Full text of "Dissertation sur le chant gregorien"

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EPISTRE. 

Vârjf pnjcftter cet Omvrége i où féij 

tdfiy JCexbUquer Us jtntùimtn» 

fg l'Exceèenee du Chant Cregh 

rien , efHtfut introMtit perles Reys 

Pépin ff Chstiemarne vos Att- 

ffiftes Predecejpurs dans toutes les 

Bglijes Àe France j ff dont tufàge 

fi confirve aux jacret» Offices ae 

vofire ChapeUe, Heureux jftjepuis 

contribuer aueLjue chofi à la tU^ 

terne du Chant Ecde/taptiue i cejt 

tout mon deffiint tiui ne peut man^ 

^uer de (uceés fi Vofire Mé)efti 

veut bien tbonnorer de fa pro- 

$e(Hon, Les grâces ifue {aj rtceuis 

de vofire bonté» SIRE , me font 

ejferer ceBecy avet doutant plue 

de eonfiance , fue fay t honneur 

dffirvir À m Oj^tt divin tfjfi 

fi Mrt M fttjm ii Vtfn 

Ma\tfé éfOK MttMt di pieté 
fn et msffi^emet* Dmu €etii 



EPISTHE 
feufi fofi mettre d vos pieàe et 
petit Livre , ^ fiùs toute ma 
gloire Jtefire avec un tres-profind 
tefiea. 



SIJRE, 



pt Voftce MajeiU, 



H^isatsxssi 



NIVB&t. 



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M V 




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• V 



êêÊM 



PR EFACE. 

A T I D ayant dcflcin de hSu 
tir un Temple où Dieu fiift 
adoré des hommes avec coac 
le rcf^â 6c toute la magnift. 
cence poffible , n'épargna rien 
«]ttt puft contribuer a la beauté d*un fi ponu 
peux Edifice : ce Prince fit Tenir des lieux 
du monde les plus éloignez toutes ks cho^ 
fes neceflfaires pour la pcrfeâion de eet Ou. 
Trage. Mais entre ceUaqu*il crût daTanta. 
ge orner le Culte ditin » il ordonna que 
pendant que l*on oflriiott à la Majefté lu. 
prime les Viftimes 8c les Sacrifices , un 
grand nombcc de Chantres 8c de Muficicns 
accompagnez de toutes Ibrtes d*inftnimens 
feroient retentir (b louanges, pour exdter 
les peuples â la vénération dcOe â ce lieu 
ficré où Dieudatgnoit habiter, 8c pour le 
kOer tous enfimue par l*unioo des cceurt 
te des Toix damunetuAe harmonie. Avec 
comUâ plusdejnftice detons-tiow fime 
fous noi efRxci pouf le buer dans net 
EriMbÉ avilie aHakic rim confcnaUe ft 



PKEFJCE. 

pins refpeâueufe , eftant perfiiadez par la 
tby que nous y poflêdons non jplus la figure 
dans les Sacrifices fan^lans des Viâimcs , 
mats la r^ité du Sacrifice augufte 8c non 
fimglant de nos Autels , ou ce Dieu fi terri, 
ble autrcfob , a bien voulu s'abbaiflcr pour 
demeurer parmy nous jurqu'àlaconlômma. 
tioa des iHxles. 

C'eft dans cette vefle que les premiers 
Pafteurs de TEglilè ordonnèrent le Chant 
des Pftaumes , des Hymnes , 8c des Canti. 

Îues. Une infinité de Paflàges des Oeuvres 
e S. Ambroife 8c de S. Auguftin, monftrenc 
cnquelleeftimeileftoitdéscetemps.li En« 
fiiite les Souverains Ponrifes en tirent des 
Décrets folennels. Entre le(quels S. Gregot 
re le reforma 8c le mit en meilleur eftat au'il 
n'eftoit auparavant. Maisbien-toft apr£i le 
Chant Grégorien ou Romain ayant efté 
communique, 8c s*eftant répandu prefque 
dans toutes les Egli&s des Diocêfes 8c des 
Ordres Religieux , un chacun y voulut met. 
tre du fien , 8c le changer ou corriger i (a 
fimtaifie» 8c mefine i Rome par fiicocfltoA 
de temps le mefine Chant Grégorien fiit 
corrompuen quelques parties, foit par PL 
gnotanœ des Correâenrs , loit par Pinexa* 
âimde des Elbivains on Inmrimeurs | quoy 
qaeneantmoinstlyfiMt relté le phis pur 8c 

m php cocicft de xxm^ Il eft vray que le 

iliij 



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PRE FJC Ë. 

Chant dani plufietm Eelifes , Ac mdîne il 
Rome, fiit corrigé ipluiicun fois Se en dif< 
fcrens temps , mais non pu cntiRement , njT 
avectouteflcsprécautionsBCcelIàires. Tou. 
tes cescbofcs lerontcxaminccidaiu Ulitite 
«TCcfimi. 

. Je ne parle Aucunement ici tgUCa od 
X)ioc£(irs qui ont dei Bréviaires particulier! 
CcdiiF.'ren) dii Romain : je fçiy que le Chant 
des plus cnnlîdcrabtes y a elle corrigé i-rti 
toutes les Authoritez légitimes Ce ordinal- 
ns ) que meTme les OBkcs propres y ont cftd 
modulez i la manière 6c dam l'tiprit du 
Grégorien. Cefl pourquoy je rcconnois ea 
ces Lieux le véritable Cbaot Grégorien, 
qooy qu'il y ait diverfei manlerei & diffè> 
lentes modulations : car il eft vray de dire 
que chaque EgliTe a (b couftumei & fes 
uiàgei. 'jtnfùuriiri t^vnit , f«fi im divlt» 
«M Dt (Hln mUiifùtii ritmt iMrttiM n^rHimt. fM- 
jjilJr ff f«* ftri Udm^t Btdtfi fnftUt h*itl 
w/ïrv«>lAff, NtttnftimrnfnbtKfliti Dnm 
O- pufitt tfm vmHi tntntiim fi» Mtéu 
Utitmt*! et fat ihitfSi tifirvtmiii vramm^ 
«MM & iff* 8ttb/t trhmfhém fitmUàm 

Mon deOcia eft purement de conlîderàr 
le Chant Romain .comme la Totirce de totH 
Kl Dtutt qni en tout enunet, fie ODl pof- 
teatkaenileGR|ii>kil, Veky donc 11 






^ 







V 









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PKEFJCE. 

rnçn , à quoy ma profeflkm m'a engage,, 
à la Compofitiofi de Mufique puremcnc 

^ ■ur'^ «w«« wDf^ , f90d nuÊpi V0tÊ MintU 

^^ hufléàimramffft fnerimnUm éêUmU , émi 
Mfbm mrpÊtmii , épU vmiMS m&mi farit^ 
QSOy qu'il en Toit , tout mon but eft de 
contribuer quelque chofe , autant que mon 
xdeêc ma profeflion le peuyent p e rm e ttr e^ 
â la décence du Cbant EcclefialUque , daot 
refprit de eegiand Roy Prophète qui nous 
en adonné les piusbeaux fiàetsite que les 
laints Peiesacles plus eicellent Inteipittes 
Miiiom menreilleufemenc enltqué.paitk 

^^ coHerement le Cardinal Bellamrin diM 









TA BLE 

DES GHAPIT RES 

& Matières. 

VJ ChémQrtgêm». mk l 

CÉAf.IÎ. l>€tmmfiimCk4mdit£gÛk,& 

difitifHt. '^ y 

CuA». I f !, Cêtnn Ut Mtmimut & nut $$mt 

fdhUrmmiUCkâmditEM'0. \ 

OlA». IV. 9gh Ckém QngJSmn, Itmmâii, 

éémt têmtfths Egbfit dit IHêcifit & en 

fm tmphfintrtfmrtki. ^ 

C«A#.T. Qfi^UammRmdm^mUCkêMi 

fiitf^U fktfttF é UfUi iÊmai. 

rnUChmm OngtHm , & 4$ Umtifii 



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V 



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1/ 



Table des Chapitres, &c * 

*im,ttmr*Ui XtttnétUfàtmçt.fnKnt. 
ftrUittrmitièCEfifrt iê fiiin ÈtmmA , 

t. IX. Dmmmin,itifnntt&iÊt^agi 

Jii CaraOïrts Jm rUmLuu, 64 

kr> X. D* U fMMtiti 4hi Nmti 79 

». XI. D» n mmwu m m i* tOfm S- 



if. XII. Dn Aminmt.0i,»4néii» 

fimlJn ImkTtmi it r£tlifi. 194 

«. XIII, Dn rfiMÊnt. O» U ^tr^ti». 

fmà i* Uart Ttrmbuifyti Mmmtt & 

if. XIT. Dn CfMfitf* iHÈ^fm. i» 

•*»• >*4 

k Ckm OntmiM t$ bfkt awJrwJfM . 
& h pbu nmfUmUi i tmu kt Omn 




INDEX 

RERUM Qy>E AD CALCEM 
hujus operis appoDumur. 

FUtuMMjtnt. Lnmt. 

f ••>.(.«/ /if^l,. ,{, 

Dr Prt/MtM. ,<- 

HwmiliMt tdfitémtfr» Dn, is> 

^iMmaiimm, thmiMiMiéim4tfnltt. tSt 



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Ojfe. 



MCêmfbtmiam .Ctmtmt Mt Dtmt. \tt 
Dt MtmêaUMmi , ^IfilMitiMmt , & CminMi. 

Di t*m»aAm. Kt 

J>« f iwifM , & OrwIitMiht. %tf 

Féttf m0tr, t^ 

M Uw t. £«Mi Ckriftt. tft 

uDmlm, Ml 



h*D^mUii,Afmûiimt. 



mmKmmmimm 



INDEX. 

TéiuU Ttmnmh IVM Tml 17} 

««•«A Tmi. irt 

Tmti Tmi. ili 

Sgmi TmL il| 

«iMMrMA iM 

oCMfrMi. 1I7 

CANTOS ECCLfiSIASTICI. 



T iMtUiifim^fM» 



'74 



_jlJtMU dtfMmfm» KimèmJilÊt 

£bMte ir «.r^jtftfi» 4, CMW. 1^ 

glâi^i M4imi4mfiu AOf 

^Am XnfaMtwJt MMr. Ut 



Aff*0»ATIOKt. 



OMlba>fi|nn DeâtanaiThralaileicIt 
Paraki dcPaiit , cenlfioni arob ka k Utit 



Ni 

lnlilHK,Dtfirt^«a Ar b Ck«i» Gntmn far 

n'avoMrioiinimqidMrok confonnellaDo* 
ftiioc CMbot^ne I ApoSoUqocSc RDn»lM,m 
for deqasj BOM>*aii* figné A Pub ce 9>lJiiM>. 

DoftnHttPfofèCv Daa.iu<leSiiibaaM 

liDoTcn d' Aogo«UM« 



N J>S«<, tf- Ami <**m Atkaf4»m Ttut 
MèUJimi^l*, CbrifiMljfimlM,^ C<»HU Mm. 
ÊM Méi, «MM mrmmfffitimtl Amllfk^ 

ÊmlmOaimSmtaMi»! Itmrt liÊpbm CÊfOté 

mmBm » t tm lëM ht . »m /hi/Umiém Câmêi 

lltm I i» «M nijUni /Mrimimmi. 0mm 



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Extrada PrMUff ék Jttfi 

PA k I«n»t Pitnin Je A Miltflf imitMiro*- 

lOUll.ft rlMbM.pirUller PHiiimnii 
(«lltctli %i>»i(m» , nillfnk Kt|tlf)iéttn Piil» 
MM MI Amftilirf, Tiilkii«)f.ti|irfJ«cV>l 
filnM In ComUHsm dr Honfinr k f lociiic» Co» 
nl> ftlM A*i>4i HtCcank LimiMuiCmnIdt r*. 
Hnftki Prantnii Ji Kot ■• CbAcliiJc Pirri i II 
tit ftmk i G. a NiiiMOuiuftt'c b Ckirtllcda 
K«T,litM>innJtliMifiqH Jili&tjM, itbit* 
lïiarliMilDMrtlaOnTrtt qd icnrdtMli MilwK 
k pkiMhinJt l'icllfitpHtcltlBfiiaKin^'ilTCa- 
JiictMMr.hifadMliaibinfrnlaf t MritMaiat 



CMttitMt. tittffitahmltintiteaitm*M(iif 
kImi , *nJre * MIni kGUtn OfMict, w ftnk 
4-k(lkt>M rnatnlHMCHt cMiw «wlqMfetM 
ttmmkn k lÔMqNHN rKtn» ^«t c« Mt t acte* 
l'iMttfiM rillMct* > iMuk cnIcMMCM MMtKM- 
dkAnni.èHkcJtlnliail HffO J'MoJc.CM- 
tIttAm ta bMrkltd MtoKiiftla, k Jt nn M- . 
ftm, fc w i g wk Iwwri b- h M^« wabM qa'n 

le* HtfaNnM l'EiMii I dki MtM min fMt Jn(> 
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A DiJfertâtuH 

|lcf it \» BttMlle , qa'il n'iparek pM &m Joft. 
W , tt l'ayint réduit n nwlllrar otdre qn'U n'cIMt 
snpatamit \ ce ndîne Chant da Jcpolt amclli 
CluM GRgorin , tiie Ton nœUence non («dé- 
ment Jet amontn precedeniet , m»* encore 4ei 
Conciln tt in Pecei <fâ l'ont lôivy t Se dont je 
npoitertyfilcletnentlmémoientget Bc let pafu- 
tci In plm aoKtitdfjnn fin ce lufct , dam nMjie la 
Snte it cet Oavngc. 
I, D*n*bfkdece Rtnd Ptpe, fcrite par Jetn 
k t. Diacre <le ta ûlnte Egllfe Romaine. Or^trtm I» 
'•*' é*m» Dtmliif . mtnfifkmifiml St^»m»nii , frtfiir 
wmft* t*mfMiiOUmm AUaJiiii , jlmiflumarimm 

fUmiit , fih*Um 4**f w t» m tr »m , f«4 knOntm 
tifitm ii>/tmr{Mrf*M te f»m&é Kênuuni ttAïf» 
mutUtétër , t*»/HiMk 1 (if H MM umimiUi fmiUt 

Bt0 it*H Pttri Aft/lia . dbmm vtr» fiA Lmtr»' 

A ItBm t/mt , im fM rmi4W mtddtAMm , & 

M ttHpmâ aam Mtbtaiit» Amiphtméuiê r^*rv4- 
tmi fMé iMiUm Imm ftr frttifti firiim pÊi t»- 
tmfJltimt mmhmMii ti mMhrii tmnUud 
miftiijm ^FMriM /kUMIt. 
m.%. >■ om k* Oeonei àe S. Gitgoite, Slgeben 
npene riaS Je m grand Pi^ ; ^mifhê i miim 

hutmimm h XméMé EmU^ ti^Mt. 
i.a i.S.tktit,/^iad»tkaHtmii:MtJmit 
*t- SiMtMtpnBM ptrtfpmâ/ké, ' " 



/Sir fe Chént Grtger'an. f 

. '^ Dnnmd, Jr OjFcwi. /« frimbiv4 EtOifa 4i-tM.i. 
Virf SvtrCi fmf^Mtfrtfiit «r|r tdttdtdM . ibnm- '♦'' 
mmI* f Md eMuiaii . ^ Dti UniUm frtinirtt, 
KS'téUm f «ma (^Tn^ tiftrtiMkiwtitr «i *«Mt(ai «< 
Mtr» umPitmf , «rJ «t i//* Chrifl* , mi h-mU Jf 
mimté ! *tl ti A^fltUt , ai fjmMnt. SiKttitw- 
tii»! wr* ttwtptrUmt , fKla EttUfit Dti frtfttr 
htnfti fiifi tf . Thndt/im ImftrMtr , hMTttk*. 
fum txtkfMtT, rtgmk Damifum r^fam . Ktftr 
«fifam frmitmtm & tMbtlitum vinnm tttUJIéjH- - 
tmmfiutm Ofàurn «r^iMW. Vnii Utm W*fû 
fréâfll Hftmim» frtthitm . ^uU il* rttrmft. 
nunfMt. lu^atffiUmti , EvétigtlU . CfijIêlM, 
&t. fM ir a*«( & vttfri ttftmim* m EtrUfi» . 
li^mmmr.fnHtr Ctatmm , rm^m m fértt ênUné' 
wtl. CtKp^mtmtr témrm haut Oiffrim & Gt- 
t^m , mttitmi & CtkniMUUtmm | & Ltaud- 
km & fViMf «fiil Krf^ttftriéi tMftéwnmt. PM. 
fM f «Mar «Tu D*atrn EttUfit 4£f a« «lia fm/tf 
éMJifi mtftammr. StnlH mm Pttrri mm i-md 
Muria ad imnm OftU ftnimimU , fiA Àvtrjf 
Svtifit umftrUKi «rdiaavrrKar. 

f. BttMii« , faatai adaMMai CaltfMi , tùtt *'"'; 
Verbian ClulfH habiiet ta Mbit .btMâmer, In ooi. ï;t ^ 
Ht &«taila,docenmfccanimonenttt voimeiiplM ,-.. 
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fatfM ufimpn «niit , /b^M ad nt tii0ilM. 
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I T- M. In MM tOtm ttPmttM» krlmMi Ctriâwm Im 

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Xtil^.umitOTkm,fMmiÊOtdhm.S<m 



fur U ChémtGngûritn. f 

h EukjUwuMi* fr. & tfffiltm mmtm* Cttmns ««■ M. 
U.t.C»M/tùu..tnm DitmjPui.DttmUfihitnv^*- 
<ib t IWbm plidnwram moîliilKionein f^4it ) om- 
tUamùmtwTfKt^cimlfanff.Ittmi/^Mimi.Ji^i' 
mu. B^UUt.ChrjftfimM, Hytnmmnt, Amkr*. 
fm , Ami^'imt. Tnun ftri^* Imk fitil atO» 
tn^mtmh . *rf tU mdhnmftrmttm rnUO^. Ih- 
tdfMt fMtiti iMti^i P4llrtl Jt ^ ffi il mti i é U- 
fmmar, Cuttmm tttttftlt'mm nmmnidwt i um 
mt NMUmtmMt Sxii i» tmmim JamUt* , Cnm t. 
<Miio«efCitni«rftpralnodit. Epmtttm ffitm». 
Ss LuUMiipmM Mai Pttrrt. 

7. Le Cfidintr Botu > i* rthm Limrfitii. A !*■■• 
frimÊT^h Ettkfit ffrbmu & fv'MM i» ninwim '*-'^ 
fMmm JttâMMH fkigi Af^ilm ^irii A E^ r<*> l> 
/m/MIm/, loqnm» voUrimtiplîi h pftlml) , te 
Kfni» , te nnikû (^(riimlibiii. Qn* vtri» i* 
l Êut m & ^ttrm ttmm imMgnU» qi mttrfrtHt 
àim m ,Dtlmimt& ffabmitêmndû^in^A». MUfmt 
gJhmu , iffimi DwaU & Af^êltnm ta»mw <^'*- 
3«mwMM, & anwtfU ,& prîutfté. IfyiJamfm 
ThttdtrtiMi Bi. ^ Uf.ieçt. & An/mjHimi «^ 9. cw ■« 
e*ifif Amkrtfi» MtS^MtmS ttHtpé^M -mm *'^*' . 
thpwm tnimift vUmmt , ii tx^4t 71r*J*rv- 
lat, fÊêittrtt mm titfilmi* Jf témtm fMtligipf 
ffi, fmtmfimfÊf Mfitéhm fiùfr wfut ,piit 
mêtU MMtnfi Ânrmmtim , «««« Amnfin iatra. 
ifaa*. Cmm i» CmM EtÂf^^if & tltritMi JJC >W» 
tlfàmêi^.&CH»UMnB^,fêtn^mm' 

ftfim m tnu m mtiiftm mMtimt *lattM 1 A<m>« 
«rjhJ* Kmmmi rmuiftn. & 4tt«mi Emk- 
fmmm AwUfiHt amvwar. tf «Mri ^nimW/ a». 
Mr aMHaovMuaf t^AMi#«aiNMMafi^Vtfa^ i^b a 



Table des Chapitres, A 

«M, t*Htn Its JffifaiJrJa/i/ran 

t*i^rmtmtlifkxmÂti KtAf. 
. IX. i>»>M4n,Ai>rnni,tf 

>. X. Dt U fMéMiUi <lri tfMtê 
. XI. !>■ wwww^iw i( / 



: XII. Dit Amktmi.Okilt 
fnUJ,» ImbTiH Jt tEtUfi- 
. XIII. D*i rfimmtt. Om » 
fnU dt U^ TttwJMMf 4g| 

>. x/tTom C4aMti& iit», 
•,Xr. Dit H«»mi, 
>, XT 1. Ah tmOfÊn. 



: êÊOkr. CMdqSM *M On 
Ir CImm OnmlM ^ fa «b* « 



_, INDEX. 

SaHTmJ. 



Cmk*, 

r. m 

"71 

'7» 

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■«I 



CANTOS ECCtESMSTICI, 



iftïi'"^'*î^'^:ss:: "îl 



mfm.NmlmJ^ 



iriser- » 



■^ rf*ot jiTio ir s. 

iTT'te^'^ ~ r.* confb™^ I. Do. 

«•Tledo^. «lD.pt,dAii|»i««, 

AtjJ^I^' AHmy'^ AihuftMOi FtlH 

~~ ' " ' 'tftIU M». 






HDVMOHT. toutr. 



mmi 



iMtfMit A Privikf/t eu Xtjri 

K LmrM Pitniin te tt Utirlii ienntttiTe»- 
MibkM l( Jtiiihr )mi i'Amh rtil. l'JP>fM 
;■«, > Phubu. hiIiKdji PHiilpi !«■> 

pi Xrnft<liit.I"l<«'*ïf-('l"f ]*<:«*• r* 

H In CmkIiH») 3( H«6nr h Fiocainr Cow L 

tkl A*il4t Htfinnli LimtMKCcMrildilW. 
|«i Pncainii J* Kn •• ChiOtltiic fuH l II 
MhiG.G. NlitMOiciailtcJe bCkintlcJa 
KlMiUln Jt 11 M>G<|M ^ Il KcjM . )« Mk t B < 

ntiiiMit>lciOni>iti qd icnrdtar I* MillMk X.C 

HnchiM de l'^llft , pu Itll Inr linnn ^'ifim- 
al{r,lcf>aidnllicblNrr«liT. Mr»nii«J( ' 

7JDI fMwlr qa'U imnvcn boa ■ k wmi t n» h 
it inMit naif «BmCtatita , i c — — « o ui te 
MrhMB ItClhi Gafiim An hm'i»! r^t I* n^ A/ 

CKfbk. BiitfnfafiNNbhctlwHMiinJtrth* ''' *^( 

nwrt*«i^* 4cUn(ltf<liMO«uinia«piRt« 
In.M J'MnmlitHcuc cbolcM mt^focM 
•ictc * rowqM^M piïMiN qve M lait , wctet — ^-, 

riSoB ïftiMtcici (iul* w fa tf Mf t tifitiM» JEjHI 

itnt.lpdMfctfefaBil l)m> J'mkJc.cm- ^^ 

■■ Jn liaa*Uit«Mca«idilnili U un M- . Wl^ 

iaMMan* bitnfti. I* H;)<ll •etbM «'m Wirn 

dcMttMriimktdlMfeiniftrtMrMiinl- »w^ 

ImIUm . « qw Ibr r m ihm** (MM t frf 0- j 

fSÂ, ■■■■ » ! « Mfi f lil»» -trH'w^ <**• %ecii 



MM 1 tirb , foat hi- 



OW «Mn<MMb h t. «9 tft|. 

DISSERTATION 



DtJTirtdiim 



qBMIRlflKl 



nriiMiLai,pflnaliuiujcpccci- 



^ fn^tUMA hmlm «i JmtitKm ftr J»att- 

An» n M« <„,<>„ Mhn ,» fir ta ) 
"*"*• rrmhmr. V.A iM» Ox.nte J-' 
<l>iCi>a«ndof«nld<itpiilinailJli,mliiDla- 
«OMU anUM canlboNi . nwdaUtioai «fldt iflAt-' 
wm: «Mt W pwikalkni* eCcn» ft dccmefj.. 
■•'■» **>» wow OMgnidw , 

fc~- */r" ■*«»<"•«»!«•;«»«» 






.A,' 



bCQt pfOMlOi DM 

MiUAtmAmi 

éMuMMUër, 

ftkMUmtkm 
VoiUUespn 

JBtnJmm, w« 
llftnUiaMl. 

riirirniH Lvi i 
comcltllti 
aimikibni 

ifc. 






DiferMit» 

\mm anfilKm Pm^t ^émnrit t /M & ^inrnm 
tagitk* lUauTUM «Mimb ffîilUwàm «At te 
tiltjl*. SttrMti nim h4t Jt IpMi» t^turt 
•Ktiimt ^MltthU . fad tjl in Syrut , ttrtimt i Pu 

«b«N vnfimu 4 . vifitMtm vi£t Anuhnm, 
H0dM Trinitaitm hjmm$ âlmn4tvkt JnMtHi 
llmiMtttUm \& ftrmtmtétmtt^imMvifiim*»* 
■^tm Btàifté AwtiMhtw» tr»é£t. V»éi Us 
Uitiê tk tmmhm XtdtJHl nttfM if. ( Hêt Str 
(Ml. } StdMtrétfM ttrî'm tfm rti Utt Me 
T.tmmit StrufUm JImuUki /ifm tinmm tw 
M tttmémUm, & ofrmnrwîriïat MmwliiaiJlh 
Mf fiOM (/ iLi muà/ifléik tfitU. 
6. Sww»,AWfaawww <d * iMn.fMOfmm 
'ituflHmBKtm , m Imû akmJm tmm CâMn & 
r,Am£» M EtAfié i&wnir. CtwdBJf» if itfUt» 
ttifnttaj». &lnÊjiti» EttUfidfÊiiim^uiut, 
• JttUnnrii CMKiBHm Tndmimm , Uufnt ta 
imlitifimfliam,&J»mtmumimbifitnittnftM'' 
'. Nmm » imftrt Mtjfitfmt ttfwttnJ» tMmM 
hEm ttmtkm, Ptfté .*<r» i umfmiMi D0M 
fU ifm iMim£ ffiaml.& Luin DriiMtbkf 
I. im m»* tfioi nt^MMst* Urimmi Chriimm to 
«r PMf,mt.f4 t^mm S*ft hm» mp 
i#i^p«fc/Mf. Ellnm hwMMlÎM DricMia» 
».a$^an0imtS»k. VnJimtUfktnAmiB 
tifmMCinfiCémtmmwmtifiJi.mt mm» 

dak ,«5tMM ftniUn frdMiM. 
SmmSIUt Iw Mufliitwdf tfliM» mfimà 
t^,tmfiiOrkm,mmmimOtdhmt,irm 
Cm. 4i. & tt- Jf^ f mrmii^iàmt maS 



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«• DiffenétipB 

t9r iit9rérmm & frlmms ê^iêmnÊf ¥êeit. iéhêké^ 
^^f^^Jf^^nm hfitmté fuk , m/m «tMimi 
f^dém HfiéHê Féfé , «feV Gnjimê mMgJi ttê^ 
kimmtxtd 9Hém dthnur Etétféfid Cernas h m§^ 
Uênm formm» Mfmmtth. Lket imm ék imth E$m 
ilifié wfm €SMtt$M Âmê fkirii , mfiimu tmém 
0MaUi M§ Oregmrhm fitmm H€Ufi4kê mêét^ 
létUtf^i , fii4 €éwem'mm MfiifiiM. Fm^ Câmui 
^•itifiîmfutUkift fUmm & wnifimm , fmméé 
iffê OftgêriéNmm tnmatfémtu, fr0gndiitn ftrttr^ 
u$ Umtn & tirmi^s îênmmm , f »## mêdêtfe» frv- 
fjt vHMnt Msifiti & 0aim4H0 immirw Mtàtm^ 
/kmndBm mêmréUm gemm SéUêriH %#j(«^ 

Il cft donc conftaftc que ce Im S. Giegoiit b 
Grina^qniiiiftlmâCNiieftablh, arpritmiid fiiiii 
debta tcgkt le Pleinchtm de l'EglUê^ qoel-on» 
•ppcUé pour cetie nirofi le Cluttc Gicgoden. Er 
penant nooi dcTOM lettnir eonme une choft ISi' 
^fe •y «g^p gû ft vcneittioii : ce gmiJ Pipe 

MM pvfciné {"EgUlè am^erièlle ca coo» cIm* 
fa. êe Mickdictciiiettencelle^>Mft|^ 
iMTV. tf- MmgfSifsIL El ^ei cep^ Medctlfo^ 
te ae dei ImeraHct^cefioailice ffiifiMHMMedce 
Nom, aç cmemefcieMeàcfcmMdecn Ho» 

tel «M ItqMliié dei iyllibct. «ri le ftlMM. 
raKf cime MUMn 



y M' le Mhént 



CHAPITRE II. 

De tmiM ék ChMii di tE^life^ 
&iefi$eff€lK 

1 1 M n'eft plus capable et monftret la avan. 
.tag^ & Ici eilto menfcillenx du Chant de fE- 
glife » qne Ici autoritcc fiiÎTantes; 

1. Le Condled'ATÎgnon* Dt Cémm Ecdefiéfi' H^ n* 
09* Ainfitcs nmmtm sd fiêMthfinfkm firmêVith- 
êm féimkfker étdbikif E€eU/M. ^dfrêftir.ejMi 
fnSim in nn^ûEceUfit tfrn fêlitm ftrminimMh 
ftmm itUm ittMts éUÊg^hfrt 9ftémui. 

hui n9n €9ttvenif i fid hiftrmmtmii immimdM * & ^^ 
9r9téÊth tam féêUéHh/u €êmr9> Himirtéin Ecchfit, 
m» Mpm €trmhmmf9r 9jm pmrit hfinmuMtê^- 
# tffitf h/lfwitihnt 99ftgrmmtét , mePtmi #/ ifid 
fmflix 9MmU in 9it mnnet. Exiitétt hâs enim 91m 
f9tnftéii9 pÊédém émmnm» si fngrâtii 9int îfnêà , 
Urmim iMrdtnf isfàhinm : âfiBi$n9t & 99$h 
9nf^€9nifâS 9êmè ftiêf : t9piâiiêmt mnUi liiM- 
é9mn9 » f«#f nrrefff» n9n #/ , frglH^*^ 9Ufkm9f 
méBtBtf : WHnnm mé f/9UHf€ntt9n9m Svinêmmt 
hnmm Hgm : fkîmk êmrtmêm gfn9f^9t & 
firHi f9rt9n0émfiâm Im f9èmi éèHffit dfi^i 9m^ 
fkm nnm • fiu I» vi»â tri09t & InBtu/k âCtf* 

f . S. Bafle. V9iUs hffétmàmm 9ft éi€mtâiini^ 

èm Sfé€ffkm mfÊê^mktm, 9k9êm€Ê»(âm^mnéè 

imf9iptndJlimmnk8m & éfnéiBiM9 , mtêmifk* 

kiA, tmmdÊ àKéim êhrkÊT ÊMm râàmn 

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\fi Diffirt4tiM 

thMt , mmtrItUt «WM* Mttnimumi & ii^Bif 
■ miiMnPm imUmm rVkjm bunt» , m nt «*• 
nd trMtrinm . fti ai ihuirwm . m» M trttuUm . 
fid Uf^a*»ÀMm éfimtl favimfë r wr llmttar 



U4 trtmtudâ mâitim , ni â$flw , m« À^tt» 



, tri mMJfrâlKf , nU cirijim 
„,„„. , tiMlim- . mUfimir^mm tfmt 

^»«a, «M «rwiM tritjMn fHKfmm- , dt An- 
gM Imiimt fttlMIWf. Sk fntJfÊiM Pstrti h^ 
humm , Ht hjl'wf tMttimMH' âd tftOnm flttmii, 

fld fr^nfdm tfflnm .fldfiÊmtamflupi.éé 

Mtmimmii mtftnt tgtlhi , ^mmfu édmlf 
tialM, IJufM tdtk Mil ifi JiHm , MM mdmi' 
Ui.tm ptné , Bt KiH lum ââimam édfd M* 
piM •UrS^rbwM . fid fiwfd mdjt'm rrif»f«# 



il (MM wim «HM ërictUiH , pwiilim M 
ptcôiAcwIlKM. « aulUin MMmJIh UIM». 

Ptr M* émkm panlci, mm voyoni m 5. 
AitalUa almak ntaB M peiM fntman cbinta 
■Mil k chMH hH pUUUi pha qnc kl f«ok>i 
mita MM M WMM pM qatct ftni StlmiM VMi* 
MiMUiNfiOn chiwtt mmU la fMttWi hy 
tUMmtiamumtmUAm. A m n w ilrtBw 
SHlSiittoft^«mMfftMH.Mht FM 

•^ » b fawib ^ mmM M* , /hM) /taMb M^ 

M^«- mviÊlhiHmÊmimIm 



/n- /îr C&>(ttf Grtffiitn. it 

Tomnvcnit jt S. Thomu , qni (çnbfeMHi 



• Inlâcc ()m Ot^nn dm* l'Eglilt: , I'm 
itlt rnlviimtt«[Mr('m-*b'iiirM li prnfM ilcc(|trin4 
DoAnif , ft monllia tvidfiiinK-iii mi'll ne le* ■ 
|anMibdmpprou«éti:aHrnfagedciÔrgiin^iii. 
TCn qn'U foli dini letRrf;lnduCondlcdeTmiti 
n.ifrA* illffitié , n'a )Miu() t<lf défrailn dim lï. 
gulk I tftt ctttf cadHiMW bim MMoniiilit cft ■]»• 
KM*écpn mm U Clurfliniit . qiwy qa'dlc ne 
Wt pH ttcau m qiKl<)iKi IkM i le CHM S. TbdinM 
{cmKK k mitiiiicni de quelque* Ambemt) n'ft 
pofau vouln parkc de* Ot^m, mali (nlcment dei 
•MW Innmnrn* di Miifh)iw , (mtinte k tfnwl)tnfl 
Sow. A qiwy l'm pcM MloMrt «w A CtUtM • 
dit qu'il n'j avoh patni d'Orgue dn Minpt de S> 
Thomii , A M l'mlUt fM qiw S, TImnmi nf 
Ciktm lymt dit qnt l'Orgae eftoll défèndiiilAM 
l'Eslilè de Jôn nmpa , fc encoK molnt da nolbe. 
S'iTn'T awit peint d'Oranc di kbih de S. Tito- 
SM , il fuit rntrndf e reU dct EgltM de lôn Ot- 
die,<ldcquelqiKi «ittet feulcmmt. Stacbenie> 
pww wipriin T««,I"PniffrfW Cotiftanifti nivnt 
raWNFr»tA'!iC<(f)ii«kPï|iliiRnyilrffmFl.lf 
kiAiwdkiJe Mi-tit<tt<*>t''>t'<> ■"*"**'""*" * 
Tm 717. Bien ptrn , ISvnni Jnlkn , PUrine , êc 
rnidWei AwtinHiEccUruAtquei fttrei-cck. 
bm , iffiimM qae XtXiK dei Onpm cft«k dM« 
l'Exilé d<j« dn vmft dn Pape Vftillen , qri Ait 
eflnirnÂi.kqnclennidanM l'HtMeflflMiki 
HIlMkM) tvcîk Chmtde I'ErILTu JImmImv 
CffilnMlèuBn«M)NnrtqMtpmntMfNT«a* 
« de« OtJiaei eMi dm rïfMft ^ iB dnq ceM 
(liif»iMniinM.I. TlmnH.qiriitlqéifarii» 
■MrMulf. 



y 



^mwi 



te 'DijJ'métum 

MtcmimikétmL,. mtd Hprté^t'mi 






><'tCo>faiak>«.iUenpnjmiillillli,nlii Dkb. 
•mm OKUnecMOUtMi.madibilofllTCdiiiifif.' 

