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Full text of "La stèle de Koubân, publiée avec notes, glossaire et reproduction du monument en trois planches phototypiques"

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in  2010  with  funding  from 

University  of  Ottawa 


http://www.arGhive.org/details/lastledekoubOOtres 


A 


BIBLIOTHÈQUE  D'ÉTUDE 


TOME    NEUVIEME 


PUBLICATIONS 
DE  L'INSTITUT  FRANÇAIS  D'ARCHÉOLOGIE  ORIENTALE 


-r 


BIBLIOTHÈQUE  D'ÉTUDE 


PURLIEE  SOUS  LA  DIRECTION 


DE  M.   GEORGE  lOUGAUÏ 

DIRECTEUR    DE    L'INSTITUT    FRANÇAIS    D'ARGllÉOLOGIE    ORIENTALE 


TOME   NEUVIEME 


LE  CAIRE 

IMPRIMERIE   DE   L'IIVSTITUT   FRANÇAIS 
D'ARCHÉOLOGIE    ORIENTALE 


M  DGCGG  XXII 

Tous  Jroils  de  repipiluclioii  réserves 


I 

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Ua  Co 


7 


T  133  G  3 


LA 


STELE  DE  KOUBÀN 


PUBLIEE 


AVEC    NOTES,    GLOSSAIRE 


ET  REPRODUCTION   DU   MONUMENT  EN  TROIS  PLANCHES  PHOTOTYPIQUES 


PAR 


PAUL  TUESSON 


LE  CAIRE 

IMPRIMERIE   DE   L'INSTITUT   FRANÇAIS 
D'ARCHÉOLOGIE    ORIENTALE 

—  512855 

M  DCGGC  XXII  ^/-   10.^0 


M.  GEORGE  FOUCART 

DIRECTEUR   DE   L'INSTITUT    FRANÇAIS   D'ARCHE'oLOGIE   ORIENTALE   DU   CAIRE 

Hommage  respectueux 

DE  L'AUTEUR. 


I 

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i 


INTRODUCTION. 


L'imporlante  stèle  de  Rarnsès  II,  qui  fait  l'objet  de  la  présente  étude, 
fut  découverte,  vers  i8^3,  par  Prisse  d'Avennes  dans  les  ruines  de  la  for- 
teresse dite  de  wKoubân^)^')  qu'Amenembaït  III  (très  probablement)  édifia 
près  de  la  rive  orientale  du  Nil,  à  i  08  kilomètres  au  sud  d'Assouan,  dans 
le  but  de  protéger  la  louto  conduisant  aux  gisements  aurifères  de  TEtbaye 
et  de  servir  d'entrepôt  à  l'or  (|ui  en  ('tait  apporté.  Le  grand  explorateur 
se  borna  à  prendre  une  copie  de  l'inscription.  Ce  fut  le  comte  Louis  de 
Saint-Ferriol  qui,  visitant  l'Egypte  entre  iS^io  et  iS^y'-^,  la  recueillit 
et  la  transporta  dans  son  cbâteau  d'Uriage-les-Bains,  près  de  Grenoble. 
Elle  y  séjourna  jus([u'en  1  ()i  6.  Le  2  1  novembre  de  ladite  année,  son  fils, 
le  comte  Gabriel  de  Saint-Ferriol,  et  ses  cohéritiers  en  firent  don  au  Musée 
de  peinture  et  de  sculpture  de  Grenoble,  où  elle  fut  transférée  aussitôt, 
avec  la  belle  collection  égyptienne  qui  l'accompagnait,  par  les  soins  intel- 
ligents du  Gardlen-clief,  M.  Bertbuin,  sous  la  direction  du  Conservateur, 
feu  M.  Bernard.  Elle  se  Irouve  présentement  déposée  dans  la  Salle  des 
portraits  dauphinois,  en  attendant  son  installation  définitive. 


'^'  On  sait  que  Koubàn  est  l'appellation  moderne  de  cette  forteresse  dont  le  nom  hiéro- 
glyphique, inconnu  de  Prisse,  était  Baka  ou  Baki  (d'après  Maspero,  Baouka).  Baka, 'de- 
venu Contra-Pselcis  à  Tépoque  gréco-romaine,  était  la  capitale  du  nome  de  Bekt  (le  i-i" 
des  treize  nomes  nubiens).  Pour  d'amples  détails  sur  Koubàn,  lire  la  description  de  Prisse 
d'Avennes,  publiée  par  Fr.  Chabas  dans  son  mémoire  sur  Les  inscriptmis  des  vùnes  d'or 
de  Nubie  [Bihliolhcque  égyplolo^nque ,  t,  X,  p,  197-199  et  217-990).  Une  vue  de  la  forte- 
resse (dessin  de  Boudier,  d'après  une  photogra[)hie  d'Insinger  prise  en  1881)  se  trouve  dans 
G.  Maspero,  Hist.,  t.  I,  p.  /181. 

^-'  Renseignement  extrait  d'une  lettre  du  comte  Gabriel  de  Saint -Ivrriol  on  dale  du 
29  novembre  191 G  (Bibliothèque  de  Grenoble  }\  80 G 2), 


— y>{  VIII  )^-j- — 

La  stèle  (le  Koubàii  alîoctc  une  forme  rectangulaire  avec  sommet  cin- 
tré. Elle  fut  gravée  sur  un  monolithe  admirablement  poli  sur  sa  face  prin- 
cipale ^'^  mais  dont  l'autre  coté  avait  été  seulement  ébauché  à  la  pointe ''l 
Sa  matière  est  le  granit  à  grands  éléments  (quartz,  feldspath  rose,. am- 
phibole et  mica  noir),  ruI(>o  syenite ^^l  A  l'origine,  elle  présentait  les 
mesures  suivantes:  hauteur  i  m.  70  cent.^''^  largeur  0  m.  9/1  cent. '^^,  et 
son  épaisseur  variait  pour  le  côté  droit  entre  0  m.  i35  mill,  et  o  m. 
i3  cent.,  pour  le  côté  gaucho  entre  0  m.  iG  cent,  et  0  m.  10  cent.  ^*^^. 
Une  marge  de  o  m.  01  5  mill.,  courant  sur  [)resque  toute  la  pierre,  enca- 
drait un  cintre  à  sujet  mythologi([ue  haut  de  0  m.  lu  cent.,  ainsi  que 
38  ligues  de  texte  de  o  m.  (j  1  cent,  de  long,  tracées  do  droite  à  gauche 
et  nettement  délimitées,  chacune,  par  deux  li'aits  parallèles  dont  l'écar- 
tement  variait  entre  o  m.  o3î>  mill,  et  o  m.  oA  cent.  Au  bas,  une  hau- 
teur de  granit  de  o  m.  of)  cent.,  vieri>e  de  tout  sijjne. 

Notre  stèle  a  subi,  au  coui's  d(;s  siècles,  de  fortes  mutilations,  et  deux 
fi'agments,  comprenant  à  peu  près  les  cinq-sixièmes  de  l'inscription, 
nous  sont  seuls  parvenus.  Le  premier,  ([ui  renferme  le  cintre  et  i2  5  lignes 


'"  Il  coiivioiil  loulefois  de  signaler  pour  celte  face,  suivant  une  direction  verticale, 
plusieurs  bombements  assez  apparents  sur  le  gros  bloc  dont  il  sera  question  plus  loin. 

'-'  Les  coups  d(î  pointe  sont  encore  parCaitemenl  visibles  sur  celte  partie  du  monolitbe. 
On  y  reniar(pie  en  outre  plusieurs  saillies  pro])ablenicnl  intentionnelles,  car  elles  semblent 
dessiner  la  silbouelte  d'un  personnage  en  pied  s'élendant  jusqu'à  0  m.  25  cent,  de  la  base. 
Peut-être  la  pierre  avait-elle  servi  à  un  usage  antérieur. 

'^'  Nous  devons  cette  analyse  à  Textreme  obligeance  de  1\1.  Pierre  Lory,  Sous-Directeur 
du  laboratoire  de  géologie  à  la  Faculté  des  Sciences  de  Grenoble,  qui  a  eu  ramabilité  de 
se  rendre  à  cet  efi'et  au  Musée  de  Grenoble.  Nous  le  prions  d'agréer  nos  remerciements  bien 
sincères. 

'''^  C'est-à-dire  1  m.  2  1  cent.  jus(|u'à  la  ligne  9 5  et  o  m.  54  cent,  de  la  ligne  sS  à  la  base. 

'^'  Cliabas  a  indi(|ué  par  erreui-  [Bibl.  cgypl. ,  t.  \,  p.  :?oi)  -'bauleur  :  1  m.  68  cent.; 
lai'geur  :  environ  un  mètre". 

'^'  Notons  sur  cliacune  de  ces  laces  latérales,  à  la  liauteur  de  la  ligne  1  de  l'inscription, 
l'existence  de  deux  Irons  de  forme  conicjue,  atteignant  une  profondeur  de  o  m.  o/j5  mill. 
I^eur  oriHce  a  un  diamètre  d'cMiviron  o  m.  O'l"]  mill.  Ils  ont  élé  creusés  sans  doute  dans 
le  but  de  faciliter  le  su|)porl  de  la  pieri'e. 


plus  nil  logger  morceau  de  la  ligne  .'?6  (sans  hiéroglyphe),  mesure  i  m. 
26  cent,  de  hauteur  dans  sa  parlie  centrale.  A  part  quelques  signes  éra- 
ilés  ou  hrisés,  par  exemple  lignes  A,  5,  i3,  etc.,  il  nous  a  été  conservé 
en  bon  état  jusqu'à  la  ligne  22  inclus.  A  cet  endroit,  deux  fractures  obli- 
ques ont  endommagé  la  pierre,  légèrement  à  la  ligne  28,  fortement  aux 
lignes  2/1  et  25;  puis  une  section  à  peu  près  horizontale  a  nettement 
détaché  toute  la  base,  soit  le  tiers  de  l'inscription.  A  son  tour,  cette  base 
a  été  fractionnée  en  deux  morceaux,  dont  seul  celui  de  gauche  n'a  pas 
disparu.  Il  mesure,  dans  sa  plus  grande  étendue,  o  m.  55  cent,  de  haut 
sur  0  m.  A3  cent,  de  large  et  renferme  une  portion  des  treize  dernières 
lignes.  11  débute,  à  ce  que  l'on  sait,  par  la  ligne  2  5  qui,  comme  Samuel 
Birch  l'observa  le  premier,  continue  exactement  la  partie  comprise  sur 
le  gros  bloc. 

En  juin  1869^'',  ^  ^^  demande  de  M.  L.  de  Saint-Ferriol,  M.  Aimé 
Irvoy,  Directeur  de  l'Ecole  de  sculpture  de  Grenoble,  prit  un  moulage  de 
la  stèle,  dont  il  tira  aussitôt  plusieurs  exemplaires  ^""l  Le  moule,  déposé 
d'abord  dans  ses  ateliers,  a  disparu  en  191B,  lors  du  second  transfert 
de  l'Ecole  de  sculpture,  ainsi  qu'une  épreuve  qui  l'accompagnait.  Il  reste 
un  moulage  des  vingt-quatre  premières  lignes  de  la  stèle  au  Musée  de 
Grenoble.  Un  second  moulage  plus  complet,  puisqu'il  renferme  tout  le 
texte  connu  parfaitement  remis  en  place,  se  trouvait  autrefois  au  Musée 
du  Louvre,  ffll  a  été  cédé,  il  y  a  une  dizaine  d'années,  au  Directeur  du 
Musée  Guimet??,  nous  écrivait  récemment  ^^^  M.  Charles  Boreux,  Conser- 
vateur adjoint  du  Département  égyptien  du  Louvre,  (|ue  nous  remercions 
bien  sincèrement. 

La  pierre  de  Koubân  a  été  fort  étudiée  dans  le  monde  savant. 

(''  Celte  date  nous  a  été  (ournie  par  le  Journal  manuscrit  de  M.  Irvoy  (p.  9  du  volume 
de  1869)  que  M.  Benoit-Cattin,  ancien  bâtonnier  à  Grenoble,  son  gendre,  a  bien  voulu 
nous  communiquer.  Nous  exprimons  à  iM.  Benoit-Catlin  notre  vive  reconnaissance. 

'-'  L'un  d'eux  était  destiné  à  Clial)as.  Il  lui  fui  remis  par  M.  L.  de  Saint-Ferriol  en 
septembre  1859. 

^^'  Lettre  du  1  7  juin  1990. 


I® 

(I 


La  première  publication  du  tex.te  est  due  à  Prisse  d'Avenues  qui, 
conime  nous  l'avons  dit  plus  haut,  le  copia  à  Koubân  et  Tinséra  à  la 
planche  XXI  de  son  ouvrage  :  Monuments  cgijpliens,  grand  in-f°,  Paris, 
Firmin-Didot,  18/17.  ^^^^  ^''^^  courte  notice  géographi(|ue  et  historique 
se  lit  à  la  page  5,  col.  I,  de  l'explication  des  planches.  Quant  à  l'inscrip- 
tion, elle  a  été  reproduite  en  entier,  suivant  la  direction  des  signes  sur 
la  pierre.  Toutefois  l'auteur  s'est  contenté  de  mettre  rrle  fragment  au  mi- 
lieu de  la  planche,  dans  l'ignorance  où  j'étais ^î,  —  dit-il,  —  cede  sa  véri- 
table placer:.  La  copie  de  Prisse  laisse  à  désirer  et  nous  y  avons  relevé 
de  nombreuses  erreurs,  par  exemple  dans  le  cintre  1  !  au  lieu  de  j  J,  ^  ^ 

au  lieu  de  ^^^  ^^  ^^  ^'^^*  ^^^  *^'  ^'g^^^^  *  {(  po'^"'  {{{î  ligi^e  ti  ^  pour 
~  etc.;  de  plus,  au  fragment,  plusieurs  hiéroglyphes  de  début  et  de  fin 
e  lignes  manquent.  Néanmoins  cette  édition  est  fort  précieuse  :  elle 
nous  a  servi  notamment  pour  le  rétablissement  de  la  portion  de  la  ligne  si  5 
(située  sur  le  gros  bloc)  qu'une  couche  de  ciment  maladroitement  jetée, 
il  v  a  nombre  d'années,  avait  rendue  prescjue  illisible. 

