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Full text of "Issé | pastorale heroique | représentée"

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A LA REGLE DOR.. 


OIVIN, Marchand rüë Saint Honoré, à la 

Regle d’ De prés la ruë de la Lingerie: Vend 
tous les Opera : M' de Lully, & tous les Opera 
modernes, imprimez, gravez ou écrits à la main; Et 
toutes Lépee de pans & de Papiers reglez. 


Il vend auf les plus beaux bite des Opera de 
M'de Lully,en deux Volamesin-folio, écrits à lamain. 


Il achette les V eux Opera. 
NERFEIERSESNNEEENNTNINNE di 


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PARTITION GENÉRALE. 


M DCC XXI V. 


(2) 


AVIS DE LIMPRIMEUR 
fer cette Edition. 


ES defiré depuis plufieurs années de pouvoir 
donner au Public, les Opera qu'il a marquez au 
bon com comme celuy-cy , dans la forme que je 
luy préfente cette nouvelle Edition: 

Elle ne differe de la précédente qué par l'aus- 
mentation des Parties, dont la jonction forme la 
Partition generale, fuivant le Plan que nous en à laifé 
Monfieur de Lully. 

On fçait que la premiere Edition d'Isse’ ke faite 
en trois Actes, l'An 1697. pour les Noter de Monfrigneur 
le Duc © Madame la Duchefe de Bourgogne ; Que la 
feconde en cinq Ates , a été donnée l'An 1708. 
Et que les Paroles de cette Piece font de Monfieur 
de la Motte , de l'Academie Françoie. 

Si le Public que je cherche à contenter , eft fatis- 
fait de l'exactitude de cette Édition, je feray de mon 
mieux pour donner de même les autres Opera, 
marquez comme je l'ay dit, lorfqu'ils feront dans le 
cas de réimpreffion. 


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ne: 
F, 
PASTORALE HEROIQUE, 


REPRÉSENTÉE 
DEVANT SA MAIESTEÉ 


- à Trianon, le 17. Decembre 1697. 
PAR L'ACADEMIE ROYALE DE MUSIQUE: 
MISE EN MUSIQUE 


Par Monfieur DESTOUCHES, Sur-Intendant 
de la Mufique du Roy , & Infpecteur general 
de fon Academie de Mufique. 


PARTATION GENERALE 


ADARNS DE LIMPRIMERIE 


De Jean-BarrisreCHrisropne BALLARD , Seul Imprimeur du Roy 
pour la Mufique , & Noteur de la Chapelle de Sa Majelté. 


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PP DNELC x XIV 
AVEC PRIVILEGE DV ROT. 


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La bonté avec laquelle VOTRE MAJESTE 4 déja entendu une partie 
de cet Ouvrage , luy à fait une reputation bien au-defus de mes cfperances. 
Je ne fçay fi le Prologue € la derniere Fefle que j'y ay ajouteX par fes Ordres 
meriteront le même fort. Je ne préfume point afle? de moy pour ofér l'efperer ; 
MAIS saw moins puis-je afférer V. M. que j'y ay travaillé avec plus de ele 
€ d'application qu'a tout le reffe , Ji ce n'eff avec plus de fuccez. Mon genie 
S'eff excité par les confiderations les plus nobles ; j'ay forgé combien 1l me 
Jeroit glorieux de contribuer en quelque chofe à la Feffe dn monde la plus magni- 
fan, © la plus digne d'un grand Roy. Enfin, SIRE , j'4y todjours cu 
prefents les féuls motifs qui foient capables de me toucher l'honneur de plaire à 
V. M. & la gloire de la délaffer uelquefois des [erieufès occupations que luy 
donne le foin de rendre fes Peuples on La même ardeur qui m'avoir fait 
confacrer ma vie à [on férvice dès mes Prérnieres années, m'a encore animé dans 
cet Ouvrage. Si j'ay em le bonheur d'y réülfir, ce me [era une nouveile raifon 
dé! mettre mes [oins à perfectionner un talent que je voue à V. M. e5 qui ne 
ef cher que par les occafions qu'il me donne de luy prowver mon zele. Je 

fuis avec le plus profond refpe& x le dévouement le plus entier. 


SIRE, 
DE VOSTRE MAJESTE:. 


Le tres-humble & tres-obeïffant & tres-fidel 


Serviteur & Sujet, DES TOUCHES. 
Le 17. Decembre 1697. 


AIRS 


=] UVvERTURE; 

Air pour les Hefperides , Rondeau. 
Defcente de Jupiter » | 
Premier Air; pour les Peuples, 
Premier Menuet. 

Deuxiéme Meruer. 
Deuxiéme Air, pout les Peuples, 
Air de Trompettes, 


PREMIER 
Prélude , 
Ritournelle ; Trio de Flates. 
Marche, 
Premier Air, 
Deuxiéme Air, 
Air tendre , Trio d'Haut-bois, 
Pañepied , Rondeau. 
DEVXIEME 
Ritournelle , Trie. 4e 
Marche pour des Bergers, 
Premier Air , pour des Bergers, Rondes. 
Deuxiéme Air, Rondean d Haut-bois. 
Gigue, . 
Premier Rigaudon, 
Deuxiéme Rigaudon, 


Ne TR OL SAIVE M 

Re > Ritournelle , Trio. 

1 Prélude. 
Marche pour les Miniftres de Dodone, 
Deuxiéme Prélude, 

? Prélude , pour le grand Prêtre, 

Premier Air, pour les Faunes, 

: Deuxiéme Air, pour les Faunes, 

Premier Poele 

Deuxiéme Paflepied , 


Prélude : 
Sommeil , 7r£0. 
Sarabande, Ê 


CINQUIEM 

Ritournelle , Ji 
Ritournelle, T#v. 

Marche des Nations » 

Air pour les Européens , 

Menuet, 

Air des Ameriquains, 

Air des Egyptiens, 

Ait des Chinois, | 


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E ACTE 

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Q9TVATRIEME ACTE. 


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1 H: pourduoy prertez-yous cet injufte détour ? BASSE. 
Aimez ,aimez , ne {oyez plus rebelle. BASSE. 


ET Alcide , ce grand jour , marqué par ta victoire. 
7! Amour ; laiflé mon cœur en paix. 


Arbres facrez , Rameaux myfterieux. | BASSE. 
Avant de nous mieux engager. | BASSE. 
Au Dieu d'amour daignez rendre les armes, CHOEUR. 
B. — Beaux lieux, brillez d'une beauté nouvelle. 
Belle If , fufpendez vos plaintes. Trio. 
C. ___Cedez & remportez une douce victoire. 
Cedons à nos tendres defirs. Duo. 
C'eft moy qui vous aime. Duo, 


Chantez Oyfeaux, que votre fort eft doux. 


D.—-De ce féjour. : | 
Des oyfeaux de ces lieux charmants. 
Driades & Silvains, venez luy rendre hommage. 


E. Eh bien, à voftre amour je ne fuis plus rebelle. 
Eh bien, vous ferez avec moy l'éffay d’une douce amourette. Basse, 


F. __Formez les plus doux nœuds. 
Funefte Amour , Ô Tendrefle inhumaine! 


—Heureufe mille fois, heureufe inconftance, BASSE, 
Heureufe Paix , tranquille Indifference. 


TT: —Icy les tendres oyfeaux , avec /ôn double. 
Je luy dilois que pour nous aimer bien BASSE. 
fe luy difois qu'un cœur volage. 
e ne réponds jamais aux Belles. | BASSE. 
Je vous ay vüû fuivre les pas. 


Il faut traiter l'amour de jeu. Duo, 

L. L'Amour a tout foumis à fes loix fouveraines. BASSE. 
La pitié que vous voulez feindre. BASSE, 
Le moment qui vous engage. | BASSE, 
Les Bergers offrent leurs cœurs. | 
Les doux plaifirs habitent ce boccage. Ur 1 0. 


Les Prez, les Bois & les Fontaines. 


M.—Mais déja chaque branche agite fa verdure. 
Miniftres reverez de ces lieux folitaires. BASSE, 
Monftre , fervez noftre colere. 


_N. Non je ne veux jamais partager vos defirs. 


Nos cœurs ne font pas faits pour une même chaîne, Duo. 
| Nous joüiflons icy d’une douceur profonde, & La fhire. 
0. —O Vous qu'on entend chaque jour. Basse. 


P. —-Peut-on braver l'Amour & fa puiflance. 


2:-— Quand on à fouffert une fois l’amoureux efclavage. 
Quand on fuit l’'amoureufe loy. 
Quand un doux penchant vous entraîne. 
Que ces lieux font d’heureux aziles. 
Que de nos plus doux chants ces Jardins_retentiflent. 
Quel triomphe ! quelle victoire! 
Que ton bras fe repofe ainfi que montonnerre, & le fuire. Basse. 
Que vois-je ! C'eft IfIÉ qui repofe en ces lieux. Sowweil. BASSE. 


$. —Sombres Deferts , témoins de mes triftes regrets. BASSE. 


FIN DE LA TABLE. 


A OMANTFER :: 


Page ix< 


PERSONNAGES 


DU PROLOGUE 


A PREMIERE HESPERI D E. 
1: & TROUPE DES PERD ES. 
FER CG U ILE 
JUPITER. 
Troupe de Peuples. : 


UNE FEMME de La Troupe des Ses 
UN EAU FREUIEEMNME, 


À 6 T E URS 
DE LA PASTORALE 


POLLON, déguifé en Berger fous le nom de PHILEMON. 
Â> A N, désuilé en Berger, confident d'Apollon. 
HILL AS", Beer 
Suite d'Hilas reprefèntant des Plaifirs. 

