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LA
PALÉOGRAPHIE DES SCEAUX
PAR
G. DEMAY
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PARIS
IMPRIMERIE NATIONALE
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LA
PALÉOGRAPHIE DES SCEAUX
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PALÉOGRAPHIE DES SCEAUX
G. DEMAY
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IMPRIMERIE INATIONALE
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.LA
PALÉOGRAPHIE DES SCEAUX.
Les ouvrages de paléographie ont assurément rendu de grands
services; nous pensons toutefois, avec les érudits modernes, qu'un
exposé de la science offrirait des avantages plus pratiques, des
résultats encore plus certains, s'il se composait de petits traités
séparés, s'appliquant chacun à une même catégorie de textes.
Par l'importance qu'elle a acquise de nos jours, la sigillographie
nous a paru devoir être l'objet d'un de ces traités spéciaux. Nous
le donnons ici.
Bien qu'il porte sur une quantité considérable de types, et qu'il
soit extrait de la plus nombreuse collection de sceaux qui ait été
formée, ce travail n'a pas la prétention d'être complet; il est même
loin d'avoir épuisé la matière; mais il oifre du moins un cadre où
chacun pourra faire entrer ses propres observations, inscrire ses
découvertes.
Dans l'épigraphie des légendes, nous examinerons successive-
ment l'écriture, la ponctuation, les différentes espèces d'abrévia-
tions, la disposition des inscriptions, la langue dans laquelle elles
sont écrites. Cet aperçu sera suivi d'un tableau de mots abrégés
relevés dans le riche dépôt sigillographique des Archives natio-
nales.
ÉCRITURE DES SCEAUX.
L'écriture majuscule a été généralement employée dans les in-
scriptions des sceaux^ On la rencontre à toutes les époques où Ton
a scellé des actes. Au temps de la plus grande vogue de la minus-
cule gothique, dès la seconde moitié du xiv*^ siècle et durant tout le
xv% la majuscule n*a jamais été abandonnée.
Ecriture mérovingienne. — A l'époque mérovingienne, cette
majuscule a été la capitale romaine barbare, où l'on trouve des C
et des carrés, E O, des D d'origine grecque, A.
FAC-SIMILÉ DE LEGENDES MEROVINGIENNES.
Dagobertus, rex Francorum. Chîldebertus y rex Francorum,
Ecriture carolingienne. — La capitale continue sous les Ca-
rolingiens, mais en s'épurant, en prenant de la régularité, de la
symétrie. Même lorsqu'elle emploie des lettres grecques, telles que
le X et le P, pour exprimer le mot Christe, comme dans les types
de Charlemagne, de Louis le Débonnaire, de Pépin P' et de Lo-
ihaire I", la capitale carolingienne conserve son ordonnance. Le
fait le plus remarquable est qu'on voit intervenir dans la composi-
tion des mots des lettres appartenant à l'écriture onciale , sorte de
majuscule à contours arrondis. Ainsi, dès 77 û, deux G et un E,
G €, pris dans l'alphabet oncial se remarquent au sceau de Char-
lemagne. Dans les légendes carolingiennes, comme sur les sceaux
de la première race, les mots ne sont pas séparés les uns des autres.
FAC-SIMILÉ DE LA LÉGENDE DU SCEAU DE CHARLEMAGNE.
Christe, protège Carolum, regem Francorum,
Écriture capétienne. — L'introduction de l'onciale dans la capi-
tale romaine se fait encore plus sentir sur les sceaux des Capétiens.
On trouve des 6* et des 6 dans le type du roi Robert, en 997.
La légende de Philippe I®% en 1082, contient un îïl.
Des U ont été employés sur les sceaux de Foulques, évêque
deBeauvais, en 1089-1 096; d'Etienne, évêque d'Autun, en 1112-
1160.
Les inscriptions figurées sur les sceaux de Henri le Sanglier,
archevêque de Sens, en 1 1 25 ; d'Alain, évêque de Rennes, en 1 1 53 ;
d'Eudes de Ham, en 1179, présentent le T).
r
Le sceau d'Etienne de Senlis, évêque de Paris, offre la lettre i>,
en 1127.
En 1 1/11, des H figurent dans le type de Louis le Jeune.
Des O) se voient aux sceaux de Thibaud, évêque de Paris, en
1166; de l'abbaye de Vicogne, en 11^9; de l'abbaye de Saint-
Victor, vers 1 i5o.
On remarque un B dans la légende de Hugues III, évêque
d'Auxerre, vers whh.
Un type de l'abbaye d'Anchin fournit, en 1 166, un exemple de
Ts fermé.
Des H ainsi tournés vers la gauche, si, ont été intercalés parmi
les capitales au sceau de Richard Cœur de lion, en 1195.
A la date de 1 1 76 , le contre-sceau de Louis le Jeune offre des X-
Un autre X d'une forme différente, X, se voit au sceau de Phi-
lippe-Auguste, en 1180.
L'onciale n ne se montre que vers le commencement du xni* siècle,
chez Raoul, évêque d'Arras, et Pierre, abbé du Gâteau, en 1206;
chez saint Louis, en 12/io. Notons cependant qu'on en trouve un
dans le type d'Etienne de Beaugé, évêque d'Autun, avant 1 160.
Les lettres carrées, dont j'ai signalé la présence dans les lé-
gendes mérovingiennes, se retrouvent encore, bien rarement il est
vrai, mêlées à la capitale et à l'onciale des sceaux jusqu'à la fin
du XHi* siècle. Ainsi le E de Clovis IH, de Childebert III, de Chil-
péric II, persiste sur les sceaux de Henri Y\ roi de France, en
io35; de Guillaume le Gonquérant, en 1069; d'Achard, évêque
1 .
— +»♦( 4 )•t^ —
d'Avranches, en 1161-1170; du prieuré de Balli, au xii*" siècle.
Ce même prieuré de Bath offre également un G carré, D.
L'O carré, O, de Dagobert I"^, de Glovis III, continue dans le
type de Guillaume le Conquérant, en 1069.
Des P carres et ouverts, P, figurent encore à la date de iq63
sur le sceau normand de Philippe Galeran.
Vers la fin du xi*' siècle, quelques caractères minuscules con-
courent parfois à la formation des mots. — Un S est employé, dès
1088, dans la légende de Richard, archevêque de Bourges. — Le
type d'Audebert d'Uzès, évêque de Nhnes, en 117/1, ^^^® ""^ **•
— On rencontre un d sur le sceau de Gautier de Bousies, en 1 1 8 1 .
— La légende de Richard des Portes présente un f, en laBS.
FAC-SIMILÉ DE LA LEGENDE DU SCEAU ET DU CONTRE-SCEAU DE LOUIS VII.
LudovicMs , Dei gratia Francorum rex
TDvx^ayi TAN© m/m
et aux Aquilanorum.
Nous placerons successivement sous les yeux du lecteur les di-
vers alphabets sigillographiques employés à Tlmprimerie nationale,
en l'avertissant toutefois que les exigences de la typographie ont
voulu que ces caractères soient ramenés à l'uniformité de dimen-
sion, il n'en est pas de même dans la réalité, où chaque type a
pour ainsi dire son alphabet individuel, et où la proportion des
lettres dépend surtout de l'espace à remplir et du calcul exact
qu'en a fait le graveur. On comprend, après cette dernière obser-
vation, la difficulté, pour ne pas dire l'impossibilité, d'assigner des
règles fixes à la forme chronologique de chaque variété de lettre.
+f^ 5 )*9^
Sur le sceau de Louis VII dont nous venons de donner le fac-
similé, la face et le revers, tout en présentant la même surface,
ne doivent pas contenir une légende de même longueur; de là une
notable différence dans la figure des caractères à la même date.
Dans le type de l'abbaye de Boheries, en 1 168, un côté de l'ogive
contient : SIG'ILLV ABBHTIS, sigillum abbatis; l'autre côté, ne por-
tant que DE B0H6RIS, de Boheris, présente des lettres beaucoup
plus larges et beaucoup plus espacées. Il en est de même sur le
sceau de l'abbaye de Saint-Pierre de Loos, en 1 16&, etc.
e «.Ji
ALPHABET MAJUSCULE DES Xl% \lf ET XHI SIECLES.
R A n B ECG 0^0^)0 E BB 6 F U ^ S H U V)
ij k 1 m n o p q r
I K L uumcn^cnoicD nnr o pp a rr
s T « V yVu 17 X X^'x ^ Y F y 2*5 • : : - -«^ * '
Majuscule gothique. — La majuscule dite gothique apparaît sur
les sceaux bien plus tard et avec des différences bien moins sen-
sibles que dans les manuscrits. Ce n'est que dans le deuxième type
de Philippe le Hardi, en 1272, qu'elle commence à se manifester
distinctement. Plus caractérisée sur le sceau de régence de ce même
souverain, elle s'accuse déGnitivement sur le sceau de Philippe le
Bel, en 1286. On la rencontre sur les sceaux d'un abbé de Dœst,
en 1296; d'un abbé de Hasnon, en 1296. Son avènement géné-
ral dans l'écriture des légendes doit être reporté aux premières
années du xiv* siècle.
ALPHABET MAJUSCULE GOTHIQUE.
a bcd« f g hi.j
A R K a B a C D G FB 6 IL h I
k 1 m nopqrst
KH L£ mfflHnnopaRs T0
■■ ! »*( 6 )••♦—
Minuscule gothique. — Vers le milieu du xiv* siècle, survient
la minuscule gothique. Le sceau de Jeanne de Bourgogne, pre-
mière femme de Philippe de Valois, en i3i/i, offre un des plus
anciens exemples de la nouvelle écriture, dont Tusage s'accroît
à mesure qu'on approche de la fin du xiv* siècle, pour devenir
presque général au xv% et rester très fréquent pendant le siècle
suivant.
Le passage de la capitale à la minuscule offre des transitions
assez curieuses. Sur le contour du sceau de Pierre de la Forêt,
chancelier du duc de Normandie, en 1 3 68, on lit : Secretum Pétri,
en majuscule, et, dans le champ, sur deux lignes, de Faresta, en
minuscule gothique : f» SGGRGTYJR PGTRI t^ : foReCta; le R de
Foresta est resté majuscule.
Ajoutons que les légendes en minuscule gothique commencent
bien souvent par une majuscule. Quelquefois même, la première
lettre de chaque mot est empruntée à ce dernier alphabet. On
pourrait citer des exemples où la capitale et la minuscule se trou-
vent mélangées au hasard, comme dans le type de la vicomte de
Bayeux, en i556. . . a^GIons îe 14 VIOGHTe k Bai..., seel des
obligacions de la viconté de Baieiur.
ALPHABET MINUSCULE GOTHIQUE DES XIV^ ET XV^ SIECLES.
ALPHABET MINUSCULE GOTHIQUE DES XV^ ET XVI^ SIECLES.
a6fï»<rfjî6t)felwttcj^
Capitale de la Renaissance. — Nous avons dit que la minuscule
gothique était restée fréquente au xvi^ siècle, sans être d'un emploi
— *->{ 7 )•«-»- —
aussi général qu'au siècle précédent. On voit en effet apparaître,
vers la fin du xv% une nouvelle capitale, qu'on a nommée capitale
de la Renaissance. C'est un retour à l'ancienne capitale romaine,
mélangée de majuscule et de minuscule gothique, le tout ramené
à un style maigre et bâtard, à lettres étroites, sans grâce ni
souplesse. Cet alphabet, en vigueur sous Charles VIII et Louis XII,
n'a eu qu'une durée passagère. Il n'est déjà plus en usage sous
Henri II. Il disparaît alors, cédant la place à un système de carac-
tères plus corrects, plus amples et plus nobles, dont l'épigraphie
du temps de Louis XIV conserve encore l'aspect et la forme.
CAPITALE DE LA RENAISSANCE.
a bcd efg hik
•K 21 X BbCa D^ E8e FG6<$Hk IK
i m n Pir s tu, vwxe
L MAH NOePaRSSTVWXZ'
Ecriture numérale. — Dès les premières années du xiii'' siècle,
certains sceaux portent la date de leur fabrication ou de leur re-
nouvellement. Nous examinerons brièvement, d'après ces types
spéciaux, les divers genres de signes numéraux employés en sigil-
lographie. Les sceaux présentent d'abord le système romain bien
connu, qui consiste à exprimer les nombres par les sept lettres de
l'alphabet : I, V, X, L, C, D, M. Ces lettres ont suivi les phases
de l'écriture des légendes.
Au xni® siècle, ce sont des capitales romaines mêlées d'onciales.
Ainsi, dans un des plus anciens types datés que nous connaissions,
le type d'Adam , seigneur de Beaumont, en 1211, on lit au contre-
sceau :
* HGTVOT • MIEO • GG • X • I • •:
Le contre-sceau d'Archambaud d'Argy, sire de Palluau, porte
dans le champ et autour de Técu la date i255 :
AHO DHI « GG L V
— «•( 8 )•« —
On remarquera dans cet exemple Temploi de la petite lettre su-
périeure **, dont nous parlerons à l'article des abréviations.
A la capitale mêlée d'onciale succède également, pour repré-
senter les chiffres, la majuscule dite gothique, comme on peut le
voir sur un des contre-sceaux de rofficialité de Paris, en i/iio :
)» S : GURie : PAR : FOUH : JinO IR OGGa X
Le sceau de la Grande-Chartreuse établit eu outre qu'à la date
de i4o/i, on exprimait encore le nombre li par un I répété quatre
fois : in'-cac0"inr.
La minuscule gothique remplace, à son tour, la majuscule pour
le tracé des chiffres, mais avec cette réserve qu'elle ne sert à cet
usage spécial que vers le premier tiers du xv* siècle. Parmi les plus
anciens spécimens de la minuscule numérale, nous citerons : les
contre-sceaux de l'officialilé de Térouane en i/iSa, tUlxo, lûôa;
le sceau de Guillaume, duc de Saxe et landgrave de Thuringe, en
Voici la légende de l'officialité de Térouane, en ttiUo; une fleu-
rette sépare chaque mot.
S )i ûtttio iè Ht jê m^ ^ cccc^ ^ xl° )&
Au commencement du xvi*' siècle, bien que les légendes soient
encore écrites en lettres gothiques, on emploie les chiffres arabes.
La légende gothique de Philippe de Clèves, seigneur de Ravenstein,
se termine parla date en chiffres arabes, i5o3. La légende de
Denis, abbé de Loos, porte 1 5i i ; celle de Georges, duc de Saxe,
i5i5.
Dans la capitale de la Renaissance, l'usage des mêmes chiffres
arabes continue et persiste avec la belle majuscule qui lui suc-
cède.
— •!»•( 9 )•«<
PONCTUATION DES LÉGENDES.
On doit entendre ici , par le mot ponctuation , les signes servant
à déterminer le commencement et la Gn de la légende, ou sépa-
rant les mots.
La croix grecque 9a indique l'endroit où Tinscription commence.
On constate déjà sa présence sur les sceaux des derniers rois mé-
rovingiens. Sa figure est alors légèrement pattée. A mesure que
les différents alphabets se succèdent, les extrémités de la croix s'é-
largissent, s'alourdissent. On l'a quelquefois remplacée par une fleur
de lys, comme on le voit au contre-sceau de la ville de Meulan,
en 1195. Au xv^ siècle, on lui substitue fréquemment une étoile
ou une rose.
L'usage du signe initial est général, sans toutefois élre absolu.
H manque d'ordinaire lorsqu'un édicule, un dais ou la tète du per-
sonnage débordant le champ prennent la place qu'il doit occuper.
Cette place se trouve à la partie supérieure du type.
Dans les légendes qui suivent le contour extérieur du sceau , le
signe indiquant le commencement d'une légende en marque éga-
lement la fin. Cependant, un double emploi, peu fréquent il est
vrai, se remarque sur certains sceaux dès les premières années du
xu^ siècle; dans les types de Josseran , évèque de Langres, en 1 1 a3,
du chapitre de Saint-Amé de Douai, vers la même date, l'inscrip-
tion, commençant par une croix, se termine par un point; il en est
de même à la légende de Hugues, abbé de Saint-Amand, en 1 166.
On peut signaler encore un point à la fin des légendes des papes
Pascal II, eD iio3; Honorius II, en 1126; mais ici, l'inscription
étant horizontale, la présence du point se trouve justement moti-
vée. Ajoutons que la ponctuation finale consiste parfois en deux
points, comme au sceau de Henri, évèque de Bayeux, en 116&-
i9o5. Un peu plus tard, c'est une feuille, une fleurette, un ra-
meau , qui remplacent la marque terminale et qui laissent en même
< 10 ).♦*—
temps supposer rinteiitiou de garnir une place dont le vide offrirait
à Tœil un aspect désagréable. Dès 1167, un signe de remplis-
sage se voit à la fin de la légende d'Etienne de la Rochefoucauld,
évêque de Rennes.
Vers le dernier quart du xi*^ siècle, on commence à distinguer,
dans certaines inscriptions, des points destinés à isoler les mots.
Leur emploi devient plus fréquent au xu*' siècle; aux siècles sui-
vants, il est habituel. Les premiers signes de séparation consistent
en un point ou en trois points superposés. Les deux points Tun sur
l'autre ne sont usités que plus tard, au début du xui*^ siècle.
Je citerai quelques exemples relevés sur les plus anciens types
ponctués.
Un point seul • entre les mots se voit aux sceaux de Helgol,
évêque de Soissons, en 1 08 5 ; d'Etienne de Senlis, évoque de Paris,
en 1127 et 11 38; de Gosselin de Vierzy, évêque de Soissons, en
1 1/19; du pape Anastase IV, en 1 1 53; de Nicolas, évêque de Cam-
brai, en 1 156, etc.
Trois points superposés : séparent les mots aux sceaux de Ri-
chard, archevêque de Bourges, en 1089; d'Etienne de Baugé,
évêque d'Autun, avant 1 1 /lo ; de Pierre Lombard, évêque de Paris,
en 1 169; de Henri de Carinthie, évêque de Troyes, en 1 167; de
Thibaud, évêque d'Amiens, en 1172, etc.
Les deux points : apparaissent sous Philippe-Auguste avec les
sceaux du chapitre de Saint-Pierre de Douai, en i2o3; de Pierre,
abbé de Saint-André du Gâteau, en 1 2o4; d'Arnaud, abbé de Ger-
camp, en 1207; de Renaud, abbé de Saint-Crépin-le-Grand de
Soissons, en 1209; de Robert, prévôt du chapitre de Saint-Amé
de Douai, en 1211, etc.
Quelquefois la même légende participe de deux ponctuations.
Ainsi, Ton remarque un point et trois points dans le type de Gé-
rard, abbé de Longpont, en 11 53. Un point et deux points se
voient au sceau de l'abbaye de ce nom, en 1 160, et, dans ce der-
nier exemple, les deux points devancent l'époque où ils paraissent
— «< 11 >
seuls dans les légendes. On doit dire encore qu'il existe des inscrip-
tions où la ponctuation de séparation n'existe pas entre chaque mot.
Sur le sceau de Tévêque de Nîmes, Audebert d'Uzès, en 1174, la
légende présente seulement un point après le premier mot et un
point à la fin. Bien que l'on rencontre les trois points dans un type
de Philippe le Hardi, en 1270, le point et les deux points ont
seuls persisté, les deux points surtout.
Les points ont été souvent remplacés, sur les sceaux des souve-
rains ou des grands, par des étoiles, des annelets, de petits sau-
toirs, des quintefeuilles , des croisettes. — Une étoile à six rais
sépare les mots dans la légende de Philippe-Auguste, en 1180,
et c'est la première fois que l'on distingue des traces de ponctua-
tion sur les sceaux royaux. — Deux annelets séparent les mots
sur les sceaux de Philippe le Hardi, en 1272, et de Philippe le
Bel, en 1286. — Dans les types de Louis X, en i3i5, la ponc-
tuation consiste en deux petits sautoirs. Ces petits sautoirs figurent
également dans les légendes de Charles le Bel, en 1822; de Phi-
lippe de Valois, en i33o; de Charles V, en i365. — Au lieu de
deux points, on voit deux quintefeuilles aux sceaux de Philippe V,
en 1817; de Charles le Bel, en 1821; de Philippe de Valois, en
1 343. — Sur le sceau delphinal de Charles V, en 1876, sur celui
de Charles VI, en 1892 , deux croisettes isolent les mots.
Dans la minuscule gothique, la ponctuation entre les mots
consiste d'ordinaire en deux croisettes. Cependant, la légende de
Jeanne de Bourgogne, en i3/i/i, offre deux petits sautoirs. On dis-
tingue également deux petits sautoirs au sceau de Louis II , comte
de Flandre, en i382.
Indépendamment des signes que je viens de mentionner, il n'est
pas très rare de rencontrer des légendes en minuscule gothique
accompagnées de fleurettes, de palmes ou de rameaux intercalaires.
Nous avons déjà mentionné, à ce sujet, la légende de l'officialité
de Térouane, en lUlio. Le type de Gilbert de Bourbon, comte de
Montpensier et dauphin d'Auvergne, en 1/180, ofl^re une légende
interrompue à son milieu par une tigelle fleurie. Le sceau d'Anne
de Bretagne, à la même date, présente, entre chaque mot, deux
croisettes suivies d un rameau. Une fleurette ou une quintefeuille
indique la séparation des mots au sceau du vicariat général d'Etienne
Blosset, évèque de Lisieux, en 1^93. Sur le sceau de Louis,
dauphin de Viennois, en i/iio, le dernier mot de la légende se
trouve compris entre deux rameaux. Dans le type de Pierre, fils
du roi de Navarre, en i/ioû, IV final de Pierre se termine en une
tige fleurie : ^pïJîï$]2^f^ Enfin, chez Pierre, comte d'Alençon,
en 1391, chez le bâtard d'Oriéans, comte de Dunois, en ilikU^
une longue palme remplit l'espace resté libre à la fin de l'inscrip-
tion.
Si nous étudions maintenant la séparation des mots dans l'écris
ture capitale de la Renaissance , nous remarquons des spécimens de
tous les signes précédents : points, croisettes, sautoirs, sextefeuilles,
annelets, etc. — Deux croisettes, au sceau de Louis, duc d'Or-
léans, en 1Û85. — Une étoile, au sceau de Charles VIII, en iti^li-
— Deux sextefeuilles, dans le type du même roi, en 1^9 5. —
Une croisette, dans celui de Louis XII, en 1 Û98. — Deux annelets,
sur un autre sceau de Louis XII, à la même date. — Deux sau-
toirs, au sceau de Marie de Luxembourg, duchesse de Vendômois»
en iBaa. — Un point, à celui de Pierre de Verchin, sénéchal de
Hainaut, en 1639.