Mnn IWian nom cMgnKfcat. 

S^.'mfhU, W «-«M» 1)1 ifinliliii.. 



M. MM f«ii MiiAm MT M|j* 4mW ^ 



frrkCk 



fi uUfit ttutttt fnfU 

/b^ MÎtM I tm* f «U 
ad aSèaai (pitkui n 
betii m«iM dkmIm il 
occtta MnilùritMcci 
rmU A mJumiémi . i 
tmMtmt «M oNmM 

VoilabicB pcocrte: 
tUfe.mitauceipir 



HIcnblfMtS 



OtfMUIt 



fiitflitkttK/iiÊlim. 

mI M, fM Mttfll F 



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.^ . ^JMi<«»^ *■ "^ «M-^k 



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%4 ' Dijlindilê9$ 

091^ fnh£m f »#^llli« , f¥4m Êfttm twféê #f 
HffiifMNi ali'iM f iiitlifiiif , ffff , |I(o||iIn I UmA4 l^y« 

émHèttg , In ^mbni immU » & gréK^iau rrftriH 
fêtjlf , rrj(# •> «M MjM /•»# étffrUéité niiftié 
99ifrmmmM mtÊfea . Mimmtdê i/t fmm tfm mlU 
ft Mtamim \ vei tmè fmis'tfi f«Ml mm imwi^ 
niémur fffrOéts fmtfifithê , mw éiUâi fir fi 
mdé mftfm, M ê^fwdimm. HimtMgmm éUifgi 

•mf$nD.Thméti*9fmf9.kfEiaffiM9rgMM$mm 

nfim s kd CéitMtm 1. 1. miéfi. 5^1. NnSb. t. & 

ri^ ««. ' ^"^«mir im M§ BmkMé. Mu émtm fnhffm 

•m^^ Mv fH9f ,tmm 9$nifim /l#, ngâminm mjkm mtA- 

A êmi^tritnm ifittméf Sêf§ ». 10. de tuait. A» 

Ê^^0^Jmfimk,D.fbmm wmfUfihMmméw» 

"^^ t^^MiiMiiwftmÊmkmBjikê.éifMm 
Him Wam mtflkM^ mfUkm ikâu mêj êmimm 

P^mâ£k,fmmmtU §$n/miêétf. Sifémè D. 

'TUmêt mm SMk wpm fékm hilhnmtmwMm tA 

9Êâtmm » fié iméBt»9k mm 4^ mt^knmÊ ^ mim 



fit h Chsnt Gfiff^en: 

tfMfnJk hfrmtmh mnp^^u II im nu iittf Mu 
lâiif à dfii!i ub|v Atoni ^ l*iHi inkn lit liciiv p«r« 

jfMM llli*iNq;iirt. ^ ^ , . 

/ €cltph . w" "/»'' ' '♦' '"'""'" /'• * '/'*' f' "' ' " l'TS'- 

tu a) aani laincfmepaflHg», pafcrc|u« d^ni kici. 
ie<le l'Orieinal fidelcmemraponé (ont cet mmet: 
kiêmmentù immummit & fftMis tum fdiMikmÊ 
Mtfff». Pat CCS KiBicta elkevidcm qae ce Saint 
Mrloii des infttiimciis croteA|tiei ae ooavenaUcf 
aai Ibot» wffitmHhmt €9mgrmMîUi^ aTCC Uï^t ' 
on danfotc en diamatit 1 ce qui elk d^fcmla dans 

alife: mais non pat de rOtf^oe. ny det anoca 
tuneni qui pcatcntt'accommodcr à U décence 
èa Service dMn. Et ce qui FaIc dire à S. Jtiftin, 

fiplr,« M»#la.*i w mâmfî 1 c'en qecdcfon tcmM 
W dei Orenei nVftolt pat encoïc imrodeit 
damTEeUA , k Pare ViiaHen ki ayant inminl 
tfec kChiit. coitimtktéim*^ 
AwM CmmtmmMméummmlmfihik, &Ortmm mih ^^^ 

Pamie pafige qni t'opUiine tna-dai- 

^'^^. ieitmm f JiaSmt y fmièmi h Midi^ 
êitfiMmëMmmè. Dnmmimê.fiimitmm' 
•aaSam Cet àdhf , ••••ai» fJiNjpi,/M^ 



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M^ êUMhm «Mir iméuSImiP. S. AtMmftIfi nw» en* 
^pit la fiidme choA I Cm fri«f<i l>#«rM • U# Mf» 
fifirkÊ mai. mmI frÊfirtmhvêii.yiéh m hm 

Bt lelkfmitt/QiMmolocaiittWimHcaiiilani Do- 
Ito «# mWIb imailiaui I W4f i# rafH^f ft^if^ 
»M^ aImMnimi l((M»CiiiiaitiioM 

^M wnà IM «llmt I âfff0iéê wêkMJOêu 

âêd M €âmâm umkmm t^mkâèa tmwâBakÊ, 
Ml /Smtm IhMMi & ffémêi ké étâmm » m 

mêMmtêéqm émékmkmmnâkimii MMéh 
H ^êM «MM itèftilUMni féMffim. Cêmêm 
màmfMM hfUmê fkmêimmm iHffitdmiê 
thm. &fMÊm HiUu fum enfm m tê M è m. 
€ $ mr âém» m wmmMpm . féjâmkm Mâtfh. 
iÊêêhJkmm M &fiMm iimhAmm. M 
•UMb»! . ma m4ê fmê wMh pffmkàû 



v> 



pmààMéêOÊÊj.fàlâ^, 



CtdMk 



fm h Chênt Cregêrim. 

8. Part jtUéiii Ckmiswifî EfkfiêU 

Comni U q«Mi ^kont» Deo non e A camaïkloni. 

T Am nnnéiUhà fB$d mlitim kêntM, MM 
JfiêUt9t Dtnm imiHint Ettkfié/heii i fwU ma 
fSui fUi éfiMm itMêfm « mt Mi ^$imn 
ékh$€âH è Mt mMjliii mêébilét fênft miUttri t éd 
iêffti hftÊém 1 9tâitUu rtfnàtff âMamt nânfiêi^ 

n' I f9iê4iNf(ni9h kêmêitihiif mf^méhi « fimirf 
mm & fêliémm #jl , hn ^fêOi^elêtf f.v nitlêiit 
9ifiUn9 « fiwê itféHfimUktrftiltum tft- Vnde fttU 
fâfkmU frâiffh • Ne iefpoii<ltf.tt fttiho jatu IhiItU 
ti«m fmm i nt r ficiarii d Anf li« » ex farte thnié 
féneéU I c^ fwié mtfki Imfepée « Rrfponde Atuco 
jfuoâ McItUMn eint, ne fiM brienfl elle videatiir. 
f«4 mlamlâ «mi fkm • kremm tU^umu^. Sei 
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êmffihi , im fni^us immU , & pén^iiM rrfirèH 
fnf , rrjf • im tuH êrfûm fwmî éffnkéUé nUmié 
•Mfrmmms m#/« , £mm$49 im tmm ifm m»Ué 
fi hÊÀtttmU j vd €mè finis tfi fmd mm lim- 
miâmfmr ftprOmtê Imnfifithfê , nnm mUâi fir fi 
mU m^mfmf, «# i0emdmmt. Hkif tM tmm$ miifmê 
imfênD.Tbmé mwfinfwimEiiUfiMêrnmmm 
ttfimmfkéCâUidmmÊ 1. 1. mtéf. pu Nh^. t. & 

f^^ M. ' Nmmmrmt êm M0 BmgbMd. H 99 mmtm fmhffitn 

**.^ "T f^^f •«• •f^fiflmm /l#» $rfsmênm m/km mml- 
i^mmHfmimmi[fxmmd9S$i9a.tù.àflm^.k9 

il^'f^P^l X>. fhmm mmfimfi i^fmmim é ir* 

œHimWmm nepUiât, mfêOm êuu mêdéitimmê 
• mâfk.^mmmmtiênmgmihM. BtfimiD. 
^ ifM dUtk mpam tiAmm hfrmmmtimm M 
iif^^» f^ Mk md i mm 4^ mn^knmm .mtfrn 



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fPVMMMi 9^^jmmé$9m$ •mmfitnwÊt^tmm pti* 



fit h Chsni Gnffiflen; 

ffkKffA hffummh mmfitth II fm nu«utf Mt* 
lâiif à dttt!! uli|i AloNi qui iVn infin lit iIcmv p«N 
ifim Anallcntirt. ^ ^ ^ , 

99mpfninhé hf^^mmU M4ifif«.iMi. Oii^'V^^ v« f« H> 

I^HHlMH» S.Jurtm irfimi it«i^iMfR»«!w ( Vil y 
tu • ) djini I0 mcrme pflHg* • pAtcrc|ue d.Mii k ici. 
te de rOrIgînal fidelcmcnirapotté (ont cet cermrt: 
hfhmmimtis imâmmmis & trêtéiit tmm fiOtmtUmt 
Mtfff». Par cet Kimctil eft evidem ^ ce Siint 
Mrloit des inftnimciis aoteA|tiei 9c convcntblet 
Ml Ibot, hfipitmtiàmi tntgnumtU^ tTCC Icr^uclt ' 
on danfoic en cbmam 1 ce qui elk d^fcnda dans 
rËglife: mais non pat de rOigoe, ny dei anoca 
ift£ameiii oui pcotcnt t'accommodcr à U décence 
do Service dMn. Et ce qui fait dire à S. Jtiftin, 

fifUx tmmiUh tk mimma t c*ell qnedcibn icmpa 
W det Oitiiiei n'eftoit pat encoie imrodvii 
damTEtUA , le Pare Vitalieti kl èjm InMmi 
•fec feOiaM, coitimefetémtiitne Dw 
iiiMiv CéÊmfmmtMmêmmmth^HnA, &Ortmmê mih Jjfj* 

Voky Vmttt pafige qnl i*ciplii|ne vea-dai- 

Dt S. Jettmt : JmdUmif y ^mièms êm Eitii^ 
êftfiiimëMmmè, Diêmmifm.fidHrMmm' 
unOmm Cei à diif » mm^m utmttm.fUàlm 



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gM • OuttmtM tgU»!» €wi» & im tbârhMt l mmtm 
Mkiil. Hûiéêm mHê tâmémhm #/• S* AimMn novi m* 



mmw0 • tf'flMlrvfMi» S. Dciidft « Skjlmm ai 

« leUâfmia/QjofBodocaiittMmiHcaficIcamDo- 
fto MA nW la «m âlieiia i H m i$ nf^liê u fih mm 

jthudiMiJHmêmkgiiÊdimifit fo Mmi «firiij, M 
^M Mirê Dd dltiil I mfnUiê wkMJtidê$ê 
9mm. mkmnmlkimti tHhmmféfiB DUf. 
MilÊemm emkm» ifmMh Hmiéâknê. 
fd fêmi tymm & ifsimêt kâ étmém * m 
m m d m mHm ^$kfiâim film , âmfmM 
fimmi I fuêfm mékmkm mmâkamMê dfhOéh 
fv ifâriit 9ê€mm h^MMhê fâtâfum. tUmkê 
màmfmé UiiUmê fim M mmm trlpném h 

Am» l^>IMlM iWlM f«M M^ 

€$mfââmm mmmUftm . fdtmkm BdjU^ 
wêêhdmm M épMm tUm ï fÊim m .UÊ 
•UMtat . fà mèê fim mMh ffffmàê àê 
,Mpim.mfàmêm,mu ^ 



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fm k ChdM Crtfffkn. 

S. Pitrt jtUéfii Chmêdm/ê Efi/lêU 

Comn M qaoa dicwie» Deo non elfe camamlam. 

T^M «m âillM f»«i âéinm kmiki, krUiH 
JfiUkft Dnrn iâmiàm EttkfiâlMi • f«li mA 
fiUt fêit éffiMm dfMéirm , mt Mi «icflui 
éJhKÊi4 M mi mifiiê mêèitù fêti0 mukfri s éd 
iêhi» iiffinm • Mivl^f rrfêpniirt âMtmii fiéiuffêt^ 
f9k ^fêêltmfhmh ktmMltnt mfméht , fimfn 
èrmmm & fMbm if , %•€ futtiveluf #.v rétlun 
fifiUin » fiwé hëffimUinr ftilnm eft Vnde fvié 
fâfkmU frâitfit. Ne leiponde» ftiiho jasu Ibld- 
fiam fmm » ne efficiarii ei IMlii » f jt fartt Unniê 
iâiiêt t & mik tmvfki ImfiFâf , Rrfpett Je Aûco 
Jona MtItMm efni» ne fiM GtiHeni elle videatiir. 
f«4 ntlanài vmi /irjif , knwm ih^ummF, Sié 
nwfdd , I iuhiffnd kmitmm » fjil kêtJMtm. 
im iTÊti/Hm i fut i #1 aanlti fâm ffifiifk ^/jf »• 
MlMé wiffê 9ffii êi h/têmim fmm • fÊkfnU 
ià m tijhi ntMi « & mthrlfm iHumm » & 
midêffmih mtkin éfinamiê f Sk nflm Im ifâm 
mm inrtêfimStk »/ti Iê fuma & méHs mirté 
lêBmà I m min mmmkmg a âd Vftitf éfirim 
HiéÊt mUltm » rmh aie âSnm fifmffi^ Hmê* 
fmitimtiJPmitfmmdi km aptén iiflfk .^ 

ww m^mwrWtm llPVfWI VOTHVTW ff %êmrMm§nW9 JjfMPOTi^ 

vBP HP MMi mfi MiiwMû MMÎ § ^f WtéWtmi m pf^v^ 

MNvw I ^MMv wfM pmJNi g ptifmmâÊÊhÊiiF t 

w ^mmi m w^w^m §^f9 mK *wim ^l^* 



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M k/Mi , & TtmMû Mmit myfMI wm/ifàU , 

ttUm mI Kutmi Mm» aénrtitm , fifrfiiit. Cm. 

jpi ^ Me Deniino uuiam nomm , unuie Dotnfno 

Mk 4*. cmnii ima. Cmne Datnjno , te bmcdickc no. 

> ' nitA cjw. Et it*r*m. Ctmnc DemiM caRkmn 

Mnm , qute ninUlk Icrit. Et nrfiu. OimM 

■niM piaMhc mmAot , lubflMt Dn m «o« twl. 

tMieiHi. Et h Mitm. PfilHic Dm mAk . ffrllh* 

Rtl nollro , HTillfit i oMnlam m wnnh itrr« 

Ihm. WilIlHllirlrMit, l( hn»M\luti In *mU 

. frrMkme , & ùlb iwIIé f ht i»Uim A mw« 

*M>f tMMM. its^i 4r imftrmmtmlil wmik , & S- 

9trft mtéiUtUiK t J^Bén ^km tut tH iwifmé 

flan , *«|» fiUt i w ma fimtrtiu t Ném 

• tk lii 0r mmmi mufick & nrftralikm tàt irnéf- 

Mi„ ii™ ''/UMr «w Mm , PUliw Domina bi d* 

^^" ilwnAcvMtPfiliiilikiniliti Jnaillhif . It«s- 

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IjwIék mm In tfRMW At tko» , LhHm tm 

inchoirfiiftonaM». UMdÉwnmM «wibli* hè- 

M fimtmibM , LwdiM com in cmlwlii loU. 

ktlonli . & mllUMA NtwfM f>J hét Sjtii, 

»tlfiiif/U , fâ bm lu^rmmtma frétifnt t m f t 

/UtiMiIflmIt, aàl muuMk , Smét.ftrUimU, 

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Vmt mmi fdém nmfifi jJnJlnm Xf 
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iUqnl , ■Uusli eot Une lêctn In Fmcim. Jigd 
wnwrwM milamhu tvmtK tmm ntêrit Aiilifk mé 
»tM,i)>vti^m*4iSfirtfêr* hw^hii m*H filmm Ai 
wéiHi.vamt MMNiDwrM & waliJnîiM Jt^ 

ÊÊm, Km» im wmbu rmhmMiki fmu» rrftri 
myfrtf mtUmiM . f»<Mi «/rat iIa MWAmr f Ma#- 
iêSatamfit , ^mmtr & film uutm ifi if. 
tnfmvwt. Iw9tiii i» mm v^mmim mtmtnutmm 
jimifi*iMrt»r%m ** M mm h^t iMuin^tMtr, 
tfi UbU trêmtwm ftifn iimftn ni ^éiétté 
^f0tUn i t*iMMi m^tni v»l»miiHt êMtifiàmiM 
Afutm» ttmftn wbmiM Mb X*mtBiê *rAir. I» 
fÊikmùmtm aUttéi npmvittmH fM n^rûtè 
m. & im Mfmim »/m t/r mthmMAi &f*. 
tfwjf««M, utfrMMB; mr^m*£mm imttrmr^ 
ft, ut i H^frif . M mtBm mut tnbiuim , 
éftiAmm t & «M pttNM mriri i vtlmml- 
Vr^, Mtn KtiBimm,fm Ik mSim , fiM t» 
Us. Ulim fnnr CâMwil , M «M frSu J^ 
tUMtmi^, fntm éfiuiém M , Iwnt trémm II- 
htfMt & rtunJkMtm rmiimis. Et fi ÎMPimnim 
mlmt Mnpmi M trMtiiTMwm & Mtkid sHimi, 
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*o«t* ubfw «m4i tm^iuHkmi , Cuhhm fnn 
Vbct.MBBnfilkn^iadftam ft «miiiMt.de- 
fOMni&dxMM, cnnpoMM «cDittMnt. Vm^ 
M« minm 4M ImSgmtwfCMmméKttr «mm 
NttfyatmSirk.lmfMffÊtmuMmimfmrlt. 
Mttwim wtimnlidictMasRffio, «km. 
i fiM«lpoAkNdm&miinnpdNlo/Mf 
'■>. HMmmdén. 



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mwmfimInHi & M»mm ^MfciJ 
MiriiM, Mi» Am» ^«^^»M>Mi . Mm «ïvifi. 
«M , fin mAm iwUM Mfm tâwiMm . mm 






furlt Chant Grnmtn'. 19 

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tmtrUtiUimt.fr^^ftitdtmMr&r^pwmtr. 



ii;ii^i>m /■•Km . (" *,'"i."!Z. »r£ï 

Mli fcliioHiMtieeimpofiiwn,(idwlli»*Trt- 
dm» ai UM«i »o" >*«•_„, ,,„■„. 






Diftrtâtk» 



CHAPITRE r. 

f0rtiti }fM«fa(mnfimiu il f fut r^èk 
flmftr&ti flmt»mUd*$am, 

L'AMborirf Je S. ttmsi cft lïifi&m po» 
monl tre i ralurtdon du Gini GKgorlm 
•£m à Rome. Ce grand S*lnt dam kdtltln qu'il 
reh dccMrigerronCtianr («le Gie g oticn , ta- 
rit eldraftMnlnlrf le ChautdeRcMnc, qnecriay 
tMeft,t'i|]'a*eit ai dau bpareti otlgiiiaitc. 
> nd MieMn évident m fei ptomi tetiMi. 
fiifi ^Mtunfii UOtfi* AmifLùrimm ( mm 
I Grtgtriâmm tft SuM» ) Ir4ii/Mttn»t , &. 
ftrrimtUfii aUtir rtm tf* fum aa£irâml ,i»t 
wwnrw. A of a« ix m mim t u m MliaUi,** mmêi & 
'*mi&lii*ri iwvimwm SmititfÊm, PuliiMMi 
•yoMqnek Chanta Mcnca cem^UdMl 
OR cacrôiiipg. Mai) tew let Kimn de cette Epibt 
yam fomcMiMifttt qae S. Bmun^ 'c'wm ju Im 
Icgte* de la SdcMC totwi lei ecni M ew ^ 
!llalt triromMUe defitei fin Cbw ,fiw paB> 

1. DMitUBibliMfaeqaedc«l>eKi,0n4rC«> 

mm,kttJklHm,émt0.fuHiMKmM^Mi. 
•Imm & ImvfrfUm u mm i ém i mm im ufi Mifmt 
êvtfM BMkmn & SiOifiM •miiêM. Smt m* 



tkr leChânt Grégorien, 41 

Imêi» lihit Ktmsmi ftfiht ttaUim nttrfvi vurk- 
tmf- Ce» de r i ikte i parole* monftcent qnelei Aiu 
d^tonairo Roirarimelloinit biradiJfhrmleinn* 
dciratinitiainfiqn'llyenaioiiaa mohi qnrU 



^ Vijfmtaîmi 

It fufintfiMRfciooikiitfvflÂlictiiiyiiitncD oM 
le la gnwké dt bien-lêtaM que RoncR la Senic* 
"le^aeâtniUiR^tK 



Mvïo j iMMii ponvow nV ^ 



roaaftknpIaS 



Hak vovMU «Mon da 
«HMÏciokbdledck 
imtcMMaqi 
lafaipo^cti 



la rcQ pflnetcttdcnnCDL 



CHAPITRE TL 

^t ta fétiùa fta f £vti it fnmfnU. 
(AMtOnffrtMt^dtUatttffiifm'él/s 
iêhmrtjfr. 



ENmtooKileidwfii. „ 
Ecckfiift^Ba.fMNia ikn M%nibla amii cM 
UiobftataEincaRaiBipielefbiidduClumi Lm 
iiOedadi ^ItM Men ^ la manicK & ^U DN- 
lniaa|enenl,BApMtMdelaniatineM pw. 
Icolier.Iceii'cftaaÀfflqMtpoiMi A Moidet 
rfB )Éâal« ti» n'a CM fi fiKlk à coRomna I w 



àcociampai 
U Iïatanp*JeS,Greg0ln, teiRcgln.MlCIefi, 
EhiNowin'dkicMMcncoit Invtnièn. Cefix 
iwf AMtfai Uete BtatJHafa 4Tw Ue \f^ et 
piattamcaoi apniftnritfovTactita naMCfa in> 
OUal'Icm jr«M>4-il> Clm|la<|d<la>. 
•MVtal dMl kMrtdM p« nncMindt Jr fit 
i « iMillfcaMail.to€iWwt»-m<ackiN«- 
liAttiww i ili MB l iw ii^MJw ni lii n èas 



■«taM 



, f'rliChâiuGrtgmni: m 

viiS^M , KcCM , «cmidqaet petit! mJù obliiMa 

<««t tic»diKiiit à «mpimlre . „„,„ J^ ^ 
iciiir inali io^flibk i nchlicn »ni~ r^ 
liid*aeIawiid'ynM.iftip.Ileft*taT<iiUmrf. 
dadedçoi poiimpoiimtbinnn», b qw. 
btè dcf NptM qu'il hllott dumcr Tin chiume MU. 

townait, neloicm pu riiBmtc* pmu iiMnntf 
t«i«iiienNiit la GniMitm dlvnir du loM , ih Imri. 
•"•** !~" I" •""•«". De 6nt mill tiWt 
mt^^iHicile en a in,j>.U dt toilinn k Clmi 
wuupwcté , «r mefine il eftoit imindible denela 
fM CMtBtnpte de tcmpien Ktap, 

». I'o«lftiTaifUfMtede(«cmâe(n,fiT6lc 
^l^mïie enâe de l«bati«lt de IMU lei phi 



gnndeBiUioiinpe), t.n,im eelledeS. Ger- 
nnfldes Prex, dedeot plairai aoitei edelieet , 
d«ic Mini'aeiivoyj lei mioMifei , meTine de edd* 
dn Veticifl de Rome, emqnelqm OticiiuinlM 
piw atthCMtqiiei qui m'ont efté cone w il qu e i t 
<pi<i noli eumM emleolaieal ai eoll>£«,< 
«nceiand lôiti tow cet AjMlalMiioini & GeMlneli 
mandctitt, dontil yen ne&de M«f eent an* , ai 
J™ i(T"T ">»"' "" d» diCfm. ai deeo>- 
ndWn.qaeebMtbkoeoiioiqnioi»,»! 
»aeie^ C^ottoien pm I. mei^M pat 

"" ""T^T r'I ail im ii aiipiii 

> Teweei petit» potaii , qw» qne podèm «I pe« 
g»jo« on o.pe.pd.l.i.», ; . 1 , 1 1 ,1 ^ 
•>qn reellhn la diaitnii Krat a> ï 
Woa.lilo Tktotmtaem ai il U'nmaiK 

^,*kTla,ni|.m klek(^iai,d<b 









i 



lyijfertâHon 
te6c4eb Qaime.^UqdnKftfcb Srw; 
5csK&delâSndénit,dela5cpnfaitlc<U 
atc. Et pHconttOnniiraii ponvoii ft min* 
. UHK momnit, il eftnit GkïIc k RUMNt, ttcft> 



LalcieMedi ChtMa tod)ow*cM CRttJM, 
nte, fe JiAdliblf .puceqoe A* Mcmkn 
jpe* le ToM .HbM fondée ht la V * ^ 



t en ce ten^tJà iKOlim , pnilijii'il ne cou* 
rpMenwnt ewfnbfiftoti vpe dam la mcnoin 
m <}ai le dMMokm Se le f^anoient pai conri 
■neni IR*-Aagile, Nom aroni la pccme d» 
vctiUpatioatnleia«]i9iîtra ftleihiftMRi 
nont avoD* r a pponfe t . Car pontqnoy dot 
< Ê lÔM-ili doMié tant de peine poM avoiT en 
» la pmeté dn Chant Gtcncien I Poatqnof 
pdei Mnfidem de bnr CbapeQe k Roms 
le M» pour t apptcndte le Cbam dei R«. 
1 1 Foatïtuoy Eue iienlt en France di 



MUMOi- 

kieR«a» 



I pont yenlâpeila vetttaUe&fon deChMH 
[VoA&ni pro*etMitaMdeciiai4eneM8tic 
MkMW dan* le CluM , OBc M« tnaroM pab 
ment fen la Régna dt Pepln . OmI». 
t, acLoatoleDcbMMukelfinMiNnef» 
aat B'eAoii poént noté. CaM*0 arcii efté n»* 
Bf envofet oei MttncteRS ■ René f B 
lenkCB Fianoe, il ne («lloii Wavolti 
■d pbwMte wwé. Towa la K^ 
ntBi u ie t ftlI tf m tM tlafcBa oc ié 
I Ik la Râla leAneletE^Mt p« b « 
MB da dib , canot tMM la Km coM 
*«■, «oM Ici %MH fim OdbUhkB 



pietiiii 
nleftoi 



TCTiié 
qu'en 

avow 
Cham 

Royt 
bnudi 
Vitalii 

me , 
Qaa» 

Ronu 
cftdit 
kRo 






u 



V 



a 



Wmm t * « tek 



^ 

^ 

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jHf, ** 






4f Dijfirtéiwi^ 

nactdffii kt Limi. Il cft donc pMbiiila m ki 
AndphotiaiceiqiieVvilb 9c AaMltriiii demande, 
itnf à Rome.Q'eftoientqnepoor &ife icilôimiilt 
«ipenda Chant qnl eftok cncoieplni corroniM 
^ jamaisda lenip de Loaii le Dcbonnaiie i U 
m Nocet^donc ftlc mention le Moine d'Angoo. 

Mœ , ne pcimm e(be que cet petits pointe , ou ces 
«mbiei de Nocea enconîpandibn des noftfci. 
j* Coniideranarmbodtéde lladolpiie : Ùm$éid 
\Amhh$miri9m Mmsmm , Iêh Mimmém^if^ 
fBêdh mBm It^pêafwrimmm . & hvtffiàms #•- 
fmmêm 9t€mrmmfêf^ éftU Siffffm Nmiêms & 
Mnhfim ifmiiimn. imê im Urà Âtméunk /Mhi 
êMém miéi9i9étrUt4tm* H ne parle dei Antipho. 
Miiei noe pour roidicdiIRtent dci Antlennet de 
dea Refpona , Ana patlcr anomemem da Chani. 
Dâvamaga Toyona ranthotlté d'Anulatina : Cm 
Imm* uifmnSêéfÙm ifmfr9ptirj4»tifkê^ 
wrtm dIfimUmw imtrfi mm$0m fnvimk/mêé 

^mm^Umlm^irhk & mmltUnSm M^mfiri^ 
fMi &^mifh$mBmt. Une fidt en tom mention 
if» dt la dimfiié dea parolea » «c de l'otdie dift. 
tant dia Antemea de dea ReTpona dana tona cea 

AndpiMnaiica , mcfinedani leaRomaina » fiuia dire 
«n ftnl mot dn duHK. Ce doi monftit bien qnll 
«ijf flvnkpoina encote dTAo^lionMtca cemiitt de 
Qana^nMia ftnifment de pnaoleaj comme on ont 

cnem ^nel^Ma Rei%laHi dea Oïdiva qoi nedun* 
Mtpoém.le nt fcnramfcdaerl'OCoedifin. 

i. Mn iiilniii k i rfefcnt pm encoie lnf«ntée> i 
iiPp flvok âan de i bcatwEfeiifiina qie de ft 



fit le Chdm Gtigùrlen: 47 

miMaplwbaa(|u'ilitcfAnoit| oudam laipiamiié 
en tairini trente poinci pour vin^t-ncuf on trente- 
Ml I on de caprice en mettant aufTi.toft an acoenc 
$ipi qn'on trait oblique , ne (Cachant paa à qnoy 
pooToit ftnrir fi pendedificrence. Enfin toutea cet 
taifensproaycnt allrx daitement mi'il eft impoflî* 
Ue^ le Chant Grégorien n'ait efté cotrompn dt 
temps en temps , êe <pt'il ne s*y (bit di(R qnelonee 
dboa. Mais ponrmonftrer qu'il eftlbeibtn de rea 
purger entièrement;!! but Cuisfidre aux Objeâiona 
propo Aea (ur les Çorre€biona qui & (ont fiûtea ea^ 
«feca Lieux avec lea Amhotitet neceffiutcs. 

t. Ohtiêimt. 
Le Chant Grégorien . tel qu'il ell en «(âge» eS 
afii cocsaâ, il ne fattoitpoint dn tonty toucher* 

nwr idiToit «uirefeia le Pape Celeftin Uaux EvcC 
qucad'lllyrie, dana une occafion bien plus impor* 
«dite que cdle-cy. Lea Rei^ea de la Ciompolition 
du PIcinchant (ont certaines , eridentea , Bc infaH- 
ivlaa ^ comme les prciuiera Principes le (ont «oc 
fuilqne le Chant Grégorien à lès huit Tona oa 
Modiea, br lefqnels tous ks Chants de l'EglUk roa* 
iantde fimt fbndei \ que chaque Ton a m cotdef 
cAntiellea» Domhiante de Finale, fur lefipellea doi* 
vent comnaencer on finif la ploipaïf dea Clianta 1 
fK lea bémols font naaureia oc naenue œdon n eg 
lesnna f oc im uenuaii pour ici murs | que 
jHmda Progréa de Noua ic dl ntefrallea , A; 
ks fimfe Reladona du Chant fcncaMbhnnenc dé. 
icwmi ipounfuoy connmw louvWHi^TKncs qDU« 

tBoea RegleayOUleaçUafvaf ■ peucntenaneLw 
'^ Caaa* I PoB y penA 



.1 



.♦j 



«vnadet thmtKt-coai 
ipiU/dd fit* immtkm 
M àfiiflm* & uwvafif 
m nrrMùmi. dit Tmil- 
snUe . c'eft cpie U plaT' 
«flintcc le'cft tcmft pnJ« 
li , finon cet pMokt ^ 

AnnfÀiik'ita Arafat 



le dûuiAt le Chm Mdi* 
K n'en p«K tppMWt cjog 

M ftrtarhÊt, Ainfifiek 

I «cdbulKnl a'eft poiK 
pment Qoe î employé p<MK 
etûm iatont&iota tfi 
l-à-ptofot, ttÙM wdw- 
Am krdM.pMtoexpc 




/>r It ChéHt Grtgnît»: 44 

feni qBmil dte t1l»ffuyie de ramhotiil. V^f i/t. 

DtmlMui in ÊvMnitli* . (fifaif .■ Ego lùm *etltM. ijr fr 
i/MiA»>/,Egardnic«nr[lcnd«./MfBfVfr{tMrM»- ^^. 
«^i . Mito nnfiutMÀ* Vtriutti. Il cA donc pto* 
hâble qae l'^wiTUice Ja liwpciwegB , apreicetls 
da Notewi , S i'innuâitade dei CHreâcwi * 
•MUfll^lfêf pwCiccelEonde temottine infini 
tCdefioKtecde filGficitioni. Et fi l'en rata tMt 
Je Livret de CliMK icmpllt de faon de mon , dt 
bftnt,depoinn,def)Kaln, dechifrct, deio- 
briqaeiiftd'mtiet chowt'quioMlenn te^nen- 
ttinr* t poatqnoir n'aorw'on pu pd faite d'andl 
mflètMKndeCluM, dontUntarpindei NoMf 
bm aiWtnim, on dan* b efunati, od dini l'eften* 
doë. Et tinfi l'on doit rfttc petTudè qu'il eft b»- 
lôlnde kcani<^p»mK,atentoaRilWp«itie» ^^, 
ttntmgêa.Owuàa 



ViffirUtiM 

e ChlW dt ITtlifi doit eftre GmpW , »MW 1* 

Irtnr ™ixfai™.«V«fi«.~i' ** 

î1Sin,driUittQrim , <.i..«q«»l« 
j~S»« 11-* OrtB«im~. J'ïi^ 

«<*"»: p~c:j: ;':::ifS" SS 

. infan Non !«««• ' *r2HS2» 



/»r /f CAiMf Gftgorîeit. ji 

l'il mi pennt* A wtfônne , &iudiKtc|iK «u 
ii,MpniiiilfiondnSaMtleaK, ^chanter, 
„ mtn , on tntancbn Ii nralndfe Noie ai 
Clunt lie l'Eglilê I comme l'on vem <Uiii le Chwii 
trc lolvut.uAietnltKtydctaminienillidM^ 
dudtet le Pleinéliàiui 



CHAPITRE Ttt 

Dm éh$ ^i fi fêntfliff'^f^lm UMjn!m4t 

thMutrli PIkmAmu. 