UNEFEMME de La fuite des Plaifirs. 

ISSE, Nymphe, fille de SMacarée. 

DORIS , /&œur dIfe. 

Troupes de Bergers , de Bergeres , de Paffres , œ de Pas: 

UN BER GER: 

LE GRAND ER DS TE de la tk de Dodone. 
Troupe de SMinifres. Pi 
 Troupes de Faunes , de Driades , de En eÿ de on 
UNE DRIADE. 

LE. SO: M;.M. ET 'T- 

Troupe de Zephirs. | 

Troupes d' Européens € d'Européennes. 

UNE EUROPEENNE. 

Troupes d'Ameriquains €ÿ d'Ameriquaines, 

UN AMERIQ U AIN. 

Troupes de Chinois @- de Chinoifes. 

Troupes d'Eg yptiens & d'Egyptiennes. 

UNE EGYPTIENINE: ——. 


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PASTORALE HEROIQUE. 


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de fruits d'or, & l’on découvre dans le fond, Fa et Jardin, défendue 
par un Dragon qui vomit inceffamment des rues B 


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| Après avoir fignalé tant de fois Et ma juftice & ma puiffance, Je ne pouvois pas 


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. mieux couronner mes ex-  ploits, Qu’en donnant aux Mortels la paix & l’abondan- 


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LL ce... Maisquel éclat frappe mes . yeux! C'eft Jupi- ter qui defcend dansces lieux. 


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(AIR, POUR LA DESCENTE DE JUPITE À. 


Gratieufément. 


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78 ISSE’; PASTORALE HEROÏIQUE, PROL. IS CT V: 


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On reprend pour Entr Ake l'Ouverture, page 1. 


EN DU PROLOGUE. 


ÉTSSE:. 
PASTORALE HEROIQUE. 


At EPREMEIER: 


Le Théatre reprélente un Hameau. 


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SCENE PREMIERE. 


POELE M'O:N. 


Lentement, PIRR EXLIU: DE. 


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VIrOLONS. 


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| La cruelle Daphné dédaigna ma tendreffe, De mes ardents foüpirs, de mes foins it 


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84 ISSE, PASTORALE HR PPONRMAE 


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PHILEMON,PAN. 


 PHILEMON. 


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Qui vous plaignez- vous de vos nouvelles chaines ? a An, tu vois les té- 


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Basse- ConTiNUE. 


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| - moins de mes tendres rourments. LE: prez, oi bois, & les fon  taines 


RER 


HE D'ÉUIR EMAENTSCENE' Th 


PRÉ ERE Nine pans 


Sont les A des Amants; On pafle icy d’ res moments: Même ens Fi plaigant de fes 


PEREBERNEENReEE 


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Ê peiness Tes ptez, les bots , &c les fon-  taines - é fivo- 


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PÉFRÈES PHHNTE RE REEEE SES 


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Rx ee —— DRE TTC ere —— + —_—— Te ee, Ce =” 
7 Ur + —] — ee © rm nr. Conmers—"r) FA A ie, 
ESS 9 + à 
En $ nn SES À — | 7 NU 0 nt ce 8 ot sommes À 
V, . Se ARE 
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RIT a # je PU REA Pt 
| Re Ha vie nr + + J 
jours vos languiflants regrets, Apol- lon n’aura-t’il ; Poe de plus doux fécrets A ed 
re, restent ones. É = mme re mm CA mt —— 
En HT ONOET 2 2 4008 NUE ACER me nee RRQ) Fa 
ee ge nt ge) D nn un eu 
NT CES D EM a he7 43 — 


PHILEMON. 


FE: Ps RTE FE 


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| . | JEfpere d'être plus HE Mon malheutn'eftpas invin- cible, ÉES”" 
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| yeux charmants &'Iffé m'ont demandé r mes vŒUx. + ne feray- j= pas le plus content des 


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& HER CENT le Se mL un HNPEUL à 
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; Dieux, Si fon cœur fen- ne ER d'accord . {es 9 x ? ti ne Es Je 


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dont D he ti bae d Er Ê sa + = ë — SAUT HR TUE 


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pas le al content des Dieux, Si E cœur fen- a ER te avec fes yeux? ( Our. 


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2. luy dégui-. fer vÔ:re rang gloni- eux? JE veux, fans le fecours de ma grandeur fu- 


_— PS PRE MN 7 Qt mt pe ee me nee + One meeu ee, LL mel = en 

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Fe ARCS D Z—- ee — ee mr Dm 4 em, mms 1 monmenesl mt 
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piême , pri de plaire en ce jour; + il eft doux Fe cequ'on aime Parles feules 


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Ê mains de l'Amour : Qu i eft ‘ doux d'a voir ce quon aime, Par les feu- les 


rs OR CT —|— 


pt = RE = LR Me a, 


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Mais je vois la N “Nr pa-roîrre, Il faut contraindre encor mes cendres n mouve- 


_ de l'Amour! 


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ne TS TR, ÉTÉ, Pr gr, 


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MU | SR LE 2e LE ———— Cserenl ——— SARA AR EE € = 
_ FREE ce Re em CR re sl me men teen ÿ mens mens ele em une) ins) 
UL- mor ARE Lt 2 RÉ Ge rs | nr poeme os nes eee Re a ne 
= Ho 2 en Ne MUR NN — 05 ti mens 7 cena son 


| . = =. EIRE ee: HATERE FE SRESUUE == 


mens: Cachons-nous à fes yeux, & thin de cônoître Quels {ont fes fecrets fenti- ments. 


mn L EE rer 7 mr K mn 4 —— jm ——_. mms L 

Eee EE pires se. 

UT mel Se ES Ÿ=— cms ET A SD SE 7 f M 
Ÿ=-= Lnniosté non re ne mt |: DA OITEX D 


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ACTE PREMIER, SCENE IIL 78 


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| Ra nr Paix, Tranquiile Indiff:- rence, Faut- il que pour jamais , Vous + 


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de mon cœur! Je fens que ma ficr- té me laiffe me dé- fence, Rien ne peu me fauver d’un 


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tiez de mon cœur! Je + ençor mes re- gards au filence, Je po à tous les yeux ma nou- 


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— à — RUEIL, Rare nee (teens? mme Vonsent Wousemer” 2 éenmennet ponte moe ae ne 


en re me — nr nent 


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Fi langueur; Mais que 5. cette vio- lence, L'Amour en a plus de ri- gueur, Etn’en a pas 


LAMPE DEEE RD D Ou sum mes {mme cm CN MINE ONE NON 200 °rs a (5 - —_Ÿ + 
RE a Ÿ- En ole oe FS— FF 
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ACTE PREMIER, SCENE i Ÿ. 4 


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Lun om = | ne se ane none EE EEE manne ME) 
ts — mme Et LE À 


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22.) $ mes Caen. GER MR Eee es nee Ce MORE COM exe inns MORE 


pour ja- a voncr, ticz HO mon cœur. 


—— me a Te D re tene) AT ee ne eee ARE SE name vemmnenE 
ME mme dm one nn RE on re — + ——— a en mr ee am 
ms ee — Ce Le, 0e me me et Ci x p 
——— CNE eme — + re ee nee 


Ne Let HE ROC 4+X° Lee PT ete er a ne ne mo mm te EDR EO R  te ES coammm) 


DC EN ES SEA 


Doôrts. D OLRT ISSUES - SE”, 


===. Sos FREE — Er Ei ee 


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Aime à vous voit en ce lieu foli- taire Al noire so Te à à ie cœurs dose Vous 


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F — ee ed rame ares ARE RE PS ce vx = EN DRE: Re 
| et, 2 pt, rm ES RS pm “nu 
mn nant bancmbescennnens ET + —— (Eu 
| Vase je pret mnt, cu uma mme turmentons |. nd “Men 
LE CESR EE lonemet Sonmnnelennien) nt RE FRE pme ne à 


BAsSsSsE-CONTINUE. 


FE D _ ErE . _. FRERE 


——0 aug 
ÿ venez ré- ver, c’eft un préfageheureux, Qu’enfin Hilas à fçù vous ë 


; Vôtre 


FN mt RS HET Fo 5 = ie = 
N— =] HER a — == rte = sn 


= CORTE Ex 


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j Cœur des long-temps fe devoit à fes feux , On na frais brülc d'une ardeur plusfi- delle: 


PE = == =_— =: SE =E FE: M 


LL os A 


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L'ERETTeS 2) pau ba: cn LE EE Sainte de = 
| RS NES + FER RES == FE 


Bien- tôt, par ir jeux, Il vous en ARS RNA cor une 1 nouvel- le. 


Lunel —— + 
f ne ne cé 


(ap — Fer ?= DAT uote  _ ÿ —— — " ne 
Eee: HER Rs FE EF 2 
\ LP ER NL NL 


EE DORIS. 


