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Full text of "La doctrine medicale homoeopathique: examinée sous les rapports théorique et ..."

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bOCTRnXE MÉDICALE 
tI0iI(»10PATHIQUË 

EXAUnnéB stttis ies rappokts " 

THÉORÏQUE ET PRATIQUE. 



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'Croire tout d^Dvert «tune errcnr profoode ; 
C'«n prendre rhoiiuiD poar lei bornei Amondè. 

UoiiiieDr, degrice ^coatez..., pent-^tre aprïi m'iTcnr entenda, 
Cbangerei-Ton* d'avii. 

— Et ù^ne veux pai, moi, changer d'avU? 

— Ob .' en ce ca* , c'ett bten différent. 

Un irit vieux lûre. 

La plupart dei grande! dicoaTertei ont comnoenc^ par paraître 
' abiurdei ; et rhomiue de géaie ne fan jamaii rien l'il a peur dea 
plaiianleriei : elleiiont lans force il on Iri dédaigne, et prennent 
loujonri plut d'ascendant quand on le» redoute. 

Madame de Stail* -^ Ih PAUtmaffa. 



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DOCTRINE MEDICAIE . 

H01«(»:0PATHIQVË 

EXAIONÉE 80UB LES KAPPOBTB 

T0ÉOB1QUE ^T PRATIQUE. 

Par le Docteur H.-C. GCEYRABD, 

^EKBBID^ LA >OC]Ét£ HOMœOFATHlQCK DE LUmO, DE LA SOClitt 
GALLICAHi; KT DE rLi;siii>H ictsu MaÉTÉa SlVtnlEK. 



A PAélS, 

CHEZ J.-6. BAILLIERÉ^ 

LIBIIAIRE DE L'ACADÉMIE BOTALE ,DE M^TCCINÉ, 
ji LONDRES. MÊME vMsoif , n° 3ig,' rzcent-street'. 

amiELllS, TIBCHEH. - BASD. DCJABDIN. — ' UÈGt. DESOSt. 
1834. 



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AVANT -PROPOS. 



L'auteor prévient , avant tout , ceux des 
Médecins qui prendront la peine de lire cet 
opuscule, qu'il n'a point la prétention de pré- 
coniser uo système comme absolu, ni d'en 
émettre uo exposé complet. La vérité des as- 
sertions de Hahnemann , dans un très-grand 
cercle thérapeutique, est assee attestée par 
l'irrésistible puissance des faits. Mais on □& 
doit passe dissimulée les lacunes et les im- 
perfections de sa méthode dont le principe 



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fbndamental (la loi des semblables) supifiA > 
pour obteoir la gaérisob , une constaote force 
réactive; or, il n'est pas démontré que la 
réaction vitale de l'organisme soit toujours 
l'unique ou le meilleur moyen de réaccorder 
la santé. J^es élémens du corps bumain sont si 
complexes , qu'il doit j avoir diversité dans les, 
lois qui président' aux troubles fonctiooneU 
comme aux actes curatifs. Le jeu de la vie 
semble se composer d'actions cbîmiques, pby-! 
siques , électriques , dynamiques , etc. On est 
porté à penser qu'il y a de tout cela à la fois 
dans les phénomènes de réaction organique ; 
mais ne peut-il pas , dans certaines circon^r 
stances, n'y avoir qu'action, chimique ou ac- 
tion physique? par exemple^ quand on neu- 
tralise les eSetsd'uaremède bomœopathique, 
soit ceux de l'aconit par l'odeur de son anti*< 
dote connu, Vopium, il se passe certainement 
autre chose qu'un phénomène de réaction dy^. 
namique. Il en sera de même dans le traite- 
ipent de l'asphyxie , des empoisonnemens e^ 



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toutes les fois qu'une cause chimique ou phy- 
sique aura suspendu ou anéanti l'irritabilité du 
lissu malade. L'homœopathie , qui ne fait rien 
sans le secours de la vitalité , oe saurait aloi^ 
être mise à contribution', et son fondateur a 
préru , dans son Orgaoon , ces cas qui seront 
rares et exiypliooaelsV comparés à la mulU- 
tude des maux qui assiègent rhumanilé , et qui 
rentrent sous le pouvoir bienfaisant de la dé- 
couverte qui nouJ occupe. Enfin , l'homoeopa- 
thie laissât-elle apercevoir encore plus de. 
côtés faibles, ce oe serait pointa nos yeux un 
moûf de réprobation , mais ud riche aliment 
aux savantes méditations des hommes pror. 
gressifs._ 



Digitir^di,, Google 



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EXPOSE 



IL': 



Saas rien préjuger sar le ^lérite et la poiv 
tèe de l'homoeopathie , noD plas que sur ses 
destinées futures, od est contraint d'avouer 
que cette réforme thérapeutique est aujour- 
d'hui, comme branche médicale j un fait po- 
sitif, încoDieslable. 

L'homœopatbie , comme école, ayant sa 
tribune, ses journaux, ses cliniques, ses hos- 
pices (i), son public , appartient à l'histoire 



(i) Lm princîpaai hûpiUiix bomœopatliiqDM loat ^Ublli à 
F^UTsboQrg, Munich, Lei]iiig , Elberfeld , etc. £d Frtnce, il 
ci'ute par lu aoiDi du docleur Mabit , à Bordcaoi, ans clinique 
; boDHBOpatbiqDC de ciDijuaate liti dam l'hâpital Saint-André. 
En outre, diffîreu* petit* hûpiLaoi de> départemeiu, eatreauuei 
ceux deTlioitiCf EtdeLuxeuiJ, eut été mit lur le pied n^ceisaire 
à-ce fton de n»!dicBtion et dam pluûeari école* Tët^riDairei on. 
en fait une henreoie application au traitement dei animaai. 



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(6) 
Jte Part, comme toutes les écoles qui l'ont ie^ 
T^pcée; et, si singulière que puisse paraître 
cette doctrioe , si assuré qu'on puisse d'avance- 
se croire de son inanité , on ne peut pas plus 
s'affranchir du detoir de l'examiner qu'on ne 
doit se dispenser de connattiie les système* 
dont la série constitue les aunales de la raé- 
decioe, tels que le Boërrhavisme, le Galé- 
nisme , le Brownisme , etc. 

L'homœopatbie est le nom d'une méthode 
curatîve encore peu comprise en Fiance et en. 
Angleterre , si on en juge par le petit nombre 
de médecins qui l'exercent.-et qui, depuis 
quelques années se répand en Allemagne oii 
elle prit naissance vers la fin du dernier siècle.. 
Repoussée pendant loog-temps comme une 
flatteuse illusion , parce que les faits sucpre- 
nans qu'elle proclame se trouvaient , comme 
il arrive à toute découverte inattendue , hors 
du cercle des connaissances de l'époque , elle 
acquiert aujourd'hui plus de consistance , 
multiplie les résultats , les consigne dans quar 
Ire journaux allemands spéciaux ( i), et compte 



(t) AUccmemehoniceopBifaîicIiZritaiiB von dcnS. D. G. W. 
Gro*i, F. Hartmann and. F. RamndU —liâpiif. 



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(7) 
acluellement de chaads partisans parmi tes 
savans de la Hongrie, de la Pologne, de la 
Russie , ,de la Bohême , de FAiilriche , de la 
Suisse , de la Bavière , etc. À Philadelphie, 
à. Rome , à Naples , à Geoève , elle çst prati- 
quée avec succès. Dans la dernière sessioD des 
Chambres à Karlsnibe les députés du grand- 
dvché de Bade ont adopté unanimement la 
proposition de créer one chaire de thérapie 
homœopalbique dans chaque université , et de 
n'admettre au grade de docteur en médecine 
que les ëludians qui lié raient preuvede connais- 
sances suffisantes en bomœopâthie, comme eu 
toute autre branche des sciences médicales. 
En France, le nombre touiour» croissant des 
abonnés au Journal homœopalhiqâe imprimé 
à Genève, témoigne sinon d'une propagation 
avancée, du moins d'une tendance à un exa- 
men sérieux. 

A Lyon , où cette méthode fit sa première 
apparition, il j a trois ou quatre aoS; elle 

AddhIcd der boiDfEopalbiscbeii Klinik Ton Hartlaob oud 
Trinki. Leipi, Fleiicbcr. 

Archir mr die boiDDopalûch EfilkonU von D. Siapf. Leipi. 

ZdlDDg ia ffalargeieldiclieii Heitkuiist von D*. Schïtikcrt. 
Dutdta uad Leipt. 



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(8) 
excita d'abord rétoanement et plus tard l'in- 
térêt de plusiears honorables praticiens. Cette- 
industrieuse cité a été récemment le point de 
réanion d'un congrès de médecins homœo- 
palbiâtes, venus, au nombre d'une cinquan- 
taine j des villes environnantes , de Greno- 
ble , du Piémoiit, delaSqisse, de Genève, 
de Calmar , Mulhouse , etc. : les séances 
ont ç té tenues les 6^ 7 et 8 septembre i833; 
des discours très remarquables y ont été 
entendus , et l'on j a arrêté les bases d'une so- 
ciété bomœôpatbique gallicane à rjnstar de 
celles de l'Allemagne. A Paris, nous, voyons 
déjà plusieurs bommesd'un mérite avoué^con- 
duils, par l'expérience d'une longue pratique, 
à déplorer iOurnellement l'insuffisance d'un art 
incertain , des hommes enfin d'un savoir trop 
étendu pour supposer des bornes possibles à la 
science humaine', qui, puisant leur convic- 
tion dans une impartiale observatinn , n'ont 
pas craint d'avouer , avec HaUnemann lui- 
même, qu'ils ignoraient hier ce qu'ils savent 
aujourd'hui j et se sont courageusement enga-i 
gésdans une série illimitée de nouvelles études. 
Quelques médecins en Angleterre cultivent 
l'bomœopatliie ; les docteurs Quio et Belluo- 



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(9) 
mini y jouissent déjà d'une grande renommée; 
de toutes parts enfin elle jetle ses fécondes ra- 
cines en Europe , et nous apparaît comme la 
' brillante aurore d'une nouvelle ère médicale. 
Elle ouvre à l'bomme exempt de préjugés, et 
dont les yeux se laissent désillcT' par l'éclat dé 
la vérité, un avenir entier de surprises et de 
phénomènes attacliaDS ; et si pour établir la lé- 
gitimité de cette jeune école il ne suffisait pas 
du nonibre et de la constance des faits, faudrait- 
il une autre preuve de sa certitude que cette 
conversion immuable de chaque praticien qui» 
surmontant un premier mouvement d'une ré- 
pugnance bien excusable , se résout à l'examen 
qui doit ébraoler sa foi médicale et porter le 
trouble dans ses idées? Pas un, après avoir ex- 
périmenté de bonne foi, et à l'aide de bons mé- 
dicamens, n'est revenu sur ses pas et n'a hé- 
sité à proclamer la: puissance dés nouveaux 
agens thérapeutiques. On compte même plus 
d'un saint Paul devenu adeple zélé de Hahne- 
mann , de persécuienr qu'il était d'abord. 

Des hotfimes iodifférens à la question, sont 
ïnoins exposés aux conversions de cette nature, 
et l'homœopathie pourrait ^ plaindre d'avoir 
nu trop grand nombre dedélracleurs sans pas* 



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( 10 ) 

sions, puisant leur opposition dans l'indolence^ 
leur dédain dans rinsoticiance de lacbose> et 
que l'on voit borner lears savantes discussions 
à quelcfoes phrases vides et impertinentes. 

L'opinion fait justice de ces fades plaisanté^ 
ries t]ui fournissent la mesui>e de l'esprit pro^ 
fond de leurs auteurs, et n'atteignent en défi- 
- nitive. ni ne détruisent rien; 

Il arrive au contraire anx plus ardens anta- 
gonistes, forcés d'envisager d'assez près les 
principes qu'ils se disposent à combattre, d'être 
bientôt frappés de leur réalité , et dès lors ils 
consacrent à la défense de ces mêmes principes 
la plume acerbe qu'ils avaient taillée pour la 
critique. Les célèbres docteurs et conseillers 
Rau an Giessen et Messerschmidt en sont des 
exemples : aux noms de ces hommes honorables 
pourraits'associerplusd'unQOmcélèbreàParis 
comme à l'étranger; nous nous abstenons de les 
désigner. 

L'invasion de cette doctrine a dû , on le pense 
bien , remuer les passions, et exciter de nom- 
breuses controverses. On a beaucoup écrit pour 
et contre : une partie de ces documens est re- 
cueillie dans les journaux de Stapf, de Schwei- 
kert et dans un petit livre de Rumm^, qui a 



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( ■' ) 

pour litre : Die Somœopatkie îrher Licht iCnd 
Sckattênseite ; c'est à dire : l'homceopathie, sa 
lumière et son côté faible (a). 

Si pour acqùériruoe doUod du sujet qui nous 
'occupe , 00 n'a point hoTué ses travaux à la lec- 
ture de quelques -articles de nos journaux de 
médecine où la question a presque toujours 
été dénaturée ou traitée avec préveiAion , on a 
dû , puisant à la source , lire avant tout l'Orga- 
non , un des premiers ouvrages de Haknemann 
et base de sa doctrine. 

Nous n'entreprendrons point l'examen de 
ce livre remarquable à tant de titres, et dont 
on a déjà donné diverses analyses ; nous rappel- 
lerons seulement quelques-uns des principes 
fondamentaux posés par l'auteur. 

Il existe plusieurs manières de faire servir 
les modificateura à l'anéanlissement d'une ma- 
ladie : l'opposition, la ressemblance et rbétéro* 
généité. 

i' La méthode antipathùpie ou d'opposition 
( evûOiTfovffoSoç , aciwi'iraâoç 3 emploie de? sub* 
stancesà effets primitifs contraires, ou opposés 
directement à ces effets de la maladie que l'on a 
nommés symptômes; exemple : L'applica- 
tion de l'eau froide sur la brûlure ou l'éry- 
sipële. 



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C la ) 

2° La méthode aUopathique ( «JXov irctio; ) 
est celle qui se sert de médicamens de tous 
genres , sans égard à leur pureté ni à leur ana- 
logie d'effeU avec la maladie, ai contraires ni 
semblables. Les révulsifs sont de ce nombre. 

3° La méthode homœopathùjueip^lv* -Kaiititi) 
est celle qui se sert, de remèdes dont les eî- 
kls primitifs , c'est-à-dire les symptômes ou les" 
"actesderéactionvilale ressemblentauxeffetsje- 
cont/aire^dela maladie qu'on Teutguérîr, c'est- 
à-dire aux symptômes de celte dernière j pat 
exemple : un vésioatoire appliqué sur une dar- 
tre i la pierre infernale sur une plaie , un vomi» 
tif contre les vomissemens, un purgatif coutrâ 
la diarrhée, un acide contre les aigreurs de 
l'estomac, ou l'agacement des dents produit 
par un aride , etc. 

i" Une qaalrièmé manière , V-homopatkie 
( o|jioira5o; ) , OU Vysopalkie , dont les soc- 
cès ne sont pas. encore assez généralement 
constatés, consisterait à guérir les maux par 
des moyens , non plus analogues comme en 
homceopalhie , mais identiques à leurs causes : 
ainsi, les virus de la morve, delà gale, de- 
l'anthrax , etc. , dilulionnés convenablement, 
serviraient à guérir ces maladies. Les venins 
de la vipère, du serpent à sonnetle, la bave 



n,g,N..<i h, Google 



( '3) 
^esdiiéo'B enragés, elù., deyiendraient , dans 
leurs dMes iafiftitésimales , des aniidotes aux. 
accideDsocËasioDésparces mêmes yeDÎns..... 
Le docteur Lux, vétérioaîrë distingiié de Leip- 
sig,adé)à'oktÏ!DO,!dans ce genre d'expériencesy 
des résultats suffîsaas pour attirer sérieusement 
rattentîon. ^ ■ 

ËxaminoDS d'un coup d'œil quels résultats - 
pratiquesaccômpagoeutles.tarois premières-mé- 
thodes , la qualrième (étrangère d'ailleurs aux 
principes de Habnemano) n'ayant point encore 
âS9eK Toùrpi de fidts pour eh parler avec con- 
naissance de cause. 

Lorsqu'on a administré un remède antipathi- 
^ue^'celoi-^i tend à détruire ou neutraliser les 
maux naturels, mais Ahs que son action est 
épuisée^li maladie > qui qudqueFois a été sus- 
pendue, reprend ordinairement sou cours, ei 
le plus souvent avec une forcç nouvelle, parce 
qu'une-des lois de l'organisation des animaux 
est de réagir contre les influencés qui viennent 
du dehors (j) ; or, cette réaction vitale a pour 
conséquence un mouvement inverse à la'médi- 
cation, par conséquent favorable à la maladie ; 



D,g,t,.?(ii„ Google 



( >4 ) 

ainsi , la glace apf^iquée' sur une surface eu' 
flammée , cpnitue uo ér^'sipële, par exemple , 
développe, par réaction vitale, une ardeur 
brûlante dans la partie malade. Un. membre 
congelé se putréfie si qd l'expdse à la cha- 
leur , etc. . 

Quant au procédé allopathù/ueA\ offre trois 
chances à courir ; 

1° La révulsion, qui en est presque tou- 
jours le. résultat, peut réussir, sur-tout si l'af- 
fection morbide était légère... Pah^ce cas,.ia 
maladie est échangée contre .un mal artificiel. 

3° La révulsion peut échouer et la maladie 
rester la même. . 

3" Par l'admiDistraliod des remèdes allopa- 
thiques trop prolongée ou multipliée . opcom- 
plique les maux naturels, de souffrances acces- 
soires produits de l'art. 

Par la méthode, au coutrairej qui fait le sujet 
de notre dissertation, il s'agit de donner à une 
très-faible dose, la substance spécifique pure 
qui, à dose plus forte, aurait développé chez 
l'homme sain des accidens aussi ressemblaos 
que possible à ceux de la maladie qu'on a en 
vue de guérir. En agissant ainsi dans le sens 
des efforts de la nature , pa compte sur la réac- 



D,g,t,.?(ii„ Google 



( i5 ) 
4ioD vitale de l'oi^aBisme ^ mouvemeni inverse 
à celoi des accidens morbides. 

Parce mojeD, l'homoeopalhie a U pt>éteBlion 
, 'de guérir d'une luamère directe, douce, cer- 
taine e^relativemeatTi^îâe. 

L'analogie des sy mptàmes oatareU avec ceux 
ifui appartienneat au nurj^en artificiel,, fait 
bien présumeE que celai -ci agira sur Iç fojer 
du mal. (GoaunuDauté de- symptômes, coui- 
ntufiaQtéde point de dcpart.) Mais que se passe- 
t-il alors dans ce fojer, et comment expliquer 
le pbénomënt)delaguérisoB?carii apparaît pas 
suffisant à tous de répéter avec Habuemaan ; 
deux maiadies semblables ne .peuvent exister 
dans un même poirU. 

. Le procédé cotrobore-t-il dans le lieu ma- 
lade l'eSbf t salutaire et incomjdet de la nature? 

Les tissus affectés reçoivent-ils le degré de 
force léactive qui leur a manqué dès l'instant 
<]ue l'état anormal a pu s'établir, que l'équili- 
bre fonctionnel a été désaccordé ? 

\ a-l-il perturbation, modification locale 
parcet agent, qui n'est spécifique (£) qu'autant 
qu'il est bien choisi^ et qu'une sage expérience 
aconstaté son affinité avec le foyer mvrbide ? 

Ya-l-il plus? y 3t-t-il antidotisme entre l'a- 



n,<j„,.™r,,GoogIe 



( ,6 ) 
getit artificiel et fa^eift iscoottu qui a caasé le 

d»^fdre de l'organisme ? - 

Qui nous déanlera ces profonds mystères ? 
Nous raToi),s dit ailleurs : tout raisonnement est 
hypothétique et le téj|ips d'expliquer A'^est pas 
airivé. A'mbroise Paré dit quelque part : je 
pansai et Dieu guérit. ^Ous pouvons dire à Sdo 
exemple r un médtcameni>Ado&aé, troeim- 
'pnlsicMi a lieu , et la nature fait le reste. ' 

Cette nature attentive- à écarter de l'éco- 
nomie 'animale, tout agent désorganisaretir, 
qui' prend soin d'évincer, un corps étranger 
du séîn d'une plaie j l'esquille d'un os brisé, 
sa portion nécrosée , etc. ; cette nature a- pins 
souvent besoin d'être secondée', que contrariée 

dansses elToris Ainsi l'axiôme homœopa- 

tique ,- simiUa s'imilibus cufantur , loin de ren- 
fermer -une contradiction , constitue au- con- 
traire , quand on y réOéchit bien , qoand on 
fait attention qu'il n'y a de similitude qu'enti>e 
les effets primitifs d'un remède et les éflfeils 
secondaires d'un mal quelconque Ç -simili- 
tude qui n'existe que dansleâ symptànKesi et 
non dans reswdce de$ àgetra ) , la seule règle 
qui pitisSe concorder' avec celte Ibisiiprêrtle de 
la vie, qui se décèleài'obsèTTateurdansceque 



D,g,t,.?(ll„ Google 



' hous avons dësig^Dé pAt le nom die réaction vir- 
tale. ..-'■■- . . ' 

L'atome médicinal' que I'od adniititstrè d'à* 
près son 'homoepipathicité àds actes de cette 
réaction , paraît .(hherminer une incitation 
plus francbë de cette puissance occahe dont, 
malgré le^ solitHistes,. )a saine physiologie rie 
peutréjéïetrexistéiice. ■ 

Stahl, Cabanis , JoûWr't , parmi tant d*au- 
tres grands médecins , ont envisagé ' lee états 
maladifs comme dés efllwïsnaluTelS tendant 
à Tétablir l 'harmonie des fonctions désac- 
cordées. 

Detous les phénomènes inhérens à l'orga- 
nisation des corps vivans, en est-il, en effet, 
deplAs "Constant que cette activité, de la puis- 
sance vitale (c) révoltée chaque fois qu'une 
influence extérieure vient agir trop fortemen t 
sur elle? Le système organique né se soutient 
que par un jeu continuel de 'ces actes réci- 
' prôqùes , par une série de victoires répétées 
que remporte la force TÏtalesur les impres- 
sions venues du mondé- extérieur-, et nous, 
nommons approximativement santé, l'état où 
celite force redcontre une plus faible résistance, 
où'elle triomphe avec le nioins d'efforts pos- 



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{'8) - 
sible« . et où nos fooctitms s'opèrent avec le- . 
plus de ré^larité et d'aisance. Ce dernier ^tat. 
est-il troublé j quej est l'appitù que nous 'de- 
vons prêter à la nature ? Ou cette dernièrot 
est à même de remplir la tâçbe. qui lut est im- 
posée , et alors elle n'a que faire des secours. 
de l'art ; ou elle ne Test. pas, et dans ce cas ,,' 
c'est encore d'elle 4]ue no'us devons apprendrç 
comment elle vent être seco.urue^ 

Maisabandoonoiiscette digres&îoq pour ren- 
trer dans l'exposé de Fbomœopatbie , de se& 
ressources. actuçUes et 4^ ses esp^a.nçes d'à-. 
venir. ' , 

Adipelloos , si l'oB veut, qve la science.nou- 
velle soit peu nthe encore en littérature,, 
niaigre en théorie , qu'elle existe à peine 
comm.e' doctrine et comme école; on n'en 
avouera pas moins- l'upparlunité de son appa- 
rition au moment où il règne un déseuchan- 
lement complet de ci*oyances médicales,, à une 
époque où toutes les questions sont- reprises • 
en sous-œuvre, où enuomoi, lebesoin d'une 
rérorme se fait généralement ressentir. Xa 
branche de la fnédeclne la plus ténébreuse et 
la plus flacluànte, celle qui réclame le plus, 
impéneusement de nouvelles lumière^, est 



n,<j„,.™r,,G00(^lc 



( -9 ) 
sans coDtTedit la thérapeutique ;^ or, il s agit 
tlaAs câ Mémoire] d'aoe découTerte qui , ne 
fût-elle en réalité que la dbii&ine partie de 
ce que nous promettent' déjà les faits consta- 
tés , serait - encore le pas le plus important 
qu'ait fait l'esprit bumaitt depuis l'ioTentibn 
de l'imprimerie. ^ • 

. On croii^it pent-êtreque ce biénfaîla été 
accueiUîed Allemagne, sinon avcoadmiration, 
du moins avee la simple attention qô'ou ne 
refusa- jamais au remède mis en vogue par les 
empiriques, ou an- système éclos de 1-imagi» 
nation )>rillatite d'un proFessenr à ht mode r 
non-; car il est du destin'deâ véHlés inopiné- 
ment trouvées de heui'Eer des préjugée étaMis, 
de froisser des amCMirs-propres , de léser des 
intérto matériels, etc^ L'hpmœopathie a donc 
été -accueillie comme le fbt au XVII" siècle la 
circulation du sang , la vaccine ao -XYlir ; 
comme lé forent , à la honte de l'homme, les 
découvertes de Galilée, de Newton, de Des- 
carte» , etc. 

Nous élevons avou» qu'aucun progrès de 
la science ne se présenta peut-être avec moine^^ 
d'élémens de succ^ et- sous une apparence 
plus de nature à exciter l'incrédulité. Cette 



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( ao ) 
circoastance suffirait seule poqr motiver un 
exameo impartial j.car^oA lésait, le pcemier 
soit) du charlatanisine fut toajours Ae s'eoye-i 
lopper de forin» spécieuses, les. plus propres 
à capter ia couSance et à faire de?, dupes. 
CoDçevrait-Qu, d'aiUears, que des gGfi&gr&xei^ 
et é«%Lrés poursaiTissent ayec.^ntde perséré-. 
rance et depuis taDtd'aoDées ud vain Iftatôme ? 
S'eotendrait-PQ avec ua accord' si {>ar^t, de 
Pétersbourg ii Sannam, ettle Viteqne à Loo- 
dres, pour la plus odieuse tromperie.? La Mip- 
positioD serait absurde et répugnerait à la rai- 
sou, û d'aiMetui^ ÇA ue coonaistait la boone 
foi scièa|ifiqiie , la modestie let la .profondeur 
de nos voisins du Nord. 

-Lsi plupart des systèmes , qui tour à tour doc 
miuèn^Dt dans les écoles, se fondaient sut use 
idée à pnori plus ou miMOS spécieux , et le 
raisonnemeot, source de tantd'enêurs, prési- 
dait^reâque toujours à ootre conduite. Il -n'en 
est point ainsi àé l'homfsopathie ; rien chez 
elle o'est hypothétique, tout est d'observation. 
Ses propfig^l^qrs,^ convaincus de 4'toanité des 
discussions scientifiques, "ae s'a|^oient-que sur 
le témoi^age des faits , et demandent à être 
jugés d'après euxi 



D,g,t,.?(ii„ Google 



( »'- ) 

Pour, repousser, ce* tiiis, il ne suffit pas <£e 
lestrourerincompréhensiUlesi (iar ejtfHique-rt- 
OD'BujoijTd-lipi tdutçeqo'oD a ^té foi«é d'àd* 
met^par'«xpëEi6sGe?'QDi.eAt voulu Icréire 
de prime-atK>rd à lï vaccin^ Qû àdiiKttmit , 
satfs Tavoir vue, latrausiormatioii^'une die* 
aille ea papjJipD dates. Use cbrjrsalidê. £a Un 
mot, -que ds; phéoctBfflies.peopreft à choquer 
notre iatèIUg«Qcey et.qae l'habitude Aait par 
rendre faùiilie^rs à«otre.C0BCëp^on.,. 

Les obsieF.valii>nft; dira bomoaopathiste» dqbi- 
plisse.Qtleurs'jourpaux: cieltebase iumk sem-: 
ble pl^s s(^idement établie -^ue ces opinioos 
écloseR ;de jïeoveaux d'hommes sur.le^oelles 
reposèrent tàal 4e doclriDesanccesuveâ. Mai& 
pQOK{WH de :siiéi^ataja tes cures n'onl-ellesiias 
déjà ooDvecfiieB entier leiOgode médical? 
C'est qu'il est'i^oijb .dé préwnter.en grandes 
séries des histoires de fnîdadies dont une mé- 
'fianee prudente, et louable au fond, be puisse 
ni dontestersla véracité , ai attribuer le^résul- 
tftt au hasard; c'est que des observations .pra-> 
tiques n'ont janiats lieu pardevant notaires, et 
que celui qm dirigé aue maladie est seul ap- 
pelé à en bien suivie lés périodes , les chances, 
çt à apprécier au juste le- moyen qui a guéri, 



D,g,t,.?(ii„ Google 



Ne nous ^lonnons pas de la résistance des m^ 
decins élerés dans les anciens priifcipes : rap-- 
pelons-noas que notee propre incrédolité » 
égalé la leur, et qoe nottf n'aroDs pfts consent» 
à nous rendre si^ la (m d'bo petit nontbre 
d'expériences. 

Ce n'est qu'en répétant soi-inéme ce» 
épréaves, que l'on peot parvenir & une oOQfic- 
tioa sans laquelle il est inopossible de renier ht 
doctrine a laquelle on est attaché. Hais il s'en' 
faut de heanftoûp qu'il soit aisé de réussir dans 
larépélitkm de ces épreuves. 

Les difficultés inhérentes aux pr6cédés-ho- 
mœopatbiquesnesoot pas plor comprises, en- 
général, qne ne l'est laméthode elle-même'; 
par elles l'homceopathie échappera, 'heureuse- 
ment pour sa gloire, aux envahisaeraens des 
empiriques; mais ipatheuremeKient' , par la 
même raison, l'époque de son admission au- 
rang des vérités incontestée& par les Acadé- 
mies , se verra long-temps retardée. 

Les difficultés dont nous parions sont plus 
grandes .qu'on, ne te pense communément. Il 
s'agiticid'autrè-chosequed'appliquetdes'sang- 
siies, des vésicatoires , et de prescrire un breu- 
vage bétérogèue dans, sa composition; d'au- 



r:,9,t,r?<ib, Google 



tre cboie qae d*4labUr le diagoo^ d^ao& ma^- 
ladiset lai opposer le traileniçnt )e ptas favo- 
rable i d'après -la doctrine en favear. Etudier 
un groupe de symptômes, le rattacher dans 
sa peàaée â ao cadre, de nosologie , l'atjUtqaer 
ea vertu dss-préceptes du maître actuel, peut 
suffire à la cposcieDCe du médecin aliopalhiste', 
et, qi^Ue queeoft l'inoe de la maladie, specta- 
teur de ses phases, il est tranquille quand il 
a crtt s'oj^nser de tout son pouvoir au déye- 
loppement des'accidens snccesûfs. Hais une 
attention plus serdpaleuse:, une exploration 
plus. détaillée » uoe ^u» grande-et plus mi- 
nutieose appréciation des diverses lésions de 
la sensibilité, sont essentielles' an médecin ho^ 
mcH)p^hi3te,lor«qn'eopFésenced'Hn effrayant- 
appareil de désordre, il s'agit pour lui d'en ta- 
rir promptement la source à l'aide d'an -seul 
alouie' dont le d^^ d'atténuation soit ' exaç- . 
tementsaleVlé d'après l'Âge^ le. sexe du svjet, 
sa sepsihilitéf' d'après la nature de la cause, 
riqt^nsitjé morbide, las «complications, les 
circonstaocw aqeesstHJceSj-'etc.- Avouons qu'il 
faut Qpe c0rmine intrépidité pour oser abor- 
der un traitement de ce genre et sortir de la 
cummone ornière. La chose paraît-elle aisée 



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pour celui qui a'n.pas. eu, ooimnwi'aaiiKVt^ 
couragt^ 4'^.9r. suivre pQpdaoA.qoelqns lânt^ 
les homœppalbeis^riaâmques aalitdè leôvft. 
liiala^es? .. ; » . ' 

Ajoutons que ce a'eebpas loujours^ en ut- 
taquàn^lesdésordcesJès^JmdoatioMs-, mais 
. quelquefois eu s'a^asant à ad sjraptdme'4ibs- 
cur, lorsqu'il MlieiàTideBunefiti la cduseoM 
qu'il est caractérisé par uae lésioiv spfoial» 
deia iensibititéj quese résoudra-lcprobiérae 
de la gaérisOn. ■ • . ■■' 

.Déjà gr»ule d'après ces coasidét^tionâ , la- 
diffîcu}té d'un traitemeat.beiiMsopatbiqie le 
pataitra bieq dayaqtage encore si l'on OMisi-- 
dére le dénuepeot absolu où .noas.nous ttoa- 
voBs des traductions en français â'un assez 
grand nombre de litres aUemandaîta^spen- 
s^bles- à -la- pratique d'une méthode atissi- 
étrangère-à no&études, aussi neuve pèurnos 
regïfds'préveoij». lies tradaçÇearsfrançais'ont 
débvté-par nous faipe-Gomattre les œuvres du 
foodarteiw^ oeufres plus théoriques que prtiti--- 
ques ,' premières i^acines d'unb âioienoe tjùî a 
largement, depuis .celt^ ^(k)qu'e, életidti ses 
branches , niais ■■ qui, dénuées d'histoires cU-i 



D,g,t,.?(ii„Gooi^Ie 



• ( >5 ) 
mques, sont loin de -suffire par elles-mêmes à 
rapfdicatîbn deift médiodè : leur lectore isolée 
effrsâb certaines intelligenïCAs et découfage les 
plas heareBses tnétnoires. Il mnis faàt d'autres 
livres ;ilse]cistent';niais dés médçcifis seuls (et 
pu>mi ïbotis î] 'y en à peu <|ui . po^èdent assez ' 
inenlà'Urtgue'allèinande.-ou qbi aient assez 
de 'kîsir poorce tràTEÎl) sont aptes à' nous 
fonTMr de bonnes tràduclions en fait' d'oo- 
vràges- de médeOTne^ Si cèqx <jiii ont com- 
mencé à ' ntms initier aux recherches de 
Haboenutnii n'^ont pas pQtnsaivi letnr pénible 
l&ehe, il faut sans doute l'attribuer è riïiéiF- 
férenceainee' laquélle'DOs sav^nil ont acctmlli 
la -nouveUè' déconcerte, et au peu deprogrès 
qa'a &its, il fout le penser, i'fabinœopatbiè 
parmi ;nous. Les progprès sei-aot pins rapides 
dfes que l'utilité, Unéçeamlé même de c@n- 
conrir afec l« AllemaQdiï à la réfoifm&tion 
d«i'premierd€ssarls,aiii'a miens été comprise ; 
alors'peaf-é^ê, "moins dédaigneux des lents» 
tranquilles et consciencieux labeurs de nos 
voiÙQS,'BOus ponrrônï aroir' connaissance 
dAjIivrages éihirieoifhérlt utiles poùr'Ia pcati- 
qUe, à la tête desquels il faut, placer les ma- 



n,<j„,.™r,,GoogIe 



C =6 ) • 
tîères médimles pures de. divers aatear3(i)f 
les pbaroHicopéeSr la thérapie de Hartmaon , 
ouvrage uo peu .entaché A'tdlopathie d'après 
l'avi» de Hahoeaiaiio , mais plein de sagesse , 
de candeur etde booDe foi ; les répertoires de 
Ruckert, de Weber, d'Hartlaubet Triaks, 
de Bbamnghaasen- (3) , où l'on trouve une 
sorte de dépouillement méthodique de la ma- 
tière médicale pare, si confuse dans les pre- 
miers recueils qu'on en possédait, sont des 
manuels que le praticien ne peut se dispenser 
de consulter à ebaqne instant. Sans les tra- 
vaux de ces savaos , quelle mémoire d'homme 
assezvaste eûtretenu la profonde pathogénésie 
'de tant d'ageos puï^, de manière à y recueil* 
]ir,d'un jet'dé pensée, des groupés compa- 
rables à tels ou tels autres groupes qui ont 
reçu des n oms en QOsographie ? ^ 

Kïickert- a -sur-tout rendu des services, sous 
ce rapport, par sou abrégé complet des-niédi- 
caméns éprouvés, dodtil a clasaélessjrmptômes 



' (1) Le doctear Joarcbn, moibre de l'Acad^ia.rojtle de 
nédeoitic, va publitr la tradàcUon ea fran^i de la mafiète m^~ 
'dicaiepure de S. HabnemaDii, 

(3) Le téptiuAre de BâaniiigluDtea , traduit en' notre' langue 
par le docteur' Bb)>ou de L^oii, ni tardera pai i paraître. 



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( ^7 ) 
par ordre d'appareils, ea élaguant ceux qnt, 
nesereprodoitant pas dans chaque expérience, 
pouvaient paraître douteux. Bdnninghausen a 
fait paraître un inanael commode pour les mé- 
dicameus dits arâipsoriques (i) et se prépare 
à en doDner un autre pourries apsorujues; mais 
il -ne s'-est pas appliqué plus que ses confrères 
à dislioguer, dans l'énumération des sjmplô- 
mes, ceux qui sont primitifs de ceux qui sont 
secondaires; distinction, selon Oou», iiopor- 
tante. Tout modificateur excite dans l'écono- 
mie deux ordres d'effets : _io effets, directs , 
30 effets de réttcbon,j deux ordres de sjmplô- 
mes qui ne sont pas assez distingués dans les 
rçpértoires de matière médicale ;■ nouvelle dif - 
ficuUé qui compliquera difficulté du traite- 
menti .'■.-. 

, Par exemple la noix vomiqùe» qui produit 
d'abord de la constipation , provoque secon- 
dairement de la diaprliée;, elle n'est donc ho- 
mœopathiqué qu'au premier de cessymptâmes. 
La minutieuse ponctualité des Allemands en 
toute chose adétoùrné leur pensée de l'eapèce 
d'épuration que Tious réclataierions^ peut-être 
aussi n'a-t-il pas été bien facile ^ parmi les phé' 

r,^ hK mot ptora , en grec, li^Ee humeur. 



r:,9,t,.?(i;>, Google 



nomèoes physiologiques mis es jeu par. l'es-> 
sai des remèctes purs, de distàag4ier ctairement 
VuD del^àutre les deux ordres de sjmaptômes. 

On ne Ut pas suis -étoaoement dans le livre 
de Bôoninghausén., à l'articte de certains mé- 
dicamens , ces mots : Tianeurs chroniques , 
grandes indurées, etc. , ce qui ne signifie point 
que cesisnbsiances aient eii le pouvoir de' faire 
naître de tsls.jHvduits anormaux , dont cet au- 
teur fait figurerles noms parmi ceux des appa- 
ritions pathogéniftiques, mais qne ces mêmes 
médicameùs ont, avec- une certaine' constance, 
entre lesmains des bomoeopatbistes, rendu 
des services pour résoudre de semblables dé- 
sordres. 

Les 'annales à'.Stuilaùhet Trinks ,\es treize 
volumes des arcbives homœopatbiques de 
Stàpf, sont des recueils defeitsy ^ns lesquels 
le réforme tbér?pentiqae n'eût pas'déplojé 
une marche si rapide dans toute l'Allemagne. 
jSouspoumons encore citer plus d'un livre 
. important à traduire et capable dé réconcilier 
rhomœopathie avec la, raison comme avec les 
corps scientifiques {d). 

Si dans l'état ajctuel deS'cboses, une applica- 
tion large et^ étendue dés resources que nous 
signalons , est presque inaccessible aux méde- 



niginV^db, Google 



(=9) ■ 
cins non familiarisés avec la langue allemande; 
s'ils ne peuvent manier, prudemment une 
arme inconnue , rien lie s'oppose du moin.s à ce 
qu'ils jugent certains faits pour éclairer Jeur 
conscience et asseoir leur conviction. Il est 
aisé d'en constater quelqnes-qns eit les répé- 
tant : se refuser à des épreuves ,' en ce cas , se- ■ 
rait faire acte de lèse-bumanité, tout cooime 
crier à Vahswde (i) du haut de sa jbiresse, 
sans s'être donné la peine de se livrer à aueooc 
exploration , serait faire preuve de légèreté et 
d'ignorance. 

Chacun , avous<-DOUS dit , est à même de ré- 
péter l'épreuve de certains faits; ainsi, par 
exemple , le plus vitrent paroxysme fébrile 
cède ordinairement à une, deux ou trois très 
petites doses d'aconit répétées de six en six 
heures : l'occasion se présentera journellemeot 
de s'en assurer. Pour plus grande conviction , 
que le médecin prépare lui-même son médi- 
cament ; il lui suffira de se procurer quatre on- 

(i) Qu'il eit comanxlB etUen imaginé ccnot absurde ! Il ts 
proaonM vite , il oit «>i)ot« ,. il diipeoied'autr» jflwDi m de 
cooitneiitairci. Le mot abinrde tranche al ferme la diKuuioa.. 
Avec le mol nbiorde réféxé ud nombre tofltiaDt de foU, an folii- 
calMre compoie tout qd article de lOD joaroil'. ', 



n,<j„,.™r,,GoogIe 



C5o) 
ces d'alcool de 57° à 40" et une goutte du suc 
frais deVaconmt napeï exprimée du sommet 
de la tige à l'époque où la plante. va fleurir. 
L'alcool 'étant réparti dans trente flacons 
égaux dont chacttn recevra seulement quatre' 
vingt -dix 'neuf -gouttes de ce liquide-, on 
ajoute une goutte d» suc de l'aconit aux- qua* 
trcvingt-dix-nenf gontles d'alcool d» i" fla- 
con auquel on imprime quelques secousses 
pour opérer un biélange complet'. La goutt» 
de ce flacon (étiqueté i" dilution) repré- 
sente i/ioo de la goutte i". En Laissant tomber 
une goutte de celle dilution dans le second 
flaeoD , et en agitant celoi-ci comme le i" , on 
obtient desgootteEdela!l*'"(/f/u4ion.au i/iooo. 
Ono{Merede même jusqu'au 3o~* flacon; or si 
r-OQ pouvait admettrennii'cliTistoQ'-inkériolle- 
iaetit -tôtacte^ ce qjjï r^ parait imposûhie, 
(ne lùt-ce qu'à cause de l'altraclion do verre), 
lé 5^*flaeon contiendrait des gouttes millioniè- 
mes , le '6'" des goattee bUUonièiDes, 'ie g*** des 
trillioniémeseLainsi de suite, le ^" des bctit- 
liaDièmes» lei^o™ ^^fr déciilionièraes-; mais la 
raison ripchisse ces dénOmÎBations vicieo»» et 
rïdiciûlès. Noua ne savons point ce qui se jftasse 
dans ce ijiode de.préparatiQnoiile frottement. 



D,g,t,.?(ii„ Google 



( 5i ) 

l'agilation doivent développer l'électricité et 
poar ainsi dire charger celle-ci de propriétés 
médicioales.Les mots dilotioDS ou atténuations 
90Dt les seols qui exprimenl avec justesse ce 
procédé préparatoire : nous disons donc i", 
2"' , S*"' dilution, etc. L'aconit ne s'adminbtre 
guère qu'à la ai"' ou Bo"^ dilution, et niême 
la goutte entière de cette 3o°" dilatiou ne peut 
,5'èmployer que dans des cas particuliers; le 
plus souvent elle iait précéder la sédation 
qu'on veut obtenir par une «cacerbation d'une 
violence quelquefois formidable. C'est pour 
obvier à cet iaconvénieat et arriver à la dose 
convenablement minime pour agir sans nuire 
qu'on a imaginé de ne donner qu'une fraction 
de la goutte de la si"" on 3o°" dilution. Acet 
effet on la brise en la laissant tomber sur une 
centaine de globules de sucrb de lait bien pu- 
rifié qui s'en humectent , et dont un à quatre , 
suivant le cas , sont une dose sufiîsante. Cette 
manière d'imprégner des globules pour doser 
le médicament à son gré, n'est point particu- 
lière à l'aconit ; elle sert pour foules les autres 
substances. 

Avant qu'on eût. adopté cette raanièiie de 
conserver les médlcamens eo globales , ceux 



n,9,N.?(ib, Google 



qu'on faisait vo^'ager en teinture acquéraient 
par l'agitation un surcroît de forces qui fai-^ 
sait , qu'arrivés au terme dû voyage , leuracti- 
viLé inégalement accrue ne se trouvait plus 
en rapport avec le degré d'atlénualion auquel 
ils avaient été portés. Cette expérience s'est 
confirmée plusieurs fois dans les envois de mé- 
dicamens que l'on faisait de Leipsig à Naplés. 

A côté de l'action toujours si constante de 
l'aconil se place, comme fait non moins sim- 
ple à observer, celle de Vamtca, dont la 6"' di- 
lution à la dose d'un à deux globules à la fois, 
mais qu'on peut répéter comme l'aconit , fait 
cesser miraculeusement les accidens qui ac- 
compagnent ou suivent les cbules, les contu- 
sions, les plaies, etc. Quand la chirurgie con-^ 
naîtra les ressources qu'elle peut puiser dans 
rhomœopatliie, l'arnica assurera le succès des 
plus dangereuses opérations en prévenant 
tout accident nerveux, toute réaction fébrile, 
toute inflammation des plaies chirurgicales.... 
Après l'emploi de l'ariaicaj les contusions ne se 
couvrent pas de ces ecchjmoses violettes /bru- 
nes, jaunes, qui se montrent d'ordinaire, et la 
douleur disparaît comme par enchantement. 
Il en est de même pour les solutions de conli- 



■D,g,t,'.f(ii„ Google 



(35 
nuité des parties mpUes qui ne cicatrisent rafiî* 
dément presque. sans suppujFatioo.-J^'ai opéré 
naguère l'ablaliondedeux.kjtstesdela'gDOSseui* . 
d'up.œurde poute,. situés à la. nuque.,, chez 
un boiDnK).de.trenteans;aprèsavQir> réuni , à 
l'aide de bandelettes de taffetas d'Angletetre, 
je donnai au malade deux doses* d'amiCa; il 
D'épFOuVa ni réactioa fébrile, o^. sensilH.Kté 
sous l'appareil que j^'enlevai le. leDdemain.; les 
boïds paraissaient déjà réunis et de- couleur 
naturelle , le tnalade-oe garda pas la chambre 
et n^obserya point de, diète. . 

If'ar.nica repd.de grands services dans le 
traitement d^ entorses , des douleurs rhuma-* 
tismales, quand elles sont conLusives, des va- 
rices, etc. Il est remarquable- qu'«n Saxe ce 
sont les chirurgiens qui fournissent les plus 
chauds partisans à l'homaopïtlhie. . . 

En thérape4tique ordinaire nous avons toi» 
lu dés. observations de .raétrorrhagies atooi- 
quesarrétées^parde petites da$^ de.sah^n , de- 
Sabine ou de seigle ergoté ; d^ diarrhées gué- 
ries par la rhubarbe, l'ipécacuanha, la.man-. 
ne; des palpitations de cœur par la .digitale 
qui souvent commençait par les exagérer ; de 
cystites apaisées par une faible fraction de cao* 



nigitir^db, Google 



tharides ; de Toniistemens arrôtés par i'éméti- 
qneoamdmeparuQSÎBïpIeemplàtrestibié, etc. 
OofaisaitdoDcdéjà textuellement de rfaomoao- 
pajhiej mais l'on se serrait de dixièmes, de 
viDgtiédaes, de cinqaaDli^œs de grain: d'eX'- 
traits pharmaceatiques 1 saos poacrire les ti- 
sanes et les ώlaDges. 

Qu'au Heu de ce 'prooéde , oo adopte stric- 
tement celui qu'indique Hahaemann ^ si t'oo 
tient à se convaioicre de la aupériomté des doses 
înânitéshnafes <^i ont. de plus en leur faveur 
une inDOOilité non con^stëe lors même qu'elles 
déreloppent chez certains sojets de surprenans 
phénomènes nerveux. Mais avant toute chose, 
si l'on veut atteindre le but proposé, qu'on n'ftd* 
ministre pas an remède homéopathique dans 
le sens des principes allopathiques, comme je 
l'ai vu pratiquer à~ certains expériniealatears . 
qui tentaient, par exempte, d'augmenter la sê- 
eretien urinaire avec des particules de nilre, ôu' 
de porterausommeilaVecdes atomes d'opium. 

Il est bien entendu q^e le praticien désireux 
d'explorer .les voies du vrai , devra s'appliquera 
rétodedelamatièreraédicalepureavantoupen- 
dant qu'il soumettra ses malades à la médication 
des semblables ; car celui qui administrera une 



nigitir^db, Google 



( SS ) 
sùb^failo? à«iiïX it ' ignora Iiq «freft<pm«' iur 
rh6niaiesun> aura imllefpesneièentîistiAgun 
l'action snrson tnal^iîe. S'il obtient trrie amé- 
liorati<Hii*R3CTt toujour^encljn, tuitlgwélni/.'àj 
l'altriboer anx efforts salutaices^ <)e,U. seule 
DSAttveiilfaUéil tienu^terMàmtdésowàra-f lui 
soufflera son scepliotsme. La aumifeslatitOD da 
mieux 3*est<^e accompagnée d'appantioni^ 
morbides iiwolitesj étrang^rei à l'élat «fltjécé- 
dentdujnalTeUesluiparaîtrontuD ptodujtdu 
hasavd» et il OQpovrrareCQnaaitce enfaUesde» 
actiens particiiHii»» à sod agent médioat^r; 
Survieet'il enfin une aggray^iioii bomœop^tbi 
qaeîellesera pouHui une crisie nalurelles'il n'tt 
fait précéder ^u guides s>pse«»afs^iniqiiw par 
l'inspectiQi) des syraptômefr propres à la Lst^br 
stanoe eiûf^yée pac lui. ' 

Parmi le^ «x|>én£Qce& ai$é«3.àreprodiùre» 
nous sigria)erAnff«ncore à dos confrères ia spé- 
cificité de la £e^iWon&^, Zo"" dilution, cobtreli 
scarlatise, l'érjsipèle, l'amygdalite, aigiie; 
ce}le:deia.piU9atille.,.i2'" , i8ï"Va4"*' diîuiîotif, 
contrp la ro^çole^ la chlorose,, la sécrétion 
lactée , etc. Mais nous ne sauj'ions trop les met- 
tre en garde contre les préparalionsiaexaçtes 
de médieamens (e). . . . 



D,g,t,.?(ii„ Google 



(56) 

Ii'oocasiod se préseaie nalureHement ici de 
reoTorer nos lecteurs à rintéressanle lettre' 
iiuérée dauft la fiQ)liotbèqiie homcaepatbique 
(s^'-année, a*" cahier); lettre adressée pat* no- 
tre savant et modeste ami le doct^nr Dessaiz de 
Lyon au docteur Dun£F, qui lui avait demandé 
desinstructiontsar les mojens d'expérimenter 
bomœopatbiqaement. Mous cédons au plaisir 
de citer un passage de cette lettre : 

A Je o'ai garde, mon cher confrère, de 
vouloir rappeler à un praticien tel que vous, 
la mardie que tous avez à suivre dans un 
essai clinique } ntais tous me permettrez bien 
de vous signaler quelques-uns desaccidens les 
plus ordinaires, ob le choix du remède homœo- 
pathique est le pin â facile, et qui, en'vous 
oftranf l'occasion d'un premier succès , pour- 
ront vous conduire àTadoption et par con- 
séquent à l'étude approfondie de la nouvelle 
doctrine. 

ft'Les vomissemens , si communs chez les 
femmes enceinles , céderont souvent i un glo- 
bule d'ipécacuanha (je parle toujours ici des 
divisions les plus élevées ) , seul' ou répété 
deux ou trois jours de suite- 

« La belladone réussira fréquemnient dans les 



h, Google 



( 37 ) 
amygdalites ordinaires , avec gooiteaient des 
glaDdes cervic^es, raideorducou,, etc. , 

« L'état itiflammatoiFe tombera souvent dC' 
vaol deux glol^ules d'açûDÎt; «pétés deux, 
trois , quatire , cinq fois , toutes les.six , douze, 
quinze hetires. La Bèv.ï-e ainsi calmée dans 
uué pleurésie, uoe dose de bryooe, . quel- 
quefois de sciUe > suffira, le plus souvent ^ pour 
enlever -le point de côté. 

«Un globule de cina peut arrêter les malai- 
ses varié» des eofansvermioeux, suPrtout avec 
vomiisemeos d'alimens non digérés ,' à beore 
fixe, et sans perte d'appétit; on méoie avec 
beaucoo^ de faim. 

' « La douce-amère peut arrêter en un> deux 
ou trois jours , toutes les suites d'un coup de 
froide la camoniiUe , en quelques heures, les 
stjttes d'un accès décolère: la camomille est 
précieuse contre diverses diarrhées de laden- 
titioD, sur- tout quand l'enfant estagité, inquiet. 

« Le campbre , l'opium , fout souvent cesser 
une constipation opiniâtre. 
, H La tioix vooii^ue , la bryooe l'ignatia, la 
belladone ,.la pulsatille , sentes, oa.tpurà tour 
employées, fOnt souvent- des merveilles dans 
les gastrites et les gastralgies. 



D,g,t,.?(ii„ Google 



ttGesia<Kcation8gêaérale8(i)énesu)ra£>a9SK- 
Tousledire, sont vagoes et barbares; l'bo- 
inœc^tbietie ks reconnaft point; mais vous 
ne pouvez étudier l'bcHuœepathie uiu y erôire 
et TOUS ne pouvez y croire qu'en trouvant un 
peu au hasard quelques ^its faeuroox qui vous 
parlent pour elle. J'ai dît vous indiquer plu- 
sieurs circonstances où votre main, encore 
inexpérimentée, risquera moins Murent de 
frapper à fauxi 

n Vous ne dout«e pas Déannioins que cela ne 
vous arrive plus d'une foi» , et bie* des fois 
peut-être ; mais à défaut d'uiv prompt et la- 
cile succès, je sais bien que vous ne vous 
presaerelÈ pas d'accuser un art dont les indi- 
cations, les ' iastrumens et lés -exigences ne 
vous sont point encore familiers ; car vous 
savez trop que depuis flippocrate, fexperi'- 
mentum difficile n'^ -çoitil encore changé de 
nature en faveur de persortne; et que tons les 
jours l'es plus babiles commencent par répéter 
1res mal les expériences d'autrui. »* 
•: Pai-mi les faits généraux autour desquels 
viennent se grooper les faiti de détail il en 
est deux qui appellent sur-tout TaUention des 
médecins pfaitosopbes , et des observateurs ; le 



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(%) 

premkrpreKentldfpuisHippocrate, lavoir: que 
les maiadie^ peuvent êtm guéries ptfrdes màjens 
produisofU çnaîi^^ d^ maL Le Môond, «n&iit 
du géoie, àa t4topuçawQi>«t de la fistience, 
c'est-àtdire : <fue des subltanoss. inertes en dosé 
pondérable acquièrent sur l'organisàtioa des 
animaux une aciien pufssants' et en efuaUfue 
sorte, .çompambie à oelh dgts virus i .après 
qu'elles ont été amenées par l» ' trituration ^ la' 
diàaion etta^tàtiiM, à un étM presque imma- 
tériel. ......: . . 

^xamiDODjS U pcemièt^ dd o«s questions. ■ 
Dans l'on^iae deJa qiédecinc; buoud< pré- 
cepte ne dut paraître plus clair et plus simple, 
que celui d'attaque .les -maladies par des re- 
mèdes à'eâels opposés aax accidens qù'bh you- 
lail combattre r aâasîlesinfla'omations.pavdes 
pafra(ch)ssaDS,'la faiblesse par des toniquési Mo. 
Aucuoe . hypothèse ne promettait pltis et M 
tint i^oins ; o'esl qu'on ne '^'apercevait- pas 
qu'es ceutrariaEttlês^mptôtnes des mfiliardiesy 
on ne s'opposait réelleaaent qu'à des phéno- 
mènes- secondaires - de lar- réaction- -vitale . 
qu'aux efforts de la nature pour se délÎTrer 
du priecipe- morbide dont l'essenoe nous 
échappe. On allait diréctemeiit contre soa 



nigitir^db, Google 



(4o) 
but et par conséqaent on retardait plus sou- 
veot la guérisoD' qu'on ne l'accélérait. Malgré 
tant de mécomptes l'aiiôme fondamental 
n'était point mis en doute /et cependantque 
de Faits k Faisonoenient aurait d& lut 
opposer ? ■ ■ 

L'affaiss^nent brusque des forces après qu'el- 
les ont été DD moment exaltées par les stimu- 
lans; l'habitude 'des saignées accroissatit ÏA- 
disposition à ta piétbore-sanguine ; l'usage des 
laxatifsaugmentant la oonstipation; l« sommeil- 
plus profond après l'insomnie passagère que 
provoquelecafé, etc.; d'iirte-aatre part Témeli- 
que arrêtant des voniisserfiens, des diarrhées 
supprimées par les purgatifs , la léthargie gué-- 
rie par l'opium , etc ; ces faits et bien d'autres 
passèrëntpour des exceptionsà lar^tegénérale 
et on dédaigna de les expliquer. Oo n'expli- 
quait pas mieux l'action intime des eaux mioé^ 
raies , celle du mercure, du quinquina (y) et 
autres que nous savons agir homosopathique-" 
ment depuis que HaboemaDa est voiau nous ré- 
véler ua des secrets de la nature, et nous ap-' 
prendre un moyen très ample de découvrir les 
spécifiques qu'elle nous' offre «n abondance et 
quisoDl;. loin encore d'être tous connus. 



D,g,t,.?(ii„ Google 



(4. ) 

Halleravait, dès te t6"'siècle,.iniliqué comme- 

onique moyen d'apprécier la valeur et l'âclion 
-réelle des médicameas, leur essai sur des corps 
- sains , aSVaucliis de toute influencç étrangère , 
car donnés à des utalades'et mélangés, lejir 
effet pop restait toujours problématique. 

La route jusqu'à lui grossièrement iudiquée 
fut enfin frayée en 1790, quand Halmeniann , 
illiislre déjà à cette époque par l'importance 
de se» travaux en chimie, en matière médi- 
cale , etc. , commença sur lui-même les expé- 
riences proposées par le grand Haller : le 
quinquina fut l'objet de ses premiers essais. 
Quelle ne fut point sa snrprise en ressentant des 
symptômes semblables à ceux de la £êvrê in- 
termittente eonlre laquelle cette écorce est un 
remède spécial (i)? ce fut pour lui la pomme 



(■) C'«itcomme ■nti-pàtediqaei, l'ëcrlErs-t-on, qu'sgiiieiu 
leiicUde giiiniiie> le^iiu, etc., «t uod camme «pdcifîi[uEs, dastla 
Eèrre iatctinUtcDle; ciqni'le pronTec'eitqu'ilifont dùp-treltre 
des doulêuTi périodiques .du Derral^ei, . . . D'accord ; aoui 
VhomœopatUe a-t-clle reconon id qdinqniiia, dam son uugetar 
l'homme uîu, la bcaltë de provoquer dei phdaomêuet pe'iîodiquei 
aulres qae la fièvre. CelLe miiaitre d'étudier ■ cuniluit glai loia; 
cl l'on lait aujourd'liui daa> la jcaoe école, qoe le quinquina n'ett 
pas lé leol ageaL euralif de> fieTres inleriniueales, comme il n'en 
pas;iOD pluile wul m'ëdicamani qa'oa paiue o)ipo»ir à la pério- 



n,g,N.?(ib, Google 



(4M 
_ tomb^ de l'arbre sous les jreuxde Newton, et 
ce fait lui promettait la (defd'uae série indé- 
6nie d'açcidens jusque là. .inexpliqués dans 
l'histoire de la médecine pralicpie. Les épreu- 
ves Turent multipliées et s'accordèrent toutes 
avec la première ; chacone des nombreuses ob- 
servalioDS que i^es élèves et lui firent d'abord 
sur eux-mêmeSt puis sur d'autres personnes 
bien portantes, coocoururentà démontrer in- 
variablement que tout remède seconnu spécifi- 
que ne l'est que par sa faculté de produire dans 
des corps sainsdessjmptômesanajoguesà cenx 
de la n\aladie qu'il a la vertu d'exciter; et vice 
versa, f^ue toote.substaoce médicinale produi- 
sant uB groupe d'accidens pathologiques res- 
semblante une. maladie, guérit cette dernière. 
Jusqu'à Uahnemannlesmédicamens étaient 
administrés d'après l'empirisme ou, si Ton 



didtj dei iii<troiei. La pnltnUtle , la fève Saint-Ignace , l'araDca 
diadema, etc., tciirodaiieat p<!rî6diqaemeni-dei apparition* mor- 
bîd», t«l I« matill, td antre le aair, celut-cilejour, celoi-là la 
tinit, l'na arec lrluoii,rBDtrE avec toif, etc. et «ont tppeMs égale- 
iseni à combattre honiCEOpHtliic|DeDieai des scàdeni p^riodi^gue'. 
En d'aoïret termei la périodicité eu une pcrvenion dei mou- 
vemeni nerveux , que prodaiteat temblahlemenl de> caaie* ma- 
ladivea et certilm agenj mëdicatenri «ÇproiiTdi 



.y Google 



(45) 

veut, rezpërieiice, mais noD poiol eD vertu 
d'une loi positive, et leur résultat toujours dou- 
teux se coofoudait avec le trouble organiçiue 
on se, perdait darfUes mélanges pharmaceuti- 
ques. Aussi l'art ne conoaissait-il point de res- 
sources sur lesquelles il pût compter infaillible- 
ment. La loi de ht spécifîÂté étant Irouvéej de 
nombreux adeptes enrichirent bientôt la ma- 
tière médicale- pare, en étudiant successive- 
ment les accideosque produisaient sur eux les 
substances, soit végétales, soit minérales, soit 
animâtes, prises' pures et sans mélange. Grâce 
à cette méthode rationnelle et hippocratiqae , 
d'éludier les âgens thérapeutïqoes, on possède 
aujourd'hui plas'de deux cent cinquante-huit 
substances dont on connaît au juste la portée, 
la durée d'action et les antidotes'proppes à mo- 
dérer an besoin leur trop d'énergie : 

Les itiédicapiens éprouvés son!, jusqu'à ce 
jour, les suivans i ' 



~ RluHltlKum. 

— nflrîevm. 

— 'phorphoriMtmM 

Jccnittan; 
MgajKdttm fodagra. 
jSlhat» «yno^iiuffl. 



A^ta Bdilwt. 
Mtium, fottvun 
Ahi._ 



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(M) 



tS.. Jranta diadema. 



3o. À^enltmt fttifttun. 

il. ÀreiUa pura. a 

S3. Amtolocftia ehmal. 

Ï4. Àrmoraeia. 

35. .4mi«a monfaiMi 

St. i<r(<mHΫ ot»y«tA. 
38. — màlfurit. 

Sg, .4»a falid». 



45. BitLamum eopaivt 

46. Bontonna. 

4?. Baryla oeelie». 
ÀB. — corinuca. 



, BMidana. 



Si. — prtw.. 

53. BoMMt lalama, 

54. — turvln. 

55. fiOrui vantM. , 

56. Bovitta. 
St. flroBUim. 

58. firuMs antù<^, 

5g. frvonio oMs. 

So. CilIlKtium KjKÙlW». 

<l. Cdcarta aeatUa. 

69. ' — eartoxica. 

64. CatauUtla. 

65. Campfcoru. 

66. Conur /IwiaJi'Ui. 
Ct. Cannuftii lofivs. 
63. Cmtharidei. 

69. Cupnmu» aRRwiun. 



70. Cfr4a atùmaiU. 

Ji. — iMg«(a(i{û. 

;i. Carthtut étnedieilÊ*. 

73. CoKarUla. 

74. CwroPftiin. 



0. CUn. tvlpb. 
81. Clor. 

81. (7ict(la vircta, 

83. ^TitM. 

84- Cinnaton*. 

86. CUmatU trtèta. . 

87. CoteinelUt. 
18, CoMului. 
8g< Coffia. 

gi. CofaiyiMii. 

gi. CoCuRita. . . 

gS. C'anîam miicutaMm. 

94. Copaiva. 

gS. CoraUia ru6ra. 

g6. Corit». lamt. 

gj. Cnioiw m«laMor. 

gg. Cupriim «CMicum. 
Cvfrum mitalUcitm. 
CyUamtn «uropcum. 

.o3. // ttleaatara. 

fu^ihOffMa effieii. 
Evphratia. 
log. £«mymiii. 

1. Ftrr*m coréonie. 

«. — metaMiram. 

3. — 

4- FiU-x mal. 

5. Formita rufa. 

6. GoUoi. 
.7, GropAilM. 
18. ffrolMio. 



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(45) 



. BtUotrap. -Per. 

. HelMorui nigtr. 

. Btp»r mipItaT. Cvk. 

. Byeuiamui tt^tr. 



iiS. Indigo. 

\ag. lodiMm.- 

ilq. Ipteaouaniia. , 

i3i< Jannu filotui. 

iS*. Kadmut tuiph. 

lU. Eati oortoKKiun. - 
l34* — hydrubomiaum. 
" ^7- ht/drajodi^ietimt.. 

— ■eotifvm. . 



136. 
i38. 



tiS. magna 
i46. ■ — 



fTomif. Tvkr, 



— fwMi'm. BMM, lOi- 



197.. MMKi»uln^ 
!$«.' MU/tfoUam 

iÇo. VcrpMum 



,' if«lnHn eari 



i6>. JKooBimn Mrtmlwtt>. 



ÛEnan(Aa ctm. 
0<Mwt aaimaU 



Pœonia offioiiuUif. 



PhtIlaHJri'mt. 
PhoipHarut. . 

PdMÙM. 

Phunium octtieaitt. 



PuUaliUa. 
Rana bufb. 
Ratnmtyutu* btMotiu. 

Raphania arvttu. 
Ratanhia. . 

BhodtMlutdratn, 

Rvta gTmvtoleni, 
S'aiadUlm. 

SaUofiKMilii. 



SciUa. 

StetiU «imKdwn. 

Sedum aer». 



j:,9,t,7?(ib,Goi:)^Ie 



(46) 




. SlrantimM 

iH. Svlvkur. 

lîS. Sithibur. mO^. 

1I7. TkMMm. 



145. TrifaliuM }Sèrfo«M. 

s46. I/Inti «0H1K1. 

347. res urti. 

>48, rotariana. 

a4g. farioi. kmtf. 

ïSo. f «rofrum ait. 

iSi, FWtwcHm. 

>5a. Fitutt. 

■S4. f isfa mforoM. 

iSS. rifb irtealar. 

1Î6.' rîtrum B 

iJT. ZJROum 



On concuît que pour avoir uo tableau fidèle 
des effets patbogéuétiq'ues de ces subslaqces, 
desdésopjres qu'elles en iraîrient et conséquepi- 
nieni âe leurs propriétés curalîves, il a fallq 
répéter uo griand nombre de ftns les mêm^ 
épreuves avec "une persévérance qne pouvait 
seule alimenter la" profonde coTiTictiorï d'un 
but utile. Hahnemann , pour sa part , y a coii- 
sacréquaraiiteànné^desa vie et, s'il est une 
chose capable d'appder la con6ance et l'initéi- 
rét du monde savant sur une étude si féoDÔiIe 
eii résultats iiuportans, c'iest la patience .lie 
c^lme avec iesqoels cet auieut jppuirsuïvit paâ 
à pas les traces 4^ -vrai dans uhe ârcôiistanfé 



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(47) 
OÙ U prëcipksrioD , t'enthousUsine mémo eus^ 
sent tronvé dès extuises. 

Dès qu'il se vit en possewion d'tFiDM épron- 
Tèe&; à'ageas stvs et^péciauiE patif^QA itqiQ^e 
coDsidéntUe 4'èUt5 mUadife , H^nemânii 
commença à les ap|diquer et ta gaénson des 
malades. Maîs>-^elqae petites que fuiiseot les 
fractioos de graias «[till-iuit d'abord en usage , 
ces do9M se trouTërent encore asses énergiques 
pour exalter formidablement les iympiil»ne$ 
et mettre tes malades ea danger. Iloomprit aus- 
sitôt que, d'après ce mode d'agir directement 
.socle tissu souffAnt, il ne fallait y loucher la £4 
bre irritée- qu'avec une eicessive délicatesse : 
il procéda donc à de nouTeltes divisions , frac- 
taonna gradueliement les doses jusqu'à ce que 
leur effet salutaire fût précédé du moindre 
trouble organique pos»ble, jusqu'à ce que le 
mieux 4tre chez le malade se fît apercevoir 
presque aanf secousse et c'est ainsi qu'il fut 
conduit par l'expérienCe, le tâtonnement et la 
prudeaceàcesatténuations excessivement sub- 
tiles auxquelles il nous' paraissait impossible 
de soupçonner encoi« la moindre action sur 
l'honune. 

