LIBRARY
OF THE
PHILADELPHIA
MUSEUM
OF ART
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P À IL î <S
L'ART DÉCORATIF RUSSE
Copyright by Vincent, Fréal et O, Paris 1928.
G.-K. LOUKOMSKI
ANCIEN CONSERVATEUR DES PALAIS MUSÉES DE TSARSKOIÉ-SÉLO
ET DU MUSÉE DES BEAUX-ARTS DE KIEV
MEMBRE DE L'INSTITUT ARCHÉOLOGIQUE DE MOSCOU
L'ART DÉCORATIF
RUSSE
ouvrage contenant 182 planches en phototypie
couverture en couleurs de
S. TCHEKHONINE
Ancienne Maison Auguste VINCENT
VINCENT, FRÉAL & O, Successeurs
4, Rue des Beaux-Arts
PARIS
1928
>Lî5o/
PRÉFACE
Depuis l'ouvrage bien connu de Viollet-le-Duc qui
date de 1877, l'Art russe n'a été l'objet d'aucune étude
d'ensemble (1). Cependant les connaissances du public
européen sur cet art mystérieux se sont considérable-
ment accrues; on a découvert à la fin du xixe siècle
l'architecture de bois de la Russie du nord, les icônes
de Novgorod des xive et xve siècles, les églises décorées
d'Iaroslavl du xvue siècle, mais ces découvertes n'ont
pas reçu la publicité qu'elles méritaient et n'ont que
dans une faible mesure débordé les frontières de la
Russie. Il en est de même des splendides fresques des
xiie et xme siècles de Vladimir et de Tchernigov, des
icônes de Moscou qui datent des XVe et xvie siècles (2).
Les quelques manifestations d'art appliqué ancien et
moderne russe aux Expositions de Paris en 1907 et 1925,
de Milan en 1927, et ailleurs, n'ont fait qu'imparfaite-
ment connaître l'art décoratif russe. L'exposition
d 'œuvres d'art de Koustari en 1912 et celle organisée par
Mme N. Ehrenbourg et par moi obtinrent cependant un
réel succès; elles furent appréciées au même titre que
les ballets de Serge de Diaghilew et que cette exposition
rétrospective de peinture russe ancienne du Salon
d'automne en 1906, présentée par S. de Diaghilew.
Il est évident que l'art qui s'est développé à partir
du xr siècle à Kiev, à Vladimir et à Novgorod est d'ins-
(1) En 1921, M. Louis Réau a fait paraître un ouvrage impor-
tant, mais qui n'est pas assez illustré.
(2) Sur ce sujet, j'ai déjà donné différents articles dans les
publications : Bévue de l'Art Ancien et Moderne, La Renaissance,
Le Cicérone, The Burlington Magazine, Emporium, L'illustration,
1923 à 1926.
SEPT 1940
piration byzantine. Toutefois ce n'est pas une imitation
servile et d'autres influences assez nombreuses sont
venues assez vite s'y ajouter, et même la contrarier.
Les recherches récentes ont démontré que le plan de
Sainte-Sophie de Kiev, par exemple, et même les
étranges décorations sculptées des églises de Vladimir,
doivent beaucoup plus aux monuments géorgiens ^ et
arméniens qu'à Sainte-Sophie de Constantinople. D'un
autre côté, les influences occidentales se sont fait sentir
de très bonne heure, particulièrement à Novgorod, qui
entretenait des relations commerciales très actives avec
la Hanse germanique. Si l'on peut contester la thèse
un peu trop tranchante de Kondakov sur le caractère
italien des icônes novgorodiennes du xve siècle, il est
hors de doute que le Kreml de Moscou, qui passe auprès
des voyageurs mal informés pour la quintessence de
l'art russo-asiatique, est la création d'une colonie d'ar-
chitectes italiens de la Renaissance.
A partir du xvie siècle, on peut même dire que ces
influences deviennent prépondérantes; les relations
anglo-hollandaises s'établissent par la route d'Arkhan-
gelsk, les étrangers se multiplient dans le « faubourg
allemand » de Moscou et les ukrainiens y introduisent
les raffinements de la civilisation polonaise.
La thèse des « byzantinistes », qui soutenaient naguère
que l'art russe ancien n'était qu'un reflet ou une survi-
vance de l'art byzantin, n'est donc plus défendable.
L'art russe s'est dégagé peu à peu de cette emprise
en s'assimilant des éléments empruntés à l'architecture
romane, à la Renaissance et au style baroque.
L'art décoratif russe ancien semble pouvoir tout
d'abord se diviser en deux groupes; d'un côté l'art de
la capitale, du Tsar, de l'aristocratie, et de l'autre l'art
paysan, rustique, en un mot l'art populaire. C'est sur-
tout le premier qui a subi le plus les influences exté-
rieures, son évolution ayant eu lieu dans des milieux
accessibles à l'élément étranger. Tandis que l'art popu-
laire est demeuré ce qu'il était au xvie siècle, partout
et jusqu'à nos jours les traditions nationales sont restées
intactes; la sculpture sur bois, les broderies, l'art céra-
mique ont conservé leur caractère propre, ce qu'ils
avaient de russe (rusticité savoureuse des bibelots de
Koustari). L'art décoratif russe s'est aussi beaucoup
développé dans les monastères et les églises. Les icônes,
les trônes, les mitres, les reliures des évangiles, les lam-
padaires, encensoirs et tous les objets et vêtements
utilisés pour la célébration du culte nous apportent une
grande variété de documents.
On pourra apprécier à leur juste valeur tous les aspects
originaux de cet art, qu'on a considéré si souvent comme
un amalgame d'éléments importés du dehors, en par-
courant les planches de ce modeste ouvrage. Nous venons
exprimer notre gratitude en la mémoire de la princesse
Tenischeva et en celle du professeur Souslov qui, en
collaboration avec le photographe Barstchevski, ont ras-
semblé une précieuse série de photographies sur l'art
décoratif russe (1).
Nous ne remercierons pas moins M. Louis Metman,
conservateur du musée des Arts décoratifs et M. Deshairs,
qui ont mis aimablement à notre disposition toute la
documentation de ce volume.
(1) Il n'y avait que quatre collections semblables : la pre-
mière se trouvait à la Bibliothèque des Beaux-Arts à Saint-
Pétersbourg; la seconde à Smolensk au Musée fondé par la
princesse tenischeva; la troisième à l'Ecole Strongonov à Mos-
cou; et la quatrième à la Bibliothèque du Musée des Arts Déco-
ratifs à Paris.
CARACTÈRES GÉNÉRAUX DE L'ART RUSSE
Depuis le moyen âge, la Russie, cet immense pays
s'étendant des places nordiques aux pays ensoleillés du
Sud, a provoqué l'émerveillement des voyageurs par son
étrange té, l'imprévu de ses coutumes et de ses mœurs,
l'originalité de son art, l'âme ardente et mystique de
ses habitants.
Toutefois, elle devait forcément subir l'influence des
nations voisines avec lesquelles des relations intellec-
tuelles et commerciales s'étaient établies (Allemagne et
Suède) et avec les peuples des Balkans, orthodoxes
comme les Russes et fortement liés à eux par la com-
munauté de religion. C'est ce qui explique qu'en Russie
toutes les manifestations de l'art : architecture, sculp-
ture, peinture, art décoratif se soient fondées en un tel
mélange de formes et de genres. L'art russe a, comme
le pays même, un caractère hybride, il n'est ni franche-
ment asiatique, ni franchement européen; il est indi-
viduel ou « simultanément ou alternativement l'un ou
l'autre », comme pense L. Réau. L'art en Russie a tou-
jours été victime du sol, du climat, de l'état social et de
l'histoire.
Les villes russes sont comme les « oasis » au milieu
du « glouch » et il est bien rare qu'il y ait eu plusieurs
centres artistiques à une même époque. Après la chute
de Kiev, l'art émigré à Vladimir, puis à Novgorod, Mos-
cou et récemment à Pétersbourg. L'état social de la
Russie s'opposait au développement d'une vie artis-
tique aussi intense qu'en Europe occidentale. Pays
essentiellement rural, l'art paysan y a pris un certain
développement et s'est presque exclusivement limité
au bois sculpté et aux étoffes. C'est l'art d'un peuple
réduit à l'esclavage, besognant sans émulation, avec
un outillage des plus rudimentaires. Les proprié-
taires s'habituent à tout faire fabriquer sur place, dans
leurs domaines. Les tissus, les broderies, le mobilier
dont ils se servent sont de la main des artisans. L'in-
dustrie rurale concurrence ainsi l'industrie urbaine, qui
10
n'aura qu'un développement restreint limité aux besoins
des riches amateurs des villes.
L'isolement de la Russie, son immensité, les commu-
nications difficiles expliquent aussi le retard apporte
au développement de l'art décoratif. L'invasion mon-
gole qui se prolonge jusqu'à la fin du xve siècle, isole
la Russie de l'Europe et la relie à l'Asie musulmane.
C'est pendant cette période que se crée un art très per-
sonnel, très russe, rempli d'exotismes qui disparaîtront
avec les réformes de Pierre le Grand au début du
xvme siècle.
