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Full text of "Les festes vénitiennes; opéra ballet en 5 entrées et 1 prologue"

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This  BOOK  may  be  kept  out  TWt 
ONLY,    and   is   subject   to    a   fine   of  ti.v£ 
CENTS  a  day  thereafter.  It  is  DXJE  on  the 
DAY  indicated  below: 


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Digitized  by  the  Internet  Archive 

in  2011  with  funding  from 

University  of  North  Carolina  at  Chape!  Hill 


http://www.archive.org/details/lesfestesvnitienOOcamp 


CHEFs-D'OGinnRE  m  vommmmçMS 

in 


OPEBilBALXJGTen  5  Entrées  et  1  Prologue 


ff  Twprésentépupk  T'Ms  à JAcâdémie  royale  deMusKine 


kïïJummO 


RECONSTITUÉ  ET  HÉDUIT  TOUR  PIANO  ET  CHAUT 

■  Par  Alexandre  guilmant 

d'après  lïditwR  de  1714 

IntroductwnpapARTIiURPOUGIN 

PRIX:  15!  NET 


1^    f-^  à  TAgencemtEPnationale  desAuteursXompositeupsetEcpivams 

&'■-'> '^->-^»^^-^-^o-^   THÉODOPvE WICHAELISEDITEUR i-t'-t<-.^--'c*^*^,2.< 


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£j!t.  Sia.Ha]]. 


PARIS,45,47,RUE  DE  MAUBEUGE,45,47,PARIS 
Tou3    droits  péiservM. 


Héjiosé. 


200 


^ 


CHEFS-D'ŒUVRE  DE  L'OPÉRA  FRANÇAIS 


LISTE    DE    NOS    ADHERENTS 


APPRECIATIONS 


OPINION  DE  LA  PRESSE 


pà. 


Prochainement  paraîtra  une  nouvelle  liste. 

CHEFS-D'ŒUVRE  DE  L'OPÉRA  FRANÇAIS 

LISTE       DE       NOS       ADHÉIIENTS 

POUR 

LE      LIVRE     D'OR 

MEMBRES    FONDATEURS 

Sa  Majesté  la  Reine  ISABELLE  II  d'Espagne,  Dame  patronesse 
Sa  Majesté  LE  ROI  DE  BAVIÈRE 
Sa  Majesté  LE   ROI  DES  PAYS-BAS. 
Sa  Majesté  LE  ROI  DE  PORTUGAL. 
Son  Altesse  Royale  le  Grand-Duc  de  SAXE. 
S.  A.  I.  Madame  la  Grande-Duchesse  CATHERINE  de  Russie. 
S.  A.  I.  Mgr  le  Grand-Duc  CONSTANTIN  de  Russie. 
S.   A.   R.  Madame  LA  COMTESSE  DE  PARIS. 
S.  A.    R.   Mgr  LE   DUC  D'AUMALE. 

S.  Exe.   Madame  de  ABAZA  (ministère  des  finances  de  Russie). 
S.  Exe.  Monsieur  le  baron  de  ZUYLEN  DE  NYEVELT,  ministre  des  Pays-Bas. 
Madame  la  Marquise  d'ALTA  VILLA  DEL  PUENTE,  dame  patronesse. 
Monsieur  Edouard  ANDRE  ,   banquier,  ancien  député. 
Monsieur  Numa  AUGUEZ,  de  l'Opéra. 
Monsieur  Pierre  de  BALACHOFF. 
Madame  la  Comtesse  de  CASTRIES  de  BEAUMONT. 
Monsieur  Théodoie  BERGER,  de  la  Banque  Ottomane. 
Monsieur  Albert  Camille  BERTOT,   Avoué. 
Monsieur  j.  BOUHY,  de  l'Opéra. 
Monsieur  Auguste  BOUDOURESQUE,  d';  l'Opéra 
Monsieur  E.  BOUNOS,.  Commissionnaire. 
Madame  la  comtesse  de  CHAMBRUN. 
Monsieur  Charles  GALLON. 
Monsieur  le  comte  I.   DE  CAMONDO. 
Monsieur  G.  A.  CANNOT. 
Le  CERCLE  ARTISTIQUE  ET  LITTÉRAIRE. 
Monsieur  CHARUE,  Notaire  à  Montmedy. 
Monsieur  Ernest  CHAUSSON. 
Monsieur  Alexandre  DAUL,  à  Buenos-Ayres. 
Monsieur  Charles  DEROME,  à  Saint-Quentin. 
Monsieur  Jean-Albert  DETHOMAS,   député. 
Monsieur  Herman  DEVRIÈS,   de  l'Opéra-Comique. 

Monsieur  Octave  DHAVERNAS,  secrétaire  du  Conseil  général  de  la  Somme. 
Madame  Georges  EBSTEIN. 
Madame   veuve  ERARD. 
.Monsieur  j.  FAURE,  de   l'Opéra. 
Monsieur  Paul  GALLIMARD. 
Monsieur  Edouard   GIBUS,   rentier 

Monsieur  Eugène  GIGOUT,  organiste  de  Saint-Augustin,  compositeur. 
Monsieur  Albert  GLANDAZ,  greffier  en  chef  au  Tribunal  de  commerce. 
Monsieur  Alfred  GRUNEBAUM,  Banquier. 
Monsieur  Ernest  GUIRAUD,  Compositeur. 
Madame  Albert  HARTMANN,  à  Munster  (Alsace). 

Monsieur  Frédéric  HATTAT,  conseiller  municipal  de  Paris,   membre  du  Conseil  général  de  la  Seine. 
Monsieur  S.  HAYEM  aîné,  maire  de  Saint-Gratien. 
Monsieur  Armand  HAYFM,  conseiller  général 

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Monsieur    Charles   HAYEM.  • 

Monsieur  le  docteur  Georges  HAYEM. 

Monsieur  Julien  HAYEM. 

Monsieur  Armand  HEINE,  Banquier 

Monsieur  le  docteur  Cornélius  HERZ. 

Monsieur  HUGELMANN  père,  banquier. 

Monsieur  Edouard  KANN,  banquier. 

Madame  E.  KLOTZ. 

Monsieur  Ernest  LAMY,    ancien  banquier. 

Monsieur  Alexandre  LANGE. 

Monsieur  J.  LASSALLE,  de  l'Opéra. 

Madame  la  baronne  LEGOUX  (Gilbert  des  Roches). 

Monsieur  l'abbé  François  LISZT,  à  Weimar. 

Monsieur  Edmond  MAGIMEL,  de  la  Maison  Firmin-Dido1 

Messieurs  MANGEOT  frères. 

Monsieur  Georges  MANTIN. 

Monsieur  A.    MARIANI. 

Monsieur  le  vicomte  L.  DE  MAUPEOU. 

Monsieur  Victor  MAUREL,  de  l'Opéra. 

Monsieur  Léon  MELCHISSEDEC,  de  l'Opéra. 

Monsieur  MURAIRE  DALAVÈNE. 

Monsieur  Alphonse  OCHS. 

Madame   la  comtesse    D'OSMOY, 

Monsieur  le  comte  D'OSMONT,    président    du    Comité   de  Patronage   (en   fornatio.') 

Madame  la  Comtesse  POTOCKA. 

Monsieur  Edouard   PASCAL. 

Monsieur  Ch.  RAMELOT,  fabricant  de  pianos. 

Monsieur  le  baron  J.   DE    REINACH. 

Madame  la  baronne  NATHANIEL  DE  ROTHSCHILD. 

Madame  la  baronne  JAMES   DE   ROTHSCHILD. 

Monsieur  le  baron  ALPHONSE  DE  ROTHSCHILD. 

Monsieur  Camille  SAINT-SAENS,  Membre   de  l'Institut. 

Madame  Caroline  SALLA,  de  l'Opéra. 

Madame  Charles  SAUTTER. 

Madame   Léopold  SEE. 

Monsieur  Victor  SOUCHON,  Agent  général  de  la  Société  des  auteurs,  co  npositeurs,  éditeurs  de  Musique  F 

Monsieur  Th.  STEPHANNE,  de  l'Opéra-Comique. 

Monsieur  E.  SYLVA,    de  l'Opéra. 

La  SOCIETE  DES  COMPOSITEURS  DE  MUSIQUE. 

La  SOCIÉTÉ  CHORALE  D'AMATEURS.  Président  M.  GUILLOT  de  SAINBRIS. 

Monsieur  Paul  TAFFANEL,  de  l'Opéra. 

Monsieur  J.  VALENTIN.  |    J 

Monsieur  Albert  VIZENTINI,  administrateur  artistique  des  théâtres  impériaux  de  Russie,  à  St-Pétcrsbour 

Monsieur  J.-B.  WECKERLIN,  Bibliothécaire  au  Conservatoire. 


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SOUSCRIPTEURS 

LE   MINISTÈRE    DES    BEAUX -ARTS  (20  exemplaires). 

Monsieur  Léon  ACHARD,  de  l'Opéra.  I  Me 

Monsieur  Paul  AGOSTINI.  '  I  !° 

Monsieur  ANDRÉ,   éditeur  à  Paris. 

Monsieur  Eugène  ARCHAIMBAUD,  professeur  au  Conservatoiie. 

Monsieur  de  AYNSSA,   à  Bruxelles. 

Monsieur  BAUDOUIN-BUGNET 

Monsieur    Eugène  BEAUFÎLS,    Avocat. 

Monsieur  Jules  BEER. 

Monsieur  Herman  BEMBERG,  attaché  à  la  'légation  Argentine 

Monsieur  BEN  TAYOUX,   Compositeur.         ,    "  |   U 

Monsieur  Louis  BERTHÉ 

Monsieur  Paul  BESSAND. 


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Messieurs   BESSEL  et  Cie,  à  St-Pétersbourg. 

La  BIBLIOTHEQUE  MUNICIPALE   de  la  Mairie  du  VHP  Arrondissemenl. 

La  BIBLIOTHEQUE  MUNICIPALE   de  la  Mairie  du  1X«  Arrondissemenl. 

La  BIBLIOTHÈQUE  MUNICIPALE  de  la  Maine  du  XL  Arrondissement. 

Monsieur  Auguste  BONNEFOY,  de  l'Opéra. 

Monsieur  L.  BRANDUS. 

Messieurs  BREITKOPF  et  HAERTEL  à  Leipzig. 

Monsieur  Edouard  BROUSTET,  Directeur  des  Grands  Concerts. 

Monsieur  BRUNEAU,  Compositeur. 

Monsieur  Albert  CAHEN,  Compositeur. 

Monsieur  Martial  CAILLEBOTTE. 

Madame    Blanche  CAMUS. 

Monsieur  CARBONEE,  à  Marseille. 

Mademoiselle  L.  de  CARADORI. 

Monzieur  Henri  CARRÉ,  chef  des  Chœurs  de  l'Opéra-Comique. 

Monsieur  le  Marquis  de  CASARIERA. 

Mademoiselle  Cécile  CHAMINADE. 

Monsieur  le  comte  CHANDON  DE  BRIAILLES,  à  Epernay. 

Monsieur  de  CLOSMADEUC. 

Messieurs  CLOT  et  Cie,  .à  Lyon. 

Monsieur  Marcel  COLOMBIER. 

Monsieur   Ernest  DAVID. 

Le  CONSERVATOIRE  ROYAL  DE  BRUXELLES. 

Le  CONSERVATOIRE  ROYAL  DE  LIÈGE. 

Monsieur  Adolphe-Léopold  DANHAUSER,  professeur  au  Conservatoire 

Monsieur  Albert  DELAPORTE,  Avoué  de   i™  Instance. 

Monsieur  Emile  DEBRUILLE,  de  l'Opéra. 

Monsieur  Jules  DELSART,  Violoncelliste,  officier  d'Académie. 

Mademoiselle  Louise  DONNE,  Professeur  au  Conservatoire. 

Mademoiselle  Eva   DUFRANE,  de  l'Opéra. 

Messieurs  DURAND,  SCHOENEWERK  et  Cie. 

Monsieur  Emile   ENGEL,  de  l'Opéra-Comique. 

Monsieur  le  Colonel  EVELYN. 

Monsieur  César  FRANCK,  professeur  au  Conservatoire. 

Monsieur  Louis  FORTIN. 

Monsieur  Emmanuel  FOURCAND,  Sous-Préfet  à  Èpernay 

Monsieur  A.  GAIFFE. 

Monsieur  Frank  GÈRALDY. 

Monsieur  le  comte  GINOUX  DE  FERMON,  Député. 

Monsieur  E.  GIROD. 

Monsieur  GUILLOT  DE  SAINBRIS,  Président- fondateur  de  la  Société  chorale  d'Amateurs. 

Monsieur  Alexandre  GUILMANT,  compositeur,  organiste  de  l'église  de  la  Trinité 

Monsieur  Alfred  GOMBRICH. 

Monsieur  HENNINGS,  à  Copenhague. 

Monsieur  Michel  HEINE,    Banquier. 

Monsieur  René  D'HERVILLE. 

Monsieur  HEYBERGER   professeur  au  Conservatoire. 

Monsieur  HIÉLARD. 

Monsieur  HOSQUIER,  Banquier. 

Monsieur  Jean  HOURS. 

Monsieur  Georges  HUE ,   Compositeur. 

Monsieur  HUSSENOT,  ancien  Juge,  membre  de  la  Chambre  de  Commerce. 

Monsieur  Léon  HUSSON,  Rentier. 

Monsieur  Vincent  D'INDY. 

Mademoiselle  Adèle  ISAAC,  de  l'Opéra-Comique. 

Mademoiselle  Elisabeth  JANVIER,  de  l'Opéra. 

Monsieur  KATTO,  à  Bruxelles. 

Monsieur  KATTO,  à  Paris. 

Monsieur  Henry  KETTEN,  Compositeur. 

Messieurs  KLEIN  et  Cie,  à  Rouen. 

Mademoiselle  Gabrielle  KRAUSS,  de  l'Opéra. 

Madame  R.  LABORDE,  Professeur  de  Chant. 


Madame   LAISSE  MENT  ; 

Monsieur  Emile  LAMBERT 

Monsieur  Charles  LAMOUREUX,  Directeur    des   Nouveaux   Concerts. 

Monsieur  le  comte  Adrien  LANNES  DE  MONTEBELLO. 

Monsieur  A.  LASCOUX. 

Monsieur  Joseph  LAULHE. 

Monsieur  A.  LAZARD. 

Monsieur  LECLERE,  de  la  Ville  de  Pans 

Monsieur  Charles  LECOCQ,  Négociant. 

Monsieur  Francis  LEGRAND 

Monsieur  LEGOUIX,  Editeur 

Monsieur  Adrien  LEMARQUANT,  Directeur  du  journal  «  La   Ville   de   Paris 

Monsieur  LENEPVEU-BObSSARAQUE  DE  LAFONT. 

Monsieur  1.  LÉON,  Banquier. 

Monsieur  le  Docteur  MARMOTTAN,  député  de  la  Seine. 

Messieurs  MARTIN  et  Cie,  à  Toulouse. 
_  Monsieur  E.  H.  MARTINUS  de  ROUX,  Architecte. 

Monsieur  Martinn  MARZICK, 

Messieurs  MATHYS  et  Cie,    à  Nancy. 

Mademoiselle  Marguerite  MAUREL,  Artiste  lyrique. 

Monsieur  MENNESSON,  à  Reims. 

Monsieur  Abel  MERCKLEIN. 

Monsieur  André  MESSAGER,  Compositeur. 

Monsieur  Albert  MICHEL,  Editeur. 

Monsieur  NACHTSHEIM,  à  Bruxelles. 

Monsieur  Louis  NARBONNE,  Avocat  à  Nnrbonne. 

Monsieur  NICOT,   de  l'Opéra-Comique. 
Monsieur  Joseph  O'KELLY,  Compositeur. 

Monsieur  PASDELOIJP,  Fondateur  des  Concerts  populaires. 

Monsieur  Eugène  PENIN,  avocat 

Messieurs  PLEYEL,  WOLFF  et  Cie,  fabricants  de  pianos. 

Monsieui   Charles  POISOT, Compositeur. 

Monsieur  Victor   POPP. 

Monsieur  RAVAYRE-RAVER,    à   Bordeaux. 

Monsieur  REBER,    membre  de  l'Institut. 

Monsieur  A.  RENAUD,  Compositeur-Professeur. 

Monsieur  Alfred  ROSENMUND,   Pianiste-Compositeur. 

Madame  E.   ROSSIGNOL. 

Monsieur  S.  ROTHSCHILD,  à  Rouen. 

Monsieur  ROUGET,     à  Toulouse. 

Monsieur  L.  SAVOYE,   de  la  Maison  Pleyel,  Wolff  et  Cie 

Monsieur  SCHIRMER,    à  New-York. 

Monsieur  Edmond  SCHLESINGER. 

Messieurs  SCHOTT  frères,   à   Bruxelles. 

Monsieur  SELLIER,  de  l'Opéra. 

Monsieur  le  docteur  Léon  SIMON. 

La  SOCIÉTÉ  DES  AUTEURS  ET  COMPOSITEURS  DRAMATIQUES 

Monsieur  le  baron  F.  DE  LA  TOMBELLE. 

Monsieur  Al.  TRESSE. 

Monsieur  Louis  VARNEY,  Compositeur. 

Mademoiselle  Clémence  DE  VÈRE,  de  l'Opéra. 

Monsieur  le  comte  ROGER  DE  VERGENNES. 

Monsieur  Fernand  VIDAL  de  LERY. 

Madame  la  marquise  de  VILLAFUERTE.  '     . 

Monsieur  F.  VILLARET,  de  l'Opéra. 

Mademoiselle  GHIRZA  VRANCHiNI,  de  l'Opéra-Comique 

Monsieur  Gaston  VUIDET,  Compositeur 

Monsieur  E.  WADDINGTON. 

Monsieur  J.-A.  WIERNSBERGER,  professeur  de  musique  à  Reims 

Monsieur   André    WORMSER.  w  s. 


// 


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L'Allemagne  possède  des  Editions  splendides  de  lous  ses  Musiciens  classif|ues  ; 

L'Angleterre  a  les  magnifiques  volumes  de  la  Musical  Antiqnarian  Societij  ; 

L'Espagne,  sa  superbe  Collection  de  la  Lyra  sacra  Hispana  ; 

La  Belgique  vient  d'instituer  une  Commission  chargée  de  la  publication  des  œuvres 
des  anciens  Musiciens  belges. 

En  France,  malheureusement,  nous  ne  connaissons  encore  nos  Grands  Mai  très 
anciens  que  de  nom  et  il  n'existe  nulle  part  de  réductions  Chant  et  Piano  des 
Chefs-d'œuvre  qui  ont  fait  la  prospérité  et  sont  demeurés  la  gloire  de  notre  Aca- 
démie nationale  de  Musique. 

C'est  pour  combler  cette  lacune  que  nous  avons  entrepris  l'édition  des 

CHEFS-D  ŒUVRE  DE  L'OPÉRA  FRANÇAIS 

L'accueil  favorable  que  nous  avons  rencontré  parmi  toutes  les  notabilités  musicales, 
les  Artistes  et  les  Gens  du  Monde,  nous  a  encouragé  à  continuer  cette  publication  et  à 
lui  donner  une  plus  grande  extension. 

L'Œuvre  est  éminemment  nationale  et  nous  en  poursuivrons  sans  relâche  la 
réalisation. 

De  grandes  difficultés  se  sont  déjà  présentées  jusqu'à  ce  jour,  nous  les  avons 
aplanies. 

Désormais,  nous  serons  encore  mieux  préparés  pour  la  lutte  ;  n'avons-nous  pas,  en 
effet,  la  souscription  du  Ministère  des  Beaux-Arts,  votée  à  l'unanimité  par  la 
Commission;  —  le  haut  |iatronnge  de  notre  éminent  Directeur  du  Conservatoire  ;  — 
l'appui  des  illustres  Membres  de  l'Institut  ;  — l'aide  puissante  et  sympathique  de  la 
Presse  ;  et,  déjà,  parmi  nos  Membres  Fondateurs,  les  noms  les  plus  considérables'!' 

De  si  nobles  encouragements  nous  permettent  d'affirmer  que  bientôt  nous  aurons 
réuni  le  nombre  de  souscriptionc-  nécessaire  pour  continuer  et  mener  à  bonne  fin  le 
monument  impérissable  que  nous  nous  proposons  d'élever  à  la  gloire  de  nos 
Grands  Maîtres  Français. 

Le  talent  et  l'érudition  des  Collaborateurs  dont  nous  nous  sommes  assuré  le 
concours,  et  le  soin  que  nou~  mettrons  à  la  gravure,  aux  corrections  et  à  l'impression  de 
nos  partitions,  sont  un  sûr  garant  de  la  réussite  de  notre  entreprise. 

Chaque  Partition,  Chant  et  Piano,  sera  ornée  du  Portrait  do  F  Auteur  ei  8.c.com\jagnéa 
d'une  magnifique  gravure  représentant  une  des  principales  Scènes  de  la  Pièce. 

L'Opéra  sera  en  outre  précédé  d'une  notice  historique  et  critique. 

L'édition  complète  de  60  volumes  se  publiera  en  3  années. 

30  volumes,  Ire,  2e,  3e,  4eet  5"  séries  ont  déjà  paru.  (6'  série  sous  presse.) 

Le  prix  de  la  souscription  aux  60  volumes  est  de  720  fr.,  soit  12  fr.  par  volume, 

payables  en  3  années,  à  raiso  \  de  20  fr.   par  mois. 

Chaque  volum'-'  pris  séparément  est  de  15  fr.  net. 

Il  sera  fait,  aux  personnes  qui  désireront  se  libérer  immédiatement  du  montant  total 
de  la  souscription,  une  réduction  de  12fJ  fr.  sur  les  trois  années,  ce  qui  ramènera  le  prix 
du  volume  à  10  fr.  Ces  Souscripteurs  prendrcmt  le  titre  de  Membres  Fondateurs. 

Nous  publierons  la  Liste  des  Souscripteurs  tous  les  trois  mois,  et  à  la  fin  de  la 
Souscription  un  Livre  d'Or  fait  avec  le  plus  grand  soin  perpétuera  le  Soutenir  de  tous 
nos  Adhérents. 

Nous  prions  vivement  les  personnes  qui  désireront  souscrire  de  ne  pas  larder  à.  nous 
adresser  leurs  demander. 

Théodore  MICHAELIS 

EDlTEtlt-7   DE  MUSIQUE, 

J.T,  Rue  de  Maubeuije,  45 


LEHRE  DE  L'INSTITUT  MUSICAL  DE  FRANCE 


««{«'«cejcsiteio- 


<c  Monsieur, 


»  L'Édition  considérable  et  na'ional^'  des 

»  CHEFS-D'OEUVRE   DE  L'OPÉRA    FRANÇAIS 

»  que   vous    entreprenez     est    digne    de    nos    encouragements    et     de 
»  nos  plus   vives  félicitations. 

«Nous  vous  accordons  avec  empressement  notre  entière  approbation, 
»  voulant  nous  associer  ainsi  aux  services  signalés  que  vous  rendez  au 
»  grand  Art. 

■»  Recevez,  Monsieur,  nos  sincères  salutations. 

Ambroise  Thomas,    H.  Reber,  Ch.  Gounod, 
Victor  Massé,  E.  Reyer,  J.  Massenet. 


A  Monsieur  Théodore  MICHAELIS,  45,  rue  de  Maubeuge. 


