' ^ ^'^^ ^ jamais été vu de plus de quatre ou cinq palmes.
«jLoJ^i ériger.
«jLJIm) affligé; supplément; tâche; coin en bois.
4.^^), \Jc^} courbé, ployé en deux; bras.
«Д.^! semer, intercaler, insérer. — J1»х^1 courber.
.jOwl jN-**" ÎHS» JU>^ (jJ
Répandant des larmes abondantes elle лета sur le champ de son corps la
graine de la douleur.
ylCC^l à^j^ J^' ^ i^^J^ (:Ji^^jJS ла^^^jФ é***^ •^ iCrj:>U
(^^î;<<^ â^ ^ (^йч^се fut un homme juste qui féconda l'arbre de la
bonne foi , d'où il résulte que celui qui avait semé cet arbre en recueillit
le fruit. — i^U^^I se courber. — B. agS. кС^д^ ^ oj^\::»S tS
\\ tantôt s'inclinant de ce côté du cheval
^^y^f haut de l'épaule; bras; dos.
J^-^ (S^j*si Чу^у^ ^ (S^
Plaçant Ton deux sur son dos elle était comme le cid voûté qui porte le
soleil.
\> ^^t second.
^ ^4>JLXj) l'après-midi.
No •^■J^i^^ aiguille.
ЧХй1 grand. — A. G. 43. jуЛу^ у»С*J ^У^! jдд^ J^ Jуь j^1 iM
appartient à la langue mongole , il signifie : grand. Conf . ^\ .
•^ iS^ deux. — {jy^yi^ <^l les deux sœurs. — v^*» 53' <Â' la matière;
la forme extérieure; les trois règnes de la nature. — jiibi Jч^\ le signe
des gémeaux. — p^^ ^i^y^ (^1 l'horizon. — bc^l deux fois.
jJvXj) nom d'une drogue amère; acore.
• •<
*24
J? i^jjJ^} faire tourner, tordre le fil, tourner, mettre tout autour.
Je pleure parce que le ciel m'a pris à la gorge dans son injustice; je pleure,
en poussant de faibles gëmissements comme un rouet qui tourne.
jW^iu^^^3:> jlJU3*iW ^^j4à\ j^jш^ dl^:> v^jl jL^ Khosrev,
ayant mis le siège devant le château , construit tout à Tentour une
autre forteresse, et entre dans l'enceinte circulaire dont il a tracé le
plan sur celui du château fort d'Arménie.
^ KS » ^^j'^^ vingt.
L iJkXj{i jumeaux; haut, élevé. Gonf. *^)1;>С'.
^ {^g'kiSJi à double reprise. — B. 77. ^^^^, иЦ;^-^^ iS^S~^\ *— ^-й
j^ôLfcoS^à deux reprises différentes, ils ne purent approcher de
la citadelle.
-t C5S^' graine, semence, champ ensemencé; tous les deux, deux fois. —
Se construit aussi avec un verbe, dans le sens de cjvS^I, pour in-
terroger.
6yS\j^\ (jvXjI t^JU^t S^^j^
44 ил-й ^,^^ььу^ ч-^t fs^^\
La caille chercha un abri dans les champs ensemencés; Ganope, ouvrant les
voiles de la nuit, s envola.
Ô mon cœur, brûle la semence de la convoitise et la graine de la concupis-
cence ; car jamais le sage n'a fait cas de ces deux choses.
Est-ce que la cause de la création d'Adam a été la production d'un fils illustre
tel que toi ?
Joi 125
D où vient cette fatigue qui oppresee ton cœur? Qui a pa te causer cet ennui ?
(jis^ CJ^^' champ, terre cultivable. — A. G. 79. {j^j*ii a^ (jbJb
w%AJ^^ (J^ ij^^^ ensemençant les champs avec ceux qui resteront.
— (jj^ semble n'être ici que pour l'assonance et n'avoir pas de sens
propre.
^! sangle. — B. 116. <^*зJj5jз1 ^^1 f^^^^\ Ju?T*iUA5|0jl la sangle
de mon cheval s'étant rompue, la selle se renversa sens dessus dessous.
^ 4^1 main; peuple; troupe; année; obéissant, soumis.
ь^jь^\ fS^y^ u*^-€^ öЧ^з' «^' илашХтjл
Gehii dont Texistence se passe dans la forêt de la mortalité n*a aucun avan-
tage à porter la main sur chaque arbre; il veut qiie tout ce qu'il désire réussisse,
tandis qu'il faut que tout ce qu'il obtient soit le prix de la destruction.
Sache que les saints sont une grâce de Dieu parmi les hommes; c'est à cause
d'eux que la bonté céleste s'incline vers la terre; ne cesse pas d'avoir leur nom
à la bouche pour obtenir miséricorde, car cette mention vénérable fait répandre
les trésors de la munificence divine.
{jy^j*i bj^l \^^^^ sJS'^^] jyiuê ô mon Dieu, il est réglé qu'un
jour par mois, par an — A. G. 60. d}/-^ A-^^dâ|)dL«w âjl^^i
d^yf «Is»! JИ il faut donner Otrar aux Ghâhzâdehs et se soumettre.
126
M. et L. lis. j\jt д^-си^ Jl^I d^c^i-b^
Elle dit en plenrant : 0 lumière de mes yeux , ami des bêtes sauvages , ennemi
de moi seule.
(y^«>^t annuel; traitement, solde.
11 écrivit un ordre impérial pour accorder à Khflrezmchâh le revenu de toute
une année du Khârezm.
jyi S^\ Tannée passée. — Лй' femme. — 4=»^l habitants.
S^y golfe. — «iJ^t tamis, crible.
/S^"^! tamiser de la farine ou autre chose; entourer; sentir, flairer.
Jf iiX^bJ faire.
ta
Se faisant à force de tuer une tunique qui semble tissue de tulipes, drainant,
comme le bourreau, le glaive de la destruction.
(ЛГ^ JЛ^* "^J^ J^^ î;^' *^jЧ^
Sache qu*au sujet de la purification il y a quatre préceptes; si tu me prêtes
attention , je vais te les exposer.
Ce n*est pas un palais, mais c'est un séjour d'imperfection qdi ne fait jamais
défaut à prêter main-forte i Tinjustice.
viUVjjl 127
S*S faut que tu aies du goât pour rbistoire, quand tu sauras ce qua fait
chacun des peuples.
Non-seulement j*entreprendrai un voyage pour aller le trouver, mais encore
il faut que je combatte en quelque endroit qu*il le désire.
La rose n'avait pas «icore étalé sa splaidide parure, le rossignol n'avait pas
déroulé devant die ses douces modulations.
Jн!3;1ÿ Цj;1* i^\^j^ ^iUb' (j>ï!*>^ï *ii^^ 4^*M['
ô Nevaï, tu n'as pu gouverner ton cœur égaré par la folie; cesse donc d'y
mettre la main et laisse-le dler où il voudra.
vv
Si je ne détourne jamais mon œil de ton visage ne me gronde pas, ô jeune
infidèle; dans mon extase je ne saurais te rendre invisible à mes regards I
iiL^:> jU^ «V^^ pLijr j^b ^jуш
0 colombe, si tu peux faire du collier de l'injustice un autre tovba je suspen-
drai à ton cou, en guise de rouleau, mon nom éloquent.
128
Il sMleva un grand tumulte parmi les habitants du monde invisible; un cri se
fit entendre à le complimenter.
^ y^' avec; serpent; en mongol, foie. Gonf. )^>^^. — J^ï y^t sauge.
b^i tour, circuit. — A. G. 55. (^bîL^J^ j^^^t Juuû|fljdCU la longueur
et le circuit de mon royaume. — Id. 60. v^-M ^l? Ьÿ^1 ayant pris
tout le circuit, tous les côtés.
/A^^Lj) entourer, tourner autour; revenir de; ressembler; tourner à. —
j^<^*>^ААУ'л-^j^04>^-ои j1лаЗ;ддj ч^Лй! (jуй^44у^л*ЯАА^ jusqu'à ce
qu'enfin , la sincérité des paroles du fakir ayant brillé aux yeux de ces
hommes, ils revinrent de leurs erreurs et embrassèrent sa croyance.
^<j^l jU-^t ^ijUj^oô^jl 0vûb ^jСл^ é^
Ne f imagine pas que la luae et le soleil soient des planètes qui accomplissent
leur révolution dans l'espace; c'est une meule que le ciel fait tourner autour de
ta tête.
Vois Taugmentation perpétuelle de mon chagrin ; les gouttes innombrables de
mes larmes forment une mer qui ressemble à des flots de sang.
Une enceinte multiple de rideaux s'étend tout au long, des perles dérobées
aux étoiles sont disposées tout autour.
OÙ donc le papillon va-t-il se faire brâler, lorsqu'il décrit de nombreux circuits
dans son vol capricieux?
viL&î 129
*W^I tourbillon.
^ (^'^■J^ ensemble; présence.
Л mon aris une brique est une montagne de malheurs; à mes yeux un fil
bigarre est un dragon.
/a^bUJb) être cuit, se tuméfier, avoir des ampoules par suite de la cha-
leur de l'eau.
jЬз' (J^^ ^У^ (^У^ »S ^
Quiconque met sa main dans de l'eau chaude a beau la lécher ensuite, elle
n en est pas moins couverte de brûlures.
Lorsque, comme lui, il étendit son pied dans cette direction, le bouillonne-
ment de Геаи le lui ayant échaudé.
UJb' espèce de canard. — л^ fl ^^ *з Jj^ •♦^' iS веЛ^ sÙ^^SS^
j^d ц) ^w» c:)v«M^Klii 0^1*3^3 jâ (^Ц>^ nous arrivons maintenant à
un oiseau qui est ici connu de tout le monde, c'est Xiïbasmun, ou es-
pèce de canard. Les Sarts ne le connaissent pas. Quant aux Turks,
ils appellent zouna le mâle du canard, et' iour^Vn la femelle. Les
Sarts ne font pas cette distinction dans le nom, et appellent le mâle,
comme la femelle, mourgâbi, oiseau aquatique. — B. зЗ. ^^лулЛjХЛ
^ *Хj' jj^^чц^>^1 iS^j-f!^3 «i^l ses flèches atteignaient pour la plu-
part le canard qui servait de but.
0 <
\£^Л^шУ\ porter, apporter, emporter.
DiCT. TCRK.
130 ^)У^)
Jusqu'à ce qu'un séjour fortuné ait apporté une heureuse issue à chacun de
tes désirs.
Ayant jugé qu*il en pourrait amener cette quantité, il enveloppa le tout for-
tement et le lia sur son dos.
8-379. cp^l y» àj^by r^^ f!^ iS^^\t jy^. gloôl il tomba une
telle pluie que l'eau emporta toutes ces plaines.
(jpJbi belle-sœur, les femmes des deux frères.
^jr^l^^juJbi qui brille. — ' i^^^^L^^I сл ^wl -^ Lx-j^ %i}^i^yMS' ^^jJ^jj
(Jis&^ 3[^Ы^' un mondain revêtu d'un tissu d'or, c'est comme
une mouche brillante sur un tas de fumier.
/^]jjjXj\ briller, luire, rayonner.
Cest une étoile funeste aux yeux de Tâme des amants infortunée que celle qui
brifle de tous côtés à travers la rosée de la nuit de la séparation.
^ ^^ii envoyé, messager. — ЛвЛ^и.^! s'envoyer des ambassadeurs. —
A. G. i76.j^<p-û^^5^l ^^£^yJ^s^ jjii ils s'envoyèrent réciproquement
des ambassadeurs. — (y^i^^^ message. — (^(s^^ ^^ espace
de mille ans.
^JЛлуд! m. âne. Conf. 1д^^£-^\-
\) ^Iso) nom que les Mongols donnaient à leur roi.
iftiùsJbi rapide, prompt; mouvement rapide; voltigement des feux follets.
— B. 43. ày^^^J^^^ Sià<^^y\ 4^ ...лд^^^оч^й pi j4й1 »;Ь^
jУ^^^^^Ь» un parti de braves impétueux, ayant fait une sortie, mit
en fuite ceux qui se tenaient à la garde de la mine.
Ч
%.
j\jài\ 131
Quoil si brusqaement attacher Selraal Hélas! j*en suis tout malade. Grâce, A
chamelier, fais passer par mon cou le crochet de la selle I
Le mouvement précipité de la langue amène le châtiment; il produit toute
espèce de blâme et de repentir. La sobriété dans les paroles est Forigine de la
droiture, mais la sécurité natt du silence.
^1 jЗ^ U^-^-^ ^^^-^^^- *^«^^Ц-»
Sache que tout ce qui a mouvement, quand il arrive à son terme, reste im-
mobile; la balle, poussée par la raquette, s^agite et bondit, puis finit par trouver
le repos.
^jj>Л^} éclair. Conf. is^\j^\.
1J<>Лj) racine des arbres et des plantes; franges. — B. ЗаЗ. j^^^-^^^t
jЧjу^ 4-*^*** (5^^Айзг>' (s*^^3 {jé^ya^^ on le fait avec des ra-
cines de plantes et de certaines drogues.
voile d'un navire.
^ j\лХj} course, expédition rapide; cavalerie légère. — B. Здй. yJL* y^
^UL \^>ш dx^j.^&jS'^j^y^yjXàio] Àxbiyxf (^Aiyli. cet Alem
khan, auquel avait été adjoint notre corps de cavalerie légère, n'écou-
tant personne... — Id. ib. j^ <^l çj^:>^j3 j\jà^\ уЦ;1# ^iU^iy^^
(^<>o.t jуш^\» ^j^ ^^1 dUlrfl notre corps de cavalerie légère se compo-
sait d'à peu près deux cent cinquante à trois cents Turks. — Id. 5оз.
9-
132 JJbl
f^^yi 9^yi^ AiAj^^oljb ^^кjи^1Д)1 me dirigeant vers la capitale
avec un corps de cavalerie légère.
^ /o^Lâir!^ aller vite, lestement.
/ ö^ияJЬ! faire une course contre Tennemi; rechercher, fouiller.
^jйчцвчлj yi*^' **A^^?
(
11 s en nlla d'un côté avec peu de compagnons; il tomba л Timproviste sur ses
ennemis.
MkjyovÂL)) action de faire une course, des recherches.
/oJUl violon.
L <j!лj), ^jХ), JîAj) cheval, troupeau de chevaux, jument; revenu annuel.
Personne voit-il jamais parmi les hommes que le maître se promène à pied
et le cheval à cheval?
B. 88. ^^jy^ i^j^ip^^ chassant devant eux leurs troupeaux de che-
vaux. — Id. a 00. JусА^Хлj Ai^^ J1>1з ^^yi nous arrivâmes auprès de
leurs moutons et de leurs troupeaux de chevaux. — A. G. i 5. 3^ j>Л-*
^bjiyJ^t ^^y Jjuu jyi^ ^jl il tua neuf cents chevaux et neuf mille
moutons. — 'W. û5. c^wH^J> о»^-ш ^j^^jХ?! ayant tiré le lait des ju-
ments.— Id. 17З. 1«хааJ^J JUuûwKrf JЛ? au commencement de Tannée
de la jument. — B. 118. j^уч (j^yj^ty^^ с>аJJЛ? lil^àjAi. Sj3
comme les Turks, ils sont riches en chevaux et en moutons.
U donne un cheval à celui qui possède cent juments; il offre de Tai^nt à celui
qui a cent fois son revenu.
A. G. /i5. Э(|Аj, эJ^' gardien des chevaux.
No (iXbi tamis. — Ji^^ premier.
• (J^\ 133
Ixui homme, ies hommes.
«iL««lxXji mettre la maia sur, s'emparer de, dompter.
Il ne te convient pas, si tu t'empares du Yëmen, de lever une armée et de
convoiter Aden.
(^^IxXjI en avant. — JГу\С1?1 plus en avant.
jХлj)^ idlxXjl croc, crochet; bouton. — JL«\Cl>t boutonner.
y^^Jj^^K-jU (j,>--чК^' le peuple, les gens, la suite. — B. 384.
^jàxï jj^jûL J^J JâjS^Js?! JJUJ^UIJUL i il le fit aussitôt com-
mandant (tête et œil) des gens de son frère aîné. — Id, 1 53. ^^р^Jч^
j^UL sans s'inquiéter de ses gens. — Id. i5à. JjI JjU3»Lû j^^:--^»-
JwjI у1Сj\(jз1 a-5^j-aJ^— jj ^bJb ^jS^ les gens "de Khosrev-Châh
étaient des hommes habitués à Tinjustice et à l'indiscipline.
{^j^^f élevé dans la mollesse.
C^^^ prendre, prendre en considération; attacher; mettre en colère. —
A. G. 1 56. 4^5Uol J^>АДj^ ^iUAjjju- t^y^^ (jj^Уллjеj1 viLuidly,^!
plus de la moitié des Euzbegs ne s'est souciée ni de vous, ni de moi.
11 n'avait pas pris ses ordres en considération, il n avait nullement mis sous
ses yeux les principes posés par lui.
\js^jl J^l:r Uy,^Iâi Jd^ ^jU,lJ^
\j^ji dUJlyj 4b jдг- u^-^' 'б^
En présence de ta beauté ravissante, je ne porte pas mes regards sur la rose;
je ne daigne pas mettre le cyprès sous mes yeux devant le gracieux rameau de
ta taille.
13â JuJl)!
Pourquoi attacher continuellement ie cœur de Nevai aux pointes de ces cils?
0 infidèle, contente-toi de le fixer à un œil !
^ sà^} filet; lien; crochet; chatne.
ÿ О^' avec.
/ÿ jslji se jouer de.
J^ ^) ainsi , de cette manière.
/&4NaJL)1 chauffer à moitié.
Зч<^) à moitié chaud.
J^\ (juJLilji vieillard peu âgé.
dLcâHS^t être attaché.
v3 М^' tiède; violon; attaché, fermé.
J^l amUI v^j' p;^№-!;l*^ i^ê^t^^
Si Геаи jaillit tiède dans certaines sources, au milieu d'une atmosphère glacée ,
cela tient à ce que j'exhale de fix>ids soupirs, tandis que des larmes brûlantes
coidâbt de mes yeux.
Jf jJuJL,;) main; moelle.
Alors que le fou a lancé des pierres sur le corps et a mordu le bras à belles
dents, il découvre à tous un corps sans chemise et une main sans manche.
Ш
•Дjиj) cinquante.
Sa hauteur atteint cent cinquante empans; en outre, elle est surmontée d'un
cadran solaire de même dimension.
J^t 135
viLo^kXAJb) enlever avec la main, aider. — ^^ un ï л (j4t^(S*\o^ ^^JLb
KS^^^\ii\ «^^vibJi»! 3^jé» t^^^que quelqu'un ayant mis la main sur
le joyau de ses désirs dans la mer de la recherche s'en empare, de
sorte que... — j> Ul ^\Д1 \j^ t^*^' Ч^У^УJ^- «^' иУ^ (j^J^TUf»
(S^jy^. ле^^1>в^ à^^y^j» V^^^Wrfl V3^b le peuple étant fati-
gué de Zohâk n'y tint plus et le chassa; on s'en empara et Feridoun
lui fit subir le châtiment qu'il avait mérité.
/ö4уJЬ) être lié; pris; être affaibli; être tiède.
ОУ^^ pUÂ4.!l aT^jWI A*«>m0
Mais uue coquille à perle fera-tr-eile que je sois réduit de force à Fimpuis-
sance par des prodiges de cette espèce opérés pour une pantoufle?
Vi dame du harem, dame ou demoiselle noble.
(ЗЦг) paysan qui élève beaucoup de moutons; tribu, race.
vfWWI prendre garde, avoir honte.
Si lu ne penses pas à cela, dv moins rougis donc à cause de ton père et de
ta mère.
JL&jI mamelle, sein. — 5*<^^ *^' i^jy^j^iS^j^j^^^ Jvb'^
(^<xLv5"c;>^ l^<^U5s!l сjушуЗ i^\jia^\ ^jSi^ ils lui montrèrent
Dârâb; son œil étant tombé sur lui, l'émotion s'emparant de son
cœur, le lait vint à son sein.
^ (^^чг1 actuellement. — «.s^^i^J^xt, A.i^vjC^jUs>«x^i jusqu'à, actuelle-
ment.
^u-fl recherché, désiré.
ицГ1 chèvre de montagne.
«iWI être.
136 Jl^l
JЛ-й1 с^КЛ (s^OOÏ j^ A^ijj <^:> Ö^ с^Н^
^ Comment! nous nous plaignons de lui, en disant qu'il n'a pas de cœur? S'il
n'en a pas, c'est pour nous seulement qu'il en manque, mais il eu a pour
d'autres.
Ahl dans l'art de séduire les âmes, tu es un redoutable ravisseur; que dis-je,
un ravisseur? tu es un flëau envoyé de Dieu !
I
J^>^j#;hhÇI Я^ ^Ь>- 9^ ^jij<i ^уА
Jusqu'à ce jour, où il est sain et sauf, il résidait tantôt dans la plaine, tantôt
dans la montagne.
U n'est pas pehlevân celui qui, tenant en son pouvoir une dame étrangère, la
renverse sur le dos. Sache que celui-là seul mérite ce nom qui, sentant venir la
colère, sait résister au commandement de la passion.
Quoique je ne sois pas digne des dons de la miséricorde et de la générosité,
je ne suis pas toutefois un de ceux qui sont perdus sans espoir.
^Url tu n'es pas.
dvj^ 1 peine, difliculté; marche rampante des enfants. —
М\ 137
jioSVf 1^ j^ (j^J^. ^у que sont devenues toutes ces peines , que
moi, humble créature, je me suis données pendant tant d'années?
Celui qui sait ce que sont ces peines, a cru que j'avab donne moa consente-
ment à une pareille chose?
i^*>^-L-A-5 «K^^ ^^iHb iS^JJ>^ f*^
^^JvAaj J^^ 'бд;^ *^^' V>Ç5-*
■
Il avança le pied et abandonna le berceau; cessant de se traîner sur la terre,
il s'efforça de marcher.
vibe^Nj Lx,ç) se traîner par terre, en parlant des enfants.
A chaque ùistant mes iarmes, s'ëchappant de mon œil, comme un enfant qui
rampe, se dirigent vers la terre, qui doit, hëlas! anéantir le fruit de mes peines.
^jlx^Ti m. femme. Conf. PO-4-^.
v^^lXçi supporter de la douleur, de la peine; s'efforcer, tâcher.
^y^i) m. selle. — о^'*>JЦ1 camarade de selle, compagnon. — B. Т^^j-ы
Ч^-А-'^ j!лН^ ь^д-^ ^\Ыjт f^i^j^\i^ ufiï*>J4' и?^ЬJ(^ллj quel-
ques-uns de ses frères de lait , de ses compagnons et de ses anciens
serviteurs ayant pris sultan Maçôud Mirza. Conf. ^^o-*^.
jKçSk^}, 4>-«-Çi sucer. — U^l^^^^^l frère de lait, ami intime.
Lorsqu'il suçait le lait, le bonheur lui servait de nourrice; quand il put faire
usage de sa langue, une aptitude universelle fut sa compagne inséparable.
Л^) médicaments. — /-^a-cI médecin. — ^iLt^AdCl guérir.
138 JjU*l
jjу4Г1 vapeur qui couvre la terre.
Jp Jjjk^ri robinet, gouleau d'une jarre, d'une aiguière. — (s^y^} garni d'un
gouleau ; femme qui a du lait. — JuJ^Axt place du gouleau ; femme
qui a du lait.
Jf viLeiA^Ti faire sucer.
fLA^r) ténébreux, très-noir.
^r trou, tanière des animaux; largeur, large; fente dans Toreille du
bœuf; pièce, morceau; petite tranchée, canal; épaule.
Jl^Lu) châtrer.
sjL«^Lmvâji incliner vers la descente.
^ /^ <3^> compagnon, camarade; conseiller intime, confident. Gonf.
jj-кöлл^. — A. G. i35. ;^^^l jji^HW (sy-^ tf^' щз' *^j^ ö'й' ö^*й'
il donnait seize moutons à son conseiller intime. ^U est plus ici
pour Tassonance que pour le sens. -
D Lut , lilUjt frère cadet.
Il avait un frère cadet, dont le nom était веовеп (iris); tantAt sa langue était
un glaive, tantôt une aiguille.
jLul roi, prince, chef. — A. G. ay.^^^:^ JW ^^uu^l^^ Jцj1 ^i^ les
Kirguiz donnent à leur chef le titre de inah — Id. s & . ^j^^^lut
petit prince.
ÂJ) se tourner, se changer. — dUtU»! insister, presser quelqu'un.
(^^Lâji qui jouit de considération, important.
(jU^i chamelle. Gonf. .^lui>l.
j^Uji foi, croyance.
^^^UjI croire, avoir confiance. — B. 276. ts^} u*^' jir** ^.^y^^S
ce n'étaient pas des paroles à y ajouter foi.
Jr^UJ) fosse que Ton creuse pour prendre len^ animaux à la chasse.
jU¥i^\ 139
]f 1^4^ mince.
p, 4.X^t mince, effilé; paralysie.
11 ne se refusa pas à sa gracieuse insinuation; il tira d*abord de son carquois
une flèche au corps etBlé.
Si je dis, en parlant de ta laiUe, qu'elle est plus fine qu'un cheveu, ce n'est
li que le vain propos d'un bavard.
Jl^\C^I finesse, adresse , ruse. — B. 7/1. (ÿ-лJ^и^ц^ j^jь^
j^ jj^ ô^H^âA^ i^yjy^y] дКа^ «^bC^I^ enlevant quelques-uneis de
ces villes par ruse et par adresse, ils s'en rendirent maîtres. —
j^L l<^{ le cou-de-pîed? — Id. 188. jо^^^JJJ^ j^*-^!* o'*^'
(^<\!t (^ÀX^L 1<ях^1 ^iM» Ijy^l j^Ц. il tomba une telle pluie que,
dans les tentes, Геаи montait par-dessus le cou-de-pied.
вбц;) pleurer à voix basse. — S^j^^^ ^^^-^м^ö^^^^'^ ^'^
l^sTj^à ч**аЬ bl д1чи ^^0^ ^yijAi b^^ 41^3
L'expression opposée à JU^^I pleurer à haute voix, est JU^aCass»! ,
qui signifie : pleurer avec peu de bruit. Le mot turk a été employé
dans un vers que voici :
Je pleure, parce que le ciel m'a pris à la gorge dans son injustice; je pleure,
en poussant de faibles gémissements, comme un rouet qui tourne.
^ /л-#|Лjj) amincir, broyer, pulvériser.
!fi ^iL^ii^! être tourmenté , souffrir.
140 ^i\^J^öJ^\
Лj| perle; bien fonds; esclave, esclave faisant partie du domaine par-
ticulier du prince, mercenaire; insigne en forme de perie.
Une enceinte multiple de rideaux s'ëtend tout au long; des perles dérobées aux
étoiles sont disposées tout autour.
дХйJ {^.^^^^ iàl^^S' ^^^yss^\ JUv^^ft^lj^j l'aversion qu'ont les
hommes libres pour le désir d'entrer en servitude.
!*^^^ dame; femme coquette. — c^^hs^ <s¥^^ coquetterie.
Hundaï s'empara encore du pouvoir pendant quelques jours; les hommes ayant
disparu, la royauté resta à une princesse.
ла^! pousser des gémissements. Conf, Ju^^^X^I.
j)a.Âj) cou-de-pied, poignet.
iiLoi4>J4i inviter, appeler chez soi.
pU (jjAi?- yWiAj ^j^jл^ A^'^^Js?:^
Il dit : Un jour je donnais une grande fête à laquelle j'avais convié tous les ha-
bitants du désert.
Invite en grande cérémonie tous tes compagnons; appelle avec des égards
tous tes amis.
^itXÂ^I graine semblable au sésame et dont l'huile sert à frotter les
chameaux; baissement de tête en signe d'assentiment.
^ viX^j4>s-4l inviter, appeler; faire descendre.
Si tu n'invites pas Obeïd à la fête de Tintimitë avec toi , donne-iui du moins
pour compagnon, s'il n'en a pas encore, le chien de la rue.
/o.#JtÂJi s'habituer, se familiariser.
^ dXJL)) joue; attribut de la virilité; hernie; vache; fard; couleur de rose.
Mes paroles faisant épanouir sa joue comme un parterre de fleurs, il me Ht
la gracieuseté d'appuyer ses deux mains sur mon épaule.
Ô toi, dont les joues sont les tulipes du jardin du paradis, dont l'œil de ga-
zelle donne de l'éclat au parterre de la beauté !
Ta joue est une lune, la pommette de ta joue une rose, tes cheveux un nard
flexible; je m'enivi^e nuit et jour du vin de tant de beautés.
d.jJviU?l fard. ~ (:з>.йЯ Aij^l öЦ)!>а5jj^ дКл^ ^J^I se rougir
' la figure avec du fard est un ornement à leurs yeux.
JUjuI menton. — cx5ki ^^^JЦ^ Jus^e^Ujt ^^j"^^ cJLôwt
.j-чОи;! ^jуЛjш ^S^i^^ J^Jax*-Xû (5)^j^J>5 jx^ ^yjyi *^^^1j^ au
milieu des nuits d'angoisse, posant sur la natte de l'adversité les
coudes de l'infortune, et se faisant des bras de la patience un appui
pour le menton de la douleur.
/jl^ÂJ)! chamelle.
viJL^LXjbl, «iLi^LXJbl pleurer tout doucement et à la dérobée. —
*
142 • is^\
Ingranmak et mgrannwk signifient tous deux pleurer amèrement,
en cachette et doucement. En voici un exemple :
Si je veux dérober aux martyrs de ia douleur Tamour que je ressens pour toi ,
mon diagrin s'exhale pendant la nuit par des larmes amères et répandues en
cachette.
jjyL^Li. xS^y^^-jL^ xj«Hi-îlebjLb >JI
ô ma rose, f ai cent pointes aiguës dans le corps; qui pourrait me blâmer de
verser des pleurs en cachette? Celui qui a une épine dans la plante du pied n en
souffire-t-il pas?
(iL(Clp.XJb) pleurer amèrement.
viLol^xXCb), vfL^^Xbt gémir, se lamenter.
3<xJl$uuJ gémissement.
(iL^«ô! semer.
^^^XJbi vessie de musc, nombril.
jLçXâijI être courbé. — «jLcû^^l se courber. — B. s Д6. и»дАдГ-Jй> (jv-^
^Js»! Vj^y^^' j'étais assis, recourbé sur moi- même.
•^ ^Д-^i descendre; camper; se soumettre.
jj^l pinces de forgeron. — A. G. 92. ^УУ àjy^ u^ Л>*^' и^ ^з'
jЬз' iûb^ Ti^y'^ ^У^У^ 1«ХААй«з1 (jlooUi d'abord le khan, saisis-
sant le fer avec des pinces et le plaçant sur l'enclume, le frappa avec
le marteau.
{j^j^) merveilleux, étrange.
ii)^«x^i petit des bêtes féroces et des chiens; avorton.
(^) frère cadet.
Tous s'empressaient i servir le roi, dans fattitude dun irère cadet, ou d'un
fils, ou d'un esclave.
•• • I
143
0 mon cher, tronvant pour toi-même шю affection, un frère de iait, mi frère
cadet, un disciple et un fîk.
(jd^l (^t^ ce frère atné était digne de son cadet» et la voie qu'il
suivait s'accordait tout à fait avec la sienne.
• •
viX4yujj) aiguiser. .
Jf jij} maison, demeure. — ^t et ^\ ours.
^ Ij^l coing.
viLojij^i, sà^jj^\ retourner une chose, la renverser; faire tourner. —
45^^jt5^l>^ (iH^dM^ Vjyy^^^dk*^' *^ jyi f^jijk^ on A4
que, se dirigeant vers le véritable kiblah, il détourna sa face de la
multitude. — «^l^^^^^^t tourner autour de quelque chose; creuser
autour. — B. З97. i^:>^y^j^(fiJSij,j^\jXji:>jj\ дк^ ^b MSij*^
ils le frappèrent à coups de pierre et tournèrent tout autour de lui ;
il ne se releva pas. — ^л^ул^ ^tre promené à Tentour; se détourner.
La coupe fiit promenée si souvent autour de rassemblée que les éclate de la
joie montèrent jusqn^aa del.
^^La-* oljJyi AMÛlf Ч^^^у^ iS^^ iS^jy^
Il m*a pris par la main et s'est détourné de son c/^té pour lui demander si elle
n'avait pa^ été, pendant un instant, & même de s'asseoir sur ma tète.
vfL^i se hftter.
jf O f"^ о\кГ%\ intelligent. — Jиц>1 la bobine du rouet.
tàà • oL
Un montagnard, ayant pns un ours dans les montagnes, était parvenu À le
dresser en avalant beaucoup de /ang, c est-à-dire, à force de peines.
Comment jeter au chien le pain que le tchengui gagne à jouer avec Tours?
*
j^' JAî?! espèce de plante. — B. 6. ^^ j^vS'^jJaaAjJ ь\^ y^
jз^ »US^y^ ^S'bJU il m'a été dit que, dans les montagnes de Yeti-
Kent, se trouvait une plante que les habitants appellent aiik-oti, et
qui a les propriétés du mihr-guiâh; il est probable que c'est le mihr-
guiâh lui-même (la mandragore?).
^^^лj) être intelligent.
^^iydAj! se détourner. — B. 1З7. ^iUAijl? 4^^*^ с^jОаАj^Т v^y f^
(£jLf!j 4-л^^1 L^45^l mon cheval, frémissant et se détournant, me
conduisit au milieu des ennemis et me renversa.
|ful signe. — ij^jyf^^} séparer.
ç^Lu boucle de cheveux. — ^L très-vieux; très-grand.
OU vite, prompt.
JO "^^^^^ tr^ t^^^' ^^ dpy^
Si Khosrev a agi avec injustice envers Ferhâd , le ciel , aux évolutions rapides ,
s'est hâté de lui en donner le châtiment.
B. 464. <-*aJUj a^JûI Aic;»L J^l ayant réfléchi tout d'abord. —
ej^L plus vite.
oliSL sol boueux. — d^iï^J^îL id. — B. 2-1. ^у^ \jJà ^jAteUsl* liJJUiU*
j\i la Kaba a une eau noire et fangeuse. — M. 471. ^jAiïUsL ^^^^A?!
cr^ A ,c1 jl^ ^-^ ^Lx ^ÿjJ(ÿ.jц4*1е pins loin, c'était une vilaine eau,
boueuse et marécageuse.
j^ (3^ • descendre, s'enfoncer, — A. G. 54. 4-^^# '*^^-*^ siij^iym étant des-
cendus sur le bord du Qeuve,
jSb m. fort, dur, Conf. ,s&-4^. — jy^ brave. Conf. Vj^ûSuiU^.
/û^^U être prompt, rapide. — ^yl* pesant, lourd.
5i*L^L vieux lambeau d'étoffe, torchon qui sert à essuyer les ustensiles
de cuisine.
^ 3^-^^^ deux hommes qui ont épousé les deux sœurs.
L ^^i^w fenêtre; cheminée.
Jf ^Ь sœur, sœur ainée.
<3çL piéton. — B. 447. j5:уу:Ь^Г jjikx-ûbA-i*^ -^^l Jiji^^iSX^j^
un piéton indien apporta des lettres. — Id. liliS. у^м^^\ Jfi jjл^ ^
i^^jy^y^ (s^\^ le même piéton apporta aussi cette nouvelle.
MM Ч L muraille de boue non séchée.
^&«>|j écuelle de bois.
Sôij troupeau; troupe; division.
»:>\tj (^*XU*^ >^ isj^ Лj:> J^
Les agneaux, comme des béliers, dépassent le nombre de cent mille; là les
moutons, pareils à des loups, sont répandus par troupeaux.
^U il y a. — '>c^jb en sa présence.
bj^yL Jj4h5L^ àj\s ^^jаш yl^l »<)^
Ed présence de ton exquise beauté, je ne regarde pas la rose; devant le gra-
cieux rameau de ta taille, je n'ai plus d'œil pour le cyprès.
yU, W>yy tout, tous.
DiCT. TURK. 10
l/l6 (J^J^
4
Derrière elle plusieurs jeunes filles de même taille, toutes au visage de rose
et aux joues empourprées.
UjmL pillage par voie de représailles.
^^jb lance.
^ З^^J^ cruche, aiguière, espèce de verre à anse.
V^ 0*>>^ espèce de petite panthère qu on dresse pour la chasse.
L /o4\&^L faire la paix, avoir l'un pour l'autre de bons procédés; se visiter.
Jf Зjг7 Зj^ ^^' maison; le mobilier de la maison.
«fUj/^L pain sans levain.
/лjоуjЬ faire des recherches, essayer.
(^ С^Ч^ V briller.
iuU^I^ riche; existence.
Gomment Nevaï, en prodiguant ses larmes, et ses perles, et ses rubis, pour-
rait-il obtenir sa possession , puisque la fortune n'a pas même accordé ce bon-
heur à ceux que leurs richesses faisaient les égaux de Kâroun?
j^ (Ц^JЧ, aller; s'engager dans un chemin; doigt.
0 vent du matin , va partout chercher mon cœur égare ; parcours Tune après
Tautre les vallées, les montagnes, les plaines désertes!
JH?^U1 ^^1 k-Mi» 4!^ ^^рСj^лДен
Ô Nevaï, ta n'as pas pu gouverner ton cœur égaré par la folie; cesse donc d'y
mettre la main et laisse-le aller où il voudra 1
obLr^b -147
Ton départ ne m'a laisse d'autre occupation que de lutter contre mon déses-
poir; tu es revenu et tu as conquis mon cœur; après une absence si cruelle, tu
me devais bien un tel retour!
c9»y^' Ь^' î^ ^^^^ 4"'^ puisse aller. — a>s^ \j\* allée et venue. —
B. 88. rf^jil^^iXX^ ^^jj j^jl*. гЛ^\j\^ à force d'allées et de ve-
nues ils déterminèrent le khan à — ^^U^l^ action d'aller;
clôture à hauteur d'appui de pierres et de bois; grille.
j^L pelle; peau, enveloppe.
Tantôt sa main enlève les monceaux d'argile avec une houe au tranchant aigu,
tantôt elle écarte la neige à Taide d'une pelle.
{^jя tout, tous. Gonf. \yi^^.
Lui-même marchait en tête de toute son armée, les autres foulaient du pied
le sol derrière lui.
)4>sÂ^b, Ч-^^и, ЧjÿГjЬ tant qu'il est, autant qu'il est; ensemble,
(jакJjЬ action d'aller.
Ъj\j soc de charrue. — gUil)L espèce de sucrerie.
j*iL rouille.
^^ш^jук^\» viande séchéc au soleil; hangar, remise.
sj^ ^j^yLmXà sorte de rob ou de suc dépuré, fait de jus de fruits, et qu'on li-
quéfie quand on veut s'en servir.
^jiuéiXà coussin, lit.
^ ^AST*** • couverture qu'on étend sur les chevaux pour les garantir du
vent et de la pluie.
10.
^Ji^\f
^jyÀjéé\j , yÀjééU (léfaile; état d'infériorité.
J^wLamU gouverneur, lieutenant de police.
escalier, échelle; seuil.
^^mJ^LmU action de vaincre, de fouler aux pieds.
Jf /o^^L fouler aux pieds, vaincre, comprimer; espèce d'ornement; plateau
de la balance, deux planches sur «lesquelles les tisserands posent le
pied lorsqu'ils travaillent. — B. q8. а>н^-^ {j^л^^ JL^^I après avoir
remporté celte victoire. — Id. 38. ^-^ч^-м»!* jЦ^ ayant comprimé le
tumulte. — W. 90. j^.«хХи«Ь J^^ pUr (j>^j*^кма\л,^ ^ grâce à cette
exécution, toute la population fut comprimée. — Ы, 19 4. ifJè%^^\
j^jJU ^ним^ ^«^Ц;^! у^ ils restèrent comprimés, comme lors-
qu'on jette de l'eau sur le feu.
L /l^jyLtééXà faire fouler aux pieds soi-même, c'est-à-dire être vaincu. —
A. G. i3. .^Цз-ш ^*>oU;yui.l? A^^jU- (yi^ 04! {j^'j^J^ Ogouz
Khan, après s'être fait battre par It-Borak-Kban. . . — B. 98. jlfé^
^£^JyÊJm\i vy^Jt'^' S^Ktfmyi^ ^àjJci aKjç,« ^\â. s'étaut battu avec Gbeï-
bani-Kban au fort de Deboucièb, il se fît vaincre. — A. G. 3o. ^UaX<«
sultan Sandjar livra bataille à Geuz-Khan; il se fit battre, son armée
fut mise en pleine déroute, et lui-même s'enfuit à Merv.
^ *^<-«^y dessin qu'on applique sur les étoffes.
сЩ4\j^jКш\а avoir un sommeil agité. — (>a^mL comprimé, bas.
L (juy tête; chef; épi. — ©Ll ^jiil* habit complet; cadeau royal. — B. З0З.
ayant donné des chevaux et des habits à ces Hindous, il les renvoya
chez eux. — W. 34o. иЛ^\^ jЬ аЦ^^ ^jll ^\» x^Là^ JUI 4
<,л,» 1д Ъ osiUfr *^^ jiti (^^j^' aussitôt lui ayant donné un de mes
habits et un cheval pris dans mes écuries. — Id. Л9З. j^jS^^x^^^^
^s^yi 04)Ufi (i^Vs^^ j,i,A^ ^ ^jл ^\ joL A-^U- K4? ^JsÂib
le jour de la rupture du jeûne, Hindou-bey fut gratifié d'un cadeau
royal, consistant en une ceinture enrichie de pierreries, un sabre et
un beau cheval. — t)^*У U^^^ ' U^^^^ kS^ *^^^ ^^ ^^^- —
Г^jJи^jш^ш^ l/l9
j^jfiuH^i jУч:! chaque nuit, ils se suspendaient la tête en bas dans
un puits et chantaient jusqu'au matin les louan^jes de Dieu.
Le Turk du soleil voile h tous les regards les pièces d'argent des étoiles; le
ciel, iodiflereiit à tout, se tient tête baissée devant lui.
j^{jЛ* commandant. — B. 384. jлЬ J^! j j^S'j^l JJuJ^^UI
^«xiuui j>3-5"il le fit commandant des gens de son frère aîné. —
^^l guide. — B. 180. 45-^1^ ^j4>Jни>jчи« 4^-A-»- з^у^ Ллj^^\j^
i^«N;t iSj^ *^4s^^ y> JJwt je visitai les environs de Bekram; Melik-
Bou-Seïd-Kemeri était mon guide. — A. G. 70. yUa-L.» '^сjЦ> J^t
<^^' jl? iS^(s4^^ u*^ U^^* 'v ^*i*>^ à cette époque, il y avait
un guide du sultan Mohammed, appelé Bouka-Turkman.
JL /i^LûL Conf. ^>^Uûl*. — (^IStig pointe de flèche, épi.
Л^^^1Хй1 JJ^ JLJL5 ^UL t(,LHH? ^\
Quoique la |)esanteur de leur pointe les empêche d'arriver jusqu'à mon
corps, ses flèches sont si nombreuses, que les plumes de mes ailes ont toutes
disparu.
0 Nevaï, si tu convoques dans ton cœur la cour d'amour, prends pour lui ser-
vir de bougie sa flèche garnie d'une pointe de fer.
^^ImL fabricant de pointes de flèches; moissonneur.
^ ^^^jл^шшjш^ indiscipline. — B. /19. (^yxm^\t \^^\шл^^^:лл^^}(^^^а2м
' vyy 4;^*V^ u^*"^ ayant pris quelques Mongols qui avaient com-
mis des actes d'indiscipline , en pillant les villages où ils étaient
entrés.
150 ^^^l
L /^jХЛшшЬ donner une conclusion; finir; diriger vers, guider; gouverner.
Si, à force de recherches, tu découvres le cœur qui m appartient el dont ]es
manières dénotent la foiie, guide-le, de quelque manière que ce soit, vers le
domaine de Tanëantissement.
■
Quoique tu sois mon guide dans le chemin de l'anéantissement, tu me déli-
vreras de ces angoisses par une seule- mort. '
Sachant que s'il dit : J'irai seul, je terminerai cette alTaire avec mes propres
ressources
A. G. 90. J^! ctUhw Lh^I# c^iAài (^j\^y^ KX>J ^^^J ^t*xjy»
уЦ^j *ibi|^lJLi;l* 1<1>1 il n'est pas en état d'exercer l'autorité et
de conduire un si grand peuple : jusqu'à ce qu'il soit en état de
le gouverner
nu à part, séparément; de nouveau.
^LuLmU pièce d'artillerie portée par un chameau.
L /ö^ЖамЬ commencer; envoyer, dépêcher; ouvrir la voie à.,.: guider.
Ils retournèrent, montrant le chemin de la ville, après avoir jeté sui' leure
épaules un ou deux vieux vêtements.
^^:J^н^V^^^e j' Zoul-Karneïh étant entré dans les l'énèbres avec
le désir de parvenir à Feau de la vie, Khizr y pénétra le premier en
l 1Г)1
•
le guidant. — ^^««il-ûl* donner le commandement à... — B. iG.
^^ùs^} 4;HHL3iL-ûL A-ij^b j3-«H i^^j^H i^^^y-^ ^^..C^^ jЛ il avait
donné le commandement du palais à ce Khodaï-Berdi-Timourtach.
— Id. â8i. 4;.HH(^Ld; ^vJuu^ ^уЛ jгЦ^.^ ayant donné le comman-
dement de l'armée à Kotch-beg.
i^^XmJ^LmU action de commencer.
K «jJLmL chef, commandant; têtière. — j^yj A*A^tL ^iAule chaque chef
agit à sa tête. — B. 397. \j^ xJ^Li. a^JuL:?- ^Jl^ ^ J^
4^f4tj^ 'Цj^^ <sU^ (>Д<2^1> (5-^ck^ ayant donné à Mohammed-Ali-
Djeng-Djeng une cotte de maille à têtière de velours noir.
v3^^y veau d'une année; sandale; espèce de foulard que les femmes s'at-
tachent sur la tête.
^у^у^ éclair.
ftXJ^i (^5^ y signe de la balance; équinoxe.
/öjJЬЦ^ (^5^ y orgueilleux; rebelle.
^ц lien; plaie. — /чМ'^ attaché.
^^^ а^jз^ vs-'»*^^ ^зjул jЬ JS'
L'inlëriem* de Tëminence que foritie ta lèvre inférieure est tout sucre, 6 toi
qui jettes comme une ceinture autour des âmes; la rose elle-même, avec son
vêtement de coton , est l'esclave de Ion visage.
[^ <3|/5У ^У, <3|/Н /^У courroie, guide. \ t4>>S)aA.5
iftlfiL étai de bois pour soutenir les murailles el les constructions qui me-
nacent ruine. — yUl* agneau. — AiUL peau de mouton.
^IXcl pente, déclivité. — B. йЗа. <^'*Хр1# ç^jJt ^jу^ cs^\ (.Ф^^jÿ g^'
^^:XJ^^^J€ <^ Js»' (^*x-ûb pU^ (Xsiw^ j^^^l JчуА»^ >ù*- il lança
trois boulets; mais, сотще le terrain était sans pente et que les
remparts étaient très-forts et tout de pierre, ils ne produisirent pas
d'effet.
eL peigne.
^ч
152
^ /лj^^ы»1,j\* donner, accorder; pardonner.
jJjxiUl Hé, relié. — B. 465. AiAiJja ««S'^^JOw Аj^Jч^ а^ *д.
jУ ël^î^^^? ^4У^ «i)UJs? t Jst>UAô. ^^j1ш Sj>^ i^jS^ en outre, le
réservoir du petit Kaboul qui se relie aux «aux de Butkhâk, là où le
défilé débouche dans la direction du petit Kaboul.
Jp /Ai^'^LêU lier, attacher.
Ч^^^каЬ espèce de petite guitare à trois cordes.
j\i ^j^^\j oie rougeâtre. — B. 190 dit avoir vu une quantité considé-
rable de ces oiseaux sur le Abi-htâdèh, non loin de Gaznah. La cou-
leur rouge de leurs ailes autorise à croire qu'il s'agit ici d'un oiseau
du genre de Yanas gambensis,
J^UauLcU espèce de kaftan en coton qui se met sous la cuirasse.
AXb le foie. — \ji isj^^ espèce d'oiseau au plumage rayé , plus grand
que le pigeon. — B. 69. j^f^ tù^^yk а^ушу, Ki i^^\* on y
trouve (à Karchi) un petit oiseau, semblable au gorge-noire. P« 363 ,
il parle du }jл ^^^\* de l'Inde , lequel est plus petit et d'une couleur
moins foncée que l'autre. ip^Çv^f ^ с<ч ^ \0
J%ixL. Voyez bJ ^^l. ^ { V^
ЗЬг^у ceinture qu'on met sur le ventre des enfants dans Je berceau.
Jr ^Lm^axL flancs; intestins.
^ /ö^jjJЛ^ crier.
^ yujsxb cordages d'une tente ^ articulation du genou; action de s'asseoir
les genoux croisés; espèce de ruminant, élan.
Assis, les jambes croisées, il commença à prier pour le roi, en disant : Ô ciel,
aux antiques fondemente.....
(jMi4XÂJvxL le haut du genou.
/öj^jМj se réconcilier, faire un arrangement.
> (44y regarder, garder, avoir soin de; paraître; appartenir.
(^^"3% 153
Le regard de cette péri a coupé avec ^ses œillades toutes les veioee de mon
corps.
B. ЗаД. ^j^L^3-3 \jХjушш j^^^^ Qtàym^ àw'-^ <^Jî>^ Jj' y^ y
j^^ ajL JHy^ K^^'^^lw cette equ paratt d'abord un peu froide;
mais ensuite, à mesure qu'on s'y tient, elle parait agréable. —
B. З9. t^à^ï *чФ^ А^1д^ elle appartenait au mirzà. — ^j-^j^JLjlf
mettre de son parti; rendre soumis. — B. адЗ. iC^^^I J^^ éf j'
4^ Js?t VДJ!^^? Hâti l'avait fait aussi se soumettre à lui. — (3-сн^Ь se
soumettre. — A. G. 5 1 . ^^^Хл^иJЬ Ч'х)У^аи^ ч^ {j^^J*^^^^(jН
étant venu avec cinq personnes, ayant vu le khan, il fit sa soumis-
sion. ' — (^j^iyj^lf rendre soumis. — A. G. i4. ^ÿ*-шл-л-»jннj
^^*>a^ tiH^*^ ^j}^ L^^j^^>J^\i ^р-шАлз^^з vyrjy^l se battant
avec les uns, amenant les autres à se soumettre, il les attacha à lui.
{^j^^ Ш, grand. Conf. o\>^ solide.
> j1д^Аа1', Ail tortue, grenouille. — B. 366. ^^yixJU ^J^JUm^,УU^^
j^^^Ь^ iSj^ les grenouilles de l'Inde sont semblables à celles de
nos pays , mais elles courent sur la surface de l'eau par des élans de
sept à huit palmes.
«лду cuivre et rouille qui le couvre.
-> 0^-4^ Y regard ; racine. — ^Дйц^Ь lieu où s'exerce le regard.
(^^ГД^Jу drogue enivrante, benjoin.
> jU miel, hydromel.
L y\f petit des animaux, enfant. — ^^B. â6i. j^^i^^S^ jJчХц^ C5^^' ^^
^^\Jh^ 4^1 jf 4;^^b^ n'emmenant avec lui ni sa mère, ni sa sœur
ainée, ni sa sœur cadette, ni ses femmes, ni les enfants.
jУу^ volige. — ' {j^^\* tonnelle, baldaquin. — ^j^l* bas du caleçon.
S ^^УУу^ faire des petits, en parlant des animaux.
15Д Ы
V
vi)U*3b V^^l* ^^j^\ ^yi u
Lorsque Zevk-Nàk mettait bas , Mour faisait përir sa portée.
^^iJ^-i vi)^..-**^! (^:>;^ b^L^l
Trouvant autant de nourriture (jue le petit du lion , sa ration était moindre
que celle d'une fourmi qui boit.
^:>^lJU».3JOUb Jн^ Ь jU) viU^T^ c^^^' jl* (i^ »^^ *iU^ bL
^:^ililL \^j^, ^j^\ il possédait, en outre, mille troupes d'éléphants;
car, de son temps, ces animaux se reproduisaient autre part que dans
rinde. — jIaJL les vêtements.
\^ ^^l^ hache. — dUL^jliTiç^H^TyJL jb <^*)JU »à^ Л^ AiW>^
jЦз' {^J^*^^ étant resté, sous un prétexte quelconque, dans la
ville, il prit une hache et brisa en morceaux les idoles des infidèles.
ЗЦ^Ь garde du sabre.
^ 5HS^y terre détrempé.e, boue.
3)4^b anneau auquel le ceinturon du sabre est attaché.
h >L5^ menottes.
> JlS*^"^ • ^^ "*^^' ^^ ^^ sœur.
^ •JtXJu le gras de la jambe. — \ji еу-?*>JЬ capillaire (plante).
j, {J^j?.^^ origan (plante).
(jiikJu somme d'argent. Le balich d'or vaut *j,ooo dinars, et le balich
d'argent эоо dinars.
\ju\à espèce de massue. — (3-«л31* creuser, fouiller.
CJS^V^Jy, J^вйлJу pigeon ramier.
y C^yb Jv espèce de courge d'une saveur sucrée.
> 3 j^T poisson, en mongol, ville. — A. G. 3o. j,.^(^ula Лj^(^\»
balik signifie ville. Cf. j"»» {_^3.
uL coin pour fendre du bois.
libl 155
JjLibb espèce de noix.
/ö^Ь s'enfoncer; s'abaisser.
jj^L corde.
iS^j^ cuisinier. — B. З96. ^^^.ь>ч}- j^^jy-^^-^ (S^^^ ^^^)^ JJjJjЛ^!
^ày^i^Li j jj[^ (:)^^^C5^з^? (jôH^I 0П fit Venir les cuisiniers d'I-
brahirn. Sur cinquante ou soixante cuisiniers, j'en gardai quatre. —
de l'eraploi de cuisinier, je l'avais ëlevé au rang d'officier dégustateur.
(^^L animal rapide à la course.
^^\ charme; riche. On appelle, chez les Mongols, ^^l* ^^1^1, ceux qui sont
chargés de réviser chaque mois les décisions des émirs du divan.
•^^ (^L dame. — A. G. 43. ^, cLj^l^j^yl* dU=?-l>>?:> u^^^ ^У^
jль д^ les Mongols appellent une dame khatoun, les Tàdjiks, bâ-
nou, les Euzbegs baî-^etche.i
>— ' y^L^ {^{f chouette. — ^'«>s?b drapeau.
li désert, plaine.
!у ancien; primitif; ancien serviteur. — aXLj (P-a-j^L JjuLjefc^^ ^
j!C3^ (5^U^ il est le plus ancien de cette cour, ou plutôt il en est
l'enfant. — A. G. i3i. t^^l jl* i^j^y (Sj^^J^^ àf^ {^>^ îl avait un
ancien serviteur, appelé Din-Ali. — B. 1 5o. ^JjДз! ^XjlJSjS ô^ Л^
^^^yJi ^L ^(^^:*^ iSji^ (^>\^s\ ^lOyîil avait un ancien serviteur,
appelé MoUa Mohammed Turkistani, homme probe et digne de con-
fiance. — Id. â54. v>^^ (^^jЪ^У^ i^j^ ^{j^ «>4«^ (;;UaX.M«
adjoignant à sultan Seid-Khan mes anciens serviteurs.
{Sy^^^^ V^r*!!¥ paysan; contrée; localité du Khoraçan abondante en
jujubes.
Quoil le jujube, ne rougit pas d'entrer en rivalité avec la bouche? Voyez donc
la folie de ce rustre, qui a la bouche toute grande ouverte !
libb amusement, fête.
V
0
156 ^
h (jâyjbb chouette. .
/аЛjЦ fermer, attacher; charmer. — A. G. 80. ^ {j^Pj^'J^ ^^LW^^^hh
yijy^yi Ч-чД^Ь (s^Jt^Ji^S f^^^yiX^t^\ ^^ un musulman ayant
acheté un mouton au bazar, l'ayant amené chez lui et ayant fermé
la porte, regorgea.
/л-f U s'enrichir.
%>JujL m. plein de prospérité. Conf. \j Л^*^а^9.
•^jL humble, bas.
jL»U-9 camomille.
^ tunique de fourrure.
^ <Jus3 prunelle de l'œil. — ^ face, figure.
Jp JлJЦз ruche de miel; bande de toile pour envelopper les pieds.
estomac, jabot des oiseaux. .
turban, action de jeter son turban en l'air en signe de joie.
jХллj petites pièces de bois qu'on place horizontalement sur les maisons
et qu'on recouvre de paille et de roseaux.
•VJLi^ coton. — B. 66. ts^^x^jyy^y^ ^^ *^^^ *^(»*й>^^ on se servait
de coton pour faire tomber dans ma bouche de l'eau goutte à goutte.
i^^Mh^ écrivain qui ne sait pas le persan; secrétaire; chanteur; inspec-
teur; chirurgien; plaie.
Quoique ceux-là conviennent parfaitement aux SarU (Persans qui ignorent le
turk), les secrétaires qui ne savent pas le persan vont bien mieux avec les Turks.
5*-»'jt>-e *-^У-^3 i^^^ »*кЯййоу л^ ^\yib АЛ* (<î5"j^j|^ (jй^!
jil^^Lim ÿоj Depuis le matin jusqu'à midi, des premières heures
du jour jusqu'au soir, toujours assis, ils font tant d'ouvrage que ni
chefs de bureau, ni secrétaires écrivains, ni chanceliers ne pourraient
t
/
en faire autant. — B. i33. j^jj:^ ts^u-^ ^ JclJ^ ^^^ Mongols
appellent aussi le chirurgien hakchù Conf. vj^jjus^ docteur.
Чj|Jь)<>о guide, conducteur.
9
^4>o animal d'une odeur fétide et dont le lion à horreur; chien à longs
poils.
fjtàjiosj coq.
j\m\jJ aile droite de l'armée. — B. 86, 966. j\jLi\^^^ j\àj\^ l'aile
droite et l'aile gauche.
cLj vache.
viJjw^Kj esclavage, servitude.
[jfr^ espèce d'aconit a fleurs jaunes.
(jtêiijJ espèce de renard rouge dont la fourrure sert à faire des pelisses.
^УJ^J^ bagage. B. emploie souvent ce mot qui est hindoustani. — B. 9 4.
^^Js?' иЦ>* *^^^' *^«^^ ч^-А^ (j^JчОх^ Jо^гЦ;^ venant der-
rière l'armée, ils avaient mis la main sur le bagage. — /J. 86. (^^àju
(^^yj ^(^jJ^\ ^j-^ iSj^'^ ^^ à^^y f^3j^^ quelques-uns
des objets qui lui appartenaient, tels que tentes, tapis, bagages,
tombèrent entre les mains des soldats. — Id. 986. Лу^^ J^j^j^^
le gros bagage et les chameaux. — A Constantinople on dit ^j^.
os. — u-UjL АлJj^ {^^>^y^i^3 é*!;'-^ Oîî^^^^y^l une permis-
sion ne vient pas d'un mort, un os de ce qui est broyé.
Ууг^ espèce de fève.
U kiijJ fort, solide. — tS^ puce.
i^y^j^ tribu turke d'où descendent les sultans timourides de l'Inde; chef
d'armée; jeune homme brave. — A. G. З9. j^\т»Ÿ^ш ^^(^л/^ (j«-^Ь
j^уj v5)Uy barlas veut dire chef d'armée.
^(Xi^J housse de le selle.
?U*J chancelier, chef des troupes, appelé aussi dâd-khâh, deuxième
r
charge de l'Etat si Bokhara.
158 4дЬч
jJ chair nouvelle qui se forme sous une cîcalriee , excroissance de chair
qui sort de de>soiis la pean, ^ande.
> «idij qui vole; ornement.
%yàjj poule-faisan qui a le revers des ailes blanc: autro oiseau de la
même espèce qui a la tête et le bec blancs.
LèuMkJ tombeau. — %Ллш^ court, trapu.
j1Йыь^^« Jl^4&^ saison des pluies. — B. SsS.^I JlCà^ Ьj^ Jкж^ y»
j^^ С^ЬJ^ cette année, la saison des pluies s'était fait peu sentir dans
la plaine. — li. 354. j^^^yi ^ч^ iSjy^ ^^*^ :>y^ Jул^ c^^
les récoltes de Tautonme sont produites précisément par les eaux de
la saison des pluies. — Id. 368. j^^ ô\Cs^ сjь^ -qS^aj^Js-^I \:>^\io^
j^^^y» *'^yy^ 4^i^^^^t!^ ^j-i il pousse des feuilles et est dans toute
sa verdeur lorsque le soleil est dans le signe du cancer et du lion,
ce qui est précisément l'époque de la saison des pluies.
3buu tresse de soie, en forme de boucles de cheveux, que les Mongols
s'attachent à la tête et que les femmes cousent tout à l'entour de
leur coiffure.
(jl^V partie inférieure de la jambe du cheval.
}Q ^Ù^.J sÙ^, titre honorifique. — Sjyi *^ rose d'une belle espèce.
iiM très; fortement; tous.
J^v^ officier dégustateur.
Parmi les gens attachés à son service, il y avait un esclave qui avait la diai?ge
d*officier dëgustatear.
4^:>;Ljuhç AAjt«XJ) le roi ayant accusé son officier dégustateur de lui
avoir administré du poison dans le vin qu'il lui versait, l'envoya en
prison. — (£Сл tibia de mouton.
159
jÂX? espèce d'armure, plaques de fer qu'on joint ensemble pour en for-
mer une cuirasse.
\L^M?, j-JbJ vin, action de boire du vin, fiole à vin; hospitalité; sirop
de raisins cuits.
W v^xAXj garder.
bourse qu'on suspend à la ceinture.
J^^^ jarre à mettre du blé et autres choses. — B. 1 77, 1 78. *iUjû;y^^ J^t
jyi \syA*iAjÊ дкАj J^ sauf une seule issue, ils placent tout autour de
ce trou des jarres à riz, sur lesquelles ils posent des pierres;
ils découvrent la partie supérieure du réservoir, dont le pourtour est
fermé par les jarres à riz.
^Lsv oiseau de proie, épervier.
(jа^лЛj solive placée sous le toit.
иУ^ у1йуЬ tôt ^^Js>^ c-^l (jà^ Ьцjз^'
En faisant pleuvoir la gouttière, tu as restauré mon cœur ruiné; on dirait
que tu lui as donné une solive pour le soutenir deS deux côtés.
viUJb bègue.
4JyLU action d'établir son domicile, — a^-^m^o^-^* |<^— ^ J^I \oj,^Jm \i\>
j^^UXaj »oyX» ft^A^Owt cpMkJI^ il y a encore cette condition, que
les maîtres de la medresseh établissent leur domicile dans la me-
dresseh.
/A^I«y.lLjLU>b bavarder. — >«)<аЬ, аааЬ œuf cassé et perdu.
Ixv petit du chameau. — ^^ épervier.
betterave, mauve, cresson; lien; gros fil qui sert à coudre les
sacs. — vi)j4XÂj bouton de fleur.
^ «Длj tache provenant de l'usage du vin ou d'une maladie.
^ o
160 . ЧJ^, hy
j^ ^jàiXJb ressemblance.
> 4iL«;XJLj ressembler.
Jo peau; extérieur; face.
> jjJ^p. fromage. — B. Збд*^^^^ U^â. — ^^j^^^л ö'*^^' tiLT**^ Ч^
j3^^>^ ë' ^^AÀJ t^>; jUaô. si^Sj^^ ^bS ce qu'on appelle fro-
mage de dattes, c'est la place d'où sortent les branches et les feuilles
du dattier, et qui est blanche comme du fromage.
i j4 ceci, celui-ci.
(^kj^ bégayer. — B. 334. t^:»Ul ^^Ьу^ iS^^^ \^^Хjуеш <^î j^
il bégaya une ou deux paroles, mais il ne put parler.
j4^ poivre.
l'oiseau appelé huppe.
^j^у^ huppe qui orne la tête des oiseaux.
J prunelle de l'œil. — A. G. &o. JULAj^^^ûuyS^ (ХjумJ^ ^у^
j^ъ is^j^ J>«^jJ^ ^Ч^ j' V^ W^? ^У^ Ь^ j'*>^Ай«'Ь' îi f»"t
savoir que, si un homme a la prunelle noire, le blanc de l'œil très-
*
blanc, et la partie qui est entre la prunelle et le blanc de l'œil d'un
noir tirant sur le rouge , les Arabes disent qu'il est У^ et les Mon-
gols {gy^S^j^.
\o O^ la partie de la jambe comprise entre la cuisse et le bout du pied,
cuisse. —A. G. 1 13. U^L Uas^ ^Ы à^ ^i^^sy (:у^.^>^^ c^'
j^ô^^jj\ уйо au-dessus de ses deux genoux, il n'y avait pas de vie,
mais la chair avait poussé en se ratatinant autour de sa cuisse. —
*iL^y cuissards. — A. G. 174, «j^iW^^ ^^^^^^ J^iî>^ сЙ^^*^
couvert d'une cotte de mailles, d'une cuirasse, de cuissards, de ge-
nouillères.
Aj^, bjjf pousse des arbres et des plantes; but d'une flèche; petit d'un
animal, enfant; dessins et fleurs qu'on tisse sur le brocart. —
B. 368. j^:>^3-^ w^ АЗ^ а^у^У^ c^*^ *Даа5слй^^ ^^УМУ^ il
(j^^Уj^j^ 161
pousse par rejets, comme le djekeh de nos pays. — U^ (^j^ц*'' Ь^
J^j^ЛА^ »3-ftj -^х^^jл^ l^^SXk» par la puissance de ton invo-
cation, fais sortir de la pierre dure une chamelle ayant un petit.
Si tantôt il gémit en Fappelant mon enfant; si tantôt il dëtourne de lui son
visage et lance contre sa poitrine brisée la pierre de la tyrannie.
^jj^j^y ^к^ intact; fort, dur; sans séparation.
Л^у^ i^^^ (S^^ JsjVc^^^I;^^ f^J^' iS^j^
Tirant sa redoutable épée, il a mis en pièces mes entrailles; il n'est plus, le
temps où Ton disait, de moi, Thomme au corps intact.
/^-^uJi^, /a^^uJSy^Jf être dispersé, répandu dans tous les sens. —
^Sj^{J^J^\y>yi Ajoi^:>3 t^ dlÂAjj^^UJLlii I JôU^y la dispersion dans
les montagnes et dans les plaines de ceux qui étaient assiégés dans la
citadelle. — (^\jЗ^ disperser. — ^j-^^yuil^y disperser, broyer.
jilUJ^I ^^-^»1 A-^^^JOj JuibI ^^ÿЗ^ JчЛj
с^ЬJ^З-j (:jv-^t£;jb ^jj^Jogj^.j »'j-Ao (j«.W #i-^
Quand bien même tous ]es faux dévots se réuniraient pour me donner des con-
seils, je me soucierais peu de les disperser par Féclair d'un seul de mes soupirs.
(fl--^ ^^l^iL Jb A5"dl^:> ajuûT
Le tourbillon de la crainte jeta le trouble parmi les poissons, comme le vent
agite les feuilles du saule.
j^^^11ш v^î^^ l*>ôLj^
4,il^yL* o^U. ^jyfy^S^
11 a dispersé les voyageurs sur la surface du monde; il a envoyé les matelots
h travers les vastes mers.
viK-J^ troublé, dispersé.
DicT. ТГВК. 1 1
162 vilej^
KiKfOj\^jjj faire pousser; bander une plaie; achever; mettre en œuvre;
couvrir.
^ицк (jsilCu p^^Syr Ы. UAjuT^^LLl^I
Je Геп supplie, bande mes plaies, guéris cette blessure de mon cœur; qu'il
ne i^etronve plus ma poitrine brisée, s'il lui prend envie' de revenir.
B. 209. j^ 4^J^yi àt^"^ iSj^^ *3v^ elle accomplit à Ni-
lâb l'ordre de Dieu, c'est-à-dire, elle mourut. — A. G. 45. дК,/ц^
У-Ц^ ^^J^yi jjjx^l {;)^jыj^^ il n'est plus possible d'achever l'af-
faire en employant la ruse. — y ^^j^.x^ hlS ^^^sЛ^.xS' гЛЛл^
(jь^Ч^J^^ у^ à^'^^^.yà \t (J^--ЧЧ)Ц^ ^1 apostropha le Sei-
gneur en ces termes : N'est-ce pas toi qui rassasies l'affame ou qui
couvres celui qui est nu ?
^ОЧj^, мЗ^ estomac, poche des oiseaux; espèce d'herbe qui croît
en abondance dans les environs d'Endidjân et dans le pays monta-
gneux qui est à l'est de Kaboul. Elle est très-bonne pour les chevaux.
Elle doit son nom à ce qu'elle pousse en touffes ou par rejets. —
B. 17З. j^l;^:> а5^3^ ^jys>.J^ j\лл^ ЛЗуj АЗ^ с:>^1 ^.
^^ jeune chameau.
J^ Jj^j^ pousser, se dit des plantes; être bandée et se guérir, se dit d'une
blessure; finir, aboutir; croire, se fier.
J\j^ J^ ^ц^^ ^^:>1jш^\ jY^
lorsque le soleil veut quitter le signe du bélier, Toreille d'agneau (Toseillc)
pousse dans ta pjaine.
La poussière du chagrin pleuvait sur lui , les épines de raflliclion poussaient
sous ses pieds.
^Um^^ 163
Apportant le le bois de eandal odorant, parce que cet édifice magnifique ëtait
achevé.
SMIs disent : Nous guérirons par inapplication de cent emplâtres un corps
meurtri par ses injustices , ne vous fiez pas h leurs paroles.
ijjjJfj^ fort, solide; intact; cette nuit.
, ^j^ sans cervelle, sans intelligence. — j-aJ^^^ manque d'intelligence.
Voir les vers cités, s. v. isy4\j.
> чЗ^-^^^ (^ошу angle.
v3(*^?^5iy la peau, la pelure des fruits, Técorce.
jUl>^ coin, angle. — B. 4o4. j^^о^-л^ jl:> ö^^ Ь1# i^^j^
<чЧ^^ ayant envahi quelques villages qui étaient situés dans les re-
coins les plus éloignés.
.? ver qui rampe sur la terre, limaçon. — jy^^ marqué, grêlé.
Цд^.:^^^ espèce de cabestan qui sert à jeter l'ancre à la mer.
fi celui qui est défiguré par une blessure au nez; demi, moitié,
osselets pour jouer,
cvâib^ entraves pour les chevaux, fers pour les criminels.
v3(^^ bandage qu'on applique sur les plaies. — B. i33. «jр>>У *^1^**а^
i^^)^yi à\i^yi ^ЧУ ^^'ни^ Ц<5Т) "^ mettant pas de charpie dans
ma plaie, il y appliqua un bandage. L'édition imprimée porte mal à
propos ö^>^-
/J^l im4^ être suffoqué par les sanglots; pleurer l'objet aimé.
^^Luj ^j,m Акл^ (jjM v^-^^ l:>($^*3^l j4^
Suffoqué par la douleur que me cause l'absence, je ne puis même pas me
il.
plaindre 1 Que ferai-je? Le vin est mon remède; je veux me l'appliquer et
partir pour le couvent de Tanéantissement.
^Uib^ carcan, chaîne. G. ^U.^.
^ i\ôy^ branche d'arbre.
Jli>^ lieu, place; petites branches qui tombent d'un arbre quand on le
taille. — B. i83. ^-^Jb^^ (^u^>>ift J^L^l J^jbul^^^Uil^
Ljj^^y^ |4Х.аJЬ^ Faile droite, l'aile gauche, le corps de bataille,
l'avant-garde se tenaient chacun à leur place.
^llt«>^ espèce de pain mince et long.
y /o/9\ôjJl émonder un arbre, nettoyer un jardin.
jj^^^j^ wi. trisaïeul. — A. G. 4i.^à^l:»^ ^^Ы cs^y>jy> ils appel-
lent boudanour le trisaïeul.
i^\ôj^ espèce de chant particulier aux Ëuzbegs; court de taille.
9
j^^ trapu, court; inégal; monstrueux.
(iL«*;«>^ rouler sur la tête; faire la culbute.
Ai«>^ caille. — B. З62. J3 j^:> о**Ц;' is^y^^ у1и»зJ0^л л^ь^ ^^^
^^^-«-!^ öЬ^З-'-?^ MH.r*^ (:Гй^А^jЬ j^^ Aj^i^ ***^*^^*^i^j^;l? j'
j^j-f.^ ysSj^ bJo\^ quoique la caille ne soit pas un oiseau particu-
lier à l'Inde, il y en a cependant quatre ou cinq espèces qui lui sont
propres. Il y a d'abord la caille qui visite nos pays et qui est plus
grande que la caille ordinaire. Il y en a une autre qui fréquente
ces contrées, mais qui est d'une taille plus petite. Ses ailes et sa
cpieue sont d'une nuance plus rouge. Cette espèce vole en troupes
comme le te/iir. Il y en a encore d'autres qui visitent ces régions et qui
к
165
sont plus petites que les nôtres, le cou et lu gorge sont plus noirs.
Une dernière espèce, enfin, ne visite que rarement Kaboul. Elle est
assez petite, un peu plus grosse que le kârtcheh. A Kaboul, on la
nomme karatou. — H y ^) près de Samarkand un endroit appelé ^^y
JЗ^, p. 101. ^
cheval gris; craie. — ^J^^!д^» иЬ^ tempête de neige et de vent.
J^^jyi inégal, raboteux; non rangé en ordre.
t5»>^-)»' ^J^ ày->3 <^ « *-») ts^w
Autour de moi se dresse une haute montagne, aux rochers aigus, aux sen-
tiers rudes et escarpés.
Ouvre les yeux et verse les larmes du repentir sur ta position ; car la nuit qui
t*enveloppe est noire, ton regard mai assuré, ta route des plus accidentées, ton
cheval boiteux.
i? cheval de charge.
^ ТЛ^^ emprunt, dette; poivre, coin. — B. i44. ^эjу^у^^ ^â^^*лJs\^ cjn
u^jlf me levant et allant dans un coin du jardin.
jЦ^^ vesce.
il)l>«^ boucle de cheveux.
(З^^^JУ^ tulipe sauvage.
(yJ^jy:^ m, qui a la prunelle noire, le blanc de Tœil blanc, l'espace in-
termédiaire noir tirant sur le rojjge. Conf. ^^râ in^Qj) grisâtre.
\Ùyj:^jyù vis ; herbe à teinture. — ^y^jyi outarde.
CjS^yj-? biche. — jа:> i:Tr=rjyf (S^(£^^3 ^у^ (:32sS"\(^.l AkKjsiUSàjS
les Turks appellent houneh le mâle du cerf et nomment la femelle
bourdjin.
femelle du canard.
166 ^^JJ^
Р^^jу^. gras, bien nourri.
{3^ J^- ^^^^ ^^^ ^^ ^^^^* nourri; couver.
La poule qui reste dans le poulailler, occupée à couver ses oeufs, comment
connaitrait-elle les profits et les pertes qu'on trouve à voder dans les airs.
ii^^^jyi engraisser; disperser, éparpiller la neige en parlant du vent.
.^ herbe qu'on fait sécher durant l'été et qu'on fait revenir l'hiver en
versant de l'eau dessus. — B. 347. «^x^L^J j y-^jyi^ «»j5. ajc»< du
fourrage vert et sec en grande quantité pour les animaux.
Зjу^jу^. espèce de fouine à fourrure rayée de blanc et de noir, dont la
peau sert à faire des pelisses très-solides.
> цйд^ ride.
Ь У^JУ^' ^^S^ creuse dont on se sert comme d'un instrument à vent; vis, ta-
rière, tire-bourre; veau.-
/^&jJиЗд^ temple d'idoles.
V) ^jу^, bonnet fourré. — ^jyi espèce de pâtisserie. - (►x/vvnvx/ /
АшЛ^, Ц^^ perdrix. — ^)ул voile, couverture.
<A^Div^ couvrir sa tête.
^^:>^j^ C:J>-ût? ^j-А^ j^LJ i^j»^J
A la vue de ta bouche, le bouton de rose, rougissant et pâlissant tour à tour
dans le jardin, a recouvert sa tète d'unç coiflure verdâtre.
t-^'Cî^ (S^!^^ fSj^ ^\ »^Jo {^^ ЧЪ}У^Ъ^
Il est resté tout embrasé de mon propre feu, cherchant d'autre part à se dé-
rober à la flamme qui le dévore; qu'a-t-il fait? Chose extraordinaire! Il s'est cou-
vert de ma chemise, tandis que j'étais assis.
L>? 167
О^jд^ aigle noir. — ^^jу9 couverture.
Deux aigles descendirent du ciel , ils dévorèrent ces deux colombes.
vU* (S^. A^l>>l ^jS^jyi iS^j^
\jè bourgout; c est-à-dire l'aigle noir, entra en lice, il dit : 0 toi qui règnes
parmi les oiseaux.
Уjj^ sceau de forme oblongue. — оУ^J^ courbé en arrière.
ÿ C^jyi tordre, plier.
^^\yù cordon d'une bourse; botte d'herbe liée et séchée; tête de lion
placée dans les bains et qu'on tourne pour faire venir l'eau ; bouquet.
B. 8. 3a. ^^jJ JU-w клjу (^^yi сх-ло de taille basse, à barbe clair-
semée, mot à mot, poussant par bouquets.
Ьд^ d'abord, commencement.
jу^ ^ Сл л ll.É».i \ijy» Лаj ЬjуJ
Au jour du combat, quand tu fais face à Teunemi, range d'abord tes troupes
suivant les r^les.
B. 981. y^jy^yiy*^ ^'^jy^yf JЛ' (^JЗ^ f^J 4i^* '*^^^^Ь' ^**^
jЪ^ J^Jои.1 (j^«хз1 иЛАлJГЬ^^ (9^^ j^ j^)\*у» les femmes ont
la manière suivante de consulter le sort quand elles veulent savoir
si elles auront un fds ou une fille : elles prennent deux morceaux de
papier; sur l'un elles écrivent Ali ou Haçan, sur l'autre Fatime. Puis
elles les placent dans deux boules de limon, qu'elles mettent dans
168 jУ!
une coupe d'eau. Celle des deux qui s'ouvre la première leur sert à
deviner l'avenir. — еЦ-Ьд^ antérieurement. — j^jyf antérieur.
(З^^JJ^ chercher à se devancer. — ^j^ colique; foret.
Ojii^ moustache. — à^3jyi contracté, en parlant de la peau sous
l'action de la chaleur ou de la douleur. — c^'*^jy^ petit oiseau.
^ UJU>^ d'abord; en avant; nez; bec; cap.
Les années précédentes, ses deux bras étaient enchaînés, en sorte que les ga-
zelles restaient tranquillement è leur place.
■
Mais il t'est permis, avant Theure de midi, d'entreprendre des œuvres suréro-
gatoii^.
^ oUpVj^ voile de fenune; toile fine.
(З^ХJдj^ bride qui passe par les narines du chameau; housse; général.
KSjyi loup; espèce de clairon. — ^^j^ ifiyS'jeu chez les Turkomans.
Quand les moutons sont incessament attaqués par les loups, sache que le
berger est réduit à faire le métier du chien.
{^ (a^^A»»"^ iSj^ iSjy» {^.^(s^^[^ grâce à sa vigilance,
l'agneau n'a rien à craindre du loup.
jyi grossière cotonnade, tissu de lin; couleur bleue, tirant sur le blanc;
cheval gris, tirant sur le bleu; homme intelligent; g^ace. — A.
G. 56. \i[ty^ji^ des cotonnades et des étoffes teintes. — >• '^лjj^'
il achète, il dit, en voyant de la toile de lin, c'est un grossier tissu de
169
coton; quand il vend, il prise sa grossière cotonnade bien ao4lessus
de la toile de lin. — ^jХJУ^jу^ Ь^-ш l:»^yilf ^^Jt^jyiy^ jy^t iSj^f^
vLs ^^i^^ i^^j^y il souhaite passionnément de gagner cent pour
un; son cœur nourrit un désir ardent de faire de sa grossière coton-
nade de la toile de lin. — A. G. 48. j:оУ^^^^ JУ^ j^ ^^^ ^ ™'^~
mène un cheval gris. — iùy^y^ cotonnade. — Эjу^ fabricant de
cotonnades. Conf. f^^ toile.
Ip j^Jiyi^^ljyi'tj^jyi veau, jeune buffle, jeune rhinocéros. — B. a85.
^>j^A^ Ц.Ь 4>чJа^ \ijy3 ^j^ ^^^'}yi j*ii un rhinocéros, qui avait
un petit, étant sorti en plaine, se mit à fuir.
i^^j^jyi espèce de reptile armé d'un dard., — t^^ y^^jyi y*» écre-
visse.
^jyij^jyi in^ qui pousse sur Tongle.
^yijyi gingembre.
fijjyi pièce de bois passée dans le nez du chameau pour le conduire.
|jЦйj11*J massue , casse-tête. — if^jyi sorte de noix de galle. .
иЦйЛУ^ massue , casse-tête. — ^^jy^ sorte de noix de galle.
P^jyi femelle du francolin et du faisan.
(3^ JУ^' mugir, en pariant du chameau qui appelle ses petits ; gémir
sanglots.
avec
Si taDtât il gémit, en l'appelant son enfant; si tantôt il détourne de Ini son
visage et lance contre -sa poitrine brisée la pierre de la tyrannie.
> (^jyi détruire, dévaster, gâter; dépecer. — B. aui. (y^jyi \J^^ dépecer
un oiseau pour le partager entre des convives.
\j Pj^j^. détruit; espèce de guitare à cinq ou sept cordes. — h^JÙi^ des-
truction, dispersion. — B. la.^^j^ 14>оишРз1 JyU ^^зjу> ^LL^'
^jb la dispersion dlzen est un événement qui date chez les Mongols.
^^jyi fondement, anus; trou, nid.
(ji*^ vapeurs qui s'élèvent d'une montagne, brume; à la mine renfrognée.
170
AàUàéyi seuil de la porte. — ^Улjу^ apaïU»^ yyJI jj^ yt^^ Ю^j^
i£^^\ оц»1уj Ц ;^U<>wt il y avait dans son cœur un immense désir
de frotter sa face blême contre un seuil d'or.
Prends aussi pour elle une coupe de ce vin; baise le seuil de sa porte et prête
Toreiile à ce qu'elle dit sur mon compte.
кjиш^ a5 ^зJ^ХjJ^^jуСй! дклj Jаз ^ (jн^ '^^iS^b^^ la chose
connue chez nous sous le nom de ^^^l ^), les Persans la nomment
5\^^ entente». Quant aux parties dont elle est composée, ils en dé-^'
signent le plus grand nombre par des termes empruntés à la langue
turke, comme aâm»^ c( seuil de la tente».
^1еи.лм^ longue coupe en forme de vaisseau.
Il est permis à ce soleil de beauté, en se courbant et en frappant la terre de
ses genoux, de prendre le kimiz dans la vaste coupe, à Tégal du lait d'une mère.
\j^\j^шjj> espèce de sucrerie.
Ifj^^^^ disperser un ennemi en le chargeant ; lancer de l'eau avec
sa bouche.
cij^Méy^ pressoir; vis.
/4iCM^ tendre des embûches, se tenir en embuscade; émigrer, prendre la
fuite. — B. ii3. by».».'i»^ ^jj^jJt {j\^jmyf sortant de l'endroit où ils
s'étaient placés en embuscade.
j^j^ embuscade. — B. ii3. t^jy^ y^yi â^HV^ [j^^^jy^tj-ft^ c^^,
i^y ly » il avait placé en embuscade sept ou huit cents braves. —
A. G. 61. oUîLU l^xJbjJT JuLjpTjlrfJoO^ fs^j loUAj^jûjj^y
(^^1 OmUo^I;^ ушу» ^х)У^^ а^ j^^^ ^" combat, Rustem et Isfen-
diâr n'auraient pu tenir ferme devant lui.
lê.^ 171
{jj'^yi m. pou. Conf. La.^^4^>2L^.
i d^^ ^^^^ lâche; lâché; infâme; veuve.
^um^ difficulté; angoisse.
^ i^\j!ièy;f être faible; se fatiguer; être vide.
^ fj}\Jièyi faible; lâche.
/л^Ушшу^ soupirer.
^vÂam^ petites graines jaunâtres qu'on trouve sur le pistachier.
(J^^yi soufflet appliqué sur la joue.
i^4^yi s'altérer; se gâter; se fâcher; se tourmenter.
с;дд^4Ю^ LmJUm <rjs^ iSJr^ J^J^ oL» (filf ^
Peu m'importe que le ciel envoie des chagrins à mon cœur pur et qu'il s'agite
pour en ternir le miroir limpide.
••m •
Dirigeant vers Texcase toute la finesse de son langage, il dit : Il ne s'est pas
présenté sur la route de difficulté tdie que nous en fussions troublés.
(3^ JLS^^ causer de la peine, du trouble.
Sans causer de la peine à ceux qui se mettaient en route, il donna permission
aussi à ceux qui restaient.
^y$ hôtel, maison.
J s'ennuyer ; être triste , s'inquiéter.
h Fy^ vapeur d'eau bouillante, suffocation; trompette; enveloppe; jécorce
d'arbre.
Jfi Ц^ buffle, bœuf; pain mince.
172 ^JyЬ^
Х:^\е^ gorge, gosier.
{J^j0> respiration étouffée, inflammation du gosier.
«^т[^оЧ^'«^Ц^ ceps; fers pour enchaîner.
X«y^^ tente pour passer la nuit; étoffe pour envelopper le bagage.
^ fil; corde mince avec laquelle on garnit le côté d^un arc
quand il est plus faible que l'autre, afin de donner aux deux côtés la
même consistance; cœur; intestins.
(3'^^^^ nœud qui se trouve dans le tronc des arbres.
/öjö)>ч£^ l'oiseau appelé houma.
\p ^tXc^ blé; épi; signe du zodiaque.
|«x^ espèce de mets composé de pâte allongée en fils; chameau mâle.
^^дХ^, j«c^ gosier; grain; jument pleine. — B. 188. *^y^ i^J^yi *^'
^«x^l j1л4ми ^У^.у^ il y avait beaucoup de grains pour les chevaux et
de fourrage vert.
^ /ö.#х^ étrangler, suffoquer; collier, carcan.
^ Х^Лj^ inflammation de la gorge.
J0 3y^yiy З^^у^ respiration étouffée; pluie qui traverse, tourbillon.
cerf.
■
IL semblait que cette forêt giboyeuse abondât principalement en cerfs et en
biches.
^ jjiyi chameau à deux bosses; espèce de vase.
3^àjy*^yi parois osseuses du gosier; épi qui vient de paraître.
^ (>*4)j^ égorger.
yà}jjÀy> larynx.
jj {JJ'^^ articulation des membres; nœud des arbres. — A. G. 49. yL:^
^ЛД^^' Ч^.*>^^ jjy^yf {JУ^У^ i^^jy^y^ ^^ ^ban ordonna de le faire
mourir en lui coupant toutes les articulations.
J> ce petit.
embuscade. — ,^уХлу placer une troupe en embuscade sur les
derrières de l'ennemi.
Jf^jLi3jjf troupe placée en embuscade derrière Tennemi.
X«j^,â^ corde de Tare.
/44^ couper, partager; s'embusquer. — A. G. 126. <^! iiLi-*_3j^
L^yà^ JjХллj^к s'embusquant sur les deux côtés de la route. —
Id, 126. ^У^у ^^j^j^У^j^ s'embusquant dans un terrain creux.
J^ forêt.
aI^, D^ lutteur, héros; courbure, pli. — B. 26. (^is^i4i^jx> ^jз'
jdbJL«^l j4^ ^^ les Ëuzbegs appelaient д5^ un homme fort.
Oï>o digue. — %iLùkJ^yi barrer le cours d'une rivière.
s^Ojjf éprouver une défaillance, un évanouissement.
kl^^yJjj^j^ caille, chez les Kirguiz.
jJyi hypocondres.
sâ\S^ les reins. — (^^j^ troupe de guerriers qui, dans un combat,
se tiennent en tête, soit à l'aile droite, soit à l'aile gauche. Ceux de
la droite s'appellent *dljS]^ ^ , et ceux de la gauche ^}j^ ^y^^
vii-f Li^ être courbé, ployé.
Sans doute, le bien de ta vie est le but des efforts du ciel qui rôde la nuit;
qu'est-ce donc que cette tunique qui f entoure ainsi de ses plis redoublés?
^J^ArG-?' ^ЛJ^ haricot.
{jзJ[j^ arçon de la selle.
LmJ^ la partie du corps au-dessus de la ceinture.
..h уДХ^ courber, plier.
^ y[y^ cette fois, aujourd'hui. — [jy^-
174 J^^^
s^^ji^KiySyi opposer une digue au courant de Геаи.
jj^у^ bosse ; baie. — {^jj^yi framboisier.
^^^Jj^yi beugler, hurler; s'accroupir; se ployer.
uyyi harnais.
f^j^y> pli, ride.
J[^ magie, enchantement. — y^\^SSy> battre en parlant du cœur.
> J^ nombreux, abondant, large; celui-là.
/oiljl^ pouvoir devenir, pouvoir être.
jy /ajUM^I^ brouillé, mélangé, confondu. •
{f, P^y^, source jaillissante; cheval dont les naseaux sont fendus.
Si tu fais verser tant de pleurs, c'est à cause de la limpidité de tes r^ards;
ainsi une source, quand elle est déblayée, voit augmenter le volume de ses
eaux.
jj^ï ^j^ {^3J **^ <i^A*- ^хх^
JV^ (<v-iL^ \^i^\f ^^y-i isj^ iS^
L'image de mon œil est pour beaucoup un sanctuaire brillant; en effet, une
péri habite toujours près d'une source.
•
Une montagne dresse sa tête dans cette tie; sur cette montagne jaillissent sept
on huit sources.
\) с5з' ^у^ herbe qui pousse sur le bord de l'eau. {ЛхАс^ —
V (3 7Г^^^ bouillie de farine. — [^^yi sifflet de chasse,
/ö^ j)^ rendre trouble ; présenter.
sÙ^^y^ souffler avec la bouche. — S^y^ *^^« {^^S^^yt V>^ j*^з'
iS'^yf j5 4j*й_)1* (£j\м comme il eût soufflé beaucoup le feu , la ma-
tière se dirigeant vers son oreille, il devint sourd.