Ne rions plusj Messieurs, car inflexible est la 



D,g,t,.?(ii„ Google 



(48) 
pui&saitce.ctea faits. RàcoonaissoDft ^n'habitués 
à 3gir avec des masses médicaiaenteuses, noqs 
ayons toujixxtà ignoré ^quelle partie du celle 
wiiissçderenaU activé etcomoifint elle te dever 
nai^ji.çoAressQrts notre- ignoranca^ o^servout 
rntetv Ji 1 avenir et répétons avec Pascal i ir La 
detojèM.détnarc.beilelaraisoD.VeStde'cecoDi- 
naître. q^'il «st. iloé infiniié de ebdsies qui Ja 
surpassent, ^leest hien faible si eUe ne va, pas 
jusque-là.,» , 

Cest l'e^iguité de ce^ 'doses qui .a prêté, le 
plil$ à l'incrédulité et aux sarcasme, et ce<- 
pendant, si l'on prend la peÏD^^'y réfléchir ,-un 
corps quelconque, doué. de propriétés :inédicir 
nal.QS les posséderail-il si toutes les oioléculés 
qui x-omposeilt ce corps rie participaient pas 
à ces propriétés? La niasse de ce nséme corps, 
doué d'une .propriété) est-«lle. autre cliose 
que le véhicole de Cette propriété que -roa 
met très souvent btiaocoupinieuxâ.déconTert 
en écartant les molécules dont ! se ^ compose 
la masse? Ne saypps-nous .pas que les i^of 
les plus puissant. de .la nature sont iosaisissa-i- 
blesà nos sens? eh! queide phénomènes dans 
le domaine de l'histoire naturelle nousattesteiit 
If force de la matière subtilisée! Lesmodifica- 



D,g,t,.?(ii„ Google 



(4SI») 
tiens les plus vives et les plus rapide^ de 
nos sensations proviennent de Causes dont 
l'essence matérielle est eticore moins saisis- 
sable par nos sens on notre iinagînatîon 
que ne l'est la. plus petite dose hoanœopa- 
thique. Quels atomes engendrent ces inex- 
ptkables aversions que certains objets nous 
font'ressentir? Le musc répand son paî-riim 
dans0n grand espace, sans rien perdre de 
son poids: il en est de même de bien d'autres 
5ubslain:es odoriférantes. L'ambre rournitplus 
d'odeup à mesure qu'il est plus divisé. -Tels 
réactifs diimiques n'agissent qu'à- un degré 
co'n&idérable (le chaleur , tels autres étendus 
d'une immense quantité de liquide.-. . ., Qui 
pourrait calculer le degré de divisibilité de la 
matière dans la pisle suivie par le chien de 
chasse? daus les exbalaisonsTébriftres des ma- 
r-écages ? dans l'énorme quantité d'eau que co- 
lùreun seul grain d'acétate de cuivre, etcPQui 
ne connaît les'expériences' de Spallanzani sur 
la fécondation des œufs de grenouilles? La re- 
production dés végétaux offrirait des exenaples 
encpre plus surprenans de la puissance des 
atomes. Tout cela ne s'explique guère, il est 
vrai, non plus que l'action médicatrice dVm 



D,g,t,.?(ii„ Google 



(•s» ) 

a&ôme méclif^al , nonplesqueccUed'ungros 
de quiuqaiaa ou d'une cuillerée de rhnbarbéi 
Haisqo^nd Douaseroas fanûlîinîsés aTeoi'idée, 
si djoquante deprime-i-abord, des <k)sea infinité* 
simales , nous ne pourrons peut-être plus corn* 
{Vendre (i) <{a*e^ àît si loag>tem[M prétendu 
imprimer aux mouTemens vitaux une .tendance 
curative , soit en appliquant alit surface riicé- 
rales , toit eo ingérant dans la birculatign des 
substanoesque' leÙF état nutérid expose i la 
réaction qu'exerce tout tissu vivant contre les 
corps extérieurs, réaetionàlaqiiellecesipénies 
corpasemblent se soustraire, quand unéear- 
lement coaûdérabie de leurs molécules a dé'' 
veh>ppé> subUipé, leur vertu satiTe., lat- 
* teotesoasleurétatbrut, etleaarapprocbé, en 
quelque sorte, des corps impondérés qae nous 
voyon» exercer une si puissante action dans 
rimivers. Ne serait''eepointen échappant ainsi 

(i) Vii cnteddn dire » oa méèe<iatVop»tht : rbhtirir« de toatfs 
t^jtodtloa u^eiitifi({ac le parlée ea trob tpoi(a«<;)ilBpreaiîbK 
Incur d'qne virile BOBTolle on ï'icrie : C'e«i«b»nrde,c'eil impoi- 
sibl«, dam UD tn il ne icia plm qnntioD d'ube pareille folie. La 
décônTcrte lonrit-ell* 1 cei aDathèroei? Le» criliqae» regardent de 
plotpriietdiient JoFïîvonïiienoniBppTeaMHei» aenonveaa. 
depnii lopig'lempion savttilcela. (Ceit laMconde^poqae.) A la 
ir(Jiïme : auqriment, soutiennent ce« mfanej geni , nous n avout 
JamaUdit autre elioïc; c'«tccque noui avons toujours répété. 



nigitir^db, Google 



(S. ) 
à la réàctieo vilate, qoe certaines matière.^ ina- 
perçues nous pénèliTnt , incubent dans l'éco- 
nomie et ^ développent l'état anormal appelle 
mtdadie'i Me seçait-ce pi»nt aussi par U divi- 
sion, l'agitation, lé frottamënt que la nature 
procèdeà fa enéation desYiras^etdes miasmes , 
sonrceï impondérables d'oà émanent les épi- 
démies, la variole^ la scarlatine; etc. ? 

Qu(H qu'il en soit, ranalogiedèsmédiçamens 
homceopathiqoes et des miasmes , n'est pas d. 
étrange qu'il f^Ue la rejeter sans réflexion. Il 
faùlan^c-uns et aux autres, un temps d'incu- 
bation pour arriver i trcMU^ l'erganifine ; 
It»s uns et les autres font nahre des désordres 
à durée déterminée ; et puisque des mias- 
mes peuvent produire les maladies , pourquoi 
d'autres miasmes ne pourraient-ils pas 1l*s 
guérir? 

Les RÙasmes médicinaux qu''ulilise l'Uo- 
mœopathie différent de nos drc^ues ad~ 
minîstrées par gros et par onces, en ce que 
-leurs effele, toujours .Gonslaus, sont connu&à 
l'avance et calculés suivant le tésultat tfu'on 
cherche, tandis que les dernières provoquent , 
il est vrai, des effets, quelquefois même fâ- 
cheux, mais jamaisaveccertitude et uniformité. 

Enfin, le but d'un trailement homœopa- 



D,g,t,.?(ii„ Google 



( 5î ) 
tbique ji'étaat pas, comme nous l'avons dit, 
de combttUre des. symptômes eo^contrariaot 
la oatu^v mais de réveiller cellcH^i et de la 
guider , les remèdes homœop&lhiques, ou si 
I'qo veut sympathiques au mal , doiveDt alo» 
agir même en doses les plus petites possible. 

D'après tout cela, le bon sens ne semble-t-il 
pas militer en faveur de la simplicité et de 
l'exiguïté des doses (i) ? 

(i) On le cioii'i peat-Atte evcc peine. Vat dt* cante» <iDi sut 
nù* le plu d'cnirsTe* BU prOgrè* de l'bomAipatlilCjc'esi l'actian 
•onTCBl (rop rive de cet aiûirci TtgatàU comme ioeriei par de* 
eipTi|^inp«rfic(eli. Acco«Iudi^ , en allopathie , k n'obLenir que 
de peiii« T^uluit avec no* sr*'^'^ ^*" < "*"'■ Minnie* lon^ 
temp* dam notre d^bui hoiDœopHltiiqDe,pou»é>par an doateia- 
Tolonlaire i ajontrr nu rien de plaa ■ ce qui ae mmsparatl'qa'ua 
rien («pprâi^ndaDt ton ioari une nullité d'action. Celle-ci n«lroav* 
^ne TaicmeBl de* coDililniiODi T^Jractairei , taudia que ti l'on 
reocontre one laicepliblliid oerveiiie irètcleT^e, comme il arrive 
cbei lesindii^daïquiontiouflertlongDemeDt, t'acijon me'dirairloe 
K proDOoee arec ane vl^aor AfficlleiUeiit roërcible. La difBcoJtë 
de calcitler ratténnaUon lor le degr^ de nervoiit^ dod* parait le 
grand obilacle de la praliqoe,- Lei eiTeti du remède loai le 
doux et paiiible ? le malade eit tenté d'en nier la vertu j >oo[-il> 
aucoDlriiiTe trop ifnergiqaea? il l'înquiite et coniulle lei'alcB- 
lourt (pli ne manquent gnère d'augmenler la terrenr que lui aug- 
gèrel'étrangetéduftîtrCe sera tnen pli, *'il en réCre au médecin 
allopalbe. 

four ntn part , je le ronfeiie, qunnd je n'ai ptt coniiailcc 



h/Google 



(S3) 

L'ensemble du trsiteiùent honueopotbiqd* 
se réduit donc à un principe simple et à quel- 
ques, vè^es pratiques tout buss^ peu ct^pli- 
quées. 

Il faut agir (Uds le idéiue sens que la na- 
ture, ea l'imitant, eo favorisant ses efforts de 
réactioD fitàte, DOfnmés symptômes, et qu'é' 
veille toute cause tènda'Qte à désaccorder les 
fonctions. 

-CtuHsi eontrairemenl à Taziome de Galiea 
èteo verUidelaloidess^mblableSj le remède 
hoQiceopa trique est donoé daos sa. forme 'la 
plus simple et saus mélange. 

li doit être administré daos la plus petite 



d'avance k quelle D«r*otti^ j'avais hfEùre, o^eit pTeirpia lonjoafi 
par Dpe action m^dioiricelropTéli^manie que i'^ va l'âoigacr 
la coaSanct du malade. Ce dsraîcr ne lanniit élre-trop prd- 
venu qu il est eipoi: a nne aggravation paiiagère et facile à 
calmer par lea latidolc* dn rcmide qn'il aura prl«. Je me tnli 
cosTaincD , enUainie occsilon, qu'ancon majen allopalhique 
n'eit capable d'orctler la majadie aniScielle qui i'tit déve- 
loppée, mai) qqi cWeS nn antidote, <fti finit avec l'acllon de I» 
subilance Ingërde. Qaelle erreor donc de recooili' , dam ton ef- 
froi, DU médecin âllc^ihel 3urprUîi{-méiae de* accident* qu'il 
appeiçoit, il a'jciiera ^avec bonne Toi peut-itre] : l'oa v»di ■ 
trompé , ce que voiu avez prîi ett mds doale ane drogue e'pOn- 
iBulafïle , car l'homceopilhie ne peut produire ni bien ni mal. 



D,g,t,.?<ii„ Google 



(54) 
dt»e poasiUe , pourm que^lle ^isse encore , et 
«HOine nous I'atods exposé, c'est une «lécon- 
verle, des plps importantes en f^ystcdogie que 
cette actk>a des doses- atténuées au ' poiot où 
l'eïpérieDee a conduit les bomoeopathistcEF^ 

lo La' dose doit être suffisante pour agir> 
insuffisante pour auire . capable d'^ever sen- 
le'mmit d'un degré iofinitéàtnal {'action vitale 
dans le foyer du mal. 

3° On ne donne jamaisà la -fois qu'un seul 
médicamefit pur, dontl-effet sur rhomme saiiV 
est l»en connu, et, pour que son action soit 
également francihe et puré^ rîen dé m^icinal 
ne doit faire partie fies alim^. 

50 On- ne prescrit un second remède q^e 
quabil'la durée d'action du premier est termi-^ 
née 00 que son action est nulle. 

4* On a l'avantage de connaître d'avance 
l'arme dont on fait usage et raQ4dote'qui ,au 
besoin , modérerait ses efïèts 

En un mot, Ic médecin homœopathtste se 
rend toujours compte de .ce qu'il lait et .em- 
ploie des substances -qui ne peuvent nuire di- 
rectement. Lamédecine vulgaire pourrait-elle 
se vanter du mêine avantage? Que de nianx 
chroniques sont le produit de l'art aveugle de 



D,g,t,.?(ii„ Google 



. ( 55 ) 
la phaHmeie I En fVanee, il faut l'arouer, les 
formalM cen^liquées sont aujourd'htil pres- 
que généralement délaùs^j cepeadaM tm 
procède encore'àqueli![t]esliiélaDges qui afté- 
noeoty qaend itrlie TanDoIent pbs , la propriété 
du. remède prioeipat; c'est aiou que nous 
T0701U réunir ensemble le camphre etropîtiin 
qui sohtantidotes l'un cle l'adiré. Gomment au 
sein du eshoa résultant totit i-la-fbîs des miiE- 
tions médicinales et du désordre {bnctiotinel 
inhérent 4 Véiat morbide -se rendre raison 
d'une action médicatrice? L'allopathe appelé 
pour ua cas grave , dont il assume sur loi la 
responsabilité, est d'autani plus inquiet qu'il 
est moins s&t de ses agens de guêrison ; il sur- 
veille jour et nnitdes accidéns qu'il n'est cer- 
tain ni d'avcàr vaincu ni de vaincre bientôt ; 
car à la sédation d'un moment que donnent les 
sangsues auc^èdeot sourenl d'effîroyables pa- 
roxysmes (ceqeené ToitJa*nais l'homœopa- 
tbie) ; à chaque instant il déplore la funeste 
incerlitudç d'un art qu'il n'exerce plus que 
cbmme un métier nécessaire; il passe du dé- 
couragement au'doute rt, quand l'âge et l'ex- 
périence l'ont rendu expecCant , il finit par se 
l'alrc un mérite de ne plus croire à la médecine. 



D,g,t,.?(ll„ Google 



Lorstfoe, détrompé des promesse^m^ l'école 
par l'observation pratique , oo Ai est réduit à 
ces phrases sooores et ambigiies , à ce beau 
parler, à toutes ces ressources d'un charlata- 
nisme poliment appelé savoir faire qui coosti- 
tueot un médecin à succès et à TecclecUque em- 
ploi d'une multitude de préparations aourel- 
ies, empiriquement préconisées, n'es^-on pas 
bienheureux de pouvoir rallier ses idées à une 
loi positive, contemporaine de la création, 
comme dit Bigel , loi plus d'une fob sôupcoQ- 
. née„jamais trouvée et-qui, sans J'Hippocrate 
du nord , serait encore enfouie ai; fond du puits 
de la vérité. Il est doux pour celui qui aima son 
art,de renaître à une croyance, de se voir encore 
en possession d'être utile , de se dire : eniSn la 
médecine est trouvée. Ce fut le sentiment qui 
■ me doinina et m'enhardit, lorsquemes premiè- 
res cures homœopathique%(faitescomme essai) 
vinrent porterie tfouble dans mes facultés pen- 
santes , me démontrer le néantde notre.scieuce 
actuelle ^et m'indiquer une issue pour en 
sortir. • 

La découverte de Hahnemaan , due au ha- 
7ard autant qu'à son génie, mûrie lentement^ 
si sobre de préceptes et si riche en conséquen- 



D,g,t,.?(ii„ Google 



(S, ) 
ces. fait ffure à .la thérapeutique médicale «n 
pas ipiniense hors du cercle de déceptions dans 
lequel elle n'a cessé jusqu'ici de toucoer. Grâce 
à elle la réalité succède aux hjpollièses , la 
certitude aifxUitooaerDeDS, le .oahos thérapeu- 
tique se débrooiile, et tjout vient s'asseoir sur 
UQprincipe'UDique,pur, naturel, qui brave les 
réfutalicuis de l'école et. lui répond comme fît 
Dic^ëne au «opbiste qui niait le mouvemeat' ; 
en marchant. ■ . 

Qu'dn n'aille fMffrta'oi pas conclure de ceci 
que rhomcBQpatbiê atla prétention 'de g'uérir 
toutes les maladies, derépoudreà tQuteslesin- 
dicatitips^defiesubsliluérdanstÔBsleàGaspossi' 
Mes anxautres méthodes. Née d'hier la science 
nouvelle a autant à cbercfaer qu'eUe «a décoQ- 
' vert ; .elle adresse à la tbérapeuthîqne l'hom- 
mage des tâisoùtces. qu'elle a tronv.ées , sans 
dissimulée tODtefofi qu'il est.des-cîrcotistances 
ofa elles ionlim paissante^; qu'il lui reste é.ncQre 
plusd'noe lâouneiè combler, plus d'un doute 
à; éêlaircipi. . ' : ■. . ■ f . . 

D'aprè$.l|(tveu.de.'plii&iencs.'médeoin3 dont 
le ntiiU'falt aùioril^idanaila j.euoe école all^- 
maride,l'|ionKeiDpatbie^si^iéneBTeà.lebra:yeiiut: . 
et prérérableà L'altopalbietpoui! la plupart du 



D,g,t,.?(ii„ Google 



(S8) 
temfs f De leur a pourtant pas suft constam- 
Hient, at iUn'ont pu araenët* certaines affections 
à leur gaértson complète sans appeler qael- 
quebis & leur-aide l«5 mo^eàs oodùnaires. Cer* 
tai osd'eolre eax s'ont renoncé OA ^ièrcmen t ni à 
la aai^née , .ni à l'émétique , ni aux sinapismes. 
Telle est en partie l'opinion dès chefs de cli- 
nique de Leîpsig et dé qoel<]aw praUciens de 
cette ville qui font , en quelque sorte , schisme 
et setrouTenten désaccord dogmatique avec 
les pors, les fîdële»de la doctrine. 

Celle dissideooé, néaomoiDS, nulle quantao 
f(H)d des principes , ne porte que sur des qàes-^ 
11006 d'une importance très secondaire. Ainsi , 
les docteop Triflkset Wolf-à Dresde se sont 
pronCHicés pour Jt répétilion des doses d'un 
niétfie remâde , nécèsâilé reco^noe aojourd'faui 
paç HalineiDaDB toi-mâme. Lea docteurs Uart* 
laubet RoQuoet ne saignent darts aucumoasel 
répê^fit les mèmef doses en les renforçani ; 
taudis que le. docteur Kretschmar' regânda la 
saignéecomme sou vent utîleet se permet d'ad- 
miiùslrer certains' ntfdipamelis homoeàpatlii-' 
quea dans des'po^ioas liquides. Le docteur 
Lieittenfelz , no des plu9,ooii6Qltés à PTien, ad-* 
Dieties bains, les <^lic»tions'6]kléi^ieures^ elC/ 



D,g,t,.?(ii„ Google 



(69.) 

Quelques discuEsions aujoard^bui termioées, 
ontqoelqae temps rempli les feuilles pério- 
diques de la nouvelle école. Il s'agissait des li- 
miies quç-pouyaieot eiubrassér les procédés 
homoéopathiques. 

S'obstiner à ne reconnaître rien de boa el 
riendevraidans les anciens STSt^iineset croire 
le nouveau^ parvenu à sgi perfection, disaient 
quelques-uns > c'est attaquer tin des principes 
fondamentaux de uotreartrégénéré, qui càlca^ 
lant son succès d'après là réaction de l'orga- 
nisme doit par cela même reconnaître des cir- 
constances où cette réaction.o'a pas liéq et où 
il est rationnel d'invoquer dçs secours antipa- 
Ihiquesooaliopalhiquès.llegarder comme non 
homcHopalhiste le médecia qui, à défautd'bo- 
mœopathie possible, rentre dansles voieft ordi- 
naires, ne serait-ce pas refuôep ce titre à 
Habnemann lui-même qui, dans iSQn Qrgànoii 
(cb. 1 59) , indique pûur l'aepbyxie ■ efc les pm- 
poisonnemens l'eniplpi dé stimulans èi de iBeui- 
tralisans? Il est d'autres cas où, la vitalité des 
ti^us abolie, un remède homœopathiqae ne 
serait plus uliliséj et ce qui arrive pour j'en- 
semble du système org^wque dlMislIucpb^xie 
peut bien .arriver pour u4saal:«rf(af«.«M^(i^ 



m, ■,..<!!>, Google 



(6o) 
licnlier, quand par agite de congestion, de stase 
sangâiiie dans les capillaires, decollection li- 
quide ou de loute aulre cause, cet organe a 
perdu ses connexions dynamiques^ que ses 
relalionsnerveusessont interrompues, son tissu 
privé ôé sensibilité on en proîç à une dégé- 
nërescence avancée. 

Ceux qui sostiènoeot l'opinion qu'on peut, 
en médecine bomceopatbique , s'aider acces- 
soirement de quelques ressources allopalbi- 
qnes s^appuient sur les propres paroles de 
Hahnemann dans divers endroits dé sa matière 
médicale pure quand, par exepiple, ilindique 
l'opium contre les accidensque fait naîli'ela bel- 
ladone , te café contre l'indigestion ,' lè cam- 
phré contre l'influenzâ , etc. ils traduisent ces 
obsorraliotis du fondateur pair l'axiome suivant: 
un moyen antipathique ou-allopathique estpré" 
Jerable a un hbrmeopàlhique quand ilguéritplus 
sârement etpiùs vite. Ils remarquent, en outre^ 
qoedansl'état chronique il arrivai Hahnémanti 
d'opposer à la réaction ôi^aniquetrop faible oii 
trop tardive l'application sur ta peau d'emplâ- 
tres de pojx pure- ou aiguisée avec la poudre 
d'euphorbe, de Ca»itbaridés', elCj tandis que 
l^'état aigu il* se sert qùelquefbis couim^ 



n,9,N.?(ib, Google 



(6i ) 
ftQxitiaires de L'étectricitéeldu magnétisme, ce 
qu'ils traduisent fflcore ainsi : unmojen antipa- 
thique ou allopathique doit être ajouMau remède 
homœopathique , quand celui-ci rencontre une 
ùvpfaible ou trop tardive réaction.^ammeï(àans 
l'allgemeioe boni. Zeitung, 2» Band. i855) 
s'exprime en ces termes : « je ne pais être de 
l'avis de notre maître quand il dit que toute 
espèce de déplétîon sangnine entraîne une dé- 
bilité fâcheuse ~de l'éconbmie. Ce qui con- 
court an rétablissement fortifie, et ce qui le 
retarde aCFaiblit. Si toute évacuation sanguine 
était si nuisible, la nature aurait bien maltraité 
la belle moitié de l'espèce humaine. Mon obser- 
Talion pratique me démontre l'bomœopa^iïe 
guérissant mieux les inflammations en général 
que ne le fait la méthode aJtopathique; mais 
j'ai rencontré aussi des cas de maladieson la sai- 
gnée m'a paru indispensable. J'en parle, bien 
entendu, comme d'un palUatir impuissant par 
lui-mêmeàcumpléterla gnérison : mais jecrois 
qu'il est des circonstances où le remède ho- 
mœopathique n'agit bien qu'après une saignée 
préalable, et d'autres où, quelque iocouTénient 
qu'il puisse y avoir à affaiblir le malade , la 
faiblesse est encore préférable à la mort. » 
5 



D,g,t,.?(ii„ Google 



(6î) 
Kousnous abstenons de commentaires sur. 
ces paroles du docteur Rummel. La grande et 
belle découverte de S. HahnemanD «st tombée 
dans le domaine de la science à qui désormais 
elle appartient. C'est auxsïiTans philosophes, 
judicieux^ impartiaux, à juger le grand homme 
et ses écrits sous le triplé rapport des lu- 
mières, de la'certilude-et de l'utilité pratique; 
et probablement les contre-indications et mo- 
difira:tions apportées' par le fondaleur dan» 
l'application de. ses préceptes , ne seront pas 
les dernières qu'aura suggérées une sage expé- 
rience : le ternie de la perreclibilîté dans les 
sciences est une utopie comme en politique. 
La révulsion cutanée à l'aide du raifort sau- 
vage ou de la poix de Bourgogae, de légères 
déplélions sanguines , des calaplasmes émoi- 
liens , des lotions d-'eati, font^ comme les bois- 
sons inertes , des'mojenseji quelque sorte né- 
gatifs, n'ayanteneux-mémesrien demédicin.al 
et ne pouvant atténuer de beaucoup l'activité 
d'un remède homœopathiqne; mais si l'oopeut 
se passer complètement de ces accessoires,- 
quelle utilité derecouriràce luxe peu agréa- 
ble? D'autre part on vçut se persuader , tant 
est grande la force de l'habitude^ qu'il est in- 



nigitir^db, Google 



(65) 
jispensakle de saigner dans les violentes in- 
flammations du cœur , du cerveau , des pou- 
mons t etc. ; et pourtant nos pères ont ^uéri 
sans la saignée, et pourtant Rasori éteignait 
ces épouvantables turgescences du sang sans 
le soustraire ^ et pourtant enfin un nombre 
imposant d'expériences comparatives a prouvé 
aux homœopathisces ( tels cpie Riickert) , qui 
mettaient en nsage le double procédé: (fue 
dans lecrottp, lapneumoru'e, la pleurésie, ■etc., 
une saignée préalable au médicament homœo- 
paûùqite , sans avantage réel , avait au con- 
traire le même inconvénient ^u'en allopathie , 
celui de laisser le malade pendant des mois et 
des années en proie à un surcroit d'irritabilité 
. qui favorise denouveaux troubles maladifs;- lan- 
disque parrhomœopathie pure, ces mêmes mé- 
decins obdiennent des résultats aussi prompts, 
aussi rapides que peut les procurer momen- 
tanément la saignée , mais plus francs et plus 
durables. 

Les maladies qui nous .ont paru céder avec 
le plus de promptitude aux moyens homcço- 
pathiques , sont : les pblegmasies aiguës , les 
exanthèmes ; l'angine , les divers élats fé- 
briles, la gastrite, la gastro-entérite, l'hé- 



D,g,t,7?(iD,Goi:)^Ie 



( «4 ) 
patite , la.^étrile, etc., la pneumonie-, 
les catarrbw^ iùgtM ou chroniques , les 
scrofules, -les ulcères, atoriiques , véné- 
rieos , sC0rbutic|ues , variqueux , le» dar7 
très humides , etc.; Thydrocèle, l'orchite, la 
hernie récente ; l'induration de ré^Ndidinie , 
les verrues et )es cpodjl^es ; quelques tu- 
meurs squirrheuses non ol.cérées ; la plupart 
des névralgies , quelquefois la carie, etc. ; cer- 
taines ophlhainûes, et quoique avec lecteur, la 
goutte fit les rhumatismes, etc. 

Parmi les affections., au cootraire , qui sem^ 
blent jusqu'ici les pins rebelles à Vlioo^œur 
pathie, nous citerons l'amaurose . les dartres 
sèches, la copper^se du visage , le cancer , I4 
pbtbisie, l'ascile après la ponction , etc. 



D,g,t,.?(ii„ Google 

I 



OBSERVATIONS GlUTIQUBS 



v: 



La science est la profH'iété intellectuelle de 
rfaomme, et il dràt attacher d'autant pLos de 
prix à celle qu'il possède, qu'elle lui a coûté 
plus de peine à acquérir- Les préjugés des 
sarans leur sont-par là même plus cbers , qu'à 
la multilude les siens. 

On aurait lieu de s'étonner qu'une décou- 
verte qui vient bouleverser une Science , lui 
donner une facenoovelle, ne rencontrât pas 
dbnte, obstacle, opposition , baine, persécu- 
tion. En fait de connaissances, conimeen poli- 
tique et en religion , les croyances sont di- 
verses, et chacun cberché à défendre la sienne 
de- son mieux. IL est donc naturel que de 
nombreuses critiques , que de, violentes ag- 
gressions se soient élevées el s''élèvent encore 



D,g,t,.?(ii„ Google 



(66 ) 
contre l'hoinoeopathie ; pourquoi s'en plain- 
dre puisque ta lutle des opinions peut tourner 
au profit des lumières et de la vérité? 

Nous tenterons de prévenir^ en les réfu- 
tant d'arance , quelques objections, sans nous 
arrêter toutefois aux plaisanteries insipides qui 
se-répètent depuis vingt ans; par exemple : 
on dit que d'après la loi des semblables , il 
'audrait guérir un coup par unautrecoup. une 
chute en faisant une autre chute, une inriiges' 
lion par un repas (i),une frayeur par une nou- 
velle frayeur , un ■ empoisonnement par le 
même poison « etc. On pourrait demander aux 
auteurs deces spirituelles facéties depuisquand 
homœopaûtie vent dire homopathïe, en d^autres 
termes, si les mois semblables el mêmes sont sy- 
nonymes ) si cequi est analogue est idêntùfite , 
si mal qui ressemble est l'équivalent de 
même mal. Le uLedicâmeot capable de pro- 
duire le plus de symptômes ressemblant à 



(i) Ce MDi pauciBQt, de> sens ^«vu-, Mpirant^ar État à 
guérir leiiti lemblablct, que ndai voyOD* le ranger ainsi aa ui' 
Tcau du Figaro qui noaiaapprii, daai hd de «M arlidei , comme 
qpoi l'homceopBtbie fut decouTerte psr un iodigërë rtfqalci- 
ttaoL contré la dièie, leqovLpairiin i ta %ainr, en dépit de ion 
niedeciii, arec dw tranohu de gigol. 



D,g,t,.?(ii„ Google 



(6;) 
ceoxcle la maladie qu'on veut guérir, n'a pas 
la puissance du faire naître la maladie elle- 
même, mais il y répond homœopathiqiiement, 
c'est-â-dire que la similitude de symptômes 
induit à présumer qu'il agira sur le foyer 
morbide. -Conlradictoiremenl à cette observa- 
tion , on a vu tels médiçamens, par exemple 
le soufre, lemercure, i dose inliDitésinHale, 
détruire lès peroicteux effets des doses colos- 
sales de ce9 mêmes drogues; mais, dans ce 
cas, la préparation employée était différente. 
La chaleur fait avorter la brûlure^ le froid 
guérit la congélatioa , mais il n'y a pas iden- 
tité de température. 

D'autres plaisans répètent encore q.u*un 
grain de kioa on de jalap » jeté dans le lac de 
Genève, transformerait ses eaux en un, ex- 
cellent remède homa}QpatIii.que : ils pourraient 
bien avoir raison , pourvu qu'ils se procuras- 
sent une fiole assez grande pour contenir le lac 
.1. t un bras assez vigoureux pour secbuer con_ 
venablemenl une pareille fiole. • ^ 

Réservons notre attention pour de plus sé- 
rieuses attaques. ; 

On reproche à l'Iiomœopatbie de ne s'ap- 
puyer que sur l'exaioen des symptômes, sans 



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*t 



»' 



(68) 
atUcïier aucune importance à L'étude ou  la 
recherche des causes. Il est vrai qu'elle re- 
garde l'apprécialion de ces deroiferes comme 
peu fidèle, et les premiers comme la seule ex* 
pression réelle de la souffrance organique ; 
mais elle nenéglige point pour cela l'écarte- 
ment de la cause quand elle peut parveoir à la 
connaître, elle ta rechercbe même avec soin, et 
c'est à sa connaissance qu'elle doit sourent le 
bon choix du médicament, Ihlle causam , dit 
toujours l'école allopathiqne , et elle a raison 
pour ce qui est de la cause occasionelle quand 
' elle est connue ; mais aprfes que cHle-ci a 
cessé d'être présente, la maladie qui en a reçu 
l'occasion de se développer, existe ensuite 
parelle-mâme et n'a souvent plus aucun rap^ 
pOrt avec l'inBnence qui lui a été opportune. 
Il faut bien alors, sanségardà la cause, se gui- 
der uniquement d'après les symptômes. 

Quantfi la cause que les pathologistes ont 
nommée cau.ie prochaine , c'est-à-dire au chan- 
gétnent occulte dans l'intcrieur de l'orga- 
nisme , d'où résulte le trouble fonctionnel 

ce sera probablement toujours un mystère 
aussi inaccessible à l'intelligence humaine que 
le sont tant d'autres actes de la nature , la pro« 



n,<j„,.™^,GoogIe 



(69) 
dactioR des tissus anormaux claos le corps 
humain , celle des tubercules putnioDai- 
res, des kystes hydatidaires, et dès antre* 
transformations organiques ; et si l'on jette un 
regard dans le vaste domaine de l'histoire pa- 
turelle, cette multitude de phénomènes si 
surprenans, depuis la germination et la fécon- 
dation végétales , jusqu'à la nlélamorphose 
des chenilles , elc. Qui nous apprendra 
pourquoi chez tel malade une assez longue 
iexistence sera compatible avec la présence 
d'énormes' tumeurs squirrheuses que. l'on voit 
siéger y quelquefois sans de grands in.convé- 
DÎens , près de viscères' essentiels à la vie, 
tandis que dans d'autres cas le dérangenient 
de là moindre fibrille excité d'épouvantables 
douleurs , tandis que la mort a soijvent frappé 
sans que l'on trouve après elle aucune trace 
delésion? qui nous dira pourquoi la scîatiqiie , 
l'hystérie, diverses névroses , pourquoi des af- 
léclions horribleoient douloureuses rie s'ex- 
pliquent sur le cadavre par aucune altcraliori 
(le tissu? La section des transformations orga- 
niqnes nous apprend bien qu'il y avait incu- 
rabilitéj impuissance de notre art, lïrais mal- 
gré les nécroscopies j malgré les théorieSj te 



D,g,t,.?(ii„ Google 



(7") 
tableau des symptômes sera toujours le meilleur 
guide pratique, lors même qu'où n'aura plu» 
pour ressource que des secours palliatifs. . 

On a accusé l'homoeopalhie de n'<étre point 
ratjooneUe ; mais alorji que faut-il entendre 
par ce mol? s'il ne s'agissait que de théories à 
émettre la difficulté serait légère; mais le 
raisonnement (des siècles en font foi), fut en 
médecine la source d'erreurs la plus féconde ; 
et il en sera ainsi tant qu'on n'aura pas com- 
blé rinlervalle qui sépare les sciences médi- 
cales des sciences mathématiques. Considé- 
rons où en est arrivé l'art de guérir, après 
quatre mille ans de travaux successifs , con- 
duit qu'il fat toujours par cette manie, plus 
particulière aux Français , de placer la théorie 
avant les faits? la partie descriptive de l'ana- 
tomie, envisagée comme branche d'histoire 
naturelle , la physiologie quand elle déduit ses 
faits de la physique , de la mécanique ou de 
l'analyse chimique , la chirurgie sous le rap- 
port des applications mécaniques ou des opé-- 
rations réglées sur la position anatomique, 
l'obstéttique elle-même, s'alfranchissant sous 
plusieurs rapports , de doute et d'obscurité , 
nous offrent quelques points de précision et 



I,, Google 



(70 
d'exactitude ; mais hors de là , . et sar-tou,t 
quand il s'a^t de péaétrer l'essence des. maux 
internes et de les combattre , ce n'est plus 
qu'un labyrinthe immeuse dé faits contradic- 
toires, d'opinions fluctoantes, d'hypothèses 
inconciliables , de pratique!» léoéhreuses. ^ 

Ëixige-t-on pourtant que^ sans s'en tenir 
à l'observation hippocratique, on tente d'ex- 
pliquer les actions homœopathiqâes d'après 
les lois aciuelleraeat connues de- la phjswlo- 
gie ? Disserter serait chose aisée^ . 

Plus un .organe est irrité , a dit l'école du 
Val-de-Gràce , et plus il a de tendance à con-f 
tracter un surcroît d'irritalioD : il s'agit d'é- 
carter avant tout ce qui peut favoriser une 
telle disposition irrilative. 

L'tiomœopathie pourrait dire de son côté :. 
en vertu delà loi, obi stimulus ibiflitxus , les 
molécules introduites dans réconomie ont 
toutes de la tendance. ^ers le foyer d'irrila- 
lion ;' mais à plus forte raison celles qui sont 
administrées d'après la connaissance acquise 
de l.enr affinité spéciale pour le lissti où âVge 
le malade lébr parenté bomœopathique, pour 
ainsi dire , avec la maladie. Telle est : la 
direction, que prend la cantharide vers les 



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(72 ) 
voies ariaaires;' l'aclion du colchique, de la 
digitale sur le cœur ; celle du coccalus sur le» 
reÎDs, eCc. Mais la seusibilité ^ant plus ou 
moiqs exaltée dans les oï-ganes souâram, le 
paisonoemeot justifie encore les divers degrés 
d'atténuation auxqneb il faut porter les sob- 
stances éprouvé. L'expérience seule a con- 
dnità l'infinitésimal , comme nous l'avons déjà 
dit ; elle nous a appris de plus que la prompti- 
tude d'action du remède est en raison directe 
'de l'intensité du désordre fooctionnel ; voilà 
pourquoi les médecins bomceopathîstes pré- 
lèrent, pour l'éclat de la cure et sa célérité, 
avoir affaire aux maladies les plos violentes 
et les plus aiguës. Plus est grande l'acuité^ 
plutôt le malade sera rétabli^ mais plus aussi 
dans ce cas le remède doit être minime : on 
comprend que ce-procédé est encore très ra- 
tionnel. Poor agir allopalbiqbement au con- 
traire on ne saurait frapper trop fort , contra- 
rier] trop vivement^ puisqu'il s'agit alors de 
déplacer un mal ou de l'annuler par un mal 
diflirent. 

De toutes les méthodes qui successivement 
se décorèrent du titre.de rad'onne^es, celle 
qu'a professée le docteur Broussais est la seule 



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(73)- 
peul-élre, qui ait mérité ce nom ^ de laquelle 
oo pût dipe : c'est le bon sens appliqué à l'art 
de soulager soD seaciblable. Découvrir le poiat 
de départ du trouble fonctioauel y rétablir le 
câline par la sédation locale de l'organe irrité^ 
n'appliquer la révulsion que sur un p«int 
éloigné du foyer d'irritation .et sur un organe 
qui ne sympattiise pas avee le foyer , seconder 
ce premier bienfait par la dièle ^ le repos , les 
teoipérans.. . Ces préceptes sont sans contredit 
ralionoels , et personne plus que ngûs, ancien 
élève du professeur Broussais, n'eut d'admis 
ration pour son génie , et pe proclama avec 
pljus de conyictiop l'iromorlpl service qu'il ren- 
dit en populaHsant la simplicité des moyens - 
curalifs , en signalant, le scalpel à la main, le 
dangerdes drogua. et le nombre et l^étendue 
des maux enfanté^ p&r une aveugle poljphar- 
macie... C'éiitit.u^ pas, sans s'en douter, vers 
rhomœopatliie ; c'étiut détruire mais sans rè- 
construcùon. $ufËsante , car la débiiitation 
seujç n'a pas le pouvoir de réaccorder l'orga-r 
nisme , et de légers agei)S de réaction vitale 
aian^ijuaient encore à cette école.. Habnemaun 
contempoiain du réformateur français j tra- 
vaillait en silence à découvrir ces ageiis dou( 



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(7i) 
nuira célèbre Broiissaisse plaît aujourd'hui â 
reeounaitre la pDÎ&satice avec irne candeur 
qu'on n'aurait pas aUendae de la part d'un 
créateur de doctrine , mais qui ne peut 
étoRD'er ceux qui, cumme nous, ont pu fu^er 
et «pprécierde près la.lo^aulé et la rectitude 
d'idées qui disttngueut cet homme hors de 
ligne. 

Les conséquences d'un traitement antiphlo- 
gistique,-leplusdoHi de tous après l'homceo- 
, pathie ,' te seul admissible quelquefois comme 
auxiliaire des modificateurs en atomes, sont 
néanmoins la faiblesse et la lenteur de la con- 
valescence -pour rélal aigu, l'impossibilité 
d'aiYéler une désorganisation dans l'état chro- 
nique. 

Les sectateurs de Habnemann prétendent 
qu'avec leurmodecuratir, iP il n'est pas d'état 
aigu, quelque violent qu'il soit, qui ne 
doive céder et disparaître en peu d'heures, 
sans convalescence à la suite; a° que parmi 
les maladies chroniques, désespoir de l'art, 
et réputées -incurables , telles qtie spasmes^ 
cataracte, goutté, caries, scrofules, etc., 
les quatre cinquièmt^ sont accessibles à une 
guérison profonde et définitive ; S" qu'enfin 



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• ( 75 ) 
ils n'ont besoin d'aucuoe maladie surajoutée, 
telle que sinapisnies, cautère», Tésicatoires , 
purgatifs, etc. 

Il faut avouer que cette promesse est sédui- 
sanie; mais s'est*eUe réalisée? Oui.... Par- 
courez l'Allemagne, et vous n'en douterez pas 
pins que nous n'en doutons aujourd'hui , nous 
qui fûmes d'abord plus incrédules que vous 
ne pouvez l'être encore. 

L'action des dases inBnitésimales ne s'ex- 
plique pas clairement , réplique-t-on. Mais 
ayz-vous expliqué mieux celle des modifica- 
teurs en usage? Savons-nous en vertu de 
quoi l'un est sédatif, l'autre stimulant, ce- 
lui-ci soporifique, celui-là diurétique, tel autre 
emménagogi^, ceux-là si alagogues, purgatils, 
expectorans , etc. , etc. P Ces actions sont 
plus incompréhensibles pour nous que celle 
d'un ' corps impondérable. Yous-mêaie expli- 
quez tapt bien que mal les effets de l'éleo- 
tricité, du calorique, les influences de l'at- 
mosphère. Mais d'après quel raisonnement 
admettez- vous remploidusoufre,dumercurei 
du quinquina? Yous avez l'ait du pur empi- 
risme. Pourquoi i'upiun) fait-il dormir ? <juia 
est in efi virtut âoitmtwa. Avons-nous une ré- 



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(76) ■ 
ponse plus satisfaisante pour tes autres queS' 
lions de ce geore, 

La science esl-elle plus heureuse dans ses 
explications théoriques sur la naissance, el le 
dévdopfiement de nos maladies? Sans doute 
il est très facile d'établir des genres, des clas- 
ses, d'élever un édifice systématique sur use 
seule idée à priori , idée large servant de 
base commune et unique à une variété sans 
nombre de phénomènes dissemblables. Ces sim- 
plifications séduisantes pour l'intelligence de 
l'étudiant rendent raison de la fortune que fif^t 
les doctrines de Brown, de Rasori, etc.. Maiy 
quelque positive, quelque évidente qu'aient 
paru , comme base générale, l'asthéDie, 'dans 
son temps , aujourd'hui l'imtat^u. anorniale 
des tissus, l'imagination brillante- et souple 
d'un tliéoriciêa parviendrait -elle y en échal- 
faudaot les hypothèses , à coordonner autour 
de la' basé, objet de ses contemplations 
bien chères. Les parties multiples deson sujet 
pour a^eoii^ inébranlablement son. édifice ?- 
Vous bâtissez sur un accident visible, tel que la. 
prostration, l'inflauimatiofi, et pourtant vitos 
ne -«avez pas plus que nous.çe que c'est 
qu'une inflammation . Nous la jugeons par ses. 



n,<j„,.™r,,GoogIe 



(?7) 
quatre raraptéres, tumeur, chaleur, rougeur, 
douleur, mais ta cause Oicculle de ces qaatre 
phénomènes inflammatoires sera long''temps 
pouf nous lin mystère impéuétrable comme 
celai des actes vitaux euxrmémes. Quel- 
qu'un a-t-il vu jamais répioe de Vàubel- 
mont? Est-il d^ailleurs bien exact de nom- 
mer excès de force vitale, exaùation des 
propriétés de là vie, l'état du tissu, vivant o^ - 
précisémeutl'activilé s'éteint? dontladésorga'* 
nisation va s emparer ? Force et altération 
dans un même poiui ne sont-ils pas un non 
sens. ' , , ' . 

« Nul esprit créé, a dit Hàtler, ne saurait 
pénétrer dans l'intimité de la nature. » Les 
jeaxsur ce précepte, les disciples de'H^oe- 
mann ont Craint àe s'égarer dans lé dédale 
des théories et des hypothèses. -Une marche 
hippocratique leur a paru plus rationnelle et 
plus propre à les guider fidèlettieiit dans la 
voie de la Vérité. 

Où l'a^rt de guérir a-t-il été conduit jusqu'ici 
p&r certains théoriciens, pour lesquels il est 
sans contre4it plus facUe de prodiguer le dé- 
dain ou d^exercer leur petichani ^ la critique 
que de voir, d'approrpodir , d'interroger la 
6 



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( 78 ) 
nature , on de mécliter les œuvres. de l'école 
nouvelle. 

L'allopathie, qui attache tant d'Impor- 
tance à de vains raisonnemens sur les~trou- 
bles patliologiques des organes, néglige une 
foule de cirt^oDâtanpes maladives qui éclairent 
puissamment le praticien bomœopatbiste sur 
le choix de ses agens raédicalenrs, et dont 
les principales ' codcernenL les dîfférentey 
lésions de la sensibilité ; ainsi par exemple , 
il arrive a«x plaignans de dire : quelque 
chose tae cherche, me fiuUle dans les côtés; 
j'éprouve comme un coup de marteau j j'ai 
\a sensation d'une scie, d'un feu brûlant, une 
douleur <\\i\[riie tord, qui me pïnce, me te- 
TiaiUe, etc.. Mais que la souffrance aifecle 
un caractère lancinant, sécant , brûlant , pin- 
çant, térébranl , pongilif, déchirant, tiraillant, 
fouVlant,priinant, cuisant, etc., etc., qu'im- 
portent au médecin, allopatbiste ces expres- 
sions de son malade? ces vjcialions de, la 
sensibilité ont écbapjpé à l'attention des pâthp- 
logistes : superflues et insigniSantes à ses 
jeux , pour un traitement jiflopathiqne , 
elles ne le meltenl sur la voie d'ancune mo- 
dification dans l'ensembié des moyens qu'il 



r;,,v?<ii„GODgIe 



(79) _. 
d[estln« , psr avance à la maladie , quand il 
est parvenu p la classer i^owlogiqiiement 
dam sa léie. 

L'hoipceopatbie au contraire tire un grand 
parti de 'Ces diverses anomalies de la nervo- 
sité... Chacune d'elles guide la pensée veiraun 
choix sympathique... Bien plus^ le remède ne 
sera pas le mémej suivant qiïe la doulenron 
racùdeotcaractériatiq^ae du mal sera plus, vio- 
lent le matin ouïe soir, le jour ou la nuit, à 
l'air ôu^ans la chambre, le malade étant levé 
ou couché, que le sujet sera fort ou faible , 
d'an moral enjoué ou triste , etc. ; nulle ' cir- 
constance enfin n'est à déda^ner potir l'bo- 



Les causes sont |)Ourlui une base essentielle 
de traitement, Ainsi, l'étude et le lait ayatitèta- 
bli que l'arnica fait dispârahre tes lésions dont 
les chutes, les contusions, les commotions sotit 
acconipagnées , son emploi est -indîspeniable 
quand la cause est de cette nature. 

Des observations rig<M)re'usesont prouvé, par 
une raison semblable, FutiUlé. de l'acide sul- 
furique aprej l'écrasement des membres , 
celle de l'aconit et de Topium pour les suites 
de la peur, de la stapbysagria pour celles de 



D,g,t,.?(ii„Googre 



( 8o ) 
i ndignation ,' de l'acide phosptiorique pour 
celles d^s loAgs cbagcins , de la malricairti , 
ile la coloquinte poqr les accidens consécttlifs 
a la Colère, dé<la strychnine pour ceux' qui.ré- 
sultent d'un travail iolellecluel prolongé ou dé 
l'abua des bcH4sori&. Le$ excès d'an autre genre 
et en géoéral toute faiblesse proreiiaDt de d^ 
perdilioti de fluides, admettent pour remède 
le e|)ina ou l'acide pbosphorique ( i ). La liaine 
et {'«nuiii concentré «ccasioneût uiie foule 
de maux qu'an médecin ne peut soulager 
s'il ne connatt' parfaiteihenl les eflela par- 
ticuliers de la -fève Saini-Ign^ce qui donne 
au sujet qui eu Tait usage l'apparence d'un 
homme déroré de tristesse.; citons uq seul 
exemple i 

(Joe dame de'So ans, guérie,bâmœopathi» 
quément d'une spléoitç chrouique,' rebellé 
jusque là. à tous les genres de médication , 
éprouve taut-i^coup ud ressentime^it de son 
ancien mal ; -ïa raie est tuméBée , sensible^ 



' j(i) La Dature tient encore en rëierve-plut d'un Mcret de ca 
gei]re,(]ue l'exercice pourra doui d«Toiler. On (m le (lo,uii>ii 
pBi que reucbéljiemeul dn ph^iique et da niorai, objet d'études 
phytùologique» attachante! , entreTnt un j&ur dana le' dmtiaiiie 
thérapeutique. ■ \ ■ 



r:,9,N..<!!>, Google 



(8i) 
chaque moUTemcot y répond itojaJodrrtt^e- 
ment, parfois 1» sotiffrance s'élève. à l'extës... 
D'après le caractère de la douletir aggravée 
par le mouveiuenl , je crus devoir employer 

•la bryone qui ne produisit aucun elfel. Le 
leudemain je retrouvai la malade dansletuém^ 
élat; la'qDestioQriant alors sur les etfnseâ ppd'i 
bables -de sou -indisposition, j'-appriâ.qu'elle- 
avait-eiiun "sujél de contrariété ,- et qu'eïiè 
avïlil'COncenlrésOD ennui j d'après PeUe Indi- 
cation, tirée de Id çanee, je donnai VignoUa 
et la maladie ^'évanouit dans la même {ou.pitée, 

' aprts-uné aggravation légère et de peud'ir»)- 
taris.' ; * ' 

Cbe colite sera diversement traitée siiivarït 
qu'elle éclatera le jour ou la nùîl, iqu'^He 
reconnaîtra pour cause le froid, une indiges- 
tion^ etc. Réglé générale pour la plnpaft des 
maladies aiguës. -" ■ • ' . 

Le médecin lire encore une foule d'indica- 
tions curatives'du tempérament, de l'âge, 
du sexe, dés' habilodes de son malade , de i'é* 
lai. atmosphérique, des maladies- régnantes, 

. etc.Contestera-t-ori la rationalité de ces pré- 
ceptes? ' ' (' ■ ' - ■ ^ ' . : 
■Poup le'çboix dii'rtntède, l'allopathie est 



m, ■,..<!!>, Google 



(8,) 
iopvent embairastfée et elle les multiplie 
daDsl'espoir d'enreDcoDtrer an, dansle nom- 
bne, qui aUeigoe le but. L'inoertitade préside 
toajaurs à s^ efforts, oar.robjetdelaguérisoo, 
sujet decoptroyerses entre les écoles, ae sau- 
rait jamais être précisé, puisque les nécro- 
scopies mêmes éclaircissent rarement ce qui 
se passai.t dans le <:orps humain, avant ou 
aprfes la mort., et pendant le conrs d«la ma- 
ladie. Chaque médecin comprend les choses 
à sa, manière 4 c'est cç qui fait que plus une 
consullàtion de médecins allopafht^tea sera 
nombrense,. plus on recueillera d'opipions 
divergentes sur li. nature du mal «t stiV le 
choix des n^oyens cui-àlifs. Il n'en est point 
ainsi jde^ médecins bomœopalbisles, parce 
que tes règles sur lesqjiels ils se fondent pour 
agir sont invariables, -simples .pI "naturelles. 
Aussi a-l-on dit que rbomOeopatfaie était la 
seule niélhodequi eût eu le pouvoir de mettre 
en tiarmouie des i^édecinsau litdu malade, 
ce qui paraissait phénoménal < aux observa- 
teurs. 

Avec tout aussi peu de- raison on a rt;prpché ' 
à l'homoeopalhie d'âlre' une occasion dVmp'- 
risme', puisque celle méthode sévère , claire , 



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(83) 
jHjsitive, eslau eonlraire le seul contrepoison 
applicable à cette ibiiLe d'bjptïtbcsËsqeeroB 
confond avec la scieDce -et ' qui ne sont pas. 
toujours sans, danger. . Le cliarlataoisnie peut- 
il plus taatemeot tirer parti de l'bomœopaibie 
qo'tl ne l'a fait des mojens mlgaires? avec 
elle nul remède "secret , et il est infiniment 
plus difficile de se servir- bien ou mal, d'une 
seule substance pure,: que .d'an mélange 
indigeste de poisons pharmaceutiques. Quel 
autre qu'un praticien consommé pourra dé- 
couvrir l'origioe cachée d'on épouvantable 
appareil-de symptômes , diagnostic H'oji dé- 
pend le succès, de la cure? le basard seraij-il 
deux fois coàiplaisant povr Tempirique? non, 
l'habileté seule saura tiiAr avantage de nos 
atomes, opm^me Hercule seul savait manier 
sa massue. 

0n a objecte, aux homœopathîstês qu'ils né 
pouvaient déduire aucune conclusion de l'effet 
d'une substance ^t^r l'organi^rae sain a celui 
qu'ellt;. fera Sur ru.rga[iisme malade ; car l'un 
et l'autre .^. dit-on , réagissent d'une nianière 
différente.; - . \ 

Il j a bien quelque chose de réel dans cette 
objection, quoiqu'en thèse générale ellene soit 



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(84) 

pae fondée :. nous avons va , chez un petit 
nombre de malades très îmtables , certaios 
luédicatneas développer (le fait est rare) 
des apparitions inaltendaes «l que' nous n'a- 
voBS point retrouvées inscrites dans la ma- 
tiëre médicale pure; ce qui nous a porté à 
conclure que l'état maladif poavait, suivaat 
les sujets,' apporter' quelquefois, naè mo- 
dification très légère dans l'actioa raédica- 
trioê... L'expérieuce et une scrupuleuse étude 
clinique •. rouroironi peu à peu la mesura - 
de ces anomalies , dont le mécanisme nons 
sera peut-être un jouF expliqué... ainsi l'on a 
déjà constaté que la beUadone et le mercwù 
sont d'infidèles spé^ques contre une gfastrite- 
tranche, quoique dfcs les essais sur l'homme 
sain ces- deux substances offrent de beaux 
Kjmptômes gastriques, 

N'oubtions. pas qu'il y a des spécifiques 
de s^niptôutes^ mais non des spécifiques de 
matadies; qu'une gastrite, par'exêmple', peut 
offrir ielte variété dans laquelle nn médica- 
ment convienne mieux qu'un autre. Nous ne 
nions point cependant qu'il ne faille janiais 
tenir compte "des sect*ls révélés par les résul- 
tats ihérapeuttques , seulenieni . nous l'a- 



D,g,t,.?(ii„ Google 



(85) 
VOUS dit, ce sont des cas rares et ékceptiott- 
iiels, qui nlnfirment en rieri la vérilé ïJe la loi 
fondamentale. 

En effet, qaoiqne les fooctions soient pins 
i>u moios perverties chez l'homnie ihalade , 
il est démontré' positiveluent qae le trouble 
foDClionhel ne change guère la faculté réa- 
gissante des organes. L'émélîquë , les pur- 
gatifs agissciAt sur te souffrant de la même ma- 
nière que SUT l'homme sain..... Le piyalisrnfe^ 
suite .d'usage du mercure, Se inanifeste sur 
l'un et sur l'autre de la même mamêre ; le 
plomb , -dans les deux circonstances, produit 
la constipation ; l'upium , les canttiarides, la 
jusquiarnse, la belladone ,' ne se comportent 
paisdiffëremment dans l'état de santé que dans 
celui de maladie, etc., etc. 

Mais , dit-on , ciraque individu naissant 0ec 
une disposition- particulière à certains' maux ,- 
les symptômes que peut éveiller l'essai d'une 
sobsiance pourront variei- suivant les sujets ! 
d'aceOrd ; aussi doit-on éladîer les médica- 
mens sur plusieurs personnes saines ;■ et faire 
abstraction des individualités. 

CértainsadversairesonlcherchéàilémoBlrer ' 
par te calcul, que la 'masse d'eau nécessaire 



n,<j„,.™r,,GoogIe 



(86) 
pour exccater la -raréfoclion d'une goulleque 
HahoeDiaoïîTioiame décîllioniëniej farinerait 
un glolje a jiant pour diamètre pltif>ieurs biltioos 
de milles géographiqiies, et surpassant par 
con5é(i,uent en immeosité i'éleodue de oolre 
fijsttme ptaDétaire.. Il n*j à rieo à répondre à 
cette objectîoD , si ce n'est qu'il suffit à Hahne- 
Diann , de quatre onces ou d'environ -3,ooo 
gouttes d'alcûbol , pour former'Sa âo* raré- 
faction , qu'il nomme des décitlloDièmes. 

D'aotreis ont dit f^u'ils concevaient bien com- 
ment on arrivait aux raréfactions, mais que 
si de pareils atomes pouvaient avoir la moindre 
influence sur l' homme , les grandes dc»es se- 
raient mortelles, et que l'aîr d'une grande 
ville., constamment chargé de miasnies , nous 
rendrait incessamment (naïades. . 

l|purréponclreàlapreniièreobjection,iiraut 
se r-appeler que par la méthode des contraires ; 
de fortes .dose^ sont indispensables pour cdntre- 
balancer ou neutraliser ia rtolenoe des désor- 
dres , mais que les mêmes grandes doses , choi- 
sies d'apçès la similitude de leur action sur 
l'homme avec tes accidens d'une maladie , 
pourraient élever celle ci jusqulà la rendre 
, elfectivemeatmortelle.G'est précisément celte 



r:,9,t,.?(ib,G00gIe I 



(87) 
raison , rendue évidente par les^ premières ap* 
plications homœopatbiques de Hahneaiann . 
qui l'avait condait et qui noua contraint à 
notre - tour à porter l'agent cUraliE à lutter- 
nuation juste et suffisante. 

Pour ce qui regarde Jadeiixiènje assertion: 
faisons réflexion que l'atmosphère des grandes 
villes est peuplé d'une multitude d'émana- 
tions bélérogènes, provenant decprps de toute 
nature.^ formant des- combinaisons sans 
nombre et se neulralisaol sans cesse les uneS 
par les autres. A cet état de division etdemé-, 
lange elles infectent l'air, le rendent un ali- 
ment respiratoire mal sain et contrarient- en 
partie les actions bomceopalbiques , que 
nous voyons se déployer mieux au grand 
air et aux champs qtie dans les lieux encom- 
brés. Leur influence , en temps ucdinaire, se 
borne là. 11 n'en est pas de même, si daus le 
nombre des émanations, il s'en trouve une 
qui prédomine sur les autres ; alors, malgré 
le mélange,. elle peut encore exercer unein- 
flueoee et engendrer , soit des épidémies j, soit 
des maux individuels , . ceux que l'on, con- 
tracte, par exemple, aprës ayoïr stationné à 
proximité d'une exhalaison nuisible , ou dans. 



D,g,t,.?(ii„ Google 



(88) 
un jardin, quand un parfum y règne presque 
exclnsî Veulent (coDimé au temps de la flo- 
raison deslîlas, dessyringas, acacias, etc.)... 
lie miasme prédominant dans l'atmosphère 

■ pourrait, par un motif inverse, être utile à 
l'individu souffrant en cas d'une homœopa- 
thicilé fortuite. , 

Comment , s'écrie-t-on encore, subvenir à 
toutes les indications d'une maladie avec la 
fraction unique d'une substancesimple? Nous 
répondroDS qu'il est rare qu^ou puisse guérir 
avec un seiit remède, mais que la nature en 
Cela , comme en tonte chose , procède de la 
simplicité des causes à lamultipficité des effets, 
et qu'un seul agent pur engendrant une sériC' 
de modiBcations organiques multiples, ilesi 

. propi'e à- anéantir d'abord la majeure partie 
de -celles qui existent anormalement, et 
même, ce que chaque médecin s'occupant 
d'homœopathie ne tardera' pas à remar- 
quer , c'est que l'affection éhrooique qui 
fournit le plus grand nombre de symptômes 
est le plus facile à attaquer, parce que l'Im- 
mœûpatUicité du médicaniént qui y répond 
se dessine plus clairement dans leur "énuoïe- 
. ration plus détaillée. ' " 



nigitir^db, Google 



, Il esl des allopalltes vai'icus par révidence 
decerlajne$cure&, qui se plaisent à en mettre 
révéneinent sur le compte de quelques cir- 
constances étraugèpes à la médication, par 
exemple: l'influenpe de rîmaginalioudu ma- 
lade, l&cbangepient de régime, letemps, etc. 
Vain refuge! car l'imagination d'un malade 
était la même quand il prfnait une mijcture al- 
lopalhiqne et n'a pu changer en un jour : 
que pourrait l'imagination chez tes enfaus? 
Or, c'est sur eujf que rdolent les pluj bril- 
lantes pbservalions ^es horoœopathistes ; les 
menées atomes agissent avec un égal succès 
xhez Jes apin^anx: (qu'on n'accuaéra pas des 
séductions de l'esprit), etTarJ vélérinairé , à 
l'exemple delà médecine humaine, commence 
à opérer sa révolution thérapeutique t d'ail- 
leurs tout médecin qui .tente ses premiers es- 
sais-, se g^rde bien d'en avertir sop malade , 
puisque (ut-titéme n'j croi^ point encore. 

On-allègueletemps! s'il guérissait au grédes 
homoeopathistés, la nature aurait trop de com- 
plaisance pour eux, elle qui noua mpntre ordi- 
nairement si peu d'éga.rd^, et donttant.de foi.-^ 
nous attendous en vajo le secours. Cette bonne 
nature a-l-elle jamais abréfifé le cours déter- 



' r:,9,t,.?(ib,G00gIe 



(90) 
mine lile certaines maladies à forme spédale^ 
comme la inéiliode en question préleod le 
faire.? 

A4ors, dira-t-on, c'est le régime qoi guérit! 
Nous devons avouer que la soustraction des 
subsUnces stimuLaotes ou capables d'exercer 
une action médicinale sur l'homme j doit cer- 
■ tainement ramener l'équilibre dans les cas où 
la "santé n'est-dérangée qaé pa,r l'abus jour- 
nalier de ces substances telles que : le café, 
le tbéi etc.; lé régime seul guérira daps ces 
cas là, et le doeteûc Bigel cltC' plusieurs 
faits à l'appui de cette idée. Nous avoue- 
rons Çficore que le régime est très souvent aô 
graud auxiliaire et quelquefois le priucipat 
cbemin d'une guérison ; mais l'expérience a 
prouvé' aussi et confirme tous les jours que 
cette ressource est loin de suffire. 

Chaque jour nous vdjrons des malades dont 
le cbangëment de régime exaspère les maux 
et qui ne peuvent supporter. celui de l'homœo- 
palbiequ'après avoir usé préalablement du mé- 
ilicameal convenable.. Bien dès gens, avant de 
venir à nous, ont déjà tenté tous les moyens 
et cherché à aniéliorer leur état en se sou- 
mettant d'eux-mêmes au régime bomœopa- 



nigitir^db, Google 



( 9' ) 
thique sans y adjoindre le secours des médioa- 
inens; erreur dont ils sont bientôt reTeniis. 
Quel est le docteur qui . n'a pas tenté de 
varier ralimentation de ses malades? con- 
seillé , par exemple, aux anémiques une 
nourriture plus substantielle? les malades eux 
mêmes ne sont-ils pas portés sans oesse à ex- 
céder les prescriptions diététiques? Traitons" 
enfin une gastrite aiguë , subaiguë Ou cbra- 
nique, avec des tranches de bœuf et du con- 
sommé ; nous verrons Si nous en recueillerons 
les bienfaits dus à l'homceopathie , en pa- 
reils maux, avec ses atomes de btyooe, de noix 
Tomiqueou de pulsatitle. 

Si l'homceopathie était une vérité, objecle- 
t'Oii encore, aurait-elle mis tant d'années à se 
&ire connaître, & se propager? On oublie , en 
tenant ce discours , que la marche de l'esprit 
humain lut toujours lenile de sa nature et 
qu'une découverte, quelque vraie et quelque 
utilequ'elle poisse être, doit rencontrer néces- 
sairement d'innombrables obstacles. 

Ëtd'abord il n'en est point à Vienne et à Ber- 
lin comme à Paris oit chacun peut librement 
publier ses opinions et se donner carrière en 
fait de polémique. ËnPmsse et en- Autriche 



D,g,t,.?(ll„ Google 



( 90 
la régence inédicale(Re^erung ) exerce avec 
plein pouvoir son arbitraire sur le peuple 
guérisseur, dont la direction' lui est confiée; 
elle se compose de trois ou quatre membres 
qui , on le pense bien , sont cboisis parmi les 
Nestor; de la faculté,' et-la presse, soumise^ 
leur censure , ue peut mettre au jour que ce 
qui concorda avec leurs opinious surannées. 
C'était dans le plus gvand secret qu'à Vienne 
on se commiibit^uait les succte homosopa- 
tbiqM^s ; mais tant est grande la force de la 
Térité , il s'est enfin établi deâ hôpitaux bo- 
mceopatbiques spéciaux d^ns le seiq de cette 
Capitale. Tel est le plus grand obstacle de ceux 
qui ont retardé l'ext^sion de la scieuce nou- 
velle en Autriche et en Rrusse.- Aussi le vieil' 
lard de Gœthen avail'il tes yeux sot notre 
terre de liberté et de progrès : L*homaeQpatliie 
est sauvée, disait-il^si elle touche le sol de la 
Fra&ce. , .- 

C'est par l'approbation et le concours des 
niédecinsen faveur, qu'une nouveauté médicale 
pourrait tout-à-coup se répandre^ et malheu- 
reusement on n'arrive à la célébrité dans cette 
carrière , qu'à un âge peu favorable à de nou- 
velles et pénibles étudeSi N!espérons pas voir 



nigitir^db, Google 



(1)3) 
les iiunilii)lé& médicales descendre de leur trùiie 
pour se mettre an rang d'apprentis homieopa- 
ibes. Quelque bonne loi qu'on. puisse leur sup- 
poser, nous aurons contre nous cet ordre de pra- 
ticiens révérés qu'une clientelle brillante met 
dans le casd'êlre peu désireux d'innovalions ; 
Des professeurs se tionveront-iU disposés 
à taire abnégation des principes de toute leur 
vie, à déclarer qu'il existe une science ignorée 
d'eux jusqu'alors , une sciônce immense,' sans 
bornes, à résultats incalculables? Les corps sa- 
vans semblent institués pour être les protec- 
teurs nés de tout progrès utile j pourquoi l'ant- 
il , hélas 1 que rbistûire inexorable nous 
ait conservé des détail»' si affligeans au sujt^t 
de la vaccine et de mainte autre découverte? 
pourquoi faul-il qu'elle nous expose l'iuocu- 
latiofl proscrite à Paris , par arrêts du parle- 
ment, tandis que le célèbre Tronchin ne suf- 
fisait pas à inoculer la population Genevoise ? 
Dans UD tempe plus moderne on seTappelte- 
avec quelle rumeur la médecine Lyonnaise 
accueillit le docteur Vitet quand , un des pre- 
miers, il s'avisa de porter atteinte aux préroga- 
tives de la lancette, en faisant servir aux 
7 



Digitir^di,, Google 



(94) 

dégorgeineos sanguins le reptile aquatique 
DoiDmé saDgsue (i). 

Que! compte a-t-oo tenu plus récemment au 
docteur Cbervin du sacrifice de son patrimoine 
et des plus belles années de sa vie , prodigués 
si gratuitement pour éclairer la question im- 
portante de la contagion ? -i 

Parmi les hommes -en réputation à Paris, 
nous en savons deux ou trois (U s'en trouve 
sans doute davantage) hommes doués de frao- 
chise et de loyauté , hommes au-dessus, des 
minces préjugés , qui , sans se hâter de pro- 
uoucer anathéme , ajouroeot leur jugement 



(i) L'on ■ prédit que lei TtUe* où «i troaraienl da làcukéi dt 
médecoie aéraient le> dernièrei où lei T^ritës de l'homœopaihie 
ponmlent te faire joiir. A ce propos, le docteur Grieuelich ta~ 
conle qn'k Vienne un jeune candidat nommé Lobel m rendit chei 
le profeiieur StifTpenr lui oftrir la ihèie, et te fit annoncer. Le 
valet de cliambre eiirojÛB le nom que le pTofeuenr prit paar 
eelnide l'homœopaclie Love. Le d^ Stifriieprecipitahori.de tOD 
ratànet , dans nne eiceisiTe agilatlon et criant d'une yoii ton- 
nanteau candidat stnp^ll: Allez, tortei, point d'bomœiqw 
the ici. 

A Cracoyie le docteor Hnlan; , médecin de régiment, se mit 
à doi la Faculté enliire ponrs'ttre permis de ^érir nn cmnie 
polonais alïAié depuis vingt ans , et qui anût paué par toDiei 
Im autre* méthode» à peu près sain et sauf, maii toujours fbu. 



D,g,t,.?(ii„ Google 



(95) 
et invitent ]a jeunesse , moins accablée 
qu'eux d'occupations , à vérifier les faits aonon- 
eés. Plaignons, sans les accuser, ceux qui ont 
marqué leur passage ', enrichi la science et 
agrandi son domaine , s'ils ne savent pas unir 
une dernière cou ron ne à celles qu'ils méritèrent 
tant de fois; mais respectons en ejix^ le som- 
meil du bon Homère.. 

