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bOCTRnXE MÉDICALE
tI0iI(»10PATHIQUË
EXAUnnéB stttis ies rappokts "
THÉORÏQUE ET PRATIQUE.
D,g,t,.?(ii„ Google
'Croire tout d^Dvert «tune errcnr profoode ;
C'«n prendre rhoiiuiD poar lei bornei Amondè.
UoiiiieDr, degrice ^coatez..., pent-^tre aprïi m'iTcnr entenda,
Cbangerei-Ton* d'avii.
— Et ù^ne veux pai, moi, changer d'avU?
— Ob .' en ce ca* , c'ett bten différent.
Un irit vieux lûre.
La plupart dei grande! dicoaTertei ont comnoenc^ par paraître
' abiurdei ; et rhomiue de géaie ne fan jamaii rien l'il a peur dea
plaiianleriei : elleiiont lans force il on Iri dédaigne, et prennent
loujonri plut d'ascendant quand on le» redoute.
Madame de Stail* -^ Ih PAUtmaffa.
nigitir^db, Google,
DOCTRINE MEDICAIE .
H01«(»:0PATHIQVË
EXAIONÉE 80UB LES KAPPOBTB
T0ÉOB1QUE ^T PRATIQUE.
Par le Docteur H.-C. GCEYRABD,
^EKBBID^ LA >OC]Ét£ HOMœOFATHlQCK DE LUmO, DE LA SOClitt
GALLICAHi; KT DE rLi;siii>H ictsu MaÉTÉa SlVtnlEK.
A PAélS,
CHEZ J.-6. BAILLIERÉ^
LIBIIAIRE DE L'ACADÉMIE BOTALE ,DE M^TCCINÉ,
ji LONDRES. MÊME vMsoif , n° 3ig,' rzcent-street'.
amiELllS, TIBCHEH. - BASD. DCJABDIN. — ' UÈGt. DESOSt.
1834.
D,g,t,.?(ii„ Google
D,g,t,.?(ii„ Google
AVANT -PROPOS.
L'auteor prévient , avant tout , ceux des
Médecins qui prendront la peine de lire cet
opuscule, qu'il n'a point la prétention de pré-
coniser uo système comme absolu, ni d'en
émettre uo exposé complet. La vérité des as-
sertions de Hahnemann , dans un très-grand
cercle thérapeutique, est assee attestée par
l'irrésistible puissance des faits. Mais on □&
doit passe dissimulée les lacunes et les im-
perfections de sa méthode dont le principe
26'^-300 n„„.,.,Google
fbndamental (la loi des semblables) supifiA >
pour obteoir la gaérisob , une constaote force
réactive; or, il n'est pas démontré que la
réaction vitale de l'organisme soit toujours
l'unique ou le meilleur moyen de réaccorder
la santé. J^es élémens du corps bumain sont si
complexes , qu'il doit j avoir diversité dans les,
lois qui président' aux troubles fonctiooneU
comme aux actes curatifs. Le jeu de la vie
semble se composer d'actions cbîmiques, pby-!
siques , électriques , dynamiques , etc. On est
porté à penser qu'il y a de tout cela à la fois
dans les phénomènes de réaction organique ;
mais ne peut-il pas , dans certaines circon^r
stances, n'y avoir qu'action, chimique ou ac-
tion physique? par exemple^ quand on neu-
tralise les eSetsd'uaremède bomœopathique,
soit ceux de l'aconit par l'odeur de son anti*<
dote connu, Vopium, il se passe certainement
autre chose qu'un phénomène de réaction dy^.
namique. Il en sera de même dans le traite-
ipent de l'asphyxie , des empoisonnemens e^
nigitir^db, Google
toutes les fois qu'une cause chimique ou phy-
sique aura suspendu ou anéanti l'irritabilité du
lissu malade. L'homœopathie , qui ne fait rien
sans le secours de la vitalité , oe saurait aloi^
être mise à contribution', et son fondateur a
préru , dans son Orgaoon , ces cas qui seront
rares et exiypliooaelsV comparés à la mulU-
tude des maux qui assiègent rhumanilé , et qui
rentrent sous le pouvoir bienfaisant de la dé-
couverte qui nouJ occupe. Enfin , l'homoeopa-
thie laissât-elle apercevoir encore plus de.
côtés faibles, ce oe serait pointa nos yeux un
moûf de réprobation , mais ud riche aliment
aux savantes méditations des hommes pror.
gressifs._
Digitir^di,, Google
,9,t,.?(ib, Google
EXPOSE
IL':
Saas rien préjuger sar le ^lérite et la poiv
tèe de l'homoeopathie , noD plas que sur ses
destinées futures, od est contraint d'avouer
que cette réforme thérapeutique est aujour-
d'hui, comme branche médicale j un fait po-
sitif, încoDieslable.
L'homœopatbie , comme école, ayant sa
tribune, ses journaux, ses cliniques, ses hos-
pices (i), son public , appartient à l'histoire
(i) Lm princîpaai hûpiUiix bomœopatliiqDM loat ^Ublli à
F^UTsboQrg, Munich, Lei]iiig , Elberfeld , etc. £d Frtnce, il
ci'ute par lu aoiDi du docleur Mabit , à Bordcaoi, ans clinique
; boDHBOpatbiqDC de ciDijuaate liti dam l'hâpital Saint-André.
En outre, diffîreu* petit* hûpiLaoi de> départemeiu, eatreauuei
ceux deTlioitiCf EtdeLuxeuiJ, eut été mit lur le pied n^ceisaire
à-ce fton de n»!dicBtion et dam pluûeari école* Tët^riDairei on.
en fait une henreoie application au traitement dei animaai.
D,g,t,.?(ii„ Google
(6)
Jte Part, comme toutes les écoles qui l'ont ie^
T^pcée; et, si singulière que puisse paraître
cette doctrioe , si assuré qu'on puisse d'avance-
se croire de son inanité , on ne peut pas plus
s'affranchir du detoir de l'examiner qu'on ne
doit se dispenser de connattiie les système*
dont la série constitue les aunales de la raé-
decioe, tels que le Boërrhavisme, le Galé-
nisme , le Brownisme , etc.
L'homœopatbie est le nom d'une méthode
curatîve encore peu comprise en Fiance et en.
Angleterre , si on en juge par le petit nombre
de médecins qui l'exercent.-et qui, depuis
quelques années se répand en Allemagne oii
elle prit naissance vers la fin du dernier siècle..
Repoussée pendant loog-temps comme une
flatteuse illusion , parce que les faits sucpre-
nans qu'elle proclame se trouvaient , comme
il arrive à toute découverte inattendue , hors
du cercle des connaissances de l'époque , elle
acquiert aujourd'hui plus de consistance ,
multiplie les résultats , les consigne dans quar
Ire journaux allemands spéciaux ( i), et compte
(t) AUccmemehoniceopBifaîicIiZritaiiB von dcnS. D. G. W.
Gro*i, F. Hartmann and. F. RamndU —liâpiif.
D,g,t,.?(ii„ Google
(7)
acluellement de chaads partisans parmi tes
savans de la Hongrie, de la Pologne, de la
Russie , ,de la Bohême , de FAiilriche , de la
Suisse , de la Bavière , etc. À Philadelphie,
à. Rome , à Naples , à Geoève , elle çst prati-
quée avec succès. Dans la dernière sessioD des
Chambres à Karlsnibe les députés du grand-
dvché de Bade ont adopté unanimement la
proposition de créer one chaire de thérapie
homœopalbique dans chaque université , et de
n'admettre au grade de docteur en médecine
que les ëludians qui lié raient preuvede connais-
sances suffisantes en bomœopâthie, comme eu
toute autre branche des sciences médicales.
En France, le nombre touiour» croissant des
abonnés au Journal homœopalhiqâe imprimé
à Genève, témoigne sinon d'une propagation
avancée, du moins d'une tendance à un exa-
men sérieux.
A Lyon , où cette méthode fit sa première
apparition, il j a trois ou quatre aoS; elle
AddhIcd der boiDfEopalbiscbeii Klinik Ton Hartlaob oud
Trinki. Leipi, Fleiicbcr.
Archir mr die boiDDopalûch EfilkonU von D. Siapf. Leipi.
ZdlDDg ia ffalargeieldiclieii Heitkuiist von D*. Schïtikcrt.
Dutdta uad Leipt.
•oigitir^di,, Google
(8)
excita d'abord rétoanement et plus tard l'in-
térêt de plusiears honorables praticiens. Cette-
industrieuse cité a été récemment le point de
réanion d'un congrès de médecins homœo-
palbiâtes, venus, au nombre d'une cinquan-
taine j des villes environnantes , de Greno-
ble , du Piémoiit, delaSqisse, de Genève,
de Calmar , Mulhouse , etc. : les séances
ont ç té tenues les 6^ 7 et 8 septembre i833;
des discours très remarquables y ont été
entendus , et l'on j a arrêté les bases d'une so-
ciété bomœôpatbique gallicane à rjnstar de
celles de l'Allemagne. A Paris, nous, voyons
déjà plusieurs bommesd'un mérite avoué^con-
duils, par l'expérience d'une longue pratique,
à déplorer iOurnellement l'insuffisance d'un art
incertain , des hommes enfin d'un savoir trop
étendu pour supposer des bornes possibles à la
science humaine', qui, puisant leur convic-
tion dans une impartiale observatinn , n'ont
pas craint d'avouer , avec HaUnemann lui-
même, qu'ils ignoraient hier ce qu'ils savent
aujourd'hui j et se sont courageusement enga-i
gésdans une série illimitée de nouvelles études.
Quelques médecins en Angleterre cultivent
l'bomœopatliie ; les docteurs Quio et Belluo-
nigitir^db, Google
(9)
mini y jouissent déjà d'une grande renommée;
de toutes parts enfin elle jetle ses fécondes ra-
cines en Europe , et nous apparaît comme la
' brillante aurore d'une nouvelle ère médicale.
Elle ouvre à l'bomme exempt de préjugés, et
dont les yeux se laissent désillcT' par l'éclat dé
la vérité, un avenir entier de surprises et de
phénomènes attacliaDS ; et si pour établir la lé-
gitimité de cette jeune école il ne suffisait pas
du nonibre et de la constance des faits, faudrait-
il une autre preuve de sa certitude que cette
conversion immuable de chaque praticien qui»
surmontant un premier mouvement d'une ré-
pugnance bien excusable , se résout à l'examen
qui doit ébraoler sa foi médicale et porter le
trouble dans ses idées? Pas un, après avoir ex-
périmenté de bonne foi, et à l'aide de bons mé-
dicamens, n'est revenu sur ses pas et n'a hé-
sité à proclamer la: puissance dés nouveaux
agens thérapeutiques. On compte même plus
d'un saint Paul devenu adeple zélé de Hahne-
mann , de persécuienr qu'il était d'abord.
Des hotfimes iodifférens à la question, sont
ïnoins exposés aux conversions de cette nature,
et l'homœopathie pourrait ^ plaindre d'avoir
nu trop grand nombre dedélracleurs sans pas*
nigitir^db, Google
( 10 )
sions, puisant leur opposition dans l'indolence^
leur dédain dans rinsoticiance de lacbose> et
que l'on voit borner lears savantes discussions
à quelcfoes phrases vides et impertinentes.
L'opinion fait justice de ces fades plaisanté^
ries t]ui fournissent la mesui>e de l'esprit pro^
fond de leurs auteurs, et n'atteignent en défi-
- nitive. ni ne détruisent rien;
Il arrive au contraire anx plus ardens anta-
gonistes, forcés d'envisager d'assez près les
principes qu'ils se disposent à combattre, d'être
bientôt frappés de leur réalité , et dès lors ils
consacrent à la défense de ces mêmes principes
la plume acerbe qu'ils avaient taillée pour la
critique. Les célèbres docteurs et conseillers
Rau an Giessen et Messerschmidt en sont des
exemples : aux noms de ces hommes honorables
pourraits'associerplusd'unQOmcélèbreàParis
comme à l'étranger; nous nous abstenons de les
désigner.
L'invasion de cette doctrine a dû , on le pense
bien , remuer les passions, et exciter de nom-
breuses controverses. On a beaucoup écrit pour
et contre : une partie de ces documens est re-
cueillie dans les journaux de Stapf, de Schwei-
kert et dans un petit livre de Rumm^, qui a
n,<j„,.™r,,G00glc
( ■' )
pour litre : Die Somœopatkie îrher Licht iCnd
Sckattênseite ; c'est à dire : l'homceopathie, sa
lumière et son côté faible (a).
Si pour acqùériruoe doUod du sujet qui nous
'occupe , 00 n'a point hoTué ses travaux à la lec-
ture de quelques -articles de nos journaux de
médecine où la question a presque toujours
été dénaturée ou traitée avec préveiAion , on a
dû , puisant à la source , lire avant tout l'Orga-
non , un des premiers ouvrages de Haknemann
et base de sa doctrine.
Nous n'entreprendrons point l'examen de
ce livre remarquable à tant de titres, et dont
on a déjà donné diverses analyses ; nous rappel-
lerons seulement quelques-uns des principes
fondamentaux posés par l'auteur.
Il existe plusieurs manières de faire servir
les modificateura à l'anéanlissement d'une ma-
ladie : l'opposition, la ressemblance et rbétéro*
généité.
i' La méthode antipathùpie ou d'opposition
( evûOiTfovffoSoç , aciwi'iraâoç 3 emploie de? sub*
stancesà effets primitifs contraires, ou opposés
directement à ces effets de la maladie que l'on a
nommés symptômes; exemple : L'applica-
tion de l'eau froide sur la brûlure ou l'éry-
sipële.
nigitir^db, Google
C la )
2° La méthode aUopathique ( «JXov irctio; )
est celle qui se sert de médicamens de tous
genres , sans égard à leur pureté ni à leur ana-
logie d'effeU avec la maladie, ai contraires ni
semblables. Les révulsifs sont de ce nombre.
3° La méthode homœopathùjueip^lv* -Kaiititi)
est celle qui se sert, de remèdes dont les eî-
kls primitifs , c'est-à-dire les symptômes ou les"
"actesderéactionvilale ressemblentauxeffetsje-
cont/aire^dela maladie qu'on Teutguérîr, c'est-
à-dire aux symptômes de celte dernière j pat
exemple : un vésioatoire appliqué sur une dar-
tre i la pierre infernale sur une plaie , un vomi»
tif contre les vomissemens, un purgatif coutrâ
la diarrhée, un acide contre les aigreurs de
l'estomac, ou l'agacement des dents produit
par un aride , etc.
i" Une qaalrièmé manière , V-homopatkie
( o|jioira5o; ) , OU Vysopalkie , dont les soc-
cès ne sont pas. encore assez généralement
constatés, consisterait à guérir les maux par
des moyens , non plus analogues comme en
homceopalhie , mais identiques à leurs causes :
ainsi, les virus de la morve, delà gale, de-
l'anthrax , etc. , dilulionnés convenablement,
serviraient à guérir ces maladies. Les venins
de la vipère, du serpent à sonnetle, la bave
n,g,N..<i h, Google
( '3)
^esdiiéo'B enragés, elù., deyiendraient , dans
leurs dMes iafiftitésimales , des aniidotes aux.
accideDsocËasioDésparces mêmes yeDÎns.....
Le docteur Lux, vétérioaîrë distingiié de Leip-
sig,adé)à'oktÏ!DO,!dans ce genre d'expériencesy
des résultats suffîsaas pour attirer sérieusement
rattentîon. ^ ■
ËxaminoDS d'un coup d'œil quels résultats -
pratiquesaccômpagoeutles.tarois premières-mé-
thodes , la qualrième (étrangère d'ailleurs aux
principes de Habnemano) n'ayant point encore
âS9eK Toùrpi de fidts pour eh parler avec con-
naissance de cause.
Lorsqu'on a administré un remède antipathi-
^ue^'celoi-^i tend à détruire ou neutraliser les
maux naturels, mais Ahs que son action est
épuisée^li maladie > qui qudqueFois a été sus-
pendue, reprend ordinairement sou cours, ei
le plus souvent avec une forcç nouvelle, parce
qu'une-des lois de l'organisation des animaux
est de réagir contre les influencés qui viennent
du dehors (j) ; or, cette réaction vitale a pour
conséquence un mouvement inverse à la'médi-
cation, par conséquent favorable à la maladie ;
D,g,t,.?(ii„ Google
( >4 )
ainsi , la glace apf^iquée' sur une surface eu'
flammée , cpnitue uo ér^'sipële, par exemple ,
développe, par réaction vitale, une ardeur
brûlante dans la partie malade. Un. membre
congelé se putréfie si qd l'expdse à la cha-
leur , etc. .
Quant au procédé allopathù/ueA\ offre trois
chances à courir ;
1° La révulsion, qui en est presque tou-
jours le. résultat, peut réussir, sur-tout si l'af-
fection morbide était légère... Pah^ce cas,.ia
maladie est échangée contre .un mal artificiel.
3° La révulsion peut échouer et la maladie
rester la même. .
3" Par l'admiDistraliod des remèdes allopa-
thiques trop prolongée ou multipliée . opcom-
plique les maux naturels, de souffrances acces-
soires produits de l'art.
Par la méthode, au coutrairej qui fait le sujet
de notre dissertation, il s'agit de donner à une
très-faible dose, la substance spécifique pure
qui, à dose plus forte, aurait développé chez
l'homme sain des accidens aussi ressemblaos
que possible à ceux de la maladie qu'on a en
vue de guérir. En agissant ainsi dans le sens
des efforts de la nature , pa compte sur la réac-
D,g,t,.?(ii„ Google
( i5 )
4ioD vitale de l'oi^aBisme ^ mouvemeni inverse
à celoi des accidens morbides.
Parce mojeD, l'homoeopalhie a U pt>éteBlion
, 'de guérir d'une luamère directe, douce, cer-
taine e^relativemeatTi^îâe.
L'analogie des sy mptàmes oatareU avec ceux
ifui appartienneat au nurj^en artificiel,, fait
bien présumeE que celai -ci agira sur Iç fojer
du mal. (GoaunuDauté de- symptômes, coui-
ntufiaQtéde point de dcpart.) Mais que se passe-
t-il alors dans ce fojer, et comment expliquer
le pbénomënt)delaguérisoB?carii apparaît pas
suffisant à tous de répéter avec Habuemaan ;
deux maiadies semblables ne .peuvent exister
dans un même poirU.
. Le procédé cotrobore-t-il dans le lieu ma-
lade l'eSbf t salutaire et incomjdet de la nature?
Les tissus affectés reçoivent-ils le degré de
force léactive qui leur a manqué dès l'instant
<]ue l'état anormal a pu s'établir, que l'équili-
bre fonctionnel a été désaccordé ?
\ a-l-il perturbation, modification locale
parcet agent, qui n'est spécifique (£) qu'autant
qu'il est bien choisi^ et qu'une sage expérience
aconstaté son affinité avec le foyer mvrbide ?
Ya-l-il plus? y 3t-t-il antidotisme entre l'a-
n,<j„,.™r,,GoogIe
( ,6 )
getit artificiel et fa^eift iscoottu qui a caasé le
d»^fdre de l'organisme ? -
Qui nous déanlera ces profonds mystères ?
Nous raToi),s dit ailleurs : tout raisonnement est
hypothétique et le téj|ips d'expliquer A'^est pas
airivé. A'mbroise Paré dit quelque part : je
pansai et Dieu guérit. ^Ous pouvons dire à Sdo
exemple r un médtcameni>Ado&aé, troeim-
'pnlsicMi a lieu , et la nature fait le reste. '
Cette nature attentive- à écarter de l'éco-
nomie 'animale, tout agent désorganisaretir,
qui' prend soin d'évincer, un corps étranger
du séîn d'une plaie j l'esquille d'un os brisé,
sa portion nécrosée , etc. ; cette nature a- pins
souvent besoin d'être secondée', que contrariée
dansses elToris Ainsi l'axiôme homœopa-
tique ,- simiUa s'imilibus cufantur , loin de ren-
fermer -une contradiction , constitue au- con-
traire , quand on y réOéchit bien , qoand on
fait attention qu'il n'y a de similitude qu'enti>e
les effets primitifs d'un remède et les éflfeils
secondaires d'un mal quelconque Ç -simili-
tude qui n'existe que dansleâ symptànKesi et
non dans reswdce de$ àgetra ) , la seule règle
qui pitisSe concorder' avec celte Ibisiiprêrtle de
la vie, qui se décèleài'obsèTTateurdansceque
D,g,t,.?(ll„ Google
' hous avons dësig^Dé pAt le nom die réaction vir-
tale. ..-'■■- . . '
L'atome médicinal' que I'od adniititstrè d'à*
près son 'homoepipathicité àds actes de cette
réaction , paraît .(hherminer une incitation
plus francbë de cette puissance occahe dont,
malgré le^ solitHistes,. )a saine physiologie rie
peutréjéïetrexistéiice. ■
Stahl, Cabanis , JoûWr't , parmi tant d*au-
tres grands médecins , ont envisagé ' lee états
maladifs comme dés efllwïsnaluTelS tendant
à Tétablir l 'harmonie des fonctions désac-
cordées.
Detous les phénomènes inhérens à l'orga-
nisation des corps vivans, en est-il, en effet,
deplAs "Constant que cette activité, de la puis-
sance vitale (c) révoltée chaque fois qu'une
influence extérieure vient agir trop fortemen t
sur elle? Le système organique né se soutient
que par un jeu continuel de 'ces actes réci-
' prôqùes , par une série de victoires répétées
que remporte la force TÏtalesur les impres-
sions venues du mondé- extérieur-, et nous,
nommons approximativement santé, l'état où
celite force redcontre une plus faible résistance,
où'elle triomphe avec le nioins d'efforts pos-
nigitir^db, Google
{'8) -
sible« . et où nos fooctitms s'opèrent avec le- .
plus de ré^larité et d'aisance. Ce dernier ^tat.
est-il troublé j quej est l'appitù que nous 'de-
vons prêter à la nature ? Ou cette dernièrot
est à même de remplir la tâçbe. qui lut est im-
posée , et alors elle n'a que faire des secours.
de l'art ; ou elle ne Test. pas, et dans ce cas ,,'
c'est encore d'elle 4]ue no'us devons apprendrç
comment elle vent être seco.urue^
Maisabandoonoiiscette digres&îoq pour ren-
trer dans l'exposé de Fbomœopatbie , de se&
ressources. actuçUes et 4^ ses esp^a.nçes d'à-.
venir. ' ,
Adipelloos , si l'oB veut, qve la science.nou-
velle soit peu nthe encore en littérature,,
niaigre en théorie , qu'elle existe à peine
comm.e' doctrine et comme école; on n'en
avouera pas moins- l'upparlunité de son appa-
rition au moment où il règne un déseuchan-
lement complet de ci*oyances médicales,, à une
époque où toutes les questions sont- reprises •
en sous-œuvre, où enuomoi, lebesoin d'une
rérorme se fait généralement ressentir. Xa
branche de la fnédeclne la plus ténébreuse et
la plus flacluànte, celle qui réclame le plus,
impéneusement de nouvelles lumière^, est
n,<j„,.™r,,G00(^lc
( -9 )
sans coDtTedit la thérapeutique ;^ or, il s agit
tlaAs câ Mémoire] d'aoe découTerte qui , ne
fût-elle en réalité que la dbii&ine partie de
ce que nous promettent' déjà les faits consta-
tés , serait - encore le pas le plus important
qu'ait fait l'esprit bumaitt depuis l'ioTentibn
de l'imprimerie. ^ •
. On croii^it pent-êtreque ce biénfaîla été
accueiUîed Allemagne, sinon avcoadmiration,
du moins avee la simple attention qô'ou ne
refusa- jamais au remède mis en vogue par les
empiriques, ou an- système éclos de 1-imagi»
nation )>rillatite d'un proFessenr à ht mode r
non-; car il est du destin'deâ véHlés inopiné-
ment trouvées de heui'Eer des préjugée étaMis,
de froisser des amCMirs-propres , de léser des
intérto matériels, etc^ L'hpmœopathie a donc
été -accueillie comme le fbt au XVII" siècle la
circulation du sang , la vaccine ao -XYlir ;
comme lé forent , à la honte de l'homme, les
découvertes de Galilée, de Newton, de Des-
carte» , etc.
Nous élevons avou» qu'aucun progrès de
la science ne se présenta peut-être avec moine^^
d'élémens de succ^ et- sous une apparence
plus de nature à exciter l'incrédulité. Cette
nigitir^db, Google
( ao )
circoastance suffirait seule poqr motiver un
exameo impartial j.car^oA lésait, le pcemier
soit) du charlatanisine fut toajours Ae s'eoye-i
lopper de forin» spécieuses, les. plus propres
à capter ia couSance et à faire de?, dupes.
CoDçevrait-Qu, d'aiUears, que des gGfi&gr&xei^
et é«%Lrés poursaiTissent ayec.^ntde perséré-.
rance et depuis taDtd'aoDées ud vain Iftatôme ?
S'eotendrait-PQ avec ua accord' si {>ar^t, de
Pétersbourg ii Sannam, ettle Viteqne à Loo-
dres, pour la plus odieuse tromperie.? La Mip-
positioD serait absurde et répugnerait à la rai-
sou, û d'aiMetui^ ÇA ue coonaistait la boone
foi scièa|ifiqiie , la modestie let la .profondeur
de nos voisins du Nord.
-Lsi plupart des systèmes , qui tour à tour doc
miuèn^Dt dans les écoles, se fondaient sut use
idée à pnori plus ou miMOS spécieux , et le
raisonnemeot, source de tantd'enêurs, prési-
dait^reâque toujours à ootre conduite. Il -n'en
est point ainsi àé l'homfsopathie ; rien chez
elle o'est hypothétique, tout est d'observation.
Ses propfig^l^qrs,^ convaincus de 4'toanité des
discussions scientifiques, "ae s'a|^oient-que sur
le témoi^age des faits , et demandent à être
jugés d'après euxi
D,g,t,.?(ii„ Google
( »'- )
Pour, repousser, ce* tiiis, il ne suffit pas <£e
lestrourerincompréhensiUlesi (iar ejtfHique-rt-
OD'BujoijTd-lipi tdutçeqo'oD a ^té foi«é d'àd*
met^par'«xpëEi6sGe?'QDi.eAt voulu Icréire
de prime-atK>rd à lï vaccin^ Qû àdiiKttmit ,
satfs Tavoir vue, latrausiormatioii^'une die*
aille ea papjJipD dates. Use cbrjrsalidê. £a Un
mot, -que ds; phéoctBfflies.peopreft à choquer
notre iatèIUg«Qcey et.qae l'habitude Aait par
rendre faùiilie^rs à«otre.C0BCëp^on.,.
Les obsieF.valii>nft; dira bomoaopathiste» dqbi-
plisse.Qtleurs'jourpaux: cieltebase iumk sem-:
ble pl^s s(^idement établie -^ue ces opinioos
écloseR ;de jïeoveaux d'hommes sur.le^oelles
reposèrent tàal 4e doclriDesanccesuveâ. Mai&
pQOK{WH de :siiéi^ataja tes cures n'onl-ellesiias
déjà ooDvecfiieB entier leiOgode médical?
C'est qu'il est'i^oijb .dé préwnter.en grandes
séries des histoires de fnîdadies dont une mé-
'fianee prudente, et louable au fond, be puisse
ni dontestersla véracité , ai attribuer le^résul-
tftt au hasard; c'est que des observations .pra->
tiques n'ont janiats lieu pardevant notaires, et
que celui qm dirigé aue maladie est seul ap-
pelé à en bien suivie lés périodes , les chances,
çt à apprécier au juste le- moyen qui a guéri,
D,g,t,.?(ii„ Google
Ne nous ^lonnons pas de la résistance des m^
decins élerés dans les anciens priifcipes : rap--
pelons-noas que notee propre incrédolité »
égalé la leur, et qoe nottf n'aroDs pfts consent»
à nous rendre si^ la (m d'bo petit nontbre
d'expériences.
Ce n'est qu'en répétant soi-inéme ce»
épréaves, que l'on peot parvenir & une oOQfic-
tioa sans laquelle il est inopossible de renier ht
doctrine a laquelle on est attaché. Hais il s'en'
faut de heanftoûp qu'il soit aisé de réussir dans
larépélitkm de ces épreuves.
Les difficultés inhérentes aux pr6cédés-ho-
mœopatbiquesnesoot pas plor comprises, en-
général, qne ne l'est laméthode elle-même';
par elles l'homceopathie échappera, 'heureuse-
ment pour sa gloire, aux envahisaeraens des
empiriques; mais ipatheuremeKient' , par la
même raison, l'époque de son admission au-
rang des vérités incontestée& par les Acadé-
mies , se verra long-temps retardée.
Les difficultés dont nous parions sont plus
grandes .qu'on, ne te pense communément. Il
s'agiticid'autrè-chosequed'appliquetdes'sang-
siies, des vésicatoires , et de prescrire un breu-
vage bétérogèue dans, sa composition; d'au-
r:,9,t,r?<ib, Google
tre cboie qae d*4labUr le diagoo^ d^ao& ma^-
ladiset lai opposer le traileniçnt )e ptas favo-
rable i d'après -la doctrine en favear. Etudier
un groupe de symptômes, le rattacher dans
sa peàaée â ao cadre, de nosologie , l'atjUtqaer
ea vertu dss-préceptes du maître actuel, peut
suffire à la cposcieDCe du médecin aliopalhiste',
et, qi^Ue queeoft l'inoe de la maladie, specta-
teur de ses phases, il est tranquille quand il
a crtt s'oj^nser de tout son pouvoir au déye-
loppement des'accidens snccesûfs. Hais une
attention plus serdpaleuse:, une exploration
plus. détaillée » uoe ^u» grande-et plus mi-
nutieose appréciation des diverses lésions de
la sensibilité, sont essentielles' an médecin ho^
mcH)p^hi3te,lor«qn'eopFésenced'Hn effrayant-
appareil de désordre, il s'agit pour lui d'en ta-
rir promptement la source à l'aide d'an -seul
alouie' dont le d^^ d'atténuation soit ' exaç- .
tementsaleVlé d'après l'Âge^ le. sexe du svjet,
sa sepsihilitéf' d'après la nature de la cause,
riqt^nsitjé morbide, las «complications, les
circonstaocw aqeesstHJceSj-'etc.- Avouons qu'il
faut Qpe c0rmine intrépidité pour oser abor-
der un traitement de ce genre et sortir de la
cummone ornière. La chose paraît-elle aisée
nigitir^db, Google
pour celui qui a'n.pas. eu, ooimnwi'aaiiKVt^
couragt^ 4'^.9r. suivre pQpdaoA.qoelqns lânt^
les homœppalbeis^riaâmques aalitdè leôvft.
liiala^es? .. ; » . '
Ajoutons que ce a'eebpas loujours^ en ut-
taquàn^lesdésordcesJès^JmdoatioMs-, mais
. quelquefois eu s'a^asant à ad sjraptdme'4ibs-
cur, lorsqu'il MlieiàTideBunefiti la cduseoM
qu'il est caractérisé par uae lésioiv spfoial»
deia iensibititéj quese résoudra-lcprobiérae
de la gaérisOn. ■ • . ■■'
.Déjà gr»ule d'après ces coasidét^tionâ , la-
diffîcu}té d'un traitemeat.beiiMsopatbiqie le
pataitra bieq dayaqtage encore si l'on OMisi--
dére le dénuepeot absolu où .noas.nous ttoa-
voBs des traductions en français â'un assez
grand nombre de litres aUemandaîta^spen-
s^bles- à -la- pratique d'une méthode atissi-
étrangère-à no&études, aussi neuve pèurnos
regïfds'préveoij». lies tradaçÇearsfrançais'ont
débvté-par nous faipe-Gomattre les œuvres du
foodarteiw^ oeufres plus théoriques que prtiti---
ques ,' premières i^acines d'unb âioienoe tjùî a
largement, depuis .celt^ ^(k)qu'e, életidti ses
branches , niais ■■ qui, dénuées d'histoires cU-i
D,g,t,.?(ii„Gooi^Ie
• ( >5 )
mques, sont loin de -suffire par elles-mêmes à
rapfdicatîbn deift médiodè : leur lectore isolée
effrsâb certaines intelligenïCAs et découfage les
plas heareBses tnétnoires. Il mnis faàt d'autres
livres ;ilse]cistent';niais dés médçcifis seuls (et
pu>mi ïbotis î] 'y en à peu <|ui . po^èdent assez '
inenlà'Urtgue'allèinande.-ou qbi aient assez
de 'kîsir poorce tràTEÎl) sont aptes à' nous
fonTMr de bonnes tràduclions en fait' d'oo-
vràges- de médeOTne^ Si cèqx <jiii ont com-
mencé à ' ntms initier aux recherches de
Haboenutnii n'^ont pas pQtnsaivi letnr pénible
l&ehe, il faut sans doute l'attribuer è riïiéiF-
férenceainee' laquélle'DOs sav^nil ont acctmlli
la -nouveUè' déconcerte, et au peu deprogrès
qa'a &its, il fout le penser, i'fabinœopatbiè
parmi ;nous. Les progprès sei-aot pins rapides
dfes que l'utilité, Unéçeamlé même de c@n-
conrir afec l« AllemaQdiï à la réfoifm&tion
d«i'premierd€ssarls,aiii'a miens été comprise ;
alors'peaf-é^ê, "moins dédaigneux des lents»
tranquilles et consciencieux labeurs de nos
voiÙQS,'BOus ponrrônï aroir' connaissance
dAjIivrages éihirieoifhérlt utiles poùr'Ia pcati-
qUe, à la tête desquels il faut, placer les ma-
n,<j„,.™r,,GoogIe
C =6 ) •
tîères médimles pures de. divers aatear3(i)f
les pbaroHicopéeSr la thérapie de Hartmaon ,
ouvrage uo peu .entaché A'tdlopathie d'après
l'avi» de Hahoeaiaiio , mais plein de sagesse ,
de candeur etde booDe foi ; les répertoires de
Ruckert, de Weber, d'Hartlaubet Triaks,
de Bbamnghaasen- (3) , où l'on trouve une
sorte de dépouillement méthodique de la ma-
tière médicale pare, si confuse dans les pre-
miers recueils qu'on en possédait, sont des
manuels que le praticien ne peut se dispenser
de consulter à ebaqne instant. Sans les tra-
vaux de ces savaos , quelle mémoire d'homme
assezvaste eûtretenu la profonde pathogénésie
'de tant d'ageos puï^, de manière à y recueil*
]ir,d'un jet'dé pensée, des groupés compa-
rables à tels ou tels autres groupes qui ont
reçu des n oms en QOsographie ? ^
Kïickert- a -sur-tout rendu des services, sous
ce rapport, par sou abrégé complet des-niédi-
caméns éprouvés, dodtil a clasaélessjrmptômes
' (1) Le doctear Joarcbn, moibre de l'Acad^ia.rojtle de
nédeoitic, va publitr la tradàcUon ea fran^i de la mafiète m^~
'dicaiepure de S. HabnemaDii,
(3) Le téptiuAre de BâaniiigluDtea , traduit en' notre' langue
par le docteur' Bb)>ou de L^oii, ni tardera pai i paraître.
nigitir^db, Google
( ^7 )
par ordre d'appareils, ea élaguant ceux qnt,
nesereprodoitant pas dans chaque expérience,
pouvaient paraître douteux. Bdnninghausen a
fait paraître un inanael commode pour les mé-
dicameus dits arâipsoriques (i) et se prépare
à en doDner un autre pourries apsorujues; mais
il -ne s'-est pas appliqué plus que ses confrères
à dislioguer, dans l'énumération des sjmplô-
mes, ceux qui sont primitifs de ceux qui sont
secondaires; distinction, selon Oou», iiopor-
tante. Tout modificateur excite dans l'écono-
mie deux ordres d'effets : _io effets, directs ,
30 effets de réttcbon,j deux ordres de sjmplô-
mes qui ne sont pas assez distingués dans les
rçpértoires de matière médicale ;■ nouvelle dif -
ficuUé qui compliquera difficulté du traite-
menti .'■.-.
, Par exemple la noix vomiqùe» qui produit
d'abord de la constipation , provoque secon-
dairement de la diaprliée;, elle n'est donc ho-
mœopathiqué qu'au premier de cessymptâmes.
La minutieuse ponctualité des Allemands en
toute chose adétoùrné leur pensée de l'eapèce
d'épuration que Tious réclataierions^ peut-être
aussi n'a-t-il pas été bien facile ^ parmi les phé'
r,^ hK mot ptora , en grec, li^Ee humeur.
r:,9,t,.?(i;>, Google
nomèoes physiologiques mis es jeu par. l'es->
sai des remèctes purs, de distàag4ier ctairement
VuD del^àutre les deux ordres de sjmaptômes.
On ne Ut pas suis -étoaoement dans le livre
de Bôoninghausén., à l'articte de certains mé-
dicamens , ces mots : Tianeurs chroniques ,
grandes indurées, etc. , ce qui ne signifie point
que cesisnbsiances aient eii le pouvoir de' faire
naître de tsls.jHvduits anormaux , dont cet au-
teur fait figurerles noms parmi ceux des appa-
ritions pathogéniftiques, mais qne ces mêmes
médicameùs ont, avec- une certaine' constance,
entre lesmains des bomoeopatbistes, rendu
des services pour résoudre de semblables dé-
sordres.
Les 'annales à'.Stuilaùhet Trinks ,\es treize
volumes des arcbives homœopatbiques de
Stàpf, sont des recueils defeitsy ^ns lesquels
le réforme tbér?pentiqae n'eût pas'déplojé
une marche si rapide dans toute l'Allemagne.
jSouspoumons encore citer plus d'un livre
. important à traduire et capable dé réconcilier
rhomœopathie avec la, raison comme avec les
corps scientifiques {d).
Si dans l'état ajctuel deS'cboses, une applica-
tion large et^ étendue dés resources que nous
signalons , est presque inaccessible aux méde-
niginV^db, Google
(=9) ■
cins non familiarisés avec la langue allemande;
s'ils ne peuvent manier, prudemment une
arme inconnue , rien lie s'oppose du moin.s à ce
qu'ils jugent certains faits pour éclairer Jeur
conscience et asseoir leur conviction. Il est
aisé d'en constater quelqnes-qns eit les répé-
tant : se refuser à des épreuves ,' en ce cas , se- ■
rait faire acte de lèse-bumanité, tout cooime
crier à Vahswde (i) du haut de sa jbiresse,
sans s'être donné la peine de se livrer à aueooc
exploration , serait faire preuve de légèreté et
d'ignorance.
Chacun , avous<-DOUS dit , est à même de ré-
péter l'épreuve de certains faits; ainsi, par
exemple , le plus vitrent paroxysme fébrile
cède ordinairement à une, deux ou trois très
petites doses d'aconit répétées de six en six
heures : l'occasion se présentera journellemeot
de s'en assurer. Pour plus grande conviction ,
que le médecin prépare lui-même son médi-
cament ; il lui suffira de se procurer quatre on-
(i) Qu'il eit comanxlB etUen imaginé ccnot absurde ! Il ts
proaonM vite , il oit «>i)ot« ,. il diipeoied'autr» jflwDi m de
cooitneiitairci. Le mot abinrde tranche al ferme la diKuuioa..
Avec le mol nbiorde réféxé ud nombre tofltiaDt de foU, an folii-
calMre compoie tout qd article de lOD joaroil'. ',
n,<j„,.™r,,GoogIe
C5o)
ces d'alcool de 57° à 40" et une goutte du suc
frais deVaconmt napeï exprimée du sommet
de la tige à l'époque où la plante. va fleurir.
L'alcool 'étant réparti dans trente flacons
égaux dont chacttn recevra seulement quatre'
vingt -dix 'neuf -gouttes de ce liquide-, on
ajoute une goutte d» suc de l'aconit aux- qua*
trcvingt-dix-nenf gontles d'alcool d» i" fla-
con auquel on imprime quelques secousses
pour opérer un biélange complet'. La goutt»
de ce flacon (étiqueté i" dilution) repré-
sente i/ioo de la goutte i". En Laissant tomber
une goutte de celle dilution dans le second
flaeoD , et en agitant celoi-ci comme le i" , on
obtient desgootteEdela!l*'"(/f/u4ion.au i/iooo.
Ono{Merede même jusqu'au 3o~* flacon; or si
r-OQ pouvait admettrennii'cliTistoQ'-inkériolle-
iaetit -tôtacte^ ce qjjï r^ parait imposûhie,
(ne lùt-ce qu'à cause de l'altraclion do verre),
lé 5^*flaeon contiendrait des gouttes millioniè-
mes , le '6'" des goattee bUUonièiDes, 'ie g*** des
trillioniémeseLainsi de suite, le ^" des bctit-
liaDièmes» lei^o™ ^^fr déciilionièraes-; mais la
raison ripchisse ces dénOmÎBations vicieo»» et
rïdiciûlès. Noua ne savons point ce qui se jftasse
dans ce ijiode de.préparatiQnoiile frottement.
D,g,t,.?(ii„ Google
( 5i )
l'agilation doivent développer l'électricité et
poar ainsi dire charger celle-ci de propriétés
médicioales.Les mots dilotioDS ou atténuations
90Dt les seols qui exprimenl avec justesse ce
procédé préparatoire : nous disons donc i",
2"' , S*"' dilution, etc. L'aconit ne s'adminbtre
guère qu'à la ai"' ou Bo"^ dilution, et niême
la goutte entière de cette 3o°" dilatiou ne peut
,5'èmployer que dans des cas particuliers; le
plus souvent elle iait précéder la sédation
qu'on veut obtenir par une «cacerbation d'une
violence quelquefois formidable. C'est pour
obvier à cet iaconvénieat et arriver à la dose
convenablement minime pour agir sans nuire
qu'on a imaginé de ne donner qu'une fraction
de la goutte de la si"" on 3o°" dilution. Acet
effet on la brise en la laissant tomber sur une
centaine de globules de sucrb de lait bien pu-
rifié qui s'en humectent , et dont un à quatre ,
suivant le cas , sont une dose sufiîsante. Cette
manière d'imprégner des globules pour doser
le médicament à son gré, n'est point particu-
lière à l'aconit ; elle sert pour foules les autres
substances.
Avant qu'on eût. adopté cette raanièiie de
conserver les médlcamens eo globales , ceux
n,9,N.?(ib, Google
qu'on faisait vo^'ager en teinture acquéraient
par l'agitation un surcroît de forces qui fai-^
sait , qu'arrivés au terme dû voyage , leuracti-
viLé inégalement accrue ne se trouvait plus
en rapport avec le degré d'atlénualion auquel
ils avaient été portés. Cette expérience s'est
confirmée plusieurs fois dans les envois de mé-
dicamens que l'on faisait de Leipsig à Naplés.
A côté de l'action toujours si constante de
l'aconil se place, comme fait non moins sim-
ple à observer, celle de Vamtca, dont la 6"' di-
lution à la dose d'un à deux globules à la fois,
mais qu'on peut répéter comme l'aconit , fait
cesser miraculeusement les accidens qui ac-
compagnent ou suivent les cbules, les contu-
sions, les plaies, etc. Quand la chirurgie con-^
naîtra les ressources qu'elle peut puiser dans
rhomœopatliie, l'arnica assurera le succès des
plus dangereuses opérations en prévenant
tout accident nerveux, toute réaction fébrile,
toute inflammation des plaies chirurgicales....
Après l'emploi de l'ariaicaj les contusions ne se
couvrent pas de ces ecchjmoses violettes /bru-
nes, jaunes, qui se montrent d'ordinaire, et la
douleur disparaît comme par enchantement.
Il en est de même pour les solutions de conli-
■D,g,t,'.f(ii„ Google
(35
nuité des parties mpUes qui ne cicatrisent rafiî*
dément presque. sans suppujFatioo.-J^'ai opéré
naguère l'ablaliondedeux.kjtstesdela'gDOSseui* .
d'up.œurde poute,. situés à la. nuque.,, chez
un boiDnK).de.trenteans;aprèsavQir> réuni , à
l'aide de bandelettes de taffetas d'Angletetre,
je donnai au malade deux doses* d'amiCa; il
D'épFOuVa ni réactioa fébrile, o^. sensilH.Kté
sous l'appareil que j^'enlevai le. leDdemain.; les
boïds paraissaient déjà réunis et de- couleur
naturelle , le tnalade-oe garda pas la chambre
et n^obserya point de, diète. .
If'ar.nica repd.de grands services dans le
traitement d^ entorses , des douleurs rhuma-*
tismales, quand elles sont conLusives, des va-
rices, etc. Il est remarquable- qu'«n Saxe ce
sont les chirurgiens qui fournissent les plus
chauds partisans à l'homaopïtlhie. . .
En thérape4tique ordinaire nous avons toi»
lu dés. observations de .raétrorrhagies atooi-
quesarrétées^parde petites da$^ de.sah^n , de-
Sabine ou de seigle ergoté ; d^ diarrhées gué-
ries par la rhubarbe, l'ipécacuanha, la.man-.
ne; des palpitations de cœur par la .digitale
qui souvent commençait par les exagérer ; de
cystites apaisées par une faible fraction de cao*
nigitir^db, Google
tharides ; de Toniistemens arrôtés par i'éméti-
qneoamdmeparuQSÎBïpIeemplàtrestibié, etc.
OofaisaitdoDcdéjà textuellement de rfaomoao-
pajhiej mais l'on se serrait de dixièmes, de
viDgtiédaes, de cinqaaDli^œs de grain: d'eX'-
traits pharmaceatiques 1 saos poacrire les ti-
sanes et les ώlaDges.
Qu'au Heu de ce 'prooéde , oo adopte stric-
tement celui qu'indique Hahaemann ^ si t'oo
tient à se convaioicre de la aupériomté des doses
înânitéshnafes <^i ont. de plus en leur faveur
une inDOOilité non con^stëe lors même qu'elles
déreloppent chez certains sojets de surprenans
phénomènes nerveux. Mais avant toute chose,
si l'on veut atteindre le but proposé, qu'on n'ftd*
ministre pas an remède homéopathique dans
le sens des principes allopathiques, comme je
l'ai vu pratiquer à~ certains expériniealatears .
qui tentaient, par exempte, d'augmenter la sê-
eretien urinaire avec des particules de nilre, ôu'
de porterausommeilaVecdes atomes d'opium.
Il est bien entendu q^e le praticien désireux
d'explorer .les voies du vrai , devra s'appliquera
rétodedelamatièreraédicalepureavantoupen-
dant qu'il soumettra ses malades à la médication
des semblables ; car celui qui administrera une
nigitir^db, Google
( SS )
sùb^failo? à«iiïX it ' ignora Iiq «freft<pm«' iur
rh6niaiesun> aura imllefpesneièentîistiAgun
l'action snrson tnal^iîe. S'il obtient trrie amé-
liorati<Hii*R3CTt toujour^encljn, tuitlgwélni/.'àj
l'altriboer anx efforts salutaices^ <)e,U. seule
DSAttveiilfaUéil tienu^terMàmtdésowàra-f lui
soufflera son scepliotsme. La aumifeslatitOD da
mieux 3*est<^e accompagnée d'appantioni^
morbides iiwolitesj étrang^rei à l'élat «fltjécé-
dentdujnalTeUesluiparaîtrontuD ptodujtdu
hasavd» et il OQpovrrareCQnaaitce enfaUesde»
actiens particiiHii»» à sod agent médioat^r;
Survieet'il enfin une aggray^iioii bomœop^tbi
qaeîellesera pouHui une crisie nalurelles'il n'tt
fait précéder ^u guides s>pse«»afs^iniqiiw par
l'inspectiQi) des syraptômefr propres à la Lst^br
stanoe eiûf^yée pac lui. '
Parmi le^ «x|>én£Qce& ai$é«3.àreprodiùre»
nous sigria)erAnff«ncore à dos confrères ia spé-
cificité de la £e^iWon&^, Zo"" dilution, cobtreli
scarlatise, l'érjsipèle, l'amygdalite, aigiie;
ce}le:deia.piU9atille.,.i2'" , i8ï"Va4"*' diîuiîotif,
contrp la ro^çole^ la chlorose,, la sécrétion
lactée , etc. Mais nous ne sauj'ions trop les met-
tre en garde contre les préparalionsiaexaçtes
de médieamens (e). . . .
D,g,t,.?(ii„ Google
(56)
Ii'oocasiod se préseaie nalureHement ici de
reoTorer nos lecteurs à rintéressanle lettre'
iiuérée dauft la fiQ)liotbèqiie homcaepatbique
(s^'-année, a*" cahier); lettre adressée pat* no-
tre savant et modeste ami le doct^nr Dessaiz de
Lyon au docteur Dun£F, qui lui avait demandé
desinstructiontsar les mojens d'expérimenter
bomœopatbiqaement. Mous cédons au plaisir
de citer un passage de cette lettre :
A Je o'ai garde, mon cher confrère, de
vouloir rappeler à un praticien tel que vous,
la mardie que tous avez à suivre dans un
essai clinique } ntais tous me permettrez bien
de vous signaler quelques-uns desaccidens les
plus ordinaires, ob le choix du remède homœo-
pathique est le pin â facile, et qui, en'vous
oftranf l'occasion d'un premier succès , pour-
ront vous conduire àTadoption et par con-
séquent à l'étude approfondie de la nouvelle
doctrine.
ft'Les vomissemens , si communs chez les
femmes enceinles , céderont souvent i un glo-
bule d'ipécacuanha (je parle toujours ici des
divisions les plus élevées ) , seul' ou répété
deux ou trois jours de suite-
« La belladone réussira fréquemnient dans les
h, Google
( 37 )
amygdalites ordinaires , avec gooiteaient des
glaDdes cervic^es, raideorducou,, etc. ,
« L'état itiflammatoiFe tombera souvent dC'
vaol deux glol^ules d'açûDÎt; «pétés deux,
trois , quatire , cinq fois , toutes les.six , douze,
quinze hetires. La Bèv.ï-e ainsi calmée dans
uué pleurésie, uoe dose de bryooe, . quel-
quefois de sciUe > suffira, le plus souvent ^ pour
enlever -le point de côté.
«Un globule de cina peut arrêter les malai-
ses varié» des eofansvermioeux, suPrtout avec
vomiisemeos d'alimens non digérés ,' à beore
fixe, et sans perte d'appétit; on méoie avec
beaucoo^ de faim.
' « La douce-amère peut arrêter en un> deux
ou trois jours , toutes les suites d'un coup de
froide la camoniiUe , en quelques heures, les
stjttes d'un accès décolère: la camomille est
précieuse contre diverses diarrhées de laden-
titioD, sur- tout quand l'enfant estagité, inquiet.
« Le campbre , l'opium , fout souvent cesser
une constipation opiniâtre.
, H La tioix vooii^ue , la bryooe l'ignatia, la
belladone ,.la pulsatille , sentes, oa.tpurà tour
employées, fOnt souvent- des merveilles dans
les gastrites et les gastralgies.
D,g,t,.?(ii„ Google
ttGesia<Kcation8gêaérale8(i)énesu)ra£>a9SK-
Tousledire, sont vagoes et barbares; l'bo-
inœc^tbietie ks reconnaft point; mais vous
ne pouvez étudier l'bcHuœepathie uiu y erôire
et TOUS ne pouvez y croire qu'en trouvant un
peu au hasard quelques ^its faeuroox qui vous
parlent pour elle. J'ai dît vous indiquer plu-
sieurs circonstances où votre main, encore
inexpérimentée, risquera moins Murent de
frapper à fauxi
n Vous ne dout«e pas Déannioins que cela ne
vous arrive plus d'une foi» , et bie* des fois
peut-être ; mais à défaut d'uiv prompt et la-
cile succès, je sais bien que vous ne vous
presaerelÈ pas d'accuser un art dont les indi-
cations, les ' iastrumens et lés -exigences ne
vous sont point encore familiers ; car vous
savez trop que depuis flippocrate, fexperi'-
mentum difficile n'^ -çoitil encore changé de
nature en faveur de persortne; et que tons les
jours l'es plus babiles commencent par répéter
1res mal les expériences d'autrui. »*
•: Pai-mi les faits généraux autour desquels
viennent se grooper les faiti de détail il en
est deux qui appellent sur-tout TaUention des
médecins pfaitosopbes , et des observateurs ; le
nigitir^db, Google
(%)
premkrpreKentldfpuisHippocrate, lavoir: que
les maiadie^ peuvent êtm guéries ptfrdes màjens
produisofU çnaîi^^ d^ maL Le Môond, «n&iit
du géoie, àa t4topuçawQi>«t de la fistience,
c'est-àtdire : <fue des subltanoss. inertes en dosé
pondérable acquièrent sur l'organisàtioa des
animaux une aciien pufssants' et en efuaUfue
sorte, .çompambie à oelh dgts virus i .après
qu'elles ont été amenées par l» ' trituration ^ la'
diàaion etta^tàtiiM, à un étM presque imma-
tériel. ......: . .
^xamiDODjS U pcemièt^ dd o«s questions. ■
Dans l'on^iae deJa qiédecinc; buoud< pré-
cepte ne dut paraître plus clair et plus simple,
que celui d'attaque .les -maladies par des re-
mèdes à'eâels opposés aax accidens qù'bh you-
lail combattre r aâasîlesinfla'omations.pavdes
pafra(ch)ssaDS,'la faiblesse par des toniquési Mo.
Aucuoe . hypothèse ne promettait pltis et M
tint i^oins ; o'esl qu'on ne '^'apercevait- pas
qu'es ceutrariaEttlês^mptôtnes des mfiliardiesy
on ne s'opposait réelleaaent qu'à des phéno-
mènes- secondaires - de lar- réaction- -vitale .
qu'aux efforts de la nature pour se délÎTrer
du priecipe- morbide dont l'essenoe nous
échappe. On allait diréctemeiit contre soa
nigitir^db, Google
(4o)
but et par conséqaent on retardait plus sou-
veot la guérisoD' qu'on ne l'accélérait. Malgré
tant de mécomptes l'aiiôme fondamental
n'était point mis en doute /et cependantque
de Faits k Faisonoenient aurait d& lut
opposer ? ■ ■
L'affaiss^nent brusque des forces après qu'el-
les ont été DD moment exaltées par les stimu-
lans; l'habitude 'des saignées accroissatit ÏA-
disposition à ta piétbore-sanguine ; l'usage des
laxatifsaugmentant la oonstipation; l« sommeil-
plus profond après l'insomnie passagère que
provoquelecafé, etc.; d'iirte-aatre part Témeli-
que arrêtant des voniisserfiens, des diarrhées
supprimées par les purgatifs , la léthargie gué--
rie par l'opium , etc ; ces faits et bien d'autres
passèrëntpour des exceptionsà lar^tegénérale
et on dédaigna de les expliquer. Oo n'expli-
quait pas mieux l'action intime des eaux mioé^
raies , celle du mercure, du quinquina (y) et
autres que nous savons agir homosopathique-"
ment depuis que HaboemaDa est voiau nous ré-
véler ua des secrets de la nature, et nous ap-'
prendre un moyen très ample de découvrir les
spécifiques qu'elle nous' offre «n abondance et
quisoDl;. loin encore d'être tous connus.
D,g,t,.?(ii„ Google
(4. )
Halleravait, dès te t6"'siècle,.iniliqué comme-
onique moyen d'apprécier la valeur et l'âclion
-réelle des médicameas, leur essai sur des corps
- sains , aSVaucliis de toute influencç étrangère ,
car donnés à des utalades'et mélangés, lejir
effet pop restait toujours problématique.
La route jusqu'à lui grossièrement iudiquée
fut enfin frayée en 1790, quand Halmeniann ,
illiislre déjà à cette époque par l'importance
de se» travaux en chimie, en matière médi-
cale , etc. , commença sur lui-même les expé-
riences proposées par le grand Haller : le
quinquina fut l'objet de ses premiers essais.
Quelle ne fut point sa snrprise en ressentant des
symptômes semblables à ceux de la £êvrê in-
termittente eonlre laquelle cette écorce est un
remède spécial (i)? ce fut pour lui la pomme
(■) C'«itcomme ■nti-pàtediqaei, l'ëcrlErs-t-on, qu'sgiiieiu
leiicUde giiiniiie> le^iiu, etc., «t uod camme «pdcifîi[uEs, dastla
Eèrre iatctinUtcDle; ciqni'le pronTec'eitqu'ilifont dùp-treltre
des doulêuTi périodiques .du Derral^ei, . . . D'accord ; aoui
VhomœopatUe a-t-clle reconon id qdinqniiia, dam son uugetar
l'homme uîu, la bcaltë de provoquer dei phdaomêuet pe'iîodiquei
aulres qae la fièvre. CelLe miiaitre d'étudier ■ cuniluit glai loia;
cl l'on lait aujourd'liui daa> la jcaoe école, qoe le quinquina n'ett
pas lé leol ageaL euralif de> fieTres inleriniueales, comme il n'en
pas;iOD pluile wul m'ëdicamani qa'oa paiue o)ipo»ir à la pério-
n,g,N.?(ib, Google
(4M
_ tomb^ de l'arbre sous les jreuxde Newton, et
ce fait lui promettait la (defd'uae série indé-
6nie d'açcidens jusque là. .inexpliqués dans
l'histoire de la médecine pralicpie. Les épreu-
ves Turent multipliées et s'accordèrent toutes
avec la première ; chacone des nombreuses ob-
servalioDS que i^es élèves et lui firent d'abord
sur eux-mêmeSt puis sur d'autres personnes
bien portantes, coocoururentà démontrer in-
variablement que tout remède seconnu spécifi-
que ne l'est que par sa faculté de produire dans
des corps sainsdessjmptômesanajoguesà cenx
de la n\aladie qu'il a la vertu d'exciter; et vice
versa, f^ue toote.substaoce médicinale produi-
sant uB groupe d'accidens pathologiques res-
semblante une. maladie, guérit cette dernière.
Jusqu'à Uahnemannlesmédicamens étaient
administrés d'après l'empirisme ou, si Ton
didtj dei iii<troiei. La pnltnUtle , la fève Saint-Ignace , l'araDca
diadema, etc., tciirodaiieat p<!rî6diqaemeni-dei apparition* mor-
bîd», t«l I« matill, td antre le aair, celut-cilejour, celoi-là la
tinit, l'na arec lrluoii,rBDtrE avec toif, etc. et «ont tppeMs égale-
iseni à combattre honiCEOpHtliic|DeDieai des scàdeni p^riodi^gue'.
En d'aoïret termei la périodicité eu une pcrvenion dei mou-
vemeni nerveux , que prodaiteat temblahlemenl de> caaie* ma-
ladivea et certilm agenj mëdicatenri «ÇproiiTdi
.y Google
(45)
veut, rezpërieiice, mais noD poiol eD vertu
d'une loi positive, et leur résultat toujours dou-
teux se coofoudait avec le trouble organiçiue
on se, perdait darfUes mélanges pharmaceuti-
ques. Aussi l'art ne conoaissait-il point de res-
sources sur lesquelles il pût compter infaillible-
ment. La loi de ht spécifîÂté étant Irouvéej de
nombreux adeptes enrichirent bientôt la ma-
tière médicale- pare, en étudiant successive-
ment les accideosque produisaient sur eux les
substances, soit végétales, soit minérales, soit
animâtes, prises' pures et sans mélange. Grâce
à cette méthode rationnelle et hippocratiqae ,
d'éludier les âgens thérapeutïqoes, on possède
aujourd'hui plas'de deux cent cinquante-huit
substances dont on connaît au juste la portée,
la durée d'action et les antidotes'proppes à mo-
dérer an besoin leur trop d'énergie :
Les itiédicapiens éprouvés son!, jusqu'à ce
jour, les suivans i '
~ RluHltlKum.
— nflrîevm.
— 'phorphoriMtmM
Jccnittan;
MgajKdttm fodagra.
jSlhat» «yno^iiuffl.
A^ta Bdilwt.
Mtium, fottvun
Ahi._
nigitir^db, Google
(M)
tS.. Jranta diadema.
3o. À^enltmt fttifttun.
il. ÀreiUa pura. a
S3. Amtolocftia ehmal.
Ï4. Àrmoraeia.
35. .4mi«a monfaiMi
St. i<r(<mHΫ ot»y«tA.
38. — màlfurit.
Sg, .4»a falid».
45. BitLamum eopaivt
46. Bontonna.
4?. Baryla oeelie».
ÀB. — corinuca.
, BMidana.
Si. — prtw..
53. BoMMt lalama,
54. — turvln.
55. fiOrui vantM. ,
56. Bovitta.
St. flroBUim.
58. firuMs antù<^,
5g. frvonio oMs.
So. CilIlKtium KjKÙlW».
<l. Cdcarta aeatUa.
69. ' — eartoxica.
64. CatauUtla.
65. Campfcoru.
66. Conur /IwiaJi'Ui.
Ct. Cannuftii lofivs.
63. Cmtharidei.
69. Cupnmu» aRRwiun.
70. Cfr4a atùmaiU.
Ji. — iMg«(a(i{û.
;i. Carthtut étnedieilÊ*.
73. CoKarUla.
74. CwroPftiin.
0. CUn. tvlpb.
81. Clor.
81. (7ict(la vircta,
83. ^TitM.
84- Cinnaton*.
86. CUmatU trtèta. .
87. CoteinelUt.
18, CoMului.
8g< Coffia.
gi. CofaiyiMii.
gi. CoCuRita. . .
gS. C'anîam miicutaMm.
94. Copaiva.
gS. CoraUia ru6ra.
g6. Corit». lamt.
gj. Cnioiw m«laMor.
gg. Cupriim «CMicum.
Cvfrum mitalUcitm.
CyUamtn «uropcum.
.o3. // ttleaatara.
fu^ihOffMa effieii.
Evphratia.
log. £«mymiii.
1. Ftrr*m coréonie.
«. — metaMiram.
3. —
4- FiU-x mal.
5. Formita rufa.
6. GoUoi.
.7, GropAilM.
18. ffrolMio.
nigitir^db, Google
(45)
. BtUotrap. -Per.
. HelMorui nigtr.
. Btp»r mipItaT. Cvk.
. Byeuiamui tt^tr.
iiS. Indigo.
\ag. lodiMm.-
ilq. Ipteaouaniia. ,
i3i< Jannu filotui.
iS*. Kadmut tuiph.
lU. Eati oortoKKiun. -
l34* — hydrubomiaum.
" ^7- ht/drajodi^ietimt..
— ■eotifvm. .
136.
i38.
tiS. magna
i46. ■ —
fTomif. Tvkr,
— fwMi'm. BMM, lOi-
197.. MMKi»uln^
!$«.' MU/tfoUam
iÇo. VcrpMum
,' if«lnHn eari
i6>. JKooBimn Mrtmlwtt>.
ÛEnan(Aa ctm.
0<Mwt aaimaU
Pœonia offioiiuUif.
PhtIlaHJri'mt.
PhoipHarut. .
PdMÙM.
Phunium octtieaitt.
PuUaliUa.
Rana bufb.
Ratnmtyutu* btMotiu.
Raphania arvttu.
Ratanhia. .
BhodtMlutdratn,
Rvta gTmvtoleni,
S'aiadUlm.
SaUofiKMilii.
SciUa.
StetiU «imKdwn.
Sedum aer».
j:,9,t,7?(ib,Goi:)^Ie
(46)
. SlrantimM
iH. Svlvkur.
lîS. Sithibur. mO^.
1I7. TkMMm.
145. TrifaliuM }Sèrfo«M.
s46. I/Inti «0H1K1.
347. res urti.
>48, rotariana.
a4g. farioi. kmtf.
ïSo. f «rofrum ait.
iSi, FWtwcHm.
>5a. Fitutt.
■S4. f isfa mforoM.
iSS. rifb irtealar.
1Î6.' rîtrum B
iJT. ZJROum
On concuît que pour avoir uo tableau fidèle
des effets patbogéuétiq'ues de ces subslaqces,
desdésopjres qu'elles en iraîrient et conséquepi-
nieni âe leurs propriétés curalîves, il a fallq
répéter uo griand nombre de ftns les mêm^
épreuves avec "une persévérance qne pouvait
seule alimenter la" profonde coTiTictiorï d'un
but utile. Hahnemann , pour sa part , y a coii-
sacréquaraiiteànné^desa vie et, s'il est une
chose capable d'appder la con6ance et l'initéi-
rét du monde savant sur une étude si féoDÔiIe
eii résultats iiuportans, c'iest la patience .lie
c^lme avec iesqoels cet auieut jppuirsuïvit paâ
à pas les traces 4^ -vrai dans uhe ârcôiistanfé
nigitir^db, Google
(47)
OÙ U prëcipksrioD , t'enthousUsine mémo eus^
sent tronvé dès extuises.
Dès qu'il se vit en possewion d'tFiDM épron-
Tèe&; à'ageas stvs et^péciauiE patif^QA itqiQ^e
coDsidéntUe 4'èUt5 mUadife , H^nemânii
commença à les ap|diquer et ta gaénson des
malades. Maîs>-^elqae petites que fuiiseot les
fractioos de graias «[till-iuit d'abord en usage ,
ces do9M se trouTërent encore asses énergiques
pour exalter formidablement les iympiil»ne$
et mettre tes malades ea danger. Iloomprit aus-
sitôt que, d'après ce mode d'agir directement
.socle tissu souffAnt, il ne fallait y loucher la £4
bre irritée- qu'avec une eicessive délicatesse :
il procéda donc à de nouTeltes divisions , frac-
taonna gradueliement les doses jusqu'à ce que
leur effet salutaire fût précédé du moindre
trouble organique pos»ble, jusqu'à ce que le
mieux 4tre chez le malade se fît apercevoir
presque aanf secousse et c'est ainsi qu'il fut
conduit par l'expérienCe, le tâtonnement et la
prudeaceàcesatténuations excessivement sub-
tiles auxquelles il nous' paraissait impossible
de soupçonner encoi« la moindre action sur
l'honune.