- x.^ ,*..>fc-v ^ifj^^**-ii^    *A^;.,r^sj^ . 


SOCIÉTÉ 

DES 


Paris,  le  26  novembre  1880 


Comp06ttfurâ  îrc  iîlugtx|uc 


95,     RUE    DE     niCMELIEU 


PARIS 


Monsieur, 


Le  Comité  de  la  Société  des  Compositeurs  de  nuisujue,  dans  sa 
séance  du  22  novembre,  a  voté  â  l'unanimité  une  souscription  à  la  collec- 
tion des  Chefs-d'œuvre  de  l'Opéra  français. 

Le  Comité  est  heureux  de  donner  cet  encouragement  à  l'éditeur 
d'une  publication  qui  est  un  vériiable  monument  élevé  à  la  gloir"^  des 
fondateurs  de  l'Académie  de  musique. 

Agréez,  Monsieur,  l'assurance  de  nos  sentimenls  distingués. 


Le  Président  : 

Victorin  .Ioncières 

Les    Vice-Présidents  : 

LÉO  Delibes — Ernest  Goiraud  —  Edmond  Membrée. 

Le  Secrétaire  r.énéral   : 
A.   LlMAGNE. 

Les  Secrétaires  : 

Alphonse  Duvernoy —  A.  Guillot  de  Saindris  —Gustave  I^feiffer 

Les  Membres  du  Comité  : 

Emile  Bernard  —   René  de  Boisdeffre  —  L.  Deffès  —  Adolphe  NiBEt.LE 
Ad.  Papin  —  .L-R.  \^'eckermn. 


■■'4- 


LEHRE  DE  L'INSTITUT  MUSICAL  DE  FRANCE 


-o«5ej«08ns{«;o- 


<c  Monsieur, 


»  L'Édition  considérable  et  na'ionalo  des 

»  CHEFS-D'OEUVRE   DE  L'OPÉRA    FRANÇAIS 

»  que   vous    entreprenez     est    digne    de    nos    encouragements    et     de 
»  nos  plus   vives  félicitations. 

»  Nous  vous  accordons  avec  empressement  notre  entière  approbation, 
»  voulant  nous  associer  ainsi  aux  services  signalés  que  vous  rendez  au 
»  grand  Art. 

1)  Recevez,  Monsieur,  nos  sincères  salutations. 

Ambroise  Thomas,    H.  Reber,  Ch.  Gounod, 
Victor  Massé,  E.  Reyer,  J.  Massenet. 


A  Monsieur  Théodore  MICHAELIS,  45,  rue  de  Maubeuge. 


^  Jk-i.  ^uM^I'-ilt    ■'■>»IV^.^«>^' 


SOCIÉTÉ 


Paris,  le  26  novembre  ]880 


€omJp0siUnrs  îre  iîlugtnuc 


95,     RUE    DE     njCHEUIEU 


PARI  S 


Monsieur, 


Le  Comité  de  la  Société  des  Compositeurs  de  musique,  dans  sa 
séance  du  22  novembre,  a  voté  â  l'unanimité  une  souscription  à  la  collec- 
tion des  Chefs-d'œuvre  de  l'Opéra  français. 

Le  Comité  est  heureux  de  donner  cet  encouragement  à  l'éditeur 
d'une  publication  qui  est  un  véritable  monument  élevé  à  la  gloi?-e  des 
fondateurs  de  l'Académie  de  musique. 

Agréez,  Monsieur,  l'assurance  de  nos  sentimenis  distingués. 


Le  Président  : 

Yictorin  .Ioncières 
Les   Vice-Présidents  : 

LÉO  Delibes  —  Ernest  Guiraud  —  Edmond  Membrée. 

Le  Secrétaire  r;énéral   : 
A.   LiMAGNE. 

Les  Secrétaires  : 

Alphonse  Duvernoy —  A.  Guillot  de  Sainbris  —Gustave  Pfeiffer 


Les  Membres  du  Comité  : 

Emile  Bernard —   René  de  Boisdeffre —  L.  Deffès  —  Adolphe  Nibeile 
Ad.  Papin  —  .L-B.  ^^'ECKERI.I^■. 


LETTRE  delà  SOCIÉTÉ  NATIONALE  DE  MUSIQUE 


Monsieur, 


Le  Comité  de  la  Société  nationale  de  Musique  tient  à  honneur  de 
vous  adresser  ses  plus  vives  félicitations  pour  l'Œuvre  éminemment 
française  et  artistique  que  vous  avez  entreprise. 

Le  dévclopyiement  rapide  et  régulier  du  goût  musical  en  France 
rendait  nécessaire  la  publication  des  Ouvrages,  —  trop  inconnus  aujour- 
d'hui, —  qui  ont  fait  pendant  de  longues  années  la  gloire  de  l'Art  français, 
et  qui  ont  préparé  l'évolution  de  la  musique  contemporaine. 

Une  Association  d'Artistes  français  ne  peut  donc  que  vous  remer- 
cier de  faire  revivre,  en  prenant  l'initiative  de  cette  publication,  des 
Œuvres  que  leur  haute  valeur  aurait  dû  soustraire  au  plus  injuste  oubli. 

Vous  savez  sans  doute  que  des  modifications  récemment  intro- 
duites dans  les  Statuts  de  notre  Société  nous  autorisent  à  faire  figurer 
sur  nos  Programmes  les  morts  à  coté  des  vivants,  les  anciens  à  côté  des 
modernes,  et  qu'il  suffit  désormais  à  un  Compositeur  d'être  ou  d'avoir  été 
Français,  pour  avoir  droit  de  cité  parmi  nous  ;  c'est  vous  dire  que  nous 
puiserons  souvent  dans  votre  Collection,  et  que  nous  serons  heureux  de 
faire  entendre  au  public  si  éclairé  de  nos  Concerts  des  Œuvres  qui  auront 
pour  lui  tout  l'attrait  des  plus  intéressantes  primeurs  et  qui  lui  permet- 
tront, en  le  charmant,  de  suivre  les  phases  différentes  de  notre  grand 
Art  national. 

Veuillez  agréer,  Monsieur,  l'expression  de  nos  sentiments  distingués, 

Le  Président,  Le   Vice-Pre'sident, 

Romain  BUSSLXE.  C.    SAINT-SAENS. 

Lc>  Secrétaire'^, 

11.  DuPARC,  \'incent  d'iNDT. 

u^  Le    Trésorier, 

E.    Fermer. 

Lc:-  Mcnihtp^  du  Comité, 

César  Frank,  Alex.  Guilmant,  Th.  Houvy,  Emile  Bernard, 
Cil.  Lefebvre,  g.  Pfeiffer,  A.,  Lascoux,  Th.  Dubois, 
Eugène  Gigout.  k.  Mi  ssager,  Gabriel  Fauré. 


A    Mun:?ieur  Théodore  MICMAELIS.  45,  rue  de  .Niaubeui 


ASSOCIATION  DEPARTEMENTALE 


J'ARis,  te  '.)  juillet  1880. 


COMPOSITEURS  DE  MUSIQUE 

PROFESSEURS 

ARTISTES  AMATEURS  ET  EXÉCHTABTS 

Fondée  en,  1S79 

PRÉSIDENT    FONDATEUR 

M.  Emile  PESSARD  *  ^  a 

MEMBRES    FONDATEURS  : 

MM.  E.  Anthiome 

Edmond  Audran 
Donjon 

H.  Garrigue  41  a 
A.  Lavignac 
Alphonse  Leduc  4|  a 
H. Maréchal 
Paul  Puget 
Théodore  Ritter 
Ch.  Turban 

Siège  de  l'Association 

11,    RUE    VIXTIMILLE.     .  1 

A  PARIS 


A  Monsieur  MICHAELIS, 

Editeur  «le  niusiMuc. 


Monsieur, 

Le  Comité  de  l'Association  départementale ,  dans  sa 
séance  du  mardi  25  mai,  après  avoir  pris  connaissance  et 
examiné  avec  attention  les  partitions  formant  la  première 
série  des  Chefs-d'œuvre  de  l'Opéra  Français  (1)  que 
vous  avez  bien  voulu  soumettre  à  son  appréciation  ,  a 
décidé  à  l'unanimité  que  des  félicitations  vous  seraient 
adressées  au  sujet  de  cette  publication  si  intéressante  et 
si  nationale,  qui  rendra  des  services  précieux  à  tous  ceux, 
artistes  ou  amateurs,  qui  s'occupent  de  l'Art  musical  en 
France. 

Le  Comité  a  constaté  le  soin  apporté  à  votre  impression, 
et  désire  aussi  vous  féliciter  de  vous  être  entouré,  dans 
cette  grande  entreprise,  de  collaborateurs  aussi  érudits, 
de  musicologues  aussi  compétents  que  ceux  que  vous  avez 
su  vous  attacher. 

Veuillez  agréer,  Monsieur,  l'assurance  de  notre  parfaite 
considération. 


Pour  le  Comité  de  Direction, 

Le  Sïcréia  rî  g?n'r  1, 

A.   LAVIGNAC. 


Mniisieiir  Theiidore  MICHAELIS,  éditeur  de  musique,  45,  rue  de  Maubeuge. 


ili  L.  s    Se,    Ile.    -lu.  c;   .5o  t-évur.-  suni  pajur-    lU'im^:   l:i  Pc  est  suu.s  |iresse  (Nme  .le  l'Éditeur) . 


A-    GuiLLOT  DE    SaINBRIS 


PRiSIDENT-FONDATEHR 


DIRECTEUR 


SOCIETE  CHORALE  D'AMATEURS 


Paris,  le  17  sîptenihre  1880. 


Monsieur, 

Vous  me  demandez  l'autorisation  d'adresser  aux  membres  de  Ja 
Société  Chorale  d'amateurs  dont  je  suis  le  Président  un  prospectus  de 
la  Souscription  que  vous  avez  ouverte  pour  l'Édition  des  Chefs-d'œuvre 
de  l'Opéra  français  depuis  sa  fondation  en  1671. 

Je  m'empresse  d'accéder  à  votre  désir,  car,  à  mon  avis,  c'est  rendre 
service  aux  véritables  musiciens  que  de  leur  signaler  une  publication 
aussi  intéressante  que  celle  dont  vous  avez  pris  si  vaillamment  l'initia- 
tive et  qui  comblera  une  lacune  préjudiciable  jusqu'à  présent  à  l'étude  des 
Grands  Maîtres  français. 

Je  compte  dans  ma  Société  un  grand  nombre  d'amateurs  sérieux  ; 
j'ai  tout  lieu  d'espérer  qu'ils  éprouveront  le  désir  de  s'associer  à  une 
œuvre  nationale  et  éminemment  artistique. 

Veuillez  agréer,  Monsieur,  l'assurance  de  mes  sentiments  dis- 
tingués. 


A.  GUILLOT  DÉ  SAINBRIS, 

Président-Fondateur  et  Directeur  de  la  Société  Chorale  d'Amateurs. 


4 
i 


Monsieur  Théodore  MICHAELIS,  Editeur  de  musique,  45,  rue  de  Maubeuge. 


ACADÉMIE  NATIONALE  l'aris  .   le  18  Mnl  1880. 

DE    MUSIQUE 
CABINET      DU    DIRECTEUR 


«  Monsieur, 

»  Je  ne  saurais  trop  vous  féliciter  d'entreprendre  une  édition  des 

»  CHEFS-D'ŒUVRE  DE  L'OPÉRA  FRANÇAIS, 

»  Vous  rendez  ainsi  un  véritable  service  aux  admirateurs  du  grand 
»  Art  et  leur  reconnaissance  ne  peut  vous  faire  défaut. 

»  Recevez,  Monsieur,  mes  salutations  empressées. 

»  VAUCORBEIL.  » 


Paris,   le  5  aoril  1880. 


«  Mon  cher  Editeur, 


»  Publier  les  Classiques  dramatiques  français  est  une  idée  à  la 
»  fois  heureuse  au  point  de  vue  artistique  et  heureuse  aussi,  je  le  crois, 
»  au  point  de  vue  commercial. 

.    »  Recevez  ici  tous  mes  meilleurs  compliments  pour  la  pureté  et  la 
»  beauté  de  l'édition. 

»  Vous  traitez ,  je  le  vois,  nos  illustres  morts  comme  vous  avez 
»  traité  votre  ami  vivant,  avec   PAUL  ET  VIRGINIE. 

»  Je  serais  heureux  qu'un  franc  succès  vînt  couronner  votre  vaillante 
»  entreprise. 

»  Je  vous  serre  la  main  bien  affectueusement. 

»  Victor  MASSE.  » 


Monsieur  MICHAELIS,  éditeur  de  musique. 


A  Monsieur  MICHAELIS 


É'Jiteur  de  Mu'irjne 


Monsieur, 


Faire  revivre  aujourd'hui,  par  une  édition  des  plus  remar'|uahles, 
les  oeuvres  des  grands  Maîtres  de  l'ancien  Opéra  franoa's.  est  l'acte  d'un 
homme  passionné  pour  le  grand  Art  national. 

Tous  ceux  qui  aiment  la  Musique  doivent  vous  aider;  veuillez 
donc,  je  vous  prie,  me  compter  au  nombre  de  vos  souscripteurs. 

Recevez,  Monsieur,  l'assurance  de  mes  sentiments 
les  plus  distingués. 

PASDELOUP, 

FonHatenr  des  Cccen?  populaire* 


A  Monsieur  Théodore  MICHAELIS,  45,  rue  de  Mauueu-e. 


ASSOCIATIOM  ARTISTIQUE 

(7"°    ANNÉE) 

Ed.  colonne.  Président 

Administration  des  Concerts 

155,    Faubourg-Poissonnière 


Paris.    La   ]er  iuillel  1880 


Ciier  Monsieur  MICHAELIS. 

Vous  me  demandez  s'il  me  serait  agréable  de  faire  figurer  aux 
programmes  des  Conckrts  du  Chatelet  quelques  fragments  symphoniques 
de  votre  Collection  ;  les  CHEFS-D'ŒUVRE  DE  L'OPÉRA  FRANÇAIS, 
dont  vous  avez  si  brillamment  commencé  la  publication. 

Rien  n'est  plus  intéressant,  selon  moi,  que  la  réalisation  de  votre 
désir,  car  je  considère  que  l'éducation  musicale  du  public  ne  sera  com- 
plète que  lorsque,  aux  morceaux  classiques  qui  sont  actuellement,  avec 
les  productions  de  notre  jeune  école,  le  fond  de  notre  répertoire,  on  join- 
dra les  chefs-d'œuvre  des  fondateum  de  l'Opàra  français. 

Vous  pouvez  donc  compter  sur  moi  pour  faire  la  plus  large  part 
possible  aux  extraits  de  ces  ouvrages  que  vous  voudrez  bien  me  connnu- 
niquer. 

Agréez,  cher  Monsieur  Michaëlis,  avec  tous  mes  compliments 
pour  votre  vaillante  entreprise,  l'assurance  de  mes  sentiments  les  plus 
distingués. 

Kn.  COLONNE. 


I 


<s#^£â.®#a4iriwii  i 


Madame  Pauline  VIARDOT-GARCIA  ; 

MM.  BOURGAULT-DUCOUDRAY  f  Louis -Albert),  Compositeur,  Professeur  d'Hisioire 

de  la  Musique,  au  Conservatoire  de  Paris  ; 
DANCLA  (Charles),  Compositeur,  Professeur  au  Conservatoire  se  Paris  ; 
FRANCK  (César),  Compositeur,  Professeur  au  Conservatoire  de  Paris; 
GEVAERT  (F.-A.),  Maître  de  Chapelle  de   S.  M.    le  Roi  des  Belges,  Directeur   du 

Conservatoire  royal  de  Bruxelles  ; 
GIGOUT  (Eugène),  Compos',  Organiste  de  St-Augustin,  Prof'  à  l'École  Niedermeyer; 
GUILLAUME  (Jules),  Homme  de  Lettres,  Secré  aire  du  Conservatoire  de  Bruxelles; 
GUILMANT  (Alexandre),  Compositeur,  Organiste  de  l'église  de  la  Trinité  et  de  la 

Société  du  Conservatoire  ; 
HIGNARD  (Aristide),  Compositeur,  Professeur,  Prix  de  Rome  ; 
D'INDY  (Vincent),  Compositeur  ; 

LAJARTE  (Théod.  de),  Compositeur,  Bibliothécaire  de  l'Opéra  et  de  l'Opéra-Comique  ; 
LEFEVRE  (Gustave),  Compositeur,  Directeur  de  l'École  de  Musique  Niedermeyer; 
POISOT  (Charles),  Compositeur,  Fondateur  et  ancien  Direct' du  Conservatoire  de  Dijon  ; 
RENAUD  (A.),  Compositeur- Professeur. 
SAINT-SAENS  (Camille),  Compositeur; 

SALOMÉ  (Théodore),  Compositeur,  Professeur,  Prix  de  Rome  ; 

SALOMON  (Hector),  Compositeur,  Chef  de  Chant  à  l'Académie  Nationale  de  Musique; 
SOUMIS  (Louis),  Chef  de  Chant  de  l'Opéra-Comique; 
VILBAC  (Renaud  de).  Compositeur,  Prix  de  Rome  ; 
"WECKERLIN   J.-B),  Compositeur,  Bibliothécaire  du  Conservatoire  de  Paris. 

Pour  les  Notices  historiques  et  critiques  : 

MM.  Adolphe  JuUien; 
Lavoix  fils  ; 
Arthur  Pougin; 
Victor  ^Vilder. 


LISTE  DES  OPÉRAS  DE  LA  COLLECTION 

i''",   2" j   S"  4^  st  &  Séries  ei^tièreineiit  parues 

(   6""-    SÉRIE    sous   PRESSE   ) 


BEAUJOYEUX    — 

CAMBERT  — 

l'undateur  dt;  l'Opéra 

1671, 

LULLY  — 


«>s 

ce 

— 

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— 

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. — 

COLLASSE 



cri 

CAMPRA 

DESTOUCHES 

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RAMEAU 

PHILIDOR 

GRETRY 

PICCINN'I 
SALIERI 
CATEL 


\ 


LULLY 

DESTOUCHES 

LALLANDE 

GLUCK 

GRETRY 

RAMEAU 

PICCINNI 

LULLY  — 

RAMEAU  — 

MONDONVILLE  — 
MONTECLAIR  — 
PHILIDOR  — 

HAYDN,PLEYEL) 
MEHUL  ( 

LULLY 

RAMEAU 

PICCIXM 

CHARPENTIER - 

SACCHINI 

GRETRY 

iLULLY 

RAMEAU 

PICCINNI 

LESUEUR 

GRETRY 

SACCHINI 


Le  Ballet  de  la  Reine,  Opéra-ballet  en  1  acte. 

(I_)  Pomone,  pastorale,  iibretto  5  actes,  rnufii^iue.  1  acte. 

(2;  Les  Peines  et  les  Plaisirsd'Aoïour,  liliretto  5  acte,  musi  |ue,  1  a. 

N.  li.  —  Crs  lr()is  (larlitiiMis  ne  cuniiitent  ((Ue  iioiir  une. 

Gadmus  et  Hermione,  Tragédie  lyri<iue  en  5  ac;es  et  1  prologue. 

Alceste,TragéJ'e  lyririue  en  5  acies  et  l  prologue. 

Thésée,  Tragédie  lyrique  en  5  act^s  et  1  prologue. 

Atys,  Tragédie  lyrique  en  5  actes  et  I  prologue. 

Isis,  Tragédie  lyrique  en  5  actes  et   1  pro'.ogue. 

Psyché,  Tra,gé  li*i  lyrique  en  5  actes  et  i  prologue. 

Bellérophon,  Tragédie  lyrique  en  5  actes  et  1  prologue. 

Proserpine,  Tragédie  lyrique  en  5  actes  et  1  prologue. 

Armide,  Tragédie  lyrique  en  5  actes  et  1  prologue. 

Thétis  et  Pelée,  Tragé  lie  en  musiqi,e,  en  5  actes  et  1   prologue, 

Les  Saisons,  Opéra-ballet,  3  entrées   et  1  prologue. 

L'Europe  galante,  Opéra-balUt,  4  entrées  et  1  prologue. 

Tancrède,  Opéra  ballet,  4  entrées  et  1   prologue. 

Les  Fêtes  Vénitiennes,  Opéra-ballet  3  entrées  et  1  prologue. 

Issé,  jiastorale  héroïque  en  3  actes  et  1  prologue. 

Omphale,  pastorale  héroïiiue  en  3  actes  et  1   prologue. 

Hippolyte  et  Aricie,  Tr>.gédie  lyrique  en  5  acies  et  1  prologue. 

Les  Indes  galantes,  ballet  héroïque  en  4  concerts  et  1   entrée. 

Castor  et  Pollux,  Tragédie  lyrique  en  5  actes. 

Les  Festes  d'Hébé, Opéra  ballet  en  3  entrées. 

Dardanus,  Tragédie  lyrique  en  5  actes  et  1  prologue 

Ernelinde,  Tragédie  lyrique  en  5  actes. 

Céphale  et  Procris,  Opéra  en  3  actes. 

La  Caravane  du  Caire,  Opéra  en  3  actes. 

Roland,  TragTie  lyrique  en  3  actes. 

Didon,  Tragédie  lyrique  en  3  actes. 

Les  Danaïdes,  Tragédie  lyrique  en  5  actes. 

Tarare,  Tragédie  lyrique  en  5  actes  et  1  prologue. 

Les  Bayadères,  Opéra  en  3  actes  et  1  prologue. 

Persée,  Tragédie  lyritque  en  5  actes  et  1  prologue. 

Les  Eléments,  Ballet  du  Roy. 

Paris  et  Hélène,  Opéra  en  5  actes. 
Coliuette  à,  la  Cour,  Opéra  en  3  actes 
Zoroastre,  Tragédie  lyrique  en  5  actes  et  I  prologue 
Atys,  Tragédie  lyrique  en  3  actes  et  1  prologue. 

Phaëton,  Tragédie  lyrique  en  5  actes  et  1  prologue. 

Platée  ou  Junon  jalouse.  Opéra-bouffe  en  3  actes  et  1  prologue 

Titon  et  l'Aurore,  Opéra  en  3  actes. 

Jephté,  Tragédie  lyrique  en  5  actes  et  1  prologue. 

Tom  Jones,  Opéra  en  3  actes- 

Le  Jugement  de  Paris,  Ballet-pantomime  en  3  actes. 

Amadis,  Tragédie  lyrique  en  5  actes  et  I  prologue 

Zaïs,  Opéra-bailet  en  3  actes  et  l  prologue. 

Pénélope,  Tragédie  lyrique  en  3  actes  et  1  prologue 

Médée,  Tragt'die  lyrique  en  ô  actes  et  1  prologoe. 

Renaud,  Opéra  en  3  actes. 

Panurge  dans  l'ile  des  Lanternes,  Comédie  lyrique  en  3  actes. 

Roland,  Tragédie  lyrique  en  4  actes  et  un  prologue. 

Naïs,  Opéra-ballet  en  3  actes  et  1  prologue. 

La  Bonne  Pille,  Opéra  bouffe  en  3  actes. 

Ossian  ou  les  Bardes. Opéra  en  3  actes. 

Andromaque,  Opéra  en  3  actes. 

Chiméne  ou  le  Cid,  Tragédie  lyrique  en  3  actes. 


