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Full text of "La dame de Monsoreau : grand opéra en cinq actes et 7 tableaux"

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THE  LIBRARY  OF  THE 

UNIVERSITY  OF 

NORTH  CAROLINA 


ENDOWED  BY  THE 

DIALECTIC  AND  PHILANTHROPIC 

SOCIETIES 

MUSIC  UBRARt 


M1503 
.S247 
D3 


UNIVERSITY  OF  N.C.  AT  CHAPEL  HIL 


000 


0982010 


UNC-CHAPÊLHILL 


This  book  is  due  at  the    MUSiC  LIBRARY         on 

the  last  date  stamped  under  "Date  Due."  If  not  on  hold,  it  may 
be  renewed  by  bnnging  it  to  the  library 


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RETURNED 


DATE 
DUE 


Digitized  by  the  Internet  Archive 

in  2011  with  funding  from 

University  of  North  Carolina  at  Chapel  Hill 


http://www.archive.org/details/ladamedemonsoreasalv 


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deJ^onsoreau 

GRAND    OPÉRA  ■ 

en  Cinq  actes  et  7  tableaux 

tiré  par MrA.MAQUET 

c/u  Drame 
d'Alexcuuire  Dumas  etAMaquet 

Musiq-ue  de 

fi.SALVAYRE 


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iiiii.iiiiiHiiiiiiiir'iiiinni 


Pans  CHOUOENS  Père  a  Fils,  Editeurs. 
Boulevard  des  Capucines  30, 


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PARTITION  Piano  et  Chant  transcrite  par  L  ROQUE V%^~ 


Pous    droits    de    reproduction,  de    traduction,  d'éxecution    et    de 
représentation    sont    réserves    pour    le    présent    ouvrage. 

CHOUDENS 

l'tliK    et    FILS 


AVIS   AUX    DIRECTEURS. 

Nous  prévenons  les  administrations  théâtrales  que  conformément,  auv  luis'11  et 
au*  traités  passés  avec  nos  auteurs!-  flous  interdisons  I'  c-\é;-ution  de  notre  rcper. 
toise,  soit  pour  des  représentations  données  au  piano,  suit  avec  une  orchestration 
q'ii    ne  serait    pas  celle  de   l'auteur. 

CHOU D H N S 


iVurunu  représentation  et  exécution  loiale  ou   partielle    d'a'uvres  dr.Hnatique-..   -f    .)•     compositions    musicale.*, 
ni:   unul    jvnir  lieu   que    du    consentement    formel   el    p.ir  ci:rit    dc^   auteurs   ou    i!<-   leurs    représentants. 

LOt'du  31  JANvn  ft   1791:  Arrêt  de  Coup  ti  avril    (855. 

To'it  directeur,  tant  entrepreneur  d<-  spectacle,  toute  association  d'artistes  qui  a  fuit  représenter 
sur  si>n  théâtre  tics  uiuira^t  i  dramatiques,  »//  mepri*  des  iuis  et  règlements  relatifs  a  la  propriété  ■■'■  ■ 
auteurs,  est  rmni  d'une  amende  de  cinquante  trams  an  mnins,de  cintj  cents  francs  au  ))!n*.  et  de  '■. 
cont'isiiition    des  recettes.  'code    PENaO 

■  l.es  Tboatres  de  France  et  de  1'  F.tranjpr  no  uourront  représenter  I*1  présent  ouvrage  qu'apn's  .-voir 
traité    avec    les    éditeurs     CHOUDKNS. 

ifs      AUTEURS. 


NOTE   DES   AGENCES. 

Les    directions    théâtrales    et    les    Théâtres     forains     ou      ambulants,      sont 
prévenus  que  les  traités  qn  ils  passent  avec  la  sort****  d*s    auteur»  et   compositeurs 
dramatiques,  ou  avec  la  société    des  auteurs,  compositeurs  et  éditeors   de    musique, 
ne  leur  donnent  aucun  droit  sur  la  musique  qui  est  la  propriété    des  éditeurs. 

'Traduction    riserurfï 


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II 


LA   DAME  DE   MONSOREAU 

GRAND  OPÉRA    EN    i    ACTES, 
Représente  pour  la  première   fois    sur    le    Théâtre   National  de  fOpe'ra,  le  30  Janvier  1888. 

Direction:  RITT  8-  GULHARD. 


Personnages.-  Voir:  Artistes: 

Diane  Soprano  .  .  .  Mm-Ps  BOSMA Y 

Jeanne  de  Saint-Luc,  Sop: . .  _    s  arolta. 
Gertl'Ude Mezzo-Sop:..    _     MARET. 


Personnages:  Voix:  Artistes: 

Bussy Ténor M?  Jean  de  RESZKÉ 

Monsoreau...  Ba^eBc;h^;,()a,;,!e  _  DELMAS. 
Le  Due  d'Anjou  . .  Ténor _   itiOS. 


Saillt-Luo Ténor Ml      Ml  RATET.  Le  Roi  Deiiri  III  ..Baryton 

Aurillv  ...  Basse  chantante  .. .   M'-    DUBULLE. 


M-r    BERARD1. 


LES    MIGNONS: 

Quélus Baryton  ....  Mr-S  M  UVnPOURA'. 

MaUgirOll Ténor _  SAPIN. 

D'  ÉperilO!» Te'nor _  WARMBRODT. 

ScllOUlberg Basse _  BOUTÉNS. 


LES   AA'GEVLVS. 

Antraguet Ténor M':s  TÉQUI. 

Livarot   Baryton  .  .  .  _    LAMBERT. 

Rihérac Bas«e _    CREPAUX. 


Chicot,  m:  BAl.LEROY—Gorenflot,  M'.  BATAILLE  _LTn  Prêtre,  M'.  lamuert_Ltii  Page,  Mn.,f  CANTI. 
La  nurière,  M'.  MALV.AUT—Bonhouiet,  Mr  VOULET—Ln  Huissier,    M'.  GIRAUD. 

BALLET:    M1!' J.  SU8RA. 
Chef  d'Orchestre   M!    A.VIANESI. 

Chef  du  Chant  MV  L.  DELAH.WE Chef  des  Choeurs   Mf  Jules  COHEN. 

Ballet    réglé  par     Mf    HANSEN   Costume,  dessinés  par  Mf  Ch.  Bl  ANCHINI. 

Partition  Chant  et  Piano  transcrite  par   Mf  LEON  ROQUES. 

Poiu'  toute  la  musique,  la  mise  en  scène,  les  dessins  des  décors  ci  des  costumes,  le  droit  de  représentations,  s'adresser 
à  M?CH01'DENS  PERE  ET  FILS  Editeurs-Propriétaires  delà  DAME  DE  MONSOREAU  pour  tous  pays. 


PROLOGUE  _  (J?1  TABLEAU). 

PRÉLUDE 2. 

SCÈNE   I Mes   ordres   sont  exécuté*   8. 

SCENE  II Où   me  conduisez-vous  .*  14. 

(SCENE   III Ah!  Gertrude,  tout  est  perdu 17. 

'  ANDANTINO J'ignorais  encore  les  pleurs  Diane 19. 

SCÈNE    IV J'entends  l'aviron   là 30. 

SCENE  V Ouvre:,  c'est   Monseigneur! 46. 

ACTE  I  _  (2!  TABLEAU). 

SCENE  VI Joie  Eternelle  au.r  deux  nobles  maisons 50. 

AND"-0  CON  MOTO Tout  voir  sans    regarder. Jeanne,  S1.  Luc 64. 

SCÈNE   Vil Entre'e  des  Angevins 69. 

SCÈNE   Mil Mes  compliments,  Saint-Luc 74. 

SCÈNE   IX Qu'ai-je  entendu.   Bussy  d'Amboise ! 80. 

RÉCIT  de  BUSSY Et  d'abord  recevez   mes   compliments 90. 

DANSE 116. 

SCÈNE    X  ,  ,  , 

/ Dieu   nous  assiste  : 

PROVOCATION  ) 

.  A.C.  7785. 


117. 


3f  TABLEAU. 

RAPS0D1E  SOLDATESQUE 142. 

SCÈNE  XI  J'ai   cru  distinguer   les  pas    150. 

RÊVERIE Avant   de  m'enfermer Diane 151. 

SCÈNE  XII Nous    y  voici 160 

SCÈNE   XIII Ah!  pour    le    coup 164. 

DUEL  Attaquons  ! 173, 

ACTE  11  _  (4!  TABLEAU). 
PRELUDE 185. 

SCÈNE   XIV  i  n        .     ..     .... 

i  »  ur  v  r  .     i Depuis   bientôt   une  semaine Diane 190. 

LAMbii  1 0     > 

SCÈNE   XV On  lient   de  refermer  la  porte 196. 

SCÈNE    XVI  l  „ 

SCÈNEdelaLETTREÎ Ne  pms-je    entrer   ,c?   D.aue,  Monsoreau.  .    199. 

SCÈNE   XVII Alerte!    on  vous  a  suivi 211. 

SCÈNE   XVIII Où  vont  ces  hommes  ? 219. 

ANDANTE  CANTABILE   6    cher  souvenir '. Bussj 220. 

CHANT  D'HYMEN Veni   spousa   Christi   225. 

SCÈNE    XIX Va!...    Monsoreau! 228. 

5*  TABLEAU. 

INTRODUCTION 246. 

SCÈNE  XX Ne   désespérez  phi:.,  Monseigneur! 248. 

SCENE   XXI  Approche,    mon    héros  !  253. 

SCENE    XXII Vous   avez  pris   une  fille  à   son  père 256. 

SCENE    XXIII Et  c'est   moi  qui  hrise  sa    chaîne 262. 

ANDANTE  CANTABILE Ô   mon    second  père Bussv 263. 

SCÈNE   XXIV Le  Duc   m'attend 266. 

MONOLOGUE  6   lamentable  coeur Monsoreau 267. 

SCÈNE    XXV Enfin,  vous  voilà,  mon  fidèle  ! 272. 

SCÈNE    XXVI Monseigneur,   la  voici  ! 286. 

ACTE  III  _(6?  TABLEAU). 
SCÈNE  XXVII Attention!  attention!  arrêtez-vous! 310. 

BALLET 

LA  FETE    DES  FOUS. 

Satcrnale 333. 

Scène  et  Scherzk.ttino 338. 

Valse 342. 

scene  ex  fokmk  de  styrienne 345. 

Scène  du  Masque 349. 

Danse  des  Fols 353. 

Alla  Romanesca 356. 

Danse  de  la  Jeune  Fille 358. 

Ensemble 36L 

Final  avec  Choeurs 368. 

SCÈNE    XXVI11 Monseigneur,  quoi,  Btissy  ! 373. 

SCÈNE    XXIX La   Providence  soif   bénie 376. 

PROCESSION  de  la  LIGUE '. 389. 

ACTE   IV  _  (7?  TABLEAU). 

PRÉLUDE .   401 

SCÈNE   XXX Ainsi   vous  êtes   sur 402. 

ANDANTE  CANTABILE Plus   de  nuage Diane,  Bussv  406. 

SCÈNE   XXXI Ouvrez!  ouvrez!  c'est  votre  page 418. 

SCÈNE    XXXII Ah!  Seigneur  de  Bassine  420. 

SCÈNE    XXXIII Halte-là! 424. 

SCÈNE    XXXIV Cher  Bussy,   vous   verre:.' 426. 


A-C.    7785.  (g^gg2gâa|  BaudonGr 


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2 


1er  TABLEAU. 


le.r  TABLEAU. 


PROLOGUE. 


Aud'!°  maestoso    ma  cou  moto. 


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PIANO. 


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plus  agité. 


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Enchaînez. 


A.C.  7785. 


Les  Étangs  de  Beaugé 


Une  salle   basse  du  château. 


SCENE    I 

AIRILLY,  LES    VALETS 


Ail1!0  Mod'.°  e   molto    maestoso. 


très  soutenu 


PIANO 


AIKILI.Y. 


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Mes    or.dres  sont    e-xe'cu_tes? 


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sonne  attendue. 


au  château  va  ve    _    nir 


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sortez! 


sortez!. 


itez  vous  dis    -     je 


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Ped. 


Ped. 


A.C.7785. 


Ped. 


14 


SCENE    II. 

DIANE,  GEKTl'UE,  AIKILLY. 


Ali'.'0  mod1.»  ma  agitato. 


•^  -^  ~=*-  -s*-  h  ._ "■  «    n  &♦  -F —  -^     •  a 


DIANE. 


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r    1     f— g 


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^   Ou  me  conduisez-vous     répondez  je  Pex  _   i    _   ge!  Ça! me    ré-pondra- 


I 


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t-on        je    le  demande  eDCor?_ 


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Enfin!. 


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Audl.e  cou   moto. 


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1      i>'    p   p-P  k    k    i 


I 


And'.e  cou   moto 
-3— f- 


Mon.  sieur, je  suis  la    ba.ronne   Di 


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É=É 


ne 


IL  nique  enfant    du  vieux  ba  _   ron     de  Mé.rî.dor       Je 


V  .G. 7785. 


15 


éupi 


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JE 


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me     rendais  chez  une      a 


nue^ 


Vos 


ont  malt  rai 


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i^ésn- 


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i 


s 


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-fa-r  %  r  r  §  j  !  f j  p  r  g  p  •  p  Hz^r^-ry^^ 


-  té,  chasse  mes  ser_ vi  -  leurs  Ont  mis  la  main  sur   moi!_       Quelle  est  cette  in  _  fa 


±pf 


do. 


P fej 


P         ! 


M  r   i  r  -M 


mi    _     e?  Qui         paye      i  _  ci     n'es    mal  _  t'ai     _     teurs 


rit. 


fWE 


Un    peu  plus  lent. 


:s£ 


3  r      s 


%^m. 


Pour  violenter  u_ne  t'em    _      me? 
UIULLY. 


ou 


suis-ie  enfin? 


-je  e 


m 


'!/• 


àaç. 


i'   r        -F 


—    JL  rit.  s 


^=± 


^j   j   i 


Chez  nous  ma. 
l'u  peu  plus  leut. 


ta 


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A.C.7785. 


16 


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p. 


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■     i»       — ■ 


Si 


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da     _    me...  Nul     n'oublie  _  ra        ce  _  ans         quel    respect       vous     est 


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f==±    pf=e 


j  r  j  j  1  §  |  53 


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dû; On    ne  veut    rien que  vous   traî    _    ter_comme  u  _  De  rei 


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rit. 


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(  il  salue  et  sort) 


Au. 


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17 


SCENE    III 
DIA>E,  GERTRl'DE. 


D£AN'€ 


avec  ejspvession. 


I 


ËEËÉZ 


■£ 


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rois le pie       _       ge 

nn  i — x 


ou. 


l'on  m'entrai     _     ne 


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P 


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S  ;  ;  ;  t  f  I  J 


Je saisi  nom     .    me       qui         la ten.nu 


1^ 


e saisi  hom    .    me      qui 


P^# 


S 


i 


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sa 


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A.C.7785 


la 


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-do 


m 


S 


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qui  vous  ai 


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me      et-        veuf 
s 


P  P  j  r  ; 

vous  e-pousei*!. 


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D'où  vous 


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ra^n^n 


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J'ai    re.fu.sé     sa  main!.. 


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vient  ce  soupçon  et  ran     _    ge 


S 


Pour 


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li  J'.   h 


>-  s  j  i'  J1  J' i  m 


f 


Pourquoi   ger    .  tru     -    de,        écoute  une  affreuse  a  _tcd 


Fï^f 


i       r 


IllOl 


la     re_  fu.ser? 


i      r 


P^ 


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j^— é 


pp 


ï       r 


P 


V  nT  1 


A.G.778S 


19 


DIANE 


And"."  con  grazia  e  cantabile. 


_dor mes  oiseaux       et  me 


S 


mes  oiseaux       et  mes   fleurs,. 


;Pê 


i     i 


j=jt 


BË     <■    — 


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ri  .ait     dans     la 


P 


asÉ 


Tout    me 


a       aa     .     tu 


-  re,       Mou 


m 


,rmr~^ 


vp   A 


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K.C.778& 


20 


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rrg  t  Ea/TTz§g=n? 


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É* 


pour  ve_nirchei"chee_  dans  ma  main sa  pa    .    tu        .      re,      Daph  _  né     ma 


i 


à 


è 


J^4 


espressivo. 


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P 


*  *        *       *    * 


biche,       osait    sor.tir  de  $a  fo  -  ret! 


Daph  né,  ma       bi      .    che  o.sait   sor_ 


Même  riouv! 


¥Wm 


lu- 


ne.          sa_ 


fo       -        rët! 

Même  mouv! 


P 


A.C.7785 


21 


DIANE 


à 


Un  jour  l'aboi      «ies 


mm 


£ 


ttÉ 


5— t"is~ls 


£ 


aqc  H 


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S 


£ 


é    é'    é — # 


biens re.tentit. 


sous  les  chênes  Monsieur  de  Monsoreau  le  nouveau  grandve. 


y^Jffi^TO 


e« 


1    5  h 


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***-* 


W^fffl  j^^lfl 


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igitando. 


tf^^jTlj+ft  J,  1 1  i^_  |  É I  ^^p 


chassait  aux  col  li_  nés  pro-chai      _      nés     un  cri  mon.  te!         Pri.se  de 

agitando. 


m 


^mm 


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7 


^-^-^^^É 


f 


tfftffft 


«OT 


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_  s'eéa  _  do.  a^. 


peur,       je  cours  et  vois  passer  mabi     _    cheha.Ie   .tan 


te 


TtHrim 


âJ± 


I 


i 


â    !    - 


»<?«» 


A.  C.  7785 


22 


Récit. 

h»    f.~f. 


$  fop  ff 


S 


à 


r  w  y;  i  n  i  ï-êfW 


puis,     après  un  moment  d'alten 
Récit. 


k= 


^0 


te       Mon.  té    sur  un  cheval  tout  noir,     Le  grand  ve_ 


k 


V 


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S 


^^ 


fe=^ 


a  Tempo  più  animato. 


_  iT'ii  r: 


3 


I* 


H£ 


a  m    m 


t=tzt=t=t=t 


au  bord  des  étangs  deBeai 


Je  cours  et  j'implore  et.j\ii"_rîye. 


$^JL.J?LJ^Lffl  jJpbfl§_.Jlft_Jll 


/>/> 


É 


Récit. 


1       n-^- 


?PH  gtHp-^peiJ^J'ipgp 


if-" 


Enfin  le  grand  ve.neur  a    pa.ru    sur 


a   ri    _    ve!    vers  ma 


biche      il  s'est  di.ri.gé 
a  Tempo. 


Ah! c'estpour  la  sauver,. 


pour  empe. 


A. C. 7785 


23 


..  un  poco  ri   . 


un  éclair  bril 


^ 


le!       11  il     cou-teau 


k* 


s'est      plongé  dans  sa  gor.gesoy- 
poco  ri   . 


? 


••       i> 


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te. 


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m       m 


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0  0  0 


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eu       .      se... 
^_ ~  ^ 


.  te 

l_P 


et  la  don  .ce  vie  .  ti 

# 


me     tombe  et  meurt  en 
-     n»«  _ 


|l'f  ^    #       P-        I*-   S     P         -       P       - 
»—  1r=    .  P    .       u,       P-=— P~- # = P 


ra 


l 


jp  ^p  ;  g  3~ëttiti 


p — p-^.  «r^.  p 


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saut. 
8-7Ô' 


sur  la  main  qu'il  m'ot 


i 


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ai   re,ti_ré   la 


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A.  C. 778 5 


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24 


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mienne 


et"   voi    _   là. 


uni  voi_ 


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à 


ri 
jnf'  cresc. 


te 


h+ 


to. 


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a  Tempo. 


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3 


P^ 


_  la     comme  il    s^  ven  . 


_'ge! 

a   Tempo. 


i 


i 


s* 


F^f 


±-ï^t=t=i^t^=t=t=t=t 


T 


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to.  ! 


j  U  ^U  >  ^r^P 


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fi  EUT  Kl' DE. 


(m;i!  convaincu.)  ".'/ 


J>  f--  ^ 


Le  Corn       .      te? 


Wffin 


«=vfe  ^ 


p 


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i 


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,  .f^ ,  57?! 


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Il  DJ  j^  J  P  ^ 


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DUNE. 


I 


3         k       3 


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É=É 


PP  P  [i[!-P_HL-^ 


f  |?  M'  I" 


Et. 


quel  antre  que  lui  o  -  se  .  rait  contre  moi. 


ce  qu'on  ose  aujour. 


I 


^ 


ÊfËËË 


É 


glfhi^h 


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^t}^p=^S 


A. C. 7785 


25 


I»      lyppFf 


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-•/ — E 


dhui?       Nous  déieuefons  les  projets  de  cet   hom 


me 


mm 


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j- — <jUij3 


F^ 


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(montrant  la  fenêtre) 


l>*~7s- 


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E  ^  gg     Bff    =ff 


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I 


Ouvre  et  sachons  d'abord... 


3  :  m-£*À  k 


Les  murs  baignent  dans 


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W  3 


P 


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1 — FBïBIF^ — n  "M — m      1  « 1*-] 

rfo 

\p     ■      ■= — 

^4  hë$  ij^  ±U  r»^ 

■'g      ....  -  -  — — 

A.C.   7785. 


26 


DIANE 


fTr'nTg 


« 


mtm    Ù? 


t      ?.*?. 


^E 


PF   y  F? 


.reau Dieu,  cet  immense  étang cetle  fo_rèt  so 


no 


re 


* 


-fr^i\  LJb 


rrm 


r  r  r    p 


£ 


w 


7  r  r  r  p 


L      .  ■      >t 

5    h  5    g  \t 


w. 


Ve* 


m 


t 


3^ 


Mon  malheur     s'accroit  en  -  co     .     re! 


c'est  l'étang  de  Beau. 


te 


i 


s 


-ir— f- 


I 


#- # 


£ 


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f—w 


c  .     y      g      y  g  »— » —  Qj —  r r 


# # 


fc=± 


=5=^ 


-se!. 


4 


GERTRIDE. 


Nous  sommes  au  château  du  duc  d  Anjou  ! 


m 


^=f 


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SE 


A       LA 

* 1 


Leduc! 


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If  f  , 

<>>l  _  (10 


3&9 


T 


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A         A 


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M 


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SC 


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e 


A.C.  7785. 


27 


DIANE,  nif 


H^p  ibr np  ?  i  p  1 1  p-p 


4 j u       J 


Le  ty,  ran     de  cet.  te  pro  -  vin   -    ce, 


Le  pâle  ambi  .  ti 


^^^ 


:3F=F 


L  g 


^ 


)ft 


¥E£ 


W£ 


p  1  p  p  {l'y  F   F  m  P-P 


.eux  que  précède  l'effroi 


Le       sombre  débauché  qu'accompagne  la  hon 


_te!...  Il  m'a  vue,       Il    a     du  me      voir Et   me  voilà  dans  sa  nu 


i 


A 


f 


^ 


-J — 4 


F — TC: 


S 


p    Si-; 


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l        7 


»— ** 


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LJTUT 


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S£ 


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.son: 


Me   voi    .    là dans  sa mai. son en    son pou. 


$ 


?=£?=? 


S 


f       r 


m 


i       r 


S 


V 


A.C.    7785. 


28 


Air!1  mod1:1 


5r 


^=fz 


D. 


m 


in 


.voir!. 
GEKTRl'DE. 


(regardant    au  dehors) 


r     r      y   fcf 


S 


=#2=? 


\ 


Ail'!0  niod1.0 


o.yez  cet. te 


^^ 


(hochant    la  le  te) 


r      r 


-y-frtf 


& 


Trop  loin! 


P^ 


bar     _      quelà-basT__ 


I 


f 


1 


il 


Ï=S 


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*5 


f=g 


♦i 


s 


Mi 


fM^ê 


# 0- 


SE 


1 


nf*  (vivement) 


f  v  'J^#f  fp  Ip  J'Jij 


t    r 


0  ciel!    jaicru  comme   toi.nestcepas?.. 


p=^\i^^mr^fr^-^ 


SE-   m 


ÎE^ÏE 


T. 
Mais  oui,    la  barque  se  dé  .  tache  du  bord.... 


Est-ce 


un       a . 


r 


r 


* 


^JsrUrtfl- 


:JJ^f7Efff 


A.C.   7785. 


29 


GERTKLDE. 


m 


^r^J^fi 


t=±=±: 


t* 


.mu 


I 


jÉÉ^i 


Je   ne  vois  rien 


^P 


* 


^j.i  jajï 


s 


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GEKT.RUDE 


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rfo. 


J'en 


ff-CtffCttf 


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u  h^hnm 


^UJàrJÂl 


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A.G.    7785. 


50 


fc 


D1\NE. 


SCENE     IV. 

DIANE,  GERTKl'DE,  MONSOREAU. 


Chut! 


,V 


^P 


3E3 


f 


0  0 
Jends  l'aviron 

MONSOREAl. 


3^ 


là... 


Mon 


ê 


F~f: 


I 


Gertru-de! 


? 


ME 


^â 


dim . 


<^Wr-^g 


'■  i "JSSB      5SSSS3      ESSSiËe!      fftfiSBB 


JJ7?  J7?3  JjT?  JE 


f 


-i — r 


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^ 


La  voix  du  comte 


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Qui  mappel  _  le? 


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Un  a.mi!. 


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(Monsoreau  parait  sur  le  balcon) 


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Lui: 


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Le  grand  veneur!: 


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MONSOREAU. 

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Ne  mattendiez-vous  pas,       ma-de.moi.sel    .   le        Puisqu  il  s'agit  de  votre  hon. 


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neur averti  du  complot dontvousè-tesvieti.me,       je  me  suis  hâ.té     d'accou. 


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Ou.bii.ez 


une     an.goisse,  hé. las        trop  lé  .  gi  . 