Quelcpi'un poussera-t-il le glaive contre sa goi*ge? É(eindra-t-il de son souffle
la bougie de son existence?
«>UJ^ tout en ruines.
АЛрJ^, JfjJyi hyène.
tlsBwa. il&ft»> lieu de réunion d'une armée: noste: retranchement.
Lorsque nous arrivâmes au lieu de rendez-vous qu*il nous avait fixé pour
livrer combat aux troupes du roi de Roum.
B. 334. v^xXai (^yi^uù j^jXly \i^y^ j\яj\у>' jХяjУ^ ayant assigné
leur poste à Taile droite, à Taile gauche et au centre. — B. ДЗ1.
jW:^ и^^з' (Sj\>y^ иЬ^ fi-^(S'^yi (:J^АдЗ j^J^зJлj ^ j^Jjл^
j^^^Ц^Ьjj des inspecteurs et des pionniers furent chargés d'élever
des batteries pour y installer des canons. — B. 435. {^^зj^j^
j^(^) j^Лаз au-dessus du pont, un retranchement avait été élevé;
les fusiliers firent très-bien leurs décharges du haut de ce retranche-
ment. P. 479, 482, 483. On lit encore jUL*.
(jb\sfL^ promesse; rendez-vous; terme; congé.
(Щ^Jÿ^j^ s'arrêter, rester en arrière. — B. 1З7. Ьj<>аал» ^ {^.^i^^
43)3^yi (S^^ s'arrétant devant une flèche qui était sur la coche
de mon arc. — U 9 9 5. cs^b ^Ш |;з«^^ ne pouvant plus tenir,
il s'enfuit.
Ход^^О^ prix du sang, peine du talion.
3b)^^^ le syrrhapte de Sibérie, espèce d'oiseau.
176 ^UJ^
/^^•%J^ s'humiiier.
^ y^yi peau, cuir. — A. G. i5, is^j^'^^ J^У^J^J^ и^-^У {^.^j^y»
il fit faire quatre-vingt-dix-neuf cuves de peau. — Id. 1 8. 33 »y з
^^i|; jjy ^jj^ *^аЬз*=^ jЦ>^ il remplit d'arak neuf cuves de peau.
sxjUjjj renversement, confusion, renversé, brouillé; étant, ayant été.
jЫJ^ ^JL-Aj^r^ cr-^^-^3-^ л-^ J^l jy-^s^^ b
U n'est pas besoin que tu dises depuis combien de temps cette désolation a
envahi le royaume du cœur; n'est-ce pas du moment que les ravages de ton
absence sont venus fondre sur les peuples de ces contrées?
Lorsque Jonas sortit de la panse de la baleine, le Khoten fut déGnitivement
ruiné par TAbyssinie.
' Lorsque les boudes de tes cheveux lèvent la tête, la région du cœur perd toute
sa prospérité; d'où lui pourrait venir la sécurité, puisque le moment de sa
ruine est arrivé?
/а^ЬЦ^ troubler, embrouiller, mélanger, tremper. —
J^^^:>JÿXS ifJt*Km\i |*^иJ1 ayant trempé sa chemise dans le sang d'un
mouton, ils l'apportèrent toute sanglante à Jacob, en disant : Un
loup a mangé Joseph. — ^^yi être troublé, embrouillé, trempé.
Mes yeux, hélas I ont été trempés par les flots de mes larmes; les tiens ont
versé des torrents qui dépassent les vagUQjS de Tocéan.
fjiyi 177
/AjfiiJfyj troublé. — ö^>^Ц^ trouble, confusion. — JSi^l (^
^^oJ^ JJÏ3 (iyXsyjf^lki^ viS^o^ôtfi^ÂiA.- ^ \^4t^l\ a y eut
beaucoup de confusions parmi les enfants d'Israël, par suite de la dis-
persion de ce peuple.
<3^bîJ^ troublé; eau trouble. — ^^^^ fuseau.
i? JJ^J^ ^'^ ^ moitié broyé.
^jj^j^ prisonnier, jeune esclave.
j)Jyi troupe; excepté. — B. ii3. j^.^ ^^jЦ^ ^iU^^ôlosé^ ^^^ji
^Js»! cet endroit était le poste d'un parti de braves.
J^ sÙ^yi troupe, division territoriale. — JJ^ marque noire que Ton met
aux deux bouts de l'arc , à l'endroit même où s'attache la corde. —
B. 161. jУ JJ^ (^t^ ^Uy J1»ш^ <^^^з yi ce pays se partage en
cinq taumans et deux buluks.
Si , pour tuex Nevaî, ta veux tendre i'arc de tes sourcils, cet arc a trouvé le
pubtk dans les pronelles, et du fil de Гаше il s'est tressé une corde.
«
lu Ö^J^ ^^®» devenir. — B. 67. ^i)^:^^ (:j:?5|ДЛ1 ^^>J^j^ Уу^ Xiy\j?-J>ôl
à cause d'Endidjân (à être pour Ëndidjân), nous laissâmes échap-
per Samarkand. — Id. 7/1. ^^j[t quand vint Tété. — (j^Ц^
UmJ^ s'il n'a pas été, il n'aurait pas été. — is^y* très-bien, soit.
Si ma main eut pris tout ce qui est venu à sa portée sur la terre, le déluge
n aurait pas été confondu devant le flot de mes larmes.
(j^^ sois.
DiGT. TUBK. 13
1 78 jуJ^
Ta as ceint tes reiiie et imprime tes pas sur mes yeux; mets-toi en marche et
place le pied sur mon visage.
à être.
Le lion tomba à ses pieds comme un chien ; les graine de Ыё furent sur le
point de se changer en peries.
JUI^-j à cause qu'il est; pour être; il faut être.
A cause de Tappanticm de chacune de ces maladies il y a une potion préparée
dans cette boutique.
^«xi^ qu'il soit.
Qu'die se hâte de noircir du papier, puisque tu es si indulgent pour les grands
coupables (mot à mot, pour ceux qui ont un registre Aoir).
Comme la grâce de Dieu Га conservé dans le Koran, puisse-t-il, dans quelque
position qu'il se trouve, conserver le Koran dans son cœur.
J^ viXl^ partager. — ^аЦр^ se mettre à part, se partager. — A. G. 178.
4y^yi ft)^ j^ («XÀe^b j:^t une partie avait fait bande à part dans
la montagne d'Irder.
\^ OjJ^ nuage. — ф^у^ course de la fiancée chez le futur; partage.
jfc^Jj-? stabilité, fermeté. — B. ззо. y^r^^^yi^ «^t;-^ 4^3 <j».^>m»jI(h^
j^b c'est un homme très-faible, dépourvu d'énergie, sans consis-
tance.
•• M
fjA^kiyi 179
iF^ coquillages qui servent d'ornement ou de talisman; étendard;
Jf Adf^^ tant, autant.
1^ ainsi, de cette manière.
j^^^yi gros fil à coudre les sacs; action de prendre, d'attacher le pied
du gibier.
j\^ySi source; ang^e de l'œil.
jj^yi corne des animaux.
sà^jJf vieillir, tomber en décrépitude.
•^ personnification ; présent.
1^ ^yf taUle; couleur; partie détachée d'une tribu; pages; cou; crocodile.
— A. G. &6. ^yfjt^ {j^jftf di^ JlÀi^^^^ym ayant marché en suivant
le cours de l'eau. — B. â66. Sj^j^^ (fi^yf f^ijiii^ juoU. aà^
j^j^^ iSi^ ^ âV^ '^J^ bs pages qai dépendent du corps d'ar-
mée et qu'on appelle simplement en turk Im. — J^i ^^y^ fenugrec.
^ (3^--У^' teindre.
^ 3 ^yi teinture. — ^t^\»y9 teint.
(jàL(jr^ de la tête aux pieds; vêtement. — »^yi *^yi taille çur taille.
^1<>о^ de même taille; camarade. — >'*N^^ célibataire.
l^Lrl?^' iy^l/Jj-?, K^^jiyi soldats placés en avant-garde. —
A. G. 17&. (5^|>!j^ J>*г5 (^^j^yf ^3' ^^^ soldats d'avant-garde de
droite et ceux de gauche. — Id. 176. J^^^ [j^^ {^(^^Ыу^ ^з'
^«OUm ьГи»^з Lcb Lcb (9«^.^!^^ les soldats d'avant -garde de
droite et ceux de gauche lancèrent leurs chevaux en disant : Courage,
courage {mot à mot, ne glisse pas, ne glisse pas). Conf. (^^^^yi*
ir <3 Азт^J^ ordre, commandement.
P ^ ^ХJ^-У^ ' y^^A^y^' ordre, rescrit impérial.
> ^А^Л^^^Лг!^ i^^S 4"^ ^'^^ P^^^ ^^^ '^ ^^" ^^^ bœufs.
^ /^иЦ^ se teindre , être teint. — j^yi 'es menstrues.
/ö^^^Ц^ mesurer, prendre la hauteur.
19.
180 «ilLtJ^
ly rebelle, rëfractaire.
^ Уj^лJ^ corne des animaux. — ^^ enchantement.
i (^JJ^J^ ordonner.
> J^jp? grand.
^ UL^n^ ^^"' — (У^'^' и>1У ^^^^ honteux (mot à mot, se gratter le cou).
— v:)b^ U>1^ oiseau d*un vert tirant sur le rouge, avec une huppe
sur la tête.
sà^j^,jjf plume d'oiseau.
ULS^It^ aile droite d'une armée.
Ь^ espèce d'antilope? — R. Зз. j^Jôl^l j\jз\» jLj^ млЛул уjц^ (;)i?*><j'
^Jwt j^^l (2^b j^) J^jа^Г^^йм précédemment il était passionné
pour la chasse aux faucons, ensuite il chassait fréquemment le bMem.
— M. Erskine a lu Jb^, et pense qu'il s'agit peut-être du ^^ Jk^,
espèce d'antilope. Quoi qu'il en soit, ce mot ne paraît pas être d'ori-
gine turke.
c^4^ gantelet à l'usage des fauconniers. — )lf J-^з ^bti^t à^Un ^^
^Uu^LiM Ju^ ^Jч»! V^^^ qu'il monte à cheval pour chasser les
oiseaux, et que, attachant la timbale, il fixe à sa main le gantelet. —
Ö^ J*Cî> J^ Ь Js^ ^5 ^^\^\ j\âj^ j5Î s'il n'a pas sur le poi-
gnet de gantelet travaillé en or, comme en porte le fauconnier.
^^ sorte de reptile. On l'emploie aussi pour J^. -^— li^ ancien.
Ouj seigneur.
^ «Д/в^в^зЬо aller à pied. — A. G. tT^'j^ts^j^^. «-^U» (jЬу V^'^W
marchant à pied et poussant le cri de guerre, ils coururent.
i^jLkJ espèce de pointe de flèche, et flèche qui est armée d'une semblable
pointe; masse d'armes, se composant de balles d'acier, fixées à un
manche de bois par une courte chaîne. — B. 5o. jmtrf i^wLSJl j^l
iS^j^^ iSj^j Aboul-Kàcim fit des merveilles avec sa masse d'armes.
— Le vrai mot turk est (jC**^
yUJ herbe médicinale de deux espèces, la douce et l'amère.
JLsAJ pninelie dt» ToBil.
iLJuo 181
•• •• •
Si , lorsque mon œil tombe sur ta joue, ma prunelle y reste attachée par Teflet
de sa passion, faut-il croire qu'elle y soit retenue par un mastic?
U 4yHS? dame, épouse légitime. — ^^U-iiLjl Ji'Jfàà i^^^jl? (Sfdf fî^*^^^
^U»U}^ U|^ (^U^l (sJifi' J^ «^U^cSHtf quand l'homme, ayant une
épouse honorable, s'en détourne pour aller vers les concubines, le
pan de la robe de chasteté de sa femme pourra bien aussi se souiller
au contact de l'esclave.
Conf. u-Lj^c^ petit. — A. G. lua. J^ зj-^у^
hélas! cette Merv, le petit baladin !
4?^^^HH4S?» vJ^J^^ écrivain.
^ %ÙJ^^ pousser, croître; être fait, arrangé. — JJwt ^^ù^iJuL^^sr J*>^
(^^S^fijt^ di)^^y^ c^*-b t^*^^^^' 4^j^«X tsj^^ «APly Ь Jl# sous
l'influence bienfaisante du ruisseau de la justice, les fleurs des arbres
du repos s'épanouirent dans le jardin de la royauté , et les fruits de
la tranquillité arrivèrent à leur maturité. — B. 391. ^^1« Jula^a^^
f^à^\ w^ib^Xf^ jâlb (5;jUm un lit de repos avait été dressé à l'avant du
bateau.
^jjuo. Conf. з1*>ч^.
;ÿJО lettre, écrit.
^iLuuu écrit, lettre; poussé, en parlant d'une plante.
Quand parfois j'écris une lettre à ce voyageur, comment saurait-il la douleur
que m'inspire son absence, puisque mes larmes gâtent tout le papier?
Les roses du jardin de ce monde ont la puissance du feu, ses arbres ont
182 i^i^
atteint leur degré de croissance; donne ces roses au vent et mets le feu à ses
arbres.
J^çJuu écrire. — JчЛ^>« i^Js cs^ySi^yf (jь^ fS'j^^^à^.^^jM ils
lui dirent : Ne prends pas cette peine ; ëcrivons nous-mêmes.
U m arrive autant de secours de la part de Dieu que si j'avais occasion de lui
écrire.
Mercure ne pourrait pas écrire en cent ans ce qui se présente à mon esprit
dans un instant.
^5^1 f^ibj^i »x» J j^b^^ >^^ c;».iUL»M s^ju^b J3I dans cette lettre
étaient écrites des paroles pleines de compassion.
(i^AJ^AJU bien rangé, bien proportionné.
^ bâtard.
j^ <3^^?^ couteau.
Jl^su aiguille; ornement; sucrerie.
(55^X^1 j^ .iLjj^ 1)з1 liWul, J»ö^з âpb«
№^lj^ «i^i ^>-1й (<viW ^ааЛj ЬJ-ÿj^
Y a-t-il une aiguille sur la tète pour recoudre ma plaie? Est-ce le Щ de mon
âme ou de la soie qu'il but passer à travers cette aiguille?
- scie.
ÿ /ö»^ couper, tailler.
JS9W citadelle; porte; singe, en mongol. Gonf. pjc:s9. — A. G. 180.
v^^l JLi> (jvf^ étant monté à cheval l'année du singe.
bouillon.
Jwu 183
BS9 s ennuyer.
ç^y\à^ se montrer, paraître. — B. 3 j 7. ^tiit «;Ьj-м аjсжао^^
jУ^|J^ dans ce moment, une troupe d'Afgans vînt à paraître.
^idsAj cheval coureur, de noble race.
вдчАj herbe ou trèfle comprimé et desséché.
L jЛJ un. — j\j4rf un à un; continuel. — *î)b^ parfois. — 3I ^х^ un in-
dividu. — *à^j^ toujours, continuellement. — t(^ ensemble. —
A.G. 1 59. ^^^ji^^jb» Ад^зЬ ^l^ nous entrâmes ensemble auprès du
khan. — à^j^jéff, ^(s^j^j^ d'un jour. — aâ^S^ un peu,
un petit peu. — ^^^ (j^й/А? un, un. — dyijin d'un seul coup.
Au nom de l'équité, ne la presse pas sur ton вшп, ne nous oublie pas dun
seul coup.
Jr (44|hS? lâcher, laisser aller. — *dl^ espèce de gros drap.
(J^j^ jeûne.
АлаJ^, AÀe^ju un peu.
Le néant a passé sa fourche sur sa demeure, il a (ait de chacune de ses parties
un peu de grain pour les oiseaux.
B. a 02. jHW^^Ujl; лк^ ^Ь aâaS^ \^Уа\аj\^ дк^ ^З^jЬ Jч!< dans
le cas où les autres viendraient avec des bâtons, que nous venions
avec un peu de pierres.
^ i3ri^ petit drapeau ; verge qu'on place dans Thippodrome pour marquer
le but.
^ ^j^ ferme, solide. — ^^j^ accumuler, entasser.
184 sj^j^
j^U LJ3I ii)^ iSsi^,:> ЛjJ\
Le crochet étant fortement fixe, il le tira et abattit son rival, comme Thameçon
qnand il est solide réduit le poisson à se rendre.
jJ^J^ un d'eux, une d'elles. — nÂ^^i^j^ jJib ^^i^^yojuè àS ^^^^/^
i^txJT ^y.&jKi i$>J^ o^^ *^ly ^ J3I joS^ b ;^oJU» un homme
patient, qui se met à la recherche des perles de ses désirs dans la
mer de la contemplation , prend l'une d'elles chaque fois qu'il plonge
dans cette mer.
fj:jS^^ qui donne, qui pardonne. — (^3 (^ ^ cjv«» (л,*»» эj^^ t^'
^у4> ô mon Dieu! tu te montres clément pour ceux qui se sont
rendus coupables de méchanceté et de libertinage.
\y KS^^^rb^.i i^J^J^ ^ ^^^^ donner, il faut qu'il donne; l'un d'eux;
quelqu'un.
J^
Si qudqa'un tient compte des deux à la fois, il en r&oltera un bouleversement
dans l'état.
> sU^^fUjSjK:^ y JlcJ^u être solide, ferme.
Si, dans les transports de mon amour, j'enfonçais la dent dans mes entrailles,
je boirais du sang, mais aussi j'arracherais la pointe acérée qui s'y est enfoncée
solidement sous le coup de la flèche de la séparation.
^ù ^уА^ fj^j^ avec.
fj^ nom d'une fête solennelle; petit bout de corde.
Ji^j^i donner; en construction avec un autre verbe, se prend dans le
sens de se mettre à . . . s'adonner à . . . — «^t«^ l#y s'adonner à
prendre, se mettre à prendre; tenir. — J((н^ pour donner.
Quand bien même cent malheoreux* demanderaient avidement du pain ,
rhomme rassasie « assailli de nouveaux désirs , ne ferait pas goûter aux autres une
bouchée de son superflu.
^Л/ài à donner.
й1 |<n5" ^jjf^ff fG^
Sache qui est digne que Ton &8se preuve de libéralité envers lui, qui mérite
qu'on lui donne de l'argent.
^iLyS^ il faut que tu donnes.
Puisqu'il faut que tu сиеШев des roses sur le parterre de sa figure, que dirai-
je? il faudra bien que toi-même tu hii rendes justice.
jj^ ancien. — ^^^^ de ce côté-ci, en deçà; un d'eux. — jl# ^^^ Dieu.
Je suis venu ici avec beaucoup de soucis, poussé par le désir d'entrer au ser*
vice du roi.
viL^j^ être réuni» unifié. — A. G. i66. сj^,^УзТ i^j\^ мЛум (^i^yi
^d^l (5UU^ Kété,ijjAf Чу^У ^^ ces gens-là allant à un poste , des-
cendant de cheval» se réunissaient, ce serait bien.
4^«jo chose à donner; un d'eux, une d'elles.
Ayant interrogé l'un d'eux sur ce qui se passait , il comprit parfaitement quel
était l'état des choses.
M ^•J~m •
186
réuni. — A. G. 12 4. 4^*>^^b ^^^^чА^jы is^^j^i iUe^j^
tous s'enfuirent ensemble du côté de la plaine.
]n r^ nous; éclair; éclat; cotonnade; nid; trou.
En tout temps notre démeure brille de l'éclat du feu de la peine; on dirait que
nos ruines sont bantées par un dragon.
Jf ^\jJtrt ornement. — f^^y^ décorateur. — v^U^Sly^ orné.
> «iLoUjo orner.
Orne tes pieds d^ormais et ne leur laisse plus toucher la terre de leur peau
délicate; la vile poussière mérite-t-elle donc un si grand bonheur?
A>S!l fÙ^ VJJHH? р*-*-Jз1 0^«>S5^ Jj^з «Xj J^t
Jh^^I Jч^ <-^' ЛГ- *;>' «^'^ JJчи|<>*1уу
Si je meurs de chagrin de ne plus voir cette taille et ces traits ravissants , orne
ma tombe de feuilles de rose, plante un typrès à côté et viens-y en pMerinage.
ifll^-A.? malade; fièvre. — B. 5. ^^i^^j ^lo^l^^j^ Ч^ ^Ъ^jЬ^
jу^ U^-*-!^ *^^yàf (iy^y^ (0^^<5^ lautomne, il y a beaucoup
de fièvres ; on dit même que ies oiseaux sont mdades.
3fiji^j^ courge creusée , dans laquelle on met des dents et qu'on agite
au moyen d'une corde passée au travers, pour en tirer un son.
(j**-« gale. — ^j^^ч^ chameau de race métis et vigoureux.
-t (JÎHS? cinq. — ji&^ cinq par cinq. — ^lA^, (^-ïli^, ^^lA^^ —
иЦ^ \^^^\y^ (^yUu^ fi^j>j/^3 ii est bien certain que celui
chez lequel ne se trouveraient pas les cinq sens à la fois. —
(>«)lf nom d'une plante; espèce de ragoût de viande.
Juuu, Juu 187
- * jo bien cuit.
/&^l.tiu>A> rappeler au souvenir, faire venir à Tesprit.
^ viLuju chat. — : ^i^iAé^ AXir' souricière. — ^^^^^ pilon.
«iL^LubAJ venir par cinq. — A. G. 1 8 1 . v^^' v^^^^ venant par cinq,
par dix.
Jr vil<u.JO être cuit; devenir mou; se souvenir.
^ ^j.U>.o, A<â*JO petits pains cuits dans le beurre.
^ d^iMNAJ cuit; mou; coton.
^ (^аАлJ cuit. — B. 465. v»à u.^fc Д o'-*^^ i>b (:>--* ^^^' *^' **й
^Ul dU^i^U S;)^ дКч^ c-oAfc en outre, Tachèvement de Vima-
rety à moitié construit en briques cuites, qu'a commencé Oustâd-
Haçan-Ali dans le château.
^ sj^j^ÙMf berceau d'enfant. — ^^а^уй^ espèce de sauterelle.
ifuuju action de cuire; d'être battu en beurre. — A. G. i66. \::>ymj^
i^^jy^ V^-^ (s^ft ^^ îl resta à nous observer le temps de battre le
beurre. — Id. i68. i$^^ i^5ji>' f^^ «^^^9^j«^ le combat dura
le temps que la viande met à cuire, c'est-à-dire, peu de temps.
jиалл jument.
^ %лj moustache; action d'être préparé; intention, projet.
ЯЛ|Э achèvement, perfectionnement.
ЯХЭ oiseau de proie qui ressemble au faucon.
oLJLaj frais, dépenses. — B. 35з. dU4H(^>U» JJLt^ »)^L êJy^
j3:>j\tjy*jS^ i^j^i^ (^yji^ {jis^f^,^ liU^jb^Aé^ jчд: il y
a des districts qui sont destinés, depuis les temps anciens, à fournir
le fonds des dépenses du trésor, de l'écurie et de la maison des sul-
tans.
C5S^tAi^ reins; hypocondres. — B. эоо. j^^t^M^I JицичА^ ib lui décochè-
rent une flèche dans les reins.
libuS?, vibo solide; grand; très, beaucoup. — vf^ seigneur, chef.
188
^:»iL^t pUU »;3з1 CAi^' lil^
li se plaça sur un grand trône et se mit à faire des recommandations.
B. 16. i^^\ (^âoif? Jч^ Ja^^ Ьдмöз <Хг>У son administration et
sa manière de tout régler étaient très-bonnes. — ЬЦ^ ^^t kii^ avec
une voix élevée.
ol^AJ les chefs, les officiers. Ce mot est presque toujours joint à J^,
dont il semble un pluriel anomal. — B. 39. ^^«^ ^Ь ^рм.^1
j^iiiKtf^ j^^^^з les beys et les officiers, ainsi que les honunes
d'armes qui étaient dans Akbsi. Le persan a rendu les deur mots
par yïjl^^. W. 3o, 46.
^Ixaj jeune fille libre.
Pour obtenir la possession d*une âme vous avez mis à contribution toutes les
ressources de la tyrannie; est-ce ainsi qu'on agit, 6 jeunes filles? Sont-ce là vos
procédés dans la tribu qui vous a donné naissance?
«
«iWl^AJ approuver, trouver bon. — {JЛj^. pierre dure, nom pr.
viM^^o lier, attacher. — ^^ éclat, splendeur; alêne.
IXa.> A^aj femme non mariée, femme qui n'a pas eu d'enfants.
ô mon cœur, si Tamour est dégagé de tout élément bon ou mauvais, qu'im-
porte que l'objet de ta passion soit une femme non mariée ou une princesse dont
la mère soit d une naissance iUustre ?
^iЬ^^Aii? lié, enchaîné. — ffS^ dame de haut rang.
JS^x» semblable, comme.
jyXt^ 189
jК 0».-i»,l;3 Jj^ 5Ï)T vîl^:» д^-м.
Montre-toi indépendant et droit comme ie cyprès, on bien porte des firuits
comme i abricotier on le pommier.
Qui est-ce qui , h la vue de ses yeux semblables au narcisse , de sa figure belle
comme la rose, n'a pas jeté au vent sa raison et n'est pas resté ivre et bors de
lui-même?
\? ù^ reins; milieu.
J^ ^^, ^^-> comme cela.
^jр^. gant.
cf^kx> pierre à aiguiser.
^"^Laj avant-bras; présent; prémice des fruits; tertre creusé par la pluie.
A»^kjL> carcan dans lequel on passe les mains des criminels.
^J^^nAJ, i/'^K-Aj auprès .de lui, avec lui.
:Лj ^ио^j^öj^
^W^ Ч^у^У^г^^ ci**#
Un marchand originaire du Khataî arrive, ayant avec lui une jeune esdave,
douée de précieuses qualités.
vfL^Lu aiguiser.
^"^Lu avec; par.
^"^kju pierre à aiguiser.
i^U-bo ceinture. — B. эЗБ. ^J^jы (^^^^lO^U^ il me tira une fois par
ma ceinture.
^ jjiX^Ji l'année dernière. — jjy^ de Tannée dernière. — B. 48 7.
190 siLtj^jXU?
(^«кХдХда c;a^U^ comme cela avait eu lieu l'an passe , je lui assignai
Sarun pour ses dépenses et Kundeleh pour Teniretien des archers.
Оj^уХкj espèce d'anneau formé par une courroie, que Ton attache à la
poignée du sabre , et dans lequel on passe la main ; morceau de bois
en forme d'anneau qui sert à manœuvrer le filet à oiseaux ; petit clou
qui orne le manche du fouet. — B. 176. ^^эу^j-е^ «àU^iolÂlo^
j^jÿ^jы à l'un des bouts de cette corde , ils fixent une flèche , puis
ils font un anneau de bois, qu'ils fixent è l'autre extrémité.
olXLo nouvelles. — B. 3is. ^:>jyiX^ s^^O^^,^ Ixâ. (^«я^Ь ^\^
il apporta des lettres et des nouvelles de la part du khan.
^^ХХл^ signe» marque.
Mon âme, en voyant sa fiancée, a compris que j'étais amoureux; comme celui
qui reeonnatt son esclave à la vue de certains indices.
jjуз^ y^^ ^Sy^ v^l ^y!^
Le rire est un manque de manières; c'est un signe certain d'une mauvaise
tenue habituelle.
jp^Ck^ marqué d'un signe.
^yiyO^ \j^\ jLJftI ^5^0^ ^,:>^\ ^ÿ yf а>з'
J'ai imprimé sur ma poitrine avec le feu de l'amour la marque qui me désigne
comme ton esdave; c'est ainsi que je me suis rendu reconnaissable parmi tous
les sectateurs de l'amour.
OftXlAJ nom d'une tribu djagataî.
U^xlxJ trace, signe.
sÙ^jj^XjjJi être connu , se reconnaître.
«iULu» 191
Si je demande à sa joue brillante de beauté de m'unir à see bondée de che-
veux, quoi de plus naturel, puisque le renouvellement de Гаппёе se reconnaît
à son printemps?
> viliuu savoir, être capable de . . . — ^«>^ qu'il sache.
I
Depuis que Dieu a donné aux hommes le capital de la science, les savants
édipeent le soleil lui-même. Ceux qui prennent leur part d'une si haute dignité,
qu'ils sachent que leur rang est élevé au-dessus de tout.
{Л^^^ sache.
iiluJUii» muet, malheureux. — ^^ espèce de coin fait de pierre.
jp ^Lo ainsi. — лк^ avec; ensemble; ayant su; comprenant. — ^^^W qui
est avec lui. — дк*^ cocon de ver à soie.
Jp ^^J^à (^JO oiseau semblable au faucon.
^Да^ petit des oiseaux.
^ilxLsj science; conseil; intelligence.
4
Puisque le roi sait les noms que portent les animaux, il ne doit pas s'étonner
si Ton trouve parmi eux la majesté royale.
Allusion au nom donné à certains oiseaux; par exemple, un per-
roquet qui parle très-bien s'appelle ^Jь ftlâ; les faucons les plus
estimés s'appellent '^^ sU, etc. etc. — «Де^J^Де^, «^l<vW savant.
192 (^Ь
|С\j=: fiXjjJ princesse, grande dame. — A. G. 119. c;4ââ^ ^л\Л^\jj^
4^^' jЬ^^ (^ à^^^cs^ ^i^j^}:^^ quand un pâdichâh épou-
sait une princesse de Mangat, elle recevait (à Ourguendj) le titre
de Ыш.
iiXAa^Aj cheval coureur,
ob jbuo mets, fait de tripes de mouton,
^ ^JutLxJuo être semblable.
АЛJ forme; extérieur; peau,
ressemblance.
Ajuj, Ax) jument.
\> siU« = vibs? grand.
yu trace, signe; cicatrice. — ^jlfb plante du pied.
/^^•д^и&jЬ confier, remettre.
jJЬЬ blâme, reproche.
^д^JиЬ troupe; détachement; imposition extraordinaire; paresseux.
/ö^^^Ь battre; planer; rôtir; flamber.
^ /44vb* trouver; adorer.
«^йЛJо juLeJ! (^<>^l jlf jb AjbU^b dl^
Sache le, A Nevaï, en cherchant, on n'arrive pas toujours au but de ses désirs;
mais celui qui a trouvé a certainement cherché.
Si Ton fait mention àe lui avec un cœur zélé , il n*y a pas de doute que je trou-
verai la solution de cette affaire.
s^^b^jJr^b, viUo*^- 193
Répandant l'argent à jdeines mains, quand il m*a découvert, il n'a trouvé de
ma part que les chagrins.
Si vous me cherchez là vous ne m'y trouverez certainement pas ; le lieu où
nous nous trouverons, ce sera précisément la patrie.
^\jjUàé jjfb fiole de vin.
^^b' chose qui est trouvée; adoration; cérémonie en usage chez les Mon-
gols, et qui consiste à s'incliner, en posant la main sur la tête nue
et sur le front; servitude, service, hommage. — jуч^ #^ (j^UJi ul
^UàaXa* Alâ»>^ j'ose donc espérer qu'on daignera jeter un regard
sur ces vers, production d'un esprit en désordre, qui ont été offerts
comme un hommage , sans tenir compte du rang infime de leur au-
teur. — ^j-jfc^U qui fait adoration; qui se met au service; page.
— ^LkM^^b faisant adoration.
J^J^J^^J^J^^ bois avec lequel on fait des manches de fouet, des
bâtons, des flèches, des cages pour les oiseaux. — B. 6. ^-яJ^Ь
j^LûLI ^j^jj l'arbre appelé taboulgou se trouve dans les montagnes
de Fergana, mais il ne se rencontre nulle part ailleurs. Son écorce
est rouge. Avec son bois on fait des bâtons, des manches de fouet,
des cages pour les oiseaux; on le taille aussi en flèches. C'est un
très-bon bois; on le transporte au loin avec beaucoup de profit.
JL»%(^jj^[;, Jи?с>^^лjЬ s'agiter, frétiller.
^ •
DicT. TUHK, iH
\9à С^^Ь
Ji .•--è jj^ ^L^ft-j <ö^' ЗУ
ЕНе s'agite comme on oiseau à moitié mort; les angoisses de son cœur désolé
ne font pins qa*an avec elle.
«iLc^b s'agiter.
^ JУ?и m. troupe de cinquante hommes, gardes du corps, pages. — B. 19.
j^^<j^\jц> (^Ь Вj^^ 4>JЛj4ш^ <р^Ь »^4^ ^Iwl^ il prit pour sa
garde particulière les jeunes gens de ces deux principautés qui étaient
bons au service et leur donna le nom de gardes du corps du Kho-
raçân, gardes du corps de Samarkand. — Id. /116. j\ <j^ c\ У Ь
клсХж, ^jUa^I; avec une troupe de ma garde particulière. Gonf. 1^9^-
/o4y^w se prosterner pour adorer, pour rendre hommage.
^ Ou saveur; nourriture; justice; gens de bas étage qui n'habitent pas dans
les villes; ceux qui s'attachent à la personne d'un grand, sans faire
partie de ses esdaves; gens sans aveu.
Ce malheureux, pris au filet, poussait des cris, en disant: Hélas! comment
un vagabond s*est-il emparé de moi ?
UAHW ^\ ;^.А-шА^1 ^ Jb Ao.
Pourquoi les chevaux mangent-ils Torge en épi? pourquoi dans les maisons
des troupes de vauriens dévorentr-ils les poules ?
/oVikjb rechercher, fouiller. — ^jjSb goûter.
j^h cheval de trait, cheval fort. — j*j'b, usb goût, saveur.
viWl^u se complaire en soi.
JS^^t* orgueil. — *ii*s»"b nom des aborigènes persans dans l'Asie cen-
trale.
^yëj\i 195
vjtjçlxAjWb fanfaronnade. — ^jyc^b étui de carquois.
«.^л^Ь céréales.
L J^ étroit; fâché, irrité; ladre.
Des fronts tout de rose et des cils pointus comme des épines; de larges pau-
pières et des bouches étroites.
1*3 jjj^ oLh^ Ь^^ÿХ^^^ТАЗи^з! tey5"
Aucune bouche n a demandé à Lutfi des nouvelles de ses angoisses , quoique
je sois resté frappé de stupeur au souvenir de cette bouche si fine.
B. 45. ^^à^yij^ VjjXA ^UyJl ^Jv {^.^^•^i'^Y^ yj pour cette rai-
son , Bedi-uz-zemân-mirza fut très-irrité.
L ^\)b peigne. — |#j;k pièce, morceau.
^ (З^Ъ Y^^S^^^''' cultiver.
Quand tu peignes tes boucles de jacinthe, il est étrange que la sueur perle sur
tes joues de rose; car une nuit nuageuse n'a jamais de rosée.
^\jb cultivateur. — *^^^jb tristesse, chagrin,
bl^b souricière.
iSi9^yjb dispersé dans tous les sens.
0«J^ C^jby 0%JSJ Cjjh dispersé dans tous les sens; en désordre. —
B. i36. j'>kjùj\ÂA^ j^ %;i>j\s ils les firent sortir en désordre, mot
à mot, en les tirant et en les tournant.
/Aiow tirer; supporter; boire; se prolonger; tracer; ranger en file; enfi-
ler; exposer; offrir, servir un plat. — [^j^ cjvy?' envier.
i3.
1 96 (J^^J ^
KJ,\:>yJgs^ (S^^ t5*>4?l jЬ;Ь-
Lorsque la fortune se montrait unie à moi perpétuellement, elle m'entraînait
sans ф1е j'eusse conscience de moi-même.
viLn^jj^j^ jy J^l (jvîjbjb j.4X-M^ cjs^^W- isj^
j^ iks>Jsj\i (_^54M^I v^^ <^Hk-^ 4^j^' W^
A chaque instant je bois à longs traits la coupe des violences de ce méchant ;
on dirait que Dieu m'a créé pour supporter le poids de la tyrannie.
j«>^^ quiconque s'est enivré à la coupe de la vraie vie, aura for-
cément à supporter les effets de l'ivresse de l'anéantissement. —
j 1<\-5"кСс1з ^5-»- fj\xij\i j^J^JtrisâJiigjj^ y» que sont toutes les peines
et les fatigues que moi , misérable, j'ai supportées pendant des années?
— (O^'j^^l^jb ^{j^Ji^ (jз^ t)^' cela ne se prolongea pas dix
ou quinze jours que... — ^^J^-La-ï fj\i (:ХН{у^ «Jчн a-^^I J1дз ^j>^
^^LJ,b feLi^c^HSrf f/'y ^j\9 *s^j^^ с^:>jл\ уш AijSl^l ^^ Dieu
changea pour eux l'eau du Nil en sang. Tandis que l'eau conservait sa
pureté pour les enfants d'Israël, elle n'offrait plus que du sang аик
Coptes, ce qui se prolongea pendant un espace de sept jours. ^ —
^Lh^3 :>Уоз (cJbl ÇA^^ u^^b cjJU* ^U \:>€.j^ i^i^jAyi y^
ijLt*\j ^^yJS*^ il traça l'image du monde sur une sphère qui avait la
forme d'un œuf et y décrivit, tant les climats, que les contrées et les
montagnes. — J^!^ u^**?;*^* â*^ ОУ^З^ ^^ ^j f^^ !;' J^'з^
comme lorsqu'on enfile la pierre noire au milieu des perles pour re-
pousser le mauvais œil. — B. Q2. j^jjbj^^^U?- ^^iï^ ils expo-
sèrent bravement leur vie. — Id. 1 45. л^уА^у {^^^ t)W- гJjцлл,^
mes partisans dévoués. — IL 45 1. ф^ч^ ч^н^Ь* ^U>- ^ù^^^^iygm
j^:> ySj^i)^S^ öЧЦ- voilà pour vous le moment de frapper du sabre
en exposant votre vie. — а^^зjуЬ^ être servi. — /rf. 3i6. ^)1jдАай
(^оJj^^Ь {j^\ un plat appelé iilkran fut servi.
/^uju^w, {JièJifijyi querelle, tiraillement.
^\ij\i 197
сjö^Ь' présent offert à un supérieur. — B. i5o. 1«>оЦ;^-дм дкj1> ^^i
^Jчjр^ jl^ i43ôU3jb (>е^Ьз à trois reprises différentes, il s'informa
de ma santé et m'offrit des présents, en fléchissant chaque fois le
genou. — Id. iâ6. i^j^^^i é^j^^ (j<u.Ca^ en s'acquittant de la
remise de aon présent et de son offrande.
vcjXi ramassis de gens qui émigrent d'un pays dans un autre.
Mhjyo Ic^b dispersion, éparpillement.
>b)b, f^^4^j^y i^^J^ ^^^^ dispersé, séparé, dénoué, affligé.
Si les amis partent pour le parterre de roses, c'est-à^lire le paradis, alors, 6
mon âme, Ь mon cœur, soyez affligés; mais pourquoi vous tourmenter d'une
absence d'un mois?
Quand il ouvre sa bourse ce n est pas pour en disperser le contenu , mais bien
pour y faire entrer encore quelque chose.
si>
tljuUu3b;b j^J^^иЗГJj $\хш ^уj\м (j^Уц^ («J^Ц^ vous avez dis-
persé le cortège de mon bien-être par l'invasion de l'armée du dom-
mage.— B. 391. oh^^Tap^juw *^Ц— (J^*>^^^Ь;b Jiyj:> ^^'ÿSj[g le
lendemain, lorsque le conseil fut levé, étant monté à cheval pour
la promenade.
4^ j|^u champ ensemencé.
/o^'Ujb s'élever, monter. — ^^^U;b grimper à l'envi l'un de l'autre.
B. з48. ii^^JiUjb лла\зjлз t)WîHù?
Étant arrivés nous grimpâmes vite à Tenvi Fun de Tautre à la montagne : sans
nous soucier de ses flèdies nous mardiâmes et poussâmes en avant.
^U^b canal.
198 (^j\i
v3 f^Jr^ angoisse; millet; champ.
Ces pommes d'or qu'il a ramassées de verger en verger s'écorcent comme le
' millet, en laissant beaucoup d'amertume.
L /Х.j,Jък avoir le cœur serré, se chagriner, s^ennuyer, se lasser.
Je suis un oiseau <{ui ne quitte pas la prairie, qui ne me lasse pas de parcourir
les plaines et les vallées.
jЯ :>^-ju^ (:jvj;?l t^:*j^» 0^1 b^i^l ^^I J^U
ô mon cœur, ne te chagrine pas trop pendant l'absence de cette coquette;
peut-être vaut-Ц mieux que les choses se passent ainsi I
/^ «b semer.
Celui qui sème de l'orge battra-t-il du blé? Nous n'avons jamais vu que le
pourvoyeur liit comme le froment.
Elle a mis en effervescence le cœur de Nevaï , la semence de ton amitié que
tu as déposée dans ce sol fécond.
b 199
Depuis que j'ai aSSeiire à cette bdle à la boache ëtroite, dont les cheveux
Uennent mon cœur emprisonné dans chacune de leurs chatnes, je veille attenti-
vement à ce ф]е de chaque goutte qui s*ëchappe de mon œil soit semée dans son
cœur la graine de Tamour.
Quiconque sème avec la concupiscence la graine de Tiniquité se purifie à
chaque plongeon qu'il fait au milieu de Геаи.
j\i femme sans pudeur.
JГ;Ь muet.
•^ ^У^ espèce de chien de chasse. — ^jidt^Li»b se mettre à Tabrl.
/o^Lmu avoir comme un feu dans la poitrine pour avoir couru ou par
suite de maladie; être fatigué.
Sdêé\à soufflet.
«j^LmU grossier, désagréable.
/лА^КшК» s'attribuer faussement une chose.
iyçiXdééXi s'ennuyer, se chagriner; s'eifrayer. — i^yb*^^ tumulte.
17 yj&b pierre; extérieur; éloigné; se met à la fin des mots pour exprimer
l'association, comme jftlAJii^ frère de lait.
S'il y a une montagne qui recèle du sang dans ses entrailles et dont les flancs
soient hérissés de mille rochers de malheur, tu peux dii*e , en général , que cette
montagne donne une idée exacle de mon intérieur et de mon extérieur.
20Ô (^^Ь
' ii^JV*^ iJ^^ {^'^'^^
Personne ne connaît les secrets de Dieu; les œuvres de la Providence sont en
dehors de toutes les intelligences.
J-ûb qui est à l'extérieur. — ^Aûk endroit pierreux ; gésier des
oiseaux; la partie extérieure; le dessus. — A. G. 1З9. i^JLCb «^^j)
Л^«хj|(^1 jlf (^^jЛш^ (jf^i^j^^yi ^jyxi\ il avait une pelisse de zibe-
line, dont le dessus était de brocart d'or et les boutons d'or. — ^jib
dJ^ petite pierre, caillou.
Ai\j^h tortue.
/&jимЬ arc qui n'a pas assez de roideur.
LiLûb, (^libub à l'extérieur, dehors. — B. 6. л ■ -ju-jj^^ JC^I^^-a-,
^^jJUw^iJ^ ААг ty^^oLi;^*^'' ^ ^^^ ^^ deux reprises différentes,
il tailla des escarpements plus en dehors des murs.
Jf ^JjЛДЬ débordé. ^
/o^'^Lmu rejeter, lancer une pierre, un lacet; abandonner, laisser. —
j^d^Lub ils ordonnèrent de détruire sa cellule et d'en jeter la terre
hors du couvent.
Voyant Tennemi tout troublé de ce combat, il saisit ce moment pour lui jeter
son lacet tortâlé.
B. 379. (s>^ v^'^^ ji^Aj 4^Ш SjyS A3i:;>Aj n'ayant pu tenir dans
Kilât, il sortit en l'abandonnant. — Id. 296. 1:^5" v^^l^ аиЦ;У
^«xXl il ne put s'en aller en abandonnant la citadelle. — M As 6.
^yi c^jLA>b o^Vj;;b (jJb;b abandonnant son gros bagage, il a fui.
— Id. 1З9. v^^l^' toJy Jlî^I ^ym laissant l'eau à main droite.
J7 /4-^u déborder.
JЬ 201
ÀJiib endroit où Ton dépose ses chaussures. ,
/a-i^lc^-jUMib être frotté, usé par la claudication, en parlant du sabot
du cheval. — ^>аХЬ débordant, jaillissant.
MU être fortement battu et blessé.
/j.jNUu transporter d'un lieu à un autre; porter.
^ ib montagne. — jUb plat, vase.
y fjyi^ poule. Gonf. ^33 b. >
_y <jb nom d'un arbre qui brûle lentement; seul, impair.
yixi fer à cheval.
f3^<ob étui qui sert à mettre le carquois.
^ i44b lier, attacher; suspendre.
te, Adb boucle; crochet; fer à cheval.
pLjuM» ^^1 jb Ub ^^1 J^
Des selles d*or, des brides d'or, des boucles d'or, des ornements du même
métal.
Jp, ^Ь en outre, encore. — ^jцöни^Ь se joindre, s'associer.
ffxib effets, bagages.
Jb saule, branche d*arbre, rameau.
Vp3-^ u*^ Jîr*^ r^ b^,A«^
Quand les flèches de Гаа1ооше volent contre le saule, chacune de ses feuilles
tombe sur son corps comme une pointe meurtrière.
dUb â U-|;JL^ tfH^Jb JUÛUUJ pi
Si mon cœur tremble continuellement comme la feuille du saule faut-il s en
étonner, puisque vos promesses envers moi sont continuellement mensongères ?
202 (^^^Ь
JУ, jСГ^1*>ö1 ^j^-1м j^^ L^b ^
Ah I le beau roi que cet amoureux fou dans la montagne I Qui trouverait une
source comparable au crystal limpide des rochers? Un jeune rameau forme au-
deseus de sa tète un pavillon royal. Un vieux vase de terre, qui lui sert à ëtancher
sa soif, est pour lui la coupe des plaisirs.
^Ь* vert, endroit où il y a de la verdure; soupirant par l'effet de la ma-
ladie; faisant un plongeon.
Au printemps la parure des champs captive Tesprit, Téclat des tulipes qui
embellissent la terre, charme les yeux; heureux celui qui se promène dans les
prairies verdoyantes; car, dans cette saison, elles offrent un spectacle gracieux
et ravissant I
/g fiAi».'b', /jЦс^^Ь s'agiter, s'efforcer, se fâcher; fondre sur.
En vain tu feras tous tes efforts dans la satisfaction de tes passions; quoi que
tu fasses pour conserver ta force, tu seras brise.
^^L' tourbillon de vent.
ft»^b effort, combat, querelle,
/o^^b s'efforcer, se disputer, disputer par la force, lutter.
yUJb 203
Tellement que le roi conquérant, à la forlone illustre, lui disputait le trône
pour s'emparer de la couronne.
A jouer ou à lutter qvec les jeunes filles jusqu'au moment où elle regarde traire
les brebis.
v3^U la rate; vol, rapt. — j^k^ esclave.
/4^^w piller, dévaster; mordre, en pariant du chien. — ii)Lu^l
j^iS^ji^ Ч^ЗJУ^^ V^k jjЪ^ ^^^ avaient amené quelques pauvres
ânes qu'ils avaient enlevés de force.
^jлЬ" invasion, pillage, destruction. — ^j^\s ^^^i désordre, dévastation.
{^ли pillage; nombreux, beaucoup.
f
Pour obtenir la possession d'une Ame, vous avez mis à contribution toutes les
ressources de la tyrannie. Est-ce ainsi qu'on agit, A jeunes filles? sont-ce là vos
procédés dans la tribu qui vous a donné naissance.?
J^LÂJb, IâJu flot, bouleversement des eaux de la mer, agitation; pillage.
— B. 171. Ыjз^Ь Aww сж-шЦ^ APA^cu^^ (f^jvy^yf (jii^^xi^^
^yi оУЧЦ-з C:J:i*W {j^у^з ö^*^ J*}^"^ Sebekteguin ordonne de
jeter dans cette fontaine des ordures et des immondices. Une agita-
tion, un débordement, une pluie, un vent violent accompagné de
neige s'élèvent à Tinstant. — (y^lbJl* aux flots soulevés.
/ö^1аJЬ' séparer, diviser deux choses.
^LâJu blé encore vert que Ton présente au feu, que l'on broie avec la
main et que l'on mange dans cet état; toute chose rendue molle en
la broyant. On dit : ^} ^j\ii\» ^Ь* j'ai réduit la montagne à l'état
de talgan, c'est-à-dire, je l'ai foulée sous les pas de mon cheval.
20Â Ah
yUJtï A»U,L Cjyiyt ^ùjyr *-4^t
Après avoir reçu leur récompense et pris Гог plein à leurs boucliers, dis qu ils
ont broyé la montagne sous les pas de leurs chevaux , c'est-à-dire , qu'ils Tout
franchie.
|»ÿА/Ь* soulèvement des flots de la mer, agitation de Tair.
L* action de plonger; plongeon.
j^\j épervier, oiseau de proie.
/öди être malade, fatigué; s'évanouir; s'enfoncer soit dans Геаи, soit
dans les réflexions.
Tu n as pas accompagné Nevaï dans la route de Fanéantissement ; 6 hypocrite!
t'es-tu donc fatigué à parcourir cette plaine-là ?
yUJb Ь ^JiJi Jiiliri \j^\ p^^ UJu^ ^b à
Si tu veux jouir paisiblement du but de tes recherches , parcours la plaine du
sacrifice de soi-même ; &ut-il s'étonner si celui qui s'est fatigué à traverser le
désert trouve à se reposer dans l'enceinte sacrée?
-*lu petites pointes, échardes de roseau, de bois de flèches et autres choses
semblables.
Sans doute que le roseau de ta flèche s'est brisé en mille pièces dans mon
malheureux cœur, puisque des tulipes s'y trouvent fixées à différents endroits.
Nous f avons beaucoup désiré dans le couvent , ô musicien , mais tu es arrivé
^Ь , ^sAu»h 205
en retard; toi qui, par le charme des cordes de ton instrument « as change en
nouvelle lune chaque fragment qui tombait sous nos yeux.
j^5^b plongeur.
/Лш^jиJЬ être malade, fatigué. — B. i5i. J^^ n ^^C^j j&н^ *^j'is^,
^^:>j\j Ak^ pU ^-^éAJb t^»>^^ iS^j^^ iS'^^y. 4W '^^ vingt-
cinq ou vingt-six fois de suite, il fléchit lé genou, s'en alla, revint;
accablé de fatigue, il faillit tomber.
jJb haletant.
(jvJk Д|:> CA^I лДеР bj^^T^^L
Tous sont haletants comme des chiens enragés , mais ils sont plus nombreux
que les poils du chien.
«ftu appentis; toit, muraille; goutte. — ^^3! -b maison. — B. 356. a^-I*
jj^Jh^jL/h? v^Ji) Чу^у^ <д;ЛЛаЗ уЛ^\ AigWi ^^ plaçant ces dents
contre une muraille ou un arbre et en forçant, il les renverse.
Son toit n'a jamais vu une goutte de pluie; Téclair n'a jamais fait parvenir sa
lueur jusqu'à son toit.
J^ т\м\а la gorge. — Uft^Ub espèce de clou. — <5Л-«1#, ^^\i goutte.
Mes larmes n ont pas la vertu d'une goutte d'eau pour éteindre le feu de mon
cœur; car elles s'accordent avec lui pour détruire la tente de mon corps.
Lorsqu'en buvant l'échanson me présente coup sur coup deux coupes de vin ,
je veux les boire, en les dégustant goutte à goutte.
206 >ÿ.мJоЬ, iyééjl
f^^jçs^^b boire goutte à goutte. — c:»lr âVÎr^ {^^^^з^ «^^^ ^U^^û^ib
j^i jTjTLb Lb (2^4>Jз o^WyTl tamchtmak se dit lorsque, par vo-
lupté, on ne se hâte pas de boire le vin, mais qu'on le déguste len-
tement pour en mieux goûter la saveur.
Jr /AA^^h tomber goutte à goutte.
> ^Ub goutte.
L /4-^b tomber goutte à goutte.
Son feu se ranimait au souffle de la musique; ie vin y répandait comme des
gouttes d'huile.
j^u veine, racines d'un arbre; creux, cavité.
Jly^b enfer.
L (Ц^j^^ distiller, faire tomber goutte à goutte.
Il me dit : L'œil me démange; je lui dis : Verse sur lui du vin goutte à goutte.
Il me dit : Quel besoin a-t-il de vin, n est-il pas ivre sans cela?
Dans le secret, il laissait sur la requête destinée à cette fière beauté le sang de
son cœur, que ses larmes y versaient goutte à goutte.
/Ajçià^^^h boire à petites gorgées. Gonf. ^^-tryâU^b.
f^h action de nier.
jушшХjЬу èj,mJ\j chose merveilleuse; introuvable; en travers.
Là où il avait conçu le plan de ce palais , il produisit cette merveilleuse image.
^^^U 207
nih qui nie.
^>JLftib son , bruit produit par le pincement d*une corde.
цДзЬ matin; étonnement; ornement de la sangle du cheval; lié; boiteux.
Quand même le rossignol renouvellerait cent fois sa plainte amoureuse, tant
que le printemps nest pas avrivë, comment la rose poorra-t-elle s'ëpanouir?
Quand la nuit tënëbreuse a envahi le monde, aussi longtemps que Taurore ne
poindra pas , qui donc aura la puissance de fiiire paraître le soleil ?
^jJLls dljb être stupéfait. — A. G. lo. J^k ^мн^с-Х! ^j^^^ ^
j^«хJ|ÿ ayant entendu ces paroles, ils restèrent stupéfaits.
/ö^^Ц^1ймХзЬ admirer; s'étonner.
^^X>b le lendemain; peut-être. — j'^^b qui appartient au lendemain.
— l<N^Vi^b mon lendemain.
/Цj9*^^Ь blâmer, adresser des reproches.
^'S^Xib rester stupéfait. — A. G. 61. j^^^JoVdLjb c^n^j^^tjàs J^l
4^>^(^^' ^i^X^ ^у^ en voyant cette place, ils restèrent stupé-
faits, se disant : Conmient ferons-nous pour la prendre?
(^^^K^b le palais de la bouche,, la bouche.
/i-^ib tordre, lier, serrer.
«M
oi^^ jУцjОЛзЬ 1^1 Js^ ^j^
Se hâtant d envelopper ses membres dans la soie et dans les étoffes , ils le
lièrent fortement dans un berceau richement orné.
Le ciel, qui forge des chaînes, serra autour de sa douleur lacets sur lacets et
liens sur liens.
208 ^^'ibb
Passant comme des voyageurs d'un pays à un autre, serrant bravement autour
des reins la ceinture d'une ardeur inépuisable.
La Vierge est en train d'attacher sa ceinture devant elle; le Cancer se montre
ouvertement dans toute sa splendeur.
iiLL^) ц'*^ 4*^^>* JЗ^ (â^^yi ^i:^.
JuîUKjI; (^jч^ AiUy jU»^ axa^L (s^yy
Placer la couronne du bonheur sur la tête d'un homme vil deviendra certai-
nement pour lui une cause de supplice. Si tu attaches le bandeau du faucon sur
la tète du noutoukdji, n'ep rësultera-t-il pas pour lui de la peine et du tourment?
/a^lcj^Xilï admirer; s'étonner.
^^jJb ^^:>iKA^ (jviUjlf v4>^'^*
Frappé de stupeur il laissa échapper le poisson de ses mains; dans son élon-
nement il se mordit le doigt et demeura immobile.
?-U lo^j^ (S^j3^ 4-^^' *^>^ Ьjйч?! Jз»
ô cheikh, ne t'étonne pas si je suis impuissant pour l'hypocrisie, puisque
Dieu m'a refusé la capacité en pareille matière.
/л^"^Ь choisir, discerner. — « » i In L»y àj^'^^yH ^j^ (JЧЯ ^-^^"^^^^
{^ь(^^^<^ il discerne entre tous les hommes et choisit dans
^^^Ь 209
la foule, comme des plus capables de traiter les affaires qui ont trait
aux intérêts de TEtat» ceux qui ont exercé leur perspicacité et qui
possèdent de Tintelligence.
Ne demande pas si ce que Téchanson nous verse de sa main est bien pur,
ou si cest de la lie; tout ce qui vient de lui est bon, puisque loi-fflème Га
choisi.
^ (3^ "^®*^' refuser.
v5^b* témoin. — jЗ^ЛjуЬ témoigner*
^ ц&^Ь connu, qui connaît.
^ «LjJtêL^b action de connaître; connu.
Pour celui qui a Tesprit pénétrant et subtil, est-ce une grande affaire que de
distinguer la venue de l'automne?
(Jf /AjÇib connaître, savoir; penser.
(jй^^) ^jj.>Хцл ^fi^ 4jУ f^ (S^ u^*
Un homme riche, dont les moutons dépassent le nombre de cinq mille, et
qui possède plus de mille chèvres laitières, ne parle plus que de brebis ayant
chacune un agneau, et pense qu'il serait plus avantageux pour lui d avoir des
chèvres avec leurs chevreaux.
jl AS'Ub ^J^P' ^fi^j^\ Jз>у cjvjjt d^U
Ne pense pas que ce soit une parure qui ait lancé dans le cœur une flèche
DiCT- TDRK. 1 fi
210 о^-^^JЗ^
mortelle; o'a-t-elle pae en sa posseesion les traite de ses cils et Tare de ses
sourcils?
JUn^L' connu. — B. 90. (^«x^l «г>Jз-г JW^b \:>^iL^\ jy\jiii^ dans la
suite, il avait été connu de moi à ma porte.
^b occasion; lointain, loin; montagne, comme ^l#.
jjb parois d'un vase.
/oi^w^b sauter, s'élancer. — ^^b lointain, loin, comme ^k
/^ЬмÿЬ être malade et incapable d'agir.
Si je n*ai pas la force de porter la montagne de Taffliction, est-ce donc bien
surprenant, puisque le ciel lui-même ne saurait soulever pareil fardeau?
ji^JLû^b cj»j5" jJw ^Jsf^«x-u S^} J>> son corps est très-affai-
bli par suite de la violence des fatigues de la route.
{^^jj^ y Lûj u scarabée. — ^>^^зк engraisser. — f^^^b grossir; tordre.
(3'^Л^ achever, compléter,
'^jbjj^b son, bruit des pas.
Si un bruit de pas se fait entendre à Tentrëe de la maison , je me dis : Voilà
mon cœur de roche I Si Tombre pénètre par le seuil de la porte, je pense que
c est mon soleil qui approcbe.
Lorsque le génie meurtrier entendit le bruit des pas il leva la tête pour voir
ce qui se passait.
\) ^LiLûj^u lièvre. — (^уЬ^! ylii^ij^b sommeil du lièvre, c'est-à-dire né-
gligence. — а-^зъ^ s'éloigner; bondir.
\
^Ь 211
^■й..л4^^Ь action de confier, de commettre aux soins de quelqu'un.
^ F3Jr^ poule.
^иjдÿЬ, иjдÿЬ casque.
Leurs pendants d*oreille brillaient comme de l'argent ; sur leurs tètes étaient
des casques drcassiens.
Ç {^h poulain d*un an; direction; équilibre; moitié; ballot; fortune.
^ Зу РуЛ^ appui, bâton, perche.
Le jardinier a comparé le pin à ta taille; le misérable ne sait donc pas dis-
tinguer un bâton d'un еНJЧ
/o^'^Lb frapper à coups de bâton. — jïj^l (jvi^ ^jХяз ^^^^i^^^yti
jу4\ ^ Л<^ bUJl Ajl^e^*- UmUjL а)ч^ ^Ij ^àjj)(jiié^ ifi^j^}
(j!4r^ji\j^^ Js4âj ^Ь AiiU^lpIjb^ (jмчи^! quand un jeune homme
qui se vantait d'être en rapports avec lui, ne se dirigeait pas sui-
vant ses avis, il se répandait contre lui en invectives peu mesurées,
et poussait même les choses jusqu'à vouloir le bâtonner. — B. i5&.
<s^J^ jl> ^3! (Оч^и^! ^1дj |<>i^UVeH je le fis bâtonner; son âme
s'échappa précisément sous le bâton.
^ /Цj*ьЬ appuyer contre, sur.
^l^Vfb endroit où appuyer la lance; tante maternelle. — ^^çb, conf. jLb.
цЗ^^^* endroit glissant.
j^b en langue du Khataî, écrivain; mattre.
«plûb endroit g^ssant; verbeux. — yWb chien (terme de mépris).
9ub qui glisse beaucoup.
4ji^b chameau âgé de trois ans.
^b glisser.
l'j.
i
212 J-*^Lr>
Âf b qui ne glisse pas.
«j^u* endroit rendu glissant par le passage des eaux.
(^^AjoI^* s'appuyer. — i^yS ^j\jJ^ i^^jyX^\s v^u^**^^^^^crй^
jt^Mé!» celui qui agit précipitamment dans ses affaires glisse souvent,
et celui qui glisse souvent tombe souvent. — Ь*Л«Ь ks^IA I*xJ^ y^
\ôsiyi дк^ А^J^j.^^^^ si mon pied vient à glisser dans cette route,
prends-moi par la main pour me prêter assistance. — Jj— 5 J^t
^^:>J^\ i^^^Kш^^^l JJU3»U ^^T j^^lgU vH^rfk jЫ ,<уГЬ^Кэ-
au sujet de cet esclave, dont le pied glissa, et qui heurta de sa paire
d'échasses le crâne du roi.
Si quelqu'un est retenu dans les liens de ses pëcliës , si son pied vient h glisser,
prends-lui la main.
ii exclamation destinée à exciter un chien.
T. . ,
M petit plat.
Ч T.
,^** le bord de la selle.
j«x^! ^^\j Jl^lj^' {ji^) >^^^^J^y*^^
ÏB\ consenti à baiser les pieds de mon cavalier royal; devant lui le soleil et la
lune ne valent pas plus Tun que l'autre , comparés au bord de sa selle.
J^ АлJ sommet, haut de la télé.
/лj«j/АлJ frapper sur le haut de la tête; amasser, combler.
consomption.
^ \c\Ji épervier ; cyprès. - \ . *. \' «- C ^ ^ u v. -, ^ C
tibiJ) profond. — A. G. 8. v^ àj^y** ^ibt^* ayant traversé des eaux
profondes.
ii«J tamarisc.
213
•• I ■
11 n*y a pas de différence entre ta taille gracieuse et Tëlëgant imba; c*est comme
un beau cyprès comparé à un charmant tamarisc.
Ignorer.
iX^^ nu, sans voile.
ri satiété des animaux quant au fourrage vert.
^ ^Lâ^J> on appelle ainsi celui qui est exempt de toute espèce de charges ,
qui ne doit aucune dime pour le butin dont il s'empare, qui entre
chez le roi quand il le veut, qui n'est soumis à aucune enquête
quand il commet une faute. Nom d'une tribu djagataî. — jLâi^
j^^^^yS^jdi^ «^1^^ ceux qui vivent à la mode de la tribu de
Tarkhan.
i^,jj^ queue de mouton très-courte.
mis à l'envers, renversé; fumier.
ОимJ) manche de la hache.
у_jjвj) m. gras, replet. Conf. jпИл Л.
«iuJ peuplier.
«r.
Les peupliers étant devenus jaunes comme des affligés, comme des malades
atteints de la jaunisse.
id^ brave; rude. — B. aao. ;^*>S!l <^^>^<^ ajI^^ J^j c'était un brave,
plein de cœur. — là. ii5. ajI^^ J^ yùjÀ rude, mais plein de
cœur.
liL^cT^ éviter, s'écarter de. — viLc^â>Ji être large, abondant.
\l <4/^ havre-sac qu'on attache derrière la selle. — ^jЬ Sj^ courroies qui
servent à attacher le havre-sac.
214 ^jJЬ
Jf\J chansoD. — j1кмД^ défendre, empêcher.
U {jУ^ gros oiseau de proie. — d^y^ persil.
kâ\jJi espèce de concombre.
АЗjJ espèce d'archet pour l'instrument à cordes appelé jyJJo.
{^jЛ^шшЗ^ {^jS^è3 chose faite ou prise à rebours. Khodja Kelân, dont
le surnom poétique est Penâhi, était un des begs du sultan Bâber,
dans rinde. Ne pouvant supporter la chaleur de ce climat, il de-
manda le sandjak de Gazna, dont l'air est très-froid. S'étant mis en
route pour y aller, il arriva à Dehli. Il y a dans cette ville une pro-
menade appelée haitzi-khâss , où se rencontre toujours un grand con-
cours de peuple. Khodja Kelân y fit graver le vers suivant, en langue
persane, sur une table de marbre qu'on plaça par son ordre contre
un mur :
i^J 4Х,ж^ (^У^J^ p>^ (SJi) •ЧИ"
Que je traverse le Sind sain et sauf, ma face deviendra toute noire si je veux
vivre dans Tlnde.
Bâber, à qui on récita ce vers, y répondit par le quatrain sui-
vant, en langue turke :
j\à ^у^ liLiLiÉ^ô \j^ (^jyi J3U»
0 Bâber, rends cent actions de grâce de ce que le généreux , le très-miséri-
cordiaux fa donné Tlnde, le Sind et de nombreuses provinces. Si tu ne peux
supporter la chaleur et que tu veuilles voir des faces blanches de firoid, il y a
Gazna.
Pen&hi, à son tour» lui répondit par ce quatrain :
(^^/-лХшJ 215
Faites parade de toates les grâces, de toute la finesse de votre esprit; que
chacune de vos lettres soit embellie de tous les charmes. Si tout, dans Tlnde,
ne se voyait pas au rebours, comment, du sein de la chaleur, joueriez-vous si
agréablement sur le froid ?
Cette expression, si tout, dam VInde, ne se voyait pas au rebours,
tient à ce que tout, dans ce pays, se fait contrairement aux usages
des autres peuples. Ainsi, les Indiens sЪabillent d'un simple vête-
ment de mousseline, qu'ils tournent tantôt d'un côté, tantôt de
l'autre; ils enroulent leur turban autour de la tête dans un autre sens
que nous; leurs rois et leurs principaux lieutenants tiennent conseil
pendant la nuit ; lorsqu'ils montent à cheval , ils se placent du côté
droit et mettent le pied droit à l'étrier. Il en est de même de beau-
coup d'autres de leurs usages, qui sont le contre-pied de ceux de
tous les peuples. Voici ce que raconté Hâtifi dans son Zâ/er-nâmeh :
Timour Kban , conodiattant dans l'Inde contre Mellev Khan et voyant
que les soldats étaient épouvantés à la vue des éléphants, dit en
langue persane :
Pourquoi craindre la trompe des éléphants à la foreur aveugle ? Ce n est qu'une
manche dans laquelle il n'y a pas de bras. Ils portent par devant une queue qu on
appelle khartoum (trompe); car tout, dans Tlnde, se fait à rebours.
J*ai demandé la vie au grain de beauté qui surmonte ta lèvre, j'y ai perdu
mon âme; puisque Tlndien fait tout h relieurs, tant pis pour moi I je n*ai pas de
216 4^
reproche à lui faire. (Allusion à la couleur noire de Tëphélide, qu'il compare à
un Indien.)
Лс^ cuir cru, courroie; cordeau du tailleur ou du charpentier.
/ %\ju grande coupe; provisions qu'on donne aux soldats; espèce de sac
long et peu large. — (^^.я^j\яз petit sac, petite pièce de cuir.
oncle maternel; ami. — A. G. By. i^^ja^ <^l«3 Jjни«з^ ^jlkL»#
c'était l'oncle maternel du sultan Mohammed.
Jr «ДллАj laine fine et moelleuse.
• •
jJU aigre.
/ö>|JЬ aigrir.
ç^jiU^', чЗÿ^Ь, цЗуЬ m. poule. — A. G. 18. 1*хJчнЛ1^ l^x-iU Лj^
iS^\à^, ^^y ^ул ij<x^j^ (^ycî (jyJt du côté droit, il fit planter un
mât, haut de quarante coudées, sur le sommet duquel on avait fixé
une poule d'or. Conf. ^jj^^^b et ^-ц>ц5,.
«Дj en dessous; seul; en échange; comme.
lillxl) sarment de vigne et d'autres arbustes.
^^Д-x^LxJ m. hâte, promptitude, action de poursuivre. — i^^^^g^^^
J^l^^j^U дЗ^ jJl i^^lp Ъj^ il le chargea de poursuivre mirza Ala-
ed-Devlet. (Khondémir, 1. III, c. m, p. 9З1.) Conf. o»nn lli ^.
^Ixj eau qui coule d'une vallée et des flancs d'une montagne; lieux
humides et verdoyants.
^j^jS^t ceinture, manière élégante de l'attacher en en laissant tomber
le bout.
«iiAj.^ arrondi.
Ce ne sont pas des roses qui se voient ^ur le rosier, ce sont des plaies san-
glantes; le narcisse, Ь mon ami, est un coton arrondi destiné à faire un em-
plâtre pour les plaies.
\Jlç 217
iy«M«ww^ action d'offirir un présent et de se prosterner devant le roi.
>J coiffure blanche des femmes, surtout à Khiva et à Khokand. —
iûxS grande cuve arrondie pour laver le linge; huche à pétrir le
pain; petit canal par où l'on fait passer l'eau.
J et аЯj bouc.
JS^ beau de forme.
jusque.
«M
"i^ monnaie d'or valant seize francs.
чрЛj œil grand et louche; qui louche.
giU^jHW J^l JJtn' gUyi iSJ-iri yi f^ {JУ^З^ à
Jardinier, regarde attentivement, le narcisse nest pas semblable b cet œil;
car celui-ci est tire à la chinoise, tandis que Tautre regarde de travers.
vfl^I) soupente servant de grenier. — Jub bonnet fourré des Turkomans
et des Euzbegs.
JLilS sorte de vêtement. — A. G-. 12 4. ^^à^ ^\1ь*ь=^^ *41дХз »^^ jь>
il se revêtit d'un vieux iugak et d'une tunique de drap.
AjmUÎXj agitation.
^^^лЛЗ espèce de machine de guerre faite de bois.
/ö.бчУ^ s'agiter, se démener.
fiXù nombreux, beaucoup; tranche, morceau. Conf. fî^.^.
^^Ajy^l^U*' état de gêne, d'angoisse,
étoile polaire.
Ç pointe de flèche.
\Àç signe; marque; instrument à l'aide duquel on marque les choses;
chiffre placé en tête des fermans royaux. Quand il est tracé à l'encre
d'or, on l'appelle Ujc yyJl; à l'encre rouge, on l'appelle Ujc Ji; à
l'encre noire UjS l^i. Espèce de péage, dont l'acquittement est attesté
par une marque. — B. 198. j^ъ ^^^ъХкл ^ joS'jmeU. viU<^J^\<'
le revenu de Kaboul provient du droit de tomg%i. — là. U07. t)l^
218 JUJu
un ferman ordonna que le droit de tamga ne fût perçu dans aucune
ville, dans aucun pays, sur aucune route ni passage, ni dans une
place frontière. — ^5^^ celui qui porte le tamga et qui fait acquit-
ter le tribut.
/^^ palais de la bouche , gosier. Conf. ^Ub.
J^' fondement ; base.
Â4f escarpement. — B. 199. j^^ Ks^jtt=>^ J^ ^ 45уЦ^2 ij^'^yi au-des-
sus de la route, il y a encore un chemin en pente et tout escarpe.
j>J^ gras, corpulent; paresseux. — B. 8. эЗ. ($«>ч1 1^^^ч^*У^ c'était
un homme corpulent.
ci^^i^ petite tente au milieu d'un vaste pavillon.
m
дjJЧ^ s. bétel.
Il avait prépare des ëcadles d*un aspect agréable; dans les unes étaient des
mangues, dans les autres du bétel.
étais de bois. — ^^дцjи mettre un étais.
iLSLÀS inconnu; stupide. — A. G. i3&. >-&-^ ^j-а-^з JLaJLj owl^j ц
^^^1 is&^y!g^{y»y\i^ c'était un homme tout à fait stupide, sans
zèle, sans honneur. — Id. i38. y.^i,.шi^:J^J^^ y^^JJ^^ ^UaLm ^^ул
^^^Ji^ (^t^^H^ «^Ьиз^ Pouiâd sultan était un homme sans intelligence,
sans zèle et stupide.
J^шJЗ prune de reine-Claude.
J1алj appel, convocation.
De cette manière Tannée, sous d'heureux auspices, se rassembla dans Tespace
de deux ans suivant 1 avis qu elle en reçut.
9
^IjJ 219
y АлАj fer-blanc. — mSLàS monnaie d'argent valant environ 76 centimes;
canard 9 oiseau aquatique.
]jj haut commissaire chargé à la cour des Mongols du recrutement,
de l'inspection des troupes, de la surveillance des exécutions capi-
tales; inspecteur; courrier monté sur un chameau. — ^Ьцн* (s^^^
^jy*tjyXX^ (js^\j dU^^^^l^^l 4;^Ц. лК^ qu'un commissaire, cou-
rant en toute hâte, nous apporte en même temps la tête des trois
dans un délai convenu. — A. G. 97. j^^^^l^ ajUU^ ç^^jSjsJ
i^^jUài А^сЗJ^Jэ! il envoya de tous côtés des conmiissaires pour réu-
nir l'armée. — Le texte imprimé porte ^^^Uy, mais je crois que
c'est une faute. — B. 266. е^и*-йЬ^ J-U.^^JlûJ ^^ c^u^ ц
j^4>JU«M %^\ АJЧj^д; ^«>4k^W- les soldats, s^ns avoir besoin des
inspecteurs, poussaient, chacun du poste où il se trouvait, leurs
chevaux devant eux. — B. U96. >«^(^UX^ иЧ^* amJ^I^U. ^j^
^^l^3^x« ^j^^\9 fS'^^j^yj »6^<г?-!Л J^Jз^-^ J^'^ tout ce
qui nous viendrait à l'esprit, nous l'ordonnerions, et lui, le dirait aux
adjudants et ^ux inspecteurs pour qu'ils le transmissent aux chefs.
jLeL?^ àU^H* {j^^\ ^^j'b^
Ayant fixé à son armée le jour et le lieu du rassemblement, des courriers por-
tèrent de tous côtés des messages de convocation.
j\jj bête de somme.
(^l^ eunuque.
9
é\jJ sabot d'un animal; calotte; voile.
Sa monture firappa de son sabot la face de la lune , de telle sorte que la marque
lui en resta imprimée sur le £ront.
I
Essuyant ses larmes avec son oreille, grattant son corps avec ses ongles.
220 Лjÿ . l^>»
ЛщJ milan.
UL
^jii pied d'une chose; en dessus; racine; bouquet; arbrisseau; rassemble-
ment; troupe; balle, boulet. — уЦ>Ь V^ boulet de canon; façade;
front; centre; corps de bataille. Se construit avec d'autres mots pour
ajouter de l'intensité, comme; ié^yf v>» tout droit; jy^y> tout
uni ; dy^^ tout plein.
Avant que 1 eau vienne à s^entr ouvrir et que le sol s'affaisse jusqu'au fond
de ГаЫше.
4^^ (J^*-î^ j-*J^ ^iUb! ^^y^
Étendant la main du côté de sa belle compagne, son œil tomba sur un bouquel
de narcisses.
Les chevaux étaient entièrement cuirassés et couverts d'annures; Je monde
commença à s'agiter comme la mer sans fond.
A. G. 46. с^Ц- A«!^ g^i *r>!^ vy vy ^-ii^l^les Kiraïels se
mettant par troupes, chargèrent à trois reprises différentes. — A.
G. 48. a^jU. isyr J^j» ^Уз' i^^^ Kfi^ ^у^ ^^' 'àj^^ эу^
^ «хJ^ ч^уЗ ^jз! ;^«>^ (ji^b А^Jу^ J>*м il mit Djoudji Kaçar à la
tête de l'aile droite, et son fils aîné, Djoudji khan, à la tête de l'aile
gauche : lui-même se plaça au centre.
Aj^, UjJ sommet de la tête; monticule.
^JЧН J-Sri 45W' ^il^**3 t^Jo} (jйJjj^-м» ip-*by
La main du reproche a fait le même effet sur ma léte que si chacun, arrivant
dans la rue, s'était mis à frapper sur moi.
^ЬУ 221
/ö^^Ь^ rassembler» ramasser en boule.
y^u^ chose de forme arrondie,
цзЬу) pelote.
V JЬ^ boiteux; limailles d'argent, de cuivre et d'autres métaux.
^jiy\jyi racine de la dimension d'une olive et douée de propriétés salu-
taires; rond; mis en pelote.
%ySyujii vent violent, sans pluie.
{jyj^ renversé, la tête en bas; en aval.
^ З^г^j^ cheval gras, aux larges flancs; cheval dont la robe est de plusieurs
couleurs. — juL t^j^jj^ (ib^h ^^Ul ^у^у^j^ ^jl^y ^jlyj^^
^ЦЦ. l<^ si^j^l* il a juste assez de courage pour demander qu'on
l'exempte de faire caracoler un cheval pie; mais, à l'entendre, il
affronte tête nue cent adversaires. — B. 289. ^jLaf^* pbL «X^^hw
i.f^i»i^ QdXà^ m'ayant présenté un beau cheval fleur d'amande.
L5**^^S^yL>^ l'action d'user de circonspection, de faire de saines réflexions.
U è\j^jj terre. — ^jULUn ^1^^ rejeter la terre pour retrouver une chose
perdue.
laine. — y^ tourbillon de neige.
З^JJ^J^^ Voyez ol^y. — (y^^jyiy rassembler, réunir.
iSjvJ^^JJ^J^ massue de fer. *
^ {Jlyij^ cheville du pied.
XJUjjijii timbale; casque. — à\^y attaquer l'ennemi en masse.
ç^jii calotte en cotonnade que l'on met sous le koulâh.
Лл.}^ jument qui s'est engraissée dans les pâturages.
OyJ campement; la rouille. — B. Aya. ifSjy^y^ (^'У^^ ^ (S^y <АЛУ^
^jJ^ j.j^ ^^^У^\ <-л^^1# je visitai le campement de l'année der-
nière, d'où l'on s'était mis en marche pour Djounpour.
^jЬЬу) qui se tient, qui s'attache; placé vis-à-vis; anse. — л^^^jл^ Ь^
jн»^^ Ыj (jйЬу une gouttelette, suivie d'une autre gouttelette.
222 J^liby
Ces sonrcfls, qui se joignent, sont comme un distique place en tète du divan
de la beauté; Técrivain de h toute-puissance en a écrit les hémistiches vis-à-vis
Tun de Tautre.
3x)J^J^ ' У^У^ ' ^ ^У^ ' <ЛЗЛУ^ ^У^ herbes produisant de la fu-
mée, avec lesquelles on allunoie le feu.
I. /44>бЬ^ se saisir, se prendre; se nouer; s'enflammer.
^jjъъуалл ^з! j^^ 4^:> ^^\^s
Dans Tespoir de retirer du profit de cette manière d'agir, j'ai noué des rela-
tions avec beaucoup de monde.
Jp ^^Ь^ qui prend, qui tient toujours, en pariant des chiens et des bétes
féroces.
Je C^^'^iy^y^ ' /o^di^kiêb^ se prendre réciproquement. — (ÿЬ^ otage.
^yyi balbutiant. — ^^by , ^^by retrouver son chemin.
fyyi mesure de quatre mains. — B. /i55. J^t ъ;;>ду A^^ j^ chaque
toutam vaut quatre mains.
^з^мJ^ fumée.
Зи^j^ douleurs de l'enfantenient. — A. G. is. ^LKjy» «^^1 ^y^yi
4^o^y elle était enceinte; les douleurs de l'enfantement la prirent.
3 colle.
^ ijjjùjii pris, prisonnier. — B. 45. ^^-Xj»j«4«^ иу^У^ j!л^^J■***^^*
V4^&^ traitant Baïsongar-mirza en prisonnier. — A. G. 170. fS^!^yf
jзjу^ (jj-й«>^-лн»;^,^-*^>^ kiL^-fH»bu ^j^\ c'est un des prisonniers
d'Euzbeg-Châh.
Ii3^ poignée.
JjUSy passage. — B. 176, ^j^J^Ujy (^^U^ b^b^! ajU^jL juo^Ia^
^З^Ь ils ont des passages qui leur sont connus pour se rendre soit
• .. .<
(j^il^jii 223
à leurs quartiers d'hiver, soit à ceux d'été. — Id. â5o. x^ûJ^Us^
^^jJI^ öЬа^з'> с^j1ш ^\Âjl b^l (j^àJ^Usy ^^Os?l ö>!jЬ jusqu'à
la passe, il n'y avait pas de neige; mais, en pénétrant au delà, on en
rencontrait une grande quantité. — yisy anse.
(J}iyX\^ bégayer, créteier.
гЧ!^ pâte en forme de fils.
L (Ц^^ prendre, tenir.
j^êj^p)^, {j^jj^j^ ^* riz. Gonf. ^*i^no"v>*
Зj^j^ rideau, portière; à prendre, pris; contracté. ^— h^Jb^ action
d'être pris ; éclipse de soleil ou de lune.
Personne n*a jamais vu la lune se contracter (s'éclipser) quand elle est nou-
velle; pourquoi donc tes sourcils formeat-ils des plis menaçants au milieu de ce
fi4)nt?
f^j^j^ conserves dans le vinaigre; traces d'une chose; anse, poignée.
Aj^ roseau; rouleau sur lequel on entortille le fil.
9^ scories; lie.
j\:>^ nuage sombre, temps menaçant.
â
U (Щ^^^^^^у^ s'asseoir, se reposer; demeurer fixe. — ^j„^\jis^yS qui dure.
'.iKi^ jLftj »U !*>оТ4^з j^UUi^y
Voulant que le roi fortuné se fixât là , le charpentier découvrit le trAne.
Tandis que mes années s'écoulaient, je n'ai jamais pu arrêter mes larmes;
beaucoup sont arrivés à cet âge, mais jamais avec tant de larmes.
224 г^. \^
^ j^ réseau , filet : partie de devant d'une maison , coin d'une maison ; fond :
sauvage; nid d'un oiseau; en face: à Topposé; festin. — Лъ t^S'^yS
*^jy^^j^^ C^**^->li^*^^' 1ЙИ-)3^ öЬс^ИД (:>i*^* *^J^ ^^JЗ^
^Улу» ^«fUÀ^t L (S^^jy '^'v signifie un filet « bar un morceau de
bois, sur lequel se perchent les oiseaux; Èôr la partie antérieure
d*une maison; tur est l'impératif du verbe tMrmek, dans le sens de
replier la portière, ou le voile qui sert de porte. — B. lya.^p^-i^
j\j^t^j^ 03* 40^' j^Ц^^j^jуЬj^аj»-^ vb' ^^^^^ ^ Rap-
proche des oiseaux , ils lèvent le filet dans lequel ceux-ci entrent
d'eux-mêmes.
Le prince royal et le roi. ayant marché dans cette direction, vis-à-vis d'ea\
parut une porte merveilleose qoi. . .
jLjLâssj 4^oJ^ *^J3^ u*^'
Ton visage avec son mikràb, en face de ses deojL arceaux, sans «loate céiaii
un oratoiie qoi s'est diangé en un temple d^doles.
"Z. .*
д^^1 ^jJ^l pUL. l^Jui
Là où il y a des loups la porte est la place du chien; le coin de la maison est
le séjour da chat.
gjCy *i с-уÿ^^ ^i^jyS ^улЪ s.^*i 4^^ 9^^ Ч^ '^ bavanls
et les gourmands s'en iront en toute hâte au fond de ГепГег.
8д^9 !Л9^ ^^^^ royale: titre donné aux parents du khan à Bokhara; roi,
chef; loi; droit; usage établi par Djenguiz-khan; pièces de bois et
de fer qu'on relie ец^тЫе avec des chaînes et des crochets, et der-
rière lesquelles s'abritent les soldats. — A. G, !>л. Ky» j,
sÙ^\jy 225
J^èï illaut faire quelqu'un roi. — A. G. 67, Ul k.Mt «Д-J^ ^)^-^
yUaU ^оöф ^^ Aè^^lkU ^:>j^\ ^^^^^^ ^Ь Ajûuâlf JJцаЗ(j^оJ1
^^U^ (JV*m!;^ le khan frappa Melik Seif-ed-din au visage avec un
fouet; celui-ci s'en plaignit au sultan , qui ne lui rendit pas justice. —
B. З08. f^'^^^ {^^yé^^^'ry^ ^jу^ àj^yfs*»* VOU& privant de vos
droits, de vos fonctions. — B. 86. v>^j-^ ^У-^J^ âbl^îi^l^ рÿ^
iшf|*Л^ i^^jS j^buM^ Ьj^ agissant d'après les lois de la prudence et
de la circonspection, je disposai les palissades et les rangs.
cx^:> •X-kj A>s?ï v^ ^J<9 Ь^
Sur les chariots les palissades forment une ligne non interrompue derrière
laquelle les soldats sont ranges Tun après lautre; les palissades sont toutes reliées
ensemble par des crochets; derrière elles se tiennent en embuscade les archers,
la main sur la corde de Tare.
«
Au jour du combat, quand tu fais face à Tennemi, range tous tes soldats cou-
verts de leurs palissades; ou bien encore, suivant la règles.
JцJJд^ sens, raison. — A. G. i33, j<n-AU5:>L ^^jX^Ïj^ Лj^у
(j^Ь^ (j^ 1^0^ 1*0^9 je ^^^ vous donner l'explication de cela.
3}jj^ fromage; espèce d'arbre. — B. 3i6. ^^уЛлл^л (^\jуЗ lu^xj^^
jyi-i^yi t)l>^ V>*-Jt^' И s'y trouvait quelques arbres de tourak,
chargés de fruits. — j^l (^\jjЗ anet.
sjX^ijji arriver au même point; se produire; faire.
J-*^<î*^4^r*^ М^ W^*V ^^^^
Le lieu où il naît etise produit, c'est le Kachmir, ce pays où on acquiert Vart
des enchantements et des tromperies.
DiCT. TIIRK. if)
226 s^\cjy
Vp y^jyi y ^Jty^ quatre. — ^gié^\ijy^ tous les quatre. — \^у^з^ ^JУ^ 'es
quatre peuples , c'est-à-dire, les tribus des Oulate, des Berlas, des
Terlas, des Tarkbans ou des Souldouz, qui sont les plus considérables
des Turks ; terme générique pour désigner Tlnde , l'Asie Mineure , l'Iran
et le Tourân; la portion de la terre qui est habitée. — bl ^jу^ les
quatre éléments. — jXà^ %^j^ les quatre livres sacrés , c'est-à-dire
le Koran, l'Évangile, les Psaumes, le Pentateuque.
Ji ЬдУ> iorte, le reste du beurre fondu. — u'il^ pelisse.
^ JУ^ tous les quatre. — ^з^jу^ tous les quatre ensemble.
s^jyi faire descendre, mettre en bas; pousser.
s^yijyi réunion, lieu de réunion. — ^^У étre*poussé; tâtonner.
\) iS^jby^ ^УJУ quatrième.
3j'^Jj^ outre dans laquelle on prépare le koumis chez les Khirguiz;
frange enjolivée que l'on fait passer sur le devant de la ceinture, des
deux côtés du vêtement.
K&ijyi mesure de distance. — A. G. 16 A. a-^^ *^jy^ (S^^ ^^^дч^
!«ХjКа^^<^1 t^ym v>^^ l'âvant-garde de ma troupe. avait par-
couru quatre Umrchèhs, et l'arrière-garde deux seulement. Conf. le
mongol v>v^^-û^ mesure, longueur.
(ЗЦj^ garde de nuit, sentinelle. — е^^Цз»^ tumulte.
/S^lc^y)? découper, disloquer. — B. 3/11. j^LLS^b ajl^ iXjT Jlâ^lju^
j1Д>1 ^.^\ o^lçl t)l«i^ (^\лМjу»^ (S^^jyi ifiy uy^j'^'^^
^^UU^i on servit devant moi une oie rôtie; comme il ne m'était ja-
mais arrivé de dépecer un oiseau et de le découper en petits mor-
ceaux, je n'y portai pas la main. — Peut-être vaut-il mieux lire
^jАл^Ц)^ action de faire sortir, d'éloigner, de disloquer.
^*ЛJ 43 Ц;^ totalement; comme il est. — Лjл» Ks^Xèjp tout comme je
^zl^ alouette; couverture de cheval. — ^j-aJos-^»»-- (^^jОо) Aàj^jSyS^
(3jJc;a^«x$ aaLIuj (^jo) AP;^(^U;|^parlui, les colombes tombent
(^"^j^ 227
dans un élat de langueur; en lui, les alouettes trouvent un appui
pour se livrer à leurs joyeux ébats.
jjb^yi tissu précieux de soie, bande d'étoffe que l'on attache en tête des
décisions souveraines pour les préserver.
^j^уаjуз b^l? ,<viLuô ^^UJI v^--^ cKj'
J*ai plié sa lettre avec 1 enveloppje de mon ftme, afin qu'en la voyant garnie de
cette couverture chacun pût trouver mon signalement au milieu de Tamonr.
JJ^JУ^ espèce de carcan de bois que Ton met sur le dos.
^ (З^У^JУ^ ^^^^^ *®^^^ ^^ place, faire arrêter; éveiller.
Personne n avait pu Гаҥе1ег un instant jusqu'à ce qu'il fût arrêté à son cam-
pement, au lieu de son habitation.
ШУ^J^ ferme , qui se tient ; fatigué. — Jij^y corneille,
moineau. — l^y sorte de lin.
^JJ^JУ^ mur, rempart. — A. G. 29. Sj^j-^,^ *>^-^ 4>* àj^yè^ f'*^'
j^j^^ y^^\ jXi. ^^\iл^J^J^^ **дУЬУ иЪ^ "^® Arabes appellent
une muraille de ce genre (celle de Derbend) sedd : on dit, en turk,
tourkourka, et, dans la langue du Khataï, ongou.
^Ojjii imberbe; retroussé, replié.
З^jj^ jeune homme imberbe, kalender tout jeune et sans barbe.
(9^Уjу^ broder des figures; tendre un filet; tourner autour; envelopper.
D'où vient donc que mon corps se tourne et ee retourne dans tous les sens,
comme cette mouche, qui se tord lorsqu'elle est tombée, par faiblesse, dans le
filet de l'araignée?
228 Ö^jÿ
éjij^ rideau qui voile la porte d'une teule.
