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in 2010 with funding from
Univers ity of Ottawa
http://www.archive.org/details/letrsordespian6814farr
LE
TRESOR des PIANISTES
14me LIVRAISON.
Jean MATTHESON
Louis van BEETHOVEN
Jacques FROBERGER
Pièces diverses.
Sonate (W. 109.
Sonate Oeuv. 110.
Sonate o-uv. ni.
Huit Toccates.
Six Suites.
Georges ALBRECHTSBERGER — Dix-huit Fugues.
J. N. H U MM EL Rondeau brillant, Csuv. 10a
. Sonate Ouv.i3.
Chrétien FASCH Deux Sonates et une Pièce.
Théophile GOLDBERG Prélude et Fugue.
M"?1' V»e L. FARRESC, EDITEUR
Rue Taitbout,10.
LONDRES
CRAMER, BEALE ET VOOD.2W,)
SCHOTT ET Ci» 159, )
Régent S!
PARIS.
1868.
C. PRILIPP, EDITEUR DE MUSIQUE
Boulevart des Italiens, 19.
leipzk;
BREITKOPF ET HAERTEL
Universitaets Strasse goldner Baer.
? d /rto,
LISTE DES SOUSCRIPTEURS
FRANCE.
PARIS. , .
Exempt.
Le Ministre de la maison de l'Empereur et des
Beaux-Arts 10
Le Conservatoire impérial de musique 3
Alexandre (M. Alfred), vice-président au tribunal de
la Seine 1
Auber (M. Daniel-François-Esprit), directeur du Conser-
vatoire impérial de musique ,
Aunier (M"e Alexandrins)
Barbet-Massin (M") , née Guenepin
Béguin-Salomon (Mmo Louise), professeur de piano
Benoist (M. François), professeur d'orgue au Conserva
toire.
Bouton (M™ Pauline)
Busserole (M.), conseiller à la Cour impériale
Bczin (M.)
Caff4relli (M. le comte)
Camus (M. Emile), docteur en médecine
Canneva (M. A.)
Cassard ( Mme )
Catalan (M.)
Chesnay-Beaumetz (Mm), professeur de piano
Clermont (M. de)
Coizeau (M. Jean-Benjamin), docteur en médecine
Colin (M"° Marie), professeur de piano
Cocrcel (M. Valentin de)
Courtat (M.), chef de bureau au ministère des affaires
étrangères
Damcke (M. Berthold), compositeur
Dargent (Mmo Marie)
Delate fils (M. E.)
Delore (M"")
Déroche (M™")
Didot (M. Paul)
Donne (M"e Louise)
Dorus (M. Louis', première flûte à l'Académie impériale
de musique et à la Société des concerts, professeur au
Conservatoire
Drolenvaux (M"° Hélène)
Dumoustier (M. Léon)
Durand ( Mm" Jules)
Érard (Mm« Veuve)
Escudier-Kastner (Mme Bosa), pianiste de S. M. l'Impéra-
trice d'Autriche
Estignard (Mm° M.)
Filippi (M. Joseph de), professeur de langue et de litté-
rature italiennes
Franck (Mlu Léonie)
Gevaert (M. F. -A.), compositeur
Gouffé (M. Achille), première contrebasse à l'Académie
impériale de musique et à la Société des concerts. . . .
Guidou (M.), avoué
Hadamard (Mme)
Hamot (M"°)
Hecht (M. Mtrtil)
Hulot (M.), directeur des timbres-poste
Kastner (M. Georges), membre de l'Institut de France.
Lambert (M. l'abbé Edmond)
Lavenat (M. Victor de) , conseiller d'État
Leclercq ( M. Louis) ,.
Lecocq (M"cs Caroline et Louise)
Lecointe (M"e Adèle)
Le Couppey (M. Félix), professeur de piano au Conserva-
toire impérial
Legouix (M. Napoléon), éditeur de musique
Lemoine (M. Achille), éditeur de musique
Leturc (Mme Achille)
Lévy (M11c Caroline), professeur de piano
Malden (Mlle JosÈruE de)
Mannrerguer (M"")
Marit (Mme Ernestine)
MAnMONTEL (M. A.), professeur de piano au Conservatoire
impérial
Menvielle (M"")
Monduit (M"e Jeanne)
Mongin (M"e Marie), professeur de piano
Navoit (M1" Paul) ,
Neukomm (M. Antoine)
Norblin (M. Emile), de l'Académie impériale demusique.
PARIS.
Ex"
Pajot (M. Henri)
Pascal (M. Edouard)
Paul (M"« F.)
Pfeiffer (M. Georges), professeur de piano
Pierson-Bodin (M"'), professeur de piano et de chant. .
Pont (M. le comte du)
Pdissan (M.), conseiller à la Cour impériale
Refuge ( M. de)
Riglet (Mm0 Victor )
Riottot (M1" Pauline), professeur de piano
Robin (Mm° Adolphe)
Rothschild (M1"' la baronne Natiianiel de )
Rozan ( M™)
R. Z. (M.), chez M. Borrani, libraire
Sayaud (M. Augustin), profesr d'harmonie au Cons'".
Serrier (M.), organisle et compositeur
Steuttel (M.)
Tardieu deMalleville (M""), professeur de piano
Tellefsen (M. T.-D.-A.), professeur de piano
Tournière-Blondeau (M.)
Viardot-Garcia (Mme Pauline)
Wagner (M. Charles), professeur de piano
Waill (M1Ie Eugénie)
Wolff (M.Auguste), chef de la maison Pleyel et Wolff. .
H LOIS.
Thilorier (Mmo G.)
BOaJïiO«XB'>SUR-IVSEK.
Aly (M. Charles), professeur de musique
Gretton (M. G.), organiste :
Guilmant (M. Alex.), organiste et maître de chapelle. .
Kennedy (M"e )
Vale (Mme)
CAKCASSOXWK.
Germa, née de Nugon (Mmc Caroline)
Lacombe (M. Paul)
Rolland du Roquan (M. Charles de)
Scheurer (M. Charles) , organiste de la cathédrale ....
CASTEEUJAUMARY.
Vésian (M. Hyacinthe de) , avocat
CHATEAU ME CERCA1HP (Pas-de-Calais).
Fourment (M™' la baronne de)
CHATEAU ME FORMEiVTIIV (Ca'vados).
Saint-alban (Mlle Louise de)
CHATEAU-DE-VILIiETTE (Aisne).
Oarpentier (M. Stéphane)
CHATEAU-THIERRY .
Brésillion (M . )
CHERBOURG (Hanche).
Auradou (M.G.-M.), ingénieur de la marine
DOUAI.
Boulvin jM.Walter-Albert-Eugène), prof, de musique.
Lagrange (M. le baron de )
HOï.