P Ont bien chtntt Ir rlrinchant Ai l'Eglift, it 
n'vf'iut tlMi chingn, a|oâc?r, ou thnilnuni 
toÊi* fimptement chamn M qui rft Hmi le Ûme, 
Cette »rrlt* le proure p»f l'iuthorlic falvuKe. Tr* ^ 
Star U fffal4 Cà-ttiitfiim : NoK«e UliUK , h/A t. 
ywJ Ic^ellêejnUnihfan. Cb'>J ww^ ww h« r 
lc[lptanteft,a(at>it-nir,nMicjnKiw.Ar*i(rf,l«*; 

7J DfM jt«t t . 

. Wtfilét firtlntli , fnunim^ iwMM 
Ow/rriaN. JrfMiwl Nifl<)iiod lettlifi Iri fttlMa< ' 



■dfhiM Arw^ tf , Mirai /U fràtrftt. ]^-*i 

r, #1 jtfW. f J Mfr) jtat . pmn*m kél^t. VU m«. 



fâmm 



« 



■ it 



« MM iin firt' 



jWftJ «M fmu. tntPft tMififMMI leti ftfiMt , 

Ur tvt A mit «mm4 /rtft^t Vt ti ^Mê 
Um mdêpm , Été ilk0 , »ttêliêmUt, msêI 



mm 



)» Dt£irt4tm 

fitmJlm amtdfrrifffim, JiaaMUwr. Dtwtm^ 
mimiiJMiJitimiiufim: Qy>J fnwipio ribl, hot 
tMtMn lâdta DonriM , ncc tiMMqnkqtuuD,Bee 
■iiMU. Trié trg» fràtMt rrtmUi n<ftm fcripa 
CnK^lmcntiKi non (bipta *bjidtntnt|nM (cripM 
^fwr qoMR Icripu Ihm decninirar. 

CencmMiete de dumet tuitcawM qu'il cft no. 
•l,ft(tk«rdlralmMnt parcm qnÎTnlnitfre' 
wnnfinkPIdncbMl rccquieft inlûppoRaM^ 
fWdoitkwuMiH à TAnM 1 puce qoe non lêale- 
■MM Ut MuidcMpMbDKn-lcaiic«Bck«athé 
9M ivqnimië Semce dlnn, maii cncoKlIt dt< 
feaUcm l'rfinee da Mrinchmt, qd doit eftie fimfb 
ItWf. Comme font cnn Mi mduMuirEnn- 

Ê, ont Mflroan k meffnt treJon à MW Ici peiMi, 
csaaUkmMtiinS, 



'^ir^^^^s 



Df Ntaw ««f^r- 



^^^E!£â^| 



ll.liltn «t- - . . 

Tiili lui ■"■-'""■ toBMiiaencsfe r<« 

■Il lin I . T—J ■• empUrje» 1» Put» 

hindni'ickantgri K rict pin<n qi'ai 
■la t>i tkca <• Matqa, iterioncKi 
^ya »*«1, «»">— I ■■■»■ " "* » 



/«rfc 
BotcT, & qui ne G 

dbm* ta Note de M 







leni 



■B 



14 Difirtâtim 

ttoinittimaû imfnMdetClivitiprorMiei 
wi«, powchuinmicompdcrdnChwn, 
Jifcàlaniaiifreproftiieihifceie, & qui ne 
^■mi titn ae l 'tfptk de rTglifr. C'rfl predRii 
•ecctDoBmaWBqn'il ^( nnixlrc cet pwo 
Dtf»piMm nptS, Jtvittmprtfiumi v»tMm n 
uiti. Cm comme dit R«tnlp]ie . Dtffftn 
■ f «nf n/.^»AM «Ani i^M »/». Ititmr t»§, 
fimi CsnyU 4,f»f,nm. Tr^hsn. ^U * Jm 
WM1, hn tafmMmrwnï ttmur , ( mUut 
fft^Ml, étjmt*»mfé tnJtum , cnixmc 11 dl 
M «prêt. ) Or ce drpoR dci Ùcxn Qtnwn * 
J-^JPjJ^eft Wloiipttfci Mimeidn Ccm 

, I. Du Concile de UiJn crieM pu S. Chai 
/■ JMinm Ofttit , ut mmM h, /ulfJBi . m 
fim4umU». fi„lpt. mt imftaii Cm>Mi » 









t. De S. Valeritti Efcfqw. ^«MJ^iwfaeJ 

■ Srîf,'i'*~ fc/i&jfc <•««.. mi». «1 



yir /f Chdiu Grt^orîen. fj 

uMâMinm ; mt îw Tr*gmitrvm tmium guHwr & 
fiatn dtJti mtiictminê atUttUadM : »i m Ettlt/id 
tktMTéUi mtJMH MéMmir& tAWtk4,Mimtim». 
r» , M tf<n . hiftitmAt Scriftaranm. ^mnit fit 
«tifwi , at f§Um iOi affrlUn MitimK ,/H*iu 
»ftni lintMrit . Jmiâi Mfnd Dtmm eamtr t$ : fit 
MMtttfirwiCknjU.Mi n»nv*xettiimh,ftdmtr- 
Im fUttMt fat Uganttr : atffiritat msiat .ftùtrat 
iaStiU. tiitiMar ék fcit faifimiliur ttnfgit 
iiatar, & atmiainiatMmria n> , fmtb Dtidim. 
fiimtmfiitrt ftfaltram. 

Contre cet totttt de Çhtsm profum , confide- 
tomminmcidcS.Jeroiîne, AkJ* Ettlt/lttkM- 
Irttti mtJaU tuMtatar & tamit* \ftd ta tmtrtf 
ia tfttt , im fiitatia Striftartrnm. Cci dtnikfta 
Mtokl noM monftieM évidemment qu'il eft ibfo* 
hratK ncccCiiK ws CompolÏKan d'aToii la 
ftience de* kncei,afin d 
dfiqim Se pw le* Mod 
In, te coBven*htei an 
tM , lefau de* srain 
paiolci lâcriei fadènt 
qne tedunt «noicilk 
cet pualei dicnemeni 
Erpcli. Nta fàa •M 
ftàtttai! M f^witmt m 
mlBtrr ai m fgUntan 

IMftdtWMteSS.» 

lïrpdidtl'EtUfe«[(i 
Chant. Cl ccu M •Vw 
CMM t iMimcaca os! 
UnoMimidÉalkit 
ItdMilaSS.hfW. 
t> MCsadbltTii 



ri> 



mtm 



yé Di/fertàtiOB 

^Mi94. ^ '^ Concile d'A vIgnoQ. Mmfktt wmntr^i md 
MmAiiv t^^tft^mmffrmêVtmJbmlklitkntêr sMUt £r» 

nêmfwlmm ffrmttimtit , Pêrum 9tUm in Set émt^ 

4m êfiémuf. En téme» êlfirPéitiê kéihtiéU irtt . 

•t ffMT êd mêdàiês friféufétim féutHêmm . tim ffid- 

mi j mm Cetera Egde/iéi/Hi» Htinéntur. 

'Mmf. é. Du Condle de Malinei. Gnmh tsmmm & 

21* M. Méfiés mêtm m$9t4tMmfité Ofm Mvi^ê édU- 

^ ^ hétÊtr I Mff iiiém lâfthé vtl fttuUiris. SmUêur & 

Orgmm . & f««nr»f »# mfrnmtmé MttftM . tmm 

hfrmtffi^Mmi ^inm inEmUJUi, mêdiUmtiêm (nâ 

Ufti9M €MMti4if€t ffM Mffifttr i stif FtAtinim 

mit OrmUmm Dmitdtmm 1» Miik é^mmmf. 

Cet Yoji pcofîmet (è jpt«vem mcJmecftendre A 

certains îeunei Clerct»leU]iieli ckantam une Leçon, 

ellevent ttllemeni leur iroti infcnfiblement , 1^ 

nonteni fi him à force décrier, ijn'à là friUi n'y 

pemrcnc plui atteindre. Ik forcent U nnre » & 

.font de là peine «n afliftâni. 

'iIMM. 7* Oti Condlelii TrulU. E^i^hEttkfk ai 

yStl &!!^^^^^^* ^Ummssmtltfmdhiâth^fH^ 

Jj^ firmiêiMMê uH » & mitm^miêédtiénmmmmfm% 

MNfl. mfâU^md9m9mè^^uéEttUfmtmmÊVtwmm& 

^fjmMfitm,é4i^(fmif0damméiiménimif* 

m&fmfmêahmf/édÊmdlâtJ>m,ftd^mmiê* 

fm^m imfpt$tm g m99T$% 

Mt.* ^ ^SAUMt. Omtmm mm & mm ÈHtA^* 

^ rmm iOtiPmmpsê tfi êfmm. rmt mitm i)m Bm 

■^' 0ffmé.9mrmmê, ^éfêmmê.fidmmmémk. 

M9Mflmmi& mHêSmmfimBê mUiimdmth 

r^fi^imm$màimmkmmmméM 



pif le C hani Gregmen. f 7 

'ifgâ Chrtfiémmm fimfUchmem tm ifsd mêdnUti^m 
demtifftt, me fité wuifiçê gtftm vrl ibtmrmU mtê 
ftd»lêM,fid f»é €9mfmiQi9mm mêgi» midifmihii 

9. Dei Oeavict de 5. Bernard » TréUêtndittfft* tmâ i 
fiiri dwmê , dtvitUt & éikkfikMslhgiié^CéSM9sSt&€» *^ ^ 
SHmfHidmiêVHfdiJIêliiti» ^nivêcti/ké m^ditlétlê» 
m gUriâmnr s tue 94mum'gMdifit di dêMgréitiê, 
fid ftiém édiês JPirtmnt. TummUi fféiti$m , étlind 
im$imit miêm Ulri Mtémt « tânté ffi hvités vmis 
fmftéUf & memis» Cévt ne ptmt diUQms éliituSm 
9K$t, diU&irit 9iéiti$ti0 mentit. 

L*on pem encore attriboer cet voix {>rofanei am 
laj<|iiei » qui veulent cbameraux OfliceiEcclciîalB» 
qoet la Note dont ils ne fçiivcnt pai lènicment la 
plarole.Et c'eft une chofe déplorable d'entendre pred 
que dans toutes les£gli(ês,les cacophoiiies^les incoiw 

{rmu % , les contre, temps, les faux Tons , 9c tontes 
rs conÂifions de chant que font ces gens là avec det 
manières fi ndicnles , qu'ils choquent les (çavans , 
donnent de là peine aux ainres , & troublent le 
Service divin* Le nwjen cScace d'empelcher cet 
•bus t ce (èroit de publier loovent . leur faire enten* 
dre I ^caflkhrr dans chaque Eftiiie à plufieurs en- 
droits , coiiittie l'on a fait autrerais , les Oracles des 
Conciles , êc det SS« Pctct , coBune ceux qn liti* 
venv» 

1. Dn Concile de Laedicle. Pmret CtmUHJhh HmêÊ, 
fmrmit ^pm ÊfmHn frûHftânmdmt tmti$m$ ftd ^^ 
fiUtjhm n/htndnm» & $* dtfkitréfm memkrmm 
mimmitî Mênmtum awintri it r, édhmfmrnMm im 
tiHt/f Mkn. 

t. bu Cendk Si deTooit. Sfmd»tflm€hk ê^fJH'^ 
mnf /nvf mtm9$ fmmjêmn mjfmm mmwmfmit^ 



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limamÊmi^ — 



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)t IXjprtdttim 

hitirdtrkês fâm éd vigUût fum éut Mjfét ftM9 

fnkn$ m» fréfmàâm \fià féon iiU » f jm àcsti€iii$ 

mnfiêi éhéÊïï* SpUUmts Chéris témtmm Pûllencmni 

féNMt CUrkêntm, 

IfmH u |. OeS. ChrvibAonie, SmttpiUm imgr kêt^ 

* '^ Uiâdfum» fid/hiriimtlêfnU frê viêtgsriims & »nu 

/5MJ#iMri»i#/, ificampomai vocei cmitcunc ^ mUl9» 

fm meUtiifigiPwttfhufWêslkihtitifiuiU, t$i§ r#v% 

rntmmhuâmti «p«îr«»M4£ri. Qwrfqoei-iint fenc 
icmct âi ic t 91M1 ditMentmcfîne h Préface, êr 
Imic ce que tecdebrtm doit chmier ffal. Atîfir & 
Um^ M^IUr / Nêm cêfitât iffim Mr iitviJiMiitr ésiefi 
ffm!; t>mimm • ë$A nifMiêfi^fM m$liim mefhwf Uêi$ 
€§£hêi f «M j4i9itU Mi fMfiniê nffifinm mifê^ 
êmiffm rtPirftnuê hétic émmvéiUii t f^imm tm 
i04i JM» fgités^ Uêh iUmêrikmt mlnl €9rti figtâfi^ 
$étmikmtsmmmm imwmpfihm tvidgéu 
4^ De S» Augtiftio. Stitmtr tëntétn « nên mflfià 
Uf^ 1. htmid dMim^êinméÊÊê 90m§fmm r/.Bearai popains 
pfL If. qoi ImeltigJt jobiladonem. Fr^Udtckémffim^^nêà 
fffwM 90€0 tâmémmm « fintf itûm nràê mM 
fM M. étfmtUé NiMê Diêêgné témm» mfi fir< éA Oiê 
0t€tf9rit f»#i €âméKn fêjpr» Cêrdis éutum yWrrai 
ML «!' ^'^ Cêndiim Hmwfâlm* Cénnm Dm . mid vhk 
''^ ^' J>i0 I Qs«ndo tacet » ot nnn daoaai ad Deom» 
HéMumSéuM DHéifinmUt fiiMi99ffênâm9$ ^ 

m!fimf9fminrl0mmi€âmm$9»JÈ9€rfii^miéUm^ 
V/U tf«. pi mmUuirfkéàiwrff fèmu Landace O^nfaioiiiiii 
VfKhàà joMlaiteit, Cymk^ h iw9km hmnih 
fmrmt$mfimm. Ut^ ^ fÊiktféém IMt mfriê 
tmiÊfâTÊtufim. Ni éM éUÊNm tymhU imMii^ 
fit Ê9é Jnf éuâHèé JwtÊtnê t UUè ftt9$ ékUhtÊiB in 



fitf U chant Gregmen. 59 

féAiUs Umt »m$Mmfiék âtims fr^f^çitnr. Kêttjlit 

ZmhéU inklstiêmt hmfêmuitm, f «tV cê^wêntiâ^ 
rt paiolct DOQt eDlc^^nenc qoe nos cymbales , 
c*eft à dite les levies du peuple , doWeDt cflie d'ac- 
cord avec celles des ChaimesEccIcrtaflîiitir») an» 
Cfement les laïques doivent abibltimtm (c taire , 6e 
fe co m emef de cbanm dans leurs cerors (clon ks 
défies de TApoÛie » Câmémui & ffêUcnut t» têrS^ âUpi^ 
km$ Vêfhrii Dmi»9. f^^^^ 

$*VnYenttMtMie^ilgieémh ftiidiiêMféfk» ^^i^j^ 
hpU wn tmH9r , fd mn têmt értefidtifM, jumfhm 

€. D'Amalarios Fonnnanis. cUnn tf m/hr. y/*^ 
f$ tmHêmlwm 1 h Cb9n témimiilum fir'/f w/r iraïf i^ *>§» 
é/iMunUstfftiêiémditiimt &ffnirkâîthwum. *!!l^^ 

7. Je ne pois mieux condure ce Chapitre que par 
ces Mfolcs de 5. Bernard: M9ne9Vêi»SlMîfimi, g, 1^ 

ÎuA fimftr m ftnnuk ^Mmt tmtrtft i^mMèas^ '^ ^ 
^tnmii fmdem ,mjkutn9ênmir^it0& 4dê€rit9r fjjjr 
Dêmlmê éjpféaht «mt p«/H, Uêiffimn^lewH, mm 
êfiitéUÊits^ 9f$ft fémma Vêiihtu » wm pnMûlnifef 
nÊfthé HmêdUt» HMr imtgtd ttwijUi*m€S ^nmfr^ 
fiji & mm fi vadl«# mdliitft fumUawMM dir 
WéBnfimmiti %fêi vinR , m Spmm #/!• & [nktu » 
& éftQu metsfémSi Èfkkm étf nmmtt * fm4 
fnH^miàiâBuit àtm ffMHi» fmmfÊêdffM^ 
9ii,€9^Miê. SfMtm tlâmpmàuiiUiUràpmmm 

.^m WW^mm ^ yHNwVV AMW OMMi WPW ^ MVIVpl> 



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Diffhrti^ 



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CHAPITRE VIII. 

2>ci ahi t$mmh ém chém Gngêrtn JUm 
fkfimn fémin di tOffiadMê^ €9nm le$ 
At^litdi UftUtm 9 frMnn^féat UfinmiS 

^ m/ms Rtgh. 

APfCt ATOIf HMMlnfé fU lOQttt Ict MUloritfB 
precdlcmet , êr par comct les uifompolE. 
pki» qne ^nietiiM de S. Giegoiie , 6e en depdt 
ipfqii'à Gny Aieria , Il cftoic nct-diflicilede cou» 
Kmr k Chant dans iâ pâmé ,, qatl n'y âToic ficii 
defiracUeqiiedele€»trompit,9i*il cftoît mefine 
irapoflible de ne l'y pamomper, de qu'cfiâiTCu 
noie il a efté corrompo deienpt en temps »à plii» 
neufs Ms, en dURiensLicitt* 9c mefme nnpen à 
Rome i Promrons ces afrai par les Règles de la 
Kicnce^ 6e par les mefines tetmes de S. Bernard} 
eipli<|iions celle fipiibe admirable, ^eftoneex- 
Pitffionnaïfe^mdlê, de natordle des Règles de 
M Comnofiiion da Pleinchani les phs «DthentiqiMs: 
9c cetReglesdB Pldncham fiinsdoiRenefeni pas 
McesqnecelletdelaMalM|aefimple,égale, 9c 
mkjk vote 6ale|de(qiielles fiMicoiifCMi «lanimei 
ment loM les Philolbplics » Maîtres , êr Compoft. 
seors andens anBodemcs , comme EadkK BoCce» 
ZarHn, llatBq Mw,KyrKef ,Partaw, delaToye, 
«e tant «antres. i|ni ont écrit Ae cette maiiete, 9c 
lefi|ncles Regka encoit a n i oo r dl mf nons pratU 
- MdStaMi dw MM Ma Pièces dt 



ySrr te Chant Gregmenl S t 

MttGque ae de Pleincliant , comme il eft eipoft 
dans nos Traites delà Compofidon* 

S. JlinutnU AUdHt TréBMm Jt fâiiêm 

SAInt Bernard dans ceTndté lend raifbn des cor« 
régions faites on àfidre an Chant Gtegotien, 
tpri eftoit en otage dans Ton Ordre , 9c ailleurs. 
Csmum fum Cifmknfis OrSdt E^tUfié céim^tn 
99ff»99eréUft:non fenlement rOrdredeCifteanx, 
mais encore plufienn antcei : Uat grénit & anv/r j* 
flexêifiiftitâtpirditéiti cette abfiirdité le peut en- 
tendre généralement de tom les abus do Chant , qol 
fbntgrandi fleen grand nombre : Neantmoins pooc 
tntrer d'abord en matiete , j'eftimeqae c'eft cetm 
«bfiirdité pefimie 9c nombienfe de Notes (opeHIoâ 
Ihr certaines fyllabes » laquelle non fiolement trots- 
UeteChant.obroircitlaveaë. dégonfteroieille» 
mais encore offitfqoe l'entendement , mand ce 
«and nombre de Notes eftrnipoflàaneryllabeqal 
dok eftte brere , on qol natntellement ne demande 
MS deNemne.Ceft ainfi que les Anciens ont appeU 
iéernie longne trai&ée de Notes Gk one mefine 
ADabe^commenoosen voyons dans les Graduels» 
dans les Allehiya , 9c leurs ff. dans les ReTpons, 
er au tr es p aiti esde l'Office divin. De direqne Cril 
«nabus d'hnnoicr pbfienrs Notes lur une fyllabe 
qui doit eftre brève, ceUfcproovepar la Reglede 
la ConpoMon , qui enlèigne que la Note doit 
eHie eempoOenour la parole »ae doit s*accommo» 
dee à la quaniiti de Grammaire ; ou à la quantité 
de pranonctsiloii » laquelle eneoce prévaut nr ôeHe 
éaGoMnaket Mais comme cTcft une des plui 



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« toîjftrtât'm 

ment de Neomei , ft «fc la conATmi dei Nom 

^ Ç« U p»«teiee * I, bon fiMdi C<«S^ 

pwei«^U««drfa«No«t.£)A témn,^^ 
«TifTSl j ^ï*^-"' Ce n'a jMMis eM 

dMMMj le* leaai^<le DJev âveeiuc d'iticnu 
PywHigeteDwletChMBinepJieBfcea^ 



ySrr /(T CA4iif Grégorien. gf 

tenife |rint conmode à noter Bc à chanter. Digmm 
f^mdim #/. M f «î imm Xmi/tf veritéum ,\r4^ 
urmiffii éiUrmm Sfpi$fMHêm^mt , W^irr rhfM 
fiasm €âmnS fàemùm. Tarn cela confirme ce 
M'îl a d jc auparavant: RffMéMis $§rmm iiçiwiit mtd 
fmWtmdimmmdgit.^Mém méUmrémin Céuu$k»t\t^ 
temdffUit , têbénmis étsjtintHm» & €9mlungmi$ 
f/9fiut ficfÊÊêêmms 9êtfmnZmit, Cdntmm pnm 
Mft^nêmprêuttim. imifmm&urmiitMt.}Up0^ 
m$9$ & êftPMwt , fmfnmm & wrSmêm. Je cmv 
que cela t'ememldecein quiMCflansPombre pow 
la venté . uns a?otr égard à fa namce des Chants , 
leparent les Notes & les paroles qui doivent élite 
jointes dans l'Intonation des Antiennes j ec joi. 
pent celles qui n'ont auam raport eflcntiel cnu'eL 
KS.c'eft à dire qei font dépendre la tnminaifiMi 
rpedfique des P(êannies de commencement des An* 
tiennes : & ainfi confondant tont , ils commencent 
les Antiennes & terminent les Plètumes , akaiflèM 
de eflevent , compolènc de ordonnent ces commen. 
eemois d'Antiennes de ces lins de Plèanmes , non 
pat leloo les Yeritables Règles , mais félon leof 
fini . qu'ils veulent faiie paflèr pont des Reglet 
Invioiablet. Ces alms liront daiiement endiqîict 
dans le Chapitre des Antiennes» & ddtns celoy des 
Picanmese VmdÊmmêmb^m^émtimSffmàrfiCêm^ 
mm dtur fuêm Mr tf^ mJUnt ^ùtpkMm 
mmétmmUmmfk: Ccftpoancndierailbiidetm 
let changcmens. iHmmmt kngnkHt 90 fr^- 

eF# • voik Ict RMmit Progfcs dans les ÎMcrval- 
iRClMieics • êe qoi precedenc» non pas Ifar les 
coidei eftmielki , mais Ifar cdlct qoi font eftnm» 
mt .arqvilonc appelléet bon dn Mode dans ht 
R^étkGoaipolitiott: MifnfrtÊmJhf 



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K4 ViffeftàfîùH 

di/hêjMêtd fuiâmât twmffihêX c*cft parexmpUl 
la Recbmeoo la Repcife «tes ReTpoiii » qui n'eft Mi 
compofie fiir une corde eflênrielte dn Mode , ft c cft 
cette compofition qd repagne an progrès de à U 
difpofitiofi du Verfêt , aprct teqoel on doit chanter 
b Réclame do Refponi ! émrt9mfêfitiêti9m Mfwlvk 
#ff«/fH#ic'eftànionavit cette oppofitkm de No- 
tes (operlniës dans tlntonation des Antiennes » qtoi 
coope de Interrom^ la fiiite do Chant. Hê€ êmwié 
MiguUnm fiffiQfmm wugm iMUrmkmmU fHdm 
iiitfminéniU. Tootei ca clioAs eftant contraitct 
àlaperfeâiondffsRegIcfêeàlaraKbn. commeil 
fera plos amplement proové cy-ames. Vt émitm 

rte Antienne fera cy-apces eiamlnée. Prétntm 
/km avuM Cémtni iitfUut & intgitUni» Et en ef« 
IctilT ena qne Ton ne pent pas dite pfedflEmenc 
s'ils font do i.oodnA,dn).oodo 4e do 5.00 do ^ 
do7, 00 do S.pafoe qoele Plagal qnidoit atoic Cm 
cllendoc en bas ^ QonqoefiMS mo n t e fi bant oo u 
fôrpaAèreftendile de l'Aothentlqoei dcaocomialfe 

Ê^qoi doit atokfbn eftendileenhant^qoeU 
ds paflè (es limites, eo deftendaftt fi ba% qo'il 
itondavee (bnPlM^al* iJiiaiotffvcviifni^rnH 
iâm ât éfktmUm & £fit»Àéun » Hftéuth» ttum 
êêfi bêH^ns tfr§fU % fififif êumUm iitmm ktê 
JMm nnUi i ê i fi u kh it ês m 9Mé ftHmâm^ wm 
nMêfAumê» M9V/«iiMM;tlaiftwf.Ceftonedio* 
A «dminMe comoM ce Pcfo de l*Eg|ife ait |HI defr 
cooffBf loosiesdeMotsoca Modes ^ les ncenctsipi* 
ticoAs» les m ao r a il Piogwt, IcstefeUeUH 
vonig uPHiwinonmc si nos ivcnei m onn cwcw» 

tMtn 4e bCMroiriM I «t liHirfi iiccbnrf fl 



.furie ChiiUGrefliMittt. «f 

iwiBuicin cuune oei lanx âioiicuii , comme u les 
appelle ^ Ù$Qên$ irrérii , fméid frê^êrkMmtt « 
kupieb teolent confoodre les Reoles pour ictenic 
les fiuMes i âo Ben de letrancher les crieofs booc 
liatdeè les ftegles; ktjndM €$tifmméemei m èh$â rt* 
Hméitt, fêétt vhU rffhêmti m ÂggâiM enfiêdlâm*^ 
HiUt ip ijhf bttmtlé • f ira rej^htiifé ftrâmMâni Jùfi 
f m i UtmS mè » têwfmpêmm éuUmfUi iwcmkmJinit^ 
fràfàmMêwlè màitr & nfkffimm irrérii , ^iritêlitê 
àgfrinit» & ^ârkêf faMeiëmt Ceftencole cet* 
le coitAifioo de Notéi didcmblables ie ôppoQcl 
in Reglesi ij«r4 ^ im^Mm hde UBeêU (tcimUé 
(fttè 9étifiim£tm §f^§ftà, têitéÊffin maHréUt hrétf» 

tÊrfSenè , fiimt hièitcittintÀteiâ limttttré, iu & h^ 
fmiém lrr$£éu adinré } Ceft encore cette 6ppofi« 
I fidrmeile» cette contrariété des faultcs IniettaU 
, ëc cette Edendttc forcée , i|ai t e p o gnent tàtU 
me à la natnrei Xmt fémdtm tUHM ffl , Càmmà 
ilUm wuâl & imràmâà Hmffinaà s ^ol ¥it kà 
àiffiHikm i fmlittmt frmnJUui dttJhi Hi^M | 
M Us eléihlè» ât tàmmi M« ^fâUétt Cecf cmu 
Itmeceqoll àdéia dit des Chants iImiI cdmpdicii 
Sifr^iptÊffiwffiUrt & éà émfAmÈ ÀmIfhMântè 
Smrfwm fiéfiféfrAtmi&mwr , là tÈêtii rtftàifrlâ» 
m, ^tléàmfmm éà stUs nftiêfmt éh^frflUâ : ulUk 
lw« imfrfe Sêerféfitk 9éfm i itntmiêi itHé&U 
ynypîiiw jf*ad h tàmii u(wm mé préf$tidt rM * 
la c'M ce h:ited , tfn qoelqiie choie Mi ntf tant iMi 
tocfioetehated ( eipcdSon mehWlAdife) k ndM 

£k talM.dniafait lotis cea Antifhdnaitel dbC» 
ilstcsMsdcs Éttfrn iktiitÊlmkirtiiéi 9mlià 

fkméhmméêê mmm hmàtm, AMkmfÊk. 



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(( Dijprt4tim 

tmkvtiMftttlt.fMMnwtâltrifimiiitmatHttilt 
sifm n mma ^tr U mMilid fit^ ftMM*(M,«tri^ 
«mh/Itm. Vt mh» Je twm fn v M tOimi fayjMr 
fMfajl» , &t. Si UimfiéHm hwwtrii , Mp Dt» 
rnuim. Ccm fin nonftre Ici Môtdn te la com 
lifioat du Chim iUm mhnm Ici Pim^ncci, Le* 
Bumplct et ram cet abiw lé ptoMtom tt-nitti 
Anule le.Cbiféoe.EtdMNutqaetcicoflltiliaM 
pcATkanent encore de b ATCriité 4m figBRf & ca> 
nAem , dont «a c'cft (cni en notant «m hmi» 
Un le PldncbM i en taky kl tedtAlei Rqiei. 



.CHAPITRE IX. 
iïi •*»(», itt fffnt f (f it.tafiff éit 

DOme Cmânei foM ioSliDi pMT b PW»> 
cbut : fn^ mMfUtmÊtw §wHâtin m- 

Le ptcniet confifte en <|iiane legbi , ftt IdoneU 
loftdMi bntf efpMci fi)M bnéeitMMn laNo- 
lo. u CRHiHane tegw , t|oe cciulumoTCienn 
Mt adiewée j eft Inotile 8c enban flânte , pHtc qne 
MMie l'eanrfle Al PWiKbiM estAnncM Mti^t 
«I MMlcMqaeki 9dMtt tcgbi tft bi(keifCMM 
ieCbA y Tont nehiMct. 

U lècml Cmftere «« b Ckr dt C U « fa, 
«■ UmMtta MdwdiAi â , k Otf * C loi «» 
AheibïtfMtbiflfiïbqMtkM moi cAh 
iMrfe Mt H fa b I. K M fa k t. M In b I. 
nkbi¥>iMli fabH4.twiBiiMi.t1. 



/Srr fr O^Mt Gnpritti. Hj 

Tordindra en B. ■ »« )e tnelrne effet m U neC 
me Clef fin la ^ fmi b mol 1 eu on dit tmifoiitt 
fatcene 4. legle m , Toit de cette manière ou dt 
l'Htte , de lei auitei Vohi co<i<êcMi*enieni pat oc^ 
dn. Cela l'emend pour le Chant , de non potit 
rOigae,n7 pooim amteilDftnimefH iroaitcen. 
■ienoainepatUiBikyoiKdDChMl.il cfttnnrilf 
de dite dn f. en C. ftda j. en F. patte qo'il n'y 
a anome diflèicnce. 

Lr noKUmeCataaeic eA la Clef d'f ot El . bit* 
ahtfi ^ on ainfi an lamelle n'ell Jamaii fimt« 
qoe ^B'fotla». SSicgM , ea tUMaitunui 
Inila7^pteniiere.-|4- 

Lei4. Itt.Canaeiet.ront leidetnNBKi, U 
loMM de taWw, faite* ainli ■ t ,mabcea«no 
c'eft on* det ptaa grandei queftiom do Cbam, 
r_ j' alei dam le Chapitre lûiTaMt 



^ffxmê , rçitoh la hin^w. 

Leitf. BC7.Cacaactn,làHlndcnbiiiet, w 
paade Se la petite , faitci ainfi :1=.I= lefijnellet 
Smh inftimén pou mataun^T — i= rmdrok 
•A font k Chsac enlônble doit ptendte haleine, 
ëc faite ODC peritcpofe àla petite batte, & >ne phM 
pande k la grande barre, EUea Cm an Chant et 
qne finit k> ntgolei «os piielei I c'eft paatqmty 
•ea jMTt am dem poftKi & lëaraK an ifrgidet o« 
■et nne giaade batte povt matante k Chant CMC 
Blct.i^Mwdantaa ièm paffakide b Ktlie ban« 
m tm PMP faite M MincM kToUct toM b 
aM«anGmbk,ifiaqatp»>nti'riiltplM«lltt 
qit kt aatm , ac qM VwibtMhé du Ortm Toit 
■nMt Mt WM * m MM «m ww mtfim d|ab, 
btkiii«diÉ4M|bfi«a«Kdt«iBMKkibw- 



^^mmmmm^ 



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Diffèrtéihn 

fct pooffMMrqoer là imda Chant, Cet linm dhmi 
Mitnéct pour çntffn , c^eft lemMcn le pim ff. 
fcace <)ti'cmtit trooTé pcmr Kmcaier à uram In 
racoph<mJ« «c eomtariem dct Voli dct CMmiet. 
lefqiieli Ont cela ne pevfent ptt iMner miné Ici 
mict fondrom fe lepolêff. Malt lei abus «le cc| 
Nff«t (bfic pfefove univericli t car les Noinin 01 
les împrimeiirt k font imaginé qp'U en Mlpit à 

gilf Icf «otf , de forte que ••il y a qqatfe, dnq, 
^•^^nwnof^Uht» deibife, iti y mettent au. 
ff* ^•lî"^ qœdeNofei: ccmune fi toutes les 
Notes n eftoiem ms de foy autant êc encore plui 
ftvar^Ies onci des entres quand elles ne Ibnt pas 

Nées «^ «c lèM barres , qve font dillingocs toos Id 
me» lesnns des avtfes, 8c fansbanes. Ceft pnp 

MkmmdecetteconfbaonQne parles. Beinard, 

$muummi»&f. Etcnefièt cette coo(fafiott debarr 
m nefot de rien , poifqw le^ Npfes (bnt de (ôy 
yUné les comme font les mots | ae npn fenlrmciit 
•«ws ces bancs font imitiles «p embarad3intes. 
pials encote f ce qoi eft lemarqnable ) elles détml. 
fintlegriindbicn «cl'eAtlaliiuitede levr Inftitn. 
5?*lP^V« lesOianticsner^anspItis o«4 

^ ^?^.^ phiiKtmids delordies dn Cbam t «é 

SrtliteT^^ Cbwt dansfts premicff 
«vos I leqnei eftoit fans ancone barte» COI 
fo;fons4flS les plus aodensMMiferiit, 
tel. Cak^Aete eft legpridoB, Ml ainl 
1^ mi dans IVfiiaee ^—i miaint 

Vimm ratmeUgn e^ 



fur UChêm Cregûrien: '^ 

ftft on rarement fnt la règle ^l::r ri lequel 6 
pfiarqoe toojoaii en B. fc tici-^ZI^Llrarcmcni 

tes trois anfies Caraâeres Ibnt fort pra en nfàget 
Le 10. eft le point . entre dcvx Notes brevet ^ le- 
qod augmente la précédente êc diminue Ltliiitan* 
te ^.pour ebfèrter une certaine mefbre rcftUe , psf 
ciemple à deuie tcmpi , telle qu'eft celle &t Hynh 
pm Vt fueétif Uxis, //« €$^ltfir, &9, Q^ielqoet 
fois le point Ct met aofli entre une fiùw longue él 
«nebrew, êc en ce cas il ne fait qu'augmenter h 
longue d'une moitié de fa propre valeur » ffi (brif 
que le point confideré aeec la brève fiiivante ae* 
complioènt la jullcniefiued^une Note longue. 