Si on n^enlève pas le rideau derrière lequel se cache cette lune, que devien-
drais-je ? Hélas I tapissier du zéphyr, sois généreux , lâche-moi au moins ce côté 1
^У^jуЗ А^ö'^ЬЪ^1 »^ сЦ* Jя <^4^3^*iUAi<^lj^l la chose
parfaitement comme, qu'on désigne sous le nom de ak oui, ils l'ap-
pellent kergâh. Quant aux parties qui composent la tente, ils ont
conservé, pour le plus grand nombre, les expressions turkes, comme
le mot Umrloug.
Зj^jj^ agitation, tourment, tristesse, frayeur*
^j^jj^ espèce; manière. — B. 176. j^^ "^уЬу^ У^ <jf^^*J^ ^^^ j^y
pour s'en emparer, on s'y prend de la manière suivante. — A. G. 1 5.
^уJш^ аj^\jЛ àyijyJ^ OHîl o^^^AÂ^j^osjf ^\ joignant au gibier
beaucoup d'autres viandes et toute espèce de mets.
SJUjyi partie de devant d'une maison; porche; vestibule. Voy. JuJ JUajI.
^Цj^, Цл^ châle précieux d'un tissu de laine fine.
Le satin du ciel lui fournit mille beautés ^ inille ornements; Tazur du firma-
ment sert de doublure à son précieux tissu; mais, de ce vêtement, il y a cent
liens qui entravent la marche des adeptes dan3 la vie de la pauvreté.
(!й (З^JJ^ ^ *^°^^ ^^ place, debout; s'arrêter; prendre patience.
Dans mes nuits d angoisse mes yeux, comme ceux des étoiles, ne sauraient se
fermer, hélas I tantôt je marche , tantôt je m'arrête , tantôt je m'asseois !
}У 229
^kTjw^ wj^ )Ь^ Jч^ j^-â Jj
Des milliers d'herbes s'envolent au vent dans le jardin tandis qae le pin , à
la taille élancée, i*este sur place pendant cent ans.
Nevaï a remis entre tes mains son intelligence, son esprit, sa raison; prends
patience, il te livrera son âme malade dans son corps; c'est tout ce qui lui reste.
s^y^ replier. — ö^^^-М^У herbe sauvage, d'un goût aigrelet.
JJLiy il est. — jjyjJ vhJï il a pris.
(Jbjjj^ stabilité, fermeté; délai. — д^ J\^ ^^^U^-^-j uf^jyy i^^[^\
^bjUjili» Afrasiftb, ne pouvant plus tenir, détourna la figure.
Зj^Jj^ alezan; clair, limpide. — A. G. 76. ëtîJt^ *^^ JJ^. vingt mille
de ces chevaux étaient alezans.
flj^jj^ petit chameau de deux ans; angle d'une porte.
{JЛЛ^ petit-fils et petite-fille.
iffjj^ rouge d'une nuance sombre.
^.. . . "...
^ JJ^ poussière; bout de l'oreille; sel; égal; uni; plaine; droit; vrai, véri-
dique; qui convient; force; patience; écorce de l'amandier de mon-
tagne. — l? йз' *^jy^ сö^jУ^ ^*^ •^Ы ^^** *^ ^J^j^
^^4L^U-*-ï (f^J^ J^ 4tjb^^. <^UU oJUl^ l:>4^!;' i^^^^
jyiy^i ^^»«4^ ^^uumUm oaUs^ j4rf0 ЗУ bL j^b le mot touz présente
plusieurs sens : d'abord il désigne une chose droite comme une flèche
ou un javelot; ensuite il se dit d'une plaine unie, puis de quelqu'un
qui est droit et loyal. C'est aussi l'impératif du verbe teuzmek, qui
230
signifie arranger un instrument. En outre, il veut dire : mettre l'ac-
cord entre deux personnes, ou bien, disposer tout ce qui est néces-
saire dans un lieu de réunion. Enfin, il se prend dans le sens de
patience, force. — (5-W Jк^ arriver à; être vérifié.
j^ i^^^ Ч*^*«Ай {jiA'^ >Jb
Lorsqae loi vint la nouvelle que Dara , ayant raseemblé les armées du monde ,
se dirigeait vers lai.
3^1 jyS espèce d'arbre de montagne dont le fruit est très-amer.
sÙ^\jyi faire, orner, disposer, dresser, redresser.
Comment poorrais-je redresser ma taille lorsqu'il y a tant de brisures dans
mon corps? Gomment pourrais-je respirer paiement lorsqu'il y a des épines dans
mon cœnr?
UmX^I 4^^ redressant ma taille recourbée, s'il donne à mon bras la
force de planter le grappin sur l'anneau de la porte du but que je
poursuis.
Jfi f^j^ filet, entraves.
^\jÿ droit. — c^^j^S;^ J>î *^dk> *iJl>3 JJup^iM U^L ^y p^>\^
le guide de la grâce de Dieu m'a dirigé dans les voies droites de
tous les genres d'éloquence.
syiiSjyi sol d'une nature molle, sans pierres.
Celui qui n*a jamais goûté ni le miel, ni le vin, comment peut-il savoir que
А^jÿ 231
Гип est doux comme la possession de Tobjet aime, l'aalre amer comme sa perte t
Le pauvre voyageur, qui parcourt l'espace , sait bien que les terrains sablonneux
et gras sont doux au pied, que les montagnes et les roches sont dures et âpres.
(ЗЦду> pastille parfumée et enveloppe qui la recouvre.
iJz)j^ rapide, prompt. — jjS^j^ sceau. — ^^jy^ et {jp)y^ rangé.
i3f ^J^ Ч'^ contient du sel, imprégné de sel. — A. G. 7. ^л^^з' ^^^^
i&^jè ii^jy^ja 4)3' jO^ parce que cet endroit était imprégné de sel.
/ö-СjJд^ se rouler sur la tête.
Уjj^ supporter.
^j^jj^ droit; droiture; plaine.
Tandis que la lance lève Gèrement la tète dans sa droiture, le lacet , pour prix
de ses manières tortueuses, reste en captivité.
0 toi, dont le visage brille comme la lune dans les hautes régions de la beauté ,
dont les yeux s^épanouissent comme le narcisse dans le parterre des grâces; s'il
est vrai que tes sourcils décrivent une ligne tortueuse, du moins ta taille se
dresse aussi droite que le cyprès.
(Щ^JJ^ être usé.
^à^jljii supporter; arranger; enfiler des coquillages.
Nevaî a supporté patiemment Texil; Tami lui a accordé la faveur de la réunion ;
pour un tel acte de courage il ne fallait pas moins qu'une teHe récompense I
232
j^jtJL^ ^Ь J^l у^Уj^ (Jьj!^ ^^s^Cs! Jз» b--uyï
Toi , dont le corps ploie 80iis le fardeau du \ég№ tissa qui le couvre, comment
ce mince tissu ponrra-t-il supporter une pareille lueur si elle vient à tomber sur
lui?
Ч .i
J'aurais la force de voir ша personne au milieu de toute espèce de tourments
et de peines, mais je ne puis supporter de voir mon ami entouré de rivaux.
Quand tu jouissais de sa présence tu ne pouvais supporter qu'elle accordât une
marque d'attention à qui que ce Mt; 6 mon cœur, qudques brûlures que te fasse
maintenant le feu de la séparation, supporte-les avec patience.
jLl5)y être disposé, rangé. — yi^^^jfi se mettre en ligne.
^jÿ génisse.
«iLé>Jfy> soulever la poussière.
^j^jу^ arrangé, orné; règlement, arrangement.
W- c^U^i* <5^.' о-Ц^ Jjt^y
Cdui à qui la royauté confère le commandement, ses affaires ne seront pas
en bon ordre s'il n'use pas de la sévérité des lois.
B. â65. <,^и»Хл* ^ЗJУ^ «3^-^>«4! jЬь1^£>^ jUilji^ ayant disposé les
rangs à l'aile droite et à l'aile gauche. — Id. i аЗ. yt^^j^ ^ ^зj^
jyj Ljy^y'i fj^^à^^ les règlements qu'a établis Djenguiz-khan. —
iÙyJé^jy^ arrangement; ornement; arrangé, disposé; culture; état
florissant.
yf^j^ enveloppe de l'arc; tempérament; famille; forme; poussière.
A. ••
233
Ce n'est pas FétoSe fflante qui parait dans le cid , c*est sa javeline; Targent pur
Fenveloppe de tous cAtés comme Tare est enveloppé de sa robe.
уЗ^Лму couvert de son enveloppe, en parlant de Tare; bon de tem-
pérament; illustre d'origine. — ^iLuutlafc- JЛл dL^ ^^L ö-^У £-Ь^
{jуш^у» ^j^ {^^j^^у^ ^yf que ta соцре en croissant, comme
l'arc à l'enveloppe brillante , soit incrustée des perles des étoiles.
^buuM^, ^^GyJ^jS jarre garnie d'un goulot, aiguière.
Jj^^IjUm^ gardien, surveillant de la route.
/d^w^ persister, persévérer.
{jy^^y^ m* huile, beurre. Conf. |А^/-а-ь.-
poitrine; songe; chemin; côté; heure de midi; droit; qui se reii-
dontre, vis-à-vis; sud.
Dans mon sommeil j*ai vu sa joue; Tamour a porté le ravage dans mon cœur
et Га tdlement enflammé, que le soleil de midi ne saurait faire une telle im-
pression.
Le Khan donnait une fête dans la plaine; montant à cheval, il se dirigea vers
la ville.
B. 77. (^«x^y jûy i^j^ J^^ "^j"^ ^^^y^ notre armée et
celle des Mongols, chacune de son côté.
C'était vers Theure de midi, au plus fort de i*été, au moment de la conjonction
du soleil avec les gémeaux.
23Д Зj^j^
A peine le grand nom eut-il rencontre Ahrimàn qae la force s'éloigna de son
bras et de son corps en même temps.
^^1 j&y rencontrer.
J^ vîk^Lâip étendre. — JlH^y être étendu; feindre; caresser.
Son tapis se troave étendu au milieu de Tair; pendant le voyage, le coursier
du vent tire lui-même son cheval de laisse.
ià^^biijj rébellion; action de s'élancer.
Jkj^Liijj aigle noir.
*^^is^J^ environ la moitié du jour; ie temps du déjeuner. — B. Sa.
<-*aJU5' J^ à^i^p venant d*une distance d'une demi-journée. —
Id. i63. j^ъ iyi *^(^yi AdioU l'intervalle est d'une demi-jour-
née de chemin. — у^Ц^ bassin de pierre pour les ablutions.
\^>тшуа chose qu'on étend, tapis; secret, caché. — *jU* viLû^ tente ou
chambre ou l'on conserve les tapis et les couvertures. — B. 487.
Lj^jySJ^ (s^j^\s^ AjUte \ÙJmyi ayant fait dresser le touchek-kliâneh,
{^у^шш^ four pour chauffer le bain.
^j^Jùéjii vaincu, tombé.
iijii rencontrer, être associé.
\à>^ç%jSéjj passer le temps ou l'heure du déjeuner; déjeuner; s'appuyer
sur la poitrine. — B. 999. 4,«^^^^^ bU^ ^L ayant déjeuné à Bâ-
ghi-Vefâ. — Id. 3i5. J^JOiUy Ь^^и:Лр »:> v>5tP>^ ayant
décampé le matin , nous déjeunâmes à Deh-Goulâmân.
(J9«Lm^ large; content; vigoureux, fort; temps ou lieu du déjeuner. —
{^^ Ö^^^У chacun de son côté.
^^Là 235
Ces troupes, ayant assiège la place en plusieurs corps, choisirent chacune un
cAté pour 8*y installer.
B. ЛЗз. j^*^^jci-ft5"jj^ (j^4X-A-ûy ö>Ц>^ qu'ils chargent avec
force chacun de son côté.
Jr viLpft^ tomber ; descendre ; сашрег ; occuper ; achever ; arrêter ; comprendre.
— v^Uf АjЦу» а^аЦ- Чу^^ {f^j^j^ Ь^ÿil* »1^ J^l une caravane
ayant campé au bord de ce puits, on y descendit un sceau. — B. 1 5/i.
j^j^y ii^yk v-Aji^l? Ù^S ^5^u^**- '^J^ U*^ Aï:>;^»«' quand
ils arrivèrent à Kâhmerd, les gens de Sikandji s'étant assemblés oc-
cupaient la route. — Id. 199. ^S^\ c^aXaS^ дJиоj^^и ^j^у^
j^^^Imm^j^I v>^>^ ayant fortifié le passage avec des branches, ils
avaient arrêté les gens et combattaient. — Jut^^y faire tomber.
— B. &8. (s^\^ Ъу^У^ i^^i^"^ (S^if^} il frappa à faire tomber
sa main de son poignet. — Ьу^у^ Ъу^У tantôt, tantôt. — A. G.
i8a. t4^^\ ЬУ^У Vjy^' Lî^y 43^ J^^iS^iiLiAi^le marchant der-
rière Tennemi, tantôt le frappant, tantôt le menant.
i espèce de poésie.
(S^J^ \byity bjjyAi» (Jb!l«^*<^'
Je ne distingue plus dans leurs paroles quel est le mètre du touiouk, ni même
celui du touehouk,
\а^шщJ trou.
U toi , dont les lèvres sont si douces que la passion d'en jouir creuse dans le
cceur cent ouvertures, chacune de ces ouvertures est douce comme les cellules où
l'abeille dépose son miel.
236 ^\у^jа
J^ isyi poussière, étendard.
Dis-moi, la poussière du dépaysement a-t-elle atteint ma joue pâle, ou bien
Fexil mVt-il arraché de froids soupirs? Quelle est ta situation? Connais-tu ma
douleur? Dis-moi, m'informerai-je de ton état ou bien de ma propre douleur?
Etendard se composant d'une queue de (^Uûj ou bœuf de mon-
tagne, fixée à une hampe, au-dessus dun pavillon triangulaire. Voir
dans B. iâ9 une cérémonie où le totig" joue un grand rôle.
\ю chef d'un régiment à Bokhara.
^cyi porte-drapeau. — A. G. i З7. <-AAJtSy jl
ie cheval du porte-drapeau s'étant perdu.
/o^lc^ laisser souffler, reposer. — B. 399. i^yJmyJS I:»;t)«>w5.-^ ^н^
4^^t ^уш ^ъ ç£ijS^ S^Sj^ ч^J^у^ jj^^t nous trouvant dans
un champ vert, nous y laissâmes souffler nos chevaux et repartîmes
après un arrêt d'un ou deux guéris,
{j^^Cyi arrondi.
^Ц^ faucon.
likilcy» oiseau semblable à Tépervier, mais plus petit; anneau de bois.
{^Цу^9 V^4^ racine; coude qui se trouve dans le cours d'un fleuve.
— B. 463. ^^jJtS'^i^^ (^^ч^^уа ^iUAi^by g^^l liWcy^b
on s'embarqua au-dessous du grand coude de Rabin. — A. G. 106.
^:>yi\ v*^^ isj^yf. iS^^y^ C:r^^U^i*^ '^ O^ """^ ^^ Chah
Bakht-khan avait hiverné plus haut que Bourkeh-sultan , à un coude
formé par la rivière. — A. G. 119. JLaJIjJuu^ u^!h^ ^^^** У^
(^^If jljL^Lp^ en suivant le bord de Геаи, il alla au coude de
Djikdalik.
J))^sx^ espèce d'outarde à la chair succulente, probablement le même
oiseau qui est nommé Jlf^'k dans l'Inde. B. 363.
..V - *'
w-^ ^ 237
•outarde.
Je (3^ jiy^ couper en petits morceaux.
^ ^y'iy^ droit; vrai; opposé; en face.
^Lid^, ^vju^ né de la même mère; naissant. — B. lo. i^âaJuu»
^^ô^ï gjJ^I jjpl» уй^ tr^^cijb-* i^:>j^ уЦ^? j^ *î/*^ ^l^® ^l^î^ ^^e
de la même mère que moi, mais plus âgée de cinq ans. — Id. ЗА.
J\j^^\ i^*>4j' o^**y ^^ li^j*Â**ob>*5 2^1 trois filles étaient
nées de la même mère que Baïsoungar-mirza , l'atnée . . .
Aj^ûIJUà. J^OHrt W ^' p>*
Pars, A zéphyr, va trouver ma rose souriante, que dis-je? ma rose, ma lune
aussi resplendissante que le soleil. Va aussi, plein d'ardeur, porter le bonjour
de ia part de Bâber à ma sœur germaine.
Peu importe que le soleil d'occident vienne à se coucher, puisque cet astre
lumineux doit renaître.
^aXjUs^j communauté de naissance, né du même sein.
ij^XâiyUê^ noblesse , de bonne race.
ii^yi agneau de trois mois. — ^1дЦ^ сМУ^ sorte d'oiseau.
^lâibUx^ né, fils de...
^ ^^.фjБ^ naître, apparaître.
enfant; esclave, au lieu de Jj^, qui est injurieux,
aire des oiseaux de proie; tente plus longue que large.
Jk^\ijjÀyi tente. — éyh^^ feutre qui recouvre la tente,
nid ; carquois.
h (Jiy*t^ naissance. — J^^yS bien né, aux nobles instincts, brave. —
. •« .
238 {S^\^^yi
A. G. 1U7. i^:>j^^ oijkJ^^yxiç? jL^^y c'était un jeune homme brave
et bon.
enfant. — A. G. 1 8 i . j^^:»jLs! ^Ьулjу^^ул ils envoyèrent les en-
fants vers les chameaux.
Jp i3|r^ terre.
^à^jj!^j^ produire de Гёсшпе ; cracher.
J^ %û{:>^jjiyi, ^^'^jj^j^ eau qu'on lance de la bouche, ou qui coule de
la bouche.
Зj^j^ rond, circulaire; dAmc de la tente; petite colline; cheville du
pied.
{jjj rassasié. — ^у^у^ satiété*
prlï^ carcan de bois qu'on met sur le dos; sorte de pain.
jb^ femme moins considérée que toutes les autres femmes et qui est
au rang des servantes.
/o^lï^ tisser.
(JЬуjЛj^ repos.
L jЛш^J Л *^ Л , /o-^Lo^ trouver le repos; demeurer fixe; être solide.
Conf.
La faveur divine étant sa conseillère, la fortune lui resta fidèle pendant deux
ans.
A. G. 107. (^dUUjy ^ jl2) son sang était en ébullition. — J^t
^^иЦу JJUj^ ioS^IJôUIl (^jJЦ^* (jЬш|^ i::9jjA:^ cette majesté
ayant pris le Khoraçân à une époque 01^ l'empire n'était pas encore
solidement assis.
*
Jf ^HS^~^ qui ^ pi'is ^u repos; qui s'est affermi.
jf|^UMi^*, 4^J~^ gardien d'une forteresse; porte-enseigne.
(^LLmJUJ pour ^.n^uo éjj chef d'une escouade; huissier.
239
/öjо^jj. Voy. (^ÿ- — jЦ^ espèce de flèche sans fer et garnie à son
extrémité d'un bouton de bois ou d'os.
^ оЦ^ maillet; cardeur de coton. — ^jiy composer; joiiidre.
\) JJ^J^ ^^^^^ ^^^ ^^ nombre.
Dans les repas de la mélancolie, que deviennent ces tournées à la turke où,
suivant l'usage, on boit neuf verres pour une goutte qui s'épanche et trente pour
une coupe qui se renverse?
Musicien, invente une modulation; Nevaï, fais entendre un chant harmonieux;
échanson, si une goutte s'échappe, verse-nous neuf coupes, car le Darius du
siècle est arrivé I
^у^j^. cj:^ l<^ 4v> g*:' j'^k
(^U^ j^^l y^-àb LiMuil j^yS im^b
Échanson, observe les lois de la civilité, offi*e-moi respectueusement les neuf
coupes de vin, jusqu'à ce que je me tourne vers toi, en te disant : bois-le. S'il en
coule une goutte, je boirai neuf coupes; si la coupe elle-même se renverse, je
boirai trente autres coupes.
Ces vers font allusion à un usage en vigueur chez les Djagatais,
et qui consiste à boire neuf coupes, si une seule goutte s'échappe de
la coupe, et trente coupes, si celle-ci s'est renversée. L'expression :
ma coupe s'est renversée, s'emploie pour dire : Je me suis enivré. —
^ jyàyS nom d'un arbre.
r xpj!^^ navette du tisserand : rencontre de deux choses; lutte, bataille.
2fJuJi%j couverture de cheval.
2Д0 (Ji^àJ^yi
М^J^ bAt; eouvertare d une béte de somme.
La pièce de lin qui le couvre est d'un tissu parfait et frès-uni; quant à lui il
est au-dessus de toute description pour sa beautë.
J/ (3^^^i}^J^ 9 (З^УЬ^ ^^ heurter violemment , se rencontrer.
Jf3jj attirail, effets, bagages. — B. 3o5. dL^^^JL^t дк^ *^y^^ ^jp
ъКту» cli^^ laisse là les manières d'ambassadeur avec les cérémo-
nies et l'attirail.
M*
Jf3jS boucle.
^! aS^ ventre plein.
j; %^jii cheveu, poil, /пшгьи.у'
ô péri, anx joues roses, depuis que Nevaï, loin de toi, est devenu un chien
sans raison, tu peux compter sur son corps nu autant de liens qu'il y a de poils.
j^ лАj^ C:53f5?-^*^ ^Ufti^l J^I а)ч? <^wa^ «jУ <-*Дл* sur ses pieds
bénis, ii y avait du poil; à cau$e de cela, les divs ayant construit
un bain, traitèrent cette chose-là avec une composition épilatoire.
OyJ tertre, tombe. — AJs^y achever, compléter.
^jЬЬоуJ pierre funéraire.
Qui donc a fait pleuvoir sur nous les pierres de la séparation? Ami , si je meurs,
je ne veux pas sur ma tombe d'autres pierres que celles-là,
Q^]ôjOjJ petit cailloutage dont on garnit le sol d'une maison, ou d'un
tombeau.
^jL«^i>^ faire des recherches, des perquisitions,
jo^ examen, recherche.
sÙ^Ojii être complet.
(Jd^ tous^ réunion.
Оч^' U\^ complet; marque faite avec un fer chaud.
.*
J^i^y^ (j^>^J^ ^^iS*"^^
Des épines comme l'e^du mot âfet (maUieur), dans ses tulipes des brûlures
causées par la douleur.
JJujlXik^ être achevé. — UL^yù J3I3 ^-yJ^A* :>l^ à^^j^^^ Sà^ jЫТ^
^«xJbplCyK^ AkA.j il jeta les fondements du Tohfetr-ul-abràr, qui fut
achevé sous ce titre.
(jSuûD^ accomplissement.
liL^LJ^ boucher, barricader.
^ sÙXyi verser; nouer. — Jl-^û^-S^ se battre; s'entrelacer, nouer. —
^^^K^^Jyj Prise de Ferhâd. Un homme rusé parmi les émirs,
l'ayant trouvé , entrelace le fil de la parole. — Л1^5у^ se déverser,
se précipiter. — A. G. 6i. сjуД-дЗ^ tf » a ^w^I dUL^^L»»
jpi4t^jyi^\ s'étant précipités contre Haçan-Hadji, ils le tuèrent.
L ^f^Xyi bouton.
9
Syi cheval qui a une tache blanche sur le front.
чг ^^^ЛУУ^ cracher.
vï^j^y^ f jjг^ complet, parfait.
La rose na pas le port du cyprès, le cyprès n'a pas la joue de la rose; mon
cyprès à face de rose est parfait dans la voie de la beauté.
DiGT. To». 16
2Д2 л^)^ÿ
J9JI3 = jiô ce n'est pas; monceau, tas; Ъа11е.
Queik est donc cette ftanestç beauté dont l'amour a enflammé le monde? Elle
n'est pas dans les liantes de l'humanité; c'est un rayon de la splendeur étemelle.
tjjj^ nœud, lien; poulain.
J[^ graine semblable au millet.
jщj veuve; cheval équipé pour une cérémonie de condoléance; le petit
d'une brebis, d'une vache. Placé à la fin des noms de couleur, ce
mot sert à indiquer la ressemblance, comme : Jy^yu^il tirant sur
le blanc, Jyurjjû» tirant sur le rouge.
J'avais moi, pauvre veuve, un être qui m'était aussi cher que mon cœur; que
dis-je? un épi sortant du champ de mes entrailles.
*3jJ plein, rempli; plume d'oiseau; petit de taille. — B. 393. âj^l^l ^y
^•1^^ tij^ti donnant coup sur coup des coupes pleines.
sih.:> u-^M '^' <^Тj^j:^\
li avait deux yeux semblables à deux diamants , mais dont l'orbite était comme
une coupe pleine de vin.
J1л /^jJфаУjj tordu, contourné.
U S^j^ chiffons qui servent à envelopper les pieds.
sSyjJ mue; dédommagement, compensation. — B. 399. <l)^y ^^1 J^\
^4>s»l il avait mué deux ou trois fois. Gonf. *^yiyS.
/0^^^ équiper un cheval pour une cérémonie de condoléance; retrou-
ver le bon chemin; revenir.
Jа^'уj^ échanger, permuter; muer.
XeljJy 243
l^Am(jt)9jii action d'équiper un cheval pour une cérémonie de condo-
léance, d'échanger, de muer.
{jyyi m* bois à brûler. Conf. u^x^^n^ cheval de cinq ans.
i^yj^ tout, tous; troupe d'hommes qui s'entendent pour exciter une
sédition et adoptent pour s'entendre un mot de ralliement; en mon-
gol, lièvre. Conf. Ч)*(^г>е^^.
^jЬЬЦjj pli; tortuosité.
f^j^Xjujii tordre, tourner, retourner, détourner. — A. G. su. x^^^J^I
(jЛл}уЗ {jyi,y (s^«>^*'>^ jusqu'à la mort, je ne détournerai pas
mon cou de l'obéissance.
^3V ^^ ЛJЦ;*^^ ^J<T ^iU^ 1*51--
yLUIy ^^y Juwy U>àl ^ ^^jы
Échanson, n'écoute pas tout ce qui pourrait se dire pour excuser Texcès de
mon ivresse; approche de ma bouche une coupe devin, en me tordant Toreifle,
c'est-à-dire en me causant de la joie.
On dit de quelqu'un qu'on lui tord l'oreille ou qu'on la lui re-
tourne, lorsqu'on lui annonce une bonne nouvelle ou qu'on lui parie
longuement, ou qu'on lui fait des cadeaux. — i^^(s^3 j^^ d^ c^^
j^^^JvJjuâjl AjCffci ^л1л^^ oi^ f^\ii^ ^j^^ détournant le cou des
ordres et des défenses de Dieu, ils adoptèrent le culte des idoles. —
^^^\àiyЗ se tordre, se replier. — ^if ^у»,..д,йй1дJ^ xÀyLû i;«K^j
'J^ iumy^ jjfsi (g^d Jb {J^S^j^ les pléiades pendent en grappes de ses
branches qui lèvent la tête en replis jusqu'au sidrah, — i3^j3*^^y
faire tortiller, faire tourbillonner.
Lorsqu'il a donné aux moutons la forée de se jouer h Tentour de la plaine, il
a fait aussi tourbillonner les eaux dans leurs abtmes.
X^iÂJjii troupe postée en embuscade pour tourner l'ennemi, action de
tourner le flanc de l'ennemi. — B. 1 1 o. ^^-л-j suu&jijyi JUAi Jjjjl
16.
2ài ^jjjj
jз^ Кфjа^ у^^\ с^у^ (^^\ les Euzbegs ont une grande habileté à
exécuter dans un combat le toulgamah. — Id. 3ua. JJчj^в»»^! JJuù^UjI^
J^4^К>ЛМ АЛ>-шДj>;1 Jj^jOÂi ^jjй^Jу J^^ (;^öJз-* Jj^I jУуЦ^
à Textrémité de l'aile droite, nous destinâmes Veli Kizil au toulga-
mah; à l'extrémité de l'aile gauche, nous destinâmes au toulgamah
Kara Kouzi, afin que, lorsque l'ennemi s'approcherait, ces deux
troupes, placées en embuscade, marchassent sur ses derrières par la
droite et par la gauche. — Id. A 16. «XjJcu :>yJj ju«j(Iy cxy^ ils
furent désignés pour le toulgamah.
s^jLJ^ occupation, affaire.
/o^yÂJyi éprouver de la douleur, de la peine. Gonf. ^U)^.
f^^ikijj s'efforcer ; se tordre de douleur. — r^^ vague. .
Ь J^J^ renard. — С5^Ц^^ crieur.
jL • (J^j^ être plein. — à\^y> être mis plein. — *т>*-« MS'^ji^.^] Jjl^
j^;^ô\CfH^ »лклшкх.йj pUûXil jз^ Чу^^у^ лжА-^ЬЬ i^.j^ il passe au
fd d'un arrangement symétrique ces perles qui abondent sur les ri-
vages du Magreb.
se reposer.
\) j)yi la grêle.
AytyJyi la tempe.
v3yJ^ plein, rempli; peine, travail.
Si des torrents s'échappent de ma manche, ne vois-tu pas que les larmes de
mes yeux coulent comme le tuyau d'une fontaine lorsqu'il est plein?
^j^у^ vivres; fourrages; mue; payement; doucement. — B. 87. tjy^
iS^^j3^^^ ^^^ é^^^h iS^ 4^"^^ цй^ comme l'hi-
ver approchait, il ne restait dans les champs ni grains, ni fourrages.
J^Uy 245
Chacun des arbres de la prairie est un oiseau jaune; tous sont arrives au jour
de la mue. *
fjrj^ ($ (^^Gv^ espèce de refrain entremêlé de pas cadencés, en usage
dans les fêtes.
Si , balançant mes bras en cadence , tout en chantant une chanson , jlexécute
le tovlougoum hi touhum,
^ Л>4^ combat; puits dont on tire Геаи avec une perche de bois; outre;
armes. ""
{jy^j^ pleine, en pariant de la lune; couché, en parlant des astres.
Est-ce bien moi qui vois ta face belle comme la pleine lune? Ahl je rends
grâce à ma bonne fortune et à la planète qui préside à mon sort.
/4-4Г^J^ se coucher, en parlant des astres.
^j!i court, petit.
J^ m. miroir. Gonf. o-^o^.
AxUyi coiffe, bonnet fourré; capuchon qu'on met sur la tête du faucon;
plumes d'oiseau dont les soldats ornent leur tête.
Le capuchon d'or qui se trouve sur ma tète est une riche couronne, car Dieu
fait aussi de moi une tête couronnée.
оЦ^ rivière.
sjiyX^jJ, {jУУj^^j^ gros, ramassé en bosse.
246
L ^ЦУ^ dix mille, somme de dix mUle dinars; vapeur épaisse qui s'élève
àe la surface de la terre; dans ce sens, on dit aussi ^U^^; division
territoriale moindre que le «^u^^^; nombreux; fond, abtme.
Quand bien même un million d'oiseaux, voyageant dans cette direction, agi-
teraient leurs ailes dans ces r^ons aériennes pendant mille ans.
j^j^^ иЧ^^ iS^yf ^^(fi^ «^^^3 à Samai*kand, à Bokbara et dans
ces contrées (à Kaboul), les divisions territoriales qui dépendent
d'un grand chef-lieù portent le nom de touman. — A. G. 97. ^\f
jjt^y «T^H^^i le récit des conquêtes de ces pays par Batou-khan et
de sa mort a été fait avec bien plus de détails que cela.
v^U^ nom que les Euzbegs donnent à la partie inférieure de chaque
chose; culottes de lutteur.
«iWU^ devenir riche.
Juy«^ inégal, raboteux.
Зъг^j^ fers qu'on met aux pieds d'un prisonnier.
bec d'un oiseau; nez; pointe d'une montagne, d'un rocher.
Le rossignol de Гаигоге , ayant pris son bec avec force , fit ployer les ailes de
la chauve-souris de la nuit.
^\t )^\ siL^^ г^-*ня t^ ^у^ ^j1з'
C'était une montagne dont la tête était en pointe , mais une pointe que cou-
ronnait une pierre noire.
-. j
Cet antre, qui avait frotte son bras contre sa tAte, parla de la pointe d'un
rocher. •
%ÈijXAyi épaisseur; foule; plein.
(ЩЛ^ s'enfoncer dans l'eau.
ЛЛуа remplir. — Эу^у^ Я^^ s'enfonce dans l'eau.
^Ц)j1<<«^ escarbot, en arabe JJцг et ikmÀk^,
i^^^yi s'asseoir triste et silencieux dans un coin.
Mène une vie joyeuse; car, aux yeux de la fortune , il est indifférent que tu te
livres à la danse dans un festin, ou que tu restes silencieux dans un coin.
i^^ obscur, ténébreux, nuit; tunique ouverte entièrement par devant.
Personne ne sait le nombre des kaftans qui sont sans couture; aucun d'eux n'a
été ni rogné, ni cousu.
V3^y habillement. — B. 399. a-;^L (^у^j^j^ à chacun un
habit.
^Ь^ grande quantité de bois qu'on réunit et dans laquelle on met le feu.
^J^^У^ le jour passé, hier. — A. G. 45. <--^t ^у^ (jт!^ JЛ^ U.^^'k^
hier, après avoir trait le lait des juments.
/4^U^ mettre à nu.
Vj U^^>' caleçon. — >-î àj^ jy^ Лл^^j^, (jvJu»^>? J^^
4^UJI y^uU {J^^jyi^ à)i^^jyjt jjS' chaque année, l'adminis-
trateur devra acheter cent pelisses, cent habits, cent bonnets, cent
paires de pantoufles , cent chemises et cent caleçons.
«
y
248
jf viLs^ espèce de timbales.
â>-*-w' ^iL^xij^l циГ^jj^j
Au milieu de son festin le son de la timbale dëfie le fracas du tonnerre ; le feu
où rôtit son hMh brille comme Tédair.
•a ••
roseau avec lequel on fait des nattes fines.
5 le premier-né.
^изJЦö gardien de nuit autour de la tombe ou de la demeure des rois.
Là, ta fortune toujours vigilante est ta gardienne de nuit; toi, dont Dieu est
le compagnon jusqu^à laurore.
viXiy» jarre à ouverture étroite, vase pour le vin; froid, gelée.
^^JчJ^ J4>^ дк^ tfH^^y »^l*
L'aiguière du so6 fut endommagée; le vin s'altéra comme le vase qui le con-
tenait.
«
Le malheureux amant , par ses soupirs et ses larmes , se trouve à la fois dans
le feu et dans Геаи; hypocrite, peu lui importe que tu sois embrasé de chaleur
ou gelé de froid I
viUc^lx^ tomber.
sfX^uXby» mettre à rebours, retourner.
Б) -ХЗу» clochette.
vJ^^X^y» frileux. — (^'^^y^ avoir froid,
^j>^yi ouverture dans le haut de la tente pour laisser échapper la fumée.
(^>) 249
Dans la prison où mon corps est enfennë il n*y a plus trace ni de Fenêtre, ni
déporte.
^ geler, devenir froid.
jj^Xi^ fée, spectre.
jy^yi porc. — <jaJL ji^y marsouin.
Ss^yi {j^j^ÿ^ ÖЛЯ О^JJ^У^ escarbot. Conf. оЦд^^У-
/^i^X^ se geler; avoir le cœur glacé; désespéré.
j\лшеШ^) (jJV-^ P)^ (j-lçt ^у^ yj •
Tu es le cœur qui désire, mais qui ne décide rien ; si c'est là le rôle du cosur,
tâche d*en faire ton deuil.
y^^yi ^di;;>L^j^ {^^^yfS \jлуА 1^^ i,^ hélas! hélas! sous les
coups redoublés de la maladie, il désespère de la vie.
ô roi, ne désespère pas des décrets de la providence, car tu ne sais quel en
est rimprévu, en un clin d œil.
уjЬЛЦуЗ faire nuit, marcher de nuit. — B. 179. ^^^^^ Jl-S^^-j
4j»yijl traversant par une marche de nuit la passe de Nerkh.
JjjLi^ foule; quantité. — A. G. 71. {^y^a «^^Aj^ j-^цj \yJ^^j^
i^}j^ v^' (>е^С5'?^'*.1^^ chaque année je donnerai, en signe de
redevance, une quantité de laine. C'est, je pense, à tort, que l'édi-
tion imprimée porte ö>ЦЯ ^ un habillement.
(Ч^j^ devenir sombre et obscur, s'obscurcir, en parlant de la vue.
L'œil ee couvre de (âièbree pour un seul regard ; ii ne peut juger de hi beauté
250 iJJ^y
de ta figare, car elle brille d'un UA édat qu'elle brûle d*un feu meurtrier le cœur
et rame.
{jj^ jument qui n'a pas encore porté. — A. G. a 5. Jjцнд^ \it Лл-аj»
^^мJ^ ^У» puisse ton cheval ou ta jument prospérer.
fy^j3^j^ feutre qu'on déploie tout autour des tentes et des huttes des
nomades.
U ^j^ fête, festin, réunion joyeuse; essence d'une chose; cheveu, poil. —
B. 275. t^oo^ j^^y 1^:>У^ àu^^ '^ grand repas pour la nais-
sanee de Humaïoun fut célébré. — (^y» ^sy outarde. — ^Vl/#cc^
JууЗ tas. — »2i-4»yf charger» entasser.
jУлJjИ alouette.
/ö^ЬЦ^ rassasier; faire comprendre.
t
J'ai rassasié les affamée, et couvert ceux qui étaient nus; au moment où je di-
sais : je suie mort, je t'ai trouvé.
Les habitants du monde se nourrissaient de son sang ; lui , pour les rassasier,
se laissa dessécher jusqu'à la moelle des os (fit une brique de son corps).
rassasié, qui se rassasie vite.
^ЦЦдj, {JJ^J^ oiseau blanc, faucon blanc. ^
1;« jûlii. sî)jy^^ ^^oJb âyyy ^k ,o5W
Les ennemie des gens de ténèbres, ce sont lA hommes purs; ainsi le faucon
blanc de l'aurore apparaît au milieu de la troupe des chauves-souris.
^Owt (;|l^4^ jз^Ьjрз5"14^ W^ {jy> i^ su prétend qu'un corbeau
251
noir est un faucon blanc , quiconque ne dira pas , il attrape trè6-4)ieD
les oies 9 sera traité avec mépris; s'il dit qu'il fait nuit en plein jour»
celui qui ne s'écrie pas : 0 roi » vous avez raison , sera repoussé.
(j^^jii fêter; ruer. — B. 436. Ia^^-I^I éJ^i^iJ^i j^\ ^-^I* v^^<^ ë^
^jJ.Аjц^ son cheval, ruant, se détournant, s'abattit au milieu des
siens. — A. G. 1 3 1 . (^<xaa^ b^^^^yr Ы (^JJС^* aâam»^U dU^ilsT
le coup atteignit la croupe du cheval ; celui-ci rua et s'abattit.
Jji^yi insatiable ; qui ne comprend pas.
En vain moi, paavre affll^, je regarde son visage beau comme la lune; mon
œil insatiabie reste comme s'il n'avail rien vu.
/ö4Г^ être rassasié; être plein; comprendre. — B. 389. iS^S t^^y ym
^4X..j^f '^t^jxm ë)^y^ {j^j^^^^^ь^У)^ J^ l'eau étant à son plus
haut point, je montai à cheval, entre les deux prières, pour aller
voir l'inondation. — ^jз^у^ faire comprendre.
3^^^^ corne, sabot des animaux, ongle.
Si je oompl*end8 bien, ce ne sont pas des ongles; il il y a pas de noir au bout
du pied.
%Ù\j^yi melon à moitié mûr.
^^-^- * fenêtre.
espèce de poésie sur le mètre remel mouceddes maksour, c'est-à-dire
o^ftU (jуЗЛ*1з (g^^UU; informé de, qui s'aperçoit de. . . Conf. \^ушу.
l^J^i^ mèche de fouet.
s^XyfjJ s'arrêter.
3j^jiy proie.
particule dénuée de sens par elle-même et servant à donner de
l'énergie, conune Jjç> ,^^ tout droit, très^lroit.
252
laine fine.
/o^'^L^Li^AJ se démener, s'agiter. — B. a85. I^»^! <J>^1>^ â4>^-HW
^«x^ljl^dblig i^^lû^^i^b^' Ljyit^ un jeune rhinocéros s'étant brûlé au
feu, gisait, en se démenant. Le texte imprimé porte, peut-être par
erreur, t,
^y^Lkl^. — Voy.\»
s^jXàiê]jj^ qui se rue, qui se démène.
«iL^lj.4JO, sy^)jj^ trembler, se mouvoir, s'agiter, frapper du pied.
Tremble, ô Nevai, et ne fais pas entendre tes chants; garde-toi de rien dire
qui ne soit permis.
kiLii\jjL4fj mettre dans l'agitation, dans le désordre. — B. s5i.
kâjym ^Jôl^r^ (s^^. après avoir mis l'ennemi en désordre. —
J^I^jha? se frapper mutuellement du pied.
lilwSAli tambour de basque. — ^^jtèt^ terrain battu par les chevaux.
viW^lxAjL) se démener, piétiner. — ^^Цч^ ruer, frapper du pied.
(^JVJU grande aiguille.
le rebord de la selle.
Jÿ^JÖ ruade, coup de pied.
Si, quand les assauts de ses persécuteurs auront cessé, le territoire de mon
cœur est désormais à Tabri des coups de pied.
J^ ^4^ sommet de la tête; colline élevée. — ^^L^J^-^aj terrain défoncé et
rendu inégal par les pieds des animaux.
^:ллj séparé; mis en morceaux.
253
уj^ wIJuo tremblement.
i\ Jиö sommet de la tête.
»i%jUj ornement que les femmes se suspendent au cou ou aux
oreilles, parure de la tête; plumet, panache.
b-^MÉ-^ l^E** 05^ ^JJУ^ (à^^
Comme une idole de beauté, il dirige ses coups contre les inteUigences; ce n'est
pas une couronne qui orne sa tète, mais une élégante parure.
^ vil^LJuu trembler.
ЛJ mettre en morceaux; séparer le coton de sa graine.
iXÂJuu pierre précieuse; rubis.
jyuo se dit d'un homme qui est très-enjoué quand il est malade, et
dont Tarrogance et la violence sont extrêmes dans l'état de santé:
homme actif et entreprenant, très-habile à faire ses affaires.
Dans le comble de la faiblesse ton œil se pare des dehors de TarrogaDce; de
même que parmi les malades on en remarque qui sont enjoués aoddentellenient.
jyj^ Jj; Jl^Uhh I:>JKçI ^^^ji\
\
L'homme, digne de ce попь, voit sa capacité s'aocrottre dans les difficultés;
plus le verre se brise, plus il devient aigu.
sueur.
J^Ji>^^ {^^yi^ iù^'J^J*^' ^^^
Ce n'est pas la terre avec des eaux courantes, qui se présente de tous cdtés;
c'est la terre qui sue par tous les pores sous l'action de la chaleur.
354 sù^^
«
Ce ne sont pas les étoiles quon voit sur la voûte du ciel, c'est la sueur qui
perie au feu de mes soupirs; hëlas [ il n est point de mur qui ne devienne humide
au contact de cette sueur.
Ljo branche d'une famille, d'une tribu.
rtjiAj tuyau, conduit.
Si des torrents s'échappent de ma manche , ne vois-tu pas que les larmes de
mes yeux coulent comme le tuyau d'une fontaine lorsqu*il est plein?
S\jj^ peuplier blanc; pilier d'une maison, d'une tente.
\Ù^\jj3 établir; poser; dresser.
>3 J^Lib |0-си«^ ;i3jy^S^\jà^ j^
t
0 vous qui avez perdu et ruiné mon corps desséché, voyez les traits qui se
sont posés de tous cAtés sur mes membres, en partant de mon cœur.
viWly^AJ s'agiter, s'ébranler. — B. /196. (j^Jc^^-i^ jbLil^ ^у^ ^L
fa^^HH^lfjH^ l'ennemi s'ébranlant du côté de notre aile droite. —
Id. Agâ. j^дjусХj^лк^ АjЦу^ (i^lf^ s'ébranlant, ils chargèrent
l'ennemi.
Jим*JÖ lien; jointure du bras, coude.
JZjo empêchement, obstacle.
Jd^^ interrogation; feutre de la selle, coussin qu'on place soUs la selle;
chose à recueillir, à ramasser.
\iL*o^ réprimander; retenir; interroger, s'enquérir; planter en terre
un morceau de bois, un pilier; donner de l'appui, protéger.
J^.
4
On n'empêchait personne d'agir comme il le voulait; quoi qu'il eût fait, on ne
Аюлй à personne : Tu as mal fait.
Ф
Sur toutes les routes qui existaient, plaçant des embuscades , il établit dans ces
embuscades des hommes aux desseins hostiles, avec mission d'interroger ies
allants et venants et de s'enquérir des affaires de chacun d'eux.
\ма^j^ OU bien encore, dans le cas où ses hauts commissaires au-
raient reçu Tordre de désigner des hommes pour faire la garde de
nuit, le chef de cette garde s'enquerra avec soin de ceux de ces
hommes qui se seront rendus ou ne se seront pas rendus à ce service.
Quand ce fardeau fait pendier l'édifice de son corps, il donne à cet édifice
chancelant l'appui d'un bâton.
Qud dommage que cette péri s'associe avec des dxos, quoi que je fasse pour
prot^[er la troupe des anges contre la fiirie de l'orage.
s£^^ifilièSjjh3 marcher en file, à la suite Tun de l'autre.
^j^jЬ^ donner la vie à. . . rappeler à la vie. — A. G. 1 78. ^Лшеj^jj^
256
y^^j^^yigm \ъ^jш»j^^^ ytgmj^siri уjj/ш Ь c*est à VOUS de décider
si vous nous ferez mourir ou si vous nous donnerez la vie.
U s^jiyjj^ transpirer. — a^J^ sorte de maladie, mette?
kjjjékii instrument avec lequel on tourne le moût dans la chaudière.
AWU grande dame.
и^лJ cueilli; ramassé. — B. 3s i. JUhhJhh^jhh ^Wl» ^«я.**^^^
|Oj) Aài^yjyà avec un arc qui se trouva sous ma main (qui était
comme une chose recueillie, ramassée), je décochai une flèche au
défaut de Tépaule d'qn cerf.
[j sÙ^jJiii recueillir, ramasser. — ^j^ (S^^^ se roidir contre. (AAjJXùi
^^J(^ *А1ч>.Л' зруиг! «-*й^ â>^ f^^=>
Jiyji^ xJ4t:>^:> Aj^U^S ^^:> jT^U
Celui фи, recueillant les paroles des autres « en fera la pâture de sa bouche
toujours prête à parler, Tange le recueillera lui-même pour le livrer h la fumée
«
du feu étemel.
Puisqu^il faut que tu cueilles des roses sur le parterre de sa figure , que di-
rai-je? il faudi*a bien que toi-même tu lui rendes justice.
/ojê^jj^ frapper de la griffe, de l'ongle, égratigner, gratter; envelopper.
Les chiens, dans sa rue, tantôt m'^atignent, tantôt me mordent; quand je
succombe, à bout de forces, ils s'arrachent mon corps Tun à l'autre , en le tirant
violemment.
^^^>Jчr^ ^jJ:> âJ^JUi-4 ^y^^b аУ^ ^^j\aXa v^^ 4;ч« а^ J^Ь^ la
corneille, à qui était demeuré l'avantage, gratta la terre, la creusa
avec son bec et ensevelit son ennemi vaincu.
ibuwo 257
••Je»
L'araignëe, enveloppant de sa toile la plante appelée ekibâk (absinthe), Ini
couvre la tête avec ses fils.
t(^\^jJt^^ ^^Е^ЦjЛJ arracher avec Tongle ou la griffe; grimper» en
s'aidant des ongles ou des griffes.
j^ {j^jJtfi ong^e.
L \gj^ peau des animaux et des fruits.
La chair et la peau e'ëtaient séparées sous la violence des coups qu il avait
reçus; ses membres étaient devenus rouges par l'effet des ^atignures.
/лJjjЗ espèce d'absinthe.
л5 vivant, vif, agile. — j^^^ iûi^J^ â^' fsS^ (jл^^^^^^^у *йЦ/*з
(jмЦ^ Lm^^ vJUhP aW jjла^\ il n'est personne dans le jardin
des vivants qui prise l'humble nénufar à l'égal du ciel verdâtre. - —
Ji<^Ji^^ action d'être vivant, vif. — B. э5. («Хн^ХдJJ.^ «^1JчД
^«x^t (jmUjL ^|V-^ ^I Ьj^ "^^^' (jUaLm de son vivant, sultan
Ahmed-mirza n'avait pas de rapports avec d'autres femmes.
^З^ЛJ^ en vie.
Jo^ âme, vie. .
J^ syJiJkJtjjjii vivifier. — |21.Ц^ être vivifié.
Si le pardon couvre mes péchés, être rendu à la vie me serait pénible.
AJ épi qui reste dans les champs après la moisson ; tige ; brin ; fil.
^^:^j^ glaneur.
jУаJ1jjЗ profond. . .
DicT. TDBK. 17*
258
La paissante embarcation s'ëtant mise en mouvement, la mer profonde fit
entendre un mugissement formidable.
L iJO rapide, prompt; genou.
c^*^l ,Xd2 \jJ0ll\ i^P'y^ J^\
Le pauvre, soufflant dans sa main avec sa bouche, serrant ses deux genoux
contre sa poitrine.
^à^y^ genouillères. — A. G. 8. d*^^^ *à^^ nauni de cuis-
sarts et de genouillères.
ir *^y^ fumier des animaux; bruit qu'on fait avec sa bouche en se moquant.
^^^jЛJ chameaux attachés à la file les uns des autres.
U JS^H^ bride d'un cheval.
ч>-АлХ!мйлЗ , «Д-^лJ^лJ s'éloigner, s'écarter, se ranger.
J^ sà^yyi3 hâter; pousser avec les genoux.
«iLojJO enfiler des coquilles, ranger en files.
^ (j«H^ dent; instrument de fer dont se servent ceux qui travaillent le lin.
— з1йчи entraves. — ^jLb jй^ sandales. — j^jy^ ifi^ cure-dent. «
;^1хДлj renversé, à l'envers. — jjч^ \j£луш jo^^^jUXAi ААй«1;)у ^
j^(S^J3^y^ quand on l'aura parée de cette manière, le front ceint
d'un bandeau , on la fera monter à l'envers sur un bœuf bon mar-
cheur, et on la promènera dans les rues et dans les quartiers de la
ville.
jp sÙ^ji%JtàJj3 prendre avec les dents.
ЛJ faire un trou ; délier, dénouer.
дjцJиJцö 'i59
Comment рошта!в-jе ne pas me dëmener dans Гашоиг que j*éprouve, рш8ф1е
mes entrailles et mon cœur ont été perces à la longue par les épingles de la sé-
paration?
• ••
Saisi de compassion il avança la main pour le délier lui-même, voulant voir,
s'il était mort ou 8*il vivait encore.
èJLà^i trou.
> ^JL^i femelle.
ruelle.
ЯЛJ barrière, barricade, ce qui s^t à boucher — B. /i5. (^«^l^L |)jнн*
sur le derrière de la maison dans laquelle était entré le mirza pour
satisfaire ses besoins, il y avait une porte où l'on avait élevé avec du
' bois une barricade.
vjby'-Âjkj, (jJUp charpie.
AJ remplir, entasser; refouler en désordre. — B. 377. «i^^ijWi!
S^^J3 Сч> 3 аJч^У (Л(И^ ч^Ак^ Аяе^ЦдУ refoulant en désordre les •
piétons vers leur citadelle, ils les firent arriver au pied du rempart.
là. 96. iuiilî^jLw^^U^ ^ULm judTiyux^^ (ij^UWi ne te fie pas à
ton ami, il emplira ta peau de paille. — ейч^ s'entasser, s'accu-
muler, se ramasser. — B. 9 9 5. ^у^j^ {jé^j^^^ {^(^^ч^j^^у^
ЦjлДА^ ^9j\jfj^ l'aile gauche ayant traversé les défilés, vint s'accu-
muler auprès de la porte. — Id. З7З. ^jULwb ^UX^âP dL^^Xf^^
öЬ>^^ iSJ^^J^ ^^^ feuilles du dehors qui sont ramassées comme celles
du bouton de rose sont d'un vert très-prononcé.
JмJиЗ action de s'entasser, presse, foule; épais; étroit. — B. 9З&.
jl\ J^ pJcj s:jj^ g^I JJц^^^дЬjч ЬjjйнДААеЗ fS^^^^} ^ ^t Jôl
^«X^t и«^(ч^ l(ri! îl y Avait un tel empressement que, dans la foule,
*7-
260 \j^ ,
les pieds de quelques personnes ne touchaient pas la terre , sur un
espace de trois ou quatre pas.
^ cJuJ silencieux; droit; seul, isolé; fond, base; en dessous; plût à Dieu
que... comme, à la fin des mots.
• *
Nevrouz, assis silehcieuseroeut, s'entretenait dans sa passion; eux, répétaient
son nom dans Jes transports de leur douleur.
jyJLlyS JчР JчИ1 Ù^y3 Uù\à3\j\f.
АИ0П8 tyran 1 que signiOe une pareille injustice? Mets ta confiance dans ton
créateur et ne dis mot.
A. G. 161. ^sj^ ^i^yt^fSj^^ vous-mêmes, tenez-vous droits.
— Ыщ 5 g. J^y ъ^ Os^t^fé ^^\ à Seïd, tiens-toi tranquille!
Ceux qui étaient libres se mirent h marcher d'un pas rapide; un prisonnier
' resta seul dans la cage.
(yiéy J^ tenir droit, planter. — B. ЛБу. viU^gljb« ^^J^ <is?tfJJ
i^yjys xii^ ^^.j^Ui^ V>?y >^ftW dy^j^ <^y «n saltimbanque,
plaçant sur ses reins le bout d'une perche longue de six ou sept cou-
' dée'â qu'il tient toute droite.
«ill^AJ sarment.
sfL^^l^Aj jeter un coup d'œil rapide; se tenir droit.
jo t)'^^ épine, plante qui croît autour de Karchi et sur laquelle on re-
cueille la manne.
^>XaJ bottine faite de cuir et de feutre.
1%ЛАч> cercle; côté.
JXu 261
Je suis si uotoirement coanu comme chargé des chaînée de la folie qu'en tout
temps une troupe de Ferhâd et de Medjnoun est réunie autour de moi.
а^\J^лj tourner, circuler,
Лл^J^ roue. — Л. G. ii3. w^iftJ^b^yë i^Xi^jS^ Jlj^^ajI;! ayant
fait revêtir de fer les roues de Yaraba,
jуj^^ fin, extrémité; jusqu'à.
Depuis que le monde existe par la toute-puissance du destin , jusqu'au moment
où il finira.
viL*lubiXjo réunir, rassembler.
Tu as beau vouloir diminuer le prix des choses au moment où tu les achètes,
le ciel réunira tous les comptes, au jour de ta manifestation universelle.
(iL«^k^o élever, ériger. .
^ чД-К-б^ coudre; planter en terre un pieu, un arbre; clouer, rendre immo-
bile; rester indécis, immobile; errer. — vi)uC^ atteindre avec quoi
que ce soit; heurter contre; arriver, parvenir; valoir.
Lorsque son esprit pur eut compris ces paroles, il lança de Га terre et cloua
ses deux bras Tun contre l'autre.
^If кжЛКтjу>^^\^ ^бш^ иУ^З^ *^^^
Ayant ainsi préparé beaucoup de flèches et de pierres , les unes pour percer le
corps, les autres pour faire sauter la tète.
263 JХлj
Tandû que ie sort l'avait fait pauvre et impuissant, il lui était arrivé en héri-
tage UD royaume considérable.
^\ш »зС» ^^l ^J<^ ^ i^«XiA«
Lorsque cette flèche, rapide comme Téclair, parvint au but, ce décocheur de
flèches tomba à la renverse.
Il se fit dans les flots de la mer un tel bouleversement que chaque bulle d eau
atteignit la face des astres.
La parole ne peut donner une idée ni de ta bouche ni de ta joue; de même
qu*un atome ne saurait lutter contre la splendeur du soleil.
jÿ VH^ ^ I «>s^l)5' ^^Wu^ (s'J^ ii s'est trompé sur la nature de
quatre des vingt-quatre гиЫм : il a erré également sur la mesure
de quatre pieds.
A chaque instant, le cours de ses réflexions le rendant indécis, il restait plongé
dans Tétonnement sur sa situation.
Ce personnage, à tunique jaune, tiens-toi immobile pour lui rendre honneur;
c'est uue flamme qui s'élève pour consumer les herbes qu'elle atteint.
263
J4isb3 être cloué, attaché, s'attacher à.
^^:>Цj1 JyieU* Jgifl^ ^jу^ AÏSîl J-Ш ^jly j^l
J^З^ (:^!*>-y^^ ^*Ml Jлj;^ i*iU jt
Ô Nevaï, puisqu^en dépit de tous tes efforts tu n'as pu être réuni à lobjet de
ta passion, attadie-toi à sa générosité et désespère de tout le reste.
coudre ensemble. — jL«uX^ faire échange, permu-^
tation; arriver Tun à l'autre, se rencontrer; combattre.
JT^^AJ qui plante, qui raffermit. — B. Д08. A X ^ 9\jj^ эу^.^ «^^^
Jj^\jл\ Э>^* <^^^33 les vézirs qui sont chargés de rapporter des
exemples, les émirs qui doivent raffermir l'autorité.
sÙ^jysj^ faire arriver. — B. 4^8. J^ъ^^^ ^ ^j^^xi (S^o^'j^ ^^ ^''""
vèrent (se firent parvenir eux-mêmes) tout près. — IL As. ^J^
j^уч? il fait arriver le sabre, c'est-à-dire, il s'escrime parfaitement
du sabre. — Id. 5o. i^^j^^ iSj^ il joua bien de la masse d'armes.
ЧХаj Bouc. Voyez aU. — B. 9. ^jt^X-il \*ji^ ^ (jA:>(si^Y^ ^^Ajub ^\:>
j^:> ^}^j.4,i4tm AU ^:>j^, J3I fSj^jjKh^ os?lj>j fS'jA jb resserré
entre les montagnes, le fleuve est si étroit qu'on dît que, dans ce
lieu, les boucs sautent par dessus. — Id. 979. ф^ <^й^Ц. j^J^^
j^^j\jt ^М аJч^ vWy battant les tambours, brandissant les sabres,
ils furent près de cabrioler.
b AXaJ pièce; аХдЗ аJ^ en pièces.
♦аХлЗ rond, cercle. — *à^ji^ chose qui roule, roue.
%а^Уjj^жj rouler. — Лj$<а^j4^ , kàjé^j^^ se rouler, se vautrer.
y {jr^rls^^ moulin. — А^^^ч^ arrondi.
JУАjлУjJj toucher, tâter.
aXaj tronc; fin; fond.
U*H^XaS égal.
|йJ^|ЯлЗ couture. — ij^-^ action d'arriver, de se rencontrer, de com-
battre; valeur. — B. 3i^i. ^JJ^y 1«>кд^С^ ài^y^ «K^*v« Jl»
nous campâmes à l'embouchure de la rivière Ali-Mesdjed. — Le
texte porte, mal à propos, si je ne me trompe ^ ja>»ii»3. — jцАдСаЗ
'au moment de se rencontrer; en quantité suffisante.
Ayant réuni son armée dans ce lieu de rendez-vous, il donna à tous, en quan-
tité suffisante, de quoi subvenir aux frais du voyage.
«iXxLXAiJ cousu.
JjХлЗ jusqu'à.
Ses fondations, assises sur la roche la plus dure, descendent jusqu'au fond des
eaux; ses remparts d'acier s'élèvent jusqu'aux cieux.
-^ сК^ plume; langue.
^уяАjö éclaireur. — B. u5o. ^jy^jO^^^^*. ö'*^^ ^s-^iA^ ^^^jЪ^
fo5" leurs éclaireurs apportent la nouvelle que
«^О^JÖ besoin; demande; désir, souhait.
viX^'^Lo, viL^Kjkj demander, rechercher, désirer.
Lorsqu'ils eurent fait conpaitre le but de leurs désirs, demandant luie l'éponse,
ils baissèrent la tète.
Uyy »i^»»^ Лшм»уЗ liUftAA*; j,l&
0 ma belle, je ne suis plus en ton pouvoir, mais je veux y rentrer, car je ne
désire pas dans le monde d'autre maîtresse que toi. Si jamais le jaloux qui t'ob-
serve tombe entre mes mains, je découperai sur son dos de nombreuses lanières
de cuir.
(£«>чJ1д$'^ип jour que sa chèvre avait disparu , il se mit à sa recherche
et arriva auprès du puits.
^ Ls^^^ mendiant.
^jКjö valeureux, brave.
4^sbJ fou.
«jL^IjA^sXaj devenir fou.
Eb proie à la démence, j'ai cherché de tous côtés mon cœur ^aré; j'ai fouillé
successivement les montagnes, les vallées et les déserts.
• . •
Ô mon cœur, maintenant que tu es devenu fou, que feras-tu, si cette feri ne
te fabrique pas une chaîne avec ses boucles de cheveux? :
^jЬ«дÿХХлj se tenir fixe, cloué.
L ^1^лj drogman, interprète. — A. G. 79. ^L^^.C \ "v KjUm ^j^m ^
^«хjц»! ^иЬнР Ь ^.«^^1 est-ce Djenguiz-khan qui t'a dit cela ou
bien un interprète?
«iUuu trouer; diviser en petits morceaux. . ' — / '
viL^^^Juo se fatiguer à régarder, prolonger ses regards ;'~dttendre.
Tandis que, placé sur le bord de cette eau; il regardait dans Tattente de ses
compagnons, sa figure se réfléchissait, plongée dans Tonde.
y «fl^Lo trou.
366 jУ^^
S'3 fienl à vieillir, tes rides rient sur sa tèCe; de la tèCe aox pieds il est troué
oomme on filet
%AjXkj traces des pas cTun cheval ; indication placée sur la route.
J^ ifiblAJ tranche. — ^и^ДдЗ un petit morceau , un peu.
^^JjJLaj troué; divisé en morceaux. — (jь-^ (jsJ^ tout en morceaux.
Le peuple affluait de tons o6tés et tout le monde était en marche; la route
était tonte trouée sons les traces des passants.
iQL» édifice voûté. — f^ f^ goutte à goutte.
<ЕН^О^уФ iK àj^jèàjéi bi>« öЬ» J^
Le sang de mes larmes, qui tombe goutte à goutte snr la leOre des adieux ,
est comme ces feniHes de rose qu'on enfant range symétriquement sur des feuilles
de papier*.
^L^ juridiction ou fief d'un ordre inférieur,
j^^мÿ compatissant; faible, languissant.
vlr-b-*» Vj^yl*^! ^Ub^U-àl j^j^Uw
Mes rivaux tombent en défiûUance , en laissant voir une grande agitatkm ; vous
avez rassuré mon eceor sur la triste fin q'iii in attendait dans risoiement.
Adieu le bouton de rose souriant ! il n'est resté dans mon cœur que les épines;
à part ce qui la charme, qu'y a*t-il dans le monde ponr mon âme languissadte?
• *•
Гj:^
41^
jы
|РОЙ>'*
267
ça est ou ça n'est pas.
^у^ aiguille à sac.
/44ÿ empêcher, retenir, arrêter.
Ne cherche pas à empêcher mon cœur en proie à la démence de s afficher pu-
bliquement; ce pauvre fou serait-il amoureux, 8*il craignait pour sa réputatioh?
4^l# (ybif J^\^ (:jv^*3 b^Ul^l ^^1; »U celui qui ne retient pas
sa langue pour garder les secrets du roi , sa tête s'en va.
Piquant avec la pointe qui garnissait le bout de sa lance le poisson sur lequel
repose la terre, arrêtant avec son dard aigu la révolution ou cîd.
Quand il entendit résonner à son oreille la mélodie de Tamour et de la passion ,
!з 1НЛ " il ne put retenir le déluge de larmes qui s'échappait dé ses yeux.
JУ^ fer. — yl^ j^^u espèce d'épines de fer ou d'acier, à quatre cô-
tés, qu'on jette sur la route de Tennemi. — \ii^jy^ ^^^^ ^^ f^i*^
l'étoile polaire. — «^ЬЬд^^и espèce de canard.
^^^Ь^ barque.
ijlJ»UjJuuo trébucher. — ^^ tranquille, reposé, paisible.
■ji^' Si tu portes ta pensée vers Tinfidèle et le musulman, sache que le premier n'a
pas le d&espoir, et que le cœur du second n'est pas libre d'inquiétudes.
n^ A. G. 137. 4^«xJ>^ ^^ v>^3 {j^^^^ ^гJЗ^ Ourguendj était flo-
•[^ -rissante et le peuple était paisible. ^
jjùXi séjour; repos, pose. — (^i^b^ posé, reposé.
268 (З-вуÿ
^^"^иЦлj clarifier.
с&^АлЗ égal, pareil.
Lorsqu'il fil eordr du bëlier le retour périodique du printemps, la nuit et le
jour furent égaux dans sa balance.
mettre en balance.
чjЩхллJ être égal. — dL^^ôltCÂj^ chercher à égaliser, s'égaler récipro-
quement. — ^UxÂ^ ^gfi^lr ps^reil; compagnon.
^J^ Dieu.
/â^^^KxJUj entendre, écouter. — Jla^kXâj^ aplanir.
j^'^KxJLaj bout de nez.
JÖ peser; considérer*
ÂAii étrier.
ju la mer.
jуj^JЬj^ instable, faible, sans force.
Chaque rameau sec, dans la plaine, s'embellit au souffle du zéphyr; quant à
mon corps affaibli, il reste nu dans la vallée de l'égarement.
■
/o^^Aj se réposer; parler; tomber de fatigue.
" Gpmmeut, après aVoir tourné de chaque côté dans ta rue, comme la fumée
de mes soupirs, m'arréteraifr-je un instant dans cette même place, comme la
poussière lorsque le, vent se calme ?
(:r^^g; JJ()IC5^ ^^АмЦЗ J^J
вj^ 269
Il dit : Dobnez aux, soldats une double part de «e trésor; car, ils ont en à sup-
J
. porter de craelies fatigues pour accomplir cette entreprise.
Si tu dis que ton ardeur ne faiblira pas dans cette voie, conduis-toi , au moins,
avec la plus grande circonspection.
^J^J^*>Ji^ faire reposer; faire parler.
Lorsqu'il eut soulage son cœur des prëoccupations du gouvernement, des mes-
sagers firent parvenir aux soldats Tordre de se mettre en marche.
(iLtijijjo coudre; embrocher; s'enfoncer.
^^yS^j^ iLi^T Аjц^1йГ vb><H
Chaque ëpine s'enfonçait dans son pied; les ëpines s'accumulaient sur les
épines.
Jйдд^, dUl;^ être cousu, piqué.
irjLU^r^y j^ (i^, jUk pULUftS t,U4l ЛЛ
é
Si je ne gémis pas la nuit, il ne faut pas s'en étonner; celui dans le ccèur du-
quel s'est enfoncée la flèche de la séparation, il lui est bien difficile de respirer.
kiLS\j^ tordre; enfoncer dans.
^^Зjj^ rond; tige de bois ou de fer qu'on assujettit fortement au milieu
de la pierre inférieure d'un moulin à bras; tordu; courbé; fiché.
« . * . ■
ifj^ (jft ft ^ & ^ A ^ Ь;^иш1 j^JLUj (^JЛ^
Ces briUures, qui sont sous le coton, ce sont les direms fixés à la ronde sous
les placets que le cheikh adresse k un tel amoureux.
j> »jjLi/chameau.— ^^Jyyч^^^^з^ ^^y^t â»^^ «^^U.'IrfJy ji<i?' *^«»Ь »1
I > «
façonna des selles pour les chevaux et appliqua les chameaux au port
des fardeaux. — j(^ «^^ espèce d'épine sur laquelle on recueille
la manne. — ;^y Шу^^ autruche. — 1ц^ »^ espèce de héron. —
B. 363. j^j3^.i^ ЬдУ »>a2F^^<1^ иЦ^ \:^Jiu^^^yjJ^j^:^ ^jшj1ш АJы
vient ensuite le saras (espèce de héron) , que les Turks, résidant dans
rindoustan, appellent ûvè-tauma. — jl^b «^чн^ plante d'une odeur
fétide. — Л^^^Шу^ insecte qui ressemble h la sauterelle.
с:4ЛшАj empêchement, défense.
^, (^jusqu'à; poids; quantité; à l'égal de.
Depuis le pigeon ramier jusqu'à la colombe et au rossignol; bien plus, depuis
la feuille des arbres jusqu'à la rose.
Je ne pense pas qu'il y ait un pécheur comparable à moi ; je ne trouve même
pas de péchés qui puissent être comparés à mes paroles.
i^^j^\ d'une manière différente. — мф^ут^ a^^I à la suite
de
y ^Ls^ déguisement; fraude, mensonge.
иш» don , cadeau.
J^ \:X^r^^ 4^i court toujours.
s3|;^ petit poisson.
/OÉ^^yi^ frapper de la main et du pied; s'agiter.
^I^L^ vêtement plein de pièces, haillons; courant; coupant la tête.
1
Je n'ai d'antre chausaure que la plante de mes pieds, qili est bleeeëe; je n'ai
d'autre vêtement que ce vieil habit couvert de pièces.
LjyjL^ A>Hw jЬЦ- i*^Ul J^сjÿj*. ^ дЦ^ ^j^ ^j^,Ljyj^. une
belle personne, fût-elle couverte d'une tunique déchirée, n'en serait
pas moins belle; la rose est toujours belle, malgré sa robe faite de
pièces et de morceaux.
h J^V^9 ЧÿЦ^ 4"^ ^ précipite contre Tenoemi, qui pousse son che-
val contre lui; invasion, incursion; courrier, postillon. — A« G. 73.
j^ jJUm Jз^Ц- К^и^дк^ dUL^j^^il^ ils firent une course subite
contre les faubourgs des Turkomans.
y LT^ V cardeur de coton ; homme qui a recours aux déguisements.
^^i3oL^ fin; but. — B. 4oi. аз^jу^ л^ё^-Ьни^ J3^W ^^W^^j^
nous nous arrêtâmes pour donner des instructions à l'armée (pour
déterminer son but).
jjjijXs^ vent et pluie.
/ö-^jд^я^и^ souffler en tempête, se déchaîner, en parlant du vent, de
la neige, de la pluie.
(jà^^ÀjL^ combat , violence, action de se frapper à coups d'épée. B. 5o.
/9-^^^^Â^li^ faire des armes, battre. — ф tAlé^ à ^ skmtne^bmpfeT à
coups d'épée, se battre. — B. 17. (^û-iç? J^ Ь^д;з1 CA»^S".^yL
(S^^y^^ au combat de Yact-KidjU, il se battit très-bien.
jyJybL^ combat à l'épée.
^дjJц?.Ц>» , (лМ-^ls^ irruption, vent violent, trombe de neige; cheval
noir aux allures rapides; combat; avant-garde.
Le khan du mont Djouda , faisant entendre la voix des escadrons de l'ouragan,
fit irruption dans ie domaine des prairies.
^Цз par suite de l'attaque nocturne du roi de l'hiver, la troupe du
Zoroastre du feu a été emprisonnée dans la citadelle du réchaud; et,
à cause de l'invasion de Farmée de Behmen, les soldats du Mujdek
des étincelles' ont disparu dans l'obscurité de la nuit.
H semblait alors qa*ime sombre nuit se répandait de toute )iart avec son coiv
\k^ de .vent méié de pioie el de neige.
qui fait une incursion.
/aIuuL^ s'agiter, se démener.
/ ^IjJuL^ faire rage. — B. аЛб. ^ЬзJчЦ- ^^ J^ ^i^^^^O^.J^
А(р ^«хрц jusqu'au moment de la prière du soir, la neige tomba à
- • *
tel point, en faisant rage, que Peut-être faut-il vl^ybL^.
v^ /o^^L^ se hâter, courir, faire courir; frapper à coups d'épée; couper. ,
Puisqu'il a tiré ie glaive meurtrier pendu à son c6té, pourquoi refuserait-il de
hii couper la tète?
j*i^J!^ fî^à ^^'^*^^ 4^*M' iS"^.^
Il l^rdît : Faites donc ce que vous pourrez faire; suivant que vous le jugerez
à propos vous pendrez ou vous décfipiterez ceux que vous trouverez.
4
. : U posa ie pied à terre et entra vite dans le château; dans sa main, une ëpée
meurtrière qui avait coupé la tâte des еях>9.
.dJlAjU. 273
^l^^yi^l^ de manière à courir. — B. 1 7 &. (s--^^ dlÂfti^^lib yi
jз^ jtyt ^ъ^к^^ с;>1 pU le dessus de ces montagnes est assez uoi
pour qu'un cheval puisse y courir. — (yAjyi^<s^ faire .courir.
II fit courir en toute bâte vers Bânou un messager qui dirigea sa marche vers
cette lune brillante.
courir à l'envi l'un de l'autre.
Chacun d'eux se mit à courir à Tenvi dans une direction; pas un ne s'arrêta
une demi-heure ni ne s'assit un instant.
ч^ v3^^ bord du vêtement.
v3^l^ marqué d'un coup, d'une balafre. — B. 5o. j^^^L^Lai. ^j^
^^*>s!l j^ô ö>^Ц- jo^i^' *аЦ^ (5^*^j-* on lui taillada la face; de-
puis ce temps, on le nomma Ibrahim le tailladé,
ol^ broussailles, taillis.
^ s^bis^ cercle qui soutient la tente; planche garnie d'un trou qu'on passe
sur le pilier de la tente; associé, joint.
JЫ^ fourche, fourchette.
^Ыj^ morceau de bois sur lequel on trace des lignes pour faire des
comptes.
JIÂJV^ sol d'une vallée; sommet inégal.
я^^^^и^ fruit du lentisque.
^ /o^^^L^ crever, se fendre. — з^Ц^ tenailles.
Wl^ engin de chasse ou de pêche; tente noire et ronde.
^ /A^'L:^ attacher deux choses ensemble, se lier, s'engrener, se rencontrer.
^Ць trépied auquel on suspend une outre.
^<xUjI^ fente.
DicT. тввк. -ïS
274 l^, jSjtf^, aÇU-
J^ J*^^ pavillon; tente; manteau, enveloppe; espèce de moineau,
i^ j^i J^ bruit, son; appel, convocation; messager; ravin escarpé.
4st)3^^^ iS^^^ iû^^j^ «^' У^
Lorsqu^il eat soalagë son cœur des préoccupations du gouvernement, des mes-
sagers firent parvenir aux soldats Tordre de se mettre en mardie.
B. 1З9. (jуjкц^ }(^ iiiA^:> ч-мА^ {^.^jЪ^ sortant des ravins,
nous montâmes sur un terrain uni. — Id. i4i. I^^^I^L*^ уЦ)Ь^^
dans les ravines qu'a creusées l'eau. — A. G. i35. ^^*-^ сл-' <^-*'
jyiy^ di^jyi (iD^>B (o'^^j^f^ s^ ^^^^ ^^^^ ^^"^ escarpées; en
quelques endroits, elles ont cent coudées de hauteur.
j\£^ tissu d'une qualité inférieure.
3\j\^ gai.
Jjt^L^ écho.
^зД.^жй;1^ favorite. — B. ai 1. А-0.Ы ylkX-»» v-x^bJ^ ^j^Js?;^*^^
jз^ i^^^j^ isif^i'^^ c^«N»l parmi ses concubines était Letif-sul-
tan-Agadjah ; c'était une de ses favorites.
sm^j l^ broderie d'or dont on orne le collet et les bords de la tunique ,
la tunique elle-même. — j) jul»^— * (S^ ^ Ы ^^^jз— e?-^ viLLi b
U^^V,aC^3 ^>Ц. »^<^l>Cvj^Jy JHyj ^ ^Jчи-АЗЦ; tant
que le satin azuré du ciel resplendira des fils d'or du soleil , que des
broderies soient cousues autour des épaules de vos esclaves.
Quand le soleil a uiit du crépuscule une bordure brillante pour ses rayons d or,
cette bordure a dû sa codeur rouge aux larmes des sectateurs de Tamour.
^J^U^ jet d'eau; tente, petite tente appelée kaknderi;
troupe de rabatteurs h la chasse ; rangée ; file ; troupe ; honneur ;
élévation; quantité; degré; place.
II faut établir un cordon de chasseurs, qui bouleverseront tellement l'espace,
que la race des fourmis sera entièrement extirpée de cette plaine.
V3J^^C:33h4>^ J4i^ U»(j^' A^j^ ^Ai^yb
En voyant de tous côtes la troupe de ses cils former un eerde envahissant,
j'ai compris que son œii donnait la chasse au cœur dont il* voulait faire sa proie.
mon Dieu, je n'étais pas et tu m'as donné l'existence; je n'étais qu'un
enfant et tu m'as fait entrer dans la troupe des grands! — jU^)^
à chaque époque où, parmi les dignitaires de la maison du sultan,!
on choisira des hommes capables, dignes de commander, intelli-
gents, pleins de sens, et des sujets à la hauteur de leur place, judi-
cieux, d'un esprit exercé.
Comment traitera-t-il sans égards un grand homme qui est chez lui; comment
accorderait-il à un petit des honneurs exagérés ?
Г JuJa^^ (Sjy4>) des scribes de la troupe des Ouîgours.
J^ й^Уj^^ pousser un cri, appeler, convoquer; aiguiser.
Belle comme la lune, ouvrant Torifice du puits, die s'écria d'une voix affec-
tueuse : 0 toi qui es affligé !
i8.
276 3 l^
Invite dans ta propre maison une nombreuse compagnie ; aie soin , on même
temps, de t'occuper de sa demeure.
J^ Зъj^^ espèce de chaussure de cuir cru.
fl^ bronze.
^AL^ monceau; multitude. — juL^jj^l:^, j^йЦ. dispersé.
/^"^LmL^ entasser.
Jfi /^^L^ être agité ; s'égarer, perdre l'esprit.
L цЗ Â^^ temps; mesure; sain; entier; redressé, en parlant du bout d'un
arc qu'on redresse en le soumettant à l'action de la chaleur.
Ce n'était pas une terre, mais un espace grand comme mille fois le ciel; en
dedans brillait une lumière éclatante conune dix mille soleils.
^Ц- «^ j^^ Чj-^ i^j^à^ ojti^l
Leurs langues allongées , qui ont la parole grasse , qui se mesurent par leurs
saillies, ressemblent à des sabres dont la lame a été frottée d'huile.
B. 48 a. jij^*yJi6\ «--чЛа* jЦ- dj^j-M ils ne font pas leur dé-
charge en mesurant un point dans l'espace. — Л. G. Д6. Juil^ y»
iJoUjU^b c^jyti lui ayant fait tourner la face à ce point. — B. i Qg.
^\Cî4«j^-«*> à^^^^ {jit^(^^4^^^^ quel dommage peut-il résulter de
trois personnes? — Id. à.jyXJiyi *лАа5 ^JJ^Ц- ^^^t bl^^ Lue pour
la salubrité et le climat, il n'y a pas de ville comparable à Ouch.
Son œil brûle, au feu de ce visage, Tintérieur des cœurs; ou bien il rend leur
cambrure naturelle à Tare des sourcils.
^l^lêU^ pièce de bois garnie de trous, dans lesquels on fait passer les
soutiens de la hutte; tente en clayonnage. — A. G. 171. <Х-ЯjГ
^и^^з» t JчлЛj! ^ÿ yUU Ь t,UI^ il>U. siWj^^ ^^loo^i
^1 ^UUm (jUb;^' «jj^Ц. les tentes de ceux-ci qui demeurent dans le
village et de ceux qui demeurent sur la limite de Sagan-Koum, dans
le Khoraçân, servent d'habitations aux Turkomans Sagans.
^иЦь entraves. En mongol, jour de fête, blanc. Conf. ulLix.
J^IXcL^ troupe qui forme l'arrière-garde. — B. i3i. J^lAiUij J^l^
ilJ^tX^I 4^fi^[t J^Ip 4^W^ nous étions couchés sans méfiance, n'ayant
posé ni garde, ni arrière-garde. — Id. i84. л ^.S'j^^ li'J^^^
^4X^1 (gLfyJ ^^Jj1«Хр\^J)зОöз5" chaque division était chargée de
former l'arrière-garde pendant une nuit et un jour.
^ /Jр«1хЦ^ appeler à haute voix, crier.
"^кхЦь héron. Conf. \j i (^n u i r.
/лЛ%Ь\£^ réfléchir, imaginer, supposer; tenir compte du temps.
^Jl^kÂ[i Ajbu-Ujl c^b if)^
Ayant jugé qu'il en pourrait amener celte quantité, il euvoloppa le tout for-
tement et le lia sur son dos.
«Co^kxl^ son, voix.
JVyVàL^ déterminé; célèbre.
z\^ avare.
L jjkjsis^ , jJSxUj^ vin; qui a les yeux bleus; épervier.
Est-ce donc la trop grande quantité de vin qui a rendu muet comme un ca-
nard le rossignol de mon intelligence?
jyiy» on a surnommé le vin la mère des turpitudes, parce que toutes
278 4J»U»
les mauvaises actions sont engendrées par lui. — ^^а^^Ць bour-
reau. — i;:»bl2»^^l^ espèce de canard.
parasol, dais.
jlïL^ endroit situé en dehors d'une citadelle et qu'on entoure d'une
enceinte pour y vivre en paix. — B. 67. ^^«^ннМ *^*^-«чи*^ j>^'
jyj ^A 4, ILw тшj^Ул ^^ j^^ Jз\^ le petit-fils de Timour-beg, Mo-
hammed-sultan-mirza Э fils de Djih&nguir-mirza, a fondé dans la
citadelle extérieure de Samarkand une medrecèh qui est un lieu
entouré d'une enceinte.
^lïL:^ hache d'arme.
3wUl^, vi^vv^ coude, poignet; golfe, port.
^Ic^L^L^ renversement, confusion.
jiL^ bloc. — B. 43 1. 4-лаХ^ iiiA^\j (S^jy^y^jj^^ *ib^J^ égalisant
les inégalités de la route (les blocs et les trous). — Peutr^tre ce mot
n'a pas de sens par lui-même et n'est là que pour la consonnance.
J^ /ojL^ mordre, en parlant des animaux, d'un médisant; battre le bri-
quet; briller; divulguer; briquet.
jy^y^i^l ày-^ Jj^^ <£4r^ jbV lAîl
Si j'y attache de l'importance, en laissant couler quelques larmes de mon œil,
elles divulgueront mon état devant tout le monde et feront pleuvoir le sang.
comme elle le craignait, elle le dénonça auprès de Keï-Kâous, en
l'accusant de lui avoir manqué à elle-même.
/öjим1лЗЦь renversement; mélange.
L /л^ьЗуjj^, /А^иоЦь être renversé, confondu.
(Ц^jj^^j^^^ faire qu'on soit renversé, confondu.
^Ub l'enfant, le petit.
Jl^ 379
Jp /ö4б«АjЦ^ s'accorder, s'adapter.
^^л9» petites pierres ; bleu clair, en parlant des yeux.
^v^Jbuilii^ cylindre de tisserand; poulie & Taide de laquelle Геаи se dé-
verse avec bruit; homme bavard.
/a^t^.VA3lg^ se fendre, se rompre; murmurer.
^^JLoU^ son qui résulte de l'agencement de deux choses.
jy>l^ éclair; lueur de l'éclair t du feu, étincelle qui sort du briquet.
Au brait des gëmissements le jardin trembla sur ses bases; une ehatne était
sur son cou en forme d*éclair.
^j^VôUj^^HH A^t^b дклö (J^\^
Son toit n'a jamais vu une goatte de pluie ; Téclair n'a jamais fait parvenir
sa lueur jusqu^à son toit.
Q arriva à lui avec un glaive étincelant comme Féclair; il lui lit son affaire
d*un seul coup.
se précautionner, craindre.
«jbJJli^^. fendu, brisé, blessé.
Lorsque ces deux lèvres sont humectées de vin , Tâme reste toute blessée au
milieu du feu et de Геаи.
JЦь barbe à poils noirs et blancs; cheval dont la robe est rouge et blan-
che; petit du chameau; lait de beurre.
280 obU.
^L^, ^L^ radeau fait d outres et de pièces de bois; moitié i demi.. —
Ö^У<А» (:)i^*lW (ЬЬj^У^ (^,^^ le samedi, ëtant montés sur le
radeau, ayant traversé la passe de Deroutah, nous débarquâmes au-
dessus de Djihân-Numâi.
«>^v:^ boue, argile.
^jУи^ oiseau qui fait la chasse aux souris.
v3^,aJL:^, Ц-^^ endroit où il est tombé de l'eau et qui est devenu boueux.
J^ c^aJv^ prompt, agile.
I ^^âJU^ instrument de musique.
/J^UuL^ renverser en arrière.
jVyj^jJuL^ qui dort sur le dos.
L /olL^ toucher de la main, battre , frapper; dérober, enlever. —
se toucher mutuellement de la main ; s'eflorcer.
aIU^ tablier; turban; espèce de vase attaché à Tarçon de la selle et dont
le cavalier se sert pour boire.
U C5^^ V qui joue d'un instrument; qui s'enfonce; qui s'abaisse.
effort.
kjJis^ cheval rétif; hâtivement, rapidement.
i^L:^ briquet.
A quoi bon jeter des étiacelles sur un corps brûlé; à quoi bon battre le briquet
au-dessus du coton ?
^jrlcl (»Ц^ pin. — i^i^i^ |•^^ résine. — ^уиЦ^. sorte de rave.
/o^^LeL^ parler avec répugnance.
L jуоуА' boue, fange noire.
Jîul^ étrier. -1
^ v3ul^ plat, écuelle.
З^А^ bord de la selle ; .courroie qui soutient Tétrier.
/aiL^ apparence sombre du tqmps.
libL^ griffe.
Jpl^ affaire, consultation, conseil.
Jp vjiil^ cloche, clochette, grelot; poussière. — j^^^l:^ sonnerie.
IxÂ,^, l^l^ mâchoire inférieure. '
^L^ ennemi; voix, son; nouvelle; appel; papier-monnaie de la valeur
de moins d'un demi-centime , et sur lequel on inscrit le nom du roL
— ^5^jЦ- crieur public. .
/a4^\^{s^ donner avis.
/а.^"'^!^!!:^ obscurcir la vue par la colère.
JL^'l^ V ^^"^ ^^ réputation, d'honneur; qui hennit; étalon.
(ЗЛ^-J*15 V hennir.
{j^лЗj^^^ sauterelle.
J^ (3^^^^ tourner, retourner.
^^jy^ tourbillon.
Jpj^^lâ^ ivraie. — (s^yj3^ sorcier.
^ (jd^ls^ huissier; conducteur d'une caravane.
vjj^L^ petit-fils.
Ц^Ц^ petit des oiseaux; faucon. '
/OjejL:^ devenir célèbre.
A part Haïder, Thomme de talent par excellence, une nature imparfaite
a-t-dle fait tant de bruit dans le monde ?
^^Л9 V > ^^У^ enceinte, muraille, enceinte qu'on dresse devant la
porte d'une- tente ou d'une maison.
\*}^y^ fleuve, terrent; rafale de pluie et de neige
282 y
DaBs le jardin de ce monde comment pooeeerait la rose de la réunion, puis-
qu'elle n*a en fidt de pluie que le feu de Féloigiiemeat, et que Геаи des larmes
tombe sur dles en ra&les impétueuses?
JQ ^y^\^ a. jeune homme.
U ^l^ lit d'un torrent, d'un fleuve.
^\;1ж scorpion, mille pattes, scolopendre.
fe^5^ jЦ^ ^j^ JувJв vyy
L'épi trouve dans Taire un reluge pour ses produits; le scorpion prend domi^
cile sur les débris de paille foulée.
^V'^ls^ bruine.
^ râ^ herbe dont les barbes sont nombreuses et entortillées ensemble.
/â^'lAjU^, /&^Ubu^ mettre en mouvement, agiter, mélanger.
^jj^^Jbu^ agitation de Геаи, de Tair.
3^1^ milan,
/^"^u^ rêver, radoter.
^j^\s^ terrains sablonneux.
^IàJLju^ cri de guerre ou de ralliement des Koungourats.
/o.ÇU^ s'élever en l'air, en pariant d'une flèche.
JusUjL^ mâcher.
Si la mère mâche du pain pour son enfant, il lui est permis de rompre le
jeûne le matin; autrement, non.
i^jy4\^ conférer, transmettre. — c^^ brochet.
ц^и^ fille qui, ayant eu des rapports avec son fiancé dans la maison pa-
ternelle , devient enceinte et va habiter dans la demeure de son fiancé.
jt,^ 283
V V
^ts^ scorpion.
enceinte formée de broussailles et de bois.
chassie de l'œi].
^i^ marche; armes surtout défensives.
s;;»c^ gens de basse extraction et se livrant à de viles occupations ; Bohé-
miens.,
Comment jeter au chien le pain que gagne ie bohémien en jouant avec l'ours T
^Ui:^ panier ou râtelier pour la paille.
Лл^ pillage ; incursion.
j^t iillAA^ saule du Tabarestân.
Ш clayonnage fait de fines branches de saule pour prendre du poisson.
— B. 177. A-:^ôUjl# (^Jw^^AÂi. Jb |0S"j3^ ö'^' ö^^ ^
^:>^jy^^^ ^^^У^ аÿ^У^Л^У^ ^^ét^ ÙJ^^¥^ Ч-ÖЧ)1*
V>l^ Jl^l^ voici comment on établit le tcheteh : on prend déjeunes
branches de saule, de l'épaisseur du doigt, qu'on entrelace en forme
de natte, puis on place cette natte, en forme de poche, à l'endroit
de la chute d'eau.
«jL^ arbuste.
^ intelligent. — A. G. UL jyiyi *f)L^ ^p^j^j^i^ (^- ^i^O^I JyU
les Mongols et les Euzbegs disent ^^- pour un homme intelligent.
^b 8>s:^ pierre avec laquelle on obtient de la pluie, ««x^^» est le mot
mongol jjLÀ<^, qui signifie changement de temps, vent impétueux.
bottines de femme.
agile, jeune.
sÙ^\jS^ s'efforcer.
^1^^ pierre précieuse. — B. 335. ^зjу^;^ ^ аз^угз j^^y^r (s*^^ **>?