Ce  fut  en  utilisant  le  travail  de  Prisse  que  S.  Birch  publia  dans  la  revue 
The  Archœologia ,  vol.  XXXIV,  p.  357-899,  sous  le  titre  :  Upon  an  histo- 
rical tablet  of  Ramses  II,  la  première  traduction  de  la  pierre,  accompa- 
gnée d'un  commentaire  dans  lequel  se  trouve  indiqué  le  raccord  exact 
du  fragment.  En  1  876,  une  seconde  édition  en  fut  donnée  dans  les  Re- 
cords of  the  Past,  1'^  Series,  t.  VllI,  p.  7()-8o. 

En  1  856 ,  Fr.  Chabas  dans  ses  Eludes  égyptiennes  (S  II  :  Une  inscription 
hisloriffue  du  règne  de  Séti  I"')  parues  au  3''  volume  des  Mémoires  de  la  So- 
ciété d'histoire  et  d'archéologie  de  Chalon-sur-Sadne ,  p.  169-5^17,  et  l'éédi- 
tées  au  tome  IX  de  la  RihL  ('gijpt-,  Paris.  1899,  P-  9"^^  (^'^^^'  surtout 
]).  Go-Gi),  donna  un  court  résumé  de  la  stèle,  résumé  reproduit  par 
Théodule  Devéria  dans  son  Catalogue  du  Musée  égyptien  du  château  d'U- 
riage.  Ce  catalogue,  qui  n'a  pas  été  mentionné  dans  la  Ribl.  égypt.  et  qui 
est  resté  inédit,  fut  dressé  en  1861  ^''  par  le  savant  français  à  la  suite  du 


'•'  A  la  pajje  1  7  de  ce  calalojjuc  on  lit  :  Tn.  Devkria,  Paris,  1861. 


séjour  qu'il  fit  chez  M.  L.  de  Saint-Ferriol.  ]l  comporte  en  5>o  pages  nu- 
mérotées, toutes  de  la  main  de  Devéria,  surtout  l'analyse  des  stèles  de 
la  collection,  et  la  page  3  est  entièrement  consacrée  à  la  pierre  de  Kou- 
bàn.  On  peut  le  consulter  à  la  Bibliolht'fjiie  publique  de  Grenoble,  où  il  est 
coté^';,  8G69('). 

Enfin,  en  1862,  Ghabas,  en  possession  du  moulage  dont  il  a  été 
question  plus  haut''^  entreprit  la  revision  du  mémoire  de  Birch.  C'est 
ainsi  qu'il  publia,  au  tome  IV  des  Mémoires  de  la  Société  de  Chalon-sur- 
Saône,  p.  A 3 7-/1 7 2  (tirage  spécial  chez  Benjamin  Duprat  et  reproduction 
au  tome  X  de  la  Bibl.  égypt.  sous  le  titre  :  Les  inscriptions  relatives  aux 
mines  d'or  de  Nubie,  §  II  :  Ramsès  IL  L'inscription  de  Koubân,  p.  1  ^7-2  90), 
une  nouvelle  traduction  des  2  5  premières  lignes,  que  suit  un  résumé  suc- 
cinct du  fragment.  Deux  planches  avaient  été  annexées  à  ce  mémoire.  De 
la  première  (reproduction  du  morceau  principal  de  l'inscription  avec  res- 
tauration de  presque  toute  la  ligne  26),  le  Musée  de  Grenoble  possède 
un  tirage  spécial  à  échelle  plus  grande  ^^^,  provenant  de  l'imprimerie 
L.  Landa  de  Ghalon-sur-Saône.  11  fut  offert  par  Ghabas  à  M.  L.  de  Saint- 
Ferriol,  qui  le  fit  encadrer  et  le  classa  dans  sa  collection  sous  le  n"  68. 

Depuis  1871,  de  nombreux  travaux  ont  paru  sur  l'inscription  de 
Koubân. 

J.  Lauth  la  traduisit  et  la  commenta  dans  un  article  :  Die  zweitliltesle 
Landkarte  nebst  Grdberplànen  dans  les  Sitzungsberichte  de  l'Académie  des 


'^'  A  la  fin  de  ce  catalogue  est  insérée  la  lettre  dont  il  a  été  fait  mention  à  la  page  vn, 
n.  2.  —  La  cote  ^l^  8669  est  réservée  au  catalogue  manuscrit  de  19  pages  que  M.  L.  de 
Saint-Ferriol  dressa  pour  sa  collection,  en  se  servant  des  notes  de  Devéria.  Ce  catalogue 
renferme  i/i5  numéros.  La  stèle  de  Koubân  y  est  ainsi  classée  :  gros  Lloc  =  n''  1  (ce  nu- 
méro est  bien  apparent  au  sommet  de  la  première  pbototypie  qui  accompagne  la  présente 
édition);  fragment  =  n''  33.  Le  moulage  y  occupe  le  n°  ■7. 

'2'  Voir  encore  à  ce  sujet  Ph.  Virey,  Notice  biographique  de  Fr.  Chabas,  Bibl.  égypl.,  t.  IX  , 
p.  XXII  et  XLii. 

'•^'  Les  dimensions  (sans  la  marge)  sont  en  effet  :  hauteur,  0  m.  'îIJS  mil!.;  largeur, 
o  m.  1  98  mill. 


——*-♦•(    Ml    )•€<  — 

Sciences  tie  Munich,  1871,  t.  1,  p.  i(j8-90^,  et  L.  Reinlsch  consacra 
au  texte  la  planche  10  de  son  /Egyplische  Chrestomathie ,  iSyS-iSyr). 

En  1  877,  H.  Brugsch  inséra  une  traduction  de  la  pierre  aux  pages  531- 
5^7  de  sa  Geschichte  /E^i/ptens  unlcr  den  Pharaonen  (voir  aussi  son  His- 
toire d'E^iypte,  i85(),  p.  i5o-i53).  Son  interprétation  (ainsi  que  celle 
de  S.  lîircli)  des  lijjnes  (j,  1  o  et  i5  a  donné  lieu,  —  dans  le  Recueil  da 
travaux,  t.  Ill  (1882),  p.  68-70  :  Petites  notes  de  critique  et  de  philolop^ic, 
$  ùk  :  Quelques  passages  de  l'inscription  de  Koubân,  —  à  diverses  reniar- 
ques  de  Karl  Piehl  qui,  sauf  pour  la  ligne  1  5 ,  se  sépare  de  Tégyptologue 
allemand.  Dans  le  même  Piecueil,  t.  XI  (  1  889),  p.  1  90,  M.  Loret  a  com- 
pris la  ligne  1  0  à  peu  j)rès  comme  Piebl. 

En  188b,  Adolf  Erman  étudia  l'inscription  dans  son  ouvrage  :  /Egypten 
und  œgyptisches  Lchcn  im  Altertum,  Tubingen,  aux  pages  8o-()i  et  617- 
619. 

Puis  en  1891,  Ph.  Virey,  se  basant  sur  le  moulage  du  Louvre  dont  il 
a  ('té  parlé  plus  haut,  publiait  une  nouvelle  traduction  :  Tlie  Stele  of 
Kuban  aux  pages  1-16  des  Records  oj  the  Past,  New  Ser. ,  t.  V.  En  1  8y3, 
dans  le  Recueil  de  travaux,  t.  XIV,  p.  96-99  :  Notes  sur  quelques  passages 
de  la  stèle  de  Koubân,  il  entreprenait,  à  l'aide  de  certaines  phrases  de 
notre  pierre  et  des  inscriptions  de  Radésieh,  une  restitution  du  fragment 
quil  faisait  suivre  d'une  traduction  annotée. 

En  1897,  G.  Maspero  dans  son  Histoire,  t.  II,  p.  ^08,  interprétait 
différents  passages  (lignes  10-11,  17-18,  21-29).  Du  même  auteur, 
nous  signalerons  encore  :  Des  formes  de  la  conjugaison  en  égyptien  antique, 
en  démotique  et  en  copte  (6"  fasc.  de  la  Ribliolhèque  de  ï Ecole  des  Hautes 
Etudes),  Paris,  1871,  où  ont  été  traduites,  aux  pages  91,  28,  3o,  65, 
78,  92,  1  1  ^i,  les  lignes  9,  12,  i3,  i^i,  i5,  21-22  de  l'inscription. 

Enlin,  J.  Breasted  consacrait  à  la  stèle  les  paragraphes  989-29.')  et  la 
page  117  n.  a  de  son  grand  ouvrage  :  Ancient  Records  oJ Efgypt,  5  vol., 
Chicago,  1906-1907,  auquel  nous  ajouterons:  E.  Schiaparelli,  La  Ca- 
tena orientale  deïïEgitto,  p.  86-88,  et  A.  Moret  dans  Sphinx,  t.  XI  (1  907), 
p.  3^1. 


— J-5«(    Mil    )•€<•  — 

On  trouvera  une  Ijibliographie  de  la  question  soit  dans  A.  Wiedemann, 
jEgyplische  GeschicJite,  Gotha,  i88^^i,  t.  II,  j).  /i5?),  n.  5;  soit  dans  G.  Mas- 
PERO,  Jlist.,  t.  II,  |).  ''loS,  n.  3  ai  1  list,  anc,  8''  édit.,  kjoq,  p.  ayo,  n.  G; 
soit  dans  J.  Baillet,  Le  refrime  pharaonique  dans  ses  }  apports  avec  révolution 
de  la  morale  en  Egtjple,  Blois,  i  (ji  3 ,  p.  696-697  (index  nominuni);  soit 
enfin  dans  H.  Gauthier,  Le  livre  des  rois  d'Egjjpte,  t.  III,  p.  1^,  n.  lid, 
et  p.  37  du  1"  fascicule  (t.  XIX  des  Mémoires  publiés  par  les  membres 
de  l'Institut  français  d'archéologie  orientale,  le  Caire,  191  3).  Voir  aussi 
le  n**  9  de  la  page  3 7,  où  l'auteur  a  donné  un  court  résumé  de  la  stèle. 

Toutefois,  il  semble  bon  de  mentionner  encore  les  travaux  qui  suivent  : 
P.  Pierret,  Dictionnaire  d'archéologie  égijptienne,  Paris,  1876,  p.  '^ç)^-,  et 
Vocabulaire  hiéroghjpliique,  Paris,  1875  où,  à  l'imitation  du  IVôrterbucJi 
de  Brugsch,  plusieurs  phrases  de  la  stèle  sont  reproduites  et  traduites 
(par  exemple  p.  370  au  mot  ^  J^;  p.  5 70  au  mot  p^^l'  ^^c.);  A.  Moret, 
Du  caractère  religieux  de  la  royauté  pharaonique,  Paris,  Leroux,  1902 
(^Annales  du  Musée  Guimet  :  Bibliothèque  d'études,  t.  XV),  p.  11,  19,  n.  9, 
2  3 ,  37,  38,  66,  n.  2  ,  90,  I  90,  n.  6,  959,  n.  8,  299,  3 00,  3  10,  n.  /i  ; 
Ph.  Virev,  La'  religion  de  l'ancienne  Egypte,  Paris,  Beauchesne,  1910, 
p.  89-90  et  i7i2,  n.  4;  E.  Lefébure  dans  Bibl.  égypt.,  t.  XXXVI,  Paris, 
1915,  p.  26-26. 

Nous  signalerons  en  outre  P.  Gun  esse,  Notes  sur  le  signe  ]|  (sous  sa 
forme  hiératique),  dans  le  Recueil  de  travaux,  tomeX  (1888),  p.  60-66, 
et  surtout  F.  Vogelsang  qui,  dans  son  important  ouvrage  :  Kommentar  zu 
den  Klagen  des  Bauern  i^Untersuchungen  zur  Geschichte  und  Altertumskunde 
Agyptens,  Band  VI),  Leipzig,  Hinrichs,  1913,  a  donné  le  premier,  aux 
pages  69-71,  la  lecture  de  cet  hiéroglyphe  et  a  traduit  ensuite  la  phrase 
qui  le  contient.  Nous  n'omettrons  pas  non  plus  A.  H.  Gardiner,  Notes  on 
the  Story  of  Sinuhe  (paru  d'abord  dans  le  Recueil  de  travaux,  vol.  32-3/i, 
36),  Paris,  Champion,  1916,  où  se  trouvent  mentionnés  et  interprétés 
divers  passages  de  la  stèle  :  p.  ^9,  8/i,  87,  99  (2  fois),  ni  W.  Goléni- 
scheff,  Le  conte  du  naufragé (^Bibl.  d'étude,  t.  II),  le  Caire,  1912,  que  l'on 
consultera  avec  fruit  p.  i56,  à  propos  de  la  ligne  18. 


La  (loriiiore  publication  est  duc  à  M.  Morel  (|ui,  clans  la  Revue  ogi/plo- 
logifjne,  nouvelle  série,  vol.  I,  lasc.  i"  (janvier  iqkj),  p.  16-97  de  son 
étude  :  Monuments  ('gijptiens  de  la  colleciion  du  comte  de  Saint-Ferriol ,  a 
donné  le  texte  de  la  stèle.  Cette  reproduction  du  texte  est  précédée  d'une 
courte  introduction  histori([ue,  [^^éo^jrapliique,  bibliog^rapliique  et  accom- 
|)tignée  d'une  traduction  annotée  et  de  deux  planches  donnant  le  gros  de 
liuscription  (pi.  I)  et  son  fragment  (pi.  IV). 