Le it. Caraâeteeft la liaifen faite ainfi ^^ on 
ainit r^ laquelle fèrt 'pour lier dent ou plulîeura 
ilotes bieves^ ou longues êcbreves.lbr unemeC 
me fyllabe ipourgarder le welute réglée de quck 
qoes Hymnes , & de certaines ProKs meMécSi 
comme VftdféuiOi Sfirituf^ onde quelques aiip 
irrs pièces de PIcinchanr, 

Le dernier Caraâeteeft le diéft fait ainfi Xoa 
irinH )l • lequel fivt jpouradoocirlâ NoteMvame» 
ea fur laqiielle ou lout laquelle il eft poffi Qg^ 
que les oieics ipicni rarement marques oans ip 
Pleincbewf , ne an t n ioi as b voii fe potte âllhs aâf 
furellemcoi oèHenfiMi Mte ; comme à la pcmJ 
tiéme Note tVt faeémtUsfii% àrantepmkiéme 
é^Exàkèt swAms umâêm % 9c de pnfi|ue tous fcf 
Veiihsde XanCs JImv ^^ItieierMRt f lue k Ci qu| 
pw cede letd twi fi il<fehfadecitfiy e Tarfbi ff 
fp fwpMiifp|iefC||de^l|>difli|neiaafc- 






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ÛiJfmâriaM 



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CHAPITRE X 
BiJéf ffumUêi dit 2fHiS. 

gnnfa qKMom lônc «sitiei <bm et 
Cliapécie,<le là qttiiidcé dct Noces en nom. 
tce« «c de b quantité des Noces en vaknr i ront 
coniîdece la iMei^feance Ecclefia(U()ne ; lantieeft 
fondée (ne les Principes de la Mofiqne, conibcmé. 
mentà Uqoamicé de Granmaife des nmles fiu 
oéfs. La picmieie cft telle , fcavoir fi Von a de« 
ictuncher quantité de Noces an Pleinchant. U te* 
fonde, fçiveic fil'on doitoblcnrer la quantité de 
Gimmaire ac de prononciation dans le Pleinclianr« 
Je foAikns rafimative de ces dem propofiisons , 
4e les pcouiFC par Pauiborité des Condlcs êc des 
Pnci » par les Rerics delà ftience , «cla raifoô» 
Çomnien9onspar la praniete . ( q«»y que la ftcon» 
jevToic anOi pconrée d'avance en ptufiran en. 

2^ ». .1. Des AdesdaCondledeReiois. Mimitm 

fylMém muMkmmfhns fim NêmU mum f» 
f$ tâmêUtir M0d im C$mtu éiaéf jfar mHt ItNréfiB 
9némmm.dttitéfmMÊW9êMi$iiii, & mmmimjM 
fitffrfr êêfinumÊttfàéÊMtitMtH. 

n cft encore mfftmblaUe êr sies.pcoktUe de 

we qae le Concile deTcenie ordonna cecse meiP 

•quoyqu^llntenakpointde De- 

CRi M énk « paicaqn*adiUoft après qo*a m efté 

•jtMf ta iwptiy l en slesUrnsda C Gia> 



fir le Chdtù Gftffritn. 7! 

httiAS» dans prefqoetotts les Royaumes CatliolU 
nues , avccces CorceAionsdans olufieurs Parties dtt 
rMnchanrtc'eft une choie de Mit, flenonsavons 
encore devant les yeni les Manolcrits de les Impccd 
tons de ce cempi^là » dans telbucll nous voyons . « 
évidemment que Ton a tctfandié un grand nombre 
de Notes , & que plofiews (yllabes brèves | à cha« 
cnne deiqneîles iônrimpoices plufienrs Notes danl 
cesMAniticriu» n*en ont qu'une chacune dans cet 
ImpreflionSf Mais ces Corteâions ne Ibnt pat 
oaâes partouttePleinchant que Ton a imprimé| 
comme nous verrons cy4iptés« 
u De Rabanus Manrus , àt infUmUm Cliriiê» t^^^^ 

pth mmté fnm SQUmi • fHâfê hmm §dê mtfwm 

rrrnr. Stà hâ€ d Gnmmétkit êfim ifêrtet» Pm^ 
f9 tr«r Mêris fimfUx (ft dehi$ & Mm» & éU 
9mm ffnutméHkmi gnmt éiet9&m§dâié » ftuts 
pKtê vMB , Min0€m & frhmfkim iffk^t fih 
mm :wm bmmUi. wuéMfmhUmii . nwfrmé. 
wm mmrMt nUdlfmfmmèmmmfimâmtfmmhàhtu 
h^téÊévHmàitânHt ^trks • tÊtminfim^kntfrtm* 
mmU^m€0mmm^smn/0mui9U:mêéf^fitmm 
imfikm itmlhu ^mm kUnMm Uàm fmmmjti 
fnfm & éfB4tliitr& Mtir& tlm4 fnmuméh 
féimfidiptëfmUttré{Mtimm^iwimrt& m tÊ m 
piUêmfNr^mmUgkhmM€tmmét€tfrttm^ 

f4 DanslaBibHcSheqoedesPcres.fitraifCMbUMii 
smh tlfir^amiâ, tnCrméutUUéti Gr»x^ ^mé 
fmÊtê fkm Nêtéi EfPfUmâmm fmâpUmuNêm 
iMmkmfimr mkfmmBmkâ^mnlt$m* 

4, Lit IU|>tt<e h C sa i| Bi ri BSi u 



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lis là tMitt qttlw fimi pmc 
ModtdoM l'agli I ny jM h midtiplldtf de* No. 
ta RbMwdOB «a ^uHcdn foi* la mefine conk; 
fcyqa» JeaKCtAiic«JeliiitewHiibc« fatle m^ 
■M irpé. Oc pblîaKi nnki it Pteincliut , no* 
fiirfriiifM Jca Mindfixlii , oui* 4n Impteffiom 
mAm, faiwwiCBW wn lri to Je wbi ce* Jtfw»; 
kfijoeb rtfkibkuKMi 5. flntuHi n'iiiiMioii p» 
qom U dit cet p«ale) loMa pldiiet de force ft 
^cnnflé , Qgé lÉ ^ timrM . fé i§^J!tmm 
aéMtf^ifftihmitii.fTêfmmftiêmimMtr&r*- 
fk^tm irrirli i 9*rkêNm JtffimU , '& fmurtm 
fMétIm t C'cft làjdkaKi» cemOTMaOïNl de ta« 



kati Itneiineeotde.i 
4eAiB.&MKtleacfi 
iHcetNMeiltaMefli 



itKdeCetHiMK&M 
k fintconfideudon , <}de «»■ 

(« ftaoft nttif cAé nrilb ft 

foOei M lusnd Me deprapoi^ttieri : Oc c'ct 
oeluaKdfeiqMMe Mbedwle^ nMlu)i|ri 
flftnpdiiKpu cetoefinn toolei ^5, BetHri, 

éÊrm, Me ctie p Utoem e n i cmiTelrtM de cMf 

4c( ll^3wi> fafiai cdebmnlwM leTfwls'i 



4(MMr«WMt>,Nekfacai4eilUrietieUCan. 
«oÎMori t «BM» ha iécfKCKdhMMOf J. K^ 



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CoBccpdo* ac» t utti <tc !>•• nbe 



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fir U Chm Gngoritn. 7) 



flNM tt^oBtn iiiciiiii|OCc« Scd ^nift iioral 



obcdira BumétiiiAc. Quis et en ^ ? c* 

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niflt âdme cttitre,lcc« Dcxteimunetni 

AccolhunmciindiiitCjAec. Ma- gi te» 

ahuiltibOfî- coR^acc. Di-xic Jo-fcpk 

n* gpMMB nipailMl^ftc* 



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Milite |iititl.«n A- 
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HiRnâtum ' 






aiiiinra*^c.DaiiicoiiifBiniefctbelhnn,4(c.Ar- 
go-cbac Heto^cm JouwieSyâtc. Dtiicl* 









g ct-im|Mtitni|»*AAifi«imtct«» 



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fmliChémOnffrinU Tf 



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... ^^^BM» ^« ^..i^to^Hi ^B^M^Mi^ '•****^9* * 



Ktf.D. 



Mt pi- ftoreiMidte, imnndt- et 
noUs, InttntsquIstppAruiC! M-tm 
?Uimui» AechomAn-gdoffiin calhodio* 

Nim* bo M-moinuMi 6»- iffib«i|atc» 
lUfb^ tf liHMc6fi»>M Sfk ftaM 



b. ^< 



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Dijpntâtbm 



tm-Ûai it-hut t. b^ 



cckbtii,lM. Bà. mbnt, Pn 

Cette Cadence fuhiu et C 
primée e» cet detra moti inCffm 
KttkfrttitMaivCkÈXj fn 

ÉiWHnauiRieiKlmti oi le* t 
HiootlcontrcrRit jci panlc 
d w i M et ^M ceux «i oat n 
ChMU n'aMicni Ml betncMiB 
«Aok bcUedc bin ttnnlncr h 
pnOmM, Miiqa'il <kpen4 «d 
4entti]M»rler«(ii, f.htrmfima 
ftfidKcaoMMiiceiraïKnrcM é 
iMiaipniiM'ilRpanientn Ten 
«ma. MrA« *<»J«Mi ArMur. 
fiMMMCM A4oNfidnkr«M 
f W M J ini I ctr h ClwwtJ» h ■ 
MofoA , a lôn fcBi UK oMof4 i 
l«t . i«M U TeiteaUa fiât âTlM 






1^ ^mlUm, 
(nMMtikfHMi Paur eooliiiiKf cette porflt, fi 
■e l qu e fe i i Tmi a mwcpj ^ jicifannci d'craJJ- 
MipQafcomgcrcnAeinenttttBiti'iiiTOt ufi 
'anapèqnelqvcMiiiiuimierde Mnlkieai atfes 
famupaurcMrigefcuaemcntle Ckami C« 
uupariètdetconcAiMi qae Ton a fiitM meTaw 



Inna Jei Laudci dé li 
altrrmÊtluU. tfvj cfninBeIkiiNoftnSd|Miie 
larEgipavnnt^'ilTnllallét UqMlk on ■ 
Wc ac AbAitufa ca fi ptiee cellc-cr , Immm 
dttmtUtitmtm §*inl»m,i^ti Etdcceiaaroltfc 
> Jf«nM* MctiU^ mtiiamtmam & miHul 
|M l'on ■ retfanelifai del'AnticnM de Mopù' 
MM de* iWandta Terprei de S. Haitin i L«i 
tonâmàont det Preaomet m tôt* pai encan 
tnâa pr mot eujoard'faa/ ^ par nonpft dan* 
a PIcamic t(. FmmJMmtwtà, h dcmiet Verik, 
fUM$4M>Hmmtmaiamt kÀitmittft J>Mt La 
^(pait de* IfmM tiennent qn'll mt. Sitmié- 
UMMMr «amiMt Wt«J* •)> te M. A efau fôctt 
nUêa, laipaiatt, k* vifgdai , m oMMeei d> 
Chant, elaM anpIvfieBneBdTetM mt t cvotn 
bwdee panleii piD O T at cl atiuucm TinanAl. 
gida du Camftciilii *ca qne cette Anrfwfc 
toyww.» ce* panlet, O Mmèm ÂlImàt, 

laS. Maato. fttiwcfahaatiflifii ailaMd'hT 
liwhi ll«f|liiiMliii liwilii, fc Jwadld— 



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itN»i mtàmaàmmÊÊÊmiÈÊÊÊâ 



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kl pht cdcbra. l^aOctnmifcilM. Util dmtW 
Aifoiii^voirciiCQfcqiicIqiics Etcmpictdcscor. 
mmàmménchméiou kt Gnducb t«ic nHunT. 
cnb ou împnniett 



y impnnieti 



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ftrfMk Ita» ir.^PM. ta 



l«B^4rc* oehniis KBf^nnii/e 



ÉH»As hftrJmiilIrlftéiMiii 



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fir ti Clum Grtfffim. 

MM.CMJtaao. » 

di« «m Mltim ce-b-bniutei. inreti* 



jflrftMk l«fk Hiallt «i. 



li âtt* teiB ttUft fiit«tto« fa ihârgari* 

«■ <!f*t^ t. M. r. S«M M villas 






t^ «• qncomniiim» dcc 



tk HfÊÊm GloiU kl cietWt . 



Pam omnU potem* Domine De-ut ^ 



El ioêk«lt Je omt ftianleire jvfqnct i k &; 
ie paA feu flkMo unk d'amm endidci ètk 
Q)k/àtimmfàh0(lifKà6ùm LiTtcarParexcm** 
ffe^ ahOndMl dbt. Dima«dM 4a filAtniL 
fClfoMtelajBtalcM MibiJacc iM M« 
Htat^ A«*.éétAiMM éii avDiMMiclit de 

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t4 DsJ/MdiiM 

VKàtwt, $9 NottffinrUpfcinlcferflkW Ject 
omC «rry/. 14 Noces for k dcrnâcte Mhbf ^t 
t^Mmfs éa 4. Dim. it TAdvcnc ; i fan t. 
17 Noici ùtt la I. firllâbe die WfMr« Au t, A 
VAhiM^ Je It |. Atefic de It NtdTkéde N. S. 
Dim/émOifimm. 7 Oulaicet «m chcufct Aff h 
Intk. An GiadutldcS. )€tal*finngdHb» £^ 
/rm» 7 Cdltncci tamttÉCCMnfUeirarltiiicA 
mç cordcdam la pfcrokfc panie teolcincm de ce 
Gradoel. Aa ^•de VAhlmjd dé la Ciiconcilkm» 
Mmltiféirtè, ift Cadences commettes (àr la Do. 
minante. Av Graduel du a. Dimanche âmes TE* 
piphanie • |i Noies fur la penultlefme Trilabe de 
ttvM^CêrSuémîtn. A l'IiifoitedelaSciagefiine, 
Êxmiff^ dii cheorés ou protréz ftar la niefRie 
corde de Fa. A rintmice de la Quinquacefune^. 
E/hmfilti^ onze pragrix fur la finale. A rOficr* 
toire du merme Dimanche I BimêdiÙmm^ |.chcn» 
ces for le Si tout de fuite. Le Giaduel du 1. Di- 
manche de CarcTmc , dr plufieors autres cous fcm» 
UaUes i cehif des DeAmcs , avec tootesles meA 
mes redites de les mefmu Noces lebatnës Ar la 
mefinc coide. An Graduel de 1^ Ferie 4. après k 
t. Dimanche de CareiGne» trtkdétimm^ || Notes 
fif k" pemJckfine fylkhe de ce moc U U n m . Au 
Graduel de k Ferie f • après k |. Dfamiiche de 
CaceAnc» i}€M:mmiitÊm tjt Noces fur kpeteU 
ckfme fylkbe qui eft hteve de et moi ^penib 
ArOMceJredekFéiici. iptes k Dimeacaede 
kPalEott» Xkmtoesuovmmvi tOdeuces com^' 
plttCcsMicderuicelkrkfittak. AuTitiadsOI' 
manchftdea Pablcs^ u 'Notw/kla(MHide A4» 
kb« de œ pceariet'mol 1Vm..A« GsadBcl d» k 
Ftfk ai e«fi*t» An^é 4> Màma Ar Jaum* 



fm" li ChéM Gffgmen. t$ 

udert Tyllabedecemoc dut . ##i. A kCemmu- 
flioo de k fainte Fetie f« DiaviMw /f/k» t Ca« 
denccs fur la finale. Au t. d'un jiitlwjé qui cft 
marqué dans quelques Liftes au t. Dimanche 
aptes Pafques, SmrrtxH f^éw hnim% \f NoccS 
furcemonoTyltabe pTf. Au Dimanche de l'Oda- 
fede rAfcenfion» dans XAMnjé êc k f. N— 
99trtih$MÊémêrfkâ9êi^ Iprogrêade Noces tout 
fcmblabks avec leurs terminaifons fur la mcfme 
Dominance. AfOfiêit du Dimanche de fO^vt 
du S. Sacrement • thmime nmpirttn » | . Caden- 
ces de fuite fur k finale. A rintroicedn )• Diman« 
che après k Pemeccifte » JCrj^ft i»mi 9 encore 7 
Cadences fur la finak. Au f . d*on Ài^hjé mil 
cft marquddans pluficurs Livres au I. Dimancne 
après kPenC. 7> drcff kjmmmt 70 Notes fur k 
dcmiere lyUabe de ItrmfÊttm. Et au a. t. en fuite 
du mefine Dimanche* Xifliihmtr i» ^«r, tof 
Notes fur k dernière (yllaDe de ce moc âfmitdn. 
A rintrmte de la Ferie 4. des ouatre-tcmM de 
Septembre» fxmitmt Diêt la Cadences for k 
finak. Auf .der^f#/«^dekConcepnon.F*/yjr 
• yWrw f^trg$9 4 jNOgrêz fembhbles de Nntcs 
avec leurs terminailona fur k mefme corde dans 
ks quatre derniers mots » jt^titèm Cknfhm Dim 
m/tfr. Dans k Communion de S* Dsmafe Pape; 
Dîmimê mmêmftf$iéiUmâf d ou 7 progria de NoCes 
ftmbkblest principalemem 1 ces motS| itHf 
ftrmhêmê&fâiUt^ ^^ Au f. d'un MHmjë 
qui eft mâiqnt dans qu el q ues Livres ikFeftedo 
S. IcanBapciA^ /oser Mit» WÊêtbirtm^ éa Nocce 
fiv la mntat iflkbe de ce moc «Mfar. A rii>> 
twicedu Ccinmun d'un llaim au cempPafebalf' 
Mmt^N» 7 Gid|neètooÉsplccM debM fiwk 






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Domiautté A llmrdicf d« ComAnm Jet Dd«* 
Acon, immidh E§tUJU 7 tefoufitifoni tiwc 4t 
Aile rarkmefiiie finale. A flnmiicilu Commun 
d'one Vieigc «c Manyic; JL#f «fiir, 9 Cadcnca 
OD progrès far b DMm'iMtite. 

Enfin ce ne feioii /imitt fait, fi l'on ▼ooloit 
Mraiicr miles adiiftsi ac rcndfcnifeitac tous 
Itf chtngcmcns «r coficAiont que l'on • pu fiiire 
ienileChentconmiMni. Orc'cft avec joWce que 
I on en % fiipprM plufieufi . comme cet ftrtr 
det endent manorcnu qui eftoicnc marquex pour 
kê pbi ^ndet Fedei, de Corn tbolis i. Perce 
aae le premier Knh êc le Ckri/h font prcfqne tout 
de mcrme que le MCjrit PMulI . & k O^fie; 
h»te le différence qu'il/ e a'eftam que puérile. 
WTmptiUpmcâenfcitynfeperl. 4. C'cft 
qo il eft impofltUeie le chanter avec bienfcanoe, 
carlcfecood jr;ri#y«fiUfen A. loocen bet. éc 
ledenilcrva Ci haoccnG. tout en haut, que cette 
^cndttï^iorbittnte 6c ftitcde de quatoffie decrea 
^impoOible i le Voit humaji. Contre cet 
Mt«i de Chtnu t'efoieS^ Betnard. J^éfâ 
*er UMiétU^ié. f0é iê^smgfms ip/#/Sf Jl 

X-w/f^*dn»e^#/, CmmmSimmdi& 
émréiiMàg HmpUimm, wwi «H ir« éÊÈrtmhmf^ 

MtcMtèilanm» ^JenmntSiéiea Nntcc 1»^ 



/ir U Cbémt Ofigmtn. %j 

Xumttl dbnr le Chant cft fi mnpie Se feriali qu'el- 
Ict reflcmblent pluAoft i dei Oraifont «le Ton 
lecite tout droit , ^'â àtt Anttcnnea dont le 
Chant doit eftre vend. Telles font les trois An* 
tiennes de Metines de la Peiitcco(k • dont Toicp 
les commencemcnsa 



i =i=Eig 33 



Faâos eft repenti decdo fo- ms. 



ConfitmahocDe-us^quodopciatiii cshuicc. 



Emltte Spiritnni m» wn« 

>s Chants v« 
loicnneiies nont 



vtt Chants vetitaUementpoot des Antiennee 
loknnelles n'ont pas la |r«Ttt< 9c la b ien f e an cc 
Ecclefiaftiqne, qui confiiie i variet fle oompoTer 
•n nombre raîfomiahlede Notes for certaines (yi» 
kbesqnebpfudenoednCompofiteurf rcaicini- 
poTeri le e'eft ce Cham nonireMi dn PiabiMeb 

S*mifeinntCtidinatintefpfcte on Cham bien 
I leiiigenentoonipofS: GeuMW l>nwlneiMH 



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tpcatiatcclofÂ. au. 

B«kn SpU. 



4^FUplu confôim i h fiilm. 
MBCC, «lkfni*lté4M nqnlot 
' eteouMccttecBmaieB ne n». 



le «JjoAar ^Kboct Nota <mc 
CKdoai cuc'cffU ndiiK fab- 
ula ncfina Ton. k aMOïc Mock 
aeet, fc kincfbaeottotflc». 
woWiAHi, •■ <« «uU« etmlw. 
KHMt BffbMiaiit. (Mmmi 
MOI Cknt Mot dioltM^WU 
n i ccm AttknM, A^rf 

■mm. pOW «BffaMt bfi» rft b 

■hM«an.kdic(tnafUM 
f*r. I. PHn ^ k Tnavati 



4(trtsMi^ 



OamfW-dkswM 



pcGihérfknK k Ticmpette . Mli^ le cwanmce. 
naMdecRteAntkniK, de la manière qu'elle ell 



«MReaaDUtoftt là Dominante, pmce^ cnlniM 
fat Atfftt CMifofmi jiWqaei i k Tteice maJeiMv, 
foii enfin icMnibe & fe Kimine fin là Donwim- 
K , qd eA k vcriuble coc de et k ^m edèntidk 
h k TtompcRs , flc rant cet Toni Tarin foMl 
fteeUïmeiii Ica Ton* naraicli de k Ttompctir> 
1. LeTonMRcn'ipailêalenicnlim rMi,mabll 
MwietMwoAfeibkScbu.adaiMoft ronflchwti 
ceqni ne le pnt p« mvlni «ptimn que pai k 
cearinnaihiad'anfeal &nie<nwran.).PottrnMn. 
Iiet que cette taifim cil mile & kni anon fÎHMk. 
nnt.c'eftqiiedaniln enite* Amiennei Mmjdet» 
kl on a impôlî cemcfine CbimtontdiDit,jln'yt 
D* Ttonipnte nf Tonnne -. CMfifmd ht Bt»i 1 
EmimMrtum tumm iZibuJtmul ta'i Eaattl 
itéMfPt0£ntSti&t. MiJienvaJkaRèafoiK 
tetteqneftiondekqaantittiletNoteien nontbte. 
ftfoM à k (èconde pMi t'oainin 



r - 



L'aktki qntiTimt , la k qnafl 
MvaktK.n'àn pai môlM (rapôita 
Tm doit adnMftte dam kPkuicha 

depraacNidatiandeipaiweaqai fi 

"- &rklUnMX,l^riàM,Sctebc 



IM kl dwft de ce TnW. 
I. L 

«k 



pacM^kCkaMd 
idMka.atMafHk 



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|6 D(fffrt«(iM 

1. La qdMtki àc GnonHJn t'y doIt'aUèntt 
Ublnamc pocK lomct In pt—lnefaw dm In 
Hdep)Mde4«iirylLibci. 



f. LsMuwM JcGnMÉMlM,diM Icsmondi 
ifau Je dns ifUAei , *'f Me nidct le Bln orï 
ft pdBbk pont mmci let fytlibci anffi ijiii m 



;m ftêklê iteennét uuM.ny àUpraoMf 
ladsik 

A. Dedev fylUbe i b rf Tei Jeqwmtirf. dam w 
■oliTylbbe , U pteinlcfe cft oRUndfRneni lomt 
lefcononciatlon:iiemnM>(M lîleCiumm]Mcn 
oncneM, l'en pe« la fàkt uffi btire Je pm- 

f . PweillenNM Aum m wm de deni rjUiba, 
iont la ptcuieKcftbt£*edeqMndiA, elle cft oc- 
taafacnem longnt de pnoondaden ; nwii k 
^ ui p o fi i e iM Bout la dfceiteedaClum (fi la cm 
'MMijpewIa&ktbtiTC. 
4. DMt>nnMdedeiBMplafîran(flU>et,la 
Cnicfe cft ordinaininem Iviigne : nematak» fi 
De cft bti*e d« «undti , rik en aiUtuiK dm li 
:Immi. Mai«t'illàitniRioaor«llabe,(aciMNipM 
Mi,)bdUHMiqni lepieee«,poane«qa'etle 
lift peiMt(i<aieloHM,( «coonamoMM,)' 
m ante ddeiDitcelUUw brève dam leOuH, 
itfinc «Hiiddle létoklonfaa de qaiMiif. 
y. TBaHilndi«OMi£noMtabe«lo«M«* 



di«OM nonoMlabet 
n dtm le PteincMM m 

,- Mtu HfnMMi flc PTov. , . 

Ma, c^iStaiia tnii imJnNin 



■ kéfCi deqMMkéfiMiiaAtanitea. 
t. DaM eenaiMi HymMi flc Piofti , «i I* 



fur tt CbâMt Gngmtn. ^i 

lanpMdequantittlîiiTMitlaReglcdMTcn, fc 
kl Noce* Mivei atu fyllabn qni doi*vn( (An 
bt^Mi I on n'y ddi gaidei aonme quantité de 
GiwwMlre an ptcja£ce dn Chant , Mice qne 
c*eft la ftnie do Poi^ , qaand qiiel^ Note lôn. 
neéchetàaneiirllabebiéTC, ea ancomiaifetme 
Keia brira a bdc Mlabe long», Let «einplca 
rMBtéi allcgucs (cront micui comptendte cei 
dwMt. El team ce* Ptopofïtioni Icrotii fdait. 
det, MooTfo, te tefoliici pai In Rtponfti ani 
Objeaioai biTamet. 

1. 0ti*8Stm, 
Cet Notei btéw* qoe l'on a aflcOé de tMttta 
«erqaekiaatetk*r<rlw)etbfivt«, ne font point 
iMi l'origine dn PUincliant. Et neflùt , ffMar, 
c'eftiditeptain, parce qn'il ril fondé 6u la rai- 
faid'^iliiiffitieA plaine fc unie : SiTOtn oftea 
tetie imTocc d^fgalitt , en menanc det Nom ton- 
ne* ScdeiHateibiérn . voM détniilèx l'efEtnc* 
]aPlainchant;ScaiafimRe*leiNom<E leaffl- 
Mtei ttidigèt n wwe n t longue* de brève* , dol*tM 
' le* CuM oUèfTct ancnne quamiié d« 



I. Le OHUmI Bona définit ainiî le PlainchanCi 
?ini Cdmni îk Orfgm» Mégw» i^Mui UU *f J*"*** 

& i m niii* ! Ttmnm .fitaaJkm immtilimp^irit •^H* 
S tHM êif^t fi ihBim^ RepfCMM tow ee- ~ 



b lei cipliqmw. Tiol* «âdtan IbM l'cAnca da 
PUnchm t n*MM,c'>ft à diK plain , i|d daM 
(Nm ftt Notai loncaeil flc k ptopoidon , pUa, 
tvl dm lohiet lèi Note* biévct. L'eftoee do 



_. . , biévci- Lenn 

coaMt pM en M frïl dqk «nlt 



mmm 



mmm 



Dijfertdtw» 

tn Ib Nom égilM cr-'- 



ii Ihitcinnit la longon éuln un lengnet , kt 
«et fpici Mn btévct , en brie qoe dnn bcim 
ralemqn'une longue ( volU lapccnlete qmltié 
conlUnt' l'eftncc en PUmÊmi , & U fidi 
heideUMpfiiiDC. bqnHIe eft fendfe fÏK b 
fan d'in^K^ inaifinie, ftm qn'eUes e«M 
tnefttn qu'il yt de paitiei ealaquemiié. VA 
«r, c'en k dire A l'aiiffbR , b non pci i U Tien* 
àlaQalMr,tiynefineil'Oftafej Acmom 
ilUm«h ftcMdc oMlité 4e Isa eflknec , le k 
:dMfa«ideU MnfltfW qui lêORdi Ici Omfe. 
ice». StnmBmm0m-âum giwtrit Mm *iM êf i 
U*wM(l«|tmieIMMonl^coalUMVUiKl. I 
M welilé cftiKkIledB PlilMlMm, qri pnce. 
patietTeaitMBHcIi,fiuN)èrnTkdci Kinn 
m le genre CroauNlqM , dani le lot le plm 
vcM l« Mnru|iie , de cM ce mi bit aofi ladiF- 
iMeeflèiitlelle. VolUIct ttoft <p»ltan de VO- 
n da PlainclMM I pleia M épi dm Ih Nom 
ne*. pbiBM <nld«M Jb Nom btt*n I k 
MM)acftlM)egeMedi«mil<|H. Ce^'eft 
w pM démln rcfltece da PUndtfM , M ce». 
Mc'cSI'taUiiftlIrfènBhqae d'y (Un den 
mde Notet .loncMi 8c biéreii ft c'cft le It» 
eM fc !■ pwdqw de mm leiflM eMellM 

PieflcefiboiM AMncvnécnveMlerieInatffll 
on I , »I»MM «Mttr , plein daM Oi ToM , ekii 
H Ai pwjjrfi,£lrfiifrilwYriij ai ce« r>^ 
Me conftliwFfflnipeiitMeni lelëfli HMe dMBa 
•i ailèdt U «i PUnkai , iCilimca 
k Ha«^ JiB Mbn aaMi toi k ■<■ 
iidl DiMniHf fc4l CmmIvn ^vw im 



y!rr U Chant Grtfftiin, m 

kiToM M lom pu fcolcRinR piciai , nwii mSk 
Mnn MdffiKfbli , avec la dlvctlîtf nombtnTe dt 
ftimenne». Etc'eftIaietitaUe fignificaUondeca 
■tet , fttimt , flc ccDe qui convtmt le mien h 
PMMkuii de ['Eglllè , fUtmi EttU/i» têmmt. Ce. 
h n'enpelcbe pal qn'll n'ak Ici mriÏMM ^alet , aN 
eemrain ce mot , Flrm/ , le* conftiiuë ^nemcM 
Igalcftdcnon pettotaloMMJgateii c'eR ft dira 
^alet dam fit loncon , tt k praponion fcalet 
dmi tét bfévei , mali mm pai de cttte cgaliti ab* 
fchC, riaie , te e w lete n u m , PUmmi tm»lin t qt» 
ItflieêwblMnciii. Teyet-enleiaaReiialTonKoita 



11 



|. LÎEciiianlâlnieii'Hlpai faire mh» le Chut 
•a apcéi k Chant , mail le Chant cA fait aprii A 
pent l'Ectinve làinie, 8c pont Ici puolet que l'E- 
■lilë tioM mn en la bouche pont chantet kt 
Mangeide DieniSicnpatoleteftantptotioneJee 
eUtmnt let Rcgki dt la GranHnalK , po w qnoy 
leChantenfira-iil earmpttoapliKoâpaat^aoy 
fe Chant n'ania-t'it pat aaiii cet avant^e , Tca qne 
leChaMeltane esprefien plot •atfwnriqac de U 
t pneln.SI no» pariontde Dini 



■MclagiacednacccnidehqMnnté, paot^aoy 

ctMntnfi«loilmgn.bc'eft JnÂnnentcraM S. 
Bemaid ciptimc adadnUemnit daai Ton Ëpilhe, 
fo« 4f <^ HtiMU , «M mitm mumâUt tnmipf 
Haï, fi n i Jn wrii wJMWt» fnOnrû , U*& &i». 
tlmmkr*immuwMi Cm H eft ntf de Mntp» 

ft><.w.JanaliroM»'a f toiwi» C<iH i lknuit nl 
en MMi avec U Maddiai long» t Encote 



wHmmmmmmmmmmmtlê 



'4 Dijfertétim 

tàx pcrfraiomm k pnmoaciation phioft qoi i» 

I cofiouipK - Fit cxcmpct ^ 



/»f fr ChâHt Crtnrùn. S| 

Mke , 117 k U TiKôn d'^titf &ni le Pldnchint, 
sa HHoit pd rKcoonKKtn en (ône qn'it y nS 
najoan mi Notci br^vn , m m point tt mm 
hftre, podt eqoitiloitmelongM, flc ifailîtaM. 
)a«n gùdct me melme Se égile ndîm. Et pow 
Mpolnt fiinlideiioftKEui»pte,c'eft«infiqa'oa 
wrokpflbiie. 






/^- •- «J«, f,^ fit- mh. 

« ^it cette tiuntcn cVfttoatclairwflnechft* 
' , lï metÏM eflênc* du Mclnchinl , lc« mcfinei 
lo(n,l«mclînnTM»,ft ta mtlmi notnbn di 
low, ram ennoli tktnfjt ny Mgraenti rty & 

4. Pan menftter d'uM mintata (Mnlneama 
^«n'eft pMUtairand'tgdiié, (cvTdiUk 
«1 >rnm>eni m'on lUt & qd va eftre cncon 
nveiftj mail f'ignortMe , on le kanrd , qiri a 
«lodmtdmlcPklnclMm ie faite longon met 
K In Tyllaba bièvct : c'rft ^ (mi ptejadiciei à 
I nilôn d'jgalht ny & l'eflcnce <)■ Pldncbant , M 
Btoit pAmettie nne renie Note Tm cbme rj41*bt 
(érc , & cela aatoft ■■canement bfi peut la 
ilic dtftinniti dei MNm ool lÎMK cbareto de Bb> 
iemNotâ.Eipo«riioMr " ' ^' ' 

Df. 
;« nUbo i'MU y dt eodeieM 

klaéiat^ ■mkdUcKonbiea , 

|M fiMfniRAdtt^tqM àU fMMUdt G9»; 



Df mbM. Téf. fi». 

De cette manière on amolt patftltnntnt catM 
r»<galiiè de* r^tUbei , & l'fgaliti emiete de U 
meTure. Ya^il rien de riui cvidmt, H déplue 
«ile pm» lee EgUret de MaTiquc «A l'on chaan 
AtleLine. 