Brôlemann (M. Arthur)
Hainl (M"? Alice)
Montgolfier (Mme Jenny), professeur de piano
Rivet (M. Théodore)
MARSEILLE.
Le Conservatoire de musique
MELYILLE-KOUPDLLIÈRES (Eure).
Assegond (M. Casimir)
MONTAUBAItT.
Gironde (M„,c la vicomtesse Henry de)
MONTPELLIER.
Adhemar (M. le comte Roger d')
Chabert (M.)
GlNIEZ ( M )
Laurens (M. Joseph-Bonatenture) , agent comptable de
la Facullé de médecine
MUSEAUX, près VAEEKJÇAA (Indre).
JOURNEL (M'nc ALÏHONSINE)
ariORT.
Frappier (M"6 Alfred)
PARC ME SAIÎÏT-MAUR (Seine).
Louis, néeLoizELLiER (Mmc Emile), professeur de piano. .
PERPIGNAN.
Baille (M. Gabriel), organiste et direcleur de l'Orphéon.
Sèbe (M. A.)
RIBEMONT (Aisne).
Bonjour (Mlk Caroline)
UA ROCHELLE.
VlNCENS (Mme)
SAINT- LO (Manche).
Auvray (M™0 Louis)
Chevreux (Mmo Zoé), professeur de piano
TOULON.
Nègre (M"' Rose)
TOULOUSE.
Martin fils aîné (M.), éditeur de musique
LE VERGER ^Maine-et-Loire).
Verger (Mme la baronne du) = . . . .
AESOUL.
Parrot (M.), avocat
te»
3 —
ETRANGER.
BERLIN.
Exempt
Wagner (M. Richard), docteur en médecine. . 1
BOLOGNE.
Le Lycée communal
Gajani (M. Giovanni), compositeur et professeur de piano
Hercolani (M""» la princesse Maria)
Simonetti (Mme la princesse Teresa-Angelelli)
Zucciiini-Brunetti (M"" la comtesse)
Zucchini (M™ la comtesse Matilde)
BRESCIA.
Franchi (Gaetano), professeur 1
BRUXELLES.
Le Conservatoire royal de musique 1
Fétis (M. Joseph-François), maître de chapelle de S. M.
le roi des Belges, et directeur du Conservatoire royal
de musique 1
Dupont (M.), professeur de piano au Conservatoire royal
de musique 1
Jefferys (M. P.-J.-H.) 1
Hauman (M. Adolphe) 1
Lavallée (M.) 1
Lemmens (M.), professeur d'orgue au Conservatoire 1
Vautier (M.), juge au Tribunal de première instance. . . 1
CALCUTTA.
0. von Ernsthausen, Esqre 1
CATANE.
Frataccia (M. Giacoho), libraire 1
CHICHESTER (Angleterre).
Rev. Edward ^Emilius Goddard, M. A. Cantab 1
MIEFELD.
Beckerath ( M. W° VON ) 1
GAND.
Le Conservatoire de musique
Heynderies (M. Max) , professeur de piano au Conserva-
toire
KICHENEV (Bessarabie).
Abaza (M. Valérien d')
LEIPZIG.
Moscheles (M.Ignace), compositeur, professeur de piano
au Conservatoire de musique
LIÈGE.
Terri (M. L.), professeur de chant au Conservatoire de
musique
LISBONNE.
Masoni (M. E.), pianiste-compositeur
LONDRES.
Benedict (M. Jules), compositeur et professeur de piano.
Broadwood (M. H. -F.)
Chappel (M. Arthur)
Egville ( M. Louis d')
Ella (M. J.)
Ewer and C° (MM. J.-J.), éditeurs de musique
Lonsdale (M. C.)
Marshall (Julian), esq
Pauer (M. Ernest), professeur de piano à l'Académie
royale de musique
Rimbault (le docteur Ëdouard-F.), LL. D., membre de
l'Académie royale de musiquede Stockholm, etc., etc.
Sciiott et C° (MM.), éditeurs de musique .
Whittingham (M. Alfred), dealer in Rare Music
MANCHESTER.
Halle (M. Charles) , professeur de piano
MOSCOU.
Honnoré (M. Léon), professeur de piano
RIO DE JANEIRO.
SCHM0LL (M.) •
LE TRÉSOR DES PIANISTES.
Article de M. F.-J. Fétis , maître de chapelle de S. M. le roi des Belges, et directeur
du Conservatoire royal de musique de Bruxelles , extrait du journal Revue et Gazette
musicale de Paris.
(9 Février 1868; H' 6.
LE TRÉSOR DES PIANISTES,
11e ET 12e LIVRAISONS.
Un meilleur titre que Trésor des Pianistes n'aurait pu être
trouvé pour la splendide collection des chefs-d'œuvre dont la
publication a été commencée par feu notre excellent ami
Aristide Farrenc, et que sa veuve, si digne d'intérêt par son
talent viril de compositeur et par les résultats de son ensei-
gnement, continue avec autant de goût et d'intelligence que
d'abnégation. Les éloges que j'ai donnés à cette courageuse
entreprise dans les comptes rendus du contenu des dix pre-
mières livraisons ont été de nouveau justifiés par les onzième
et douzième, où se trouvent réunies des compositions d'une
haute valeur, dont la plupart sont aujourd'hui si rares, qu'il
serait à peu près impossible d'en prendre connaissance si l'é-
diteur du Trésor des Pianistes ne les avait remises en lu-
mière.
Le volume de la onzième livraison renferme : 1° cinq
sonates et quatre rondos pour clavecin, 10e recueil d'Emma-
nuel Bach ; 2° onze sonates de clavecin, en deux suites, par
Christophe Nichelmann; 3° seize pièces de Dominique Scar-
latti (n° 78 à 94); 4° cinq caprices et six suites de Jacques
Froberger, dont la vie fut un roman, et le talent un digne
précurseur de Jean-Sébastien Bach ; S0 et enfin, la première
partie du premier œuvre de musique de clavecin de ce grand
Bach, consistant en exercices divisés en six suites.
Dans la douzième livraison se trouvent : 1° le troisième
livre des pièces de clavecin de François Couperin; 2° une
toccate de Jean Kuhnau; 3° introduction et rondo par J.-N.
Hummel, pour piano, op. 19; 4° diverses pièces de clavecin,
2e et 3e recueils de Philippe Kirnberger; 5° deux sonates de
Vollràth Bnttstedt; 6° six préludes et fugues par Ernest Eber-
lin ; 7° la sonate, œuvre lui, et la grande sonate, œuvre 106,
de Beethoven. C'est le monde de la musique traversé d'un
pôle à l'autre.
Les lecteurs de la Revue et Gazette musicale n'attendent
pas de moi, sans doute, une analyse suivie de tant d'œuvres
de styles si différents; je me bornerai à l'aperçu sommaire
des choses les moins connues aujourd'hui, lesquelles, n'eus-
sent-elles pas le mérite essentiel qui les distingue, seraient
encore dignes d'intérêt, ne fût-ce que par curiosité, à cause
de la renommée historique de leurs auteurs et de leur rareté
excessive.