Réduite  pour  chant  et  piUTio  par  MM 
"WECKERUN  J.-B. 


de  LAJARTE  Théodore 


S.^CCHINI  —  Œdipe  à,  Colonne,  Opéra  en  3  actes. 
MONDONVILLE —  Daphnis  et  Alcimadur,  Opéra  «n  3  aotes. 

GRETRY  —  Anacréon  chez  Polycrate,  Opéra  en  3  acies. 

MOZART  —  Les  Petits  Riens,  Ballet  en  3  parties. 

CHERUBINI  —  Les  Abencérages,  Opéra  en  3  actes. 

DELABORDE  *       ,.,      ^     „      ,.^.         „  ',       . 

IBERTON  i  Atlel^  "Is  Ponthieu.  Opéra  en  3  actes. 


SOUMIS  Louis 
GUILMANT  Alexandre 

SALOMON  Hector 
POISOT  Ch. 


FRANCK  César 
GEVAERT  F-.A. 

LEFEVRE  Gustave 


dINDY  Vincent 

de  LAJARTE  Théodore 

d'INDY  Vincent 

M"'  Pauline  "VIARDOT-GARCIA 
GEVAERT  F. -A. 
POISOT  Ch. 
LEFEVRE  Gustave 

de  LAJARTE  Théodore 
POISOT  Ch. 
BOURGAULT-DUCOUDRAY  L.  A. 

FRANCK  César 
SALOMON  Hector 

de  LAJARTE  Théodore 
POISOT  Ch. 
LEFEVRE  Gustave 
A.    RENAUD.; 
GIGOUT  Eugène 
GEVAERT  F. -A. 

de  LAJARTE  Théodore 
POISOT  Ch. 
LEFEVRE  Gustave. 
SALOMÉ  Théodore 
GEVAERT  F. -A. 
GIGOUT  Eugène 

GIGOUT  Eugène 

BOURGAULT-DUCOUDRAY  L.  A. 
GEVAERT  P. -A. 
■WECKERLIN  J.-B. 

HIGNARD  Aristide 


LA     PRESSE     FRANÇAISE 
(  Extraits  ) 


ET 


LES  CHEFS-D'ŒUVRE  DE  L'OPÉRA  FRANÇAIS 


«  En  mettant  à  la  portée  de  tout  le  monde  ces  admirables  chefs- 
d'œuvre ,  M''  Michaelis  rend  un  service  signalé  à  l'art  français,  aux 
artistes  et  au  développement  de  l'instruction  musicale  dans  notre  pays.  » 

Journal  Officiel. 

tt  Jamais  encore  on  n'avait  entrepris  en  France  une  publication  pareille, 
d'une  si  grande  importance,  d'une  semblable  utilité,  et  jamais  on  n'eût  pu 
l'entourer  de  plus  de  soins.  »  Journal  Officiel. 

«  Cette  publication  modèle  fait  honneur  à  l'homme  courageux  qui  l'a 
entreprise.  »  Journal  Officiel. 

«  Grâce  à  M'"  M...,  la  France  n'aura  bientôt  plus,  de  ce  cùté,  rien  à 
envier  aux  autres  nations.  »  Journal  Officiel. 

«  Il  faut  espérer  que  le  pub'ic  ne  se  montrera  pas  indifférent  aux 
efforts  qui  sont  faits  en  sa  faveur,  efforts  qui  ont  été  bien  compris  par  les 
membres  de  la  section  de  musique  de  l'Institut,  qui  ont  pris  sous  leur 
patronage  la  publication  des  Chefs-d'œuvre  de  l'Opéra  français.  » 

Journal  Officiel. 

«  Celle-ci  (la  publication)  mérite  tous  les  é'oges,  tous  les  encourage- 
ments, elle  est  digne  de  toutfis  les  sympathies  et  nous  ne  saurions  trop 
vivement  la  recommander  à  tous  les  amis  de  l'art  français,  à  tous  ceux 
qui  ont  souci  de  nos  gloires  nationales.  »  Journal  Officiel. 

«  On  ne  saurait  trop  encourager  Mr  M...  dans  son  entreprise  artisti- 
que et  nationale .   »  Le  Figaro. 

«  C'est  donc  une  oeuvre  précieuse  que  celle  qu'a  entreprise  M""  Michaëlis' 
de  faire  connaître  les  chefs-d'œuvre  qui  ont  fait  la  prospérité  et  la  gloire 
de  notre  Académie  nationale  de  musique.  »  Le  Figaro. 

«  Cette  collection  formera  une  magnifique  bibliothèque  et  nous  possé- 
derons un  monument  musical  que  toutes  les  autres  nations  devront  nous 
envier.  »  Le  Figaro. 

K  Nous  faisons  des  vœux  ardents  pour  que  les  artistes  et  le  public 
accompagnent  et  soutiennent  l'éditeur  dans  cette  campagne,  une  des  plus 
légitimes  et  des  plus  glorieuses  qui  aient  été  entreprises  en  l'honneur  de  la 
musique  française.  »  Le  Figaro. 

«  L'initiative  de  l'éditeur  Michaëlis  a,  du  reste,  rencontré  les  sympa- 
thies qu'elle  méritait  d'obtenir.  C'est  un  beau  titre  que  la  lettre  signée  de 
tous  les  membre  de  l'Institut  t  Voir  la  lettre  de  l'Institut)  ;  une  foule  de 
Sociétés  musicales  se  sont  associées  à  ce  haut  témoignage  de  satisfaction  : 
la  Société  des  Compositeurs  de  musique,  l'Association  départemen- 
tale des  Compositeurs,  les  Directeurs  de  nos  grands  concerts;  enfin  on  lit 
en  tête  de  la  liste  des  souscripteurs,  les  noms  du  Roi  des  Pays-Bas, 
de  la  Reine  d'Espagne,  de  la  Grande-Duchesse  Catherine,  du  Grand-Duc 
Constantin,  de  la  Comtesse  de  Paris,  du  Duc  d'Aumale,  du  Ministère 
des  Beaux-Arts,  etc.,  etc.  »  Le  Figaro. 


ic  Le  grand  ouvrage  entrepris  par  Mr  M...  avec  l'aide  puissante  de  ses 
savants  collaborateurs  sera  pour  la  France  un  véritable  monument 
national.  Pour  tous  les  pays,  c'est  une  œuvre  de  grande  et  haute  valeur  à 
laquelle  tous  les  musiciens  auront  à  cœur  de  s'associer.  » 

L'Echo  du  Parlement. 

«  Combien  nous  devons  admirer  —  c'est  le  mot  —  le  courageux  éditeur 
qui  s'est  attaché  à  cette  œuvre  immense  en  dépit  des  difficultés  de  toute 
nature  auxquelles  il  devait  se  heurter.  »  Gil  Blas. 

«C'est  au  prix  cTefforts  woMis,  de  travail  et  de  sacrifices  que  l'éditeur 
est  arrivé  à  élever  un  monument  national,  plaçant  l'école  française  au 
rang  élevé  qui  lui  est  dû  et  rappelant,  ce  que  l'on  ne  saurait  assez  faire, 
que  la  France  a  été  de  tout  temps  aussi  grande,  etc.,  etc.»  Gil  Blas. 

«  L'édition  Michaelis  a  remédié  à  tous  ces  inconvénients  et  maintenant 
il  est  facile  de  faire  connaissance  avec  ces  vieux  maîtres  qui  réservent 
aux  lecteurs  des  surprises  charmantes.  »  L'Indépendant'. 

«  C'est  une  collection  des  plus  intéressantes  qu'un  amateur  sérieux, 
ou  prétendant  l'être,  ne  saurait  se  dispenser  d'avoir  dans  sa  bibliothèque.  » 

L'Indépendant. 

«  C'est  un  véritable  monument  élevé  à  l'art  français  que  cette  résur- 
rection des  fondateurs  de  notre  Académie  de  musique,  et  l'on  ne  saurait 
assez  féliciter  l'éditeur  qui  a  conçu  et  réalisé  le  projet  de  cette  publica- 
tion. »  La  Liberté. 

«  Le  public  ne  semble  pas  faire  assez  attention  à  cette  publication 
nationale,  élevée  à  grands  frais  à  la  gloire  de  notre  Opéra.  Uij  va  de  notre 
honneur  de  seconder  de  toutes  nois  forces  l'entreprise  deMi'M...  Portraits, 
estampes,  variantes,  notices;  rien  n'y  manque.  La  gravure  est  superbe, 
le  prix  est  peu  élevé,  tout  est  donc  réuni  pour  faire  de  cette  collection  un 
trésor  musical.  »  La  Paix. 

«  Il  faut  le  dire  hautement,  afin  que  justice  soit  rendue,  c'est  à  Mr  M... 
que  nous  devrons  de  pouvoir  lire  ces  œuvres  si  remarquables.  » 

La  Paix. 

«  Il  est  vivement  à  désirer  que  les  amateurs  de  musique  encouragent 
et  soutiennent  Ja  belle  et  curieuse  publication  entreprise  par  l'éditeur.  » 

Le  Parlement. 

«  Le  concours  de  tous  ceux  qui  s'intéressent  à  notre  musique  natio- 
nale est  indispensable  pour  que  MrM...  puisse  mener  à  bonne  fin  la  tâche 
qu'il  s'est  imposée.  »  Le  Parlement. 

«  Je  ne  me  lasse  pas  de  revenir  sur  cette  publication,  et  je  m'y  inté- 
resse passionnément.  Je  voudrais  contribuer,  pour  autant  qu'il  est  en  moi, 
à  conquérir  des  souscripteurs  à  une  œuvre  utile  entre  toutes.  » 

Le  Parlement. 

«  Allez  toujours,  Mr  M...,  poursuivez  votre  tâche,  quelque  dur  que 
soit  le  sacrifice  qu'elle  vous  impose,  donnez  à  la  France  musicale  cette 
précieuse  collection  de  chefs-d'œuvre.  Ne  vous  découragez  pas.  » 

La   Patrie 

«  Grâce  à  M'' M...,  les  chefs-d'œuvre  oubliés  revivent,  et  le  jour  viendra 
certainement  oii  les  pages  admirables,  trop  négligées  jadis,  s'étaleront  sur 
tous  les  pianos  à  la  place  d'honneur.  » 

Le  Petit  Journal. 

«  Tout  amateur  de  musique  se  doit  à  lui-même  de  propager  dans  le 
milieu  oti  il  vit  des  partitions  aussi  bien  faites  pour  élever  le  goiiten  déve- 
loppant l'instinct  du  beau.  »  La  Presse. 


«  Nous  aurions  lort  de  fermer  les  yeux  sur  ces  choses  qui  sont  une 
pçirtie  de  notre  gloire  nationale.  ■»  La  République  Française. 

«  Musiciens,  amateurs  et  érudits,  ont  désormais  une  mine  où  puiser 
à  pleines  mains.  Les  partitions  de  MrM....  ne  coûtent  pas  cher  et  sont  d'une 
irréprochable  exécution   »  Le  XIX"  Siècle. 

«  L'idée  est  (/rarerfiose,  artistique,  éminemment  nationale.  » 

Le  Siècle. 

«  Quel  musicien,  quel  amateur  digne  de  ce  nom  voudra  se  priver  da 
garnir  sa  bibliothèque  des  chefs-d'œuvre  de  l'opéra  français?  » 

Le  Siècle. 

«  La  Presse  doit  son  concours  à  cet  honnête  éditeur  et  le  ministre 
des  beaux-arts  son  appui.  »  Le  Siècle. 

«  Quelle  institution  mMsicale  ne  tiendra  à  honneur  de  souscrire  à  la 
publication  des  chefs-d'œuvre  français  V  »  Le  Siècle. 

«  Nous  avons  le  devoir  de  recommander  une  œuvre  du  plus  sérieux 
intérêt,  une  œuvre  nationale  que  nul  musicien,  nul  amateur  ne  saurait 
considérer  avec  indifférence;  cette  œuvre  est  la  pubUcation  en  un  beau 
format,  sur  beau  papier,  des  chefs-d'œuvre,  etc.  »  Le  Siècle. 

«  Tout  musicien,  tout  amateur  de  musique,  tout  Français,  ne  fût-ce 
que  par  patriotisme,  devrait  avoir  dans  sa  bibliothèque  cettte  publication 
nationale.  »  Le  Siècle. 

«  Cette  superbe  publication  est  appelée  à  rendre  les  plus  sérieux- ser- 
vices. On  ne  saurait  trop  la  recommander  au  public,  et  le  ministère  des 
Arts  a  le  devoir  de  l'encourager  efficacement,  comme  un  monument 
national  érigé  à  la  gloire  de  la  France.    »  Le  Siècle. 

«  M''  M...  poursuit  sans  relâche  sa  belle  publication.  Il  a  la  foi  et  le 
zèle  d'un  apôtre  qui  s'en  va  de  par  le  monde  prêchant  la  bonne  parole  — 
la  bonne  musique  —  confiant  dans  la  Providence  pour  diriger  ses  pas  et 
accomplir  sa  mission.  »  Le  Siècle. 

«  Grâce  à  l'édition  de  M''M..  une  bibliothèque  lyrique  de  nos  illustres 
classiques  français  va  se  trouver  formée,  accessible  à  tous  par  son  prix 
relativement  n)inime.  Il  ne  sera  donc  plus  permis  à  aucun  musicien  de 
parler  sans  les  connaître  de  Lulli,  de  Campra,  de  Rameau,  de  Piccinni,  de 
Salieri,  Grétry,  Gluck,  etc.  »  Le  Siècle. 

«  La  belle  et  intéressante  collection  des  chefs-d'œuvre  que  publie 
;Mr  M...  continue  à  recevoir  les  plus  hautes  et  les  plus  sympathiques 
adhésions  des  gens  du  monde  et  du  plus  haut  monde.  »  Le  Soir.. 

«  Une  œuvre  aussi  importante  méritait  certes  d'être  imprimée  aux 
frais  du  gouvernement.  »  Le  Temps. 

«  Et  comment  se  fait-il  que  nous  ayons  laissé  de  tels  monuments  de 
l'art  dans  la  poussière  de^  bibliothèques  ?  Nous  sommes  donc  toujours 
un  peuple  léger,  frivole,  versatile,  ingrat?  »  L'Union. 

«  Les  partitions  qu'édite  Mr  Michaëlis  sont  les  titres  de  noblesse  de 
notre  Opéra.  «  L'Union. 

«  Tout  le  monde  peut  chanter  maintenant  et  comprendre  ces  parti- 
tions. Déjà,  aux  concerts  populaires,  aux  auditions  de  la  Concordia,  le 
public  a  été  admis  à  entendre  des  fragments  de  ces  œuvres,  et  le  public  a 
été  charmé.  »  Le  'V'oltaire. 

ETC.,    ETC. 


P;iri5.  —   Itnp.  Ed.  Kousset,  7,  rue  lîochechouart. 


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CHEFS-D'ŒaJVJRie  JOE  L'OPÉM  FJRAWÇMS 


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OPKBABALLieT  en  5  Entrées  et  1  Prologue 

Tiepreseide j]fjiw  h  Ffois  âl Académie  royale  de  Musique  le  17  Juin  17 W    | 
RECONSTITUE  ET  HÉDUIT  POUR  PIANO  ET  CHANT 

Par  Alexandre  guilmant 

d'après  l'Edition  de  17 Id  fjjp^fury^ 


IntroductwnpapARTRURPOUGm 
PRIX:15!NET 


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à  l'Agence  internationale  des  Auteups.Compositeups  et'Ecpivains  '^ARz-g       c^ 


m'-^^^^^-^^^^T^^^^^^^   THEODORE IVll£jJ4y5JSEDlTEUR.?-'S«:«^>'$»^&M!2 


^;??,  Sta.Ha]]. 


PARIS,^5,47,î(tm"^fe,KfA'JBEUGE>5,47,PARIS 


Dévosé 


CHEFS-D"OEUVRE 


DE 


L'OPÉRA  FRANÇAIS 

LULLY,    CAMPRA,    RAMEAU,    PICCINNI,    SALIERI,    CATEL, 

GRÉTRY,  etc. 


LES  FÊTES  VÉNITIENNES 

oi»JÎ;nA-i3Ai_.LJi:T   jr:>;    trois   actes 

Paroles  de  DAITCHET 

Musique    de    0A.MPR^ 


INTRODUCTION 

C'était  en  1710.  Campra,  qui  était  vériLableinent  le  soutien  de  l'Opéra 
et  qui  jouissait  dans  le  public  d'une  estime  justement  acquise,  n'était 
pas  heureux  pourtant  dei)uis  quelques  années.  A  Tancrède,  dont  le  suc- 
cès avait  été  retentissant  et  prolongé,  il  avait  fait  succéder  toute  une 
série  d'ouvrages  qui'  n'avaient  reçu  qu'un  froid  accueil  et  qui,  il  faut 
le  dire,  ne  méritaient  pas  mieux.  Les  Muses,  Téléinuque  (un  pastiche)- 
Alcme,  JJippodamie,  tels  étaient  les  titres  de  ces  ouvrages,  dans  lesquels 
on  ne  retrouvait  guère  trace  ni  de  l'imagination  vive  et  fertile  de 
Campra,  ni  de  son  sentiment  dramatique  et  passionné,  ni  même  enfin 
de  cette  grande  habileté  de  main  qui,  à  défaut  de  qualités  plus  solides, 
sauve  parfois  les  grands  artistes  et  leur  fait  donner  le  change  au  pu- 
blic sur  la  valeur  réelle  de  certaines  œuvres.  Il  est  évident  que  la  verve 
habituelle  de  Campra  et  celle  de  son  fidèle  collaborateur  Danchet  subis- 
saient une  éclipse,  traversaient  un  moment  de  crise.  L'Opéra,  cepen- 
dant, dont  ils  étaient  alors  les  fournisseurs  presque  attitrés,  ne  se  las- 
sait pas  d'avoir  recours  à  eux  et  de  leur  donner  l'occasion  d'une 
revanche  que  tôt  ou  tard  ils  devaient  prendre. 


2  

Cette  revanche  fut  éclatante,  comme  on  va  le  voir,  et  Campra  allait 
enfin  retrouver   un  de  ces  succès  qui,  à  plusieurs   reprises,  marquèrent 
si  brillamment  le  cours  de  sa  carrière  laborieuse  et  féconde.  De  compa- 
gnie avec  son  inséparable  Dancbet,  il  donnait  à  l'Opéra,  le  17  juin  1710, 
un  opéra-ballet  en  trois  actes  et  un  prologue,    les    Fêles  vénitiennes,   qui 
fit  littéralement   courir  tout  Paris  et  dont  la  vogue,    véritablement  for- 
midable,   après   s'être    affirmée   par   une    série    de   soixante-six    repré- 
sentations   consécutives,   se    prolongea    pendant   plus   d'an   demi-siècle. 
C'était    là    un  de  ces  ouvrages  légers,  gracieux,  pleins   de    nerf   et    de 
gaieté,  comme  VEurope  galante,  avec  laquelle  Campra  avait  débuté  d'une 
façon  si  beureuse  ;  de  plus,  c'était  un  cadre  élastique,  qui  se  prêtait    à 
toute  espèce  de  retouches  et  de  remaniements,  et  que  l'on  ne  se  fit  pas 
faute  de  varier  à  l'infini  pour  piquer  la  curiosité   du  public   toutes  les 
fois  que  celle-ci  commençait  à  s'émousser.  En  signalant  toutes    les  mo- 
difications ,    les    transformations    successives    dont    les    Fêles   vénitiennes 
furent  l'objet,  M.   Théodore    de  Lajarte  a   dit  fort   justement    dans    son 
Catalogue  de  la  Bibliothèque  de  l'Opéra  :  —  a  Nous  ne  savons  ce  qu'il  faut 
le  plus  admirer  dans  tout  ceci  :   est-ce  le   courage    de    l'administration 
et  des  auteurs  recommençant  sans  cesse  ce  travail  de  Pénélope,    oa    le 
public  applaudissant,    pendant  quarante  ans    (et  plus),    cette    espèce  de 
kaléidoscope   lyrique?  »  Il  est  certain  que   les  auteurs   ne  se   lassaient 
pas,  à  chaque  reprise  qu'on  faisait  de  leur  ouvrage,  de  le   renouveler   à 
l'aide  de  quelque  divertissement  ou  de  quelque  air  ajouté,  parfois  même 
d'un  acte  entier  venant  remplacer  une  a  entrée  »  un  peu  vieillie,  et  que, 
de  son  côté,   le  public  ne  se  lassait  pas  de  venir   voir    et    d'applaudir. 
Pour  employer  un  terme  propre  au  théâtre,  les  Fêtes  vénitiennes  peuvent 
passer  pour  le  type  et  le  modèle  de  ces  a  pièces  à  tiroirs  »  qui,  par  leur 
nature,  subissent,  sans  en  être  altérées  dans  leur  principe,    des   change- 
ments  prodigieux  qui  finissent  pourtant  par  en   rendre    méconnaissable 
le   texte   primitif  et  original.    Du   vivant   de  Campra,  on  fit  ainsi  six 
reprises  de  l'ouvrage;   la  septième  eut  lieu  en   1750,  et  enfin,  en  1759, 
quinze  ans  après    sa    mort   et  au  temps   de  la   plus  grande  gloire    de 
Rameau,  on  en  fit  une  huitième  qui  ne  fut   pas  une  des  moins  fruc- 
tueuses, car  elle  parcourut  trois  séries   de  représentations,  dont  une  de 
quinze  et  une  de  neuf. 

Pour  faire  connaître  exactement  les  phases  diverses  par  lesquelles  a 
passé  cet  ouvrage,  d'ailleurs  plein  d'allure  au  point  de  vue  scénique, 
charmant  et  plein  de  grâce  en  ce  qui  concerne  la  musique,  nous  allons 
donner  ici  tous  les  détails  relatifs  à  sa  création  et  à  ses  différentes  re- 
prises. Bien  que  le  ballet  y  eût  une  importance  presque  égale  au  chant, 


—  3  — 

nous  ne  reproduirons  cependant,  comme  étant  vraiment  intéressanles. 
que  les  distributions  des  rôle.;  chantants. 

L'ouvrage    comprenait,    à    l'origine,    un    prologue    et    trois    entrées, 
ainsi  disposées  : 

PROLOGUE 

(Le  Triomphe  de  la  Folie  sur  la  Baison  dans  le  temps  du  Carnaval] 

Le  Carnaval THÉVRNARD. 

La  Folie. Slademoiselle  POUSSIN. 

La  Rahoii Mailemniscllc  DESMÂTINS. 

Heraclite HARDOUIN. 

Démocrite MANTIENNE. 

PREMIÈRE    ENTRÉE 

(La  Fête  des  Barquerolles) 

Le  Docteur  Vénitien DUN. 

Lilla,  jeune  gondolière mademoiselle  DTJN. 

Damiro,  amant  de  Lilla COCHEREAU. 

Une  Gondolière,  représentant  la   Victoire  lHailemiiiselIc  HECQUE VILLE. 

Un  Gondolier ,    .    .    .  GUESDON. 

DEUXIÈME    ENTRÉE 

(Les  Sérénades  et  les  Joueurs) 

Léandre,  Français,  amant  d'Irène  .    .    .  THÉVENARD. 

Isabelle,  amoureuse  de  Léandre  ....  Mademoiselle  JOURNET. 

Lucîle,  idem.  ....  Miidemoisellc  PESTEL. 

Lrèîie,  amante  de  Léandre Mademoiselle  DUN. 