La conversion de la Russie au christianisme de rite
grec a amené l'emploi de la mosaïque; c'est que l'art
oriental ou byzantin a pour tradition constante de subs-
tuter au relief plastique l'ornementation méplate et le
décor polychrome. En outre l'absence de beaux maté-
riaux, de pierre et de marbre et la prédominance du
bois ou de la brique n'étaient guère favorables au déve-
loppement de la statuaire monumentale. On a presque
complètement ignoré la scuplture jusqu'au xvine siècle,
si l'on fait abstraction des reliefs méplats de caractère
décoratif qui ornent les édifices à parements de pierre
de la région de Vladimir et Souzdal (pi. I et II).
La peinture décorative est florissante non seulement
aux xie et xne siècles, mais même jusqu'à la fin du
xvne siècle, et les églises d'Iaroslavl, par exemple, sont
entièrement décorées, comme les églises romanes du
xii6 siècle en France. Ce qui est typique dans l'art déco-
ratif russe, c'est l'emploi de la polychromie. Le paysan
aime dans son costume, dans sa « isba », les couleurs
gaies, les bigarrures éclatantes. Du reste ce goût de la
polychromie est commun à tous les peuples de l'Orient.
Tandis que l'art gréco-romain vise à satisfaire la raison,
l'art asiatique, qui s'adresse au sens, est essentielle-
ment coloriste.
L'art russe a su tirer des harmonies imprévues; il
s'élève très haut surtout en art décoratif, mais reste
inférieur en peinture et sculpture, et ici les insuffisances
de la forme et la pauvreté de l'exécution, sauf pour le
bois sculpté, sont rachetées par un sens exquis des pro-
portions et de la couleur.
11
PIERRE TAILLÉE
Les bas-reliefs qui ornent les façades des églises de
Vladimir (Dmitrovski Sobor, Pokrova-na-Nerli), de
Iouriev-Polski (Gueorguevski Sobor), sont les premières
manifestations de la pierre taillée. Les êtres humains,
les animaux y sont représentés sous des formes bizarres;
les arbres stylisés naïvement ont été inspirés par les
ivoires et les tissus byzantins et sassanides (1). Tout
cela manque de vie et de vérité et ces bas-reliefs n'ont
que la valeur d'un ornement. Cependant c'est la richesse
de leur décoration plastique qui fait la principale origi-
nalité des églises sazdaliennes par rapport aux églises
du type kievien, et cela si importantes que soient les
divergences de structure et de forme architecturale.
Ce genre de décoration est une conséquence de ce
que l'église orthodoxe tolérait à la rigueur les bas-reliefs
mais excommuniait la sculpture en ronde bosse. La
sculpture était exécutée avant la pose, sur le chantier,
et chacune d'elles correspond à une pierre de parement.
Ce procédé était également appliqué en Occident. Les
sculptures des églises françaises romanes ou gothiques
étaient préparées avant la pose; la pratique des ravale-
ments sur tas n'apparaît qu'avec la Renaissance. Nous
n'avons donc en Russie que des ornements méplats. Les
figures sans modelé se détachent en très faible relief
sur le champ, c'est moins de la sculpture au sens propre
du mot qu'une sorte de gravure champlevée. On peut
certainement voir dans cette manière de faire l'influence
de l'esthétique orientale.
Les Souzdaliens marquèrent rapidement leur goût
pour l'ornementation qui de sobre devint vite luxu-
riante. C'est ainsi que dans l'église de Pokrova-na-Nerli,
les bas-reliefs étaient encore rares et espacés tandis
qu'à Dmitrovski-Sobor à Vladimir (pi. I), les ornements
couvrent entièrement le tambour de la coupole, toutes
les parties hautes des façades et jusqu'aux fûts des
(1) Eglise de Iouriev-Polski (pi. III et IV).
12
colonnettes; sous les arcatures aveugles s'abrite un
peuple de saints nimbés. A l'église Saint-Georges (pi. Il),
à Iouriev-Polski, la sculpture envahit tout le champ des
façades, depuis la corniche jusqu'au soubassement. Des
rinceaux, des fleurons, des oiseaux et des monstres exo-
tiques couvrent les murs de ce petit temple construit
au milieu d'un village perdu.
En France, en Catalogne et en Lombardie, nous
retrouvons cette même influence orientale, principale-
ment dans les églises romanes.
Après l'invasion mongole, la sculpture disparaît com-
plètement des façades des églises. Elle se réfugie dans
les encadrements des portes et des fenêtres qui, à partir
du xvie siècle, emprunteront la plupart de leurs motifs
à la Renaissance italienne. On trouve rarement, du
xme au xvme siècle, quelques monuments portant trace
de sculpture, si ce n'est que quelques croix, quelques
corniches décorées dans des églises des xme et xve de
Pskov et Novgorod; ceci s'explique assez facilement
dans un pays où le bois abonde et était préféré à la
pierre. Ce n'est qu'à la fin du xvir3 siècle, sous l'influence
du catholicisme polonais, qu'on voit réapparaître la
sculpture en bas-relief dans la décoration des églises.
13
BOIS
Dans un pays comme la Russie, les arts du bois au-
raient dû prendre un grand développement, malheureu-
sement il n'en fut rien. Le mobilier civil était très rudi-
mentaire, de plus dans les églises de rite oriental le
mobilier ecclésiastique était réduit à sa plus simple
expression. Ainsi les meubles en bois sculpté n'ont jamais
dû être très nombreux; la fragilité de ces objets, l'action
du temps et les incendies si fréquents en Russie les expo-
saient à une destruction presque certaine. Il n'est donc
pas étonnant que très peu d'entre eux nous soient par-
venus. Les exemples de meubles russes en bois du xvi°
siècle n'existent pas et le xvne siècle ne nous en a laissé
que quelques-uns.
C'est avec la décoration des iconostases (1), des balda-
quins, des trônes et des sièges des tsars et patriarches
que nous pouvons apprécier la sculpture sur bois. Les
premiers iconostases étaient petits, bas, et c'est seule-
à partir du xvie siècle qu'ils prennent de l'ampleur et
se couvrent d'une ornementation riche et même surchar-
gée. Là comme pour la pierre (pi. XIV, XV, XVI, XXII,
XXIV) « l'ornement géométrique a un caractère oriental
très prononcé (pi. XXXVI, XXXVII) non seulement par
la nature des motifs : entrelacs, palmettes, feuilles
d'acanthe, rameaux de vigne, animaux autour desquels
s'enroulent des feuillages stylisés, mais surtout par la
répartition de ces motifs qui couvrent tout le champ
sans laisser aucun repos à l'œil (pi. XXXI, XXXII). L'art
russe ne procède pas comme l'art grec, par figures iso-
lées, mais par la répartition indéfinie des mêmes motifs
courant comme une broderie continue sur toute la sur-
face à décorer » (pi. XXVII, XXIX) . Les figures sculptées
en rondes bosses sont extrêmement rares (2). Les artistes
(1) Les principaux iconostases se trouvent à Rostov, église
Saint-Georges (pi. XVII, XVIII); à Iaroslavl, église du prophète
Elie, du Saint-Sauveur, etc. (pi. XXIII, XXV, XXVI, XXVII); à
Novgorod, église Miatchino Polé (pi. XXVIII).
(2) Au Musée russe de Saint-Pétersbourg et au Musée histo-
14
russes ne copient pas servilement les ornements dont
ils s'inspirent, ils y introduisent des détails purement
moscovites; d'ailleurs la technique du bois les mettait
dans la nécessité de transposer des motifs conçus pour
le marbre ou le bronze (pi. XXVIII).
Quant aux baldaquins en bois sculpté et doré de
l'église russe des xvie et xvii0 siècles, ce sont de véritables
chefs d'œuvre (pi. XI) qui peuvent être comparés aux
meilleures stalles des églises de France. Le plus ancien
« tsarskoie miesto » qui se trouve à Moscou (trône de
Vladimir Monomaque) date du xvie siècle, il porte encore
des traces de dorure; à Sainte-Sophie de Novgorod, nous
en trouvons un autre de 1556 (pi. VI et VII).
C'est Iaroslavl qui conserve les « chatry » ou les
« seni » les plus somptueux. Le baldaquin de l'église
Saint-Nicolas Nadeenski, suspendu par des chaînes à
la voûte, a été sculpté en 1656 sous le règne du tsar
Michel Feodorovitch. Sa pyramide surchargée de « ko-
kochnicki » est couronnée d'une coupole bulbeuse sur
laquelle se dresse une croix. Nous en avons aussi
deux à Saint-Nicolas-le-Mouillé (Nicolaï-Mokryi), l'un
destiné au trône du tsar Alexis Mikhailovitch, le second
pour celui du patriarche Nikon. Quatre colonnettes réu-
nies par des arcatures bilobées à clefs pendantes sup-
portent le baldaquin. La corniche est ornée de perles
et de denticules. Aux angles sont ménagés en guise
d'amortissement des pinacles surmontés d'oiseaux. La
pyramide très effilée se compose de cinq rangées^ de
« kokochniki » qui vont en s'amincissant de la base jus-
qu'au col de la coupole. Sur chaque « kokochnik », dont
les ornements se détachent en or sur un fond bleu, vert
ou rouge, un séraphin déploie ses ailes (pi. VIII). Le
même parti décoratif se retrouve dans le magnifique
baldaquin d'autel (naprestolnaïa sên) de l'église du pro-
phète Elie, qui date de 1657, sous le règne du tsar Alexis
Mikhailovitch (pi. IX, X). Les ornements dorés qui se
composent de feuillages, de fleurs, de fruits, d'un aigle
bicéphale, se détachent sur des fonds de diverses cou-
leurs. Du pittoresque enchevêtrement des « kokochniki »
rique de Moscou il y a quelques curieux exemples d'ambons en
bois sculpté, provenant de la cathédrale de Sainte-Sophie de
Novgorod.