ABRÉVIATIONS.
Les mêmes raisons qui ont motivé l'emploi constant des abrévia-
tions dans les chartes et les manuscrits les ont rendues encore plus
indispensables dans les inscriptions des sceaux. La nécessité de
faire contenir plusieurs mots dans un espace aussi restreint que le
contour d'un sceau a donné lieu aux abréviations que présentent
les légendes. Les contre-sceaux, bien plus petits d'ordinaire que le
type principal, oflrent, par celte même raison, plus d'abréviations
que ce dernier. H s'en trouve même quelquefois qui resteraient
— -!-»♦( 13 yt^ —
inintelligibles sans le secours du sceau; telle est, par exemple, la
légende : 9R • SO) • IT • AS, contra sigtllum Jamet Aleaume.
La première forme d'abréviation a été le sigle simple, c'est-à-
dire le remplacement d'un mot par son initiale. Cet emploi du
sigle porte souvent sur le nom du possesseur du sceau. De là une
difficulté de lecture qui devient insurmontable si Ton ne peut re-
courir à la charte, dont la suscription contient d'ordinaire le nom
et les titres inscrits dans la légende. Ainsi, le sigle 6* peut signi-
fier Gakheriy GarsiaSy Gaufndiy Gerardiy Gregorti, Guichardiy Guil-
lelmiy etc. — L'initiale seule sert également à exprimer un titre ou
une qualité, un mot d'un usage fréquent : indépendamment des
noms propres qu'elle représente, la lettre M peut signifier magxstriy
marlirisy miliciey militisy multeris; de même, P s'emploie indiffé-
remment pour pape, prepositi, presbiteri, prioris. — Une initiale
répétée sert à marquer le pluriel comme FF pour^a^ruw. — Quel-
quefois plusieurs mots qui se suivent sont abrégés par une succes-
sion de sigles : B jn. Béate Marie; ij ly F, Henrici de Ferrariîs;
S O R, sancte ecclesie romane.
Une autre sorte d'abréviation consiste à remplacer un mot par
son initiale jointe à sa finale : DS, Detis; MA, mea; SSn, sigillum.
Cette abréviation est dite abréviation par contraction. La contrac-
tion s'applique de plusieurs autres manières. 11 y a la contraction
par consonnes, dans laquelle la légende reproduit seulement les
principales consonnes d'un mot en comprenant la terminale : Q^R,
Qï^LR, chevalier; FQCDy factum; MG'R, magister. La contraction la
plus ordinaire est celle qui supprime des lettres et même une ou
plusieurs syllabes dans le corps du mot : RPGI, apostolici.
Dans l'abréviation dite par suspension, on néglige les lettres
finales du mot. En voici des exemples : GOnSTHH, CONSTANC,
Q0HSTANGI8H, Constandemis; RRYMy Raymundm. De toutes les
abréviations, la suspension est la plus fréquente; elle présente aussi
moins de difficultés au lecteur, qui se trouve guidé par le sens et
l'accord grammatical. Il se peut cependeint que la suspension se
complique de contraction, comme dans ABB^VIi£, Abbalisvilla ;
PBTGy Petragaricemis; Fénigme est un peu plus difficile à deviner
dans btb, Bemardus; CR?, pour Cameracenm.
Certaines légendes présentent des mots abrégés par un système
de petites lettres placées au-dessus des majuscules, soit qu'il y ait
en même temps contraction, comme dans ÊISI, Croisi^ PatHIE,
Petronille, où la lettre R manque, soit qu'on ait voulu simplement
diminuer l'espace occupé par ia syllabe, tout en la laissant sub-
sister dans son entier, comme dans lï de CMilfi, Germano. —
Le 6*, le T, reçoivent également des petites lettres supérieures,
comme é, t. — On s'est également servi de pelites lettres supé-
rieures pour écrire les nombres figurés quelquefois sur les sceaux.
Elles expriment alors la voyelle terminale : fl veut dire millesmo;
Ê, centesimo.
Il arrive encore que l'on abrège en enclavant des petites lettres
dans les majuscules. Ainsi Loûic s'est écrit islAC; Pkxlipus^ PHIBPVS;
^xgiïlum, SICTEjVO) et SGi^. On rencontre aussi
ci cv la pi qiio vv
G e E R œ V
Par un autre système d'abréviation, les capitales ont été liées
ensemble , souvent par deux , quelquefois par trois , comme le montre
le tableau ci-dessous. On rencontre même des ligatures reliant
toutes les lettres ensemble, de façon à former ce qu'on appelle un
monogramme. Le système d'abréviation par ligatures est en usage
dans tous les alphabets sigillographiques.
«h (ir ad ne <nf ah al am au aiie ap ar au
m IL TD m IB Ri H-flMiNflEiPiRJVflS
br
m.
(Il
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E Ml ^B ^D ^E^G rFFPM^SÏl/'hBllRSB
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N: ID œ NI IR IT us (H (R 02. 09 R IP R
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ae rli co de on rp ex
m (H (D m m Q? QL
ac be ho i>or da de do ha lie . oc oc or pe- po pp
SIGNES ABRÉVIATIFS.
Les abréviations donl nous venons de parier sont, la plupart
du temps, signalées au lecteur à Taide de certaines marques spé-
ciales. Parmi les différents signes employés, les uns surmontent les
lettres, d'autres les coupent ou les traversent, ou les suivent. Il y
a des signes abréviatifs commençant ou finissant un mot, ceux qui
remplacent la conjonction et, que, etc.
Les signes abréviatifs placés au-dessus des lettres sont le trait
horizontal " et l'accent circonflexe grec ^.
Le plus ancien exemple du trait horizontal que nous connais-
sions se voit au sceau de Liébert, évêque de Cambrai, en 1076 :
dT remplace le mot Dei; la même abréviation figure dans les
légendes de Philippe V\ roi de France, en 1082, de Lambert,
évêque d'Arras, en 1097. Une bulle de Pascal II offre, en ioo3,
PP, qui signifie j^opa. Sur le sceau de Samson Mauvoisin, arche-
vêque de Reims, en 1 1 45, on lit SICTLLV DÎ GKR, pour sigillnm
Dei gratta. Il se présente cependant quelques cas où le trait hori-
zontal n'est pas posé tout à fait au-dessus des lettres. Deux d'entre
— !>>.( 16 >
elles semblent alors s'éloigner pour le contenir dans leur écarte-
nient. Sur le sceau de Gerbert, évêque de Paris, en 112'i, on
remarque 6P-I, pour episcopi. Le type de Henri le Sanglier, ar-
chevêque de Sens, présente, en 11 38, HRCHI6P-I, archiepiscopi.
Quelquefois on a diminué la hauteur de la lettre de telle façon que
le trait abréviatif qui la surmonte ne dépasse pas l'alignement gé-
néral. Dans le type de Philippe-Auguste, en 1180, Dei est écrit DT.
L'abréviation par l'accent circonflexe grec, beaucoup plus rare
que la précédente, commence à se montrer sur le sceau de Jean
Renaud, archevêque de Reims, en 11 33, au mot SIGTLLV, sigil-
lum. On le trouve dans la légende du pape Anastase IV, en 1 153,
surmontant les deux PP du mol papa. Son emploi continue, de loin
en loin, dans les siècles suivants, pour reprendre un peu de faveur
à la Renaissance.
Nous ne quitterons pas les traits abréviatifs supérieurs sans aver-
tir le lecteur que ces traits ne sont pas toujours à la place qu'ils
devraient occuper régulièrement. Dans QOILII, pour consilii^ la véri-
table place du trait est sur l'O; dans MITAGO, MitriacOy il aurait
dû surmonter le T. Cette irrégularité tient à ce que parfois les
signes indiquent seulement une abréviation dans le mot.
Les lettres sont coupées par des traits abréviatifs droits ou re-
courbés.
Un trait droit traverse la queue du P dans le mot E<PS, episco-
puSy au sceau d'Helgot, évoque de Soissons, en io85.
En 1 1 33, on remarque un C coupé par un trait droit dans la
légende de l'abbaye de Saint- Germain d'Auxerre, S-ei, sancti.
Un V présente son montant de droite coupé par un trait au
sceau de l'abbé de Vauluisant, en 1 169, SI6'ÏLL^X, sigillum.
On rencontre un G dont un trait droit coupe le crochet supé-
rieur au mot sigillu7n du sceau de Guillaume Louvel, en 1 168.
Sigillum est écrit par le sigle 'S, un S coupé de biais entre les
deux panses, dans le type de Manassès, comte de Rar-sur-Seine,
en 1 168.
Le mot Aldebertus offre un h minuscule à la haste traversée,
dans le type d'Audebert, évêque de Nîmes, en 1 17/i.
Sur le sceau de Manassès, abbé de Ghocques, vers 1180, le
mot s^llum s'écrit SIG", le crochet inférieur du 6* traversé obli-
quement.
Dans la légende d'Arthur, duc de Bretagne, en 1199, figure
un G traversé de biais complètement.
Si nous considérons également, dans leur ordre dancienneté,
les lettres coupées par des traits abréviatifs recourbés, nous place-
rons en tête le T de Lambert, évêque d'Arras, en 1097, LHMBERT,
Lamhertus.
On rencontre un W chez Manassès, évêque de Meaux, en 1 167,
MELOeiF, Meldensà.
En 1161-1170, le type d'Acbard, évêque d'Avranches, présente
un», ffBl, gratta.
Un ¥ se voit à la légende de Gautier, évêque de Laon, en 1 1 63 ,
DF pour Dei.
Sur le sceau de l'abbaye d'Anchin, en 1 166, un S traversé d'un
trait courbe entre les deux panses signifie sigillum.
La même abbaye, en 1179, donne la lettre E dans eCEe, ec-
clesie.
SI61LLV représente sigillum dans le type de Robert IV, comte
d'Auvergne, en 1182.
La lettre B^ coupée par un trait semblable figure au sceau de
Robert de Wavrin, sénéchal de Flandre, en 1 198, ROBTI, Roberii.
Un B minuscule se voit au sceau du chapitre de Pamiers, en
1226.
La légende du sceau de l'église de Guitry, en 1286, offre la
lettre (U, dont la queue est traversée par un trait courbç.
Par le signe abréviatif qui suit les lettres, nous entendons sur-
tout une sorte d'apostrophe ' telle qu'elle est figurée dans la lettre
S% sans en faire partie intégrale, exprimant sigillum dans les types
de Gui, chantre de Gambrai,.en 1210; de Gérard, archidiacre de
Valenciennes, en 1210, et de Jeanne de Garlande, en iq3o^ etc.
La lettre S ne comporte pas seule l'apostrophe abréviative; ce
signe accompagne d'autres caractères, des B% des 0% des N', des
(X\ La légende de Pierre, fils de Robert 11, comte de Dreux, en
1212, fournit un exemple de l'emploi simultané des trois premiers :
ROB'Tr DROC "2 BRAN^ .... Roberti Drocemis et Brane.
Les inscriptions des sceaux présentent fréquemment un signe en
forme de 9 qui se met au rang des lettres et s'emploie au commen-
cement ou à la Hn des mots. 11 exprime corn, cmn, cons^ cont, con-
tra, lorsqu'il est placé à la tète du mot, et signifie us lorsqu'il se
trouve à la fin. Le signe 9 abrégeant le commencement du mot
parait assez tard sur les sceaux. Nous le remarquons pour la pre-
mière fois dans la légende de la ville de Ham, en 1228, 9GflvniE
HA026RSIS, communie Hamensis. Le prieuré de Saint-Christophe-
en-Halate, en 1260, offre le mot convetitus ainsi écrit : 9V8NT.
Au contre-sceau de Jean de Sours, en 1260, on lit 9 SIG, pour
contra sigillum. L'abréviation 9 figure deux fois sur le sceau du
gardien des Franciscains de Condom, en 1266 : S' GARDIÂI
9VeT FRÔ) 0)INOff S' F ly 9D0M , sigillum gardiani conventus fra--
ti^umminorum sancti Franciscide Condmnio. Cette abréviation initiale,
encore rare au xni*' siècle, devient plus fréquente aux siècles sui-
vants. L'usage de la terminaison 9, us, date de bien plus loin. On
la trouve, dès 1 o35 , au sceau de Henri I*', roi de France, I£IHRIC9,
Heinricns; de Philippe I^', en 1068, PHILIP9, Philipus; d'Achard,
évêque d'Avranches, en 1161-1171, HCHIRD9, Achardus. Nous
n'avons rencontré que fort rarement l'abréviation 9, signifiant con,
au milieu du mot VI9TG , viconte. De même nous ne connaissons
que peu d'exemples de la terminaison us exprimée par une sorte
de 5; il s'en trouve un dans la légende d'Agnès, femme de Jean de
Bois-Jérôme, en 1280, au mot DOMIB?, domibus.
Divers signes remplacent la conjonction et. Nous signalerons
d'abord le plus ancien. 11 figure sur le sceau d'Arthur I*^, duc de
Bretagne, en 1199. Sa forme est celle du chiffre 7, ou plutôt
_^^( 19 )^ —
dunZ dont on aurait retranché la barre horizontale inférieure : 7.
En 121Q, dans la légende de Pierre, fils de Robert II, comte de
Dreux, la môme conjonction est représentée par le signe '?; c'est
le précédent à angles arrondis. Au xiv* siècle, le sigle majuscule
et consiste en une sorte de "C, comme dans le type de Philippe de
Valois et d'Anjou en iSig, ou bien en un Z coupé par une tra-
verse horizontale Z, que Ton rencontre dans le type delphinal de
Charles V, en 1 376. Dans la minuscule gothique, il présente tantôt
la figure d'un / écrit et orné à )a façon gothique %, comme au sceau
de Jean, duc de Berry, en 1879; tantôt il rappelle la forme ma-
juscule précédente z, comme au sceau de Louis II, duc de Bour-
bon, en iBgi!!. Il sert de plus, en le faisant suivre d'un c, à figurer
les et cetera, 'w, dont le sceau de René d'Anjou, en i/i36, offre
un exemple. La majuscule de la Renaissance emploie également la
figure Z pour exprimer et ou et,cèleta. Le type de majesté de Maxi-
milien, en i5i3, en fournit des spécimens.
Un signe particulier a remplacé quelquefois la conjonction que.
Au xiv*^ siècle, on a employé la minuscule q liée à une sorte de
signe dérivé du point et virgule, 9. Le sceau de Jean, dauphin de
Viennois, en i3io, permet de s'en assurer. La minuscule gothique
a suivi les mêmes errements. La légende de Charles d'Orléans et
de Valois, en i/i66, reproduit ainsi le mot qtœ, ^. La capitale de
la Renaissance le représente encore formé des mêmes éléments,
0, comme on peut le voir sur le sceau de Louis, duc d'Orléans,
de Milan et de Valois, en 1 485.
Nous donnerons quelques exemples de l'emploi des signes abré-
viatifs, selon qu'ils marquent une lettre placée au commencement
ou dans le corps du mot. Nous ne dirons rien de ceux qui se
trouvent à la fin, le sens venant en aide au lecteur. Pour ceux-ci,
comme pour les exceptions, nous renvoyons à la liste des mots
abrégés placée à la fin de la présente introduction. Il est bien en-
tendu que nous n'avons pas la prétention d'établir des règles; nous
ne consignons ici que nos propres observations.
9 .
— ►>( iO )<*—
Faisons remarquer, avant d'aborder les détails, qu'en sigillogra-
phie la plupart des signes abréviatifs nont pas une attribution
spéciale à chacun d'eux. Leur effet est surtout général, quelles que
soient leur figure et leur place. Différentes abréviations peuvent
répondre à une même syllabe ou à un même mot, et la même
abréviation peut s'appliquer à des syllabes on à des mots différents.
Ainsi pef* s'écrit indifféremment P, *, F. Pour signifier par, tout
aussi bien que j:el, per et prOy on emploie le -9 à la queue barrée;
il sort même bien souvent dans episœpiiSy qu'on écrit
Â, au commencement et dans le corps du mol, exprime mn, an :
ABIAÎÎ, Ambûinensis; ÂDOG*, Andegavensis; GÂPAH, Campanie;
FRfiGOff , Francorum; et, par inversion, ma, na : ROÂHOR, Rama-
nonim; SHOÂGI;!, monachi.
B, B^, B, au commencement du mot, her, bru : BRRART, Ber*
vart; B^6*8N, Bcrgemis; BXBLQnsIS, Bruxelensis; dans le corps
du mot, ber : HVB^I, Auberli; par inversion, bre : OBOIQT,
Obrecicort. Il redouble quelquefois seulement la lettre : HBHTIS,
abbaiis.
G, G% au commencement, ce^ cœi, a^a : QVR'L&RS.cevalers; GT6,
conte; GMBH, CratneUis; au milieu, cei% cre^ cri^ cum : SAG'DOS,
aacerdoH; SBGTV, secretum; SQB8NTIS, scribentis; L0QT8H, locum^
tenentis.
D, ly, au commencement, de, do : ryGHNI, decani; DSRIORVSÏl,
dominorum; au milieu, de, der, din, dre : RiyQVBSlS^ Andecavensis;
D8SIDII, Desiderii; ORiyiS, ordinis; FLADS, Flandres. Il redouble la
lettre dans RViyeRG, ruddere,
6, G', au commencement, en : â6*0E, Engolismensts ; au mi-
lieu, eniy en, er, ère, es : S8JP, semper; BBRëG'ARII, Bei^engarii;
FLAMëMO.. Flamennoni; I)§DIS, heirdis; PRQBITeRI, presbileri;
par inversion, ne: CICIO, Cincio.
F, au commencement, ^r,/r<? ou/n ; FRARIA, F(p;ranVi ; FDIOI ,
Frederici,
&, 6", au commencement, gen, ger, gra : &eR.JlLIS, generalin;
6*MAIII, Germant; S'Oe, gracie; au milieu, ger^ gist, gn, gra :
GKVGia y Gaugerici; 0)RG'R , magister; MRGO , magno; NIG'GVRTG ,
Nigraciirte.
iÇ, au commencement, hen^ her^ hu : f^Rldl, Henrici; IJBTI,
Herberti; IJC, HugotUs; au milieu, ^, Aa», A«, her : CI^NNI, Channi;
lOf^lS , Johannis ; MRTffl y Mathei; TiJSHVRII, thesaurarii; GfyJRDl,
Gherardù
ï, au commencement et au milieu, wi, et surtout in : SïPijO-
RIARVS, Simphorianus ; ÏSVLH, Imuîa; OimtÏPRG, Cantinpre;
*vT0IG, Provincie; et, par inversion, mi, ni : GOÎTIS, comitis; OH-
QOTCI, canonici. On rencontre aussi eri, ri : BVXÎil, Buxeria; DOG-
TOIS, doctoris.
R% au commencement, ka, her : R'ROLI, Karoli; R'GOVe,
Kercave; au milieu, ker : DVRR'RG, Dunkerke.
. L, E, au commencement, fe, les : EGT, lector; EPIGIORG, lEs-
piciere; au milieu, fe, 1er, les, los : GETI, elecli; GEIGI, clerici;
GGGEIG, ecclesie; Ti)OEA, Tholosa; par inversion, il, ul : MEITIS,
nUlilis; GAPITEI, capituli. Redoublelnent : VAEIS, Vallis.
i£, au milieu, lia, llan, llar, lie, Ihl ou lier, llis: VU^GQllJRT,
Villagenart; GABGidE:!, Cambellani; RICGtEn, Nigellensis; "^ItE-
MVS, Wilklmus ou Willermvs; TOtES, tollin; par inversion, ell,
m : Mmahn, MarœlU; ^fcE, Willelmus.
M, M% au commencement, ma, mar, mel ou mer : MGR, magis-
ter; HTINI, Martini; M'LOTO, Melloto ou Merloto; au milieu, man^
mar, men, mer, mur : HORMDIG, Normandie; IHRGSRT, Jakemari;
RGMSIS, Remensis; TGMM'MAO, Temmerman; NAMGI, Namurci.
Redoublement: GBÎÏQ, gemme.
N, IF, au commencement, nos : HUI, nostri; au milieu, neti,
no : LRVDVHSIS, Laudunensis; i^OOGOVRTG, Honocourte; et aussi
ener, ran : GHRLLS, generalis; GÛQ% Grancia. Redoublement : VH-
RGRGS, Varennes,
Ô. Nous ne connaissons pas d'o marqué d'un signe abrévîalif
i 22 >
au commencement d'un mot. Au milieu, om, omi^ on, ou : PÔPOHB ,
Pompone; DÔHI, domint; CÔSVLV, consulum; CÔD, Coudun; par in-
version, ioy no: MISGRATÔB, miseratione; MIÔR, minorum.
P, F, *, au commencement, pavy pe, per, pr, pra^ pre, près y
priy pro : pltUS^ Parisiensts; ^ROItA, Perona; ptfa, periti; PIORIS,
primais; P^IS, pratis; PPOI, prepositi; PBRI, preshiteri; PMOG'GITI,
primogentti; *P8, prope; au milieu, par^ pel, per^ pro : P6LLIMI,
pelliparii; QA-VLO, capelle; iUPTOS, apertos; LB^PSCR, leprosorum.
On le trouve employé comme lettre grecque P dans XPS, Chris--
tus; XPIANI, Christiani.
cL, eu, (X, au commencement, que, qui, quo : cLviLLI, Que-
villi; (UT8RI, Quiteri; qLhdaM, quondam; au milieu, qua, que,
qui : SeOfAM, Sequanam; PesaxOOVe, Pesqueloque; 6*AVCLljNI,
Gauquelini; QSQJQ^ , esquier.
R, ff, R% au commencement, re : R'niGR, Renier; R6*IS, ré-
gis; au milieu, ra, re, ron : FBTTKIS , fratris ; SGORTV, secretum;
l)AIKVAL, Haironval; par inversion, er : Tl^eODRIQI, Theoderici.
Redoublement : TGRH, terra.
S', S, au commencement, san, ser : SGe, sancte; S^VV, servum;
S^G'GR, sergent; au milieu, ser : MIS'HTOG, miseratione. Redouble-
ment : RASG, Rosse.
f, Wj T, au commencement, tar, ter, tra, tre, tri, tur : TDIF,
Tardif; TVRU, Tervanensis; TSI6*RIGS, Trasignies; TOOT, Trecensis;
TNlf, Trinitatis; TRG, Turre; au milieu, tar, ter, tra, tre, tri, tro,
tur, turc : HGOfl, Nectari; LIGTHRV, Licterarum; STTIS, stratis;
BGTMIGV, Relremieu; VTVSa, utriusque; PGTUIE, Petronille; Gfi-
TGH, Caturcensis.