). Ce B'ell p« BM (rnellion , de fctToh l'il y a 
dnryllabetlongiKi , l'ilyena de brivet t Per- 
(ànne ne revoane en doote cetv veriti. Mab c'eft 
ene «jnelUan Je JêaTon fi la nelôre tmainnent 
fgale diBi le Pleuchant ell ploi melodtralè te 
•puble, cpaed'cftteennemcflicdeqticIqiKini^ 
fvei inégale* tChanm a (ônoplniontix cette mu 
tkie,!! n'yapoini deRegleiàcetéeanl.( 
ledoôte 11 faw pffndn k parti k.piM ci( 




iki petibnMi de bon itovR ^ ayiitent mmiu 

i Cm tnefae faite Mcane rrleOioa a U qnanikt 
da Maba ) cette meftre Igak cnnemenée m 



^ 



w^^ 



wmmmmimmimmmmmmmm 



Di/JtrtitÎM 

Ceai qnl finftlemicM k phM opinfltnmnit 
^itétouledMNotn, wlmâteiit iel'infgalM 
<leCluMPIâlme<liqne,<c4*iuleCh«nt me. 
|de: poarqnoynonmlS^aiU k Pldnchaix or. 
lin I fit m eAcc plalîevn Hymnn 8c Vn&%, 
mmCmAm-, l/hCt>^fir, rtmifimOt Sfl- 
w , dcmindnil eflëmkUemeiK tne ccRilne ne 
I iiii«ilc , KgUe , 8c ûiTariable ^ »tfi&ie k ta 
Kl « Cmm), It eft my me dm le CIum 
itiqne oa Ht quriqucM* oUigi ie faljc bm 
■bc longue bnte, 8c nnebRTelMgae,canNm 
H cnmoN , Cménf.CU/li , fflifi povr Ion 
i b faute dn Poïie , cet U mHbte eftmt bica 
Ue, cnKlengne fccmebtiTeneA tcncon. 
K nt d«M In «Htn ftiepbn 1 8c atofi de mn). 
!i dlOleiii en ccfubiet fttophetd'Hrmitti K de 
da. De là mnedoii Mmurrer ftnmge de 
ttmtdeNoietbimtliKde* ryllabet longne* 
d le Smltole de Nk^ du ChtM Gicgoïkg 
ple8c fadk) rMwlqiiitét'iunGe^aftcfi m». 

mit piM fiidieâéni à toM Ici pe^le*. Il fini 
H icnurqaet ^pt to«t tinfi <)iie daiula ptooM- 
don dei diftioM de pbfiean CjtUbtt , on m 
ncfe prn ^'à la Maddéme qnnd elle et 
(oe , M bien ijoand dlcei bféw * r«w 



M |wat le faite leatm , toMct le* Mtm IVÎte- 
t oniMutencni peSuic put le^emncM^ une 
M oUèm Icor ommM i 4e radme dm k 

■■iiie*e^à¥MMhtéiM mmi elk ell U- 
(.«■MiaM^^elkeft 

'rÉJbKfi 



fur le Chimt Gremîtti: ^ 

itm quantité. Mak dam k Pkmdum otdiMiit 
iMtei kl <i^labe* qooy que brém dn diftioni 
pohMkbei, (cieeptie U pennlrifme quad dk 
cftwm qni le fait tonjoanbcére,) fi peoTcnt 
frite iMignei , amad la dtonce da Clunt k le- 
ookii , 8c c'cft b ptatlq«e nnhnièlk de ton ki 
AedMon : Ne aw mo fa i k meiôte convenabk k 
tluMeiyUabe,t«ntqa'ilfaapolEb1e Ikucliëii. 
|n te totiit da Cbmt , k tendra benicoap ptm 
■«fait t principalement kt i devant lei «ojeRet 
mgon dam ki mon de plt» de denx fipUba 
delvoR toa)aiiti (è faite bteft , oooMne dtu cet 
■eu , mi^^4tbw , tmfeffimt. 

Le gtavlté Bï la bkn-lèance EccIrfiafHqne nt 
peimettent pei que VipHti det Notet Toit intet* 
nmpoëd'inégalitei : 8c en NocnbtéTn qni «ien> 
smi de tcmpi en tempt ftapent l'oreilk à coanc* 
fan i8c cbeMCM mdme U Namce. 

I. La Uflfiqne , «û oonfiSe en ptoBeon nom- 
kn en Nocn injgaln 8c diverih ea figdie de ea 
nleot, a efté lectnli 8c admllë antbcmlqMmeai 
lim kl di*im Oficn : conme nma l'apptcnd le 



„■ pÊiiArittr tMÎit Btdtfié,* 

^,f„f tjm 0MSKm te oMtffb Etdtfimmà 
m ftmMmmi, «tnM tîUm te êii tuir^im 
mm. ToOa ane bcfla aaAocM mt k Mnfi. 



paMle di Rdmi cHiTiM dri, JMBht f Ml ;ï;;;.i; 



mmtmmm 



4f 



DlflèrtàtiM 

«.éAulMât , & fM^mmm f*rt fmitttfif 
■ aMsmkmti. Crac tn^tti reft daocp« 
iie i là gn«ir< & fcim-lence EcdefiftU^nt, 
iplnnft vcftubfôloBwm ncccAltt t c» cob 
fit fbn bkn Rabut» Umm , méi4 flm 
Immi . f M fi i mmmt é l Mmmm tBfmd tbtimi 
mmUmttMtinflwfktmvmmtnn, Stiluti 
mméOdsSfimftrtÊt, 
Tarn t'en fm ^ ente dlfcrfiti Je Nom 
gne à la bJen-ftMce , tfiwanmmitt elle el 
«die& igtctbte, tétnob S. Baille , dij* dit 
mnmeiKMnent , tf rJIii iuMmtmmiféttM- 

i i» firfttM fimàtméwt & «f a<tJiMM , <mM 
mpM itrf*Jê fM/aa thrinir. arf w l'Am. 
là MM ToyeUMccRie IgiUté totale 0c A- 
tin NotcteH «m capable d'ennufei Me dt 
le : * cet» ègfi^tt pnpetndie , ^ S.Balili 
sfooTC point k la «oit enter " '^ ' ' 



N, le&ncUa* en ettenoiJl 

fttMcf tePfianmMHri^ 

qnl ft chantokM ( conme olnfieutt le lÙM CB. 
! «^MHhor t car à la fa de dtt^PfttMMi 

■CCI à efae umià i n i fc <^e^ ceqaenaMw> 
MM AndaM, kqwlle dok Aecncete ^"1 
EeqMkPfiaMoe. lam en ft Mofalirian 
R fti Notti I louauct «c bcéfea ^ 
tanlUf^JeUMafiMaft Je la 




/Sv /r C&^»t Gngorie». 99 

{. Enfin fi cette incité ici Nom liiteRONM 
^quefob rfgaUté de la mefôce, li cet Nom a^. 
hem qni TJcnnentde tempienmnptillatuvn. 1^ 
ft dwMem la nature I cela marque ae %im met. 
teiUeafinMni lei iravetfh de ce n»onde , £ In CM. 
feUtlonnatflfaid' uuwunM. 1 ic'eft le pan^e da 
rEelUcmfUtaMe t cette égalité patfake & peipe. 
ndletcptcftatel'EElilè triomphante, onlei An. 
piaclctBiCD-beiimiineceflènt bmaii de dian* 
Kt, SmmBiu , SmQ»* . SêaQm. Nooi aKiet qui 
mm* Utonnent de frite ky dam k tempi ce qw 
la Saintt font dam l'Etetnité , tantoft nom put!. 
flpamà leur Jttje par ta detKcoi ic l'^aliid dtc 
Nmm ^ nom chantom ft lent Uniunon , d'ot 
S,GiegoiiedeNad«iM dit, rp U mt S » tffralm 9>m^ 
êum ul*0it jftrU : taneeA nom éptonvom Ict 



, pat riné' 
alité dei Note* dam letloBangei que neni m* 
loM à Dien , lelcpwllet oooi ne notnom pai diaa- 
itrcB cette *la qwttet-ImpaiMiemeM I eomnw h-i 
«I nedlcmmcM le Caidlnal Bdlatmfn 1 Mnuk K il! 
«aUni i» téU ffM» D^fknifimim, é0 . ^ 



f w aJaw éOnJmim Dû in iffi fim* fmniuaii 
fmimttrmiSmi Jtgtltêat: MMuaifia mméikt 
é MMTM Dm , mm Uhrii/km , fM*ew m* 
^fftt gi^tmMi fM^m fmtwii Dnêlmt 1 fié mu 
fimm, am cr «wla Dii. & puttài m U iwA». 
Am.tfi> i lmÊ u MupUmÊm'& l unJ mti U 

L'amhecM do S. A^dbi dottreMOMt, ad 

hmM éwale I. Itmdeb IMidMTve dMlt 

fÏM Ma'oWmMlMh MMbé de Gi«^ 

'—"011 



^ 



^ f 



mm 



it.yricjA$ltHBtÊ,<Sm Sjttnt,tm»:9tîk9^ 

fil f*rH fAnii tkMmivtlnfrtiiÊUitt^ipvdjnm 

OnmmMkwt . nfu Ub MiBut U/liiu i MU 
MUé0iniu,nrLmtmifltft»fM. iii0 »mi 

tmÛMtmfm à Onmmm UU , «i nmfii , an 

mOérbéi «4far. jti *irw Mâficé rmh , ti mm 
Jimtn/M Iffii «(MOT rmUnMUt & mmmJuM 
ftrti»tt. mtm nr«t m/m tmifintwr «rf •»>£»- 

fi»mmmt»fii7mmmfi^nm.NmmfittlMwéid»M 

frimém fM trww «jf , fnmimtMkm Umnmh. 
mit. MUM^mimitfM^^t,. T«^m^ 



j ^éUéW, 

UufluTwm. CrwmMtHMt mmm fmht 
éttmUft.fitnlmm^lwmm. mtAQwm^, 

Cm rfUrfrif. MM t leipMl 11 Kpcttpliriicm M 

gjt i| dM. w M longw»,ygy^rta«fefcbrfTefe. 
wvmut d> iM* ta tnetaM ai «odcoMi I ft c(c 



ylr UChdnt Grt^ntn. loi 

kMl encore ce qdc j'iy dit , que le ChiM Arit 
l'MOMBmader k U ptononciitlon. 

t. J'ay^i oïdlnaixeinent , te noB pM najonrt, 
puce ^ S. AoplHn monne eiiilnmnent dane 
cemefine pHife qu'il j ■ dem occaAon* , dent U 
KcmieTe deTqaellM U eft loifiUe m CMtipofîtnr 
)e fidie longne ottbrfve U Mcmteredet moaill 
dmfftUbctqnldefàycftEircte: fcduiila (ècon> 
de occilMn qu'il doit necediunaMtii U faite lon- 
«e I M ta fiute btfve qnud mcGne elle (ètolt 
toagoK de (by , ftlon U Taiion de la mditie. La pte. 
nfete oceafîaa eft qnmd la décence du Chant le 
demande ; Or eene Jécencc dépend p nmi ient de la 
pnidefice,dnchaii,8cdntMm goqlt dn CompoG- 
«cm i te c'eft ce qn'il (*« entendre par en pato- 
In , N^fi fUnmH Jmm hwfMfyOAm fml 
é€rt , ittirimmftfiuni. & f i m »mfmé trtvit 
^ , fnmumiMitm Uwi*mfitim , làiil Mmfitm 
t m wiit/mctt^. A qoo* je répond anS avec lea 
netnet tman ,^t^iiâmttMtm MlAm fbt* 
•MlivMibm urgtfnbn iiii lUm Itaim QU 
Mm f»m M* Jtitt, krwr^MH ffn^'i*. & fi- 
■MN fiM tmit tt , itiam frtmmtMtm h*v*m 
Jtwnv. aA«^j»jfa« «MiMAMM^h. Toikie fi dt 
S-AMiiftûiMiB'impo&MCMieneccaké, Toky 
ltef?Mcafien de aecelBié d>raM . ^eft oMnd te 
ClMKeftdeicnsdaéftCMnpoftd'MtenclateM- 
•ÛÊlciBrÈàilUtiVêttJtmfleMtiitÀeitantÊA 
MM Hnaei 8t Pfofa ,fiM^ rflâ/Wh JpW- 
tmXfiêÊw ébm/jémm. tmrni^k eafl «nhCmp. Il 
' ! qadqMfbteipi'MMAelenBMAMt 
NCCcAiceeaniqMiidclkéitel fiKMcNow 



î» Difatdtmi ' 






Vii|iU.-#«M%j^,;3^™j?^ ll«ftdo«etiJe«BÉfl«Coiicil«,IeiPrfM. 

«*«w:C-eS doK Jm la fWi. Vir£t!f «clanifiM>,^roii/ohaMirfK«dtUcpumli* 






Il Qnny. Tl tft donc «mlbm qae ctU ne fê pçoi 
cnudK Jk Mmsiigacaf dn monde plnfinin P^ 
hbet ^ dm U inefoeRgl^ dct tch , connit 
Ton fim McdBiRnKm U pcnukUmcde CtuStât 
l«igw,|Mtce^'rile fdicti tme Non qt>i doit 
tAielongae. Ccft k imGm lailni qve b pme- 
dcMt.DaiMccf ocotfKMnc'eRUfawedaPocii 
qidii'a MM toajown reoUe U mefim de At pledi 
coaMKitiMfiKe da Qmm rfl toulontm ttglée. 
El CBcetM Kcafioii la Gmaouife doit cedet k la 
fcicncedaClwiK, rauthoritédeccllc^dolircni. 
■ona Gk l'autre. iî««« Uc f*innjv4b4f , m- 
B«rir«*r«b/. EtainlicepalIiiKedeS.Aiieiilùi B» 
fincneii mute la Nom btmt dn rtdnchaM , 
ancomtatte 11 wn finwe U ftiAtfat onhcriètle d» 

«■ Ici bons Andienn. 

Ilcft donc etUenpaiIft Condlei.Icihfn,' 
lclaniA(i,< " ' ^ 









lantibM&lnaadiMinxpctcc<innt>.Maiipoat« 
Hmn pn rnancn ptnicalin df qndqMi alMl 
■vMctdcAcskdM^ paitieJel'oaGc. 

CMAPITRI Xt 
g» nmmm t m u Ji tQffiki iWfc 

. .. iu»«lttdS««fii» 

■ • GUI 



Le*. A 
a'rilaa 



'M» 



u 



I» 



t^ Dijftrtitiom 

*«» ^ %?"**• C'effen odoy ccoi qui le ckiiî: 

tcnt 4a tf. Ton» ott de diid(|«e fiicon qoe ce Ml 
•ncremem on il eft noté cy-mét , ne firivcnt m 
rincemion de l*Egliiè, qoi «ftitcecte Rubrim 
dinitoiisletlJTfeikfl DlostnriieBtiqiwt, HniU 
«Utm vh§ Sikttr » de dim quelques aoaet, aUé 
^ Sekm^ , pms h éuifmimmm mmm iMtim4$. 
piie kroh cblie on à voii hame , «"eft concra 
pittt chitiMr toni drolc Ec S. Benoift dent A Rcde 
^^^ ordonne le com ni c nccii icm de TOfice pec cet 5L 
^•^ »• folcf . Prémtf0 infrimU 90rfm , ikmsim a^«V#. 
J»J» "^ imimU : Il ne perle point cncocede 
Clienc Jofqa'à l' Andcone , que nom appellont In. 
tiMioke, i?cc Ton Pfeenme rmki/u là faile. 
BMmdic qt^ilAoccoomeneer deciiMiter, //Mmif 

mmmIm: Ceft à diieen mj Meindiam . ar nott 
paicoticdioit, comolB DmJm LéU ma Mrks, 
&€. ny p ceiqueiomdioif » conne Dmêimékb»* 



«» 



) 
i 



CHAPITRB Xtl. 
J>MS JlNTIMUNES. 

4t duHMr M EaMMcroM 



«ne» 



cefirii.hlûJeeMM 



tiei«bonne es 



POwn 



Ar /r Châiu Grtgmen. tOf 

ntbke » OT pcctendfe elbUir une mefine Dofhintn- 
te pour Ici Voix btflb Jet moyennes , 9c les plut 

Pour hncelligence perfaiie de ces chofts « Ton 
doit i^^roir que tout le Chant confille en huit 
Modes on Tons , lefquds ft Md^ent réduite à 
quatre par leurs finales» 9c nieime à deux par U 
feule diflètence de U Tierce majeute de de U Ticr. 

ceraineuret 
Les Tons nonpairsVappellem Authentiques o« 

ptincipaus i les antres fe nomment Pla«uix ou dé. 
pendans , parce qu'ilsn'ont quelcsmettnes finales 
des Authentiques, Et ainfi le i. êe le i. ont nno 
mt6ntMitM^9ck4'^tt,9ckS.\ey.9ckî. 

Toure leur difllèrence ne confifte que dans reftcn« 
dnë» laqndle eften hant pour les Authentiques, 
«een bas pour les Plagaux. Les Compofiteursy 
mettent encore une antre différence , fcâvoir dans 
les Progrés, êe ftulement dans les troiftéme , que. 
triéme,& huitième, parce que ces Tons/doivent 
le plus femrentnrocederoar la Quatre (médiate, 
menton immediarement ) eh commençmt par là 
Me 1 9c tom les antres doivent procéder par In 
Tierce 9c )a Qulnre • luisant les ptcroiétt Prind- 
pes des cordes eflmtklkmentnatttreliês. ' 

Chaque Ton à denx cordes edêntielles ,appeU 
Ues finafe ar DominanK» fiir lerqueUes font fon- 
dées IttonlenttonKtfbitcs de Chants. U finale 
cft celk par bqnàle on doit le plnsfoofcnl corn, 
mencer .ar finir lonioms. Là DombMMiK cA celle 
qui dominele oins Umt dans le Chant , «e te 
iMMlIt ftMtVarenenrdes Pfamm» . to Ord.^ 
6ns • Ifcdetontce qui doit ftchantet tout droit» 
pn^NfiMidicli. Ccftrontqoey cetit Demi. 



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tôt Differtâ^ 

MMiK doit eftfeoD pot pim hMC que le miBai âé 

h Voii Mtnrelley je iipfi pliit ktt ; parce que daat 
tow letTons l'EfteiMliië det Noiet eft plat giMide 
•udeObiiidelciiii Domiiiametmi'iadelbi. Mali 
poorb pfendrelnai iode êe enoon um , ce n'eft 
pas «ne MtiK difficahé. ' 

Pparlnyoiicoiiimimciaeofdiiiaiiefi Mund 
M DrnninaiiK do Chour en A. de TOigàe » ( l*eiH 

icnd Ici Ofguetqni font an Ton de k Chapelle d« 
Kny, comme fonc toottt Ict Orgyet cetcbcea de 
Paris , 9c aillenis : c'eftpoarquoy on appdle ce 
Ton là le Tonde Chapelle } à fa diflmnee do Ton 
éê l« Chambre do Roy, od efton Omiion plos 
Bittt » de tel qoe font on doivent eftte oïdlnaife. 
mtm ks Oigoes des Rdigicofts , kTooelles ont 
rEftcndoë' de Voii pour T'ordinalfe encoie hkn 
nios haoe oœ l'Odavt des Toii commones dct 
wNnmeit J 

Poorles Voii bafibon mecla Dominante en Gi 
leTOme. 

Poor les Voix hantes on met la Pom lnamc en 
B. de rOfgne. 

PoorksVoiidesRelIgieaAsonmetla DomU 
nentecn C on meCne en D. de lent Oine. Cd- 
▼entlâmiaUtédesyoii. 

Voila donc la ptcmiete cboft «11 fint fisavoir. 
h DominanK do aesoi » laqpèlk finl^^ 
«nlon,ett li voiis vonleBan Ton «nerk , fine 
ite encoie detdmlni à anconeMABe on Degrés 
€Màdlfo à ancnneRègk onU^ (« laf^ 
foiftcfaefiinée cette Doodnanie* 

U ftconde dioft à lanoeUe on dok itenAo 
iiide. ^cAan Modeoo f^nde rAndenneWII 
JW jUset.fcm^ to m iid a ini B^ ayeAk, 



k Chdnt Cregmen. 107 

Toniilbn de la Dominante do Cbœor qno 
Ton aora arrcftée 2 pnii de cette Dominuncc pro« 
céder par ordre êe |îifllr toos les dcgte» |u(mi'âi la 
Noce par laquelle on doit commencer rAmicfine. 
Par exemple » fi je veox Entonner la première An. 
tienne de la feOe do S. Sacrement , Séi€9rdêt in 
êormmiit chante ( toot bas) la Dominante dé 
cette Antienne , qoi eft La » à ronilTon de la Do« 
minante do Chceor» de ddcends par degrés JoTqo'à 
la finale de l'Antienne par oA elle commence, en 
chantant b iôl Ca mi le, poortroorerletoniofto 
de cette première Note de ladite Antienne d^jcvr- 
dêt la éHnmm. Et ainfi à proportion des entrée 
Antiennes ( poor commencer de chanter yScéé» 
antres Tons. Mais l'on ne doit pas ignoter Ica 
cordes eflèntielles de chaqnr Ton, 

Le I. a fil finale en D. de & Dominante en A- è 
h Qninte de la finale I te la« . 

. Le s, a fil finale en D. de fil Dominante en F. 
la Tierce de fil finale I re ft<^ 

Le |. a (a finale en E. de fil Dominante en C 
k ftxte deià fimJe imi ot. 

Le 4.a ft finaken E. dtfiîDominanKen A,i 
k Qoanede & finak iml la. 

Le r. a fil finaken F* de fil Dominante en C. 
kQjimiedefiifinakiotfiiL Oobienftot^fimsd. 

Le d, a fil finak en F. de fil Dom ina n te en A» 1 
kTktcedefii finak ) nt mi son bkn fiila,ftntd. 

Le 7. a fil finak en G. de fil Dominante en D. 
kQ^fteiedefiifinakifidie. 

Le 8.afii finale en G. de làDèminanse en C 
k Qbhm ^ A faakiibl ot. 

Le I. Ton ft pent tewIpoAr en A. Mak II ne 
Afke ai rieo do s. 00 nanwl fn D. tfoc k A 



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fttic >kpi4e B.J'enKDdioaiodn ponrle Chant 
tt le* Toji , 8c Don pu mmk l'Orgue Se la Inftn». 
ir U eilky qnelUMidepKlM IculcniMi 4a 



te f'vfiijàK 



^ ■UKUKIll 



fiaiileiEtpnKineC 
ienefine que lei. 



jawn m g n é J« 
plm , fdt Mu'TimdioM à rOtgW. 

Le 1. le pcmadE tna^oAf en A. Et le |. pat 
Cnir en A. conme le t. nnlpolï I & pont loa il ■ 
fi DoomMHe à la TicKc de la finiile I Et |tm neC 
BM Gnii en D. (â DmninaMeeftaM 
kTktce 4c Cl finale, toot 4e 
Ton. 

Le 4. cft qnriqwfbit ttanTpeft en A, El pe« 
«eimefinkenD.fiKi«DonnMnie)«a en A. h 
Ton nataid 1 & peut Ion U finale & la DenûiBB. 
le (èm k mefine coide , c'cft poot^noy en cetn 
«ccaljoaron (litAi4.àlaDaaiinnK|nMiicda 
■irive itet-rarement , & M fe lenconne ptcTqne 
jamaii qne pont leiRdigiealn. 

Le 5. A prai iranrpoièt en C. Et le tf. mA 

Le?. peateftramnfboffcnF. pailemoTenJn 
i.cnE.Ettet- anffi. Mail toocn ceiTtanÂofi. ■ 
tient ne cliai » gcM point l'efpece pow le Chant, | 
CM^eft nmleDwfine léeUement Aceflè 
^aiB Ton nannlKe'eft Ienefine Ion 

Bt tel Mfino Tnm . kt n 



Cadeneet,&lei «efineaDoerinanicti I 
mfaet fineirt. C'cftca^Mv ft fimttnt 
qrieM pmenda y nNoniik Mkcan 
■VennpekiAiMnt. 
>(^ ky vetta bt 4e» R^Im . 
|; wr iiwHi i n ijM enbq«To»ki f Mi ln i 
T wI fiiOfceymftii, t-eroké^ 
MiMMtéiJlMplMda éiCba*,, i.| 



fkrU CiMii GrtgpruH: 109 

DcNBÏBante 4b Ton Ipedliqoe 4e cette p rai ifa in 
riece , le l'ocdonnet à l'onillbn 4e cetn p Kw itw 

„. , 'lait pour contNiMtScpadninune*. 

amm Piecn 4e 4ilI«feM Tmh 4n 
Bwfine Office,ilnchittputoii)oanicgtnàrn. 
■IfonletiifièKnteiDacninantei.C'eftenqiwy A 
femabalnlei Amheonqnienontftrit. Cat 4a 
éit ^l ftnt tonjoan gar4n la mdîne Dooinaiw 
K an ChfEot ) c'dl rctienr nnlTciftlIe , ta caiilccn- 
nine , fie la Camtt iutMxxUe 4e ptdqne tôt» le* 
4d'oT4m te confbfùnu dn Chant qoe nom enten- 
dent tom la )oatt dent noi Eg1ifti:MKeqa'il yn 
4» ToM on tel Dominanm conMoki entie> 
elle» , te ehinlkt k l'anifibn inanediatement IWe 
tptei fantte , ont nne antipathie fi Forte, qne b 
Mtnte mefine ne pem pat Ici TiHillf jr ; c'eRpoot- 
noyrespetlence noutmonire lo» lei|ciana^il 
M tiet-dlSciknidlme aux Chantrrt f^vantd ae- 
ceT4et à l'onifihn ce* diUcientci Dominantei qui 
Miaent pat i Ac qne mdme ToppolZ ({d'il* 
lionne jnfte une Antienne pat cette Rtcle 
te tiànM cette tu(k Dominante , Ut 
awnuei moini Içiyam 8c le peuple ne venrent 
pat k flntlônvcu pontfii{*re k Chant 4e cette 
ABtienne4MukMo4e on Ton 4ontP l'Hit , pte* 
MM Itniofi en b nwl , c'cll à 4ire pat h Tierce 
nineate , ce qd eft en b qnatte , 8c lamoft M CM-, 
ttate,lci Mil lùant 4'Bn coM , &lei antm 4a 
raMietcc<|iiicanA(oailn4iftot4i8clMtei le* 
tacnp h enfei ad n'att l te n tane ttop fenrew. Et ce 
f4 cft de piM edmirabk , c'eft qpe tout cela lé Mt 
pat la feteedeknamerailônMbk.laqneOene 
ptM pal HMnilt CCI cotMtatietei 4e DotninafMa 



■'«'*f«*PR««"n*ieHHniMniiiH 



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iio Dtjftrtéiîêm 

mMtmnm m Céunikui éUttndtntft , «m/mt^ jijir i|p« 
fiS|6M ( c'eft à diic cet DoninMitts oppoAet le 
coïK i ididoitet , ) /kfm $màU €9tifkmdtm9t» Cm. 
$mm fr^wi Bèit , n9mfn9tUm^ imifmm.VfPau 
•nikndiiedepImfoaMlcoiia^oec abus. Il ci 
inmilecreipliqneccoiitti cet lailbiu qui conden. 
^foieni Mlct plaficvci ptm : Ict Compoimm 
kf içafcat aecmendent bioi, aecda ASc Mait 
fow Mwf celle cticiic » le icnHc eft iiiGdllIble, 
aia , êe Mtonl. En iFoicy In Règles geneialct. 

Let DomiiMiiiet to 1. 4. 5, ^. ac7.Tonife4oi* 
.iFcniciiâfiiet i^ I flnifloii* 

Les Domânametdctt. |. ft LTont fedolvcm 
dumer à ranUlbn s malt on ScbbIim phn luHK 91e 

Kt MlUCIa 

Cela pooitanin'aifbe MUonioaM, car pbnr la 

«eaiceae Mbèdh Chant, fl£K CMoieobfir- 
iFcr cet Réglée. 

Apiet let A« I» Al «• i ttfii let Domidaiiiee «0 ^« 
0f chi y* doivent eue a iHM Xieice Biinewe prai 
kaflct qw cdlet ém %. éa %. U éa %. 

Mait aprét cet f.4r7.Tont ainli bat . kt Do- 
mbianiet doi* èi )• êe dn i. doivent eàn d*iine 
Tietce ndntaw pinthMnetyectlIet det |. ai 7. 
Tont. 

roi» wBwpw^ywi m Wf n lavcns hcwuv 
laicœnde Aiiocnue de la rcne dn S* Sacicnisiitf 
rfiviyfnwvr •/wwNnvf apici ui picnncra ABBenne^ 
#4OTnwr Mv «iffMHOT f qn mv cb le 00 •• 1 on, 

Je ficndt le la en batde ecue fieottJe Aniicnoi dln 
a*M mefineTonqneleeeCnaledB u Btpowloia 

kDèndnanit dn a« ft t i 'owy wa nn fend^aan tint 
lÉMt^cilbAit. Ct friKnioiloChaÉt.iMu 



fut U Chint GrigMen: ïii 

fitfifcàpoiiriblvffeen bonne modoMon , êenoa 
aonemem » {«ikt Règles des faoflèt Relationt dc 
deimanvait Progrès : & ce qui apportera on grand 
foolagenient an Chorar, nne facilité notable ans 
Chantret, 0c le remède Infaillible à tons let dit 
cordsdcspenpict} paice q«e ces Règles ibntefta* 
bliesfivlanaiiifenie(f|>c» eftantfbiKiéeten Piin- 
dpes de Mathemadcuie. Neanimoins fi les Yoii 
ibnt ln}etKs à rabainèrde ton « dansia continn*- 
lion d'ttnPftanme, 00 qoe l'on fiit mal entonné 
PAndenneftpooribivyontropbas» ontronhant, 
leChantceoaieSoot-chantte» fims atoii égard à 
ces Règles » doit relerer on rabaiflèi à proportion 
r AntienBe après le Pfeanme , on le Pièaame aprét 
rAndenne, qn'on anra baiflé on monté » en re* 
pienant la veriad>le Dominante dn Ckeeor : cac 
pont une famé il n'en Cimpas fairedcox. Mait 
dans let Eglilcs oA Ton a I nfiige des Omes an 
Service divin» ^eft nne Règle de neoeiltté abib. 
hUè qnerOrgnedoit donner le Ton de toot ce qni 
6 chante an Chctor après l'Oigne. ïjl piemieit 
Anderthe doit donc eftre do Ton delà (ècondeqno 
Pon chante an Ch«tt immédiatement après la pie* 
ndcieqoerOreneaoïa }o.lièet 6cainfidcsaniiet« 
Ceftpoorqooylet Chanuct (ânt fe mettre en pel» 
ne des Règles , doivent icnlemeiit piendie mms 
àiaiinalederOfgne, ( éc non pas plûtolT» cac 
^eft enooienne des prindoeles canib éû diftotd 
ftderenenr qoedecherciier leion pjendantqne 
rOigneiovë») dcrnrcettefinalederOigne.qnl 
dok eâieionîonit la Inudeden mienne qnllfani 
amonnef , fegler n ptopoiuon là ptcnneie Noie 
de cciM Antienne* Par enmple » |e vcu com* 
laficonde Aniknne dhi S. Saoemenc, iltf. 



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•Dmi^ma, fatwnd {ùm fine «kom le: 
<i) b finale de rOtgae qui joocUptcmlen 
inediiTaade cette (ccôndeAnrieiiiie, b. 
rilda 1, jem'attcfte Irnletnenti cette finale 
Tgoe qui efl le ic dn t. Ton , Bc ie ptCM IBM 
; plaibu le U par oàcooMience cettefe. 
Antlennet ftalalidaaMm. Ilfaaipaab 
>fêtTCt qat le I, Ton Ibt rOme finit ta». 
nU , cntte fit finale ft & EhmdiiaMe : eiofi 
M ptendce %uAt k ceoe obfbvetion pool 
la ptewtew Nie deTAwieniie de ce Tes 
un ciimcf ^réi l'Otpe. 
iitqMs encore pont la peileâloa 4e Chut, 
OipM doit finir pjt la Noie mefine^ct 
niere de l'Antienne qa'il futchancet epcii 
K, danicettaineioocafie«M| ifavoit qna^d 
fnne dv i* on x* Ton e o n wKti ce par m t 
fAntlinne éa |. Toa comBcnce pat (ôlt 
l'AïKieti'nc da 4. Ton comnence par m, oa 
fj ; te quand CÀntlnuM dn 7. M <M I. Ton 
met pM «, Dam cm hait «e nr tcBcw 
■ Ank paili ptemleteKote tpfti fantdian> 
[non pat la finale derÂndenne. 
lace^leaClMmieidotTeM Ifavoir.Maii 
pnâllei ndl de leiK coU doiremcibe n* 
neMpmdenf powtcow B oi fti efcliigetdela 
lé flcdeb MMdHToUqd compoiênt le 
t.efindelnrdaaiMi muoh conven abl e, 
•lMatafbopbai.PoMtl«ro(scoanMMM 
lnriwi,TclcTU m« il e icjiie fhw fi»rOfr 
ihATomAI^Ua: 
!.«■ D,Lei.aiO,t.U|.Mi0.t. U4. 
Li|.e»Ç U<.Mir. Li7.mCI«I. 



ySrr le Ch*nt Crtgnitni U} 
Litt.fcv, Tonlèpenvcntioadm aulE en D. 

aiMi. 

La Re^ de ton* le* anrei Tom tranfpolêi,' 
•tdiDabei . tt entaordmajiet iPoot tei Toh baC> 
fa,Acpoot Ict Toii hanm , (ont amplement di> 
Jiitn dam non premier Une de Ptccei d'Oi- 
pe- 

Et fcloit le* Règle* pteccdeD» en IwU occoe- ' 
imcet , quand l'Ancinine du i, commence pat Fat 
Ton doit toucher da 6. Ton. Quand l' Antienne 
di X. convnence pu fa , il faut joUet du t. en A. 
dltft. Qoand l'Antienne do ). Ton commence pal 
(bit il faut joSerda f. Qoind l'Antienne da 4. 
cammence ut ut , Il latn toucher du j. Quand 
TAndenne Jo 4. commence par te , l'on doit joUei 
da I, Quand l'Antienne du 4, commence pat £a. 
Ton dote tencbei du t. Quand l'Antienne do 7. 
Ton nonmence par nt, llfaot ioUer do tf. en G* 

Sitd l'Antienne de t. comnnence pu ot . l'on 
Jolletdatf.enA.dieff. 
Il MKeneoK abiCTm qne le* }, 4. 7. fc l' TotH^' 
frpewrentqndqDcfbli Mlcr fixTOiguei la Do* 
Mianie , reft k dite qail* finifiênt fin leort Domb 
aantet , mai* cela n'eftant pa* dana la petbâioa 
de* ToM, doit efttc trc* taie ifcencccai lien 
Im advcitli le* ChaMtc* , de peut <|ii'ili ne ptco* 
■EBt le finale de rOrgoe pov la finale de l'Antien» 
M , doiN la DoodnaiNe eft la nwfine finale d« 
rOr|nb Tonte* cet dwft* delvem eftn feglin 
de coKCtt p« k diibciiea de* O^atdlte* ac da 



ildi «a dei cmAi tn ph* eAmiefle* de tom 
^ wêSêêh ncoKwBBCBl pcndiot qne ron JoW[ 



mmmmm 



I 1 ■ I I tétmti^tm^t 



1# 



114 DiJfertdfiM ' 

roipe I c^cft UxGpt l'on fcdie «Chcar (oé 
phitoft qoe t'on oie éciMiie A fecce ) les pttoict 
éa Vcfttt (fverOrgoe joOe. C*eft U fonice 9c h 
cwfeinéfitable de ce ^ bien fenvcM l'on lie Mm 
Ms lepiendie an CheBor le ton jnfte §fih rOt. 
«ne, bmclle eft imenompoë dantle niâangede 
fefl Conu>nancet par la poin« aiguë et «ne Do- 
miname diConameac perpenelle» qnelei Oiga. 
nito nefine emenJen t qnelqnefoii plot ^ leon 
7 Orcnei, Cepcndantronneccoifoicjamali UtciI. 
lé & cet abuf ,8e l'impoRancequ'ii ya 4e le eof* 
figer, finom n'en eftlom convaincw rac Teipe- 
riaice,aeparla(bice 4e nos Règles. Pooryce. 
medierdeiiiclioib (ont à Mtntt : la pccmicff, 
4|oe celoy qni cedie Hc pcononce lei paiolci da 
- Vcrlct que rOrneJonë , ait tonjoats éam rcffirit 
fill raffit qneîc Chonn fini lei emewk | la là. 
comte , qu'il eft irct-imponanc de ne pastooionn 
garderie DonrinameduCbourdant le ton du Re. 
cic de cet paroles, parcequ'ilyadesTonsoAccc* 
tè Dominante eft tout à fait didôname 9c contrai- 
le à lliatmonie }ufb 9c proportionnée de icuis 
Conibnances. Ceftpourqnoy l'on doit %aTôir 
nue ^eft tantollla Donlname , de ttntoft la finale 
dtttonqoe Ton duune, qifH fini obicrver dans 
leion du Redt des paroles ] ^ 

Enirokv toute la diReencc 
Aui a. «e I. Tons , ron dok fKder h finale 

en Cbanr • 

A^ t.Ton «irfiwtoMêfvef la finabderOffM^ 
qui eft Li pourk Chant, 
• AiouilcsomiaTuni, 

pui^^e« 
Toitde 



1». 



fkr ti Châni Cngorien. 1 1 f 

une Me Note ,.patceqne toutes cet Règles nefima 
encore que pour chanter en ton jufte Ta premicte 
Nottde tout ce qu'il faut chanter au Chomr , (bit 
aptes l'Orgue , ioir fims Orgue. Entrons mainie* 
nant plus avant dans le commencement du Chant 
que Ton appelle Intonation des Antiennes , ou dea 
antres Parties de l'Office. 