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.ti  .  me     et  croyez   en     ce  .lui  qui  vient— vous  secou  -  rir!.. 


Mes  gens  ni 


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moi n'avons  été  vus  de  per.  son  .  ne,    Le  ciel  qui  s'assom.brit    nous  prête  son  man. 


5       M      f 


2 


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A.C.    7785. 


32 


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.teau;  Partons  vite     a.vant  qu'on  soupçon    .     ne    ma  preseo  .  ce  dans  ce  châ 


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tôt,    je    lespè.  re    de re. tour      à     Méridor tous  embrasserez—    vo  -  tre 


Û      ^Jf-fl 


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(troublée) 


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A.C.  7785. 


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a  Tempo. 


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Quoi!  vous  hé-sitez  enco 


re? 


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DIANE..      «/' 


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vous:. 


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vi  -  e? 


j'appartiens    au  Duc  s'il   apprend  aujourd'hui  que  jo.se  secou. 


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-rir la  femmequil  en.vi  .  e       demain  je  serai  mort, _ 


et vous serez  a 


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Croyez-le!  croyez-le!. 


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il     accepter  son  appui?. 
GERTRl'DE. 


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vo    .      tre    sui 


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MONSOREAU. 


Lais.se/    - .  vous- 


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Que  vous    ê  .  tes     sa    .    van       .     te,   Dia  _  ne     à     m'ou.tra 


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Ua.niour  dont    il      se        van      .      te,     devrait  m'en. cou.  ra 


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Lais.sez   -   vous 
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sauveur    m  epou  .  van 


te       au 


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pip 


ger!  Sortez sortez  vi  _  van    _   te     sor_  tez     \i     .    van 


te. 


Sa 


F.r       r  f 


^=g=^=^fn"^^p-^ i  ^  y  pm 


.vante  à  m  outrager! 


Pen  .  sez-vous  que  j'in  .vente 


un  pe. 


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A.C.7785. 


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E-H-frztg=3:?-M'     *.     P    f 

1  J      _  I  i t  1  -i  -  r 


tant 


que    le    dan  .  ger!         L'  araour__       dont      il 


se 


m 


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dun  .  ger         croyez vo  _   tre      sui 


f^TF^     ^    f    f  ■? 


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P       P. 


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.van  .  te  devrait 


m'en  .  cou  _  ra    .    ger! 


Le      sau.veur  m'é  .pou 


far 


^TZfcfrfcË-J^ tlg 


E"-prE---fe^^ 


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van  .  te      Iais_sez-Yous pro  .  té   .    ger!  Sur      .      tez,    sor  _  te/     vi 


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. vante _       au      .      tant    que     le     dan  _  ger! 


.  van       .      te       de      ce      ta  .    al    dan   .  se 


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-vente un      pé  .  ril men.son  _  ger! 

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33 


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A.G.7785. 


(On  entend  un  sombre  hallali  derrière  le»  étanjrs  au  lu'-;) 

Ail'!0  moderato. 

tt— r  A    A        A       A    A 


37 


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Più   auimato. 


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l'halla  .  li! 


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GERTRl'DE. 


(a  Diyne) 


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Écoutez!... 


\ousap   .    pe. 


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MONSOREAU. 


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La  forêt     s'il  _  1 


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rit 


lOrchestre) 


i    .    mi    _    ne! 
Più   animato. 

(Dan-'  l;i  coulisse) 


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tre  corïïë"! 


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(Immobile  et  eumhie  changée  en   statue) 


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Le   Duc!. 


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la   mort,     le 


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Duc   a   ré. pondu! 


(Orchestre) 
>-      rfi'w. 


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A.C  778ô. 


38 


MONSOREAU. 


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Le   Duc!. 


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ne! 


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de     de- sir. 


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et     de     joie 


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A.C.  7785. 


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A  grandDieu. 


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mour. 


de    dé  .  sir_ 


et     de    i 


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Hal.Ia     _    lit. 
A        A    A 


le    Duc     tient   sa   proie! 


hal.la. 


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le    Duc      tient    sa   proi 


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pu       vous  sau.ver. 


Et  je  me  suis  per 


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A.C.7785. 


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DUNE. 


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Je     ne      pins. 


mon    a    .    me  est  gla  _  ce 


i 


CKUTIUut. 


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.  e.    j  ai  honte  et    peur. 


a       la 


fois!. 


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Cet. te  fray. 


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ac      .      court 


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gla  .    ce 


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p-TT 


me  est    m  .   sen  ._  se 


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e  oh!      de 

T  7  P    f      fctl      7    r  ËÊËË 


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al  .  la  . 


Le    Duc      accourt 


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A.C.7785. 


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honte    et    peur, 


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ap: 


à         la     fois. 


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grâce 


é   .    cou  .  tez       sa    voix 


m 


fc=br    r  m 


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A         A 


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r      5 


Plein    d'à  -  mo 


ur 


et        de     joie! 


Hal  .  la 


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Hélas!. 


jai  peur! 


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De  gi'â    . 


ce. 


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Le     Duc  tient     sa     proie. 


Hal 


la. 


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A.C.  7785. 


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puis  j'ai  pe;u'  et       j'ai      hon 


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te 


te 


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Cet    '_      »e    fray   _  eur   est     in-  sen    .   se  _  e}     Oh!   de  grâ     .     ce    ma 


0 * 


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P  r-  t  t 


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donc  in       sen  .se      _      e!  vous  nous  per.dez         tous 


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la   fois!.. 


te. 


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dame       é.cou  .  tez 


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sa  voix! 

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la   fois!. 


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a  Tempo.  A 


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(Dam  lu  coulisse) 


A.C.  7785. 


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ve.  nez!. 


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(Orchestre) 


DIANE.         4 


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Je     ne     peux      pas. 


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MONSOREAU. 


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(Dans  la  coulisse) 


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(plus  rapproché  ) 

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(Orchestre) 


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in        sen  ,  se  . 


(Dans  la  ynulissr*) 


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(Orchestre) 


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A.C.  7785. 


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(Tam-tam    sur   le  théâtre) 


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(Tout  en  parlant  jj  barricade 
'J  la  porte  avec  un   meuble) 


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DIANE,  (défaillante) 


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f.ERTRl'DE. 


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A.C.7785. 


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(Elle  l'entraîne  ^ers  le  balcon) 


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MONSOUEAU. 


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Et 


(Il  le  jette  dans  l'étang 


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Faisonscioireàsa  mort!. 


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a  Tempo. 


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A..C  7785. 


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SCENE     T. 

LE   DIX    D'ANJÉtl.  ALMLLÏ,  VALETS. 


M1RIU.Y. 


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Ouvrez c'est  monseigneur! 

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a  Tempo. 


(11  entre  par  la  porte  de  gauche. 


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donc   re.  tient  la       por 


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a  Tempo. 


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dérange  le  meuble  et  livre  passade  aux  écuyers  et  porte-flambeaux  qui  entrent  précipitamment) 


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A.C.7785. 


47 


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(Le  Duc  d'Anjou  qui  vient  d'entrer  a 
entendu   re    mot) 


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Le  Duc  court  au  balcon j 
puis  se  recule,  saisi.... 


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Et  la  fe  _  nètre  ou.verte   sur  l'é.tang!. 


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A.C.7785. 


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Elle     est       mor    . 


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Elle     est       mor    . 


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.    te! 
Largo 


très  expressif. 


-g.    un  peu   murque . 
Pèd. 


.1..    / .   ..  0  . 


Caluiato 


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dim  .  '      molto.  m.d. 


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A.C.    7785. 


Fia  du  Prague le.r  Tableau. 


50  ACTE   I. 

2e.  TABLEAU.  2!  TABLEAU. 

Les  noces   de  S*.  Lue  à  l'Hôtel  de  Montmorency. 


SCENE    VI. 

S'.  LLC,  JEANNE,  puis   LE  ROI.  LE   DUC   D'ANJOU,  MONSOREAU,  CHOEUR. 

Ail'.'0  mod'.°   e  maestoso. 


PIANO. 


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Joie  é.ternelle  aux  deux  nobles  mai_sons_  Que  re.u  .  ait— cette  al.li. 


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Joie e.ternelle  aux  deux  nobles  mai.sons — Que  ré.u  .  ait — cette  alJL 


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Joie é_ternelle  auxdeux  nobles  mai.sons. 

Bassi.        f  s 


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Que  ré.u.  uit cette  al.li. 

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Joie é.ternelle  aux  deux  nobles  mai. sons Que  ré.u  .  nit cette  al.li. 


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.an.ce,  Que  ré.u   .  nit 


cette  al.li    .  an 


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A,C.  7785. 


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e    .    ter  .    nel    -     le        aux  deux 

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no   .   blés    mai  -   sons! 


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A.O    7785. 


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p-Wi  I  ^n  i  J  ry)  i^fe 


pouse a    labeau.té, l'e'     _    poux      a        lavail.  lan  -  ce, 


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a   labeau.te, 


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le'    -   poux      a         lavail.  lan   .ce, 


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do    .    ré_leuïs    bla    -     sons!. 


La     me  .  me  ejc 


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j  i  J  'O 


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■        * 


La     mê  .  me  gloire  a  do   .    re'     leurs    bla     -     sons! 


p  2'.'5 


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A.C.  7785. 


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1res  , 


poux    a         lavail.lan.ee. 


J         p|K^ 


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i  la  beauté      Le    -     poux     a         la  vail_  Jaa.  ce. 


'&^tîÊw~-[  ppir^fpi 


me 


* 


me      gloire a -do.  ré 


leurs  bla_sons! 


* 


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La       raê 


me      gloire         a      do     .    ré  leurs  Lia 


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A£.  7785. 


55 


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cresc. 


En  _  leur_  a     .     mour 


Tous      deux 


r   ww 


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ont.  con  fi  _  an   . 


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sons: 


Tous  deux  en     leur  a.  mour 


ont 


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En leur a     -    mour Tous        deux 


ont  con_fi    _  an 


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Pour        être  heureux  que  de    raisons! 


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-r     r      * 


Pour       être  heureux  que  de    raisons! 


I  =t 


r     r 


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cou  _  fi      .    an 


ce!  Pour        être  heureux  que         de    raisons! 

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Andantino  maestoso. 

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Le  roi         le  roi     vraiment  mon  cherSaint  Luc! 


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Luc!    le    roi,    le     roi      moncher  Samt  Luc! 


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nient vraiment  mou  cher  Saint  Luc! 

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_       Souffrez,  souffrez  qu'on  vous    fé.li  .  ci. te!  Souffrez qu'on    vous    fé.li. 


Luc!  Souffrez qu'on  vous    fé.li  -   ci  jfe   Souffrez 


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Le    roi    ne  vient  pas  seul       i    .     ci 


Le  duc  d'An.jou    son 


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Leurs   a -mis    les     sui 


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\ront_        Et  voi.là  mon  sou  .ci. car  les  a.mis  du    roi  Veulent  que  le  roi 


A.  c.  778ô. 


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Récit. 


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Si  fort    que  cha.cun     se  con    .  trai   .    gne,       Un  seul   mot 


I 


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Tempo.  „ 


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p  m  r?  w  P  F  t  P  F  r— | 


peut  je.  ter  ce.  ans     le   désar  .    roi 

a  Tempo 


Comprends  -  tu     maintenant,        ma 


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Jean         _  ne,  Que       je  crai  .  _  .  gne     cet 


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voilà   la  cour? 


ce  pa.  ra  -dis 


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Oui,  Jeanne  un  for  tu.  né  se. 

a  TVmp<v 


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And?0  cou   moto. 


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voir 

And"°con  moto 


e.  gar        dei 


Tout  peu    . 


ser sans 


rien 


di_  .  _re,  •>    Trem  .    bler tou     .     jours,_      trembler   a 


J  j  J  \ r  -  te  i 


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re,  •>     Trem   .    bler tou 


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A.  C.  7785. 


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A.  C  7785. 


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vous 


et  moi    de       vous... 


Se   de .  fi    .     er. 

cresc 


dim. 


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tous 
dim 


ex  .   cep  -    1er       Vous    de  moi  ma     Jean 

sastenuto. cresc .  dim 


ne  et 


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JEANNE. 


a  Tempo. 


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Ciel 


de  quel  par. 


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A.C.  7785. 


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rit 


Lent. 


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-  «h   _     en      -       do. 


§EE 


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JEANNE 


a  Tempo. 


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a  Tempo. 


voyez 


rien 


rien        en . 


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J*    Ith   pei<    marqué 


A.C.  7785. 


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).  fH'> 


r  7 pi" 


a.  gv  aussilùl       nrp-Ve  _  nu 


Pour,  quoi     n'est  A. If  pas  vel 


ts=a 


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(h'uliaiil  la  li'lf) 


^tip  ^N,  Il ,  t-iX 


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.nu.  *". 

S'  LUC. 


H.las! 


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Son  père  est  vieux  .. 


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A.r    7785. 


SCE2MS3     Vïï. 

ENTREE    DES   ANGEVINS. 


All'^mod'." 


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J Z* a-f '— 


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-  Ias!_ 
A!I,t"mod'." 


-*2  .e 


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J    A      A 


SES 


sostenuto. 

A      A 


jfrfgfe 


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s'  Lie 


(.i    Jeanne) 


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(Il    s'approche  d'eux  > 


Les   Seigneurs   Angevins,  Entraguet,  Livarot,  Ribeirac  paraissent   précédant  le  Dire   d'Anjou  et    su    suite,    i. 


70 


cninpl  i  mentent    S'  Lut-   puis    saluent    Jeanne 


■  'Jftl  JJHl^i  T1 


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A.C.  7735. 


A.C  7785. 


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s'  Lirf. 


JE  ANNE 


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Ali! 


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cVsl  le  Roi  ! 

(**    Jeanne) 


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la     -      OlleZ 


dit  I 


(1>-   lui  son. 


ïif   fïiii  enlrf-  .'i    droit*1  Piitonrp  d<'   sp*  amis,  Maugiron, H'E|>Prwin,Quêlus 


A   C    778.5. 


73 


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Schomberg  et    d'une  suite   brillante. 


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Le  Duc  d'Anjou  qui  est  entre   à  gauche 
s'arrête,  cédant  le  pas  à   son   frère 


* 


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Angevins  et    Mignons    se   tiennent    à 


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distance  s'observant,  hostiles.  S    Luc  à  pris  Jeanne  par   la   main  et  la   présente  au    Ro 
.    6       .      . 


PÉP 


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cresc. 
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PE 


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S»  LUC 


A.C.  7785. 


74 


SCENE    VIII. 


Un  peu  p!us  lent. 

LE  ROI.  (froidement) 


p^p^^^^^i^FPPTT1 


.  npiir     e.tanl      va    .    ean  -  te 


SSÏ 


wff^M 


Vôus    a.vez   bien  vou  .    lu     choisir 


JS- 


A.C.  7785. 


75 


9   v   v   v    \Ç 


5        r 


mon  pro.te,    -    ge 

LE  ROI. 


5—# 


m   m #. 


P^ff 


jf  j  g  i'ITz^fl 


§ 


ils  étaient     deux.       Est-ce  Bus. 


; rna 


P  ?  F"" 


Non! 


per  .  met. 


*h-  g  g  s 


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sy que  j'ai  ehoi  .  si?. 


I 


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SÈÉÊ 


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Ped 


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tez  que  je    vous    le     pré  .    sen        -     te! 


m 


p 


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V      _£ 


Dé   .    ja!__ 


Monsieur  de  Monso  _  reau, ve  _  nez! 


en  pressn.it 


fciiri 


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M. 


L*S: 


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1 Itt 


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MM: 


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V    tJ- 


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-4H— ^ 


Π


A. C. 7785. 


Ped 


76 


Monsoreau,  présent  depuis  un    moment   s'approche   et   salue  très  tas. 


(Mouvement  prolonge' 
de  joie  ou  de  dépit) 


2*<i';Sop     p 


£=^h 


E g f   '  g  i  r  ^=g 


Qu'est,  ce.  la       Monso 
l"Ten. 


_     reaii  r 


WÉ 


7      r 


* 


2dsTen. 


Mon.so.reau?. 
P 


Moilso    .   reî 


t=± 


Basses. 


reaii  r. 


S 


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M 


on 


A.C.  7785 


77 


Più  animato 
S'  LUC. 


m 


4 


boi      .     se! 

ANGEVINS. 

ANTRAGUET. 


Les  chers  Mi 


* 


LIVAROT. 


££ 


S 


4=é 


RIBERAC. 


Les  chers  M 


ï 


S=Ç 


É 


* 


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ST 


MIGNONS. 

MAUGIRON,  IVErERNON 


Les  chers  Mi. 


'ÈÈà 


É 


5=^ 


,-JJ'.J||Tfp'giF  f^? 


Cet  Ange,  vin  ri_ra  de  nous  à  no_tre       nez!. 


m    *     * 


**-*      g  g  ^  g  |  g  g  I  1 1 1 


^?EE£ 


Cet  Ang*  _vin   ri. ra  de  nous  à  no.tre       nez! 
SCHOMBERGÎ"/  «^ 


m—» 


m 


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v-y  v  i  v  p  f- 


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Cet  Ange _  vin  ri.ra  de  nous  à  no-tre       nez!. 


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78 


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sontcoilsttir  -  nés! 


f       'fi  f-P-ff '      '^j. 


S 


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.gnons soutconster  _  nés!. 


^  r  ~n  H'c^r^ 


v 


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gnons 


sont  conster  -  nés! 


i 


qjJ'U'^p  é."Nj 


Jamais  le    Roi  fit- il  un  choix  plus  té.mé. 


u«iiiÊjpn/EiÉi 

Jamais  1h    Roi  fit- il  un  choix  plusté.iné- 


* 


m 


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^\^n    HH 


3 


V 


Jamais  le   Roi  fit- il  un  choix  plus  té-iné 


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V      M.     ^t.      M-    j 


•h-i^s  r  i?  i   ^^ 


g  i  _  ju 


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m 


A..C.  7785 


MONSOREAU. 


Plus  retenu 


£ 


f  m  i 


Donc   Bus-sv  perd  l;i 


Eî 


i 


Donc   Bus_sy  perd  la       pla    _    ee 

fez 


t^qfc 


«^ï 


5 


et     vous  m'a.vez    é     _     lu, 
Plus  retenu.  . 


s 


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Ped 


V 

LE  ROI,  d'un  ton  glacial. 

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V 


S 


1 


a  Tempo. 

4 


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g    r       ■? 


t 


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r 


Il  pa  .    rait mou     frè  _  re    l'a  von   .    lu! 


S  *r    i  i 


si    .    re  ? 
MALGIRON,  D'ÉPERNON. 


P 


I 


3 lr» 


MIGNONS. 
QIÉLUS. 


Se       met 


Ï^eÈ 


•3E 


Se       met 


SCHGMBERG. 


Pi 


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£ 


a  Tempo. .  ' 


Se       met 


r      * 


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M. 
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tre     à       la        mer    _      ci     dun 
p.*.  i  E  cresc.  *>m. 


mi         de 


son 


ï 


«fr^H1 


E  cresc.   \>M. 


-l> 


a^if  i     f- 


f/ 


•l.C  7"S5 


80 


f 


SCENE    IX. 

LES    MÊMES,  BUSSY. 

Bussy  parait  au  fond  précédé  de  ses  pages   magnifiquement  vêtus 
Un  petit  peu  plus  animé 

•1      hr-j 


HP     1  [m  ^^ 


2dsSop. 


Bus.sy! 


"if      A 


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£ 


1r5Te 


Biis.sy!. 


*» 


îV'M    H* 


Bus.sv!. 

Basses. 


S 


1>  A   


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S 


M 


I  ii  petit  peu  plus  animé.  .■.  —,..i 

1  i    -f -ff=É^ 


Bussy  ! 


^M 


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ÉlÉ 


i 


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JEANNE 


■    ■    l    ■ 


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Quai  -  je  enten-du?_ 


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Bussy  dÂmboise 


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M 


JTJQ 


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5     *      •? 


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\.C.  77X5. 


81 


M. 

d'fc. 


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l 


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V 


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Bussy  d'Am  .  boise 


iW^, 


Bussy  d'Am.  boise 


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1  _         Cl  L 


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;  CTiLT"1 


Bussy  d'Am  _  boise 


i        _       cil. 


2=t 


1 


S 


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is; 


ÉÉ^È 


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JEANNE. 


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p  g  F  MP  F    '  f    IF  f  r^^^ 

'  •  A  .  I  »T5  1      •  ■  ^ 


^ 


lais.se    rien    pa  _    raî.tre!  N'eu        lais.se    rien    jia    _    raî  _  tre! 


Si 


Sffi 


[frlrLiC/ 


§ 


*^£ 


ê=ÈÉI 


Ê 


*  0.773? 


82 


g 


MIGNONS. 
rçj^MAl'GIRON  (seul) 


s  a  e 


•mI 


si    _     re 
QIÉLIS. 


ô 


Voy . 


^ 


S 


SCHOMBEHG. 


si    _     re! 


>»f 


Ê 


g 


3E 


i 


V 


H^=^ 


Yoy  _  ez  L 


_ez! 


iS 


, si       .       re     voy   _    ez!      >oy 


re     voy   _    ez!     Voyez 


si 


re     voy 

-# *- 


P 


ff-lnT 


voy_  ezL 


si  _  re! 


Voyez 


si      _     re      voy  _ 


5ÎH 


S 


g         » 


Si 


5^ 


^ 


V 


Si 


re,     voy_ez!__ 
nu  _  _  /«. 


voy 


^S 


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is 


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g  4  -r 


se 


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rfo. 


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55P 


Même   mouv!   par  temps. 
LE    KOI. 


(railleur) 


£ 


Quoi!_ 


^B^ 


Si 


ez! 


Q. 


3=t 


m  cjji-x 


_ez! 

Même  mouv!  par  temps 


A.C.7785. 


Récit. 


83 


e    3» 


m 


j  =  f,f  ?p  ^>3t^i^ 


S 


È 


S 


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g  P  »r    g  ï  M  j 


six  pa.ges  BussyL-    Quoi! ces  valets    en  drap  d  or__      quand  leur 


W 


¥ 


3 


n 


Récit. 


g 


f^ 


i.  ^ 


T  »p  p  pf  T-,?  | 


Plus  leut. 


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m  •   * 


m 


Y  a  e  e 


^ 


mal_tre,un  Clermout...     presqu'uD  prin_  ce    est  vê_tu      de     ve. leurs 

Plus  leut. 


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f 


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1         1    JN1 


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S 


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-** 


Bl'SSY.     (ironique,  mais   avec  la  plus  graude    courtoisie) 


I 


i»  ^  j^  J;  1 1  p  r^^^r 


^Êf 


Si 


le!        Il   faut       bien, pour  se    l'ai  _  le  emiDaî    _     Ire,       Qu'un 


m 


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M: 


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* 


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prince  ail  _  le    vê  .  tu      comme  un  va   _     let,. 


Au  jour      ou    les    va 


P 


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5 E 


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p    •    0    v 


\  \\  ~'\  ip  r^^^-^-f 


_lets     venus    hi  _  er de    nos pro   _  vin  _  Ces         se  mon     .      treut  en  haut 


A.C.7785. 


84 


^Z*U=^M* 


-&- 


lieu     vêtus          comme  des    priu 
QUÉLl'S.  


Allegro. 


ces 


/. 


m 


^=^ 


MIGNONS. 
SCHOiMBtHC. 


m 


Sang  Dieu! 


J' 


i.        I  -Ç 


Jt± 


V 


WTT 


Mo  idieu! 
Allegro. 


LE    KOI 


A.C.7785. 


85 


le     -fa- 


1 


S 


i 


.lent 

MAI'CIUOM,  D'ÉPEHNOiM.         y> 


(avec  un  p;t-<  en  avant  ) 


■(rires) 


» — E 


i 


£ 


£*# 


2*3 


MIGNONS. 
QUÉLUS. 


C'est  dous_ 


qu'il  toi     _     se!       Ah! 


SCHOMBEKG 


g 


(rires) 


1        K 


Ah! 

(rires) 


1         é 


V 


i 


A 


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^#- 


fc*# 


l 


i-j-r  #f  ir 


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f= 


Ah! 


ï 


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S 


s  r  *  r    ' 


^ 


=1 *!- 


i 


JEA.NiNË. 


(effraye  ) 


* 


£ 


e 


Quoi! 


quoi! 


i 


S*.  IXC. 


'  à  ses  amis) 


£ 


M. 
d'E. 


fV   p 


Messieurs 


-v-r- 


ah!  ah!      ah!  ah!  ah! 


'•)■■  m  r  r- 


^ 


ah!  ah!      ah!  ah!  ah! 


E 


>>:  a  ; 


ft± 


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-s 


I 


ah!  ah!     ah!  ah!         ah! 

1ë  'u  " 


IWFW 


P^if 


s 


4 


-e— e- 


-9        JEjE~JE 
I         I    1       - 


■f       feg 


^ 


P 


ÈgÉÉÉ 


A.C.7785 


86 


MAIGIHON,    D'EFEKNON. 


wm. 


Saint  Luc_ 


QUELUS.     S 


P  P 


iP>  «r  > 


r    r       t   m 


rai       _       son! 


3 


=± 


Saint  Luc_ 


rai        _      son! 


5 


<»):  g» 


£ 


Y 


son! 


tt.r—T 


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3 


i 


T  ai» 


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g  F-MjMJ 


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k 


*■* 


Più  abaudoiiato. 


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M. 

d'K. 


r  •»      f 


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m 


«y 


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F^V 


V 


do. 


Mous  res. 
Più  abandonato. 


4'ri&LF 


Hï^É 


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ÏE 


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n*  p  * 


*  ^  ^  ^ 


k        calma  to. 


m 


^  J      -^ 


L___j_J  [       ■!    |       J~ 


^ 


^= 


A.C.778B. 