Bien  qu'étudiant  depuis  plusieurs  mois  la  pierre  de  Koubàn  au  Musée 
de  Grenoble,  nous  avions  tout  d'abord ,  à  l'annonce  du  travail  de  M.  Moret, 
renoncé  à  faire  paraître  notre  édition,  mais  un  examen  attentif  de  ce  tra- 
vail a  modifié  notre  sentiment  et  nous  avons  pensé  que  notre  publication 
ne  serait  pas  inutile.  En  effet,  sans  parler  de  la  droite  et  de  la  gauche 
confondues  dans  la  description  des  urœus  du  cintre,  ni  des  mots  "*  ^ 
oubliés  dans  la  colonne  centrale;  sans  énumérer  de  nombreux  —  pour 
— ,  de  nombreux  / — ^  |)Our  ^-n,  de  nombi-eux  xx  pour  m;  sans  insister  sur 
u^  pour  0(1.  1,  1,  2,  /i,  20),  ^  pour  ^(l.  2/1,  aS),  "^  pour -^i^  (l.  2), 
^  poui"  ^  (I.  10),  ^  pour  ^  (1.  1  ()),  ^ t^  pour  ^'^^  (1.  21),  nous 
avons  encore  à  relever  chez  M.  Moret  des  erreurs  bien  plus  graves  : 
J^— ^^J^  (que  l'autour  transcrit  Baktj)  pour  J'^'-^^vJL  ('•  ^)' 

i>  :  pou--  ï\  10-  6),I.>lpour^>j(l.  8),^|,ourMI-  ''')'"- 
^  pour  ^  (1.  1  G),  Yi  po^^'  TiXi  (^-  ^  ^)'  i£^==  pour  ^^  (1.  20), 
|l^ir  pour~p^,»    (I.   2'»)'^rv,?,  ['""'■  iT,#,  (1-23),  fi;;  pour 

\- — .  (1.  28),  r—  pour  ^  (1.  Bo),  ^^  pour  "^E:^  (1.  32) 

L'inscription  de  Kouban  peut  être  i-egardée  comme  l'une  des  plus  pré- 
cieuses que  nous  ait  léguées  la  période  thébaine.  Datée  de  l'an  3  de  Ram- 


^''  Au  lieu  de  ■■,  on  a  sur  le  traîneau  un  cofTre  rectangulaire  surnionlé  d'une  plume 
d'autruolie  à  droite  et  à  gauche,  (|uel(]ue  chose  comme  ^,  ^;  d'ailleurs,  l'auteur  ne  sait 
pas  comment  utiliser  ce  .=*>,  inattendu  et  n'en  lait  |)a.s  état  dans  sa  traduction. 

'^'  Ce  mot  est  indiscutable,  même  sur  la  idanclie  (|ui  accompagne  l'article  de  M.  Moret. 
On  sait  que,  dès  le  début  do  la  XVIll''  dynastie  (cf.  ///..,  IV,  iq,  1,  .'5,  if»),  £=>  peut  être 
employé  pour  la  désinence  —  des  substantifs  féminins. 


•«■3«      \\     ]<-i- 


ses  II,  elle  constitue,  en  raison  de  l'époque  où  elle  fut  gravée  et  du  soin 
qui  a  présidé  à  sa  composition,  un  document  de  tout  premier  ordre  pour 
l'étude  du  nouvel-égyptien.  Son  importance  historique  n'est  pas  moins 
considérable  :  elle  fournil  des  détails  curieux  sur  la  jeunesse  de  Ramsès  II, 
sur  les  premières  années  de  son  règne  et  sur  l'exploitation  des  mines  d'or 
de  Nubie  aux  temps  pharaoniques.  Signalons  encore  sa  valeur  artistique  : 
admirablement  combinés  suivant  les  lois  de  Técriture  égyptienne,  les 
hiéroglyphes  ont  été  rendus  avec  une  finesse  et  une  sûreté  de  main  remar- 
quables et,  malgré  la  dureté  de  la  pierre,  certains  signes  atteignent  une 
profondeur  de  plusieurs  millimètres. 

La  présente  publication  a  fait  l'objet  de  tous  nos  soins.  C'est  ainsi  que, 
grâce  à  l'extrême  obligeance  de  M.  Foucart,  Directeur  de  l'Institut  fran- 
çais d'archéologie  orientale,  nous  avons  inséré  trois  photolypies  repré- 
sentant le  morceau  principal,  le  fragment  et  le  moulage  du  Musée  de 
Grenoble.  Ces  photolypies,  qui  donneront  une  idée  exacte  de  l'état  actuel 
de  la  pierre,  ont  été  tirées  par  l'excellente  Maison  Goutagny  de  Lyon, 
d'après  les  clichés  pris,  le  99  octobre  1918,  par  M.  Charles  Piccardy, 
photographe  à  Grenoble,  avec  cette  habileté  qui  le  caractérise.  Toutefois, 
pour  faciliter  la  lecture  des  planches,  une  transcription  du  texte  nous  a 
semblé  nécessaire  et  nous  l'avons  relevé  nous-même  sur  la  stèle.  D'abord 
nous  avons  reproduit  le  cintre  divisé  en  trois  parties  (A,  B,  C),  chaque 
phrase  se  présentant  d'après  l'ordre  logique.  Une  courte  explication  pré- 
cède chacune  des  parties.  Suivant  l'usage,  le  texte,  contrairement  à  sa 
direction  véritable,  a  été  édité  de  gauche  à  droite  et  nous  l'avons  fait 
suivre  immédiatement  du  fragment,  sans  aucun  intervalle.  Autant  que 
la  typographie  le  permettait,  nous  avons  conservé  la  forme  et  la  disposi- 
tion des  signes.  De  nombreuses  empreintes  au  papier  detain  nous  ont 
permis  de  rétablir  certains  signes  effacés  ou  détériorés.  De  même,  à  Taide 
des  estampages  au  plâtre  de  Paris  que  M.  le  statuaire  Urbain  Basset, 
avec  son  amabilité  habituelle,  a  bien  voulu  prendre  à  notre  intention,  il 
nous  a  été  possible  de  restituer  certains  hiéroglyphes  des  début  et  fin 
de  lignes  du  fragment  et  aussi  la  portion  de  la  ligne  2  5  située  sur  le 


XVI      «C  t' 


(jros  bloc.  All  préalable,  et  en  prenant  toutes  les  précautions  nécessaires 
(le  façon  à  ne  pas  détériorer  la  pierre,  nous  avions  enlevé  une  partie  du 
ciment  ([ui  recouvrait  cette  ligne.  Au  texte  ont  été  adjointes  un  certain 
nombre  de  remarques  que  nous  avons  crues  utiles  surtout  au  point  de 
vue  épigraphique.  Le  glossaire  a  été  fait  court  et  précis  afin  de  permettre 
une  traduction  commode  et  sûre  de  la  stèle.  Le  lecteur  v  trouvera  l'énu- 
inération  des  diverses  formes  que  présentent  certains  mots. 

Nous  ne  voudrions  pas  terminer  cette  introduction  sans  exprimer  nos 
profonds  remercîments  à  notre  eminent  maître,  M.  Loret,  Pi'ofesseur  à  la 
Faculté  des  Lettres  de  Lyon,  qui  nous  a  prodigué  ses  conseils  pour  la 
reproduction  du  texte  égyptien  et  pour  la  composition  de  cet  ouvrage;  à 
M.  Foucart,  qui  a  bien  voulu  accepter  notre  travail  i)our  la  BihliotJièqiie 
(réliide.  Nous  tenons,  en  outre,  à  témoigner  notre  vive  gratitude  aux  Con- 
servateurs du  Musée  de  Grenoble  :  à  M.  Xavier  Borgey  qui,  avec  une 
parfaite  amabilité,  nous  a  autorisé  à  venir  consulter  la  stèle  aussi  fré- 
([uemment  qu'il  en  serait  besoin  et  a  même,  malgré  les  difïicultés,  poussé 
lObligeance  juscju'à  faire  dresser  la  pierre  sur  un  échafaudage  en  vue  de 
faciliter  le  travail  du  photographe;  à  son  successeur,  M.  Andry-Farcy, 
qui  nous  a  continué  Tautorisation  précitée  avec  une  complaisance  à  la- 
(jiielle  nous  devons  rendre  hommage.  Nous  remercions  chaleureusement 
M.  Urbain  Basset  (|ui,  durant  de  longues  heures,  nous  a  prêté  son  con- 
cours, soit  pour  les  mesures  de  l'inscription,  soit  pour  les  estampages  qu'il 
a  pris  avec  une  science  remarquable.  Nous  ne  saurions  oublier  non  plus 
notre  excellent  ami  M.  G.  Piccardy  pour  les  clichés  dont  il  a  ét('  (juestion 
ci-dessus,  ni  le  Gardion-chef  du  Musée,  M.  Berthuin,  qui  a  été  pour 
nous  un  auxiliaire  aussi  intelligent  qu'utile. 

Paul  Tresson. 

La  Tronche  (Isère),  le  5^5  août  if)'>o. 


LA  STELE  DE  KOUBAN. 


1.   —   REGISTRE    SUPERIEUR. 
A.  —  CINTRE. 


Au  soniiiiel  s'étale  le  dis<|ue  ailé  aïKjuel  sont  appemlus  deux  cobras  .ri-    a 
supportant  chacun  un  ^  (comme  dans  le  signe  |XîX)et  coilles,  celui  de  droite 
de  ^  et  celui  de  gauche  de  M  . 

Sous  l'aile  droite  du  disque  :     _        \  î 

Sous  l'aile  gauche  :  |  [ 

Entre  les  deux  cohras  :  («^^^  J 

Au-dessous,  en  une  colonne  verticale  :     |^  A  / — \  Till    1  J 

B.   —   CÔTÉ  DROIT, 

Uamsès  II  est  représenté  la  tète  ornée  du  ?^P,  d'oii  tombent  sur  l'épaule    b 
deux  bandelettes.  11  est  vêtu  du  pagne  flottant  et  porte  la  queue  de  taureau. 
Sa  main  droite  est  tendue  vers  Horus,  qui  lui  fait  face,  et  à  qui  il  offre  de  la 
gauche  un  vase  dans  lequel  brûle  de  la  résine  ^. 

Horus  à  tête  de  faucon  est  coiffe  du  Ji  •  H  ii  1*3  justaucorj)s  avec  bretelles, 

le   pagne  bridant  et  la  qneiie  de  taureau.  Sa  main  droite  tient  le  U*  et  la 

gauche  su])porte  le  T  . 


'"'  liC  iapicide  a  certainement  omis  ici  le  signe 
Bill,  d'étude,  t.  IX. 


Titre  (le  roll'niiulo  :  |  I  •    *      ît^    f^         ""^^  l\^ 


D 


eiTiere  lo  roi 


Discours,!,,  , lieu  :  f^^-î^^^^^;;^,.|J^^ 
~T- — V 


Derrière  le  ,!ie,,  : 


ili^ts 


(i,c) 


C.  —  COTE  GAUCHE. 


c  Ramses,  vêtu  comme  à  droite,  présente  à  Min  un  vase^  de  cliacjue  main, 
Alin.  sons  sa  forme  itliypliaHiqne,  est  debout  sur  le  -^.  11  porte  la  barbe 
et  est  coille  dn  u  penché  en  arrière,  d'où  s'échappe  une  étroite  bandelette 
tombant  jusqu'à  terre.  11  est  vêtu  d'une  gaine  collante  sous  laquelle  le  bras 
gauche  est  replié,  tandis  que,  de  son  bj-as  droit  levé,  il  soutient  le  A.  Der- 
rière le  dieu,  un  guéi'i(h)n  jj^  sui'monté  de  trois  laitues. 

Titre  de  l'ofirande  :    A  -.  I          4^     •    ^«^^o^  ^^^^"^ 
il       1     ■     •  •  •  ^ T     -»- 1  Hi 

Lcgen.le  ,l„  n,i  :  f]  J (^M)  ^  QMI^^  A ^ 
Derrière  le  roi  :  9  ■¥■  "^  '       Q  *  V^ 
L.,e„,ie,ludieu:^-|:r^"^--lt^-^||- 
Derrière  le  dieu  :  ^~~^  '  ^^ 


''^  La  déesse  ne  porle  |)as  ici  le  •¥'. 

<''  Ce  sifjne  a  ta  m^rae  valeur  que  i'liiéi'0{jly|ilie  -"—  (=  mnu). 

•''  IjC  mol  !(^  M  ne  pont  que  se  ra|)porlor  à  Ranisès  II.  I>a  pliiasc  floit  donc  t-lre  traduite  ainsi  : 
ff(Ramsès)  aiim;  d(;  Mit)  n'-sidanl  dans  la  iiionlajine  de  Min.  dieu  (pand ,  scig-ncur  du  ciel".  Mais  il 
est  possilde  (pie  W\  ail  été  ajouté  par  disiraclion  à  la  légende  du  dieu. 

*''  lie  si[j;tie  a  crlU)  lorriie  et  relie  diierlion  sur  la  |)i('rr('.  Sans  aucun  doute,  on  doit  sulisti- 
luer  A — I. 


-^^.,.(  :>. 


II.  —  INSCRIPTION. 


•  I -^  I f  I  '""v "^ i*^ S^ T r ^^  jIKs f  I  h •*••  h — I _F  1 1  =^ —  ^  © 


Mimm 


l^li'^M,^ 


I  1      ^^^ — 


!^^+m:,;^i 


jiiiijit(ii)  ^ 

I   I  I  •      I  ^  AW.WA     I 


(' 

(2 
(•1 

cont 

(« 

(' 
(8 

u 

(in 
('1 


Lecture  ^  ^  0 . 

A  transcrire  ['  N  V  • 

La  présence  de  ces  points  n'est  pas  Iros  certaine. 

De  même  qu'aux  lignes  6  et  7,  on  ne  pourrait  allirmer  ici  l'existence  d'un^  erase  :  on  ren- 
e  dans  l'inscription  aussi  bien  ^       ([ue  I  ^ 

Cassure  à  l'endroit  occupé  par  le  signe  ^=. 

Lecture    ^   M  ■^• 

Le  dieu  hiéracocéphale  porte  le  -r  au  lieu  du  j. 

Le  signe  totémique  ■^^,  mis  généralement  sous  les  noms  de  déesse,  est  pris  ici  abusivement  ; 
doit  se  lire,  à  ce  que  l'on  sait,  ^^  \  0- 

Ellipse  du  verbe       |. 

La  lettre  —  est  occasionnée  par  le  pronom  personnel  qui  suit. 

Voir  note  g. 


-*^  I  \ — I  rJr  / — V  ^ — I  ^ —  j\  •  •  •  I   ni  ' i  '  *s^^  .^       J  .7r 

J^.    JL.    ""^iSZ    *     III     I     l-l-l    X    _F   I   I    I    *     1     JK«   a    *     1  . \^    A     I    -^    J    Jr  A^*vw^ 


^''  Le  tmisiômc  liait  ('u)  esl  sûrement  une  ecreur  du  lapicide.  Cf.  1.  if). 

'*'  Lecture    V  .  Ce  sijjne  présente  sur  la  st(Me  sa  forme  liiéraliquo. 

'^'  Les  points  ne  scmltlenl  pas  apparaître  sous  ^— . 

^*^  L'oiseau,  qui  a  sur  la  pieri-e  la  l'orme  du  percnoplrre,  doit  se  lir(;  nh. 