D'autres molifs rendront raison de l'indilTé- 
rence et même de l'opposition que montrent de 
plus jeunes savans, dont la tête molle encore se- 
rait moins rebelle ans empreintes d'un surcroît 
de connaissances : l'amour - propre d'abord 
n'est-il pas la principale source'des dédains ré- 
servés à toutes les nouveautés P Cette passion 
non moins familière au médecin qu'au poète, 
mise en jeu par chaque succès public , doit 
susciter des ennemis à l'homœopalhie dans les 
deux extrêmes des corps éclairés. Chez les uns, 
parce que leur glorieuse position se trouve me- 

, nacée , cbez les autres, par leur impuissance 
actuelle de posséder les nouvelles ressoiirces. 
Parlerons - nous de la paresse j divinité chère 
à Figaro et à tant d'autres, et dont nous- 
même savonâ apprécier les délices? Meurtrir son 

. intetlecle avec de l'allemand 1 se faire -éco- 



n,,i-.r«::>yGoogIe 



(96) 
lier barbu t passe eorote si le public croyait à 
la puissaDCe de noirerobe; mais désabusé qu'il 
en est , il a pris son parti de mourir avec toutes 
1^ méthodes. On a un médecin comme ami, 
pour se consoler. Que servirait la poursuite 
de mojens plus positifs soit , mais si épi- 
neux à chercher , tandis qu'il y a dans la 
pratique ordinaire un si comihode laisser^ 
otfer? Qu'exige tant TapplicatioD de notre art ? 
Des sangsues, de Teau , la diète et le repos; i 
nous, un air gra%'e et la prudence de ne jamais 
dire : cène sera rien; voilà pour l'état aigu, 
four le chronique, l'air attentif j empresse . 
consolant, cert&ine aisanee mnémonique pour 
varier les palliatifs, quelques cautères, Tésicatoi- 
res, frictions, inoxas, eaux tnioérales, l'aventu- 
reux essai de chaque nouveau produitchimique 
préconisé i [Son tour par les feuilles médicales 
et à son tour abandonné ; )oigaez à cela le 
talent de plaire â son malade, de caresser 
ses opinions et ses idées , de narrer agréable- 
ment, puis quand vient la plaiote,le motbannal 
et iusignificatif : c'est- nerveux...; danspeuvous 
n'^ penierèzplus...distraisez*TOUS, etc. .voilà 
les moyens à succès... c'est te siècle du 
docteur fashionnable , et L'on a raison, car 



D,g,t,.?(ii„ Google 



(97) 
ilest iucontestabiement plus doux dé selbrmer 
desclieosà table, au salon oiidaus une logea 
l'Opéra que dé bouquiDer, de pâlir sur des lU 
vres, comn|iesi,en DOUsToarrantle bonnet, la 
faculté ne opusarait pas appris tout ce qu'on 
doit savoir. 

La frivolité commune en France, l'est sur^ 
tout à Paris: c'est avec delà grâce eldelaiégè- 
reté qne les plus graves questioDSs'agitent dans 
le monde, datis la politique, dans les sciences. 
Or , certes, les esprits superficiels ont carrière 
pours'égayer de rbooioeopathieilesujet, est fer- 
tile, les épigrauunes faciles, le fait de la ques- 
tion esl-il si sérieux? (i). 

Il est des obstaciesd'ua autre genre. Ou verra 
de jeunes savans disposés a examiner la ques- 
tion , mais un bien petit nombre se persua- 
dera que l'homœopatfaie exige une étude 
nouvelle, spéciale, approfondie. Les uns. 
. malbeùreax dès leur début, parce que lear 
main ioexpérinuentce aura frappé à faux , s'en 



(i)OadeiaaDd«llB)ijoar à un criU^ae, aoieat d'articlei con- 
tre rha»OBd^l}ùe ; nro-Toui emniirf de pii> ceue qneitioB ? 
Moi, rëpoDditlejouraaliiie.qucjedoiuiïaioaiempiàuDe cboM 
■i ridicule !!! En effet, à lira lor atiicle , il élâl a»é di' joEfif d«. 
u>» ignoraaee à cet ëgard. 



D,g,t,.?(ii„ Google 



( 9» ) 
tiendront saas appel â un premier jugement. 
Les autres, dont rinlellig«rice ptus flexible 
aura mieux saisi les principes de la méthode , 
plus aisément secoué le joug dominateur' 
des idées préconçues et burinées dans leur 
tête de manière à en repousser de nouvelles, 
ceux - là , dis - je , enhardis , éblouis par 
leurs succès , voudront marcher avec trop 
de vélocité dans une route peu familière : 
il leur échappera de promettre à leurs consul- 
lans pins qu'ils ne pourront tenir , et four- 
niront par là des armes à nos adversaires. 

Xa malveillance a des ^eux d'Ârgns, et les 
allopathes^ qui se pardonnent tout à eux- 
mêmes , ne passent aucun mécoinple à leurs 
chers confrères les homœopalhesj ils trouvent 
cent voix pour crier qu'on n'a pas pw guérit 
t^ souffrant, qu'eux-mêmes (ils le savent bien) 
ont coutume de laisser mourir; le public , de 
son côté, exige des miracles continuels de 
l'homœopathie. 11 prend, avec une confiance 
d'habitude, la verrée de noir et amer breuvage 
que buvaient dos pères, tandis qu'il' s'efiraie 
d'une innocente pincée de sucre très^peu im- 
prégnée de vertu médicatrice. 

Pourquoi, dira-t-on enfin, ne pas faire des 



D,g,t,.?(ii„ Google 



C99) 
expériences publiques dans les hôpitaux? 
Parce qu'à moins d'établisseinens spéciale- 
ment organisés pour ce ^enre de médication, 
son efficacité serait à chaque instant compro- 
mise de mille manières. Dans quelques hôpi- 
taux de province on a pu faire concorder l'ali- 
mentation des maladies et la composition de 
leut? tisanes av«c les précautions réclamées 
par la méthode ; il n'en est pas de même dans 
nos grands hospices dont te traib ordinaire ne 
peut être changé, ni modifié pour quelques 
individus soumis aux épreuves. De plus il Fau- 
drait mettre le plus grand soiu à masquer la 
forme expérimentale aux yeux du public, ce- 
lui qui peuple ces asiles de dqyleur n'étant 
pas le moins susceptible dans ses exigences 
et son aoKiur- propre. Faut -il indiquer une 
autre source de difficultés? (la chose est pé- 
nible à croire pour qui a conservé quelque 
estime de l'homme) à Vienne, à Naples et 
autres lieux où des expériences furent faites 
publiquement, tout fut d'abord zàle, empres- 
sement, complaisance de la part des méde- 
cins d'hôpitaux et des servans ; ils ne .demao- 
daient qu'à s'éclairer, et sans doute leur vanité 
leur promettait tout bas la bonne^ubaine de 



nigitir^db, Google 



( -l"» ) 

rire aux dépens des novateurs; mais^dès qu'ils 
s'aperçurent de quelques succès qu'ils n'a- 
vaient pas cru possibles, la mahcitlance mit 
aussitôt en jeu taules ses ressource^; on pré- 
tend qu'on surprit des gens apostés au passage 
des nlarmiles de I>onitlon,pour j jeter des dro- 
gues à la dérobée ; ce fut un scandale diaboli- 
que^ et l'on ne put poursuivre les épreuves. 

Pour compléter cet exposé des principes de 
lantétbode réformée , disons un mot des rè- 
jj'les principales qui doivent guider le méde- 
cin liomœopathiste au lit du mdade- 

Nous avons dit plus haut que dans le 
clioix d'un remède , on ne devait pas seule- 
ment avoir acard au tableau sjinplômaliqne, 
mais encore à l'âge , au sexe, au lempérameot, 
à l'état mpral, aux habitudes de son malade 
ainsi qu'a la température rgénante et aux ïd- 
fluences épidémiques du moment. On voit que 
l'exacte appréciation d'un remède pur qui ré- 
ponde à ces diverses indications, n''est pas chose 
facile et réclame une grande habitude de pro- 
céder ainsi' 

. Plus il j anra de rapports entre les effets pa- 
thogén éthiques d'une substance sur l'homme 
sain et r#semble des sjmpl6mes résultant 



nigitir^db, Google 



( loi ) 
dos causes éouméréw et représentant la forme 
de lamaladie, et plusonaura de chances pour 
une gnérisoD pi-onipte el radicale. 

RappeloDsque le médecin boroœopatbîste ac> 
cordera, plus d'atteutioti aux symptôines carac- 
téristiques qu'aux syDiptômes généraux du 
désordre :. les exacerbations prennent -elles 
naissaoce , ou sont-elLes augmentées par 
suite du mouvement corporel? se manifes- 
tent^elles au contraire dans l'immobilité abso- 
lue^ et le changement de place les soulage-t-il? 

Les apparitions morbides se pronooceot- 
elles plus fortement le matin , le soir, pendant 
le jour ou durant la ouil? Avec un malaise lé- 
ger en lui-même, tel que nausée, inappétence, 
vertige, corjza, rhume , remarque -t- on une 
faiblesse insolite, disproportionnée?etc. 

C'est par l'examen attentif d'un grand nom- 
bre de circonstances de ce genre, que le mé- 
decin liomœopatbiste parvient k découvrir la 
substance qui sera le plus en connexion avec 
la maladie elle-même. 

Quelque fidèle que soit l'bomœopatbicité 
d'uD médicament, sou usage ne pourra pas lou- 
joursétre calculé de manière à embrasser toutes 
les phases ^'nn état maladif, qui, pMirétre 



D,g,t,.?(ii„ Google 



( lOÎ ) 

rendu nonnalj exigera souvent l'emploi suc» 
cessif de plusieurs doses d'un même ou de* 
différens agens médicinaux. Nous répéloos 
qu'il faut sur-tout avoir égard aux symptômes 
caractéristiques et ne tenir aucun compte de 
ceux qui, généraux et secondaires, se repro- 
duisent presque dans chaque cas , tels que 
céphalalgie , pesanteur , faiblesse , nutiaise , in- 
somnie y anorrexie, etc. Il en est de même dans 
le choix du miasme médicateur ; les sjmplôiees 
primitifs qu'il a la propriété d'exciter parais- 
sant les seuls propres dans son application 
bomceopathique à provoquer une réaction sa- 
lutaire. Ainsi, l'un des tSets priniittCs de la- 
noix vomique est de produire ta constipation , 
un de ses elFets secondaires est de déterminer 
une diarrhée; elle né guérira que la constipa- 
tion et ne sera pas homœopathique à la diar- 
rhée. Même observation pour toutes les sub- 
stances qui composent la matière médicale 
pure. 

11 ne suffit pas d'avoir choisi le vrai remtde ; 
dans quelle proportion faut-il l'administrer? la 
dose ne doit pas excéder la quantité justement 
nécessaire pour rappeler dans les parties at- 
teintes la force de réaction qui y est abolie , et 



nigitir^db, Google 



( io5 ) 
de cette manière aider la nature h rétablir 
l'harmonie des fonctions. 

Quelque atténuée que soit la dose on ne 
pourra guère éviter que dans les premières 
heures l'intensité du mal ne s'accroisse un peu. 
Cette aggravation sera plus sensible chez les 
personnes impressionnables , moindrechez les 
bommes forts et robustes ^ elle sera inappré- 
ciable si la dose a été parfaiteinent adaptée à 
l'état des forces do sujet , à sa constitution 
et i la véhémence du mal. Dans ce dernier 
cas, le remède ne manifeste son action que par 
un grand calme , la moiteur et un sommeil sa- 
lutaire après lequel le malade se réveille sou- 
vent guéri et presque "toujours soulagé. Une 
telle sédation ou une exacerba lion légère donne 
au médecin l'assurance d'avoir fait un bon 
choix. On ne saurait trop se tenir en garde 
contre la tentation si faciled'augmenter, même 
de très peu, la quantité d'un modificateur si 
exigu qu'on en craint naturellement la nullité; 
car^ loin de l'accélérer, on relarderait la gué- 
rison. 

Celte prudence est sur -tout recommandée 
dans tes affections à types intermittens où, 
pour peu que le remède excède ce qui suffit 



n,9,N..<!!>, Google 



( '04 ) 

pour agir, il arrive qu'après avoir écarté le» 
accidens naturels et procuré un mieux de deux, 
ou trois jours, il réveille, par la coulinuilé 
de son action , des phénomèoes semblables à 
ceux qu'il avait d'abord assoupis ; d'où la chance 
d'une rechute. Si le médicameot a produit du 
mieux , il est ratiounet d'attendre pour en ad- 
ministrer un autre, que le premier ait épuisé 
sa force agissante : mais dans le cas où i E ; aurai t 
eu erreur dans l'élection du remède, ce qui se 
i^udra évident après quelques heures, on doit, 
sans plus tarder, recourir à un antre. 

Eu égard aux degrés variés de sensibilité 
inhérente aux individus divers, il est très diffi- 
cile de déterminer au juste quelle dilution 
du médicament spécial doit être administrée 
pour atteindre le butsaos le dépasser , le point 
auquel l'elfet salutaire est accompli et au-delà 
' duquel il y aurait maladie du' remède , effet 
pernicieux. 

En général, l'atténuation doit être élevée ea 
raison directe de rirrîtabilité du sujet et de 
l'intensité des sjmplômes, et nous avons ob- 
servé déjà que plus la maladie est aiguë, plus l'a- 
gent est prompteinentuti lise, £2 «'/ce fe/«<T-Jus^ 
qu'à ce que la substance ingérée soit arrivé au 



h, Google 



( io5 ) 
foyer <lu mal, il ii'j a aucun pLéDOmène de 
réaction , et le véritable développetoent imma- 
tériel de la uiédicatioo bomœopatbtque ne 
comoieuce qu'alors. Si l'alôme médical , mal 
cboisi ^ De remoate pas à la soarce «le» 
atMàdenls avjec lesqiAtlii il doit être eu coo- 
oexion sympathique ,. pour ainsi 'dire,>alor9 
il reste ioactif , parce qu'il touche des organes 
sains dont la sensibilité est bien rarement assez 
exaltée pour percevoir l'impression d'une telle 
dose; cependant si cette dernière a été donnée 
forte , ou si l'individa malade est très impres- 
siooable, il se développe une partie des et- 
Cets patbogénétiques que la substance a cou- 
tume de provoquer sur l'homme «ain , d'où 
résultent des symptômes hétécogèDes; nouvel 
orage qui complique le tumulte de l'orga- 
nisme et défigure la maladie sans en diminuer 
la violence. Au milieu de cette coofusion, 
l'observateur irréfléchi se trouve complète- 
ment déroulé ; la scène d'accidens insolites 
qu'il a sous les yeux n'a plus de nom et ne sau* 
tait appartenir à aucun cadre nosologique. 

Cest ce qui peut arriver & tout novice ho- 
mœopathiste , soit par ni> choix mal calculé du 
moyen , soit en prêtant trop d'attention aux 



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( io6) 
apparition» accessoires et trop peu à celles qui 
spécifient la maladie, soit encore par de trop 
fortes doses chez des tempéramens délicats. 

Lors même que le remède a été bien choisi, 
son résultat est quelquefois négatif; cela peut 
provenir de ce qae la s0*sibilité des tissus est 
émonssée^ usée , endormie alors de pe- 
tites prises répétées d'opium 9 , ou de musc 3, 
réveillent le système de sa torpeur , après quoi' 
l'ou aperçoit des indices d'action mëdicatrice 
JDsque-là nais. €hez certains sujets peu im- 
pressiooables , on est obligé d'administrer les 
doses moins subtilisées, tandis que chez cer^ 
tains autres la nervosité est si vive, si aigui- 
sée , qu'ils sont fatigués par les plus faibles at- 
ténuations, et qu'il suffit de faire flairer le 
remède au malade pour en obtenir le bien 
qu'on s'en promet (1). 



(1) Cet précepte) sont délaiUé* data no nticle de la Biblio- 
thifjuE hoRKxopaOsiijue , de Genève ( première année , page 
345 ) ! mail peiiu*trc iniofliiainment ponr tontes lei éilgencef 
de la praLlque. L'eipfriencG , ce grand matlre, non* découvre 
cbaqae jour du nonveaa ; et toute tcience; >i l'on excepte Ie> 
matlidiaatiqQei ne >e fcitific qu'à l'aide dn litoanemenl et d'ane 
obwrration rigoorenie. De jeunes tomoeopathiilei «'étonnent, 
comme noos - même iiDslqaefoU , de voir dii»i on cnS iVitiué 



D,g,t,.?(ii„ Google 



Elle est étroitement liée au succès du trai- 
lement, et aucune cure homœopâthique n'est 

^faoner complëlement le mima remËde qui leur avait admira- 
blemeDt téatti daoi le caa HbMlameat temblable. La cauie de 
ces Tariations dani^ l'aptiiade des diffdreiitei conititutioi» à re- 
cevoir lei iofloencei m^dicamenteniei eo féairul, eit aa mjitïre 
de la nature ; maii , ai l'oa pent compter lar l'exacte préparation 
dei mëdicament qu'on emploie, et >i l'on eit certmn de ne point 
a'ilre trontpé dani le choix de la lablBoce . on ne court ancnn 
ritqns à ea force^^ doie. Il qoui arrive (lur-toal dani'le* chutei, 
let entoriei , le rhpoatiiiae aign, etc., ob la TÏoleiice du don- 
leari occaiione une large dëpenie de lemibilîtë ] quand la 
maladie a déjà nurcté un certain tempi ou qne l'allopattie j a 
pauë escoTide de potioni et de wngues , il nont arrive diioni 
noDi, quand on remlde noa* parait convenableneni du^, 
d'en répéter le* doie* par goattea tutiirei, toulei le* quatre i 
six beurei , JDiqn'aa déploiement d'une crise hom<Bopalhique 
que nout nous réienons de calmer k notre grc il elle ett trop 
lotte, mail qui ajaure une guitiioa plai franche. 



D,g,t,.?(ii„ Google 



( '"») 

praticable, si l'on ne fait observer au malade 
une dièle particulière, qui consiste à ce qu'il 
cvite, avec soin, tonte substance douée de 
qualités médicinales susceptibles de troubler 
oud'abolir l'inffeclion artificielle, riend'aroiùa- 
tisé; rien de trop sapide ne doit altérer la pu- 
reté , en d'autre termes, l'isotemeot du re- 
mède; ainsi les acides augmenteraient l'actioa 
de certains agens , tels que la belladone , 
l'aconit ; ils annuleraient au contraire la 
vertu de certains autres. Les notions les plus 
claires à cet égard sont consignées dans les 
ouvrages consacrés à cette matière. 

Les boissons ne sont miles que pour étan- 
cher la soif ; on peut en faire usage , pourvu 
qu'elles n'aient rien de médicinal. 

L'utilité du régînoe en général lui toujours 
admise; mais on a mal interprété celui que 
prescrit l'homceopaibie, dans le^t, non pas 
de faire jeûner lamaladieavecceluiquilaporte^ 
mais de sustenter les forces de celui-ci, sans 
rien introduire en lui qui, puisse atténuer, 
détruire, augmenter ou contrarier l'eâTetdela 
substance administrée. Les explicateurs, qui 
mettent tout surle compte du régime^ ne font 
pas attention que, loin de le rendre rigoureux 



nigitir^db, Google 



(»09.) 
et débilitftDt, le j^éJeçin iiomoDojMtbUte pres- 
crit tout ceqtà est subslanliei et nutritif.'toiit 
ce qui peut ùpiîiét la faim Rt élvcher la soif; 
la fiabde la pliri sùôculente et fa moins jeune , 
Celle (Jai vit au gtand air de préférence à ceîfe 
de DOS basses-cours, le pain bis aa lieu d'e 
Celte pâte spon^euse de bos pains dé luxe, 
etc. I^ diète 'homœopalhique se réduit 'à 
UD précepte fort clair j savoir î h'eraploj-es 
comme aHment aucune substance médicinale.- 
De là résulte la défense de lou'lè espèce d'é- 
piceries > soit indigènes , soit exotiques, 
d'bèrhes aromatiques/Oignoiis, poireaux, c^ 
leri, cerfeui^, etc., d'infusions quelconques, 
depuis lé. thé de laCbioe jusqu'il la -fleur de 
sureau et au café , toutes substances dont la 
tbérapeutiqûe retire' de plus grands efiels 
qu'on ne le soupçonne coniniuaéDlent.L) sévé- 
rité durégime n'a d'autre durée que q^le duré- 
mèdequ'oQ a pris. It varie dans Toccasion, et 
le médecàu horaceopalbiste faitdes ordonnances 
exceptionnelles. Les médecins en général ht 
plaignent de l'inutililé de leurs prescription» 



D,g,t,.?(ll„ Google 



■Jictétiqnes : ils «obisscDt eo cela le sort ^e 
certains lég;islatçtin dont les ordres ne soot 
pas motÎTés aux. jeux de ceux qui doivent les 
,«iiyre. Ne noos itonoDus pas qu'on patient 
, «ai a faim se révolte contre rinanition : il ppr 
pose arbitraire à arlntraire; et il agira ainsi 
tant qu*il ne comprendra pas les raisons de son 
Esculape. Mais qa'ab précepte clair, fixe er 
invariable , devienne une condition de succès 
sme (piâ non , Iç malade «'j soumettra d'au- 
tant plus Tolootieis que ce régime ne tendra 
point à débîliler, et qu'iV aura parfaitemeiit 
compris cette pensée si palpable : que la na- 
ture à qui onâconfiéunagentmédicinal s'en 

' Mtt d'autant mieux et plus vite qu'elle a éon- 
8erv« plus de force et d'activité. 

Ce sujet, qui rentre dans l'bjgiène, méri- 
terait une extension que nous ne pouvons tui 
accorder ^ùs cette brochure. Plusieurs trai- 
tés de diététique sont déjà sortis de notre 

Jeune école; un sejiil vient de paraître en langue 
française, nous le devons aux soins du docteur 
Bigel^ de Varsovie, qui en 1837, nous a déjà 



n,<j„,.™r,,GoogIe 



favorises d'aa Examen dé thomcèop,, etc., oa- 
TragC! enricbi dVn abrégé ^t la matière mé- 
dicale pure, telle qu'elle était connue alors. 
I^ous ne saori(»)s-trop recommander son livre 
sor la diète honti^opiilfaiqtiË. la lecture en 
sera salutaire aux soaffrans et à ceux qui les 
dirigent (/^. Manuel diététique de niûjneeop., 
porBigel, àParis, chez JBaiUière.) 



*_p,„..d h, Google 



HISTOIBES 

MALADIES. 



Dans l'inlenlion où ijous sommes de U?rer 
à la publicité vn recueil plus complet et plus 
étendu d'observations , nous allons nous bor- 
ner, poor terminer celle faible esquisse de 
l'homceopalbie, à rapporter un petit noàabre 
de faits puisés daa5.notre pratique, depuis Vér 
poque de notre conversion. Nous nous atta- 
cherons à choisir les maladies les plus simples 
et les plus ordinaires, de manière à faciliter 
des épreuves à ceux de.no^ confrères qui ne 
dédaign^ont point de vériBer par eux*mémes 
l'excellence des mojens curaUfs que nous 
avons employés (i). 

(i) Nou» lenr rappcloa* l'imporunce d'onc exacte prtfpualion 

tm^dicamen*, et celle [loarle luccii.qn'aneDUIctid, d'ta>tUr 
nulade Ici cideuri', lo-iufuiioni , Ici flean , i plu fbrW nÎMIi 
toD( tcnide ■llofailiiquc >oit iot^rieur, Md( tit^rlear. 



n,<j„,.™r,,GoogIe 



(113) 
PREmÈRE SEqirlON, 



MAtADI^S AIGUËS. 

VHIilOHUISS 0«TIlO-nntBSTÏïtAI.ES, — GAS- 
TRITES. — OASTRO - HSfxiRITBS, — FlèTRBS 
UUQVBtrsBS, BItlSVS», BTC ' 

Ces maladies soat seueptUdea àa mé^r 
^a forâtes très variées et n'admetteiit pfliqt 
dç traitemeot absolu, t^e choix du médica» 
meôt cûDTenabte sera basé sw l'exploralipii 
minuf^Pè des symptàmes morbides. Oa 
trouve des modificafeors capables d'arrê- 
ter le cours d'une gasb'O t eniérile daos 
les doses infiaitésiaiales des substaoces sui- 
vantes : ^conitum , nux- vomica^j puiaatiUa , 
hryxmia, aniimonhan avdum , vératrumi beUa- 
àanOjmatricaria, stapkjrsagiia ,m&vuFàis,ia- 
raxacumjCoecuiuSf asanim, iffuOia-, digJta k S j 
dbrutHt raus, etc. , etc. ( Non» ne ckoas 
que les principales parmi celles dont l«s 
effela! pathogénétic[ues purs ont rapport atK 
^rmptômes des pblegmasies gaatio-intestt- 
nales). 



D,g,t,;?(ll„ Google 



La coanùasaoce de là cause ne sera point 
indifférente ai^cfaoix dp médièanièDt; aias^ 
l'oolvuïwn donnant des symptômes' de frayeur, 
la matr(ûaruf offrant ^ux de la çojére, la 
staphysagria ceax de' l'indigifation, Vi^tatia 
ceux de la haine , etc,-on coniencera le traite- 
m^t pa? Hpç:4e «5 jplçljince^, ^\f^^ 
yt}t^ de ces p^ioD» ^a reconnu^ qause 
occ,asioii^lle...Pqarlerf!fr<7i(|iss^çi|jsqtQp^ira 
matricana, duîcamara, nux; pour l'excès de 
traviâ et Va&ttii des lic|Dears jmx, etc, etc. ; 
L^eaistencfr .d'affections rfaumatisraales fera 
préTérer bryonia, ponrTU qnê cette substance 
rëpondeàussi aux sjmptAmes morbi^ (i). 

»" Obiervatù^. 

riËV»E GlS-ntlQUB a' la SDITB DB CH16BIH. 

f-e nommé Pierce ***- domeHique , âgé de ?€ 
-ans , PM99IV »t bniUt «iHpçMuté d« t«ï> «9 
-«•09S& on dia^ff vQÛifi du déwsfKfir fi( 
(S'ilifi; le M juillet i^S^a , avec une ^rre «• 
.'dute. 4 nom Tiïite 1» s^ au m^tm le ^naïade 
.préwMie tous les sjrmpfôoies de la gastrite !« 

t! J ;-: , , : ; . ; 



D,g,t,.?(ii„ Google 



(>'5) 
plas intense ; sa face «xprime plutôt le chagrin 
qae la souffrance, des UrmOiS roulent dans 
ses yeux ; la langne est couTc;r.te de sabnrres 
btaacb^, la spi^ înextipgaiblfi ; r^l^gastp* est 
lesié^ d'une douleur gravative qui augrnepte 
par la pression^ t' urine rare; le pouls.dur, à 
i55 pulsation» par 'mÎDM^ • ^ Cj^^7(qptlia%9». 
s'ajoutent dej l)^q|{f;t5 , lerfïjf^ (^,bQiuQivi,.)A. 
céphalalgie et la brisure^ésé^^lçt. 

Tîtémpie. Lacaase étant connue, on dé-' 

bnle par owi^." oAos;»Aor. 9". Eau sucrêèphur 
bçisson. 

36. — T Ni hoïjuiis , ni céphala^ie ; fa^ft 
calme, épanouie; le inalade np songe plfis 
à son cbagrin et s'élpqne de la fai;ilité ayec 
laquelle il s'était liTré ap désespoir i l'état di| 
pouls et c^lui des auti^s symptôm^ ^e sont, 
pas changés. 

?7- V 1^^^?? ^mptômes flegaâlrit^} 9^}^. 

moral. ^irrcWs- Sp*". 

>8. — Mieux général ; appétit ] pouls p^esr* 
qiieDprmal; langue meiltepre; houSion. 

• 3o. — Le inalade 9 reprb son serrice- J!<ai 
faialadie a duré cinq jourè. 



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(■>6) 

2' Observation. 

OASTKO'SRTiRITB SOITR d'iHOIQJBSTIO!!. 

M. G*** tw de Provence à Parh, 3o ans, 
grsDcl, d'une taille élancée, blondt peupolorét 
impressionnable, habttDelIenwnt d'une bonne 
unté, se tronvait Jk dtner, le lo mai t855 , avec 
]dDtiQan deses amis ; il s'élera entre l'on d'eux 
et lui une altercation très vive à la suite delà- 
quelle il fut pris de nausées , de défaillance, de 
Tertiges et de yomissemens répétés. Il se re- 
lira et s'alita dans un état de malaise iiiexpri- 
mable avec brisure générale, forte céphalalgie 
frontale j chaleur incommode. Il ne put rcpo<. 
ser de la nnit et me manda auprèsde lui. te 
II au inatin ^ je le trouvai dans l'état suivant ; 

Tableau des symptémes: Prostration des for- 
ces ; contraction des sourcils et des tralls de la 
face qui. exprime une vive anxiété ; jeux lar- 
mojans ; -doplenr gravative de la Céte } tangue 
reconverte d'un épais enduit blanchâtre; dé^ 
goAt; nanséés; soif; respiration hayte, inégale, 
gênée ; peau sèche et brûlaule; pouls aerré^ 
petit, fréqnenij lao pulsations; épigastre tendu. 



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( "7) 
chaudj, douloureux sur-lout par la pression ; 
méléorisme , point de selle? ; urines rares et 
sombres; abattement moral. 

Diagnostic et thérapeutique. J'avais éTidemi 
tqent affaire à une gastro-entérite' dont la 
cause détermipaote avait été une indigestion 
occBsionée par la colère. 

A ne consulter que le tableau des s^rnp- 
tantes, les moUificateurB qui répoadaieot le 
iplus bomoeopatbiqaemeDt & la maladie étaient: 
Tpec.5,nuxvom. 5o, antimon. cntd. la, jpu/« 
sat. i3j lesquels sont applicables platôt à la 
forme saburrale qu'à la forme érjsipélateuse^ 
où la sensation brûlante locale est très forte , 
et qui .réclame de préférence euphrasîa 3o , 
ranunoul. buîho. 18 , ,ou canthartd. 5o — 
Mais dans le cas dontll s'agit l'influence de la 
cause était trop manifeste et le trouble mor- 
bide trop récent pour négliger l'indication 
tirée de cette cause... J'administrai -donc de 
suite (9 benres du malin) le médicament qui 
répond le mieux aux accidens occasîonés par 
la colère : Matriçarta. 6"" — . eau sucrée à dis- 
crétions. — A 10 beores le malade sentît 
'augmenter la céphalalgie et la fièvre, sa face 
devint rouge, les artères tenjporales battaient 



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( m8 ) 
arec violence; à de fortes doutenrs cpnttv 
sives se joignirent des tranchées et suftout 
une excessive douleur lombaire... CesaCcidens 
dont le malatje ^'effrafait durèrent prjft d'une 
demi-heure et furent remplacés pat une sueur 
abondante et spontanée suivie d'un état de 
sëdalion etde bien-être général... La cépha- 
lalgie céda au bont de deux heures; la naît fut 
^nne... - 

A ma visite du lendemain i3 , presque tous 
les sjqiptômes morbides étaient effacés, -U 
peau fraiche , le pouls tranquille , la lan- 
gue peu saburrale, l'épigastre souple et indo^ 
leot^ l'urine naturelle. ^- Le malade ne prit ce 
jour là que du bouillon de bœuf. — .Le jour 
suivant 1 3, il sortit et vaqua à ses affaire^, se 
trouvant à peu près dans son état naturel. 

3' Observation. 

Une.remme de ^o'ans , lymphatique, lan- 
guissante depuis 10 ansi époque de sa der-^ 
niere coucIiCj el^ névropalhique , contracte, 
le i5 mars i833, une affection caractérisé^ 
par forte prostration ; épigastralgie augmen- 



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( "9 ) 
laot ipar U presùpa; brisure géoérale; peau 
^ diaude et mbité; face contractée, Tuttaeusey 
<Âprimant lasouSrance; lan^ae saburr:^ au 
centrç, rouge et deiitélée aux bords ; io5 pul- 
sations inégales et raides. . . 

Le i5. — Aeonh 3o", doubla dose , à répéter 
tu bout de-siï b«u)%s. • 

i6.~ — Af^rexiç, mieux général, roAxfvo* 
mica 5o». 

. 17. — La malade est levée, tous les symptÔ^ 
mes s'éTanoiiissent. jiUmetis compris dan* le 
régime' homàeopathique. 
18. — Çuérisûn confirmée. 

4* Obsefvatwai. 

CÂSTRO-birrËRITE IHTENSB . 

Mademoiselle B , 32 ans, brune, plétho- 

n4}ue > malade depuis vingt jours^ a subi : «tu- 
griêet apf^ications de sangsues, cataplasmes 
pemianeTé, etc., et se trouve encore dans 
l'état suivant !' prostration des forces j vultuO" 
siié de la face qui est contractée et triste ; lan- 
gue saburrale,' rouge aux bords, iremblot- 
'lanté; peauchaùdej sèche, âcre au tottcherj 
épigastralgie augmentant par la pression ; 



D,g,t,.?(ll„ Google 



: ( Ȉo) , 
pCMib iaible, petit, fréquent} douleurs eonta- 
^iveddes membres ; uriees rouges et rares ; s^ 
les Dulles. 

i4« — Mmtsuerée f nux. Tfoimea M"*» «' w» 
bouiffon de hésufk preadre trots heures Après 
k remède.^e ne revis là nuiade que devx 
jours plus tsrd; à rnsgrande surprise elleétaU 
levée { la^ue presque entîèreiùeni, dépooiÙé»^ 
pouls normal ; appétit. • 

i6. — ïgTMtfw la'"*. 

80. — NoUTéUe dose de nux vomùsà à4*** 
-r Guéjrison saos récidive. 

5' Oèservationt 

riÈTRB GASTBIQOB IHFI.A1UUTOIEB ^ 

L'enfani de R , d^ux ans,^ai, Jnen 

poriaot d'baHtude, tombe subitemeut tlai» 
: l'état ci^après : prostratiqu; agitation; in- 
quiétude; angoi^es; pleurs; face vultUeuse; 
jeiix ronges; peau brûlante > sècbe au tou- 
cher; abdomen chaud, tendu, douloureux; 
constipation , urines^ rares ; langue rouge aux 
bords, bUoch&tre et picotée au centre; poi^ 
petit, serré, ;^3o pulsations. 

t6 mars i83a à midi : atxmii 5o*. A 



m, ■,..<!!>, Google 



(-•ai) 

twe heure, nueux remarquable} i qattre liea- 
res> ftpyrexie; faceépaoouie; Teoraot joae;la 
Uogoe parait meilleure *■ U a pris du bouillon. 
17. — Retour d'un peu ile £èvre, qui tend 
à augiÀeatei' ien le 'Cpîr; ou revient à aco* 

.18. — Mieux plus complet. 
3o> — La guerison 'est parfaite. 

G* Obsen^on. ' 

L'epfanl D**; dix ans, blond, délicat; après 

. trois jours de symptôme» précurseurs , déve- 

. loppem^nt de l'appareil complet d'une fièvre 

inflammatoire, qui cède , le 36 mars i83s , 

1 une seule dose d'aconit So". 

La vic^ence de leur débpt faisait présager 
Du^conrs pToloiigé pAor ces maladies , dont 
souvent on ne peut, à l'aide d'une médication- 
énergique ,' de répulsions et d'évacnaiions 
sanguines, n^dérer rinteusilé, ni prérenir 
l'issue fuAeste; tandis que de, faibles atôfloea 
oot presque subitement rétabli l'équilibre 
. fonctionnel. 

Mais lions aossi; s'écrient certains prati- 
ciens., nous avons TU plus d'en état inflamma- 
toire s'aooonçeravec véhémence, et s'évanmiir 



n,<j-.^^^:>yG00glc 



jnopînemedt jpar l'effort i^niaaé de la na- 
ture, où s'enlever par de copieuses saignées. 
0'accord; mais a ne telle guérisoa spOntanée 
est aas^ rare que l'est un insuccès de l'iio- 
mœopathie, daos uue plUegmasie récente. 

Les observations q«9 nous citons sont très 
communes , c'est-à-dire > (ju'ûoe maladie aiguë 
traitée hoijaœopatlii^uement à temps, nepar- 
. court pas ses périodes et iSe tenni^ sans con- 
valescence. Admettons encore '<{u*on Tienne de 
lire des exemples de gaérison spontanée, OU 
ne jiourrà du moins Tallêguer dans les detix 
cas suivants de maladies aiguës , parvenues à 
une époque assez avancée pour se soustr^ûré 
aux ressourees ordinaires de l'art. 

' ■ , . ■ 1* OiseiifatUirî. ■ , 

.ÇASTBO-iaTÉAITB . GOMPMQDil. 

Madetnoisellé N, , agéé i^é vîngf-'cîhq ans, 
habituellement bien portante, bruoë, pâle 
, et forte, contracte au printemps de iSm', 
une gastro-entérite , qui revêt bientôt l'a formé 
des fièvres muqueuses , et' se complique d'ir- 
ritation cérébrale. Nonobstant une médîcaiioii 
ântipbjbgistique très active et bien dirigée, la 



■ «Google 



ihalîidiê Tait d«i progrès'; et ifàssÔcie dès fiM4 
nbiaènes nerVeox, moitié cérébnuit, moilîë 
Ttscéraux, qui affectëtit na pea là pti^sionomis 
hyilétiqûe; Depuis sofiàôtè jours, rièh -11*3- 
tàit modéré. Jes, accidents,' la fièvre hectiqiië 
I*étal>1i!i5ait , et une fin procbaloe devenait ' 
îfl'éTÎIabîe. ' ' / ' 

Marasme ,- ftice grippée , sôdrcils contractés, 
Jifaottipbobie, écuine conitmaellè à li» boiicîie, 
làngUé coiiTerte de saburr'es épai^QS et blan- 
ches, lfe»pe? et intérièor des joues tapissée 
'ff'âplités., trîsnias , grincement des dents', . 
irèitiblement spasmodiqae de tont le c6r|n 
èt'snr-tout dès bras qnî soilt de temp^ eu 
ta teinps jlortés conrulstTementTers U tête ; 
htï aîgvs; contraction .des doigts; péaii froide; 
pools misérable ; muscles du ventre teniîiis"; 
îA3blâur k l'épigastre; forte céphalalgie sn»- 
tirbîtaire ; peu d'Urine, pas dé «elles; 
" i^hérapie. Ge jo«r-là la malade prend plo- 
iSèiirs d()ses saccessiVes d*«M»7«i3o','sansaucun 
résuli^v { S'adresser , au .symptôiïie fébrile 
'Aiai cet étal avancé de la maladie , devenait 
ïûatile.) ; # 

Tfiie substance dont lès effets purs ré- 



n,9,N..<i h, Google 



pMdtÎMrt honuMpttliigaemeat à; U {dt^iurt 
despliéDOtiièiieséitumérés, lëisqtie trismas, 
]^ôlopIioi>i«, piyaliune/douleur &us-orbit«ire, 
.etc., élut la beUadtma, ordonnée le^ leode" 
inaia> dao* U plus petite. dose possible, ea 
égard à rexcessive sensibilité des ' orgaiies 
dans la chronicité fébrile et à la faiblesse 
extrême qui en est U cnaséqaèfiQ^.... 
24* — BelladonaZa*. Eau sucrée. 
-l5. — Mieux. Après nne grande ^itatiOD 
nocttiriK, marquée p;ir l'augmeatatiao des 
cris et des mouvemens convulsils, IVil^s'oo- 
' Tre et soutient l'éclat du' jouri les convultioM 
et les cris sont rares; IVqduit de la. langoe est 
moinsépai^, maîsIesaphiessoQtiapombrable&î 
Je trismus a disparu, la malade peut pjirle? 
librement,; le ventre est moins sensible e( 
jilus soofJe,, la tête .moins douloureuse; 
l'urine dépose. abondamment j. pouls, à loo 
pulsations. La malade se plaint d'élaocemeos 
qui traversent de l'épî^stre au dos (sjmptôme 
attribuable au remède). Tout va en &'amétio^ 
pant jusqu'au - 

37 — Ce jouc-là les syraplôflaes p^nstAus 
sont lÀaphtes et une salivation abondante; 
ils cèdent en deux jours à ihercisoluh, i%\ 



D,g,t,.?(ii„ Google 



■( i»5 ) 

28 — Et jours suivans. Mieux rapidement 
prc^rcssif; appétit; "retour des forces. La ma- 
lade songe à sa toilette et he cesse de déplorer 
la fatalité qui a amené l'application des cau- 
tères dont les vastes plaies laisseront à son côl 
des traces ineffaçables, 

7 avril. — On combat une constipation re- 
belle par camphom 1°, et pnis par nux vom. 
3o'. La convalescence se prolonge jusqu'au 16 
du même mois, jour où elle fait fa première 
sor'tie. 

- S" Observation. 

GA5TRO-ERTÉIlO-HéPA.TITE*AIGUH ENTÉS SUaUNB 
, CHSOniQtTB. 

M*"' Adèle R..., pensionnaire au couvent du 
Sacré-Cœur; iSans; maigre, faible, habituel- 
lement jaune; soumise, quelques années aupa- 
ravant, à des moyens orthopédiques pour une 
déviation delà colonne vertébrale, était soi- 
gnée depuis trois ans pour une affeélion consi- 
dérée comme une hépatite chronique, avec 
indurations partielles du foie; était de plus 
tourmentée par une toux sèche qui faisait re- 
douter chez cette jeune personoe le germe* de 
9 



D,g,t,.?(ii„ Google 



( n6) 
la phrïijsîe tuberculeuse ji laquelle son phre 
avait wccmnbé. A cet état s'ajoutaient dé Tré- 
quens accès de boulimie, de coliques, de pal- 
pitations» des poÎDts de côté, etc. Le s i janvier» 
huit jours après Képoque des régies, se déclare 
une iaflammationau plus haut degré d'inteo- 
sité , du foie > de restomac , des intestins et de 
la poitrine. Le médecio cte la communauté 
regarde l'excessive débilité du sujet comme 
une contre-indication formelle aux sai^èes. II 
avait annoncé souvent l'incnrabilité de la jeune 
malade, etcette fois il la juge perdue. Le jour' 
qu'il croit être le deroier, le docteur Annonce 
qu'il ne reviendra plus. Sur son refus d'y re- 
tourner, le frèrede la malade me sollicite de 
l'accompagner au couvent. Tel est le tableau 
des symptômes : , 

Prostration complète, peau-sbche et aride; 
teint cuivreux > face grippée: langue sècbe> 
Jl^i^ae; jeux hagards; délire continuel ; sôu- 
Iweiatits tendineux; région hépatique brâ- 
bote , tuméfiée ; la pression avec la main y 
est douloureuse ,. ce qui se décèle i non par 
pne plainte, mais par la contraction brusque 
J|es traits de la face ; météorïsme ; suppnesaiOR 
^s ijïllét et de l'urine; p»uls à iSô* serré» 



D,g,t,.'?(ii„ Google 



( "7 3 
petit, faible ; resjnratioa ioégaley sutpinwse 
la toox qui ' était forte auparavant, n'existe 
plus (Iepai$<]u*il y a du délire. IVons adminis- 
trons de suite : 

Si janvier, à midi, un globule aconit$o'.X]ne 
heure après , légère exacerbation suivie d'un 
atnendeiâetit prononcé. Six heures plus tard, 
seconde flose d'oodiirlSo^. I« délire cesse pen- 
dantlaouit, et tout s'amende. 

i";{ëvrier. A notre visité, le lendemain ma- 
lÏD, làmalade nons sourit, sa face s'épanouît; 
die a-rtCâUTré l'iotégritéde sesfacultésintel- 
lectudles; poub & 66 puis., large, souple, ré- 
gdiei^ langue humectée; malgré ce change- 
ment, il y a toujours douleur grarative à 
i'épigastre et dans la région du foie ; l'hypo- 
chondre droit est tendu j sensiUe. bcùlant; 

3, février. A j notre grande iurprise, il 
s'est opéré une dépression t^uk de la w ig iM 
hépatique et de l'abdomen > que je palpe pro- 
fondément saris y provoquer la moindre tlou-* 
leur. (Ce phénomène me fît douter de l'exac- 
titude du diagnostic porté antérieoreoient. ) 
JLa langue est nette, l'appétit se prononce f 
pomt âe remède nouceuic 



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( '=8 ) . 
5 février. La malade n'a pris aucune nour- 
riture; elle est faible, te pouls lent à l'excès; 
elle ressent un besoin d'évacuer et n'a, pas la 
force de le satisfaire. — Bouillon de heeufen 
boisson et en lavement. 

4. — Etat normal de l'appajreiidigesdf, 
nulle trace d'engorgement du foie. Il est sur- 
Tenu d'abondau.tes déjections biliça|es; urlue 
légèrement trouble ^ retour de la toux qui 
manquait depuis plusieurs jours; elle est 
courte^ sècbe, avec poiats laocinans dans lès 
parois thôraciques; ces points sont plus vîTs 
par l'action de se mouvoir dans son lit. Eu 
égard sur-tout à cette dernière cîrconstaace> 
on cfuiisit hryonia alba. So". 

5. — Disparolionijes symptômes ci-dessus; 
la malade se retourne facilement en tous sen«; 
elle, se dit forte et veut se lever. Crèmes et 
hmOlons à discrétion- 

6. — " État aussi satisfaisant que la veille; 
le médicament semble cependant avoir amené, 
depuis le milieu delà nuit, une sorte de diar- 
rhée bilieuse avec quelques coliques'; nouvel 
accident qiii s'évanouit le même jour par cho' 
Tno77ullai2^, * 



nigitir^db, Google 



(■»9) 

^. — Calme parfait, guérîson regardé 
comme certaine, 

30 du même mois, mademoiselle R. .. dîiiait • 
en ville, avec de l'embonpoint et un teint na- 
tiirel après l'avoir eu long-temps jaune. Sa 
HDlé i'çst mainteoue en bon état, 

icràBB. — BÊFÂTiTB, etc., etc. 

Les maladies du foie, si rebelles le plus80i>' 
vent à Tallopathie, offrent à l'homœopatlMe 
les plus beaux sujets, de triomphe. Si l'iofiam- 
mation est aiguë elle exige toujours une pa 
plusieurs doses d'aconit, puis, âuivaot le cas;: 
matnc.-f chelidQTUum, iamxac. , puis. , hryon. , 
natrum. , murias magn. , ammonium , Ijcopo- 
dium,duicam.,$ulpliur, etc-. Mercur., heUad^t 
nux ont des symptômes de jaunisse, 

Q* Observation. 
■ . - « 
HiTÀTlTB Dl C&VSB AKTHUTtQQB. . 

Un bdmiue de cinquante-cinq ans, grànd^ 
sec, maigre^ Faiblement constitué, teint jaa- 
nâtce, sujet à la goutté et aux congestions sur 
le foie., est pris, au mois de mars i853, d'une 
attaque de goutte au pied droit. L'enflore^et là 



D,g,t,.?(ii„ Google 



(i5o) 
clouleur de l'orteil soot intolérables. D'après le 
conseil d'pn médecin de ses amis , il couvre cette 
partie de sangsues qui proTo^oeti t une copieuse 
déplétion sanguine et procurent un soulage- . 
ment presque instantané. Le lendemain l'accès 
de goutte paraît vaincu , le pied a cessé d'être 
douloui^z, mÙ9 il «9t survenu toutrà-coup 
unedouleur vive , déchirante» avec élancemens 
profonds' dans la irégioti du fuie qui est dure, 
élevée, cbande et sensible au moindre toacber. 
Le malade respire péniblement et seulement 
do haut de la poitrine ; le moindre mouvement 
lui arradie un cri de souffrance; la peau a 
ianni; nrine rare et brune ; langue sale; an- 
goisse extrême ; pouls fréquent , ]fy>if , large , 
irréguîier et inégal. Thérapie, ijmare. Its'a- 
gissait évidemment d'une congestion sur la 
portion convexe du foie par métastase de la 
goutte (accident très fréquent à Ja suite dçs 
applications de sangsues). L*irrilalion paratt 
assez forte pour exiger avant tout quelques 
doses A'açomtZo". On. en prescrit trois à pren- 
dre de six en six heures. Dés la première Iç 
malade ,est soula^^é ; à la deuxième il lui est 
possible de se lever i la troiûème r«ste sans 
emploi. 



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( .s.) 

i8 an matin, région du Toîe encore seilnUe 
antouther, jaooUsé, défaut d'appétit, pMnt 
de fièvre..... On prescrit rhus rtuScahs So*, 
du Bouillon dehœitfet du lait. 

i4 ■ — La gootie a reparu à Torteil et là ré- 
gion hépathique se trouve dégagée; l'appétit 
se prononce. Le pied du malade est guéri )é 
lâ. Un mois plus tard un nouvel 'acc^S de 
goutte cède à uiie seule âose de r^us «n très 
peu de jours. 

Le chtiix dé cette substance était ici Com- 
mandé parla nature de ta cause, sans laquelle 
il eût été préférable d'empiojer bryvnia , puU 
SaiSIa, belladana, ou tout autre spécifique qui 
eût eu le plus d'homœopathicîté avec l'ensebi- 
ble des apparitions morbides. 

D'une autre nature est le fait suivant : 

DVpnimo-BÉf ATITB ATEC ICT&BS.' 

Un de rnes amis» trente-six' ïio», Jangnis- 
sant, maigre , jaune, sujet i de fréquens em- 
barras digestifs, est astreint à la sévérité d'un 
r^me borné à l'eau et aux fécules, i cause 
d'une affection chronique du duodénuntetdq 



D,g,t,.?(ll„ Google 



toie pour laquelle il est soigné allopalbï^e- 
taHai par moi depuis irois ans. 

Xic 11 février i85a , è la suite d'une émo-. 
tion vive de l'anie, il est surpris de crampe^ 
d'estomac, dti coliques, et sa maladie s'élève 
à l'étal aigu aveé forte jaunisse, langue très 
aburrale, d^ût, un peu de fièvre, fai- 
blesse , etc. 

Eu égard à la nature de la cause, on débute 
par ignatia 12"°, suivie deux jours après da 
bi^onia 3o>, qui rétablit en cinq jours Tinté- - 
grité des fonctions. 

16 — Teintoaturel, bon état des digestions , 
mais retour des crampes d'estomac, sur-loutla* 
nuit, avec insomnie. Cesjmptâme, bien dessiné 
dans les effets du coccidus , cède à. upe seule 
dose de cette substance. Peu de temjra après, 
quoique le sujet se trouvât satisfait de sa santé , . 
l'anctenDeté de la maladie me fit regarder 
comme indispensable chez lui l'emploi d'un 
traîtement àntipsôriçue Aàreasé à l'état cbro- 
nique. Il a obtenu de gAinds effets du muriate 
âe soude, da sel ammtmague , du muriate de 
magnésie. Il jouit aujourd'hui d'une santé parr 
faite que l'observation longue et rigoureuse 
du régime n'avait pu seule lui (wocgrer. 



<;,,)■.«: :>yGoogIe 



( l'î ) 

COLITZS.-— DUBKHÉB. — DTSBHTSKIB. 

L'Iiomœopatkie est riche en agena médica 
téurs capables de dénaturer ce» affections; mais 
le choix du remède doit varier suivant le carac- 
tire si vanable lui-même que revêt la phlég- 
masie du colon et suivant ses complications 
diverses. Les principaux remèdes sont : ptdsa- 
UUa, colckicum , capsicUm,- colàcynt., acîd. sid-' 
ph. , mercur, subi, et solub. , hepar suplhwis , 
jedappa^rheumy ckamom,, china, ars., etc., etc. 

Sous le rapport des causes : une mauvaise 
nourriture, chez des sujets scrofûleuxou mal 
constitués) fera choisir flcit/. nitr, ,pétrol.j l'im- 
pression du froid fera préféupr cAo/iio/n. ou duî- 
" camara'j l'indigestion de corps gras> pulsatiUaj 
l'influepèe d'une épidémie régnante, colcki- 
cum, etc. " ", ' 

Eu égard aux matière évacuées, l'état bi- 
lieux indiquera lechoixd' une dessubstances ci- 
dessous (toujours la mieux homœopathique aux 
symptômes) , ohamom. , rheum, acon., merci 
sokibilis^, etc. L'état gastrique saburral fera pen- 
cher pour aconit. , xublim. , colocjut.j pour les 
déjections aqueuses on aura duicam. , china, 
puisât. ; pour les muqueuses rheum, colc/ù^, 
pUhaU, men>. sublim. ; pour les selles saogKi 



nigitir^db, Google 



(■«> . 

nolentes mereur. , coloeynt, La faiblesse avec dé- 
part inTolontaire des matières exige chuta, 
ars. f acide suiphur. , etc. Qaaod tes selles soot 
plas fréqgentes la nuit que le. jour, \z.pidsa- 
tiUa réussira trës lùeo. Les complications «d- 
trent aussi en ligne de eomple poqr ce choix 
difficile du véritable mojea à appliquer. Nous 
ne pi^tendoo; point tracer ici à no& confrérie 
la conduite thérapeutique à suivre dans cette 
foqle de cas divers, notre désir et notre but 
sont uniquement de leur persuader que l'ho- 
mœopathie i&oins ridicule qu'un clystire, 
moins absurde qu'uiiç purgation, moios hi- 
deuse , qu'up véaicatoire, est une science 
prolV^de , rationoelte , indispensable à qui 
se présente pour guérir son semblable; et 
notre espoir est de les engager par là à 
consulter les livres de Hartmann et autres, 
où sont consijgnées avec détail les règles 
tracées par .f expérience et d'après les princi- 
pes de l'art. Si nous mettons sous leurs yeux 
quelques exemples tirés de notre pratique, c'est 
également dans le but ^e les convaincre ei^ 
leur olFrant l'occasion de comparer les mér 
thQdM, et 4s juger qt^el est l'avaulag^ .et la 
]^Rmp}itudede celle à laquelle uç^e (prt« cjOBr 
yiction nous a rattaché pour toujours. 



m, v?(ib, Google 



(i55) 

• ■ 

1 1* Ohservation. 

DTSBKTBRIE. 

TJoe' damo de quatre -nngts aâs, ftible 
et maigre > précédemmeot . et depois long^- 
temps bien portante, contracte, le lo fétrîer 
i832 ) une dysenterie, aignë avec éthiques , ' 
téoesme, tranchées, quinse srilea saoglanteï 
dans les vingt -quatre heures, peaa flasque ^ 
froide j poub lent et concentré , etc. Cette aia*« 
ladie se complique d'one rongeur érjsipëla- 
teuse^ avec une donlenr vire sor une portioa 
d« ia jambe gauche. Cette dernière «ireoQ- 
sUnce f la fréquence d^ déjectioni plus ^nnda 
pendant la nuit, la pâleur de la face, etc., ma 
mirent dans le cas de choisir pt^atâia 3o*", 
qu'elle prit le 13 au matin. 

t3. ~ Une seuleselte depuis le remède. Les 
membres sont rét^affîàsj le poufs i^eré> la 
fluxion de la jambe ne cause [^us de douleur 
9t. la' rougeur dte cette partie commeuoe à s'e^ 
ttcsr. 

i4. — La malade se trouve guérie. Il n'y ^ 
pas de récidÎTe, 



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( j36 ) 

t»' Observation- 
diaubiqÏs bilibdsb. 

Un pégociatit de trente ans, blond* bien 
CODStittié I quoique faiblemeot muMslé , m 
traite en vaia depuis huit jours par tous les 
* moyens allopatbiqae spour unediarrhée quiab 
terne avec dçs accès de céphalalgie. Les «elles 
sont bilieuses, précédées de celiques, accoDif< 
pagoées de lirailteœens douloureux le long des 
cuisses ; leur nombre va en augmentant chaque 
jour et entraîne une faiblesse extrême. 

Il prend , le 9 août i S3a ■ uoé seule dose de 
chaptoratUa ti", qui fait disparattre tous ces 
^tmptômes. 

1 1 . — Le malade va à la bourse. 

i3. — Il se plaint de ténesrae et d'une con- 
stjpation qui cède à opiunt Q'"", 

sa. -—Ce jeune faooune , peu soigneux de sa 
ssnté> après s'être exposé à un froid humide, 
ressent une atteinte de rhumatisme vague et 
de sii^iatique, à laquelle il est sujet ; en même 
temps, ret(>ur de diarrhée, quatre selles aqueu- 
ses, le matin seulement. — Une dose unique de 



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(■37,) ... 
dulcamara 34% est suivie d*uiie fraoclié ga^ 

TÎSCMl. 

iV Observation. 

Un écolier fie onze ans,blond;chétir, ma- 
lade depuis huit jours an collège; eSt raïuentS 
cbez5e$parens,Ie3.aTril i833. Coliqnes, fài* 
blesse, froid des membres'/ sept à huit selles 
bilieuses par jour. —Tout cède à une dose àt 
ehamom.ii'.' 

• ao arril, les indices se renouvellent. ■ — PA- 
Imit, céphalalgie latérale, retour des déjec- 
tions à minuit. PîdsatiUa li'.-r-Guérison dis 
le lendemain. 

14* Ohservation, 

Une jenoe fille de cinq ans ; doQce de càrac**, 
tère, blonde et pâle, atteinte depuis deux jours 
d'une diarrhée muqueuse, plus forte la nuit, 
avec un peu de tranchées , est guérie le sar- 
kademain par une seule dose àepukatiUaili'*. 

AKGINBy AMTODALITS, CRODP, L>KtHaiTE» 

Les afleclîons si variées de rarrière-bçuche 
ont chAcune on ou plusieurs spécifiques dilFé- 
rens en homœopathie^ suivant les cas divers. 



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(iJ8) 
Ainsi , la heUad. convient mieax i Tinij^datite 
simple; h pulsatHI. à la pharyngite , avec rou- 
geur sombre et godflemeat variqueux des vais' 
seaux dn pbarjrox; l'angine uvulaire récla- 
mera de Tpcéiérentx strjrchnof s l'angiofe do la 
pourpre milîaire mercur.; ïa ;gAp{fréDeiiise 
an.,- ràpthease or. nàr,, etc., elc< Diffëreotès 
complications peuvent «ncoreitduirë auchotit 
d'une des substances suivautes i h^apsuiph, p 
rhuSfbjTonia, coçcuî.,capswumxSn4phw,e\lCi 
En étudiant la niàti&re médicale 'piifcet oo ju- 
gera avec quelles nuances et avec quelles c^m* 
plicatioBS ces médicaaieas ont dit rapport. 

Le croup parait être une maladie trfes fré- 
qnenteà/riïnau(Saxe).LedocleurKiesseIbact, 
«biédecin de celte ville , confesse, qa'avant de 
çbuaaltre l'homœi^thie , trente-six ea&nd 
9tt^t«'de celte maladie sont' mortt entre ses 
maÎDs; tandis que depuis qu'il les traîie ho- 
VMeopuhiquemeat , il n'en a pas pardn nn 
seul. Sa mçthode est d'employer d'abord l'a» 
ebnlt contre la violence de rjuâamthation , 
puis d'alterner toutes les deux heures une dose 
àefoie dé spt^re et une d'epottge calcinée^ dans 
la plus haute attéogation. 



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iS' Oiservation. 
augihb iorsillaibb. 

Ud pharmàciea de L^'on , treDte ans , blond, 
fort et t>ien constitué , éprouve (Uds la nuit 
du 29 au 3o janvier iSSa , un sentiment de 
ïïrisure et de malaise général , avec insomnie 
et excitation féliîrile. 

So au maliii vers neuf iiéures, gonâement 
inflammatoire destbnsilles, qvec routeur qui 
se répand sur le voile du palais , douleur pon- 
gitive dans la déglutition, besoin factice d'a- 
valer , salivation visqueuse , raucité de la voix, 
etc. Le malade sur le point de boire une infu- 
sion ibéiforme , la repousse et accepte , sans 
grande confiance dans son^ résultat , une dose 
de iellaetoiuf 30°°*. 

A dii heures: irritatioB sensiblement aug- 
mentée avec rougeur faciale et seQsàtion con- 
tusive aux gçnoux ; à midi tout a disparu , 
gorge libre, bien être et appétit... à ttoiS 
beuresle malade adtné et (grande surprise 
pour nous) , est descendu dans son laboratoire... 
—Incrédule la veille , ce pharmacien s'est 
Toué cfepuis cette époque , à la préparation 
des médicamena homcBopathiques. 



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• ( >4o ) 

i6* Observation. 

Une dame de Tingt-cioq ans, jnaigre, brune, 
grande ^ ordinairement bien portante , affectée 
^e la maladie précédente , mais avec trois }ours 
deplusd'invasion} avec lin dérefoppement plus 
complet de Tagra^gdalile et une dyspbagie ab- 
solue, prend le nadme remède , le malin du 35 
juillet i853. Deux beqresaprës,sensible aggra- 
vation , suivie d'un mieux qui permet d'avaler 
un bouillon de bœuf ; le lendemain , guérisoQ. 

17' Observation. 

Va jeune homme de vingt-sept ans> brun 
et fort , épponre depuis deux jours , un ma- 
laise, de Ja céphalalgie, alternatives de Frissons 
. et de chaleur, lassitudes spontanées , douleurs 
de b^'isure dans les bras et les lombes.. .i. Il 
' s'alite le 17 mai i832, avec des sjmptômes 
d'angine; l'arrière-ljouche est chaude, brâ- 
iante, douloureuse; la membrane tuméfiée 
çà et là ; -les amygdales gonflées avec sensa- 
tion de chatouillement, d'écorchure, de pres- 
sion ; langue enduite de blanc ; fièvre 1^ soir-» 
avec chaleur sèche à la peau, aridité du 



D,g,t,.?(ii„GoogIe 



■C i4< ) 
nntcas gotlnra), leé tretnpes d'£tMt^liè «i le$ 
oreilles soDf Iç si<^e de doulesn pongîtinfc 
et d'espèces de secousses. '^ :derniers^^[^ 
tôm^s font pencher' poacle efaoixde />DifeaftttB 
12*: le malade, sans ag^rtratioa seoûbley s« 
trouve guéri de» le lendemain' > 



. Un«iifaotdâopizeaQs,at(eiDt d'uneimygi- 
dalHe intense /depuis tr«is joues , avec^ fof* 
matioQ de pas dans la tonsille ^aài^e , prei|4 
le 9 août iS33 , beUad. 3o°; le lo au rwMv ' 
Tabcès s'est ouvert et évacué, mais les amyg- 
dales soot «opore trèseogorgées j aties*.doM 
^ beU. amftne la guérison. 

iq'- OhiCTfation.- ' ' 
X-MYODAUTB CU&OHIQUE. 

Une dame , artiste dramaliqùe , .àgéo de ^iMh 
tanleans^^, forte, bruhe, pHtboirique, affeotéè 
depuis huit années, d'une pharjngoam/g^ 
dalite rebelle à tous les iwyeùs 'alloptthiqoev 
et pour laquelle on lai propose U réaecitioQ de» 
amygdales ertgoi^^, se confie è rhonSBttf 
pathie le i" «pût i85a,etpiwBdle mMtliLde 
cejour^ heîlad. 3o*. La malade préveBoed'uai 



D,g,t,.?(ll„ Google 



f40 

J^diff sîcièTB npîdenteot i T^t^t «'^ ^^eftfipr 

Ikom» fièvre, ^itc«mtM)$ vifs.daQi; les^yg- 

qui nie peut s,'; .rendre que dans la jouroée sui* 
Tan\e. Elle/ le reçoit «h riant et- en lui an- 
Tïonçant » gnërison ; Ji peiae , é^ cfiet ,■ pou- 
vait on distinguer en itnpectaQt r»ri«ffe-lM>aT 
tïbe , une trae« de raugeuF «t ua veté de gaot 

' AéMèDt loffeiUaite. < 

-; (M»oBs:<te«iitce<àiit ara. sont ootabnùx et 
!• Hrocès -du traiteQieBt iuimaifiatiàque .«t 
en i^néTi)! prompt «t sûr: nous devoDS OT; 
pendant ,!iignaler cert^o^ c^s où l'on peut 
échouer. Nous avons été contraints dans trois 
circonstances, n'ayant remarqué aucua effet 
d* f'ikômasf^thje^ At teQtmm ^Jf- moyfas 
m&akixss. peet-itmahn'iétsàe ^9. qb^valip^ 

' ¥vn était coî^r, le sepf^d ésià^F , ^ll'qQ 
f» attribuer n riiuSi«e«(;« «i)9Mïiati^e 4^ 
«deoB l'anHiiktiiwi aie» nùumrp médiç^inen-; 
tosK:) CBimou^Bvopspl^» d'upe fois, cl^ps de§ 
draD«itaiicé«aDi^ogi)e9; H fOm divery e^ .|i>j(| 
lidi»y4èwv»leJaâJae.ftit. .. 



D,g,t,.?(ii„ Google 



■<, m 

Uo^otif de cette aatur^ manquait poiirle 
ttjoisième "sujet, ches lecjuel rinsoccês ne Fut 
explicable que par UD défatit'.d'impre^ioDa- 
birité, derëceptivitéorganique pourl'inÛueuce ' 
.ipédicatrioé....... ^a guéFÎ^a fut lente e^ 

. d^ilç, h i'^dt d'un sétOQ pratiqué à U partfe 
liatérieiirç dq col. ., , 

io* Ohservatiimi- 



^itaé, Ters le soit du a/^ avril i83aresLuîsi 
d'an mouTeraeift fébrile et àe tovx avec rao- 
cité de la voix : cet état s'aggravf . pen- 
dant la nuit et dès le leodemaîn les symp- 
tômes du lïroup sont manifestes.. t Appelé près 
du petit maladcy niçus le trouvons le soie ^a^'s 
une situation djevenue alarmante, par la B^iy- 
che rapide de lamaladie-Têté reoversée. ereu- 
MDt l'oreiller, face tuméfiée, col tendu ; râle 
muqueux et sibilant, avec elaquemeqt À la 
glotte; respiration briijante; toux éclataple 
et rauqiie, avec caractère cr9upiU bien dis- 
tinct; accabl^pient; pouls k i^o pulsation^ 
.rjtides et .pleines. PrescripfJons i acotùt 24** et 



D,g*.?(ii„ Google 



( '44) 

^rois bcuresaprès hepnr sulp'hur,, 4°* La pre- 
mîèretle ces- doses est donnée h 9 WureS diï 
soir; à li on observé une sédation èxlraordi- 
' nairé de la fiçvre, calme et pâleur diiTisage. 
Après la deuxième dose U respiration devient 
plus libre, moins sifflante^ tout s'aniéUbre dans 
la. nuit, etie leodemàiVi 36, on est surpris de 
trouver le petit malade levé, jouant dans l'ap- 
partement et aëconservant qu'une légère rati- 
citè de la voix qui se dissipe en a4heuree. 

éafhkuuAtKàa i>is onexuMa QEaFtà&voïBEs, 

tiVonit joue ici un rôle important poaf- 
aWttre l'état inflâmtnaloire. Ses doseaplùsos 
moins fortes, suivant le '(^asét'si>ivaflt le sujet, 
pèuventétrerépétéesdèsixen six heures, jus* 
qu'à ce qu'on n'aperçoive plus d'indication 
de la saignée ; après quoi l'on trouve des mo- 
dificateurs spéciaux y principalement dans les 
sabslances ci-après : i^r^oma^- j-hus ; antimon. 
tàrtàr.; tpecac.^ càpsicumjconiim; hjrosciam.j 
■ )ellad.j ignatia; f^uïÛas cinaSameR'; drosem; 
manganum ; stannutii _, etc., mais le choix de 
l'un de ces agens curalifs, n'est ni facile, ql 
îndi0ërelit, une condition de' la cure étant 
toujours la parfaite bomœopalliicilé du rem^^ v 



r;,g,N.?(ii„ Google 



(i45) 
avec le mal> Aiàii kjroscù»Ji.yâM\ient mieux à 
U toux nocturne, ignatia à la diurne avec froid 
au^ pieds* et battement au gosier ; beliad., 

. matricar.jà la toux du soir, ùmi qae- capsi- 
atmeii'kus... 1a douleur des - parois thora* 
cùjues, et la complication rliumatismale r<H>t 
préférer biyoniaj l'éfat convulsif, droaera ou 
oùta; la raacité de la voix, mereur.i-tartrat, 
êtibi, manganum oa carho y^et. Do caraetèr» 
de l'expectoration^ de la natore des causes , etc. 
Sont encore tirées de nombreuses indicadoos : 

, tol|> çe$ détails incQpipattbles avec le but da 
présent ménoiçe, sêrout cooid^és dans aûs 
articles Thérapie de la bibliothèque bODuso* 
patbique. 

%i' ObsentUion, 

FIÂVHI CATAKSHA.LB * (bROUCHITe). 