87 


MALGIRON   (seul)  -/m? 


(malicieusement) 


S 


S 


m  i  m  c 


m     i  a 


d'E. 


# 


*r ;* 


_  rOHs  monsieur. 
QL'Élls. 


B 


9:   g      i  ; 


us 


# m. 


sy mou  _  sieur    Bus    _       sy. 


fei 


# — * 


i=^=EE 


F 


^P 


Oui     uous  retrou  _ve    -    rons_ 


men 


sieur Bus  _  sy. 


SCHOMBERG- 


m 


rn^Ê 


*?F 


m — »■ 


Ê 


E 


^p 


"S — • 


Oui_ 


nous  retrou -Te    _  rons mon  -  sieur Bus  _  sy. 


A.C.7785. 


88 


ri     _      te    .     nu      -      to. 


a  Tempo. 


w^m 


d'Ani     _     bni 


ïëËS^T* 


_    se. 


«l'A»)    .     boi 


1 


d'Ain    _     boi 


se. 


ri     _      le    -      a  it     -       to. 


a  Teaipo^.. 


4  H  fr 


^ 


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S 


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3    s  ft 


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l'p. 


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5 


W 


& 


LE   ROI. 


Più    moderato. 

à    Bussj. 


m 


Lo    1    î    t    ?    f    1    *       Kit 


^ 


:£=£ 


i 


m 


Vous  veniez  pour  vous  plaindre,  et  je 
Più    moderato. 


5=    1      g 


*€= 


— 52T 
-©- 

PP 


^^ 


5^ 


-jro- 


m$ttrw*\ïn  ï  gp-  F  r^g 


& 


Éi 


leusse  permis;    Car,  le     ti  _tre  de  grand  veneur  vous  fut  pro.mis; 


\ 


1 


m 


m 


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1* 


1? 


S 


i  i  j1    i^a 


-,  i,    >■ 


A.C.  7r85. 


89 


.m 
i.  3 


« — 0- 


* — * 


3  i  3 

m m 0—SlM m 


É 


id^iE 


P   S   v  Y   H 


R.  =Z>= 


< 1 


Mais mou  frè.re  d'An  _  jou vous  e'.tait     fort  cou  _  Irai  _  re^ 


* 


g — <W 


PP 


=£= 


1»" 


§ 


;2^ 


^=^ 


r        r 


r.  y  t>  ^ 


Hff  i  ,t 


(désignant  Monsoreau) 


5       -,    I    Î^eU 


È 


E 


Il     pre'.seu  -  tait Mon  _  sieur. 


l'un   de  ses  bous  a 


_  mis...  j'ai  du  céder!     Je       fais tout  ce  que  veut  mon     frè 

sostenu/o.  rj— ^  3 


re 


$ r  i  j  i  | 


r~6-  P  r^ 


gjg 


^ 


£  '  '  d~* 


l!CT 


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i     g 


k 


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BUSSY. 


_,    .     (dédaigneusement^ 
Récit. 


0. 0  »  0 


±=5=5 


if 


I.  uu.ti  _  le    un  de. 


$ 


LE    DUC. 


bas  à  Bussv. 


g  M  F  pflY~fg 


Jetieusà  t'expli  _quer.. 


a_  —  s 


frrwcfr 


frIHJJ" 


Il'rs'M'J- 


F 


-tf-&n- 


èeê 


Récit. 


-0-0 0 


A.C.778i. 


90 


a  Tempo,     'à  Jeanne  dans  un  salut) 


•*  ■  '  I-        „  '         -I I  U»    J>  L  J  


^m 


voir    impé.rLeux  au  surplus  me  re  _  clame!...       Etd'a   -    bord,  re.cejez  mes  cumpli 


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Ambassa.deur  du  vieux  ba.roo  de  Me- ri. 


A.C.7785. 


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ANGEVINS. 
ANTRAGIET. 


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LIVAROT. 


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MAIG1RON,  D'ÉPERNON. 


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At .  ti . 


_  re'e       eu  quel. que    re  _  pai 


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_  las, a   dis_pa.ru  de  sa  mai. 


A.C.  7785. 


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Un  peu  plus  anime. 

g  JEANNE.  J'P   . 

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Dieu    puis.saut! Dieu     puis  _  saut! Dieu  puissante 

BLsSi.  (niouvtruenl   de  l'assistance) 


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S'.  LlC. 


Dieu     puis-sant!_Dieu     puis  _  sant! Dieu  puissant 

jQL„  g     ggg    »   •      ,_l^ 


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Dieu     puis_santL_Dieu     puis  _  sant! Dieu  puissant! 


LE    ROI. 


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Dieu 
MONSOREAL.  A 


puis       _         sant! Dieu    puissant! 


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ANGEVINS. 
„  ANTRAGLET. 


Dieu 


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puis      _  sant! Dieu   puissant! 


r      r 


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LIVAROT. 


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Dieu  puis 

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Dieu              puis 
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MIGNONS. 

MAIG1RON,  D'EPERNON 


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Dieu 


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SCHOMBERG. 


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Dieu  puis 

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A..C.  7785 . 


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Dieu uuis.sant! 


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A.C.  7785. 


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Larghetto  e  cautabile. 


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Larghetto  e  cautabile. 


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il      c'a   plus        da.mi  que       moi 


dim. 


99 


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yeux  qu'on  dit         si  doux, 

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yeux    qu'on     dit si 


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ses  yeux  qu'on  dit_ 


si 


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A. C.  7  785 


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Mais  jlii  ju-ré de  la  lui     rea.dre  et  c'est  pourquoije  viens  et  vous  dis  a  ge. 


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crescendo. 


4  urtïxce  nuit. 


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en  imploraDt,- 


tu  implo  .  ranL 


votre  ton   _    te  -  plus. 
sostenuto. 


Mod'.0  assai  e  un  poco  maosloso. 


Π


/>    . 


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SE 


.  sau 


ce! 


rîf. 


m/  r-r- ->  ^r^T^r- 


Nous  devons  tous au     roi. 


Hod'.°  assai  e  un  poco  maestoso. 


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pect  o_bé_is  -  san  _  ce       Mais  il  nous  doit  jus  _    tice  à   tous 


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X.C.7785 


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PP     3 


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ce: 


Nous  devons  tous        au      roi. 
le  nie. 


res    _     pect,  o  _  be_  is  _ 


san 


r   9      PP  3 *  0~ ._ ^ 


S'.  LUC . 


Démon  amour cet    hom  _  me        a-t-il        eu connais 


W     g 


san  _    ce: 


P  M  E.r  '  p  F I r    f  i  F     '  F 1^ 


* 


£^ 


Nous  devons  tous au     roi 

l.E  roi.  pp    •  ^ 


res    -     pect,  o  -  be_  is 


san    .    ce: 


555$ 


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§ 


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B      B    p   i 


S 


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Vous  de _vez tous au     roi res    _     pect,  o  _  be.is 


san   _    Ce: 


MOMSOKEMj. 

PP    3 


m  ii  s 


É=É 


P  P  1LJ   p  p 


"»Brt  g  p  p  i  s 


^ 


Démon  amour cet    hom  _  me        a-t-il         eu connais 

ANGEVINS  ET  MIGNONS. 
\NTR\GIET.  MAlGIRON.d'EPERNON. 


san  _    ce: 


4;'"  FF  F  rFFlr     M     lp  M  p   T""F  •■ 


Nous devons  tous au     roi. 


res 


s    _     pect,  o  _  bé.is 


san  _    ce: 


LIVAROT,  QlELl'S 
PP    3 


rr  3  d  4^        *-  -0- 

m  f  F  F  r  f  F  i  r  v,f    ïï  F  F  | 


t=F 


Nous  devons  tous. au     roi. 

RIBER4CSCH0MBERG. 


res    _     pect,  o  _  bé_is    _ 


san  _    ce: 


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m      00 


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m 


i  E    i y  y  F j 


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r 


Nousdevons  tous au     roi. 


es   .      pect,  o  _  bé.is    _    san   _   ce: 


A..C.7785 


102 


&3 


JEANNE. 


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cce         -        scen 
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Le  roi- 


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A         A       p 

nous  doit  jus  _ 

A 

ff        »        A 


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m 


Mais  il  uousdoit  jus   .    tice   a    tous. 
le  me. 


Le  roi. 

/A 


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__  nous  doit  jus 

~^       A       A. 


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m  accuser. 

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nous  doit  jus. 

A 


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M0NS0REU 


tous  doit  jus 


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s<ins  diminwr.pp  rit.7 
A     A  ^ 


a  Tempo. 


103 


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a  tous 
a    A 


jus  _  tice 
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à     tous!_ 


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a  tous. 

A     A 


jus_  tice 
PP 


a      tous! 


ffVr  g'r3f36. 


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A   A  ^_ 


de    -     vaut  tous!_ 


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jus  _  tice 
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à     tous!_ 


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de  _  vant  tous_ de  .  vant 

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sans  dimimipr.pp  rit. 

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tous!_ 
a  Tempo. 


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A    A. 


jus_  tice 


à      tous!_ 


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jus  _  tice 


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A.C.77R5 


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Si   _    re     personne  en . 


Le  ROI  à  Bii^t. 


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g  y  y  F'  f1 


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El 


qui  soupçonnez  - vou 


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FIT  P  PJi>J_J>' 


0     m    0 


Monseigneur  dAn_ 


b.  4U> 


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.co  _  re! 


Je  tiens  la    pis  _  te  et  je  la  suis. 


mais 


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_jou  gouverneur     du  pa  _  ys. 


sait  peut  -  e 


tre   Ce  que  ji 


PÎU  agîtato.  (d'Anjou  tressaille,  fiussy  conlinue, visant  Monsoreau.) 


s    7    r 


tH— o- 


-g.no 

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re. 
Più  a&jtato. 


t r 


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J^ 


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S     o 


A.C7785 


105 


Récit. 


TIZ 


S 


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Enfin Monsieurestlhote  et  l'ami 


>-i'-  te  .  nu  .  to.      Enfin Monsieurestlhote  et  l'ami  du  b; 


m 


ss# 


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*S^ 


rn^s* 


y  pt/1^ 


« u»     g 


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^j_j^j»Ji.J  AJ»Fp 


p  p  r  ? 


W'JUi 


_  ron 


Il   ràvait      d'e'-pouser  Di  .    a    .    ne  qu'il    à-do  -' re!   Sur  les  pro. 


$ 


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$ihJ     P  P  qP  p 


»  p  '   h  1  =£ 


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jets      de  cet  ex.  é  .cra 

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ble         lar  _  ron 

-Jh— 


3         .         A 


j'at. 


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5      r 


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I  |  É  I  ^  lbB  f 


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tends  qu'il  nous  a.  ver  .  tis.se 


LE   ROI.     (au   Duc  et  à    Monsoreau) 


ssm 


F^gcir^pjfe 


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m    ce 


S 


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Vous  avez  enten.du  ? répondez  ! 


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\.c.  7785. 


106 

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And'lu   sosteùuto. 
JEANNE. 


(En  pleurs  e(  les  mains  jcintes) 


P 


s!  LIC.       p- 


£i 


■pi      p- pp  *pg=^f 

Justi      .       ce!   Justi  .   ce!       ah!        pi. 


m 


£± 


V       1       r 


ANGEVINS 


H se  tait!      Il        se        tait! 


.  ..-.   .^.-..„       (L'assemblée   surprise   puis   menaçante) 
\NTR\GlfcT.  p^ _^  /"àT" 


m      \  m  m  m         m. 


m^ 


v-^i r- 


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se  tait!      Il        se       tait! 

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II  se  tait! 


RIREKAC. 


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ïlse    tait  II      se    tait! 
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Il  se  tait! 
MIGNONS. 
YIUT.IRON,  d'EPERNON. 


se    tait  il       se    tait! 

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II  se  tait! 


QUELUS. 
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se       tait! 


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Hsetait! 

sCHOMBERG. 


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Il  se    tait  II      se    tait! 


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Il  se  tait! 

r.s  Sop. 


I  se    tait  II      se    tait! 


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se    tait! 

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Il  se  tait!     Il    se  tait! 
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Il  setait!      Il        se       tait! 


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Il  se  tait!  Use     tait  II      se    tait! 

And'!0  sosteuuto. 


107 


_  tie,        justi    -    ce_si.re! 


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WÈÊÊBÈÈk 


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Oui 

ANGEVINS  ET  MIGNONS. 
A.NTKAGIKT,  MAUGIRON.d'EPERNON. 


jus  -    ti     _    ce!  Justi.  ce,  justi  .ce 


Sbs 


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A         A 

0 0- 


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t. 


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Oui 


LIVAROT,  QIELIS. 


jus    .     ti 


.    ce!  Justi  _ 


ce, justi  .  ce 

A 


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Jus-ti     _     ce!  Justi -ce, justi  _  ce 


RIBERAC. SCHOMBERG 


A.C.   7785. 


108 


le  un:. 


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moi.''      ri  re... 


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sure! 

LE  ROI. 


(aux  colore  au  Duc) 


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Vous  saviez  ce  qu'il  en  e'.tait?     avouez-le  mon  fre  .  re! 


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sure! 


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si.  re! 


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si.  te! 


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sure! 


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sure! 


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Je  veux_  la  vérité  Je  veux la  vé.ri  _  té!..- 


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A.C.   7785. 


109 


LE  DEC.  (tremblant  se  tournant  vers  le  G?  veneur) 


Monsoreau? 


p— 5 1 


(frappant  du  pied) 


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MONSOREAU. 


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Je la    veux! 


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Je  vais  donc  la  di     .      re 


à       yo    .    tre  ma   .   jeste' 


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I7u  peu  plus  leut. 


P    1    f  1   P        ^ 


A.C.  7785. 


110 


jëvNNK.  Uu  peu   auiiué. 


s     -« 


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Hé.las! Elle  est  moite! 


s1.  LUC  . 


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te!      Ah! 


Mur   .    te! 


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ANGEVINS  ET  MIGNONS. 
A.Vrit  VOLET,  MAIGIRON,  d'EPEKNON. 


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Mor    .    te!  mor     .       te!      Ah! 


I  IVAKOT.  Ql'El.l'S. 


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te!     Ah! 


Mor  .    te! 


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HllîEKAC,  SCHOMBERG 


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§ 


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Mor   .    te!  mor     .       te!      Ah! 

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Moi-    _    te!  mor      -      te!      Ah! 


2â*  Sop 


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Ti-ii. 


Mor  .    te!  mor      -      te!      Ah! 


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Mor   .    te!  mor      .      te!      Ah! 


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Mor   .     te!  mor      .      te!      Ah! 

Un  peu  animé. 


lit*      Tt  «7. 


C    77!îô. 


111 


Un  peu  plus  lent 


Un  peu  anime.        ^ 


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§ 


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le  pauvre  père  a  per.du    la  rai   .     sou 


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\.C.  7785. 


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(indignée) 


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Menson    -      ge!       raen. 


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o  nn    _     se  .  re: 


A.C.    7785. 


113 


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.  ge,mensonge     et  pire  trahi  .  son 


(l'arrêtant) 


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Rar  grâ    -      ce! 


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Ah!_ 


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A.  G.    7785. 


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On  vent  me  faire    a.bandonner la   piste 


\  %  m 


r     -j , 


a.paisez- 


Par  grâ     .      ce! 


nu       .        to. 


All'.^modt0 


$ 


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r      *^p  F 


vous  Seigneur  d'Amboi 


se,  a  -  paisez  -  nous . . 

All^mod*.0    v-j- 


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LE  ROI.  (aux  mignons) 


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Mor         .  te,     le  pè.re      fou!. 

MAl'GIKON-  d'EPERiVON. 


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MIGNONS. 
(jl'ÉlXS. 


Mo.' 


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te,    le  pè.re 


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SCHOMRERG 


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te,    le  pè_re 


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te,    le  pè-re 


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A.  C.  7  78  5. 


115 


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peut    rien    \e     .      nir  d'Anjou qui  ne  soit 


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tris  .  te,  qui  ne  soit  tris  .  te,  Qui  me  dé  .    li  .  vre.ra de   ce  mau 


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.  dit    Anjou! 


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oie  de.1i.vre.  ra  de  ce  maudit        An 


m 


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(mouvement  dfs  Mignons)  (S  SÎ  Lire  ilunûir  sombre) . 


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dan 


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A.C.  7  7B  5. 


Ilfi 


DAIVSE. 


Più   maestoso.  J?  Tempo. 

Le  roi  prend   le    bras    de   S1.  Luc    en    soupirant    et  sort   à   pas  lents.     Le  duc    d'Anjou    et    Monsoreau  s'elnignent    de 


pprnm&ijmu 


A. C. 7  78  5. 


SCENE    X. 

PROVOCATION     PENDANT    LE    BAL. 

Allegretto  inolto  niodl0 

(h  mi-voix)     q  Mm,      >> 


117 


OUELUS.    zi^t 


PIANO. 


S 


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Dieu     nous  as.sis     .      te 
Allegretto  inolto  modt" 


Nous  t'en  délivrerons 
fr- 


et fe. 


§^  f  '      r  '  ^ 


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rons         re  .  pen.tir  cet  An.ge  .vin 


de    son    in  _     sul . 


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MAlîGIRON 

^à  mi-voix) 


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Oi)i-dà 
MIGNONS. 


pro  .  vo.  quons-  le.'. 


Mes  .  sieurs,  point   de     tu 


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»       «         ki 


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mu  i 


te,     point  de     tu  -    mul 


.te  Con 


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RIRERAC. 


(*  Bnssy  lui  désignant  le*    Mignons) 


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teir    .        tons     -       nous  _ 


de  la 


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ANTftAfil'KT 


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BtiSSY. 


ô  demi-voir,main  marqué 

A  . 


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Ils         vont        ve 


toi qu'on  me    . 


_i       t       l\ 


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qu'on  me    .     na       -      ce! 


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A 


me      pio.  \o   .    quer 

A 


?_      At 


ten     -     dons 


A.  0.7  78  5. 


i 


les! 

MAÙGIRON. 


119 

m 


m 


SCHOl*«ERR.0)às1_L2£i  "»»") 


I 


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Lais 


se 


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Sur. tout. 


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n'allons  pas     le  nian  _quer_ 


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fai       .        re: 
QIJELUS. 


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Lais 


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se 


fai 


re: 
dim. 


con    e/eganza. 


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A.  C/7  8  5. 


120 


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chas     .       se        Que  lui     ser    .   vi   .    rons     -     nous 


en 


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rttl'Uîrifl^lJ  ^  JiïiJjJ 


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fait      de       ve    .  nai     .    son? 


In     saneli     .     er? c'est     la  sai 


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maTuiron.  , . 

.l'Kl'KKNON0'"'"' 


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Ah  !     ah  ! 


ah!      ah.'        ah!  ah!     îhT   ah! 


#^ — n» 


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.  son._ 

SOHOMIiERG.    ; 


g 


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(Pires) 


""'Ah!     ah! 


ah!     ah!        ah! 


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MAU  GIRON. 


r     r.   r   r    [^ 


Ta  fiai  .     se        sous        la 


iy.      *         P  F  f 


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Un       sanglier  d'An  .   j 


OH 


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p~n,m 


J"TJ 


A.C.   778"». 


121 


MAUGIRON. 


*4 


£ 


g    j     V* 


MAUGIRON  et  d'EPERNON. 

(rires) 

Èz 


te        .        te . 
QUE  LUS.  (rire»).] 


m 


(yjres)jt 
g  I 


Ah!    ah! 

1    -    f     i 


mm 


ah  !       ah  !        ah  ! 


— ^^^ 


Ah! 


SCHOMBERG. 


§ 


3f 


Ah!  ah! 


jh!       ah!       ah! 


E 


E 


l=É 


Ah!     ah! 


m 


ÇëZ 


ah  !        ah  !       ah  ! 


iftiftiffif. 


sempre     p 


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V- — -f       = 


JTT3  ,T77 


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ANTRAGUET. 


(violemment)      ,7^ 


LIVAROT. 


m 


Drô  .   les! 

(Violemment.)     **  J 


I 


Drô-  les-' 


M. 

d'E 


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ah  !      ah  !      ah 


HIE 


r  r  r 


ah!  ah! 


ah!      ah!      ah  ah!      ah!      ah! 


A.  G. 7  785. 


122 


I 


BUSSY.   (à  Que'lns  s'approchant) 


mf 


r        ë 


lÉEfE 


(violemment) 


Et 


vous   se    .    rez 


v*^—i 


Drô  .    les! 

(violemment) 

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DrÔ  .   les! 


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A.O.  778  5. 


124 


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\contenos    par    nn    signal    de    Que'lus./ 


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a  Tempo. 


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d'ÉPERNON. 


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A.  C.7785 


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MAUGIROX-  d'EPERNON. 


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Un  endroit    bien  de.  sert!      On  y    tu 


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Un  endroit    bien  de.  sert 

SCHOMBERG. 


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■^  .  Un  endroit     bien  de.  sert! 

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MAl'GIRONrt  d'EPERNON.  cre 


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A.  C.  7  785. 


128 


do. 

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(à    Bussy  dans  un  salut)f) 


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Mon. sieur        bon  .    ne 
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chance  et  bon. soir! 


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ANTRAGIET.  (à  Bussj  avec  épouvante) 


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RIBERAC. 


N'y  va      pas!_ 

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n'y  va     pas! 


N'y    va       pas!. 
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un  quar.tier  trop   noir! 


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un  quar.tier  trop   noir! 

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un  quar.tier  trop   noir! 
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A.C.7785. 


130 


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(Aux  mignons  avec  insistance) 


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Jus  .  qu' 


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A.C.778.Ï. 


MAUGIRON  d'EPERNON. 

(avec  la  plus  parfaite  courtoisie) 

»..        "J't     - 


131 


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senta     rigore      di     Tempo. 
3- 


rrrrrf  irgj  ^ 


Mon. sieur,  mon  .  sieur. 
QlELllS       m/V -^  -q.^ 


jusqu'au       re  .  voir     Mon  .  sieur     mon. 


m 


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Mon. sieur,  mon  .  sieur. 

SC  HOMBEHGw/V- ^ 


_  jusqu'au       re .  voir    Mon.  sieur    mon. 


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Mon.sieur.  mon  _  sieur. 


jusqu'au      re  _  voir    Mon  _  sieur    mon. 


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Plus  lent. 
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ANTRAGIET. 


Quoi?        rien!    aprèstantd'inso  .  len.ee! 


Cachent- 


J   ,J^J>  pi]   J^EE^ 


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Cachent- 


LIVAROT. 


Quoi?       rien!    aprèstantd'inso  .  len.ee! 


S 


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R1BERAC. 


Quoi?       rien!    aprestantdinso-Ien.ee! 


Cachent- 


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f.  J>  $  J  J' i  r  r 


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0     0 


Quoi?       rien!    aprèstantd'inso .  len.ee!  Cachent- 


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M. 

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sieur  jusqu  au      re.voir!_ 


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sieur  jusqu'au      re_voir!_ 

Plus  lent. 


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leur  res.senti  .    ment? 


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len.ce       N'estque  la     peur      du       châ 


ti .  ment! .     Ils        trem 


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len.ce       N'estque  la     peur      du       châ 


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ti .  ment! 


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_len_ce       N'estque  la     peur      du       châ   _   ti 

MAl'GIRON,  d'ÉPERNON. 


ment! 
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Pour  mieux  punir  tant  d'in.so 
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SCHOMBERG. 


Pour  mieux  punir  tant  d'in.so . 
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.len.ce,  cachonsnotre  ressen.ti.  ment! 

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à  l'œuvre  mes  a  .  mis . 


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si.len    . 


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.len.ce,  cachonsnotre  ressen.ti  _  ment!  àl'œuvremesa  .  mis^ 


si.len 


m  Pffp  bp  p t  F  f  f  ir   1  f  p p p p i r   i  g 


.len.ce,  cachonsnotre  ressen.ti-  ment! 

3   -.         3 


al  œuvre  mes  a.  mis. 


si.len     . 


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.ce        n'est     que       la  peur     du         châ 

ANTRAC.liET. 


timent  !     Quoi     rien! . 


s 


LIVAROT. 


quoi     rien!. 


m 


RIUERAC. 


quoi     rien! 


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quoi     rien! 


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.ce!  si  _  len 


ce  voi.ci     l'heu  _  re      du  châ  _  ti 


ment! 


Pour 


mieux  pu. 


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.  ce!  si  .  len 


ce  voLci     l'heu  _  re      du  châ  .  ti 


ment! 


Pour    mieux  pu. 


i^fc 


S 


^^ 


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_  ce!         si 

->  6. 


len.ce  voLci     l'heu  _  re     du  châ  _  ti    .    ment! 


Pour  mieux  pu. 


tant      d'in.so.len  .   ce 


près 

sceti 


tant      d'in.so.len   .    ce 
.     do. 


.  mr 


tant     d'in.so  .  len       .      ce  Pour  mieux 


pu. air  tant     d'in.so.len  .   ce   à 

#p=      «   nY 


tant     d'in.so  .  len       .       ce  Pour  mieux 


pu.nirtant     d'in.so.len   .  ce    a 


est 

Al 


ce  la    peur   du     châ .  ti   .    ment . 

•dim..  .        ,. 


L. 


R. 


la    peur   du     châ .  ti  .    ment 
.     don.  p 


M. 

4'E. 


A.C.  7785. 


135 


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trem       .       blent! 


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Fin  du  2?  Tableau 


\.C.  7  7e 5 


142 


3e.    TABLEAU. 


La   rue  Si  Antoine  devant  la   rue  des  Tournelles 


RAPSODIE     SOLDATESQUE. 


Ail'.'  niod'"  ma   non  troppo. 


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ORGUE 
sur  le  theâtri 


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SCENE    XI. 