Ne rions plusj Messieurs, car inflexible est la
D,g,t,.?(ii„ Google
(48)
pui&saitce.ctea faits. RàcoonaissoDft ^n'habitués
à 3gir avec des masses médicaiaenteuses, noqs
ayons toujixxtà ignoré ^quelle partie du celle
wiiissçderenaU activé etcomoifint elle te dever
nai^ji.çoAressQrts notre- ignoranca^ o^servout
rntetv Ji 1 avenir et répétons avec Pascal i ir La
detojèM.détnarc.beilelaraisoD.VeStde'cecoDi-
naître. q^'il «st. iloé infiniié de ebdsies qui Ja
surpassent, ^leest hien faible si eUe ne va, pas
jusque-là.,» ,
Cest l'e^iguité de ce^ 'doses qui .a prêté, le
plil$ à l'incrédulité et aux sarcasme, et ce<-
pendant, si l'on prend la peÏD^^'y réfléchir ,-un
corps quelconque, doué. de propriétés :inédicir
nal.QS les posséderail-il si toutes les oioléculés
qui x-omposeilt ce corps rie participaient pas
à ces propriétés? La niasse de ce nséme corps,
doué d'une .propriété) est-«lle. autre cliose
que le véhicole de Cette propriété que -roa
met très souvent btiaocoupinieuxâ.déconTert
en écartant les molécules dont ! se ^ compose
la masse? Ne saypps-nous .pas que les i^of
les plus puissant. de .la nature sont iosaisissa-i-
blesà nos sens? eh! queide phénomènes dans
le domaine de l'histoire naturelle nousattesteiit
If force de la matière subtilisée! Lesmodifica-
D,g,t,.?(ii„ Google
(4SI»)
tiens les plus vives et les plus rapide^ de
nos sensations proviennent de Causes dont
l'essence matérielle est eticore moins saisis-
sable par nos sens on notre iinagînatîon
que ne l'est la. plus petite dose hoanœopa-
thique. Quels atomes engendrent ces inex-
ptkables aversions que certains objets nous
font'ressentir? Le musc répand son paî-riim
dans0n grand espace, sans rien perdre de
son poids: il en est de même de bien d'autres
5ubslain:es odoriférantes. L'ambre rournitplus
d'odeup à mesure qu'il est plus divisé. -Tels
réactifs diimiques n'agissent qu'à- un degré
co'n&idérable (le chaleur , tels autres étendus
d'une immense quantité de liquide.-. . ., Qui
pourrait calculer le degré de divisibilité de la
matière dans la pisle suivie par le chien de
chasse? daus les exbalaisonsTébriftres des ma-
r-écages ? dans l'énorme quantité d'eau que co-
lùreun seul grain d'acétate de cuivre, etcPQui
ne connaît les'expériences' de Spallanzani sur
la fécondation des œufs de grenouilles? La re-
production dés végétaux offrirait des exenaples
encpre plus surprenans de la puissance des
atomes. Tout cela ne s'explique guère, il est
vrai, non plus que l'action médicatrice dVm
D,g,t,.?(ii„ Google
(•s» )
a&ôme méclif^al , nonplesqueccUed'ungros
de quiuqaiaa ou d'une cuillerée de rhnbarbéi
Haisqo^nd Douaseroas fanûlîinîsés aTeoi'idée,
si djoquante deprime-i-abord, des <k)sea infinité*
simales , nous ne pourrons peut-être plus corn*
{Vendre (i) <{a*e^ àît si loag>tem[M prétendu
imprimer aux mouTemens vitaux une .tendance
curative , soit en appliquant alit surface riicé-
rales , toit eo ingérant dans la birculatign des
substanoesque' leÙF état nutérid expose i la
réaction qu'exerce tout tissu vivant contre les
corps extérieurs, réaetionàlaqiiellecesipénies
corpasemblent se soustraire, quand unéear-
lement coaûdérabie de leurs molécules a dé''
veh>ppé> subUipé, leur vertu satiTe., lat-
* teotesoasleurétatbrut, etleaarapprocbé, en
quelque sorte, des corps impondérés qae nous
voyon» exercer une si puissante action dans
rimivers. Ne serait''eepointen échappant ainsi
(i) Vii cnteddn dire » oa méèe<iatVop»tht : rbhtirir« de toatfs
t^jtodtloa u^eiitifi({ac le parlée ea trob tpoi(a«<;)ilBpreaiîbK
Incur d'qne virile BOBTolle on ï'icrie : C'e«i«b»nrde,c'eil impoi-
sibl«, dam UD tn il ne icia plm qnntioD d'ube pareille folie. La
décônTcrte lonrit-ell* 1 cei aDathèroei? Le» criliqae» regardent de
plotpriietdiient JoFïîvonïiienoniBppTeaMHei» aenonveaa.
depnii lopig'lempion savttilcela. (Ceit laMconde^poqae.) A la
ir(Jiïme : auqriment, soutiennent ce« mfanej geni , nous n avout
JamaUdit autre elioïc; c'«tccque noui avons toujours répété.
nigitir^db, Google
(S. )
à la réàctieo vilate, qoe certaines matière.^ ina-
perçues nous pénèliTnt , incubent dans l'éco-
nomie et ^ développent l'état anormal appelle
mtdadie'i Me seçait-ce pi»nt aussi par U divi-
sion, l'agitation, lé frottamënt que la nature
procèdeà fa enéation desYiras^etdes miasmes ,
sonrceï impondérables d'oà émanent les épi-
démies, la variole^ la scarlatine; etc. ?
Qu(H qu'il en soit, ranalogiedèsmédiçamens
homceopathiqoes et des miasmes , n'est pas d.
étrange qu'il f^Ue la rejeter sans réflexion. Il
faùlan^c-uns et aux autres, un temps d'incu-
bation pour arriver i trcMU^ l'erganifine ;
It»s uns et les autres font nahre des désordres
à durée déterminée ; et puisque des mias-
mes peuvent produire les maladies , pourquoi
d'autres miasmes ne pourraient-ils pas 1l*s
guérir?
Les RÙasmes médicinaux qu''ulilise l'Uo-
mœopathie différent de nos drc^ues ad~
minîstrées par gros et par onces, en ce que
-leurs effele, toujours .Gonslaus, sont connu&à
l'avance et calculés suivant le tésultat tfu'on
cherche, tandis que les dernières provoquent ,
il est vrai, des effets, quelquefois même fâ-
cheux, mais jamaisaveccertitude et uniformité.
Enfin, le but d'un trailement homœopa-
D,g,t,.?(ii„ Google
( 5î )
tbique ji'étaat pas, comme nous l'avons dit,
de combttUre des. symptômes eo^contrariaot
la oatu^v mais de réveiller cellcH^i et de la
guider , les remèdes homœop&lhiques, ou si
I'qo veut sympathiques au mal , doiveDt alo»
agir même en doses les plus petites possible.
D'après tout cela, le bon sens ne semble-t-il
pas militer en faveur de la simplicité et de
l'exiguïté des doses (i) ?
(i) On le cioii'i peat-Atte evcc peine. Vat dt* cante» <iDi sut
nù* le plu d'cnirsTe* BU prOgrè* de l'bomAipatlilCjc'esi l'actian
•onTCBl (rop rive de cet aiûirci TtgatàU comme ioeriei par de*
eipTi|^inp«rfic(eli. Acco«Iudi^ , en allopathie , k n'obLenir que
de peiii« T^uluit avec no* sr*'^'^ ^*" < "*"'■ Minnie* lon^
temp* dam notre d^bui hoiDœopHltiiqDe,pou»é>par an doateia-
Tolonlaire i ajontrr nu rien de plaa ■ ce qui ae mmsparatl'qa'ua
rien («pprâi^ndaDt ton ioari une nullité d'action. Celle-ci n«lroav*
^ne TaicmeBl de* coDililniiODi T^Jractairei , taudia que ti l'on
reocontre one laicepliblliid oerveiiie irètcleT^e, comme il arrive
cbei lesindii^daïquiontiouflertlongDemeDt, t'acijon me'dirairloe
K proDOoee arec ane vl^aor AfficlleiUeiit roërcible. La difBcoJtë
de calcitler ratténnaUon lor le degr^ de nervoiit^ dod* parait le
grand obilacle de la praliqoe,- Lei eiTeti du remède loai le
doux et paiiible ? le malade eit tenté d'en nier la vertu j >oo[-il>
aucoDlriiiTe trop ifnergiqaea? il l'înquiite et coniulle lei'alcB-
lourt (pli ne manquent gnère d'augmenler la terrenr que lui aug-
gèrel'étrangetéduftîtrCe sera tnen pli, *'il en réCre au médecin
allopalbe.
four ntn part , je le ronfeiie, qunnd je n'ai ptt coniiailcc
h/Google
(S3)
L'ensemble du trsiteiùent honueopotbiqd*
se réduit donc à un principe simple et à quel-
ques, vè^es pratiques tout buss^ peu ct^pli-
quées.
Il faut agir (Uds le idéiue sens que la na-
ture, ea l'imitant, eo favorisant ses efforts de
réactioD fitàte, DOfnmés symptômes, et qu'é'
veille toute cause tènda'Qte à désaccorder les
fonctions.
-CtuHsi eontrairemenl à Taziome de Galiea
èteo verUidelaloidess^mblableSj le remède
hoQiceopa trique est donoé daos sa. forme 'la
plus simple et saus mélange.
li doit être administré daos la plus petite
d'avance k quelle D«r*otti^ j'avais hfEùre, o^eit pTeirpia lonjoafi
par Dpe action m^dioiricelropTéli^manie que i'^ va l'âoigacr
la coaSanct du malade. Ce dsraîcr ne lanniit élre-trop prd-
venu qu il est eipoi: a nne aggravation paiiagère et facile à
calmer par lea latidolc* dn rcmide qn'il aura prl«. Je me tnli
cosTaincD , enUainie occsilon, qu'ancon majen allopalhique
n'eit capable d'orctler la majadie aniScielle qui i'tit déve-
loppée, mai) qqi cWeS nn antidote, <fti finit avec l'acllon de I»
subilance Ingërde. Qaelle erreor donc de recooili' , dam ton ef-
froi, DU médecin âllc^ihel 3urprUîi{-méiae de* accident* qu'il
appeiçoit, il a'jciiera ^avec bonne Toi peut-itre] : l'oa v»di ■
trompé , ce que voiu avez prîi ett mds doale ane drogue e'pOn-
iBulafïle , car l'homceopilhie ne peut produire ni bien ni mal.
D,g,t,.?<ii„ Google
(54)
dt»e poasiUe , pourm que^lle ^isse encore , et
«HOine nous I'atods exposé, c'est une «lécon-
verle, des plps importantes en f^ystcdogie que
cette actk>a des doses- atténuées au ' poiot où
l'eïpérieDee a conduit les bomoeopathistcEF^
lo La' dose doit être suffisante pour agir>
insuffisante pour auire . capable d'^ever sen-
le'mmit d'un degré iofinitéàtnal {'action vitale
dans le foyer du mal.
3° On ne donne jamaisà la -fois qu'un seul
médicamefit pur, dontl-effet sur rhomme saiiV
est l»en connu, et, pour que son action soit
également francihe et puré^ rîen dé m^icinal
ne doit faire partie fies alim^.
50 On- ne prescrit un second remède q^e
quabil'la durée d'action du premier est termi-^
née 00 que son action est nulle.
4* On a l'avantage de connaître d'avance
l'arme dont on fait usage et raQ4dote'qui ,au
besoin , modérerait ses efïèts
En un mot, Ic médecin homœopathtste se
rend toujours compte de .ce qu'il lait et .em-
ploie des substances -qui ne peuvent nuire di-
rectement. Lamédecine vulgaire pourrait-elle
se vanter du mêine avantage? Que de nianx
chroniques sont le produit de l'art aveugle de
D,g,t,.?(ii„ Google
. ( 55 )
la phaHmeie I En fVanee, il faut l'arouer, les
formalM cen^liquées sont aujourd'htil pres-
que généralement délaùs^j cepeadaM tm
procède encore'àqueli![t]esliiélaDges qui afté-
noeoty qaend itrlie TanDoIent pbs , la propriété
du. remède prioeipat; c'est aiou que nous
T0701U réunir ensemble le camphre etropîtiin
qui sohtantidotes l'un cle l'adiré. Gomment au
sein du eshoa résultant totit i-la-fbîs des miiE-
tions médicinales et du désordre {bnctiotinel
inhérent 4 Véiat morbide -se rendre raison
d'une action médicatrice? L'allopathe appelé
pour ua cas grave , dont il assume sur loi la
responsabilité, est d'autani plus inquiet qu'il
est moins s&t de ses agens de guêrison ; il sur-
veille jour et nnitdes accidéns qu'il n'est cer-
tain ni d'avcàr vaincu ni de vaincre bientôt ;
car à la sédation d'un moment que donnent les
sangsues auc^èdeot sourenl d'effîroyables pa-
roxysmes (ceqeené ToitJa*nais l'homœopa-
tbie) ; à chaque instant il déplore la funeste
incerlitudç d'un art qu'il n'exerce plus que
cbmme un métier nécessaire; il passe du dé-
couragement au'doute rt, quand l'âge et l'ex-
périence l'ont rendu expecCant , il finit par se
l'alrc un mérite de ne plus croire à la médecine.
D,g,t,.?(ll„ Google
Lorstfoe, détrompé des promesse^m^ l'école
par l'observation pratique , oo Ai est réduit à
ces phrases sooores et ambigiies , à ce beau
parler, à toutes ces ressources d'un charlata-
nisme poliment appelé savoir faire qui coosti-
tueot un médecin à succès et à TecclecUque em-
ploi d'une multitude de préparations aourel-
ies, empiriquement préconisées, n'es^-on pas
bienheureux de pouvoir rallier ses idées à une
loi positive, contemporaine de la création,
comme dit Bigel , loi plus d'une fob sôupcoQ-
. née„jamais trouvée et-qui, sans J'Hippocrate
du nord , serait encore enfouie ai; fond du puits
de la vérité. Il est doux pour celui qui aima son
art,de renaître à une croyance, de se voir encore
en possession d'être utile , de se dire : eniSn la
médecine est trouvée. Ce fut le sentiment qui
■ me doinina et m'enhardit, lorsquemes premiè-
res cures homœopathique%(faitescomme essai)
vinrent porterie tfouble dans mes facultés pen-
santes , me démontrer le néantde notre.scieuce
actuelle ^et m'indiquer une issue pour en
sortir. •
La découverte de Hahnemaan , due au ha-
7ard autant qu'à son génie, mûrie lentement^
si sobre de préceptes et si riche en conséquen-
D,g,t,.?(ii„ Google
(S, )
ces. fait ffure à .la thérapeutique médicale «n
pas ipiniense hors du cercle de déceptions dans
lequel elle n'a cessé jusqu'ici de toucoer. Grâce
à elle la réalité succède aux hjpollièses , la
certitude aifxUitooaerDeDS, le .oahos thérapeu-
tique se débrooiile, et tjout vient s'asseoir sur
UQprincipe'UDique,pur, naturel, qui brave les
réfutalicuis de l'école et. lui répond comme fît
Dic^ëne au «opbiste qui niait le mouvemeat' ;
en marchant. ■ .
Qu'dn n'aille fMffrta'oi pas conclure de ceci
que rhomcBQpatbiê atla prétention 'de g'uérir
toutes les maladies, derépoudreà tQuteslesin-
dicatitips^defiesubsliluérdanstÔBsleàGaspossi'
Mes anxautres méthodes. Née d'hier la science
nouvelle a autant à cbercfaer qu'eUe «a décoQ-
' vert ; .elle adresse à la tbérapeuthîqne l'hom-
mage des tâisoùtces. qu'elle a tronv.ées , sans
dissimulée tODtefofi qu'il est.des-cîrcotistances
ofa elles ionlim paissante^; qu'il lui reste é.ncQre
plusd'noe lâouneiè combler, plus d'un doute
à; éêlaircipi. . ' : ■. . ■ f . .
D'aprè$.l|(tveu.de.'plii&iencs.'médeoin3 dont
le ntiiU'falt aùioril^idanaila j.euoe école all^-
maride,l'|ionKeiDpatbie^si^iéneBTeà.lebra:yeiiut: .
et prérérableà L'altopalbietpoui! la plupart du
D,g,t,.?(ii„ Google
(S8)
temfs f De leur a pourtant pas suft constam-
Hient, at iUn'ont pu araenët* certaines affections
à leur gaértson complète sans appeler qael-
quebis & leur-aide l«5 mo^eàs oodùnaires. Cer*
tai osd'eolre eax s'ont renoncé OA ^ièrcmen t ni à
la aai^née , .ni à l'émétique , ni aux sinapismes.
Telle est en partie l'opinion dès chefs de cli-
nique de Leîpsig et dé qoel<]aw praUciens de
cette ville qui font , en quelque sorte , schisme
et setrouTenten désaccord dogmatique avec
les pors, les fîdële»de la doctrine.
Celle dissideooé, néaomoiDS, nulle quantao
f(H)d des principes , ne porte que sur des qàes-^
11006 d'une importance très secondaire. Ainsi ,
les docteop Triflkset Wolf-à Dresde se sont
pronCHicés pour Jt répétilion des doses d'un
niétfie remâde , nécèsâilé reco^noe aojourd'faui
paç HalineiDaDB toi-mâme. Lea docteurs Uart*
laubet RoQuoet ne saignent darts aucumoasel
répê^fit les mèmef doses en les renforçani ;
taudis que le. docteur Kretschmar' regânda la
saignéecomme sou vent utîleet se permet d'ad-
miiùslrer certains' ntfdipamelis homoeàpatlii-'
quea dans des'po^ioas liquides. Le docteur
Lieittenfelz , no des plu9,ooii6Qltés à PTien, ad-*
Dieties bains, les <^lic»tions'6]kléi^ieures^ elC/
D,g,t,.?(ii„ Google
(69.)
Quelques discuEsions aujoard^bui termioées,
ontqoelqae temps rempli les feuilles pério-
diques de la nouvelle école. Il s'agissait des li-
miies quç-pouyaieot eiubrassér les procédés
homoéopathiques.
S'obstiner à ne reconnaître rien de boa el
riendevraidans les anciens STSt^iineset croire
le nouveau^ parvenu à sgi perfection, disaient
quelques-uns > c'est attaquer tin des principes
fondamentaux de uotreartrégénéré, qui càlca^
lant son succès d'après là réaction de l'orga-
nisme doit par cela même reconnaître des cir-
constances où cette réaction.o'a pas liéq et où
il est rationnel d'invoquer dçs secours antipa-
Ihiquesooaliopalhiquès.llegarder comme non
homcHopalhiste le médecia qui, à défautd'bo-
mœopathie possible, rentre dansles voieft ordi-
naires, ne serait-ce pas refuôep ce titre à
Habnemann lui-même qui, dans iSQn Qrgànoii
(cb. 1 59) , indique pûur l'aepbyxie ■ efc les pm-
poisonnemens l'eniplpi dé stimulans èi de iBeui-
tralisans? Il est d'autres cas où, la vitalité des
ti^us abolie, un remède homœopathiqae ne
serait plus uliliséj et ce qui arrive pour j'en-
semble du système org^wque dlMislIucpb^xie
peut bien .arriver pour u4saal:«rf(af«.«M^(i^
m, ■,..<!!>, Google
(6o)
licnlier, quand par agite de congestion, de stase
sangâiiie dans les capillaires, decollection li-
quide ou de loute aulre cause, cet organe a
perdu ses connexions dynamiques^ que ses
relalionsnerveusessont interrompues, son tissu
privé ôé sensibilité on en proîç à une dégé-
nërescence avancée.
Ceux qui sostiènoeot l'opinion qu'on peut,
en médecine bomceopatbique , s'aider acces-
soirement de quelques ressources allopalbi-
qnes s^appuient sur les propres paroles de
Hahnemann dans divers endroits dé sa matière
médicale pure quand, par exepiple, ilindique
l'opium contre les accidensque fait naîli'ela bel-
ladone , te café contre l'indigestion ,' lè cam-
phré contre l'influenzâ , etc. ils traduisent ces
obsorraliotis du fondateur pair l'axiome suivant:
un moyen antipathique ou-allopathique estpré"
Jerable a un hbrmeopàlhique quand ilguéritplus
sârement etpiùs vite. Ils remarquent, en outre^
qoedansl'état chronique il arrivai Hahnémanti
d'opposer à la réaction ôi^aniquetrop faible oii
trop tardive l'application sur ta peau d'emplâ-
tres de pojx pure- ou aiguisée avec la poudre
d'euphorbe, de Ca»itbaridés', elCj tandis que
l^'état aigu il* se sert qùelquefbis couim^
n,9,N.?(ib, Google
(6i )
ftQxitiaires de L'étectricitéeldu magnétisme, ce
qu'ils traduisent fflcore ainsi : unmojen antipa-
thique ou allopathique doit être ajouMau remède
homœopathique , quand celui-ci rencontre une
ùvpfaible ou trop tardive réaction.^ammeï(àans
l'allgemeioe boni. Zeitung, 2» Band. i855)
s'exprime en ces termes : « je ne pais être de
l'avis de notre maître quand il dit que toute
espèce de déplétîon sangnine entraîne une dé-
bilité fâcheuse ~de l'éconbmie. Ce qui con-
court an rétablissement fortifie, et ce qui le
retarde aCFaiblit. Si toute évacuation sanguine
était si nuisible, la nature aurait bien maltraité
la belle moitié de l'espèce humaine. Mon obser-
Talion pratique me démontre l'bomœopa^iïe
guérissant mieux les inflammations en général
que ne le fait la méthode aJtopathique; mais
j'ai rencontré aussi des cas de maladieson la sai-
gnée m'a paru indispensable. J'en parle, bien
entendu, comme d'un palUatir impuissant par
lui-mêmeàcumpléterla gnérison : mais jecrois
qu'il est des circonstances où le remède ho-
mœopathique n'agit bien qu'après une saignée
préalable, et d'autres où, quelque iocouTénient
qu'il puisse y avoir à affaiblir le malade , la
faiblesse est encore préférable à la mort. »
5
D,g,t,.?(ii„ Google
(6î)
Kousnous abstenons de commentaires sur.
ces paroles du docteur Rummel. La grande et
belle découverte de S. HahnemanD «st tombée
dans le domaine de la science à qui désormais
elle appartient. C'est auxsïiTans philosophes,
judicieux^ impartiaux, à juger le grand homme
et ses écrits sous le triplé rapport des lu-
mières, de la'certilude-et de l'utilité pratique;
et probablement les contre-indications et mo-
difira:tions apportées' par le fondaleur dan»
l'application de. ses préceptes , ne seront pas
les dernières qu'aura suggérées une sage expé-
rience : le ternie de la perreclibilîté dans les
sciences est une utopie comme en politique.
La révulsion cutanée à l'aide du raifort sau-
vage ou de la poix de Bourgogae, de légères
déplélions sanguines , des calaplasmes émoi-
liens , des lotions d-'eati, font^ comme les bois-
sons inertes , des'mojenseji quelque sorte né-
gatifs, n'ayanteneux-mémesrien demédicin.al
et ne pouvant atténuer de beaucoup l'activité
d'un remède homœopathiqne; mais si l'oopeut
se passer complètement de ces accessoires,-
quelle utilité derecouriràce luxe peu agréa-
ble? D'autre part on vçut se persuader , tant
est grande la force de l'habitude^ qu'il est in-
nigitir^db, Google
(65)
jispensakle de saigner dans les violentes in-
flammations du cœur , du cerveau , des pou-
mons t etc. ; et pourtant nos pères ont ^uéri
sans la saignée, et pourtant Rasori éteignait
ces épouvantables turgescences du sang sans
le soustraire ^ et pourtant enfin un nombre
imposant d'expériences comparatives a prouvé
aux homœopathisces ( tels cpie Riickert) , qui
mettaient en nsage le double procédé: (fue
dans lecrottp, lapneumoru'e, la pleurésie, ■etc.,
une saignée préalable au médicament homœo-
paûùqite , sans avantage réel , avait au con-
traire le même inconvénient ^u'en allopathie ,
celui de laisser le malade pendant des mois et
des années en proie à un surcroit d'irritabilité
. qui favorise denouveaux troubles maladifs;- lan-
disque parrhomœopathie pure, ces mêmes mé-
decins obdiennent des résultats aussi prompts,
aussi rapides que peut les procurer momen-
tanément la saignée , mais plus francs et plus
durables.
Les maladies qui nous .ont paru céder avec
le plus de promptitude aux moyens homcço-
pathiques , sont : les pblegmasies aiguës , les
exanthèmes ; l'angine , les divers élats fé-
briles, la gastrite, la gastro-entérite, l'hé-
D,g,t,7?(iD,Goi:)^Ie
( «4 )
patite , la.^étrile, etc., la pneumonie-,
les catarrbw^ iùgtM ou chroniques , les
scrofules, -les ulcères, atoriiques , véné-
rieos , sC0rbutic|ues , variqueux , le» dar7
très humides , etc.; Thydrocèle, l'orchite, la
hernie récente ; l'induration de ré^Ndidinie ,
les verrues et )es cpodjl^es ; quelques tu-
meurs squirrheuses non ol.cérées ; la plupart
des névralgies , quelquefois la carie, etc. ; cer-
taines ophlhainûes, et quoique avec lecteur, la
goutte fit les rhumatismes, etc.
Parmi les affections., au cootraire , qui sem^
blent jusqu'ici les pins rebelles à Vlioo^œur
pathie, nous citerons l'amaurose . les dartres
sèches, la copper^se du visage , le cancer , I4
pbtbisie, l'ascile après la ponction , etc.
D,g,t,.?(ii„ Google
I
OBSERVATIONS GlUTIQUBS
v:
La science est la profH'iété intellectuelle de
rfaomme, et il dràt attacher d'autant pLos de
prix à celle qu'il possède, qu'elle lui a coûté
plus de peine à acquérir- Les préjugés des
sarans leur sont-par là même plus cbers , qu'à
la multilude les siens.
On aurait lieu de s'étonner qu'une décou-
verte qui vient bouleverser une Science , lui
donner une facenoovelle, ne rencontrât pas
dbnte, obstacle, opposition , baine, persécu-
tion. En fait de connaissances, conimeen poli-
tique et en religion , les croyances sont di-
verses, et chacun cberché à défendre la sienne
de- son mieux. IL est donc naturel que de
nombreuses critiques , que de, violentes ag-
gressions se soient élevées el s''élèvent encore
D,g,t,.?(ii„ Google
(66 )
contre l'hoinoeopathie ; pourquoi s'en plain-
dre puisque ta lutle des opinions peut tourner
au profit des lumières et de la vérité?
Nous tenterons de prévenir^ en les réfu-
tant d'arance , quelques objections, sans nous
arrêter toutefois aux plaisanteries insipides qui
se-répètent depuis vingt ans; par exemple :
on dit que d'après la loi des semblables , il
'audrait guérir un coup par unautrecoup. une
chute en faisant une autre chute, une inriiges'
lion par un repas (i),une frayeur par une nou-
velle frayeur , un ■ empoisonnement par le
même poison « etc. On pourrait demander aux
auteurs deces spirituelles facéties depuisquand
homœopaûtie vent dire homopathïe, en d^autres
termes, si les mois semblables el mêmes sont sy-
nonymes ) si cequi est analogue est idêntùfite ,
si mal qui ressemble est l'équivalent de
même mal. Le uLedicâmeot capable de pro-
duire le plus de symptômes ressemblant à
(i) Ce MDi pauciBQt, de> sens ^«vu-, Mpirant^ar État à
guérir leiiti lemblablct, que ndai voyOD* le ranger ainsi aa ui'
Tcau du Figaro qui noaiaapprii, daai hd de «M arlidei , comme
qpoi l'homceopBtbie fut decouTerte psr un iodigërë rtfqalci-
ttaoL contré la dièie, leqovLpairiin i ta %ainr, en dépit de ion
niedeciii, arec dw tranohu de gigol.
D,g,t,.?(ii„ Google
(6;)
ceoxcle la maladie qu'on veut guérir, n'a pas
la puissance du faire naître la maladie elle-
même, mais il y répond homœopathiqiiement,
c'est-â-dire que la similitude de symptômes
induit à présumer qu'il agira sur le foyer
morbide. -Conlradictoiremenl à cette observa-
tion , on a vu tels médiçamens, par exemple
le soufre, lemercure, i dose inliDitésinHale,
détruire lès peroicteux effets des doses colos-
sales de ce9 mêmes drogues; mais, dans ce
cas, la préparation employée était différente.
La chaleur fait avorter la brûlure^ le froid
guérit la congélatioa , mais il n'y a pas iden-
tité de température.
D'autres plaisans répètent encore q.u*un
grain de kioa on de jalap » jeté dans le lac de
Genève, transformerait ses eaux en un, ex-
cellent remède homa}QpatIii.que : ils pourraient
bien avoir raison , pourvu qu'ils se procuras-
sent une fiole assez grande pour contenir le lac
.1. t un bras assez vigoureux pour secbuer con_
venablemenl une pareille fiole. • ^
Réservons notre attention pour de plus sé-
rieuses attaques. ;
On reproche à l'Iiomœopatbie de ne s'ap-
puyer que sur l'exaioen des symptômes, sans
nigitir^db, Google
*t
»'
(68)
atUcïier aucune importance à L'étude ou  la
recherche des causes. Il est vrai qu'elle re-
garde l'apprécialion de ces deroiferes comme
peu fidèle, et les premiers comme la seule ex*
pression réelle de la souffrance organique ;
mais elle nenéglige point pour cela l'écarte-
ment de la cause quand elle peut parveoir à la
connaître, elle ta rechercbe même avec soin, et
c'est à sa connaissance qu'elle doit sourent le
bon choix du médicament, Ihlle causam , dit
toujours l'école allopathiqne , et elle a raison
pour ce qui est de la cause occasionelle quand
' elle est connue ; mais aprfes que cHle-ci a
cessé d'être présente, la maladie qui en a reçu
l'occasion de se développer, existe ensuite
parelle-mâme et n'a souvent plus aucun rap^
pOrt avec l'inBnence qui lui a été opportune.
Il faut bien alors, sanségardà la cause, se gui-
der uniquement d'après les symptômes.
Quantfi la cause que les pathologistes ont
nommée cau.ie prochaine , c'est-à-dire au chan-
gétnent occulte dans l'intcrieur de l'orga-
nisme , d'où résulte le trouble fonctionnel
ce sera probablement toujours un mystère
aussi inaccessible à l'intelligence humaine que
le sont tant d'autres actes de la nature , la pro«
n,<j„,.™^,GoogIe
(69)
dactioR des tissus anormaux claos le corps
humain , celle des tubercules putnioDai-
res, des kystes hydatidaires, et dès antre*
transformations organiques ; et si l'on jette un
regard dans le vaste domaine de l'histoire pa-
turelle, cette multitude de phénomènes si
surprenans, depuis la germination et la fécon-
dation végétales , jusqu'à la nlélamorphose
des chenilles , elc. Qui nous apprendra
pourquoi chez tel malade une assez longue
iexistence sera compatible avec la présence
d'énormes' tumeurs squirrheuses que. l'on voit
siéger y quelquefois sans de grands in.convé-
DÎens , près de viscères' essentiels à la vie,
tandis que dans d'autres cas le dérangenient
de là moindre fibrille excité d'épouvantables
douleurs , tandis que la mort a soijvent frappé
sans que l'on trouve après elle aucune trace
delésion? qui nous dira pourquoi la scîatiqiie ,
l'hystérie, diverses névroses , pourquoi des af-
léclions horribleoient douloureuses rie s'ex-
pliquent sur le cadavre par aucune altcraliori
(le tissu? La section des transformations orga-
niqnes nous apprend bien qu'il y avait incu-
rabilitéj impuissance de notre art, lïrais mal-
gré les nécroscopies j malgré les théorieSj te
D,g,t,.?(ii„ Google
(7")
tableau des symptômes sera toujours le meilleur
guide pratique, lors même qu'où n'aura plu»
pour ressource que des secours palliatifs. .
On a accusé l'homoeopalhie de n'<étre point
ratjooneUe ; mais alorji que faut-il entendre
par ce mol? s'il ne s'agissait que de théories à
émettre la difficulté serait légère; mais le
raisonnement (des siècles en font foi), fut en
médecine la source d'erreurs la plus féconde ;
et il en sera ainsi tant qu'on n'aura pas com-
blé rinlervalle qui sépare les sciences médi-
cales des sciences mathématiques. Considé-
rons où en est arrivé l'art de guérir, après
quatre mille ans de travaux successifs , con-
duit qu'il fat toujours par cette manie, plus
particulière aux Français , de placer la théorie
avant les faits? la partie descriptive de l'ana-
tomie, envisagée comme branche d'histoire
naturelle , la physiologie quand elle déduit ses
faits de la physique , de la mécanique ou de
l'analyse chimique , la chirurgie sous le rap-
port des applications mécaniques ou des opé--
rations réglées sur la position anatomique,
l'obstéttique elle-même, s'alfranchissant sous
plusieurs rapports , de doute et d'obscurité ,
nous offrent quelques points de précision et
I,, Google
(70
d'exactitude ; mais hors de là , . et sar-tou,t
quand il s'a^t de péaétrer l'essence des. maux
internes et de les combattre , ce n'est plus
qu'un labyrinthe immeuse dé faits contradic-
toires, d'opinions fluctoantes, d'hypothèses
inconciliables , de pratique!» léoéhreuses. ^
Ëixige-t-on pourtant que^ sans s'en tenir
à l'observation hippocratique, on tente d'ex-
pliquer les actions homœopathiqâes d'après
les lois aciuelleraeat connues de- la phjswlo-
gie ? Disserter serait chose aisée^ .
Plus un .organe est irrité , a dit l'école du
Val-de-Gràce , et plus il a de tendance à con-f
tracter un surcroît d'irritalioD : il s'agit d'é-
carter avant tout ce qui peut favoriser une
telle disposition irrilative.
L'tiomœopathie pourrait dire de son côté :.
en vertu delà loi, obi stimulus ibiflitxus , les
molécules introduites dans réconomie ont
toutes de la tendance. ^ers le foyer d'irrila-
lion ;' mais à plus forte raison celles qui sont
administrées d'après la connaissance acquise
de l.enr affinité spéciale pour le lissti où âVge
le malade lébr parenté bomœopathique, pour
ainsi dire , avec la maladie. Telle est : la
direction, que prend la cantharide vers les
nigitir^db, Google
(72 )
voies ariaaires;' l'aclion du colchique, de la
digitale sur le cœur ; celle du coccalus sur le»
reÎDs, eCc. Mais la seusibilité ^ant plus ou
moiqs exaltée dans les oï-ganes souâram, le
paisonoemeot justifie encore les divers degrés
d'atténuation auxqneb il faut porter les sob-
stances éprouvé. L'expérience seule a con-
dnità l'infinitésimal , comme nous l'avons déjà
dit ; elle nous a appris de plus que la prompti-
tude d'action du remède est en raison directe
'de l'intensité du désordre fooctionnel ; voilà
pourquoi les médecins bomceopathîstes pré-
lèrent, pour l'éclat de la cure et sa célérité,
avoir affaire aux maladies les plos violentes
et les plus aiguës. Plus est grande l'acuité^
plutôt le malade sera rétabli^ mais plus aussi
dans ce cas le remède doit être minime : on
comprend que ce-procédé est encore très ra-
tionnel. Poor agir allopalbiqbement au con-
traire on ne saurait frapper trop fort , contra-
rier] trop vivement^ puisqu'il s'agit alors de
déplacer un mal ou de l'annuler par un mal
diflirent.
De toutes les méthodes qui successivement
se décorèrent du titre.de rad'onne^es, celle
qu'a professée le docteur Broussais est la seule
nigitir^db, Google
(73)-
peul-élre, qui ait mérité ce nom ^ de laquelle
oo pût dipe : c'est le bon sens appliqué à l'art
de soulager soD seaciblable. Découvrir le poiat
de départ du trouble fonctioauel y rétablir le
câline par la sédation locale de l'organe irrité^
n'appliquer la révulsion que sur un p«int
éloigné du foyer d'irritation .et sur un organe
qui ne sympattiise pas avee le foyer , seconder
ce premier bienfait par la dièle ^ le repos , les
teoipérans.. . Ces préceptes sont sans contredit
ralionoels , et personne plus que ngûs, ancien
élève du professeur Broussais, n'eut d'admis
ration pour son génie , et pe proclama avec
pljus de conyictiop l'iromorlpl service qu'il ren-
dit en populaHsant la simplicité des moyens -
curalifs , en signalant, le scalpel à la main, le
dangerdes drogua. et le nombre et l^étendue
des maux enfanté^ p&r une aveugle poljphar-
macie... C'éiitit.u^ pas, sans s'en douter, vers
rhomœopatliie ; c'étiut détruire mais sans rè-
construcùon. $ufËsante , car la débiiitation
seujç n'a pas le pouvoir de réaccorder l'orga-r
nisme , et de légers agei)S de réaction vitale
aian^ijuaient encore à cette école.. Habnemaun
contempoiain du réformateur français j tra-
vaillait en silence à découvrir ces ageiis dou(
nigitir^db, Google
(7i)
nuira célèbre Broiissaisse plaît aujourd'hui â
reeounaitre la pDÎ&satice avec irne candeur
qu'on n'aurait pas aUendae de la part d'un
créateur de doctrine , mais qui ne peut
étoRD'er ceux qui, cumme nous, ont pu fu^er
et «pprécierde près la.lo^aulé et la rectitude
d'idées qui disttngueut cet homme hors de
ligne.
Les conséquences d'un traitement antiphlo-
gistique,-leplusdoHi de tous après l'homceo-
, pathie ,' te seul admissible quelquefois comme
auxiliaire des modificateurs en atomes, sont
néanmoins la faiblesse et la lenteur de la con-
valescence -pour rélal aigu, l'impossibilité
d'aiYéler une désorganisation dans l'état chro-
nique.
Les sectateurs de Habnemann prétendent
qu'avec leurmodecuratir, iP il n'est pas d'état
aigu, quelque violent qu'il soit, qui ne
doive céder et disparaître en peu d'heures,
sans convalescence à la suite; a° que parmi
les maladies chroniques, désespoir de l'art,
et réputées -incurables , telles qtie spasmes^
cataracte, goutté, caries, scrofules, etc.,
les quatre cinquièmt^ sont accessibles à une
guérison profonde et définitive ; S" qu'enfin
nigitir^db, Google
• ( 75 )
ils n'ont besoin d'aucuoe maladie surajoutée,
telle que sinapisnies, cautère», Tésicatoires ,
purgatifs, etc.
Il faut avouer que cette promesse est sédui-
sanie; mais s'est*eUe réalisée? Oui.... Par-
courez l'Allemagne, et vous n'en douterez pas
pins que nous n'en doutons aujourd'hui , nous
qui fûmes d'abord plus incrédules que vous
ne pouvez l'être encore.
L'action des dases inBnitésimales ne s'ex-
plique pas clairement , réplique-t-on. Mais
ayz-vous expliqué mieux celle des modifica-
teurs en usage? Savons-nous en vertu de
quoi l'un est sédatif, l'autre stimulant, ce-
lui-ci soporifique, celui-là diurétique, tel autre
emménagogi^, ceux-là si alagogues, purgatils,
expectorans , etc. , etc. P Ces actions sont
plus incompréhensibles pour nous que celle
d'un ' corps impondérable. Yous-mêaie expli-
quez tapt bien que mal les effets de l'éleo-
tricité, du calorique, les influences de l'at-
mosphère. Mais d'après quel raisonnement
admettez- vous remploidusoufre,dumercurei
du quinquina? Yous avez l'ait du pur empi-
risme. Pourquoi i'upiun) fait-il dormir ? <juia
est in efi virtut âoitmtwa. Avons-nous une ré-
nigitir^db, Google
(76) ■
ponse plus satisfaisante pour tes autres queS'
lions de ce geore,
La science esl-elle plus heureuse dans ses
explications théoriques sur la naissance, el le
dévdopfiement de nos maladies? Sans doute
il est très facile d'établir des genres, des clas-
ses, d'élever un édifice systématique sur use
seule idée à priori , idée large servant de
base commune et unique à une variété sans
nombre de phénomènes dissemblables. Ces sim-
plifications séduisantes pour l'intelligence de
l'étudiant rendent raison de la fortune que fif^t
les doctrines de Brown, de Rasori, etc.. Maiy
quelque positive, quelque évidente qu'aient
paru , comme base générale, l'asthéDie, 'dans
son temps , aujourd'hui l'imtat^u. anorniale
des tissus, l'imagination brillante- et souple
d'un tliéoriciêa parviendrait -elle y en échal-
faudaot les hypothèses , à coordonner autour
de la' basé, objet de ses contemplations
bien chères. Les parties multiples deson sujet
pour a^eoii^ inébranlablement son. édifice ?-
Vous bâtissez sur un accident visible, tel que la.
prostration, l'inflauimatiofi, et pourtant vitos
ne -«avez pas plus que nous.çe que c'est
qu'une inflammation . Nous la jugeons par ses.
n,<j„,.™r,,GoogIe
(?7)
quatre raraptéres, tumeur, chaleur, rougeur,
douleur, mais ta cause Oicculle de ces qaatre
phénomènes inflammatoires sera long''temps
pouf nous lin mystère impéuétrable comme
celai des actes vitaux euxrmémes. Quel-
qu'un a-t-il vu jamais répioe de Vàubel-
mont? Est-il d^ailleurs bien exact de nom-
mer excès de force vitale, exaùation des
propriétés de là vie, l'état du tissu, vivant o^ -
précisémeutl'activilé s'éteint? dontladésorga'*
nisation va s emparer ? Force et altération
dans un même poiui ne sont-ils pas un non
sens. ' , , ' .
« Nul esprit créé, a dit Hàtler, ne saurait
pénétrer dans l'intimité de la nature. » Les
jeaxsur ce précepte, les disciples de'H^oe-
mann ont Craint àe s'égarer dans lé dédale
des théories et des hypothèses. -Une marche
hippocratique leur a paru plus rationnelle et
plus propre à les guider fidèlettieiit dans la
voie de la Vérité.
Où l'a^rt de guérir a-t-il été conduit jusqu'ici
p&r certains théoriciens, pour lesquels il est
sans contre4it plus facUe de prodiguer le dé-
dain ou d^exercer leur petichani ^ la critique
que de voir, d'approrpodir , d'interroger la
6
m, ■,..<!!>, Google
( 78 )
nature , on de mécliter les œuvres. de l'école
nouvelle.
L'allopathie, qui attache tant d'Impor-
tance à de vains raisonnemens sur les~trou-
bles patliologiques des organes, néglige une
foule de cirt^oDâtanpes maladives qui éclairent
puissamment le praticien bomœopatbiste sur
le choix de ses agens raédicalenrs, et dont
les principales ' codcernenL les dîfférentey
lésions de la sensibilité ; ainsi par exemple ,
il arrive a«x plaignans de dire : quelque
chose tae cherche, me fiuUle dans les côtés;
j'éprouve comme un coup de marteau j j'ai
\a sensation d'une scie, d'un feu brûlant, une
douleur <\\i\[riie tord, qui me pïnce, me te-
TiaiUe, etc.. Mais que la souffrance aifecle
un caractère lancinant, sécant , brûlant , pin-
çant, térébranl , pongilif, déchirant, tiraillant,
fouVlant,priinant, cuisant, etc., etc., qu'im-
portent au médecin, allopatbiste ces expres-
sions de son malade? ces vjcialions de, la
sensibilité ont écbapjpé à l'attention des pâthp-
logistes : superflues et insigniSantes à ses
jeux , pour un traitement jiflopathiqne ,
elles ne le meltenl sur la voie d'ancune mo-
dification dans l'ensembié des moyens qu'il
r;,,v?<ii„GODgIe
(79) _.
d[estln« , psr avance à la maladie , quand il
est parvenu p la classer i^owlogiqiiement
dam sa léie.
L'hoipceopatbie au contraire tire un grand
parti de 'Ces diverses anomalies de la nervo-
sité... Chacune d'elles guide la pensée veiraun
choix sympathique... Bien plus^ le remède ne
sera pas le mémej suivant qiïe la doulenron
racùdeotcaractériatiq^ae du mal sera plus, vio-
lent le matin ouïe soir, le jour ou la nuit, à
l'air ôu^ans la chambre, le malade étant levé
ou couché, que le sujet sera fort ou faible ,
d'an moral enjoué ou triste , etc. ; nulle ' cir-
constance enfin n'est à déda^ner potir l'bo-
Les causes sont |)Ourlui une base essentielle
de traitement, Ainsi, l'étude et le lait ayatitèta-
bli que l'arnica fait dispârahre tes lésions dont
les chutes, les contusions, les commotions sotit
acconipagnées , son emploi est -indîspeniable
quand la cause est de cette nature.
Des observations rig<M)re'usesont prouvé, par
une raison semblable, FutiUlé. de l'acide sul-
furique aprej l'écrasement des membres ,
celle de l'aconit et de Topium pour les suites
de la peur, de la stapbysagria pour celles de
D,g,t,.?(ii„Googre
( 8o )
i ndignation ,' de l'acide phosptiorique pour
celles d^s loAgs cbagcins , de la malricairti ,
ile la coloquinte poqr les accidens consécttlifs
a la Colère, dé<la strychnine pour ceux' qui.ré-
sultent d'un travail iolellecluel prolongé ou dé
l'abua des bcH4sori&. Le$ excès d'an autre genre
et en géoéral toute faiblesse proreiiaDt de d^
perdilioti de fluides, admettent pour remède
le e|)ina ou l'acide pbosphorique ( i ). La liaine
et {'«nuiii concentré «ccasioneût uiie foule
de maux qu'an médecin ne peut soulager
s'il ne connatt' parfaiteihenl les eflela par-
ticuliers de la -fève Saini-Ign^ce qui donne
au sujet qui eu Tait usage l'apparence d'un
homme déroré de tristesse.; citons uq seul
exemple i
(Joe dame de'So ans, guérie,bâmœopathi»
quément d'une spléoitç chrouique,' rebellé
jusque là. à tous les genres de médication ,
éprouve taut-i^coup ud ressentime^it de son
ancien mal ; -ïa raie est tuméBée , sensible^
' j(i) La Dature tient encore en rëierve-plut d'un Mcret de ca
gei]re,(]ue l'exercice pourra doui d«Toiler. On (m le (lo,uii>ii
pBi que reucbéljiemeul dn ph^iique et da niorai, objet d'études
phytùologique» attachante! , entreTnt un j&ur dana le' dmtiaiiie
thérapeutique. ■ \ ■
r:,9,N..<!!>, Google
(8i)
chaque moUTemcot y répond itojaJodrrtt^e-
ment, parfois 1» sotiffrance s'élève. à l'extës...
D'après le caractère de la douletir aggravée
par le mouveiuenl , je crus devoir employer
•la bryone qui ne produisit aucun elfel. Le
leudemain je retrouvai la malade dansletuém^
élat; la'qDestioQriant alors sur les etfnseâ ppd'i
bables -de sou -indisposition, j'-appriâ.qu'elle-
avait-eiiun "sujél de contrariété ,- et qu'eïiè
avïlil'COncenlrésOD ennui j d'après PeUe Indi-
cation, tirée de Id çanee, je donnai VignoUa
et la maladie ^'évanouit dans la même {ou.pitée,
' aprts-uné aggravation légère et de peud'ir»)-
taris.' ; * '
Cbe colite sera diversement traitée siiivarït
qu'elle éclatera le jour ou la nùîl, iqu'^He
reconnaîtra pour cause le froid, une indiges-
tion^ etc. Réglé générale pour la plnpaft des
maladies aiguës. -" ■ • ' .
Le médecin lire encore une foule d'indica-
tions curatives'du tempérament, de l'âge,
du sexe, dés' habilodes de son malade , de i'é*
lai. atmosphérique, des maladies- régnantes,
. etc.Contestera-t-ori la rationalité de ces pré-
ceptes? ' ' (' ■ ' - ■ ^ ' . :
■Poup le'çboix dii'rtntède, l'allopathie est
m, ■,..<!!>, Google
(8,)
iopvent embairastfée et elle les multiplie
daDsl'espoir d'enreDcoDtrer an, dansle nom-
bne, qui aUeigoe le but. L'inoertitade préside
toajaurs à s^ efforts, oar.robjetdelaguérisoo,
sujet decoptroyerses entre les écoles, ae sau-
rait jamais être précisé, puisque les nécro-
scopies mêmes éclaircissent rarement ce qui
se passai.t dans le <:orps humain, avant ou
aprfes la mort., et pendant le conrs d«la ma-
ladie. Chaque médecin comprend les choses
à sa, manière 4 c'est cç qui fait que plus une
consullàtion de médecins allopafht^tea sera
nombrense,. plus on recueillera d'opipions
divergentes sur li. nature du mal «t stiV le
choix des n^oyens cui-àlifs. Il n'en est point
ainsi jde^ médecins bomœopalbisles, parce
que tes règles sur lesqjiels ils se fondent pour
agir sont invariables, -simples .pI "naturelles.
Aussi a-l-on dit que rbomOeopatfaie était la
seule niélhodequi eût eu le pouvoir de mettre
en tiarmouie des i^édecinsau litdu malade,
ce qui paraissait phénoménal < aux observa-
teurs.
Avec tout aussi peu de- raison on a rt;prpché '
à l'homoeopalhie d'âlre' une occasion dVmp'-
risme', puisque celle méthode sévère , claire ,
nigitir^db, Google
(83)
jHjsitive, eslau eonlraire le seul contrepoison
applicable à cette ibiiLe d'bjptïtbcsËsqeeroB
confond avec la scieDce -et ' qui ne sont pas.
toujours sans, danger. . Le cliarlataoisnie peut-
il plus taatemeot tirer parti de l'bomœopaibie
qo'tl ne l'a fait des mojens mlgaires? avec
elle nul remède "secret , et il est infiniment
plus difficile de se servir- bien ou mal, d'une
seule substance pure,: que .d'an mélange
indigeste de poisons pharmaceutiques. Quel
autre qu'un praticien consommé pourra dé-
couvrir l'origioe cachée d'on épouvantable
appareil-de symptômes , diagnostic H'oji dé-
pend le succès, de la cure? le basard seraij-il
deux fois coàiplaisant povr Tempirique? non,
l'habileté seule saura tiiAr avantage de nos
atomes, opm^me Hercule seul savait manier
sa massue.
0n a objecte, aux homœopathîstês qu'ils né
pouvaient déduire aucune conclusion de l'effet
d'une substance ^t^r l'organi^rae sain a celui
qu'ellt;. fera Sur ru.rga[iisme malade ; car l'un
et l'autre .^. dit-on , réagissent d'une nianière
différente.; - . \
Il j a bien quelque chose de réel dans cette
objection, quoiqu'en thèse générale ellene soit
nigitir^db, Google
(84)
pae fondée :. nous avons va , chez un petit
nombre de malades très îmtables , certaios
luédicatneas développer (le fait est rare)
des apparitions inaltendaes «l que' nous n'a-
voBS point retrouvées inscrites dans la ma-
tiëre médicale pure; ce qui nous a porté à
conclure que l'état maladif poavait, suivaat
les sujets,' apporter' quelquefois, naè mo-
dification très légère dans l'actioa raédica-
trioê... L'expérieuce et une scrupuleuse étude
clinique •. rouroironi peu à peu la mesura -
de ces anomalies , dont le mécanisme nons
sera peut-être un jouF expliqué... ainsi l'on a
déjà constaté que la beUadone et le mercwù
sont d'infidèles spé^ques contre une gfastrite-
tranche, quoique dfcs les essais sur l'homme
sain ces- deux substances offrent de beaux
Kjmptômes gastriques,
N'oubtions. pas qu'il y a des spécifiques
de s^niptôutes^ mais non des spécifiques de
matadies; qu'une gastrite, par'exêmple', peut
offrir ielte variété dans laquelle nn médica-
ment convienne mieux qu'un autre. Nous ne
nions point cependant qu'il ne faille janiais
tenir compte "des sect*ls révélés par les résul-
tats ihérapeuttques , seulenieni . nous l'a-
D,g,t,.?(ii„ Google
(85)
VOUS dit, ce sont des cas rares et ékceptiott-
iiels, qui nlnfirment en rieri la vérilé ïJe la loi
fondamentale.
En effet, qaoiqne les fooctions soient pins
i>u moios perverties chez l'homnie ihalade ,
il est démontré' positiveluent qae le trouble
foDClionhel ne change guère la faculté réa-
gissante des organes. L'émélîquë , les pur-
gatifs agissciAt sur te souffrant de la même ma-
nière que SUT l'homme sain..... Le piyalisrnfe^
suite .d'usage du mercure, Se inanifeste sur
l'un et sur l'autre de la même mamêre ; le
plomb , -dans les deux circonstances, produit
la constipation ; l'upium , les canttiarides, la
jusquiarnse, la belladone ,' ne se comportent
paisdiffëremment dans l'état de santé que dans
celui de maladie, etc., etc.
Mais , dit-on , ciraque individu naissant 0ec
une disposition- particulière à certains' maux ,-
les symptômes que peut éveiller l'essai d'une
sobsiance pourront variei- suivant les sujets !
d'aceOrd ; aussi doit-on éladîer les médica-
mens sur plusieurs personnes saines ;■ et faire
abstraction des individualités.
CértainsadversairesonlcherchéàilémoBlrer '
par te calcul, que la 'masse d'eau nécessaire
n,<j„,.™r,,GoogIe
(86)
pour exccater la -raréfoclion d'une goulleque
HahoeDiaoïîTioiame décîllioniëniej farinerait
un glolje a jiant pour diamètre pltif>ieurs biltioos
de milles géographiqiies, et surpassant par
con5é(i,uent en immeosité i'éleodue de oolre
fijsttme ptaDétaire.. Il n*j à rieo à répondre à
cette objectîoD , si ce n'est qu'il suffit à Hahne-
Diann , de quatre onces ou d'environ -3,ooo
gouttes d'alcûbol , pour former'Sa âo* raré-
faction , qu'il nomme des décitlloDièmes.
D'aotreis ont dit f^u'ils concevaient bien com-
ment on arrivait aux raréfactions, mais que
si de pareils atomes pouvaient avoir la moindre
influence sur l' homme , les grandes dc»es se-
raient mortelles, et que l'aîr d'une grande
ville., constamment chargé de miasnies , nous
rendrait incessamment (naïades. .
l|purréponclreàlapreniièreobjection,iiraut
se r-appeler que par la méthode des contraires ;
de fortes .dose^ sont indispensables pour cdntre-
balancer ou neutraliser ia rtolenoe des désor-
dres , mais que les mêmes grandes doses , choi-
sies d'apçès la similitude de leur action sur
l'homme avec tes accidens d'une maladie ,
pourraient élever celle ci jusqulà la rendre
, elfectivemeatmortelle.G'est précisément celte
r:,9,t,.?(ib,G00gIe I
(87)
raison , rendue évidente par les^ premières ap*
plications homœopatbiques de Hahneaiann .
qui l'avait condait et qui noua contraint à
notre - tour à porter l'agent cUraliE à lutter-
nuation juste et suffisante.
Pour ce qui regarde Jadeiixiènje assertion:
faisons réflexion que l'atmosphère des grandes
villes est peuplé d'une multitude d'émana-
tions bélérogènes, provenant decprps de toute
nature.^ formant des- combinaisons sans
nombre et se neulralisaol sans cesse les uneS
par les autres. A cet état de division etdemé-,
lange elles infectent l'air, le rendent un ali-
ment respiratoire mal sain et contrarient- en
partie les actions bomceopalbiques , que
nous voyons se déployer mieux au grand
air et aux champs qtie dans les lieux encom-
brés. Leur influence , en temps ucdinaire, se
borne là. 11 n'en est pas de même, si daus le
nombre des émanations, il s'en trouve une
qui prédomine sur les autres ; alors, malgré
le mélange,. elle peut encore exercer unein-
flueoee et engendrer , soit des épidémies j, soit
des maux individuels , . ceux que l'on, con-
tracte, par exemple, aprës ayoïr stationné à
proximité d'une exhalaison nuisible , ou dans.
D,g,t,.?(ii„ Google
(88)
un jardin, quand un parfum y règne presque
exclnsî Veulent (coDimé au temps de la flo-
raison deslîlas, dessyringas, acacias, etc.)...
lie miasme prédominant dans l'atmosphère
■ pourrait, par un motif inverse, être utile à
l'individu souffrant en cas d'une homœopa-
thicilé fortuite. ,
Comment , s'écrie-t-on encore, subvenir à
toutes les indications d'une maladie avec la
fraction unique d'une substancesimple? Nous
répondroDS qu'il est rare qu^ou puisse guérir
avec un seiit remède, mais que la nature en
Cela , comme en tonte chose , procède de la
simplicité des causes à lamultipficité des effets,
et qu'un seul agent pur engendrant une sériC'
de modiBcations organiques multiples, ilesi
. propi'e à- anéantir d'abord la majeure partie
de -celles qui existent anormalement, et
même, ce que chaque médecin s'occupant
d'homœopathie ne tardera' pas à remar-
quer , c'est que l'affection éhrooique qui
fournit le plus grand nombre de symptômes
est le plus facile à attaquer, parce que l'Im-
mœûpatUicité du médicaniént qui y répond
se dessine plus clairement dans leur "énuoïe-
. ration plus détaillée. ' "
nigitir^db, Google
, Il esl des allopalltes vai'icus par révidence
decerlajne$cure&, qui se plaisent à en mettre
révéneinent sur le compte de quelques cir-
constances étraugèpes à la médication, par
exemple: l'influenpe de rîmaginalioudu ma-
lade, l&cbangepient de régime, letemps, etc.
Vain refuge! car l'imagination d'un malade
était la même quand il prfnait une mijcture al-
lopalhiqne et n'a pu changer en un jour :
que pourrait l'imagination chez tes enfaus?
Or, c'est sur eujf que rdolent les pluj bril-
lantes pbservalions ^es horoœopathistes ; les
menées atomes agissent avec un égal succès
xhez Jes apin^anx: (qu'on n'accuaéra pas des
séductions de l'esprit), etTarJ vélérinairé , à
l'exemple delà médecine humaine, commence
à opérer sa révolution thérapeutique t d'ail-
leurs tout médecin qui .tente ses premiers es-
sais-, se g^rde bien d'en avertir sop malade ,
puisque (ut-titéme n'j croi^ point encore.
On-allègueletemps! s'il guérissait au grédes
homoeopathistés, la nature aurait trop de com-
plaisance pour eux, elle qui noua mpntre ordi-
nairement si peu d'éga.rd^, et donttant.de foi.-^
nous attendous en vajo le secours. Cette bonne
nature a-l-elle jamais abréfifé le cours déter-
' r:,9,t,.?(ib,G00gIe
(90)
mine lile certaines maladies à forme spédale^
comme la inéiliode en question préleod le
faire.?
A4ors, dira-t-on, c'est le régime qoi guérit!
Nous devons avouer que la soustraction des
subsUnces stimuLaotes ou capables d'exercer
une action médicinale sur l'homme j doit cer-
■ tainement ramener l'équilibre dans les cas où
la "santé n'est-dérangée qaé pa,r l'abus jour-
nalier de ces substances telles que : le café,
le tbéi etc.; lé régime seul guérira daps ces
cas là, et le doeteûc Bigel cltC' plusieurs
faits à l'appui de cette idée. Nous avoue-
rons Çficore que le régime est très souvent aô
graud auxiliaire et quelquefois le priucipat
cbemin d'une guérison ; mais l'expérience a
prouvé' aussi et confirme tous les jours que
cette ressource est loin de suffire.
Chaque jour nous vdjrons des malades dont
le cbangëment de régime exaspère les maux
et qui ne peuvent supporter. celui de l'homœo-
palbiequ'après avoir usé préalablement du mé-
ilicameal convenable.. Bien dès gens, avant de
venir à nous, ont déjà tenté tous les moyens
et cherché à aniéliorer leur état en se sou-
mettant d'eux-mêmes au régime bomœopa-
nigitir^db, Google
( 9' )
thique sans y adjoindre le secours des médioa-
inens; erreur dont ils sont bientôt reTeniis.
Quel est le docteur qui . n'a pas tenté de
varier ralimentation de ses malades? con-
seillé , par exemple, aux anémiques une
nourriture plus substantielle? les malades eux
mêmes ne sont-ils pas portés sans oesse à ex-
céder les prescriptions diététiques? Traitons"
enfin une gastrite aiguë , subaiguë Ou cbra-
nique, avec des tranches de bœuf et du con-
sommé ; nous verrons Si nous en recueillerons
les bienfaits dus à l'homceopathie , en pa-
reils maux, avec ses atomes de btyooe, de noix
Tomiqueou de pulsatitle.
Si l'homceopathie était une vérité, objecle-
t'Oii encore, aurait-elle mis tant d'années à se
&ire connaître, & se propager? On oublie , en
tenant ce discours , que la marche de l'esprit
humain lut toujours lenile de sa nature et
qu'une découverte, quelque vraie et quelque
utilequ'elle poisse être, doit rencontrer néces-
sairement d'innombrables obstacles.
Ëtd'abord il n'en est point à Vienne et à Ber-
lin comme à Paris oit chacun peut librement
publier ses opinions et se donner carrière en
fait de polémique. ËnPmsse et en- Autriche
D,g,t,.?(ll„ Google
( 90
la régence inédicale(Re^erung ) exerce avec
plein pouvoir son arbitraire sur le peuple
guérisseur, dont la direction' lui est confiée;
elle se compose de trois ou quatre membres
qui , on le pense bien , sont cboisis parmi les
Nestor; de la faculté,' et-la presse, soumise^
leur censure , ue peut mettre au jour que ce
qui concorda avec leurs opinious surannées.
C'était dans le plus gvand secret qu'à Vienne
on se commiibit^uait les succte homosopa-
tbiqM^s ; mais tant est grande la force de la
Térité , il s'est enfin établi deâ hôpitaux bo-
mceopatbiques spéciaux d^ns le seiq de cette
Capitale. Tel est le plus grand obstacle de ceux
qui ont retardé l'ext^sion de la scieuce nou-
velle en Autriche et en Rrusse.- Aussi le vieil'
lard de Gœthen avail'il tes yeux sot notre
terre de liberté et de progrès : L*homaeQpatliie
est sauvée, disait-il^si elle touche le sol de la
Fra&ce. , .-
C'est par l'approbation et le concours des
niédecinsen faveur, qu'une nouveauté médicale
pourrait tout-à-coup se répandre^ et malheu-
reusement on n'arrive à la célébrité dans cette
carrière , qu'à un âge peu favorable à de nou-
velles et pénibles étudeSi N!espérons pas voir
nigitir^db, Google
(1)3)
les iiunilii)lé& médicales descendre de leur trùiie
pour se mettre an rang d'apprentis homieopa-
ibes. Quelque bonne loi qu'on. puisse leur sup-
poser, nous aurons contre nous cet ordre de pra-
ticiens révérés qu'une clientelle brillante met
dans le casd'êlre peu désireux d'innovalions ;
Des professeurs se tionveront-iU disposés
à taire abnégation des principes de toute leur
vie, à déclarer qu'il existe une science ignorée
d'eux jusqu'alors , une sciônce immense,' sans
bornes, à résultats incalculables? Les corps sa-
vans semblent institués pour être les protec-
teurs nés de tout progrès utile j pourquoi l'ant-
il , hélas 1 que rbistûire inexorable nous
ait conservé des détail»' si affligeans au sujt^t
de la vaccine et de mainte autre découverte?
pourquoi faul-il qu'elle nous expose l'iuocu-
latiofl proscrite à Paris , par arrêts du parle-
ment, tandis que le célèbre Tronchin ne suf-
fisait pas à inoculer la population Genevoise ?
Dans UD tempe plus moderne on seTappelte-
avec quelle rumeur la médecine Lyonnaise
accueillit le docteur Vitet quand , un des pre-
miers, il s'avisa de porter atteinte aux préroga-
tives de la lancette, en faisant servir aux
7
Digitir^di,, Google
(94)
dégorgeineos sanguins le reptile aquatique
DoiDmé saDgsue (i).
Que! compte a-t-oo tenu plus récemment au
docteur Cbervin du sacrifice de son patrimoine
et des plus belles années de sa vie , prodigués
si gratuitement pour éclairer la question im-
portante de la contagion ? -i
Parmi les hommes -en réputation à Paris,
nous en savons deux ou trois (U s'en trouve
sans doute davantage) hommes doués de frao-
chise et de loyauté , hommes au-dessus, des
minces préjugés , qui , sans se hâter de pro-
uoucer anathéme , ajouroeot leur jugement
(i) L'on ■ prédit que lei TtUe* où «i troaraienl da làcukéi dt
médecoie aéraient le> dernièrei où lei T^ritës de l'homœopaihie
ponmlent te faire joiir. A ce propos, le docteur Grieuelich ta~
conle qn'k Vienne un jeune candidat nommé Lobel m rendit chei
le profeiieur StifTpenr lui oftrir la ihèie, et te fit annoncer. Le
valet de cliambre eiirojÛB le nom que le pTofeuenr prit paar
eelnide l'homœopaclie Love. Le d^ Stifriieprecipitahori.de tOD
ratànet , dans nne eiceisiTe agilatlon et criant d'une yoii ton-
nanteau candidat stnp^ll: Allez, tortei, point d'bomœiqw
the ici.
A Cracoyie le docteor Hnlan; , médecin de régiment, se mit
à doi la Faculté enliire ponrs'ttre permis de ^érir nn cmnie
polonais alïAié depuis vingt ans , et qui anût paué par toDiei
Im autre* méthode» à peu près sain et sauf, maii toujours fbu.
D,g,t,.?(ii„ Google
(95)
et invitent ]a jeunesse , moins accablée
qu'eux d'occupations , à vérifier les faits aonon-
eés. Plaignons, sans les accuser, ceux qui ont
marqué leur passage ', enrichi la science et
agrandi son domaine , s'ils ne savent pas unir
une dernière cou ron ne à celles qu'ils méritèrent
tant de fois; mais respectons en ejix^ le som-
meil du bon Homère..
D'autres molifs rendront raison de l'indilTé-
rence et même de l'opposition que montrent de
plus jeunes savans, dont la tête molle encore se-
rait moins rebelle ans empreintes d'un surcroît
de connaissances : l'amour - propre d'abord
n'est-il pas la principale source'des dédains ré-
servés à toutes les nouveautés P Cette passion
non moins familière au médecin qu'au poète,
mise en jeu par chaque succès public , doit
susciter des ennemis à l'homœopalhie dans les
deux extrêmes des corps éclairés. Chez les uns,
parce que leur glorieuse position se trouve me-
, nacée , cbez les autres, par leur impuissance
actuelle de posséder les nouvelles ressoiirces.
Parlerons - nous de la paresse j divinité chère
à Figaro et à tant d'autres, et dont nous-
même savonâ apprécier les délices? Meurtrir son
. intetlecle avec de l'allemand 1 se faire -éco-
n,,i-.r«::>yGoogIe
(96)
lier barbu t passe eorote si le public croyait à
la puissaDCe de noirerobe; mais désabusé qu'il
en est , il a pris son parti de mourir avec toutes
1^ méthodes. On a un médecin comme ami,
pour se consoler. Que servirait la poursuite
de mojens plus positifs soit , mais si épi-
neux à chercher , tandis qu'il y a dans la
pratique ordinaire un si comihode laisser^
otfer? Qu'exige tant TapplicatioD de notre art ?