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H ras: AVant cet heureux jour, Vôtie Er ble cœur 1 ignoroic ce langa- ge, Et ce fou- 


me mm fu a En les mar she HET = ad ras D RES | 
: TE DD EL CUA ‘4 ET Ÿ EE —|— SE a EE 3 


—— Cr sous nt ne |}. CRE us en ee 


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— a —65- RE on End 43— 4 = @ —+— à 
I Re — ZE ram =E Dr es + 
Di en DRAP VENRRLE DER OX JR MENTON PULL mr ré GUN PE eu TE nr 
RER Ê ; 


FRÈRES En 


pir eft le premier hom- mage Que je vous rendre à l'Amour. K(JUene puis-je encor 


EE NE 


que 
ni 
[il 


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ER ÉnRER à 


1 d— fon fu- nefte efcla- vage : Mes jours couloient eus les Ne Je goutois à la fois la 
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— ET SOS a TON rer — pt sen See Wii 7 RD np 7 ke 
es | ont names MENT US dde rm non TS ———— me LS ne + 
ee me CC one RS md — mL, ps rs mm mm ER Lui Due 
5 = — es ms — em re — me CPS = ER 
. a. mess 


SES — 


es — 


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En Se ee mr HAE pis 


paix & linno- cence, Et mon cœur fatif. fait de fon indiffe- rence, Fo RUE 


— re ral EE = RE HT a RC Ur RENE DURE 
ae UN. RE nee mm ot) mme 0e (rl) meme = nent Donne jm me ONCE 

op mers a Dee a msn Ê nr un ne mm Ro PE au 

e m—ve ame ee mme pommes tomtom mans eue ner annee À. Gammes fe manner, mem 


TE mm ET NE CET er 


AS CITE HS LR 95” 


ÉÉNS=ISRe=- ue 


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| crainte & fans de- ., Mais depuis que l'Amour la ren- du trop 5 Les Fe frs 
| 

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É = Erreur Le 
[Et + FERRER AtËr RE tt Se 
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l'ont cn Quel changement, o Eu mi il EN is ce n'eft plus ce cœur u content , 
+ = + 
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a — Se L. Hs FE 


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fi Les _ eftun cœur tout nouvean,que | P Amouc m'a donné. S E peut-il que vôtre cœur FF 


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| ere il ne tient qu'à 5 d’être dès ce jour, IL Il faut qu’ ee A as, un RE 
Lorie 


—_— Herve Ée Eee = 
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à, tn, 


FEEREE RECETTE 


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nœud vousaf femble, L’Hymen,pour vous unir, n’attendoit que P ee Me un doux 


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DEROTTS MERE NRC QE ROSE SNEET CREER We AT —É- 4 
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CORDIUNE PRET URL TEE a TE, sn a ANA 


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penchant vous en- traîne, Pourquoy HE vos de- frs nl ns er lu: 
Lys = ES —X5 — ] —— ee 
SE EREGEEREEEITIESSEE 
ru nn (Con Vs — | — 


LE ISSE PASTORALE HEROIQUE. 


Fe EÉEE PLSSRE RE ÉD HE EE: Te HE + 4 


[as ne plus rude he y de reli- fter aux + frs? Eft- il u- ne plus rude Pains 

HENTRS FÉES HE FRERE e 
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Fe se D 2 CRE NORD, Mer DS eee EP De Ce 


_ de jee fter n et frs t 


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VIroLONS. Mai > qu'annoncent + fons! quel fpe- 


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E ae HER: ÊÉ d4. ÊTES Se ER — ne 
A (PO RÉ RER, Um“ emnocnens, caen yen 20 aime ments 
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dacle s’ap-" prête? Pos fcindre de l’ignorer? Ces concerts font pour vous,c'eff la nouvelle 


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EusResen SRE CRDEPERER SAREEDES DERSNER CESR con DRE ONE ÈN CORRE CORRE CRRRERENE) 


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Sid eee Lmonnnrr == mn =£ és — —enengee cnrs (EEE never comen PRÉ DRE mo EE Ce Sen RSS 
1e CS HSE TNN ee fe eo comme Maninne mn eee EDR MERS ones ne ne 


LE Re Qu'Hilas v vous à ue prépa 


Le — ee ne ie ET 
ES CREER RS 0 CAUSES ee ptet De orme 2 ARR RENTE po ORDRE ANRSSOEIS dntn ie SRE De ro Ne CERN RÉ RE 
nes se CE er ne on angil merde chantre Ed ——— RO EE RE RP PER CAN ES 
— anne se uen mme mm nent Î qu ne conan open Penn, en meme ee ermemeenne pompes, mens SET 
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me À es mc Anne ME CRex RER ne ant nn ina SERRE EEE 


ACTE PREMIER, SCENE Y. 
RCRCRROINNCECACRGETITATACENICRCAEGINS TRI ATEREOTEIN CIE GRECE 


SCIE NE V 


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Par Ja voix desPlaÿ firs. Par la voix des Plai- frs, Suivez l'Amour qui vous ap- 


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Au Dieu ve HMS les armes, Rien n’eft f doux qué les FE fou- pirs : 


RER . REEREENTESE 


ee Dieu d'amour, daignez rendre les armes,Rien n’eft fi doux que les tendres fou- pirs : 


ER ENERR EEE BEEP 


RE 


U Dieu d'amour, daignez rendre les armes ,Rien n’eftfi doux que les tendres fou pirs : 


RSS Et 


U Dieu onde ne rendre les armes,Rien n’eft fi doux queles tendres foupirs : 


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114 ISSE, PASTORALE HEROIQUE. 
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g de cœurs , Il gar- de fes al. larmes, Et fes f1- veurs Suivront tous vos defirs. 


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. Done d’autres cœurs , Il gar- de fes al- lames , Et fes fa- veurs Suivront tous vos defirs, 


FR RRNER ROSE 


Pour d’autres cœurs, Il gar- de fés al- larmes, Et fes fa-veurs Suivront tous vos defirs. 


ME = es 


Pour d’autres cœurs , Il gar- de fes al- larmes, Et fes fa- veurs Suivtont tous vos defirs, 


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| Non,non, non ,non, il fautfe rendre, C’eft trop at- tendre, 
| te HÉEE = EE FETE —+ EE 


Non,non,non,non, il faut fe rendre, il faûc fe rendre, C'eit tropar tendre, 


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Non, non, non,non, il faut fe rendre, C’efttrop at- tendre, 


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L'Amour pour vous, refer- ve fes plai- Et 


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L'Amour pour vous: refer- ve fes plai- firs. 
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L'Amour pour vous, refèr-ve fes plai- 


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L'Amour pour vous ,refer« ve fes plaifirs. B-C. 


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phire , & - l'om- brage; Toutfert i- cy l'Amour & les Amants. mants, 


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BASSONS. 


Deuxieme Couplet, 


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Πaus Er EEE He D. 


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Bas + S, 


AGDE PREMIER, SIC'E-NEEY, _ at 
Quatriéme © dernier Coupler. 


ÉRnEEErELt 


EEE NUE 


EI IL A Sa IS SE 


PASSÉE EEE REte 


Ans fuccés, belle Le, quitteray-j2 ces lieux ? Pouvez-vous fi long-rèms refifter à ma 


JA A me © —— 1} — Ge GP GE omis = f qu 

| AŸE DRE TT TU Re Den! en RE RE TE PERS DER SET C2 22 ON RECENT ER 

LT à EN TE RE EE — MAN A sCertre E + D æ 
CRT EEE Dee —$Ô——X$ -— 


Hi à 
EE flame: ni l'Amour a-t'il mis tous fes traits dansvos Yeux! N’ena- t'il point 9 gar- 
= - A PE ee ve mens Je = G- ee ni — A jm 
| à DE ÉTAPE pe — ae 
D ee le == Dr VER MRC A © CN 0e me 
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ps FÈE 
I dé pour folincttre vôtreai : mé? Vous ne tépondez rien, he las! quelle ri- 
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[= mn ne es — —| k FE = = 
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1 Rep tErpprneEtt tits FHÉEEPTTÉ 


gucur ! Il femb'e qu'avec ma langueur, Vôtre injufte fierté saugmen- ce. Ne verray-je ja- 


== —. 
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ÿ mais la fn de mon malheur? Rendrez-vous €haqu: jour ma chaîas plus pe fante ? 
ES FRE mt es OO TR TE == a — 


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ISSE,PASTORALE IE Es AC DEVP, SC 


ME Les Es HE =. ne HS 


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| Mait C è trop vous laffer d'ane vaine sue Je vous laïff=, Nymphe charmante, Songez du- 


ee CCR —— = mm 

= ne men mme = TE Dre — ee ne À se mm : 

AE ee À. e— ee ms a en Ê 

AE Sa à CRE? = = M — ee me sommes mms —— 
(== Ps s] - De en fe maman jaune a — À = 


eme, 


IS SE”, Lentement. 


pt HER + tj RER # 


a ne vôtre cœur Ne peut être 1 prix =: une su plus co1ftan-te. À Utant que je le 
| 


RARES 
_ RTE SERRE HHÉRREtE 


puis je refiftcaux Amours, De leurs traits dangereux, je redgnre l'actein- te; Heu- 


D à QD mé mens JL mg ST NE ds — + 6- er 4 — = ns 
As Dre ed —— == EE _— d L 
RP EME TA Me NET QE ne Le LA PERD DR DEEE AE Le. 
* fi —_ 
mu —-… nt D 
GES È EE + = — Er SE PS ——————© 


reufe, EX ma craïate + deffendoit toûjours ! 


= _—— 


a RIRE ITS RD 


On nr le Chœur Aimez, Aimé, &cc. page 98. ju/qu'a la premiere Cadence. 
FIN DU PREMIER ACTE. 


On joué pour Enir Aëe le Deuxiéme AIR à dèux Lemps , PAZ A1. 


te 


ACTE DEUXIÈME 


Le Théître reprélente le Palais d'Isse &fes Jardins. 