V, V, V% au commencement, un, ver, vi, vir : VIVSITHTIS,
universitatis ; VVIR, Vervin; V'DVG, vidue; ÛGISLTO, virgulto; au
milieu, um, un, uo, ver, vetji : OOLVBN, Columbensis; BRVVILGR,
Rrunviler; OJSD, quod; Rivn, Nivemensis; ALVIH, Alvemia.
yi7', au commencement, willel, tvir : '^'MVS, Willelmus; '^'TON,
Wirton.
X, au commenceiueiit, eniployé comme lettre grecque dans XPE
et XANI, Chrisie et Christiani.
y et Z n'ont pas, croyons-nous, reçu de signes abréviatifs.
DISPOSITION MATÉRIELLE DES LÉGENDES.
Les légendes suivent d'ordinaire le contour extérieur du sceau.
Elles sont par conséquent, selon la forme des types, circulaires,
ogivales, ovalaires, triangulaires, carrées, en losange, polygonales,
festonnées, etc. En général, elles occupent une seule ligne. Lorsque
cette seule ligne est insuffisante, elles envahissent le champ. On
en rencontre même sur deux lignes, principalement dans les types
circulaires.
11 est, croyons- nous, inutile de montrer des spécimens de lé-
gendes simples contenues dans la bordure du sceau; mais nous
dirons quelques mots de celles qui, n'ayant pu trouver une place
suffisante sur le contour du type, finissent dans le champ, et par-
fois même, ce qui est plus rare, y commencent. Sur le sceau aux
causes de l'abbaye de Marchiennes, en i3ii, l'inscription finit
dans le champ par quatre lignes horizontales :
AD
CH
sv
AS
Ad causas,
La légende de Raoul, fils de Barthélémy Le Bret, en 1227, se
termine dans le champ en trois lignes :
mei
Le BR
eT
[Bartholo]m€i Le Bret.
Dans le type du chapitre de Saint-Pierre d'Anderlecht, en 1 i gB,
la (in de la légende se Irouve transportée sur une banderole que
tient le saint patron. On lit autour du sceau : SICILVM ahdaR-
LECTEHSIS 6ai!E BEATI , sigtllum Andarlectenti» ecckste beati, et
sur la banderole : PCTRI, Pétri.
Un exemple de légende commençant dans le champ se voit au
deuxième contre-sceau de l'officialité de Meaux, en ia56. Au mi-
lieu est écrit OVRIA, euria, et autour MELDOItSIS, Meldentis. Le
même fait, mais plus curieux, se présente dans le type de Gamier,
doyen de Sarcelles, en 1319. Le nom du doyen est ainsi gravé
en monogramme dans le champ : jr^f Gamerim; la suite de
l'inscription , D6CAnvs • 'OQ • ceRCELLA, decanus de Cercella, oc-
cupe la place habituelle sur le contour du sceau.
Un monogramme se trouve également dans le champ, au sceau
d'Hervé de Montmorency, doyen de Notre-Dame de Paris, en 1192:
seulement, ici , il est indépendant de la légende. Le type oITre cette
particularité que l'inscription, en ogive comme le sceau, s'inter-
rompt à sa moitié après le mot Ilervei, continue dans un cercle qui
renferme le monogramme et reprend ensuite la seconde moitié de
l'ogive, où elle finit. En voici la disposition :
Au centre, I« monogramme : Hervens. A drailu, le commence-
25 )^4—
ment de ]a légende : sigtllum Hervei. La suite, dans l'inscription
circulaire qui entoure le monogramme : de Monte Morentiaco. A
gauche, sa fin : Parisiensis decani.
Le sceau du chapitre de Notre-Dame de Paris, en 1216, offre
au centre un autre monogramme au nom de Marie :
Ave Mariay et porte sur son contour la date de son re-
nouvellement.
Uinscription complète de la légende proprement dite à sa place
ordinaire n^exclut donc pas la présence d'autres textes dans le
champ. Il n'est pas rare, en effet, d'y rencontrer des caractères
tantôt symboliques, comme A et (0, alpha et omégay tantôt dé-
signant le personnage figuré. Les lettres grecques A et (0 accostent
la Vierge, dans le type du chapitre d'Evreux, au xu* siècle; elles
accostent une fleur de lys, au contre-sceau de Geoffroi de Tressi;
évoque de Meaux, en 1909. En ii5i-ii6i, l'image de l'évêque
d'Auxerre, Alain, est accompagnée des lettres AL A RVS, composant
son nom, Alanus. De même, aux côtés de la figure de Guillaume,
évêque d'Avranches, en 1198-1210, on lit : PT OE, PtoUmms,
son surnom. Dans le type de l'abbaye de Cysoing, le saint patron
est accosté des mots ^ GALIXTVS , sanctus Calixtus.
Des inscriptions dans le champ reproduisent encore des textes
liturgiques, une maxime, une sentence que s'est appropriée le pos-
sesseur, ou même sa devise. C'est ainsi que dans le type de Jean,
abbé de Saint-Augustin de Térouane, en i38i, on remarque sur
les genoux deTévèque d'Hippone, une inscription portant SVRSVJR
aORBfl IdUGIRVS . . . , sursum carda habemus . . . , et l'abbé tient
une banderole avec ces mots : RG6G 0RG6GIII TWiH, re^egregem
tuum.
L'invocation Dfl PflllG DOnG, da pacem^ Domine^ se lit dans
le champ au sceau de Nicaise Cuvelier, procureur d'Artois au bail-
liage de Saint-Omer, en 1 365. La bannière de Jean de Ligne, sire
de Bailleul et chambellan du roi, en 1/106, porte sa devise : faite
le bog, Faire le doy.
— «< 26 >
D'autres sceaux désignent le monument ou l'objet figurés. En
effet, au type de Tofficialité de Soissons, en iâ/i3, le mot Suemo^
en deux lignes, se trouve gravé sous le monument représenté:
sves
sio
Au bas du sceau du chapitre de Cantorbéry, on remarque l'in-
scription, mûri metropolis tsti. Le bras du martyr, reproduit sur le
sceau du chapitre de Saint-Mammès de Langres, est accosté de ces
mots : brachium beati Mammetis.
Certaines inscriptions dans le champ expliquent l'action qui
s'y passe. Le sceau de Conon de Béthune, en 1202, représente un
hommage et porte le mot MERCI, merci. Le mot IVRA, /wra, se
lit au-dessus d'un personnage qui fait prêter un serment, dans le
type de l'officialité de Cahors, en 1209.
Quelques-unes énoncent la date de la fabrication du sceau,
comme dans le type du chapitre de Notre-Dame de Paris, où la
date 1222 est ainsi désignée :
XXIP
Le chapitre de Saint-Outrille de Bourges, en 1286, représente
le saint accosté de fi ly lï OrQ — X'X IX, anno Domini laap, sur
deux ligues verticales.
Nous avons dit qu'il existait des légendes doubles, surtout dans
les types circulaires. Les inscriptions concentriques ont été em-
ployées lorsqu'une ligne ne pouvait renfermer le nom, les titres
et les qualités du personnage, comme c'est le cas, par exemple,
sur les grands sceaux de Philippe le Bon, de Charles le Téméraire
et de sa fille Marie. D'autres fois, dans ces sortes de légendes, une
ligne est consacrée au nom et à la qualité du possesseur, tandis
que l'autre contient une sentence pieuse, une invocation. Au sceau
ogival de Pierre de Colmieu, prévôt du chapitre de Saint-Omer,
en 1 236 , on iit à la ligne extérieure : nothh fac Hici^l DOMiHe
VIA m (XV AM HMBVLQH, ttotam foc michi. Domine, viam in quam
ambulem, et à ]a ligne intérieure : S' PSTRl DS COtt: ICO PRS-
POÏ s» fiVDOM, sigiïlum Pétri de Colbmedio, p^eposili Sancli Audo-
mari. Il est des cas spéciaux où l'une des deux lignes traduit en un
autre idiome la ligne qu'elle accompagne. Le type de Philippe, fils
de Baudouin, empereur de Constantinople, porte deux légendes
concentriques. L'extérieure est en langue latine; l'intérieure, en
grec, donne la traduction de l'inscription latine :
& PI)IL'iÎ>I fil imPORA f^eRSDIS I«II
Sigilhim PhU^pi,JUii imperatûrU heredii imperît.
C«P' «IL nOP*VR
Sl^pvyit 9tXhnov Uop^poyswïjrov
On rencontre certains sceaux portant leur légende entière écrite
dans le champ en lignes horizontales. Ces inscriptions transversales
se remarquent sur les bulles papales. Le revers du type ogival de
Hugues II, archevêque d'Arles, en iai6, présente une légende
ainsi figurée :
SigiUum tnncli Trophîmi, Ihpsu Chritti discipuli.
— «< 28 ).
Des inscriptions verticales se voient aux bulles des papes dans
les mots
S et S
P P
e R
T V
Sanctiii Petruê. SancUu Paubu.
Dans le type du chapitre de Saint-Mammès de Langres, en
i3o7, le bras du martyr est encore accosté d'une inscription ver-
ticale, mais les lettres sont posées dans le sens transversal, et les
deux côtés de Tinscription se font vis-à-vis :
OBI
(A
Braehium beau Manunetis.
Citons encore, comme une exception des plus rares, une légende
gravée sur la tranche d'un sceau. Le fragment du type de saint
Thomas de Gantorbéry, en i s63, conservé aux Archives nationales^
porte sur la tranche une inscription dont il ne subsiste malheureu-
sement que les lettres ORA répétées deux fois.
Il nous reste à mentionner, en terminant, une disposition des
légendes toute particulière. Nous voulons parler des inscriptions
placées sur un ruban ou phylactère enroulé à ses extrémités, et
qui suit dabord assez régulièrement le contour du sceau; mais, à
mesure qu'on avance dans le xvi^ siècle, l'espèce de banderole qui
porte les caractères se mouvementé, se replie sur elle-même, dé-
crivant des festons, des guirlandes tordues, les circuits les plus ca-
pricieux. On conçoit les difficultés de lecture qui en résultent.
Lorsque nous avons traité de la ponctuation, l'endroit oii com-
mence la légende a été déterminé. Son point de départ se trouve
à la partie supérieure du sceau. Il en est généralement ainsi, sauf
quelques exceptions, que nous ne devons point passer sous silence.
— M< 29 )*.—
Dans te lype deTliierri 111, en 688-691, la légende comoiencé en
bas. Il en est de même au sceau de Charles le Simple, en 931.
Cette irrégularité, que l'on remarque de loin en loin à toutes les
époques, devient plus fréquente à la Renaissance. Les sceaui de
Jean l'Enlailleur, abbé d'Anchin, en i566, d'Arnoul Gantois, abbé
de Marchiennes, en i565, présentent des inscriptions débutant
à la partie inférieure. Pour les légendes à circuits accidentés, il
n'existe pas de rè^e Bxe ; le point de départ est même quelquefois
dîRicile à découvrir.
La lecture doit donc en général commencer par la partie supé-
rieure à droite, en suivant le contour, pour se terminer à la partie
supérieure gauche. Les lettres ayant leur base dirigée en dedans,
vers le centre du sceau , la légende offre la même direction que les
lignes d'un livre.
C'est par un accident des plus rares qu'une légende se trouve
disposée pour être lue extérieurement. Les lettres ont alors leur
sommet dirigé vers le champ du sceau, comme dans le type du
chapitre de Saint-André d'Avranches, en 1 1 63.
* 216'ILLVM : ABRINCEHSIS : iECt£ffi
Sigillum Abrinrenilê wcfhs'tp.
< 30 ).
D'autres irrégularités sont à signaler dans les inscriptions des
sceaux, irrégularités dues au caprice ou plutôt à l'imprévoyance
du graveur. La plus ordinaire consiste dans des lettres tournées
à gauche, comme a, dans 2I6*ILLVM, sigillum, au sceau de Simon
de Montfort, en 1 1 gS , et dans MAi^IVS , Mahms, au sceau de Mahieu
de Buires, en 1220. Ce n'est pas la première fois qu'on rencontre
des S tournés en sens contraire. Les types des rois mérovingiens,
Dagobert, Childéric, Childebert, en offrent des exemples dans leurs
légendes. Les n onciales dans msVLSI, Inmlemts^ et PEROœsi,
Peronensis, au type de Jean, châtelain de Lille et de Péronne, en
1287, présentent une anomalie semblable. Quelquefois la même
irrégularité atteint la légende entière. Sur le sceau de Jean d'Acy,
en 19 23, Tinscription porte . . .KG • 2BNNA0I • MVJ. . ., qui doit
se lire ...LVM • 10 Aimes DR.., sigillum Johannes d'Aci. . . Le
graveur a écrit sur la matrice la légende telle qu'elle doit être
lue, de sorte que sur la cire elle se trouve reproduite en sens con-
traire.
Il peut arriver encore que, par l'incurie du graveur, la légende
soit figurée de droite à gauche, sans que les lettres suivent toutes
la même direction, comme au sceau de Nicolas de Champagnes,
en 1269, ..INAPAD : 880 : ALLOQIN : ff, qu'il faut lire : S^
NIQOLLA : DOS : QAPANI . . , scel Nicolla des Campantes. Les lettres
G, LL, G, P ne participent pas à la disposition générale.
Parfois c'est un mot entier dont les caractères sont intervertis de
telle sorte que la lettre qui devrait être la dernière devient la pre-
mière, l'avant-dernière la seconde, et ainsi de suite jusqu'à la der-
nière place : IPX figure pour XPI, Christi, dans le type du chapitre
de Saint-Quentin, en 1 178.
On remarque aussi quelques lettres couchées, surtout des S. Au
revers du type de Raimond Roger, comte de Foix, en 121 5, trois
S sont ainsi figurés co. , , . Q09:ilTl<^ : FVXCoQn<^ . , , . . . comilis
Ftuvsensis. En 1261, sur le sceau d'un clerc du Languedoc, nommé
Raimond Capellier, on lit : «^ (JlRGl<^'BRl. , . sigilhim magislrt. , .
— rt< 31 )<^ —
Un Z couché, n» se voit au sceau de Jean de Baizi, au xiv^ siècle,
Certaines légendes présentent encore des lettres gravées la tôte
en bas, soit isolées, soit constituant un mot et quelquefois la lé-
gende entière. Le sceau de Renaud de la Baste, chevalier, offre,
en 1 2 /i 3 , un M ainsi retourné H : S^ ROG^IRALDI • De • HBRROLes ,
sigillum Reginaldi de Merroles. Dans le type de Ghilpéric II, en 7 1 6 ,
le mot Francorum est écrit bK VHS, pour FRANE. Sur le sceau de
Gui le Forestier, après 1 i5o, le graveur a retourné toutes les let-
tres de la légende : SHTQ) &ALOOHIS IsOH6SJL¥Hn , pour SILLO)
CVI'DOHIS FOReSTRKll, sigillum Guidonis Forestarii. Cette inscrip-
tion parait en effet sens dessus dessous; les têtes des lettres re-
gardent l'intérieur du type , contrairement à leur disposition habi-
tuelle. Elle se compose simplement de caractères tournés à gauche,
si on la lit en deliors en commençant par la droite.
LANGUE DES LÉGENDES.
11 n'est pas indifférent pour le lecteur de connaître l'idiome em-
ployé dans une légende. C'est à ce titre que nous dirons quelques
mots de la langue à laquelle appartiennent les inscriptions des
sceaux, bien qu'un tel sujet n'entre pas d'ordinaire dans le cadre
d'une paléographie.
L'emploi du latin a été le plus ancien et est demeuré le plus fré-
quent; la langue latine n'a jamais cessé d'ôtre en usage.
Des légendes en langue vulgaire se rencontrent dès tsio. Au
contre-sceau de Blanche de Navarre, femme de Thibaud III, comte
de Champagne, on lit à cette date : PASSAVAHT LQ MGILLOR,
Passavant le meillor. En 1218, Grégoire, chanoine de Paris, fait
graver sur son sceau : OISGHV VH Jïll il MON AMI, oiseau va mi
à mon ami. L'inscription du sceau de Thibaud du Déluge, cheva-
lier, en 19.37 porl^® ..IBHVT DOV DGLOVCG, . .ibaut dou De-*
longe. A la date de 1 289, la légende de Philippe, femme de Hugues
d'Antoing, s'exprime ainsi : S^ Pi^eLIPe De i)HIHes DAMe DAH-
TOTc, seel PheUpe de Haines, dame d'Antoing. Nous rappellerons que,
dès lâoâ, le mot français MERGI, merciy figure en exergue dans
lé type de Conon de Béthune, frère de l'avoué d'Arras. Ajoutons,
toutefois, que la légende circulaire de ce type appartient à la forme
latine.
Le passage du latm à la langue vulgaire ne s'est pas opéré brus-
quement, sans transition. On voit apparaître des légendes mixtes,
latines-françaises, vers la fin du règne de Louis le Jeune. En 1 177,
nous lisons sur le sceau d'Adam de Walincourt : SI6*ILLVM ADE
DE VALLEHCVRT, sigillum Ade de Wallencurt; en 1179, sur le
sceau d'Eudes de Ham : SI6*IU: 'DOMIHI O'DOHIS D6 HAO>, si-
gillum domini Odonis de Ham; et ainsi de suite, en 1 1 80 : fir i>eD6Ve
D6 ODOHCI , sigillum Hedeve de Monci; en 1181 : SIG'ILLVO) '^AL-
TGRO dE B0ZI6S, sigillum Waltero de Bozies. Il serait facile de
multiplier les citations. Nous ferons seulement remarquer que c'est
le nom de la seigneurie, le nom géographique du fief, que les lé-
gendes ont commencé de désigner en langue vulgaire.
Les prénoms en français ne se rencontrent que plus tard, comme
par exemple au sceau de Guillaume de Cayeux, sire de Garency,
en 1 s 26, sur lequel on lit : SI6*Ii:£:M 6*VILLEVME DE CAVES,
sigillum Guilleume de Caues.
Au delà des Pyrénées, les seigneurs emploient souvent des lé-*
gendes en langue vulgaire. Duns le type d'un alcade de Tolède,
en 13/17, l'inscription porte, en suivant le contour festonné du
sceau : SGLLO DG DIG60 ARGLA DG TOLGDO , sello de Diego Arela
de Toledo. Au sceau de don Alvarez de Luna, en i/i35, on lit : sella
îre bon abat be luna conbeClaHe be caCltlla conît t^ Tant efiettatt,
sello de don Alvar de Luna, œndestable de Castilky conde de Sant Este^
van. La légende espagnole de Rodrigo Diaz de los Ganberos, en
1223-12 96, commence par le mot latin sigillum : SIOTLLVfïl BO-
0816*0 DIA? De LOS CANBGROS.
Une inscription dans un vieux dialecte allemand se voit au sceau
33 >^
des boulangers de Cologne, en 1396 : segel fn hechtt i;o colen,
S^el der Bechr izo Colen. D'autres types, appartenant à des sei-
gneurs lorrains 5 tels que Gérard d'Esche, Henri et Jacques de Fe-
nestrange, en 1 /ia5, offrent des légendes en allemand. Sur le sceau
d'Ulric, seigneur de Fenestrange, en i363, l'inscription en alle-
mand présente à son commencement le mot latin sxgillum.
Il n'est pas rare de rencontrer, dans les types du nord de la
France ou des Pays-Bas, des inscriptions en flamand. Le sceau des
ceinturiers de Bruges, en 1/107, P^^^^ - * BITS : Die • ZGGbflfi •
VA • D6R • BIGH flllGR • VA • BR^0b , Dits die zeghel van der rie-
maker van Brughe.
Deux bulles de Baudouin, empereur de Gonstantinople, portent
à leur revers, en 12 67 et 1268, l'inscription grecque :
Sur le sceau de Philippe, Gis de ce même empereur, on trouve,
à la date de 1263, deux légendes concentriques, l'extérieure
en latin, l'intérieure en langue grecque, traduisant la légende
latine.
Nous ne connaissons qu'une seule légende hébraïque inscrite sur
un sceau appendu à un acte. Elle figure au bas d'une pierre byzan-
tine gravée dont se servait le prieur de la Charité-sur-Loire, en
1270, et se traduit par Imniânoû-êly travée nous DieuD. M. de
Longpérier et, tout récemment, M. Saige ont publié plusieurs
inscriptions juives. Toutes sont empruntées à des matrices de sceaux
conservées dans différents musées ou chez des collectionneurs.
On peut voir aux Archives nationales le cachet du sultan Mus-
tapha m, en 1762; c'est un chiffre en caractères arabes entre-
lacés.
Des réparations exécutées à la cathédrale de Séez , il y a quel-
ques années, ont amené la découverte d'une matrice de sceau ayant
3
34
appartenu à l'un des patriarches d'Arménie du nom de Constantin.
Sa légende est écrite dans la langue du pays.
Nous arrêtons ici cette énumération. Est-ce à dire qu'il n'existe
pas d'inscriptions en d'autres idiomes? Nous ne parlons que des
monuments qui nous sont passés sous les yeux.
LISTE ALPHABÉTIQUE DES MOTS ABRÉGÉS.
A, Ade, Ayhnn, Andrée, Amaldi, Ay-
monté,
ABATISSQ, abbadêse.
RBW, ABB, àbhà, àhhàis, ab-
BAT, àhbàl\ iBBATÔ, ABBA-
TISS, ABB'G, ABBl, abbatts, ah-
baUsse.
ABBÎe, abbatie.
ABBIS, ABBIS, àhbXB, abbatis.
ABBlSSe, ABBTsSQ, abbatisse.
ABBISVItE, ABBISVILLG, Abba-
tUvilla, Abbatismlle.
ABB^S, abbas.
ABBTIS , abbit5 , abbatis.
RBBVlhE, ABB^ILLA, Abbatis-
viUa.
ABOVIid:, Abevilie.
ABIAii, ÂBIAIPS, AmbianensU,
ABIS, oitott.
ÂBOai>T, amboekte.
ABRIR, ABRINC, ABRINGBN,
ARniGeHGi , ABRinaens',
Abrineensis.
ABSÊTIA, absentia.
abhS, abbatis,
ÂBVLÔ , ambulem,
AQAD, académie,
ÂGI> A6*£I , archangeU.
ac](feol, AcheoU.
AGI^ID', archidiaeoni.
