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Full text of "Mémoires de l'Académie royale des sciences"

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TABLE 

GÉNÉRALE 

DES  MATIÈRES. 


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TABLE 

GÉNÉRALE 

DES  MATIÈRES 

Contenues  dans  l'Histoire  et  dans  les  Mémoires 
de  l'Académie  Rojale  des  Sciences; 

Avec  la  Table  alphabétique  des  Noms  des  Auteurs. 
1781 1790- 

Par  M.  COTTE ,  ancien  Correspondant  de  rAoade'mie  Royale  des 
,,^/  Sciences,  Correspondant  de  l'Institut  de  France,  des  Sociétés 

"  ^  d'Agriculture  des  dëparlemens  de  la  Seine  et  de  Seine  et  Oise, 

Associé  de  la  Société  des  Naturalistes ,  des  Sociétés  de  Méde- 
cine et  de  l'Ecole  de  Médecine  de  Paris,  de  la  Société  libre 
d'Emulation  d'Abbeville ,  de  l'Académie  du  département  du 
Gard,  Correspondant  de  la  Société  d'Amateurs  des  Sciences  et 
Arts  de  Lille, Membre  correspondant  de  l'Académie  des  Sciences 
de  Munich,  de  la  Société  Météorologique  de  Manheim. 


TOME    X. 


A  PARIS, 


Chez  BACHELIER,  Libraire,  quai  des  Auguslins,  n"  55. 
M.  D.  CGC.  IX. 


AVIS. 

Le  même  Libraiie  vend  séparément  tous  les  volumes  des  Mé- 
moires de  l'Académie  des  Sciences ,  depuis  l'année  i666  jus- 
qu'en 1790,  dernière  année  de  cette  Collection.  11  sépare  égale- 
ment les  volumes  de  Table,  ceux  ilits  Safons  étrangers,  formant 
1 1  volumes,  les  trois  derniers  volumes  des  Prix,  tomes  y,  8  et  g, 
et  le  Recueil  des  IMachines  approuvées  par  l'Académie,  composé 
de  7  volumes  avec  495  planches.  Le  tome  7'  seulement  se  vend 
séparément.  Toutes  ces  parties  réunies  et  quelques  autres  volumes 
des  Mémoires  (voyez  la  page  vij  des  Notices),  foi-ment  la  Collec- 
tion complète  de  X Histoire  et  des  Mémoires  de  l' Académie  royale 
des  Sciences. 

Le  prix  de  ces  volumes,  ensemble  et  séparément,  se  trouve 
sur  son  Catalogue  qu'il  distiùbue  gratis. 


NOTICES 


SUR  CETTE  TABLE,  ET  SUR  LES  DIFFÉrENS  OU- 
VRAGES PUBLIÉS  PAR  l'académie  ROYALE 
DES    SCIENCES. 


-L'E  volume  de  Tables  que  Je  publie  complète  la 
Collection  des  Mémoires  de  l'Académie  Royale 
des  Sciences  qui  se  termine  à  l'année  1790.  Je 
vais  donner  ici  plusieurs  Notices  relatives  à  cette 
Table  et  aux  travaux  utiles  de  l'Académie ,  dont 
le  zèle  ne  s'est  jamais  ralenti ,  quoiqu'elle  ait  eu 
1 28  années  d'existence ,  depuis  1 666  jusqu'en  1 795.- 
Je  parlerai,  1°  des  Tables  générales  des  Matières 
publiées  successivement  par  M.  Godin  et  par 
M.  Demours ,  dont  ce  volume  est  le  complément, 
et  des  Tables  données  au  Public  par  M.  l'Abbé 
Rosier;  2".  de  ce  qui  forme  la  Collection  des 
Mémoires  de  l'Académie  ;  5".  de  la  Connoissance 
desTemps,  publiée  aussi  chaque  année  par  l'Aca- 
démie ;  4".  de  la  Description  des  Arts  et  Métiers  ; 
5°.  de  l'origine  et  de  la  suppression  de  l'Académie 
royale  des  Sciences. 

1".  Tables  générales  des  Matières  contenues  dans  les 
Mémoires  de  l'Académie. 

M.  Godin  et  M.  Demours  père  ,  Médecin-ocu- 
liste du  Roi ,  membres  de  l'Académie ,  ont  publié 
neuf  volumes  de  Tables  qui  coraiDrennent  les  Mé- 


ij  NOTICES. 

moires  de  l'Académie ,  depuis  1666  jusqu'en  1780 
inclusivement.  Cette  Table,  qui  est  très-bien  faite, 
n'est  pas  une  simple  nomenclature  des  titres  des 
Mémoiz'es  et  des  Observations  ;  c'est  une  Table 
raisonnée  et  analytique  des  matières  contenues 
dans  l'Histoire  et  dans  les  Mémoires,  Les  auteurs 
ont  suivi  les  grandes  divisions  qui  partagent  la 
partie  historique  de  chaque  volume  jusqu'en  1 783, 
époque  où  l'on  a  cessé  de  donner  dans  l'Histoire 
la  Notice  des  Mémoires  qui  composent  la  seconde 
partie  des  volumes. 

Je  me  suis  fait  un  devoir  de  suivre  le  même 
ordre  dans  ce  dixième  volume  :  je  me  suis  seule- 
ment permis  de  faire  quelques  changemens  dans 
les  soudivisions  dont  je  vais  rendre  compte.  Voici 
d'abord  l'ordre  des  divisions  que  j'ai  adopté,  par 
ordre  alphabétique  : 

Académie. 

Algèbre  et  Analyse. 

Anatomie. 

Astronomie. 

Botanique  et  Agriculture. 

Chimie. 

Géographie  et  Navigation. 

Histoire  naturelle  des  animaux. 

Mécanique  et  Arts. 

Médecine  et  Chirurgie. 

Météorologie. 

OEconomie. 

Physique  générale. 

Cet  ordre  est  relatif  aux  matières  contenues 


NOTICES.  iij 

clans  les  dix  volumes  qui  sont  l'objet  de  cette 
Table. 

Voici  maintenant  les  soudivisions  que  j'ai  cru 
devoir  introduire  : 

1°.  Sous  chaque  division  principale,  j'ai  rangé 
par  ordre  alphabétique  les  mots  et  matières  qui 
appartiennent  à  cette  division. 

oP.  J'ai  soudivisé  le  mot  Académie  en  autant 
d'articles  qui  conviennent  en  général  au  Corps 
de  l'Académie  entier ,  par  exemple  : 

Académie.  Réglemens. 

Séances  remarquables. 

Eloges  des  Académiciensmorts  (J'en 
ai  rangé  les  noms  par  ordre  aljjha- 
bé  tique.) 

Ouvrages  présentés  et  sujets  de  prix. 

Machines  approuvées. 

Société  Royale  de  Montpellier. 

Savansétrangers.(J'aidistribuéaussi 
les  noms  par  ordre  alphabétique  , 
suivis  chacun  des  titres  des  Mé  - 
moires  qui  leur  appartiennent.  ) 

3°.  J'ai  soudivisé  l'article  Astronomie  àe  ma- 
nière que  l'on  trouvât  par  ordre  ce  qui  est  relatif 
à  chaque  objet  qui  concerne  cette  science.  Eu 
voici  le  Tableau  : 

Astronomie.  Théorie. 

Soleil.       Théorie. 

Eclipses. 

Lune.       Théorie. 


iv  NOTICES. 

Astronomie;  Lune.       Eclipses. 

Occultations  d'étoiles. 
Planètes.  Théorie. 

Herschel  ou  Uranus. 

Saturne ,  satell. ,  anneau» 

Jupiter ,  satellites. 

Mars. 

Terre. 

Vénus. 

Mercure. 
Comètes. 
Etoiles. 

4",  J'ai  formé  une  Table  particulière  et  alpha- 
bétique des  noms  des  auteurs ,  suivis  des  titres 
des  Mémoires  et  des  Observations  qui  appartien- 
nent à  chacun  de  ces  auteurs. 

En  analysant  les  Mémoires ,  j'ai  tâché  d'être 
court,  et  cependant  de  n'omettre  aucun  des  traits 
essentiels  propres  à  donner  des  Mémoires  une  idée 
aussi  exacte  qu'il  est  possible  de  le  faire  dans  une 
Table  raisonnée  des  matières.  J'espère  que  ces 
petits  changemens ,  que  j'ai  introduits  dans  ce  der- 
nier volume  de  Tables  ,  contribueront  à  le  rendre 
plus  commode  et  par  conséquent  plus  utile  ;  car 
c'est-là  le  principal  but  de  ces  sortes  d'ouvrages, 
qui  supposent  dans  leurs  auteurs  de  l'exactitude 
et  l'esprit  d'analyse.  Trop  heureux  si  je  puis  épar- 
gner aux  savans  qui  la  consulteront  un  temps  pré- 
cieux qu'ils  perdroient  en  recherches  !  Chaqvie 
ouvrage  doit  avoir  son  genre  d'utilité. 


NOTICES.  V 

Tables  de  M.  l'Abbé  Rozier. 

M.  l'abbé  Rozier,  l'auteur  estimable  du  Cours 
complet  d'Agriculture  et  le  fondateur  du  Journal 
de  Physique  en  1771  ,  a  publié  en  1776  une  nou- 
velle Table  des  articles  contenus  dans  les  volumes 
de  r Académie  des  Sciences  jusqu'en  1770  inclu- 
sivement ;  dans  les  Mémoires  des  Savans  étrangers 
qui  formoient  alors  six  volumes  in-4''  ;  dans  les 
huit  volumes  de  prix;  dans  les  six  volumes  des 
Machines  approuvées  par  l'Académie;  dans  71 
cahiers  in-foî.  de  la  Description  des  Arts  et  Mé- 
tiers ,  et  dans  douze  volumes  in-4"  de  la  Collection 
académique  qui  paroissoient  alors.  On  trouve  à 
la  tète  du  premier  volume  àes  quatre  qui  com- 
posent l'ouvrage  de  format  in-4° ,  un  Tableau 
chronologique  de  l'Académie  Royale  des  Sciences 
dressé  par  M.  de  Fouchy  ,  alors  Secrétaire  per- 
pétuel depuis  son  établissement  en  1666  jus- 
qu'en 1774.  M.  l'Abbé  Rozier  a  eu  l'attention  de 
ne  faire  imprimer  chaque  folio  que  d'un  côté  , 
de  manière  qu'il  reste  autant  de  pages  blanches 
et  toutes  réglées  que  d'imprimées ,'  et  prêtes  à 
recevoir  les  matières  qui  dévoient  composer  la 
suite  de  tous  ces  ouvrages.  Cette  Table  est  faite 
avec  beaucoup  de  soin  ,  elle  est  fort  utile  aux 
savans  qui  ont  souvent  besoin  de  consulter  les 
ouvrages  dont  elle  présente  les  titres  de  chaque 
Mémoire  ou  Observations  rangés  selon  un  ordre 
méthodique  qui  en  facilite  l'usage.  Elle  épargne 
beaucoup  de  temps  employé  inutilement  enVe- 
eherches  souyent  infructueuses,   . 


vj  NOTICES. 

L'auteur  a  fait  une  Table  séparée  des  noms  des 
auteurs  rangés  par  ordre  alphabétique,  à  la  suite 
desquels  on  trouve  les  titres  des  Mémoires  et  des 
Observations  qui  leur  appartiennent ,  et  tous  les 
renseignemens  qu'il  a  pu  se  procurer  à  leur  sujet 
et  sur  leurs  autres  ouvrages.  Cette  Table  est  un 
nouveau  service  que  M.  TAbbé  Rozier  a  rendu 
aux  savans ,  et  elle  ne  dépare  pas  les  ouvrages  esti- 
mables dont  il  a  enrichi  la  république  des  lettres. 

z°.  Collection  des  Mémoires  de  l'Académie  Royale 
des  Sciences. 

La  Collection  desMémoires  de  l'Académie  forme 
cent  quarante-deux  volumes  in-4°  ,  en  y  compre- 
nant les  autres  ouvrages  qui  en  dépendent  ;  savoir  : 

Onze  volumes  en  quatorze  parties  depuis  son 
établissement  en  1666  jusqu'à  son  renouvelle- 
ment en  1699  exclusivement.  Ces  onze  volumes 
sont  connus  sous  le  nom  d'anciens  Mémoires. 

Regiœ  Scietitiaruni  Academiœ  Historia.  Aut. 
Duhamel ,  1  vol. 

Quatre-vingt-treize  volumes  depuis  1699  jus- 
qu'en 1790,  parce  que  l'année  1772  a  deux  vol. 
ou  deux  parties.  Tous  ces  volumes  sont  sortis  en 
grande  partie  des  presses  de  l'Imprimerie  Royale , 
les  années  1789  et  1790  ont  été  imprimés  par 
M.  Dupont  de  Nemours. 

Onze  volumes  de  Mémoires  présentés  par  des 
savans  étrangers.  Cette  Collection  a  commencé 
en  1 760.  Sept  volumes  ont  été  imprimés  à  l'Impri- 
merie Royale ,  les  quatre  autres  l'ont  été  dans 


NOTICES.  vlj 

d'autres  iraprimeries  ,  ainsi  que   les   ouvrages 
suivans. 

Neuf  volumes  de  prix  ;  la  suite  se  trouve  dans 
les  cinq  derniers  volumes  des  savans  étrangers. 

Sept  volumes  de  Machines  approuvées  par 
l'Académie  jusqu'en  1769. 

Dix  volumes  deTables  en  y  comprenant  celui-ci. 

Cette  Collection  a  été  réimprimée  en  partie  en 
Hollande ,  soit  sous  le  format  in-4°  ,  soit  sous  le 
format  in-12.  M.Panckouke,  libraire,  a  continué 
cette  dernière  édition.  On  a  publié  aussi  un  Choix 
des  Mémoires  de  l'Académie  dans  la  Collection 
académique ,  partie  française. 

Les  ouvrages  suivans  sont  réputés  faire  suite 
aux  Mémoires  de  l'Académie ,  dont  ils  portent  la 
vignette  à  la  première  page. 

Grandeur  de  la  terre,  par  M.  Picard,  1  vol. 

Elémens  de  la  Géométrie  de  l'infmi ,  par  M.  de 
Fontenelle,  1  vol. 

Traité  de  l'Aurore  boréale ,  par  M.  de  Mairan , 
1  Vol. 

Mémoires  de  Mathématiques ,  par  M.  Fontaine, 

1  vol. 

Elémens  etTables  d'astronomie,  parM.Cflwwzi, 

2  vol. 

Figure  de  la  Terre,  par  M.  Bouguer,  1  vol. 

Traité  et  Mémoires  sur  la  Météorologie ,  par 
M.  Co^^e,  3  vol. 

Journal  d'un  voyage  à  l'équateur  ,  par  Lacon- 
damine. 

Mesure  des  trois  premiers  degrés  du  méridien , 
par  le  même. 


viij  NOTICES. 

Ainsi  la  Collection  complète  est  de  i55  vol. , 
mais  ces  douze  derniers  volumes  n'en  font  point 
partie  essentielle. 

3°.  Connaissance  des  Temps. 

Les  Ephémérides  publiées  chaque  année  par 
l'Académie  des  Sciences  sont  connues  sous  le  nom 
de  Connoissance  des  Temps  ;  de  1784  à  1786,  on 
a  ajouté  au  titre  Connoissance  des  rnoiweînens 
célestes,  et  en  1787,  Exposition  des  moiiveniens 
célestes.  Depuis  1806  (an  xiv),  on  lui  a  rendu 
le  titre  de  Connoissance  des  Temps  i,  ou  des  mou- 
vemens  célestes,  et  on  l'a  imprimée  sous  le  format 
in-8 ,  grand  papier  ;  auparavant  cet  ouvrage  pa- 
roissoit  sous  celui  d'in-8"  ,  petit  papier.  Il  a  été 
publié  à  la  fin  du  xvii'^  siècle  ,  sous  le  format 
in-4°,  ensuite  pendant  un  certain  nombre  d'années 
50US  celui  d'in-12  ,  petit  papier  et  fort  mince.  Il 
a  presque  toujours  été  imprimé  à  l'Imprimerie 
Royale.  L'année  1796  (an  m),  est  sortie  des  presses 
de  M.  Dupont  de  Nemours. 

La  Connoissance  des  Temps  a  paru  pour  la 
première  fois  en  167g.  Picard,  un  des  plus  habiles 
Astronomes  du  xvn^  siècle  ,  et  Lefehvre^  firent  les 
premiers  volumes  ;  Lieutaud  commença  en  1702  , 
Godin  en  1760  ,  Maraldi  en  1735  ,  Lalande  en 
1760  ,  Jeaurat  en  1776  ,  et  Méchain  en  1788  jus- 
qu'en 1794.  L'année  1796  ne  porte  2:)oint  de  nom 
d'auteur  ,  et  depuis  1796  jusqu'à  l'année  1810  qui 
vient  de  paroitre  ,  c'est  le  Bureau  des  Longitudes 
qui  publie  cet  ouvrage ,  comj^osé  actuellement  de 
102  volumes. 

Il 


NOTICES.  ïx 

Il  a  commencé  à  devenir  beaucoup  plus  inté- 
ressant en  1760,  lorsqu'il  est  tombé  entre  les  mains 
de  M.  Lalande,  et  ses  successeurs  ont  continué  à 
le  rendre  d'une  utilité  majeure  pour  les  Astro- 
nomes. On  y  a  fait  entrer  depuis  1 760  un  Abrégé 
de  tout  ce  qui  s'est  fait  de  plus  intéressant  pour 
l'Astronomie  et  la  Navigation,  et  depuis  1806  le 
détail  des  observations  journalières  qui  se  font  à 
l'Observatoire. 