DIANE,    GERTRUDE. 

>AII'.'0  Iliocl'."   (On  entend   l'orgue  qui  joue   la  sortie   de  l'office) 


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Jeux  de  fond. 


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.(Diane  et  Gertrude   viennent  du  fond) 


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ne  pas    nous    re.pen  .    tir. 


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A.C.   7785. 


151 


REVERIE 


A.vant  de  m'en -fer  .   mer^ 


dans  ma  tris 


te   de . 


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.meu     .      re,     Laisse  moi 


comme      à      Mé.ri. 


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sous  le  clair    regard  des     é 


toi 


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les  dor! 


feif^vri  jb^ES 


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J>/>  rit. 


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Même  mouvj 


r°H  »  >>jwj>ij  j>>^ij_^ 


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re. 


Laissemoi      pri.  er       pour  celui  qui  pieu 


Même  mouv! 


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aissemui  prier  un  moment  enco     .     re 


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Lais  .    se  moi. 
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la   ii.ber.té,     l'es  .  pa     _      ce,      l'es. 


lo  n  ri 


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.poir    en  Dieu qui  meprou.va. 


Et  toi. 


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pp 


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A.C.    7785. 


153 


A.C.    7785. 


154 


DIANE 


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Va  flotter devant       lui         lé  .  gère  é_ l'harpe     blau.ihe,     comme,  le   si  _ 


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A.C.  7785 


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front son  front  qui     pen.che,  qui     penche  un  peu  plus  chaque      jour dis 


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lui     que  grâce  au      Dieu  qui  m'a    lais,  se la vi  _  e      et  prend   en    pi 


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.  tié       nos mal  .  heurs. 

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e.ver.ra    l'enfant     à     sou    a 


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<res    espressif. 


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mour  ravie. 


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oui  ses 


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A.C.    7785. 


15fi 


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do/ce. 


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Î-Jlsr        |r        /•    g  g     «J\ 


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veux. 


oublieront  les  pleurs 


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Oui  mou    pè     .    re    vos 

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a  Tempo. 


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(  à    Gertrude  ) 


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Ail.'  agitato. 


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GEK7RIDE. 


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Rien! 


Ail'.'  agîtato. 


K.C   7785. 


157 


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J'ai   cru  distinguer  les  pas  de  gens 


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qui  nous  suivent  sans  dou.te 


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ce  quartier  per _ du  m'effraie 


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GEKTRLDE. 


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dc'si^uaut  la  droite. 
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cours      de 


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vient       là-bas!. 


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A.C.  7785. 


158 


I 


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Ger  .    fi'ii  . 

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(Gertrude    va   ouvrir   \\\  porte) 


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Mé  _  ri  _   dor! ô 


tout  ce  que  j'ai . 


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A.C.  7785. 


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El 


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vous  re.  trouve  _   rai  -  je  jamais!. 


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159 


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vous  retrouve 


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GEKTKIDK. 


Je Ja 


mais! 


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a  Tempo. 


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(Elias  rentrent  lentement  et  referment  l:i  porte   sur  elles) 


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ie,  vous_ 


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ve.nez! 


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re  .trou.ve  _  rai 


je  ja  _  mais!. 


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A.C.    7785. 


UT 


16<> 


SCENE    XII 

DIANE  et  GERTRIDE   dans   la  maison 
LES    MIGNONS,   MAtGIRON.  D'E'PERSiON.  UlÉlXS  et  SCHO.MBERG  arrivant  à  gauche. 


Ail1.1"  mod'y 


PIANO. 


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EffO^CiE 


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MAIG1R0N. 


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MIGNONS 

yiELis. 


MordieuL 


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Nous  y    yoLci!. 


4^-jf  W>  p  1/  J-3  i  J  j^  y 


M'HOMBERG    (montrant  l'encoguure    sombre  de   l'hôtel  des  tournelle»^ 


^^ 


0        u 


XI 


Ce» 


au  .  Vf  ut! 


J  sjJ  1  j  ^^f,.- 


B  ai  Fla-iH 


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S 


L1/L3J 


A.C.  7785 . 


161 


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MAUGIRON. 


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Béni 
D'ÉPERNOJV. 


soit  la  _    bri!„ 


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Bé.ni 


S 


QIELUS.    „y 


soit  la   _   bri ! _ 


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(Ils   s'y  blolissi-vt) 


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g^ 


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Béni 


soit 


bri!. 


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Béni 


soit  l'a  .    briL 


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!*      f       *'         f     :r     f       ^ 


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MAIGIRON. 


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Un  vé  ri  .table      af  _   lut!__ 
D'tPERNON' 


i 


ffl"    flCJS 


»fr-—j^ 


r   Y  y 


Un  véri.  table      af  _  tïitL 


A.C.  7785. 


162 


^ 


QUELUS.      p 


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T  T        k1  T^^         i- 

La  bê       _         te   vieD_dra-t-el!e?_ 


4fc 


SCHOMBEKG.    p 


m  ■     m 


#^F 


La  bê       _        te   vien_dra-t-elle?^ 


4* 


i 


MAIGIBON. 


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M    P  •»       y 


P 


D'EPEBMI.N. 


Le  drô 

J'*     A^ 


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»         »  ■  J 


Le  drô 
/'£LA, 


le!.. 


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h1   M      r 


erra: 


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S 


drô       _         le        tar.de    bien!..  Le  drô 

SCHOMBEKG. 


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J-#     A, 


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Û 


p,    ^   i      r= 


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Le  drô  _ 
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^  .-***: 


y 


A.C    7785.  ^"^ 


grr ?  i  r  S 


Ê 


3DC 


Allegretto   moderato. 

très  rythmé  d'une  voùt  pleine. 


163 


m      m 


*—  g  1   r 


i 


H;  0  _    m 


Un  beau  cher. 


P 


K 


y. 


f 5 


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i    \ 


Ecoute,   Schomberg  écou  _  te! 


Allegretto   moderato. 

Un  temps  de  la  mesure  précédente 
pour  une  noire    de   celui-ci. 


??ffîj^V 


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cheur  de    noi 


se C'est     le   sei  .  gneur  d'Amboi 


tu 


PS 


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ti  ^    ;•»  r 


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se!     Un    bel        a  _   mant, Un    bel       a  _  niant. 


aus  _ 


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m 


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S 


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si c'est  mon  _  sieur de    Buss>'!. 


Monsieur       de   B 


us. 


A» 


m 


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s 


A.C.  7785. 


Ifi4 


SCENE    XIII 

BUSSÏ  parail    \eiiunl  du  fond,  LES    MEMES. 


••ME 


I?  Tempo. 


m^ 


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QIELCS. 


ÊiËÊiÊ 


5 


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f   I  B  r  B     h 


E    B     E 


F 


Ah! 


pour  le       coup,    voilà         mes  craintes  dis  _    si 


SCHOMBEKG. 


m 


t=±: 


£ 


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g        g 


y      r 


A 


Gare        à    nous!        mes 


sieurs! Un        piège  est    la     des 


JW    t>*       J 


rmarcato. 

S  ÉÉ  j  i 


r^t^ 


pfF 


—    r        u— '     i      L_ j» 


-p- 


— F — 
A.C.   7785. 


1        F       1 


F^F^p 


tflELlS. 


Tj 


f)    Pj    P 


h  i  j  1/  j> 


C'est bien 


Ê 


MUGIKON. 


i/LA,.^ 


3 


«^ ^#- 


e  '  n  ■  z=y 


Est 


ce 


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lui! 
a  Tempo. 


J^5 


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A      I  2 

A 


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rit. 


1         *  L.      V~* m 


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A.C.  7785. 


1H(5 


i 


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lui  celui 


r  V  Y 


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dontvous  étiez  eD     quête      le       san    _    gli 


ê 


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*  -     I LU .  <t# 1 


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DIANE. 


m 


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GEKTRIDE. 


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Qua 
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tre  contre 


^3 


m 


Qua      _      tre  contre 

JL 


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PË^ 


¥ 


H 


-  er  qui   va_ 

MAl'GIKuN. 


vous  te.nir 


te.  te! 


Al 


f 


S 


i 


D'EPEKNON. 


S 


AI 
S 


Al 


QIEJLUS. 


'V 


m 


SE 


r  ît  îî'  % 


& 


SCHO.MBEKG. 


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Al.lons!  al.lons!    al.lons! 
f  A 


f,      k    N 


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T 


ALIods!    al.lons!    al.lons!        al 


r     1       5     5 


A.C.  7785. 


167 


I 


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T^T 


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un, 


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s 


sei       _       gueux  !_ 


kl   i  r     p  ^"  r  _ e= 


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I 


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i 


.  Ions: 
a 


du     .      ne 
V    


m    r  g  m 


.Ions! 


i 


Cet -te 
P 


i>o 


^^  r     p  j  ^ 


.Ions!, 


^^ 


allonsL 


Cet .  te 


y  i^-i 


S 


5E£ 


s  1 1 0  n  s 


Cet .  te 
V 


\  ■  n     *-,  * 


t 


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T 


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illonsL 


Cet .  te 


sostenuto. 


tt=$ 


Jéffi 


F     |î|  |  3ft<  1 1 1    p 


\.C.  7785. 


168     Espressivo. 


f    F  f  r  — r 


*  •        g 


rr~r  g  j    | 


g^F 


je  feg 


te         mé   .   chan 


le!. 


crocs  votif 


u» 


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7     r  ^ 


f 


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r    *    e- 


^ 


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£ 


£ 


hà     .      te, 


Cet .  te       hâ     .     te  m'enchante     ,'i     \( 


m 


-j  j  *  i^ 


*=^ 


c     r  r  rT?r-«ri  r  ~r 


s 


7      f 


-é"-* 


hâ    .      ti 


Cet.  te       hâ     .     te  m'enchante    à      ve   .    m 


m  r    r-=*=mrf  i  r     r  a^r  r  i  r     r  >  <■     r 


hâ    .      te 


Cet.îe        hà     .     te  m'enchante 


a      se    .     nir_ 


7^ 


¥ 


ggj^lp 


3i 


gf  C^IMt 


^£/ê^ 


lui  qui    si  bieiichan  .  te  ce  .  lui    qui  si  bien 


chan     .      fe 


tiy JkfcLâr 


tefr^tLcfLlP 


^^~i 


f 


f 


m 


& 


r 


A. 0. 778 5 


170 


P 


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Se 


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S 


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ce  tou  .  chan. 


U-^  \  P  if 


ê 


_• « 


JBEg: 


te  je  vou  .rirais. 


FF 

lan. 


9-0 0 


g^ 


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ail  ni  i  . 

avec  Di.ino 


7=¥- 


_Ce 


tou  _  ehan. 


te Je  vou  -drais 


ad 


nu  . 


m 


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m 


0—0 


p 


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pq^ 


ef 


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te  nié  _  chan. 


-te 


les    crocs. 


vont  se  mon. 


A.C.778S 


DUEL 


.do. 


B. 


M 


p  n^ 


te 

_lan 


p  r  r  f  r 


dim . 


171 


/p 


ce  ton  .chante  et  je  crains  de  pleu.rer. 


SE 


oui Je. 

— #- 


_te  qu'on    m  in  _  vi 


do. 


te  a         ti  _  rer_ 

dim . 


m 


qu  on        m  in  . 
ri  _  te 


p^ 


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3C 


lui     qui  si  bien  chan  . 


.te. 


PÊË5=p 


vant 


gg^f 


£zk 


* 


F^ 


lui      qui  si  bien  chan. 

n.,         • —    -0m  i    P  itg 


te. 


s 


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uui  si  bien  chan  _ 

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les    d'at  _  ta 


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(11   t'ait  sauter    l'epée   du  M'tuginm 


(Il  s,,  tend.) 


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A.C.7785 


173 


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BUSSY. 


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Dansl'é.toff'e. 


_      à  qui    le 


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01  atteint  d'Epernon.) 


£.6:7785 


174 

CBussv  assailli  ave<-  fureur  a  d'un  élan  suprême  traversé  le  groupe  des  mignons  il  vient  s'adosser  a  la  porte.) 

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(Les  mignons  fondent  sur  lui  ) 


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.VUir.lKON.d'EPËKNON. 


i 


S    1  • 


175 


(Bussy  se  jette    à  l'intérieur  la  repousse) 


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Ôuvef- 


QUELCS  SCHOMBERG. 

m. 


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Ouver. 


te!. 


BISSY 


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d'EPER\ON. 


a  Tempo  un  poco  animato. 

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(JLELIS. 


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En. 
a  Tempo  un  poco  animato. 


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A.C.7785 


176 


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Enfonçons      là!. 


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ton     .     çons  là!      En      -      ton 

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là! 


Enfonçons 


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çons  là! 


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Enfonçons     la! 


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En. fonçons  la! 

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Enfonçons    là! 

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En  .fonçons  là! 

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A.C.  7785. 


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SCHOMBERG. 


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mes.  sieurs,  la     ronde  ap  .  pro 


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D'ÉPERNON. 


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QUELUS. 


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A.C.  7785. 


180 


DIANE 


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181 


SCHOMBERG 


(D'une  voix   faible) 


ViJe! 


D'EPERNON. 


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Vite!  vi    .  te! 


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et      sou.tiens       moi!. 


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Vi.te!     vi  -te!.. 


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Vite!  vi    .  te! 


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A.G.  77o5. 


i82 


BCSSY,  à  travers  la    port 

4L 


(  il   tombe) 


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DIANE. 


*& 


(Elle   descend  l'escalier 
pâle, une  lamp*1  a   la  main) 


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GERTRUDE,  rapprochant    du  corps 


g  i    1  >   j\  y, }  J       J'i  * 


Hé       .       las! 


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I  ET  CC-Li^r  ?[?,.? 


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En  ralentissant  peu  à  peu. 


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4 — — # 


\.C.  77S5. 


183 


Larghetto. 


BUSSY 


(Il  ouvre  les  yeux  et    voit    Diane) 


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(il   retombe) 


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La    ronde   de   nuit    rentre  à    la    Bastille. 

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A.C.  7785. 


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A.G.  7785. 


Fin  lin  lerArle. 
(3e  Tableau) 


ACTE   II.  18= 

4e  TABLEAU.  4'   TABLEAU. 

L'intérieur  de  la   maison  des  Tournelles. 

Le  Théâtre  est  séparé  en   deux  compartiments  i/iéf/an.r;à  droite, vestibule; 
à  gauche,  chambre  a  coucher  de    Diane;  au  fond  /'Oratoire. 

Andantitio  cou  moto  ed  agitato. 


PIANO. 


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Un  peu  plus  lent 


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A..C.   7785. 


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Coin»'  prima    ma  più  agitato. 
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A.O.  7785. 


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A.G.  7785. 


190 


SCENE     XIV 


DIANE,   rêveuse. 


LAMENTO. 


Aridaiitiuo  agitato. 

>nestiré_^. 


DIANE. 


PI  A  HO 


-,  j,  j  j,  ^u^ 


£ 


De  _  puis  bientôt     n  .  ne     se 
Andaiitino  agitato. 


mai  .   ne. 


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h  H^p  Mr'r 7  r    r  '  'r  ?^^ 


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Que  peut-il     è.tre  de.ve  _    nu  P. 


Et  quel    est    cet  aLtrait  (jui  ton. 


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jours    nie  ra.inè- ne     A     rê  _  ver de  cet   in.con  _   nu?... 


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Hélas  que  peut-il       ê    _    tre  d 


e     _    tre  de   _    ve 


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dim. 


A..C.  7785, 


191 


QU  F.  .    : 


V'  |  i  ^l'i/ijiJ'i  r~T;  J  i>Jq 


Gertrude  qui  le     sait       ne  veut  pas  me  le 


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p  F  ^.u  J'r-Uw^  -fi 


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di  _   re:Dans  le  prochain  cou  _vent elle  la  fait  con  .  du 


re;  Les  soins  p 


P. 


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ont-ils   hâ-tés   sa  ffué.ri  .   .sou?... 


Où   bien trop  vi. te 


rrr^Tr—fjJ^ 


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inisliors  de  cet    _   te  niai- soii?Hé-las!...         Il    le   fal  _  lait Il  faut  que  je  le 


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KJ    !       "SI. 


.  xi  _    le  de  ma  peu  _  se  _   e aus    .    si! 


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\.C.  7785. 


192 


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Quoi! 


si  vaillant,  si      beau 


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Quoi! si  vaillant , si 


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Ijean N'aurait-il  doiicquit.té ce  dangereux  a  .  si     _      le,      Que  pour  l'a-hri 


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<et 


JÉL 


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MMûAûl 


Depuis  bien,  lot  u_  ne  sejnai .  ne,  Que  peut-il   tLtre  de.ve. 


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-w-fé-é-é-m^é 


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A.C.  7785. 


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nu?      Et(jiiel  est      cet  at. trait    qui  toujours,  me  ra  -  mè-ii 


a    re 


ri  lard. 


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1 


a  Tempo. 


r  pp'Tpir   P 


a — 


ver de  cet   in.coh.  nu!.._ 


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kNE.  (avec   ehm)      ^ 


_^j»h. 


n  P  i  r     r-p'pr^^ 


j — y 


Ah! 


Più  animato. 


quel   regard quand  sbu  _  vrit 


sa  paupie  .       .  re 


vil  JTl4i  i"xi~^ 


rfn 


J734T5  /m 


& 


*  *  *  * 

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sofitemtto. 


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S 


g! 


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'  '  r*  '  q*  i r Q^r 


5; 


di  _        .  re  une  peut  è     .    tre  il    est         mort Et    une     je      ne 


ËÈE2 


que     je      ne    sais 


« — # 


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.CT3.JT3: 


£j"ir      =^t 


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A.C.7785. 


194 


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dim.  _ 


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pas quel   nom    por.te      la         pier     .      re  sons    la.quelle  il 


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h  h  I<  J>  I 


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Depuis  bien. tôt   u.ne   semai  .  ne  Que  peut-il     è.tre  de.ve. 


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nu?      Et  quel    est cet     at    _    traita qui    tou  .jours         me     ra   - 


A.C.7785 


195 


f  p"> 


P  pif    r    p  P  P  { 


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nie  .    me 


re    .    ver         de_ 


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p 


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cet      in  .  con 


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rite 


nuto. 


a  Tempo. 


p  HP  .  j-.  piv»  n  j-j-^M j_j 


nu  7_ 


a     re  _       .  ver_ 


de  cet  in_con  _  nu?... 

a  Tempo. 


M  J  M  f  i  i 


^MÉMflMj'L^W^H 


s 


rf->. 


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g\    g  ±g    g±y 


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attftfffiff 


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rfi     _      mi      .      ««      -     <'« 


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§9 


■?~*x 


rit. 


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5=^ 


A.C.7785. 


196 


SCENE     XV 

DIANE, GEKTUlliE  . 


Même   mnuv! 
GKUTRl'DE  (enlr i  hâte) 


Récit .     ( tiv-   troublée) 


rJ'J'-  J'J'J'J'J 


$ 


^$=m 


êè 


ta* 


On  vient  de  refermer  la 


-<*  r     g,„ 


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Récit. 


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Ci* 


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&E£ 


1     r 


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pur.  te, trois  hommes  sont  entres,  venus  je  ne  sais    d'où 


Est- 


ce 


P 


g^ 


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S 


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l\on!_ 


Et  ce. ci    vaut 


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>i>  y     g 


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r=F=a 


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vivre    e 


nfin. 


que    vLvre  de    la      sor.  te?.. 


PU 


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J 


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i 


fc=£ 


(elle   prend    un  poignard    dans    un   coffret) 


A.C.7785. 


197 


P 


DIANE 


.•(à   elle   nif-me) 


X! 


P   P    P     P   P  1       ^S 


5    »fl   5 


Il  m'y  trou  _ve_ia  mor  _       .  te... 


^'ff-tJUi  J).J)J' 


T»W'""JIJ^ 


sait -il    vo.tre   retrai   .   te? 


^ 


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A, 


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crenc. 


\h  v    iJV'J»p     S 


G-^k 


ta 


Des  pas?.. 


Faut-il  descen. die        où  bien 


DIANE 


ÉëïêÈ 


^^ 


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Va  voir!. 


(Gertrude    obéi)    terrifiée) 


uj)j"iJ  i  jig 


•?     r 


L'un  de  ces  hom.mes  est  mon. 


g    r 


fl^=^ 


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X    * 


3 


*  • 


*-fl  F,    g 


p#^ 


-21 


*  (M-  V'F  I   l.'frHE8 


qu'il  vien_ne,Je  ne  crains  plus  rien! 


i 


(redescendant ) 


^^ 


S! 


§^ 


3 — f- 


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te 


Rassu.rez 


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JWlJfflJ 


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1e 


diminuendo. 


A.C.7785. 


198 


f  r    p  ë  'f  p  ^pg 


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vous: ce. tait   Monsieur    le         Com   -   te! 


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te 


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DIANE. 


Jl    J,    r  J  JE^£^ 


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Ger  .  tiu  .de, 


Et  ne   te . loi . gne 


MONSOliEAl   fà    Gerl.uile) 


">j   r     F'    P  l- 


Lai 


ssez-nons ! 


$ 


(Gerlrude    -or!    et   va  dau*    le   boudoir   à   gauche) 


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K 


pas. 


pÊÊÊmm 


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pin   murent o. 


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r— l 'û  pz! S  Y---  P  '  r    5 


j  Hjl 


Y^M 


A.C.7785. 


SCENE   XVI 

DUNE,  MONSOREAU 


19.9 


SCENE  DE    LA    LETTRE. 

AU1!"  ni  oit  o   moderato. 


MONSOREAU. 


m g  p   r  V  p  if  M 


PIANO. 


^m 


Ne  puis-je  entrer    i    .    ci sans  que  l'effroi  vous 


AU'."  molto  moderato. 


pu 


^ 


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DIANE. 


j'^rfBj'ji  j^^ff 


(mouvement    de    Diane) 


P  ^PKÎP 


i^i^r^ii     y  y 


Moi?_  Je  priais  Qui  donc  est  entre  sur  vos  pas 


g  1 1  "P  S  j  r 


■     ■ 


^ft 


r      j  j  ^   |  !  ^ 


ce 


Des  gens  à  moi Di. 


$ 


P  p  f  g  pi  r  ^ 


Vousmeproté.ge  -    rez!. 


•>v  |  P  P  |  P  Hp 


.   F   F     P 


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_  ane,un  danger  vous  mena  .  ce! 


m 


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Et    le    pou 


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A.C.7785. 


200 


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**t  v  et    p  ■■  jp  b  ptp  i?  p  r  p  f  p  «p  p^a 


.  rai-je  he'las  !_ 


LeDucd'An.jou  crut  à  vo.tre  trépas     Quand  il  vit  sur  le 


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LU  VNE 


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Eh 


*fï  r»  p  f  p  p  p  r  mf 


F'    fi    *    m    g  V5 


17       F 


3  F»  p  b* 


1 — 1- 


_ tang  votre  échar.pe flottan  .    te       Et   tous    y  crurent  a.vec  lui!. 


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bien!.. 


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vp  y  h*    g  *'  *■  é>y 


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( 


Eh  bien! aujourd'hui;  Et  c'est  de    là     que.  vient  mon   e'.p 


ou . 


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_van  -  te,    Le  Duc  d'An,  jou vous  sait  vi  _  van 


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A.C.7785. 


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Le  Duc? 


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J  allais  prier    pour  mon 


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Il  vous  a  vue      a   le   _  gli    _    se 


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lont  a.ver  _  ti       que     cetoit    vous   a  _  bri 
scen     _  _  ^^^^^^\      -I     rfo 


gs 


te        sa  passi- 


-*— 4 


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F 


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.on que  la   coJere  îr  _   n 


te         sa  passi  _  ou. 


la  ressai- 


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A.C.    77K- 


v         2:         V 

♦ 

V 


202 


DIANE. 


wua 


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II  moubli  _  ra! 


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.si!        Voilà  longtemps  qu'il  vous  poursuit- 


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Quand  on  a  la     fo 


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e de  vous  ai  _  mer   Diane  est-ce  qu'on  vous  ou. 


y*  ït  a 


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i    '    i     r 


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DIANE. 


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Monsieur 


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Le    Duc    reviendra     ceLte 


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je  tuLrai la     mai  _ 


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nuit, 


et  par  force  ou  par  sur  _    pri      _      s 


A.C.    7785. 


203 


-T — r- 


.  son! 


m 


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f.      f.   \>0  s   0   0  0— 10 


y-j-y    \      TvVy 


* 


Par_  tout- 


U    vous   sui  _   vra. 


jus.qua         ce  quil  ait   re. 


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)ri  _  se,       cel      _       le    dont    le      sou    . 


re  in.  gé  _  nu fat    .      ti 


w^m 


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DIANE,  a  Tempo. 


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Ah!  sauve/- 


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sauvez-moi! 


Ah! 


sauvez-moi! 


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m 


M. 


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re 

a  Tempo. 


Jen     dé-  ses 


pe 


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ses 


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Ah! 


sauvez-moi! 


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J'en     dé  _  ses   _    pe  _  re!       A 


cette 


5 £ 


rfo. 


J-T3 


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ÉÉil 


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A.G.    7785. 


204 


*— * 


niANE.        MONSOREAU. 


gpqL_zpzpq;- 


f— rj*  ft  r  'Vf  » 


heu        re  je    ne       peux        rien!...  Rien!...  Mais  le   Ba  _  ron 


vo      _        Ire 


f-i-H 


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re,  a      _      vait    cru  trouver     un  mo_ven... 


A  _  ver 


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a:J    4     *>    j=j    1     i   J    1    ^ 


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S 


.ti     que  vous  étiez       sau    _     vt 


fez 


e,         le      Ba_ron, 


des  mou  ar_ri. 


y  j'j'j-j 


5    ht    h    N  v  _N 


I 


^    K-,  J-, 


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DIANE. 