\ Ш iy i> ^и^з^ IjlS 1^ -^ s'il cherchait à faire sortir en cachette des
pierres précieuses.
28Д
L jJjfcp^ prodaits de la terre dont on se nourrit.
^ÙjS^j^ robinet d'une fontaine ; grillon.
L'on , par 8Ш1 interminable bavardage , est uo vëritabie grilloD ; Tantre , par les
eootînoeDes évolutions de sa langoe, imite la toupie.
J^ (З^У^ marchand ambulant.
sorte de pointe de flèebe de forme conique.
^ 1^^^ cuir, peau,
cerf.
^j£^ organe du sexe masculin chez un animal ; faucon blanc.
^ troupes.
ifS^ a. sans bagages, légère, en parlant d'une troupe. — B. 1 1 1 . jы
i^^jy SùJ^jy •à^i^ àk^^\yà ^^ÛH^Ai^ il resta sans encombre
dans la citadelle avec quelques-uns de ses gens. — Id. i SA.
Jb^l \^ity^ еН^' 1^^ soldats de la cavalerie légère.
^ espèce de grande guitare.
festin. — (jrtr^'^'i <ЗЬ-Ö1з fjéio-^^ ^^ ^^^y s^j\s yi ^
^jjд# ^^уЛ^ ioôt <,А^^jцг lorsque ces constructions furent achevées,
il rassembla en cet endroit tbus les sultans , les nobles et les grands
du monde, et leur donna un repas.
/&a»uL^ bruit que fait la flèche en frappant le but.
^ nœud, lien; registre: diplôme; acte juridique; signature; sort.
J'ai écrit à mon cœur que j'avais acheté, au prix de mon âme, le bonheur
d'être réuni à toi; mes deux témoins sont ma douleur et mon amour; mon cœur
brisé est le titre que je fais valoir.
_ , 285
s* 7
^^y dL^ ÿЬ xè'J^^] jxf bl; ^^1 vy^ quelques historiens ra-
content qu'il sortait de ses épaules des serpents qu'on nourrissait avec
de la cervelle humaine. Quoi qu'il en soit, ce prince faisait périr
chaque jour deux personnes. Quand il ne se trouvait pas de crimi-
nels, on tirait au sort et on tuait quelqu'un pris dans le peuple. Or,
il arriva qu'un des fils du foi^eron Kâveh , à Ispahan , ayant péri de
cette manière» le sort tomba encore sur son autre fils.
dont la vue est obscurcie; stupéfait.
espèce d'embarcation.
fruit bon à cueillir.
^ «i)«>^^X:^ jujube sauvage; noyau.
sauterelle.
petite boîte.
espèce de long caleçon; drap en général, habit, manteau contre
la pluie.
Quand les pluies de l'été sont arrivées , tu as rapidement changé le manteau
de la terre en une étoffe d'un rouge écarlate.
U Aii^^ botte ou bottine. .
U (J^J^^9 TTJ^^ instrument dont se servent les ouvriers en or ou eh
cuivre; marteau de forgeron. — A. G. 77. ^)Ц^з' z^^ ^JJ^ \33^
j^У» jLf^ c'est comme si l'on battait le fer froid avec le marteau.
Lorsque , dans la montagne des chagrins , ton amour fixe contre ma poitrine
286
les coins de ia douleur, il prend pour marteau Tinstniment même dont se servait
Ferhâd.
aable» fruit quon rencontre dans les montagnes du Fergana, et
que B. 368 compare au carissa carandas de Tlnde.
les deux c6tës du crâne, la tempe; très-petit. — B. i38. Лj^фкла
^^^j^\ uàjgmtXy ^Vy ^^^HH? 95! avec la pointe de mon sabre, je
le frappai sur le c6té du crâne près de Toreille. — Ц^ аС^ ba-
dinage.
poids qui équivaut à i/io hokkahs; chaque hokkah valant Aoo
drachmes; clou. Dans ce sens, on écrit aussi 1^ et ЦУ^.
^? jujube. B. 36 7, parlant du j^de llnde [mimasopo kewandra)^
dit qu'il est plus petit que le ««Хл^. Voyez а^чн^ * qui est peut-être
la vraie leçon.
nom d'une localité dans le Turkestan.
Passant par Tchddl et Yagnui, comme le zéphyr et le vent d ouest quand ils
traversent la prairie.
^t>JUX:^ oignon de tulipe. — t^j^j^j:^ ^1 *x Л^ .Са^ racine semblable à
Tail sauvage.
verdure, herbe; espèce de broderie faite ^r la laine; oreille, dans
la langue des Kalmouks ; petites graines noires qui poussent dans
une rizière et qui ont des barbes pointues.
J^ espèce de grosse mouche que Tarai gnée prend dans sa toile; toile
de l'araignée.
L*araignée, enveloppant de sa toile le chibik, lui couvre h t6te de ses fib.
le nom du Créateur.
^«.**|* 287
w
^Ца^ espèce de pain mince cuit dans la graisse. — liLiL^-i^t (jl»fcuj
yLjfl, ^jХм J>*-^ yUl» jу(,1 аД*. tf Цj>* «.1,^ лГЬ^Ьj^J au
milieu du mois de châbàn, lorsque sera donné le berat, trente bat-
mans de tehettek et vingt batmans de halvà.
écrivain, poète, savant; élégant. — (jft»ftAXs>- adroit, habile.
kVÂlL^ renard rouse; nelisse faite avec sa peau.
fou.
vjiJL:^ vase de bois, seau pour puiser de Геаи.
plume d'oiseau (pi'on attache sur le bonnet en signe de vaillance.
AjSilgfc, c^^ carcan de fer, garni d'une chaîne, qu'on met au cou des
prisonniers ; endroit ou la corde s'attache à l'arc.
Q
Les roses sëpanouiseent de tous o6tés sur ses joues; autour soot de nombreux
esclaves , le carcan au cou.
Ces boucles, qui pendent aux franges de la ceinture de tes cheveux tressés
en chaînes, ce sont autant d'anneaux destinés à attirer de force les sectateurs de
la foi.
Ьощте dont le père et la mère sont de race différente,
acier.
#fOL:>» beauté de l'extérieur; perfection de la composition.
lUi:^ linge, effets d'habillement.
/^ J^^фл^ grande cuiller. — ^If a^^^ espèce de poisson.
bourbier, fondrière.
A
|ДКл,j|Д^ chameau paresseux et mauvais marcheur.
•
lentisque. — B. 174. ^'ji^uj^ iji»j3f^ '^j^j •^^•^^ «y******
jl^jS'-? (Jjl jljjj on y trouve, en fait de bois à brûler, le lentisque,
te chêne Le leDtisque est le meilleur de tous : il fait un feu clair,
et la fumée en est aromatique. Sa braise se conserve très-longtemps;
il brûle même quand il est encore vert.
JjliX^a. porteurs d'eau; gens qui se trouvent à l'arrière-garde. —
B. 976. ^^^ Jjl<>>À^ la vallée des porteurs d'eau.
JdOL^ le fiel des oiseaux.
ijtJ^ moustiques. — B. 169. jy^j-t -^(p-i*- les moustiques y sont
peu nombreux.
U jSiij^, till^À^ croc, crochet. MV**«-V**''-'
AXÀ^ espèce de chant nuptial , exécuté en l'honneur des époux par les
hommes et les femmes qui dansent en se tenant par la main. — »J^
^*-*-? UJo ^ Jy^j-^^»^ l^ -^h yi* ^^^*' ;j^ tf^v* ''j'j
^^ ôjïj-i u^ C7*** fi^js^^ *^:*-f^ jM ^ jirif (J-Ц1 «;*-Ij
Il y a encore le tekinguèk, que les Turks chantent dans les pompes
nuptiales et dans les repas qui se célèbrent lors des épousailles. C'est
un chant très^xpressif et dont il y a deux espèces. L'une n'est as-
treinte à aucune mesure; l'autre consiste dans'un vers, qui appar-
tient au mètre motuarik matm et ntetiiou/'( i^y^U J^aL* répétés) , qu'on
termine par le mot iar, servant de redif, comme dans cet exemple :
De quelle prairie a donc gooBlë ce ïëphyr, iar I iar I qui a alluma le feu au
niilieu de mon flme ! iar I iar I
\
389
MoekieD, puisque le but de ton voyage est la Chine, ton chant au milieu de
la fête devra être le tchingtàk, Musicien, ri^e les accents de ton luth sur le
rhythme du tchmguèh; entonne le chant de : Ahl la prairie, ahl la prairie.
Â^ m. fort, solide; grand. — A. 6. U8. iyi^S (g^iS^''^ ^^^^^^^
j^yf jJT ki}jk4^) jSSs^ j^yi «^)Цуз djenguiz veut dire grands et est
au pluriel. Gonf. jjkà^jJLni. force, puissance.
loup ou louve. — A. G. 38. é\^ ^j^ ^,^.^^!^ ^^j^ dlS^I jOs
j^yi tchinèh veut dire loup mâle ou femelle. Gonf.
ç]j^ calmer un enfant.
jjXi)^:^ ^ j\jù)jj^ aile gauche d'une armée.
AiUjdhi petit du pigeon.
Deux pigeons incomparables ont produit dans une maison un petit,
vrai; convenable; brin de paille.
Les médecins lui administrèrent beaucoup de remèdes, mais pas un seul ne
lui réussit.
V>^ Л»Ч^ Jjs!4Xi JjJ^У^ v»a3»U
Le vêtement royal va très-bien à ta taille; les princes s'inclinent respectueu-
sement devant toi.
DicT. TURK. 19
990
•-> V
y
Ce deuil vous attdnt encore {dus que moi; e^est à vous surloat qu il convient
de pleurer Alexandre.
Ils préparaient beaucoup de présents dignes d'être offerte k la majesté
d* Alexandre.
Il est à croire que Topinion générale est vraie; car de nombreux témoignages
attestent qu*fl a agi ainsi.
^уу^ cheval gris de fer.
d^^^jdfei oiseau qui sert pour la chasse.
^ уЬу^ berger. — ^blJJl {j\jy^j ^,-»!^!^! о^у^ sorte d'épervier. —
(^У^ ij^y^ ^^^^ ^^ passereau d'un bleu tirant sur le jaune,
cuir tortillé qui orne le manche du fouet,
espèce de passereau , surnommé 3^^ sorcier.
Quoiqu'on donne au passereau le surnom de^^^ êorder, le chasseur ne s'en
réjouit pas moins de le voir si mnltiplié.
le?.^^A*3^^^ ëj^>î^ i£^:^j^ *^^i^^I ч^Ли> JК^ il y avait
aussi une couronne dont le poids était de soixante batmans. Elle
était d'or et entourée de perles, dont chacune était de la grosseur
d'un œuf de passereau.
amasser, entasser.
^Wj^ 291
^^iS^, ^ 9^^J^3^ ^^ déployer; marcher à la suite l'un de l'autre.
j^tf45' *^4;hh^ u^a^
liorsqulls furent arrivés h l'entrée du dë6ié, les soldats passèrent pendant
plusieurs jours, Гип suivant Tautre.
B. э5о. ^3^<-^<^ ^л^у^ А^ j(>^Ы^ ^^^^ ^^^^ ^^^ espace,
nous marcb&mes à la suite Tun de l'autre. — Id. 396. yS'j^j^
Ji^^^U^L V!v{^^ cr€^^ ^^^ ^^^^ 4^^ '^ portée d'une flèche, il
faut marcher à la suite l'un de l'autre. — в>^^£ь. arête.
poil de chèvre» de mouton; jungles; amas, foule.
s'amasser.
devenir chassieux.
v^ 3yi^y^ petite branche verte; morceau de bois flexible; tuyau de la pipe.
/öХ^«^У^ se pourrir; se briser et se déchirer par le bout, se défaire, en
parlant d'une corde nouée.
)i:jT i^y^^ ^^,^lSi J^\ fjji^ Ji^yf aS^I
Pour celui qui a pour vêtement la vieille étoffe de Tamour, chacun de ses fils ,
au bout rompu , est un lacet qui s accroche aux créneaux du ciel.
Les veines ont été rompues dans mon corps par la violence du chagrin que
m'a causé Tabsence , comme un (il qui se brise dans une tunique de soie dâabrée
par Tusage.
hache de charpentier; tisonnier; fuseau,
un petit bout.
^Ziy^.^^ manche, manivelle.
dllr^fc^j^ vase de terre; trépied; nom de trois buttes près de TAmou-
deriâh; poussin; nain.
*9-
о
I ..
292 (^^Jh
petit (lu porc.
rendre doux, agréable; apaiser.
\à^y]yJ>^fi^ apprécier le goût d'une chose, être épris d'une chose, se
laisser séduire.
Ne te laisse pas aller aux charmes que présentent à ton imagination les lèvres
des belles; car,, si douce que soit celte femme, elle fait cruellement souffrir lors-
qu'on est séparé d'elle.
ij»jw»j^ doux, sucré.
Je me dis : Pourquoi donc mon ami n'ouvre-t-il pas la bouche? J'en ai trouvé
la cause; sans doute la grande douceur de ses lèvres les fait adhérer ensemble.
J^гзjз' (^»йь.%.^ des raisins doux.
douceur. — B. II. d)«X-j| (^^(^yJ^j ^^ ^ I^X-^^JS^j
jlf ;^(^Ц^ dans sa douceur, il y a un petit arrière-goût d'acidité.
•
yUjjjy^ doux. — B. З70. y^ *^ЬиЧ» ^:^^^ iuy-Xftj^l JUI i^^l
jз^ quand elle est bue aussitôt, c'est une liqueur assez douce.
<3ту^ m. soudain; hûte soudainement arrivé; enfant favori; gentil. —
A. G. 95. j^j^^ âu4^ ^j\Р^J:j\ц ^,^ эу^ \^^^ Jyu dans
la langue mongole, on appelle djoudji un hôte nouvellement arrivé.
Conf. U£A^. On dit aussi, dans ce dernier sens, ^
Jp ^js^ = (ЗjJ^ beaucoup.
^'Уj^ poil de chameau.
jX^t«>%^ être vieux et cassé.
9q
Зj^^J^ poing.
{Sj'^f^ les principaux; les propriétaires. — B. 389. jv^)^^^^' ^^W»»^
V^^HS-^ (S^j^{Sj^,^-^3 ayant appelé les grands et les notables de
Behréh.
«*
wîUL5>^ 293
de même provenance; d'un même trait; amas.
АjдУ^ petit du porc; jeune homme; page? — лjГ^J Çft^ijir^^ jушj^^
jj^Jч»! А>чч ^'^^у^з ^У^ (:JV*-A^^l* с^эjЦ, ^:;;^:^ ^>j>^ quant à
l'être maudit qu'on appelle tonouz c( porc », on en désigne le mâle par
le mot de kaban, la femelle par celui de mikdjin , et le petit par celui
de tclwurpeL Les Persans, au contraire, se servent indistinctement
pour tout cela des mots khouk eigourâz. — B. 376. ^îj^^l» L^p^-^
jЖ^о^\j. Jl^I {J^[t3 НjУ^ blr^ l«^t^^^ quand nous fûmes arri-
ves près du harem , les pages et les gardes de nuit s'en retournèrent.
sauterelle. — ьуj^^ Jl^:»jJj,^j^3 (^U^\s ^^jUII ^^b (Sj^^
^U:yL (^^]jл[^j leur occupation est de piller les pillards et de lécher,
comme les sauterelles , la verdure et les feuilles.
canal; gouttière; petit poisson ou serpent d'eau venimeux.
>ш^jУ^^ Л:^jУ^ fable, conte.
A^'^jy^ herbe dont les feuilles ressemblent au céleri.
Ic^^J^ vase dont les parois sont plus larges que l'ouverture, et dans le-
quel on prépare le lait aigre, appelé en persan oii^U.
Jjц^, 4lJ^ pourri. — A, G. 12. о^^з' l*>^-^' ^iUàJgl^l si^^:^
iS^jy^y elle mit au monde un fils dans l'intérieur d'un arbre creux.
— Jз' ^JУ^ Sésame.
u^dhi le lit sec d'un torrent.
s^\Sj^s^ brûler, se brûler, allumer, tordre sous l'action de la chaleur,
du feu ou de l'air.
j J^l A»4h? ^1 cjl?*^.
Le feu lançait des flammes que rien ne pouvait contenir et qui embrasaient le
ciel et les étoiles.
j^ь quand l'infidélité commence à se faire voir, il n'est personne qui
se brûle à ce feu autant que moi.
29Л \ci
%âjSjfy^ noirci par la flamme; tordu sur lui-même.
•) ^^^^y^ (S^i)yit o-^-iNHÛS!' jlf (S^yjy^
Mon ami reste sourd à mes paroles, les soupirs ont brAlë mon visage; voilà
pourquoi ma figure est noircie devant cette lune.
J^jyS^ espèce de canard.
^^^JУ^ pourrir. — «^D>^ se ratatiner, se pourrir.
serriteur, page.
chose qui s'accorde avec , qui conrient.
fille servante.
\tyi jj^ noix de teinture. — B. З67. i *^Sj^ ^.^jУ^j^ Sj-i *yè)
j1йка^з1 дк.«J1 il (le iamaricus indica) a de petites feuilles qui ressem-
blent tout à fait à la feuille de l'arbre qui porte la noix de teinture.
dénouer; disperser.
s-^i
ecrevisse.
^bJty^ dénoué; éloigné; allongé.
Л
aiguiser,
éternument.
éternuer. — cjyiU. 1л<^^ aJûJ. jJûi. ^с^^ляЛ^» iJ^
1«Хjизj2дУ c:^^^^ ^Ь ^^^>4i^j^^y^ la nuée» aux mouvements ra-
pides comme ceux du prestidigitateur, ayant desséché le cerveau des
montagnes par Tétemument des éclairs, qui se succédaient de mo-
ment en moment.
bouillonner; siffler.
charbon ardent; joug qu'on met sur le cou des bœufs; ornement
du bonnet des Kalmouks. — сj^^JчЛг! JJч^^^j.* p^UJi а^ <>5J^а>
(^jJLm Gabriel dirigea la main de Moise vers un réchaud : Moïse
porta à sa bouche un charbon ardent.
J^ 16%^ habit de fourrure; ombre.
29S
Ic^i:^ maigre et long.
/o^V^e^iS^ multiplier, augmenter. — ^Ц^ se multiplier, augmenter.
^Цÿ^ espèce de petit abricot ou de prune sauvage; espèce de racine
grisâtre, propre à décrasser le linge.
espèce de passereau.
dénonciateur, délateur. — (y^^tà^y^ dénoncer, médire.
J; (Д^ beaucoup. Voy. ^у^.
Jby^ armure qui couvre le cheval.
U ijy^y^ augmenter, se multiplier.
y <3j>^y> petit gris; multiplicité.
y^^s^ massue; gourdin.
:^ se réunir, s'assembler.
De temps en temps je marchais pour m*élever parce que les paroles de mon
roi faisaient impression sur mon cœur. Lorsque Youçouf-Khodja a médit de mon
être il a fini par dous écarter de cette réunion.
Z^^y^ Чу}у^з^ I^c^um^I ^ Jy fS ^^уХ^jл\ а^j^j^ (jЬс у^
^;^Jч^ J^иь V3-û^ *^c^й^ >^^Z^ ,«S"^JvAaAa3 ^jl^t Dieu
ordonna aux huppes de se réunir et de se poser sur cette montagne.
Celle-ci fut tellement percée de trous , qu'elle tomba sur le cou de
Oudj et le tua.
^Ut^Jdfei massue.
trou, fossé, ravin, bas-fond.
creuser; aveugler.
Creusez mes yeux, déchirez mon corps à bdles dents, mais épai^ez ses yeux
et son coips.
296 ^,
^jS^ couleur; coiffure que les femmes mettent sur leur tête: étoffe d'une
eule et même couleur; coloré.
u-bJ If^^^l u^} ^уЛ1о\ J^
Il 86 fait un habit de satin de couleur et met pour coiffure ime coupe sur sa tète.
Des dessins noirâtres sur une tunique couleur de rose; un parterre de tuli|)es
en fleur ne donne pas ime idée de toi.
^j^ raisin sauvage d'un goût aigre.
^y!^ action de fléchir le genou; cil; nom d'un oiseau; membre viril;
tuyau, tube, canal. — A. G. 87. jзл^з' Чу^у^ "^у^, и^j^ V^'
iS^j-i} s'abaissant en génuflexions avec modestie, il s'asseyait.
Цj^ poitrine du chameau.
\iX^jOy£^ renverser, courber, plier.
{Sj^'if^ plante à haute tige, semblable au roseau, portant des graines,
comme celles du àonm ^.holeus saccharatus.
hSojJ^ agenouillé; qui penche; lie qui tombe au fond du vase.
v^xJd^^ espèce de condiment.
UX>^ vierge.
[.iUft.> acier.
J^y^ hotte.
&^j^ drapeau.
lii-C^Jdfei se mettre à genoux , s'affaisser.
^JчлJ^j^ poupe recourbée. — B. 476. ^j^^^jolS^-^ J^^^jS^^ аJц»
(S'^y^ une petite barque munie d'une poupe recourbée, qui avait
été envoyée dans chaque occasion importante, est nommée yêrtnatcA.
mjSy:^ instrument dont se servent les ouvriers en or et en cuivre ; mar-
teau de forgeron. Voy. gi
t,UJ*^ 297
jySyS^ instrameift à cordes; épine. — j^t >iiù\mj^ ^ji^ аяа^Ы ^JSsX^
Pour dire qu'une épine entre dans le pied d'un amant, les Persans
se servent du mot khârkhâr. Quant au mot tchaukour, qui désigne une
épine dont la piqûre est encore plus douloureuse, ils ne le connaissent
pas. Voici un exemple turk oh cette expression se rencontre :
Les épines qui se sont enfoncées dans mon pied sur ton* chemin, je les retire
et m'en sers pour étendre sur ma retraite, comme un collyre, la poussière de
cette rue où tu habites.
j^jХдХ^ j^ys^ АдС^Ь JииДдэ jiMby ^^Is^LiM si tu répands des
roses sur leur tête, ils te perceront la figure avec des épines; si tu
jettes sur eux les roses à pleines mains, des piquants acérés s'enfon-
ceront dans tes entrailles.
sÙ^j^yS^^ ^à^jj^yS^ faire mettre à genoux.
^ oy^ couverture de cheval; toile d'araignée; désert sans eau; hors, dehors.
J^ jзjз^ |гНЦ^^ i^J^ •^^^^**^ ^з^ ^
M'armant de tout mon courage, sans m'inquiéter des lieux habités ni des dé-
serts , il fiiut que je dirige mes pas vers ce lieu de mes désirs.
jôJ^lJoU- yUUï (^j\.кш ^\9r bjlfU? d*^*W 'es êtres qui expo-
sent leur vie dans un désert aride où ne se trouve aucune trace dЪa-
bitation.
^Jp S^j^ manchot.
i^yS^ chaîne ; droit.
uJftj^ bavardage, jactance.
^ vb^ étoile blanche qui se. montre vers l'aurore et sur laquelle se
guident les caravanes.
298 ^yf.
0 cieil il n^est pas permis de comparer le soleil à cette lime; il est difficile
que la mmveUe lune serve de sourd! à Tétoiie du matin aux yeux microscopiques.
Depuis que j'ai vu le blanc et le noir de ton œil assassin je n'ai plus daig^në
regarder ni Tëtoile du matin, ni le ciel , ni la terre.
clarificateur fait de tiges flexibles.
^^У^ présent; récompense donnée pour la bravoure ou pour l'habi-
leté dans un art quelconque.
^^^y=r Ky-^\yi^ ^^^^ JubUX^î (>г1 ^5lJôl
Nevaî a supporté Tabsence avec résignation, l'ami lui a accordé la faveur de
Tunion intime; un tel courage ne méritait pas une moindre récompense.
Лр /S^uiJ^j^ tordre; envelopper.
C^M^^^^juy:^ loque y lambeau.
O 9
Ь AXJ^i:^, IaX:^, IxJ^j^ plaine arrosée et verdoyante, située au pied
d'une montagne ou entre deux montagnes; district d'une ville.
•j-^3 Vj-^ iS^j^^ ^*^у^ ö«-'
De leur temps, cette vallée n'existait pas ; c'était une plaine ouverte, d'une na-
ture excellente et toute fertile.
JиЛи^ être altéré.
jlUftj^ marmite de terre ou de cuivre.
fft^J^ tout entier, tout à fait; tous.
p5-^ (Л)>^ иЧ**^ ик^У *^'^
Uift» 299
Les graines couvraient entièrement la face du monde comme les étoiles cou-
vrent la face du ciel.
juiL^ V^il u^^^l öЦ^ y
Sous prétexte qu*il voulait prendre le deuil, le temps couvrit entièrement sa
joue d*une teinte noirâtre.
^зЦ^j^ petites fourmis.
(ЗЦ^^ massue.
«^ЦЦ^J^ s'accroupir.
^Ц^J^ mouchoir de cou.
^Ut^i^ paresseux, sans activité; pommeau d'une canne.
^ts'^^i^ énigme; chant, chanson.
jp v^9-d^ chemise.
p \^y^ grande cuiller de bois ou de cuivre.
[^jлув^ menteur, calomniateur; sédentaire,
vy (ЗЧ^^ plonger, être plongé dans l'eau.
Alors qu'il ferme les yeux pour se laver et qu il plonge dans Геаи en tenant
ses oreilles et son cou.
сИУ?^^ se plonger. — B. i зо. ^лАа* S^i^ ч^й^а*^^)' JЦ^'
^yô^yAys^ Ak2â (^\ ^^\ étant entré dans ce canal, je m'y lavai, je
m'y plongeai seize fois.
fer non travaillé. Gonf. (:)l»>^.
^^JУ^J^ natation, plongeon.
ij^j^ys^ espèce de cuiller à pot.
^y\j^ épais, stagnant.
ijb^i^ défectueux des cornes ou des oreilles.
^IJLSfcj^ petit bissac.
300
Ictftiâi^ftâb tresse.
hirondelle.
sâ^d^j^ bec.
s'accroupir; se blottir pour voler.
:^ embarcation, jonque; chameau de haute taille qui porte des far-
deaux; grand, fort; laine; poil, dans la langue des Euzbegs.
l^rsqu il eut enlevé toutes ces richesses il prit à louage une belle jonque.
C'était une merveilleuse montagne marchant comme une jonque; à chacun de
ses deux flancs était une voile.
mare.
aller.
oignon sauvage.
fleuve.
улу^ rame longue.
^If^J^ fer brut; faux, menteur.
mettre de côté; anéantir.
être chaud.
rosée; suintement.
page. — B. 3o. tfs!;*3^3l ^j^l ^^^ê^3 Ф '^ iSjbW iS^
jy^t^ U^U^è^ {^^3^ {^.^cs^^b^jy^ »rê=?" les bourgeois et
les marchands, les Turks eux-mêmes et les soldats n'osaient sortir
de leurs maisons, dans la crainte qu'il ne fît des pages de leurs en-
fants imberbes. — Id. З7. jyXtr* ow*«x^ bj^t(;^ '^j-é^r ^;^^-^^^
(^«XjI il servait dans la troupe des pages du Khoraçân. Gonf. ^jyr*
1Р>JОь; fossé, retranchement. — A. G. 1 76. J1лj^ь,л»ду (jUX^i ^л-йк ^^\
301
i^^ftâl^ ^tXÀ^I sortant ù pied de ce retranchement, цилк avaient
fait de pierres.
^Цj^ temps humide.
^LsfrJ^ cheval gris pommelé. — A. G. yB.jU^^ (^â^ t^j^. vingt mille
de ces chevaux étaient gris pommelé.
(^LsA^:^ clou, ulcère.
>dSAJ^ chèvre de montagne; femme active.
y^j^j^ chiffon.
ykjJllIXÀjjw presse, cohue.
i.iULu^i^ abcès, clou.
Л<»jу^ armes, cuirasse, cotte de mailles. — B. 976. J^-g»» fS^^^^j^^
J^\àjy^\ <^^^l^ 4f4j^AAA> Jц»{ il fut prescrit aux soldats de
revêtir leurs cottes de mailles, de s'armer et de monter à cheval.
Voyez XAsr,
Jl^^AéSaj^, \^^yJf^j^j^ s'armer, se revêtir de la cotte de maiHes. —
B. З00. ^«Nsl v^^^'A»» ^^1 (jv^ j'étais précisément couvert de ma
cotte de mailles.
mouche.
Le grain de beauté qui est sur ma joue blesse douloureusement ton cœur ;
quoi donci les mouches se posent-elles sur cette blessure?
• t»^
(JЬ«**»Л Jч^1 J^lj^i <^j1-ш ^j^] iS ^ jy (jJVifA^ <^l
0 mouche I lorsque tu diriges ton vol vers sa lèvre inférieure, pourquoi, après
y avoir recueilli du miel, ne nous ferais-tu pas arriver aussi?
bord, dans la langue de Kacbgar; retranchement, enceinte faite de
morceaux de bois entrelacés ; plis sur le front du cheval ; cotonnade.
— A. G. a 8. j^jл:> àSikXjM (^é^é-*- j^b sàJ^^^ JyU les Mongols
appellent Selikeh le bord qui est situé au delà de leur pays. — A. G.
302 f^\osj^
107. i^\ (jrt)*' «il^J^ôl?' ^^^^ J^^^J^Jч^ Лj^У^Т ayant décou-
vert les traces d'un pied nu dans Tenceinte de Taoul.
faire mauvaise mine.
prendre une épine avec le bout du doigt.
homme à la mine renfrognée.
^l^y:^ sage, ou plut6t qui se croit sage sans Tétre.
M V
V •• V
Les gens dairvoyaots disent que je suis près d'arriver à un état prospère;
voyez donc comme ces prétendus sages ont remis à neuf de fausses nouveDes.
V •• V
••— V
ikç^:^ fleur; ampoule; petite vérole.
V..-V petit doigt,
il ^^gv^ délier, dénouer.
à Samarkand, tante maternelle; dans le Khâriim» sœur ainée.
:^ graisse de queue de mouton. — (jd) ^^^^^вкв»- (jhUa^* os;t^
Sktf> s*il ne se trouve pas de viande, ayant fait cuire un mets à
la graisse de queue de mouton.
4? i^^i^ lance courte; javeline.
^IXaj^ entraves pour le cheval.
/A^)>jk^ supporter, patienter.
Je supporterai tous tes tourments de la séparation si je sais que cela ne doit
pas aller jusqu'à la mort, car cette flme et ce monde seraient affligés de me voir
périr.
jLi^UrA»^ 303
Le vrai croyant pourra-t-il jamais supporter d'èlre rassasie quand son voisin
est à jeun? Il devra absolument partager avec lui, qu*il y ait sur sa table des
confitures on de la bouillie de farine.
j^b dUL^Juftl >i\^3jb3^ Vb-b »U; (srt;^y ^-^Jo
j^jз^ v'^^Hh^ АР(ры§^к« J^l^ J^ quelque chose que leur en-
voie la destinée, ils se façonnent à la résignation et ils supportent
avec patience les reproches très-pénibles et très-durs des gens du
monde.
tumeur, clou; oiseau qui vole par troupes,
i^ tj|^;4^ gazelle. — éjé\j*fir se dégoûter.
Ij-Aj^ face, visage, forme, joue.
^^L-ш v^ <î!/*^ u^^^ (5^^^
Dans rintërieur de sa tente que voit-il? Une femme dont les cheveux sont ëpars
et le visage tout pâle.
;l^à^ qui a un visage , une forme ; petits morceaux de bois.
— (^^1 vï^4b^ е^4^!л<^ <^iM? c'était un jeune honune d'une belle
figure.
Si son visage n'excite pas la jalousie de la кше, si aa fine lèvre de rubis n est
pas toute de sucre.
^ chant chez les Euzbegs. — <\г*^ baguette. — i^Sbi^i^ foulon,
pet. — i^j*=^ pépier, jouer. — ^W-^aù. ricaner.
jAT^jjjjf^ instrument pour séparer le coton de sa coque ; grillon.
«^^^êj-AnS^ réjouissance, vie joyeuse; nom d'un lieu de plaisance à Herat.
Sur toute la surEace de la terre il n avait jamais livré de combat, la javeline
ou Tépée à la main; chaque jour il n'avait pas d*antre occupation que le plaisir.
1 I
30Â
/Ц^\еj^^ mener joyeuse vie.
Chassant le gibier, frappant les oiseaux de ses flèches, menant joyeuse vie,
nuit et jour il s^adonnait au plaisir.
^д^аjуо1с%л:^ vie joyeuse, plaisir. — A. G. i6..lJcn!3^ J3I ^^^^jу^з^
^gtыьл^\èJ^^ Ogouz mena joyeuse vie dans ce festin.
^ jf^lx«jsj^ vieux cheval.
aT^j^i^, Оуле^. Voyez «S^U..
j^^гЬ^ jeune homme capable et savant.
penser, réfléchir. — cjv^^-^ sale. — liU^^^H^ se dégoûter.
(3^^^-ii^ gratter, égratigner. — à^jé^ grillon.
(jmU-aj^ lierre; pli, courbure.
siLjUjj,] pd ^У^ JjH (îj^^' Ц;^^' 2<^l^ иМУ^
Si cette belle fait caracoler son cheval comme un tourbillon, n*en tirez pas va-
nité; comment ce cyprès, tout entouré de lierre , marcherait^il comme Nevaî?
^^Л*^^^,Н^ P^î^9 courbé. — d)U^^ courroie.
(^^Ц/й^ entortiller, attacher, envelopper. — «-^aaS"^ g;l u^^j^*^i^
4fH^ cM^syai xàjy^U f^fifj^^ j\лет^ ^1^ au jour levant, ayant
revêtu une tunique propre et roulé autour dje sa tête un turban éga-
lement propre, il dit, en donnant des avis à ceux qui portaient le
deuil. — ^^^cûU^i^^ s'entortiller à, s'attaquer à. — B. 99. Jk^ f^J»
(^«X-i»! jзj^ ч-мнЕ^и^^б^ Ак^ il se mit ensuite à s attaquer à Kâcim
beg. — B. i65. o-UU^w^ ly ^Uy \j^ o-Uu4L^ 1J^»öз1 j^bl
quand sa mère mourut, il ne pleura pas, il ne donna pas signe de
deuil, il ne s'enveloppa pas de noir.
chanter, crier joyeusement. — iSj^f^ dur, énergique.
mesure de soixante coudées carrées.
^Uhs^ 305
Eq ayant détermine la superficie par une meeure exacte et rigoureuse comme
s'il se fut agi d'un bassin d'un djirib d'ëtendue. '
Il ne reste pas un seul espace d'un djirib dans le monde, que dis-je? pas même
dans ce portique à la voûte azurée.
dégraisseur.
armée, milice. Conf. ^j-^*
чjЦj^ brave, agile, adroit.
liLo^^Xj-Aj^ conduire une armée. — B. 33. ui^'<^^;^^ à^j^^ con-
duisant l'armée.
viXJLjjX:^ se contracter en plis.
étincelle.
•• V
•• J -
battre, frapper doucement un membre nu, en parlant d'une
eau qui coule ou d'un morceau de bois mince. .
faire jouer l'archet, la lancette; briser des noyaux avec les
dents.
jS^jfS^ tourner, décrire un cercle.
fragments de queue de mouton qui, après que la graisse a été
fondue, ont été rôtis et sont restés attachés aux parois du vase.
tirer des lignes.
route étroite.
■
bruit qui s'élève au contact de la graisse ou du kebâb avec le feu.
ligne, trait, écriture.
1хЦ«лj^ sauterelle.
/aJLLmj^ galoper, pousser en avant. — B. 4 2 8. *^чн *jW? j-w '•>J>î?
DiCT. TDRK. 90
306
en route, sous un prétexte, m'élant séparé de la foule, ayant galopé,
j'arrivai jusqu à un mille d'Agra.
i^0 (^^шJ^ humidité qui se congèle à la surface des arbres.
JLujtfw levraut.
m V
^gJ^9 УЧг^ plainte, gémissement, cri.
Celui qu'il fait tourner sur lui-même comme la roue d'une machine hydrau-
lique, chaque fois qu'il pousse des plaintes et des gémissements, il lui serre le
gosier avec une corde.
espèce de natte faite de cordes et de roseaux, qu'on fixe aux parois
de la tente; clayonnage léger qu'on met devant la porte de la tente.
J3j^^ U^^' ^Jj ^^ »*-^ (J^ s'^^^'^-H
ijyita^i ср-*л>з' ö^-^^ ^ii^ts-^ i^^j^yi
Lorsque le voile de Tenceinte aura été enlevé il me sera facile , à moi misé-
rable, de m'inlroduire dans rinlérieur, en passant entre les nattes.
/Oi^lÂAj^ être foulé aux pieds,
^jljtjyafci pauvre, ruiné.
Уj\лк£^ fils ou fille de la sœur de la mère.
J^Lâa^ cordon de soie qu'on attache au cou du faucon ou de l'épervier.
1^кял£^ taches qui se montrent sur le visage d'une femme enceinte,
^j1^.ЬЬлд^ cordon qu'on attache au cou d'un oiseau.
^УJJи^ jour où l'on a beaucoup à souffrir de l'invasion des guêpes.
, JfUÂxdii coude, angle aigu.
P ^jk/A plume d'oiseau, panache, aigrette.
лöь neige chassée violemment par le vent; peau qui se contracte
devant le feu. /^
bruit, son. — iV4*J4^ crier.
M V
r*« ••
307
u
s^>\jJu^^m morclie.
•• ^ •• V
pièce d'étoffe dont on noue fortement les bouts, après y avoir
renfermé un objet; graine du cotonnier.
i^ natte.
M V
j^ (3*6^ ™o^ ^'^^^ ^^ ^^ ^^^^ P^"^ chasser les chiens, c'est-à-dire : sors.
«ULaj^ oiseau appelé aussi ь^у^^ dont les plumes servent à garnir les
flèches.
(jUtAJ^ enflure.
bout da l'oreille; extrémité de l'arc.
dévidoir; roue hydraulique.
l'action de survenir, de sortir, de monter.
qui est survenu; qui est soi*ti.
Ja /J) %'^t^ survenir; sortir; monter; aller mieux; prendre le dessus.* —
B. 3i 5. л^^Х-j! ^зJч?ЦÿСjо 2цу ^ ci^**^ fSA^ jusqu'à ce que
ma main se fût trouvée mieux, je n'avais pas pu écrire. — ^}^
faire sortir.
Je ne veux pas qu'il arrache à mes embrassements ta lèvre semblable à un
rubis, comme un malade qui conserve précieusement dans sa bouche un reste
de souffle.
/
^ gbjJUTjfc sortie d'un endroit étroit dans un lieu spacieux ; montée.
poignée de bois du moulin à bras.
cru.
graine de coton.
!>»Клд* jujube rouge. — dL-Aj|4X-L*-&- abondant en jujubiers. —
A. G. ЗЗ9. i^3,l# AJuUy iiLJlJJuu^ yi[;.Aj .^\xi ym оп suivaut le
bord de la rivière, il arriva à un coude où poussaient des jujubiers.
fair(> des actes de folie.
M V
MO.
308 р^.^ ,
(iLa)jXAj^ avoir la vue trouble par suite du rhume de cerveau ; ne pas
fermer Tœil pendant la nuit.
Cela lai ayant fait impression au point de le dësespërer, il resta éveilla et le
sommeil s'enfuit de ses veux.
<jлл1хАД^ fruit granulé, comme la mûre; arrivé à la maturité, il est d'un
rouge foncé et d'une saveur douce et acidulée. La plante qui le porte
s'appelle jy >ц»9 à cause de sa saveur alliacée.
]p s^Jffsj^ tirer.
{^у^jj^л:^ sauterelle.
nœud; épaule. Voyez cj^^^. — B. 167. *lb c:j^^^ nom d'une
herbe qui pousse abondamment dans le district de Gourbend, au
nord-ouest de Kaboul.
J^ se joint à d'autres mots, dans le sens de semblable à; par exemple :
1)4^1 qui tire sur le blanc.
lépreux; perdrix.
o^Lob fraise.
M V
/Aji%K£^ demander, rechercher; pousser.
action de rechercher, de pousser.
U ^^Lob bride de cheval; avant, le devant.
En tête du peuple sont les esclaves et les hommes libres; les princes font cara-
coler leurs chevaux sous le harnais.
B. адЗ. ч^Ц- 3^^^^^ ^ courant, sans nous arrêter (d'un seul
trait). — Id, З07. <-^;b^ ciy^A?' jjдзЛл:?- аj^^^^чJ^. envoyant en
avant les braves à toute bride. — Id. Ixoa. л1«х^^-.« JuLa-j^^^.^
u^-aU'J cÎL)^^'* <ib;lA!l>A-«-3^^^*^ ayant appris qu'ils marchaient
ainsi en avant, sans ordre (sans bride). — Id. 110. ^y^y
M V
jЬСаХа^ 309
jilj)^*XjL^>A-iii3^U&- ^jU yl-û^j^^ I JoUiL^^^c^^AS^ils s'avancent avec
ordre (d'une même bride); quand ils retournent, ils vont en dé-
sordre et pêle-niéle. — ài^^ piqueur.
JSîfiLs^, ^Жаj^ comme.
v-^b yl^jp. pjJsîl J^ Ь jу уj^ |1Ц?:>^
Dans la nuit de la séparation, frappé de stupeur, j'étais rouet comme Lutfi;
ta figure de rose m'a rendu éloquent comme le rossignol.
«
Tu es la démonstration vivante de la perfection et du mérite ; comme Djem , lu
es digne du souverain pouvoir; tu es la réalisation palpable de Tidée du beau, tu
es le roi du trône de la beauté.
^оJдj А-j^ Jз cjI^I 4^Ла^ J^^I ^jàjS^\ (j*.yilAj Philippe, qui
élevait Alexandre comme son fils, le déclara l'héritier de son pouvoir.
chassie de l'œil.
/^^{«ХлдЛа^ bavarder.
JjУ^ 1л г^ chaîne d'argent qu'on attache au-dessus du nez du cheval
comme ornement.
ti^A^iA^w le haut du bras.
а14У1лjь vite, rapidement.
улХА^ grande javeline.
yiXj^J^ collier de cuir qu'on met au cou du faucon.
Ч1л^ action de pousser devant soi, de faire des recherches; soie dont on
enveloppe le milieu de la corde de l'arc, à l'endroit même où la
flèche s'y place; instrument pour bander l'arc.
«кХлЛАаь bride du cheval.
310
J^Si 'Si^y оЧ;j' »)j' "^
La selle quon mettait sur le cheval ëtait brodëe d'or; bien plus, il avait des
harnais de pierres précieases.
momeau. •
^bu>«.^^ duvet des oiseaux.
0^ pincement.
^^ pincer.
^iL^^^JUxa^ rideau. — ge^^^-^ rideau d'une porte; voile.
iS^ vérité; grand; excédant; mesure, estimation; degré.
Celui dont la foi se vend pour rinGdëlité est bien capable de déclarer que la
vérité n est qu'une subtilité d*espnt.
«iX^lJLAA» affirmer; supposer; poser; imaginer. — ^^^j\<Ад5"л^4У(jй4
fc^^HH^ju; A^^^ »JOj5^ mon bul, en venant à Mechhed, avait été
que, ne supposant pas que je fusse assez heureux pour parvenir à
rendre mes services dans l'espace de dix à quinze jours. — yi fj:^^
4^^-Ua^ o»^ \j^\ ti-^j^l ffiS^iS^^^ mon but était que, me suppo-
sant assez de bonheur pour que. . .
JЗ^ U^-t> iiy'^j— A^tf^b 4^-f^
Après avoir tout pesé il trouva que son général était sans énergie, incapable
de rien faire, manquant d^armes et dépourvu de talent.
J)Ь1дАл5^ le petit doigt.
^
coin; camarade.
HS4^ bord escarpé ; golfe.
^лj^ chi, lieutenant impëria).
y
crépu, frisé.
^JJ-i^^ ^JJ-i^ sauterelle. — (j^-^î^^^^I Jbc» (^^ ^ ^Ъь^ ч^>
^^iX^le ^jу^а^ U^b fS^Jl^j^ j'^ Ö" ^^^ Ч"® ''^*®^* rendit aussi ia
vie à ses enfants et qu'il plut des sauterelles d'or. — yUçyX-^ j^-*
4^jdAï o^il^ib aIou jLl Al3^yv> jj^^^t aaU la fourmi traita Sa-
lomon avec des cuisses de sauterelles.
]o ^^^jy^tr^ f^ire tourner. — liUjy^^^ tourner; devenir.
^^jytr^ tortuosité; cambrure qui se trouve dans les graines; tourbillon.
iS'^^jytr^ ivraie. Voyez c^^^^W-.
liL^J^jv.:^ dire des choses incohérentes, délirer.
A^jj^j^. Voyez л^ззЦ- et ^3!^^'
лö^ indigo. ^ Lh\^\<^ -^
J^ chèvre sauvage,
cerise aigre,
natte de roseau; épais, serré.
z
(j&«i^> perdu, anéanti.
^^J^^^ (3^ l'année passée; s'emploie au figuré pour désigner le tribut,
l'impôt de tant par tête, payé annuellement, le jour du Nevronz.
i^^ (3^^ espèce d'oiseau.
/ON^'^it^ payer, acquitter.
л-:^ partie proéminente de la selle.
conte, parabole.
>" ^
Sache (]ue la description do la beauté de mon ariii produit un tel eOcl, ф1е,
il côte (ГеИе, Thisloire de Joseph n est qu'un cont^ qui auiène le sommeil.
i
312 ylU
Z
J^ ^jj\^ dame de haut parage.
s.>Lk aviron.
Le glaive qui pend à son baudrier ëtincelle comme le rubis ; la lance qu il tient
dans sa main ressemble à un aviron.
AdMld^ housse pour couvrir la selle.
L ^bLâÉk roi des rois, titre donné par excellence aux souverains de la
Chine. I
к^ чЬ lilLd^, JаХл lilLd^ espèce de jeu appelé *^^j^j\ dans l'Azerbaîdjân ,
et qui semble être dans le genre du saute-mouton. — B. 17. d)\^
^«x^l jlj^Un <^ÛLiiB? (>Akj il sautait bien au jeu de khâk-belleh.
ji; ^Ué. glacis d'une place. — B. i55. J^^ (jJb Jj^^г;*^^^ JlÂxi^'
j^«XjI vju^^ v^aAaj 2 Jb Jц)1 beaucoup de gens de Kaboul se te-
naient en regardant sur les glacis de la place.
ff ^vâ^ titre donné au souverain ou même à un puissant émir.
/o-«^Là^ faire roi.
i(^ chameau de course ou de charge, mulet. — B. iBa. ^jу^ jгз'
с->51б!]j-? ^l^-i»- ^j\iiy \ ^ауАj^ jА^ jМал ayant chargé ses joyaux sur
trois ou quatre files de mulets et de chameaux.
^г^ dispute, combat, tumulte. Gonf. ^fi^èjo.
/a^^AiU.âfcyÂ> gronder.
/o^jIaA'^j^ se quereller, combattre.
D ^^j^j^j^ coq. -7- Syi^^ и^з^ pie-vert.
Jf^ (j|r^ P» famille, gens d'une maison ; récolte , surtout en parlant des fruits.
— B. 3i8. yL*J^ ij^y-^ cî*^' V^^ V^ х^^J^иЬ^ иУ^
^lùdi^Aâ., ^Ыд^ 313
Vjj^jJjl («Хjцj»^ Jиии;^с;^иь.jд comme les recolles étaient magni-
fiques, nous nous assîmes au pied d'un arbre chargé de fruits.
colle d'amidon dont on enduit le papier ou l'étoffe.
^^juSi ornement, parure des femmes.
^uJL^ vêtement fendu sur les deux côtés.
AàIi% chez les Kalmouks, cadeau, présent offert à un supérieur; sac.
aJl^ agneau, chevreau.
blessure mortelle.
petite branche flexible. — B. 177. a-^^U^L ^-^Js^^^ju^L^ Jb
jЪу^^ ^^ £^ àj^'^'ff^ А^оЦ;'' ^1^ tressent en forme de claie
de petites branches de saule, chacune de la grosseur du doigt.
)^ ^^i^ amadou.
On aurait dit que la pierre et Tamadou étaient devenus comme son cœur, d où
aucune flamme ne saurait s'élever.
ji^i^ grand sac; caverne dans les montagnes de Bâmiftn. — B. â&6.
j^d JГ^ аj^^^^з^зj^ J1«>^Ь J^t J3I ces peuples (dans les en-
virons de Bâmiftn) appellent khaval les cavernes et les anfractuosités
qui se trouvent dans la montagne.
(J^Ж^у (J^)$ъ\у^ vouloir. — A. G. 75. tooo^y^ (S^i^j^ из'
^шк^е^^х^ (^\ыш)1»\у^ pendant onze mois, nous mangeons à quelque
heure que nous le voulions.
^Jу^ briquet.
/^Xyty^ sortir de la tombe, en parlant d'un mort.
%Ùùy^ poulain de Tâne.
^\jy^ danse en se tenant les mains.
{^'^JУ^ abaisser; mépriser.
^ ^^^tiX^^jSiÂb, (^^^Jijy^ ronfler; rugir; râler.
314 ^^|j
^ /JЦр&^клм^1^ prendre congé, dire adieu.
/ /o^9%Mty^ trouver bien; choisir. — B. a 5. c->jy^t*>oU^L ^U»!^ (^jч^
f^'^kfJ 1^'^кшу^ quand je vins dans le Khoraçân, je la vis, la trouvai
bien et la demandai en mariage. — B. 435. ^jjLjcl ^ji\s ^ЛД5^ u!>^
f^'^k^y^jAj {jy^^^ ayant choisi un bon endroit pour y installer son
artillerie et lancer des projectiles.
jointurç, rayure; fil.
Ai^ voleur, brigand.
Henné; aiguillon. — ^j.^^Ux^ aiguillonner.
y S«>, )•> dans; aussi; et; mais.
^Ui«> montagne. — B. s 46. ^^^ллл:^ ^^^лХм»^\ ^t#b nous montâmes sur la
montagne. — Id. 280. *а\j.^ (^^Ли^А. ^Ll^ (^\f^ AidjjS^ il faut
gravir la montagne sur un espace de près d'un mille.
*ibv«> blâme, reproche; pièce de bois que les tisserands font manœuvrer
avec leurs pieds; enduit dont on frotte le faucon pour le délivrer des
pucerons.
jjjij)^ botte; bouquet; troupe, rangée de troupes; courroie qu'on passe
par le milieu de la selle.
La ligne de ses troupes, qui se montre sur une si grande longueur, ce qu'il
y a de prodigieux c'est qu'elle est formée sur sept rangs.
(Jjjbt«> clou, furoncle. — B. 201. jJùaj tf^-^ Jybi^ ^^зjу^ ^з'
j^ jJUm un furoncle se montra sur ma joue gauche : on y donna
un coup de lancette.
{^y^yV^ m. sel. Conf. ul^^^^ju^.
47 (S'^^ encore; aussi; moineau rouge.
СК>Ь 315
J7 \à\ô oncle maternel. — В. 68. Voy. »àà.
d)i.>«>, %^ô\ô jeune fille esclave.
Ces enfants du siècle qui, à Tëpoque de la prospëritë, se montrent tes esclaves,
ce sont de jeunes filles trompeuses; garde-toi de trop les cqoler.
j^jji^yxXfS^ nos gens, s*avançant jusqu'au bord du fossé, ramènent
des esclaves et des jeunes filles.
^^^ô)ù cette espèce, cette quantité.
\j\ô toujours, continuellement.
J^ Ax^M juge de police, commissaire, chef.
Vun s'acquitta des fonctions déjuge de police, Tautre fut chargé d'une mis-
sion vers les frontières.
^^Cu^ (^ys^}(^\ yLb 4-^4i-a.b ^:>А.^д;Ь Ый o^HH^Ï уз-!з' V^
(jmUo^ dans ces derniers temps, dit-on, étant allé se promener avec
ses disciples sur la montagne, il fit rouler des pierres, dont une
atteignit un pauvre qui en mourut. Pour lui, il s'enfuit par crainte
du juge de police, sans qu'on ait jamais pu savoir ce quil était
devenu.
«J? /öД^1«> avoir le cœur serré.
]ô arriver, se rencontrer, survenir.
Ф
En somme c'est une calamité qui vient fondre sur une maison; que dis-je? une
calamité, c'est une véritable {)e8te.
316 \уJ\
Ь Лд) ^i^Xj9 ç^*KjgMà»yifi^ Symj с:*^ла.^з par un prodige de
sa seigneurie, le prophète, le déclin vint à tomber sur son empire.
— t^Wj'^ ^^ yi fS^s^\^jA chacun des dévots à qui ce degré
vient à échoir. — B. 2 48. I^^^^yb) lii^^ ^i'^AAS'jybvjb nous per-
çâmes de flèches, comme des cerfs, ceux qui se rencontraient. —
(ÿ4Ц;Ь faire arriver.
5) ^дк-в-Л :>y:> »SyS'i^.^j\:>
M. et L. 53. Ъ\jЛ ^^:>y^ë^.ш^^ (jч-1мДц;1-ш jз1
Faisant arriver au ciel la famée de ses soupirs, il n aurait pas voulu de son
ombre elle-même pour compagnon.
l^ jit«> pierre; en dehors; loin; compagnie. Voyez (jâb.
i^^\ijÀJ!é\ ô boiter en se heurtant contre les pierres, se dit d'une béte
de somme.
]j i\ô signe, marque qui se fait sur un vêtement en y répandant de Геаи,
du vin, ou autre chose de ce genre; brûlure.
«Ш«> combat, guerre.
ylcM trépied.
^^iàv.> trompeur, fourbe, vaurien.
/A^'^ikxv«> faire une plaie; imprimer une marque.
)p ç^\^ en outre; encore; qui est dans.
^м flèche sans plumes; pelisse.
Jf J)«> épaule, dos; saule.
y\ô plaine, steppe.
yS\ô poison mortel.
(^^M m. mer, grand lac; perte ;* fondions de ceux qui sont attachés à la
solde des troupes. Conf. \з*{_*с.
(^чJ'«> plumes que les oiseleurs disposent de manière à attirer les oiseaux
de proie.
»-r |(>Jm derrière de la tête; partie postérieure de cha^^c chose.
"^лУуJö 317
(^lèiiXJM oiseau dont i'aile est cassée.
sj^ /öj9у\Уj]д ramper derrière une chose et se cacher.
•Ce^4>J!j bouture.
VÂJM filet; bouleversement de l'eaiLet de Fair; casque.
Des boucles, de grande casques surmonta de drapeaux; en outre, sur les
cuirasses, de la soie .chinoise.
^^5?^УлJ1*> plongeur.
/öJ11.> plonger.
jj\^ m.- peigne; omoplate. Conf. s^j^.
v3^t«v«3 origine; fondennent d'une chose.
^J^^uLe!»> suivre le bord, le flanc. — B. 385. v^^*^^^ Jf^' occupant
le flanc des montagnes.
^ ^jу} Ait.) espèce de maladie qui se manifeste à la racine de Tongie.
^ /А.4й.лЗ)|> parler; tenir conseil, traiter d'une chose. Gonf. ^5-4^1'.
ЧЛ^ vent violent qui obscurcit Tair.
V ^1аJj[^1«>, uîJji^i») casque; sœur atnée de la mère.
Tous brillaient comme Targent; sur leurs têtes étaient des casques circassiens.
JSt^m m. ennemi. Gonf. p:^^-o.
ÀJ«> élrier, courroie de la selle.
^jiJyj casque. — B. Зöо. l^X-f^ûl? f^j^^ ч^ (s4h^ **frûl^ J^fÂs
i^:>\^h*^^ (Sj^ j^ 4^*>s?' Sjyf *^yf^ Tenbei me frappa sur la tête.
Ghose extraordinaire! j'avais sur la tête une coifi*ure en forme de
^résille; pas une maille ne fut coupée. Gonf. ajJ^^I^.
318 ^^
^"Злjö taer.
т '«>«> aïeul paternel ou materoeK oncle maternel, Yieillard: béte férore;
jeune fille esclave, même dès sa naissance.
^\i%ô ennemi.
Зу^J^ garni de peHes.
^ 4y^yi ^f;HW ôA-ie (j|^^ ^yi
Celle mer est teHemeot remfJie de coquilles à pôles, qa*OD y aperçoit des
miflierB de deux et fëtoOes.
!p s^^jà. Conf. иЦ^- — A- G- 33. J3I jо-5^^д5-з j^ (g>tf> y * t)^^^
^U)^ ^^^ym le titre de darkhan donne à celui qui en est revêtu
le privilège qu'on ne perçoit pas d'impôt sur lui. Quand il vient chez
le kban, personne ne l'empêche d'entrer; il entre et sort comme il
veut. S'il commet un délit» on n'établit une enquête à ce sujet qu'au
bout de neuf jours. Ces privilèges se prolongent jusqu'à la neuvième
génération. Conf. le mot 1 1 1 i ^ i <s»
y s^jô rassembler. — ^аJ^j^ se rassembler. Смл^^ ^i«o^
i£jjô assemblée, réunion.
(jêô mot qui sert à ajouter de l'intensité, comme c^r^-S^ 0«^ tout rond.
^^s^|^uum.> chambellan à Bokhara.
^ô comme, jusqu'à.
Leurs licous étoient tons de soie; les perles, les rabis, les turquoises leur te-
naient lieu de grelots.
^^^%Ji arrondi.
^1д5*> 319
s^jyJiàSô échanger.
Ъ J^Jз , ^^JЗ ce n'est pas.
^LXJ) , ^LxJ , ^ИJЗ , "^LJ^ vêtement de dessus , à manches courtes.
Voyez с^:Л^.^.
Dans sa tunique couleur de rose, les boutons ne sont pas des rubis en forme
de grenades; les rossignols ont attache leur affection à la rose, mais du moins
elle est tonte de sang.
s^j^jS^ se tenir tranquille.
Лjд espèce, quantité.
3 utilité.
A'
^y:^jJiJ^ trône.
JkSfmyJô ivraie. — сjЦ^^ *^^^ oiseau qui fait la chasse aux souris et
ressemble au faucon.
^ ЬjА^, Voyez i^tjjL*^.
\^j^^ timbale dé grande dimension, tambour de basque.
4^«> feuille de tombeki.
Ь jy^^-^j^^ fer- Conf. jy^. — t^-ubi^jt yf^b , ^S^\jj^i^ espèce de
dartre.
^^^•> réunion.
^!a?*^' ?г1j*^» 7r^^ voile, couverture, housse, manteau.
Л ^é*.
Avec Tëtoffe qui recouvre le trône, avec la couronne, le glaive et la ceinture,
comment deviendrait-il clairvoyant dans la science de Dieu?
320 ^^^^
Tu as revéta son coq)s d*an édat majestaeax , oonune d'un manteau ; tu lui as
donne une tète digne de porter la couronne.
Le manteau de la noblesse a été fait pour ton usage (ta main) : la couronne
de rillustration a choisi ta tète pour s*y poser.
^^\yi\ ооц> a)m^ э'з^ ^^^j^ ç^ u^-^Ь^ f*^г^^ ^>^
à l'époque où le trône du Khoraçân était embelli par le manteau
impérial.
jjö^ О^ à(^ ^У^ (5^ cÀ' f^
La vessie de ta toute-puissance a produit la lune au vêtement couleur de
musc; le parterre de ta libéralité a donné naissance au crépuscule babillé de
rouge.
{jЪ)^^^^ bruit qu'on fait en frappant du pied; pièce de bois que le
tisserand met en mouvement avec son pied; battement du cœur.
J^^З^ tout uni.
jJb^«>. Voyez yio\^ dans les 3* et 4" sens.
^jjу)Ьj*> sexaïeul. — A. G. k\. j^,:> [jyjl^^^ jкТ^j<ЧА,г les Mongols
appellent le sexaïeul doutakoun.
jjjô gage.
jjJ^j^ étoffe grossière.
U ^j^^^ fumée.
^^ô mal qui vient au cou des chevaux.
L P^^^^ lèvre.
J
' ^t<>Jji^«>, viUiiXj^^ 321
Jr é^ô^ô flûte.
^!лJ*^ lieu 011 l'on s'arrête, où l'on séjourne.
(^^j^^ mettre en déroule. — B, 4oi. jу^^jз^ àj^y ч^а^а^öЬjзJ J^
les ennemis, accourant précipitamment, les mettent en déroute.
(jчjj^ chef. — A. G. ui. ^^ uk>3^ <ÿ-А— !д>з JyU les Mongols appellent
leur chef dourban. Gonf. ,9:i^.iâ-ic administration.
jjл*> espèce de lime, avec laquelle on polit la corne du pied des bêtes
de somme; lime en général.
yy^^jjfj^ô être limé.
s^JL^,Méj^ô frotter, râper, limer.
A^^»> tribut qu'on li'^ve sur les pèlerins.
^ JJД^J filet.
tJXjJkiij^ô ordre, concordance, accord.
^j^I)^«> orné, arrangé.
'•Ji^«> parole mensongère.
y^^Mé^d méditer, réfléchir.
^УjJ^^^ m. boiteux. — A. G. З9. j^,:> ^j^j)o ^1шл\ JyU les Mongols
appellent un boiteux dogolan. Gonf. \o 1 1 j^n ii n ^^.
^«> maillet, pilon.
{^j^ tout, tous.
(L ^Ц^«> pain chaud qu'on mange après l'avoir graissé.
/öЛ^«> pousser un cri.
^j^^ battement, palpitation du cœur.
sà^f^jS^^ 9 v>-«)^4^J^4> palpiter, en parlant du cœur.
fS\jyit jУ^\л?.з^ <S^^ ^^ vdUtJjjS^:»
Quel est donc ce rêve où, si je m'éveille en sursaut à la vue des tristesses de
la séparation, les battements de mon cœur retirent brusquement пюп Ame de
son repos ?
DlCT. TDRK. Л l
322 (jЧj*^
siJJ^J^«3 pastèque non mure.
i? <ЛУ^^ nœud; festin, noce.
Jft«> ceinture qui forme le turban.
j, ^^^juÛ^^J entortillé.
L /^Уj^ lanière pour attacher la chaussure.
U ^w3jô tourbillon, cercle.
ij /^jjjJiiy^ô^ С9^ ^'^ entortiller une chose autour d'une autre. —
(ÿ^а^З^ être entortillé.
AijJ^*> espèce de prune sauvage appelée aussi a^^I.
^jJ^«> sourd.
jA-Ij«3 hyène.
Par TefTet de la ruse une Doirceur mëlangée d'ambre lance de la fumée dans
la tanière de Thyène.
J<ж^ö jument qui met bas.
silJ^«> fiiet; à la démarche molle.
^^^ô milan.
sixX^ù mille-pattes, en arabe ^U^.
J^I^«> blé à moitié mûr.
A^jl^*>, ^JLj«3 espèce de hachis, de farce.
^-BjJj»> casque.
Sa taille, qui embellit la cuirasse, fait sur mon cœur le même e№t qu'une
flèche sur laquelle serait en guise de pointe un casque circassien.
V? (Jr^*> grêle; tourbillon de vent.
J^ ^Ц^*> brouillard, vapeur.
(j^и^фj^ö 323
^j\j^^^ colline.
(^ si)JLs^^*> espèce de petite timbale.
/(LçX^m^tkù bouder.
(^U^«> poulain de quatre ans.
«iL^bjJ être orné, arrangé.
Wb^j, Xi\j^ô embellissement; cérémonial, pompe qui accompagne la
royauté; vaisseau de guerre.
(^U-)^«> grand cadre ou lit de repos.
i}jj^^ô fruit nouvellement formé et pas encore mûr; animaux qui n'ont
pas encore atteint toute leur croissance.
j^y^^^ sans cervelle, étourdi.
Jp «iMr^«> se retourner, changer, revenir. — J^^^ J^^j avoir des nausées.
f^j^^^ arpent.
«iLg*^») supporter.
Xi Ъöjö Ъö dix sur dix, décagone. — B. 168. aLhw '^зj^з ^ jд^си^
l*3^j!3«>^ •^j^ в^ je fis faire de cette source un bassin décagone,
enduit de chaux et de plâtre. — Id. 38 9. ^^^jy^j^ ^^\^ ^P^l^
5^ j5 5â je fis construire une grande citerne décagone. — Id. ДаЗ.
j^^^U-Lm »à j3 »:> ^й. 4^k^ i ^\j3 ф^^лмЬ ^ ^^:>j^y» j'ordonnai
qu'on taillât des pierres et qu'on fit un bassin décagone. — M. Ers-
kine sous-entend jS"et traduit par : de dix aunes carrées.
КшшлJ1а m. dignité, fortune. — ^^y^lf «^^ grande fortune, n. pr. En turk,
fond, pied; parL qui sert à donner de l'énergie.
jJ*3 grains enfilés; lignes d'un livre; rangs d'une armée. — (jч^у^.^
(j^yjt^ fil par fil, ligne par ligne, rang par rang.
AJ«> appareil de bois vert, sur lequel on pose la marmite quand on la
retire du feu.
/ö^1ш»о>> battre du pied, s'agiter, se démener. — * ^ .w^ l^\ m ^-^^
ЛjJЬз^!^ tJSH^I ^ vdlL^s- Jж? лГ^зJ.>ö1 .-оХц*. ils s'agitent
Я1 .
«• ••
сЧ poussent (les cris semblables à la tempête: le bruit du boyau re-
courbe n'est rien, comparé à leur souffle. — liLi-Ajj^^ J^t ^^а^^Хй-ш
^^^jJ jU(^5 С:^[Л v^^Â^ i^(S^yi sautant, montant sur le cou de
cet orgueilleux, il lui donnait des coups de pied.
Jp vJbsJ«> espèce de jarre qu'on place dans le berceau , sous les enfants ; grand
mortier de bois; tambourin.
(i)uJLx^«> fin, bout; côté d'une chose.
(^S^à pluie glaciale.
!*> fragment, morceau.
\ô m. beaucoup, nombreux.
J»«> cercles de bois qui soutiennent la tente ou la hutte. — ^^^1 im^^
hutte ou tente de nomades.
^ jJô genou. — âijb^ô le haut du genou.
L cJS^*^ bride du chevaL
<i)uuiJ«> caleçon.
5;^^ belle-fille.
jJд village.
\à^,ô comme, semblable à; silencieux; particule qui se joint à la deuxième
et à la troisième personne de l'impératif. Se joint aussi aux adjectifs
verbaux en jS^et en^, dans le sens de il fauU Exemple : csr^-*
J^d il faut qu'il soit.
Tâche de modifier tes désirs comme cela; car, si tu ne trouves pas ce que tu
veux , il faudra bien que lu te résignes.
Celui qui considère un puissant roi comme une riche mine doit voir le fils du
roi comme la pierre précieuse qui en sort.
СjХ»J 325
J^К^ aIû^^L» ji«xJUj,A^ ^^,>jyi \^УЗул qu'il s'arrête ici pour qu'on
examine un peu.
j) ^Ь b^^Ui^ s^,:>\^\
Puisque DieuTa fait dans sa bontë, puisse-t-i] le garder toujours sous sa рпь
tection I
Si Nevaï meurt que les chiens de sa nie mangent ses os; â mon rivai, ne pense
pas que si tu lui dis, va-Геп , il s'en ira.
Si c'est un inGdèle , 6 fakih , il faudra bien qu'à la fin ses yeux soient ivres de
langueur, que la ceinture de ses cheveux soit en désordre dans le couvent.
%iKcmy\^,ô lancer de« regards rapides; se tenir droit.
jjSi^ seau.
^k/Sjtô, (^ЖаХ^«> vêtement de dessus, à manches courtes et avec cou-
tures, qu'on met sur les autres habits. Conf. ^V5^.
Il donna jusqu'à deux cents tuniques cousues et dix fois autant de tuniques
sans ornement.
4>лЯj»> tu croirais que, on dirait que... impératif du verbe Лjс:> dis.
CS^S<Jô jusqu'à, jusqu'à ce que; on dirait que; tu croirais que; dis-moi;
ce qu'on dit.
Un rocher si brillant s'élevait jusqu'au ciel qu'il semblait quon Teùt laillé de
manière à en faire un ouvrage parfait.
3:26 Л^ö
Gomine die se fui hâtée de aoolever le voile qui cachait sa heauté, il sembla
que le soleil sorttt de dessons les noagee.
tt etimcoiiYentd*i]ifidâe8 où anmendiaDt ne lève pas les yeoxversle roi!
Dis-moi, à cheikh, cela vienl-3 d*nn excès de dévotion oa de Foi^^eil de la
puissaiice?
Ses vices sont au delà de toat ce qu on en pourrait dire; luab son faste dé-
passe encore le reste.
>p si^ksLjô refuge.
J^ ^isJoù nombreux. Couf. jсЛз.
«iUL4xL(«> se multiplier.
C'était un rameau qui s*était multiplié en beaucoup de rejetons et dont la ra-
cine était la science de la pauvreté et de Tanéantissement.
^ sÙ^à dire.
Les sages ont dit avec beaucoup de raison que peu de mal vaut mieux que
beaucoup de bien.
lies pointes de les cils sont comme des langues dans mon cœiu* pour publier
\ 327
les secrets de ton amour; les initiés à ce mystère parleraient même avec une
langue frappée de mutisme.
Après avoir paidé, ils reviennent au commencement de l'alphabet; ils [Mirlent
du soleil et de la lune, c'est-è-dire de leur aîeul et de leur père.
Quelque question qu'on lui fît, il ne la comprenait pas, ou, s'il la comprenait,
il ne pouvait y répondre.
Je n ai pas un confident à qui je puisse raconter mon histoire; ni mes |)eincs
ni mes paroles ne peuvent arriver devant celui que j'aime.
^Ull 4^0 peut-il dire? — Ij^^Ljô, Vj^VL?^ lorsqu'il a dit.
Enfin, hélas, lorsque la fortune perfide Га décidé, il a fait sa demeure du noir
tombeau I
^C?ô à dire. — B. 99 1. ^*>^ï ^у^. c^^AA>" à^.:>yS^,:> ^jy\ il
n'avait, du reste, aucun autre genre de capacité dont on puisse par-
ler. — ^J^.^ il faut que tu dises.
^jLj^-ift ад>-*- ^у-^.^ *-?^j cjs'y
Nevaï, jusques h quand faudra-t-il que lu dises des paroles inutiles? Laissc-lii
les discoMi*s frivoles, tourne-loi vers Dieu.
Jbu^, J^P il faut dire.
9
^fn« 'Il гг>п\'*'гял 'лаj "namnnt -m inilp Kiii^ tans штЁШ^шj [цш^чи . Sî
^п -miy^tW ."m -ipiiii 9ir ^ '^<^ 1лапя< ^ -oit iii^ T>niT4iiip. ji«ii9 •аашят fin-
»iicrpiif 'tn 'iin» -le .'Tïf.
"^ ^ ^-^ -^ 55^ 3
Lfw» ^г^ппр 'pii (U)ii*4 a fait ^лщк^пояг •Г^Чп» -ittpfni» «ie Гаиюиг. i«otuinnit
fv* pM "lire qpi^tle nnw Л miins fy*fifirabie*«?
/anrais Ы^дткопр a riire ^nr les mv'^teres de ta boncfaf^. mai:» je œ pai» m'expri-
m^; êh \ M JV»f eiile ^ait #5»paF4e fV* fcs fiwnpr«»niire. qiw» lie parole»
j^ bfi er*rifi#*Taw î
CjOtitfiHnti /muifi^erav^'jf, Umtf» fit» espèces de rose, (ant il y en a ià? Toal
rr i]a*il y a № , ausei longtempii qa'on peat compter, ce sont des rosses.
Toiil, ou MrviiUiUl/jo ШР. dis : Il (nui que je parle; loi'sqiie шоп œil couvrit
fis nui ШП 1юис)и\
.y\^ô 329
Comment pourrai-je célébrer tes louanges, avec quelle langue, après tout, te
rendrai-je mes actions de grâce. .
J^ Jцсйцен!^ se dire.
Quand ces deux désirés de mon cœur me furent venus, je fus incapable d'en-
tendre ce qui se dit.
JLb^h!^ être dit, appelé.
jj^ t,\Cl«à UlX-à-m Ьд-й^.^»
Un vieillard appelé Moutekif s^était retiré, loin des hommes, dans le fond de
la caverne.
/
QJt^ signe de l'ablatif.
* •• V
4j.^jцjЬ U-^I jp^l ц^ö^^:> JL
Lorsque le Messie eut trouvé sa source, les morts recouvi'èœnl la vie dans
son haleine pure.
(iLoLô«> éprouver, essayer.
Jf>^«> action de séjourner, de se reposer; pause dans la lecture des verr
sets du Koran. GonL
• -i . ••
viL«^XÂj«> entendre; considérer.
iiX.#XÂJ4> se taire.
j^ t>î>îJ*^ ministre ; ollicier d'un grade inférieur. — B. a a i . iflJUil^^jç* ^ *Ui
jl^ô A^ jХз il était premier secrétaire d'Elat de Châh-Rokh-mirza.
330 CMvai^^
— В. ээа. [j^yi^ MiâJU i^A^bo investi de la dignité de ministre.
— A. G. 1 1 1. j:Луj^ ^5с;д^1jг t)K^ jV>,!:> ^i^^i^^ JУ^
4^>^ljle (sfi^^j^trt u*^>^' ^ЦЯ lT^ l«3vji^l J^A-^- quand
nous étions jeunes et faisions partie de la troupe dite de» iwans, il y
avait un homme de la garde nommé Avouz-Kizil-Eukuz. — à^y^t^
secrétaire de ministre « employé des bureaux. — B. ùùu. ju^I^H^^
iJol^^L^ (^r^^^jl^-iîà V>J>^ (•'4^ é^j\i öЬЗ' 'e prince, ayant eu
besoin d'un peu d'or, en demanda aux commis. — Id. /197. A>ly^
j^jосй;Г\<'J^з5^^Ла^jЛаз1^> yl^ô ç^m^ le ministre Rhodjah-
Haçan vint à son secours avec les commis.
*yi^' Voyez ft^'.
j
/ojumI^ à la face bràlée, enflammée.
^ cordeau à mesurer.
Tant que le jardinier n a pas tiré le cordeau sur la terre , le jardin et le fourré
sauvage sont aussi beaux Fun que Tautre.
«5)Ub^ des tailleurs de pierre, habiles dans Fart des constructions,
accumulent du sable dans l'emplacement de la barrière, en se ser-
vant d'un cordeau semblable à une étoile filante.
Tj Tj %^^ P^^^ ligne, raie par raie, par tranches.
«M
^^J^j impôt, redevance. — A. G. 63. S^\ (^«хjимЪГ)^! ^«Xjt
jy^^xJl ^j-аЛ^и^он^ Jo>^ ^iUA^ji^ on perçut sur les autres un
impôt de deux cent mille pièces d'or.
yl4>ô^ œuf frais.
vi)v4NsÇ^ être accablé par l'ivresse. — B. îro.j. ^s^ ^-*ft^l? ч^j >' ^tait
étendu ivre mort.
J\j 33 1
иЬ^ ^Х>Р' esp^^e d'animal. — В. i66. jyiyj ^j\j^ »^yj '«H?^é'*->!>^
Jl^> jUi JUhh»^ ч^^з^ *^j^ \à^4gm\j\ «âUajJ^ dans les mon-
tagnes de Nidjr&v se trouve le roubeh-perân ^ c'est un animal plus
grand que Técureuil. Entre ses pattes de devant et ses cuisses, il y
a une membrane semblable à l'aile de la chauve-souris.
*
UJA) s^rbrisseau qui donne un rouge foncé.
^Оjjд;/?, vent; biens, propriétés. — B. sA^.t-^AJU» (^.^j^j^j^ 4^3! c-y^^f;^'
les autres, s'élançant loin de leurs tentes et de leurs propriétés.
éj^j fort, ferme.
Au moment ou il allait partir arriva un messager rapide, porteur d'une lettre
confidentielle, au langage décidé.
Marchant de ce côté, renonçant à la vie, il entra et assujettit fortement la
porte du dedans.
uum^ sirop fait avec de la manne.
^y^j^j dard à trois côtes.
/AjJ]à^\jjj fluxion, rhume de cerveau. — B. Зз5. j>а31л>[>!; *>Okj )iJu9
^jJ^ j'eus une forte fluxion. — B. З97. к^лалаjм» vy^lOvil^^
(^*^' JУJJгУ iJ^ lAilCJb^ ji^ iS'^y^ J^^^ ^e rhume de cerveau dé-
généra en toux; à chaque quinte, je crachais le sang.
^\j p. femme en couches. — B. 90. JLji-5 ^^^.Xâju a^juj Jj^-^j *^^l)
i^^J^ *^tf^-^ elle s'en alla dans la miséricorde de Dieu , par suite
d'une maladie de femme en couches.
iill) vitriol, ^j'
332 ^ww;
à\ cbien de chasse.
xê^ espèce de faucon.
\шфЛj boisseau.
(ДJ) charbon ardent.
v3r^ sorte de champignon.
Зj^^j bruit qui se produit lorsqu'on frappe avec la main sur la joue gonflée*
^y^j escalier; échelle.
^;J^s^^^ riche.
^ (З^JХ) forcer, s'emparer de force. — B. 376. ^1jс^[;д) ajUjI^^j^
дкд^ ^^АА^Ь avec l'intention d'enlever de force la citadelle de Badjour.
«>д^Jj^ pauvre, mendiant.
{^•î) nt* doux, mou. Gonf. V^-
ift^Jjk) chaîne, fers, entraves.
tyhij homme qui a le cou court, la taille courte; objet en forme de
membre viril dont les femmes se servent. — isé^j femme qui se
sert du ç]Hs!).
Pjij cotte de maille.
^j^j épine-vinette.
1) sorte de plante oléagineuse.
^j âme, vie.
^j broche.
J) cri de joie qu'on pousse dans les réjouissances.
^^J » <i^ tapis.
■
Sur le champ, faisant déployer un tapis de soie, elle dit : Que cet lioinme, à
la vie agitée, s'asseie. . . .
XÂJ) marche d'escalier. — B. 443. jЬил^ д^^«м* аКj^ лJЦ) ^jйн^j ^^1 ^^^1
on arrive à Гсаи par dix ou quinze marches.
Lm 333
L
l^Um iil; couture; manche d'un instrument; particule qui sert à donner
de l'intensité, comme tij;U*oL»# tout jaune.
LLm partie extérieure d'une viUe.
«tuLam tige d'une feuille; manche d'un instrument.
II étendait au loin son pied semblable à un long manche placé à son extrémité.
^LLw charrue; fronde. — J^t {j\^^ manche de la charrue.
^^^•âjLm javeline ; espèce de fourche pour prendre le poisson.
/АшСАЬХшш être éprouvé; rencontrer. — A. G, 178. ^UèJ(j^j*'^>rf>J' <>ч^
y^s^ и.нДд5"(^АА^Ьиш tool^y» 1^1; '^jyf. nous l'avons rencontré,
tandis que nous allions au campement d'Abd-ul-Aziz-khan.
^Ыам toute la cuisse, jusqu'au bout du pied. '
J^ /oJLI ^jJuUàê acheter.
^ /л^Хшш vendre.
^Lm toit d'une maison.
^ifîS-'bM classe; rangée; ordre; plat, écuelle*
> «joLm vente. — f^^^\jm crieur,
/^ гЛме poêle à frire; espèce de four de campagne pour cuire le pain. — zo^-^-^
k\j\ ^Lui trépied. — ^S!)yi ^} s^^ marcher sur trois de front.
r ^Ьм cheveu, — êlAai.Ui bandeau, torsade.
^ ij\sb\,m franges d'étoffe ou de soie; espèce de tapis qu'on déploie au mo-
ment de manger; lambris qui règne autour du toit.
\ 4^Sf\iéi sauter.
Хш répandre, disperser.
ЗЗА ^^
frange de soie , broderies. — B. i а6. ^yS ^^jj^ô JtçrU» (jмЛ»! une
tunique de satin ornée d'un semis de broderies.
Lm , vj^^l.fcM moment où l'on répand de l'argent en signe de ré-
jouissance ; argent comptant et cadeaux qu'on porte de la maison du
marié à celle de la mariée; présent en général; essuie-main.
*
Le ciel , voyant que cette affaire était convenable , apporta les présents de noce
dans neuf plateaux.
B. 3ii. iS^jy^i^iy^^ ÿ;j^\^ «^Lâa^ il déposa en présent mille
châhrokhis. — Id. 454. ^^jyS' (^,к:^1ш t-^^JUy^lJoI ^L étendant à
terre un tapis, il déposa un présent.
^ /аj9*!^АЛме conserver, garder, élever. — B. 1 1. ^k^J^^j^^ ^^UxX-w jl^iU
(^Js»l v^^^^ f^^ cxJ^d {j^ l*bl «y^l tjlJuuuLt ma grand'mère,
Icen-DevIet-begum, avait élevé Yâdkâr*sultan«begum.
е]ö^jю^ ij]d^jiâê^ ^]ö1ш carquois.
^ö\шш lamentation dans les funérailles.
/^аУ ô\jéi ^Suàê pleurer, lamenter.
j\jM milan.
^^«^Lm endroit reculé d'une habitation, où l'on resserre les provisions.
0)Lm citadin persan qui n'entend pas la langue turke. — vl)^' iSj^-^f^
j4л ç^if Ь jl^i cIj^Um q$j^j^ c^L bjl^^ l'un a appliqué le
sceau dans le bureau turk, l'autre dans le bureau persan. — j^^ y
(jjyr,^:> t^Ujj^^^û^e^r^l^pU (gyé^^^ b^^ljt c:>;Um^ vf)^' je n'ai jamais
vu quelqu'un plus parfait que lui, soit parmi les Turks, soit parmi
les Persans. — B. Зза. gl?' jнн A-4**JLrfl ги^j1ш ^ jA |oS"^*)Jajô
\^У^шj:^\ il fut dit que quiconque parlerait à la persane boirait une
coupe.
T-^ Я"^ frappe, qui se révolte.
Ц^Ьм verre.
_j
^j\ш 336
^|))1ам plus du côté, dans la direction. — B. ЛбЗ. ^^,:>j~л {j^^^^ J^
i^ik^ i k^ ^I^Um д^Ы de la place où j'avais fait la prière étant venu
plus dans la direction d'Ataveh. Gonf. ^i^Uw, dont c'est le comparatif.
/jLAXMijXjéè . Voyez ^U}Lm.
/o^Ic^Lm devenir jaune , pâle; mûrir.
v3y^^<AM lâché; mélangé.
/o^XAX^Um, /JxjçsijUàé relâcher; laisser prendre; mêler.
^ /öллм1«)Ьм lierre.
^ (3^ tordre, entortiller.
> v3^^ turban.
^ (^^L*# voie, côté, direction; jaune.
:^^j\ме oiseau de proie; maladie des chevaux.
0 cyprès vivant I si tu diriges ta marche gracieuse vers Obeïdi , que son corps ,
avec son âme et son cœur, soit la poussière de tes pieds I
Quelque direction que prît son cheval, ne soufflant mot, ne le poussant même
pas à continuer sa route quand il s'arrêtait.
^UjL^ i£j^ baie jaune, nom d'une anse formée par l'Aral. —
ö!ÿ iSj^ cyprès des montagnes.
v3, ^J^ jaune.
(^j\^ cjyol {^J^, a^jy^^. ^J^
A force de cacher sa douleur sa figure était devenue toute jaune; le flot con-
tinu de ses larmes avait fait de ses yeux un canal.
jj^jil çfj^ la jaunisse.
336 fjAjAMé
Échanson I j'ai été attaque de la jaunisse au milieu de l'automne de la sépa-
ration. Oii est ce vin d'or, dont chaque goutte a la puissance du succin?
Ц^ ^j^ buffle jaune; nom d'un émir. — ^jiyH ^^ espèce
d'oiseau de nuit. — à^^ éi)^ étoffe de soie jaune.
^cT^Lm plante grimpante, lierre.
cU-â^TiLm qui tire sur le jaune.
if ^j\jшшСj\ме ail.
«jJL «I^Lm anguille; en persan jUjU.
^^\$\]ше bobine.
«jumLm gâté, corrompu.
^ /лС\ш\шш pourrir, se gâter, sentir mauvais.
iUàê intelligent; bien portant; qui a son bon sens; côté droit; intelli-
gence; bonne constitution. — B. 3o4. (;з>-# ((^^j^^^ч^М^ ^jlJôt ^
j^LlLajî vb^ сж-*л â^>' *^^^ il n'est jamais arrivé que, moi
restant assis raisonnablement, une troupe de convives bussent du vin ,
et que, moi gardant tout mon bon sens, une assemblée s'enivrât. —
p ^i)Alm santé; bon état; intelligence; action de traire, de donner du
lait, qu'on peut traire.
Un riche, qui a plus de cinq mille moutons outre un millier et plus de chèvres
bonnes à traire.
^ЫсЬм forte averse qui ne dure pas; accident passager.
З^^^Ьм carquois.
bUàê sourd.
/ojOijXUêi dovonir sourd.
(JX^Lm 337
j) V^y^UM dos, croupe; peau qui a subi une préparation particulière; cha-
grin;
être sain , bien portant.
Lm traire.
èLm lamentation, chant lugubre.
/Л щтушуjхш pousser des lamentations. — (jt^Uy chagrin, triste.
axLm tique qui s'attache aux animaux.
бЬм compte, supputation.
jvxLm brebis qui a du lait; action de revenir à soi de l'amour, de l'ivresse,
de la folie, de la maladie. — àL ^^\Jислj,j^^ àS'kiL^^ JàÀJ (jjv^L»»
jyly^ иЛлэ ^ÿJэ! ^isj^j^ ^^ (:J3?^l- 1очи-А>^^Ь ^^Uvj^ tel est
le mot iaguin, qui est un impératif signifiant : mentionne, rappelle.
Il désigne encore une brebis qui a du lait, et se prend également
pour désigner le contraire de l'ivresse, de la folie, de la langueur
de l'amour. On peut donc l'employer dans <;es trois acceptions.
^ réflexion, pensée, imagination.
Si tu portes ta pensée vers l'infidèle et le musulman , sache que le premier n a
pas le désespoir, et que le cœur du second n*est pas libre d'inquiétudes.
/o-ÀatLam mentionner; croire; penser à; juger.
Quelque soin que prenne mon cœur de dérober aux autres ses gémissements,
chaque fois qu'il pense à toi, hors de lui-même, il laisse échapper ses plaintes.
DiCT. Ti'RK. a a
338 ^^Ь^
j-А-ш ^1.51»» A^^y^Ltf je vous envoie par Youçouf-Ali Tcïxpression
de mon dévouement; vous serez à même, grâce à lui, de parler
quelquefois de votre esclave.
Quand tu auras à lutter contre les rébellions de Tamour pense à moi de temps
en temps, tout en poussant des soupirs.
Les assistants, le croyant mort, le portèrent secrètement dans une tente.
J^.^y^jyi se souvenant de leurs tentes, ces malheureux prirent la
fuite un à un, deux à deux.
M. et L. 86. »ôjl A^U pt »:>л^(^
Ce rideau rouge est mon linceul sanglant; je suis dans le tombeau, ne pense
pas que je sois sur la terre.
v^Lm côté; partie; lieu.
j\$\шш cheval marqué de blanc au front.
^bUM qui prononce mal.
^^^U# gardien. Voyez ^j^^W.
^1cUmJ)Lm pie.
J^LmOUm soude (salsola); espèce de tamarisc portsjnt des feuilles sem-
blables à la soude.
Ь S^^ otage. «^iviY-C3o»u
jU^Uêi avare; mklheureux.
ylcjJOUM pie.
itfS
C5SaJLm 339
Jf /K çsAÎtl.fcM se précautionner.
JLm radeau.
Si la pnmelle de mes yeux n'ëprouve pas de dommage au milieu de la mer
de mes larmes, c^est sane doute qn*eHe s^est fait un radeau avec les roseaux de
mes cib.
Чj^^Ьм planche sur laquelle on étend un mort pour le laver.
4«::лJ1ам seul, unique; léger; vide; nu; sans bagages.
^UuLm troupe, multitude.
^l^Lyx remorque.
/o^LâJLm envoyer, députer.
^J^ Згг** é^ iSby^-â^
Il renvoya avec Nevrouz, il le fit partir sous une heureuse étoile.
0*Â/Lm mission, délégation qui a lieu dans un pays à propos d'une
armée étrangère; impôt; passage d'objets pesants dans un endroit.
луаJУшш grappe. — д^^j^уЛм espèce de pendants d'oreille.
J)IâaâJLm balançoire.
^UuLm fronde.
(^jUULm vent frais qui souffle dans un jour chaud.
La rosée est cooune Геаи de la vie, le vent frais rappelle le souffle de Jésus;
sans doute ma bien-aimée a dirigé ses pas du côté des jardins*
En comparaison dé mes soupirs , ô feu de fenfer I tu ne seras jamais qu^un vent
frais, quand bien môme, a сЬаф1е instant, tu déploierais toute ta chaleur.
32.
i
son climat donne an tempérament des nuages la sentier parfumée
du vent frais qui souffle au printemps.
ULm lacet, piège.
/олЬм lancer; troubler; battre, en pariant du cœur; fonder; imposer:
perdre; laisser tomber; pendre. — B. 38. A^^-è^ ^UILw i=») comme
ils eurent lancé leurs chevaux. — là. зэ. ^«xJLm* ^дд^! Akjt^
plusieurs fois, il livra (il lança) des combats.
jibj^ •jЦ^ ^КГ^ i^^yi 2*1^ yi
Sans se troubler (se laisser aller), ayant imaginé un autre moyen, il parvint
rie celte manière à faire ce qu'il voulait
♦ m
J3I ^jUU fSSjy» *5"чу^' ^^ f^. л5"
Dans la nuit de la séparation, le bruit de ma tête, que je firappe contre terre,
puis le son des battements de mon cœur font liiir le sommeil loin de mes voisins.
Comment pourrais-je cacher ce qui se passe en moi puisque, depuis qu'il est
parti, les battements de mon cœur font connaître mon ëtat à tous ceux qui sont
assis à mes côtés ?
