Skip to main content

Full text of "Illustration des oeuvres complètes de Victor Hugo"

See other formats


i  !>  h  fàîv'r    1?)')1  T'P- 

!       I      .< :      /  ■■     :  I      /     1     >    X        .'■        >      ' 


i     i.!:0     P.ïvRRONET 


ru 


)  s  : 

V'  5 
5MRS 


LES    MISÉRABLES 


M.  Leblanc  et  sa  fille  venaient  de  quitter  leur  banc,  la 
lille  avait  pris  le  bras  du  père,  et  tous  deux  se  dirigeaient 
lentement  vers  le  milieu  de  l'allée  où  était  Marius.  Marins 
ferma  son  livre 


Troisième  partie.  —  Marius. 

Livre   sixième.  I.a   conjonction  de  deux  étoiles. 
—  Chapitre  VI.  l'ait  prisonnier. 


83JaAHà8ÏM    «aj 


.  •  il 


i 


* 


LES   MISÉRABLES 


Fauchelevent  prit  la  pelle  et  Jean  Valjcan  la  pioche,  ei 
tous  deux  firent  l'enterrement  de  la  bière  vide. 


Deuxième  partie.  —  Cosette. 

Livre  huitième.  Les  cimetières  prennent  ce 
qu'on  leur  donne.— Chapitre VII.  Où  l'on  trouvera 
l'origim  du  mot  :  ne  pas  perdre  lu  carte. 


■ 


Digitized  bythe  Internet  Archive 

in  2010  with  funding  from 

University  of  Ottawa 


http://www.archive.org/details/illustrationdeso03flam 


LES    MISÉRABLES 


En  même  temps  il  tendit  son  bras  et  posa  sur  la  chair  nue 
le  ciseau  qu'il  tenait  dans  sa  main  parle  manche  de  bois. 


Troisième  partie.  —  Marias. 

Livre  huitième.  Le  Mauvais  p««we.— Chapitre 
XX.  /.*■  Guet-apens. 


LES   MISÉRABLES 


Voici  eu  qu'elle  lut 


Quatrième  partie.  —   l'Idylle  rue  Plumet  et  i li- 

popée  rue  Saint-Denis. 

Livre  cinquième.  Dont  la  fin  ne  ressemble  pas 
au  commencement.  —  Chapitre  III.  Enrichies  des 
commentaires  de  Toussaint. 


S      IMvM 

M          r 

B^vtar 

i     * 

'«Jf 

. 


LES  MISÉRABLES 


Colle-toi  ca  (huis  le  lusil 


Quatrième  partie.  —    L'Idylle  rue  Plumet  et  l'É- 
popée rue  Saint-Denis. 
Livre  sixième.  Ce  petit   Gavroche.   —    Chapitre 

II.  Où  le  petit  Gavroche  tire  parti  de  Napoléon  le 

Grand 


LES   MISÉRABLES 


Gavroche  n'était  tombé  que  pour  se  redresser;  il  resta 
assis  sur  son  séant,  un  long  filet  de  sang  rayait  son  visage", 
il  éleva  ses  deux  bras  en  l'air,  regarda  du  côté  d'où  était 
venu  le  coup,  et  se  mit  à  chanter  : 


Je  suis  tombé  par  terre. 
C'est  la  faute  à  Voltaire, 
Le  nez  dans  le  ruisseau. 
C'est  la  faute  à  


Cinquième  partie    ■ —  Jean   Valjea/i. 

Livre  premier,  La  guerre  entre  quatre  mûri 
Chapitre  XV.  Gavroche  dehors. 


■ 


LES   MISÉRABLES 


Un  moment  après,  une  ligure  haute  et  noire,  que  de  loin 
quelque  passant  attardé  eût  pu  prendre  pour  un  fantôme, 
apparut  debout  sur  le  parapet,  se  courba  vers  la  Seine,  puis 
se  redressa,  et  tomba  droite  dans  les  ténèbres;... 


Cinquième  partie.  —  Jean   Valjeuit 
Livre  quatrième,  laver l  déraillé. 


ipbuj) 


LES  TRAVAILLEURS  DE  LA  MER 


Elle  s'arrêta ,  parut  le  considérer  un  moment ,  puis  se 
baissa,  et  l'homme  crut  voir  qu'elle  écrivait  avec  son  doigt 
quelque  chose  sur  la  neige. 


Première  partie.  —  Sieur  Clubin. 

Livre  premier.  De  quoi  se  compose  une  mau- 
vaise réputation.  —  Chapitre  I'1.  Vu  mot  écrit 
sur  une  page  blanche 


;KJl/j  AJ    (<l  MU'dJilXJ  /!  il  , 


- 


■ 


LES  TRAVAILLEURS  DE  LA  MER 


La  Durande,  engagée  dans  les  rochers,  mêlait  sa  sil- 
houette à  la  leur,  se  confondait  avec  leur  dentelure  où  elle 
n'était  qu'un  linéament  de  plus,... 


Première  partie. — Sieur  Clubin. 

Livre  sixième.  Le  timonier  ivre  et  le  capitaine 
sobre.  —  Chapitre  VII.  L'inattendu  intervient. 


H3M  aj  aa  gffuajJL  eaj 


LES  TRAVAILLEURS  DE  LA  MER 


Elle  le  tenait. 

Il  était  la  mouche  de  cette  araignée. 

Gilliatt  était  dans  l'eau  jusqu'à  la  ceinture,  les  pieds  cris- 
pés sur  la  rondeur  des  galets  glissants,  le  bras  étreint  et 
assujetti  par  les  enroulements  plats  des  courroies  de  la 
pieuvre,  et  le  torse  disparaissant  presque  sous  les  replis  et 
les  croisements  de  ce  bandage  horrible. 


Deuxième  partie.  —  Gilliatt  le  malin. 

Livre  quatrième.  Les  douilles  fonds  de  l'obs- 
tacle. —  Chapitre  III.  Autre  forme  du  combat 
dans  le  gouffre. 


MM  AJ  :i(l  gflOaJJlAVAflT  83J 


ivu  ii(| 


\nAraon    «\>    a«no\    ■  ■ 


I