La  Fortune Mademoiselle  DES  JARDINS. 

Suivant  de  la  Fortune BUSEAU. 

TROISIÈME    ENTRÉE 

(L'Amour  Saltimbanque) 

Filindo,  chef  des  saltimbanques  ....  .      HARDOUIN. 

Eraste,  Français,  amant  de  Léonore  .    .  COCHEREAU. 

Léonore,  jeune  Vénitienne lliiilciiioisclle  POUSSIN. 

Nérine,  suivante  de  Léonore MANTIENNE  (1) 

L'Amour  saltimbanque Mademoiselle  DUN. 

Dès  le  8  juillet,  jour  de   la   dixième   représentation   des    Fêtes   véni- 
tiennes, juste  trois  semaines  après  la  première,  on  supprima  la  première 

(1)  A  cette  épociue,  les  rôles  de  femmes,  vieilles  ou  ridicules,  étaient  tenus  par  des  hommes. 


entrée,  la  Fête  des  BarqueroUes,  pour  ]a  remplacer  par  une  autre,  la  Fêle 
marine^  dont  voici  la  distribution  : 

Astolphe,  Vénitien DUN. 

Céphise,   Vénitienne Mademoiselle  JOURNET. 

Dorante,   amant  de  Céphise,  déguisé  en 

matelot COCHEREAU. 

Doris,  suivante  de  Céphise Mademoiselle  DUN^. 

Un  matelot GUESDON. 

Le  8  août,  à  la  23"'-  représentation,  on  supprima  le  prologue  à  son 
tour,  et,  avec  l'aide  encore  d'une  nouvelle  entrée,  l'ouvrage  resta  divisé 
en  quatre  parties,  de  cette  façon  :  \.  La  Fête  marine  ;  2.  Le  Bal  ou  le 
Maître  à  Danser  (entrée  nouvelle);  3.  Les  Sérénades  et  les  Joueurs  ;  k-  U  Amour 
saltimbanque.  La  distribution  du  Bal  était  la  suivante  : 

Alamir,  prince  polonais THÉVENARD. 

Thémire,  gentilhomme  de  sa  suite  .    .    .  BUSEAU. 

Iphise,   Vénitienne Mademoiselle  JOURNET. 

Un  Maître  de  musique MANTIEXNE . 

Un  Maître  de  danse  (1) MARCEL. 


Le  5  septembre,  jour  de  la  34™  représentation,  nouveau  changement. 
Une  nouvelle  entrée,  les  Devins  de  la  place  Saint-Marc,  est  substituée  à 
celle  intitulée  les  Sérénades  et  les  Joueurs,  l'ouvrage  restant  d'ailleurs  dis- 
posé de  la  même  façon  que  précédemment.  Les  Devins  de  la  place  Saint- 
Marc  étaient  ainsi  distribués  : 

Léandre,  cavalier  français THÉVENARD. 

Zélie,  Vénitienne,  déguisée  en  Bohémienne        Mademoiselle  POUSSIN. 
Une  Bohémienne Mademoiselle  DUN. 

Nous  ne  sommes  pas  au  bout.  Pour  la  5P  représentation,  qui  avait 
lieu  le  li  décembre,  les  Fêtes  vénitiennes  subissent  un  nouveau  boulever- 
sement. Cette  fois  on  rétablit  le  prologue,  mais  sous  un  nouveau  titre  : 
le  Carnaval  dans  Venise,  et  avec  des  changements  tels  que  le  nombre  des 
personnages  est  réduit  de  cinq  à  deux,  le  Carnaval  et  la  Folie,  d'ail- 
leurs représentés,  comme  à  l'origine,  par  Thévenard  et  M"^  Poussin  (2); 
d'autre  part,  on  supprime  la  Fête  marine,   on  ajoute  une  entrée  inédite, 

(1)  Personnage  muet. 

(2)  C'est  cette  seconde  disposition  du  prologue  qu'on  a  adoptée  pour  la  présente  édition. 


—  5  — 

l'Opéra,  et  l'on  dispose  l'ouvrage  de  la  façon  suivante  :  1 .  le  Carnaval 
dans  Venise;  2.  les  Devins  de  la  place  Saint-Marc;  3  t Amour  sallimbanque ; 
h.   l'Opéra  ou  te  Maître  à  chanter  (entrée  nouvelle);  5.  le  Bal. 

Voici  quelle  était  la  distribution  de  l'entrée  nouvellement  introdu 
l'Opéra  : 

Damire HARDOUIN. 

Léontine Mademoiselle  JOURNET. 

Lucie Mademoiselle  DUX. 

Un  acteur  de  l'Opéra  en  Zcplujre  .    .    .  BUSE  AU 

Astolphe BUSEAU. 

Rodolphe COURTEIL. 

Au  mois  de  décembre,  nouvelle  entrée  ajoutée  sous  ce  titre  :  le 
Triomphe  de  la  Folie,  qui  était  presque  celui  du  prologue  primitif,  avec 
lequel  pourtant  elle  n'avait  aucun  rapport;  en  voici  la  distribution  : 

Arlequin F.  DUMOULIN  (1). 

La  Folie Mademoiselle  POUSSIN 

Un  Docteur DUN. 

Un  Espagnol COCHEREAU. 

Un  Français THÉVENARD. 

Colombine Mademoiselle  DUN. 

Nous  en  avons  fini  avec  les  modifications  apportées  à  l'ouvrage  pendant 
la  période  de  sa  création,  mais  non  pas  en  ce  qui  concerne  les  reprises 
nombreuses  qu'on  en  fit  par  la  suite.  Pour  la  première  de  ces  reprises, 
'qui  eut  lieu  le  11  octobre  1712,  on  substitua  au  prologue  celui  des  Amours 
de  Mars  et  de  Vénus,  opéra  de  Dancbet  et  Campra,  qui  venait  d'être 
représenté  sans  succès  peu  de  semaines  auparavant,  le  7  septembre;  les 
trois  personnages,  Hébé,  la  suivante  d'Hébé  et  la  Victoire,  étaient  repré- 
sentés par  mesdemoiselles  Heusé,  Poussin  et  Anlier,  el  l'on  peut  se 
demander  ce  qu'ils  pouvaient  bien  avoir  de  commun  avec  une  pièce 
dont  l'action  se  passait  à  Venise.  Mais  n'importe!  pour  cette  fois,  les 
trois  entrées  qui  suivaient  le  prologue  étaient  les  Devins  de  la  place  Saint- 
Marc,  l'Amour  saltimbanque  et  le  Bal. 

La  seconde  reprise,  qui  est  du  10  mars  1713,  était  semblable  à  la 
précédente.  Pour  la  troisième  (10  juillet  1721),  on  rétablit  le  prologue  à 


(I)  Dumoulin  étant  un  danseur,  il  est  bleu  évident  que  le  rôle  d'Arlequin   devait  être  un  per- 
sonnage muet. 


—  6  — 

deux  personnages,  tel  qu'il  avait  été  réduit  le  l/j  octobre  1710,  et  on 
le  fit  suivre  des  trois  entrées  qui  viennent  d'être  rappelées,  auxquelles, 
au  mois  de  septembre  suivant,  on  ajouta  celle  du  Bal.  La  quatrième 
reprise  (14  juin  1731)  se  fit  dans  les  mêmes  conditions,  avec  le  prologue 
et  les  trois  entrées  susdites,  auxquelles,  le  15  novembre  suivant,  on 
adjoignit  de  nouveau  le  Bal.  A  la  cinquième  (19  juillet  1740),  nous 
retrouvons  le  prologue  et  les  quatre  mêmes  entrées;  puis,  peu  de  jours 
après,  la  pièce  est  agrémentée  d'une  façon  nouvelle,  ainsi  que  nous 
l'apprennent  les  frères  Parfait  dans  leur  Dictionnaire  des  Théâtres  :  —  a  Le 
dimanche  31  juillet  17/iO,  l'Académie  royale  de  musique  donna  deux  pan- 
tomimes nouvelles,  la  première  dans  le  prologue,  et  l'autre  à  la  fin  de  la 
3"''  entrée  qui  a  pour  titre  le  Bal.  Ces  deux  pantomimes  étaient  exécutées 
parle  sieur  Rinaldi  Faussan  (qui  avait  déjà  paru  sur  le  même  théâtre  au 
mois  de  septembre  1739)  et  par  la  D""^  son  épouse,  fille  du  sieur 
Conslantini,  Arlequin  italien,  qui  a  débuté  à  l'Hôtel  de  Bourgogne,  et 
furent  très  goûtées.  Le  dimanche  12  février  1741  et  le  mardi  14  du 
même  mois,  l'Académie  donna  le  même  spectacle,  qui  fut  terminé  par 
le  divertissement  de  Poiirceaugnac.  n  Et  ce  qui  prouve  que  le  succès  de 
l'ouvrage  était  loin  de  s'épuiser,  malgré  ses  trente  ans  bien  sonnés, 
c'est  qu'à  cette  reprise  les  rôles  en  étaient  tenus,  comme  à  la  création, 
par  les  premiers  sujets  de  la  troupe,  qui  étaient  alors  Jélyotte,  Le  Page, 
Cuvillier,  Dun  fils,  Tribou,  l'adorable  Marie  Fel  et  mesdemoiselles 
Pélissier  et  Le  Maure,  dont  la  rivalité  était  déjà  fameuse.  Enfin,  deux 
reprises  des  Fêtes  vénitiennes  furent  faites  encore  en  1750  et  1759. 

La  partition  des  Fêtes  vénitiennes,  comme  celle  de  l'Europe  galante, 
avec  laquelle  Campra  avait  débuté  d'une  façon  si  heureuse  et  si  brillante,  ^ 
se  fait  remarquer  par  une  vivacité  de  rythme,  une  légèreté  d'allure, 
une  inspiration  franche  et  enjouée,  une  grâce  pleine  de  coquetterie  qui 
en  font  une  oeuvre  à  part  et  tout  à  fait  aimable.  Ce  n'est  pas  un  médiocre 
sujet  d'étonnement  que  de  voir  le  musicien  pathétique  et  passionné 
(ÏHésione,  l'artiste  à  qui  l'on  doit  la  partition  si  touchante  et  si  fonciè- 
rement dramatique  de  Tancrède,  écrire  ensuite  comme  en  se  jouant  une 
oeuvre  si  légère,  si  fine  et  empreinte  d'un  charme  si  séduisant  en  sa 
souveraine  élégance.  C'est  cette  souplesse  étonnante,  cette  diversité 
dans  les  facultés,  qui  font  de  Campra  un  artiste  à  part  et  constituent 
sa  véritable  originalité.  Il  est  certain  que  dans  sa  forme  générale  la 
partition  des  Fêtes  vénitiennes  a  subi  les  atteintes  du  temps  et  des  cent 
soixante-douze  années  qui  composent  aujourd'hui  son  âge;  mais  on  peut 
affirmer  aussi  que  certaines  parties  de  l'œuvre  ont  conservé  une  fraîcheur 
de  dessin,   un   velouté  de  jeunesse   qui  sont  faits  pour   surprendre  et 


qu'on  ne  rencontre  pas  toujours  dans  des  ouvrages  nés  d'hier.  Pour  en 
donner  deux  ou  trois  preuves  prises  au  hasard,  qu'on  feuillette  l'entrée 
intitulée  les  Sérénades  et  les  Joueurs,  et  l'on  y  trouvera  plusieurs  morceaux 
charmants,  tels  que  le  petit  air  de  Lucile  :  Ah!  que  puis-je  espérer  du 
dessein  qui  m' umhiel  qui  est  plein  de  grâce  et  de  mélancolie;  l'ariette  de 
Léandre  :  Rassure::  votre  cœur  timide,  si  légère,  si  franchement  rythmée 
et  d'une  si  aimable  désinvolture  ;  et  enfin  l'air  italien  d'Irène  :  La  farfalla 
intorno  ai  fiori  (Le  papillon  autour  des  fleurs),  dont  le  contour  mélodique 
est  plein  de  légèreté,  d'élégance  et  de  grâce.  Cette  gracieuse  partition 
des  Fêtes  vénitiennes  est  pleine  de  petits  bijoux  de  ce  genre,  et  l'on  conçoit 
sans  peine  que  pendant  tant  d'années  elle  ait  tenu  le  public  sous  le 
charme  de  ses  mélodies  séduisantes. 

On  ne  pouvait  cependant  songer  à  donner,  dans  la  présente  édition, 
les  huit  entrées  que  Campra  composa  successivement  pour  cet  ouvrage, 
et  qui,  avec  le  prologue,  eussent  formé  un  ensemble  de  neuf  actes 
d'opéra;  d'autre  part,  on  voulait  offrir  au  lecteur  plus  et  mieux  que  les 
trois  seules  entrées  qui,  jointes  au  prologue,  constituaient  la  partitioa 
primitive.  On  fit  donc  un  choix  dans  les  huit  entrées,  on  s'arrêta  à 
cinq  d'entre  elles,  et  l'on  fixa  ainsi  la  composition  de  l'édition  que  l'on 
voulait  présenter  au  public  : 

Prologue.  —  Le  Triomphe  de  la  Folie  sur  In  Raison. 

1'''^  ENTRÉE.  —  Les  Détins  de  la  place  Saint-Marc. 

2'^  ENTRÉE.  —  L'Amour  sallimbanque. 

3"  ENTRÉE.  —  L'Opéra. 

4"  ENTRÉE.  —  Le  Bal. 

3*  ENTRÉE.  —  Les  Sérénades  et  les  Joueurs. 

De  cette  façon,  le  lecteur  aura  sous  les  yeux  ce  que  Campra  a 
écrit  de  mieux  pour  cette  œuvre  si  curieuse  et  dont  l'iiis Loire  est  si 
incidentée. 

On  a  vu  plus  haut,  dans  les  distributions  successives  des  entrées,  les 
noms  des  premiers  interprètes  des  Fêtes  vénitiennes,  qui  étaient  pris  dans 
ce  que  l'Opéra  possédait  de  mieux  alors  en  artistes  distingués  :  Thévenard, 
Cochereau,  Dun  père,  Hardouin,  Mantienne,  Guesdon,  Buseau,  mesde- 
moiselles Desmatins,  Françoise  Journet,  Poussin,  Dun,  Desjardins,  Pestel, 
Hecqueville.  Il  n'est  pas  sans  intérêt  de  savoir  ce  que  pensaient  de  ces 
artistes  leurs  contemporains,  ou  tout  au  moins  ceux  qui  en  avaien 
entendu  parler  d'une  façon  immédiate;  je  vais  donc  reproduire  ici,  ne 
fût-ce   qu'à    titre  de  curiosité,  les   renseignements   d'ailleurs  sommaires 


—  8  — 
qu'ont  donnés  sur  quelques-uns  d'entre  eux,  les  frères  Parfait  dans  leur 
Histoire,  de  F  Académie  royale  de  musique,  histoire  restée  inédite  et  dont  le 
manuscrit  original  a  été  perdu,  mais  dont  une  excellente  copie,  faite 
par  les  soins  de  Betrara,  se  trouve  aux  manuscrits  de  la  Bibliothèque 
nationale.  Voici  comment  ces  deux  excellents  écrivains,  si  versés  dans 
l'histoire  théâtrale  de  la  première  moitié  du  dix-huitième  siècle  , 
s'exprimaient  sur  le  compte  des  principaux  créateurs  des  Fêles 
vénitiennes  : 

»  M"*"  JoiiRNET,  née  à  Lyon,  fut  placée  fort  jeune  en  qualité  de  femme 
de  chambre  de  la  femme  d'un  gros  commerçant  de  cette  ville.  Après 
quelques  années,  elle  entra  à  l'Opéra  de  Lyon,  où,  ayant  joué  trois  ou 
quatre  ans,  elle  vint  débuter  à  Paris.  Les  applaudissements  ne  lui  furent 
pas  prodigués ,  et  M"-  .Journet  était  prête  à  s'en  retourner  lorsque 
M"^  Desmâtins  lui  conseilla  de  persévérer.  Elle  crut  cette  amie  et  s'en 
trouva  bien  :  en  peu  de  temps  elle  devint  la  meilleure  et  la  première 
actrice  du  théâtre  de  l'Opéra.  Elle  joua  avec  tout  le  succès  possible 
jusqu'en  1719,  qu'elle  quitta  le  théâtre  au  grand  regret  du  public. 
M"''  Journet  mourut  en  1720  d'un  squire  au  foie.  M"-  Journet  était 
grande,  bien  faite,  assez  jolie,  beaucoup  d'âme  dans  le  chant,  mais 
accompagné  de  lenteur. 

»  M"^  Desmatins,  fille  d'un  violon  de  la  musique  du  roi  et  nièce  de 
Beauchamps  (1),  débuta  à  l'âge  de  douze  ans  dans  l'opéra  de  Persée^owx 
la  danse  et  pour  le  chant;  mais  elle  quitta  bientôt  le  premier  talent 
pour  s'attacher  au  dernier,  où  elle  s'éleva  au  plus  haut  degré,  jouant 
également  bien  des  rôles  tendres  et  ceux  de  fureur.  M"''  Desmâtins  était 
belle,  grande  et  bien  faite;  à  la  vérité  un  peu  d'embonpoint  dérangea 
sa  taille.  Elle  mourut  en  1708  d'un  ulcère  au  foie,  âgée  de  trente-huit 
ans  (2). 

»  M""  Poussin,  fille  de  Tissard,  maître  traiteur,  parut  dans  les  chœurs 
dès  1699  jusqu'à  la  reprise  du  Triomphe  de  V Amour,  où  elle  joua  Aglaure 
dans  la  deuxième  entrée  et  Diane  à  la  suivante.  Elle  fut  chargée  ensuite 
des  seconds  rôles  et  des  comiques,  dont  elle  s'acquitta  avec  réputation. 
Elle  était  grande,  bien  faite,  jolie  et  blonde  ;  elle  épousa  Poussin,  dont 


(1)  Maître  des  ballets  de  l'Opéra. 

(2)  11  y  a  dans  la  date  de  1708  une  erreur  évidente,  puisque  M"'   Desmàtins  Jouait  en  1710  dans 
les  Fêtes  vénitiennes. 


—  9  — 
on  a  déjà  parlé,  qui  la  laissa  veuve  peu  de  temps  après  son  mariage  (1). 
Actuellement  vivante,  retirée  et  dans  la  dévotion   (2).  » 

»  Théver.vrd  (Gabriel-Vincent),  basse-taille,  né  à  Paris,  le  10  août 
1660,  entra  à  l'Opéra  vers  l'année  1690.  Il  débuta  par  les  contidens. 
Ensuite,  il  doubla  quelquefois  Dun  père.  M.  Destoucbes  (3),  qui  lui 
reconnut  des  talents  pour  le  théâtre,  s'attacha  à  lui  montrer  l'art  de 
chanter  avec  âme  et  noblesse  ses  rôles.  Théveuard  profita  des  leçons 
de  M.  Destouches,  et  devint  en  peu  de  temps  l'acteur  le  plus  parfait  qui 
ait  paru  sur  le  théâtre  de  l'Opéra  ;  les  l'ôles  d'Amadis  de  Grèce,  d'Hylas 
de  Issé,  etc.,  furent  faits  exprès  pour  lui,  et  il  leur  prêta  de  nouvelles 
beautés  par  la  noblesse  de  son  jeu  et  l'art  de  son  chant.  Enfin,  en 
1730,  il  quitta  l'Opéra  et  obtint  en  sortant  une  pension  de  mille  livres. 
Actuellement  vivant. 


»  CocHEREAu,  d'assez  bonne  famille,  étant  encore  jeune,  s'engagea 
dans  les  troupes;  il  obtint  son  congé  à  Lille,  en  Flandre,  et  entra  à 
l'Opéra  de  cette  ville  pour  chanter  dans  les  chœurs.  Il  épousa  une  jeune 
actrice  assez  jolie,  qu'il  amena  ensuite  à  Paris.  Cochereau  et  sa  femme 
furent  reçus  à  l'Opéra.  D'abord  le  mari  ne  joua  que  de  petits  rôles  ; 
mais  enfin,  se  trouvant  seul,  il  fit  pendant  plusieurs  années  le  destin 
des  opéras.  Avec  beaucoup  d'esprit  et  de  goût,  il  ne  put  jamais  vaincre 
une  timidité  qui  le  prenait  aussitôt  qu'il  paraissait  au  théâtre;  ce  qui 
mettait  beaucoup  de  froid  dans  son  jeu.  Cochereau  joua  jusqu'en  1719, 
qu'il  se  retira.  Il  est  mort  depuis  quelques  années. 

»  Hardouik,  basse-taille,  après  avoir  chanté  dans  différentes  cathé- 
drales, vint  à  Paris  et  entra  à  l'Académie  royale  de  musique,  en  169/i, 
pour  y  remplacer  Moreau.  Il  fut  chargé  des  premiers  rôles  jusqu'en  1697, 
que  Théveuard,  goûté  du  public  de  plus  en  plus,  en  prit  possession. 
Hardouin  continua  dans  les  seconds  rôles.  En  1718  il  joua  celui  de  Po- 
lyxène  dans  Acis  et  Galalée,  et  quitta  peu  de  temps  après,  avec  une  pen- 
sion. Il  est  actuellement  vivant,  à  Tréguier,  en  Bretagne  sa  patrie. 


(1)  On  a  TU  que  mademoiselle  Poussin  s'appelait  Tissard  de  son  nom  de  famille.  C'était  l'habitude 
encore  à  celte  époque,  comme  au  dix-septième  siècle  de  donner  la  qualification  de  mademoiselle  aux 
femmes  mariées  qui  n'étaient  point  nobles. 

(2)  Les  frères  Parfait  écrivaient  vers  1741. 

(3)  Le  compositeur  Destouches,  l'ami  de  Campra,  qui  fut  directeur  de  l'Opéra. 


—  JO  — 
"  Di:>"  père,  basse-taille,  débuta  dans  l'Opéra  de  Thétis,  où  il  joua  les 
rôles  de  Jupiter  et  du  Destin,  Il  y  a  apparence  qu'il  était  pensionnaire 
de  l'Académie  de  musique  du  temps  de  Lully.  Dun  père  représenta  assez 
longtemps  les  grands  rôles,  ensuite  il  s'en  tint  aux  grands  confidents  et 
ce  qu'on  appelle   les  troisièmes  rôles.   Retiré   avec  pension  et   vivant.   » 

Les  frères  Parfait  ne  donnent  point  de  détails  sur  les  autres  inter- 
prètes des  Fêles  vénitiennes;  mais  ceci  suffit  à  nous  donner  une  idée  du 
talent  que  les  artistes  de  l'Opéra  déployaient  dans  cet  ouvrage. 


Arthur  POUGIN. 


LES  FÊTES  VÉNITIENNES 

Paroles  de  DANCHET 
Musique   de   CAMPRA 


©■a:pe  d©  la  cr-éation 


PROLOGUE" 


Le  Carnaval THÉVENARD. 

La  Folie MaJemoiselle  .POUSSIN. 


PREMIERE  ENTREE 

(Les  Devins  de  la  place  Saint-Marc) 

Léandre,  cavalier  français THÉVENARD. 

Zélie,  Vénitienne,  déguisée  en  Bohémienne Mademoiselle   POUSSIN. 

Une  Bohémienne Mademoiselle  DUN. 


DEUXIEME  ENTREE 

(L'Amour  saltimbanque]. 