Des sangsues, de Teau , la diète et le repos; i
nous, un air gra%'e et la prudence de ne jamais
dire : cène sera rien; voilà pour l'état aigu,
four le chronique, l'air attentif j empresse .
consolant, cert&ine aisanee mnémonique pour
varier les palliatifs, quelques cautères, Tésicatoi-
res, frictions, inoxas, eaux tnioérales, l'aventu-
reux essai de chaque nouveau produitchimique
préconisé i [Son tour par les feuilles médicales
et à son tour abandonné ; )oigaez à cela le
talent de plaire â son malade, de caresser
ses opinions et ses idées , de narrer agréable-
ment, puis quand vient la plaiote,le motbannal
et iusignificatif : c'est- nerveux...; danspeuvous
n'^ penierèzplus...distraisez*TOUS, etc. .voilà
les moyens à succès... c'est te siècle du
docteur fashionnable , et L'on a raison, car
D,g,t,.?(ii„ Google
(97)
ilest iucontestabiement plus doux dé selbrmer
desclieosà table, au salon oiidaus une logea
l'Opéra que dé bouquiDer, de pâlir sur des lU
vres, comn|iesi,en DOUsToarrantle bonnet, la
faculté ne opusarait pas appris tout ce qu'on
doit savoir.
La frivolité commune en France, l'est sur^
tout à Paris: c'est avec delà grâce eldelaiégè-
reté qne les plus graves questioDSs'agitent dans
le monde, datis la politique, dans les sciences.
Or , certes, les esprits superficiels ont carrière
pours'égayer de rbooioeopathieilesujet, est fer-
tile, les épigrauunes faciles, le fait de la ques-
tion esl-il si sérieux? (i).
Il est des obstaciesd'ua autre genre. Ou verra
de jeunes savans disposés a examiner la ques-
tion , mais un bien petit nombre se persua-
dera que l'homœopatfaie exige une étude
nouvelle, spéciale, approfondie. Les uns.
. malbeùreax dès leur début, parce que lear
main ioexpérinuentce aura frappé à faux , s'en
(i)OadeiaaDd«llB)ijoar à un criU^ae, aoieat d'articlei con-
tre rha»OBd^l}ùe ; nro-Toui emniirf de pii> ceue qneitioB ?
Moi, rëpoDditlejouraaliiie.qucjedoiuiïaioaiempiàuDe cboM
■i ridicule !!! En effet, à lira lor atiicle , il élâl a»é di' joEfif d«.
u>» ignoraaee à cet ëgard.
D,g,t,.?(ii„ Google
( 9» )
tiendront saas appel â un premier jugement.
Les autres, dont rinlellig«rice ptus flexible
aura mieux saisi les principes de la méthode ,
plus aisément secoué le joug dominateur'
des idées préconçues et burinées dans leur
tête de manière à en repousser de nouvelles,
ceux - là , dis - je , enhardis , éblouis par
leurs succès , voudront marcher avec trop
de vélocité dans une route peu familière :
il leur échappera de promettre à leurs consul-
lans pins qu'ils ne pourront tenir , et four-
niront par là des armes à nos adversaires.
Xa malveillance a des ^eux d'Ârgns, et les
allopathes^ qui se pardonnent tout à eux-
mêmes , ne passent aucun mécoinple à leurs
chers confrères les homœopalhesj ils trouvent
cent voix pour crier qu'on n'a pas pw guérit
t^ souffrant, qu'eux-mêmes (ils le savent bien)
ont coutume de laisser mourir; le public , de
son côté, exige des miracles continuels de
l'homœopathie. 11 prend, avec une confiance
d'habitude, la verrée de noir et amer breuvage
que buvaient dos pères, tandis qu'il' s'efiraie
d'une innocente pincée de sucre très^peu im-
prégnée de vertu médicatrice.
Pourquoi, dira-t-on enfin, ne pas faire des
D,g,t,.?(ii„ Google
C99)
expériences publiques dans les hôpitaux?
Parce qu'à moins d'établisseinens spéciale-
ment organisés pour ce ^enre de médication,
son efficacité serait à chaque instant compro-
mise de mille manières. Dans quelques hôpi-
taux de province on a pu faire concorder l'ali-
mentation des maladies et la composition de
leut? tisanes av«c les précautions réclamées
par la méthode ; il n'en est pas de même dans
nos grands hospices dont te traib ordinaire ne
peut être changé, ni modifié pour quelques
individus soumis aux épreuves. De plus il Fau-
drait mettre le plus grand soiu à masquer la
forme expérimentale aux yeux du public, ce-
lui qui peuple ces asiles de dqyleur n'étant
pas le moins susceptible dans ses exigences
et son aoKiur- propre. Faut -il indiquer une
autre source de difficultés? (la chose est pé-
nible à croire pour qui a conservé quelque
estime de l'homme) à Vienne, à Naples et
autres lieux où des expériences furent faites
publiquement, tout fut d'abord zàle, empres-
sement, complaisance de la part des méde-
cins d'hôpitaux et des servans ; ils ne .demao-
daient qu'à s'éclairer, et sans doute leur vanité
leur promettait tout bas la bonne^ubaine de
nigitir^db, Google
( -l"» )
rire aux dépens des novateurs; mais^dès qu'ils
s'aperçurent de quelques succès qu'ils n'a-
vaient pas cru possibles, la mahcitlance mit
aussitôt en jeu taules ses ressource^; on pré-
tend qu'on surprit des gens apostés au passage
des nlarmiles de I>onitlon,pour j jeter des dro-
gues à la dérobée ; ce fut un scandale diaboli-
que^ et l'on ne put poursuivre les épreuves.
Pour compléter cet exposé des principes de
lantétbode réformée , disons un mot des rè-
jj'les principales qui doivent guider le méde-
cin liomœopathiste au lit du mdade-
Nous avons dit plus haut que dans le
clioix d'un remède , on ne devait pas seule-
ment avoir acard au tableau sjinplômaliqne,
mais encore à l'âge , au sexe, au lempérameot,
à l'état mpral, aux habitudes de son malade
ainsi qu'a la température rgénante et aux ïd-
fluences épidémiques du moment. On voit que
l'exacte appréciation d'un remède pur qui ré-
ponde à ces diverses indications, n''est pas chose
facile et réclame une grande habitude de pro-
céder ainsi'
. Plus il j anra de rapports entre les effets pa-
thogén éthiques d'une substance sur l'homme
sain et r#semble des sjmpl6mes résultant
nigitir^db, Google
( loi )
dos causes éouméréw et représentant la forme
de lamaladie, et plusonaura de chances pour
une gnérisoD pi-onipte el radicale.
RappeloDsque le médecin boroœopatbîste ac>
cordera, plus d'atteutioti aux symptôines carac-
téristiques qu'aux syDiptômes généraux du
désordre :. les exacerbations prennent -elles
naissaoce , ou sont-elLes augmentées par
suite du mouvement corporel? se manifes-
tent^elles au contraire dans l'immobilité abso-
lue^ et le changement de place les soulage-t-il?
Les apparitions morbides se pronooceot-
elles plus fortement le matin , le soir, pendant
le jour ou durant la ouil? Avec un malaise lé-
ger en lui-même, tel que nausée, inappétence,
vertige, corjza, rhume , remarque -t- on une
faiblesse insolite, disproportionnée?etc.
C'est par l'examen attentif d'un grand nom-
bre de circonstances de ce genre, que le mé-
decin liomœopatbiste parvient k découvrir la
substance qui sera le plus en connexion avec
la maladie elle-même.
Quelque fidèle que soit l'bomœopatbicité
d'uD médicament, sou usage ne pourra pas lou-
joursétre calculé de manière à embrasser toutes
les phases ^'nn état maladif, qui, pMirétre
D,g,t,.?(ii„ Google
( lOÎ )
rendu nonnalj exigera souvent l'emploi suc»
cessif de plusieurs doses d'un même ou de*
différens agens médicinaux. Nous répéloos
qu'il faut sur-tout avoir égard aux symptômes
caractéristiques et ne tenir aucun compte de
ceux qui, généraux et secondaires, se repro-
duisent presque dans chaque cas , tels que
céphalalgie , pesanteur , faiblesse , nutiaise , in-
somnie y anorrexie, etc. Il en est de même dans
le choix du miasme médicateur ; les sjmplôiees
primitifs qu'il a la propriété d'exciter parais-
sant les seuls propres dans son application
bomceopathique à provoquer une réaction sa-
lutaire. Ainsi, l'un des tSets priniittCs de la-
noix vomique est de produire ta constipation ,
un de ses elFets secondaires est de déterminer
une diarrhée; elle né guérira que la constipa-
tion et ne sera pas homœopathique à la diar-
rhée. Même observation pour toutes les sub-
stances qui composent la matière médicale
pure.
11 ne suffit pas d'avoir choisi le vrai remtde ;
dans quelle proportion faut-il l'administrer? la
dose ne doit pas excéder la quantité justement
nécessaire pour rappeler dans les parties at-
teintes la force de réaction qui y est abolie , et
nigitir^db, Google
( io5 )
de cette manière aider la nature h rétablir
l'harmonie des fonctions.
Quelque atténuée que soit la dose on ne
pourra guère éviter que dans les premières
heures l'intensité du mal ne s'accroisse un peu.
Cette aggravation sera plus sensible chez les
personnes impressionnables , moindrechez les
bommes forts et robustes ^ elle sera inappré-
ciable si la dose a été parfaiteinent adaptée à
l'état des forces do sujet , à sa constitution
et i la véhémence du mal. Dans ce dernier
cas, le remède ne manifeste son action que par
un grand calme , la moiteur et un sommeil sa-
lutaire après lequel le malade se réveille sou-
vent guéri et presque "toujours soulagé. Une
telle sédation ou une exacerba lion légère donne
au médecin l'assurance d'avoir fait un bon
choix. On ne saurait trop se tenir en garde
contre la tentation si faciled'augmenter, même
de très peu, la quantité d'un modificateur si
exigu qu'on en craint naturellement la nullité;
car^ loin de l'accélérer, on relarderait la gué-
rison.
Celte prudence est sur -tout recommandée
dans tes affections à types intermittens où,
pour peu que le remède excède ce qui suffit
n,9,N..<!!>, Google
( '04 )
pour agir, il arrive qu'après avoir écarté le»
accidens naturels et procuré un mieux de deux,
ou trois jours, il réveille, par la coulinuilé
de son action , des phénomèoes semblables à
ceux qu'il avait d'abord assoupis ; d'où la chance
d'une rechute. Si le médicameot a produit du
mieux , il est ratiounet d'attendre pour en ad-
ministrer un autre, que le premier ait épuisé
sa force agissante : mais dans le cas où i E ; aurai t
eu erreur dans l'élection du remède, ce qui se
i^udra évident après quelques heures, on doit,
sans plus tarder, recourir à un antre.
Eu égard aux degrés variés de sensibilité
inhérente aux individus divers, il est très diffi-
cile de déterminer au juste quelle dilution
du médicament spécial doit être administrée
pour atteindre le butsaos le dépasser , le point
auquel l'elfet salutaire est accompli et au-delà
' duquel il y aurait maladie du' remède , effet
pernicieux.
En général, l'atténuation doit être élevée ea
raison directe de rirrîtabilité du sujet et de
l'intensité des sjmplômes, et nous avons ob-
servé déjà que plus la maladie est aiguë, plus l'a-
gent est prompteinentuti lise, £2 «'/ce fe/«<T-Jus^
qu'à ce que la substance ingérée soit arrivé au
h, Google
( io5 )
foyer <lu mal, il ii'j a aucun pLéDOmène de
réaction , et le véritable développetoent imma-
tériel de la uiédicatioo bomœopatbtque ne
comoieuce qu'alors. Si l'alôme médical , mal
cboisi ^ De remoate pas à la soarce «le»
atMàdenls avjec lesqiAtlii il doit être eu coo-
oexion sympathique ,. pour ainsi 'dire,>alor9
il reste ioactif , parce qu'il touche des organes
sains dont la sensibilité est bien rarement assez
exaltée pour percevoir l'impression d'une telle
dose; cependant si cette dernière a été donnée
forte , ou si l'individa malade est très impres-
siooable, il se développe une partie des et-
Cets patbogénétiques que la substance a cou-
tume de provoquer sur l'homme «ain , d'où
résultent des symptômes hétécogèDes; nouvel
orage qui complique le tumulte de l'orga-
nisme et défigure la maladie sans en diminuer
la violence. Au milieu de cette coofusion,
l'observateur irréfléchi se trouve complète-
ment déroulé ; la scène d'accidens insolites
qu'il a sous les yeux n'a plus de nom et ne sau*
tait appartenir à aucun cadre nosologique.
Cest ce qui peut arriver & tout novice ho-
mœopathiste , soit par ni> choix mal calculé du
moyen , soit en prêtant trop d'attention aux
nigitir^db, Google
( io6)
apparition» accessoires et trop peu à celles qui
spécifient la maladie, soit encore par de trop
fortes doses chez des tempéramens délicats.
Lors même que le remède a été bien choisi,
son résultat est quelquefois négatif; cela peut
provenir de ce qae la s0*sibilité des tissus est
émonssée^ usée , endormie alors de pe-
tites prises répétées d'opium 9 , ou de musc 3,
réveillent le système de sa torpeur , après quoi'
l'ou aperçoit des indices d'action mëdicatrice
JDsque-là nais. €hez certains sujets peu im-
pressiooables , on est obligé d'administrer les
doses moins subtilisées, tandis que chez cer^
tains autres la nervosité est si vive, si aigui-
sée , qu'ils sont fatigués par les plus faibles at-
ténuations, et qu'il suffit de faire flairer le
remède au malade pour en obtenir le bien
qu'on s'en promet (1).
(1) Cet précepte) sont délaiUé* data no nticle de la Biblio-
thifjuE hoRKxopaOsiijue , de Genève ( première année , page
345 ) ! mail peiiu*trc iniofliiainment ponr tontes lei éilgencef
de la praLlque. L'eipfriencG , ce grand matlre, non* découvre
cbaqae jour du nonveaa ; et toute tcience; >i l'on excepte Ie>
matlidiaatiqQei ne >e fcitific qu'à l'aide dn litoanemenl et d'ane
obwrration rigoorenie. De jeunes tomoeopathiilei «'étonnent,
comme noos - même iiDslqaefoU , de voir dii»i on cnS iVitiué
D,g,t,.?(ii„ Google
Elle est étroitement liée au succès du trai-
lement, et aucune cure homœopâthique n'est
^faoner complëlement le mima remËde qui leur avait admira-
blemeDt téatti daoi le caa HbMlameat temblable. La cauie de
ces Tariations dani^ l'aptiiade des diffdreiitei conititutioi» à re-
cevoir lei iofloencei m^dicamenteniei eo féairul, eit aa mjitïre
de la nature ; maii , ai l'oa pent compter lar l'exacte préparation
dei mëdicament qu'on emploie, et >i l'on eit certmn de ne point
a'ilre trontpé dani le choix de la lablBoce . on ne court ancnn
ritqns à ea force^^ doie. Il qoui arrive (lur-toal dani'le* chutei,
let entoriei , le rhpoatiiiae aign, etc., ob la TÏoleiice du don-
leari occaiione une large dëpenie de lemibilîtë ] quand la
maladie a déjà nurcté un certain tempi ou qne l'allopattie j a
pauë escoTide de potioni et de wngues , il nont arrive diioni
noDi, quand on remlde noa* parait convenableneni du^,
d'en répéter le* doie* par goattea tutiirei, toulei le* quatre i
six beurei , JDiqn'aa déploiement d'une crise hom<Bopalhique
que nout nous réienons de calmer k notre grc il elle ett trop
lotte, mail qui ajaure une guitiioa plai franche.
D,g,t,.?(ii„ Google
( '"»)
praticable, si l'on ne fait observer au malade
une dièle particulière, qui consiste à ce qu'il
cvite, avec soin, tonte substance douée de
qualités médicinales susceptibles de troubler
oud'abolir l'inffeclion artificielle, riend'aroiùa-
tisé; rien de trop sapide ne doit altérer la pu-
reté , en d'autre termes, l'isotemeot du re-
mède; ainsi les acides augmenteraient l'actioa
de certains agens , tels que la belladone ,
l'aconit ; ils annuleraient au contraire la
vertu de certains autres. Les notions les plus
claires à cet égard sont consignées dans les
ouvrages consacrés à cette matière.
Les boissons ne sont miles que pour étan-
cher la soif ; on peut en faire usage , pourvu
qu'elles n'aient rien de médicinal.
L'utilité du régînoe en général lui toujours
admise; mais on a mal interprété celui que
prescrit l'homceopaibie, dans le^t, non pas
de faire jeûner lamaladieavecceluiquilaporte^
mais de sustenter les forces de celui-ci, sans
rien introduire en lui qui, puisse atténuer,
détruire, augmenter ou contrarier l'eâTetdela
substance administrée. Les explicateurs, qui
mettent tout surle compte du régime^ ne font
pas attention que, loin de le rendre rigoureux
nigitir^db, Google
(»09.)
et débilitftDt, le j^éJeçin iiomoDojMtbUte pres-
crit tout ceqtà est subslanliei et nutritif.'toiit
ce qui peut ùpiîiét la faim Rt élvcher la soif;
la fiabde la pliri sùôculente et fa moins jeune ,
Celle (Jai vit au gtand air de préférence à ceîfe
de DOS basses-cours, le pain bis aa lieu d'e
Celte pâte spon^euse de bos pains dé luxe,
etc. I^ diète 'homœopalhique se réduit 'à
UD précepte fort clair j savoir î h'eraploj-es
comme aHment aucune substance médicinale.-
De là résulte la défense de lou'lè espèce d'é-
piceries > soit indigènes , soit exotiques,
d'bèrhes aromatiques/Oignoiis, poireaux, c^
leri, cerfeui^, etc., d'infusions quelconques,
depuis lé. thé de laCbioe jusqu'il la -fleur de
sureau et au café , toutes substances dont la
tbérapeutiqûe retire' de plus grands efiels
qu'on ne le soupçonne coniniuaéDlent.L) sévé-
rité durégime n'a d'autre durée que q^le duré-
mèdequ'oQ a pris. It varie dans Toccasion, et
le médecàu horaceopalbiste faitdes ordonnances
exceptionnelles. Les médecins en général ht
plaignent de l'inutililé de leurs prescription»
D,g,t,.?(ll„ Google
■Jictétiqnes : ils «obisscDt eo cela le sort ^e
certains lég;islatçtin dont les ordres ne soot
pas motÎTés aux. jeux de ceux qui doivent les
,«iiyre. Ne noos itonoDus pas qu'on patient
, «ai a faim se révolte contre rinanition : il ppr
pose arbitraire à arlntraire; et il agira ainsi
tant qu*il ne comprendra pas les raisons de son
Esculape. Mais qa'ab précepte clair, fixe er
invariable , devienne une condition de succès
sme (piâ non , Iç malade «'j soumettra d'au-
tant plus Tolootieis que ce régime ne tendra
point à débîliler, et qu'iV aura parfaitemeiit
compris cette pensée si palpable : que la na-
ture à qui onâconfiéunagentmédicinal s'en
' Mtt d'autant mieux et plus vite qu'elle a éon-
8erv« plus de force et d'activité.
Ce sujet, qui rentre dans l'bjgiène, méri-
terait une extension que nous ne pouvons tui
accorder ^ùs cette brochure. Plusieurs trai-
tés de diététique sont déjà sortis de notre
Jeune école; un sejiil vient de paraître en langue
française, nous le devons aux soins du docteur
Bigel^ de Varsovie, qui en 1837, nous a déjà
n,<j„,.™r,,GoogIe
favorises d'aa Examen dé thomcèop,, etc., oa-
TragC! enricbi dVn abrégé ^t la matière mé-
dicale pure, telle qu'elle était connue alors.
I^ous ne saori(»)s-trop recommander son livre
sor la diète honti^opiilfaiqtiË. la lecture en
sera salutaire aux soaffrans et à ceux qui les
dirigent (/^. Manuel diététique de niûjneeop.,
porBigel, àParis, chez JBaiUière.)
*_p,„..d h, Google
HISTOIBES
MALADIES.
Dans l'inlenlion où ijous sommes de U?rer
à la publicité vn recueil plus complet et plus
étendu d'observations , nous allons nous bor-
ner, poor terminer celle faible esquisse de
l'homceopalbie, à rapporter un petit noàabre
de faits puisés daa5.notre pratique, depuis Vér
poque de notre conversion. Nous nous atta-
cherons à choisir les maladies les plus simples
et les plus ordinaires, de manière à faciliter
des épreuves à ceux de.no^ confrères qui ne
dédaign^ont point de vériBer par eux*mémes
l'excellence des mojens curaUfs que nous
avons employés (i).
(i) Nou» lenr rappcloa* l'imporunce d'onc exacte prtfpualion
tm^dicamen*, et celle [loarle luccii.qn'aneDUIctid, d'ta>tUr
nulade Ici cideuri', lo-iufuiioni , Ici flean , i plu fbrW nÎMIi
toD( tcnide ■llofailiiquc >oit iot^rieur, Md( tit^rlear.
n,<j„,.™r,,GoogIe
(113)
PREmÈRE SEqirlON,
MAtADI^S AIGUËS.
VHIilOHUISS 0«TIlO-nntBSTÏïtAI.ES, — GAS-
TRITES. — OASTRO - HSfxiRITBS, — FlèTRBS
UUQVBtrsBS, BItlSVS», BTC '
Ces maladies soat seueptUdea àa mé^r
^a forâtes très variées et n'admetteiit pfliqt
dç traitemeot absolu, t^e choix du médica»
meôt cûDTenabte sera basé sw l'exploralipii
minuf^Pè des symptàmes morbides. Oa
trouve des modificafeors capables d'arrê-
ter le cours d'une gasb'O t eniérile daos
les doses infiaitésiaiales des substaoces sui-
vantes : ^conitum , nux- vomica^j puiaatiUa ,
hryxmia, aniimonhan avdum , vératrumi beUa-
àanOjmatricaria, stapkjrsagiia ,m&vuFàis,ia-
raxacumjCoecuiuSf asanim, iffuOia-, digJta k S j
dbrutHt raus, etc. , etc. ( Non» ne ckoas
que les principales parmi celles dont l«s
effela! pathogénétic[ues purs ont rapport atK
^rmptômes des pblegmasies gaatio-intestt-
nales).
D,g,t,;?(ll„ Google
La coanùasaoce de là cause ne sera point
indifférente ai^cfaoix dp médièanièDt; aias^
l'oolvuïwn donnant des symptômes' de frayeur,
la matr(ûaruf offrant ^ux de la çojére, la
staphysagria ceax de' l'indigifation, Vi^tatia
ceux de la haine , etc,-on coniencera le traite-
m^t pa? Hpç:4e «5 jplçljince^, ^\f^^
yt}t^ de ces p^ioD» ^a reconnu^ qause
occ,asioii^lle...Pqarlerf!fr<7i(|iss^çi|jsqtQp^ira
matricana, duîcamara, nux; pour l'excès de
traviâ et Va&ttii des lic|Dears jmx, etc, etc. ;
L^eaistencfr .d'affections rfaumatisraales fera
préTérer bryonia, ponrTU qnê cette substance
rëpondeàussi aux sjmptAmes morbi^ (i).
»" Obiervatù^.
riËV»E GlS-ntlQUB a' la SDITB DB CH16BIH.
f-e nommé Pierce ***- domeHique , âgé de ?€
-ans , PM99IV »t bniUt «iHpçMuté d« t«ï> «9
-«•09S& on dia^ff vQÛifi du déwsfKfir fi(
(S'ilifi; le M juillet i^S^a , avec une ^rre «•
.'dute. 4 nom Tiïite 1» s^ au m^tm le ^naïade
.préwMie tous les sjrmpfôoies de la gastrite !«
t! J ;-: , , : ; . ;
D,g,t,.?(ii„ Google
(>'5)
plas intense ; sa face «xprime plutôt le chagrin
qae la souffrance, des UrmOiS roulent dans
ses yeux ; la langne est couTc;r.te de sabnrres
btaacb^, la spi^ înextipgaiblfi ; r^l^gastp* est
lesié^ d'une douleur gravative qui augrnepte
par la pression^ t' urine rare; le pouls.dur, à
i55 pulsation» par 'mÎDM^ • ^ Cj^^7(qptlia%9».
s'ajoutent dej l)^q|{f;t5 , lerfïjf^ (^,bQiuQivi,.)A.
céphalalgie et la brisure^ésé^^lçt.
Tîtémpie. Lacaase étant connue, on dé-'
bnle par owi^." oAos;»Aor. 9". Eau sucrêèphur
bçisson.
36. — T Ni hoïjuiis , ni céphala^ie ; fa^ft
calme, épanouie; le inalade np songe plfis
à son cbagrin et s'élpqne de la fai;ilité ayec
laquelle il s'était liTré ap désespoir i l'état di|
pouls et c^lui des auti^s symptôm^ ^e sont,
pas changés.
?7- V 1^^^?? ^mptômes flegaâlrit^} 9^}^.
moral. ^irrcWs- Sp*".
>8. — Mieux général ; appétit ] pouls p^esr*
qiieDprmal; langue meiltepre; houSion.
• 3o. — Le inalade 9 reprb son serrice- J!<ai
faialadie a duré cinq jourè.
nigitir^db, Google
(■>6)
2' Observation.
OASTKO'SRTiRITB SOITR d'iHOIQJBSTIO!!.
M. G*** tw de Provence à Parh, 3o ans,
grsDcl, d'une taille élancée, blondt peupolorét
impressionnable, habttDelIenwnt d'une bonne
unté, se tronvait Jk dtner, le lo mai t855 , avec
]dDtiQan deses amis ; il s'élera entre l'on d'eux
et lui une altercation très vive à la suite delà-
quelle il fut pris de nausées , de défaillance, de
Tertiges et de yomissemens répétés. Il se re-
lira et s'alita dans un état de malaise iiiexpri-
mable avec brisure générale, forte céphalalgie
frontale j chaleur incommode. Il ne put rcpo<.
ser de la nnit et me manda auprèsde lui. te
II au inatin ^ je le trouvai dans l'état suivant ;
Tableau des symptémes: Prostration des for-
ces ; contraction des sourcils et des tralls de la
face qui. exprime une vive anxiété ; jeux lar-
mojans ; -doplenr gravative de la Céte } tangue
reconverte d'un épais enduit blanchâtre; dé^
goAt; nanséés; soif; respiration hayte, inégale,
gênée ; peau sèche et brûlaule; pouls aerré^
petit, fréqnenij lao pulsations; épigastre tendu.
nigitir^db, Google
( "7)
chaudj, douloureux sur-lout par la pression ;
méléorisme , point de selle? ; urines rares et
sombres; abattement moral.
Diagnostic et thérapeutique. J'avais éTidemi
tqent affaire à une gastro-entérite' dont la
cause détermipaote avait été une indigestion
occBsionée par la colère.
A ne consulter que le tableau des s^rnp-
tantes, les moUificateurB qui répoadaieot le
iplus bomoeopatbiqaemeDt & la maladie étaient:
Tpec.5,nuxvom. 5o, antimon. cntd. la, jpu/«
sat. i3j lesquels sont applicables platôt à la
forme saburrale qu'à la forme érjsipélateuse^
où la sensation brûlante locale est très forte ,
et qui .réclame de préférence euphrasîa 3o ,
ranunoul. buîho. 18 , ,ou canthartd. 5o —
Mais dans le cas dontll s'agit l'influence de la
cause était trop manifeste et le trouble mor-
bide trop récent pour négliger l'indication
tirée de cette cause... J'administrai -donc de
suite (9 benres du malin) le médicament qui
répond le mieux aux accidens occasîonés par
la colère : Matriçarta. 6"" — . eau sucrée à dis-
crétions. — A 10 beores le malade sentît
'augmenter la céphalalgie et la fièvre, sa face
devint rouge, les artères tenjporales battaient
nigitir^db, Google
( m8 )
arec violence; à de fortes doutenrs cpnttv
sives se joignirent des tranchées et suftout
une excessive douleur lombaire... CesaCcidens
dont le malatje ^'effrafait durèrent prjft d'une
demi-heure et furent remplacés pat une sueur
abondante et spontanée suivie d'un état de
sëdalion etde bien-être général... La cépha-
lalgie céda au bont de deux heures; la naît fut
^nne... -
A ma visite du lendemain i3 , presque tous
les sjqiptômes morbides étaient effacés, -U
peau fraiche , le pouls tranquille , la lan-
gue peu saburrale, l'épigastre souple et indo^
leot^ l'urine naturelle. ^- Le malade ne prit ce
jour là que du bouillon de bœuf. — .Le jour
suivant 1 3, il sortit et vaqua à ses affaire^, se
trouvant à peu près dans son état naturel.
3' Observation.
Une.remme de ^o'ans , lymphatique, lan-
guissante depuis 10 ansi époque de sa der-^
niere coucIiCj el^ névropalhique , contracte,
le i5 mars i833, une affection caractérisé^
par forte prostration ; épigastralgie augmen-
nigitir^db, Google
( "9 )
laot ipar U presùpa; brisure géoérale; peau
^ diaude et mbité; face contractée, Tuttaeusey
<Âprimant lasouSrance; lan^ae saburr:^ au
centrç, rouge et deiitélée aux bords ; io5 pul-
sations inégales et raides. . .
Le i5. — Aeonh 3o", doubla dose , à répéter
tu bout de-siï b«u)%s. •
i6.~ — Af^rexiç, mieux général, roAxfvo*
mica 5o».
. 17. — La malade est levée, tous les symptÔ^
mes s'éTanoiiissent. jiUmetis compris dan* le
régime' homàeopathique.
18. — Çuérisûn confirmée.
4* Obsefvatwai.
CÂSTRO-birrËRITE IHTENSB .
Mademoiselle B , 32 ans, brune, plétho-
n4}ue > malade depuis vingt jours^ a subi : «tu-
griêet apf^ications de sangsues, cataplasmes
pemianeTé, etc., et se trouve encore dans
l'état suivant !' prostration des forces j vultuO"
siié de la face qui est contractée et triste ; lan-
gue saburrale,' rouge aux bords, iremblot-
'lanté; peauchaùdej sèche, âcre au tottcherj
épigastralgie augmentant par la pression ;
D,g,t,.?(ll„ Google
: ( Ȉo) ,
pCMib iaible, petit, fréquent} douleurs eonta-
^iveddes membres ; uriees rouges et rares ; s^
les Dulles.
i4« — Mmtsuerée f nux. Tfoimea M"*» «' w»
bouiffon de hésufk preadre trots heures Après
k remède.^e ne revis là nuiade que devx
jours plus tsrd; à rnsgrande surprise elleétaU
levée { la^ue presque entîèreiùeni, dépooiÙé»^
pouls normal ; appétit. •
i6. — ïgTMtfw la'"*.
80. — NoUTéUe dose de nux vomùsà à4***
-r Guéjrison saos récidive.
5' Oèservationt
riÈTRB GASTBIQOB IHFI.A1UUTOIEB ^
L'enfani de R , d^ux ans,^ai, Jnen
poriaot d'baHtude, tombe subitemeut tlai»
: l'état ci^après : prostratiqu; agitation; in-
quiétude; angoi^es; pleurs; face vultUeuse;
jeiix ronges; peau brûlante > sècbe au tou-
cher; abdomen chaud, tendu, douloureux;
constipation , urines^ rares ; langue rouge aux
bords, bUoch&tre et picotée au centre; poi^
petit, serré, ;^3o pulsations.
t6 mars i83a à midi : atxmii 5o*. A
m, ■,..<!!>, Google
(-•ai)
twe heure, nueux remarquable} i qattre liea-
res> ftpyrexie; faceépaoouie; Teoraot joae;la
Uogoe parait meilleure *■ U a pris du bouillon.
17. — Retour d'un peu ile £èvre, qui tend
à augiÀeatei' ien le 'Cpîr; ou revient à aco*
.18. — Mieux plus complet.
3o> — La guerison 'est parfaite.
G* Obsen^on. '
L'epfanl D**; dix ans, blond, délicat; après
. trois jours de symptôme» précurseurs , déve-
. loppem^nt de l'appareil complet d'une fièvre
inflammatoire, qui cède , le 36 mars i83s ,
1 une seule dose d'aconit So".
La vic^ence de leur débpt faisait présager
Du^conrs pToloiigé pAor ces maladies , dont
souvent on ne peut, à l'aide d'une médication-
énergique ,' de répulsions et d'évacnaiions
sanguines, n^dérer rinteusilé, ni prérenir
l'issue fuAeste; tandis que de, faibles atôfloea
oot presque subitement rétabli l'équilibre
. fonctionnel.
Mais lions aossi; s'écrient certains prati-
ciens., nous avons TU plus d'en état inflamma-
toire s'aooonçeravec véhémence, et s'évanmiir
n,<j-.^^^:>yG00glc
jnopînemedt jpar l'effort i^niaaé de la na-
ture, où s'enlever par de copieuses saignées.
0'accord; mais a ne telle guérisoa spOntanée
est aas^ rare que l'est un insuccès de l'iio-
mœopathie, daos uue plUegmasie récente.
Les observations q«9 nous citons sont très
communes , c'est-à-dire > (ju'ûoe maladie aiguë
traitée hoijaœopatlii^uement à temps, nepar-
. court pas ses périodes et iSe tenni^ sans con-
valescence. Admettons encore '<{u*on Tienne de
lire des exemples de gaérison spontanée, OU
ne jiourrà du moins Tallêguer dans les detix
cas suivants de maladies aiguës , parvenues à
une époque assez avancée pour se soustr^ûré
aux ressourees ordinaires de l'art.
' ■ , . ■ 1* OiseiifatUirî. ■ ,
.ÇASTBO-iaTÉAITB . GOMPMQDil.
Madetnoisellé N, , agéé i^é vîngf-'cîhq ans,
habituellement bien portante, bruoë, pâle
, et forte, contracte au printemps de iSm',
une gastro-entérite , qui revêt bientôt l'a formé
des fièvres muqueuses , et' se complique d'ir-
ritation cérébrale. Nonobstant une médîcaiioii
ântipbjbgistique très active et bien dirigée, la
■ «Google
ihalîidiê Tait d«i progrès'; et ifàssÔcie dès fiM4
nbiaènes nerVeox, moitié cérébnuit, moilîë
Ttscéraux, qui affectëtit na pea là pti^sionomis
hyilétiqûe; Depuis sofiàôtè jours, rièh -11*3-
tàit modéré. Jes, accidents,' la fièvre hectiqiië
I*étal>1i!i5ait , et une fin procbaloe devenait '
îfl'éTÎIabîe. ' ' / '
Marasme ,- ftice grippée , sôdrcils contractés,
Jifaottipbobie, écuine conitmaellè à li» boiicîie,
làngUé coiiTerte de saburr'es épai^QS et blan-
ches, lfe»pe? et intérièor des joues tapissée
'ff'âplités., trîsnias , grincement des dents', .
irèitiblement spasmodiqae de tont le c6r|n
èt'snr-tout dès bras qnî soilt de temp^ eu
ta teinps jlortés conrulstTementTers U tête ;
htï aîgvs; contraction .des doigts; péaii froide;
pools misérable ; muscles du ventre teniîiis";
îA3blâur k l'épigastre; forte céphalalgie sn»-
tirbîtaire ; peu d'Urine, pas dé «elles;
" i^hérapie. Ge jo«r-là la malade prend plo-
iSèiirs d()ses saccessiVes d*«M»7«i3o','sansaucun
résuli^v { S'adresser , au .symptôiïie fébrile
'Aiai cet étal avancé de la maladie , devenait
ïûatile.) ; #
Tfiie substance dont lès effets purs ré-
n,9,N..<i h, Google
pMdtÎMrt honuMpttliigaemeat à; U {dt^iurt
despliéDOtiièiieséitumérés, lëisqtie trismas,
]^ôlopIioi>i«, piyaliune/douleur &us-orbit«ire,
.etc., élut la beUadtma, ordonnée le^ leode"
inaia> dao* U plus petite. dose possible, ea
égard à rexcessive sensibilité des ' orgaiies
dans la chronicité fébrile et à la faiblesse
extrême qui en est U cnaséqaèfiQ^....
24* — BelladonaZa*. Eau sucrée.
-l5. — Mieux. Après nne grande ^itatiOD
nocttiriK, marquée p;ir l'augmeatatiao des
cris et des mouvemens convulsils, IVil^s'oo-
' Tre et soutient l'éclat du' jouri les convultioM
et les cris sont rares; IVqduit de la. langoe est
moinsépai^, maîsIesaphiessoQtiapombrable&î
Je trismus a disparu, la malade peut pjirle?
librement,; le ventre est moins sensible e(
jilus soofJe,, la tête .moins douloureuse;
l'urine dépose. abondamment j. pouls, à loo
pulsations. La malade se plaint d'élaocemeos
qui traversent de l'épî^stre au dos (sjmptôme
attribuable au remède). Tout va en &'amétio^
pant jusqu'au -
37 — Ce jouc-là les syraplôflaes p^nstAus
sont lÀaphtes et une salivation abondante;
ils cèdent en deux jours à ihercisoluh, i%\
D,g,t,.?(ii„ Google
■( i»5 )
28 — Et jours suivans. Mieux rapidement
prc^rcssif; appétit; "retour des forces. La ma-
lade songe à sa toilette et he cesse de déplorer
la fatalité qui a amené l'application des cau-
tères dont les vastes plaies laisseront à son côl
des traces ineffaçables,
7 avril. — On combat une constipation re-
belle par camphom 1°, et pnis par nux vom.
3o'. La convalescence se prolonge jusqu'au 16
du même mois, jour où elle fait fa première
sor'tie.
- S" Observation.
GA5TRO-ERTÉIlO-HéPA.TITE*AIGUH ENTÉS SUaUNB
, CHSOniQtTB.
M*"' Adèle R..., pensionnaire au couvent du
Sacré-Cœur; iSans; maigre, faible, habituel-
lement jaune; soumise, quelques années aupa-
ravant, à des moyens orthopédiques pour une
déviation delà colonne vertébrale, était soi-
gnée depuis trois ans pour une affeélion consi-
dérée comme une hépatite chronique, avec
indurations partielles du foie; était de plus
tourmentée par une toux sèche qui faisait re-
douter chez cette jeune personoe le germe* de
9
D,g,t,.?(ii„ Google
( n6)
la phrïijsîe tuberculeuse ji laquelle son phre
avait wccmnbé. A cet état s'ajoutaient dé Tré-
quens accès de boulimie, de coliques, de pal-
pitations» des poÎDts de côté, etc. Le s i janvier»
huit jours après Képoque des régies, se déclare
une iaflammationau plus haut degré d'inteo-
sité , du foie > de restomac , des intestins et de
la poitrine. Le médecio cte la communauté
regarde l'excessive débilité du sujet comme
une contre-indication formelle aux sai^èes. II
avait annoncé souvent l'incnrabilité de la jeune
malade, etcette fois il la juge perdue. Le jour'
qu'il croit être le deroier, le docteur Annonce
qu'il ne reviendra plus. Sur son refus d'y re-
tourner, le frèrede la malade me sollicite de
l'accompagner au couvent. Tel est le tableau
des symptômes : ,
Prostration complète, peau-sbche et aride;
teint cuivreux > face grippée: langue sècbe>
Jl^i^ae; jeux hagards; délire continuel ; sôu-
Iweiatits tendineux; région hépatique brâ-
bote , tuméfiée ; la pression avec la main y
est douloureuse ,. ce qui se décèle i non par
pne plainte, mais par la contraction brusque
J|es traits de la face ; météorïsme ; suppnesaiOR
^s ijïllét et de l'urine; p»uls à iSô* serré»
D,g,t,.'?(ii„ Google
( "7 3
petit, faible ; resjnratioa ioégaley sutpinwse
la toox qui ' était forte auparavant, n'existe
plus (Iepai$<]u*il y a du délire. IVons adminis-
trons de suite :
Si janvier, à midi, un globule aconit$o'.X]ne
heure après , légère exacerbation suivie d'un
atnendeiâetit prononcé. Six heures plus tard,
seconde flose d'oodiirlSo^. I« délire cesse pen-
dantlaouit, et tout s'amende.
i";{ëvrier. A notre visité, le lendemain ma-
lÏD, làmalade nons sourit, sa face s'épanouît;
die a-rtCâUTré l'iotégritéde sesfacultésintel-
lectudles; poub & 66 puis., large, souple, ré-
gdiei^ langue humectée; malgré ce change-
ment, il y a toujours douleur grarative à
i'épigastre et dans la région du foie ; l'hypo-
chondre droit est tendu j sensiUe. bcùlant;
3, février. A j notre grande iurprise, il
s'est opéré une dépression t^uk de la w ig iM
hépatique et de l'abdomen > que je palpe pro-
fondément saris y provoquer la moindre tlou-*
leur. (Ce phénomène me fît douter de l'exac-
titude du diagnostic porté antérieoreoient. )
JLa langue est nette, l'appétit se prononce f
pomt âe remède nouceuic
D,g,t,.?(ii„ Google
( '=8 ) .
5 février. La malade n'a pris aucune nour-
riture; elle est faible, te pouls lent à l'excès;
elle ressent un besoin d'évacuer et n'a, pas la
force de le satisfaire. — Bouillon de heeufen
boisson et en lavement.
4. — Etat normal de l'appajreiidigesdf,
nulle trace d'engorgement du foie. Il est sur-
Tenu d'abondau.tes déjections biliça|es; urlue
légèrement trouble ^ retour de la toux qui
manquait depuis plusieurs jours; elle est
courte^ sècbe, avec poiats laocinans dans lès
parois thôraciques; ces points sont plus vîTs
par l'action de se mouvoir dans son lit. Eu
égard sur-tout à cette dernière cîrconstaace>
on cfuiisit hryonia alba. So".
5. — Disparolionijes symptômes ci-dessus;
la malade se retourne facilement en tous sen«;
elle, se dit forte et veut se lever. Crèmes et
hmOlons à discrétion-
6. — " État aussi satisfaisant que la veille;
le médicament semble cependant avoir amené,
depuis le milieu delà nuit, une sorte de diar-
rhée bilieuse avec quelques coliques'; nouvel
accident qiii s'évanouit le même jour par cho'
Tno77ullai2^, *
nigitir^db, Google
(■»9)
^. — Calme parfait, guérîson regardé
comme certaine,
30 du même mois, mademoiselle R. .. dîiiait •
en ville, avec de l'embonpoint et un teint na-
tiirel après l'avoir eu long-temps jaune. Sa
HDlé i'çst mainteoue en bon état,
icràBB. — BÊFÂTiTB, etc., etc.
Les maladies du foie, si rebelles le plus80i>'
vent à Tallopathie, offrent à l'homœopatlMe
les plus beaux sujets, de triomphe. Si l'iofiam-
mation est aiguë elle exige toujours une pa
plusieurs doses d'aconit, puis, âuivaot le cas;:
matnc.-f chelidQTUum, iamxac. , puis. , hryon. ,
natrum. , murias magn. , ammonium , Ijcopo-
dium,duicam.,$ulpliur, etc-. Mercur., heUad^t
nux ont des symptômes de jaunisse,
Q* Observation.
■ . - «
HiTÀTlTB Dl C&VSB AKTHUTtQQB. .
Un bdmiue de cinquante-cinq ans, grànd^
sec, maigre^ Faiblement constitué, teint jaa-
nâtce, sujet à la goutté et aux congestions sur
le foie., est pris, au mois de mars i853, d'une
attaque de goutte au pied droit. L'enflore^et là
D,g,t,.?(ii„ Google
(i5o)
clouleur de l'orteil soot intolérables. D'après le
conseil d'pn médecin de ses amis , il couvre cette
partie de sangsues qui proTo^oeti t une copieuse
déplétion sanguine et procurent un soulage- .
ment presque instantané. Le lendemain l'accès
de goutte paraît vaincu , le pied a cessé d'être
douloui^z, mÙ9 il «9t survenu toutrà-coup
unedouleur vive , déchirante» avec élancemens
profonds' dans la irégioti du fuie qui est dure,
élevée, cbande et sensible au moindre toacber.
Le malade respire péniblement et seulement
do haut de la poitrine ; le moindre mouvement
lui arradie un cri de souffrance; la peau a
ianni; nrine rare et brune ; langue sale; an-
goisse extrême ; pouls fréquent , ]fy>if , large ,
irréguîier et inégal. Thérapie, ijmare. Its'a-
gissait évidemment d'une congestion sur la
portion convexe du foie par métastase de la
goutte (accident très fréquent à Ja suite dçs
applications de sangsues). L*irrilalion paratt
assez forte pour exiger avant tout quelques
doses A'açomtZo". On. en prescrit trois à pren-
dre de six en six heures. Dés la première Iç
malade ,est soula^^é ; à la deuxième il lui est
possible de se lever i la troiûème r«ste sans
emploi.
nigitir^db, Google
( .s.)
i8 an matin, région du Toîe encore seilnUe
antouther, jaooUsé, défaut d'appétit, pMnt
de fièvre..... On prescrit rhus rtuScahs So*,
du Bouillon dehœitfet du lait.
i4 ■ — La gootie a reparu à Torteil et là ré-
gion hépathique se trouve dégagée; l'appétit
se prononce. Le pied du malade est guéri )é
lâ. Un mois plus tard un nouvel 'acc^S de
goutte cède à uiie seule âose de r^us «n très
peu de jours.
Le chtiix dé cette substance était ici Com-
mandé parla nature de ta cause, sans laquelle
il eût été préférable d'empiojer bryvnia , puU
SaiSIa, belladana, ou tout autre spécifique qui
eût eu le plus d'homœopathicîté avec l'ensebi-
ble des apparitions morbides.
D'une autre nature est le fait suivant :
DVpnimo-BÉf ATITB ATEC ICT&BS.'
Un de rnes amis» trente-six' ïio», Jangnis-
sant, maigre , jaune, sujet i de fréquens em-
barras digestifs, est astreint à la sévérité d'un
r^me borné à l'eau et aux fécules, i cause
d'une affection chronique du duodénuntetdq
D,g,t,.?(ll„ Google
toie pour laquelle il est soigné allopalbï^e-
taHai par moi depuis irois ans.
Xic 11 février i85a , è la suite d'une émo-.
tion vive de l'anie, il est surpris de crampe^
d'estomac, dti coliques, et sa maladie s'élève
à l'étal aigu aveé forte jaunisse, langue très
aburrale, d^ût, un peu de fièvre, fai-
blesse , etc.
Eu égard à la nature de la cause, on débute
par ignatia 12"°, suivie deux jours après da
bi^onia 3o>, qui rétablit en cinq jours Tinté- -
grité des fonctions.
16 — Teintoaturel, bon état des digestions ,
mais retour des crampes d'estomac, sur-loutla*
nuit, avec insomnie. Cesjmptâme, bien dessiné
dans les effets du coccidus , cède à. upe seule
dose de cette substance. Peu de temjra après,
quoique le sujet se trouvât satisfait de sa santé , .
l'anctenDeté de la maladie me fit regarder
comme indispensable chez lui l'emploi d'un
traîtement àntipsôriçue Aàreasé à l'état cbro-
nique. Il a obtenu de gAinds effets du muriate
âe soude, da sel ammtmague , du muriate de
magnésie. Il jouit aujourd'hui d'une santé parr
faite que l'observation longue et rigoureuse
du régime n'avait pu seule lui (wocgrer.
<;,,)■.«: :>yGoogIe
( l'î )
COLITZS.-— DUBKHÉB. — DTSBHTSKIB.
L'Iiomœopatkie est riche en agena médica
téurs capables de dénaturer ce» affections; mais
le choix du remède doit varier suivant le carac-
tire si vanable lui-même que revêt la phlég-
masie du colon et suivant ses complications
diverses. Les principaux remèdes sont : ptdsa-
UUa, colckicum , capsicUm,- colàcynt., acîd. sid-'
ph. , mercur, subi, et solub. , hepar suplhwis ,
jedappa^rheumy ckamom,, china, ars., etc., etc.
Sous le rapport des causes : une mauvaise
nourriture, chez des sujets scrofûleuxou mal
constitués) fera choisir flcit/. nitr, ,pétrol.j l'im-
pression du froid fera préféupr cAo/iio/n. ou duî-
" camara'j l'indigestion de corps gras> pulsatiUaj
l'influepèe d'une épidémie régnante, colcki-
cum, etc. " ", '
Eu égard aux matière évacuées, l'état bi-
lieux indiquera lechoixd' une dessubstances ci-
dessous (toujours la mieux homœopathique aux
symptômes) , ohamom. , rheum, acon., merci
sokibilis^, etc. L'état gastrique saburral fera pen-
cher pour aconit. , xublim. , colocjut.j pour les
déjections aqueuses on aura duicam. , china,
puisât. ; pour les muqueuses rheum, colc/ù^,
pUhaU, men>. sublim. ; pour les selles saogKi
nigitir^db, Google
(■«> .
nolentes mereur. , coloeynt, La faiblesse avec dé-
part inTolontaire des matières exige chuta,
ars. f acide suiphur. , etc. Qaaod tes selles soot
plas fréqgentes la nuit que le. jour, \z.pidsa-
tiUa réussira trës lùeo. Les complications «d-
trent aussi en ligne de eomple poqr ce choix
difficile du véritable mojea à appliquer. Nous
ne pi^tendoo; point tracer ici à no& confrérie
la conduite thérapeutique à suivre dans cette
foqle de cas divers, notre désir et notre but
sont uniquement de leur persuader que l'ho-
mœopathie i&oins ridicule qu'un clystire,
moins absurde qu'uiiç purgation, moios hi-
deuse , qu'up véaicatoire, est une science
prolV^de , rationoelte , indispensable à qui
se présente pour guérir son semblable; et
notre espoir est de les engager par là à
consulter les livres de Hartmann et autres,
où sont consijgnées avec détail les règles
tracées par .f expérience et d'après les princi-
pes de l'art. Si nous mettons sous leurs yeux
quelques exemples tirés de notre pratique, c'est
également dans le but ^e les convaincre ei^
leur olFrant l'occasion de comparer les mér
thQdM, et 4s juger qt^el est l'avaulag^ .et la
]^Rmp}itudede celle à laquelle uç^e (prt« cjOBr
yiction nous a rattaché pour toujours.
m, v?(ib, Google
(i55)
• ■
1 1* Ohservation.
DTSBKTBRIE.
TJoe' damo de quatre -nngts aâs, ftible
et maigre > précédemmeot . et depois long^-
temps bien portante, contracte, le lo fétrîer
i832 ) une dysenterie, aignë avec éthiques , '
téoesme, tranchées, quinse srilea saoglanteï
dans les vingt -quatre heures, peaa flasque ^
froide j poub lent et concentré , etc. Cette aia*«
ladie se complique d'one rongeur érjsipëla-
teuse^ avec une donlenr vire sor une portioa
d« ia jambe gauche. Cette dernière «ireoQ-
sUnce f la fréquence d^ déjectioni plus ^nnda
pendant la nuit, la pâleur de la face, etc., ma
mirent dans le cas de choisir pt^atâia 3o*",
qu'elle prit le 13 au matin.
t3. ~ Une seuleselte depuis le remède. Les
membres sont rét^affîàsj le poufs i^eré> la
fluxion de la jambe ne cause [^us de douleur
9t. la' rougeur dte cette partie commeuoe à s'e^
ttcsr.
i4. — La malade se trouve guérie. Il n'y ^
pas de récidÎTe,
D,g,t,.?(ii„ Google
( j36 )
t»' Observation-
diaubiqÏs bilibdsb.
Un pégociatit de trente ans, blond* bien
CODStittié I quoique faiblemeot muMslé , m
traite en vaia depuis huit jours par tous les
* moyens allopatbiqae spour unediarrhée quiab
terne avec dçs accès de céphalalgie. Les «elles
sont bilieuses, précédées de celiques, accoDif<
pagoées de lirailteœens douloureux le long des
cuisses ; leur nombre va en augmentant chaque
jour et entraîne une faiblesse extrême.
Il prend , le 9 août i S3a ■ uoé seule dose de
chaptoratUa ti", qui fait disparattre tous ces
^tmptômes.
1 1 . — Le malade va à la bourse.
i3. — Il se plaint de ténesrae et d'une con-
stjpation qui cède à opiunt Q'"",
sa. -—Ce jeune faooune , peu soigneux de sa
ssnté> après s'être exposé à un froid humide,
ressent une atteinte de rhumatisme vague et
de sii^iatique, à laquelle il est sujet ; en même
temps, ret(>ur de diarrhée, quatre selles aqueu-
ses, le matin seulement. — Une dose unique de
nigitir^db, Google
(■37,) ...
dulcamara 34% est suivie d*uiie fraoclié ga^
TÎSCMl.
iV Observation.
Un écolier fie onze ans,blond;chétir, ma-
lade depuis huit jours an collège; eSt raïuentS
cbez5e$parens,Ie3.aTril i833. Coliqnes, fài*
blesse, froid des membres'/ sept à huit selles
bilieuses par jour. —Tout cède à une dose àt
ehamom.ii'.'
• ao arril, les indices se renouvellent. ■ — PA-
Imit, céphalalgie latérale, retour des déjec-
tions à minuit. PîdsatiUa li'.-r-Guérison dis
le lendemain.
14* Ohservation,
Une jenoe fille de cinq ans ; doQce de càrac**,
tère, blonde et pâle, atteinte depuis deux jours
d'une diarrhée muqueuse, plus forte la nuit,
avec un peu de tranchées , est guérie le sar-
kademain par une seule dose àepukatiUaili'*.
AKGINBy AMTODALITS, CRODP, L>KtHaiTE»
Les afleclîons si variées de rarrière-bçuche
ont chAcune on ou plusieurs spécifiques dilFé-
rens en homœopathie^ suivant les cas divers.
D,g,t,.?(ib, Google
(iJ8)
Ainsi , la heUad. convient mieax i Tinij^datite
simple; h pulsatHI. à la pharyngite , avec rou-
geur sombre et godflemeat variqueux des vais'
seaux dn pbarjrox; l'angine uvulaire récla-
mera de Tpcéiérentx strjrchnof s l'angiofe do la
pourpre milîaire mercur.; ïa ;gAp{fréDeiiise
an.,- ràpthease or. nàr,, etc., elc< Diffëreotès
complications peuvent «ncoreitduirë auchotit
d'une des substances suivautes i h^apsuiph, p
rhuSfbjTonia, coçcuî.,capswumxSn4phw,e\lCi
En étudiant la niàti&re médicale 'piifcet oo ju-
gera avec quelles nuances et avec quelles c^m*
plicatioBS ces médicaaieas ont dit rapport.
Le croup parait être une maladie trfes fré-
qnenteà/riïnau(Saxe).LedocleurKiesseIbact,
«biédecin de celte ville , confesse, qa'avant de
çbuaaltre l'homœi^thie , trente-six ea&nd
9tt^t«'de celte maladie sont' mortt entre ses
maÎDs; tandis que depuis qu'il les traîie ho-
VMeopuhiquemeat , il n'en a pas pardn nn
seul. Sa mçthode est d'employer d'abord l'a»
ebnlt contre la violence de rjuâamthation ,
puis d'alterner toutes les deux heures une dose
àefoie dé spt^re et une d'epottge calcinée^ dans
la plus haute attéogation.
D,g,t,.?(ii„ Google
iS' Oiservation.
augihb iorsillaibb.
Ud pharmàciea de L^'on , treDte ans , blond,
fort et t>ien constitué , éprouve (Uds la nuit
du 29 au 3o janvier iSSa , un sentiment de
ïïrisure et de malaise général , avec insomnie
et excitation féliîrile.
So au maliii vers neuf iiéures, gonâement
inflammatoire destbnsilles, qvec routeur qui
se répand sur le voile du palais , douleur pon-
gitive dans la déglutition, besoin factice d'a-
valer , salivation visqueuse , raucité de la voix,
etc. Le malade sur le point de boire une infu-
sion ibéiforme , la repousse et accepte , sans
grande confiance dans son^ résultat , une dose
de iellaetoiuf 30°°*.
A dii heures: irritatioB sensiblement aug-
mentée avec rougeur faciale et seQsàtion con-
tusive aux gçnoux ; à midi tout a disparu ,
gorge libre, bien être et appétit... à ttoiS
beuresle malade adtné et (grande surprise
pour nous) , est descendu dans son laboratoire...
—Incrédule la veille , ce pharmacien s'est
Toué cfepuis cette époque , à la préparation
des médicamena homcBopathiques.
nigitir^db, Google
• ( >4o )
i6* Observation.
Une dame de Tingt-cioq ans, jnaigre, brune,
grande ^ ordinairement bien portante , affectée
^e la maladie précédente , mais avec trois }ours
deplusd'invasion} avec lin dérefoppement plus
complet de Tagra^gdalile et une dyspbagie ab-
solue, prend le nadme remède , le malin du 35
juillet i853. Deux beqresaprës,sensible aggra-
vation , suivie d'un mieux qui permet d'avaler
un bouillon de bœuf ; le lendemain , guérisoQ.
17' Observation.
Va jeune homme de vingt-sept ans> brun
et fort , épponre depuis deux jours , un ma-
laise, de Ja céphalalgie, alternatives de Frissons
. et de chaleur, lassitudes spontanées , douleurs
de b^'isure dans les bras et les lombes.. .i. Il
' s'alite le 17 mai i832, avec des sjmptômes
d'angine; l'arrière-ljouche est chaude, brâ-
iante, douloureuse; la membrane tuméfiée
çà et là ; -les amygdales gonflées avec sensa-
tion de chatouillement, d'écorchure, de pres-
sion ; langue enduite de blanc ; fièvre 1^ soir-»
avec chaleur sèche à la peau, aridité du
D,g,t,.?(ii„GoogIe
■C i4< )
nntcas gotlnra), leé tretnpes d'£tMt^liè «i le$
oreilles soDf Iç si<^e de doulesn pongîtinfc
et d'espèces de secousses. '^ :derniers^^[^
tôm^s font pencher' poacle efaoixde />DifeaftttB
12*: le malade, sans ag^rtratioa seoûbley s«
trouve guéri de» le lendemain' >
. Un«iifaotdâopizeaQs,at(eiDt d'uneimygi-
dalHe intense /depuis tr«is joues , avec^ fof*
matioQ de pas dans la tonsille ^aài^e , prei|4
le 9 août iS33 , beUad. 3o°; le lo au rwMv '
Tabcès s'est ouvert et évacué, mais les amyg-
dales soot «opore trèseogorgées j aties*.doM
^ beU. amftne la guérison.
iq'- OhiCTfation.- ' '
X-MYODAUTB CU&OHIQUE.
Une dame , artiste dramaliqùe , .àgéo de ^iMh
tanleans^^, forte, bruhe, pHtboirique, affeotéè
depuis huit années, d'une pharjngoam/g^
dalite rebelle à tous les iwyeùs 'alloptthiqoev
et pour laquelle on lai propose U réaecitioQ de»
amygdales ertgoi^^, se confie è rhonSBttf
pathie le i" «pût i85a,etpiwBdle mMtliLde
cejour^ heîlad. 3o*. La malade préveBoed'uai
D,g,t,.?(ll„ Google
f40
J^diff sîcièTB npîdenteot i T^t^t «'^ ^^eftfipr
Ikom» fièvre, ^itc«mtM)$ vifs.daQi; les^yg-
qui nie peut s,'; .rendre que dans la jouroée sui*
Tan\e. Elle/ le reçoit «h riant et- en lui an-
Tïonçant » gnërison ; Ji peiae , é^ cfiet ,■ pou-
vait on distinguer en itnpectaQt r»ri«ffe-lM>aT
tïbe , une trae« de raugeuF «t ua veté de gaot
' AéMèDt loffeiUaite. <
-; (M»oBs:<te«iitce<àiit ara. sont ootabnùx et
!• Hrocès -du traiteQieBt iuimaifiatiàque .«t
en i^néTi)! prompt «t sûr: nous devoDS OT;
pendant ,!iignaler cert^o^ c^s où l'on peut
échouer. Nous avons été contraints dans trois
circonstances, n'ayant remarqué aucua effet
d* f'ikômasf^thje^ At teQtmm ^Jf- moyfas
m&akixss. peet-itmahn'iétsàe ^9. qb^valip^
' ¥vn était coî^r, le sepf^d ésià^F , ^ll'qQ
f» attribuer n riiuSi«e«(;« «i)9Mïiati^e 4^
«deoB l'anHiiktiiwi aie» nùumrp médiç^inen-;
tosK:) CBimou^Bvopspl^» d'upe fois, cl^ps de§
draD«itaiicé«aDi^ogi)e9; H fOm divery e^ .|i>j(|
lidi»y4èwv»leJaâJae.ftit. ..
D,g,t,.?(ii„ Google
■<, m
Uo^otif de cette aatur^ manquait poiirle
ttjoisième "sujet, ches lecjuel rinsoccês ne Fut
explicable que par UD défatit'.d'impre^ioDa-
birité, derëceptivitéorganique pourl'inÛueuce '
.ipédicatrioé....... ^a guéFÎ^a fut lente e^
. d^ilç, h i'^dt d'un sétOQ pratiqué à U partfe
liatérieiirç dq col. ., ,
io* Ohservatiimi-
^itaé, Ters le soit du a/^ avril i83aresLuîsi
d'an mouTeraeift fébrile et àe tovx avec rao-
cité de la voix : cet état s'aggravf . pen-
dant la nuit et dès le leodemaîn les symp-
tômes du lïroup sont manifestes.. t Appelé près
du petit maladcy niçus le trouvons le soie ^a^'s
une situation djevenue alarmante, par la B^iy-
che rapide de lamaladie-Têté reoversée. ereu-
MDt l'oreiller, face tuméfiée, col tendu ; râle
muqueux et sibilant, avec elaquemeqt À la
glotte; respiration briijante; toux éclataple
et rauqiie, avec caractère cr9upiU bien dis-
tinct; accabl^pient; pouls k i^o pulsation^
.rjtides et .pleines. PrescripfJons i acotùt 24** et
D,g*.?(ii„ Google
( '44)
^rois bcuresaprès hepnr sulp'hur,, 4°* La pre-
mîèretle ces- doses est donnée h 9 WureS diï
soir; à li on observé une sédation èxlraordi-
' nairé de la fiçvre, calme et pâleur diiTisage.
Après la deuxième dose U respiration devient
plus libre, moins sifflante^ tout s'aniéUbre dans
la. nuit, etie leodemàiVi 36, on est surpris de
trouver le petit malade levé, jouant dans l'ap-
partement et aëconservant qu'une légère rati-
citè de la voix qui se dissipe en a4heuree.
éafhkuuAtKàa i>is onexuMa QEaFtà&voïBEs,
tiVonit joue ici un rôle important poaf-
aWttre l'état inflâmtnaloire. Ses doseaplùsos
moins fortes, suivant le '(^asét'si>ivaflt le sujet,
pèuventétrerépétéesdèsixen six heures, jus*
qu'à ce qu'on n'aperçoive plus d'indication
de la saignée ; après quoi l'on trouve des mo-
dificateurs spéciaux y principalement dans les
sabslances ci-après : i^r^oma^- j-hus ; antimon.
tàrtàr.; tpecac.^ càpsicumjconiim; hjrosciam.j
■ )ellad.j ignatia; f^uïÛas cinaSameR'; drosem;
manganum ; stannutii _, etc., mais le choix de
l'un de ces agens curalifs, n'est ni facile, ql
îndi0ërelit, une condition de' la cure étant
toujours la parfaite bomœopalliicilé du rem^^ v
r;,g,N.?(ii„ Google
(i45)
avec le mal> Aiàii kjroscù»Ji.yâM\ient mieux à
U toux nocturne, ignatia à la diurne avec froid
au^ pieds* et battement au gosier ; beliad.,
. matricar.jà la toux du soir, ùmi qae- capsi-
atmeii'kus... 1a douleur des - parois thora*
cùjues, et la complication rliumatismale r<H>t
préférer biyoniaj l'éfat convulsif, droaera ou
oùta; la raacité de la voix, mereur.i-tartrat,
êtibi, manganum oa carho y^et. Do caraetèr»
de l'expectoration^ de la natore des causes , etc.
Sont encore tirées de nombreuses indicadoos :
, tol|> çe$ détails incQpipattbles avec le but da
présent ménoiçe, sêrout cooid^és dans aûs
articles Thérapie de la bibliothèque bODuso*
patbique.
%i' ObsentUion,
FIÂVHI CATAKSHA.LB * (bROUCHITe).
Uo bomme de 4o aos > blopd , gras , peu
coloré, bien coosiilué, malade depuù deux
mois, ne peut guérir par les ressources nv- .
dinaires de l'art. Il est dans l'état suivant an
9 mars l83a : yeux injectés, jaunâtres; langue
blanche, appétit duI } toux gérasse , plus forte
le matin au réveil que dans le cours de la jour-
|iée} <»pectoralîon ipucOfO-séreuse > a^o-
D,g,t,.?(ii„ Google
3ân(èi ddùléuï "dorsale ; par râuscuIlatîÔiî
liiëtliàie ,'râi(J souS-cr,épilaril ; mouvement l'é-
Èrïlé avec paroxis'iiies iPrègiiliers; constipation-
opliïiàlre. -^ La plupart de ces symptômes,
ceux suMout qui se rapporteat aux viscères dî-
gëslifs, l'état (Jesyeoxétdela laujfiiéi l'éxpèc-.
tbràtion âd malin, .la coristipalibn, désignepl
lê choix àe slrrchnos, encore indiquée parles
nabiiudésdu malade, astreint àtix calculs de
têlè '^ét aihaleur de boïssdps spiiiltieuses. Uiiç
"dose de isirychnos So"", rétàbiiten peu Aé jours
ï^pîiéUi'èî là Kbbrt^.àes s^Ubsi là aoblèi^
Bîii^klte dîsparaîtî là tbni devifenl (ttoi Tare ^
|fiils sêéhè.ltl ïilus .frëljaenté ta nuit. D'âp'rêS
celle dernière considération, le -malade l^^ébJi
hyosciam. i3°. Le i^inàï^tdâts'améUore, et
une ^r[)ièrê dosa de strj^chiPoa_, fdse Je i H,
vopfirme la goérison. #
' he niiëux qai iîttnxiï ïpnli cbtqiils job^ ne
fut jxîînt ^rédéâè, dhôz ce fedlâdé p«u irM^i-
ytè, de Tàgg'ravàtiôn Honiœoilâtîiiqii'é i[iH 1
!i(3uvèr/t lï'eii. Il en tôt ée mênlé dans le 'cài
T&tiîvaiil: ; '
tin négociant de I^ails , $4 ans, gtc», I>rUD,
D,g,t,.?(ii„ Google
ferianie&t«(rttttNBi piâhoriit«6, çsk «lilé dejpciè»
trois 8Àù2i|)as- f»8F M^fôfl'utie Mvv* iitki^
rhale -qa! a ■ résisté à plusieups B>à«»ù6,t%iftfc
satt{;«iAe^Vi>>i^ rubèTaeticms c'uta^êi , ijux
é»iieiiab8 ■' et à toulei lêx f'eismtGçï <te la mé*
âeciae vuigatrr. Taileauée la maladie ^U'^
Mars l6i3-: F*i:e.roiJf«> T^iUaeusô;. s6irt^ils
contraclés, langue blancliâlre , pouU dar^wi**
fcftSttij^ 95 ïMtifttion*^, toux twe, brnsifAi,
dont I ës^eeous^ rè^oHïtent^ak» vr6i)»Hb«tt»
ail ^bt ; et^wçlovirtioil fMW abbnJafrte W
^lairenscf rn{tK«ÛOa Mwrleet g«&éej ûHn»
troiible.