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Eh  bien?. 


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.ve      _      e,       m'a-vait    dori_né  pour     vous. 


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A.C.    7785. 


205 


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Plus  lent. 


D.-Ar-+ 


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S 


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H£ 


II  m'avait  don_   ne,     Dia 


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ne,  u_  ne      leî 


tre 


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Plus  lent. 


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ne  pas  me  la    re_  met  Jre? 


S 


Encore  plus  lent. 

/7\  (hypocrite) 


g»      g g     g      g 


F7"- p"ÎT^p3 


J  ai  pu  vous  sauver  de    la 


-■S^Éî 


honte;     mais  je  n'osais       réclamer  unsemblablesalai    _     re  J'ai   le  malheur 


i 


'j—t—ï-tî 


F¥ 


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DIANE. 


8* 


AU1.'  agitato. 


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Cette  let Jre... 


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e  vous  n'épiai     _       n 


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Ail.'.'  agitato. 


Plus  que  ja  .  mais  le  péril        est  près. 


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A.C.    7785. 


206 


I 


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m 


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Quelle  tortu      _       re!     Cette  lettre    monsieur!. 


(H   la  tire  de  sa  poche) 


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sto 


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.saut! 


..a  voici. 


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feà^fe^ 


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(Diane  la  prend  en  haie) 


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V      v 


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And'.''  sostenuto. 


1)1  \NE. 


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((Mon  entant». 


And.   sostenuto. 


m 


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très  rfou.r  et  expressif 


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MONSOREAU.        *» 


S 


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Vous  reconnaisse/  bien       cette  ïhere         ejCri  -  tu 


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A.C.    7 78. S 


207 


\%     f    hr 


(Elle   repond:  oui,  du  ges'") 


DUNE.  p 


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re. 


«Crois  en   ce  _ 


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.lui 


qui  te    <ié  _  fend, comme  au  plus  sur  a  _  mi         que  le  ciel  nous   en 


■i 


S=S 


S 


P¥^ 


# 0    '    0   0 


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_voie; . Tu    lui  dois      tout et  tu  peux  au  jour,  d hui. 


tluu         seul 


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mot       tacuuitter   enlvers      lui. 


Fais  au     com    .    te,  fais    à      ton 


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— - ! — L->-fg:- — I-  -r- 


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17 


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A.C.   7785. 


208 


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ne      _        re    eeLte     joie_ 


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agitiindo.  _ 


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a  Tempo. 


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Cest ton  iuté  _   rêL 


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mieux  en  _ 


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(Des  sanglots  o/ouffanl) 


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Baron      deMeri, 


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F       'if  »f  q*  1 

'    _  i/o     I  rfim.    . 

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S 


A.C.    7785. 


209 


a  Tempo. 


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M. 


m. 


dor.       > 


rm  r  g 


« 


a  Tempo 


Ah' ce  mot      que  re' .  clame  un  pè  -1   re   si    sa     .      ge    et  si 


i 


fe 


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ïtitsiitê 


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J>/>  SOStPVIIfO. 


m 


F?   ''    4   f   * 


«a  JUisJ1  J  â 


doux     je  vous  le  demande 


a    se  .  noux 


Le  diriez-vous, 


ma. 


i 


DIANE.        >»(dra  larmes  (iins  la  v»ii) 


BÉ 


F^ 


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fetS 


■       ■ 


Moi, 


de.ve.nir  sa      fem  .  me,  ô  mon  pè  .    re,  uu'e.xi-g-ez- 


ÉÉÊ 


g  r   r 


# — ^ 


£f^g 


»  s  m — » — #— » 


a^^? 


da  -    me?  Un  pè      -      re   le   ré  .  cla  .  me!   Je  le  demande 


^iiJfll 


S 


1  i  i  I  i  i 


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cre 


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di    .      toi  _ 


m    m 


1P  P  ''P 


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vous!    Je  reçois  votre  or      .      dreà  ge.  noux!_     Mais  jai  la    mort  dans 

ÙtM 


wm  >f  ^m 


noux 


P* 


Le        di      .       rez-\ous  mada    -     me,        Le       di      .        rez 

xostenuto. 


fc* 


P 


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S  i  i  S  g-l  3  i  I  r~3Fi 


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se  en    . 


do./ 


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di. 


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A.C.77«5. 


210 


nu        _       f>n     -      do. 


p  -M }  }}J  }  w 


^m 


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s 


m 


là.me ,  j'ai  la  mort  dans  là 
en    -      do. 


-me: 


Hé. las! .  qu'e_xi_gfiz- 

C'7'P.S'C. 


^ 


vous. 


ma 


.  da. 


.  me 


!        .le  le    deman.de à        ge 


^m 


guZj±Sn. 


û 


di 


nu        .       nu 


fe* 


m 


\01IS  /. 


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mon  pe_ 


_re! 


!±\-tç  14-fj 


fef£ 


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o  mon  pe. 
rf)      .         mi 


tr-P* 


Z=?r=£ 


5E£ 


» 


:îoux  in  pè.re   le   ré.cla         _         me! 


In   pè . 


.re    le  re  - 


do. 


^ 


r\ 


m 


ls-    r 


:  : 


re 

en 


qn'e  .  xi     .    gez  -vous? 
•  do.  o  •-- 


I 


^ 


S 


s: 


v-    <  | 


^ 


.  cla 


me      Le      di     .      rez-vousZ 


A.  <:  778n. 


211 


SCENE       XVII 

LES   MÊMES.    GERTRIDE. 


Allegretto    mod 


GERTRUDE. 


riANO, 


jWJlr  J^J[JmiJ<|JiJ]r^rjrJ>  jjjjjj, 


A.  levte  on  vous  a  suivi...  J'aperçois  à  travers  les  barreaux  de  la  porte  des 
Allegretto  mod?0 


gnn 


i 


.DIANE. 


S 


±± 


Ciel.'..- 


I 


fe 


-wwtr  ÎW 


me  délivre,  rez-vous    de  cette  an. 


P*£ 


i 


— r 
hommes  ! 

MO NSOUEAV,    ifi  part) 


(à  Diane) 


HltB8t»il!.AI  ■    ^apan;        

m  j  1 Jj  m 


£##£ 


Ê3E 


Les  miens!.,  le  duc  et  son  escorte! 


*»••     ^--f-1^    §       < 


f 


ara: 


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.  -0  -m 
■■  v    v 


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m 


m 


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^m 


gois.se! 


(YvoUh'mvni) 


f  |  j  i  g  P ^8 


p ,  i  ji  mu  Pf_ ^^pp 


fct. 


^ 


^= 


Moi-!. 


moi  combat,  tre  le  duc!         Et  de  quel  droit    ma. 


! 


i 


tfz 


--P 


(bfe=_fe 


A.C.  7785 


212 


.da.me?  Si   jetais    ma   ri   .    é       i  i.rais  trouver  le  roi,  Le 


PiP 


v  >i 


i 


ai  i  i 


! 


I 


DIANE. 


(à  «1  le- me  me),/       — 


f       -y    -r 


fc 


Ja-  mais.'. 


m — 0—0- 


g  y    h  gj  i  M'  f-H 


p*Éê 


*     * 


*  g  P  g  ;     JJ  V  ^H^ 


roi     proté.fferait  ma  femme  ! 


Vous  a_vez  dit:     ja.  mais!          a  .dieu 
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Vous    par.  tez  ! 


S 


ËÉÉ 


S  il  F  F  F  ''     F^fE^E 


a    ■ 


m 


donc! 


II    le  faut  bien;    que         fai .  re? 


.4  quel 


S 


p 


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T2: 


f      A 


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P 


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0 — 0 


$V    M  P  PT=EF=E 


fautez! 


je  me  tue  _  rai! 


jHggPP  gpY^JIJ^- 


<■     -   B  1    1  I 


PP 


ti.tre  rester  sous  ce  toit    desor.  mais? 


Vous  tuerez  vo .  tre 


i 


m 


Sfz 


A.  C.  7785. 


213 


i 


(ayant   regarde  ah   dehors) 


i  i"f  g  g  g  g  J'I 


GKKTRUDE 

-^"  part) 


Ils  sont  toujours- sous  la  fé. 


Ah! pauvre  cœur  bri_  se! 


j3~J^3: 


s^ 


i 


E 


ne.  tre, 

MONSOREAU. 


(bas  à  son  valet  en  lui  montrant  l'oratoire) 


=£#fÉ 


fie  valet  sort) 


^ 


y — r-=- 


m 


Fais    en.trer  là        le      prê  .     tre. 


A.  (;.  7785. 


214 


Andantino  con  moto. 

MONSOREAU. 


fà  Diane) 


5E 


E  .  tait  -  il    donc    si    ma.lai.se      db.  bé 


Andantino  con  moto. 


^Lj  C-J*^1 


I 


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>       r 


DIANE 


DIANE. 


»  y  r>  ^  m 


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Où  donc? 


ve.  nez: 


Où  donc?__ 


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MONSOREAU. 


A.C.77«5. 


215 


j  î    p  p   |»     p  p .  p      FM  'r"~l  j       ^^ 


Vous  a  .  vez         paraît  -   il,         tout  prë  .  \u , 


mê_me  la  \ic. 


ESEE^ 


.  tend 


$ 


m 


m 


.1        -f- 


toi 


re? 


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m^L  i  -^ 


^ 


i»    |»     * — y 


M 


P       P    ,     ^  * 


Oui,  j'ai  tout  pré.  Vu 


bra    .     yé       tout  pé 


g 


É 


^ 


P  FM  M 


^* 


É 


M. 


3 


re,  Mais  vous  pouvez  en  .  cor_ 


re.fu.ser  ce  des. 


A.  C.  7785. 


21C" 


-mv  fip  p 


Je  veux  revoir  mon 


t^p-E-gir     p  *  nn\Q 


s 


=**= 


tin 

— h- 


Le  voulez- vous?. Le  voulez-vous? 


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^  C7  9  fp  hi    S 


J-T^ J 


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P 


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-  re. 


m 


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Eh    bien.' 


ve. 


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I 


P       g  -ft 


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m         -m 


'■■**  1 


S 


-■h-r 


Al. Ions  !. 


al     .       Ions  ! 


mon  pe 


re   l'or. 


JlijJ1  I  p j  F ;  1 1/  J  ->  j^jjtJ  ^  y  f    i  r  ":  i^p 


Cédez  cédez  Di  -   a  .     ne,      ce      .      dez  ! 


Tout vous  a.  ban. 


'•)'•    ff     1    f        =f=^=?=p 


F  r   m  m  r 


.  nez: 


En  fin  el     .    le    sa.ban-don 

N    =-  dim-?. 


A.  C.  7785. 


n  i  h 


& 


et 


ê 


CPe  . 


-    Pe- 


re    l'or   .     don    .     ne!         Q 


ne 


I 


f 


E 


P$ 


-» * * — m 

poir,  les.poir       qu'on  \ons       don 


Dieu me  par 


EE 


igEfEf 


ne; 


S 


F^     |ff  ff  P  P  " 


m 


Tout     vous    a  -  ban 

cre-  ^- — :r— 


P^ 


r     p.  .g 


ne    Seront  miens  bien     .      tôt! 


£ 


A.  C.  7  785. 


21» 


ri    .      te  nu  to. 


I 


? 


,  (ils  sortent  par  la  porte  de  l'oratoire) 

J       J' w       - 


Ions,    il  le  faut,        il         le  faut 


1 


É 


ri  te     .      nu     .    to.-f? 


VJ  J-'ij- 


.  ane      il        le  fauTf       il        le         huî~T_ 

__      rî    _      te  .      nu  .     /<*.  ^ ^ 


v:v  ^  r 


f£^ 


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5=£ 


.  son 


ne.  seront  miens  bien  .    tôt. 


I 


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.    papa 


P 


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!K 


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E 


A. C. 7 785. 


2  19 


SCENE    XVIII 


(Au   moment    où   cette  porte  se  referme  sur  eux,  celle   du  Cabinet   à    gauche   s'ouvre   et    Bussy    entre) 

Allegro  mod,° 
BUSSY. 


m 


WZ4fMl!4 


^^ï 


1  ■■•pf  çŒ 


(juelleaffai  .   re  les  a.  mène? 


Person.  ne       du 


S 


E=HÉ3 


f       ^j^ 


j      h1»     - 


gfig 


| — i  j  g  ^ 


^P 


n. 


^fl^^f  g  p  cLr  1 1  p  M^fjf 


moins c'est  bien  là      la  maison. 


oii     je    la    vis l'autre    se.  mai 


$ 


Π


2g 


Plus  lent. 


.yjw  - 


.  ne... 
Plus  lent. 


WP^IU^^^ 


I 


AhJ_^rienq«e  d'y  son  .  ger_  sa  beauté_   souve. 


A.C.7785, 


220 


$1±JL4Ï 


W.v ,è  jjE 


rai-  ne        m'e'bloiut 


tt   je    sens uue  ien  nerds  la  ra 


nrn 


je    sens que  j'en  perds  la  rai 


-D-  — ^  —  .j=- 


I 


P     f^ffl    " 


-  son:       V    "F-    - 


&$&&*% 


Agitando 


mi 


w=H 


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ÏÏSE.  :: 


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p  Aiid''.  canfabile. 


p  p  r  gf 


scen 


do. 


rlini. 


rit.     0 cher  souvenir      qui  par. 

-     —  —  And^caiitaoîlo. 


-• — « — m — »- *rm — #-"« — 9 F r - m n m 


\>J  J 


faP        ?  \ 


m 


0  f 


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P — = — P—P 


M  F  E 


tout_       m'as    -      sie 


Blan  .  che  vi    -     si -on] 


Re.ver- 


i 


//  J  *   J  J  _J — ** — d — d- 


S* 


■^M    ^J^7 


Ff 


jv    jy    #   g 


P 


>    s.    .i 


^=* 


Agitando. 
ère.  "     .     -  L-,s    "-».. 


rfo. 


rai 


je  un    mo-ment    pa  .    reilJ 


Ç-ll-J 


un     mo.  rnent    pa 

&- — 


2J.  1 


22  2 


Quel  doux  ré  -  ve i I  ! _      Blanche  vi .  si. on, de  sen. 


M.         M. 


_ 


JE.  M. 


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L_P  F  ^  F 


3-»  i  W    =5rrE3pr__i,     K  -y      K 


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V- 1        Ru* 


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_r au  réveil ce  ra  .   yon de  soleil! 0      cher     souvenir     qui  par. 

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sempre  pp 


1 


A.C.778Ô. 


2.2  K 


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P  Jl  i'  M 


tout  m'as     _      sie 


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ge,        Blan.che     vi  _  si  .  on     te     re  -  ver 


I 


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m     g 


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rai       -      je!  Ah! quelle  ex  _.    ta        .        se      en  sortant  du        som. 


i 


>■  S^        P 


7MZ 


J.  .J)lJ   j 


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P    F     P 


-  meil 


De         sen  .  tir 


ce    doux    re .  gard   plus 


lyffr  rfff,MJs^r^"Pi^  fi 


chaud  qu'un  rayon_  de  so  .  leil  Ce  doux  regard—     plus  chaud  qu'un  rayon         de    so 


$ 


m         m 


E 


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rit. 


n  ?.      '      ^- — — ■ 


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A.C.7785. 


224 


I 


a  Tempo. 


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s-r  ^v , 


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I! 


Ch 


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sou   .    ve 


a  Tempo.# 


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espresswo. 


m 


ffl^fflfrti 


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g 


fo. 


«3 


Blan. 


.  ch 


e      m  .si . 


to. 


&M&ï&&ê£èè 


marcato . 


a  Tempo. 


f    , 


A.  C.7  785. 


225 


BUSSY. 


PETIT  CHOU 


$ 


CHANT,   D'HYMEN     DANS   L'ORATOIRE. 

And'.e  cou  moto. 


g=^ 


^^ 


ni 

ÎS  filles.  I^p 


l';reSop.  mj-   „ 


Pourquoi  ces  vœux— 


jeunes 


ORGCE 

sut;  le  théâtre  À 


E^Ê 


B 


*    *   ai 


PfS 


*— # 


|H 


And .  cou  moto 

Jeu  très  doux 


Ve.ui  sponsa  chns  _  ti,    Ac_ci_pe  coro     _     Dam   quan  _  ti 


g    j     | v~^ 


E*= 


=* 


? 


-'y— r- 


c 


II 


Pour  qui. 


ces  chants  de  fê 


te? 


m=K=t=$ 


t=ï± 

-* — m  ■* 


m  F   B  B   ff==» 


^ 


rs: 


pt 


i 


g=g  *  * 


F  V    P 


-    bi  dominus. 


prad-pa_ravit    in  ae       ter 


_    uum 


Orchestre. 


P 


njf-    LE   PKETKE. 


<-ï.       f» 


r    n 


± 


Et 


que     Dieu. 


vous    don 


ne 


i 


s 


p^ 


ô^ 


Î^T 


f- 


ï 


i 


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f 


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71! 


m 


r     f.f  r 


(Bussy  s'approche  et  regarde  par  la  porte  entre-baille) 


f 


^ 


E 


r — rz 


un 


bon.  heur. 


sans  mé  _  lao 


$ 


m 


m 


I 


B 


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r 


m 


r    m 


-+   V         £  —  *—-ÏT 


A.G.  7785. 


w 


7_f_ 


B 


226 


Même    ihouv1  phi"  temps. 

BISS'i . 


0    0  0    3Çg 


t  t  f    f  g  IT 


^ 


■    pa 


^  '   jj 


e  y    e 


■? — ? 


§ 


Cette  femme  à  genoux  dont  le  front  est  d'un     an 


ge?     El  _  le!    je  re. 


r>  J>     i     -*- 


.  ge. 

Même  mouv!  par  temps 


.vois  ces  traits  a-dorés!    mais  quoi?  d'où  vieut qu'eu  pleurant el| 


elle e  _ 


_  chan     _      ge  cet      au.neau        do 


±P 


rï       r    f 


; 


cet      au.neau        d'or 


>,  pr    r»     «      0  <y0    #'»1|Lr      -g—TV?    g1-* 


par  le  prê     -      tre  bé. 


I 


Ur.*CcMCrttc£r 


e 


m 


^; *_ 


§ 


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jj: 


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b/OT 


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_-!>o 


i 


V^—  f  U  h  ^ 


ë  j  y    k     ^ 


-**- 


»  » 


ra^j^^ 


.ni        a  _  vec         un  h 


om 


me  noir  a.genouille'     dans  l'om 

JùB_    -6 


A.C.  7785. 


227 


1°    Tempo. 


LE   PHETRE. 


"if 


m 


fe^EÊ 


m  en 


V      _5-J    _..       _....:.    • ..3»  .,. ..i    i..     i..;  ..i 


nus prae_pa  _  ravit    in  au   -  ter  _  uuni- 

À J= 


al  _  le  _  lui.a!. 


%~y-  ï 


m    l  ? 


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m 


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Ujj  1  r-ag 


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s= 


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Bl'SSV  (douieureusenient)  Même    BlOUï'. 


# » 


3±E£ 


m  ».  a 


^r-i^ 


:3±=£ 


e    e  e 


Tout    est  f'i 


.     ni!. 


A  _  1er  _    te!      on  vient!...        sa_ 


'0   Ë-  s  - 


E  i?  a   y 


_  men! 

Même    mouv! 


(Il   se  rejette  dan»  le  cabine!) 


§§g 


»     » 


^^ 


:E3E 


.chons    quel  est  cet  homme   som 


bre! 


22a 


SCENE   XIX 

DIANE,  GERTRIDE,  MONSOREAU,   BISS\    (dans  le  .-ahinel  à  gauche) 


3 


Allegro. 


(reK'ii'dn'il  desa   cachette) 


SE 


^m 


Monsoreau!- 


MO.NSÛUEAC.      'à   Gerlrurfe  ijtii  les  suit) 


I      ^       1  f 


VaL 


Allegro. 


ife 


iÉ 


S 


^^ 


ww§ 


T=Jf 


m 


Plus  lent. 


Malheur  à  toi quinze  la   prends 

Plus  leut. 

dolente         H  3 


ff^W 


I 


v~  y     f g 


^^ 


• * 


£=  *ff  g  ffHfry 


i 


r— le    Ir    K 


-JjH-f- 


B* 


=ç=? 


irêtre  ayant  bé  .  ni     notre  an.neau 


m^ 


maisj'attends    !a  bénédiction 


de    mon 


^g-f-f-^ 


^t 


S 


J 


± 


"FHi 


J    ± 


A.C.  7785. 


229 


pÉ 


-p-^ j  l  rfif Py^y^ 


I 


pe  _  re 
Bissy. 


Par.tons  à  Méridor 

(  à  pari ) 


l  -nef  IJ«M-r  irjyp  1  I  *> 


m 


¥Ei 


MONSOREAU  (surpris) 


m 


Ma 


Méri_dor!_       Ah! 


je  comprends 


se 


Mad 


a  _   nie! 


SE 


SE 


#-# 


3-f- 


1     TJlP'' 


P 


J— J> 


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§  r-r 


3 — E 


# 


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î/s 


5   g  -ri 


f 


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f 


t+ 


ê 


Allegro. 


Più   aiiiuiato. 


a^f^t: 


E-H'H8— f 


l'If  f 


¥ 


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Vous  m'avez         dit «Autourde 


i   ^-  0 0um   >- 


S: 


^£ 


#—[^7? 


f 


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Elle  a  subi ee pacte  iu.fâ    _    m* 


^^ 


Azt 


£ 


Più   animato. 


iLLVU± 


r~w 


f^ 


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Allegro. 


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S 


S 


1 


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g-fc 


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ÊÉÈEÎ 


p^ 


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z— P 


vous  tout  est  dan  _ger, Leduc  d'An -jou   vous  aime  jusqu'au   cri    _   me,  Soyez  ma 


^m 


^p^ 


E^ 


JA*  à  J 


i 


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ci     ^t- 


/o. 


1 


s 


P  f    |  j       |jj   EE^ 


p= 


-* — #- 


3zzt 


Ê 


femme  et  je  saurai  vous  pro_  té  _  ger! »  Pro_té_ge2  -.mot; 

r*     -       'e      -i       nu  fo. 


mon  - 


f    ^ 


^^ 


E^ 


1 


^r 


E^ 


2ZZÏ 


\.C.   778  5. 


!30 


a  Tempo. 


i 


±±z 


_  sieur! 

MONSOKtAl 


I 


gasaE 


fjf  f,f7^'g  r 


=S=3C 


r'^r^-rr 


»~~y 


? 


£ 


p  i  y   v    v   v      t    -v 


Ce  lôle  de  vie  _  ti  _  me,  croyez  moi  n'est  plus  de  sai  _  son;    _Yous  ê.tesdans  ma  mai. 
a  Tempo. 


V  i  . .  "  i 


f 


tj^&^f 


^5       a: 


r^r? 


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cv     f  ••     tt^—         if"       fT    f'fi   ^       ^f  ff  I  f  "       f!  f     f;'P 


^   z 


_son,        Dia  _  ne,      Et        vousê  _tes  comtes     _      se,        corn,  tes    _    se  de  Monso. 


mm 


m 


t 


5^E 


f?^  g    gg 


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3^** 


Ai 


É=S 


m 


m 


5^r       «    I» 


r  r  r    r  r 


f 


-     DIANE.  »,    l 


0  t 


£ft 


Et: 


Partons  à  MéridorL 


Bla. 


mez   vous 


ma  tris. 


Si 


Ï-&+ 


0 — — 0 


f ^— Y 


_nl 


leau 


Rail.lez  vous  mon  amour?. 


SB 


t* 


« 


-*  -«-      -a 


# 


«-=•_: 


(t'fll 


<fo. 


#f£ 


i 


È  =  É 


E 


f    v  i 


s 


_tes.se? 


Par. tons L 


partons  L 


7-f     TTi r  n^— f 


s 


scen 


i 


jet 


2± 


do. 


Non  ce  n'est  pas    le  moment     en  _ 


33=ËI 


m 


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i.  ;  i  i-trm 


it 


W   fW 


c>ffi  fff"  f  lj^^ 


£ 


J-+^ 


ihHJ-ih^ 


f 


•7  r 


A.C.  7785. 


*    m     # 


Allegro. 

\m     0    - 


231 


x 


J'attendrai       doue!. 


(frémissant) 

Kécit.   -m-m^f:  -m-  u. 


&&& 


ê 


s 


£: 


^F^ 


3 


cor 


i 


Allegro. 


i  .5 


Vousavez,je  vous    ju  -  ré,    tort    d'oubli  _ 


i 


f 


ttà-i 


3=_= 


T^T 


£2  * 


«,>_jj  J  J  à 


9 


Récit. 

A 


1 k 


0-0 0 


S3- 


T-r^- 


»* 


*     V 


i  r 


V 


a  Tempo. 


■    m 


Ê  g  1T 


^=* 


3==  3 


:£=:<: 


rt 


Vous  même à   vos    serments 


ne  soyez  pas   par. 


m  bf 


^ 


m  •     m. 


¥ 


n=S. 


.  er    mes  bienfaits  et  mes    droits 
a  Tempo. 


m 


p^pi 


^a 


r 


m 


3» 


L— J- 


P  -»  »p  -»  p  ■»     'M^^P 


l  fl     bri 


^ 


:3=S: 


■Ju 


re,  Vous     l't 


tes. 


vous      I e 


tes  à   ce  que  je 


W4r 


^HP 


eue 


• — » 


^-U— J 


3 


^r 


/     / 


ï 


s 


p i f ^  f i  f^ 


^¥rTf1 


i 


(  efl'ra  y  é  ) 


=Ë 


D. 


!__ 


z± 


crois! 