En  1 789  on  ajouta  au  titre  :  ^  l'usage  des  Astro- 
nomes  et  des  Navigateurs ,  avec  des  additions  ,  de 
manière  que  depuis  cette  époque  cet  ouvrage  est 
divisé  en  deux  parties  :  la  première  intéresse  par- 
ticulièrement les  Navigateurs  ;  la  seconde  est  des- 
tinée jDrincipalemcnt  à  l'usage  des  Astronomes. 
La  première  partie  peut  se  séparer  des  additions 
et  suffit  aux  Navigateurs.  Les  Tables  et  autres 
détails  contenus  dans  les  additions  rendent  ce 
livre  d'un  usage  plus  durable  et  plus  étendu,  et 
d'un  plus  grand  secours  aux  Astronomes. 

Dans  le  volume  de  1806  (anxiv),  j'ai  donné 
une  Table  alphabétique  des  Matières  et  des  Tables 
contenues  dans  les  'volumes  de  la  Connoissance 
des  Temps,  depuis  ij&o  jusqu'en  i8o5  inclusive- 
ment. J'ai  inséré  aussi  dans  plusieurs  volumes  un 
grand  nombre  de  résultats  d' obsei^vations  météo- 
rologiques et  de  la  déclinaison  diurne  de  V aiguille 
aimantée ,  depuis  1772  jusqu'en  1783  ,  époque  où 
l'on  a  publié  le  Tableau  météorologique  de  l'Ob- 
servatoire. Mes  observations  se  trouvent  dans  les 
volumes  de  1776  à  1787. 


X  NOTICES. 

4".  Description  des  Arts  et  Métiers. 

L'Académie  des  Sciences  ,  dès  son  origine  en 
1666,  conçut  le  projet  d'examiner  et  de  décrire 
successivement  toutes  les  opérations  des  arts  mé- 
caniques^ persuadée  que  cette  entreprise  pouvoit 
ëgaleanent  contribuer  à  leurs  progrès  et  à  celui 
des  sciences.  Elle  s'est  toujours  occupée  à  rassem- 
bler des  matériaux  pour  parvenir  à  son  but.  M.  de 
Réawnur  avoit  été  cliargé  de  réunir  un  assez  grand 
nombre  de  Mémoii'es  déjà  faits  par  plusieurs  Aca- 
démiciens, ainsi  que  d'autres  envoyés  des  diffé- 
rentes provinces  de  la  France  ou  des  pays  étran- 
gers. M.  Duhamel  du  Monceau  seconda  le  zèle 
de  M.  de  Réawnur,  et  dès  1769  l'Académie  se 
trouvoit  en  possession  de  beaucoup  de  matériaux 
contenant  les  descriptions  d'un  grand  nombre 
d'arts  et  de  plus  de  200  planches  gravées  servant 
à  la  description  de  ces  arts.  Ces  matériaux  furent 
distribués  dans  cette  année  aux  Académiciens  dont 
les  études  s'étoient  portées  principalement  du  côté 
de  la  mécanique  et  de  la  physique  ;  et  en  1761  , 
l'Académie  publia  sous  le  format  in-folio  le  pre- 
ïnier  art  qui  est  celui  du  cliarbonnier  ,  ou  Vart  de 
faire  le  charbon  de  bois ,  dont  l'auteur  est  INI.  Du- 
hamel du  Monceau.  La  description  des  autres  arts 
a  suivi  celui-ci  assez  rapidement  et  sans  inter- 
ruption jusqu'à  l'époque  de  la  suppression  de 
l'Académie  en  1793. 

L'Institut  de  France  ne  fut  pas  plutôt  établi 
<^n  1796  j  que  la  Classe  des  Sciences  physiques  et 


NOTICES.  xj 

matliématiquos  qui  remplaçoit  l'Acadéniie  des 
Sciences ,  et  "qui  étoit  composée  en  grande  partie 
des  anciens  membres  de  cette  illustre  Compagnie , 
arrêta  qu'elle  continueroit  ce  travail  que  l'Aca- 
démie avoit  déjà  fort  avancé.  La  Classe  publia 
une  liste  de  tous  les  arts  décrits  jusqu'à  ce  jour 
par  l'Académie ,  et  elle  la  fît  suivre  de  celle  des 
arts  non  décrits  ,  et  dont  elle  se  proposoit  de 
donner  successivement  la  description ,  pour  com^ 
pléter  le  travail  intéressant  du  Corps  respectable 
aucjuel  elle  succédoit  (i). 

Il  a  paru  une  nouvelle  édition  in-4°  des  arts 
décrits  par  l'Académie ,  avec  des  additions  im- 
primés à  Neuchâtel. 

Je  vais  donner  ici  les  deux  listes  dont  je  viens 
de  parler,  telles  que  la  Classe  des  Sciences  phy- 
ques  et  mathématiques  les  a  publiées.  Le  zèle  des 
membres  qui  composent  cette  Classe  est  assez 
connu  pour  qu'il  y  ait  lieu  d'espérer  de  voir 
terminer  une  aussi  belle  entreprise,  dont  l'Aca- 
démie n'a  cessé  de  s'occuper  sans  négliger  ses 
autres  travaux. 

(i)  Voyez  Programme  pour  la  continuation  de  la  des- 
cription des  Arts,  publié  et  distribué  dans  la  séance 
publique  du  i5  vendémiaire  an  vu  (octobre  1798)  de 
la  Classe  des  Sciences  mathématiques  et  physiques  de 
l'Institut;  il  y  est  dit  que  «  l'Institut  national  est  chargé, 
))  par  la  loi  qui  l'organise,  de  continuer  la  description 
»  des  Arts  commencée  par  l'Académie  des  Sciences ,  etc.  » 


xij  NOTICES. 

Liste  alphabétique  des  Arts  et  Métiers  dont  la  descrip- 
tien  a  été lubliée  par  l'Académie  des  Sciences. 

Amidon  (Yahnque  àeV) , par DuhamelduMonceau. 
Akcres  (Fabr.  des) ,  par  Réaumur,  avec  des  notes 

et  des  additions  par  Duhamel  du  Monceau. 
Ardoises  (Exploitât,  des  carrières  d'),  par  Fou^e- 

roux  de  Bondaroy. 
Blé  et  autres  grains  (  Battage  du),  non  adopté  par 

l'Académie. 
Boulanger  (Art  du),  par  Malouin. 
Boulangerie  et  Meunerie  (Histoire  abrégée  de 

l'origine  et  des  progrès  de  la) ,  par  Malouin. 
Bourrelier  et  Sellier  (Arts  des),  première  et 

seconde  Section  ,  par  de  Garsault. 
Brodeur  (Art  du),  par  de  Saint-Aubin. 
Cartier  (Art  du),  par  Duhamel  du  Monceau. 
Cartonnier  (Art du),  par  de  Lalande. 
Chamoiseur  f  Art  du),  par  le  même. 
Chandelier  (  Art  du),  par  Duhamel  du  Monceau. 
Chapelier  (  Art  du) ,  par  l'Abbé  Nollet. 
Charbonnier  (  Art  du) ,  par  Duhamel  du  Monceau , 

additions  et  corrections  relatives  à  cet  art,  par 

le  même. 
Charbon  DE  terre  (Art  d'exploiter  les  mines  de), 

par  Morand,  médecin,  deux  Parties  et  quatre 

Sections. 
Chaufournier  (Art du),  par  Fourcroy  de  Rame- 
court. 
CiRiER  (Art  du),  par  Duhamel  du  Monceau.- 
Colles  (Art  de  faire  diliérentes  sortes  de),  par  le 

même. 
Cordonnier  (Art  du),  par  de  Garsault. 
Corroyeur  (Art  du),  par  de  Lalande. 


NOTICES.  xilj 

Coutelier  (  Art  du) ,  deux  Parties,  deux  Sections, 

par  J.  J.  Perret. 
Coutelier  (Art  du),  en  ouvrages  communs,  par 

Fougeroux  de  Bondaroy. 
Couvre  QR  (  Art  du  ) ,  par  Duhamel  du  Monceau. 
Criblier  (Art  du),  suite  du  parcheminier ,  par 

Fougeroux  d'Angerville. 
Cuirs  dorés  ou  argentés  (Art  de  travailler  les), 

par  Fougeroux  de  Bondaroy. 
Cuivre  et  Potin  (de  la  fonte  et  de  l'afBnage  du), 

par  Duhamel  du  Monceau. 
Cuivre  rouge  ou  Cuivre  de  rosette  (Art  de 

convertir  le)  en  laiton  ou  cuivre  jaune,  cinq 

Parties,  par  Gallon. 
Distillateur  d'e  au-eorte  (  Art  du) ,  troisParties , 

par  de  Machy. 
DiSTiLLATEUR-LiQUORiSTE  (Art  du), trois  Parties, 

par  le  même. 
Draperie  (Art  de  la),  par  Duhamel  du  Monceau- 
Enclumes  (de  la  forge  des),  par  le  même. 
Epinglier  (Art  de  1') ,  par  de  Réaumur,  avec  addi- 
tions de  Duhamel  du  Monceau. 
Etoffes  en  laine  (Art  de  friser  ou  ratiner  les), 

par  Duhamel  du  Monceau. 
Etoffes  en  laine  (  Art  du  fabr.  d' ) ,  deuxParties, 

art  de  les  préparer  et  de  les  imprimer ,  par  Roland 

de  la  Platière. 
Etoffes  de  soie  (Art  du  fabricant  d'),  six  Parties, 

seconde  Section  de  la  6"=  Partie,  7^  Section  de  la 

l''^  Partie ,  7^  Section ,  3^  division  de  la  l^"^  Partie , 

par  Paulet. 
Fer  FONDU  (Nouvel  art  d'adoucir  le  ),  par  de 
.    Réaumur. 
Fer  réduit  en  fil  d'archal  (Art  de  faire  le), 

par  Duhamel  du  Monceau. 


XIV  NOTICES. 

Forges  et  FoL'R:yEAUx  a  fer  (Art des),  quatre 

Sections,  par  de  Courtivron  et  Bou  lier.  —  Traité 

DU  Fer,  par  Swedenborg. 
ÏTo>'GROYEUR  (Art  de  1')^  par  de  Lalande. 
Indigotier  (  Art  de  1") ,  par  de  Beauvais-Raseau. 
Ijvstrumens  d'Astronomie  (Description  et  usage 

des  principaux),  par  Lemonnier. 
Ikstrumens  de  Mathématiques  et  d'Astro- 
nomie  (  Nouvelle  méthode  pour  diviser  les  ) , 

par  le  Duc  de  Chaulncs. 
Layetier  (  Art  du  ) ,  par  Roubo. 
Lingère  (Art  de  la),  par  de  Garsault. 
Maçonnerie  (Art  de  la), par  Lucotte,  Architecte. 
Maroquin  (Art  de  faire  le) ,  par  de  Lalande. 
]Mature  (Description  de  l'art  de  la),  par  Romme. 
MÉGissiER  (Art  du),  par  de  Lalande. 
Menuisier  (Art  du),  par  Roubo  fils,  première 

Partie ,  Suppl.  seconde  Partie. 
Menuisier-Carrossier,  par  le  môme, première 

Section ,  troisième  Partie. 
Menuisier-Ebéniste  ,  par  le  même  ,  troisième 

Section ,  troisième  Partie. 
Menuisier-Treillageur,  parle  même,  4^  Part. 
Microscope  (  Description  d'un  )  et  de  difierens 

Micromètres,  par  le  Duc  de  Chaulnes. 
Orgues  (Art  du  facteur  d') ,  par  D.  Bédos  de  Celles, 

i",  2%  3«  et  4^  Parties. 
Papier  (Art  de  faire  le),  par  de  Lalande. 
Parchemin  (Art  de  faire  le) ,  par  le  même. 
Paumier-Raqubtier  et  de  la  Paume  (L'Art  du), 

par  de  Garsault. 
Peinture  sur  verre  (Art  de  la)etde  la  Vitrerie, 

deux  Parties.  Troisième  Partie ,  l'Art  du  Vitrier, 

par  Le  Vieil. 
Perruquier  (L'Art  du),  par  de  Garsault. 


NOTICES.  XV 

PÈCHES  (Traité  des),  par  Duhamel  du  Monceau, 
l'e  Partie ,  V'%  2%  3"  8ect.  j  u"  Partie ,  f^  2%  3^  Sect. 
Suite  de  la  3^  Sect.  ;  suite  de  la  2^  Part. ,  Sect.  4,5, 
6,  7  ,  8 ,  9  et  10. 

Pipes  a  fumer  le  tabac  (Art  de  faire  les),  par 
le  môme. 

Plombier  et  Fontainier  (  Art  du) ,  par  ***. 

Porcelaine  (Art  de  la) ,  par  de  Milly. 

Potier  d'étain  (Art  du),  par  Salmon. 

Potier  de  terre  (Art  du),  -^nv  Duhamel  du  Mon- 
ceau. 

Raffinage  du  sucre,  par  le  même. 

Relieur  ,  Doreur  de  livres  (Art  du) ,  par  Dudin. 

Ressorts  de  montres  (Art  de  faire  les),  par 
W.  Blakey. 

Savonnier  (Art  du),  par  Duhamel  du  Monceau. 

Sellier.  Foyez  Bourrelier. 

Serrurier  (Art  du),  par  Duhamel  du  Monceau. 

Tailleur  (Art  du),  par  de  Garsault. 

Tanneur  (  Art  du  ) ,  par  de  Lalande. 

Tapis  façon  de  Turquie,  connus  sous  le  nom 
de  Tapis  de  la  Savonnerie  ,  par  Duhamel  du 
Monceau. 

Teinture  en  soie  (Art  de  la),  -pav  Maquer. 

Théâtres  et  Machines  théâtrales  (Construc- 
tion des)  ,par  jRou&o  tils.  (  Non  adoptée  par  l'Acad.) 

Tonnelier  (Art  du) ,  par  Fougeroux  de  Bondaroy. 

Tourneur-Mécanicien  (Art du), par Hu/of  père, 
première  Partie,  première  Section. 

Treillageur.  Voy.  Menuisier-Treillageur. 

TuiLLiER  et  Briquetier  (Art  du),  i:)ar  Duhamel 
du  Monceau,  Fourcroy  et  Gallon. 

Tuile  et  Brique  (Art  de  fabriquer  les)  en  Hollande, 
suite  de  l'Art  du  Tuillier  et  du  Briquetier, 
par  Jars. 


XV)  NOTICES. 

Vaisseau:?  (Traité  de  la  construction  des),  par 
Frédéric  Chapman-  •'/ 

Velours  de  coton  (Art  du  fabricant  de),  par 
Roland  de  la  Platihe,  i"^  et  a'^  Parties. 

Vermicelier  (Art  du),  par  Malouin. 

Vitrier.  Voyez  Peinture  sur  verre. 

Voilure  (Art  de. la) ,  par  Romme. 

Liste  alphabétique  des  Arts  et  Métiers  dont  la  descrip- 
tion n'a  pas  été  publiée  par  V  Académie  des  Sciences , 
et  doit  entrer  dans  la  continuation  entreprise  par  la 
Classe  des  Sciences  physiques  et  mathématiques  de 
l'Institut  de  France. 

Aérostaterie. 

Aiguillerie. 

Aiguillerie-bonneterie. 

Aciérie,  où  il  sera  traité  de  l'acier  naturel,  de  la 

cémentation  ,  de  la  fonte ,  de  la  forge  ,  de  la 

trempe ,  de  la  polissure  de  l'acier. 
Alun  (préparation  et  emploi  de  1'). 
Argenture  sui'  bois. 

—  sur  métaux. 

sur  matières  diverses. 

Arpentage. 
Arquererie. 
Arquebuserie. 
Artificier  (Art  de  1'), 
Artilleur  (Art  de  1'). 
Apprêtage  d'étoffes. 

de  toiles. 

Attelés  pour  les  chevaux  (fabrique  d'). 
Balancier  (Art  du). 

Baleine  (Travail  et  apprêt  des  fanons  de). 
Bandagiste  (  Art  du  ). 

Battage 


NOTICES.  xvlj 

Battage  d'or ,  etc. 

Bip-ibeloterie. 

Blanchiment  des  toiles. 

Boissellerie. 

Bonneterie  (Fabrique  et  foulage  de). 

Bouchonnier  (Art  du). 

Bourre  (Préparation  et  apprêt  de  la). 

Boiitonnier-Passementier-Agrémaniste. 
Boyauderie. 

Brasserie. 
Brossier  (Art  du). 
Brûlerie  des  bois  dorés. 

—    des  tissus  d'or  et  d'argent. 

Brunissage  des  métaux,  etc. 

Buanderie. 

Bufflerie. 

Calandrage. 

Camphre  (  Préparation  et  raffinage  du  ). 

Cardes  (Fabrique  des). 

Carrier  (Art  du). 

Cerceaux  (  Faiseur  de). 

Craineterie. 

Charpenterie. 

Charronnage. 

Châtaignes  (Préparation,  conservation,  cuisson  des). 
Lliaudronnier  en  neuf. 

en  vieux. 

~~       : en  cors  de  chasse. 

Cheminées  (Construction  des). 

Chocolat  (  Fabrication  du ). 

Chorégraphie. 

Cidre  (Fabrication  du). 

Cimens  et  mortiers  (Fabrication  des). 

Cire  a  cacheter  (Fabrication  de  la). 

Cirages  de  taffetas  et  toiles. 


xvJlj  NOTICES. 

Ciselerie ,  Damasquinerie. 

Clouterie. 

Cofirelerie-Malleterie. 

Collage  de  papier. 

Confiseur. 