Je n'ai plus d'éloges nouveaux à donnera Charles-Philippe-
Emmanuel Bach ; je ne pourrais que répéter ce que j'ai dit
plusieurs fois du sentiment exquis de ce grand musicien et de j
son génie d'invention dans la forme. Je ne puis cependant I
résister au désir de signaler à l'attention des artistes la cin-
quième sonate de ce recueil (en fa mineur), où tout est beau, I
original, inspiré, et que couronne si bien la fantaisie en ut !
mineur dont elle est suivie. Nichelmann, qui fut attaché à la I
musique du roi de Prusse Frédéric II, n'a pas laissé un des [
grands noms qui traversent les siècles. Ses inspirations ne
vont pas très-haut, mais elles ont du charme, une certaine
naïveté gracieuse et de l'élégance dans la forme. Il était
d'ailleurs claveciniste, et sa musique, en dépit de son appa-
rente simplicité, n'est pas d'une exécution facile, à cause de
la rapidité des mouvements. La troisième sonate de son pre-
mier œuvre (en ut mineur) a un parfum d'Emmanuel Bach.
Nichelmann a fait un livre qui a pour titre : La Mélodie consi-
dérée en elle-même ainsi que dans ses propriétés (1). Il avait le
droit de parler sur ce sujet, car il était essentiellement mélo-
diste; ses Lieder, pleins de sentiment, sont répandus dans
les recueils de son temps. Son deuxième œuvre de sonates a
paru sous ce titre naïf : Brevi sonate da cembalo all'uso di chi
ama il cembalo, massime délie Dame. Massime délie Dame
aurait dû procurer un succès de vogue à l'œuvre de Nichel-
mann ; mais il est à peu près certain qu'il n'en vint jamais un
exemplaire en France. Imprimée à Nuremberg, en 1749, et
quelques années plus tard, la musique de cet artiste serait à
jamais ignorée si M™e Farrenc ne l'eût fait revivre dans sa
belle collection.
Il n'y a guère de pianiste de talent aujourd'hui qui ne con-
sidère Dominique Scarlatti comme un homme de génie, sauf
ceux de l'école échevelée d'il y a quelques années, qui déjà
sont chauves, et ne laisseront rien dont on se souvienne. Il
paraît donc à peu près inutile de parler de la fécondité d'ins-
piration du célèbre claveciniste, de la variété de ses idées, de
î'originalilé qui a fait de sa musique quelque chose à part;
mais il n'est peut-être pas hors de propos de rappeler que
cette musique si piquante d'effet est l'œuvre d'un artiste mort
il y a cent onze ans, dans un âge avancé.
Artiste de premier ordre, par l'habileté dans l'art d'écrire
comme par le talent d'exécution, Froberger, est sans aucun
doute, le claveciniste le moins connu chez Iesj pianistes de
notre époque; cependant il fut, ainsi que son maître Fresco-
baldi, le créateur de la grande école des instruments à cla-
vier ; car il n'était pas moins remarquable dans ses improvi-
sations sur l'orgue que dans ses pièces pour le clavicorde et
le clavecin. Bien différent des artistes de notre temps, Fro-
berger mourut sans avoir rien publié de ses ouvrages. Des
admirateurs de son talent en firent imprimer deux recueils à
Mayence après son décès, en 1096 et 1714. Les exemplaires
en sont si rares, que j'ai fait chercher en vain ces ouvrages
en Allemagne, depuis un grand nombre d'années. Pour les
insérer dans son Trésor des Pianistes, Mmc Farrenc a dû en
faire prendre des copies collationnées d'après les exemplaires
de la Bibliothèque royale de Berlin.
C'est donc dans le Trésor des Pianistes que les pianistes
peuvent aujourd'hui connaître les titres de Froberger à la
grande renommée qu'il obtint de son temps ; mais après, avoir
lu et exécuté cette musique de grande école, personne ne
(i) Die Mélodie nach ihr
Danlzick, 1755.
'• Wtt
old als nach llircn Eigenschaften,
EXTRAIT DE LA REVUE ET GAZETTE MUSICALE DE PARIS.
sera tenté de lui contester la légitimité de la réputation dont
l'artiste jouit parmi ses contemporains. Prédécesseur de Jean-
Sébastien Bach, il a, comme ce grand homme, l'art d'intro-
duire dans ses caprices fugues des épisodes inattendus dont
s'accroît l'intérêt jusqu'à la fin des pièces. L'harmonie, riche,
pure, a des cadences A'inganno très-piquantes et d'heureuses
modulations. Comme études pour les pianistes, cette musique
a d'ailleurs de l'intérêt, car elle offre d'assez grandes difficul-
tés d'exécution. Dans ses suites, Froberger a des pièces char-
mantes parmi ses allemandes, gigues, courantes et saraban-
des. La sixième suite est particulièrement intéressante par
un air intitulé la Mayerin, avec cinq variations, une courante
et une sarabande sur le même thème.
Les suites de pièces de clavecin de Jean-Sébaslien Bach,
où le génie du maître se montre à chaque page, sont moins
connues en France et en Belgique que ses quarante-huit pré-
ludes et fugues du clavecin bien tempéré ; j e ne puis donc que
féliciter Mme Farrenc de leur avoir donné une place dans son
Trésor des Pianistes, car il n'en existe pas, je crois, d'édition
française. Comme toute sa belle collection, la sienne est
splendide d'exécution typographique et d'une correction irré-
prochable.
Tel est le contenu de la onzième livraison du Trésor, dont
l'intérêt peut être apprécié par ce qui vient d'être dit. La
douzième livraison n'est pas moins digne d'attention par la
variété de style des maîtres dont les compositions y sont
réunies.