àCf/VXy Anchin,
àCtpiltàXt, Acqmtame,
AD A, Adam.
ADBGATeSIS, Afideem>enns.
ÂDG6*, And^avénsis.
ADMI, ADMINISTRAT, administra-
toris.
ADMORIAE, admomaUum.
ADRIÂ, Adriaen.
RDRie^Andrie.
ADVOG, ADVOGAT, aA>oeati.
AO, Aleaume.
ŒCEEAS, ffiGGEIQ, iEGEE, aeek-
tiw, œcchêie.
AOE, AeUdis.
A6* ATI> , Agathe.
A6*AT^H, AgaAensû.
ÂCBLIAGBR, AngeUacenêis.
'Kt»( 35 )•%*•
RGQÏt^ , Agennensis.
Â6*IHQI, Angiaci.
àfgltltB, Angietes.
RGElRQÏi, AngeUacensis.
ÂG^LICRNE, Anglicane.
RGW, Agnetiê,
RGRBMd , Agremont,
RGS, Augustus.
RE, Alluye.
RLff, Alberii.
ALBAR, ALBANeti, Alhanensis.
ALBION, AWiensis.
ALBIN, AUiniaco.
ALBOmOTB, Albamonte,
RhBOÛ, AlbonensU.
H^BÔnOCO, Albomoco.
ALBTI, ALB'CI, ALBTI, Alberti.
ALGi^, ALGI^IAOeir, Alchiaeensis,
JLDBT^, Aldebertus.
ALDeCI>Oir, Aïdeghonde,
ALOGON, ALONG, Alenconii,
ALÔiSOR, Alentan.
âlcXâitn, Alexandri.
AL6*, Algie.
àhxiitn, AUxandri.
BLORBl, Almariei.
RECni.Alermi.
ALN', ALNBt, Alneto.
ALR, AbiensU.
allUtêtl, Alnetentis.
H.SAG, Alsade.
AL%, ALTISIODOB?, Altissiodoren-
ds.
ALTIVIL, AbimUaris.
ALVIA, Abemia.
ALVnie, Aherme.
àVXi Amiens.
ASnÂDO, Amando.
RMRVBI , Amaurici.
AMB', amib, AMBIA', AMBI AS-
SIS, AMBiAn, ambtan, aoo-
BIANe, AODBIANON, ambtft-
nen, AMBIANSIS, AmUanis, Am-
bianensis.
AMBOSI, Amberoêi.
AMBE, Ameline.
àVXXiB , A jnS' , a miens.
ANATO , Anatolii.
ANiy, Andrée.
fflDBGBYAR?, Andeceyarum.
ANDB&, aubêff, ANDBG^AVBR,
ANDB6*A VOB? , ANDG^A/^IS ,
Andegavensis , Andegavorwn, Andega-
ms.
ANDIG", Andigavensis.
ANiyLIAGV, Andeliacwn.
ANDB?, Andrieu.
ANFRBVItE, Anfrevilla.
ANCBE, Angélus.
AR6*BLIAGBN , Angeliacensis.
AN6*E, attgr, AN6*LE, Anglie.
RHGEl^Angeli.
attglotÛ, Anghrum.
ANIGIBN, Aniciensis.
ANIS, Anisiensis.
AfNBVIE, Anneville.
liÛ0, anno.
ANTHÔE, Anthoine.
ANTOÎC, Antoing.
ANTON , Antonius.
ANTVBRP, Anlvcerpiensis.
APAODIB, Apamiensis.
:\.
+#^ 3G )•€*-
HPQI, apostolici.
HPiy, apud.
APEI , apastoli.
APLiae, aprtCe, apostoUce,
APLIOI, apostolici.
HP£ORV, apostolorum.
APPAMien', Appamiensis.
AJRTOS, apertos.
A9i aquis,
Aa^neiO, Aquineio.
AOLM, aquam.
AavëSIS, Aquensis.
AaVIOINaTeH, Aquidnaensis,
AaviT, ftqmtati, AaviTAHOR?,
Aquitanorum.
RBI^ arehidiaconi.
ARAC, Aragonie.
ARB , Arbert.
ARBAZiëS, Arbaziensis,
ARG, ARQi^, atcl^\ archidiaconi.
RKOH.archidux.
ARGI>I, ARai)Iiy, arehidiaconi.
fttCytu y arehiducis, archiducisse,
ARai)IDI, ARGI>IDIA, ARQI7I-
DIAQ» ARGI>IDIAO^, ARQI)I-
DIAOO, AROI)IDIAQOI, atcl^t-
btâCÔt, archidiaconi»
ARai>IDIAQ0H9, arckidiaconus.
ARQHIDVC, archiducis.
ARCHIDVOV, arcl^tblUrfi, archidvr
eum.
JRQI^ieP, ARGI>iePG, ARCHie-
pT, arcH^t, ARGHiepis', ar-
GI>iePISGP, ARGI>iePS, ar-
chiepiscopi, archiqnscopus,
ARGI7IPBI, ARGI>IPBRI, ARGI7I-
PReSBB^I, ARGI>IPSBITeRI«
archipresbiteri.
ARGILE, archangelus.
ARD , Arduini.
ARBLAT, ARBLATeN, ARB-
LATBSIS , ARBLA^R , Arelaten-
sis,
ARBRTIBR, ArenUires.
AREP, archiepiscopi,
ARB VBLS , Arenvels.
AR6*, Argentoni.
ARG'BGIIS, ArgencHs.
ARGUENT, argenlm, Argentinmms.
WgHl^atl, Argenikan.
ARIBR , Ariemis.
ARIBPI , archiepiscopi.
RKIBSIS , Ariensis,
ARIBT, Arjenton.
HILON , Arlonis.
ARIR, Armaniaci.
ARMÂDI, Armandi.
ARM6*R, /RMI6', ARMIOT, AR-
MI6*RI , armigeri.
ARHEI, ARRVLP, ARnVLPiJ, Ar-
nulphi.
ARPIS, archiepiscopus,
ARQIRII, Arquerii.
RKTf) , Artcke.
arïl&es' , AnhesH.
ARCIS^, Artisien.
ARTVR9, Arturus.
AR VeRHQÇ , Arvermrum.
iRVniB, Arvernie.
AS AIE, Ansaviler.
ASTBN, asfen, Astensis.
atbti, AUrebatensis.
►«-©•( 37 )•«-»-
HTiJ, Athoyson.
ÂTI>OR, RTlyOniO , Anthonîo,
HTOL, atque.
HTRHBHTën, Alrabalensts.
R'ERRE'BQ, Austraberte.
ACROB, HTReBilT, HTRGBJl-
TBR, RTReSHTenS, Atrehaten-
sis.
HTT, HTTB, HTTBHTefi, àtthOr
feu, ilTTBHTn, Attrebatensû.
HTTBRTV, Avrebaium.
HTTRHBHT, AttrabatensU,
HTTReB', HTTReBHT, HTTRG-
BfiTeN, aHrebâîen, ht-rs-
BHTR, HTTReBHTST, HT-
HOBIF, Aurebato, Attrebatetisis,
AV, Aurelianensis.
RVR, aquam.
RVW, Aubert.
HVBW, HVB'TI, Auberti
AViy, âttu , Audoeni, Audomari, audi-
taris^
/VDBGRT, Audbertus.
HVDGG'ÔDe, HVOeG'VDe, Au^
èBgonde, Audegunde.
iivDî, aîihï0i0, HVDiTOR?, au-
bttOt , audttorts.
RVDO, RVDOM, KVDOMJR, Au^
domari, Audomaro, Audotnarum.
AVDOH, Audoeni,
âttvÔtt, Audomari.
àVitàU, Avendale.
HVën*, Avesnensis.
AVeSN, Avesnis.
RVG, RVG' RFG, Augi, Augustini,
Augustus.
âftgue, Auvergne,
RVGT'S, Auguslus,
RVG"VU, Augerun.
RVGVS-B, HV6'VST9, Augustus.
RVIQ« , Aujeron,
AVIR, AVIRIONOR, Avinionis, Avi-
nionensis,
RVW^ Aurelianensis,
AVRAICêSIS, Auraicensis.
aUtêcl^eS, Avrenches,
RVRGE, HVReLIHN, AVRO-
LIAN6HS, Aurelianensis,
âUtetlC, Avrenches,
AVRGV, aureum,
AVS , Austrie.
AVSAE, Ausalotds.
AVST,âtl0Îê, AVST»,ftttSÏt, Aus-
tria, Austrie,
AYSTReC, Ausiregesili,
AVT, AVTI, AVTIS, AVTISIOiy,
AVTISS^, AVTISSIOiy, AVTIS-
SIODOB^, AVTISSIODOReN ,
Autissiodorensis , Autissiodori.
AVX, AVXITANGN, Auxitanm-
sis,
AYMOTS , Aijmonis,
B, baronnie, Bcrnardus, Bertrand,
b, bastart,
B M, Béate Marie,
B T, Beati Thome.
BABAINVIiiE, Babainvilla.
BAOVL, baculo,
BAD, BADEN, hÙtÛ. BADESIS,
Badensis.
BAD^, Badweiler.
BRliX., Bailliolo, Bailleul
baxll, bailliage.
BAIOG', BAlOaeir, Bajocetms.
BHIVHVItE, BHIVVIfcE, Baiun-
villa.
BRuy, ballant, Baiduki.
hàlltVit^ banlieue.
BRhE, hallie.
BALLI, hallivi.
BAU^ie, ballivie.
BHLLIV, hallivi.
BALMGR, Balmensis.
hàVXbttfiiVi, Bambergensis.
BAP, Baptiste.
BAPALÎn, BAPALMëSIS, Bapal-
marum, Bapalmensis.
BAPSn, Bapaume.
BAPT, Baptiste.
BAR?, Barri.
BARBêOI^On, Barbenckon.
BARG, Barcelone,
B ARG^ , B ARGI>ë , B ARGI>I ,
BARG^n, Barchinone, Barchinonen-
sis.
BARiy, Bardonay.
BARO, baron.
vAtOn, baronis.
BARR, BJRKy hùXXiU, Barrensis,
Barris.
BART^, BARCI>OE, BAR'EO-
LOO), Bartholoinei.
BAS, BasUensis.
BASIE, Basilensis, basiliee.
B'ATe, béate.
BATI^ON, Bathoniensis.
haVàW. Bavaria.
BAVA», hàVài. Bavaria, Bavarie.
BAViy, BAUDUT, Bauduin.
38 )^—
BAVC, Baugerium.
BASG^enG, Baugenciaei.
BAVa^eGGIO, Bauquerceio.
BRVVEe^Bauville.
bâjtl, Baziliensis.
B'GBVRB, Breceure.
bCVi Binchio.
B'GH ARD , Berchardi.
BO , béate, Benigni, Brie,
B8An, Beania.
BE JRH , Beami.
B8 A VSnO h€ROG , Beautnont - le-
Boger.
BGAVMÔT, Beautnont.
BG6*inALI, Beginalium.
BG lOGO, Belhjoco.
BGEIVAU:, Bellivallis.
BGtE, Bellieadri.
BGLLAMAR^, Bellamara.
b^Ilt, BélUmontis.
BGLLI l.Bellijoci.
BGLLiœOHTGS , Bellimontensis.
B8LL0 MAI, BelloManso.
BGLLOMON, BGLLOMÔTB, Bel-
lomonte.
BGLLOnT, Bello/onte.
BGLLO VIDB', Bellovidere.
BBEMARB, Bellemare.
BBLV, BBLVA, BBLVAG, bel-
WCi, BBLVAGGH, BBLVA-
GBIF,BGLVAGN, Belvacensis,BeU
vacum.
BBHB, benedicta.
htnÙ\ BBnBDGI, benedicH.
BBRBDIGTV, benedictum.
BBaV, Béque.
^ 39 )k-i-
B6R, Bermrdi,
BeRQ6*ARII, Berengarii
BBRBTIGBBI , Berengem,
B8RFRIDV, berfridtm.
BQR6*^ Bergis.
BORG^ëSIS, Bergensit.
BORNA , Bemardi.
BeRNAYeRSPP, Bemayensium.
htntVllB\ Bemetuis.
BGRT, Bertrand, Bertrandi.
BORTI^, Berthohmei.
BQRTRÂI, Bertrandi,
BGT, BHmie,
0(tf , heate,
BBB'Ç, Betkuniensii.
BBTHECOVRT, Bethencourt,
hefffU, BGTI^Vn, BethunU.
httvXUU, Betremieu.
BQTVNF, Betwiia.
BQVMOT, Beawnoni.
BQVIR, Bevema.
BQVNE, Beveme.
BeUVavê, Bewerquen.
ht]^iU, Beyeren.
WGBH, Bergensis.
B'G^I^en, Berghen.
B'G^IS, Bergis.
B^6*N, Bergensis.
bG'OIE, Burgovie.
WifEOSaV, Bartholomei.
BI, Bl, beau, Bituricensis,
BIALSnO^T, BialmonL
BIAVP, Biaufort.
BIAVMÔT, Biaummi.
BieRR§6*IQR, Bierrengier.
BIS^, Bisuntinenm,
BlSÔaiO, Bisoncio.
BISVHT, BISVT, Bisuntini, Bisunti-
nensM.
BISVTG, BISVTine, Bisuntine,
BITER, BITORROn, Biterrensis.
hififOlw , BrUhoHo.
BITVR, BITVRIG, BITVRIOGn,
Bituricensis.
BLÂCie, Blangie.
BERKBWG^B, Blankenberghe.
BLARem', Blakeman.
blfttnnit, Berlammont.
BUHR, Blankenberg.
BLB, BlesU.
BLQBReBÂT, BlebrebofU.
BLeS, hUB\ BLGSBN, BLOSIS,
BLQSH, BleseMis.
BELOMÂSO, Bellonutnso.
BELOMOTO, Beilomonte.
BEODO, Blonde.
BLÔQeL, Blondel.
bNAIO, Bemato.
BNART, BemarL
BTIAY, Bernay.
BHDICTVM, benedictun.
B'NERII , Bemeni.
BNOT, BumoL
BOGOHVIfcE, Boconvilier.
BÔDBVILe, Bondevile,
BOBSn, bol^C, Boemie, Bohemte.
B0L06* , Bologne.
BOLOn, BOLONIB, Bolonie, Bolo-
niensis.
BOR, BOH, Bononia, Bononieims,
BOHAVAtE, Bonavalle,
BONE. hntinp.
►«•( 40 )•#♦
BONBBOS^, Bonehosc.
BOHOiÇ , Bonekem.
BÔHGVAL, BOneWill£, Borne-
val, Bonewallis,
BORieff, Bannières.
BOnOnieSIS, jSono;it>im«. .
BONV, bonum.
URbOUra, Borbonensis,
B0RD6inVIE, Bordeinvilla.
BOReLr, Borelier.
BORG^n, BORCTl, Borgne, Borgui-
gnon.
iSORV, beatorum.
BOSaVILEO, BosquiUon.
BOS^OBTI , Boêcoroberlû
BOTBE, Boteler.
BOVaOVItE, Bouconvilla.
B0VDIN6*I>§, Boudinghent.
BOVLBHG", Boulengier.
hoUXhoUU , Bourbonnit.
hoUXgfXt, Bourgoigne.
(ûtttgtttgtld, Bourguignon.
BHfl, Berengarii.
BRA, BRAb, brab, hvàhàcu,
BRABiUV, btakn, BRABAN',
BRABiWT, brabâf, brabâ-
TIA, Brabant, Brabantia, Brabantie,
Brabancie.
BRAD, bràbetnrgêu. bràbembur-
gf ttS , Brandemburgi, Brandembur-
gensis.
BRAIF, Brane.
BRÂTULIS, Brantulis.
btu, Bemardus.
BUDAL, Berdal.
btcbâ, Brebant.
BRITAR, BRifnT, Britannia, Bri-
tanme.
BRIVATOn, Brivaiensis.
BRïXlQÛ.Brixiensis.
BRT, Bertrandi.
BKTQVlht:, Breîevilla.
BRVERIEHS, Brueriensis.
BRVC, BR VG'^ bnig', BRV6*eRS^
BRVG'S', BRVG'CiJ, BRVG'I^,
Brugensis, Brugis, Brugghe,
BRVVILBR, Brunviîer.
hxnxtW BRvxeLLon, brvxql-
LH, Bruxellensis,
B'SeG'AVT, Briêegaut.
B^AVB, Bertaut.
BTGEe, Bretele.
B^OLOB, Bertelot.
BrrijOLO) , Bertholomei.
B5I , beati,
B'Bim.Bertini.
B^NDI, Bertrandi.
BTOLDI, Berloldi.
BTRA, bTRÂDI, BTRAHDI,B«r-
tran, Bertrandi.
BTRAini , Bertranni.
bnCtgâl, BueiganL
BVGIL, Buciliiê.
BVGVIfcE, BueviUa.
hvA , Bukingham.
BVR, BVff, Burgundie, Bures.
BVRŒ6*ALQI, Burdegalensis.
bntbtgalfÛ, Burdigalensis.
BVR6'^ Burgensiwn.
BVRC, bttrg, btttg^'. Burgundie.
BVRG* HOVV, Burgum Novum.
BUR6*en, Burgmisis.
.( 41 )•#+
BVRG'eNS', burgeiisift, bvrg'g-
SIV, burgensiutn.
Burgondia, Burgtmdie,
EVRcvoiE , fturgôbie , bvr-
G'VHS Burgundie.
BVRG'V NOVV , Burgum Novum.
BVTe£, Butelier, Boulelier.
BVXTA, Buxeria.
BXeLeNSIS, Bruxelensis,
G, clerc, cornet,
G S^, contra etgUlwn,
QA, Cameracensis , camnici, causas, ca-
valieri.
GÂBOLLAni, QRBeha, camheU
lanù
thbttimî^ Camberone.
GÂBIIS, Cambiis.
QEBIE , G ABILON , G ABILORBR ,
Cabilonensis.
GABVLON, Cabuhnis.
GÂGOLLARII, cancellarii
tàt, GAiy, Cadomensis, Cadomi, car-
dinalis,
C&bdDftttK, Candavaine.
GÂDBLieR, Candelier.
GADOM, Cat^Omen, Cadomensis,
Cakbr, QALABR?, Calahrie.
GALHIATV, Calniatum.
GALVIMOH , GALVIMONTN ,
GALVIMÔTIS, CahimonUnm, Cal-
vimontis.
GHLVOm' GALVOMOT, GAL-
VOMÔTG, Calvomonte.
GAM, Cameracensts.
GASn'A, caméra.
GAMAG', camac, gahagbr,
Catll'aCntSt0 , Cameraeentis.
GAMÂGeSIO, Cameracesio.
CàVXàCiStS , Cameraeensù.
GAMAR, Camar, camerarU
Camanat^, camerariatu»,
GASnOG', GAHGff, GACDGRÂ,
caméra, GAO)GRAG^ gamb-
RACEIS, GAMGRAGGir, tàr
meraireâ, gamgraggn-s, ga-
MERACËSIS, GAICRAQSIS,
Cameracensts.
CAM6RARI9, camerarius.
GAMORG, Cameracensis.
GAœiE, Camilliaco.
GAHP , Canqfis.
GAMPGLLGR, Campellensis.
GANR?, Cameracensis.
GiH, G An, Caft, canoniciy Caxipis.
GANGGbE, GANGGldiai, cancelUir
m ■
ru.
.CAHDEE, Candelis.
GANI, GANIG, GANÔ, GANOI,
GAnOÎGI, canonici.
CatlÔtC0t1t, canonicorum.
GARÔn, GARORT, Canom, cano-
nici.
GANOHIGOB^, canonicorum.
rattfebntgettSr, CantehrugensU.
GARTT, Cantin.
GAHTTPRG, Cantitnpré.
GARTOff, canioris.
GAHTVRIGR, Canturiensis.
GAHVItE, Canville.
GAOI, canonici.
GAP, capellani, capituli.
GÂPAN, Campanie.
< 43
QAPG, captemi.
GAPD, eapud.
GAPDAVBNe, Canq^davine.
GAPGldi!, capella, capelîarii.
Capellfti, GAPetEI, eapellani
OÂPOLUS, CampeUU,
GAP'I, coptVtt/t.
GÂPIS, Campis.
GAPIT, capitum,
GHPITEI, GHPITVE, GHPE, ca-
pÛtt/t.
GAPET, GAPLT, Càfli, eapeUani, ca-
pûuli.
ORPiX, QRPtEl, eapellani.
GÂPS, Canapet.
GA-PSie, Caprosie.
GHPf, GHPWCRV, GHPTIVCR,
GAPTIVORV, CaptÔt, eaptivorum.
GAR, Cât, eardinalis, Carcassonensis ,
caritatis, causarutn.
GARG, GARGASBNSIS, GAR-
GASO, GARGASSOn, Careas-
sona, Carcassonensis.
CfttCf , carcere.
GARD", CàXb, GARDin, GARDI-
NA£, CàXtimW eardinalis.
GHI.B, CarenUmiensis.
GAR§GI)I, GARGGI, Carenchi, Ca-
renei.
GARIOLE, Camiole.
GiRMOE, CarmeltUr, Carmelitarum.
GARIF, Camotensis.
Canit0l\ Camiole.
GJRndîS, GARHOf, GARNO-
TON, GARHOTÔSIS, GARNO-
TR, GARNOTS', Cnrnoianm.
GARÔ, Canm.
GAROL, Carohu.
GARPBNT, GARPÔT6R, CKJft-
tter, GARPR^^ GARPÔTieR,
carpentarU, carpenter, earpentier.
GARSTIAQ', Carstiaen.
GARTVS',Carfel0', GARTVSien',
Cartusie, Cartusiensis.
GÂS , Câ0 , causas.
GASLeTGR, CasleUHsis.
GASS^, CasseL
GAST, GASf , casteUûn, eastellani,
castri, Castro.
GASTÔ, GASTBE, tOBUU CAS-
xeLAi, castelê, gastolg^,
GASBGi:^, eastdain, castelein, eas-
tellani, eastellanie.
GASTOtE, Castelle, Castellione.
Casiellaê, eastellanie.
GASTGLEAI, GASTGLLAn, eas-
tellani.
GASTGfcEG , easteUane.
GASTGLLIO, CastelUone.
GASTT, Castris.
GASTLE, CASTLL, Castelle, Cas-
tille.
GASTLLI , eastellani.
GASTROVI, Castrinovi.
GASTRGR, Castrensis.
GASTRi NANT, cftslnnaulon,
Castrinantonis.