Thémpie. Sy^-pv'ts l'éiat |détboriqoe du
sujet , Gn débirte pic aconiùim 3o% trois êbses
à prendre deQçrtG keunesj j>pur poisson , eau
lactée. Le lendemain So, la lête est dégagée ,
I» ^eeods^s :dâ U tîmit m ae f<»irt plos iles-
«uitir;-aeBe'Ci ftsk-ftoSsy soi^-tli'aiib ix|fri*9
-teralion plu» grasse, a^ïtat iica pôncipilahiAII
le iDdti^t Jie poals:'est«)»rgi ^ aèuf^ «t^levU
|rfi ;]Mt^Q'ie«t.:danft.le métàBAéXiOi. Vimmtmn
madi£calà«cB'aK ptésentàitoi îet-pfRcratliAtfOq
il? tneneV à^bie» oetieiiDidbibe; iMâ«an^ff4 i
4«i|tj<)wd»i«ilkitoBsjâamiflR»d*arJM^
r:,9,N..(ib, Google
(i48)
ttryt^ôiSof ; savoir J'éxpeetor&tioii plos
Ibrte le matio, «t 1^ coaatitulioit plétborique ■
du malade.' ' . ■
Xa durie d'acii^a de l'açoiiit étant ooarle,
on 4Qoaésttjeltftoe5o'":eidaio%ii^9n40i'OBi^
^f eroé avec 00U /(^2âe ùa sucrée.
Le 2 avril, le iiiaJad« «e trouve bien «(
sort.
. 4' ^^11 éprouve un'légper retour dfisntéine»
•fifùdeBS : ilpk»adcejourlà0«)Atfun So^ttoû'
ljws< — Le iêodenaia, une nouveUe dose de
itrychn<is 3o*°. —Deux jours aprè» il bo trouve
guérie et cette fois sans rechute. -
a3« Ohseryation. .
PLEIfAOFKBUJlIQqié AIQUÉ'.
¥ne ietiDeTciume deSoans, btoade etdéli-
cale , habituée anx saignées Tréqu^tes , con-
traqte à l'issue d'uA bftl , le à6: janvier i8^,
tttH^fliixKni ^ poitrine bien caractérisée, avec
raBgent'vineà la faôe, peati^moite et ^chaude,
pouls' large, pleiii , fréquent j toux vise acoomr
pi^iaée «l^eï^ectpr^ioQ-saDglanle etd'tiae don^
iéun pOBgitite au cAté gaudie : respùrfttlon
bwieà'iIriHlie-aTèeitiunobilké^toMi^uîëae
D,g,t,??(ii„ Google
et $uciëme «^tes et râle opépitant ; en un
nuit tout l'appareil des symptômes peripneumo-
niqnes^ Le 37 ia piatin une dosé unique d'aco-
nâuinSço, après une éïacerbation très-violènte
l^'auJM était' étaÎDemmeQt irritable) et uue
assez forte pnenmorrbagië pendant 30 mianles^
procure > S beares après lè rem'Me, aoe sé-
dation générale ; al^sence presque complète dç
fièvre, cespiratioD brlie des deux côtés, poa
MHS- un T^estede point d,ouloureuxà gauçhç,
figuïe^pâlie, propension au sommeil. Grfti^ a.
UDedosede&r;n/M3 3oS priielelendemain/la
mal^e-fut ên:état de se lever ce même joarf
mais elle prit ffoid et le point 4e côte se réf eîlU
vivement..: Deux jours après, cette espèce de
Fechutcavaitcédé à une dose de s(juitta rnari-.
Un^S": la malade n^aVait observé que. deux'
jours do diète rigoureuse; ellei n'eat pas de
convalescence à. franchir et fut exempte, de
qette faibl^sç quelquefois si prolongée, i|ue
nous «cuqptes obligés d'occaa<mer <piand
Qoa$ réussisstti^ à faire «vortar parla dièto
et les saignées des ioâ^ftmtions de ce genbei
D,g,t,.?(ii„ Google
■ a4* Obserttitton.
'' ' '. CiTARRHE sOfeFOCAiiT.
.. {Jdp dame M 36 a»»t bloodei lyoïpba^
que^ popimettes colorées , écl^t yiti^:| à»
jeux; reëpii-ation habitùeUement (»i)r.te;-ca-.
ractère inquiet, sensible, irascible, a fait, à
- diverses époques, ées maladies longues et ^ra-
/^ëâ/ -toutes plus où nibins analogues à celle
qtil U tieritàlitéë depuis cieu'x mt»b,<itiâti6 1 kû
S&férnfeF i89l i je suis demauM eii c&9idltk^
tit>o aTce dent de mescoofréreft.
I^ appftritiûDs morbi^is sobb celles «t'an-
çatjtrrbe suiFocaat parvenu à un dogri.a^,
^âk ; avancé pop r laisser peu. d'espoir. Toutes
)6S ressources de l'allopatUie ont été épuisées
sans succès. La veille encore on a placé 6 noii*
Têaux TéÂicatoifès , prescrit ao graios de cafo^
mêlas en io doses, des Métioaa stîbîées, un
laverâéntdçkioâ, elo. , '
Taèïéatt éé H ituâaâiê an thdnietit d^notiV
i\ssn& I ;feux bMllBns. face eolotiéei «fluvwtfl
4fe sbei^ct contractée] eipre$ùAB ^'as^oiaseç
l99g|ie uburPftleirof^4a)ix 4>M^»-t»j^i»^
d'aphtes ; salivations visqueuse; moiteur con-
nigitir^db, Google
tfnuélltJ, éhâlétîr ëleVéë £ h pèaô ; èiacCëssive
Sensibilité de l'epi^astre ëttlés b^'pbc&tifjdi^s /
pJlIpUatibâsTibtentes: p^bls petit, sët-i-ë^ iné^ïl
et uitermiltent, â iSo j^nlâltibiis ; fdiix rire;
brijaque, déchirâDte, pdr quitiies répétés coU|y
sur t-oup, t-eodàtit là face. Violette, ïtccolbpagQée
d'aoe anxiété extrême et suifié 'd*ex^(:tbr4->
ttoti ëcùmeDSÈ, jautiÂtre et soâTËtit liqiiiÀe.
Nervosité ttè^ exaltée; 4éèpt^tIt)D !tH>sl!^ul«^
dans quelques points, crépîtaritedanscTatitrés;'
oh pè& ^<Je bronclîii^ànife et 'Bet t&M Jfftiiatit ;
Vi^înérâHe éï foifcéè ; sSUià niillei malgré leé sdi
grainsde caloïnélas t«:etnrhènt pris. -
l*foi âTÎs Hànu Tui^éut de ménager i l'a^-
nir'^ Senisi^itë sxaitéè do sjsttotè né'rVeak,
âè se ^bdi'ner a iine médication BoOcë., ëmdl-
lîente et, comme iappIëméotaiVâ Aéi hlens-
traas , j^TapplicatioQ sar la vuIvé ^e quelques
. MDgsnés. vti»agé encore ftctuet âe më^icir
mens a grébdes doses m'etlalt obstacle pour té
moniBntà oiïemédiàitîoà booiœopatbique.
Tout ayant empiré mat^è ces' mb^reas y il
fallut, àii bout de quelques juiirs céder au dé*
Mr exjprimé avecio^nce d'essayer en der^'
Âier ressopt ïês ressourcés dé l'hi
tbie. .
n,g ■,..<!!>, Google
. S mu^ i85s. Les symptôioes aoDt cenx
4^à éouméEés , avec plus de prosti^oo et des;
nuits humblement pénibles. Ce joMr là une
âoseaçonitum 9b° ne produitrieu, (La malade
• retiré de l'eau de Cologoe pendant unèsjn-^
cope et un emplitrèi véâîcatoira est resté ap*
pl^né par oubli.) .
4r '— •^ct^^tni répété; injonction d'élcngoer
lAqlç <vleBr et tout lemède aUopfttliique ;
iauilhn et eau sucrée:
_ € faeorés après : état «[^^esque natufet da
pw}5. Nuit latente; quîptes fort longues;
mais nul retour de fièvre.
S. — Eu égard aux quintes nocturnes et à
là couleur jaune des crachats j hj-oscinm. la"""-
■6.— Nuit excellente; fat* épanouie, calme ;
espoir; appétit.. La durée d'action àtikjrqsc.>
étant courte^, on donne ce même jouf , à cause
de la nature de l'expecloration et de la toux
qui devient plus grasse, sUinmun 6^.>. les jours
luivans mieux progressif.
9' — Retour de toux par acc^ avac suflbca-
tÎQn et spasme ,-c»ia 12'*' — calme; nuilboDoej'
apyréxiei.
to, lï, 13. — Bien, i S'— écart de régime;
on prend du café et delà salade; quinte:! de
nigitir^db, Google
( VM).
toux le soir et la nuit ; kfàsa'am.'ii'^ ^
mieux légérleJeadeiuain.',
i4> --^ Lft malade est levée miis èb m'ârtehtnt
elle resseot une douleur assez rire au côté et
HupruritTulfaUrès-iitcoiumode^-^r^inibiE 3oo<>",
soulage en huit heures de tems.
t6. -^ Il né restéquele prurit de la rtdve
qoi.céde'au bout d'aue semaioe à ' (&t&»n«*
in »4\
BROhCHITG COnVUL^lVB (COQtTELOCHB).
Un onlàntde 6 ans, bien portant lés jouré
|>récédéii$, contracte le 8 fèrrier iSSs la to-
qodoché qui régnait alors épîdéoiiqneniebt*
Après s ou â jours de malaisé et de fièvre
légère les symptômes s'a^ravent > la toux
devient sécbe, forte, sonore , se reproduisant
par quintes qui laissent, à peine à l'enrant le^
temps d'inspirer. Le la la doqœluche est par*
raiiement caractérisée par une . inspiration
bruyante, sonore, au milieu d'une série d'ex-
pirations saccadées. Pendant cettequititela (ace
s'injecte^ les yeux deviennent rouges, lar*
'mojatis, lesartèrés du col battent avec vîoIeDce; .
après quelques quintes, le petit malade p3T>-
D,g,t,.?(ii„Google
DM.)
Ce'tilêmejoùr il prend ^ttï*i&^ï«3Q"»( rr-ISï-
ÏW^ fiW^SJùes légères tminte^ ■«iIq j^^deiivûn
a6* Ohsetvatiqn.
Va outre «dCuM Agé de. 3 aos^ cfaeê leqoel
oii«vaitrecfHiiiD l'existence dn vwr8loiiiiirici>
coutracte^'à la même «poqae, ré{àdéniv ié>
EnaDtC; 1> touX' >''^ raéaie caraclèrè coavulstf
dé la coqueluche, niais, quelques sjmptôines se
rappoTlant àceux du clna, on doiine cette isob-
jO^çeJieu ^n^ef.
(^^jLèrecoaruUiT; cegend^iut toqx^ècbe g^n^
27* Ohservattxtn.
■ ' tlnépetite fîlle de 16 inotséstîtUeinte le i^
Jêvrîerd'une touX COnVulsiyé qui- présente J^
caractères de lacoqueluche : inspiration sonorp
et bruyante an milieu d'une quinte' d'expira-
tions saccadées et ' successÎTes ; éternuemeut;
jeux sensibles à U lumière; râle ipuqueux;
"boùïs fé^rile| chaleur moife icina a"*— -Après
D,g,t,.?(ii„ Google-
ce remède accès plus violent de toaxspaMno-
diqué sûjvi d^un mieux remariJdàM^.
' 3, 3,4- — yoe seule quinte par jour, cojjft*
et sdrveDàbt après dioér; d'après ce sjiqptoque
caractèrisdqiie, a/Twca 61°.
.. 5. — Bien-être qui sesoutîent sans retour. .."
■ a8' Oèserfatùftt.
Vaé fiiibe jietit0 fiUe. ^aqs > blan^^* P^Ni 4^
tei^ledecoqadflchecaractpfisée; ypux railB**?*
fafïf s'iQJect«n( coqsidérablenif i^t penci>nt les,
apcèï de to»x> avec gooflemept des yftifies, pt;^
d^ if^f re; Itella^.. 3o". h^ putl^die ^st ^nler^g-
" 39' Observation. . ' ^ ■ '
. Le jefiDefrëFe dcùprépédet]te«stdltinat]%
mémn jour de la même afleetieii qui si^uàtt
alors épidètniqiwtneBt dan^.le qtiwtiér^ dcl
enÀint, déjà iiialade\et sôus l'iaflàerica d«- 1^
idèdea hmgœopatltiqtiâSj grend égiietqent bel*
iad. qqièDlieu d'ealeT«rlaii|aladi3be'prb«a«0
qû'-tin' amendement et la réduit aune MuU
quirïtfr le* diati»: ànucaG''" —gaéristm dès Is
fendemaiii. - ■ ■ '.
D,g,t,.?(ll„ Google
( i56 )
PtBTftBS IMTBBHITTBItTBS.
Jiiia plusieurs localités du sol genAianiqnej
cette classe de maladies , dont la variété est io-
'DOmbrable , paraît opposer une m-ande résis-
tance aux procédés hoinœopathiques etobli- *
ger les praticiens de T^ole nouvelle k se jeter
usez souvent dans les sentiers mal éclairésde
ranciemre tliérapeulîque, pour^ derrianderaax
cbaitcesdù bazard^uneguérison qu'ils ne trou-
ventpasdansla marche rationnèllede l'hoïnceo*
patrie. Ces mécomptes tiennent sans doute
i ce que l'on n'a pas toujours assez soigneuse-
nu^ comparé les cai^actères de la fièvre qu'on
veut combattre avec les apparitions mcvbides-
ariifidëlles de l'agent fébrifuge à emplojer.
Aiori les périodes dîi.cbaud«t du froid variant: -
fautât lemalade éprouve de la douleur au iroat
pendant le frisson , d'autres lois pendant la
cbàleur; chez l'un il y a symptômes gastriques,
obez l'autre, coinplication artbritique ;. l'uii; a
de la soif; elle^oianqae chezcet autre ,, etc. Il
«rive souvent encore que la 6èvre idterniilt
tente est entretenue par l'abus aUf^thique
des préparations de quinquina. 11 y aurait
alors injustice à s'en prendre à l'homoeopatMe
n,<j„,.™r,,GoogIe
S
11 nous est impossible dtj rappctçr >d tons.
les médtcainéujt qui, dans la matière médicale
.pure ,'fï>upmsse«t ■àe& pbénomùnes analogaes,
IteQax'dQsHèTTes'intermittéiites. Paraiîlesplu^ '
employés , nops .signaleroDS |\iUliié du tjuin- ■
qumti lioô.oniÔ"*-, lorsque la soif, abseo'le pen-
dit ktp^ode du f-roid. s^ réveille vive pe{i-
dantcdlle.decbalenr.; celle àsciitaQ" ijnand
la soif De auryientnt dans le froid, ni daas le
cband, et.' qu'il .y a., des' votrtissemens d^ali-
raensi suivis d^ f'^ini immpdéréi?. Y a-t-il peu.
de "Sinf pendant le. frissoo , tnais. vomissemens
^aireox , selles diatriiéiques , nausée^on cé-
fiaitùgie? pulsatiUa iS""; frisson presqae nul,
violent mal deléle , .constipaliçin , etc.? strfclt-
no^ Stf"»" ; soif vive pendant lefrisson et pen-
dant, la cbaleuï-, sneur tardirè?a»v. 'io", arni-'
c<» 0" ; point de mal de tôle, peu de soif?.me-
njytttih^s 300 i violente doutenr' .des membre^ ,
des reiti» , du ventre pendant l'aceès ? ir^o-
aia 34r- V a-t-il peu de Irisson'ct beaucoup de
»ympt6mes gastriques ? on se trouvera bien
derépéfer plusieurs dosesd'i/ïffCiicuanAfl 6* ou ■
90 pendant Tàpyrexie et de prévenir l'excès
de congcslioa viscérale par une dote A'aconU
So"* à. rinrasioD de l'accès, l,^ avança diadetttU
v.Goo(^lc
( »88 ) ,
'^f un 4j>écifîqae remarquable qnMA le frisson
arrive atet violence , IremWeiwrrt êa cofps ,
filaqoemenf dn dents, f^' oapshum a réosw
enlM tes Dialhs du B* Troltmanti daas on câ»
r«b«ne^ et sar la seaie «ionfttade d'mi sj^miK
CSiine tnmré dans, cette Attsta^ccF Tclafif à eetu
éitren^tancè unique f qii^ la tflttur tt'aniVaH
qu'aa bout de duuzébeilreis. ApH»faccè^, tUb*
serVtf'i-o» des sueufs froidtîet des nrines soiff-^
lires? le veralràm anrapMo soccès j'deCOTi-
finuelles Tôniitu niions avec clM rahurral in-
diqueront antithoh. citid,; l'état EX>pot!eùX' .
opmm , heUad^^ cAï/m ; l'accfes îf minuit, an.%
fil soif arderlieaVànt l'invasion , çniKn ; !e type
i:f\taf[é,saba(titfa. Xj'abusaltopalhiqneda qu^*
quina recratneraj suivant tes nuances dessy^p-
îomçs,nua:i»ym.,verifti:,bBll.,/etr. LeB'Kiff^
aelbàcb , dans l'éS'lieUïL où ces fièvres sqnr cn-
déroiqaes et opiuiAires' , obtîeift des succès
constans de nàtmm , ' catio Vegct. çtKpia don^
nés aheriiativement. Àvec,iin examen attentif
(tes circonstances de la fibvre et un bon choix
du modifîtrateur, on essuiera peu d'jnrac-
cas. (l) ' ^ ■ ..
[i) A fS/nuittyitâl dç intriire. no>»oT«u (mvoil Je l'iafii"
nigitir^db, Google
. ■ Yo^cila.fièvre intermiUente la plus Rebelle'
.' qui'Sfj^soit frçseqtéê à nous oans le cours de
j^tre. pratique liomœopatljique. .
' , ao' Obsérvatiàn. ' '■
'-' ' n£Yltè:.f>TËiilHtTft0fTÏ ttEfttm
FirafÇiede36ali8, |»âle;.ainaifnc> £èfre
.iMënDtuisble. tierce qa'oa a c«fip«e plusieurs
fins/ di^s rè4{àoe de iS mois ^maU qui n*a
jdtaàss.étë «iaf>éi)diic que pççdaDtpçu de jours
': -ctwqms féb, pour r^pfenAitré av«c.i;iRq nouvelle -
jitAétitk. h&tti$igAi débiite^aTec cépbaralgie ».
iJMêdjHixlieares âvee^' inteia»^ ; Il .est suivi
de quatre hc^ures dé clîaleHr skrfae et l'accès
sertepnjiDe par oeni heures environ de sueur;
dans l'apjrexielanguesaburralé, inappétence.
. On fait choiz-(r^a'iai2°,qxic la malade prend
Iftii^à^ du ixaoût, jour d'âpjTpexje. Lelen-
4itan4if)'ZA }. l'accès qui ne vient -efdiD^trement
^pe verâ.-i i hepras du matin survient à neuf,- ,
. ;I(.,n*est rienchan^çàsescircoDStaoces. liest
,t)vH« SoeWitC de BAnniaganieo — ■ Vvnuch «ûer homœD^Ei'
ihifibea lUrapic dcr WecH elficVtr, Euai^tiaithérapU Ab-
«mopaihique '<fti jRnw (ifitlniité/ilo. (OoTMrje mâott pér Jtt
n,<j„,.™r,, Google
( 166 )
siiivi U'une grande faihlftssë : ar^ . 5o*. L'accfes
suivant ust à ytàne inarqué; la. spif diminue;
il est siirvenodes déjections jaunes accompâ'
gnées de Colique?.. Les accès, -siiivaiis cotilir
niient à faiblir,! mais le frissop est toujours .
violent. D'après cette dernière observation on
prescrit Je 3f ,aratiéa 'i8<> qui supprime dès
le lerïdeiAam tout, frisson. Il manque tont'à-l^t
à rheure de l'accfes, et celui*i n'est marqué
qucparuiie forte céphalalgie. Uusecondetun.
troisiènie acc^ se passent de la inéme manière;
alors à l'clat saburral et à la douleur dé tiôte '
OH oppose strychnos 3po. De ce jour la malade
n'a eu aucun ressenlimenl fébrile, et Jes febc-
tiotis drgesfivesse sont parlàitemàit régulari-
- sées. : ■ . . '■ .
3i' Oiarvalion.
PIÈTRE TliEBOe.
IIoiDiiic de 5o ans', mince, babiiafit une cam*
pagnr; près d'un marécage , atteint d'une fié-
. vre tierce , qui, coupée plusieurs fols par les
moTensalIopalbiqués. reparaît toujours après
quelques senraîncs. Il est jaune , maigre, fron-
talgie continuelle augmentant pendant l'accèr,
' pacte d'àppéUt , - gpAl amer , sensibilité à l'jé-
nigitir^db, Google
(■G. ) . ,
]ûgitstre et au -foie , raie tum^liéc ,- Taiblessé
et douleur cofttasîve Jes lOeml^res avant l'iti-
Ta&ioQ de l'accès, soif modérée. —Deux doses
■ de niix vain. iS" le rétablissent , et l'cngoi^-
inentdè lia raie cède à une dose de china i&o.
■ * , • 3a" Observation,
FiiVMB .(]U0TiDirarïtB. , ' ■
Femmede aâ ans.; fièvredepuis trois jo^rs}
type quotidien , accès le soir, peu ioteose,
' maiHjaè par la Trontalgie , la >oif ardenlé ,
. frisson modéré etchaleur long^temps sout^noe.
sèjrrétnent de poitrine , ac^çàblcinept. Une d<Mt)
uoûjiie d'^n^ï^ ) 3^ enlève les, accès fébriles.
FIËTRHS QDARTBS* ■ ■ ■
Un cocher , 4o âûs , fort, et grand , dépars
idngf-temps atteint d'une fièVrè interiitittânte
qui a résisté à de très fortes doses de quinquina;
type d'abord tierce, actuellement quarte ; soif
vive avant et pendant ie frisson ; celui-ci ytï-
cédé de fronlalgie avec éblouissement, di-
plppie, état faotastique', 'douleurs brûlantes
n,,i-r«::>yGoogIe
datif ^anicinbre> qt çjpùs la F^ipP >^«SJrit[«e#
cgijcjue, consilpaûoQ aUeraatrt arec ili^rrhée
- vers la fi» de l'accès, D'Après ces-&ynïi)lômej,
et ea égard h l'abus ai)térieur du (|uiat{piaA ,.
veratnm i?" , pris le g avril i83î! , diipioye
f]Derques£jniptàmes , piais l'flccès revient .tou-
- jours à beore invsrjà}])^, 3q du. niême inois, sa-
^f^i7/i0?b°....Undernîeret.lài|))eresseatitQent
fébrile à Thsine ordinaice de U fîùvreijui de-.
puis n'a plus reparu.
3j4- Çbsery^tiori, ■.
■ Uë jardinier aus Moelineàuv sous Meudon , '
•AB ani j, grand , sec , robus te , teint jaunâtre, -
'Hfavre depuis plusieurs seinaînei , t;|Fpe (juarter ,
«ocèsvenantînvariablement à 3 heures d'après
midi ; deuxheures de frisgon avec soif ardente,.
3' heures dechaleur vive et 4 de sueur, sans .
Boif; ctat nocmal miwe ]a$ «fuSis.
a8 avril. Sabadilla 5q", LejouPsuiTafil àc-
cAsIé^er, Ls i*'!^a«la ^ùvre mBiK|ue, mitia -
& Vf)elir« Dcdînaif-e, à trois heiires et Jusqu'à
8ÎX, Sânlimeot de faiblesse singuUerç ^am les.
'ipembres. ,
. 3 ;nai. SahadiUa, Soo, Depuis Wrsnulje (ippà*
riiioti dp fièvre.
nigitir^db, Google
Ce peïît nombre ^ëiempt^s soflra pour
d^rjoér uDtjtdéederexceîlenee à*;tioe mérfwde
snr Kaalre. Oiacun sait comliien sont rebett«t
à la médecine vulgaire fe« fièvres îMennitJ-
tÈntèsl type (juarte'î combien l'usage réfiM
■dir (ï«inqiiina a prodtfît Je niaox ctirom«|)lcC
toovenl incimibles; tels , que -gâslro-entiriie*,
h/dpopisiè» , Jnduralions de la rate J e"t c<»n«
tien les eodvalesceocés sont::6rdir)airefrtent
longue» el péniMes !
_- '■' - ■-■ rat.TA-R7nïttT«. ■: ■
St4i exiMpienoe iainffiRiuita çUni le ebttf
éo* moài&t&iean , teân ^Rnrie éiB eés Aitnktm
^«ns lesftfïfleHons tbntnarîMialM, Qoas&mqs
era pemarqaer que lahr traitement n'était ptft
ieeàùlë jriur britUnt (itf U thèt;«iwifM|)|0
oouralU, tella qu'elle «4t encûiw ai)}aiu>ii'lm)«
Mmmtqjoiw liièn »h0» «uaVeot^Ui'tiqnfutUiiito
i>^nt, la iclatique, la pleurod^ai», ate.» flO-
Iev# ateo une ptoUj^até npidltéi nèb
(l'atitres Mê auMi noi» las vojwna témtsr'
presque atiul loti^'téoïp) ft rhoAioMpatbie
^'atHt AiMieMlûnf ancietHm Mf liHqMUMt
m, ■,..<!!>, Google"
dans ce cas, elle offre encore dfi l'aTaptàgeçar
linepliis gTgxtàe douceur, uneplus grande inii^(>-
cuité iies moyens: et. par. l'abseDCç de tisaoes,
d'ongoeps , vésicaloires , Ventpu»s ,et a»>lre«.
cJH»e6 non moins repoussantes. Kous rafflWte-
rons Cernent deS cures rapides et d'9utr«
fliis lentes.
Les modificaXeqrs ami-rhopialiques sont
trèsjiombreux : on et» troute dans les altéoua--
tîons de bien de» snbsUnces telles;que acmit,
bellad. , b'ryon. , hèpar sidph. , îwiùm,mercw^,
ferrum, uux vottt., puis., rhtiSj staphyf.»
êuîph. , sàssapar. , tai'tr, s^ib. , catho eaie^
cAustw., fycopoà., siUcea, grapkit,, etc.'Hart-
mano, dans «a thérapie des maladies aiguës,
indique le fer quand pînsièuw parties sont
, |mses-à la ftàs awc forts clancemens, déchi-
X'^néus la nuit , pMeur da visage, etc. j Van^
moincrWi fuix vQm. quand il -y a embarras
gastyiquei puisât* quand il y'a^aCerbation
le soirj eeflnre avec rougeur des artic^Iatio»,
paroiysines violèns poodanf IcstjneU la dùu-
leor se déplace fjacjïeinent.sûulageineïit en
. eiqxwaut le mcHatre douloureux- au çoatftct
de l'air ; bryvnia dans une polyarthrite- on
. lUfptilej loisqu'il y a.ceite çircoD^tance que
n,g,N.?(ib;GoogIe
(ï65) ,
'ViinittobiKïé calme les sonffraîices qui»'^[gtt&-
venl par le mûùVeaient ; rfiùs dans la circon-
stance lout-à-faU coritrairo et \pnqaf) le bott-
ger soulajge. ' , ■ '■ • : -■■■'•
Jmica conTÎent. à la gouUe (iotléà Âur 1#
ràeiiis; Mercur. dans l'enflore de» ortéSsv
ùosi <^e.staphisagri\js% doalcufs Ikéès à I*
hanche réclament bpUad.S\ éUocemeps brû-
' lans)' neïTOsité , etc. •,calocjrnt. si douleur de
dislocation, etc,
L'arthrite dés genoux appelle /«</wri quand
les doaleuTS sont plus fortes la nuit aa lit;
c^a s'il j a enflure et douleur plusTifé
dans le >epos. L'afthrilts taga réclame heU^j
képar sidpkur. réusiil àl'invasïori. L'arthritis
- nodosa cèdeienletnent à staphisagr. , calcarea,.
gmphit., (silicea si le Sujet est tourtoefilé par
dés rêves effrajàos), etc. ■ ' '^
Nous le répétons, notre but n'est pas de
tracer ici un guîdë tbérapeutique, ipais seule7
ment d'indiquer les roies à suivre pour se
livrer à Tétude de cette thérapeutique» dans
les ouvrages qui en traiteront spécialement et
de vgnaler les circonstances dbat,il cstimpor-
tant de tenir compte , dans le rhumatisme
plus peut-être que dans tout autre ca^, pour
n,<j„,.™r,, Google
{ m ).
qa'éUi séPÏ«iiif au lit dt^ malade, «uit péoibI«»
à qui cou (.racla l'habitude du laifis^r-alic allp-
ffiifùjuç i nuiis ^ $»ti$ljiaioDi]ui 9Ccom{)«gue
m Hwc» n'«»t<¥tl0 pjs un ampUdédoinoiA-
35' Ohservation.
BAQUATISUE AIQII.
^f f (fnpi^ d'il» de'mes cUeiU; ({wwanln
^Si fw^ et bieii constitué, aliiç depuis byit
.jwwpàç UQ riiyipatjpB)c.^«îérîiJ,.ayec eii- .
Sfirff xlf» anieglaUpo^} dopkurs inlplçralite^;
iilipo^ibiiilé dp t^ipi^v^^ent; ftèvrè^rdente;
wegi^ cpniinBfsqBi Pf^oa'sgeBt poînt^Iaa-
gue saburrale, etc^ A.i^un mP/'^R a.UQpflthtc}MQ
»*açtPtfinié.
Ç jai(ie( , lh)is d()Sc|: sqçoessiye» ^fffçftitfm ■
5t>'f (lomié^* de »ijt hçgrga efl'sis bwres, m1- ■
1)101)1 lu iïèvrâ et luodéreiit l'int^mil^ dc> d<H}-
.)ep»i dont le Cï^açt^FQ se d(»»pe sUpvi mît[iix
g^u'9uf}ar(iv«|it, Cçst une WMatifq d'arr^c^-
mentaTeû élancemeijt, chaieuç brûlante", 90-
âurc, têlç posante, conéttpaliop] un tiiourç' -
nigitir^db, Google
,-■■ C.*6y.);. '
nia 3o'. , ' , :.
^g9fgés et {mMYiïAt se moilli^ }« ^îiitl^
■est san$ fiiêyi^, Jirtjrieui» él^t M.hwrf»!t av^pç ■
crampes d'ésloibac la nuit, céptialalgiejXpD*.'
'stJp3tiQn.CeBs^ptônieseèdeBtà<:ôoA/â»;t3% .
qei leur tépond. ^
j8. 7- Les menibpes, qupit^^wedégorgés , sont
•m yVsM&at^ ro«çl« , 9 Tépaale g'^Mte^ tiîji
4«UK genoux et auxceoda^ae^; ^Imi^vày
vMticBt plus ktfittfDicBfe U naittifln ftMUfthtf
Incti^oe /ed^/mJ>aA*''rài9^- ' -, - >
a4' —Ce twnHe^n^4 peed«ùt qu'ù-mi^raiE
JRéomiiyAi ; il vette tou|oiw&de Vfliifliinn¥i9»>
nauii', de U êtiUewa) de-la.ptteBrj l»«daM«
anttà^[HBDeixfieB)aiabes,ilca>itân épraaiw
dsio^aigen^éiit. Qu reste, rappâitfaprdn(iq>
o«,U l^te est lîlws, les fanaloflida ttrntni
M »établi>MeM. Blinieim d« («a hohtmik
43«rictfere4 entle^ni eaatogiin daaa ehina ts*. '
' GefnédûwmentpToduitquelqtM a^esntioB
pciukat une daai-)Miraèe , après quoi tom
a'aidende; le mahiJe pr^nd dei fon:ea.til peut
tnarchçr, et se trouve en pleine convalescence
nigitir^db, Google
(iôfr)
àpKs.iringit joriw âe twitemenî et vingt-buit
joiirt de maladie. .-
' Hest prûMiable qu'oûtréiteinentallopa-
thique eât Ji^us long /plus dwagréaUé , et
siiivi d'pne plus péûible TODraleicencé.^ '
*" 36* O^e/'cacion'< , '
. • ■ PLBUfiODTaiE.
, . Une SsmmB.Àé qea^aater^biiit anti non ré-
' glfle„fort^, lifraoef |^ué, épr^are depoU
une' anàés une doiile<>v>ive et laircûunte an
c6tig«DAhe ,' i^tH foirte èo resfuraat et eo nuw- ,
cbaDt. Elle a épuisé Ie&. mo/ena ordioaicea ;
cetM afisotiôn ^ féûMé ii plusieurs véûc loi-
Fcs , BDX Tentotisea, aux frictions atimulanCes ,
aux bakt? de TOp^ntr, elc. ; racealKHi pulmo-
vaiie.se fait Ubremeat^ Tout iiidiqoê donc
que les masd» iateroostanx soùt.le aiégo fi«ti
de cette.maladie. Il n'y a pas de fièvce^ pt l'en-
semble fooctioaQeL a'cst. pas troublé. Deuix
fOTtes doses de brj^onia i8*y à deux jours d*ia-
tervatle,, lés i6et 18 février tSSa , proroqoçnt.,
te ig, uoe a^rayatioo irè$ seasible, saisie
d*uoe goérisOD brusqae et sans retour. .
n,<jl„.™r,,GoogIe
Sj* Observation. . • '
Ua jeune ki^une, lreole>9eptaQSi braa,séc,
nëirTOêo-bUieutr nSecXé depuis boit jours tl'oD
rlinme sans fitTre»,auq'ael se jolot liae idoukof
pongitive sous les côtes ^nc^ies , (rfus vive en
respirant, gênant l'in^piratioB, et ftugmentaht
Untrït. Il prend, 1^'d îéyneT,èrynnia.5o'fie
troove guéri le lendemain et-^Taqne à^es.af'
l'aires. Soit. iii£raclion aii régime, .soit imprës-,
sion^ (le t'àir 4T6id , la dealeur reparait le 1 3 ;
même traitement, même gaiémob,, sansréci»
dive cette fois. ■-
■ S8* Ohservatitfn:
SCIATHJfE RliOBKTt. , » .
Unedame^q[iaràote-einqan«,faible/maigi>e,
réclaitie nos soins., le rS a^ril^Sa , pour une
scialique aignë du câté gauche, qu'elle a res-
sentie depuis quelques jours, qui s'empire^ et
la force à s'aliter. Ckamom. 12"., quatre doses
consécutives chaque malin. Après la premiëre',
chaleur moite à la peau et engourdissement du
, ne^f douloureux. A la.qualrième, la m^aJe est
guérie;
D,g,t,.?(ii„ Google
. ( >7oy
3q* OhsetvatiOn,
, Ui> UùU^or, cioquitrtte Bfis , Itoiteux et ca*
cb$c)ique, cpniocte une sciaiique ftigoëf H
ap iiéyrier iSSs, et récUtiie aesseips lé fl4'
Cha/nom. li",, tfipéiée _€\iii\T6 (oiadetmite,
' amène la gnéKÏHta.
Ifct Ohservàtion,
SOIATIQVfe.
Monsieur R-iroeVivienne. à Paris, trenlo-
quatre ans,- robuste et CQ!ofé> t$tij«t' depuis
noml>re d'annéëS â uDë douleur sçtatique da
côté gavhe, (|ut se réveille avec iaLennté cha^
-que aufpmae, demande nos soins le 17 sep-
tembre i853. Il est alité depuis jJusieiirs se-
maines, a'.pla(^èoHtiinte saiigsues sur le trajet
au nerf Mîîatiique, pris de l'huile de térében-, ■
thine en potîoo , des bains de vapeurs , et em-
plojé divers linioiens , .le tout îans succès.
, tîoe première dose de cAanwra. 13' est prisé
ce jou(-Ià. Au bout d'une deoii-lieure.lc ma-
lade , qui , ail sortir de la cabse ai vapçar, né
transpirait, jamais plus d'un quart d'heure >
nigitir^db, Google
_( 17.;).' _ •
epfouVe Bhé dètenle^oërtlô *t tfirC fvàaipi'-
■ration qui se- pH)loîigBJiw<^é'att soir, aWc lui"
sentiment Je bien être qai loi était inconnn ; H
iktulear sciatique semble engour(iie'. Le \ende*
pvodn^em [n^ y Méttie elfet. ïl ««mblie jM mii^'
lade qae ta dùolètir ■vexAdeViatpieu^m'^
se réreillec , inai» qu'elle liai arrêtée .en die-'
min et s'cleint faute t(e force. Une transpire
plua, !a langue - est' c1u^g«e, H y a quelques
4X>1iques , point de selles. Lavement hiùfeiLXi
• i%. — iÊèms étû sahena], êtopnon roi^e .
«i^prtfrigine1ne sop tdntle oorps, ooUqitea. (Où
He sHitii l'on ^<»ilàtiribaeiioÀ'e8eri^ I«<ïAaw^
Àw.'à« sa Ttmké» {(lloj[»ai bique antéoédeiiK
iMttlpris.)i^iut «*)m.3e^ faitva«ec l'ënip-*
Cdit, calme l«i colique» et réveillo-l'appetiti
h)aÎ9' l'a seiatiqoe reparaît avec une intcasit^
^Â^sssnte. Elle. 3' pàê lecaractèK d'^mee'«
mens brtUan»: comme dit' fen ; d'atpvBi ce^ ott
«Moisit, liesA, B9iiàd Sô'^ cfoe le malwje ne '
prend pM psree qu'il se remet^aa tfaitameat '
àïftipathîqiWi ...
( >I<foa$ awtls' rapporté Cqttie faÎMOttv iosM^
jitdfb' uniquement pour sigtialer raolto» df
cltamo'. Il est à fegretteff jKMr JenujU^, qu'il
i>y Google
n'&il pas ooBtiaué i car la baU.f réptmdanl'ptr*
faUement à relancement btûlstitfles nerfs cru
raï r sciatique , du- pli de J'aloet-etc;, pn Ikmi
résultat était prd>able.
: La c<d9Cptth.f la barUhimd. f VarsMi.f ont
q^alement t^ussi'daos diflSéren» citf de senti-
qneetdçcoxalgie.' ;
_ ^\* ùhstuvation. ' . .
'^ rOLTASTBITB AlCOB.
tJo homnie de qnantrite ans, amaîgfirpM**
Mble, sujet i la govttë depuis hait-aoné*», 4*^
mande nos soin»> le S janvier- 1 853 * popr tin
accfes tris aigu. Le coude , lé genou et le {n<4,
gauche ^out pris, tOméBcs, chauds, dôiUott-
. reux, incapables de motiTement. Laddulénr*
je caractère d'éiancemeps , (le déchirnq«w
aOgnentant par le' loucher et plus forts aa uiv
rliendes nuits. Yen letnatin; uflvlégèrEtmoiir
' tMirsoniage; pQ^U fébrile, inàppét8iice,a|MRt
temeflt,tristes«e,.urMiè$ foncées, etc.
Le fer noils partit lion)œopa!thi<tue à ce <»|
là^ car On trouve daos^ses s^inpiômes : pâleur ^
faiblesse , enflures arlicufaires , douleurs Im-
ciiiartles , sar-toul la nuit , etc. .
D,g,t,.?(ii„ Google
.(■ r73 )
~ Le [iutlade pfeocl j'ce même jotir, S'iauvlcr
ï833._yfer/wm 12.
3' visite (12 jkiivîçr). Il n'y a pas eu d'^iggra-
Talion appréciable, ce ua luîeijx sensible naiis
porte il rcprter la mêiae il^.'Gétte'8ecoQ(iï ,
trop forte ou trop rapprochée de la premièi;é ,
-fait ressentir qiielqués-uns 'des effets tlu fer^
tels qiie mal dégorgé, l'aocéôs vives en ava-
lant , douleur tboracïque ii. gauche . ani^oisse'
prérordi^le , ctancemeas exagérés dai^s le
coudu engorgé, crampe dauS' le pîed ma-
lade, etc. On tecoiiflaîE l'action trop ptonon-
céedu médicament, et, parconséqyent, o;ise' ■
eoiticntéde fairefiairerau malade. un ^Qtîtâà-
Con coiitpiiant dti ibie de soaPre (autidotc du
fer). Xoii' s'apaise rapidement par ce mo^crt,
tt l'àmélioraiion fait des progrès. Le ao jan-'
viér, le uialade n'éprouve pbis qii'one fàiljle'
dtHiIeur craitipoïdedansle coudepièd gnucfa^t
plus forleen marchaot, otlatssânt le soir un'
peu dVtiflure. Ces symptômes cèdent en 'trois
jours à bryonia So", et , depuis lors J il n'y A pas'
eu de récidive. Nous ne croyons pas pourtant
que lê malade en soil à l'abri , le principe gout-
teux n'a pu être détruit en âuàsipen de temps; .
nigitir^db, Google
-C '7,4 )
jnorai) très prolonge.
^'Observation. •
. vÉiruLon^aoi do tbosàx*
^ooiieiirR....... treiflç-qualrç »n^, IiruD,
1^1^, iepipérampnt biliéfix, IjîènjKJCjant jtiii^
q|jettà< ressent, le 3 ^vrîl iSôa , des aherna--
ijyes dé frisson et de chaleur ^ du ipalaise, dç
la spif, de 1? céiAaIalgie; J'appéUt sç perd, là
- Un^fueniè cbargieV Aprçs troU ou quatre joàr:^
Aç ç^. ppùdràmes , il ^sl surpris , Â dix lieurés
-dirfUAtip^ psr uoe dQuIeiir yive^ siiQpcan'tc,
qni rje^serr^ lès fl»i)cs et Iss côtes de maifièr^ à
géojer U i^spiratÎQff et à d^onur la seqsaiÏQa
dVif^ Jiga^ùre autour du tcQuc. Ces acçidt;as
dpç^ cinq à ?ix beqre» , jjojs se dissipent popr
«eltpprpduire le lendemaio à U même heure
e\, tgu^ l<|s jours aiusi, ou augipçntant de yio-
l^p9i Ladoul^^rdjCTtetit (elle, ^ue b^nialadp
se rallié eif criant ; il n'est sQiHagé qipmenia-i
némçpt qjie par ^e gopilniénses éruçtatipns.
Cçtte »Dgulière loalaftie césiàte à nuoË vom,,,
pjw le i?> aEfiiviet cède à une Josi: àebryQ'
m'a 3o a4fpinKlTée le iG.'
nigitir^db, Google
43* Ofae/vaiion.
Voé ilaiw de treplâ ans, blonde, friiicbe,
d'une cotti^exion mojetine, est alitée depuis
va inoU; par suite d'une afîeetîoii rliumalis-|
maie qui occupe les muscles dii, bas-yen ire et
ceux des membres ; tout mouvetfieQt pcca'^
sione de mes douleurs, sur-toQt à la cuisse;
llaliment Te plus simple e( le moins substantiel
excite une crampe ^uloureûse de l'estoinuc.
langue légèrement sabiin'ale ; hjppgMlre sen-
sible à la-pression ; selles rares ; peu de Gèvte ;
pas d'enflures arljculaires. -^ 19 avril i^f;*
■ btyoniaZo". — I^e 21, mieuxj nouvelle dose dq
hrymia- ËHe est en élat dé sortir le •È(^.
^'.Observation,
AlttHSltE Alodl'.
Femiae d0 qiMr«ikte-»x aas , ,tn«igre , pSAby
vive, .d'un santé précaire, saisie , le 92 féviier
1 83 a, d'une inflammation aiguë au poigurt
gaqcbe , poiir laquelle elle a recours au raéde-
CÎD deux jours après Tinvasion. L'articulatiop
nigitir^db, Google
( '76 î ;
rai]lo;car{>ïenne , les doigts, le twas, sont hi-
uiéfi^, avec (luuïeurs vives, laiicinantes; nul
Aouvement possible; liràillemcns jusqu'à l'é-
paule; pduU dur, serré, ceiit (]uinze pulsa-
tions; lace animée, reluisant ^^une sueur
grasse. Trois tloses d'aconiàim^/t*, donûées dé
six h^tires ca six-bcures, procurent tlaxàlme
et U cliiile complète de la fièvre. a5 au inatinj
lumcfaclîon nioinilre , élancemeiis diiuiniiés^
mais dans le bras tiraillemens'plus lorts qu'ail-
paravant ; douleur kt-ûljtnte et |ncoIanle à'
Tceil gauclie; irrilàiion êe h gorge ; ràîdéiir
dji col el de la nuque. D'après tous ces sym-
ptônies on donne ce jour ; bellad. Zvfi; aggra-
vation peu sensible^ et gùérision pleine et eu-
lière le ,^7.
Tous les cas de rhiiuiatisnte al;,'ù ne cèdent-
point av^c Celle' facililé ; il nous est arriva
d'ôtra obligé di;*épcter fréquemment on re- .
mcde, et même de doni^er ù l'a Tois une goutte
eoliëre de la dUation^doiii.Hu-Ëcul globale
suffira d'ordinaire.'-'.
nigitir^db, Google
C '77 )
MI.ÉG1IASISS ÇUTASi£fi,-^ROUGEOt.E.^ — 5CS»»
LATWB-j -J- ÉIIÏSIPÊLB. . ., '
La /Jî*/«a/i7/(? poilrlaroogeole ainsi que i'flço^
nit, le co^n cri^ti , la belladona , le rAiif pou r
UérysipcJeet la scai'latine lisse, sont les princi-
paux remèdes j mais divci-scscQmpUcations ré-
dunerontsonventdesmédicàinensacicessoires.
{P'oir, poar tes Âé^ii^^ , la B&lk^hèque ko'
nueopathiifue,, Urne II. 4^ cahier.
tin cnfaDt de trois ans, ibicâ conslîlué , eoo-
tracte la mige&Ie qui régnait alurj^épidémî-
- quem'ent. Après un stade calarrbal pénible se
moDlrç réruptipD i kt ai juillet iSSâ^ elle
n'est sensible que par une légère marbrure
dte la peau , les yeux soot très ronges et I^ toux
(n£e^v«; dans cet état, reorattt^prendjoù&a-
tiUa is". 3 beupes après,, grande anxiété, tt
aa bout de 4 heures, sëdalion do çalarrhe et.
en méniQ lemp diieloppemenf complet des
taches rubéuliqve». Uès \^ lendeiuaio si, la
hy Google
rougeole était au déclin comme elle ■ y
fût parxciine ']e 7* jour j -(i'af>i*és is mS-*
tbode eipectahle. La toiix continue à s'é-
teindre matgré l'imprudence' qu'on a eue
d'exposer rérifant malade ài'air plavieiHt; Le
a4 iï Sort eh parïdite santé, sàhs cdnràleà-
ccnceotsansaiicun'de" Ces iielîtjiiaWsîfepàces
fjiï'bn dbSertç sotiTént. ■
(Tne petite fille de ^ ans, rue dé CHchy, k
Paris, d'uneljonnésantéd'ailleu'rs, estali'tée de-
puis quatre jours avM lHhi les phénomènes qui'
accompagnent la rougeole, moins rérjuplïOQ
9**011 titi peat apércèvtiiF *t qb'ofi Roitp-
çooné entravée par la vràlence àa catarrbev
L« fiè^ «KtiQteDS6, )a toux exce'ssite ; lé9'
y»ti* rûugèB , krofoyitts et sencibt» ia'jOVfi-
Itlmigtte sabuTrtile. 6e \ovrAH , iS ôri jS&S f
amikuht 5oo dtftix âoMlàHichsBreFd'tntèH
ville TtHM de l'antrtf. L'éruption «çqttiei^ dcot-
lu jotirCFÀ» t«ni son dévelpppêmeDt > «t li tottX'
s'apaise.-' ■
i6-^ini tnalinypoint d^érw^ sympièaies
dv brt}t)(^e très thmléré^, fitt/stttffla iB'.-
r:,9,t,.?(ib,G00'île
(■7V) ^ , .'
17. — 'Pàleup (lés pustules ruBéoliques c|tû
dUparaisséol le jS. L'ênf^tit ce jâur-là joue
daos.Ie jardin.
' 47' Oèserpotîoa.
SCARIiÀtISE. -
tJn Ahgbâ ^è H siHs / lilHci^; i^H^a^
fb'rlrs^Ittè, 1^ sb tii^:! iSSs , iîvéfè une âri^lfiU
fbnsiUàire inteiiâe,- (ju! iriè îiJrBè jiaà & /iitf-
fcairipagner ii*Une .îfeihle tlë jteirriaiihèsbf Umrf
ht sùVfiicfe cbtanèi; ; fièvre ifitèhse; ^éaa S^iH^
^ et brûldrite, ddiilèur soiJdFBitàiré. Viic j^tê'-
miërfe d^së Bb heÛàHoM 3cr riè" ^rtiâbît fiëÀ
t'é fbiir-ïfi, p^rte qfte Wmàikàë, tro'Ji Jiéif pre.'»'
♦eut piv ïfc riiédeciij » à rësfrîrë dis rédo rfè'Cff?
ïbàno ^' **•» tle nhfpsitfriiïe Vioieda; '
i i mari ; ile libiiïèian Bgtlàdimà Soi, hg'gH'
yàiibii ao Kaùt de déui Kb"urés.i.-,,j VïR flarfcd»
mèiil dànii h gbrjféj "pôûfs-pi-étiiliilé; ttgffiF
m.:
B3 -^ ttTmté Ï3ÔÎIÎ9 rdogé ; iâoitkfar. f II'
j^'âtïsfl/awi^ëil qdelqoed pliceij d^SlUvNii^
à3. -^ jpp'étft^ ci de^ùaàKMâtfH i:diniâ£'
D,g,t,.?(ii„ Google
f,i8o)
. d'ordinaire aa neuviçipe jour de la maladie.
Celle-ci a daté cinq.joursj 1& malade $ott
guéri le'ai. ■ -
4Sf Oiierytition.
ÊBTSIPËLB on tti. TÊTG, ET ÙS hk ^ACB.
,. Vue daqie de quarante -detvc ans, (brte,
gcossé, pléihoriquei .ayafit coBlr^çlé l'habi*
it^dç.de copieuses qi Fréquentes saignées, é\n%
' i^jetleàdênoleiiXeseonge'sliotis^sangtiin^sfçrt
lu lète , les yeux , à des engorgeuneiia inOam-
la^toires ctésirn^nibres, à des érysipêles, etc.
(^ vue et l'ouie s'étaient, affaiblie^ cbe; eUe, et
çbsque fois qu'eHé -sentait venir les ^touisse-
mens; lés yerlig.es, les maux de téle, ell^ sa
hâtait de me fai^e.appelér pouc ltx\ tirer du
saQg. Ce besoin 4c saignée se faisait eessealir
plus fréquenuDent depuis quelques mois*
T-léo i5 février i83i , je pratiquai une large
pbléboïomie; dix jours après, malgré ce^te pré-
caution, la dame fut alitée, et me fit ap-
^eiç. Elle avait pris la fièvre; un vaste érj-
ajp^, couvrait la facéties yeoi et.le e^
cbevelu, de manière à la défigurer. Ne dou-
tant pc^int qu'on né dût la saigner/ eÙe
nigitir^db, Google
[ ■«' )
ayaii , à cet effet , {iréparé baitd«s , ling^
■etfaVelles qui,.élalès'surîOn lit, furent le^
premiers -objets offerls fi mçs regards^ mais
dont je ne 6s pas usage. Je tous ai saignée il y
a peu de jours . dis>)e k la iti^lade , le moyen,
devienfaboaif; prenez d'abord ceci , et si cje-^
infin niiatin tous n'êtes pas mieux , nous sérans
A temps de soustraira du saog*. En lui tensoL
ce langage j'avais préparé une dose de Mr
lad. 3oo, que je lui présentai', et qu'çtle avala
s<m$. hésitation ; je preisorivispoor toute bois»
MD l'eau sucrée. C'était l'époguo où l'bomceo;
palhie coinmençatt à sfenracinei: à LyoQ , suj«t
d'enthoosifisaie pour les uns, de lérrei^r pouf,
les autres; ma malade M [rouvait rangée p^rBli
les antagonistes. A. ma visite do lendcmaÏD l'é-
rysipèle était 9 peu près disparu, la malade
paille et stupéfaite de ce^i lui était amré*
. . MaopnTaileif^ate comprit <{U''il était posâble
d'cpaiser l'eïfervesççiice du sang^ saqs piirer
l'éconoiâie iTiiqe pn-de d« ce précieux fluide*
nuis elle parut ^loqTafitée ,ep af^reuant
de moi qu'elle^ avait ^mé de rhorpcBopalbie.
J)«in qaçlq«e, peine k cajaier ipii effrdi, car mk
D,g,t,.?(ii„ Google
autre nicdéciô tft sa sociale ,'4*^ jifélfefidàH
édnnaUre les ndiivcàux procédés et bièoïe'lés
avoir ïnîs en pratique , avait dit devant elle :
qu'un malade soiimis à' rhomœoîîal'Kle p'ôu-
yaiibièri, il est vrai, guefir, et niiêitie comme
pair prodige, mais que c'était aux 'dépéris âU
ièHipS ^ù'U avait a vivre j qu'èfi Un mot Vanhe'è
rfe i'e pasiàii pas èàns qu'il succofiilat a Uh poî-
sSi lent. -^ Je fcîiai à'itià rnaïadé, l'exénipfe'
âê\&À}ïhiimian iiH-mêniè ,^0!, après à'êli^
ptfJJiHistynhé ioiis ïes iViâiins (fe cètîe tiiâ'DÎêf^
pendant (juâraiitê ^irlrtéeS de'sâ vrè; jttîiit; J
î'i^jé' dé qiiàiref- vingts iM, àh là tête ^t tJfc' !*
sàiité d'Iïfi je'firiè hÈfrnmè. . ''
Létwitéiflenl do etfble'fd et de la-dioWt-iflej"
qhr « ftwrni de «tlteâu* féànUatif Bitnt ttédte- .
c\m ftttmdîbpiithiâtel ; û &të aetrit téift do foi} r
que tt'diil rrtfM ttûpm dtipisnâg d8 Itf fë'H^Mr'
ic'r; Ndbi i<aptf<jUéto'Àtl iC>HtBm^rir^tie' fèl siib»
iMnbèt'qtfl bni te mièitt i^fkltitlu It lliteèuA''
dé» prâttcientfstftft V $ifi«in« ta cni^)t/fli;ffroM>''
Verainmi, cupnan, ^ecaeuanha, èKamomHla,
nigitir^db, Google
(•■S5),; . _
di-séh:y pfiospji., àcïâ, phospk., siiiptuiTy ^ai-to-
vegèi:', jâli'ophii curdas. ^ ^ .
A l'in^asîoh dé ]a malacTie, lorsqu'il n'y a
encore DÎ. TÔmîssement i ni diarrtéej çam-
phora. ' ■■ . " '■ 1.
Si l'on Irbuvé les accîdens déveîdppés, vo-
ntiâsemehf , âiar'rhée'aqiteùsè^ t^odlebr d'esto-
idac, soit, ipéca, ovi àeiH. pJiospfi',
Dans les cas rares , où la cTiàrrhé^ est oi-
ïik\iie , ciUmoni.
Diarrhée aqueuse, Kràlanie> TOmisseinc^s^
sctif inéxtiag'mWe , crampes,, froid gla.cial,-^
crispations nervètisés?-ïfef/ii™/7j.
MSrae» afcciBënïy avèd état èonVûtsift' eu-'
p^itnt'. ■ ' ■' '
. Yofeitrad^titifcratnpèsgéiiéi'alèàjôxtïtîciibn
diï pooli ; état dé fcyatictsé ^ aspect caddvéfeUi î*'
(tHcniôum, ''."'■ ';
GhoIÉri âsjptijiiqoe ? carh&vegéî,
ObRCun de C9t vèaa&dei peut ie replier ojféi
le mduiB maUde autant de feil ^H'à itïi né'
MMtiré,
Vani Bvofls pnHW , en iS5a ; lès ré«ùltàt«-dë
pttisieats niédècins du I^ord* dans tihé b'pi>-
chnre qui a peur litre Traitement Komosàpa^
thîqùe du choléra -/norbtis, ètt. Plus îarci , S
nigitir^db, Google
(. '«4 )
PârU, le docteuc Qaîn a envoyé & l'Académie
de me<teéine.(t|iri a'en a tena aHCun compte)^'
les brilbms résullals. de so>n - traitement des
cholériques, au sein même, de la capitale, pen?
dant iê règne de cette' maladie^ et le docteur
Habit , de Bordeaux, a publié ceux non moins
beaux qa'il a obtenus, d^s qu'il a eu la sa-,
gesse, un peu, .tardive, .d'adopter 1» méthode
bonœopalluque.
XjC pasiage du çbolént en Allemagne n'a
pas peu coDtrilMié ^ la propa^alton <ie la itoa-
vélle Ùiérapie, Sea s^uccès ont ouvert les jeox
i la foute routinière, et ii dea (^Unique» bo-
' moéopalhiquess'élabUuent, si pour fadmiAsion
au doctorat , on «zige dans quelques localités
de rAUemagne, desconnaîs^nces en tiomoeo-
pathie, riiutnanilédott eu parliece bienraitau
témoignageducfaoléra; c'est une compensation
dotat nous n'avons pas joui, car répoqded'un
tel progrèsestencote. lois pour nous, .suivant
toute apparence.
. lia BiUiothèque homœopatbique dans . son.
cinquième cahier dii premier rolitme, ar^té
les résultats pratiques de quatorze médecins
delà jeuAe école, dUpersés.en différentes lo-
calités de l'Autriche, de ^ Hongrie^ delà
nigitir^db, Google
. , C-85.) •
Molilaiîe^'eiiP. ; il résulte eh JêfiniUve aecë
tableau comparatif, le ciùSre total auivaiti:
5oi7chcfléi:i(]ues, a^dSguéris^ 261^ morts (i).
^g^*- Oiiervatùm, , ' /
Un jeune homnie de Irenle-lrois^aos, arrire
de TOjage en bonne san^é,, dtiie sobrement et
va seprSderter, il reptreâ neuf heures et se
codcheavecnn sentiment général de bien être
et d'excitation, i|e s'étanl jamais cru si loin
d'uQ L'tàl mqlàdif.
Le sommett te fuit^ jlcst agité, se trouvé
importuné par la chaleur , éprouve de la ten-
sion ël delà plétiiludé a l'ép.igastfe, sie tourne
etse rL-ioqriie.sans trouver. du repos: à miniiit
des l>orbopygmes brujans non doulouréuï^
et rexcitefncnldesonpouIséveillentsoRallcii-
liun; maissaris IVffrayerVpeu après sufTÎeut
un besoin brusque d'aller i la gacde-robe ( il
faut y céder précipitauinient , cVat un départ
(i)lj'arriic'e JucWiiraeii F/nncc fauruks<i<^BurDeiGiiidi
de Lj'un Vocoûoa dc'piibtier ton inifrtttault Utitt aux meJc'
^itu/masaii, tla. On Mil avec qu«:le urlneh^ *e MrajiDna la'
KicUl^ aiinirJcciu d« Ir&Ic vUJc. L'Aciâ^ni* iIv-PJU'l* , du'
rooiai, lIioDo» fuw lemcrcimcBt jUiîm •Je^Hune, et ïictilL
futpnfouL ilaatlcirarton*.
n,<j-.^^^:>yGoogIe
, . (.86)
i>Opléii^ 4'u'he e^u blanchâtre ^t br^lfiffl^ «a
■ passage, le jeanpliûnime se recouche ilooné
- lie la cliute subite cle ses forcés et de la soif
-^ ardente dont it est saisi ; il porte ]a caraSè à
ses lèvres, et boita longs. traits, ce qui pro-
voque ua vomissement soudain presque sans
nausée préalablç;.il rencontre ses trait? dans
une glace, est frappé de Jeûr décoiÂssition i
Soupçonne alors de quel mal it est 'atteint , ei
sonne son dofnestique.. '
A. sept heures du matin tous les scpidenscho?
tériqu^soDt'dévelppp^sauplns jiaut^egré...,
froid gétiéralt qu'il n'aj^réciepaa lui-n)ême;.
jîouls presque effacé , crampes permappoles
danst les bras , les jambes et les muscles du
tronc; soif inextinguible; copipuses et fré-
quente? déiçctîons aqueuses; voix rauquej fa-
ciès profondément altéré j il prend de suite
Veratrupi u*^' cinq minutes après il boit sans
rejijtex, él n'a plusqu*iiné sidlê...; lesborbo-
i-^gmes et les crampes persistent encore à dix
heures d'ajnatin..j veràtrum répété i tout ac-
cident est^Riucu decc4nomept ; le malade
trajispir.e \o\x[& Ik journée, et n'a plus de
crampes. Ilconsei^veséuienient pendant quel-
qué&joucsdelasoiff sansappétit, avec grande
r,<j-.^^^:>yGoogIe
faiblesse et rauclté de la voix. Pendant iln
mois il a de l'inçof^oi^ et du déCaul de mémcûre
qu'il nechercheà rairecesserparaucuB mo^en,
Aa bout d'an laoif H «UîU! un m^rfoc» lio-
flMK^ntinsle, qui lui dntiueattiB^ow M -linett
tuiph. So". \
Le-jieune liomoteU miU MitTantc ; épnmw
pour la première fois depuis -si maladjeonè
éreciitin , me généreuK dialeor à la peau , du
calmeet du smameiij sa mêttioire en pci) ds'
joursreparatt.-fraklieet locide. , . .^ -
60' OBsqrfati&n.
■' tJrt âulfe jeyrie Iiomnie', prodigué d'excêsi
rte^Teax, mélancolique, imiàble, a en le cho-
léra à Paris, en iS3i ; traité par le docteur
Qyin , il a guéri. En octobre 1 833, il ressent
l'inHuence épidémique qui s'est réveillée.pen-
daut quelques jours, et iin matifl se Jroavê glacé,
avec boriprjgiïies, coliquÉS, et alnindanle^
déjections, san^.autres symptôme?. Une do^e
de clianwmillq ia° le réchauffe en muins d'unse
demi-heure. Le ; soie à 9 heures^ il transpire
.encore, n'a plus eu de selles î il te&ie de U
soifj dés borborjgsies etqt)çlques coliques^
qui cèdent à coîocynt, 9°.
m, ■,..<!!>, Google
(.88). ^
^t* Observation,
Un qé^ciant, 35 ans, piettaprës>sôa>dtaer,
est }K-Is d'aae espèce d'iniligestion ; «épendant
aprè$ qu'il a rejeté ses alimiinSt les voinisse^
miens iie s'arrêtent pas£t cootinuent arec une
suqirenaitte abootUlibe. Quatre heures apKs;
je b trouve inopdaol. encore sa. chambre de
fluide aqueux , le pouls ekcUè, la peau froùlej .
saus crampes hicpliquiset. Une dôiie A^ipecuZt'.
e.st prise de suite. J'en laisse une seconde à
donner aa bout àe. cinq inînutcs, si le malade
vomît encore. Je reviens plut lard, te malade
est calme , un pçu Jirisç; ^t en lraiisp;râtion<
La deuxième dose avait été inutile
Fille d'un-traîtcur, jeune, grosse et fraîclie,
vomissant depuis la tieuresconsécnlivçSj sans
relâche, un fluide écumeux qui iimnJu lé plan-'
cher de ' sa ' chamhre ; prôslréc ; l'épi^'aslre
tendu*; les yéiix- enfoncés ; la peau sèche et
chaude, avec soif ardente » sans autre accident.
Une seule dosé A^ipeca. Z^", est siiiçiu-, doux
minutes après d'une pAteur exlrL^me du visage;
n,<j-.^^^:>yGoogIe
(•89)
avec envie de Tomtr sans résnltat. Toat s'ar-
rête^ et la malade se lève le lendeiAaio.
53*' Cbservatiùrt.
Une doinestîqae, trente-sept ans, forte 4t
bien portante, est atteinle, le 7 oçtohceiSSS,
d'une cholérine, saitS' Froid t la peau et sans
crampes ; elle n'est pas alitée , a eu quelques
nausées,, de la soif, avec pouls lebrlle, et à pea
près trente garde-robes depuis minait. Elle
prend acide phospk. 9° à onze heures du ma-
tin , et dç ce moment tout accident est dis-
sipé.
HÉTRORSHAGIE.
■ Les diverses hémorrhagîes riîclamenl en gé-
néral le traitement des congestions qui les pré-
cèdent. Celle de l'utérus cède, suivant le
caractère qu'elle afiêcie, à chamom. J2; bijo-
nia 1 5/ hyosciam. 9 ; femtm I2 j china 34- J
0ec. q; nux 1 8 jT crocus i 2 ; sabina 1 5 ; caiio
veg. 3o; sepia Zoj sUtceaZo; etc. (Hartmann,
Thérapie.')
Pour exemples : étal variqueux: des organes
produit par de fréquentes congestions ? nïix.
Coliques tranchaaies vers l'ombilic ; pres-
sion vers Tanfls?/)!'ec(T. '
iî
D,g,t,.?(ii„Goo<;le
( '9»)
.^^^nis Ptfiç^ caillé? «A<u»<; elaù; et rutilantî
firnini; rpiige plftir, avec cJ-aOïpçs? I^tmc.;
épais, peu HaiAel plattna.
Sang; épais, visqueux, abondaiit , avec tran<
tfhée» aiguës au ttas-ventre, érétisme nerreux ?
crocus.