ENS GS BUS GDS OS ES ES SES SU RSS RS SH GES 
SCENE PREMIERE. 


ISSE, DORTISS. 


Lentement. PR EL ue D E. 


FT REP 
eme 
| SERPENT 

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À Mour, laiffz: mon cœur ch paix, Mille auttes fe £e- 


SRNARERNERRERErTR 
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+ ront un plaifir de fe ren- dre. Ne ceplaistu Cruel, S bleffer de tes vraits Que ceux qui 


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El me eee 2 en paiement CREER pans D ! 
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veulent s’en deffen- der à Milleautres fe feront un plaifir de fe 


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DR — a — mm À) —— 3 — sienne en mms ee dé des re Dm 0m LE qu ment mom À PA eo | 
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ACTE DEUXIÈME, SGENE I. 53ÿ 


DORIS. 


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| ger cherche par tout vos yeux ; Sans doute c’eft l’a mor qui l’ameine en ces 


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En es > D PE ee ts 
| nn © nes — st men nt ————— — NU re mn mn 
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SOS ER GERS 2 Leman 


lieux, IL faut eviter a pre- ia 


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RS Et mme de peurs pe 2 sn 

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AT TA TTE NCeN N CAERRREEENNEE NTE PIECE = 


T1 


126 IS8SE, PASTORALE HEROGIQUE, 
DUMBEA EEE RE SUR RAEVAREASAUERE 
| S'C E NYE me 


PHILEMON, PAN,ISSE, DORIS. 


PHILEMON. 


LE ÉSS=ISSE EF cent EE = 2 


| Bei SERRE cetteri- gueur? Quelle injufte fierté vous guide? Hé. 


: b. er # - à. Q-— PE + PS EN 
ed ess: ER ENE <e M) DRREREEE) anom, RE EE ee amine À —— mn Re € RD GREY GS © Cp nRRE? MNT GS ne ee [r où 
< —}# tt nt sus 2 —< scies era mn né RE En "© nn nn _— ne ee a ee 
k = ns se tm À one cu: re es me — ee mt cmt te. es on — Cine © canne umenen = nt me 41: 
à mme À mes mt os mt 2- ee = rt nt tnt  poapmmnnres te nent — + a) sci 


_ EG 5 —- 


: BASSECONTINUES. 


ISSE’. 


si É Ep HIER EEE RE 


las? as vos mépris n’abattez A un Cœur; ee e déja a Le ti- RÉ : 
LEE Sr _- ==. E— =. =") 


PHILEMON. 


TR Hariet are Etre FE “ti 


qu vous ou vous,& pourquoy m'arrêcer ? Berger,qu'avez vous à me - > 


À eee re 
D ee 
nn (, émmbee —— Per Ur al 


0e Me ms cn ÉÉs CET, 


LES = HER 22e ne) RÉ Et +45 ter =" 


las Ho OS Deere Voues enten- dez que je 11. re; Vous lifez dans més 


sn ee = nie 
EICHER HytNE 


yeux le fe- cret demoncœur Je ne puis ps. cacher le trouble demoname. Et mon des. 


pee ÊE HR HÉREREE à 


ACTE DEUXIEME, SCENE 14 us? 


MERE SEEN PEN PERS 


fordre &c ma langueur, Tout vous fait Paveu de ma fl: me. É Fe défordre $&c tha lan- 


Fe nnne per 


mn TD = 


Vitemenht. 


PR = _. Reenretettent 


gueur Tout vousfaitl’aveu de ma fli- me, Quel ulence : quel trouble : Ah! vous aimez His 
l 
Es 


FRERE —— 
F PURES EN DR ie, Co CASE Po AS Ca) D. 


———— 6 —+ 


me (y 


_ nn ï Ep =": EEE 


Vivement 
es mon cœur Mo À n'en sons pas, V'ou Jaimez donc 6 


— = memes nee ee on cu = —  — ne, Es < À mme 
LE conne ae Fe RS RE pe ni jam, VS EE panne À mms RG — ee À 
ét mnt er on primes = = ne me ——— SE men 
ee met "© mme À mme ogg oem ————— ——— me CR ee D en ie. 
EEE DER | mn 


or (Meme 3 ee ER LR PE 


ose Pamenses con es LS Re BC CA 


ne ec} 


Tendcemenr. 


Le Sur Due é ERÉTRREr F 


Ciel : quel rigoureux fupplice! En quels + 4 F u vient-il É mejct- térè Vous l'ai- 


MN pen no ie Se = es Be on La = 

| PC pra ee be ne DR MAD | se D re ha à 

Ey U 0 — 
Be 


ee es mn 


Vivemenr. Tendrement. 


ÉRSSÉSESRNS de ES a. Se 


|  mez,c'en eft fait, il faut que je pe- rifle. Mes jours ne tenoient plus qu’au plaifr.d’en dourer. 


Ê Re eq TT té p 455 
= a —, =. = ue _ =: re 

CT SR Ce ne cm ss FE ———" À ns me nn — 2 es .— 2 
ST CRC PACA FEES LAS 


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mn ] — - ?- AE = 


ISSE’. 


= mé _ _. Ha 


Que di à di erfeut vous laiflez-vous = vous n'avez LE de rivaux fatif 


— à ue mn:  — El mere LE 
LE ET :6 ms me en ee us | D nr am nm en nm = Dames a eg 
at manne jet Ÿ=— Tes ——— .] 
Re ae mn mn De D pm tt — ae CR 1 ess © = L- 
ne = mms me he mme 


Ÿ- | -@ = nn 


128 ISSE, PASTORALE HEROIQUE. 


Em 


faits, Je n’aime Ra Hilas, c’eft envain ft envain qu il foüpire, Le non, non je ne l'aimeray ja- 
& 


| == ——# AUTOUR | cn 
RS es = + — 


ADP ER LEON CERF 


02.0 -4--+.- 
D + en Er += Re De = NE 
Le M amer en ue È == 2e) es 
| mais, Ahï: que ne puis-je auffi bien me Me D'un trait plus doux Ro je mefens ai 


D Se us ne eh EE = a re gl ae) 2 
Ël DS | el => Re ni Ses ele + 
LR ne —.— = x4- 


AGEN. AT LS Æ 


re 
per : Ah: que ne puis-je auffi bien me défendre D’un trait plus doux,dontje me fens frapper, 


ERREUR 
F RER EEE e —. HE 


= 2e | 


où , 


Le Us ,que Faut je crains de vousen trop en Mon funefte fecret eft pie à 


ms pme nf amet come sopemmeten um Ce me Br —— _ 
PL] EE es ne Re ee RE FRAC TT — 
ae — D ame ns me À me nus AN MERE to mn 
CE PER EE td LR mens Et ee rt 
+ 


a X—— De - 


PHILEMON 
pe ee EE LENS 
| m'écha- Achcre. belleIf- fé, ps ce a mes larmes , Banniflez d’un feul 


TK Feet — LEDs GER oem ar 00 mme, (+ once put een ee mt je ment rs me éme 
Li 0 étre | ommmemn nait EL mn meune somme) nt ms den et a 
ms D mnt nt mme en PAS DER CS CS Chiers Corne men A tenmmenner ntmsannet À ous 


Re ee en 
; 
Fendrement, 
spenth Net 
pit = n—— ÉÉRESUE 
L mor mes cruelles dus Pour qui Lure ces tendres foüpirs? Ah! ne Fran plus mes 


FRS Re 


ET PRE A) A pus 


ACTEDEUXIPME, SCENE Il. 129 


ISSE, tt 


Re RE 4 EBREENS — 


maux oumes “ firs. Vo LE , ceffez une our fi preffante, Je ne veux + vous écoi- 


tn  <  e me nt commune Le arme ntrmrncatenn ont ——! 
RE + ns em ne ES feeennt comes Ÿ bmmr meue mcteamens sommet nn. ee ne 
= ei = —s nt ee ee 
La 2 


, : I six Fe 1 RU 
PHILEMON, Vivement. PHILEMON. 


oc EEE Eté 


| 
à FCE. A Rrétez 5Nymphe trop charmante. TR laiffez- moy vous évirer. Vous me fu - 


= eee se 5 — 
3 u Sn Hi —— = Frs ie nt LE =——; 


D A uper 


| [+ 
| FT 


ISSE". ns 


fer . etre 


yez ,& je vous aime. JE or pue vous füis. Difipez le Ar je 


— ee er + 2. CRE RE re L2 
Re n 7ae RS ss nt ee os D A 0 commen 


a  — 


TSSE* PHILEMON. 


Le Fe er ETES EE = : 


Fa N Ce Le celui quim'agite moy- même. La vous à mes fs 


RAA | CS A Dome À se AIDER NS Re po, RC PURE Le 
ne ER CR name À aptes nn ee tt cms st PRES DRE asus (RUE, Emgmoems et pee jar 
= ns 2e men ns ms A nn nent cm ee 
Ds Done of 2000 LE union Bonnet mamtmns À nine © céconmst = ones À maman poses Rs En me ne 


ISSE-. PHILEMON. Jon 


Mi ET FEES BE = L se ne 


PS 


ee tentez plus mon cœur, P Oury un, d'aimer? N doit graindre un Vaïqueur. 