FiLiNDO,  chef  des  saltimbanques HARDOUIN. 

Eraste,  Français,  amant  de  Léonove COCHEREAU. 

Léonore,  jeune   Vénitienne Mademoiselle    POUSSIN. 

Nérine,  suivante  de  Léonore MANTIENNE. 

L'Amour  saltimbanque Mademoiselle   DUN. 


TROISIEME  ENTREE 

(L'Opéra) 

Damire HARDOUIN. 

Léontine Mademoiselle    JOURNET. 

Lucie Mademoiselle    DUN. 

Un  acteur  de  l'Opéra  en  Zéphire BUSEAU. 

AsTOLPHE BUSEAU. 

Rodolphe COURTBIL. 


—  1-2  — 
QUATRIÈME  ENTRÉE 

(Le  Bal) 

Alajiir,  -prince  polonais THÉVEXARD. 

Thémire,  gentilhomme  de  sa  suite BUSEAU. 

Iphise,   Vénitienne Mademoiselle   JOURNET. 

Un  Maître  de  musique M  ANTIENNE. 

Un  Maître  de  danse MARCEL. 


CINQUIÈME  ENTREE 

(Les  Sérénades  et  les  Joueurs) 

Léandre,  Français,  amant  d'Irène THÉVENARD. 

Isabelle,  amoureuse  de  Léandre Mademoiselle   JOURNET. 

LuciLE,  amoureuse  de  Léandre Mademoiselle    PESTEL. 

Irène,  amante  de  Léandre Mademoiselle    DUN. 

La  FoRTUiNE Mademoiselle    DESJARDINS. 

Suivant  de  la  Fortune BUSEAU. 

Masques . 

Devins,   Devineresses. 

Bohémiens,  Bohémiennes. 

Saltimbanques. 

Arlequins,  Polichinelles. 

Espagnols. 

Aquilons,  etc. 


LES  FÊTES  VÉNITIENNES 


T^BLE    DES    ]y[OI^CE^UX 


PROLOGUE  ' 

OUVERTURE 1      _ 

SCEXE  I.  —  Le  Carnaval,  troupe  de  masques 4 

Chœur  : 

Volez,  volez,  abandonnez  Cylhère  ....        U 

SCÈNE  II.  —  La  Folie,  Le  Carnaval  et  leurs  suites 14 

Air  (La  Folie)  : 

Accourez,  hàlez-vous 16 

Yillauelle SI 

Chœur  : 

Chantons  et  nous  réjouissons 2S 

PREMIÈRE  ENTRÉE 

(Les  Devins  de  la  place  Saint-Marc] 

INTRODUCTION  SYMPHONIQUE 29 

SCÈNE  I.  —  Une  Bohémienne,  Zélie 30 

SCÈNE  II.  —  Léandre 40 

SCÈNE  III.  —  Léandre,  Zélie 42 

SCÈNE  IV.  —  Léandre,  Zélie,  Devins,  Devineresses,  Bohémiens,  Bohémiennes. 

Marche 5S 

Chœur  : 

Veniez-,  empressez-vous 56 

Premier  Passepied 63 

Deuxième  Passepied 64 

Ariette  (La  Bohémienne)  : 

Amant,  si  vous  êtes  constant 65 

Danse 68 

Récitatif  (L\  Bohémienne)  : 

Venez,  venez,  fières  beautés 69 

Ariette  (La  Bohémienne)  : 

L'Amour  qui  vole  sur  vos  traces 70 

Danse 75 

La  Bohémienne  [danse] 77 

SCÈNE  V.  —  Zélie,  Léandre,  chœur 78 


—  14  — 
DEUXIÈME  ENTRÉE 

(L'Amour  saltimbanque) 

SCÈNE  I.  —  FiLiNDO,  Éhaste.    . '  .    .    .       80 

SCÈNE  II.  —  Léon'ore,  Nérine 87 

SCÈNE  III.  —  L'Amour,    Filundo,    Éraste  ,   Léonore,    Nérine,    Saltimbanques. 

SymphoDie 99    —- 

Air  (FiLiNDO)  : 

Hâtez-vous,  hâte:— vous! 100 

Chœur  : 

Hâtez-vous,  accourez! 102 

Air  pour  les  Arlequins JIO     '' 

Cantate  (L'Amour)  : 

Venez  tous,  venez  faire  emplette 111 

Air  des  Espagnols 115     - 

Air  (L'Amour)  : 

Effet  admirable 

De  mon  savoir 116 

Air  des  Polichinelles 121      _• 

Ariette  (L'Amour)  : 

Ce  n'est  plus  la  mode 

Des  amants  constants 123 

Récit  (Léonce,  Éraste)  : 

Non,  non,  il  est  un  fidèle  amant 125 

Air  pour  la  suite  de  l'Amour 128 

V_   Chaconne .     129       - 

Chœur  : 

Accourez,  que  chacun  s'empresse 133 

TROISIÈME  ENTRÉE 

(L'Opéra) 

SCÈNE  I.  —  Damire,  Adolphe '. 140 

SCÈNE  II.  —  Léontine,  Lucie 149 

SCÈNE  III.  —  Léontine,  Le  Maître  de  chant 158 

OUVERTURE 167 

SCÈNE  I.  —  Flore .'   .    .  170 

SCÈNE  II.  —  Zéphire,  Flore 172 

Marche 177 

Duo  (Flore,  Zéphire)  : 

Formez  les  plus  charmants  accords 179 

Chœur  : 

Formons  les  plus  charmants  accords 181 


Air 18. 


o 


—  15  — 

Première  bourrée 186 

Air  (Zéphire)  : 

Naissez,  brillantes  fleurs 187 

Air  des  Muselles .■ i\}0 

Air  (Lucie)  : 

Le  printemps  renaît  dans  nos  champs 192 

Première  bourrée 194 

Deuxième  bourrée 193 

SCÈNE  IV.   —  Les  précédents,  Borée,  les  Aquilons. 

Prélude 196 

Chœur  : 

Qvel  ravage!  quel  bruit! 197 

SCÈNE  V.  —  Zéphire 201 

SCÈNE  VL  —  Zéphire,  Lucie,  Rodolphe 203 

SCÈNE  DERNIÈRE.  —  Rodolphe 205 

QUATRIÈME  ENTRÉE 

(Le  Bail 

SCÈNE  I.  —  Alamir,  Thé.mir 206 

SCÈNE  II.  —  Thémir,  un  Maître  db  musique,  un  Maître  de  danse 213 

Air  français  (le  Maître  de  musique)  : 

Je  célèbre  l'amour  sur  mille  tons  divers 222 

Air  italien  (le  Maître  de  musique)  : 

Volate,  amori! 227 

SCÈNT;  III.   —  Ipiiise,  Alamir. 230 

SCÈNE  IV.  —  Alamir,  Iphise,  Thkmir 238 

SCÈNE  V.  —  Alamir.  Iphise 239 

SCÈNE  VI.  —  Les  précédents,   Thémir,    le   Maître  de  musique,    le   Maître  de 
DANSE,  Chœurs. 

Marche 244 

Chœur  : 

Que  les  ris,  que  les  jeux 245 

Petit  chœur  : 

Tendre  amour! 248 

Premier  et  deuxième  menuets 232 

Premier  Passepied 253 

■    Deuxième  Passepied 254 

Air  italien  (Iphise)  : 

A  l'incanto 255 

Air  des  Masques 238 

Premier  et  deuxième  airs  comiques 239 

,     Forlane 260 

Air  (UM  Masque)  : 

Le  ciel  favorise 

Les  cœurs  amoureux 262 


—  16  — 
CINQUIÈME    ENTRÉE 

(Les  Sérénades  et  les  Joueurs) 

SCÈNE  I.   —  Isabelle 263 

SCÈNE  II.  —  LuciLE 267 

SCÈNE  III.  —  Isabelle,  Lucile 269 

SCÈNE  IV.   —  Léandre.  troupe  de  Joueurs  d'instrumenls. 
Cantate  (Léandre)  : 

Svivez-moi,  venez  tous. .' 279 

Air  (Léaadre)  : 

Jaloux  de  régner  seul  sur  des  yeux  si  charmants 282 

Ariette  (Léandbe)  : 

Rassure:-  votre  cœur  timide 287 

SCÈNE  Y.  —  Irène,  Léandre. 
Air  italien  (Irène)  : 

La  farfalla  intorno  ai  fiori 290 

SCÈNE  YI.    —  Léandre,  Lucile.  Isabelle 294 

SCÈNE  YII.  —  Léandre,  chœur  et  troupe  de  Joueurs. 

Symphonie ■ 301 

Chœur  de  Joueurs  : 

Fortune,  tu  nous  favorises 302 

Premier  air 311 

Couplets  (un  Joueur)  : 

La  Fortune  a  des  droits 312 

Deuxième   air.  Rondeau 314 

Couplet  (un  autre  Joueur)  : 

Un  cœur  trop  sensible 315 

Air  des  Biscayens 316 

Air  (Dorante)  : 

Déesse,  qu'ici  l'on  révère 318 

Contredanse 319 


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lUl'RIJlERIE   CEH1HALB   DES   CHEMINS   DE   FKR.   —  i.MPKlMERlE  CHAIi.    —   RUE  BBRGÈRE,   20,   PARIS.   —  23954-2. 


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LES 

FESTES  VÉNITIENNES 


BALLET. 


Paroles  de 

A.    DAl^CHET. 

(1671-1748.) 


Musique  de 

A.  CAMPRA. 

(1660-1744.) 


PROLOGUE. 


PIANO. 


Gravement. 


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Le   Théâtre  représente  le  port  de  Venise^  où  le  Carnnrat    paroit  an  iniliei/  d'une  troupe  de  Masques. 


LE  CAKNAVAL 


PIANO. 


SCE^E     PREMIERE 

LE    CARNAVAL, 

Troupe    ()»•    Masqtif's. 


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LA    FOLIE,    LE    CARNAVAL  et  leurs  Suites. 


ENTREE   DE   LA    SUITE  DE  LA    FOLIE. 

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i'f'_jon_is  _  sons,  Lais_8ez- nous, 


Lais_sez  -  nous,  Rai  _  sou  trop  se 


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Lais.sez  -  nous,  Rai  _   son  trop  se  _ 


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Lais_sez  -nous,  Rai  _  son  trop  se' 


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Lais_sez  -  nous.  Rai  _  son  trop  se'  _ 


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FIN  QU  PROLOGUE, 
(hi    reprend    l'Ouverture,  \^'a%ç    1. 


LES 

DEVINS  DE   LA  PLACE   SAINT  MARC 

PREMIÈRE  K^^TRÉE    DES    FESTES  VÉNITIEISNES. 

Lé  Théatr'f  ifpresi'ntf   lu   Place  Saint  Marc. 

SCÈXE  PREMIÈRE. 
UNE  BOHÉftUENNE,  ZELIE  Aé^xmée   .-n  Bohémienn«>  . 


29 


(Ail")         TOUS. 


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No.fre  climat       ja  _  mais  n'eut  rien  de  com_pa 


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ra_hle        Aux  attraits     qui  brillent  en  vous.        Une  ma  trou  _pe  seroit    ai 


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_  ma_ble  Si  vnus  pouviez  toujours    demeu_rep   parmj    nous. 
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nui   _    IIP  Vient    ikmis  cnii.siil  _  ter  dans    ces       lieux;  ijii  un  c(ieur     seroit  cou 


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liiiii  _  lie   f(ir     _     tu      _     ne,  S'il       la  li_S(iit      dans \(is  beaux 


teut 


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Mais,    ne  }iuis-je  sça. 


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VOIP  quelle  t'st     votfp    entre 


pri_se?  Piiurquoy  sous  notre  ha_bil_Ie_ 


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Un  jeune  Amant  par  _  ti  des   ri_ves  'de    la     Sei_ne,     A  depuis  quelque 


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temps      pa_rii      dans         ce       se    _    joup;       Oudiroit    qiiil      por  _   te  ma 


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lieux  que  jhabite     il  vient  me    faire     en_ten_dre    Tout    ce  que  peut  dicter      l'a  _ 


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..  qiieiir:    Quand    ou     si^ait   charmer   les   o_reiLles,Ou  t^st  bieutùl      mai     _   tre     du 


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cueur.  Quand 


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•le    lie  le   cè_  1^      pas,  j'ai  peine  amen  def  . 


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di'ois   aj.ipi*eii_dre       Quels    sdiit  ses  seii_tinieiits  se  _  crets 

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Il  se  plaît  a  vos 


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Si      je     levnis    p; 


roî  _  Ire;     Sous    cet    haJjil   _   le 


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meut,  en        lui    cau'hant    mes  traits,       Je       tà.clie.ray      de      leonii. 


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A_près  avoir     don  _  ne       son      cœur,        Est-il   tems      de    vou 


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dans  son     ar    _  deur 


Cherche  à    se  troni.per     el   _  le  me 


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_  la'_  ge.  Et  de  ne  si^avoir  pas     chan_ger!  Quel  toiuvnuMt  ! 


qunl  tour. 


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On»!     lour    -  '  ment . 


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la_ge.  Et  de  nesçavoir  pa*  chan    _   ger!. 


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vo-la.ge,  Et   de  ne  sçavoir  pas'    (:han_ger! 

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mer     un     vo    _    la. 


ge.  Et   de   ne  seavoirpas      ehaïugerlQuel  tnnr_ 


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vient:  pour    le   sur  _   pren_di'e,      Je  veuxlebseryer  et  lVn_ten_di'e. 


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40 


(And"?)      TOUS. 


SCE^E    II. 

LÉANDRE. 

+ 


FIASO. 


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vœux.        Ne  sois  pas     of  _  feu    _   se,  si  mon      cœur  est       vo  _  la  _ 


g«; 


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Pren...di'e  souvent      de  (louveaux 


nœuds,     C'est  te      reii  -  di-e  soiiveiil  ln.in. 


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Lorsque  j'ai    tri  _  omphé d'un  cœur,  Je  nié  _  dite        une  au   _  tre  victoi 

*    4^    j^  .  ^    "^  •        -^        i  N   !         i         i 


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ar_deup;         Cêsl      travailler         sans 


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SCE1\E  III 

LÉANDRE,  ZÉLIE  en  Bohéoiieane. 


ZELIE 


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_iiiu_iieDaiis  le  grand  art  de  toulpre_v<iii', 


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ïiaiis  le  grand  art  de  tout   pre  _ 


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Pour  être  au  rang     des  «Meurs  con  _  tents:  La    crain  _  te  dun  iiial_iieur    m'in-qui. 


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gè   -    ne.     Et     je 


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ete  et  me      gê  _  ne,  El  je    goû-te  bien    moins        un  bon_iieur         que  jat. 

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tends,       Et  je    goû    _     te  bien  moins       un  bon  _heur      que  j'at     _   tends. 


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Ouetacraiiite  fi_  iiis^se,  E  -    prou-ve quels sitiil mes  la_Iens 


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moins     surtes projets  ga-laus  Veux- tu  que  mon  art  teolair_cis  _  se? 


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Sur  mes  pi'ojetsd'AiiKiur  je  crains  peu  Ja_ve_  uii'j  Vmis  pou-vez   m'en  enJre_te_ 


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Par  mes  su_blLmes  coii.uais    _      san_(es. 


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lis       dans    les    se.crets  des  Dieux:  Et  dans  ta  main        ou   dans    tes 


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r     p    1'  '^r~  p   ^  F 


yeux  Je        con_aaî_  tray  ce       que     tu  pen 


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ZELIE. 


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Dausces     lieux,  A  coiiLbieii   de  beau  _  t et.    tu  promets  ta  t en _ rires  _  se 


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Sans  que  duu  trait    cou  _    staiil  ja  _  mais    ce   Dieu      te      b/es    _   se. 


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tJJ!^_^ 


JetToy(»is  vos  discours  un  ef_fet   du  ha_  zard,  Mais    je  vais  ad_mij*er  votre 


AIR. 

Aiidantino. 


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fi       -        *. 


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art. 


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Il     est       vray,      je       suis  iii.fi  _  de  _    le, 

Aiidantino. 


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Par    tout     ce  qui    me     plaît 


je    me     sens 


ar_ré  _    té: 


il.  j-yn 


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Le  cieur  ne  fut  ja  _  mais         le  tri  _  but    du  _  ne     Bel    _    le,       Il    est    ce  _ 


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Deux  (»hje(s  dans  Ve 


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de  la  beau  _  té. 


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uise       ont     vu  bnlJer        ta  fia   _     me,  Et      je  seay  bien  pour  - 


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quoy     tu     n'eu    sens    plus     l'ar 


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vous  pouvez     S';a 


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Tu  règnes  dans  leur  â_nie,    ElJes  ne  touchent  plus  ton  cœur. 


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de  Bohémiens  et  de  Bohémiennes. 


(Gai.) 


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Vous  soîiiiieUrez  à  vôti'e  eiH_pi_i'e,      U.ne  f(jii_  le  d'A_maiits:  Si  vous  les  nie'-pi'i- 


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sez,         je    lu'  jniis    vous  pr'é  -  di-reOuedes  re-gi'e(s  et  des  toiii'.nieNis. 


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_  fuir    ajvec    les  gi'a_ces  Que  vous  dou.ne  vîi.ti-e  prin     _    (enis.      L'anioui-qui 


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gue  que  dans  les   beaux  ans. 


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LA   BOHEMIENNE. 


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78 


SCÈlVE  V  et  dernière 


ZELIE,  LEANDRE  et  les  Acteurs  des  Scènes  ppécedeates. 


ZELIE. 


LEAVDKE. 


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Votre  Art  est  peu  cer  _  taiiu  Je   iie  vois  point   pa  _ 


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D'un  espoir  séducteur  je  net'ai  point  fia  _ 


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Elle  ott.'  sou   masque. 


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té.  Il  fautte  le  fai.recou    .    noî  .  tre. 


7t    r      r  =r 


Tu  ni'of. 


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Que     vois     -      je! 


79 


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frois   de  dangereux  11      .      eus.      Je  seay   tes  seul)    _   inenls,  tu  peut  juger    des 


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Il  le  faut  avoii    _  er,  son  adresse  est  exlre-iiie         El  je   ne  pouvois    la    pré_ 


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voir;         Mais         ee  trait  eepen_dant  montre  assez  qu'elle  m'aime,         Suivons- 


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là:  ie  n'av  point  ^mi    _     cor  ner  _  du      l'es      _       iioir. 


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per  _  du      l'es      _       j 


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45 


FIN  DES  DEVINS. 
On  joiie  la  Boheirneniie,  paffi-  77  pour  l'Eiitr'acte. 


80 


L'AMOUR  SALTINBANQUE 

DEUXIÈME  ENTRÉE  DES  PESTES  VÉMTIEISISES 

Le  Théâtre  l'epresriili'  hi  P/are  Saint- Marr.. 
^ 

SCÉîVE     PREMIERE 
FILINDO,  ERASTE. 


R[T01IR]NELLE 

(Ali.'  mod'."  )       -^ 


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Amants    que   vôtre  trouble  ces  _    se:     .Lorsqu'un  ai 


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Eï<t  imUijUfe-  coiniiie  3''  Eiitién  dans  IKititimi  itf  1710. 


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niable  ol)..jet     vous  bles_se       V(tY»*z  quels  sont       vos    lue.de.cins;  L'A 


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Et    je   se_con_de     vos      des. 


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C'est  trop  longtems      ca-cher  ma     jjei.ne,  Le_(Uioi'e  a  touolie  mon 


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cœur,    Je  veux  luy  decou_vrir  ma  secrè- te  lan.giieur,  Mais  mon  attente  esttoujonrs 


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■-,.p  p.jj  {,  h'ir  ^  pp^p  g  r^^ -'^^'.t .n. 


vai.iie.      On  l'observe  avec  soin,        ou  la  suite»  tous  lieux,       Je  n'aipûjusqu'i  _ 


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Les     y*ux    dans  l'aniou 
(And*^-)      Violons,"    ,         Js      n_ 


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re.       Sont    les  in.ter.prê- tes  des     cœups.  Un  re 


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gard  lan  -  guis.sant       prouve  un  ten.dre  mar  _    ti     _      re.      Mieux  qu'un  dis  _ 


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['empli    de      fleurs. 


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Les      ;yeu.x  dansTamoii. 


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Le    Jan      .  |    ça    _     g^c  îles       ]    \i'n\ 

ERASTE.      Trttirrment.  ,    . 


st ''"  iii'iia      (hai'.mniit    u 


g'p,     A  deux 


E^=^^^4^-^^frl^''' •  r  I  r  r  r  r  ir-  rrr  p  p 


Le  laii  -    ga  _  ge    des        yeux      est    d'un  cliarnianl  u  .sa  -  ge,    A  deux 


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cœurs. 


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cteurs  bien   u    _   uis        il        of   _    fi-e   niiL  le  ap.pas. 


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pas.  Mais    que  sert    ce  laii .  ga  _  ge.     Si    l'un  des     deux     ne       l'eu  _  tend 


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Mais      que     sei'l       ce  lau  -  ga  _    ge.         Si       l'un  de 


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ll_ne  beLle  sou    _    vent  dans  l'â.ge  le  plus 


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ten.dre  l\e  sçait  pas    le  par    _      lep      Qu'elle  coniniea  _ ce     de        l'en. 


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-  ten.dre  Si  l'objet  qui  vous        charme  est  eu_core  à  l'appi'eudi'e.     Mo» 


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ze  _  le  va  se  signaler.  Il  n'est        rien  que  pour  vous  je  ue  puisse  entre 


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_  preii-dre:     Lé.o_no.re  dans  ce  se  _  jour  S'amuse  quelquefois  aux  innocens  spec 


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FP-i^^l-fr-ti-M^^f^-f  F  F  -P  I  r   ^  g  g  g  g  p  1^ 


ta_c!es,  Qu'au  public  asseni- blé  je  don.ne  chaque     jour Je  prépa.re  des 


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Jeux  qui  vaincrout  les  obs_ta-cles    Que  l'on  op  _  pose  à   votre  amour.      C'est 


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el  _  le  qui    pa.roît,  on  la      suit  le  temps  pres_se,  cachons- 


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Que  le  sort  favo_  rise  ou  trompe  ma  teii  _ 


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nous  à  ses  jeux,   allons  tout  prepa  _  rer. 


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dres_se.     D'un  cœur     re.counois   _   sant     je  puis  vous  as.  su    .   rer. 


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SCEIVE    II 

LÉONORE.  NÉRINE,  surveillante. 


NERINE 
(Ténor) 


PIANO. 


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Songez,    son  _  gez     avons    dé  _  feii-dre         Toula 


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mant  est  un  ini  _  pos  _  teur 


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Par  l'at.trait  d'un  discours  fia -teur.    Il      ne 


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cher-che  qu'à  VOUS     sur.  pren   .   dre,  Son.gez, 


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son.gez     à  vous  dé. 


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-  ffii-di'e.     Tout  a  _  niaulest  un  iin.pos  _  teur .  Tout  a  _ mant  est  un  ini_p<is 

ti  .  i-  ^  1^    I  .  I — ^ 


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Metiendi'ez-Vdus  tou_ 


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teur.  Tout  a  -  muut 


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est   un  ini  _  nos     _    teui'-. 


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4^^^^^i^NpîR=J^^^^  ^,   p  -M'I  r  "g  F  ff  14m 


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_  jours   cet  importun  lau  _ga_ge?  Vos  soupçons   éJer-uels  doivent  me  faire  ou. 