'*'  Le  dessin  exact  de  cet  liiéro{jiyplie  est  Zn  (avec  Inuro  supériciue  d('passant  visildcment  des 
deux  côtés).  On  sait  qu'à  une  époque  du  Nouvel  l'^iii|)ire,  (pii  n'a  pas  encore  éli'  délerniinée,  le 
sig-ne  ZD  (avec  trait  vertical  coupant  l'iiiéroglyphe  en  toute  sa  hauteur),  a  prescpie  complètement 
évincé  Q  poiu'  l'expiession  de  la  lettre  //.  Cette  substitution  est  fort  nette  dans  la  stèle  de  Kouhàn, 
ou  ^r  a  adopli';  la  première  de  ces  deux  formes.  Ajoutons  cependant,  comme  rindi(juont  nos  em- 
preintes, que  sur  les  ït  fois  (|ue  se  rencontre  la  lettre  g-,  elle  est  écrite  h  fois  ZL  (avec  ligne  de  la 
hase  hien  horizontale)  :  1.  5  "^  j^^  |;  1-  i  i  "^  \^  -«jjL  (barre  supérieure  dépassant  légèrement 
à  gauche);  1.  12  ^^  ^^■  L  -^-"^  ^ZliJ  ^  ^  J.  La  forme  incurvée  ffi  se  présente  une  seule  fois: 
1.  1.3  j^  8  ^[T  .  Kn  vue  de  faciliter  la  lecture  nous  avons  ci'u  devoir  rendre  (r  par  ffl  ou  [J\^  (suivant 
les  cas),  réservani  ZH  pour  la  valeiu-  hr.  Le  lecteiu-  pourra  du  reste  se  re|i(>il('r  aux  phololypics 
pour  le  dessin  exact  de  ces  signes. 

'"'  L'existence  des  points  est  toujours  probli-malique. 


—  ■i>(  5  )<<■■' 


I  Av^-wA    .^\ — Il  11^1  A^^  <=>  I  rr^  In    X  ->  Il  I  y\  — »+- J^^    ^ 

1  ^    I     Aww^  1  J  ^^^        Î;^   I     -*     I    a  ^^ 1     X    ^         Ç         T5  ^=»  *        I  I    I      I      1  /^w,wA  > — 

I     AMvwA  ^    .zT  AvwA\  \  •   •   •     I      AvA^       .^^       ZB  CO    JV;  ^^"^  A*vw«A    i^».  Il  1  *^— >-  *  *-'  _Zr 

'^ <=><=>     A  I  I  I A  1 1  f  7\  1a  (2.= — Il  1    If  ^>— il  > — '  ^    Il 

^ I    AwvwA         3r  T      i  Aww^  "TT"  ('^^)  ^"^ .  •  <=»  AvwwA  1  m       <^    \    THZW     \      I      I  ^^^  1   J   1 


13 


'*'  Par  suite  des  nécessités  de  la  typographie,  le  siège  a  ici  une  forme  différente  de  celle  qu'il 
possède  sur  l'original.  Le  trait  qui  le  traverse  n'est  pas,  comme  l'ont  pensé  Prisse  d' Avenues  et 
Clialias,  riiiéroglyphe  -*^,  mais  une  sim|)le  harre  horizonlale. 

'"'  Le  bandeau  est  plus  exactement  terminé  ainsi  Q^ . 

'*'  Sur  l'original,  il  y  a  ici  une  chèvre  et  non  un  veau. 

'*^  Voir  pour  la  forme  du  ZB  p.  ^,  note  5. 

^^'  Dans  ce  mot  le  pluriel  se  trouve  sous  les  bras  du  personnage  adorant. 

^"^  Les  points  apparaissent  légèrement  sur  la  pierre. 

''*  A  cet  endroit ,  forte  rayure  sur  la  stèle. 

'*'  Une  barre  horizontale  coupe  l)ien  visil)lemcnt  le  crochet  inférieur. 


Hi 


s    s    ('■') 


'">  Voir  |).  ft ,  Hole  5. 

<"'  Par  suite  de  nécessités  typogi-apliiques,  col  hiéroglyphe  n'a  pu  avoir  ici  la  forme  exacte  qu'il 
possède  sur  la  pierre.  A  l'éloile  suspendue  à  un  càhie  (si{;-nc  d'époque  très  tardive)  doit  être  subs- 
titué le  scej)lrc,  su])port  du  ciel,  nettement  brisé  eu  deuv  par  la  chute  delà  voûte  céleste.  La 
ligne  du  sol,  parfaitement  visible  sur  la  phototypie,  traverse  l'extrémité  du  sceptre.  Voir  à  ce  sujet 
l'inféressant  travail  de  M""  Ghatelet,  Une  des  causes  de  VohscurUé  nocturne  diaprés  les  idées  des  plus 
anciens  Ejpjplicns ,  dans  le  Bulletin  de  l'Institut  français  du  Caire,  l.  XVIII,  p.  !M-.']i. 

'^'  Sur  l'original,  le  coffre;  est  surmonté  de  plumes  d'aulruchc,  ce  qui  lui  donne  ras[)ec(  du 
signe  ©  . 

*^'  Erreiu' du  lapicide.  poiu'  j. 

'^^  A  771  •'"''^  ^'^^'^  substilué'  7^.  Le  second  trait  est  douteux  sur  la  pierre  et  semble  bien  repré- 
senter f . 

'"'  Sous  le  signe  ^  se  distingue  un  appendice  comme  dans  — ^,  mais  nettement  arrondi.  C'est 
sans  doute  quchjue  f'-clal  de  piei-re  détaché  accidenlelicment;  f+*  doit  être  lu  Ç[\.  \- 

'''  Les  points  sont  parfaitement  visibles  sur  la  stèle. 

'*'  Dans  ce  titre,  ■=>  doit  se  lire     ^    II. 

'"'  Le  signe  \  a  comme  valeur  I    j   . 


17-^ «S* A"^*'^  ^^  IL  n  ~^ 


-••Ï3.(    7    ).c<-- 

J  Jr  7\  Av^w^  1  —H-  1        .^  l ....  l  ^^  A  ■  1 1  I  i:::^^  '  ^ 1 1 1  J^  ^>— i  J  I 


2  1 


'•'  La  lecture  de     ,     '^st  J^  ^  ^  . 

''^  Lecture  :  |      ]^ . 

'''  Sur  la  pierre,  le  personnage  assis  paraît  porter,  de  la  main  gauclie,  un    /l. 

'**'  Lecliu'e  I  V  • 

^^'  Le  mot  3^5  se  rapporte  au  pronom    I.  Par  suite  d'une  rayure,  les  pattes  de  Toiseau  se  rat- 
tachent au  signe  de  dessous.  Ce  signe  t=>  sendile  avoir  son  point  diacriti(pie  à  l'intérieui-. 

'"'  Sui-  l'original  il  y  a  ici,  comme  à  la  ligne  lo,  une  chèvre  ot  non  un  \oau, 

'''  Voii-  pour  ce  signe  p.  5,  note  8. 


_y  ^      ^ivi/éif'^^ 


I  I   I 


— ^>.(   8   ).«<— 

l^*^'^'^ — '•    iiiï-rr-     i^  i^  .^ -^  I  —  ('S)  i  ■  a:::::::a  ^i. — iiii 


'"'  En  e\aiiiiii;ml  la  sillioiieltc  du  scarahée  et  lôcarlcnit'iil  de  ses  jiaHes,  on  est  l'ondt'  à  peiiseï' 
qu'une  lettre  a  disparu  sous  le  coléoptère.  Selon  toute  probabilité,  nous  devons  restituer  -=». 

'"'  Ainsi  (|uc  nous  l'a  fait  remaixjucr  M.  Loiel,  il  y  a  probablement  ici  une  faute  du  gravciu-.  Par 
suile  (rime  confusion  due  à  riiiéraliipio,  le  lapicide  aurait  {jravé  — »•  au  lieu  de  -=>.  (Test  donc 
.=»  I  \  jT  (jiTil  faudrait  sidjsliluer  à  -*»•  |  V  jJç. 

''^  Voir  pour  ce  sig-ne  p.  5,  note  8. 

'*'  Restituer  a — i.  Stu'  la  pierre,  on  n'aperçoit  (jue  la  partie  antérieure  du  bras  et  revli'éniité  du 
pain  supporté  parla  main.  La  cassure  a  sup[)iinié  entièrement  la  lettre^.  Notons  encore  poui-  le 
mol  ' — ^.  (lui  suit,  la  disparition  (ki  ti'oisième  i — \. 

'^'  Hiérog-lyjdie  brisé  dans  sa  partie  inférieure. 

'"'  A  la  (in  de  celte  lonj^ue  lacune,  les  trois  sijjnes  ^  V  peuvent  èlie  rétablis.  Le  sommet  de  la 
tète  de  l'oiseau  est  d'ailleurs  encoie  visible  sur  la  stèle. 

''^  Comme  à  la  li{jne  i,  la  |)iésence  des  points  est  douleusc!, 

C)  Lecture:  0". 

*"*  Mal{p-é  la  cassure,  un  espace  a])|)ai-ail  neltement  sin-  la  stèle  cnire  les  si([nes  \\  ^'^  ^-  " 
est  permis  de  penser  (pie  c'est  la  lellre  — •  (pii  a  dispaiii. 

''"^  L'examen  allentif  de  la  pierre  et  de  nos  eslampa{j-es  permet  de  l'établij-  — »  plultjl  ipie  ^r^. 
Le  sif^ne  semjile.  en  elfe!,  s'incurver  à  l'endroit  de  la  cassure:  de  |)liis  récoulemenl  (  — •)  csl  bien 
\isible.  La  restitution     •      paraîlrait  donc  plus  certaine  (jiie  celle  de     •■    {jénéralemeni  admise. 


-o.(  9  ).es-— 


(■•5) 


s«!r«  I  ^m~.   *1^_i11^-._A^> — II  .s=st   il  1! 


\S^:mv 


I  I  I 


X+VI^!^XV"V 


^^^ 


■A  m.    \   m.       I 


!^y!i=!z:r;"Ti^"+MriHf 


WWM  3o 


2  G 


28 


:i2)  29 


3o 


'''  Bien  que  Ic  ciment  qui  recouvre  la  ligne  aS  ne  permette  pas  de  distinguer  l'étoile,  ce  signe 
est  néanmoins  certain  en  raison  de  l'espace  compris  entre  les  hiéroglyphes  Y  et  ^. 

'^'  Par  suite  de  l'enduit,  on  ne  peut  affirmer  l'existence  de  points  sous  — . 

'^'  Le  trait  sous  l'hiéroglyphe  -^  est  problématique. 

''''  Ici  commence  le  fragment.  De  la  lettre  -=>,  seule  la  boucle  inférieure  subsiste.  Pour  la  forme 
exacte  de  f^^  voir  p.  h ,  note  5. 

'^'  La  restitution -de  j  est  sûre.  Le  signe  "^  est  brisé  en  deux  :  sur  la  partie  principale  de  la 
pierre,  on  dislingue  la  tète  et  les  bras;  l'extrémité  du  corps  apparaît  nettement  sur  le  fragment. 
Du  rouleau  de  papyrus  qui  suit  (ij,  la  moitié  supérieure  a  presque  entièrement  disparu. 

'^^  Une  lettre  existait  sûrement  à  cet  endroit  :  sans  doute  f"^. 

'''  Malgré  la  détérioration  de  la  pierre,  on  peut  admettre  pour  cet  hiéroglyphe  l'existence  de 
l'uraeus. 

'*'  En  cette  fin  de  lacune,  il  serait  peut-être  permis  de  restituer,  connue  l'a  du  reste  indiqué 
M.  Virey  au  Bec.  de  irav.,  t.  XIV,  iSç^a ,  p.  99,  les  signes  _'    mm  (l'extrémité  de  ^m  apparaît 

parlaitcmcnl  sur  la  [)liototypic).  On  auiait  donc     *  rrla  moitié  du  chemin n. 

''^  On  doit  probablement  rétablir  ^ 

''"'  Gomme  paraît  l'autoriser  la  lettre  \,  il  nous  semble  possible  de  restituer  ■  à  la  fin  de  la 
brisure.  Nous  aurions  donc  ici  la  forme  interrogative  bien  connue  1  \   ^   I  f  Jj. 

'"'  La  présence  du  percnoptère  ne  fait  aucun  doute. 

^'^'  Signe  fort  abîmé  sur  la  pierre. 

'''''  Hiéroglyphe  erroné.  Sans  hésitation,  il  faut  lire  — »— . 

'"''  Le  I   est  problématique.  La  stèle  est  abîmée  à  cet  endroit. 

Bibl.  d'étude,  t.  IX.  3 


^ss 


t  I 


wm^'^  ^.- 


\  (8)  :5;! 


■lip  "  JS 


:{'i 


J\       ill  .-. ~       lil-IIICa      I      J!»<=.-^rt; Vl      ©        . 


\-±\ 


Wm 


m.\ 


VM 


¥TT ""/TXÎVsïXE^^^r-^Er! 


z^> 


y\    Avw^  1  ^   I   I   I   I  f 


36 


i? 


HPi.¥rr; 


KWliU 


'"'  Cc  sijjne  déténoiV;  devait  représenter  la  flèche  (- — •).  H  autoriserait  pent-ôfre  la  restiliilion  du 
verbe  ^y^  ^ ,  frliarponnerji. 

^''  La  lettre  ..:=  est  (eriinîe  [»ar  un  (i;til  inli'-iieur.   Li's  ]ii(''r(){jly[>lies  aai  cl  m  sntil  assez  écrasés. 

^^)  L'oxyrrhyiKpie  et  le  sijjne  %  sont  bien  abîmés. 

<*'   f>a  lettre  ^^-^a,  Miiir(pie  du  {yénilif  indirect,  (!st  placée  ici  en  vertu  d'iuK!  niélatliése  [p-apln'cpie. 
On  doit  donc  lire  -\jk  ' — ^  \  |  V  ,*|' ®  "'es  marais  du  Deltat. 

'^'   fiCs  ailes  de  l'oiseau  sont  brisées. 

'"'  Ce  signe  semble  i-eprésenter  le  membre  antérieur  du  bœuf  ■«^>.,  On  pourrail  distinguer  en 
dessous  l'extrémité  de  la  queue  du  serpent  » 

'''  Les  deux  Iraits  n  paraissent  gravés  sur  la  pierre,  appuyés  sur  la  lettre  <=>  donl  une  [)a)li(! 
seulement  a  été  conservée. 