Sn mn ps ments Emme SRE, Dh 4 nn pre Done on enene) onmemen eue ei Se), SUNURENE) ER CS ont clone À =$ — 
ne mem lool, Lomme) PSS ARR CSS APTE mme RE M RE Re em mnand DELA SNDSE I PE Ci one) de ns Dal 
Vo 


ne RT — mer mano À mue LI 
Ed 


— FRE ne Ye —— — —@= 


ES ISSE, PASTORALE HEROIQUEÉ, 
RIRÉÉERRRERIRRRRLRÉRLELRÉSSRRSE 
SCERE II 


PA NA D'OR TS 


me EH a es. HA HET 
| | NE fongez point à m'evier Doris, ee leur amour - naître le nô- 


RE — j——— 6 — 5 X- 
M —> pret pme, PR ou mn re 
ne nn, meeeenen ns - ee memes en FRET M EL, ANNEES LE 
a Sn TR RÉRCCPE ONE MORE D me ne am 
a —— nt 
43 21 


= es 


| . Si vous voulez les imi- ter, Ms cœur A prêt & Le que le vo- tre. 
ee pa SC le 
Fnepre Vas lee : DUR dE PT —+ ee — let _— ne 
EE TE sommet we À 10 aprmmemee éleienn a ( CA RAR OR DRE ES 


DORIS. Gay. 


pe rt Er EEE 


LES Bergers offrent leur cœur À la et Rés Fe ou n’eft pas pour eux pes af- 


ET 
ERA 
se EttEE 

M 


= SN ÉAMENEENT 


faire De FA un Fe d'ardeur: deur: Mais pour no” le choix d’un TUE Eft plus dange- 


SONT 
GRR Fier Er ÉER 
| 


reux à faire. Mais pour nousle choix d’un _ E . se à fai- 


el RE Le — VE + He a — FE 


x —6- + GG. ——G—k— ne = =. - 


ACTE DEUXIEME, SCENE [IL sgt 


APRES RE 


RER chti 


HauTrso:s,: 


mes 


| Haursors. 


CÉRÉr 


LEa de nous mieux engager, Affa-yez fi mon cœur acco- mode le vôtre: 


RER 
F #+ x 6 ere F a ppaes j 


vôtre: ë ils ne font pas TRS l'un pour lautre, Il eft bien aie op de changer. S'ils ne font pas 


— E} ES EE ce HN EN TE 
le SE EEESR EM NEE TE 
et Ep epeppns te 


faits l’un pour 2 H cft bicnai- fe de changer, Il eft bien a. {€, de chan- 


DORIS. 


FRENELL HER => HITETEEE FHITETNE 


Vos Av déja d’inconftance.C’eit le moyen de m'allarmer. 
FE 
x 


pre Le mms mm en Gant prnsmacone -J. paiement pin monte ame om, À 4 mme on CP 


em on mn TS mg, mt pme, GTS Er Re ne ne © Re mt RE HORREUR — st. 
ee ce nt — Re mcm one os mn ms RER | Se pe on ou Ces one +" 
met — ARE) SRE 0 ne PE nt cm eme @ néons promis fe een Doncceen pur c2> tonne mare Île eu mmmm 


l —— nu SERIES CREER a mnt a he 
armes 
re ju RM" = NE ERRR malo Jon GE RARE DS Gun Fr et 7 ELLE Ur : 
1 za? CL HE se ee ——— ne ME, A res ne 
fl 4 A np —— . tm a Le ee come Que m0 pme 1 pau vou a bo me Qu no ME mn a 
NU 1-2. Le ee I, Pi me mr ee ms mme 4, am ee ne 0 mn” (eee eg ur pm À nt > me ne æ 
La —_— FE ns SEE = À. eme, Gmenne ns (arme mn See L Le. ui = — 


ger, Il eftbien aifé changer. BASsE&-CONTINUE. 


132 à en FARINE 


SÉSSIES = 


D, < Ar ma po té je veux me faire ai aimer, Er je parle comme je. pente. 


se 
| | = ce. Eee = SEE EE 


AIR. 


He 


RE PRES NENEEE 
_ _. RES SERECHEEE 
(ARE 


Bassons, JE ne Lu ja- mais aux Belles De la . 


SÉRRIRRRRNEREE AN 
et EF . He es 
MÉSRERERERREE HER 


: fance de ma LL ;Mais ceux qui es on RE cer | nel “in Seroient 


FF z: FER ES ÊSES NES = 
ÉSeRnt - 
BL Et E: +5 mnt He EE É 


RE 
moins finceres que moy,Etne feroient pas plus fidel-  les.Mais ceux qui promertroient des ar- 


| 


4 ——— T4 


BISLIOTHEEK 
Kon. VI. Corservatorium 


ANTWERPEN 


RETE D EU LTEME, S C EN E EIL 13 


RME NE AREEME 
SRE 
(Are 


us" 
Ph éter- Me ve les , Seroient in que moÿy,Ec ne feroient pas plus £= 


| fi EF Eté He ï ET HER 


| "Aout n’eft pot charmät par de Fi les dé- 


a De a 0 


RENE EEE SERRES 


nn, —. 


ct re: Eh EE HE — 


5 5. NX 15 nr 1 a 


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nn 


del- les, Et ne feroient pas plus fie les. Sp 


Fe RES Fr dE 


. frs, Vous ignotez le poids de fes . dôuces chaînes. JEm: prive des grands plais 


(4 
É re 24e me mt ne © me om cm ass, mms men, mme M — 2 a © 2 mms tante, Îh ms 
\ 2 — 5 —— ——ÿ—— —— 5] —— De ne te ee Re RE 
SG VE CSN ER is GR “a OU PM RP TE 1 Re HSE 
PTS, CT Qt CS et 0 nr vamet | cumrant pocernnat ve ffige mms dou ue tome ommere vhs 
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De GREEN UE ff Dame ou 


a a nie 


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Tres-Gay. 


mÈEE _— = mt —_ HÉREREEERS 


- firs Pour n° ne. de . nes, Il fiût traicer amour de jeu , Autrement il 


Le = = FRE Sr FREE HE = 


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DORIS. 


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54 ISSE, PASTORALE HEROIQUE. 
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point brûler d'un feu, On ne doit point brûler d’un feu,Qu'il foit trop fa- cile d’étein- 


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1 point brûler d’un feu, On ne doit LE brûler d’un Fi il oit diffi- cile d’étein- 
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ACTE DEUXIPME, SCENE ILI. 


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#36 _YSSÉ, PASTORALE HEROIQUE 


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446 ISSE, PASTORALE HERO TQ UE. 
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F Ormons les pl Fu on Aimons fans peine: :Formons les pl? doùx Hs Vivons heureux. 


ÉÉRSÉESr ER Pom 


E Ormonsles pl° douxnœuds, Aimons À peine: += les pl? doux nœuds, Aimons heureux, 


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| FE Fs pl Run fans peine: ire les pl° . nœuds, Aimons heureux. 
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Men teeetenntns 
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Formez les ou, Dur nœuds, Vi- vez heu-  reux. 


sep  (G: mine —  — $ TS Et TE mi ne ss nee mm dencre Re 
—+ =: EE Te — ee bte anti nt voa more amtmienté grmmmmmerteé 
SE St CES CT on re mm em | pomme 
—— ms me a 1 À + Re — ne proie momies msn sopcmaeren sommets past 
= + 1 0 De ne ES EEE PR RE, RE Een PNR 
| SES el ———s— L 


Ormons les ae =: L. Aimoñs a peine: . les + doux nœuds, Vivôs heu- reux. 


É a : apr —Q + +4 
Mne 5 St 


| Formonsles pl doux fœuds À Res He psine: Formos les SE doux nœuds, Vivons f feux, 


RFREEN REED 


Er les pl° doux nœuds, Aimons fans peine: les pl° doux nest Vivons heureux. 


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Fe Fomons les pl” doux nœuds, Aimons fans peine: Formos les pl° doux nœuds, Vivôs heu reux. 


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J gueurs; Allez où le plaifir vous mé- ne: Formezles plus douxnœuds, Ai- 


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mez fans peine : Formez les plus + nœuds, Vivezheu- reux. 


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DEUXIEME AIR: 


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156. 156F, PASTORALE HEROIQUE. 


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153 ISSE, PASTORALE FERRER 

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FIN DU DEUXIEME ACTE. 


On joné pour Entr Aîte la Gigue cy=devant, page 15% 


ACTE TROISIÈME 


Le Théâtre repréfente la Forelt de DoponE. 