B. sâ. fcy%.,.»-lL^ ^Lpji^J» ayant fondé une citadelle. — Ы. З9.
^jJbûi iiiKAfp^ j^jU^ bjL jUJU J^ jJч.<^ ^^UUk (5^:>Aiî^yftU
je rendis mes devoirs au Khan dans le jardin qu'a fondé Haîder-
beg, en dehors de Chârokiyèh. — IL 358. P y^ Jч»^ у^ул J^,j^
j^JLkm j^Xij-* chaque année, il perd ses cornes comme le cerf. —
Id. 36 1. J30 1д5-J с^ЬшjЬ ^^iiiA^y^ (H^^ lOsft^^yi c/il à ses
deux oreilles sont des peaux jaunes qui pendent. — ^j^^Um se lan-
cer; émaner.
Il laisse échapper de lui-même la particule li (pour) et la particule inâ (avec) ,
lui demeurant immuable; voilà ce qui émane de lui.
^j-ly^L* être lancé; imposé. — B. 179. ада-ш»;1j^ ^^^yлш^ yllaibiM
^^jdjjLv^j^b J<б*лj^ t^^^XJliM c:*^^ 4^y (jJb une taxe de beau-
coup de moutons et de chevaux fut imposée aux Hezârèh de sultan-
Meçoûdi ; des collecteurs furent envoyés.
liL^xJldM , ^JX^ULm amulette qu'on suspend au cou.
• J..rfUU IJ^^.;^?^ ^3*^4)4^^ U3-^ *^j^4itH
Qud espoir ai-je de recouvrer la raison , puisque lorsque j'accomplis ma course ,
nu et le corps penché en avant, je porte au cou, comme amulette , Tacte de ma
folie à regard des belles?
/ojJbêé mission; signe, marque; javeline. — B. 333. у\л. ^^yL^ 5^^
J^.Ьjлj j3^U ^^L (s^jJi^ dUf^^i^yU^b^ en route, on nous indi-
qua des traces toutes fraîches du passage de Gâzi-Khan et des fugi-
tifs. — A. G. 179. ^s^;^ ^^^^^ uiJ^ji J^\ âej^ëlHl ^^^t H nous
indiqua deux parasanges comme étant la distance de la tente. —
Id. 180. 4?^Um (Jh^Um I^^ ^к^ ^^^ jub'Ut ils avaient laissé un
indice dans un endroit appelé Ama^a-boulak.
^j\s^<AJutê escalier; établi.
ji^béé sac qui pend des deux côtés du cheval.
U ^uUm paille. — cpM^^I ^^UUi» la voie lactée.
^j^шшлЬее espèce de dogue puissant et féroce, originaire de Samsoun.
^Lam compte; nombre; membre.
Comme personne ne sait le compte de ses richesses , toutes les difficultés se ré^
solvent facilement pour lui.
ЗА2 ^Ым
Dans mon triste corps on peut compter mes peines par le nombre de mes
articulations; car, à diacone de mes angoisses, il s*y est formé un nouveau nœud.
^Lm ^Um par fragments, par morceaux.
prbLytf sac de cuir; petite outre.
е\j\шш compte 9 supputation; timide, irrésolu. — ^f^bUn régie, bien di-
rigé; circonspect; dont on doit tenir compte.
Si tu veux que Um courage ne faiblisse pas dans cette expédition, que ta
marcbe soit toujours réglée par la prudence.
y /Oi^uLm compter; estimer.
jâjU^jUj^ liX-e^UMM^ J.ЛJ
j»jL ô«i^-^ Цу1# jbU« y^^
Il prend la pierre noire pour le rubis, toutes les coquilles qu'il rencontre il les
compte comme des peries.
j^^ d«Kfr ^j^^ jy?.y^. c^IUm nous pensons que leur nombre s'élève
à cent quatre.
ô TOUS qui énumérez tous ceux qui ont joui de la réunion et de la réalisation
de leurs désirs, excluez-moi tout à fait de ce monde.
Si Ton ne daigne pas me nommer parmi les hommes, comment pourrais-je
m en formaliser, puisque moi-même je ne me compte pour rien?
^yafbéé drapeau, étendard; juridiction d'un ordre secondaire; épin^.
dard pour percer le poisson.
J^ /А^Ф^Ьм enfoncer une pointe, percer; se méfier, avoir des soupçons. —
B. q63. ç^:>j^^^J^\ j\^j,.^^^ (^OciU. ^LhhÔ f^ <3^
•gA^lM^j^oJvl^Adi^ Mohammed-Mukim, se méfiant de Gheîbak-
khan, m'avait envoyé plusieurs fois des requêtes par ses ambassa-
deurs.
action de s'entre-percer.
'Lm petite lance; colique.
тJу^УкаЬм espèce d'oiseau. — B. 364. ^ju^gp^l^^^ а-Jчн^сЯj^^ *à!
jз^J^ il y a encore un petit oiseau qui est de la même dimension
que le sandouladj; il est d'un beau rouge; sur les ailes, il y a une
légère nuance noire. Conf. ^^^«xâam.
^U^^ôLm futilité; divagation d'un malade ou d'un homme à moitié
endormi.
/^р^в^кзиjдОЬм dire des folies, divaguer.
v3i^Iâ3Lm pépin, noyau, amande.
AÂiLM entonnoir; vase.
^^Lm restes d'un oiseau de proie.
^^^^yÂibéé stupéfait, qui a perdu la tête.
/^УуМЛУшш être étonné, stupéfait.
vibuM glace légère qui se forme à la surface de l'eau.
v5]j^bw corne du pied du bœuf.
^^^Um estimer; conjecturer; se précautionner, se préparer.
plTlL ^s^j^^ vbU» ^^ 4^V
Prenant 1 anneau, s entourant de précautions, il se remit à marcher jusqu'à
ce qu*ii retrouvât le repos dans te sein de Famoui'.
iLm messager; intermédiaire.
^^^Icj^^LMi faire un présent, gratifier Quelqu'un; donner un fief.
JЬЦ^ ^b,^ ^^ J3I ^
Sa gloire enflamme les uns , sa beauté est pour les autrep une source de grAces.
k oIc^Lm présent, don.
Ils exposèrent les instructions qu'ils avaient reçues du khan et oflrirent son
présent avec toutes sortes de raretés.
J> ^j^jUm cheval débarrassé du frein.
/o^Lw enlever, ôter, finir, achever,
U^Lw invitation, convocation. — A. G. 10. i^^l JJ5 ^^4>J1-ш ^^^Uy 1^1
(^«>^^ iSy^ îl envoya une invitation au peuple et fit tin grand repas»
— A. G. 110. 4s^e^ ^^yJ ^>Ь'J^^^*^^^ UЗ^-^ 1^1 ayant fait иц
grand repas, ils envoyèrent une invitation au peuple.
ji^Lm séparé, disjoint.
Oji^Lm cotte de mailles. — u'jt5^ «i^^^L^ flèche à la poinle longue et
effilée. •
I^ji^Lm vœu, ex-voto,
^ C?^-î!-5 cribler; jeter au vent.
L ^jbw froid. — B. 18. i£^\ (^ûujS" J^j(^ ^JLm c'était un homme d'un
visage froid (hautain).
L (Л^^у^^ être froid.
y ç^Lm# cours d'eau sec en été et torrentueux en hiver, grand fleuve ; compte ,
supputation. — A. G. 98. IoolAjlj Sy^ ày^ у^з^ и^^У Ь'* *^^'
jjô ^^Li. on appelle, en turk, «aï un grand cours d'eau.
«jjU 3â5
^LLm qui suit seul une route; vain, frivole; inutile.
/o^IiLm carder le coton avec des baguettes.
/â^LoLM dépenser; disperser. — ^^\^\м qui dissipe.
Lorsque Tacheteur de joyaux sut quel ëtait son compagnon , il dépensa en peu
de jours toutes ses ressources.
pU jH!*>J4W3 jн!*>чЦ;Ь ^ф^
Toutes les richesses que j*ai acquises et accumulées, j*en ai interdit Fusage au
dissipateur.
A moi la peine et les fatigues pour amasser des richesses; à lui ces mêmes
richesses pour les dissiper.
^UjU;b ^jy^^\ jUjy^i x3:>l^ L ^UJUjbh? u^^^l j^^ ^jh V
il faut que ces richesses soient amassées pour qu'un héritier les dis-
sipe, ou bien qu elles soient gagnées par le travail pour qu'un évé-
nement impréVu les disperse. — j^^ cx-i< *.д,хЬ ^jULa^L» ^Х>У^
répandre des paroles à tort et à travers attire des calamités sur la
tête.
vjLa'^Ai.^VÂiLy»* ricocher sur la terre.
aI^oLm pur; uni, lisse; pierre blanche et tendre qui se trouve dans les
veines du marbre blanc et qu'on emploie pour l'œil.
|Lm malade.
UJijJ;Lm température d'un froid modéré.
ЪjjЛме petit oiseau qui .chante comme le rossignol..
346 (j^^\^
^jj\àjum espèce d'antilope.
/^IûLm compter, énumérer; dépenser. — Ju^LJt Аи1ц>1м tant qu'on
peut compter. — ^U^U^ être dépensé, prisé. — «^U* ^((j^^JL^U^
4^^*ig^^ иу^з^ vW-*' ^jз^ tfy^*^^ *^33 ч^Ц^' и^^з' *^Ь^
les plantes que les savants apportent sont mises en morceaux et des-
tinées à raviver la sensualité du palais ; l'argent destiné à subvenir à
leur entretien esP attribué à une autre destination.
Tandis que la monnaie de rintelligence et de la dévotion n^a pas cours dans
cette demeure de craraption , elle est prisée tout autant que le vin aux yeux des
mécréants.
J1^а»у|)1jч1м bon à être dépensé.
ô mon cœur! dépense l'argent de la vie dans la voie de Tanéantissement.
Quand elle serait comme celle de Noé, malheur encore! puisque après tout elle
doit être dépensée.
jyuLM, уХУин compte; réflexion, pensée, opinion; souci.
jj^JЦЬм étoffe de soie blanche.
jjâjU аJц»! jf,j^ v^' {^^>
Ayant fait un linceul d'une pièce de soie blanche il le saupoudra de camphre.
/JxA^Uêé faire choix; tenir compte. — ^^U» être porté en compte.
i^^im (^^i^ 4-л^Ь сjч-ш i^S'JCu^ Л\^ f^^y
Leïla , Chirin et d'autres vierges ont disparu ; quoi d'étonnant si je me suis
épris de toi, puisque tu es la seule qui sois restée et dont on ait tenu compte?
^j^ 347
L /J^Lm compter.
^^Li. Voyez ^jU.
ji^Lwi compte.
^Um se joint â un autre mot, dans le sens de : au moment où, lorsque,
••
chaque fois que.
Chaque fois que tu suces tes lèvres, 6 mon ami I moi j*avale du sang; bois du
vin; pour moi , c'est le sang du cœur qui m'est échu en partage.
Tu as beau me feodre le cœur, la passion que tu m'inspires devient de plus
en plus lyrannique, comme le feu, qui lance de plus vives lueurs, à mesure qu'on
le divise en le souiBant.
>ии1ш délire.
, fjLA^ju^j^Mè délirer, divaguer.
JuLm bon; choisi; bien. — B. io3. a>hw o^^^ \S^ {jir^ ф^*^Ц)з'
J^^^^:!^ ils tuèrent bien les Euzbegs à coups de pierre et de bâton.
Conf. le mongol P^ bon, beau.
os tendre.
^jLyLâg maroquin.
ijdM clair, net. /
(p p\t^ nouvelle.
^ôUi (jiri\^^ (<vjW f^ ty^ ^^^ *^^*-^^'
4^*UU 4^ja fSSjoBp j Lj\jLé^\ jTjo-^
Depuis que cette coquette est partie je ne sais ce qu'est devenue mon âme ;
tandis que mon corps est à sa recherche, quelle plaine n'a pas fiitigué mes
piedsf
348 Jjш
i^jàèé espèce de bandeau en forme de bourse dont les femmes se cei-
gnent les cheveux; une des extrémités repose sur la tête, l'autre,
passant sous l'aisselle, s'attache à la ceinture.
fort violent.
\Ù^j*èé arroser, asperger; rejaillir.
passereau.
conte, fable.
ъ^щМа assemblée.
à moitié mangé ; la dernière gorgée ; gaieté que donne
le vin.
Tiens compagnie à Eïoub par la patience; enivre-toi gaiement à la dernière
gorgée de son vin.
ши«^м assoupissement.
Cesse de m'accuser si mon œil ne s'est pas ouvert, tout éveîBé, pendant la
nuit de ton absence; comment pourrais--je me laisser aller à un léger assoupis-
sement avec le sommeil de la mort?
Je suis anéanti à force de gémir, Tami ne s'éveille pas du sommeil de la co-
quetterie; qu'ai-je gagné à ce qu'un sommeil léger pesât sur mes yeux, au soir
de la séparation ?
^jш , о-лм bélier qui marche en tête du troupeau; petit pou. — A. G.
119. is^jèj^. *^ isj^^^^ I*>^Â;y?l kiWt^y parmi les moutons, il
y avait un bélier jaune.
(Vhm tapis d'une maison , tapis sur lequel on étale des comestibles.
тjJхлЛш ЗА9
L^ jшш p. cadeau qui consiste en un habillement complet, ou autre chose ,
habit d'honneur. Conf. ^\A j^L. — B. 996. A*il*W Ь^^(5^!едг^ a
^jJjjlju^ il fut envoyé dans le désert, sans habit d'honneur.
/^^-дм serré, en parlant d'un habit.
J^скХшсш s'éveiller en sursaut.
canal d'irrigation. • — A. G. i53. j^jUyS^ ^^^JUum I^xjLJ^ {j\)4f^
iS^j^^ quand le soleil entrait dans le signe de la balance , ils com-
blaient leur canal d'irrigation. — Id. i56. (j^^^j^У)^ ^^UiL*. Jl^
^^j\f е^JшЛjиш dLJ4Hj»x^L JumI» étant allés au canal de Kachli-iar-
mich, qu'a fait creuser Ali-sultan. •
3, éUUéé double menton.
Si, comme le collet de ton vêtement, je ne puis approcher de ton menton
d'argent, du moins je m'estini^erai heureux de pouvoir tomber à tes pieds comme
la frange de ta robe.
^ JuLw barbe, favoris. — й>Ь^ J^**^ collier de perles que les femmes se
passent sous le menton, d'où il pend comme de la barbe.
о^лДjух la planète de Mars.
]^ |ijJLm gomme qui découle du lentisque.
vJlK^m marcher en sautillant, en parlant de la perdrix.
tique qui s'attache aux animaux.
Les tiques n'avaient pas laissé de sang dans ses veines.
«M
4Lm mousseline ou châle qu'on roule autour de là tête; présent qu'on
envoie dans la maison du gendre les jours de fête.
jbxLy^ venteux, orageux.
ШшJjЛJиХш a. capacité. — B. 5o5. ^Jаа^ (s>:»^l^âôl^ Jiàj il avait une
disposition naturelle pour la poésie et la rédaction en prose.
350 L
parasite, pique-aseiette.
gras. — J^l »iLft-^jue^, аУ >4HewM pourpier, espèce de salade, en
arabe, Uu^ ^кУJЬ.
JLM»
engraisser.
vjJujIJLm pusillanime, peureux.
j^àéê oiseau de proie.
tJy^^<Xâêé petit oiseau à peu près de la taille du rossignol, dont le mâle
est vert et la femelle jaune, avec une longue queue.
4JКjЬJиш on appelle ainsi les noyaux larges et plats « comme celui de la
pèche; quant à ceux qui sont arrondis, comme celui de la datte,
on les nomme Jц>:>
U jXJum digue, mur, redoute, retranchement. — B. 18 s. jJâJLJ^^Xji
quand je fus arrivé à Kaboul , j'entendis le mot senguer; ces peuples
appellent ainsi les redoutes qu'ils élèvent sur une montagne.
iAA^yJsXàêé fortifier un endroit élevé. — B. 201. v^j3j> à^ yU^^XjU»
ayant forcé Tendroit qu'ils avaient fortifié.
j\шш$^Jыт belette.
JS-ÂdM javelot.
^ь^л?, ^чг^ 4н **HW ^"^
Ses javelots plongeaient comme les rayons du soleil, ressemblant dans leur
frémissement à la feuille du saule.
y уш eau; cours d'une marchandise; brillant; dignité, honneur; sourcil.
»|mm combat, massacre. — (y^\ym lutter, combattre.
^^уме espèce de fruit. — B. /i/i5. ^нЛ^j^и» d»^ à^^y^y ^4^ ayant
parcouru le jardin qui produit les citrons et les sevakiL
ХмО^лм, ^^^1лм balai.
y^«M allongé.
s^\j,yyàài 351
^Ujadw commissaire de police.
^ {Sjy^ cavalier leste, sans bagage, sans suite.
jSyÇV*'* bonne nouvelle.
r "^^J^У^ balayer.
^^^уш^^уш m. perle. Gonf. La^^^Ay.
\à^yàèé veine du pied, trace du pied.
i^S^^yâèà qui a bon pied ou beau pied ; nom du père de Mahmoud le
Gaznévide.
sÙ^^^ym laisser des traces; couper la veine du pied.
дÿ|Лм renard.
^ ^уш^ <Jуш lait; cotte de mailles. — ц «iLui^^^^iâ Ai^^L Jlâ^J^^
Jиц>:>^ iiijJi\ aKju jз^м ^з^м tu as habitué l'enfant de ton cœur au
lait, nullement salutaire, de la concupiscence. — B. i З7. «^зйм «slka
^ <^'ни*н^г^4^ч t^' f4!*>S!l cAAi^ j'étais revêtu d'une cotte de
mailles kalmouke; il m'en coupa deux feuilles.
{^jХауш les côtes.
intestin de mouton farci de hachis et d'oignons, et cuit dans la
graisse.
sèy^jMé dou\, agréable. — A. G.' 89. ^jy^^\ j (j^:>уц!з1 ^>^ ауье {^
ашл^\ pourquoi nous as-tu réveillés du doux sommeU? —
Id. /i3. iS^j^^ vH^l' (S^^i ûH^' îl siv&ît goûté l'amer et le doux.
échanson; juteux; vin.
3'«>yii*M sorte de poisson qui fréquente le fleuve Sir.
j^уш suivant. — B. 19. c^>* иЦ;У *^ J*>r3>Sy^U- JltX^^b
^ «хЛ^ avec ceux de mes serviteurs et de mes suivants qui se trou-
vaient près de moi, je partis pour la citadelle. — là. âi6.
i^j^y ç^,iy^j^ym se séparant de ses serviteurs et de ses suivants.
\а^\jöj0Ш tirer par terre; pousser, rouler.
352 иЛЛУ^'\jЬj^
jl^ I:>^ ^:> Ы v^^
i
Son âme brûlant de sollicitade comme celle d'une mère, tantôt elle le tirait
par la main, tantôt elle Tenlevait dans ses bras.
Si quelqu'un traîne un grossier vêtement de feutre dans le vagabondage du
vin, il en sera plus enivre dans le couvent que du manteau de la royauté.
^ v3 r^jy^ recherche, perquisition; signe, trace. — "^ьj^ j^ч^Ц^ 'jy
CiJîï-^^-r^ fb^-*** *^(:Г^^ *^jуз' blç Vijt^^ie ày^i Ьлзj^^ tu peux
me cacher dans cet endroit désert ou bien me dénoncer toi-même à
mon ennemi.
Ô vent du matin, tu es venu pour t'informer de Tétat du cœur éperdu de
Huçeini ; du moins fais une enquête de ma part dans la direction de la me où
demeure cette jvm.
U {\^^jy^ donner des indices; faire des perquisitions.
<J3Jy*^ ' ^JУ^** ^^^ 4^^ poussent les soldats de deux armées placées en
face Tune de l'autre; vacarme; plainte.
Le roi, expérimenté dans le combat, ayant rangé ses soldats, ceux-ci pous-
sèrent le cri de guerre et se mirent en garde; que dis-je? un cri, le rugissement
de cent mille lions dont le fracas s'éleva jusqu'à la voûte du ciel.
i^\S^yéi 353
• I
сэ1^ jУ^^ь-Лу (jWl? VH^^-^ t)b>^
Lorscp'ils approchèrent en toute hâte de Tenceinte de la citadelle, ayant poussé
le cri de guerre ils se détournèrent bien vite.
B. iQg. j^^yX^i^^y ^^1 <-^Ui» ub>^ poussant des cris, ils
vinrent en lançant des flèches. — Id. 344. ^^•>s!l иЬу^ Öз'* ^j^j^
le vacarme dura près d'un keri (au minutes). — Id. 6i. t)jy>^ *^
jt^ ч^нЛаj jVaJLUo à un des côtés de cette salle du conseil, il cons-
truisit de petites arcades, où pouvaient s^asseoir ceux qui avaient des
réclamations à faire valoir.
\аJ:jуш tirer.
^^jy^jy^ purgatif.
L^j«M action de glisser. — sÙX^^ym qui glisse souvent.
J^ sÙ^j^S^jym glisser.
panafhe, aigrette.
qui s'informe, qui recherche. Voy. i^^y*»^
ce qui reste au fond du verre ; gorgée.
Échanson, présente-moi la lie de ta coupe; que lui aussi nous donne à boire
jusqu'au fond deux coupes Tune après Tautre. Présente à boire au khan, en
frappant la terre de ta tête, suivant Tusage. Quant à moi, je donnerai sa dernière
gorgée à celui qui a perdu la raison. Je veux m'enivrer moi-même avec cette lie;
je veux faire entendre ma voix, sans relâche, dans la fête que donne le khan.
\Ù^\^jiyààé traîner par terre. — v11jc\^^-« se traîner.
DlCT. TDRK. 3З
354 J. ^^уш
Ne t'agite pas; jamais je n'aurai la force de me traîner jusque dans ta rue,
tant je suis réduit à l'impuissance, sous le poids du chagrin que me cause Féloi-
gnement.
ujrzjy*^ troupe chargée de pousser les tratnards et de les forcer à re-
joindre Tarmée.
^jy*^ herse. — {^ т^^у^ pierre unie à sa surface, sur laquelle on
broie les couleurs; pierre à aiguiser.
L \;}y^jy**^ action de chasser quelqu'un de l'endroit qu'il habite.
jf L^^Jiy*^ interroger, demander des nouvelles; commander; sucer.
jЗ^ A4âj «Xtf^ AâaUI JUe^ f<V>b^ ^
L'histoire de ma nuit d'exil serait trop longue pour ceux qui jouissent du
bonheur d'être unis à l'objet de leur amour; qu'ils demandent ce récit aux yeux
de Nevaï, tout moeiUés de larmes.
^ \и^jуш pousser; labourer; frotter.
(f <>члЛJ 4w* I ^лм esoèce de loauet de bois nour fermer la norte.
interrogation; action de pousser, de sucer, de labourer; en
mongol, joie, réjouissance, cri qu*on pousse dans un combat.
sÙJs-^jyàèè frotter.
1/ iS'Xiy*^ ^^ pousse, qui marche à côté du cheval pour le diriger, pos-
tillon.
\^^Jjy*^ action de s'enquérir,
j^ (^у^ХКУ*^ ^^^^ interrogé; «ucé.
^ 3 Âtl>***' interrogation, demande; supputation; piquet de la tento,
morceau de bois sur lequel les enfants s'assoient en jouant.
siL«\*iiM ЗБГ)
Toutes leurs cuirasses étaient polies; leurs lances, dans leurs mains, ëtaienl
comme des piquets de tente.
àil^ ^зjу^ le jour de la résurrection. — hjy*^ ^^J^JУ^ »\y^^\:>
4jJU ^J^^ (Ji^ jjj'lorsque l'accusateur l'interrogera, au jour de
la résurrection, la crainte du jugement dominera son cœur.
p ^^jy^ troupeau, rassemblement.
Un troupeau de moutons arriva près de lui; le berger se fit voir avec un visage
ami.
' i •
nouveau; turban. Voyez ij^^y»»'
jp jy^ parole. — ^^yfâjym médisant, rapporteur. — ^^^jy^ rappor-
teur. — Эjу^ parleur, éloquent.
^Jrjy*^ espèce d'adjudant chargé de forcer les fuyards à rejoindre leur
corps.
т^jjjуш percolateur, м^
Nevaï, si Thomme ivre allume le feu sur son corps dans rintërieur du couvent,
sans doute quelqu'un lui liera les os avec un tamis à filtrer.
l^ \>^jуш parler.
iiL«)j,jM purifier, tamiser, filtrer, exprimer goutte à goutte; nager. —
B. 366. j^L^' j<J>^ Чзjу^ fc?vvu4^ àtâ^^j^ perçant la peau, ils
boivent le jus qu'ils expriment goutte à goutte. — iS^jy^ {^^з^ \J^y^
se dit d'un oiseau qui s'abat du haut des airs. — ^s^jy^ i^j^k)^
93.
356 (J^Щ
se dit de quelqu'un qui jette des regards langoureux dans l'ivresse
ou l'envie de dormir.
^<^jyMé vin clarifié; pur, net.
j)*д^jм clarifié.
jjj,тj0ш^^\меу,л»е fouine. — A. G. эб. v^i' (J^^^З J^У^З ifi^3 J^'^y^
chassant les castors, les martres zibelines, les fouines, les écureuils.
Gonf. le turk ottoman jUmJ^.
i^UMj^ààê écuelle de bois; altéré.
/^Ъшjшш être altéré.
/oi^^uuM^dM être fatigué, affaibli; tomber en défaillance.
En parcourant cette route quelle a été ta fatigue? quelle a été ta défaillance
à la vue de cette œuvre quintuple?
\iLc^éy>àê frapper de la corne; être silencieux.
^ушуш petit lait; partie liquide qui s'accumule contre les parois du
vase renfermant le lait de chamelle.
abreuver.
fiSJééyMé étonné, stupéfait.
couverture, telle que voûte, toit.
j. olc^iAM pVésent, cadeau. — ^^^шшу^, с;>Ц^^ '^j^з *^ н^^ ajUJ^Ji^
^^ôplfArf aKhh étant allé à sa demeure, il envoya sous forme de pré-
sent toutes sortes d'objets précieux.
]p (J^j^y^ arroser. — B. 355. Г|^а*J^ gW^**' y^ AP^ilc^ftljy ^5^^^^
j^3^1jЦ^ 4-лннйЬ^-ш 0^li-3^l лк^ quand il y a besoin d'eau
pour quelques cultures, les hommes et les femmes portent de l'eau
dans des jarres et se mettent à arroser.
^j^^^уш enfoncer quelque part la pointe d'une lance.
iU>- 357
/allpy-w couler en terre et être absorbée, en parlant de Гваи.
L (jЦ^-^ oignon.
(.jub^dM broche pour le kebâb; viande rôtie.
jftXftdM seau.
/A,^fc,f^^ retirer une chose d'une autre , comme une épée du fourreau ,
uue pointe de flèche d'une plaie, etc.
Sans sourciller elle tira le glaive du fourreau, elle se fit au cœur déchirure
sur déchirure.
jз^ u''^' JycuM« pendant le voyage de la* Mecque, assis à l'ombre
d'un acacia, tandis qu'il est occupé à arracher les épines de son pied.
— B. 1зЗ. j^i^fi^Jm^jyè^yÊé ^Jлj Urf^j^ ils tirèrent mutuellement
l'épée l'un contre l'autre.
^ Ijl^ry ^ ver de terre.
^^r^dMtf espèce de bœuf sauvage.
ö^-Ам espèce de socques de bois; mauvais regard; envie.
С^у^^j^jЦу^ bulles qui se trouvent sur l'eau.
рЦу^^ cerf de la grande espèce, dont le bois sert à faire des manches
de couteau; rue étroite.
jyjiiyMé confluent de deux cours d'eau.
i\JsfyMé articuler avec peine, par suite de l'indfgnation ou du cha-
grin; murmurer, gronder.
espèce de canard.
grand mortier de bois.
> ЬхЛуме chemin étroit qui se détache des montagnes ou des grandes routes
et mène dans des lieux inhabités.
358 Jгу*^
*iL-HP' cILH^^ CiTï-V* (jл-litf. и^JЦ»1д
»
jUxi) jЦ^ JлАЛ 4^jU» j^ <e^*A^
Il foula résolument aux pieds la route de son territoire; de tous côtés se mon-
traient des sentiers escarpés conduisant dans les profondeurs de la forêt.
^ /^уш fourrer; tailler; s'affaisser; mourir; mordre; piquer.
pilier, colonne.
endroit où l'eau s'est tarie ; aveugle dont l'œil s'est desséché et
enfoncé; puits desséché. — àj^jy^y^ avide.
béte de somme harassée de fatigue.
action de s'entre-percer, de s'entre-mordre.
fy^y^ eau qui porte bateau; cheval à qui on a coupé la crinière et la
queue; animal destiné à être tué et mangé. — A. G. kb, J^^ yi
^j) |»уум ces jours-ci, les animaux sont maigres.
{jy^y^ mâché; piqué.
{^j^y^ limaçon.
j)%.AM millet dont on a ôté la cosse.
.у\jыш saumon.
^JiéJ^\^SyMé l'action d'aspirer au repos.
(jM^l^o^jM le repas du matin.
^уш0Фаауш arbre qui pousse dans les terrains sablonneux ; à l'époque de
la sécheresse, ses racines se montrent sur la vsurface de la terre, où
on les coupe pour en faire des baguettes. Plantes qui poussent au
printemps et ne sont plus que des broussailles en été ; course désor-
donnée; cheval qui ne suit pas la route.
Comme les plantes fugitives, qui, lorsqu'elles sont fanées, s'entassent dans la
campagne par monceaux.
«
J^y^ blessé, malade, qui a une difformité dans un de ses membres.
^уш 359
viMi^^J^dM faire bouillir la viande.
JkA^'^Syâêé viande bouillie.
^jjSyMé faisan.
jXX^dM fendre une chose.
ç viX.#J^AM dire des injures, maudire.
Lui, lançant toutes les invectives qui lui vinrent à la bouche, il dit : Quelqu'uil
lia une brassée de bois.
jJL^ с^ннЬм j^(5r«i ç^i^Js?' 4-^й;д*^ v>V* S^ a J^'
(S^y*^ n'y pouvant plus tenir, il appela le peuple à grande cris, et,
tout en lui adressant des reproches, il vomit des injures contre
Zohâk.
^у^ javeline; petite lance. ,
petits morceaux de bois qu'on taille en pointe et dont ou se
sert pour la chasse.
)p ^jJу^ saule.
y fJ^jJyMé injure, invective; viande bouillie.
^jjyMé injure, invective.
Servir en présence du roi, partagé entre Tespoir et la crainte, ne vaut pas
les injures et les coups de bflton qu*on attrape chez le portier.
Mou âme a demandé la vie à ta lèvre; quant k celle-ci, je ne sais pas si elle
a voulu me lancer une injure ou un baiser.
4
h Jÿ*Ам côtr gauche: (il; fibre; poil; barbe des rpis.
360 цз>!
Л^Jьшö ùù^à^jà QèOk^j\jf J^йУ VjJtr**"
A sa gauche marchait l'illustre vizir, par la sagesse duquel la face de lempire
était resplendissante de lumière.
Jf 0<^-^ gaucher.
{^уjУj^м salive qui coule de la bouche.
Je puis à peine respirer quand il regarde de ce côté et que je vois la salive
découler de sa bouche.
M.^y.jUi) (jsg^^ùy^ (â^^ 4^^.^^ isy^^ ^^ bave qui coule de sa
bouche fait couler tout le sel de ses paroles.
^ /л^У^ма boire.
^jj^jiMê %âj0KjyMi fané, flétri.
Ji^4XJ^dM nom d'une tribu djagataï.
Nevaï s'est épris d'un baladin; qu'il parcoure maintenant toute la terre, qu'il
visite les Arlat, les Berlas, les Tarkhan, les Souldouz.
}^y^ henné.
UjÂJ^dM fané, flétri, sec.
^^^xJ^jM faisan.
/oJL^.AM se faner, se flétrir.
j^y^ beau, belle. — A. G. 19. ^jу^ул jj^^i-»- <^Ь ^^5^ ^^Ь ^^l ser-
rant dans ses bras des belles comme la lune et comme le soleil.
Ö^J^Ам bride du cheval; humide; vase, réservoir qui contient de Геаи.
(£öши S6t
mes par cette considération qu'un nuage noir renferme beaucoup
d'eau dans son sein, ils demandèrent un nuage noir.
/^^j^jm>Mi y /лХ) ijjJj^^ê , /^jJj^^ haleter, s'arrêter pour souffler.
— м^ \ dyiyy» que je' respire.
cijJyMé sangsue.
^D^Jy.AM espèce de fruit de couleur jaune.
^vÂi^J^dM asthme, difficulté de la respiration.
|i»^dM pur; massif; entièrement.
i'
morve.
Ù^j^^s^yàèé se moucher.
\Ù^j^Ss^ym morve.
jy^J^^ Jy^j^^ vain; inutile.
^^jy^y^M absorber en suçant, humer, teter.
jyAij0kàé ^ j\jùj.éM faucon.
Le faucon dit : 0 toi qui guides la multitude, et aux ordres duquel obéissent
tous ceux qui sont prudents.
QyJùjMê main gauche; maladroit.
{Ь^уш partie postérieure d'une chose; après; — «jXi^ qui vient après,
le dernier. — ум^1 ^^^уш le dernier sommeil, la mort.
Qu'y a-t-il de commun entre moi et le sommeil , puisqu'au soir de la sépara-
tion, la trompette de mes soapirs réveillerait ceux-là même qu'aurait saisis le
dernier sommeil?
Ir^^ki^AM, ëjfl^ym par derrière lui, à la suite de lui.
362 Âiym
Quand cette lune se mettait k marcher, sa nourrice sortait et allait derrière-
elle, semblable à une ombre.
ьОуJкjуеФе os; race. — A. G. a a. J^-jU< «^Ixi^ ^^U^^^^^ma^Ii» dUAj;b^t
jyjy la race de certains d'entre eux est mongole.
jSdfyMé éponge.
uSj^dM après. — j]j^y^ qui vient après.
Ijo^kSj^AM plante laiteuse, à fleurs rousses , possédant une vertu purga-
tive; en arabe д^^ en persan aa^^.
^Ы^уш javeline, petite lance, baïonnette.
j^^j/ш morve.
/ö-Сj-**# allonger, s'allonger.
Il allongea sur la terre son corps endolori et étendit sur sa tête les haillons de
rinfortuoe.
Mais lorsqu'Osman entra , celui qui était le flambeau de son peuple ramassa
celle de ses jambes qui était étendue et s'assit.
^ \а^уш s'éteindre, en parlant du feu; tomber.
4^*Jhj' iS^Sr^ {^^'^^ аЗ^J^J^
Le feu de la présomption s'était éteint dans son cœur, il avait appris à con-
naître les vraies règles de la bravoure.
A3^dM canard mâle; or trait. — (Jif^jy^ л.пÿу *w espèce de. canard. —
д^jЛ^ 363
il y a encore une autre espèce de canard, qu'on appelle aret-faï; il
est plus grand que le souna^-bourdjin.
<j\^j,Mé endroit où Ton abreuve les chevaux, où l'on puise de Геаи, où
Ton distribue de Геаи; saule.
J^ /4^1д^-ш désaltérer, arroser.
(J^J^y^ tirer; enlever, retirer.
Ne s'est-it pas dépouillé de ses habite, ne les a-tril pas arrachés de dessus son
corps pour les jeler dans le feu?
чЗд^^ coulant, limpide.
^уш race, lignée.
(^\уш beurre noir.
jlj^*A*# verrue.
\Ù^\fym soutenir, prendre sous les bras. — >йj^<аут s'appuyer.
иЦ^Ам vêtement, manteau.
^jлл^уш cerf ou autre animal de cette espèce. Le maie s'appelle ^y» ,
la femelle ^\jшл.
viL^^^»AM glisser, trébucher; ricocher, en parlant d'une flèche; parler.
U^^A^^dM faisan. Voyez [j^y*»*
L (З^О"^ ^^^^ '^ peau, un habit. — %ÙJéyiy^ s'enlever. — B. З67.
}УУ^'У yU*»1 sa peau s'enlève facilement.
j^cjyiyjéè don, cadeau.
Quil offre en présent des raretés, de Pargent, des produits de la terre, des
villages , des doos de toute espèce.
(ÿ^^JJ^у^ donner» concédeF.
Sans doute Targent lui a manque maigre tous ses trésors, car qu*a-t-il préparé
dans ce genre-là qui pût être offert en présent?
étroit, mince.
gond d'une porte; anneau,
P 4jjL 4.JW f. affût de canon. — B. Aog. jj^айЬ a-*» Ji^iilkUj jj^Jul;!
^^ЗJУ^ faisant marcher les araba et tes affûts roulants. /I^uvict^
^^^éUj^Ij.^ action de chercher des prétextes, d'être défectueux, d'être
trop court.
sot, stupide.
ivjum a. ouvrages, en termes de stratégie. — B. 63. ^'«•JLj^ c\^»Liiiu*i>
^LXLm. pousser en avant les ouvrages et les travaux de mine. —
^4>J^ étant venu à Kondouz, il construisit quelques ouvrages et se
disposa à faire le siège.
^ /ö^^ЖсЬум dire des choses incohérentes et inutiles.
UJUM remparts de terre, derrière lequel on abrite une année; digue.
^IXdMUjyM espèce de longue carabine.
raj9y\xJuiM se montrer amical, bienveillant.
(>^W^» (J^W^ glisser.
ЗЬриjум lieu glissant, sur lequel les enfants s'amusent à glisser.
^1лхлм action de traiter avec douceur,
tuyau.
/^sjULkXMé élever au-dessus de sa tête un vase d'eau ou de vin et en
boire le contenu; aspirer, sucer.
iS^J^ ЧуНУ^ А-*мJ' Л-Сдj^^»
V ••
r»» ».•
365
Se levant, il alla devant le plateau, s'inclina respectueueement et vida entiè*
rement la coup .
engin en forme de griffe pour prendre le poisson.
(^riS>^^ demi-jaune.
^Уj^^j^лjм points noirs et jaunes qui se montrent sur la peau de Thomme
et sur les moissons.
répandre, asperger.
^Сд^^дНН^ sifflet.
Jj ^1ляйЦ- 1 (J W^ souris. — J>1 u4S-^ arsenic.
oiseau de proie, ennemi des souris et des moineaux.
" V ••
chicorée.
J^ JL^.ag!Lm choisir.
^fVdM ravin, eau profonde. — jy*yj}^\ ^\л}уш\j Лj\уФ ^j^j^ '^;
dans un ravin était caché un parti de Hezftrèh.
«jum vache. Voyez j*ii^» Nom du fleuve {jу^!^^'.
i^\jj^àâi Tadjik, c'est-à-dire citadin — A. G. â5. 1<x X ajîJ JjUjJyU
jduç^t ^^ ^I^XM ji2bu>-l# dans la langue des Mongols, on donnait
aux tadjik le nom de sirak.
/Aj»\jjfMi chanter, en parlant des oiseaux et en général. — di-JL^j^U^^
chanter avec la langue de la plume comment F«rhâd vint des ténèbres
du néant au parterre de l'existence.
0«jum épaule, omoplate, dos.
ЗЬнНм sorte de manteau.
Ji^jjfMé hyène.
verre; prompt, rapide. — öЦ>1# '^j^i^ petit doigt.
аjJше hâte, promptitude.
ЗЦг^аум terrain rendu glissant par la gelée.
Ijlc^AdM* minaret; fanal,
maladie.
366 (З^лу^j^
«iLjUM compagnon.
«ilinjUM sans sommeil 9 insomnie.
viLel«*jLAM enlever, saisir.
guuu» t^JJÎ^j * > зиЛ^Ь ^^U
J*ai enlevé la couronne à an esclave comme lui, dont la tète avait besoin du
froc du derviche.
Faut-il s^ëtonner si, dès le matin, moi, pauvre misérable, je suis ivre dans le
couvent; en entrant, la nuit, dans la mosquée j'ai saisi la toile du turban du
cheikh.
гЦи;.Лй« être enlevé.
/A^a«JUM faire glisser.
А^jЛшш fil allongé, large et mince, dont on se sert dans la broderie en or.
цЗЬ^^jjум endroit élevé et glissant, sur lequel les enfants s'amusent à
glisser.
bjJUêé chose rangée en file; rang d'une armée; lignes d'un livre; grains
enfilés.
{^mé^ source, puits, fosse.
couture en forme de piqué.
/o^«jum perche, hampe d'une lance.
fuir; courir.
courroie qui retient Tétrier.
/ЛшСjшкшш piquer à l'aiguille. — ^^j-л^ être piqué à i'aiguiiie ; glisser.
гуjjjше créneaux, rempart.
^ 1Л4М vous; sans.
/аж^Г1Л^уj tracer des contours avec la pointe des ciseaux, découper
purifier; affiner.
.. J M
j^oOju» yl-eL*l ЛйаууJ! VJl»*)*- *^
367
Il a constate que la constance de Lutfi dans la séparation était de bon aloi,
car il l'a souinis à l'épreuve, tout autant que l'or qu'on épure.
Л^Лшм paupière; qui comprend.
^^укшш picotement.
viLe^jjUM pleurer, gémir, se consumer intérieurement.
/A^«jjsjM tracer des lignes, des contours.
Si celui-là trace une figure humaine, brise-ia; si cet autre dessine les con-
tours d'un animal, donne-lui des instructions.
Il traçait sur son flme les caractères delà peine et de i^ souffrance pour y des-
siner rimage de la corruption de ce monde.
^ %£Уj9jj^ comprendre; croire; penser; suinter, dégoutter.
с^j^жЛлjш^ (^^^:> (^«^^ but
Il avait compris que cet ennemi était devenu son prisonnier; aussitôt il lendit
la main à Tennemi.
^JW^I ^V*-^ Л-*1 j^^Ь^-лJ
Lorsqu elle ^ut appliqué ses ongles sur sa figure, elle laboura sa diair à plu-
sieurs reprises; le sang, d^outtant au milieu de cetix qui creusaient la terre,
semblait couler des sources de Гаеj1.
368 ^1
(J^yti^ ligne, raie,
%^] àsXijjféàê se consumer,
^>^^jjuM action de suinter.
<iWlx*MjUM s^éveiiler en sursaut.
t «
Qu'une voix retentissaDte monte jusqu'au ciel , tu ne te réveillerais pas; que le
feu embrase ie monde, tu ne tremblerais pas.
Cette lune ayant dit ces paroles h Medjnoun, il s^ëveîlla, sur le champ, en
poussant un soupir.
ЗКаа^м cruche à goulot; coupe; tibia du bœuf.
contenance, capacité.
excursion; pillage.
J^ /a4UiJM être contenu; tenir dans. — ^ ,c» » li ^ ,ш être contenu; chercher
refuge. — B. 9 58. ч^Р ч^'»*»^*' (:5>^ (N!«^^ *^^ je jouai de
Téperon. M'étant maintenu proche, étant venu. — A. G. is. v>^^
j^ù^^Lhàitm vjyl* «^jLfc. jbk tfy^iUJy^ ceux d'entre eux qui
échappèrent par la fuite durent se réfugier auprès de Tatar-khan. —
B. ЛЗб. ;^:>д,00идд^ v^ybl vjyjl A*A--«>!l^ <s^^. |-wb •iUu Me-
iik-Kâcim frappant l'ennemi, lui lançant des flèches, le força à se
réfugier dans son camp. — ^jyum faire tenir. — 4^*>wu ja*i»ô Ji^j
^U^ybuM ^^lS^LûI^ 14Кал»1j1 (:jЗÿ^1ÿ aS' le lien d'un bouquet de roses
fera-t-il tenir de viles pailles au milieu des fleurs parfumées?
lieu d'asile ; endroit d'un accès difficile ; écriture fine.
Ml
«M W
Si les lignes délicates que tracent les poils naissants sur un beau visage ne sont
f^^y%^WW«^MM# 369
J M M
pas ton partage, quoi de plus naturel, ô Bàber? €e n'est pas là Tëcriture dite
Mberi, ni celle dite signala,
\ jJUÎjum bœuf. — J^j^иицм bourrache. — ^^yj^gà^gM» étourneau. —
j^^ yi^He^ queue de bœuf; espèce de plante.
тХсjj^Jишш qui fait paître les bœufs, bouvier.
-iS**^ . Зу^j^^*^ étourneau.
bœuf sauvage.
petite place forte, lieu de refuge.
/ajlm serré, pression; angoisse.
^^je\jJLkM4 pousser des cris plaintifs, se lamenter.
<^-. ^»^1 j^ ^p' V^ a3 ^Î J^I
Cette lune, avec force sourires, me fait pleurer amèrement; que dis-je? me bit
jeter les hauts cris.
Chaque fois que le souvenir de ma bien-aîmée et de mon pays entre dans
mon cœur désolé, je fais pleurer amèrement, par mes soupirs et mes gémisse-
ments, tous ceux qui m'entendent
y^AjUM cerf.
angoisse; pressé; entassé.
disque pour aplatir le pain.
action d'être serré; angoisse; sifflement; piaillement des
oiseaux.
presser, exprimer le jus.
fj^Çjj^JLkdêé , ^-e-juLuài faire courir un cheval.
(juJsXAyyx action de comprimer, de serrer.
З^члjсДjим jus exprimé ou suintement d'une chose.
DiCT. TURK. ^ 36
o
370 sà^>K(^é
>jЦг1хл.ш , s^Sj^^m sauter, bondir, s éveiller en sursaut.
Sautant rapidement, il monta sur son cheval, il se mit en route arec son eom-
pagnon.
ЧЙ ^LMfcXAdM quatre-vingts.
^ vjL^jyMx avoir des rapports avec une femme.
J; sy^jjSsj^dêé^ s^JéojSiKjéê faire sauter.
A^jjSLkMé endroit escarpé, route difficile, étroite et dangereuse dans les
montagnes. — B. 947. ^^^U^-û^ isyit^j^j-i-^jj^ л«?з1 {j^, la
descente s'opéra par des chemins mauvais, escarpés et scabreux.
sà^jjSLkdéi. Voyez siLcjîii^.
J; >*^*^ . yt^4r^ huit.
<.^>5uum bout du sein; verrue.
JS^Ai^ lent? — B. i3/i. viJ^»3s!' vjt»? obcJîï^ u>?"^' ^^^^^ à cause
de cela, nous marchions plus lentement. Peut-être est-ce le mot arabe
(:5:^ mal orthographié?
^Lum patrie: habitation.
viL«^LuM traiter avec bienveillance, avec honneur; témoigner de Taffec- *
tion, caresser; relever, dresser. — A. G. 11. jjЛ-jLiLJ^ ^^LJfcMÉ*^
^^^^ il traita avec amitié ceux qui étaient musulmans. — /J. 56.
>н«*й*0^^^ V^^^-^ 4;^^' f^JVy*^3^ £*^ ^^^^^ attente est que, les
ayant traités avec amitié, vous les renvoyiez.
dùb l>^l o«|lf ^ р^jз J^l i^sé»
La cruelle séparation releva sa tête, comme pour dire : Il faudra que je fasse
pleuvoir des pierres sur cette tète.
371
D lève la main vers tes plmnes et tes ailes, il la porte à ton bec et 2i tes
smres.
mouvoir.
^j^JUuM cendre du ^Ijl^tjtf.
jf \JА'j<Хj!МJ secouer. ^
^^iXLum pur; propre.
«iX^AxLuM amulette en foripe de collier.
J^ yâ^^duri nettoyer.
propre; sans défaut : pour ^еЛб^мк»! chaleur. — лА\ уДjц*. pièce
de monnaie dont le frottement a effacé Teffigie.
^Хлмё laiche, plante qui se platt sur le bord des eaux.
4^L^dM p. mercure employé contre l'obstruction d'entrailles. B. kà'],
gras. Conf. y^.
engraisser.
^.. toi; tombeau, lieu de sépulture. — ^j^ÿиил^^ comme toi.
^^jdfiLuuM éprouvé, sûr. — B. 107. ^>^UU»^ iJôUJI j^XÂj^^w (js^a
çS'^^j^ f^^^'^ \i^ jyf- ^' quand je pris Samarkand, j'avais avec
moi deux cent quarante hommes éprouvés.
J; 0A\ij(fâêé expérimenter, éprouver. — ^j-eûLLx-^ s'essayer. — A. G. 5 1 .
pyJm\Âigm j ^^jJiUu^^ (^jjХхт^^ (j^Ь^ tiijHHHHi» je m'essaycrai avec
vous aux procédés de l'amitié et de l'inimitié. — ^> U » a .n» être
éprouvé. — c^u^b j^^ 4^1^ ^U^l tjSSitS^ j^ K^dli^^^ â ^^
jу^ 4^1чи1»з v>V r^^ ^'^^ saura-t-on maintenant, par quelle
épreuve connattra-t-on à laquelle de tes paroles ou de tes promesses
on devra se fier?
/oA^^AdM cueillir des fleurs ou autre chose,
ciseaux.
я6.
372 . Ju^Xà^
^ /j j, i Â Л Ш avoir le cœur brisé, être réduit à l'impuissance.
«fllxJuuM moucheron; jarre; brisé.
liL^LxÂJUM, pleurer silencieusement.
Si je veux dérober aux martyrs de la douleur Tamour que je ressens pour toi,
mon diagrin s'exhale pendant la nuit par des larmes amères et répandues en
cachette.
être attiré; entrer dans l'eau; digérer; engloutir; supporter;
mettre la tête sous l'aile, en parlant des oiseaux. — B. ЗЗ9. y^ y»
j^:>\Lxa^ MÂojfj é-syl, J^ Ьj^^^j^ ЧугУ ^JУ ^в^^в eau, étant
descendue dans la plaine, court l'espace d'un ou deux kurouhs, puis
entre dans la rivière.
^L^L ^^jXJuuyx arno^osse, plante.
U «JkXJuuM tendon, nerf; traces; pleurs.
<i)u«^*j^5JusdWi frapper de calamité; saisir; suivre les traces.
^Уjj<Jшкме sœur cadette.
Que ton cœur s épanouisse maintenant I sois ma sœur cadette dans ce monde
et dans Tautre !
Il s'acquitta des devoirs d*un frère atné et d'une sœur cadette ; il s'excusa beau-
coup auprès de sa sœur cadette.
j^j4^ JукХАдм! j J«^ь«я5^ les Persans désignent par le mot de khâher
sÙ^jyKàéé 373
la sœur atnëe et la sœur cadette; quant aux Turks, ils appellent la
sœur atnëe ikaiji et la cadette tinguil,
viJuyjyM déterminé; personnifié.
J^ /S СЧА m être brisé, se casser. — ^y^^JOuuM faire rompre. — A. G. 3&.
iuv^l ç^^j\f Jl^3<XjyuM «^Uio ^Ы l^f le matin, quand son père
alla pour faire ses besoins, mot à mot, pour faire rompre sa puri-
fication, sa lotion.
^ ^д^Jиим brisé.
/ö^«д^ÿДЗ^.^Аjм briser.
fsS'Ljf) (^jч-Лд^Д^ )ыш,jуХjуХе^ (jчХл! Ь^ ^
Quiconque dirige ses attaques confire les cœurs fidèles, je sais bien que, s^il ne
leur fait pas beaucoup de mal. il ne leur fait pas du moins beaucoup de bien.
liLoi^AdM enduire.
iSj^*^\t ^:>\y^ «-^^l! (j^*>4^*i)^^^^Lfj«
La pluie des événements, en tombant, n'a pas renversé la voûte du ciel; qui
donc, 8*éievant dans les airs, a revêtu d'un enduit solide le sommet du toit de
cet édifice?
tirer, extraire.
:>^i^\ ^рХлj 4^>i» (.tjlç viUy^ ^i^
Le fil qui a recousu Touverture de ma plaie mortelle, je sais qu'on Га retiré
du bord d'un tissu comme le linceul.
№en n'est plus naturel, quand je recouds la déchirure de mon cœur, que de
tirer le fil à traveie la déchirure qu'on a faite siu* le devant de ma chemise.
374
j(f \Sjty!f^ aiguillon, pointe. — JUuUéw ^sjy^ moucheron, cousin.
«fl^jUM affection.
jш1^^ Lm]^jJ A>4h? ir^b (JS^\
Celui qui aime d'une véritaHe amitië ne comprend p«e ce que c'est que la
mort; couperait-on sa chair en morceaux avec le fouet ^ il n'y ferait pas attentioD.
ÀyiéyKm affection, ami; beau de figure.
* «•
Prisant beaucoup l'amitië de cet élu , il Tétreigiiit dan» le» lien» de son affec-
tion.
On dit aussi JjJ^^am,
jftjJ^JUMi amour, amitié. ,
J^jum verrue; bout du sein.
Jy ^^yuéê aimer. — isy^ J^^' *--**Jy u'^^' t^j'.^*^ /^ ^^^1§^ч$^j^
i^m * »..Л Lp! \;з chacun, quand vient à mourir une personne qu'il
aimait, soit un fils, soit une fille, soit un frère atné, soit un frère
cadet. — «^L^^A^M se plaire, être content. — A. G. 7. kiUAj;^^j4^>
VH^.>»*^ Vjt;i^<^^^^ étant satisfait d'avoir vu pleurer les enne-
mis. Le texte imprimé porte JLâaj^^^ et меи^^^, mais je crois
que c'est par erreur.
bonne nouvelle; joie. — B. 1\Ых. j^^y ь ^ o'*N^* J^*^ tsj^^
i^b^Aj ^^JЩfJ A^$ )Цjш»^ \Cu que Dieu très-haut nous accorde tou-
jours à toi et à moi de pareilles joies !
yffMé bonne nouvelle , présent donné à celui qui apporte
une bonne nouvelle; heureux, satisfait.
-e-^ (:Г?«>^1?/-^ ^■^*'^'^^? is^yr^ (j^.J^ yl?Vx**^l
375
Qaand donc arrivera le jour où retentira de tous côlës la bonne nouvelle que
cet abeent est revenu de son expédition?
B. 4U9. jy^ «ç-waXaTI^u.» ^^у^ dU<^ JlP^ liU^^jj^U AbÙ^
Begguineh était venu m'apporter la bonne nouvelle de la naissance
du fils de Humaîoun. — A. G. 38. is^yb^^ J^з^ t*^4jU) Лла»\
j^L^«xJ^ de son temps, ils furent puissants et heureux. Le texte
porte mal à propos
Л
"/^ JJ^buM, Ouum soufflet, tape.
^Um, jiibii échelle, escalier; toit, terrasse.
/ö^^кЗjЬй résonner, en parlant de l'eau. — B. 177. y^ y ^ (^\ù^\
с^^уЗ сд>Ц^1м Аэ^ена^ en sorte que Геаи tombe, en faisant du bruit,
sur cette natte.
Ф viUliXb^U» id. B. З9З. v^J^^jU ^3^-^ ^^Tu^>!l Cjv^^^l^
^Js»! j|/^Ai<^ls les matières en fusion coulaient par ces canaux,
résonnant comme de l'eau, et entraient dans le moule.
U ^jj^mduLu troublé, agité. \
u /A4^\jSé être troublé, agité.
^um louche.
• *
/ojÇ,^i\t\Mé médire, calomnier.
{^ôjJ^bSé^ ^МjjухЬм bruit que font deux choses en s'entre-choquant.
U ^^)àsXkx\jSê petites ordures qui se trouvent dans la queue et la laine des
moutons.
/0^i«>j-axLm, /dj»)ôj^3\jiê craquer, éclater, pétiller.
Oj^aJum animal qui participe de deux natures, conmie un amphibie.
^ULm soufflet, coup donné sur la joue.
Ш p. tente, pavillon. — B. s 6 5. j'^'^\ ч^^у^з^ *-r^ Ail^U
ayant planté une tente, ils s'étaient installés. — W. 970. ^^^L^^
376 jUJLà
Is^jJL^^ J^ j^Kj\.futL&^ àes pavillons, des tentes de velours et
d'étoffe écarlate.
jyjiibSé cliquetis.
^^)lfy^iMê y ^^\jj$^\ме sabot du bœuf ou d'autres animaux,
чИ^в^им coiffe des femmes kirguises.
jft^J^UM querelleur, effronté.
^Lm , ^y^LSé fléau de la balance.
^Um qui possède de la puissance, de la richesse; œuvre profitable.
^LLm plateau à manger.
%^i*jum lie, levure, tartre.
viX^jM espèce de singe.
M*
«iLuMM tache, saleté.
^UL^ aurore, point du jour.
^\j^ agile, prompt.
(^j^ a. Ce mot, qui signifie proprement ce légal 79, se prend dans le sens
de ^^-я-ч; mille, avec lequel on le joint quelquefois. — B. 6. ^'Л^>-^
jy4y^yi ^\j ^j^ Jj^j^ {jit^^^jy^ ses faubourgs sont éloignés
de la citadelle d'un peu plus d'un mille. — Id. tij. c^l (jv3J^Âjj,.«w
(ibii^ Jj^ S^ c^' ^ ^^"^ ^^ ^^^^ milles plus bas que Samarkand.
•^-iwi craquement, pétillement. — B. 176. c;»^! jиЦ^У^^иь ki^^^j^y^m
j\*^ aXju *лjJИ ^^jАj^лш^ÿ si on met le feu à ses branches char-
gées de feuilles vertes, elles brûlent avec un pétillement extraor-
dinaire.
/oju^tiXÂrfM intendance, lieutenance. — B« ЗД6. jJ|Nf^jl<XÀ*î JjujJl^>
4;^нА^-J^ ^^^^ A^J^>^ J3 ayant accordé à Veli-Kizil la charge de
i cliifgdâr de Dehli.
^ ч1аам sifflement fait avec la bouche.
J^ jJyJJuiâ pêche, щ^ '^•^^i\KK u '^ «
JI'Cm^JLm se dit d'un vêtement qui ne va pas, d'une personne dont la rai*
son est troublée et le langage incohérent.
{j^jjА 377
ш briller, en parlant de Téclair.
plaisanterie, badinage.
^j^^ySJùé coiffure des femmes de Khiva en forme de diadème.
^У^Jià anneau pour mettre au doigt.
^^^Lm broche; importun; bruyant. — B. 3o&. v^>-^ (^Ж^j"^^
(S^^ J^-i! b^MiA^s a)hl^ f^^iijjÉf^^ k la fin, devenant importun et
bruyant, il s'introduisit, sous forme de plaisanterie, dans l'assem-
blée. — Id. 3a 9. (J-J(5^ЛЛ ^ <^»№' (:>гЛ-а S^j^^ ^у^ iT^ ^^
^«XjI ^ЦТЫj^ ^^(^ Aàw^Lîlf MoUa-Ghems était devenu bruyant
tout d'abord, et, quand une fois il commençait h faire du tapage, il
ne pouvait plus le finir qu'à une heure très-avancée. — Id. 99a.
iS'^y^ •>• a «ii^f^ i^*^^ сй^ à^i^!^ il y eut beaucoup de
tapage; la partie ne fut pas amusante.
orner, arranger.
Ш frapper, cogner à — A. G. 169. »)Jд;^
t.^»jXfi$ ji*yy^ j^,ôJ^ ayant frappé à la porte.
jj^ôjjSê espèce de luth, appelé aussi ^у^jл^.
^^J^j^ exsudation; rosée, pluie fine.
Quand bien même le ciel ferait pleuvoir des étoiles , il ne saurait ^[aler mes
larmes; comment la rosée pourrait-elle se comparer au vaste océan?
^^^Lr^H! iJV^y^ iL^»>-M- 4^3j3*>^lç
Je pleurerai au souvenir de ce duvet charmant et mes larmes, tombant sur mes
cils, feront pleuvoir la rosée dans la verdure.
jjji* espèce d'oseille, en copte JизЬ, en arabe i*^.
^j)jjЛ terrain salé, salpêtre.
^fj^jgdM confusion, malheur.
1
378 jIhS^
\^jy^ salpêtre, nitre.
Allons I voilé le moment de brûler Nevaï dans le feu de la séparation , main-
tenant cpie ton amour Га réduit en nitre aussi inflammable que les débris de
paille.
^jj^у^ tumulte, assemblée.
^уш qui parle bien ; manne.
jjjуЛе tente; parasol des sultans.
[jjjyJiê présage, bon augure. — B. â65. (S^^ ч^^ О^У^ '^ ^^ P^^^
comme un heureux présage. — Id. lx%lx. (S^yi <^^^^ ày^y^ ^^ fut
pour lui un heureux présage.
Oy*^ celui-là.
(^^Ъуш salive.
\^ySjJié oui, certainement, chez les Euzbegs du Touran et du Khârism.
ié m. lampe.
^)>iyji!w, ^l^si^jM comme cela, ainsi. — A. G. ig. ^^^%^yJm jSy^
>JwLj^^ii». jjl^ dJbl ^iy> ainsi doit agir un serviteur; vous avez
payé le droit du pain et du sel.
lj^Ut3^jM jusque-là.
Jf yJùyàiè faucon, proprement le gerfaut.
^Цjим ainsi; épaisse bouillie de riz.
toit, couverture.
Х^ллм , \j^J^Jее pluie de flèches, — B. 1 3 1 . Aip>y JJuù^ ^^1 ju^ y^^
^«X-x.^ une pluie de flèches arriva sur ma cuisse. — A. G. 174.
^^^yл \:J^ ^£i^ (^'«N^ А^Ь^ ue pouvant résister à cette pluie de
flèches, il se mit à fuir.
Ш saillie du toit; branche flexible d'un arbre ; brins de paille dont
on se sert pour couvrir une hutte; plante qu'on appelle aussi уЦ^^.
Xà}\ uJL 379
L'araignée étendant un voile sur le chibak se met à Tombre derrière ce l^r
rideau.
B. 177. ^j^уХк^ iJ^\f уш »j\у^jуз^ ifji^. {jit^a^^^i^ ^^
j^^ti^'t^^y àÇ^^ îls apportent sur le bord de la rivière vingt à
trente charges de Therbe appelée gueuk-chibak; ils la hachent en petits
morceaux, qu'ils jettent à Геаи; au même instant, ils entrent dans
le courant et se mettent à prendre les poissons qui sont enivrés.
jujum brave; nom propre d'un héros.
Parmi les chefs se trouvait Chipai qni^ par sa bravoure, était Tégal de Rustem
fils de Zâl.
iSé étendard.
ллjм bonnet de fourrure d^agneau.
«
Ш espèce de dé qui protège le pouce de l'archer. — B. i3i. (i^^j^
рз^jз' ч^чJ^с^ч^^:> vîWJ^ <^»>s?' bjfljCAX Лаааал |<уГ j'avais
une flèche toute prête à être lancée; j'en frappai le casque de Tenbel.
l»)ùsjuiM lisse, poli.
jЛ^^^лмё espèce de luth. Voyez >^^>-«^*
Chante dans le ton dit neva ou dans celui dit hedjâz; fais concorder les sons
du luth avec le final de ton chant.
AjîjIjJUm gibier, portion de gibier ou de butin qui revient à quelqu'un;
partie supérieure du corps, au-dessus des reins. — B. a 85. ^^j^yi
^jj) if^\j*tm is&jS^jA l'ayant égorgé, chacun en prit un morceau.
380 ^"^lU^
ij^HH^iîi 4^иЛ^ .4^16,1 4iy^^U J4t\j^ A^Jai. ^^uUi pyA 4^;S^
^ЬкЛеи» vW^'ci^^^^bdl^xu combien de fois a-t-il versé le sang d'un
pauvre oiseau, dont il a fendu le flanc pour lui arracher les ailes?
D'une ou deux de ses plumes, il s'est préparé un instrument pour
écrire ce qu'enfanterait son imagination maudite ; de la partie supé-
rieure du corps, il a fait le kebâb dont il s'est nourri.
' I»|*jum repaire du lion.
L /Ajê]yJkKiyAJii bourdonner, murmurer.
é\ùjjJSé feutre qu'on place sous la selle, en guise de coussin, ou qu'on
étend k terre au lieu de tapis; kaftan blanc, en cotonnade, à larges
manches, qu'on met par-dessus ses habits dans les expéditions; espèce
de par-dessus sans couture et à manches courtes.
Le crépuscule et tout l'éclat du soleil , dans le ciel , ne me paraissent pas aussi
beaux que le manteau rouge de cette lune sur sa tunique bleue.
^Ic jUjum huile de sésame. ^
[^ ^^^^AJié colle. i^Utt^.c. 1 ^^: ; '>j V .v (J^^
J^ (jujuu broche; pointe pour ferrer les chevaux; enflure. — R. 363. (Ji^g^
fjJiS'j^Mj chaussures à semelle garnie de pointes.
Jfi viXÀJUM enflé; grande brebis.
Il «iM^LwOiAM embrocher.
^ sAçS^^^jiê enfler.
j> éj» й.л.й enflure.
J^lÀAdM celui qui accompagne les ambassadeurs^
^ «Xi^ louche.
^^s^J^^kxdi chef des bouchers.
^^'^kjui expédier; pousser en avant; parer. — A. G. i68. j^^gu^^
^3^WJ t^^jiyi \^U^A^ expédiez des hommes : nous envoyâmes
cent hommes. Voyez ^
и!л>^ 381
^j!K(JSé table des sultans et des émirs; repas publics. — B. 97. jft A y
f^^\ AiUUdL jй^з лj^^^ »\Cu»^3 оЫ^^ (J^j^з les dons, les
cadeaux y la tenue des conseils, la magnificence de la cour, les festins,
les assemblées, tout était digne d'un roi. — Id. 918. jA^^ ^^T
4^o^>jj^X.»3^b ^3! K3iSiAjs*>^\ ^Ь ses repas et ses festins publics
étaient toujours servis à la porte du palais. — A. G. 117. (yi^aLâ^L
ftVXJuMAîl^ (j^^ «^Ь^ dans la salle aux repas publics de la royauté.
Jf J^uJUum imputation mensongère, calomnie.
*ЦJЬи1м chasse, gibier.
/&i#>lxJUyu chasser.
«^AAdM salive.
(cOLum gomme à coller du papier et autres choses de ce genre.
/^Unam faire jouer son bras, le relever et retrousser sa manche.
Epargne-toi la peine de tirer ie glaive et de lever le bras pour m'6ter la vie;
car ce poignet d'argent me tuera avant que Tacier me touche.
Ш actuellement.
9 Ж . e
/^j^шсЛе^ /Aj^jii^jSé bouillir; être en effervescence.
Jb iJi.u.C^u éclair.
sucer.
JW joie, joyeux; florissant; cultivé; couleur.
coupure, section; clôture; titre que 1^ khans mongols donnaient
aux émirs chargés de la décision des affaires.
^ vfAjJUuuu joie, prospérité. — JиАл^ ^1 au visage blanc.
^\iyà^ espèce de pèche appelée à Chivâz ^à^xi^i.
382 .xUL
jÿ i^f^Xjo a. espèce de raisin. — B. 56. ^з^ jj^ fl ^ * {^^^j^^ *уьл cj^^l
^^^i^ltt^ 4XiS^«wto ^^>лт deux espèces de fruit de Samarkand sont par-
ticulièrement célèbres : les pommes et le raisin appelé sâhibi.
o^
J? AÂjuuô a. femme. — A. G. lo. j^juL»*^ a^^^*^ I^K^^mUm ^iJJW.
^Ч^ЛЛ^^ jl^^ f(s5" sur le bord de Геаи, quelques femmes étaient en
train de laver du li^ge sale.
»IL. Voyez (^b.
» j.uiL, SjJmIL dehors. — i^;««»'^ qui est en dehors.
\) ilt. Voyez ^b.
АлдЦф espèce de coiffure; mouchoir.
А31^ veau de deux ans.
^^l^ toit d'une maison.
n v^ w poulain d'un ou deux ans.
^^^шJУ^ écrivain; homme habile; maître. Gonf. «^^sib.
^ ^ a. réserve; soutien. — B. ЗДД. (^jчляз aj^^ àjy^^j^y^y^^ «^ч^
^З JstI s-'H^ nous avions placé en réserve Abd-ul-Aziz l'écuyer.
i^ ^Ix^ oiseau de la dimension du passereau. . '-... ' f / C^^^jS V-'*-^'
^uL>«J9 espèce de poêle à frire.
^L*b, ^1лЬ frère atné de la mère. — t^^^n?' a^^^ *-^;*a* c'était le
frère atné de ma mère. — f^j3^ c^'^b j'-^'>^ JuUjJl^ i<v^^
jз^ сг^ <^ ^ I6J ^UXaï ^-Лй^лз e^uHbi!l«b jl^ (p^«4» c'est le ne-
^Jь 383
veu du beg mon cheïkb; c'est un grand honneur pour lui que le frère
aine de sa sœur ait parfois décrit son caractère. Gonf. jUb.
c^Lâ^ a. mesure de &i,i/â palmes, surface de 3,6oo pas carrés; petite
•
carrés dont les côtés garnis de gazon sont élevés d'un pied» afin de
retenir l'eau qu'on y. amène pour les arroser. Cent tanâh font un
mille. — B. 455. ^уЬ <ет'^ ^*mw i^jb ^j\tj^ c^^^ <>wWe
^jJL^ {jirktis quant au tanàh de mesure, il fut fixé à quarante et
une palmes et demie.
j^yio béte de somme. Gonf. j\yi.
(^^yb eunuque. Gonf. ^^ly.
Ф Jу^ boiteux. Voyez S\»y.
/4jЬ^ rond, arrondi.
jyb a. bon, beau. — B. uog. i^^^\ ^^^-a-jiVj j^^ la conduite de tout
cela fut très-bonne, — W. 4 a 4. jy^j^^y^ ^\^ n^d^^jylo c'est une
belle fontaine. — ^sjj!^ beau, bien. — Id. 8i. ^^^^^уЬЦ- ^sjy^^
ils combattirent bien. — Id. loo. j^^ J^iiy^ c'est un beau lac.
— A/. 3io. fS^j\» iSjy^ J^ 'JL^ Mirza-Kouli s'en alla d'une singu-
lière façon.
Sic^jL vert. — B. 359. дк^ j^dijj jUixf^ J3S3 (А»>Ц а^j^ш ^Mij\
^yJL^^yi ^\^ j!UJiÂ,# son dos est coloré de teintes jaunes, vertes,
azurées et violettes.
^Ц^ espèce de faucon qu'on nomme aussi ^U^l brave. Gonf. {^^.
\^\byo. Gonf. (^Ц^9 où, au lieu de «racine», il faut dire «c pli 79.
Jÿ Кх^ chiffre placé en tête des fermans.
Oj*^y^ espèce d'oiseau de proie.
Wb^ ornement, pompe royale, flotte.
tyè\ù>yio être arrangé, embelli. — ^Ь^ arranger, embellir, orner.
(^Цзу^ bœuf.
Jr ^у^ festin, réunion, fête, noce; poil; outarde. Voyez ^^y.
384 ylc
Les chanteurs, saisissant les coupes toutes pleines s'écrièrent : Voila la fête,
voilà le moment de la joie et de Tallëgresse.
^Lb a. prêt, achevé. — B. 53. j^-й*)^-й1 u-WI jllt J^} ^iUxi^ ^j
9j0iyiyi jх.1ГАш ♦^ jЦЬ j^он^ comme nos gens. n'étaient pas prêts,
jusqua ce que les guerriers fussent prêts et en mesure. . . — Id. 8a.
«y%<Ji^ S^S^^j^ à^^^y vW-M»! (^UJl» préparant et complétant les
approvisionnements et les armes qui n'étaient pas en rè^e.
v^
t
«M
(jMtLiP braiment de Tâne.
/a^t>JL^«^ rugir, en parlant du lion.
j\as. héron. — B. 364. jl cs^\Aj^ K'JJdJ Л^j\м ^уj^ aJ^ il y
a encore un autre oiseau qui ressemble au héron et à la cigogne.
•M
jjSiK^ porteur. ^
O^JLÂx oiseau aquatique plus grand que le canard. ^ ^ii^l' сУ ^
t.
%
/ö.С^^ ronger, mordiller.
/o^V^lc cribler.
jp yy'e chaudron; large étrier; canon à large ouverture; mot de rallie-
ment dont se servent les Turkomans Salor quand ils sont en expé-
dition. Gonf. ^1)1».
^jjJié\G amer.
(j^uJlc oison.
^Ic Dieu, le Seigneur.
385
Je rends grâce л ce Dieu^ qai est le mien , de ce qu*il fa fait cent fois plus grand
que je ne l'aurais cru.
(jiJbIc a. ;?• bref, en somme. — B. 67. Jo-aJ Jз^-л (^\xa J3I jйJц?1^
(S^^ ^i^^y^ bref, ce fut le manque de courage de ce misérable
hypocrite. — IL заЗ. ^ (s^gS ts^j^^-^ jWsîl^ en somme, il m'est
venu à l'esprit que
Ê- cheval rapide. — A. G. 71. ^^àSS ts^^yA (^^^\js> ^^^ka вj-Фj^
montant un cheval rapide, il vint de l'Irak à Merv. Peut-être vaut-il
mieux lire j^ jument, en arabe.
L;^ guide.
fjfr^f^} зни^ и^б^' j^^^ч Эj^
Tandis que ie guide les conduisait il s'égara; il arriva, tout en marchant, k
un pays infesté de lions.
^1л* queue de bœuf sauvage; bouquet d'épines qu'on attache par plai-
santerie aux jambes du cheval pour le faire cabrer.
1 «x sac.
1 V («v
c attache du carquois, du sabre, du bouclier. — B. a5i.
^Js^l j'avais mis ma cuirasse, mais je n'avais pas encore attaché In
. courroie ni placé mon casque sur ma tête. — Id. З00. 4p-A-*^-*JЬ
f3^3^ i^'^^^'^ iS^is^y j^ transperçai d'un coup (je frappai de
manière à coudre) son bouclier et l'attache.
(jbjX jeune esclave.
' roseau.
DiCT. Tuii. яГ»
386
U^U}yjjijSi J^ J^\ si^.i^ J^ ^ly
l^ ÿj^ j^ j ^jЛДУ J^.:^j^ l^ u
Si la plume du vulgaire ne rëpand pas des douceurs comme cdle de Nevaï, n*en
dis pas de mal ; comment un simple roseau pourraitril valoir la canne ë sucre?
^ O'
(jmU«£ peigne du tisserand.
dL^d jl:>^ b^^^ ^j i^(iyji
Gomme Tempois qui se trouve après le peigne du tisserand, ou plutôt comme
Tordure qui souflle le plumage de la corneille.
cÀ3**x parole, entretien. — (^"ÿХjщ^ s'entretenir.
serviteur du harem.
•X mugissement du tonnerre, rugissement du lion.
Б espèce de corneille d'un blanc marbré. B. 36Д.
аДс a. beaucoup. — B. i Б7. «^«XjI ^чА^ («хjТj^^^хзу адД^ il avait
commis là beaucoup d'actes de libertinage.
liMAC charrette, brouette.
Б bas, court; petit homme.
AXXfi verrou de bois qu'on met au dos de la porte.
^jjéêyt m. botte à haute tige. Gonf. ua^n^nu:.
J^ troupes rangées en ligne ; gardes particuliers du roi ; corps de bataille.
^yл b^^ljl ^Lçb Jч^ J^ à&
Il disposa ainsi sept corps de sa garde au milieu desqueb les troupes du vent
n'auraient pu se frayer un passage.
• B. 89. J^l;^3 »i^3 j^^yr^ j^^^ l'aile droite, l'aile gauche, le
centre, l'arrière-garde.
Л^в^, Ц^, ^^j^9 \лjЛ concubine; jeune fille esclave. — B. 85. ^j^\
(^•N»1 a^, iS^'^^^ (jy^^ il n'avait pas d'autre femme légitime ni
V -
387
de concubine. — A. G. 1 7. j^^Ц^! уЦ^ çji^j^^y^ ^j^^ {^.^j^y
^£ö^\ Ljj^ outre ceux-là, il avait beaucoup d'enfants de ses concu-
bines. Id. 18. jyijii yUJ^ (^ (:ХЙ*ЦЛ иЦ^ (:Г«*^У^ *^^^
il avait des enfants de ses femmes légitimes et de ses concubines.
^U^ cheval de trois ans. — A. G. 97. >-*-<• f^^. 0^^ ^^^^уя (^J^
jy^yf ^lâ leurs chevaux sont comme nos chevaux appelés gounan.
Gonf. le mongol i^ing^.
<ЗрАj^йх, (ЗГУ^jЛ concubine. — B. 35. jl? J-a-*- ^^-^^^л-ая^^ a^^
(^«N>l il avait beaucoup de mattresses et de concubines.
zdsiyt animal appelé en arabe '^j tarentule^
siXi^ corneille noire.
Л£ signe du datif.
^к ч^^ j^ЬjНН» Л^ J^l ^^^;-ш ^
II a donné à la perie un tel prix et une telle vogue qu elle fournit des parures
et des couronnes à ceux qui possèdent le trône.
^jl^^^i^ pays dans le voisinage du Kaptchak, renommé pour l'excellence
de ses flèches.
iflLa^^Af sorte d'instrument h corde.
jjsx bruit produit par une flèche, une pierre ou autre projectile.
/A^ly.AX perdre la tête, la raison.
JS* signe de l'impératif. Voyez (jvj.
(^jd^AX espèce de carcan de bois qu'on attache au cou du chien
pour l'empêcher de fuir; sac qu'on attache ou cou du cheval pour
qu'il puisse manger.
^^^Ui АяСихЬ jy\ \û-- сj>л оц»!
ô toi qui fais pattre tes brebis dans cette vallée paisible, je suis un chien; tu
as en ta possession un collier de force.
ЗJ.
388
^J^* (â^(sf^ ^^ и^ ^-^^* Лj1ш\Хуj j,i^x^^ (jч-м ^\ mon Dieu!
si tu n'es pas un protecteur qui nous soutienne» du moins sois pour
nous le bâton qui repousse les attaques ou le morceau de bois qui
retient le chien.
Jux étemuer en sentant une odeur trop forte; s'enfuir en gro-
gnant, en parlant du chien.
MX particule qui indique le diminutif.
Chez les gens sans caractère les menaces les plus violentes n ont que peu d'effet;
leurs protestations d'amitié sont toutes un peu mensongères.
^^^j^\ v^l; pi'^s de la porte de la fabrique de savon, au milieu
même de la ruelle, il avait construit pour lui une petite cellule.
Tji tentes; pavillon que les femmes tendent.
tfji bruit que fait le cheval en soufflant, que fait un objet lancé en
îair.
JjUiî ^^:> LJj^ loolCùs; v>^^l
Brandissant son bras en Tair, il porta un coup, dont le retentissement se pro-
longea jusqu'à la distance de dix milles.
^jÀ«3 toupie. •
coureur; palefrenier.
\J^^ pièce d'artillerie. — B. Дз. jyj^i ^М byl^l* (J^jл au milieu
des projectiles de l'artillerie, il faisait tomber les coups de sabre. —
y! Ь 389
Id. 378. c^î iJ^j-^ ^b (il?! deux fois, il fit une décharge d'artil-
lerie. — M. 48 1. 4->jy 3 *x-Â-ft-M* vjy^' â*-«^4^' **4w (5^b ^JijjÀ
ayant frappé et brisé deux embarcations avec des boulets.
e*i petit de la perdrix et d autres oiseaux du même genre.
ЛйМ|JjЗ tissu couleur d'azur; corneille verte; porreau.
viXj «i petit des oiseaux.
ХлЛ^шJ^ a, jet d'eau.
^«УЛлмкЗ murmure à Toreille de quelqu'un.
^уУХш^ plante odoriférante, basilic.
ifLâhi cartouche, fusée; file de chameaux; chauve-souris.
jлд rouge, fard.
{jààJiXi faible.
croire, avoir confiance.
^^ colle. .
лЗ bruit produit par le vol des oiseaux.
/ЦjОjЛЛ^^Ё^лЬ émettre un son par les narines.
i scarabée.
(J^j-b^^^- Voyez (^j4A^!^.
••
^1 b' roi des rois.
Où sont les Khans? où est Djenguiz-Khan? où est Octaï, qui était grand khan?
Puissent dans ce séjour se trouver ainsi plus de cent mille sujets ayant chacun
à leur service mille khans et grands khans I
390 (^^^
/^Ib prendre, en parlant du feu. ./' / r . ./ac«
p v-*B vase; sacoche qu'on suspend aux flancs d'un mulet. С^и^^.^' *^ "*'-'
yto grossier; bulle d'eau. — ^^1^-4^4 ^^ bls manger des mets de plusiein*s
espèces.
\Л tête.
J^ (J^"^^у1^ tumeur, pustule.
/^^Lê^^^Lb s'enfler. B. 89.
/3-^ub enfler; se tuméfier.
h {J^Ч^^ ravisseur, pillard, en parlant des chiens et des lions.
J^ (Jyb citrouille ; but placé sur une perche et qu'on vise avec des flèches.
B. 217. V^y ЧJОУ^У^ *r^^ Ч-^Ц^ 0»!«Nk^b t;'*NH* 1^а1*Яхл (^
45<>s?'^l;^' âö^*^* *ï^' dans le champ du tir, il s'élançait de l'extré-
mité, se retournait, jetait son arc, le remettait dans sa main, tirait
et frappait le but. — ^J^-w•^^.— pL ^jl^b enseigner, décrire une chose
extraordinaire.
J^ Oulï couvercle. — ^^l^bj^ paupière.
entourer.
>
Le roseau de mes jambes, dans sa faiblesse, ressemble au kalem, alors que
Tétui le recueille, en TentouraDt de tous les côtés.
^З^Лам^ Lb la dernière limite de l'heure du déjeuner, vers midi.
Pf^ Ub' cruche à anse.
y^^ Jub action d'entourer une place, de l'assiéger. — B. 1 1 5. JJve^^^
j^Js-jl<;,l ^i^jXi j ^>и^^ЦчА* ^>A^;l2)Лл^J I^J^^^ 2^ ^s^^ conser-
ver la place pendant un siège, avec l'espoir de recevoir d'eux du se-
cours, était impraticable. — Id. 90З. ^^c^jl* с>а|;ЬJлj f^\ ^j^\ ils
supportèrent l'investissement pendant dix mois.
^^^yb boucher, fermer; assiéger. — (^^^ être enfermé, assiégé. —
A. G. /ig. 4^*xJW A^A*U i^ljy» vilJu^cjyuj le prince des Tangout
(jJju\i 391
s'enferma dans la citadelle. — A. G. 180. * ш ь^ш мJ^ JU^^J^y
^«>JLe^ f>^j^ étant entrés dans la citadelle de Kara-Gueul, ils s'y
enfermèrent. — v>^l*b s'enfermer, se concentrer. — A. G. iu8. *U5
«^Ui ^У^ сгч^ l'armée de Châh-Abbas s'étant concentrée.
ууЬ porc.
\) uV* balance d'une grande dimension, l^^^^^ it^-v- --"
^vJulï vêtement fendu sur les deux côtés. Conf. (jUîb.
Des haillons lui servent de vêtement; ou plutôt, son corps est son unique
vêtement, et son âme en est couverte comme le corps Test par 1ЪаЫ1.
^зЦд^ 1*>чн^' з' j^ <-^aaS" s'asseoir sur la terre nue avec de vieux
habits vaut mieux que de se tenir debout de^j^ chaque personne
en habit tissé d'or.
^Цд^JЬЬ grande bourse.
умjу^Ь fer et acier qu on combine et dont on fait des cuirasses et des
épées.
3y!p^ espèce de bourse qu'on suspend au cou, sac de cuir.
^ /o^UwhJto saisir subitement et renverser; entourer.
■
Mon cœur, endolori dans Texil, reste au milieu de tes deux boucles de cheveux,
comme une perle qu'entoure de tous les côf& une coquille recourbée (allusion
à la forme du ^ qui commence le mot j^).
/A^utjb entourer.
jlCil ^UJjl ^àJyш (5^.00^ АЛ»
Dans combien de jours sera-t-il possible que ces deux armées Tentourent en-
tièrement ?
392 (J^^ÿ^
v3L^vJbb vase; étui.
j^иЬö tout noir.
/oj9^\i envelopper.
jp J^K tigre.
/ö^ииЬ laisser, poser une chose au milieu. ..^^^ )o 5-^ v^-i/^пм j^^^
^ A^iyuili chose enveloppée dans une autre, couverte d'une autre сЬсгяе^Л
b'L^^b tortue.
Jf (4^^ prendre, saisir, soit avec la main, soit avec les dents.
^^5^jb ciseaux.
(S^9 fourreau, étui.
jJi\$ placé en face; but; occasion*; portée. — B. go. I^^b ^1«3чj^ ^ji^X
jjb^b ç(Sj\i JXsy cs^\j^^\ ^Цÿ^jJ**^ Jy t^ f^ J^^
j^jyjLj\i n^yojù Uiljçb un ennemi, qui s'était mis à portée d'une
telle manière, s'échappa sans avoir subi aucun dommage. Un pro-
verbe dit : Celui qui né met pas la main sur ce qui est à sa portée
s'en affligera jusqu'à ce que la neige pleuve (jusqu'à la vieillesse).
— U, 1 ko, (jÉ.U^b^b ^iJsj^ 4^3^ j^^^ des années s'écouleront
sans qu'une pareille occasion se présente.
j> jЛ^ porte. — ^^aX.^I у^ gonds de la porte.
J^U^^b écaille des poissons.
J? ^jjJ^!^ flanc.
(j^b, fy^^y /^!лJ^ peau, écorce; cage; longue planche. — л,а <*>-,»
(jЕ.Ц^ Aч^â> ^^Ijj^b une coque de pistache ne devient pas un bateau.
/iJob caché, renferme,
(b Ob côté, flanc; étage, degré.
/4^bb frapper de la lance, de la javeline.
^ub barrière, défense.
ylcbb qui esl devçnu fort ou dur.
jjJùbyi homme mal proportionné.
/лjо]jj\з se hâter, courir avec ardeur, presser le pas. — B. Зя. ^^.^У^
393
j^JoJJs?! jl^b JuA». *Лшу {jjDyf d'abord il se livrait avec ardeur à
la chasse au faucon. — Id. &09. v^aam vL^'^ p'^^^l «^ôfJW ^а^г
courant avec rapidité, arrivant à tous les rangs.
JjLiSb fort, dur.
4L>b\^L>b fois; tour; file; rang; de nouveau.
^\^ Ц;* isb^:> iLjLj LjLrf
Le génëreux Darius, reprenant la parole, dit : ô sagel qui possèdes la puis-
sance du Messie.
U^K espèce de pain.
^Jf^^to supporter; être de force; durer.
^^y<i\i espèce de cuirasse, faite de feuilles superposées les unes sur les
autres.
^to pièce; rangée; à soixante ou à cent feuilles, en parlant des roses.
/4^'to accoupler; être fort; dur; se coaguler.
Les yeux s'ëtant comme durcis sous Faction violente du froid, les sourcils,
sous forme d'arcs, leur lançaient à chaque instant des fers de flèche (à cause des
glaçons qui pendaient des sourcils sur les yeux.)
^jLiUb ^^:>^ô^^^ fî^j^^ Ail/i'j^ ù^^^ JSxJ^^j'y^i^^:^ ^^JLï
jу01jЬц> àj^^ le récit des actes des amis de Dieu est une mélodie
qui fait pleurer jusqu'aux yeux durcis par la malveillance.
/SJuuUjto trouble, bouleversement.
/o^lÂJto se hâter; se rendre à.
(Д^J^Ь ëbullition, effervescence.
J^\i présent qu'on envoie au gendre ou à celui qui donne une fête pour
contribuer à la dépense.
-^ (j*>-аJЬ mêlé, uni; compagnon.
39Д jU^^^b
(3 i4i^^ ^о^^^ dur, ferme; tout ce qui se mange avec le pain. — B. 366.
j^^Зу^ j&) V>-^ jнц-2^1^ (^^ crue et encore ferme on en fait un
excellent plat. — d^j^y ^Ь l'écureuil.
/o^'^ULuto se durcir, se coaguler, se cailler.
yft,jsAjkJ)te réunion de deux cours d'eau qui se mêlent ensemble. —
B. i5o. ^^l; адае&Даз!» i^LUj^^m vb"^' P'*^^ du confluent de la
rivière d'Enderâb. -^ Id. 160. ^it-JL^-i^^^-i»» «XJL^ лклл ^^ Jо^
^l^by fj^p f^duXkS^i un peu au-dessus du confluent du Sind avec la
rivière de Kaboul.
^b combien; quelques.
^ ^L^t vertèbre inférieure; fuyant. — B. Зз. JJииJц;! )^! bA^^S'yuj^
^jJ^ jUi^ i^fJJi dans la nuit obscure, une flèche de ses propres
gens atteignit précisément Haçan-Yakoub. Le trait ayant atteint la
vertèbre inférieure, avqnt qu'il put s'échapper, il tomba victime de
ses propres actes.
ù^rfMlr^liî action de s'échapper, d'éviter. — A. G. 87. c^ûwiç? (j^лЛ J*^?-
^jЦ^ ...A-i АJнЛJjбЦ.|5 .iUfti^yCAJ .^.H^iij^^Arfl Djelâl-ud-din,
par sa belle conduite, fut cause que son armée put s'échapper de ce
péril.
^ >b^b fuite.
^Ir^to quaud, à quel moment? — ajuI^Iï, A^kîl^U jusques à quand?
Jlâj^Iï qui fuil.
L'un. donne passage au vent, Tautre au feu; lorsque robstacie sera détruit,
hâte-toi de t'enfuir au dehors.
ijl^*^» fuyard; dispersé. — A. G. 7 1 . «-ааХжj ляаjЬ JUu^^jUi^- ^U^b ул
s'étant réunis auprès de ces Turkomans fuyards.
\j\i 395
>1э fuite.
»Ь fuir. — ^^yi^b il faut qu'il fuie.
>1э fuite; déroute générale, dans le langage du Tourân et du Kh&risme.
\3 vautour. ^jу^ А»А--*,?Ь ciyy lilMi^^JvJue^ (:^^J4в^ ^^J^
•r*A^ Jну» ^sJ^-^ <iArf! j^^pÉi5^o^*li Nemrodf dans son aveugle-
ment, ayant attaché quatre vautours aux quatre pieds d'une caisse,
entra lui-même dans la caisse, après avoir attaché des morceaux de
viande aux quatre angles supérieurs de la caisse. Les vautours s'ef-
forçant d'atteindre la viande, s'élevèrent dans les airs.
Xi être dispersé.
jy^lj torrent qui est sur le point de briser la digue qu'on lui a opposée.
v3t*>b coin, clou; fer à cheval; couleur employée pour la teinture.