Métrorrbagie atonîqae? sahma, etc., rtc.^
54' pbter'mtiw-
Une ^anie de 4^ ans, d'un embonpoint
considérable, éprouvant quelques variations
dans répoque des menstrues, a copservç à la
suite d'une attaque d'apoplexie une déïÏB'
lion de la bouche avec embarras de la parole,
accidens qui on^ résisté un mois à l'allopaltije,
et qui, cèdent en 24 heures à une dose de
è^àd. dp°. Quelques semaines après, survient
une perte sanguine copjeuse, que rien n^ peut
çuspendre petidant douze jours; elle adere*
ç^r recours à rhpaioeopathie. Pâleur, abat^^
mçut extrême , flaccidité musculaire , cépba*.
lalgie frontale, vmx affaiblie, pouls lent e|
i^ti\, Couleur abdominale et lombaire sourde,
inappéteuce, sang rosé, çlaJr, coulant çppti-
rtueltement, ayeç crampes danslc^ jambes et
froid des membres : kyosçiamus 9°, pçdi^ ^
,<j„,.™r,,GoogIe
( '»' )
perte et fait disparaître les crampes ; sabina
9" et china iSj sont suivis en six jours du re-
couTremenl de l'état normal et des forces.
VOMISSEHESJi DE L&. GROSSESSE.
Ces nialàiises cèdeot Irës-bieo à strjrehnosZv,
^écQ", ou natrummunaticumZ(fi' -
SS* O&uivttlioti,
UiK! dame de 96 aàs, bnioe, gr^ndi^ forte,
se trouve indisposée^ ;^vec -un retard de men^
lïuatioD, fièvre le soir , défaut d'appétit, soif^
langue chargée, fuiblesse, vpmissemçns glai-
reux, chaque mafin.Le quinquina, prballopa-
thûiaeoieqt, exaspère loos les açcidens,. et lea
sjmplôtnes de gastrite se développent.
. 25 [évvicT i8^2,sttychms5(y..
a4. — Absence de vomissemens , Jangue
mçilleure, le soir pas de fièvre, appétit.
35. — Bien : la malade parait au bal à la
grande surprise de ceux qui la sftvaienJ: dans
son lit la veille. La grossesse se confirQt9,et
chaque foijs qoe des nauséesse soat préseqtéés^
elle? ont cédé à sujchnos 3o", ipec. ?°.
D,g,t,.?(ii„ Google
(«9»)
&& Ohservtaîon*
SDPPaEssioH d'orirbs.
Homme ^e soixante ans , fort , pléthorique ,
arrivé la veille» après ud voyage eu poste , ne
peut, qu'avec une peine extrême, évacuer ud
peu d'urine trouble et d'un brun foncé; aux
régions lombaires , douleurs profondes , tor-
dantes, déchirantes , qui de là voat correspon-
dre au bss-ventre; lé malade ne peut supporter
le coucher sur le dos. Un baïn et des boissons
teqiipéranles ont ag;gravé les accidens et rendu
les douleurs intolérables. La face du malade
exprime l'angoissé; le pouls devient fébrile.
,1106 sonde est introduite dans la vessie, que
Ton trouve vide. Coccidus 1 2°, pris le 10 août
iS32 à neuf heures du matin, procure une
détente générale, du calme et un flux abon-
dant d'urine d'abord tt^ès rouge, ist ensuite na-
turelle. Lé même soir le malade est guéri,.
Le 3o août de Kanniée suivante, même acci-
dent au retour d'une partiede chasse. Un bain
ité soulage point. A' onze heures du soir coc-
cul. 12°: Â une heure , cessation des douleurs,
émission d'un peu d'urine foncée; Eonnneil
D,g,t,.?(ii„ Google
( ï95 )
jusqu'à sept heures du matiD. Le malade, à son
réveil, urine aboodàminent et se lëTC guéri.
Ce fait eût exigé allopat^iqnement : cataplat-
mes , sangsues , boissons émulsionnées , ni-
trées, opiacées, etc. ; encore est-il donteux
qu'on eût obleou de prompts résultats. Son
traitement homcsopathique , comme les- précé-
dens que nous venons de soumettre à la médi-
tatioD de nos lecteurs, sert de réplique à ceux
des médecins qui .pourraient encore dire :
H Ifous n'iivons rien à désirer. de, plus pour les
maladies aîgués ; nous en venons à bout : m(ds
on peut tenter l'homaiopat^iie pour Uss ctfs chro«.
niques. ». .; ■, .
n,<j-.^^^:>yGoogIe
( ■94)
VEUXIÈME SECTION,
SiALAPIES CHROMIQVES.
^l'an peuti-en général, eonsidérer ainiWlé
in^vidualUé chaque nodvenu cas de milidie
quiseâVo dans la pratiqtte j la réritédecette
ftssënktb sedémciniré aar-toal par rexa<;te éx-''
(ilohitioà dea dtvera êWls Aron^wéS. Quelle
étonnante Variété dn déiordêes Jk sourctl dlid-
cure, à' physionomie bizarre ^ à durée opiniâ-
tre,. nous avonscoutnaie d'envelopper sous les
vogues expressions d'hjjiochondric , de névro-
ses, d'hyslérie, de'gaslrodynies, etc., et aux-
quels la médecine o i ' dinaii e ne sait opposer ,
quand elle est sage, que la sévérité du régime!
Plus de trois mille personnes atteintes de
maux chroniques ont réclamé DOS soins depuis
les trois années que nous nous sommes occupé
d'horoœopatliie , et nous pourrions avancer
que parmi'ce grand nombre d'iiistoires, toutes
écrites un. syuiptôtoe après l'aulre , il n'en est
pas deux ^ même dans les cas lès plus moltî-
r;,g,N.?(i h, Google
(igS)
piés^ iSH que la gastrite clirdaiqàé , qiii 9ï>îénl
âbsblânieiit iiJèntiques.
Aussi toute mêdîcatioQ antichronïque exl^
t-èlïe ppéalaWemeût une miniilieuse explora»*
tîori dé sjmptôwes. En «'y livrant , le prati-
cien doit s'appliquer i ceui qui sont êsse&ti«l-
lémént caracférisliqires > i* sous le i^apport des
lésions àé iénsïiAtixi (nuances des seniàtiàus ,
Retiré àè doiûeitrs i vicîaiion des. sens ,' etc. )- ;
i' en é^àr^ aux influenrçés q-n'exeréent sar l'é-
tat dâ malade le» drconstancei de temps , df
Kêii, de froid oâ de chaud, dé repos du d«
îaoaiemeat , etc. (Quel ehangeinent su^istenf
les accidans paria marche y ie eoueher; Uma^
tin , le soir ou la nuit , le giand air ou ta chant-
ère, chaude , tmànition ou le rep'as; ètc;)
i)a comprend que plasFi maTâcHé qSi'oii \iùi
traiter s 'éDvîMnnêra «Turi nombreux cArl'égè
^'apparitions anormales, plus le cKoix dti i^e^
âicamêht devièb^r^ s'fiir et facile', parafé' qùé
Pdtî pourra i^èùèUlir un tïfcïéau (ttus fîdëîè H
plus clair dés^ symptôinétf.
Les àgeub'i£iéi}icatëurj que le fbridàleât' i^
ià' Tëfbrine appelle ant^sôriifùeè / soit qu'il
&iflé dciïorder à ce noin l'adcepliôn qiie Itfi
duniH^HahiieiÀàan' , s^it qu*Oft àfl&dfae an miftt
<::>,GoôgIe
(>96)
geecfuoraion vrai senséiyiaologK{atÇhumeur)i
ces médicamens , dis^je , à quelque attéauslion
qu'ils Ateni été portés^sont doué^ ,5ur quelques
constitutions, d'une formidable , énerve et ne
doivent être maniés qu'avec une exlrême cir-
conspection. Il faut snr-touise méfier de la c/i^
cà'ea carboniea chez le* féœnie» délicatei et
{wécairament aienstruéei ; do coitàttn macula-
tUm s'il n'a été précédé d'an autre Antipso-
riqo« ; de la sâicea chez les sujets qui oe sont
pas tourmenta par des fèves effrajaos, etc. n
est d'autf«s singularités que l'observation pra-
-^tiqne a mises successivement eu évidence , «t
q^ nous devons développer ailleurs.
S'il est des sujets chez lesquels les antipso-
xjques (aotiçhropiques?) exercent une action
véhémente, en cpmpeosatioa Ton rencontre
des organisations rebelles aux actions atomi-
jiqpes. G'e^, alors au médecin de réveiller la
sensibilité endormie , soit par la plus fréquente
répclitioQ des doses, soit par l'usage intermé-
diiaire de Vopiwn, du muscovi ('du merc. mé-
talL , s'il j a.je.u abus allppathique d'eaux nû-
^rales mlfurensçs) . Ces préceptes trouveront
jdacedans.lajthérapie. {Biblioihr homœop,)
nigitir^db, Google
( 197 )
Va phénomène qui nous a paru constant ,
lorsque le médicament aDtipsofîqae a été bien
«boisi et qu'il agit coarenablement , c'est le
r^pel sDccessîf de la plupart des incommodi-
tés qqe le malade peut avoir essujées dans'
le çoat's de sa vie passée , telles que hémorrha-
gie, dartres, galle , migraines , dooleùrat
Ji^morrboïdes , etc. Ce sont des espèces de ré-
miniscences qui se succèdent arec ordre , ot-
dioairemeBt les moins anciennes les premières,
etaprëseIle0lespluséloigDées,mémeceUesd'qa
Age tendre , dont le malade a presque perdu le
souvenùf et qu'il est étonné dereyoir. Ces ré-
apparitions ne dorentguère l'une après l'autre
que 5 à 6 jours, pour disparaître. sans retour.
Jje malade reprend à mesure vie et santé; sa
constitution et souvent son caractère ou ses
idées changent : il trouve one nouvelle exis-
tence et ne se reconnaît plus lui-^méme.'
Il airive dans certains cas distincts , teb que
l'asthme» la migraîneyla névralgie, la carie,
elc, que ce réveil soccesàf de sjmptâraes as-
soupis n'est pas a|^récîable , et qu'à sa place
il se déclare une crise homœopathique brusque,
pl»s ou moins forte , suivie d'au mieux soute-
i» et progressif. Cette aggravation critique se
D,g,t,.?(ii„ Google
( .98 )
fait attendre le plus ordiriairemèat ai ai 3 se-
maioes, et jusc^es là le médicamenî , dans
une sourde incubation , ne cevèle s'cm àclîrité
par aucune seosatioù remarquable. La crise
dont nous parlons se manifeste vers le jo^,i5'
ou ao" jour en général , quelquefois pïùs tôt
par certains anticbronîqiies , fèls'que lepfios-'
pkore , d'aiitres fois plus tard , comme par le
zinc et le 5oi{/rj. (L'époque doit, ce hdusséirt-
ble, varier un peu èh rai'âondes'individuàlltèâ.j
Lorsqu'elle niânqué tit que lè' maTàdë éproùVe
lin sbulagénient'lrop prompt; le inèdécitf riV'
pas lièù dé faix îipplauctîr ; c'èit que $aris Jotfîé'
Xi Substance choisie n'étant pas (iarfeitément''
hoMoéo|>atbique , n'agit t^Mt palltàtiifemftiil. It
fatadi-a â'at[etidr£ , en «e «a(s, à voh? ce imeux-
pfécôcê intei'rcnàpa «t une e«pëce de cri:^e se
prononcer plus tard mus IVï^ioa d'uq' autre.
antipsonque. C'est donc on tempa perdu pen-
dant lequel il n'est pa& rare d« soit le malade
perdre pdtitiDce et abaddoniierson tJtaitem^i^t^;
Dans d'autres circonstances (nouaVaTonsdit .
plus haut) la guérison s'obtient, et d'a^ei^oia.-
nière durjible, sans qtie ie malade en ait épfrou-
vê d'aggravation . appi^iaUe : cornue aiusî
l'on rencontre des sujets très «en^blw <^«k..
D,g,t,.?(ii„ Google
■( >99 )
lesquels un remède homœopalhique mal choi-
si développe plusieurs troubles nerveux» sans
que le mieux en soit la conséquence. L'expé-
rience pratique est donc la seule voie qui puis-
-se conduire un médecin attentivement obser-
vateur à une espèce de certitude dans l'usage
des puissances homœopalbîques. Nous l'avons
dit, pén d'allopathes seront disposés à sortir
de la ténébreuse ornière d'une thérapeutique '
uniquement fondée sur des hypothèses ou sur
Tempyrisme ; et quelque claire, quelque pO>
sïtivé et certaine que soit là marché adoptéo
p'ar nous , ils couvriront leurs yeux d'un tri--
plë bandeau, plutôt que d'en affronter Tépi-
neuse étude. Les erreurs soût des liens qu'on
chérit par- habitude comme de vieilles' maî-
tresses.
Les résultats prouvent que de toutes les ma-'
Jadiés guérissables , celles des voies digestives
sont les plus acceissibles aux moyens directs
de l'homcsopathie ; non pas que celte dernière'
possède contre ce genre d'affections des armes
plus sùrc's et plus héroïques j mais parce que ^
depuis quelques années., l'allopathie ayant la
^gesseden'appUquerau|trailement des gastro-
entérites que la rig'ueucdii régime, il s'ensuit
D,g,t,.?(ii„ Google
( aoo )
que les remèdes purs pénétrant un oi^aniMïtç .
libre de principes médicinaux quelconques ,
n'^ rencontrent aucune entrave à leur puis*
saoce.
D'une autre part , les gastrites chroniques
tiennent très-souvent à toute autre cause qu'un
germe humoral héréditaire ou acquis delongue
niain ; ce qui fait qu'elles cèdent avec plui de
promptitude que d'autres chronicités, telles
que la goutte , le scrofule , les dartres , l'épi-
lepsie^elc. , qui nepeuvent guérir qu'à la suite-
d'une lente révolution dans le système organi-
que; rcvolution que la nature ne sait opérer
qu'à l'aide du mouvement moléculaire de U,
chimie vivaate et qui exige par conséquent des
soins prolongés' H n'est pas trop quelquefois
d'une ou de deux années de traitement pour.
produire une complète réforme dans une cons-
titution détériorée. Ce laps de temps effraiera
bon nombre de malades , plus soucieux dé s'a-
donner à la légèreté de leurs goûts que d'ac-
quérir le bicn-éti'e futur de leur existence au
prix d'actuelles privations.
Eo général , la cure des maladies chroniques,
si l'on veut l'obtenir profonde et durable , .
exige une longue et tenace persévérance. Et
D,g,t,.?(ii„ Google
C "ï )
'même à qoet signé certain reconnaître qu'uae
guémoDcst vraie, parfaite, définitive? qu'on
a gagné autre chose qu'une palliatiou tempo-
raire ? ■
Ces inotir» nous engagent à ne rapporler
qu^un nombre borné d'histoires de maladies
chroniques , nous réservant de donner plus
tard de la publicité à un travail.plus imporlant
et plus complet que n'a pu l'être celte faible
esquisse. '
GASTHITBS , GA5TH0 - EHTÉBITES' CHHOKIQCM ',
GASTBALGIBS; GA.STRODIHIBS.
,57* Observation.
Un rentier de quarante-six ans , sec et mai-
gre, sujet anx affections rhumatismales , et qui
a subi divers traileuiens mercuriels, éprouve ,
depuis plusieurs années , une douleur d'esto-
mac , avec sensation de barre transversale , de
tension, de constrictîon , de crampe; celle
gastralgie se fart ressentir plus vivement après
les repas et après la marche; le malade perd
graduellement ses forces, et sa nraigreur
augmente. Les ressoui-ces delà médecine ordi-
naire ont étéépoisées.
.:>yGoogIe
( ?«? )
jHthiqtiçs ont des sypipiômes de gasIrod^^iÇ'
£<es principaux soDt : ipéca., chupuj/p.; china,
bismuthum, cocculus, carboveg-, calcç>:ea,
hryonia, c^c. Le calage peD<JaDt la nuit, l'ab-
sence de (rouble bilans et de vomissement,
Iaiçai|scrhu.mattsinale de cette affection, qu'ag-
grave le moiivapient , sa nature crampoïde ,
tout à la fois indique ici le choix de bryonia 3o*,
qui, donnée le y janvier iS33, répond à notre
attente ; china i5o > ajaut également des
6)'iapytâine» de crampe gaal^ue aprèç l£ te-
pasj de pesanleor et de consiriction, çst. donné
ensuite. Le malade ^ fléjà mieux à la fin de
janvier, reprend son embonpoint,' ses forces, et
se trouve conaplétement guéri , le ao révrier,
Calcarça carbonàca 3o' consolide la cure.
-58° Observation.
ÂodeD milîlaire, quarante-cinq ans,graBdf
bruH , figure pÂl« , bien constitué, languissant
depuis quelques fannée?.. affecté d'un rhu-
ïçatisme musculaire vague ^ ^ plaint de dqu-
l^jir k la gorge , de mauvaises digestions , d'uiL
pmds douloureux à l'épigastre j d'une toux
sèche plus forte le matin, et, seulement alors.
D,g,t,.?(ii„ Google
( ?o3 )
«livie cl-'aiie eçpecloraEioo mpcojp;- jcfeûsev
L'ipspection 4ç rjrrière-boucl(e fait diçouvcir
une coloration roiige-brun de la memlirane
muqaeuîie, qui rç^vêt le pharynx. Celte mem-
bi;ane estr'Jgûeusfi , bourpoufllée , parsetpée M
granulafipiis l>lanchâ^s }. elle est sensible pen^r
4ant l'acte âe la déglutition i la langue est rouge,
feodill^, ses papilles j|o^levées ; l'appétit nu^
OU bizarre;. le? digestions lentes, accompa-
gnées de renvois, de tensions- douloprepses de;
l'épigastre , de fatiguç des membres , de tris-
tesse et de pesanteur de tête avec langiieur d^
la mémoire et des idées,- fréquentes douleurs
de cnnsfrictipn dans l'estoinac * avec chaleur
de celte région j ancien suintement, m uqu eux
yarl'urcthre, tachant à. peine le linge dujna-;
lade.
Tliérapie. Les effets pathogénétiques de
strychnos représentant la -plupart des sympfS-
pies .décrit» ci-dessus, tels que : rougeur et
^çreté de la. gprge; gastralgie avec çoDStric-
tioa; digestions pénibles; toux et expectora-
tion le Miatin ;. rapports, etc., on débute pa^
son^ émplcn le so mars i833.
aS- — Mieux général i le malade est plus
gai, soft appétit meiHetir, ses digestions plus
faciles.
D,g,t,.?(ii„ Google
( îo4)
La membrane maqaeiisé dû pharynx a per-
du une partie de sa rongeur, la langue est
mieux , la toux presque Dulle.
Jusqu'au 3 aTril'l'aDiélioFation Tait des pro-
grès sous l'influence de ce médicament alterné
avec ignatia amarà 1 3°, de huit en huit jours.
A cette époque^ le malade se'trouve dans un
état complet de santé^ et ne se plaint plus que
do saintement urélbral, dont ila grande impa-
tience d'être délivré... .
6 avril. Thuya So". Ce médicament, classé
parmi les antîpsoriques, enlève en très peu de
jonrs le suintement habituel dont il est ques-
tion, mais il développe chez le malade (que
n'ont pas impressionné d'une manière sen-
sible les méHicamens apsonques mis en usage
précédemment) une série de symptômes [nrti-
culiers au thuya et relatifs aux maux passés de
l'individu.
Ainsi , successivement pendant quinze jours
enflure des jambes, douleur vive dans un cor
au pied qui s'cnflainme, pression dans tes
yeux, douleur rhumatismale del'épaule droite,
puis du col, puis des lombes, renvois, crampes
d'inteslins , reloiir passager de gastridgie et de
toux, difficuUé de remiiér, les bras, rougeur
.,g,t,.?(ii„ Google
(.ofi) ;
brâbale ft hCicé, Mpèce de cerju, ete> N<)»
nefafttant rezisteiK» lie ces pbénoiWBW, I4
Mnté <)n malade M foriific. *V
' 7 mai; Bien coin{fle( , emfaoapcuiit ceunr^
qodile. iJans riate8tjoa.de. n^pè le este
•oJîde et de {ntéveitic tootexe chute ,- noM
IwminoDsptr tftie.doae deijvopoiiiiim.Sor.Ç»
nédreament comme le précédent déTe|i^»|^
bientôt des effets patliogénéUquts fatigaiât;
auquel le roalademet un tenne en prenantdii
café et, en commettant dire» écarts de régiatej
depuis lors il n'a rien resacnii et sa santé s'est
aDtttentie.
Une dame de 46 a»<, brone, forte, co*
leriev frotssée.par des peines moraleSi éprou-
^t, dêpBÎs qu^tfoe» mois y des embarras gaS'
triques et des irrégularités dans les époques
lÀenstruelles , quand cette foocUoa fut brus-
quement'suppriméepar l'jénaétiqne et les pur-
gatifs, qu'on prescrivait d^ins le but de rétablir
les fon<Hion5 dîgestives. Celles •ci» à la sUite^
d'une telle médicaliou , ont acheré de se d^té-
tioreret, bien qu'on ait depuis lorscbangé de
ty>tèmc> qu'on aiïd<^té esctnsiemeQt les
n,,i-r«::>yGoogIe
hftia iMjMutiJqokttevia-sMité.
Tàbmm de la maimiie au uGjëviàar. i^H^t
SttppMssion <!•* règlet ibpais q«ltEè.n(M»;
ÀitiidgtlsSfâientceii&tdétaUej^&léar; tsHîfM
IM^vasj fangaâ rouge etMtburnUe; vauiét»)
kdi6û»jtg^<n ) mtmâs iKftlsns ; roiBnaeiawt
Al toat* esjibi» d'aHi^n* t «vàraiiM particii*
li^ fpa«r le^ftit.) gash-Alg^ie, ifuv rinaai^M
k(»sôtaecalm« et prévient t iralap{Ktit; (bpc«
th^s alvineè rares vl dîtiloilïâ. '
' Tkertpi^ De cejoiFavaS mtos alteruaU^
Temepl, sùyvknpsSo' H ignaUa amara 1 3*, qvi
ciiaque fois proiii0q)i«ni;<l(s wcès de vert^es
(aiosi que d'autres symptômes plus l^erset
)rfii9 fbgaéei), loujouri suivis d'une- aaaéfio-
t-aHôD nolsMe.' La malade péesd soccçann^
ment ; satis en élrc inconawâéiB ^ du bouîUta
tJébwuf, ^piwlet bouilli, des dôtelellas d«
ttibaloB ; pois , ênfio , It» atim^ns les ^m vfbe
%1a'ritieb, sattateMiieiilipaiiâoife deulénrd'cnto-
irnac ; ses forces , son embonpmnt ât sa caldn-
lioii Mviennent par gradation.
1*' avril, apparition <les uieDstruesi ' •
■ ir — ^iiptioR orlicaiie accompagnée
'4*(iri pforittrèï viF, de constipation, de mux
nigitir^db, Google
«Je tête ... Ces sjmpt&mès cèdent vd trois loorg
à verairuin alhaih So l è\ Ts tnalaiire se contidé-
rant comme guérie. suspend touirégimet
; j4-" -- Tapeors bj^stér^vet» moOTcdbeB
MngtritM *ers Is tét6; ptt^ iftatan» Viire <i»lwiiL
iSon et It r«c* ; ébkwistefMm «« vèrtîgiii.Oii
fetrcideod eédi^t <ii 5 jtmn i AniAiloMM wv^
n/lfwn 3o et uiie ymïa odoratà n.
3 juiD.l«ineitAmti#««été ppi^'ft!. fibd-
léur de pression eodstasle «te U partie j^os-
térieuPe dv ta téie, tvHMr de f^i^^ Mb«i|<
InnéM eoQtinaeb. Ces derniers efedeot <Hm
le second joar î trae dosé acii'. pM^. fft iMli
les tsrtige» «t U <<filiri*%ig p jHwIwH ? Jb
ao^theRtëat Aprfea les rep» ,- nutr tcm: nnib
d'un mîeDfc prononcé. Le régime «M immim-
veau mis de tèté.
iÉ. — ^ Douleurs lemlMiyeff ^u i l e y i» i it>l>-
doiirïml, soiM autre iroràte dft» ki HMlé 4pU
parat^brillàntë, (^onKimilb tt eidàieeet-v^m-
ptûwCT; la ruèristroation repentit», Swié f&r~
Taite , jusqu'au i5 octobre; retour dé Môl-
lemeici 3pasmodi(ptett et d'ffiie doekw inter-
scaputaire assee Torte. Ces melaises eédeMlvtt
d*afT coup à âne Koledose dtttb^ p ka m^k i^
nigitir^db, Google
(»o8-)
liât dan)» J-'ÀvigDon, trentd-sept aos,
Jlmike, fflible> a^ant eu- des chagrio»j me
«ensuite', le 2g'inarsi83i, pour unç maladie
qv^ifiée J* gastro-eolérite chroni(]Juè*p&r ««s.
précédens médeciosr
■ *— TaMeaudessp^tâmes aciiiefsi
■ ItH^eur prononcée] face TJeillie, ridée,
JBBdâirv; laogue fendue» papilles soulevées;
^tdeor fétide; alterpatives de- diarrhée et de
i^ut^tioo; frissons et cjiialoor tour-à-loar ;
lDpu*caeal fébrile chaque nuit; toux .s^uipa^»
féhiqae» pliu Forte au-rétreil; pomeltes .colo*
iâmii.jef^<t9\rv» peu abondantes; dëcourage-
niect; tristesse; Tangneur générale.
' .SUe prtndj le 99 Aa &oir eo se couchant >
mis basrâs aptes Mn souper, str/vhnos So".
8o>-^GhtiIeHisihoraciques suivies de l'ap-
ptritîon anticipée d«6 règles ,. Soutagemént'gé-
• iaa¥nI>Tousie95}'itipi6niesM$ontamëUo*
•rés^.i^ qui fatigue le plus la malade, c'est ùo
fipid esebasif dès pie^s , que rien ne peut ré-
chauffer, Ce sj'mptôme se trouve parmi ce»x:~
n,<j-.^^^:>yGoogIe
àeVignatia, substance applicable à l'était gèaê-
rai de la mala'(le,'^/i(if. ta".
i4<—^ Mieux prononça, selles. rég,ularisées.
Le symptôme préflominant , par»ii les restahs,,'
est UQ tiraillement douloureux dans la poîtrinr
et les seins , sur-tout en levant les bras.
-ao. ^— Coccuîus la' n'est suivi d'aiicun caan-
gement remarquable.
a5. -^ Jîr>^«rà a4Bn!ève ces symptômes,
et ^«cure nne légët^ diarrhée. La malade re-
prend de jour en jour des. forces: elle retourne
à Avignon, le 16 mai, claus jmétat de saott^
assez satisfuisanl. '. '
. , 6i'0A«»v«afl«. ". * ... ,'..
Uocoiffeiir, quarante-trois ans, maigre, (àce
Tieillîe , tirée, était' afTeetéiictepnis. trois ans,
d'une gastro-entéi-ife pour laquelle ît avait
épuisé les ressources delà médecine ordînaîro.
, Nux vomica So".
Guérison obtenue par une seule dose.
. {Le maladeavait supendu l'exercice de sa
profession ^our fuir l'itiQnencedes parfums.)
• ■ ^*'Oèsert>ation. ■' ' t
Une dame de trenté'sept ^ns , gros» e et plé
nigitir^i h, Google
C »'9 3
thoriqifâ, sujette dêpàis long -temps aox piiV
graioei, et ne pouvant- dji^érer, $ans souffrir^
auciiD aliment soUde, est traitée en vain, de-
puis une année , par lè résine le plus séVère i
le repos , les baioS , etc. Ellu cprotive, 4*^ux ou
trois lienres après cha^jue lypas, qiielf^iie petit
qu'il soit , un serrement t^utoureux. dans U
région stomacale et Aps paroxysmes iJe so'da^
avec Kosation brâlaDl^gni part àe l'esloniae
et monte jusqu'au gosnr, eii. y excitant une
•gglnniçralion d'eau àtjj're; à ces malaise^ se
joignent des palpitations, des coliques, une
pression cuisante sur la tempe droite, teîn't
jaiiBet langue rouge, faiblesse, soif, LristtiS-
»e, etc. La malad» «MnoMOce un -traitement
lioflDœopathique le i*' mai i83a, JS^Uad. 3o«
et AUX 5d° font JUparaftre la migraine haU-
tueUé et rçlablissent les digestion* en très pe^
^e temps. Cette dame , qui se croit parfaite-
ment guérie , cesse tout tràitemept , et les ac-
cidens reparaissent au bout dé quatre moû. lU '
cèdent de nouveap k nux et igmtia alternés.
^ais Texpérience ayant démoniré la nécessîfé
d^uH traitement onZ/cArônii^ue,. on la soumet
pendant ax mois jk tinct. (nfyAunSf iaUcarea ,
f^rko. Elle se porte , depuis lor^ , à merr^le.
nigitir^db, Google
' ' . 63' Observation.'
fiemoifiriledédkiMieafihiiychistiv«;Uo9*^
in«1«da depw atw année» digestio*whïrit«*;
.»«A.dans répigsslre ^i dfttulordiAi; *ip«»iit-
re», «miles avec uosentimoiU do «iotÉJemviMtk-
jant* i'^oi «wré'spond du bàB-Twrfre itîà w^iofi
de« reins; «bdotnen toiidu, ebaiNl, copttipi'
tion opiniâtre; soif( parltwi TOmiswmeWi *fcs
' alimcns ; «iicrtAroubl* reflwrquiiWe danis Ma
«fi^rraU Tâsculaîre et reipiPâMi*- '
■ 4 fétnet.campkom i'. r. 't
.5, — Urârie plus âboïMfaBte , sellfe ;.dtf fôdie
TMte pas de *baogeifteoi. — ■ j^eretnttH la';-
$. .—Absence de soif, de tMniàaédwms, #é
eha^euf abdominal» , moins de gasUalgM.^^i.
la. _ Mieux; cependant ^di^tl^tHrictt^-
iifcres } , gasiralgie brWanle; stfda-, rtpp(*ls i
hùih&tygtûtêi - ■.■■■■•'
iPajr vcAHiea 30'. ^' ' * '
Quelques ioArs apr^ , fo uiU^se tron^ Si
'parftà« éaéW. ' ^
64* (Atervatian.
Ufi heumé de tceote-cinq ans, grand et
n,<j„,.™r,,GoogIe
(31»)
btoDd, «flisuyé, dix-huil mois auparavant,
un rfaanJatUme aigu> qu'on a traité par Ids
fMgapés I le iusùe stibié ^ les {unûgatioiia , etc. .
j5a Mnvaleâcence a doré trois mois, et même
-il Be s'est pas encore bleorétabU. Ses dlges-
-liofls, depuis cette époque, iont irré^lisres ^
■ dlltque soir IV-Tomit ses atimeps, non pas du
. imr.môOie , 'mais de la valle. Tous les deuXQU
trUia iour» migraine, avec compression autour
.«fe la léte, comme par pne corde forlement
.a^rrée } langue saburrale ; pcftu sèche et aride ;
constipation alternant avec diarrhée; quelque-
fois Urines sabloneu^es; TaCUilé à,se rérroidir;
coryza chronique, etc. I^copodàtgt 3o?, pris
le f a avril, occasione un surcroit.de Tomia-
att|ieas et de dépôt rougeâtre dans l'arine. Les
.nÙgl'aiaè» sont plifs fortes et chao^nt de ca-
^nclérej le coryza n'existe plus.
7 roai , Ions ces malaises ont disparu : le ma-
lade digère bien , son appétit est immodéré ,
Diais des douleurs se sont rëveilléçs m diverses
, parties. Cai:ho -ueffitabiiù 3b', sepia 3o* et aad.
miric. 3oo, ont complété le réubtissemeat de
la safllé
D,g,t,.?(ii„ Google
( »S ).
65* ObtervatioH^. ,.
' Une damé cte 4^ ans, maigte, pâle etaflfectéê
d'une gastrile chronique avec laagae fendUlée,
rouge, vomisseineQS <]*eàu claire chaque nuit
de 4 À 5 heures, digestions péuibles, leotcs»
agitation', insomoie, mélancolie, dovleon tî*
raillantes dans la poitrine et daiw les h jpocbon-
dres, selles rares, menstrues trop copieuses et
Tenant toutes les trois semaines. Cette damé doit
le retour d'une santé parfaite à Ijrcopodium 3o^
harytaZa, et sûicufnSo.après&îxmoi? dctrat-
'temenl et après avoir éprouvé une série de
cbàngetnèns insolites da.n» sa mapière d'être.
66" Observation.
Uite jeune Temme de 35 ans, irrégalière-
, ment menstmée, afiectéedepais4 exilées de
-raanxd'estomacavecvomissemenA, indigestitois
fréqDentes, coliques, maux de tête, consti[Kl-
tion, eto.; réclame les secours faômoaopalhiquf^
le i3 avril i83i; teint jaune , iacè vieillie,
«maigrifisement, voanssemens après chaque
repas, rapports aigres, crampeï avec douleur
ptHgnantej colique» continueltea sans diar-
D,g,t,.?(ii„ Google
<m4) *
rhée..i hci Tomissemeas sont dissipés en 4 jours
par plusieurs doses à'ipeca 6' répétées. Une
4ose èesUt/mufnS° et une de ^ehatmm 3o' fpDt
disparaiite le reste dessjinptômes, ei la maladf
ÏQuU ap joortl'bui d'une iH>nne santé.
67' Observation.
■ ' 0n jeoo' 'lomme, 27 ans , brun , bilioso-saq-
giiiii, fort iiient constitué, éprotive, depuis
deuxans,(.jfpéqiiftDles Coliques,^ avec un senlir
nientdeiioidet de pesanteur dans rabdouieii;
les digestioDS se font avec ui\e extrême lenteur;
la peau est fraîche ; fa langue rouge ', la consti-
pation opiniâtre.
iCeinaladeprend,le,i6 février i83a, une dose
de chamomilla ia° ^choisie d'après le sym-
ptôme càrtctéristi^w-de la.MBstiisn da fA>id
^ui - acCMi^giie le* ccrfique»); dttuK bs«ns
«prl», dottleurs.iBteslin^M «vec scnUmttkt jIb
IwisKie géttâ^e dés membre»; soif; fr*icldMto
le ventra ; faidat^ oM éi*< t'apitiw, Lm fifi»
MÙVMU il est niieui; qu'à l'tiéliicine.
Lftio BMtrs, U digtvfrpMfaîlKiBQikiéiMfM-
tMn-abaMradimr.- . »
D,g,t,.?(ii„ Google
68" Ohservatùm. , . .. ^ l.
GiSTBO-DÇODÊHU-HÉPÀTITB CRfLOniQÙE.'
Une reâinie de 49 ans, jaune ,> maigre, ma*
lad« depuis plusieurs antt^^ présente le tif-
bleail suivant: Hévre-, ponts petit, in.^al,
face vieillie., tiréaréataciéajfOftfofictive jau-
qâtre; langue sabufrale; peau sèi-he; ypnii^se-
rneiis-C'unlinut^is, suit d'ulimens, soit dé Itîleet
Je inurus; région hépalhiqiie Tcnitenie, dou^
ïoureuse.'Ce't état résiste depuis quelques moi^ '
aux saignées locales^ aux bains, au:^ catïq>W7
ities, à un cautère épigastrïqae, etc.
4 mars i$53, rmx'vcwnica^io''; trois h«ïures
après^elle suppprte gn I«>iiIllon gras, «t deicfl
niMnent na Tomit.piB.ii.
.7,"^-^<S^^''4°« -, : ■ ■ , ^
9 — La m^ade m leïéè e^ la di£e|}tioa.it^
fait avec ^ssez de. iaciliU. Oo^lp^ )a ^«giçp
hépatique ^os j d^velqpper une yva^de^ddif-
leur; dep|ii:> I^ di^nier reiB^e.-iL seitiblefi^
.walatle que la peau àema ventre se 4^a{çhq,
(c'est l'expressiço àt^nX ç|Ie ^serl); ^i^^
sotitepu jusqu'au 19 , alors teisiQ^^iib^fHnt-
n,,vf<!!>, Google
( «>6 )
n'aie, nalaise.ânor'éxie, adrilHiéeiiPappTache
de» menstrues.
37» — Elles aparaissent et la malade se
trouvant bien cesse tout traitement. .
'■ 69' Observation.
.. DOOBillITB' CBBOMlQeS.
Uq teneur de livres, 35 ans, grand, mai-
gre, cependant fortement constitaé, est af-
fecté depuis longuesannéesd'ttne maladie que
la plupartdésinédecifiscoiisultésont appelée :
dtiûdénile chi'oniciue avec ^altation névropa"
, tbique.
Tableau de ti ^lad&. Douleur pennânente-
et rjuclqueftHS lancinante dans la rfSgiun duo-
dénale avec déliilité géné^rale , chaleur à' la
paume des liiains; langtie constamment sabur-
Yale î'inappélenCe ; serrement douloureux an»-
'Ibur des tempes'; tête lourde ainsi qoé les pau-^
"pières sopérjern-eslsor-totii le matin... Denx
^oses de •h'tjonin^^*', non saivies d'a^grflva-
■ tidn, suffisent poor'rélablir en peu de jours l'é-
^âl'flôrmal. 'On termine le traitemeot' par
tià^t. mlph.So''.
D,g,t,.?(ii„GoogIe ■
k (s-?),
•^(^Observation. "
SOaiS pB.COI.i7fi ÇlIRpHlQIIE.
Va agent-de-phange , quara'jrte-ilenX ans ,
bruD', grand, sec, irritable ^ n'a jainais'eu ui :
rhumatisme , pi sjphilis ;. est malaje depuiS^'
quinze à seize ans, époque; d'un dba^ia violent -
qu'il essQ^'a.
Tableau de. la maladie : bon clat, des ap-
pareils digestif et respiratoire ; tous lés jourt
de cinq à six heures du matin , Jj^nialade res-
sent dans la région hypogaâlil^ûe ,, une dou-
leur gravative, suivie d'q ri besoin urgeM
d'aller à la selle; il s'y présente .d'abord en vain,
perçoit la' sensation d'un corps dur dans le .
ventre. Ce n'est que tleiix Iiçures après cette
première tendance quotidienne,, qu'il peut
rendre des matières glaireuses, eoveloppét?
d'une pâte blanche et quelquefois de sang; Im-
médiatement après cette déjection , le malade
éprouve une: viclctite cuisson a l'anus, accom-
pagnée fréqoemnieni d'élanceinens dans'.le
rectum, dé ténesmeel de besoins ractices.d'alleT
à' la garde-robe; sommeil ra^, urine' natu-
relle. '
nigitir^db, Google
( »i8 ) . •
Le choil. du tMhét^ ^WCmI n'éuit pas fa-
cile; plusieurs des s^mpiômes de la maladie
étaient desslùés dam n^i Sa' ^/tOfwn , de
Voltinder, iu ' colijbicum , da cA«a^du l^r*
trat. sïih.y de la erroné, tfe ^Apuh.^ mais la sta^
phjsagh'a eO réunissait le pTas grand oôËobre.
Itpremt le i3 lévrier )834, une dose de
celte sutstaoce 01**.
16 eli 7. — ExacerbalkmdessjrmpfÔmcsba^
bhoels , suivie d^un mieux général.'
ao. — Lase'tràatioodecorpsduretleténesmc,
<tni disparu ft^si que le. besoia. pérîocfitjae. ,
'^8. —Tout est mieux au bas-veotnlf, maîsU
fnalaaie semble avoircbangédésiégeic^estres-
tomac qui est actuellement affëçlé i là diges-
tîoD est leote, pénil^e, ta constipation opr-
niâtré ; on prescrit ; ^rjrchnos So".'
13 mars. Le malade se trouve dans nà élit
complet de santé qui s'est mainlCDà depuis*
, CWJQDS!»' WATliQttn.
Dame detryiie-sixans, brnae^douref ajant
fssu^é de yioleos chagiins , est traitée alUpa-
tbiquement jponr nue gaitro-éntérite cbro-
D,g,t,.?(ii„Go'ogIe
niqnej qui * laUsé des traces d'engtn^f ment
dùulotireux au foie j\ de te ai ps en temps la
r^on hépalique M tuméfie, dftfient ex<*es-
siïeD)ent sensible ao toucher ; elle est alors,le
Mgfe d'élflncéfflsm tU$^ et.pn}famJ8 1 ; l'épauie
«1 r«wopUt9 dreilie sont dovloBraUS') «t U
Itràt ÎMntt. C«s panKysmes dureHt pltuHwtvf
ioan»ile eédeal pas.toBJoqra as» bûwf t «t^
Miigss^) et oaswnl âi^io$ir«rafeqï d'vfia Bifl*
iiière bFiu<{ue> La DiUadirest ea OHtr* a$èctf«
d'aiitt niétrorrhagia plq» o« moittSi fpiSe ^ nùtb
contineclU , qui épuise »bi forces; pA$ d'apr
pélit, amàigriiiemeiit, <clé)«ctioris Qaiurelka-.^ t
traitement hoiucBC^H^thiqtie «oirtnt«Beé l« 2e
Janvier. 1,83s, f^a niétr»rrhagi« 9:céàékpfd'
0Mtitia i%", êl cb4M|ii« (oi^ qu'us M^ê» de
con^euion doatourewM s lieu mip la fci«i ii
céda comm* par eit^haeiAmeiit à àfatOum. «t
iistr)Khiios, mais ils n*Qi)t'cea»é.<«tièrertieQ(^
^ue depuis qu'on a donné 3as$^aiiila Se", d*M
le soupçon de l'existence de i^ue1q«c9 ealoula
biliaires..., quatre dose» ont été prues dai)a
- l'espace de deux mois. I^ malade- n*a ptak
kovfi^t : elle f st grasse , fraiche , jouit d'iio
bon appétit , et set forces depuis Jai^-te«pt
hriséetr lantMranuea.
nigitir^db, Google
C «ao)
. ^a' Obtervatâm.
HfitKITSS CHBOniQtrSS. <
. IToe femine de 36 aos, grande, forte, bien.
Colistitaéé, à là suite de ses coactieS est at'
teinté d'une méti-ite aîg^ qu'on ■ maitrise
ftvec [Veine à t'atde fie plosieur$ applipations
de sangsues, de saigtiées, de cataplasmesy etc.,
et qui meriaM de passer à l'état ebroniqoe.
An boni de deux mois^ la malade n'a.pti en-
core abandonner soE Ut; prostr«aion» émt-
ctfltion considérable; ponts ifaible, fréquent;
face gH|^pée ; abdomen tuméfié, doalooeeox,
sur-tout à Ja pression j sentiment de pesanteur
Ters le rectQm; douleurs qui s'étendent le.
long des cuisses; globe nlérin développé, dar;
coQstipatioo ; dysurie ; lechies su ppriinées. de-
puis le cotnmencement de la maladie ; langue
sabnrrale; soif; inquiétude; d'après cette
coïncidence de ayniptômes gastriques , on Croit
devoir débuter pars«ryc/«os 3o", administres
le la févrietiSSa'. Deux heures après, laniar
Jade éproqye quelques borborygmcs , et sent
j'epai'aître les lochies; le même soir, selle oa-.
lurelleet digestion d'un potage bu J^cas. ' ;
r:,9,N..(ib, Google
(.»>)■
s*' février* Face «paoptiiè ;- l»fgue ImuM;^,
tce, presque neUojréç; aBdoOiin moins leiwlv,
«iipporÛBt ' Iç palper; «bMdaoce d'ecou^-
menl va^ïiul i pools nornàal ; ippétài excouf ; >
on permet des idimens; - • , - <
„ Huit joursaprès,, la guérisop esl cbtnpIètB'.
Ce fait et bico d'autres de-cèitte ualure, pu*'
raîtrontiocroyablesanx médèciot «Ilopalfiai.,
iiccQàtumés à roir ces maladies roùsterpéiH
dant six m«is , pn an , deux aiis et plus; ao
xeposiar nu lit, aidé. dsf dièle Maucbe, A»
£aignéesTép^tées, de cautère» praliqwpaAuf 1m
lombes, et , malgré ces tortures y pa^ietr si so»*
veut encore à^une dé^néreseence iacorable.
L^ plu* sa^ essaierûnt ï le plu» grand tuaa»
bre dira le fait est faux.;
' ■ ^ " "ji* .Oèseivatiôn.
tJfle femme de trente-aeptaiM, maif IV, pAlsr
ttfiivt jaunitrc, uialade depuis trois ansj époq[ws
d'une couche laborieuse ; utérus engorgé,
. sensible au loucher, abaissé et tçgèwfiient
dévié à droite} leucorrhée abondante) g«*a
tralgie ; dif&cuUé pOnr digérar»; déjetiltOBif
doubu.reifsçis ; fréquentes ■«uivie* ^vxmtFt
men^ues diminuées, e^ pi^cétlées pvodaBfc
i5
D,g,t,.?(ii„ Google
s-j<HM'(fo 4oit1eun1on^ttvs et cfu-
r '-4 >^ninev $^»AMr. &. L'tHérai ,' après
q^iri^BM)Mnjpàralt plus bas. Leï s^Âpi^mes
V'ageravent tous ; il s'y joint de la céphalaV
gwâT«o«latiOemeii«) des dotileurs de traction
' aimi les jar[«t8-«t dans les cuisses ; démao-
fjgpHMMu sar les èras et la {HHtnite, ardeur et
prurit' à là .yalve, dégoût èça aUmens lé^-
gK^ et (les friaÉdes btanchcfi. Ces 'pWno''-
iHMinpi s'apaiséfrt 'gradodlemeift. L^tfpocpie
dti «à^as.arrÎTesansdouleur; elles sont plas
,. fi.in«rier. fôgettions merireares j l'engorge-
vonit Mérin epfltiMenoe A dimittuev ;larnaladè
prend eacore plàtina Gif , acid. phosfAx'^'.
30 mai. Sa santé ^j;. p^rfiiLte , elle tr*à plus
de leucorrhée ni malaise. Au toucher i'Htérus,
çii^Bjvtbn «Mt lïfttnrel.- - ' ^
.74 Observation.
' Une Espagnole, 36 ans/Torie; sangttine
BiMi amaigrie par la souffrance; est traitée, de-
péîvfl"ai>s et Sans soccès ,- par le^ prebiiers' m^-
i,9 àm d» !^s pour ane affectibn chronique
Ai-4iiiiltric«, stiife id'itaç coiachë là&orieusË.
■n,<j„,.™r,,GoogIe
( »>3 i
q^fihrçeolU malade àj^ardev la jx^^i^ofi ^Oix
rizpnlf4ej^<lj5une;.coliqHe8 ang^âe^ifit^à 1'^-
]iO(]pe. doD règlçi , qui çofllept eij , c«Uoi^ d^ ■
S9ng noir et avec des coatràctions très duq-
Jçifivus^. dail» le ^irventfe; afNràs cha|i(ue
«|)pqp«j urines épaisses et sftDSi^fipQçlelir^iur^
dans leâ f isins. . . ■ . ^
*i féttier:~Q}muat.mac.5oS' après dîyers
phénoixièaes^provRqutîfTers le i5, c^|;(]b {^
Maàltiie aigqë» avec Qè«re «Fdiîçte , Tiis p^n-
c«m0a»f sensibilité extréipe da . ^s-v^Ue,
suppression de Vucine p{!p4aot S jOQfSf W4Sr
. mes, etQ. CeUe;crise passée tout rentre dans
Tordre et la midadesftcoiïTç beaucoiïp mieux
%]a'aTapt de coqimencer le traitement. Son
teint Se colore ; ses forces renaissent; elle peut
l(eje¥pp,,mar.c:Uer£t sortir •. ■; ..
' 18. -rr Nouvelle dpse de conîum 3o*, ^ûi ne
' proyotfDe pas d'aggravation'. Le mieux £e sou-
t^iat , 1^ malade engraisse et sa guèrison Se
j^^oiirDie. ■ ' .' '■
' y^* Observation. '^■'■■■■
UftTBiLGIE rsBIODIQUE.
- linp r«vunade.sgi|n3, forte >pléll|pri^ue.
n,<j„,.™r,,GoogIe
{ »«4 )
chaque période raenstriié)tevi6leD|$# coliques
qui dorant <]uelt|tiefoi3 ptusieDtf. jours et qm
depois 3 ans j'avais allOpalblquement trai-
tées par les saignées , les baii^x, stttpéfin».
etc....
te'iS férlciér i853 l'âppi:odie iles r^éa
ayant ramehé'lesaccidens ordinaires, je donav
puisât 3o*; mieux deux heures après.
16, 17. -^Calnie soutenu; la nrâladfémec^
veillée raqoeàses affaires dornastîques.-
18;, ig.' — Apparition un peu anticipée de*.
règles... \j6 mois suivant absence de colii|ues
"et c6mmenrinnent de grossesse.
76* Ohtervatioit,
■ ,■ ' . . ■ ■ ••
CTSTITB CBBomQDB.
Cointçde**%, ancien mititoirei, grand, blond,
caractère patient et doux; détenu triti irri-
,tab!e par 10 années de snoffrânoés, n'a mm*
Tenir d'aucune allemte de maladies OiiahéeS,
niaû a subi pbiiiieurs traiieûieps "' merca* '
riels; tourmenté de plos en ptus par Tétat
suivant :
" Vertiges fr'éqdens >^^ embarras de tête, perce
de' la "mémoire ï bourdonnement U'ormllèrt
n,<j„,.™r,,GoogIe
<«5)
4é»ip e]Uréme 6a Wpoi , NiélMC«fi«{ fx»
ttèîm stftceptibililé lierretiK ; tbatfe Ttrntliati
d» lémpéraltire aggrave les i^roiplànies. Bii-
MsM» dn jamliesi incoaliDeDce d'urioe bqc
tatne qui obligf le malade de s* levet Saîoia
diaqne nuit; copstipalion opimiire; Tomiv
•eiAeiisglàireuK ; îosomnïe; crampes dotilou-
-' renses dan» les -jambfs. ,
Gè malade qui a depuis long-lemp» épuisé
Motos les ressources de la médecine allopa-
thiqne', coimiience wn- traitement~%t)incec»
pathiqne I^^P arrit t ASft. Sous rinfluenee dé
cartaabié i** et ànemmte la^ allernës, l'éM
4t( .malade s'àDiéliore grandem&nl.
1 9 mai. Cqiuu/r ffu^/. 5o9. rapiielte toiis les
«ceide^, qnVn pallie àe nouveau par càtMA.
«tdpwm. -..
' a jnîllek .<7ausûiciivn So'',. qui. ve» le-iS*
îonr produit de Violens spasmes vésicaux avec
félentionBioiiicHianéâ d'urine, vomisaemeoi,
deutenn lombaires , cràmpçs, eic.ideceBh)^
. ftieni mieux soulend.
Zlë€AuTmct.safy>h.Zofâo)\ne,9nhmAàtf
<pM4qoes- jçitrs, de l'oppfwù»n , des viMiiisf*
mens, de vj^nes douleurs riiuniatrBDtalM.{
n,<j-.^^^:>yGoogîe
leaialade ttt maître de ses wis«t| ildoai» H
ftébd des Caroes, deFient moins inriuUe. .
de temps ) àckèrent iwè guéri'ion.qniai^eiih-
d'liui nelnise rien 4 désirer.-,
. . ■77* Observation, • ,, -
ORGHIONCIti:
. lin négociant dlleatand, 5o «as,, b^ndi
l^mi^ul^iie, futaMekt, en iS^,d'une««4t
tlirlle iotense) dont ta snpprbs^^^ilétera&uf
Kue prsbite «iguëdu côté gauche.. Vjvemeitb
atta({uée parka majens appropriés» léls qob
aaâgQÉes .générales et locales > . glacfi >. Q^t
}J«Wtet) elle ne se teràiiu» ppiot par une^n*
solution franche et Jàtssa lin engoc^MMBiA.
ehrontqùe: de r«pididyiue, du cordpn etd'gne
pûrÙQQ du test... . Frictions, fô/t^aas-t fxiinà
içiduré», rooi sudoHfiqt^, etc., touf fuï juise%
usage. A^ l'aide de cette médicalioD, Ippgf^
ment continuité , nous parvînmes à i;édiww
1«( «mI : mais le ftiajade oonsçoa l'q^dÂd^e
de la grPs^^Q^ d'une noix r ^t. 4urçi i. V4g«f
dWejÙËOTft.. . , . ,■
Tel est encore, deux ans plus tard, l'état de
nigitir^db, Google
dette pfiriië , aà môis^ mon i%3â, qotniile
bialade , qui ««itienAent avait cemptééitr lè te-
coarsdu-temps, et qus sa posiKon ïMîTâtMF,
r^aii)e|Kos4aitleUinéiliO}J«,(ipitieeop«tWfIue-
S-tnara iS5^t. PukaiHk i%'..T,tOÙ heurts
aprèï, chxleuF insolite dstli l'«rgkDe UiduFé^ ft
(lès']ç lendemain changament. daos la forme
,et Ttlt^nduc de la tumeur.
- 1 6. — lodium 5o' (ait faire de rapidçs pro-
gpès à la résolulio^.
17.-^ Nulle traiïé d'eogoî'^'èmènt^ Lk ^ma-
lade pië lait alors hemarcjner une lâche rouge
el indolente sur le gland :- j'ouvre le répe'^-
(oire de Aué)t«rt; et'tttfaf ë c^ iyAtpt&me ^aij|ni
(deux du H/ttnmt muNàtieUrh ,• il pWtid. 'd^Ufc
globaFesSb, et tft)is]oufJàpr6sj la tàcbe *dt!^
paru. ' ■
Ce même jeune homme, qui if*élail- toujours
bien porté depuis, cttntFaiÈiteA le li juillet i83a,
une uréthrite aiguë. Certain pharmacien lut
administre lécbpahii; il étl Hstillé, |lar 4né-
iastase, titieorchiteaTeceiigorgerttentdD ùaf-
don; le-pduïs dtl^, f^râqaeota ii{^p>ul8atkiiiw;
dotilear »i tiaïente- que le malade oa pedt
iàléret dA foiiMDtatiMis éospUietUes;
Accmitum 3o'. Une heB|!a.a|wb, le p9^
r;,,v^<!!., Google
■ ,{ 338 )
Bi*<lè«e à .1 «â pDlsarions^, rc ralçirtit IneAtùi»
vi Uevient ap^Hcfué au boat 4ç 6 (lênrrs. Ia
^valnir «Btlft mette.,
Pulsatifia I3P, J)eiix fa^ores aprël ,-l^P&
•ogmentation de Moteur avec élttneemibns,
^is sèdatioB complHe el soinnieil pabible. -
i6. — 0%palpe l'or^ané malade siba y dé-
velopper la^QOindre doul^ur^ Bouillon > mu
sucrée.
17.— La tumeur est 'diminaée des irob
. ji|uarls '> toujoun inseasible. Le malade se
^$. >— EUU, «tetiopMHv^ >4^rum, 1*° : dèi^x
joars après, le maladewrl, M. P., pharmacien,
téfnxrÙQ do (ait, n'éo peittcroireses jei|X.
. . ^ 78' OAwri^ition.
ipiDiomiTTs. ■ ■
. UH; jeune tromme, 3p ans, graad j Jbload, ea-
n^4tredâu;[> a depuis long-temps un çn^oi^e-
meni clireniqne de t'épididjrmej d'où ^elcfee-
fois'ColiqueaetéraDppcv du cordon 1(^1 tculai^ei
ao m9.T^'..Pids; %é^. Mieux 6H le lendemain
ei progrofflitement. '■'■'■
-,; Google
C "9 )
s8. -^ T«Ht e^ «lisfam; il firend-par fni-
■<lei>c& iodmth *o\
1> malade est xlèLivré d'un reliquat qui de
,(«ïi>p« à antre reyétait L'éUt aigu /te foeçait
i>*alil«r, flécmsitait une médication antipblai-
gùfti)|iie aiCjliTè, et ne se terminait jamais par
tuw franclie guéfisoil. .
BKITM4T151tC8 CHRDHIQUBS.
■j^*'Obiervation',
Un faôtame, 35 ans» blond, a>loré, peU
d'embonpoint, d'une grandeviprTosilé. lUiu-
matisme depuis la anoi^s, vague penda^it un
temps, et qui xlepuis quairâ ans siégé à la
«disse droite, sous Corne d'npe sciati^u^ ner-
:veus^i c'est dans le repos.que le malade sou lire
le plus; il est amaigri ; ép^uvé de. fréquentes
coliques, et uoe propensioa continiielte au
sommeil; dn reste, intégrité des ronctioiis di-
gestives e^ respiratoires, ■
8 juin i85a .CltamonùUa i^? répétée tous
lea matins pendant quatre joatsj le ciaqi^ième,
pins desommetl diurne, ià de coliques^ nide
ôérralgie scia tique; le rhutfiàtisme s'est .dé-
placé, ce qui n'était pas arrivé d^uîs tiii
D,g,t,.?(ii„ Google
lông-i^i» , et nëgé acta^llMnent snf'les ge^
noQx, avec une seDsatioD défKHct, etnoiMre
indiquant dtdcamari» s4'( qu'îl-pretwt te ■
i5. -^ Après ce remède exaftpêrattoti <J«i
douleurs des •genoux', atçb la setisnib'n'qti'olk
éprouverait en passant d*ini'fpo'id t^S'ViEÀl*
chaleur da Jeu. Les urines ce jùaMà s6'ht'tlr4^'
abondantes. .
Deuxième jour de raction du remède, dou-
leurs vagu^ diiM l«3 j«ti]J>e&'
Troisième jour. Douleurs contusives des
IreÎDs et des gônotix ; sfelleS jauhéh'W qui ne
sont point DrdAairés au mahdé.'Lë 9Ôît cf«
be joiir-là, le tiià^dt; ressent ddn rhùnlatiï&nt
clans plusieurs pâtriiee du corps, cottimë Cèll
avait eu lieu quelques ântiées aiipâravjinft
4 juin. CuliqueS et évacuations {aunAtfes,*
icopieuses, d'une ddeurlrès fétide, upiftejituné
terne, perlé subite d'appétit ; doolertî aox
oriioplates. ■ ■■..■-■
&. -^ Peu de forces ; mstisles ddoletffts «sm*-
. hlèiit assoupies ;' l'airpétil se. réveiHe.
6. -:- Palpitations TioleateS«t doifldareutei
du cQMïr, ratés Tatigans lA nuit mlvaAte. '
' 7. —i Retour dti rhumatisme à i'éplDé-dcâ^
aalé et i,la jaihbe gaudié.)
D,g,t,.?(ii„ Google
(»8i) ,
6.-^ Kieiix ^ô^àl . Le maladie qmttè ton'
gilet dé flanelle. ^k :\
- 3,5. — Rhus teadéod^^on a4''' ^^^o"^ *I^^
tAiti^tiratiotiïal>o&é9 depuU pln'sieiirs^iiftébs)
M sfe croH gaSri. ' " ",
- Da ag ftu 36. -^ItetoQr- vagué 3é tbiis lés
fiiix1aÎ9<ésénuhiér^, Sellé aiingdiki6Ienté(ac£lôri .
i; ïi 9, 4 fùUiar Failles. paTpItatioilir; lé-
gères coli<|ues qui se dissipenl en matigeanc;
iknileut^vagtMsqùi païsbiit eÀ maFètiant(iéfltit
{taractérj^iqu» jdtt rAtu,)'
S(— ^$érj6 d« sensations tiOBTellës, incon-
n«e4 an lUftladô ( effètà pïÀogénétiques dii
rhus). , . ' ■ . " ' '
JEN»6 aii Si -^ Rettfar de donlèan pSM^es;
mais, dit ie mslridË ; je suis saturait parce
()u'elle»^pbM«ni lé cïciiét d'nné chtise ârtifi^
ùelt» ; jd Mii's que \elè^é.i, et qu'en tnêmé
temps je. Be les ai pas . _ ■"
g. — Dépôt brique^^^s les dririés^ ''
- -il . — Bryonia alh^^. Légère tolnjne ;
évftèQfttioDS jàofles ; ressentiment 'Sur ^lâ- pbï-
trine "ei aus janib^ ■t!''une chdéur Vive 'et dou-
loâpMHw , sembhiblé à 6e qu'il ârait rèssiïhti
ëpHîSFuïagc destaox dàhs i'orîgih» Âé l'àffec-
n,<j„,.™r,, Google
tioA tjiùiaaiiwflwle. ^ Ge^te cb^nr m yorte |nr
la tég:ion 4u'cteiir, jUaut se dissipe a^rëc le
; 13. r-Poiireiir broutijle.aux iaaUéuleft.i....
JjB malade reoiarque qué.depoii le défilacie-,
ment de s^ sciaiiqiie, m urines ont {lerde
leur limpidité .et que sesidéjectioDs aoat con*
sUàtmeot jaune», ce <{al ne lui arrirak «être*
ffWj^'â d(â épiH^ues rares d'exaoerbatioa 4e
sa maladie. >
I Ç. -T-, "Noufelle dosé de rAiu....T<)i»'lei
symptômes prépédeniineat éprouvés par L'effist
dé cette iubsUnce, ae réveillçiltàlalbia arec
pljis de force et deperuitarice qu^àprèf la pre-
mière'dcKe. ■ ■
i^. — Le malade éprouve, à huit réfwl^es
difféçeates, One série ^de pulsjuUonseitcaordtr
■aires du coeur, ians doaletir et sans angoissé ,
sprtsqiuùil ressent, avxeut^setaDx^noui:*
les douleurs qu'il lecoonàtt pour apparteav
au rliumatîsme. ^^^
:^o... — Ifigratne^lFopdinaire au malade.
le» J9BI3 stûvans faîiïlés resâentimf»!» toa-
joun aUiibiiés à i'àcttoa du remède. -
ï5. T- Peur la deuxième fpis duicàDùu». Le
i^aUd<i t^ue_ à ses affaires av^ uws agilité
,-,... :>,GoogIe.
(a5S)
.MT^anante : riea. n'égale sa. joie de «o»t
.aeStrc à la fiu la sftqté. IL preod <U l'emlio»-
poiot, sa BerTosité dimioDe / a«B Umm mg~
meù^at. Centvaiocn^ la^nécesHlé d'ua <^loiig
trailenuiot. et résolu, de . le . pdanÛTfC », U
preitdle ■ ,,
5o. '■ — Cario vegetabÛff *
, i" septembre. X^vqpoif.
. 35 Doven^x^. T^ja.
. . ^ vtrA- Graphmks. ■ " - '
. Si, mai' SHicea. GeUe . péreonne fooit au-
jonrd'faïui.de la plus âoriùa^te -santé.
Aucun malade ne m'a préseoté une sdscfp^
■Utilité nerreuse assii apte qae la^siénne à re-
iMTOir l'impiesHOD des^ RHÛodres actions ha-
mttoiMthiqiics. Je possède dd étonne j<^ro«l
des tympianB» éprooTn dapt il ienail noie
exadé , et î|a'oi> paunnt croira cqpîé sor ta
uatiire laÛicale pure. Ùm%- àrcomUafien
«atdlièreût a« plus haut degré sa torphte i /
- 1 ? Iiaverre poéli({ue qui lai surf iat pondinl .
ruaége 'deoêré» ««^.
s* Les jèVes effra;aa» qoi accomiwgnèvçQt
celui de sâiceà.
'- Un négociant; 4âans^ bran, fort; ayant été
n,,:-.«::>,GOOgIe '"
■MÏlitùte, H ayant fait ^iiMênTs c
« «é îaHi&^n flux bimiwrhoïdaire, et s saU '
4weNtMitanBeQs aUopathùjiws.
' Lernàlà^ Qsdor't point { il na ptoqt 'art^
«ijlOT^lilMnmtfitaes paroi«si l'aphonie est quel*
quefbis coinpiète ;- constanle doal^iBr-^
^{tfessioD soF le stenuua et entra , les omopla-
tes ^ exaspérée pu le imAi venant des bras
et la proiiation duttçrps} s^uion gas-
tralgîque qui fait croire n ifui^ade que son
aitoone va ' tautbor t diSculié pour napirêr ;
fréquè.nçe 'du pouls ; langue utte ; digettipp
infime i afiptiit bon. "-
i." fnriar i S^.iS^wttù uH. So^. aousl'i»-
Aoenoe da ee asBÙde^ la caMtipfrtion oèda i
l'apbôiMii'e^iaasawnf ladeulea» dprsq-^stat»-
naia «agiitentaid pendaat déaz josps, apris
iRpinviaM airjAtHidepiaiit «anéit^e. /
' àS. :*— Ëàpaoe de tovlipulis , et JDgme&Hir
tioD'de>piaIiiia»,:aU[ibB^àJ««iu Aas^tamT
iM^ne que le. oaakide a bu. ^tus-raiSciais,
3o**. — ^ L'acdon de cette «iriistMice b'aeeani'-
|H^^ ^ quelque» pbénOff^aes de peu A'iax'
porlance et le
2 I. — Lemaladbaa ngatfde comme coffl<
l^ifiwçiit gnéci» Depiuj) b)rftt.iiya rc^UfoU
Bucao <aala^>
nigrir^db, Google
'{ ii55 J
tin Cocher , grand , fortement' 'constitué ,
es( alité depliii Dti mois par suite d'Une ai-thrite
du genou et du pied gfaucbe , avec gonfiémcnt,
chaleur, souffraoeé plus vive la nuit , pas de
soif, apyrexie. Gra* sjinpiôines sonlJêssinés
parini ceat Aeptdsat. <Ju*il- prend à ïa dose de
18", -le 5 février i833.
6.— Diarrhée n'octar ne (éfFetde/)u&.), élart-
temeas vifs, et diminution considérahle'de
l'engorgement.
7. — te pied est entièrement libre , tout
S*est ïxirtéali genOu, ledumpal. la".
:8.'—^Le malade peot se levcp et sortir. •
■ 9. —Aprïs être allé à pied du centredè Pa-
rts dans.undes faubourgs , retour dé douleur,
avec raideur articulaire, sur-tout au geriou ,
fycopOifium Zo" . Mieux progressif.
■ 30. -*-Le malade est gaéri. .
~ Une jaréiniére , 4o Sus, gtioée , brane, a&
fectée dej^ujs plosieurs années de spasmes ,
r;,g,t,.?<ii„ Google
(.56)
tantôt h5stérj<|.a«, tantôt épileptiforme», après
uaAe ces accès,. demeure affeçlée d'hémiplé*
g^. Les r^soufcesde toutes les méthodes épuî-
jféea , OD a recours , eo dertiier ressort , à la
médecine hoinçBOpathi(]ue. .