GASTRO BIGHGII, Castro Briencii.
GASTRO COnT, Castro Gonteri.
GASTROff, castrorum.
GASTRV, castrwn.
GÂTAÏ, GÂTAinG*, Cantaing,
OATGGN, Catwcettfis.
< &3 y^
LHVH, GATI^ALAVNeN, GH-
TI>ALAVœHâ, Cathalaunensis,
QÂTOff, GÂTORIS, OR'BR, ean-
t&r, eantoris.
GilTRO . Castro.
GATVRGON, Caturcensis.
GATZE, Catzeneilenbogen.
tftfl, GAV, causarwn, causas.
GAVILLIGOR, CaviUicensis.
GHVS^, causas.
GAVSAR^, GAVSARV, causarum.
GBGIE, Cecilie.
GBGORV, ceconm.
GeLesTinoff, GeLesxinoRv ,
GBLGSTTOR, CelesHnonm.
GeLSORBR, Cebonensis.
GBR, GBRO, GBROia, GBRO-
SRAR, GBROSRARGIS, GBNO-
ODANBR, GBROSRia, Cenoma-
nensis, Cenomanie.
GEOESES^, Ceocsensis.
CtVtlà\5, Ceretanis.
GBRICAR, Ceritanie.
GBRTV, certum.
GBS, Cesaris Burgi.
GBSIBRS, censiers.
GBSTBf, Cestrie.
Cfftâ, cetera.
GBVAE, GBVALTR, cevalier.
Gi^, chevalier.
GI)ilB^, chambre.
GI)ÂBaLÂ, Chambellan.
GI)ÂBIBR, Chambier.
Ql)RWLRn, GI^AB'LAHG, chambel-
lan, chamberlanc.
QI>ÂBLBIJR', Chableianwu
GI^ÂBLI, ChambK.
GI>AL5, Chahn.
GI>ARTRÂS, Chantrans.
GI>APAIRB, Oumipaignê.
GijIAR, chevalier.
GI>ASTBLAÎ, C^làSUlW chastellain.
Ol)RSTBhE, c|?a«leUte, chastell^
nie, chastellerie.
Cl^astelltêf , Chastelneuf.
CJ^afeller, chdtellerie.
GI>ATE, châtelain.
GI>AVBT, ehavetier.
GI^AVSBT, chausetier.
GI>B, GI>BLI, Cl^elr, ehevaKer.
GI>BRL, GI>BVÂ, GI)BVAE, GI>a-
VALIR?, GI>BVAU:, GI>aVH-
ER, Gi^^, chevalier, chevallier.
GI)IR, Oiiniàeo.
GI>IVilE, chioaler.
GI>LR, Cl^lr, chevalier.
GÇnm, Channi.
GI>OISBf:E, ChoUelU.
Qf)R, Q)R, chevalier.
GHRISTOPH, Christophori.
GH&O, Chroatie.
c\fi, Chamont.
G^VALIBR, chevalier.
CI, ckrici.
aCIL, CicUie.
ClilOy Gneio.
GIB?, chevalier.
Ct0tll01lf , Cismontanorum.
GISOR, GISORIBR, GISONIBNS,
Cisonio, Cisoniensis.
GIVITRT, civilatis.
GIVIV, civium.
-K iti
GL, G£, elavis, elere, eleriei.
GLAR, ClaromoHtU.
CLJReNVDI, Clarmtmdi.
GLJRBVAbE, CiarevaUÛ.
GLARIAGËSIS, ClariaeeMis.
GLARIOONT, ClarimmtU.
GLAROœOH, GLAROHOHTeii,
Claromontensis,
GLHV, GLHVS, clavis.
GEG, GLGI, GL§, CLEI, clerc, cU-
riei.
GLBMGie, Clemencie.
GLeSnÔTIS, GLOMTS, Clemenlû.
GLÔNTie, Clementie.
GLGRSnOT, clermÔf , Clermmt.
GEI, GEIG, GUGI, clerici.
GLIGOR, clericorum,
GUVBH, GLIVIN, Clivemis, Clivin-
siê.
GLVIF, GLVNIAGÔH, Cluniacensis.
G'MGE, Cramelliê.
GMR, Cameracensis.
GH, canonici.
CnDO, commendo, canjidof
GNTRA S^, contra sigilium,
GO, CÔ, comitatus, comitis, con pour
qu'on.
G, centesimo.
GÔBAL0N6*, ùmhalonga.
GÔBReVS, Comhreus.
GÔBVRCQRSIV, comburgensium.
G5GI> , CÔC^ftS , Conches.
G5D, Coudun.
GODQVIE, CodevUla.
GOO, commune.
COrtif IB^', Coekkelberg,
CÔftttnâh, conjinnati.
GOIUI, consUn.
GOTS, comtftf.
£lSI, Croisi.
GOTsSe, eamitisse.
GÔrp, COtf , eomûis.
GOTtAT, COttftl, communitaiis.
CiAtàtxh, ewniiadbus.
GOTtATIS, mtah0, communîtaHs.
GOÎTIS, rOXtUf, comitis.
GOTtISSQ, cmmtisse.
CÔttnf , comtitutum.
GOEI, Colin.
QOhEtEiy, Collemedio.
GOLVBH, GOLVBH, GOLVMB^,
GOLVMBGR, GOLVMEH, Colum-
bentis.
GOM, CÔm, cornes, comitis.
GOM PALA, comitis paktim.
COtnif , Comanie.
GOMB'G'QNGIVM, comburgencium.
GOmOO, commende.
GOMI, GOMIT, romtf , comitis.
COMifv, CÔtntlft, comilwn.
COMTIS, comitis.
GOSnvë, comune.
GOnGI^eiF, Conehensis.
CÙViCÙXhxttl^ Coneordiensis.
GORDATen, GONDATN, Conda-
tensis.
GOHDOmien', Condomiensis.
C0N6STABVE, conestabularU.
GONFIRœ, confirma.
GORSnin', Conminensis.
GORPÔDieR, Corqtendiensium.
GONPÔDII, Conpendii.
GONSr', contrasigillum.
GOHST, GONSTA, Constanitensis.
CONSTABE, GOnSTilBVLilff ,
eonstabularit.
GONSTAH, COHSTHHG, GOH-
STANGiefî, GONSTHOTien,
GOnSTATien, Constandetms, Con-
êtantiensis,
OOnSTÂTIR, CanstanttnopQlis,
CONSTITVT, cansHiututn.
GONSV, eoMulum.
GOHÇ^ OOnî, conte, contra.
GORT Sr', contra sigillum.
GORTGTVVm, GORTRHafvV,
contraetuurn,
OOHTRRDIOT, contradictùnm.
GON^RAC^ contractus.
GOHVeNT, 00NVeRT9, GON-
VëT, G0HVQT9, GORVÔTVS,
eoncentus.
GÔPQNS , Compens.
9, con pour qu'on.
9 SIG", contra ngillum,
9R SO) , contra sigillum.
9HUW\ Condatensis.
9D6, commende.
9D0M, Condomio.
9eSTABLe, conestable.
9HVHQ, commune.
9SnVRie, communie.
9T, contra,
9TeSSe , eontesse.
9TITVTV, constitutum.
9'BRR(IB9, 9TRAGT VS , contractus.
9TRAS , contrasiffillum.
9TRASI6*ILL0, contrasigillum.
9TReS', 9lte«, contreseei
9TS^, 9TSIG'ItE, contrasigillum.
45 K
9 VONT, 9 VGT, 9 VOT, 9|iel\ 9lirÏ9,
9VêTVS,coiio«tft».
OORB', GORBieRS", Corbeie, Cor^
biensis,
GORBOIiiE, GORBOE, Corboillien-
sis, Corbolium.
GORDVH, Corduvan.
COnSOptlen, Corisopitensis.
GORMORIAG, Cormeriacensis.
GOROHATOR, coronatorum.
GORSIG, Corsice.
GOS, cornes.
G0S6RAR, GOSeRAHBN, Cose-
ranensis.
GÔSIUO, consilio.
GOSTA, Constantinopolitani.
COStaceS, GÔSTARGBS, Constances.
GOSTe, Costentin.
GÔSTITVTVM, constitutum.
GOSVLV, consulum.
GOT S', C5f S\ contra sigillum.
CÔU, conte.
GO'TeS, Contes.
CÔleSSe, eontesse.
GÔTRA S', GOTRA SIG'', contra
sigillum.
GOTRAGTVS, CiltàCtW, CO-
frâC(9, contractus.
GOVDffI, Coudrei.
GOVERAR?, Convenarmn.
GôveRT, covtnf, GÔVeRTVS^
tiVVXlUB^ conventus,
COViS^ convens.
GÔVET, GÔVGTVS, conventus.
GOVLLBG", Coullegis.
GOVMPÂS, Coumpans.
< /»6 >•+
GOVRCeU:, CourcelUê.
aOVR'6', GOVRBI, Cotirtrai
GOVRTRAGeNS', Courtracetuis,
GOVSTÂGeS, COnsIan, Constances.
GR, Cameracensis,
GRASSON, Crassensis.
GReVQQl, Crevequer.
GRISF, Crispini.
CXÙàC^ Croacie.
GROI>eH , Crohensis.
GRVG, crucis.
GRVNTG^QN, Cruningen.
GTB, conte,
GV, Cwillers.
GVALBRS, ceoalers.
GVLGTO, C«fcfito.
GVPS , &q>€rsam.
GVR?, GVR, cvrati, curie,
GVRilT, curati.
GVRTG',GVRTRHG§SIV, Curtror
censis, Curtraeensium.
GVSTOiy, eustoUs,
CnUtUô, Cuvillon.
GY STeRGIGR , Cysterciensis,
D, D, ly, b', de, Dei, der, dit, domini,
dominus, Durand,
D 6*, Dei gracia.
DR, dame.
DRF, Dateront.
DALM, ilalmaC, Dalmade.
DKLPf), DilLPI>I, ialplt^. Dal-
phini, Dalphine,
DÂSnAGIB, Dalmade.
DAHF', Don/rofir.
DANIBE, Dantelis.
DÂPBRRe, Dampcrre.
DAPBTRA, Dampetra.
DÂPFRÔT, Dampfront.
DÂPIBRRB, Dampierre.
DAPSnARTI, DanqnnartiH.
tàUlff/i, daulphin.
DG/H, iyGARI,(iecafii.
DQl, dicti.
b0, den.
OGBITOB^, debitorum.
DBG, DBGA, DBGAT, DBGAl,
DEGAN9, decani, decanus.
DBGARAT, deeanaius.
DECRET, DBGRBTCR, becreto-
tÛ, îl0Cf0t, decreiorum.
DEFËSOR, DEFS, de/ensor.
telmè^OXSt Debnenhorst.
îl^tb, Derlne, Derbiensis.
DBRVBfi, Dervensis.
DBSID', DBSIDII, DBSIDIO, Desi-
derii, Desiderio.
\^iltXfi}ftt , Dentergheem.
DBVRBH, Devrene.
T)l, Dei, Domini.
DIA, Diaz, divina.
DIAQ, DIAGOI, DIAGOIF, diaconi.
DIGASSMVDBSIV, Dicasêmmiennum.
DIOG, diocesis.
DISGAL, discakeatonm.
btUtÔ, DIVIOn, Divioneiuis.
DIXBM, Dixemuda.
DIXMVDBSIS, Diamudensis.
UL, dei.
DOl, domus.
DSniORVSn, dominorum,
DH, dominus.
47 y^
DRB, domine.
DHI, bm, domûii.
DniO, dmnmio,
DRM, domm.
DROff , bndr, dommonm,
DROL, Dominique.
DNS, dominve,
DO, domini, don.
DOCT, îrorfOtB, DOOTO», W-
tOt , doetoris.
DOT, DÔIGQld:, domieelK.
DOE, DOLQ, DOLOR, DOLBRS^,
Doknsis.
DOM, dominus, domus.
tunXifiil, Domessent.
bomi, domini.
DOHIG', DOMIOeUL, domicette.
DOMIIP, dominus.
D0Sn9 , domm.
DOHI, domini.
DÔROMR, Domnomarûno.
DOHONIGN, DmumiensU.
}t0t^lâCfn, IknzMcensis.
't)5PNI, dompni.
DOTAS', dotmit.
DOVBe', Doubel.
)t0tttltt, Douvrin.
DROG', DROGHl^ DROGBR', Dro-
canon, Droeensis.
DS , Deu*.
D'SeRTIS, Desertis.
bu, <2ua9.
DVHG, DVilGeR, DVHGGR',
DVHGeRS', DVHGR', Duacensi».
DVAGV, Duaeum.
DVBLIRêSIS, Dublinensis.
DVG, blic', hni, duciê.
DVGHT9, DVGHTV, dueatue,
DVGS, dueii.
DVGTB, ducite.
DVGV, bnCft, dwnan.
Hllitn, DuUendU.
iVOXhlàtitÛ^ Dunblanensie.
DVRBR, Dvmengis.
DVRR'RB, Dwdcerke.
DVROFORT, Durojorte.
DYOG, truOCe, dyoceeis.
DYOR', DyONISI9, Dytmisiue.
1, 8, B^ «i.
EBERST, Eberstein.
thtftàCi, Ehoraeeneiê.
BSR, Ehroniensis.
BBRJRTD", Ebrartdi.
BBRBDVR, BBRBDVRBR, Ebre-
duneneis,
BBROIÔ, BBROYGBR', Ebroieen-
êiê, Ebroyeensiê.
(hxtmtUy Ebroneneis.
BG, BGG', BGGA, BG^GB, BGGB,
e«ê, ecctê, bgge, eccl'â, ec-
Clâ, BGGEB, eCCl'e, ECCLIAR,
BGGEIB, eCCitê, ECE, BGEB,
BGLIE, eceïena, eeelesie, ecelesia"
rtcm.
6DV6N, ebtien, EduemU.
BD V, EDWHRD9, Edwardue.
BG'BLBTI, Engelberti.
B6*BRRAI1DI, Engerrandi.
eGlU, BG1DIU\ £^tt, %^tMs.
BCMOHT, Egmontemis.
B6*OE, EngoUsmeneium.
BG'RBMÔT, Egremont,
*%i &8
B¥, ejus.
ëlORRÂS , Et^arram.
GIV, ejus.
EIVSDO, ejtudem.
EL, BLCI, BEGTI, ELEC, OLeOT,
ekcti, ekctui,
eLBGTen', ElectemU.
eUSAB", Elùaheik.
^lÔnS, eleetoris.
tllx, èkcH.
eHHBE, Emmeline.
fit, ende.
GIiG9y Engolismetuimn.
tUitftVil, Engherant.
EN6*0L, ean6*0USM, GRG^OLIS-
MBR, EngoUsmensU.
BP, BPG, BPI, EJPI, eyi, EPIS,
EPISG, BPISGOP, BPISG0P9,
BPPI, BPS, E*S, ep0, episcopi,
episeopus,
BRDF, Emaudù
BRBB0R6*', Eremborgiê.
BSG', eseuier,
BSGHÂL, esehevinaL
BSGR, BSGV, BSGVI, BSGVIB',
BSGVR, eseuier.
BSRBR^ Eskekier.
BSNIBVTRBVIIii:, EsnieutreviUe.
B&PRÔ, Espernon.
BSâSl, esquier.
6SSeX, Essexie.
eSSeXe, Essexesterre.
BST, Estienne.
BSTAIBÔ6*, Eêtambourg.
BST AID AE, Estaindale.
(étapes, Estampes.
BSTBBLAT, Eiteelant.
eshenft, Estienne.
nhtVit, Estievene,
7, ^, Z, a, Z, et.
Z,U, ae, el Cef , et cetera.
BVAN6*BETA, Evangelista.
ftlftgl^f, Evergkem.
eVSTRaf^.Eustaehtt.
BWS, ejus.
QVX\ euxoris.
BXAaVIBH, Exaquiensis.
BXOLDRI, Exoldum.
eXONIB, EXONIGH, Exoniensis.
BXVMI, fxttpent.
F, F\ f, Ferrariis , JiHus , filii, Fran^
çois, Franeonis , Jrater, fratris.
FA^ Faleiie.
¥R{1T9, fœtus.
FAGVLTA, FAGVLTATJflcuftfltw.
FACBRRÔ, Fagemon.
FAE, Falesie.
FALCO, FALGOBG^, FALGOB^-
G'ijA, Falcobergha, Fakobergensis.
FAMAG'VSTÂI, FamagustanL
FANARIBR', Fanariensis.
FAVRBBBRG'VB, fâuqttcberglfe ,
Faukembergue , Fauqueinberghe.
FGO), FGIM, /ocrwm.
FDIGI, Fridenci.
FEEROHOIT, Feekonnoit,
FER, Fernando.
FEROIHÂDI, FerdtnandL
FERHÂ, Feman.
FBRRIG', Ferrict,
fttCif, Fescamp.
Fezen, Fetendaa,
FF, Jratrum,
FIDQMeH, FideineMis,
FlDl, Jidei.
FIE,//ii.//iitf.
FILG", FIL6*QI^, Fiigmis, FUgeria-
mm»
FILF,jî/fï.
FISGSUQR, Fiscanensis.
FlSORUU.FUeanni
FITflTW, Fentatibm,
FLAGINIACOH, Flaciniacensis.
FLfi», FLRiy, FLHiyE, FLÂDRf,
FEADRA, FLÂDReS, flàbnn,
FLÂDRie , flâbne, Flandna, F/an-
dres, Flandrie.
FLADS, Flandres. .
FLAH§G, Flamenc.
FLAMê6*eRie, Flamengerie.
FLAHQMO . . , Flamermont.
FLAMÔS, Flamens,
FLAN, FLAHiy, flaub', îlàubi .
FLARDff , FUmdrie.
FLANORQN , FL AHDRENSI V ,
Flandrensis, Flandrensiutn,
FLenVItE, Flenville.
FEin, FerUn,
fbïS, fl0t,F/om.
FLO», FLORQFFieS^, Florefftensis.
FLORenXIR, Florentinensis,
FLOrStIA, Florentia.
FLORBTll, Florentii.
FLORëTin , Florentinenm.
FLOROTini, Flarentini.
flonaCên, FLORIAGN, FlonacenMs.
FOCG'AH, Fogeran.
FOINÔ, Foinon.
M )^
FOLCALaVe», Folcalqueni.
FOLOVE, Foleville,
FOR?, Forestetisis,
FORG, ForcalqueriL
FORen, UxtVi.FoiensU,
FOReST MOÂST, Foresti Monasteni.
FOReSXerr, Forestensis.
FOSSAT, FOSSAXen, Fossatensis.
fùtàVXtS , Fontaines.
FÔTIS GOÏS , Fontis Comitis.
FOVIfcE, Foville.
FK^f rater,
FRRGQ.ÎXàCe. France.
FRÂCHOIS, Franchois.
FRÂGie, fràCie, Frande.
FRROISQI, Francisci,
FRACISCVS, Franciscuê.
FRÂGO», fràcor, frâgorv,
Franeorum.
FRAQ, Francie.
FRARe, fXàhe //ranke.
FRANG, Francie, Francisei, Franeo-
rum.
FRAICORV, Franeorum.
FRANcavEviI , franqpille ,
Francqueville.
FRAHCR, Franeorum.
FRARIA, Ferraria.
FRÂSV, FVatisu.
FRRTTs, fratris.
FRATR, FRA'R',/rfl^rttw.
FR ATS , FR ATS , fratHs.
FRQ, Francie.
FRGAVItE, Fréaville.
FREDeRIG9, Fredericus.
FReeVVItE, FReeVE, FrêemUle.
►«< 48 >#+
GF, gus.
êlORRÂS , Et^arrafu.
eiV, gus.
EiySOe, gusdem.
EL, eLGI, QEQTI, ELEC, GLeOT,
electi, electuê,
eLeaTeiF, Electemis.
eUSAB", Elisabeth.
élOXXS, ekctoris,
îXïX, electi.
BMHQE, Emmeline.
ht, enie.
QIiG9^ Engolismensium.
tViJSjJitXhly Engherant.
EH6*OL, enG'OLISM, GRCOLIS-
MQn, Engolùmetms»
ep, ePG, epi, e*i, ept, épis,
EPISG, ePISGOP, ePISG0P9,
GPPI, ePS, E*S, ep5, episcopi,
episeopus.
BRO¥, Emaudx.
eRêBORG*', Eremborgis.
QSQ\ eseuier.
eSGHÂL, eschevinal.
esGR, esGV, esGvi, esGvie^,
eSGVR, eseuier.
QSKBK\ Eskekier.
GSHieVTReVIfcE, Esnieutreville.
eSVnd , Espemm.
esâai, esquier.
eSSeX, Essexie.
eSSexe, Essexesterre.
QST, Estienne.
eSTAIBÔG*, Estamhourg.
eSTAIDAE, Estaindale.
tSlàJftS, Estampes.
eSTeOLAT, Eêteelant.
tBfmVL, Estienne.
tSfmit, Estievene.
7, '?, Z, Z, Z, et.
Z, 2C, aC, el Cef , et cetera.
eVAN6*eirrA, Evangelùta.
ro(tg]^0, Everghem.
&VST RQf^.EustachU.
ETI7S, gus.
GVX^ euxoris.
eXAaVIGH, Exaquiensis.
eXOLDRI, Exolduni.
eXONlê, EXONieH, Exoniensis.
eXV«I, Exupeni.
F, F', f, Ferrariis , Jilius , filii, Fran-
çois, Franconis,Jrater,fratris.
FR\ Falesie.
FRQT9,factus. .
FAGVLTA, FRGVVTR'TJaeultatis.
FACeRnÔ, Fagemon.
FAE, Falesie.
FALCO, FALGOBG^, FALGOB'-
6*1) A, Falcobergha, Falcobergensis.
FAMACVSTÂI, Famagustani.
FAHARieir, Fanariensis.
FAVRGBGRG-ve, fâuquêfecrg^ie ,
Faukembergue , Faujuemberghe.
FGO), FOm.factum.
FDIGI, Friderici.
FEERONOIT, Feekomwit.
FER, Fernando.
FERDINÂDI, Ferdinandi.
FERMA, Feman.
FGRRIG', Ferrici.
îtitif, Fescamp.
F6Z8R, Feieneiaci.
¥P,Jratrum.
FIDeMeiï, Fidetnetuû.
¥IDI, fidei.
FIL6", FILG'e», FUgerm, Filgeria-
FIL¥, filii.
FISGJnen, FtscanemU,
FISGANN,Fûrcannt.
FITATIB', Fentatihus,
FLAGIHIAGeH, Flaciniacensis.