15
jaillit une pyramide à huit pans surmontée d'un petit
bulbe « makovitsa » haussé sur un long col. Au plafond
du baldaquin s'inscrit, dans un cadre de séraphins dorés
sur fond bleu, la figure du Sauveur.
Le baldaquin de l'église de l'Assomption à Romanov-
Borisoglebsk (pi. XI) et celui qui est au musée de
l'ancienne Société d'encouragement des Beaux-Arts à
Saint-Pétersbourg, nous donnent aussi de superbes exem-
ples de la sculpture sur bois au xvne siècle.
Quant aux statues proprement dites, elles représentent
le plus souvent Saint Nicolas, Sainte Barbare, Sainte Pa-
raskeva (Piatnitsa) et sont traitées un peu grossièrement,
les bras colés au corps. Enfin, nous pouvons encore noter
les triptyques et les simples cadres d'icônes qui en grand
nombre remplissent les salles des musées de Moscou,
de Saint-Pétersbourg, et les collections privées.
C'est principalement chez les paysans que nous rencon-
trons beaucoup d'objets en bois sculpté exécutés par eux
pour leur usage propre. Les « isbas » construites en bois,
sauf dans le midi, sont enrichies de fenêtres œuvrées
(pi. XLIV, XLV), des fines sculptures courent le long
des toits (pi. XLVI, XL VII) sur les corniches. Cette tra-
dition conservée depuis le xvie siècle jusqu'à vers 1870
a permis de transmettre de génération en génération la
manière archaïque de toutes ces images taillées avec
beaucoup de fantaisie. Même sentiment dans les inscrip-
tions des énormes barques qui, même de nos jours, se
déplacent nonchalamment sur la Volga, l'Oka, la Kama
et la Dvina du nord. Ce sont des figures semblables à
celles du xn6 siècle en pierre taillée de Vladimir qui les
ornent.
Tous les objets usuels chez les paysans sont couverts
d'une ornementation fouillée. Coffres, quenouilles, boîtes
à sel et tant d'autres, sont souvent des chefs-d'œuvre
dans leur genre. Jusqu'aux moules à pain d'épices qui
rivalisent de beauté par leurs ornements géométriques
les plus divers. Cette industrie du bois s'est perpétuée
jusqu'à nos jours, et Bogorodsk est encore un centre de
production. Jouets en bois sculpté, boîtes peintes d'Ark-
hangelsk, articles en écorce de bouleau peints et beau-
coup d'autres de Koustaris, de Nijni-Novgorod trouvent
des amateurs dans les divers pays d'Europe.
17
MÉTAL (BRONZE, FER FORGÉ)
« L'orfèvrerie russe du moyen âge n'est représentée
que par de rares objets dont la valeur artistique est très
inférieure à celle de l'orfèvrerie gréco-scythe de la pé-
riode préchrétienne. Les orfèvres sont des imitateurs
des Byzantins et après la chute de Constantinople, la
Russie était certainement un des principaux débouchés
pour cette industrie somptuaire (1). »
L'orfèvrerie russe est caractérisée par une prédilection
marquée pour un décor exubérant de rinceaux et un
goût de la couleur qui se traduit par des incrustations
de pierres précieuses et d'émaux. De là est née une
espèce de filigrane cordé d'or ou d'argent appelé en
russe « skani ». La couronne (monomakhova chapka)
(1123-4) est le premier exemple de ce genre.
Les nombreux trésors des églises russes, vases sacrés,
calices, patènes, remontent aux xvie et xvne siècles, très
peu sont antérieurs.
L'art du bronze n'a pas été très développé en Russie
et est limité à quelques portes. La principale, la porte
Vassilievskaia, date de 1330; en 1336 elle était offerte
par Vladyka Vassili à Sainte-Sophie et fut enlevée en
1570 par Ivan qui en fit don au monastère d'Alexandrovo
(pi. LVII). Les autres portes, comme celles de Sigtoun
à Sainte-Sophie de Novgorod, sont moins intéressantes,
soit qu'elles aient été fondues à l'étranger (2) ou qu'une
influence occidentale les inspirât au détriment du carac-
tère national. Les autres objets, coffres (pi. LXVI, LXVII),
candélabres (pi. LXX, LXXI, LXXII, LXXIII) n'ont rien
de bien remarquable, ce sont des reproductions plus ou
moins grossières d'objets similaires de l'Occident ou
de l'Orient.
C'est à la période moscovite qu'appartiennent tous les
nimbes rehaussés de grosses perles (zêrna bourmitskiia),
(1) Le trésor d'orfèvrerie trouvé en 1912 près de Poltava con-
tient des chefs-d'œuvre ouvrés à Byzance qui ont dû servir de
modèles aux artistes Kieviens et Novgorodiens.
(2) Les portes de Sigtoun ont été fondues à Magdebourg.
18
et ces larges colliers de métal « dont la piété populaire
affuble les saintes images ». Les fabuleuses richesses du
Palais des Armures, qui depuis 1922 a été transformé
en musée des Arts décoratifs russes, ne peuvent en don-
ner qu'une bien faible idée. Ce ne sont pas les armes,
les casques (pi. LXXVIII, LXXIX) et harnachements di-
vers, pas plus que les canons et fusils qui présentent un
grand intérêt pour l'évolution de l'art décoratif russe.
Au contraire, les divers objets confisqués dans les églises
et les couvents : calices, patènes, encensoirs, croix pecto-
rales (pi. XCIII) et croix d'autels, etc., sont beau-
coup plus précieux. La grande variété des couvertures
d'évangiles (pi. CV, CVIII) ornées d'émaux translucides
ou opaques, avec des pierres précieuses et des encadre-
ments d'icônes, en métal guilloché, ciselé, enrichis aussi
de grosses perles et d'émaux, fournit une admirable
documentation.
Fantaisie dans la composition, délicatesse dans
l'exécution, splendeur et richesse de l'ornementation
(pi. LXXXII, LXXXIII, LXXXIV) révèlent le véritable
caractère artistique de ces merveilles.
19
CÉRAMIQUE
Le moyen âge russe ne nous a laissé que des poteries
utilisées pour l'augmentation de la résonance, et des
carreaux pour les pavages du sol (Sainte-Sophie à Kiev).
En revanche, l'émaillerie, qui est à la mosaïque ce que
la miniature est à la fresque, est peut-être de tous les
arts précieux celui qui a atteint à Byzance la plus haute
perfection, source de l'inspiration russe. Tandis que les
émaux byzantins servent presque exclusivement à
décorer les objets du culte, les émaux russes s'appliquent
de préférence à des objets de toilette et à des parures
profanes : diadèmes de femmes, agrafes (zastejki), bou-
cles d'oreilles (gergnis), etc.
La céramique ornementale « Tseninnoe dêlo » est
liée en général à l'architecture moscovite, surtout au
xvn6 siècle. Les façades sont ornées de frises à carreaux,
de briques émaillées, les portails d'entrée de colonnettes
en faïence. Cette ornementation fut introduite par le
patriarche Nikon dans son couvent Nouvelle Jérusalem.
Quelques années plus tard, le palais du tsar dans la
lavra de la Trinité Saint-Serge (Troitskaia lavra), qui
date de 1670, se pare de fenêtres géminées avec enca-
drements de céramique. Le type le mieux conservé et
parfait de ces revêtements en carreaux de faïence habil-
lant toute une façade est le charmant « teremok » de
l'ancien monastère Kroutitski, élevé au-dessus d'une
double porte entre 1664 et 1676. L'église Saint-Grégoire,
édifiée en 1679 par le tsar Alexis Mikhailovitch, rivalise
avec lui par sa magnifique frise. Les vastes églises
d'Iaroslavl (pi. CIX) nous offrent des exemples encore
plus riches de cette décoration en céramique. Les car-
reaux de faïence reçoivent ici les applications les plus
heureuses et les plus variées, soit pour revêtir les sou-
bassements, soit pour encadrer les baies. La céramique
joue en somme, dans la décoration extérieure des
façades en briques le même rôle que la fresque à l'inté-
rieur des églises. Le riche encadrement en faïence de
la fenêtre absidale de Saint-Jean-Chrysostome de Korov-
niki (pi. CIX) montre le parti qu'un habile décorateur
peut tirer de ces revêtements polychromes se détachant
20
sur le nu des murs blanchis à la chaux. Les couleurs
les plus employées sont le bleu turquoise, le vert olive,
le jaune et le blanc.