L'Intonation eft la manière de commencer quel* 
nue Chant » laquelle conlîfte en on (èul mot , ou 
ieox , ou plufieurs, iêlon le fens des paroles , 9c 
irlon la décence du Chant. Or llntonation la plus 
courte eft la plus parfaite , mais il faut qu'il y ail 
m peu de (cns des deux coftés , contre Topinion do 
omx qui ne veulent qu'un lèul mot, quand ce fe* 
foît un nonofyllabe ; non toutefois Uns (è con« 
uedite : car en oeruins endroits ils ont marqué 
plufieucB mots qui ne (ont pas fi neceflâires qn en 
^hfieurs autres oA iln'y en a qu'un , de oA il eft 
anpottant qu'il y en ait deux , ou mefine trois , 
tmt pour le (èns des paroles , que pour le fois dti 
Chant , c'eft à dite pour la modulation ou con« 
cbfion raifbnnable. Par exemple , ils veulent tout 
ces mots pour llntonation de cette Antienne, Si$ 
mmim DmM ; 9c ne veulent pas , Biâiï êmna i 
mais iêulcment ^m//. Ils approuvent , N»i fà 
vMmmi\9cnon, n^Mnaii mais fiMicment Fîh 
fié. Us accor d e nt , Àee naaifo DmnM % 9c non» 
ATf ikmm Mé$rié % mais feu l eme nt , iVir timmé, 
Ds mettent , ^mmmnmmnm tHpiMnpfki i Cênfètiét 
Umémm Sffluimi9ctMii^ O sdm ir MIiimmmii^ 
auMi I mais iculemeni , €/• Cependant toutes ceo 
paroles là fbnt leonlfts aUblunentpour fattelln^ 
lonation parfaite « naturelle , parce «pi'eHes Ibnt 
lautcs neceiUica«Rant pour b feni que pour U 

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lt( DifertérioM 

Mcénet oa conddioA do Chiiii* Et crat MrfiM 
limiiMioiidofmcffA iMCft niitoi w ion 1 9t nsà co» 

«crnatoicUcinentdaMliniodoUtionÀi ttàtéê 
rAndcnoe » t'il km li pooffiiivio , finoo imro. 
*Mffo |oAe daoïkTon do Pftaome oo do Caaii* 
«MO y 'il findni cbititcr ciifiiiK. Neanonoini fi 
rAnitennecAficoocteqo'ilcnfiûOediick noWi 
00 plai|i0oiâlkr joiqo'ao ftm dciMtolct, po« 
loniSuit y avoir égaid il en faoi diie fiokniaii 
onot yOO nctoieon lèol noc fi dcos nepognenito 
fini, €mmmàÊÊi$€ékê^tLmiÊmmir99ilétkB 
mmgmimm, cdâ cft trop long x Lmmn âd . oo 
XooMo ê4 n^fUttUtÊÊm , lepopie ao fou t il ne 
tel donc qœ « Lmmêm* Simx fêurtmpênéka» 



«'eftciopt S$wiMfmnm, lepogneaoiait tc'ei 
doneaietde.Jioiar.SipoaiunKle pcemiet mot 
oft nonoryllibo « il en fiot diiedeof »qoandce 



ftfoii contio le fins » ooome dem «etle-cy » /o 
m êm UH t #/oi» cTcft nop» vco qo'il ne itllc ploi 
m dem perin mon » Mpjr oMf : ilDrar dooq 
iammktéUii, Eililepicmicrnot.qoeod oKfine 
œ fiioii onomoryUabe, cil chaise d'où nooibio 
talfonnaUe de Nofec^cooMM ^or &#.ce mot Irai» 
Met, fafic MOT llMonadoo parMcVoilatooiei 
kiRcgktde nmoMiion » doM les ClianiRt ne 
doivcM oolni A ■md0CBpdne»pafee(|oedan9b 
pfarpatidct Unes cociimcooKt kt Intoni 
feM mari|a«et JoTqoes à1a pMBieio giaiide 
êL cela Mhpoocn'yloBMdi m Mi yef. 

Toley Me oone cncor dcM laooelle Ibni 
M etni qol n'ont pat wm oarfidte m 
itt taifenafc detHegleede gCeapoiiion, c'c> 
frttontcti ye ptor inonit le tW do Pfieo» 
Mil «A dmk Mi Mècf lo initio Nottdf 



mr ie Ghânt Gregomn. ny 

ion de rAmicnne ( qojind elle ne le dit 
pat enrieie cooMneans fanidotibSct ) lôr la Do« 
nônaniedn mefine Pfeaonie. Et c'cft loot le coo» 
mifo» car il faoi coomienccr tomes Ict Antiennca» 
onoy y'on n*en dilè <|oe llntonation , looioart 
dimt le oanifel de leonTont , ainfi qo'ellet font 
noièct. Contre cet aboi , êc contre ccoi qni no 
veolenf y'on Irai mot poor l*liitonation . ftat 
avoir égard nyao lent ny ao Chant » Ibnt cet po* 
rolet de S. Bernard t ÂefmdiaHs «erom Uttniiït^ 

CfbmUtnSmm magit fmmm imtttMm im Csm^ 
éHNWéUmH « fbértmU SsfMÊiim , & mu 
imtg»m fffitû i/ryat êrnuU CÊitptmliiftes , Cm» 
um fr0¥tlik9t» mm ftÊVtlkie, iméfimut & ttrm 
mimuH, é9ftmm & tU^mn « nmftnum & ar* 
Joaor, 

L*oftg9 de phifieoit Dioc£6t confidcrahlei ell 
d*ad jooier trois oo qoatre Noter à la lin de Tin* 
lonation poorraccomplir i malt cette manière no 
k fait point dans hi Chapelle do Roy oA noot te» 
nont le Breriaire de t'Ufige Romain , ny dant leo- 
tet let aotret Eglifet qol tiennent oo fiiivrat de 

Cet lemerme Ulage Romain. Cette addition de 
o«t à la fin de Flntonadoo det Antiranct,pa« 
loift fiipernnë dans let ooet « irregnliere dant lea 
aouct. teperfloë.daotant^la porpactdesAn* 
litMiea ont leor I n ton a tion n aturcll e nVein aoconf 
pHe pat one Codence parfiiite fiwt j rira ^)^ 
ttr« luegolicio » paiccipic dant ploneort Aniien* 
net, decet Notes ad|oaîèet lira eefidte one firafil 
Relaiioo de Triton. Neantmobi ce tforttad Tn» 
tonaiiont deviennent agteaUet pot lacowome^ 9c 
chaqoe EgBfr « >t cofiownet (fc fte oftgct. Vwéh 

'^9êf9f fif9 mUfflÊt Mttltpê ff9ffi0 MNtf%wW 



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lit Dijpriétiom 

Noai •veM CMité dani kt Cbapfttei •• ic to. 
en Progréf 9c des ModuUtcioni itfegillem det 
Andcnnei & des ancres Panies it TOffioe, leAe à 
noollreclct ddsnu dans la lui de qnelfiet An. 

' Confidcroni d*abocd cette Antienne d« Diman. 
che . iVtfi «»j «fVMVM ^ de la manière qu'elle eft 
Mcée qnanpar tonCf Mtticolieitmencdant le Ro. 
main , l'on diroit à A Modidaiion qu'elle reroic 
dn 4.011 du 7. Ton» de qu'elle finitoii (îir ADo. 
■linante : mais il Taut miens la confiderer par ra« 
pnn à (on Plêanme itt #;»>» Jeqneleftant patfai. 
temencdu 1. Ton » cette Antienne doit eflie audi 
Ai I. Etenedèt ellea tomet les marques tegnitc. 
tes du I. Ton« procédant par les cordes elRntiel* 
les du Mode immédiatement ou mediatement » re, 
tà^Ui tottchint en padant les cordes voifines de 
amies des cfTcnticlles , ut , fol , fa Mnt 1 avant 
re(len<1uë la plus raironnable He la plus rwuliert 
du I. Ton > d'une feptiéme. Il n'y a que la fii , la- 
quelle an lieu de tomber fur le reen D. (averita. 
ble 9c naturelle finale » demeure fUrpenduiS à la 
Qitatt» fer le fol en G» coide eftrangere du i. 
Ton , ee qui ne (ê pent Jamais foire qu'en quel* 
ques TerminaironsdePiêaomes, De (ône queoeu 
te Ancienne a Ton progrés , Hm eftenduCf êcià 
»odulacion»tfcs réguliers dn i. Ton , de fil fin 
conompuë : laquelle eft facile à corri|er ,( corn, 
are an a faitea pbficure Liens ) car il n'y a qu'à 
BMduicr deas ou ttois Noces pour la faire ienrf« 
iNf Ab deftendit en D. ftr le re « qui ail fli ftrita» 
Ma AenatareOelnaie. Maisca qui eft de plus ad- 
Mirible » vcft que astre Antienna avec cecre fin 
piaoiag èftewore cft afiie «e nacée anioardlOT 



far le CbMf Cngmtn: 119 

dant pceiqua tevs les Antiphonalres tom de la 
nefine manière que S. Bernard l'a décrite décrie: 
Vt éutim WMfh minris & ééhwnm Imjifm^ 
htfîUm » itif^t€9 hê$t€ j1ittifh9itém « Net f «î vU ' 
ifimat , fi€9mdmm fif#i/M a^ifM* amtétur, tmm 
frmciféUiifMPnfrii termiikni bâhtM fo D, it9* 
tâtit iéum imftn frê9ârkétênt m G. & fi$cramtiié 
H éi/emfÊt iém efi êÛdPi T§tH. XJir/f §(ficr§ Mih 
fcHt fHlkmtr forain ut Céttmtjni frêfriâm & 
ÊâtimUim kâkafmUim ut X>. é«étvê Ttt$ at$r^ 
ituutnrf 

Par cetre amhorité » avec les raifims pieceden* 
tes , on doit eftre pcrToadé que cette Antienne cil 
dn i«Ton régulier, & non pas comme plufienn 
ièle font imaginé du S. irrcrniHer. D'autres ont 
dit du I. irregulieTi cequialfencorepluiabrurdet 
fit qttelâucs Amiieurs ont écrit que cette Amien* 
ne devott eftre nranfpofte à la Clef de C, fer la 
troiiiéine Règle , commençanc en G. tout en bas^ 
9c k reiminant en D. Et ainit qu'elle eftoit vcrita* 
blement du 1. Ton » fins rien cKan^er de û fin. 
Mais cette opinion ne pent pas febfifbr : car fepw 
poi2 qu'elle loit tranfpoice en commençanc en G, 
là fin pour lors demande eilèntiellemenc 9t nato» 
lellement de fe terminer en A. vcriuble finale du t , 
Ton cianfeoft en A. Cependant dia demeure 
touîoots fuirpeaduë en D. à la Quarre de fii finala 

nacntelletcar tout aiofi que cetre corde A. d^rlem 
la finala dn t. Ton trampoll « aolli D, dcrieni 
cilraiigcn a 1 égard da caprcf 



paCI. fil ainfi cetre Antienna ell aulR corrompui 

I autre • a moins qcMl an iia 
Acngelâ In /camne il eft die c^deflîn* 



diHie façon qua 
^laln,cai 



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lao ZXjfertiUioit 

en mil AnilniMi ibni le RooMfai , S^rbut Dfi 
mM , JtngM DmM . AUnjm Dtmlid . )x£. 
•ncltei ont rauiet Ict imrnwt eflrmielln en t. 
ToD . «entée la 6n ! eu ellei coomcMCiM to». 
tn p« U finale en D. Moccdmt enruite Ht Ici 
«oHneflhiricllM,ie,fa,la : malt enfin Jnnn- 
Itmàla Qusne de leDcpni|m 8c nmrdle finale, 
M Uea 4e fe tetmina en D. Ce qgll («X cocrigK 
it la mcCne mankit epft b pceécdente , JVm f al 

L'Andeme ^mntwk DtÊÊÙmi , eft vcriuUemm 
Ail. Ton.lcnonpMda j.comnieiltftRiaïqDi 
tfu.& p» trai. Cm mm la diflfnniee qn'U y a 
cntie h fift fc le hak , c'eft que le ftpi k Iba 
cftniddiîcnbam.Sclehnkenbu, toM letJcin 
fallAnt en G. Ot 11 n'y a point d'Andeme oal 
■inepliH bM (If mnini ham que «elle Ji > caiella 
M paflè DM 4'nn fini itpi en hau la ModaU- 
dm da Plèanne dn 8. Ton , ft la pa A en bai de 
mil dcgin, DeplM c'eft que la Domlnantedn t. 
j cil frappèt 7 ÎFsi* , ft etOe d« 7 n'y et «Mi' 
Aie que j fbii en pafCu». 

Le tnr&ie )i)geBMit A doit tàn de TAnikniie, 
Jmm* UUfirvwi , laquelle eft adB TerinUoneK 
i» t. Ton , & non pai da 7. Cic die ne NHê 
qned'm laildegrC(nlianiAEeDl»iUMo<nla- 
âmdnPIèanaiednl. EiiebatiiNi) (of» la 
Domlnanttda lEtnenadw^ < M7M1 
M mOm b DoarfMMB da 7. 

Poar cttnfitRNr en deu Andemet dn I. T««, 
nCHtcanfidetctceedensamMi in a r qBte i dn I, 
Hk 9k ÀMtkm mnàm . SkM *0 tmm 
trimm i»M mi^tktwiiektm tÊÊKfmthm, 
■yndàmwAil. fMjmi*! fridttod 



MWP 



*". 






loi 
loi 

tua 
lil. 

«. T 
QbU 

Sfa 

asil 






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ilitkà imtfmwm Oûwtii . iM«(nt XtmUnm 
mrèmtfmUmar, > • * 



CHAPITRE XIII. 

Dit PttAUMIS. 

Okiltf trâhiàfmiiU Itmn TirmimMlfm 

Sffmmut & _^fyMtsfiU» ks k^it 

Ttmj Jm ciéMt Ongtria. 

LE Chir» dn Preamnei cft om Putie dci 
plu confidcrabln df l'OJIînrflvin, maitlci 
«ttcun dent dlo fft itnpUc bat mSj tm. 
epnridcnblci. 

Pwrcn comprendre rûDMrtuice, il hm Tça- 
voJr^cchique Ton du PlMtiiMii Ton Imom- 
liàn> U Mediuion, & fa Tcimmaîron, punoh 
Rciei : c'cll t dire Ton conmcnccinent, fcn milkn, 
te Ta fin. Et mefine qudqou Tcot ont clucua 
phrienn TcnninaiTont diBcreotn te fpedfinwi. 
Toute* ce* choTe* ( afin de ne ht peint npeterdcn 
kit. fontchirancMcspli(}Dfci, Aeiooàhits, & 
nnt^tduiiUTeblrdei Ton. a*ec IcTiaitiqU 
fera detKrf cr-apri* de 11 nianfcn de châMct la 
Preaunn & kt Cattinoci. Orpeni rcadta nj- 
foBdcfceficAtoniquiiVrouliKei, fediftbww 
rfctu fÔRcf d-ifaai, rtm dau k fend dn Chami 
rantre daoïlaBHaimd'apfliqKC 



Le picmicr eeofiSt I nnkiplicr 
«MmhUnlcMM, fcbnlfin.UtTimtel. 



fir U ChMt Gn^n: u| 

ht» pKrqnetMi In Amtphcmiirci, Icrqaclla Te 
rcDcnblcnt fi (m qn'ilcft impollibledenet^pat 
tnmpert &e'eftcequiMnrelapIurpiitdeie«i- 
IbnonideiChintKtâf du pmple, qui n'en pev- 
*cnt pM natnrelIcinentilercouTrir U dinêrencc. 
fa eicraple entre plulîcuri Termiiuifcms dit i. 
Ton, llrcnatroii^uironc lî fimbUblei que l'on 
oiantnnchédctH, firibondroit, ctranereiile 
Note omI i^ac^e ne dnic point filre une lin dillè. 
leiKe t Voicf U pi» tcgulicre cntte le* deus 
ntrei retrancheei, 



t.u>o.u.i,e. c. n>o>ii,a. e. c,n.o.n,i. e. 

De CCI titdf fini il n> a vcfitablcinent que la 
retonde ipti Toit naturelle te raiioMuMei la pre. 
sderccaantfiDwIeafcni-é, la MeifaTrac reW. 
Mt la nMfaMcfiore. jMntlcehqneceitroiifint 
iftn liant «'une cflëntiellement , & m fcrvenc 
fi'i bnfiillei Ici Chantret <pii let confendcnt 
MOI km pea de di Arence \ encore plni k peupla 
iponm , qd aiftnréinent Te portera naturelle- 
■KotpUDjA i la Acende qa'i» deux idikl Bt 
MV de qoclqnci aatrei Ton. , oft l'on a retnn. . 
lU kt liiu inntikt ft rnptrflnIU. 

Maia b phu cMiAdcnMe mcnr . cft de dire, 
tnke, ft en bltema Rctk fëTere, que chiqne fin 
dei Tamdct Prcanmei Gut aflUUe à cemtnt cem. 
BenccnwMd'AfltkwMi. Parcscnpk dsi.TiM, 



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ti4 DiJffriéiiiM 

Qoasid l'Aotiaiiie coamcnce biS ; coniml 
Sé^riêt h Uirmmm , on prend la fi tc nu c r e fini 
à canfe que le f» ptr oè elk fink cft pins b« 
que le fol .lequel cfttnc phs efloigné da te que 
le h^ ledit h a plnt de itppon avec le re. Vne 
antte Antienne qui co w ww ence ffa plut haut , corn* 
«le Dêmimf f «wf m téiUmta 9 on ïuf donnera k 
féconde fin. Et me antre Antienne qui con« 
mencera encoft piaf kant , comme Exi €hê h 
fiMtidtttnlaf impofcia la tfoifiéme fin qai fink 
en bant fur la Dominante. De là on 1 eft imatî- 
né pour raifooi <}ue Jcei (ôrtei de fins impoleet 
par cet Règles finvolet , aboient bcanconp den« 
port êc de convenance avec ces (ortcs de com. 
menccmens d'Antiennes: ce qot ne peut pat Te 
foAtenir pour huit raifone convaincantes. 

I. Toutes les fins des Pfcaonifs ( de chaaM 
Ton ) onc toat autant de nport les unci que Ici 
autres avectooccs fiâtes decommeacemens d'An* 
tiennes f du merme Toni) ks faitervalks de Se- 
conde »de Tierce » de Qiurte, êc de Quinte » eftanc 
toutes runaliefts èc inSiflarentes en leurs Pm- 
grêi de Notes fiphs fate laifim en knrs Pio* 
grès de Pièces. 

a. Toutes ces Antiennes finliicnt en bas furk 
finale du Ton» elles ont toutes k mefioe fin: ds 
ks unes 9c les autres ne font pas phs dn memicr 
tn baut que du wennef en bas » puiiqu elles eut 
toutes k mefme EAendttS de Moduktioiw 9c c'cft 
ce mot idel kmet qui fidt leur kkmlté deTol^ 
9c en meiiwe tempe icur dineieneo eM enti eiio ua 
fécond Ton^qul a mieautm lAenAïC de Modok* 
tionp qtojT qn H rit k mafi i n fimHa fM kpie* 



fir U ChMt GngoriiM: xxf 

'). Ce n'cft pas k commencement de l'Antienno 
qui marque Ac détermine le Ton du Pfeanmc, en- 
core moins k fin fpecifique du Pfcaume ; mais 
c'cft la fin de l'Antienne avec fon EftenduS qui 
détermine k Ton générique, 9c rien davantage. 
Et en effet» qu'importe que T Antienne commen-' 
ce haut ou bas) C'cft véritablement pour di ver* 
fificr le Chant des Antiennes qu'on les a hit com" 
menccr ou en haut »ou en bas, ou an milieu» à k 
fiinuirieduCompofiteiir: Ile non pas pourf im« 
pofer une certaine fin de P/èaome. 
4. L'onauroit bien manqué de nrudence de 
n'avoir pas mis dans k Chant Grégorien plufieurs 
Ibrtes de fins dui. dn 5. de du 6, Ton, qui n'en 
ont qu'une feule chacun ; quojr qu'ifs ayent tous^ 
te tout autant que les autres TcmS| nlnrienrs for* 
tes d* Antiennes c^i commencent en bas, en haut» 
de au milieu : mais il eft vray de dire que tous ces 
commencemens ont tout autant de raport les uns 
que les autres • a^cc les finales de leurs Pftanmes. 

c. Plufieors Antiphonaires, de dilfbrens Dio* 
cefcs t 9c de dificrens Ordres , contiennent les 
Regks de ces Terminaifims, contrtircs en pla- 
ceurs chofcs i celles du Romain. Ces contia- 
tictcs au moins prouvent oè que l'on s'eft tram* 
pé , où que ces Terminaifons font arbitnûres* 

6, SHl fidloit necefiàirement chercher quelque 
raport entre le P(Vaumc 9c l'Antienne , il ferok 
bien plus raUbnntbk d'en mettre entre k com- 
mencemeoe de l Antienne oc le commencement 
du Pftamne» la fin eneftant beaucoup pluseftoi* 
gnée. Or il n*f a jamais qu'un commencement 
de chaane Ton des Pfeaumes pour tontes ks 
Intcnailoaa difffi cn t e a des Awienaes dn mefim 
iTon, 



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ïï Ztifn 

Mifitdiftf.noi.la'fen Jv Prnnme tA tentpm.* 
ht 1« commencement dt Ton Antienna qui h 
liMte cnAiitc. 

A cda )e ripam troîi cbofei. L Cette fia 
la Prcnime m doit pu ■rotr plui de npon «ne 
■ camascncemeM de l'Antlcniit, qu la fin de 
'Antiemic m la fin deTon IntonHioa rculcmcm 
TCC le eemmencemcM du Pfeanne ^ & cliutt 
ntiiite : Or la fin de l'Antienne eA toû)aiin U 
tcTme, 9e ■ tovfienn la ncTme lapoit avec It 
ommenctmcM de lôn Preanma , quof qne le 
o wn wncementde l'bitDMtloa d e l'A mienne foii 
lUcicnt en plnlîcon Antiennet du merme Toni 
A an contraint la fin ck rinionattan de l'Aniknoi 
ft qoafi tofljoan diflcttntc dn cotnmeneenicat 
e Hmerme Intonaiiaa , comme noui *oron> 
ani SMtnIu im éttntmm, oA le commence 
Mnt del'IntonationeftfBrkré, &la6odch 
Nfinc ImeiMtian dnq degrfa ^nt but fiitlt 
M Dana Mifirtur Dtmi»mi , oft l'Ioeonatien 
emm en c a en bas lôr le la , It finit qnatte de- 
l<s»luluatr«ilerii TflnieiccsfintdeMn< 
maïka diverict de «Eflcfcntea dn CMMicnccnxnt 
lelamcfine Innaatloa, oatoAjonnla meCma 
m de rAntieaD^cmckfcat det aMntditca infi- 
k(, s'B cAoit MCeOin dt Un Mdqae di&. 
tac* mm dm AniiCBaca dn ntlme T<n , Jt 
beicbcf cctta dUèfOKe dane le cBOMaenccmcat 
• kfindtrAMkMe.eMderiMnatlao Ad». 
MM. pMt f taMftt MB Al necefiin ^ 
•AiÉM dana ha Tew tfà. ont pbfiean Teml- 
•Ubna. a. U fiidupra^K^ etf<tdBp^eaB- 
■ i^a >aa iIm 4t nseet btk k eemmeacamiM 
h Aoad V^ , iTbih ^ A. T«iàt am )• 



ccmmenecmait du ). & ainfi de toi» Ici aottct 
ia mcfine Preanmc, on'cn ont tnus Ictcammca. 
ccmcm diffèteni dct Antienne* dn mcfine Ton 
arec chacanc dct TenninaiTom dificitnei do 
preanmai dn meTme Ton i Or il l'cnfinmit en» 
cora de li uni fnfiniid d'abrudit^i , car les D»> 
■linanteidesPfcaninet fooifidificRKei deleon 
Taminùfôm divcrfet , m'il efi toAjoun tnj de 
dire qne tooiei CCI fiMinHucntcidc BteTmeToo 
Â peuvent affiincr JKalcroeM ( félon lei Réglât 
delà Sctenea ) i tout feiccmrecnceme n i diftrene 
damefm^on. I . Q^Ue taiTon jr a-t'il de cbctdict 
fhi de npoft entre la fin d'nn Pfcanme & U 
tcmmcnumcat de Ion Antienne qui ne Te cluuxo 
«'■ne lênk bit, qu'entre tons UiTcifm d'na 
Im Pfeaiune dont tontes ki fins font fl dilfetcn. 
Ktde tcni kicaaNMncenicM.Sc doM ceifinsdc 
«et coomicnccBiau le chantent 1 tous les YctTcta 
fodit Pfeawne t Qa|cUe idée doit-on avoir dn 
ommencemcat de cette Antienne ptAtoA qoeda 
& fin.lkqiNUe efloitiellcmcot de véritablement 
Icdoivcat rapporta tons les commeaccmcni ft 
In fini diftrcntti det PTeanAn da mtfiiie Tmt 
7. Si par impoSbk il cAoit abfidtnnent neccf* 
Uce de UR Apcadre les fini divcifci des PlcsH» 



a» d'anToa.dcici... _, 

Antimacs da nefine Tout l'an faivieit pceToM 
laot la contraire de eu Ragk^ pai Ici veritatuea 
Rqtkide k triwce. Car par eraink, dans fc 
--^^ Tan k lapon dak ^jmoS dal-Unlf. 



MmkrTonh 
Un'eft-llpu 



ba n'eftH pu âlBi pai&li qmTcdnr da k Tteic^ 
a«de kSaeondc: CMadantea lapoRiuMifait 



) 






* 'u 



J>tgiru^ 



€» «• o. o. A* e. SéÊdr^tiiÊ éHtr- mhki' 



C* M* ^ s* A« C» Ai>» WtêU9» 

Le tipoci €0 fcfok Ueii pht piifidc itApia 
#ct »is à CCS c ommcm'cw i cni » 



S^arubi i» â$9r* tmm* 



Slb; 



Cb.O«.o>0*ft«t» Sâttr^hs im â$99^ 



Ki^iJàB dtteottë kttÉttttTcfnîiiftiioiiipRt 
qncdetolitlctToiiè; 

* t.. Biifiiictt lUglct a^BÉk Jimais die frkcf pit 
Unifih» mail ptt ee fcMrd dcM oftrk Saiait 

àMr|ÂMi/Et c«dbt]Mi^cei Aq&s' IL^ki kl 
(loi Mièt Ac lit pkf loé%nef TéMiàftifioi to 
PflMÉMSi fa« «BcîléM i BioliMtt AndeoMi 
it fMllèt ic m éûàttÊii^lS tki lifliplciftki 
•hi icfUiÉ i iMbtft giÉoiti FdUil ovUci 
toMii Ift mcfinci TcmiMUSMl i p fciéwtt i 

FMtttBWt 



yftr /# CftMf GreftoVien. txf 

prcânmcs de Riitc, meffiic des Fcftcs roîemnellei. 
Cela eftil fnfte» El ne vauNil dai mieux a(fî* 
gnerletiblemnene^ aux fi>lcmnclles9& les fertales 
MX Feries I N'eft-ce ps mieax fait de dÎTcrfîHex 
les Tcmûiiaifims dans plufieurs Pftauincs dcfuicc 

Îit lônc de mcfiiie Ton : comme nous i'cnfagne 
. BaHles Fîri/âr^w f*film§rmm fjt éUcanUHêmthm 

Pour eftre ccmMÎncti de cette vérité , & donner 
les Exemptes de ct% abus . coniidere» les Amipho- 
mires, vous j rrmartittefex preique é^ra cous,par« 
ticuliercment dans le Romain , ce •• Ton folcmnel» 

8.^._. ■ ■ .-> affîi^nc 1 Prime de Ia 

:gdl:«:g W<^ -ft Q^inqnagcrîme A Pri« 
' ' ' ' ^* me du t. Dmianchc de 

«•tti0.a.i,e. Carefme. A /?#w«//7m» 

JelaTeWey.cnAtite, A ^4jf^'yrr4/ de laFcntf, 
k, de la Ferie « après le Dînianche He la Pau 
Immi. a ^#jv«id de la Fcrie ) après ro<^ve de 
Parques. A Btm. de la Feiie t apre's le 4. Di«. 
«anche d*apr<s Pafqucs. A Btm do la Fene tf • 
après la Pemecofte. A M^gnif. des Samedis i« 

t. Hc 5 . de Novembre. A Btn^ de Sainte 
«ce. Tontes ces Feries font elles lî confidera* 
Ues Mor avoir une li longue & folemnelle Ter* 
■dnaifiNi I Laquelle ne devMt jamais çftre ad!* 
|irfe que Mur le Mâp^MH des Dtmancbes dit 
phs gnndes Pelles Poorfuivons: Cette fin de 
{• ToQ quin*eft pas encore des moins felcmnelles, 

attribua â Ètm^ de la Ferie 
a- après le t. Dimanchede 
P Advem. A Btn$à, de U 
e. n. o. n. e. e. p^rle } enfuier . A Mé^m. 

de b Pcrie «• «pris k !• Dimanche de r Advenu 



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t)0 piRimûùê 

dfSi. ALradctStasx4ciiiVcrpics AiCommaii 
d*iHi Mtrtfrt Cffdt feu dans cha^ OCcc fim 
Averfifierittcnne Tcimimiroii» Ec «Mon la met 
me troif feii à Laodca He aux émt Vdpret en 
Commun d'une Vietge* Mail aullf cette mciim 
Cn ijui n'eft pas dei fluf lUcmnedct» atitibuii 
pour le Mmifitm detftnuidei Fcûcs de la Cen- 
ccpckin a: de la Nattvké de la Saime Vieige: k 

Cur ici deux pfcmkn PTeaomei de foice da 
udei» Bc deideui VeTpccade la glande Fedi 
de lout lei Saint». 

Cette TemiinaifoR du t Ton qui appioclii 
fort delà feriale/ 

j|._Q^.....Q..ff. aflignéeponrie t. Pfcaunu 
f5JlJt;|i:B:nSK:tt deVerprcsdekgfande Fe- 

ftedek Nativité de N. S. 
e. u. o. u. a. e. êcioutel'Oaave. Aoxdew 

Vclpici ic 1 Laudei de ffipiphanie » dani ciia^N 
OAce deux fbii de fuite. Aux JMtyv. des )• a. 
Hc 5. Dimanchei apréi PÈpiplianie. A Âis^. m 
4.DiniancliedeCafcfine. AnxAfM.dei4. ^* 
êc it* DimanelwiaMéik t^ientecoSe» A J«r. di 
rAliomption de k Sainte Vierge* A JMm»« de 
Commnndes AMftfcs. A Mé^ de k FeSe A» 
knmeUe de k Dédicace* 






t«««oi»tt«a*t« 



€oAe* A 

dlftedekFcibroknnelk. 
êf à Mé^gBifm du Mnanclie de fOdate du 1 
faciemeni. ALandesêCMxdeux TeAresderAP 
Anpcloli do b «tet TiHii. Aux daiB TdipfCi 



fir te Cbétm GngÊtwf: 131 

k 1 Laudes du Commun d'un Martyr» qui fera 
fcut-eftrs Titttkiie d'une EgHre. 

Cette fin du f. Ton qui n'cft pas roicmnclîe, 
i-W"<>Jt«q- 4i>^a *tr Mtribîiéeâ Ma^ifirMdu 
|B^--j-£a^=S ft J<mr de Pafqttci. & k 

mcfme i Mur^. de Ia Fc, 

€• u. o» u. a. e. rie j. apr^i le 1. Diman« 
cheenTuîce, pour TOIEcc ferial: qtiel raport cn- 
tie ces deux )ourt pour avoir le mcfmtt cliant. A 
Mégm. de k féconde Feile de k Pentecofte, A 
Laudes A: è Verpresdu jour de k Purification do 
k Sainte Vkrg^ » trois fois de fuite pour les trois 
pfcmien Pfeaumcs , comme s'il nV en avoit point 
4'autrc plus fblemnelle pour divciftfier. Aux deux 
VcAics êcâ Laudes des Apoftrcs S. Jacqties âc S. 
Philippe ^ deux fois k mefme dansdiaque Office. 
Celle Bndu ).T6.kpluifcriakde tous lesS.Tonv 

fcSA5:s:fi:9~]t *^C*^« ^ MéÊ^if. du i. Di« 

EE^î2£~ÎEtt "««ch* «pr^s Pafquci. A 

e.u. o. u.a* e. ^ ^^^ ^ ^, p^^^^^ 

■esdu t. Ton, et cette Terminaifon fcriak deux 
iNsdefuite. fansmi'iljrenairunefenlefokmnelk 
Mr cette glande Fefle. Au fécond NoAumedeU 
F cAede tons ksSainuccttemefme lin deux fois de 
fuittit {fcnconunefbkatt|;Nodttme. Encore 
ceTonFerialdenxfoisâLandes» «eaux deux Vef* 
pmdu Commun, d'une Sainte non Vieige, qui 
peut effae Tltnkiie en quelque Eglife. 
^ CeUelindn 4. Ton » qui eft k pbi foleouielb» 

aSgnée à un Ffiaume 

fcml do Tefpies de k 

« ^ ^ ^ ^ Feiie4«irencoi«dttSa- 

^••^ •••• medp. AL«rfcadle â 

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î$% biJferiétiûB 

39» f êUOm At h StiÈ^tfunc. A Afdgm. deUF(ri« 
t. tphls il ». Dimanche de Ctrefinc. A Ltodes ît 
fa Fetie i. il« la ^ctniîne Satine. A Mtm< et la Feric 
4* après le a. Dimanche daprés Fafqiiett 
Cette Tctminaifon fcriaJe du 4* Ton» 

B-B- -B-«- — -n AflignécâVerpresda Jonr 
B:lji:fc! !:il:yft defaNanvicéde N. s. & 

/" ■"** tome rOâafe. A l'Af- 

c. n. o. II. a. e» cenfiondcu» toit dam Ici. 