^'^  L(!  signe  Ç  se  distingue  parfaitcmeni  sur  la  pbololypie. 

'"'  Le  panache  fie  roseau  est  parlieilemenl  visible  sur  la  |)ierre. 
'"''  La  restitution  <hi  liail  à  cet  cndroil  ne  lait  aucun  doute. 

'"'  Hiérogly[)lie  en  j»;irtie  détruit.  Le  luiiit  du  personnage  est  encore  riellenient  marrpié, 
'"'  La  Iclhc  /~~^  .loit  être  rétablie.  Lire  "•  f  f 


t^ZI.>]]^iri!! 


L](')^  38 


V'^ir^Q=:iLaa'\ 


liMii^H 


{■2) 


38 


*''  Restitution  probable  (cf.  I.  i6,  19). 

'''  Nous  avons  sûrement  à  restituer  devant  V  le  syllabique  ^ . 

'''  La  phototypie  semble  donner  un  -^  après  / — \;  ce  •  apparent  est  en  réalité  une  marbrure 


foncée  du  granit. 


GLOSSAIRE. 


Quelques  remarques  nous  semblent  utiles  au  début  de  ce  glossaire  : 

I.  Pour  les  quatre  lettres  ^k  ,  I ,  ^  -j  et  %  ,  ?,  nous  avons  cru  bon  d'adopter  les  transcriptions  suivantes  : 

II.  Le  •  et  le  -m—  sont  exprimés  tous  deux  par  h;  de  même  aucune  différence  n'est  admise  entre  les  let- 
tres  1  et  —"—,  conformément  à  lour  emploi  indistinct  aux  temps  ramcssides. 

III.  Nous  avons  rendu  X  par  h  {h  pointé),  ■■■  par  s,  a  par  q  et  s=b  par  t  (t  pointé). 

IV.  Le  ^^  a  été  transcrit  :;.  Toutefois  pour  les  mots  où  le  copte  indique  le  passage  du  |  au  ^,  nous 
avons  adopté  la  transcription  t.  Pour  plus  do  commodité,  cependant,  ces  mots  ont  été  classés  en  leur  conser- 
vant la  place  qu'ils  auraient  eue  avec  l'iiiérog'yplie       ^  • 


^—  'u-lt,  B.  N.fém.  1°  étendue,  largeur; 
2°  expansion,  dilatation;  ^^*  dilata- 
tion de  cœur  =  allégresse,  joie. 

f  'b,  2.  Adj.  quai,  moucheté,  tacheté. 

+  J3î'b'  ^h^\\\%l'bl-n,  20.  !. 
ir.  1°  désirer,  vouloir;  2°  caresser  (un 
projet). 

Iv-P"?"  '^'  *^'  ^^'  ^^^^'  aussitôt,  tout  de 
suite,  sur-le-champ. 


Aj  "i)  2A;  ^  h.  Prou.  pcrs.  1"  yers.  masc. 
sm/j.  je,  moi.  11  n'est  pas  exprimé  : 
1°   Derrière  un  verhe,  yV,  B,  B; 
2°   Deri'ière  un  nom,  12,  2/1,  2/1. 

I  T  l'i  r"\Jj   19.   iV.  masc.  pi.  adorations, 
invocations,  louanges. 


Y  j^  i'u-Ult,  iG.  N.fém.  pi.  charges,  Ibnc- 


lions. 


^  i'hti,  1/1.  Ailj.  quai,  habitant  Iho- 
rizon. 

I  ^  ^  f  U ,  2/1  ;  ^  ^  r,  10,  33.  1  .faible 
tr.  j"  laver;  2°  haijïner.  I  ;:rr;^'^ ,  I  'pzx 
^2/1,  33,  baigner  le  cœur  =  se  réjouir, 
se  délecter,  s'eu  donner  à  cœur  joie. 

i  li,  16.  V.  faible  inir.  1°  venir;  2°  arri- 
ver, se  produire. 

I\  lU,  5,  (j,   l'à-i-j  passim,  i(j-2  0  pas- 
sim,   22,  22,  2A,  26,   28,  82.  1.  intr.- 
1°  être,  se  trouver;  2°  être  en  qualité 
de,  à  l'état  de  ('=). 

j\^  iut,   3i.  V.  inlr.  venir,  arriver. 

♦  ib,  i3,  18,  2h,  33;  ♦  B,  C,  C.  .V.  masc. 
1°  cœur;  2°  milieu. 

fém.  soil. 


U   )k-i> 


^  ibd,  -iG.  A.  »««.sr.  mois. 

leinple  d'Aiiion.  an  nord  de  Tlirbcs  (aiij. 
Karnak). 

I    ■    ipiîj   •?3.    h//.  ^/n».  iitnur.  ph  ces. 

1^  im,  3,  5,  8,  23,33,  3^?;  I '^  /i,  -n. 
Prep,  et  a(/i'.  i°  /Ve^^  ((bniie  que  ])reiid 
V,.i=  devant  un  pion,  pers.)  voir  j^; 
9.°  Adr.  à  eel  endroil,  là. 

W^'  imiu,  -nj,  ^  I  I  11.  \ilj.  nuisr.  pi. 
ceux  qui  sont  dans. 

IV  ""^^^im,  a 2.  Impel-,  donne,  accorde, 
fais  que. 

I"**  imn,  '[.    \.  pi:  mane.    !<■   di<'u   Anion. 

I  S  imn  r\  a/i;  \'^,  i.  \.  p.  masc.  lo 
(lieu  Ainon-Hù. 

f!  "  T  (fl P P J  "^^i  i"^^^  ^'^  ms  su ,  3M  ; 

(  I  j!!i!*  •  jfj  ^  J  .    15.    Carlouchc-noni 
dc  liamsès  If. 

\y  in ,  28.  Paiiicuk  employee  dans  la  locu- 
lion  interro[jative  |  ^^  ^  est-cc  (|U('. .  .  ? 

I    ini,  11;   f'    '  inn,  8.   I.  faibk  u: 
amener,  apporter. 

ll^inU,  18.  A',  pr.  niasr.  la  ville  dllélio- 
polis. 

^•^  inuk,  k;  ^  )'?,  '?3.  /'/w*.  pcrs. 
(sM/.)  lepers,  sing,  moi,  jc 

III  intiu,  .5.  A.  ^».  nifiac.  pi.  populations 
des  régions  désertiques  de  ^ubie. 


1 .  I  -=>  ir ,  1  3 ,  17,  lU.  Conj.  si. 

2.  I  <=.  ir,  (),  l'i,  uj.  Particule  diî  mise 
en  prolepse. 

I  ^^  iri,  10.  Adj.  (pii  est  (à  eux),  (|ui  se 
rapporte  (à  eux),  (Tentre  (eux). 

-*^i^>^^  9;  "^  IJ,  A,  7,  aa,   2(),  33; 

'•'  1^^  M);  ^^  9^'  33;  ;^-  17. 
\.  faible: 

A.  /r.  1°  iairiî;  a°  créei",  produire; 
3"  accomplir,  exécuter;  h°  nommer  (à 
une  fonction); 

H.    intr.  ajjlr. 

"**"  ir-ti,  1/1.  .Y.  fém.  duel,  les  (deux  )  veux. 

1"^  H  irp,  C.    \.  iiiafir.  vin. 

I    *    ih,  jT).  /Vo/(.  f/i/t'jc.  (piel? 

in  is-^^'  ^'^  i5;i-a;i  i8;plur.  J,', 
(S-iflt,  a.  A. fém.  lieu,  [)lace. 

in     ist,  7,  8,  27.  Co»/,  or,  alors. 

^^iqr,  .,.  Adj.  parlail;  -=^  \  ^  par- 
faitement, absolument,  complètement, 
extrémemonl. 

pays  d'Akaïta. 

!  ]  !  !  M*  i^i'   '  î)-  ^-  '"'''*^-  souverain. 

^  j;^itf,  .8,  aa,  a/i;  j;^  H,  C,  a,  H ,  7, 
a  1  ;  |)liir.  ^  ^^  itf-u  7,  a  2.  A',  masc. 
père. 

"3^  it',  if).  /VoH.  //j/6')r.  (|uel?  (em- 
prunté au  sémiti([ue  nr'^it). 

1?  iti,  3.  I .  faillie  Ir.  cnipoiter,  cmuiener. 


V  V 


idb-ui,    i(j.    iV.  masc.  duel,  los  deux 


rives. 


I 


idn,    id.  I.  /('.  j>()uv(!nior,  ivjiir. 


^-^1^  J®  idhu,  3o.  i'V.  p.  masc.   le 
Delta. 


■7^  S  iG;  duel  j^  ^  'ui,  0;  j^  19.  iV. 
masc.  bras;  J[_j  ^  19,  aussitôt;  lO,  sous 
los  oi'dres  do,  sous  la  direction  de. 

fern.  sing,  ^j -^"^     '"*^j   3A.  .'1r(/.  <jf*/<7/. 
«rand. 

^^  j^   ""\J)  i<^-  A.  »"«sr.  pL  anes. 

■=]-' ^^  b,  5.  A.  masc.  corne. 

1.  ^  nh,  A,  l)-(i.  pnsshn ,  1,  -.  A,  «(«.sc. 
vie. 

2.  ^  'nh,  18;  plur.  ^y  'nh-U,  2.  Part, 
prés,  vivant. 

,__,  <=.Y  rq,  ]5.  V.  mlr.  1"  être  coini)le(; 
a"  être  achevé,  parfait. 

!•  I     .  '  7-  ^-  "'^s''-  durée  (de  vie). 

j*P^  s',  (|.  Adj.  (puiJ.  noiîibrenx,  l)eaucou[) 
de. 

J    11  *^>  1^'-  ^-  "*'''•  ^tre  exact,  juste. 

ffi^iCi^.  'g'-^it'  ^-  ^^V^'»'-  /^^-  sabots. 


\    U,  10,  99.   Pron.  pcrs.  S'  pers.  pi.  ils. 
*=4=*UU,  i5.  Adj.  quah  éloigné,  lointain. 


If)  ).«.- 

^U-lt,   (),   10,   1.3,   91,  aO,   9fj;   plur. 
u-Ull,   ().  j\.  Jem.  route,  chemin. 

fl\  >  >  T  U^uy .  -V'.  I  .>V;/.  mrr.  .se 
mouvoir,  cheminer,  ou  bien  être  éloifjné. 

certer. 

j  u's,  A,  Ij,  Ci.  \.  masc.  jouissance,  l'élici- 
té,  bonhenr,  plaisir. 

^   u'z-it,  1.  iS.pr.fèm.  CoJ)ra. 

~,  U.  ,  8.  A.  de  nombre  masc.  un,  l'un. 
^^^u'f,   1.    r.  tr.  dompter,  souinettie. 
\  J  i  \jb'>  1  -"^ .  30 ,  93.  I .  Ir.  I  "  Ibrer,  ]) 


uer- 


forer;  9°  crenser. 


Y  ^  up-it,  1  y,  N.Jém.  i°  charge,  fonc- 
tion; 9°  mission  (technique). 

^un,  f),  1/1,  lO,  17,  3/4;  ^J^  19; 
■^1^  30;^'  'mm,  5,  11,  97. 
ï .  m?r.  être. 

^  USr,   1 .  Adj.  riche. 

(Mii^jl  usr  m'^-it  r'  stp  ni  r^ 

(iartouche-prénoin  de  Ramsès  II. 

^P^USt-it,  3i.  N.fém.  message.  Dans 
le  n.  comp.  ^^PH>^  hrinsl-it,  por- 
teur de  message,  courrier. 

I   £    UZ,  9/1.  1.  ir.  commander,  ordonner. 


J 


J,  ,  ,  b  -U,  5.  iV.  masc.  pi.   1°  âmes;   9" 
action ,  force  (terme  propre  an  Pharaon). 


— «.(  IG  ).«^ 


T^  b'h,  II,  I'?,  90,  [ai],  af),  '7*  39. 
jV.  m«s6-.  Ic  (levant.  II  osl  employé  ici: 
'  1°  dans  l'expression  :  ^f  |_j][  ik  ici 
présents;  2"  clans  les  loc.  adv.  et  prépos. 
^=T^  19,  90,  [ai],  9  0;  ^_^  22, 
en  présence  de,  devant. 

^  '^^  />7.'?,  1).  iV.  pr.  viasc.  nom  anticpic 
de  la  forteresse  de  koubàn. 

\|;7b'ti,  11-,  l|^-  1,0.  .V.  P-.  mr/sT.  le 
roi  do  la  l)asse-Kp,ypte. 

IBc  bi'-uit,  i/j.  .V.  féni,  pi.  merveilles, 
prodiges. 

^\^  bik,  9.  V.  uKi.tc.  iaiicon. 

J\bu,  11,  i  II- i-j  passim,  ^0-9.3.  Adv. 
ne. . .  pas. 

IV  ^  1  buhn,  G.  A.  «r.wrtsr.  localité, 
anj.  Ouadi-Halfa. 

J    bn,  iG.  A(h\  ne.  .  .  pas. 

I  '^^*^bnr,  33.  Adv.  dehors. 

* — V -#f-  lï^^U»  8.  V.  imisc.  tronc. 

^~"  ^  bhdti ,  A ,  9  ;  ^  O  A.  Y.  pr.  masc.  le 
(dieu)  d'Apollinopolis  (auj.  Edlbu),  épi- 
tliète  du  dis(|ue  .solaire  ailé  dont  le  nom 
semble  avoir  été    g    |  ^  ''^^• 

J[l^  bsi,  99;  Jp-^  i3.  V.  faible  inir. 
1"  monter  à  la  surlace,  s'élever;  2"  se 
réaliser,  s'accomplir. 


■--  p-it,    /i,  95;  - — •  C,  3.    yY./(fm.  ciel. 
35  passim.  Arl.  déj.  masc  sing.  Ut. 


X-'P'i,    90. 
ce,  cet. 


id^ 


:/•  y"'' 


//(''»(. 


s»»^. 


^|J|.  Ik  \  p'u,  9 (S.  ylr//.  proii.  dé)ii.  masc. 
sing,  ce,  cet.  l' eut-être  pu  est-il  ici  plu- 
tôt le  verbe  ?? avoir  été  aux  temps  primi- 
tifs, exister  depuis  la  créalionn  employé 
souvent  comme  aiiviliaire  pour  marquer 
le  [)assé  le  plus  loiulain. 