« D'où vient ce procédé de décoration adopté avec
tant d'empressement par les architectes de Moscou et
d'Iaroslavl? Ici encore nous retrouvons l'action des deux
influences conjuguées. Certains archéologues, consta-
tant la ressemblance des carreaux bleuâtres d'Iaroslavl
avec les carreaux de faïence de Delft, inclinent à croire
que des maîtres hollandais ont participé à la construc-
tion et à la décoration des églises de la Volga : hypo-
thèse assez vraisemblable si l'on connaît les étroits rap-
ports commerciaux qui, depuis l'ouverture d'Arkhan-
gelsk, unissaient les marchands d'Iaroslavl aux mar-
chands hollandais. Mais nous savons, d'autre part, que
Moscou et Iaroslavl entretenaient, par la Volga et la
Caspienne, un trafic considérable avec la Perse. Com-
ment ne pas croire que les Russes ont emprunté l'idée
de ces revêtements en céramique à l'architecture per-
sane, qui en a fait un emploi si heureux dans la déco-
ration des mosquées? Le goût naturel des Moscovites
pour l'ornementation polychrome explique le rapide
succès de cette innovation (1) ».
Les poêles russes, énormes constructions avec leurs
dépendances pouvant servir de divans (lejanki), sont
exclusivement en carreaux de faïence. Au xvne siècle,
ce sont des constructions avec des colonnettes de deux
ou trois étages portant chacune des dessins allégoriques
souvent comiques et avec des légendes explicatives
pleines d'humour et de bon goût (pi. CXVI, CXVII,
CXVIII, CXIX). Au xvme, les poêles sont moins coloriés
(pi. CXX), et vers 1780 ils deviennent complètement
blancs.
L'art céramique a produit encore beaucoup d'autres
choses. La vaisselle de terre cuite recouverte d'émail;
les objets de luxe en usage dans les palais et chez les
boyards ont été très nombreux surtout dans le Midi.
Parmi les objets d'usage courant, les pots et carafes à
bière empruntant des formes d'oiseaux sont particu-
lièrement séduisants.
(1) Grabar, I. « Histoire de l'art russe », Moscou, 1911.
21
TISSUS
Les arts du tissu furent florissants en Russie presque
à toutes les époques. Ce pays producteur de lin et de
laine a fourni une quantité énorme de dentelles et de
broderies.
Les voiles liturgiques, les saints suaires brodés des
xvie et xviie siècles, chefs-d'œuvre de composition, d'une
stylisation harmonieuse et délicate, étaient gardés jalou-
sement dans les couvents de Kirillo- Bielozerski, de Ros-
tov, etc. De même les églises de Kiev, Novgorod, Moscou
possédaient des vêtements sacerdotaux d'une grande
richesse. De toutes ces précieuses merveilles, véritables
« peintures à l'aiguille », il ne subsiste que de rares
débris. Des tissus précieux dans lesquels on avait cou-
tume d'envelopper les reliques, il ne reste souvent que
les plaques métalliques (drobnitsi) percées de trous qui
les ourlaient d'une frise scintillante.
Les broderies les plus anciennes qui soient conservées
en Russie : le sakkos du patriarche Photius, le « voz
doukh » de la cathédrale de Souzdal ne datent guère
que du xve siècle (1420). La disparition de ces tissus
peints ou brodés est « d'autant plus regrettable », dit
L. Réau, « qu'ils ont exercé une influence considérable
sur la mosaïque, la fresque, la sculpture mineure et
monumentale. »
Les broderies en fils métalliques qui, depuis le
xve siècle, sont le privilège des ateliers des tsars, four-
nissent eux aussi des ensembles pleins de beauté orne-
mentale (pi. CLV-CLVII), influencées par la première
Chapka Monomakha de provenance égyptienne.
Les dentelles, depuis longtemps, étaient la gloire des
femmes russes. C'est surtout dans les couvents célèbres
de Souzdal, Vologda et d'autres villes, que fut créé cet
art. Peu à peu il se répandit et chaque paysanne du
gouvernement de Viatka, d'Arkhangelsk et de Poltava
a produit des merveilles qui peuvent être comparées
aux meilleurs spécimens vénitiens et arméniens dans
22
le genre (pi. CLX, CLXI, GLXII). La princesse Tenischeva,
à Smolensk, a rassemblé une collection énorme de ces
dentelles; les musées de Saint-Pétersbourg, de Tver et
d'Iaroslavl en possèdent aussi.
Ces dentelles et broderies des xvne et xvme siècles por-
tent bien les traces des influences de l'ornementation
orientale (indienne, persane), mais quand même elles
sont imprégnées du caractère national. Surtout au xvme,
les broderies du midi de la Russie se libèrent de l'in-
fluence directe de l'Orient et elles portent la trace de
beaucoup de personnalité (pi. CXC-CXCI). Toute cette
richesse de fantaisie (pi. CLXVII-CXCII) est admirable
et peut être d'une grande ressource pour servir l'effort
moderne dans l'ornementation.
23
CONCLUSIONS
En dehors de ces formes principales des arts déco-
ratifs russes, pierre, bois, métal, céramique, tissus, il
existe d'autres arts mineurs: objets en os de mammouth,
bibelots en os de « morje », poupées en fourrures, mais
toutefois on peut leur reprocher de n'être pas russes.
Tous ces objets sont travaillés par les Esquimaux et par
les diverses peuplades qui habitent les pays frontières
de la Russie, principalement au nord du gouvernement
d'Arkhangelsk. Il en est de même des tapisseries ukrai-
niennes, de la joaillerie des Tatars de Kazan et de
Crimée qui, bien que très intéressantes, ne peuvent pas
trouver place dans notre volume.
Si nous avons laissé intentionnellement de côté les
mosaïques des xie et xne siècles, les superbes fresques de
Kiev, Novgorod et Vladimir des xie et xme siècles, et
celles de Iaroslavl, Kostroma, Romanov, etc., des xvie et
xvme siècles, c'est que nous considérons plutôt cet art
décoratif comme un élément d'architecture. Quant aux
miniatures, leur manque de caractère en diminue
l'intérêt.
En résumé, l'étude des arts industriels dans la Russie
kiévienne et novgorodienne confirme pleinement les
conclusions auxquelles nous amènent les recherches sur
les arts majeurs : architecture et peinture, c'est-à-dire
que l'art russe du xie au xvie siècle nous apparaît d'une
variété médiocre, un peu provincial, devant l'art byzan-
tin. Mais à l'époque suivante, dans la région de Moscou
et en Sauzdalie, la Russie se dégage de cette tutelle
byzantine pour créer un art national digne de figurer
auprès des arts indien et persan. Cet art disparaît au
xviue siècle avec les réformes de Pierre le Grand, qui
rompent brutalement les attaches de la Russie avec
l'Orient pour être submergée par l'influence européenne.
Heureusement que chez les paysans les traditions sécu-
laires sont restées longtemps intactes, et jusque avant
la grande guerre on pouvait admirer le costume national
russe porté avec beaucoup de grâce par les femmes des
campagnes.
24
Après la dernière révolution et le désemparement
général, les demandes et les besoins aidant, le retour
aux arts décoratifs anciens ne tarda pas à se faire sentir.
C'est un spectacle très significatif et aussi plein d'en-
seignement qui nous permet d'assister au triomphe des
traditions et de l'instinct national. Maintenant les boîtes
laquées de Palekha, de Kholoui font leur réapparition
et nous espérons que petit à petit l'influence des arts
décoratifs russes anciens inspirera à nouveau artistes
et artisans.
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27
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Zolotoie Rouno. — Revue d'art. 1906-1909 (riche documen-
tation).
TABLE DES PLANCHES
I. — Cathédrale Saint-Dmitri, à Vladimir. Sculp-
tures (1194-1196).
IL ■ — Cathédrale Saint-Georges, à Iouriev-Polski.
Sculptures (1230-1234).
III. — Cathédrale Saint-Georges, à Iouriev-Polski.
Bas-relief (1234).
IV. — Cathédrale Saint-Georges, à Iouriev-Polski.
Bas-relief (1234).
V. — Cathédrale, à Novgorod. Croix en pierre de
l'Archevêque Alexis (xive siècle).
VI. — Cathédrale Sainte-Sophie, à Novgorod. Dais
du Tsar (1556).
VII. ■ — Cathédrale Sainte-Sophie, à Novgorod. Dais
du Tsar (1556).
VIII. — Eglise Saint-Nicolas-le-Mouillé, à Iaroslavl.
La Pyramide du Banc du Tsar Alexis
(xvne siècle).
IX. — Eglise du Prophète-Elie, à Iaroslavl. Balda-
quin d'autel (xviie siècle).
X. — Eglise du Prophète-Elie, à Iaroslavl. Détails
d'un baldaquin d'autel (xvne siècle).
XL — Cathédrale de Romanov-Borisoglebsk. Bal-
daquin d'autel (xviie siècle).
XII. — Cathédrale Sainte-Sophie, à Novgorod. Dé-
tail d'une porte d'iconostase (xvie siècle).
XIII. — Eglise sur l'Ichnia, près Rostov-la-Grande.
Porte Royale d'iconostase (1562).