Uo bomme de 4o aos > blopd , gras , peu 
coloré, bien coosiilué, malade depuù deux 
mois, ne peut guérir par les ressources nv- . 
dinaires de l'art. Il est dans l'état suivant an 
9 mars l83a : yeux injectés, jaunâtres; langue 
blanche, appétit duI } toux gérasse , plus forte 
le matin au réveil que dans le cours de la jour- 
|iée} <»pectoralîon ipucOfO-séreuse > a^o- 



D,g,t,.?(ii„ Google 



3ân(èi ddùléuï "dorsale ; par râuscuIlatîÔiî 
liiëtliàie ,'râi(J souS-cr,épilaril ; mouvement l'é- 
Èrïlé avec paroxis'iiies iPrègiiliers; constipation- 
opliïiàlre. -^ La plupart de ces symptômes, 
ceux suMout qui se rapporteat aux viscères dî- 
gëslifs, l'état (Jesyeoxétdela laujfiiéi l'éxpèc-. 
tbràtion âd malin, .la coristipalibn, désignepl 
lê choix àe slrrchnos, encore indiquée parles 
nabiiudésdu malade, astreint àtix calculs de 
têlè '^ét aihaleur de boïssdps spiiiltieuses. Uiiç 
"dose de isirychnos So"", rétàbiiten peu Aé jours 
ï^pîiéUi'èî là Kbbrt^.àes s^Ubsi là aoblèi^ 
Bîii^klte dîsparaîtî là tbni devifenl (ttoi Tare ^ 
|fiils sêéhè.ltl ïilus .frëljaenté ta nuit. D'âp'rêS 
celle dernière considération, le -malade l^^ébJi 
hyosciam. i3°. Le i^inàï^tdâts'améUore, et 
une ^r[)ièrê dosa de strj^chiPoa_, fdse Je i H, 
vopfirme la goérison. # 

' he niiëux qai iîttnxiï ïpnli cbtqiils job^ ne 
fut jxîînt ^rédéâè, dhôz ce fedlâdé p«u irM^i- 
ytè, de Tàgg'ravàtiôn Honiœoilâtîiiqii'é i[iH 1 
!i(3uvèr/t lï'eii. Il en tôt ée mênlé dans le 'cài 
T&tiîvaiil: ; ' 

tin négociant de I^ails , $4 ans, gtc», I>rUD, 



D,g,t,.?(ii„ Google 



ferianie&t«(rttttNBi piâhoriit«6, çsk «lilé dejpciè» 
trois 8Àù2i|)as- f»8F M^fôfl'utie Mvv* iitki^ 
rhale -qa! a ■ résisté à plusieups B>à«»ù6,t%iftfc 
satt{;«iAe^Vi>>i^ rubèTaeticms c'uta^êi , ijux 
é»iieiiab8 ■' et à toulei lêx f'eismtGçï <te la mé* 
âeciae vuigatrr. Taileauée la maladie ^U'^ 
Mars l6i3-: F*i:e.roiJf«> T^iUaeusô;. s6irt^ils 
contraclés, langue blancliâlre , pouU dar^wi** 
fcftSttij^ 95 ïMtifttion*^, toux twe, brnsifAi, 
dont I ës^eeous^ rè^oHïtent^ak» vr6i)»Hb«tt» 

ail ^bt ; et^wçlovirtioil fMW abbnJafrte W 
^lairenscf rn{tK«ÛOa Mwrleet g«&éej ûHn» 
troiible. 

Thémpie. Sy^-pv'ts l'éiat |détboriqoe du 
sujet , Gn débirte pic aconiùim 3o% trois êbses 
à prendre deQçrtG keunesj j>pur poisson , eau 
lactée. Le lendemain So, la lête est dégagée , 
I» ^eeods^s :dâ U tîmit m ae f<»irt plos iles- 
«uitir;-aeBe'Ci ftsk-ftoSsy soi^-tli'aiib ix|fri*9 
-teralion plu» grasse, a^ïtat iica pôncipilahiAII 
le iDdti^t Jie poals:'est«)»rgi ^ aèuf^ «t^levU 
|rfi ;]Mt^Q'ie«t.:danft.le métàBAéXiOi. Vimmtmn 
madi£calà«cB'aK ptésentàitoi îet-pfRcratliAtfOq 
il? tneneV à^bie» oetieiiDidbibe; iMâ«an^ff4 i 

4«i|tj<)wd»i«ilkitoBsjâamiflR»d*arJM^ 



r:,9,N..(ib, Google 



(i48) 

ttryt^ôiSof ; savoir J'éxpeetor&tioii plos 
Ibrte le matio, «t 1^ coaatitulioit plétborique ■ 
du malade.' ' . ■ 

Xa durie d'acii^a de l'açoiiit étant ooarle, 
on 4Qoaésttjeltftoe5o'":eidaio%ii^9n40i'OBi^ 
^f eroé avec 00U /(^2âe ùa sucrée. 

Le 2 avril, le iiiaJad« «e trouve bien «( 
sort. 

. 4' ^^11 éprouve un'légper retour dfisntéine» 
•fifùdeBS : ilpk»adcejourlà0«)Atfun So^ttoû' 
ljws< — Le iêodenaia, une nouveUe dose de 
itrychn<is 3o*°. —Deux jours aprè» il bo trouve 
guérie et cette fois sans rechute. - 

a3« Ohseryation. . 

PLEIfAOFKBUJlIQqié AIQUÉ'. 

¥ne ietiDeTciume deSoans, btoade etdéli- 
cale , habituée anx saignées Tréqu^tes , con- 
traqte à l'issue d'uA bftl , le à6: janvier i8^, 
tttH^fliixKni ^ poitrine bien caractérisée, avec 
raBgent'vineà la faôe, peati^moite et ^chaude, 
pouls' large, pleiii , fréquent j toux vise acoomr 
pi^iaée «l^eï^ectpr^ioQ-saDglanle etd'tiae don^ 
iéun pOBgitite au cAté gaudie : respùrfttlon 
bwieà'iIriHlie-aTèeitiunobilké^toMi^uîëae 



D,g,t,??(ii„ Google 



et $uciëme «^tes et râle opépitant ; en un 
nuit tout l'appareil des symptômes peripneumo- 
niqnes^ Le 37 ia piatin une dosé unique d'aco- 
nâuinSço, après une éïacerbation très-violènte 
l^'auJM était' étaÎDemmeQt irritable) et uue 
assez forte pnenmorrbagië pendant 30 mianles^ 
procure > S beares après lè rem'Me, aoe sé- 
dation générale ; al^sence presque complète dç 
fièvre, cespiratioD brlie des deux côtés, poa 
MHS- un T^estede point d,ouloureuxà gauçhç, 
figuïe^pâlie, propension au sommeil. Grfti^ a. 
UDedosede&r;n/M3 3oS priielelendemain/la 
mal^e-fut ên:état de se lever ce même joarf 
mais elle prit ffoid et le point 4e côte se réf eîlU 
vivement..: Deux jours après, cette espèce de 
Fechutcavaitcédé à une dose de s(juitta rnari-. 
Un^S": la malade n^aVait observé que. deux' 
jours do diète rigoureuse; ellei n'eat pas de 
convalescence à. franchir et fut exempte, de 
qette faibl^sç quelquefois si prolongée, i|ue 
nous «cuqptes obligés d'occaa<mer <piand 
Qoa$ réussisstti^ à faire «vortar parla dièto 
et les saignées des ioâ^ftmtions de ce genbei 



D,g,t,.?(ii„ Google 



■ a4* Obserttitton. 

'' ' '. CiTARRHE sOfeFOCAiiT. 

.. {Jdp dame M 36 a»»t bloodei lyoïpba^ 
que^ popimettes colorées , écl^t yiti^:| à» 
jeux; reëpii-ation habitùeUement (»i)r.te;-ca-. 
ractère inquiet, sensible, irascible, a fait, à 
- diverses époques, ées maladies longues et ^ra- 
/^ëâ/ -toutes plus où nibins analogues à celle 
qtil U tieritàlitéë depuis cieu'x mt»b,<itiâti6 1 kû 
S&férnfeF i89l i je suis demauM eii c&9idltk^ 
tit>o aTce dent de mescoofréreft. 

I^ appftritiûDs morbi^is sobb celles «t'an- 
çatjtrrbe suiFocaat parvenu à un dogri.a^, 
^âk ; avancé pop r laisser peu. d'espoir. Toutes 
)6S ressources de l'allopatUie ont été épuisées 
sans succès. La veille encore on a placé 6 noii* 
Têaux TéÂicatoifès , prescrit ao graios de cafo^ 
mêlas en io doses, des Métioaa stîbîées, un 
laverâéntdçkioâ, elo. , ' 

Taèïéatt éé H ituâaâiê an thdnietit d^notiV 
i\ssn& I ;feux bMllBns. face eolotiéei «fluvwtfl 
4fe sbei^ct contractée] eipre$ùAB ^'as^oiaseç 
l99g|ie uburPftleirof^4a)ix 4>M^»-t»j^i»^ 
d'aphtes ; salivations visqueuse; moiteur con- 



nigitir^db, Google 



tfnuélltJ, éhâlétîr ëleVéë £ h pèaô ; èiacCëssive 
Sensibilité de l'epi^astre ëttlés b^'pbc&tifjdi^s / 

pJlIpUatibâsTibtentes: p^bls petit, sët-i-ë^ iné^ïl 
et uitermiltent, â iSo j^nlâltibiis ; fdiix rire; 
brijaque, déchirâDte, pdr quitiies répétés coU|y 
sur t-oup, t-eodàtit là face. Violette, ïtccolbpagQée 
d'aoe anxiété extrême et suifié 'd*ex^(:tbr4-> 
ttoti ëcùmeDSÈ, jautiÂtre et soâTËtit liqiiiÀe. 
Nervosité ttè^ exaltée; 4éèpt^tIt)D !tH>sl!^ul«^ 
dans quelques points, crépîtaritedanscTatitrés;' 
oh pè& ^<Je bronclîii^ànife et 'Bet t&M Jfftiiatit ; 
Vi^înérâHe éï foifcéè ; sSUià niillei malgré leé sdi 
grainsde caloïnélas t«:etnrhènt pris. - 

l*foi âTÎs Hànu Tui^éut de ménager i l'a^- 
nir'^ Senisi^itë sxaitéè do sjsttotè né'rVeak, 
âè se ^bdi'ner a iine médication BoOcë., ëmdl- 
lîente et, comme iappIëméotaiVâ Aéi hlens- 
traas , j^TapplicatioQ sar la vuIvé ^e quelques 
. MDgsnés. vti»agé encore ftctuet âe më^icir 
mens a grébdes doses m'etlalt obstacle pour té 
moniBntà oiïemédiàitîoà booiœopatbique. 

Tout ayant empiré mat^è ces' mb^reas y il 
fallut, àii bout de quelques juiirs céder au dé* 
Mr exjprimé avecio^nce d'essayer en der^' 
Âier ressopt ïês ressourcés dé l'hi 
tbie. . 



n,g ■,..<!!>, Google 



. S mu^ i85s. Les symptôioes aoDt cenx 
4^à éouméEés , avec plus de prosti^oo et des; 
nuits humblement pénibles. Ce joMr là une 
âoseaçonitum 9b° ne produitrieu, (La malade 
• retiré de l'eau de Cologoe pendant unèsjn-^ 
cope et un emplitrèi véâîcatoira est resté ap* 
pl^né par oubli.) . 

4r '— •^ct^^tni répété; injonction d'élcngoer 
lAqlç <vleBr et tout lemède aUopfttliique ; 
iauilhn et eau sucrée: 

_ € faeorés après : état «[^^esque natufet da 
pw}5. Nuit latente; quîptes fort longues; 
mais nul retour de fièvre. 

S. — Eu égard aux quintes nocturnes et à 
là couleur jaune des crachats j hj-oscinm. la"""- 

■6.— Nuit excellente; fat* épanouie, calme ; 
espoir; appétit.. La durée d'action àtikjrqsc.> 
étant courte^, on donne ce même jouf , à cause 
de la nature de l'expecloration et de la toux 
qui devient plus grasse, sUinmun 6^.>. les jours 
luivans mieux progressif. 

9' — Retour de toux par acc^ avac suflbca- 
tÎQn et spasme ,-c»ia 12'*' — calme; nuilboDoej' 
apyréxiei. 

to, lï, 13. — Bien, i S'— écart de régime; 
on prend du café et delà salade; quinte:! de 



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( VM). 
toux le soir et la nuit ; kfàsa'am.'ii'^ ^ 
mieux légérleJeadeiuain.', 

i4> --^ Lft malade est levée miis èb m'ârtehtnt 
elle resseot une douleur assez rire au côté et 
HupruritTulfaUrès-iitcoiumode^-^r^inibiE 3oo<>", 
soulage en huit heures de tems. 

t6. -^ Il né restéquele prurit de la rtdve 
qoi.céde'au bout d'aue semaioe à ' (&t&»n«* 
in »4\ 

BROhCHITG COnVUL^lVB (COQtTELOCHB). 

Un onlàntde 6 ans, bien portant lés jouré 
|>récédéii$, contracte le 8 fèrrier iSSs la to- 
qodoché qui régnait alors épîdéoiiqneniebt* 
Après s ou â jours de malaisé et de fièvre 
légère les symptômes s'a^ravent > la toux 
devient sécbe, forte, sonore , se reproduisant 
par quintes qui laissent, à peine à l'enrant le^ 
temps d'inspirer. Le la la doqœluche est par* 
raiiement caractérisée par une . inspiration 
bruyante, sonore, au milieu d'une série d'ex- 
pirations saccadées. Pendant cettequititela (ace 
s'injecte^ les yeux deviennent rouges, lar* 
'mojatis, lesartèrés du col battent avec vîoIeDce; . 
après quelques quintes, le petit malade p3T>- 



D,g,t,.?(ii„Google 



DM.) 

Ce'tilêmejoùr il prend ^ttï*i&^ï«3Q"»( rr-ISï- 
ÏW^ fiW^SJùes légères tminte^ ■«iIq j^^deiivûn 

a6* Ohsetvatiqn. 

Va outre «dCuM Agé de. 3 aos^ cfaeê leqoel 
oii«vaitrecfHiiiD l'existence dn vwr8loiiiiirici> 
coutracte^'à la même «poqae, ré{àdéniv ié> 
EnaDtC; 1> touX' >''^ raéaie caraclèrè coavulstf 
dé la coqueluche, niais, quelques sjmptôines se 
rappoTlant àceux du clna, on doiine cette isob- 
jO^çeJieu ^n^ef. 

(^^jLèrecoaruUiT; cegend^iut toqx^ècbe g^n^ 

27* Ohservattxtn. 

■ ' tlnépetite fîlle de 16 inotséstîtUeinte le i^ 
Jêvrîerd'une touX COnVulsiyé qui- présente J^ 
caractères de lacoqueluche : inspiration sonorp 
et bruyante an milieu d'une quinte' d'expira- 
tions saccadées et ' successÎTes ; éternuemeut; 
jeux sensibles à U lumière; râle ipuqueux; 
"boùïs fé^rile| chaleur moife icina a"*— -Après 



D,g,t,.?(ii„ Google- 



ce remède accès plus violent de toaxspaMno- 
diqué sûjvi d^un mieux remariJdàM^. 
' 3, 3,4- — yoe seule quinte par jour, cojjft* 
et sdrveDàbt après dioér; d'après ce sjiqptoque 
caractèrisdqiie, a/Twca 61°. 
.. 5. — Bien-être qui sesoutîent sans retour. .." 

■ a8' Oèserfatùftt. 

Vaé fiiibe jietit0 fiUe. ^aqs > blan^^* P^Ni 4^ 

tei^ledecoqadflchecaractpfisée; ypux railB**?* 
fafïf s'iQJect«n( coqsidérablenif i^t penci>nt les, 
apcèï de to»x> avec gooflemept des yftifies, pt;^ 
d^ if^f re; Itella^.. 3o". h^ putl^die ^st ^nler^g- 

" 39' Observation. . ' ^ ■ ' 

. Le jefiDefrëFe dcùprépédet]te«stdltinat]% 
mémn jour de la même afleetieii qui si^uàtt 
alors épidètniqiwtneBt dan^.le qtiwtiér^ dcl 
enÀint, déjà iiialade\et sôus l'iaflàerica d«- 1^ 
idèdea hmgœopatltiqtiâSj grend égiietqent bel* 
iad. qqièDlieu d'ealeT«rlaii|aladi3be'prb«a«0 
qû'-tin' amendement et la réduit aune MuU 
quirïtfr le* diati»: ànucaG''" —gaéristm dès Is 
fendemaiii. - ■ ■ '. 



D,g,t,.?(ll„ Google 



( i56 ) 

PtBTftBS IMTBBHITTBItTBS. 

Jiiia plusieurs localités du sol genAianiqnej 
cette classe de maladies , dont la variété est io- 
'DOmbrable , paraît opposer une m-ande résis- 
tance aux procédés hoinœopathiques etobli- * 
ger les praticiens de T^ole nouvelle k se jeter 
usez souvent dans les sentiers mal éclairésde 
ranciemre tliérapeulîque, pour^ derrianderaax 
cbaitcesdù bazard^uneguérison qu'ils ne trou- 
ventpasdansla marche rationnèllede l'hoïnceo* 
patrie. Ces mécomptes tiennent sans doute 
i ce que l'on n'a pas toujours assez soigneuse- 
nu^ comparé les cai^actères de la fièvre qu'on 
veut combattre avec les apparitions mcvbides- 
ariifidëlles de l'agent fébrifuge à emplojer. 
Aiori les périodes dîi.cbaud«t du froid variant: - 
fautât lemalade éprouve de la douleur au iroat 
pendant le frisson , d'autres lois pendant la 
cbàleur; chez l'un il y a symptômes gastriques, 
obez l'autre, coinplication artbritique ;. l'uii; a 
de la soif; elle^oianqae chezcet autre ,, etc. Il 
«rive souvent encore que la 6èvre idterniilt 
tente est entretenue par l'abus aUf^thique 
des préparations de quinquina. 11 y aurait 
alors injustice à s'en prendre à l'homoeopatMe 



n,<j„,.™r,,GoogIe 

S 



11 nous est impossible dtj rappctçr >d tons. 
les médtcainéujt qui, dans la matière médicale 
.pure ,'fï>upmsse«t ■àe& pbénomùnes analogaes, 
IteQax'dQsHèTTes'intermittéiites. Paraiîlesplu^ ' 
employés , nops .signaleroDS |\iUliié du tjuin- ■ 
qumti lioô.oniÔ"*-, lorsque la soif, abseo'le pen- 
dit ktp^ode du f-roid. s^ réveille vive pe{i- 
dantcdlle.decbalenr.; celle àsciitaQ" ijnand 
la soif De auryientnt dans le froid, ni daas le 
cband, et.' qu'il .y a., des' votrtissemens d^ali- 
raensi suivis d^ f'^ini immpdéréi?. Y a-t-il peu. 
de "Sinf pendant le. frissoo , tnais. vomissemens 
^aireox , selles diatriiéiques , nausée^on cé- 
fiaitùgie? pulsatiUa iS""; frisson presqae nul, 
violent mal deléle , .constipaliçin , etc.? strfclt- 
no^ Stf"»" ; soif vive pendant lefrisson et pen- 
dant, la cbaleuï-, sneur tardirè?a»v. 'io", arni-' 
c<» 0" ; point de mal de tôle, peu de soif?.me- 
njytttih^s 300 i violente doutenr' .des membre^ , 
des reiti» , du ventre pendant l'aceès ? ir^o- 
aia 34r- V a-t-il peu de Irisson'ct beaucoup de 
»ympt6mes gastriques ? on se trouvera bien 
derépéfer plusieurs dosesd'i/ïffCiicuanAfl 6* ou ■ 
90 pendant Tàpyrexie et de prévenir l'excès 
de congcslioa viscérale par une dote A'aconU 
So"* à. rinrasioD de l'accès, l,^ avança diadetttU 



v.Goo(^lc 



( »88 ) , 
'^f un 4j>écifîqae remarquable qnMA le frisson 
arrive atet violence , IremWeiwrrt êa cofps , 
filaqoemenf dn dents, f^' oapshum a réosw 
enlM tes Dialhs du B* Troltmanti daas on câ» 
r«b«ne^ et sar la seaie «ionfttade d'mi sj^miK 
CSiine tnmré dans, cette Attsta^ccF Tclafif à eetu 
éitren^tancè unique f qii^ la tflttur tt'aniVaH 
qu'aa bout de duuzébeilreis. ApH»faccè^, tUb* 
serVtf'i-o» des sueufs froidtîet des nrines soiff-^ 
lires? le veralràm anrapMo soccès j'deCOTi- 
finuelles Tôniitu niions avec clM rahurral in- 
diqueront antithoh. citid,; l'état EX>pot!eùX' . 
opmm , heUad^^ cAï/m ; l'accfes îf minuit, an.% 
fil soif arderlieaVànt l'invasion , çniKn ; !e type 
i:f\taf[é,saba(titfa. Xj'abusaltopalhiqneda qu^* 
quina recratneraj suivant tes nuances dessy^p- 
îomçs,nua:i»ym.,verifti:,bBll.,/etr. LeB'Kiff^ 
aelbàcb , dans l'éS'lieUïL où ces fièvres sqnr cn- 
déroiqaes et opiuiAires' , obtîeift des succès 
constans de nàtmm , ' catio Vegct. çtKpia don^ 
nés aheriiativement. Àvec,iin examen attentif 
(tes circonstances de la fibvre et un bon choix 
du modifîtrateur, on essuiera peu d'jnrac- 
cas. (l) ' ^ ■ .. 

[i) A fS/nuittyitâl dç intriire. no>»oT«u (mvoil Je l'iafii" 



nigitir^db, Google 



. ■ Yo^cila.fièvre intermiUente la plus Rebelle' 
.' qui'Sfj^soit frçseqtéê à nous oans le cours de 
j^tre. pratique liomœopatljique. . 

' , ao' Obsérvatiàn. ' '■ 

'-' ' n£Yltè:.f>TËiilHtTft0fTÏ ttEfttm 

FirafÇiede36ali8, |»âle;.ainaifnc> £èfre 
.iMënDtuisble. tierce qa'oa a c«fip«e plusieurs 
fins/ di^s rè4{àoe de iS mois ^maU qui n*a 
jdtaàss.étë «iaf>éi)diic que pççdaDtpçu de jours 

': -ctwqms féb, pour r^pfenAitré av«c.i;iRq nouvelle - 
jitAétitk. h&tti$igAi débiite^aTec cépbaralgie ». 
iJMêdjHixlieares âvee^' inteia»^ ; Il .est suivi 
de quatre hc^ures dé clîaleHr skrfae et l'accès 
sertepnjiDe par oeni heures environ de sueur; 
dans l'apjrexielanguesaburralé, inappétence. 
. On fait choiz-(r^a'iai2°,qxic la malade prend 
Iftii^à^ du ixaoût, jour d'âpjTpexje. Lelen- 
4itan4if)'ZA }. l'accès qui ne vient -efdiD^trement 
^pe verâ.-i i hepras du matin survient à neuf,- , 

. ;I(.,n*est rienchan^çàsescircoDStaoces. liest 

,t)vH« SoeWitC de BAnniaganieo — ■ Vvnuch «ûer homœD^Ei' 
ihifibea lUrapic dcr WecH elficVtr, Euai^tiaithérapU Ab- 
«mopaihique '<fti jRnw (ifitlniité/ilo. (OoTMrje mâott pér Jtt 



n,<j„,.™r,, Google 



( 166 ) 
siiivi U'une grande faihlftssë : ar^ . 5o*. L'accfes 
suivant ust à ytàne inarqué; la. spif diminue; 
il est siirvenodes déjections jaunes accompâ' 
gnées de Colique?.. Les accès, -siiivaiis cotilir 
niient à faiblir,! mais le frissop est toujours . 
violent. D'après cette dernière observation on 
prescrit Je 3f ,aratiéa 'i8<> qui supprime dès 
le lerïdeiAam tout, frisson. Il manque tont'à-l^t 
à rheure de l'accfes, et celui*i n'est marqué 
qucparuiie forte céphalalgie. Uusecondetun. 
troisiènie acc^ se passent de la inéme manière; 
alors à l'clat saburral et à la douleur dé tiôte ' 
OH oppose strychnos 3po. De ce jour la malade 
n'a eu aucun ressenlimenl fébrile, et Jes febc- 
tiotis drgesfivesse sont parlàitemàit régulari- 

- sées. : ■ . . '■ . 

3i' Oiarvalion. 

PIÈTRE TliEBOe. 

IIoiDiiic de 5o ans', mince, babiiafit une cam* 
pagnr; près d'un marécage , atteint d'une fié- 

. vre tierce , qui, coupée plusieurs fols par les 
moTensalIopalbiqués. reparaît toujours après 
quelques senraîncs. Il est jaune , maigre, fron- 
talgie continuelle augmentant pendant l'accèr, 

' pacte d'àppéUt , - gpAl amer , sensibilité à l'jé- 



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(■G. ) . , 
]ûgitstre et au -foie , raie tum^liéc ,- Taiblessé 
et douleur cofttasîve Jes lOeml^res avant l'iti- 
Ta&ioQ de l'accès, soif modérée. —Deux doses 
■ de niix vain. iS" le rétablissent , et l'cngoi^- 
inentdè lia raie cède à une dose de china i&o. 

■ * , • 3a" Observation, 
FiiVMB .(]U0TiDirarïtB. , ' ■ 

Femmede aâ ans.; fièvredepuis trois jo^rs} 

type quotidien , accès le soir, peu ioteose, 

' maiHjaè par la Trontalgie , la >oif ardenlé , 

. frisson modéré etchaleur long^temps sout^noe. 

sèjrrétnent de poitrine , ac^çàblcinept. Une d<Mt) 

uoûjiie d'^n^ï^ ) 3^ enlève les, accès fébriles. 

FIËTRHS QDARTBS* ■ ■ ■ 

Un cocher , 4o âûs , fort, et grand , dépars 
idngf-temps atteint d'une fièVrè interiitittânte 
qui a résisté à de très fortes doses de quinquina; 
type d'abord tierce, actuellement quarte ; soif 
vive avant et pendant ie frisson ; celui-ci ytï- 
cédé de fronlalgie avec éblouissement, di- 
plppie, état faotastique', 'douleurs brûlantes 



n,,i-r«::>yGoogIe 



datif ^anicinbre> qt çjpùs la F^ipP >^«SJrit[«e# 
cgijcjue, consilpaûoQ aUeraatrt arec ili^rrhée 
- vers la fi» de l'accès, D'Après ces-&ynïi)lômej, 
et ea égard h l'abus ai)térieur du (|uiat{piaA ,. 
veratnm i?" , pris le g avril i83î! , diipioye 
f]Derques£jniptàmes , piais l'flccès revient .tou- 
- jours à beore invsrjà}])^, 3q du. niême inois, sa- 
^f^i7/i0?b°....Undernîeret.lài|))eresseatitQent 
fébrile à Thsine ordinaice de U fîùvreijui de-. 
puis n'a plus reparu. 

3j4- Çbsery^tiori, ■. 

■ Uë jardinier aus Moelineàuv sous Meudon , ' 

•AB ani j, grand , sec , robus te , teint jaunâtre, - 
'Hfavre depuis plusieurs seinaînei , t;|Fpe (juarter , 
«ocèsvenantînvariablement à 3 heures d'après 
midi ; deuxheures de frisgon avec soif ardente,. 
3' heures dechaleur vive et 4 de sueur, sans . 
Boif; ctat nocmal miwe ]a$ «fuSis. 

a8 avril. Sabadilla 5q", LejouPsuiTafil àc- 
cAsIé^er, Ls i*'!^a«la ^ùvre mBiK|ue, mitia - 
& Vf)elir« Dcdînaif-e, à trois heiires et Jusqu'à 
8ÎX, Sânlimeot de faiblesse singuUerç ^am les. 
'ipembres. , 

. 3 ;nai. SahadiUa, Soo, Depuis Wrsnulje (ippà* 
riiioti dp fièvre. 



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Ce peïît nombre ^ëiempt^s soflra pour 
d^rjoér uDtjtdéederexceîlenee à*;tioe mérfwde 
snr Kaalre. Oiacun sait comliien sont rebett«t 
à la médecine vulgaire fe« fièvres îMennitJ- 
tÈntèsl type (juarte'î combien l'usage réfiM 
■dir (ï«inqiiina a prodtfît Je niaox ctirom«|)lcC 
toovenl incimibles; tels , que -gâslro-entiriie*, 
h/dpopisiè» , Jnduralions de la rate J e"t c<»n« 
tien les eodvalesceocés sont::6rdir)airefrtent 
longue» el péniMes ! 

_- '■' - ■-■ rat.TA-R7nïttT«. ■: ■ 

St4i exiMpienoe iainffiRiuita çUni le ebttf 
éo* moài&t&iean , teân ^Rnrie éiB eés Aitnktm 
^«ns lesftfïfleHons tbntnarîMialM, Qoas&mqs 
era pemarqaer que lahr traitement n'était ptft 
ieeàùlë jriur britUnt (itf U thèt;«iwifM|)|0 
oouralU, tella qu'elle «4t encûiw ai)}aiu>ii'lm)« 
Mmmtqjoiw liièn »h0» «uaVeot^Ui'tiqnfutUiiito 
i>^nt, la iclatique, la pleurod^ai», ate.» flO- 
Iev# ateo une ptoUj^até npidltéi nèb 
(l'atitres Mê auMi noi» las vojwna témtsr' 
presque atiul loti^'téoïp) ft rhoAioMpatbie 
^'atHt AiMieMlûnf ancietHm Mf liHqMUMt 



m, ■,..<!!>, Google" 



dans ce cas, elle offre encore dfi l'aTaptàgeçar 
linepliis gTgxtàe douceur, uneplus grande inii^(>- 
cuité iies moyens: et. par. l'abseDCç de tisaoes, 
d'ongoeps , vésicaloires , Ventpu»s ,et a»>lre«. 
cJH»e6 non moins repoussantes. Kous rafflWte- 
rons Cernent deS cures rapides et d'9utr« 
fliis lentes. 

Les modificaXeqrs ami-rhopialiques sont 
trèsjiombreux : on et» troute dans les altéoua-- 
tîons de bien de» snbsUnces telles;que acmit, 
bellad. , b'ryon. , hèpar sidph. , îwiùm,mercw^, 
ferrum, uux vottt., puis., rhtiSj staphyf.» 
êuîph. , sàssapar. , tai'tr, s^ib. , catho eaie^ 
cAustw., fycopoà., siUcea, grapkit,, etc.'Hart- 
mano, dans «a thérapie des maladies aiguës, 
indique le fer quand pînsièuw parties sont 
, |mses-à la ftàs awc forts clancemens, déchi- 
X'^néus la nuit , pMeur da visage, etc. j Van^ 
moincrWi fuix vQm. quand il -y a embarras 
gastyiquei puisât* quand il y'a^aCerbation 
le soirj eeflnre avec rougeur des artic^Iatio», 
paroiysines violèns poodanf IcstjneU la dùu- 
leor se déplace fjacjïeinent.sûulageineïit en 
. eiqxwaut le mcHatre douloureux- au çoatftct 
de l'air ; bryvnia dans une polyarthrite- on 
. lUfptilej loisqu'il y a.ceite çircoD^tance que 



n,g,N.?(ib;GoogIe 



(ï65) , 
'ViinittobiKïé calme les sonffraîices qui»'^[gtt&- 
venl par le mûùVeaient ; rfiùs dans la circon- 
stance lout-à-faU coritrairo et \pnqaf) le bott- 
ger soulajge. ' , ■ '■ • : -■■■'• 

Jmica conTÎent. à la gouUe (iotléà Âur 1# 
ràeiiis; Mercur. dans l'enflore de» ortéSsv 
ùosi <^e.staphisagri\js% doalcufs Ikéès à I* 
hanche réclament bpUad.S\ éUocemeps brû- 
' lans)' neïTOsité , etc. •,calocjrnt. si douleur de 
dislocation, etc, 

L'arthrite dés genoux appelle /«</wri quand 
les doaleuTS sont plus fortes la nuit aa lit; 
c^a s'il j a enflure et douleur plusTifé 
dans le >epos. L'afthrilts taga réclame heU^j 
képar sidpkur. réusiil àl'invasïori. L'arthritis 
- nodosa cèdeienletnent à staphisagr. , calcarea,. 
gmphit., (silicea si le Sujet est tourtoefilé par 
dés rêves effrajàos), etc. ■ ' '^ 

Nous le répétons, notre but n'est pas de 
tracer ici un guîdë tbérapeutique, ipais seule7 
ment d'indiquer les roies à suivre pour se 
livrer à Tétude de cette thérapeutique» dans 
les ouvrages qui en traiteront spécialement et 
de vgnaler les circonstances dbat,il cstimpor- 
tant de tenir compte , dans le rhumatisme 
plus peut-être que dans tout autre ca^, pour 



n,<j„,.™r,, Google 



{ m ). 

qa'éUi séPÏ«iiif au lit dt^ malade, «uit péoibI«» 
à qui cou (.racla l'habitude du laifis^r-alic allp- 
ffiifùjuç i nuiis ^ $»ti$ljiaioDi]ui 9Ccom{)«gue 
m Hwc» n'«»t<¥tl0 pjs un ampUdédoinoiA- 
35' Ohservation. 
BAQUATISUE AIQII. 

^f f (fnpi^ d'il» de'mes cUeiU; ({wwanln 
^Si fw^ et bieii constitué, aliiç depuis byit 
.jwwpàç UQ riiyipatjpB)c.^«îérîiJ,.ayec eii- . 
Sfirff xlf» anieglaUpo^} dopkurs inlplçralite^; 
iilipo^ibiiilé dp t^ipi^v^^ent; ftèvrè^rdente; 
wegi^ cpniinBfsqBi Pf^oa'sgeBt poînt^Iaa- 

gue saburrale, etc^ A.i^un mP/'^R a.UQpflthtc}MQ 
»*açtPtfinié. 

Ç jai(ie( , lh)is d()Sc|: sqçoessiye» ^fffçftitfm ■ 
5t>'f (lomié^* de »ijt hçgrga efl'sis bwres, m1- ■ 
1)101)1 lu iïèvrâ et luodéreiit l'int^mil^ dc> d<H}- 
.)ep»i dont le Cï^açt^FQ se d(»»pe sUpvi mît[iix 
g^u'9uf}ar(iv«|it, Cçst une WMatifq d'arr^c^- 
mentaTeû élancemeijt, chaieuç brûlante", 90- 
âurc, têlç posante, conéttpaliop] un tiiourç' - 



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,-■■ C.*6y.);. ' 

nia 3o'. , ' , :. 

^g9fgés et {mMYiïAt se moilli^ }« ^îiitl^ 
■est san$ fiiêyi^, Jirtjrieui» él^t M.hwrf»!t av^pç ■ 
crampes d'ésloibac la nuit, céptialalgiejXpD*.' 
'stJp3tiQn.CeBs^ptônieseèdeBtà<:ôoA/â»;t3% . 
qei leur tépond. ^ 
j8. 7- Les menibpes, qupit^^wedégorgés , sont 

•m yVsM&at^ ro«çl« , 9 Tépaale g'^Mte^ tiîji 
4«UK genoux et auxceoda^ae^; ^Imi^vày 
vMticBt plus ktfittfDicBfe U naittifln ftMUfthtf 
Incti^oe /ed^/mJ>aA*''rài9^- ' -, - > 

a4' —Ce twnHe^n^4 peed«ùt qu'ù-mi^raiE 
JRéomiiyAi ; il vette tou|oiw&de Vfliifliinn¥i9»> 
nauii', de U êtiUewa) de-la.ptteBrj l»«daM« 
anttà^[HBDeixfieB)aiabes,ilca>itân épraaiw 
dsio^aigen^éiit. Qu reste, rappâitfaprdn(iq> 
o«,U l^te est lîlws, les fanaloflida ttrntni 
M »établi>MeM. Blinieim d« («a hohtmik 
43«rictfere4 entle^ni eaatogiin daaa ehina ts*. ' 
' GefnédûwmentpToduitquelqtM a^esntioB 
pciukat une daai-)Miraèe , après quoi tom 
a'aidende; le mahiJe pr^nd dei fon:ea.til peut 
tnarchçr, et se trouve en pleine convalescence 



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(iôfr) 

àpKs.iringit joriw âe twitemenî et vingt-buit 
joiirt de maladie. .- 
' Hest prûMiable qu'oûtréiteinentallopa- 
thique eât Ji^us long /plus dwagréaUé , et 
siiivi d'pne plus péûible TODraleicencé.^ ' 

*" 36* O^e/'cacion'< , ' 

. • ■ PLBUfiODTaiE. 

, . Une SsmmB.Àé qea^aater^biiit anti non ré- 
' glfle„fort^, lifraoef |^ué, épr^are depoU 
une' anàés une doiile<>v>ive et laircûunte an 
c6tig«DAhe ,' i^tH foirte èo resfuraat et eo nuw- , 
cbaDt. Elle a épuisé Ie&. mo/ena ordioaicea ; 
cetM afisotiôn ^ féûMé ii plusieurs véûc loi- 
Fcs , BDX Tentotisea, aux frictions atimulanCes , 
aux bakt? de TOp^ntr, elc. ; racealKHi pulmo- 
vaiie.se fait Ubremeat^ Tout iiidiqoê donc 
que les masd» iateroostanx soùt.le aiégo fi«ti 
de cette.maladie. Il n'y a pas de fièvce^ pt l'en- 
semble fooctioaQeL a'cst. pas troublé. Deuix 
fOTtes doses de brj^onia i8*y à deux jours d*ia- 
tervatle,, lés i6et 18 février tSSa , proroqoçnt., 
te ig, uoe a^rayatioo irè$ seasible, saisie 
d*uoe goérisOD brusqae et sans retour. . 



n,<jl„.™r,,GoogIe 



Sj* Observation. . • ' 

Ua jeune ki^une, lreole>9eptaQSi braa,séc, 
nëirTOêo-bUieutr nSecXé depuis boit jours tl'oD 
rlinme sans fitTre»,auq'ael se jolot liae idoukof 
pongitive sous les côtes ^nc^ies , (rfus vive en 
respirant, gênant l'in^piratioB, et ftugmentaht 
Untrït. Il prend, 1^'d îéyneT,èrynnia.5o'fie 
troove guéri le lendemain et-^Taqne à^es.af' 
l'aires. Soit. iii£raclion aii régime, .soit imprës-, 
sion^ (le t'àir 4T6id , la dealeur reparait le 1 3 ; 
même traitement, même gaiémob,, sansréci» 
dive cette fois. ■- 

■ S8* Ohservatitfn: 

SCIATHJfE RliOBKTt. , » . 

Unedame^q[iaràote-einqan«,faible/maigi>e, 
réclaitie nos soins., le rS a^ril^Sa , pour une 
scialique aignë du câté gauche, qu'elle a res- 
sentie depuis quelques jours, qui s'empire^ et 
la force à s'aliter. Ckamom. 12"., quatre doses 
consécutives chaque malin. Après la premiëre', 
chaleur moite à la peau et engourdissement du 
, ne^f douloureux. A la.qualrième, la m^aJe est 
guérie; 



D,g,t,.?(ii„ Google 



. ( >7oy 

3q* OhsetvatiOn, 



, Ui> UùU^or, cioquitrtte Bfis , Itoiteux et ca* 
cb$c)ique, cpniocte une sciaiique ftigoëf H 
ap iiéyrier iSSs, et récUtiie aesseips lé fl4' 
Cha/nom. li",, tfipéiée _€\iii\T6 (oiadetmite, 
' amène la gnéKÏHta. 

Ifct Ohservàtion, 

SOIATIQVfe. 

Monsieur R-iroeVivienne. à Paris, trenlo- 
quatre ans,- robuste et CQ!ofé> t$tij«t' depuis 
noml>re d'annéëS â uDë douleur sçtatique da 
côté gavhe, (|ut se réveille avec iaLennté cha^ 
-que aufpmae, demande nos soins le 17 sep- 
tembre i853. Il est alité depuis jJusieiirs se- 
maines, a'.pla(^èoHtiinte saiigsues sur le trajet 
au nerf Mîîatiique, pris de l'huile de térében-, ■ 
thine en potîoo , des bains de vapeurs , et em- 
plojé divers linioiens , .le tout îans succès. 

, tîoe première dose de cAanwra. 13' est prisé 
ce jou(-Ià. Au bout d'une deoii-lieure.lc ma- 
lade , qui , ail sortir de la cabse ai vapçar, né 
transpirait, jamais plus d'un quart d'heure > 



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_( 17.;).' _ • 
epfouVe Bhé dètenle^oërtlô *t tfirC fvàaipi'- 
■ration qui se- pH)loîigBJiw<^é'att soir, aWc lui" 
sentiment Je bien être qai loi était inconnn ; H 
iktulear sciatique semble engour(iie'. Le \ende* 

pvodn^em [n^ y Méttie elfet. ïl ««mblie jM mii^' 
lade qae ta dùolètir ■vexAdeViatpieu^m'^ 
se réreillec , inai» qu'elle liai arrêtée .en die-' 
min et s'cleint faute t(e force. Une transpire 
plua, !a langue - est' c1u^g«e, H y a quelques 
4X>1iques , point de selles. Lavement hiùfeiLXi 
• i%. — iÊèms étû sahena], êtopnon roi^e . 
«i^prtfrigine1ne sop tdntle oorps, ooUqitea. (Où 
He sHitii l'on ^<»ilàtiribaeiioÀ'e8eri^ I«<ïAaw^ 
Àw.'à« sa Ttmké» {(lloj[»ai bique antéoédeiiK 
iMttlpris.)i^iut «*)m.3e^ faitva«ec l'ënip-* 
Cdit, calme l«i colique» et réveillo-l'appetiti 
h)aÎ9' l'a seiatiqoe reparaît avec une intcasit^ 
^Â^sssnte. Elle. 3' pàê lecaractèK d'^mee'« 
mens brtUan»: comme dit' fen ; d'atpvBi ce^ ott 
«Moisit, liesA, B9iiàd Sô'^ cfoe le malwje ne ' 
prend pM psree qu'il se remet^aa tfaitameat ' 
àïftipathîqiWi ... 

( >I<foa$ awtls' rapporté Cqttie faÎMOttv iosM^ 
jitdfb' uniquement pour sigtialer raolto» df 
cltamo'. Il est à fegretteff jKMr JenujU^, qu'il 



i>y Google 



n'&il pas ooBtiaué i car la baU.f réptmdanl'ptr* 
faUement à relancement btûlstitfles nerfs cru 
raï r sciatique , du- pli de J'aloet-etc;, pn Ikmi 
résultat était prd>able. 

: La c<d9Cptth.f la barUhimd. f VarsMi.f ont 
q^alement t^ussi'daos diflSéren» citf de senti- 
qneetdçcoxalgie.' ; 

_ ^\* ùhstuvation. ' . . 

'^ rOLTASTBITB AlCOB. 

tJo homnie de qnantrite ans, amaîgfirpM** 
Mble, sujet i la govttë depuis hait-aoné*», 4*^ 
mande nos soin»> le S janvier- 1 853 * popr tin 
accfes tris aigu. Le coude , lé genou et le {n<4, 
gauche ^out pris, tOméBcs, chauds, dôiUott- 

. reux, incapables de motiTement. Laddulénr* 
je caractère d'éiancemeps , (le déchirnq«w 
aOgnentant par le' loucher et plus forts aa uiv 
rliendes nuits. Yen letnatin; uflvlégèrEtmoiir 

' tMirsoniage; pQ^U fébrile, inàppét8iice,a|MRt 
temeflt,tristes«e,.urMiè$ foncées, etc. 

Le fer noils partit lion)œopa!thi<tue à ce <»| 
là^ car On trouve daos^ses s^inpiômes : pâleur ^ 
faiblesse , enflures arlicufaires , douleurs Im- 
ciiiartles , sar-toul la nuit , etc. . 



D,g,t,.?(ii„ Google 



.(■ r73 ) 
~ Le [iutlade pfeocl j'ce même jotir, S'iauvlcr 
ï833._yfer/wm 12. 

3' visite (12 jkiivîçr). Il n'y a pas eu d'^iggra- 
Talion appréciable, ce ua luîeijx sensible naiis 
porte il rcprter la mêiae il^.'Gétte'8ecoQ(iï , 
trop forte ou trop rapprochée de la premièi;é , 
-fait ressentir qiielqués-uns 'des effets tlu fer^ 
tels qiie mal dégorgé, l'aocéôs vives en ava- 
lant , douleur tboracïque ii. gauche . ani^oisse' 
prérordi^le , ctancemeas exagérés dai^s le 
coudu engorgé, crampe dauS' le pîed ma- 
lade, etc. On tecoiiflaîE l'action trop ptonon- 
céedu médicament, et, parconséqyent, o;ise' ■ 
eoiticntéde fairefiairerau malade. un ^Qtîtâà- 
Con coiitpiiant dti ibie de soaPre (autidotc du 
fer). Xoii' s'apaise rapidement par ce mo^crt, 
tt l'àmélioraiion fait des progrès. Le ao jan-' 
viér, le uialade n'éprouve pbis qii'one fàiljle' 
dtHiIeur craitipoïdedansle coudepièd gnucfa^t 
plus forleen marchaot, otlatssânt le soir un' 
peu dVtiflure. Ces symptômes cèdent en 'trois 
jours à bryonia So", et , depuis lors J il n'y A pas' 
eu de récidive. Nous ne croyons pas pourtant 
que lê malade en soil à l'abri , le principe gout- 
teux n'a pu être détruit en âuàsipen de temps; . 



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-C '7,4 ) 

jnorai) très prolonge. 

^'Observation. • 

. vÉiruLon^aoi do tbosàx* 

^ooiieiirR....... treiflç-qualrç »n^, IiruD, 

1^1^, iepipérampnt biliéfix, IjîènjKJCjant jtiii^ 
q|jettà< ressent, le 3 ^vrîl iSôa , des aherna-- 
ijyes dé frisson et de chaleur ^ du ipalaise, dç 
la spif, de 1? céiAaIalgie; J'appéUt sç perd, là 
- Un^fueniè cbargieV Aprçs troU ou quatre joàr:^ 
Aç ç^. ppùdràmes , il ^sl surpris , Â dix lieurés 
-dirfUAtip^ psr uoe dQuIeiir yive^ siiQpcan'tc, 
qni rje^serr^ lès fl»i)cs et Iss côtes de maifièr^ à 
géojer U i^spiratÎQff et à d^onur la seqsaiÏQa 
dVif^ Jiga^ùre autour du tcQuc. Ces acçidt;as 
dpç^ cinq à ?ix beqre» , jjojs se dissipent popr 
«eltpprpduire le lendemaio à U même heure 
e\, tgu^ l<|s jours aiusi, ou augipçntant de yio- 
l^p9i Ladoul^^rdjCTtetit (elle, ^ue b^nialadp 
se rallié eif criant ; il n'est sQiHagé qipmenia-i 
némçpt qjie par ^e gopilniénses éruçtatipns. 
Cçtte »Dgulière loalaftie césiàte à nuoË vom,,, 
pjw le i?> aEfiiviet cède à une Josi: àebryQ' 
m'a 3o a4fpinKlTée le iG.' 



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43* Ofae/vaiion. 



Voé ilaiw de treplâ ans, blonde, friiicbe, 
d'une cotti^exion mojetine, est alitée depuis 
va inoU; par suite d'une afîeetîoii rliumalis-| 
maie qui occupe les muscles dii, bas-yen ire et 
ceux des membres ; tout mouvetfieQt pcca'^ 
sione de mes douleurs, sur-toQt à la cuisse; 
llaliment Te plus simple e( le moins substantiel 
excite une crampe ^uloureûse de l'estoinuc. 
langue légèrement sabiin'ale ; hjppgMlre sen- 
sible à la-pression ; selles rares ; peu de Gèvte ; 
pas d'enflures arljculaires. -^ 19 avril i^f;* 
■ btyoniaZo". — I^e 21, mieuxj nouvelle dose dq 
hrymia- ËHe est en élat dé sortir le •È(^. 

^'.Observation, 

AlttHSltE Alodl'. 

Femiae d0 qiMr«ikte-»x aas , ,tn«igre , pSAby 
vive, .d'un santé précaire, saisie , le 92 féviier 
1 83 a, d'une inflammation aiguë au poigurt 
gaqcbe , poiir laquelle elle a recours au raéde- 
CÎD deux jours après Tinvasion. L'articulatiop 



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( '76 î ; 
rai]lo;car{>ïenne , les doigts, le twas, sont hi- 
uiéfi^, avec (luuïeurs vives, laiicinantes; nul 
Aouvement possible; liràillemcns jusqu'à l'é- 
paule; pduU dur, serré, ceiit (]uinze pulsa- 
tions; lace animée, reluisant ^^une sueur 
grasse. Trois tloses d'aconiàim^/t*, donûées dé 
six h^tires ca six-bcures, procurent tlaxàlme 
et U cliiile complète de la fièvre. a5 au inatinj 
lumcfaclîon nioinilre , élancemeiis diiuiniiés^ 
mais dans le bras tiraillemens'plus lorts qu'ail- 
paravant ; douleur kt-ûljtnte et |ncoIanle à' 
Tceil gauclie; irrilàiion êe h gorge ; ràîdéiir 
dji col el de la nuque. D'après tous ces sym- 
ptônies on donne ce jour ; bellad. Zvfi; aggra- 
vation peu sensible^ et gùérision pleine et eu- 
lière le ,^7. 

Tous les cas de rhiiuiatisnte al;,'ù ne cèdent- 
point av^c Celle' facililé ; il nous est arriva 
d'ôtra obligé di;*épcter fréquemment on re- . 
mcde, et même de doni^er ù l'a Tois une goutte 
eoliëre de la dUation^doiii.Hu-Ëcul globale 
suffira d'ordinaire.'-'. 



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C '77 ) 

MI.ÉG1IASISS ÇUTASi£fi,-^ROUGEOt.E.^ — 5CS»» 
LATWB-j -J- ÉIIÏSIPÊLB. . ., ' 

La /Jî*/«a/i7/(? poilrlaroogeole ainsi que i'flço^ 
nit, le co^n cri^ti , la belladona , le rAiif pou r 
UérysipcJeet la scai'latine lisse, sont les princi- 
paux remèdes j mais divci-scscQmpUcations ré- 
dunerontsonventdesmédicàinensacicessoires. 
{P'oir, poar tes Âé^ii^^ , la B&lk^hèque ko' 
nueopathiifue,, Urne II. 4^ cahier. 



tin cnfaDt de trois ans, ibicâ conslîlué , eoo- 
tracte la mige&Ie qui régnait alurj^épidémî- 
- quem'ent. Après un stade calarrbal pénible se 
moDlrç réruptipD i kt ai juillet iSSâ^ elle 
n'est sensible que par une légère marbrure 
dte la peau , les yeux soot très ronges et I^ toux 
(n£e^v«; dans cet état, reorattt^prendjoù&a- 
tiUa is". 3 beupes après,, grande anxiété, tt 
aa bout de 4 heures, sëdalion do çalarrhe et. 
en méniQ lemp diieloppemenf complet des 
taches rubéuliqve». Uès \^ lendeiuaio si, la 



hy Google 



rougeole était au déclin comme elle ■ y 
fût parxciine ']e 7* jour j -(i'af>i*és is mS-* 
tbode eipectahle. La toiix continue à s'é- 
teindre matgré l'imprudence' qu'on a eue 
d'exposer rérifant malade ài'air plavieiHt; Le 
a4 iï Sort eh parïdite santé, sàhs cdnràleà- 
ccnceotsansaiicun'de" Ces iielîtjiiaWsîfepàces 
fjiï'bn dbSertç sotiTént. ■ 

(Tne petite fille de ^ ans, rue dé CHchy, k 
Paris, d'uneljonnésantéd'ailleu'rs, estali'tée de- 
puis quatre jours avM lHhi les phénomènes qui' 
accompagnent la rougeole, moins rérjuplïOQ 
9**011 titi peat apércèvtiiF *t qb'ofi Roitp- 
çooné entravée par la vràlence àa catarrbev 
L« fiè^ «KtiQteDS6, )a toux exce'ssite ; lé9' 
y»ti* rûugèB , krofoyitts et sencibt» ia'jOVfi- 
Itlmigtte sabuTrtile. 6e \ovrAH , iS ôri jS&S f 
amikuht 5oo dtftix âoMlàHichsBreFd'tntèH 
ville TtHM de l'antrtf. L'éruption «çqttiei^ dcot- 
lu jotirCFÀ» t«ni son dévelpppêmeDt > «t li tottX' 
s'apaise.-' ■ 

i6-^ini tnalinypoint d^érw^ sympièaies 
dv brt}t)(^e très thmléré^, fitt/stttffla iB'.- 



r:,9,t,.?(ib,G00'île 



(■7V) ^ , .' 

17. — 'Pàleup (lés pustules ruBéoliques c|tû 
dUparaisséol le jS. L'ênf^tit ce jâur-là joue 
daos.Ie jardin. 

' 47' Oèserpotîoa. 
SCARIiÀtISE. - 

tJn Ahgbâ ^è H siHs / lilHci^; i^H^a^ 
fb'rlrs^Ittè, 1^ sb tii^:! iSSs , iîvéfè une âri^lfiU 
fbnsiUàire inteiiâe,- (ju! iriè îiJrBè jiaà & /iitf- 
fcairipagner ii*Une .îfeihle tlë jteirriaiihèsbf Umrf 
ht sùVfiicfe cbtanèi; ; fièvre ifitèhse; ^éaa S^iH^ 
^ et brûldrite, ddiilèur soiJdFBitàiré. Viic j^tê'- 
miërfe d^së Bb heÛàHoM 3cr riè" ^rtiâbît fiëÀ 
t'é fbiir-ïfi, p^rte qfte Wmàikàë, tro'Ji Jiéif pre.'»' 
♦eut piv ïfc riiédeciij » à rësfrîrë dis rédo rfè'Cff? 
ïbàno ^' **•» tle nhfpsitfriiïe Vioieda; ' 

i i mari ; ile libiiïèian Bgtlàdimà Soi, hg'gH' 
yàiibii ao Kaùt de déui Kb"urés.i.-,,j VïR flarfcd» 
mèiil dànii h gbrjféj "pôûfs-pi-étiiliilé; ttgffiF 

m.: 

B3 -^ ttTmté Ï3ÔÎIÎ9 rdogé ; iâoitkfar. f II' 
j^'âtïsfl/awi^ëil qdelqoed pliceij d^SlUvNii^ 

à3. -^ jpp'étft^ ci de^ùaàKMâtfH i:diniâ£' 



D,g,t,.?(ii„ Google 



f,i8o) 
. d'ordinaire aa neuviçipe jour de la maladie. 
Celle-ci a daté cinq.joursj 1& malade $ott 
guéri le'ai. ■ - 

4Sf Oiierytition. 

ÊBTSIPËLB on tti. TÊTG, ET ÙS hk ^ACB. 

,. Vue daqie de quarante -detvc ans, (brte, 
gcossé, pléihoriquei .ayafit coBlr^çlé l'habi* 
it^dç.de copieuses qi Fréquentes saignées, é\n% 
' i^jetleàdênoleiiXeseonge'sliotis^sangtiin^sfçrt 
lu lète , les yeux , à des engorgeuneiia inOam- 
la^toires ctésirn^nibres, à des érysipêles, etc. 
(^ vue et l'ouie s'étaient, affaiblie^ cbe; eUe, et 
çbsque fois qu'eHé -sentait venir les ^touisse- 
mens; lés yerlig.es, les maux de téle, ell^ sa 
hâtait de me fai^e.appelér pouc ltx\ tirer du 
saQg. Ce besoin 4c saignée se faisait eessealir 
plus fréquenuDent depuis quelques mois* 
T-léo i5 février i83i , je pratiquai une large 
pbléboïomie; dix jours après, malgré ce^te pré- 
caution, la dame fut alitée, et me fit ap- 
^eiç. Elle avait pris la fièvre; un vaste érj- 
ajp^, couvrait la facéties yeoi et.le e^ 
cbevelu, de manière à la défigurer. Ne dou- 
tant pc^int qu'on né dût la saigner/ eÙe 



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[ ■«' ) 

ayaii , à cet effet , {iréparé baitd«s , ling^ 
■etfaVelles qui,.élalès'surîOn lit, furent le^ 
premiers -objets offerls fi mçs regards^ mais 
dont je ne 6s pas usage. Je tous ai saignée il y 
a peu de jours . dis>)e k la iti^lade , le moyen, 
devienfaboaif; prenez d'abord ceci , et si cje-^ 
infin niiatin tous n'êtes pas mieux , nous sérans 
A temps de soustraira du saog*. En lui tensoL 
ce langage j'avais préparé une dose de Mr 
lad. 3oo, que je lui présentai', et qu'çtle avala 
s<m$. hésitation ; je preisorivispoor toute bois» 
MD l'eau sucrée. C'était l'époguo où l'bomceo; 
palhie coinmençatt à sfenracinei: à LyoQ , suj«t 
d'enthoosifisaie pour les uns, de lérrei^r pouf, 
les autres; ma malade M [rouvait rangée p^rBli 
les antagonistes. A. ma visite do lendcmaÏD l'é- 
rysipèle était 9 peu près disparu, la malade 
paille et stupéfaite de ce^i lui était amré* 
. . MaopnTaileif^ate comprit <{U''il était posâble 
d'cpaiser l'eïfervesççiice du sang^ saqs piirer 
l'éconoiâie iTiiqe pn-de d« ce précieux fluide* 
nuis elle parut ^loqTafitée ,ep af^reuant 
de moi qu'elle^ avait ^mé de rhorpcBopalbie. 
J)«in qaçlq«e, peine k cajaier ipii effrdi, car mk 



D,g,t,.?(ii„ Google 



autre nicdéciô tft sa sociale ,'4*^ jifélfefidàH 
édnnaUre les ndiivcàux procédés et bièoïe'lés 
avoir ïnîs en pratique , avait dit devant elle : 
qu'un malade soiimis à' rhomœoîîal'Kle p'ôu- 
yaiibièri, il est vrai, guefir, et niiêitie comme 
pair prodige, mais que c'était aux 'dépéris âU 
ièHipS ^ù'U avait a vivre j qu'èfi Un mot Vanhe'è 
rfe i'e pasiàii pas èàns qu'il succofiilat a Uh poî- 
sSi lent. -^ Je fcîiai à'itià rnaïadé, l'exénipfe' 
âê\&À}ïhiimian iiH-mêniè ,^0!, après à'êli^ 
ptfJJiHistynhé ioiis ïes iViâiins (fe cètîe tiiâ'DÎêf^ 
pendant (juâraiitê ^irlrtéeS de'sâ vrè; jttîiit; J 
î'i^jé' dé qiiàiref- vingts iM, àh là tête ^t tJfc' !* 
sàiité d'Iïfi je'firiè hÈfrnmè. . '' 

Létwitéiflenl do etfble'fd et de la-dioWt-iflej" 
qhr « ftwrni de «tlteâu* féànUatif Bitnt ttédte- . 
c\m ftttmdîbpiithiâtel ; û &të aetrit téift do foi} r 
que tt'diil rrtfM ttûpm dtipisnâg d8 Itf fë'H^Mr' 
ic'r; Ndbi i<aptf<jUéto'Àtl iC>HtBm^rir^tie' fèl siib» 
iMnbèt'qtfl bni te mièitt i^fkltitlu It lliteèuA'' 
dé» prâttcientfstftft V $ifi«in« ta cni^)t/fli;ffroM>'' 
Verainmi, cupnan, ^ecaeuanha, èKamomHla, 



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(•■S5),; . _ 
di-séh:y pfiospji., àcïâ, phospk., siiiptuiTy ^ai-to- 
vegèi:', jâli'ophii curdas. ^ ^ . 

A l'in^asîoh dé ]a malacTie, lorsqu'il n'y a 
encore DÎ. TÔmîssement i ni diarrtéej çam- 
phora. ' ■■ . " '■ 1. 

Si l'on Irbuvé les accîdens déveîdppés, vo- 
ntiâsemehf , âiar'rhée'aqiteùsè^ t^odlebr d'esto- 
idac, soit, ipéca, ovi àeiH. pJiospfi', 

Dans les cas rares , où la cTiàrrhé^ est oi- 
ïik\iie , ciUmoni. 

Diarrhée aqueuse, Kràlanie> TOmisseinc^s^ 
sctif inéxtiag'mWe , crampes,, froid gla.cial,-^ 
crispations nervètisés?-ïfef/ii™/7j. 

MSrae» afcciBënïy avèd état èonVûtsift' eu-' 
p^itnt'. ■ ' ■' ' 

. Yofeitrad^titifcratnpèsgéiiéi'alèàjôxtïtîciibn 
diï pooli ; état dé fcyatictsé ^ aspect caddvéfeUi î*' 
(tHcniôum, ''."'■ '; 

GhoIÉri âsjptijiiqoe ? carh&vegéî, 

ObRCun de C9t vèaa&dei peut ie replier ojféi 
le mduiB maUde autant de feil ^H'à itïi né' 
MMtiré, 

Vani Bvofls pnHW , en iS5a ; lès ré«ùltàt«-dë 
pttisieats niédècins du I^ord* dans tihé b'pi>- 
chnre qui a peur litre Traitement Komosàpa^ 
thîqùe du choléra -/norbtis, ètt. Plus îarci , S 



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(. '«4 ) 

PârU, le docteuc Qaîn a envoyé & l'Académie 
de me<teéine.(t|iri a'en a tena aHCun compte)^' 
les brilbms résullals. de so>n - traitement des 
cholériques, au sein même, de la capitale, pen? 
dant iê règne de cette' maladie^ et le docteur 
Habit , de Bordeaux, a publié ceux non moins 
beaux qa'il a obtenus, d^s qu'il a eu la sa-, 
gesse, un peu, .tardive, .d'adopter 1» méthode 
bonœopalluque. 

XjC pasiage du çbolént en Allemagne n'a 
pas peu coDtrilMié ^ la propa^alton <ie la itoa- 
vélle Ùiérapie, Sea s^uccès ont ouvert les jeox 
i la foute routinière, et ii dea (^Unique» bo- 
' moéopalhiquess'élabUuent, si pour fadmiAsion 
au doctorat , on «zige dans quelques localités 
de rAUemagne, desconnaîs^nces en tiomoeo- 
pathie, riiutnanilédott eu parliece bienraitau 
témoignageducfaoléra; c'est une compensation 
dotat nous n'avons pas joui, car répoqded'un 
tel progrèsestencote. lois pour nous, .suivant 
toute apparence. 

. lia BiUiothèque homœopatbique dans . son. 
cinquième cahier dii premier rolitme, ar^té 
les résultats pratiques de quatorze médecins 
delà jeuAe école, dUpersés.en différentes lo- 
calités de l'Autriche, de ^ Hongrie^ delà 



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. , C-85.) • 

Molilaiîe^'eiiP. ; il résulte eh JêfiniUve aecë 
tableau comparatif, le ciùSre total auivaiti: 
5oi7chcfléi:i(]ues, a^dSguéris^ 261^ morts (i). 

^g^*- Oiiervatùm, , ' / 

Un jeune homnie de Irenle-lrois^aos, arrire 
de TOjage en bonne san^é,, dtiie sobrement et 

va seprSderter, il reptreâ neuf heures et se 
codcheavecnn sentiment général de bien être 
et d'excitation, i|e s'étanl jamais cru si loin 
d'uQ L'tàl mqlàdif. 

Le sommett te fuit^ jlcst agité, se trouvé 
importuné par la chaleur , éprouve de la ten- 
sion ël delà plétiiludé a l'ép.igastfe, sie tourne 
etse rL-ioqriie.sans trouver. du repos: à miniiit 
des l>orbopygmes brujans non doulouréuï^ 
et rexcitefncnldesonpouIséveillentsoRallcii- 
liun; maissaris IVffrayerVpeu après sufTÎeut 
un besoin brusque d'aller i la gacde-robe ( il 
faut y céder précipitauinient , cVat un départ 

(i)lj'arriic'e JucWiiraeii F/nncc fauruks<i<^BurDeiGiiidi 
de Lj'un Vocoûoa dc'piibtier ton inifrtttault Utitt aux meJc' 
^itu/masaii, tla. On Mil avec qu«:le urlneh^ *e MrajiDna la' 
KicUl^ aiinirJcciu d« Ir&Ic vUJc. L'Aciâ^ni* iIv-PJU'l* , du' 
rooiai, lIioDo» fuw lemcrcimcBt jUiîm •Je^Hune, et ïictilL 
futpnfouL ilaatlcirarton*. 



n,<j-.^^^:>yGoogIe 



, . (.86) 

i>Opléii^ 4'u'he e^u blanchâtre ^t br^lfiffl^ «a 
■ passage, le jeanpliûnime se recouche ilooné 
- lie la cliute subite cle ses forcés et de la soif 
-^ ardente dont it est saisi ; il porte ]a caraSè à 
ses lèvres, et boita longs. traits, ce qui pro- 
voque ua vomissement soudain presque sans 
nausée préalablç;.il rencontre ses trait? dans 
une glace, est frappé de Jeûr décoiÂssition i 
Soupçonne alors de quel mal it est 'atteint , ei 
sonne son dofnestique.. ' 

A. sept heures du matin tous les scpidenscho? 
tériqu^soDt'dévelppp^sauplns jiaut^egré..., 
froid gétiéralt qu'il n'aj^réciepaa lui-n)ême;. 
jîouls presque effacé , crampes permappoles 
danst les bras , les jambes et les muscles du 
tronc; soif inextinguible; copipuses et fré- 
quente? déiçctîons aqueuses; voix rauquej fa- 
ciès profondément altéré j il prend de suite 
Veratrupi u*^' cinq minutes après il boit sans 
rejijtex, él n'a plusqu*iiné sidlê...; lesborbo- 
i-^gmes et les crampes persistent encore à dix 
heures d'ajnatin..j veràtrum répété i tout ac- 
cident est^Riucu decc4nomept ; le malade 
trajispir.e \o\x[& Ik journée, et n'a plus de 
crampes. Ilconsei^veséuienient pendant quel- 
qué&joucsdelasoiff sansappétit, avec grande 



r,<j-.^^^:>yGoogIe 



faiblesse et rauclté de la voix. Pendant iln 
mois il a de l'inçof^oi^ et du déCaul de mémcûre 
qu'il nechercheà rairecesserparaucuB mo^en, 
Aa bout d'an laoif H «UîU! un m^rfoc» lio- 
flMK^ntinsle, qui lui dntiueattiB^ow M -linett 
tuiph. So". \ 

Le-jieune liomoteU miU MitTantc ; épnmw 
pour la première fois depuis -si maladjeonè 
éreciitin , me généreuK dialeor à la peau , du 
calmeet du smameiij sa mêttioire en pci) ds' 
joursreparatt.-fraklieet locide. , . .^ - 

60' OBsqrfati&n. 

■' tJrt âulfe jeyrie Iiomnie', prodigué d'excêsi 
rte^Teax, mélancolique, imiàble, a en le cho- 
léra à Paris, en iS3i ; traité par le docteur 
Qyin , il a guéri. En octobre 1 833, il ressent 
l'inHuence épidémique qui s'est réveillée.pen- 
daut quelques jours, et iin matifl se Jroavê glacé, 
avec boriprjgiïies, coliquÉS, et alnindanle^ 
déjections, san^.autres symptôme?. Une do^e 
de clianwmillq ia° le réchauffe en muins d'unse 
demi-heure. Le ; soie à 9 heures^ il transpire 
.encore, n'a plus eu de selles î il te&ie de U 
soifj dés borborjgsies etqt)çlques coliques^ 
qui cèdent à coîocynt, 9°. 



m, ■,..<!!>, Google 



(.88). ^ 

^t* Observation, 

Un qé^ciant, 35 ans, piettaprës>sôa>dtaer, 
est }K-Is d'aae espèce d'iniligestion ; «épendant 
aprè$ qu'il a rejeté ses alimiinSt les voinisse^ 
miens iie s'arrêtent pas£t cootinuent arec une 
suqirenaitte abootUlibe. Quatre heures apKs; 
je b trouve inopdaol. encore sa. chambre de 
fluide aqueux , le pouls ekcUè, la peau froùlej . 
saus crampes hicpliquiset. Une dôiie A^ipecuZt'. 
e.st prise de suite. J'en laisse une seconde à 
donner aa bout àe. cinq inînutcs, si le malade 
vomît encore. Je reviens plut lard, te malade 
est calme , un pçu Jirisç; ^t en lraiisp;râtion< 
La deuxième dose avait été inutile 

Fille d'un-traîtcur, jeune, grosse et fraîclie, 
vomissant depuis la tieuresconsécnlivçSj sans 
relâche, un fluide écumeux qui iimnJu lé plan-' 
cher de ' sa ' chamhre ; prôslréc ; l'épi^'aslre 
tendu*; les yéiix- enfoncés ; la peau sèche et 
chaude, avec soif ardente » sans autre accident. 
Une seule dosé A^ipeca. Z^", est siiiçiu-, doux 
minutes après d'une pAteur exlrL^me du visage; 



n,<j-.^^^:>yGoogIe 



(•89) 
avec envie de Tomtr sans résnltat. Toat s'ar- 
rête^ et la malade se lève le lendeiAaio. 
53*' Cbservatiùrt. 
Une doinestîqae, trente-sept ans, forte 4t 
bien portante, est atteinle, le 7 oçtohceiSSS, 
d'une cholérine, saitS' Froid t la peau et sans 
crampes ; elle n'est pas alitée , a eu quelques 
nausées,, de la soif, avec pouls lebrlle, et à pea 
près trente garde-robes depuis minait. Elle 
prend acide phospk. 9° à onze heures du ma- 
tin , et dç ce moment tout accident est dis- 
sipé. 

HÉTRORSHAGIE. 

■ Les diverses hémorrhagîes riîclamenl en gé- 
néral le traitement des congestions qui les pré- 
cèdent. Celle de l'utérus cède, suivant le 
caractère qu'elle afiêcie, à chamom. J2; bijo- 
nia 1 5/ hyosciam. 9 ; femtm I2 j china 34- J 
0ec. q; nux 1 8 jT crocus i 2 ; sabina 1 5 ; caiio 
veg. 3o; sepia Zoj sUtceaZo; etc. (Hartmann, 
Thérapie.') 