Corderie  de  fils  de  chanvre  et  d'autres  plantes. 

de  fils  de  métaux. 

Corne  (  Fabrique  de  feuillets  transparens  de). 
Coton  (Apprêt  du). 

(Filature  de). 

(  Diverses  étofTes  autres  que  le  velours  de). 

Couleurs  (Extraction  des)  du  règne  minéral,  végé- 
tal, animal. 

Préparations  pour  être  employées, 

en  détrempe,       —  à  la  gouache, 

en  émail,  —  sur  bois, 

à  l'huile  ,  —  sur  métaux , 

en  lavis,  —  sur  pierre, 

à  la  miniature ,     —  sur  verre  , 

au  vernis,  —  etc.  etc. 

Couverturier. 

Crayons  (Fabrication  des). 

Crins  (  Fabrication  des  ouvrages  de  ). 

Cristaux  (Fabrique  des). 

Cuisine. 

Découpeur-GaufFreur. 

Dégraisseur. 

Dentelles  (Fabrique  de). 

Dés  à  coudre  (  Fabrique  de  ). 

Diamantaire. 

Distillateur  d'eau-de-vie. 

Dorure  sur  bois,  métaux,  etc. 

Ecaille  (Art  de  travailler  1'). 

Ecriture. 

Emailleur. 


NOTICES.  xix 

Encouleur. 

Enlumineur. 

Encre  noire  et  de  couleur  (Fabrication  de  1'). 

pour  écriture. 

pour  impression. 

pour  lavis. 

Eperonnier. 

Equarrissage. 

Etamage  sur  cuivre,  fer,  verre,  etc. 

Eventailliste. 

Faulx  (  Art  de  fabriquer  les  ). 

Faïencerie. 

Ferblanterie. 

Ferronnerie. 

Feu  (Art  de  graduer  et  d'entretenir  le). 

Filature  en  général. 

Filets  (Art  de  fabriquer,  tant  grands  que  petits,  les). 

Filigraniste. 

Fleurs  artificielles  (Art  de  faire  les). 

Fondeur  en  caractères. 

Fonte  des  métaux  pour  les  couler,  mouler. 

Forger  (  Art  de  ). 

Formier. 

Fouets  (Fabrication  des). 

Foulon. 

Fourbisseur. 

Fourreur-Pelletier. 

Fournaliste. 

Fromages  (Fabrication  des). 

Fruits  (  Art  de  conserver  et  sécher  les  ). 

Fumiste. 

Futainier. 

Gainier. 

Gantier. 

Gazier. 


XX  NOTICES. 

Glaces  de  verre  (Art  de  souffler,  couler,  tailler  les). 
Glacier,  Art  de  préparer  les  rafraichissemens. 
Globes  (Fabrication  des). 
Géograpbie  et  hydrographie  (dessin  et  projection 

des  cartes). 
Graines(Récohe,conservation  et  manipulation  des). 

Gravure  (Art  de  la)  en  bois, 

en  caractères  pour  poinçons, 

en  lettres,  taille-douce, 

. en  musique, 

en  taille-douce , 

sur  métaux , 

sur  pierre , 

sur  verre. 

Goudron  (Extraction  et  emploi  du). 
Histoire  naturelle  (Préparation  des  objets  qui  appar- 
tiennent cl  1'  ). 

Horlogerie. 

Huiles  (Extraction  des)  fixes, 

volatiles. 

Imprimerie  en  caractères  mobiles  et  fixes, 

en  taille-douce , 

' polychromatique , 

sur  toile , 

sur  étofTes  de  laine, 

sur  étoffes  de  soie. 

Instrumens  de  musique  à  vent, 

H  cordes, 

• de  percussion. 

Instrumens  de  physique  (Art  de  fabriquer  les). 
Jardinier  lleuriste, 

maraîcher , 

pépiniériste, 

de  serre  chaude. 

Ivoire  (Art  de  travailler  1'  )» 


NOTICES.  -  xxj 

Lampier. 

Lapidaire. 

Lavage  des  cendres  de  fourneaux  où  l'on  fond  les 

métaux. 
Limes  (Fabrication  des). 
Lin  (  Préparation  du  ). 
Litharge  (  Préparation  de  la  ). 
Lunetier-opticien. 
Lustrier. 

Marbreur  de  papier. 
Marbrier. 
Maréchal-ferrant. 
Maréclial-grossiex-. 
Matelassier. 

Mercure  (Préparation  du). 
Métaux,  Art  de  les  fondre,     —  tremper, 

])laner,     —  laminer, 

couler,      —  plaquer, 

aHiner,     —  iiler, 

essayer,    —  frapper, 

allier,       —  souder, 

départir,  —  calciner,. 

— ;; forger,      —  sublimer* 

Miel  (Récolte  et  conservation  du). 

Mines  (Exploitation  des). 

Miroitier. 

Modes  (Façons  des). 

Monnoyage  pour  les  monnaies^ 

pour  les  médailles. 

Mosaïque  (Art  de  ftiire  la). 

Moulures  en  carton,        —  en  papier, 

en  cire,  —  en  pierres  factices, 

encorne,  —  en  plâtre, 

en  cuir,  —  en  terre. 

en  écaille, 


xxij  NOTICES. 

Moulins  pour  différentes  usines  (Fabrication  des). 

Moutardier. 

Nacre  (Manière  de  travailler  la). 

Nattier. 

Nivellement. 

Noir  (Fabrique  de). 

Oiseleur. 

Orfèvre-grossier. 

bijoutier. 

. joaillier. 

Os  (Manière  de  travailler  les). 
Paillonneur. 
Pain-d'épicier. 
Pelleterie  chinoise. 

hollandaise. 

Parasols  et  Parapluies  (  Fabrication  des). 

Paratonnerres  (Art  de  disposer  les). 

Parfumeur. 

Pâtissier. 

Paveur. 

Peaussier. 

Peignier  pour  la  toilette. 

pour  les  fabrications  d'étoffes. 

Pelles  de  bois  (Fabrication  des). 

Pharmacie. 

Pierres  (Coupe  et  appareil  des). 

Pierres  à  fusil  (  Art  de  tailler  les). 

Pierres  précieuses  (  Art  d'imiter  les  ). 

Pinnautier. 

Piqueur  en  écaille. 

plans  (Art  de  lever  et  laver  les). 

plomb  de  grenailles  (Fabrication  du). 

Plongeur.  Constructeur  de  machines. 

Poids  et  Mesures  (Fabrication  des). 

J^oil.  Coupeur  de  poils  pour  les  chapeliers. 


NOTICES.  xxiij 

Poiré  (Fabrication  du). 

Politjrpage. 

Poudre  à  tirer j(  F'abrication  de  la). 

Préparations  anatomiques  (  Art  de  faire  les). 

Presses  (  Art  de  construire  les). 

Résines ,  gommes  et  lacques  artificielles  (  Extraction 
et  préparation  des). 

Sabotier. 

Salaison  des  viandes. 

Salpôtrier. 

Scies  (Fabrication  des). 

Scieries  (  Etablissemens  des  ). 

Sculpteur  en  bois. 

■ en  pierre. 

Sels  (Extraction  et  préparation  des), 

sel  ammoriiac. 

sel  marin. 

salin  et  potasse. 

cench'es  gravelées. 

soude. 

Soufflets  (Fabrication  des). 

Souffleur  en  verre. 

Tabac  (Récolte  et  préparation  du). 

Tabletier. 

Tablettes  pour  écrire  (Fabrication  des). 

Tachygraphie. 

Taillandier. 

Tapissier  de  baute  et  basse  lisse. 

à  l'aiguille. 

rentrayeur. 

■ meublant. 

Teintures.  Extraction  et  préparation  des  substances 
du  règne  minéral,  du  règne  végétal,  du  règne 
animal,  pour  être  employées  sur  bois, 
' sur  coton , 


xxiv  NOTICES. 

sur  cire,  sur  paille, 

surfil,  sur  peau, 

sur  laine  ,  ,  sur  soie. 

Télégi-aplie. 

Terrassier. 

Tisserand. 

Toiles  métalliques  (Fabrication  des). 

Tourneur  (Complément  de  l'art  du). 

Tripier. 

Vannier  (Art  du). 

Ventilateur  (Art  du). 

Verdet  ou  vert-de-gris  (Fabrication  du). 

Vernis  (Fabrication  du). 

Emploi  sur  bois,         sur  métaux, 

sur  fer  blanc, sur  tôle. 

sur  papier. 

Verrerie  de  couleur. 

tournée. 

courbée. 

filée. 

Vin  (Fabrication  du). 
Vinaigre  (Fabrication  du). 

Vis  en  bois,  métaux  et  autres  matières  (Fabrica- 
tion des). 
Vidangeur. 

5".  Notice  sur  rétablissement  de  l'Académie  Royale 
des  Sciences  et  sur  sa  suppression. 

Cette  Notice  m'a  été  fournie  par  M.  Messier , 
Astronome  de  la  Marine  ,  ancien  Membre  de  cette 
Académie ,  Membre  actuel  de  la  Classe  des  Sciences 
matiiématiques  et  physiques  de  ITnstitut ,  du  Bu- 
reau des  Longitudes ,  de  la  Légion  d'Honneur,  etc. 

Vers 


NOTICES.  xxr 

Vers  le  commencement  du  xvii"  siècle ,  quel- 
ques Savans  se  rassembloientchezleP.  Mersenne,  ' 
Minime  très-célèbre  ;  des  assemblées  plus  régu- 
lières se  tinrent  ensuite  chez  M.  de  Montmor  et 
chez  M.  Thevenot ,  célèbre  voyageur ,  mort  en 
1692  ;  les  Savans  étrangers  étoient  admis  dans 
ces  assemblées.  En  1666  M.  de  Colbert  donna  le 
projet  d'une  Académie  composée  de  Savans  en 
différens  genres.  Ceux  qui  s'occupoient  de  THis- 
toire  dévoient  s'assembler  les  lundis  et  jeudis  ;  ceux 
dont  les  Belles-Lettres  étoient  l'objet  de  leurs 
études  s'assembloient  les  mardis  et  vendredis  ;  les 
Savans  qui  consacroient  leurs  veilles  aiix  Mathé- 
matiques et  à  la  Physique  se  réunissoient  les  mer- 
credis et  samedis.  On  de  voit  tenir  une  assem- 
blée générale  le  premier  jeudi  de  chaque  mois. 
Ce  projet  d'une  Académie  unique  n'ft.*^^  point 
d'exécution  alors ,  et  l'Académie  française ,  établie 
auparavant  par  le  Cardinal  de  Richelieu ,  demanda 
à  ftiire  un  corps  séparé.  Le  projet  de  ]\L  Colberi 
servit  ensuite  de  base  à  l'établissement  de  l'Aca- 
démie des  Inscriptions  et  Belles-Lettres ,  et  à  celui 
de  l'Académie  des  Sciences.  Ces  deux  corps  entre- 
tinrent entre  eux  une  espèce  de  fraternité  ;  des  Com- 
missaires nommés  dans  chaque  corps  venoient 
tous  les  trois  mois  rendre  compte  de  leurs  tra- 
vaux respectifs,  et  ils  se  réunissoient  tous  les  ans , 
le  jour  de  la  fête  de  Saint-Louis ,  dans  l'église  de 
l'Oratoire  ,  rue  Saint-Honoré ,  pour  assister  en- 
semble à  la  messe  qui  s'y  célébroit ,  et  au  Panégy- 
rique de  Saint-Louis ,  qu'on  y  prononçoit.  On  célé- 

d 


xxvj  NOTICES. 

broit  aussi  dans  la  même  église  un  service  pour 
chacun  des  Membres  des  deux  Académies,  dé- 
cédés ,  et  auquel  tous  les  Membres  assistoient. 

En  1666,  l'Académie  des  Sciences  étoit  com- 
posée de  six  à  sept  Membres  qui  s'assembloient 
dans  la  bibliothèque  de  M.  Colbert.  Au  mois  de 
juin  1666,  on  leur  adjoignit  sept  Physiciens  et 
cinq  adjoints  ;  M.  l'Abbé  Duhamel  fut  nommé 
Secrétaire.  Louis  xiv  établit  des  pensions,  et  fixa 
une  somme  annuelle  pour  les  frais  des  expé- 
riences. 

Le  22  décembre  t666,  l'Académie  s'assembla 
pour  la  première  fois  dans  la  Bibliothèque  du 
Hoi.  On  y  décida  que  les  Géomètres  et  les  Phy- 
siciens ne  formeroient  qu'un  seul  corps  ,  que  la 
séance  du  mercredi  seroit  consacrée  à  la  Géo- 
métrie ,  et  celle  du  samedi  à  la  Physique. 

Enfin  en  t6qq  le  Roi  fixa  cet  établissement  par 
un  Règlement  en  cinquante  articles ,  daté  du  26 
janvier  de  cette  année.  L'abbé  Bignon  fut  le  pro- 
moteur de  ce  Règlement ,  et  le  lut  à  l'Académie 
dont  il  étoit  Membre.  Le  4  février  suivant ,  M.  de 
Fontenelle  fut  nommé  Secrétaire-perpétuel. 

Le  local  des  assemblées  étant  devenu  trop  petit, 
le  Roi  assigna  à  l'Académie  un  nouveau  logement 
au  Louvre ,  qui  a  continué  d'être  le  lieu  de  ses 
séances  jusqu'à  sa  suppression.  Feu  M.  de  La- 
lande  a  dit  tenir  des  anciens  Académiciens ,  que 
Louis XIV  étant  venu  à  l'Académie,  il  dit  :  Messieurs 
je  ne  pouvais  faire  mieux  pour  vous  ^  car  je  vous 
ai  donné  mon  appartement. 


NOTICES.  xxvi] 

La  première  assemblée  tenue  dans  le  nouveau 
local ,  eut  lieu  le  22  avril  1 699 ,  et  elle  fut  publique. 
L'Académie  a  continué  de  s'y  assembler  les  mer- 
credi et  samedi  depuis  trois  heures  jusqu'à  cinq 
heures  en  hiver ,  et  depuis  trois  heures  et  demie 
jusqu'à  cinq  heures  et  demie  en  été.  Elle  tenoit 
deux  séances  publiques  par  an  ;  l'une  après  la 
Saint-Martin ,  qui  terminoit  les  vacances ,  et  l'autre 
après  la  quinzaine  de  Pâques. 

L'Académie  des  Sciences,  ainsi  que  toutes  les 
autres  Académies ,  furent  suppriméespar  un  décret 
de  la  Convention  nationale  ,  le  8  août  1 793  ,  après 
94  ans  d'existence  depuis  son  renouvellement 
en  1699. 

En  1792  l'Académie  étoit  composée  de  quatre- 
vingts  Membres  dont  il  ne  reste  en  janvier  1809 
que  trente-cinq ,  tant  pensionnaires  qu'associés. 
Ces  trente-cinq  Membres  font  partie  de  la  Classe 
des  Sciences  physiques  et  mathématiques  de  l'Ins- 
titut ,  dont  1  établissement  date  du  6  décembre 
1796,  jour  où  M.  Benezech,  Ministi-e  de  l'inté- 
rieur ,  en  fit  l'ouverture  dans  la  même  salle  où 
l'Académie  des  Sciences  s'assembloit.  L'Institut 
quitta  ce  local  en  1806,  pour  occuper  celui  qui 
lui  avoit  été  préparé  dans  le  palais  des  Beaux- 
Arts  ,  ci-devant  le  Collège  des  Quatre-Nations  ou 
Mazarin. 

Les  plus  anciens  Membres  de  l'Académie  des 
Sciences ,  qui  sont  actuellement  Membres  de  la 
première  Classe  de  l'Institut,  sont  MM.  Tenon, 
reçu  le  20  juin  1769  ;  Bossut ,  le  9  août  1768  j 


xxviij  NOTICES. 

Portai,  le  1 2  juillet  1 769  ;Me^5/er, le  3o  juin  1770. 
Le  plus  ancien  Correspondant  français  de  l'Aca- 
démie est  l'auteur  de  ces  Tables  ,  nommé  le  19 
août  1769. 


Nota.  Ce  X*  tome  des  Tables  sera  suivi  d'un  tome  XI* 
qui  présentera  la  Table  générale  des  Matières  contenues 
dans  le  Recueil  des  Mémoires  présentés  à  l'Acadéruie  des 
Sciences  par  des  Savans  étrangers,  n  volumes  in-\°. 


TABLE 


TABLE 

GÉNÉRALE 

Des  Matières  contenues  dans  l'Histoire  et 
dans  les  Mémoires  de  l'Académie  Royale 
des  Sciences. 

ANNÉES 
1781— 1790- 

A 

Académie.  {Régkmens.) 

Règlement   donné  par  le  Roi  le  28  avril 
1785,  par  lequel  il  établit,  entre  les  mem- 
bres de  l'Académie ,  nne  plus  grande  éga- 
lité et  un  partage  moins  inégal  des  avan- 
:  tages  réservés  aux  plus  anciens  Académi- 

ciens, et  destinés  à  être  la  récompense 
de  leurs  travaux.  1782.  Hist.  p.  2. 
Tab.  des  Ma$.     1781  —  1790.  A 


2  TABLE  DES  MEMOIRES 

ACAT)im-E.  (Réglemens.) 

En  1783  l'Académie  supprime  de  l'Histoire 
la  partie  qui  contenoit  l'extrait  des  Mé- 
moires; ces  extraits  seront  remplacés  par 
les  observations  qui  lui  seront  adressées, 
et  par  les  rapports  les  plus  importans  qui 
seront  lus  dans  ses  assemblées.  lySS.llist. 
p.  I. 
Séances  remarquables. 