*  ^  P^~it,  1  G.  N.fém.  Vieux  terme  ethni- 
que dési{>naut  à  l'origine  h  clan  des  Ho- 
riens.  Il  est  employé  ici  dans  le  n.  comp. 
^  %  Vip~^h  ^ui,  depuis  longtemps, 
avait  perdu  son  sens  primitif  (tf celui  qui 
appartient  au  clan,  le  chef  de  clan^) 
pour  devenir  un  simple  titre  nobiliaire. 
On  peut  le  rendre  par  noble  prince. 

■  \  pu,    i(S.  r.  aux.  [masc.)  c'est. 
'    pn,  iG.   Adj.  dém.  masc.  sing,  ce,  cet. 

9,  39.  V.  faible  inlr.  1°  apparaître,  pa- 
raître, se  montrer;  9°  .s'élever;  3°  sortir, 
être  issu. 


\  A  pru ,  I  '1.  A .  masc.  sortie; ,  émis- 


2.    t^ 
sion. 

S  pr-it,  1.  \.  pr.ft'm.  la  seconde  tétra- 
ménie  de  l'année  égyptienne  (la  saison 
des  semailles).  Dans  le  n.  comp.  jS 
tpt  pr-it,  le  prcMuier  mois  de  cette  sai- 
son, c'est-à-dire  Tybi. 

5£i  ^  phu,  ï^>.  V.  faible  tr.  atteindre,  ga- 
gner, parvenir  à. 

\  \  phti,  3.  Y.  masc.  vaillance,  valeur. 
*^Aphr,  ,5.    V.  intr.  circuler. 


— v>(   17 

®  pst-it,  h.  N.  coll.  fern.  laNeuvaine.  Dans 
l'expression  S"^  pst-it  nlr-n,  TEnnéadc 
divine. 

■  ■  J^  ptpt,  5.  V.  if.  piétiner,  fouler  aux 

pieds, 

"■^.dfr^  ptr,  i/i.  V.  ir.  \°  regarder,  voii-; 
3°  examiner,  considérer,  conlempler. 

■  I  pth,   1Ç).  iV.  pr.  masr.  le  dieu  Ptah. 


=^^ —  -I,  B-C  passim,  ^-8  passim ,  i  i-id  pas- 
sim, i5,  i8,  f?o-9  3  passim,  aS,  'H'] pas- 
sim, 30-3?,  passim,  3 5-3 G  passim.  Pron. 
fers,  o'  pcrs.  masc.  sing,  il;  lui  (de  lui, 
à  lui,  son,  sa,  etc.).  Noter  son  assimila- 
tion aux  finales  dans  ^  ^,  ^^  H,  C,  2, 
0,  7,  et  ^^i^  7- 

Il  ftu,   ];nii  3'J.    {(Ij.  iniin.  card,  ([ualre. 


A' 


1.  V  ïHj  'i-o  passim,  ^-()  passim ,  la-i'i 
passim,  16,  17,  19,  '■20-^ k  passim,  97, 
33,  33,  36, 38;  ^=  B,  2,3,6,9, *i" 
i3  passim,  16-91  passim,  95,  3o,  3o, 
39,  39,  3/1,  35.  Prép.  1  "  dans ,  en ,  sur, 
parmi;  9°  de,  hors  de,  venant  de,  d'en- 
tre; 3°  en  tant  que;  li°  sous  la  l'orme  de; 
5"  au  moyen  de,  à  Taide  de,  avec,  grâce 
à,  selon;  6"  comme,  à  titre  de,  en  (jua- 
lité  de. 

2.  ^  ni,  i5.  Pariicnle  servant  de  mise  en 
prolepse. 

•«>-7  m",    i^j,  j5.   V.  géminé  tr.  regarder, 
voir. 
Bibl.  d'étude,  t.  IX. 


.— ■  V  ^  m'^,   1  8.  Aclj.  quai,  vrai ,  véritable. 
1.    ^^^^  m'*-it,   23.  X/cm.  vérité. 

•2.  ^  m"-it,  1,  '1,  18.  N.pr.Jém.  la  déesse 
Vérité. 

y^f^  ïïl"u>  3i.  .V.  masc.  (bon)  vent. 

01  mi,  9,  6-7  passim,  i  h ,  1/1,  29,  92, 
27,  3i,  33;  2  A,B,  B,  C,  2,  i3,  i5, 
18,    2 3-2 A  passim,  3i.  Prép.  et  conj.  : 

1°  Prép.  comme,  selon,  ainsi  que,  de 
même  que; 

9.°  Conj.  vu  que,  parce  que,  car. 

lité  e-ntre  Koubàn  et  Ouadi-Halfa. 

Q '^'^  mit-it ,  2  1,  29.  N.  fém.  chose  sem- 
blable, pareille;  ^^^  ^1.  pareille- 
ment, de  même. 

1.  4|M  m^,  1  1  ;  ^  3i.  Prép.  1"  à  cause 
de,  en  raison  de,  par  suite  de;  2°  de  la 
part  de. 

2.  -^  lïl^,  1  1 .  ùmj.  donc. 
'^^I^^m'ii,    17.  Impér.  opt.  du  v.   J^, 


viens. 


^  ^  1  1 1|  m'h',  ill.  V.  intr.  :  T  être  de 
même  poids;    2°  être  équilibré,  ajusté. 

-ij^'"—^  in*k,  i.  V.  Ir.  r  couvrir,  envelop- 
per (quelque  chose);  2"  protéger,  dé- 
fendre. 

' — ^  mu,  (),<),  II,  17,  20-93  passim,  28, 
35,  35;  plur.  ""^  11,  32.  N.  masc.  eau. 

5jf^mut,  90;  )ii^\^  10.  V.iulr. 
mourir. 


r»"|j  J  mn  m"-it  r*,  9.i.  Cartouclie- 
prénom  de  Séthosis  P"". 

•-^  1^  mWU,  C;  "^  C,  C.  .^.  pr.  masc.  le 
dieu  Min. 

"""'''  mnu,  iG.  ^\  masc.  nioiuimout,  cous- 
liuctioii. 

""^•^i  lïinh,  87.  Aâj.  quai,  achevé,  par- 
fait, accompli,  excellent. 

K  ' J  mntu,  3.  T.  ipr.  masc.  Menton,  le 
dieu  de  la  (juerre. 

*~^  mr  ou  mieux  imi  r  ,  îi5.  A.  masc. 
chef,  directeur. 

!^  mri,  1;  ^|^  C,  3;  g^  mrr,  ^1-2. 
V.  faible  Ir.  aimer,  chérir. 

*^^^^  mrr-uit,  i3,  -^M^'^^Z  mr-nit, 
(j,  33.  \.Jem.  pL  affections,  souhaits, 
désirs. 

°*^  mh,  17.  V.  tv.  i°  remplir;  9°  accom- 
plir.' 

mh ,  a  1 ,  3  2 ,  3  2 .  -Y.  masc.  coudée  (  o  m . 
ôaS  mill.). 

|fr©mh,  7.   \.  pv.  masc.  la  Basse-Kgyple. 

jtjn^^  ms-it,  3.  \.  J'ém.  enfantement, 
naissance. 

fflP.S.^  mszr-ui,  i5-i(i.  .V.  masc.  duel 
les  (deux)  oreilles. 

^M  I  mS  ,  l'y.  .A.  coll.  masc.  année. 

]  ]  lïlti,  i5.  \(lj.  (fiiai.  1"  inis  exacte- 
ment dans  l'axe;  verlical  d'une  chose, 
hien  équilihré;  9."  ajusté,  adapté,  bien 
établi. 


•18  )ks— 

^  }^  —  mtu-it,   3.  N.féi 


em.  semence. 


^  ^  A  1  H  !  mtriu-it,  37.  A.  fém.  pi. 
choses  équilibrées,  mises  eu  symétrie. 

I  mdu,  A,  H;  plur.   1^  mdn-u,    \h. 
\.  masc.  j)arole. 

|"î^  md-uit,  18;  \Z  n.  \.  fém.  pi.  pa- 
loles. 

finit,    17.   Adj.   num.   card.    dix.   Dans  le 
nom])re  fl'l,  1.  39,  douze. 

"^^  lïltU,  21,  3o.  ,V.  masc.  profondeur. 


1 .  , — s  n  ,  3,7,  10-1  2  passim ,  1  (J ,  90  ^  21, 
90,  97,  35,  3(J  ;  ' — ^  A-B  pa.-isim.  (';  ^ 
9,  10,  17,  93,  9 G.  l^n'p.  à,  de,  pour, 
(Ml  l'honneur  de. 

2.  f — \  ni,  C,  ^,  7-8  /Msswt,  10,  12-16, 
17-20,  [26],  2G,  3o-,  ' — V  1;^  9-'l 
ftassim ,  8 ,  10  passim .  19,  1  5  - 1  8 ,  9  o , 
9  1 ,  3 1  ;  f .  "[[[[^  n-il,  9;  plur.  *  m-u,  a, 
11,  3o.  Parlicule  indiquant  le  «jén.  in- 
dir. :  de  (appartenant  à). 

3.  ^~~A  n,  33.  Parlicule  préccdanl  un  relatif. 

'n ,  3 ,  k,  1  3- 1  6  passim ,  19,29.  Pron . 
pers.  1''  p.  pi.  nous,  de  nous,  notre. 

'iT*  n',  10,  98,  3/1.  Prou.  dém.  masc.  pi. 
ceux.  Noter  1.  28  son  emploi  avec  valeur 
neutre  :  ce;. 

i    - — ^  n  ni,  10;  \^  I  <>•   l'''-  dcj.pl.  les. 

mÎ^  nis,  I  I.   I.  //■.  appeler,  convo(iner. 


•l-5.(    19    > 


'"  / — N  nu,    17.  N,  pr.  masc.   I'cau  soiilcr- 


raine 


•    nb,  (»:  8-11.  /V.  JHasr.  Tor. 

men  nbtl,    1.  N.  pr.  («.  (Fagenl)  masc.  Tlia- 
bitant  d'Ombos,  c.-a-d.  le  dieu  Selli. 

I .    '•^  nb ,  1) ,  H ,  (1 ,  I ,  •?.,  C)--j  passim ,  2  A  , 
inaitre,  seigneur. 


masc. 


2.   '^  nb ,  A-B  passim,  C,  9,  7,  1/1,  if), 
17,    18,   20,  22-28  passim,  3^;  I".    ^ 
7l/>-îV,   i3,  19,  22;  [)liir.  ^  W^-H,  <>, 
■7;         22.  Pro»,  flf//.  wr/e/".  tout,  chaque. 

J^nfr,  12,  30,37;  I  B,  <''  9'  -'^'  ^^• 
^44/.  ^w«/.  1°  achevé,  fini,  parfait;  2° 
bon,  ])eaii. 

XX'*~^nn,  19;  XX  8.  Pwn.  dém.  ph 
i°  ces;  2°  cela. 

~^  nn,  10,  i5,  29,  3^.  Adv.  ne...  pas. 

!!r^^^  nhi-U,  9.  Prov.  indéf.  quelques- 
uns. 

^^  nhm,  3.  V.  masc.  allégresse,  jubi- 
lation, joie. 

'^^ç^  nhmu,  3/j.  1.  intr.  être  en 
allégresse,  jubiler,  so  réjouir. 

1.  |«|nhh,  B,    19.    N.  masc.   l'éternité. 

2.  |«|nhh,  1,  7.  Adv.  éternellement,  à 
jamais. 

kl  PI  nhsi,5.i4/-.nègre. 

^  'nhb-it,  1.  ;V.  pr.fém.  Vautour.  Dans 
le  titre  royal  ^    ^    Vautour  et  Cobra. 


.^^"^^'  2;__^A,7;plur.  __J^ 
^"  nht-u,  3,0;  ^  ^  ^"  ^ •  ^^'  wiasf. 
1°  action  forte,  haut  fait,  exploit, proues- 
se; 2°  force,  énergie. 

V— •  nht,  1,  h.  Adj.  quai,  fort,  solide,  ro- 
buste. 

^  ns,  18;  ^  îk.  i\.  masc.  langue.  Dans 
l'expression  i^^  18,  la  place  de  la 
langue,  la  langue. 

^  ns-uit  t'-ui,  1,  2/i.  iV.  pr.  masc. 
temple  d'Amon  au  nord  de  Thèbes  (auj. 
Karnak). 

'œ^ÎV"^  '^S'^'  ^*-  ^^-  *"^-^^-  manque, 
absence. 

nu,    lo-i  1  passim ,  ai):  22;  I. 

?if-îï,  22.  ProH.  rcl.  qui;  ^-~î  22,  parce 
que. 

"1  ^   ntr,  33;  "^  A-C  passim,  2,  12,  18, 
20,  23;  plur.  ^"1^  ntr-n,  3,  7,  22; 
I  '  22  ;  ,n  4.  A',  wrtsc.  dieu. 

"I  \  \  Voir  à  la  lecture  sntr. 

1  -^  M  .^.  lï^l'-yit,  3-/1.  iV./ém.  p/.  déesses. 

^^  ntk,  18,  18.  7^ron.  pers.  2'  per  s.  masc. 
sing.  toi. 

i*  '  Jl  ^^ '  ^  ^ '  1 2-1  3.  V.  tr.  employé  dans 
l'expression  "j*  i  ^  *^  consulter,  de- 
mander l'avis  de. 


1.  -==*  r,  A-5  passim,  9-1 1  passim,  i5,  19- 
20  passim,  22,  aS,  26,  29,  3i,  33, 
38.  Prép.  1°  dans  la  direction  de,  vers, 


— y->{  20  )<^- 


à,  jusqu'à;   î?"  au  sujet  de,  sur;   .'5°  du 
uoni  de  (I.  38);  -V  conlre;  5°  plus...  que. 

"2.  <=>  r,  3,  'i,  (),  li-j.  Covj.  alin  de,  à, 
pour.  Ajouter  son  emploi  pour  nior(|uer 
le  futur  99,  2/1. 

3.  <=>  iri,  ]6;  ""^  17.  V.  (J'ofrnil  mnftc  le 
préposi''  à,  le  chef. 

1.  "7"  r',  19-1/1,  i(S,  18,  39.  A',  tiiaur. 
bouche. 