XIV. — Eglise sur l'Ichnia, près Rostov-la-Grande.
Porte Royale d'iconostase, détail (1562).
XV. — Eglise sur l'Ichnia, près Rostov-la-Grande.
Porte Royale d'iconostase, détail (1562).
XVI. — Eglise Saint-Isidore, à Rostov. Détail d'une
porte d'iconostase (xvie siècle).
XVII. — Eglise Saint-Georges, à Rostov. Détail d'une
porte sainte (xvie siècle).
30
XVIII. — Eglise Saint-Georges, à Rostov. Porte d'ico-
nostase (xviie siècle).
XIX. — Eglise Saint-Jean-Baptiste-de-Toltchkovo, à
Iaroslavl. Porte royale d'iconostase (xvne
siècle).
XX. — Eglise Saint-Jean-Baptiste-de-Toltchkovo, à
Iaroslavl. Porte royale d'iconostase, dé-
tail (xvne siècle).
XXI. — Eglise Saint-Jean-Baptiste-de-Toltchkovo, à
Iaroslavl. Porte royale d'iconostase, dé-
tail (xvne siècle).
XXII. — Eglise Saint-Jean-Baptiste-de-Toltchkovo, à
Iaroslavl. Porte royale d'iconostase, dé-
tail (xviie siècle).
XXIII. — Eglise du Prophète-Elie, à Iaroslavl. Porte
royale d'iconostase (xvie-xvne siècles).
XXIV. — Eglise Saint-Nicolas-le-Mouillé, à Iaroslavl.
Détail d'une porte d'iconostase (xvne s.).
XXV. — Eglise du Sauveur « Na Gorodne », à Iaros-
lavl. Détail d'une porte d'iconostase
(xviT siècle).
XXVI. — Eglise de la Nativité-du-Christ, à Iaroslavl.
Porte royale d'iconostase (xvne siècle).
XXVII. — Eglise de la Nativité-du-Christ, à Iaroslavl.
Porte royale d'iconostase, détail (xvne s.).
XXVIII. — Eglise de Miatchino-Polé, à Novgorod. Porte
d'iconostase (xvne siècle).
XXIX. — Eglise de Lougovoié (Gouv. de Pskow). Dé-
tail d'une porte d'iconostase (xvie siècle).
XXX. — Musée de Rostov. Détail d'un cadre avec or-
nements en plomb (xvne siècle).
XXXI. — Musée de Vladimir. Porte centrale d'ico-
nostase (xvie siècle).
XXXII. — Musée de Vladimir. Détail d'une porte d'ico-
nostase (xvie siècle).
XXXIII. — Musée de Vladimir. Détail d'une porte d'ico-
nostase (xvie siècle).
XXXIV. — Musée de Vladimir. Détail d'une porte d'ico-
nostase (xviie siècle).
XXXV. — Musée de Vladimir. Porte d'iconostase
(xvne siècle).
31
XXXVI. — Musée de la Société d'Encouragement des
Beaux-Arts, à Saint-Pétersbourg. Porte
d'iconostase (xvne siècle).
XXXVII. — Musée de la Société d'Encouragement des
Beaux-Arts, à Saint-Pétersbourg. Détail
d'une porte d'iconostase (xvne siècle).
XXXVIII. — Musée de la Société d'Encouragement des
Beaux-Arts, à Saint-Pétersbourg. Détail
d'une porte d'iconostase (xvne siècle).
XXXIX. — Musée de la Société d'Encouragement des
Beaux-Arts, à Saint-Pétersbourg. Trip-
tyque (xviie siècle).
XL- — Couvent des femmes, à Alexandrovo. Trip-
tyque (xviie siècle).
XLI.— Musée de la Société d'encouragement des
Beaux-Arts, à Saint-Pétersbourg. Trip-
tyque (xvne siècle).
XLII. — Musée de Rostov. Armoire à cierges
(xviie siècle).
XLIII. — Couvent de Nikolski, à Gorokhovéts. Lutrin
(xvne siècle).
XLIV. — Musée Tenichev, à Smolensk. Lucarne d'une
maison paysanne (xvme siècle).
XLV. — Musée Tenichev, à Smolensk. Lucarne d'une
maison paysanne (xvnr siècle).
XL VI. — Musée Tenichev, à Smolensk. Poutres de
revêtement et bordages de barques
sculptés.
XLVII. — Musée Tenichev, à Smolensk. Sculptures
d'isbas et de barques.
XLVIII. — Musée Tenichev, à Smolensk. Sculptures
de maisons paysannes et de barques.
XLIX. — Musée Tenichev, à Smolensk. Bordages de
barques sculptés.
L. — Musée historique, à Moscou. Moules à pain
d'épice.
LI. — Musée de la Société d'encouragement des
Beaux-Arts, à Saint-Pétersbourg. Moule
à pain d'épice (xvme siècle).
LU. — Musée de la Société d'encouragement des
Beaux-Arts, à Saint-Pétersbourg. Moule
a pain d'épice (xviie-xvme siècle).
32
LUI. — Musée de la Société d'encouragement des
Beaux-Arts, à Saint-Pétersbourg. Moule
à pain d'épice (xvnc siècle).
LIV. — Musée Tenichev, à Smolensk. Boîtes à sel
et poivre, en bois.
Lv. — Musée de Ouglitch. Coupe de fraternité en
bois.
LVI. — Cathédrale Sainte-Sophie, à Novgorod. Porte
en bronze de Korsoun (xnc siècle).
LV1I. — Eglise du Couvent des femmes, à Sloboda-
Alexandrovo. Détail d'un vantail de la
porte de Vasili (1330).
LVIII. — Cathédrale d'Astrakhan. Porte en fer (fin
xvie siècle).
LIX. — Cathédrale de l'Assomption, à Rostov. Détail
d'une porte (xvie siècle).
LX. — Eglise Saint-Jean-Baptiste, à Iaroslavl. Dé-
tail d'une porte (xvne siècle).
LXI. — Eglise Saint-Jean-Baptiste, à Iaroslavl. Ron-
delles de clous (xvne siècle).
LXII. — Eglise Saint-Jean-Baptiste, à Iaroslavl. Ron-
delles de clous (contre rivures) (xvne s.).
LXIIL— Cathédrale de Gorokhovets. Porte (xvne s.).
LXIV. — Cathédrale de Tver. Porte en fer (xvne s.).
LXV. — Eglise Saint-Nicolas-le-Mouillé, à Iaroslavl.
Grille en fer forgé (xvne siècle).
LXVI. — Musée historique, à Moscou. Ferrures de
coffres (xvne siècle).
LXVII.— Musée Tenichev, à Smolensk. Coffret
(xvnc siècle).
Cathédrale de Romanov-Borisoglebsk. Coffre
à encens (xvne siècle).
LXVIII. — Eglise sur l'Ichna, près Rostov. Platine de
serrure en fer (xvne siècle).
LXIX. — Musée Tenichev, à Smolensk. Entrée de
serrure (xvne siècle).
LXX. — Musée de Novgorod. Candélabres (xvne s.).
LXXI. — Eglise Saint-Michel, à Torjok. Candélabre
(xviT siècle)
LXXII. — Musée Tenichev, à Smolensk. Candélabres
en cuivre (xvne siècle).
33
LXXIII. — Musée de la Chambre Blanche, à Rostov.
Candélabres (xvne siècle).
LXXIV. — Eglise de la Bielaia Troitsa, à Tver. Lustre
(xvne siècle).
Eglise Saint-Nicolas-le-Mouillé, à Iaroslavl.
Porte Lumière (xvne siècle).
LXXV. — Musée de Iaroslavl. Chaînes de suspension
(lampes d'autel).
Musée Tenichev, à Smolensk. Chandeliers
en fer forgé (xvne siècle).
LXXVL— Musée de Rostov. Encriers (xvir5 siècle).
LXXVIL— Musée Tenichev, à Smolensk. Objets en fer
(xviie-xvme siècles).
LXXVIII. — Palais des Armures, à Moscou. Casque
xvie siècle).
LXXIX. — Palais des Armures, à Moscou. Casque
xvie siècle).
LXXX. — Palais des Armures, à Moscou. Harnache-
ments (xviie siècle).
LXXXI. — Palais des Armures, à Moscou. Carquois
(xvne siècle).
LXXXII. — Eglise de la Nativité-du-Christ, à Iaroslavl.
Revêtement d'une icône de la Vierge
(xvne siècle).
LXXXIIL— Eglise Saint-Nicolas-le-Mouillé, à Iaroslavl.
Revêtement d'icône (xvne siècle).
LXXXIV. — Eglise Saint-Nicolas-le-Mouillé, à Iaroslavl.
Icône de la Mère de Dieu (xvne siècle).
LXXXV. — Couvent de la Nativité, à Vladimir. Revête-
ment d'icône (xvir9 siècle).
LXXXVI. — Couvent de femmes, à Alexandrovo. Revête-
ment d'icône (xvne siècle).
LXXXVII. — Couvent de Kirillo-Bielozerski. Icône (xvne
siècle).
LXXXVIII. — Eglise Saint-Prascovie, à Novgorod. Nimbe
et gorgerin d'icône (xvne siècle).