Séance  du  6  juin  1782,  à  laquelle  ont  assisté 
le  Grand-Duc  et  la  Grande-Duchesse  de 
Russie ,  qui  voyageoient  sous  les  noms  de 
Comte  et  de  Comtesse  du  Nord.  Discours 
prononcé  à  cette  séance  par  M.  de  Coa"- 
DORCET,  secret,  perpét.  1782.  Hist.  p.  5. 
Les  sciences  ont  droit  d'attendre  des  se- 
cours de  la  part  des  Souverains,  p.  8.  Les 
Mémoires  suivans  ont  été  lus  à  cette 
séance  : 
Sur  les  causes  des  herborisations  qu'on  ob- 
serve  dans  les   pierres ,    par   M.   Dau- 

BENTON. 

Sur  les  moyens  chimiques  de  faire  dispa- 
roître  plusieurs  espèces  d'odeurs  désa- 
gréables, par  M.  Macquer. 

Expériences  sur  l'action  du  feu  animé  par 
l'air  vital,  par  M.  Lavoisier. 

Sur  le. degré  de  chaleur  des  rayons  diver- 
sement colorés,  par  M.  l'Abbé  Rochon. 

Sur  des  altérations  singulières  causées  dans 
l'organe  de  la  voix  par  difierentes  mala- 
dies, par  M.  Port  al. 


DE  L'ACADEMIE.     1781--1790.  3 

Académie.  {Séance  remarq.) 

Travail  d'un  tour  à  portraits,  et  exécution 
de  celui  du  Roi ,  par  M.  de  Fontanieit. 

Discours  prononcé  à  l'Académie  devants.  A. 
H.  le  Prince  Henri  de  Prusse,  le  4  sep- 
tembre 1784,  par  M.  de  Condorcet. 
1784.  Hist.  p.  I. 

Les  Mémoires  suivans  ont  été  lus  à  celto 
séance. 

Mém.  sur  la  combustion  de  l'esprit-de-vin , 
dans  lequel  on  prouve  qu'une  livre  de 
cette  liqueur  produit,  en  brûlant,  dix- 
neuf  onces  d'eau;  par  M.  Lavoisier. 

Mém.  sur  l'œuf  humain,  par  M.  Tenon. 

Mém.  sur  la  manière  de  mesurer  les  hau- 
teurs solsticiales,  en  employant  une  lu- 
nette de  cristal  d'Islande,  par  M.  Rochon. 

Mém.  sur  la  manière  d'employer  la  torsion 
des  fils ,  à  la  mesure  des  forces  très-petites, 
par  M.  Coulomb. 

Exposé  des  expériences  qui  ont  été  faites 
pour  l'examen  du  magnétisme  animal, 
par  M.  Bailly. 


Éloges. 


Liste  alphabétique  des  Noms  des  Académi- 
ciens décédés ,  et  indice  de  leurs  éloges ,  faits 
par  M.  de  Condorcet  ,  secrétaire  perpét. 
contenus  dans  l'Histoire  de  l'Acad.  Royale 
des  Sciences. 

1781  —  1790. 

Bergman,  assoc.  étr.  en  1 782-1 784.  p.  3i. 


4  TABLE  DES  MÉMOIRES 

Ac ADÉJiiE.  (  Eloges.  ) 

Bernoulli,  (Dan.)  assoc.  étr.  1 748-1 782. 

p.  82. 
Bertin,  honor.  1761-1781.  p.  53. 
Bezout,  pens.  ordin.  1758-1783.  p.  69. 
BoRDENAVE ,  ass.  vétér.  1774-1782.  p.  78. 
BouvART,  assoc.  vétér.  1743-1787.  p.  61. 
BuFFON,  (Comte  de)  trésor.  1733-1788. 

p.  5o. 
Camper,  assoc.  étr.  1 785-1 789.  p.  45. 
Cassini  de  Thury,  pens.  ordin.  1 735-1784. 

p.  54. 
CouRTANVOUX,  (Marquis  de)  lionor.  1765- 

1781.  p.  79. 

CouRTiVRON  ,  (Marquis  de)  pens.  vétér. 

1 744-1 785.  p.  i3o. 
D'Alembert,  pens.  ordin.  1 741-1783.  p.  76. 
Banville,  adjoint  pour  la  géôgr.  1773- 

1782.  p.  69. 

Duhamel  du  Monceau,  pens.  ordin.  1728- 

1782.  p.  i3i. 
EULER,  assoc.  étr.  1755-1783.  p.  37. 
FouCHY,  (de)  pens.  vétér.  1 731-1 788.  p.  37. 
FouGEROUx  de Bondaroy ,Y>ens.  ordin.  1758- 

1789.  p.  39. 
GuA  de  Malves,  (l'Abbé  de)  pens.  ordin. 

1 741-1786.  p.  63. 
GUETTARD,  pens.  ordin.  1743-1786.  p.  47. 
HuNTER,  assoc.  étr.  1782-1783.  p.  29. 
Lassonne  ,  (de)  pens.  vétér.  1742-1788. 

p.   23. 

LuYNES, (Card.de) honor.  1755-1788.  p.  33. 
Macquer,  pens.  ordin.  1745-1784.  p.  2.0. 


DE  L'ACADÉMIE.     1781  — 1750.  5 

Académie.  {Eloges.) 

Margraaf,  assoc.  étr.  1777-1782.  p.  122. 
Maurepas,  (de)  honor.  1725-1781.  p.  79. 
MiLLY,  (Comte  de)  assoc.  libre.  1 776-1 784. 

p.  64. 
MoNTiGNY,  (de)  pens.  ordin.  1789- 1782. 

p.  108. 
Morand,  (médecin)  pens.  ordin.  1769- 

1784.  p.  48. 
Paulmy,  (Marquis  de)  honor.  1 764-1 787. 

p.  49. 
Praslin,  (Duc  de)   honor.    1769- 1785. 

p.  137. 
Pringle,  assoc.  étr.  1 778-1 782.  p.  67. 
Tressan",  (Comte  de)  assoc.  libre.  1750- 

1783.  p.  121. 
Troivchin,  assoc.  étr.  1778-1781.  p.  io3. 
Turgot,  assoc.  libre.  1 765-1 789.  p..  3i. 
Vaucanson,  (de)  pens.  ordin.  1 746-1 782. 

p.  i56. 
Wargentin,  assoc.  étr.  1783-1788.  p.  128. 

Noms  des  Académiciens  morts  depuis  1790 
jusqu'en  1795,  époque  de  l'établissement 
de  l'Institut  national,  par  décret  de  la  Con- 
vention ,  qui  avoit  supprimé  l'Académie 
Royale  des  Sciences,  par  un  décret  du  8 
août  1793. 

MM. 

Franklin. 
Tillet. 


6  TABLE  DES  MÉMOIRES 

Agad]Êmie.  (Eloges.) 

Le  Gentil. 
Charles,  (géom.) 
FouRCaOY.  (ingén.  ) 
La  Rochefougaud. 
Bonnet. 

DiETRICH. 

Bailly. 

Lavoisier. 

Malsherbes. 

Baron. 

Vicq-d'Azyr. 

condorcet. 

Du  SÉJOUR. 

Petit. 

Perronnet. 

Demours. 

D'Ag-elet. 

Nota.  Les  éloges  de  ces  dix-neuf  Membres  de 
l'Académie  Rojale  des  Sciences,  n'ont  point  été  faits. 

Ouvrages  et  Sujets  de  prix. 

La  Théorie  des  Machines  simples,  en  ayant 
égard  aux  effets  du  frottement  et  à  la 
roideur  des  cordages,  par  M.  dulomb  , 
couronné  par  l'Acad.  en  1781. 1781.  Hist. 
p.  5i. 

La  Théorie  des  Comètes,  par  M.  Méchain, 
couronné  par  l'Acad.  en  1782.  1782.  Hist. 
p.  53. 

Prix  proposé  par  ordre  du  Roi  en  1775,  sur 
le  Salpêtre,  décerné  en.  1782  à  MM.  Thou- 


DE  L'ACADT^.MTE.     1781— 1790.  7 

Académie.  (Ouvrages  et  Sujets  de  prix.) 

venel ^  qui  ont  eu  le  premier  prix;  le 
second  prix  à  M.  Lorgna  ,  à  MM.  Ga- 
vinet  et  Chevrand.  Le  premier  accessit 
à  M.  de  Beunie  j  le  second  accessit  à 
M.  le  Comte  Thomassin  de  Saint- Orner. 
Ces  Mémoires  sont  imprimés  dans  le 
tom.  XI  des  Mem.  des  S av ans  étrangers. 

Mémoire  d'un  anonyme  ,  qui  contient  la 
fondation  d'un  prix  sur  les  inoyens  de  pré- 
venir les  accidens  attachés  à  la  pratique 
de  plusieurs  arts.  1788.  Hist.  p.  34.  Détails 
de  ces  arts  et  de  ces  métiers,  ibid.  Premier 
sujet  de  prix  proposé  par  l'anonyme  : 

Déterminer  la  nature  et  les  causes  des  mala- 
dies auxquelles  sont  exposés  les  doreurs  au 
feu  ou  sur  métaux,  et  la  meilleure  manière 
de  les  préserver  de  ces  maladies ,  soit  par 
des  moyens  physiques ,  soit  par  des  moyens 
mécaniques,  p.  26.  Ce  prix  a  été  décerné 
à  M.  Gosse,  de  Genève,  p.  27. 

Prix  proposé  pour  1782,  1°  déterminer  par 
des  caractères  constans,  faciles  à  saisir, 
même  par  ceux  qui  n'ont  pas  fait  une 
étude  particulière  de  la  botanique ,  les  dif- 
férences qui  existent  entre  les  divers  co- 
tonniers cl' Asie ,  d'Afrique  et  d'Amérique. 

2°.  Indiquer  l'état  naturel  du  coton  dans  sa 
■coque  après  la  maturité,  son  adhérence 
à  la  graine ,  la  manière  dont  ses  brins  en- 
veloppent les  graines,  alin  d'en  déduire 
le  medleur  procédé  pour  les  en  séparer 
dans  leur  plus  grande  longueur. 


•' 


8  TABLE  DES  MÉMOIRES 

Académie.  (Ouvrages  et  Sujets  de  prix.) 

3°.  Etablir,  d'après  des  épreuves  suffisantes, 
les  rapports  des  degrés  de  finesse ,  de  blan- 
cheur ,  de  longueur  et  de  ténacité ,  qui 
sont  propres  aux  brins  de  chaque  espèce 
de  cotonnier,  ainsi  que  le  rapport  de  ces 
qualités  avec  la  perfection  des  filatures. 

Ce  prix  a  été  décerné,  en  1784,  à  M.  Qua- 
tremer.  1784.  Hist.  p.  16. 

Prix  proposé  pour  1788,  et  remis  en  1785. 
Théorie  des  assurances  maritimes.  1785. 
Hist.  p.  128. 

Sujet  de  prix  pour  1788,  et  ensuite  pour 
1785.  Donner  les  meilleurs  moyens  de 
préserver  les  doreurs  sur  métaux ,  des 
maladies  auxquelles  leurs  travaux  les  ex- 
posent, et  de  déterminer  la  nature  et  les 
causes  de  ces  maladies. 

Ce  prix  a  été  décerné  ,  en  1786,  à  M.  Henri- 
Albert  Gosse,  citoyen  de  Genève.  1785. 
Hist.  p.  128. 

Prix  proposé  pour  1784  :  Perfectionner  la 
construction  des  moulins  à  vent,  surtout 
de  leurs  parties  intérieures.  Ce  prix ,  re- 
mis à  1785,  a  été  décerné  à  M.  Dransy , 
ingénieur  du  Roi.  1787.  Hist.  p.  48. 

Prix  proposé  pour  1787.  La  Théorie  des  as- 
surances maritimes.  Deux  Mémoires  ont 
été  jugés  dignes  de  récompense  ;  l'un ,  de 
M.  Delacroix,  professeur  de  mathém.  à 
l'Ecole  d'artillerie  de  Besançon  ;  et  l'autre, 
de  M.  Bicquilley ,  garde-du-corps  du  Roi. 
1787.  Hist.  p.  44. 

l'Académie 


DE  L'académie;.   1781  — 1790.       9 

Académie.  (Ouvrages  et  Sujets  de  prix.) 

L'Académie  propose  pour  complément  du 
prix,  et  pour  1791 ,  la  construction  des 
meilleures  tables,  d'après  la  théorie  et  les 
observations,  pour  la  pratique  du  calcul 
des  assurances  maritimes,  p.  46. 

Prix  extraordinaire  pour  l'année  1787,  re- 
latif à  la  Machine  de  Marly.  Trois  prix, 
l'un  de  6000  liv.  le  second  de  3ooo  liv.  et 
le  troisième  de  2000  liv.  Le  premier  prix 
partagé  entre  M.  Gondouin  Desluais  et 
M.  Groult,  élève  des  Ponts-et-C haussées, - 
le  second  prix  partagé  entre  M.  VialloUy 
chanoine  régulier  de  Sainte  Geneviève , 
et  M.  Marot ;  le  troisième  prix  entre 
M.  Lucotte  fils ,  architecte  à  Paris  ,  et 
M.  Bralle,  ingénieur  de  la  Généralité  de 
Paris.  Six  autres  Mémoires  mentionnés 
honorablement,  ibid. 

Prix  proposé  pour  1787,  et  remis  en  1789. 
La  recherche  des  moyens  par  lesquels  on 
pourroit  garantir  les  broyeurs  de  couleurs 
des  maladies  qui  les  attaquent  fréquem- 
ment, et  qui  sont  la  suite  de  leur  travail. 
Ce  prix  a  été  partagé  entre  MM.  Pasquier 
et  Defrance.  1789.  Hist.  p.  21. 

Prix  proposé  en  1787,  et  remis  en  1789,  sur 
la  meilleure  manière  de  distribuer,  sui- 
vant des  rapports  donnés,  un  volume  dé- 
terminé d'eau  entre  les  dilférens  quartiers 
d'une  ville,  etc.  Ce  prix  a  été  décerné  à 
M.  Gondouin  Desluais.  ibid.  p.  22. 

Prix  proposé  pour  1789,  et  remis  à  1791, 
Tab.  des  Mat.  1781—  1790.  B 


10  TABLE  DES  MEMOIRES 

Académie.  {Ouvrages  et  Sujets  de  prix.) 

sur  les  indices  certains  et  non  équivoques 
des  mines  de  charbon  de  terre ,  etc.  ibid. 
p.  23. 

Prix  proposé  pour  1789,  et  remis  en  1791. 
Essayer  d'expliquer  les  expériences  qui 
ont  été  faites  sur  la  résistance  des  iluides 
en  France,  en  Italie,  en  Suède  ou  ail- 
leurs ,  etc. 

Prix  proposé  pour  1794.  Par  quels  procédés 
la  nature  opère-t-elle  entre  les  trois  règnes 
la  circulation  des  matériaux  fournis  par 
la  fermentation ,  la  putréfaction  et  la  com- 
bustion? Comment  parvient-elle  à  former 
des  substances  fermentescibles  et  putres- 
cibles, avec  des  matériaux  qui  n'avoient 
aucune  de  ces  propriétés?  ibid.  p.  24. 

Machines  approuvées. 

Instrument  propre  à  tracer  toute  sorte  de 
lignes  parallèles,  par  M.  Mj7o/z ,  conseiller 
au  Châtelet.  1784.  Hist.  p.  19. 

Une  presse  à  levier,  par  M.  Baucher.  1787. 
Hist.  p.  48. 

Une  grosse  horloge ,  construite  d'après  de 
nouveaux  principes,  par  M.  Robin,  ibid. 

Un  ventilateur,  par  M.  Lisle  Saint-Martin, 
lieutenant  de  frégate.  1788.  Hist.  p.  22. 

Société  Royale  de  Montpellier. 

Recherche  sur  l'origine  et  la  nature  des  va- 


DE  L'ACADEMIE.     1781  — 1790.       11 

ACADijiiE.  {Société  Royale  de  Montpellier.) 

peurs  qui  ont  régné   dans  l'atmosphère 
pendant  l'été  de  1783,  par  M.  Mourgue 

DE    MONFREDON.   1781.  M('m.  p.   764. 

Mém.  sur  le  Trembleur,  espèce  peu  connue 
de  poisson  électrique,  par  M.  Brousso- 
NET.  1782.  Mém.  p.  692. 

Obs.  sur  la  cristallisation  de  l'huile  de  vitriol, 
par  M.  Chaptal.  1784.  Mém.  p.  622. 

Obs.  sur  l'acide  carbonique  fourni  par  la 
fermentation  des  raisins ,  et  sur  l'acido 
acéteuxqui  résulte  de  sa  combinaison  avec 
l'eau,  par  M.  Chaptal.  1786.  Mém. 
p.  718.  ^ 

Obs.  sur  l'acide  muriatique  oxigéné,  par 
iV.  Chaptal.  1787.  Mém.  p.  611. 

Obs.  sur  la  manière  de  former  l'alun  par  la 
combinaison  directe  de  ses  principes  cons- 
tituans,  par  M.  Chaptal.  1788.  Mém. 
p.  768. 

Savons  étrangers. 

Table  alphabétique  des  noms  des  auteurs 
des  Mémoires  et  Observations  adoptés  par 
l'Académie,  pour  être  insérés  dans  le  Recueil 
des  Savans  étrangers. 

1781  —  1790.  (Histoire.) 

Adet,  sur  le  muriate  d'élain  famant,  ou  li- 
queur fumante  de  Libanius.   1788.  p.  ix. 


la  TABLE  DES  MEMOIRES 

Académie.  {Savans  étrangers.) 

Barthèz ,  sur  la  navigation  du  golfe  de  Lyon. 