Pour exemples : étal variqueux: des organes 
produit par de fréquentes congestions ? nïix. 

Coliques tranchaaies vers l'ombilic ; pres- 
sion vers Tanfls?/)!'ec(T. ' 

iî 



D,g,t,.?(ii„Goo<;le 



( '9») 
.^^^nis Ptfiç^ caillé? «A<u»<; elaù; et rutilantî 
firnini; rpiige plftir, avec cJ-aOïpçs? I^tmc.; 
épais, peu HaiAel plattna. 

Sang; épais, visqueux, abondaiit , avec tran< 
tfhée» aiguës au ttas-ventre, érétisme nerreux ? 
crocus. 
Métrorrbagie atonîqae? sahma, etc., rtc.^ 

54' pbter'mtiw- 

Une ^anie de 4^ ans, d'un embonpoint 
considérable, éprouvant quelques variations 
dans répoque des menstrues, a copservç à la 
suite d'une attaque d'apoplexie une déïÏB' 
lion de la bouche avec embarras de la parole, 
accidens qui on^ résisté un mois à l'allopaltije, 
et qui, cèdent en 24 heures à une dose de 
è^àd. dp°. Quelques semaines après, survient 
une perte sanguine copjeuse, que rien n^ peut 
çuspendre petidant douze jours; elle adere* 
ç^r recours à rhpaioeopathie. Pâleur, abat^^ 
mçut extrême , flaccidité musculaire , cépba*. 
lalgie frontale, vmx affaiblie, pouls lent e| 
i^ti\, Couleur abdominale et lombaire sourde, 
inappéteuce, sang rosé, çlaJr, coulant çppti- 
rtueltement, ayeç crampes danslc^ jambes et 
froid des membres : kyosçiamus 9°, pçdi^ ^ 



,<j„,.™r,,GoogIe 



( '»' ) 

perte et fait disparaître les crampes ; sabina 
9" et china iSj sont suivis en six jours du re- 
couTremenl de l'état normal et des forces. 

VOMISSEHESJi DE L&. GROSSESSE. 

Ces nialàiises cèdeot Irës-bieo à strjrehnosZv, 

^écQ", ou natrummunaticumZ(fi' - 

SS* O&uivttlioti, 

UiK! dame de 96 aàs, bnioe, gr^ndi^ forte, 
se trouve indisposée^ ;^vec -un retard de men^ 
lïuatioD, fièvre le soir , défaut d'appétit, soif^ 
langue chargée, fuiblesse, vpmissemçns glai- 
reux, chaque mafin.Le quinquina, prballopa- 
thûiaeoieqt, exaspère loos les açcidens,. et lea 
sjmplôtnes de gastrite se développent. 
. 25 [évvicT i8^2,sttychms5(y.. 

a4. — Absence de vomissemens , Jangue 
mçilleure, le soir pas de fièvre, appétit. 

35. — Bien : la malade parait au bal à la 
grande surprise de ceux qui la sftvaienJ: dans 
son lit la veille. La grossesse se confirQt9,et 
chaque foijs qoe des nauséesse soat préseqtéés^ 
elle? ont cédé à sujchnos 3o", ipec. ?°. 



D,g,t,.?(ii„ Google 



(«9») 

&& Ohservtaîon* 

SDPPaEssioH d'orirbs. 

Homme ^e soixante ans , fort , pléthorique , 
arrivé la veille» après ud voyage eu poste , ne 
peut, qu'avec une peine extrême, évacuer ud 
peu d'urine trouble et d'un brun foncé; aux 
régions lombaires , douleurs profondes , tor- 
dantes, déchirantes , qui de là voat correspon- 
dre au bss-ventre; lé malade ne peut supporter 
le coucher sur le dos. Un baïn et des boissons 
teqiipéranles ont ag;gravé les accidens et rendu 
les douleurs intolérables. La face du malade 
exprime l'angoissé; le pouls devient fébrile. 
,1106 sonde est introduite dans la vessie, que 
Ton trouve vide. Coccidus 1 2°, pris le 10 août 
iS32 à neuf heures du matin, procure une 
détente générale, du calme et un flux abon- 
dant d'urine d'abord tt^ès rouge, ist ensuite na- 
turelle. Lé même soir le malade est guéri,. 

Le 3o août de Kanniée suivante, même acci- 
dent au retour d'une partiede chasse. Un bain 
ité soulage point. A' onze heures du soir coc- 
cul. 12°: Â une heure , cessation des douleurs, 
émission d'un peu d'urine foncée; Eonnneil 



D,g,t,.?(ii„ Google 



( ï95 ) 
jusqu'à sept heures du matiD. Le malade, à son 
réveil, urine aboodàminent et se lëTC guéri. 
Ce fait eût exigé allopat^iqnement : cataplat- 
mes , sangsues , boissons émulsionnées , ni- 
trées, opiacées, etc. ; encore est-il donteux 
qu'on eût obleou de prompts résultats. Son 
traitement homcsopathique , comme les- précé- 
dens que nous venons de soumettre à la médi- 
tatioD de nos lecteurs, sert de réplique à ceux 
des médecins qui .pourraient encore dire : 
H Ifous n'iivons rien à désirer. de, plus pour les 
maladies aîgués ; nous en venons à bout : m(ds 
on peut tenter l'homaiopat^iie pour Uss ctfs chro«. 
niques. ». .; ■, . 



n,<j-.^^^:>yGoogIe 



( ■94) 
VEUXIÈME SECTION, 



SiALAPIES CHROMIQVES. 



^l'an peuti-en général, eonsidérer ainiWlé 
in^vidualUé chaque nodvenu cas de milidie 
quiseâVo dans la pratiqtte j la réritédecette 
ftssënktb sedémciniré aar-toal par rexa<;te éx-'' 
(ilohitioà dea dtvera êWls Aron^wéS. Quelle 
étonnante Variété dn déiordêes Jk sourctl dlid- 
cure, à' physionomie bizarre ^ à durée opiniâ- 
tre,. nous avonscoutnaie d'envelopper sous les 
vogues expressions d'hjjiochondric , de névro- 
ses, d'hyslérie, de'gaslrodynies, etc., et aux- 
quels la médecine o i ' dinaii e ne sait opposer , 
quand elle est sage, que la sévérité du régime! 
Plus de trois mille personnes atteintes de 
maux chroniques ont réclamé DOS soins depuis 
les trois années que nous nous sommes occupé 
d'horoœopatliie , et nous pourrions avancer 
que parmi'ce grand nombre d'iiistoires, toutes 
écrites un. syuiptôtoe après l'aulre , il n'en est 
pas deux ^ même dans les cas lès plus moltî- 



r;,g,N.?(i h, Google 



(igS) 

piés^ iSH que la gastrite clirdaiqàé , qiii 9ï>îénl 
âbsblânieiit iiJèntiques. 

Aussi toute mêdîcatioQ antichronïque exl^ 
t-èlïe ppéalaWemeût une miniilieuse explora»* 
tîori dé sjmptôwes. En «'y livrant , le prati- 
cien doit s'appliquer i ceui qui sont êsse&ti«l- 
lémént caracférisliqires > i* sous le i^apport des 
lésions àé iénsïiAtixi (nuances des seniàtiàus , 
Retiré àè doiûeitrs i vicîaiion des. sens ,' etc. )- ; 
i' en é^àr^ aux influenrçés q-n'exeréent sar l'é- 
tat dâ malade le» drconstancei de temps , df 
Kêii, de froid oâ de chaud, dé repos du d« 
îaoaiemeat , etc. (Quel ehangeinent su^istenf 
les accidans paria marche y ie eoueher; Uma^ 
tin , le soir ou la nuit , le giand air ou ta chant- 
ère, chaude , tmànition ou le rep'as; ètc;) 

i)a comprend que plasFi maTâcHé qSi'oii \iùi 
traiter s 'éDvîMnnêra «Turi nombreux cArl'égè 
^'apparitions anormales, plus le cKoix dti i^e^ 
âicamêht devièb^r^ s'fiir et facile', parafé' qùé 
Pdtî pourra i^èùèUlir un tïfcïéau (ttus fîdëîè H 
plus clair dés^ symptôinétf. 

Les àgeub'i£iéi}icatëurj que le fbridàleât' i^ 
ià' Tëfbrine appelle ant^sôriifùeè / soit qu'il 
&iflé dciïorder à ce noin l'adcepliôn qiie Itfi 
duniH^HahiieiÀàan' , s^it qu*Oft àfl&dfae an miftt 



<::>,GoôgIe 



(>96) 
geecfuoraion vrai senséiyiaologK{atÇhumeur)i 
ces médicamens , dis^je , à quelque attéauslion 
qu'ils Ateni été portés^sont doué^ ,5ur quelques 
constitutions, d'une formidable , énerve et ne 
doivent être maniés qu'avec une exlrême cir- 
conspection. Il faut snr-touise méfier de la c/i^ 
cà'ea carboniea chez le* féœnie» délicatei et 
{wécairament aienstruéei ; do coitàttn macula- 
tUm s'il n'a été précédé d'an autre Antipso- 
riqo« ; de la sâicea chez les sujets qui oe sont 
pas tourmenta par des fèves effrajaos, etc. n 
est d'autf«s singularités que l'observation pra- 
-^tiqne a mises successivement eu évidence , «t 
q^ nous devons développer ailleurs. 

S'il est des sujets chez lesquels les antipso- 
xjques (aotiçhropiques?) exercent une action 
véhémente, en cpmpeosatioa Ton rencontre 
des organisations rebelles aux actions atomi- 
jiqpes. G'e^, alors au médecin de réveiller la 
sensibilité endormie , soit par la plus fréquente 
répclitioQ des doses, soit par l'usage intermé- 
diiaire de Vopiwn, du muscovi ('du merc. mé- 
talL , s'il j a.je.u abus allppathique d'eaux nû- 
^rales mlfurensçs) . Ces préceptes trouveront 
jdacedans.lajthérapie. {Biblioihr homœop,) 



nigitir^db, Google 



( 197 ) 

Va phénomène qui nous a paru constant , 
lorsque le médicament aDtipsofîqae a été bien 
«boisi et qu'il agit coarenablement , c'est le 
r^pel sDccessîf de la plupart des incommodi- 
tés qqe le malade peut avoir essujées dans' 
le çoat's de sa vie passée , telles que hémorrha- 
gie, dartres, galle , migraines , dooleùrat 
Ji^morrboïdes , etc. Ce sont des espèces de ré- 
miniscences qui se succèdent arec ordre , ot- 
dioairemeBt les moins anciennes les premières, 
etaprëseIle0lespluséloigDées,mémeceUesd'qa 
Age tendre , dont le malade a presque perdu le 
souvenùf et qu'il est étonné dereyoir. Ces ré- 
apparitions ne dorentguère l'une après l'autre 
que 5 à 6 jours, pour disparaître. sans retour. 
Jje malade reprend à mesure vie et santé; sa 
constitution et souvent son caractère ou ses 
idées changent : il trouve one nouvelle exis- 
tence et ne se reconnaît plus lui-^méme.' 

Il airive dans certains cas distincts , teb que 
l'asthme» la migraîneyla névralgie, la carie, 
elc, que ce réveil soccesàf de sjmptâraes as- 
soupis n'est pas a|^récîable , et qu'à sa place 
il se déclare une crise homœopathique brusque, 
pl»s ou moins forte , suivie d'au mieux soute- 
i» et progressif. Cette aggravation critique se 



D,g,t,.?(ii„ Google 



( .98 ) 

fait attendre le plus ordiriairemèat ai ai 3 se- 
maioes, et jusc^es là le médicamenî , dans 
une sourde incubation , ne cevèle s'cm àclîrité 
par aucune seosatioù remarquable. La crise 
dont nous parlons se manifeste vers le jo^,i5' 
ou ao" jour en général , quelquefois pïùs tôt 
par certains anticbronîqiies , fèls'que lepfios-' 
pkore , d'aiitres fois plus tard , comme par le 
zinc et le 5oi{/rj. (L'époque doit, ce hdusséirt- 
ble, varier un peu èh rai'âondes'individuàlltèâ.j 
Lorsqu'elle niânqué tit que lè' maTàdë éproùVe 
lin sbulagénient'lrop prompt; le inèdécitf riV' 
pas lièù dé faix îipplauctîr ; c'èit que $aris Jotfîé' 
Xi Substance choisie n'étant pas (iarfeitément'' 
hoMoéo|>atbique , n'agit t^Mt palltàtiifemftiil. It 
fatadi-a â'at[etidr£ , en «e «a(s, à voh? ce imeux- 
pfécôcê intei'rcnàpa «t une e«pëce de cri:^e se 
prononcer plus tard mus IVï^ioa d'uq' autre. 
antipsonque. C'est donc on tempa perdu pen- 
dant lequel il n'est pa& rare d« soit le malade 
perdre pdtitiDce et abaddoniierson tJtaitem^i^t^; 
Dans d'autres circonstances (nouaVaTonsdit . 
plus haut) la guérison s'obtient, et d'a^ei^oia.- 
nière durjible, sans qtie ie malade en ait épfrou- 
vê d'aggravation . appi^iaUe : cornue aiusî 
l'on rencontre des sujets très «en^blw <^«k.. 



D,g,t,.?(ii„ Google 



■( >99 ) 
lesquels un remède homœopalhique mal choi- 
si développe plusieurs troubles nerveux» sans 
que le mieux en soit la conséquence. L'expé- 
rience pratique est donc la seule voie qui puis- 
-se conduire un médecin attentivement obser- 
vateur à une espèce de certitude dans l'usage 
des puissances homœopalbîques. Nous l'avons 
dit, pén d'allopathes seront disposés à sortir 
de la ténébreuse ornière d'une thérapeutique ' 
uniquement fondée sur des hypothèses ou sur 
Tempyrisme ; et quelque claire, quelque pO> 
sïtivé et certaine que soit là marché adoptéo 
p'ar nous , ils couvriront leurs yeux d'un tri-- 
plë bandeau, plutôt que d'en affronter Tépi- 
neuse étude. Les erreurs soût des liens qu'on 
chérit par- habitude comme de vieilles' maî- 
tresses. 

Les résultats prouvent que de toutes les ma-' 
Jadiés guérissables , celles des voies digestives 
sont les plus acceissibles aux moyens directs 
de l'homcsopathie ; non pas que celte dernière' 
possède contre ce genre d'affections des armes 
plus sùrc's et plus héroïques j mais parce que ^ 
depuis quelques années., l'allopathie ayant la 
^gesseden'appUquerau|trailement des gastro- 
entérites que la rig'ueucdii régime, il s'ensuit 



D,g,t,.?(ii„ Google 



( aoo ) 
que les remèdes purs pénétrant un oi^aniMïtç . 
libre de principes médicinaux quelconques , 
n'^ rencontrent aucune entrave à leur puis* 
saoce. 

D'une autre part , les gastrites chroniques 
tiennent très-souvent à toute autre cause qu'un 
germe humoral héréditaire ou acquis delongue 
niain ; ce qui fait qu'elles cèdent avec plui de 
promptitude que d'autres chronicités, telles 
que la goutte , le scrofule , les dartres , l'épi- 
lepsie^elc. , qui nepeuvent guérir qu'à la suite- 
d'une lente révolution dans le système organi- 
que; rcvolution que la nature ne sait opérer 
qu'à l'aide du mouvement moléculaire de U, 
chimie vivaate et qui exige par conséquent des 
soins prolongés' H n'est pas trop quelquefois 
d'une ou de deux années de traitement pour. 
produire une complète réforme dans une cons- 
titution détériorée. Ce laps de temps effraiera 
bon nombre de malades , plus soucieux dé s'a- 
donner à la légèreté de leurs goûts que d'ac- 
quérir le bicn-éti'e futur de leur existence au 
prix d'actuelles privations. 

Eo général , la cure des maladies chroniques, 
si l'on veut l'obtenir profonde et durable , . 
exige une longue et tenace persévérance. Et 



D,g,t,.?(ii„ Google 



C "ï ) 

'même à qoet signé certain reconnaître qu'uae 
guémoDcst vraie, parfaite, définitive? qu'on 
a gagné autre chose qu'une palliatiou tempo- 
raire ? ■ 

Ces inotir» nous engagent à ne rapporler 
qu^un nombre borné d'histoires de maladies 
chroniques , nous réservant de donner plus 
tard de la publicité à un travail.plus imporlant 
et plus complet que n'a pu l'être celte faible 
esquisse. ' 

GASTHITBS , GA5TH0 - EHTÉBITES' CHHOKIQCM ', 
GASTBALGIBS; GA.STRODIHIBS. 

,57* Observation. 

Un rentier de quarante-six ans , sec et mai- 
gre, sujet anx affections rhumatismales , et qui 
a subi divers traileuiens mercuriels, éprouve , 
depuis plusieurs années , une douleur d'esto- 
mac , avec sensation de barre transversale , de 
tension, de constrictîon , de crampe; celle 
gastralgie se fart ressentir plus vivement après 
les repas et après la marche; le malade perd 
graduellement ses forces, et sa nraigreur 
augmente. Les ressoui-ces delà médecine ordi- 
naire ont étéépoisées. 



.:>yGoogIe 



( ?«? ) 

jHthiqtiçs ont des sypipiômes de gasIrod^^iÇ' 
£<es principaux soDt : ipéca., chupuj/p.; china, 
bismuthum, cocculus, carboveg-, calcç>:ea, 
hryonia, c^c. Le calage peD<JaDt la nuit, l'ab- 
sence de (rouble bilans et de vomissement, 
Iaiçai|scrhu.mattsinale de cette affection, qu'ag- 
grave le moiivapient , sa nature crampoïde , 
tout à la fois indique ici le choix de bryonia 3o*, 
qui, donnée le y janvier iS33, répond à notre 
attente ; china i5o > ajaut également des 
6)'iapytâine» de crampe gaal^ue aprèç l£ te- 
pasj de pesanleor et de consiriction, çst. donné 
ensuite. Le malade ^ fléjà mieux à la fin de 
janvier, reprend son embonpoint,' ses forces, et 
se trouve conaplétement guéri , le ao révrier, 
Calcarça carbonàca 3o' consolide la cure. 

-58° Observation. 

ÂodeD milîlaire, quarante-cinq ans,graBdf 
bruH , figure pÂl« , bien constitué, languissant 
depuis quelques fannée?.. affecté d'un rhu- 
ïçatisme musculaire vague ^ ^ plaint de dqu- 
l^jir k la gorge , de mauvaises digestions , d'uiL 
pmds douloureux à l'épigastre j d'une toux 
sèche plus forte le matin, et, seulement alors. 



D,g,t,.?(ii„ Google 



( ?o3 ) 
«livie cl-'aiie eçpecloraEioo mpcojp;- jcfeûsev 
L'ipspection 4ç rjrrière-boucl(e fait diçouvcir 
une coloration roiige-brun de la memlirane 
muqaeuîie, qui rç^vêt le pharynx. Celte mem- 
bi;ane estr'Jgûeusfi , bourpoufllée , parsetpée M 
granulafipiis l>lanchâ^s }. elle est sensible pen^r 
4ant l'acte âe la déglutition i la langue est rouge, 
feodill^, ses papilles j|o^levées ; l'appétit nu^ 
OU bizarre;. le? digestions lentes, accompa- 
gnées de renvois, de tensions- douloprepses de; 
l'épigastre , de fatiguç des membres , de tris- 
tesse et de pesanteur de tête avec langiieur d^ 
la mémoire et des idées,- fréquentes douleurs 
de cnnsfrictipn dans l'estoinac * avec chaleur 
de celte région j ancien suintement, m uqu eux 
yarl'urcthre, tachant à. peine le linge dujna-; 
lade. 

Tliérapie. Les effets pathogénétiques de 
strychnos représentant la -plupart des sympfS- 
pies .décrit» ci-dessus, tels que : rougeur et 
^çreté de la. gprge; gastralgie avec çoDStric- 
tioa; digestions pénibles; toux et expectora- 
tion le Miatin ;. rapports, etc., on débute pa^ 
son^ émplcn le so mars i833. 

aS- — Mieux général i le malade est plus 
gai, soft appétit meiHetir, ses digestions plus 
faciles. 



D,g,t,.?(ii„ Google 



( îo4) 

La membrane maqaeiisé dû pharynx a per- 
du une partie de sa rongeur, la langue est 
mieux , la toux presque Dulle. 

Jusqu'au 3 aTril'l'aDiélioFation Tait des pro- 
grès sous l'influence de ce médicament alterné 
avec ignatia amarà 1 3°, de huit en huit jours. 
A cette époque^ le malade se'trouve dans un 
état complet de santé^ et ne se plaint plus que 
do saintement urélbral, dont ila grande impa- 
tience d'être délivré... . 

6 avril. Thuya So". Ce médicament, classé 
parmi les antîpsoriques, enlève en très peu de 
jonrs le suintement habituel dont il est ques- 
tion, mais il développe chez le malade (que 
n'ont pas impressionné d'une manière sen- 
sible les méHicamens apsonques mis en usage 
précédemment) une série de symptômes [nrti- 
culiers au thuya et relatifs aux maux passés de 
l'individu. 

Ainsi , successivement pendant quinze jours 
enflure des jambes, douleur vive dans un cor 
au pied qui s'cnflainme, pression dans tes 
yeux, douleur rhumatismale del'épaule droite, 
puis du col, puis des lombes, renvois, crampes 
d'inteslins , reloiir passager de gastridgie et de 
toux, difficuUé de remiiér, les bras, rougeur 



.,g,t,.?(ii„ Google 



(.ofi) ; 

brâbale ft hCicé, Mpèce de cerju, ete> N<)» 
nefafttant rezisteiK» lie ces pbénoiWBW, I4 
Mnté <)n malade M foriific. *V 

' 7 mai; Bien coin{fle( , emfaoapcuiit ceunr^ 
qodile. iJans riate8tjoa.de. n^pè le este 
•oJîde et de {ntéveitic tootexe chute ,- noM 
IwminoDsptr tftie.doae deijvopoiiiiim.Sor.Ç» 
nédreament comme le précédent déTe|i^»|^ 
bientôt des effets patliogénéUquts fatigaiât; 
auquel le roalademet un tenne en prenantdii 
café et, en commettant dire» écarts de régiatej 
depuis lors il n'a rien resacnii et sa santé s'est 
aDtttentie. 

Une dame de 46 a»<, brone, forte, co* 
leriev frotssée.par des peines moraleSi éprou- 
^t, dêpBÎs qu^tfoe» mois y des embarras gaS' 
triques et des irrégularités dans les époques 
lÀenstruelles , quand cette foocUoa fut brus- 
quement'suppriméepar l'jénaétiqne et les pur- 
gatifs, qu'on prescrivait d^ins le but de rétablir 
les fon<Hion5 dîgestives. Celles •ci» à la sUite^ 
d'une telle médicaliou , ont acheré de se d^té- 
tioreret, bien qu'on ait depuis lorscbangé de 
ty>tèmc> qu'on aiïd<^té esctnsiemeQt les 



n,,i-r«::>yGoogIe 



hftia iMjMutiJqokttevia-sMité. 

Tàbmm de la maimiie au uGjëviàar. i^H^t 
SttppMssion <!•* règlet ibpais q«ltEè.n(M»; 
ÀitiidgtlsSfâientceii&tdétaUej^&léar; tsHîfM 
IM^vasj fangaâ rouge etMtburnUe; vauiét») 
kdi6û»jtg^<n ) mtmâs iKftlsns ; roiBnaeiawt 
Al toat* esjibi» d'aHi^n* t «vàraiiM particii* 
li^ fpa«r le^ftit.) gash-Alg^ie, ifuv rinaai^M 
k(»sôtaecalm« et prévient t iralap{Ktit; (bpc« 
th^s alvineè rares vl dîtiloilïâ. ' 
' Tkertpi^ De cejoiFavaS mtos alteruaU^ 
Temepl, sùyvknpsSo' H ignaUa amara 1 3*, qvi 
ciiaque fois proiii0q)i«ni;<l(s wcès de vert^es 
(aiosi que d'autres symptômes plus l^erset 
)rfii9 fbgaéei), loujouri suivis d'une- aaaéfio- 
t-aHôD nolsMe.' La malade péesd soccçann^ 
ment ; satis en élrc inconawâéiB ^ du bouîUta 
tJébwuf, ^piwlet bouilli, des dôtelellas d« 
ttibaloB ; pois , ênfio , It» atim^ns les ^m vfbe 
%1a'ritieb, sattateMiieiilipaiiâoife deulénrd'cnto- 
irnac ; ses forces , son embonpmnt ât sa caldn- 
lioii Mviennent par gradation. 

1*' avril, apparition <les uieDstruesi ' • 

■ ir — ^iiptioR orlicaiie accompagnée 

'4*(iri pforittrèï viF, de constipation, de mux 



nigitir^db, Google 



«Je tête ... Ces sjmpt&mès cèdent vd trois loorg 
à verairuin alhaih So l è\ Ts tnalaiire se contidé- 
rant comme guérie. suspend touirégimet 

; j4-" -- Tapeors bj^stér^vet» moOTcdbeB 
MngtritM *ers Is tét6; ptt^ iftatan» Viire <i»lwiiL 
iSon et It r«c* ; ébkwistefMm «« vèrtîgiii.Oii 
fetrcideod eédi^t <ii 5 jtmn i AniAiloMM wv^ 
n/lfwn 3o et uiie ymïa odoratà n. 

3 juiD.l«ineitAmti#««été ppi^'ft!. fibd- 
léur de pression eodstasle «te U partie j^os- 
térieuPe dv ta téie, tvHMr de f^i^^ Mb«i|< 
InnéM eoQtinaeb. Ces derniers efedeot <Hm 
le second joar î trae dosé acii'. pM^. fft iMli 
les tsrtige» «t U <<filiri*%ig p jHwIwH ? Jb 
ao^theRtëat Aprfea les rep» ,- nutr tcm: nnib 
d'un mîeDfc prononcé. Le régime «M immim- 
veau mis de tèté. 

iÉ. — ^ Douleurs lemlMiyeff ^u i l e y i» i it>l>- 
doiirïml, soiM autre iroràte dft» ki HMlé 4pU 
parat^brillàntë, (^onKimilb tt eidàieeet-v^m- 
ptûwCT; la ruèristroation repentit», Swié f&r~ 
Taite , jusqu'au i5 octobre; retour dé Môl- 
lemeici 3pasmodi(ptett et d'ffiie doekw inter- 
scaputaire assee Torte. Ces melaises eédeMlvtt 
d*afT coup à âne Koledose dtttb^ p ka m^k i^ 



nigitir^db, Google 



(»o8-) 

liât dan)» J-'ÀvigDon, trentd-sept aos, 
Jlmike, fflible> a^ant eu- des chagrio»j me 
«ensuite', le 2g'inarsi83i, pour unç maladie 
qv^ifiée J* gastro-eolérite chroni(]Juè*p&r ««s. 
précédens médeciosr 

■ *— TaMeaudessp^tâmes aciiiefsi 

■ ItH^eur prononcée] face TJeillie, ridée, 
JBBdâirv; laogue fendue» papilles soulevées; 
^tdeor fétide; alterpatives de- diarrhée et de 
i^ut^tioo; frissons et cjiialoor tour-à-loar ; 
lDpu*caeal fébrile chaque nuit; toux .s^uipa^» 
féhiqae» pliu Forte au-rétreil; pomeltes .colo* 

iâmii.jef^<t9\rv» peu abondantes; dëcourage- 
niect; tristesse; Tangneur générale. 
' .SUe prtndj le 99 Aa &oir eo se couchant > 
mis basrâs aptes Mn souper, str/vhnos So". 

8o>-^GhtiIeHisihoraciques suivies de l'ap- 
ptritîon anticipée d«6 règles ,. Soutagemént'gé- 

• iaa¥nI>Tousie95}'itipi6niesM$ontamëUo* 
•rés^.i^ qui fatigue le plus la malade, c'est ùo 
fipid esebasif dès pie^s , que rien ne peut ré- 
chauffer, Ce sj'mptôme se trouve parmi ce»x:~ 



n,<j-.^^^:>yGoogIe 



àeVignatia, substance applicable à l'était gèaê- 
rai de la mala'(le,'^/i(if. ta". 

i4<—^ Mieux prononça, selles. rég,ularisées. 
Le symptôme préflominant , par»ii les restahs,,' 
est UQ tiraillement douloureux dans la poîtrinr 
et les seins , sur-tout en levant les bras. 

-ao. ^— Coccuîus la' n'est suivi d'aiicun caan- 
gement remarquable. 

a5. -^ Jîr>^«rà a4Bn!ève ces symptômes, 
et ^«cure nne légët^ diarrhée. La malade re- 
prend de jour en jour des. forces: elle retourne 
à Avignon, le 16 mai, claus jmétat de saott^ 
assez satisfuisanl. '. ' 

. , 6i'0A«»v«afl«. ". * ... ,'.. 

Uocoiffeiir, quarante-trois ans, maigre, (àce 
Tieillîe , tirée, était' afTeetéiictepnis. trois ans, 
d'une gastro-entéi-ife pour laquelle ît avait 
épuisé les ressources delà médecine ordînaîro. 
, Nux vomica So". 

Guérison obtenue par une seule dose. 
. {Le maladeavait supendu l'exercice de sa 
profession ^our fuir l'itiQnencedes parfums.) 

• ■ ^*'Oèsert>ation. ■' ' t 

Une dame de trenté'sept ^ns , gros» e et plé 



nigitir^i h, Google 



C »'9 3 

thoriqifâ, sujette dêpàis long -temps aox piiV 
graioei, et ne pouvant- dji^érer, $ans souffrir^ 
auciiD aliment soUde, est traitée en vain, de- 
puis une année , par lè résine le plus séVère i 
le repos , les baioS , etc. Ellu cprotive, 4*^ux ou 
trois lienres après cha^jue lypas, qiielf^iie petit 
qu'il soit , un serrement t^utoureux. dans U 
région stomacale et Aps paroxysmes iJe so'da^ 
avec Kosation brâlaDl^gni part àe l'esloniae 
et monte jusqu'au gosnr, eii. y excitant une 
•gglnniçralion d'eau àtjj're; à ces malaise^ se 
joignent des palpitations, des coliques, une 
pression cuisante sur la tempe droite, teîn't 
jaiiBet langue rouge, faiblesse, soif, LristtiS- 
»e, etc. La malad» «MnoMOce un -traitement 
lioflDœopathique le i*' mai i83a, JS^Uad. 3o« 
et AUX 5d° font JUparaftre la migraine haU- 
tueUé et rçlablissent les digestion* en très pe^ 
^e temps. Cette dame , qui se croit parfaite- 
ment guérie , cesse tout tràitemept , et les ac- 
cidens reparaissent au bout dé quatre moû. lU ' 
cèdent de nouveap k nux et igmtia alternés. 
^ais Texpérience ayant démoniré la nécessîfé 
d^uH traitement onZ/cArônii^ue,. on la soumet 
pendant ax mois jk tinct. (nfyAunSf iaUcarea , 
f^rko. Elle se porte , depuis lor^ , à merr^le. 



nigitir^db, Google 



' ' . 63' Observation.' 

fiemoifiriledédkiMieafihiiychistiv«;Uo9*^ 
in«1«da depw atw année» digestio*whïrit«*; 

.»«A.dans répigsslre ^i dfttulordiAi; *ip«»iit- 
re», «miles avec uosentimoiU do «iotÉJemviMtk- 
jant* i'^oi «wré'spond du bàB-Twrfre itîà w^iofi 
de« reins; «bdotnen toiidu, ebaiNl, copttipi' 
tion opiniâtre; soif( parltwi TOmiswmeWi *fcs 
' alimcns ; «iicrtAroubl* reflwrquiiWe danis Ma 
«fi^rraU Tâsculaîre et reipiPâMi*- ' 

■ 4 fétnet.campkom i'. r. 't 

.5, — Urârie plus âboïMfaBte , sellfe ;.dtf fôdie 
TMte pas de *baogeifteoi. — ■ j^eretnttH la';- 
$. .—Absence de soif, de tMniàaédwms, #é 
eha^euf abdominal» , moins de gasUalgM.^^i. 
la. _ Mieux; cependant ^di^tl^tHrictt^- 
iifcres } , gasiralgie brWanle; stfda-, rtpp(*ls i 
hùih&tygtûtêi - ■.■■■■•' 

iPajr vcAHiea 30'. ^' ' * ' 

Quelques ioArs apr^ , fo uiU^se tron^ Si 
'parftà« éaéW. ' ^ 

64* (Atervatian. 

Ufi heumé de tceote-cinq ans, grand et 



n,<j„,.™r,,GoogIe 



(31») 

btoDd, «flisuyé, dix-huil mois auparavant, 
un rfaanJatUme aigu> qu'on a traité par Ids 
fMgapés I le iusùe stibié ^ les {unûgatioiia , etc. . 
j5a Mnvaleâcence a doré trois mois, et même 
-il Be s'est pas encore bleorétabU. Ses dlges- 
-liofls, depuis cette époque, iont irré^lisres ^ 
■ dlltque soir IV-Tomit ses atimeps, non pas du 
. imr.môOie , 'mais de la valle. Tous les deuXQU 
trUia iour» migraine, avec compression autour 
.«fe la léte, comme par pne corde forlement 
.a^rrée } langue saburrale ; pcftu sèche et aride ; 
constipation alternant avec diarrhée; quelque- 
fois Urines sabloneu^es; TaCUilé à,se rérroidir; 
coryza chronique, etc. I^copodàtgt 3o?, pris 
le f a avril, occasione un surcroit.de Tomia- 
att|ieas et de dépôt rougeâtre dans l'arine. Les 
.nÙgl'aiaè» sont plifs fortes et chao^nt de ca- 
^nclérej le coryza n'existe plus. 

7 roai , Ions ces malaises ont disparu : le ma- 
lade digère bien , son appétit est immodéré , 
Diais des douleurs se sont rëveilléçs m diverses 
, parties. Cai:ho -ueffitabiiù 3b', sepia 3o* et aad. 
miric. 3oo, ont complété le réubtissemeat de 
la safllé 



D,g,t,.?(ii„ Google 



( »S ). 

65* ObtervatioH^. ,. 

' Une damé cte 4^ ans, maigte, pâle etaflfectéê 
d'une gastrile chronique avec laagae fendUlée, 
rouge, vomisseineQS <]*eàu claire chaque nuit 
de 4 À 5 heures, digestions péuibles, leotcs» 
agitation', insomoie, mélancolie, dovleon tî* 
raillantes dans la poitrine et daiw les h jpocbon- 
dres, selles rares, menstrues trop copieuses et 
Tenant toutes les trois semaines. Cette damé doit 
le retour d'une santé parfaite à Ijrcopodium 3o^ 
harytaZa, et sûicufnSo.après&îxmoi? dctrat- 
'temenl et après avoir éprouvé une série de 
cbàngetnèns insolites da.n» sa mapière d'être. 

66" Observation. 

Uite jeune Temme de 35 ans, irrégalière- 
, ment menstmée, afiectéedepais4 exilées de 
-raanxd'estomacavecvomissemenA, indigestitois 
fréqDentes, coliques, maux de tête, consti[Kl- 
tion, eto.; réclame les secours faômoaopalhiquf^ 
le i3 avril i83i; teint jaune , iacè vieillie, 
«maigrifisement, voanssemens après chaque 
repas, rapports aigres, crampeï avec douleur 
ptHgnantej colique» continueltea sans diar- 



D,g,t,.?(ii„ Google 



<m4) * 

rhée..i hci Tomissemeas sont dissipés en 4 jours 
par plusieurs doses à'ipeca 6' répétées. Une 
4ose èesUt/mufnS° et une de ^ehatmm 3o' fpDt 
disparaiite le reste dessjinptômes, ei la maladf 
ÏQuU ap joortl'bui d'une iH>nne santé. 

67' Observation. 

■ ' 0n jeoo' 'lomme, 27 ans , brun , bilioso-saq- 
giiiii, fort iiient constitué, éprotive, depuis 
deuxans,(.jfpéqiiftDles Coliques,^ avec un senlir 
nientdeiioidet de pesanteur dans rabdouieii; 
les digestioDS se font avec ui\e extrême lenteur; 
la peau est fraîche ; fa langue rouge ', la consti- 
pation opiniâtre. 

iCeinaladeprend,le,i6 février i83a, une dose 
de chamomilla ia° ^choisie d'après le sym- 
ptôme càrtctéristi^w-de la.MBstiisn da fA>id 
^ui - acCMi^giie le* ccrfique»); dttuK bs«ns 
«prl», dottleurs.iBteslin^M «vec scnUmttkt jIb 
IwisKie géttâ^e dés membre»; soif; fr*icldMto 
le ventra ; faidat^ oM éi*< t'apitiw, Lm fifi» 
MÙVMU il est niieui; qu'à l'tiéliicine. 

Lftio BMtrs, U digtvfrpMfaîlKiBQikiéiMfM- 
tMn-abaMradimr.- . » 



D,g,t,.?(ii„ Google 



68" Ohservatùm. , . .. ^ l. 

GiSTBO-DÇODÊHU-HÉPÀTITB CRfLOniQÙE.' 

Une reâinie de 49 ans, jaune ,> maigre, ma* 
lad« depuis plusieurs antt^^ présente le tif- 
bleail suivant: Hévre-, ponts petit, in.^al, 
face vieillie., tiréaréataciéajfOftfofictive jau- 
qâtre; langue sabufrale; peau sèi-he; ypnii^se- 
rneiis-C'unlinut^is, suit d'ulimens, soit dé Itîleet 
Je inurus; région hépalhiqiie Tcnitenie, dou^ 
ïoureuse.'Ce't état résiste depuis quelques moi^ ' 
aux saignées locales^ aux bains, au:^ catïq>W7 
ities, à un cautère épigastrïqae, etc. 

4 mars i$53, rmx'vcwnica^io''; trois h«ïures 
après^elle suppprte gn I«>iiIllon gras, «t deicfl 
niMnent na Tomit.piB.ii. 

.7,"^-^<S^^''4°« -, : ■ ■ , ^ 

9 — La m^ade m leïéè e^ la di£e|}tioa.it^ 
fait avec ^ssez de. iaciliU. Oo^lp^ )a ^«giçp 
hépatique ^os j d^velqpper une yva^de^ddif- 
leur; dep|ii:> I^ di^nier reiB^e.-iL seitiblefi^ 
.walatle que la peau àema ventre se 4^a{çhq, 
(c'est l'expressiço àt^nX ç|Ie ^serl); ^i^^ 
sotitepu jusqu'au 19 , alors teisiQ^^iib^fHnt- 



n,,vf<!!>, Google 



( «>6 ) 
n'aie, nalaise.ânor'éxie, adrilHiéeiiPappTache 
de» menstrues. 

37» — Elles aparaissent et la malade se 
trouvant bien cesse tout traitement. . 

'■ 69' Observation. 

.. DOOBillITB' CBBOMlQeS. 

Uq teneur de livres, 35 ans, grand, mai- 
gre, cependant fortement constitaé, est af- 
fecté depuis longuesannéesd'ttne maladie que 
la plupartdésinédecifiscoiisultésont appelée : 
dtiûdénile chi'oniciue avec ^altation névropa" 
, tbique. 

Tableau de ti ^lad&. Douleur pennânente- 
et rjuclqueftHS lancinante dans la rfSgiun duo- 
dénale avec déliilité géné^rale , chaleur à' la 
paume des liiains; langtie constamment sabur- 
Yale î'inappélenCe ; serrement douloureux an»- 
'Ibur des tempes'; tête lourde ainsi qoé les pau-^ 
"pières sopérjern-eslsor-totii le matin... Denx 
^oses de •h'tjonin^^*', non saivies d'a^grflva- 
■ tidn, suffisent poor'rélablir en peu de jours l'é- 
^âl'flôrmal. 'On termine le traitemeot' par 
tià^t. mlph.So''. 



D,g,t,.?(ii„GoogIe ■ 



k (s-?), 

•^(^Observation. " 
SOaiS pB.COI.i7fi ÇlIRpHlQIIE. 

Va agent-de-phange , quara'jrte-ilenX ans , 
bruD', grand, sec, irritable ^ n'a jainais'eu ui : 
rhumatisme , pi sjphilis ;. est malaje depuiS^' 
quinze à seize ans, époque; d'un dba^ia violent - 
qu'il essQ^'a. 

Tableau de. la maladie : bon clat, des ap- 
pareils digestif et respiratoire ; tous lés jourt 
de cinq à six heures du matin , Jj^nialade res- 
sent dans la région hypogaâlil^ûe ,, une dou- 
leur gravative, suivie d'q ri besoin urgeM 
d'aller à la selle; il s'y présente .d'abord en vain, 
perçoit la' sensation d'un corps dur dans le . 
ventre. Ce n'est que tleiix Iiçures après cette 
première tendance quotidienne,, qu'il peut 
rendre des matières glaireuses, eoveloppét? 
d'une pâte blanche et quelquefois de sang; Im- 
médiatement après cette déjection , le malade 
éprouve une: viclctite cuisson a l'anus, accom- 
pagnée fréqoemnieni d'élanceinens dans'.le 
rectum, dé ténesmeel de besoins ractices.d'alleT 
à' la garde-robe; sommeil ra^, urine' natu- 
relle. ' 



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( »i8 ) . • 

Le choil. du tMhét^ ^WCmI n'éuit pas fa- 
cile; plusieurs des s^mpiômes de la maladie 
étaient desslùés dam n^i Sa' ^/tOfwn , de 
Voltinder, iu ' colijbicum , da cA«a^du l^r* 
trat. sïih.y de la erroné, tfe ^Apuh.^ mais la sta^ 
phjsagh'a eO réunissait le pTas grand oôËobre. 
Itpremt le i3 lévrier )834, une dose de 
celte sutstaoce 01**. 

16 eli 7. — ExacerbalkmdessjrmpfÔmcsba^ 
bhoels , suivie d^un mieux général.' 

ao. — Lase'tràatioodecorpsduretleténesmc, 
<tni disparu ft^si que le. besoia. pérîocfitjae. , 

'^8. —Tout est mieux au bas-veotnlf, maîsU 
fnalaaie semble avoircbangédésiégeic^estres- 
tomac qui est actuellement affëçlé i là diges- 
tîoD est leote, pénil^e, ta constipation opr- 
niâtré ; on prescrit ; ^rjrchnos So".' 

13 mars. Le malade se trouve dans nà élit 
complet de santé qui s'est mainlCDà depuis* 



, CWJQDS!»' WATliQttn. 

Dame detryiie-sixans, brnae^douref ajant 
fssu^é de yioleos chagiins , est traitée alUpa- 
tbiquement jponr nue gaitro-éntérite cbro- 



D,g,t,.?(ii„Go'ogIe 



niqnej qui * laUsé des traces d'engtn^f ment 
dùulotireux au foie j\ de te ai ps en temps la 
r^on hépalique M tuméfie, dftfient ex<*es- 
siïeD)ent sensible ao toucher ; elle est alors,le 
Mgfe d'élflncéfflsm tU$^ et.pn}famJ8 1 ; l'épauie 
«1 r«wopUt9 dreilie sont dovloBraUS') «t U 
Itràt ÎMntt. C«s panKysmes dureHt pltuHwtvf 
ioan»ile eédeal pas.toBJoqra as» bûwf t «t^ 
Miigss^) et oaswnl âi^io$ir«rafeqï d'vfia Bifl* 
iiière bFiu<{ue> La DiUadirest ea OHtr* a$èctf« 
d'aiitt niétrorrhagia plq» o« moittSi fpiSe ^ nùtb 
contineclU , qui épuise »bi forces; pA$ d'apr 
pélit, amàigriiiemeiit, <clé)«ctioris Qaiurelka-.^ t 
traitement hoiucBC^H^thiqtie «oirtnt«Beé l« 2e 
Janvier. 1,83s, f^a niétr»rrhagi« 9:céàékpfd' 
0Mtitia i%", êl cb4M|ii« (oi^ qu'us M^ê» de 
con^euion doatourewM s lieu mip la fci«i ii 
céda comm* par eit^haeiAmeiit à àfatOum. «t 
iistr)Khiios, mais ils n*Qi)t'cea»é.<«tièrertieQ(^ 
^ue depuis qu'on a donné 3as$^aiiila Se", d*M 
le soupçon de l'existence de i^ue1q«c9 ealoula 
biliaires..., quatre dose» ont été prues dai)a 
- l'espace de deux mois. I^ malade- n*a ptak 
kovfi^t : elle f st grasse , fraiche , jouit d'iio 
bon appétit , et set forces depuis Jai^-te«pt 
hriséetr lantMranuea. 



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C «ao) 

. ^a' Obtervatâm. 
HfitKITSS CHBOniQtrSS. < 

. IToe femine de 36 aos, grande, forte, bien. 
Colistitaéé, à là suite de ses coactieS est at' 
teinté d'une méti-ite aîg^ qu'on ■ maitrise 
ftvec [Veine à t'atde fie plosieur$ applipations 
de sangsues, de saigtiées, de cataplasmesy etc., 
et qui meriaM de passer à l'état ebroniqoe. 
An boni de deux mois^ la malade n'a.pti en- 
core abandonner soE Ut; prostr«aion» émt- 
ctfltion considérable; ponts ifaible, fréquent; 
face gH|^pée ; abdomen tuméfié, doalooeeox, 
sur-tout à Ja pression j sentiment de pesanteur 
Ters le rectQm; douleurs qui s'étendent le. 
long des cuisses; globe nlérin développé, dar; 
coQstipatioo ; dysurie ; lechies su ppriinées. de- 
puis le cotnmencement de la maladie ; langue 
sabnrrale; soif; inquiétude; d'après cette 
coïncidence de ayniptômes gastriques , on Croit 
devoir débuter pars«ryc/«os 3o", administres 
le la févrietiSSa'. Deux heures après, laniar 
Jade éproqye quelques borborygmcs , et sent 
j'epai'aître les lochies; le même soir, selle oa-. 
lurelleet digestion d'un potage bu J^cas. ' ; 



r:,9,N..(ib, Google 



(.»>)■ 

s*' février* Face «paoptiiè ;- l»fgue ImuM;^, 
tce, presque neUojréç; aBdoOiin moins leiwlv, 
«iipporÛBt ' Iç palper; «bMdaoce d'ecou^- 
menl va^ïiul i pools nornàal ; ippétài excouf ; > 
on permet des idimens; - • , - < 

„ Huit joursaprès,, la guérisop esl cbtnpIètB'. 

Ce fait et bico d'autres de-cèitte ualure, pu*' 
raîtrontiocroyablesanx médèciot «Ilopalfiai., 
iiccQàtumés à roir ces maladies roùsterpéiH 
dant six m«is , pn an , deux aiis et plus; ao 
xeposiar nu lit, aidé. dsf dièle Maucbe, A» 
£aignéesTép^tées, de cautère» praliqwpaAuf 1m 
lombes, et , malgré ces tortures y pa^ietr si so»* 
veut encore à^une dé^néreseence iacorable. 
L^ plu* sa^ essaierûnt ï le plu» grand tuaa» 
bre dira le fait est faux.; 

' ■ ^ " "ji* .Oèseivatiôn. 

tJfle femme de trente-aeptaiM, maif IV, pAlsr 
ttfiivt jaunitrc, uialade depuis trois ansj époq[ws 
d'une couche laborieuse ; utérus engorgé, 
. sensible au loucher, abaissé et tçgèwfiient 
dévié à droite} leucorrhée abondante) g«*a 
tralgie ; dif&cuUé pOnr digérar»; déjetiltOBif 
doubu.reifsçis ; fréquentes ■«uivie* ^vxmtFt 
men^ues diminuées, e^ pi^cétlées pvodaBfc 
i5 



D,g,t,.?(ii„ Google 



s-j<HM'(fo 4oit1eun1on^ttvs et cfu- 

r '-4 >^ninev $^»AMr. &. L'tHérai ,' après 
q^iri^BM)Mnjpàralt plus bas. Leï s^Âpi^mes 
V'ageravent tous ; il s'y joint de la céphalaV 
gwâT«o«latiOemeii«) des dotileurs de traction 
' aimi les jar[«t8-«t dans les cuisses ; démao- 
fjgpHMMu sar les èras et la {HHtnite, ardeur et 
prurit' à là .yalve, dégoût èça aUmens lé^- 
gK^ et (les friaÉdes btanchcfi. Ces 'pWno''- 
iHMinpi s'apaiséfrt 'gradodlemeift. L^tfpocpie 
dti «à^as.arrÎTesansdouleur; elles sont plas 

,. fi.in«rier. fôgettions merireares j l'engorge- 
vonit Mérin epfltiMenoe A dimittuev ;larnaladè 
prend eacore plàtina Gif , acid. phosfAx'^'. 

30 mai. Sa santé ^j;. p^rfiiLte , elle tr*à plus 
de leucorrhée ni malaise. Au toucher i'Htérus, 
çii^Bjvtbn «Mt lïfttnrel.- - ' ^ 

.74 Observation. 

' Une Espagnole, 36 ans/Torie; sangttine 
BiMi amaigrie par la souffrance; est traitée, de- 
péîvfl"ai>s et Sans soccès ,- par le^ prebiiers' m^- 
i,9 àm d» !^s pour ane affectibn chronique 
Ai-4iiiiltric«, stiife id'itaç coiachë là&orieusË. 



■n,<j„,.™r,,GoogIe 



( »>3 i 

q^fihrçeolU malade àj^ardev la jx^^i^ofi ^Oix 
rizpnlf4ej^<lj5une;.coliqHe8 ang^âe^ifit^à 1'^- 
]iO(]pe. doD règlçi , qui çofllept eij , c«Uoi^ d^ ■ 
S9ng noir et avec des coatràctions très duq- 
Jçifivus^. dail» le ^irventfe; afNràs cha|i(ue 
«|)pqp«j urines épaisses et sftDSi^fipQçlelir^iur^ 
dans leâ f isins. . . ■ . ^ 

*i féttier:~Q}muat.mac.5oS' après dîyers 
phénoixièaes^provRqutîfTers le i5, c^|;(]b {^ 
Maàltiie aigqë» avec Qè«re «Fdiîçte , Tiis p^n- 
c«m0a»f sensibilité extréipe da . ^s-v^Ue, 
suppression de Vucine p{!p4aot S jOQfSf W4Sr 

. mes, etQ. CeUe;crise passée tout rentre dans 
Tordre et la midadesftcoiïTç beaucoiïp mieux 
%]a'aTapt de coqimencer le traitement. Son 
teint Se colore ; ses forces renaissent; elle peut 
l(eje¥pp,,mar.c:Uer£t sortir •. ■; .. 

' 18. -rr Nouvelle dpse de conîum 3o*, ^ûi ne 

' proyotfDe pas d'aggravation'. Le mieux £e sou- 

t^iat , 1^ malade engraisse et sa guèrison Se 

j^^oiirDie. ■ ' .' '■ 

' y^* Observation. '^■'■■■■ 

UftTBiLGIE rsBIODIQUE. 

- linp r«vunade.sgi|n3, forte >pléll|pri^ue. 



n,<j„,.™r,,GoogIe 



{ »«4 ) 

chaque période raenstriié)tevi6leD|$# coliques 
qui dorant <]uelt|tiefoi3 ptusieDtf. jours et qm 
depois 3 ans j'avais allOpalblquement trai- 
tées par les saignées , les baii^x, stttpéfin». 
etc.... 

te'iS férlciér i853 l'âppi:odie iles r^éa 
ayant ramehé'lesaccidens ordinaires, je donav 
puisât 3o*; mieux deux heures après. 

16, 17. -^Calnie soutenu; la nrâladfémec^ 
veillée raqoeàses affaires dornastîques.- 

18;, ig.' — Apparition un peu anticipée de*. 
règles... \j6 mois suivant absence de colii|ues 
"et c6mmenrinnent de grossesse. 

76* Ohtervatioit, 

■ ,■ ' . . ■ ■ •• 

CTSTITB CBBomQDB. 

Cointçde**%, ancien mititoirei, grand, blond, 
caractère patient et doux; détenu triti irri- 
,tab!e par 10 années de snoffrânoés, n'a mm* 
Tenir d'aucune allemte de maladies OiiahéeS, 
niaû a subi pbiiiieurs traiieûieps "' merca* ' 
riels; tourmenté de plos en ptus par Tétat 
suivant : 

" Vertiges fr'éqdens >^^ embarras de tête, perce 
de' la "mémoire ï bourdonnement U'ormllèrt 



n,<j„,.™r,,GoogIe 



<«5) 
4é»ip e]Uréme 6a Wpoi , NiélMC«fi«{ fx» 
ttèîm stftceptibililé lierretiK ; tbatfe Ttrntliati 
d» lémpéraltire aggrave les i^roiplànies. Bii- 
MsM» dn jamliesi incoaliDeDce d'urioe bqc 
tatne qui obligf le malade de s* levet Saîoia 
diaqne nuit; copstipalion opimiire; Tomiv 
•eiAeiisglàireuK ; îosomnïe; crampes dotilou- 

-' renses dan» les -jambfs. , 

Gè malade qui a depuis long-lemp» épuisé 
Motos les ressources de la médecine allopa- 
thiqne', coimiience wn- traitement~%t)incec» 
pathiqne I^^P arrit t ASft. Sous rinfluenee dé 
cartaabié i** et ànemmte la^ allernës, l'éM 
4t( .malade s'àDiéliore grandem&nl. 

1 9 mai. Cqiuu/r ffu^/. 5o9. rapiielte toiis les 
«ceide^, qnVn pallie àe nouveau par càtMA. 
«tdpwm. -.. 

' a jnîllek .<7ausûiciivn So'',. qui. ve» le-iS* 
îonr produit de Violens spasmes vésicaux avec 
félentionBioiiicHianéâ d'urine, vomisaemeoi, 
deutenn lombaires , cràmpçs, eic.ideceBh)^ 

. ftieni mieux soulend. 

Zlë€AuTmct.safy>h.Zofâo)\ne,9nhmAàtf 
<pM4qoes- jçitrs, de l'oppfwù»n , des viMiiisf* 
mens, de vj^nes douleurs riiuniatrBDtalM.{ 



n,<j-.^^^:>yGoogîe 



leaialade ttt maître de ses wis«t| ildoai» H 
ftébd des Caroes, deFient moins inriuUe. . 

de temps ) àckèrent iwè guéri'ion.qniai^eiih- 
d'liui nelnise rien 4 désirer.-, 

. . ■77* Observation, • ,, - 

ORGHIONCIti: 

. lin négociant dlleatand, 5o «as,, b^ndi 
l^mi^ul^iie, futaMekt, en iS^,d'une««4t 
tlirlle iotense) dont ta snpprbs^^^ilétera&uf 
Kue prsbite «iguëdu côté gauche.. Vjvemeitb 
atta({uée parka majens appropriés» léls qob 
aaâgQÉes .générales et locales > . glacfi >. Q^t 
}J«Wtet) elle ne se teràiiu» ppiot par une^n* 
solution franche et Jàtssa lin engoc^MMBiA. 
ehrontqùe: de r«pididyiue, du cordpn etd'gne 
pûrÙQQ du test... . Frictions, fô/t^aas-t fxiinà 
içiduré», rooi sudoHfiqt^, etc., touf fuï juise% 
usage. A^ l'aide de cette médicalioD, Ippgf^ 
ment continuité , nous parvînmes à i;édiww 
1«( «mI : mais le ftiajade oonsçoa l'q^dÂd^e 
de la grPs^^Q^ d'une noix r ^t. 4urçi i. V4g«f 
dWejÙËOTft.. . , . ,■ 

Tel est encore, deux ans plus tard, l'état de 



nigitir^db, Google 



dette pfiriië , aà môis^ mon i%3â, qotniile 
bialade , qui ««itienAent avait cemptééitr lè te- 
coarsdu-temps, et qus sa posiKon ïMîTâtMF, 
r^aii)e|Kos4aitleUinéiliO}J«,(ipitieeop«tWfIue- 

S-tnara iS5^t. PukaiHk i%'..T,tOÙ heurts 
aprèï, chxleuF insolite dstli l'«rgkDe UiduFé^ ft 
(lès']ç lendemain changament. daos la forme 
,et Ttlt^nduc de la tumeur. 
- 1 6. — lodium 5o' (ait faire de rapidçs pro- 
gpès à la résolulio^. 

17.-^ Nulle traiïé d'eogoî'^'èmènt^ Lk ^ma- 
lade pië lait alors hemarcjner une lâche rouge 
el indolente sur le gland :- j'ouvre le répe'^- 
(oire de Aué)t«rt; et'tttfaf ë c^ iyAtpt&me ^aij|ni 
(deux du H/ttnmt muNàtieUrh ,• il pWtid. 'd^Ufc 
globaFesSb, et tft)is]oufJàpr6sj la tàcbe *dt!^ 
paru. ' ■ 

Ce même jeune homme, qui if*élail- toujours 
bien porté depuis, cttntFaiÈiteA le li juillet i83a, 
une uréthrite aiguë. Certain pharmacien lut 
administre lécbpahii; il étl Hstillé, |lar 4né- 
iastase, titieorchiteaTeceiigorgerttentdD ùaf- 
don; le-pduïs dtl^, f^râqaeota ii{^p>ul8atkiiiw; 
dotilear »i tiaïente- que le malade oa pedt 
iàléret dA foiiMDtatiMis éospUietUes; 

Accmitum 3o'. Une heB|!a.a|wb, le p9^ 



r;,,v^<!!., Google 



■ ,{ 338 ) 

Bi*<lè«e à .1 «â pDlsarions^, rc ralçirtit IneAtùi» 
vi Uevient ap^Hcfué au boat 4ç 6 (lênrrs. Ia 
^valnir «Btlft mette., 

Pulsatifia I3P, J)eiix fa^ores aprël ,-l^P& 
•ogmentation de Moteur avec élttneemibns, 
^is sèdatioB complHe el soinnieil pabible. - 

i6. — 0%palpe l'or^ané malade siba y dé- 
velopper la^QOindre doul^ur^ Bouillon > mu 
sucrée. 

17.— La tumeur est 'diminaée des irob 
. ji|uarls '> toujoun inseasible. Le malade se 

^$. >— EUU, «tetiopMHv^ >4^rum, 1*° : dèi^x 
joars après, le maladewrl, M. P., pharmacien, 
téfnxrÙQ do (ait, n'éo peittcroireses jei|X. 

. . ^ 78' OAwri^ition. 

ipiDiomiTTs. ■ ■ 

. UH; jeune tromme, 3p ans, graad j Jbload, ea- 
n^4tredâu;[> a depuis long-temps un çn^oi^e- 
meni clireniqne de t'épididjrmej d'où ^elcfee- 
fois'ColiqueaetéraDppcv du cordon 1(^1 tculai^ei 

ao m9.T^'..Pids; %é^. Mieux 6H le lendemain 
ei progrofflitement. '■'■'■ 



-,; Google 



C "9 ) 

s8. -^ T«Ht e^ «lisfam; il firend-par fni- 
■<lei>c& iodmth *o\ 

1> malade est xlèLivré d'un reliquat qui de 
,(«ïi>p« à antre reyétait L'éUt aigu /te foeçait 
i>*alil«r, flécmsitait une médication antipblai- 
gùfti)|iie aiCjliTè, et ne se terminait jamais par 
tuw franclie guéfisoil. . 

BKITM4T151tC8 CHRDHIQUBS. 
■j^*'Obiervation', 

Un faôtame, 35 ans» blond, a>loré, peU 
d'embonpoint, d'une grandeviprTosilé. lUiu- 
matisme depuis la anoi^s, vague penda^it un 
temps, et qui xlepuis quairâ ans siégé à la 
«disse droite, sous Corne d'npe sciati^u^ ner- 
:veus^i c'est dans le repos.que le malade sou lire 
le plus; il est amaigri ; ép^uvé de. fréquentes 
coliques, et uoe propensioa continiielte au 
sommeil; dn reste, intégrité des ronctioiis di- 
gestives e^ respiratoires, ■ 

8 juin i85a .CltamonùUa i^? répétée tous 
lea matins pendant quatre joatsj le ciaqi^ième, 
pins desommetl diurne, ià de coliques^ nide 
ôérralgie scia tique; le rhutfiàtisme s'est .dé- 
placé, ce qui n'était pas arrivé d^uîs tiii 



D,g,t,.?(ii„ Google 



lông-i^i» , et nëgé acta^llMnent snf'les ge^ 
noQx, avec une seDsatioD défKHct, etnoiMre 
indiquant dtdcamari» s4'( qu'îl-pretwt te ■ 

i5. -^ Après ce remède exaftpêrattoti <J«i 
douleurs des •genoux', atçb la setisnib'n'qti'olk 
éprouverait en passant d*ini'fpo'id t^S'ViEÀl* 
chaleur da Jeu. Les urines ce jùaMà s6'ht'tlr4^' 
abondantes. . 

Deuxième jour de raction du remède, dou- 
leurs vagu^ diiM l«3 j«ti]J>e&' 

Troisième jour. Douleurs contusives des 
IreÎDs et des gônotix ; sfelleS jauhéh'W qui ne 
sont point DrdAairés au mahdé.'Lë 9Ôît cf« 
be joiir-là, le tiià^dt; ressent ddn rhùnlatiï&nt 
clans plusieurs pâtriiee du corps, cottimë Cèll 
avait eu lieu quelques ântiées aiipâravjinft 

4 juin. CuliqueS et évacuations {aunAtfes,* 
icopieuses, d'une ddeurlrès fétide, upiftejituné 
terne, perlé subite d'appétit ; doolertî aox 
oriioplates. ■ ■■..■-■ 

&. -^ Peu de forces ; mstisles ddoletffts «sm*- 
. hlèiit assoupies ;' l'airpétil se. réveiHe. 

6. -:- Palpitations TioleateS«t doifldareutei 
du cQMïr, ratés Tatigans lA nuit mlvaAte. ' 
' 7. —i Retour dti rhumatisme à i'éplDé-dcâ^ 
aalé et i,la jaihbe gaudié.) 



D,g,t,.?(ii„ Google 



(»8i) , 

6.-^ Kieiix ^ô^àl . Le maladie qmttè ton' 
gilet dé flanelle. ^k :\ 

- 3,5. — Rhus teadéod^^on a4''' ^^^o"^ *I^^ 
tAiti^tiratiotiïal>o&é9 depuU pln'sieiirs^iiftébs) 
M sfe croH gaSri. ' " ", 

- Da ag ftu 36. -^ItetoQr- vagué 3é tbiis lés 
fiiix1aÎ9<ésénuhiér^, Sellé aiingdiki6Ienté(ac£lôri . 

i; ïi 9, 4 fùUiar Failles. paTpItatioilir; lé- 
gères coli<|ues qui se dissipenl en matigeanc; 
iknileut^vagtMsqùi païsbiit eÀ maFètiant(iéfltit 
{taractérj^iqu» jdtt rAtu,)' 

S(— ^$érj6 d« sensations tiOBTellës, incon- 
n«e4 an lUftladô ( effètà pïÀogénétiques dii 
rhus). , . ' ■ . " ' ' 

JEN»6 aii Si -^ Rettfar de donlèan pSM^es; 
mais, dit ie mslridË ; je suis saturait parce 
()u'elle»^pbM«ni lé cïciiét d'nné chtise ârtifi^ 
ùelt» ; jd Mii's que \elè^é.i, et qu'en tnêmé 
temps je. Be les ai pas . _ ■" 

g. — Dépôt brique^^^s les dririés^ '' 

- -il . — Bryonia alh^^. Légère tolnjne ; 
évftèQfttioDS jàofles ; ressentiment 'Sur ^lâ- pbï- 
trine "ei aus janib^ ■t!''une chdéur Vive 'et dou- 
loâpMHw , sembhiblé à 6e qu'il ârait rèssiïhti 
ëpHîSFuïagc destaox dàhs i'orîgih» Âé l'àffec- 



n,<j„,.™r,, Google 



tioA tjiùiaaiiwflwle. ^ Ge^te cb^nr m yorte |nr 
la tég:ion 4u'cteiir, jUaut se dissipe a^rëc le 

; 13. r-Poiireiir broutijle.aux iaaUéuleft.i.... 
JjB malade reoiarque qué.depoii le défilacie-, 
ment de s^ sciaiiqiie, m urines ont {lerde 
leur limpidité .et que sesidéjectioDs aoat con* 
sUàtmeot jaune», ce <{al ne lui arrirak «être* 
ffWj^'â d(â épiH^ues rares d'exaoerbatioa 4e 
sa maladie. > 

I Ç. -T-, "Noufelle dosé de rAiu....T<)i»'lei 
symptômes prépédeniineat éprouvés par L'effist 
dé cette iubsUnce, ae réveillçiltàlalbia arec 
pljis de force et deperuitarice qu^àprèf la pre- 
mière'dcKe. ■ ■ 

i^. — Le malade éprouve, à huit réfwl^es 
difféçeates, One série ^de pulsjuUonseitcaordtr 
■aires du coeur, ians doaletir et sans angoissé , 
sprtsqiuùil ressent, avxeut^setaDx^noui:* 
les douleurs qu'il lecoonàtt pour apparteav 
au rliumatîsme. ^^^ 

:^o... — Ifigratne^lFopdinaire au malade. 
le» J9BI3 stûvans faîiïlés resâentimf»!» toa- 
joun aUiibiiés à i'àcttoa du remède. - 

ï5. T- Peur la deuxième fpis duicàDùu». Le 
i^aUd<i t^ue_ à ses affaires av^ uws agilité 



,-,... :>,GoogIe. 



(a5S) 
.MT^anante : riea. n'égale sa. joie de «o»t 
.aeStrc à la fiu la sftqté. IL preod <U l'emlio»- 
poiot, sa BerTosité dimioDe / a«B Umm mg~ 
meù^at. Centvaiocn^ la^nécesHlé d'ua <^loiig 
trailenuiot. et résolu, de . le . pdanÛTfC », U 
preitdle ■ ,, 

5o. '■ — Cario vegetabÛff * 
, i" septembre. X^vqpoif. 
. 35 Doven^x^. T^ja. 
. . ^ vtrA- Graphmks. ■ " - ' 

. Si, mai' SHicea. GeUe . péreonne fooit au- 
jonrd'faïui.de la plus âoriùa^te -santé. 

Aucun malade ne m'a préseoté une sdscfp^ 
■Utilité nerreuse assii apte qae la^siénne à re- 
iMTOir l'impiesHOD des^ RHÛodres actions ha- 
mttoiMthiqiics. Je possède dd étonne j<^ro«l 
des tympianB» éprooTn dapt il ienail noie 
exadé , et î|a'oi> paunnt croira cqpîé sor ta 
uatiire laÛicale pure. Ùm%- àrcomUafien 
«atdlièreût a« plus haut degré sa torphte i / 
- 1 ? Iiaverre poéli({ue qui lai surf iat pondinl . 
ruaége 'deoêré» ««^. 

s* Les jèVes effra;aa» qoi accomiwgnèvçQt 
celui de sâiceà. 

'- Un négociant; 4âans^ bran, fort; ayant été 



n,,:-.«::>,GOOgIe '" 



■MÏlitùte, H ayant fait ^iiMênTs c 
« «é îaHi&^n flux bimiwrhoïdaire, et s saU ' 
4weNtMitanBeQs aUopathùjiws. 
' Lernàlà^ Qsdor't point { il na ptoqt 'art^ 
«ijlOT^lilMnmtfitaes paroi«si l'aphonie est quel* 
quefbis coinpiète ;- constanle doal^iBr-^ 
^{tfessioD soF le stenuua et entra , les omopla- 
tes ^ exaspérée pu le imAi venant des bras 
et la proiiation duttçrps} s^uion gas- 
tralgîque qui fait croire n ifui^ade que son 
aitoone va ' tautbor t diSculié pour napirêr ; 
fréquè.nçe 'du pouls ; langue utte ; digettipp 
infime i afiptiit bon. "- 

i." fnriar i S^.iS^wttù uH. So^. aousl'i»- 
Aoenoe da ee asBÙde^ la caMtipfrtion oèda i 
l'apbôiMii'e^iaasawnf ladeulea» dprsq-^stat»- 
naia «agiitentaid pendaat déaz josps, apris 
iRpinviaM airjAtHidepiaiit «anéit^e. / 
' àS. :*— Ëàpaoe de tovlipulis , et JDgme&Hir 
tioD'de>piaIiiia»,:aU[ibB^àJ««iu Aas^tamT 
iM^ne que le. oaakide a bu. ^tus-raiSciais, 
3o**. — ^ L'acdon de cette «iriistMice b'aeeani'- 
|H^^ ^ quelque» pbénOff^aes de peu A'iax' 
porlance et le 

2 I. — Lemaladbaa ngatfde comme coffl< 
l^ifiwçiit gnéci» Depiuj) b)rftt.iiya rc^UfoU 
Bucao <aala^> 



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'{ ii55 J 



tin Cocher , grand , fortement' 'constitué , 
es( alité depliii Dti mois par suite d'Une ai-thrite 
du genou et du pied gfaucbe , avec gonfiémcnt, 
chaleur, souffraoeé plus vive la nuit , pas de 
soif, apyrexie. Gra* sjinpiôines sonlJêssinés 
parini ceat Aeptdsat. <Ju*il- prend à ïa dose de 
18", -le 5 février i833. 