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tragf,  Sans  vous,  sans  vos  coii_seils,  je  puis  garder  mon      cteur 


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Songez,  son. 

Violons 


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Faudi-a-t-il  toujours  vous  en_len_cli'ti'j 


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le    _i    fen     _    dpe. 


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z      à  vous   de  _  feu  _di'e. 


Tout  a 

V'.°^k 


-  niant    est  un     ini  _    pos  _  teur,  Tout  a  _    mant 


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est  un     ini  _    pos  _ 


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.tant?  ah!  re_doutez  les     feux  Des  amants  que  pro  -  duitee  climat  dangereux. 


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Si  vous  les  re  _  bu  -  lez  leui'  a  .niour        est      ex_trê  _  me.  Rien  n'e 


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Ils  sont  jjIl's     in     _      cons      _      tants  que 


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Jepoun'ois  bien  un   jour  nieritei'     vos   al       _  lai'-nies. 


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Je    ci'ois  que   les        a  _  iiiours 


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laas,       J'ay     toujours  niépri.sé  leurs     ar    _    mes;  J'ay   toujours  mé_pri. 


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des        char  _  mes. 


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mes:  Mais  je  con  _  eois   qiiil  est  des  char_  mes, 


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A  tromper  des  yeux    snrveil  _  laiis.        Mais    je  conçois  qii  il  est    des(;har_mes, 


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Lais  _  sez-inoi  voir       la        fe        _      te.. 


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SCE^E    III. 

L'AMOUR  en  forme  de  SaUinbanqiie.   FILINDO,    ERASTE  . 
LEONORE,   NÉRINE,  Troupe  de  Saltinbanques  chantans  et  dansans. 


(Air:.  Mod'") 


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peut,  charmer  vos  re. 


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CANTATE 


111 


L'AMOUR. 


PMA'O. 


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Venez     tous 
B.  c. 


ve  _  nez        faire  em_plet_(e, 

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«le  vends     le   secret. 


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fais  ilisrirn 


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hT      !l]a  !>■      '-  C^'t        _       te . 

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(1  être  heureux,    Je      fais      dispen  _  ser  ma       re_cet    _  te,        Par    les  plai 


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sirs         et       par     les         Jeux.. 

Flûtes.       I  ^  .  w    +  ^Y 


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La     fi'oirie    iiidif_fe_renceeslu    _    ne   ma   _  la  _  di  _  e     fu  _  neste      aux 


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_  ffueurs . 

i. 


Venez      tous  ve   _  nez      faire  emplet.te.  Je 

B.C.  I  L 


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vends   le  se_cr'et  d'èfre  heu_reux      Je     fais      dispen  _  ser  ma     re_ce(_le 


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Par   les  plai  _  sirs       et      par   !es 


Jeux. 


Fini.'.- 


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son,     Pressez  -  en  la  g-ué.ri  _son,        Mnuse.cret  est  infail  _  li  _  ble, 


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Dans   vô_tre     jeu      -      nerai_soii. 


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Venez    Itjus,     Ve  _  nez    faireem. 


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Je     'Vends  le       se  j  crel       de1re      heu  -!  reux;  Je        ifais  dis.peii 


J.   l'J-.J'iJ^J-  ^ 


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plet_fe,  Je   vends   le    se_ci'e.t 

I        , 


d'èire  heu_renx;       Je      fais         dispen 

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115 


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(All'î°  non  Iroppo.)  .     - 


PIANO. 


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(Allegro.) 


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voir!  Tout  devient    ai  _  ma_blePar  mon  pou_voir;  Tout  devient  ai_ 


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_  les  _  se  moins  pesaii  _te:         La      tai  _  deur  se    perd    parmonfard^ 


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de 


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ai't;  ELfel     ad.mi  _  ra_ble. 


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_  ra  _  ble,  Par      mon  s^:a  _  voir  Tout  devient  ai- ma  -bleParmon  pou. 


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Auplusti_mi_de    cœur         je  dou_ue  du  cou  _  ra  _    ge,     Jaui    _    me    le 

B-c. 


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plus       iii_do_leiit^ 


Ja_dou_cis  une  à 


-   mesau  _  va  _  ge. 


Je  reuds 


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vif         l'esprit    le  plus  lent.  Effet  admi  _  ra-ble  ! 


Effet       admi- 


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_  ble       De       mon  sça -voir  !  Tout   devient  ai_  ma  _  blePar  mon  pou_ 


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voir,     Tout  devient   ai  -  ma.ble. 


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ma   .     ble  Par    mon  [lou  .1  voir. 


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_  ma-b!e    Par  mon  pou-voir 

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AIR    DES     POLICHINELS 


121 


{ Allegrd.) 


PIANO. 


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122 

L'AMOLK. 


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Le  prix  dîin    si  graud      bien,  peut-  ê  _  tre  vous    é    _ 


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ton- lie,      Je  ue  le  vends  plus,       je  leduii_iie.  Au  boa  vieux  tenis  des  Ania- 


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_  dis,  Jelemedoisà  tropliaut      prix^  Jelxigenis  des  sou  _  pirs,  despleurs,dela(;oiis_ 


I 


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M'  p  ^  P  g  i''  3;^ 


^    * 


_laii_(;e,      UiitMeursin  _  cè-re,      uiiupurdis   _  cret,    Etqui   niê_nie  sans    réconi- 


'P^^. 


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fe&« 


_peii_se  Fut  eonJent    de  lan    _    guii',  de  briLler      en     se _  cret. 

i  g,     -  J  n — h  I  — F=^ 


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127. 


ARIETTE 


(  Aiidaiitino  quasi  Ail"")! 


LAMOUK. 


PIANO. 


^^^it  r  P  r  c  1^ 


S' 


^ 


-*-r ♦ 


Ce   n'est  plus    la       nio  _  de 
(  Aiidantiiio  quasi  A 11^*°) 

— ^— —  — J— 1 . — 


Dés     a  Jiiaiits  consJants . 


Violons. 


S 


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Ce  n'est  plus  la    uio    _     de 


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ac_coii_rez,    que      dia_(.'un  seni  _pres_se,  L'A- 


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L'OPERA 

TROISIÈME   ENTRÉE    DES    PESTES  VÉNITIEISNES 

Le  Théâtre  représente  la  salle  de  l  Opéra  du  Palais  Grima?(^,à  Venise. 


SCENE    PREMIERE 
DAWIRE  déguisé  en  Borée,  ADOLPHE. 


(AU?  maestoso.) 

Violons. 


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ADOLPHE. 

(Haute-Coritif) 


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Apprenez  quelle  en  est  la 


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eau  _se.  Jaime  un  Objet  char   _    niant  qui  brilleen  ce  se  _  jour:   Vous  de_vez  pardon. 


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_  lier      u  _  ne  ineta_  nior     _     pho  _  se,       Où  je  suis  for     _      ce'         par  lA 


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Vous  aimez  en  ce        lieu? 


Que  dites-vous!cetleBeau. 


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_iiii_de,  Desspectateupssuf  _  pris  elJe  charma  les        yeux,Cédatitauplaisii'qiii  me 


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mainstomba  le  fep  ven    _   geiir,Mais,  je  visdaiisses        yeux  des  ar-niesplascru. 


*l    .      les,    Elle  é.par-gna     Ke  -I  naud 


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et    mon    sen_si,bl*^      ',        creur 


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el_  les,     Elleépar.gua  Re_  naud      et  mon  seiusi.ble        creiir  Fût  le  seul  qui  re_ 


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_  ment    je  vous  vois   ai'.ré   _    té,        Ce  thé_â_ti'e  potir   vous  est   lagre_able  a  _ 


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vos  preiuit'i's  ex_ploit^    rappel  _  le     lamé     _     moi      _      re:    Et  pour     ivmipre    un 


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Voiisiiiiiivijez  à     fuir,  j'y  consens,    il   le       fait:  Mais,  j'ay  trop  condani- 


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né        la    rigueur    de  Renand, 


ne    par  _  ti  _  ray   point    qu  \v 


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mi  _  de     ne    me    sui  _  ve;         Puis -je      vi  _  vi'e  luiii    de  ses  yeux!         J^ 


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vais     par    son    aveu    l'emmeuep    d*' oes    lieux,      S<iu_vei'aiiie   et  non  pas  cap 

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Un  rival  puissant  dans  Ve  _ 


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-ui.se,  Qui     lafait   sui_vre   atout    mo_mpnt,  Eut  tra_ver_  se    mou       eu_tre. 


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pri  _  se  .  I  -  oy     piii"  i^f!^  ressorts  se    _  crets,    QiieLques     a_mis       zè 


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Flo_re .  Tan_dis   que  mon    ri  _  val  par  les  jeux  ar_rè-té...  Mais,  je  vois  l'objet  que  j'a_ 


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nliKi-    >     f.    M    ^    ,    r       g;     |>A^ 


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_  do_re!    Ou  la  suit,  vous  sçau   _   rezeequejay  pro_je  _  té 


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piAyo. 


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SCEX^i   II. 

LÉONTINE,    LUCIE  . 


(mf)       Violons. 
TOUS. 


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Oui    pdurroîl    mieux   que  vous      re-piv.seiLter    les 
(  ,\ndau,te.)  


l'har  -  mes 


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De  lai_ma_b!e      Rei  _  ne  des       fleurs?  Com_bien       par  cet   e.olat,     vous 


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ai' 


mes?       Gom 


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bien     pareet  e_(:lat,  vous    force,  rez        de  c(»^urs    A  nous  ren_dre  les       ar 


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Je      scais     quepour      se   faife    ai  _  mer,  Pa  _  roi  _   tre  dans  ces 


_  mes 


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est  un  grand     a_van  _  ta     _   ge:  Mais    je  n  as  _  pi    _    requàehar 


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Mais   je  n'as 


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Quoy!.    d'ii.iie   ve'_ri_table  ap-deur,  «En    sf.crel    votpe  H_me  sou 


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L'amouP   que  dans  mes    chants  je    fein_dpay         poup    Zé_plii. 


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que  je     sens   dans 

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mon      icœur 


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re,      Ne_ga_l»^  point  de    luy    que     je  sens  dans  mou  cœiip. 


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LUCIE. 


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Moderato. 

Dou.r, 


Sivousa_vez    un       coeur 


si  siu_  cère  et  si  ten     _ 


I     J  .i   J 


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Vi.'lor.s. 


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dre     V(ms       ne      fiiJes  jamais  fai_te  pour  f^"    se  _  jour. 

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sa  _  pjeupsf  point     de   preu_dre    de    r.\_mour,     Nô_tre    soin     est        d'en 


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Si  vous   a_vez    un       (•(»»m[ 


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fai  _  re  pren    _     dre 


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ce.  i-e  et  si    ten 


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dre,  Vous         ne       fu  _  tes  ja.mais 


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Poury  mieux  i'e_ussii',  on  y  scail  quelque 


fai  _  tepuurce      se' 

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jour. 


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fois  À  _  dou  _  cil'     ses  re     _      gards,       feindre  un  peu  de     teu 


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il   f     t  HU^W\jN|r,.JiJ-' 


Jamais  ii>  n'en  suivrai  les  loix. 


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C'eslunu.sa.ge  qui  me         blesse,      Jamais  ie  n'en  suivrai  les  loix 


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(Alleja^petto 


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A  feindre  une  a_moii_i'eu_se       fia  _  me, Comment  pour. l'ay- je   con_sen_ 


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_  tir?     Lorsque  le    tendre  Amour 


me     la    fait    ressen_tir.     Je  la     ren_ 


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_  fer_me  dans  mon     a 


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me.  Lorsque  le  tendre  amour  me  la  fait  ressen. 


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_  tir,    Je  la  ren  _  fer.me    dans  mon    a 


me.  Quel  soin  n'a  pas  pris  mou  vain_ 


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-queur,       A_vantquede  sça  ^voir     le  se_cretdemon     cœur!     De  ses  discours  char. 


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niants  je  n'ay  pu  me  def  _    feii.dre. 


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Non 


ce  n'est  point  encor  ru_sage  deees 


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lieux     LescoMii's  n'y  sdiiJ  ja  _    mais  empressez   de  s'y     rendre      Àquipai'-le  le 


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(Aiidante. 


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Est-  il      déplus    ai  _  ma  _  blés  charmes.  Que  ies 


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mieux. 


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(Audante.) 


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snins,        les  soii-pirs,    et  les       dis.cmirs  fia  -  teurs!  ]\(in. 


je  nay jamais 


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cru  qu'Amour   eût     d'au-tres       ar  _    mes. 


Pour    sou.met.tre   les 


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jeu     _      ues  cœurs,  Non 
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je  u'ay jamais  crû  qu'Amour   eût  d'au. très 

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ar  _   mes,        Pour  soû_mettre  les      jeu  _  ues       coeurs. 


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Puisque  le  vô.tre  les  i  _ 


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Bassp- Continue 


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^_^^m+jl^  ^  ^  I  r   g  ^  hp-^ ir  r  r  j)  j<  j' ^ 


gnore,    Sous  les  traits  les  plus  beaux, vous conuoissez  l'A.mour:  Mais,  je  l'aj'  de_jà 


H^^  î  F\ 


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dit  et  je  !e  dis  eu         _         eo  _   re,      Vous    ne      fù  -tes  jamais 

t 


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Je  veux  m'en  ëioi_gi!ei',       il  ne  sçauroit  me 


i^  r'  P  r  f  I  ^''HT  ^ 


L. 


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fai  _  te  poupce      se'       _         juui'. 

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plai_re;  Mais,  je  ne  puis  eu_cor  coiifi_ej'  cemistè.i'e 


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y      T  w  ^ 


Ce   -    luy  qui  vous  instruit 


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3X: 


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^r  J'   i^  J  J'J'J.    JJ|r,F    F  ffl?  gp^n   r-  Il 


L. 


chei-eheà  vous  pi'épa-per,      Sur  les      Airs  que  bientôt  vous  ferez  admi  .  rer. 


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158 


SCEIVE      III 

LEONTINE,  LE  MAISTRE  DE  CHANT. 


PIANO. 


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LEONTINE. 


LE  MAISTRE  DE  CHA^NT. 


PIANO. 


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Eiitraiit  eu  <o| 


Quelle  auda_  ce!    souf.frez     qii'u»  nioiiieiit       je  res_ 


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_  pi-i'e. 


Je  venois  de  mon  art 


vous  donner  les  leçons 


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frjYr-dYfe-UU  .  J'  I-  J^ 


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Mais,  dans  le  courroux  qui  m'ins  _  pi-i'e,         Ma  voix,        iw  peut  former  ses 


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Quel  courroux! 


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On  me     fait    uiih  offeii_se  mortel  _le. 


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Se  laurnant  du  cote  par  où  il  est  entre. 


Le  pourray-je  sça  _ 


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Apprenez,    .      appre    _     nez    à  connoî_tre  moucteur. 


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Je  sens    ii_iief'u     _    rem-...    Mais,    il  faut  ni'acqui  _ ter  du  devoir  qui  m'ap- 


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C'est  vous  qui  coinnieu  _   cez:  Voi  _ 


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_   cy    votre ehausou,     E_coû_tez 


C/w)  prenez  bien  le  ton. 


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Vo     .      le, 


le,      dans 


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brillau   .   le    Cour,    Cher  Zé_  phi- re,    re  _    vien,  re.vien,  c'est 


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Flo  _    re    qui  t'ap.  pel 


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Soute  _   nezi       di  pi,!.!.!.) 


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de  ce  chant     fai  -  tes  bril-ler         le    tour. 


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vi^z^j^  ;.^^^,4^^^^  I  p-^  ^  ^^^^ 


Pi'olou_gez         la  ca  _  deii  _  ce.    El.ieen        de  _  vient  plus   bel 


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C'est      Flo   _     re     qui  t'ap  _  pel 


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Je  lie  puis  l'eve. 


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Apprenez  moy  du      moins  quel  sujet  vous  ir_ri.te'? 


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uin  de  mon  étoujie  _  ment. 


En  eu. 


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_  ti'aiit  dans  ces  lieux,     iiii      te-iné_i'ai  .  l'e  A    .    niant, 


Orgueilleux  de  son 


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rang,    et  sùi'     de  son  nié  _  ri -te,     Me  conti_oil  pour    vous  son  amoureux  toui' 


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Pour  moy 


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ment. 


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C'est  pour  vous  qu'il  sou-pi.re.     Par  lesdiscoui's  les  plus  fou. 


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Poursuivons  nos 


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chants,     Il  me  pressoit     de  vous  le  di  _  re.    Mais  en    vain. 


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Lui's.que  je  sens  pour  toy      le     plus  parfait      a 


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C'est  ainsi    que  pour        vous  il    e.X-pri_me   sa  flà-ine,        Quel  se. 


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roit  S(in  bonheur  de  pouvoir  a  son  tour,     ^ous  inspirer  les      feux      qui  de.vo 


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l'eut  sou  a     _     me! 


Je  sens  pour  l(iy    le    plus  parfait    a  .  nioui'. 


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Loi's.qiie  je  seiispuiip  toy    le    plus  parfait,  a.nioui". 


Ne  serois--tu 


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(Il  |iivlu,l.) 


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iurchai'   _    me  de  vos  ap.  pas.      Ne  peut  ia. 


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166 


On  préluda. 


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Le  spectacle  commence. 


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mais  bi'iser  ses  chaLiies. 


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et    jen'écoii-te    pas  Des  lou_an_ges  si      val  _  nés. 


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Je  vois  approcher  cet    a 


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kn^^h7.,i    jiij'j^ J-. I  j.  Il 


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iiiaiil,  Prêt     à  vous  prodi     _     guer      son    applaudis- se    _      ment. 


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76 


Ces  lieux  mesures  ne  se  ttouveiil  pas  dans  l'Edilioii  de  1710  ni  dijiis  celle  de  1714;  nous  a. 
vous  ciu  utile  de  les  ajouter.      lAlex:   G  ) 


1« 


OUVERTURE 


PIANO. 


(Adagio. 


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[  vu  Irt '2'*'  fois./ 


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170 


SCENE     PREMIERE 

FLORE. 


FLORE. 


PIA^O. 


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(And'.'-  sost'.") 


FIrîtt's   alIfiudiidt'S. 


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le    dans     inabrillan     _     te 


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<!■  -1     i'jf^-^- 


Cuur,  Cher  Zé  _  phi- l'e,   re     _     vieil, 


re    -    vieil. 


C'est 


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Fio     _      l'e     qui  t'ap_pel 


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Lorsque  je  sens  pour  toy  le     plus  parfait      a.niour, 
FIN.         ,  _«.    ^    ^^  + 


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g^^fTp  r^r    iftH^-^T — ^^'-^ 


Neserois-tu  point  inJi  _  del      .      le? 


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^m 


i 


Vo     _      le. 


âm, 


huhi^-i.i    -^ 


jusqu  au 


mot  FIN. 


+ 


».     m  0'  f=»? 


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172 


SCENE     II 


ZEPHIRE.     FLORE. 


ZKPilIUE 
(Haute  conlrei 


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PiAiyn. 


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Violims. 


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-^:b    r    1  g  !^  p  P  7  p  |r, 


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«->«p      *r  jy 


■      |P 


z. 


/'  b    ^'  k  k 


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Belle  Flore,    ces   _     sez    de  soupçounermes       feux,      Je  fais  tout  mon  bon_ 


f  r  p    F  gj 


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r/>;  B-c. 


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viens  dans 


hiil  _  l.iul 


r    r  UE^'i  P  g 


z. 


jplp'pp  p  M'"' g 


heup     de    vi.vre  daus  vos        nœuds.     Je      viens    dans       ce  bril  .  latit       em_ 


a=iB 


l^j:  i"i  : 


^"-r^HrTz 


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173 


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z. 


pi  _  l'e     Vous  of-frii'     des      de  _   sii-s      cous  _  taiils;   Ce  n'est  point  le     re  . 


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toui'    de  l'ai    .    ma    _     hle  Printems,    C'est      vô    _    tre  beau  _  té     qui  ni'at 


1 


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•e.        Ce  n'est  point  le     re   _   tour    de  l'ai  _  ma  .  ble  Pi'in. 


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FLORK. 


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Sui'    tou_tes  les  beau. 


f^v    r  ir-  F  K^^-p 


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tems,  C'est      vô  _  tre  beau.té  qui     m'at  _  ti 


re 


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_  tez  lie  la     terre  et  des     cieiix     Je  eroLrois 

!  !  I  I 


a    _    voir  l'avau_ 


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ta  _  ge.     Si  j'a-vois  pour     ga  .  raut        du  pou.voir  de  mes    jeux  Le  plai. 


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ge.  Zé-phire  en  ces  jar  _  diiis  ni'aiir'uit  dû     pi'é_ve_nii'  Loin  de 


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prêts  d'u-iie  fes.te  nouvel  _  le,      J'ay  vou  _  lu     signaler      ce  jour;  Je 


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viens    de  rassemblei',  pour  la  ren.dre  plus  bel.  le 


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Les  heureux Ha-bi. 


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(Altos.) 


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185 


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PIANO. 


(Tempo  di  miruielto.) 
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186 


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(Allegro.) 


PIANO. 


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187 


ZEPKIRE. 


PIANO.. 


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(AUegpeilo., 


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(Allegretto.)         --- 


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Naissez    bril  .  lan  _  tes        Fleurs,     inurimi-rez 
B-c.  ^ 


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Naissez  brillantes 


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claii's  ruisseaux,  Vo-lez, 


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vo  _  lez . 


de        tou  _  tes    parts,  chaulez. 


pe  -  tits      oy- 


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_  seaux,  t'hantez,  chaii.tez      peJits     oy  _  seaux. 


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189 


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et    cé-lébi'ez      ses     chai'  _  mes.  C'est  le    temps     oîi      l'A. 


temps, 


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ses      dé  _   sirs.    Il  vient       oLfi'ii'       miLle     plai 

FI.  et  \''>}'' 


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_  sirs,  A  qui  veut  cédep  a  ses  ar     _      mes.         Naissez  briLlaii-tes 


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AIR  DES   MUSETTES. 


PJANO. 


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Le  Pi'iutenips  re  _  naît    dans  nos  champs,Leso_y_seaux  se  ra  _  ninient,  E 


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cou-lez  leui'S  chants      L'a  _  nioui*  qu'ils  ex  .  priment    Les       rend     plus  ton 


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ni  _  nu-ut, 


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_  seaux    se  ra  _  nimentjE  _  coiilez  leurs  chants, L'a_mour  qu'ils  ex  _  priment  Les 


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H^'""''  s.'bI. 


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193 


l'eiid     plus  ton     chants. Une  leurs  sous      fiai 

Ha  ut  h  seul 


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leurs  uous      ins      pi-reiil    î.e 
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leii)j_di'e   peu    _  Cihaut      des    a   _  muurs.       Il        faut  que  tous     les  i|;œurs  sou. 


1 


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pi-i'eut  Pour     hieu    pro-fi    _    ter      des     beaux    jours      II        fau(    '{ue  tous 

TOUS.  1  I ..^      I   ^__- ^        |SEUL.  + 


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es  cœurs  sou  _  pi_rent  Pour    bien    proJi 


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ter     .des  beaux    jours    Pour 

(  -w) 
-         +  TOUS,     I 


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bien        pro  _  fi       _     ter 


des  beaux 


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jours  . 


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On   r<'pf'Miil 

r^iir  des  VluseUes 
p^cre  190. 