Dans les comptes rendus des premières livraisons du
Trésor des Pianistes, j'ai dit ce qui distingue la manière de
François Couperin, dit le grand Couperin, pour le distinguer
des autres membres de sa famille, qui étaient néanmoins
d'habiles artistes. Cette manière, plus mélodique que celles
de maîtres allemands du même temps, se prononce davantage
dans le troisième livre que dans les deux précédents. C'est ce
troisième livre que Mme Farrenc a reproduit dans la douzième
livraison de sa collection. Suivant l'usage de son temps en
France, Couperin ne se bornait pas, comme les clavecinistes
de l'Allemagne, à composer ses suites de préludes, alle-
mandes, courantes, sarabandes, gigues et autres mouvements
de danse; il leur donnait des titres de fantaisie que le carac-
tère de la musique n'explique guère, et dont quelques-uns ne
sont pas exempts de ridicule, comme la Pudeur sous le do-
mino couleur de rose, l'Ardeur sous le domino couleur d'in-
carnat, l'Espérance sous le domino vert, la Persévérance sous
le domino gris de lin, et d'autres de ce genre. Il est évident
que la musique n'a rien à faire avec ces fadaises ; mais, laissant
à part le mauvais goût de ces inscriptions qui appartenait à
la mode du temps de la régence, on comprend que, libre de
ses allures dans cette voie de fantaisie, au lieu de s'astreindre
aux mouvements déterminés de certaines danses, le talent de
Couperin devait se manifester avec plus d'originalité et de
variété. Telles sont en réalité les qualités qui distinguent émi-
nemment ses œuvres et leur assurent une place très-hono-
rable parmi les monuments de l'histoire de l'art. Couperin n'a
pas la force d'harmonie de la grande école allemande de son
temps; mais il aplus de grâce, de charme, d'oppositions heu-
reuses dans les divers caractères de ses morceaux. S'il pro-
cède jusqu'à certain point de l'école française de Chambon ■
nières, il a bien plus d'abondance d'idées, plus d'élégance
dans la forme que ce vieux maître.
Dans mes comptes rendus des premières livraisons du Tré-
sor, j'ai rendu justice au mérite considérable des compositions
de Jean Ruhnau pour le clavecin. Aux pièces déjà publiées de
cet artiste dans cette collection, Mme Farrenc ajoute ici une
toccate très-digne d'intérêt par le caractère dramatique de
toute la première partie, ainsi que par l'élégance du mouve-
ment fugué dont elle est suivie.
L'introduction et rondo de Hummel, qui suit cette toccate,
nous introduit dans une autre province du monde musical :
les allures y sont très-différentes de celles que nous venons
de signaler. Cette composition est l'œuvre dix-neuvième de
l'artiste; je ne la connaissais pas avant de la voir ici, mais j'y
reconnais pourtant le style du maître : cela est mélodique,
gracieux et brillant tour à tour : avec cela un parfum de bonne
harmonie et de distinction qui se sent d'un bout à l'autre.
Des menuets, des polonaises, des danses de divers carac-
tères, des morceaux sans titres, des préludes et des thèmes
variés composent les deuxième et troisième recueils des piè-
ces de Kirnberger, dont j'ai signalé le talent. Tout cela compte
déjà plus d'un siècle d'existence, car les éditions d'où
Mme Farrenc a tiré ces pièces ont paru depuis 1761 jusqu'en
1766. Kirnberger était un savant musicien connu par des
traités d'harmonie et de contre-point qui ont fait sa réputa-
tion; cependant il méritait davantage par ses compositions,
qui sont à peine connues de ses compatriotes. C'est en quel-
qne sorte une réhabilitation que Mme Farrenc procure à cet
ancien maître, en reproduisant des œuvres d'un mérite réel
tombées dans l'oubli.
C'est aussi une sorte de résurrection que la nouvelle pu-
blication dans le Trésor de deux sonates de Franz-Vollrath
Buttstedt, pauvre organiste d'un comte de Weikersheim, dans
la principauté de Hohenlohe. Où diable le talent va-t-il se ni-
cher? On peut le demander à ce propos, car le talent et la
distinction ne sont pas contestables dans ces deux sonates.
Sans vouloir trop insister en faveur du thème des génies in-
connus, on ne peut nier qu'il a existé des hommes heureuse-
ment doués auxquels il n'a manqué que d'être placés dans un
milieu favorable pour développer leurs facultés et fixer sur
eux l'attention générale. Tel fut le pauvre Buttstedt, comme
on pourra en juger par l'exécution de ses sonates.
En 1747 parut à Augsbourg un recueil intitulé : IX Toccate
e fugheper l'Organo, par Jean-Ernest Eberlin. L'auteur, dit
Gerber, était porte-plat et maître de chapelle de l'archevêque
de Salzbourg. En vérité, voilà une singulière réunion de fonc-
tions dans le même homme. Les biographes allemands ne
savent rien de la vie de ce porte-plat, qui fut, sans aucun
doute, un des grands musiciens de l'Allemagne au dix-hui-
tième siècle, quoiqu'on n'en eût jamais entendu parler en
France. Ce fut Clementi qui, dans un voyage en Bavière, dé-
couvrit l'œuvre qui constate le grand talent d'Eberlin; et le fit
connaître en s'empressant de le publier dans sa collection de
pièces rares des grands maîtres pour l'orgue et le clavecin,
qui parut à Londres, en quatre volumes. Dès ce moment l'at-
tention des artistes se fixa sur la valeur considérable de ces
toccates et de ces fugues dont Mme Farrenc donne aujourd'hui
une édition nouvelle et qui figureront toujours parmi les plus
belles choses de ce genre.
Je n'ai point à parler ici des sonates de Beethoven, œuvres
101 et 106; j'en ai dit mon sentiment ailleurs; mais je ne puis
que louer Mms Farrenc de leur avoir donné place dans sa col-
lection, qui doit présenter l'art sous toutes ses formes.
FÉTIS père.
NOTICE BIOGRAPHIQUE
JEAN MATTHESON.
Le savant musicien qui est l'objet de cette notice ne doit être considéré ici que comme compositeur et
claveciniste, quoique ses travaux les plus considérables appartiennent à la littérature musicale. Le nombre
de ses écrits en ce genre est si grand, qu'on a peine à se persuader qu'ils appartiennent à un seul homme :
ils sont à la fois une preuve de l'étendue de son savoir et de sa prodigieuse activité. Les plus importantes de
ces productions seront seules citées dans cette notice.
Né à Hambourg, le 28 septembre 1681, Jean Mattheson apprit la musique dès ses premières années et
reçut des leçons des plus habiles maîtres de cette ville, Hanff, Wohlag, Brunmuller, Prœtorius et Kœrner.
A l'âge de neuf ans, il jouait déjà de l'orgue dans plusieurs églises et chantait dans les concerts des morceaux
de sa composition, en s'accompagnant de la harpe. Il apprit aussi à jouer de la basse de viole, du violon, de
la flûte et du hautbois. Ses études littéraires commencèrent en 1690. Après avoir terminé ses humanités, il
suivit un cours de jurisprudence et apprit les langues anglaise, italienne et française. Ce fut dans le même
temps que Brunmuller, Prœtorius et Kœrner lui enseignèrent l'accompagnement de la basse continue, le contre-
point et la fugue. Il reçut aussi des leçons de chant du maître de chapelle italien Conradi. Pendant les années
1696 et 1697, il chanta les parties de soprano à l'opéra de Kiel. De retour à Hambourg, il donna son pre-
mier opéra, les Pléiades, qui fut représenté en 1699 : Mattheson avait alors dix-huit ans. Vers le même
temps, il entra au théâtre de sa ville natale pour y chanter les rôles de ténor. On ignore s'il montra quelque
talent dans sa carrière dramatique. En 1703, il se lia d'amitié avec Haendel, qui venait d'arriver à Ham-
bourg. Ils firent ensemble le voyage de Lubeck, dans le but de concourir pour la place d'organiste occupée
jusqu'alors par Buxtehude; mais cet artiste célèbre mettant à sa retraite la condition que son successeur
épouserait sa fille, Haendel et Mattheson renoncèrent à cet emploi, dont ils étaient dignes par leur
talent.