1783.  p.  28. 
Bavrel,  sur  l'histoire  naturelle  de  l'île  de 

Corse.  1782.  p.  56. 
Beauchamp.  (l'Abbé  de)  Obs.  astron.  faites 

à  Bagdad.  1784.  p.  17. 
Beauvoir,  (de)  sur  les  semences  des  cham- 
pignons. 1784.  p.  17- 

Sur  une  espèce  de  conferva.  1786.  p.  40. 

Sur  un  nouveau  champignon,  i^. 

Sur  les  plantes  sarmenteuses.  ib. 
Beitler,  Obs.  du  passage  de  Mercure  sur  le 

soleil,  faite  à  Mittow  en  Curlande.  1787. 

p.  46. 
Béraud,  Obs.  météorolog.  faites  à  Turin. 

1785.  p.  128. 
Bernard,  sur  l'obs.  de  Mercure.  1786.  p.  45. 

Obs.  du  S''  satellite  de  Saturne,  faite  à 
Marseille.  1787.  p.  46. 
Bertrand,  sur  une  question  du  calcul  des 

probabilités.  1781.  p.  52. 

Sur  un  phénomène  de  l'eau  bouillante. 
1787.  p.  46. 
Bonaterre,  (l'Abbé)  sur  la  génération  des 

plantes.  1786.  p.  46. 
Botanique,  (amateurs  de)  sur  la  plante  nom- 
mée œnothera  hiennis.  1788.  p.  28. 
Boucherie ,  sur  le  raffinage  des  sucres ,  sur 

quelques  vues  relatives  à  la  fermentation 

spiritueuse.  1787.  p.  46. 
Bridge,  sur  la  fonte. des  canons,  ib. 


DE  L'ACADEMIE.     ijSi  —  i'jgo.        i3 

AcADémiE.  (S avans  étrangers.) 

Broussonet,  sur  une  espèce  de  poisson.  1785. 
p.  128. 

Sur  les  écailles  des  poissons,  ib. 
Sur  les  organes  de  la  respiration  des  pois- 
sons, ib. 
Sur  les  dents  des  animaux  de  différentes 

classes,  ib. 
Sur  l'anatomie  comparée  des  animaux  et 

des  végétaux,  ib. 
Sur  le  voilier  ,   espèce   de  poisson  des 
Indes,  ib. 
Bullion,  (Marquis  de)  sur  le  tartre  contenu 
dans  le  verjus  et  dans  le  moût,  etc.  1784. 
p.  17. 

Sur  un  procédé  pour  fabriquer  un  très- 
bon  savon,  dans  la  confection  duquel  il 
n'entre  point  d'huile  d'olives,  et  sur  un 
nouveau  moyen  d'obtenir  une  plus 
grande  quantité  de  cristaux  de  soude 
qu'on  n'en  retire  ordinairement  de  la 
soude  d'Alicante.  1789.  p.  19. 
Cadet  de  Vaux ,  sur  des  puits  méphitiques. 

1783.  p.  28. 
Callet,  Essai  sur  la  construction  des  Tables 

de  Logarithmes.  1784.  p.  17. 
Chambon,  (de)  sur  l'irritabilité  des  artères. 

1785.  p.  128. 
Chaptal,  sur  l'acide  charbonneux  fourni  par 
la  fermentation  des  raisins,  et  sur  l'acide 
nitreux  qui  résulte  de  sa  combinaison  avec 
l'eau.  1787.  p.  46. 
Charles,  sur  les  interpolations.  1782.  p.  56. 


14  TABLE  DES  MEMOIRES 

Académie.  {Savans  étrangers.) 

Chaulnes ,  (Duc  de  )  sur  les  couleurs  des 
Chinois.  1781.  p.  62. 

Cipiene,  (de  la),  sur  la  quadrature  d'un 
espace  terminée  par  des  arcs  de  cercle. 
1788.  p.  22. 

Cossigny ,  (de)  sur  l'indigo.  1781.  p.  62. 

Croy,  (Duc  de)  Mémoire  sur  la  manière 
d'échauffer  les  maisons  des  pays  froids,  etc. 
1784.  p.  17. 

D'Agelet,  sur  le  mouvement  de  l'aphélie  de 
Saturne.  1782.  p.  56. 

Pflrfort,  Résultats  d'une  expérience  faite  sur 
la  résistance  d'un  massif  de  bois  de  chêne 
imbibé  d'eau,  contre  les  progrès  de  l'in- 
flammation excitée  par  les  matières  in- 
cendiaires, etc.  1784.  p.  17. 

Dcirquier,  Observ.  astron.  1781.  p.  62. 

Degaule,  sur  un  sillomètre.  ib. 

Delambre,  sur  l'aberration  des  étoiles.  1785. 
p.  128. 
Sur  l'occultation  de  Vénus  par  la  lune. 

1786.  p.  45. 
Sur  l'orbite  solaire.  1787.  p.  46. 
Sur  le  nœud  de  Mars.  ib. 
Sur  l'anneau  de  Saturne,  ib. 
Sur  les  tables  de  Jupiter  et  de  Saturne, 
déduites  du  principe  de  la  pesanteur 
universelle ,  suivant  la  théorie  de  M.  de 
Laplace.  1788.  p.  21. 
Sur  les  élémens  de  rorl)ite  solaire,  ib. 
Sur  le  niouvp.jTient  horaire  de  la  lune.  ib. 


DE  L'ACADEMIE.     1781  — 1790.         i5 
Académie.  (Savans  étrangers.) 

Delarbre,  sur  les  fers  spéculairesde  Volvic, 

du  l'uy-de-Dûuie,  du  Mont-d'Or.  1786. 

p.  45. 
Delarbre  et  Quinquet,  sur  le  Lechstein  de 

Mesnil-Montant.  1787.  p.  46. 
Descemet,  sur  Vequisetum.  1782.  p.  56. 
Desfontaines ,  sur  le  succedanea  ou  vernis  de 

la  Chine,  ib. 
Deslandes ,  sur  la  soude.  1786.  p.  45. 
Dietrick ,  sur  une  pierre  d'aimant  sonore. 

1785.  p.  128. 
Duhamel,   sur  la  fonte    des  minéraux  de 

plomb.  1784.  p.  17. 

Sur  la  fonte  des  scories  provenant  de  celle 
des  minéraux  de  plomb,  où  l'on  détaille 
la  manière  de  retirer  l'argent  et  l'or 
des  cendres  des  monnoies  et  des  orfè- 
vres, ib. 

Observ.  sur  le  traitement  des  minerais  de 
fer  à  la  fonte,  ib. 

Sur  les  forges  catalanes.  1786.  p.  128. 

Sur  l'acier  de  cémentation,  1786.  p.  45. 
Dulague ,  Observ.  astron.  1783.  p.  28. 

Observ.  de  l'éclipsé  totale  de  la  lune,  du 
10  septembre  1783,  faites  à  Dieppe,  ib. 

Observ.  astron.  1786.  p.  128. 
Du  Marais ,  sur  l'histoire  naturelle  des  envi- 
rons de  Valogne.  1782.  p.  56. 
Dupont- de- Jumeaux ,  Observ.  faites  sur  la 

marée,  à  Bordeaux.  1783.  p.  28. 
Dutrone-la-Couture ,  sur  l'état  particulier  de 

la  canne  à  sucre,  et  sur  les  moyens  de 


î6  TABLE  DES  MEMOIRES 

AcADiÉMiE.  {Savans  étrangers.) 

faire  une  liqueur  vineuse  agréable.  1787. 
p.  46. 
Duvnl-le-Roy ,  sur  la  détermination  des  va- 
riations séculaires  des  élémens  d'Herschel, 
occasionnées  parl'action  de  Saturne.  1789. 

Flaugergue,  recueil  d'Observ.  astron.  faites 
à  Viviers.  1788.  p.  22.  _   _ 

Fortin,  sur  de  nouveaux  écueils,  vigies  et 
dangers  qui  se  trouvent  dansle  sudde 
Madagascar,  et  reconnus  depuis  1780  jus- 
qu'à 1787.  ib.  rr       J 

Fougeroux  de  Blavau ,  sur  les  eftets  du  ton- 
nerre. 1782.  p.  56. 

Sur  la  description  d'une   machine  cons- 
truite à  Vrigny  en  Gatinois,  avec  la- 
quelle on  a  mesuré  la  quantité  d'eau  de 
pluie  qui  est  tombée  en  1787,  et  aussi 
fa  quantité  de  l'évaporation.  1788.  p.  21. 
Fourcroy,  (ingénieur)  Mém.  et  Obsery.  sur 
quelques  procédés  peu  connus,  mais  uti- 
lement employés  à  des  constructions  ma- 
ritimes d'exécution  difficile.  1784.  p.  17. 
Fourcroy ,  (  médecin  )  sur  les  difficultés  que 
présente  la  préparation  des  alcalis  fixes 
caustiques  secs,  et  sur  les  propriétés  peu 
connues  de    ces    sels  bien   purs.   1783. 
p.  28. 

Sur  la  nécessité  d'employer  l'alcali  volatil 
en  état  de  gaz  dans  les  expériences  dé- 
licates de  la  chimie ,  et  sur  quelques 
propriétés  nouvelles  du  gaz  alcalin,  ib. 

Sur 


DE  L'ACADÉMIE.    1781—1790.        17 

AcADiMiE.  {Savons  étrangers.) 

Sur  la  décoloration  du  bleu  de  Prusse  par 

la  chaux,  la  magnésie,  etc.  ib. 
Observ.  sur  la  dissolution  lente  du  régule 

d'antimoine  par  l'acide  marin,  ib. 
Observ.  sur  un  précipité  rose  mercuriel, 

produit  par  le  lait,  la  limphe,  etc.  ib. 
Remarq.  sur  la  différence  du  foie  d'arsenic 
et  du  sel  neutre  arsenical,  et  sur  la  cause 
de  cette  difTérence-  ib. 
Mém.  sur  les  propriétés  du  sel  neuti-e 
résultant  de  la  combinaison  de  l'acide 
crayeux  avec  le  fer.  ib. 
Descript.  d'un  feld- spath  cristallisé  que 
l'on  trouve  mêlé  avec  le  cristal  de  roche 
et  le  mica,  dans  les  environs  d'Alen- 
çon.  ib. 
Mém.  sur  les  phénomènes  que  présente 
l'alcali  fixe  végétal  caustique  trituré  à 
froid ,  avec  le  soufre  et  quelques  pré- 
parations antimoniales,  ib. 
Rech.  chimiq.  sur  le  kermès  minéral,  ib. 
Sur  l'acide  vitriolique  glacial.  1 785.  p.  1 28. 
Carnet  et  Milton ,  sur  les  moyens  de  changer 
le  frottement  de  la  première  espèce  en 
frottement  de  la  seconde.  1787.  p.  46. 
Garnier,  sur  le  passage  de  Mercure.  1786. 

p.  45. 
Genti ,  (  l'Abbé  )  sur  les  nombres  premiers. 
1782.  p.  56. 

Sur  les  nombres.  1784.  p.  17. 
Gérard,  sur  deux  plantes  dont  la  fructifica- 
Tab.  des  Mat.     1781  — 1790.  G 


j8-        table  des  mémoires 

AcADBBilE.  {Savons  étrangers.) 

tion  s'exécute  dans  l'intérieur  de  la  terre 
''-  et  à  son  extérieur.  1788.  p.  21. 

Gingembre,  sur  un  nouveau  gaz  retiré  du 
phosphore  par  les  alcalis.  1782.  p.  56. 
Sur  l'air  inflammable  et  sur  l'air  hépati- 
que. 1785.  p.  128. 
Graîeloup,  sur  un  mo^^en  de  perfectionner 
les  objectifs  des  lunettes  achromatiques. 
1788.  p.  21. 
Grignon,  sur  les  fers  du  roj^aume  les  plus  pro- 
pres à  être  convertis  en  acier.  1782.  p.  56. 
Guignes  (de)  fils,  sur  l'astronomie  des  Chi- 
nois. 1781.  p.  Ô2. 
Sur  les  comètes  observées  à  la  Chine. 

1782.  p.  56. 
Sur  une  éclipse  de  lune  observée  à  Can- 
ton. 1786.  p.  45. 
Observ.  météorol.  faites  k  la  Chine.  1788. 

p.  22. 

Sur  une  nouvelle   manière  d'employer 

l'huile  de  mingeon  ou  huile  de  bois. 

1789.  p.  19. 

Hassenfratz,  sur  le  sel  gemme.  1786.  p.  40. 

Sur  la  comparaison  des  charbons  de  terre. 

ibid- 
em la  décomposition  des  pyrites,  ib. 
Sur  la  combinaison  du  phosphore  et  de 
l'acide  phosphorique  avec  l'alcali  prus- 
sien ,   le   charbon  de  bois ,    quelques 
f)lantes  marécageuses,  les  mines  de  fer 
imoneuses,  et  plusieurs  variétés  de  fer. 


DE  L'ACADEMIE,     1781  —  1790.       19 

Académie.  (  Sai>ans  étrangers.  )  \  ■. ./,-  5^ 

Sur  Une  pierre  silicée  calcaire ,  alumî- 
neuse,  ferreuse  etraagnétienne,  de  cou- 
leur verte,  en  masse  spathique,  demi- 
transparente  ,  et  dont  la  surface  est  cris- 
tallisée en  faisceaux.  1788.  p.  21. 
Sur  l'origine  de  l'acide  phosphorique  qui 
se  trouve  dans  plusieurs  mines  de  fer.  ib. 
Sur  les  eaux  aérées  minérales  et  thermales 
du  Nivernais.  1789.  p.  19. 
Haiiy,  sur  la  cristallisation  du  spath  calcaire. 
1781.  p.  52. 

Sur  la  cristallisation,  deux  Mém.  1782. 
p.  56. 
Klenkemberg ,  sur  la  planète  d'Herschel.  ib. 

Sur  la  latitude  de  La  Haye.  ib. 
Labillardière ,  description  d'une  nouvelle  es- 
pèce d'astragale  qui  produit  au  Liban  la 
gomme  adragant.  Observ.  sur  la  hauteur 
d'une  montagne  ,  sur  sa  structure ,  et  sur 
l'état  actuel  de  ses  habitans.  1789.  p.  19. 
Lacroix,  sur  les  diSerences  partielles.  1786. 

p.  45. 
Lallemand  ,  sur  la  vitesse  de  l'eau.  1785. 

p.  128. 
Lanux,  sur  les  trombes.  1781.  p.  52. 

Suite  d'observ,  de  la  comète  de  1787,  faites 
à  l'ile  Bourbon.  1788,  p.  22. 
Laumont,  sur  les  mines.  1786.  p.  45. 
Leblanc ,  sur  la  cristallisation  du  bismuth. 
ibid. 

Observ.  sur  la  surcomposition  de  plusieurs 
sels.  1787.  p.  46. 


20  TABLE  DES  MÉMOIRES 

ACADiiiiE.  {Savans  étrangers.) 

Sur  l'alun  cubique  et  sur  le  vitriol.de  co- 
balt, ib. 
Sur  les  différentes  combinaisons  du  mer- 
cure, ib. 

Leblond,  sur  le  quinquina.  1786.  p.  45. 

Lefevre-des-Hayes,  sur  l'eau -de -vie  de 
café.  ib. 

Legendre,  sur  la  rotation  des  corps.  1781. 
p.  62. 

Sur  les  fonctions  continues,  ib. 
Sur  l'attraction  des  sphéroïdes.  1 788.  p.  28. 

Lislet,  sur  une  expédition  à  Sainte-Lucie, 
île  de  Madagascar,  relative  à  l'hydrogra- 
phie ,  ainsi  qu'à  un  voyage  dans  les  terres, 
en  remontant  les  fleuves  dans  l'intérieur 
des  habitations  sauvages  voisines  de  la  baie 
de  Sainte-Lucie,  au  sud  de  Madagascar, 
et  d'un  plan  de  sondes  de  la  baie  de  Sainte- 
Lucie;  une  demi-année  d'observ.  météo- 
rologiques faites  à  l'île  de  France,  depuis 
le  16  juillet  jusqu'à  la  fin  de  l'année  1787. 
1789.  p.  19. 

Loisel,  sur  le  gluten  des  argiles.  1786.  p.  45. 
Sur  la  quantité  de  sel  que  contiennent  les 
verres  blancs,  ib. 

Mallet,  sur  le  passage  de  Mercure.  1786. 
p.  45. 

Méchain,  Observ.  astronom.  17B1.  p.  62. 
1782.  p.  56. 

Monge,  sur  la   planète  d'Herschel.   1785. 

p.  128. 
Mongès ,  sur  le.  cygne  chantant.  1783.  p.  28. 


DE  L'ACADEMIE.    1781  — 1790.         21 

ACADÉ3IIE.  {Savans  étrangers.)  •   ...  - 

Morveau,  (de)  sur  les  propriétés  hygromé- 
triques de  la  soude,  ib. 
Observ.  sur  la  décomposition  de  l'eau,  et 
de  la  production  de  l'ammoniaque  pen- 
dant la  dissolution  de  l'étain  dans  l'acide 
nitrique.  1788.  p.  21. 
•    '"  '   Norbek,  (de)  sur  l'artillerie.  1781.  p.  62. 

Mém.  sur  plusieurs  pièces  de  canon  for- 
gées en  Espagne.  1784.  p.  17. 
Palasson,  (l'Abbé)  Observ.  sur  trois  espèces 
de  chêne  qui   croissent  dans  le   Béarn. 
1788.  p.  21. 
Parmentier,  sur  la  patate.  1786.  p.  45. 

Sur  le  mais  employé  comme  fourrage,  ib. 
Peletier,  sur  la  plombagine  et  la  molybdène. 