LXXXIX. — Eglise Notre-Dame-Féodorovskaïa, à Iaros-
lavl. Icône (xviiie siècle).
XC. — Eglise Saint-Jean-Chrysostome, à Iaros-
lavl. Détail d'un revêtement d'icône
(xvn* siècle).
34
XCI. — Cathédrale de Romanov-Borisoglebsk. Dé-
tail d'un revêtement d'icône (xvif siècle).
XCII. — Musée historique, à Moscou. Revêtement
d'icône en émail (xvir siècle).
XCIII. — Couvent de Kirillo-Bielozerski. Croix et in-
signe épiscopal (xvis siècle).
XCIV. — Cathédrale de l'Assomption, à Vladimir.
Insigne d'un boyard patriarche et épau-
lière en bronze émaillé (XVIIe siècle).
XCV. — Cathédrale de Iouriev-Polski. Lampadaire
(xviie siècle).
XCVI. — Eglise Sainte-Barbe, à Iaroslavl. Lampa-
daires (xviT siècle).
XCVII. — Musée de Novgorod. Aquamaniles (xvme s.).
XCVIII. — Sacristie de la Maison archiépiscopale, à
Vladimir. Flabellum (xvne siècle).
XCIX. — Cathédrale Sainte-Sophie, à Novgorod. Boîte
à encens (xvir siècle).
— Cathédrale de Souzdal. Croix en bois
(xvir siècle).
C. — Eglise à Vladimir. Porte-cierges (xvne s.).
CI. — Cathédrale de Rostov. Insignes épiscopaux.
CIL — Sacristie de la Maison archiépiscopale, à
Vladimir. Mitre (xvne siècle).
CIII. — Musée de Rostov. Couronne de mariage
(xviie siècle).
CIV. — Musée de Rostov. Couronne de mariage
(xviie siècle).
CV. — Sacristie de la Maison archiépiscopale, à
Iaroslavl. Reliure d'un évangéliaire
(xviie siècle, cadre xvme siècle).
CVI. — Couvent de Kirillo-Bielozerski. Reliure d'un
évangéliaire (xvir9 siècle).
CVI] - Couvent de l'Annonciation, à Mourom. Re-
liure d'un évangéliaire (xvne siècle).
Bibliothèque impériale publique, à Saint-
Pétersbourg. Reliure d'un livre hébreu
(xvne siècle).
CIX. — Eglise Saint-Jean-Chrysostome, à Iaroslavl.
Encadrement de fenêtre en faïence émail-
lée (xvne siècle).
CVIII.
35
CX. — Eglise Pierre-et-Paul, à Iaroslavl. Détail d'un
encadrement de fenêtre (xvne siècle).
CXI. — Iaroslavl. Carreaux de faïence (xvne siècle).
CXII. — Alexandrovskaïa Sloboda. Carreaux de
faïence (xvne siècle).
CXIII. — Iaroslavl. Carreaux de faïence (xvne siècle).
Alexandrovskaïa Sloboda. Carreaux de
faïence (xvne siècle).
CXIV. — Eglise du Couvent de Borisoglebsk, près
Rostov. Pieds droits (xvne siècle).
CXV. — Eglise du Couvent de Borisoglebsk, près
Rostov. Pieds droits (xvne siècle).
CXVI. — Séminaire de Souzdal. Poêle (xvne siècle).
CXVII. — Séminaire de Souzdal. Poêle (xvne siècle).
CXVIII. — ■ Maison particulière, à Ouglitch. Poêle
(xviii0 siècle).
GXIX. — Musée de Rostov. Poêle (xvme siècle).
CXX. — Maison Romanov, à Moscou. Poêle (xvne s.).
CXXI. — Musée de Rostov. Aiguière (xvme siècle).
Musée de Rostov. Récipient en terre pour
deux liquides (xvne siècle).
CXXII. — Musée de Rostov. Vaisselle en terre (xvne et
xvnr siècles).
CXXIII. — Couvent de Kirillo Bielozerski. Icône brodée.
Sainte Irène (xvr siècle).
CXXIV. — Eglise Saint-Jean-le-Précurseur, à Iaroslavl.
Saint suaire brodé (xvr siècle).
CXXV. — Cathédrale de l'Assomption, à Rostov. Saint
suaire (1651) (don des Stroganov).
CXXVI. — Couvent Vysotski, à Serpoukhov (Gouv. de
Moscou). Saint suaire brodé (xvne siècle).
CXXVII. — Couvent de Loujetsk, près Mojaïsk (Gouv.
de Moscou). Icône brodée (xvne siècle).
CXXVIIL— Cathédrale de Rostov. Chasuble (xvne s.).
CXXIX. — Eglise Sainte-Barbe, à Iaroslavl. Chasuble
(xvne siècle).
CXXX. — Monastère de Jacob, près de Rostov. Cha-
suble (xvn" siècle).
CXXXI. — Monastère de la Trinité, à Tikhvine. Cha-
suble (xvne siècle).
36
CXXXIL— Cathédrale de Rostov. Chasuble (xvne s.).
CXXXIII. — Couvent de Saint-Savva, à Zvenigorod. Cha-
suble {xvne siècle).
CXXXIV. — Couvent de femmes, à Kostroma. Orfrois de
chasuble (xvr siècle).
CXXXV. — Couvent de Loujetsk, à Mojaîsk. Rabat de
chasuble (xvne siècle).
CXXXVI. — Eglise Saint-Jean-le-Précurseur, à Iaroslavl.
Epaulière de chasuble (xvn° siècle).
CXXXVII. — Couvent Saint-Nicolas, à Peréiaslavl Zaleski.
Rabats de chasuble (xvne siècle).
CXXXVIII. — Couvent de Kirillo-Bielozerski. Chasubles
(xvne siècle).
CXXXIX. — Sacristie patriarcale, à Moscou. Mancherons
liturgiques (xvne siècle).
CXL. — • Couvent de Kirillo-Bielozerski. Ornement
sacerdotal (xvne siècle).
CXLI. — Palais des Armures (ci-devant Sacristie pa-
triarcale), à Moscou. Epaulière de cha-
suble (1583).
CXLII. — Couvent Novospasski, à Moscou. Manche-
ron liturgique (xvne siècle).
CXLIII. — Cathédrale de l'Assomption, à Vladimir.
Mancherons liturgiques (xvne siècle).
CXLIV. — Couvent Goritski, Pereiaslavl-Zaleski. Epau-
lière de chasuble.
CXLV. — Couvent Vysotski, à Serpoukhov. Patte cru-
ciforme.
CXLVI. — Eglise Saint-Jean-le-Précurseur, à Iaroslavl.
Etole.
CXLVIL— Couvent de Florichtchin (Gouv. de Vladi-
mir). Broderie d'étole (xvne siècle).
CXLVIII. — Couvent Loujetsk, près Mojaîsk. Etole
(xviT siècle).
CXLIX. — Cathédrale de Rostov. Etole (xvne siècle).
CL. — Couvent Novospasski, à Moscou. Etole
(xvir siècle).
CLI. — Coin de mouchoir de tête, en soie brodée
(xvine siècle).
CLII. — Couvent de l'Annonciation, à Viazniki. Dé-
tail d'épaulement de chasuble (xvne s.).
37
CLIIL — Palais des Armures (ci-devant Sacristie pa-
triarcale), à Moscou. Parement d'autel
(xviT siècle).
CLIV. — Musée de Rostov. Parement d'autel (xvne s.).
CLV. — Couvent de Kirillo-Bielozerski. Broderies en
fils métalliques (xvne siècle).
CL VI. — Couvent de Kirillo-Bielozerski. Dentelles fils
métalliques sur chasuble (xvne siècle).
CLVII. — Couvent de Kirillo-Bielozerski. Dentelles fils
métalliques (xvne siècle).
CLVIIL— Coiffures de jeunes filles (xvnr5 siècle).
CLIX. — Musée de Rostov. Coiffure, boucles d'oreilles
et chapelet.
CLX. — Dentelles. Travaux de paysans du district
de Kadnikovsk (Gouv. de Vologda).
CLXI. — Musée Tenichev, à Smolensk. Dentelle aux
fuseaux (xvnr9 siècle).
CLXII. — Musée Tenichev, à Smolensk. Broderie du
type dit « verre de Vologda » (xvnr9 s.).
CLXIII. — Musée Tenichev, à Smolensk. Dentelle aux
fuseaux.
CLXIV. — Filet. Broderies d'un drap de lit (xvnr9 s.).
CLXV. — Palais des Armures, à Moscou. Broderies
fil tiré.
CLX VI. — Essuie-main fil tiré (xix8 siècle).
CLXVII. — Broderie russe (xviie-xviiie siècles).
CLXVIII. — Broderie russe (xvne siècle).
CLXIX. — Broderie russe (xvne siècle).
CLXX. — Broderie russe (xvir9 siècle).
CLXXI. — Broderie russe (xvne siècle).
CLXXII. — Broderie de paysans ukrainiens (xvir8 s.).
CLXXIII. — Broderie russe (xvnr9 siècle).
CLXXI V. — - Broderie russe (xvme siècle).