6.— Diarrhée n'octar ne (éfFetde/)u&.), élart- 
temeas vifs, et diminution considérahle'de 
l'engorgement. 

7. — te pied est entièrement libre , tout 
S*est ïxirtéali genOu, ledumpal. la". 
:8.'—^Le malade peot se levcp et sortir. • 

■ 9. —Aprïs être allé à pied du centredè Pa- 
rts dans.undes faubourgs , retour dé douleur, 
avec raideur articulaire, sur-tout au geriou , 
fycopOifium Zo" . Mieux progressif. 

■ 30. -*-Le malade est gaéri. . 



~ Une jaréiniére , 4o Sus, gtioée , brane, a& 
fectée dej^ujs plosieurs années de spasmes , 



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(.56) 
tantôt h5stérj<|.a«, tantôt épileptiforme», après 
uaAe ces accès,. demeure affeçlée d'hémiplé* 
g^. Les r^soufcesde toutes les méthodes épuî- 
jféea , OD a recours , eo dertiier ressort , à la 
médecine hoinçBOpathi(]ue. . 

Tableau de la maladie. — Prostration des 
£)rces; face injectée , avec torsioD^ des traits ; 
strabisme ; con'jopctive ronge; paralysie de la 
paupière supérieure droite , de la moitié.droite 
du visage , de la laiigife qui ne peut être exhir 
bée, du .bras et -de la jaml^e droite dont les 
inouvemens et la sensibilité so.ut abolis; eo 
outi'e, douleur de télé permanente à gauche; 
fièvre; vomistemens vcrdâtres; constipation. 

iioiars iB5i: T-l^lle prend j/)t!c. 6** : vomisr 
MOiens modérés. —3 beiires après , nouvelle 
éçte ipéc. 6* : romissemens arrêtés. . 

a u matin • — Meiiç. toi. i s*** : une fieare 
après , agitai ion con vulsive , aalivation ({ui dure 
3 heures, dilatation monientaoée des papilles, 
douleur ^ntanée dans les musclés paralysés. 

6au matin. — Mouiremens pénibles des mem- 
bres paralysés ; la parole n'est point encore ré' 
îablie ; la cpbsiipation est opiniâtre, camphora 
1* : selle naturelle dans la journée. 

7. — De nouveau merc.$t4,i%"'. . , . . 



D,g,t,.?(i h, Google 



Li,-^La malade est levée, Mproia^nedi^s 

s^n jarnin.;ei[etratneen<*oteotipBa la jambe, 
meulàssez péniblement le bras droitcpii n'ap» 
recouvré sa chaleur natureièej les jeux çst ^ 
face onl repris leur écal nwaïal oa i peu, près;. 
l'embarras dc.lit parole n'a p^s claijigé.' 

TJne troisjème-fpis me/c.^o/. la?". CçU«Sfi 
close nîagit pas du tout. >/ ; 

i4.. — Oflàtm x"*. Ce méclicament tbiuU«. 
donaer un peu de liberté à. l'organe dç la pa- 
role , mais réveille des spasuiçs terribles , açr 
eompagoés d'une espèce de danse de Sl.-Guy. , 

i5. — Bellad.Zor. 

16, Tout est calmé. 

Huit jours ajirès , la malade est guérie. De-. 
puis lors, l'aj'ant complétemt;al perdue. de' Vue, 
je lie puis attester que celte, téinme n'a pa9 
éprouvé' de reobnle. Il est probable , au con-- 
traire, que celte cure n'a été que palliative : 
UD traitement antipsorique ^ait indispensiibla 
pour la rendre définitive. ■ 

■ , 83* Observation. 

H^MOPTirSiE "ïT inciittie-ciisoii'i^TtrB. 

Une dame de 5â ans, ,gr«pdej £prls, bnjiie» : 
16 



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(3S8) , 

ttté ^Itirétf , ifflict^ /depuis plusieurs années, 
dé ùfîttihemctis'cîe sang auxquels on avait l'ha- 
MlUde d'ojjposw des portons astringeniés ^ des 
sil^iiéeS ; dfe« sînapisfties ; etc. t'ateil accîdenl 
sârVenà le 26 ittars 1 855 m'amène aiiprès d'elle . 

Tableau tiésvfh^tômes. Face coltifée , yeut 
btillïitis, poids -donlodrcux Sur le slcl-num'et 
entre les deux épaules ; chaleur et bouillontle- 
iftfrns dlin^ la poitrine j râlé crépitant à l'aus- 
cntfbtioii médiate ; toiix vive revenant par ac- 
cèl à heure indéterftiinée , et suivie d'expcclo^' 
ra&>n d'au sdng put , veriàeil , ratilant ; dou- 
leur d'érosion à l'arrière-boathe ; membrane 
muqueuse du pharynx roDge ', tuméfiée; es- 
pèce d'olàlgie dû côté gauche ; voix altérée , 
pftt^le pénible; respiration inégale, fréquente; 
pOUls dur , aécéléré ; inlégri té des autres fortc- 
lioris. 

■ yiconitttM a4** répété ce Jonr-là deut fois ei? 
ift'^tives , tend le pools normal et supprime 
complètement l'hémoptysie. 

Le lendemain 2^ , peu de toux , douleur de 
la gorge qui prédomiuc. Paris qualîrifoliata 9' 
répond à l'aphpoiè «bmme fthx symptômes tho- 
raciques. Sous l'influence de ce médicament , 
UiSX ft'âmélKn« rarement. La malade se croit 



.,g,t,.?(i h, Google 



( 135 > 

jotits- ' ■ ■ .' ' 

ai avril; —Légper ïetoôt d"ê ddnTéàé à là' 
got-ge avec lésion de la voix. Gesaccideiïs cè- 
dent promplement a cai'io veget. So' , ella 
guérison depvû, s'est Qonfimwfs - 

'■■';;■ AiffciiKÉ CHRÔSiQOÉ. 

Un jeune homiae, î5 aiiï,'foi>%> btencoAs^ 
titoë > à la suite d'une gastro-eoféritê i^tie ç|ui 
le-tintaUlé pendant deux.seonines, avint^cou'-' 
sen^ une ex irémc sensibilité Au pfcarynï «v^ti ' 
rvagieuvetdifficaUé à d^Iuiir. Cet éutclrNt-' 
ni^u« don depuis 6 mois lorsqu'il s'y jeîntirt^ 
^tlgttrgtmeni ies lopHlîeé, avec dotiteHF ctti- 
sarite «t brèkryte » plui fi^ie qtiand il ii'a^t 
d'avalei? ï le voile do palais présente une vrM., 
revgear; les amygdales sfr'tapproctieM àu 
p«i(it«l89e t«ncber jla boOcheïM gflIrmed'MMr 
salive visqMâse-; le miïlàfle éprOuve Ht» lêg^ '■ 
mouvetbeut fébrile ; la langue est très peu &■- 
biirrale. 

3i janviet-. -^Betlad. 3o". 

j» f{!S.fin^* — TGbaagenaéot complet} >teyg- 



!>y Google 



■ ( ï4x)^) 

4it|es pres({uè à l'eut nprmalj teîate >9M 
du pbarynt; le malade avale lilM'emeht çlre- 
qCBiTre prpiiipleinent la santé. 

85' Observation. 
'I.&RT>rGItB CUIKttifQDV'. 

Un professeor de langue allemande, Agé 
de 4o ans , ^ros, blond, stijçL à <-te frcquentet 
exljnelions dé voîx.avec douleur- coi saule an 
larynx , cdmBte's'il létait à.vif._ ' . '.• 

j^ man^ iSi^a , eullûretle l'amère-boucbé,. 
safis laraeurdes ani^igdalésj ntembrane pha- 
rjrsgée, d'un rou<^>hrun;. déglutition dou- 
loureuse , cependaml moîas qtie ne l'est l'aci» 
dupvrler; la sensaMûli d'êcorcliuruqtie le ma* 
lade rçssent an larynx , augmente ^n-marct^iat 
à-Tair libre, et spr-lout en monlanl des éta- 
'8^ ,■",". . 

< Pf^is So'°. £u trois jours foule&'Ies app^ 
rences d'une guérisop ^ que l'on ^biisolid.» par - 
UQ uaitpmeot antipsorique dâ précauliou. 
-'■ ' . 86* Obsét'vatiQn. '. 

AFPECTIOMS CBIiUaÇTIQtJES. ■ 

riUb de 24 ans , pâle y jaune, 4angui«6an(e » 



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( >4i ) 

règles précaires et irrégtilières, est lourmehtée 
par un gonflement de Tabdonjen et àe Vipi-' 
Castre, avec sensation de chatleur brûlante d«(|S 
ces régions et à la gorge. Après chaqne repa», 
TOiuîssemens précédés de retiroîs aigres. ' 

i5 mars iSSz. Bellad 5o*'. 

17. — -'La malade , depuis le remèdç, n'a 
rejeté pes alimeiis que deux fois. 

a4- ' - E^lle ne voniit plus du tout ; son teint 
.est meilleur ; elie éprouve encore quelque» 
, renvois aigres et de la chaleur au pharjmx, 
dcMi la membrane est rODgie, /)«/$a/^ 18*. 

■ 37 , r^ Plus d& rapporta acides ; boanç digcè- 
tiOD ; teiat naturel. ' , 

; 1^1 guéi'isQV s'est i.depuis , eonfifinée» 

^■^'Observation. 
Une je une, perso niie dé quatorze aps , dod 
uenslriiée, légèrement t^lilorotique^ maigrit 
depuis quelque (çmp$, éprouve. des coliques 
av^c puuslipal.ion, nausées, a'iorréxie; tai)gue 
sabijrralé; léger mouvenieiif fébrile le ii©ir'; 
crampes sous les. pieda et dan^ les jambes.... 
; I^esdernierssjuiptôuies et ta plupart de» autres 
se dessinaienldan^s cuux.dc anémone pmténsis^ 
indiquée, aussi par l'âge de piiberté. ' . , , 



D,g,t,.?(ii„ Google 



( *4» ) 
... -6 imn, mem.prau 3o*. 
^. O-i >T* ^s «jmpiômQS éButuéré^ oot di»- 
'paru ; il leur a succédé une sorte ^q fluKÎfHi 
,erjHpé|»tei]$e sur les deux iantbea... (s^mp^- 
tôme posi^f du.ren^éde. ) On le laisse «^r, 

8. — la malade va miepx. 

./ I», -TT-^Ue 11 recojiTH sfin lein( j^alu^l , 

sa santé. La inçnstrualipn s'établit le 3o. : 

88* Observation. 

TODX UÏSTÉRIQUB. 

Demoiselle de vingt ans , forle^ lùaa £oa>- 
-liioée, sfiWtée deptfis.plosiears mois d'iinia 
toux conrulsive^ semblable à i-aboiementd'ah 
dogue, avecgonQement abdominal, bquHihie, 
dysmeDorrhée , pesanteur dans 1e& riions hy- 
pochondriaques , pâleur de la face, état qui a 
'irëstaté A tous les antispatnodiqaes de la phar- 
liiacopte', àrairdes champs, aux baÎQS froiih , 
Vu lait d'ânesse ; aux saignées, etc. , prend; -le 
pccinier fëvrieP i83f ; une dose de con/iim ma- 
'èulatum 5d''. 
""6. — Amélioraiiori prononcée. 

'i6.'— Irruption sans ifialaïse desTèglesqùi 
'coUlenL plus abondamment que decdtilumé.. • 
La maladfe abandonne son rcginie , et Ui toux 
n'est pas revenue. 



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( »«^ ■ 

S^ Obse/vaaon. 

Une demoiselle de 2^ 9os>brane, CoTtOf 
p^le , esl affectée depuis plusieurs.>nnét9S d'uiie 
toux conyulsIvedoDt-les ucès se tapptocheiU 
chaqiie jour 4avapt9ge^ Quand elle lomip ou 
quand elW l'U >: duuleur vi^e et laociiiQDte an 
. sjnciput; pareille douleur se Tait res^ntir ta 
dos lorsque la malade e-st -assise ; voix rauque., 
gencives gonflées ; dénis vacitlaTites sans être 
altérées; Aenstriiatioii précaire} appétit di' 
minuéi digestions .lentes; borboryj^ma» f ^tu- 
méfactioa brusque àç l'abdopien , jaUernant 
avec affaissement également Jntlanta.né } ÇQffr 
Stipation et soif. i 

1 février i853 , sir/pknos Zoa , qiii répond à 
la plupart de ces symptômes. 

7.— Sans aggravation appréciable, «nté- 
lioration sensible dans l'ensemble .des désor- 
dres. (7ar&0'uejg'«/flWtï3o,"". 

2 jours après le remëdç, mieux plut pro- 
noncé; toux rare, .voix; mqin^s^rauqaci mais I«^ 
dents vacillent énr^K f Iqs gencives soii^ 
rouges et sensibles. 

13. —~ Mercure solubte G"",, prompte ac^kn 
de celte substance sur les geiKiives e( le« dei)t^ 



D,g,t,.?(ii„ Google 



. ( »44 ) 

qiii se radermis^rit: Iania!a<1ese trot;vc bien 
jiisqu'au- 19 mars -:- A celte époqae elle coii- 
iratAe un corj'za aige qui cède- à deux doses 
d^ACOlU(tim'3o^Sa santé depuis lors est bonne. 
J'avais soigiié cette, demoiselle depuis deux 
ans par lés -giojrens allopaibiqaes et n'avais ob- 
l«nu qae de légïrçs' et peu durables amélitH- 
ratioDSt 

' qo' ObsmvMiùn. ^ 

HYDaOPÉBICAKDfi. f 

Une ftfinmede 60 ans, bien constituée, fi eu 
U- gale à 16 ans., et a cessé d'être réglée à 
43 i au sortir d'ttné'coacbç; elle ressent depuis 
plusieurs années de la gêne à respirer, de l'op- 
pression dans la macche, principalement pour 
nionler; pincemens au coeur; palpitations; 
de tenis en tems fièvre avec concentration et 
intermittence dti pouls ; de fréquen tes saignées 
du bras^ des applications locales de sangsues, 
aidées iumôt par des sédatifs tantôt par des 
diurétiques lé^rs , procurent un soulagement 
passager j mais, en' i85i tous les sjrmptômes 
s'aggravent : pu reconnaît l'existence d'une hy- 
dropéricarde.' la main appliquée! sur la région 
'précordiaJe et l'auscullation médiate décèlent 



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( =48 ) 

une fluctuation manifesle. Il }> à de la toivx, <le 
l'orlhopnée ; pouls lent, dur, irrégulier ; gène, 
anxiété, suffocalion lorsque la malade veut se 
coucher; syncopes; bouffissure de la face et 
des membres ; lèvres et ongles bleues; urine 
rare; etc. ; une médicalion énergique maîtrise 
un tèms ces sjmpiômes fâcheux, et la malade 
recouvre une apparence de santé qui s'éya- 
DOuitaprès uoe courte durée, pour faire place 
de nouveau aux symptômes énumérés ci-des- 
sus. A cette époque , déjà familiarisé avec les 
ressources de la méthode homœopathique, j'en 
fis la proposition, que la malade ne repoussa 
point. Les symptômes areenwauo: représen- 
tant la plupart des apparitions morbides pré- 
cédemenf décrites-, on débute par nn seul 
globiile delà dernière alléouaiion..... Deux 
heures après , douleurs lancinantes dans la ré- 
gion dn ccenr; respiration plus libre; nuit 
Hiivanle.meilleure; moins d'oppression-le len- 
demain ; pools plus régulier; les lèvres, ta 
langne, les ongles moins bleues; la malade 
mange deux potages au gras sans en' être feti- 
gnée. Le surlendemain cèdème plus prononcé 
aux jambes, (eflet bomœopatbiquedu remède); 
il djsparalt deux jours après. ' Pendant un 



D,g,t,.?(ii„ Google 



(j46) 
s«ul jonrj sorte de diarrhée bïlieose laps coU- 
qiies. (Symptûmes du médicament.) 

Telle est l'amélioration , au huitième jour, 
que la malade croit pouvoir se dispenser d'un 
plusampje traitemeotj les acqidensreparaisseiii 
au bout d'un mois. Tinct sn^k., calcar^a, 
£arbo vegat. et ijcopod. ont procuré une gué- 
rison solide. 

91* Observation- 

AFFBCTIOM SfASlIOmQUE DIT COBUB. 

Uue femme de 38 ans « grasse , brune , 
forte , a été atteinte d'affection syphilitique pt 
a subi un traitement approprié; depuis deux 
mois elle éprouyc, avec une violence de jour ça 
jour progressive, les accidens soivans : toux 
coDtintieJle, plus forte la nuit; bouche sèche; 
nausées; dyspnée avec sensation de. froid au- 
tour du thorax et dans le dos; spasmes-; an- 
goisses et palpitations de cœur; la nuit crampes 
douloureuses dans la poitrine (fui se prolon- 
gent plusieurs heures , éloigiient le sommeil et 
forcent la malade à rester le,vée. 

37 février; ars. So"; mieux dès le même 
jour. 

10 mai; la malade n'éprouve pas d'autte 



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(»i7) 
malaise qa'nae certaine leqteut à digéret : n. 
f . 3o». 

3 1 mai i retour de toux et de dyspnée avec 
vonikuntions le outib. (La malade «vait tes- 
■fHré du çIilore)n.c.8o<w.,. Mieux. 

9 -«- ^nofiii 12'; Lea joiirs suivans tout «a 
fcien. ■■■"■■■- 

9^ Obtarvati»m. 

CÉPH4.L6B. 

'tioe Temme de 3S' aiiB , maigre, 'deux mois 
atiparavant a essuyé un commencement d'à»- . 
pfajxie parlavepeur du chiarboD, et conserve 
^epnis celte époque -i douleur de pression 
permanente sur les tempes j pulsations, des ar- 
tères temporales; coliques; règles précaires ' 
et.tardives; symptômes dessinés dans ceux de 
pidsatiUe So*. qu'elle prend le 2 mars. 

3 — Exaspératîoii des symptômes , puis 
jusqu'au 13 mieux ppogressif. La céphalalgie 
' a cédé mais, il reste on point douloureux dans 
l'orbite du côté droit. 

Ce symptôme cède à belladona et à actd. 
■ nilr. 



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{ >48) 

g3' Observation. 
SÉrtlALGlE TEMPORALE CITftOItIQIIE. ' 

Une femme <le 56 aps, brane,- maigre, 
pen colorée^ tourmentée d« cba^iDs.doams<- 
tiqaef. -— Depbis lo.inois, oérralgie soup- 
çonna de cause rliumatismale, occupant la 
moitié gauche de la téte-y compris \\o côté de 
la langue... Le:^ accès douloureux , long-temps 
variàliles dans leur durée -comme dans leur 
.retour efleur iniepsîte , afl^teot depuis qvel- 
que^ Kmaioes lapcriodicitc quotidienne. Cette 
malactiearé&i5téaux.diversiuOj'e[is préconisés 
en pareil cas: émolliens, saignées locales, 
géitéralcsr anodins. RtupéliaRS., vésicatoires , 
potasse caustique, tout a été épuisé} elle a 
réoemment l'ait usage dii quinquina SPUi di- 
verses rorniéç. Les accès se répètent journei- 
Jement vers le soir^ durent toute la nuit et 
une grande partie de la uxarlnée. Dans 
l'inlervalle Jes paroxysme^ il ne persiste 
qu'un engourdisse nit'Dt douloureux sur la 
tenipe, le sourcil et la, branche du, maxillaire in- 
térieur du côté gauche. L'accès débute par des 
éclairs de douleurs qui, parlant de la tethpe. 



D,g,t,.?(ii„ Google 



( 349 r 

«Ù ils ^oat'loujoQrs plus' vid et plus UncinaM, 
s<é prolongent à l'œil siège de scinlillatioiiset 
«le larmoiement j à là.Ianguiï (dont ta gaucho 
tnoilié derieât saburralé' dan^ ce seni ino- 
inent}j à rôreille', à la mâchoire et au bras 
du même côté ;. la dôùlenr'èst jiarfois intolé- 
rable, s'accompagne ^"angoisse, de réaction 
fébrile^ d'érélisme" nerveiîx. généralV urines 
très Umpidçs pendant le paroxysme; pouls 
serré, peiit,'fréciueht; irrégulîof- 

Xa«naLade prend, le 39 mars , dans là iour- 
née , une démi-gouttedeIa3"o'atlénoalionde 
la teinture d'atropal>elMdoria...\epai:oxhino , 
le soir de oe jour , paraît plutôt qtie d'ordi- 
naire et s'accroît pendant la nuit d'une ma- 
nière effrajanl^. Appel d vers ]r- malade que 
je trouvé en proie à un spasme horribiff, arec 
claquement de dénis, perle de connaissance, 
froid des membres , pâleur extrême , j'oppose 
de suite l'odeur do camphre à l'action trop vive 
àebèUad. Cet antidote nous donne plein suc- 
(ïès et la malade rcrenUe 4 elle-même nous as- 
sure qu'elle a seoti un eoap porté à son malj 
(sa prppre expression); la dotileûr/ cette fQis , 
s'était étendue jusqu'au pied gauche^ ce qoi pe 
lui était jamais arrivé; 



D,g,t,.?(ii„ Google 



(.35«) 

^o> ->- EII9 pr^nd un seul, globale d« k 
même aûeiipation du mémo rçmëde : ce soir 
là l'accès est re.Ucdé ; la mala4e passe la pte^ 
luière, bonne nuit qu'elle ait eue depuis fort 
lo;ig^teinp. Vicchs revieutoéanmoiiUfleinà- 
tjn , mais plus faible qu'à l'ordinaire.; celui du 

5i Euancruej seulemëut ooe teppeur im- 
^rtuoe occupe le siège habituel de la tiè.yral> 
> ^. L'approche des règles devenues- précaires 
depuis que)q.ue temps, cous engage h pres- 
crire le . . * ^ 

■2 éuKcspUisàt. i8"o - 

3 — .La névrîdgie repM'ait en variant de 
siège,- gagne la p^^ue.,' la partie correspon- 
dante de ta téle , les oreilles ; elle eM peu in- 
terne et son, point de dépar^ parait toujours la 
tempe. Les régies coulent plus abondantes 
que de coutume. j' saos exercer d'inÛpeiice sur 
I4 névralgie doDt les paroxysmes s'i^tablissent 
peu. à peu à des heures, irrégulières , eaaug* 
menlast' chaque. jour de vieleoce. _ f- - 

%r— Mefcur,^ soîtA. 4";^ heures après> 
çXacei^tiOD violente de 3/4. d'heure > sui- 
vie-d'un-calme plus coknplet que janriais. 

1)0, — ^ Très léger engourdissémeut de la 
tempe gaoche où la malade éprouve une aen- 



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( »5. .) 
stttûD cl'tcUe (c*cst,-dît'pile« comme û l'oiS 
gane dngoât était [Jacé là et que j'j eusse do 
vinaigre). 

i5.^DéDouTéaa, beUad.toP', trois pietitspdf 
rokyxmw suivis cbacuu d'uD calme int«-mé> . 
âkutp psodaet la journée du 17. 

La nuit suivante, doutear légère. 

1$ — Calme complet ; la névralgie ne repa* 
raîl plus. Ija malade Conserve pendant quelques 
semaines sur larégion temporale gauclie une 
sorte de pression incommode qui se dissipe 
graduellement et fait place it un état de santé 
parfaite el souleiiue. > . 

94* Ohsèrvatioh. 

sËTaAïàiB FitdirrAi.c. 

Une femme de 43 ans, grosse, grasse , bien 
réglée , est affectée depuis onze an» d'iJne né- 
yrulgie qui revient' périodiquement tous les. 
sept jçûra , occupe les denx sonrcils., Les tem- 
fsfit At &'élend de là AU sommet de La, tête. et 
à l'angle interne des jtiax. La dot^enr précé- 
dée de fourpùilemeDs brûlaus, éclate tontrâ- 
cfiup comme un choc électrique ^ avec un ca- 
ractère lancinant et lacérant , et dure de ciD(| 



n,g,N..<ih,GoogIe ■ 



(!.5») 
à huit hearesi Pecu}an.t l'aecès; les parties dott- 
iourease» rciugissent, les Teîfies se gonflent, 
les gencives se tuméfient, il y à salivation et 
soborre linguale. Une seule dose de ni«/VK/v 
solubie&^i prise le.ii maiiSSa, avance de 
cinq jours le rtetourde l'accès qui est plus 
violent qu'à l'ordinairei et le dernier. 

g5* Observation. 

VtVRM.GlE ORBITAIRE. 

• Jennedamede î5'ans, a pris en vain du sul- 
fate de kinine, de l'opium et d'autres renièdes 
altopalhiqiies pour une ophtalmod j'oie opiniâ- 
tre et quotidienne, aux heures du soir. L'ceil 
droitrongit, se gon&e__f la paupière est abaissée, 
il s'en écoule des larmes brûlantes ; la douleur 
naît tout àcoup /eonsmenceparun piooleinetit 
semblable à celui dé plusieurs épingles, de- 
vient brûlante et déchirante', retentit aux 
alentours et s'évanouit en laissant la partie 
lông^-temps engourdie et comme paralysée. 
12 février i833 ', bettadona 34»* est couron- 
né*. d'un plein succès; l'accès dn jour a lien , 
mais celui du lendemain et les suivana man- 
quent toiit-à-fait. - ' ; 



r:,9,t,.?(ib,G00gre 



(«63 ) 
g6* Oisert'fition, 

hévualgib scs-orbitaibe. 

Homme (le 5o ans, maigre et bien portant 
d'ailleurs^ est lourmenté depnis 3 aas ^ malgré 
les tentalives de la médecine allopthiqoe , 
par une névralgie faciale se montrant à 
jours variables , sans rapport déterminé avec 
les vicisâitudes atmosphériques, ou la situation 
morale da malade. De brusques éclairs de 
douleurs partent de la pommette droite et vont 
se perdre k l'angle de la bouche , à l'aile du 
nez, au palais, à la base de la langue; pen-, 
dant Taccès, le patient ne peut parler sans 
augmenter ses douleurs; l'on observe des 
mouvemens convulsils des lèvres et des muS; 
clés de la Tace. Le caractère du mal est tensif, 
comprimant; il semble au malade que tovtt e$t 
meurtri et, par instant, que les parties souf- 
frantes sont arrachées. (Ces sj'mptômes sont 
assez bien dessinés dans ceux du colcliïque 
d'automne). 

18 mal, colchi'cum aul. i2°a. ]a prosopalgîe 
ne reparait pas , et l'engourdissement Liabltuel 
du côté droit de là face se dissipe. 

■7 



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(.54) 

36. — Léger reloar d'accès névralgique à 

la jgoite d'une io^tnéliKlê morale (circoDsUmce 

qui n'influait pas avant le traitement) anacar- 

dium itf" suivi d'une guérisbn sans récidive. 

95* OhtervatioR. 

SQCUiniIE I)B$ HAHBtLBS. 

Femme dé 5^ àris^bruné, tortâ, grÂsâe, 
accablée de chagrins domestiqués , à fait iiii 
enfant qu'elle n'a pas allaité. Pendant sa gros-^ 
sesse, elle s'est aperçue de l'existefice d'une* 
iumeur située dans l'épaisSeDr dé là glande 
iiiammaire droite , tumeur ovoïde , dure , mo- 
bile, indolente et de la grosseur d'un œûfdé 
dinde; six moii après sa coucbe, l'engorgement 
Commence à devenir douloureux : on le traité 
par touil les moyens connus jusque alors ; et , 
'eri définitive, on ne voit dé ressources qiie danà 
i'aUatîon dé la portîdn indurée ; la malade s'y 
refuse et veut tenter la mêihode imraœopa- 
tliique. Elle prend, le 19 avril iS33, matrica- 
na 12~. Dece jour, les doulenrs lancinaDtes 
disparaissent comme par enchantement, la 
'malade palpe itnpupémeot sa tumeur, Nia9 



n,<j„,.™r,,GoogIe 



( »« ) 

y«pron«cr la jnoiodrâ seiiMlûlUé (J'ai répàlÀ 
rèxpMeace nir plusieurs ttutt«un cancé- 
roBWs du sein. L'usage de ceite subsbuioe m'« 
offert les mêmes effets.) 

a5 du même mois , Tmct. sufyihuris 3o°, 
• lo mai, légers retours de douleurs Unci» 
mnteSj mais diniiontioo sensible dans le vo- 
lume de latnmeuc. 

35. — Décroissance plus remarquable CR- 
oore> 

lo juio , cmium mBeuiaUtm So". 

i5 jilillet, la tumeur est réduite au VO> 
lame d'une ni^tte, phosphore et sUiee oM 
acheré la cure; 

98' Observation. 
C&nCEn DBS HA)}Er.L]!S. 

Une fille de 4.7 juis^ brune , grande, por- 
tait , depuis 9 ans , au. seîu droit une tumeur 
eàrcinotualeuse., adbéreotet bosselée, d*un 
vdiumç égal aux detix-poings fermés, veinés 
de noir } glandes, subaxillaires ; douleurs lenf 
■ (ânantes, etc. 

. Les journaux de l'é^enouveUecoMienneRt 
pltis d'une histoire de tumeurs squirjrbtfua^s fit 



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(.56) 
carcinoreateasesaïueuéeiàleurgaériaon. Moi- 
même ai va à Leipsig le sujet d'une de cet cures, 
et uia pratique m'offrait^ alors t'oliservalion 
de quatre tumeurs squirrheuses du sein en 
voie de résolution. Ces molifs ne suffisaient 
pas pour autoriser l'espoir de guérir le cas pré-* 
sent. Mais, curieux d'obseirver , je cédai au 
désir de la malade qui avait depuis long-temps 
•bandonué tout remède altopatliiqne. 

2 mars — Mairicaria 6" : ime heure après, 
les douleurs du sein disparaissent couiine par 
eocbanlement et font place à une forte diarr liée 
bilieuse , accompagnée de douleur lombaire et 
d'une coxalgie violente (symptômes biencuo^ 
nus de malricana). Ces phénomènes se sou- ' 
tiennent pendant deux jours et cessent sans 
réapparition d'elaaceraens douloureux dans le 
sein. La malade palpe sa tumeur et frappe des- 
sus sans y développer la m'oiiidre sensibilité. 

7» 8, g. —Même état. 

1». — T. sulpkuris 5o". Les douleurs da 
aein reparaissent. Ne voulant pas pousser plus 
loin l'expérience, mes efforts tendirent h per- 
suader à la malade i'urgenle néces>ilé d'une ' 
Dpération qui présentait encore dés chances 
de succès. 



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99» Observatiofi. 

.AFPrCTJOK SGRttPULEOSB AVEC LOXATIOM 
SPOKTAKÉB COMKEKÇARTE. 

M'"" B. , 7 ans, Wonde, peau fine et d'un 
blanc rosé , seule fille survivant à ses trois 
MBurs que des affucLions serofuleiises ont .eo- 
Jevées , ressent etle-méme les atteintes de cette 
affreuse maladie dont sa mère pr* oit le terme 
fnneste. L'allopathie a déjà tenté plusi^an* 
moyens avec anssi peu de succès qne pour les 
autres enfaiis d& ceLte mère afiligée. 
' Tablouu.de la maladie. Pâleur du visaj^c ; (aî- 
btesse ; fiaccidité des chairs. Plusieurs glandes 
sont «nj^orjjTces au col , sous le monlon , sous le 
liras ; fistule suppurante à la.jone <;auclte; 
carie des os du niélacarpe qui est déformé ; 
claudioatiiMi occasloné^ par un empalement 
àe \à lianclie droite , avec alongemeiit d'un 
pouce et demi An membre de ce côté. On con- 
snllo par écrit le'ducieur liomœopathislc Miîl- 
lieobein de Itrunswick , çt le Iraitemeiit est 
dirigé par nous. 

3 mai 1.833. — On allerne iVabord p/iosphot- 
eigrapItùes.En moins de i5 jours change ment 
remarquable. 



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i" juia. — L'enfat4 marche sans boiter; 
soo teiat brunit; ses chairs s'affermissent. Sa* 
ryta, silicea et caîcaiva ont complété la goé" 
rison. 

100* Observation, 

OPHTALMIE SCROFULBUâE A.VBG OF&GITÉ Dff 
i,A coanÉE. 

M"^' D. , 11 ansj d'uae inteHigenoe prér 
•coce, traitée adopathiqu^nent^puis l'Âgada 
quatre aos, pour une OfAthakaie scroMeuM 
qui s'aggrave âe joar en jour. 

Tableau de la maladie. Ka 17 aoàt : &ce 
bouffie et rouge ; aggloinéraf ion de glasdéc 
engoi^ées aa col, quelquesTiiaes easuppuN- 
tion ; la boachect te nez dérormés par an gOB-* 
flement scrofuteux et des aoias de croules ; 
yenx gros , enflés , qu'il est presque itapossl- 
ble d'ouvrir; paupières privées de cils , suppu- 
rant à leurs bords et laissant échapper des lar- 
mes qui causent, an passage , une douleur de 
brûlure et de cuisson. En écartant un peu les 
paupières, les parties constituantes de l'œil 
sont confondues dans une masse rougft foncé,, 
inégale et bosselée à l'endroit de la cornée; 
li'enfant aperçoit cependant un peu la clarté 



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da {our. Douleurs vives , lancinantes dans U 
profondeur des cavi tés orbitaires ; tête pesantej 
appétit nul ; coryza sec , etc. 

La jeune malade a pris depuis cette époque 
ao. tiitr. , sepia , euphrasca, càlearea. Son trai- 
tement n'est pointachevé , mais le nez est dé- 
gagé, lesgïandes du col à peu près disparues, 
Ies6stule$ taries, les paupières naturelles,! a 
conjonctive revenue ï Tctat de blancheur qui 
lui est propre. L'enfant y yoît, la cornée re- 
devenue plane n'ofire plus qu'une tùe grise et 
transparente que l'on voit seffacpr journ^ler 
ment. 

\Q\* Observation. 

TUHEUK BLàNGHB DUCO0DEGA.DCHB BT C&RtES 
SCROFDLEtrSBS. 

TJn adolescent , 1 1 ans , maigre , chétiP , 
pâle, affecté depuis cinq années de plnsieurs 
caries, dont une a déformé le pied droit et 
alimente sur le dos dn métatarse une plaie sup- 
purante. Le bras au-dessus du coude gaacÉ^ 
est réduit par l'trophie à un pouce de diamé^ 
tre , tandis que le coude, transformé eti tubieor 
Uanche, oAre une circonférence de i5 pouces, 



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■ "■ ( a6o ) 

Wt vtcéré en divers points, et ne permet pas 
l'oxëculion du mouvement articulaire. Les pa- 
reils reculent devant la pénible ressource d'une 
amputation proposée parles cliirui^iens com- 
me unique niojren de sauver la rie au jeune 
homme. Ils le confient à l'homœopathie le iS 
Diai i83 1. Sous l'infloence de stapk/sagn'a 3o' 
ou observe déjà du mieux le 9 1 du même mois; 
mais en mâms temps il se forme un nouveau 
dépôt froid sur le coude-pied droit. 

aSjuin. — Ce de'^iôt s'ouvre ; il en sort un 
fragment d'os carié. Sons l'influence d'oc. tiAr. 
la tumeur Manche se réduit à vue d' œil, les 
plaies se cicatrisent , et le malade exécute peu 
à peu t\ii légers mouvemens de flexion et d'ez- 
leiision. 

2 août. — Mouyemeosdu coude parfaitement 
libres ; le jeune malade soulève des fardeaux 
avec.çon bras revenu, en dessus du coude et 
inâme à la place de la tumeur, à son calibre or- 
dinaire. L'aspect du visage, l'état des forces, 
.lagaité du sujet ^ contrastent singulièrement 

^|ec son itat antérieur au traitement. 

'^^i5 août. — On le considèi* comme guéH; 
mais je réclame une année de soins homœopa- 
ihiques afin d'obtenir une réforme complète 



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( a6i ) 
'dans sa constUution , et le mettre à couvert 
d'nne rechute. Les modiScatcurs employés 
dansce traileraent ont été successivement : stom 
phjrsagria 5o\ àcid. mV. 3o*, essafixtid. 3û* , 
silicea So" , phosphor, 3nt, septaZiy. 

Des médecins * témoins de ce fait , se sont 
écriés : c'est une guérison sponlaoée ; la nature 
a fait un effort en faveur de ce sujet. — Sans 
doute la nature a fait un elTort : nous n'en avons 
jamais douté. Et croyez-vous , Messieurs^ avoir 
jamais en la puissance de guérir sans le secours 
de la nature? Mais pourquoi, chez notre jeune 
homme, la nature attendait-elle justement , 
pour développer sa force nfëdicatrice^ qu'il eût 
pris un atome de slaplijsaigre ? C'est qu'il lui 
fallait à celte nature endormie une impulsion 
favorable; la médecine vulgaire n'avait pas le 
pouvoir de lui fournir celle impulsion; voilà 
tout. 



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NOTES, 



yeux, et tr«vailld «vcc le plue d'ardeur à la réforaw 
«aédic«le , noua poavons nodimer 1m docteon Kînel- 
baA, à Hanau; Plaubel, Ksiier, Scbindler, k GoUii| 
£tapf,HeMeTechinidt,àNiunibourf;{Stuler, kB^in) 
,GvOH,à Juterborg ; Franz , Hartmaon , Haubold fHôrD- 
burg^UùlleriScliabertjLaiigliaaimeryGuttiiaiiti, et& 
k Leipzig; Hartiaub, Hiithetibeiii , à Bronsvicfaf 
Trioki, Wotf ^Brunnow, Schwaree, Hedder, Helvig^ 
Mordof , à Drssde, SchaUer, Ldvy, à Prague; Maran- 
wller, Lichteafelz.Scbmidl, Necler, Lowe, Wrecha , 
WerUieim, Lœdcrer, Meuz, Snbafier, Giiatzel, Weith , 
Brader, elc, àVienre; Hartung.àSalabourg; Wid- 
mann, Ro(h, Reubel, RingseU, k Munich; Griesae- * 
lich, k Carlsruhe; Hayer, Muller, Braun, Bakody, à 
Raab; Bigel, k Vataovfe , etc.^ etc. 

Si nous sortons de l'Alfemagoe nous Irouveroni, eu- 
loor^S d'une grande cétébrité, le$ docleurs Hermann , 
h Péleriboui^; Mauro, Pçzîllo, Dehoralus , à Napleai 



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( 264 ) ■ 

QuiB,BclluomFni,ù Londres, etc. Si l'on voulait, aux 
noms décos zélés propaj^atcur*. jnindre celui de tous 
le* cnnverlit ou demi -convertis qui comnieRccnt k 
s'occuper d'homœopalliic, en Europe et en Amérique, 
l'énumëratioD tertit trop lon(;ue et toujours incom- 
pleltei mail nous ne pouvons paner tous sileace la 
nom du docteur Herinf;, de Surinam, qui a éprouve le 
veoHi desserpens, et qui poursuit ses reclierches sur 
)•• spécifiques avec une ardeur presque éf[alc à celle 
de Halincmann luï-métne, qui , jouissant d'uue 6oriii 
Mialc siotd malfjré les essais continuels qu'il a si long- 
temps faits sur lui-même, et doué, quoique octogé- 
iHire,<l'ane étonnante puissance de travail, est encore 
celui qui fait avancer le plus la science Bouvelle. 

Notre France progressive ne peut iciter long-temps 
en arrière; elle coiupie dùjà lui Dombrc assez imposant 
de médecins bomœopaihiilcs. Nous en connaissons à 
Ahlikirch (Kaut'hhin), à Bordeaux, Cliâlons, Coîmar, 
D>joa,Grcnoble, Limoges, Luseuil, Mulhouse, Nimcs, 
Paris, Riom, Rouen, Tbaunes, Vesnul , Vienne, etc., 
etc. On appréciera Ici raigotis dt convenance qui nous 
«mpèclient de les désigner par leurs noms. 

Irfts principaux advci-Mircs de la mélhode (en France 
il n'en est jusqu'ici qued'oUscurs), sont encoi-e, à Leip- 
sif*, lc3doclcuvsClarus,Hctnrot!i,,Sii^; ii Dsrmsiadt, 
Wedckiud;àVieiiue, M.uckifel, mais aucun d'eux a-t- 
il .plis la peine de souder la question? 



, 1» 

lapfupt 



1 11 n'y a pas de spécifiques en médecine, s'écrient 
Fupart de nos physiologistes ; si l'on voit écboiier 
quciquctnis le mercure, l'iode, le quinquina, ils se 



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( 265.) 

sont Jonc pfti «péciSquei. Les midiameat éàutmat 
<juelqucfuis, il est vrai, par ce que leur application 
u'esl pas rationnelle; le médecm cjui ignore lei effbta 
pursdei DiédicamenSf qui n'a d'autre guide que notre 
avcnlureuie ihérapeu tique de l'école, fait, dana cet' 
taiaa cai, uue trop large application de ce petit nom- 
bre de substances reconnues speciBquet par nos de- 
vanciers, et méconnait d'autret cas où ces su&slaocea 
deviendraient propres à atteindre les pallies où siège 
nne irritation analogue à celle qu'elles peuvent' fvir» 
psttre. 

Ce mot de spécifique, long - temps en honneur et 
long- temps frappé de disciddit, a été, dans les der- 
ni&res phases de nos écoles , prononcé communément 
avec DU profond dédain. La doctrine de Browti, avec 
tes reflets diversement colorés chez nous, a iù. iiéccS* 
' MÎrement exercer upe jurande influence sur cette ma- 
nière de juger la spécIBcité des remèdes. Il y a sans 
doute du mérite et du la force de tête à géucralisor, 
à rallier les faits épars autour d'un seul fuît, à dire, 
par exemple ! que tous les maux tiennent h dn nuaii< 
cei diffi-renles d'cxciuiion, quft tous les remèdes lont 
des eicitans k divers degrés, etc. 

Ces conceptions d'homme*, ordinairement aupé- 
rleurSf odlIo funeste avantage de soumettre le vul- 
gaire avec le plus grand empire, précisément parce 
qu'elles s'accommodent IrcB bien à sou indolence et k.u 
vanité, le dispensent de travaux , lui fournissent dans 
une phrase commune , la réponse à toulei les qoet- 
lions , et l'improvUenl maitre de son sujet, pour ainsi 
dire) du jour au Icndeoiain. Telle fut ia fortune du 



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ni MU , tella ■ éU celle ip pluriesTÉ 
réfornHM tm médeeiae Après-ccla qiiel bêamn 4e 

ami|)ulwr lu IraTanx itm liècletî 

Quand nn orut lei ftevrei iotennittentet c«*T«iB- 
ooe» de tenir k la débilita j le quinquina fat r^u(< Is 
prince de* cxcitani. — Mali pourquoi l'sbt^KlIief le 
méRiastliei, la cenlanrëe, le narrube, etc., ezcitaBa 
•omme lai, n'araleot-ili pai'iei Tcrlsa? 

Malgré lei démaotis dontiéi sottTfat par lu rdtol* 
laU de la' iMrapeutique , if en large* ot conîBiôâaa 
théories , malgré la periévérance de certains praticiema 
à cooierver leligieutement dee forAiulet tecanBoca 
par eui comme investies de poavoira apéciaus Aiï&- 
eilci à remplacer, on a tu long -temps la fDule pré- 
aomptueuse «t bruyante du monde médical, pro- 
cUmet «(lie las spécifiques, rêves de nos pèret, no 
pourraient supporter le grand jour du siècle dea 
lumiferea. 

Sans mécoonaitre l'admirable unité de la vie et let 
liens iiiystérieuxqui,€ucbatnant les fonctions, teuf 
fouraisient la faculté de se suppléer mutuellement , U 
n'en eatpaimoini vrai que cboquosysième, Ghaqua 
appareil, chaque organe, chaque Fibrile parait avaii aa 
constitution propre, sa sensibilité, son instinct, tes 
forcesy «es acuités cl ectro- chimiques pour tels mo* 
dificateurs et non pour tel. autre. Le nerf optiquei 
quelque soit la configuration de l'œil cheK l'aniAial 
où on l'éiudie, n'a-t-îl pas «a spécialité? Le nerf qui 
préside à l'acte respiratoire fait, danscortainsmollus- 
4[uc», d'immenses détours pour parvenir à l'organe 

]ïf»a«bwi qui • IwNiQ de lui at de lui ieul> ÏA hmhi 



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hMB«gbw ^ cwvMi» n*arl-«Ua fV^ daM se* divaiCHi- 

poitioni dei|aiicti(m^cia]M? . 

Lu modificateurs extérieurs s'agisienl- ÎU pas loua 
spécialfiamt sur nous? leaalimeas. Je* boissoni u'oE- 
frent-ils pas de leur c6té uae foule d'aciiona s^j^cift- 
quel? la bierre de Bruxelles provoque momentané^ 
MMrt i»e viola*!* 'Xéiw^tioii d'uriae, le \ia de tel 
«blets pcodiikl'iasoBmlef celui-detel autte aa lew* 
■Mil prdfoad, celui-lk bràa lea eendes, cahû-dllk 
têtm, tandis qocHtt autt* eMcbtliis If )«iba<. U 
^■dîlla et non la ftaubeisè csavn qoetqacfoia ta 
^eao d'une éiiiptioDr pMsagëra très remarquable. Lk 
ptnanè reieette a une antre répulatiea , l'asperge bu* 
Cintre, etc. Il ne s'agit point ici dedonnereertnneaD* 
tbenliqaei toutes les propriétés spéciales, diitioctos/ 
souvent inatiendnes et bicarrés de* divers aliorensf 
BOUS vonloas seuleousnt rappeler qu'ils difArenl dans 
leuu actioaa , et que pour eux coimne pour les ai^d»* 
canacM tout se se réduit pas h exciter pins on Moisa, 
k aeiintr ptui ou mains. I^s virus ne sont-ils pas loue 
^ëeiaax? Lea agens physiques et chîniques n'd> 
giaaaitt-lls {na cbacBK k leur manière? Les roédicw 
BMHs ne SM>t-ib pa* laconlembleffieDt les ont dlnr^ 
tique», lesaBtressudort&qoe*, vomitifs rpo^tib, 
eralagoguea.cic. 

Toutes considAaiîons ne porlcnt-elle< pas h con- 
dareque c'est par l'élude miàutieusect anàlyHqnè 
des,effels purs dei agens n^icanx sur rfaomma et les 
BBimanx , que l'on pourra taire sortir notre metiira 
■wMicaie de h triste n^iilé on la laiiaent depuis si 
IWff^Mlf* Ml (Miteavn fafww» de 0dn«t«(ités.Or 



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(î68) 

le médecin n{[evem-MI tana iôlérét uiA écola qu 
concourant ea cela VU ri^gên^ration qai se prépare 
dans loutea les sciences , consacre de grands tTavaaz 
ei des expériences rigoureuseï à la recherche des spé- 
cifiques? 1 

(c) A une époque où prexque toot est remh en 
question dans les sciences non mïifariniktiques , it 
n^est perlais d'Atrc ni oatologtste j -ni complfclcntenC 
physica-chiniisle. Rappdoni en fllasant que, poar 
août , I« mots vitalité , force vitale , paiiiancft d*fiia< 
mlque , ( mots rides de sens en eux^mtocs ) ne sont 
que l'indication de celte loi , de cette force- iRhéreate 
k la matière OFf^aniséc, en vertu de laquelle s'esécalent 
les mouvemens vitaux, et s'exercent ce que nous 
avons appelé sympathies organiques; loi d'attraction 
êl de répulsion qui laisse soupçonner sa nature élec- 
trique, et sans laquelle on ne peut nnllenient se ren- 
dre compte des actes de la vie des végétaux et des aoi- 
ntux , des cumbinaisons moléculaires, des courant 
dé fluideSf de la concrétion de ces derniers , de leur 
union aux solides, des phénomènes de l'irritation^ 
des congestions, des transformations de liMtis, de ta. 
cicatrisa lioii ,des productions anormalesqui nous ap- 
paraissent qnand l'art n'y peut plus rion,etr long- 
temps cachées, nous font traiter les plaignana de ma- 
lades imaginaires. L'art médical , contre tous ces 
JMToduits d'une force cleUro>chimique pariicuUèfe 
aux Aires organisés vivans, se voyait obligé de dëclf- 
ucr son impuissance; c'est que |ea a|{ens in^pondé- 
ssbies des mouveiuoeos vitaux ne pouvsùeat utiliser 



n,,i-r«::>yGoogIe 



( »69 ) 

cei doMs matérielie» diS drogues, comte lesquelles 
i-éagit la vitalité des tissus.. Or , si l'on nous annonce 
que des médicBiiieDS conniis agissent mieux par suite 
d'une préparation qui, ébranlant leur- matière , en 
développe la verfti innée; si l^on nous dit qu'un grand 
nombre de corps, inertes dans leur.étal grossier, de- 
viennent, il l'aide delà trituration, de ià dilution, de 
l'agitation des modificateurs puissans de ('action mo- 
léculaire, pourquoi n'y pas chercher les moyens d'ia>- 
primer aux combinaisons des molécules Organiques 
Une tendance curative? (Bibliothi homoBop, i" année, 
6*cahO 

(<f) Liste d'une pxrlic des Ouvrages homosopathi- 

ques : 

Allgemeîne homoeopatische Zeitung, publié par G. 
W-Gross, F. Hartmann et F. Rummel. 

Alhrecllt. Ars medendi homceopathica ejusque cul- 
tOTevinedicamentaipsi préparantes coramtribunalis 
juriset politise medico, Lîepzig, i8i8. 

— Die Homœopatbie von den Standpunkte des Hécht 
und dor Medizînalpolizei. 'Dresde, 18^9, 

— Allopatische und Homœopatische Leucht und 
Brandkuglen , Leipzig , i83o. 

Aijnalen der homœopattscben Klinïk, de Hartlaub 
et Trincks, Leipzig, i83o, i83i, i83a;4 cahiers 
par an. - .- 

Balogh. Akafé. Mnnhubâtjai. S. Hahnemann, 1829. 

Bergmann.'Anweisun^ die venerischen Krankheiien 
ztiheilen. Leipzig. i8a5. 

Bigel. Eiamea théorique et pratique de- la méthode 
18 , 



n,<i ■,..<, .yGoogle 



( 370 ) 
GuratÏTe du docteurS. Hahn«maaD., VarMvie, 1817, 
3 »oI. io-8. . 

— Manuel diélAique de rhomœopatbie, Lyoo, i833, 
in-8. 

BoenuingluuuD. Systematisch-alpbabetÎKhei Repei 
torîuinder antipiorisdiéa Anneyen, Leipzig, i833. 

— UebenicbtderHaupt-'Wirkuags^pbiereâeT aatip- 
lorîictiea Arzneyeti, Miiuater, i833. 

— Estai d'une tl^érapie boaiœopathiqua dés fifevres 
intermittep tes , trad. de l'iilt.jpar T. de Bacbiue- 
tefFel.T. Rapou, Paris, i833, in-d. 

BrandcsÉ-Beleucbtung dcr Homœopatbievom pbarma- 

tèutisçben StaDdpunkte., Lemgo, i8i3, iii-8. 
:— Eine Bezeicbn jDg der ^4 Verdtinnung eines Trop;- 

fncs Finger-extracl. 
, BrieFè eiues Homœapatlfch-gebeitten an die kùnfligen 

Widersacber der Homoeopatbie. lïeildelberg, 183g. . 
Bruanow. Organou de l'art de guérir, 4* édiliaa, trsr 

duçtioadc l'allem. de S. HahDcmann,Dret|de, i833. 
Caspari. BîbliotheL Tûr die hom.Mediziii und Materia 

medica, Leip-, 1837- 

— Uniersucbungea iilier di« xpeciâschen Heilkrafte 
der Biichenkohleand dereo Anvendunggegen Kraa.- 

-àlieilen, Leip., 1826. 

— DîetcUicber Katecbismus. 

— HoDiœopalischer Dispeasatorium, Leipzig, i8a5. 

— Erfahriingeu jn der Homccopalbie , Leip. i833< 
in-8. 

— Homceopaliscbei; Haus-und-Reise-arzt, Leip-, iSa6. 

— Unumsioslicher, leichtfassUcher Bcweis fiir die 
in denGeietzen deiPiaturbegriiDdeleWabrhcitdcr 



n,,i-r«::>yGoogIe 



(=7' )' ■ 

faoïao. HeiUfL, Leip. t8:i8. —Traduit ea tnuçnii 

Bayeux, i83ô, in-8. ' 

Eichorn. Uber mediz. Erfabrung und prall. Médius 

jSi'j. , ■ 

ErdmiDn. BemerlLungen iiber niedizinische PFuiche- 

rei Uttd Vorichlaegej ihi' abzuctsen , iSsS. 
Fitcfaer.— Uber Homœopaihie (in Hufelaud's JanrDal), 

i8a8. 

— Die Homceopathie vor dém Ricbtêrsluhle dec Yer- 
nunft, Djesd-t 1839. 

Frolich von Pl-olicbithal ; XTaparthéysche Ecipne' 
ruiig uber die Hakoemanoiscbe sogenanoLe honii 
Kurmetbode. 

GenuaDUS. Pomœopat. 9clb9t-E.yr oder volUtaendige 
Ansiçht der Studien der Homceop. etc. Dre^d. 

— Die Homceopathie ia lliïen WidenpTuchen, Dres- 
de, i83o. 

Griesselich. Skizzèa ^us der Mappe einet Tèisendea 

Homœopathen , KarIsEube, i833. 
Gro)tiuaan. Diss. sisteus àaittiadver«iones ia bomoEO- 

pathiam. Vienne, t835. 

— UebÇK das HeiluDgsprinsIp der Qom. Vienne et 
Trieste, 1826. , 

Groos. Ueber das hom. Heilprinzip, Heidei., 18^^ 
Gross. Dieletîiches.Handbuch, Leip., 1839. . 

— Die Bomoeo. Heilk'ungt, çlc, Leip., 1839. 
Gulkenriki'. De Homœopatbia commentatio inaugura- 
lis, etc., Ctacorie, 1829, 

Gutmann. Ueber die Behaadlung der Zafane, elc, 

Leip., 1838. 
Haas. Mémorial du médeùn homœopathistc , ou Rd- 



n,,i-r«::>yGoogIe 



( »7-' ) 

peitoifc .ftlphabétiquË pour le traitemetit homoBO- 
. pathiquedes maliiilies, Irai). del'alleAand, p»T A. 

J. L. iourdaA, Pari*, i834> in-^* 
llahnemann.' Die Allopathie. Eine Warnung {iir 

Krarike aller Ait. Leipz., i83i. 

— Heine Araneimitiellehre, 3* édition, Dresde, l, I. 
i8»,II 18^4,111 1835, IV i8a5,Vi8a6, VI1817, 

)a-B, — Les 1. 1 et II, ontété traluitsen latin par E- - 
Stapf.G. Grost«tE.G. deBrunow^ soui. La ..titre 
de Maleria medica pufa, Dresde , 1808, a v<tl. iii-Q. 
— Uae traduction française couplette, par le doc- 
teur Jourden,va6tre publiée à Paris anus le titre de 
Traitd-de matière médicale pure fMoTtt volumes iti.â. - 

— Die chronischen Kranklieilen, Dresde, i8a8-i83o , 
4 vol. în-8. Traduit par le docteur Jourdau , sous le 
titre de Doctrine et (raîtement homceopaïkique des 
mtdadies chroniques; Paris , i83a , 1 vol. in.8, 

— Organon der Heilkunst, 4' édition, Dresde, iSa^ 
Traduit parlé docteur Jourdani, sous le titre de^x-- 
position de la doctrine médicale homœopathique , ou 
Organon de l'art de guérir, Paris, i83a, in-S. 

Hartlaub. Systematiscbe Darstellung âer reineo Aiz. 
neiwirkungen , l,eip., 1834 ^ iS^g, g vol. in-8. 

— uad- Trinks Reine Arzaeiotitiellebre , Leipzig, 
i8ï8-i83i,3 vol. in-8. 

— Aunalen derHomoce. Klinik, i83o-i833. 

— Kurzer Abrise der Homo. Heilmelbode , zur Be- 
lehrung ftir Laien, Leipzig, i8ag. 

— Ratecbisnius der Homœ6j>., Leip., i834- 

— KuDSl dt«Gesuiidheit, etc., Léip., i83i. 

— Tabellen fïir die praklische Hediiia, Loïpstg, 
iSag, iH-fol. 



n,r.^^<i"yG00^lc 



( >73 ) 
HaitpiKnD. Di«eletik fur KranLe, Dreicl., iSag. 
— ^ Haadbuchiur Diaetik, Leip., i83a: 

— Pialiiscbe Erfahiungea i^Mr bomi.,-Leip., i8ï8. 
— ^Homteop- Phtmucop. etc^Leip., 1829.— Una.tn 

duction friEhçaise, sousie titre dePhannacapée ho- 
, maopathtque, a été pobliâe pu lé docUar JourdMi » 
à la suite de sa tntductk>a d« l'Organe^ de & flab- 
nenuan: 

— Thérapie der akuten KraokheiMo, atc. 
Qérbevgar. Djé HomoeopatUe und die jibri^o derina- 

len herrsçhendea oder aie Henchaft suche'ndeD 

Uei]UDg>Syiteme , Utm , ifog. 
Hulfitabellea za Habnemaans reiner Arzocimiitel- 

)ehre, i83o, Leipzig. 
Hufeland. Ueber Homœo()athi«, i834>. 

— Die Lehrc voii den Heîlungt^tNtjecte* und ihrer 
ErkenntDiss, etc., iSag.' 

^- Die Scbûzkraft der Beliad»na gegea du Scb*ilacb- 

Gebeg<£erliQ. i8a6. 
Kaiser. Die Hom. HeilkuQst Erlaugen. 1829. 
Kocbbucb, rein hoai<Bopatischei,'Dr«8d^ i83q< 
Miikiwh. Die Hom. ia ifb«r Winde nnd Kjiaat. 

Wien. 
Neumano. Wiirdigi}Dg der UoinoMp. 
ÎSiuiscb. Bemerkungen uber Hom., Hattfttt, i8«& 
Panegyricus aus dJe Bom., «le., Lii^ i83i. 
Pezillo. Tenutivo aôcadcouco pH awciJiuê 4a dis» 

cordi opiDionisuiprtadpii.Mc, NupoU, i8sti. 
Rau. Ueber die Werth des HoBiœop. Heilverbfarea^ 

Hflidelb., 1834. 



D,g,t,.?(ii„ Google 



(=74) 

— Ueber die ËtkeantDiii utid Hcilung <)ei Nerve^fiC' 
ben, DarmsUdt, iBag. 

nîchter. Ueber die tlomceop. 

RoinaDO. Pura doctrioa délie medicine deL D. S. 

Hahaema^n, etc. 
lUickerl. Systematiiche Darstellung der homœopa- 

tischcD. Leip. i83o — 3i. 3 vol. in-8. ' 

— Die Wirkungea bomceop. Araneien uater gévitse 
Bediagungen. Leips. i833. 

— Karze Uebersichi der Wirkutigea der homœop. 
Arzneieu. Leipz. i832. , 

Rummel. Die homœop. von ibrer Licbl undScbat- 

teaseiie. Leip. i8a6. 
Schœaberg. Il sistema medico ^el D. S. Hah- 

nemann. Napoli. i6a;i> 
Schubert. Heilung und Verhiitung der Cbolera- 

morbusl Leip. i83o. 
Scbuiu. Die Medizia des Theoph. Paracelius , 

oderdie HomceopaLhik, historisch, Vetgleichead, 

systematisch und aïs Quell der Hom. BeAhi. t83i 
Scbweikei't. Materialen zu eïiier vergléicheoden Heil- 

mittellehre. Leip. 1826. 
Slapf. Kleine mediziniBcheSchriften von S.' Hahne- 

mann. Dresde.iSig. avol in 8. 
Titimann.DieHomiBap. instaaUpolizeîlicherHLnsicHt. 

Meissen. \S^^ 
Trinks. die Homœop. Dresd. i83o. ' 
Wasserfahr. Ueber die Homœop. 
Wcber. Syiiematische Darstellung. BrauntchTreig 

i83o. 
— Exposition systématique des elïeu pathsg^n^tiquea 



r:,5,t,.?(ib, Google 



(V5) 

des remMeipura, trâd. parfedoct. ^eschier, Gé- 
nère i833, inS. 
Wedekiad. Ueberdie hom. Hetlmetbade. 

— Praluiig des tvom. Syitcma. Darinstadt. iBa5. 
Wendl. Ûeber den Gebrauch der Datura Slramo. 
Widinann. Ueberdie Hom. (iri Hufeland'a Journal.) 

— DiuerUtip ntedicam. homœop' préparât, Mn- 
nich. i83o. 

Wildberg. Einîge Worte uber die iiom. HeiUrt 
Leipz. i83o. 

— Einige-Worte iiber da> Scharlachfieber, etc. 
Wolf. Geichicbte mciaerBekaDBtschaft mit derHoiti. 

nebsteinigen EifabruDgea. 

(e) On met toujours en avaut la nullité dea épreuves 
qUe fit Laëonec, dans le temps, A l'h^pitat de la Cha- 
Tit£, et l'on prétend sous ce prétexte se dispenser de 
juger par soi-mâme. Ce professeur ne put obtenir de 
résultats avec les préparations fftiteB k la pharmacie 
de la Charité où, d'après le témoignage même de 
M< Petroz , pharmacien en chef de cet hospice , on 
n'avait alors Ekucune notion des procédés décrits par 
, Hahnemann. Depuis quelques mois l'habile chimiste, 
que nous venons de citer s'est adonné soigneusement 
à ce mode de préparatioujaprès l'avoir connu et ap- 
précié. Il est en possession aujourd'hui d'une phar- 
macie hbmœopathique à peu près complette. Les mé- 
dicamensquien sont sortis doivent ila consciencieuse 
exactitude du préparateur une action fidelle et puis- 
sante. Nous ne connaissons eacorc, à Paris, que la 
pharmacie de M. Guibourt, lia, rue Feydeao, on l'on 



n,,i-r«::>yGoogIe 



( >76 ) 

puiiM saprocuiu ca genre de médicunant ^ et m les 
procurer efficaces. K Lyon doub pftuvoai iadiquer 
M. Pelletier, pharmacieu , rue Sirina, a' 3. 

(/) ÀvtDt d'avoir lu, parleseipériencesdeUiihoe- 
mann ^ qae le quiuiiiiiDa procure une des espèces de 
fièrre iniemtîttente (comme les eaux de Baieges occa- 
sionnent des douleurs , celles de Wisbaden la goutte , 
csllei de Vichy rengorgenoent dû foie, etc., etc.), nous 
étions loin de soupçonner que depuis i€38, époque 
de l'importstioo du quinquina en Europe, nous fe- 
siODS tous de rhomceopatfaiOk Mais dans l'utnge que 
nous fesioDS du moyen , i) nous arrivait de manquer 
le bu^, parce que le raisonnement ne présidait pas à 
une médication qui était encore empirique. Nous 
ignorions que, si certaines fièvres intermittentes ré- 
sistent au quinquina , t^ést que cette écorce n'est pas 
homœopatbique k tous les cas de ce genre de fièvrâs; 
et, lorsqu'elle était bien choisie, nous étions encore 
exposés à dépasser la dose jnsiement nécessaire ponr 
anéantir les accès périodiques; dès lors nous eogeo'. 
drions la maladie du remède et il en résultait une 
fièvre tierce ou quarte, tenace, interminable, dont les 
accès ne faisaient qu'empirer par l'abusif emploi de 
notivelles doses de quinquina. Un jeuDe homme, qui 
avait consommé, pour combalire une fièvre tierce, 
1200 grains de sulfate de ktnine, pendant ifn séjour 
qu'il fit en Grèce , et [dus lard 800 autres grains en 
France , était , depuis trois ans, dévoré par la mente 
fièvre qui avait résisté et dont les accès se prolon- 
geaient chaque fois pendant 36 heures. Le malade, 



D,g,t,.?(ii„ Google 



( »77 ) 
d'uDC débilité et d'une maigreur ezceMirefl, arait II 
rate engorgée, ses membres infiltrer. Les antidotes 
du quinquina et d'autres moyens l'ont rétabli. Quel 
praticien n'a pat rencontré maint lait semblable I En 
surprenant k la nature un de ses plus imporlans «e- 
crets, en nous initiant à l'immual^e loi qui préside 
it la apécificilé, S. Hahnemann nous a doané le mot 
de plus d'une énigme , la clé de plua d'une déception 
pratique, en même temps qu'il' a ouvert cette nou- 
velle ère médicale , depuis j1 long-lemps espérée. 

Honneur au vieillard qui consacra une longue et 
laborieuie.carrîère & saper les préjugés et il fonder une 
vérité! Exemple d'une part,îe des maux quiabrègeat 
le cours moyen de la vie humaine, notre postérité 
plus clairvoyante enSn, appréciera de teU bienfaits; 
elle rendra gloire à celui queJe délire contemporain 
poursuivi d'un rire frivole et k qui l'antiquité eût 
élevé des autels. 

Puis«e<t-il vivre encore asseï pour commencer k 
jouir de cette tardive justice! car après eux, que 
reste-t-il de tous les grands hommes? une abstrac- 
doD insensible au triomphe , no nom ! 



D,g,t,.?(ii„ Google 



?Ç«»#T|(^. 



P«8« 



7 






fiir di homoop. 


a6 


— 6, Hartlaubet— AiesHardaubet. 


j8 


- i6, a. a. 


a6 


- i3,' 1» profonde— toei l'innombrable. 


«^ 


— i3, eicilei-—to« écarter. 


5» 


— a3, sont le — Usez sont-ils. 


oo 


— i8> rgénante — Usa régnante. 


46 


— a4; bbnchite— toeaBrùnchite. 


59 


— îi, Wedi EUeber - &« Wedu- 




■ «Béber. ■ 


7». 


— 9, polyarthile — ûjcz jiolyarthrite. 



nigitir^db, Google' 



TABLE DBS MATIËftES. 



Arixi'Pnoras. t. 

Suposi de l'homœopathit. < g. 
TabUaa dtt mitUeament hûmCboixMigan iprowoé* 

jiuqu'd et jour. 4^- 

Obiervalion critiqiu tur l'homttopathii, 65. 

BUtitiqu*. 107. 

Butoir» il malad'iti. 1 1 a. 

1" SrCTI on. MALADIES AlfiUZS- 1l5. 

Ois. 1 — %. PklegmasUa gastro-incestintdts,--gûs- 
trites,gattro-tTttérites. — Fièwt$ maqutaitt , 

biluiue» , ttc lA. 

Om. 9 — 10. Ictèrt, Hipatitty lag. 

Ob«. II — 14. Çolitfs DùuT/iie ^ pyttnttrie. i33. 

Oh. iS — 30. Angint, Amygdalite,' Croup , 

Laryngite. jSj- 

Obs. 31 — 39. Inflammation de» organet retpi- 

ratoiret, )44' 

Ou. 3j) Tzr 34* f îAmM gUarmUtànta. i56. 

Ou. 35 — 44- Rhumatiame aigu , Arthriu , 

Miotites, Polyarlki^es. i65. 

Ois. 45 — 4"- Pitgmatits cutanées , Rougeole , 

Scarlatine , Erysipèle. 177. 

0». 49 — S3. Choléra , Cholérines. 163- 



r;,g,N..<i h, Google 



Ob9. 54. MétrorrhagU. igg. 

Obs. 55 — 56. Vomitsemtns dé la grositsat. 191, 

2* SECTIOf. MALADIES CHKOTriQUES. ig^, 

Obs. 57 ' — ;5. Gastritu, Gastro-mtérit* chro- 

Mqae , gattralgiei Gditrodiniu. aoi. 

Ob». 76 — j8. Cistile chronique tt orchioncU. it^. 

Obs. 79 — 8i- AAumotùmM thtomtfues, 339. 

Oi5. aa. Hémîplégii, a35. 

Obs. 83 — 84. HimoptjsUet Angifu ekromqiu. 337. 

Obs. 85. LaryngiU chronique. 340. 

Ogs. 86 — 87. jutions ehlvrotifiui. id. 

Obs. 88 — 89. Touà hyitériqae. 34a. 

Obs. go. Hydropéricardt. «44- 

Obs. 91. Affection tpamwdigua du aeur. a46. 

Obs. 9'2. Céphalée. 347* 

de». 95 — 96. fiémral^t. a^. 
Obs. 97 ^ 98. Sqtùrrht et cancer d*i mam»Uet> 354. 

Ob«. 99 — . «01. Affrétions serofuUuits. 357. 

Notes. 363. 

£>« spteifiqa»!. 364- 

Lf f< i/'uM partù i^M ouvrages homaeoptithiqua. aôg. 



Flir DB LA TABLE. 



U|?IttltatU IfBmOLLtTB TaLUKO, 



n,<j„,.™r,,GoogIe 



CATALOGUE 

WES LIVRES 



MEDECmS , ■ 
CHiaUBCIE , 
AKATOMIIi, 
PHTSIOIXI6IE, 



HISTOIRE I<ATOmi.IJI, 

PHYSIQUE, 

CHIMIE, 

PHABMACIX, 



Qiri SE TBOUmtT 

cnœz j.-B. BAiiii.iîmB, ~ 

LIBBAIKE VU L'ACADÉMIE ROYALE SE HËDECIRE. 