56 )0e @600 So 507 der 66 2550 CIE OC 5 30 307 59 LC SE 65e OÙ 6 A6 AE To De Se AE TE IG JG c DD 2XG 285 LC 


SCENE’ PREMIER E. 
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ES rent PRES DS mme 06) nt EE Donne nn, me eg LE onatel re Re net pee en net 
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Se vôtre foible réf- ftance, Vous bravez la rai- fon qui prenoit ma dé-  fence. 
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Quand on fuit l’amoureufe loy, Eft- ce par raifonqu'on aime? Vous m'aimez malgré moy- 


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même, Jen aime un ne malgré moy. Quand on fuit lon Joy, Ef- ce 


LATE EEE Fépne EE HE 


HILAS, 


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a+ taifon + on aime ? C'En eft donc fait, Hi} Ô Soft infortu- né! A quels affreux mal- 


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VSSE, PASTORALE HEROIQUE 


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heurs me vois-je condamné? Dieux cruels: Dieuximpitoy- ables! Qu ne refufez- vous le 


mnt cornet panne en (4 G/ emma mupartne ere re CT ot paume 00 (5 = mn onnnes games À] «2 pomatanet Pneus 4 
EE nt pme gg mm nt mangent RE À enmnitnte pme #0 one ponnns Emmmnnn( fe pong manne 00 > a pnranemenes amer Rs 
nement once tonne nl rs Sens fe noces fee os es L—— ne ne me ne ee nes émane à 
as mn ns jen nt nn ee s enne AL nan Nr 0 eee) En Sue rent nent 9e mm, Pmntentenn( manon pommes 
one pe eee GI DEAR DR) 6 RIRE EPA DIET DEN PEENEERES NN GER TN LI PE SEERER EONDRENT SÉ) RCE me — fe E 


HEREE ET RES 


jour À tous ceux que l'Amour Doit — #3 rables ? ps ne refufez- vous le 


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À tous ceux S Amour Aie ir 


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1e pitié que vous voulez ie Ne fert encor qu'à m’outrager; Ceftune cruau- té de 


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F LS TS: FRE: Het 
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ÉÉÉS ER 


Fee dre Des maux que l’on peut foulager. ee ’eft une cruautc de plaindre Des maux que l’on 


FAR ARBRE ee 


E vois avec doue leur le tourmént qui vous preffe, Un autre fentimient n’eft 
Fa _ —un— CRT TE 0 rm mt ot ED éme 0 ent ment fs ms 5 mme Di nn es dm cn DRE 
cms — 8 en — + os en fm a ——— ne RE Re ee M 0 ne CR RS RS EN US Le mme vs nt done mme Pme 
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14 ger. BASSE. CONTINUE, 


{ <== == EE + ÉVREE + Es: z = À FFE Se = ti 


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pas eñ mon Fe Ne me plaignez Fes point, vôtre pitié me bleffe,C’eft un mépris pour 


nr = ponc +- Dee 95200 À map, GR RES En 00 AR ARE — LS Emme ee pee mere ll contes en memes (5 — mener opte con 0 
UE) PR nt mem nn dre, mme, a Res parenté. mc on À JE 
= rte re, mms nement, met me 00 comtes teen tonnes monta Le ms -< rs eh mnt ne nan Sn Dee memes mon tee 
nr ns er D me mn, ms ne en ce one —— —X es me 1 cames  —— nn RS por me 

ee ne RER er IS cnmemut mes ee Sr 


BASSE-CONTINUE. 


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moy,puifqu'elie eft #8 ten-dref- fe. JE vais vousépar- gner le chagrin de le 


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voit NOmnon In; Ingrate que vous êtes, Vous DRE point à mes juftes re- 


ES BE = “RE Ce 2 PERS nn me SES AC DER Dee ns mme RE ON TE TE 
en eg mms À mens mn ne Jaamomnt de) pe mer eg tea pme 
Em —- RS DS DCS ee 4 —— ie pren LS 

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Re RS mn = et CO ET LS rnne mme qu 


+94 IS SE,PASTORALE HEROIQUE 


petite HtEbRerel 


Ë grets. .Ne' ‘croyez pas que je vous laiffe en mn Joüir. des maux pr vous me fai- tes,J'auray du 


PEER ER 
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A vos mépris odi- eux, Lefu- nefte plai- fir de m'en CHE vos . YEUX. 


(e Et ER LEE , —. 


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Doris, je vous cherche en tous licux,Sans cefle mon a- 


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mour accroitfa vio- lence; Mon cœur = sn de vos yeux, N'eft sn di en votre pre- 


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ACTE DRM SEANR PA CE ŒRNTE Ï V. i7ÿ 


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# ie le fembleroit en ce moment, ne vôtre amour feroit extrême , Il s’eltaugmen- 


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té  . s’affoiblira de mé-me. Ils’eftaugmen- té prompte- ment ; 


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fenfe ? Ingrate,en voyant mon a+ mour ; Pourquoy pré- voir mon  inçonftan- 


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ce? Jngrate,envoyant mon a- mour, Pourquoy pré voir mon inconft- ce? 
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Ke On E ne veux e _… vos de- firs, Mon cœur crainttrop ne faire un inf- 


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delle ; La peine qui fuit les ps N'en eft que plus cruel-le. La He a fuit les ie 
DIRENIT == == neS 


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Feat N'en eft que + crucl- le. V ons vous confole- riez dansun amour nou- 


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ACTE TRÔOIÏSIPME, SCENE {v 177 
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183 ISSE, PASTORALEHEROÏQU E. 


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On sn le Deuxiême Paffepied, page 219. 
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© joie pour Entr Acte, l'Air de Trompette du Prologue, #n ton plus bas. page 21. 


ACTEQOQUATRIE 


Le Théâtre repréfente une Grotté. 


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me. Je ne changeray pas pour vous, Le fi- delle Berger que, jai. 


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CHOEUR. 


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Bee IME , fufpendez vos plaintes, Goutez les charmes du repos; Le fommeil pour cal- 


pa HERERFEREREREEEES 


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BElte If , fufpendez vos plaintes, Goûtez les charmes du repos; Le fommeil pour cal- 


RER ERREEREE 


BElle I , fufpendez vos plaintes, Goûtez les charmes du repos; Le fommeil pour cal- 


= — ee A. : LE = 


FE mer vos craintes, Vous offre fes plus doux pavots. Belle IE , _—. dez vos 
[e” cr vos craintes, Vousoffre fes Ho pavots. Belle = < . dez vos 


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mer vos craintes, Vous offre fes plus doux pavots. B-C. Belle Fe fufpen- dez vos 


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plaintes , Goûtez Îes char- mes du repos. Goûtez les char-mes re- pos. 


EE HE EAENENFE ie — 
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plaintes, Goûtez les char- mes du repos. Goûtez les char- mes du re- pos. 


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mer vos craintes, Vous offre fes plus doux pavots. Belle Ife, fufpen- dez vos | 
pet D LU = = +} _: SN pou (rs es: 
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É mer vos craintes, Vousoffre fes ae doux pavots. = t: ; Me dez vos 


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258 ISSE, PASTORALE HEROIQUE 


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242 ISSE,PASTORALE HÉROIQUE. 


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ISSE, PASTORALE HEROIQUE. 


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ACTE QUATRIEME, SCENE 111 


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248 ISSE, PASTORALEMEROIQUE 


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cer, Ne  , à mon Rival arracher la victoire!Quäd vous charmezun Dieu VO? aimez un Ber- 


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| + con ay contre ma flamme & l'Amour & la Gloire! C'en eft crop, il faut fuir vos fu- 


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Per ae ais, Je vais ainer ailleurs unemourence vie, L'Amour nem'offcicy que 

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le de cruels ob- jets, Vos feux mon defef- poir,ma conftance trahie ; Cruelle , tout m'en 
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Là craint qu infidelle 2 à {Es vœux, Ta qui l'aflise ne vous ne à o U pourray-Je le ons > < 
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| brûle de dé- truire un foupçon qui m'outrage. J E l'ay laiffé dans le prochain hoc 
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ETN DU OUATRTEME ACTE 


On joué pour Entr Aîte le Deuxiéme Rigaudon du Deuxiéme Alle, page 158. 


ACTE CINQUIÈME. 


Le Théatre repréfente une Solitude. 


D «06 50e J6> Je «26 SUP See a Ve CG» OS De 22 IC UP I 1% DÉC RECR IE OS Be 0 Le «30 DCI NC JC DE IL 0030» OX Me eCI@ FD 50 CCS 


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PETITES FLUTES, VIUWLONS, 


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SC Ro CT ne gro dt RE 7 0 DTNNETT Donne + tee one pommes mm ARS EE EE RS ee ee mm pomme mi, ommmmens tes ee 
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D 'ORENES me me À mens Gore me mme nement HOTTE Crete D emmener on mes nee, mn CR RE arme So veto, LR 

RE es mn 7 en À cuncomenmenmen cn senitee 22: © ——— D EE ES, ED 


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| CHancez ,Oy- faux, Chantez ; Oy- feaux, Chantez, Chan- 


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M —— + —— QI - op DEN FRE coma ua (Ce: =: — = SERRE: CRETE HE EGLEE — 
PA, = = ES MAS ons mn SR ONE — = _ = SR en | fe er 
ee re 7 > …. L ommmamtematt panmat mem tomes <omtanmete LR Vommenmenst dome ennrvoneene D mommeenen coms om monnenennt ponton 9 ps = = mn rennes vers orete Ph ee eue 3 
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Es une a ——— —-#" —|— 

CR À — © — À —— ge — — — fe - NT SE ER ess 

RE nr 0 mt De rm, nt cet pos fe En pe quan vont mnt À. encres vannes ont mms 000 mmmnteorrt À. vero van rmans ox mromnt —— — ee — per 

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Te om ot om ot mt 0 mme mem =Ù mt ones mme eee een Née RE CEE 
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| mais que d’ardeurs mu-tu- elles , Vousères amou- reux, & n'êtes point jaloux : Chan- 


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| PETITES FLUTES. 


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Nor, je n’en doute point,vous aimez d’autrés charmes. | EË vous se vü fuivre les pas Î la 


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vous à luy dire> Sivousla trouviez fans ap- pas, Qu'’aviez- vous à luy di- 


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HERENERS HE 


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"JE luy difois que pour nous aimer bien , Jl faut bannir le reproche & là crainte: 


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UE RS) IT HÉEEENEE SSSE HE Es RE FE 


He cœur jaloux n'efk pas fait pour le mien, Et je veux aimer fans contrainte, Un cœur Ja- 


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ee n’eft pas fait pour le mien, & je veux aimzt fans contrain- 


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is vous, qui vous troublez par d’injuftes foucis: Que difiez-vous au jeuncI- phis? 