L'amitié qui unissait Haendel et Mattheson ne se démentit pas jusqu'à la fin de 1704; mais le 5 décembre
de cette année, pendant une représentation de Cléopâtre, troisième opéra de ce dernier, Haendel était au
2 JEAN MATTHESON.
clavecin lorsque Mattheson, qui jouait le rôle d'Antoine dans son ouvrage, n'ayant plus à paraître dans le
troisième acte, revint à l'orchestre et voulut reprendre sa place de conducteur, conformément à l'usage de
l'Italie, où le maître est au clavecin pendant la représentation de son opéra; mais Haendel, considérant
comme un affront pour lui la prétention de son ami, ne voulut pas céder sa place au clavier. Furieux,
Mattheson l'entraîna hors du théâtre après la représentation. Arrivés dans la rue, tous deux mirent l'épée à
la main, et là, entourés de spectateurs et d'artistes qui les avaient suivis, ils se battirent avec acharnement.
C'en était fait vraisemblablement de la vie de Haendel si l'épée de Mattheson n'eût rencontré sur sa poitrine
un large bouton de métal contre lequel elle se brisa. Par les bons offices d'un conseiller de la ville de Ham-
bourg, cette affaire n'eut pas de suite, et les jeunes artistes furent réconciliés. « Le 30 décembre, dit Mattheson
« dans un de ses ouvrages (1), j'eus l'honneur d'avoir Haendel pour hôte, et le même soir nous assistâmes à
« la répétition de son opéra, Almira, après quoi nous fûmes meilleurs amis que jamais. »
En 1705, Mattheson cessa de paraître sur la scène. Dans la même année, il alla à Brunswick pour écrire
la musique d'un opéra français, intitulé: le Retour de V Age d'Or. Déjà il ressentait les premières atteintes
d'une surdité qui s'accrut progressivement et qui finit par devenir complète. De retour à Hambourg, il fut
nommé gouverneur des fils de l'ambassadeur d'Angleterre, avec qui il fit plusieurs voyages à Leipsig, à
Dresde et en Hollande. A Harlem, on lui offrit la place d'organiste avec quinze cents florins d'appointements ;
mais il ne l'accepta pas. Le père de son pupille lui fit ensuite obtenir l'emploi de secrétaire de la légation
anglaise. En 1709, il épousa la fille d'un ecclésiastique anglais. Les négociations où il fut employé ayant fait
reconnaître en lui autant d'habileté que de prudence, il obtint, en 1712, la place de résident par intérim,
après la mort du titulaire. Depuis plusieurs années, il occupait la place de maître de chapelle de l'église
Saint-Michel, à Hambourg ; mais sa surdité l'obligea à demander sa retraite en 1728; elle lui fut accordée
avec une pension dont il eut la jouissance jusqu'à sa mort, c'est-à-dire pendant trente-six ans. Il cessa de
vivre le 17 avril 1764, à l'âge de quatre-vingt-trois ans. Par son testament, il avait légué à l'église Saint-
Michel une somme de quarante-quatre mille marcs, pour la construction d'un grand orgue qui fut exécuté
par Hildebrand, d'après le plan de Mattheson.
Peu d'hommes ont déployé dans leurs travaux autant d'activité que ce savant musicien. Nonobstant ses
occupations multipliées, ses places d'organiste et de maître de chapelle, ses fonctions de secrétaire de léga-
tion et de résident, enfin, les leçons qu'il donnait à un grand nombre d'élèves, il a composé beaucoup
d'opéras, d'oratorios, de cantates, de pièces instrumentales et vocales ; il a écrit une prodigieuse quantité de
livres, de journaux et de pamphlets relatifs à la musique ; de plus, il a été l'éditeur ou le traducteur de beau-
coup d'autres ouvrages. Sa correspondance était d'ailleurs si étendue, que le nombre de personnes dont il
recevait des lettres, et à qui il écrivait, s'élevait à plus de deux cents.
Les partitions des opéras et de la plupart des oratorios de Mattheson, étant restées en manuscrit, comme
toute la musique allemande de son temps, se sont égarées. Si elles existaient à Hambourg, dans quelque
ancienne collection, elles ont dû périr dans l'immense incendie qui a dévoré la plus grande partie de cette
ville en 1842. Quoi qu'il en soit, dans la liste de ses compositions, on remarque celles dont voici les titres :
1° les Pléiades, opéra (allemand) en trois actes; Hambourg, 1699; 2° Porsenna, idem; ibid., 1702; 3° la
Mort de Pan, idem ; ibid., 1702; 4° Cléopàtre, idem ; ibid., 1704 ; 5° le Retour de. F Âge d'Or; Brunswick,
1705; 6" Boris; Hambourg, 1710; 7° Henri IF, roi de Castille; ibid., 1711. On a publié les airs choisis de
cet opéra; Hambourg, 1711; 8° Prologo per il re Lodovico XF, 1715; 9° vingt-quatre oratorios composés
pour l'église Sainte-Catherine de Hambourg, et exécutés antérieurement à 1728; 10° Pièces de musique
d'église pour le jubilé de 1717, en commémoration de la réformation de Luther; 11° Messe de requiem à
(1) Grundlage einer Ekrenpforte, p. 93.
JEAN MATTHESON. 3
quatre voix et orchestre, exécutée aux funérailles du compositeur; 12° Diverses pièces de musique pour des
cérémonies funèbres, pour des noces et d'autres occasions, au nombre d'environ quinze morceaux ; 13° Epice-
dium, musique funèbre pour la mort du roi de Suède, Charles XII, achevée le 26 février 1719. De toutes
ces productions, je ne connais que l'oratorio Der fur die Sûnden der Welt gemarlerte Jésus (Jésus martyrisé
pour les péchés du monde), dont la partition manuscrite se trouve à la Bibliothèque royale de Berlin. Le style
de cet ouvrage rappelle la manière de Keyser; mais on n'y reconnaît pas la force d'imagination du modèle.
14° Sérénade pour le couronnement du roi d'Angleterre Georges Ier, publiée à Londres en 1714 ; 15° Odeon
morale, jucundumet vitale, recueil de pièces de chant, paroles et musique de Mattheson; Hambourg, 1751.