MONSOREAU   (hors  de   lui) 


§1 


I 


j^=£4 


Gertru 


£ 


3^* 


=i£ 


1  r     3 


Vous  me  poussez  à     bout  vous  pairez       cette  in    -  ju    .     re 


•pi 


Au 


PP 


■?* 


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m 


I 


:rjr=jr 


ffS^: 


5* 


ilS 


ML". * 


L> 


ïi3     S- 


fwf 


1  * 


A.G.  7785. 


23* 


$ 


(appelant) 


m  m   .      m    —  (fermant  la  porte    a   Gertrude)  Wm- •    _«.  _^*    ^m. 


\ 


û 


à  moi!_ 

(fermant  lu  porte    à   Gerfrude) 


_  tant       de    baisers     que    d'affronts 


nul  ue  vien.dra!  Tendre  nu  non,    il    n'im. 


g   «Ai 


cresc. 


n 


r^ 


^=* 


jj-^ 


^ 


0 — r 


i 


^ 


Ff 


■y 


1     f       * 


ri    .     te 


yt       rfffif- 


M.   "Z1 


nu 

la- 


to 


T 


-rV-^ 


a  Tempo. 


fc 


:3T= 


_  pot 


te!    Je  vous  au.  rai 


^ 


I» I* 


I 


cet  _  te    nuit!.. 

a    Teuipo      .  f  ^^^ 


!BE 


E 


'P  yT 


«J    jV  J? 


« — * 


r 


, 


w  •*?      * 


DIANE  (a  lire  son  poignard) 


f^ 


=5 


i 


0    0 — p- 


m 


-f — 5 


t — E 


^m 


■*—-- 


BISSY  (à    part) 


$ 


ï 


Voi  _  la comment  je  vous  ré  _  pond 


r      g    !  hglip  _^ 


*- 


■Mt     Nous  verrons!.. 


(elle  s'élance  dans  le   cabinet  et  referme   la  porte  sur  elle) 


A.C.  7785. 


233 


D. 


|  j_j^;;jj»  ;u     ^  i  3 


tt 


^ 


i 


.vrez! vous  me  trouve,  l'ez     mor       _         te 

Bl'SSY.  (  en  la  remplaçant  près  delà  porte) 


j  J.j.j,  g  ,!        ^ 


Élp 


rfi 


^ 


Et  vous  au      _      1 


«£ 


ez 


ud     ver) . 


fg    g         g         g  g 

P   h   h    E 


rfr). 


fe^jq 


Wïf 


l3=g£ 


f 


!/'. 


e  r   g 


^=¥ 


Lui!. 


Lui! 


i£ 


f    J    B    B    ^      S 


F=£ 


E 


£Ei 


^ 1 


.geur! Oui  vous  au   _    rez 

MONSOREAU. 


un 


ven  _  geur_ 


(fond   de  colère) 


swy 


m 


r      v 


Dé 


4M 


4 


^mM 


w$m 


m^ï    -î 


*    ^ 


"*       ir 


si 


sê 


F^f 


S 


ÉÈ^E 


?» 


-2: 

S- 

I 


=    1      f 


t 


1  r 


f 


w      » 


i 


M/. 


!E 


T^T 


E 


^ 


■v- f- 


lemons: 


0. 


dé. 


sâ- 


m    m 


*. J:         ^^ 


fPf 


Ë 


P£ 


■B^  j^g?] 


*^ 


T 


te 


A.C.  7785. 


234 


a  Teuipo 

U1A>£. 


i 


a  ftBUSSV. 


Je  ue  crains  plus  U 


hai  _    ue, coru 


te, 


ui   ton  a 


13 


i 


-*» — 


g    J        il 


$ 


0     rei 


ue! 


« m. 


zz.t 


t-T<- 


mons!. 
a  Teuipo. 


N 


e  crois  pas      a  ma     haï 


im 


^m 


m.  ». 


£ 


^=t 


_  niour. 


Ce  har  _  di_ 


ca.pi   _  tai 


_    ue  me  pro. 


Â'ivIJ     JJ'rp 


^m$ 


E 


K  "  ['1 


»  » 


Soufï 


rez qu'un capi    _    tai 


ue     vous  dé. fende  à      son  tour. 


S 


m 


£ 


i 


w    0    m 


ï   r      Y 


E 


?=^ 


Je  suis  i   .    vre  d'à  _  mour_ 


Je  veux tes  bras  pour 


mm 


i 


h 


0       0       0       0     = 


«-■— • 


t 


i  i  a 


t=t=t 


t 


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fefct 


mu 


épi 


*=■ 


. 


*fc 


S 


Uu  peu   plu*   reteuu. 


^ 


PBE 


_  tè  . 


ge  a  son    tour!. 


m 


«y 


=F=*T 


E 


S  ouf.  fiez 


ô    dame 


'.»t  r  >  <■  r^ 

1  A  , 


g     5 


chaî.ne,  jusqu'au     jour!. 


^ 


É 


Uu  peu  plus  reteuu 

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A.C.  7785. 


A.C.  7785. 


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a    Tempo,    un  peu  animé. 


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MONSOREAU. 


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Ne  crois  pas    à  ma    haiue,  Je  suis  i   .vie    d'a.mour! Je  veux  tes  bras  pour 

a   Tempo,    un  peu  animé. 


m 


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DIANE. 


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ne  jus  _  quau  jour! 


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A.C.   7785. 


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plus  je  ne  crains  plus     ta hai 

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à        ma  hai  _  ne,       je  suis       i 

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ni  tûn   a       mour ni  ton  a  _  mour,     com 

dim.  ,4 


te,  ce  liai'- 


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comme  le      jour corn,  me  le    jourJDieu rompra -t-iJ la. 

flfùn.  i>  _. 


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ble       ca.pi  _   tai 


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Je  veux  tes     bras 


pour chai 


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A.C.  7785. 


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ca  _  pi     .      tai 


ne    me     pro 


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ne     de     cet 


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Di  . 


ne     jusqu'au       jour!   Je  veux   tes    bras         pour 


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ri     .     te    .      nu     -     to. 


a  Tempo. 


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P 


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di 


gne  amour 


de       cet    in.di    _    gne  a  _  mour 


m 


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vous  dé      _       fé 


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de  à  son     tour 


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ne         jus 

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quau   jourL 

L'HEIKE   SONNE. 
Cloche. 


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a  Temp"©. 


A.C.  7785. 


239 


(  à  lui  même) 


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r  p,p|r  §g|  rr  |f  Tri  r_| 


Quoi!_  neuf  heures  Les  chefs  du  complot  vontm'atteu 


m 


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ton  cru  el    si   _  len  _ 


ce  te  con.  dam_  ne  crains  la 


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A.<\  7785. 


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Mais, 


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(  Passant   devant  Gertrude  qui  vient  d'entrer  el  qui  a 
assisté  a  t:eltr  scène  terrible.  Ils  s'élance  dehors  en  courant) 


M.  S 


CES* 


(ruinez.  ■f 


a  Tempo. 


Je 


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Je   revien  _  drai  ! 

aTeuipo.^;        :£: 


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V 


(  Gerfrude  le  regarde  s'éloigner) 


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A.C.  7785. 


241 


BUSSY.  (remettant  son  e'pe'e  au  fourreau)       ,, 


m    m      mrm 


teSS 


pi  rprirM  m  m    I 


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Ah!.. 


tu  reviendras      eh  bien soit!. 


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J"  appassionato. 


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(Diane  sort  vivement  du  cabinet  et  revient  dans  sa  chambre! 


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dans  «t  chambreL|  r~**u  —   ^^—  — -  — ~^ 


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osez-vous  eotrer_chez  u.ne 


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JUSSY.(snr  le  seuil), 


_{jristHmenl) 


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Sau .  ve 


par      vous je  sais    quel  res.  pect  vous  est  dû Com. 


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Vous  avez     enten .  du?. . 


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tes  .  se. 


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a  Tempo. 


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fléchi 


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Gard 


ez  ce  noir  se . 


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Tout    he.las!. 


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oui     ma .  da 


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Gardez  ce  noir  se  -  cret. 


m 


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(fièrement) 


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Oui, 


ma  _  da  _    me. 


Je  m'ap . 


ri  tenu to. 


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A    C    77HÔ. 


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Moderato  maestoso. 

A  __ 


245 


r  T  f    f 


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le  Bussy  d'Am.      .     boi . 

Moderato  maestoso. 


se 


Je  m'ap 


i 


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P 


r   iJ    r 


.  le         Bus  .  sy     d'Am    -    boi . 


i 


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DIANE. 


(dans  un  transport  de  joie) 


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Ah! 


Dieu  clé.  ment_     tu    me 


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.se. 


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*r*hrt -i,!-  h  fe 


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i  rrr,  U.M  3 


yj|,i         >Jlj|fe 


P^i 


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rends  Lespé.  rance,  Tu  me    rends   lespé.    rance!       Ger.tru     .    de     bén 


is 


t=f=^ 


m 


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A.C.   77«6. 


244 


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Dieu_  Riisqu'il  m'envoie  i .  ci 

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le     che  .  va 
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m 


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Oui ma.  da  . 


me!_ 


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je      map   . 


te, 


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le     plus    lo  .  yal   de      Fran  - 

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le    Bus.  sy  d'Am.  boi 


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a  Tempo. 

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V               v  »•  W  pi  i 

i.^A        AAAAA 

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A.C.77«5. 


Fin  <iu  V.  Tableau. 


!4fi 


5e   TABLEAU. 


Au     Louvre 

Un  grand  cabinet  Couvrant  sur  une  galerie. 


INTRODUCTION. 


Allegro  vivo. 


PIAIO. 


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A.  C.  7786. 


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^j,  •-    ■...-... 


A    <    7  7»  5 


248 


SCENE     XX 

LE   DCC  D'ANJOU,  ANTRAGUET,  LIVAROT.RIBERAC. 
Allegretto  molto    mod10 


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ANTRAGUET 

mezza  voce. 


/le  duc  t'.nt   un  signtA 
l  à   Aurilly  cpiï  sort./ 


É         mezza  cure. > K      h     y  - 


i\e  désespé.rez  plus,       mon.  sei.gneur 


Cette  nuit  la  ligue  a  tenu  se. 


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an       .        ce, 


A    dé.  ci.de  la  dé-ché.  an 


ce    De  vo.tre 


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LE  I)CC. 


(se  levant) 


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Qui?. 


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Pt~*m 


tè^ggir   Bj 


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§ 


B  s  <      I  ' 


fre      .       ré    et  procla.  me' 

LIVAROT. 


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Vous!. 


cette 


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lUUERAC. 


Vous  ! . . 

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Vous  ! . 


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LE  DUC 


sera 


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ble. 


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LIVAROT. 


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Mon.seigneur! 


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A  C.  77«5. 


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Monsei  . 


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Monseigneur!  monseigneur!  monseigneur!  monseigneur  ! 


RIKERAO 


Monsei 


\))J[  >j)i  J'  j>jj'  j>  jiiJ-..  ,  i'i  J'i-J-  B 


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Monseigneur!  monseigneur!  monseigneur!  monseigneur  ! 


Monsei 


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gneur,  vos  timidi  .  tes  peuvent  déchaî.ner        des  tem 


ter  !  Tous  i 


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gneur,  vos  fimidi  .  tes  peuvent  déchaî.ner        des  tem.pê       _        tes!  Tous 


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.  gneur,  vos  timidi  .  tes 


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peuvent  déchaî.ner        des  tem 


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ci       nous   risquons  nos       tê. 

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tes,        Accep  .  tez   de  grâce,   accep. 


.do. 


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.    ci      nous    risquons  nos      tê. 


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.   ci     nous   risquons  nos      tê. 


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A.C.  77«5. 


tez   de  grâce    ac.cep.tez!  de  grâ     -      ce  monsei.gneur,  monseigneur      ac.cep. 
Eue    M  u^-         .    dim.  -0-     \,j x  Vl\ 


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tez  de  grâce     ac.cep.tez!  de     grâ 

-^  dim. 


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.  ce,     monseigneur      ac.  cep. 
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tez   de  grâce     ac.cep  .  tez! 


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LE  DUC. 


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Bien  qu'a  _  van t  la.  me    trou  _  ble.    e         par  unscru.pu     .      le.. 


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Bien  qu'a  .  yant  la.  me    trou  .  ble.    e 


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HÉ# 


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A. C. 7785. 


A.  C.  778  5. 


SCENE    XXX 

LES    MÊMES,  BISSY,  AIRILLY. 


255 


Allegretto  mod. 


i 


ME 


(Vvec  ei.in) 


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Appro    -       che,    mon  hé. 


Se 


1 


.  ci. 
Allegretto  mod 


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^rf,pp  lt  p-pip^p  p^  Vi^ 


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ros, notre  appui,   mon  fi  .  de.  le,    Approche,      >qu'ctti  t'em. bras.se, 


B5 — E 


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Kerif. 


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Rien! 


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( ,t-  que  (;i  veux  de  moi,  n'est-ce  pas_   c'est  \en 


BUSSY. 


Lent. 


î 


0 0 


a  Tempo 


fejfr~P  1   '^Jfe^H^^gp 


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1 


Prince, c'est  seule. ment    un  moment  d'entre-  tien 


\.  C. 7785 


254 


ANTRAfiUET. 


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m 


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Ga_  gnez-le,    mon_sei_gneur,_  s'i I est <f intell 


^fe'—T-y-^ 


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Gagnez -le      mo 


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.  gence    avec  -vous,  tout 

LIVAROT.  


i_ra  bien 


gnez-le      monsei. 


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Gagnez- le      monsei. 


AURILLY. 


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Gagnez- le      monsei 


RIBERAC. 


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Gagnez-le      monsei. 


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gneur s'il  est  (FinteLIi  k  gence 


a.vec    nous. 


s  rr    f  i^  i  rTrT^  i  y  ri  g  s 


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neur         s'il  est  d'intel.li  .  gence 


0      0 


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a.vec  nous.tout  i  .rabien.' 


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gneur         s'il  est  d'intel-lL  gence 


vec    nous... 


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Tout  i.  ra 


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eur         s'il  est  d'intel.li.  gence 


vec    nous. 


Tout  i .  ra 


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A.  C.  7  786. 


255 


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Tout i.ra      bien .'_ 


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Tout     i.ra     bien! 

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m  J-Ja  *J\f^ 


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i  .  ia 


bien, Tout     i.ra     bien! 

PP, 


m  J-^T  -^ 


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bien, Tout     i.ra     bien!. 


j^rmj-jin 


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(Antragnet,  Livarot,  Ribe'rac,  sortent) 


con  e/eganza. 


A.C.77H5. 


256 


T\ 


SCENE    XXII 

BLSSY,   LE    DlC    D'AN  J  01'. 


l^-r1     J-VjJjTTJ 


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Oh! remords  uue  ta  plainte  exas  _    pe   .   re!      Eilees 


EL  le 


rds  que  ta  plainte  exas  .    pè   .   re!      Elle  est  mor.    te! 


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vit      helas!  pour  son  mal.  heur!  _     Monsoreau  vous  là     pri.se,       Il  en  a  t'ait     sa 


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A.  C.  7785. 


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Otii,monsei_gneur! 


A       A 

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Cet  homme 


le  mi.se'rable  iu.fa  _  me  El-  le qu'il  disait 


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2: 


morte  aux  étangs  de  Beau.gë! 


A    Le     traî  .  tre!  ah!  je  serai  veu 


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L'n  prince  tel  que    vous de' daigne  cette       joi    -    e  Pour  punir      Ce    vo 


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Allegro. 


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leur, —  ar.rachez-luisa     proie_  QeJivrez  sa  vic.ti  _  me!.. 


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25: 


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Et  comment  cher  Bus. 


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A.C.  778.S. 


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Faites  la        re  Je  _  ver      du  serment  qui  l'eu  _  ga        _         ge,    Faites  cas. 


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A     A      A 


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Ah!     oui,. 


Par  la  mort 


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V  Y  V    V    V 


Dieu et   je  feu  douue  i   .     ci        mapa.ro    _     le  de      Pria- et 

à' :^i  t_ 


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Récit.    BISSY  (plus  (eut) 


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(plus  (eut 

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Ah!   mouseigueur! aiu  _   si,  elle    est        li    _    br 


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El 


A.G.  7785. 


(il    lui    baisse  la  niai») 


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■      a   •       gzp 


£ 


P 


So  _  yez       be.ni 

A  A         A 


mon  _    seigneur. 


* • 


P 


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D. 


lui  qui  me     l'a 

Ail?    moderato. 


ra  _  vi 


e      Qui  s'est      rail. 


W     K?     I(?    .-?  .'ff 


i 


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■      ■      «r 


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el  _  le  vous  de  _  vra 


P 


son        bon.heurL 

A^- 


4 — A û_ 


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le. 


de   ma    dou    _     leur_ 
icen 


Qui     la     di  _  sait 


A.G.  7785. 


260 


b.  Jfc 


du. 


ix  r    ijuag 


Pli 

A 


e  daus  cette  sorrj-bre  tra  _  me. 


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Elle  y  fut      mur 
A, 
4L. 


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mur    .    te 


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et     l'iu  -ta  .  me  En   rejetait  sur    moL 
do. 


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te  m  _  me! 


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So  .  yez       be      -       fii! 
A. 


soyez        bé 


/•<    _     te 


K   r    tM 


1  r      r 


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blâ  _  me,  Malheur    à 


lui!. 


»'■  vfljfcfo/l 


e 


mal  .heur! 


mal. 


»        » 


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'lyi*. 


n     .      tf 


Qu'où  me  cher.che  le  graud  ve  _  ueur! 


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:>-  Au  reudez  -  vous qui  me  re. 

JfrT~ 


i 


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A..C.  7785. 


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i    !  hpif  r^ip^pf  f  ''T  "  F- 


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_cla_me,        viendra  -  tu?    Jecomp    _    te  sur  ton    bras? 


jg^Ê 


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JgMr  l  h-j^fr^FN 


S  r  H  P f  "1 f    1  \l  ^rJrg 


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X.fT'PfE'  rtÉ 


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J'irai fut-ce  à  la  mort 


et — îVhési.terai 


i 


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a  Tempo. 

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a  Tempo 


gg  fb^j:^ 


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«=a: 


#£ 


„>.  (au  page  qui  attend,  a  m;  voix) 


j  I  f  f   1 1  f    f-TT=£g 


El  _  les  sont  toutes  deux  dans  la  sal  _  le  pro. 


^BrtÉftpp 


m^ 


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2H2 


.IN    CAGE. 


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1  f  F  f 

r r* Y 


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1      r 


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M 


Oui  rpoaseigneur! 

(  Il  écrit   ce    mot  )  f^\ 


e    r,   »  i  J.JJi^^ 


^3[SE 


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»      » — # — * 


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chai  .  ne? 

A 


Es.uoir!  va,     por.te  leur  ce_ei,     Na.jou.te  pas  un 


*=ï^ 


*         1 


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mot      et  coi 


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v   v  r 


ot      et  conduis  les  i.ci! 


m 


a  Tempo,    a 


±=g* 


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r^-r  f      f  ■    i  fT\T"  j  r-y-f+f^^ 


A A A- 


I 


rîHtfrffH* 


Oui,c'est  moi     quibri.se    sa    chaî.De        A 


do         sf'z 


1 


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Jti 


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A.G.  7785. 


Aud'.e  cou  moto. 


SCENE     XXIII 

flSSY  seul. 


263 


en  pressant. 

m. 


di    .    mi    -        nu  -    en    _     do. 


ttuSclsJ 


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Ami'.'  caotabile 
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de     noir, vite        ouvre    et       pa 


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Monte      à     la  plus  hau.te  fe  -   ue 


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tre,    in.ter, 


A.G.  7785. 


264 


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.  roife  au  matin_ 


l'hori  -  zon  triomphant!       Bien      _       tot_ 


tu    vas  ser 


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SCENE    XXIV. 

MONSOREAU  seul. 


Allegro.   ^^ 


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SOttl'Iltlto. 


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IÊ 


MONSOREAU. 


Audante. 


(L'hussier  s'incline  elsor!) 


A.G.7785. 


MONOLOGUE 


267 


Récit. 


(à  lui-même) 


je  i  p  I 


,|>A|.   j     i'i'g 


a       ^ 


g     tt»     i» 


^f-p-f-H-^l-p-p-^ 


p^ 


Récit. 


Que  me  veut-il  ?  cet   ap.pel     brus  .que  sent    la  co_lè    _   re,        Cet 


or  _  dYe  cache  une  me.nace  un  péril  L 


a  Tempo. 


mor    _      dre       le  doute  amer      ou  l'effroi    pu_é   _  ril! 


Cœur 


I 


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A.C.  7785. 


268 


M 


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me!. 


Cœur     la   _ 


che!    cœur 


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Q^f  r  i  r  r-  r  r  i  g  g  p  i 


.  che      Je  m'en  _  i  _  vie     d un  vin  que  je  sais  uu  pui 


269 


rit. 


a  Tempo  ed   agitaudo. 


ail  T      7  ^/!t^^f  b"T"«  i  .--    ^.,»  ggjj 


^apiST    5  qSEEg 


y  g 


_  son!. 


Partout je  la   re  .  vois 


eo/  canto. 


Ai>tf      ^| ^        eo/  canio. 


tout  à  fbeure, 
a  Tempo  ed  agitaudo. 


I.ci 


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m 


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,      J»  espress.  \ ™    >'!' 


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susteiutlo. 


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mê      -     me,        sur  qu'elle  a  quitté     ma  maison. 


J'ai  cru         la  re    _    cou. 


gg  ^^jrrié  «IJ.  J»  "^^ 


rfu 


*  v  v^ 


^■y-r-i  i  a  ^ 


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/■i  /e  nu       -        lo 


M.      /! 


a  Tempo  aud'.e 


270 


m 


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comme  un  païai 


par        la  flam  _  me    Où  le 


1 


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vent  vient      gémit 


où     vont       hurler     les  loups. 


r  .»jai 


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Moi son  é  _  poux 1   je  n'ai  rien  (Tel     _      le 

1".  Tempo 

'1 


m 


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rit. 


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m:  7785 


271 


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m  1 1  i 


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«•=z^t 


loux. 


Moi,   son    é    _    poux. 


je    nai       rien 


m 


V  J777fi?w-;m 


m 


aura 


iostenuto. 


m 


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a  Tempo. 


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A.C.778S. 


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LE 
DUC   D'ANJOU 


SCENE   XXV 

MONSOREAU,   Le    DLC    D'ANJOU. 


pi  a  y  (t. 


p 


Ail?  moderato. 


Récit. 

(d'un  ton  contenu) 


3± 


AU?  moderato. 


En. 


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r/W-  - —  Récit. 


■    -#■  -0-J-    -0  -#-♦>  -0-0-0  -#■   -♦-#■   -«t  -»-#•    -J-  -•■  5! 


i 


m      m    F    m  - 


fe^ 


j r  â p p  i  p  i  p ? jggjgg 


*^  .  fil) vous  voilà,  mon  fi.  dè.le! 

MONSOREAU 


Ne  tremblez  pas,  je  suis  seul  a.vec  vous      Loy_ 


r  y  g  r 


g 


Leduc! 


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a  Tempo. 


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.  al    ser.viteur  d'un  bon    mai     .    tre      (attentif) 

0      0 


êm 


fy-k 


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r   yfi  4=FjFF=F 


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Loy.al je  tâche  de     l'ê  _  tre  Mais 


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..  Più   auimato. 

(éclatant i    J  n 


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Ta 
rai 


tre!     Tu  m'as 


->  i  "  |  r  i    g 


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uu'avez-vous    mon  seigneu 


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I      A 


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Più  auimato. 

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A.C.  77J,ft . 


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pris                    celle  que  j'ai  .mais  .. 
MONSOREAU.  


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27.7 

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o.se    dure      non.'... 


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Je  l'a 


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Et  tu  le  _  ves    le  front  ? Perfi  -  de!   a  .me  de  bou 


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.von.  e 


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(  allant  et   venant  ) 


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Ain  .si!. 


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bas vous  insul.tez un  gentil  -hoin  .    me! 


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ce,         j'ai  mon  ex  _    ou  .   se  Et  la  voi  .   ci 


celle  que  vous  ai 


g  J'"'  ,    |    J=  .„•-—" 


Ov 


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A.C.    7785. 


274 


LE  DUC    D'ANJOU. 


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rit. 


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loi! Di .   a  .  ne? 


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je  laimais 


-  iriez... 


Oui  !      je      l'ai 

p     "i- 


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m 


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a   Tempo. 


P 


P 


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Et 


que  iniin  .por       _      te      que  in impor 


te! 


(mr-narant  ) 


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.  me  ! 


a  Tempo. 


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Ah! prends  g-ar 


de    ser  _ 


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-tant un  instant    s'il   vous    niait 

A  VP 


Prenez  g~ar.de  vous  mè. me  a 


le  iip  suis 


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A..C.     77H5. 


275 


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va   .    let  dont       lf     seuJ  droit  est    de     se    tai  _    re 


u^  ^-n  i^-jj  éupi 


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Je   suis    Comte  et' 


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Sei_  g-neur. 


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femme      est        à    moi    Comme     mon      nom  com.me     ma       ter     .        re!    Je  1 


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prise  et  Prin  _  ce  iii       Roi  _  Nul  ne  peut me  la re 


m 


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LE   DL'€   D'ANJOU. 


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nu       .         <o 
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Ali!  vrai. 


"Fr  m  r 


Lf'p  LT  f  L/-££S 


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S 


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prendre!  Nul_ne  peut_  me  la re  .  pren 


ire 


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i"-'iLa  Uj  uj  ai 


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A.C.  7785. 


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Lu  peu  retenu 


f^M'Jj'^ 


.ment ,_  fu  las  pri.se!    E.'i     Lieu 


£=¥=$ 


gp^ 


tu    la  ren  .dras! 