ET DU CDLlJoE ROTJtl. DES cn>DBOIEXS DE LaMIMEa , 
m DB t'ÉCOtB-BB-I^BBCnB, B* l9 (sit), 

à PARIS. 



isONOBSB, Miara M&isoir, 

219, BKatnx «TRUT. ' 



IPéTCier 1854. 

, ,<::>,GoogIe 



MCI tWESIi; POVB FABAITIIi; llfCEflUIlIIEIIT. 

Vk*iT± BÙ HAiÀBiÉa n L^Arr^xi» nuitÂias; pnr À. ^ittAL 
(de CïSïie), CluAii^cii'dii Dareku ceDdul de&LfiijUaùx, àkrëdé 
à la Faculté (le Médecine de Pàiis. i vol. iii-8,,% 

«muvKsnKKaii DE u minEmmà i BB tA Cm-CHIKE BT BB 1.A 
rKABMAom. ùlàï&pohéel-Dîiicussiau des £Ah,'UâdtrtnixnA^, 
Réglemems et IniUuçtiona conçcrranl l'Ail de Guérir, ap- 
puyé des jugemeuW. çt. décisioj^a jlcs tribuijaui; précédé 4e 
Ooiisidérotioni) sur la Médecine iéfflie, la igolice médicale^ la 
Rcsponsvbititë des in^rkicinR, chtnirgTf m etp)nrn]^acicufl,etc.| 

5ar Ad. TiiîiiucHET. Avocat, Clfef dii.Ituieau iiè la Police mé- 
IcOe K la. PiéFeclUK île Solke , eic. Oà vol tndc in-.S. 

vKAijr*VBBKAUBiKBBS<HSV*K«BffsiraxËmTAaBiUAnuB, par 
J, BouiLLAC)>,Profeiiseiir de Clinique nuMîcale à la Faculté de 
Médecine de Paris, médecin de l'hôpital de la Cbarité, a vol, 
in-S", figuies. 

svvmxa B^BinocHATE , 'nduvclletraddcliou , avec le texte grec 
en regard , coHaiioiuiésur IcBmanusciitit et les meilleures cdi* 
lions; accampagniie de Coiuinciitaîres et de Notes médicales 
et philologiqueR, avec la Vie d'IIÎppocrate, et suivie d'une 
Table générale des Matières; par E. Littbé, ancien Interne de* 
liâpitBUx de Paris. 7 vol. îu-8., imprimés sur beau papier. 

nun* BB tMTUo^kOan TiwinrAut. pur F. V. Raspail, un vol. 
in-8., figures. 



- «Google 



ANATOMIE 

PATHaLOGIQUE 

Dû CORPS HUMAIN," ' 



DESCniPTlONS AVEC FIMIRES llTHOGltAPHIÉES 

ET COLORIÉES DBS 3tyEIV;^S, ALTERATIONS MflllBIpES 
DONT I^ COaPS BUH4IIf.PT «pUjI^TjDI^ j. 

PAp. 3. CftttVpitHIER, , 



usa LiVRusovs 1, A is son bk vzktb. 



GONIM'nONS DB L\ SOUSC^imON. 

' Cet ouvrage tera ptùiUt tn ^o Uvraitoiu ; chacune eonlien^ra 5 d iijiuiitii 
Je texte in-fol.yand-miiin vain, caredére neuf Je F. DUol, avee S pianeka 
celuriAi avec Uplui gnmé loin, ttGpttaKhettoitqt^ilriy tora^'uaeptvtk 
tie atlorUi. Cet iifnntoni.ie àuivrtmi tigHièèrtmtM de lit tnntéiêt «• nk 



Le prht de chaque Iltraisba est &c ii f^ai^. 
Âlafin^ l'oupra^ on publiera la lUu âa toaiayite»n-'—Xiùitùàioi H, 
la lithographie tonleonfiAd M. jf.Chataliexmtfdepalâlang-umafèpK'itér» 
l'anatoifue, et qui, taui ee rapport, aàij'd rendu tan/detervica'afà'jfiiencfi^. 



IM thtt* , l« **»»iim , rt M iw" •■MWH jrtlwr ^1 DD Mil ■«b)ii> I ■■ piiifH 11 alnt tiàJn 
ne hornïfWdi tota llttD tHIM (HJtfHl.lH (M qui fiiniitti'tclliHr KiWHlkBaiR. FIM.dMr 

nit nriisiia* 4> «nu 4t tMiiHipaMiiilfvi, Nn ■> «Hir fi*M^>>i*éilr ikMnpNMpn't,! 
taaltiHttB Wuhll i'sWMiBH d'iauk |I|h iboaifaMaai'ilb inn plni uplf)!^. U ■•^tuilgn llto 
flHifc*! •BUM^uti , na*m« Mil*, rayrtmiiai du Mu Aulilt . r^iii»^ uortmn. ««il «hv 

^^■-'■H piHbCCHl*D4if>irad««iï«1li»iea4nérf^*CB. al ynagfrapi mm ^ m l ^m ati U ii p— | 

ll.?'..i°.dE>'tDps»li-i"°"<'l'<>'<ÙtP'iH.II-C.u»;ihlrr>dd .'•«ur.r d> r<,u,J«,n^„, 
■"«t^vDIluii^ Il ft panrAuuliairtf iFfllut crand nombr* d* hi colEifiic'. Ih b^ecm Ft i^pimFtltnidea 

ÏpJliuidiruli.^IluiinlMil.iUnnfAHirnnid'iincHnlHlhoUl»* Il lUIf» t((l>uay Mr 
LliSnli.l ..^^1 11 .« .nid.» «n q<i>1rild<Bit<)Kiii , lr> »ll»<'lit'<> da II FicuHii. 1,i ,„M)r ■•^cliaVÎ 
i^UBiliti ilii|i» laiila aui liaaa<jlB|dia ptliUua da II^EtlniialhliH tM 
H■MutHdBll>lei<laallaill,Cr■TaU^■IH■•[MIlU)tH■lIdwliI•^(ift ; , 



ICONOGRAPHIE 



REGNE ANIMAL, 



D£ M. LE BARON CUTIER j 



OUVRAGE 

n'iLTLiB « I41Tt LEÏ TlAlti* DE lOOIOCIE. 



S'bRA, FUBLIÉE km 45 I.ITRAISOKS, 33 SOKT EK TENTE. 

Ptix m cntijOE uTBinoR , «ompotce d« lo PUncbei gravéu avec 1« 

]^ai sund loln it qoî paraUient de mini en moli : 

Ia-8' figures noire»—. 6fr. Iih4" figure* Doires.... lo fr. 

là. figures coloriées.. i5 fr. Id. figures coloriées:, a'o fr. 

r«f 4n U phi» MmBflmbI* •» H"* u^lfbrîl*. t* pBTfi riBKié. ou pat qurlquc vntpjinif de fonlor' 

U»,JwM»l"""'™"j'™'"'*'n»'1"" '»•'«'(" ''•'■•^'' !'•■'"'''"••»•''• *™»"'''W"' 
Hhj iciuïn «■'"4"'«' L<*'>M<»> »■ «■• dinii^Hiiil 11 lurTiUhiKr piiiieulSàn 4r tt Lilnill'. 
• ■«• niu ml » ftM •"•■r fc pr>Dt. M. TilmrtBkc» dnnl niHitii u dMii II I <• npriHH.iHa 




(i) Dans Us XXSIII UTraûonisoat pabliés: Mammifères, 4^ pi.. i3i getttct. 
— OiKauLX,6g pi., aji genres. — Beptiles, 3o pi., 8g genres. — Poissons, 
38pl-, lii ^eores. — Mollnaquc*, 3i pl.,3o5 genres.— Ann^lides, 1 1 pi., 
36 genres. — Crojlacrt, i; pi., Gi genres. — ArMhnides, « pi. , ii geares, 
■^laoeclM, 64pl-i SGâgeDKs^^ZoophyleB.i^ {il. , iiogenm. Plu, les por-' 
tMtls dt Carier cl I^lretUe. ^|P 



SEÉCIES GÉNÉRAL ET ICONOeBAPHIE . 

COQUILLES VIVANTES 

COMPRENANT 

. ' , LE MUSÉE M-4S9ÉNA,-rv'' 
LA COZ.I.ECTXOir I^MARCk^ 

CELLE DU MUSÉUM D'HISTOIBE NATUREtI>E ^ 

ZT LES DBCODTEBTES I.E9 PLUS BicENTBR DBS TOTACBDEl ; 



Chaque pIaiKbecDntîendra,rua«âiD*V>iiIrc,deSiioiBgarespreiqac lu^ 
de gniideDi oïlIaKlle ; qyelqin< gnipdca up^M aenleineDt diront Ctre r4- 
duilei, aCn de pouroii lu faire teair dans le raimat. On gcoiiin lei eaptcei 
tn^ pelitB), de maniùre A rendre les caraotèrei plui fiiilileii dam ce dernier 
G», on aura >oin de donoer toujouca il cOlé l'iadiiidn au trait de grandeoi 
■■tDreilc. Au coinmcnccueDt de rhaqOE genre uù doiDera la B^re de l'aOi- 
Mi>I,et l'on j ajoutera, Igrique raaera ncceiuirr.quelquti d£la!li analomîquEi. 

Cluque LiTiaiioD leca composée de tii planches coloriéel aicc le plui grajtd 
foïn , e( du Icxie dciicri|i[îf dei eipices qui Ktunl Ggurcaa daa> la lîf luion ; ce 
lelte rormeraconroa one Teuille et demie d'ittiprearioa, 

L'ouiragc te composera d'carùon lo Toluuiei , qui •etoDt diila^a en i5a' !(• 
nuioni, pablices exactement de iroia lemaïDCt en troii semaioet. Touift Ici 
meurei aoat prîtes pour pouvoir tenir Sdèlemeiit cet engagement*. 

La liiiraiiint i et i iDnl an vcnla , 3o jaaTier itJSI. 

VmX DE CHAQUE LITRAISOH ■ 

Grand )n-S>, papier raiÛD auperfin aaEïaé, figure» «dotiéca ...... fi fr, 

Gfaai io'i'fptipiaié^Uitiai, figuret coloriéet. ..'...,'. t .'. ta b. 



MONOGRAPHIE 

DES CÉTOINES 

ET GENRES VOISINS , ■ 

FOBUANT, DAI4S LEE rAMILLÊS DE ÙtqXILLE , 

LA DIVISION DES SCARABÉES MÉLITOPHILES; 
Pis H. GORÏ BT A. PERCHERON, 

Membres de U Soeidid eMomolopqai lU Bari*. 

'Cet Onvrage 'sera publia en i S livrntiotts , qui parattroiit de tseàten-nUt, 

Cbaque liTraiion , imprimée lur papier grand'rBiùa , famut caradlttet'f eoB<- . 

tiendra 5 plancher eolotîife* avec le plui ^and itnn , rcpr^Mnuiit eoifrfm 

3oe>ptcei,.ct Içlexlc correspoudonl. 

XiB prix de cliaquc lîvruison en de 6 fr., et, Iruic de poripatlàpOile ^ 
efr.Soc. . , ; . 

S Livraisout tout pu vente. .^ , .. - . 

r,,:-.™r,,G00glc 



JOURNAL HEpDOMADAffiÈ 

iPftOGRÊS DES SCIENCES 

s*- 

- " "_ ParMBI, ■ ■ 

a. «oittÛOS ^ prûltsieitr dedlhlqiu médlc^ à !■ Ficoltt de ntModfle Ae P«ri% 

niMMinilerHùpil^tdelaCbarilé-, 
V. Busois (d'Amieru), proreucur tgréaé.k \a Faculté de uËdeciae dé Pirb, 

(ice pioaident de 1> SociriM v^flic^e d Emalktipa^ 
O.TOmvBT, profeMMiragiifléi.A l> .Fwnllé 4« méd^ûiie de Fit» , aneieo 

.chinugieD de li marine ronle, «éGicUirc géncnl de la Sodéiri médicale de 

j|.'Ti»*i (âeCasits). agrégé à U FacidN St médKdn» de Paifa, rUniitfeit 4a b»- 
ccituàl des hApllaiix. •_ 

jb'^ainiluiHB. d<ti>*l* '"HUlw*''**! inuilu Hiv^i de ebii|ii( HmuH . pli UUm Jt 

Al Upfl!^! (••r;> i sTl^^Ji lîrS,n4iii'fiM,°h'Hj^'A'"^' "s«fM* .JiiwIM. I>i«t^ l> 

i^/ùc^ile Taïonnenenf PAT aRttci: • 

A Pari». ..,.., ■- . i V * . . i.r. . . 90 f. 

Fra4c,rJe|KWtpQivie>(lép>ilanenl# ■ . ■ a5 



lOOBNAL HEBDQI^JLDAntE DE hOÉ^bECiliE , par UU. Aanaii, , 
8uKDiN, BoriLUcD, Caieiave, Dalmii, Lina^, nctiAuii , H, Roveb- 
Cgu.AKji. ]Ocicbrè (Si^ I aâptaFiibre âSo.CoIlecttaacDinpKuf, iD4nu- 
n»Erm,cn 8fOriiT(fl.tn #, ffg. "- 60 fr. 

lOURKAL ONtVJtâSfct. !liàBbO^AD|.lftIC t>'E uàbEGIRB ET t>B 
CHIRVBGIE FIL4TIQVE8 ^T DÇS INSTITUTIONS MÉDICALES , 
pai MM. AairAL , Biieu , Bomaia , Bddilladb , Cim , ïi*i«eii , Do»f 1 

Cauis , oclobre iKo à déccmtirc iS5 j. CiffMtiaa eompUU , t;o nuineToa 

formaDt.iSforik tM. idiS°. , llg^. . ^ . Sb fr. 

Uneanafe lipariBent , 4 f°'- ia-S., • i . , . . 3o Fr. 



^Om deM^ndledliaM fbiqihnt I» >•" M b !• rfric ^u Vw*»! AA'Mta^'r* 
Jm . TK»9tit ^M ttimUe» ft tnfliitilieii$ màUcaUt, cUei coalieuient n» 

icl((^Â 4» iiai^uEOfWÎ.ia"^ du plui grand ùitvrË?. On j IrôuTcn l;i-ajriedea 
obaec'atian) et dea raita lea plus i'nipot^anla rLiueilIri dana lo bApitani âé 
Farii pi^dant prta de fIi aniiéc^. C'eit i la fâ' un recueil de monographlea 
%ur Ici divcn. pointa de U ibiéncCiCl une cli 111 que médicocliîrnrgîcatc. ' 

Il ne reste qu'un tftspciitnnmbredcdilcc;tiiii]icom|ilètes;Dn piruVra cohi- 
(lUlerlet collectiont aasi-^AUei il tDanqucrail uneB[lu<!e od dtvcra iiatiitfroa. 



DICTIONNAIRE 

aAISOMHÉ, ETYMOLOGIQUE, STHONYMIQDE ET POLYGLOTTE 

TEjR^IES USITES 

DANS LES 

SCIENCJBg Ni.XIlftSU.BS-, 



phic physique, la Géologit: , ta Minéi'alogie, la phjyigue, U 
Zoologie, ûtc. 

^ PAR A. 3. L. JGURDAN, 

Hunl^rc ^c f'AcacIcmie rojale deUédccûie. 
Parie^ i834-— ' 2 forts volume» tn-S' k denx colonnes. ïi (fi 



^ DICTIONNAIRE 

UtflVEBSEI. 

mwiimm'wmcAm 

: ET pe ■ 

TpÉBAPEUTIgUe GÉNÉRALE ; 



ta cqiiana Dtn». j^ oi,y,E(«i3 jt^V}^ 
\ F.-V. MÉ&AT ET A. J. 

D. MH.PF., IlHil*H-««rAiaUal*n>j«ltdi 

1;âHIS, lS39~lâ^4) ^ BORTi VOLUJKSS IB-S". fBi?:: 4$ Ep.. 

1 * H»»ii. hOîittn , ofclmil, iwiilMTrtil. Tdliw^w , wriwi » iM fciBi i JM«lii«». 

I* Bimunni fctiMiiKi ^HÎMii Dtalhil RiUl I MU»*ff»h«ii*ét«)imtMiijMiii«nWi«itiin.T*- 

^* tkrKiîiilJiia f^iMeoInt^'^i tbuii ;npinlkii^iriiHftMlfiut Eli^iiMiMflUilailinii aMI- 

*.* jLMlji^rtiniiqi». --,,.,■ 
VtcHtDi>in>ni^Ji>j><iliiiJ[ncitlaiicl>nIt<>ni«<tlUi(g[nni,4iaiFtiHi(hi«aii<nl-HH>HtUdi'. 

",0°0("îi|îODidî'.-ii.Mi|tFiul(iiri:claBiaci"liim. 

, '..«Google. 



DICTIONNAIRE 

riNDUSTBIE «ANCFACTCRIÉRE, 

COMMERCIALE ET AGRICOLE. 

ouvBACE Acconvicai 

10 FOKTS VOLVHBS Iir-8«. — FBIX DB CBA.QUE , 8 FR. 
ÏASHM. 

BATUyilHOHT, prépaMlear d« Oiimie an collège ilc Tnwce. 
BLANQOIatirf, direoieurdc l'École «pécule du commerce , pro&tMQt 

d'ÉcocKHBie poimqoe kd CanterTatolte de> Ani etH<Jtien. % 

CQLLADON', profeiieori l'École cent ralf dei uUetmaQflbotnrM. 
OOSIOLIS , profeHcar ■ fÉcole dei nau et cbaou^. 
O'ASCET, de l'Académie rorirfe it* «cience*, directeur dei euali im 

moatmei , àa conicil générÊl dei mnnfactarei. 
V. 0)!ïK)BM£ATJX , luteur du tnlii toi l'art do toaraenr. 
DSSFRETZ, profeiaenr de phr^itoen collée HcoritT. 
FE«ftY , pmfetfear da BoëesDïqDe à tÉcole cealrale du aru «t mu||. 

H. GAULTIER DB CLAUBBT , rëpMtenr à l'École polytectmiqDe , . 

membre da cotuàl d'admloiitratîoa de la Société d'eacoDra^junaiL '' 
GOVRLIER , «rcUtecte , lecrétalre dn coDiei) de* UlùmU drUt. 
T.OLIVIE&iprofejtcQrii l'École centrale du art» et muiabctareh 
PABEBIT-DUCHATEtET , médedo, membre du coudi de Mlvbdt^, 
SAINTE-FREUVE , profeueurde pb^ùqae •Dcoll^Sabt-Lonù. 
aOULAnGE BODIN , membre de la Société rojale et-ecotrale i'agri- 

A. TREBUCHET , arocat , chef dabnreaa det maiiufactarei à la préfeo- 
. ture d« police. 

Ea ■ignalaal Ici lei nooii dei pnnciptDk colloboritean da rat od- 
TTige, l'édiieur l'empretie d'aTcrtlr qae dei ariiclei origiaaiiz ter dei 
■Mrftiti ipéeiiiux, qui lai paralitest néoewaîiet ■ U fierfection de cette pa- 
blication, lui leronlfbamii par dei uyant* qui en ontbU l'objet de leact 
étudei. Dei fabricant! , drt cbefi d'atelier initroiti , le mettront aniit i 
nème de profiler det conoabuneei ija'iU imt acqaiiet pur la pratiqoe. 

li'omrage formera lotolumeiiii-é, ficarei. Prix de cbacon, pour lei'~ 
MDicriptear* , 8 fraac*. Let lonei I et II loot eu rente 

- ■ ■ r. ,^-rf.i..i*i - - 




' ■•ifaiH^MiM,fa'S|>^M)rM(tinailh(**dl*M4'uliHii«t|Mnl. 



DICTIONNAIRE 

DE UËDECIKE ET D£ CBIRÇBGIE 

PRATIQUES, \. ' 

ANDRAL. ProloMur ï laFamltéde M^denne.MéiIïi'iDdelaPitié. 

KÈGIN , Cbirurgien en clier de I'h6pila1 militaire d'instradion de Slrasboar;. 

BLANDIN , Chirurcien de l'iiôpilnl Beaujon. 

BOniLL&tro.ProfEiseur de CUnique mÉdicale à l« Faculté de Uédeehie.' ' 

BOTIVTEH , Agrégé à In Faculté de MédedUe. 

CBUVEILHIER , Profuieur d'Analomie ï la Facollé de Médedoe. 

CUI.LEBIEH, ChmirgieD de l'hospiM de» Tép^riens. 

A. DEVERG1E , Agrégé i !• FKDlté de Uédedne. 

DESLAHDES , Docteur en Médecine. 

DUGËS , Frofesseur A U Fuculté de Médedne de Montpellier. 

DTJFUYTItEN , Chirurgien de ['H&tel-Diea de Parls-^ Prafaiear à U Faculté. 

FOVILLE, Médecin du l'iiosplce des Aliénés de fioueo. , • 

GCnBOUKT. Proreisear â l'école de pbsrmade. 

JOLLY , Docteur en Médedne. 

LALËEMAND, Professeur à l'EtwIe de Hédedne dr Uontpellier. '- 

LONDE , Membre de lAcadémie royale de Hédedne. 

HAGENQJB , Mes^ire de l'Inititut , Médecin de l'EAtel-Dieu, ■ 

HARTIN-SOLON , Médecin de l'hâpiUl Beaujon. 

RATI^, Dodeuren Médecin;. 

BAYER , Médecin de l'hâpiUl de U Charité., 

ROCHE , Membre de l'Acadécaie royale de Médedne. 

SAHSOIf , Chirurgien de l'Hâtel-Dieu de Parii. 

l5 TOL. IN-S" I>E'60O eA.GES CBACCITÂ 



LES TOMES 1 A U SONT EN VENTE. 

Le Tome 13 paraîtra iacessamment. 

FKIXDE'CHAQITEVOLCIIE : 7 Fr., FIUHC DE PORT; PA& XA POSTE : g fr. 

. ha Dictionfioin <U Médecine et dt ChirurgU pratifues 
peut être jugé maintenant sac la faitmËms de sa publication et 
«DT i'oBuvra de son- esécatîon. U devient donc an moÎDs inutile 
de rappeler au public les nombreux titres qui lui ont mérité la 
laveur dont il jouÙ parmi tpu tes les classes ^e médecins, «t*ai^< 
tout parmi ceux dont tous les moments iont occupés parles 
travaux de la pratique, et sont par cela même plusavîdetde 
faits et de moyens que ié mots et de spéculations. 

Fidties au plan qu'ils ont avioptè, ainsi qu'aux engagements 
qu'ils ont contractés ponr l'accomplissement de leur entreprise^ 
)«s auteurs et éditeurs peuvent déjà se flilter une leurs promesses 
n'ont point été raines, et que s'il existe des différence* entre tes 
premiers et tes derniers volumes publiés, elles sont autant de 
progrès et d'améliorations sensibles qui justifient le succès tou- 
jours craissant de-l'ouvragC} el en assurent d'avance la parfaite 
et torupulense exécution. 

Xd Imitant «ons les yeax dupabliolestitresdesartiolescon- 



10 s. S. BituiÂaK, ra« eh l'ËcOle^t-méàfitefte i3 bis. 

tsnas dftna 1m dii premiers volume», ainsi ifue les aoms de 

leurs auleuFR, on jugera facilement, d'après ce qu'ils oHt fait, 

ce qu'il leur rette encore ji faire. On verra BÙr-t«Qt qOQ les f^é^ 

cialîtés de la science oat été Iraitéev par les auteurs qui s'en sont 

le plus occupés. 

AÎTORAZi. Acclimatement, auscultation ,. coDtre-Slimalanttf 
eaux •m\aéra,\ûi {thérapeutique) , éleclrici^, endémique^ épi- 
démiqûe, hypérémte. 

Ste||p. Ajcqoiiscnieot, acoustique, Aj>e, ambulance, ané- 
vrysme, anjjiectasJe, appareil, arthrite, blessures, hrayei-, brûr 
1ure,caaoer, oAmmotton, corps étrangers, calMti^risine, cystite, 
davier, dents ( malaiiies des), emphysème, épanchement, 
étranglement, fistules, fongns, (rangrfene, kytl«, lîthotrilio. 

■LAKSllt. Acéphale, atrénésie, acupuncture, albinie, ampu- 
lation,amv{;dnlcs,ari'3chemCDt, athérome, bouche 'maladies 
d(ya),bec-<1e-Iièvré, bi'ouchotomie, castration, chéiloplasUe| 
couteau, ecchymose, épislasis, fibreux, â&surcs, fuiaucles, 
grenouilletto, hydrocèle. 

■OVVZBB. Attltvdé , déviation , faim, genou, gibbostté, gym- 
nastique, orthopédie. ' ~ ' 

BOVnUlDD. Acrimonie, amnésie, anasarq«e, anivrysme, 
angéile,animisme, aorte, àrtérite, aScite, atrophie, ^delio- 
mèlre, cancer, cardite, catalepsie, chorée, colique, cbarbon, 
circulation (séméiologie), cœur (maladies 4ù), contagion ^ 
contracture, cyanose, delrtssccucfî, 4i^'>^t^j diaplir^HjmUB , 
digitale, dogmatisme, dothiiienleriLe, éclectisme, emphysème, 
encéphalite, extase, fièvres, (■ollré, hydrdpiaie, magnétisme. 

CRUVEURIB&. Abdomcu, acéphalocynCes, Sdbésioa, auato- 
mie •médico-chiriirgicale , alistomià pithologîqne, jtppplcxie, 
artères (maladies des), articulations (maladies des), cerveau , 
cervelet (maladies du), eiitozoaires, es'toroac (maladies de 1')^ 
fer, foie(maladies du), hypertrophie, laiyngile. 

OU&fiSiUB»- Alopécie syphilitique, antisyphilitique,balanite, 
1)lennôtrhagie,Whon;ctiailci'e,eopalm, eiCosiesê véfrirîe&De, 
injection , inoculation sVphîWiique; -' ' 

WpKLKmVSia. ËmanntïonS, genièvre) goudron , grenadwr, ja- 
trSlc5»t1é, ipécacub'nha. ' 

SBVitaOZB. Acides, argent, arsenic , niphyxie, A4aiopsis, 
avorieùient , bismuth , cadavTfl, calilhaiîd«s , cKtulii^taesy 
oombnMion spontanée, «àiiMtation rpédlivo-tagalA, ■Kta\ia, 
cyanjquc (acide), cTiin.ur^, déftinfccUon, docimaae, empofr 
B»ni>«iûtiit , étain, Ët4i«r, gaz, [jéltMtne, glutod, iiifBati<M<. 

•unis- AboFlifs, acocutâiemeNt , sgafacie , allaitement, «nt^ 
veraina , u^tlMii , avnkcmënt, iiassin , brAmé, cépiulomètrc, 
'CépbaJotomie, césaVieimc ( (opération ), coqoetuehe; carda» 
ombilical, crochet, croup, déHvMnce, dealîtidiiy dëtroncitr- 
lioR , dystocie, éclampsic , fectus , foicéps, Ëémorrhagies. 

WPD'FiVBiBW. Abcès, anus contre niture, cyGtutomie. 
' TOVIÙB. Alicflalion, camisole, ci cépllale ( maladies àeV), 
épilepsie, hypachomirié, .hystérie, inierdicUon, méttiogHs. 



ttPXBCillKT- Acétates, acides, adr^aot, alcali, alcool, amftn- 
' des, ambre, amidon, aii>nioaiaqué,ar3liîque(gomn)e),argeipt, 
baume, benjoin, benzoïque (acide), borique (acide), calcul! 
- en particulier, carbonique (Acide), raifUiarides, cérat, cboc/O- 
iat, citrique (acide), cdlyrtt, concnmbres, cuivre, cjanure, 
e«irx disiilliteg'^ eaux minérales (chimie médicale), éVixit , em.' ■ 
plâtre, ^miileionj ■Étîiin, éther , eiiraiis, formuler (art dé). 

toLXrT. Abslntbe, afFusion, agacemept, aigreurs, aimani, ■!• 
cooi, acidité, alcalinité, amaigrissement, amertume, an^i- 
phraJiBie^ a^gjne de poitrine, anosralç, aphonie, •asthme, 
aversion, bÀillemcnt,, bouJimie, boiliorYgmê, bourdoni^e- 

. meitticalcuUeû ({énual, cauchemar, céphalalgie, chlore, chlo- 
rure», .coufeitions, convulsions, cf^aiopes, diagnostic, doutée) 
douleur, ^yspha^ti^, oUologie, exuioirea, homceopatbje. , 

UlULnf«an.'Algalie,boufrïii, cathétérisme, cystite, épispadias. 

MWSE. Ablnliuii^ abstinence^ air, aliment, ajppétenœ, as- 
eaisotinement, bain$, besoin, boisson, convalescence, cretH 
nisme, délire, gymnastique, lasarei- 

mU>BVIDXB*^bsoi'ption,iUoès, a.ngu£ture, bégaiement, gravelle 

MAmViM-ko&OM. race, fluxion, furoncle, iode , héraatémèae, 
hydïagogues; 

^ATtEB/ Absorbants, alfjremoine, anodin , apéritif, arîstolo- 
'(£e) ^rmoisoi arnica, aromatiques, astcing^nU, bàrdaoe, 
baryte-, belladone, biunulli , bryone, cache a, calorique, 
' camjihlte, cannello^aucavilk^ c«i«e, cisioréum, cataplasin*, 
chancre', C^guë, cocblâaria, colchique, c9lomb<!, coloquinte', 
Ç0ïi««de., çopahujcroton, cuivre, cynoglosse, dattes, deo- 
tclaîre, délayants, dessiccatifs, émâïique , eaux minéraiêa , 
.éleçfj'ici^,,.4nuiiâi^^gues, cpithème , é|tofige , espèces, àa^n^ 
«titer, e»bito#îa., eu^Lorbc,gorânie,gonorrbée,jalap,lcaj^Ut. 

AJkVSlilî Acné, aconit, amianlacée , ampoule , antimoine, flr- 
ienit, hbdton , bulle» , couperose, danres, ecthyma , ecté- 
hù, éléphïniiasis, éphëlidet, érysipèle, crythènie, exanthè- 
mes, gale, ïîeï^s, Iiydrargirle, icbihyose, Jmnetijjo , lèpre. 

M^OBE. Abeiràtion, accès, auténorrhéo, amygdalite, angine, 

• apyjâxie, arthrite, asthénie, alonie,«Ua<{ue,ba)loooenieBt, 
biie, broncliite, cacochymi^i caVreau, catari'he, tdilorose,'chO' ' 
léia-morbuB , colite, conSLtîtutipn in^icalc , crise, déljre 
tremblant, diaphoréliquAB , diarrhée, diat-hèse, d<iphtérite, . 
diuréliques, di-agonpeau, en[di'j(c, ej'got , ergotisnie , eipec- 
joran.ls , fébrifiij;es , gastrite, gasiro-eniévite , inflammation. 

mfkWUBMt- Ag)(l)>tiMati£, amaurose, ammoniaique, anVylooe, ati- 

tbrax, araciiic^e (pAte), articulation (fausse), bandages, cata- 

, tacte , «tusliqnes , cautérisation , compression , dcbri<tenié«l, 

«(i|>lopie,«cCropiDn, entorse, fracftuJr as, hernies, luxations. 

— De leur cité, les cflit(!«r», encourajjé* par le succès de 

l'entreprise, redoubleront de zèle et d'efforts ponr la meltiv a 

fin dans le plus court délai pos'iihio. 

lis renouvelUiU V engagement île li\>rer grads aux sousCr^lcHrs 

Ui ifolUm'esijiiidépasieraient le nombre qniihe. 



ii 1. B. BAÏLLiÊftE, rwe ^tf'f^iTO&ife WiftieffiBe,Vi* i3 5r>. 
ALARD. DE L-I1TFLAUMAT1011 DES VAISSEAUX ABSORBhlTTS,' 
~ LTUPnATIQCES, DERMOÏDES ET SOCS-GUTVNÉS, maladie ddBiRnéa 

Sir leiaulrnraiou^lc] dilTérent» onm» d'Mèptutntiiitit des Araiia, œdemedvr, 
themitehannÀt,Aemidmdiegland'alair* dtBarlKidt,Klii^ atec qusiTt! ptad- 
cfaci en taille-douce, repi^ientanl les divu-Mr forme», «le.', par M, Aliid» 
D.H.P., membre de l 'académie rojals ite médecine .^«gÛeciadeih «uî- 
iGD royale de Saiat-Dcnîi , etc. j deuxiimc édition. Parit , t Si4 i >d-8>. • 6 T. 

lullu dei ipiMiciic» qui iuiqu'iiii inM^eul ingiili ini nbMiiIiaurl. Lu plaiicllK ajlrriil h labliH 

ALARD.DU SIÈGE ET DE LA NATURE DES MALADIES, on non*e1!e> 
considéra tioua touchant U Téritible action du système abiorbaot tiaai le* 
^hénomtaea de l'économie inimalei par U. Aliid. Poï-û, i8ii, lT.ia-8. laf. 

ANIOIAIRS DE L'ACADÉUIE ROYALE DE MÉDECinS, contenant lea 
aidonnancci et réglementa reUlir» & aoa orgaaiMtioD ; la liste gènénile de 
•M œmbrei réùdauta et contipondaitfii natioMOK et, MUgcif. Parii « 
i83o, " - ' 



G* peifi ouvrage fW IndEipeDi 






BANCAL. MANUEL PRATIQUE DE LA LITHOTBITIB,ouLettretà un 
jeune médecin «rie broiement de la pierre dam la «ejiiie ; par A.-P. Bmrti. 
docteur en médecine i niiii d'un rapport fait à l'InalttnlMyal de France* 

5ir HM. Percy, Chaunter, Deacliampa, Felktin et Ma^andie, en faTenr 
eion Donrel inalnimentpour l'opération de la Calaracle par eitractioo, Ot- 
d'uQC lettre deiciipliie de la manière de pratiquer an miiyen de cet Ia- 
lAmmeot. Parit, ing, i toI. in-S/aiec cinq planchea, le portrait de 

. H; Dnboii, et un Cio aicntietle aoa écriture...'. .d;.-;..Sf. 

fc^ir>Tif>diII.Biii«>|aM4itU pirliimiqui iraiHnidiuinm pelM laiftrtini ^k INtoiilia-. 
shûgiii pit» ili cIUDÏDta Hui ta liiiDt de •ni d'uiilui qu'i lie prtKim : i'iip«nlin'. U iirepHtllMi nt\AM 



BAYLE. BIBI.IOTHiQUÏDirTaÉRAFBDT-IQUB,ou1tecnc'ildeniê- 
moirea originaux et dentravaujc andena et moderœa MirtetràilemcntdeitDa- 
Udiei et l'emploi de> médicament*, recaeillia ci pnbliéa psrAi-Ii.-J.BijieyJDl 
H.P.,a)p'égéeueierciceclaiiua-bîbliothécaireAJa Faculté de Hédecine, etc. 

Paru, i8i8-i83o,a toI. in-S li f. 

Tome I*'. Travaux ancien» et moderoei «ur l'iodci rdaiétiipie 1 baule 

dose, le baume de copahu et l'acDpunclure , in-8 '. 7 f . 

, Tomt V. Traranx andeni et modernca aur le phosphore , la noix lomi- 
que, ledatura-ilramonium et la beQadooe, in-S ' yt.- 

BAUCHESIVE. de L-iNKLUEjicE des affecItohs dï; L-AMB 

DANS LES MALADIES NERTEDSES DES FEMMES, avec le traftemeal 
qui convient à cca maladiei ; pur M. de BiiBcatai , D. M. , io-S 3£r> 

BÉBIAiV. MANUEL D'ESSEIGnEHENT PRATIQUE DES SOUEDS- 
SIUETS;par U. Bdiui, c^Djeur deaétudea de l'institution royale de& Soords- 
Huela, BUi*i de l'art d'enaeigner ï patteT but aonrdS'iitaeta pal l'abbé dt 
l'Epëe. Parti, 1S97, 1 vol., dont un in-^-, loodètta d'eicrcicea contenant 3i 
planches en tailto doncc ei 1 vol. ia-î< 16 f. 

BÉGIN. TRAITÉ DE THÉRAPEUTIQUE, rédigé Buiiaot Uïpnnoipea 
delà nonvelle doctrine œtidicalo; par L.-J. Btcia .'chirurgien major à l'hC^i- 
tal militaire da Val-dc-Grdce, latmbre de l'académie royale de méde- 
cine, etc. Paru, i8i5, s toI, in-S ,.i»r, 

BÉGIN. HÉHOIRE SUR L'CBSOPHAGOTOUIB ; par I.. J. Bégla , 
Por/«, i8SÎ,in-8.,fig a f. 



3. B. BAitutBE.TU* de rÊcoledé Médecine, »• lâ bis, 



BELMAS. TBAITE DE I/A GÏSTOTOMIE SUS-PUBIENHB , oUTrage 
basé SUT frks de cent obierralioai, tirées dé II pratique du docteur Sou- 
barbieJle, par D. Betmai, docteiu ea cbùurgie.de la Facalldlde Ftcu , etc. 
Par;, , .8,7, m-8.. fig .^. 6f. 

BERT^IN- DES HOTËTfS DE COSSBRVER LA SAUTÉ DES BLAIfCS 
ET DES MÈGRES AUX ANTILLES OU CLIMATS CHAUDS ET 
HUMIDES DE L'AMERIQUE, conleuaat un npoaédMciiawidegmibiiicB 
propTCs à ce9 ctitnatieti la tiavende, reUliiement ï la difTéreace des posi- 
tion» , des saisoDB et des températures, et le trailemEat en pacticuUei de 

' qaeli]ae> ma'adiee coDimunea cheiieg Nègiea, (elleg que le pian , le mat 
-d'estomac et la lèpre ; par le doctear Biitik; in-8. : t.. a f. Sa c. 

BERTRÀIVD. DU MAGKÈTISME ANIMAL EN FRANCE et DES 
JUGEMENTS QU'EN OHT PORTES LES SOCIÉTÉS SAVANTES, tTcc 

' le leite de 1 divers rapport» fait) en 1784 par let commiasairei de l'Académie 
des Sciences de la Faculté et da la Société royaitfde mcdecloe, et une 
analyse dcB dctoiâres acances de l'Académie rojalc demèdeciae, et du rap- 
^ott de H. HuaaOD; auin de cootldénliODS lur l'apparition de l'EXTASE 
DANS LES TRAITEMENTS MAGNÉTIQUES, par Al. BaaiaiaB , doc-' 
«eut en médecine delà Faculté de Paris, ancien «léTC de l'Ecole Palflech-. 
nique, etc.. Patit, i3i6, io-S.. 7f. 

BEBZÉLITS. TRAITÉ DE CBIMIE, par L-LBerzélinB, traduit par 
A--I.-L. JauBDiR et H. EâiLiBG» , >ar les mannacriti inëdila de l'aatenr , et 
•ui t> demiire ««liliDii allemande. Porii, t849-i833. StoI. îd-S, fig... Sfifr. 

BIBLIOTHEQUE DU CHIMISTE, pArH.LoHcc.i».Parià,i834. 
iS- Tol. in-S, avec un grand nombre de planchejt. Prix de chïqae Tolume , pa- 
raiswnt de troi* en trois mois, {Ltfremitr volume cH tnvtntt.)\ ofr. 

£s BilliilAltui il CÙniifi uippUcti pour tiiiu IM ohilaru», c» •wJI'ClilKii iglDinintiiin M d'sd 

Li Blblioiliiqiii du Cb^BiLMs a pour tut in Un nniB^I» imi kl mitnl it dtclrint qui «1 paru 
■fl £Biiuikcl>li •coinili «ni oh ]f in Rij.H>loi>,Subl, Sditil. CanndiA. Pti'Ulcy, c 
I. DliJ, LipLu*. FnnAro], GiJ-Li 



inicr, Itacul. DliJ, LipLi«.FiiiiAn>], Giv-Liiuc. IIailll>C>r, 
I.SatDin, Tbinard.TiuquElîn.alc.^tc. 



BICHAT.AKATOMIE PATHOLOGIQUE, DERNIERCOURSDEXÂï. 
BlCHAf-, d'après' un manuscrit autographe de P.-A. Bécuib ; avec une 
notice aur la lie et les IraTaui de BicBir; par F. .G. Boissaïc, D. U. 
f. , etc. Pan'<, 1835, inS., fortraU tt fac-timitt 5 f. 

BIlLAIlD. TRAITÉ DES MALADIES DES ENFANTS NOUVEAU- 
NÉS ET A LA MAMELLl;, fondé sur de nnutelles obterralions cliniques 
et d'analomie patholpgiqucB, faîles à l'hdpital des Enfants-Trouvés de Paria, 
dans le' service de M. Baron; parC. BitLiao, D. H. P. , ancien interne de 
cet bOpital ; 1" édition, augmentac d'mt Mimairg médino-Ugai tur la viahi- 
au du f/tltti, tcec éei noUt tt vn* Noliee mr Pautti^r 1 par Qluviir d'Ao- 
gen, D. M. P. Paris, i83S, 1 fort vol. in-H 9 f. 

B™t.lou.r.iS..I« bue prlncifd] it l'iuAor«l,rf'«p«»i i« ciriuirr. dM Sym^ia»» propre *» . 
■»liinc>ton.l«iit. 4!i*.]ri»Mwil*rcr4.i.. l™i™ppon«».K.kiiHilnii«iidrjnï»DM.Ift pwi 

BILLAUD. ATLAS D'AHATOMIE FATDOLOGIQUE, pour servira 
l'hig>oira des malidirtdea enfanta ip^rC.BiLitan, D. M. P., Paru, 1838 
iu-4,deâii plancLea, avec an leïle eiplicaiif. • 10 t. 

•K ph«»n ai» làisplil V. Dum«niL 



BOI9SËAIT. KOSOGHAJHrEORGAHlQTjfe.QnTRAlTÉCOMTfcÈtDJ^ 
rtÉOECISBPBATlQUZ; par F.-G. Bolssean, 0. Jlrl. t., membre def iea- 
AiraW* iotIri •<« MïtlectnG de Pirii et de Midrid , j^rbrcbenr i fMMial 
tolliUite d'initruciioo ds Met». Part»,- i8i8-i8Sû, < forW toI. iii-8. . . 54 f. 

Cl«|M*>i«ilB<'"l'P*T*'^V>^«"'l'P»'«W<ifi"''»"fHUL'«ii**l»r(»iiM, Uiè.«i.,n»*tt 

!«'™î *• l.»«"r 'un tiW"" ««a <1 coi>)>lei du tium .1 fcuipi" dw «•[■*.. «.rrt*r<.i <»> t»,r- 
ï^.*«iJrle.««rfi*iM rii »w t »-trtm«iM W «»>w..*wt.Mi.fl.i.ti^lii«i»4MUwib*».i- 

IHH9SBAIT. WDÉTOMWlfi PHTSIOLQGIQUE, w Trai« dm AiTrai 
cDDiidérJM tl*i>a l'ea^l de ht noilvefle doctrine mËdicalc, par P.-Q. BoU- 
teau. Ç«<>'ri'*»<Mi*(«it,iM^iHenM«.i>«rt(, idSi, ia-^ de yiSpagei. g (^ 

BOISSEAII. TKAlté JDU CgO{>ÊRA«UItBt)6t OOfifllOËBÉ BOUS 
LE RirPOnT MÉDIGAI. ET ADMISIflTRATIP , am BedienliM «ne 

' )Mnra>pnJrae)iUDitar«etIe.tnfl.«io«ol4e«<ilc «ialadU,El étrtcamajàws 

- de l^iidw; ttdnde* urSTBCCTIONS GUA LA POLICS SJkAlTAIBJ, 
ii«tKie(fMrprrfr<rfHDait<wrMvt«afj par F.-O. Boùmm. Pi*i*, i8&i, 
V-K...,. ■-. .6/. 

eOIVIN *T DUGÈii. TBAITÉ FiUTIQOE DBS MALADIES SE 



fOTËBOS ET I>E SES ANREXK« , B^tajéiw' un gribd nontin 4'akwr- 
uD» clioi^ucBj par ni«^nMBe<Tia,Jl»cieiir4i nideûfti fW^-IVl^^ 
reillaple CD chcfdelaiDaJioDiDjidedc Saolii.eJtA. DuoU, prcrenenr i 



_.acutlïde (iiédeDînedeBoQlpeUier,i><wifjie5S.»Tol.(ç-S..:....4f. 
Atlai'de ^l planthc» ïn-fol. , gray^i;» et coloriÉei, r»iwttiijtt Ut prinoi- 

fàln altiràliifu pmrlndû da organtt giniiavx Jt ia ftmvé. Paru, i8K. 

ip-rol.,avsae<p4icauon ...6o/. - 

L'ouvrage complet pris entemble, a Tol.in-S. , ntlat in-fol...,. yi>T. ■ 

■ Vtiimt fiiiiriii 'i M. ,Tiù«ii, au iniUiiiiii leui IrtUi ^wiitH iln «iiU^iu A l'w^ni tU*m «ntiai). 



.paiMM ■ b< f Mi diflltila , i Mlbi 4(»i k InfoiMBI « h* di<tri nudit r»iial AnSinMi'riipitiJi 

,pilHWl.liiilk*qii»d«l«i- 

u lillg dini unt piJilllIM «Mllilix, In niiiir<|U<i cl iMobimilitiii d> U. CbsÙ, JiiiiHiitnindaini- 
dlimiL>c>>V>Ua.l»ili>>i>'*llFoiI'i4'<«I<rlJ'i>lli>Ildiin)tl. 

Du NI AII«<pbHid*nliaIlHVrBl«biHlii<p|)a^ d* ^airnlicl imf plaitelira fTH^ai «I wbrî^ Btu 

. _._. j— 1.^ j. _-j. ».'_-. "^^^^^^ ^ri. Lh>f*l,JÏ tquou p*r la fHlf flioa 

a «iiopJii|rB> indiiiiniiilila dt l'ïuirJga. -CtnilaB- 

:b01TIîv. hechbhcues sur une des cadsks les plus fré- 

QUERTES ET LA MOINS CONNUE DE L'AVORTEMEJIJT , mirici 
d'un mémoire >ur l'iatro-p(lnmèti«, uumeniurateur interne du bMUU ; pM 
madioie Boivin. Pont, i8a8 , ia-8,,Gg 4 r. 

BOIVIN. MOCVELLES RECHERCHES SUB L'ORIGINE, LABATURE 
-ET LE THA[T£UEHT DE LA HOLE VESIOULAIRE , mi GroueuB 
hjdatique; par Ho>a Boivin. Parii, 1617, in-H. , )I(. i T. 5o c, 

"BEÏITIS ET ItOUII/tAVD. ÏRAiTÉ hss maladies db 
COEUB ET DES GROS VAISSEAUX, p.r MM. R.-J.-Blnw, et*. 
Bonu-mn, proMeednli h Faculté de médecine de Paris, Paria; fli4, 1 

' .ol. in^.,«v«;8pU .....;..* *.,.. fit 



i^tïtïiXtJÏ»,. THAITË PHaïIÔÙË, THÉbptQlfE ET S-TATIS- 

■ -nijUB SURLECHOLEEA-MORBDS SE PARIS,, appujÉ sur uà grand 

nombre'a'observafiOiiBt'ecuFÎIIiee k l'hôplttil delà Pirti; parJ. Bouitnin * 

tbédteta de /•et Mpil«I, firofciaei* iJe ettriquc aiàiatW k i» F»cnliê de 

■ mtdeciiMde Paris, etc. , i toI. >q-8. de 4So page* fi f. Soc. 

90tIIL:I.AVIk<TBAIT^ CLl5I(^E EX PHïSïOLOGIQKE DEt'KJI- 
' USPIHALITE QV . jmLMtMATiaH ■, BB CERVEAtJ ei . <ie »m «aUca , 
tatl«i quelAHiociUiiaeiticiUi U anppurMioa , Ici tubercBlasi, tB'Moinbv, 
' " " ■ ' iclo A U 



le couper, eic ; par S, Bqdh.mcd , profruenr (te (iÛfiïqiie nidii 
TacuTtéac ihédetHriedeTafii. PSWi. -<"■" ~- 



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pM.S»ai,.,lci.r»»cnbNjldliI«.ii««d;iti.n(m.>..pog«iiânin.b«i-oV«rilii(lii«l.plBdi*m 

.. Iliipisjin i iimautif. l'il .u (lti| Utaïc, liKli^ii* Jm )i^ri inr Jig^iitlla, wnH rf l»iii,(n«*hi. Il 
|ua<;ac|uif>)liiiinit ion lim, «1 >il dminSi prriHl™ pIioF «uprriiiLct mifi dri VncrilciiiE icriii ni» nom 

iBQlîÏLlAtJl». rEAltÉ'cp'tSîOCE Kt EXPEEmlBSi-At 6B8 
J"fÈVÏIESWTÈSBSSKHTÏ6Li;E8i>iir J. Boo.lwud. i^ri». ï8»6, Îu-B. 

■ ._ " yf. 

CFt» itoutli •HiiEi iI«Wlti1«> ffiiUlixMIctlW tirrttViI qu'tn (ipholrui clflltrlilse ei rinoili n^c 
/dD'dMn>inF-iltl'AulaaAW'p>lliUo^*uhilU<r<li-titf>>'MiÉl'Bi1tiir>ltiii4DeklM(<H ■>)>»« 'dïjrdK- 

'l»B>rPIi^WlMÉimi»ilMi*w«titP^^"«i*i'lw™»»'rtlii<i'oiii W*»i yM I| t t>iii w ]V«ptiirfiBi,M»m. 
Ma». Fo^rbiT.olMmr, »!•« «^r kYl*lil^wJ»uilHjc]Miirt«i.i,à,,o, M(.r*t,.i^ii,Tolr 
' fcurîurtiail'urt ,,J('dl>|DHIie>ll>lUr^?tu!^HdralltRn. 

BOVILIyAilD. mBSEBTATIOTf ^SVR- LES OlÈReRALITiii; DI! LA 
CLINIQUE MEDICALE et sur te ^Im> i «ùtTreânn fensergacneDt Jo 
cette iblebce ; p«rl. BeiTiL&i«D. Ao^ , mit , ta-fl. t . . . i f. Si>«, 

BOt'IlLAtJD. ilitôsiTiCfî JÀ^feoSflÉft ï>*uM caÎ! dE fiot- 

TETXEET SIHGULIÈRE VARIÉTÉ D'HfeltliIAPfiROmsMÊ, obBi;rr*e 
cbti l'homme, pur M. J. BoïiLiiuD, Parij, iSSi.fnH. Cg i I, So. 

B0iniï)O]y. PRtKCIPES Dfe PBtSÏeLÔGIE CbMPARÉfi, on Hirtoft» 

des pliénamènes de ta vie dam toùi les tirés qui en toal duii^B , depuis les 
piailles (u Bqii'àui animauï les ptits coni|**ie«; pai I«id. ikHi>innl , 1), M. P., 
membre de l' Académie myalc de biédeciiie. Parii, lUlo , io^.'..^ f. 5o c. 

BOU&DOIV. PRINCIPES DE FHTSIOLQCIE MÉDICALE; >arhrd. 

BoriBoa , Pflrt*, i»38,» Tol.ta-S ;...... .i».r. 

"BOUKDON. BKCHEIICBES SUR LE MÉCANISME Ï)E LA ÏIÈÀPI- 
EATldH ctiur la circulation du tangj easait qui ont'oLtCDu itDeliieDtion 
boDorabU aacocicoura dellnslilul; p'ai Iiid. Bovidok, D. M. F. Pari*, 

18.0,10-8........... *l. 

BOUBDOn. DE L'INPLURISCE iit LA PEHANTÈVfi SVR QUEL- 
QUES PQÉJSOMÈHESDEIA VlEi parlsid.BotsooB./'ar»», j8i3, in«. 

BOUSOUET. ïhaité de la tagcih'e et des bruptkius'va'. 

■ EIOLEt'SÉ8oBVA«IOUFOItME8r«"™y« téétgà mr-ia JemaaHe du 
Scuttnummt, ^arJ. B. BavsQMit D. M., wcréiaire du consaB de Hata- 
tlémic loiatede nièdtciue, cbaigc de» vaccinalioini gratuite», P«»m, i8S3, 

. in.8 ..-■ • ■• • 6Ï. 

•RACIIÉT.BECHERCHES EXTÉBIHEHTALES SUR lES FONC- 
- TIONS DD SYSTÈME MEJIVEUX GAMtiHONAlBE, jtf iur leur 
,1 applict^ouRU iwUioVDg'e. r»r J, L.BB*cHtT^inedïciDderHûiEl-Difq 

, .d« Lyon, ûifvrriEe couroiini? par l'Injtlint. Parii, i83o. In-S" y tt- 

1»BÀ€HKT. BECHEBCBES SUE I-A NATURE ET Lp SIÈGE UE 

' fHïSTÉBlBETDEI^'BYPOCfiOKDaiE.eiaurl'ûiMlo^et Im dUS(- 

renceide ce*iieiiimalaiiliet,r*f3. L.SaiuuT.iS3i,lo.4< , ..3fr.j;o<i, 



«6 S. S. Bah-uÈbe, rue de l'Ecole de Médecine, »* tZbis. 

BRESCHET. ÊTDDES AHATOMIQUES, PHYSIOLOGIQUES ET 

■ PATHOLOGIQUES DE L'OEUF DAMS L'ESPÈCE HUMAIME, «i âaa* 

• qnelquei'Dnei dci principales femillei dèi animaiu vcrtébi^t, par G. BaEa- 

CBiT, ciief de* ttavanx aDatomique* de la Faculté de mëdeciiie de'Parif , 

, chirargien de l'BaulrDiea de Pacu, i839, in-4.'nTec ilipUDcloei. .iS fr. 

BRESCHÉT. HÊUOIBSS CHIRURGICAUX SDR DIPFÉRBRTBS 

ESPÈCES D'AKâVRYSHES; par G. Bimmn. Farii, i834. lo-t avas 6 

plaocbei iD'Iol. Il Ir. 

CABANrS. RAPPORT OU PHYSIQUE ET DU HOBAL DE L'BOUME; 

Sr P.-J.-G.Ciiiiii, de l'Iuslitut , profeiscur de la Faculté d« midfciiie de 
lis , précédé d'une table aoaljtiqae, pat ÏL lê comto Dunn m Tbaci, 
Gl MÛvî d'aDB tiiUe alpbabéliqae ; uoarcUe ^ditioa. Parit, iSaj , 3 *ol. 

in-ii da i.iDo pages .' St. 

CADET GASSiCOURTl FOIlHUI,AIRE H&GISTBAL et HEUC 
ElAL PHARMACEUTIQUE, par Ch. C»» Guitcrair , ;• édiUoa, 
auumentÉe par F. Cadet Gasslcourt , pharmacien , Cotteieau et L, Di lA 
HoaLiiai, D. H. P. Paru, iH33 , in-iS de 700 pages St. 

CALHEIli. DE LA PARALTSIE , CONSIDÉRÉE CHEZ LES ALlti- 
RES , Be(3iercbea faites dan» le >erirîce ei sous lea veDi de HH. Soytr- 
CoUardet E<^irel;'^iTL.-F.QiiMMiL,D. H. P.,tD4detiuàU naaoa 
rojale de) (llfn^i de Chsrenloa. Parit, iSiS, îd 8....'.......6 f. 5a c. 

.CARAULT. GUIDE DES MÈRES QUI VEUL'ENT KOURRlH.oa 
PRÉCEPTES SUR L'BDUGATIOH J)E LA PREMIÈRE ENFAKCE ; par 
B. CtaiDu , docteur ea médecine de la Facullé de Fatisi membre d« 
ptusieuTS Sociétés laTantei. Paru , iBio , in-iS a f. So c. 

CASSAIV. eecheughes anatouiques et PHTSIOLOGIQVBS 

SUR LES CAS D'UTÉKUS DOUBLE XT DE SUPËBFETATION; p» 
A.-L. CiuiH, docteur en médedae de la 'Faculté de PaiÎH, ancien 
ioterue dea bdpilaui. Parti, iHsfi , ÎD-8, figures , 1 f. 5o c. 

CASAMAYOR.béflÊxiohs ET observations ASATOMICO- 
CHIRUB6ICALES SUR L'ANÉVRTSHË SPOIHTAHB EN GENERAL, 
et en particulier sur celui de l'attëre fémorale ; par I.-L.-L. CuisiTcn. 
docteur eo médecine de la faculté de Parie , etc. Parli, iSiS , in-8. . . 6 f. 

TIci ab<er7Kli«if EiojuliteuHi blcD Taltm. tlTiiQÎre la phit f ainpleiH d.iiD]Téfp1kni(jiilBal«fftprili^iH*« 
l*ni «n FrHMiqDÏl'âlrvaJtB'.rauDitDdudiTaQ^nD^dfrt cptrtloiin qui doJ ^1>propvv pvki|>ldi 

nrwjilHeduIlB^AtttaHjabiUÏDtbtiidt da caiiurgirn^i cÛJt de?<ui lu 5£■^pï t J d« Uac^i'a nrlV- 

' CELSfi. [A.-C.} : TRAITÉ DE LA MÉDECINE en TIIl livres ; Iraductkia 
DOUTèlle parHH.' Fonquiai, profeiseut de la Faculté de ULédecine de Pa- 
ri* , médecia de l'bOpilal de fa Charité , cl UtTiu ^ D. M. P. Porûi iSi4 
în-18 deSSopages, impriiué sur papier fia , pii.F. Didot.....>4 I^ ^'^ 
CELSl (A. C. }': DE ne^ MEDICA LIBBI OCTO, edilio nota, curantibui 
. P.FouqiiÉa, in saluberrima Fncultite Parisiensi proHesM», et F.-S. Ri- 

itia.D. H.fAriiiw, .SiS^in-iS, pap.Sn duVos^e if. Sur. 

'_ Le même , papier Télio 8 f. 

CHAMBERET et TRACHEZ. DU CHOtÉRA-MORBUS DE 
POLOGNE. Renseignements recueillis par la (!oininiasiL.B de» oOcien de _ 
saaté mitiiaiie* envoTêscn Pologne par le inln!itrc de la guerre^ préoâdé* 
du Bappurt. du Conseil de laDté. Port*, iSSia, iii.S. ■••i.:. 3 f. 



i. B. Baillièhe, rue de PEcole de Médecine, r* iS &à. >7 
CHERVIN, louis et TttOCSMÏAU. DoeCMENTSSORLA 

FIBTBB JAUNE , tecueillii par lu memlM-n de li cammiMion médical* 
enioTte fc Gibnitar pur le gouTetnemeal franfaîa, pour obierTcr 
t'ipiâtmie de fiivre }aB■le^qui> li^ai dan* celte place eo i8iS. Pari*, 
iSSdj'i Tol.in-S. , aicc cartes et pliDi.: '16 T. 

■HMnL'it qui D'iliilpin i,„]ai au rwnmtteD. Haut .d|ib>dd> lu plnuiHI i|ul iMniVanl h II rmi- 

CIVIALË.DELA LITBOTRITIE, ou B^iemèm de !■ pierre diDiJa 
TêHÎe, par le docteutCiiuia. Parit, 1837, 1 toI . in-8., «Teesepl ptaDche>.7 f. 
CIVIALE. LETTRES SUR LA LITHOTHITIE, ou Broieaieat de la 
pîene dam la TeitLe, pBW umif dftàla «t 4« amplimtntà taunrag* pri^ 
éèdatt , par le dtwteur Cituli. l< Lellre a U. Vincent KiaM. fan), 
1S17. — II- Lettre. Parit , 181S, —III* Lettre. UlhotrilU urithratt. 

Paru, iSJi. IV' Lettre i H. Dupiiylren' Parit, i833. 4 uait. ioS ; 1 1 fr. 

:. SËparémentlalIl* Lettre. BuliLHhotrUUuréttirafê. Parti, iSSi.in-S.S f. Soc. 
Stpardmeat la IV Lettre *U OapuTtreo. Parit', iSii, in-S!..... «f. 5o o. 

CODEX HEDICAHENiFARIUS , live Pharmacopaa gal'Uci, fma régla 
oplimt et ei mandito aummi renim ioteinaram re^i Bdiniaûtri elStui • 
JFacollato medicl FarieiuÎH. ParUUa, iNiN,ia-4 ,.' 10 f, 

COLLIN. DKS DIVERSBS- MÉTHODES D'ETPtORATIOH DE LA 
POITRINKETDE LEUR APPLICATION AU DIAGSO^TIC DÉ SES 
MALADIES, par V. Gulli*, docteur es niédecioedi la'Factiltéde Paria. 
dtiaiiàmtiJitimi, mugtntntU, Parit ,\Kit;iB-9. ;..... a f. Soc. 

CO<H*£R (ASTLET) ET THAVJSRS.CBOVItESGHÎRURtflCA&eft 

' contenaat de» mimolcei anur les )uutîoi»,'i'iDflaaiiiiation de^l'ina, Ik liga- 
tnre de l'aorte, le pUmoù* -et le para^pUiDotia , l'uortoae , lUiWTrt'tni** 
fODtre DBtote de l'orithre , les ble>*sru.et tea ligataiat dei ««Ma', lea fiao- 
tnrei du cql da féiour et des lumenri eolystéei : .ttwlititcs d« J'aBgkdi Jpif 

' Oi BiDaiRD , docteur eo nn^dccine, arec ai plauchci. Parit, i^i3: 
sTol. iii-8 .....^y....^^.:....iit. 

rillierJjidgalriH jJi^olDfi^H ili« cbiiurviTt h r^lQuirwl p«tl- 
ioD, qd1«tirtoiiriiir«dc »aiiruiuii4j«ud'Tié«iiifrbartpptHli«' 

COQUEBERT. iLLDSTBATtOICOROGRAPBlAlHSfiCTiOnUHqiiM 
in maBalîs paritîoia obsertavil et ib lucem cdidil J.-Ch. Fabrïciu'a prKtninii 
eiusdem deieriptionibui accedunt <p«Ciei pluriiiix , Tel mimia atlViilindiiiB 
cognitR; auct. A.-J, Coquebert. Faritiit, an (m; ooTrage. couplet poblîë 
en trois décades, compotéesebacime da loplaBcbea et an textd: exfijicttif 
formant. eniembie. un volume g nnd iii-4°<K »4> P'g's deteale eiSo plau- 
cbes gradées et coloriées axei soin et représentant plus de 3oo eipêce*. 

Tn 4. , cartonné. Pria : 60 f, 

le puii"sdreit[iirtiiHiiIqnilqiu>iKinpllli<idcidU>dH'iil 1. mit a plmAit »alarl>», t rikta 

JsOnriinilti In piisehri enUlitH, I^nlii an » «bitr aiat ion , as ^lil !•., >l fr. 

COUTANCEAU. révision des nouvelles doctrines cbi- 

MICO-FHTSIOLOGIQC KS, suirie d'eipétIcEces r°Uli«es â la respiratkwi 
par M. CoDTiNciiD, D. U. V., midecia et prorcxeur à lliâpital miUlaïre 

d'initmctlon du Valde-Grlcc. Paris, iflii, ia-S., br. 1 S T. 

CUVIER. ItÀPPORT HISTORIQUE SUB LRÇ PROGRÈS DÉS SCIEIT- 
CES HATDRELLE3 depuis 1789, et sur lênr état actuel , prneoté au goo- 
vernement CD iSoS, par rinslilnt, rédige pirM. le baron G.CiiTiaa, m'einbr* 
de ['f ndtîiul , conseiller d'élat , proresscur admiliiitialeur dn Hniéniii dli^ 
totre oatuifelle ; don f elle édition. P»rU , 18171 m-8......;.,..'0f,<oc. 



|8 ■4,-^.&xnjiJit:t,rue'de fEcote de AreVJtfoiVtf,'n° i3£u, | 

■CITVïER. SonÉIOBeparE. t»«i«T, McriUiteperpéloel ,Je l'Àc^démis 1 
TofUedeMé«édnr. Paiis, iSJ3j îd-H, «fcc ua beau portr^t de Ouvim. if. 1 
,:t»'AyY.']î;i,EMENTSDE.rHIJ:,OSOPHiRGHIMIQCK,.pn-H.DtTr, pjo- 
feiteordeçlÛBiiB ■ l 'loti ito lion «aji le HaAïrienfDe, aaxtxr dci-Élîmentt de ' 
"YTAjiMleiijrinito; trad. <lel'atigl,,aTiC(Iesiddi(it}ja«, par Van-Mou, c«irci< 
pppdmit de l'Inititut. ^^ori/, .Sag, , »ol, in-», fi^. rg f. 

ÀmiiiùMOMl bUBUioiJ. St! EIJmrnTi <li flihiKiiHi rliwf» ^liiiH plu •gniiut >B Jntfa | -«•»- 
- n«ji>i».«#rt™*ii «iwiricitn i«.rtpr«i*ihM.i. 

-OeLMt»! ÉTUDE BtlCKonÉHA-MORBirs EH ANGLtTEERB ET 

En ECOSSE, GD lH5i; par U. DniiicB, prureiwurde'jaFacolté ik m^- 

■ ■ dcdnede'HoiilptlUet, ett. Paru, iK3i, io-S 4 f, 

BKSAlfliT- tiovRES/CiiiauftiRiciLKs, (ta -txpoai de -la 

, fiOGTRlflE ETDE-L^i'iliTlQUE DE P.-3. ©ESAW.T, «Mtattten'rt 

chcfdel'HOlet^icudE Parâi; pw Hit. «iniT; troiSiAn» idUtoa. PAMt, 

' ■ ■»SSo-,3iïol. in-S, "ec i5 pttn«a« .,.,.. 'i8L 

'dëSCÏiAHps. traité historique et 'BDGKTA'nQUSim la 

. tecmbrBdol'lislitM^ctcii >«ecQ>i»appMafcl)t d*Ba)ofu«l I%iM»it«4ela 

laillceit coiiliiiu^e« -dépiiù la an ila «ièd« detnicr' ^Hjii'è m jour, ptr 

L.-J. ^Cii|,oliir«rgica-ni>)or.ai!bapiHl-«)rïMare^driTHtMctiM> du VUQd«~ 

; Giiot. i^iù, iSïÊ,'4 ïpl. iq-8, ig........ ....lot. 

— ^'Cu' v(àâ'^j>Btéiu>'iit le ^upiilcra^i )iac M. BcgmpourU* fOMeucars de 
* .-. li'iuicicniie edili9n'<Jc 0M|;Ii(«Bpi. Iu.i»", .,....,■.■ 3 f. 

^ ■S|i^S^.iVïiTT'S^/ibrt>âSSt>eS.JLOADéMICIZSS't)E IlOfTtl^L. 

J^l^ f pAirMnnB'tTl'bial«iiv^*ctAicé*^nrle >i«i«ièei«, pat U. la faarOD 
V ' DiWnMfri:ka(iBi>}M«kiii'figaU»l'du<9ervne dewntédcaiara^», profcaseor 

.... d4 UtaMllé de DiAdc^asde Paiù, e\o. Parii, tSii, hi-fi if. 

- ■■nBSOENETTES.nrSTOÏbESfÉDlCALEfi'efARMÉËD'ORliEHT, 

-parle tbroa fi. DasoinKitis; !• éd., aûgititntée de noie». 'Pàrii, iSSo, 

■ iio8.;. ■.•-■.■.■.■.■. ..-.■..;......■. .....; , et. 

'' DËSRHEIHS. msTOini! natù rëllb et médicale tms s-ang- 

SlJÏSi (:oDteQaD^''t^,3éieii|>lîon''BnalDniiqUG des OTgaaei de lu liiDgiuc ofBci- 

nale', avec de» comldéra'.iuni physiotogiquea «ur cea organe» } tk« 'OOIMM 

t>âir^^dtMi-MV',|f'e[>iHei^Bti«n dumeaiique de c« ver, ta repmclacriDn. 
''' '«('8 insladiés ,sôjt àp|>[i'<.'àli9n , etc. ;. par i.-L, CiisBiiinii», pharmaciçn, elc. 

;' ■ 'Parlf, i^a'5, 1^-8, ;âiiplauc1j,i;s,.. ;...., ..,;....": Zh Soc . 

iiXESIlOCUES. TRAITÉ ÉLÉMENT Al RE BECH1H1E ET DE FHT- 
1 : ^tQUE,i>arO«M«oaa4ai]aieQël«ndGl'ti)olepo);eerfMtqne. A)rU,i33i; ' 

i^. itivfert «etumvia-tl, atcc^j plantflief Bravée» ,...'. 8 t. 

: 'MlSltTjEXX'ES.TIlATI* ÏHÉORIQDfi ET tHïATlQtfE Dtf CROUP. 
d'sjJits Jôi prinqjtoç» de la' ductrilic fliyiiolùfelijue , procédé de nJOexioui 

,u, l'oiganîsation ocsenTanls, par H.-M.-J. Ubsidillï», docleut en inéde- 

. 1 . cine de la ficuM M- Phîi, bnnobre de la '■oejété médiesle d'^mDU.Iioa ; 
' a*ilïiÈiMe tdîliOQ, eolitrenieiit rcibnduc. ParlijiSii, i tOI. ln-8. S f. 5ac. 