GUESS CRUE 


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| JE luy difois qu'Un Cœur vo- a «Ne Fine Jamais m’enga- ger 
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1 Hé que fe- roisje d’un Ber- ger, De d Ja is fe partage ? Hé ie qui 


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d'un Ber- ger, De qui la flamme fe parta- ge? Ous m'avez enten- du, 


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s, je vous entends: Hé bien, n'affeétons point une conftance vaine. 
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Fe == — Es Fe ER RE GER ne) mn | ons. ape A Re EQLER en RCE) CR, Am deg memes 
ds — nt ——— 
= CORRE nee RDS re D (| RENE EME En pe D ee EDR ESS nee Vent ne nd eme a AE A ER RE AN 


ARR Gomme es ERP RUN LE) À) GS DE NN Pet nn ennt Lonmmmmemmenmeness: "tonton A es 
DORIS- ENSEMBILE. 


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ne , Choififlons d’autres fers, Choifi. {ons d’autres fers , dont ils Dient ne con- 


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A AMIE CINQUIEFME, SICTE 'N ECr 


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tens. cœurs ne font pas faits pour une -même chars ne , Nos 


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ne. Choififlons d’autres fers, Choififlons' d’autres fers,  dontilsfoient FF contents. Nos 


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Es. Eretrett EERESER HER 


cœurs ne font pas faits, Nos cœurs ne font pas faits pour une méêé-me chai- ne, Nos 


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260 ASSEF, PASTORALE HEROÏTOUVEÆ. 


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Phu mille fois, hzureufe l'inconftance, Heureufe mille fois, heureufe neo an 


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ce ; Le pluscharmant amour Eft celuy qui commence Et finit en un jour: Le plus 


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ACTE CINQUIPME, SCENE III 261 
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RITOURNELLE. 


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PHILEMON. 


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On, je ne puis me raflurer Par vos ferments & par vos ss Vous tachez vaine- 


 MÉRERSERERER EEE 


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262 TS SES PASTORALEHEROIQUE. 


FE =E EÈEE ES TES FE EE EEE LE ir 


ment de bannirmes allarmes; Non, je ne fçaurois , efperer , Que vous vouliez me préfe- 


nn es er ps mms 6 ue fn TROT ANT Par fr 
Le he = RE nee SE DEEE 


ES — tes — (j— 


+ 


ee Et ET HÉERSERTE 


rer Au Dieu puiflant qui fe rend à vos char- mes. CRoiray-je, Ingrat,que vous m’aimez, 
a CESR ee 6 — + — + —— ee En —— = A 
Hi à Se) =F$= _— ce == nus = . 
F- apr ic Es ER — FR) CAEN EE MR RE $-— 

PHILEMON. 
Tr Ba FERRER RAIEE Fretet 4e 


“ vous _ de me croire. LE nœuds que l'AS a formez .. être brifez parla 


ES 


poceenternsmenten mms (6 eavermeegs nn nn 2! 1: 


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Gloire, Pardonnez mes oi one Jay tout à de elle eftma Ri- 
Te nb reles rU ER Toy NC ARE ASE 
RS See o 
A Le ne pa pe 

ISSE. 
merReerterr tte 
sx K 0e ÿ + ZIY 
LT el FFE HAE Her 
== 
vale. 


ne la connois point cette Gloire fa- tale, Mon cœur ne reconnoît que 


je To hr a, 
LE = 


ER Pense fee É 


Q——— 
x Ps Je le difois à cette foli- tude, Elle 


fçait mes tourments fecrets ; Que 


=; D DE NA AE a VE 
[- — = sc Le Fate = “4 Ÿ= Bi uf T 


ee a me D nd 


ACTE CINQUIFME, SCENE III A 


GERS ÉtEtEEn … = 


ne peut-elle he- last repeter mes regrets! Pour vous tiret d’i inquiétu- de: 
BE RE ee en GE f —— ae à pme on (500 0 res EE 
on NE DE EE EE] re dre pee eu tu — um, 
[a — ne ne + mme À muet ce — (— commen ot un ms nt 
MEL se Dé Le mme Pre M Ce mt cam de at Get Mr 
‘ en en es en ù — EEK Rene ADR = RER AN M 


' Et È is + = ” ce ti His . 


js ne peut- elle,he as: no. ter mes regrets, Pour vous tirer ES 


ne Le man me == mn mis ae = 1e IEP 
2 mes RE D + ee mme — —_— PE 1e 
a ———— + — rs Le —— <| fe Se ST 
AE —_— a  — en me de nt ee is ne Se —— ns mnt 


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SE 2e ES 2 PT 2 DEEE en ee eu 
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ne le ee nn RE + 
pe dé RAR RE cmnee 00 D CGON PRDNRCENIRR EEE BREL qe DÉTENTE CANNES DEMO EUR na 


ps C'eft moy qui vous aime Le plus tendrement. 
IE: 


ÈS nie Re — 


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ENSEMBLE. 
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pet 7 FERRÉ SRREET PEER Fil 


C’ER moy qui VOUS aime  Leplustendremenr,C’eft moy qui vous aime Le plus tendre- 


PHILEMON. 


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a moyqui vous aime Le plus tendrement,C’eft moy qui vous aime Le plus tendi ex 


MR EN LE EE 


BÉÉRERHNEESEEEUNES 


Basse-CoNTINUE. 
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È ment. C’eft moy qui vous ai- me Le plus cendrement. Si 


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ment. C’eft moy qui vous aime Le pe RÉ Si vous m'aimiez de même ir 


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Dane fa à RE = ms #4 —— X— — K——— PALAU EU Fos 
CR on me eue E ou Le SE ciolomes Console loss le ne) Fos 
he A E Se a EE 
a ee ee pat cŸ mms our ans MEME ie one ou Pomme i 


ph Ë TT 9 mm G rs eu LH PCA EP i- , BA PRET TC ER RNE RN 


264 | ISSE PASTORALE HEROIQUE 


FÉSESÈLEE ERREURS 


vous m'aimiez de même, Monfort feroit charmant. Si vous m'aimiez, de même ‘ Fe 


HENENT F LE sé H EE 


{ort feroit charmant. Si vous m'aimiezde même, Monfort feroic: di Mon 


7 rer. ue 


Se Re ten, om 


Lmi one me) Liu RE —— 7" BETA EN TN tel à 

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fort feroit charmant. Qu moy qui vous aime Le plus tendrement, C eft moy qui vous 
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| aime Le plus tendrement. Cet moy qui vous ai- me Le plus Ar 1 
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one] donnees Du va + Lo RS RS AT Car pm ne a rue 
ts es mec — mo Re — ne — = BE ré 


ACTÉ HUE: SGENE II 265 


FE ee HER EH RENNES 


frir: Ciel : ne puis-je vous en guerir, Apollon, en ces lieux, Hâtez-vous de pa- roître ; 


Ye —— | nt ent Common Somme com CO EN RE "à 

— — ne teens Me SE Rene re ee | le. RS cs 

= nn bot né mt a — ST N E 
es Pme pan mamie De mu —-— MERE nee ————_2 pm re 2 nn pan 


is DR Dan Rae, ne ue 


‘Tendrement. 


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Par des attraits pom- Fes Tachez de m il Ce Berger de mon cœur fera toüjours le 


LR Se MA D 
RERÉtErt ÊE IE == SEE ee = 


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Vivement, 


G . a Qi 4: LR 
TE ii f=È ne Hit ARE 2 EE TR 
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maître, Ecles veux écla-tans que vous viendrez m'offrir Ne ferviront, he- las : qu’ozai - je 
—-Q — ç DZ. 6 76X 
Lu Fi De em à mm 0 mue ARE ER ES ANNEES le = = us 
f Le ne) 
ES: Re + | HE De 
SE ES 5 —— = 


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1 1 Mes tranfports indif- crets preffent vôtre Jo Æ Ce Dieu qu’un vain amour inf- 


k nes nec, D — =. oh ne, do me mens pomme ae 4. >" Etes mommmenne, N mmnen ponte cg étonnant po D mn 0 Le 

Ze — — rs —— ——— à Est ——_— + Ze Re 2 ee eme en Pan + Enr de Le ce 

LE LIL DRAL I LEE RE RE) CEE a Re EN Le RE Te ML PE AL dE] Re 
HR es mn a QT ———— re mé —— D — ts ee me a 
DR pm RE 2 ee < X— memes Lame ges Ê - DT anne 


ce FÉÉSÉ mn + 


| pire , Se vangera . fur vous du refus de mon cœur.Mais que on, : quelle pe 


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— k AG RM mr à TT PRES et mn ee me ss ne mr 
$ me es er en see À means tee ce — — commnemenes ne PC nt man on mnt es re a moon 
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RS Re een entente + A I 


Le Théatre fe change en un Palais magnifique , @: les Heures. tue 


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À ppp btp RE FÉES 


à: =: CT NES 


Le fance En un Palais fuperbe à changé ce fé jour ? vois les Heures, leur pre- 


= re —© | — A pe nm D DL ne nc 
L = —=i——- At = — ES ee EN RE == 


= mue (5 ns 


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26 I ne. PAS ORYAL EPS ERMOTOUNE. 