CLXXV. — Broderie russe (xvme siècle).
CLXXVI. — Broderie de paysans ukrainiens (xvir s.).
CLXXVII. — Broderie de paysans ukrainiens (xvne s.).
CLXXVIII. — Broderie de paysans ukrainiens (xvir9 s.).
CLXXIX. — Broderie de paysans ukrainiens (xvir s.).
38
CLXXX.
— Broderie de paysans
ukrainiens
(XVIIe s.).
CLXXXI.
— Broderie de paysans
ukrainiens
(XVIIIe s.)
GLXXXII.
— Broderie de paysans
ukrainiens
(XVIIIe S.)
CLXXXIII.
— Broderie de paysans
ukrainiens
(XIXe s.).
CLXXXIV.
— Broderie de paysans
ukrainiens
(XVIIIe s.)
GLXXXV.
— Broderie de paysans
ukrainiens
(XIXe S.).
CLXXX VI.
— Broderie de paysans
ukrainiens
(XIXe S.).
GLXXXVII.
— Broderie de paysans
ukrainiens
(XIXe S.).
CLXXXVIII.
— Broderie de paysans
ukrainiens
(XIXe s.).
GLXXXIX.
— Broderie de paysans
ukrainiens
(XIXe S.).
CXC.
— Broderie de paysans
ukrainiens
(XIXe s.).
CXCI.
— Broderie de paysans
ukrainiens
(XIXe s.).
CXCII.
— Broderies de paysans
ukrainiens
(XIXe s.).
PL. I
CATHÉDRALE SAINT-DMITRI, à VLADIMIR
SCULPTURES (1194-1196)
PL. II
CATHÉDRALE SAINT-GEORGES, à IOURIEV-POLSKI
SCULPTURES (1230-1234)
PL. III
CATHÉDRALE SAINT GEORGES, à IOURIEV-POLSKI
BAS-RELIEF (1234)
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PL. V
CATHEDRALE, à NOVGOROD
CROIX EN PIERRE DE L'ARCHEVÊQUE ALEXIS (14e siècle)
PL. VI
CATHÉDRALE SAINTE-SOPHIE, à NOVGOROD
DAIS DU TSAR (i556)
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PL. VIII
ÉGLISE SAINT-NICOLAS LE MOUILLÉ, à IAROSLAVL
LA PYRAMIDE DU BANC DU TSAR ALEXIS (17e sièle)
PL. IX
ÉGLISE DU PROPHETE ÉLIE, à IAROSLAVL
BALDAQUIN D'AUTEL (iy siècle)
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PL. XI
CATHÉDRALE DE ROMANOV-BORISOGLEBSK
BALDAQUIN D'AUTEL (17 siècle)
PL. XII
CATHÉDRALE SAINTE-SOPHIE, à NOVGOROD
DÉTAIL D'UNE PORTE D'ICONOSTASE (16e siècle)
PL. XIII
ÉGLISE SUR L'ICHNIA, près ROSTOV-LA-GRANDE
PORTE ROYALE D'ICONOSTASE (i562)
PL XIV
ÉGLISE SUR L'ICHNIA, près ROSTOV-LA-GRANDE
PORTE ROYALE D'ICONOSTASE - DÉTAIL (i5Ô2)
PL. XV
ÉGLISE SUR L'ICHNIA, près ROSTOV-LA-GRANDE
PORTE ROYALE D'ICONOSTASE - DÉTAIL (i56a)
PL. XVI
ÉGLISE SAINT-ISIDORE, à ROSTOV
DÉTAIL D'UNE PORTE D'ICONOSTASE (i6« siècle)
PL. XVII
EGLISE SAINT-GEORGES, à ROSTOV
DETAIL D'UNE PORTE SAINTE (16e siècle)
PL. XVIII
ÉGLISE SAINT-GEORGES, à ROSTOV
PORTE D'ICONOSTASE (17' siècle)
PL. XIX
ÉGLISE SAINT-JEAN-BAPTISTE DE TOLTGHKOVO, à IAROSLAVL
PORTE ROYALE D'ICONOSTASE (i7« siècle)
PL. XX
ÉGLISE SAINT-JEAN-BAPTISTE DE TOLTCHKOVO, à IAROSLAVL
PORTE ROYALE D'ICONOSTASE - DÉTAIL (17' siècle)
PL. XXI
ÉGLISE SAINT-JEAN-BAPTISTE DE TOLTCHKOVO, à IAROSLAVL
PORTE ROYALE D'ICONOSTASE - DÉTAIL (17' siècle)
PL. XXII
ÉGLISE SAINT-JEAN-BAPTISTE DE TOLTCHKOVO, à IAROSLAVL
PORTE ROYALE D'ICONOSTASE - DÉTAIL (i7« siècle)
PL. XXIII
ÉGLISE DU PROPHÈTE ÉLIE, à IAROSLAVL
PORTE ROYALE D'ICONOSTASE (i6p-i7« siècles)
PL. XXIV
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ÉGLISE SAINT-NICOLAS LE MOUILLÉ, a IAROSLAVI
DÉTAIL D'UNE PORTE D'ICONOSTASE (i7« siècle)
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PL. XXVI
ÉGLISE DE LA NATIVITÉ DU CHRIST, à IAROSLAVL
PORTE ROYALE D'ICONOSTASE (if siècle)
PL. XXVII
ÉGLISE DE LA NATIVITÉ DU CHRIST, à IAROSLAVL
PORTE ROYALE D'ICONOSTASE - DÉTAIL (17' siècle)
PL. XXVIII
ÉGLISE DU MIATCHINO-POLÉ, à NOVGOROD
PORTE D'ICONOSTASE (i7« siècle)
PL. XXIX
ÉGLISE DE LOUGOVOIÉ (Gouv. de Pskow)
DÉTAIL D'UNE PORTE D'ICONOSTASE (i6« siècle)
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PL. XXXI
MUSÉE DE VLADIMIR
PORTE CENTRALE D'ICONOSTASE (iC< siècle)
PL. XXXII
MUSÉE DE VLADIMIR
DÉTAIL D'UNE PORTE D'ICONOSTASE (16e siècle)
PL. XXXIII
MUSÉE DE VLADIMIR
DÉTAIL D'UNE PORTE D'ICONOSTASE ( 1 6° siècle)
PL. XXXIV
MUSÉE DE VLADIMIR
DÉTAIL D'UNE PORTE D'ICONOSTASE (17' siècle)
PL. XXXV
MUSEE DE VLADIMIR
PORTE D'ICONOSTASE (17' siècle)
PL. XXXVI
MUSEE DE LA SOCIÉTÉ D'ENCOURAGEMENT DES BEAUX-ARTS
à SAINT-PÉTERSBOURG
PORTE D'ICONOSTASE (17* siècle)
PL. XXXVII
MUSÉE DE LA SOCIÉTÉ D'ENCOURAGEMENT DES BEAUX-ARTS
à SAINT-PÉTERSBOURG
DÉTAIL D'UNE PORTE D'ICONOSTASE (17° siècle)
PL. XXXVIII
MUSÉE DE LA SOCIÉTÉ D'ENCOURAGEMENT DES BEAUX-ARTS
à SAINT-PÉTERSBOURG
DÉTAIL D'UNE PORTE D'ICONOSTASE (17- siècle)
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MUSÉE DE LA SOCIÉTÉ D'ENCOURAGEMENT DES BEAUX-ARTS
à SAINT-PÉTERSBOURG - TRIPTYQUE (if siècle)
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PL. XLIII
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COUVENT DE NIKOLSKI, à GOROKHOVÉTS
LUTRIN (17' siècle)
PL. XLIV
MUSÉE TENICHEV, à SMOLENSK
LUCARNE D'UNE MAISON PAYSANNE (i8« siècle)
PL. XLV
MUSÉE TENICHEV, à SMOLENSK
LUCARNE D'UNE MAISON PAYSANNE (i8* siècle)
PL. XLVI
MUSÉE TENICHEV, à SMOLENSK
POUTRES DE REVÊTEMENT ET BORDAGES DE BARQUES SCULPTÉS
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PL. XLVIII
MUSÉE TENICHEV, à SMOLENSK
SCULPTURES DE MAISONS PAYSANNES ET DE BARQUES
PL. XLIX
MUSÉE TENICHEV, à SMOLENSK
BORDAGES DE BARQUES SCULPTÉS
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MUSÉE DE LA SOCIÉTÉ D'ENCOURAGEMENT DES BEAUX-ARTS
à SAINT-PÉTERSBOURG
MOULE A PAIN D'ÉPICE (18e siècle)
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MUSÉE DE LA SOCIÉTÉ D'ENCOURAGEMENT DES BEAUX-ARTS
à SAINT-PÉTERSBOURG
MOULES A PAIN D'ÉPICE (i7'-i8* siècles)
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PL. LVI
CATHÉDRALE SAINTE-SOPHIE, à NOVGOROD
PORTE EN BRONZE DE KORSOUN (12' siècle)
PL. LVII
EGLISE DU COUVENT DES FEMMES, à SLOBODA ALEXANDROVO
DÉTAIL D'UN VENTAIL DE LA PORTE DE VASILI (i33o)
PL. LVIII
CATHÉDRALE D'ASTRAKHAN
PORTE EN FER (fin 16e siècle)
PL. LIX
CATHÉDRALE DE L'ASSOMPTION, à ROSTOV
DÉTAIL D'UNE PORTE (16e siècle)
PL. LX
ÉGLISE SAINT-JEAN-BAPTISTE, à IAROSLAVL
DÉTAIL D'UNE PORTE (i7« siècle)
PL. LXI
ÉGLISE SAINT-JEAN-BAPTISTE, à IAROSLAVL
RONDELLES DE CLOUS (17e siècle)
PL. LXII
ÉGLISE SAINT-JEAN-BAPTISTE, à IAROSLAVL
RONDELLES DE CLOUS (17' siècle)
PL. LXIII
CATHÉDRALE DE GOROKHOVETS
PORTE (17e siècle)
PL. LXIV
CATHEDRALE DE TVER
PORTE EN FER (17e siècle)
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PL. LXVI
MUSÉE HISTORIQUE, à MOSCOU
FERRURES DE COFFRES (i7« siècle)
PL. LXV1I
MUSÉE TENICHEV, à SMOLENSK - COFFRET (17e siècle)
CATHEDRALE DE ROMANOV-BORISOGLEBSK
COFFRE A ENCENS (17e siècle)
PL. LXVIII
ÉGLISE SUR L'ICHNIA, près ROSTOV
PLATINE DE SERRURE EN FER (17- Siècle)
PL. LXIX
MUSEE TENICHEV, à SMOLENSK
ENTRÉE DE SERRURE (17* siècle)
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PL. LXXV
MUSÉE DE IAROSLAVL - CHAINES DE SUSPENSION (lampes d'autei.)