L ryi]ô\$ qui enfonce des coins; action d'affermir; vigueur. piZpr '(w
/o^ti>b rendre solide, en enfonçant uii coin ou un clou; piquer dans.
jЭjу Lj\b\à (s^j^àSj^ sur ces cinq grands dômes on a assujetti des
plaques de cuivre qu'on a recouvertes d'or.
V>v^ ^^-—
Plein de cette crainte que tant de grâces me menacent de nombreuses bles-
sures, je n'ose, même par la pensée, enfoncer mes dents dans tes lèvres.
ЧJМЬ entraves de bois quon met aux pieds des prisonniers.
J9 J^ neige. — j^b tribu turke ainsi appelée, parce qu'elle ne put suivre
Djenguiz-khan à travers les neiges, à son retour du Gourdjistân.
^ 8 «i, 8^ te, Ld, \j\i noir; poussière ou ombre d'une troupe; cauchemar;
encre; bord de la mer; gens qui suivent. — A. G. 180. (^^-й^öЬ^
^JОj^л^^j^ dUsH^^uiS" JUv^ JuJI^ JuU^ (^j^ on vit de loin
poindre un corps de troupes de quarante ou cinquante mille hommes.
396 \j\i
1j^шм\лj^\ (^^^y^JUi^ J^^Lm^
fiien loin que le brigand rompe le fil de la route du voyageur, puisse Tœil ne
pas même voir, la poussière soulevée par ses pas I
A. G. 12 4. â'^Uûy AJUJy^lj iiUAjIy^ *iiuujlj>y ceux des grands
et de leur suite qui n'étaient pas tombés aux mains de l'ennemi. —
1^ ^}g, \jj jlli', \ji ^ animaux, bétail. — B. i84. ^?) ^j^-^
jM^jJT^^ a^^^jÔ^I^ tôéy 4^j^j^' ч*й>Ь jj^U les soldats, ayant
creusé le lit du torrent , prirent de Геаи pour eux et leurs animaux.
— *li. 187. j^,^jу-jЛ^ 9^^^\ \jà дJ^ i^^^j ils apportèrent leur
prise, qui consistait en effets et en bétail. — t^-ï ^^u^-a-S" suivants,
gens de la suite; clients; hommes en général. — ^j^J^-лj;Ь ifS^^
jз^ c'est un de mes clients. — B. 209. ^^l-a— ш1^ ^а..А-5"^j1jЦ^
Lj^jy>^^ ayant mis en marche tous les gens de sa suite. — И, 209.
w<uJ) (^Ь^ c^^^^H^c^-^ât^.^^ les gens de sa suite ayant pris ses os.
— S^' Ь^ orme. — Çfj^^ ^j^ bubon; paralysie. — ^bl* [yi oiseau
aquatique noir. — jйЬ \ji bouvreuil; rossignol; jeune fille esclave;
moine chrétien. — jl .i^ j tji rossignol; oiseau dont la gorge est
noire. — jj)b |дj espèce de céréale. — Jb I^ aigle noif. — v5^*^' [r*
canard noir. — ^Ь ]jЛ pintade. — ^l»b \jл tumulte, insurrection
de vauriens armés de bâtons, vagabonds. — B. 77. «X-J^ *;!i^
ь^^ьаХаj ijLb \jЛ (^лаХаj çjjj^ àifi^^^^ ramassant une troupe de mau-
vais sujets et de vagabonds; faisant irruption. — M, 2 53. J^\ ^^
y^jyi <->hAaj |»y£> ^bbijji^ les gens de la ville et les vagabonds ont
fait irruption. — yid \ji appareil fait de plumes d'oiseau, dont les
oiseleurs se servent pour attirer les oiseaux. — bue I^j ordre des
rois turks, scellé en noir, et s'appliquant particulièrement à des exé-
cutions. — vib*-&. Iji armée en marche. — *^3%-s*. I Ji melanthium^
nielle. — ^j^-^ ^j^ nom générique donné aux princes, que nous
appelons v^i^ ^^4 et à quiconque, sorti de la foule, se fait chef
d'un parti. — ^jjз^ \ул espèce de guitare à quatre cordes. — Ij-ï
У^ torrent, ruisseau boueux. — B. i4i. cjj^xA^aaj Ц^ ^у^ уы on
arriva à un torrent impétueux. — /rf. 377» {^.^J^y»» '^^ {^.^.y^\)^
3 ^Ь^, ÿj^ 397
jз^ bl ^^j^j^у>-^ j^у^ f^^j3^ outre leurs. fleuves et leurs ruis-
seaux qui coulent dans les ravins et dans les fonds. — aaâX \jл jour
noir. — c:>b 1^ fruit de l'épine vinettc. — ^Х)У^ Ir* petit lait des-
séché après avoir bouilli. — ,^jj \jл aigle noir. — ii|y 1^ animal
carnassier, plus gros que le chat, suivant le lion, dont les restes lui
servent de pâture; députés des notables se réunissant chez les princes
pour leur donner des renseignements; afiidés chargés d'épier les ac-
tions du premier ministre. — \0^^\jл styrax liquide. — vil^H^j^-ï
sanglier. — j^^ч^ \y^ fruit qu'on appelle aussi J^JL*!.
J^ ^Ц^С>^\а)J\9 attaquer, surprendre dans ie sommeil.
La nuit du chagrin, semblable à un voleur de nuit-, m'a terriblement boule-
versé; tellement que je suis réduit à rimpuissance sous les atteintes de cette
noire infortune.
J> tffj\)^ être noir, obscur, triste.
3 j^j^-» /^Ь i^o^^î prunelle de l'œil, Tœil en général; pillage; butin.
<^^-Jv-A^W'e)'^*Jbe ^клуш ^Iji ^j^ÿ ^j^ sa noire poussière vaut
pour l'œil le collyre d'Ispahân.
Que la douleur ne puisse pas atteindre ton corps avec la séparation, que ton
esprit ne soit pas tourmenté par la passion ! Que Dieu fasse arriver la plante de
tes pieds jusqu'à mes yeux , puisqu'il t'a permis de les noircir (les rendre tristes)
avec tes deux prunelles.
398 ^\j\i
Le khakan dit : 0 ma lumière ëdatantel que dis-je? ma lumière édatante;
prundle étincelaute de mes yeux I
ô toi, dont Toeil a été omë du collyre brillant des révélations divines; toi,
dont la rébellion n*a pas marqué la monture d'une empreinte ineffaçable.
(^Icl^ld bois, forêt.
K Jj|^|^b\ J^i^ld gardien, surveillant; troupe postée quelque part.
/44 [;b saccager, piller.
Jf (^Ь^ noircir. — v*l дА4^»;-»л». J^l^^^ jLi^t |.Л*J1 t^ ^ jS^-U.
^<xJ^ ^JаЛхл ^JsaImô dU^t attendu que Ham, iils de Noé, lui
avait manqué d'égards, par un effet de la malédiction de son père,
la couleur de sa peau devint noire et le don de la prophétie fut re-
tranché de sa race.
Si mon regard s^est voilë^de noir, par un effet de Гатошг, à qui m'adresserai-
je, puisque je ne distingue plus ni le blanc, ni le noir de mon œil caché dans le
sang?
/o^l^K, /ö-лjJj^и observer, regarder, garder. — B. 119. aX-^bx-^' j-«
4iLjU;^ jp-jà viLj^ljb l^^l fS' cs^^jx)^ l«>s?b ^yityf un homme
marchait par un chemin étroit, tenant un bœuf. Je lui demandai :
Où va cette route? Il me dit : Regardez le bœuf, ne vous arrêtez pas.
— Id. аЗэ. v^ljb (^шjj^уА* Ллj^й^\j»j\^ у9 prenant en considé-
ration l'honneur de ce parent. — A. G. 17З. j>>» vb'* <S-^ l*x^U
^<xJb* i^iu^kS' ^f6ij0S! cent hommes d'élite restèrent auprès de moi,
me gardant.
iS\;^ regard.
0
le, ^Là*Jîyb 899
Quand il a passe, en jetant les yeiix sur moi, je suis resté plongé dans une
sombre mélancolie; par ce regard il a changé mon amour en un point noir.
/âile|^B prunelle de l'œil.
b turban; armes. — B. i38. jЛ-j\Счи^5'(j5^Ь ^^jUj i^.à^\à Ul
j^csHff. un grand nombre d'entre les ennemis s'<ëtant revêtus de leurs
armes, arrivèrent.
O^b maladie du dragonneau; laid; fortement taillé.
(ЗЦ;& ce qui sort de la peau d'un teigneux ou d'une plaie quand on la
gratte.
Зу^j^ scarificateur.
Aj^b graisse de cheval.
^Ujyylï, oUfJyb avare.
>iyi être avare.
^b espèce de petite hirondelle; sorte de pain oblong. — B. 363.
^^ЬЦ^ obê^^' '^J^ {^^'^J^JЗ^ ^^^ AÂ^*iU»S^ c'est une
petite caille, un peu plus grande que le kartcheh. Gonf.
et yL^^.
le, (^vjîjo»;to espèce de faucon.
Au milieu d'une compagnie de cailles un faucon; elles, semblables à des pou-,
iets; lui, pareil à une poule.
Le faucon, montrant son bec et ses serres, s'expliqua clairement
400 i^^J^
A. G. 102. ^^A^l ^ji^s^ is^. MÂàMlm \i^ji il était le premier
du monde pour lancer ie faucon.
ib gratter, égratigner.
^ ijb\ôj\i frère. — âl* i^'^^'* sang-dragon.
^M»;b châle, ce qu^on met autour des reins; bruit du fuseau.
З^-^!^ taisson; animal dont la fourrure est nuancée de deux couleurs,
a une bonne odeur et est très-chaude. En persan dljci.
/Лшш,С>^^ rétrécir un vêtement trop large du cou.
U j^j^ en face, vis-à-vis.
^ \суИ corneille. — ^jS^ ^J^ noix vomique; en arabe <^аКJ1 JjЬ» et ,>з'
A^ôJl ; en persan ^^. — t^^^ Ц;Ь coloquinte.
^Ц)Ь tumulte, confusion; dispute, querelle.
Les hommes sont dans la confusion, par suite de mon amour; mes oreilles
sont assourdies du tumulte que font les hommes.
Quelle répulsion il inspire, puisque, nuit et jour, on n'est occoupë qu'à se
défendre contre les entreprises de sa méchanceté !
U i^^J^ détester, maudire, faire des imprécations.
•l^^^i A^lj^ (^уФ^ of^b i4>2> ЛнкА^ fi
Grand Dieu I qui donc a maudit Lutfi, pour qu'il ait rencontré un infidèle aux
entraffles de pierre, comme toi.
A. G. 26. j^L^Lpjb (£^^^y^ ^ j^\A si les pères maudissaient
leurs filles.
jj^j» 401
iiil---
л"
/^ (juJUP^b imprécation, malédiction. — ц x-i-iLiJI Ае^ ^у pU». ^j
^jймн^jЬ b^»;L р\* »^Jl43 4,1m 4м^Т (jй^хл^р- yUM ^»AJv^l
^^^1 viH^' comme Ham avait manqué de respect à Noé, ia ma-
lédiction passa sur la langue bénie de Noé à l'égard de Ham. —
jy^ \iy4t o4>V i^ ijHfi'J^ Lj^^^^S^ bàj^ |аГ jTce que
tu as appelé par une seule prière ne saurait être détourné par mille
malédictions.
^^^J«J>1^1э, «3^.rfMlï,b le sabot du chameau.
(jb^V lieu où l'on parque les moutons.
9^^jЬj|^1э hirondelle.
^Ic^b, ^\j}j\i id. — B. 365. ^:> öзJ^^j^ еЦ^> jз^ ^J^^.
jз^ jУз' J^-A»* {^^^уЬ^ й У a encore le guercheh, qui ressemble
à l'hirondelle, mais qui est beaucoup plus grand.
/öjJ;Ь enroué. — iS-f^fe s'enrouer.
J} J)Ц;» morceau de bois muni de crochets dont se servent les pécheurs.
/o-^U;b enlever, ravir. — ^j-çûUjb chercher à s'enlever une chose.
/ö-^Ь mêler; introduire; associer.
^j^àlj-Л J.^*^U;b ле;^1ÿ<и-Jу
Sépare-moi par tes bienfaits de ces indigents; ne permets pas qae, victime
de mes passions, je me mêle aux déshérités.
^j^b se mêler. — ^jЛ,Ь être mêlé, introduit.
j^b' bras; échange; on donne aussi ce nom à une coupe qu'on présente
à l'échanson en échange de celle qu'il a versée dans la première
tournée; si l'on a bu deux coupes, cela s'appeUe jft^.
0 mon cœur I en présence de cet œil assassin remets les flèches de tes soupirs ;
car, dans l'art de lancer des traits , son bras est plus babile que le tien.
DiCT. TVRK. *" з6
402 ^^Ji
Loraqa*il présente à Nevaï, coup sur coup, deux coupes de son vin couleur
de rubis, quand même il demanderait en échange le sacrifice de la vie, qui donc
a jamais trouvé un tel avantage à si bas prix ?
Demande toujours ainsi le cœur de Nevaï afin que, si tu ne Tobtiens pas de
lui. Dieu du moins te donne quelque chose en échange.
iNh^lï bras, avant-bras.
Jf ^yi vieux, âgé; espace depuis le. haut de i'épauie jusqu'au bout des
doigts. — A. G. 47. ^s^j^^ âUô^:> tiyb liU^^jUb ^jS^ Kiraiet
était un vieil ennemi de Naîman.
5 W* j^ isj^ vil^i^ c^' o-^' 4*^
Lorsqu'il voulut fixer la mesure des distances il divisa le parcours des pro-
vinces en autant de ugadj. L'arpenteur se servit pour cet objet d'un cordeau di-
visé, par brasses; douxe mille ^ort faisaient un iigadj.
^ДуЬ vieillesse.
La vieillesse met la tristesse dans le cœur; c'est elle qui est la messagère de la
peine et du chagrin ; la vieillesse verse à .pleins bords la coupe de la destruc-
tion ; c'est encore elle qui nous apporte la nouvelle de la mort.
^liXJu^lï ЛОЗ
jf guk^lï empan; palpitation; mélange.
f^jjtKiè^J^ palpiter.
/&^to sillon, fossé.
/Ö • ^.!jb devenir malade par l'effet de la neige, en parlant de l'œil.
L
Le narcisse donnait à son bouton Гаррагепсе d'un œuf, parce qu'il y avait
dans son œil comme une poussière semée par Tophtalmie; que dis-je, l'oph-
talmie ? à force de fixer ses regards sur la neige, Tëblouissement avait fait perdre
à son œil tout son éclat.
iy^^yi courber; mesurer.
/^ ild vieillir. — ^j-вЦjЬ faire vieillir, causer du chagrin.
C'est ainsi que j'ai vieilli pendant la nuit sombre; le voile noir, qui ombra-
geait ma tête , est devenu tout blanc.
JЗ^ (;Г^^ Ч^J^ «tJ-^з'^' *^U>^><^
Que quiconque se fait un art de se gorger de nourriture sache que l'impureté
établit son domicile dans son corps; il vaut mieux que tu ne sois pas ami de ton
ventre. Pourquoi un homme qui a beaucoup vécu serait-il ennemi de son enfant ?
^ (^to, ^>й^Ь ventre, tripes. — ^jj^lç j^b herbe aux puces.
Jp Ai^u^bi fouimi. — адлjjЬ petite fourmi.
(jàïiXJbjlï frère.
26.
404 ^Ic^ld
L yi oie. — jLjL* jb aile d'oie; expression stratégique. — A. G. 17 4.
^^*зJLft^V^-*^ d^Âijb iù^yi ^ t^^ULs» sù^yi à^y» ^£}:>уы l'ennemi
ne se rangea pas comme nous en plusieurs troupes, mais il vint,
rangé en une seule troupe, en aile d'oie.
cttb cheval.
jЬЗ, (jЬ* vagabond; aventurier, aventureux; onagre que ses compa-
gnons chassent loin d'eux.
»1ал1» 4^^l j\^<И^ |OJ «-лА^^ ^
La vieille dit : Si le roi est un vagabond , qui tirera le glaive et se mettra à
la tète des soldats ?
B. 65. (S^^ *^i*^y^ ô)!>b *^'^ c'était un jeune homme brave
et aventureux. — Id. i33. j^jyjii^\^ j^\s^ оУ^З^ и^ЬЦ^' '^ Ый
^<x^l jLiUJiO ц^ д^Ьj^ ^j^ comme il avait été élevé dans des
lieux écartés, sa tente et son campement étaient ceux d'un homme
qui mène une vie aventureuse et n'offraient aucune recherche. —
Id. i3. j^.:>j^\ Ан^ J^Jчнчу* 1:>;^с;»1уj5 Ьj^1^>^^51>jу^Г| elle
m'avait accompagné dans la plupart de mes expéditions aventureuses
et dans les traverses de ma vie. — ^^.Aljb voleur de grands che-
mins.
/Ö4м1| battre les grands chemins.
Jfi S^\j(i alouette.
^hb canon court, à large gueule; marmite; large étrier; mot de rallie-
ment dont se servent à la guerre les Turkomans salor. — B. 4â.
liX^^^^I wîUj^^U;^ ^t)b étant occupé à mettre des canons en
batterie. — /rf. Лад. ^l 4jùb aKj^ yljb c.^^\ il lança un boulet avec
un gros canoa.
f^yi produit, gain.
ylc)to appareil circulaire de bois et de roseau, sur lequel on pose la
;^ld 405
marmite quand on la retire du foyer; canon. — Sead-uddin, I. 4з2'.
^Uyi ^' (jif^^^ les canons aux corps de fer.
L 1Л0С lc)b acquérir, gagner.
' Il alla et s en retourna avec son corps; il revint ayant gagné Tunion avec son
ami.
^ (З^'^ creuser, fouiller, sculpter; errer.
J) Кйj\$ hache. ^ /^ • / -^ "
^ jlyb sculpté. — B. З89. e)M i^^a^o^j^ I Jчи-лJцЬ ^Ьj^\
j^^ au troisième étage, il y a une salle toute sculptée.
j^to acquisition; gagné.
J; ЗъУ^ grand clou; épieu; la constellation du chevreau.
{Sj^ saucisson de cheval; graisse de cheval.
^(>JL^to limaille; copeau.
jl^wlil* abcès, cancer.
^L^to jus figé; gratin; pourriture d'une plaie.
/o-«^V prendre, se figer; se couvrir de pourriture.
(5^мЬ espèce de gomme, en arabe iUii, en persan ^jj^ galbanum.
Jf v3 /HS^I^ hypocondres; hanche.
^ (jàto sourcil; en même temps; présence; chaton d'une bague.
Ц;>1 1»^ (JV^ J^-^З cMI (:jул»»
Toi, tu joub de la compagnie de ce que tu aimes; n élève pas la voix, ne
viens pas chercher des jeux d'esprit auprès des victimes de Texil.
А-^уJд^ ч-ни^Ь ^^\ч^ jЯ, ^^:> э!>* 0>Ц5 iib ^*»^ ^ilJ^^ÂfH-kT
^:^lf AP^t» c^l^^l^l comme il craignait la manière de voir erronée
et la mobilité du caractère de son père, il s'enfuit et s'en alla dans
le Tourân, auprès d'Afrasiab.
406 ^ v3"
чДзЬмЬ sombre, obscur; souterrain; maigre, décharné.
cIdouLmiK plongeon noir; en persan iU.
/Ц1хмЬ, z&^lJLwb craquer; pétiller.
у^» yUJUUb *Ci^ »jl; »,1;
unner.
:: A ■
Sur leur corps, il ne restail pas une phime intacte, comme le bois, lorsqu'il
pétiHe en édats.
^ ^ILi ^to commencer à se répandre, en parlant de la nuit.
L AJUÂto animal qui a le front blanc; brave; qui est au premier rang;
appareil qu'on attache au front du cheval au jour du combat. —
B. 199. <iy»»AUtf UjU (y^i aajS»^ j^ un homme monté sur un cheval
au front blanc arriva à moi. — A. G. 1 o3. io\ лл AJ» \jлj^ jyJV
J^^ji (s^y^t^ ils lui donnèrent, pour prix de la bonne nouvelle,
un cheval noir, au front blanc. — gl y ^\ AJLâti écuyer mongol
chargé des chevaux au front blanc.
]fi i^yàiê^ écuelle de bois.
^ /J) fiAto gratter. — cHï^'^ U^^ ^ gratter le cou, c'est-à-dire rougir.
U P 3*^ sec, fruit sec; amas d'eau stagnante provenant de la pluie, qu'on
appelle aussi ym ^Ь. — B. З97. ^►-йjJТдХ» S^S у^ [j^jjjИ.^ ^
je pris un ou deux morceaux de viai)de desséchée.
La force du peuple de Balkh Г abandonna ; tous le$r melons se séchèrent de
regret.
Dans le Khoraçân et à Samarkand, on a l'habitude de conserver
les melons au sec; quand on veut les manger, il suffit de les trem-
per dans l'eau pour leur rendre toute la saveur des fruits frais.
^^Ic^ld 407
\i\i qui sort du chemin.
^ic^tobi oiseau très-bruyant.
/^^tob* chanter, en parlant d'une poule qui pond.
é\ôJi\9 queue de mouton rôtie, imprégnée de graisse; mets très-recher-
ché chez les Mongols.
/â^ J)b pousser des cris; cracher en toussant, expectorer.
Jf^jyy retentissement des cris, de la plainte.
jLuJibf, jL^b bois sec.
Si les Qs de mon corps s'enflamment par la douleur de l'absence, il ny a li
rien de bien surprenant; car la hache est tranchante et le bois très-sec.
^^^LâJilï être sec, desséché.
l«ksJito étincelle.
I#3to hermine.
«гЦЬ* poisson desséché.
/&4b battre, frapper une chose contre une autre.
y&JObi action de battre, de piler.
/^^"^LâNOto détester, maudire.
coléreux, vicieux.
/44NÎ>to se mettre en colère.
^lè^ bi mot de ralliement dont se servent les (^mûJ^U en temps de guerre;
rouge clair-foncé; herbe longue à larges feuilles.
Il était vêtu de soie couleur de rose et de satin d un rouge clair-fonce ; car son
sang coulait de tous côtés.
/f^y\i entasser, accumuler; retarder.
^-♦^ <^4)^*^^^ *^^ иЛ' ^Ь iS^^
Hëlasl pourquoi le ciel a-t-il entassé mes os, comme du bois, pour servir
d'aliment h ce feu nouveau qui briUe sans cesse dans la demeure de mon corps?
bU-jjy^ô à ^ал^^*^ {ji'^^tj^ ^ji^j^ ^^^
Tai dit i mon cœur : Mon cher, d où te viennent ces flèches qui te percent de
tous c6tés? — C'est, m'a-t-il répondu, du bois que je suis en train d'entasser
pour entretenir le feu de l'amour.
^UJIa coiffure de feutre, coiffure de forme triangulaire, boucle de cheveux.
Sache qu'H est roi celui qui,. ayant un Ьа1р«щ sur la tète, donne généreuse-
ment tout ce que le monde lui rapporte.
JУ^^JУ^^ crible.
^IcUJb tout ce qui est faux, falsifié, tromperie.
Ь 3^"^ cuir de la selle, la selle elle-même. '.) r*^*^> г «м^ 0 v 1еЛСх^*
J
)r) ^UjUIï qui débauche sa propre femme.
fAA)JiJ\i trembler, chanceler.
U i^J^^^ enlever, ôter; perdre.
\^ (jUuK bouclier.
fJ^JSJU\i^ 0хьЛ)\$ se lever. — (>>«>aaJIj», (>«ч^1)» faire lever.
^^^4йнуЬ, /^-çJb, /$Ib rester en arrière.
jSsxJto reproche, réprimande.
à^lï rectitude.
I
I
j
Jÿ 409
jyb nombreux, beaucoup; gros, épais; présent que le fiancé envoie dans
la maison de la fiancée.
(jjчJЬ lilrfô o^l АдД^ b^^^l ^^jl
Tous sont haletante comme des dûeos enragés; mais ils sont plus nombreux
que les poils du chien.
j^ jj^ C:^^^ ces trois fils de prophète et tous ceux qui leur appar-
tenaient s'étendirent dans les pays sus nommés et y devinrent nom-
breux. — ^(2^lî» fiancée, fiançailles; action d'envoyer des présents
dans la maison de la fiancée. — B. 99. idiJL^t^^HH» «>^-^l ^^^UaLi»
M^xJ) j'épousai une fille du sultan-Ahmed-Mirza, nommée Aichah-
sultan-begum , qu'on m'avait fiancée. — A. G. 35. ^^-hh^cj^-JI^ JУ
iS^jf} «t'^ftA^i^W^I celui-ci, s'étant choisi une fiancée, était parti.
JЧ médecin expérimenté, sorcier; bosse de chameau.
J^ /ЛшСjХJа s'émousser, en pariant des dents, de l'œil.
/4^^ub entourer, cerner, assiéger.
/^"^Lolï traiter un malade; ensorceler, charmer.
^j^йьл.>Лк^Ь action de traiter un malade, de charmer.
v3^b\^b tout, tous.
D ordonna que les sultans du royaume avec tous, les cavaliers et les gouver-
neurs de province. . .
Jf (j«Kjy«to roseau. — fj4^(j4^^ endroit abondant en roseaux.
J; (jK sang. — u^*î^^ à^ jlein de sang. — Jl-jЬ qui est en inimitié. —
A. G. 1 39. jyiyi Juib ^JЫJ^ 45у^**з' JUuû^jU. 4^Uebl ils sont en
410 ^J^з^
rapports hostiles avec les enfants d'Akatai-Khan. — ^Д*^ àe cou-
leur de sang, sanglant, sanguinaire, meurtrier, vengeur du sang. —
comme*un de ses fils avait tué un homme, il le remit entre les mains
de ceux qui demandaient vengeance du sang versé.
/oi^^Libto pousser, en parlant des plumes.
^ (3^ ^^^^ ensanglanté; saigner.
^ Ad^^b* courroie à l'avant et à l'arrière de la selle pour attacher les ba-
gages; fouet de cuir non tressé,
ï chienne.
I^lï où? — (^Job d'où? — Jà ArfOob jusqu'où?
Juîjb espèce de cotte de mailles fabriquée dans le pays des Francs.
^Ь chariot. — A. G. 12. J^ö^ш^уЛ ii^T^jjfe Ai*jl;t ils (les Tartares)
appelèrent les chariots ^^ib.
^j^Ubliî traîneau ayant un rebord par devant et par derrière.
(Jk^bi, (^Jbb espèce de chariot.
!? cj^b, (j^^ lequel des deux.
^U#>x3to en face, à l'opposite; naseaux des chevaux.
/^b* se désaltérer; bouillonner. — B. liuL JtJ^^AiubA. Juui^^ jy
jмЦа^ ч^чц»!^ Геаи ne sort pas en bouillonnant, comme dans les
fontaines de nos pays.
^ /3^b qui a l'habitude de s'enivrer; petit lait aigre.
/S i il i S\i s'enivrer.
tî ^b amadou.
v3|^b intérieur creux d'un vieil arbre. — э^^^ ö'з'* peuplier.
CJS^b, ^jj^Ь hôte, convive.
Vois aa génërositë, puisque, dans celte situation, il dépense pour faire hon-
neur à ses hôtes ce qui aurait fait la fortune de quelqu'un.
J^um^Iï poursuite, poursuivant.
/^^1лм^Ь\ ^Щ/\Jее^ ceindre la ceinture.
^jX^to poursuite, celui qui poursuit. — ^^^l* *-^з^-* 4^41 1;у jЯ l*xjT
^J^3^lç b^jjXçîjyUlç с-^еЛ^еJ^^Ь ^<4^^ tOsiT n'ayant pas
pu y rester, il s'enfuit à Merv. Là encore, des coureurs étant venus
à sa suite, il se cacha seul dans un moulin. — ^^^yà^b celui qui
poursuit; corps de troupes chargé de poursuivre l'ennemi. — «l^
t^^jy^y A^êH^»U:^L u-u^aS^ Ai^j^I^X* ^^S i^J^JM is¥^3^ *Ъ^4Г^
Behrâm, ayant envoyé un parti de coureurs contre Parviz, s'en afla
de sa personne à Madaïn où il siégea pour y exercer l'autorité sou-
veraine. — B. 34o. v^J!* â<)^' u'*^'* <5*^Л^• ^^ troupe chargée
de poursuivre ayant donné la chasse aux fuyards.
Xtyi seau à puiser de l'eau.
^ ty^jyii (З^^J* poursuivre, chasser. — B. i o5. ^^^^ àiS^t^f^ "^jз^
chassant les gens des Euzbegs. — cp-^b 0-й«>^-м«1j1 д^ ^\^ J^'
^^:,j^K^ii^ gU« s^yà^ Jy fSj^^j^A^ илй> ^^^з^j^^у il
s'enfuit loin de ces gens impurs; quant à eux, ils se mirent à le
poursuivre; il est connu que le saint entra dans la fente d'un arbre.
Quel est donc le gibier auquel tu donnes la chasse? n'esta» pas loiseleur qui
le lance, en battant la timbale, et qui le poivsuit?
(>^&^ :^j3 4^1 (^У^з ку^^у^ jЬ^^Ь ^^4>^
0 peines de lainour, poursuivez dans sa rue les sens et Tintelligeuce ; faites
de rinfortuiié Nevaï Tobjet unique de votre fureur !
412 ^^JЗ^
C^HHi J^ЗЬ Jз J^^ {^^^^ »0^^ '^«î-^
Les chiens trouvent un asile dans la rue; moi, on me chasse sans pitië; hëias !
une même habitation réunit là tous les amis; mais pour moi il nen est pas I
Зj^у^ Tenfant de rarrière-petit-fils.
Jp ^^yi grains de froment ou pois chiches rôtis et réduits ca farine.
iS^^yi médisant, délateur.
j^yi dépourvu de sens, de fond.
y% *J^^^^J^J^ poupées qui servent de jouet aux enfants; figures que les
• montreurs d'ombres chinoises font paraître derrière Ь rideau. —
^Ц^дз^Ь celui qui montre les ombres chinoises.
З^^J^у^ viande rôtie dans la graisse. — B. аДб. (j^^^j^з^ isf^''-^з öд>'
^^ù^j^dbV^' -cu5"a^j^3 des provisions de bouche, d'excellente
viande rôtie dans la graisse et tout ce qui était prêt.
^j-^д^Ь plume d'oiseau nouvellement poussée; tuyau de la plume dans
lequel on met le pinceau.
L'un se fait un léger pinceau des filaments délicats des feuilles; Tautre trouve
un vêtement dans ces feuilles verdoyantes.
i^j^yi laine fine; or afTmé.
L 'yy^j^yi viande boucanée; fricassée; blé ou autre grain torréfié.
Au milieu de Taire le faisan et le francolin recueillent sur le sol échanifé les
grains grillés comme dans une poêle.
\p (Л^J^у^ griller, rôtir; fricasser.
Jf ^^J^yi viande rôtie ou fricassée.
ilï 413
^jуу^ч j^у^ écorce qui se sépare de la graine du millet au moment
où on le bat.
U^JL)'^ ceinture, châle.
Л (Ц^^у^ se joindre, tenir Tun à l'autre.
\b ^УУ^ vessie; espèce de coiffure.
/ ^jjдjВ melon.
(^b lequel? neige accompagnée de pluie; en mongol : fort, solide; sort.
— \à^\» où? — уы i^ lequel d'entre eux? — {^^t^ d*où?
* <^*>s?l p^^ u^^ |д>У сЯ^ А^ cpj**^
Le roi sortit quand il iîit installé solidement sur Rakhch; il comprit d*où lui
était venu Tordre qu'il avait reçu.
isj^^ <^b vers quelque côté que.
De quelque côté, qu'il tournât ses yeux étincelants comme le feu, il soulevait
un tumulte pareil à celui du jugement dernier.
j^ \j\i rocher, montagne escarpée. — ^1»^ pays montagneux.
^ jЬЬЬ parents, race. — B. i33. ^3^ fC^ljb ^j^yS dlJUJuytj^ylfc* les
khans sont mes parents de naissance. — Voyez ^j^Lb öлдз'-
^Lb torrent impétueux qui descend des montagnes; pour ^j^t (^b de quel
côté. — jlrfb auquel de ses côtés?
/o^ujIj se retirer d'un côté; aller h l'extrémité.
Ujto de nouveau , au contraire.
л\j\з tapis de haute laine.
^ /o4Njb revenir, retourner.
Sa venue m'avait rendu Tâme, son départ m'a donné la mort; on dirait que
pour s'en retounier il a posé son pied sur ma tète.
Hlà
*Til-îi
En allant, c*ëtait une perle digne d'orner un diadème; mais, au retour, il était
comme la mer qui soulève ses vagues.
Pour Dieu ! quand il fait retourner mon cœur, prends bien garde qu*il ne se
détourne de nouveau; protëge-le contre sa propre faiblesse.
i>4,Wt5 faire tourner. — ^U^ liW^jjU^Urfb aK^ t^y^Uj âjill^
et la difficulté de les faire retourner de leur propre consentement.
ô toi, qui me dis sans cesse : Laisse-là les autres, porte à ta bouche la coupe
de la réunion; si Nevaî n'est pas admis dans cette intimité, je l'emmènerai de
nouveau.
Si mon cœur, sous ta direction, ne se dirige pas vers la plaine du néant,
en l'aiguiUonnant de tous les côtés, fais-le retourner dans la bonne voie.
^)4>ob comment? de quelle manière.
v3Ϋ!b pierre à aiguiser.
/djcitjjto, tf^rfM témoigner de la bonté, de l'amitié; faire,
^^^^b, *«Jto talon, partie de derrière.
9B*^jj>to compatissant, qui partage la peine.
/oji%ijj\i rester sur les talons.
/^^jj\i tourner sur ses talons, se courber en arrière.
. - &^. .<
»» И^И^ Ч
Sans doute qu'une âme se tord en poussant des soupirs, toutes les fois qu'il
se renverse en arrière, en décochant une flèche.
v5jj^^<>JLiî)b poli, lustré.
Toutes leurs cuirasses étaient polies; leurs lances, dans leurs mains, étaient
comme des piquets de tente.
/4-^vjuto se ramasser d'un côté; se mettre au bord;
Jf ^LÂÂJito omelette.
kyii peine, chagrin. — öУу^^ triste, soucieux.
Si il se trouve dans la mer un poisson démesurément grand , U se soucie peu
des attaques du crocodile.
iy^}y^}i ^tre soucieux, chagrin; avoir compassion.
jUblï calotte.
J9 v3W'^ crème qui se forme sur le lait.
L ^j^to qui tient la place de, au lieu de; le frère de la femme. — liJ (j^b
le frère aîné de la femme. — bl ^j^b la mère de la femme. — i^eA^^b
action de déléguer quelqu'un pour vous remplacer.
/^jlLuUj{K qui bouillonne.
J^ v3^^ griffes des oiseaux de proie ; fermentation qui a lieu dans la ma-
trice et la bouche des femmes nouvellement accouchées.
expier, supporter en expiation.
416
т т
Oiseau de mon âme, tu désires avec paseion arriver au parterre de Tintimité
sans doute tu as expie dans les filets de nombreux délits I
J^ /o^Lob bouillir.
^jlJbb* endroit d'où l'eau s'échappe en bouillonnant, tourbillon,
llï lequel ? .
оJ^з •^^ ^^3^1 }^^\ j
Qui s'est rendu coupable d'injustice? Qui a pratiqué la justice? Dans quelle
voie chacun a-t-il guidé les autres?
J^ /ojub, Зj^М recourbé; petite barque.
L (ji*«AJto courroie.
./o-Ç^B plier, courber, tourner sur ses talons..
Лд^ил espèce de cojffure en forme de fichu pour le froid.
JUaj) bord de l'arrière de la selle. — K 187. с^Ц^ bjlx^ JgUjc:»! ^ш
44j*Х-г1 l'eau atteignait le bord de l'arrière de la selle. — Id. 901.
^^j^l bJLûxi JUhhv:»' ow-i«i; jb t^;liUb ^Jц:>^yi en dehors de la
route, la neige s'élevait jusqu'au bord de l'arrière de la sellée.
J^l^fwi nom d'une tribu euzbegcre; plaine située au nord de la mer Cas-
pienne; arbre dont l'intérieur est creux. — A. G. i3. Sj^ (•*-г*>^
j^^«>чиЬ' fi^ à^^ autrefois, dans la langue turke, on se servait
du mot kaptchak pour désigner un arbre dont l'intérieur était creux;
aujourd'hui on dit tchaptchak, par suite dé la mauvaise prononciation
du peuple, qui articule un kaf comme un djim.
у1л5 quand?
tribut fixé officiellement.
\ji Ml
^1«^ faible; paresseux; vain.
indicateur, guide.
Ax>i, ^У^ promptitude, célérité. — B. 82. (i^j ^y^^sTiiU^os?^^
с^*>^-Ц;Ь^j^Jал^^ j5l^^^!y A^ (j^Jчj )^j:^yà^^^^ des commis-
saires et. des inspecteurs furent envoyés en toute hâte aux troupes de
mes Etats, tant à la cavalerie qu àTinfanterie. — Id. 1 Ag. A^*Xi^
и^чД^лК^ étant venu avec zèle et promptitude. — Idn A/lg.
(^j^усjЦ. j5I(^uu^Aju ayant lancé des hommes en toute hâte.
)jJ^ hommes errants, qui n'ont pas de demeure fixe, bohémiens. —
B. 2i3. âciJU.HbSV^Î^j^ ^^(OaTocwI; yU.l5 Ai^j^eU^L
^^W^ *ib^ *^ i^j3^ comment les affaires pourront-elles s'arran-
ger dans un gouvernement oii le souverain associera à son pouvoir
des hommes qui n'ont pas de demeure fixe ?
^VJ> espèce de maladie des chevaux.
fjjjA:>^]jji sincérité. — A. G. i5o. J^\ àà-it^^h^ д&и^^^у^^^з^
J^5д^,5^^-^«х-А^й>,» ^ nous vînoes, de la part de deux personnes,
de la bienveillance et de la sincérité. — Peut-être vaut-il mieux lire
:)ji homme sincère, véridique; titre de dignité, comme beg ou ernir. —
A. G. io3. c^Ur^ (^лjс- j^vS^jjy^ jy SLisJ s^jJ liXÂXxJ doj^l
^^Uy сЗ^ \<t^&K^^ ^^^1счЛ (s^^i^^ èt)^ dans la langue
des Euzbegs, l'expression karadji s'applique à celui qui, sans accep-
tion de personne, dit le bien et le mal et tout ce qui s'est passé, mot
à mot, ce qui est venu et ce qui s'en est allé.
%i-5 sac, besace.
Bï J> épervier, oiseau de proie.
i^^^Li voleur de grand chemin.
Tu es si habile à trouver des prétextes pour piller la fortune des cœurs que
les voleurs se voilent le visage quand ils voient une caravane.
DicT. TURK. 27
418
{^} (jrf^<5*> cr*Ь*У^--^ (^>(^^^у grâce à sa justice, le voya-
geur n'a rien à craindre des rôdeurs de grands chemins.
t\j3 sécheresse et dieette qui en est la suite; bras. Gonf. ^t;!».
Lui liant fortement derrière le dos les bras et iee mains, le traîner en toute
hâte à la potence.
espèce d'épouvantail noir qu'on place dans les champs pour
éloigner les animaux.
Ы cl^A^I^ tirant sur le noir.
]Ji fruit semblable à la prune; ivraie; tumeur noire.
jAiiJi obscur.
<J^ХаJ1а|j|J> articulation du coude et du genou.
f^y. Voyez ^5«^ et (:j^*?,U.
^ЧА* ^У^j^ cancer.
JbJ> aigle noir.
, ^1>>J> espèce de petit oiseau de couleur jaune; en arabe ie\yLs^,
en persan «Xj^ hoche-queue. Gonf. ^j^-
la gale.
(£0tj^ m. cimetière; palais du khan. Gonf. v>v^^iA>*
^ ^jy^iyi plomb. Gonf. le mongol jлг |^пилп\).
8^3Jî oiseau semblable à la grue. On en met les plumes sur la tête» au
jour du combat, en signe de bravoure. — B. 175. ШjЛjJ^у ^^jy-^
jyi^ Jч^лjз (:jу)15j^Цу (^^\ les grues, les karkara, les grands
oiseaux sont abondants et innombrables. — Id. soA. l5;^«x^ bU».t
A^b^l вjJj^ 4>^j-^ {j^j^ o^. (^l? vt â;^-^^ ^ ^ ^^4?^
iS^^ jyjf A-^Lc «^.v^h^^Um parfois, les jours de fête, il mettait un
turban à trois plis, lâche et à peine ajusté; il y fixait une plume de
karkara et allait à la prière. — Sorte de coiffure pour les femmes.
^и i19
•• ••
espèce d'arbuste. — B. 176. Jf^t j^J^ j>V3(^ ^шА^т,* ил^т.$ 4XJLâ^
jз^ ^ аЛ' *^^^J^' аУ рЬе j1ÿГ|й1нД jjу^ le karkand pousse
en buissons d'épines très-bas; soit vert^ soit sec, il brûle également
bien. C'est Tunique bois dont se servent les habitants de Gazna.
jUâiji bête féroce. — A. G. 4o. jii'jyU^- Jl^IpI с»jу (^cs^*^ Ju^^U»**
^\<4: iu»^ 1^3! (g^«30ûl A:açar désigne (en mongol) un quadrupède
qui ne se nourrit que de chair.
J^АjjшЛ tourbillon. •
^vJLMji cercle. — ^^LUa fabricant de cercles.
bouffon. — d XMï joli, net.
impôt régulier; contribution en bétail.
espèce de suc ou de moût épais.
j
anse, manche.
«
/A^JiSi barbe qui se trouve sur les épis de blé et autres plantes.
«
jyXiS chauffé, chaud. — B. З89. joy^ (:yi^ |^ J(^V^>^ ^^^^^
j^jyi 4^^ {^,^ir^ A^j^^ '"^' ^^ ^ ^^^^ entièrement en pierres
une des salles du bain où se trouve le réservoir d'eau chaude (chauffé,
chaud). Conf. le mongol ^-iJl feu. .
^IsJi facétieux. — A. G. 66. j^J^ ^Цÿ a>^ !>^ cs^'d'** *а1ич^зЦ^
kaldjav veut dire, en mongol, celui qui fait des plaisanteries.
Jf ^vJUÏ plante appelée, en arabe, ^^I^L.
^1Аз qui parle en vain.
^l^i> espèce d'arme , espèce de cuirasse faite de feuilles d'acier poli su-
perposées les unes sur les autres.
(J^AjSs a. friture, frit. — B. З69. j^l,^:^!;^-^^^ ^Т ^t^ ç^ôJ\
j^^^yi (^лул on en fait une espèce de friture qui est d'un bon goût.
I ^U a. étoffe. Conf. jùU. — A. G. 56. v^^^ à^^z^J^j^ '^» J>*
ayant chargé des étoffes qui sont en usage chez les Mongols.
37.
•• I ••
420 О^
tUt nez. — A. G. 3â. ^Uifw {j^jye (S*'(S'*^ ^^I^âaj^U kamar veut dire, en
mongol , nez. Conf . ^^J^9JA).
.^ \,jФ^ fouet.
Лх^ 4 lieu de chasse.
3m4 espèce de chardon.
AÂ4 aiguière.
Jf oui aile des oiseaux; bord inférieur d'une tente. — ^ On appelle (^«.^-U?
c;»Ui %^ celui qui est chargé de veiller aux armes du roi.
m. écuyer dégustateur. — A. G. 45. j-j^ c»Us»Ui (^^^yi JyU
les Mongols appellent kandjat l'écuyer dégustateur.
^j^ courroie à Tavant et à l'arrière de la selle. Conf. A^y^b. —
A. G. i3a. Л Л,» jд^^ tiLH^-Usi ^ÿ^^лj^ a^a^^^vj» ^^I ^^-^ç^i
^5^U^ il en attacha deux aux deux courroies de la selle et une à la
queue du cheval.
^lc4>4Â3 espèce de cerf d'une très-grande taille.
jj^<>чА5 qui a une démarche élégante.
5 grand étrier.
t jJ> cygne.
c5^ Л^' C?^ l>^ chasser, pousser, poursuivre. — B. i66. {^акj\
jyoà^^ on le chassa de là. — A. G. 1 3o. <-o;l# (iyt^ ylkLy jôoI
^d^lj^ jи^^ЛУМ^' Ich-sultan s'étant rendu à Kalouk, en chassa
Oïgour-Naiman. — B. 498. ^.:>^уЛ лау.»jj^5" ллj ^j^ 1^^ ^j,j^\ (^^
moi-même, je poursuivis jusqu'à la distance de plusieurs milles. — ^
A. G. 4a. j^^jyi^^ A-ûill^ jЛй^ *^V^ AAjTils ne cessèrent de
se frapper, de faire des courses les uns contre les autres, et de se
pousser leurs chevaux (pour se les enlever).
1^ excroissance de chair, corpulent. — <]iU^ L»^ cotte de mailles pour le
combat.
L^ vase à boire, auge.
vjUajI^ salle à manger élevée.
^ ^^ 421
^ (4^Цу^ enlever, élever.
Si tu ne fixes pas ton séjour dans les yeux de Lutfî il ne faut pas s'en étonner ;
s'élever à une pareille hauteur par dessus le Djeïhoun n'est pas facile.
Amis, je donnerais mon âme pour son sourcil; quand vous construisez un
monument funèbre il faut en élever la voûte.
JL^ difforme, grossier, lourd.
L)k^ grand, vigoureux, fort.
flatter malicieusement.
Liuy), АjЦ^ seau à tirer de l'eau; signe du zodiaque.
^L^ oy^ вjЬ Akft^ ym J^l
Le Verseau renferme en lui l'eau de la vie; avec cette eau l'âme du poisson est
toujours ravivée.
<^.^w-aJLm Ajbyi а^аЦ^ Чу^ÿ [^^ j-ы b(^L вЦ. J^l une caravane
ayant campé au bord de ce puits, on y descendit un seau.
уШ i^-çiy^ se lever, s'élever.
dLLâ ос^лJ (jjш^ аКч»! Jо^Лз
Cette gentille poupée, se levant avec précipitation, cria : Vitel au jaixlin!
L'infortuné Nevaï retrouverait la vie et se relèverait, si tu poussais ta monture
sur la terre qui le recouvre.
Л22 i^J^y
Jff jyij^ YS№e , soucoupe , étui. — у^У^JУ^У petite botte.
sorte de guitare en forme de poire et à une corde.
chou.
hILmaijJ) sorte d'herbe aromatique.
Oy» bonheur, félicité en mongol; âme en turk. — A. G. s 6. ^U
^:^t i»^ ^^à<i^ yl^ е^jз^ I JOu^jU) dans le temps de Djenguiz-
khan, il y avait un homme puissant, appelé Baverdjik. — A. G. s 5.
j^j4L> ^у^ J X fc ^jЗ à (jW* les Turks appellent Tâme but. —
6^y» béni, fortuné.
шЬ^ bœuf marin dont la queue se suspend comme ornement au cou
des chevaux et à la tête des drapeaux; suivant d'autres, c'est un ani-
mal qui se trouve dans les montagnes qui sont entre la Chine et
rinde.. — B. 4o. j^Li^L^ ^j-Ьу *jui,y ^^y\ t:»;5ljb J^î dans ces
montagnes, au lieu de bœuf ordinaire, on élève des koutas, — C'est
une espèce particulière de bœuf, à la queue large et touffue.
i^bji ornement, parure; plumet; queue.
*
/olbyi se vanter, hâbler.
t^^j^ se réjouir, être heureux.
^Ib, ^Ь^ parc à moutons; halo; chardonneret; pélican. — B. 17 5.
^ ^y jfty g^^j^^y (îjbib д»ч« V^^ (^ âul^A.V^^ A'
JЗ^ Лг^ on prend avec des lacs beaucoup de hérons, de karkara et
des pélicans; ce dernier oiseau, toutefois, ne se prend pas souvent.
/fA^ihji s'entourer d'un halo.
«M
La lune, dans son impuissance, s'élant entourée d'un halo, a vu s élever au-
tour d'elle un rempart de ténèbres; elle a abandonné sans contestation i ta
beauté toute Tétendue de ce monde.
(^j^ji délivrer. — A. G. 1З9. ^^lФJ\JLs^ а<>^н^>^ (j^*к^иЦ>j
^^луJиJ^! <^А^^1ÿ n'ayant pas délivré un seul des kizilbach, il les
fit fous mourir.
jU^ 423
être sauvé, délivré.
On ne peut se refuser à brûler au feu de Гашоиг; une fois échappée à son
ardeur, Tâme n'a р/ю d'automne à espérer.
tyiy^ rester, demeurer.
^ jy ^y ^ rugueux; animal attaqué de la gale; chien faible et malade. —
B. З7Э. j|y(b j^y (S^yi sa peau est rugueuse et inégale.
p. ••
4
Elle courait de tous cAtés en poussant des soupirs, lorsque soudain elle aperçiil
un chien faible et msdade.
jy^yi jyî^ ^^^ ui^b inégal, raboteux.
A^ /ö^^«5jЗ, (Щ^jу{^ devenir fou, enragé,
chien enragé,
hôte.
U (Щ\у^у^ être délivré, sauvé; fini; être heureux.
0 mon âme, jusques à quand les tourments du cœur te feront-ils souffrir les
«
angoisses de la mort? Par pitié délivre-moi de ce supplice et sanve-toi toi-même.
\^ ^У bélier.
/o^^LmIj>»^ se serrer dans les bras l'un de l'autre.
^ 3^^^ embrassement , étreinte; sein; brassée.
^j/ljy^ milan; masque.
^uL>»^ bélier de montagne ou autre. — es ^У ^ p^^^i aaX^ Jsa^UwI
424 Ö^^У
^«хЛдJ^ {j^j^ j) p^^t Dieu ayant ordonné à Gabriel d'amener un
bélier en place d'Ismaêl , ce fut ce bélier qu'Abraham offrit en sacrifice.
aJj\ :>jS' 0^^\ jj.^, кАjуЗ
II
»
I
I
. t
Par Teffet de sa splendeur l'agneau fut doué de la vigueur du bélier, la fierté
du lion fut donnée au taureau.
L 0 ty^j^ embrasser. — fj^yry^ s'embrasser.
Le roi le combla d'honneurs et le rendit fier en le serrant dans ses bras.
p Aâto^ homme âgé; castrat. — (^^^ч^. ^'^y* fi'uit de l'arbousier,
espèce de litière,
dame. — A. G. /i3. (j^^ Jy^ ^з^ ^(S'*^j3jy^ J^ i^Ua^
jy-i^ 4)1^ c'est un mot qui appartient à la langue du Khataï : il
correspond au mongol khatoun, au bânou des Tadjik, au baî-bedjeh
des Euzbegs, c'est-à-dire celle qui possède des tentes, des troupeaux.
^ jiyijjÀ^jji odeur.
)ôyj^ tribu qui donne une de ses filles en mariage ou qui en demande
une à une autre tribu.' — (j\^\^y» alliance par le mariage.
J^l«>ji conduit, mené? — A. G. 1 13. ^З^Ь^^а-^5^ ^)^^ i^T^jl^l
j3«XjW;jI fjMjo (^^(^Л^^аЪJ if^\j\ un chariot bien conduit, sans
charge, auquel sont attachés des chevaux vigoureux, ne reste pas en
arrière des cavaliers. Conf. ^\3 ' t^« ^>сц> conduire , mener.
JfUM^t)^ turban.
(Jb^àyi derviche, mendiant.
•^ v3j«>j^ puits; petit de l'âne, de l'onagre. — Lm^y^ ji^l аjч^1? y^y
U*.U|^ хллу^уе si le licou convient à la têle de l'onagre, il ne re-
garde pas le petit do l'onagre.
* " • Л25
Зj^З^^J^ homme injuste.
/û^^«>^ agir injustement.
^Ц^ ùjji enrage , à la cervelle desséchée.
jji ceinture; arme; garJe, défense; espèce de rebord de bois qui règne
le long d'un mur; charbon ardent; cercle de gens qui sont en fête;
semblable, pareil; ornement de forme arrondie d'or ou d'argent qu'on
met sur un couvercle; piège.
^^АЛА^! Juv ^ Ak^ oàl^Jà дJбо
Autour des reins il avait attache sa ceinture à fils d*or, ou plutôt il s'était
contenté pour toute ceinture de la finesse élégante de sa taille.
^J^^к^ к^\:>j^ ^^jуЛ i^ Ч^-А-^к
Passant comme des voyageurs d'un pays à un autre, serrant bravement autour
des reins ta ceioture d'une ardeur inépuisable.
S^jyi prévôt d'armes. — ^^J^j^ charge de prévôt d'armes.
B. 199. (^«>ч1 i«^) (S:*^^ '^^J^jÿ la dignité de prévôt d'armes
lui appartenait. — (s^jy^ qui porte les armes, l'épée; grand veneur.
3]xf^ sécheresse.
<Jjy^ armes.
/ö-^)^jЗ tendre un piège.
^jj^ coupure, déchirure des bords d'un cours d'eau.
^ Axbj^ grenouille.
U-JJ^ espace entre le milieu d'un arc et une de ses extrémités.
J^ ^jj^ ver; loup. — tsj^^ ^JУ espèce de plante aux propriétés médici-
nales. — j^^ *^jy^ sorte de plante, en persan {jfr^S^.
^ (J^j^jÿ délivrer.
Зд^ vieille femme.
Л26 j1е;У
р (^J^JJ^ être délivré.
^УJУ ver.
jUb^yi buste; trop grand. — A. G. 8. yW^I isj\ty^jia ^ii^ig&^j^
^«x^ V^ lorsque quelqu'un venait à perdre une personne aimée,
soit un fils, soit une fille, ou un frère atné on un frère cadet, il
imitait ses traits et faisait un buste qu'il plaçait dans sa tente.
/али^ьj^ devenir trop grand, trop mûr; se gratter jusqu'au sang.
Зу^^^Х^ longue pièce de feutre que les derviches entortillent autour de
leur bqnnet. — ^^:»^! jU^-ju^ (^yAjyi \jy\ ^jу9^,Л enroulait le
kourtchauk par-dessus le bonnet de feutre.
(ji)àj^ neveu.
^LmIiV^, ^\шш\öjУ^^ c&i\jSê\ùjji effervescence accompagnée de dé-
mangeaisons qui se font sentir dans les membres.
/4^^^kii3<>l^ devenir la proie d'un loup, en parlant d'une brebis.
^ ^ЬееjjЛ gésier, jabot, intestin.
{j\ЛjjJ^ ceinture.
/^^Lm^^ mettre une ceinture, entourer, enceindre une place.
/^1ê^ s'appuyer; s'abriter, se réfugier. — B. 355. \^j^jЧ1 ^5 *^ w >
f^4i^ (^aJ^T^u сдЬЦд^ dans certains endroits, il y a des fourrés
d'arbres épineux, où les habitants des districts se réfugient et vivent
en état de rébellion.
(3^y >L>^ ^*^ ^^^^ fortifia.
Ш^^Цд^ plomb.
Si, à on moment donné, le feu de sa colère ne se calmait pas, le ciel fondrait
tout entier conune un miroir de plomb.
JЦд^ point de jonction, de réunion des deux parties d'une chose.
^jу. 427
^^ ft г ois' j^<^-^3"нн> Oh ^ д^
Lorsque cette bande de chasseurs arriva au point de jonction , les homiues
s'installèrent soKdement sur la place.
итЛУ^ château fort; la partie d'une ville entourée d'une enceinte.
^jU;^Ip dLrfà^t (s^J^^^^ ^iUi
Quelle 'citadelle ! c'était une citaddie puissante et solide , éclipsant par sa
hauteur la forteresse du ciel , comme un château royal éclipse tout ce qui Tentoure.
ijjj^ poule qui ne pond pas; une couveuse.
f JJ^ craintif.
s^ (Щ^jУ^ craindre.
fyhj^'* к^У^J^J^ "^ jЪj^ crainte, frayeur. — c^;^! jлаХда^^ ^\
jЗ^ jу^ ô mon Dieu, si mon naturel est pervers, du moins mon
intention est droite! C'est pourquoi, si mes craintes sont grandes,
mes espérances sont encore cent fois plus grandes.
Celui qui vit dans le temple ce songe trouva en lui-même Tangoisse et la
crainte.
^уХj^улjул qui éprouve de la. crainte, qui inspire de la crainte,
crainte.
(^jу^jу^ effrayer, intimider.
\^\^jИ^jу^ espèce de petit moineau.
^Ui J> froment torréfié. — /*-jC ^cs ^ -^ wkw ъ^^^^У^ \^^\\ мз-^
^^^^ Ji бЦ>^ |;aa)^ ^T«XÂA*i» comme ils n'y trouvaient d'autres
vivres que du froment torréfié , ils nommèrent cette place Kmtttnadj.
(Tarikhi-herat, f"i76 г^.)
JjЦд^ grenouille.
J^ sjy^^^^jji endroit du carquois oii Ton pose les flèches; celui qui, en par-
tant, va côte à côte avec le cheval en marche et prend ensuite une
autre direction; femme qui sert d'entremetteuse; celui qui prostitue
sa propre femme.
(Ц-^jу^ orner; poser; priser, estimer; enclore; défendre. — B. i Sg. j^L
jЬ^JУ^ ^ jvilJ^I^I ^ ^y>,^\j^yi Ljj^^^.i,Aj^ l'été, à cause de la
grande quantité de moustiques, on estime moins cette prairie.
ijji écuelle de bois.
action d'orner une chose, de monter, de préparer un instru-
ment ou un engin quelconque.
J CJjjjJ^ petit lait coagulé; sorte de fromage dur.
t^JlJiy^ rendre d'un accès difficile; bien gardé. — а^зjу^ se garder,
se défendre.
L v3 F^jy^ sec , bâtoiî , morceau de bois sec ; verj us ; défense ; haie , mur ; pro-
visions; pâturage réservé pour les chevaux des sultans. — J3I ^^^^l*
iS^yiS c^uijp^JS с^Jал ^^j^jL jivSbien que ce fût un personnage
pratiquant le renoncement le plus absolu. — jb ^ьj^ viU^jô^jj^à
jз^ oL^>^ iù-^-^à^y^ ii}^^^ dLjuûelâ ^^ le pain sec du derviche
vaut mieux que la table criminelle du roi dévoré d'ambition. — A.
G. iâ&. (^«vJ) \bvy^ ^ ^ "^^^ * U P^*^^ ^^^^ sa main un bâton. —
o^iuy sécheresse, dessèchement, endroit sec.
Khizr était son guide dans les endroits secs; Élie lui servait de compagnon au
mflieu de la mer.
^ДлЬ ^3jy>i personnage isolé, retiré de tout. — - ^^U» ^злл>* ri-
vière desséchée.
/44g^yi craindre. — A. G. 107. cs^^^ дмЦ^ Чу^у^ o^«^^ ii n'osa
pas descendre de cheval et le prendre. — Id.x 10. (^ «xiUï^ji^ c
^Ity^^Ub nous n'osâmes pas paraître, tant nous avions peur.
^Ic)ji 429
^^ииjдуJ, {S^JiJJ^ grande assemblée délibérante chez les Mongols.
D -ЙЛ^ arrière-garde.
^Um^^j^ offrande.
• -. o
0 f *^^Al>^ ^^^^ offert.
i^4^i^j^ » (^■'^-ЙЛJ^ ^^ dessécher.
Ч^ЗJУ-^ ^--JLiJ 4^^;-^ jy-S^ v.>JflJ
La mer de la bienfaisance et de la gënërosité se tenant à pleins bords, com-
ment les bouches altérées resteraient-elles encore à sec?
{JЗJJ^ temps; époque. — uvy^^^^^^-
\t)j^ sec, desséché; mur sans consistance; chaumière de roseau; loge-
ment misérable.
é
Dans la maison, des nattes tenaient lieu de tapis; le verger et le jardin étaient
dévastés et tout secs.
bonnet tatar recouvert de poils.
^ 3y) noix; lieu oii le soleil ne luit pas.
3|j[У^ métier de tisserand.
yj/[)j-ï jument qui met bas.
hy) lieu qui ne reçoit pas les rayons du soleil.
^i^JJ^ ânon.
jj^jJlé^J), ^^Цм^ renversement; mélange; confusion, tumulte.
Un grand trouble s*empara de cette midtitude; tous semblaient des ^rés
errant loin de leur famille.
i3^^JJ^ mêler, confondre, agiter, exciter.
A3t)
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Oni h'jeàr
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ичшИн*^, inn-*'>» П* lirj««**ill.
mni^r*"
vnnir
nuiisia . iif»L Ш 4:aiim . jaun-. 7лр^ си ^киь пИ^и^ шшг if is?-
,jtji
Д31
mencer en labourant (en poussant devant soi la paire de bœufs). —
A. G. 59. u*.*».H âj3-^y^l \J^y prenant vos paires de bœufs. —
/(/. 1 Д6. <^уа^ (S^y (S-^*yiJ^ (^1 prenant pour compagnons ses
deux petits-fils. — li. 76. ^^«xjû^aâ^^ J^>^ chacun s*en alla
rejoindre sa troupe.
Si Nevaî boit parfois une coupe pour combattre son chagrin et que le faux
dëvol 8*en scandalise, alors bavez-en deux toutes pleines.
Lorsque Thôte eut bu une coupe, voyez queHe merveille! L'ëchanson en prit
deux.
Le papillon de mon cœur voltige autour de la flamme de ses joues; il nest
pas étonnant que le rossignol recherche Tëclat de la rose avec Tardeur du
papillon.
ifi^ ^у par paires.
dL» 4^jlJo àjL^ «:>^T ç^LâJ^ ^(^Jj^ijyJi
Depuis que tu as laissé pendre en arrière deux par deux les tresses de tes che-
veux qui distillent Tambre, je crains que ta taille délicate n'en soit gênée.
J^ (s^y^ fauconnier. — B. 18. ^s^\ (s^^ ^ ^^^^^ fauconnier. —
c^A^ ffij» beg de la chasse, grand veneur. — B. 9 1 9. (j^^мь^ (jUaX^M
(^«>s!' c^ ^y l^x^b \jj^ il était grand veneur auprès de sultan
Husseîn-Mirza. — Jus) ^^^ thlaspi, plante. — <^i)3^ d^^ ^ola-
num. — j'>?^ i>û5* chef de la fauconnerie. — J^ {J^y» graine du
432 jyjyiy
frêne; espèce de pâte taillée en forme de langue d'oiseau et cuite
dans le beurre et le sucre, qu'on ëtale sur les plats.
Ь^Ьму> concubine.
p ^J\JSéJJi ceinture.
олЗЬм^ trousseaux et effets que la fiancée apporte avec elle.
if^Luy> endroit de chasse aux oiseaux. — B. 5. ^^^^yj^ «^^^^ Ax^tj^sàs-
j^â i^ùJÊ^ jiigm^ on trouve à Khodjend d'excellents endroits pour la
chasse aux bétes et aux oiseaux.
/^^^^L^y) voyager avec deux chevaux^ dont on monte l'un en tenant
l'autre par la bride; chasser à la bête et à l'oiseau. — A. G. yS. v^^ '
^5^1 vjt;>^ V^^yb ^i marchait en chassant à la béte et à l'oiseau.
éyXjSéjji heure du déjeuner; nature de l'oiseau.
j^4i^ sorte d'engin, composé de trois pièces de bois garnies d'anneaux
de fer, dont les oiseleurs se servent.
/o^Càyi faire l'éloge d'un mort; donner pour compagnon de route; mélan-
ger; faire courir ensemble deux chevaux. — ^ \j муЛ , ^^.jêLâ^ se
joindre, être joint.
«fIâam^ devin.
espèce de composition poétique ou de chanson à boire qu'on
chante d'après les principes de Yorgouchtek, mêlé.
Ne comprenant pas, dans ses termes, l'espèce de poésie appelée iouiouk; que
dis-je le Umouk î pas même le kouckouk.
jз^ ^L^ «^ J^^iel dLûâ^^i fSj^:^ dy^y bL il y a encore le
kouejiouk, qui appartient au rhythme de Vorgouchtek. — B. 17. J3I
suivant la mode de ce temps-là, il disait parfaitement les chansons
à boire dans les festins. — (^у^ушуа uni, mêlé.
Зj^J^^ aisselle.
Jji ДЗЗ
(ЗГj^^^J^У^ qui fait joindre ensemble.
(ЗГ^jJ^j^^ qui est joint.
h ^JУ^J^ troupe, escadron.
Tels étaient ces hommes; ia force de chacun d*eux égalait celle d*une troupe de
combattants.
Ajm J> paire, couple; double; deux plis qui sont sur le front dés chevaux.
^py> étincelle.
XA%tyi séché au feu.
chasser, pousser.
cygne.
^J^:^Jyty!i poupée, marionnette.
(j&^*cy> gouttière, fossé d'écoulement; rez-de-chaussée.
L Jy> bras, main; sommet, monticule qui se trouve sur le flanc d'une mon-
tagne et la relie à la plaine; chemin; centre d'une armée; esclave.
. ••
Les deux rois eotrèrent dans la voie de Dieu et déposèrent entre ses mains tout
leur pouvoir.
Son repos et sa tranquillité s*en allèrent à tel point фю son libre arbitre s'é-
chappa de ses mains.
J-^ ^у^ ^^Яj! ^yiy^ (j^à^b
Se levant précipitamment, il descendit de la montagne, sur les flancs de la-
quelle ses larmes se déversaient en torrents.
DiCT. T1TRK. 9 8
43Л yiy
Cette penoime au teint de jasmin avait parcooru rapidement un espace de
dix Hfoij, sans penser aux pentes ni aox montagnes qni bordaient la plaine.
JP ч^j^ brasse'.
U 3 P^^ oreille: courroie de la selle. — *-C -^ \b^y^ 1^ gras de l'oreille.
— (s^^yi petits moucherons qui abondent Tété dans les plaines et
pénètrent dans les oreilles et le nez des hpmmes. — ^з^ f^y^ faire
un pacte ; promettre ; demander protection ; paraître , en parlant de
Гагс-en-ciel. — ^i^^ f^yi prêter l'oreille.
/o^'^kxjl^ se dessiner, paraître en fonne d'arr-en-riel.
C^3[y> \tj^ sorte de poisson.
>
/4^"^ j[j> réprimander, gourmander,
/Л-Л jfjj) demander. — (у^)а\лЭу action do demander.
Puisque le cœur du passionné Medjnoun^ mort a toute affection, est vivant
pour Ldia seule, à quoi bon, 6 Arabes, le demanda aux vivants.
^j[y> onagre; sangle d*un cheval. — B. 17 5. ^^^ ij^ çjl.-k^^ Jol^
jyiyj Jfi l'onagre se trouve dans la région du petit Kaboul et de Sur-
khâb. — Àj^y^ {j^y^ nom d'une plafite dont on se sert pour eni-
vrer le poisson dans la rivière de Bârân. — B. 177- !os>;^Jk^j^
iOb ...^J^uî ù^ ч-Ай *^M .^^АДл^ ^^\ ^)<i:> J^^yi t) V ^r
j^lf en automne, alors que la plante appelée queue d'onagre sl poussé
entièrement, a donné des fleurs et noué des graines.
^<шшJу^ odeur qui se dégage des aisselles; décomposition de la chair au
milieu des doigts.
* j^Уj^ aiguillon, dard.
Jjдjj1у> indicateur, guide; apparition du bout de l'épi hors de la gaine.
— (hb^3^^ indication.
{^УjЛ qui se trouve dans un lieu; facile, aisé; blessé; gâté, mauvais.
— (J^jз^ i^^^y (:yii^<s^y je suis dans un lieu, dans un endroit,
je suis plus vigoureux.
^ è\j<Jjji bracelet fait de petits coquillages qu'on enfile.
ТТ^JJ^J^ fente à la manche d'une tunique ou d'un kaftan.
J^ fyjJyJ^ aisselle.
^ldLy> brassard.
y^^ médisant; qui recueille des mots.
(jSi)dJijji compagnon, associé.
Ouvre les yeux et lève la tête, car c'est ton compagnon accablé de tristesse qui
est enfin veuu.
jju^Lm») a^^L> (jiilJ^J^ (S^J^ un bon ami est un repos pour
l'âme.
r'jÀ^^jJ^ qui aide, qui a pitié.
/A^ii>Jji prendre par la main, aider.
Soyez généreux! prenez-moi les deux mains; guidez-moi vers la région de
Téloquence.
(«яJ^ а)чц^ klixljj^jim^ ЬЛа^Ь /<vàL) ^^yJtyf^ si mon pied vient à
glisser dans cette route, prends-moi par la main pour m'aider.
^JLkJyi plaie dangereuse qui se déclare dans les membres de l'homme et
au pied du cheval ou du chameau.
vjf Зj^j^ serviteur; service, action de rendre service; force.
• a8.
436 (jUjji
jyj-f) (js^ ^-^^ p*>^ iSj^^j^^
C'est une coutume chez eux que de rendre hommage h la divinilë; s^l dit:
Je suis esclave de Dieu , c*est la vëritë.
jLm »;Ц. A>UU ^y ОчдГуУ^
Ensuite il marcha d*un pas rapide vers Tlndc, mettant en œuvre à la fois la
ruse et la force.
^^уJjуЛ qui est dans la servitude, gens de service. — B. 1 13.
4*4)'' ^jЬ^^ '^^' U^^^' С-^СГ^' <54'>Муз J^ les esclaves et
les gens de service allant dans leurs maisons et au bazar pour leurs
affaires.
servir.
(jb\ikji diseur de riens, bavard.
viUy> houblon,
/^ly> demander, demander excuse ; rechercher une fille en mariage.
(:Г^Н-^ (J^l^ СЙ-^ yfjy^ ^^-^a^bilo j<N-&
Quand bien même tu demanderais à Dieu le don de tous les rebelles de funi-
vers, il te raccorderait; car toutes les créatures de tous les Ages sont les parasites
de ta table.
4V^ fcjwb'»^' ОИ>-»Г^'
■ Quand bien même ii y aurait cent quarante manières de s'eicuser, que pour-
raitHe dire pour te demander excuse chaque jour?
fjAjJ> 437
Puisque tu portes les yeux vers son harem , puisque tu élèves la parole pour
demander sa elle en mariage.
Jacob conçut la prétention de demander en mariage sa fille appelée
Lia. — 4^*>^l? (:Н^рл; *r>^>* (:K>-^ oUx^ô^ ayant demandé en
mariage la fille de César» il repartît du pays de Roum.
(Д^J^ turban,
(j^^J^, f^j^y^ poulain de quelques mois.
JjLs^Uj^ nom d'une tribu djagataî.
y Ay^ sable mouvant; bosse du chameau. — «y^lf |»ÿ espèce de poisson
qui se trouve dans le sable.
Ц^. Voyez U^,
/ö-*;Ц^ entourer.
*^^Ц^, j'с)Ц^ action d'entourer.
fanfaron , vantard.
JЦ^ rond, circulaire; jactance.
ЯУ^у» fait en rond; globule; crottin.
^yh^^ troupe; bouquet; botte; bouton; peloton,
dénonciateur; rusé.
bec d'un oiseau.
^lÂeji grande cruche de* métal.
]p (3*^^ placer, poser, laisser, abandonner. — ^ tj л^ Ъ être placé, pos^,
constitué. — B. a 58. ^•^J^yî tiSy^ и>^з' S^'*Njl^^j'-5 A^Tune
battue circulaire fut constituée pour la chasse dans la plaine de Ket-
teh-vâz. — /rf. 395. ^«xJ^^j ^^yx^^ les coureurs furent consti-
Щ
tués et envoyés. — A. 6. 65. ajul^aK^^ JuLaJ^^ s^yi^^yi^^
jy<jtô<X^ f^yi^yà les Mongols s'étant formés en corps, vinrent au
Â38
>
A. G. 83.
Л
.bbb
quartier du Cheikh. — л. u. oa. »ил,а.,^^> ww^-a-i^w». ^
j^UJ^yi lorsqu'ils en trouveraient le moment, qu ils se plaçassent
contre le khan.
/л-4jЗ poursuivre, chasser,
étoffe (le brocart.
Q^yi terrain sablonneux ou salé.
ou.,
Ч.ААм;^^ду> petite fourmi.
(^jy\^ s'acheminer, se tourner vers,
séjour, demeure. — A. G. ai. jУоЛ^с^ i^\ ^уш aâS^I l^. J^l ils
appelèrent ce lieu le séjour des hommes libres. Conf. iùSji , où j'ai mal
à propos suivi A. G. d'après lequel ce mot signifie, en mongol, flancs
d'une montagne, et ^j^ très-rapide, escarpé.
jy^b^ jument, génisse de deux ans.'
/^jимЬу), (Jlêliyji durée des conjonctions de la lune avec les pléiades.
y. v3 /^4^*—^ espèce dje millet dont on extrait une boisson enivrante; hotej^
palais; lieu où l'on descend. -^ ^^»àl)î siLj^ ^j,шш Лллк^ oôLud
)^ y^yJS yÙ^b^ iS^\i «■••A^^ ^^ 01^^^ dbà*^ ^ Ьц1*
^уатJу^ ^^JЛ^^>\ iSJ^^^J^^ JV^^ é^^ (^'^ 4^;^pA^u'>*" ^^
j^Lb sur les hommes généreux dont la taille s'élève, pareille au
cyprès, dans le jardin de l'hospitalité; comme le bouton de rose qui
se ramasse sur lui-même, ils ceignent leur taille pour prodiguer leurs
services; d'un visage épanoui comme la rose, ils tiennent toujours
ouverte la table de leur libéralité; à cette table leurs hôtes, que ce
soit des tourterelles ou des rossignols, trouvent la nourriture qui leur
convient.
/^хХдЬ^ logement, demeure, quartier.
^KJUbji frais de séjour, indemnité. — B. ^73. ^j'^>^j^^'^<a^ çjjt^ô^^
v^' c^'^ àj'^^j^. u^y r^' (i^y^^y^- ^^^y^ il prit les man-
dats de payement des sommes qui avaient été accordées à titre d'in-
demnité h ceux qui seraient venus de KabouL
■*»^ * ^Ф.Л
* (jàl^ji 439
^ Фу^ plaie qui vient au ventre des chevaux; elle se présente sous deux
couleurs différentes, soit jaunâtre a^^U», soit noirâtre a^»>|^.
^by> cheval de trois ans.
J^^s3y>. Voyez Jу^з*. — ö^^У P'^' oblong; tasse.
4>ô«J) grossier, lourd.
Ь i\y^^ langes dans lesquels on enveloppe un enfant; pièce de bois sur
laquelle repose le canon du fusil. t/l^'A #, ^, ^ /u-^^C^
j^4>ôji> castor. — i^y^ J3^^^ castoreum (médicament).
^yjji espèce de tarentule.
jp ^4айХj^, is^^J^ voism.
/л^иаЗjЗ arracher de sa place; gratter.
^ubji, •лЗjЗ de couleur foncée, brun foncé. — B. аЗ. ^jL,MU.^^U3y.
il avait la barbe foncée.
1«*ÂiJi clochette.
espèce de scarabée.
/J^i^ grand. — A. G. Зэ. j^ул *^U>** Арз' cs*'^^'** (^j^ kounk veut dire
grand, en mongol.
ib^ji corbeau.
/0^1x3^. Voyez ^j\iùyà arracher, enlever de force.
Plein d'impatience, allant vers la maison, comme la porte n était pas ouverle,
rayant arrachée de ses gonds.
jb <^HyLJ^ A>4U ^ j^ çS^Aш^ ^\
0 Hussein ! si je suis forcé de supporter les injustices de la fortune , j'arrache-
rai les fondements du ciel avec le torrent dévastaleur de mes larmes.
(jôLx3ji pellicules qui tombent de la tête.
:
oUXiJ> ПОШ d'une tribu djagataï. — jУ(j^ .w-x-* j1дЦ»>е<ьт^ *^Ь^>^з
ies koungrat désignés comme gens de valeur.
\a i'^ji s'asseoir; descendre dans un endroit, s'y poser. — ^j^jсАуJ^ s'as^
seoir ensemble, descendre ensemble dans un endroit. — Э^з«^>^
faire descendre, faire asseoir.
(jâyi3j> action de loger, de se placer, de s'asseoir.
Зj^j^ affligé. — Э4У!У s'affliger.
(J^J^Л^ pâlir, blêmir.
(3|дУ> flanc d'une montagne.
и!л9^ ruche à miel.
/ö,аJЬ^!j^ joie; bonne nouvelle; don fait à celui qui l'apporte.
(J^lsL^ pellicules qui tombent de la tête.
C^lîLJ^ s'enorgueillir; se réjouir.
oijji creux. — A. G. i3. ч^аХj! ^^^UT^jb^y ^1 IjoX^ Sy^ ^^sS
j3«Xj\<^I j^> iy^f^ autrefois, dans la langue turke, on se servait
du mot kaptchak pour désigner un arbre dont l'intérieur est creux.
brebis, mouton.
U ne parle plus que de brebis ayant chacuDe un agneau, et pense, en dernière
analyse, qu'il serait plus avantageux pour lui d*avoir des chèvres avec leurs che-
vreaux.
B. iiS.ji^^ а^ÿз (^(P^t ^.^ i>^ *4Я comme les Turks, ils
sont riches en troupeaux de chevaux et de moutons. — 45^3* berger.
jJ^iUI f^yiy^ (j^:» iSjyi **î?y
Les moutons trouvent une sécurité contre les loups dans la vigilance du berger
et de son chien.
petit oiseau dont la tétc est ornée de bandes noires,
bergeronnellc.
I
Ml
(J»\>лЛ le soleil.
D*oti vient la couleur noire de ton grain de beauté , de ton duvet , de tes yeux ,
de tes sourcils? Ne serait-ce point de ce que le soleil de ta beauté aurait brulë son
compagnon?
(Зн^ espèce de cuirasse dans laquelle les feuilles, au lieu d*étre. cousues
Tune sur l'autre dans le sens de la hauteur, comme dans celle dite
^^^, s'engencent dans le sens de la largeur, — A, G. 17/1. jy^.
Jl-jL^ Jl-:;^L«o cent hommes armés de cottes de mailles, de cui-
rasses.
ylfy> lièvre; veine du côté; tourbillon; en bas.
Lorsque les pieds de ton cheval iniiprinient leur disque sur la terre, les anges
inclinent leur face sur ses traces et tous les pauvres sont en émoi.
viblf^), jÂiLji sciatique. — B. 301. i^^y> t£^.y^ ^jЬу *-**-» '^^
je souffris beaucoup d'une sciatique, à tel point que, pendant qua-
rante jours, on était obligé de me tourner d'un côté sur l'autre.
j/* (3 Лjг^^ queue; nom d'une étoile : Ganope, suivant les uns; Sîrîus, sui-
vant les autres. On dit ^«x^^ hji^ 1^ queue est née, en parlant
de ces étoiles. — {j^^ h^y* hoche-queue.
{jà^îji aisselle; embrassement.
^^Li-ûj,^^, ^jJLUhJji croupière du cheval,
golfe,
enterrer.
*- уЦгу^ bouillie au gras.
Af /o^'^jji laisser; faire rester; baisser; verser de l'eau.
àà2
Ceignant tes reing, tuas marché sur mon œil; mets-toi en marche, place le
pied sur mon visage!
(Jûl* 4^*^^ ^.h^a-LaS" Лн^Л^Ь j«Xxd>
Arrivé auprès d*Alexamlre il baissa la tête; Tayant relevée, il versa des larmes,
en parlant.
Ô morti laisse-moi tourner mes regards vers la rue où demeure mon ami, car
je suis sur le point de les tourner avec passion vers Fétemel séjour.
ïij^jiijji^ ^jj^j^ hospitalité, bienveillance; compassion.
^ЛН-J^ épais, liquide épais qui dépose de la lie.
^jJtyi argent. — (s^y?.^ orfèvre.
j^ yjj^^ aisselle; embrassement; tourbillon; mouton.
Dans les plaines de Tamour ce ne sont pas les tourbillons qui régnent; cest
le compas qui trace le cercle de la folie autour de ma tête frappée de démence.
i^j^uy^^ camomille.
Aj^ rouge, couleur du vin? — B. 8. i^S^\ i^^ >Ù^j^, jц>у c'était un
homme au visage rougè.
W (ЗJ^ ^^ dessous, en bas; puils.
jь ъь^ь^ (;54-uL 4^JU ^ÿ vibà^^jbl ^и
On dii'oit que ma mort a mis le trouble parmi tes boucles de cheveux ; dans
leur chagrin, elles baissent la tête, comme ceux qui portent le deuil.
M '•*
443
L'éclair, qui de sa nature est tortueux , a beau briller, il se dirige toujours
en bas.
^^\Л^^ jjÿ 1*>чиJ' t*>^' уÿ^Ь vW^I^ que la tête des amis ne se
baisse pas devant les ennemis. — jHs;y qui est en dessous..
Lo violent; aigre; de travers.
v5 i^4S^ herbe hachée menu et desséchée; étroit, serré; fin; rare. —
B. 9 0 A. ^Os»! (^&ч^ ^^jj^ a^fî» c'était un homme aux yeux étroit?,
yUi torrent. — A. G. 3i. J^j^Тс:>1аjjч^ ^^Ui ^^Ia^ ^j\9Т^:>^\:^ JyU
jjуУ ^JJГ les Mongols appellent Ыап, plur. kiat, un torrent qui coule
en s'élançant d'une montagne.
«w^jsi mot qui, joint à un autre, ajoute de l'intensité, isy^ V^ ^^^^
rouge.
/oi^Lsô poursuivre.
L^^sui traverse d'une porte; cercle de tonneau.
^ »■* A*^ cligner de l'œil.
-SAi par morceau \.
/лjj^ petit lait.
/öЛлjО dire des riens.
^^jj^л^ pousser des cris, appeler. — J — IH— ^ ц J^V
(^уш jjlifoj i^^>Ja*j^(s;*ld Vj^^Oo! 4--.^^лЯЛ* cj^y^l n'y pOU^
vant plus tenir, il appela le peuple à grands cris, et, tout en lui
adressant des reproches, il vomit des injures contre Zohhâk.
Toutéma, le kalender se levant en poussant des cris, laissant voir beaucoup
d'agilatioD et de tourment.
àà^ jjЗ
les francolins d'Asterabâd font entendre, en criant, ces paroles : Ils
m*ont pris vile. — ^j^сСJь^jла:^ se crier mutuellement. — B. a 46.
j^5 Jl^-i* jLâjlS'^^I JI^ écS^j^ jfjS;^jitÂas»<^ ils se crièrent entre
eux que la caverne était très-large.
Ajk^vi cri, gémissement.
^^9 gratter.
çyS arrache, sorte d'herbe.
.• . • •• .
••J —
J— '»
" ciseaux.
/oj9]ôjj^:^^ frotter les dents les unes contre les autres.
л^АЗ démangeaison.
Aas^ éprouver une démangeaison.
^j^ fi^'^X^ p^--^b ЧУjу^ ^уjj^jз^^^^^
Si la plante de ses pieds éprouvait une démangeaison par la cbaletu* du feu
qu'engendre le vin, il conviendrait encore que je la frottasse de mes yeux, tout
en la grattant avec mes cils.
Il me dit : L*œil me démange. Je lui ai répondu : Verses-y du vin goutte à
goutte. — Du vin^; a-t-il dit, pourquoi faire? il est ivre sans cda.
«^x^S9 action de chatouiller avec le doigt, de manière à provoquer le rire.
/öjЛ^лл^»уз chatouiller doucement avec le doigt les aisselles, les flancs,
la plante du pied, etc.
[j jJj^ hauteur, sommet d'une montagne ; dans la langue de Kachgar, poste
retranché sur une hauteur; désert sans eau; gris^j:;:- B. lia. J^l
J^à^l Ljy^yJm\jiy*ii kS\^j^ sur cetlc hûuteur où nous étions ca-
chés. — Id. 3/16. j3*)o\^l jULft-j^ ^^\jЦ^j^jЧк* ^у^ J>? la route
s'élève sur les hauteurs. — A. G. 106, ^^«ХJцj^ длам»з1j|^ il monta
^Sj^ 445
sur la hauteur. — B. 2 48. loJ^^ j-aJî sur le sommet et sûr les
contre-forts.
v5 /P'rfr^ bord, extrémité; coin; côté, de côté; en dehors.
j^>^ш^ ^^SyS с^^^^ъ 1:>j1;ни^
Sar son bord est un arbre dont la tête touche le ciel ; lune est la fontaine de
ia vie et f autre est le prophète Khizr.
Quand il accomplit sa révolution, en avant, accours de loin ; laisse-là les extré-
mités, tourne-toi vers sa tête.
B. аЗб, j^«>s?J oî/** {^^i^^3 J«^^5»- ^jjJаjЬ^ ils étaient en
dehors de la bravoure du combat et de ia lutte. — B. 990. j^^jUil
jy^^ j^Js»' öЬ-<^ i^^j-^^^3 ish^ öЬ^' {^,^^^3 \j^y^ ч^ les
Afgans sont des gens tout à fait éloignés de l'esprit et de l'intelli-
gence, et en dehors du jugement et de la conduite.
^L>i,^|«jui grésil, gelée blanche.
Le blanc de la barbe est comme un avant-coureur de la mort; c^est la gelée
blanche qui s'étale sur la verdure de la vie.
A voir ce manteau blanc comme le camphre sur cette robe verte, on dirait la
gelée blanche tombée du haut du ciel sur un tapis de verdure.
ij\ri^ collier de peiies dont les femmes s'entourent la figure; conclusion;
accomplissement d'une chose; malheur, ruine, perte.
j|^^. Voyez ^1^.
446 J ^jjS
(^Оча^%jÖ rognures des ciseaux du tailleur.
i^ékJfj/S fourrure dont on borde le bonnet.
^IXaJJUî^jO porc-épic.
(jj*jö*лз poils, léger duvet; raclure (tan) qu'on applique sur le cuir pour
la teinture. — A. G. 5. ^j^UT^jOh^I JjlaJt^ <^Jyy dlSl;^
fj$^j^\ c^^ ) ^«XJLûhAj^ Azraël ne prit pas la poussière du sein de
la terre, mais de sa raclure.
/0^1 |Х.1лjа^%,лз grincer des dents.
j3 craquer; croasser.
j^JоЦТаз^Гу 4-^ i^&^^jyi j^^АяСш! jJ^l^^^ fftS' ses fai-
sans sont extrêmement gras. On dit que quatre personnes ne peuvent
venir à bout d*en manger une cuisse.
«Ai épervier, oiseau de proie.
лд, ^ff^Àjàki gratin qui se forme au fond de la marmite.
jЗ défaite, déroute.
U v5r4-S quarante ; nom d'une tribu des Euzbegs. — ù»\ ^у^ mille-pieds.
A3 ciseaux pour tondre la laine.
/^4j-AJi tailler, couper avec les ciseaux.
\^ è^j^ qui a le poil gris.
Ad esclaves noires.
ylcjLAi ulcère, abcès, peSte.
/ö^^«лЗ serpenter dans les montagnes , en parlant d'un chemin.
^*<^\^jj3 débris de végétaux sur lequel le sable s'accumule et qui pren-
nent de la consistance.
J^ j^j^ ^er qui donne la couleur rouge cramoisi.
L сÿ^j^ gratter, briser ; tuer plusieurs personnes.
JJ P^j^ jeune fille servante; concubine.
Jf (3 f^j^ pièce, morceau; bord, extrémité: désert sans eau.
»• 1 •• .• .
*• ».
f^jf'idujjf^ chercher une retraite, fuir.
/à-f%-Ai produire une ëgratignure, se dit d'une flèche, d'une pierre qui
effleure la peau.
limaille.
L j-aJ) feu, chaleur; vierge; cher, d'un prix élevé. — ^^^I^^hh* vierge
toute jeune. — ^le>A-* jeune demoiselle. — (jftt:>jU j-a-ï sœur. —
xfi^y^ espèce de pivert? — ^У^ virginité; cherté.
J^ (^jV^ rougir.
<3^U>-ï tulipe.
цЗ^]jjуз rougeole.
/^-^1х1л5 se mettre en colère.
Jfi ^Jsftyk3 chaud, irrité.
Jv-CjxS louche.
/iibiJU) être troublé, mis en désordre.
^ /ojujjJi être chaud. Conf. p. â&8, 1. s.
/4^«jJU) ce qui reste au fond de la marmite.
^^J^ être chaud, s'enflammer, enflammer. — j^j 4^3*;j
tS^^^A^y^ la voûte arrondie , pareille au ^оЬе (au moule) de l'orfèvre,
s'enflamma tellement au feu du soleil , que peu s'en fallut que les grains
des étoiles fixes ne commençassent à couler goutte à goutte de la
coupe du ciel, comme le plomb qui entre en fusion dans un creuset.
J^ /^4ûk.^j>3 s'écbaufi'er l'un contre l'autre.
chaud; plein d'ardeur.
^y^^\jiùM L J35 уА jSi^^^yXi Job ^^иУ^Л
(Sj'^''^ O3-A-J3I i^iXA^ v4^^ *^ (J
Je ne sais pourquoi le rossignol fait du bouton de rose comme un encensoir
ineandescent; est-ce à cause de son cœnr ronge ou pour son parfum?
Д48
• '
(jJЦука s'éckauffer. — В. аЦ. ^^Jцн^ AiûûL j^^Ц. с^^ука jJLç
rassemblée s'échauffa; le vin monta à la tête. — A. G. lot. i^^%<
boU»^ u4>^ ^^ moment où le combat était dans toute sa chaleur.
Jb cMrô^ rouge; manifeste; fort; oiseau rouge semblable au perroquet, es-
pèce de faucon. — ^l J^-^>a* espèce de poisson. — u>^' J^>a* or
rouge. — iU J^^>^ oiseau blanc aux pattes longues et rouges, qui se
tient ordinairement dans Геаи; métaph. foule tumultueuse, troupe
de vagabonds. — B. 79. ^^^^fX^ (^Шjj ^\j\ J^ ^ aj^^I ils firent
sur Ouch une irruption tumultueuse et bruyante. — ^ a "^l? J^y*^
espèce de terre rouge. — ^СУе» Jч^^ espèce defermân chez les Mon-
gols, dont le tougra est peint en rouge. — Jb Jчjни» saule rouge.