Tableau de la maladie. — Prostration des
£)rces; face injectée , avec torsioD^ des traits ;
strabisme ; con'jopctive ronge; paralysie de la
paupière supérieure droite , de la moitié.droite
du visage , de la laiigife qui ne peut être exhir
bée, du .bras et -de la jaml^e droite dont les
inouvemens et la sensibilité so.ut abolis; eo
outi'e, douleur de télé permanente à gauche;
fièvre; vomistemens vcrdâtres; constipation.
iioiars iB5i: T-l^lle prend j/)t!c. 6** : vomisr
MOiens modérés. —3 beiires après , nouvelle
éçte ipéc. 6* : romissemens arrêtés. .
a u matin • — Meiiç. toi. i s*** : une fieare
après , agitai ion con vulsive , aalivation ({ui dure
3 heures, dilatation monientaoée des papilles,
douleur ^ntanée dans les musclés paralysés.
6au matin. — Mouiremens pénibles des mem-
bres paralysés ; la parole n'est point encore ré'
îablie ; la cpbsiipation est opiniâtre, camphora
1* : selle naturelle dans la journée.
7. — De nouveau merc.$t4,i%"'. . , . .
D,g,t,.?(i h, Google
Li,-^La malade est levée, Mproia^nedi^s
s^n jarnin.;ei[etratneen<*oteotipBa la jambe,
meulàssez péniblement le bras droitcpii n'ap»
recouvré sa chaleur natureièej les jeux çst ^
face onl repris leur écal nwaïal oa i peu, près;.
l'embarras dc.lit parole n'a p^s claijigé.'
TJne troisjème-fpis me/c.^o/. la?". CçU«Sfi
close nîagit pas du tout. >/ ;
i4.. — Oflàtm x"*. Ce méclicament tbiuU«.
donaer un peu de liberté à. l'organe dç la pa-
role , mais réveille des spasuiçs terribles , açr
eompagoés d'une espèce de danse de Sl.-Guy. ,
i5. — Bellad.Zor.
16, Tout est calmé.
Huit jours ajirès , la malade est guérie. De-.
puis lors, l'aj'ant complétemt;al perdue. de' Vue,
je lie puis attester que celte, téinme n'a pa9
éprouvé' de reobnle. Il est probable , au con--
traire, que celte cure n'a été que palliative :
UD traitement antipsorique ^ait indispensiibla
pour la rendre définitive. ■
■ , 83* Observation.
H^MOPTirSiE "ïT inciittie-ciisoii'i^TtrB.
Une dame de 5â ans, ,gr«pdej £prls, bnjiie» :
16
D,g,t,.?(ii„ Google
(3S8) ,
ttté ^Itirétf , ifflict^ /depuis plusieurs années,
dé ùfîttihemctis'cîe sang auxquels on avait l'ha-
MlUde d'ojjposw des portons astringeniés ^ des
sil^iiéeS ; dfe« sînapisfties ; etc. t'ateil accîdenl
sârVenà le 26 ittars 1 855 m'amène aiiprès d'elle .
Tableau tiésvfh^tômes. Face coltifée , yeut
btillïitis, poids -donlodrcux Sur le slcl-num'et
entre les deux épaules ; chaleur et bouillontle-
iftfrns dlin^ la poitrine j râlé crépitant à l'aus-
cntfbtioii médiate ; toiix vive revenant par ac-
cèl à heure indéterftiinée , et suivie d'expcclo^'
ra&>n d'au sdng put , veriàeil , ratilant ; dou-
leur d'érosion à l'arrière-boathe ; membrane
muqueuse du pharynx roDge ', tuméfiée; es-
pèce d'olàlgie dû côté gauche ; voix altérée ,
pftt^le pénible; respiration inégale, fréquente;
pOUls dur , aécéléré ; inlégri té des autres fortc-
lioris.
■ yiconitttM a4** répété ce Jonr-là deut fois ei?
ift'^tives , tend le pools normal et supprime
complètement l'hémoptysie.
Le lendemain 2^ , peu de toux , douleur de
la gorge qui prédomiuc. Paris qualîrifoliata 9'
répond à l'aphpoiè «bmme fthx symptômes tho-
raciques. Sous l'influence de ce médicament ,
UiSX ft'âmélKn« rarement. La malade se croit
.,g,t,.?(i h, Google
( 135 >
jotits- ' ■ ■ .' '
ai avril; —Légper ïetoôt d"ê ddnTéàé à là'
got-ge avec lésion de la voix. Gesaccideiïs cè-
dent promplement a cai'io veget. So' , ella
guérison depvû, s'est Qonfimwfs -
'■■';;■ AiffciiKÉ CHRÔSiQOÉ.
Un jeune homiae, î5 aiiï,'foi>%> btencoAs^
titoë > à la suite d'une gastro-eoféritê i^tie ç|ui
le-tintaUlé pendant deux.seonines, avint^cou'-'
sen^ une ex irémc sensibilité Au pfcarynï «v^ti '
rvagieuvetdifficaUé à d^Iuiir. Cet éutclrNt-'
ni^u« don depuis 6 mois lorsqu'il s'y jeîntirt^
^tlgttrgtmeni ies lopHlîeé, avec dotiteHF ctti-
sarite «t brèkryte » plui fi^ie qtiand il ii'a^t
d'avalei? ï le voile do palais présente une vrM.,
revgear; les amygdales sfr'tapproctieM àu
p«i(it«l89e t«ncber jla boOcheïM gflIrmed'MMr
salive visqMâse-; le miïlàfle éprOuve Ht» lêg^ '■
mouvetbeut fébrile ; la langue est très peu &■-
biirrale.
3i janviet-. -^Betlad. 3o".
j» f{!S.fin^* — TGbaagenaéot complet} >teyg-
!>y Google
■ ( ï4x)^)
4it|es pres({uè à l'eut nprmalj teîate >9M
du pbarynt; le malade avale lilM'emeht çlre-
qCBiTre prpiiipleinent la santé.
85' Observation.
'I.&RT>rGItB CUIKttifQDV'.
Un professeor de langue allemande, Agé
de 4o ans , ^ros, blond, stijçL à <-te frcquentet
exljnelions dé voîx.avec douleur- coi saule an
larynx , cdmBte's'il létait à.vif._ ' . '.•
j^ man^ iSi^a , eullûretle l'amère-boucbé,.
safis laraeurdes ani^igdalésj ntembrane pha-
rjrsgée, d'un rou<^>hrun;. déglutition dou-
loureuse , cependaml moîas qtie ne l'est l'aci»
dupvrler; la sensaMûli d'êcorcliuruqtie le ma*
lade rçssent an larynx , augmente ^n-marct^iat
à-Tair libre, et spr-lout en monlanl des éta-
'8^ ,■",". .
< Pf^is So'°. £u trois jours foule&'Ies app^
rences d'une guérisop ^ que l'on ^biisolid.» par -
UQ uaitpmeot antipsorique dâ précauliou.
-'■ ' . 86* Obsét'vatiQn. '.
AFPECTIOMS CBIiUaÇTIQtJES. ■
riUb de 24 ans , pâle y jaune, 4angui«6an(e »
nigitir^db, Google
( >4i )
règles précaires et irrégtilières, est lourmehtée
par un gonflement de Tabdonjen et àe Vipi-'
Castre, avec sensation de chatleur brûlante d«(|S
ces régions et à la gorge. Après chaqne repa»,
TOiuîssemens précédés de retiroîs aigres. '
i5 mars iSSz. Bellad 5o*'.
17. — -'La malade , depuis le remèdç, n'a
rejeté pes alimeiis que deux fois.
a4- ' - E^lle ne voniit plus du tout ; son teint
.est meilleur ; elie éprouve encore quelque»
, renvois aigres et de la chaleur au pharjmx,
dcMi la membrane est rODgie, /)«/$a/^ 18*.
■ 37 , r^ Plus d& rapporta acides ; boanç digcè-
tiOD ; teiat naturel. ' ,
; 1^1 guéi'isQV s'est i.depuis , eonfifinée»
^■^'Observation.
Une je une, perso niie dé quatorze aps , dod
uenslriiée, légèrement t^lilorotique^ maigrit
depuis quelque (çmp$, éprouve. des coliques
av^c puuslipal.ion, nausées, a'iorréxie; tai)gue
sabijrralé; léger mouvenieiif fébrile le ii©ir';
crampes sous les. pieda et dan^ les jambes....
; I^esdernierssjuiptôuies et ta plupart de» autres
se dessinaienldan^s cuux.dc anémone pmténsis^
indiquée, aussi par l'âge de piiberté. ' . , ,
D,g,t,.?(ii„ Google
( *4» )
... -6 imn, mem.prau 3o*.
^. O-i >T* ^s «jmpiômQS éButuéré^ oot di»-
'paru ; il leur a succédé une sorte ^q fluKÎfHi
,erjHpé|»tei]$e sur les deux iantbea... (s^mp^-
tôme posi^f du.ren^éde. ) On le laisse «^r,
8. — la malade va miepx.
./ I», -TT-^Ue 11 recojiTH sfin lein( j^alu^l ,
sa santé. La inçnstrualipn s'établit le 3o. :
88* Observation.
TODX UÏSTÉRIQUB.
Demoiselle de vingt ans , forle^ lùaa £oa>-
-liioée, sfiWtée deptfis.plosiears mois d'iinia
toux conrulsive^ semblable à i-aboiementd'ah
dogue, avecgonQement abdominal, bquHihie,
dysmeDorrhée , pesanteur dans 1e& riions hy-
pochondriaques , pâleur de la face, état qui a
'irëstaté A tous les antispatnodiqaes de la phar-
liiacopte', àrairdes champs, aux baÎQS froiih ,
Vu lait d'ânesse ; aux saignées, etc. , prend; -le
pccinier fëvrieP i83f ; une dose de con/iim ma-
'èulatum 5d''.
""6. — Amélioraiiori prononcée.
'i6.'— Irruption sans ifialaïse desTèglesqùi
'coUlenL plus abondamment que decdtilumé.. •
La maladfe abandonne son rcginie , et Ui toux
n'est pas revenue.
D,g,t,.?(ii„ Google
( »«^ ■
S^ Obse/vaaon.
Une demoiselle de 2^ 9os>brane, CoTtOf
p^le , esl affectée depuis plusieurs.>nnét9S d'uiie
toux conyulsIvedoDt-les ucès se tapptocheiU
chaqiie jour 4avapt9ge^ Quand elle lomip ou
quand elW l'U >: duuleur vi^e et laociiiQDte an
. sjnciput; pareille douleur se Tait res^ntir ta
dos lorsque la malade e-st -assise ; voix rauque.,
gencives gonflées ; dénis vacitlaTites sans être
altérées; Aenstriiatioii précaire} appétit di'
minuéi digestions .lentes; borboryj^ma» f ^tu-
méfactioa brusque àç l'abdopien , jaUernant
avec affaissement également Jntlanta.né } ÇQffr
Stipation et soif. i
1 février i853 , sir/pknos Zoa , qiii répond à
la plupart de ces symptômes.
7.— Sans aggravation appréciable, «nté-
lioration sensible dans l'ensemble .des désor-
dres. (7ar&0'uejg'«/flWtï3o,"".
2 jours après le remëdç, mieux plut pro-
noncé; toux rare, .voix; mqin^s^rauqaci mais I«^
dents vacillent énr^K f Iqs gencives soii^
rouges et sensibles.
13. —~ Mercure solubte G"",, prompte ac^kn
de celte substance sur les geiKiives e( le« dei)t^
D,g,t,.?(ii„ Google
. ( »44 )
qiii se radermis^rit: Iania!a<1ese trot;vc bien
jiisqu'au- 19 mars -:- A celte époqae elle coii-
iratAe un corj'za aige qui cède- à deux doses
d^ACOlU(tim'3o^Sa santé depuis lors est bonne.
J'avais soigiié cette, demoiselle depuis deux
ans par lés -giojrens allopaibiqaes et n'avais ob-
l«nu qae de légïrçs' et peu durables amélitH-
ratioDSt
' qo' ObsmvMiùn. ^
HYDaOPÉBICAKDfi. f
Une ftfinmede 60 ans, bien constituée, fi eu
U- gale à 16 ans., et a cessé d'être réglée à
43 i au sortir d'ttné'coacbç; elle ressent depuis
plusieurs années de la gêne à respirer, de l'op-
pression dans la macche, principalement pour
nionler; pincemens au coeur; palpitations;
de tenis en tems fièvre avec concentration et
intermittence dti pouls ; de fréquen tes saignées
du bras^ des applications locales de sangsues,
aidées iumôt par des sédatifs tantôt par des
diurétiques lé^rs , procurent un soulagement
passager j mais, en' i85i tous les sjrmptômes
s'aggravent : pu reconnaît l'existence d'une hy-
dropéricarde.' la main appliquée! sur la région
'précordiaJe et l'auscullation médiate décèlent
nigitir^db, Google
( =48 )
une fluctuation manifesle. Il }> à de la toivx, <le
l'orlhopnée ; pouls lent, dur, irrégulier ; gène,
anxiété, suffocalion lorsque la malade veut se
coucher; syncopes; bouffissure de la face et
des membres ; lèvres et ongles bleues; urine
rare; etc. ; une médicalion énergique maîtrise
un tèms ces sjmpiômes fâcheux, et la malade
recouvre une apparence de santé qui s'éya-
DOuitaprès uoe courte durée, pour faire place
de nouveau aux symptômes énumérés ci-des-
sus. A cette époque , déjà familiarisé avec les
ressources de la méthode homœopathique, j'en
fis la proposition, que la malade ne repoussa
point. Les symptômes areenwauo: représen-
tant la plupart des apparitions morbides pré-
cédemenf décrites-, on débute par nn seul
globiile delà dernière alléouaiion..... Deux
heures après , douleurs lancinantes dans la ré-
gion dn ccenr; respiration plus libre; nuit
Hiivanle.meilleure; moins d'oppression-le len-
demain ; pools plus régulier; les lèvres, ta
langne, les ongles moins bleues; la malade
mange deux potages au gras sans en' être feti-
gnée. Le surlendemain cèdème plus prononcé
aux jambes, (eflet bomœopatbiquedu remède);
il djsparalt deux jours après. ' Pendant un
D,g,t,.?(ii„ Google
(j46)
s«ul jonrj sorte de diarrhée bïlieose laps coU-
qiies. (Symptûmes du médicament.)
Telle est l'amélioration , au huitième jour,
que la malade croit pouvoir se dispenser d'un
plusampje traitemeotj les acqidensreparaisseiii
au bout d'un mois. Tinct sn^k., calcar^a,
£arbo vegat. et ijcopod. ont procuré une gué-
rison solide.
91* Observation-
AFFBCTIOM SfASlIOmQUE DIT COBUB.
Uue femme de 38 ans « grasse , brune ,
forte , a été atteinte d'affection syphilitique pt
a subi un traitement approprié; depuis deux
mois elle éprouyc, avec une violence de jour ça
jour progressive, les accidens soivans : toux
coDtintieJle, plus forte la nuit; bouche sèche;
nausées; dyspnée avec sensation de. froid au-
tour du thorax et dans le dos; spasmes-; an-
goisses et palpitations de cœur; la nuit crampes
douloureuses dans la poitrine (fui se prolon-
gent plusieurs heures , éloigiient le sommeil et
forcent la malade à rester le,vée.
37 février; ars. So"; mieux dès le même
jour.
10 mai; la malade n'éprouve pas d'autte
D,g,t,.?(i h, Google
(»i7)
malaise qa'nae certaine leqteut à digéret : n.
f . 3o».
3 1 mai i retour de toux et de dyspnée avec
vonikuntions le outib. (La malade «vait tes-
■fHré du çIilore)n.c.8o<w.,. Mieux.
9 -«- ^nofiii 12'; Lea joiirs suivans tout «a
fcien. ■■■"■■■-
9^ Obtarvati»m.
CÉPH4.L6B.
'tioe Temme de 3S' aiiB , maigre, 'deux mois
atiparavant a essuyé un commencement d'à»- .
pfajxie parlavepeur du chiarboD, et conserve
^epnis celte époque -i douleur de pression
permanente sur les tempes j pulsations, des ar-
tères temporales; coliques; règles précaires '
et.tardives; symptômes dessinés dans ceux de
pidsatiUe So*. qu'elle prend le 2 mars.
3 — Exaspératîoii des symptômes , puis
jusqu'au 13 mieux ppogressif. La céphalalgie
' a cédé mais, il reste on point douloureux dans
l'orbite du côté droit.
Ce symptôme cède à belladona et à actd.
■ nilr.
nigitir^db, Google
{ >48)
g3' Observation.
SÉrtlALGlE TEMPORALE CITftOItIQIIE. '
Une femme <le 56 aps, brane,- maigre,
pen colorée^ tourmentée d« cba^iDs.doams<-
tiqaef. -— Depbis lo.inois, oérralgie soup-
çonna de cause rliumatismale, occupant la
moitié gauche de la téte-y compris \\o côté de
la langue... Le:^ accès douloureux , long-temps
variàliles dans leur durée -comme dans leur
.retour efleur iniepsîte , afl^teot depuis qvel-
que^ Kmaioes lapcriodicitc quotidienne. Cette
malactiearé&i5téaux.diversiuOj'e[is préconisés
en pareil cas: émolliens, saignées locales,
géitéralcsr anodins. RtupéliaRS., vésicatoires ,
potasse caustique, tout a été épuisé} elle a
réoemment l'ait usage dii quinquina SPUi di-
verses rorniéç. Les accès se répètent journei-
Jement vers le soir^ durent toute la nuit et
une grande partie de la uxarlnée. Dans
l'inlervalle Jes paroxysme^ il ne persiste
qu'un engourdisse nit'Dt douloureux sur la
tenipe, le sourcil et la, branche du, maxillaire in-
térieur du côté gauche. L'accès débute par des
éclairs de douleurs qui, parlant de la tethpe.
D,g,t,.?(ii„ Google
( 349 r
«Ù ils ^oat'loujoQrs plus' vid et plus UncinaM,
s<é prolongent à l'œil siège de scinlillatioiiset
«le larmoiement j à là.Ianguiï (dont ta gaucho
tnoilié derieât saburralé' dan^ ce seni ino-
inent}j à rôreille', à la mâchoire et au bras
du même côté ;. la dôùlenr'èst jiarfois intolé-
rable, s'accompagne ^"angoisse, de réaction
fébrile^ d'érélisme" nerveiîx. généralV urines
très Umpidçs pendant le paroxysme; pouls
serré, peiit,'fréciueht; irrégulîof-
Xa«naLade prend, le 39 mars , dans là iour-
née , une démi-gouttedeIa3"o'atlénoalionde
la teinture d'atropal>elMdoria...\epai:oxhino ,
le soir de oe jour , paraît plutôt qtie d'ordi-
naire et s'accroît pendant la nuit d'une ma-
nière effrajanl^. Appel d vers ]r- malade que
je trouvé en proie à un spasme horribiff, arec
claquement de dénis, perle de connaissance,
froid des membres , pâleur extrême , j'oppose
de suite l'odeur do camphre à l'action trop vive
àebèUad. Cet antidote nous donne plein suc-
(ïès et la malade rcrenUe 4 elle-même nous as-
sure qu'elle a seoti un eoap porté à son malj
(sa prppre expression); la dotileûr/ cette fQis ,
s'était étendue jusqu'au pied gauche^ ce qoi pe
lui était jamais arrivé;
D,g,t,.?(ii„ Google
(.35«)
^o> ->- EII9 pr^nd un seul, globale d« k
même aûeiipation du mémo rçmëde : ce soir
là l'accès est re.Ucdé ; la mala4e passe la pte^
luière, bonne nuit qu'elle ait eue depuis fort
lo;ig^teinp. Vicchs revieutoéanmoiiUfleinà-
tjn , mais plus faible qu'à l'ordinaire.; celui du
5i Euancruej seulemëut ooe teppeur im-
^rtuoe occupe le siège habituel de la tiè.yral>
> ^. L'approche des règles devenues- précaires
depuis que)q.ue temps, cous engage h pres-
crire le . . * ^
■2 éuKcspUisàt. i8"o -
3 — .La névrîdgie repM'ait en variant de
siège,- gagne la p^^ue.,' la partie correspon-
dante de ta téle , les oreilles ; elle eM peu in-
terne et son, point de dépar^ parait toujours la
tempe. Les régies coulent plus abondantes
que de coutume. j' saos exercer d'inÛpeiice sur
I4 névralgie doDt les paroxysmes s'i^tablissent
peu. à peu à des heures, irrégulières , eaaug*
menlast' chaque. jour de vieleoce. _ f- -
%r— Mefcur,^ soîtA. 4";^ heures après>
çXacei^tiOD violente de 3/4. d'heure > sui-
vie-d'un-calme plus coknplet que janriais.
1)0, — ^ Très léger engourdissémeut de la
tempe gaoche où la malade éprouve une aen-
nigitir^db, Google
( »5. .)
stttûD cl'tcUe (c*cst,-dît'pile« comme û l'oiS
gane dngoât était [Jacé là et que j'j eusse do
vinaigre).
i5.^DéDouTéaa, beUad.toP', trois pietitspdf
rokyxmw suivis cbacuu d'uD calme int«-mé> .
âkutp psodaet la journée du 17.
La nuit suivante, doutear légère.
1$ — Calme complet ; la névralgie ne repa*
raîl plus. Ija malade Conserve pendant quelques
semaines sur larégion temporale gauclie une
sorte de pression incommode qui se dissipe
graduellement et fait place it un état de santé
parfaite el souleiiue. > .
94* Ohsèrvatioh.
sËTaAïàiB FitdirrAi.c.
Une femme de 43 ans, grosse, grasse , bien
réglée , est affectée depuis onze an» d'iJne né-
yrulgie qui revient' périodiquement tous les.
sept jçûra , occupe les denx sonrcils., Les tem-
fsfit At &'élend de là AU sommet de La, tête. et
à l'angle interne des jtiax. La dot^enr précé-
dée de fourpùilemeDs brûlaus, éclate tontrâ-
cfiup comme un choc électrique ^ avec un ca-
ractère lancinant et lacérant , et dure de ciD(|
n,g,N..<ih,GoogIe ■
(!.5»)
à huit hearesi Pecu}an.t l'aecès; les parties dott-
iourease» rciugissent, les Teîfies se gonflent,
les gencives se tuméfient, il y à salivation et
soborre linguale. Une seule dose de ni«/VK/v
solubie&^i prise le.ii maiiSSa, avance de
cinq jours le rtetourde l'accès qui est plus
violent qu'à l'ordinairei et le dernier.
g5* Observation.
VtVRM.GlE ORBITAIRE.
• Jennedamede î5'ans, a pris en vain du sul-
fate de kinine, de l'opium et d'autres renièdes
altopalhiqiies pour une ophtalmod j'oie opiniâ-
tre et quotidienne, aux heures du soir. L'ceil
droitrongit, se gon&e__f la paupière est abaissée,
il s'en écoule des larmes brûlantes ; la douleur
naît tout àcoup /eonsmenceparun piooleinetit
semblable à celui dé plusieurs épingles, de-
vient brûlante et déchirante', retentit aux
alentours et s'évanouit en laissant la partie
lông^-temps engourdie et comme paralysée.
12 février i833 ', bettadona 34»* est couron-
né*. d'un plein succès; l'accès dn jour a lien ,
mais celui du lendemain et les suivana man-
quent toiit-à-fait. - ' ;
r:,9,t,.?(ib,G00gre
(«63 )
g6* Oisert'fition,
hévualgib scs-orbitaibe.
Homme (le 5o ans, maigre et bien portant
d'ailleurs^ est lourmenté depnis 3 aas ^ malgré
les tentalives de la médecine allopthiqoe ,
par une névralgie faciale se montrant à
jours variables , sans rapport déterminé avec
les vicisâitudes atmosphériques, ou la situation
morale da malade. De brusques éclairs de
douleurs partent de la pommette droite et vont
se perdre k l'angle de la bouche , à l'aile du
nez, au palais, à la base de la langue; pen-,
dant Taccès, le patient ne peut parler sans
augmenter ses douleurs; l'on observe des
mouvemens convulsils des lèvres et des muS;
clés de la Tace. Le caractère du mal est tensif,
comprimant; il semble au malade que tovtt e$t
meurtri et, par instant, que les parties souf-
frantes sont arrachées. (Ces sj'mptômes sont
assez bien dessinés dans ceux du colcliïque
d'automne).
18 mal, colchi'cum aul. i2°a. ]a prosopalgîe
ne reparait pas , et l'engourdissement Liabltuel
du côté droit de là face se dissipe.
■7
nigitir^db, Google
(.54)
36. — Léger reloar d'accès névralgique à
la jgoite d'une io^tnéliKlê morale (circoDsUmce
qui n'influait pas avant le traitement) anacar-
dium itf" suivi d'une guérisbn sans récidive.
95* OhtervatioR.
SQCUiniIE I)B$ HAHBtLBS.
Femme dé 5^ àris^bruné, tortâ, grÂsâe,
accablée de chagrins domestiqués , à fait iiii
enfant qu'elle n'a pas allaité. Pendant sa gros-^
sesse, elle s'est aperçue de l'existefice d'une*
iumeur située dans l'épaisSeDr dé là glande
iiiammaire droite , tumeur ovoïde , dure , mo-
bile, indolente et de la grosseur d'un œûfdé
dinde; six moii après sa coucbe, l'engorgement
Commence à devenir douloureux : on le traité
par touil les moyens connus jusque alors ; et ,
'eri définitive, on ne voit dé ressources qiie danà
i'aUatîon dé la portîdn indurée ; la malade s'y
refuse et veut tenter la mêihode imraœopa-
tliique. Elle prend, le 19 avril iS33, matrica-
na 12~. Dece jour, les doulenrs lancinaDtes
disparaissent comme par enchantement, la
'malade palpe itnpupémeot sa tumeur, Nia9
n,<j„,.™r,,GoogIe
( »« )
y«pron«cr la jnoiodrâ seiiMlûlUé (J'ai répàlÀ
rèxpMeace nir plusieurs ttutt«un cancé-
roBWs du sein. L'usage de ceite subsbuioe m'«
offert les mêmes effets.)
a5 du même mois , Tmct. sufyihuris 3o°,
• lo mai, légers retours de douleurs Unci»
mnteSj mais diniiontioo sensible dans le vo-
lume de latnmeuc.
35. — Décroissance plus remarquable CR-
oore>
lo juio , cmium mBeuiaUtm So".
i5 jilillet, la tumeur est réduite au VO>
lame d'une ni^tte, phosphore et sUiee oM
acheré la cure;
98' Observation.
C&nCEn DBS HA)}Er.L]!S.
Une fille de 4.7 juis^ brune , grande, por-
tait , depuis 9 ans , au. seîu droit une tumeur
eàrcinotualeuse., adbéreotet bosselée, d*un
vdiumç égal aux detix-poings fermés, veinés
de noir } glandes, subaxillaires ; douleurs lenf
■ (ânantes, etc.
. Les journaux de l'é^enouveUecoMienneRt
pltis d'une histoire de tumeurs squirjrbtfua^s fit
D,g,t,.?(i h, Google
(.56)
carcinoreateasesaïueuéeiàleurgaériaon. Moi-
même ai va à Leipsig le sujet d'une de cet cures,
et uia pratique m'offrait^ alors t'oliservalion
de quatre tumeurs squirrheuses du sein en
voie de résolution. Ces molifs ne suffisaient
pas pour autoriser l'espoir de guérir le cas pré-*
sent. Mais, curieux d'obseirver , je cédai au
désir de la malade qui avait depuis long-temps
•bandonué tout remède altopatliiqne.
2 mars — Mairicaria 6" : ime heure après,
les douleurs du sein disparaissent couiine par
eocbanlement et font place à une forte diarr liée
bilieuse , accompagnée de douleur lombaire et
d'une coxalgie violente (symptômes biencuo^
nus de malricana). Ces phénomènes se sou- '
tiennent pendant deux jours et cessent sans
réapparition d'elaaceraens douloureux dans le
sein. La malade palpe sa tumeur et frappe des-
sus sans y développer la m'oiiidre sensibilité.
7» 8, g. —Même état.
1». — T. sulpkuris 5o". Les douleurs da
aein reparaissent. Ne voulant pas pousser plus
loin l'expérience, mes efforts tendirent h per-
suader à la malade i'urgenle néces>ilé d'une '
Dpération qui présentait encore dés chances
de succès.
nigitir^db, Google
99» Observatiofi.
.AFPrCTJOK SGRttPULEOSB AVEC LOXATIOM
SPOKTAKÉB COMKEKÇARTE.
M'"" B. , 7 ans, Wonde, peau fine et d'un
blanc rosé , seule fille survivant à ses trois
MBurs que des affucLions serofuleiises ont .eo-
Jevées , ressent etle-méme les atteintes de cette
affreuse maladie dont sa mère pr* oit le terme
fnneste. L'allopathie a déjà tenté plusi^an*
moyens avec anssi peu de succès qne pour les
autres enfaiis d& ceLte mère afiligée.
' Tablouu.de la maladie. Pâleur du visaj^c ; (aî-
btesse ; fiaccidité des chairs. Plusieurs glandes
sont «nj^orjjTces au col , sous le monlon , sous le
liras ; fistule suppurante à la.jone <;auclte;
carie des os du niélacarpe qui est déformé ;
claudioatiiMi occasloné^ par un empalement
àe \à lianclie droite , avec alongemeiit d'un
pouce et demi An membre de ce côté. On con-
snllo par écrit le'ducieur liomœopathislc Miîl-
lieobein de Itrunswick , çt le Iraitemeiit est
dirigé par nous.
3 mai 1.833. — On allerne iVabord p/iosphot-
eigrapItùes.En moins de i5 jours change ment
remarquable.
D,g,t,.?(ii„ Google
i" juia. — L'enfat4 marche sans boiter;
soo teiat brunit; ses chairs s'affermissent. Sa*
ryta, silicea et caîcaiva ont complété la goé"
rison.
100* Observation,
OPHTALMIE SCROFULBUâE A.VBG OF&GITÉ Dff
i,A coanÉE.
M"^' D. , 11 ansj d'uae inteHigenoe prér
•coce, traitée adopathiqu^nent^puis l'Âgada
quatre aos, pour une OfAthakaie scroMeuM
qui s'aggrave âe joar en jour.
Tableau de la maladie. Ka 17 aoàt : &ce
bouffie et rouge ; aggloinéraf ion de glasdéc
engoi^ées aa col, quelquesTiiaes easuppuN-
tion ; la boachect te nez dérormés par an gOB-*
flement scrofuteux et des aoias de croules ;
yenx gros , enflés , qu'il est presque itapossl-
ble d'ouvrir; paupières privées de cils , suppu-
rant à leurs bords et laissant échapper des lar-
mes qui causent, an passage , une douleur de
brûlure et de cuisson. En écartant un peu les
paupières, les parties constituantes de l'œil
sont confondues dans une masse rougft foncé,,
inégale et bosselée à l'endroit de la cornée;
li'enfant aperçoit cependant un peu la clarté
nigitir^db, Google
da {our. Douleurs vives , lancinantes dans U
profondeur des cavi tés orbitaires ; tête pesantej
appétit nul ; coryza sec , etc.
La jeune malade a pris depuis cette époque
ao. tiitr. , sepia , euphrasca, càlearea. Son trai-
tement n'est pointachevé , mais le nez est dé-
gagé, lesgïandes du col à peu près disparues,
Ies6stule$ taries, les paupières naturelles,! a
conjonctive revenue ï Tctat de blancheur qui
lui est propre. L'enfant y yoît, la cornée re-
devenue plane n'ofire plus qu'une tùe grise et
transparente que l'on voit seffacpr journ^ler
ment.
\Q\* Observation.
TUHEUK BLàNGHB DUCO0DEGA.DCHB BT C&RtES
SCROFDLEtrSBS.
TJn adolescent , 1 1 ans , maigre , chétiP ,
pâle, affecté depuis cinq années de plnsieurs
caries, dont une a déformé le pied droit et
alimente sur le dos dn métatarse une plaie sup-
purante. Le bras au-dessus du coude gaacÉ^
est réduit par l'trophie à un pouce de diamé^
tre , tandis que le coude, transformé eti tubieor
Uanche, oAre une circonférence de i5 pouces,
D,g,t,.?(ii„ Google
■ "■ ( a6o )
Wt vtcéré en divers points, et ne permet pas
l'oxëculion du mouvement articulaire. Les pa-
reils reculent devant la pénible ressource d'une
amputation proposée parles cliirui^iens com-
me unique niojren de sauver la rie au jeune
homme. Ils le confient à l'homœopathie le iS
Diai i83 1. Sous l'infloence de stapk/sagn'a 3o'
ou observe déjà du mieux le 9 1 du même mois;
mais en mâms temps il se forme un nouveau
dépôt froid sur le coude-pied droit.
aSjuin. — Ce de'^iôt s'ouvre ; il en sort un
fragment d'os carié. Sons l'influence d'oc. tiAr.
la tumeur Manche se réduit à vue d' œil, les
plaies se cicatrisent , et le malade exécute peu
à peu t\ii légers mouvemens de flexion et d'ez-
leiision.
2 août. — Mouyemeosdu coude parfaitement
libres ; le jeune malade soulève des fardeaux
avec.çon bras revenu, en dessus du coude et
inâme à la place de la tumeur, à son calibre or-
dinaire. L'aspect du visage, l'état des forces,
.lagaité du sujet ^ contrastent singulièrement
^|ec son itat antérieur au traitement.
'^^i5 août. — On le considèi* comme guéH;
mais je réclame une année de soins homœopa-
ihiques afin d'obtenir une réforme complète
D,g,t,.?(ii„ Google
( a6i )
'dans sa constUution , et le mettre à couvert
d'nne rechute. Les modiScatcurs employés
dansce traileraent ont été successivement : stom
phjrsagria 5o\ àcid. mV. 3o*, essafixtid. 3û* ,
silicea So" , phosphor, 3nt, septaZiy.
Des médecins * témoins de ce fait , se sont
écriés : c'est une guérison sponlaoée ; la nature
a fait un effort en faveur de ce sujet. — Sans
doute la nature a fait un elTort : nous n'en avons
jamais douté. Et croyez-vous , Messieurs^ avoir
jamais en la puissance de guérir sans le secours
de la nature? Mais pourquoi, chez notre jeune
homme, la nature attendait-elle justement ,
pour développer sa force nfëdicatrice^ qu'il eût
pris un atome de slaplijsaigre ? C'est qu'il lui
fallait à celte nature endormie une impulsion
favorable; la médecine vulgaire n'avait pas le
pouvoir de lui fournir celle impulsion; voilà
tout.
D,g,t,.?(ll„ Google
D,g,t,.?(ii„ Google
NOTES,
yeux, et tr«vailld «vcc le plue d'ardeur à la réforaw
«aédic«le , noua poavons nodimer 1m docteon Kînel-
baA, à Hanau; Plaubel, Ksiier, Scbindler, k GoUii|
£tapf,HeMeTechinidt,àNiunibourf;{Stuler, kB^in)
,GvOH,à Juterborg ; Franz , Hartmaon , Haubold fHôrD-
burg^UùlleriScliabertjLaiigliaaimeryGuttiiaiiti, et&
k Leipzig; Hartiaub, Hiithetibeiii , à Bronsvicfaf
Trioki, Wotf ^Brunnow, Schwaree, Hedder, Helvig^
Mordof , à Drssde, SchaUer, Ldvy, à Prague; Maran-
wller, Lichteafelz.Scbmidl, Necler, Lowe, Wrecha ,
WerUieim, Lœdcrer, Meuz, Snbafier, Giiatzel, Weith ,
Brader, elc, àVienre; Hartung.àSalabourg; Wid-
mann, Ro(h, Reubel, RingseU, k Munich; Griesae- *
lich, k Carlsruhe; Hayer, Muller, Braun, Bakody, à
Raab; Bigel, k Vataovfe , etc.^ etc.
Si nous sortons de l'Alfemagoe nous Irouveroni, eu-
loor^S d'une grande cétébrité, le$ docleurs Hermann ,
h Péleriboui^; Mauro, Pçzîllo, Dehoralus , à Napleai
D,g,t,.?(ii„ Google
( 264 ) ■
QuiB,BclluomFni,ù Londres, etc. Si l'on voulait, aux
noms décos zélés propaj^atcur*. jnindre celui de tous
le* cnnverlit ou demi -convertis qui comnieRccnt k
s'occuper d'homœopalliic, en Europe et en Amérique,
l'énumëratioD tertit trop lon(;ue et toujours incom-
pleltei mail nous ne pouvons paner tous sileace la
nom du docteur Herinf;, de Surinam, qui a éprouve le
veoHi desserpens, et qui poursuit ses reclierches sur
)•• spécifiques avec une ardeur presque éf[alc à celle
de Halincmann luï-métne, qui , jouissant d'uue 6oriii
Mialc siotd malfjré les essais continuels qu'il a si long-
temps faits sur lui-même, et doué, quoique octogé-
iHire,<l'ane étonnante puissance de travail, est encore
celui qui fait avancer le plus la science Bouvelle.
Notre France progressive ne peut iciter long-temps
en arrière; elle coiupie dùjà lui Dombrc assez imposant
de médecins bomœopaihiilcs. Nous en connaissons à
Ahlikirch (Kaut'hhin), à Bordeaux, Cliâlons, Coîmar,
D>joa,Grcnoble, Limoges, Luseuil, Mulhouse, Nimcs,
Paris, Riom, Rouen, Tbaunes, Vesnul , Vienne, etc.,
etc. On appréciera Ici raigotis dt convenance qui nous
«mpèclient de les désigner par leurs noms.
Irfts principaux advci-Mircs de la mélhode (en France
il n'en est jusqu'ici qued'oUscurs), sont encoi-e, à Leip-
sif*, lc3doclcuvsClarus,Hctnrot!i,,Sii^; ii Dsrmsiadt,
Wedckiud;àVieiiue, M.uckifel, mais aucun d'eux a-t-
il .plis la peine de souder la question?
, 1»
lapfupt
1 11 n'y a pas de spécifiques en médecine, s'écrient
Fupart de nos physiologistes ; si l'on voit écboiier
quciquctnis le mercure, l'iode, le quinquina, ils se
nigitir^db, Google
( 265.)
sont Jonc pfti «péciSquei. Les midiameat éàutmat
<juelqucfuis, il est vrai, par ce que leur application
u'esl pas rationnelle; le médecm cjui ignore lei effbta
pursdei DiédicamenSf qui n'a d'autre guide que notre
avcnlureuie ihérapeu tique de l'école, fait, dana cet'
taiaa cai, uue trop large application de ce petit nom-
bre de substances reconnues speciBquet par nos de-
vanciers, et méconnait d'autret cas où ces su&slaocea
deviendraient propres à atteindre les pallies où siège
nne irritation analogue à celle qu'elles peuvent' fvir»
psttre.
Ce mot de spécifique, long - temps en honneur et
long- temps frappé de disciddit, a été, dans les der-
ni&res phases de nos écoles , prononcé communément
avec DU profond dédain. La doctrine de Browti, avec
tes reflets diversement colorés chez nous, a iù. iiéccS*
' MÎrement exercer upe jurande influence sur cette ma-
nière de juger la spécIBcité des remèdes. Il y a sans
doute du mérite et du la force de tête à géucralisor,
à rallier les faits épars autour d'un seul fuît, à dire,
par exemple ! que tous les maux tiennent h dn nuaii<
cei diffi-renles d'cxciuiion, quft tous les remèdes lont
des eicitans k divers degrés, etc.
Ces conceptions d'homme*, ordinairement aupé-
rleurSf odlIo funeste avantage de soumettre le vul-
gaire avec le plus grand empire, précisément parce
qu'elles s'accommodent IrcB bien à sou indolence et k.u
vanité, le dispensent de travaux , lui fournissent dans
une phrase commune , la réponse à toulei les qoet-
lions , et l'improvUenl maitre de son sujet, pour ainsi
dire) du jour au Icndeoiain. Telle fut ia fortune du
nigitir^db, Google
ni MU , tella ■ éU celle ip pluriesTÉ
réfornHM tm médeeiae Après-ccla qiiel bêamn 4e
ami|)ulwr lu IraTanx itm liècletî
Quand nn orut lei ftevrei iotennittentet c«*T«iB-
ooe» de tenir k la débilita j le quinquina fat r^u(< Is
prince de* cxcitani. — Mali pourquoi l'sbt^KlIief le
méRiastliei, la cenlanrëe, le narrube, etc., ezcitaBa
•omme lai, n'araleot-ili pai'iei Tcrlsa?
Malgré lei démaotis dontiéi sottTfat par lu rdtol*
laU de la' iMrapeutique , if en large* ot conîBiôâaa
théories , malgré la periévérance de certains praticiema
à cooierver leligieutement dee forAiulet tecanBoca
par eui comme investies de poavoira apéciaus Aiï&-
eilci à remplacer, on a tu long -temps la fDule pré-
aomptueuse «t bruyante du monde médical, pro-
cUmet «(lie las spécifiques, rêves de nos pèret, no
pourraient supporter le grand jour du siècle dea
lumiferea.
Sans mécoonaitre l'admirable unité de la vie et let
liens iiiystérieuxqui,€ucbatnant les fonctions, teuf
fouraisient la faculté de se suppléer mutuellement , U
n'en eatpaimoini vrai que cboquosysième, Ghaqua
appareil, chaque organe, chaque Fibrile parait avaii aa
constitution propre, sa sensibilité, son instinct, tes
forcesy «es acuités cl ectro- chimiques pour tels mo*
dificateurs et non pour tel. autre. Le nerf optiquei
quelque soit la configuration de l'œil cheK l'aniAial
où on l'éiudie, n'a-t-îl pas «a spécialité? Le nerf qui
préside à l'acte respiratoire fait, danscortainsmollus-
4[uc», d'immenses détours pour parvenir à l'organe
]ïf»a«bwi qui • IwNiQ de lui at de lui ieul> ÏA hmhi
D,g,t,.?(ii„ Google
hMB«gbw ^ cwvMi» n*arl-«Ua fV^ daM se* divaiCHi-
poitioni dei|aiicti(m^cia]M? .
Lu modificateurs extérieurs s'agisienl- ÎU pas loua
spécialfiamt sur nous? leaalimeas. Je* boissoni u'oE-
frent-ils pas de leur c6té uae foule d'aciiona s^j^cift-
quel? la bierre de Bruxelles provoque momentané^
MMrt i»e viola*!* 'Xéiw^tioii d'uriae, le \ia de tel
«blets pcodiikl'iasoBmlef celui-detel autte aa lew*
■Mil prdfoad, celui-lk bràa lea eendes, cahû-dllk
têtm, tandis qocHtt autt* eMcbtliis If )«iba<. U
^■dîlla et non la ftaubeisè csavn qoetqacfoia ta
^eao d'une éiiiptioDr pMsagëra très remarquable. Lk
ptnanè reieette a une antre répulatiea , l'asperge bu*
Cintre, etc. Il ne s'agit point ici dedonnereertnneaD*
tbenliqaei toutes les propriétés spéciales, diitioctos/
souvent inatiendnes et bicarrés de* divers aliorensf
BOUS vonloas seuleousnt rappeler qu'ils difArenl dans
leuu actioaa , et que pour eux coimne pour les ai^d»*
canacM tout se se réduit pas h exciter pins on Moisa,
k aeiintr ptui ou mains. I^s virus ne sont-ils pas loue
^ëeiaax? Lea agens physiques et chîniques n'd>
giaaaitt-lls {na cbacBK k leur manière? Les roédicw
BMHs ne SM>t-ib pa* laconlembleffieDt les ont dlnr^
tique», lesaBtressudort&qoe*, vomitifs rpo^tib,
eralagoguea.cic.
Toutes considAaiîons ne porlcnt-elle< pas h con-
dareque c'est par l'élude miàutieusect anàlyHqnè
des,effels purs dei agens n^icanx sur rfaomma et les
BBimanx , que l'on pourra taire sortir notre metiira
■wMicaie de h triste n^iilé on la laiiaent depuis si
IWff^Mlf* Ml (Miteavn fafww» de 0dn«t«(ités.Or
nigitir^db, Google
(î68)
le médecin n{[evem-MI tana iôlérét uiA écola qu
concourant ea cela VU ri^gên^ration qai se prépare
dans loutea les sciences , consacre de grands tTavaaz
ei des expériences rigoureuseï à la recherche des spé-
cifiques? 1
(c) A une époque où prexque toot est remh en
question dans les sciences non mïifariniktiques , it
n^est perlais d'Atrc ni oatologtste j -ni complfclcntenC
physica-chiniisle. Rappdoni en fllasant que, poar
août , I« mots vitalité , force vitale , paiiiancft d*fiia<
mlque , ( mots rides de sens en eux^mtocs ) ne sont
que l'indication de celte loi , de cette force- iRhéreate
k la matière OFf^aniséc, en vertu de laquelle s'esécalent
les mouvemens vitaux, et s'exercent ce que nous
avons appelé sympathies organiques; loi d'attraction
êl de répulsion qui laisse soupçonner sa nature élec-
trique, et sans laquelle on ne peut nnllenient se ren-
dre compte des actes de la vie des végétaux et des aoi-
ntux , des cumbinaisons moléculaires, des courant
dé fluideSf de la concrétion de ces derniers , de leur
union aux solides, des phénomènes de l'irritation^
des congestions, des transformations de liMtis, de ta.
cicatrisa lioii ,des productions anormalesqui nous ap-
paraissent qnand l'art n'y peut plus rion,etr long-
temps cachées, nous font traiter les plaignana de ma-
lades imaginaires. L'art médical , contre tous ces
JMToduits d'une force cleUro>chimique pariicuUèfe
aux Aires organisés vivans, se voyait obligé de dëclf-
ucr son impuissance; c'est que |ea a|{ens in^pondé-
ssbies des mouveiuoeos vitaux ne pouvsùeat utiliser
n,,i-r«::>yGoogIe
( »69 )
cei doMs matérielie» diS drogues, comte lesquelles
i-éagit la vitalité des tissus.. Or , si l'on nous annonce
que des médicBiiieDS conniis agissent mieux par suite
d'une préparation qui, ébranlant leur- matière , en
développe la verfti innée; si l^on nous dit qu'un grand
nombre de corps, inertes dans leur.étal grossier, de-
viennent, il l'aide delà trituration, de ià dilution, de
l'agitation des modificateurs puissans de ('action mo-
léculaire, pourquoi n'y pas chercher les moyens d'ia>-
primer aux combinaisons des molécules Organiques
Une tendance curative? (Bibliothi homoBop, i" année,
6*cahO
(<f) Liste d'une pxrlic des Ouvrages homosopathi-
ques :
Allgemeîne homoeopatische Zeitung, publié par G.
W-Gross, F. Hartmann et F. Rummel.
Alhrecllt. Ars medendi homceopathica ejusque cul-
tOTevinedicamentaipsi préparantes coramtribunalis
juriset politise medico, Lîepzig, i8i8.
— Die Homœopatbie von den Standpunkte des Hécht
und dor Medizînalpolizei. 'Dresde, 18^9,
— Allopatische und Homœopatische Leucht und
Brandkuglen , Leipzig , i83o.
Aijnalen der homœopattscben Klinïk, de Hartlaub
et Trincks, Leipzig, i83o, i83i, i83a;4 cahiers
par an. - .-
Balogh. Akafé. Mnnhubâtjai. S. Hahnemann, 1829.
Bergmann.'Anweisun^ die venerischen Krankheiien
ztiheilen. Leipzig. i8a5.
Bigel. Eiamea théorique et pratique de- la méthode
18 ,
n,<i ■,..<, .yGoogle
( 370 )
GuratÏTe du docteurS. Hahn«maaD., VarMvie, 1817,
3 »oI. io-8. .
— Manuel diélAique de rhomœopatbie, Lyoo, i833,
in-8.
BoenuingluuuD. Systematisch-alpbabetÎKhei Repei
torîuinder antipiorisdiéa Anneyen, Leipzig, i833.
— UebenicbtderHaupt-'Wirkuags^pbiereâeT aatip-
lorîictiea Arzneyeti, Miiuater, i833.
— Estai d'une tl^érapie boaiœopathiqua dés fifevres
intermittep tes , trad. de l'iilt.jpar T. de Bacbiue-
tefFel.T. Rapou, Paris, i833, in-d.
BrandcsÉ-Beleucbtung dcr Homœopatbievom pbarma-
tèutisçben StaDdpunkte., Lemgo, i8i3, iii-8.
:— Eine Bezeicbn jDg der ^4 Verdtinnung eines Trop;-
fncs Finger-extracl.
, BrieFè eiues Homœapatlfch-gebeitten an die kùnfligen
Widersacber der Homoeopatbie. lïeildelberg, 183g. .
Bruanow. Organou de l'art de guérir, 4* édiliaa, trsr
duçtioadc l'allem. de S. HahDcmann,Dret|de, i833.
Caspari. BîbliotheL Tûr die hom.Mediziii und Materia
medica, Leip-, 1837-
— Uniersucbungea iilier di« xpeciâschen Heilkrafte
der Biichenkohleand dereo Anvendunggegen Kraa.-
-àlieilen, Leip., 1826.
— DîetcUicber Katecbismus.
— HoDiœopalischer Dispeasatorium, Leipzig, i8a5.
— Erfahriingeu jn der Homccopalbie , Leip. i833<
in-8.
— Homceopaliscbei; Haus-und-Reise-arzt, Leip-, iSa6.
— Unumsioslicher, leichtfassUcher Bcweis fiir die
in denGeietzen deiPiaturbegriiDdeleWabrhcitdcr
n,,i-r«::>yGoogIe
(=7' )' ■
faoïao. HeiUfL, Leip. t8:i8. —Traduit ea tnuçnii
Bayeux, i83ô, in-8. '
Eichorn. Uber mediz. Erfabrung und prall. Médius
jSi'j. , ■
ErdmiDn. BemerlLungen iiber niedizinische PFuiche-
rei Uttd Vorichlaegej ihi' abzuctsen , iSsS.
Fitcfaer.— Uber Homœopaihie (in Hufelaud's JanrDal),
i8a8.
— Die Homceopathie vor dém Ricbtêrsluhle dec Yer-
nunft, Djesd-t 1839.
Frolich von Pl-olicbithal ; XTaparthéysche Ecipne'
ruiig uber die Hakoemanoiscbe sogenanoLe honii
Kurmetbode.
GenuaDUS. Pomœopat. 9clb9t-E.yr oder volUtaendige
Ansiçht der Studien der Homceop. etc. Dre^d.
— Die Homceopathie ia lliïen WidenpTuchen, Dres-
de, i83o.
Griesselich. Skizzèa ^us der Mappe einet Tèisendea
Homœopathen , KarIsEube, i833.
Gro)tiuaan. Diss. sisteus àaittiadver«iones ia bomoEO-
pathiam. Vienne, t835.
— UebÇK das HeiluDgsprinsIp der Qom. Vienne et
Trieste, 1826. ,
Groos. Ueber das hom. Heilprinzip, Heidei., 18^^
Gross. Dieletîiches.Handbuch, Leip., 1839. .
— Die Bomoeo. Heilk'ungt, çlc, Leip., 1839.
Gulkenriki'. De Homœopatbia commentatio inaugura-
lis, etc., Ctacorie, 1829,
Gutmann. Ueber die Behaadlung der Zafane, elc,
Leip., 1838.
Haas. Mémorial du médeùn homœopathistc , ou Rd-
n,,i-r«::>yGoogIe
( »7-' )
peitoifc .ftlphabétiquË pour le traitemetit homoBO-
. pathiquedes maliiilies, Irai). del'alleAand, p»T A.
J. L. iourdaA, Pari*, i834> in-^*
llahnemann.' Die Allopathie. Eine Warnung {iir
Krarike aller Ait. Leipz., i83i.
— Heine Araneimitiellehre, 3* édition, Dresde, l, I.
i8»,II 18^4,111 1835, IV i8a5,Vi8a6, VI1817,
)a-B, — Les 1. 1 et II, ontété traluitsen latin par E- -
Stapf.G. Grost«tE.G. deBrunow^ soui. La ..titre
de Maleria medica pufa, Dresde , 1808, a v<tl. iii-Q.
— Uae traduction française couplette, par le doc-
teur Jourden,va6tre publiée à Paris anus le titre de
Traitd-de matière médicale pure fMoTtt volumes iti.â. -
— Die chronischen Kranklieilen, Dresde, i8a8-i83o ,
4 vol. în-8. Traduit par le docteur Jourdau , sous le
titre de Doctrine et (raîtement homceopaïkique des
mtdadies chroniques; Paris , i83a , 1 vol. in.8,
— Organon der Heilkunst, 4' édition, Dresde, iSa^
Traduit parlé docteur Jourdani, sous le titre de^x--
position de la doctrine médicale homœopathique , ou
Organon de l'art de guérir, Paris, i83a, in-S.
Hartlaub. Systematiscbe Darstellung âer reineo Aiz.
neiwirkungen , l,eip., 1834 ^ iS^g, g vol. in-8.
— uad- Trinks Reine Arzaeiotitiellebre , Leipzig,
i8ï8-i83i,3 vol. in-8.
— Aunalen derHomoce. Klinik, i83o-i833.
— Kurzer Abrise der Homo. Heilmelbode , zur Be-
lehrung ftir Laien, Leipzig, i8ag.
— Ratecbisnius der Homœ6j>., Leip., i834-
— KuDSl dt«Gesuiidheit, etc., Léip., i83i.
— Tabellen fïir die praklische Hediiia, Loïpstg,
iSag, iH-fol.
n,r.^^<i"yG00^lc
( >73 )
HaitpiKnD. Di«eletik fur KranLe, Dreicl., iSag.
— ^ Haadbuchiur Diaetik, Leip., i83a:
— Pialiiscbe Erfahiungea i^Mr bomi.,-Leip., i8ï8.
— ^Homteop- Phtmucop. etc^Leip., 1829.— Una.tn
duction friEhçaise, sousie titre dePhannacapée ho-
, maopathtque, a été pobliâe pu lé docUar JourdMi »
à la suite de sa tntductk>a d« l'Organe^ de & flab-
nenuan:
— Thérapie der akuten KraokheiMo, atc.
Qérbevgar. Djé HomoeopatUe und die jibri^o derina-
len herrsçhendea oder aie Henchaft suche'ndeD
Uei]UDg>Syiteme , Utm , ifog.
Hulfitabellea za Habnemaans reiner Arzocimiitel-
)ehre, i83o, Leipzig.
Hufeland. Ueber Homœo()athi«, i834>.
— Die Lehrc voii den Heîlungt^tNtjecte* und ihrer
ErkenntDiss, etc., iSag.'
^- Die Scbûzkraft der Beliad»na gegea du Scb*ilacb-
Gebeg<£erliQ. i8a6.
Kaiser. Die Hom. HeilkuQst Erlaugen. 1829.
Kocbbucb, rein hoai<Bopatischei,'Dr«8d^ i83q<
Miikiwh. Die Hom. ia ifb«r Winde nnd Kjiaat.
Wien.
Neumano. Wiirdigi}Dg der UoinoMp.
ÎSiuiscb. Bemerkungen uber Hom., Hattfttt, i8«&
Panegyricus aus dJe Bom., «le., Lii^ i83i.
Pezillo. Tenutivo aôcadcouco pH awciJiuê 4a dis»
cordi opiDionisuiprtadpii.Mc, NupoU, i8sti.
Rau. Ueber die Werth des HoBiœop. Heilverbfarea^
Hflidelb., 1834.
D,g,t,.?(ii„ Google
(=74)
— Ueber die ËtkeantDiii utid Hcilung <)ei Nerve^fiC'
ben, DarmsUdt, iBag.
nîchter. Ueber die tlomceop.
RoinaDO. Pura doctrioa délie medicine deL D. S.
Hahaema^n, etc.
lUickerl. Systematiiche Darstellung der homœopa-
tischcD. Leip. i83o — 3i. 3 vol. in-8. '
— Die Wirkungea bomceop. Araneien uater gévitse
Bediagungen. Leips. i833.
— Karze Uebersichi der Wirkutigea der homœop.
Arzneieu. Leipz. i832. ,
Rummel. Die homœop. von ibrer Licbl undScbat-
teaseiie. Leip. i8a6.
Schœaberg. Il sistema medico ^el D. S. Hah-
nemann. Napoli. i6a;i>
Schubert. Heilung und Verhiitung der Cbolera-
morbusl Leip. i83o.
Scbuiu. Die Medizia des Theoph. Paracelius ,
oderdie HomceopaLhik, historisch, Vetgleichead,
systematisch und aïs Quell der Hom. BeAhi. t83i
Scbweikei't. Materialen zu eïiier vergléicheoden Heil-
mittellehre. Leip. 1826.
Slapf. Kleine mediziniBcheSchriften von S.' Hahne-
mann. Dresde.iSig. avol in 8.
Titimann.DieHomiBap. instaaUpolizeîlicherHLnsicHt.
Meissen. \S^^
Trinks. die Homœop. Dresd. i83o. '
Wasserfahr. Ueber die Homœop.
Wcber. Syiiematische Darstellung. BrauntchTreig
i83o.
— Exposition systématique des elïeu pathsg^n^tiquea
r:,5,t,.?(ib, Google
(V5)
des remMeipura, trâd. parfedoct. ^eschier, Gé-
nère i833, inS.
Wedekiad. Ueberdie hom. Hetlmetbade.
— Praluiig des tvom. Syitcma. Darinstadt. iBa5.
Wendl. Ûeber den Gebrauch der Datura Slramo.
Widinann. Ueberdie Hom. (iri Hufeland'a Journal.)
— DiuerUtip ntedicam. homœop' préparât, Mn-
nich. i83o.
Wildberg. Einîge Worte uber die iiom. HeiUrt
Leipz. i83o.
— Einige-Worte iiber da> Scharlachfieber, etc.
Wolf. Geichicbte mciaerBekaDBtschaft mit derHoiti.
nebsteinigen EifabruDgea.
(e) On met toujours en avaut la nullité dea épreuves
qUe fit Laëonec, dans le temps, A l'h^pitat de la Cha-
Tit£, et l'on prétend sous ce prétexte se dispenser de
juger par soi-mâme. Ce professeur ne put obtenir de
résultats avec les préparations fftiteB k la pharmacie
de la Charité où, d'après le témoignage même de
M< Petroz , pharmacien en chef de cet hospice , on
n'avait alors Ekucune notion des procédés décrits par
, Hahnemann. Depuis quelques mois l'habile chimiste,
que nous venons de citer s'est adonné soigneusement
à ce mode de préparatioujaprès l'avoir connu et ap-
précié. Il est en possession aujourd'hui d'une phar-
macie hbmœopathique à peu près complette. Les mé-
dicamensquien sont sortis doivent ila consciencieuse
exactitude du préparateur une action fidelle et puis-
sante. Nous ne connaissons eacorc, à Paris, que la
pharmacie de M. Guibourt, lia, rue Feydeao, on l'on
n,,i-r«::>yGoogIe
( >76 )
puiiM saprocuiu ca genre de médicunant ^ et m les
procurer efficaces. K Lyon doub pftuvoai iadiquer
M. Pelletier, pharmacieu , rue Sirina, a' 3.
(/) ÀvtDt d'avoir lu, parleseipériencesdeUiihoe-
mann ^ qae le quiuiiiiiDa procure une des espèces de
fièrre iniemtîttente (comme les eaux de Baieges occa-
sionnent des douleurs , celles de Wisbaden la goutte ,
csllei de Vichy rengorgenoent dû foie, etc., etc.), nous
étions loin de soupçonner que depuis i€38, époque
de l'importstioo du quinquina en Europe, nous fe-
siODS tous de rhomceopatfaiOk Mais dans l'utnge que
nous fesioDS du moyen , i) nous arrivait de manquer
le bu^, parce que le raisonnement ne présidait pas à
une médication qui était encore empirique. Nous
ignorions que, si certaines fièvres intermittentes ré-
sistent au quinquina , t^ést que cette écorce n'est pas
homœopatbique k tous les cas de ce genre de fièvrâs;
et, lorsqu'elle était bien choisie, nous étions encore
exposés à dépasser la dose jnsiement nécessaire ponr
anéantir les accès périodiques; dès lors nous eogeo'.
drions la maladie du remède et il en résultait une
fièvre tierce ou quarte, tenace, interminable, dont les
accès ne faisaient qu'empirer par l'abusif emploi de
notivelles doses de quinquina. Un jeuDe homme, qui
avait consommé, pour combalire une fièvre tierce,
1200 grains de sulfate de ktnine, pendant ifn séjour
qu'il fit en Grèce , et [dus lard 800 autres grains en
France , était , depuis trois ans, dévoré par la mente
fièvre qui avait résisté et dont les accès se prolon-
geaient chaque fois pendant 36 heures. Le malade,
D,g,t,.?(ii„ Google
( »77 )
d'uDC débilité et d'une maigreur ezceMirefl, arait II
rate engorgée, ses membres infiltrer. Les antidotes
du quinquina et d'autres moyens l'ont rétabli. Quel
praticien n'a pat rencontré maint lait semblable I En
surprenant k la nature un de ses plus imporlans «e-
crets, en nous initiant à l'immual^e loi qui préside
it la apécificilé, S. Hahnemann nous a doané le mot
de plus d'une énigme , la clé de plua d'une déception
pratique, en même temps qu'il' a ouvert cette nou-
velle ère médicale , depuis j1 long-lemps espérée.
Honneur au vieillard qui consacra une longue et
laborieuie.carrîère & saper les préjugés et il fonder une
vérité! Exemple d'une part,îe des maux quiabrègeat
le cours moyen de la vie humaine, notre postérité
plus clairvoyante enSn, appréciera de teU bienfaits;
elle rendra gloire à celui queJe délire contemporain
poursuivi d'un rire frivole et k qui l'antiquité eût
élevé des autels.
Puis«e<t-il vivre encore asseï pour commencer k
jouir de cette tardive justice! car après eux, que
reste-t-il de tous les grands hommes? une abstrac-
doD insensible au triomphe , no nom !
D,g,t,.?(ii„ Google
?Ç«»#T|(^.
P«8«
7
fiir di homoop.
a6
— 6, Hartlaubet— AiesHardaubet.
j8
- i6, a. a.
a6
- i3,' 1» profonde— toei l'innombrable.
«^
— i3, eicilei-—to« écarter.
5»
— a3, sont le — Usez sont-ils.
oo
— i8> rgénante — Usa régnante.
46
— a4; bbnchite— toeaBrùnchite.
59
— îi, Wedi EUeber - &« Wedu-
■ «Béber. ■
7».
— 9, polyarthile — ûjcz jiolyarthrite.
nigitir^db, Google'
TABLE DBS MATIËftES.
Arixi'Pnoras. t.
Suposi de l'homœopathit. < g.
TabUaa dtt mitUeament hûmCboixMigan iprowoé*
jiuqu'd et jour. 4^-
Obiervalion critiqiu tur l'homttopathii, 65.
BUtitiqu*. 107.
Butoir» il malad'iti. 1 1 a.
1" SrCTI on. MALADIES AlfiUZS- 1l5.
Ois. 1 — %. PklegmasUa gastro-incestintdts,--gûs-
trites,gattro-tTttérites. — Fièwt$ maqutaitt ,
biluiue» , ttc lA.
Om. 9 — 10. Ictèrt, Hipatitty lag.
Ob«. II — 14. Çolitfs DùuT/iie ^ pyttnttrie. i33.
Oh. iS — 30. Angint, Amygdalite,' Croup ,
Laryngite. jSj-
Obs. 31 — 39. Inflammation de» organet retpi-
ratoiret, )44'
Ou. 3j) Tzr 34* f îAmM gUarmUtànta. i56.
Ou. 35 — 44- Rhumatiame aigu , Arthriu ,
Miotites, Polyarlki^es. i65.
Ois. 45 — 4"- Pitgmatits cutanées , Rougeole ,
Scarlatine , Erysipèle. 177.
0». 49 — S3. Choléra , Cholérines. 163-
r;,g,N..<i h, Google
Ob9. 54. MétrorrhagU. igg.
Obs. 55 — 56. Vomitsemtns dé la grositsat. 191,
2* SECTIOf. MALADIES CHKOTriQUES. ig^,
Obs. 57 ' — ;5. Gastritu, Gastro-mtérit* chro-
Mqae , gattralgiei Gditrodiniu. aoi.
Ob». 76 — j8. Cistile chronique tt orchioncU. it^.
Obs. 79 — 8i- AAumotùmM thtomtfues, 339.
Oi5. aa. Hémîplégii, a35.
Obs. 83 — 84. HimoptjsUet Angifu ekromqiu. 337.
Obs. 85. LaryngiU chronique. 340.
Ogs. 86 — 87. jutions ehlvrotifiui. id.
Obs. 88 — 89. Touà hyitériqae. 34a.
Obs. go. Hydropéricardt. «44-
Obs. 91. Affection tpamwdigua du aeur. a46.
Obs. 9'2. Céphalée. 347*
de». 95 — 96. fiémral^t. a^.
Obs. 97 ^ 98. Sqtùrrht et cancer d*i mam»Uet> 354.
Ob«. 99 — . «01. Affrétions serofuUuits. 357.
Notes. 363.
£>« spteifiqa»!. 364-
Lf f< i/'uM partù i^M ouvrages homaeoptithiqua. aôg.
Flir DB LA TABLE.
U|?IttltatU IfBmOLLtTB TaLUKO,
n,<j„,.™r,,GoogIe
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MEDECmS , ■
CHiaUBCIE ,
AKATOMIIi,
PHTSIOIXI6IE,
HISTOIRE I<ATOmi.IJI,
PHYSIQUE,
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PHABMACIX,
Qiri SE TBOUmtT
cnœz j.-B. BAiiii.iîmB, ~
LIBBAIKE VU L'ACADÉMIE ROYALE SE HËDECIRE.
ET DU CDLlJoE ROTJtl. DES cn>DBOIEXS DE LaMIMEa ,
m DB t'ÉCOtB-BB-I^BBCnB, B* l9 (sit),
à PARIS.
isONOBSB, Miara M&isoir,
219, BKatnx «TRUT. '
IPéTCier 1854.
, ,<::>,GoogIe
MCI tWESIi; POVB FABAITIIi; llfCEflUIlIIEIIT.