MUSÉE TENIGHEV, à SMOLENSK - CHANDELIERS EN FER FORGE
(17* siècle)
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PL. LXXVIII
PALAIS DES ARMURES, à MOSCOU
CASQUE (i6* siècle)
PL. LXXIX
PALAIS DES ARMURES, à MOSCOU
CASQUE (16e siècle)
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PL. LXXXI
PALAIS DES ARMURES, à MOSCOU
CARQUOIS (if siècle)
PL. LXXXII
ÉGLISE DE LA NATIVITÉ DU CHRIST, à IAROSLAVL
REVÊTEMENT D'UNE ICONE DE LA VIERGE (if siècle)
PL. LXXXIII
ÉGLISE SAINT-NICOLAS LE MOUILLÉ, à IAROSLAVL
REVÊTEMENT D'ICONE (if siècle)
PL. LXXXIV
ÉGLISE SAINT-NICOLAS LE MOUILLÉ, à IAROSLAVL
ICONE DE LA MÈRE DE DIEU (i f siècle)
PL LXXXV
COUVENT DE LA NATIVITÉ, à VLADIMIR
REVÊTEMENT D'ICONE (17- siècle)
PL. LXXXVI
COUVENT DE FEMMES, à ALEXANDROVO
REVÊTEMENT D'ICONE (i7« siècle)
PL. LXXXVI1
COUVENT DE KIRILLO-BIELOZERSKI
ICONE (if siècle)
PL. LXXXVIII
ÉGLISE SAINT-PRASCOVIE, à NOVGOROD
NIMBE ET GORGERIN D'ICONE (i7« siècle)
PL. LXXXIX
ÉGLISE NOTRE-DAME FÉODOROVSKAIA, à IAROSLAVL
ICONE (i8* siècle)
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PL. XCI
CATHÉDRALE DE ROMANOV BORISOGLEBSK
DÉTAIL D'UN REVÊTEMENT D'ICONE (i7* siècle)
PL. XCII
MUSÉE HISTORIQUE, à MOSCOU
REVETEMENT D'ICONE EN ÉMAIL (17- Siècl<
PL. XGIII
COUVENT DE KIR1LLO-BIELOZERSKI
CROIX ET INSIGNE ÉPISCOPAL (i6' sièch
PL. XCIV
CATHÉDRALE DE L'ASSOMPTION, à VLADIMIR
INSIGNE D'UN BOYARD PATRIARCHE ET ÉPAULIERE EN BRONZE
ÉMA1LLÉ (i7« siècle)
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CATHÉDRALE DE IOURIEV-POLSKI
LAMPADAIRE (i7« siècle)
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PL. XCVIII
SACRISTIE DE LA MAISON ARCHIÉPISCOPALE, à VLADIMIR
FLABELLUM (17e siècle)
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ÉGLISE, à VLADIMIR
PORTE-CIERGES (17' siècle)
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SACRISTIE DE LA MAISON ARCHIÉPISCOPALE, à VLADIMIR
MITRE (1/ siècle)
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MUSEE DE ROSTOV
COURONNE DE MARIAGE (17e siècle)
PL. CIV
MUSEE DE ROSTOV
COURONNES DE MARIAGE (17e siècle)
PL. CV
SACRISTIE DE LA MAISON ARCHIÉPISCOPALE, à IAROSLAVL
RELIURE D'UN ÉVANGÉLIAIRE (i7' siècle - Cadre - i8« siècle)
PL. CVI
COUVENT DE KIRILLO-BIELOZERSKI
RELIURE D'UN ÉVANGÉLIAIRE (i7« siècle)
PL. CVII
COUVENT DE L'ANNONCIATION, à MOUROM
RELIURE D'UN ÉVANGÉLIAIRE (i7« siècle)
PL. CVIII
BIBLIOTHEQUE IMPÉRIALE PUBLIQUE, à SAINT-PETERSBOURG
RELIURE D'UN LIVRE HÉBREU (17* siècle)
PL. CIX
ÉGLISE SAINT-JEAN CHRYSOSTOME, à IAROSLAVL
ENCADREMENT DE FENÊTRE EN FAÏENCE ÉMAILLÉE [if siècle)
PL. GX
ÉGLISE PIERRE-ET-PAUL, à IAROSLAVL
DÉTAIL D'UN ENCADREMENT DE FENÊTRE (17* siècle)
PL. CXI
IAROSLAVL
CARREAUX DE FAÏENCE (17e siècle)
PL. CXII
ALEXANDROVSKAIA SLOBODA
CARREAUX DE FAÏENCE (i7« siècle)
PL. GXIII
IAROSLAVL - CARREAUX DE FAÏENCE (17' siècle)
ALEXANDROVSKAIA SLOBODA
CARREAUX DE FAÏENCE (17e siècle)
#.
PL. CXIV
EGLISE DU COUVENT DE BORISOGLEBSK, près ROSTOV
PIEDS DROITS (i7« siècle)
PL. GXV
ÉGLISE DU COUVENT DE BORISOGLEBSK, près ROSTOV
PIEDS DROITS (17" siècle)
PL. CXVI
SEMINAIRE DE SOUZDAL
POÊLE (17' siècle)
PL. CXVII
SEMINAIRE DE SOUZDAL
POÊLE (if siècle)
PL. CXVIII
MAISON PARTICULIERE, à OUGLITCH
POÊLE (18* siècle)
PL. CXIX
MUSÉE DE ROSTOV
POÊLE (18' sicle)
PL. GXX
MAISON ROMANOV, à MOSCOU
POÊLE (17' siècle)
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PL. CXXIII
COUVENT DE KIRILLO-BIELOZERSKI
ICONE BRODÉE - Ste IRÈNE (i6* siècle)
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PL. GXXX
MONASTERE DE JACOB, près de ROSTOV
CHASUBLE (i7* sièle)
PL. CXXXI
MONASTÈRE DE LA TRINITÉ, à TJKHVINE
CHASUBLE (i7< siècle)
PL. GXXXII
CATHÉDRALE DE ROSTOV
CHASUBLE (i7« siècle)
PL. CXXXIII
COUVEiNT DE SAINT-SAVVA, à ZVENIGOROD
CHASUBLE (i;« siècle)
PL. CXXXIV
COUVENT DE FEMMES, à KOSTROMA
ORFROIS DE CHASUBLE (i6« siècle)
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PL. CXXXVII
COUVENT SAINT-NICOLAS, à PERÉIASLAVL ZALESKI
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PL. CXL
COUVENT DE KIRILLO-BIELOZERSKI
ORNEMENT SACERDOTAL (17' siècle)
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PL. CXLIII
CATHÉDRALE DE L'ASSOMPTION, à VLADIMIR
MANCHERONS LITURGIQUES (i7« siècle)
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PL. CXLV
COUVENT VYSOTSKI, à SERPOUKHOV
PATTE CRUCIFORME
PL. CXLVI
ÉGLISE SAINT-JEAN-LE-PRÉCURSEUR, à IAROSLAVL
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PL. CXLVIII
COUVENT LOUJETSK, près MOJAISK
ÉTOLE (17e siècle)
PL. CXLIX
CATHÉDRALE DE ROSTOV
ÉTOLE (17e siècle)
PL. CL
COUVENT NOVOSPASSKI, à MOSCOU
ÉTOLE (i7« siècle)
PL. CLI
COIN DE MOUCHOIR DE TÊTE, EN SOIE BRODÉE (i 8* siècle)
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à MOSCOU - PAREMENT DAUTEL (i7« siècle)
PL. CLIV
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PAREMENT D'AUTEL (17* siècle)
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