— jJ^ J«^>AÎ animal dont la fourrure sert à faire des pelisses. —
Aijûi J^>6* espèce de rose. — àJùjyyj сЦ>а* féte de Pâques chez les
chrétiens. — ^^^yiii fard; maladie de peau semblable à la rougeole.
rA^IdJL^ijsi rendre un son, en parlant d'une flèche ou d'une pierre lan-
cée en Tair.
iÇjjui couleur tirant sur le rouge.
^ХмфjЗ tenailles. «
^UmjÛ) testicules.
^juuMJui contrainte, violence. — A. G. Б9. ;^^Câ#!U ^U;t>^L t JOuuT^^
i^^\ju:^yiM(^\AMé^yig*tà(j^ ayant découvert, sans que j'emploie les
tourments ni la violence, les richesses que vous avez cachées sous terre.
/Ц^иJшjЗ comprimer, resserrer étroitement; pousser; presser. — A. G.
82. ^£^\Jш^ иЧ^ (Sj'^^^'^yi ^J^ 4P^^|/*-û il resserra étroite-
ment Chiramoun avec tous ses compagnons. — ^Uûm^, (^IUm^
être resserré, comprimé; se trouver dans l'angoisse.
\) 3 ^Ir"^ jument.
1^j\ЛшШткЛ se raccourcir, devenir n|oindre, ^^
/л^уЛшШткЛ porter envie.
%
M envie, envieux.
Ai court, de peu d'effet. — B. 209. ^^»>^.j> aIô».^ ajuma3 ayant
r
Jui /i/i9
fait un examen court, superficiel. — Id. 17. лкj^^^^ %àJe^j\s ^^\
f^ù^\ i§i^ (j^\jàjkm^^ c'était un homme d'un esprit étroit et d une
conception courte. — îd, 345. j^Ak-^ ajÛmoS t^^LwjUil^jUij^j^
j^ jj^ ils exécutèrent de courtes charges contre notre aile gauche
et notre aile droite.
f^^^^i^^j^^ /o4wjûi serrer étroitement. — ^Uma^ passage étroit.
a3 femelle qui ne porte pas.
AJi force, violence.
jfi \JлJj^ hiver.
U у£к«ö (jujO exclamation pour chasser ou exciter.
/ЩJфаJ^ tortueux, oblique.
U ^^hUJ^uj^J», «j^Lmjo quartier d'hiver,, caserne. •
I /d^'^Luai hiverner, passer l'hiver.
/o^â^ô se courber, se pencher.
jàlÂAJ) bruit, tumulte.
oIâaJ)^ <^\jЛал deux tribus illustres chez les Djagatai.
j^ с:»!^.1ЧИ^ 1^^ «>^^^ ^(>4^ (i>J t^^Â.^
Moi je cherche la beauté; le roi, au contraire, cherche le mérite et In nais-
sance; à moi les Indiens et les baladins; à lui Kigrat et Kignt.
feutre.
Jr \^su^ appareil pour mettre Farak dans la bouteille. c^V o> . . ом"
(ЩJ^ bouse des animaux; faux, homme fkux.
J/ 4^л5 cheveu. — ^з-JJ Juuî qui a des cheveux. — Jзj^У^ Jни^ queue de
cheveux; espèce d'oiseau qui voîe par troupes. — B. бз. |^-ï tsj^^
*>^-^-? Ь^^^З i^^j^jit^ Jх^ÿ J^ f^j^yi *ÂA*(jû>> ^^ушу^,
j^^ъ ^ÿьу viU^ b^lj^ J3I ^у^j^ j^yi ^^^Ц^ аз U y a un petit
oiseau, semblable au gorge-noire (le pigeon de roche de l'Inde?),
et qu'on appelle queue de cheveux. Gomme on le trouve en quantités
DiCT. TiRK. 'i9
Д50
innombrables dans le district de Karcbi, il y est connu sous le nom
de petit oiseau de Karchi.
л^ par troupes, en bande.
j^^^jJi brave, bon à employer, en pariant d*un homme; étincelant, en
parlant d*un casque; aiguise, en pariant d'un sabre; matière nui-
sible qui découle de la bouche du cheval ou du bœuf; bouton dans
le gosier; broche à cheveux.
bUJb Islï
•• ~ l.*! ••
Les boudes et Tes caçques jetaient un grand ëclat; en outre, sur les cuirasses
était de la soie chinoise; les banderoles aux vives couleurs sur les casques rap-
pelaient les torches de Fenfer; les casques se distinguaient par leur poli.
/лАУjу^j^^ affiler une épée, des ciseaux.
■Дö sorte de plaie maligne.
лд cheveu; barbes du riz, de Forge et d'autres plantes
de ce genre; arête des poissons. — B. 366. Juu^^^j^^b ^Um^Jvâ^
^Ц^ JHH^Lui^ (^«XjI j^y» ^^ с^Ц^ 1^ chair des poissons de
l'Hindoustan est agréable, elle n'a ni odeur ni arêtes.
j3 ciseaux pour tondre la laine.
f2^J^лX/Ji qui fait habituellement, qui pratique.
Comment se fait-il que ceux qui pratiquent la violence soient dans un état
prospère, tandis que les victimes de leur tyrannie sont le jouet de la foitune?
J; (^ibO faire. — B. 28З. if)l;Hb^oU4H^ S^\ji tf^pi Juk^j^^jUiJ ^
il faut achever entièrement l'affaire de ces Afgans. — JUX^ji il faut
faire, pour faire.
S^ji^ («5' jиХй* We- tS'St,,
m
Sache qu'il faut pratiquer la générosité, puisqu'il est certain que l'argent n'est
bon qu'à être donné.
^jЛчЛб* être fait. — y» А^(jЛай JU 4;^:> ^ i^:^d;j^ J^^
M^j^^i^jMj cy quant aux perles cachées dans Госёап de notre
cœur, elles sont répandues de cette manière devant la sublime as-
semblée — à^yi^^^^ autant que possible.
(jSkJuLo action ; manière d*étre.
U (3 >4H^ manière d'être; façon; acte.
Il pratiquait la bienfaisance et les bonnes actions; la pratique de toutes les
vertus était une manière d'être inhérente à sa personne.
сНДа* jjуз^ 45^-^U« I^I<n5'j^ ^jUL (J!h»3 (jуш^^Лл^ (jv-ш tu es bon
et moi je suis méchant : les actes de chacun sont conformes à sa na-
ture. — dçi^ puissant, capable de. . .
iuJu3 manière d'être, naturel.
*• »•
àssa ifO par morceaux.
^Lc^ louche, qui a Tœil tiré à la chinoise.
Jardinier, regarde attentivement; le narcisse n'est pas semblable à cet œil;
pourquoi celui-ci est-il tiré à la chinoise, tandis que l'autre regarde de travers?
/^ö^иЦхд se mouvoir légèrement, bouger; bouder.
/o.çj) considérer comme permis ; mettre en pièces , en petits morceaux , tuer.
— A. G. g. i^^U^ U* (:5V^5' o•^*^ s^ ^^^^ ^^ V^^ P^^ ^^^^ ^^^ ^'^*
/a.«U\9 mouvoir. — (>^4H^ j^ cligner de l'œil.
552 ^jyjkxi
Ь Ч^ hachis.
fJ^Jt^jjui^ ébranler.
уЬ^ lait de jument aigri et fermenté.
jy> tourment, peine; fourreau, gaine. — tl^^jon^ ^jз' u^' '^ oiyie^ j!
tf^l'j^CiJî^ j«Jm 4^*>Jyy ^ iS^^^^ peu de temps après, dix à
quinze jours ne s'étaient pas écoulés qu'il fut pris et supporta beau-
coup de tourments.
Lorsqu'ils virent qu'il n avait aucune affection ils mortifièrent son cœur sous
le poids des tourments.
Partie, qui se joint à l'impér. — B. 1 44. (j:^! cx*i»t; parle sin-
cèrement. — ^l^t cjn5 peuplier blanc dont le bois , à cause de sa
dureté, sert à faire des flèches, des javelines.
цЗЬиЗ m. puissant, illustre.
/^^1лл1> tourmenter, punir.
^^UJb o^>-f.^ 5<зчн'
L'oiseau de mon cœur brûle de s'envoler, dans le désir qu'excite en lui la vue
de cette taille charmante; jnsques à quand restera-t-il tourmenté dans la prison
de son corps?
dl^âyîIUâJ» susceptible d'être tourmenté.
La vie n'a qu'un temps à diu«r; fais tes préparatifs de départ et attends tran-
quillement si tu es exposé à souffrir de l'injustice des enfants du siècle.
M^Ui tournure; inclinaison, pente.
affligé d'une imperfection ou d'une infirmité; borgne; louche.
/a^«>sÂJO exciter, stimuler.
.. ^t И
• ••
• • ••
В)>чллз sorte de roseau à longues barbes, dont on tresse les cables.
л5 obstiné; brave. — ^j-çIjjua5 être obstiné, gronder.
JU) onagre.
/^"^Kjusi mettre dans le fourreau.
A» particule de diminution. Voyez aâ^.
Le cœur de chacun des petits oiseaux bat tendrement pour son compagnon ;
quand ik volent leurs ailes se touchent; quand ils se posent ils se serrent Tun
contre Fautre.
(5UÛ) bord de la mer.
оjд^б^ réuni, ramassé; frisé; chiffonné.
i^ïly^* (^^liyb^f^^^ les cheveux; rassembler, réunir.
^JУ^ frisé.
(Si^ pus; engrais.
/oAAJÎ triangulaire, en pariant d'un mouchoir, d'un voile; écharde.
jvjO ciseaux.
еГ
LT signe du datif dans les mots où dominent les lettres douces; dans les
autres, on met ap, U, aj, lii.
'^МН (^îU^-? ЦиЬ^ iS^.^
OVçT dU^U ^{9^ (Hi^
u dit , ne gardant plus aucun ménagement : Bandez-lui les yeux et meltez-le
sur un bateau.
^^иЛ^ Ly^ ^^J^ ^yjyf
Celui qui commence par engraisser Tagneau pour le manger ensuite, se
montre sans pitié pour le troupeau de cerfs.
454 Ьj^jГ, \Sj^^^
(^ImO bagages. — A. G. 181. à^^ аЗ)Ь Kijn ^^J6 tiens-toi occupé
à tirer les bagages.
\лу^ ^U^D toute étoile brillante sur laquelle une caravane se guide et
s'égare^ en s'imaginant que son apparition annonce le lever prochain
du soleil.
^IT appentis; berceau; siège, lit de repos.
Par un secret de son art, le charpentier du ciel avait placé dans sa partie in-
férieure nn lit de repos au lieu de tapis.
^IfiD rayon de la roue.
Jo fissure sur le bord d'un fleuve.
\) Чj^, ^D animaux domestiques, vache laitière. — B. з83. jь^\ «^Ьjч^
j^.^jyyS^ ^j^âôé^ ^^l^ ils amenèrent une troupe de prisonniers,
de bœufs et d'animaux domestiques.
jS^ lézard.
4.^D vaisseau. Voyez ah^ST — A. G. 6. ^^^Л^jjЛ «,^ ^ушХтл jutl^ il
a ordonné de construire un vaisseau.
^o beaucoup, nonibreux; très, bien.
(j&^D action de ruminer. — Â\Jm^^ ruminant.
viJL^LM^D ruminer.
viLoLM^ir devenir mou et faible. — ^il^^lS^mou, faible.
j)jo creux, enflé, orgueilleux. — liLt^f^l^ creuser.
\jj^jj^ 4lîLJ grand tambour.
Le tambour royal résonna si bruyamment dans le monde que le féroce âk en
fiil comme enivré.
^jftju 455
j} • ^ *
A cette heure même, Nevrouz, accompagne de son noble fils, s'étant mis à
battre la timbale rovale, le roi Firouz sortit.
vjLo^^enfler.
8ji^épaule, omoplate. — ^5^«>а5" celui qui devine l'avenir par l'inspec-
tion de l'omoplate d'un animal.
mesure pour le grain.
^iXJuX sorte de vêtement de feutre.
^-M grosse, enceinte.
Xm hutte. — B. 54. t-^èJU» xjS^ ^£^\ t^^jJ^ гJо\аj^ étant entré.dans la
citadelle, y ayant élevé des maisons et des huttes.
U с:аГ siège, trône. ]fi{l^*j^
«^b ллj v^U JUy l*>s»»î ^^i*^'
Dressant un lit à plusieurs étages sur un siège , elle se hftta d*y coucher le
pauvre blessé.
JJîJ"poulailler. — (j^:>JuL5"^^^budie a^-a-? j^ju«:> j^^b aS'^jI^xjT
j^^ ^y^iLA (j^\лj\ tit^ comme il est d'usage de faire sortir tous les
matins les poules du poulailler. *
Le roi sema la désolation dans les habitations des hommes comme dans un
poulailler; là où juchaient les poules il installa des chouettes.
L ^j^^^Jukaftan d'étoffe de coton, cotonnade.
Celui qui parle de linceul, un mort est mieux renseigné que lui à ce sujet;
car il sait bien si son vêtement est de lin ou de coton.
456 с^Аjj/
ЧJи grand, noble, pub$ant.
\f)L^ plumes de travers qui se trouvent à la queue du canard.
bègue, qui ne sait pas parier; sot, balourd.
Si Nevai, ÎDspiré par sa pasnoD pour ce visage et ces lèvres, tire subitement
de son cœur des accents mélodieux, le rossignol et le perroquet ne souffleront
mot; car Гпп est un barbare illëtrë, et Tautre ne sait que bégayer.
B. 361. 4^^A-^ iufi ^JLAj\j^ifA jUm les enfants, encore inca-
pables de parler de Muzaffer-Mirza.
qui dépasse. — V. aii. \éJyj^f^ ^ S^ (^^^y^ijl^^.
y )>Sp. pauvre, mendiant. — ^jUxS'pour (^l«)o son pauvre.
gb, c;-.^^ J^l l^jl ^\jJ^Aj4^jLk^\ôS^\
0 (oi, dont les possesseurs de trônes et de couronnes sont les pauvres de tes
pauvres; car ceux qui sont pauvres en toi n*ont besoin ni de couronnes ni de
trônes !
N'appelle pas pauvre le mendiant qui se traîne dans la rue de Tindigence , car
Dieu en a fait le roi des rois.
y ]>s^>Sp. marié. — A. G. ao. ^^o^^l ч-нЛм lo^^ô^Js» Jyî j^il
l'avait marié cette année-là. — ^j^l«Xi^j45' rapports conjugaux. iA"^^
^<>0 chat. *^
\) JjXT, JlJdJ'fente. 't i ;
ci4^Lj nom d'une tribu de l'Asie centrale, — A. G. 39. J^JLh^osjIjS
j^yi sù\jgci c:)lj-?|>» {â^iS**^ kiraiet veut dire tourbillon noir.
.«Ö<.
(^^у entaille. — viLÇ^S" faire une entaille.
^у affamé; matériaux servant aux constructions, comme pierres, bois,
planches.
^^jdw^J^écuelle de bois.
{^^ espèce de filet à poissons.
*^^лз^ cotte de mailles qu'on appelle aussi «^^^U»».
«f)«J espèce dé caille.
Au milieu d'une compagnie de cailles un faucon; elles, semblables à des pou-
lets; lui, pareil à une poule.
*^ir^îr^' (:>^' <^*^з' S^>j^
La caille chercha un abri dans les champs ensemencés; Canope, ouvrant les
voiles de la nuit, s*envola.
^yf* rhinocéros. — B. 356. <^Up jз:> t^jj^b- g^y ^ yi jyà é^ t^
^^UJj-* A^ {fi^tr^}^ 53 1 il faut encore citer le rhinocéros. C'est un
puissant animal, dont la corpulence égale celle de trois buffles. —
là. Зз8. A^Aî д/^jt) à^^^^ J^ fS' ^à^\ }^ »^Jb\^ ^}ъ
j^UX^ Л^j\лА éygsj je m'étais toujours demandé ce que feraient
le rhinocéros et l'éléphant, si on les mettait l'un en face de l'autre.
ир^ charpente de la iourte tatare; grillage, treillis.
jO^ espèce de poirier sauvage.
sfLl^ir mouvoir, secouer.
AJ^-T espèce de manteau.
v^^J sorte de hache.
viL«^ étendre, dilater. — »i)uê^se détirer, bâiller,
^jу^ rJ clochette.
458* J^
JLç^j^jJs^eniaiSsert saccnmnler. — В. i55.
j^à^x^] comme ils s'enfuyaient, ils descendirent en s'accamulant
par masses. — Je pense qu'il serait plus correct d'écrire «,^A-û^*iyST
«Xja^J espèce de siëge ou de lit de repos; ceps de vigne; bord en saillie
d'un toit.
^^«J^petit, peu important. — B. 35o. а-^Ь^ <^1; ^jS' ,*Lf\S^ xi^^
j^tS^j^^j^ J^-^î^ J^^»-^3 gb quoiqu'il y eût dans l'intérieur des
montagnes et des jungles des rois et des rajah petits et de peu d'im-
portance. — Id. З82. j^jy^ ö'**^>^ ^>-^ {:)^^f-^j^^à.4>^àe
telles paroles de la part des petits et des gens de peu d'importance.
jJ fois; tour; flèche sans plume ni pointe; baguette à laquelle on adapte
la première plume venue et dont on se fait une flèche; branche
d'arbre qui pousse droit comme une flèche. — B. зЗ. ^^^^^\jJ^\
4^«Хj1 jlx^ jjt5l is^j^3 ^!^ 1я1 plupart du temps ses flèches et ses
traits atteignaient le canard qui servait de but.
Ou le chasseur te tue avec une flèche, ou tu péris sous Tatteinte d'une boule
meurtrière.
JjJ espèce de gangrène produite par le froid ou une autre cause; frian-
dises qu'on prend pour s'exciter à boire et faire trouver le vin meil-
leur; musique militaire. Dans le premier sens, on prononce hexjfk,
Ф dans les autres guezek. — cx^lj» J^t v>l^ o^ ^у^^j^ ^^^^
^«xJ^ jj^) V>!^ *^J^ îl semblait qu'on eût appliqué à chacun de
ses membres des brûlures et que ces plaies fussent devenues autant
de cancers.
Jlà (^:^(^ (Jir^j^^ v^^-û^ (jiS^\ ii»
Je mords la main du regret et bois le sang de la douleur; juge quelles sont
mes jouissances avec un pareil vin et de telles friandises poni' le mieux goûter I
ЧJJ^ 459
Lorsqu'après avoir pressé la course du cheval rapide comme Touagre on a
iuë ie cerf, on s'asseoit à un joyeux festin où Ton s'excite à boire, en mâchant la
canne à sucre.
^-mJLû^î ^y^^\ vfJ)f c;>L!J u'Oy^J^'*^ 4^'^i£j^p^ les bou-
teilles d'eau de rose qu'ont apportées les savants et qui restent vides,
ses courtisans impudiques les prennent pour y mettre du vin, et
elles sont brisées par le sucre candi qu'eux-mêmes ont apporté.
vî^e^jJ placer la flèche sur la corde. — A. G. Sa. iS^^^(J^3^ il pl^Ç^i
sa flèche sur la corde.
s^jJjj petit couteau.
AiliXdMJ, АЗиимJ g*, châtaigne,
hache de charpentier.
sfLc^MJ ce qui reste dans l'épi après qu'il a été foulé; espèce de joug qu'on
met au cou du chien.
iiLWMJ loquet de bois.
A«wJ cheval issu de père ou de mère de bonne race; pain rond; cheveux
dont on coupe le bout; espèce de pointe de flèche, grande et large;
espèce de housse de cheval qui traîne jusqu'à terre.
mJ carotte.
mot» parole, discours; semble corrompu du persan оаЗТ
^ЯJ qui ne dénoue pas son caleçon. — ^S^ facile.
\^ JuJ^ perdrix. — J3I Jl^S' marjolaine. — öЧ)' ^iUJ^ maladie
d'estomac. Л* y *
Л^J lézard.
^Ls)^ besace.
AJJ^ fichu; langes, braie; court; gourdin; qui a la queue coupée. —
А60 «JÙsâT
A. G. 1/16. Jl^IjU^ алJ^ monté sur un cheval moucheté, dont la
queue était coupée. — е\ш^ ааJ^ espèce de petit lézard.
4jsLries nomades persans originaires de Khokand.
S^ m. bègue. — A. G. 33. ^-з jTL--Jj^ JCJ^IjoL^ viU^^^û^îS'
j4i^ J^ ôyi^j^ji^ ЛхУj JAâ. les Turks appellent jтеЬеА; celui dans
la langue duquel il y a un défaut; les Mongols disent keUà.
«fL^U belette. — «^^ di^^JS" anémone.
i«J queue; vieille fenune; vieillard décrépit.
JLl a. confection. — B. a8o. JU* liL^JcA^-M-^ j',^ if.^-^ *^^r*?
^^Ll) ицц^ l^" jйЩjнр t J^иХлjц,; il avait apporté quelques confec-
tions, très-bonnes au goût et enivrantes. J'en fus tellement enivré,
que, lorsque les begs se réunirent à l'heure de la prière du soir, je
ne pus paraître au conseil.
«j-i fumier.
%âj0^ os,
Aj«jç4 abricot vert.
. J^jjЦ cartilage.
sjLiMibxC celui dont les dents d'en haut ressortent de la bouche ou ne cor-
respondent pas à celles d'en bas.
X^Tenfant qui natt d'un père âgé, enfant en général.
jОчлГ1ш-тöте.
/Ц^\) * >Ju pourrir.
Dans sa chemise sont le musc et Tambre qui réjouissent Todorat; dans son
cœur il y a cent chiens morts et infects.
^ ^«XÂT'chanvre , corde de lin. — i^Le^^xJîS" tablier.
Jjj^j/ 461
siJu|<XArnonibrîl. — A. G. 9. jW^40^l ij^.^^ jз^ 'jy»^3^ l'orphelin
coupe lui-même son cordon ombilical. — B. З71. ^5-^b c;»bLjLX
jyiy^ dLJjL^Jwâ^ i^|;wiU«i^les oranges de Lemgânat sont assez
petites et à nombril.
(jАкЛJ stupéfait, étonné.
«i^Ju retard, délai.
y АлГ tiqué. — J3I Aj5'ricin.
9
4^l^joie, action de se glorifier.
Sache que son illustre регаоппе est la joie de Tunivers, que son jugement
lumineux éclaire tous les espaces célestes ; sache que Djemchid rougit devant la
pompe qui Tentoure, que TAlexandre de la science n^est que le plus humble de
ses serviteurs.
9
J; sikç]jJse glorifier. шjЩЩ^
j^ Vç^^nombreux; vase de terre. — Jl^i^^plus. — i^^^A^^foule , tumulte.
J J
Lorsqu'après s^être fait de mutuelles questions ils se furent reconnus, ils
pleurèrent beaucoup et ne pouvaient se lasser de se regarder.
le plus souvent. — B. 119. jдд^ ^Ь' у^^^j^Х^
лшц^ le plus souvent, je marchais pieds nus. — j\л y^-S'lie qui
s'attache aux parois du vase. — ^з-90^Р^^^^ ^^^^*
roue , moyeu de la roue.
coussinet de la selle.
462 ^jJ
^ГА i ,& • ^-^h4*1(^ {^^(S'^jy^ аj^^З J»^^ iJ^y^ M/^3 (ГНИ-^
Jÿ^З^ (g^^^S^JôJLi^ ceux qui se plongent dans la mer de la flatterie
envers les rois les comparent aux ponts; dans ce sens, que les ponts
portent ie poids de toutes les créatures viles ou nobles, et leur font
franchir les obstacles et les difficultés que leur opposent l'eau dans
son cours et la vase dans son épaisseur.
Ю si^jj^ nombril. — ÿ;^ ^^ animal jaune, de la taille du chat, dont
la fourrure sert à faire des pelisses.
j^ <iw^ chien de grande taille qui garde les troupeaux, chien en général.
]^ lilj^ écume. — (^alb ^^ espèce d'écume marine.
Jdj^jT, A^^jS se multiplier. — A. G. 1 3 1 . j^^^ji^^l i^-^yfj^T
à la fin s'étant multipliés, ils le firent mourir.
ч2аЛ^^^ espèce de champignon blanc.
vikA^^i^ espèce de grand papillon, dont les ailes sont couvertes de points
de différentes couleurs. — (jе.Цсх^ (jb-ûsjl ^^^j-i ^^y^ le papillon
ordinaire ne sait pas se dévouer comme la phalène.
En voyant ton écriture sur une feuille de papier rougeâtre mes larmes ont
coulé , comme un enfant qui s'élance , en apercevant un papillon aux mille couleurs.
viX^ljJ^ enfler, gonfler.
J^ viLe^j^^^écumer, en parlant de la bouche; battre du beurre.
yjiJjJ^m. enfant, fils. Conf. lûjjl,9»j.
*Ц_^ voile, habit ouaté. — B. iBa. aj»^^ (^y>' ^j^>»^-»^ cs^
(^Js»i ç^\àiy il y avait de sept à huit cents cuirasses et housses.
;s^y endroit du Daguestân et châles qui y sont fabriqués.
^ *V^jJ pendant d'oreille.
^^^J^baratte pour battre le beurre.
JрУ 463
Ц^ ОjJ derrière. — J^AjyS' petite pièce de feutre ou de cuir qu'on place
sous le derrière des enfants.
9 b^ espèce de pâtisserie.
siLe^t»^ élever; enlever; proclamer roi.
Lorsque tu as вешё dans un champ n'importe quelle graine, c'est toujours
cette même graine que tu devras recoller.
B. 3o. j^^jbyf^y 4;^uL^)^) Аяj«>о ^^Uà ils levèrent les bras,
ouvrant la bouche pour demander du secours. — Id. Д5. ^ (^UiJLm»
«-^-j^LpI^jS'eL-ûàL Viii3-^^-*^(:)ï?^<s*>^ àbj4f^ ayant amené de Karchi
Sultan-Ali-Mirza , ils le proclamèrent roi. — A. G. là. (^jИкл^^
i^^j^Xj^j^^ ^^U^bj^»LiàL jукЛ ils n'avaient pas encore proclamé
roi Houcheng. — C'est une allusion à l'usage qu'ont les Mongols
d'élever" le chef sur une pièce de feutre.
silLj^Jit^b^^^ élévation d'idées, de sentiments, -т- B. &5â. j^^д^-J^I
^\j^ *i^^Js^ il faut que les grands aient de l'élévation dans les
sentiments.
viXib^se lever, se complaire. — - ^iWb^haussé, élevé; beau. — B. i68.
^^jj^ ^^&j/sf Л^]ÿ^^(^\х^ ^^Jка^уЦ- liU^iA^u*^^ le pourtour
de cette fontaine était régulier, beau et bien arrangé.
Jl^k^, J^ujJ^gardien d'une citadelle.
1^дчJ^ torrent; estropié, paralytique.
^.ЦJ^Л^ cheval de main; mont; passage escarpé et difficile. — B. 179.
I<x A A A il Л y а1лнн»J^^,5"а la montée de la passe. — Id. 3i&.
ьу^Jц»! ^^Jlj^ étant descendus de la passe. — Id. 166. Jjt
j^j4t^ «XjLj jj^J^^^bj^ci^x^^^ dans ces contrées (Kaboul), on
appelle bend les passes des montagnes.
s^ôjjj (^Ц[^ garder, surveiller; faire pattre; battre.
v>4[^ apporter.
i^l^^J^bois arraché, tronc; registre royal.
1
464 iJJ^J^
b ^д^ mauvais, faible.
h PT^J force; travail; affaire; peine; épouse; famille. — A. G. 179. ^ j^
«^IuJIa^I gÂdt \шj^ укАу^^\jЁфЗ (^'У^ (ÿ^Ч quiconque dira: Je veux
faire le mal, empéchons-le, si notre force est suffisante. — B. 34. j^yf
j^iS^y^y 4*A^<^*^ ^5^з5^J^A^^*^ âl* ^ celles-ci, étant venues
avec la femme de Bâki-djagâniâni, se joignirent à moi. — B. 74.
^У^Зjуа аjЬ1>«Хj1 ^^|«JLè ^^^^^^^j^j^ de tous côtés, des en-
nemis puissants ayant marché sur Endidjân.
J7 «.jj aoftion de se transporter, de se mettre en mouvement. — A. G. 57.
^^4^y^\fi>^^y^ {j^jу^З^ t JOUil^W yU-«5^- s'étant séparé des
nomades qui étaient établis dans les parages du Turkestan.
^1#1^^^ (^5м1д^^ nomades qui habitent sous la tente.
«iWlXû^^ faire violence.
J^ jL^'iLa^^étre fort, s'efforcer.
^ s^.#jy^^ déménager, se transporter. — liL^^.^^ faire déménager. —
A^y^jy^^ ^,ù^ loy^ ^jj\шшл J^i^ pourquoi faut-il maintenant
que tu fasses déménager ces hôtes?
castor.
}P ^jj:^jj i^^ïii chien.
^Ù^'^S^J>^ m^iivQ bas, en parlant d'un chien.
bj-Tpuissant. — B. 38. ч^-^i^^s^ *^н^^ "^j^ д^Ъ^, ^У^j^з iJ^^
étant sorti avec une armée nombreuse et puissante, bien équipée.
par force, par violence; entraînement.
Il séduisait tellement ses auditeurs par cette harmonie qu ils étaient disposés,
dans leur ravissement ^ à lai donner leur vie.
•^ Ч^Ь ^^^ aS' L j^ \<JÎ o-y
l
èj^ 465
Qu'est-ce que Гагс-en-ciel si ce n'est un la qu'il a tire avec force et qu'il a
suspendu à la voûte céleste pour en orner la tête des diplômes?
Quand un homme est pris de force sous prétexte qu'il est un voleur, c'est que
celui фи Га pris est décidé à l'envoyer à la mort.
>^^^^sorte de bouilli préparé avec le holcu» saccharatus.
^•>jJ^m6ule de blé.
^^\ô\jjfse disperser. — B. 385. ^^\x^^^yj^^ yU»! t^'^bVj^^Uia.b
fa^.j^-x^,,i réunissant les Afgans et les Indiens qui avaient fui et qui
s'étaient dispersés.
^^^!;jJ" lutte.
vik^lj^lutter.
^l**y^pain vieux et desséché.
viUj^jTbaiayer. — B. a 45. ^^j^^ ч^ТJJдр^Jл^^вТj^J!^ (:jv*
^^>\m^,jjtii ^jl<>Ju »^ у^л l^|»3j^i prenant une pelle et balayant la
neige, je me fis, à l'entrée de la caverne, une place de la dimension
d'un coussin.
jjj^-t ii^j^jJ jeune homme imberbe.
viX.>2^i^meIon sucré.
viXjjj^coup léger.
P^ Aj^j^ couverture , enveloppe; trèfle à moitié poussé.
^уЬj^^^^ de l'âne ou du mulet.
%i)y3^^ sorte de pâtisserie.
vi«^^^rame, aviron.
^Tj^mauve, morelle.
— ^ «iMXdMj^j montrer.
lil^^bras, omoplate; coque du coton. «^ A^^^é^ *
«i)^^ duvet; laine fine; pelisse.
DicT. TCKK. 3o
466 t)^i^
ibjjjj beauté y grâce; modèle. — t2)^^^doué de beauté; beauté.
Si le soleil prétend rivaliser avec ta figure, ce n'est que pure jactance; c'est toi
seule qui es douée de beauté; tout ce qoe disent les autres n'est que du verbiage.
0^<XJ) j,^^ A44I 5^
Ô Lutfi, ne lui demande pas deTaflection, à lui qui a fait d'une amie infidèle
l'objet de sa passion.
A. G. 81. iS^ji^ \y^jè d^XSj^AjLSljj^Touraguineh n'était pas
belle.
С>даJ feutre; piqûre à l'aiguille sur la bordure d'une tapisserie; espèce de
timbale.
Le son des clairons et des kourka fit croire qu'on était au jugement dernier.
Ij%aJ escabeau sur lequel on pose la bouteille et les tasses,
échanson.
[^\^ojjJf&ria\i en beauté et en grâce.
iiL«i^2^ ^à^yjyS^, viJL^'cTjfji'devenir beau; être beau.
î^^i
A^ \j^\ jjx-ib ^Lm* yL^LûL
Pendant tout le cours de sa vie il s'est plongé dans la science; aussi plus il
vieillit, plus il s'embellit comme le lin.
y Li^^^J prince delà 'race de Timour qui épouse une fille de la race de
Djenguiz-Khan : prince de race royale qui épouse une fille de Voi ;
prince né de parents issus de khans qui épouse la fille d'un khakan ;
surnom de Timour; savant, beau, poli.
Où est Djenguiz-KhaD , le souverain du monde; où est Timour-Gourgan , le
khan de Tunivers?
(^iTj^J beauté.
La toile, qui le couvre est d'un tissu parfait et très-uni; quant à lui, il est au-
dessus de toute description pour sa beauté.
jJ^^gourde, outre.
Д^J^^J signe, modèle, échantillon.
л^Х^jJ^jJ paraître. — A. G. 84. ^^^jyS^^yS'j .C u» I jнн une année se
montra.
\iL»\^y^a^jjJ grogner.
1^' v^y^^ ^^^*
Se levant il alla devant le plateau , s'inclina respectueusement et vida entiè-
rement une coupe.
Quand il eut posé le pied sur le tapis du roi il vit que sa coupe était sur le
plateau.
0
a5j|^ parois d'une tente, tenture, rideaux.
Là tente a une porte solide et une ouverture pour la fumc% ; des fourrures en
tapissent de tous côtés les parois.
3o.
/i68 ^i>^
Par terre, en guise de tapis fut étendue une ëtofie de brocart ronge; les ten-
tures étaient d'un tissu de soie couleur de rose.
*î[jjj5_jj chose dans laquelle on met sa confiance. — A. G. i09. *fJ^^.j
^^нД-^Ц ^-^ (j^ *^yi h^ *^y^ y^^ f^ ^""^ ^^yi
{JС^^Ч9ш»jА Sym \ш^ (j^yS'gueurluk, dans la langue
turke, signifie une chose sur laquelle quelqu'un s'appuie, et dont il
dit : Si j'ai cette chose- là, je ne verrai jamais le visage du malheur;
ce qu^il dit lorsque son cœur a confiance dans cette chose.
J? viLejj^j voir; proclamer roi, reconnaître pour chef.
Ь^ s-X--^ j4->yU,; Akxj yl>J^^I ou^
Que celui qui n'a pas vu Jacob et le séjour des pleurs dans le deuil de Joseph
me contemple, moi et les ruines qui m'entourent loin de l'objet aimé I '
A. G. 59. j^^дР âo^ Ч^ ^jЛл^ j^jйХй^ ,^âoe? ëtant ve-
nus avec de beaux présents, ils reconnurent le khan pour souverain.
^м^J, ^^_jJ cercle formé par une armée qui enceint quelque chose;
espèce de camp retranché formé à l'aide de chariots rangés en cercle.
— A. G. 43. *fJl;\(5-J \jJb \jX:> Kj^j^j^^ ^^Jулй! ^lyS^g^l y^l
^âj^Oôy il forma treize camps retranchés et fit camper ses troupes
de manière qu'elles se trouvassent tout à l'entour de chacun d'eux.
— Id. i3o. (s-^3j3\ ч^j^ иЬз^^Ъ^' vsyl* *-^î^^?b' ayant pris
ses chariots, il s'en était allé; ayant formé le camp retranché, il com-
battit. Id. l50. ^\jyS'i^yJé^ ^>\^ yi^y^ (j^JöКД^Д^А^!;!
«^^^aS" (^ju9E?l lorsqu'ils furent parvenus à l'enceinte de chariots, étant
descendus de cheval et pénétrant dans le camp retranché.
(ji»>j^^action de saluer, de se soumettre, de reconnaître pour chef. —
A. G. 58. j'^.^S^ {J^j^ à[j^ ^Is se^soumirent au khan.
viM^^image, modèle, exemple.
viki^j^J tirant sur le rouge, en parlant d'un cheval ou d'un mulet.
yS*-AAJjjJ action de se saluer. — csUujj^p se saluer, s'embrasser. B. 1 26.
J^ dij^^y soufflet de forgeron; poule qui cesse de pondre et se met à couver.
Le coq chanta à son heure, la poule ne cessa pas un instant de pondre.
1^)и«1мJд^^^ désirer ardemment.
J^ viW^W^^^ s'allumer, en soufflant.
«2)^X«^^^cadeau pour une bonne nouvelle.
^СкJjj^^ bruit du tonnerre.
jLeSjrjJ mettre en morceaux.
J^ J^^ charbon ardent. — j^j\jLi^\ jуш J«>^jjybùi.' Jj^^l^ le rôtis-
seur examine les charbons ardents, le plaideur examine les mots.
L ^^œil; bouton arrondi qui surgit sur le ventre; automne; fontaine;
fossé, trou; nom propre. — B. loa. ç^^\ j^ ^ S^ JУ on était
alors à la fin de l'automne. — A. G. 35, 36. iS^j^^j^ jy^ ^^y^
il fit creuser quatre fosses et fit attacher fortement les chevaux et les
chameaux; les Kizilbach ne purent passer ces quatre fosses. — A.
G. 3o. jyiyi JUo sU:ib ^^^1 l<XÂXAj»^U:b. ç^(suuê dU^ij^Gou/,
en langue du Khataï, veut dire, grand roi.
«p viLe^^^J, viWI^^J observer, guetter du regard. — *f)l;^ automne.
/ (З^J^ ^д^-Г avoir l'œil ouvert ; attendre ; prendre Tœil pour but. — B. a 5 1 .
(iy^y^'j^ ^'^ àj^iS^^^^jy^ i^ous attendîmes longtemps ceux qui
étaient dans la citadelle.
фjj herbes et fétus de paille brûlés et gâtés.
^ t!)jj beau, gentil; perdrix.
L ii|^J)jJ narcisse; qui a des yeux; lunettes; graine noire employée pour
traiter les yeux malades; herbe qu'on appelle, en persan, «A^^^cwi^^.
àlO sài^èjS^-
<^уЬу^ *i* btfS--,jl .
u^5L*5jl
tf»
4-^>-^tr^ b'
.4 И h tjl>J^
Jjjl, A^^jiji д^
y5t ЬJид
^1*
JyJj^jjijlf iU/.i<JU (fJ^'^yM
jy
ô toi , dont le visage brille comme la lune dans les hantes régions de la beauté ,
dont les yeux s'épanouissent comme le narcisse dans le parterre des grAoes,
s'il est vrai que tes sourcils décrivent une ligne tortueuse, du moins ta taille se
dresse aussi droite que ce cyprès.
•^.^•д^J reprise , rapiéçage.
siii^^J une des parties qui composent la tente, parois de la tente. — jx^
bàJfjyS^ iS' (^\^Xj^jyjj\ дк^ Jjv3 Sj3 <^^*ilJ4H4u-J>^t quant à
la chose bien connue sous le nom de ak oui, les Persans la désignent
par le terme de kherguAh «tente». Au surplus, ils donnent des noms
empruntés à la langue turke à la plupart des parties qui la compo-
sent; tel est, par exemple, le mot gouzenk.
jfi viLe в)^иГ repriser.
^UmjJ bois à demi brûlé, tison allumé.
jЦj5'(j..иу <ÿ^зJ gfu эз' Ъ^ öЧа;'*
Les hommes aux noirs instincts ne remplacent jamais par quelques bienfaits
ceux qui ont le cœur pur; un tison peut-il tenir lieu d'une bougie parce que son
extrémité jette un certain éclat?
En turk ottoman, {S*S\ signifie un tison enflammé, et «^«M^un
tison noir.
w^ taupe.
^ v>i^oJuM^J montrer.
^iiJuMjJ entraves.
^jУ 471
«(VM^béiier, bouc.
viL^v^ftJ agir avec violence, se fâcher.
s^XjSéjS^, «iLM^petit chameau d^un an.
sJuM^j détendu , mou.
4^d&ftJ |7. action de se mettre à part, de prendre à part, pour S*^y^-
— B. 5i. (S4f} *-%аХаj t^lu^Jkiljy^ ùj^jy^ (Sj^ y dit toutes ces
paroles au mirza en faisant un aparté.
viL^^^décamper. Voyez гJ^вт^ — A. G. qo. j^аjсjЬ сjушу^ àécsnu"
pant, ils retournèrent.
J^ ifLJ' couture, racine; bien réglé; harmonie. — *l)p'vert; bleuâtre; ciel.
^^LXjL^r V3J3-3 Ь<Х^
Vénus ayant fait résonner la harpe et le tambour, exécuta une mélodie sur le
ton du gémissement.
Pleurez, 6 bougie et bouteille, car le musicien funèbre, certain de ma mort,
a fait entendre des accents pleins de tristesse!
j^jUwTd^^^^^ j^^^ jидJи-I aW (S^ л^ ff (jiM^ ^^y
j^yi> «^Ь ji^^l^ ьу^ bL j^â 1^ on emploie le mot ^tteui ou
hivk dans plusieurs acceptions. Il signifie le ciel; puis son; puis il
forme le verbe keuklemek, qui veut dire coudre une garniture.
keuk veut encore dire une brûlure, et gueuk de la verdure et un
lieu plein de verdure. — B. З70. г)j5"Ь^ÿьк JJчнö^би fdS'^fiy^
jу^у^ (SH^'yi de même qu il y a une peau verte à l'extérieur de la
noix. — •N»^ àj^àu fourrage vert. — j^ *i)jJ de couleur cen-
drée. — t^b ^^ pierre de marbre bleuâtre dans la medresseh de
Mirza-Oloug-Beg, à Samarkand. Un feutre Ыапс recouvre cette
pierre ; on soulève trois fois le khan sur ce feutre, lors de son éleva-
472 ^Lrb^
• tion au pouvoir. — *-*;b J^ espèce de corneille. — ^\my^ Ô^
bleu pur; ciel; inflammation d'un cautère, par suite de l'application
du papier bleu.
^ liX^cT^devenir bleu, vert; pousser, croître.
La beauté de sa parure de soie fait devenir livide la joue de la iune; ceux
qui la contemplent s'inclinent respectueusement devant elle.
JuD^ oiseau de proie semblable à Tëpervier.
sè^jS^, jLib^chouette.
(^jS^D^espèce de taon.
vfLo^JLl^jouer d'un instrument, le faire résonner.
Échanson! donne-moi une coupe de vin; mon coeur désire le tumulte; ka-
lender! commence à jouer de ton instrument, élève la voix, fais retentir le
iopimz.
\) Jl^J^J^beau.
iilKJ^foie, cœur, poitrine. — (:j:^l;-S^pourpoint.
Si je suis sans force pour supporter le malheur, hélas! faut-il s'en étonner,
maintenant que celle qui me tient lien de cœur 8*est âoignée de mes r^rds,
comme si Ton m'eut arraché un morceau de mes entraiOes?
Ton poignard a pénétré jusqu a mon Ame en s'enfonçant dans mon cœur; ta
flèche, venant pour me visiter, s'est fixée dans mon flanc.
^1jJ(^ 473
iiX^I«j^, s^uSyJ crier, en parlant du chameau; résonner, en par-
lant du tonnerre.
(jбЗ-J^rugissenient du lion.
y ii)^«MJ^poitrine.
^jyASifJm. vieillard, âgé. Gonf. &à.|^^>:^a\) .
J^^qui donne à teter. Gonf. ь^.^а\)Ао^.
sfLo^kJ^coudre , racommoder, ajuster, border un vêtement; jouer d'un
instrument. — B. 3oo. p^^^jï ^^!Л|^-5"Аjсj ç^^-aÇ^ ^^^^UJb je
transperçai (je frappai à coudre] son bouclier et sa cotte de mailles.
Exécute d'une voix pleine de charmes la chanson des Turks; accompagne du
son de la guitare tes accents mélodieux.
Pavais demandé une modulation qui nous rendît à la vie; musicien I tu as
accordé Tiostrument de la séparation et tu nous as joué un air qui donne la mort I
^UJ^ frère de lait.
Ô toi, dont rame est unie à la mienne, mon frère de lait, mon jeune firère,
mon âève et mon fils I
Sous le rapport de la parenté il prêtait que son frère de lait; mais dans la voie
de la vérité il était son propre frère.
474 J^У*
лЦкJ cœur. — V. a 7 7- ^*-^ jiS^si le cœur le demande.
f^JfJ esfhce de prune sauvages; en persan, ^l^^l ou ^jtâi-c, en arabe,
jj2;-i^; lacet qu'on met au cou des condamnés.
j^J^vase lustral dans la langue de Kachgar.
^jJ^ précieux , digne d'être offert en cadeau.
v^U^G^ ^^^^J^poitrine.
ji^^i^grande aiguière. ^ o u '»'''''*' ^^
Jyu^^J^couleur tirant sur le bleu.
U JjJ lieu où se rassemblent les eaux; chemise. i/T CfAvx^
Le bord de sa tunique est souillé de boue, son corps, par devant, est tout
humide; oui, tout humide; mais devant cette humidité il y a la chemise.
ir JjJ cendre.
9j|^ espèce de sucrerie, dans la composition de laquelle il entre de la
farine et de l'huile ; souriant.
c^j} agitation des flots. — J^^S' monture, bateau.
4s.4^j4!l JUU. ^^улХ^ :>j^ ^If
U fait une vile paille du palmier qui crott superbe dans le jardin de Tintelli-
gence; il soulève, dans leur fureur, les flots de la mer du malheur.
La large ouverture d'un bateau représente la plaie béante de mon cœur
amoureux; les flots de la mer, qu'est4% autre chose que Tonde écumante du
torrent de mes pleurs?
Jjjу 475
Les anges faisaient briller toutes les jouissances devant Sdomon; seul, le phé-
nix a le privil^e d'ombrager ta tête.
^\j^ ^j^ ^Sbj^ U^lï ^15^^^
V^^ ^^' ^^з' {^^^ъ^^^^
Si ton ombre venait à rencontrer le corps de la terre , il se trouverait phoë
au-dessus du ciel lui-même.
f
V
jrUjIjJ riant. — *^>î)>! go'Sf^au visage riant.
jjJ^Lj^ chute d'une béte de somme qui, tombant sur le ilanc, ne peut
plus se relever.
Ai^a&Aj carcan qu'on fait porter aux criminels.
vfxJ^vase dans lequel on trait le lait.
^jxJ^rire, sourire; riant, souriant.
Amenant le sourire sur la bouche de Tintelligence, faisant descendre le sommeil
sur Tœil de Tesprit.
lil^i^o^J^lout livide, tout bleu.
Il frappa si violemment sa tête contre le tombeau de son père que la pierre la
fit devenir toute bleue.
V (iJd^rire, sourire. — ylf^^S'en riant; qui rit toujours.
vfl^J^chameau, cheval, bétc de somme.
Л76 JUjT
AyijJ sourire. — ^XtjJ^ souriant.
^:iUy^ (jj^jé^ Uë^si^ ^^j^ à^> ^
Je oe me sois pas rencontre un seul jour avec mon bouton souriant conune une
rose ; durant des mois entiers il ne m'est pas arrivé une fois de me trouver bce
à face avec sa charmante Ggure.
S^\m^^jj sourire.
^ ^Ц^ planche dans laquelle passe le pilier qui soutient la tente; espèce
de pain qu'on laisse dessécher quand il est cuit.
dUp'aide, auxiliaire. — JUi^ j^*fJu^ LL^ ^^^^^ {^.^^)j^ j^jj^ yi^ ^
j^iS^j^ Ч^чЛ^. ils s'imaginaient que ces nouvelles leur arrivaient de
rirâk et qu'ils allaient recevoir des secours. — âl«x^i ^\^j (j>--м#^
i^Hs^^ ^^ ç^^^^ S^j^ *iLUi) f^j^ *^(:ГС ij^'^^ ^)^ 4**^
(^jJt Nouchin-Revân, venant à son secours, expédia des renforts
dans le Yemen par la voie maritime. Ce fut, grâce à son appui, qu'il
reprit possession de son royaume.
Mon âme et mon cœur ont été perdus lorsque la douleur de son absence est
venue fondre sur moi ; ceux qui devaient me porter secours ont été plus faibles
et plus misérables que moi-même.
^^U^, 1^.«^ auxiliaire. — B. 53. ^j-4^j 4$Ц-^ «^35" sol-
dats auxiliaires et citadins.
JU^nuque.
Je me suis perdu k vouloir retracer toutes les peines que m'a fait endurer son
amour; plût à Dieu qu'on m'eut fait sortir la langue par le derrière de la tète !
jjj^jjhmii sourd. — JJL>yu*^ bruire, mugir.
v3y^^^tison enflammé.
*i)lwo^ hypocondres.
(j**-^вjj poulailler.
«i)^X/*^bleu pur.
Кj^уJ^ ^L^«yJ^abri que les chasseurs et les jardiniers se construisent;
poulailler.
(iL^^ enterrer, enfouir.
U ^д^^вjJ charbon.
\д^аjуЛjJу \^^\àjyAjj тпфт^ en parlant du lion; résonner, en par-
lant du tambour.
\iL«j^^^ ronger un os ou autre chose.
^yf^ os\ le tibia, la jambe.
ii|)^J^^^caché, enfoui sous terre.
dljjf^^J^i^e^J collier de corail qu'on met au cou du cheval et du chameau.
L ^^^soleil; jour; cuir; bannière et corps de troupes qui marche sous une
bannière; gens. — B. 35. j^jJ^^ {jy^ {y^^. u^j^ с^j^^з' ^^ec
leurs tentes, ils formaient soixante et dix bannières. — V. 56. 1 54.
l^^A^jS'yy^! à nos gens. — Lfi>- j^-S"tous les jours.
^^^^^ jtK^ Vjy>^
j^Ь^ jl^l jLji^\ j^L^ L*â,
Chaque jour la solitude attire le rossignol , qui s^entretient avec lui-même des
qualités de Nevrouz. Lorsque la rose est misérablement captive dans une telle
douleur, chaque jour aussi elle patiente , n'ayant pas d'autre ressource et réduite
k rimpuissance.
wîljLAjj-S'pro visions, paye. — A. G. i4. (j^^x-UJ)) dLuûjiSi^ijS^à
cause de mon peu de provisions. — iilAJ;5JfyS^ espace d'une journée.
478 siULjX
Chacune de ses herbes était pointue comme une flèche , à plusieurs jours h la
ronde il ne se trouvait point d*eau.
(j{^аэЬ^(1е jour en jour. — jЫ# yjS'côté du couchant. — y^
^1^1^ outre de cuir. — ^!«Xi^ suivant. — jЦ^ (j^S'côlé de
Torient. — i^fSS^ u^ héliotrope. — v#4h u^^^^^^^o^*'
^ d^J^* (J^J^* U^J^f cpb^soleii; jour très-chaud.
^j\iqy^m i^oJ^! j*N-V-iw ^^^ «X^j! j^^ ^jу^
^j\Сл 9^\шш (^щ^ш L»^3^ ^(S^^J3^ ifiy^
Lorsque l'écrevisse se change en salamandre sous Tinfluence des rayons du
soleil, lorsque le parterre du monde s'enflamme, pareil à un temple du feu; il
n est pas possible de sortir dans un jour aussi chaud ; heureux celui qui peut
s'installer sous un frais ombrage I
Que la lune et le soleil se revêtent chacun à leur tour de leur parure, ils ne
seront jamais comme toi ni comme Thabit dont tu te couvres la nuit et le jour.
i^^jyhy^ Salomon, en punition de ce qu'il avait négligé de faire la
prière de Го^, tomba dans le trouble. Dieu, faisant rétrograder le
soleil, le retint immobile à sa place, jusqu'à ce que le roi eût réparé
son oubli.
\А^ууГе1ге heureux, être satisfait, se féliciter.
-eitffc^ — ^ar .
•«^
JupI^j/ 479
Calme le feu de la passion et du dësir qui me consume; renvoie-moi à mon
chemin le cœur plein de satisfaclion.
{^Ьуj\е cours du soleil.
sésame.
!>«^^ pièce de bois recourbée; charrue. — ^iLë^liXi^ arrondir.
ij^^^jfy c&S^^y^jfde travers; égaré. — B. i3i. JUv^Ju^ ^Jз' *fA^>^
J3I S^^S^^j^ ^ f^ySj^fi ifS'^yiyi une pluie de flèches arriva à ma
cuisse, mais passa de travers, c'est-à-dire, sans la traverser.
viXjJl distraitement quotidien.
^ J[^>OjJ jour, de jour.
v3^>ôjJ aiguière.
sÙ^ osùjj nombril .
1ЯЗjJ poussière.
-.IxJjJ qui tourmente, qui raille. — B. 19. (^«x^J is^^ а^^з 5^i^
c'était un homme qui aimait à tourmenter et à plaisanter.
^^ yj^ijj taon .
viX^Lxi^se faire des reproches à soi-même dans la colère. — dLcl^^^
se parler à soi-même, murmurer.
\ru.w^5jr j-ûL* Ц^ yl^ ^^oJ^l ^з-а^ p>ii
I
L'amour amène toujours avec lui les tristesses de la séparation ; garde-toi de
t*éprendre de quelqu'un; maintenant que tu es an^nti, pratique la patience et
garde-toi de murmurer.
Quoi que ce soit que Dieu te prescrive, fais-le avec gratitude; car il est intolé-
rable qu'un esclave exécute en murmurant les ordres de son seigneur.
^80 Jbl^jJ'
J^ jSkijj cœur. — dLç^â J^^ avoir des battements de cœur; avoir une
contraction d*estomac. — (^^1» J^^ irritation; blessure du cœur.
Ш \^\j\jjj^ J^KXi^chemise. — аД.лС»УГ chemise d'une seule pièce.
i^l^Axi^encens; paye quotidienne.
^iàijJ<iyJ étonné ^ stupéfait.
чJ^4Г^ vexer, tourmenter; s'altérer, se changer. — B. 80. ^ioo^ jjц?1
iS^^ сЫ {^(S"*^ Ф^ dUfti JЦ^j^у^ il n'y avait pas de bon sens
à vexer les gens d'une telle façon. — B. a5i. »^Jo^ jljî^Lw (j^^jè
^âlifyb (^jfjè уА ^Oc^l^j^^il ne me reconnut pas, soit parce que
je m'étais altéré, changé (je m'étais tourmenté moi-même) au con-
tact du froid et de la neige
s^jàjj s'habituer.
^Iê)b AJjJ sorte de lézard.
A j^^^envie, jalousie; chacune des deux femmes qui dépendent d'un seul
homme; servante des dames. — ^ХбЗ^ envieux, jaloux; femme dont
le mari a pris une autre femme.
Jp lilAxijJ envier. — A. G. зо. ^"^t^^ à^y^ portant envie aux Mongols.
5 If^ gendre, fiancé.
Ils les déposèrent tous deux dans un même monument; la fiancée inanimée et
le fiancé sans vie.
^^:>j^ l^l ^у^ Ч-нЛ^ 3\t^ à4^bi(^ J^^ Аклj^Алз jЛ en tout
état de cause, le César, ayant pris Lohrasp pour son gendre, lui donna
sa fille. — J3I 3LyS" sarriette. — viLt^^l^^ courtiser.
с^j<5Ч>J furoncle, cancer. — A. G. i36. a^^^ Iï^^J dU^^^^^-i^ «^1
4^JsJuj>. S)3<^.y^nn furoncle se montra entre ses deux épaules.
%Ù\j\^jJ oiseau de proie semblable à Tépervier.
^у.^ 481
yi (S^.'^^g'o ^iUajI <^ULj сjЦ''^
Quand même on entraverait Taigle noir et le komkanak, comment ce ^bier
pourra-t-il leur faire la chasse?
qui brâle.
iiJk^^L^^étre en chaleur.
viLfjJ" brûler, être consumé. — R. alib. Jljj-^ ^^j^Xil^L j,«Xj л^j^
^^*X-^I jГjуj* v>*î>^J^-^ ^^'•^чнс5^м-б-'5'с4>1^^' après avoir marché
quelques pas, la fougue de ceux qui étaient en avant s'arrêtait étant
consumée. — A. G. 176. c^^^-jI V^^^^J^^ ^il^^^^J^^ ^^' mais
l'ardeur des Turkomans s'était consumée. — ^ib^^^^j^T allumer.
Mon cœur soupçonne que le ciel, dans ses décrets, na fait briller Tëclat du
soufre que pour allumer la douleur des victimes de Tamour.
viWLfjJ" prétexter.
0 Nevaï I si Tami te commande de te jeter au feu, ne sois pas consume de re-
grets de ce qu'il faut mettre h nu ton corps, ne cherche pas de prétexte pom*
prolonger ta vie.
Quand je passe par la rue de mon ami, dussent les calamités pleuvoir sur nui
tête, je trouverais encore bien des prétextes pour m'y attarder.
l^ iilu^^ linge, chemise.
chabraque sous la selle.
viJ^JLj^ outre dans laquelle on trait les chamelles,
vi)^^^ brûlure; brûlé: chagrin.
DiCT. TL'RK. 3t
482 ^
^ espère d'oiseau de proie.
L'oiseau de proie a aussi des ailes et des plumes d*one vaste dimension; mais
y a^'il chez lui trace des propriétés do houma f
^ ч^^сАj étroit, uni.
vJUeXaJ cercle de tambour de basque.
9 u^
jJ^jS grande pointe de flèche pour la chasse, et flèche qui en est pourvue.
Après lui avoir mis des entraves de chaque côté, lui décochant un fer meur-
trier, il Fégorgea sur-le-champ.
Jû «jL^^kxAJ être étroitement uni Tun à l'autre, se toucher.
^J^ hérisson. — {J^ 4^j^"^ espèce de grand hérisson,
^ÿjjусотте.
\f> s^/«)LJLaj emporter, anéantir.
iJJLXjuy nécessité de partir; qui doit partir.
i^U\AJ bêche. — B. 89. (jU4^ |;У des palissades, des bêches.
^ siLjNAJ aller, partir.
S'il se fait altendre, qu'en dois-je penser? Quel molheur que tu doives venir
et que moi je doive m'en aller I
\û lik^^^JusJ apporter.
*^ ^^y étonné, stupéfait; tard. — илл^ ^5^tomps du soir; tard.
U83
Ô Nevaï I prends dans ta main ton âme qui est toute en feu et éclaire le che-
min; car ce soir mon hôte, (échauffe par le vin, va monter à cheval et s*ëloîgner.
Si mes journées de douleur ont tant de peine à s'écouler, malheur! cent mille
fois malheur h moi , pauvre délaissé , lorsque vient l'heure de la nuit I
^IXAi^fy plante médicinale.
1лвдj derrière de la tête, du cou; troupe postée à Tarrière-garde.
0 Nevaï ! quelque chose que t'envoie le destin tends le cou; car celui qui veut
retirer sa tête (en se révoltant) se grattera plus tard la nuque (se repentira).
рялj traverser, passer
^ <?^nuit.
^ А9?\Г feutre.
refymûre sauvage.
_^cu passage, gue.
E^r démangeaison, inflammation, gale.
L viXxaçyTpetit; méprisable.
wîXx??y démangeaison , gale.
ffvefNj armure du cheval au jour du combat. — B. 109. |Л-:л5"а.Р;^1
4^Ui» mettant aux chevaux leur armure. — /rf. 396. si^^r^j^j^y
^^ un cheval couvert de son armure.
%лГ saleté, ordure; partie de derrière.
3i.
484 к^^J^
^ sÙ\jjS\\ faut. — JLx)^Ih3" nécessité.
AJwy vêlement.
!p viLs?7t^cils.
lilLfwJ^partie saillante du gosier.
li^^ju laver.
^UM^jvJblanc de céruse.
liX^^^J^-AJ faire entrer.
Cet autre, par sa parole, rend la vie aux morts; par son verbe il fait entrer
rame dans le corps.
B. i33. ^^^jyS^^ 9^j:>^ vyy (jî?^p^>Jy diÂfrXjH me pre-
nant par-dessous l'aisselle, il me fit entrer dans la tente.
jX^^wy devenir malpropre en parlant d'un vêtement, d'une plaie.
vf)l><«J^J maille, nœud.
]a jJк.л-лГ entrer.
Il y avait beaucoup de routes pour rentrer dans la ville; toutefois, le premier
qui y entra ce fut lui.
J^ J^^Ь^-аГ bailler.
I
Il arriva et vit un vaste portique, puis une coupole et un salon de réception
dont le ciel semblait être le fondement.
s'étonner si son nom impérial est inscrit dans Tenceinte du portique
de ce jardin?
Quand les discours furent finis on étala les présents; ils étaient en si grande
quantité que le portique de Chine en fut tout rempli.
i}\jjjSh. caïman. — B. /176. •xâL ^jÎ^xjI ^^j^Xx^yi^y Jo^jL^^jJL ^
j\j^\ме un poisson, par crainte du caïman, sauta si haut
(ji*-^wyJ corde à boyau, corde d'arc; entrée.
U JUu^i^jy bohémien.
s^^^^ià^^ijjS être introduit; commencer à — J^J ^З^JУ^j G c ■***
^и1..,й..,.j^,д5^1а voûte arrondie, pareille au creuset de l'orfèvre, s'en-
flamma tellement au feu du soleil, que peu s'en fallut que les graines
des étoiles fixes ne commençassent à couler goutte à goutte de la
coupe du ciel, comme le plomb qui entre en fusion dans un vase.
J-AJ feutre.
j^jу>УЛ,К^ ^\i JLàJol {J^\j (jyi^ (jv^ ^jу^
Lorsque les pierres lancées par les enfants brisent ma tête frappée de folie, le
feu de mes soupirs, se communiquant par. mes cheveux en désordre, incendie
mon bonnet de feutre.
f^:>j^\ jl^j^x:^ (iy^jyi 1)^1 yù^yi ^jS il enroulait le kourtchouk par-
dessus le bonnet de feutré. — ^^>>\>^ tente noire de feutre.
viJijJU rnarche, promenade; garde, celui qui la monte, tour de garde;
rang, file, ordre. — ^^!j^ gardien.
J^ sà^^^jjS, liLe^jj^Tcacher. — - ^JS^yS être caché, se cacher.
Л86 Jцод^ХаГ
^ ^Д^1лj marcher, aller:
s^ j^UybxT brique non cuite. — A. G. i6a. ^i^:>^\-wb Л,.шьа5^ ^jib ils
jetèrent des pierres et des briques.
^уJКшj^Фш^j^ ^уj,^шшКшj espèce de casse-téte, composé d'une boule de fer
attachée à un manche par une chaîne ou une courroie; cette arme
s'appelle, en persan, jlo. — B. 137. (^J^^aj^ »^3 ^^^^h masse
d'armes, la javeline et la hache de combat.
<Д/оj!^^ХйМклГ rendre capable de couper.
U «Acw^i^i^ couper; décider.
viX4w.^>»jy faire un accord, une convention.
A^w^jkJ pain rond; coupures de cheveux qui restent sur la figure,
U jjÿ-ш.лj coupé.
j^5-уу»лJ vêtement.
«fUMjy fermage, rede\ance officielle,
ji^jy martre-zibeline.
ji*-Aj couverture, enveloppe. A. G. 66.
^иАлJ chaîne, entraves.
Ja J^\jJLjS hennir.
Chaque cheval qui hennit en regardant le ciel, qui brille au loin d'un ëclal
comparable à celui du soleil. . .
\é j^«i»i6^ quelqu'un, un homme. — j^ (^Лр peuple, populace.
tiA>»^AJ tortueux, crochu.
siXmQ^jS se courber.
JfJjuS qui a éprouvé du dommage, souffert de la peine.
V> JhHS^, siUTcerf; habit. —V. 366. х^j\^ j^ ^\oS^ à^> ^у^j^^
^^^Ufcob il ne s'est pas trouvé, en fait d'habit, une chose digne de nous.
иJ^^^^jХлГ s'habiller, se vêtir. — B. i36. JLu^l /^-.>*>s?^ c^^^^^plç- (jv^
JЬ;jJиГ 487
^y'^^j^ <^^jj!^\^^^ j'étais entré au bain; m'étant habillé, dans
le bain même j'eus une entrevue avec lui. — Peut-être faut-il lire
iLJ^AJ vêtenient, vêtement de dessus. — а_^J.-л1 ^Ьи^.^' д^ыj^^
j^iS^jy^^-^. ^iJ^I^^H^qu'ils fassent parvenir chaque année des vête-
ments aux indigents.
Ils reprirent le chemin de la ville après avoir jeté sur leurs épaules un ou
deux vieux vêtements.
^ÙjjSJS, Jôj^iS, s^hjjSJS gosier. — B. 2 58. cj>.^(j)^*>4^V ^^'
^^jJb 4-^4^-*-bi ^^1 J'L^.-LfX (<>^Ц- 0^1 1<^I<V je dirigeai mon
coup précisément sur les côtés du crâne, derrière les deux or^lles;
son gosier ayant été atteint, il resta sur place.
U f/^jS rot.
sÙ^ySjS roter.
jjvXAj^feutre. — B. i3. р^ь^^ ^ ^г>Л)^^1 ><^У>*J^öЪ^
l'ayant fait asseoir sur un feutre blanc, ils le proclamèrent khan.^ —
A. G. 66. vW с^^^ч^ (jî?«>J^^ (j:?^*i^y ayant fait une couverture
de feutre et de camelot.
Joy particule qu'on ajoute à la deuxième personne du singulier de l'im-
pératif dans les verbes qui commencent par une lettre douce; agneau.
— B. i43. ji^iXÂiL^ t^Hutjliî (jviu*^ S^ ЛJ j*^ ayant trouvé une
vieille pelisse de peau d'agneau, je m'en couvris.
Jr vfJ^AJ venir. — ^^.кчдА^ве rendre à... — Ьлjи5^ jfl^J^I ca-uIô a.*^
^^b^j) c-a^^aS'aju^wa^^^; -UI {^.^(s^^^ ^j^J ^1 ^^^^ ^^^ f^^^ savoir
qu'à la station, on s'était rendu au jardin de l'Imam pour un pèle-
rinage. — sii.^yJ^apporter. — iil^^^KftS'se rencontrer.
^jЛлj arrivée. — ^yS^ ^,à^:i\j^ é^^jj^^jxs^ y^ l'arrivée de ces nou-
velles de l'Irak.
sÙXijjXju entraves.
488 jyçS
hUj*. bananier. — B. 162. л^*Х-j1 i^^^y^S^\ Viu^^^**^*^ j'avais
apporté des drageons de bananier q^ue j'avais fait planter.
(JклJ grand mortier.
U (jîkjJUj venue.
U jvAaJ fiancée , bru. — A. G. 11. j^jAaj ^3lj(5Uj^j^(jjvA^mes brus le
savent mieux que moi.
ли, лГагтиге du cheval: cotte de mailles; vêlement.
ffy qui, qui? comment?
y viLfJ" vêtir.
jL^^^-cJ" cartilage. — A. G. 10 4. Ja^^^j^^fJ^J^-^ ^ÿу^ J^Jц^^^йн^
jjУ^ <^^^?LHî^'*^^^^^l;' chacun a des cartilages entre ses os qui se
tiennent tous les uns les autres.
*^^ыу*|<\Гипе personne, un individu.
4>s3uMi»4Nr, ^Uwkii^J cuir jaune, peau dont on garnit les miroirs.
^ ^^ Se
Mon pas une tablette, mais une parure avec une peau mordorée telle qu'en a
un jongleur indien.
Cjb^l <-^u^o^* ifS*^y^*^ aL>1 ^b
Quant à la couronne et à l'habit qu'il avait préparés il leur avait donné l'ap-
parence de la dorure avec une peau jaune.
\л Ллл<«1*сj quelqu'un.
jii«XA-ÇJ compagnon, ami.
(
J
^J^jSJjS, JииуГ 489
Le soir est un charbon noir qui s'enflamme au souffle du matin; les étoiles
sont des drapeaux qui flottent au-dessus de ce globe.
j>j-^J couverture, enveloppe.
vJl^^^^éCJ cacher, voiler.
AiCJ embarcation.
4^-ÛIj^jL ^j.^ X.fP J^I ^j^J>j
Lorsque le vent fut sorti de son équilibre la barque se trouva côte à cAte avec
le vaisseau.
^^jvjy, jy partie postérieure; après.
Lorsqu'il fut resté quelques jours dans ce lieu , tout ce qui était encore en
arrière ie rejoignit.
iSj^^^ ^LfcJ^ ^А^шjуа^ {Ji:jS >Ù^,^ {JСшщ!» яJ^^
Quand cette beauté a paru devant moi, il ne reste après elle qu'une sombre
tristesse; ainsi brille le soleil, laissant tomber Tombre derrière lui.
л^ЧА^аргеб lui. — jP 1%Х->1з ^^:^J^ *-pJ!/-* <^^-^' ЬУ^ ^ '*^'
(^Jô^L \^i^yS^'^^\^, vHV^u^^b л^^Ч-Хп ayant pas pu y res-
ter, il s'enfuit à Merv. Là encore, des coureurs étant venus à sa suite, *
il se cacha seul dans un moulin. — (з^J^ (Ch^S' tirer en longueur.
y y^^jS^ cLi^ÀAJ village.
gSuS^-Ui^ JjjsTlarge.
iS^f^j\ ^уЛ J^-A_J (j^J^ л_аХj
i^!^\^ f l?' ^^Ъ^ ^у^^^ ^i^
Sache que la pcrie d'une parole ingénieuse est le plus bel ornement de l'oreille,
comme une chaussure large est le repos du pied.
490 ^J!Л>-4^
jârlxJLAJ consultation , conseil.
'Wb" ол;з' U^V c^^jy ^
Il fit venir bien vite tous ses parents; il leur proposa de délibérer sur cette
affaire.
Jl— ûULji — A-^ conseiller, ministre. — A. G. 43. j^el—nî^l— *
j Ju^el J.А^51J^-й\Хлл$^ l'origine des rois et des conseillers.
<iXi^lxJLAj tenir conseil.
Le roi, ayant assemblé tous ses amis, tint conseil, trouvant à propos que- les
médecins fussent présents.
Jliwjk^JuX v^dl^JusTétre large, s'élargir.
клj particule qui sert à former les diminutifs. Compar. ла^
^у..Л^ ОСЛ-Г^Ь 2А^jЭ^
Qu il abandonne la plaine pour un pauvre petit jour, qu'il parcoure le jardin
tout orné de roses.
^^àj--»î ji^^l jiL ji'^ueyi ikkS(jSjj ù>é b>é ^.:>,^Ad parfois des pen-
sées un peu colorées sortaient de son esprit. — vilJo,^U*»»5^ {J*^
LJ^ ^if*j^ ^j^yi b^i^l JIajI^ Juoji/j^Xil»^ s'il se trouve un petit
nœud à leurs pantoufles, ou à leur turban, ou à leur mouchoir, ou
au bout de la frange de leur habit.
^^iUjyo^U^ft^J action de se vêtir; fête du renouvellement de Tannée
chez les Mongols.
Jл^д^-АJ jdacer; introduire, faire entrer.
-r — I ^ - --j^
^jJ>J 491
Ayant recouvert ses membres d'ime robe rouge ils le placèrent sur-le-champ
dans un berceau.
Attachant au cou des pillards une ceinture de moine , ils les ont placés parmi
les infîdèles jusqu à la centième annëe.
iS^j^^^ J^' ^^y^, à^yi^ le premier, il plaça le chameau sous la
charge.
5j-AJ teigne.
j
y ah! hélas! la joue. On le prend aussi dans le sens du persan ^^ boue,
lie. Particule qui se joint aux mots pour les convertir en verbes, par
exemple : ^j-«>Uilf commencer, ^^.^U-ub- lancer une pierre, etc.
Hélas! je désespère de la vie; hélas ! je meurs dans un triste abandon !
Le souvenir de tes lèvres a converti les miennes en un torrent de sang, hélas !
et Га fait couler à flots du milieu de mes yeux , hélas !
^ \Sy particule qui, placée devant l'adjectif, exprime le superlatif.
\jУ bouillie, limon.
ULJ^^ jarre.
u92
U jy^^ faucon royal; montagne escarpée. — l*b (jv^*^ montagne escar-
pée, montagne couronnée de retranchements. i^t^itA^ 0 l^ (y^trf^^)
y\ ^!^y convoi; cadavre. 'Ъх^г Cc,^
Lorsque je vois ton rival et son chien h moitié mort , ô pauvre Nevaï ! il me
semble que ton cadavre lui a été jeté en pâture.
i^^çiiy butiner.
0 Nevaï ! maintenant qne tu as posé le pied dans le domaine de Tamour,
comment butineras-tu dans cette vallée sans limites?
^ v5^ particule qui se met à la fin des mots pour indiquer la place, la
grande quantité, par exemple : (^'^^^ул endroit sablonneux, d^^lt
endroit dangereux, etc.
J/ i^^^y sorte de pain long et mince.
i^y boue. — c^-*^^ enduire d'argile, de boue, embourber. — B. 297.
jу^ V^^ cS*'^^^ i34!^^^ (iy^^^ j^ »аjJч5"уКj-^! ^yш^\ dans ce
même passage que nous avions traversé, un grand radeau chargé
de grains s'était embourbé.
^ j; , {J^!у particules exprimant Ы ressemblance , par exemple : сJЗj:?Ч?J^^'
comme un voleur. — V. 53. l-*«jUy j^J (^^Щ'? comme ci, comme ça.
Lv vieillard; directeur.
JjLiLs-' lien, entrave, règle.
Jp iik& foulard; guirlande. — j^<^UJLm dLi лжаj^ ÿ^^. vibJe^XA^S" opi-
niâtres ou douces, qu'elles mettent un mouchoir sur leur tête.
M. et L. 62. j^^-4 ij^^j^ *-^^* ^^*^
Des foulards étant entortillés autour de sa belle tête.
si disputer.
^mLÂJ grains à demi torréfiés.
/ÖJ froc; œuf gâté!
9
jy <Дз^, dMJ pagne qu'on attache autour des reins.
Ji-JlJ c^^L^L I^Jlhh? ö^^ г! ^.i
Л93
Sadik, attachant un mouchoir autour dé ses reins, entra dans l'eau comme un
bateau dans h mer.
^^з^^и» Ajy^làLuL j^jl? les femmes s'entourent d'un pagne dont
elles mettent une moitié sur les reins et l'autre sur la tête.
лJj crabe.
jj. Voyez i^y.
^ЬjJ vesce, espèce de graine.
4^шjJ nu, dépouillé.
y Л^кjJ prune de jardin.
c^ûji {^^^ de la même espèce.
^)*liy balourd, rude, grossier.
siXju, /Jhiy, ^НУ 9 ^^^' ^З^' Л^"^ placés à la fin des mots, indiquent,
1" la relation, par exemple : j^^î endroit ou il y a de l'herbe, pâ-
turage; 9° l'abstraction, par exemple : (j^yA. abondance; (jyJjy^
droiture; 3** la possession, par exemple : cd^Xû;^ qui marche, mot
à mot, qui est en possession, en exercice de la marche.
Chacune des feuilles du cyprès est arrosée du sang de mes entrailles ; autre-
ment verrait-on des cyprès ambulants h feuilles écarlates (des femmes élégam-
ment parées)?
49Д JиJ^
ô mon cœuri quand tu creuses la montagne du chagrin, poussé par la pas-
sion déposséder son rubis, malheur à toi! tu es un Ferhâd, impuissant amou-
reux d'un Chirin.
Tu es la personniGcation de la loi de Funitë et en même temps de Tassociation
(des attributs divins); tu as en toi la vie, la puissance, la miséricorde.
%àjJ gros; solide; lourd; sorte de colle avec laquelle on scelle les manches
de couteaux et autres ustensiles ; chameau à une bosse.
^^ij^\ iiJ-eL^ :>LA-^^t j^ж^ \à\t
De plus c'était un maître aux doigts agiles, qui travaillait solidement quoi-
qu'avec beaucoup de finesse.
A^^ épais.
^jJ gouttes de pluie.
çXy baladin, jongleur; courtisane. — A. G. lÛQ. (j-?аjу idJuj^Ul^jl
^«xitij J^^t ^^^ut\ijAgi fj^f^y^ il resta un fils inconnu d'Abou-Ilkhan ,
né d'une courtisane. — B, iSy. j^L-u^l cs-*^^-^ (S^^dy^ y\ju»^«XÂ^
les jongleurs de THindoustan font voir certains tours qu'on ne voit
jamais exécuter à ceux de nos pays.
i '^ J^ ' ^У^ ^- crocodile. Gonf. э^-
U KS^J^ essuie-main, serviette; châle léger.
^LaJ route dans la langue des Afghans. — B. i83. а>ч^ Jч^* yUit (s^y»,
j^à jUl dans la langue des Afghans, route se dit Ixar,
у1?«лJ farinage rempli de raisins.
\Ù*.^^I^^ marionnette.
bu i95
r
< «.u baiser.
Я» i«>;t« manière de s'asseoir, les pieds croisés.
/o-^U beugler.
<^umU châle d'un tissu grossier, espèce de manteau.
Saisis le pan de la robe de la pauvreté , ne parle pins de satin ni de brocart
d'or ; car celle-là vaut bien un manteau pour préserver le corps.
,,^^1« se dit d'un maladroit qui laisse passer sa calotte sous son turban.
irU colombe dont la tête, la queue et le bout des ailes sont de la même
couleur, soit blanche , soit noire.
j\j ^ys ^\i\i CSf^T i^y^^\
Lorsque la blanche colombe du soleil se fîit envolée, la corneille de la nuit
déploya ses ailes.
JLe,^bu jeune homme; dévidoir; rouet.
uiU définition.
/A^uâU définir, déterminer.
J/U cylindre avec lequel on ferme le sillon ouvert.
.jj^Xf^ veine.
^FyeU coton.
^З-^Ь" J^I ^чЧ^-е^ {JУ^ (jjv-шАклш AÂâ>
Lorsque cet enier déploie les flammes vengeresses du péché, elles absorbent la
nuée de la miséricorde, comme si elles dévoraient du coton.
c^UU la noblesse; noble.
496 (ju^fSilt
{^yii\^ farinage mêlé de viande.
LibUa maladie du nez; cheval morveux: nasillard.
cà^ M agneau de trois ans.
/ö^^^чХЗи balancer son corps en marchant.
n s'en retourna par le chemin qui 1 avait amené, balançant son corps d'un côté
et de Tautre, comme la perdrix à la démarche coquette.
o
/0^1 «.XàU héler, mugir.
Le bélier, plaçant sa tête devant le taureau , dit en bêlant : Puissions-nous tous
deux nous sacrifier pour toi !
o
(^''ikjàJLe, {^"^Лjыо^ (^"ikxjU front; avant-garde d'une armée.
La colère a imprimé des plis sur son front; sous ces plis sont des sourcils qui
forment le noun.
Pour se laver la figure on procède du front h la barbe ; le mieux est d'aller
d'une oreille à l'autre.
^La-»*^ О^^^З' cS^^*^ f^^ Эу^ îl expédia en avant une troupe en
avant-garde. (Khondemir, liv. III, chap. m, p. 299.)
o
/0*^X3 U se dandiner; aller, marcher.
(jАкJкХЗи balancement, dandinement.
X>U 497
Quelle est donc cette démarche langoureuse et coquette devant laquelle tous
les corps tombent en poussière? Quel est ce regard enchanteur auquel toutes les
âmes veulent se sacriCer? м
oi^il лжз1^:>- v^Aô^U aS"^^ (^yf.
Dans chacun des balancemenls de sa taille que de grâce I ou plutAt, non ; ce
sont autant de perturbations pour le monde I
/Ai^U faire tremper du pain ou autre chose dans Геаи.
AiU espèce de borne-indicateur qu'on place en tête des chemins.
^U tarentule.
L \Sy^ couleur d'eau, couleur bleue.
(^U graisse, chez les Euzbegs.
SiXjU maigre, mince, petit.
<Дл^5|>ои hacher, dépecer.
-jU celui dont le pied est de travers ou qui a une difformité.
Pourquoi la cervelle de la violette est*elle toute confuse? C'est parce que cette
iace sombre se trouve difforme en présence de ton léger duvet.
y^jjU maigre, frêle.
CJS^bi , ^U cervelle.
v5jiî{l-e léger duvet qui se montre sur les fruits et les fleurs; écorce.
L'ouverture de ta bouche est si bien close que jamais elle n a perdu le l^r
duvet qui tient tes lèvres emprisonnées sous cette forme gracieuse.
Ajt< chamelle. — B. 370. а^Ц^^ des chameaux et des chamelles.
DiCT. TDRK. Sa
in
JU^hS^ lentille.
ver qui se met dans les yeux; charançon.
^uuLe plainte. — ^j^Ьи^ faire entendre des plaintes.
jJuL^ rapide. — V. Bg. Vjî>lç l>**-^-fH^>fbJ ayant écrit rapidement. —
(j^y!^ être rapide.
^ ^}^ a. temps, espace de temps. — B. 3a i. Js-^ *-fJ-* t^yW» t;^-^^^^
^^Js?' *^V' Jнк-* (<^5"с5*>чИ Lenguer-Rhan-Niâzi était depuis long-
temps à Nilâb.
jfi baiser.
^i)uûli^ foyer qu'on établit au milieu de la chambre ou de la tente,
^^i^ teigne, gale maligne; teigneux, galeux.
«>4>wo parure pour les femmes dans la langue des Ëuzbegs.
ôj^ le mois de châban.
^^\è) jiùj^ troène.
чjЦт^ le brave, le héros.
^Vr* fusilier, bon tireur; héros.
y u]r^* Oj^ biche.
Il semblait que cette forêt giboyeuse abondât en cerfs et en biches.
(j.i.L-çà A.^ l^^l (^^(jji^-^ les Turks appellent botigou le mâle du
cerf, et maral la femelle. Les Persans ne se servent que des deux
expressions âhou et guevezn,
ylj^ m. mot de triomphe que prononce, en étendant les mains, le vain-
queur dans un combat.
jA glando, bubon.
ул /i99
/ûJojLjUéL* se moquer, railler; sourire. Conf. ГагаЬе «^^
beurre frais,
morve.
^ J^jiji^ a. bon. — A. G. 3o. (^>&^^ {^(S^J^ iiLjuûJybL4 mâkaul veut dire
«bon, bien».
c
/oJbt^ a. aussitôt, sur-le-champ; sans solution de continuité. — B. 1Э9.
ç^jJ^Jua i^X)3^ (^ (O^p^^;^' o'*^^U^ (53' а*^^J1^з' je frap-
pai le cheval avec une flèche d'une telle force que, rompant l'équi-
libre aussitôt, il fut renversé.
^чл4 espèce d'antilope de grande taille.
^/iX/e pendant d'oreille , dans la langue des Euzbegs.
iJiéX^ nom d'une tribu turke; belle, à la démarche séduisante.
0 Nevaï , que ferais-je des Berlas et des Terkhan maintenant que celte соф1е11е
agaçante a fait impression sur mon cœur?
^IciiXÂ.^ mortier pour lancer des bombes.
<JJa^a bâton pourvu d'un appui-main.
,_^X^e anneau que les femmes portent au-dessus de la cheville.
personnalité, orgueil, amour-propre,
cervelle.
уА particule interrogative.
Hélas I est-ce donc cent fois ma vie qui s est séparée de moi ou est-ce ma
bien-aimée? Sans elle, je sens mille morts, h moins que ce ne soit la douleur
que me cause Téloignement !
3s.
500
Est-ce la couleur de ses cheveux, est-ce deTambre ou du musc de Chine? Ce*
que distille sa lèvre, est-ce le sucre ou le miel ?
h \Ù^j^4 Sxs^yA moucfaeron, cousin; baiser.
Poiu^quoi, quand ton souffle vivifie, recules-tu ton visage? Sans doute il lui
rëpugne de recevoir les embrassements d*un cadavre I
1лл:>^^ obligation; acte juridique.
Ахгÿ^ув noyau de l'amande, de Tabricot, etc.
KÎy^j^y^ qui se trouve, qui existe.
Samarkand est un endroit semblable au paradis ; Alexandre est précisément
celui qui la bâtie.
être courbé par la caducité,
occupation, travail officiel; rang, fonction. — B. 92. а^^^майЬj^^
iS^yi à chacun d'eux, suivant son état, fut assigné un gouverne-
ment, une place, une fonction, un rang, une pension. — B. u6o.
u-hh'>' (:H*>чн*-^(^^ лг^-г* а^^^jб^^^ а\Л^\ éloignant ceux qui
se rendraient coupables d'un tel manquement au devoir de leur
rang, de leur grade. — Dans un sens figuré, membre.
jyA bleu de couleur foncée, bleu d'azur; en mongol, route, chemin.
S^jy^ tour.
501
^>-Л ч^чЛ^ à*^3 *^jу^ ^^^^1
^Jсл^ çs^j^^j^ лЯаJJ^! ч1Ц^^
П partagea en plusieurs sections les tours et les créneaux ; il fit creuser un fosse
tout autour de Гагшее.
^jр/в m. quinquisaïeul. — A. G. ui. ^^ ijy» jbJ ^a^\ ils appellent
mourki le quinquisaïeul.
vp^jy^ root dénué de sens par lui-même et qu'on joint à Ф^j^ pour
le son. — B. 4oo. jз-Ани> JU^ j>^^ lAu^ (Al;^' ^ s'imaginait
qu il engagerait le combat.
fenêtre; canal; province du Turkestân; à Kacbgar, haut de
Tépaule.
Sur son front sont des trous comme des fours horribles à voir; que dis-je?
ib sont à des fours ce qu'une fenêtre est à un point.
JJ^ glace.
Le sommet de cette haute montagne est tel que Tœil s'y contracte sous Faction
du froid, et que, par suite, les fontaines sont gelées.
Résigne-toi à veiller dans Tappartemeot de nuit; car ces bougies de camphre,
au-dessous desquelles brillent des fils de glace, invitent à boire.
Ззjj^ lâche, faible.
i^jy^j^ wî. glace, Conf. lA^iajs^.
angle; mol qui se joint à un autre pour l'assonance. — B. 116.
502 Jуо
mondé et les événements qui avaient eu lieu paraissaient à mes yeux
comme autant de songes.
Jÿ sS^j^ fusée, cartouche.
Quand bien même son art consisterait à lancer des fasëes, personne ne pour-
rait mettre le feu au coton des nuages.
/ ^ ^к^^j^ nèfle.
e
SjJléj^ chat. — j^ с^лjТ Ai^jj^okjU; ^\аушуе les caresses qu'on pro-
digue au chat sont autant de calamités pour la colombe. — ^ли.ял
;^\jЦ^ (^j^Лjj^ ^fji^} il se promenait sur le toit des maisons avec
quelques enfants. L'un d'eux dit à un autre : C'est un métier de chien
et de chat; fi donc ! un homme doit-il se commettre à pareille be-
sogne?
benjoin; lait de colombe, c'est-à-dire, chose impossible;
robinet.
èj^ vapeur, exhalaison.
uyiy^ pur de cœur; meule.
blanc.
c6^ caché, défendu.
if)i<>J^ la bâche d'une voiture.
ч^ Jy* vaurien, voleur; nécessaire; bien; nombreux. Conf. J^.
Comme la pratique de la libéralité est une habitude pour ses mains , il lui est
aussi nécessaire de donner qu'à d'autres de posséder un Hâtem.
4>^i>Oj.-a,^ùs3ye 503
j^^у^ gréle; rosée.
La rosée du matin sur la rose jaune est un chiffre gravé sur un plat d'or.
Ses dents sont comme une rangée de perles qui brillent dans la nuit; il me
semble voir une rosée qui scintille au milieu de la source de vie.
9
\^^ pièce de soie.
v^J*l?V^ 0-?V^ moellon.
À^yA a. berceau; hutte de branchages. — B. a4i. ^^^jy^i^jj^^i^^-*
j^bbj^^^i^^P^j^yj^^ VHh»-hJ5' AXiySot л%ч?{ A^Lj J>^j|>^l ils
firent des huttes. Ils les établissent en taillant des baguettes minces,
de la longueur du bout recourbé de Tare, qu'on place entre des
branches naturelles ou façonnées artificiellement; j'ignore lequel des
deux : ces abris ont une jolie apparence.
^ул rustre, lourdaud.
{Xy^ fourbe, fripon.
\^уА celui-ci.
Aaç^, \^уА cette quantité. — хjJ$\j^уА un peu comme cela.
)(X^o là. — C:jvil*Xj>*, j^^^ул qui est là.
<j'<^^«^^ ainsi; dans ce temps-ci.
si^^ôçE^yA^ (^iXb^ comme cela. — A. G. 53. (^Xî^ Ч^ ^^^^-^у^з
de même aussi beaucoup de gens.
4^(X^^,^(X^^ morceaux de bois pointus que les chasseurs couvrent
d'une toile noire et qu'ils placent à l'entour des filets pour y pousser
le gibier; épieux dont on garnit un fossé et les autres endroits que
l'ennemi peut attaquer dans un combat.
504 (^\j^у>
Nonl cette rangée noire ce n*est pas une troupe de cavaliers indiens; ce sont
des pointes perfides dressées contre les cerfs des plaines de la Chine.
En outre fixant aux abords du fosse des pieux tels que les fortes cannes h
sucre que plantent les Indiens.
(Ь^уА douleur, chagrin, peine, difEculté.
Je suis malheureux et je n'ai de correspondance qu*avec le malheur; les pa-
roles des malheureux sont les seules félicitations qui me conviennent.
B. 309. i£^4^ (i^. (J^у^ ^JУ^ ^Ue n'avait pas de difficulté à
parier. — jjДj^, ^^Axj^ affligé.
L'habit d'un pauvre, qu'il rapièce de tous les côtés, donne une idée de mon
âme infortunée avec les cent plaies dont mon corps est criblé.
/аJЦхЗjр'* être suffoqué; se pâmer.
у1х3^л m. argent. Conf. j^>^>iiûj^.
f^\^j^ être trisle, affligé.
^^Ic^^XJj^, C^It^J^' (J^\j^j^, (^\j^J^ gémir, pous-
ser des cris, en parlant de l'homme et des animaux.
Pousse des accents plaintifs et publie partout mon chagrin ; que tes hennisse-
ments révèlent à tous ma peine.
Ç^ 505
^jLd. jOu-^ ^5^1 jйнДЬ уЦ;А^ 1лдлЛ:>уЁ
Blessé au cœur il D*a cesse de pousser des gémiseements plaintib dans la
plaine de la séparation ; demandez-voas bêlas I si ce pauvre dépaysé n*est plus
que la moitié de lui-même I
Mon cœur brisé par le chagrin gémit si tristement sous les atteintes de la
peine, que le del, ô merveille I me contemple avec stupéfaction de ses yeux
innombrables.