1785,  p.  128. 

Sur  l'acide  marin  déphlogistiqué.  ib. 
:  Sur  le  phosphore,  ib. 

Sur  un  sel  particulier,  analogue  aux  sels 

acides  des  végétaux,  ib. 
Examen  du  sel  qu'on  obtient  en  traitant 

l'étain  avec  l'acide  nitreux.  1788.  p.  22. 
Sur  les   combinaisons   qui    résultent  de 

l'union  directe  du  phosphore  avec  les 

substances  métalliques,  ib. 
Sur  le  phosphore  dans  lequel  il  est  traité 

de  sa  combinaison  avec  le  soufre.  1789. 

p.  19. 
Pigot  fils,  Observ.  de  Mercure.  1782.  p.  56. 
Poujet,  sur  la  cristallisation  des  substances 
métalliques,  et  du  bismuth  en  particulier. 

1786.  p.  45., 


22  TABLE  DES  MEMOIHES    " 

ACADÉ3IIE.  {Savons  étrangers.) 

Prony,  sur  un  nouvel  instrument  propre  à 
mesurer  les  petits  angles  en  général ,  et 
en  particulier  ceux  à  l'horizon  et  au  zé- 
nith. 1789.  p.  19. 
Prunelai,  (Comte  de)  sur  la  putréfaction. 

1783.  p.  28. 
Puymorin,  (de)  sur  les  caveaux  de  Tou- 
louse. 1782.  p.  56. 

Sur  l'acide  tluorique,  son  action  sur  la 

terre  siliceuse ,  et  l'application  de  cette 

propriété  à  la  gravure  sur  verre.  1788. 

p.  21. 

Reboul,  Description  de  la  vallée  du  Gave- 

Béarnois  dans  les  Pyrénées,  ib. 
Roiier,  (  l'Abbé  )  Description  d'un  arc-en- 
ciel  lunaire  obs.  à  Lyon.  ib. 
Scanégat,  sur  un  nouveau  four  pour  faire  le 
plâtre  par  le  charbon,  avec  deux  planch. 
1787.  p.  46. 
Schreiber,  sur  la  montagne  de  Chalanches, 
près  d'Allemont  en  Dauphiné.  1784.  p.  17. 
Sonnerai,  sur  le  coq  sauvage.  1782.  p.  56. 
Tédenat,  sur   les   difïorences  finies.   1785. 
p.  128. 

Sur  les  différences  partielles.  1786.  p.  45. 
Tessier,  (l'Abbé)  effet  de  la  lumière  sur  les 

plantes,  deux  Mém.  1783.  p.  28. 
Tétevide  et  Begidis ,  sur  une  méthode  de 

lever  les  plans.  1785.  p.  128. 
Thouin,  sur  l'usage  du  terreau  de  bruyères. 
'  '';i786.  p.  45. 

Sur  un  nouveau  genre  de  plantes,  ib. 


DE  L'ACADEMIE.     1781  — 1790,        a3 
AcADÉmiE.  {Savans  étrangers.) 

Trembley,  sur  le  calcul  intégral.  1782.  p.  56. 

Sur  les  séries  r.'currentes.  1788.  p.  28. 

Sur  les  probabilités,  /è. 

Sur  les  moyens  de  mesurer  les  hauteurs 
de  l'atmosphère,  ib. 

Sur  les  fractions  continues.  1786.  p.  45. 

Sur  la  solution  de  quelques  problèmes  re- 

latifsau  calcul  des  probabilités.  1 787.  p.  46. 
Vastel,  Observât,  sur  les  plantes  de  mer. 

1784.  p.  17. 

Vaugler,  (de)  sur  un  système  de  musique. 
1781.  p.  52. 

Vetret,  sur  les  corrections  à  faire  aux  mou- 
lins à  sucre,  ib. 

Zimmernmnn,  sur  la  nitrière  naturelle  qui 
se  trouve  à  Molfetta,  dans  la  terre  du  Bari 
en  Fouille.  1788.  p.  22. 

Al&èbre  et  Analyse.  {Analyse.) 

Recherches  d'analyse  indéterminée,  par 
M.  Le  Gendre.  1786.  Mém.  p.  465. 
Art.  i^"",  des  Equations  indéterminées  li- 
néaires, ib.  Art.  2,  Usage  de  l'analyse  in- 
déterminée dans  la  recherche  des  divi- 
seurs des  équations,  p.  490.  Recherche 
d'une  espèce  particulière  de  diviseurs  ir- 
rationnels, p.  498.  Remarques,  p.  5oo. 
Art.  3 ,  Théorème  sur  la  possibilité  des 
équations iridéterminées  du  second  degré. 
p.  507.  Art.  4,  contenant  diversThéorèmes 
sur  les  nombres  premiers,  p.  5i  3.  Démons- 


34  TABLE  DES  MÉMOIRES 

Algèbre  et  Analyse.  {Analyse). 

tration  de  ces  Théorèmes,  p.  5i8.  Remar- 
que, p.  523.  Table  i".  p.  628  et  553.  Ta- 
ble 2^  p.  537  et  555.  Table  3^  p.  540  et 
557.  Table  4^  p.  543  et  558.  Remarque  i" 
sur  les  nombres  premiers  de  la  forme 
Bn— I.  p.  544.  Remarque  2«  sur  les  nom- 
bres en  général,  p.  548.  Autres  Théorèmes 
sur  les  nombres  premiers,  p.  649. 
Sur  le  Mouvement  d'un  système  de  corps 
qui  s'attirent  mutuellement,  suivant  une 
loi  quelconque,  par  M.  LaplACE.  1789. 
Mém.  p.  81. 

Approximations. 

Mém.  sur  les  Approximations  des  formules 
qui  sont  fonctions  de  très-grands  noni- 
bres,  par  M.  Laplace.  1782.  Hist.  p.  48. 
Mém.  p.  I.  Art.  i^S  de  l'Intégration  par 
approximation  des  fonctions  différen- 
tielles qui  renferment  des  facteurs  élevés 
et  de  grandes  puissances,  p.  6.  Art.  2 ,  de 
l'Intégration  par  approximation  des  équa- 
tions linéaires  aux  diff'érences  finies  et  in- 
finiment petites,  p.  3i .  Art.  3,  Apphcation 
de  la  méthode  précédente  à  l'approxima- 
tion de  diverses  fonctions  de  très-grands 
nombres,  p.  53. 

Suite  de  ce  Mémoire.  1788.  Mém.  p.  423. 
Art.  4,  Application  de  l'analyse  précé- 
dente à  la  théorie  des  hasards,  ib.  Il  y  a 
lieu  de  croire  que  dans  toute  la  Terre 

entière 


DE  L'ACADEMIE.     1781  —  1790.        26 

Algèbre  et  Analyse  (  Approximation.  ) 

entière  il  ^  a  une  plus  grande  possibilité 
dans  la  naissance  des  garçons  que  dans 
celle  des  filles,  p.  427.  Cette  possibilité 
n'est  pas  partout  la  môme.  ib.  Cette  possi- 
bilité est  plus  grande  à  Paris  et  à  Naples 
qu'à  Londres,  ib.  Calcul  qui  sert  de  base 
à  ces  résultats,  p.  428.  Nombre  des  nais- 
sances pendant  un  espace  donné  à  Paris, 
à  Londres  et  à  Naples.  p.  446.  Calcul 
d'après  ces  nombres,  p.  447.  Probabilité 
des  événemens  futurs  d'après  les  événe- 
mens  passés,  p.  454. 
Sur  la  manière  de  faire  disparoître  les  arcs 
de^  cercle ,  des  intégrales  trouvées  par  les 
méthodes  odinaires  d'approximation ,  par 
le  môme.  1789.  Mém.  p.  67. 

Ballons  aérostatiques. 

Calculs  sur  les  Ballons  aérostatiques,  faits 
par  feu  M.  Léonard  Euler  ,  tels  qu'on  les 
a  trouvés  sur  son  ardoise  après  sa  mort, 
arrivée  le  7  septembre  1788.  1781.  Hist. 
p.  40.  Mém.  p.  264.  Lois  du  mouvement 
vertical  d'un  globe  qui  s'élève  dans  un  air 
calme ,  en  vertu  de  la  force  ascension- 
nelle qu'il  doit  à  sa  légèreté,  ib. 

Cadastre. 

Rapport  sur  un  projet  pour  la  réformation 
du  Cadastre  de  la  haute  Guyenne,  pré- 
senté à  l'Assemblée  de  cette  province ,  et 
sur  lequel  les  chefs  de  cette  Assemblée 
Tab.  des  Mat.  1 781  —  1 790.  D 


26  TABLE  DES  MEMOIRES 

Algèbre  et  Analyse.  (Cadastre.) 

ont  demandé  l'avis  de  l'Académie  ,  par 
MM.  TiLLET,  l'Abbé  BossuT,  Desma- 
RETS  ,  Du  SÉJOUR  et  de  Condorcet 
(rapporteur).  1 782.  Hist.  p.  42.  Méni.  p.  620. 

Premier  objet  de  ce  rapport.  La  division  des 
différentes  terres  en  classes  n'introduit- 
elle  pas ,  dans  la  proportion  de  l'impôt , 
ime  erreur  plus  grande  que  celle  qui  est 
inévitable  dans  les  estimations  ? 

Second  objet.  Par  la  métliode  proposée  de 
faire  partiellement  la  réforme  du  cadastre, 
peut-on  se  flatter  d'atteindre  à  l'exactitude 
nécessaire?  Pour  parvenir  à  la  solution  de 
ces  questions,  1°  connoitre  exactement 
l'étendue  de  cbaque  propriété,  p.  621. 
2".  Préférer  la  méthode  de  cutellation  dans 
l'arpentage  à  celle  de  développeTnent.p.622. 
3°.  Estimer  chaque  terre  ou  chaque  partie 
de  terre  ,  deux  méthodes  à  suivre  pour 
cela.  p.  628.  4°.  Régler  d'après  cela  le  taux 
de  l'impôt,  p.  624.  Calculs  qui  ont  servi 
de  bases  aux  règles  à  établir,  p.  625. 

Note.  Limites  de  l'erreur  propre  à  chaque  sjslème 
d'impositions,  p.  C26.  Manière  d'eslimcr  les  terres, 
et  de  les  placer  dans  la  classification  adoptée,  p.  G5o. 
Moyens  de  juger  de  la  nature  d'un  terrain,  p.  652, 
De  la  naturelles  baux.  p.  05/,.  Manière  de  former 
une  année  commune  pour  l'eslimalion  des  terres. 
p.  655.  Moyen  pour  connoitre  à  peu  près  le  taux  de 
l'impôt,  p.  641.  Réiablir  l'ordre  dans  le  cadastre  à 
mesure  que  les  circonstances  l'altéreront,  p.  645. 
L'avis  de  l'Académie  est  conforme  au  projet  pré- 
senté, p.  646. 


DE  L'ACADEMIE.     1781—1790.       27 

Algèbre  et  Analyse.  {Déblais  et;  Remblais.) 

Mém.  sur  la  théorie  des  déblais  et  des  rem- 
blais, par  M.  MoNGE.  1781.  Hist.  p.  84. 
Mém.  p.  666.  Ce  qu'on  entend  par  déblai 
et  remblai,  ib.  Déterminer  de  quelle  ma- 
nière doit  se  faire  l'opération  du  déblai 
et  du  remblai,  pour  que  la  force  employée 
soit  un  minimum ,  d'abord  dans  le  cas  où 
le  déblai  et  le  remblai  sont  supposés  oc- 
cuper une  aire  prise  sur  un  plan,  ensuite 
celui  où  ils  sont  supposés  avoir  les  trois 
dimensions,  p.  666  et  685.  La  solution  de 
ce  problème  n'est  point  applicable  à  la 
pratique,  p.  704.  Deux  planches  à  la  suite 
du  Mémoire. 

Différenciation. 

Recherches  sur  les  principes  de  la  différen- 
ciation, et  sur  les  intégrales  connues  jus- 
qu'ici sous  le  nom  d'intégrales  particulières, 
par  M.  Charles.  1788.  Mém.  p.  11 5. 
Remarques  sur  les  principes  de  la  difié- 
renciation.  p.  119.  Autre  méthode  pour 
trouver  le  tei'me  différentiel,  p.  127. 

Suite  du  Mém.  sur  les  principes  de  la  diffé- 
renciation, etc.  1788.  Mém.  p.  182.  Des 
équations  du  second  ordre,  p.  i35.  Fautes 
à  corriger  dans  ces  Mém.  p.  777. 

Élections  au  scrutin. 

Mém.  sur  les  élections  au  scrutin ,  par  M.  de 


2B  TABLE  DES  MEMOIRES 

Algèbre  et  Analyse.  (Élections  au  scrutin.) 

Borda.  1781.  ÏTist.  p.  3i.  Mém.  p.  667. 
La  pluralité  des  voix  dans  un  scrutin  n'in- 
dique le  vœu  des  électeurs,  que  dans  le 
cas  où  l'élection  se  fait  entre  deux  sujets 
seulement,  ib.  Développement  et  preuve 
de  cette  assertion,  ib.  Manière  de  com- 
parer la  valeur  des  suffrages  accordés  aux 
diflérens  candidats,  p.  660.  L'élection  par 
ordre  de  mérite  doit  être  préférée  ;  ma- 
nière de  procéder  à  cette  élection,  p.  659. 
Dans  quel  cas  la  pluralité  peut  être  si 
grande  dans  les  élections  ordinaires,  qu'il 
ne  soit  pas  possible  que  le  vœu  des  élec- 
teurs soit  pour  un  autre  que  pour  celui 
qui  a  obtenu  cette  pluralité,  p.  664. 

Equations. 

Théorème  sur  les  équations  aux  diff'érences 
finies,  par  M.  Charles.  1788.  Mém. 
p.  56o. 

Remarques  sur  la  manière  d'intégrer  par 
approximation  les  équations  différentiel- 
les et  les  équations  aux  diff'érences  par- 
tielles, par  M.  Cousin.  1783.  Mém.  p.  649. 

Mém.  sur  une  méthode  d'intégrer  les  équa- 
tions aux  différences  ordinaires  lorsqu'el- 
les sont  élevées,  et  dans  les  cas  où  leurs 
intégrales  complètes  sont  algébriques,  par 
M.  MoNGE.  1783.  Mém.  p.  719. 

Mém.  sur  l'intégration  des  équations  aux 
différences  finies  qui  ne  sont  pas  linéaires, 
par  le  même.  1783.  Mém.  p.  yaS. 


DE  L'ACADEMIE.     1781  — 1790.        29 
Algèbre  et  Analyse.  (Equations.) 

Mém.  sur  le  calcul  intégral  des  équations 
aux  différences  partielles,  par  le  mêmel 
1784.  Mém.  p.  1 18.  Des  équations  aux  dif- 
férences partielles  élevées  du  premier 
ordre,  p.  168.  Des  mômes  équations  éle- 
vées du  second  ordre,  p.  190. 

Supplément  à  ce  Mémoire,  où  l'on  fait  voir 
que  les  équations  aux  différences  ordi- 
naires ,  pour  lesquelles  les  conditions  d'in- 
tégrabilité  ne  sont  pas  satisfaites,  sont  sus- 
ceptibles d'une  véritable  intégration ,  et 
que  c'est  de  cette  intégration  que  dépend 
celle  des  équations  aux  diff'érences  par- 
tielles élevées.  1784.  Mém.  p.  5o2.  Con- 
clusion, p.  535.  Des  équations  aux  diffé- 
rences ordinaires  élevées  du  second  ordre, 
et  pour  un  nombre  de  variables  plus  grand 
que  deux.  p.  536.  Conclusion,  p.  55o.  Des 
équations  aux   différences  partielles  du 
premier  ordre,  ib.  Sur  les  équations  aux 
différences  partielles   des   ordres    supé- 
rieurs, p.  559.  Concbision  générale,  p.  578. 
Addition,  p.  574.  Fautes  à  corriger  dans 
ce  Mémoire,  p.  576. 

Mém.  sur  l'intégi'ation  des  équations  aux 
différences  partielles ,  par.  M.  Cousin. 
1784.  Mém.  p.  407. 
Recherches  sur  l'intégration  d'une  espèce 
singulière  d'équations  à  différences  finies, 
par  M.  Charles.  1786.  Mém.  p.  695. 
Suite  des  recherches  sur  une  équation  sin- 
gulière, par  le  même.  1786.  Mém.  p.  698- 


3o  TABLE  DES  MEMOIRES 

Algèbre  et  Analyse.  {Equations-) 

Planche  qui  termine  le  Mémoire,  p.  702. 
Nouv.  recherch.  sur  les  constructions  des 
équations  en  différences  finies  du  premier 
ordre,  et  sur  celle  des  limites  de  ces  équa- 
tions ,  par  M.  Charles.  1788.  Mém. 
p.  58o.  Formule  d'interpolation,  p.  682. 
Voyez  Trig-onométrije  sphérique. 

Fluides  {mouvement  des). 

Mém.  contenant  quelques  remarques  sur  la 
théorie  mathématique  du  mouvement  des 
fluides,  parM.  Cousin.  1788.  Mém.  p.  665. 

Intégrales. 

Mém.  sur  les  intégrales  doubles,  par  M.  Le- 
GENDRE.  1788.  Mém.  p.  464.  Principe  de 
transformation ,  pour  faciliter  l'élévation 
des  intégrales  doubles  ou  multiples,  p.  456. 
Formules  à  intégrer  pour  déterminer  l'at- 
traction d'un  sphéroïde  elliptique  sur  un 
point  extérieur,  p.  461.  Développement 
du  cas  où  le  point  attiré  se  trouve  dans  le 
plan  de  deux  axes  principaux,  p.  468. 
Intégration  générale  de  la  formule  de 
l'attraction,  p.  470. 