FLfi», FLHiy, FLniyE, FLHDRf,
FEADRA. FLÂDRes, flàbna,
FLÂDRI8 , flâine, Flandria, Flan-
dres, Flandrie,
FLADS, Flandres.
FLHMëG, Flamme,
FLAHê6*eRie, Flamengerie,
FLAMÔHO . . , Flamermont.
FLRMëS.Flamens,
FLAN, FLAHiy, flûUb', flftubê,
FLAROff , Flandrie.
FLANORON , FLANDREHSI V ,
Flandrensts, Flandrensium.
FLenVItE, Flenvtlle.
F£in, Ferlin.
flots, flot, Nom.
FLO», FLOROFFieS", Floreffiensis.
FLORenTIR, Florentmensis.
FLOROTIA, Florentia.
FLORQTll, Florentii.
FLORGTin, Florentinensis.
FLORQTini , Florentine
flonatêtt, FLORIAGN, Floriacenm.
FOCG'AH, Fogeran.
FOINÔ, Foinon.
•«+
/i9 )
FOLCALave», Folcalquerii.
FOL0VE, FoUville.
FOR?, Forestetisis.
FQIG, Forcalquerii.
FORGO, fortÛ^Forefisis.
FOR0ST MOÂST, Foresti Monasteni.
FOReSTeiF, Forestensis.
FOSSAT, FOSSAXen, Fossatensis.
îùlàVXtB , Fontaines.
FÔTIS GOÏS , Fontis Comitis.
FOVIfcE, Foville.
FK^f rater.
FRAGG, fràce, France.
FRÂCHOIS, Franchois.
FRÂGie, friCie, Frande.
FRRQlSQl.Francisci.
FRÂCISCVS, Franciscus.
FRÂGO», fràCOr', FRÂGORV,
Francorum.
FRAG, Francie.
FRARB, ÎXàhe /Jra»ike.
FRANG, Francie, Francisci, Franco^
rum.
FRANZORV, Francorum.
FRANcavEViL , ftftucqpxlle ,
Francqueville.
FRAHCR, Francorum.
FRRRIR, Ferraria.
FRÂSV, Ftansu.
FRRTÎS.fratris.
FRÂTR, FRA'R',/rfl^rttw.
FRATS, FR ATS, /rafnV.
FRB, Francie.
FRGAVItE, Fréaville.
FREDeRIG9, Fredericus.
t FRGGVVItE, FRQGVE, Fréeunlle.
FReiRVVItE, Frêimwille.
FRGJïlT, Fremin.
FRID , FRIT)0RIG9, Fridet-icus,
FRIG'IDIMOHT, FRÏG'ID mÔT, Fri-
gidimontis.
fngliomÔïe, Frigidomonte.
FRÏS, îns\fratris, Frisie.
FR?M , FRM , frm , fratnm.
FRS, FR^TRIS, /rfl/m.
Y^ï^mijmdavit.
FULGOn , Fuîconis.
FV», FVRNQN, Fitmis, Fumensis.
F VTICI , Funtenei
FVXOoBUCo, Fuxsensis.
C, Galcheri, Garsias, Gaufridi, Gerardi,
Gerlac, Gregorii, Guichardi, Guillelmi.
CR, GaushertL
GWy, G'ADHVO, GandensU, Gan-
davo.
GRLOl)l, Galcheri.
GRLBK, Gaîeran,
GRUOl , Galericû
GRLL, GRhX,, Gaillon, Gallie.
CHLLë, Gallicie.
GRlAARdBl, Galiiacensù.
G'HLLV, Gallum.
GRIJBI, Galteri,
GRHJf, Ganderuis, Gandavum,
GRUDR , gahada.
gani^ailÛ, Gandavmn.
G^ANDON, 6'HHDeNSIV, gdttiê-
fXÛ, G^JinOn, Gandensis, Ganden-
sium.
G^ARBHQieR^, Garencièreu,
GRRIL, Garlmda,
50 )•€<• —
G'KRR, CilRNGÎ, Garneri, Gantent,
G'HST, Gastina,
G'ASTIG', Gastigny.
CASTOIS, Gastonis.
GRV¥\ Gav/ridi
G'HVg, GRVG, GRTGQl, GRT-
C'a», GRVGBRV, GRVGÏQl.
Gavgerici,
GRVK\ G'flVâLIH.., G'HVaveE,
Gaukelini, Gauquelini,
6*0, 6*06, gracia, grâce.
6*QBBH, Gebenensis.
G'GCVLFI, Gengulji.
Gël PORTIS, Gemini Pontis.
G'eLT), Geldrie,
geit', geltêîl, Gelrie, Gelrewns.
GGO)\ Gemeticis.
6*BMBLAGBN, Gemblacensis,
G'BMB, Gemme.
G^BMBE, GeUBhE, Gemellis.
G'BMBTBIV, Gemetetiêis,
G'BMBTIGBIÏ, Gemeticensis.
G'B'MODI, Germondi.
CBOBVIE, GeneviOe.
CBHOVBF', Genovefe.
G'BR, G'BRÂDI, Gerardi.
CBRHLDIJnÔTB, GeraUimmte.
G&LR\AS, generalis.
CBRVA, 6'BRVilSI9, Gen)anus.
CBRVDH , G'BRVnOBR, GBRVR-
DBSIS, Gerundensis.
CBVTBVItE, Geuteville.
G^i^JROI, Gherardi.
gl^et, 6'HBLRBR, 6*1>BLRBS^,
Ghelrie, Ghelrensis.
g^X00gl^ê, Ghiseghem.
»«•( 51 )••+
6'I>ISTQE, 6'l>ISTei:;i:, Ghistella.
Çj^OXXlÛy Ghornnchem.
G'I^OSVI, Ghosuiii.
G'ieF, Gtejroi,
OTE, Gilon.
61LLBT, 6'ItEB'TI, G^ILLOBTI,
Gilleherty GiUehertû
OTRHRiy, Girardi
6*IS0QI0, Gis(yrcio,
6'LASTON , Glastoniensis.
GLU, CLLT, Guilleîmi,
6*E0S A , fflonosa.
G'MRÏ, &MJini, Germanù
GnRE, ffX'àV, GÛRLIS , gefieralis.
GnR\ G^'Ham, Grancia.
GHDR, Granada.
6*0*5, grant.
gObt, Gobert.
G'OOeF', Gode/roi
COeTSÔI^OVG, Goetsenhove.
G'OMBRlFÔTe, Gotnerifonte.
6-OnnOVItE, G'ONOVItE, Goii-
novilla,
G'ORDO , Gordonio.
G'OSilIRVItE, Gosaifiiilla,
gOtfOt, GoUorum.
G'OV^RVQL, GountrueL
GOXeUG, Gozengres.
CR, 6*All, fltft, graUa, gênerait»,
GKRXnÇTR, Grandicuria.
GTIRDIP VT0O , Grandiputeo,
SrâîttS jptah , Grandis Prati.
G'RADIS SILU, Grandis Silre,
GRRÏBOS , Grainbos.
G'RHO) , gtaiiam.
611 ANDIS CAN , Grandis Canpi.
6*RAHTM0EI, Grantmolin,
6'RAS, gratias.
gtàl.grant.
CRAVAR, Gravaria.
6*RiySn0ir, Grandimontis.
G'RÎBeRG', GKlCnWGlS, Grimber-
gis.
G'RONOP, Gratianopolitani.
G'ROXO', Grozon,
Ç^'hà.gratia,
gt^atS, Gervais.
G'VARRn, Guamerii.
C^VASII, Gervasii.
gnlremaf , G'VSnA'S', gubematoris,
GVUy, G'VIDOn, Guidonis.
G^VILBBeEI, Guilebelin.
CVIEI, GYlhE, G-VILLe, gtllllê ,
Guillaume, Guilleîmi,
GV\IAJ&&, Guillebert,
G^VItEI, G^VItEMeS, CVILEMI,
Guillaumes, Guilleîmi,
G' VIN, CVinen, Guinemù.
6- VISE, Guislani,
G^VRiy, Gerundensis,
CVSIGIF, Gusiefisis,
H, I), f), R, Henrici, hoc, Hugonis,
Hanoniensis.
HAbSbG^EN, Habsburgensis,
HAQHB , Hachbergensis,
I>ÂG'0ST, Hangest.
ItÙlVXSlC, Haimstedt,
HAIÎÏ, ^tÛ, I>AIRA', HAINO-
BHSIS, HAINOIE, Hainaut, Hat-
nonensis, Hainonie,
I>AIR?VAL, HaironvaL
HALB, Halberstnd.
fx.
l^ftlf)libt, Halewin,
I>AM§SIS, Hamensis.
(dû, IjBX^^ Hanonie.
l)RIlGf)y HangJieœart.
l^attû, HHNÔîe, tatiaîe, i>iinorF,
I^AOH, Hannonia, Hannonie,
l^fttAt, Haracurte.
I)fiRI, Hanri.
VyRRlOVR.Haricuria.
I) ASHONien' , i> ASNoniësis ,
Hasnoniensis,
l^âdf 1 I>AST, Hamstede, Haston.
i)HvesR0, i)HvesReR<ïv, i)fl-
vessaRave, tautiiberq, Ha-
veskerke, Havessquerque , Uauwer-
quei*ke.
i>Ryn, i^Rynn, i^nynoTe, Hay-
nonie.
iJBTI, Herberti,
I^e'BeR^ Hensberg.
I^eOBL, Heeelini.
I>§D , I^BDIS, heredU,
iJeDITil6•^ I>êDITA6*ICR, heredi-
tagiorum.
ifttX^ heere.
IftÙi'^ Heiden.
I>etE, Hellini,
^011(0, Henegouwe.
HENR?, I^enR?, HEHRIC9, l)QÏS ,
Henricus, Henrict,
I>eRB'Gl7eVR0H , Herberchevron.
I>8ReDITA6'I(R, hereditagiorum.
I^erforb, Herfordie.
I)GRIQI, Henricû
I>ERMER9, Hermeruê.
}fiS, hères.
I)GSDR', Hesdain,
52 >
I^GVDOUVItE, Heudouvide.
IjeVeRFCI^O, Heveringhe.
IJC, Hugonis,
HIB', l^lb'c, HIBHIC, HIBNIE, //i-
bemie, Hibernice.
I^ÎCeTTeS , Hingettes.
I^ILiyVT, Hildeverti
I^IfF, Hinniacensis.
I>ISDIH, Htsdimi,
I>ISP, HISPÂ, HISPAHIAR, His-
panie, Hispantarum,
f)liBUGRRT, Hermengart,
i^HGRJAR, Hermeriantm.
I)HÏ, Henrtci.
I^nSBG", Heinsberg.
i)0, homo.
I^OC'VILG, Hogervile,
I)OIS, Hainonensis,
HOLL, toir, ]t0nâî>,I>OLLÂDIA,
HOLLAH, IjOLLAnry, toUdtti ,
(ollê, \f0Uie, \l0lln. Hollandia,
Hollandie.
I7OMG, homme,
I^OÏÎGOVRBG, Honocourte,
I^OND, honrada.
l>OSiy, Hosdain.
I>OSP, ^00^, I)OSPIT, I>OSPIT,
I>OSPITAE, hospitalis.
1)0STIQH, Hostiensis.
1>0V6'ARDGNLAND', Hougarden-
lande.
i^RIGI, Henrtci.
HSV, Jhesu.
IflOgVXVi^^ hertoginne.
I)V, Humberti.
( 53 y^
I>VFAE, Hf^aHze.
f)VG\ Huffonis.
RIO, Hungarie,
i^VG'oTs, i^VG'on, i)VG5ns, Hu-
gottis.
i>VÎLITilT, humilitatis.
HVNG', Hungarie.
HVHOG, HVNOOVRTS', Huno-
eurti, Hunocurteruis,
I>VO', Huon.
I>yNIHGeïP, Hyniacensis.
I, î, in, Jehan, Jehanne, Johannis.
lA, Jaeobi,
IRBW, Jabbeke.
lEC, lacap,
lAReHO, Jakemon.
lARBSnT, Jakemart
IHRIVILL, Janivilla. •
ma, wq', mas, taqs, Jo^ue*.
lAZ'', Jazea.
Fol VS ART, inclusamm.
le^, lEH, le^, i0i>R' leijÂ,
teH* IBI7ÂS, Jehan, Jehans.
IB^B, Jehanne.
IQREBSn, IBRLM, IBREM, IB-
ROS, IBRSSn, Jerosolimitani , Jerth
êoîimitanus, Jérusalem.
IFÂTIS , infantis.
fPBRIOR , inferior.
ICBNOVT, IngenouL
liÇB, Jeanne, Johanne.
tl^elm, UyBREU.Jherusalem.
I^IS, 11)012, Johanni».
II) H, /e^a».
li^RLO), Jherusaiem.
II)S, Johannis.
l^V, Jhesu.
II) V X , /A«rtt CArtW.
ILLVSf, ILLVSTS, illustris.
IMB', /mAcrr.
M*, IMP, IM*flT(R, imperator, im^
perii.
IM^ATRIQIS, imperatricis.
ttnpê, IMPBR^, I0l«II, imperialis,
imperii.
IM'PR, imperator.
IMPRATORIS, ISnPRIS, imperato-
ris.
tUbnlgCIltUltn, indufgentiarum.
tuf ion, tuftOnS, inferiori, in/erioris.
INFIRMOR, if^rmorum.
tngl^fltâ, Inghelran.
inMBNS , inmensis.
inSVE, INSVLBN, inSVLn, Insu-
lensis.
INT, inter.
10, tÔ, t0\ lOlJ, IOI)A, lO^âlS,
Johanne, JoJiaunis.
lOiJB, lOiJBM, lOiJIS, Jo^a/me, Jo-
hannem, Johannis.
lOIHVIE, /owt'tV/c.
IOSAPI)f , Josaphat.
IPATB, impératrice.
ÏPBRATOR, imperator.
I-PII, imperii.
IPOLlt, Ipolito.
IPX, Chriêti.
IRATIQIS, imperatricis.
IS, Isnardi.
ISABB, ISABBfcE, ISABEB, ha-
beltc, Isabelh's.
5& )«f^
ISQBVRGI) , Iseinbureh,
ISEA RDB.IîisulaAde.
ISLBN, hlensis.
ISPm^ ISPAR, lêpanorum, Ispania-
rum.
ISVE, Insulensis, Insulis.
rSVLll, Insula.
rSVLefi, ISVEH, Insulensis.
IT, Jamet.
IVDBO^y Judeorum,
VXtxCÛ, judicum.
IVGineL, IvernelUs.
IVGERBS, Jugleresse.
ml', ivuH, whac, ivuRGefi,
IVLIAGêSIS, Juliact, Jultacensis.
IVLLI, /uffiVwt.
IVM6tE, Jumellis.
lVHlâl,;tmiom.
IVR?,;tiw.
IVRRTOW, jtiratonm,
VXXÙlCXiXS , juridicionis,
IVRIS*TI, IVRPBI,>m/?ert7i*.
IVST, IVST9, justus.
ivf.ivx, VaX.juxta.
K, Karolt,
RK», RRRGnTOrr, KarentonU.
RflRROFF, Karroffensis.
KfiTiÇ, KABI^lNd, Katherine.
R'GOVe, Kercove.
hiShà , Krestian.
MhGl^Kiburffi,
KIRB6*, Kirberg.
KEl^K'ROU, KaroH.
hVi\ih0XC\f, KulemborcL
L, Ludovici, Lugdunensis.
£, fc.
LÂBBRTI, Lamberù.
LABOBrrOR, laharatorum.
LÂBRVILO, Lambervile.
LÂGASTRB , Laneastre.
làCii lancée.
LAGTORQN, Lactorensis,
LHGV, Lacum,
LÂDAS, LÂDASTO, Landas, Lan-
dasto.
LALATG*, LALARG^, Lalaing.
LAMBORT, kmbî. lamb'IltS, Lam-
bertu».
LAMBORVIU!, LamberviUe.
LAMB'TIVIU!:, LambertmOa.
LAM^ A^5 , lamentatio.
LAHBTO , Lanberto.
LAHB'VItE, Lanberville.
XàViCy Lancastrie,
LANDORTV, Landertun.
LANOC, landgravius,
LA'ROy, lànOg, Lannoy.
UNTCRAVF, lantgravius.
LÂâTILG, L'Anquetile.
L A'RM0 , îacrime.
LARBIS', L'Artisien.
IdïgratiB , làfgtrwse , lamgravy ,
lantgravisse.
LATItE, Latilliaco.
LAVAtE, Laoalle.
L Avry, LAVD VN, laubttiieft, lav-
DvœNS', LAVDvnesis , la v-
DVÏiS', LAVDVÎiSIS, Laudunen-
sis,
LAVDVNV, Laudumm.
LAVN , Laudunensis.
'*■>( 55 )k-i<
Lil VR? , Lamentius.
LRVRQGII, Laurencii,
LHY, Laya.
EGT, lectoris,
LGB'GTI, Leberli
LGGSS', Leesses,
LEG*, Legioniê, legum.
LECAT, legatus.
LGG'JRTOHV, legationum.
LG6*IGH, Legwnis.
IfgÛ, Ugum.
lftttÛ0 , Leidensis.
LGIVItE, Leiville.
LGM, LGO)0, LGMOVIG» LGMO-
VIGH , Lemovicensis.
LGnDGU , Lendelin.
LGRRGR', Lennensiwn.
LGNSGÎi , Lensensis.
LGOty, Leodegarii, Leodiensis.
LGOŒCJR', Leodegarii,
LGODIGIF, leotlteft, Leodiensis.
LGOSn, Leomanie.
LGPOR', Leporarii,
LG-PSO9, LGPRGSOR, leprosorum.
LGSI6*IF, Lesigniaci,
LGVDGE, Leudelinsis.
LGX, LGXO, LGXOVIGN, leXO-
UteÛ, LGXOVIGNS^, Lexovioms,
IfgC, Leycestrie, Leycestriensis,
lihïïtfi, Limburgie,
LICE, liceneiati,
hclff Helb, Lickterveld,
UGI, Licerii,
LIGTHRV, licterarum,
LIDDGSIS, liddensis,
LIESSIEN, Liessiensia,
Lie, Ligerii.
LI6*IM, Ligeiim.
LIG'On', Lingoneiisis.
LILGRIGn, Liieriensis.
LILIV, Uliutn.
LIMB, Limburgie,
LinÂG*, Linange.
UttC, Lincolnensis y Lincolnie.
LlOGeO , Lindebo.
L1N6', LIHCOn, LinCOnGn, Un-
gonensis,
LISA, Lisam,
LISSnORGN, Lismorensis.
LUT', lilterarum.
LOGI>AR?, Locharum.
LOGTGn, locnuteu, locnle, lo-
CÛf râttd , locumtenentis.
LOiy, Lodovici.
LOC, LÔG'fiVILLH, Long uct^l lie ,
Longavilla.
LOKGRV, Lokerun.
lOUCl^âp, Lonchamp,
LONCRVItE, Lotigavilla,
LOO', Loon.
LOÔLB , Loquet.
LOOyGRTF, loquentis.
LOR?, Lorans.
LOSSGn, IO0$êll, Lossensis.
LOTH', LOTH, lot^t, lot^'at,
lot^arigie, LOTHOR?, lol^fôr.
lofl^Or, LOTï)R?, Lotharitigic , Lo-
tharingie,
LOVH, LOVHn, lopaû, LOVR-
niGIV, Lovaniensis,
LOVGIJRT, Louchart.
LÔVGS, Louves.
HPIQIQKQ J/Espirièrc.
LReS , lettres,
ES, Lens,
LVQ, lucerUis.
LVG', Ittccebg, Iiiccêbfië, lvg-
GeMB', LVGGeMBVRC' LV-
GGBÔG-, LVGOBORG'QI, Ittcê-
burg, Iticebtirgetts', LVGëBVR-
G\)0, LVGGLBVRG'eiV, LV-
GGMBG'^ Luccemburgis , Lucembor-
gensis, Lucelburgeiisis , Lucemburgie,
LVG8N, Lucensis.
InCt0tie tt , L ucionemU .
L V DI B n , L ugdunensis.
LVD S , Lundris.
LVT) VNGH , LudufietisiM.
LVG, Ing, LVCiy, LVCDVI, LVC-
DVn, LVG'DVnQn, Lugdunensis,
Lugduni,
LVN6B VRG'GN , LuneburgensU.
InpS , Lupars.
LVSHRG^, Lusarchis,
LVXEb, IttXcbttrgO, LVXQMB,
Luœemburgie , L uxemb nrgo.
LVXOVIQN, Luœoiicfisis.
Igmb, LyiiBG\ LYMB'G'IG, Igm-
bttrc, LyMBVR6'^ Igmburg,
Lymburgie , Lymburci.
M,M, 0},în,$ïî,m, magistri, Mn-
nasses, Marcelli, Margarete, Mario,
inartiris, Mauricii, milicie, miHtis,
Milon , mu/ieris.
MA, Maria, mea.
macbltt macl^hta. magi^lih,
MAGI^LinBn, Machlime, MaM-
nia, Machlînensis^
MRGllS , Maceriis.
mâbûf , Mada'ene,
56 )<*• —
mRQ', Marie.
liRG\ magistri.
MRGREis, ntagalon, macalo-
HBIF, Magalonensis,
MACD, Magdeburgi,
MAG'DAE, MAG'DALen, URG-
DL8H, Magdaîene.
MAOTST, MAOTSTROÇ, nu^ster,
magistri, magistrorum.
MAG'IF, magnus,
M A&O , magno.
MACOLG, Magalonetms,
MACLORF, Maglorius.
MAG-HGVItE, Magnàille.
tttagttâ, magnum.
(J)RG\ îltRGRl, ntagn, magister,
magistri.
magUnhtt, Magmtinensis.
NAHL, MaKlberg.
MAiJT, Mahiet.
MAIOR', MAIORF, majoris.
SRAIORIG, SnAIORIGAR^, Majori-
carum.
Qiatdf , maistre.
MAI9, majus.
MARGT, Markele
MAE LGPOB?, Mali Leporarii.
MALAÎ, Malain.
MALiy, Maldeghem.
mALG', Malen.
MALIL, MalileporarU.
MALEA', MaUiart.
MALOPORAR, Maloporano.
M AN6*N , Mangnier.
M ARTOn , Mantone.
JïlAa'RQL, Maquerel.
JïlAa'f, Marquette.