Çj^j^^S^yA être affligé. — (^'^SiîyA se confier ses peines.
m. qui dure ; Dieu. — ç^:>jj ^у^ Dieu-donné. Conf. ^jI^ûa^..
jy^y^ corne.
3^ »JH^3 Ь^^J^ JbL^ е)д>1 3j
Aux yeux bleus, à la barbe rousse, à Tair farouche; à tous des cornes 8*éle-
vaient au milieu du front.
^jйjХЗjр/в endroit retiré, coin d*une maison, d'un palais.
^Ц^З^ m. vieillard décrépit. Gonf. ^unînj^.
ôyÇ,y^ oiseau de proie semblable à Tépervier.
(у9^ cou. Conf. i^y^yi. — V. 386. 4f%AjT ^уч^ )^ s'élanl chargé de. . .
JV-AJU# outil de fer dont on se sert pour fendre cl brisnr la pierre.
CJi^gsyi m. singe. Conf. f^'ss^.
^^ysp^jJt^ p. espèce de fruit, auquel B. 368 compare le cariêBa carinduê
pour le goût, quoiqu'il soit plus doux cl moins juleux.
Jr AuMiJ^ forêt; lieu parsemé de buisson».
•Ьjу« le chat.
fEjye moustache.
^ ^
506 ^!
^j1Хад pour yJ^I ^ est-ce que? — A. G. 1З7. ^^Кен» ОЫ u^^J^* â^*?*
(jyjijl^je veux voir s'il a encore de la vie ou s'il n'en a plus.
,L ^^ifjLm^ j^j^:> ^jу^ (J:^^-û^^З СJ^^ни» (:^^1^^!ч^^ {j^^
jул^Л лк^ Jôi! ^1^3 »4И^ quant à l'être maudit et vil qui constitue
l'espèce du Umouz c^porc?), on en désigne le mâle par le mot de kor-
ban, la femelle par celui de mikdjtn, et le petit par celui de tchourpeh.
Les Sarts, au contraire, se servent indistinctement pour tout cela des
expressions khouk et gouraz.
grain de beauté.
JJ34Х )\ X Э-3 ^^j — V-^ ^ — ?
Dans ton grain de beauté, dans ta lèvre inférieure, dans ta figure, ô objet de
Tenvie de Rizvân I il y a une calamité, un nectar divin, un jardin, un paradis!
уЖА.л dans le dialecte de Crimée, avec.
fusil. — A. G. i36. t^KjUjys хдJjн^Л^-* иЧ^j^ chaque fois
qu'ils les attaquaient à coups de fusil. — U. 166. ^jhhlLh* уЦг^
VH^ ^j-iH (5l«>^«M»U4 les Turkomans étant venus à un lieu hors de
portée du fusil. — Jch 174. ^.^ & a i^ fusilier. — Ce mot semble
être une corruption de l'arabe i^^^^.
Jà CJS^ laoï, pronom de la première personne. — ^^^Ч^» Ь^чj^ quant à
moi. — ^iJ^^ÂJ^^ égoïsme, présomption.
Jj i^L^uye coquillages ou petites pierres, grains de verroterie; bagatelle.
Jà jЦбч^ ъj^j^з ^^j^
Au lieu de grains de verroterie tous avaient des peries , des rubis et des tur-
quoises qui pendaient à des cordons de soie.
disputer; se lancer des mots.
1«>чJиув cou; plaie que fait la selle sur le dos du cheval.
АjJj^ 507
•• ••
{^"^ял^ front; avant-garde d'une armée; éclaireur. — A. G. 48. aâ&-
il avait désigné Tcheneh-Nouïan pour lui servir d'éclaireur. Celui-ci
ayant pris un homme l'envoya au khan. Conf. ^^^^XliU.
с^^лл^ grain de beauté; mille.
La charmante aisselle de cette lune ferait vraiment un grain de beauté pour
les belles ; la poussière noire de sa rue remplacerait très-bien le collyre pour leurs
yeux.
^^Ахлj^, jЛл^ qui a un grain de beauté. — ^\jЛ *iU^ mille-
pieds; scolopendre.
peau; face.
Leurs visages étaient autant de roses dont leurs cils étaient les épines; leurs
paupières étaient très-larges et leurs bouches étroites.
tiLelj-АХлjов être semblable. — Л^^уjj^л^л comparer.
Celui qui compare tes sourcils à la nouvelle lune , les sectateurs de Tamour
disent qu'il y voit de travers.
monter à cheval.
Monté sur le coursier de l'activité et de Taudace je lui arracherai de force ses
ornements noirs.
s^yjJ^A action de lâcher la bride, de laisser libre?
508 L5^^b
Ajye cervelle. — B. i33. ^ кJ^jу^Ь L Lx»JiAg>. ^^Juy* dUfgJt^UL^jS]
^4X^1 jjJNftJ» Afllbi^ u^t l<w>A^i! que la cervelle d'un homme vint à
s'épancher ou sa veine à être coupée , il le guérissait facilement.
b pin.
Chaque arbre s'élevait aussi haut que le palmier ou ie pin; que dis-je, le pin?
aussi haut que le ciel azuré.
^L^U action de former une enceinte ou un cercle autour de quelque
chose.
\^j^ là-bas, au delà.
L'oiseau de mon cœur dësire dépasser le Anka d'au moins cent vallées, car
pour la marche , ma constance dépasse la solidité du mont KAf.
ôLa^ ^\ ^^Ijb Ьj^ j^jb
Au delà était Darius avec son armée innombrable conrnie les étoiles; au-dessus
de sa tête une tente défiant le ciel par sa hauteur.
•M
^^J\Juш\i {^^jy^^ isj\i (^>1>лж5 viU?i^*« yy ce que tu dis là est au
delà de la conception de l'intelligence et en dehors de l'imagination.
öЬ ^J^ V^^^ '^^'^' là-bas, plus au delà.
^jyJ)b particulier, spécial.
IcU oncle maternel, ancêtre. — viULy^^-^ ^«Xjj^LI^ i5-^^^^^ 4^'
parlons d'abord de ses ancêtres maternels et paternels. Conf. oVi 11 1^.
ySJb 509
U pourquoi?
A chaque instant les chiens fondent sur moi dans sa rue; à quoi bon toutes
ces attaques, puisque je n*en meurs pas?
^\i J^ Ц^| fjJjÇ) ^^уЛ
Si ce n'eut ëtë la plume de Moïse, pourquoi cinquante magiciens auraient-ils
ëtë caches dans son sein?
^3^U lieutenant ou suppléant du cadi; courtisan; favori.
I^b auge pour abreuver les bêtes. — у^^Ц-^Ь stramonium.
]fi lг^^' V' javeline, pour ъ;^. — A. G. 46. I JwUil^ i^y» 1>jЬ Sù\ iJa^
le soleil étant monté de la hauteur de deux javelines.
^IfU m. huit; nom d'une tribu euzbègue. Conf. и^хjÿ^.
>U^ bon; repos; tranquille,
une chose.
^у^ nom d'une ville située à dix parasanges de Khodjend et célèbre
par ses melons exquis, appelés (j^àc^ Jh^w^I (B. 70).
(jлJаЬ champ cultivé; labour; soc de charrue.
^ byJù p. timbale. — B. 998. (s^^ »;ULi moment où l'on bat la timbale
devant le palais du roi ou la tente du chef, c'est-à-dire, une heure
environ avant le jour.
(ji*-ftj a. air avec ses variations. — B. 296. b^ju-^jj^Jû^t jöJЦ^ с:>^д0
j^:> ne l;x^\j ^'^kt^ JUuû jàJij^ i^^u^^^ ^i^^^j jÿ^ yi il chante
un air et les variations. 11 a composé en musique de beaux ouvrages.
11 y a dans le nombre un air de lui, connu sous le nom de nuli-reng
ce neuf modulations 97; le thème do cet air ot les variations sont sur le
510 J^у
mode appelé гйи«. — В. a a g. jуj*-^Ь j^^^ ^j jb^^ (jйJЬ Jч^
il a composé beaucoup d'airs, de préludes et de morceaux. — B. a 3o.
4^«>S!' 0Ы <5^н^^^*^Ь j^кjЦ^ c»^ л^\ I JOU) J^l dans ce temps, il
n'y avait personne qui composât comme lui des airs à chanter avec
les variations. — Л. G. i3/i. (fi^J^^ vHH^Ii^ c3> 1«хJчь^|^1 ^^yU.
fS^ji^jjoy^ 4"^^' ^^ marchait parmi les femmes, battant ]e tambour
de basque et chantant des airs.
84>члХЬ chose cachée, occulte; surjet.
•a
espèce d'oiseau de proie dont la tête est dépourvue de plumes;
capuchon dont on couvre la tête du faucon.
Placer la сошюпое du bonhear sur la tête d*un homme vil deviendra certai-
nement pour lui une cause de supplice; si tu attaches le bandeau du faucon sur
la tète du noutouMji, n'en rësultera-t-il pas pour lui de la peine et du tourment?
La couronne ne convient pas à la tête d'un vieillard ; à quoi bon mettre le
capuchon sur la tête pelée du vautour?
(^^ A^yi espèce de francolin. — B. t66. jX^^^ иу^ ^ (S^y^ yi
j^> on appelle aussi cet oiseau bou-kalemoun. De la tête à la queue,
il est de cinq ou six couleurs différentes. Il est brillant comme le
cou du pigeon. Il est de la taille de la perdrix royale; c'est, sans
doute, la perdrix royale de l'Inde.
^ jJji m. ami, compagnon; conseiller; client; serviteur. Gonf. \3^pa^^.
(jДилЗ 511
C^\tji titre que les Kalmouks donnent à leur khan.
f ОН^* ик^ général; prince; noble; corbeille de branches tressées.
L A3 quoi? — y}it^ Ai combien? de quelle espèce?
^ collier de cuir qu'on met au cou des faucons.
L ^ quoi ? A la fin des mots marque l'accusatif.
Nevaïl pourquoi le ciel est-il si élevé, puisque son poids dans la balance n'est
pas plus léger que celui de mes chagrins?
Ne me dites pas : Que t'a donc fait la séparation pour être son ennemi ? C'est
elle qui a empêché la réunion de Khosrev et de Djem.
A Taurore de Fétemité , lorsque le dihkan de la toute-puissance eut fait de
l'homme sorti de la terre comme un parterre oii s'étalent toutes les merveilles de
son art.
^1^ j-psi liA-sJ^ t^Jt^ii» tSjy
Sa lumière est pour la tente la bougie qui éclaire la nuit de la séparation ;
que dis-je, la bougie? c'est une pierre précieuse qui brille dans les ténèbres.
Lw^ui quoi que ce soit; n'importe quoi; au lieu de Ц;-?^ x». — B. 119.
^LjtJ^ jLj^/^Ly^UAj леJцjьАj J.Ê»! Ц;Ь^ ^ si vous envoyez quoi
que ce soit à Tenbel, qu'importe?
jj^%>Ujû qu'est-ce que cela fait?
•iLiuû tout droit.
512 и>Г^
«flyuû. iflUjô de quelle espèce? de quelle manière? comme.
Depuis que les pointes de ses flèches ont hérisse de fer le corps de Nevaï, je
pe vois pas trop conunent le dard aigu de la lance pourrait percer ses entrailles.
Toi qui me blâmes de cette manière, comment ferais -tu donc si la chose
t'arrivaît.
\Sjyi^ de quelle espèce? quelle partie? comment est-il?
A ^L*5v3 quand, en quel temps? combien? — ^j^-XiL^.j quelle quantité?
combien de temps?
Jp ^у^ de quelle espèce? de quelle manière? de même que; beaucoup.
ô Nevaï I maintenant que ta as posé le pied dans le domaine de Tamour,
comment butineras-tu dans cette vallée sans limites?
>
B. 1. ^^^ *>^А^jЫз^^> y^y^m «-ЛА-М» ffS ày^ comme on
dit les pommes de Samarkand, on dit les grenades de Khodjend.
Ils lui rapportèrent les paroles du Khan et lui offrirent des présents avec toute
espèce de raretés.
чД^^^Ц^.^^З se demander comment on fera, se demander le comment.
A^vi comment? de quelle manière? — *-^J^ plusieurs,, quelques-uns;
combien? quelque quantité que; avec j^.
^jуШjхЬ pour fjy^j^) Ai bien loin de. . . dans le sens de сК^. — B. 253.
513
ÖЗ^^^ moi et ma mère nous ne pouvions pas être maîtres, je ne
dis pas d'un gouvernement, mais même d*un village et de quelques
oiseaux.
{jàjj^jj^ m. A. G. 3i. j^yi Jlç^ (^ jy' is^»*4$j^ ce mot veut dire, en
turk, pur de semence.
<йиАj comment? car.
j^J^ quatrième.
AjL^ un peu.
XééàyjQô^ Lm^U\3, ifsjQO quoi que ce soit; une chose.
Se munissant de chacune des choses qui doivent leur être utiles, qu'ils cons-
truisent trois mille embarcations.
О^Ц^ Jov к^ ^ дх.а.#jО j'ai encore à vous supplier de prendre
plus de soin de votre santé; car la santé est un bien qui ne saurait
s'échanger contre quoi que ce soit. — B. збЗ. (j^^Lk^I^û ^3! Jôj
^^UJ^ nùs^\3 foS" quel avantage à retirer de telles choses?
é^mCsà ma chose, ce qui est à moi.
dlujû prunelle de l'œil.
cÀXAJ signe du génitif.
^^ »
Sa beauté est un miroir où se reflète le monde entier; le miroir de la lune lui
emprunte tout son éclat.
иУ^J^ pourquoi?
DicT. TiiiiK. 33
514 iiL*o^^
h 'З^ Г^ exclamation de douleur.
^Ьмм^ espèce de composition littéraire.
ЛJийÿ espèce de cerise aigre.
Ъ^^ hurlement du chien, du chacal, etc.
/^S^iJU trafic, livraison d*une marchandise ou d'une somme.
\) <^Ub, ^U& tout, tous.
^>^u& fatigué, malade, impotent.
tiLejuft être malade, impotent, fatigué. — ЛЛ^ fatiguer.
J3I ôUl» лjчДjМ jjU« ^^L
J3J «JГх^ 1С\<JСлй .^^U
Sers de refiige à tous les voyageurs quand ils arriveut fatigués; offre-leur un
lien de repos.
Son compagnon de route marcha de lui-même; celui dont il guidait les pas se
fatigua dans lardeur de sa course.
B. lue. iS^y *^i>J<^ (<N-j' ^il^^ÂJut mon cheval était fatigué. —
A. G. 83. Vliî^^' ày ЧУj^ cje' son cheval fatigué, sa tunique pleine
de poussière.
^jjми^ cheval fourbu.
iLÎ^^O ^"^' certainement; cri d'encouragement dans le combat.
JJЬj^ 515
S'il disait oui, le dommage en reviendrait au roi; d'un autre côte, dire non
serait très-dëplacë.
^U ^^Os^à сжj| J^-3- (^jy\ pJs8> s'^ ^^^^
0 Nevâïl ii a tire son glaive et s'est ëlancë avec un mouvement rapide.
Arrive près de moi, je lui ai dit : Cesse le combat; il m'a répondu ед criant :
Sus I sus I
'^ ^y ^^ particule pour encourager, pour demander du secours, pour
exciter un cheval, pour exprimer la douleur.
p ^У^ ^^ dispute, tumulte.
ftyy^ ^UD, Ajjjjyi (^U^ chant qu'on exécute en dansant dans les
noces.
wJXâJjI ^^L^, wfLU^I (^Ь^ {^\^ chant en l'honneur du marié et de
la mariée dans les noces.
/S^liioL^ dire i^U pour stimuler un bœuf, un cheval, etc. — B. 355.
Jl^^^UI Js>bft jc^^I (S^y^j^ il faut un homme pour stimuler le
bœuf. — A. G. 9 1. Ы*^ ■& ^ {j4tj^<i^ poussant devant eux leurs
troupeaux.
Jj)j-Ф, Оуj^ troupe qui marche en avant de l'armée pour l'éclairer;
troupe envoyée en avant pour soutenir Tavant-garde ; archers qui
engagent le combat en déchargeant leurs armes. — B. 8a. jbuljj
V^^l? ji3-^*b J-^Ь^З 4>^-J J^'.^-? ayant rangé l'aile droite, l'aile
gauche, le centre, l'avant-garde , la cavalerie. Conf. J^î;'.
Jf \^^j^ cri; demande de secours; action d'informer quelqu'un de quelque
chose.
^LfjJ^ multitude d'hommes qui composent une armée.
Э Э
Oj^ O^ efforts, peine, fatigue.
^UiL>^ rosée.
33.
516 ^^jSy»
v3bj-^ qui aboie, qui gronde.
JZift charrue; labourage, culture.
jn Xjééjj^j^ quoi que ce soit que. — B. 356. jyXj^^ j^ikm^^ j^и^jтjХлj^
quoi qu'on lui dise, il le comprend.
i^^^Jifi hoquet.
Qyi précisément; aussitôt.
liXJUb plaisanterie; finesse d'esprit.
/o^^Kjj^i^ engloutir; porter en bas.
(Jiy$y^ espèce de grand lézard.
sÙ^yjfyfi huppe, espèce d'oiseau.
(J^y$j^ se noyer.
^Ù>^4^JJ^ éloigner.
Jl;j-* éloigné. — A, G. 45. Jl;^^ jT^u^wJ^ ^^кз cf'u-^ Ь^1аЗ|;1
(^UaXaj s'il y a entre vous du bon ou du mauvais, débarrassez- vous-
en, c'est-à-dire, réglez-le.
\,Ù^jSjyfi, sù^^jy^ épouvanter, rendre peureux.
^у^ inquiétude, peur, tristesse.
sÙ^jy^ souffler; éteindre la lumière
(J^jy^ aboyer. — Ч^у^ V;^?^^' a-^Ij ug^f^4t^ y» cet autre récitant
une fâtiha, soufflant.
Si cela ne nuit pas à ton sommeil, j'aboierai la nuit dans cette rue, en cou-
rant avec les chiens, jusqu'au lever de Гаигоге.
^j^jу^ fôte, festin.
иЛЛJ^ paresseux.
Oyfi bosse.
sà^jSyfi délivrer.
^\еь^1 517
/д^^J^ être humide, fraiâ» récent. Gonf. J^t.
ЛЗуЬ espèce de cerf. — B. 358. ^.А^(^ушул лjуь J'l<^5 ^àJ^\js^
j3> le mâle du djera est un cerf semblable au houneh.
^у^ entonnoir.
(iLo^kxi^ placer une flèche sur la corde de Гагс.
Jp O j^ ^^^ ^^ brebis ou de chèvre aigrelet et un peu coagulé. {AîJ- Oo O^ccVi
cJ
U arc; parlicule de répulsion.
w,^>j, <^L lieu où passe l'eau, canal, rigole.
v^L particule qui ajoute de Ténergie au sens, comme S h ^\t ^^it tout à
vert. — vç*L vç*L tout doucement. — i->ls J^. bagages et paquets.
Ll{ sorte de pelle pour vanner le blé.
v3yy poulain qui telte encore; laine molle qui sert de ouate.
JJjJЬи rond, conique; hibou. — B. 36 Л. <^1дJз-j ла* (^Щ* «Jh^^^I^' sa
grandeur est comme celle du hibou.
/o^jlLL soulever avec la pelle.
y Lu p. désert stérile et sans eau. — (s^^^t étranger. — J^l öЬР* ^^
anet (plante).
*OLL f. bagatelles, frivolités. — Jucf^t ajI^L dire des fadaises, parler
inutilement.
öЦд>5?1?, чЗJ^jЬ feuille.
jL (4^^ couvrir, faire couvrir, faire. — A. G. i3u. *чЧ^^, Ч^jу^- ааала»»^!
iS>jys^ le couvrant avec une couverture, il le fit coucher.
u construction. — isfft^ls! , Эуеа maçon , couvreur.
^ v^L rosse.
O^JJ^^i pétale.
518 v5 £6ХЗЬ
Alors que les flammes de Tmcendie des soupirs s'élèvent jusqu'au ciel, que le
veut disperse au loin les pétales de la tulipe.
yf ^\лшj^\j colle; collant, collé.
Ja /o4^mmAi^L, /j^-pu^lf se coller, s'attacher; convenir. — A. G. Sa. JиЦ^^
" jL s'attachant à Dieu. — ^j-Ми^^Ь, àiy^yiV être collé.
v5 fy^r, caché; voile ou couverture qu'on met sur une chose. — B. 26.
^^Jwl jL ^y-^,jyijyj^ elle avait encore le voile sur la figure. —
B. З60. j^*Ул^\ ^у^\л t^yJa JUuû Jо^ ^j^Ssr ^^\ la cage de cette
espèce de perroquet est voilée.
^L flancs d'une montagne.
p ^j^хэЬ espèce de vêtement à longs poils en usage chez les Lesguis du
Daguistân ; manteau contre la pluie ; habillement d'hiver.
jL, OU étranger.
Le pied d'un autre homme n'est jamais parvenu k cet endroit; que dis-je, un
autre homme ? il a même été hors des atteintes du feu extérieur.
B. loû. ^^Ц)^' jl? «^l» j\^>^-*^ des Euzbegs, des étrangers, des
ennemis venus on ne sait d'où. — B. 371. ^j-А-л. c;»L liLjà »^Ц;з'
des étrangers comme les Euzbegs.
^ ^Ьь endroit où l'on dort; garde de nuit; tour de garde.
^ {j^^Y. sorte de coutelas; qui dort beaucoup.
(7 (з^^У action de dormir.
(Ц^Jj^у. faire coucher, étendre à terre; faire dormir.
^jJiib harmonieux, accordé, en parlant d'un instrument; gobelet.
/A^"^l; éloigner, envoyer à l'étranger.
v3 ^HS^y n"i partage le sommeil; fille; ce qui est étranger.
»^j, «jI,, blf 519
f
Quoique je fusse une fille pour Bftnou , an moment de mourir je suis hon-
. teuse, toute honteuse.
/04*1^ dormir, se coucher.
^lêyiLf instrument de musique qu'on appelle, en persan, jyJL^m. —
^^Lr^L celui qui joue de cet instrument.
v3^b large bouteille; final d'un chant ou d'un air joué sur un instru-
ment de musique.
Chante dans le ton dit nevA, ou dans celui dit hedjâz; fais concorder le son de
ton luth avec le final de ton chant.
(jikJuL garde qu'on monte la nuit auprès du roi. — 3^^ kvS'JjI bi;
^fi..J^\j <-^j4чИ> Ц-Нги. (jjьлдЗ (jJo\ ^fiXil fS'U^ ^ ^ç^j'^)^
U>r^ j^ллв? (jN-il^UH^C^v^UJaTidji^^^^ (9-э'У ou bien
encore dans le cas où ses hauts commissaires auront reçu Tordre de
désigner des hommes pour faire la garde de nuit; le chef de cette
garde s'enquerra avec soin de ceux de ces hommes qui se seront ren-
dus ou ne se seront pas rendus à ce service.
/o-ajL penché, enclin.
5<>o, 5^L, \d\j incantation. — B. 45o. »*X-! jflS'^ft^ju^!^ АР;^1э*4Хг
jV^gljiA^j nous ordonnons aux enchanteurs de faire leurs incanta-
tions. — э«4>ч qui fait des incantations. — ^^.лЛ-аj»-» Jч^ l'art des
incantations. — B. i8. ^^Jч' jj^ <^-А-^1з*> à4X*i=r^^. il préten-
dait savoir l'art des incantations, r — ^^b »«X-j, I^L pierre mysté-
rieuse pour faire tomber la pluie, nommée aussi ^S^y-ijy^^?.^ en
arabe jJall j^ il faut la frotter avec le sang d'une victime.
0 ëchansonl de ce ф1е le sang, lorsqu'il touche la pierre à pluie, provoque
520 L&t;l
une averse ; de même , lorsque ta lèvre de rubis e^ impr^ëe de vin , mes larmes
pleuvent à torrent.
^!«> If hésitation perpétuelle; agitation de jour et de nuit,
/ö^ми devenir faible, sans force.
Son courage а-1ч1 faibli dans le feu de mon amour; s'est-il montré patient
dans sa douleur de se voir séparé de moi ?
En me voyant si faible , ne pense pas que je sois impuissant à supporter ta
tyrannie; car, si malade qu'elle m ait rendu, je ne suis pas encore incapable d'en
soufirir les atteintes.
jb bord escarpé. — A. G. 161. ^ çj-^) j^. «XJJ^ p^jJ^AÂ^n-^JM y^
1»^д1j(1# J^ je vins au bord de la rivière ; comme c'était un talus
escarpé , je n'y pus pas trouver d'accès.
И 5^b, \ji , ijy, plaie, blessure. — ^^\!^ •;l? pierre infernale.
/аЛлЗуЬ être suspendu.
^^jumI^L, Adyil^L chauve-souris; qui plaît, qui charme.
^ /^л-й|^Ь, ^j,UA4>fei^L, (jb)j\i paix, arrangement, convenance.
Dis aux tiens, que cet envoyé qui est venu a prononcé des paroles de paix et
que je les accepte.
Lûl^U convenable. — J3I jз> ^^jу^j^У^ ^^ iS*^^J^^ tS^^' ^iJ-^Up;!*
v^aXaj ^t^ Lîtj^ «[>) Чзj^ (S^^^ Ь chef et en même temps le plus
vertueux de tous, c'est cet illustre personnage. En voyant sa chaus-
sure, lui ayant donné un équipement convenable. . .
^j\t 521
J? v3 Fy\t provisions; ustensile; appareil; convenable; préparé. — B. Або.
^^ öЬ^ сИ^) с^) avec des provisions pour six mois.
gl^^ gUJjl JyieU. (j^>*Ай*>^' ^
Quand il fut quitte de toutes ces inquiétudes, il prépara Téquipement de
Tannée.
çf^\)\> muni d'appareils; convenable; beau; mobilier. — B. 36.
дК-Аj j5^ (^^\^, (j?ïJb f^y^ avec tant de gens bien équipés. —
yitȐ0A\J^, sans appareil; qui ne convient pas.
»Ща%Ь\j\j préparer, disposer.
/Wl^L, (З^Ь " P^2^"^^' s'accorder; être convenable, utile.
Il est bon que tu me donnes à Tinstant même mon congé; je reviendrai, de
manière à t'étre utile dans toutes tes affaires.
fj^[)\* faire la paix, s'accorder, consentir.
l
шу «•
garçon, gamin.
J^ jj^jy. menthe appelée, en persan, х>>^.
^L moitié.
^^^jy. secours, aide.
fi^jy peau non tannée; vêtement de peau chez les Mongols.
Ma faiblesse est telle, qu'il ne me reste que la peau sur les os; aussi quand la
flèche de la séparation arrive sur moi en volant, elle traverse cette mince tunique.
Le musc de Khoten nest qu'un esclave du Kliataï, comparé à les boucles de
522 oblï;l
cheveux; si tu en veux la preuve, ne vois-tu pas qu'il est revêtu du khaflan de
peau? (Allusion à la vessie dans laquelle le musc est renferme et qu'il compare
au vêtement de peau des Mongols.]
y^j\t attaque d'un accusateur; contestation, dispute; plainte; adminis-
tration; loi; défense.
J ai la tête assourdie du bruit qui se fait dans le cercle des étudiante; écban-
son I prends du vin et délivre-moi un peu de toutes ces disputes.
Mon intention, en me rendant auprès de toi, a été de pouvoir faire retentir
mes plaintes en ta présence.
A. G. 54. A^v^Uib- j öЦ;з*Ч^^з \y^^3^^^j\t il confia à Dja-
gataï le soin de faire établir et exécuter les lois.
Apporte du vin, Tamant ne craint pas le kâdi; il ne redoute même pas les
défenses du sultan.
3^1» qui fend; qui décide, qui juge.
J^Ld^yb^L moulin à bras.
Le ciel a fait de nous un vil grain , que broie le moulin de la lune et du soleil ;
Tcnnemi le convoite; sois toi-même attentif, aGn que je trace des règles pour la
distribution du pain.
(Sj\i scie.
Oub^L chauve-souris.
-jl 523
^UJ^L don, cadeau. — V. 366. ^^^уш ^ï^J^CûbJ^L y*OW les cadeaux
que vous avez envoyés sont aussi. . .
(3^w pauvre, misérable.
Pour l'islamisme, j'ai été errant, pauvre.
B. 4 2 0. Le texte porte ^^jL par erreur, si je ne me trompe.
3 ^HSv " ordre royal, chiffre qui le surmonte; lettre, écrit; ordre donné
de vive voix; aide, assistance. — B. i35. cH^'s? dtJu^^\Â> jUjUS
i^yu^ j^ MiS (s^- une lettre de Cbeîbani-khan vint, disant : Nous
sommes arrivés. — A. G. 1 5. <,.^ » V ^ Ъ JJJ *jkjôuJ;l» <^Ли5^ J3I un
bomme agissant suivant son ordre. — A. G. 64. (jy^è^l» JJч^^9*»Ы
^yiy» ayant reçu avec soumission l'ordre de leur père.
vâaJjU pardon, compassion.
^^^1ллJ^Ь pardonner, avoir pitié, donner. — V. 60. c^UiuJ^l; ^,j>кл,ха
^>yiS vous lui avez donné ses fourrures.
^Iâju^u fissures sur le bord d'un cours d'eau.
v5 /^Ц^« or rouge ou blanc, monnaie.
P9^\^ t^JoU» t^^\^^, jy^^
Le marchand de beauté vendit son âme pour de Targent; car un marchand
lie se soucie que du gain.
B. 171. 4^*Х^;1а&й ^Ujl. j^:>^^ *^'>^ UL>^^' ^^^l? à^^ yi
de l'argent fut envoyé par Kbodja-Kelân pour réparer cette digue.
/^Ц;Ь grimper, s'accrocher.
bulçjl-û^ ^U fs-^, ^Т
Six ou sept fois elle tomba , impuissante; ù la fin, elle se trouva accrochée au
haut du toit.
^ A^L ЬЛсЬс d(» bois à brûler.
524 CrU^i*
hf (ÿ^JЧ fendre. — à^j3^j\t faire fendre.
L Ч^Ь blé égrugé; espèce d'abricot.
3 ^JiJr. brillant; fente. — à^^)^. éclat.
ô mon œil I si tu veux briller d'un grand ëclat , enduis-toi , comme d*un collyre ,
de la poussière que soulève le vent dans sa rue.
Ц^Ь qui ne brille pas; fond d'une chose.
i^^3j\t9 (Ц^ЗJг. devenir brillant, avoir du lustre.
•• Л .. *w • ••• .1/ V
Le monde devint brillant à leur flamme; ce flambeau tomba au milieu de
leur récolte.
B. 5oa. ^^jijl ^^ ^1;^ jXi^4-4^î'<î^lrf J^ j^J^j5^ les
cœurs s'épanouissant comme des roses, les yeux brillèrent comme
des flambeaux. — iS^jy's? rendre brillant.
U {^j\t moitié; cuir.
(jM^lf marche accélérée du cheval.
L ^уу. moitié. — (iy^j^. trop en moitié; défectueux. — ^^^U aC un, un
demi, c'est-à-dire dispersé, débandé. — B. 4o/i. *^X-> ^^j^^i^j aJL»
j'yuùJ^ ^^й^лf i^^yj jjйчо (j^*K-Çjl? et d'autres, ramassés de ci, de
là, vinrent au nombre de cinq cents. — (^^j^, loué à moitié.
^jy. demain. — ^9*''*^^« dans son lendemain. — {k*i)^ du lendemain.
^ ^Ь l'été.
(^if^V rendre défectueux; alléguer des raotifs pour se décharger de
ia responsabilité d'une faute; accuser injustement; punir.
^^LmL 525
Cette péri, qui se tient toujours cachée ciux regards, comment se faît-il quelle
accuse un pauvre cœur ëpris quand , malgré toutes ses recherclics , il ne peut la
trouver.
J(^ (^j\t écrire; faillir; ouvrir; étendre; commencer à. — B. 979. л-С^-з
j^^jle Ь^ ils commencèrent à se démener.
(^ jyb écriture; en mongol, grand.
[Sj\t plaine, plaine dépourvue de verdure. — B. 48. ^Iâ. jU^-û »^^.
j:i4t^j\* Jичи^к» ils se rendirent dans le désert, près de Gheïbani-Khan.
^!^j\t écrit.
^j\t sort, prédestination, ce qui est réservé à chacun par le destin.
^ O^Vf deuil, pleurs, lamentations.
(ЗЬмЬ, LmU châtiment capital; règlement; prohibition; décision; ordre;
arrangement; don; tribu en pelleterie. — B. 90. j^^ш <^A.^LjLw«b
4^ыкJ Aj ^L<s! [jу^з^ t^^*^l parce qu'il avait proféré des paroles in-
convenantes, il subit la peine capitale. — B. &6о. j^^^ntX^^ ajupLnL
^Лй^^U*a^ {^^jy^ ^^jy Ö>Н^ V^J^* ^^»"* pré^s à sa voix et à
son commandement, qu'ils ne s'écartassent pas de ses paroles, cha-
cun dans sa route et son rang. — ^aXjLmI» soldat; qui donne un rè-
glement, un châtiment. — «sUmL soldat.
JL^L rang; troupe.
JUm^I t^^l егЦ^ Ь(5<^ сЯjу^
Nulle lenteur dans la marche; les troupes étaient sans cesse occupées à dé-
camper et à cheminer.
/ö-лЬши arranger; faire.
Quand le narcisse satisfait sa passion pour le vin, il se fait une coupe de la
peau de forange.
526 (jôL
В. â8i. (^«NJvJLmL aKu^ ^b JUU0 Lj^^\ j^ une large estrade fut
construite avec des pierres.
^jА..Д|4и*<1| arrangement, disposition, ornementation.
^v^Lmu homme entêté, présomptueux.
са^имЬ large.
Sa face dans le miroir parait toute altérée, longue ou large, petite ou grande.
jL#L rangée, rang. — B. 86. A^>éиçoJTJJ^^5W {j^J^Р^Ъу vl^-l? ^W
47«<H^L«M ayant rangé les rangs et placé devant moi les fantassins qui
portaient des boucliers. — A. G. 68. ^^^IW c^UaJI »j^T J^I ^U^
ceux qui étaient rangés en bataille ne faisaient pas attention à eux.
}/ JjLamvi huissier, porte-verge; intendant.
/а-лииы«#и appuyer. — (Jjс1а-ш1; s'appuyer. — B. ai 8. Зз«зоу$^ ш ^,С>
^Js;l <^»^j1лй(м1j jadU.A,H nuit et jour, il s'appuyait contre la porte.
JjlsFbuMU appui.
jp sj^jj^jêè\t canapé, coussin.
uLmL plain, plat. — (^^UamL aplanir.
/o^^li débander un arc.
(ЗÿиС^Ь lentille.
/jI^jmIi m. os. Gonf. vr\[^,k\,
(^\j large; moment de se coucher.
/^ w J^« enfant; tout jeune enfant; larme; vie; âge; humide, frais, récent.
Je ne fais pas confidente de mon amour la perle précieuse des larmes de mes
veux ; car, quoiqu'elle soit d'une belle eau , elle est encore toute jeune.
En voyant ses jours s'ëcouler avec rapidité , il pensait avec douleur qu'il n avait
pas d*enfant.
A. G. 36. 4^*>Jb сМз' U^ilsj J^\ il laissa deux jeunes enfants. —
^/Д-ûIj enfance; petit, tout jeune; qui a un âge. — A. G. 20. yl^
^:>^l ^aJUI» {j^j^ ii était du même âge que Kaïan.
^ Ji&êl âgé de... — A. G. 10. с^нн1^%^ £'«>^3-* viU^y^L^^ljlfio^
JЗJУ^ ё^ а^jу^з u*^^^^-*^' if^^ e.XjU> ^ personne, dans
aucun temps , n'a jamais vu ni entendu dire qu'un enfant d'un an
eût parlé ainsi. — jUL су;у g^l âgé de trois ou quatre ans.
/ o^LamIi se mouiller de larmes « répandre des larmes; être humide.
J^ /o^LuL vivre, prolonger sa vie.
A /o^lî voile dont les femmes se couvrent la figure.
JyLfâL couleur tirant sur le vert.
/ö-л^^улЬи cacher, se cacher. — B. З7. ^^jу^\* (гуИ'^^} â***'^^ ca-
chant cet événement à tout le monde. — B. lui. ^j-^^Х-Хнн^j^з'
Vjy^i? ceux-ci se cachant de moi, se dérobant à mes regards. —
(^^3*âlj il faut qu'il cache.
Зj^ЗjjJJ^У^ caché. — B. З7. jyiyf (i^jfjy^l J^j^ij,A^ Oi'*^>*
comment une pareille nouvelle resterait-elle cachée?
Il caché.
илjj^
Qu'elle est donc cruelle, cette beauté semblable à la lune, pour rester insen-
sible aux soupirs secrets de mon cœur, comme h ses gémissements plaintifs I
J'ai beau vouloir faire un mystère de Tainour que je ressens pour toi , mon
cœur trahit son secret par des soupirs imprudents.
528 ^^.Âjyt^cl
0^y^\ty {Jt^y^\t *tre caché. — B. 199. Шj\уЛ »;Lj.hh? bg^^j^w
j^уЛ^\ ^UlyïL dans 1Ш ravin était caché un parti de Hezâreh.
/&jumI# maigre; faible; soleil.
L УjjjИаУл vert. — i^L J^l» espèce de canard.
JS-«ivf éclair.
^ ^Ь graisse, huile, beurre. — Sj^^ ^ espèce de boudin ou de saucisse.
j^b&U pain chaud qu'on mange pétri avec du beurre et du vin doux.
^>wêU lumière, splendeur; brillant, lumineux.
Le soleil, qui répand ses rayons dans le monde, va de l*faumble moucheron
jusqu'au anka.
Si le miroir de ta beauté resplendissait au milieu des rayons du soleil, son
éclat illuminerait le monde, la nuit comme le jour.
^^Jv^L brillant.
/^^«âL espèce de billot sur lequel les charpentiers taillent le bois et les
bouchers découpent la viande.
^Ji^Jt épaule. — B. 268. v5»>X^ ^^ï »^^js\» lilxAjdl^ jлыЬ une flèche
atteignit Kâcim-Beg à l'épaule.
jjft'ikxli espèce d'onguent caustique.
^^jДлЛ^хи action de graisser. Quand un jeune homme, chez les Mon-
gols, va pour la première fois à la chasse, on lui graisse le. doigt du
milieu avec la chair du gibier qu'il a tué, et c'est ce qu'on appelle
t^uu^^A^L. On se sert encore de ce mot lorsque, dans un combat,
on apporte pour la première fois une tête au pied du drapeau ; on
dit alors qu'on a grami le toug.
>iyb 529
çfféy^ (^цАхЬ espèce d'oiseau.
/^JvAfiL mouchoir, foulard; doux, moelleux; douceur. — B. аэб. j^s*k\c
j^«>s!y ^ i^j-iA^^ ây^^l# (Jлл* comme Ali-Chir-Beg avait
noué un foulard autour de ses oreilles, qui le faisaient souffrir, les
dames appelèrent cliaine â!Ali-Chxr un nœud fait avec un foulard bleu.
vp /o.#xL pleuvoir.
jy^^. pluie.
^ C^lf ennemi, en état d'hostilité. U/v-^^^Ol^
AfiL épaule; plaie qui vient à l'épaule des bétes de somme; ampoule.
JVxL brun , noir. — >^l? \^ brun foncé ; cheval noir.
U (juJkxli action de pleuvoir; baie.
Ait devenir gras, huileux; se livrera des actes d'hostilité. — Bl Q76.
pU.^1 yj^^\ ^ jJчи>^^ .....^^jjз^ cИh^j^^й i>AA^ j^Jу^
^^•>ч' сгЦ' р)^ (^Jj^уч^^! les Mongols étaient certainement devenus
hostiles Il n'était pas décidé que leur hostilité dût se montrer
ce soir-là même.
Ф СЛ*« pluie.
Comme la pluie tombe en abondance au printemps, ainsi one pluie de flèches
versait ses flots sur le champ de bataille.
J^^l Л^J MàjL ^jуЗ 4^JCà? ^^>^^ ^Ji ^jy fS3^J3^ «u*^^
^«xJ^ ^bsiuj ^Lbi.j^l i^ Vjti^ jy^^ u4) ^^ ploie tombait à tor-
rents. Je connaissais un talisman que j'enseignai à Molla-Ali-Djân.
L'ayant écrit sur quatre morceaux de papier, il les suspendit aux
quatre points cardinaux. Aussitôt, la pluie cessant, le temps com-
mença à s'éclaircir.
c/ >|^b feuille.
DiCT. TURK. 3'l
k
530 0л[,
OVf chemin; côté; accointance; mur; rempart. — B. 987. J^Л^ <^i^^^ y
j^^j^y^^. дк-Аj nous avons des accointances avec ce pays et ce
peuple. — A. G. 4^:»jW^ ^d^t J^^ il l'envoya de ce côté. — Id. 18.
IJsjL JJ13I du côté droit. — A. G. 179. \^нн^ л«1е>> (j)^.^^у^
ЛхЛJ^ çj^ilç ла^^jЗjу, viUftjy^^^ à partir de ce jour, ne faisons
plus de mal dans cette voie-là, ni à vous ni à vos yourtes. — A. G.
82. (jутjJс-А-л^Jj ^j^^lJOrf^b par voie de fraternité. — B. 278. j^л^
4^Jw1 JjjLù^i Aï^U)^^ Baba-Yeçaoul , étant monté sur une échelle,
était occupé à renverser et à endommager le mur de la place avec
une hache. — A. G. Sa. il? b^l dU-AjJ son enceinte tout à Геп-
tour.
Lib, teb bord; côté; collet d'un habit; éloigné, reculé. — B. i33. Ь^ bL
и>5гз' t^birfUJjl comme il avait grandi dans un endroit reculé.
^^^^lït insister, presser, solliciter.
^лj9У\з\j prendre par le collet; suivre le bord. — A. G. 1 3 1 . ^ylkJU. J3I
<-%^й celui-ci prenant le sultan par le collet.
AxL, Ji3\j éclat, brillant.
Gomme les atomes ne sont pas visibles sous les rayons du soleil , celui-ci est
un milliard de fois plus éclipsé par l'éclat resplendissant de ton visage.
(^^Jj^Y. approuver. — A. G. 10 5. ^^àUjj^-A-il» ^jу^ш JjLajJs?' J^' il
n'approuve pas les paroles de ses gens. — Voyez le mot suivant.
U /^4 y allumer; enduire, mettre du henné; appliquer une emplâtre; lais-
ser des traces, faire impression; arroser; plaire, en parlant des pa-
roles; soupçonner; alléguer faussement, imputer.
^^-^■^-^ LéJ^I J.Л X.M^ J^ ^U J3I
Là où se trouveront des roses et des jacinthes, il faut que tu allumes un feu
qui les rendra visibles à tous les yeux.
(j4l 531
o*^ wy fcji-»^ y^»** ^-^«^!
ttf^j' уЦ«^ ^"^' trs^ ^^
Si le cultivateur ne les arrosait pas nuit et jour, sache que les palmiers ver-
doyants ne seraient que du bois sec.
Il ny a pas de parole qui m'ait fait autant d'impression que la tienne; ton
rëcit a laisse de profondes traces sur mon cœur afflige.
L'eau coule de devant ce monticule, précisément comme les larmes et les pleurs
de Famant 1ог8ф1ЧЬ touchent ceux qui les voient.
Ô Nevâï! ne parle pas de pénitence; car cest une histoire qui ne fait guère
d'impression sur moi I
Savoir ce que demande l'ami et ce qui peut toucher son cœur; voilà ce qui
est pour toi un sujet de trouble et pour moi un sujet d'allégresse.
A. G. 56. v^^UiL As>fj\:^ ^Sjks^ jулл, yi cette parole ne plût pas à
Djenguiz-Khan. — B. 5o3. ^^^Ule ^J^у^ ^уш^ ^, 161 ]jJЬ\}ь appa-
remment, la terre et l'eau ne lui plurent pas. — B. i 46. )^^y&>
^^^\^jуj ^ h^ j^ ^^ >bL il n'apporta pas des paroles qui pussent
plaire au cœur.
3/i.
532 (iyi^i,
âh.) 4il*X-Û^ (jЧииСАJ (j^JOa-u»
C'est de toi, après tout, que me sont venues ces diflicultës; à quel autre,
enfin, pourrais-je en imputer la cause?
Ne s*ett prenant ni à la mosquée, ni à la taverne; ne se souciant ni du cou«
vent, ni de lakèbeh.
0 Nevftîl ne m^mpute pas à faux Tespoir d'arriver h une entrevue secrète;
car il suffit à mon bonheur d'entrevoir seulement cette belle semblable à la lune.
J^ JS^l? proche.
Л /А.^^^кллЬи s'approcher.
>b, i^u mauvais; faible,
ib frère de la femme.
py\i vase brisé; auge; endroit où J'en donne à manger aux chiens.
L /лА^УУj lécher; se toucher, en parlant de Tare et de la flèche.
AjSj%,, ^l^^lf, ^\^i% nu, peu vêtu. — A. G. 48. Ioo^^jjXaj
«S^jj^jX^yi a^} *^^^ gbiLii^» l'hiver, il marchait peu vêtu et les
pieds nus.
oLjk3^l; espèce de gros rat.
(S^y\j nu; étoffe non cousue.
11 distribua deux cents tuniques cousues et dix fois le même nombre de lu>
niques sans coulure.
л\jJ1 533
t^i\j^\j qui s'occupe à dépouiller. — B. iio. â#i^le a-^ J3
^^Jsî'^^J^ рУЬ^ pU i5^>^5Vùi^lç ^^a^^^y ti^b ceux qui,
pillant les hommes débandés, s'occupaient à les dépouiller, c'étaient
ces misérables Mongols.
0^^^SS^\j, ^>h>^i)^l mettre à nu.
(^jvJL3 )(^\Jbl L^\S^ (^^^iCj^L
il donna ordre de le délier et de mettre son corps à nu pour le tourmenter.
B. s 90, j^^p-j^l L^^jy^j^\ c^^L^LxJ^L c:>) ayant mis à nu leurs
chevaux et les faisant nager, ils passèrent. — à-^jy л.,.йУ^\Хj^1е,
^yûâlCj^le faire mettre à nu. — (y^^l^^L être nu.
/öjо\маJ^*у\j chercher à découvrir, épier.
^jSy\j expédition rapide.
f^^)^\ji luire, briller.
jjl^y.jji^\t pièce de soie rouge qu'on entortille autour du koulâh; ban-
derole d'une lance, d'un drapeau, d'un casque; flamme.
Л/^ (S^fi^ ^(S>^3^ i^y^ ble
Sur les casques flottaient de beaux drapeaux chinois; en outre sur les cui-^
rasses était de la soie chinoise.
3; 0/-^ j*^^*<^ libUol^ J^^ сj>— ^^ cj^Jt» ^j}
Quand tu pousses ton coursier rapide comme Féclair, on croirait voir étin-
celer une flamme que désigne au loin le drapeau rouge flottant sur ta tête.
:У\j bailler.
• ••
^ /^-^ЦJЬ insister, supplier.
^bJlf large, plat.
534
^иJ^ 'hypocrite, flatteur.
/^^'buJy caresser, aduler.
àjJLjUJif flatterie, adulation, cajolerie.
v3l^<>Jif, vi^/^le brillant; Tëtoile de Ganope. — A. G. 167. olH^it
^у^ (s)4<^biày iS)3^y^ lorsque Tétoile de Ganope fut levée.
jфл plAtro.
/J} ^ylf participer h , prendre part à.
^1И^<>J1е prendre par ia crinière. — B. 483. \o^^\^ «^идЗJцб^^^ь^^Т
j^iS^3^ v'"^^ il^^ passèrent, en tenant leurs chevaux par la cri-
nière» près du bateau. — B. Д8&. jb^l i^t«>JL c») (^^^Ih^ tenant
w4on cheval par la crinière, il traverse la rivière. — A. G. 161. Ы^1г
M^^^ <4ДН ^^i^^n^ 1^ cheval par ia crinière , je me mis à marcher.
Ji3<^« dor^. — Ot>' jt^'^lî» *»д>* jt3*^b ver luisant.
|JИjуЗ<^« dorer, farder, déguiser ia vérité.
^i^^l^^li briller. Conf. ^î^l.
ji^t^ùJl^ brillant; éclat.
^IàJI; iuen<\M>^^\ — B. tîS. wk«iù»t j^^^^rf» ^ЬJj^ U^^ ^^j^ ayant dit
dt*$ jvirv^t^ \niie3î ou men>vnb;v*r«i, — A. G. lii. ^^îLiJL»^
^^U>è^ il ne >ut p;i$ di<cemer le ^raî ni le fau\.
V.
^ è%rv^ K^unu^u:-4 а^^чг Л^ u jvict*: è%nf Кл::и. К-г^, acs><.4Krdi.
\- l^ч^^l "• \ "'i ,:••»'«'
3 ^UL 535
Rossignol I n^ëtourdis pas tout le monde par un bruit déplacé; les roses de ce
monde sont agrt^ables, sans doute, mais seulement dans leur saison.
^uL dur, violent; âpre, en parlant d'une montagne.
(Jb crin, poil; bord d'un cours d'eau, quai; maison de plaisance sur le
bord de la mer.
juif flamme; éclat; franges de couleur éclatante qu'on coud autour de la
tente; haletant, qui tire la langue.
(jxJL iiJ^:^ 04I aaLu \i>y^^^^[f
Tous sont haletants comme des chiens enragés, mais ils sont plus nombreux
que les poils du chien.
ÂjJli seul, isolé, séparé.
f^^s^ÀjJ\j, coJjJL nu, dépouillé.
/ö^'^\ллJ1| s'allumer, s'enflammer.
(J) é^t f\t implorer; flatter son maître, en parlant d'un chien; insister;
flagorner.
Jusques à quand gémirai-je en m'humiUant devant toi ? jusques à quand sup-
porterai-je sans mot dire les épreuves qui fondront sur ma tète ?
aL cheval de poste; cruche. — ^3^ ^5J^^ *^b^pl? aK^ (Sj^^ f^^, chevaux
de poste et maisons de poste, tout a été détruit. — (s^[t courrier.
^ vUL flancs d'une montagne.
^J i\^\t coton; pièce; outre de peau; rapiécé; escouade de janissaires, de
serviteurs; adjoint, apprenti, aide. — ^^^UL coton, cotonnade.
^ ^^У tiiauvai»; faible; en mongol, chèvre. Gonf. jjUijm.
/J^^k3U\f être malveillant, médisant, calomniateur; concevoir mauvaise
opinion. — B. i3. v^*^ (j^.^^^^*^ ^y? y^**«î' ayant conçu mau-
vaise opinion d'Içan-Bouga-Khan. — B. З91. v^^^ (:^«>ннм*Ь)
4^jJ^Аjцу.аЬ fO^\^\ ^\isX^ ayant conçu mauvaise opinion de son
pcNro, il vint près du sultan Ibrahim. — A. G. &6. I«x — 2C— i^ ^ — ^
^Mi>jyLiuM^Lc en aucun temps, nous ne nous sommes brouillés,
nous n'avons conçu mauvaise opinion l'un contre l'autre.
à^y pluie.
]p (JИу s'occuper do choses inutiles, de futilités; nier; révoquer.
\л v;)y chemin; flanc; côté, côte.
# Лjц(, U^, ^lf> bie autre; aussi; de nouveau; outre; brûlant; revenant.
Si Ui i№ !<!' ikkrbir^ (>A$ U ligtire. comme tant d'autres, comme les mères lor»-
tpr<4li№ i^iit^il leur tMihnt.
^Ы|1 im autn* d\*n(i4* eux,
ouit-<4* мт jH^tit-fîl^ ou bien son fivn? piwhe?
^Ll^ ^i>;tu>or. 4iflil«T, - o^^** ^iguiMV
^Лч^у j^Ut4^ tout |4V>. voisin,
З^^У я^^JнЧч^ |Глп>П1Г^ dont on очМ1\гг К> flancs du choval.
' b'y inNinnncnt j>our ^^moliir lc> cb»>îO$ dnres.
>^>%2^як \%чш wnssCv ^.^ч^Ь^Ь ^лагл аргч^а^" sur )<" bord de la ri-
xîoiY Nïncî i tîvn*!^ Л>лгч>^ч Ь> ^хл))« Км;кч>, ;Ь îc^ i <!оп1 à Ггаа.
3 >L^l« S37
^liXiL ami, camarade intime.
/oiP&li^oL, /^j^uuâiliyjL être épaule contre épaule ou reins contre
reins, se tenir auprès.
S^lÂto dlJuM f^jyXf ^wUwliXiU
Mais eUe n avait pas trouvé le moyen de s'approcher assez pour que la pierre
noire loi apparût.
B. ii3. ^^йч^j:^] ,^6k^^^\ fS^\ JifiJjjS' éJ^yA^ j^
^LkJI It.A'^ AiÂliXiL la largeur de chaque échelle était telle, que
deux ou trois hommes pussent y monter en se tenant côte à côte. —
A. 6. io3. i^X^ иЧ^У^з' aXIjûL ceux qui se tenaient côte à côte.
^^^jtiL écho; incendie.
/лАУjjöи retentir, faire écho.
JLil de côté.
(jjj^^^lf gond d'une porte.
j V5^"» ^^r, nouveau; frais.
Là où les accents hiëlodieux avaient cessé, lu les a fait entendre de nouveau.
Jeune homme, dont la taille déploie partout ses charmes comme un cyprès
d'une belle venue, dont la beoulé ne fait que s'occroître, sembloble au soleil
nouvellement levé.
Ixiw côté; chemin. — ^a^ICjL les deux côtés. — ôjlj^^^l? plus de côlc^
Л ^^J^y. joue; noix, noix de coco.
.538 ^L
^\Sij\t ^iW^^^ Ч^j-^Ьзз' s^
Quand biea même il se trouverait cent noii sur ГагЬге, ni le serpent aveugle,
ni la corneille nen rencontreraient jamais aucune.
ce fromage ressemble beaucoup à la moelle de coco fratche.
i^A%k^m^\* contrefaire quelqu'un.
. ^^LÂiXiL ^tre bavard, grand parieur.
JuuLKiL, ^Kxib comme, semblable i.
Son corps réduit a an fil est оотюе son triste oœor dans le ImmI duquel règne
comme une nombre nuit.
. ^^'^км!; se renouveler.
l. «riw^ %W ttvn j^4i^ axant (vxxliiil d^fs âtHirs «n of uiometit. des roses s^élaîent
ч^чмкчт^ÿ з^нг nvi t^e tUiis t<4ile leur nouvy^ut^.
^M>X^U« . ^»V.>M 1*1иЬтчппИог. — >kJ^ ^^embrouiller, se tromper.
C^ 4in« ^w ye«i|vr»}$ >4W 1чч;)П1 à ««oî, }ч«г 1\кч| ! or в^Ы p» fcn. шг t\
^»1^ХлХ^^ j\«;гл1е »^b>v,:re^ ^vv^-"*'^- >*^î,^1лWч irruvtst^er.
dS^jlf 539
A la fin ils revinrent de cetle vaine entreprise et se virent forces de prendre
son deuil.
Ses platanes, agitant dans tous les sens leurs mains tremblantes, semblaient
lui dire : 0 étranger qui as pënëtrë jusqu'ici, par Dieu I retourne sur tes pas I
(3,^3 «xjL faire retourner.
j3^^. ^^ 4^* с^Ц^ fS^\jSij^ Aô
0 Nevftï I jusqu'à ce que tu sois consume dans les flammes de Tamour, marche
résolument dans cette voie; renvoie chaque compagnon qui serait un obstacle au
dépouillement spirituel.
yjt ennemi; sentence; exemple. — A. G. 8. y^!;^ isj^*^3^ {j^ Jуь*
iS^yi 3^ îl fu^ ennemi des enfants de Mogoul-kban.
•^r 0^!^Vf doux, patient.
i^j^\t celui qui fait les invitations aux noces et aux festins.
h /oiPul^b être doux, patient.
^ул paysan; propriétaire, riche,
w hôte.
А>чч JЬ* i^J^ yij^ {^
•• V ^ •♦
Vois sa générosité, puisque, dans cette situation, il dépense pour faire hon-
neur à des hâtes ce qui aurait fait la fortune de quelqu'un.
Peut-être vaut-il mieux, maigre Ynbouehka, considérer (j^-j^^U
540 (>^JL5^' C^A5^
comme l'accusatif de ^^^^^.9 qui aurait, outre le sens indiqué plus
haut, celui de hôte, convive?
<Al5"» <ЯйЛ5« petit des animaux.
^um^L absinthe.
Зу^у. endroit plein d'ennemis; merveilleux; extrêmement.
/Jp*j[^b soumettre et dompter un ennemi; faire la guerre. — A. G. 8.
ç^^^L j^l; j^Jц» АÿХЗj^ ayant combattu les ennemis durant plu-
sieurs années.
/ö^jЬ être trituré, réduit en miettes.
^^\j disparu, perdu.
j^^Y, mauvais, querelleur; faible.
(^uLUj^b près.
Ф ii ^ЛJ« proche.
N'ayant pas tardé un seul jour à s'en retourner, ne trouvant pas qu'il (ut à
propos d'approcher.
v^ (j^4^S^^^\t s'approcher. — A. 56. ^^-xjî ^^33! (^jГд^^^^Т^з l;Uf
jумМ^!^ J^ »çU^ jusqu'à Bokhara et Kara-Gueul, ce qui approche
d'une étendue de trente à quarante parasanges.
Dans le cas où un homme mal élevé s'approcherait de lui , il en recevra du
dommage, soit de la flèche, soit de la pierre. •
Puisqu il n a pas la force de jeter un seul regard , c est que son âme battue èii
brèche est sur le point de sortir du corps.
dy^. 44)-^' *i^-Â^l ^(sS'i^^] J3I 1;з
yxXj\ cx.A*3 j^J^ fî^\ôy^. y^^
Je suis une mer qui ne renferme pas de perle dans son sein ou un feu qui ne
laisse pas de braise après lui; que dis-je, une mer? une mare d'eau horrible à
voir; et quel feu, que celui qui se consume rapidement quand on en approche.
Ne s'approchant pas avec une bougie d'une chambre « coucher, ne brûlant
aucun papillon à son amour.
Pourvu que j'occupe ma place dans le cœur de mon ami , le malheur ne sau-
rait m atteindre; il me semble que j'habite dans des remparts de fer.
(^jUy 4^ f^J3)3^ ^^0-bH j^^lç AÀâLyi [jy
^\a^\ pli' S^\j^ ^^^^y^ is-*^'^ viUJe^s
Gomme Tobscuritë ne saurait approcher du soleil, ainsi les gens renfrognes
ne feront jamais un ou deux pas vers le vin.
(у^зз^. faire approcher.
■
J'ai vu son image reflétée dans le miroir de mon cœur ; j'ai perdu connaissance
en me demandant pourquoi il admettait un rival dans sa demeure.
542 Jiu^, j-Ui
\JАфКJj^\j changer; détourner.
/ö-^^Ь se perdre, être perdu.
s^U pain cuit dans la graisse.
(^Ь arc; été; chaleur. — is\t ^ art de se servir de la pierre à pluie,
dont on fait usage surtout en été. — B. З17. A-^l! m^aJ) au mo-
ment où le soleil devint chaud.
Л^ ^\t\i^ ol«if piéton.
/A^'^LL être, aller à pied.
сö^ЬЬ large.'
çw archer; sorcier; nom d'une ville entre Tchartchou et Bokhara, sur
le bord de l'Amou.
'^ (3'^y cheval sans harnais, sans armure. — B. 187. *^\ ^l«>^^L j^jtJL
aKju seul, avec un cheval sans armure. ^4i*4-A-l-iC-:*'-l'^-*^-'^-*^-^
/MlibL marcher en.se prélassant, se balancer coquettement.
/ö-^иЬЬ se laver.
I Jbu menace impuissante.
jvjbb mirage.
y O^y campement d'été.
(j^^l camper l'été. — A. G. 101. Ju^bUl? iS-i>b^ J!^^ o^ i^^.
prends pour campement d'été la rive orientale du Jaïk.
^j.ubA»o^L)L action de camper ец été.
/o-f Ь élargir; battre le lait pour faire le beurre; prendre pied. — B. 110.
^^^у^жjЛ^ (^^\ c^LL ^\;^P^(^:>cs^j^. é^bjS bs^ym uous entrâmes
dans l'eau. Plus de la moitié du trajet, le passage fut effectué en
prenant pied.
^yt sangle de la selle.
iS^y* léger, qui n'a pas de poids.
/öJоЬ large, étendu; vase dans lequel on fait le beurre.
J^i^, J^u^, tout doucement; un à un. — B. 334. j%лjjУКjи â)^jy^ у^
Jн^^ ^^чг^ ^jLûô^^l^ 1^) dis-lui une à une ces paroles^, de
manière à ce qu elles fassent impression sur son esprit.
JjJu terre; domaine. — B. 178. ^^«хJьj^ vilj^ J^^ си^дjи,ш^^лгци
à quelques-uns, il fut accordé des dons tels que villages et domaines.
— B. 3i 1. Jyùûy ajUaàaTçjUI Jусг dU*ito-l^ ^зДjö nous arri-
vâmes au village de Lemgân, qui était le domaine de Koutlouk-
Khodja.
-r vibyb parvenu; arrivé à terme, à bonne fin. — B. ЗЗ0. j^os?^^ иДДУ
<^<\?' dy c^4^ ^^^. (i-*^ t^*>s?l jl? d'abord , ces pays avaient été
ennemis ; ils n'étaient pas très-bien organisés. Gonf. ^j-aajuj.
J^ {^^^ bon, bien.
J^ /o^'^kx-iàtaiç trouver bon, approuver.
Jf «^«Зчj cheval de main.
(^\j4t éloigner, écarter. — B. u6o.>a^ v^^-J^Ih <:J**>4uma;5^3 os?^3
nous les éloignerions de leurs gouvernements et de leurs districts.
J faire parvenir; mettre à exécution.
Mets à exécution tes desseins : pends, coupe. (M. et L. 7З.)
Voyez fciUv^l.
Aiiju, AiiJ mari de la sœur ou de la fille. — B. 78. sâJ^Ap^^jm^ изJЗ^
^^^\ (^^jJt il était le beau-frère d'Ouzoun-Haçan.
AX^w^ cheval maigre et ardent.
jLb laine brute. — A. G. 26. ^^Uy t)UJ^ ^àjoif^ у1^Ц^ ^*>5bijj
c^^l j^и*Цд>5''*>*«^^[г* de leur vie, ils n'avaient vu des étoffes qui
ne fussent pas de laine brute, mais de laine travaillée.
JS*^5» UL?"^ tamarisc. — A. G. 34. I«X-â^I ^jулХj У^у^лХл^ si^^^^y
^«Хо^ LjyJ^\ elle alla le placer dans l'intérieur d'un tamarisc, der-
rière la tente. — A. G. 161. рз*>J[^^1 â(:5^-*^ f>b' ^ j^ ^^ le
tour d'un grand tamarisc.
544 Jj^клj^' ^Л>J^
jXf, manque, défaut — V. i Sa. Ai>e^l JОг^jд-- ЧЗ)уФ ^^^t ^XsSS
4ы>^j\л^ укш^ ayant fait retrouver les richesses qu'on a prises, les
ayant fait rendre sans qu'il en manque rien à vous, notre frère.
(fOb colle ; canon , espèce de fusil.
^)>4Ç espèce de bouillie claire de farine de millet. — B. i43. ^51?I^;aj
jc^l (^^Hb^b ^^\ ^t«XdÇ ayant trouvé une coupe de iemdân, je l'avalai.
IV , ^^ poils du pubis,
^lâauu rhinocéros.
I^i-j appareil qu'on met aux oreilles des chevaux rétifs.
mince, fin, délicat, faible,
neige qui encombre les chemins.
Jb^ toux.
/öЛЬj^ tousser.
action d'avaler; tourbillon.
nt_j^»
i^y^j^. avaler sa salive.
^y> bouchée.
JL (^yi avaler.
^ jj т\j0J, pauvre , indigent. -
- jЦ;^' J.
_p y^yi sommeil.
lierre.
^Jwl {^ *iU:> JI>^1 yà^y?, JJU3 yi
*yu^\*jS p^ô^b yj^yjt 45*>чиJ^1,н^1
On aurait pu appeler 83rameil une pareille rencontre , si le sommeil venait
visiter mon œil baigné de larmes. (M. et L. 109.)
cœur.
U ^jyi habitation; campement; tente; pays,
iS^jyi, qui trotte,
4>* V-J^' J^ >U^ troupe qu'on envoie pour faire une raszia; coureurs.
^jц^ ЬаЬ
— A. G. 168. uN^L?- J^l ^:>j^\ J^b?^? (S^ i^j^^ybi {jj^j^
t«>ôU|^ AiA^fc^l JU un jour, j'envoyai vkigt hommes en coureurs.
Gomme ils allaient, chargeant les hommes Véçée à la main, pre-
nant les troupeaux...
^ (^яр^д^ corneille ; celui qui détermine le lieu de campement d'une armée
ou d'une caravane*
Xjùjy> cimetière.
L i^jyi trotter, hâter le pas. — A. G. 119* ^yjyi A*.ûUArf)^i marchant
rapidement contre les Kizilbaclu
T "^^JУ^ marche précipitée.
^^Jyi ouverture pratiquée dans une aiguille, une flèche, une hache.
L ^jyi cheval coureur. — A. G. tg. ji^jyi t^b vW**' des chevaux- cou-
reurs comme le vif-argent. ^ ;>.^:« - r/ "^
i3^Z)y^ ^^^ ^^^ P°^ très-pressé, prendre le galop.
Jf {j^jyi malade, fatigué.
sÙ^^jSjfyi^ ^^jj^yi hésiter, tergiverser.
i^jyi interpréter un songe.
h СЙЛ1Н marche, expédition. — i^^j^ »^s^}^^ ^Ь J^! \jj>кл «Xaju» ^Л
Ь^Зj^ J3I c^^bl^ ч^.)^ Abou-Seîd-Mirza étant parti assiégea, pour
la première fois, dans cette expédition, la citadelle de Chehrokiyeh.
— *^!^^jу>^ Ч"* "isirche, qui va en expédition. ^) а** ^
^Ù'^j^jyi marcher en expédition. — B. Зйу. tfi-ûjy^ jL?? J^^ ^^-^^
«^^HbJt aL^ ^.^tojÀ.\ plusieurs fois, il marcha contre elle de vive
force. A la fin, il la prit par composition. — B. 3&8. cj^^iç^b'ybâ^l
V>ri;>? ^ «^jliu.3*>aA A^K'^I зуз! j>? jÿу g:jb depuis cette
époque, jusqu'à Гап 9З3, ayant fait expédition contre l'Hindoustân.
^^jyf. qui marche, qui n'a pas de demeure fixe.
r\3^^jy> marcher. — u^OV^ 4^*^ naarche, qui est valide. — A^ G. 48.
JЗ^ Vjy3 •^^-HH^l* AÂJJ3I (5^^^(jLç^ i^^jy^^^ is^y^iS^ {j^jyf^ il tua
ceux d'entre eux qui étaient valides, et força les faibles à se sou-
mettre H lui.
DiCT. TDRK. 35
546 <SJ^J^^ ^J^J^
\^^jyi pièce, morceau pour rapiécer. — оУиЛ)^^ reprisé, rapiécé.
J^Jisàj^jyi trèfle. — B. 175. jySLiy^^ р^>з iiLrf> ^jÿj^ "*^«^ ïes
montagnes se présentent comme des ponts de trèfle, c'est-à-dire,
les hauteurs, dont le sommet est recourbé comme le dos d'un pont,
sont couvertes de trèfle.
^ jyi cent; figure; le dessus, la surface. — 3I jуj> cent personnes. — jj^
^f)yS^ commandant de cent hommes ; tente , hutte faite de cent mor-
ceaux de bois. — AÂA-S^ petite figure. — ^уЬу^ *^'» ^уЪу^
voile qui couvre la figure. — ^^1^^ i^ji^ renversé sens dessus dessous.
^S^^çyjyjt garnir, couvrir.
%S^yjyi se diriger vers, se tourner vers. — B. Зз. '^\)j^ ^у^ yUal»
u^HH^jt^ д^1^ ^£уЛ une forte maladie s'étant tournée vers sultan
Mahmoud-Mirza.
yf^yi particule qui sert à donner plus d'énergie au sens , comme иг5^
i^yfy» tout rond.
yXjéêj^ tumulus élevé au-dessus d'une tombe.
^J^^шyi lentille d'eau.
{^j^^^j^. manière; forme; agacerie; coutume; loi; proportion; lentille
d'eau. — 4^^jjд>J^лй Juu^ jJ^ ày^y. \bvyW ^^ ^"* notifié sous
forme de commandement. — (Ь^у^У^ de la manière de, de la forme
de; honnête, légal. — B. /ii. jbbJsjL ^^jL^^Uû^ ^^^^^ {j^зjу^
ils retournèrent vers Hiçâr comme des gens en désordre.
(J^yi disputeur, querelleur obstiné.
(jЬлjJ^, action de pétrir.
^jijJt mou.
U v^^ non; rien. — (^йнк^"^^ homme de rien.
U Ьj^ fin; espèce de pain très-léger, Conf, **j>?.
\7 ^^^■*Ъ^' ^J^yi в" dessus, en haut.
547
f^'^ïij^, être perdu. — A. G. 89. is^^^y^. (s^^y!^ siLÀ^f^u^S'j^ le
chameau de quelqu'un se perdit. — A. G. 3i. ^^^^Ь^ 1«>ч%-^' ^W
le nom de Kaîat s'oublia aussi.
^Ь^ se dit d'une chose qu'on jette h terre ou qui se perd inutilement à
terre.
J^даÖ^ pauvre. — j<^J)A**a^, ^зJjj^^, ^уИушл^, pauvreté, dénu-
ment.
U /Sj^VS^ rechercher; anéantir, faire disparaître.
/a4^ pénétrer; se communiquer.
(^^Lle ^^.xJ^-j tiLr-*' \^(j^\ jS^
Sans doute son influence s'est fait sentir en Arméuie, puisque sa poussièœ a
pénétré jusqu'à ton coeur.
ЧГ (Ji}^j^. montée, chemin qui mène au haut d'une montagne.
Jf i^ji sommeil. — B. 5oo. I^Xa^^^ д.^бр^^ une nuit, pendant son
sommeil.
C^ tfl^ charge, fardeau.
y JLaJ^ élevé.
^si^yшS^, dé à coudre.
^ J^4I^ charger. — w^^lXi^ ^^X ^j^lm (j^^;^^'* iù^J^Z^' Ji^
iS^j4t^ j'^j^^ ^lX^I v^^^ ayant acheté dans les jardins des cyprès,
ils les arrachèrent et les amenèrent après les avoir chargés.
iS'^J^yi ^^^"^^ cadet de la femme.
-r ^^JJ^^* courir.
U tJ^^Jiyyf- action de courir.
h ^Jy^S^* 4"^ court, coureur, — ^ A. G. 19. ^ни^ аj^^j^^У- fS^^^. mon-
tant des chevaux coureurs comme le vent.
(jSbjJ^ nombreux, beaucoup.
35.
548 ^JхJ^
Cette douleur, qui n'est pas peu de chose, qui est si grande, il faut que je la
supporte, car la résignation est ce qu41 y a de mieux. (M. et L. loa.)
^â^jjyi poser le genou à terre pour rendre hommage ou faire une de-
mande, exposer une requête. — B. 196. i^y^^S^ jU) ^\С<£з-з
лугл^jщщ^у^^ au moment ou je mis pied à terre , ayant fléchi le ge-
nou, je Tembrassai. — B. 45. jj^i A-ï^lfi^JûMil^ ^ ^р^^н»»^^^' j^
i^^j^'^^yi JОjйД^г dans cette assemblée, il leur fit mettre à tous
deux le genou à terre pour Baikh et Asterâbâd. — B. 486. aaâ^^
С^ки^
(S'^JD^'^^^' ayant atcordé à Tokhta-Bougha-Sultan cent bks sur
le district de Ghems-Abâd, on lui fit mettre le genou à terre.
Lf J^ chemin. — *ib;^ J^ donner accès, faire réussir.
/04*^1^ donner accès; admettre.
jfj^. licou, bride.
v5^^ arc-en-ciel.
TT^Ji^J^- messager, guide, directeur.
(WjyJ^j^, animal féroce, plus grand que le lion et de la même couleur,
qui fréquente le E^hârism et les environs de la mer d'Aral. — A, G^
4o. (j^^^ UvM^!3 iSj^ «^^ tels que le loup, le îolbars, le tigre,
— Peut-être s'agit-il ici du lion lui-même?
r ^J^^J^. éclair; nuage. ( - . - 1 ^ —
J^ (jbi^yi compagnon, compagnon de route.
/A.^)>J^ montrer le chemin, mettre en roule.
'^.дДJ! JJ^ ^АЛ ç^jim (^'^\jyMt
Soyez généreux, prenez-moi les deux mains, guidez-moi vers la région de
Féloquence.
5&9
А. G. i6i. \^ъj^ ^зз^ ^ШоJ^ à"^ i^r', {^^^^^ {^^^^
depuis que j'étais né, je n'avais pas conduit un cheval.
j^ Jj^xJyiJ) étoile. — jj^ i>*4^8 ver luisant.
уj_^-лJj.з plumé; lisse, uni; tamarisc. — ЗЪ^ иуЦ^ fr^'^^ ^ tamarisc.
— Voyez (jv*i^ , иУ^-
u (4*j^ arracher ; trouver accès ; venir.
Dès mon jeune âge vous êtes venu me trouver et avez fait uatlre en moi de
grandes prétentions.
îveux.
•r ^^yi à qui on a arraché les poils , les che^
{j^^yi. rencontrer.
Quand un pauvre affligé, dans le deuil de la séparation, rencontre lobjet de
son amour, on dirait un corps inanimé qui a retrouvé son âme.
^jуХлуУуц faire rencontrer, se trouver face à face. — B. i8u.
Lj^jyjUyiyii (£^j^^^yMê dJv^^^Uil s'étant trouvé face à face avec
des marchands afgans. — (5^ytP>! se rencontrer.
Une caravane venait tout dK>it par ce chemin; elle s*est rencontrée, sans ic
vouloir, avec le roi des rois.
fj^j^ endroit commode pour passer l'eau.
^j^yi Ь moelle des os.
J^З^j^. pelote de lin, de soie.
^^'^Ujpj faire rouler. — (jûb> u^^^L ^^ „х..,аЛ jk лJчь? ^sj
550
(jднн^! (j^з^ ^^чХ-ьЗ л^уЛаj^ СА^^Ц^ étant allé se promener
sur la montagne avec ses disciples, il fit rouler des pierres, dont une
atteignit un pauvre qui en mourut. — ^Jj^^Ц^ être roulé.
^^j^Ц^ poulie; tout corps rond qui roule comme une balle; bosse.
^Ïw«yi3 souris; rat; taupe.
Par ses enchantements il faisait de la taupe un lion terrible et changeait le
daim en tigre.
mou.
Й oiseau qui se nourrit de rats ou de souris. — ub-*-5^
^j\à espèce de grosse souris.
l^ ^j^yi. arrondi, pelotonné.
jл ^ЗУу^. poing.
J^bj^yi dévasté, détruit.
j^ ^jLÀ\jié,^yi devenir mou.
Dans ce triste état, étant réduite à l'impuissance , n ayant pour laver mon
corps que mes larmes abondantes.
ô Nevâï I sans doute cet ami laverait la poussière de son visage, si med larmes
tombaient dessus avec toutes les mai4]ues du repentir et du regret.
y (3*0^ f^^^^r l'œil, la bouche; presser, serrer.
I
duotUju 551
sU^syAyi. dévaster; gâter; faire se ratatiner.
{J^y\yi ramassis. — V. 67. ^^.p^iAi^ сЯ»*^ des gens non choisis.
/jû Зу^у^, fermé. — A. G. 4i. ^^^^1 ö>-*^ JУ J^ ^^и® ^® ses mains était
fermée. ' '
visage; intelligence; ornement.
J^ <:Myi^ jument. — ^^ «^>->^ espèce de passereau; roitelet.
^ 4jF*^ trèfle.
i^ copeaux, éclats de bois,
•r <^y!t plumes; laine; duvet.
U (yiyi, sculpter, tailler, raboter.
АЗ^ coussin qu'on place sous la selle.
i^ bj^nid.
<3^!хJ^ balle de coton; balle.
(3^ АИ' C^^-ÎL^ ^^^^^ rouler.
\ô DV-5->^ couverture. — A. G. 1З7. 4;-*-aJLi« aj^uX^I ^^^^J^j^yi (S^^
ayant fourré son bras sous la couverture.
Лj^уоjд^ planche ou natte sur laquelle on lave les cadavres.
{J^^^y> roseau pour écrire.
J^^^^^yi eau qui a servi à laver quelque chose.
^Ц^ faux. On le joint à ^UJL dans le sens de mensonges.
(Щ^j^. effacer, faire disparaître.
^ v»^4H! corde.
Son coton est plus fin que la soie; ses cordes plus déliées que la tige du lin.
^LsJO vessie de musc.
^iLe^Ujo envoyer, expédier.
Il №Voya quelqu'un a Cbirooïeh pour lai dire de venir el de ae préparer à
répondre à toutes les questions qn'U lui ferait.
t coton filé.
/&fyAAj chaoger; convertir.
Au soir de la triittesse, presse par la craiale d'Jlre séparé de toi, je ne puis
trouver de re^ nulle part. Cdui qui se sent menacé par un ennemi change sans
cesse de place la nuit.
iIâaj assez, suffisant; aussi.
«jllÂAJ parvenu; perdu; cheval de luain.
■iX^j*XÂ.A.j , ii]b«)lXAAJ faire arriver; exécuter. — A. G. tjo. «Дл^ц;^^
»j^^Kli« ybt»- faisant arriver à exécution l'ordre de Dieu.
h iA<uJLxg <iM^kj parvenir; tirer un cheval par la bride; périr.
iS^^ jÿ '^^-fy-i t^*« 1*^
Celai à qui esl arrivé une foie )g don de sa lumière a pour compagne intime
l'essencG шбшс de sa splendeiu* céleste.
Une beaat^ qui est arrivée comme une calamité pour moi-шешв.
\^ (^éXaj, j5-iJ, sept.
iijU jy_«^ (s-lr>. yi *5 |Дÿй iigi
j5jL*w >il-j^-a- tfi-li-*.i! I'>^l
Лои ! jnmais un être céleste, qudquc rapide que fiU s
es so|il nugusles enceintes h la teinte bleue I
n
(j^jJЫ 553
bt (^и^ expression génëriquo pour désigner les ancêtres. — ^i ig^
septuple. — {jЛьjа (^-^i ou bien ^^^'a a la grande ou la petite
Ourse*
«Juuuu qui sait , qui a connaissance ; arrivé.
^l^AJuu la grande ou la petite Ourse.
U d>oç^, «Дjи}|ачлj conduit par la bride. — On dit, par imprécation,
uymi^\ Л^1«ХД|! puisse-t-il être conduit par la bride, c'est-à-dire,
mourir.
«iL^^sAJ conduire par la bride un cheval, un chameau de charge.
L jjo terre; place; coussin; chant; mangeant. — - ^^jы qui aime le sang,
qui se nourrit de sang; se dit aussi d'une chose qui est jetée sur le
sol, où elle se perd. — tsy^j^ sous terre. — S^ уьа carotte. —
^9 ^^j^ indigène; qui est u sa place, qui a une place; bassesse.
Telle est la nature basse de nia destioée que les pierres du malheur, dans
quelque direction qu'elles descendent du ciel , me renversent toujours à terre.
3^\rbf. bon à manger.
^^IjxLaj être éloigné.
^ 3]j>^ éloigné.
Un pauvre, dont les soucis sont éloignés, vaut mieux qu un roi qu^entraveol
mille préoccupations.
^u.AJ le chanteur, le barde.
^уЛЦ^jо fendu; tout déchiré; sans honte; qui a Tceil éraîllé.
j^Цjjи fissure, déchirure.
-r (3"Ö^* ^^^birer.
V ^АУ^J^ firagm«il, morceaiD.
/^ ^jчдрjЛj qui déchire, qui mel eo pièces.
а^УтЫ chanter.
apporte b eonpe an fftài evaaran; qa'i «ioBle. cù Ь
t. H b vide еошше le kb»^ !
dba^^Aj placer.
fendiY.
Jк^ЗуАj cfaoc<e boone a шап^г.
шj^^jЫ Ч^ ' ^ lèrre fendue.
CM«^ gourmand, pabiâoanê рхҥ tel ou tel
A^ ouTrîr: dénouer, relâcher. — Л. G. 16 1. 3|» ^ ^ a. •
d«^achai mon сап{и>к5 et т<:п sabre. — Л. G. M. ^&^^
>îAij je me disais : П fiut que je d-^noue mon caleçon.
Li 7c*»«f i|FAf :;£ ^*»!. ЗJi^вfr î^ces- зe^^ «CUNETS ^SH t£ r>H»B№ taçdh, сЫ. que
TCVT,i*rf . -Г^с^.чÿе.
nmirr'mv
• ^ jЬйГ liTJirf: nesirv i»f T/.i«'ve. т;»^^^:'^ ^i^ г.чjт.^*. Ool juvcelle ainsi
:r-jiir ^;ib ùi ::>vU-i«*? i S»': ôf .V /x Ь.схл^ \ls*'^ ;are «!>?ui autres
jUuîxj 55Ô
Lorsque parfois, prenant un bâton, il le frappait avec violence, le rire enle-
vait à cet affligé toute sa force.
Tant que leurs personnes furent visibles, il ne resta pas entre eux Tespace
d'un iigadj.
Un cordeau que le géomètre mesura par brasses; douze mille aunes faisaient
un iigadj.
jj£^ллj pleurs; qui pleure. «
^ /dA>Kjtk4i pleurer. — ^J-^^^ай être tout en pleurs*
/^ /j yjSi> réunir; ramasser; pleurer; empêcher.
L'illustre gouverneur réunit les Arméniens et répara toutes les injustices au
nom de Ferhâd.
B. 3i. ь,^«н^дяАд 1«Хни«1)^ dlJU3|<\X!^ oJ^d {j\^ s'étant assemblés
auprès de Içan-Dcvlet-Begum.
J^ JjилАj rassemblement. — B. aoa. ^,^i^\y^^ ôtjJel ^^^н^^-а-д ë*^^*^
<-^^*^* c^^;^*"^^ (S^j'^'^3^ ayant rassemblé une armée et appelé
SCS enfants et ses beys de tous les côtés.
556 ^j^j^
s^kJJkiKy éléphant.
^juu pleurs; rassemblement; empêchement.
ULJhîI •Ij.-i- t;b48l eVi. ^^^^j^i
Lumière de mes yeux, crois-le ou ne le crois pas, mais foin de toi ma pni
nelle, comme celle de Jacob, n a cessé de verser des torrents de larmes.
jуклj troupe, nombreux.
45JЦЙ déroute, défaite. — B. /196. ^^ Vjû^ <s^3^\t V^^ ^^^^\t
^^^j^ ijk д.г 1^(р-JЦ|! en poursuivant, ayant mis le désordre dans les
rangs de l'ennemi, il mit son corps de bataille en déroute.
jулХлжj qui est tombé; qui a été dévasté.
jjXX^JUJt qui n'est pas tombé, qui n'a pas été dévasté.
L /4*«JtAJ! jeter par terre, détruire. — j iji * i a i! faire tomber. — B. 356.
jyJLttJLHi v^jû V>iy а;ЛАбЗ уЛ^\ Aîg W^ Aèpb en plaçant les
dents contre une muraille ou un arbre et en forçant, il les renverse.
— ^J^АJЦг ôtre renversé, tomber. — B. 120. |oX> jJ^^^^a^ ^Vi^l#
jуз 4>4з' ч^^»*^ i^^J'^ 14Хдл^йкуы# (jpUJ(jS^^j;lç^ le lendemain
arriva la nouvelle que Noîan-Geukultach, étant tombé du haut d'un
précipice dans un moment d'ivresse était mort.
jДлJ> renversé.
<i)Uj; mauvais; faible; désagréable.
1чХаJ( neveu, fils de la sœur; natte, et joncs dont on la fait.
%ÙjJjSi(fi chose bonne à manger; mets.
On mangea et on se réjouit jusqu* à la nuit; les mets étaient préparés avec
tous les raffinements du luxe.
п
.!.>
^ t^ê.AiVxj jeune Ьотше; soldat « Ьоашю (farmesK
«iL^jAXAj, dWvj-AiXAji déplaire « ^tn? pris en averûua.
ÿ ^^^^^^Aj TÎngt.
iS^^ boD; dësirë.
^ 4^^ rent; année; plume; aile; «|aeue des ois^eaux
iJuJJ^Lu!, «fhL^ justaucorps.
Ta chemise est une feuille (ie roee; en deesas «4 «a jastsMacorp» coidrar Лд
roee; de telle sorte que sur ton eorp». comme sur Ь nwe« se trouve aae €W№-
loppe couleur de rose.
/^Vjo mettre la flèche à la corde.
liLo^Lu briller; mentionner une chose.
f^ Vjl^^HSs! serpent. — J^l {j^^ herbe qui sert de contre-poison ; en arabe ,
i>^. — jJl* {j^i4rn anguille. — J^^-^le u^^ serpentaire. Celte
plante s'appelle encore ^^^ <^>i; en persan, ^^JS^-?; en arabe,
^lяJ^^JO pastille odorante.
<Jj!^, (JJ^^JO léger; rapide » leste; soldat équipé à la légère. Ce mot
est souvent joint à un autre. — B. 5a. (Ji»:h, jjW^ ^Jiy^. ouJ^w
ses troupes légères, tant à pied qu'à cheval. — B. i84. aKS^J^A^
*^>^ Ö^^з •^^^ les bêtes chargées, les chameaux et les fantassins
équipés à la légère. — B. 19З. c^ait^j j^xj^^ J^ J^^ ayant
ramassé une troupe de soldats légers et de volontaires.
^j-i^ j^ ^У^. espèce de reptile.
^^Халлj éventail.
(^^^L5 » à?, l'espace d'une année. —
558
^LkJ^ ^ h лj\j chaque joar, il avait parcouru la route de mille
années.
^öЛлj racine. Conf, ytoda^.
^|JULaj espèce de mets. — B. 3i6. (:jv-^t ^I^jlXjlj v>ry '^^ 4^3*
^«xij^j^b étant descendus dans cet endroit, un iUkran fut servi.
JfJbu qui a duré l'espace d*une année.
IxLo veine jugulaire.
^IxLu voile d'un vaisseau.
rasoir.
(^Sjj^^ fer de cheval; buisson d'arbustes dans le désert.
/Sjuu craindre.
«iUu.^ se hâter, marcher rapidement, trotter; souffler. — Juc^Ljh! faire
du vent; se gonfler.
jIaj les gens, les sujets. — V. 648. i^J^^t^L кк^кмХл з>1)1 ^jУук^
j^ЪjЛ vous avez envoyé à la ville d'Azof les gens de. .« Gonf. Jч»!-
lAj nourriture des animaux. — (j^1«>ч^j qui mange au même râtelier, qui
boit à la coupe.
]n sàjBO manger; ce qui se mange.
Se préoocapaDt sans cesse de son sort, il n^avait que son nom à la bouche.
ЦJ^х^ plumes qui restent d'un gibier à moitié dévoré.
j^Ьj^ dévasté, ruiné.
détruire, renversef.
Quand je pense que ce soleil de beauté esl devenu mon commensal il me
semble que la vouto du ciel se renverse snr ma télé.
559
^ «JuJUxj plante appelée, en persan, dLjLw^VI, et en arabe j*i^l ааЛ.
Ф ^jUHCc^nèBe.
U cÀ<ÂJU manche d'un habit.
Lorsqae ta as jelë des pierres sur mon corps et фке tn as mordo mon bras k
belles deots, ceux qui ont vn ma chemise et mes mandies en hunkam noni
plus douté de ta folie.
AxJuu, lAJUij belle-sœur; femme qui pare la mariée et la conduit an
marié dans la chambre nnptiale. — B. s&3. ^j^уХаj ^UJL» agifti^
л^j^\j^^ LCJh^ j'appelais Habibèh-Sultan-Begimi beUe-seor. —
B. абЗ. ^^\ji:> dlxi jl |«Г|4^ u^^^-^ ^"4^^^ Habibèb-Siil-
tan-Begum que j'appelais belle-sœur
ЛJ vaincre: rendre interdit.
Л^ *^:^ <^** оö-А-Jч' vb^ i^br5 *M^
ifÛ^HÎ â^ ï^.*-* *=>5 ,^Le^ ifi^é^j^ UiV-
La raison murmure au fond de mon cceur des ai^ginDcnls qai oh
ëchanson , donne-moi une coupe de la joie et aide-moi à domplfr cet oanDÎ!
Tire le bras de ta manche pour prendre part an ooDCoors de b
fonds la foule de ceux qui montreraient une амм Мшг&г.
J^ is^'4^ nouveau, récent.
renouveler. — V. Буэ. (j4tj^ ^^ ■ i 7 ^^^^ ^.аJШ
c^^j^j£juh! ayant renouvelé leur fraternité et leur amitié.
• • •
560
Jj^-HW» J^S^. l^ger, dispos.
I Jj^ y iS'^\jSJj^ ]y^\ (y^ ^t^>l^
Entre sans encombre dans le domaine de Famour; car ceox qui ont jeté dans
cette route le fardeau de leur personnalité sont des hommes d'élite.
4^Js!l é^j^ ù^b ц^ J^A^^ ч^ c'était un homme de rien, très-
léger et sans jugement. — B. 5o/i. J^l p^jJ^ j^l (j^ yU) Jlû^l
(S^yi J A Я X. д г dans ce temps-là, j'étais alourdi, tandis qu'il était
léger et dispos. — V. Sgo, J^^y^ J^X-Â д. ц des cadeaux légers,
portatifs.
kÙ^jyk*^ changer ; faire tourner.
FIN DU DICTIONNAIRE TURK-ORIENTAL.
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Л. -
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