Mém.  sur  les  intégrales  particulières  des 
équations  différentielles,  par  le  même. 
1790.  p.  218.  Les  intégrales  particulières 
sont  toujours  comprises  dans  une  expres- 
sion finie ,  où  le  nombre  des  constantes 


DE  L'ACADEMIE.    1781— 1790.        3i 

Algèbre  et  Analyse.  (Intégrales.) 

arl^itraires  est  moindre  que  dans  l'inté- 
grale complète,  ib.  Remarques  sur  les  tau- 
tochrones.  p.  289.  F.  Différenciation. 

Intégrations. 


o 


Premier  Mém.  sur  les  intégrations  par  arcs 
d'ellipse,  par  M.  Legendre.  1786.  Mém. 
p.  616.  Formule  des  arcs  d'ellipse,  p.  617. 
Valeur  des  arcs  d'ellipse ,  lorsque  l'ex- 
centricité n'est  pas  très-grande,  p.  618. 
Valeur  des  arcs  lorsque  l'ellipse  est  fort 
alongée.  p.  620.  Des  difïérentielles  lesplus 
simples  qui  s'intègrent  par  des  arcs  d'el- 
lipse, p.  625.  Application  à  d'autres  exem- 
ples, p.  687.  Planche  qui  termine  ce  Mé- 
moire, p.  640.  De  la  smface  du  cône  obli- 
que, p.  642. 

Deuxième  Mém.  sur  les  intégrations  par  arcs 
d'ellipse ,  et  sur  la  comparaison  de  ces 
arcs.  1786.  Mém.  p.  644.  Expression  d'un 
arc  d'ellipse,  p.  647.  Valeur  d'un  arc  d'hy- 
perbole, p.  649.  Comparaison  des  arcs  de 
deux  ellipses,  p.  65o.  Rectification  définie 
des  ellipses  d'une  même  suite,  p.  653. 
JRectification  indéfinie  de  toutes  les  el- 
lipses d'une  môme,  suite,  par  le  moyen  de 
deux  elUpscs  de  cette  suite,  p.  656.  Espèce 
de  bissection  du  quart  d'ellipse ,  déduite 
de  l'équation  (F'),  p.  659.  Nouvelle  for- 
mule, d'où  résulte  une  suite  de  théorèmes 
analogues  à  celui  de  Fagnani.  p.  663.  For- 


32  TABLE  DES  MEMOIRES 

Algèbre  et  Analyse.  {Intégrations.) 

mule  plus  générale  que  les  précédentes, 
d'où  résultent  de  nouvelles  propositions 
sur  la  comparaison  des  arcs  elliptiques. 
p.  672.  Intégration  de  quelques  formules 
qui  conduisent  à  la  comparaison  des  arcs 
d'ellipse ,  dans  des  cas  particuliers,  p.  676. 
Mém.  sur  l'intégration  des  équations  aux 
différences  partielles,  par  le  même.  1787. 
Mém.  p.  309.  De  l'équation  de  la  moindre 
surface,  ib.  D'une  équation  plus  générale 
dont  les  coefficiens  sont  fonctions  de  p  et 
q.  p.  814.  De  l'équation  qui  ne  contient 
que  les  termes  du  second  ordre,  p.  317. 
De  l'équation  linéaire  du  second  ordre  à 
trois  variables,  p.  3ig.  De  l'équation  li- 
néaire du  second  ordre  à  quatre  variables. 
p.  823.  Des  équations  du  second  ordre  à 
cinq  variables,  p.  33 1.  D'une  équation  par- 
ticulière du  troisième  ordre  à  trois  varia- 
bles, p.  332.  D'une  équation  à  trois  varia- 
bles d'un  ordre  indéfini,  p.  335.  Des  équa- 
tions non  linéaires  du  premier  ordre. 
p.  337.  Addition  au  Mém.  imprimé  dans 
le  volume  précédent,  sur  la  manière  de 
distinguer  les  inoxima  des  minima  dans 
le  calcul  des  variations,  p.  848.  Voyez 

ÉQUATI02ÎS. 


Probabilités. 


Mém.  sur  le  calcul  des  probabilités,  par 
M.  de  C0NDOB.CET.   1781.  Hist.  p.  38. 

Mém. 


DE  L'ACADÉMIE.     1781—1790.        33 

Algèbre  et  Analyse.  {Probabilités.) 

Mém.  p.  707.  Première  partie,  Réflexions 
sur  la  règle  générale  qui  prescrit  de  pren- 
dre pour  valeur  d'un  événement  incer- 
tain ,  la  probabilité  de  cet  événement , 
multiplié  par  la  valeur  de  l'événement 
en  lui-même,  ib.  Deuxième  partie,  Ap- 
plication de  l'analyse  à  cette  question  : 
Déterminer  la  probabilité  qu'un  arrange- 
ment est  l'effet  d'une  intention  de  le  pro- 
duire, p.  720.  .'•■*-.    vn-i . 
Suite  de   ce  Mém.   Troisième  partie ,  sur 
l'évaluation  des  droits  éventuels.   1782. 
Hist.  p.  44.  Mém.  p.  674.  Deux  classes  de 
droits  éventuels  j  les  uns  se  payent  lorsque 
les   propriétés  viennent   à  changer  par 
vente  j  les  autres  se  payent  aux  mutations 
par  succession ,  soit  directe  ou  collatérale, 
soit  collatérale  seulement,  ib.  Formules 
générales  qui  peuvent  s'appliquer  à  toutes 
les  espèces  de  droits,  p.  676. 
Suite  de  ce  Mém.  Quatrième  partie,  Ré- 
flexions sur  la  méthode  de  déterminer  la 
probabilité  des  événemens  futurs,  d'après 
l'observation  des  événemens  passés.  1783. 
Mém.   p.   539.   Voyez  Approximation. 
Cinquième  partie ,  sur  la  probabilité  des 
faits  extraordinaires,  p.  553.  Le  calcul  dé- 
montre l'affoiblissement  qu'éprouvent  les 
témoignages  lorsqu'ils  tombent  sur  des 
faits  extraordinaires,  p.  559. 
Suite  de  ce  Mémoire.  1784.  Mém.  p.  454, 
art.  VI.  Application  des  principes  de  l'ar- 
Tab.  des  Mat.  1781  —  1790.                       E 


34  TABLE  DES  MÉMOIRES 

Algèbre  et  Analyse.  {Probabilités.) 

ticle  précédent  à  quelques  questions  de 
critique,  ib.  V.  Population.  (Economie.) 

Surfaces. 

Mémoire  sur  l'expression  analytique  de  la 
génération  des  surfaces  courbes ,  par 
M.  MoNGE.  1784.  Mém.  p.  85. 

Tétraèdre. 

Propositions  neuves  et  non  moins  utiles  que 
curieuses,  sur  le  Tétraèdre,  ou  Essai  de 
Tétraédométrie,  par  M.  l'Abbé  de  GuA. 
1783.  Mém.  p.  363. 

Trigonométrie  sphérique. 

Trigonométrie  sphérique ,  déduite  très-briè- 
vement et  complètement  de  la  seule  so- 
lution algébrique  du  plus  simple  de  ses 
problèmes  généraux ,  au  moyen  de  di- 
verses transformations,  dont  les  rapports 
des  sinus  et  cosinus,  tangentes  et  cotan- 
gentes,  sécantes  et  cosécantes  d'un  même 
arc  ou  d'un  même  angle-plan,  rendent 
cette  solution  susceptible,  et  comprenant 
quelques  formules  et  observations  qu'on 
croit  utiles  et  neuves,  par  M.  l'Abbé  de 
GuA.  1783.  Mém.  p.  291. 
.  Diverses  mesures ,  en  partie  neuves ,  des 
.  aires  sphériques  et  des  angles  solides  trian- 


DE  L'ACADEMIE.     1781  —  1790.       35 

AiGÈBRE  ET  Analyse.  {Trlgon.  sphérlque.) 

gulaires  et  polyççones ,  dont  on  est  sup- 
posé connoître  aes  élémens  en  nombre 
suffisant,  avec  des  remarques  qu'on  croit 
pouvoir  contribuer  à  simplifier  .les  inté- 
grations de  plusieurs  équations  différen- 
tielles à  inconnues  actuellement  séparées, 
par  M.  l'Abbé  de  GuA.  1783.  Mém.  p.  344. 
Mém.  sur  les  opérations  trigonométriques, 
dont  les  résultats  dépendent  de  la  figure 
de  la  Terre,  par  M.  Legendre.  1787. 
Mém.  p.  352.  Réduction  d'un  angle  à 
l'horizon,  p.  354.  Angle  de  dépression 
ou  d'élévation  d'un  point  observé ,  par 
rapport  à  l'horizon  du  lieu  où  l'on  ob- 
serve, p.  355.  Remarques  sur  les  réfrac- 
tions terrestres,  ib.  Réduction  d'une  dis- 
tance à  l'horizon,  p.  357.  Fonnule  pour 
avoir  l'excès  de  la  somme  des  trois  angles 
d'un  triangle  réduit  à  l'horizon,  sur  180 
deg.  p.  358.  Théorème  concernant  les 
triangles  sphériques,  dont  les  côtés  sont 
très-petits ,  par  rapport  au  rayon  de  la 
sphère,  ib.  Valeurs  des  degrés  du  méri- 
dien dans  le  sphéroïde,  p.  SSg.  Formules 
pour  déterminer  la  position  respective  de 
difï'érens  lieux  sur  la  surface  du  sphéroïde. 
ib.  Solution  plus  exacte  du  problème  pré- 
.  .  cèdent,  p.  36r.  Autre  solution  plus  géné- 
rale ,  déduite  de  la  nature  de  la  ligne  la 
plus  courte,  sur  la  surface  du  sphéroïde 
,  ■  ,.  elliptique,  p.  365.  Application  des  for- 
'  '"        mules  de  l'article .vm  à  une  chaine  de 


36  TABLE  DES  MEMOIRES 

Algèbre  et  Analyse.  {Trigon.  sphérique.) 

triangles  qui  doit  être  prolongée  depuis 
Dunkerque  jusqu'à  Gréenwich.  p.  26g, 
Tableau  des  triangles,  p.  870.  Position  de 
.  quelques  points  de  la  chaîne  de  triangles 
qui  doit  être  tracée  depuis  Dunkerque 
jusqu'à  Gréenwich.  p.  SyS.  Des  opérations 


aui  ont  pour  objet  la  mesure  des  degrés 
u  méridien,  p.  374.  Calculs  relatifs  aux 
observations  de  l'étoile  polaire,  p.  38o. 


Planche  qui  termine  le  Mémoire,  p.  882. 
Suite  du  calcul  des  triangles  qui  servent  à 
déterminer  la  différence  de  longitude  en- 
tre l'Observatoire  de  Paris  et  celui  de 
Gréenwich.  1788. Mém.  p.  747. Différence 
de  longitude  entre  les  deux  Observatoires, 
2  deg.  20'  i5",  et  en  temps  9  21.  p.  762^ 
Ce  résultat  difîère  de  celui  du  général 
Roy.  ib.  Fautes  à  corriger  dans  le  volume 
précédent,  p.  764. 

Variations.  (  Calcul  des) 

Mém.  sur  la  manière  de  distinguer  les  maxi' 
ma  des- minima,  dans  le  calcul  des  varia- 
tions, par  M.  Legendre.  1786.  Mém» 
p.  7.  Sur  la  chaînette,  p.  26.  Sur  le  cercle, 
p.  27.  Sur  la  cycloïde.  p.  3o.  Planche  qui 
termine  ce  Mémoire,  p.  36.  {Voyez  une 
addition  à  ce  Mém.  1787.  Mém.  p.  848.) 

j\nATOMIE.  (Anatomie  en  général.) 

Observât,  anatomique,  par  M.  de  Fouchy, 
1784.  Mém.  p.  399.  L'auteur  a  l'ait  cette 


DE  L'ACADEMIF.     1781-1790.        37 

Aïs ATom^.  {Anatomie  en  générai) 

observation  sur  lui-même.  A  la  suite  d'une 
chute  sur  le  visage,  il  éprouva  pendant 
une  minute  un  contraste  entre  les  pensées 
qui  l'occupèrent,  à  l'occasion  de  ce  qu'il 
entendoit  et  la  faculté  d'y  répondre;  ses 
paroles  étoient  disparates,  quoiqu'il  eût 
la  volonté  de  les  conformer  aux  questions 
qu'on  lui  faisoit.  p.  400. 


Cerveau. 


Recherches  sur  la  structure  du  cerveau,  du 
cervelet ,  de  la  moelle  alongée  ,  de  la 
moelle  épinière,  et  sur  l'origine  des  nerfs 
de  l'homme  et  des  animaux,  par  M.  Vicq- 
D'AzYR.  1781.  Hist.  p.  8.  Mém.  p.  496. 
Nécessité  de  joindre  une  description  exacte 
aux  dessins  qui  représentent  les  objets 
d'anatomie.  ib.  Structure  du  cerveau  de 
l'homme  disséqué  par  sa  partie  supé- 
rieure, p.  496.  Membranes  du  cerveau, 
p.  497.  Veines  du  cerveau,  p.  499,  Sillon 
deSylvius.  p.  5o5.  Substances  corticale  et 
médullaire,  p.  5o6.  Corps  calleux,  p.  5i2. 
Septum  lucidum.  p.  5i5.  La  voûte  à  trois 
piliers,  p.  5i6.  La  lyre.  p.  517.  Les  corps 
striés,  p.  520.  Les  couches  optiques,  p.  626. 
Tœnia  semi-circularis.  p.  629.  Tubercules 
quadrijumaux.  p.  53r.  La  glande  pinéale 
et  ses  pédoncules,  p.  532.  Les  commissures 
antérieure  et  supérieure,  p.  533.  Troi- 
sième ventricule,  p.  536.  Communication 


38  TABLE  DES  MEMOIRES 

Anatomie.  {Cerveau.) 

des  ventricules  entr'eux.  p.  SSy.  Plexus 
choroïde,  p.  540.  Variétés,  p.  642. 
Second  Mémoire,  contenant  des  Observations 
sur  plusieurs  régions  du  cerveau  disséqué 

Î)ar  sa  base,  et  sur  l'origine  des  nerfs,  par 
e  même.  p.  643.  Substance  perforée. 
p.  544.  Portion  antérieure  et  inférieure  du 
corps  calleux,  p.  546.  Lame  grise  de  la 
jonction  des  nerfs  optiques ,  ou  cloison 
pulpeuse  du  troisième  ventricule,  p.  647. 
La  première  paire  de  nerfs,  p.  649.  Emi- 
nentiœ  candie ante s ,  les  éminences  mamil- 
laires.  p.  552.  L'entonnoir,  ib.  Nerfs  opti- 
ques, p.  553.  Jambes  du  cerveau  et  nerfs 
de  la  troisième  paire,  p.  555.  La  quatrième 
paire  de  nerfs,  p.  557.  La  protubérance 
annulaire,  p.  559.  La  cinquième  paire  de 
nerfs,  p.  564.  Corps  calleux  et  centre  ovale 
en-dessous,  p.  566. 
Troisième  Mémoire  sur  la  structure  anato- 
mîque  du  cervelet,  de  la  moelle  alongée 
et  de  la  moelle  épinière ,  et  sur  l'origine 
de  plusieurs  nerfs,  par  le  même.  p.  566. 
Régions  externes  et  division  du  cerve- 
let, p.  567.  Processus  vermiformis ,  verrais, 
p.  572.  Circonvolutions  et  sillons  du  cer- 
velet, p.  574.  Centre  médullaire  du  cer- 
velet, p.  576.  Valvule  du  cerveau,  dite  de 
vieussens,  ou  lame  médullaire  moyenne 
du  cervelet,  p.  577.  Corps  rbomboidal  du 
cervelet  j  corps  dentelé,  frangé  et  festonné; 
corpus  serratum  veldentatum  cerebelU.p.  58o. 


DE  L'ACADEMIE.     1781-1790.       39 

Anatomie.  {Cerveau.) 

Jambes,  bras,  ou  pédoncules  du  cervelet, 
p.  582.  Portion  de  la  moelle  alongée  qui 
se  joint  aux  Jambes  du  cervelet,  sans  com- 
muniquer immédiatement  avec  la  protu- 
bérance annulaire,  colonnes  ou  pédon- 
cules de  la  moelle  alongée.  p.  583.  Qua- 
trième ventricule,  ou  ventricule  du  cer- 
velet, ib.  Le  plexus  clioroïde  du  quatrième 
ventricule,  p.  585.  Les  éminences  pyra- 
midales, p.  587.  Les  éminences  olivaires. 
ib.  La  sixième  paire  de  nerfs,  p.  588.  Sep- 
tième paire,  p.  590.  La  huitième  paire  de 
nerfs,  p.  598.  La  neuvième  paire,  p.  595. 
La  dixième  paire,  p.  596.  Nerfs  cervicaux. 
ib.  Observation  sur  une  dilatation  singu- 
lière des  sinus  occipitaux,  ib.  La  moelle 
épinière.  p.  697.  Le  ligament  dentelé, 
p.  6o3.  Explic.  des  huit  planches,  p,  604. 
Suite  des  recherches  sur  la  structure  du  cer- 
veau. Quatrième  Mém.  sur  la  structure 
du  cerveau  des  animaux,  comparé  avec 
celui  de  l'homme.  1788.  Mém.  p.  468, 
Quadrupèdes,  p.  470.  Oiseaux,  p.  471. 
Poissons,  p.  478.  Reptiles,  p.  475.  Insectes 
et  vers.  ib.  Dissection  du  cerveau  du  mou- 
ton, p,  483.  Dissection  du  cerveau  du  veau 
et  du  cheval,  p.  486.  Dissection  du  cer- 
veau du  congre,  p.  499.  Du  cerveau  du 
brochet,  p.  5oo.  Du  cerveau  de  la  carpe, 
p.  5oi.  Du  cerveau  du  barbeau,  p.  5o3, 
Explication  des  quatre  planches  qui  ter- 
minent ce  Mémoire,  pages  479,  491 ,  496. 