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194 


AIHS    l.HAMPESTRES 


PREMIERE   BOUREE. 


PIANO. 


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195 


DEUXIEME    BOUREE. 


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PIANO. 


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i96 


SCENE  IV 

BORÉE,  LES   AQUILONS  et  les.  acteurs  delà  scène  précédente. 


PRELUDE. 

Vite. 


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Oiiel   ra_ya    _     gel        quel  bruit!  Quel  ra  _  va    _    ge!        quel 

(Altos)  (ff) 


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Quelra_va    _     ge'.         quel    bruit!  Quel  ra  _  va    _    ge!  quel 

(Ténors.)        (ff) 


P  P I  r     r    -I  D I  r     ^    p  ff  I  r    r    >  [^ 


■  b'      r       r 


Quel  ra  _  va 
(Basses.)        (ff) 


ge!         quel   bruit!  Ouelra_va    _    ge!  quel 


JÉ «. 


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Ouelra_v;i    _     ge  !  quel  bruit!  Quel  ra  _  va    _    ge!  quel 


i^'  r   ^   c^i'T 


r    ^    j  li'J' 


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bruit!  Dans  un  jour      si       bril   _    iaut 


quel         le  soudai 


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bruit!  Dans  un    jour      si       bril   _    lant 


quel         le  soudai 


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bruit!  Dans  un    jour      si       bril    _    lant 


quel         le  soudai 


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bruit!  Dans  un    jour      si       bril    _    lant 


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Quel  pa  _  va  _   ge!        quel    bruit!         quel  ra  _  va  _  ge  !       quel 

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bruit!  Daus  un  jour      si      bril    _    lanl  quel     _    le  soudai     _     ne 


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bruit  !  Dans  un    jour       si      bril     _    laut  quel      _     le  soudai     _      ne 


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bruit!  Daus  un    jour      si     bril    _     laut  quel     _     le  soudai  __ne 


'->>''  r    .   pgif  r  r    if  . 


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bruit!  Dans  un  jour      si     bril    _    laut  quel     _     le  soudai     _     ne 


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Voiez,       vo  _  lez,  fiers    Aqui_lons, 


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B.t^^H'^^rftf-ify  II       ^       ■.  -« 


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_  lez  de  toutes  parts, 


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Ve  _    nez  contre  un  Hi_val 
1-^  4-  N 


secon. 


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_  der  ma  co  _  le    _     rt 


Je      veux     a     ses  re_gards 


Dé_ro 


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_  ber  pour   ja  _  mais 


1  Ob_Jel  qui   m'a  scu  plai   _    re. 


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SCE\E  V, 
ZÉPHIRE. 


ZEPHIKE. 


PIAXO 


4:»''  '•  f    U  l'-pr^  y  \7,  ri  ^  r  P  T 


Ah!        quel  outra.ge!        d  toy     mai_tre  de  tous  les 


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Pli'  ?  p  gN'J"'  ^  P''"i'  ^  ^^^ 


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Dieux,  Jupi.ter,   tu  vois  mon  sup_pli_ce  ;    D'un  rival    jaloux,     liui'i 


à 


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31: 


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eux,  Viens  pu_iiir    l'iujus    _     ti  _  oe.       Les  destins  d'accord  avec 


¥'^"[-    \, 


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i/''i^^H\^^  p  Pir  pn  g^Fii''P^^ 


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toy.     M'unirent  par  riiy_inen    à    Fd  Beauté  que       j'aime.    Un  Cruel,     un  Ty 


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M'  p  g  ^ 


rau  s'oppose  à    cet_te       loy.   Viens  vauger  mou a_mour,       lesdestitis  et  toy 


i 


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Oui  peut  de   ce  spec- 


nie  _  nie. 


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tade     iii_terrom_pre  le  cours? 


Ju_pi_tep  doit  descen_dre.       Et  me 


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(9) 


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reii  _  die 


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l'Ob  _  jet        de      mes         a 

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mours. 


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203 


se  EXE  VI. 

ZÉPHIRE,  LUCIE,RODOLPHE. 


LUCIE. 


RODOLPHE. 


P/AAO. 


'-..  sMJ     J>J3^ 


i^^SfeEÏ 


tat=it 


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tr r— ■_ ■    "-  -    /~?T 

Quoy  d<tiic?i_giiurez-vous  en    _     co_i'e  Que  c'est  Léonliiie  et  lum 


^m 


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S 


Flo_re,    Qu'oïl  nous  eii_lè_ve  pour toû- jours? 


RODOLPHE. 


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Lé_on_ti  _  ue!        par 


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_  lez,  que  venez  vous m'ap_  prendre?  Je  l'aimois    la  per  _  fide  a  niéjjrisé  mes 


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feux! 


Son    cœur       par     un    ri     _     val        s'est-  il    lais_sé      sur    _ 


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Un   amant  par  sa  voix    introduit  dans  vos  jeux,         Medi  - 


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toit    dès  longtemps    ce  qu'il  vient  d'entre  _  prendre       Sous  l'habit     de  Bo 


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7.FPHIRE 


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PoureLle  votre  cœur  sou  _  pi_re?  C'est  à  vous  d^a'che 


w^=^J,^,-^r-f-t^^ 


Ah!  je  sens  mon  mal-heur! 


^1^''  p  p'igp'PP  l'^P-^ppP  Prir— t-gi'  J  ^" 


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ver  le  RoLle    de  Zé  _  phi_re;  Gonjurt-/   Jupi  -  ter        de  venger  votre  ar_ 

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SCEIVE    DERNIERE. 
RODOLPHE. 


les 


TEPHIKE. 


RODOLPHE . 


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.ter  qui  prendra  ma  deffen.se.  Rassemblons  des  Mortels,  allons      courons  au 

Violons. 


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port...  Que  l'Amante  et  l'A  _    manl  redoutent  mon  transport         S^il  peut 


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mé_tre  per_niis  d'ex_er_cer    ma   ven  _    gean  _    ce. 


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On  reprend 
1'  Ouverture 
page  167 


Î06 


LE    BAL 

OIMTB/È.ME  El^TRÉE   ftKS  FESTKS   V£J\/T/ÊiVJVES. 


AVERTISSEMENT  DE    L'AUTEUR. 


Daos  la  scène  du  Maître  de  Musique  et  du  Maître    de   Dause  je  me  suis  servi  de  quel- 
ques endroits  de  Cliants  et  de  Symphonies  de  nos  plus  habiles  Compositt-urs:  Je  crois  qu'ils 
nemesçaupont  pas  mauvais  gre   de  les   avoir   placez   avec  l'illustre  Monhieur  DE  LL'LLY 
dont  le  génie  fait  tant  d'honneur    à  la  France,  ou  il  a  perfectiminé  son   Art. 


Le  Théâtre  représente   un  lieu  préparé  pour  nn  Bal . 

SCÈIVE    PREMIÈRE. 

ALANIIR,  THÉMIR. 


TIIEMIR 

(Haute-Contre.) 


PIANO. 


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V(i  _   tre  ten_(li'es-se.       Elle  i  _  gno.-i'e  qu'en  viius    un  Prinee  est     son     a- 


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niant,  El  pour  juger  en  _  cor   de    la  per-sé-vé     _      pan_ce,   Pa_ré       de   vô-tre 


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-^  +  puis 


nom,  sous  votre  habil-le  _  nient,  Je  fais  briller  l'e    _     clat    d'u.ne  liau_  te  puis. 


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sau-ce.         Du  plus  parfait   a    _    mour 


de   res_sen   _    tir      tou  _  te    la 


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vi_o_leu 


ce;  Mais,  les  fes.tes,     les       jeux  que  j'oLfre  chaque 


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jour         JN'affoibiisseiit  point  sa  conslau      _        ce. 


ALAMIK. 


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De  ses  vrais  sen_ti . 


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ments  j'ay  vouJu    m'e'claircir,      Ce  pro_jet     a  ren_du  ma     fia  _  me  plus  heu  _ 


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Il  est  ra  _  re     de     réJis  _    sir       par  cette  é  _  preu_ve    dan_  ge 


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_  reu  _  se 


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Allégretto. 


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_  reu_  se. 


Le   dé  _  sir  duii  rang  glo_ri_eux        É-teinlIes  ar_ 


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deurs  les  plus    hei_ies:  Il  est  bien  moins       decœurs      fi_deLles  Oii'il  nest  de 


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cœurs     anibi  _   ti  _  eux  .       Il  est  bien   moins  de  cœurs    fi  _  de!  _  les  Ou  il  n'est  de 


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Et    cesf    ce  qui  troubloit   mon 


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me         -Je  n'o-sais    me  li 


vrer  aux    transports    de   ma 


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llna_mant       é_le  _  vé  dans  lé  _  datdesgraiuleurs,    Eu  a_mour  «est  ja 

n.j  j.  >.j  j  ^.j  ji  j 


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hit':     Il    peut  toujours dou-ter    si  c'est    à    ses    ar_deurs,        Ou 


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si  c'est  à     son       rangquuue  A-mante  est  sen  _   si 


ble.    Il    peuttoiijoursdou- 


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_  ter      si  c'est     à    ses    ar  _  deurs,  Ou     si  c'est  à   son  rang  qu  une  a  _  mante  est  sen. 


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Tout  conspire  à  vous  rendre  heu_reux,  IVe  vous  im.po.sez 


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plus  u_ne  du_recon_train.te;      Iphise  a_prenant  vo_tre    feinJe,      Pourra   la  pardon. 


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ner    à  l'ex.cès    de  vos  feux.    Par  vos  ordres  ex_près,jor_donne  un  Bal  pcin 


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peux:    Deux  Maîtres  renom    _    mesquavu  iiaî.tre  la    Fraii-ce,Doiventeiiprépa 


à 


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frN=^--^=^T^'   '  1^  ^^^  -^^-^ 


l'ob     .    jet  de 


_  rer     et  lesChantset  la  Dan  _    se- 


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Vous     y  ver_rez    lOb  _  jet  de 

Iv— ! — -=K 


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VOS    plus  ten.dres  vœux. 


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Tu       sgais     par  quel  moyen       tu  me  fe_rascon_ 


~* — ^     -t 


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AUeZj       je  vois  pa_  raî  _  tre  Les  Ordon.na_teurs  de  nos       jeux. 


^ 


noî-tre 


213 


S€ENE    II 

THENIIR,  UN  MAISTflE  DE. MUSIQUE,  UN    MAISTRE   DE   DANSE 


LE  MAITRE  DE  DANSE 
(Ténor.) 


LE  MAITKE  DE  MLSIOIE 
(Téaoi-.) 


PIANO 


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Gravement. 


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(Violons.) 


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De  nos  communs  ef_forts,Vous  devez  (  ont  at. 

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De  nos  communs  eLforts,Vous  devez  tout  at. 

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Mii-sique  teiL-dreî 


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-ten.dre. 


Ah!  c'est  vous, 


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v^vi^j^-irt 


ny^r^-^^^^^-^ — ^^^^ 


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_  tendre.  Ballet  char_mant! 


Ah!  c'est       vous,  Cestvousqéi 


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reiii_por_tez  sur    nioy. 


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J-  ^-  J    XJ- 


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l'em_por_tez  sur   moy.  Ah!        c^est         vous,  Cest  vous  qui 


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Jad_nii  _  re      ce  fJaieur  lan_ga  _  ge! 


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l'em-por_tez 

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moy. 


(yi'  r.  J'  ^' 


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l'em.poiitez  sur  moy. 


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Muis  par.myvous,     est-ce  lu      _      sa  _  ge         Devous  }ou_ër        de    bon_ne 


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Grâce  au  Ciel!  démon  art      je  coii_iiois      le     su     _     bli    _  me.     Tout 


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cède       à      mes  di_viiis  frans     _       ports:  Je    puis  dans  le  feu     qui  m'a  _ 

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_ni_me,    DuClianlrede  la  Thrace  effa_cer  les  ac    _     cords. 


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MUSIQUE. 


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Je  ce  _  lè_bre     lA     inour    sur  mil    _    le   tons    di 
„(  And?  sostenuto.) 


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DE  MUSIOUE.  ffij- 


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LE   MAITRE  DE  DANSE. 


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-lez      tout    a_pré_ter:  Pour     n>aî  _  très  dans  vos  arts    je  dois  vous  re_con 


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.  noLtre      Aux  soins  que  vous  pre     _     nez  tous  deux    devousvan    _   ter. 


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SCENE    III 
IPH1SE,ALAIVIIR. 


IPHISE. 


ALAMIH. 


PIANO. 


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PRELUDE. 


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ALAMIR. 


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Pourrois-je  me     fla_ter  de  règuer  dans  vôtre  â_nie,  Lorsqu'un PpiTi.ce char. 


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me    de  le.clat   de  vos    yeuxjoint  a  Ihonmia-ge  de  sa     fia.  me   Tout  ce  qui  peut  tou. 


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cher     un  cœur  ani_bi-ti      _     eux?  La  gloi  _  re,        la    nia_giii_fi 


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_ceii_ce         AfCom_pagiieri(  partout     ses  pas     Et  je  n  oppose  à      (aiil       d'appas 


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Oue  mou  a  _  inour        et  ma  cous  _  tau 


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el,     quelle  est  votre  ri.gueui'?  Parcet  iujuste  ef    _    froy,NoLfeusez  poiut  mou 


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cœur. 


Voussga_vez    que  je  vous    ai-uie,       Je     fais  mon  bonheur  su. 


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De   vous    rhar  .  I  mer  à      mon      .tour: 


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_  prê_me     Devons  char.mer       à  mon         tour:  C'est  dans  une     a     _     nie      com. 


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_  mu_ne    que  le  _  clat        delà    For  _  tu  _  ne,  Peut  triom  _  plier  de      l'A_ 


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_  mour.  Cest  dans  une      a       _        me     com_nui_ae  0"»^    i^    -  <^l<it      delà    For  _ 


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_  tu  _  ne,  Peut  tri_om_pher  de      l'A 


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Ouoy!        votre  cœur  pour 


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roif    pe_fii_sei'     là  vkvtoi  _  re  Aux  char_mes  diiii  rang      é  _  cla_1diit? 


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Je  neveux  que  la        gloLre       De  vous  ren_dre  cous    _   tant. 


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tropjBeaulécharmante,  Parta-gez  dun  Amant  la  fop_tu_uebi'il  _    lauJe,       Il  vou^ 


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offre  un  bon.heup  car  _    tain,    Que  sous  d'ainia  _  blés        loix  un  doux  hymeuvous 


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pan_ge.        Consentez  que  1  Amour  vous  van_ge  Desfau-fes  du    des. 


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Dans  quels  soupenns,Iii  _  grat^iejeUe  ce  lan     -      ga_ge! 


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Le  Ciel  en  vous  for_ 


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.niant  vous  a  fait  un  ou.tra.ge.  Les  sen.li.mentsdu  cœur  et  le  charme  des 


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_yeux      Fu  -  reat  vô  _  tre  par     _       ta    -    ge.  Mais     vousde_\iez  bril_ 


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_  1er       dans  un  rang  gloi'i_eux,        il  faut  qu  un  mortel  qui  vous  aime  ,  Vous 


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vo-1re   fen  .  i  dres       -        se!. 


riji^ar  r  p  pnJ.  j'pp  If  p"r  iJ  JijJ  if-^^ 


Ah'.j'ay  per_du     vô_treten_dres_  se!  Ce  vain  dis  _  cours  estune  a  _ 


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dres  _  se     Oui      cache  un      changement        fa  _  tal .-      Non,    non 


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n'est  pas     pns_si_  bleOu'uu  a_maut  bienseu  _  si_ble    Par  _  le  pour  son     Ri. 


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Si    vous  ne  l'ai_mez 


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je    lie   puis     être  lieu    _    reux. 


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_vray  le  transport  qui  nie  gui_de;         Fournie  vengerde  toy  j'approu_ve_ray  ses 


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grat,        je    l'aime  en  _   cor,  mai      _    .  gre        ton     incons_tan 


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238 


SCENE    IV. 

ALAMIR.  IPHiSE,  THEMIR. 


IPHISE. 


THEMIR 


ALAMIR. 


PIANO. 


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IX. 


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.près ,    Je     ue  dois  point . 


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Oue  la  fes -te   comnien  _  ce. 


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SCEIVE    V 
ALAMIR.IPHISE 


IPHISE. 


ALAMIR. 


PIANO. 


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OuVii_tens    -    ]e! 


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quel   est    ce  discours?         n'en 


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puis -je  sraviiir    le  mis  Je  _  re? 


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phi  _  se,  jai  vou_iu    vous 


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plai_re,        Sans   a _ voir   démon        rang    enuploye       le   se-cours 


#te?t 


1*  :        g- 


tiS: 


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240 


AIR. 

Allegretto. 


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VW  ,-v    r-f- 


Mon   cteiir     est  as    .    su_i'é  du   vô_tre.ParcIon_nez  cet- te 


àA  7>    r    f^ 


(  V.o.ons,_J         ^      J    ^             i^    .    J        J        J  .    J 
a 1    _   . ^ — -^r^ — r-» • — = r-^ 


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A. 


feinte  à   la    plus  vive  ar  _  deur:  Par_ta_gez   a_vec    moy        la  su_prê_me  gran  _ 


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deurDiiut  tuut  le_clat    n'a      pu       voustoiucherpoup  un       au 


4^^  r  f'    r> 


si 


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tre.  Par_ta. 


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#      * 


gez    a_vec        moy     la  su_prê_nie      gran_deurDonttout  le  _  ciat  n^a 


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4''V  r-  P 


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Je  ne  vois       en      vous  qu'un  a 


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A. 


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pu       voustoo-cheppourun      au       _         tre. 

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niant,    Voire  amour  seul  tou.che  mon    a 


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Ah!        que  mon  bon. 


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-   heur     est    ehar  -  manl,     Ëtquil  aug.men   _    te  encor  ma  fia 


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_   ne,  Ri_chesses,    grandeur    souve_  rai  _  ne,  Sans  luy  rien  ne    peutè.tre 


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MARCHE. 

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(Raute-Conirf.) 


PIANO 


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On   reprend   tes  deux  Pasxepieds.   les  den.r  Menuets  pt  leCli"'</.r:   Que  les  Ris,etC.,;(/.'i(/i/ 'ïk  moi  FIN. 

FIN    DU    BAL. 

Le  premier  Menuet,  pag-e  252, serf   d'Entracte. 


263 


f  r 


LES  SERENADES,  ET  LES  JOUEURS, 

CINQVIÈME   ENTREE  DES   FESTES  VEN/T/Ëi\NES/ 


Le  Théâtre    représerife    une    Plnre^   et   rlanf;    ie  fond    le    Ridotte. 


SCE\E     PREMIERE. 

ISABELLE. 


ISABELLE. 


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(Air:   Maestoso.) 


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nuit    vont  obscHrcir    les       cieux;  Mais  l'amour  ja  _  Iniix     a  des  yeux    qui 

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moiir,  sans        les   sniip-çoiis,  qui  viennent  me  sai    _    sir,        Que  je    me  plai 


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rois     dans      ta  chaî.ne! 

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Isabelle    <ie   retire  au    fond   du  Théâtre. 


267 


SCENE    II 

LUCILE. 


lUCILE. 


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Ah!     0(ie  piiis-j»^  espe  _ 


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_rer        diidesseiii        qui  ma_mei  _  ne!      Je  me  plains     diiu  vo_la_ge Amant,     Je 


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4'  ^  '''  Pt^  P  g  ^P  g  Fi^  'i^'T  ^pir  ^  ^'^'^ 


cherche  à  découvrir  son  fatal  changement,     Amour,      A^mour,        rend  ma  recherche 


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vai       _       lie,  A  _  mour 

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amour, 

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rend  ma  recherche  vai 


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Pour  un  au    _    tre  que  moy,  si  s(m penchant      l'eu 


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traLne,        Lais_se  nioy        le  sou_la_gemeut        D'eu      e   _  tre  toujours  in_cer. 


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Je  m'expo  _  se  moi  -  même  au  plus  cruel         tour_ 


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meut.    Amour,       a.mour,      reud ma  recherche  vai  _       ne,       a_m(iur,       amour. 


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269 


SCE^E    III. 

ISABELLE,  LUCILE. 


à  part . 


LUCILE. 


ISABELLE 


piAyo. 


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p  P  P  :^  I  ^  ^  ''^'  M  ^  m 


c'est     Lsa-bel_le  que     je        voy!       Elle    est   le  sii_jef    de 


ma 


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B.c. 


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Je  vois  Lii_ci  _  le  !. 


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L'anidui' Clin  _  duit     i_cy  vos 


.fi'oyDontje  me  sensatfeiii  _  le. 


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paSjOuelqu  .\maiitché_pi  doit  s'y  reii     _    dre  Mais  a  _  vec    de  si  doux  ap 


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jas,  Est-ce  vous  qui  de_vez     atten    _    dre?  Mais     a_vec  de  si  doux  ap. 


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Est-ce  vous 


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Vous    a    _    vez      i_ci     devaii  _  ce  Lecherob_iet  q'iivoi 


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i_ci     devaii  _  ce  Le  cher  ob_  jet  q'iivousea 


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_  ga_ge:D  un  cœur  plus  vif,        plus  erapres-s»^,  Vos  attraits  nie_ritoient    thomma    _ 


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_ge.       Diiu(;()eiii'pliis\if,         plus   empres_séVns  attraits  me_i'Lt()ieiif  rhomina 


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P()ui'_quoy  v(ui_lcz-vnus    df'^iii  _  ser? 


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E.NSEMBLE 


1^ — ^^j-r-Hî^'  r        ^     ^^=^^ — P — |g 


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Expliquez  -  vous, 


r\_moui'  me 


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Evpliquez-v(uis,         Ex_pliquez  -  vous, 


r.\_inoup  m'e 


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clai_re,  Ne  prête  ridez  pas    ma_hii_sep. 


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-clai.re,  !V«^preten_dez  pas   ma_hu_sep.         Vous  plai_sez  aux  yeux  de  Le. 


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1  p  u'  in^~^^ 


Le_aiidre    soii-pire  pour    vous,  Gon  _  diii  _  te  par  mes  soins  ja. 


_aa_dre , 


P  P  I'  ^'-M 


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r      r       V 


Coii_  dui  _  te  par  mes  soins  ja_ 


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_  loiix  A_vec  luy  j'ay         cru    vous  sui'.ppeii     _     dre .       Cent  fois    i!  ma  ju. 


fef  M  g  P  ^'^'  "•  r  "P  ^'  Hr^ 


-  Inux  A_veciuy  j'ay         crû    vous  sup_  preu     _     dre, 


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ré    de  u'ado.rer  qu"  moy. 


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H  r  ^'  P 1^^  p  FPr~p-^' 


Par  les  mêmes  ser_ments   il    a  siir.pris        ma 


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J'ai  s(;ii  que  dans  la       nuit^cef  Amant  trop  vo    _     la_ge,  A  dennuveauxap  _ 


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rend     un  nou_vel         honi    _  ma 


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Son  des_sein  m'est  cnn 


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g— t^'  I  p   i;  p  M  ' 


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_  nu:  je  cherche   a     pé_né_trer  Pour  qui  sont  les  concerts  qui!  a  fait  prepa 


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Je        re_dou_tois        la 


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ENSEMBLE. 


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*•  -    =1  M 


L'iii-grat  nous  trompe  l'une  et     rau_fre  f 


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»_tre.      L'ia_grat  nous  trompe  l'une  et     l'an.tre!.    Unis_sons-nous    en   ee  mn 


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Pat'    u  _  ne  veugeaiL.ce  com. 