Vk*iT± BÙ HAiÀBiÉa n L^Arr^xi» nuitÂias; pnr À. ^ittAL
(de CïSïie), CluAii^cii'dii Dareku ceDdul de&LfiijUaùx, àkrëdé
à la Faculté (le Médecine de Pàiis. i vol. iii-8,,%
«muvKsnKKaii DE u minEmmà i BB tA Cm-CHIKE BT BB 1.A
rKABMAom. ùlàï&pohéel-Dîiicussiau des £Ah,'UâdtrtnixnA^,
Réglemems et IniUuçtiona conçcrranl l'Ail de Guérir, ap-
puyé des jugemeuW. çt. décisioj^a jlcs tribuijaui; précédé 4e
Ooiisidérotioni) sur la Médecine iéfflie, la igolice médicale^ la
Rcsponsvbititë des in^rkicinR, chtnirgTf m etp)nrn]^acicufl,etc.|
5ar Ad. TiiîiiucHET. Avocat, Clfef dii.Ituieau iiè la Police mé-
IcOe K la. PiéFeclUK île Solke , eic. Oà vol tndc in-.S.
vKAijr*VBBKAUBiKBBS<HSV*K«BffsiraxËmTAaBiUAnuB, par
J, BouiLLAC)>,Profeiiseiir de Clinique nuMîcale à la Faculté de
Médecine de Paris, médecin de l'hôpital de la Cbarité, a vol,
in-S", figuies.
svvmxa B^BinocHATE , 'nduvclletraddcliou , avec le texte grec
en regard , coHaiioiuiésur IcBmanusciitit et les meilleures cdi*
lions; accampagniie de Coiuinciitaîres et de Notes médicales
et philologiqueR, avec la Vie d'IIÎppocrate, et suivie d'une
Table générale des Matières; par E. Littbé, ancien Interne de*
liâpitBUx de Paris. 7 vol. îu-8., imprimés sur beau papier.
nun* BB tMTUo^kOan TiwinrAut. pur F. V. Raspail, un vol.
in-8., figures.
- «Google
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PAp. 3. CftttVpitHIER, ,
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GONIM'nONS DB L\ SOUSC^imON.
' Cet ouvrage tera ptùiUt tn ^o Uvraitoiu ; chacune eonlien^ra 5 d iijiuiitii
Je texte in-fol.yand-miiin vain, caredére neuf Je F. DUol, avee S pianeka
celuriAi avec Uplui gnmé loin, ttGpttaKhettoitqt^ilriy tora^'uaeptvtk
tie atlorUi. Cet iifnntoni.ie àuivrtmi tigHièèrtmtM de lit tnntéiêt «• nk
Le prht de chaque Iltraisba est &c ii f^ai^.
Âlafin^ l'oupra^ on publiera la lUu âa toaiayite»n-'—Xiùitùàioi H,
la lithographie tonleonfiAd M. jf.Chataliexmtfdepalâlang-umafèpK'itér»
l'anatoifue, et qui, taui ee rapport, aàij'd rendu tan/detervica'afà'jfiiencfi^.
IM thtt* , l« **»»iim , rt M iw" •■MWH jrtlwr ^1 DD Mil ■«b)ii> I ■■ piiifH 11 alnt tiàJn
ne hornïfWdi tota llttD tHIM (HJtfHl.lH (M qui fiiniitti'tclliHr KiWHlkBaiR. FIM.dMr
nit nriisiia* 4> «nu 4t tMiiHipaMiiilfvi, Nn ■> «Hir fi*M^>>i*éilr ikMnpNMpn't,!
taaltiHttB Wuhll i'sWMiBH d'iauk |I|h iboaifaMaai'ilb inn plni uplf)!^. U ■•^tuilgn llto
flHifc*! •BUM^uti , na*m« Mil*, rayrtmiiai du Mu Aulilt . r^iii»^ uortmn. ««il «hv
^^■-'■H piHbCCHl*D4if>irad««iï«1li»iea4nérf^*CB. al ynagfrapi mm ^ m l ^m ati U ii p— |
ll.?'..i°.dE>'tDps»li-i"°"<'l'<>'<ÙtP'iH.II-C.u»;ihlrr>dd .'•«ur.r d> r<,u,J«,n^„,
■"«t^vDIluii^ Il ft panrAuuliairtf iFfllut crand nombr* d* hi colEifiic'. Ih b^ecm Ft i^pimFtltnidea
ÏpJliuidiruli.^IluiinlMil.iUnnfAHirnnid'iincHnlHlhoUl»* Il lUIf» t((l>uay Mr
LliSnli.l ..^^1 11 .« .nid.» «n q<i>1rild<Bit<)Kiii , lr> »ll»<'lit'<> da II FicuHii. 1,i ,„M)r ■•^cliaVÎ
i^UBiliti ilii|i» laiila aui liaaa<jlB|dia ptliUua da II^EtlniialhliH tM
H■MutHdBll>lei<laallaill,Cr■TaU^■IH■•[MIlU)tH■lIdwliI•^(ift ; ,
ICONOGRAPHIE
REGNE ANIMAL,
D£ M. LE BARON CUTIER j
OUVRAGE
n'iLTLiB « I41Tt LEÏ TlAlti* DE lOOIOCIE.
S'bRA, FUBLIÉE km 45 I.ITRAISOKS, 33 SOKT EK TENTE.
Ptix m cntijOE uTBinoR , «ompotce d« lo PUncbei gravéu avec 1«
]^ai sund loln it qoî paraUient de mini en moli :
Ia-8' figures noire»—. 6fr. Iih4" figure* Doires.... lo fr.
là. figures coloriées.. i5 fr. Id. figures coloriées:, a'o fr.
r«f 4n U phi» MmBflmbI* •» H"* u^lfbrîl*. t* pBTfi riBKié. ou pat qurlquc vntpjinif de fonlor'
U»,JwM»l"""'™"j'™'"'*'n»'1"" '»•'«'(" ''•'■•^'' !'•■'"'''"••»•''• *™»"'''W"'
Hhj iciuïn «■'"4"'«' L<*'>M<»> »■ «■• dinii^Hiiil 11 lurTiUhiKr piiiieulSàn 4r tt Lilnill'.
• ■«• niu ml » ftM •"•■r fc pr>Dt. M. TilmrtBkc» dnnl niHitii u dMii II I <• npriHH.iHa
(i) Dans Us XXSIII UTraûonisoat pabliés: Mammifères, 4^ pi.. i3i getttct.
— OiKauLX,6g pi., aji genres. — Beptiles, 3o pi., 8g genres. — Poissons,
38pl-, lii ^eores. — Mollnaquc*, 3i pl.,3o5 genres.— Ann^lides, 1 1 pi.,
36 genres. — Crojlacrt, i; pi., Gi genres. — ArMhnides, « pi. , ii geares,
■^laoeclM, 64pl-i SGâgeDKs^^ZoophyleB.i^ {il. , iiogenm. Plu, les por-'
tMtls dt Carier cl I^lretUe. ^|P
SEÉCIES GÉNÉRAL ET ICONOeBAPHIE .
COQUILLES VIVANTES
COMPRENANT
. ' , LE MUSÉE M-4S9ÉNA,-rv''
LA COZ.I.ECTXOir I^MARCk^
CELLE DU MUSÉUM D'HISTOIBE NATUREtI>E ^
ZT LES DBCODTEBTES I.E9 PLUS BicENTBR DBS TOTACBDEl ;
Chaque pIaiKbecDntîendra,rua«âiD*V>iiIrc,deSiioiBgarespreiqac lu^
de gniideDi oïlIaKlle ; qyelqin< gnipdca up^M aenleineDt diront Ctre r4-
duilei, aCn de pouroii lu faire teair dans le raimat. On gcoiiin lei eaptcei
tn^ pelitB), de maniùre A rendre les caraotèrei plui fiiilileii dam ce dernier
G», on aura >oin de donoer toujouca il cOlé l'iadiiidn au trait de grandeoi
■■tDreilc. Au coinmcnccueDt de rhaqOE genre uù doiDera la B^re de l'aOi-
Mi>I,et l'on j ajoutera, Igrique raaera ncceiuirr.quelquti d£la!li analomîquEi.
Cluque LiTiaiioD leca composée de tii planches coloriéel aicc le plui grajtd
foïn , e( du Icxie dciicri|i[îf dei eipices qui Ktunl Ggurcaa daa> la lîf luion ; ce
lelte rormeraconroa one Teuille et demie d'ittiprearioa,
L'ouiragc te composera d'carùon lo Toluuiei , qui •etoDt diila^a en i5a' !(•
nuioni, pablices exactement de iroia lemaïDCt en troii semaioet. Touift Ici
meurei aoat prîtes pour pouvoir tenir Sdèlemeiit cet engagement*.
La liiiraiiint i et i iDnl an vcnla , 3o jaaTier itJSI.
VmX DE CHAQUE LITRAISOH ■
Grand )n-S>, papier raiÛD auperfin aaEïaé, figure» «dotiéca ...... fi fr,
Gfaai io'i'fptipiaié^Uitiai, figuret coloriéet. ..'...,'. t .'. ta b.
MONOGRAPHIE
DES CÉTOINES
ET GENRES VOISINS , ■
FOBUANT, DAI4S LEE rAMILLÊS DE ÙtqXILLE ,
LA DIVISION DES SCARABÉES MÉLITOPHILES;
Pis H. GORÏ BT A. PERCHERON,
Membres de U Soeidid eMomolopqai lU Bari*.
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Cbaque liTraiion , imprimée lur papier grand'rBiùa , famut caradlttet'f eoB<- .
tiendra 5 plancher eolotîife* avec le plui ^and itnn , rcpr^Mnuiit eoifrfm
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r,,:-.™r,,G00glc
JOURNAL HEpDOMADAffiÈ
iPftOGRÊS DES SCIENCES
s*-
- " "_ ParMBI, ■ ■
a. «oittÛOS ^ prûltsieitr dedlhlqiu médlc^ à !■ Ficoltt de ntModfle Ae P«ri%
niMMinilerHùpil^tdelaCbarilé-,
V. Busois (d'Amieru), proreucur tgréaé.k \a Faculté de uËdeciae dé Pirb,
(ice pioaident de 1> SociriM v^flic^e d Emalktipa^
O.TOmvBT, profeMMiragiifléi.A l> .Fwnllé 4« méd^ûiie de Fit» , aneieo
.chinugieD de li marine ronle, «éGicUirc géncnl de la Sodéiri médicale de
j|.'Ti»*i (âeCasits). agrégé à U FacidN St médKdn» de Paifa, rUniitfeit 4a b»-
ccituàl des hApllaiix. •_
jb'^ainiluiHB. d<ti>*l* '"HUlw*''**! inuilu Hiv^i de ebii|ii( HmuH . pli UUm Jt
Al Upfl!^! (••r;> i sTl^^Ji lîrS,n4iii'fiM,°h'Hj^'A'"^' "s«fM* .JiiwIM. I>i«t^ l>
i^/ùc^ile Taïonnenenf PAT aRttci: •
A Pari». ..,.., ■- . i V * . . i.r. . . 90 f.
Fra4c,rJe|KWtpQivie>(lép>ilanenl# ■ . ■ a5
lOOBNAL HEBDQI^JLDAntE DE hOÉ^bECiliE , par UU. Aanaii, ,
8uKDiN, BoriLUcD, Caieiave, Dalmii, Lina^, nctiAuii , H, Roveb-
Cgu.AKji. ]Ocicbrè (Si^ I aâptaFiibre âSo.CoIlecttaacDinpKuf, iD4nu-
n»Erm,cn 8fOriiT(fl.tn #, ffg. "- 60 fr.
lOURKAL ONtVJtâSfct. !liàBbO^AD|.lftIC t>'E uàbEGIRB ET t>B
CHIRVBGIE FIL4TIQVE8 ^T DÇS INSTITUTIONS MÉDICALES ,
pai MM. AairAL , Biieu , Bomaia , Bddilladb , Cim , ïi*i«eii , Do»f 1
Cauis , oclobre iKo à déccmtirc iS5 j. CiffMtiaa eompUU , t;o nuineToa
formaDt.iSforik tM. idiS°. , llg^. . ^ . Sb fr.
Uneanafe lipariBent , 4 f°'- ia-S., • i . , . . 3o Fr.
^Om deM^ndledliaM fbiqihnt I» >•" M b !• rfric ^u Vw*»! AA'Mta^'r*
Jm . TK»9tit ^M ttimUe» ft tnfliitilieii$ màUcaUt, cUei coalieuient n»
icl((^Â 4» iiai^uEOfWÎ.ia"^ du plui grand ùitvrË?. On j IrôuTcn l;i-ajriedea
obaec'atian) et dea raita lea plus i'nipot^anla rLiueilIri dana lo bApitani âé
Farii pi^dant prta de fIi aniiéc^. C'eit i la fâ' un recueil de monographlea
%ur Ici divcn. pointa de U ibiéncCiCl une cli 111 que médicocliîrnrgîcatc. '
Il ne reste qu'un tftspciitnnmbredcdilcc;tiiii]icom|ilètes;Dn piruVra cohi-
(lUlerlet collectiont aasi-^AUei il tDanqucrail uneB[lu<!e od dtvcra iiatiitfroa.
DICTIONNAIRE
aAISOMHÉ, ETYMOLOGIQUE, STHONYMIQDE ET POLYGLOTTE
TEjR^IES USITES
DANS LES
SCIENCJBg Ni.XIlftSU.BS-,
phic physique, la Géologit: , ta Minéi'alogie, la phjyigue, U
Zoologie, ûtc.
^ PAR A. 3. L. JGURDAN,
Hunl^rc ^c f'AcacIcmie rojale deUédccûie.
Parie^ i834-— ' 2 forts volume» tn-S' k denx colonnes. ïi (fi
^ DICTIONNAIRE
UtflVEBSEI.
mwiimm'wmcAm
: ET pe ■
TpÉBAPEUTIgUe GÉNÉRALE ;
ta cqiiana Dtn». j^ oi,y,E(«i3 jt^V}^
\ F.-V. MÉ&AT ET A. J.
D. MH.PF., IlHil*H-««rAiaUal*n>j«ltdi
1;âHIS, lS39~lâ^4) ^ BORTi VOLUJKSS IB-S". fBi?:: 4$ Ep..
1 * H»»ii. hOîittn , ofclmil, iwiilMTrtil. Tdliw^w , wriwi » iM fciBi i JM«lii«».
I* Bimunni fctiMiiKi ^HÎMii Dtalhil RiUl I MU»*ff»h«ii*ét«)imtMiijMiii«nWi«itiin.T*-
^* tkrKiîiilJiia f^iMeoInt^'^i tbuii ;npinlkii^iriiHftMlfiut Eli^iiMiMflUilailinii aMI-
*.* jLMlji^rtiniiqi». --,,.,■
VtcHtDi>in>ni^Ji>j><iliiiJ[ncitlaiicl>nIt<>ni«<tlUi(g[nni,4iaiFtiHi(hi«aii<nl-HH>HtUdi'.
",0°0("îi|îODidî'.-ii.Mi|tFiul(iiri:claBiaci"liim.
, '..«Google.
DICTIONNAIRE
riNDUSTBIE «ANCFACTCRIÉRE,
COMMERCIALE ET AGRICOLE.
ouvBACE Acconvicai
10 FOKTS VOLVHBS Iir-8«. — FBIX DB CBA.QUE , 8 FR.
ÏASHM.
BATUyilHOHT, prépaMlear d« Oiimie an collège ilc Tnwce.
BLANQOIatirf, direoieurdc l'École «pécule du commerce , pro&tMQt
d'ÉcocKHBie poimqoe kd CanterTatolte de> Ani etH<Jtien. %
CQLLADON', profeiieori l'École cent ralf dei uUetmaQflbotnrM.
OOSIOLIS , profeHcar ■ fÉcole dei nau et cbaou^.
O'ASCET, de l'Académie rorirfe it* «cience*, directeur dei euali im
moatmei , àa conicil générÊl dei mnnfactarei.
V. 0)!ïK)BM£ATJX , luteur du tnlii toi l'art do toaraenr.
DSSFRETZ, profeiaenr de phr^itoen collée HcoritT.
FE«ftY , pmfetfear da BoëesDïqDe à tÉcole cealrale du aru «t mu||.
H. GAULTIER DB CLAUBBT , rëpMtenr à l'École polytectmiqDe , .
membre da cotuàl d'admloiitratîoa de la Société d'eacoDra^junaiL ''
GOVRLIER , «rcUtecte , lecrétalre dn coDiei) de* UlùmU drUt.
T.OLIVIE&iprofejtcQrii l'École centrale du art» et muiabctareh
PABEBIT-DUCHATEtET , médedo, membre du coudi de Mlvbdt^,
SAINTE-FREUVE , profeueurde pb^ùqae •Dcoll^Sabt-Lonù.
aOULAnGE BODIN , membre de la Société rojale et-ecotrale i'agri-
A. TREBUCHET , arocat , chef dabnreaa det maiiufactarei à la préfeo-
. ture d« police.
Ea ■ignalaal Ici lei nooii dei pnnciptDk colloboritean da rat od-
TTige, l'édiieur l'empretie d'aTcrtlr qae dei ariiclei origiaaiiz ter dei
■Mrftiti ipéeiiiux, qui lai paralitest néoewaîiet ■ U fierfection de cette pa-
blication, lui leronlfbamii par dei uyant* qui en ontbU l'objet de leact
étudei. Dei fabricant! , drt cbefi d'atelier initroiti , le mettront aniit i
nème de profiler det conoabuneei ija'iU imt acqaiiet pur la pratiqoe.
li'omrage formera lotolumeiiii-é, ficarei. Prix de cbacon, pour lei'~
MDicriptear* , 8 fraac*. Let lonei I et II loot eu rente
- ■ ■ r. ,^-rf.i..i*i - -
' ■•ifaiH^MiM,fa'S|>^M)rM(tinailh(**dl*M4'uliHii«t|Mnl.
DICTIONNAIRE
DE UËDECIKE ET D£ CBIRÇBGIE
PRATIQUES, \. '
ANDRAL. ProloMur ï laFamltéde M^denne.MéiIïi'iDdelaPitié.
KÈGIN , Cbirurgien en clier de I'h6pila1 militaire d'instradion de Slrasboar;.
BLANDIN , Chirurcien de l'iiôpilnl Beaujon.
BOniLL&tro.ProfEiseur de CUnique mÉdicale à l« Faculté de Uédeehie.' '
BOTIVTEH , Agrégé à In Faculté de MédedUe.
CBUVEILHIER , Profuieur d'Analomie ï la Facollé de Médedoe.
CUI.LEBIEH, ChmirgieD de l'hospiM de» Tép^riens.
A. DEVERG1E , Agrégé i !• FKDlté de Uédedne.
DESLAHDES , Docteur en Médecine.
DUGËS , Frofesseur A U Fuculté de Médedne de Montpellier.
DTJFUYTItEN , Chirurgien de ['H&tel-Diea de Parls-^ Prafaiear à U Faculté.
FOVILLE, Médecin du l'iiosplce des Aliénés de fioueo. , •
GCnBOUKT. Proreisear â l'école de pbsrmade.
JOLLY , Docteur en Médedne.
LALËEMAND, Professeur à l'EtwIe de Hédedne dr Uontpellier. '-
LONDE , Membre de lAcadémie royale de Hédedne.
HAGENQJB , Mes^ire de l'Inititut , Médecin de l'EAtel-Dieu, ■
HARTIN-SOLON , Médecin de l'hâpiUl Beaujon.
RATI^, Dodeuren Médecin;.
BAYER , Médecin de l'hâpiUl de U Charité.,
ROCHE , Membre de l'Acadécaie royale de Médedne.
SAHSOIf , Chirurgien de l'Hâtel-Dieu de Parii.
l5 TOL. IN-S" I>E'60O eA.GES CBACCITÂ
LES TOMES 1 A U SONT EN VENTE.
Le Tome 13 paraîtra iacessamment.
FKIXDE'CHAQITEVOLCIIE : 7 Fr., FIUHC DE PORT; PA& XA POSTE : g fr.
. ha Dictionfioin <U Médecine et dt ChirurgU pratifues
peut être jugé maintenant sac la faitmËms de sa publication et
«DT i'oBuvra de son- esécatîon. U devient donc an moÎDs inutile
de rappeler au public les nombreux titres qui lui ont mérité la
laveur dont il jouÙ parmi tpu tes les classes ^e médecins, «t*ai^<
tout parmi ceux dont tous les moments iont occupés parles
travaux de la pratique, et sont par cela même plusavîdetde
faits et de moyens que ié mots et de spéculations.
Fidties au plan qu'ils ont avioptè, ainsi qu'aux engagements
qu'ils ont contractés ponr l'accomplissement de leur entreprise^
)«s auteurs et éditeurs peuvent déjà se flilter une leurs promesses
n'ont point été raines, et que s'il existe des différence* entre tes
premiers et tes derniers volumes publiés, elles sont autant de
progrès et d'améliorations sensibles qui justifient le succès tou-
jours craissant de-l'ouvragC} el en assurent d'avance la parfaite
et torupulense exécution.
Xd Imitant «ons les yeax dupabliolestitresdesartiolescon-
10 s. S. BituiÂaK, ra« eh l'ËcOle^t-méàfitefte i3 bis.
tsnas dftna 1m dii premiers volume», ainsi ifue les aoms de
leurs auleuFR, on jugera facilement, d'après ce qu'ils oHt fait,
ce qu'il leur rette encore ji faire. On verra BÙr-t«Qt qOQ les f^é^
cialîtés de la science oat été Iraitéev par les auteurs qui s'en sont
le plus occupés.
AÎTORAZi. Acclimatement, auscultation ,. coDtre-Slimalanttf
eaux •m\aéra,\ûi {thérapeutique) , éleclrici^, endémique^ épi-
démiqûe, hypérémte.
Ste||p. Ajcqoiiscnieot, acoustique, Aj>e, ambulance, ané-
vrysme, anjjiectasJe, appareil, arthrite, blessures, hrayei-, brûr
1ure,caaoer, oAmmotton, corps étrangers, calMti^risine, cystite,
davier, dents ( malaiiies des), emphysème, épanchement,
étranglement, fistules, fongns, (rangrfene, kytl«, lîthotrilio.
■LAKSllt. Acéphale, atrénésie, acupuncture, albinie, ampu-
lation,amv{;dnlcs,ari'3chemCDt, athérome, bouche 'maladies
d(ya),bec-<1e-Iièvré, bi'ouchotomie, castration, chéiloplasUe|
couteau, ecchymose, épislasis, fibreux, â&surcs, fuiaucles,
grenouilletto, hydrocèle.
■OVVZBB. Attltvdé , déviation , faim, genou, gibbostté, gym-
nastique, orthopédie. ' ~ '
BOVnUlDD. Acrimonie, amnésie, anasarq«e, anivrysme,
angéile,animisme, aorte, àrtérite, aScite, atrophie, ^delio-
mèlre, cancer, cardite, catalepsie, chorée, colique, cbarbon,
circulation (séméiologie), cœur (maladies 4ù), contagion ^
contracture, cyanose, delrtssccucfî, 4i^'>^t^j diaplir^HjmUB ,
digitale, dogmatisme, dothiiienleriLe, éclectisme, emphysème,
encéphalite, extase, fièvres, (■ollré, hydrdpiaie, magnétisme.
CRUVEURIB&. Abdomcu, acéphalocynCes, Sdbésioa, auato-
mie •médico-chiriirgicale , alistomià pithologîqne, jtppplcxie,
artères (maladies des), articulations (maladies des), cerveau ,
cervelet (maladies du), eiitozoaires, es'toroac (maladies de 1')^
fer, foie(maladies du), hypertrophie, laiyngile.
OU&fiSiUB»- Alopécie syphilitique, antisyphilitique,balanite,
1)lennôtrhagie,Whon;ctiailci'e,eopalm, eiCosiesê véfrirîe&De,
injection , inoculation sVphîWiique; -' '
WpKLKmVSia. ËmanntïonS, genièvre) goudron , grenadwr, ja-
trSlc5»t1é, ipécacub'nha. '
SBVitaOZB. Acides, argent, arsenic , niphyxie, A4aiopsis,
avorieùient , bismuth , cadavTfl, calilhaiîd«s , cKtulii^taesy
oombnMion spontanée, «àiiMtation rpédlivo-tagalA, ■Kta\ia,
cyanjquc (acide), cTiin.ur^, déftinfccUon, docimaae, empofr
B»ni>«iûtiit , étain, Ët4i«r, gaz, [jéltMtne, glutod, iiifBati<M<.
•unis- AboFlifs, acocutâiemeNt , sgafacie , allaitement, «nt^
veraina , u^tlMii , avnkcmënt, iiassin , brAmé, cépiulomètrc,
'CépbaJotomie, césaVieimc ( (opération ), coqoetuehe; carda»
ombilical, crochet, croup, déHvMnce, dealîtidiiy dëtroncitr-
lioR , dystocie, éclampsic , fectus , foicéps, Ëémorrhagies.
WPD'FiVBiBW. Abcès, anus contre niture, cyGtutomie.
' TOVIÙB. Alicflalion, camisole, ci cépllale ( maladies àeV),
épilepsie, hypachomirié, .hystérie, inierdicUon, méttiogHs.
ttPXBCillKT- Acétates, acides, adr^aot, alcali, alcool, amftn-
' des, ambre, amidon, aii>nioaiaqué,ar3liîque(gomn)e),argeipt,
baume, benjoin, benzoïque (acide), borique (acide), calcul!
- en particulier, carbonique (Acide), raifUiarides, cérat, cboc/O-
iat, citrique (acide), cdlyrtt, concnmbres, cuivre, cjanure,
e«irx disiilliteg'^ eaux minérales (chimie médicale), éVixit , em.' ■
plâtre, ^miileionj ■Étîiin, éther , eiiraiis, formuler (art dé).
toLXrT. Abslntbe, afFusion, agacemept, aigreurs, aimani, ■!•
cooi, acidité, alcalinité, amaigrissement, amertume, an^i-
phraJiBie^ a^gjne de poitrine, anosralç, aphonie, •asthme,
aversion, bÀillemcnt,, bouJimie, boiliorYgmê, bourdoni^e-
. meitticalcuUeû ({énual, cauchemar, céphalalgie, chlore, chlo-
rure», .coufeitions, convulsions, cf^aiopes, diagnostic, doutée)
douleur, ^yspha^ti^, oUologie, exuioirea, homceopatbje. ,
UlULnf«an.'Algalie,boufrïii, cathétérisme, cystite, épispadias.
MWSE. Ablnliuii^ abstinence^ air, aliment, ajppétenœ, as-
eaisotinement, bain$, besoin, boisson, convalescence, cretH
nisme, délire, gymnastique, lasarei-
mU>BVIDXB*^bsoi'ption,iUoès, a.ngu£ture, bégaiement, gravelle
MAmViM-ko&OM. race, fluxion, furoncle, iode , héraatémèae,
hydïagogues;
^ATtEB/ Absorbants, alfjremoine, anodin , apéritif, arîstolo-
'(£e) ^rmoisoi arnica, aromatiques, astcing^nU, bàrdaoe,
baryte-, belladone, biunulli , bryone, cache a, calorique,
' camjihlte, cannello^aucavilk^ c«i«e, cisioréum, cataplasin*,
chancre', C^guë, cocblâaria, colchique, c9lomb<!, coloquinte',
Ç0ïi««de., çopahujcroton, cuivre, cynoglosse, dattes, deo-
tclaîre, délayants, dessiccatifs, émâïique , eaux minéraiêa ,
.éleçfj'ici^,,.4nuiiâi^^gues, cpithème , é|tofige , espèces, àa^n^
«titer, e»bito#îa., eu^Lorbc,gorânie,gonorrbée,jalap,lcaj^Ut.
AJkVSlilî Acné, aconit, amianlacée , ampoule , antimoine, flr-
ienit, hbdton , bulle» , couperose, danres, ecthyma , ecté-
hù, éléphïniiasis, éphëlidet, érysipèle, crythènie, exanthè-
mes, gale, ïîeï^s, Iiydrargirle, icbihyose, Jmnetijjo , lèpre.
M^OBE. Abeiràtion, accès, auténorrhéo, amygdalite, angine,
• apyjâxie, arthrite, asthénie, alonie,«Ua<{ue,ba)loooenieBt,
biie, broncliite, cacochymi^i caVreau, catari'he, tdilorose,'chO' '
léia-morbuB , colite, conSLtîtutipn in^icalc , crise, déljre
tremblant, diaphoréliquAB , diarrhée, diat-hèse, d<iphtérite, .
diuréliques, di-agonpeau, en[di'j(c, ej'got , ergotisnie , eipec-
joran.ls , fébrifiij;es , gastrite, gasiro-eniévite , inflammation.
mfkWUBMt- Ag)(l)>tiMati£, amaurose, ammoniaique, anVylooe, ati-
tbrax, araciiic^e (pAte), articulation (fausse), bandages, cata-
, tacte , «tusliqnes , cautérisation , compression , dcbri<tenié«l,
«(i|>lopie,«cCropiDn, entorse, fracftuJr as, hernies, luxations.
— De leur cité, les cflit(!«r», encourajjé* par le succès de
l'entreprise, redoubleront de zèle et d'efforts ponr la meltiv a
fin dans le plus court délai pos'iihio.
lis renouvelUiU V engagement île li\>rer grads aux sousCr^lcHrs
Ui ifolUm'esijiiidépasieraient le nombre qniihe.
ii 1. B. BAÏLLiÊftE, rwe ^tf'f^iTO&ife WiftieffiBe,Vi* i3 5r>.
ALARD. DE L-I1TFLAUMAT1011 DES VAISSEAUX ABSORBhlTTS,'
~ LTUPnATIQCES, DERMOÏDES ET SOCS-GUTVNÉS, maladie ddBiRnéa
Sir leiaulrnraiou^lc] dilTérent» onm» d'Mèptutntiiitit des Araiia, œdemedvr,
themitehannÀt,Aemidmdiegland'alair* dtBarlKidt,Klii^ atec qusiTt! ptad-
cfaci en taille-douce, repi^ientanl les divu-Mr forme», «le.', par M, Aliid»
D.H.P., membre de l 'académie rojals ite médecine .^«gÛeciadeih «uî-
iGD royale de Saiat-Dcnîi , etc. j deuxiimc édition. Parit , t Si4 i >d-8>. • 6 T.
lullu dei ipiMiciic» qui iuiqu'iiii inM^eul ingiili ini nbMiiIiaurl. Lu plaiicllK ajlrriil h labliH
ALARD.DU SIÈGE ET DE LA NATURE DES MALADIES, on non*e1!e>
considéra tioua touchant U Téritible action du système abiorbaot tiaai le*
^hénomtaea de l'économie inimalei par U. Aliid. Poï-û, i8ii, lT.ia-8. laf.
ANIOIAIRS DE L'ACADÉUIE ROYALE DE MÉDECinS, contenant lea
aidonnancci et réglementa reUlir» & aoa orgaaiMtioD ; la liste gènénile de
•M œmbrei réùdauta et contipondaitfii natioMOK et, MUgcif. Parii «
i83o, " - '
G* peifi ouvrage fW IndEipeDi
BANCAL. MANUEL PRATIQUE DE LA LITHOTBITIB,ouLettretà un
jeune médecin «rie broiement de la pierre dam la «ejiiie ; par A.-P. Bmrti.
docteur en médecine i niiii d'un rapport fait à l'InalttnlMyal de France*
5ir HM. Percy, Chaunter, Deacliampa, Felktin et Ma^andie, en faTenr
eion Donrel inalnimentpour l'opération de la Calaracle par eitractioo, Ot-
d'uQC lettre deiciipliie de la manière de pratiquer an miiyen de cet Ia-
lAmmeot. Parit, ing, i toI. in-S/aiec cinq planchea, le portrait de
. H; Dnboii, et un Cio aicntietle aoa écriture...'. .d;.-;..Sf.
fc^ir>Tif>diII.Biii«>|aM4itU pirliimiqui iraiHnidiuinm pelM laiftrtini ^k INtoiilia-.
shûgiii pit» ili cIUDÏDta Hui ta liiiDt de •ni d'uiilui qu'i lie prtKim : i'iip«nlin'. U iirepHtllMi nt\AM
BAYLE. BIBI.IOTHiQUÏDirTaÉRAFBDT-IQUB,ou1tecnc'ildeniê-
moirea originaux et dentravaujc andena et moderœa MirtetràilemcntdeitDa-
Udiei et l'emploi de> médicament*, recaeillia ci pnbliéa psrAi-Ii.-J.BijieyJDl
H.P.,a)p'égéeueierciceclaiiua-bîbliothécaireAJa Faculté de Hédecine, etc.
Paru, i8i8-i83o,a toI. in-S li f.
Tome I*'. Travaux ancien» et moderoei «ur l'iodci rdaiétiipie 1 baule
dose, le baume de copahu et l'acDpunclure , in-8 '. 7 f .
, Tomt V. Traranx andeni et modernca aur le phosphore , la noix lomi-
que, ledatura-ilramonium et la beQadooe, in-S ' yt.-
BAUCHESIVE. de L-iNKLUEjicE des affecItohs dï; L-AMB
DANS LES MALADIES NERTEDSES DES FEMMES, avec le traftemeal
qui convient à cca maladiei ; pur M. de BiiBcatai , D. M. , io-S 3£r>
BÉBIAiV. MANUEL D'ESSEIGnEHENT PRATIQUE DES SOUEDS-
SIUETS;par U. Bdiui, c^Djeur deaétudea de l'institution royale de& Soords-
Huela, BUi*i de l'art d'enaeigner ï patteT but aonrdS'iitaeta pal l'abbé dt
l'Epëe. Parti, 1S97, 1 vol., dont un in-^-, loodètta d'eicrcicea contenant 3i
planches en tailto doncc ei 1 vol. ia-î< 16 f.
BÉGIN. TRAITÉ DE THÉRAPEUTIQUE, rédigé Buiiaot Uïpnnoipea
delà nonvelle doctrine œtidicalo; par L.-J. Btcia .'chirurgien major à l'hC^i-
tal militaire da Val-dc-Grdce, latmbre de l'académie royale de méde-
cine, etc. Paru, i8i5, s toI, in-S ,.i»r,
BÉGIN. HÉHOIRE SUR L'CBSOPHAGOTOUIB ; par I.. J. Bégla ,
Por/«, i8SÎ,in-8.,fig a f.
3. B. BAitutBE.TU* de rÊcoledé Médecine, »• lâ bis,
BELMAS. TBAITE DE I/A GÏSTOTOMIE SUS-PUBIENHB , oUTrage
basé SUT frks de cent obierralioai, tirées dé II pratique du docteur Sou-
barbieJle, par D. Betmai, docteiu ea cbùurgie.de la Facalldlde Ftcu , etc.
Par;, , .8,7, m-8.. fig .^. 6f.
BERT^IN- DES HOTËTfS DE COSSBRVER LA SAUTÉ DES BLAIfCS
ET DES MÈGRES AUX ANTILLES OU CLIMATS CHAUDS ET
HUMIDES DE L'AMERIQUE, conleuaat un npoaédMciiawidegmibiiicB
propTCs à ce9 ctitnatieti la tiavende, reUliiement ï la difTéreace des posi-
tion» , des saisoDB et des températures, et le trailemEat en pacticuUei de
' qaeli]ae> ma'adiee coDimunea cheiieg Nègiea, (elleg que le pian , le mat
-d'estomac et la lèpre ; par le doctear Biitik; in-8. : t.. a f. Sa c.
BERTRÀIVD. DU MAGKÈTISME ANIMAL EN FRANCE et DES
JUGEMENTS QU'EN OHT PORTES LES SOCIÉTÉS SAVANTES, tTcc
' le leite de 1 divers rapport» fait) en 1784 par let commiasairei de l'Académie
des Sciences de la Faculté et da la Société royaitfde mcdecloe, et une
analyse dcB dctoiâres acances de l'Académie rojalc demèdeciae, et du rap-
^ott de H. HuaaOD; auin de cootldénliODS lur l'apparition de l'EXTASE
DANS LES TRAITEMENTS MAGNÉTIQUES, par Al. BaaiaiaB , doc-'
«eut en médecine delà Faculté de Paris, ancien «léTC de l'Ecole Palflech-.
nique, etc.. Patit, i3i6, io-S.. 7f.
BEBZÉLITS. TRAITÉ DE CBIMIE, par L-LBerzélinB, traduit par
A--I.-L. JauBDiR et H. EâiLiBG» , >ar les mannacriti inëdila de l'aatenr , et
•ui t> demiire ««liliDii allemande. Porii, t849-i833. StoI. îd-S, fig... Sfifr.
BIBLIOTHEQUE DU CHIMISTE, pArH.LoHcc.i».Parià,i834.
iS- Tol. in-S, avec un grand nombre de planchejt. Prix de chïqae Tolume , pa-
raiswnt de troi* en trois mois, {Ltfremitr volume cH tnvtntt.)\ ofr.
£s BilliilAltui il CÙniifi uippUcti pour tiiiu IM ohilaru», c» •wJI'ClilKii iglDinintiiin M d'sd
Li Blblioiliiqiii du Cb^BiLMs a pour tut in Un nniB^I» imi kl mitnl it dtclrint qui «1 paru
■fl £Biiuikcl>li •coinili «ni oh ]f in Rij.H>loi>,Subl, Sditil. CanndiA. Pti'Ulcy, c
I. DliJ, LipLu*. FnnAro], GiJ-Li
inicr, Itacul. DliJ, LipLi«.FiiiiAn>], Giv-Liiuc. IIailll>C>r,
I.SatDin, Tbinard.TiuquElîn.alc.^tc.
BICHAT.AKATOMIE PATHOLOGIQUE, DERNIERCOURSDEXÂï.
BlCHAf-, d'après' un manuscrit autographe de P.-A. Bécuib ; avec une
notice aur la lie et les IraTaui de BicBir; par F. .G. Boissaïc, D. U.
f. , etc. Pan'<, 1835, inS., fortraU tt fac-timitt 5 f.
BIlLAIlD. TRAITÉ DES MALADIES DES ENFANTS NOUVEAU-
NÉS ET A LA MAMELLl;, fondé sur de nnutelles obterralions cliniques
et d'analomie patholpgiqucB, faîles à l'hdpital des Enfants-Trouvés de Paria,
dans le' service de M. Baron; parC. BitLiao, D. H. P. , ancien interne de
cet bOpital ; 1" édition, augmentac d'mt Mimairg médino-Ugai tur la viahi-
au du f/tltti, tcec éei noUt tt vn* Noliee mr Pautti^r 1 par Qluviir d'Ao-
gen, D. M. P. Paris, i83S, 1 fort vol. in-H 9 f.
B™t.lou.r.iS..I« bue prlncifd] it l'iuAor«l,rf'«p«»i i« ciriuirr. dM Sym^ia»» propre *» .
■»liinc>ton.l«iit. 4!i*.]ri»Mwil*rcr4.i.. l™i™ppon«».K.kiiHilnii«iidrjnï»DM.Ift pwi
BILLAUD. ATLAS D'AHATOMIE FATDOLOGIQUE, pour servira
l'hig>oira des malidirtdea enfanta ip^rC.BiLitan, D. M. P., Paru, 1838
iu-4,deâii plancLea, avec an leïle eiplicaiif. • 10 t.
•K ph«»n ai» làisplil V. Dum«niL
BOI9SËAIT. KOSOGHAJHrEORGAHlQTjfe.QnTRAlTÉCOMTfcÈtDJ^
rtÉOECISBPBATlQUZ; par F.-G. Bolssean, 0. Jlrl. t., membre def iea-
AiraW* iotIri •<« MïtlectnG de Pirii et de Midrid , j^rbrcbenr i fMMial
tolliUite d'initruciioo ds Met». Part»,- i8i8-i8Sû, < forW toI. iii-8. . . 54 f.
Cl«|M*>i«ilB<'"l'P*T*'^V>^«"'l'P»'«W<ifi"''»"fHUL'«ii**l»r(»iiM, Uiè.«i.,n»*tt
!«'™î *• l.»«"r 'un tiW"" ««a <1 coi>)>lei du tium .1 fcuipi" dw «•[■*.. «.rrt*r<.i <»> t»,r-
ï^.*«iJrle.««rfi*iM rii »w t »-trtm«iM W «»>w..*wt.Mi.fl.i.ti^lii«i»4MUwib*».i-
IHH9SBAIT. WDÉTOMWlfi PHTSIOLQGIQUE, w Trai« dm AiTrai
cDDiidérJM tl*i>a l'ea^l de ht noilvefle doctrine mËdicalc, par P.-Q. BoU-
teau. Ç«<>'ri'*»<Mi*(«it,iM^iHenM«.i>«rt(, idSi, ia-^ de yiSpagei. g (^
BOISSEAII. TKAlté JDU CgO{>ÊRA«UItBt)6t OOfifllOËBÉ BOUS
LE RirPOnT MÉDIGAI. ET ADMISIflTRATIP , am BedienliM «ne
' )Mnra>pnJrae)iUDitar«etIe.tnfl.«io«ol4e«<ilc «ialadU,El étrtcamajàws
- de l^iidw; ttdnde* urSTBCCTIONS GUA LA POLICS SJkAlTAIBJ,
ii«tKie(fMrprrfr<rfHDait<wrMvt«afj par F.-O. Boùmm. Pi*i*, i8&i,
V-K...,. ■-. .6/.
eOIVIN *T DUGÈii. TBAITÉ FiUTIQOE DBS MALADIES SE
fOTËBOS ET I>E SES ANREXK« , B^tajéiw' un gribd nontin 4'akwr-
uD» clioi^ucBj par ni«^nMBe<Tia,Jl»cieiir4i nideûfti fW^-IVl^^
reillaple CD chcfdelaiDaJioDiDjidedc Saolii.eJtA. DuoU, prcrenenr i
_.acutlïde (iiédeDînedeBoQlpeUier,i><wifjie5S.»Tol.(ç-S..:....4f.
Atlai'de ^l planthc» ïn-fol. , gray^i;» et coloriÉei, r»iwttiijtt Ut prinoi-
fàln altiràliifu pmrlndû da organtt giniiavx Jt ia ftmvé. Paru, i8K.
ip-rol.,avsae<p4icauon ...6o/. -
L'ouvrage complet pris entemble, a Tol.in-S. , ntlat in-fol...,. yi>T. ■
■ Vtiimt fiiiiriii 'i M. ,Tiù«ii, au iniUiiiiii leui IrtUi ^wiitH iln «iiU^iu A l'w^ni tU*m «ntiai).
.paiMM ■ b< f Mi diflltila , i Mlbi 4(»i k InfoiMBI « h* di<tri nudit r»iial AnSinMi'riipitiJi
,pilHWl.liiilk*qii»d«l«i-
u lillg dini unt piJilllIM «Mllilix, In niiiir<|U<i cl iMobimilitiii d> U. CbsÙ, JiiiiHiitnindaini-
dlimiL>c>>V>Ua.l»ili>>i>'*llFoiI'i4'<«I<rlJ'i>lli>Ildiin)tl.
Du NI AII«<pbHid*nliaIlHVrBl«biHlii<p|)a^ d* ^airnlicl imf plaitelira fTH^ai «I wbrî^ Btu
. _._. j— 1.^ j. _-j. ».'_-. "^^^^^^ ^ri. Lh>f*l,JÏ tquou p*r la fHlf flioa
a «iiopJii|rB> indiiiiniiilila dt l'ïuirJga. -CtnilaB-
:b01TIîv. hechbhcues sur une des cadsks les plus fré-
QUERTES ET LA MOINS CONNUE DE L'AVORTEMEJIJT , mirici
d'un mémoire >ur l'iatro-p(lnmèti«, uumeniurateur interne du bMUU ; pM
madioie Boivin. Pont, i8a8 , ia-8,,Gg 4 r.
BOIVIN. MOCVELLES RECHERCHES SUB L'ORIGINE, LABATURE
-ET LE THA[T£UEHT DE LA HOLE VESIOULAIRE , mi GroueuB
hjdatique; par Ho>a Boivin. Parii, 1617, in-H. , )I(. i T. 5o c,
"BEÏITIS ET ItOUII/tAVD. ÏRAiTÉ hss maladies db
COEUB ET DES GROS VAISSEAUX, p.r MM. R.-J.-Blnw, et*.
Bonu-mn, proMeednli h Faculté de médecine de Paris, Paria; fli4, 1
' .ol. in^.,«v«;8pU .....;..* *.,.. fit
i^tïtïiXtJÏ»,. THAITË PHaïIÔÙË, THÉbptQlfE ET S-TATIS-
■ -nijUB SURLECHOLEEA-MORBDS SE PARIS,, appujÉ sur uà grand
nombre'a'observafiOiiBt'ecuFÎIIiee k l'hôplttil delà Pirti; parJ. Bouitnin *
tbédteta de /•et Mpil«I, firofciaei* iJe ettriquc aiàiatW k i» F»cnliê de
■ mtdeciiMde Paris, etc. , i toI. >q-8. de 4So page* fi f. Soc.
90tIIL:I.AVIk<TBAIT^ CLl5I(^E EX PHïSïOLOGIQKE DEt'KJI-
' USPIHALITE QV . jmLMtMATiaH ■, BB CERVEAtJ ei . <ie »m «aUca ,
tatl«i quelAHiociUiiaeiticiUi U anppurMioa , Ici tubercBlasi, tB'Moinbv,
' " " ■ ' iclo A U
le couper, eic ; par S, Bqdh.mcd , profruenr (te (iÛfiïqiie nidii
TacuTtéac ihédetHriedeTafii. PSWi. -<"■" ~-
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pM.S»ai,.,lci.r»»cnbNjldliI«.ii««d;iti.n(m.>..pog«iiânin.b«i-oV«rilii(lii«l.plBdi*m
.. Iliipisjin i iimautif. l'il .u (lti| Utaïc, liKli^ii* Jm )i^ri inr Jig^iitlla, wnH rf l»iii,(n«*hi. Il
|ua<;ac|uif>)liiiinit ion lim, «1 >il dminSi prriHl™ pIioF «uprriiiLct mifi dri VncrilciiiE icriii ni» nom
iBQlîÏLlAtJl». rEAltÉ'cp'tSîOCE Kt EXPEEmlBSi-At 6B8
J"fÈVÏIESWTÈSBSSKHTÏ6Li;E8i>iir J. Boo.lwud. i^ri». ï8»6, Îu-B.
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CFt» itoutli •HiiEi iI«Wlti1«> ffiiUlixMIctlW tirrttViI qu'tn (ipholrui clflltrlilse ei rinoili n^c
/dD'dMn>inF-iltl'AulaaAW'p>lliUo^*uhilU<r<li-titf>>'MiÉl'Bi1tiir>ltiii4DeklM(<H ■>)>»« 'dïjrdK-
'l»B>rPIi^WlMÉimi»ilMi*w«titP^^"«i*i'lw™»»'rtlii<i'oiii W*»i yM I| t t>iii w ]V«ptiirfiBi,M»m.
Ma». Fo^rbiT.olMmr, »!•« «^r kYl*lil^wJ»uilHjc]Miirt«i.i,à,,o, M(.r*t,.i^ii,Tolr
' fcurîurtiail'urt ,,J('dl>|DHIie>ll>lUr^?tu!^HdralltRn.
BOVILIyAilD. mBSEBTATIOTf ^SVR- LES OlÈReRALITiii; DI! LA
CLINIQUE MEDICALE et sur te ^Im> i «ùtTreânn fensergacneDt Jo
cette iblebce ; p«rl. BeiTiL&i«D. Ao^ , mit , ta-fl. t . . . i f. Si>«,
BOt'IlLAtJD. ilitôsiTiCfî JÀ^feoSflÉft ï>*uM caÎ! dE fiot-
TETXEET SIHGULIÈRE VARIÉTÉ D'HfeltliIAPfiROmsMÊ, obBi;rr*e
cbti l'homme, pur M. J. BoïiLiiuD, Parij, iSSi.fnH. Cg i I, So.
B0iniï)O]y. PRtKCIPES Dfe PBtSÏeLÔGIE CbMPARÉfi, on Hirtoft»
des pliénamènes de ta vie dam toùi les tirés qui en toal duii^B , depuis les
piailles (u Bqii'àui animauï les ptits coni|**ie«; pai I«id. ikHi>innl , 1), M. P.,
membre de l' Académie myalc de biédeciiie. Parii, lUlo , io^.'..^ f. 5o c.
BOU&DOIV. PRINCIPES DE FHTSIOLQCIE MÉDICALE; >arhrd.
BoriBoa , Pflrt*, i»38,» Tol.ta-S ;...... .i».r.
"BOUKDON. BKCHEIICBES SUR LE MÉCANISME Ï)E LA ÏIÈÀPI-
EATldH ctiur la circulation du tangj easait qui ont'oLtCDu itDeliieDtion
boDorabU aacocicoura dellnslilul; p'ai Iiid. Bovidok, D. M. F. Pari*,
18.0,10-8........... *l.
BOUBDOn. DE L'INPLURISCE iit LA PEHANTÈVfi SVR QUEL-
QUES PQÉJSOMÈHESDEIA VlEi parlsid.BotsooB./'ar»», j8i3, in«.
BOUSOUET. ïhaité de la tagcih'e et des bruptkius'va'.
■ EIOLEt'SÉ8oBVA«IOUFOItME8r«"™y« téétgà mr-ia JemaaHe du
Scuttnummt, ^arJ. B. BavsQMit D. M., wcréiaire du consaB de Hata-
tlémic loiatede nièdtciue, cbaigc de» vaccinalioini gratuite», P«»m, i8S3,
. in.8 ..-■ • ■• • 6Ï.
•RACIIÉT.BECHERCHES EXTÉBIHEHTALES SUR lES FONC-
- TIONS DD SYSTÈME MEJIVEUX GAMtiHONAlBE, jtf iur leur
,1 applict^ouRU iwUioVDg'e. r»r J, L.BB*cHtT^inedïciDderHûiEl-Difq
, .d« Lyon, ûifvrriEe couroiini? par l'Injtlint. Parii, i83o. In-S" y tt-
1»BÀ€HKT. BECHEBCBES SUE I-A NATURE ET Lp SIÈGE UE
' fHïSTÉBlBETDEI^'BYPOCfiOKDaiE.eiaurl'ûiMlo^et Im dUS(-
renceide ce*iieiiimalaiiliet,r*f3. L.SaiuuT.iS3i,lo.4< , ..3fr.j;o<i,
«6 S. S. Bah-uÈbe, rue de l'Ecole de Médecine, »* tZbis.
BRESCHET. ÊTDDES AHATOMIQUES, PHYSIOLOGIQUES ET
■ PATHOLOGIQUES DE L'OEUF DAMS L'ESPÈCE HUMAIME, «i âaa*
• qnelquei'Dnei dci principales femillei dèi animaiu vcrtébi^t, par G. BaEa-
CBiT, ciief de* ttavanx aDatomique* de la Faculté de mëdeciiie de'Parif ,
, chirargien de l'BaulrDiea de Pacu, i839, in-4.'nTec ilipUDcloei. .iS fr.
BRESCHÉT. HÊUOIBSS CHIRURGICAUX SDR DIPFÉRBRTBS
ESPÈCES D'AKâVRYSHES; par G. Bimmn. Farii, i834. lo-t avas 6
plaocbei iD'Iol. Il Ir.
CABANrS. RAPPORT OU PHYSIQUE ET DU HOBAL DE L'BOUME;
Sr P.-J.-G.Ciiiiii, de l'Iuslitut , profeiscur de la Faculté d« midfciiie de
lis , précédé d'une table aoaljtiqae, pat ÏL lê comto Dunn m Tbaci,
Gl MÛvî d'aDB tiiUe alpbabéliqae ; uoarcUe ^ditioa. Parit, iSaj , 3 *ol.
in-ii da i.iDo pages .' St.
CADET GASSiCOURTl FOIlHUI,AIRE H&GISTBAL et HEUC
ElAL PHARMACEUTIQUE, par Ch. C»» Guitcrair , ;• édiUoa,
auumentÉe par F. Cadet Gasslcourt , pharmacien , Cotteieau et L, Di lA
HoaLiiai, D. H. P. Paru, iH33 , in-iS de 700 pages St.
CALHEIli. DE LA PARALTSIE , CONSIDÉRÉE CHEZ LES ALlti-
RES , Be(3iercbea faites dan» le >erirîce ei sous lea veDi de HH. Soytr-
CoUardet E<^irel;'^iTL.-F.QiiMMiL,D. H. P.,tD4detiuàU naaoa
rojale de) (llfn^i de Chsrenloa. Parit, iSiS, îd 8....'.......6 f. 5a c.
.CARAULT. GUIDE DES MÈRES QUI VEUL'ENT KOURRlH.oa
PRÉCEPTES SUR L'BDUGATIOH J)E LA PREMIÈRE ENFAKCE ; par
B. CtaiDu , docteur ea médecine de la Facullé de Fatisi membre d«
ptusieuTS Sociétés laTantei. Paru , iBio , in-iS a f. So c.
CASSAIV. eecheughes anatouiques et PHTSIOLOGIQVBS
SUR LES CAS D'UTÉKUS DOUBLE XT DE SUPËBFETATION; p»
A.-L. CiuiH, docteur en médedae de la 'Faculté de PaiÎH, ancien
ioterue dea bdpilaui. Parti, iHsfi , ÎD-8, figures , 1 f. 5o c.
CASAMAYOR.béflÊxiohs ET observations ASATOMICO-
CHIRUB6ICALES SUR L'ANÉVRTSHË SPOIHTAHB EN GENERAL,
et en particulier sur celui de l'attëre fémorale ; par I.-L.-L. CuisiTcn.
docteur eo médecine de la faculté de Parie , etc. Parli, iSiS , in-8. . . 6 f.
TIci ab<er7Kli«if EiojuliteuHi blcD Taltm. tlTiiQÎre la phit f ainpleiH d.iiD]Téfp1kni(jiilBal«fftprili^iH*«
l*ni «n FrHMiqDÏl'âlrvaJtB'.rauDitDdudiTaQ^nD^dfrt cptrtloiin qui doJ ^1>propvv pvki|>ldi
nrwjilHeduIlB^AtttaHjabiUÏDtbtiidt da caiiurgirn^i cÛJt de?<ui lu 5£■^pï t J d« Uac^i'a nrlV-
' CELSfi. [A.-C.} : TRAITÉ DE LA MÉDECINE en TIIl livres ; Iraductkia
DOUTèlle parHH.' Fonquiai, profeiseut de la Faculté de ULédecine de Pa-
ri* , médecia de l'bOpilal de fa Charité , cl UtTiu ^ D. M. P. Porûi iSi4
în-18 deSSopages, impriiué sur papier fia , pii.F. Didot.....>4 I^ ^'^
CELSl (A. C. }': DE ne^ MEDICA LIBBI OCTO, edilio nota, curantibui
. P.FouqiiÉa, in saluberrima Fncultite Parisiensi proHesM», et F.-S. Ri-
itia.D. H.fAriiiw, .SiS^in-iS, pap.Sn duVos^e if. Sur.
'_ Le même , papier Télio 8 f.
CHAMBERET et TRACHEZ. DU CHOtÉRA-MORBUS DE
POLOGNE. Renseignements recueillis par la (!oininiasiL.B de» oOcien de _
saaté mitiiaiie* envoTêscn Pologne par le inln!itrc de la guerre^ préoâdé*
du Bappurt. du Conseil de laDté. Port*, iSSia, iii.S. ■••i.:. 3 f.
i. B. Baillièhe, rue de PEcole de Médecine, r* iS &à. >7
CHERVIN, louis et TttOCSMÏAU. DoeCMENTSSORLA
FIBTBB JAUNE , tecueillii par lu memlM-n de li cammiMion médical*
enioTte fc Gibnitar pur le gouTetnemeal franfaîa, pour obierTcr
t'ipiâtmie de fiivre }aB■le^qui> li^ai dan* celte place eo i8iS. Pari*,
iSSdj'i Tol.in-S. , aicc cartes et pliDi.: '16 T.
■HMnL'it qui D'iliilpin i,„]ai au rwnmtteD. Haut .d|ib>dd> lu plnuiHI i|ul iMniVanl h II rmi-
CIVIALË.DELA LITBOTRITIE, ou B^iemèm de !■ pierre diDiJa
TêHÎe, par le docteutCiiuia. Parit, 1837, 1 toI . in-8., «Teesepl ptaDche>.7 f.
CIVIALE. LETTRES SUR LA LITHOTHITIE, ou Broieaieat de la
pîene dam la TeitLe, pBW umif dftàla «t 4« amplimtntà taunrag* pri^
éèdatt , par le dtwteur Cituli. l< Lellre a U. Vincent KiaM. fan),
1S17. — II- Lettre. Parit , 181S, —III* Lettre. UlhotrilU urithratt.
Paru, iSJi. IV' Lettre i H. Dupiiylren' Parit, i833. 4 uait. ioS ; 1 1 fr.
:. SËparémentlalIl* Lettre. BuliLHhotrUUuréttirafê. Parti, iSSi.in-S.S f. Soc.
Stpardmeat la IV Lettre *U OapuTtreo. Parit', iSii, in-S!..... «f. 5o o.
CODEX HEDICAHENiFARIUS , live Pharmacopaa gal'Uci, fma régla
oplimt et ei mandito aummi renim ioteinaram re^i Bdiniaûtri elStui •
JFacollato medicl FarieiuÎH. ParUUa, iNiN,ia-4 ,.' 10 f,
COLLIN. DKS DIVERSBS- MÉTHODES D'ETPtORATIOH DE LA
POITRINKETDE LEUR APPLICATION AU DIAGSO^TIC DÉ SES
MALADIES, par V. Gulli*, docteur es niédecioedi la'Factiltéde Paria.
dtiaiiàmtiJitimi, mugtntntU, Parit ,\Kit;iB-9. ;..... a f. Soc.
CO<H*£R (ASTLET) ET THAVJSRS.CBOVItESGHÎRURtflCA&eft
' contenaat de» mimolcei anur les )uutîoi»,'i'iDflaaiiiiation de^l'ina, Ik liga-
tnre de l'aorte, le pUmoù* -et le para^pUiDotia , l'uortoae , lUiWTrt'tni**
fODtre DBtote de l'orithre , les ble>*sru.et tea ligataiat dei ««Ma', lea fiao-
tnrei du cql da féiour et des lumenri eolystéei : .ttwlititcs d« J'aBgkdi Jpif
' Oi BiDaiRD , docteur eo nn^dccine, arec ai plauchci. Parit, i^i3:
sTol. iii-8 .....^y....^^.:....iit.
rillierJjidgalriH jJi^olDfi^H ili« cbiiurviTt h r^lQuirwl p«tl-
ioD, qd1«tirtoiiriiir«dc »aiiruiuii4j«ud'Tié«iiifrbartpptHli«'
COQUEBERT. iLLDSTBATtOICOROGRAPBlAlHSfiCTiOnUHqiiM
in maBalîs paritîoia obsertavil et ib lucem cdidil J.-Ch. Fabrïciu'a prKtninii
eiusdem deieriptionibui accedunt <p«Ciei pluriiiix , Tel mimia atlViilindiiiB
cognitR; auct. A.-J, Coquebert. Faritiit, an (m; ooTrage. couplet poblîë
en trois décades, compotéesebacime da loplaBcbea et an textd: exfijicttif
formant. eniembie. un volume g nnd iii-4°<K »4> P'g's deteale eiSo plau-
cbes gradées et coloriées axei soin et représentant plus de 3oo eipêce*.
Tn 4. , cartonné. Pria : 60 f,
le puii"sdreit[iirtiiHiiIqnilqiu>iKinpllli<idcidU>dH'iil 1. mit a plmAit »alarl>», t rikta
JsOnriinilti In piisehri enUlitH, I^nlii an » «bitr aiat ion , as ^lil !•., >l fr.
COUTANCEAU. révision des nouvelles doctrines cbi-
MICO-FHTSIOLOGIQC KS, suirie d'eipétIcEces r°Uli«es â la respiratkwi
par M. CoDTiNciiD, D. U. V., midecia et prorcxeur à lliâpital miUlaïre
d'initmctlon du Valde-Grlcc. Paris, iflii, ia-S., br. 1 S T.
CUVIER. ItÀPPORT HISTORIQUE SUB LRÇ PROGRÈS DÉS SCIEIT-
CES HATDRELLE3 depuis 1789, et sur lênr état actuel , prneoté au goo-
vernement CD iSoS, par rinslilnt, rédige pirM. le baron G.CiiTiaa, m'einbr*
de ['f ndtîiul , conseiller d'élat , proresscur admiliiitialeur dn Hniéniii dli^
totre oatuifelle ; don f elle édition. P»rU , 18171 m-8......;.,..'0f,<oc.
|8 ■4,-^.&xnjiJit:t,rue'de fEcote de AreVJtfoiVtf,'n° i3£u, |
■CITVïER. SonÉIOBeparE. t»«i«T, McriUiteperpéloel ,Je l'Àc^démis 1
TofUedeMé«édnr. Paiis, iSJ3j îd-H, «fcc ua beau portr^t de Ouvim. if. 1
,:t»'AyY.']î;i,EMENTSDE.rHIJ:,OSOPHiRGHIMIQCK,.pn-H.DtTr, pjo-
feiteordeçlÛBiiB ■ l 'loti ito lion «aji le HaAïrienfDe, aaxtxr dci-Élîmentt de '
"YTAjiMleiijrinito; trad. <lel'atigl,,aTiC(Iesiddi(it}ja«, par Van-Mou, c«irci<
pppdmit de l'Inititut. ^^ori/, .Sag, , »ol, in-», fi^. rg f.
ÀmiiiùMOMl bUBUioiJ. St! EIJmrnTi <li flihiKiiHi rliwf» ^liiiH plu •gniiut >B Jntfa | -«•»-
- n«ji>i».«#rt™*ii «iwiricitn i«.rtpr«i*ihM.i.
-OeLMt»! ÉTUDE BtlCKonÉHA-MORBirs EH ANGLtTEERB ET
En ECOSSE, GD lH5i; par U. DniiicB, prureiwurde'jaFacolté ik m^-
■ ■ dcdnede'HoiilptlUet, ett. Paru, iK3i, io-S 4 f,
BKSAlfliT- tiovRES/CiiiauftiRiciLKs, (ta -txpoai de -la
, fiOGTRlflE ETDE-L^i'iliTlQUE DE P.-3. ©ESAW.T, «Mtattten'rt
chcfdel'HOlet^icudE Parâi; pw Hit. «iniT; troiSiAn» idUtoa. PAMt,
' ■ ■»SSo-,3iïol. in-S, "ec i5 pttn«a« .,.,.. 'i8L
'dëSCÏiAHps. traité historique et 'BDGKTA'nQUSim la
. tecmbrBdol'lislitM^ctcii >«ecQ>i»appMafcl)t d*Ba)ofu«l I%iM»it«4ela
laillceit coiiliiiu^e« -dépiiù la an ila «ièd« detnicr' ^Hjii'è m jour, ptr
L.-J. ^Cii|,oliir«rgica-ni>)or.ai!bapiHl-«)rïMare^driTHtMctiM> du VUQd«~
; Giiot. i^iù, iSïÊ,'4 ïpl. iq-8, ig........ ....lot.
— ^'Cu' v(àâ'^j>Btéiu>'iit le ^upiilcra^i )iac M. BcgmpourU* fOMeucars de
* .-. li'iuicicniie edili9n'<Jc 0M|;Ii(«Bpi. Iu.i»", .,....,■.■ 3 f.
^ ■S|i^S^.iVïiTT'S^/ibrt>âSSt>eS.JLOADéMICIZSS't)E IlOfTtl^L.
J^l^ f pAirMnnB'tTl'bial«iiv^*ctAicé*^nrle >i«i«ièei«, pat U. la faarOD
V ' DiWnMfri:ka(iBi>}M«kiii'figaU»l'du<9ervne dewntédcaiara^», profcaseor
.... d4 UtaMllé de DiAdc^asde Paiù, e\o. Parii, tSii, hi-fi if.
- ■■nBSOENETTES.nrSTOÏbESfÉDlCALEfi'efARMÉËD'ORliEHT,
-parle tbroa fi. DasoinKitis; !• éd., aûgititntée de noie». 'Pàrii, iSSo,
■ iio8.;. ■.•-■.■.■.■.■. ..-.■..;......■. .....; , et.
'' DËSRHEIHS. msTOini! natù rëllb et médicale tms s-ang-
SlJÏSi (:oDteQaD^''t^,3éieii|>lîon''BnalDniiqUG des OTgaaei de lu liiDgiuc ofBci-
nale', avec de» comldéra'.iuni physiotogiquea «ur cea organe» } tk« 'OOIMM
t>âir^^dtMi-MV',|f'e[>iHei^Bti«n dumeaiique de c« ver, ta repmclacriDn.
''' '«('8 insladiés ,sôjt àp|>[i'<.'àli9n , etc. ;. par i.-L, CiisBiiinii», pharmaciçn, elc.
;' ■ 'Parlf, i^a'5, 1^-8, ;âiiplauc1j,i;s,.. ;...., ..,;....": Zh Soc .
iiXESIlOCUES. TRAITÉ ÉLÉMENT Al RE BECH1H1E ET DE FHT-
1 : ^tQUE,i>arO«M«oaa4ai]aieQël«ndGl'ti)olepo);eerfMtqne. A)rU,i33i; '
i^. itivfert «etumvia-tl, atcc^j plantflief Bravée» ,...'. 8 t.
: 'MlSltTjEXX'ES.TIlATI* ÏHÉORIQDfi ET tHïATlQtfE Dtf CROUP.
d'sjJits Jôi prinqjtoç» de la' ductrilic fliyiiolùfelijue , procédé de nJOexioui
,u, l'oiganîsation ocsenTanls, par H.-M.-J. Ubsidillï», docleut en inéde-
. 1 . cine de la ficuM M- Phîi, bnnobre de la '■oejété médiesle d'^mDU.Iioa ;
' a*ilïiÈiMe tdîliOQ, eolitrenieiit rcibnduc. ParlijiSii, i tOI. ln-8. S f. 5ac.
■ *iiÊSfttiELLl:S. TBAlfËBÏLACOQtjEt.UCHÉ, ouvres eourônni
■' -narta Soeiiti tnêilico-priilifilt da Parti, par ^}iBtmu.\a, itocieur en mé-
■ decioe de la fatull* de Pârîn, cWrutÉieiiDloirfr 1 lliOpital iu'ilitiîre dln-
■ Vtriictîôn'an Val-dè-6tatê,etc. PiiTii,if.iy ,'\d-'» Sfr. Sue
' BÉSRÏJELtES. MÉia'OIRE stru LB TRAITEMEST SAWS 'MEB.
] CUiRÇ emplsyé à ITiÂpiùl piaiiï-— ■< ■:"-!'. .-.•:-." a,. ■v.X.A.ci.i^^ ..-,-ir.