Les œuvres de musique instrumentale de cet artiste sont celles-ci : 16° douze sonates pour deux ou trois
flûtes; Amsterdam, 1708, trois parties in-fol.; 17° sonates pour le clavecin; Hambourg, 1713; 18° Monument
harmonique, consistant en douze suitespour le clavecin; Londres, 1714. Ce recueil, gravé sur cuivre, porte,
sur un certain nombre d'exemplaires, cet autre titre : Pièces de clavecin en deux volumes, contenant des
ouvertures, préludes, fugues allemandes, courentes (sic), sarabandes, gigues et aires (sic); Londres, J.-B.
Fletcher, 1714, in-fol. Cet ouvrage classe Mattheson parmi les meilleurs compositeurs pour le clavecin; on
y reconnaît dans la plupart des pièces un maître de la grande école allemande du dix-huitième siècle.
19o Le Langage des doigts, recueil de fugues pour le clavecin; première partie; Hambourg, 1735; deuxième
partie; ibid., 1737.
Les écrits de Mattheson sur la musique se divisent en théoriques, didactiques, historiques et polémiques.
Ceux de la seconde et de la troisième classe peuvent seuls intéresser aujourd'hui les artistes et les amateurs.
On n'en citera ici que les principaux. Le premier en date est un traité de l'accompagnement sur les instru-
ments à clavier de la basse chiffrée, appelée autrefois basse continue. Il a pour titre : Exemplarische Orgà-
nisten-Probeim Artikel vom General-Bass, etc. (science pratique de la basse continue, contenant son explica-
tion, mêlée de vingt-quatre exercices, etc.); Hambourg, 1710, 1 vol. in-4°. L'introduction historique de ce
livre renferme des principes d'harmonie, mêlés de calculs sur les proportions numériques des intervalles et
sans indication de la génération des accords, qui ne se trouve dans aucun traité de basse continue publié
antérieurement à 1722, où parut le livre de Rameau sur ce sujet. Le reste du livre est composé de vingt-
quatre exercices de basse chiffrée où l'on ne remarque aucun ordre progressif; chaque exercice est suivi
d'une explication plus ou moins étendue sur les diverses circonstances harmoniques qui s'y rencontrent. La
deuxième édition de l'ouvrage de Mattheson a pour titre : Grosse General-Bass-Schule (grande école de la
basse continue, etc.); il s'y trouve des augmentations considérables, qui en font en quelque sorte un livre
nouveau. Un autre livre de Mattheson, sur le même sujet, est intitulé : Kleine General-Bass-Schule (petite
école de la basse continue). Ce n'est pas, comme on pourrait le croire, un abrégé de l'ouvrage précédent,
mais un véritable traité d'harmonie, précédé des éléments de la musique et de la connaissance du
clavier.
A ces écrits théoriques doit se joindre un autre ouvrage de Mattheson intitulé : Der Vollkommene
Kapellmeister, etc. (le parfait maître de chapelle, etc.); Hambourg, 1739, in-fol. Une bonne préface sert
d'introduction à ce livre qui renferme un traité de l'art d'écrire et de toutes les connaissances nécessaires à
un compositeur et à un maître de chapelle. Le Parfait Maître de chapelle est incontestablement le meilleur
livre sorti des mains de Mattheson. On a aussi de lui un traité de la mélodie {Kern melodisches Wissen-
schaft, etc., c'est-à-dire : Base d'une science mélodique ; Hambourg, 1737 ; 1 vol. in-4°. Mattheson traite
dans cet ouvrage des divers styles de musique d'église, de pièces vocales d'opéra et de chambre; puis des
successions d'intervalles favorables ou défavorables aux voix, de la forme des phrases et du rhythme des
pièces vocales et instrumentales en usage de son temps.
Parmi les ouvrages historiques de ce savant musicien, il en est un qui conserve encore de l'intérêt,
4 JEAN MATTHESON.
parce qu'il concerne la vie et les ouvrages de quelques artistes célèbres des dix-septième et dix-huitième
siècles ; il a pour titre : Base d'un arc de triomphe où se trouvent la vie, les œuvres et le mérite des plus
habiles maîtres de chapelle, compositeurs, savants musiciens, etc. (en allemand); Hambourg, 1740;
1 vol. in-4°. Quant aux nombreux écrits polémiques de Mattheson, ils se rapportent à des questions agitées de
son temps et n'ont plus aujourd'hui d'intérêt.
F.-J. FÉTIS.
17H-
PIECES
de
CLAVECIN
COMPOSÉES
par
Jean MATTHESON
Maître de Chapelle de l'Eglise de S. Michel, à Hambourg.
Tirées des deux volumes de Pièces de cet auteur, gravés a Londres,
en 1744, chez J. D. Fletcher.
PUBLIE PAR [,. FARRENC,— PARIS, 1868.
T. H. P. (41 L.
2 J. MATTHESON.
Prélude
SUITE I.
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SONATE
pour le
PIANO -FORTE,
DÉDIÉE
à M1! Maximiliana BRENTANO
PAR
L. van BEETHOVEN.
(Mvre 109. Prix:
l'UBLIE HAR L. FARKENC,— l'AKIS, 1868
T. d. P (15) 30
L. van BEETHOVEN. Op. 109.
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Vivace nia non troppo. sempre legato
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pour le
PIANO -FORTE
COMPOSEE
par
L. van BEETHOVEN.
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PUBI.llï Mit L. FARRENC,— PARIS, 1868.
T. d P. (15) 31.
L.v;.n BEETHOVEN.Op. 110.
Moderato cautabile molto espressivo.
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PIANO-FORTE,
DEDIEE
A SON ALTESSE IMPERIALE
l'Archiduc RODOLPHE d'Autriche
par
L. van BEETHOVEN.
0>uvre 111. Prix:
PUBLIÉ PAR L. FAKKENC,— PARIS, 1868.
T. <\. P. (15) 32.
636 (2) L.'vapi BEETHOVEN. Op* 111.
Modérai
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HUIT TOCCATES
pour le
CLAVECIN oui' ORGUE
COMPOSEES
par
Jean Jacques F RO BERGER
Organiste de la Cour de Vienne.
Tirées du 1'.' Recueil de ses œuvres (Muyence 1696)
MHLIÉ WK L. FARREIVC,— PAKIS, 1*
T. d. P. (3) 1>. 3.
Jean Jacques FKOBEKGER, 8 Toecates.
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Toccata I.
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CLAVECIN ou F ORGUE
COMPOSEES
par
Jean Jacques F RO BERGER
Organiste de la Cour «!<■ Menue.
(Manuscrit de la Bibliothèque royale de Berlin, livre 4, quatrième partie.)
PUBLIE PAU I FA1IREKC,— PARIS, 1868.
T. d. P '31 1). 4.
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DIX- HUIT FUGUES
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l' ORGUE ou le PIANO
COMPOSEES
par
J. Georges ALBRECHTSBERGER
Maître de Chapelle de l'Église Çathe'drale <le S? Etienne, à Vienne.