2.  '^'  iri.   Voir  à  -=>  3. 

T"  r'^,  9.0.  Y.  wrtsf.  1°  état;  9°  action. 

•  J  r*,  1  8 ,  9 3  ;  •  A-C  pasahii ,  9 ,  /i ,  7,  1  3  ; 

•  1),  (1,  1,  7.  V.  /»•.  masr.  le  dieu  lia. 

•  r*,  9,  7,  18,  93.  y.  masf.  jour. 

•  Voir  à  la  lecture  SSU. 

■=>V"^rud,  90.  V.  ituiHC.  1"  dureté, 
solidité;  9°  réussite. 

«=»V  ^  ï^ï^'^j  •^"-  A.  W(«sr. /^/.  poissons. 

""^jèJ  rmt-U,  27.  A.  masr.  pi.  hommes, 
i;ens. 

""^^  rn,  ,j,  G.  iV.  Hmsc.  nom. 

{-«rnp-it,  17;  |)lur.  ({{ /yz/^-zn'/,  1,8. 
A.  féni.  an,  année. 

{^  Voir  à  la  lecture  h'-it  sp. 

-==»  I  V  j^  rh-U,  93.  i\.  masc.  pi.  couipa- 
{jnons.  Le  texte  porte  —»■  au  lieu  de  «=-. 

_-<_  rh,  i5.  1.  /r.  connaître. 

^  rh-it,   9.   \.  roII.Jnn.  humains,  hom- 
mes. 


^\^,  ï'S-uit,  (1.    \(lj.  (HiiiI.Jnn.fi  mé- 
ridionaux. 

^-3^  m  ^^-uit,  3/1.  A'. /<'»(.  />/.  alle{}res- 
se,  joie. 

•  rk,  90,  2  3.  A',  masc.  temps. 

^  rti ,  7  ;  ^  - 1  i  ^  M  -I-  '  ' '^  '  -'  7  '  ^ 

faille  Ir.  1°  donner;  9°  accorder,  attri- 
buer, fournil-,  oll'rir,  faire  oblation;  3" 
placer,  poser,  uuitlre;  li°  faire  en  sorte 
que.  ->  '  ,  95,  se  mettre  à  plat  ven- 
tre, s'étaler;  ^^|_2_^^  ^7'  ^''" 
donner. 


ra\  I  i  A  h'i,  1  1.  [.faible  inlr.  descendre. 

m  \  ^*^  h'y>  -^1-  V.  iiiasr.  i>I.  [appareul] 
temps,  épo(|ue. 

ra  I  ^  h'b,  3G;  ra  I  ■  96.  F.  Ir.  1°  en- 
voyer  un  messa}»er;  9°  mander,  faire 
connaître. 

J^  »  ^  |f  1  hnu-U,  1  9.  -A^  wasc.  pi.  salta- 
tions ,  bondissements (geste  protocolaire). 

^•hru,  3,  90;  pliir.  ^^  liru-it,  S. 
A.  masc.  jour. 

J^  hri,  h.  \.  faible  inir.  être  tranquille. 


-^  h',   15,  C.  Prvp.  derrière. 

—^  h'-it,   10,  90.  N.fém.  le  devant.  Dans 
la  loc.  prép.  <=-  — ^   10,  devant,  et  le 


21 


Ui' 


nom  coinposé    ^  — *    iU),   ;iii[)aravant, 
autrefois. 


--!♦  h'ti,  i().  A. 


mnar.  le  cœur. 


1^  h'-it  sp  (pour  les  dates),  i.  A.  romp. 
masc.  an,  année. 

ITT^  h'-U,  3,  i8.  /V.  mnar.  pi.  [ahimj)  i" 
[)arlie  exlérieuro  du  corps,  silliouctlc; 
9°  corps,  personne. 


h^pi,  !>i-')9.   A.  py.  iiinxr.  le  dieu 


Nil. 


I  j^  _^  hu,  i8.  A.  masc.  l'éloquence,  re- 
location. 

\  +  jf\  ïiun,  17.  A'.  />(r(.sc.  adolescent. 

],/^  hm,  7,  19,  i3,  90,  23,  39;  I,^J 

8,  11;  J/^  25;  Ji  1.  yV.  jnrtsc.  la  Ma- 
jesté. 

^__X^  hm,  3i.  A.  »»r?sc.  oouvornail. 

jj^  hlïl-Ult,  19.  y.frm.  pi.  œuvres,  tra- 
vaux. 

J^/jJ  hmsi,  18;  _;^  1^  8.  r./rn'i/c  intr. 
être  assis,  siéger. 

1^^ I  hn  ,  10.  Conj.  ainsi  que,  avec. 

^hr,  B,B,  9,  9,0,0;  V^3,plur.'|^ 
^[^  j^  hr-u,  ih.  iV.  pt'.  masc.  le  dieu 
Horus.  Dans  les  noms  divins  comp.  : 

1  °   ^  ZI  ^^  f^^i  >  1  ^  '  ïïoi'"s  lia- 
bitant  l'horizon; 

2°  ^  hr  hri  nbti,  i,  le  faucon 

vainqueur  de  l'habitant  dOmbos,  ç.-à-d. 
Horus  vainqueur  de  Seth; 

3"   "^  hrrS  1.  le  dieu  Horus-Ra. 


i.  ▼  hr,  19,  J9,  97,  3o.  A.  tumc.  face, 
visa^je;  J^  ;  12,  eu  face  de  inoi,  ou 
hion,  en  face,  à  TétiMlc;  V  ^^^  '  97,  de- 
vant lui. 

2.    I  hr.  Prrp.  se  rencontrant: 

A.  devant  un  nom  (▼)  9,  A,  6 pas- 
sim, 8-1 3  passim .  j5-i8,  9  0-9  3,  9.^), 
9.^),  3  1,  32,  3.'),  ou  un  pron.  pers.  (  ^  ) 
i3,  90,  90  et  relat.  (^L^,  voir  ^^j,  93  : 
1°  sur,  dessus;  2°  chez,  dans,  en,  à, 
près  de,  jusquà;  3°  jjràce  à,  à  cause  de, 
par  suite  de,  relativement  à,  au  sujet  de, 
conformément  à,  touchant,  selon,  à;  h" 
de  (après  ^,  11);  :)°  (coordination) 
avec,  et. 

B.  devant  un  verbe  f  ^)  3-5  passim, 
7-8  passim,  10,  1 3 ,  18,  22-95  passim , 
3o,  3/i-3()  passim,  ou  dans  un  temps 
com]).  12,  1  A,  16,  17,  27,  30  :  1°  afin 
de,  en  vue  de,  pour,  de,  selon;  9"  en 
train  de,  à. 

JL^, ,  yl'ij  17;  ♦  tl,  C.  Adj.  masc.  qui  est 

sur,  supérieur.  Dans  les  n.  comp.  '  hri 
ih,  C,  C,  celui  qui  est  au  milieu  de,  lia- 
])itant;  ^ ^J!_^  (ri  hri,  1  7,  chef  su- 
[)iéme,  {généralissime. 

^  ^_j  hr,  3.1.  i)il)'.  être  disposé ,  être  prêt. 

^  ^  ^  ;^  ,^,  hr-uit,  5.  A. /cm»,  pi.  [appa- 
rein)  terreur,  elTroi,  épouvante. 

!•!  Lecture  :  nhh.  Voir  à  la  lettre  ' — ^. 

^  1 1  hh-U,  7.  A',  masc.  pi.  millions. 

iI'mSIj  7.  [.faible  ir.  louer,  louanger,  cé- 
lébrer. 

^jnJ  hq,  35.  A',  masc  roi. 


-v>.(  22  )^s~ 


~*J  hip,    'i.  I.  inlr.    i"  ('Iro  cii  repos,   so 
reposer;    ^i"  être  tranquille,  satlsl'ail. 

gU  "I©  ht-it  k'  pth,   7.    \.  />r.  /»r/.sT. 
nom  sacré  de  Memphis. 

\''Z\  hz,  I  3.  r.  ?Hf/\   1°  être  blanc,  deve- 
nir ])lanc;    -\"  s'éclairer. 

m  hz,  iS.   ^.  /«r/.sr.  sanctuaire. 


■**"  h-it,  0.  y,  '?5.  \.  Jem.  r  ventre;  'î° 
sein. 

^Y  •  h''it)  '^*'-   ^-  /''"'•  infii'ai-^. 

^  V  "    '  h",  ')  1 .  I .  tr.  laisser,  abandonner. 

ns-lt,  (J,  ii-ii>  passim:  it),  if),  !>(); 
i-t-i  B,  a3:  plur.  '^  h's-vit,  0;  ""^  1, 
■S.  \,  frm.  pays  étranger. 

1.  JLih^i,2;  *  ih.  \.  faible  inlr.  ii\)])ix- 
raitre,  se  lever. 

■2.  J^  ^  j  h'u,  -S.  I  .  faihh  It:  1"  orner; 
9."  coi  Her. 

*  h^-U,  7-    ^•  iiKisr.  yl.  ap|)iiritioiis,  levers. 

/JL  ^  M  — ^hui,  !i.  I.  faihic  Ir.  1"  pro- 
léjjer,  délendre;   9°  couvrir. 

^  hpr,  S,  1/4,  i-^-i 8  passim,  ao,  9.9., 
93;  ^  i3,  «îG.  r.  f«/r.  1°  arriver,  ad- 
venir; 9°  se  produire;  s'elVectuer,  se  réa- 
liser; 3"  apparaître,  exister. 

^_  ï  hpri,  iS.  V.  y)r.  masc.  le  dieu  (so- 
laire) Khepri. 

5,î^hmt,  17.  I . /r.  r  ne  pas  faire;  9° 
ue   pas  savoir,   ne  pas  connaître.  Dans 


Icxpression  -=  — »  ""^  n  linsu  de,  sans. 
Il  (^st  j»robal)le  (jue  le  ;;roupe  ' — ^  est  une 
erreui'  de  transcription  pour  le  p,roupe  - . 

Ill  hmt,  1.  Adj.  niitu.  card,  trois. 

i^S"^  hnm-it,  i3,  t^i,  9.h;  i^^ 
'M),  '.?3,  38,  38;  plur.  »  ^  ^  ^  ;^, 
linmi-il ,  ().  \.ft'm.  puits. 

^  hnti,  1.  Adj.  1"  ([ui  est  en  avant;  9°  le 
premier. 

lllli  J^  hii*-it  hn  nfr,  5.  A",  pr.fém. 
la  Nubie. 

/i5-\Ahnd,  1.").  I.  /r.  Couler  aux  pieds, 
parcourir. 

1.  *  hr,  1.  I\'i'p.  au  leni[)s  de,  à  lepo- 
(|ue  de. 

"2.     *    hr,  ().  (]onj.  or,  alors,  mais. 

<:^"^hr-uit,  il;.  \.  fém.  pi.  1"  choses 
utiles,  indispensables;  9°  besoins,,  né- 
cessités. 

m  hr,  15.  Prî'p.  sous. 

^  hri,  i(),  î)o,  3i.  \dj.  r  (pii  est  sous; 
•>"  portant,  porteur. 

^  '"  hr-uit,  10.  \.  j'êm.  1)1.  1°  moyens; 
9."  sulTisance. 

^^  hrd,  1  (J.  ;V.  masc.  eidanl. 
fjual.  faible. 


^     A  ht,  fj.  Adr.  derrière; 
que. 


A 


***   Métathèse   jjraphique    pour  hft,    i3. 
I*rép.    Ten  face  de;   t>°  en  présence  de. 


iJo  )t^ 


p  S ,  A  ,  5 ,  9 ,  1  o ,  1 3 ,  ;>() ,  a  1 ,  0  •:?  ;  —-  jo, 
1  3 ,  17,  90-2  1  passim;  -'•—  1  9 ,  90.  Pron. 
pcrs.  3'  ji.fêin.  sin^f.  jplle  (lui). 

VI  s',  18.  -M.  masc.  clos;  Ç^^  i"  à  la  suite 
do,  derrière;  '2°  à. 

9  s',  R,,  C.  Y.  mnsc.  prolectit)n. 

■^  s',  Kj,  28,  3i,  3(i;  1^  B,  C,  1,  7. 
iV.  wjasf.  fils. 

\  J  s',  18.  N,  masc.  inteUif>ence,  con- 
naissance. 

P\\  si,  28;  P  1  5;  -^  i5.  Pron.  rêg.  3'  p. 
fém.  sing.  1°  elle,  lui;  9."  cela. 

1.  i  \  SU,  /( ,  i;j,  Pron.  pers.  rég.  3'  ji. 
masc.  sing,  lui,  le. 

2.  =^  \  SU,  iZi,  1  G.  Pron.  pers.  sujet  3'  p. 
masc.  sing.  1°  lui;  2°  c'est. 

^J2^nisu-it,  lA,  20,  22;  ^^  H; 
4^  .-.y  -^  î  ;  4^  ■•  1 1)  ;  4"  2  5 ,  2  8 ,  3  1 ,  3  G  ; 
plur.  ^\\  îjj  nium-il,  29.  V.  ww-sr. 
le  roi. 

i^  SUti,  j.  G,  jS.  masc.  (n.  (ragent)  le  roi  de 
la  Haute-Egypte  011  du  Sud.  Dans  le  titre 
^•1^  le  roi  du  Sud  et  du  Nord. 

4^  ^  1 1^  Sui-it,  h.  V.  coll.  fém.  i"  royauté; 
2"  lonctions  royales. 

P  i  !  S  2)  ^^^^  '    '  ^  ■   '  •  '"''"■  b*^"'''- 
p  ^  I  ^  SUh-it,   1  G.  A.  fém.  œuf. 

p^P*^'  SUSh,  3.   1.  ir.  élargir,  étendre. 

1™  SUth,  3.  N.  pr.  masc.  le  dieu  SelU. 


PJmD  ^^U>  2-  A-  masc.  mur. 

^  sp ,  /( ,  1  5 ,  29,  3  3  ;  o  23.  A .  /^/«.sc.  1  " 
fois;  2°  tour,  avènement;  3°  événement; 
~^  'Z^  20 ,  33 ,  iamais;  ^  23  ,  deux  lois. 

sssr  Sp-ti,  1/1,  18.  \./m.  (/«t'Z  les  (deux) 
lèvres. 