Quand  je  de 


£ 


lu  peu   retenu 


Jamais! 


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a  Tempo. 


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r.     p  f 


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l*      y     V 


.vrais  lar.  ra.cher  de     tes         br* 


ras. 


i 


Je      te     for  .  ce  .  rai 

I      : 


■t     t     t     t     S     t     t  =t 


t     g     S        t      t     t     t=t 


g 


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bien. 


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a      la     ren 


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re         Je  romprai  cette  h 


£=*=: 


w 


dre        Je  romprai  cette  hy_raen  ! 

MONSOREAO.  ^  frfi-  -»-    ft 


TTiT     f-f 


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A 


Que  le    ciel  a  bé. 


£ 


'cr  fù  i 


* 


s 


P 


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\.C.    7785. 


277 


Je  le  romprai  te      dis-  je!    Et  que  le  cie'  nïe 


te      dis  -  je!    Et  que  le  cie'  irïé  .  cra 


m 


M^i 


m  1*1  J"  m 


jTr  rrr  f  f  I  s  ■ 


4i  m  I 


i-    j  i 


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(Il  vient  à  luî,  suffocant) 


g  g  P  P  P 


S 


.  se     •      Ou  je  te  brise  .   rai 


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Si* 


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(O  disant, il  brise  la  grande  coupe) 


Û*  *  7   ?    Q*  '  '   r 


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r^   f-f   H 


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W.U      .    -    00. 


278 


Leut. 

MONSOREAU,  froidement. 


\'f,\  •   rJ'i'J'i'j.J   i'iJ'J'JliJJl  J'i'lf      „^^ 


m 


Je  ne  quitte,  rai   ni  la  charge  due  à   votre  bienveil  -  lan    .      ce.  Ni  Pa. 


P 


Lent. 


PP 


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5v 


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LE    DUC   D'ANJOU. 


(frémissant  de  ra£e) 


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Et 


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ni  ma    fein 


me. 


fi-j^j-rir  ivJfijtyti 


te  -è    *#.** 


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Andle  maestoso. 


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que  feras-tu         doue  ? 


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ind    maestoso. 


•Ti .  rai     de.  man  _der  mon    par. 


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fi/iFTfif 


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.  don  ce  soir  Au  nouveau    Roi de   Fran       .      et 


Ce. 


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A.C.    7785. 


279 


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.liii  que    les  li  _  gueuis  vont         nom  -  nier 


M  a-ton 


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LE   DLC   D'ANJOU. 


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Ail? 


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Ciel! 


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(ni  rivant  le  genou) 


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dit! 


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e.no  .  ve 


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.     sains 
Ail? 


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Ah!  tais    toi  maudit!. 


Ah!. 


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mezzo  vore 

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M  g  m  r  l  r  r  r  ^  t  i"  j  ^  i  i 


toi! 


je  touche  au    fai    .    te 


et   ce      rë    _    ve,  Je      le     paie. 

P — *- 


m 


W W^    w W — W 1 — W W T — w ~ — Zi Z ^ 


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tti 


A.rae  roya    .     le  à       la  clémence  prê.te     Du  plus 


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A.r     7755. 


280 


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■  ra  is 


de       ma  cou.roniie 


et       de    ma     te 


te! 


Tais- 


9  r,r,  r    fff'folP  'HT   P'T 


P^ 


:fcfe* 


humilie  rie    vos  su-jets,    Vous  accueillerez      la     re_qué_te     Lui. 


se.conde 


I 


$ 


rrïïmî 


i 


^7 


m 


dfai 


i       J      /C 


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ri/. 


a  Tempo. 


r    7Mr    p-p-FEW 


:2±Ë: 


-toi! 


La      grà     .       ce  qu'un  sujet    ré. 


m 


m 


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Roi! 

a  Tempo.  "if 


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i  M  M 


ff 


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ma  tu 


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j- 


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r 


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A.C.   77 as. 


28; 


r"p  1 1'  g  i  m  rmn 


non.'        non! 
MONSOREAU. 


Jai promis  à  Rus.sy!. 


E 


F=F? 


N'hésitez 


I 


W 


^fffft^ 


S 


£=5; 


^    5   b*     w    v 


(à  lui-même^ 


à 


M. 


Je  dois  à  l'honneur  de  ino 


m  m  g  ri^g 


1 


si  _  non! 


(à   Monsoreau) 


fr*rf^Ej?E|.F,jWEttf 


r-f- 


!i 


iiom!  Comte,  fais  le  pour  moi!  Renonce  à  cette  femme! 

a  Tem 


SE 


1 


3 


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T» 


MONSOREAU,  avec  ricanement. 


4F 


Ê 


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^    K-  W   É 


t rainez 


& 


'^—^      j   rr^ 


3: 


P 


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Non!. 


non! 


ff 


pas  même  pour  vous!. 


-^7— Er 


risl 


p 


« 


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A.C.  7785 


282         a  Tempo. 

u      LE    Dl'C    D'ANJOU. 

as 


J   J^J'J    J'J'hQKr  u  h}} M 


m 


Quoi! tu  sais  mon  se.  cret,. 


Et tu  le  trahi  - 


ggj  j\7  r 


a  Tempo. 


@@ 


a    na 


m  as 


H=E 


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p  r    ? ^ r  =ê 


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ff~F 


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W 


.ras'.. 


c'est  in   .  fà      .       me      on  di  -  rait... 


g§E 


z=M 


Je  l'aime  assez  pour  être  in. 


^>J    J'J'Jr^ 


J  3J.J    J> 


I 


2=f= 


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m 


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p 


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t  hors  de  lui  la  main  sur  son  poignard  ) 


Si 


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che! 


Eli  bien! 


as  r  ?  ^-^ 


S#-g     g 


yyff  a 


7  ^     k 


pe 


M, 


fà    .    me! 


Je  Tannais  assez  pour  être  là  .    che! 


#. — ^n  <r?~îmk 


p*  ?  ffitgg 


k 


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Lais-sez     au  fourreau  votre 


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ME. 


fe-fi-T 


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-#— F » 


2 


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\.C.   7785. 


Più  niaestoso. 
UN    HUISSIER. 


(il  passe) 


28.? 


I 


r      V     l 


s* 


& 


m 


Voijà  sa  Majes  .  té 


m  r  "»  i 


£ 


la  .  me. 

Più  maestoso. 


I 


^^ 


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p^-uJlff^tjfâB 


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1 


i 


ssp; 


1 


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g 


AllUo  moderato. 

LE  DUC  D'ANJOU. 


(saisi) 


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r      r     7 


i       g 


Ail"0  moderato 


^JMiJ 


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Mon  frè      _       re 


rt-u&lÉ. 


-tr-f 


P 


j    q    r 


quoi 


bien 


en  _     sui 


te.' 


B  -r    r 


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vous  me  par-don  _  nez! 


'T    ?  •    f     * 


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Oh!. 


plus 


y  v  v  v  p 


Vous  pré.sen_tez  ma    fera 

p   £~L  •  ^f~  .  p^~ 


tr^wv 


p=s 


me  au       roi 

H» ; 


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tard!. 


)lns    tard  ! 


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A  l'instant  !. 


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(à   lui   même) 


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Soil va  chercher  fa  fein  -   me!    pendant      ce 


m 


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m 


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temps 


El    .    le? 


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AI  -  tes       .     se 


jlle  est       i  _ci! 


''       iïp  i  :  ÏKTT-& 


sren  -  do. 


m 


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\.C.  7785. 


p 


285 


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En  pressant       toujours        et 


Pwùt} 


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détaché. 


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rr^i^n^p 


>-     -  un.  .  -  dii . 


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3=3=J 


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\.C.  7785. 


V       y 


286 


-4-t- 


SCENE    XXVI 

DIANE     JEANNE,     BCSSY,    LE    DEC,     SÎ  LDC,  LE    ROI,    MONSOREAl,   CBGEl'it, 


AH,,0molto  mod! 

Bl'SSY. 


^^ 


P 


(  au    Duc  ) 


3^ 


à 


fc&* 


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AlT'uiolto  mod1.0 


Monseigneur. 


la  voici 


m 


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S 


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yj!^n 


P   ^"'f  v 


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#*     ♦ 


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PP 


rr,  qg^-m 


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\.C.  7785. 


287 


LE  ROI. 


PP 


Andtesostenuto. 


S 


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£ 


r-ï-i—i- 


Sop. 


Quelle      est 
PP 


cel.  le mii_  vient. 


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r     i 


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Tén. 


Quelle      est 


cel  .  le_uui vient. 


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1 1 J .     g  ft  3rg=^ 


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Basses. 


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Quelle       est 
PP 


cel. le qui vient. 


g 


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r       i 


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dim. 


PT? 


Quelle       est  cel.  le qui vient 

pp  Audtesostenuto. 


I 


Si 


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li       EB  *T» 


pp 


£'•■£*;**■*    j    ..,       ^  s*  )+\-* 


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s 


JEANNE . (prenant  Diane  par  la  main  souriante) 


tei 


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j  Pp  j  J-        J^j 


r      7  7 


g 


Ah! viens! voici      Theu  _      ie     où. 


-^r  tyuyiimË^ 


l)ou  _  ce  comme  un  prin.temps! 


jftI_J»flfljfflj_j,T- 


Dou  _  ce  comme  un  prin.temps  ! 


SE 


Offi^ 


P^ 


Dou  .  ce  comme  un  prin.temps  ! 


^OflCffri^ 


Dou  _  ce  comme  un  prin.temps! 


fc 


S 


J-J,JJJJ 


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i=±± 


r^ 


ftrtP 


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JL_7_ 


7   7 


"MOf 


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7      7 


sempre  pp 


±± 


7   7 


A.C.  7785. 


288 


1)1  AN  F, 


f^SUSjig-frJ3|.!-_.MN    P-F Piy  l-p-r— t-T  p 


va refleurir  le pria  _  temps! 

Bussy 


Ali!  viens,  car  _voici        Iheu    .      re         où 


K  tft  iT'r^^ 


I 


LE   DU!    D'ANJOU 


L'heure estve  .   nu.e 


ou. 


»     ff     F p — #— -+ 

V  V  V   V  $v 


Ê 


S1  LUC 


^ 


Quoi  tomber de  ce 


m  iqp  r   ^ 


? 


m 


L'heure esfve  -   nu.e 

P 


ou 


mm 


s 


^=^ 


**- 


'/    i  \/   V 


MONSOREAU 


Quelle  est  cel     -       le  qui  vient  J. 


f ff  rp\nv^ 


■» — #- 


^t 


Laissez-la  moi! laissez-la  moi!. le . 


J:  J    ggÉÉÉ^I 


I 


:-V 


I 


:^_ 


Quelle  est     cel     _       le  qui  vient  !. 


!»?       *    3¥j» 


'  lf  n  GTçi 


^T- 


^ 


Quelle  est     cel    _       le  qui  vient! 


E 


p  * 


^S 


P 


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Quelle  est     cel 

très  soutenu. 


m 


^p 


le  qui  vient! 


s 


si 


13S 


-31»- 


I 


iil2  1U 


rr 


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do. 

h 


\  r,     7785. 


289 


PP 


D'^^ 


i 


1 Tf- 


0      0     0- 


^ 


^=f=^ 


_heur  at.ten.du   si  long  .temps!. 


i 


h — ^ 


S     Z  > 


MM 


^^ 


va    reJfleû.rir  le  prin.  temps!. 


fr^-H? 


=5#=ff 


ï 


PP 


■v- v 


va    re_fleu_rir  le  prin  .temps!. 


fe  g  |  p  |  |  gg 


^— T 


faite  es.pé.re   si  long. temps! 


MF?M  JIJ- .J'1  j 


va    refleurir   le  prin  .temps!. 


S  |     f  |Lj;_^ 


E=*=T 


don     .  ce  comme  un  printemps!. 


'^i,  f  J1  j-  j  i  Js  i  J--  ■ — g  i  pi  1 1  g  P'  ^é 


l'aime  et  de-puis  si     longtemps! 
dou.ee  pp 


Jf'at.tends    le  bon  plaisir      de  votre  al. 


^=gytf 


te 


I^FT 


cet' 


j      i      I  t 


lou    _   ce  comme  un  printemps 


ft 


>  i  j  - m 


^^ 


-3 — ± 


s 


don    _    cecomme  un  printemps!. 

n» — * — »- 


# 


^ 


^^2 


^F^F 


PU 


don    _    ce  comme  un  printemps! 


*-* 


§ 


^rmrf? 


£_f  i  f  t 


£E 


^=¥ 


Più  agitato. 

Il 


«« 


Ê=é 


r^ 


f 


s 


BE 


§E3  T 


.tes     .     se... 


Più  agitato. "i^^       ""i 


290 


LE  Dit:  pâle  tremblant.)  A-Il" 


Uf-S^if^ 


Si ii, Mon  roi,_ 


mon  frè  _   re. 


t 


ft  cresc. 


U 


m 


.? 


Π


écoutez!   écou. 


i 


pp 


Ecoute/.! 
cresc. 


II  !■» 


i  $$7  P?"f~ff 


E 


É 


Bassi 


1 


Ècou_tez!_ 

»...  K    K      ^T  cresc. 


écoutez!    écoutez!  écou. 


an 


^ 


tri 


i=* 


*       #   »   *        0  0*        0  4 


V 


m 


Ecoii-tezL 


écoutez!  écoutez!  écou_ 


Air: 


^iiiiiii. 


<S 


p  sostenuto. 


+=\ 


-3-^ 

91     f-»- 


i 


A    A    A    a        A 


r  F' F I T  LT  F  F  P  F  i  T     PT  IfTffftft 


w 


Je  nré.seii.te a  vosmajes-tés 


La       fil  _  le  du  baron  rie  Méri. 


^T 


-tez! 
A 


m 


±± 


S^ 


tez! 
A 


5£ 


i  r    - 


.tez! 


r 


A     _=^ 


fl  Jgj  ,/    ,   ^  J 


A.C.778S 


I 


i 


DIANE. 


JEANNE,  S*  LUC. 


291 


Ociel! 


i 


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& 


QuoiL 


■       a 


f=# 


3^ 


i 


dor 


Com 


tes  _  se 


deMonso  _  reau. 


m 


wi 


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#    »  •     0    0-0 


la  com. 


i 


Et  quoi  vraiment? 

TlMl  P 


C'est  là 


ii 


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Bassi.  -#-  k 


Et      quoi? 


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C'est  là 


la  com. 


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0  •     0 


m. 


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Quoi      vraiment? 


C'est  là 


la  com. 


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S 


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BUSSYfà  lui  même  mais  avec  éclal.) 


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3 — U7. 


m 


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che! 


r/o. 


P» 


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.tes    _  se       de     Mon_so'_reau 


$ 


che! 


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.tes    _  se        de     Moo.so.reau! 


6  Y    8» 


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.tes    .   se        de     Mon.so.reau! 


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A.C.7785 


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LE  KOI  ;i   Monsoreau  uni  *  incline.) 


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DUNE. 


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Sei_goeur,seigneur je. 


t'en_  sup_  pli 


JEANNE.  j> 


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Ô fleur  trop  tôt        pA        li 


Surtespé-ta    .   les 


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Ceprinceinfâme ou.bli 


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LE  flUC. 


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p-tr   jm  gai  -f-Ff§ 


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Toi      pour  qui      j'humili     _  e     Tous  mes ressenti. 


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S'.  LIC. 


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Ô  fleur     trop     tôt        pâ_Ii    _    e       surtespé.ta    -   les 


m 


EjQn  r^Tr  ir^^r    i  If^^^ 


SE 


.niants!. 


La  corn  _  tes      _    se  est  jo    _    li 


e  ! 


Com  _  te  mes  coni-pIL 


MUNSUKEAL1.        V  . 


p 


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Sops 


Honte  à     moi! Hon    -  te  à  moi  sij'ouJ)lie Au     jour desdé    _    voue. 


Eï 


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La  com  _  tesse. 


est  jo    _    li 


Com  .  te  Qoscom-pli. 


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La  com  _ tesse. 


estjo    .    li 


Com  _  te  noscom_pli. 


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Lacom.tesse estjo    _    li 


Com  _  te  noscom-pli. 


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\.C.  7785 


294 


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_brè    _   gemes_  tourments      E.pargnemoila     li. 


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haine  et  sesser.menLs,etc'estmoi,       c'est  moi  qu'humilie     Sa    hon      _     te,  moi  qui 

>-     •  „  PP, ^ 

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e  Ses  ef'_  torts ac    _  ca_ 

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Cet    .    te  mé  _  lan.co  .  li. 


m  T'    uyrë 


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e     Sied  à  ses  yeux  char. 


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m 


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.ments!. 


Le    prin    .  ce  qui pu.bli.        .       -  e  Mes  droits     et  nos      ser. 

dim. 


.  cre         -         scen  _  do.  ,  ^ — — — ^^         .       P  ^T"^     />/> 

ments'  Cet     _   te  me  _  lan.co  _  li_  .  _e     Sied  à   ses  yeux  char. 


P 


e     Sied  à   ses  yeux  char. 
p  , v     PP 


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.ments!. 


Cet     _    te  mé_  lan.co.  li 


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_  e     Sied  à  ses  yeux  char. 
P. .     pp 


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.ments!. 


Cet     _  te  mé  .  lan.co  .  li. 


_  e     Sied  a  ses  yeux  char 

Mi 


4.C.7785 


295 


Ail!  mot!'?  ma  agitato. 


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(Le  roi  s'éloigne.) 


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ments! 


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JEANNE. 


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D'où  vient 


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le  coup     qui     nous      ac 


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A.C.7785 


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Récit. 


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.rite     une  haine  impla.ca    .  blej  Tout  seul, 


tout  seul    jevoussau.vais 


m 


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Je  pouvais  suffire  à  nia       ta 


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Et     c'est     moi,_ 


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»  Tempo. 


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moi     quivousperd     a    ja.mais Pour  avoir  cru,     fouque  j'étais à   la  pa_ 


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( éperdue ) 


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Taisez- 


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(éperdu)  f  A, 


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taisez  -  vous! 


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taisez  -  vous!. 


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tra  .  ge  !        Arrts.tez  cet    hom 


me    qui  m'ou.tra  - 


ge! 


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JEANNE. 


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0 fleur  trop  tôt       p;î 


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La      Com     .      tes 


se         est       jo     . 


MOINSOREAU. 

pp 


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SEM-r- 


p  r  p  '  f 


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e    a       moi       si 


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jou 


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.  e,         si       j  ou 


j     |    1 


•7  T 


La     Com     .      tes   . 


se        est         jo     . 


T.- n. 


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P  P         g 


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s* 


La      Com     -      tes 


se        est        jo    . 


And".°  corne  prima 


A.C.778^. 


301 


m 


DUNE. 


1  1-^ 


-0 — » 


Seigneur  _ 


p    j  i  <rji; 


lui'    i    g 


SE 


m  . 


e        Sur      tes       pe'      _       ta 


P 


p     p 


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Ce      prince    in    .  fâ 


me  ou   _   DM 


bli 


_   e 


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S 


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*     *'  é 


qui 


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humi.li 


.    e 


Tous 


s     mes. 


ressenti 


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J    J     J> 


m 


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e       Sur        tes       pe 


ta 


s=i 


j=è 


Corn  . 


m 


H . 


-  te     mes      coni     -     pli 


-^ff-ri  juJ 


v — -p 


SE 


J         i 


K 


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lour- 


des       de' 


voue. 


i 


te 


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ConT" .         .  te      nos      com     .    pli  - 


$ 


^ 


fc^     1    P   ^— P 


n    . 


iom 


.  te      nos      com     -     pli 


J"     1  ^        P         ^^M 


Si 


P 


m 


Y 


Il   - 


Com  .  -  te       nos       com     .     nli  . 


A.c.7785. 


302 


i 


Me 


brè  .       .  ge  nies  tourments 


.    do. 


1        3 


^ 


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g   P  p  f'   g 

E  _  pargne-moi     la 
.   do. 


?    !   r  -il    W 


^^ 


les         blancs, 


L'o  . 

seeu 


ra  . 


.  ge     mul   .  ti 

.     do. 


$ 


W=¥- 


B      U.M 


^e  p 


t 


haï  m 


et       ses       ser    _    ments!  Et    c'est    moi,  c'est 


£=F 


E 


.  ments. 


Sou  hai   _  .  te qu'on     t'ou 


s! 

L. 


j     à  m  -£ 


p — i-^-n 


les         bla 


incs. 


L'o 


ra   . 


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ge      mul       .       ti 


t       ?•  S  fî=£ 


S 


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ments! 


Cet  _         .te      me'  .  lan  -  co 


^5i^ 


il 


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ments! 


Le  prin  .         .ce       qui  pu 

_    scen     .  -  do. 


f        P   F    P 


± 


ments!. 


Cet 


.  te       me  .  lan  .  co   - 


$ 


à 


75 — m 


r      f  p  m 


ments! 


Cet 


te       me  .  lan  .  co 


A.C.  7785. 


303 


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dim . 


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piig  p  g  r     ^a 


>    *    ki 


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e      Des   dé.senchan 


te  .ment s!  Ah! 


fcj    r^ 


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e  Ses    ef  .  forts. 


dim. 


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ca.blants!  Ah! 


ère   _    , 


w—  i  ir    p 


p 


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moi     qu'humilie  Sa       hon  .         .  te   moi  qui    mentsîAh! 

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e  Au      jour. 

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des  chà  _  ti  .  ments! 
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■     g     w1^1»^ 


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Ses    ef  _   forts. 


ao     .      ca  .  blants     L'o  -  ra      .      ge 


f    '      f    fT^i     lf,EJ 


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;^    g      1      T^ 


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e      Sied    à    ses  yeux       charmants 


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I    . 


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e    Mes    droits       et   nos         ser. ments! Honte  à  moi    si     j'qu 
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Q&  j  |  |  |  ^^^T^tTW 


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li    . 


e      Sied    à    ses  yeux      char,  niants         Elle   est  jo 


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C'est        moi 


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Honte    à  moi       si        joii  _  bli    _    e         Au 

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mul   .  _  t  i    _    pï-i  -    e  Ses 


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.bli     .    e        Au    jourdes  de.  voue  .  ments  Le      prince  qui       pu  . 


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e       Nos     coin  -  pli      .      ments! 


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e       Nos     com  -  pli       .     ments  ! 


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ser  _  ments! Honte  à  moi  si  j'oublie  Au  jourdes  chat i  _ 


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Com     .     te         nos  com.pli    _  ments! 

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te        nos  com.pli   -  ments! 


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A.C.   7785. 


306 


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cre  _     '  _  scen  -  1 

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Sei  .  gneur!  Sei    .    gneur!  Sei  .  gneur  je  t'en     sup. 


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_ pli  _  e      Ses  efforts    ac  .  ca  .  blants! 


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Mes     com. pli  .ments! 


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Nos    com. pli. ments! 


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Nos    com.pli  .ments! 


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A.C.  778  5. 


308 


(Bussy  se  fraye   un  passade   a  travers   les   Angevins) 

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Fin  du  2*  Acte. 


A.C.  778  5. 


ACTE  III. 


309 


6?  TABLEAU.  6e.  TABLEAU 

Le  carrefour  de  l'Arbre  sec. 


p/jjvo.. 


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SCENE    XZTII. 

TOUS  LES  PERSONNAGES  ET  LES  CHOECRS. 


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at    .    tenti  .  on!.,  ar.  rêtez-vous 


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.  n  êtres  pour  la  fê    _    te  des    fous 


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Mon  frère  n'est  pas  sourd   et  le  Louvre  est  \oi  .  s  in! 


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Soyez  sans  inquié- 


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Faire  aux  gencrvé .  fains 


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je  l'occupe  et  vous  l'ou     _      vre 


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Vous  l'en -ten  .  drez 


bien  _  tôt! 


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Sop.      2d.s   h-/- 


irs    ,  o(Js 

i.    et  -i  .  cresr 


+—•>  \)f    i  r,  i  r   •>  ff  r   ^ 


Signons!        si.  gnons!         signons! 


si.  gnons! 


i*       •»  JT      ^=g 


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§ 


Bassi.     lres,„/- 


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Signons! 


si.  gnons! 


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Signons!        si  .gnons!         signons!         si.  gnons! 


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ITn  peu  moi  h  s  vile. 


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A.C.  77 H. S. 


31/ 


CHICOT. 


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pr  p p i T  i/^-l£ippOft^ 


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Conspirer  en  plein  jour,c'est  vouloir  que  Chicot  dénon  .  cevotrein. 


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gue.  Si  _  gnons! 


C'est  souvent     vo.tre 


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croyez -vous?. 


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quel    ILgueurL 


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quel    lî.gueur!- 


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Quel  li.  gueur! 
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Le    DIX. 


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Je  l'ai  fait 


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par 


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je       pense! 


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que  t'a-t-il      dit?_ 


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iMais  rien, il   est  au      lit. 


le        mé-de . 


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cin  a  défendu        sa    por .  <e  Je        n'ai    pu     mê  .    me  voir 


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le  ma. 


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MONSOREAU. 


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Eh!  qu'importe,  sans  lui  nous  suffirons,monseigneur  Dieu  mer. 


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Bus.  sy!       va 

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le  trou  .  ver!  dis-lin  qu  il  e^t  notre  espè  . 


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-ran        -       ce!  In  -  sis .  le!       a. mène  -  le!      va!. 

MONSOKEAU. 


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S'abais.ser  ain. 


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(le  regardant    partir) 


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Oh!     toi. 


valet  douteux. 


insti'U. 


01  sort    ei>  haussant   les  épaules) 


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Quand   je  vais  ê .  tre  roi    de 


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Fran       .        ce, 


Ah! 


com    .      me   je    te   bri.se 


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à  bas    Hé.rodea  bas_     He.ro.de! 