(27 RECUEIL)
Ces Fugues sont extraites des œuvres 8, 10, 11, 16 et 17 gravés à Vienne.
PUBLIE PAR L. FAKREiNC, — PARIS, 1868.
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ALBRECHTSBERGER, 18 Fugues, 2V recueil.
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DÉDIÉ À
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par
J. N. HUMMEL
Maître de Chapelle du Grand Due de Saxe-Weimar.
Ouv. 109. Prix:
PUBLIÉ PAK L. FARRENC, — PARIS, 1868.
Propriété de l'Editeur.
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FINE
T. H. P. (16) 1i.
NOTICE BIOGRAPHIQUE
CHARLES-FRÉDÉRIC-GHRÉTIEN FASGH.
L'artiste, objet de cette notice, a offert le phénomène assez rare, mais non sans exemple, d'une organisa-
tion musicale qui n'a point accompli sa destinée, ayant peu produit, et n'ayant pas eu dans ses travaux le
retentissement auquel il pouvait prétendre par son talent naturel. C'est que le talent n'était pas accompagné
de la volonté, condition indispensable du succès. Chez Fasch, l'imagination n'était pas stérile, mais l'âme
était timide et faible.
Fils d'un maître de chapelle fixé à Zerbst, Charles-Frédéric-Christian Fasch naquit dans cette ville, le
18 novembre 1736. D'une constitution faible et maladive, il parut d'abord incapable de toute espèce de
travail manuel ou intellectuel, et liberté entière lui fut laissée ; cependant, disposé par la nature pour la
musique, et constamment excité par les travaux de son père, il composa d'instinct quelques petits morceaux
qu'il exécutait au clavecin lorsqu'il était seul. Cette manifestation des heureuses facultés du jeune Fasch lui
fit accorder les leçons de clavecin qu'il demandait. Le séjour de la campagne ayant d'ailleurs amélioré sa
santé, il lui fut permis de prendre part à la musique qu'on faisait à la cour et à la chapelle du prince. La
solennité du service divin avait fait une vive impression sur son cœur; elle le disposa particulièrement à
écrire pour l'église. Cette disposition se développa quelques années après, lorsqu'il eut occasion d'entendre
avec son père, à Dresde, un ouvrage de musique religieuse composé par Zelenka. L'émotion qu'il en éprouva
fut si profonde, que son père, craignant qu'il ne se convertît à la foi catholique, lui interdit la fréquenta-
tion des églises.
Les progrès de Fasch avaient été rapides sur le clavecin, sur l'orgue et dans la composition; déjà, avant
l'âge de vingt ans, il avait composé plusieurs ouvrages qui donnaient des espérances pour son avenir. La
place de second accompagnateur de la chambre et de claveciniste du roi de Prusse, Frédéric II, étant devenue
vacante en 1756, par la retraite de INichelmann, François Benda, qui avait été charmé de la manière dont il
avait été accompagné par Fasch, à Strelitz, quelque temps auparavant, lui fit obtenir cette position. Ses
fonctions consistaient principalement à accompagner au clavecin, chaque jour, les solos et concertos de flûte
exécutés par le roi, alternant de mois en mois, pour ce service, avec Charles-Philippe-Emmanuel Bach. Ce
début avantageux dans la carrière du jeune artiste semblait lui promettre un bel avenir; mais l'âme de
Fasch manquait d'énergie et ne lui faisait pas faire les efforts nécessaires pour arriver à la réalisation de ce
2 CHARLES-FRËDÉRIC-CHRÉTIEN FASCH.
qu'il pouvait être. La guerre de Sept ans, dont les vicissitudes mirent la Prusse à deux doigts de sa perte,
obligèrent Frédéric à faire des réductions dans les traitements des employés de sa maison ; celui de Fasch,
quoique peu considérable, eut le sort commun. Obligé de chercher des ressources dans les leçons particu-
lières, pour son existence, sa frêle constitution fut un obstacle à ses succès dans l'enseignement. D'autre
part, il avait si peu de confiance en lui-même, qu'il anéantissait ses compositions presque à l'instant même
où elles étaient terminées. C'est ainsi que s'écoulèrent les plus belles années de sa jeunesse, et qu'il finit par
tomber dans le découragement. Pendant une assez longue période de sa vie, son esprit sembla même avoir
perdu l'amour de l'art, pour se porter sur des objets puérils. On le vit passer plusieurs années à imaginer
des stratagèmes qu'il croyait devoir être de grande ressource dans la guerre et dans la marine, et à construire
artistement des maisons de cartes. Devenu superstitieux, il se proposait chaque matin la solution de quelque
problème d'arithmétique pour connaître la portée actuelle de ses facultés ; s'il réussissait du premier coup, il
se croyait en verve pour composer; mais si la preuve lui révélait quelque erreur de calcul, il demeurait
convaincu de son incapacité de faire quelque chose dans le cours de la journée ; il était inquiet, et les heures
s'écoulaient pour lui dans l'oisiveté et dans la mélancolie, ou bien il s'occupait à des énigmes musicales, telles
qu'en faisaient les maîtres des seizième et dix-septième siècles. On connaît de lui, en ce genre, un canon à
cinq sujets et à vingt-cinq voix disposé d'une manière fort ingénieuse.
Une sorte de mécontentement de soi-même est inséparable de l'homme qui n'accomplit pas sa destinée
d'artiste, et cette situation de l'âme conduit à la misanthropie ou au mysticisme. C'est à cette dernière situa-
tion morale que Fasch arriva dans la solitude où sa vie s'écoulait. 11 fut cependant tiré de son inactive
rêverie, lorsqu'en 1774 on le chargea de la direction de la musique de l'Opéra au clavecin: pendant deux
années, il conserva cet emploi, et il ne cessa d'en remplir les fonctions qu'après le retour de Reichardt à
Berlin. Personne moins que lui n'était propre à écrire pour le théâtre ; cependant, à l'âge de cinquante-six
ans, il céda aux instances de quelques amis imprudents et composa un Vasco de Gama (en 1792) qui n'était
qu'une espèce de pasticcio, car tous les chanteurs y introduisirent les airs qu'ils voulurent. Cette faible
production n'eut pas de succès. Fasch aurait mieux réussi dans le style religieux, s'il eût voulu se livrer
sérieusement à ce genre de composition; mais, ainsi qu'il a été dit précédemment, trop défiant de ses forces,
il ne laissa subsister qu'un petit nombre de ses productions. Le plus considérable de ses ouvrages écrits pour
l'église est une messe à seize voix, faite à l'imitation d'une autre, de Benevoli, que Reichardt avait apportée
d'Italie. Cet ouvrage, entrepris en 1783, fut terminé en peu de temps. Le système de Fasch est différent de
celui du maître qu'il imitait, car il avait voulu éviter les licences qu'on trouve dans les productions de
celui-ci, et qui sont admissibles, parce que la multiplicité de mouvements de toutes les parties en absorbe
l'effet. Fasch avait voulu, d'ailleurs, éviter la monotonie du style de Benevoli, au moyen de modu-
lations appartenant à la tonalité moderne; mais ces modulations, incompatibles avec des combinaisons si
compliquées, jetèrent de l'obscurité dans l'ouvrage, et, lorsqu'on voulut l'exécuter, il ne produisit d'autre
effet que celui de la confusion. En vain, les chanteurs firent preuve de patience dans les répétitions, il fallut
renoncer à un résultat satisfaisant.