^^  Spr,  10.  l .  intr.  arriver,  parvenir. 

p'^^   sfi,  ](J.  A.  )nasc.  garçon. 

pS  smn,    /i.  r.  lr.  consolider,  affermir. 

P  '^^  sn  ,  7,  8 ,  10,  10,  1  2- 1  '1  passim ,  .'»  2  , 
3  G  ;  j — j  5  ,  10,  12,  1  3  ,  2  5  ;  j~~~j  10,  20, 
2  A.  Pron.  pers.  3'  p.  pi.  ils  (elles). 

Il  sn,  32;  W  23.    \(lj.  num.  card.  deux. 

~"^.#-  sn,  12;  ""~.*-  25.  I  .  lr.  llairer;  '^ 
JL  I  2 ,  '^  """  2  0 ,  llairer  la  terre  (jfeste 
protocolaire). 


sn,   i.j.  1.  w^r.  passer. 


'2.  "^  sn,   i().  I.  inir.  èlre  scniblaltle; 

^^^^  '    ^          à  rimag(!  d<>,  à  la   ressem- 
blance de. 

P  '^  1  snb ,  A.  V.  masc.  santé. 

^~~^@o  Snti,   17.   V.  /Hrtsf.  plan. 

"1  I  j   sntr,  B.  Y.  mrtsf.  résine. 

Hhj  sr-U,   I  !  ,  20.   ).  masc.  pi.  les  nobles 
(par  naissance). 

P|"^^v-J  shni,  27.    \.  faible  tr.  rassem- 
bler, réunir. 

Pî  3)  ^^'^'  ^-   l-./"'^^''  "•    '"  )»enser  à, 
songer  à;  2"  évoquer. 


— !-».(  'I'l  )K^— 


\^Z  ^^^»  ^-   '•  '"''■•  ^^  saisir,  s'emparer. 
p^  Shr,   i3.  ao,  33;  plur.  p^^fTi 

4r-H,  37;p^rn  ^'^  ^^-^2;  P^ 
8,  i().  ;V.  masc.  1°  plan,  projoL,  inton- 
lion,  dessein;  -2°  élat,  condition,  ma- 
nière d'èlre. 

•  SSU,    1.   \.  H/rf.sf.  jour  (dale). 

1Â  SS,    a.").  .V.   Hm.sr.  scribe;   ^^  scribe 
royal. 

n**^i^  SSd,  8.  .^.  H/fl.sr.  handcau.  Dans 

b'  n.  comp.  P;î^^a^f  M  f  •''■•'^^^  •"'■"^^  '•' 
bandeau  à  deux  i)binK's  (uoiu  dc  la  coif- 
fure du  dieu  Min). 

PmJ^^li  Sgb-U,  aT,.   V.  mofir.  pi.  cris 
violents  i  acclamations. 

P-  St,  ;)3.  Vnm.rvjy.  3'  i).J('m.  shi'r.  rdb', 
bi,  eux,  clb's;  9"  <'ela. 

f  ^    Sti,  9/1.  .v.  y^r.  >»«sr.  Voir  "rr. 

pÇ"^~  st',  ir?.  l./r.    1"  lirer,  trainer;  a" 
jinicner,  conduire. 

P  H^  '  SZ'  hr-f ,  3o.  I.  comi).  inlr.  s'amu- 
ser, s'ébattre. 

^\  s'zuili,  1 1.  V.  Dutsr.  scellcur. 

^^jStm,  33;^j'J9;*^.j,iA;^ 
1 C).  I  .  1r.  el  inlr.  : 

A.    /)•.   1"  entendre;  9"  écouler. 
15.    litlr.  obéir  (1.  3.')). 

n-i=r|2|  SZd-uit,    •>•>.    \.  fnn.  i>l.    récils. 


"  S-U,  3o.  V.  •.nunc.  III.  élanf's,  lacs. 
\  III       ■  '  «  u  ' 


<2  S*t,  ai.  Adj.  num.  card.  cent.  Dans  le  n. 
de  nombre  enn  s't  zut,  cent  vinjjl. 

^  SU-it,  o;  duel  \'^^Jf..sH-li,  8.  A. /cm. 
1°  plume;  a"  pluma{j('. 

f  ^  ^  J  ^  Suib-it,  '2.  A./(w.  ombre. 

"TTV  ^  Smi,  ().  \ .  j'aihh  inlr.  aller,  mar- 
cber,  se  rendre. 

^©  sm^,  7.  jV.;»'.  la  Haule-Kjjvpte.  Dans 
le  |>roupe  ■=i-' J^q  bi  Haute  et  la  Hasse- 
Kjiyple. 

J-j  sm*i,  a.    b//.  du  sud,  méridional. 

**^  ^  sd,  8,  ai.  1.  //'.  creuser. 

2^  M  vl«  ^^^'  ^•^'  '^•''-  '  -.A"^'^'^'''-  élever, 
faire  uionter. 

**^  V  ^  I  sdu,   ij,  .\.  masc.  oulrc. 


*W  ^''  ^'*'  ^^'  '"^•'''^'  bailleur. 
•»ii^iv^  q'ir'-U,  10.  .V.  masc.  Ill  cou- 

J^.  V, — I  III    ^  -         "  '  ' 

ducleurs,  convoyeurs. 

J  i  H  qi,  1  2.  -V.  »>m.sr.  état,  condition. 

■*    I  V  "^  q^h-U,  3().    b//.  wffl.sc.  p/.  éten- 
dus (sens  douteux). 

jV-»--  qm',  J  ().  1.  ^r.  ou  }i.  masc.  1"  créer, 
profluirc;  ;>"  créateur,  producteur. 

1.    J  V  ]  \^  qm',    iH.  \.masc.  r  création; 
a"  forme. 

•J.    J  ^7  1  ^  qm'  3o.  I .  /) .  lancer. 

1.    ^  qn,  A,  7;  ^  2.  V.  »"^sr.  vaillance. 

'2.   r^^  qn,  38.  Adj.  (lual.  vailbml. 


— 1-9«(  25  )•«- 


A>^  \  qn-U,  i/i.  N.  masr.  pi.  beau- 
coup de,  iioml)i'e  de. 

ITÇ^^  qsn-tu,  9.  ]'^]\  qm-ti,  <,; 
a  ■^—  qsn-t,  9  0.  I .  m^?*.  être  mauvais. 

-{"T"  qd ,  1  A  ;  j  ^  7r/-î« ,  1  5.  iV.  wmsc.  tour, 
contour;  QH^^PrT^  ^^■>  lout  comme 
eux,  c'est-à-dire  (|ui  leur  fût  compara- 
ble; yj^^îî  ^'^•>  comme  toi. 


'«^  -k ,  A-B  passm .  1 3- 1 9  passim ,  21-92 
passim,  26,  82,  33.  Pron.pei's.  s" p.  masc. 
sing,  de  toi,  toi,  tu,  ton,  la,  tes. 

î-î  k',  1  9.  iY.  masc.  1°  totem,  double,  génie; 
2°  personne. 

■^  k',   1,  /(.  A.  masc.  taureau. 

y  3)  m  ^'"^^^'  ^7-  ^'-fém.  pi  {apparent) 
travail,  œuvre. 

0_j  I  ^  ^  k'ri,  5.  N.  pr.  masc.  contrée  de 
Nubie. 

^57  ra  ^  jjj  v-*  k' h',  h.  V.  tr.  lancer. 

'^[^ra  J^  k'h'b,  5.  F.  tr.  piquer. 

Il     kl,  i/i;  """^  18.  Pron.  pers.  a'  p.  masc. 
duel  toi  (derrière  un  nom  au  duel). 

^  km-it,  1,  9.  N.pr.fém.  rÉgyptc. 

Z;  "  k'si,  à;  ^u^  Fs,  19,  3i.  iV. 
p'.  masc.  l'Ethiopie. 

m 

r¥  ^=i  qilll,   10.  ^.jaihletr.  trouver. 

^  i  rn  9^"\ji^>  1 2.  A^./e'm.  ^j/.  les  cho- 
Bihl.  d'étude,  t.  IX. 


ses  préparées ,  disposées ,  proposées ,  c'csl- 
à-dire  le  problème. 

2.}  T^  9rh,  i3.  ;V.  masc.  nuit. 

^=  I  gs,   10,   II.   A;  masc.    1°  moitié;    2" 
côté;  1 1,  à  côté  de. 


\^  t',  38.  Art.  (Uf.Jém.  sing,  la  (le). 

j^  t',  2  ,  /i  ;  7",  •>  ;  ~  1  8 ,  25  ;  -rr  1  9 . 
16;  ^  i3,  i5,  2/1;  pluriel  ,^^  ^'-J.f, 
G;  duel  _1L  i'w,  1,  2 A;  i /i.  _\.  «««sr. 
terre,  pays,  région,  contrée.  Dans  les  n. 
pr.  7\+  2,  la  Haute-Egypte;  ~^ 
I  n  _J^  5  ,  le  pays  des  nègres  (  terme  gé- 
nérique) ;  ~  1  k ,  l'Egypte  ;  —  ^  ^  9  h , 
territoire  comprenant  Nubie  et  l']tbiopic. 


Voir  aussi  au  mot 


»s 


1,  2/1. 


^1^1^  t's-U,  3.  N.  masc.  pi.  IVontières. 

1.  ^  tu,  3,  9,  21,  29,  [95];  1  9,  11- 
1  9  passim ,  19-90  passim ,  ^i  ;  ^  tu ,  1  G . 
19,  99,  33,  3-7  (douteux).  Pron.  indéf. 
on,  ou  marque  du  passif. 

2.  tu,  i3,  i3.  l.  siibst.  et  aux.  être. 

3.  tu ,  9 9 .  Pron.  rég.  a'  p.  masc.  sing.  toi. 
^}  tut,  18.  \.  masc.  image,  portrait. 
*  tp ,  18.  Prép.  sur. 

I  tpi,  1.  Adj.  num.  ord.  masc.  le  premier. 

^  Voir  ^^. 

^s^  till,   18.  A.  pr.  masc.  le  dieu  Toum. 


^jn  II      e 


tmu ,  1 5.  I .  aux.  négatif  ne. . .  pas. 
Il 


— «.(  26  )^-i- 


"*   til,  11,  13,  23,  38;  ^  I  ■?..  Adj.  (Icm. 

Jem.  swg.  ce,  cet,  cette. 

! 

'^  tn,    «3,  f)3.  Prov.  pern.  '3'  p.  p].  vous,    j 

^1  {  ^tri,  38.  Particuh  inlcrr .  ([uoi? 
qu'est-ce  que? 

^\f{j^*^tru,    3.    T.   masc.   couche, 
trempe. 

^  I  th,   i5.  A.  masc.  fil  à  plonil)  (de  la  ba- 
lance). 


II  tb-ti,  B.  X.Jem,  duel  les  deux  sandales. 
^— 1 /\  ^^^'  ^  '■  ^  • /«^^^^  î^'''-  nionter. 


i  ti,  n,B,  C,  1,  7;  i^  A,B,B;^ 

Z»/e  /)'.  1°  donner,  accorder;  2°  faire  que. 
^  ^  cl-lt,  17.  y.fém.  main. 

5^2)i  ^^"^^^J  '^-  ^'- fern- pi  beugle- 
ments, hurlements. 

^^^•j  du',   20.   I.  tr.    1°  adorer,  invoquer; 
2°  saluer. 

^  du'-it,  3.:.  y.f y.fém.  niadès,  le  sé- 
jour des  niorls. 

—  J  '^Iv^.dbn-it,   iG.  V./t'm.  tresse  de 
cheveux. 

B9  dnh,  3.   \.  masr.  aile. 


— ».  I  \  j^  dh-U ,  2  3.  Krreur  probable  pour 
-==- 1  ^  jè.  Voir  à  la  lettre  <=>. 

■^ 

r^  Z-it,  A-C,  1,  7.  Adv.  éternellement, 
à  toujours. 

/ra^  Z^Hlj   2j  ITT?  *^-  -^-  wï^'^s^*  électrum. 

'^  tU,C,  C,G,  17;  i;*,  35;  V  22,  /\". 
masc.  montagne. 

nn  zut  ou  z'ut,  21.  .4r//.  jmw?.  cflfJ.  vingt. 
Voir  à  Ç  fl. 

1.  •»  tr,  23,  23.  29;  1ÊÊ\  20.  Préf. 
depuis. 

2,  •*  tr,  1/4,  16.  CoMj.  depuis  que. 

^  thuti,   i5.  N.  pr.  masc.  le  dieu  Thoth. 

]3\  2S,  32;]]]7\  21.  Pron.  indéf.  même; 
£^  21,  toi-même;  ^  39,  lui-même 
=  propre. 

]|^  zd,  9,  12,  17,  21,  23;  ^  A,  B,  B; 

'^'-^  ^o;^i.'^;^(^^3,23, 

^  ^  ^  _^  ^di-tu,  1  G ,  19,  37  (ce  der- 
nier incertain);  ]il\  ^  |  H  ^  ^^-  ^-  '''• 
r  dire,  répondre;  2°  dé])eindre,  racon- 
ter. Noter  la  formule  f^  A,  B,  qui  ré- 
pond h  notre  guillemet. 

f  zd,  A.  V.  masr.  durée. 

•  z'z'   22.  N.  masc.  tète;  ^  *  sur. 


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ERRATUM. 

Page  7.  note  5,  au  lieu  de  :  3"V-,  lire  :  1"^- . 


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La  Stèle  de  Koubân 


FLANCHE  I 


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Fmgment  supérieur. 


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La  Stèle  de  Koubàn 


PLANCHE  II 


Moulage  du   tragment  supôrieur. 


FHOTOTirPie    aOUTTASNV,  tVOH 


La  Stèle  de  Koubân 


HLANCHE  III 


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Fragment  intérieur. 


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EN    VENTE  : 


AU  CAIRE  :  à  la  Librairik  Pau!-  Tribier,  ancienne  Librairie  classique  Gillet,  rue  Eniad 
el-Dine,  n"  5; 

A  ALEXANDRIE  :  à  la  Librairie  L,  Schuler,  rue  Chérif-Pacha,  n°  6; 

A  PARIS  :  chez  A.  Foxtejioing  et  C'*,  E.  de  Boccard,  successeur,  i,  rue  de  Médicis; 

A  LONDRES  :  chez  Bernard  Quaritch,  1 1,  Grafton  Street,  New  Bond  Street. 


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