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à  bas     Hé  .  ro  .    de!     à  bas    Hé.rodea  bas Hé.ro.de! 

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à  bas     Hé.rodea  bas Hé.ro.de! 

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A  bas    Valois!   à  bas     Hé.   ro  .    de!      à  bas    Hé.rodea  bas Hé.ro.de! 


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Un  peu  retenu. 


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ran  bro  .  de  des  ju .  pes  pour  ses  mi  .  gnons  ! 
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On      dit  que   le  ty  .  ran Bro  .  de  des 


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bro   .  "^  de  des  ju  .  pes,  oui  le  ty  .  ran bro  .de  des  ju .  pes  pour  ses  mi 

CHICOT a  fiORENFLOT  hvhc  les  !*<*•  lasses.      iS 

J1& rim — » — h* — m- 


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Le  tyran . 


bro.de   des       jupes  pour    ses    mi    . 


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BONHOMKT. 


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Louez     mes. 


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dit  que   le  ty  _  ran bro.de  des  ju.  pes  pourses  mi    .     gnons! 


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gnons Il        bro 

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de     des     jupes  pour   ses    mi   .     gnons  ! 

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gnons. 


Il  bro.de  des  ju.pespourses  mi    .    gnons! 


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gnons.  Le  tyran. 


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pes   pour    ses   mi    .     gn — 
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Signez,    mes.sieurs!. 


signe/,  mes.sieurs! 


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CHICOT 


Louez     mes.sieurs! 


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Mes .  sieurs    si  .  gnons  î 


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.  gnez,   si .  gnez,  si  .    gnez  l 


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louez  lou  -    ez! 

ORENFLOT. 


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Nous  lui  bro.  de .  rons  pour      ju      .      pe    Un  bon 


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stridente.    ^  ^ 


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Nous  lui    bro  _  de  .  rons     pour 


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Nous  lui    bro  .  de.  ions     pour 


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iNous lui  brode  . 


»LA  HIRIÈRE-BONHOMET    avec  les  24s  Ten. 


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CHICOT  avec    les     ir.es   Basses. 


ma 


Nous  lui     bro  _  de  _   rons     pour 
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m. 


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Nous  lui    bro  .  de  .  rons     pour 


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pe       Un  bon  froc  de  ca    .    pu    .     cin.  Ah! 


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bonfrocde  ca_pu_  cin.  Ah! 


ju        .  pe      Un   bon    froc  de  ca  .     pu    -     cin.  Ah! 


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.  ra dans les  flam  .  mes  les_  pé.chés qu'il  a coin .  mis dans_  les 

le.,sSop; 


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Il  ex. pie.  ra dansA.   les 


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Il       ex 


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2d.es  Basses . 


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flam.   mes,  les flam  .mes      les pé  _  che's,   


crese. 


W     »     W 


Fpr  mm  p  p  r  rp'r  r  r^p 


flam.   mes    les pé_chés_   qu'il    a com.mis!_  les  pé 


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dans  les         flam. 


mes 


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dan 


ans- 


les flam  .     mes  les pé.chés 


à]  ;{j;.;  *K^ 


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.  che's  qu'il      a  com     .     mis       ii       ex    .      pie    .    ra 

2!>-Sop.  ,  ,  _, 


,1         j  -rr  -j-J — j_ M 


dans        les 


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ty    .     ran       il        ex    .      pie 

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les  pe"     . 

GORENFLOT  mw  1. -  2^*  Basse 


che 


ches     com  .  mis 


oui 


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BALLET. 


333 


LA    FETE    DES     FOUS 


SATURNALE. 


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PIANO. 


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(Une  seconde  bande  de  fous  et  d«  batelières  apparaît  du  fond  de  la  *cène.) 


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(Eue   3^  bande  de  fuus  entraîne  au   milieu  de  la 
stridente. 


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(lie  jeunes  Mignons  font  irruption  au   milieu    des   danses   en    menaçant    les    fous    de  leur    rapière   et    délivrent 
les    jeunes     filles.) 

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II 


SCENE      ET      SCHERZETTINO 

(Les  jeunes    fille;,    remercient    ce»   galants   cavaliers] 

Andaùtino 


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345 


SCENE    EN   FORME    DE    STTRIENNE 


AH'!"  moderato. 
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IV 


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(  l'ne  jeune  fille  masquée    accourt  du  fond, 
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(reniblante  el  va   se   cacher  derrière    quelques   personnages'  de  !a  scène) 

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(Elle  sort  de 


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is  lui  en  demandent  la  raison) 


347 


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u^Ti  '  Elle   raconte  que  des  fous,  le  visage  recouvert  d'un  niasqu 


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affreux  l'ont  poursuivie      mais    qu'elle    a   pu  se    dérober  ) 


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A.C.   7785. 


348 


\.C.  7785. 


349 


SCENE     DU    MASQUE 


V 


Alldailtiuo     inisterioso    e  cantabile. 
(Effroi  de  la    jeune  fille) 


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(Les  fous  la  rassurent) 


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cre        _        scen 


rf0  (Les  Cous   enlèvent  leurs  masques 


et   demandent  à  la  jeune  tille   d'en  taire  autant.    Elle   refuse.) 


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ac/ituiido     uppusionato. 


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l'épee   d'un   mignon   el  les  menace' 


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353 


DANSE     DES    FOUS 


Ail?  moderato. 

(Elle  ordonne  les  danses) 


/Jgn-g^™ 


n.°  moderato. 


VI 


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And'."  niaestoso. 


(Pendant  qui'  les  jeunes  filles  et  batelières  se  mettent  à  jjenoux   le-  jeunes 
fou-   s'approchent  à  pas  de  loup  et  entraînent  les  jeune-  folles.  Les  mignon- 


le-  poursuhent  en   le-  menaçant  de  leurs  épees) 


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A.C.  7785 


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FINAL     AVEC     CHŒUR 

ENTREE  OU     CHAR     DE  LA  MERE-FOLLE 


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Bat.    tez ,  tam      .    ,     bours!  sojiiie,z,_^soii- 


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Bat  .  tez,     battez     tambours!  sonnez,  son 


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nous    tou-jours,toinoti'ei  _  doJe,nos  a_  œours! 


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SCENE      XXVIII 

BISSY,    LK     DIC   D'ANJOU,    S(.  LUC.  ACR1LLY. 


373 


Ail"."  molto  moderato 


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fau~~~         a  Tempo 


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Tris  -      .  te  je    rentre  . 


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Nous  "verrons,  suivez-moi  seulement   a  le' 


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La  porte  de  l'église  s'ouvre, les  fidèles  sortent  puis    Jeanne   et    Diane. 


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Mais,      qui    donc     lui  dnn.ne  le       tuas? 


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Allegro. 


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'uissance  îm'mor. 


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avance/,  d'un  pas 


A.C.7785 


377 


Com  _  te! 


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El    .  _  le  c'est     e! 


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Le  quartier  vous  plait 


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Andantino. 


(à  8!  Luc)     JJ     élégamment. 


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— — p — p — r r — — y. Y — r 

Vous  m'avez    pro.mis    il  me  sem 


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Mieux      à      pré. sent n'est-ce     pas? 

Aiidaiitino,     L ■ 


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^  ?  p  p  E    F  M  p  •    p 


p   E|  I  i  ia 


ble       De  me  faire    assis  .  ter  à     la  procès. si    .   on;     Cherchons  u. ne    te 


à 


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A.C.  7785 


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SCENE      XXIX. 

DIANE,    BLSSV. 


Aiidante  sostenuto 
Bl'SSY. 


dolce. 


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.  ce  soit  bë  .   ni 


e  Qui  me  per.  met de  contempler  en 


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tre  front  pur nimbe  de  cheveux     d'or 


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.  ci.monsieur,  c'est  mon  a  _  mie;  Jeanne  gui  plaignant  mon  sou-  ci,  m'amène  _     àceten. 

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droit. 
BIS  S  Y. 


pourvous  di  _         .  re:        mer.c 


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Vous  me  deviez  bien  plutôt  de  la 


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Moi       vous  haïr 


peu.dant    cette  tris  _  te  semai     ne.     Votre  souve  _ 


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S    r/q-Ji 


.  heur! 


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cresc. 


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D.'^fcW 


udènce  ouivotr 


nir  calmait  seul  ma  peine . . . 


Mais votre  impi 


e  imprii- 


A.G.7785 


380 


-te 


J      1 


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dence        accrois-sait      •      ma  don.  leur! 


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Que      di  .  tes      vous?. 


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S 


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V     V     Y 


dis. 


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.monsieur  le  (.ointe. 


Qiif  la  mort  guette  et  prend  l'insensé  qui  l'af. 


au-ju/rm  ^ 


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Je    dis,         Com  -  te,  que  chaque 


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Mais,    mada 


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L^r^-^4^^ 


dim 


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pin   mttrcato. 


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pppFlT      P  ■ipr    p  p  PTrpi 


aç: 


T^T! 


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nuit,  oui  chaque  nuit, à  la  même  heu  .     re.   Je  vois      autour  de  ma  de. 


P 


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*?»?  » 


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sostenuto. 


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;-.*-'*- 


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A.C.  7785 


381 


-  meu     _      re,     un    hom.me  cherchant  l'ombre  et     re.dou.tant    le 


p  j>r  g  p  hJ*  J>p-g  i^p    p  ^r  Jl>r.  m 


D-  t^t 


$ 


bruit un  homme  qui  supplie   et    pieu 


re,      un  hom.me  qui  prie   âge. 


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Ne  jurez  pas  c'estvous!  c'est  vous!     c'est  vous  ! 


BISSY. 


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Je  vous  attes  -  te! 


Eh! bien:  oui! dût  l'a. 


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moi qui  m'en  vais  toutes  les  nuits, ma-da 


me    flagellé  de  la 


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pluie et  souffle.té      du    vent 


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Plus  leut . 


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Oui       moi, 


sostenuto. 


Plus  leut. 


moi  pauvre  cœur  sans 


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1  arquebuse  a  la     main!     


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Mais s'il  ne  I  était    pas, s'il  ne  doit  jamais    le 


tre! 


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Aiid'f  sost°  e  cantabile. 


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Vousa.vez  mon  se. 


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0 mada     .      me,        Di.ane        ômonti.nique  bien-' 

Aod'.e  sost0.  e    cantabile.  *.  .6 


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cret  ne     de.man.dez    plus    rien! 

LE  DIX,    (qui  les  voit) /' 


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A.C.  7785. 


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donc   pour-quoi     Bus  -  sy      tra  .  hit  son       mai 


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0  Di- 


express. 


rit. 


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tre!     Il  n'a  dit  qu'un  seul      mot       et    je  me  sens  rena 


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na 


.  tre    d'un     mot     vous  m'avez  fait  renaî    - 

rit. 


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Je  techatierai! tr 


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A.C.  7785. 


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(Elle  va  rejoindre   Jeanne  et  St  Luc) 


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Ton.    LA   HLRIERE  avec  les   1? 


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Bassi.     CHICOT  avec  le»   lr.LS      GORENELOT  avec  les   2d.es 


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Procession    de  la    Ligue. 


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DÉFILE—    Ligueurs,  Gentilhommos,  Corporations  avec   bannières,  Ordres   monastiques,  Moines  armés,  Suisses, 
Gardes;  puis   la  Cour,  le  Roi  sous  un  dais    fleurdelisé,  Officiers,  Ecuyers,  etc. 

Ail"  molto  mod'.°  e  maestoso. 

(Trompettes  sur  le  théâtre.) 
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PIANO: 


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sostenuto  e  cantabile. 


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très  soutenu 


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*•    A^ — .  A 


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Le  roi! vi.ve  le  roi!      le 

f      A, _  A 


A.C.    7785. 


399 


Vil   peu  plus  (ont. 

lo   Dl'C. 


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T  "7  '         P     *       •    » 


^    ^    M    Ff 


5^ 


Ce  coup  de  ca. 


Je    ne   sais  quel  effroi 
l»  peu    plus  lent. 


m'étreintle    cœur...-. 


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*  ^     P  "!'g  '  E 


Quelqu'un  la_ver.ti.ra  du 


A.C.    7785. 


400 


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v      V      v      v 
A.C.    7785. 


«*- 


Fin  <le  l'Acle  III. 


ACTE  IV. 


401 


■7?  TABLEAU. 


7e  TABLEAU, 


La  mai  soir  de  la  rue  des  Tournelles. 


Allegretto  mod 


PIANO.- 


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a  Tempo,  en  pressant. 


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A.C.7785. 


402 


SCENE     XXX 

DIANE,  BUSSY. 


An dan te 


PIANO. 


Sâz 


et       cenest  pas  un  rê 


m  .plot     où   le  duc  lui-même est  compro. 


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-ta: 


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agi  fat  o. 


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Aidante. 


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PIFgr;  /g 


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is,_      Notre  roi      triom.phant      de  tous  ses  enne.mis. 


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C'est  donc  l'an. 
'■      Andante. 


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agitât  o. 


m^ 


-r-     orenc. 


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A. C. 7785. 


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cgitato. 


403 


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Ain .  si,        cestraitres,ces per. 


f^  p  pfo  J^p  ^tffÊfeE 


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•levons  ie  dis    comme  je  vois vos  yeux  limpi  .  des 

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agitato. 


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tu 


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mais. 


ne  reviendront  ils 


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ASont  ar.rète's,    prisonniers. 


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ses* 


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pas? 


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■PPP  F  J,J'f  F 


3     r 


éJ—0 


jamais! 


La  mort  des  régicides  attend  tous  les  an.ge 


Éê=k 


Tous!     et  ce  malheureux,  ce  Monsoreau  qui 


y  PT.     P  P  P  P  i^3  ^ 


.vins     pris,  ce  soir      auxgeno.ve 


fains! 


W-- 


A.C.7785. 


CS3    \>m 


^m 


^g 


^PMJ'pr    i^^ 


m  aime: 


Il  frémit  de  me  per  .     .  die     il 


ru. 


$"''  r  '  T' P  P  p  p¥-  P  F  T  Wp^a 


_  t — ? — r — t~ 
J'ai  vu  les  sens  du  Roi  l'emmener  frémissant 


'>r>    l'jig^v-^^  ''f-^ 


TaV  fVr  fe^g 


°'lt 

-  a11 


£É 


et  blasphè       .      me        Et  je    crois        voir     brille 


u5j  .j*j  jsj 


son  re. 


t»=— ^ 


^Ja'M 


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f  r    r  pr 


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gard        me  .  naçant  !. 
BOSSY. 


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i\e  craignez     rien, cet  homme     est   per. 

A  A 


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Jus.  te 


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Ëë!)  PT    I  g 


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dé.jà  même  il  doit  avoir  pa  -  ve  ses  cri  .  mes  de  son  sang! 

A 


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405 


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bliez â  ..         »         .        .  me  trop  ge'n  éreu    -  se      Ef.fa. 


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A.C.7785. 


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Oui'     jevaisdoncte    fuir,    o    sinis.tre  maison 

A 


maison  de 


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sangdedeuil   de  hon    -     te      et  de  te  _  ne 


.  bres  ! 


i 


ecssv. 


mezza  roce 


Amiante  eautabile. 


mjr-^f=^H^'^  faLA 


ritemito. 


Plus  de  nu.aye    auciel.'plus  de  spectres  fu ne     _     bres  !_ 


msm 


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pp 


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0 blanche  fleur par      l'ex  .  il 


et      l'otage  a  de  -  mi      brisé 


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A.C.7785. 


407 


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Dieuvous  devait     cette       ro  .   se 


e         Et  ce  jo. yeux    rayon        d'A 


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Dieu  vous  de -\ ait cet  te       ro  .  se 

^/•è.v  nou  f  en  if.  .    a      W»- 

y—m  m   f  f   F    i,  !_ 


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dim . 


a  Tempo 


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5  7  r     5 


Et. ce  joyeux_  rav.on, 


ce  ray  .  on     d'A.  vril  ! 


que  cette  heure  est    douce  à  mon   âme       e     pui  _  se     _      e! 

1.  7  ~^fA,L_',j^rï  J-r 


i  a  m  g  i  * 


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dans   l'a-ztir  in.fi  -    ni,    Pauvre     pe.tit     oi .  seau   ban- ni  par     les 


A.  C.7785 


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m 


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monts,- 


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les      bois 


cre-vc. 


dont_      la sen 


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409 


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ci 


1     .      le!  0. 


lacs  ! 


tés  embau   .  mes 


près 


au    pnn. 


m 


r    F  F  g 


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bril   . 
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.    le 


Ne  se    baisse,  ront      plus 


sous  des 


LJLXJ*  C_J*    t_c_c_r  Lj* 


»■'    =  -r         fe 


D.*» 


r     r    r 


li   — ^""^ 


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temps       re     .     ver 


dis! 


Ô    mon      pè     „      re  joy 


m 


p*p  r    f  hir  ^ 


K- 


yeux        trop        har     -       dis    Et     li 


bres,     vos  joy 


eux 


A.C.7785 


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m 


j    a  H  * 


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fil. 


le!    0 


y     j —  l  r      p  h'  v 


eu     .      ne 


fil 


le!  Vont  re 


V      f     f    =F 


a  Tempo. 


A.C.  7785 


411 


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Pius  lent. 


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D. 


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vi    _  e! 
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Moi  j'ai  l'a 


me 


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S 


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g    g     i 


00» 


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Je  vous  aime  amena     .      ment!  — 
Plus  lent. 


£ 


g       ■ 


g  g   i  g 


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!  Vous      ê    _  tes    mon    hé  .  ros,  mon     or.gueil,         mon    tré 


PÊpgfÊijË; 


*iî 


É 


*jC.778&. 


412 


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DIA>E. 


(Languissante) 


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*     ''L/  ^  LJ^f  J  J  J> 


Non! Non! Plus  u. ne  pa  _ 


S 


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do      .     le        un  seul  mot! 


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P 


_  ro 


BCSSY. 


abandonuto. 


t  rr     g'^aF^g 


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riez  pas, 


Eh 


bien! ne  parlez  pas,    moimè  _ 


^m 


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Sa   V  ^fiJ-J^J1    J'J 


w  >nTP"  ^ 


FPfjp  ^   na>  gy 


•    *     g  ^# 


_  me  je  neveux  vous  prier  quetout  bas «le   peurqtfeffarouehémon  bonheur  ne  s'en. 


A    n    -rTOa 


413 


I 

i 


* 


DIANE. 


V 


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Ami  L 


IV   T    1 


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S 


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40- 


_  vo      _      le 


Mais         laissez  moi. 


_    vosaraiKlsveux 


m 


g     a    r-a,   a  i     a   ê 


-rf — • 


diin. 


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s  r  7-rqt;. 


411 


pour    tou-jours! 


*£r—  9^-^9-^^t-l-l  ttt    ii.1t    » 


P 


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rofl&af. 


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And".0  cou  moto  ma  cantabile. 


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r      f  p 


AikI'Woh  moto  ma  cantabile 


0    bon  _   té 


sou 


ve 


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Un  peu   anime. 

M  f'^gppassionato, 

rW- 


S 


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0  bon  .  té     sou     .       \e    .    rai 


_  ne 


Ô  bon  . 


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r  r     m 


S     1      JS     > 


B. 


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sou  .  _     ve  .      rai 


ne  Qui    me 


Un  peu   animé 


r 


X.G.  7785 


416 


stringendo. 


té 


S      * 


m      * 


9-  l  '    g  Tf-^ 


£ 


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de       mes  plem> 


de    ma         pei  .  ne,     L'a  .  ve  .nir, la  .  ve    - 


A.C.7785 


a  Tempo. 


417 


.  mour  !  


WÈ 


L'a. 


.  mour 


! (avenir  el.         lf 


a  .  mour 


(' 


418 


SCENE    XXXI. 

DIANE,  LE     PAGE,  BUSSY. 


^^ 


AI  1"°  moderato. 

LE   PAGE. 


(la    voil  du    Pa£e  dans  la  rue) 


r)f  î<!tjm 


<& 


AU"0  moderato. 

5»    3  3 


Ouvrez!  ouvrez c'est  votre 


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Π


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pp 


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J>  J  J>  J  J  ji  >  >f## 


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"T3 
page 

BUSSY 


Monsieur  (Je  Monsoreau  que  1  on  croyait  sans 


-anti  "•"'■  ____^_ 

P  r  ^nr.  g~ g i  f> 


Et  pourquoi        cette  a    .    larme 


P 


DIANE. 


* 


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^^ 


3 — & 


Eh!  bien? 


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Il    a    /u.e 


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:^=£=£ 


ar.  me  Conservait  un  poig-nard 


trois  des  sol 


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Eh!  bien  ? 


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A. C.  7785. 


419 


irV  W  P  pf  J~J;  - 


(épuisé.) 


i> 


3=£ 


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£ 


.dàts        et  renverses  les  au. très. 


EL_ 


s'est  é_chap. 


I 
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Éb-k 


S 


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I j  i  *-  j 


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I 


(Bruits  de  pas,  d'armes,  mur  mures  de  voix. Les  vitraui  du  balcon  volent  en  éclats; 
Des  hommes  armés    apparaissent  au  balcon  précèdes   de    Mortsoreau.) 


'    g       r    - 


_d 


ra 


4 


(Diane  épouvantée  se  réfugie  derrière  Bussy) 


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r       S  ■  J> 


^^ 


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Le  voilà! 


le  voi.  la 


:'.   I 


BUSSY. 


jjjj       / 


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S 


a 


I 


Qu il  vien     _       ne! 


A.C.778^ 


420 


SCENE    XXXII. 

LES    MÊMES,  M0.VS0REAL,  ASSASSINS 


A1I°  féroce. 

MONSOREAU. 


âÈS 


Réeit. 

m. « m    0 


m 


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35 


I 


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AU0  féroce. 


Ah!_    seigneur  de  Bus. 


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P   J      g 


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»cT  5 — J— 3- 


Récit . 


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O  ; 


BUS.SV. 


Récit. 


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£ 


Il  pa  -raif  ! 


9fc£ 


i  r  'p-  tir    g 


É* 


£=*=£ 


-sv 


tu  t'es  donc     lais 


£fc 


a  Tempo  Récit. 


I 


:f=5 


.  se        pren    _     dre 

a  Tempo  Récit. 

EU 


Vous  croy. 


^2^T~? 


f» 


S 


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■^  g5   t 


s^ 


*** 


Plus  len»  mais  mesuré 

fr   1»     1»     1» 


m  C"  FT r  r  r  r  |  H  i  p  F  p  pf  j 


na 


i 


.h/     ee  pauvre  grand  veneur    eni-prison  .    fié  dé.ca.pi.lé        peut    è  .  tre 
Plus  lent  mais  mesuré. 


£ 


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5   W 


pp 


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Ë^E 


Vous        vous    è     .      tes      troin  _    pe!_ 


mou  mai 


pE 


Π


|    rre  '     . 


do.    f 


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Fui 


^ 


A.C.77S5. 


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421 


a  Tempo   AU.' 
BUSSY 


(à    Diane) 


$  r  '  i  fr.     ?  p f ' r    p 


(au  Page) 


3 


i^ 


E    S-     g 


Je        le  vois  eut rez  -  là  L 


Toi  veil.1 


<j  sur  mon 


g    g     j      r 


tre! 
a  Tempo   AU? 


DIANE,  éperdue 


0    0, 


i 


i 


^ 


Au  secours 


mezzo  voce. 


p  H      j      s  »ip  iJ'J'  g  jtjnJiji'1rp-| 


bien  ! 


Pas  de  cris!  attendez  lame  ferme,     et  tant  que  je  vi. 


i      riiifiifiiii  feM 


pppppppp^p 


1 1  ppppppp  pppppp  ppp 


fi 


pp 


||E 


g      3      r 


Diane  entre  dans  I  oratoire; le  Page, 
I épée à  la  main.garde  la  porte. 


p  i   gp  r 


Π


.vrai  ne  craignez  rien! 


MONSOREAU. 


^gi 


r  r?it.r 


s 


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(Bus.sy  tombe  sur  un  genou) 
avec  une  joie  féroce. 


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424 


SCENE     XXXIII. 

LES    MÊMES,  S'  LUC    et  ses  HOMMES. 


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S1  LUC. 


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Più  maestoso. 

(Il    met  le'pée  à  la  main;  s  adressant  à   S*  Luc) 


M  échapperait  -  il?      no»! 


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(Tandis  que  Monsoreau  pari*»    Bussy  s'est  relevé.  Le  Pajfe  se       |fO 
soulevant  lui  tend  une  md^-p  et  retombe.  Bussy  rampe  jusqu'à 
Monsoreau^se  dresse  et  d'un  coup  d'euee  le  cloue  sur  le  lambris.) 

Récit 


Cet.  homme  était  chez  moi .  faut  il  donc  d'autres  preuves  ?       Je  me  sui 


3 1. 


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Cet  homme  était  chez  moi ,  faut  il  donc  d'autres  preuves  ?       Je  me  suis  fait    jus . 
,  y    Récit. 


4.C.7785, 


425 


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426 


SCENE     XXXIV 

LES    MÊMES,  DUNE. 


(Cependant  S  Luc, après  a^oir  embrasse  Bussv  a  fait  <imrir  la  porte  de  Diane. 
Celle-ci  parait,  livide  et  muette  d'horreur.  Elle  vient  à  Bussv  qui  se«f-utient 
péniblement   sur  son   epée.) 

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-ffueil:      j'aurais    voulu    v  ivre  près  de  vous  Mais,  if  meurs  pour  vous   etvousdt 


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gueil:     j'aurais    voulu    vivreprèsdevousMais,jemeurspourvous   etvousdéJi 

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P   Fin  de  l'Opér 

4.  C.  7785.  (Baudun  Gr)    Paris, Imj>. E.  Dupre  rue  du  Delta    26. 


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