: IS S E’. Vivement. ; FA] 
FHÉSSSIÈTE DEEE FRE = HS 
| Le u KE 1 


+ 


Pebce Nousannonce le Dieu du jour. AH fayons cher Amant ; qui pourroit nous dé- 


À Spam ou D — 


Al Aa au ee (= mt ne > mcm gg mu tam 7 Ge XX — pan mn 7 —X-———— ——— NSP ER 
(ARE à pe nt | Lee re e—, ee mt CS mnt d L a re ne pat mn mx 0e, we | 
Hem ps Se 
É= : | | 
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Et D LT E et ÿ= ST Pen RUES = _ dE 
mn CT mes dents imel _. --+- = i— — = _ on 
RÈES == += sine 008 VE come homme Le mme ï + ŸE EEE EN 


fendre De la fu- reur d’un Dieu jaloux: | je veux le flé- chir,ou mou- rir fous ES 


+ K4 6 
D Done ul Que D ANORE 0?, VU 
2 AE 0 Étant dun RE a us 


ISSE. 


SÉPARÉE ER + HÉENER 


coups. #, Ar quel frivole efpoir vous laiflez-vous farprédre>Fuyons,Fuyons,dérobons-nous tous 


ee ee mess À ee en 
3 
me D ms com mme fe sms ant ne ans mes 
me, ms mms mn 


TE TES) ——— À anne: eee me) 7 en + 
ee rat (jm — ee net mets ÿ — RE —  — ÿ == 7 


PHILEMON.  ISSE 


pen FR n ELA aaeteé ——…. es Ÿ _— mar —{ me sn mn rs ms Nate Or Lnsnel | LL 1 ss 
sent — CEE POSER ns ne: —_— me k pe mn — A nr STE Her a er ÿ : 
SEE A mue = à 2 RL PE et en EE Re 
qe ms me as es me nt À nes 0 ee mn ee ss en Le ee ——r Ce Er mt nes de ets — — mu C7 — om de md 

_ deux à fon couroux. No: pleurs l'atendrironr. JE tremble , Je frif 
qu AO UE. D Dpt in pe EU î 1 passe Ce ns és ne pren, te (5 D ARTA 
or PE SAR AR ME DREAM E | . na = RARE CS aura a | 

PHILEMON. 5 ten HISÈSNE": fs 

LT msn us D annee | em Fetes ee me ———. ui ) _ far. mm “Jen can LE PNR) 
= He er EE FRERE EEE 
ENT er ET. gi ae SE Poe: 
mu. lo Bu x = Li EE een meme — ns nr RTE PET 


ere Venere par ner — (0) 0 
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A: RU. ne ms mm a Rn te NA 10 ou ne 


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ù fonne ù — mon dpi pue que vôtre cffroy. Nc pe- 
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PHILEMON. 


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rir? LUerien ne vousé- tonne, ee donc  la- mour dontje brule pour 


0 _*? 

RE 76 * Loi Pa à ei Es En 
PR mme D — — ne nf ce — nm mn, me a fm on — 04 nn ou mme ET! * 
Se A re en on LÉ pe Le nel ee TE ne me LT __—— nr TT ; 

; - a 


rer Cnne rnnennne nee) pacmmerentnnn, uen. ME 
nes ns me cree 


ACTE CINQUIEME,SCENE {IL 6 


RÉF Rene S Fe as 


| toy. Je ne me connois plus, la raifon m’abandonne Joüi ao el , Joüi du trouble où tu me 


sg — — a A meme = }— — 
KE: Sn ed oem Re ee | st ne ect em ee ee ones Dee ee — mn 
ts 2 DE DRE D =D een Se ee nr PERRET RER ARS — 


ÉCQUE TR a mo 


FER <è see _ - 


C2 | — + 


voi. Un no. affreux de mes efprits s'empare, Ciel! où fuis-jeique vois-jetarrêrez Dieu bar- 


ER Rte 
= mens Ês= = 2e be =; 


neue ce (5 entente — Per nt mare 


[Es es ] EEE EE ie Be hettee FFE 


DV 1 à se 


“ES ,Oùportez- vous vôtre injufte fu- Le HR mon Amanc,percez plutoft mon 


SEL AA mme ve —— "me + ms Ce pen ne, amor me porn pommes | 
= EE Dee a en z—ÿ= D er ei rm A mt en 
; Le un pomme oh ns sel ot | 
—— HE ME le ——— - Te en ge ne — me mr pl me 2 
_ RE ns > 


—— ee —— STATE) Eu ns ess CU 


PHILEMON, FS 
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RREEERREE î re. ER 


| cœur: ÂH: c'efrrop, bete IC {,voyez couler des fes Que je ee à la 
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6 
ON NE — cmt, Pen, ARABES pe 7m — me, at À prete cu CC) dr mere Le) ut a ne pren ben Don 
ET PE ne pe et ee pe, de 1 a nf cm Fra RE 
el PS Cm AS men Re me mt — — ———  — ne rt me RE PQ MATE 
| 5 us et Le 
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A © 4e = -— mme 00, À 
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fois de joye & de douleur , Je fuis ce Dieu crasl qui caufe vos all hé ÉPREC 


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putent la gloire De s'aimer le plus cendrement.Que nos cœurs à ja mais fe dif- 


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Tendrement. 


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putentla gloire De s'aimer, De s'aimer le plus ten- drement. 


EFRRRRRIE EIRE 


putentla gloire De s’ai- mer, De s'aimer le plus ten- drement. 


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jme ,marquez l'inftant de ma felici- té. VOLE E accouTrez , 


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BASSE-EONTINUE. 


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Lu plhaudiffez à mes heureux foupirs. Pour prix de mes bien-faits  célébrez mes plaifirs, 


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SCENE IV* ET DERNIERE. 
AO LL ONCISS EULIESUHEUR ES; 


Troupes d'EUROPEFENS. d'AFFRIQUAINS, DE CHINOIS, & d'ÉcYPTIENS. 
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MARCHE DYENST NATIONS. 


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ACTE BARARIENE SCENE TV. 
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Que tes plaifirs font doux ! que ta gloi- 


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276. I1SSE, PASTORALE HEROIQUE 


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292 ISSE, PASTORALE HEROIQUE. 


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ACTÉ CINQUIPME, SCENE tv Vi 
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Que ta gloire, Queta gloirecft ex- ttéme! Queta felici- té dureau- 


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ACUPTE ARS Me SETNE EVE 289. 


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té dureautant quetoy même. Que ta felici- 


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Que tafelici- té dure autant que toÿ même. Que ta Sloi rc eit ex 


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ré dure autant quetoy même. Qus ta gloi- retelt\exe trême ! 


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CR, mm es ER ma re MS me 20 20 CS re re OT DS en meme, 


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ACTE CINQUIPME, SCENE IV. : 18? 


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138 ISSE,PASTORALE HEROIQUE. 


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On reprend l'Air des Awncriquains , page 293. 


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236. IS SES PASTORALE HEROIQUE. 


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390 ISSF,PASTORALE HÉROIQUE. 


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On reprend la Gigue, page 296. Er le Chœur, Que tes plaifirs font doux, Page 273. 


FIN DU CINQUIEME ET DERNIER AGTE. 


ATTRIBUTION, DB:LA CHARGE 
: =, : de Seul Imprimeur du Roy pour la Mufique. | 


LE 


72 À R Lettres Parentes du Roy , données à Fontainebleau le cinquiéme 
NA , jour du mois d'Otobre, l’An de Grace mil fix cent quaire-vingt-quinze, 
3] RER Signées, LOUIS; & fur le replis, Par le Roy, PHELYPEAUX ; Scellées 
& Ex 106 du grand Sceau de cire jaune; Confirmées par Lettres de Surannation, 
D, données à Marly le vingt - huitiéme May mil fept cent quinze, 
Signées comme deflus : Toutes lefdites Lettres Verifites & Regiftrées en Parlement 
le 7. Juin 1715. Il eft permis { à J-B-Chriftophe Ballard , Seul Imprimeur du Roy pour 
la Mufique, & Noreur de la Chapelle de Sa Maijefté, ) d'Imprimer , faire Imprimer , 
Vendre & Diftribuer toute forte de Mufique , tant Vocale qu'Inftrumentale, de quel- 
que Auteur ou Auteurs que ce foit , avec cres-exprefles inhibitions & défenfes à 
tous Imprimetfs, Libraires, Tailleurs & Fondeurs de Caracteres , &autres perfonnes 
generalement quelconques, de Tailler, Fondre, ni Contrefancles Notes, Caracteies, 
Lettres grifes, & autres chofes inventées par ledit Ballard; ny d'entreprendre ou 
faire entreprendre ladire Impreflion de Mufique , en aucun lieu de ce Royaume, Terres 
& Seigneuries de l'obéïffance de Sa Majelté, nonobftant toutes Lettres à ce contraires 
fans le congé & permiflion dudit Ballard; A peine de confifcation des Livres ou Exem- 
plaires, Notes, Caradteres, & autres Inftruments fervant au fait de ladite Impreflon 
de Mufique, & de fix mille livres d’Amende ; Ainfi qu'il eft plus amplement déclaré 
| _efdites Lettres : Sadite Majefté voulant qu'à l’Extrait d’icelles mis au commencement 
E -ou fin defdits Livres imprimez, foy {oit ajoürée comme à l'Original. à 


à s 1fe à 50% 
Sa w* fl “ + à ré satin: Ai ” 
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