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ment,        Nous  e'prouvons      même   iiufop_  tu  _  ne 


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mu_ne    Punissons  un vo_lage  a       _      niant. 

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r/*  r  f'  ;■  ^'  ^''*^^  ^'  .^  I  ^'-  ^''  ,^rU-p^ 


vons  par   rin_dif_fé  _  ven  _  ce     Dhii        coeur     que  vos     li  _  eus       ne  peu_vent 


l'a     ■    ^  [^ 


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re  _  te_ni!'; 


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C'est  trop  ho  _  no  _   i-ei'  l'iaconsJan  _  ce,Oue  de  cher. 

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l'iu.i^iiis  ',_    lan    _   re  , 


l'^'  f.  pf  r'ir    ^'if  r  r  |J    ^j>uj^jvj^ 


cher  à    la       pu_nii';  C'est  trop  ho  _  ilo  _  rer        riii(;ous_tan_re^  Que  deiher_ 


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Ne  eherohezpoint      dautreven. 


1^  r0'^+r-^'^  ï'\r,ï>r  P 


I 


-cher   à    Iapu_nip,  Que  de  chercher  à    la 

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pu_nir 


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Que        '  i;el     _     le     de 


4^"^  •■??  r'îr 


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n^h  j  ^Bfij'N 


_  geaii-ce      Que    cel     _     le  de     vdiis    dé     _    ga_gep:     On  aLrne  plus  que  lou  ne 


I 


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J'  ff'^i  "fiiP  !^f  •'  ir  .  r,  r^r.  if  ^  J' j'- 


peu  _  se,  Quand  on  preud  soin  de  se       ven_gep.         On  aLme    plus  que  Ion   ne 


r  j.  m\^j 


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4'''-  J  J)  >J'  ^'  \f-y>'>\r  ?  •  '^ 


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pen_se,  Quand  on  prend  soin     de  se  ven.ger,  Quand  on  prend  soin    de   se  ven. 


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Croi_ray  -    je  votre  avis    fi    _    del  _   le?  V«Ltre  pntpre  in_té. 


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Lorsque  vous  m'aiiLmez     à   fuir  un    iu_fi_ 


;  I  .  u  I  .  Il 


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.rest     ne   l'a-t-il  point  die   _   té  ? 


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_  del    _     le,  Ne  iné_iui_gez-vous         point        vo  _  Ire    fé  _  li    _  ei    _ 


-  fé? 


Aux  soins  que  vous  pre_ 


[^=M 


I 


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ni  f.:  ^  .    r    r,  g  ;:a 


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fn=g 


i^^^-^-^f-^H 


oc 


Je  crains  de  me  pion  _  ger  dans  une  erreur  fa    _  ta_le..  ■ 


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^'''"''''■r  ^'  ^  •  •  ^' 


ENSEMBLE. 

La  nuil   sp  rp'pand  sur  le    Théâtre. 


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v^      ^    P      ^^       ^    .* 


^    ^'    V    '/i' 

_  nez       je    crains    de      me        li      _    vrer.         On  court      ris_que    de    se.ga. 


^ 


D   D    D    F-^ 


<T^  *! 


^ 


On   court      ris_qne    de    s'é_ga- 


(J)    ! 


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l''j  '       \ 


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Ç'''  .     P    fj  ':=5~H-H 


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_  rep      Par      les  conseils      du  _  ne    Ri    _  va    _     le 

+ 


v^  .   r-^l^-4,  1^  J I  j    i 


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r'T      Par     les  conseils     du  _  ne   Ri    _   va    _    le 

— I 


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(Dhn.) 


'^'^h  r    f 


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l'i.h  h  h 


i'  r  •  n'  ^  ''  ^''^'  ^ 


'La  nuit     déployé  i_cy  ses voi„les  fe.né    _  breux 


iii^  f  •  ?  ;  i  ^ 


vois  i'in.fidel  _  le  paro]  _  tre  . 


^m 


'    '     ê'     â    ê     ri-ir-d^ 


^H 


*:         » 


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Unissons-nous  du  moins  par    le  soindecniu 


e 


-ri- 


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noî_tre        A   qui  sont  des_ti   _  nez    ces  eoneerts  a, mon        _      l'enx  . 


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Lucile  et  Isabelle  se  refirent   sous  un  balcon    qui  parolt   sur  un  des  rotez   du   Théâtre. 


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se  EXE    IV. 

LEANDRE,     Tronpf»  de  joueurs  d'instriimetits. 


CANTATE. 


(AllJ°) 


LEANDRE 


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PIANO. 


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heur        qu'il    ob  _   tient,     IJe.vi'oit       ê      _      tre     le     prix 


d'un  cœui' 


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Devrait  e     _       tre     le 


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(Aiidaiile)  ^''"••'^  a'Aiiemafrup.  -^^  , 


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Ja.loux  de     régner  seul  sur  des  yeux  si  charmants^ 


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_  inouï'    qui  vous  an  _  pel 

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Le  sommeil  en  peut  -  il  é_ga_ 

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,  mil      -         tu 


.  lei'       les    dou.ceurs?  Eprouvez     les     plai.sii'S        qu'une  ai'_  deui'  mu    _      tu. 

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Eprouvez     les  plai  _  sirs  qu'une  ar_deur    niu_tu    _    el     .      le, 

J-  >  J  ^,1    J    nj    .1    I  J  .  I  J.  ^ 


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Fait  reg.seii   _    tir      aux        teu     _      dres  c(Hurs. 

J    -J     J. 4J.  i 

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sez. 


maLgre    les    v(ti  _  les       sombres  Dont  la    nuit     a  couvert  ces 


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-  té,      dls_  si_pe_ra    les 


oni-bres,     Mieux  que  l'asjre  brillant  des     cieux. 


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ARIETTE. 


(Air;  mod'" 


LF.ANDItR. 


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<fA  Fh'ilos  ,■(  Viul.iiis. 


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Hassui'ez  votre  cœur      ti  -  mi.de,    I)é_  robez-vous  aux  jeux      ja 


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_  mi  _  de,    Dé_i'obez-vous  aux  yeux     ja.loux;  I/a_mour    qui  me  soumet  à 


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vous,    Est  prêt       à  vous  sei'.vii'     de 


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gui-de,        Rassurez     vojiv  c(eiir     (i 


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_  niLde,   Rassurez,         Rassu.rez  vôtrer(eiiptiiiii    _  de 


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J'o.sois  mépriser  les  a. 

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.  moui's,  Vous  me  forcez  à  les  couuoî 


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Les    feu.x  que  vos  yeux  ont  fait 


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iiaî,tre,  INe  s'éteiiidi'mil  qu'avec  mes  jdiics.  Rassurez  voti-ee<»;ui'  (i.      ^ 


ê-4^  'ii  2r^?7^ 


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Al_  lez,        vo-tre  se _  cours   ne  m'est  plus  néeessai  _  pe.         Mon 


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coeup  se    sent  flat. ter    de  l'espoir    le  plus  doux-.         Je  vois  I Objet     qui  m'a  sçû 


4—^ 


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P  p  ^  r  r    p  p/P4r-^^^î  F  ii^ 


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plai.re^        Me*-  yeux,    soy.ez  eon.tents,  I  _  rè  _  ne  s'offre  a         vous. 


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SCEXE    V 
IRENE,    LEANORE. 


IRENE. 


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py.i.vo. 


(Allegi'd.) 

2  ^L_ 


(Allegro.) 

Viulons.  + 


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La      Fai'    -      fal 


1;)  in  _  tdp    _    11(1    ai        fio  _    ri. 


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do,  lion  po_sa  mai. 


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Co_si       pure  a  mille  a_mo_i'i,  Tiioi  sos_pi_  ri  por_  taii 


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Irène  se  retire. 


294 


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SCEx\E  VI 
LEANDRE. 


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LEAXDRE. 


PIANO.. 


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Ai    _    miv-lili'  oS_iit, 

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Ai  _  niable  objet,    dai_  giiez  m'eiitea  _  dre.  D'un  miinienl  d'entrer. 


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tien   laissez-nioy      la  douceur:    Quelque  ennemi  ja  _  hax       a-l-il  pu  vous  sur. 


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_  cous  le  voJre  ti'op  fa     _     ci_le  A-l'il  pu  douter  de  ma    _    foy?     Qui  craignez- 


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est-ce  Lu  _  ci  _  leV     Je  vous  ay  vite, 1      _       l'è  .  ne,       et  je  suivroissa 


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ment  est  plus  sacre  pour      moy!  C'est  vous,  c'est  vous    seu   _    le, que  j'ai  _  me. 


296 


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Is.ibellp  pai'oît  deppitTo  Lcandre. 


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point  ex-ci-té  vos  aLlar_mes,  Non,       vous  ne  croyez  pas  Que  mon  cœur  à  ses 


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_  dra  nous  sé_pa-rep,  Si  vous  n'a.doui;is.sez  ma        pei_ne,  Cèn est  fait,       je 


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LUCILE. 


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Aprèstaiitdeser_]]ieuts,  tu  nie  fais  cet  ou    _    ti'a_ge? 
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t^i^r-r-Ç-^r-Ç.  p  I  r   ,  p;  F  p   ^  ^  |c-E^ 


la_ge.  Api'èstautdeser_meuts,  tu  me  fais  cet  ou    _    tia_ge? 


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pas  me  tromper  ffé_sormais,  mon  mé     _     pris  pu_ui_ra     ton  humeur  trop  lé. 


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_  liai  _  re,  Un  bojiheur  as_su  _  vé.      fe.cha.pe  pour   ja 


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.  sirs,  cher.choiis  qut^Lqu  autre  ob  _  jet       di  _  gne  de  mes  sou     _       pirs. 


501 


SCE\E    VII. 
LE  AND  RE,  Chœur  et  Troupe  de  Joueurs. 


(Allegro.) 


(V'X 


PIANO. 


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(Sopranos  )  (ff)  _  + 


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For  _  tu  _  iie^      tu  nous  fa_vo  _   ri     _     ses,        Nous  coiusacrous  uos 

(Aiios.)  r//; 


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For  _  tu  _  ne,     tu  nous  fa_vo  _  ri     _    ses^        Nous   con-sacrons  nos 
(TénorsX/X» 


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For  _   tu  _  ne  ,      tu  nous  fa  _  vo  _  ri 
(  Basses.)  r./;/> 


ses,        Nous   con.sacrons  nos 


^r^± 


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For  _  lu  _  ne,      tu  nous  fa_  vo  _   ri     _     ses,        Nous   cou.sacrons  nos 

Violons.      I  I         I         I        ,         + 


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Nous  consacrons  nos 


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tes     bien  _  faits  : 


Nous  consacrons  nos 


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Nous   consacrons  nos       voix  à  chan  _  ter,  à  chan 


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Nous    consacrons  nos       voix  à  chan  _  ter,  à  chan . 


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Nous   coiLsacroiis  nos      voix 


chari   _  ter  tes  bien  _ 


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-ter  tes  bien  _ faits; 

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Nous    t'oii^acroiis  nos      voix  à   chan 


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tes  bien  -faits; 

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s    consacrons  nos       voix. 


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à     cliaii  -ter  tes  bien -faits;  à     chan  -  ter        tes   bien- 


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faits; 

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\()us  consacrons  nos      voix  à    chan  _  ter        tes     bien 

+ 


•      *     -   r-^     --^jK 


voix  a     chan   _ter  tes  bien -faits;  a     chan    -ter,        à     clian 


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Nous  cou-sacrons  nos      voix 


chan  -  ter.  à     chan  _  ter        tes     bien. 


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Oua  ja  _  mais    ton  pou  _ 


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Oua  ja  _  mais    ton  pou. 


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Qua  ja  _  mais    ton  pou. 


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Ouà  ja  -  mais    ton  pou. 

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_  voir      fJa_te  nos.   en_ti"e_pi'i_seSj  Tous  nos  vœux  se  _  l'ont      sa_tis  _   faits.  Ouà.ja 

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•     •     » »• 


voir     fIa_ft'nos    en_tre_pri_ses,  Tous  nos  vttux  se_  ront       sa-tis  _  faits.  Ou  à   ja 


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voii'     fla_(e  nos    en_lre_pri_ses,  Tous  nos  vœux  se  _  rout       sa_tis  _  faits.  Ouà  ja 


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lla_te  nos    en_ti'e_pi'i_ses,  Tousnos  vœuxse  _  roiit       sa-tis-   faits.  Ouà  ja  _ 


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mais   ton  pou  _  voir     fia -te  nos     eii_tre_pi'i_ses,    Tous  nos  vœux  se  _  roiil      sa_tib 


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_  mais   ton  pou  _  voir      fla_te  nos      en_tre_pi'i_ses,    Tous  nos  vœux  se _ront       sa_tis 


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_  mais  Ion  pou  _  voir     fia_1e  nos      en_lre_pri_ses,    Tous  n(»s  V(fux  se.roiil       sa_tis. 


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mais  ton  pou  -  vdii'     {'la.te  nos      enJre_pri_ses,  Tous  nos  vieux  se  _  ront       sa_tis 


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Tous  nos  vieux  se_  l'ont    saJis  _  faits. 


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faits. 


Tous  nos  vœux  se  _  ront   sa.tis  _  faits . 


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For  _    tu  _  ne,        tunousfa-vo_  ri    _      ses,  Nous  cousacronsnos 


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For  _    tu  _  ne,        tunousfa_vo  _  ri     _     ses,  Nous  consacrons  nos 


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_  faits;   Nous  consacrons  nos  voix     à  chan_ter    tes  bien_faits 


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Nous    consacrons  nos       voix  à    chan  -  ter 


tes    bien  _  faits. 


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Nous  consacrons  nos   voix. 


Nous  consacrons  nos   voix    à  chan_ 


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Nous     consacrons  nos      voix. 


Nous    consacrons  nos      voix  à  chau. 


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à    chan  _  ter  tes   bien  _  faits  ^  à    chan  _  ter^  à    chan 


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Nous  con_sacrons  nos  voix        à  chanJer      tes  bien_faits. 


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Nous  con_sacrons  nos  voix        à  chaii-ter      tes  bieu_faits. 


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Nous  .cop_sacrons  nos  voix         à  chaïuter      tes  bien_faits 

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PREMIER    AIR 


Gravement . 


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(  Hauie-Contre) 


PIANO. 


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La  For  _  tuiie    a    des     droits  Dans  1  a  _  mou  _  reux   em 
^^   2^  Couplet.  +  + 


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La  For  _  tiiiie    en    ^  _  mour    Ex . 


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-pi'i    _     ce,        Elle     y      fait   chaque     jour  Craindre  son      in_jus_ti     _    ce. 


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Aux      fi  _  del     _      lésai'  _   deurs  Elle  est     sou  _  vent  re_bel     _     le 


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Tout      dé  _  pend  de  lius_tant  Que  la       F(»r_tune        a  _  mei     _      ne, 


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w   r  ir  -=r^^ 


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Pour  rendre  heu_reux         des  C(eui'sAus_si        vo  _  la    _  ges   quel     _     le. 


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de     liiih    _  '    tant 

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un  J. 


Tout      dé  -pend  de  lins  _  tant  Que   la         For_tune  a  _  mei    _ 


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de.s  Cienrs 


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Pour  rendre  lieu-i'eux  des      C(eursAus_si  vo  _   la    _     gesquel    _     le. 


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Ou  l'epreiid  le  Premiei-  Air  p-ig'e  311,  et  lou  chante  eiisuile  le  second  Couple!  page  312. 


314 


DEUXIEME  AIR. 


RONDE  ai: 


Gay. 


PIANO. 


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(  Hmte  -  Contrée .) 


PIANO. 


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Vu  ciiHiiptrop  sen  _  si_  ble  \'est     jamais      pai  _  si_  b!e,  Il 


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_tau_  oe;  Mais        si     i'ap   _     pa_i'en_re      De  la      ré   _   com-peii.se,    Xoiir  _ 


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Sur       les_pp 
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Sur     l'espé  _  raii_(e        Des  plusdoux   plai_sirs. 


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AIR  DES  BISCAYENS 


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On  reprend   le   CluRur    Forti/np,  pir  p.ig'e  302  pour  finir. 


FIN 

DE     LA    CINOUIF.ME    ET   f>EHNIÈKE    EnTKÉE. 


I,.  Rudel    Gi-av    50,  i-.  .Idcoh. 


T.M.952.  luip:  MAIHEL.  .'îj.hn..  li...i;^,.   ('. 


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CHEFS-D'ŒUVRE  DE  L'OPÉRA  FRANÇAIS 

PAIITITION8,    PIJLNO    &    CHANT 


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CAMBERT       — 

fondateur  de  l'Opéra 
1671 

LULLY  — 


jCOLLASSE       - 
/CAMPRA 

destouches- 
Irâmeau 


««SÉRIE 

{sous  presse) 


l' SÉRIE 


8»  SÉRIE 


9»  SÉRIE 


10«  SÉRIE 


PHILIDOR        — 
GRETRY  — 

PICCINNI         — 

SALIERI  — 

\ CATEL  — 

, LULLY  — 

LALLANDE  1 
1 DESTOUCHES   j 

'GLUCK  — 

(GRETRY  — 

I  RAMEAU  — 

^PICCINNI  - 

, LULLY  — 

RAMEAU  — 

MONDONVILLE 
IMONTECLAIR— 
,  PHILIDOR       — 

HAYDNI  j 

PLEYEL 
'MÉhUL  \ 

, LULLY  — 

RAMEAU  — 

PICCINNI.  - 
,  CHARPENTIER 
'  SACCHINI  — 
,  GRETRY  — 

LULLY  — 

1  RAMEAU  — 

I  PICCINNI  — 
I LESUEUR 

GRETRY  — 

1 SACCHINJ.  — 

SACCHINI  — 
MONDONVILLE 
GRETRY  — 

MOZART  — 

CHERUBINI  — 
DELABORDE  ) 
BERTON 


Prix  net. 

Le  Ballet  de  la  Reine,  1  acte 5    » 

(1)  Pomone,  pastorale,  libretto  5  actes,  musique  1  acte 5    » 

(2)  Les  Peines  et  les  Plaisirs  d'Amour,libr.  5  a.,  mus.  la.  5    » 

N.B.  —  Ces  trois  partitions  ne  comptent  que  pour  une 

Cadmus  etHermione,  Tragédie  lyrique  eu  5  a.  et  1  prologue  15    » 

Alceste,  Tragédie  lyrique  en  5  actes  et  1  prologue 15    » 

Thésée,  Tragédie  lyrique  en  5  actes  et  1  prologue 15     •> 

Atys,  Tragédie  lyrique  en  5  actes  et  1  prologue 15    » 

Isis,  Tragédie  lyrique  en  5  actes  et  1  prologue 15     » 

Psyché,  Tragédie  lyrii|ue  ea  5  actes  et  1  prologue 15    » 

Bellérophon,  Tragédie  lyrique  en  5  actes.et  1  prologue  ...  15    » 

Proserpine,  Tragédie  lyrique  en  5  actes  et  i  prologue 15    » 

Armide,  Tragédie  lyrique  en  5  actes  et  1  prologue 15     » 

Thétis  et  Pelée,  Tragédie  en  musique,  en  5  a.  et  1  prologue  15    » 

Les  Saisons,  Opéra-ballet,  4  entrées  et  1  prologue 15    » 

L'Europe  galante.  Opéra-ballet,  4  entrées  et  1  prologue..  15    » 

Tancrède,  Tragédie  lyrique  en  5  actes  et  1  prologue 15    » 

LesFestes  Vénitiennes,  Opéra-ballet,  5 entrées  etl  prol.  15    » 

Issé,  pastorale  héroïque  en  5  actes  et  1  prologue 15    » 

Omphale,  pastorale  héroïque  en  5  actes  et  1  prologue 15    » 

Hippolyte  et  Aricie,  Tragédie  lyrique  en  5  actes  et  1  prol..  15    « 

Les  Indes  Galantes,  ballet  héroïque,  4  concerts  et  1  entrée.  15    « 

Castor  et  Pollux,  -Tragédie  lyrique  en  5  actes. 15    » 

Les  Festes  d'Héhé,  Opéra-ballet  en  3  entrées  et  1  prolog.  15    » 

Dardanus,  Tragédie  lyrique  en  5  actes  et  1  prologue 15    » 

Ernelinde,  Tragédie  lyrique  en  5  actes 15    » 

Céphale  et  Procris,  "Ballet  héroïque  en  3  actes 15    » 

La  Caravane  du  Caire,  Opéra  en  3  actes = .  15    » 

Roland.  Tragédie  lyrique  en  3  actes 15    » 

Didon,  Tragédie  Wrique  en  3  actes 15    » 

Les  Banaïdes,  Tragédie  lyrique  en  5  actes 15    » 

Tarare,  Tragédie  lyrique  en  5  actes  et  1  prologue 15    » 

Les  Bayadères,  Opéra  en  3  acteset  1  prologue 15    » 

Persée,  Tragédie  lyrique  en  5  actes  et  1  prologue 15    « 

Les  Eléments,  Ballet  du  Roy 15    » 

Paris  et  Hélène,  Opéra  en  5  actes 15    » 

Colinette  à  la  Cour,  Opéra  en  3  actes 15    « 

Zoroastre,  Tragédie  lyrique  en  5  actes  et  1  prologue 15    » 

Atys,  Tragédie  lyrique  en  3  actes  et  un  prologue 15    » 

Phaéton,  Tragédie  lyrique  en  5  actes  et  1  prologue 15     » 

Platée  ou  Junon  jalouse.  Op. -Bouffe  en  3  a.  et  1  prologue  15    » 

Titon  et  l'Aurore,  Opéra  en  3  actes 15    » 

Jephté,  Tragédie  lyrique  en  5  actes  et  1  prologue 15    « 

Tom  Jones,  Opéra  eu  3  actes 15    » 


Le  Jugement  de  Paris,  Ballet-Pantomime  en  3  actes —    15    » 


Amadis,  Tragédie  lyrique  en  5  actes  et  1  prologue 

Zaïs,  Opéra-ballet  en  3  actes  et  1  prologue 

Pénélope,  Trai^édie  lyrique   en  3  actes   et  1  prologue   

Médée,  Tragédie  lyrique  en  5  actes  et   1  prologue 

Renaud,  Opéra  en  S.actes » 

Panurge  dans  l'Ile  des  Lanternes,  comédie  lyrique  en  3  a. 

Roland,  Tragédie  lyrique  en  4  actes  et  1  prologue 

Naïs,  Opéra-ballet  en  3  actes  et  1  prologue 

La  bonne  fllle,  Opéra-Bouffe  en  3  actes 

Ossian  ou  les  Bardes,  Opéra  en  5  actes 

Andromaque,  Opéra  en  5  actes 

Chiméne  ou  le  Cld,  Tragédie  lyrique  en  3  actes 

OEdipe  à  Colonne,  Opéra  en  3  actes 

Daphnis  et  Alcimadur,  Opéra  en  3  actes 

Anacréon  chez  Polycrate,  Opéra  en  3  actes 

Les  petits  Riens,  Ballet  en  3  parties 

Les  Abencérages,  Opéra  en  3  actes 

Adèle  de  Ponthieu,  Opéra  en  3  actes 


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Paris.  —  Imp.  Ed.  Rousset,  7,  rue  Rochecbeuart . 


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