Nciélame» daix foii dans le a. Noâiime, i Lan. 
des êc ans rteux Vefprcs* ^oi neuf Feftes de b 
Sainte Vierge » 7 compnTes toutes les plus folem* 
oelles. ce 4* Tun fcrial trois foisaa i. Nod^urne» 
ôc tmisfbisau |. Nuâ iriie« Aux dent Vcrprcs de 
à Laudct de» deux Feftes de S. Paul. 
Cette fin du 7. Ton, '*Hu* belle & folemnellci 

g :.:— :^Z^ J:gy| %, après le 1. Dimanche 

^ de rAdfent A AiégH.ét 

0. d O.U. a, •• laFerieé cnfiiitc. AAr» 

lin Samedf après le !• Dimanche de T Ad vent* 
A B9m, de la Fcrie 4* après le |« Dimanche d'après 
Parques Et une fin phis fimpic du mefine r* Tm 
aflignèt aux deux Verpres 9c i Landes de rSpipha* 
nie. Aux deux Vefpfcs fc â Laudes de la Pence- 
cofte. An &• Noèhtmc des ncnf Feftes de la Sainte 
V ierge» 7 comprtlês les pbs (ôlcmncOea* mi méfiât 
Ton Terial trois Ibiti dt encoft i Mégm* du iont 
de TAnnonciatloiit Ani p r emieifs VeTpret da S* 

{eau Baptiftc k mefine fin ttoia fisls ponr tids 
Teanmei Anx premières yefpfctAclLaodesdes 
ApoAiesS» PlcfielcS.Pani» ifoiafinadtt7*Ton 
fcfialea*' Anidcvs ytfynê ie i Loadca dca Con« 
ftfinif ftmrifiTSfntwfiBsAimrfni7, faUei^ 



/Sif le CbéM G tfùriiti. H) 

Mais la plus fimple Ae la plus tiifle fin détona 
les Tom» 

litt-«-«*»*B^-^tf littrîhUèc I yefpresdelê 
W^zrzZZZJtnr^ grande felemnitè de UNa^ 
*" • tîvitèdcN.S. 9c pendant 

e. u o n. a. €• ^^m^ l'OdaTC anx Feftce. 

Et encore ce mefine Ton triftc deux foi* à Vcrprea 
ft i Laudes de la grande Fcftede S. Pierre & S* 
Paul Cette fin du 7. irregnltere a eftè retrancKèo 
des Anctohonaires exaâcment corriges, parcf 

S 'elle fiut une faulTe Reladoo perpétuelle avec la 
odulation de fa Médiation. 
Cette Terminaifon feriale du 8. Ton, 

!B B-' «a ■•a-ft ftttribtic'eâ Matines de FtoCi 
:i.i'ga :!!:l:g qucs. A Mé^gm. du Diman. 

" '* che de .SméjérnUê. A Ma- 

e n. o. u. a. e. dnesde la i'entccofte trois 
fois de fuite pour lestrois preanmcS' Aux deux Ve& 
près & â Laudes des deux Fiftesde S. Paul, U 
aiefine un qtutre fois dans channe Ofiice. Ans 
ècuxVerpres& à Laudes de la Fcfte de tous les 
Sainti f la mefine fin trois fiiis. A Landu êc ant 
deux Verpres de S. André > la mefine fintroisfois. 
Ah premier NoèHmie do Commun des Apoftict» 
la mefine fin trois fiiis. Et I Veimes encore det 
Apoftres» la mefine Termiraifim Kriale deux fois. 
Et pbfieura antres Terminaifons des Pfeanmes mal 
alRgnèea aux Antiennes » ^'il finnit cmp kiigdi 
dédttim tontes en paiticuBcf • 

Ueftdonc conftant qne ces Règles dePantiqniil 
fimi tont^ contraires i la graimd Ac I la biea« 
lîance du Scr? lec Difin. Bt c'cft |nfteme« àc iln 
kttre dès fctimbks lUgks tf après déclaré^ 
fn'il finn cntcadio c«s paroles ènci|ifics ds S« 



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if4 Dlfinâdam 

BHÊ vitêé rtU€émîmwt lt9plM€mfhdUmi^fimiiitm^ 
émmwk^^mâmwMmrémémCMmèhm étHminnin 
Câmmmffmi Hkgf» amfmn Hcti^ imHpimêt & 
Hfmhfémg ( c*cft I dire» imd^imat Amiphêmémn 
it wmimun P/éUmm^ mmfnmlkfiB fiiifrmt 
Mft. ) 

Mais qadhfl Tont cet vctkiMct Règles? Oft 
fime-clief l Et de qni les tppicmlrei S. Be'fntid 
aeiis remrore sllèi dtîfcmcnc è la nanim raifin. 
mble, 9i, rettrimeadci fettement par les patola 
fufiliteSt SimuittiéliMmméiùfinmtiâiitr4m,&t» 
BtiParccllef-cf , JM ttpm Muftm f^itttur 
fnâf^ m OmfmfiTfHfriém & fiâtitrâhmkAiî 
fituêim h D » Mâ99 7>M âhrlhâimt t Cette lu- 
lafferaifonnable» cm poof mieux dire cette polncs 
delà raifondrdti bon feus des Compofiteurs» cft 
b grande Maiftieire qnl doit itgler icschoTes in- 
dedfesparlardence mefine* Voicf doue les Re* 
gteseiTentielIes, 9c natnidlesde toutes les Teie» 
MiTonsdiCEeciiicsdes Tons» lelqneUes piobablc- 
■lent {fiiteat lidBtn<ées de S. Grégoire, l«rs qa'd 
segla toutes ces cliofes ém fêadinp. MMwrs» (f> 
mimfitrâ» Noos avons feule aonbie» Itlamcrim 
ou in valcar des Notesdans le to« Ckapitee : Noai 
Jetons eftre kf perfiiadeB du poids Juibde cet 
Noies modulées dans ksfins divetics des Pfian* 
■iessle(quelleelbntaffigndes aui AwirniHs^p» 
llost dtconfideides» non parMpofCaueoame» 
camc i i t des Antiennes qni ne peut ente on aïo^ 
urite, mais par rapeitellentiâlfcnecefâfo lia 
amft inale dee Tom, * àk Mfin» Alenli 
4sg9i te Petee * dee OCcea. 



firkChâmGfifffieiÊi 

S^mmski des Rtjfes tftBtUMn JUsfm 
des Ffiémwni* 

LEs Tcrminaifons des Pfeaumes » dansksTone 
qui t»ent plusieurs , lesplns longues de ksplua 
Mcmnelles doiTcnt eftre attribfiées aux gimdea 
FcAa. LesmofennesauxFeftes moins folemneltca 
9c aux Dimancfces. £t les phs Ibiples aux Feriee 
ftdans les Odaves. Le tout ainfy qu'il eftieglé 
parles RubriquesdcsTonsdans lesAnDphoMîree 
csaAement de retuliercnienc dirporex. Par cee 
Rcties, oui font fondées fur lanatureraifonnabie^ 
Hdt aiR de voir dans les mefines Anti»lionairet| 
ésquele manière font variéei les fini diverftsdee 
Pfeaumes» quand il y a pttificurt Antiennetde meîl 
MTondansqueloueOllice. Mais pour ne s'fjn» 
avis tromper» c'eftque les Chantres fimisdoivene 
chanter le premier YerTet tout entier do chaquo 
Pfeanmequ Ils ei <onn em 1 9c le Chcur nedoit ja* 
auis reprendre que le Acond VerTct: AInfi qu'H 
ni fi prudemment ordonné dans w Cérémonial 



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CHAPITRE XIV. 
Dis CéfitÊfles, cf des tb^ï. 

LES Camtnles ou Chapitres, appelles Lefoni 
dansb Règle de S« Bcnoift .le doivent cnan* 
ttr tout drok»avoc une fenleiniedUondela Tieree 
•inenre i la fin» nonfutmémeut 9c (ekn Pnfi|è 
«dvciM do tonteâ ks EgKfa Otthedraks» C^ 
^(■iwif ok vDnnoeraDiea« 



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if4 t>ifirtârim ^ 

ttmki, At Sccoodt» dcTicicei êCmitret, im 
kliiulcdci YerTccsde l'Ofice da Morti de en 
Tcaebfctt n'onccftiiocroduices que ptr quelque! 
Religtcni pcv vcrAsM CIuuk. 
^ Dctti foRct de ReTpoiit (ont â dlftingucr , ki 
mndi» Aelcipcrici,qtt'oiitppelle Rcrpooibreft, 
Le Chant des gnndt Rcfpoiu cft le plus fcgulicr, 
AlcancuxoMMul^ de tout Ict Chântt Ecclefititû 

2QU» (iUrcrervedequclottCi Noces fnperfluls» 
ont il adnëcfiicé dtns le t hapitre de U quantité 
4esNàc«i. ) C'cftjmifqttojr ronaocofcnré cctts 
«ntiqukë • jrcable Je confernie â la graTitë du Scr- 
:vicc uif 10 . de «hanter un f rsnd ReTpons après k 
Chapmc des premicies Vcfpres en Mufietus Ou 
thedraiesdc.Diocê(ès« au moins les l*eftesdottblci 
•et plui îblrmnelles» Bc meCme aiii premières k 
ftoondct Vcfpresdans l'Ordie célèbre de Pitmon» 
ûré, S. Bcnoift dans Ta Rcgie ordonne un grand 
HcrpoMS â Verpres, Bck Landes: cacao f . Cha- 
mctc ordonnant les Noânmes» il appelle les grands 
Jlerpons fimpicmtnt Rcionns» trié tttfêmfmê 
4é mmtm rt demeimeaiiiCnaficresit* Ac i|. Ps« 
letllrment Landes êc Vefjpres dans les Chapkrei 
11. I). 17* & it« Itff^mjêrmm^^ Amkr^smm- 
C'cft âdireleRcrpons , (k l'Hjrmne. Mais an le. 
Cha^ ordonnant roftce de la nuit ponrIesFcries 
db relld, noonel temps on ne dit qn'nn ft. bref 
npféséM petite Lefon on Gupicule^ ponrlonil 
ie nonone mpreflcsieBi i|i« orer^ ^MMPPvwt *^ 
^•a^kmm fmêftfméiun^é Ncuonoéns le Pape Paal 
Vi âptdi U Caebnrion du Coiirib de Ttcnce» 
luroimunt M orcviÉiiie de S • penotft r oMonnâ ors 
ReTpons bref» I YeCjpni Jt i Lasdea^ Btmmi nom 
lis foynBS, Dék plifcuii KgWfaiéi mrfme Oidre 



fir h Chémi Gngnhn. 1)7 

inr jfit cette loibbie coAtume de chanter lee 
Re(pons biefs de Verpies, au moins les grandes 
ték^^ module! à la manière des grands Refpons^ 
afec un nombre ratfimnable de Notes necedàires à 
la bècnTeance Ae i la gravité des Feftes folemnelles^ 
poÉr conTervet en quelque façon lattiajeftd des 
grandi Refponsi 



CHAPITRE XV. 
Va ffjmms. 

LA MoJInlationdes Hjrmnes deTEglirceftad* 
mirable^ & rien n'cft plus capable d'eictter la 
dévotion |)tte ces Chants mélodieux 9c tres-regu- 
Kcrs : mais il eft na/ de dire que plufieurs de cei 
Hjrmnes ont efté corrompues par les changemeni 
â: refiNrmadonsquc Ton a prétendu y faire . ( corn* 
meenpbfienrs Antiennes 0c Refpons. • Lesunea 
par dctraâion de Notes neccflâires « les antres paf 
iddition de Notes ruperlluïs^ & les unes êc les «i« 
ticspar tranTpofition de Notes irreguUeres. 

Cfelles qui umt corrompues par detradion de 
Notes necellàifes, particulièrement dans le Ro« 
Min, fdnt celles-cy, M emtmm àgmi fnvêéU, 

|<r, Âmffmimf% imm Uaffélhr» Ptrm hmm^ 
SâtOhmmtmfiiJti &€. Celles qui fimt chargeai 
de Nfliés fnperAiCs danà duelqnes Ordres Rdi* 
feieni, lbntoelles.C7i AfMmmuiràim.H^Jitm 
itndtnMj^ arrêt O glwhfd Osamn^fV^ile 
'4dr» €Srlf9 fimQ9hm t n fttféÊm iéxmtChrt/Ê^ 
nétmfmmimlmm^ IfhOMftpr^ Ttikt iirwfitUm 
tmê^ &e. Cdki qrf fmâ encoitchMigéei par 

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inarpdkuBdeNoCciitKpilkfci, dtlttq«dq«l 
Livrai andau. foM cdhS-ey, CtmMnréImi fy. 

féom ImpM, yt iBtdM Uxif, E*»lm mAw 
LmZkm , Ijh a^tfir, ttf» (*r«M rirw,, 
■ ■ " 'tMlê 



Miii Tut tout Avt m^rùJMâ , 

liMtAfidtvote, BunrcDc. fc igmble dâu h 
li<»Mln,&prerqa'uni*cr6UciMWpuioat: c'cft 
«M «ktvriadiMlct Hramu 4oh le Chant le fôk 
ccntixvé le plut Jtuu là pKO^ ariilMiic, iAmi 
|MT&iteiMntntulKTnitoatctlM|»ftkt, Arpu 
ucnUccanmt mm (m Mcnricr Vcn, ^ lonfat 
« C<acncc MfbiM lui le k ft Dcmlnutc le 
corde eflcniclk i ce|>cmbM cUc cft conemnl 
4»M qndipKi OrJrei. ft du) ce praniei Tcn 
qui tombe irretnlkfemcM fat um carde ■Onu* 
gère. CitEMmjplecatrapicmuqiAle muM 
M fu noter, onn qu'on en «ofc k difleience. 
ttmtrâriM Mumrifi *ff^é mé^it HMtftmm. 
Tukf li Rnntinc. 



.M> ■Mrfl ^ 

ydcr b GMionpiB. 



^5œî 



.,««# mnHi ptU 

ToMee kl frOièo te Tcn dolTCK cftre dU 
ftMtamm mMKdct, OMUfCMCMMeUfiM 

Ml » ffSMMiMlM, .fc IM fu k rni i f i ^ 



fir le Gbiiit Gmorie». 139 

cnMnefcMcraïQuifcaMleMTeiVnienlcichtn- 
lut: C&abuieméderaprauTJpartoa* Ici Sça> 
«mit fironnefcanck païen dedimancdciVcrr* 
MOtemoim doit-on fcandcrenchantant, pair^iie 
kChanteftune exprellion phti authentianc d* k 
d rc ki B ation, ou de la prononciatinfi. Or (jiiand 
ti A t wmjMtw qodqnc rfllabe de trmi pour k 
Ckant , it en faut mcttredeux (ut anc Nikc don- 
bk, c'efti dire frite deux NMcicnmcrnK degré, 
oBi'il j a qnetquei Notei li^ct en d^caclict une 
poaicettefjllabe: ktont a*ec ptndence&pic- 
caKien> Pourcequieftdcilonjtnu& deihtcvca 
de quantité de GiaonMiK > il i^ faut point avait 
^n danclet Hymnei &lei PiMetdon le Chant 
Wfegif d'nnecncaine merurcinratiable , comme 
k deua icniM dam ki Hjuihki Fi f«*<M Isxiit 
Obr^ fimàtrmmy ip, Cutfffir , on comme t 
tiaii tcmpi dam les Hrmne* Ctndinr iJmt fjJi- 
rmm, tm m t mfi tati tamdiMr, Ac dani la Pfore rrai 
fmO* SfMtm .■ pour lei riiront allegucci an lo. 
ChauJOe Tcn k lin, fui k QuclUan de k qnan- 
ritédetNotcienvaleur. Maiidauetontet leian- 
Het H|«mci Âc PioTet qui InlTent la legk Se k 
■cTn* «wn no i du PIcinchantotdlnaiTe, troit 
cboA* Am i eenUttck ». Teotet ki ^lUbci 
leagactdcqnentitis'r doivent aUetTer. ft- Ton* 
tti kl penalticTnea brcvci dam la diâioM de 



pbe i» deux fjlkbet t'y doivent aulK ptdcr. 
Ccft ponrttwv kn qnll artiveqneplnlïcBn Ni' 
teaUeeenKami lêntaSgnfci pon quelapepc* 



—Wef i ni bcn«. mw kn II bnt tranTparcc cet 
Nom fal'MwpiîwhWne, tt en Mkt m »à. 
yàimém ÏÊt i n pentcew fylkbebwvc. |. Tm> 
MbiaMi bnÎM 4e «wm. Amkt nattât 



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140 ZHJfertéiiùm 

stat dk Jciii rjUâbcs» ordtiMifcinaïC 4tat le| 
Hjrmnei ne foM pu conSéttiu tmamt httmi 
c*cft k prtciqac mîferlclk, Ar k fciitiaioit 4e 
loatkf Antlicttffi» pMVc^'ilt'cnTiiiTfoitttiielii. 
fiaicé d'iiicooveiiicnt dificiktà oblèrvcrt iitwu 
Miiu qo^nd il flTf a qu'une Noce affinée 1 «w 
brtfC 4c cette focte» priad|ielcaietit fi c'cft am 
Tojrelle 4tvam raune, on la Mt faiie ^?e« 

Doonone Ici Bscmplet 4e tomet cet chofci 1 1^ 
4ei ciifioDi on fynalophet qo'll fint iyiut, 

Dâiit i'Hrinnç de U Nati?k4 de N. S. Ortf)!^ 
ÂidftmfiêrêmmUnm. 



Glofk tt- U Oombe. CmpPatfo 1^ 



|ociç.^iiif.cienf vl^ 



Vfxtiâ Hitiii* 
Maflavitnada 4c An-goine* 



Arbor ibcq. fa ^ fut- f^. 



Qine- rumiii, GUk lia d*Ki Oonunei, 

i: KB:if>r: : r i »:gn:E ^:z:=H:::ntJJEr 



qairomiiaid niortait, cttiiiPtert0efiuiâo 



mm. Glofto II. bi p^urnioe. Qmbi pf^nt 



acfanaoSpî-rioi^ <nftiiVkC9.mic.ciila.. 



SfifiCii. nucendo 4c vod com-potes. 
Q}ic» fiiiiivi. Qb* fia. Can Pamêcranâo. 

« • • • ' 



C\ù* da. CaiiiFam4efifiao$pi.iit». 



MalifitiiA.4É«ii. |iMtt.<)si;^faa4r^ 






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Uw^iUk AtcipoUt. Monte 



Itt cA ni* Htm* 



Glo-fU ti« 



fc| JJu» :: g:g=^ a 



U Do-arine» CumPatft êe fia.AoSpl> 






qttf.&iniuaiwAoroai-iiiiini« Gk» tU 



d* U Do-aIm» Qdflincitti â 



tait* ComPilnie ftaAo.Sfftiko. 



sa 






ÉSlOkCBI IIOllttBI* 



Gloliâ ^ ko-noc 



Dc-o» UiqiMqittqiic AhUEmo» 



CHAPITRE XVi 



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IlieÇhMl 



2)1/ CâMiifMis. 

DEvi foitct ^ Casinqiict (ont â ^îfiiiipicf» 
ks gniMlt ôc les comnmns. Les Ctnciqoct 
UiudiQm ib Laudei , 6c Mapi/Utnàe VcTfm^ 
lônc tppellei grandi par ciccilcnce, paice qu'ils 
fechaïKCBC piaf (bkmnellcmcmqic imu Icsautict 
commom» qui font» MntuUeêtt^ CémummtÀnHî* 
MêNfÊmdimnit^&t* kfîiiicUraivcflrIafcgk 
commane » dr lonc le mefine Cham des Pfeavinct. 
U nanleic de chanief ks Caadattea MiweéBm 
kMégwifim. eftitt ri eme nt no té e danskTabk 
ks Tons» avec toutes les uU ei f atk nsnccettiiest 
r i k ftreffve de qnelqiies Morfnktloas paitloi- 
Hetes des Medktkns itt uéû4.9c ém y. Tooi' 
qri fine enakge dans qiie^BesOftes,âB Ane 

Botécs dans knii AnriplMniiics« ) 

Cattefindn i. Ton n'cft 
jsmals aISgiif pont k 
Mê^mflCM^ paitiQipevfr* 
flNnt Qund on y tonclM 
4t f Offna » faioi qpo 01 






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$4 Dlprutlm 

pnpMdkecMR b Fiiak, m h beabi 
rO^ qnl i^>Rii4 ^(éi. Et ainfjrafqi 
«UKtTcrmiHilèat 4nT<iiil, fcli)iicllcs i 
fH «MWa tu Mit^n^i boHhnifijttfi 
«■ ptfnqnlIdlceavtHbk rie ki rdfmr 
■MttpoBrkfPftnnBM) biul«m«nri 

CHAPITRE XVIl. 
2V/ Mtrt/ Pâttiu de tofu DMé 

IEi AnbeoMit la prcunni kf ftc 
le* Hrnnet, fc In CuKM»ct,qai I 
• da Plcinduat. fc riooc ■lacÔiruI 



mat pirlétUni ki Chapiim pnccdc» 
CM pwdci prindpklci de l'OScc Ant «„ 
duMlctAMir^eminH Eileilnuoitu.letj 
Gr«r>« » tittrtfii, Gradnell, MtlM}t «vec 
Tcricut Trth», Pfofa. CWA. O&n 
XmAo, 4tgMm, ft la QNMiMMaM, qn 
mtt hcocpidn PleiKhaterief MeTei, Ida 
roMcompriJctfouciinat einplc d'0£c*i i 
m MRk»fiiidBélA d« U KcA fiMR «m 
dMt la «^«dncli. Et kt puda dn Chtni 
NBN de MiMeflcKhm {Anficnn ««Mbel 
bCiMMM «srUqoéa fc rifnootrfet auii 
Ct|epkKmktR«la| ftdHMieie.CÉu 
AlaqnMMdMïAtetrapcrlrfi. Melili 

Mr l*i Vofinda TeffieuJM. le* Uh« 
rrimi. la Onllèpi. lii PHif ll ul ii . le«B|d 
lME*MC<la. tu. Tmuttathotm&atm 
hM méu, nu tm Mtmtm tm^ 



Ht 



«ir GriOritii: 
icHêâtondnCiMM, 
lice de rofice divin, cf •apré^ 
tôt udetMia te conlïdetabla 
'omet Im «atret tnmtefci Icte. 
meni dn Lefoni . dei Opito. 
I , avec de* ioAeOioni oa de* 
IflncMet àtoBcei le* viinle*^ 
den poion , ne fôw MKvne* 
U bkn-fèaMe Eeckliaai<|Mt 
de Pcietn & ddteni chtnta 
mne le tfmotaM S. Ifidon ^ 
lefialhqtm i ËrSù lA'riMri ,^„^ 
via ftrtttftirt LiBmtm , M 
M **jr frtttnJdimr fmm». 
tjm Mm tfftro . mm ftmni , 
«Mnt «rfa . Ihittu/imm & 
Upmi tmgnuMtm , (f fa« 
Mttm iM iffr wdMUtitw* Ji- 
my dedke quclctJUfem M 
M, le doivent pldioft liicMl 
rei: AiS. Ai^tKn looëccat 

S. Atkuufe.faj fM MMjfa» 
fi««* LtQtrtm, M y n o M . 
iMi MwMi De Ik vieK q« /wm 
^.ocdome à L«odM dt )k 
tqoe le Pritot dilè m ledll 
t , «fin qne low l'emendcu { 

VVel^det pdndpda F». 
RédMib RobriqM, MUm 
'*A à An M plw que «m 

, ftmc fimple InArâlMi deb 



IVIMi 



m*4in 






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^rîbW 



IB DEKNltK. . 

vMnHr bw Al C&am 

ntrl patlH fkmpeflmi 

.ItudlnetikCbMtGie- 
lOft cbdMBiefttpM llilfbi. 

Kbn , qM h Cbuit Gi^ 
p« d*H pldARMi' de Ici ]«• 



b ) 'Kl Mitnïl ■ 



» à t« fmWrt'M 

■UM vnMl Mit OMfMCl 

klafÏHéllMGUeVtiiiK. 
iltteirMMcracftm*. 

:'«ht le «M-fëta.te eMK 

^ ! *- ■ '..— 1 



Ar /^'Cfe^w Grt^trit». 14; 

.Ir JmuIs fin 4e ce Tniif . finoD que le miubW 
ClumGKgatin (c'ca«<li[erAtuiphoiuite& 1* 
Gndael RonuJa prgci «itktemeiKdeccttlNÛ, 
le meCnc In tnm* AndDhotuitei & Gndwcb 
cuAtmcmconign avec Ict atuhoritra legUime^ 
ICKceiIîiK*,>clllepluiMithciiik]iie. tcU fim 
«onfidcrtUc de mn Ici Chuti EcdefiaUqnn. 
Jlaqncl Tcrinblnnent coariennent cei patoict 
•MtnUa da 5. Beniitd , Si trn fm fi»im- 
Un & 4^ mmi^mi jtiuifh*méiik ivtTfim f^fi 

,ét tUiii nuit fitit Sntffmm i aiié vtrt imtr ^ 
£v»rfi ficU r^ar.JMM rMit. vtMm4fmJfi^ 
fMti l» téuU t4^iim «M frâftni»r»t, 

■ El en cRri confidROM cm belln Anbcnnct, 
r<n>i*t m» Kt*. ta »d*tnta fntinm Ki^il. Mnt. 
SOm Ttmimm. Ertxil mim. JwttiMtit. Btt* 
«Mit hnmm, Ommd f •«■af m wtlmtt. LéaJtiif. 
Dtmm wjm. Du m»fr§. Lt%» Jtr»f*ltm. Atntf 
fH« cwn'fiirfntM, 4jMriH Dtmimim. Eett vf. 
titt, Cémtt lah. LtvM* Mfii» vtfr^, HtnJit 
^Mmi, f$x ia nnaa, jtm* Uc^itm gtmimi. 
Afnti tt^HMràfmi- Trilm mrdtnlii. Sjù m 
fiîmmfitk. CMmforih mméum. lU* itmtfnJi. 
ibarfyim. tMêrm amUm ntftr. H^anaafUa 
i>)tmi.fatri Hikratnm. Trâiiitr ûattm.Fëfalt 
-mm I avec nw cet df vlm Agi»!, Se Kmchat 
(ànaa .IdqpeU mn ftwlcmcnt mictKnt I otcUlr. 
(Mil pntcM le coot dct plm inicnGble*. Ta m 
f4tr 9itimm. Btmm mmmm. M»à* Sôm* F». 
.f^0ttat f at*mt Dta. O «mn tttntfrm lâ wf. 

"• tB.OtMMmmim.FJh. 

\ufimMfUi.SéMarJ»i^ 

M) 



mfimimM».rtfHam 



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^■■W^W»^ 



l4t Diffettéthit 

émfmii Muir- A^t Xf/îM mimm, JEf|lM 
«■M téïKft, Sdnt Mi£imi, Afpirpi m» VtâoM^ 
Avec qdel iniGce hmains , 0c ooeDc Mnftili 
ftiMUnemM In bm Ton) te Pfeasnei làn»4k 
TMtB , te km TctodiuiroM rfiftitMn Je Jhn. 



fin U Ctuatt GnjmM.' 149 

naiK <jaÊ e'cftoit €t Rtpom teh ft noté, 
fc »di nireceiK yn Jtwtiii fimcTprii. ac&dne- 
boo, te à kof pdMe le Pipt en oMneiic it es 
JLoy da tK».fàiMC ne, ordotuu qne ce Rtpeni 

fenM driôrawli diMiié en llmment^S.Pkne. 



TMtt , fc km TctodiuiroM rfiftitMn Je dhn. Da Peyrtt en la Ànàqnhcs Je û Cbapdle du JJï ^ 

„ ^ Méeit Ce^aftkdits à5. Bemud cnbdki ILoy de Fmcc bit cette mMrcjne , «pièt l'Abbé 
JM Twakt.firâf «MriiarlMr/iMiMMri-lMfyUn*- TrithciM, CeRépoM, qateftooedapliu bcIlM 



■•■■■■ P" Qpe peBt-ooToi( 

^,1», ^ nkai nwblt tf» en Reifont l Mifut i0 
■0éhW. L^ttmm tmU. Mtmtt Jfhat. Erwmfm» 
wwttt. Ktx lujhr iUftmtt. O mtpmm a^jf»- 
vAm>, SsnOé & I m mMm lm*. CiMmm fM^vclc 
U. Cawiékmi /ot(N. CwfrMëUmM, Dm Jn» 
fMa. rfiiJ IttïBt gd fimm, Dtmim fnir muu 
fM*t.fiiméri9iétMa.AttnJinftfMltm*m.iigU 



WHjmârkii. Ktbm umfUfeifmm t0. rim* i 

tUà:S. '- - ' ' - — - - 

M9lfi,m , _ _. 

- mXiJhéA» • - 



M.Smr»xb fdjhrtnmi.f'ÎTtMnwnitmi. Pt- 
■' infim.' ' - ■ '— ■ 



tHtwU.StmMM(nflm.C^nriAmftlm,Sur*t fnf- 
■VÉ.OrmMëm muilAm. tmaam mtSeM.DiKmtm 
êfi^. Dmmjhnrltii. JfK/imvUfimm. SmIê 
fatàm^ mU. twvwatDmiU. Simlimiiwfti fri' 
éwm, MtStmU: JCtffmmmut*. Léfîdu fr» 
titfi. lUmimt Dtmim. Hab (iw hMH cet Mc*> 
UeR^poMdeS.Picne, C«ra*fi« CMMrff, qj 
•Ck camfoA pei mOk pinR Mmhcom RomI 
KeydcPnaee, *im nritek 4* lUiHeti ,' leqeé 
-tkwl à René, MfiMtMMndaM k Mdkit 
tifc, pteOM ne* gtande devMiw i fofc 
MnwRipaM. Cfat^An«lcH|i (kSiiaHlrfll 
rAwd^MMMMtet taeaidlNtt; «miétMttfi 



TrithciM, CeRépoM, qateftooedapliu bcIlM 
fieceidePleIndtaM ^ noMeyoudalu l*EgUlê, 
n'eft^MdMMleR«iHin, miiilleft encMedam 

IkpNetifTWfJmbbUemeM deufTAmiriioMira 
depMb, qdl'atMijannKieMiattCKrpeftSEà 
bon dtok. Tootn cm Hfrnin ne foM-êlIei p« 
fknfcrdt i(n|elnietkm,*de jnblUtian) C*»- 
étm-MmtffâiruM, Ckr^trtitmfttrtmmmt. A 
fMi mim tarMm. OIrrU ,Um,& kftr tiH ft. 
Jtfk mtfhûniimpU. t/Citrm Ki» ébigtmt. fii^ 
tnttwffMnu. if4M wMi gtméâ. Jtm Chrifm 
târt 4étimkrM. ftuiii Umtuit tUrUiS nrfttil. TL 
HCÎ^tJhbMd»rfMrit. Ckh/lt fii^imm. Vi 



mtritm. Dimi nMmmmilutm. Iptm^w.J^t 
i»nm»9Mmm. Ttrttm *inBp*8mt. Vrhjt- 
nfilmims. A^t mmUÊMâ. OrtmttféDmi- 
M, CetHMa HfonnneKiicnuclInpttkTC- 
tkiblc componéUen) Amlth^pKttmJitw. KtxU. 
It lUfft f rijÊam, Fé»ft IhgK* t^"*^ fra i mm 
«nVMmir* Trijhê tmm Aft0M. T«n le* OBcei 
Catien de U blMe Trim, dn {.SemmeiM, d« 
It TiantfamtiM de mAic Seignev , dl de le TU 
-iieiiM dcla&buaTktn, nefteclb peecMê- 
Un 4'Mnddt ke coM* k« ilM «Bdiidii iTm 






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Tj© DiJ/msthn :■• 
à Ummilm te (km M*ftnn,aiitc« ChtiM 
ÀaUtOn^inUtnimtMtMttmOdÊfiifir.Fét. 
■a»n0 Dtmimu fmtatrmtmi. Safitfimmi Dm 
mlfiritiÊrJUmtamm- rrviBtrntfttéfiiet.Jxfwi 
« Dtmlm, Dû fmtm Dmim. MM 4Mttm dlfi 
fbnM. Jllmitrmuttrm(i4iUMn. OàmÀiaimm «•■ 
m$ im Dmm i M. Stmrit tt DtÊmmu. SmIms a»lm 
fmfltnm. Oi fm/li mtétMiMr, Sotv fimSû f». 
mu. Qge rfitont-ftoM de ce* Kyrie g»*ei dn 
fcfln rokiwtellei i ai Aa DocMe* qu'on appelle le 
Kfite de* Ai^ t Ne p*nidp«MÛ.ii«w pu A 
""" "-i«j«.- ' ■ 



bdlM modaUdc 



> DMt El 
iMtceiditiMyffMt;*. tvcclnnNtgnKt, ft 
Imit Tcrièn, CMfrm i>MiHM f m^mm wvmw. 
J>*niM utdaS trMÎUMm. TTmthiiu mmtii. Di 
fnfiaiSf démtni. MtiMmfiuBKi FMamtjCIrntt 
—nfi^Mi/imiTwA Simx fmtnm f^rtâtm.Jajfm 
HM fmartéUtër. L*wii* Ltmtimt. ^mmftê 
t0MMrUlMtmlmm. TtgMtfm Jlf^J»rmm ihê. 
nu. tnmàftêt famfir & hâmiUi. BiMmt*irfi» 
«M Mmimi. fik t/l Sét*rJu. JitfitfMÙHiMr. 
QoelMnlepeat appcechn IralaMeM de conpolâ 
4MC3MKicMnoMcnl>talê(«lniinbleil riffi- 
M e^tUi Umht. rt^ftaOt SfMimt. Lmià 
SUb MMmMh Dkiiré Sum», Ne Aika-vo« 
f«i oKcrilc-cy voM bk lôtdcdctiëpnkbm, ée 

ri fat «Km TOM ntimw jdmei Aun k Pan- 
iLecOOT, mA bjnaae la *sis, chante k 
RoAANi^feT.CmliiaMM Omm. AkPn. 
Imi, reOilt rJkMKq^MadpM k4awc« 
«iCkMl. MikM <«fdaj. J(mMm, 0/-4fa. 
iiri> ti^ , c eaé kM ir ft w i w « n w kwrii— 



Ar/tr ChdHtGregmtn, ||f 

(hiriif) AflfjTn-xjIrr.qnrilnlcnliUen'eApai 
Moclii I PcM-oa pwiib npiimer la mirnteatdi 
JecciApicaBJnnMculéavec plaide imdcellê qM 
Mt la dtMKe mélodie de rotn eei diflrteni jlgiiKê 
JMt Ce ne (croit iamaii hit (îrenToaloitnpU- 
tliicf toot leidftti mnvcUletnqnecaulèdtmnot 
Mnn k Chuii de l'Estife • cat connne di(ènt nëà' 
kmnMiit plafinM binn Pcret , C<iirtmt h £ctb- tl. ir. 
fa mtmtii htmimm UlifioU , fnfiStfu rUrOét, JE," 

Util JmrtMirti gimtrtfu & firfti ftr tmfim- 
Aamln ni» »ifrrfiiiffdlt nuàmm rtm»i, mus 
iM^4 triftti & tmOMfr MàJmm , ^t ^ m. 
éiimm. EnBn pooi comble de ton* cet ElaM, «MiC 

.... t t'tttkSiM*^ 

reronEpoofe*'* 
cette «anfendechamcr, Mtdmm tMuaam SfU 
rkmt fiMiu ftr mimmi /h», Aagi^nm widM. 
M . yii^nfitm , méxim^ Ongt^m , ln/HiMk. 
PM timm kieathetit» celtbm dn Condkt 
dideiSS.Pcfei, ftp«iio«nk*eR«*tidema». 
I«l*c( dekicietice ftdehnd&n, rikpéei «■ 
pWmn PMtkidecn 0««a«e , fl eA vray de diM 
«M k ChaM GietofkH eft te pha MHhmbqw , 
k k pina canfMkiaUe de tn» kl diMKi Ecck. 

jfMfftfttattt. 