-«•( 57 )•«-
MUR', MHR?, inagistri, maresealli,
Marie, Martini, mare, maris,
MiRGf^, matc]^\ marcl^iô, mhr-
Gi)ioTs , marc^i0î« , mhr-
Gi>iOR, marcl^ion, marc^tonn ,
Marchionis, Marchionisse , Marckio^
num.
MJRQi^ RAiy, Marchasii Radulfi.
01ARGIAE, Marcialis.
MARGIAIGN, Marcianensis,
MJRGbin, Marcelli.
MHRGOl', Marcoing.
MAROSGAL, maresealli,
ÎORKG, mRKGRK , Margarete, Mar-
guerite.
MRRG'IGOVR, Margicourt.
MHRIVilLIB', Marivalibus.
MJRE VILLH, Marliaco Villa.
IÏRR(X\ SnRRÔlS, marquionis, mar-
quis.
SRJRCXSA , Marquetta.
fïlHRT, martiris.
SnJlRT, OTHRTÎ, Martini, Martin,
Martinus.
MRRTIGE, MartinrÉglise.
MHRTIIF, Martinus.
0)HRTIR?, MHRTRM, martirum.
MASGLTG, Masclinie.
VXàSVXÛSl , Masmunster.
QDASSIE, Massiliensis,
MAS'SIQ, Masticonensis.
MHTeFGLÔ, Matefelon.
MRTiÇ, MfiTlJI, Mathei.
MHTI^lLiy, MfiTIL, MHTILiy, Ma-
thildis, Matildis.
MHTISCeHSIS , OTHTISGON ,
M ATISGOHBR , Matiseonensis.
atKSBJGBIjQU , Matringehen.
MHTRO , Matrolio.
MHTS, martiris,
maKOîS, Manonis.
mHVLen6'I>GI>ê, Maulenghekem.
MH VLÎ6'I>eO) , Maulinghem.
MHVR, Mauricii.
MRVRIHGGH, Mauriacensis.
MHVRGG'HT, Mauregart.
MAVRIT, Mauritania.
MAX, maximi.
MRX, MHXIMIL, MRXr' , Maxi-
milianus, Maximiliani.
MGI>I', Merchier.
Sne, Marie.
MECHLIE, MechUnie.
œSGIIFNSIS, Mecinensis.
MGQV, mecum.
NBDAHT, Medantensis.
MBDdRIC, Mederici.
MODÔTA, Medonta.
MBE, Mellento.
MGLiy, melîr, MeLoen, i«l-
DEHS", MOLDn, MOLiyS', Mel-
densis.
MELD Vtl , Meldunensis.
tneUbatd, Melembais.
MBLeO, MBLeDVR, OeLBOV-
HBÎ, Meledunensis f Meleduno.
MBLBTO , Mellento,
ÎÏÎBLBV, Meleun.
MBfcE, MBLLBTO, MeOento, Melle-
duni.
mellêtOtS, Mellentois.
MBLNIOBH, Melnicensis,
OJQURG^ Ménages.
+♦•( 58
MORGATO^, Mercatoris.
MBRQÇ, Merchier,
MGT, meï, MGTen, meleii, me-
HBHS , Metensis.
^E'B, Metheren.
MGTIV, SnOT^SR, Metensis, Mettensis.
SneV, Mem.
MeVLêT, Meulent.
meVTlSeï, Meutignei.
M6* ARETE, Margarete.
MG'R?, niagûstri.
MG'TER, magister,
MT, michi.
MIGi^, HIGI)AeE, MIGI>E, mt-
C^hd, Mtchaelis.
MIGIAGON, MiciaceMis,
MIDÏELBG , Middelburg.
MIR^ MtitiW.
MIE, mih, miViïtf.
MILIG, milicie.
SniEIS, SniUS, MILIT, MILIT , mi-
MILLIHG', MILLIAG, MilUacenm,
MilUaco,
MILTIS, nttlitS, tnilhis.
Min, Minorum.
MINIST, miNIST, viinistri,
MINORA, MINORV, mtnotn, Mino-
ris y Mùiorum.
VXVX9, minus.
mTOR, MIOR?, mtÔr, Minomm.
MIRRPIG, Mirapice.
mttdtllllÔf , MiraumonL
CTIS'ilTOe , miêeratwne,
MISGRACOH, Miseracensis.
MISeRATÔe , MISeRHf ONG ,
WISGRHTÔnG , miserationc.
MIST, mmstri,
MISTIOR , minisleriorum.
nitdtn, tnimstri.
MITHGO, Mitriaco.
SniiADG, Merkade,
SnL,MEITIS,miïïa«.
Sn'LOTO, Melloto,
01E(5, militis.
MRRORT, Motttroni.
â, millesimo,
SnOÂGI>I, monachi.
MOHST, mÔadftt, mouaslcrii
mÔBGLIART, Monbeliart.
0)OGGfcE, Moncellis.
M5GI AGO , Moneiaco.
SnODIG9 , modicus.
MOFHRANT, Mon/aranl.
MÔFGRRRnX. Mon/erranl.
MOC, MOG'VNT, Moguntineiisia,
MOE, Molismensis.
MOEARII, Moiinarii
SnOR, monasterii,
MOHAG^, nwnachi.
SnOHRSTGR' VILLfiR', Monasterii
ViUaris,
MORASTII , monasterii.
mORDHVtE, Mondavilh.
MORLR, Monlaur.
MONSGCN, monsegneur.
MONTAR , Montanarum.
MOHT BILI6*ARDI, Montû Bili-
gardi.
MOHTGMORGIF, Montenmenciaco.
MONTGN, mONTGïF, Montensis,
Montensium.
MORT FOIT, Monlisjorlis.
^ 59 K
MONTIB', MonHbus.
MONTIS BASOR, MonUsbasonU.
MONTIS BELI6*, Montisbeligardi.
MOHTISBVRG*^ Monùshurgi.
MONTISPORT, mOtttwforf , Monr
tisfortis.
HOHTIS^ , MONTIS PEANI ,
SnONTIS PQSSVE, Montis Pessu-
lanû
1ll01ltlllOt(C|[, Monttnorency,
MOHBPEI Monttspessulani.
MOI^, Morinensis.
mOtdUtrâ, Moravtensis,
VXOitSl, Morinensi.
MORIN, MORine', 0)ORIHeH,
MORINêS^, 0)ORinQSIS, MO-
RIHOBf, MORIHORV, Morinen-
sis, Morinorum.
MORIT, Moritane.
MORT, morïftie, moRTAiHC",
Mortaigne, Mortaingne.
M(RVVIL, MoruHval.
Môsec'nevR, mosGG'niGVR,
monsegneur, tnonsegnieur.
MOSOSnOR, Mosomensis.
VXOSl , monasterii.
nidslcttl, MonstremL
MÔSTRVGL , MonstrueL
MOSTVRIOE, Mosturiolo,
SnÔB, Mont,
MÔTRCVT, MontaguL
MÔTRLBAN, Montisalbani
MÔTAHOA, Montanea.
îtlOTHRRGO, Montis Aragonis.
MOTHVT, Montant.
MÔTBILIG'ARïy, Montebiligardo.
M5tGI>GVRGL, MontchevreL
MÔTGORNGT, Montcornet.
MÔTGHLT, Montealto.
MÔTGBRVSÔHS, Montcbrusonis,
MÔTGGORRVTO, Montecomuto,
MÔTG FLASGOH', Monte Flasconis.
MOTG 6'G'MODI , Montegermondi.
MÔTGG'RI, Montegni.
MOTGMGR, Mortemer.
m5tGM(RGQIAG0 , Montemoren-
ciaco,
MOTGP, Montepessulano.
œÔTG'HSOO , Montgascon.
MÔTG'GRMÔT, Montgermont.
!nOTI>ORGR, Mothonensis.
MÔTIFER, Montisferrandi.
tnÔhgtlt, Montigni.
MÔTILII, MÔTILIO, Montilii, Mon-
tUio,
MOTINGIO, Montineio,
MÔTl' PAQII, Montis Pacerii.
mÔltS , montis.
mÔTISGHLVI, Montiscalvi.
mÔTISFORT, mohsforttS, Momis-
fortis,
MÔ^ISNIR, Montismirabilis.
MÔTIS PLI, Montis Pessulani.
MÔTISRGG'HLIS , Montisregalis.
MÔTISSROLII , Montissroîii.
0)5TMJFRTM, Montis Martirum.
MÔTOHGR, Montoner.
MOVSfOLO, Mousterolo.
MOySIRGGN, Moysiacensis.
MR, martir.
MRE, Marie y maistre.
MR'I , MRÏ, magisiri.
MRIS, martiris.
{ 60 y^
fitlT , Metensù.
MTIN, MTINI, Martin, Martmi.
nVDl, mundt.
MVFHVGV, Munfaueun.
MVHOeVIti:, Mundevilla,
0)VRG, Murcie.
tlUfî, Namurei,
UàCOXB, nacionis.
nÂG'IS , Nantis,
NRMCi, namr, NflMvaeN,
NAMVGeHSIS, NAMVGI, IW-
UmCt , HHM VGR , NHm VR-
G0N, nRSnV^GrV, Namur, Namur-
censis, Namurei.
HRUGS , Nangis.
ttarbô, nARBOir, narboneh,
Narhonensis.
NfiTI>OLIO, NanthoUo.
nilTIVITRTl', RRTIVITF, Nativi-
tatis,
HKTOLIO, Nantolio,
neiPE, Neapoli
NeGTI, Nectan.
NGFG, NefchasteL
NGmnVS, NemJlVSeN, Nemau-
sensis.
RGMOR? , Nemore.
neVGRn, Nevernefms.
HGVItE, Necille,
NIGi^, Nichasii, Nkholai.
NIGiJI, niGI^OE, NIGI>OEI, ^icho-
lai,
NICE, NIGOE, Mcolai
NIGWei^GVe, Niewenhore.
ni&GVRTG, Mgracurtc.
RI6*eid:n, Nigeliefuis.
HIG'EH,HIG'tE,%etti.
NITRIBN, Nitrienns.
NPX, Nivemis.
NIV0LLQN, moellêîl, Nivellewns.
mYGLOIV, Nicelonis.
nivGRn, niveRiF, NiveRnBR,
nivoRneiv, nivn , nivnen,
QlQUrâ, Nioemetuis,
NOB^ nobis.
ROBIE, noUlis.
UOBL, noble.
HOQRIQI^, Noeriorum.
N06', IlOgêïO , Nogento.
NOG-êTG RGTDI, Nogento Rotroldi.
ROM, nomen.
U(RF\ NarfoUcie.
UÙXflàVXflOÛ, Northamptonie.
RORSnÂie , Normanie.
HORM AHHOR? , RORSH ARORf ,
Normannorum.
NORMHVHVIfcE, Normaumilla.
HORMDIB , Normandie.
nOT, notarii, notulas.
nOTinClJR, Notingham.
NOBV, mtum.
ROTVLAR^, nOTVLflRV, notula-
rum.
NOVI GRST, Novi Castri.
HOVIOÎ, NOVIOM, MOVIOMBR,
NOVIOMQNS, NO VIOMQNSIV,
novioMêsivm, noviomsis,
Noviomi, Noviomensis , Noviomensium.
Ût0, notre.
RRI, un, HOstrL
nntcbg , yuremberge.
61 >
OBGIGÎ, OBeCIGÔT, Obrecteort.
OkeDIBNQIRB^, ohedteneiarii.
OBE, oMtg, 0BLI6*, OBLIGEA,
obltgactonn, oMiganos, obli-
ge AQôes^oMtfiatoit, 0bItgatO0 ,
OBLIG'ATOSn, oUigaciones, ohli-
gacions, obligacùmum, obUgatianum.
obsttpli^ obsequium,
ûbStTVÙÛ, ûhS^VàÛ, observanda,
OCTHV, OCTHVS, octavus,
ODnS, 0D5, ODOiy, Odoms.
OeSTBÔ , Oestborch.
OeSTêoe, Oestende.
OFFG, offieiaUs.
OFFOnS, offemis.
OFFICI, Offt0, ojfieialis,
Olbêbotcl^, Oldenborck.
OMinV, otntnuttL
OPIDAHCR, OPIDANORV, opida-
norum.
OpjfXOhtlÛ^ opprobrium,
(ROf), Orehtes.
ORiy, Orb', ordinis.
ORDBM, Ordemonie,
ORDTb , ordine.
Otbtgb^, Ordinghem.
ORDinilTV, OrbtnatÛ, ordiMtum,
ORDTS, (RD^IS, OrHs, ordinis.
OrIS, Orléans.
ORnÂS, Omans.
ORVIfcE, Orvilla.
OS, omnes.
OSHB, Osberti,
OSTien, Ostiensis,
OSTReVANHGN, OSTRBVIN-
SIS, OSTRGVÂT, Ostrerannensis ,
Oslrevant.
0T1)0N, OTI^OHien, Othoniengis.
OVDBHBG*, OVDBnBORG'B, ©«-
denborg, Ottdenborgensium,
OVHRrG*, Omaing.
OVRHÂS, Oumans.
OXOfllBn, Oxomensis.
P, pape, Paulo, Pétri, plena, Poneii,
preposili, presbiteri.
P, par, per,
jp, P^pratis, prioris.
^,par, Perenensis, Pétri, pour, prinet-
pis, pro,
^f pro.
P P ^ pater patriœ,
PA, Paulus.
PABVL, Pabula.
PAL A, PALAIS, palatini, palatinus.
PALATI, fahft.palatii, palatini.
I^alahê, palatine.
jpalattû, palatinorttm.
PRLRTTll, palatini.
PRLTl, palatii.
PASnPILOH, Pampilonensium.
P AniSPOTIS . Panispontis.
PAR, Parisiensts, Parisim.
PARAGLITV, ParaeUuan.
PARBT, Parent.
PARIS', PARISl', PARISIB, PA-
RISIBH, PARISIB'S', Parisien-
sis, Parisius.
PARVV, PARW, parvum.
PASTOÇt, pastoris.
fhlli.palatii.
PATRGI>B, PATRIAROH, pa-
iriarchp.
^ 63
panl, PauU.
PBOHDAS, prebendas.
PB'I, pKn, PBIT0,*BITRI,;>rw
bttert,
JPBORV, proborum,
PBR^ pbr, PBRI, PBRI, pin, près-
biteri, prebstre,
^Q, procuratoris.
£GAQIOIGS, procuraciones.
PCCORI , peccatori.
PQQPTR^precepta.
pC^ptOt, preceptoris.
pcl^f , Perche,
^Ql)B PëDVe, Percke Pendue.
•PGVR, prœurationes,
*GVRfiTOR, «QVRATORIS,;?ro-
euratoris.
*iy, PDIG', PDIQRTO:^, Predica-
torum.
ytXChS , predictis.
*PDOM, Prodom.
«DRBL, JRDRieL, P«(irc/, Per-
driel.
PE, Pe&T«.
PGQH , peceata.
PëGI>GVRL , Percheval.
fttttVXOVL, Pedemonùum.
PQlTGnTIiRII, penilentiarii.
PGLGT, Peletier,
PQLLl^ll, Pelliparii.
ytubxoi, Penbrochie.
PGPT, Pépin.
PBR , presbiter.
PQRIQEO , periculo,
PERD, PGROH, Perotiensis , Pero-
nam.
pei^^tnn, perpetuum,
PGSQlLOave, Pegquelofue.
PGT, Pétri, prestre.
PeTG\ PetragoriceMÙ.
PGX', Petiingia.
PGTKIE, PGB^OHILLe, PGTRO-
' UlhK, Petromlle.
PGTRHG'Ô, POTRACOR^, PB-
TRAG'ORIG , PGTRHG'ORI-
GGn, Petragorieensis.
PGÇR9, Petrus.
ptUSt , prieuse.
«FGSS", PPeSSOW , profeswris.
Pititl, pgenth, pnmo^entïi.
PI>, PiJG, PiJI, PI)T, pl^l, PHLG,
pW^, pl^S, PUUppe, PUlippi, PAi-
lippus.
PI G, Pictavensis.
PfGGRHG, Pinceme.
PTGON, PTGOHII, Pineonii.
piGT, PiGTHV, piciâneis, PIG-
THVGH, PIGTilVBHS, Picta-
vensis,
«IDAHT, Pondant.
PIB, Pierre.
FIBGTI, Prejecti,
ptni0, Parisiensis.
PIBRO, Pieron.
PIORRf, Pierre.
PIROlG^ni , Pinquegny.
pi0n5,PI(RIS, prtom.
pxqUtgt, Piquigny.
PIS', pi0 , Parisius, Parisiensis.
P"SGI, Prisai.
PISGRNG, Piscerne.
ptStCdtS, Parisiensis.
*ISIVS, Parisius.
+••( 63 )«*^-
PISS', PISSIAG, PISSIilGH, Pis-
stacensis, Pissiaci.
PYBRQlRRlQ.pitanciarie.
piïX, periti.
JPIZ, Periz.
PER,PLR,piena.
PLH'GI^ . . , Planchai.
PLÔ, PL§A, PLOIF, piena,pienus.
JfltVXtUl, parlement.
PLI, Pessulani.
phx, palatn.
PUR ^ prima.
ProÂT, primatis.
P'He, prme.
JBtaiBW, Parmentier.
PMISSIOR, «MISSIOHO, permis^
none.
PMOCeiTI, FMOCGHITI, primo-
geniti.
PnGIPH'59, principatus.
Jf'XiCtfB , princeps,
•PRGIPIS, principis.
P&e, PNG, JîttlÛ, PNIG, peniten-
tie, penitenlia.
PÔGKRDI , Poncardi,
PÔGI^Î, Pouchin.
PÔGII, Poncii.
PODGMnÂ, Podemnaco.
JfOtill, primogeniti.
JfùitàUXt, Pomeranie.
POIGICRÔ , Poincignon.
POE, PoUgny,
POMERHN, Pomeranie,
POHT, pouf, poniijicalis, ponlificis,
Pontisarensis , Ponlivi, Ponthieu,
PONT HRT^, Pontis Artche.
PONT flViy, Pontis Audomari.
PONTI)ISSJR, Ponthissarensis.
POHTIB\ PonUbus.
PONTIS^, PORTlSJRGSlO, POH-
^ISARGN , Pontisarensis, Pond-
sarcsium.
PûUlXBàUÙOVX, Pontisaudomari.
PONTISMOH, Pontismontionis.
POHTISSAR?, Pontissarensis,
PORTIVGR, Pontivejisis.
PÔPLORH, Pomplona.
PÔPORG, Pompone.
POR?, prioris.
PORH^S, PÔRJIT9 . pôrattld , prio'
ratus.
PORGI7, Porcher.
pOtf, prioré,
«ORIS, PÔRIS, prioris.
PGR.ISSG , priorisse.
PORTVGH, Portuensis.
POS , Pons.
POT AVDOM, Pontis Audoman.
POTG, Ponte.
POTGLVR, Pontelungo.
PÔTGSIV, Pontensium.
PÔTI, pôtim, Pontieu.
PÔTISilR', Pontisarensis.
PÔTIS GilST, Pontis Castri.
pÔh0Ontt, Pontisomi.
PÔTIVI, Pontivi.
PP PP, pp, PPG, papa y pape.
JPPG, ppe,jDrope.
JPPGTVI, perpetui.
PPOl, PPÔITI, preposili.
4PP01TVÎG, PPOITVRG, preposi-
ture.
< 64
^POS, JRPOSIT, prepositi, preposttus.
JPPOSiTO , prepositure.
*POSITI, PPOSITI, prepositL
j^00tfltS, preposilus,
pJfOH, PPTl, prepositi.
PR, PR?, presbiter, presbiteri.
PtftfOtft, Pratorum.
PRAXeÔ, Praxedts.
PRDIQ , Predtcatorum.
PR8, pr0, Pierre, prepositi,
PRëBiTGRi, PReerei, prbbi-
5RI, PRBISRI, PRGBR5I, Pres^
btteri.
PRGDIG, PKQDiaRTO^, Predica'
torum,
PRGMOHSTO', PRGMOHSTR ,
PRGSnORSTRilT, PRGMOHS-
TRHTGH, Premonstratensis.
fXtÛSÏ, prevast.
PRGPOl, PRQPOS^, prepositi.
PRGS, PRGSBIRI, fXtshxïXl^preS'
biteri.
JfXtSlt, prestre.
PRBSVE, presulis,
PRGTR', prêtre.
PRGVDÔG, Preudome,
ptt, PRI, presbiteri, principis.
PRlR.patria.
JfXlàllS , primatis,
PRIGIPIS , principis.
PRIG'NH, Perigna.
PRIMHT, primatis.
PRimOG'GITI, PRIMOG'ENIT,;)ri-
Mogenitiy primogenitus.
PRIHG, PRIHGIP , pn/ici>i>.
PRIHGIPAT', principntus.
PRIORI , priaris.
PRIORA^ , PRI0RAB9 , prioratus.
PRM, primatis.
PRO , profunda.
PROhOR, proborum.
PROGVR, proeuratoris,
PROFBSS, professons.
«RORA, Perona.
PROP, prope.
PR0TilSI9, Protasius.
PROVIGIALIS, provineialis.
PRVLIAGGNS, PruUaeensis.
PRVVm, Pruvinensis.
PS, PSBR'I, fShxX, presbiteri.
•PSOG, «SOH, ^SOUB, persane.
PST', prebstre.
rf*'E , parte,
PTGtE, PBGLLIS, PratelUs.
JRTGNAI, Partenai.
•PT^, Partheniaci.
JRTI>ASI9, 4PTHHSIVS, ProAasius.
JRTI7ONO , protkonotarii.
JPTIHGI, PerUaci.
tiTlCO, Pertico.
*TIG, partie.
*TIS,PBIS, Pratls.
JPTR, Partheniaci.
PVBE.publici.
PVDGXmnG, Pudentiane.
JPVIGIG, *VIE, JPVinÔ, Provincie.
jpOttlCtft, Provincia.
«VIRGIAE, provineialis.
«UinOIG, P'VinaiB, provincie.
PVLT, PVLTGRIGN, Pulteriensis.
JPVOST, PVOST, prevost.
.( 65 >
fVMlt , prevosté,
J^VSIH, Perusinum.
P V, parvum.
OJIiG\ Qingey.
QINDAM, quondam.
qHTIHI,Çttin/im.
OITORI, Qviteri,
OjSR, quam.
qÛD , qmd.
aVGHOI , Quesnoù
aVÎGI>I, ÇntVicAy.
OyiOOl.qvicquid.
âVILLI, Qumllù
qVIHTIH, Quintinus.
qVÏTIRI, Quintim.
qVOHiy, aVORDÂ, qwndam.