Ici raalailie. Téuaiicnue» piimitîï
Parit , iSaj, in-» ,■ ■ -, <"
mCÏÏOft'HAIRE DE "MÉDECINE VETEH1HA1RB, «pyMHoua» D'*i
»OT*l.,TP«g- »t. r'
J«-B. BAUi«iitix> rUe de tEcole âe Médecine, n* i3 hit. -m
MCTtOlirilIirB Iffl» TERMBS DE HliDECiTfE. pBlRb&GIE. ART
VSTi;flIAM-BB, FEÀBMACIB, HlSTOiax WATUflELU. PBXSI-
QU£, (JUIMLË, Etc., par MM. B^cia , Buruuc Jodvui , Itmtraïuf,
ItiOBA», S*iiMiM> dotUurarn MeJacise dsU ^ultij de Paru, et Dntor ,
proIeiMUC It i'£ca1o tëlériDaire <l« Toulouie; ■ugmcnld d'uu Snvptèmmt
dua lequel SQit VDnptis totn li» noweaux trruiei iptioduiU duu le Unguse
des acieacm méilicalM «t ■coetMÎrat jm^rt noa jou». Parji, iHJo^ i vol,
in^dsESi) pagci., t (leut coUduuc tl{.
— Lèaui^lHiuenl compreitHitt (oiii Its noiiriwux tennca Introduits duit lei
K!iencf5midi,'nlc».Pof», iWd, io-S ■ ^ c.
DCBLED.£:ifUS[T10H QB la ItOUTEtLK DOCTniRE SUR 'la.
MALADIE V^KÉRIERNE, tw A. DobUd, D. M. f. , proreueur âgiirgt
k U {■oullodc iDÀivcioa <lu FBvii,aocieD interne de t'b(»picedetVèD4rt«iil|
Parti, i8ig, ip^ ,..■. ■..,. lir. Suc.
fiUilïES. ESSAI PUYSIOpOGICU-PATUOLUMQOSSUItLANATtJItE
DE LA FliVSB, DE L'UIFLAMH ATION ET DES PltlfrclFALE^
DEVROSfifi; ■t'P"/" dVbKrratiUDi priitîijiismuiiLdQ l'IiîiUoiiedaiMatadMi
ofaMTTéMil'tiâpitMdFB Eufaola (natadHea iliiï; Uànunre conraBlit par h '
bculté de mMtoine de PaFli;par Ant. Duata.D. M. P. , prut JR U bculti
de mtdBaiae de MoatpeJlief. etc. Parit, iSa?, i vol ùi-8. i3 t.
BUOÈS. DE L'IIfFLUEI^CE DES SCIENCES MÉDICALES ^ ACCEf.
SOJIt£S HURLES PH0«r£8 DE LAilUIBOBtilE HODBRNB.pirAnt.
Drtli.'Pori», ia«.iii8.,
D><i>»<ii»il,H. IhigiiiTOulaC'i'l «Wi'lf i;t)w>.liii
JHJ6ÉH. anNT-JtE inTER ASCITEU et HERlIOHiTIXkUieHBO-
KICA-M CERTA DISCRIMINA QClALE£Dli«fifiaQl,11irBitllTt«Mfc
Ant. D««ta, D. M. P. P«r.jiii, i8ii.in4. ...-.* i fc..ipc.
. DCJOSS. MÉMOIRE DE LA GOHFaUUITÊ fWAAlllQeE BU»i/É-
CHRILE AHIMALE, par Ajn. U<jcl9, prurcwMi i '• FaeoM.dr.Bè-
derîne de Uoetpenier. Pwû. VSm.IMbmb an ptMwhc». ...iSr.
IU.'GJE^. UÉUOLRfi SUS un nonVEAU forceps h uiiUen \»\u-
UDtes ,ot lurson emploi, {ur l«|B«tB(;, iWii, i835,io-8% Sg.-ilt&VPk
^IGES RECUERCHëS sur t'OSTËOLOOtE ET LA KSOIlOfilE
DES BATRACIENS, oiivroga cûuropuifiir l'ùiwihilde Frums-stpAUti
1 tta lni'tP""'' i^ii ''■4 '"ec lûypIaoQba) gravéM. Soiafnmt. ■•.
nUTKOCIIET. RSCBSRCHE» ANAT<Mlll<H>E« HT PHTSmiO-
GrailESSURLA SIItUCTUBE INTIME DB« ANIMADX BTBeS
' VECETAlIXETSUIlLA»OIlLlTS,parM.Diii.Mi«i,D. M.Pl.tniai».
hrudef Iniùlttl de i'iauca [«eadiïaiierojaile (kea*eiefleci,elLOP<)rCr, i9>4,
iûJf , a»ec deux planche. « t
nUTBOCtlËT. H01ITEILE6 BECHBRCaBS SUR LlinDOSHOSK
ET L'EXOSMOSE, par H. Swkchi, t^. Ht. Y. , Parii , ItnS , ht-S,
fia ; »fr. îoc.
EfiuijJAOI.. NOIE UÊI>K«k-l.l»ALE SUR LA UOKOMAHIE flO-
MU:IUE, parti. U docteur Ké41i«r.. Pari», 1817, IhS ... 1 fr. So C.
FABJAS SAÏNT-PONB, ESSAI DE GÉOLOGIE, ou UémoMa
poui hcmIt i lliiaioiis o'huidbi diiglBba;paT B. Fieiia Siirt-Pann , prof.
H Jardia du Rut. Parfit <^9i ^ *»<■ '"-''i aTec ig pi. , dont S col,, 11 £,.
FODÉIIA. HISTOIRE DE QCELQCES DOCTBIITES MÉDICALES
COMPARÉES A CELLE DU.DOCTÈtIR BJIOUSSAIB, suirie de «Mut-
déraliuiu Hir |g* éludes laéUicaiBtDaaaldétéeacaniiieiicMDEe M cumne art,
et *'uo SiÉniotrewit lathAnpaDti^;»!: pacM. KWtt*, ooReupoudaDt do l'Ii».
tiu>^ de FraQce. docleureo médetikie el «• pbUuaiipkia de fMneMhéde
Cat»çe,««<--P*^. '«^i.>"-8-' ..Sfr.Soa.
FOUfiRA. MiCHBRCBKSEIPEmMEBTALKBSUBL-ADSORPTMW
*T L'BSHALA'fWN , Mémoire coaranii* par l'ioniitut ruyal *k Fnoen
pat ie menu. Pa»"» i8ai, in-8, avt* nue pUoohe coloriée.... il. ioo.
90 J.-B. Baillièhe, rue de VÉeoîe de Médecine, n.* i3 tfs.
ÏOlWÉRA.DISCOURSSUBLi BIOLOGIE, oirSCIEHCE DE LA Vil,
uîfid'ua Tabltau du connûannces luitiirdlni â'ipiÉi leur ifatere rtléttl
' BlUtion ; par le ratTon.' Parit , 1S161 iu-R 1 Tr. Sa e.
FORGET. MÉDECINE NAVALE, ou nounauiélémcBU d-hygiiae.de
palkalogie et de tbèiap«utique médico-cliirurgicale, i l'uEugc dé« orGcirn
'dciaiMdela mjn'iiedel'italet dm commerce , par C. FoacuT, D. H. P.,
' agrégé t II faculté de médecine de Paria, ancitin «JiiriiTgien de la marine au
■ purt de Boehcfort; Pnrit, i83ï; a vol. iu-fl ; ... ,4 f,
GALX. 8UK LES FONCTIONS DD CERVEAU ET SDR CELLES DE
CHACUI4E DE SES PARTIES, aiccdei obtertattoDi sur la possibîlilri de
Tecodualtreleaiiutincli, Isa peiMih>nla,let talent», ou les dispositioas mofalct
«tlnleilecluellci deshommet et ilet animaai , patJa conSgurâtioa de leur
ceneau et de leur tËte; par le doDleur F.-J. GaLt. Parii, iSaS , C fort» toL
• ia-8 ht.... • 4a f.
'llimiIHHaIoMdenMri|Did<'>id(atlrttinpuMlMdeiU'iit«ia|ikjiliil<itiim«d>H. Gill. A cliisn,
pWiinii-IIMfctiIlilHtcwiMrillfniMHMiiipnriiDM^Briwiiirilrtiiir iHiiliiulqil'iiïirlhpaïuuinDl.
'!> Unumt , m'\t iimi rtri l'k<iDBr il ckri lUnnH «pitu d'takiuiH < lurli n'iniin •!• |ugc> Ixifiti
,J»» alWj M raliMM . wr h pbjrfonoBoa'iliar f I h pHtisgnimiHiliiuc . «ir ]> taUa 11 n>iiRi<|fi>. Pwnil
4b ia>Ai drdiHiutlIn'h.iDI. tia. En ohi citrckinlI-iHi diai un «un minst IlMati* n^ilanUa
GAHA. TBAITÊ DES PLAIES DE TÊTE ET DE L'ENCÉPHALITE,
principaleineal do celle qui leur eut coDi-éoulJi« ^ ouTiagi' dans lecgutl «ont
■ diiculéea pluaieur» queMiuaa relalirea aui ronclîotn du ajilènie nerreui «d
. «cniral.par J. P. Gim, cliîrurgîer en cbef et professeur i l'hôaital miliuira
,. lu Val-da-Grtce, etc.. Pari», 18Î0, in-H- „. 7 f.
GKliDRIN. HISTOIRE ANATOMIQCE DES INFLAMMATIONS, pas
. > A.-H, GïKBa'ir.doclcur en médecine de la raeiiltc de Paria, membre de 1»
Soci^liS do médiecÎBe de Paris, médecin da Bureau central des tdpiJiui, etc.
. Paru, i8ia6, a »ol. io-8. , ; .."...., 16 t.
I, Cmil'flÏÏSÎl. !Ιbipn!"ii 'aOitff d'un. S^ •"«i nllE^ .h'Î "lîIdHMr. ran^^^dï^
ËEOFFrW 'SAINT-HILAinE. HiSTOiHfi GÉ^ÉBALE œr
■ FAHTICCLitRE DES ANOMALIES DE L'ORGANISATION CHEZ
. I/qOUKE ET LES ANIMAUX , ouvrage coinprc^nam des ipcherchea aur
Ici oar«ct*ie«', la «la-siBealibn, l'intueace p h jsio logique et patliolcgique, les
. rapporta génénus, let> lois et tetcause» des MONSTKVOSITES, des varidl jd
' cliieeade CoiiformalioD;ou7'r<iirB<<s (srafo^Djia, plr isid. GauFFBor-SaiHT-
HiLiiai, D. H. P., Membre de nnstltol, aide nalurali.le de looloeie
' ay Maséum d'biitoiie naturelle , etc. Paiii, 18S9, un fort vol. in-Scelallas
de I a planches. iifr.
GEOFFROY SAINT-HILAIRE. philosophie ahatqmi-
QUE.paiM. Et. GaorFaur-Sturt'HiuraB, membre de l'iaslilut, proTesqear
de iooto|iie au Muii^um d'Hisloiie naturelle, elc. — Tome l". DeiOrgantt
' rufiralti'tt. — .Tom' II. Menitraotilit Hmnaitui, i vol. iu^. Paru,
18)8— iSi3, 1 voL in-8. , 1 utUs iiHt.. ■ ; v " '•
— jiiwvmanl. Oiganes Tespiniloiri'a, itiiH, in-8. allas iii.-4.>. ■• 10 f.
Obtiib* rvApli d> *<■■<■ ■«nt,rid'JBi»n]eaïi|Hr^i. ThiiHJeprfmitrTDliiraq. Ttaïaur dttrtopp*
ta aluH«tf'i ■a*"^" " a"**"^* >"^''*** poBrdïlcmriMr r%(ninn««Hiilln'DreHn. Crue ■iPlbo'lH
«lKiïtHdc*^£fnen»arBinJ^w*cl k lÂlsIkeriHeiil 4p< oruHïi- DMnil«ilMiiiànicT*MiBC,ll.GH(frftT
dlnvaml'lVC'*"'"' ■""* " '"**' *'" ■'^l'o'* * liwnHiIiil'iira'DlHIlH l«nla> j^naalifrill l»
<ÎEÔ"SGET.'DE'LA"pnTSl0LOG"E DV STSTÊME NEBVKUX, et
-ipËcMenient du cerveau. Bechsicbe» aar le* maladifs nt^rveiisea en général ,
et en particulier »iir. le «i^f*, la nature et le traiLcmeni de rbyslÉrle, de l'hy^
pocbondric, de l'épi Icfiaie et d« l'eiilimp cotivulsif^ par E. (iioacsT, D. U.
P., mniili. de l'-Ac'diwîc ">>«'" <lem*deciire.P«r(«, i8a) ,ï ïol.in-S. la f.
J.-B. Baillièhe, rue de l'Ecole de Médecine^ n* tibU. *i
GEOBGET. DISCUSSION n nouvelle discussion HÉDICO'
LÉGALE ST7Q LA POLIE on Aliinttioa mentale, mlrie du l'EiimeD da'
' prucËi crimlnrl d'HEiirlelle Corni^r, Et de pliuieun autnn procès, dio*
lesquels cet'e maladie a été al lignée comme mOTeo dedéreaie: par H. Gioi'
ort, D. M. V.,ParU. i3ï6— i8j8, i" ei it partie, in-a 6 f .
GERANDO; DK L'ÊDUGATIOH DES SOURDS-MUETS DE HAIS-
SANCB; par de GiiA^oo , metnbn de l'inniliul, admiaistratenr et préiident
' de l'ioi>1irulli)n rojale Ans •□arda- m a et*. Paru, 1S17 , 1 rorl* vol. id^. 16 f.
GÉRARDIN. TABLEAU ÉLÉMENTAIRE D'OKKITHOLOGIE , oa
Hîsioire naturelle de> aiseaui que l'on rencoatre communèmeat «D ïïiDca,
iciiïi d'nn'Traitè sur la mainirt: de coaicricr lour^dépouiNes ponreofbrtncc
des collvciloos ; par SiiimiN GïaiiDin,' profciieur d'Bialoire natarelle,
attaché au Huaéuni d'Bîatoire naturelle de Parii , etc. Pari* , iSii , ■
TOl. în-S. , et Bllu d«4t plaochu in-j 11 f.
' GOCPIL. EXPOSITION DES PRINCIPES DE LA H OOT ELLE DOC-
TRI NE MEDICALE, ùTFC UD ptécu dei tbisca •oDtCnuei aurcca difTérciilei
partiel j par J.-M.-A. GouriL , cbirurgivo à lltApital mîHtwie d'imlractioa
de Slraiimurg, Pimt , i8^i, 1 t. in-^. , de 6S0 paff B f.
. En riinm* . •", prul <!'« <{•" i'oii'r.ig. d> It. Gii^n, •! -M ripUilJsn Bii\, iu pn«<ip>i it lo
GUEYRARD. L\ DOCTRIRE MÉoicALE HOHCBOPATHIQOB
EXAMINÉE DANS SES RAPPORTS THEORIQUE ET ÏRATIQUE.
Parii, iHH In-S <(f.Soc.
GUILBERT. COSSIDI! RATIONS PRATIQUES SUR CERTAIIfKS
AFFEÇTIOUS DE L'UTERUS , en particulier sur la phlesn».aie r)irODit|ue
«Tec enfforseiticnt du col de rct organe, et nar le» aTat^ligr» de J'applicatioa
Immédiite des eaDeaiict métbndiqiicineDI employées dam cette maladie, par
i.-N. Gcii»iT , prof, de la Pac. domèd. de FarU. iS>6,l0'N., Sg.i T. Sa c. .
HAAS, MÉMOBIiL DU MÉDECIN HOMOEOPATHBTE, ou Rdper-
tmre alphabétique de trailenienu et d'eipÉrii-ttca» liomnoiiathiquca pour »er-
Tir de guide daaa l'application de Pb^unteopatliie au lit du mabde par la
docteur J.L. Haa*, traduit de l'AUemaad par A. J. L.Jourdau, Parla iH}4^
' I loi, in-»4 « - • . 5 Tr.
BAHNEMA^PT. DOr^TRINE ET TRAITEMENT EOMOEOPATHI-
QCE DES MALIDIES CHHOHIQUES, par le diîcleur S. HanmMAa,
traduit de ratlcmand par A. J.'L. Jdcrdaii, membre de l'ACMléDiie rujrale
I de mddecine. Paru. i333,aïol in-So iSfr. .
r HAHÎVEMAÎSS. EXPOSITION DE LA DOCTRINE MÉDICALE HO-
■MOÉOPATHIQUE, ou OBGAHON DE L"ART DE GUERIR; pai
&. fliBHaHinii augipcnlûe de pluiltura l'ragment» de ae> autres ouiragca,
! et saïrie li'one vliarmneopée homaopalhiquB; traduction uouTrtle ini la qui-
t IrièmeédJilon.- par A.-J.-L. Jourdan.l». M. P. P*ri., i8îj , io-8 7 L.
I BAHNëMANN traité de MATIERE MÉDICALE PURE-, ou d«
I l'Action homtepatWque de» mf dicamen.a ; par S. HiuaiBAKu. Traduit do
i l'allemand par i.-J.-L. JooaaiH.Parta, iKïl. 3 forte vol. lu-S. ai f.
ê
ATIN, CHIRURGIE PRATIQUE, ou choix d'obacrratloni cGaii^uaf i«-
lIUm t t'BatetDicu de Fam, dam le aervica de M. DupartN*i^M>,
M 3.-fi. BiiLLiÈRz, rae de rÊcole de Médecine, n' i3 iù.
M. Jtrfrt Hin», D. M. profcueur igiigé 6 la facullé de ttèdennM d» Ptrii .
frafeuBHr d ncooiicbcutDt, fuis, etv., rflô», in-8» fi i^
HATIN. PETIT TRAITÉ Dï MEDECIKB OPÊRATOIBE, rt rc«ndt Â>
«.nnulei à etiuge dB.MB*..femme, et de. offi<.i«r. d« «nté, pM JuU. Hit.»,
D. lI.,prDlciMBcH'icconcfiemeq|. Farii, i83j, ia-8'. ,, ^ , ft.
HEIVRY. PRÉCIS DESCRIPTIF S«a LES IBSTBUMEWFS DR GUI -
IIDRGIE ABCIEHS ET MODERSES; coMeiuni U de.crk.tioii dFch.qiMt
mttrunient, le nom du ceui qui j ont apport* dei moiliEealitHu , at
Ktai prtfiré* aujourd'hui pur bus piejHeiinÉ praticieni, et t'iDdicalioa to
quaBM^qiM fo» doit redieictier dxus cbaqaC ioslj umcrl ; pai Bikri, &iwt-
SMI (tfiaitranwati d« thirnrgie. Par»*, i8i5, un lol. in-S., »»ec pL..7f.
HeffFBAUER. MKDECIHE LÉGALE HEUATIVE AUX ALIÉPtâ,
&VX SOURDS MDGTSiMteiloûappILiitiéejiaindiinrdre* de l'ipteUûcDM,-
parllomioim; traduit de ['«Ile ma ad par CbaBubeTiOD, U. M.F.: ateo dci
notes, par HM. EeQaïaiM, et I»ao. />4n'a , 1H17 , iii-8.
■Hk. •■■ »■ «Hirfll .•«> froil BUT IwailhiM. 1» .t«ll. I« tuin. «f° » Ai IM «ÎMi(.V!« r^'
*. BJil«li«™U»i«. — On I4. iM.i..i 4« ■.ta*» „,>-,„,_ D, «„H„l^jl,„. _ D,. „g,j„
■™il — Dfi iim iiBMpii d. I «. ^, p,o»rt Mr> il> i«wfl *> I' «««hIh t*itt.— tit I f r,«K.
BOHE. TRAITÉ, OU O«SERVATI0!ÏS PRATIOUES ET PATROLO-
■ OÏQUESSOB LETKAITESIENT DES MALADIES DE LA GLANDE
PROSTATE; pm- Ererard Hom, diiiufgien en chef d a t'bâpital Siàat-
George 1 elCj tradui(d« l'aDglaia, jitcd oiutra pUndwi , par Lrén Mut-
■cBjirr, D. M. Fartt , iBi», in-S .....et
HtlFÇliAlVD, L'AST DB PROLONGER LA VIE DE L'BOUMEj par
G^. HanvflB • coiweiller d'état, pmnici mtdeciit du mi ào Piuaee , dt-
icc.lcur de l'ùcole de médeciDc de Berlin, etc.; Iradtil de l'attcmftml , par
A.j.-I'. Jenanta, D. M. P., meaibced* l'Académie rojalc de ni^ecin*, de
bSuciùlémïdk:. d'éniiil.,de l'Acad. dea Sc.de Tuiia. Parii,i8i4.iB4.6r
HtjBEljAPîO. TRAITÉ DE LA MALADIE SCUOPULEDSE, ouTrapj
couroi>bépaf l*Acad*mip impé'rialc dti cunéui de la iinliw>i'parC.-(>. H»»-
■tin* , Htldécin du mi ée Proiap; traduit di) l'allrrosnd anr ja trtnilf me J<K-
.HiM '{tli iir)j f.amnp^fBé et noti^ par J.'B BOD9QDKT, D. H. , elsoiiid'uii
Mtmare acr Ira lerojtelcs, aocompaniié ite qadqnoi rétteiioiM nir le-l»i>
tcmciit du cancer ; par M. ie baion Laaaaf. Pin-it, 1831 , iiv^ ,tlg.,..$ t,
HtTRTREL D'ARBOVAI,. liir.TIonSAlHE DE M^DEGINB ET
^(;HllVCR(:lEVET£RIRAIItES,[>i><'rat^>i:ieiiu«v£ldr>MlRia.*i»ontriira
i^i tBValrric, aut propriétiiiio , aiit mltiiilfura rt k tonln l«« persenseï
ibBTfiïOTdHaotnel du ^uveineiiiPDt des animaux dMucaliqnra; pirHiiitiaL-
n'AnoT:>L, membre de la SociélÉ nnals e* ei'nlralc d'AgrieuIlDfe de Paria, et
dep!utiaiititc>ciéltiTiali»iulnrlélra'npi'j'e»./>ar'i>,>i^lS,4rorlaiDL ia^ Sa f.
— t«a toiBca 3, 4 •i'l>ari';i>ini!t ; pnx de rhaifiM ...,., ..,tl f.
J. B. BailuÈuï , rue de VÉcole de Médecine, n' lî 6m. a3
LEBLANC ÇT TROïJS^AU- ANATOMIB CEiEHraGlCALB
DES PRlSCIPADXARIMAt)XDOMESTlQÛES,oiiftpc_uei!de> planche» .
Tepi«»0«toni, i*rBn»Hwiifide»rÉgionidHChBTal, dubteaf, du mualon,clc.,
aur leMSulleton pratiqou \et ai>^»lton<i Ifes plm giwres;' i- les diver» élaH dé»
AmxUin Bbov»li du bautj du moaJoD. du ohien, iMliqUioi l'ige de ces aai-
n*D> i 3* le» imlnimeula de cliiiorgie TÈttffhiair* ; 4° u" •"*« eiplicaiif;
par II. ^EBÙiiD, médecia véléiiiiaiie, ancieD iëpiiiitcur ■ I'ëcoIs i-ojal*
vÉtÈwwire d'Âlurt., et A. Tbiicu»*, dec(«UF es liiéTlrcine, abrégé àla
VxnilU de Par», ptoflMeuT d'ïnaioaiîe et de phpioli^ie patli'<l<>gir[ue comr ,
]Mr«m.' ÂiW pour servir de suilc êl de eomplélQtiit au tiictiannaiia d» vU'
craod in-roi;, conbuosé de îo plautlie» S"'*^" et coloriétsavec soiii.;ia'f.
(%t'.UH .« inâÀ pu Ëfix,!. .;,[ dr, |,ii<.>^(i>l''miiu>> oi-lelnaj». •! grjiÉ (te Ani1i>. T-^îeu^
JQKJtDA^. EHABHACOLOGIE OHLVERSELLE, lojicï ce uioi, nag. lû.
KERAVOJBEÎÏ ■ MÉHOlREèOB LECgÙtKBA-MOABUS DÇ t'ISUE;
par M, KÉtttÈBBB , ioapçoleur di| icrïicc ife sanl^ de la marip.^ , ipeiillwe
'ducoosi'il supérieur de santé. iK3i,\q.8,,,; ,.. : .^..., .. ,. ..'....v f, 89,9.
LACH'AISE. TOrOGRAPOIE. iî&OlUxm «E PABtS, ou Kiamen »-
néraJ des causes qui pi'uv'eut aroir uue innuence nuirqaiJe s^^ 1^ ^aat^ dt;>
'tiabïtanttJp cette i'iUe:,'tG c«îiet«fç' d<î leu« iii»l«d(M Çj '« fIioÏk de» pie-
caution hjgJÉniqiic» qui.lauraopt applicables, par G., ^iipBiHi, doele^r
en médecine de S Pacull'é de Parw.éfé. Paru, iBai, in-». , .S f. 5u ^.
TekllttcUU>W-d>J>iUI*>«%k<><W'<l>Mar^'<«l.-Biti(nlii»i'hl-kl4l<>ir<i ■Mutila <I.F>ni II
.UcIIUioD. iri. llriMrMMtE VI wb'Mht . .(M. I> A^oiiai J« Jh-W qo.nlin >> te» I. |[CH.
11 ■.i7<e»»w»ij.v.'i'i'»w«''»''*''^"-^°'yt *f *''^''ï*i''^'^g*^***"'^??''r* '"'''*''
t€SAPELt'É\'^BWl(HiS bÊs ACCDUCTE«BHTSro« MémMrw
et obspmttonj choisis «urtesi/tfnls'le» nKis importama d» IVl, pae ma-
daine i<ACBiFELEa, nage-fem'neen chef dB fa loaisoii dNiccoBohenieDtdc Pari»,
pablUsparA nuàWjsôÈ'iirt'ru, H. M. P., pMitd*a(ic(iuobr[D<.-n£ de U Ki
Mll4 lie itiédecKie de MortrpaaiiT, •«= unerJlbltee lurb .in e6Je.tB.fl<i.ul
de TU ma Lwb.ku.", |>af J'-' P'of- Çb«'"««»- P'»^. '^"''^'f- ^"- "■.?' "?>■
LAFONT - GOtZY. DE L'ÉTAT PRÉSEKT DES HO«WBig,, çç^-
'4« TWou*e,iBWnlwcd«pli«ai"s'ûcielcs wv.flUii. Pkt.i,. 1N17, in-S.6f.
LAHAHCK. DISTOIHE »ATÏ)KEï.LB DES AN IliÂ1}.x; SAHlt TEB-
- 'TtBHBS , prè«tnla«l le» Otsettri» B*"? "u» «' parlioatton itecï«,»w<BaMj
leur dialrlbirtîon , l^im classe»; lcB« liraiHIt», leur» georeio* la bi^mîëi
de; prîncipalM «perà quv.'j «ppo.lent. Rin.. i«.fl-»*«»- ï^^"^-
mi™ i™™*llM •ir»'U»oilM'lll'« J).ur.«Ki (1 1> pt™4,*W" '■ Pl** l""!-; •' !• pl". U*!!,
LAIWARCK. ICOI^OGRAPptE COÎÏCHÏOIQGÏQÇE. f^oytoptj. ;; ^
îi-VilABCk. p[IILOSOPHIEZ<10WÏGIQ&B.puB»pwlJftinde»cqjw;(a;
ÙiÛBlÛlaliveat i'Iiùlûiie □#Euiellcde«ai"uiaui,gila diyerutécIcIeDr orgui-
ntM^i^t de» facuIlM qu'iUcDoktieBueut, «M cays^phyiiquesqui maiiMiéB-
,a*o(ca »mU.iie cïdoncço|,liçu»u*reouremfl9l.'c|u J» cïtfculenl, cpC'k'*
. ç4ks fliiiproduitcM.l''»""'^ '!■ aintimcol, çtlet auite» riDléllrgencp de
. MW«pic»»iH doués, par J.41.-P.-A. Uif»«c», PL"?'>r« do llHjiiiHj ,
p.cer. ^aMdi^au. Uw. dlivtt, d»I., at ed.iVw > i83o, jroI.M-^,, ,4/.
s4 J--B. lii.tLuit.E', rue de l'Ecole de Mefili;cme,n' t3 bis.
LAHABGK. SSSTÈME AITiLTTIQDl DES COHNAISSANÇES POM-
tlVES OEL'HOMMKrcitieinleiicelleatlaipraTicnnentdirecleDieDtoni»-
dlreclemcDl de l'obtemlkiaj p*r J.-B.-P.-À. Liharck. Fari»,i8io, in-S.GT.
itm Unit l^'l UH l'.lMtnalIan |l»l lulbirr «i»>llit. — *IV ■• n..ii*r.' — D, 1™^^^ »i°l«
I.AMARCK. MÉMOIRE SUR LES FOSSILES DES EMVIR0N8 DB
PARIS , comprenant II ité termina lion dea «ipècea qui appartiennent sus
«nimaui mnins aani Teitèbren ,. et dont la plupart loat figurëi dana la
•otlection du muséum j par J.-B.-P.-A, Liuon. Paru, in-^ lot,
lANTHOIS. THÉORIE NOUVELLE DE LA PHTHISIB PULMO-
HAIRE, anginentée de la méthode préacrraliie, par M. LiiiTinig, doctenr CD
médedne, «c.Dfniième édition. Part», iSiS, *i-S .6f.
LAHRE Y. CLINIQUE CHIRURGIGALÉ eiercée particDlièremenl dans
let cantpi et lei bôpilaui miKtairei, depuis i^ga juaqu'eo iHSi^ par le baron
D,-I. Liiatt, membre de rioalîlat de Fraoce et d'Egvpte, cbiriirnen en
oherdelliAptUldea lovalidea, eto. Parii , ig5o-i83a, 4 toI. in-8. , ■*«•
allas de 3 planche* ^ 3o f.
— On Tend aiparément le tome IV°, />arii , iBîa, iti-& 6 f.
LAHRBY. MÉMOIRE SUR LE CnOLÉRA-MORBUS, par M. le baron
ListiT.membiede l'Inatilut, du Conseil de lanté dea armie*. Pcrït, iflJi,
inJi L 1 f. So c.
lATOUR. BISTOIRE PHILOSOPHIQUE ET MÉDICALE DES HÉ-
MOBRHAGIÈS. de leurs cante» eseentielle», immédiates ou procbamea, et
dea m<^tli<ide< d<- traitement qn'il convient d'etBploj.er datia cette claaaa de
maladiei; parD. L nova , docteur en mèdeoiDa, ancien médecin de l'Botel-
Dien d'Orliani. Parit, iSiS , i lol. in-S , la f,
LATREILLË. FAMILLES If ATUBELLES DU RÈGHS ANIMAL , ei-
poièe* ■Dccinclement et dans un ordre ■oalytîqae, avec l'indication de
huirgenreei par LiiiiitLi, i lol. in-1 g f.
tTr-iw ™ ™ ""I ■■'^ ' ' '""■" "■"" """ "'"" '"" "' """' "
LAWTÛENCB TRAITÉ PRATIQUE SDR LES MALADIES DES YEUX,
on Leçons, données à l'iaErmerie ophlhalmiqne de Londrei, sur l'analomie,
U phyaiologie et la palholc^ie de l'œil; par Lmaanot, cbimrBÏeii en cherd*
cet h6pilit , monbre du cullé^ rorai des diir.iirgiens de Londres i traduit da
f initiais aiec des n aléa , et auiTi d'un PR£C1S DE L'ANATOHIE PA-
THOLOGIQUE DE L'OEIL j par C Billibb , doctenr en^édecine de la
Faculléda Paria , elc. Paru, i83o , in-8 7 f.
I^CIEUX, ETC, HÉDECIME LÉGALE : Cooiidi ration» sur l'inranticido,
tnr la manièie de procéder i l'ouTerlure des caoïTrea , ipécialemeut dans tt
cas de riaitca fndkiairea, sur les érosions et perforaliona de l'tstomac, l'ecchy
TnoM.Uxagi'l'tioii la contusion, lamcurlnsaare^par HM. LcciiDi, BaNAnn.
Ltisiid,BiiVK,doc(eunen médecine delà Faculté de Fari>!. iSlg.in-S. jL ^oc-
LECOO F.T JUILLET. DicTiOKSAiRE raisonné des ter-
mes DE BOTANIQUR ET DES FAMILLES NATURELLES , contenant
rélTiuoincie et la description détaillée de tous les orginea , leur sjrnonymie
et la défioillon des adjectîfa cjui serrent à les décrire ; suivi d'un vocabulaire
■les termes grecs et latins les plui généralement eaipbjés dans la Glosatdogie
totanione; parH. Licoo, prof, d'hist. nit.el difectenr du fardin botanique de
■ Clermt^t-Ferrand , cl J. JBis,L«r, D. M. P. Pani , iH3i, ■ fort ». in-8. gt.
■r lApoadn ^ «• bi
f«|e bti lei pn|r4i imnaoKi qu'l £>SU lu hon^qna depi
J.-B. BiiLLiÈRE, nie de PEcole de Médecine, n' 1 3 his. s5
LEPEGO oe i.* CLOTURE. roLLBCTKj» d'OBSEBVations
SDR LES MALADIES ET CONSTITUTIONS EPIDÉMIQDES.uuviage
qui cipage une laitE de quinze annéea d'ubservationi , cl dam lequel le*
épidémies, Us cou ititii lions régnante* et intercmrpnlet sont liée* iTCc le*
ca II set oiélrorotiwiqueB, locale* elrelali>ei>uitIifiïrent>cUinati,aiogi qu'avec
l'Histoire naturFlle et inËdicale de la Nomuadie^ fut L»kc->1'Lji-C(utbiI(
PrfTïi, 1^85, îïol. in-4... »4f.
LEROY EXPOSF, DES DIVEBS PHOCÊDÊS EMPLOYÉS JUSQU'A CE
JOUR POUR GUERIR DE LA PIERRE SANS AVOIR RECOURS A L'O-
PERATION DE LATAILLB i, pari. Lii>ot(d'El'ioie9l. docteur en chirurgie
de la Faculté de Psriit , etc. Psrii , iSa5, in-tl. , avec cJDq.planchci. ,f T.
«■tntft ^t t^foniHnlaB t^y dAi«lopp«nt. IL Leroy nojl w pouTaîr nHem r*IH>nÂ*ï nn tut^^ftemmi
LEROV. nECHERCBES EXPERIMEITTALES SUR L'ASPHTÎlB,loe«
i l'académie lofale des ficicncn, par J. Liaoi (d'EliolLi), docteur en méde-
cîae de la'Facullé de Paris, précédées du ripporl fait k l'académie par
IHH. DnMtuLel MAainmi. Parit , 1S19, inR.^ . f. 1 f. 5o O.
UEROY; médecine MATERNELtE, ou L'ART D'ÉLEVER ET DB
GOnSERVEB LES ENFANTS, par Alphoo.e Laaoï, ptoresseurde la Faculté
de médeciiie de Pari*, seconde édiliOD. PariM , iSSo , in-tl 6 F.
LOÏSELBUU-DESLOMCHAMPS. FLORA GALLICA, ku Enu-
meratio plaotarum in Gallii spotitè nascentium , secundiiin LinnKanùm sji-
teina digestacum , nddila fupiiliaruoi naturallH arnopai j auclore I.'L.-A>
tioiiiiEDB DasioiiocBiiiri. Bditio tecuada, ama et emendata, cum tabuli*
3i. Parié, iNs«, i tdI. In-S ...16 T.
rtlBBrrqa, mnrttyKtfti» ■■■ Aflui iïaipl« qiM ticilH,'
LOISELEUR-DESLOiVCHASrPS. BISTOIBB MÉDICALE, DES
SUCCÉDANÉES, de ripécacainlu. du Sét>é, do Jalap, de l'Opium, elc.j
ou Recherches et Obanvalions sut quelques points de matière reédical»
-^ iDdîaèuo;p>rJ.-L.Lo<Mi.>eaDisioiiGOBiHrs,D.M.P.Parû, iSSo.iD-a.Srr.
LONBE NOUVEAUX ËLÉUENTS D'HTGlÈNE.rédigéîiuiTint leipria-
cipeadela Dourellc doctrine mùdicsle, par Charles Loiibe. D. H. P.. me^hre
del'Acadjmien^lede médecine, deUSociélé médicale d'Émnlation de Paris,
de I* Socisié médicale de Londres, etc. , etc. ParU, 1S17 ,1 rol,in-S. 11 f. '
Utbn*. 1 *i»iu«^ ■«■ mijelHH» vn p«nl d« vue pUii pliiTotophiquc . f^a bien cofOiprii llmfwrlaaFa da
Jïj;:i«H<4KiilBSqwAnarnKiurJ««Dek'l'tcltifrl*BradïridÉi>. L^i cUniAcBlinn qu i[çri«iiiil« CM plu*
LOFfDE. GYMNASTIQUE HÉOlGALR.ou l'eierçlceappllqniani orgaoe*
dél'b'mime, d'apr£> les bis de la phfsiotngie et de la ihèrapeulique; par
àh. Loudi , D. U. P. , membre de plusieurd aociété» lavtatci. Parti , '
i8ïi, iB-8 : 4f.
LOUIS. RECHERCHES ANATOMIQDE9,PATHOLOGIQ0 ES ET THÉ-
BAPEUTIQUE9 sur la maladie cannueious les noms de ntsTao-awriairi,
rilTti rtrraiBi ; inmimqDi , iTixiQ^na , TTsaoÎDa , etc. , noosidérée dans fis
rapporta arec les antres anections «igoËai par Ù, Iioma, D. H. P. , mi-
i6 J.-B. Baillièrc, rue de l'Ecole de Médecine, tr <3*«.
docin de lIiOpMit d* ta SWU, ucnlirQ ds VhetHwetxrtjtia do Htdo-
cioei «uçriij* qrtj 4 oiJnH ft prf^ w etmeourt de t'Inititut royal de FmiMW
Parii. ïSï8. » ïo(. ia-«........ i3 F,
^» plui intfWHpi iu>ilH<>« J'utMlUitH. M«i lu ««•«H «Hiunnl II f Iw «urik** iMtini
Mltf i»«liin, w ^VKlstruiMBUl.iifrt^Mrrlwcfluiit fl. L«uii-
de inalijlin i^fi . i|uc IT L™k r>U>- ntHn4 Vil IH i4hIiu 4e ki abviiiliw B» om^a «•
".ÈJî.î^iiSi'i^^-"'^'--'^^^^^^^^
.a*ipMl«t>tiiiir4ka «iHV
"■«*(ui«p(«i,««!lt J»ai«»'Ç«,<t>.«V*r>«|io»i«l.rt™ih(>'r[M""i™ fle L1oi«|tn trïlt, et
1 1 Vit» <• k alinM . tMtii4iitoiiiwiM.de<>W*>iwn>. M l< ■■■•"«;' U Itu. « H|.(ai4iiitic|*p '
I'umiMm 1h | ii i ii LiW i»r* riM4t inii>«Hb Oi uhuik mhIv.I fnn Iviii abwnuawi il h(«.Ih«»
IiCCOi- ftlÊMOIBEat-SWni'BMfLOlDE L10DS DANS. I,Si MA-
LADIES stmopVLSusESi 1- son l'emploi des bains loouRès,
•oiviAXw labtua dm» i<;r«tF ■ l'a4«uDÏ|rf*t>»ii d# dm Ifaic*, «iiiraui 1m'
«cm; 3> TROI!ifiMBMK¥OtKS ptIR L'EHPLOI pB L'IOQE, iiiici d'un
Attôii «fa l'tut if« /^»nui<r tu pripHn^iaiu iadurèa ,- par M. Lccoi. , méde-
cin de l'bdpllal Saial-EiOuia, etc., ouvrit cçwomiif par rinitiffUd* P^nee,
Pyii, iSi^ttlJi , 3 pirtiei , in-S 8 f .
— On i«[|d sépintmenl le trolùèmc Uémoire. Paris, ittSi , iii-8 S jo c.
LYONET. RECHERCHES 8UR L'4\AT0MIK ET LES MÉTAMOR.
^HOS^SDE DiFFËREI^TES ESPECES D'INSECTES; p>r L.-L.Li(iin,
publia ^r H. W. Defitta.coDsenaleardii Umium d'Histoire DitnreOe de
i,eyie,Pari*, i83i,ipïrlïi^] in 4°i BCcc^Dplga<VeadeS4.pbnchetK^lvee■.40/■
MAflEC- AH4TOMIE aAlXTIQUP , TABLEAU HKPRFSEMTANT
L'AXE CEREBRO SPISAL CHEZ L'HOMME, ^ïcc rorigioe «[ lu
Kawiètw (UNiiiiai dM a«[fi <ini es putcM , w U. Ûarvc. {tr^WP^c^r <b
mi^itbittM d«» bapitau dcPuia, uDe(tHiUle|[i*f[iaadiBTfuiio.,4E. %)Ca
MAHANIIEL- ES&AI SVh LES :(&[tlTATion3 ^ p«r giu «'<>■'' >
dotaenr en médecine de I» Facilité de Papifc Pari,, liif , im-i. 3J.
MARCHArfT.QECHERCHES StIH VACTIOn THËItAPGt/TIQtm
DES BAUX UIKERALE5, aie» uae cuK IkermaU dn FJiintMj par !•
doclenr Lêod Uiicbikt. Parti, idîi. lo-8 > i....8r.
HBHOIRES DE L'ÀCAÛ^UIE ROTALE DE UEDECtlIB. T,l,Parii,
181S. —T. It , Parit, i«Si. —T. 111 , Parit, lIJil. B totti id. iii-4. ; Mee
planchn. Prii de chaque Tidumi
'rii>!I^I Si MoiAib lurai; *•
, ,„lli«l»l>t.^#|lM4i«liBll.4.«fllàf.,b. iti^t,>iif-U-
MoHHiii'iinH"' «W ««M »■*!'»"''?. rvji*-'" '■'»'*"**'"*■• H '»«"• ■f^ '"u'Im"**»-
MélHHRESOE LA SOCIETE UEUC^LE P'EUVL^TIOJS 9S P4BI;S,
««me ne». Parit, itiC, {■■-«.( tf. , S f.
Fui OMiular <;u> •< nniKItn ta)"»' »'■« puliilflttiir 1 IHI f vMM |>i4Et4l»»w . iliamiuat
^ ûlrr Im H«n»^ ><•'<>'". ^' bluiiv, SÊtl^StlM-mUln. Ontméiit, Bi^±, Srslilwi ,
IVu^cril, l>|i»-'''i'< &iiillg<i<. ftt"'*. A«ril. >Mil. VuiUaH. McMMu. MulHrWIi. lunw^t.
MKaAT- DO TiBVU. w VSB SOUtAtS^ FT DE SA ÇV&E KADI-
CALE PAR L'ECORCE DE RACINE DE GRENADIER , pr£c4dé de l«
éeaeripitaa da Tpoia et du Balntfitpbd* , ave* l'i^^oat'an d.ei ancifa»
li»îtvn«nt*fniÂiTi)caot*ecM tani païf .-V.Hï«u, D. M. F.,ixkccabre
de VacaièmU toj\i» d* BtMaBiw. Pm^, tSij, in-8.., l.ï f.
MORBAV DK JOIV^ÎES, rapport AD CONSEILSURÂRIEUU de
ÏA!ITB8URUCBOLEBA-HORlLpSrE8TlLEMTJSL;p<>rU.Al.MoM*>r
N Joaida , «cnabre ei lap^rteur 4u Conteil, lesDibre dg raoadéiqieoqf ^lo
det BdBBCea, iSSi, iaS. , «TMoiieavtciliii^niîiAâu Qbcl^ii-MlK^V'S f.
J.-B. Baillièdb, rue de l'École de Médecine, n* i5 his, »
MOZVFALCOH. PïtÉCIS de BIBLIOGBAPniB MÉMCABE, con-
t«iHtBl['^diralion«tI<iElaMklîpBtien'd«iiiiiT»R«»lea.i«ciU«t|rB,tiei.^lHeHjtil«a:
Il dcscrratlon d«s livres de li^te. et.>l«f itii^kim raroo, et&M latil» p^nr
terrir à .1 hùtoirc de la mëdeoïoR; paiJ.'S. MoMnucaB, nâdcete (iAl'Hâtd-
ÏMen de Lyon, Paru , 18*7. Vn ft>rt Tnl, in-i», p»p. f*Hn. .....Sti Daii'
TnipJiiD»l«n]» ■ffligti m Pn>H. I* Mkliovipiiia mtaictti m dimw wloiirÂiri aiu Mifui;
{I c'«l pour réponén au biTfoiB f(fl rép«ini« qiac H- M*iU|Mhii ««ntrtpdi'IB Inruil, aut 4qii>tnJi&
ennur b .»l»Kbi. .( Hr-W.l I»h».. dViHtiliil.. AlD j'ta biï^ nlnii KiiH.fBiiUri ÏS
Rwi onleafriHit d tu ladl^v» lu ^■cipifti iKtuMiu. 1* L^iutar. llnNriBIrt^i^lItn b ■•■ llTr*
qui k'fii piiU pirilili maintinlliounit. (tpoM ri>t<GiH 4t CHnprtmfrla , lu ooirsiii nlaiiiH t.
■rniBm II lu fciMlM qui 4>ii»l onwr Ir «Uni *• rimImIb , biui il •riititif ^1 itnialiiB nr t»
.•Hw^pl.r.1. I« ■un.oo'pbrfi. In W.iruix. kl dollealwni Ktitiaiqan •! !■< ^cihmii.riMi •«
l'Hfiril i|ai 4>ri||> Itifn ilwj» P«rit. <!• HanlplUkr. Boiu h Ijln dn BIrUtmialn. irar^uolt UlitUte -
dWUUwhiqat tl* mtdecln
MOHGAGni. BE SEDIBUS QT CAtrsiS KORBOKCM PIft AHA..
TOU£S IKDAGATIS , noia «dilia ttnm Kotk Ad^fc* et Chaw»**.. EtMi
iRio-i*. itiol.M^.. 4S ft
HOULIIV. TRAITÉ SE fAPnpLGXIË, on fUmonb^it: rértUnthi i
coiHidéralioM DOUfcllcs (ar 1» bfdrocJ^itlr'i; doisilpliciii d^iD« hjdnqii«k.
cérébrah pnrtirulitra aux nuîHardi, rËreniDueiit aitacEsiv ; par Se. litmu»,
Atctfar CD nrideciBc de la EaeuUé da Paria, etr. Pa/it^ iH 19, ia-S. 3 K 5« c
PAILEARB- RELATION CHIRPBGICALBDBSIÊCXDB LA CITA-
Dï LK D'ANVERS, parAui. Piiu,!», doct*«r ed inédoaime de U Va-
CDltideVarii, (833; iii-8. 3/.
PATISSIER. TRAITÉ DZS MALADIES DBS ARTISAKSeï decdht
qui réaitlte»! deidi(cnBa.proBg«ii)>ni,d'a[^i]lai«Hztn)WI*ii:4(|4i)qaj|l99B«l
OD îadiqiMi tel pitoalilioiu l|ut dnif f ffl oani^ , wu le HtMort de U lafcR
britd pnidi^BS et pKtitvIiÂfe , ]«■ ^diaiaUtcaïf uct ■ manoiaelurieri , &-
brisasla, ebefi d'atdiera , vUste* , tf VwU) Ut ftinvofli, qui ei«(c«Dt
de* profeaiona iaMMHe4i par Çh, Fatui»», dwi>«ur gd mâdecrae de
.la Facut» de,Pvia, «te. Phfû. iH», Jiï^..., -- -^
PHAnHACOPÉE UMV EBSELLE , ou Qi«gfw«Mia .
. aterdani, Ai»«ri,* Dublin , Edlmbcwq;, Ferraca, G^ôit^ 1
..dembourg, Wurtibouig; amiiicaine , autiicbieune , Iiata>e , faets'i ^aooÙ^t
eipagnole , fiolandaûe , fiaoïaiKe, banorrieune , potuaaisc , portugais^ ^
prua^iieDue , ruiae. lardi?, iiioHne, auiAokf et waitembergeoiia ; ctee
disj)eiiNtreB Je BruDiTvick, de FoMe, de Ii WewiK, de la Uppael dn Fa-
et de Wurliboarg; delà pharmacopée dripaurres de BMtbonc^; d«a fiir-
mulaim et pha:iiiacoiiée»d'AuKi>stin, Boiîea , Brcn, BruonaMUi, Gadet
deGat«icaurt,Coi. Elliit Bufetand, Sfagendic, Pûterfl, Kar^uia, !(■-
lier, Saunde^i , Sainte-Mat le, Spielmaan , Svredin^et Van Honi ; au'
Trag« contenant !«• oarael&rw otMoti*)* et la (favi^nne de («utea fq|
BubatawM* oitcea d«iu iwa recueiU , a«ec l'iadt^atteq. t «^auc pr^pa/iti*^,
de oeux qui l'ont adoptée , dci ^aci<l£a djver* rHeampan4u pw ('(^Éf u<
ter , des tatiautei iju elle pi^mta dana 1m diffcreMa fonuulaicca . àeji wf
olSciuaui aoua leaqucli op ta déiigne dans diTcn pija, «t daa doaM ad»-
queilei ou l'adiaiaûlre ; pu A.-J^t. Jouioia, diicteui en médecine i
membre dra Académls» rojalei de mÉiIecioa de Paria, dcf Scieaceg 4b
TuiiH, etc, Paru, iHiS, 1 toJ. in-H. , tbaenA de «00 pagei, iàeuneô.
lonnra. >........ >,.>■• .....lit,
FBARMACOPÉE FRAUÇMSE, ou Code ia niedicainMili ; nouveU» ![«•
ducliuE) du Codex medÙMmenlaritu , riva Pftsmiaaofva gaUùa , par F. 8*
H«iaa, doiïtfur en tuédectoede la Faculté de Paris, El " '"
nddilioni contrnanl ■ - ■
BiédicaniRnta dont \i
; nomb» 'd'aîiat jaci
meoecuieaiï la racuite ue raria, cic. ,aTFc aca uoieset
t la rormule et le .mnile d" prépa'atitto 4^* nouveaux
la pratiqua s'eat eoricble |iMqn't nca jour*, d'ae^ana
clù[uii[ue«, el ïuitfc d'ane lablo >jDop(|i^H du «aiw
aS J.-B. BailliÈbe, me de l'École de Médecine, n" iî his.
fîmar Eli, pharmicien df* la pbarmRcte
hnpiMux ciiila df Par». Pori* . 1837, 1 toI. in-K. . ii ..» f.
II ail. 4f jl ■••iitiftuHiniDi duoii. p.r Jli ir.nui inipnn.mli. dm ,mi qu'ili i<k
dt Ml 0uwii.iiii»«iiMr(JiitWUrrnHh»p™irtj.loui^uii(m»»li4f.lâibiii.i*|Ji.™i.™iili.u,!
M. Hinat . «H !• piHlilaii AH I in£n» if aifiuirribaiia )»i m |ir>i>4 IsalEi If. tmmuUi iiiii iïm'
■(«■.ni <iu.>ai Dun.o. H l'ai pu CHOflUt d'indif.., ».>lf >h> «rrrirûi» adI «iiirnl i«rUin<« «m»
CBrari pgimi HHt iii>t»niiiu, ■•Uisul it ]Bifirr un «rHid mhIir r>dai>fei> dmiuin iMr|i|>«.iu.
H luiu • irauitl su 11 hnnd> CI l> irsdi dr pf tpinllni dt lui» In anaMMii lardJeHirni. inlrodui»
JDiquï ufDiirdaniUpiulqur.PitliHIiinj'miiDiialtriaiilirillrinibikiledDiitil'.iBiwn'inunK-llaii.
, J™ ''°,"™Jîî'" * ^'1 «i>n«r «f»'"" "«'-II' pour l« Fh'iDBcifni. tl .pli puSur ]«. Rinfl.Hi>
Il C/.., If. Kdilt.n Di« ru »iii de rriprciu k leur «1 dlodifurr d-uiw ininl»» tréi elaÎH tf •■Ht jukui
PIORRY. DE LA PERCUSSION MÉDIATE, et de* awiiea ol)lcnu« h
l'aide de ce aou*eiu mojcD d'eiplnniinn , dini Ir* miladu* de* organe*
Iboraciquea Cl abdominaux ; p*r P.-A. Pioiii, agrégé & la Fac. de méd. de
Paru, m«decio de 1* Salpfirière. ;>wi*. ittiN, io-S.. *Teo deux plane, .fî f.
^'■"'V,'" i^ï'.' d' Ffinwvitiit A'ttentitr un prii III ^orrjpnir Ici ■un»**» qiiî dnircnl ririilt«r*
P™''*^/W**""deiÉmiNdit»d«polirîin, dcrnadilEailDiH^H'iUippAnéfldiH J'amplside Upcnuii-
PIORRY. DD PROCÉDÉ OPERATOIRE i •nÎTrc daut l'eiploratloii de»
oigaoe* par la PERCOSSION MEDIATE, el Colleciion dw Mémoirfs sur le ^
phjMotupe, la palholoffic el le disgniwlic. SuiU du priecdtMi par U même.
. Patia, iSïi, In^ ,^ 6 f.
PIORRY. MÉDECIHE CLINIQUE DE L'HOPITAL DE LA PITIÉ,
•erTFce de la Faculté de médecine et de l'faoipicc de (a Salpetiièie eu i83i.
parlH.'Prûiaï, i8îîiin-8..' , f,
PORTAL, OBSERVAT! OMS SUR Là NATURE ET LE TRAITEMENT
DE L'HYDROPISIE; par H. Pobiil, meinbie de l'inalilut , préndrnt de
. l'Académie rojale de médecine. Paris , 1814, a tuI. iii-f< 11 f,
PORTAL . ORSERVATIONS SUR LA MATURE ET LE TRAITliMENT
DE L'EFiLEPSlE; par M. Pobiil. Patii, 1(117, > ^i>'- '"-^ ^ ^ ■
PROTIT. TRAITÉ DELAGRAVELLE.DD CALCUL VÉSICAL et de*
BQtrei maladies qui "e retlachent â ua ddrangemrnt dea fuDCttoo* de* otv
gBuei uriuBites, par William Faonr, mambre de la Sociilé rojile de Londrc*;
Iradait de l'anglaU Q<rc dea nirtc* par Cb. MovicoÉ , dactecn en méde-
cine , médecin dei baîni de Dieppe, etc. Parii , iSiô , InS, , St.
• PHUS. BECnERCHES SUR LA NATURE ET LE TRAITEMENT DU
CANCER DE L'ESTOMAC ; par René Pung , médecin de l'hospice de
' Bicèlre. PaFi* , 1818, i «ot. in-8 4 f.
PIJJOL. œuvres de MÉDECIKE pratique , D. M. , conle-
aaut : EiMÎ lut- let iDQanimalioni cbioniqnca dea viacèrca , Ici inaladiei
.' Ijmpbatiqoea , l'art, d'cxci 1er ou de modcrer la fièvre pour la guèrinou dea
' maladii'S cbrotiiqMee, àea maladieade la peau, Ira maladki hérédltairca , le
' vice gcrofuleui , le. racbilismc , la liivre puerpérale, la colique liépalii|ue
par cause calculeuae , elc. , avec une nolicc Buila vie et Ira travaui/de l'au-
' tcnr , et dea additiont, par F.-U. Ruisbiau, Parli, iSiS, 4 vol. ia-S., br. i5 t.
RASPAIL. NOUVEAU SYSTÈME DE CHIMIE ORGANIQUE fordt'iur
' de nonvrllt's niélhode* d'obiemtioii , par F. V. Ritpiii., accompagné de
la planche* dontui coloriéa, i833; un rori vol. n-8, ~ ''
«rT.'l'HiVrâ^iIMIfi^rdnimlawwAlaaàlaK.uTwIiadrrMiklirl^abHM
■tVwht d. flm i rtMiailiTa laan maMkillain ■■aewilw» awii nuAi»â)H d(li<t>,'linir> irnufiiTini.
lioDi aui dllH rrnii letidili planic tu dul'aulini]. liunin«uaorpb«t>, Inin naliHiiii, liun fcnc-
runi: alm U. lliKpail >ll aiulMaliK. pkfilatDfMr, kolJuinr tl loulopni . et l'ncupi enSu dei
B^P^I'ORt' D'Ê''L''AcÂDEÎnE HOTALE DEUEDECmE SURLECHO-
LEBA-MORBUS, aaivi des conaeila aux adminintratcura , aux médecina el
■ozoiiojeiMifuMMfMr «ntr* d«jauv«m«»iml. Paru, iS3i,in-S.. .'...S f.
J.-B. BailuÈbe, nie de VEcùle de MédiCihé, b* i3 hïs. 3«f
RAPPORT .ET. INSTRUCTION PRATIQUE SUR LE CHOlÈEA-MOR-
BUS; rédigés d'apréa la dumaDde du gouTernemenll par('/(i;addmt< rosaf»
Al nadccint. Paru, i85i. In-H , . i f.
. ilAPl'OHX A U. LE MINISTRE DE LA MARINE SUR KE CHOLËRA-
UOitBUS, obierté diina l'iade en iSi^titiKSo, cl comi aie i l'Épidéinic
^bi régne en Europe ; pac J.-J.-A. Soutt, chirurgien cntcelenu' de 1b nii-
rioe . Paris, iSit.Xa-H , i . f: So e.
AAPPORT DU CONSEIL DE SANTE D'ANGLETERRE, «ur la maladie
appelée dans l'inile CHOLÉRA SPASMODIQUE, publié par Qrdre dci
làrdi cônipoaanl t« Cimsdl priiË de Sa Majcalc brîLadnique , et auivi d'une
Lettre aur la contagion dit ei>i)Ura \ par H. Mic Micqail, médecia du
Roi , membre du Collège des médccina ; traduit de l'aitgliii. Id-H. i f. So c
-■ jRAYEK. TRAITÉ THÉORIQUE ET PRATIQUE DES MALADIES DB
LA PEAU, foDiiË aur de □ouie[leg recherches d'à aa ta mie ei de phpiulogie
patholvgiquea j par F. RiTia , médecin de rbOpital de la Charitù , deu-
xième édiiioD refondue. Pari», tSSi: ^ ii>^' vol. inO. .ic Compagne d'un atlaa
de 11 platicb.iD-4 gravËca el colotiéei avec le flus grand aoia el offrant jilui
, de Ko rariélé* de tnatadie* de peau .,.,
3iea^u'«iDDpdèHpar dramaiDi bulnlpi. «Bilf^irLir li inporltula fia h pjlhn^a 41»il cn«Dr*fnia-
'Qopp^e d'otvcurili rf Midi I« iT^leipuir deiprjilicicni qui déiïriimMoir remplir f a m;iDqiia p;iruD bon
'ovTiBgc pratique lur- hunnihliAa <ta la ptau. C'hi sina ligun«i|uf H. ItiTip« HnpLldmi L'onin^a
qiif itm ■nnonCPM/tniïl d> nombrtuM ■■pi n d'riMrTHioi»rt â« Hcbfr«k«iuddiib;ii «u pnfilrr
AATIEH. FORMULAIRE PRATIQUE DES HOPITAUX CIVIL!» DE
f ARIS , on Recueil dea preacriptioni médicameoleusci emploj^e» par le»
tnédeclna st chirurgiens de ces élabliaaemcDta , avec des ootea sur leo doses ,
le mode d'adtninitlratioii. Ici applicalions particullëies, et dea coDsidénlioai
géncraica sur chaque hôpital, sur le ^enre d'affectioaa auiqaellei il est apé-
«âaleiuent ^^aé, el aur la doclrioe dea praticieni qui le dirigent; pai
P.-S.' RitIB docleuf en médecine de la Faculté de Paria. Quatrième
■édition, re^K, corrigée et augmentée d'un appendix' daii» lequel sont
cODopris lea nouTSaux inédicamenlS', tels qiie ta noix Tomique, la mor-
phine, l'adde pmiaiqne, la sltjchnino, la (iratrine, la quinine, la cincbonine,
i'éméliqiie , le biAme, l'iode , la c^Qure', llniile de crtMon lïglinm , Im
jiréparatioD* d'or, de phosphore, les itls de platine, le chlore, le* cblo-
Ture» , l'écoTce de racine de grenadier, ta racine de kabiaoa, lea .feuillea .da
' bbui, etc. Paris, i83i,i fort vol. ia-i8 .....i ...St.
. RATIËfi. TRAITÉ ÉLÉMENTAIRE DE MATIÈRE MÉDiGAXE;^c
T. S. R » m , docteur en médeciue de laPacnllé de Paris, membre de j^o-
Kienrs bociéléi savanlRa. Parit, iXig, i TOl. ia-8 lo f. Soc.
'ebrrr^n ia priilkE«H Ira pdnil c
niHpàgt htmti» Ja trBadii4i>twalaiiiuiïefw»ctl«n«iT*lli'idaairiqr<Bi4dirat«i. PaUDiil il h ttoaira
hatier COUP d'cril sur les cliniques MÉDICALES de la
FACULTÉ QE MEDECINE et des hapitaux civib de Patb; par F.
S, n*Tiim. Pari* , iSJo , in-M 3 f.
RATIER ET HENRV. PHARMACOPÉE FRANÇAISE, ™y«p.i;.
'BEGNAULT. DU OEGRÉ DE COMPÉTENCE DES MÉDECISS DANS
LES QUESTIONS JUDICIAIRES RELATIVES AUX ALIENATIONS
MENTALES, et do théories pl^j a io logiques sur la Monomanie ; suivi de
HouTelle» Hénciions snr le »Hicido,la liberté morale, etc. fpar Elias H*-
cHiCLt, membre de la Société médicale d'émûlaliou , aiôcat i la Cour
ioyale du Paris, i83o , in-8...... ST.
t» J'itS. AUETuint, Mie ffg TEwole de Hi^deeme, Tt*- 13 hîs.
InaïAMHMtMMiliRrainaKAniliollI ■■•nlil» , <tdiI> tiIiui » doit •llickir i Irof ofilraw ^ laiti
■■UI>al><H>f«iu*iUi. •urliftmM.ilaniiun*' hi M^.il«<iiinill«Iicnu«| pndiiff , ••• J
lUU 4> M. X. ItwvU , ' 'flM •■»>£« mV
— SiparÉmeut. Ra^riLLi* B«ei«xio:ii iBr U MonciinaDia hamluide , la li-
•berii morale, te (uicia», aie. Pon» , iS3d., in-fl ,3r,
ploi^priipxïÉ» * w »ériiïble iwinre. el de qualijuM -oburTMioai nur lit
affeli du -«Dffiçvwii (Mf J^-B. IU«ii#a, JQ. jU, , eM(l«CMl'4« ,l'iln*f>>eB
Cmiîainiiifcr., elc., Pari^.^S.»., ré^a,. .^..., .»..,.. -.f 4 f*
.]tORWi£ii£ BK«yoittV. RBCHencHKfificrii L'OHOAins&Tion
TEBIEBJiii.E DES CRUSTACES, VRk ABAQHItlDES ET DES IN-
— «BCTm;^f.^9rMint,v»ws^iBr,n.m.PiirU,tn3B,in-9.,S^.Sr.Sot.
.KOCHG « SAN80JV.NoCVlEA«K*LÉWBtlTSHEPATnOMK7IB
' HEDICO-ClIIirtriIGlCibK.uaTiutiitltÈiuiiiue et .putiq^u de ai^ccwe
•t4« chlriiEgie^ pu {<. Ck. »*cab, O. U. P., newbrc éq l'AndtBia
Kiij.le de mëdvcini! , ele.,«t i.-L. SikMh.'B. C. P., chirurgiFa en WComi
dé l*H6Wl-t)l«u ^ hrii , jirorweur npigi i la ftcuitt de Kiédecine 4s
' InA , JaAao « ■ ■ «■ gh fu Mf.
i;«rt»<pt«Wiii'M6»rt«>i»plJ«..(".*H,-»«i""*ï«iai*i.fci.fa..i*m.,*i«.--™i
Il irtvMftHliH.
— "flrCTleWBCDrenn peW lun^rc d'ciGorplicM dc) lOBnDi 3 «t ^ de l> pre-
AAn éditiM . frii An tome X Para, itla7,ia-8., de1Sï5pase>......& f.
— Tonne ■j. ^H», iBàS, b-S. , dc Boopago ^ -'.S f.
jaoUS L& B irpOKT UES .Tl]Â0filG8.ËT DE Li UQfiXAi,lT£.; ^r. L.-
CL flucRi,a«iiitue<lEl'A«uUÎpit|r«3'4led« ipBd««i>«. AwiTi k4t>7.4«^4f'
'BOCHJK. HÉHOlJtB 8tlB LE CQOLI^AA-'UOIIlIltS ÉPIB^MIQDE
mftSRVÉ A PARIS; pw t.'t;. tlocfls, ». It. P., Id-4. Pon'i iSS*. ■ f. So c.
'ROSE. TBAITÈ rBATIQDE D'ABALTSECHIUIQBE JuUi de i»tl«,
«erVant. dooslè) i>Da.lji'ct, ii cilculcclàquaulilè d'u ne lu ba tiuice d'tprè* celle
' iBaiik i-tètrotiVée d'rme tutre iiTbftaDcc; par Henri II ami, pi-ofeiarurileciituile
' I IVaitetiité de Brrtin , trudntt de ftllemiad aitr ta tecondu Ëditloti par
■ A.-J.-t.Jotinï!i,B.M.F, Pans, i«3a, i forts id, in-R., flg i6f.
ÎSuiîltop'd^'riiMthiri T^'lU fwj"i 7">gl". liWtwde a sùc, •['•»lX''ii[^id^'i «"»!■'
. r .. --"iB.ftu^MMtaiM ^.nMii«™twi..,.ii.hi.pB*r.i«nliUi..D.>ij(|i«mltr
«n»dir« l« prtiftits 4Httfft,H diB»L« tnmdda «•■itiaiarHurj p^r^iimir. LeB-
ilàUX.HISTOIReMÉDIGAl'EDEL'AIlUfiEFBAIIÇAlfiBBIVHOftÉE,
' peodvDt !■ oMBMgne do -itliH j par fi. BoDi, iBildi.'ein encbiTde-l'cipfali-
licw, elc. Pmrii,ilifS, in-» it.
SABATlEU. -LES LOIS DE LA BSVULSIO», éuidiëei •ouslomp^rt
phniolagîqatct thétapoulii]uej par J.-C. Siiiiii», D. H. P., aucWn in-
terna dcahùpitaui. ISémolreuDuiimnipaT la SBti*UwiUit»fratiipàcd»Pani.
Vari», i85.,io-S 3 f.
SA'BLAIBOLLËS. RfiCUEfiGHESd'analoiuieetdcphjiuli^epallui-
-Mna*Mi«n ie> lb einTiikc : pat 3..&iuniiiouiB , D. Jl., prttttvMur »^é^t
k la Facolté do midacine de Uonlpellier. Pati*, i(t*C, ui-8.><4 • ^e.