SlfMlâ ititia»rflâÊtl,afitmmmmi M t 



ETpriimefine qui «billiu^ dini l'Eglilê lôn El 



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OnEtMii^ 




PcrooiiiU fccob ft cu lo nu n. ^.ÀmtBk. 
SjitmM Jittmlim ^ FléftMaii|cnn, 
tMM OntimtfJUnmtmur, 



|laiEgf4J=i 




Pnfts qwcrunot, fcc 



Fùrmulâ Pnfhemnm. 






tÊÊÊÈ^ 



'M VirfwUm , pmmBmm tmm viipill t & il» 



mn^fUkk I fifKfittt fmmOa fmftUktr. vit im 



SiftnammlMtrrHmibfiw^iwhm, Mfttd 

Inafrar mt virgaU £rtBt tMmttmJt. 



Timit MMtm f >w- 

mpmtJm. 



**"• OndiaiiDcnino.acr. 

VWvw. fMi»fmtmw»4dJhm^mM>- 
'ffUàâ. ExmfUxrmO, 




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' .."f.^ 



Car» OnBtÊtrf 



BfilitU ri m a U , 



M Icnlt ^nwa Cm"! *> ■fi»*' 



TiBRFfyyiFTteg i^ 



H iM<b, cfmmtplÀ n^BlftniTi. 




ifiU liwiriiiMii mMfimpA 



t>ff^ Tt'fvUk 



»d, ku«-diUt illmtt Etmp(nitn> 



iUmd4mtdfawB*im. CMjmAftthnidttfmiaâ! 

EiU fiiMt frtfmimlitrM, m J»é wftfmtattr 
hftiûi—tt I M viiUrt (jf fa Eximft* âtmt, 
ditat illiat i hfitBitiitm wn fMitmi-om t§- 

£m f)iiAâf§^i 4*U*mtEltvétittHm, «*//«/«- 
i»mm , Hm tfi l**ii tUftnltm. 
hàiâi*Mtm fif»i M*»t w ftmimtm f mrwr 
fjlÀé if*'!^* "/■'•* nmléHam •Jfrr«*«i« / M^ 

JM^i^t Vf ftHftli*4 éithtmt, mufmm» 
ituMitr in fimi »n Im aii p hfttat» f^tir 

Nnté mfumJUdé MfUmii nnùatmir tm. 



Boni tic ^ faSm tcomionm I 



M ftflW MMriiCCMl 



mmmm 



I 



I 

1 



^Mif Or£iur§ 

Iftfrr Ajbfflt tvjHtm imfrttt4tmm\ m 
il txtmfUtt 



t§^ limêi 




illM- hfttUtmr wUmû éHHmii fMTwr 



amtmiêr» {mm iat /mnt ■■ m ftaa w ^jMn 
Jkfnifiriftti, te aau Inula cKtta rum : 

bé*. StdlMltiffU4mtmimt firvitmUf^ fi. 
f K tm ti tm, ramtmlm fimmtm f4mtimmjU*fi 

Di^«ttt9itftl^UtMttiikii,mMm6t. 
ld4mmt^mmmmttUtMr,mtmlMhnm,fidfrê- 
M<nw ifcwnr. (^ iffit AfhwtItMr mltim*. vrf 
Imntr. Mh mfJ tmitmr. 



éÊêfiSa»m,fà 



i?SSg 



liOs lU. • rnplia. L<«to U. 



S ' 'WI»A 



- ....... «TT^^ ^ ^^^T^ - 



fip*" 



UU ffriuJM, Oif^iMt ftnMmà AWmA 
Ums. rtfMttntfifmMm ùnmflii. 



Uai» EpAoU bc«l ruÀApoOaa 
•d CorilKhiM. U tfkOMt 



1^^ 



Slhvttèrjk f 






^ 



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là Tina. CWiCKc. 



fig'ékWà-tuÈltàli* Mfta 



CxtribaJuiU: Juodedin inil-lla Sgiatà. 
BstribaRnbciudaodcciinmiÙû Gfmi. 



Ml fi* ébwMUm ElnMtmrtf-Mtain^, m^a 

pt»4vtMêa-frmJtmia,fitmi0-iMtémStMt 
ftpmt Ktmrrtrt t^fhm. 

*tniffirm*é tnfi*au»mt Elt*tritm*m, fmrimi 
t». findm^n» m^UlMi^m diftrmm «m. 
fHf, tKtHétrnmrimtUtrtMlpaiiiétitmt. 

- i'pOiéEfijbU.&EvMitl^^édTmUm. 
■• xUpMit Efifitl,. mI rwni4m. 

J- MtèdMU jEmU £/J|M* « £«««{«/^. 

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K, 



?Mi«r Or£iuir§. 

tHOrOtb, GratA, élfi/SpHlmM 
MAm . te fimS^lhm» mmim* JcTii 
, iu «MiiM# AiMd, atimtmmm 
i fm M pmm fimflitittr i w/faf**' 
éifMffOmKttnrrtiam & adfir^ 

tfifiu, àrui mtdimm mbimé ft. 
trftrimik M Mvé»gtl^, tmjm lM> 



jMjgil^ FommU. 




l^r^^,^j^l.l(i.^^^^w ^mU. 



0^ bkmj Uf 




Qninima» bc«d qnl «idiatt mfaitin 

D«- If ac adodinnt iUoJ. 
9hgtUi, fMtnm JtftBméd virnUmfmtUdHrt 

M»JMl4ti*wisJfm,ammJU ngaUHur Im 
ynMMu iWNfnr urmimtmii,»d «mm ^mOmm ' 



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...^jsnaïap 



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ùiitmfÊM& 






ri«w Mfr« Ev*Mptii fimftr tft téitm et 
^idmm tttmrrm, ExtwfU fctU» 

Fadon ta- im t Ecce tncilU Do> mini : 
JM/fM /tW*iA màmitar te SrtOmm. 

rmit*f»ftii hHwml» SjmMi. ttfiiMHmtmê 

i^m wuMàtltntt. 

„i,MifMl. SUklurrtrJnhémJm,. 




CMua Ot^Héfîj 

d C m fhwt mm / t m é ukm 'l 







Ëî= fe^Si'î^r 



film», 

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RhIo. |nbc Donne bcMdJttfo Bcae- 
diaioM pcfpouâ bcnelfatiiMPita 



vtcntm* ^, Anoa 




OM «frtarj, 

•»»Mli«, '^J^-O^ii* «MteTÂ 7^ «M. 



«fâi; to «M)M« Ann t « .„. 

War/ âàtmammfmflklnr. «rfte «motm wltf- 



IttifinmmrtÊfmOfmrytfimtmmiiFU^ 






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rnim êâ mmm v mm m t rm mmt m tarm 



Officij Dh/mt. ^ i<y 



t, AnnritcnnDMmiiiu.dc emiTltnu. 
|i.SR4tn|teri« Ifliolt ntn. t. Endtrimnt 

i =gllE1333=^!J: |d bfc£i!Ë 

i. Enug«Uriftcid)u*a nn. DcaimuMb. 

vfcdiM. Amen. 
A n f m i ttmr tmmminr mt fi^, ( »^j£t 



V*£t IbcvA nof pcopccf nottMtBVBb 



m>mmmmmmm 



170 Ùmm OrMmrif 

KrritdcybBiChiflhdejlcat Kfiitck^lca. 

Std *Mtt$àmrâd Ntém DtmtpmHm. f. D» 
ntMmndI, & nrMnMmrttmmmu ii tT m ¥nfi. 
mU CmÊmtmtrMtmm. DoniiMi robifam, & 
OnÊiUm, mjhfrâ êd' Mifimi mum énBi 
fTêUrfatm, 



^^ 



s.qdvi*itfcn. 



gMllalcak 

OmmnmtffMmUfmmwàmkt tffkm 
ftêfrtnAtOrmkJh itmèmmar» 



Ai tm4ti&ntmmfirUUi» fMt aetkr. 



Ë 



{■•■■■WKula 



3i 



p. MU. 



0^ DivnB. 171 



t. Efo 4iii.«ce. 

fféimi De MobnJii, ^ Mibrcre, Simnm 
Mimnùrtaifik MJimTmUMfiritri. SiittoM. 
lUwri» D»mtu4m*m- t. Entge Ctuifts, ftc. 
tirmimMMT^t mifmfrm, 

jiirrim^m It^tîn M»Ttjr^Himm éd ftrmam 
LtOiammm, Diimi» ammumrmtVtrftmU C fmmr 
mrMitmmm, fi. PrctioA, Dcu intdJuMhit». 
Ghri* Pkrri. HjtUvm. strtltfml rt^t^ fwi 
fitm Tf» Iwftritri. Ormi», Bfm*MBht it 
LOUt^dfrééèamftrmm. fijhi t.Aifau&ÊM, 
m rtrfaOi Cmm^ SU itadtmfaiimr, 

#.BcMdlcitc.^I>«o^Daninntn«lMiNdicit,ftCh 

MTtn t tm . Si*tmm,&N»i>mmrtMtlitmrm 

flfntt. finu|eChriftc, 6ec. Er4dCimfltt*rt»m 

tiitmtm i t n m m ar i.hA^ata^tmmiBiramttcii. 

BenediCMBUt Domino, 

ét^p-tj^rm» nt AHtm mmmm. Muttrm 
mmtmBwm, m htifl^wHmr, 



P * ■ Il l îTkl un >^< y»l 



Ht 



I 



CâMtmOftàitrif 



DMMhdidftiMbii. DiviBonMiUnB, te. 
Im ofiU Difimlhnm. 

«.Apwnlit- fcri. *.EfM DomùN 



tnimM m- lain. 

rtm, tf- i^. AimUtI Toctm , <i r*/^^» & £m. 
it«. ^r f . El M nof Indncu a Mwrff m VitStuli 
t^MMurm Jwfté éi Ctmmrm»rmi*mn tUrtOt 
ai DtmèmêÊttm , tfélml 0< prafondiii l.»aU 
uiirM mea DontMBi DnniaM robifconi) <^ 
OniritM/ fTMtrfmrm, 

13=1^ 







>7) 

TA ACTATV S 
V* MoikcÊMnéiPfiJMoi <)r CMfir^ 

GrtgmMt Tonùt. 

yjMMW D cmu (t< Catiticb & Pralmji un- 
âf^jB unJii Rcgntu inftinicodii , A<aù Cmt 
£BxjB ditlingucnda. Primant laliut cil 
V»wV£ Xnâuf NMuum in codem Tonot 
ft om Jum Mttm cft Variatia Cantà* in Intocik- 
riottbai, Mediariomb*), & Tcrminidanibai To- 
aecwn. Tradot anidtni Notaram rcpcriRir in 
emnlbai Tanù , rdliect ab Intonaiionc ad Mc- 
diatimcnii Se i Medittione ad Tenntnadoncm ; 
CantAi aotem Variatio diScn in lÙMlii Tonit. 
Hoc poli» attcBdendnm ^M fjilblNtSebcant cA 
loi^ , qnc bit*». 

Dt Trédu Notânm, 

t. <};wlibctdiA(oKMCMrjUab«raljtkfitbrem 
in TnoirNauniint nifi (m. ipfiiu TraAùi nUma 
Nou , «Ht tonc lit longa. Exempla ftfcrics in 
Tabnll Tonoram ioln , Mineiii ». ij, il 14. 
15. »?. it. ay. 

a. Dir]rlbba;diâiMt{aMn(]gcfrl'*tM6cbmiit 
t mh pnoi CjtUb» fil jnfiuine lo^ , vd fit 
~ "' "* ta, ttlonga 



• ^— ■kima TnOfla NoWt fit knga. Es«>^. ê. 7. 



«•■■t. it> a*t 

Milonga, MWf t Mfc w ^t a ; fitwopmfliiM 
■tbfcvlat ttÉtfcnwnBM fil lo^^ ^ msnt Nfrcf^ 









174 TfâHâtm it ffdmtii â : 

ta. t- <• f. 9- >o> n. 14. ij. 17.' 
t O^ pMJMt vd drdtn «bicmnhn fai 
I , CipCniHi , Tcr&olli . Ondonibn^ 



Di yéridtiemt Cutilr. 

i. QBslibet iiûio notuCrM» la Ttdatiaat 
Cuiai vnlgo fit loagt. Ei, tt. ta. lo. 14. 
i. DirjrlliIwdiaioaiiatiMjMrjilbbtfitknp, 



). PoUlVtUbx 



paonhinw kopi n 



t ionp, encra |rtoM auntiui Rqmrîi: fU 

tùw Dt btevii { etiun inDUjUabit ) antc no- 
Mj/lbbunlnfhw Mediadoaifft TcmiiiMthtiii 
■OM«n{Bana«cmtBN<iBU moMfjihbu iU- 
icn poficu. E& 7. tt. If. 17, II, 19. te. 

4. PalitytUbc diAInriipàuldiM bmli fe> 
■MMtbfcvii,amep«nnldiBa*cfbfil hmatCC- 
It: Aé iMmltloMa 
MiJfa ricmi Bc Ta- 
pnfci ^a tt fl— i wm f 
Noui fcni fil wnrii' Ex. 5. is. 11. it. rj. 
14. 11. ta. if. 

f. relUyiUbs «tUHodi, «ml pmdriml 
kM.qocUbct r^tteb» fil lan|iipkuMk«bctt 
Vmu: yocàHt cumb i ann eoncn vaakm 
kniMi.K AnMr bnvb. Bicwit vUa lnfr> in 
nATiwo.fcbhliTr ' " " " 
ftémtmnm. & «« 

«. OUmNmMi 

iHfitlHMMteb 

( QMpiriNr«Ui 

f^ËM OfidJ DbW. ) 



TABULA TONORUM. 
PRIMI TONI. 

I. X/IxbDooiiiMi Domino mce; ..Scdoâ 



«bi-tada 



m T ^i. l inli. rJTM TfnoAMiMNt, 

dextfiiBN-li. }. ScdcidntriinM'îi. 

4.Scit idottriime-it. 5. Stde ticitmmcit. 

«.DomcponminiaucM tBw; 7.S r ib tli i» 

■ Akwr» HW iillii 

^— — ■ ^ T^ 1^ Il ff ■■■■—— —..—y 
pMnn CM- niB, t.DMnini pnMn n^ 
fif «MM laMMMMf rfthti Ftfiiwmmfi Iml 



nWMMW 



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tfM ^ M*Smi» imfwfit frM Tê»i. ) Km, 
Mnfmu Jhnrfi Ttmimmimmjmpdi, Amti^ 

la rv/ifmi 7Va«. 



XxhkptttHmffimtT^m éim éi . 

t^i^HffUmt^Mlmnméai»mi»mUHml 
\nvit M^ ^ MtMmimmt ( <f fêMÛm 
>mii t ) fMMff MMM ngftimtm «1 jGmn 

ti fiiéhmm f wMHt m, fêpumiMr 9«rié Tir. 
wt»mi$m EnmfU, 







n> fMM^ trmift n» iÊm. J Êpm ftmë éitml 



II. a«8 Ldfcnm |«Ml 0.ti>|Mift. 



frfMirMmmr. 



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^ ^3<r||3 ffi»:y g =,:irôg^Ë 



t.wAncmMckld-fRlMlt. i4.UdcldfdGch. 

H. te canai- vit ne. iC. & cxuJi. vk ne 

n.UtxwiMt DM. il.loqocbariMcan&n. 

il.pucndttc ko.pKtmJcM. it.acSpiri. 

toi lu-fta. >a.«E Splrkni fin-Oa i).fc 







tf.MtAfftJadci 



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nfcdu r— • fw ii.'. 



tt jDriiilUcbarafnidIittrairttm.&c 



IM ' Jacob. lyXt pnccAMccrara cO. 



ll|<iai DoniMttfofavMi 
r^irMiEjt^iftmtt il. i>.'<r«» ) fc y »awi 

Mtmftk 10. i|< H' «Mm élHttiiftmd- 
««U If. i«. 17. Aim0^a^jmmi 



JMMUt If. 1<. J 






Téhdt Tttiumm: '< t-^r 

A Ejnmfli tf. tf- jo. WMmi ^UHMJi mm 

Cm^tm mtJ», fnftnitmt ftrvMi , M«yr«. 
èm t^t di aljt Extmflù, m tMtrm f«rÂm è» 
nBfmi Tttm. 



Ma|ni-fic*t : iniiiM roc» Dominum. 



Et CI- ukavit Spiikut owiu : in Dao ft- 



OmluàtU _ 

miéiflki M f triait, iau'mmi* ft frtmTrmAt 

tMtèm, éinSi tiltnnam, f«f tf- WMMsMimr 



Ftrfm Cmnifrum Migtitlîctt & 
iftai , frt fmUlim innHtr eaalMtar tm 
Omluàt i i & DmflitAm Wtfii. StiiK Oftit Ji- 



M il Mwri fWTM KtpitM f¥^irtftm 
mffilmi, FiMlt mum m mttmmr *i AwHfhmm, 

!C it r f ru n I t o n i. 



I- 

I 



TééuUTomtmtt 
MtiUHimm &fmm Exemfté. 

iSiflnt DnMi lMini(iim( 



Glo.ik Pa-til. Btndic- RuDooéMi 
jPt-niir-nïli eiU nliiil^iM.ftriu 






: awdfk RM, fMHi JcM. DooiiM, 
Ik^- ficMt MMM ON» Dombiam. 



Smi VDca- bcm: Pcrrif- ccn. 
ll-k. 



t<nl< nvk Sp(-ritMnt>w: la Dco 



i-jRrf TERTIITONI. 

JJlxkDanfaniDaasiimmn; Sede t dcS' '' 







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•^C* I IH.l.fc.lll«»>. 



I •. Vimliit.}h.pUmt 



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TéMà 




TJmUTmtnàil 






OyARTl TONI. 

iJhîtDeininuDaminonita: Scde ^ita.- 



ftco|im«iaiaM:I><niMUCxSle(it ^m[!^ 



tritOK- If. C. tt.O.U. t.C. 



•. n. o. H- t. 



n. 0. B. a. I. 



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Doninb cogmnfti bmi ei Sioa: 
OmûimDuUi . liid(enn |e> anl M. 




T^tUâ TtHênim* itj 

«tSfltittit ùalka, Mt|al- fictti un kàkma ftoA te. ordincnMrfcU. 



tl<i.iknk IfUiaacul "^^^ Midi. Ml|«lbi>i te Mi|iii.|i<iti ^ 

WMU I MW ito. M. It mltt- Etn-nkaTJt TfiriRuiiMiii; in DmIUb. 



QiriNTI TONI. 



SEXTI TONI 



L/IxJtOnaiiiMtDanilna BNo: Scde i 4«- 




ssf? Kl 



mlttmfmnfifwmltm, Migal-fiatt aaiat an De-aniMm. 



'^■■^•WWBUliPi 



: DoniDomeo! S«^ 1 ie*- 

!i!giq asiiia e|'. 

>.v.È.t. C.I. e.B. «.t. 
Da-nJK. Dcntodicx 



■E~J M jxrfinri 



iïdc mihiimgmqalpatCMeA: Alùlfini 

Toolmii: OijoM utile. Glo* ik. 

OCTAVI TONI. 







««aaUakUUali, 






tU tmtrumi 
ii.M.'LI|i ^:±:i3 

'piiltwmcui in Dm Tah- 



• TcMii Tmwwm, 



H7 



CoifKSttlcM. Ua-|aifK«: tninu 

|Ë ga!;i;£yf»ii'-gg! i»:?;!i!-j* 

mca DcMnfanflT'Et ex- uliavit rjMtiMi 

gnfcg ipmJt.-MHE:«:g:içi:^t^-at!J 






If T«Mli T tmnm . 

iKilam |fMl M. iNdlwMB |<ad m. 








CANTUS ECCLESIASTlCr. 

Lir ANl JE 

^de SttnSijjimo Sacrdmento. 



1^ Ë^îili??:™ 

UaSE TiM cleyroa. CiiiiAack- 

iTon, Kym'^ «h- ITml ChriAtu- 
Jinei.Chrl-Aenui-AaGi. Pwf^ccc 



^' 



190 IJtânUdtSâal^pmtSi 

Spirinu GmOcDc-iii rai. SinâaTrU- 

O-to ddccndUb, Dcn tbrem&ni 



tt S*l*>>tM> FnBenMmtleAanun, 



tinuBgcnninuicnBiBHiTir- giiK*. 




Mn&r«iUb«, iaploiH iC> a. 



titâi^Jk SânBffimo Sâtfâminto. 191 



iifffiijiiië 



HuanabCcan-tom, Menwcît — 

-... ^ ■■tta: — • — -^ — _— 

nfaUiam D«-i, PiBùrnper- fiibAinn- 
»■ Ut* Ter>baiDa 



UtulDM-bîi, boAit boflift rainai, 
Calix bcdcill- ftio- mt> mUle-dam 



i- éà, P»c«ir«m ac Tconabik 




vliit Jt 4nMaf * WMn > 






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t9% litéuiâùSéU^B(pmSm 

^^ — -* 

qoo à pccadf pneftcfunar ^ ^Mpmdm 
fiipn oamb niift* calnni» faartdfll* 



nm Paflfe- ob 



^la-do» 



liît 



DaimacfuifcMdmtcnaiccodcm omnm phiil. 
m- dincn, Mfnooik pwipmm i 



4fM 



ÛÊ^Mam «flocA- 



IHK^W ÏBw ^^I^B^HH^Ww^WW ^^ 



Lhmâde SâMâiffm» Séentmeitt»» ïfi 

vificam St- cfamco-cmn» Paiiii oonii* 

pocea- da Vcr-bi caio fii- Ûiii»iiicni* 

en- tam Acrifictum » CibatAc convi*Ta, 

— X 



DttldffimanicoiivtTlom coi tffiftiinf 
Angeti mmiftfiiwta, Sacramcn-tiuii 
picifttit» yifiait«n chflriitdtt ptfc* 






tnMkabluio, Ipiitaa. lit M- 

g:i i |>.£i a^!j:!J _ 






fiun fiiich* fdRif 

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LitaùiitSÉHlHffmttcrÀmm: 
innfUBn glorici AyiMtDci, 

T*-*«r*-ii II y • -."^H 



lo-nrinc. AgrmiIM, ^ritoUU Hcctta 
A-dl, Bxudi iwtDo-Bilno. A|iMtD«i> 
li talUt pccota manë, mUcn- niwbli. 

LITJNlM 



UsâmtdtStulBffiiÊûNomHfJt/k lyj 

Uia, Krrii" ik- Uin. Iili u. 
diiiM, Je . Tu CMD. di dot. Pittrdccc- 
lli De- ni, mireit- it't». bii. TiU 

Spiritot Ande Dt>iu, StnOi Triai- 

tu nnwDc-u, |rfn Fiti Dd' 



isîjîïi 



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Ti- il, >J >tliir|J<aloth.tiii, Ii& 



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JdBlLctglo4ia. 



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Jafa MtAOU, yb 






bcaimtiSmt, Kv midi fc 






/JtitiUlkSmUiJitmoNtmiMtli/kttj 

}cffl Dm a», ftcr, )clîi nSofiam 
no-Anm, ]tfn Pimptapcnna. Jdîi 

)clîilnr»'fa> ]cfa ( 




Idib 
Idk vf« ft vit* m- Ifap , JcA |M- 






|<AMtetEn>|<laC 



Mil kalmb Um.irim, 



^mfmmmmmgi 



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lUâHÙÊ Je B. f^irpM Mmd. 



le- ifini, Kjrrii «le- ifaa. Chrifte 
aa<diiiM,ClirifU»w<liDiN. Pttn^cc- 
litDe-tu, mircn- n ne-bit. FiU Rc 



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detnptormuiJiDc-iit. i^tie- leno-l 



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Sfirinuinâf Oi-h , nl(îtc> n n^Wt. 



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MO IjtmuttB.Virp—Mirit. 

SioâaDfi gc-lWt, an ptoii»liil^ 



IUbU il B. Virt/m XUtU. loi 




MuatCUai, « fi.r»bli. Miin* 
~ « gn-tis. on pmnoJiii. M<Mc 



pnriC. fioM, «fa proiw.Ui. Uucrot 
dt fira «nffOBBUfc Uuainio- 

^ h.», M. 

iBi. tOa, IbntiWia- ki>" , 



SHSïiff 



lom/nai. de. SedctApita- tk. 






K, Turpriw. 
a- 1>, VulMaon. Ue. VuImC 



-fSy JliXE^ 



■M^tTodo- lit. Ro& nr-iba, 




I>»nnm>iH, Fsicrii u- 



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Jâimt es- fi» Stdb iMttiid. m, 

Saloiiofinno-nmi» Refùglimpcccato mm. 

CénToktfit tffliao- ram » Aaxffiom Chci. 

-Rcgint PauUfdui- ton t R.cgiMpfapl>e< 
-«à-- rtm, RegliuApoftafc»-' rtm, Refin» 






aofcitDo-niM. AKiniDci.^itallUpecca. 






ttnmi^, Enu-diim Do-mine. Agims 
Dct»qttttollispeccttiiiKiii.di»iiiircit. le 
M-bii.Chiiaeni.diiiot»CliriA« cmMinoi. 



Umm It B. F. MmtU, 

&• CéMut. 

gk£i±:lat:«ff-:-5.-firx=rr3 

Yrie de- ffan» Chridce» ' 
-. Jgrfoii, Krric dcxfai. Chriflt 



M. «MMpCliriataMidi Mt. hm éê 



AgmMlM»4Ék«èibpcccMMh^» FtM 






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104 Utâéd de B, r. Mâriâ, 

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Maria, «» pcoMUi. £«1* Doi 



DoniiiiOi 



UiéUêU di B. y. Marié, 



Yite de' Ifim, Cliiiftcc- 



M. di MM,Chfi-ft«nM-<ilMI. PiMt 



et aeKtDe«M, nircfcn i»- Ut. Fili 

RiAtinÉNimumMlinr m, mi Sptrint . 
.|£.p — •— -^ '-^»— ^«^ 

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liimitf ii B. V, Méuié^ 






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De-ot, Sanéb Mari- •» o* n pro 

00- bit. StnAa Dct ge. 
Sanéb VirgoVir-ginomt Mater Chri«(li* 
Mater ^iWiur gra* tl«» Mater pariC 
ISma» Mater caftif*fima. Mater in- 
te» Mater intemen* ta; Mater 



— -^^ 



bOit, Mater aimifa-liilif, Mater 



Cieato- é$9 Mater Salvai». fit, Tirg» 



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ftotf XiMM di B. K Aiériéù 



VIrgo pntdican^» Viftopo.ttiii,Vir|o 



ck-iBois, Virga Me- lU • Spccnlnm 
JvIU. de» Scici rapîcn. lis» Cânfa 
Mftm Utti- de, ▼âi^itta»- le. 



VulMiori^ bile. Vuinfigiie deto- 






H- ^ici, Twrit «Inv 



liMM ij!r B. y. MâfUé xfyj 

fiimo-ran, Refiigimi pcccaio». timi» 
Con&licris tfflido. mm, Aailllnm 
Chri-ftiftiio* ran» Regînâ Angcb* moit 
R€gim F»- tfiaicht^ mm» Rcglnt Fid- 



phccft. mm » R^m Apoftob« imn» 
Rcgl* mMtr»t]rtiim*RcgiBâ CoolcniiKraB^ 
Rcfi* mViff*|îilini^R6gliit&ii*MnMl 



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tUMiU ié B* f^* MmU, 

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csUiDt-iif» nUcfcn nobli. Stnât 
ttiii- a» o- iipfd nobîi. Sanda Dci 

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gcnicrii. M«-tcffChri-(li« Fs-dchtar-au 

"TLJNCTVS DOLORIS^ 
di 9. Virgni MàtU. 

^MM Tahar mater doloio- Ta» Jmca 
Ctiftmlacbiympft» Dumpciiilebatfi* Imt. 



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ÎTyfai, KfHé^ ^M^ Chii-to 






QswtilAUârafli. Ai Pak tfb 

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Qo« mirffcbat «c adebat. Et tfcmcbtt orni 
vidcto Naii pœnas indyti. ^. .-. 

Siildl homo qui non ilei«t, ChnOi mfttrciii 
eretlnunto rupplictol 
Qiû^poirec nonconcfUbrii Plimniitfcmcoii. 

«hi)%n Dolcnccm ctiiii filiol 

Propccainifu«gcmiiVidit JcMiiii »n connai- 
lif • Et flâgelli» rnbaitom. . 

Vidit faum dwlccm «wm » Moiteiitem d«lo- 
lâtum, Dom cniiStfpiriMm* , 

EU OMtcr foui amoiii , Me rcndMftm detorUp 
Pac tic tcciim logcam. #*k-uw-ii 

Fac ttC anieat cor mewn , iDimândo Chnmni 
Dcvm, Ut fibi complaccâm- 

Sanélft Mater lAud agai, CraciU fige pleget 
Cordl meo valide* ^ 

TttI nati vulneriti , Tarn dignad p» »e piOt 

Pttnai mccQiii dWWe. .^ É_t^_ 

Fac me Tcre tecmn fcwt Cwclliiocflnwiefe, 

Dopec ego TÎiero. ,.■ ^ .,, |._,^ 

Jttita craccm teami fiaie, TelibeBitrrociiie, 

In planâa ddidero. ...... i». 

Viigo Tirgimm prcdara» MM Je» non lii 
•8Mfi» Fic me cecomplang^ * 

. FaentpoRemChiiWmoiicmf PâBoma^ 

fiNtcm» le phtu rccokfe. i_i^j 

Fac me pli?f fdncmi» Cnce Imo incbci^ 

h amotcm nnl* > « 

IiiflammamaticeenToi» Ptttetis|ofa 4c: 

CmAtlnaicHIdl. 



Plânâmdolorti,(UB.F.M4rU. m 

Fac me cmcc cuftodiri , Morte CkriAi pnc^ 
mamri» Conlbvcri gratta. 

Quandocorpui morictur» Fac ut anim«doneCQC 
Patidlfi gloria« 

f •Toamipfiiuaniimm dolorit gladiutpermnfivit. 
|i. Ut revelcntur ex moltts cordihus cogitationcs. 



%/4iÊripboM B. Marid Firgink^ 



Lma Rcdcm«ptoriima-teri Que 
perri* czli poruma-ms» EtAellama- 
fis» fiiccuff-recadenti» furgere qai carat 
po*pvlo: Toqucgemii- M» natom 



BUMn^e y imm fâncram gemio» rem » 



«▼ii|0fdili àc ioAeritt • GabriS-liab»* 



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If finiiciitU*ldl ave,Pccctto»fuoi mi-rçfe*f«. 



VeRcgi.M oelo^ram» Atc Do* 



mina Ang^lo- mm* Stlfc i 



w* 



it,Ex9itiiinii-4olw«ftor«ti. GavdeTirgo, 



glorio* Asfnpitoniictrpcdo- 6: Vik&irti. 

deëeco-n, fitpioao-UtCluifliiaicio-fa. 
EgtM odl lMi.ft»aIltltt. jft. 



tt potim^iLMiky»» 



lÉGMMkfiM 4Uik»iMi« fij'^ 



jtntipboMn.Mmtyirginii. &t| 

OnpionoUiDc-mn, «U Ida. yt. 



AWe Rcgi-na, Macermircfîcor. die : 



vîta, dttice. 4oi 9c fpct noftra fal. ve. Ad tt 
damê-moi cxolei fili) £. Tvtaatcfiir* 
pif«-iiiiM«gcmemei a: ien-tes inliaêiachrf. 



BMn»iiral.|e. EU eigoAd^ocau ne-ftn» 
iiloitK*otmiarlcoc.dct«cttlM tdnot 



coam^. Eclefiniibt.iie^./bm fntAm 



Mim-i»ttûUipoftlMcciiInn oOcnUk 



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ii4 jMtfhmu B. Mtn* f^trgbtk: 

Ock-ncM,* pi- •• t^akteViitoMui. a. 

g^l3SigS(^gSl33g3<a&82)a5lQS^fl 

JD SJLVTBM» 

jMtfboMâ di SâMSifpmù SâermtntOt 



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QoaiB magmfica- a fitac 



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ope» to- a Do-fliinel 



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fiitofiuK cogit»»' cio* netto-c* Att«a« 
Attmi-nbilia qvclii- diOt-ai ci* 



cd,flMfcc<Um>p>Brfto>g«r:fqii- te, te fkk* 



D«2l fiiptffl^Boi li»-i 



'Jlmiph.Jk SânSiffmo Sécrâmento. uf 



gcb. rtnn mtiidacfl-vtt ko-moyCibariâ 'ni* 
Ht in «kmdan- tia. Gn^ttis De-o fiiper 



inciiirrâ- bili 4o« no c* |ai. 
t. Panem de otlo pnrftitiOi ôi. 
i|c. Omne dclcâamentaiii in fc habentem* 



iphtmâ B. Mmt Virgimi. 



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\^ Ma>ccr amamîf- fima! dicob- 



ficfo»qiiodMa>ceriKKftnfis,«c bcnenoUs 



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ftptolptcttt. ft •. ite.«4bmTi.nl 



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3 6105 042 5S7 169 



M 735 



MllSIC UBRARY 

«TAWEORD UNIVFRMTY lIMAn'H 



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STANFORD. CALIFORNIA 

94505 



OCT 1 f 1983
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Full text of "Dissertation sur le chant gregorien"

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