En 1789, Fasch avait pour élève une demoiselle Dietrich qui l'introduisit chez son beau-père, le conseiller
Milow. Cette maison était habituellement fréquentée par quelques bons amateurs de musique qui donnaient
entre eux de petits concerts de chant d'ensemble. Fasch écrivit plusieurs morceaux pour cette société, dont il
avait pris la direction. Dans l'été de 1790, il commença avec ces amateurs, auxquels plusieurs autres vinrent
se joindre, le noyau d'une société qui, par la suite, est devenue la belle institution appelée Académie de
Chant de Berlin. Fasch s'y dévoua pendant les dix dernières années de sa vie. Zelter, son élève, a complété
l'ouvrage de son maître par des travaux constants pendant trente ans , et l'Académie de chant de Berlin est
devenue, par ses soins, la société de ce genre la mieux organisée et celle qui entre le mieux dans l'esprit des
CHARLES-FRÉDÉRIC-CHRÉTIEN FASCH. 3
compositions qu'elle exécute. C'est à l'organisation de cette institution musicale que Fasch doit la réputation
attachée à sa mémoire et sa gloire la plus solide. Il mourut à Berlin le 3 août 1800. L'année suivante, Zelter
publia une notice sur sa vie et sur ses travaux, ornée de son portrait, dont l'aspect explique toute la vie de
celui qui y est représenté.
La Bibliothèque royale de Berlin possède en manuscrit des cantates spirituelles de Fasch, à quatre voix et
instruments pour les cinquième, sixième, neuvième, dixième et onzième dimanches après la Trinité, ainsi
que des pièces de clavecin. Par reconnaissance pour la mémoire de son bienfaiteur, l'Académie de chant de
Berlin a publié ses œuvres complètes en partition. Ce qui a paru forme sept livraisons qui contiennent des
psaumes allemands à six et à huit voix , des chorals idem , la messe à seize voix et d'autres compositions
religieuses. Quelques lieder et des odes à voix seule du même artiste ont été publiés dans divers recueils. Les
oîuvres de musique instrumentale, composées par Fasch, sont : 1° Andante, avec quatorze variations;
Amsterdam et Berlin, Hummel, 1782; 2° Allegretto pour clavecin; sonatine per il cembalo ; fugue pour
l'orgue; publiés dans le recueil intitulé : Musikalische Mancherley, 1786; 3° quatre sonates pour cla-
vecin; Berlin, Bellstab, 1805, œuvre posthume; 4° plusieurs concertos pour divers instruments, en ma-
nuscrits.
F.-J. FÉTIS.
DEUX SONATES
et
UNE PIÈCE
intitulée: LÀ CECCHINÂ,
pour le
CLAVECIN
COMPOSÉES PAR
F. Chrétien FASCH.
PURME PAR L. FARREINC — PARIS, 1868.
T. (I. P (5) I. 1
2 C. F. Chrétien FASCH, 2 Sonates el 1 Pièce intitulée LA CECCHINA publiées s Hambourg en 1770.
Allegro di molto
Sonate I.
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NOTICE BIOGRAPHIQUE
JEAN-THÉOPHILE GOLDBERG.
11 y a peu de rapports entre le sort des artistes du dix-huitième siècle et celui des habiles du dix-neuvième.
Les premiers n'avaient pas l'art d'occuper d'eux leurs contemporains comme on sait le faire aujourd'hui.
La réclame était inconnue; le musicien, quel que fût son mérite, vivait dans une position suffisante à peine
pour les choses de première nécessité ; il n'imaginait pas qu'il y eût en ce monde d'autre joie, d'autre plaisir,
que celui de cultiver son art et d'élever son talent. En Allemagne particulièrement, le virtuose, ainsi que le
compositeur, n'avait guère d'autre ressource qu'une place dans la maison d'un grand seigneur ou quelque
position obscure de maître de chapelle ; hors du petit cercle dans lequel il vivait, son existence était ignorée,
et lorsque son nom était révélé par ses ouvrages, personne ne s'informait de la situation de leur
auteur.
Goldberg (Jean-Gotslieb ou Théophile) est un des exemples de l'indifférence du monde musical pour un
des clavecinistes les plus remarquables et des compositeurs les plus distingués du siècle. Aucun renseigne-
ment n'a été recueilli sur le lieu ni sur la date de sa naissance, et l'on n'est pas mieux informé de l'époque
où il cessa de vivre. On sait seulement qu'en 1757 il était à Dresde, attaché au service du comte de Bruhl.
Un petit nombre de connaisseurs le considéraient comme un des meilleurs élèves de Jean-Sébastien Bach.
Son caractère était mélancolique et son penchant le portait à l'isolement, ce qui le fit accuser d'orgueil. De
pareils jugements se portent souvent avec légèreté : on ne sait pas ce qu'il y a de souffrance dans l'âme de
l'artiste qui a la conscience de ce qu'il vaut et qui se voit condamné à végéter dans une situation peu digne
de son mérite.
Tout ce que Goldberg a écrit est d'un grand style et offre beaucoup de difficultés dans la manière de Bach ;
il avait cependant l'habitude d'appeler ses ouvrages des Bagatelles pour les dames. Toutes ses compositions
sont restées en manuscrit : elles consistent en plusieurs concertos pour le clavecin, dont un en mi bémol et
un autre en ré mineur, des préludes et fugues pour le même instrument, vingt-quatre polonaises, une
sonate avec un menuet et douze variations, et six trios pour flûte, violon et basse. La Bibliothèque de
2 JEAN-THÉOPHILE GOLDBERG.
Berlin possède de cet artiste des préludes et fugues pour clavecin ou orgue, et, en manuscrits originaux, un
motet allemand à six voix, deux violons, deux altos, basse et orgue, ainsi que le douzième psaume à quatre
voix, deux violons, alto et basse.
Goldberg paraît avoir vécu de 1720 à 1760. Reichardt a donné de grands éloges à son talent; il le consi-
dérait comme un musicien d'un ordre supérieur.
F.-J. FÉT1S.
PRELUDE et FUGUE
pour le
CLAVECIN
COMPOSÉS
par
Jean Théophile GOLDBERG.
PUBLIE PAR L. FARRKNC, — PARIS, 1868.
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