R, tt, Raimundus, Reginardi, Renaldi,
Ricardi, Rigaldi, roi, Rouen, Roberti.
R D, reverendi damini.
RRD,RRïy,Radulphi.
RHDFOTë, Radmgim.
RHDVE, Radulfus,
RÂG*, Ragimldi.
RAUn, RAIMODI, Raimoudi.
RASe , Riuse.
RAS06*I>B , Raseffhem.
RASOn, raddÔtd, RasonU, RasHOMs.
RHYM, raBtllÔbl, Raymundi.
Riy, Rend.
Xhtif , redemptionis.
XtCtfiûXy receptoris.
REQUATORII , ReclinatoHi.
ROQOCIF, r«cognitioneit.
RODOir, ReDOHOH, Redonens^*.
KQG , ROC, réj^*5, ré^em , r^ium , re-
Ufine, Regtnaldi, regalis.
ROG^IR, Regtnaldi.
Re6'ISTesT^ ReciTesTefi ,
regisfesltt, ReOTSTi^esT, rg-
ciTijesT, Re6'iTi>GSTen, Rê-
gistestensis , Regithestensis, ,
RO&S , régis.
REG'V, regtt, regufn.
regulanft, regulanum.
RGIFl", ReiJiM.
RGE, RGUGT', relicte.
RGM, RGMOI', RGMSIS, Retnenm.
RGH, Remildt.
RGHGRVIE, Renervilla.
RENOVAT, RGnOVATV, renova-
tum.
regnestatft, requestamm.
RGTGIF, Retestensis.
RGVGRDI, reverendi.
R'GinA, regina.
R6*IS , régis.
RCIV, regium.
RIBOD", RIBODMnOT^ Rihodimon-
tem, Ribodimontis.
RIG', RICIR, Ricardi.
RIGI>Gmiy, RIGI>GmVDI, Riche-
mundi.
RIGiÇCnOHTIS, Richemontis.
XÙV, RIDGRG, riddere.
RIPO»:, Ripellis.
RI-PIA, Riperia.
RlPPie, Rippane.
R'niGR, Renier.
ROÂnOR , Romanorum.
ROB', ROBGRT', ROBeXI, «o-
berti, Rohertus.
ROB'CQ, Roberge,
ROBT, ROB'T, ROB'TI, Robert, Ro-
bertù
R0G•^R06•'I, Rogier, Rageri.
ROljL, Rochelle,
RO$n, ROMAN, ROMHNO?Z, RO-
MRHORV, romaôr, Romani, Ro-
tnanorum.
ROn , romane.
RONQ', Roncarollis.
ROSQf),Roscha.
ROSCHILMN , RoschiUlensis.
^OSQTBÛ, Rosetenm.
ROSILE, Rostllione.
ROSnHGGrr, Romacensi8.
ROSSIE, ROSSILl', ROSSIUOIS,
Rossilione, Rosstltonis.
ROT, Rotelti.
ROTDI, Rotroldi.
ROTfJ , Rothotnagensis.
ROTiJI, Rothomagi,
ROTI>nfiG, roll^ttaCën, Rothnacen-
ROTHOM, ROTI^OMilG', rof^O-
mag, ROTi^oMAG-efi, roï^o-
mâfleû, ROTi^OMncësis, /?©-
thomagensts,
ROTIjOHACëSIV, Roihomagensium
ROTOMHG*, Rotomagensis.
ROTVDJl, roiunda,
tOfltltbÛ, rotundum,
RaVH, Roqua.
RViyeRe, ruddere.
RVetE, Ruelle.
G6 y^^
RyPlÛ, Rufiae.
RVPGFi, Rupensis.
RV4PTI, RtqHfrti.
RVRGMVnO', Ruremunde.
RVT, RVTiJ, RVTijen, RVTI^G-
HGN, Rutkenensis.
S, S^, "S*, "S-, S, saint, sancti, sancte,
sanctus, Sanche, Sancii, seigneur, sire,
sergent, sigillum, Stepkanus, sur.
S R , semper augusti,
S' B', Sancti Rertini.
S' F, Sancti Francisa.
*S M, Sancte Marie.
S)
p ■, sanctus Paulus, sanctus Petrus,
S" PH , sanctus Paulus.
S
P
Al
V
, sanctus Paulus,
S PE, sanctus Petrus.
S
G
T
, sawtus Petrus.
S R , saticte romane.
S R E, sancte romane ecclesie.
SflB, SflBflVD', Sakttb', Sahau-
die.
SABIRGn, S An, Sabinemis.
SABRA , Sabram.
SAC, sac, ««cri.
SAQ IMP, sacri imperii,
SAQ'p', SA^IDOTIS, SAQGR-
DOT, sacerdotis.
SRQ\)\T,Sanchiz.
SÂQII, Saficii.
^ 67 y
SÂQTI, Mneù.
SA6*LOTs, Sagahms.
SAT, saint.
SATLIZ, SaùUU.
SETT^Bàitsaint.
S AL, SAE, SalinentU, Stdomoms.
SàltVXOiy Salenume.
S ALLA, Saltarn, SaOnarum.
SAUNBSIS, SaKnensis.
SRLJS, Salins.
SALH', StJmensis.
SALMVR, Sabnuntm.
SALœVRieN, SabnuriensU.
SALV, SALVAT, SALVATO»,
Sahatùris.
ftjlllllbnrà, Salubriensis.
S AL^, sabnm.
SAHCr^^ SANGT9, sanetus.
SAHDOWIfeE, Sandouvilk.
SAnDRT, SanJrart.
SAnS', Sanson.
SAPJR, Si^Hura.
SARDIR, Sardinie.
SARLATaïF, SARLATR, Sorfa-
tensis,
Sfttnrâ, Samensis.
SAVICHeH, SavignensU.
SAVICRYAGen, Samgnyaeensis.
SAVKOVIE, Savkevaiê.
SAVS, Sausemberg.
SàUW^ Sameur,
SAX0Û, SaxonU.
SO, sanetus,
SOAB, SdABÎ, seahmi,
SaABIRAT9, sealmiùtiu.
SGABiHOff, scahnar, sgabi-
RORV, SCAEToK, K^Sm, sea-
oviontun,
SGiE, sanctœ.
SGBONBIS, «cn'kfUM.
SGBIS , scrihis.
SGBO, seriho,
SGI, saneti.
SGO, saneto,
SGO P, saneto Paulo.
SGOE, SGOLAff, SGOLARIV,
scolastiei, scolarium.
SGOLAST', SCOLASTIG^ scolas-
tiei. .
SGQ9, sanetorum.
SGPTORIS, seriptoris.
SGS, sanetus.
0Cf0> saneto,
SGTVM, secretum, seutum.
SOG, secret.
SGGReT', «ecret seGRex v, se-
GRTV, 0ecrn, SOG^, secretum.
SGGTI, secreti.
SeOTV, secte, Setlnn, secretum.
0f Ctltlb^, secundus.
Seiy, SÙ\ sedis.
SeDGLOGeii, SedelocensU.
SGG*, segretum.
SâCI)!, Senghin.
see^R, 0esû, segne', segneur.
SG6*VTIRI,%iifi/mt.
SEI&, 0etg, setfiûr, setgt, «et-
gneur.
SGHH:E,&mt//f.
SG!!*, SEMP, semper.
SGR,9flie0Cl^, senescallie, seneschaus-
sée.
5.
K 68
SGRIOff , semûns.
SENON, SenOir, Senonensis, Seno-
nU,
SQ-P, semper.
SePRÂ, Sepram.
SePTen FORTIB', Septen Fofaibus,
SePVLG, SePVLGiJ, sepulehri.
Sea^AM, Sequanam.
SESCALLI, senesealii.
Seseu:, SmseUes.
SEXT9, sextus.
0ê0eir, SeZOLLeS, Semelles,
S^G'en, sergen.
S'G'GT'^, sergenterie.
S, SI, 0I, sigillum, sancti.
SIGIE, Sicilie.
SIGLIH, SIGLIRlê, SIGLimOH,
SiclinieMU.
Stg', signeur,
SI6•^ SIG¥, SI6*Ii:i!:, SICIEEO),
SICILLV, SI6*IEVM , SICE
SI6*id[!Va), <^V/ttm.
SI6*R , Stgftv signeur, signo.
9t gtlft, signeur.
SlCnV, 5t01t&, «i^ur^ «^tim.
SI6*^R, «ijg'ntftir.
0tl, sigillum,
SI£, SILVAN, SILVAHeGT, SII^
VHneGTen, siLVAReGTG-
SIS, SILVAIGTe, SILVHRG-
TGR, Sihanectensis,
SILVGS^^ Sibestris.
SlLVm.Sibestri.
SIHCF, SIHOTS, SIMOn, Simon, Si-
moms,
STPI>ORIAnVS, Simphorianus,
SlttHOt, Slavorum,
Sl00OtCra\ Slesmeensis.
SHuE^StE^sigUlmn.
S • L • V • A, Silvanectttm.
SSn, sigUlum.
SMAT, sermant,
SÎi vTG, Sancti Vineentii.
SHT, mur.
SOtSÔ , Soissons,
SORGCIGir, Sonegiensis.
SOROff, SOROR, SORORÔ, «0-
rormn.
SO^Gf^, SotingUen.
SOVGI>GT, Sùueketo.
SOVPLIG^ Sotflieaurt.
SP, ^ponAetim.
SPA&AG, Spagnae.
SPAHI>al, Spankeim.
SP A^II , speciarii.
SPG SGI, Spiritut Saneîi,
SPIREU, Spirensis.
SPROna,6Jpamafte.
SPS, spùritus.
SR, siupeTm
SS, Svessimiensis.
si, saint.
S'B, STG, Sfiptâm».
Sieêbelie, Steenbeke.
STGÇARI, STGPiÇ, STPl>An,
STGP^G, STGP^I, STGP^HI,
STGPI>S, STGPiÇVS. Stephani,
Stéphane, Stephanus.
STETI.Slefîfi.
STl«, Stirie.
SJtOt, saneUnrum.
SÏnê. Strien.
•».( 69 y^ —
STRVœeHS', S&tmenêù,
STTIS, StraHs.
ST'VLe, Staok.
SV, 8wn,
SVBDeG, iuhdeeam.
SVBDIAGOIF, êubdiaeom.
SVBPRIOff , tubpriarU.
SVGSS', SVESST, SVGSSIÔ ,
S vessioii, s vessioiF, sves-
SIOHG, SVeSSIONGH, SVGS-
SIOHGSIS, SVeSSIOHS^, Suêê-
nonensis.
Htf , Sume.
SVLO, Sukiuis, pour Insulensis.
SVPMV, SVPREMV, êupremum.
SVSmS, Susanne.
Sllip(ftn, Su^haiûe.
S'VV, «er&um.
SWGST0R^ SwesteretUium.
0SmÔ, SYHOIS, S^mon, Symonûr.
TABefeE, BABOLLIOIS, tabellto-
nû.
Tabelhotiat, (oieffionati».
TAG, Taconis.
TÂGJRVILe, Tanearvile.
TAILLOB', TAi£B, Taillehurgi,
TSnCAVIL, Tanearmlle.
TiHTV, tantum,
TARDGGI>I§, TardeeUen,
TÂTVH, tanimn.
TAVHI. Tavemi.
TOGO, Trecensis.
TGII, fctl, tercti.
T'DIF, Tardif,
TGB'G'e, Teberge.
TGG, teeum.
TEGKH, Teekheruis.
TGGO, teeum.
TGGSAVRJR, teesaurarius.
TGMM^NAn, Temmennan.
lîVitjf, Tenques,
TGnRGMOnD', TGRRGMOnDGR-
TIV, Tenremondi, Tenremondentium.
TERA, terra.
TGRR', Terrici.
TGRRAGINGH, Terracinensis,
USàtàXlW , tesaurarius.
TGST PG, teste Petro.
TiJ, Tkeoderici, Thome, Thorota.
TI^GHOLIGH, Tkenoliennê.
BI>GOiy, TI>GODRIGI, Tkeoderici.
'B\t%, BI>GSAVR, TIjGSAVRA»,
ihesaurarii.
TI>GVTORIGOR?, Theutonicorum,
'Blyl^ Thibaud.
THIDGBf, Thiderid.
TiÇM, Thomas.
TI^OG, Tkohse.
TI>OE, CI>OEA, Tholosa.
TI^ÔLARI , TI>OLOS AIV, Tholosani,
Thohsamnan.
TI>OM', Tk(me.
TI^OO), Thomeriarum.
filOnlùXCn, Thouhnjeon.
TiÇSAVRA, thesaurarii.
BIBÂ, Tibaut.
TIBODIVIfcE, Tibodicilla.
70 H
TIB'TIS, Tibertis.
TIOGTêH, flECTÏÏSIS, Trajeetat^
sis,
TliÇRGH, Tihemensù.
TinreiS', TriniUUis.
Wroî, TiroUs.
TIT^ hï, TITVL, tituU.
THrê, TNITilT^ THITKTIS, flll-
Ialt0, Trinitatis,
BnV, Temu.
TOGF, tociiM.
TOLSTHn, Toletani.
TOtE, TOtES, tollis.
TOETHR, Toletaneiuiê.
TOLTI, ToktL
TOn, Titronensis,
TORGE, tonelîer.
TORGIJ, Torchi.
TORLRVIE, Toriaville.
TORN,TORniiG, fortiace, tor-
nAGoiF, foruaceû, torna-
G0HS, TORHHGH, UxUMtU,
Tomaeensisj Tomasensis.
TORRODOR, Tomodarensis.
TORVItE, Torvilla.
TP^I, Tephani.
TRH, terra.
TRAieGTeîî, IXàltCfnSXS, Trajiô-
tensù.
TRÂLOAVS, Tranleaus.
TR'Gë, Trecensis.
TRe, Tvrre.
TROGOR, treceft, TRBGH, rre-
cetuis.
TRGV, TReVORëR, Trmris, TV
veremis.
TRÎ^flT^ TnnitatU,
ttOtt, Trotitt.
tSIG'RieS, Trasifnies.
TT, tituU.
TVHN, TervanentU.
TVD\ Tuâinimm.
TVLE, TuOio.
TVLl. TVLLGR, TVtEH, Tirffei-
m, TuUmtiwn.
F^THGHL, 7«mém7.
TVR, Tunmis,
fattigtC, Turittgie.
TVROH, TYRORGR, Tvrmensis.
TUTOL, Tuteknsis.
TVTTIS, tuttricis.
TVV, tuwn.
TyRyG'I>H, ryny^Aam.
TYR, Tyro/w.
V, oon.
V I, vtroquejvre,
VR , oa».
VHGHTe, URGStIS, vaeatUe, va-
eantis.
V&ùi 1 vanden.
VHF, ValUhu,
VAE, FafeAt.
VHE, VALëGl^HS, VALêGIB-
RQS, Valencenis, Valenehiennes , Fo-
VAEQ, Fo/ene.
VALêffGVIAR, Vakngeigar.
VALE09V, Vakmwu.
VALaii, VAEGR, VALeRÔ, VA.
LONGOIF, VALGHGeHeH ,
V ALeHGëiieSIS , Valeneenai,
VaUneenensiâ.
VALenc^, vALeHGi^eReRS',
vALeHGi>eRësis, VALen-
Q^S, ValenehettM, VaUnehmtntU.
VALBRT, FofaKmouù.
UALOS', Vakne.
VALêTIH, FafaKmmw.
VAEie, Valérie.
VAUS, ViUlù.
VALRB', Valkemiiirg.
VRhE ,VALLB?, Vattù, VtMu*.
VALEeCOVRT, Fa&neoiirt.
VALLBRBD, Fa/bNi(w.
VALUB3, ValUbuM.
VALLIS LVQ, Vallù Luemitù.
VELE PRO, ValUt Pit^imde.
VAU: VIRIiy, VaUù VtrûUe.
VAER, ValeiUmeiuù.
UH.RC, Yaleiteie.
UALOIf, VALOH, VabmmtU.
VàtUt', valider.
yjR, VarnettOH.
VAReneS, Vamme*.
VASGOR', Vatcome.
VASIOHeïi, Vanatenth.
VASS*, r(Vtatt»aeo.
VRSSRtE, VouaUiM.
«attrell*, VaueeUe*.
MttInSSâf , VauhtgeaM.
VETIS, VhertU.
XiitX STftt vkarm generaUe.
VDV0, vidM.
VDVR, FttnfamaifM.
VeCVTe, veemt».
VeÔ, Vedaifi.
VêDOUO, Fmdoft».
VÔDOVCieS. FMbififiM.
71 >«-.—
UeiT, Mm(.
ueLLOTReii , veLLOTRsis , va-
letrenn*.
VOLV AVReV, F«iMii amrttm.
VQR, Veimetetumn.
VenÂTIO, Vemu».
VeneTUR', Veiutianim.
UeRTAOORen', Ve»taiormuk.
VORROR, Vemmentù.
VQTI, voeri.
V6"0, Virgo.
VCOmVS, VgtmbuM.
VffVLTO, VirgMlto.
VIA, mam.
VIANeâ. Fmimmw.
VTG, FmcMiln.
VIG', vieeeomùi», meeeflmitatiu, vieomté.
VIGAR, metX, VIGARlOff, viea-
m, tiearie, meariormn.
VIGGGOTtATVS, viceeomàatus.
VIGeGOTnS, vieeeomitU.
VIGOGOM, VIGeGOHif, vieeeomi-
tatut, vieeeomitis.
VIGEDÎil, vieedommi.
VÎGeMT, Vineeia.
OtC0, neonte.
VIGORT? , vieottté*.
uiGôTB, mcôU, vi9Te . utrte, »•
eontt, monté.
VIGTO^I, Vietorit.
vieîi, mevi, vioim, meinuft,
VieRReRS", FwMM,
VlCeS', e^remno.
tUG'ULTO. Fh^kAo.
VILLJRIB', ViUarOui.
VUXai^vilUeL
72 y**-
VILLeLVP, FtMfwiut*.
VHXGQRJRT, ViUagaiMl.
VII!HOVA, Villmwa.
viispeâTe, mpemu.
VIES, Vilen.
UIRGeRARV. Vmemanm.
VmSTÎne'eR, Vmanngm.
VIR, Fnynm.
mrbtt, mrbttlttft, Vtrimmn*.
VIR&, (%mw.
VîRïiy,viridù.
VIROM, VIROHÂDIA, VIRO-
SRHRDHR, VIROHeN, Vinnum-
dttHtit, Yiromaidauit, VinmtaiJM.
VmzILIAGQR, Vinaiaemù.
VIVARieH, VwttHami.
VIVIÂI, FwJam.
^^SITATIS. wwMrnfariù.
VLHetE, VbneUU.
VLTRA AVÂ, Ukn Aqium.
VHB,VnibertL
yfP.Vemone.
VHIVSITAT, mtlÔStiaiUI, i«»«r«-
^HOUI, Venum.
VROUO, VernoUo.
VHVeLG', Vermds.
00,0011.
VOLVeRT'. VohtHti.
tlOCV, wtem.
OrUSÎ, Vrietkmt.
Ot0ft, vntme.
VRSICfiPI, Urneampi.
VRSmF, UrtmU.
VS5, Vienon.
vnaeH, vriaësis, utùemu.
VTR, VTVSa, Mtriutque.
VVIR, Vervm.
VX, VXÔ, VXOR, uxori*.
W, Waiebm.
^AASS»', Waa$seur.
WALaHHI, Walenami.
^ALQROÂP, ValaKamp.
ttlAlçÛ, Wa&mn.
^AUaieRVIide, WaUqiemlle.
^ALLeOVRieii, WalUeuriemù.
^ALLIAG', WaOiaeo.
WKLT\ VALTGR, VALTI,
^ALTH, Wabm, Waltmi.
^ARDReC'', Wandr^ùm.
'^ABI, Warin.
'^ARIHGieRVItE, Wamgienilh.
^ARR, Warwidc.
WRSTm', Wattmauù.
VAT, Watier.
VAXeiF, WAT0HeH. WATG-
HÔSIS, Watmeiuit.
^^ATineif, Watimnt.
"VAVB'GOVRB, Wiuiberanirt.
^AULiÛGOUK, WatMneomi.
\7AVavaa, Wan^uelm.
\7AVRÂS, Waoran».
WAVteGI>T, Wmreekm.
VAYRTS*. Wmrùg.
VAVT, Wautier.
^TEISSEHB, WeiueHbwgauù.
irehL, WeUentU.
73
WÎ, Wittame, Wiari.
WlVa, WiUaum.
)ftnl$, ^STILi^I, WMdm.
VltE, VILL, WiUehmu, WiUaime.
TfniXMÎ/L, WilUam.
VbtlU, ^^97ILLO)I, WaUhm,
^^OTIidOIVS, WiMnm.
^^TIRTORlën, TfcnloiiMfim.
VIS, TTôtece.
VISCtt, TTûjwtfs.
'WLFR', Vuffîramm.
VEI, VtE, 'VHn, WHMI, TF*
iebni.
VMVS, mïfc&fiw.
'WORMGRHC^ Wormerange.
VOVT, VOVTG, PFoiiter».
WTOR, WIrtoii.
XAHGT^ XAHOTOH, XaneUmen-
sis.
XARI, christiam. '
XAIUT, chrùtiamtaHs.
XANTOHOR, Xantonensis.
XPE, OmA?.
XPI, Cimfi.
XPIfllP, XPIfiHI , XPIilHIT ,
XPIAHITÂ, christiani, ehrisiiani'
tatis.
XPIAHOR^ ehristianùnm,
XPIRG, Christine.
XPiniTHTIS, XPRISTIARITAT.
XPIT, ehristianitatis.
XFOPI7ORI, Christapkori.
XFS, Christus.
XSTIAHI, ehrUdam.
yOLRRD', YolandU,
yOLGT, nient.
yPRen, S^rett, Yprensis.
yvoDieiF, rwkfciMM.
ZAOL, Zaeîandie.
làVXÙX, XAMORON, Zamarensis.
îeel, jeeir, jeellte, ZeeUandk.
jel', jelàb. ZGLHHD' ZGLL, Wl-
lâbte, Zelandie, ZeUandie.
2GVGG0TG, Zeveneote.
intnhgfftn, Zevenberghen,
ZOVTELADE, Zovteknde.
2VTPH, JUip^fa*, 2VTPl)fl-
RIGR, Zutphanie.
tn^tbânf , Zwytbevelant.
ÎBenXeÛ. Zyerixensis.