■ *iiÊSfttiELLl:S. TBAlfËBÏLACOQtjEt.UCHÉ, ouvres eourônni 
■' -narta Soeiiti tnêilico-priilifilt da Parti, par ^}iBtmu.\a, itocieur en mé- 

■ decioe de la fatull* de Pârîn, cWrutÉieiiDloirfr 1 lliOpital iu'ilitiîre dln- 
■ Vtriictîôn'an Val-dè-6tatê,etc. PiiTii,if.iy ,'\d-'» Sfr. Sue 

' BÉSRÏJELtES. MÉia'OIRE stru LB TRAITEMEST SAWS 'MEB. 
] CUiRÇ emplsyé à ITiÂpiùl piaiiï-— ■< ■:"-!'. .-.•:-." a,. ■v.X.A.ci.i^^ ..-,-ir. 

Ici raalailie. Téuaiicnue» piimitîï 

Parit , iSaj, in-» ,■ ■ -, <" 

mCÏÏOft'HAIRE DE "MÉDECINE VETEH1HA1RB, «pyMHoua» D'*i 

»OT*l.,TP«g- »t. r' 



J«-B. BAUi«iitix> rUe de tEcole âe Médecine, n* i3 hit. -m 

MCTtOlirilIirB Iffl» TERMBS DE HliDECiTfE. pBlRb&GIE. ART 

VSTi;flIAM-BB, FEÀBMACIB, HlSTOiax WATUflELU. PBXSI- 

QU£, (JUIMLË, Etc., par MM. B^cia , Buruuc Jodvui , Itmtraïuf, 
ItiOBA», S*iiMiM> dotUurarn MeJacise dsU ^ultij de Paru, et Dntor , 
proIeiMUC It i'£ca1o tëlériDaire <l« Toulouie; ■ugmcnld d'uu Snvptèmmt 
dua lequel SQit VDnptis totn li» noweaux trruiei iptioduiU duu le Unguse 
des acieacm méilicalM «t ■coetMÎrat jm^rt noa jou». Parji, iHJo^ i vol, 

in^dsESi) pagci., t (leut coUduuc tl{. 

— Lèaui^lHiuenl compreitHitt (oiii Its noiiriwux tennca Introduits duit lei 
K!iencf5midi,'nlc».Pof», iWd, io-S ■ ^ c. 

DCBLED.£:ifUS[T10H QB la ItOUTEtLK DOCTniRE SUR 'la. 
MALADIE V^KÉRIERNE, tw A. DobUd, D. M. f. , proreueur âgiirgt 
k U {■oullodc iDÀivcioa <lu FBvii,aocieD interne de t'b(»picedetVèD4rt«iil| 
Parti, i8ig, ip^ ,..■. ■..,. lir. Suc. 

fiUilïES. ESSAI PUYSIOpOGICU-PATUOLUMQOSSUItLANATtJItE 
DE LA FliVSB, DE L'UIFLAMH ATION ET DES PltlfrclFALE^ 
DEVROSfifi; ■t'P"/" dVbKrratiUDi priitîijiismuiiLdQ l'IiîiUoiiedaiMatadMi 
ofaMTTéMil'tiâpitMdFB Eufaola (natadHea iliiï; Uànunre conraBlit par h ' 
bculté de mMtoine de PaFli;par Ant. Duata.D. M. P. , prut JR U bculti 
de mtdBaiae de MoatpeJlief. etc. Parit, iSa?, i vol ùi-8. i3 t. 

BUOÈS. DE L'IIfFLUEI^CE DES SCIENCES MÉDICALES ^ ACCEf. 
SOJIt£S HURLES PH0«r£8 DE LAilUIBOBtilE HODBRNB.pirAnt. 
Drtli.'Pori», ia«.iii8., 

D><i>»<ii»il,H. IhigiiiTOulaC'i'l «Wi'lf i;t)w>.liii 

JHJ6ÉH. anNT-JtE inTER ASCITEU et HERlIOHiTIXkUieHBO- 
KICA-M CERTA DISCRIMINA QClALE£Dli«fifiaQl,11irBitllTt«Mfc 

Ant. D««ta, D. M. P. P«r.jiii, i8ii.in4. ...-.* i fc..ipc. 

. DCJOSS. MÉMOIRE DE LA GOHFaUUITÊ fWAAlllQeE BU»i/É- 
CHRILE AHIMALE, par Ajn. U<jcl9, prurcwMi i '• FaeoM.dr.Bè- 
derîne de Uoetpenier. Pwû. VSm.IMbmb an ptMwhc». ...iSr. 

IU.'GJE^. UÉUOLRfi SUS un nonVEAU forceps h uiiUen \»\u- 
UDtes ,ot lurson emploi, {ur l«|B«tB(;, iWii, i835,io-8% Sg.-ilt&VPk 

^IGES RECUERCHëS sur t'OSTËOLOOtE ET LA KSOIlOfilE 
DES BATRACIENS, oiivroga cûuropuifiir l'ùiwihilde Frums-stpAUti 
1 tta lni'tP""'' i^ii ''■4 '"ec lûypIaoQba) gravéM. Soiafnmt. ■•. 

nUTKOCIIET. RSCBSRCHE» ANAT<Mlll<H>E« HT PHTSmiO- 
GrailESSURLA SIItUCTUBE INTIME DB« ANIMADX BTBeS 

' VECETAlIXETSUIlLA»OIlLlTS,parM.Diii.Mi«i,D. M.Pl.tniai». 
hrudef Iniùlttl de i'iauca [«eadiïaiierojaile (kea*eiefleci,elLOP<)rCr, i9>4, 
iûJf , a»ec deux planche. « t 

nUTBOCtlËT. H01ITEILE6 BECHBRCaBS SUR LlinDOSHOSK 
ET L'EXOSMOSE, par H. Swkchi, t^. Ht. Y. , Parii , ItnS , ht-S, 
fia ; »fr. îoc. 

EfiuijJAOI.. NOIE UÊI>K«k-l.l»ALE SUR LA UOKOMAHIE flO- 
MU:IUE, parti. U docteur Ké41i«r.. Pari», 1817, IhS ... 1 fr. So C. 

FABJAS SAÏNT-PONB, ESSAI DE GÉOLOGIE, ou UémoMa 
poui hcmIt i lliiaioiis o'huidbi diiglBba;paT B. Fieiia Siirt-Pann , prof. 
H Jardia du Rut. Parfit <^9i ^ *»<■ '"-''i aTec ig pi. , dont S col,, 11 £,. 

FODÉIIA. HISTOIRE DE QCELQCES DOCTBIITES MÉDICALES 
COMPARÉES A CELLE DU.DOCTÈtIR BJIOUSSAIB, suirie de «Mut- 
déraliuiu Hir |g* éludes laéUicaiBtDaaaldétéeacaniiieiicMDEe M cumne art, 
et *'uo SiÉniotrewit lathAnpaDti^;»!: pacM. KWtt*, ooReupoudaDt do l'Ii». 
tiu>^ de FraQce. docleureo médetikie el «• pbUuaiipkia de fMneMhéde 
Cat»çe,««<--P*^. '«^i.>"-8-' ..Sfr.Soa. 

FOUfiRA. MiCHBRCBKSEIPEmMEBTALKBSUBL-ADSORPTMW 
*T L'BSHALA'fWN , Mémoire coaranii* par l'ioniitut ruyal *k Fnoen 
pat ie menu. Pa»"» i8ai, in-8, avt* nue pUoohe coloriée.... il. ioo. 



90 J.-B. Baillièhe, rue de VÉeoîe de Médecine, n.* i3 tfs. 
ÏOlWÉRA.DISCOURSSUBLi BIOLOGIE, oirSCIEHCE DE LA Vil, 
uîfid'ua Tabltau du connûannces luitiirdlni â'ipiÉi leur ifatere rtléttl 

' BlUtion ; par le ratTon.' Parit , 1S161 iu-R 1 Tr. Sa e. 

FORGET. MÉDECINE NAVALE, ou nounauiélémcBU d-hygiiae.de 

palkalogie et de tbèiap«utique médico-cliirurgicale, i l'uEugc dé« orGcirn 

'dciaiMdela mjn'iiedel'italet dm commerce , par C. FoacuT, D. H. P., 

' agrégé t II faculté de médecine de Paria, ancitin «JiiriiTgien de la marine au 

■ purt de Boehcfort; Pnrit, i83ï; a vol. iu-fl ; ... ,4 f, 

GALX. 8UK LES FONCTIONS DD CERVEAU ET SDR CELLES DE 

CHACUI4E DE SES PARTIES, aiccdei obtertattoDi sur la possibîlilri de 
Tecodualtreleaiiutincli, Isa peiMih>nla,let talent», ou les dispositioas mofalct 
«tlnleilecluellci deshommet et ilet animaai , patJa conSgurâtioa de leur 
ceneau et de leur tËte; par le doDleur F.-J. GaLt. Parii, iSaS , C fort» toL 
• ia-8 ht.... • 4a f. 

'llimiIHHaIoMdenMri|Did<'>id(atlrttinpuMlMdeiU'iit«ia|ikjiliil<itiim«d>H. Gill. A cliisn, 
pWiinii-IIMfctiIlilHtcwiMrillfniMHMiiipnriiDM^Briwiiirilrtiiir iHiiliiulqil'iiïirlhpaïuuinDl. 

'!> Unumt , m'\t iimi rtri l'k<iDBr il ckri lUnnH «pitu d'takiuiH < lurli n'iniin •!• |ugc> Ixifiti 
,J»» alWj M raliMM . wr h pbjrfonoBoa'iliar f I h pHtisgnimiHiliiuc . «ir ]> taUa 11 n>iiRi<|fi>. Pwnil 

4b ia>Ai drdiHiutlIn'h.iDI. tia. En ohi citrckinlI-iHi diai un «un minst IlMati* n^ilanUa 

GAHA. TBAITÊ DES PLAIES DE TÊTE ET DE L'ENCÉPHALITE, 

principaleineal do celle qui leur eut coDi-éoulJi« ^ ouTiagi' dans lecgutl «ont 

■ diiculéea pluaieur» queMiuaa relalirea aui ronclîotn du ajilènie nerreui «d 

. «cniral.par J. P. Gim, cliîrurgîer en cbef et professeur i l'hôaital miliuira 

,. lu Val-da-Grtce, etc.. Pari», 18Î0, in-H- „. 7 f. 

GKliDRIN. HISTOIRE ANATOMIQCE DES INFLAMMATIONS, pas 

. > A.-H, GïKBa'ir.doclcur en médecine de la raeiiltc de Paria, membre de 1» 

Soci^liS do médiecÎBe de Paris, médecin da Bureau central des tdpiJiui, etc. 

. Paru, i8ia6, a »ol. io-8. , ; .."...., 16 t. 

I, Cmil'flÏÏSÎl. !Ιbipn!"ii 'aOitff d'un. S^ •"«i nllE^ .h'Î "lîIdHMr. ran^^^dï^ 

ËEOFFrW 'SAINT-HILAinE. HiSTOiHfi GÉ^ÉBALE œr 

■ FAHTICCLitRE DES ANOMALIES DE L'ORGANISATION CHEZ 
. I/qOUKE ET LES ANIMAUX , ouvrage coinprc^nam des ipcherchea aur 

Ici oar«ct*ie«', la «la-siBealibn, l'intueace p h jsio logique et patliolcgique, les 

. rapporta génénus, let> lois et tetcause» des MONSTKVOSITES, des varidl jd 

' cliieeade CoiiformalioD;ou7'r<iirB<<s (srafo^Djia, plr isid. GauFFBor-SaiHT- 

HiLiiai, D. H. P., Membre de nnstltol, aide nalurali.le de looloeie 

' ay Maséum d'biitoiie naturelle , etc. Paiii, 18S9, un fort vol. in-Scelallas 

de I a planches. iifr. 

GEOFFROY SAINT-HILAIRE. philosophie ahatqmi- 

QUE.paiM. Et. GaorFaur-Sturt'HiuraB, membre de l'iaslilut, proTesqear 
de iooto|iie au Muii^um d'Hisloiie naturelle, elc. — Tome l". DeiOrgantt 
' rufiralti'tt. — .Tom' II. Menitraotilit Hmnaitui, i vol. iu^. Paru, 

18)8— iSi3, 1 voL in-8. , 1 utUs iiHt.. ■ ; v " '• 

— jiiwvmanl. Oiganes Tespiniloiri'a, itiiH, in-8. allas iii.-4.>. ■• 10 f. 

Obtiib* rvApli d> *<■■<■ ■«nt,rid'JBi»n]eaïi|Hr^i. ThiiHJeprfmitrTDliiraq. Ttaïaur dttrtopp* 
ta aluH«tf'i ■a*"^" " a"**"^* >"^''*** poBrdïlcmriMr r%(ninn««Hiilln'DreHn. Crue ■iPlbo'lH 
«lKiïtHdc*^£fnen»arBinJ^w*cl k lÂlsIkeriHeiil 4p< oruHïi- DMnil«ilMiiiànicT*MiBC,ll.GH(frftT 
dlnvaml'lVC'*"'"' ■""* " '"**' *'" ■'^l'o'* * liwnHiIiil'iira'DlHIlH l«nla> j^naalifrill l» 

<ÎEÔ"SGET.'DE'LA"pnTSl0LOG"E DV STSTÊME NEBVKUX, et 
-ipËcMenient du cerveau. Bechsicbe» aar le* maladifs nt^rveiisea en général , 
et en particulier »iir. le «i^f*, la nature et le traiLcmeni de rbyslÉrle, de l'hy^ 
pocbondric, de l'épi Icfiaie et d« l'eiilimp cotivulsif^ par E. (iioacsT, D. U. 
P., mniili. de l'-Ac'diwîc ">>«'" <lem*deciire.P«r(«, i8a) ,ï ïol.in-S. la f. 



J.-B. Baillièhe, rue de l'Ecole de Médecine^ n* tibU. *i 

GEOBGET. DISCUSSION n nouvelle discussion HÉDICO' 
LÉGALE ST7Q LA POLIE on Aliinttioa mentale, mlrie du l'EiimeD da' 
' prucËi crimlnrl d'HEiirlelle Corni^r, Et de pliuieun autnn procès, dio* 
lesquels cet'e maladie a été al lignée comme mOTeo dedéreaie: par H. Gioi' 
ort, D. M. V.,ParU. i3ï6— i8j8, i" ei it partie, in-a 6 f . 

GERANDO; DK L'ÊDUGATIOH DES SOURDS-MUETS DE HAIS- 
SANCB; par de GiiA^oo , metnbn de l'inniliul, admiaistratenr et préiident 
' de l'ioi>1irulli)n rojale Ans •□arda- m a et*. Paru, 1S17 , 1 rorl* vol. id^. 16 f. 

GÉRARDIN. TABLEAU ÉLÉMENTAIRE D'OKKITHOLOGIE , oa 
Hîsioire naturelle de> aiseaui que l'on rencoatre communèmeat «D ïïiDca, 
iciiïi d'nn'Traitè sur la mainirt: de coaicricr lour^dépouiNes ponreofbrtncc 
des collvciloos ; par SiiimiN GïaiiDin,' profciieur d'Bialoire natarelle, 
attaché au Huaéuni d'Bîatoire naturelle de Parii , etc. Pari* , iSii , ■ 
TOl. în-S. , et Bllu d«4t plaochu in-j 11 f. 



' GOCPIL. EXPOSITION DES PRINCIPES DE LA H OOT ELLE DOC- 
TRI NE MEDICALE, ùTFC UD ptécu dei tbisca •oDtCnuei aurcca difTérciilei 
partiel j par J.-M.-A. GouriL , cbirurgivo à lltApital mîHtwie d'imlractioa 
de Slraiimurg, Pimt , i8^i, 1 t. in-^. , de 6S0 paff B f. 

. En riinm* . •", prul <!'« <{•" i'oii'r.ig. d> It. Gii^n, •! -M ripUilJsn Bii\, iu pn«<ip>i it lo 

GUEYRARD. L\ DOCTRIRE MÉoicALE HOHCBOPATHIQOB 
EXAMINÉE DANS SES RAPPORTS THEORIQUE ET ÏRATIQUE. 

Parii, iHH In-S <(f.Soc. 

GUILBERT. COSSIDI! RATIONS PRATIQUES SUR CERTAIIfKS 
AFFEÇTIOUS DE L'UTERUS , en particulier sur la phlesn».aie r)irODit|ue 
«Tec enfforseiticnt du col de rct organe, et nar le» aTat^ligr» de J'applicatioa 
Immédiite des eaDeaiict métbndiqiicineDI employées dam cette maladie, par 
i.-N. Gcii»iT , prof, de la Pac. domèd. de FarU. iS>6,l0'N., Sg.i T. Sa c. . 
HAAS, MÉMOBIiL DU MÉDECIN HOMOEOPATHBTE, ou Rdper- 
tmre alphabétique de trailenienu et d'eipÉrii-ttca» liomnoiiathiquca pour »er- 
Tir de guide daaa l'application de Pb^unteopatliie au lit du mabde par la 
docteur J.L. Haa*, traduit de l'AUemaad par A. J. L.Jourdau, Parla iH}4^ 
' I loi, in-»4 « - • . 5 Tr. 

BAHNEMA^PT. DOr^TRINE ET TRAITEMENT EOMOEOPATHI- 

QCE DES MALIDIES CHHOHIQUES, par le diîcleur S. HanmMAa, 
traduit de ratlcmand par A. J.'L. Jdcrdaii, membre de l'ACMléDiie rujrale 

I de mddecine. Paru. i333,aïol in-So iSfr. . 

r HAHÎVEMAÎSS. EXPOSITION DE LA DOCTRINE MÉDICALE HO- 

■MOÉOPATHIQUE, ou OBGAHON DE L"ART DE GUERIR; pai 

&. fliBHaHinii augipcnlûe de pluiltura l'ragment» de ae> autres ouiragca, 

! et saïrie li'one vliarmneopée homaopalhiquB; traduction uouTrtle ini la qui- 

t IrièmeédJilon.- par A.-J.-L. Jourdan.l». M. P. P*ri., i8îj , io-8 7 L. 

I BAHNëMANN traité de MATIERE MÉDICALE PURE-, ou d« 
I l'Action homtepatWque de» mf dicamen.a ; par S. HiuaiBAKu. Traduit do 

i l'allemand par i.-J.-L. JooaaiH.Parta, iKïl. 3 forte vol. lu-S. ai f. 



ê 



ATIN, CHIRURGIE PRATIQUE, ou choix d'obacrratloni cGaii^uaf i«- 
lIUm t t'BatetDicu de Fam, dam le aervica de M. DupartN*i^M>, 



M 3.-fi. BiiLLiÈRz, rae de rÊcole de Médecine, n' i3 iù. 
M. Jtrfrt Hin», D. M. profcueur igiigé 6 la facullé de ttèdennM d» Ptrii . 
frafeuBHr d ncooiicbcutDt, fuis, etv., rflô», in-8» fi i^ 

HATIN. PETIT TRAITÉ Dï MEDECIKB OPÊRATOIBE, rt rc«ndt Â> 
«.nnulei à etiuge dB.MB*..femme, et de. offi<.i«r. d« «nté, pM JuU. Hit.», 
D. lI.,prDlciMBcH'icconcfiemeq|. Farii, i83j, ia-8'. ,, ^ , ft. 

HEIVRY. PRÉCIS DESCRIPTIF S«a LES IBSTBUMEWFS DR GUI - 
IIDRGIE ABCIEHS ET MODERSES; coMeiuni U de.crk.tioii dFch.qiMt 
mttrunient, le nom du ceui qui j ont apport* dei moiliEealitHu , at 
Ktai prtfiré* aujourd'hui pur bus piejHeiinÉ praticieni, et t'iDdicalioa to 
quaBM^qiM fo» doit redieictier dxus cbaqaC ioslj umcrl ; pai Bikri, &iwt- 
SMI (tfiaitranwati d« thirnrgie. Par»*, i8i5, un lol. in-S., »»ec pL..7f. 

HeffFBAUER. MKDECIHE LÉGALE HEUATIVE AUX ALIÉPtâ, 
&VX SOURDS MDGTSiMteiloûappILiitiéejiaindiinrdre* de l'ipteUûcDM,- 
parllomioim; traduit de ['«Ile ma ad par CbaBubeTiOD, U. M.F.: ateo dci 
notes, par HM. EeQaïaiM, et I»ao. />4n'a , 1H17 , iii-8. 









■Hk. •■■ »■ «Hirfll .•«> froil BUT IwailhiM. 1» .t«ll. I« tuin. «f° » Ai IM «ÎMi(.V!« r^' 
*. BJil«li«™U»i«. — On I4. iM.i..i 4« ■.ta*» „,>-,„,_ D, «„H„l^jl,„. _ D,. „g,j„ 
■™il — Dfi iim iiBMpii d. I «. ^, p,o»rt Mr> il> i«wfl *> I' «««hIh t*itt.— tit I f r,«K. 

BOHE. TRAITÉ, OU O«SERVATI0!ÏS PRATIOUES ET PATROLO- 
■ OÏQUESSOB LETKAITESIENT DES MALADIES DE LA GLANDE 
PROSTATE; pm- Ererard Hom, diiiufgien en chef d a t'bâpital Siàat- 
George 1 elCj tradui(d« l'aDglaia, jitcd oiutra pUndwi , par Lrén Mut- 
■cBjirr, D. M. Fartt , iBi», in-S .....et 

HtlFÇliAlVD, L'AST DB PROLONGER LA VIE DE L'BOUMEj par 
G^. HanvflB • coiweiller d'état, pmnici mtdeciit du mi ào Piuaee , dt- 
icc.lcur de l'ùcole de médeciDc de Berlin, etc.; Iradtil de l'attcmftml , par 
A.j.-I'. Jenanta, D. M. P., meaibced* l'Académie rojalc de ni^ecin*, de 
bSuciùlémïdk:. d'éniiil.,de l'Acad. dea Sc.de Tuiia. Parii,i8i4.iB4.6r 



HtjBEljAPîO. TRAITÉ DE LA MALADIE SCUOPULEDSE, ouTrapj 
couroi>bépaf l*Acad*mip impé'rialc dti cunéui de la iinliw>i'parC.-(>. H»»- 
■tin* , Htldécin du mi ée Proiap; traduit di) l'allrrosnd anr ja trtnilf me J<K- 
.HiM '{tli iir)j f.amnp^fBé et noti^ par J.'B BOD9QDKT, D. H. , elsoiiid'uii 
Mtmare acr Ira lerojtelcs, aocompaniié ite qadqnoi rétteiioiM nir le-l»i> 
tcmciit du cancer ; par M. ie baion Laaaaf. Pin-it, 1831 , iiv^ ,tlg.,..$ t, 

HtTRTREL D'ARBOVAI,. liir.TIonSAlHE DE M^DEGINB ET 
^(;HllVCR(:lEVET£RIRAIItES,[>i><'rat^>i:ieiiu«v£ldr>MlRia.*i»ontriira 
i^i tBValrric, aut propriétiiiio , aiit mltiiilfura rt k tonln l«« persenseï 
ibBTfiïOTdHaotnel du ^uveineiiiPDt des animaux dMucaliqnra; pirHiiitiaL- 
n'AnoT:>L, membre de la SociélÉ nnals e* ei'nlralc d'AgrieuIlDfe de Paria, et 
dep!utiaiititc>ciéltiTiali»iulnrlélra'npi'j'e»./>ar'i>,>i^lS,4rorlaiDL ia^ Sa f. 
— t«a toiBca 3, 4 •i'l>ari';i>ini!t ; pnx de rhaifiM ...,., ..,tl f. 



J. B. BailuÈuï , rue de VÉcole de Médecine, n' lî 6m. a3 
LEBLANC ÇT TROïJS^AU- ANATOMIB CEiEHraGlCALB 
DES PRlSCIPADXARIMAt)XDOMESTlQÛES,oiiftpc_uei!de> planche» . 
Tepi«»0«toni, i*rBn»Hwiifide»rÉgionidHChBTal, dubteaf, du mualon,clc., 
aur leMSulleton pratiqou \et ai>^»lton<i Ifes plm giwres;' i- les diver» élaH dé» 
AmxUin Bbov»li du bautj du moaJoD. du ohien, iMliqUioi l'ige de ces aai- 
n*D> i 3* le» imlnimeula de cliiiorgie TÈttffhiair* ; 4° u" •"*« eiplicaiif; 
par II. ^EBÙiiD, médecia véléiiiiaiie, ancieD iëpiiiitcur ■ I'ëcoIs i-ojal* 
vÉtÈwwire d'Âlurt., et A. Tbiicu»*, dec(«UF es liiéTlrcine, abrégé àla 
VxnilU de Par», ptoflMeuT d'ïnaioaiîe et de phpioli^ie patli'<l<>gir[ue comr , 
]Mr«m.' ÂiW pour servir de suilc êl de eomplélQtiit au tiictiannaiia d» vU' 

craod in-roi;, conbuosé de îo plautlie» S"'*^" et coloriétsavec soiii.;ia'f. 

(%t'.UH .« inâÀ pu Ëfix,!. .;,[ dr, |,ii<.>^(i>l''miiu>> oi-lelnaj». •! grjiÉ (te Ani1i>. T-^îeu^ 

JQKJtDA^. EHABHACOLOGIE OHLVERSELLE, lojicï ce uioi, nag. lû. 
KERAVOJBEÎÏ ■ MÉHOlREèOB LECgÙtKBA-MOABUS DÇ t'ISUE; 

par M, KÉtttÈBBB , ioapçoleur di| icrïicc ife sanl^ de la marip.^ , ipeiillwe 

'ducoosi'il supérieur de santé. iK3i,\q.8,,,; ,.. : .^..., .. ,. ..'....v f, 89,9. 

LACH'AISE. TOrOGRAPOIE. iî&OlUxm «E PABtS, ou Kiamen »- 

néraJ des causes qui pi'uv'eut aroir uue innuence nuirqaiJe s^^ 1^ ^aat^ dt;> 
'tiabïtanttJp cette i'iUe:,'tG c«îiet«fç' d<î leu« iii»l«d(M Çj '« fIioÏk de» pie- 

caution hjgJÉniqiic» qui.lauraopt applicables, par G., ^iipBiHi, doele^r 

en médecine de S Pacull'é de Parw.éfé. Paru, iBai, in-». , .S f. 5u ^. 

TekllttcUU>W-d>J>iUI*>«%k<><W'<l>Mar^'<«l.-Biti(nlii»i'hl-kl4l<>ir<i ■Mutila <I.F>ni II 
.UcIIUioD. iri. llriMrMMtE VI wb'Mht . .(M. I> A^oiiai J« Jh-W qo.nlin >> te» I. |[CH. 

11 ■.i7<e»»w»ij.v.'i'i'»w«''»''*''^"-^°'yt *f *''^''ï*i''^'^g*^***"'^??''r* '"'''*'' 

t€SAPELt'É\'^BWl(HiS bÊs ACCDUCTE«BHTSro« MémMrw 
et obspmttonj choisis «urtesi/tfnls'le» nKis importama d» IVl, pae ma- 
daine i<ACBiFELEa, nage-fem'neen chef dB fa loaisoii dNiccoBohenieDtdc Pari», 
pablUsparA nuàWjsôÈ'iirt'ru, H. M. P., pMitd*a(ic(iuobr[D<.-n£ de U Ki 
Mll4 lie itiédecKie de MortrpaaiiT, •«= unerJlbltee lurb .in e6Je.tB.fl<i.ul 
de TU ma Lwb.ku.", |>af J'-' P'of- Çb«'"««»- P'»^. '^"''^'f- ^"- "■.?' "?>■ 



LAFONT - GOtZY. DE L'ÉTAT PRÉSEKT DES HO«WBig,, çç^- 
'4« TWou*e,iBWnlwcd«pli«ai"s'ûcielcs wv.flUii. Pkt.i,. 1N17, in-S.6f. 
LAHAHCK. DISTOIHE »ATÏ)KEï.LB DES AN IliÂ1}.x; SAHlt TEB- 

- 'TtBHBS , prè«tnla«l le» Otsettri» B*"? "u» «' parlioatton itecï«,»w<BaMj 
leur dialrlbirtîon , l^im classe»; lcB« liraiHIt», leur» georeio* la bi^mîëi 
de; prîncipalM «perà quv.'j «ppo.lent. Rin.. i«.fl-»*«»- ï^^"^- 

mi™ i™™*llM •ir»'U»oilM'lll'« J).ur.«Ki (1 1> pt™4,*W" '■ Pl** l""!-; •' !• pl". U*!!, 

LAIWARCK. ICOI^OGRAPptE COÎÏCHÏOIQGÏQÇE. f^oytoptj. ;; ^ 

îi-VilABCk. p[IILOSOPHIEZ<10WÏGIQ&B.puB»pwlJftinde»cqjw;(a; 
ÙiÛBlÛlaliveat i'Iiùlûiie □#Euiellcde«ai"uiaui,gila diyerutécIcIeDr orgui- 
ntM^i^t de» facuIlM qu'iUcDoktieBueut, «M cays^phyiiquesqui maiiMiéB- 
,a*o(ca »mU.iie cïdoncço|,liçu»u*reouremfl9l.'c|u J» cïtfculenl, cpC'k'* 
. ç4ks fliiiproduitcM.l''»""'^ '!■ aintimcol, çtlet auite» riDléllrgencp de 
. MW«pic»»iH doués, par J.41.-P.-A. Uif»«c», PL"?'>r« do llHjiiiHj , 
p.cer. ^aMdi^au. Uw. dlivtt, d»I., at ed.iVw > i83o, jroI.M-^,, ,4/. 



s4 J--B. lii.tLuit.E', rue de l'Ecole de Mefili;cme,n' t3 bis. 

LAHABGK. SSSTÈME AITiLTTIQDl DES COHNAISSANÇES POM- 
tlVES OEL'HOMMKrcitieinleiicelleatlaipraTicnnentdirecleDieDtoni»- 
dlreclemcDl de l'obtemlkiaj p*r J.-B.-P.-À. Liharck. Fari»,i8io, in-S.GT. 

itm Unit l^'l UH l'.lMtnalIan |l»l lulbirr «i»>llit. — *IV ■• n..ii*r.' — D, 1™^^^ »i°l« 

I.AMARCK. MÉMOIRE SUR LES FOSSILES DES EMVIR0N8 DB 
PARIS , comprenant II ité termina lion dea «ipècea qui appartiennent sus 
«nimaui mnins aani Teitèbren ,. et dont la plupart loat figurëi dana la 
•otlection du muséum j par J.-B.-P.-A, Liuon. Paru, in-^ lot, 

lANTHOIS. THÉORIE NOUVELLE DE LA PHTHISIB PULMO- 
HAIRE, anginentée de la méthode préacrraliie, par M. LiiiTinig, doctenr CD 
médedne, «c.Dfniième édition. Part», iSiS, *i-S .6f. 

LAHRE Y. CLINIQUE CHIRURGIGALÉ eiercée particDlièremenl dans 
let cantpi et lei bôpilaui miKtairei, depuis i^ga juaqu'eo iHSi^ par le baron 
D,-I. Liiatt, membre de rioalîlat de Fraoce et d'Egvpte, cbiriirnen en 
oherdelliAptUldea lovalidea, eto. Parii , ig5o-i83a, 4 toI. in-8. , ■*«• 
allas de 3 planche* ^ 3o f. 

— On Tend aiparément le tome IV°, />arii , iBîa, iti-& 6 f. 

LAHRBY. MÉMOIRE SUR LE CnOLÉRA-MORBUS, par M. le baron 
ListiT.membiede l'Inatilut, du Conseil de lanté dea armie*. Pcrït, iflJi, 
inJi L 1 f. So c. 

lATOUR. BISTOIRE PHILOSOPHIQUE ET MÉDICALE DES HÉ- 

MOBRHAGIÈS. de leurs cante» eseentielle», immédiates ou procbamea, et 
dea m<^tli<ide< d<- traitement qn'il convient d'etBploj.er datia cette claaaa de 
maladiei; parD. L nova , docteur en mèdeoiDa, ancien médecin de l'Botel- 

Dien d'Orliani. Parit, iSiS , i lol. in-S , la f, 

LATREILLË. FAMILLES If ATUBELLES DU RÈGHS ANIMAL , ei- 

poièe* ■Dccinclement et dans un ordre ■oalytîqae, avec l'indication de 

huirgenreei par LiiiiitLi, i lol. in-1 g f. 

tTr-iw ™ ™ ""I ■■'^ ' ' '""■" "■"" """ "'"" '"" "' """' " 

LAWTÛENCB TRAITÉ PRATIQUE SDR LES MALADIES DES YEUX, 
on Leçons, données à l'iaErmerie ophlhalmiqne de Londrei, sur l'analomie, 
U phyaiologie et la palholc^ie de l'œil; par Lmaanot, cbimrBÏeii en cherd* 
cet h6pilit , monbre du cullé^ rorai des diir.iirgiens de Londres i traduit da 
f initiais aiec des n aléa , et auiTi d'un PR£C1S DE L'ANATOHIE PA- 
THOLOGIQUE DE L'OEIL j par C Billibb , doctenr en^édecine de la 
Faculléda Paria , elc. Paru, i83o , in-8 7 f. 

I^CIEUX, ETC, HÉDECIME LÉGALE : Cooiidi ration» sur l'inranticido, 
tnr la manièie de procéder i l'ouTerlure des caoïTrea , ipécialemeut dans tt 
cas de riaitca fndkiairea, sur les érosions et perforaliona de l'tstomac, l'ecchy 
TnoM.Uxagi'l'tioii la contusion, lamcurlnsaare^par HM. LcciiDi, BaNAnn. 
Ltisiid,BiiVK,doc(eunen médecine delà Faculté de Fari>!. iSlg.in-S. jL ^oc- 

LECOO F.T JUILLET. DicTiOKSAiRE raisonné des ter- 
mes DE BOTANIQUR ET DES FAMILLES NATURELLES , contenant 
rélTiuoincie et la description détaillée de tous les orginea , leur sjrnonymie 
et la défioillon des adjectîfa cjui serrent à les décrire ; suivi d'un vocabulaire 
■les termes grecs et latins les plui généralement eaipbjés dans la Glosatdogie 
totanione; parH. Licoo, prof, d'hist. nit.el difectenr du fardin botanique de 

■ Clermt^t-Ferrand , cl J. JBis,L«r, D. M. P. Pani , iH3i, ■ fort ». in-8. gt. 
■r lApoadn ^ «• bi 



f«|e bti lei pn|r4i imnaoKi qu'l £>SU lu hon^qna depi 



J.-B. BiiLLiÈRE, nie de PEcole de Médecine, n' 1 3 his. s5 
LEPEGO oe i.* CLOTURE. roLLBCTKj» d'OBSEBVations 

SDR LES MALADIES ET CONSTITUTIONS EPIDÉMIQDES.uuviage 
qui cipage une laitE de quinze annéea d'ubservationi , cl dam lequel le* 
épidémies, Us cou ititii lions régnante* et intercmrpnlet sont liée* iTCc le* 
ca II set oiélrorotiwiqueB, locale* elrelali>ei>uitIifiïrent>cUinati,aiogi qu'avec 
l'Histoire naturFlle et inËdicale de la Nomuadie^ fut L»kc->1'Lji-C(utbiI( 

PrfTïi, 1^85, îïol. in-4... »4f. 

LEROY EXPOSF, DES DIVEBS PHOCÊDÊS EMPLOYÉS JUSQU'A CE 
JOUR POUR GUERIR DE LA PIERRE SANS AVOIR RECOURS A L'O- 
PERATION DE LATAILLB i, pari. Lii>ot(d'El'ioie9l. docteur en chirurgie 
de la Faculté de Psriit , etc. Psrii , iSa5, in-tl. , avec cJDq.planchci. ,f T. 

«■tntft ^t t^foniHnlaB t^y dAi«lopp«nt. IL Leroy nojl w pouTaîr nHem r*IH>nÂ*ï nn tut^^ftemmi 

LEROV. nECHERCBES EXPERIMEITTALES SUR L'ASPHTÎlB,loe« 

i l'académie lofale des ficicncn, par J. Liaoi (d'EliolLi), docteur en méde- 
cîae de la'Facullé de Paris, précédées du ripporl fait k l'académie par 

IHH. DnMtuLel MAainmi. Parit , 1S19, inR.^ . f. 1 f. 5o O. 

UEROY; médecine MATERNELtE, ou L'ART D'ÉLEVER ET DB 
GOnSERVEB LES ENFANTS, par Alphoo.e Laaoï, ptoresseurde la Faculté 
de médeciiie de Pari*, seconde édiliOD. PariM , iSSo , in-tl 6 F. 

LOÏSELBUU-DESLOMCHAMPS. FLORA GALLICA, ku Enu- 

meratio plaotarum in Gallii spotitè nascentium , secundiiin LinnKanùm sji- 
teina digestacum , nddila fupiiliaruoi naturallH arnopai j auclore I.'L.-A> 
tioiiiiEDB DasioiiocBiiiri. Bditio tecuada, ama et emendata, cum tabuli* 
3i. Parié, iNs«, i tdI. In-S ...16 T. 




rtlBBrrqa, mnrttyKtfti» ■■■ Aflui iïaipl« qiM ticilH,' 

LOISELEUR-DESLOiVCHASrPS. BISTOIBB MÉDICALE, DES 

SUCCÉDANÉES, de ripécacainlu. du Sét>é, do Jalap, de l'Opium, elc.j 
ou Recherches et Obanvalions sut quelques points de matière reédical» 

-^ iDdîaèuo;p>rJ.-L.Lo<Mi.>eaDisioiiGOBiHrs,D.M.P.Parû, iSSo.iD-a.Srr. 

LONBE NOUVEAUX ËLÉUENTS D'HTGlÈNE.rédigéîiuiTint leipria- 
cipeadela Dourellc doctrine mùdicsle, par Charles Loiibe. D. H. P.. me^hre 
del'Acadjmien^lede médecine, deUSociélé médicale d'Émnlation de Paris, 
de I* Socisié médicale de Londres, etc. , etc. ParU, 1S17 ,1 rol,in-S. 11 f. ' 

Utbn*. 1 *i»iu«^ ■«■ mijelHH» vn p«nl d« vue pUii pliiTotophiquc . f^a bien cofOiprii llmfwrlaaFa da 
Jïj;:i«H<4KiilBSqwAnarnKiurJ««Dek'l'tcltifrl*BradïridÉi>. L^i cUniAcBlinn qu i[çri«iiiil« CM plu* 



LOFfDE. GYMNASTIQUE HÉOlGALR.ou l'eierçlceappllqniani orgaoe* 
dél'b'mime, d'apr£> les bis de la phfsiotngie et de la ihèrapeulique; par 
àh. Loudi , D. U. P. , membre de plusieurd aociété» lavtatci. Parti , ' 
i8ïi, iB-8 : 4f. 

LOUIS. RECHERCHES ANATOMIQDE9,PATHOLOGIQ0 ES ET THÉ- 
BAPEUTIQUE9 sur la maladie cannueious les noms de ntsTao-awriairi, 
rilTti rtrraiBi ; inmimqDi , iTixiQ^na , TTsaoÎDa , etc. , noosidérée dans fis 
rapporta arec les antres anections «igoËai par Ù, Iioma, D. H. P. , mi- 



i6 J.-B. Baillièrc, rue de l'Ecole de Médecine, tr <3*«. 
docin de lIiOpMit d* ta SWU, ucnlirQ ds VhetHwetxrtjtia do Htdo- 
cioei «uçriij* qrtj 4 oiJnH ft prf^ w etmeourt de t'Inititut royal de FmiMW 
Parii. ïSï8. » ïo(. ia-«........ i3 F, 

^» plui intfWHpi iu>ilH<>« J'utMlUitH. M«i lu ««•«H «Hiunnl II f Iw «urik** iMtini 
Mltf i»«liin, w ^VKlstruiMBUl.iifrt^Mrrlwcfluiit fl. L«uii- 

de inalijlin i^fi . i|uc IT L™k r>U>- ntHn4 Vil IH i4hIiu 4e ki abviiiliw B» om^a «• 



".ÈJî.î^iiSi'i^^-"'^'--'^^^^^^^^ 



.a*ipMl«t>tiiiir4ka «iHV 



"■«*(ui«p(«i,««!lt J»ai«»'Ç«,<t>.«V*r>«|io»i«l.rt™ih(>'r[M""i™ fle L1oi«|tn trïlt, et 

1 1 Vit» <• k alinM . tMtii4iitoiiiwiM.de<>W*>iwn>. M l< ■■■•"«;' U Itu. « H|.(ai4iiitic|*p ' 
I'umiMm 1h | ii i ii LiW i»r* riM4t inii>«Hb Oi uhuik mhIv.I fnn Iviii abwnuawi il h(«.Ih«» 

IiCCOi- ftlÊMOIBEat-SWni'BMfLOlDE L10DS DANS. I,Si MA- 
LADIES stmopVLSusESi 1- son l'emploi des bains loouRès, 

•oiviAXw labtua dm» i<;r«tF ■ l'a4«uDÏ|rf*t>»ii d# dm Ifaic*, «iiiraui 1m' 
«cm; 3> TROI!ifiMBMK¥OtKS ptIR L'EHPLOI pB L'IOQE, iiiici d'un 
Attôii «fa l'tut if« /^»nui<r tu pripHn^iaiu iadurèa ,- par M. Lccoi. , méde- 
cin de l'bdpllal Saial-EiOuia, etc., ouvrit cçwomiif par rinitiffUd* P^nee, 

Pyii, iSi^ttlJi , 3 pirtiei , in-S 8 f . 

— On i«[|d sépintmenl le trolùèmc Uémoire. Paris, ittSi , iii-8 S jo c. 

LYONET. RECHERCHES 8UR L'4\AT0MIK ET LES MÉTAMOR. 
^HOS^SDE DiFFËREI^TES ESPECES D'INSECTES; p>r L.-L.Li(iin, 
publia ^r H. W. Defitta.coDsenaleardii Umium d'Histoire DitnreOe de 
i,eyie,Pari*, i83i,ipïrlïi^] in 4°i BCcc^Dplga<VeadeS4.pbnchetK^lvee■.40/■ 
MAflEC- AH4TOMIE aAlXTIQUP , TABLEAU HKPRFSEMTANT 
L'AXE CEREBRO SPISAL CHEZ L'HOMME, ^ïcc rorigioe «[ lu 

Kawiètw (UNiiiiai dM a«[fi <ini es putcM , w U. Ûarvc. {tr^WP^c^r <b 
mi^itbittM d«» bapitau dcPuia, uDe(tHiUle|[i*f[iaadiBTfuiio.,4E. %)Ca 
MAHANIIEL- ES&AI SVh LES :(&[tlTATion3 ^ p«r giu «'<>■'' > 

dotaenr en médecine de I» Facilité de Papifc Pari,, liif , im-i. 3J. 

MARCHArfT.QECHERCHES StIH VACTIOn THËItAPGt/TIQtm 

DES BAUX UIKERALE5, aie» uae cuK IkermaU dn FJiintMj par !• 

doclenr Lêod Uiicbikt. Parti, idîi. lo-8 > i....8r. 

HBHOIRES DE L'ÀCAÛ^UIE ROTALE DE UEDECtlIB. T,l,Parii, 

181S. —T. It , Parit, i«Si. —T. 111 , Parit, lIJil. B totti id. iii-4. ; Mee 

planchn. Prii de chaque Tidumi 



'rii>!I^I Si MoiAib lurai; *• 



, ,„lli«l»l>t.^#|lM4i«liBll.4.«fllàf.,b. iti^t,>iif-U- 

MoHHiii'iinH"' «W ««M »■*!'»"''?. rvji*-'" '■'»'*"**'"*■• H '»«"• ■f^ '"u'Im"**»- 
MélHHRESOE LA SOCIETE UEUC^LE P'EUVL^TIOJS 9S P4BI;S, 

««me ne». Parit, itiC, {■■-«.( tf. , S f. 

Fui OMiular <;u> •< nniKItn ta)"»' »'■« puliilflttiir 1 IHI f vMM |>i4Et4l»»w . iliamiuat 
^ ûlrr Im H«n»^ ><•'<>'". ^' bluiiv, SÊtl^StlM-mUln. Ontméiit, Bi^±, Srslilwi , 
IVu^cril, l>|i»-'''i'< &iiillg<i<. ftt"'*. A«ril. >Mil. VuiUaH. McMMu. MulHrWIi. lunw^t. 

MKaAT- DO TiBVU. w VSB SOUtAtS^ FT DE SA ÇV&E KADI- 
CALE PAR L'ECORCE DE RACINE DE GRENADIER , pr£c4dé de l« 
éeaeripitaa da Tpoia et du Balntfitpbd* , ave* l'i^^oat'an d.ei ancifa» 
li»îtvn«nt*fniÂiTi)caot*ecM tani païf .-V.Hï«u, D. M. F.,ixkccabre 
de VacaièmU toj\i» d* BtMaBiw. Pm^, tSij, in-8.., l.ï f. 

MORBAV DK JOIV^ÎES, rapport AD CONSEILSURÂRIEUU de 
ÏA!ITB8URUCBOLEBA-HORlLpSrE8TlLEMTJSL;p<>rU.Al.MoM*>r 
N Joaida , «cnabre ei lap^rteur 4u Conteil, lesDibre dg raoadéiqieoqf ^lo 
det BdBBCea, iSSi, iaS. , «TMoiieavtciliii^niîiAâu Qbcl^ii-MlK^V'S f. 



J.-B. Baillièdb, rue de l'École de Médecine, n* i5 his, » 
MOZVFALCOH. PïtÉCIS de BIBLIOGBAPniB MÉMCABE, con- 
t«iHtBl['^diralion«tI<iElaMklîpBtien'd«iiiiiT»R«»lea.i«ciU«t|rB,tiei.^lHeHjtil«a: 
Il dcscrratlon d«s livres de li^te. et.>l«f itii^kim raroo, et&M latil» p^nr 
terrir à .1 hùtoirc de la mëdeoïoR; paiJ.'S. MoMnucaB, nâdcete (iAl'Hâtd- 
ÏMen de Lyon, Paru , 18*7. Vn ft>rt Tnl, in-i», p»p. f*Hn. .....Sti Daii' 

TnipJiiD»l«n]» ■ffligti m Pn>H. I* Mkliovipiiia mtaictti m dimw wloiirÂiri aiu Mifui; 

{I c'«l pour réponén au biTfoiB f(fl rép«ini« qiac H- M*iU|Mhii ««ntrtpdi'IB Inruil, aut 4qii>tnJi& 
ennur b .»l»Kbi. .( Hr-W.l I»h».. dViHtiliil.. AlD j'ta biï^ nlnii KiiH.fBiiUri ÏS 
Rwi onleafriHit d tu ladl^v» lu ^■cipifti iKtuMiu. 1* L^iutar. llnNriBIrt^i^lItn b ■•■ llTr* 
qui k'fii piiU pirilili maintinlliounit. (tpoM ri>t<GiH 4t CHnprtmfrla , lu ooirsiii nlaiiiH t. 

■rniBm II lu fciMlM qui 4>ii»l onwr Ir «Uni *• rimImIb , biui il •riititif ^1 itnialiiB nr t» 
.•Hw^pl.r.1. I« ■un.oo'pbrfi. In W.iruix. kl dollealwni Ktitiaiqan •! !■< ^cihmii.riMi •« 
l'Hfiril i|ai 4>ri||> Itifn ilwj» P«rit. <!• HanlplUkr. Boiu h Ijln dn BIrUtmialn. irar^uolt UlitUte - 

dWUUwhiqat tl* mtdecln 




MOHGAGni. BE SEDIBUS QT CAtrsiS KORBOKCM PIft AHA.. 
TOU£S IKDAGATIS , noia «dilia ttnm Kotk Ad^fc* et Chaw»**.. EtMi 
iRio-i*. itiol.M^.. 4S ft 

HOULIIV. TRAITÉ SE fAPnpLGXIË, on fUmonb^it: rértUnthi i 
coiHidéralioM DOUfcllcs (ar 1» bfdrocJ^itlr'i; doisilpliciii d^iD« hjdnqii«k. 
cérébrah pnrtirulitra aux nuîHardi, rËreniDueiit aitacEsiv ; par Se. litmu», 
Atctfar CD nrideciBc de la EaeuUé da Paria, etr. Pa/it^ iH 19, ia-S. 3 K 5« c 

PAILEARB- RELATION CHIRPBGICALBDBSIÊCXDB LA CITA- 
Dï LK D'ANVERS, parAui. Piiu,!», doct*«r ed inédoaime de U Va- 
CDltideVarii, (833; iii-8. 3/. 

PATISSIER. TRAITÉ DZS MALADIES DBS ARTISAKSeï decdht 

qui réaitlte»! deidi(cnBa.proBg«ii)>ni,d'a[^i]lai«Hztn)WI*ii:4(|4i)qaj|l99B«l 
OD îadiqiMi tel pitoalilioiu l|ut dnif f ffl oani^ , wu le HtMort de U lafcR 
britd pnidi^BS et pKtitvIiÂfe , ]«■ ^diaiaUtcaïf uct ■ manoiaelurieri , &- 
brisasla, ebefi d'atdiera , vUste* , tf VwU) Ut ftinvofli, qui ei«(c«Dt 
de* profeaiona iaMMHe4i par Çh, Fatui»», dwi>«ur gd mâdecrae de 
.la Facut» de,Pvia, «te. Phfû. iH», Jiï^..., -- -^ 

PHAnHACOPÉE UMV EBSELLE , ou Qi«gfw«Mia . 
. aterdani, Ai»«ri,* Dublin , Edlmbcwq;, Ferraca, G^ôit^ 1 
..dembourg, Wurtibouig; amiiicaine , autiicbieune , Iiata>e , faets'i ^aooÙ^t 
eipagnole , fiolandaûe , fiaoïaiKe, banorrieune , potuaaisc , portugais^ ^ 
prua^iieDue , ruiae. lardi?, iiioHne, auiAokf et waitembergeoiia ; ctee 
disj)eiiNtreB Je BruDiTvick, de FoMe, de Ii WewiK, de la Uppael dn Fa- 

et de Wurliboarg; delà pharmacopée dripaurres de BMtbonc^; d«a fiir- 
mulaim et pha:iiiacoiiée»d'AuKi>stin, Boiîea , Brcn, BruonaMUi, Gadet 
deGat«icaurt,Coi. Elliit Bufetand, Sfagendic, Pûterfl, Kar^uia, !(■- 
lier, Saunde^i , Sainte-Mat le, Spielmaan , Svredin^et Van Honi ; au' 
Trag« contenant !«• oarael&rw otMoti*)* et la (favi^nne de («utea fq| 
BubatawM* oitcea d«iu iwa recueiU , a«ec l'iadt^atteq. t «^auc pr^pa/iti*^, 
de oeux qui l'ont adoptée , dci ^aci<l£a djver* rHeampan4u pw ('(^Éf u< 
ter , des tatiautei iju elle pi^mta dana 1m diffcreMa fonuulaicca . àeji wf 
olSciuaui aoua leaqucli op ta déiigne dans diTcn pija, «t daa doaM ad»- 
queilei ou l'adiaiaûlre ; pu A.-J^t. Jouioia, diicteui en médecine i 
membre dra Académls» rojalei de mÉiIecioa de Paria, dcf Scieaceg 4b 
TuiiH, etc, Paru, iHiS, 1 toJ. in-H. , tbaenA de «00 pagei, iàeuneô. 
lonnra. >........ >,.>■• .....lit, 

FBARMACOPÉE FRAUÇMSE, ou Code ia niedicainMili ; nouveU» ![«• 
ducliuE) du Codex medÙMmenlaritu , riva Pftsmiaaofva gaUùa , par F. 8* 

H«iaa, doiïtfur en tuédectoede la Faculté de Paris, El " '" 

nddilioni contrnanl ■ - ■ 
BiédicaniRnta dont \i 

; nomb» 'd'aîiat jaci 



meoecuieaiï la racuite ue raria, cic. ,aTFc aca uoieset 
t la rormule et le .mnile d" prépa'atitto 4^* nouveaux 
la pratiqua s'eat eoricble |iMqn't nca jour*, d'ae^ana 
clù[uii[ue«, el ïuitfc d'ane lablo >jDop(|i^H du «aiw 



aS J.-B. BailliÈbe, me de l'École de Médecine, n" iî his. 

fîmar Eli, pharmicien df* la pbarmRcte 
hnpiMux ciiila df Par». Pori* . 1837, 1 toI. in-K. . ii ..» f. 
II ail. 4f jl ■••iitiftuHiniDi duoii. p.r Jli ir.nui inipnn.mli. dm ,mi qu'ili i<k 

dt Ml 0uwii.iiii»«iiMr(JiitWUrrnHh»p™irtj.loui^uii(m»»li4f.lâibiii.i*|Ji.™i.™iili.u,! 
M. Hinat . «H !• piHlilaii AH I in£n» if aifiuirribaiia )»i m |ir>i>4 IsalEi If. tmmuUi iiiii iïm' 
■(«■.ni <iu.>ai Dun.o. H l'ai pu CHOflUt d'indif.., ».>lf >h> «rrrirûi» adI «iiirnl i«rUin<« «m» 

CBrari pgimi HHt iii>t»niiiu, ■•Uisul it ]Bifirr un «rHid mhIir r>dai>fei> dmiuin iMr|i|>«.iu. 
H luiu • irauitl su 11 hnnd> CI l> irsdi dr pf tpinllni dt lui» In anaMMii lardJeHirni. inlrodui» 
JDiquï ufDiirdaniUpiulqur.PitliHIiinj'miiDiialtriaiilirillrinibikiledDiitil'.iBiwn'inunK-llaii. 
, J™ ''°,"™Jîî'" * ^'1 «i>n«r «f»'"" "«'-II' pour l« Fh'iDBcifni. tl .pli puSur ]«. Rinfl.Hi> 
Il C/.., If. Kdilt.n Di« ru »iii de rriprciu k leur «1 dlodifurr d-uiw ininl»» tréi elaÎH tf •■Ht jukui 

PIORRY. DE LA PERCUSSION MÉDIATE, et de* awiiea ol)lcnu« h 
l'aide de ce aou*eiu mojcD d'eiplnniinn , dini Ir* miladu* de* organe* 
Iboraciquea Cl abdominaux ; p*r P.-A. Pioiii, agrégé & la Fac. de méd. de 
Paru, m«decio de 1* Salpfirière. ;>wi*. ittiN, io-S.. *Teo deux plane, .fî f. 

^'■"'V,'" i^ï'.' d' Ffinwvitiit A'ttentitr un prii III ^orrjpnir Ici ■un»**» qiiî dnircnl ririilt«r* 
P™''*^/W**""deiÉmiNdit»d«polirîin, dcrnadilEailDiH^H'iUippAnéfldiH J'amplside Upcnuii- 

PIORRY. DD PROCÉDÉ OPERATOIRE i •nÎTrc daut l'eiploratloii de» 
oigaoe* par la PERCOSSION MEDIATE, el Colleciion dw Mémoirfs sur le ^ 
phjMotupe, la palholoffic el le disgniwlic. SuiU du priecdtMi par U même. 

. Patia, iSïi, In^ ,^ 6 f. 

PIORRY. MÉDECIHE CLINIQUE DE L'HOPITAL DE LA PITIÉ, 
•erTFce de la Faculté de médecine et de l'faoipicc de (a Salpetiièie eu i83i. 

parlH.'Prûiaï, i8îîiin-8..' , f, 

PORTAL, OBSERVAT! OMS SUR Là NATURE ET LE TRAITEMENT 
DE L'HYDROPISIE; par H. Pobiil, meinbie de l'inalilut , préndrnt de 

. l'Académie rojale de médecine. Paris , 1814, a tuI. iii-f< 11 f, 

PORTAL . ORSERVATIONS SUR LA MATURE ET LE TRAITliMENT 

DE L'EFiLEPSlE; par M. Pobiil. Patii, 1(117, > ^i>'- '"-^ ^ ^ ■ 

PROTIT. TRAITÉ DELAGRAVELLE.DD CALCUL VÉSICAL et de* 
BQtrei maladies qui "e retlachent â ua ddrangemrnt dea fuDCttoo* de* otv 
gBuei uriuBites, par William Faonr, mambre de la Sociilé rojile de Londrc*; 
Iradait de l'anglaU Q<rc dea nirtc* par Cb. MovicoÉ , dactecn en méde- 
cine , médecin dei baîni de Dieppe, etc. Parii , iSiô , InS, , St. 
• PHUS. BECnERCHES SUR LA NATURE ET LE TRAITEMENT DU 
CANCER DE L'ESTOMAC ; par René Pung , médecin de l'hospice de 

' Bicèlre. PaFi* , 1818, i «ot. in-8 4 f. 

PIJJOL. œuvres de MÉDECIKE pratique , D. M. , conle- 

aaut : EiMÎ lut- let iDQanimalioni cbioniqnca dea viacèrca , Ici inaladiei 

.' Ijmpbatiqoea , l'art, d'cxci 1er ou de modcrer la fièvre pour la guèrinou dea 

' maladii'S cbrotiiqMee, àea maladieade la peau, Ira maladki hérédltairca , le 

' vice gcrofuleui , le. racbilismc , la liivre puerpérale, la colique liépalii|ue 

par cause calculeuae , elc. , avec une nolicc Buila vie et Ira travaui/de l'au- 

' tcnr , et dea additiont, par F.-U. Ruisbiau, Parli, iSiS, 4 vol. ia-S., br. i5 t. 

RASPAIL. NOUVEAU SYSTÈME DE CHIMIE ORGANIQUE fordt'iur 

' de nonvrllt's niélhode* d'obiemtioii , par F. V. Ritpiii., accompagné de 

la planche* dontui coloriéa, i833; un rori vol. n-8, ~ '' 



«rT.'l'HiVrâ^iIMIfi^rdnimlawwAlaaàlaK.uTwIiadrrMiklirl^abHM 

■tVwht d. flm i rtMiailiTa laan maMkillain ■■aewilw» awii nuAi»â)H d(li<t>,'linir> irnufiiTini. 

lioDi aui dllH rrnii letidili planic tu dul'aulini]. liunin«uaorpb«t>, Inin naliHiiii, liun fcnc- 
runi: alm U. lliKpail >ll aiulMaliK. pkfilatDfMr, kolJuinr tl loulopni . et l'ncupi enSu dei 

B^P^I'ORt' D'Ê''L''AcÂDEÎnE HOTALE DEUEDECmE SURLECHO- 
LEBA-MORBUS, aaivi des conaeila aux adminintratcura , aux médecina el 

■ozoiiojeiMifuMMfMr «ntr* d«jauv«m«»iml. Paru, iS3i,in-S.. .'...S f. 



J.-B. BailuÈbe, nie de VEcùle de MédiCihé, b* i3 hïs. 3«f 
RAPPORT .ET. INSTRUCTION PRATIQUE SUR LE CHOlÈEA-MOR- 

BUS; rédigés d'apréa la dumaDde du gouTernemenll par('/(i;addmt< rosaf» 
Al nadccint. Paru, i85i. In-H , . i f. 

. ilAPl'OHX A U. LE MINISTRE DE LA MARINE SUR KE CHOLËRA- 
UOitBUS, obierté diina l'iade en iSi^titiKSo, cl comi aie i l'Épidéinic 
^bi régne en Europe ; pac J.-J.-A. Soutt, chirurgien cntcelenu' de 1b nii- 

rioe . Paris, iSit.Xa-H , i . f: So e. 

AAPPORT DU CONSEIL DE SANTE D'ANGLETERRE, «ur la maladie 
appelée dans l'inile CHOLÉRA SPASMODIQUE, publié par Qrdre dci 
làrdi cônipoaanl t« Cimsdl priiË de Sa Majcalc brîLadnique , et auivi d'une 
Lettre aur la contagion dit ei>i)Ura \ par H. Mic Micqail, médecia du 
Roi , membre du Collège des médccina ; traduit de l'aitgliii. Id-H. i f. So c 

-■ jRAYEK. TRAITÉ THÉORIQUE ET PRATIQUE DES MALADIES DB 
LA PEAU, foDiiË aur de □ouie[leg recherches d'à aa ta mie ei de phpiulogie 
patholvgiquea j par F. RiTia , médecin de rbOpital de la Charitù , deu- 
xième édiiioD refondue. Pari», tSSi: ^ ii>^' vol. inO. .ic Compagne d'un atlaa 
de 11 platicb.iD-4 gravËca el colotiéei avec le flus grand aoia el offrant jilui 
, de Ko rariélé* de tnatadie* de peau .,., 

3iea^u'«iDDpdèHpar dramaiDi bulnlpi. «Bilf^irLir li inporltula fia h pjlhn^a 41»il cn«Dr*fnia- 
'Qopp^e d'otvcurili rf Midi I« iT^leipuir deiprjilicicni qui déiïriimMoir remplir f a m;iDqiia p;iruD bon 
'ovTiBgc pratique lur- hunnihliAa <ta la ptau. C'hi sina ligun«i|uf H. ItiTip« HnpLldmi L'onin^a 
qiif itm ■nnonCPM/tniïl d> nombrtuM ■■pi n d'riMrTHioi»rt â« Hcbfr«k«iuddiib;ii «u pnfilrr 



AATIEH. FORMULAIRE PRATIQUE DES HOPITAUX CIVIL!» DE 
f ARIS , on Recueil dea preacriptioni médicameoleusci emploj^e» par le» 
tnédeclna st chirurgiens de ces élabliaaemcDta , avec des ootea sur leo doses , 
le mode d'adtninitlratioii. Ici applicalions particullëies, et dea coDsidénlioai 
géncraica sur chaque hôpital, sur le ^enre d'affectioaa auiqaellei il est apé- 
«âaleiuent ^^aé, el aur la doclrioe dea praticieni qui le dirigent; pai 
P.-S.' RitIB docleuf en médecine de la Faculté de Paria. Quatrième 
■édition, re^K, corrigée et augmentée d'un appendix' daii» lequel sont 
cODopris lea nouTSaux inédicamenlS', tels qiie ta noix Tomique, la mor- 
phine, l'adde pmiaiqne, la sltjchnino, la (iratrine, la quinine, la cincbonine, 
i'éméliqiie , le biAme, l'iode , la c^Qure', llniile de crtMon lïglinm , Im 
jiréparatioD* d'or, de phosphore, les itls de platine, le chlore, le* cblo- 
Ture» , l'écoTce de racine de grenadier, ta racine de kabiaoa, lea .feuillea .da 

' bbui, etc. Paris, i83i,i fort vol. ia-i8 .....i ...St. 

. RATIËfi. TRAITÉ ÉLÉMENTAIRE DE MATIÈRE MÉDiGAXE;^c 
T. S. R » m , docteur en médeciue de laPacnllé de Paris, membre de j^o- 
Kienrs bociéléi savanlRa. Parit, iXig, i TOl. ia-8 lo f. Soc. 



'ebrrr^n ia priilkE«H Ira pdnil c 
niHpàgt htmti» Ja trBadii4i>twalaiiiuiïefw»ctl«n«iT*lli'idaairiqr<Bi4dirat«i. PaUDiil il h ttoaira 

hatier COUP d'cril sur les cliniques MÉDICALES de la 

FACULTÉ QE MEDECINE et des hapitaux civib de Patb; par F. 
S, n*Tiim. Pari* , iSJo , in-M 3 f. 

RATIER ET HENRV. PHARMACOPÉE FRANÇAISE, ™y«p.i;. 

'BEGNAULT. DU OEGRÉ DE COMPÉTENCE DES MÉDECISS DANS 
LES QUESTIONS JUDICIAIRES RELATIVES AUX ALIENATIONS 
MENTALES, et do théories pl^j a io logiques sur la Monomanie ; suivi de 
HouTelle» Hénciions snr le »Hicido,la liberté morale, etc. fpar Elias H*- 
cHiCLt, membre de la Société médicale d'émûlaliou , aiôcat i la Cour 
ioyale du Paris, i83o , in-8...... ST. 



t» J'itS. AUETuint, Mie ffg TEwole de Hi^deeme, Tt*- 13 hîs. 

InaïAMHMtMMiliRrainaKAniliollI ■■•nlil» , <tdiI> tiIiui » doit •llickir i Irof ofilraw ^ laiti 
■■UI>al><H>f«iu*iUi. •urliftmM.ilaniiun*' hi M^.il«<iiinill«Iicnu«| pndiiff , ••• J 






lUU 4> M. X. ItwvU , ' 'flM •■»>£« mV 



— SiparÉmeut. Ra^riLLi* B«ei«xio:ii iBr U MonciinaDia hamluide , la li- 
•berii morale, te (uicia», aie. Pon» , iS3d., in-fl ,3r, 

ploi^priipxïÉ» * w »ériiïble iwinre. el de qualijuM -oburTMioai nur lit 
affeli du -«Dffiçvwii (Mf J^-B. IU«ii#a, JQ. jU, , eM(l«CMl'4« ,l'iln*f>>eB 
Cmiîainiiifcr., elc., Pari^.^S.»., ré^a,. .^..., .»..,.. -.f 4 f* 

.]tORWi£ii£ BK«yoittV. RBCHencHKfificrii L'OHOAins&Tion 

TEBIEBJiii.E DES CRUSTACES, VRk ABAQHItlDES ET DES IN- 

— «BCTm;^f.^9rMint,v»ws^iBr,n.m.PiirU,tn3B,in-9.,S^.Sr.Sot. 
.KOCHG « SAN80JV.NoCVlEA«K*LÉWBtlTSHEPATnOMK7IB 

' HEDICO-ClIIirtriIGlCibK.uaTiutiitltÈiuiiiue et .putiq^u de ai^ccwe 
•t4« chlriiEgie^ pu {<. Ck. »*cab, O. U. P., newbrc éq l'AndtBia 
Kiij.le de mëdvcini! , ele.,«t i.-L. SikMh.'B. C. P., chirurgiFa en WComi 
dé l*H6Wl-t)l«u ^ hrii , jirorweur npigi i la ftcuitt de Kiédecine 4s 

' InA , JaAao « ■ ■ «■ gh fu Mf. 

i;«rt»<pt«Wiii'M6»rt«>i»plJ«..(".*H,-»«i""*ï«iai*i.fci.fa..i*m.,*i«.--™i 

Il irtvMftHliH. 

— "flrCTleWBCDrenn peW lun^rc d'ciGorplicM dc) lOBnDi 3 «t ^ de l> pre- 
AAn éditiM . frii An tome X Para, itla7,ia-8., de1Sï5pase>......& f. 

— Tonne ■j. ^H», iBàS, b-S. , dc Boopago ^ -'.S f. 

jaoUS L& B irpOKT UES .Tl]Â0filG8.ËT DE Li UQfiXAi,lT£.; ^r. L.- 

CL flucRi,a«iiitue<lEl'A«uUÎpit|r«3'4led« ipBd««i>«. AwiTi k4t>7.4«^4f' 

'BOCHJK. HÉHOlJtB 8tlB LE CQOLI^AA-'UOIIlIltS ÉPIB^MIQDE 

mftSRVÉ A PARIS; pw t.'t;. tlocfls, ». It. P., Id-4. Pon'i iSS*. ■ f. So c. 
'ROSE. TBAITÈ rBATIQDE D'ABALTSECHIUIQBE JuUi de i»tl«, 

«erVant. dooslè) i>Da.lji'ct, ii cilculcclàquaulilè d'u ne lu ba tiuice d'tprè* celle 
' iBaiik i-tètrotiVée d'rme tutre iiTbftaDcc; par Henri II ami, pi-ofeiarurileciituile 
' I IVaitetiité de Brrtin , trudntt de ftllemiad aitr ta tecondu Ëditloti par 
■ A.-J.-t.Jotinï!i,B.M.F, Pans, i«3a, i forts id, in-R., flg i6f. 

ÎSuiîltop'd^'riiMthiri T^'lU fwj"i 7">gl". liWtwde a sùc, •['•»lX''ii[^id^'i «"»!■' 
. r .. --"iB.ftu^MMtaiM ^.nMii«™twi..,.ii.hi.pB*r.i«nliUi..D.>ij(|i«mltr 
«n»dir« l« prtiftits 4Httfft,H diB»L« tnmdda «•■itiaiarHurj p^r^iimir. LeB- 
ilàUX.HISTOIReMÉDIGAl'EDEL'AIlUfiEFBAIIÇAlfiBBIVHOftÉE, 
' peodvDt !■ oMBMgne do -itliH j par fi. BoDi, iBildi.'ein encbiTde-l'cipfali- 

licw, elc. Pmrii,ilifS, in-» it. 

SABATlEU. -LES LOIS DE LA BSVULSIO», éuidiëei •ouslomp^rt 

phniolagîqatct thétapoulii]uej par J.-C. Siiiiii», D. H. P., aucWn in- 
terna dcahùpitaui. ISémolreuDuiimnipaT la SBti*UwiUit»fratiipàcd»Pani. 

Vari», i85.,io-S 3 f. 

SA'BLAIBOLLËS. RfiCUEfiGHESd'analoiuieetdcphjiuli^epallui- 

-Mna*Mi«n ie> lb einTiikc : pat 3..&iuniiiouiB , D. Jl., prttttvMur »^é^t 
k la Facolté do midacine de Uonlpellier. Pati*, i(t*C, ui-8.><4 • ^e.