40  TABLE  DES  MEMOIRES 

AnATOMIE.  (Clavicules.) 

Mém.  sur  les  clavicules  et  sur  les  os  cla- 
viculaires,  par  M,  Vicq-d'Azyr.  1785. 
Mém.  p.  35o.  Plusieurs  genres  d'animaux 
doivent  être  compris  dans  les  quadrupèdes 
clavicules,  ib.  Différentes  sortes  de  clavi- 
cules, ib.  Clavicule  du.  rat.  p.  35i.  Du 
lapin,  ib.  Du  ehat.  p.  352.  Du  cochon 
d'Inde,  ibid.  Sur  une  liqueur  gastrique. 
p.  353.  Explication  des  cinq  planches,  ib. 
Cœur.  Voyez  Morts  subites. 


Moelle. 


Mém.  sur  quelques  particularités  de  la  struc- 
ture de  la  moelle  de  l'épine ,  et  de  ses 
enveloppes,  par  M.  Sab atier.  i  783.  Mém. 

Î).  67.  Longueur  et  forme  de  la  moelle  de 
'épine,  ib.  Croisement  des  nerfs  à  leur 
origine,  n'est  pas  réelle,  ib.  La  pie-mère 
et  la  dure-mère  qui  servent  d'enveloppe 
aux  diverses  parties  de  la  masse  cérébrale, 
se  prolongent  sur  la  moelle  de  l'épine. 
p.  73.  On  remarque  une  disposition  sin- 
gulière lorsqu'on  étudie  la  moelle  de 
l'épine,  qui  n'a  pas  d'exemple  dans  le  reste 
de  la  machine  animale ,  et  dont  l'utilité 
n'est  pas  encore  connue,  p.  77. 


Morts  subites. 


Observ.  sur  des  morts  subites,  occasionnées 
par  la  rupture  du  ventricule  gauche  du 

cœur, 


DE  L'ACADÉMIE.     1781  —  1790.        41 
Anatomie.  {Morts  subites.) 

cœur,  par  M.  Portal.  1784.  Méni.  p.  5r. 
Auteurs  qui  ont  parlé  de  cet  accident,  ib. 
Plusieurs  exemples  cités,  p.  64.  Résultats 
des  observations  faites  dans  ces  circons- 
tances, p.  61.  Obs.  faites  par  M.  Chaus- 
SIER ,  sur  la  rupture  du  ventricule  et  de 
l'oreillette  gauche  du  cœur.  ib. 

Muscles. 

Mém.  sur  les  muscles  situés  à  la  partie  an- 
'  térieure  du  col,  par  M.  Sabatïer.  1790. 

p.  242.  Les  pauciers.  p.  248.  Les  sterno- 
cleïdo- mastoïdiens,  p.  246.  Les  digastri- 
ques.  p.  249.  Les  stito-hyoïdiens.  p.  25o. 
Les  céphalo-hyoïdiens,  p.  25 1.  Le  mylo- 
hyoïdien.  p.  253.  Les  genio-hj'oïdîens. 
p.  254.  Lbs  omoplat- hyoïdiens,  ib.  Les 
sterno-hyoïdiens.  p.  255.  Les  hyo-thy- 
roïdiens.  ib. 
Obs.  sur  les  muscles  droits  du  ventre ,  par  le 
même.  1790.  p.  259.  Variétés  qu'offrent 
ces  muscles,  p.  262. 

Poissons. 

Observ.  sur  les  vaisseaux  spermatiques  des 
poissons  épineux,  par  M.  Broussonet. 
1785.  Mém.  p.  170.  Auteurs  qui  ont  traité 
des  vaisseaux  sanguins  des  poissons;  au- 
cun n'a  traité  des  vaisseaux  spermatiques. 
ib.  Description  de  ces  vaisseaux,  p.  172- 
Tab.  des  Mat.     1781— 1790.  F 


^^a        ,.,, TABLE  DES  MEMOIRES 

Anatomie.  (Tendons.)  ■ïnV.  ' 


.10 


Mém.  pour  servir  à  l'histoire  anatomiqiie 
^•j  ;,'  clps  tendons,  dans  lequel  on  s'occupe  spé- 
cialenient  de  leurs  capsules  muqueuses, 
par  M.  de  Fouivcroy  (chimiste).  1786. 
Mém.  p,  3,92.  Auteurs  qui  ont  parlé  des 
membranes  musculaires,  p.  398.  i*^^  partie: 
Dç  la  structure,  de  la  situation,  des  ditlé- 
rences  générales  des  capsules  muqueuses, 
des  tendons  et  de  leurs  usages,  p.  897. 
Second  Mém.  2^  partie.  Description  parti- 
culière des  capsules  muqueuses  qui  ac- 
compagnent les  tendons  des  muscles  du 
corps  humain.  1785.  Mém.  p.  414.  Art.  l^^^ 
Des  capsules  muqueuses  des  tendons  pla- 
cés aux  environs  de  l'articulation  de  l'hu- 
nierus  avec  l'omoplate,  p.  416.  Art.  2.  Des 
capsules  muqueuses  des  tendons  placés 
pg  I  dans   le   voisinage   de   l'articulation   da 

coude,  p.  43  r. 
Troisième  Mém.  1786.  Mém.  p.  38.  Art.  3. 
Des  capsules  muqueuses  propres  aux  ten- 
,     dons  qui  glissent  sur  les  extrémités  infé- 
rieures du  radius,  du  cubitus,  et  qui  s'at- 
tachent au  carpe ,  au  métacarpe  et  aux 
phalanges,  ib. 
Quatrième  Mém.  1786.  Mém.  p.  55o.  Art.  4. 
?.9h  r,->r,i'^^^  capsules  muqueuses  propres  aux  ten- 
dons, qui  s'insèrent  autour  ou  dans  le  voi- 
1,  M    fin^ige  de  l'articulation  du  fémur  avec  l'os 


.o<h: 


.T5t 

-1)6  ■•riii  ifînommé.  ib. 


j,,  '    Cinquième  Mémoire  sur  les  capsules  mii- 
j,-.        (jueuses  des  tendons.  1787.  Mé.ui.  p.  ^89. 


DE  L'ACADEMIE.     1781  —  1790.        43 
Anatomie.  (Tendons.) 

Art.  5.  Des  capsules  muqueuses  des  ten- 
dons qui  environnent  l'articulation  du 
genou,  ib. 
Sixième  et  dernier  Mém.  sur  les  capsules 
muqueuses  des  tendons.  1 787.  Mém.  p.  3o  i . 
Art.  6.  Des  capsules  muqueuses  des  ten- 
dons situés  aux  environs  de  l'articulation 
du  pied  avec  la  jambe,  et  des  os  du  pied 
entr'eux.  ib. 

Astronomie.  {Théorie.)  Détails  historiques. 

Extrait  des  Observations  astronomiques  et 
pb^'siques  faites  à  l'Observatoire  royal,  en 
l'année  1785,  par  M.  le  Comte  de  Cas- 
SiNi,  directeur.  1784.  Mém.  p.  63i.  (J'ai 
rangé  ces  observations  sous  les  différens 
titres  de  cette  Table  auxquels  elles  ont 
rapport.)  Construction  de  nouveaux  ins- 
trumens  à  l'Observatoire,  p.  632.  Précau- 
tions prises  pour  faire  les  observ.  astron. 
p.  684.  Histoire  céleste  de  l'année  1786. 
p.  640.  Phénomènes  intéressans  observés 
pendant  le  18*=  siècle,  ibid.  Extrait  des 
mêmes  observât,  pour  1786.  1786.  Mém. 
p.  814.  Travaux  des  élèves  MM.  Nouet, 
de  Villeneuve  et  Ruelle,  employés  à  l'Ob- 
servatoire, p.  3i5.  Restauration  de  l'édi- 
fice de  l'Observatoire,  p.  817.  Construc- 
tion de  cet  édifice  en  1668.  p.  820.  Travail 
de  M.  Laplace,  sur  la  théorie  de  Saturne, 
p.  884.  Télescope  de  M.  l'Abbé  Rochon, 
avec  un  miroir  de  platine,  p.  385. 


44 


TABLE  DES  MEMOIRES 


Astronomie.  (Théorie.)  Détails  historiques. 


Supplément,  extrait  des  principales  observ, 
iaites  depuis  1777  jusqu'en  1785.  1786. 
Mém.  p.  363. 

Extrait  des  observât,  astronom.  et  physiq. 
faites  par  ordre  de  Sa  Majesté,  à  l'Obser- 
vatoire royal,  en  l'année  1787,  sous  le 
ministère  de  M.  le  Baron  de  Breteuil,  par 
M.  le  Comte  de  Cassini  ,  directeur. 
MM.  NouET,  de  Villeneuve  et  Ruelle, 
élèves.  1787.  Mém.  p.  10.  Améliorations 
faites  aux  tableaux  qui  composent  cet 
extrait,  ih.  Type  du  calcul  d'un  lieu  de 
Jupiter,  le  4  décembre  1787,  x°  par  les 
tables,  p.  12;  2°  par  observation,  p.  i3. 
Type  du  calcul  de  l'opposition  de  Jupiter, 
du  mois  de  décembre  1787.  p.  14.  Ilist. 
céleste  de  l'année  1787.  p.  28.  Détails  sur 
l'invention  des  lunettes,  sur  leur  perfec- 
tionnement, leur  utilité,  ibid.  Lunettes 
achromatiques,  télescopes  de  M.  Herschel. 
p.  24.  Découvertes  étonnantes  faites  à 
l'aide  de  ces  télescopes,  p.  26.  Le  télescope 
grégorien ,  perfectionné  par  M.  l'Abbé 
Rochon,  p.  27.  Nouveau  moyen  pour  la 
perfection  des  objectifs  achromatiques. 
p.  28.  Précis  des  découvertes  faites  sur  le 
disque  lunaire,  p.  3i.  Description  des  ta- 
ches de  la  lune ,  par  Dominique  Cassini. 
p.  33.  Caite  de  ces  taches,  ib.  Détails  sur 
les  observations  de  ces  taches,  p.  84.  Vol- 
cans découverts  dans  la  lune,  ipar  M. Hers- 
chel. p.  35.  Réflexions  sur  ces  volcans. 


DE  L'ACADEMIE.    1781—1790.      45 

AstrOjVo:mie.  {Théorie.)  Détails  historiques. 

p.  36.  Travail  de  M.  T.aplace  ,  sur  l'équa- 
tion séculaire  de  la  lune.  p.  87.  Elle  est 
due  cl  l'action  du  soleil  sur  la  lune,  com- 
binée avec  la  variation  de  l'extrémité  de 
l'orbite  terrestre,  p.  38.  Table  du  mouve- 
ment de  la  pendule ,  pour  la  réduction 
des  heures  en  degrés,  p.  62. 
De  la  jonction  des  Observatoires  de  Paris  et 
de  Gréenvvich,  et  précis  des  travaux  géo- 
graphiques exécutés  en  France  qui  y  ont 
donné   lieu,  par  M.  de  Cassini.  1788. 
Mém.  p.  706. 1-a  ligne  méridienne  de  l'Ob- 
servatoire prolongée  dans  toute  la  France. 
ib.  Description  géométrique  et  carte  gé- 
nérale de  la  France,  p.  708.  Avantage  des 
opérations  trigonométriques  sur  les  ob- 
servations astronomiques,  pour  la  déter- 
mination exacte  de  la  position  respective 
des  lieux  qui  ne  sont  éloignés  que  de  quel- 
ques degrés,  p.  709.  Travaux  entrepris  en 
Angleterre  et  en  France  pour  la  jonction 
de  l'Observcit.  de  Gréenwich  et  de  celui 
de  Paris,  p.  710.  Construction  d'un  théo- 
dolyte  en  Angleterre ,  et  d'un  cercle  en- 
tier en  France,  p.  711.  Détails  des  opéra- 
tions   faites   de   Douvres   à  Dunkerque. 
p.  712.  La  position  de  Douvres  trouvée 
absolument  conforme  à  celle  qu'avoit  an- 
ciennement  déterminée    M.   Cassini   de 
Thury.  p.  714.  Description  des  principaux 
observatoires  de  ^Angleterre,  p.  716.  Du 
grand  télescope  de  M.  Herschel.  p.  716. 


46  TABLE  DES  MEMOIRES 

Astronomie.  {Théorie.)  Détails  historiques. 

Observations  faites  avec  ses  différens  té- 
lescopes, p.  717.  • 

Extrait  des  Observ.  astronom.  et  physiques 
faites  par  ordre  de  Sa  Majesté ,  à  l'Observ. 
royal,  en  l'année  1788,  par  M.  le  Comte 
de  Cassini,  directeur,  etc.  1788.  Mém. 
p.  62.  Introduction,  ib.  Détails  sur  les  ins- 
trumens  dont  on  fait  usage,  p.  63.  Vérifi- 
cation du  grand  quart  de  cercle  mobile 
de  six  pieds,  p.  64.  Comparaison  de  ce 
quart  de  cercle  avec  celui  de  M.  Bergeret, 
construit  par  le  célèbre  Bird,  et  placé  à 
l'École  militaire,  p.  66;  avec  celui  de  l'Ob- 
servatoire de  Gréenwich.  ib.  Les  résultats 
sont  à  peu  près  les  mêmes,  ib.  Détails 
relatifs  à  la  pendule,  p.  67.  Table  du  mou- 
vement de  la  pendule,  pour  la  réduction 
des  heures  en  degrés,  p.  96. 

Supplément,  extrait  des  principales  obser- 
vations faites  à  l'Observât,  royal  depuis 
1767  jusqu'en  1777.  1788.  Mém.  p.  io3. 
Changemens  arrivés  dans  l'emplacement 
des  quarts  de  cercle,  ib. 

Extrait  des  Observ.  astronom.  et  physiques 
faites  par  ordre  de  Sa  Majesté,  à  l'Observ, 
royal,  en  l'année  1 789,  par  M.  de  Cassini, 
directeur.  1789.  Mém.  p.  102.  Réflexions 
sur  le  passage  de  Mercure  sur  le  soleil,  le 
5  novembre,  p.  m.  Sur  la  disparition  et 
la  réapparition  de  l'anneau  de  Saturne. 
p.  112.  Sur  la  découv.  de  2  nouveaux  satel- 
lites de  Saturne,  par  M.  Heric/ie/.  p.  117. 


&. 


DE  L'ACADEMIE.     1781— 1790.       47 

Astronomie.  (Théorie.)  Détails  historiques. 

Supplément,  extrait  des  principales  obser- 
vations faites  depuis  1671  jusqu'en  1789, 
sur  les  phases  de  l'anneau  de  Saturne. 

1789.  Mém.  p.  142. 

Application  du  cercle  à  l'observation  des 
hauteurs  méridiennes  des  astres,  par  M.  de 
Cassini.  1790.  p.  617.  Grande  précision 
que  donne  le  cercle  de  Borda,  clans  l'ob- 
servation, p.  6  [8.  Son  application  à  l'ob- 
servation des  hauteurs  solsticiales  et  mé- 
ridiennes, p.  619.  Mesure  de  la  hauteur 
méridienne  d'Arcturus.  pages  620  et  628. 
Preuve  qu'on  obtient  la  hautein^  à  la  pré- 
cision de  la  seconde,  p.  621.  Observ.  sur 
la  longueur  des  observât,  et  la  patience 
qu'elles  exigent,  p.  622.  I,e  cercle  d'un 
très-petit  rayon  sert  k  vérifier  les  instru- 
mens  du  plus  grand  rayon,  ib. 

Détails  des  Observations  des  taches  du  soleil, 
le  5  novembre  1789,  par  M.  Messier. 

1790.  Mém.  p.  420. 

AsTRONoaiiE  DES  Indiexs.  V.  Zodiaque. 

Anomalie. 

Mémoire  sur  une  relation  algébrique  entre 
l'anomalie  vraie  et  l'anomalie  moyenne, 
par  M.  DiONis  du  Sé.tour.  1790.  p.  40t. 
Exposition  du  sujet,  ibid.  Théorème  de 
M.  Lambert,  p.  402.  Démonstration  de  ce 
théorème,  p.  4o3.  Remarques  sur  l'analyse 
précédente,  lorsque  l'une  des  ellipses  que 


48  TABLE  DES  MEMOIRES 

Astronomie.  (Théorie.)  Anomalie. 

l'on  compare  est  un  cercle,  p.  407.  Re- 
marque surl'expressiondutemps  employé 
à  parcourir  les  difFérens  arcs  de  l'ellipse. 
p.  410.  Application  des  principes  précé- 
dens  de  la  quadrature  de  l'ellipse,  p.  416. 


Épactes. 


Réflexions  sur  le  calendrier  des  épactes,  par 
M.  Delalande.  1789.  Mém.  p.  95.  Ex- 
plication du  changement  de  caractère  ou 
de  couleur  de  l'épacte  xxv  en  chiffres 
romains,  et  25  en  chiffres  arabes,  p.  96. 
Pourquoi  le  même  nombre  destiné  à  mar- 
quer toujours  la  nouvelle  lune  au  même 
jour,  répond  cependant  à  deux  jours  dif- 
férens.  p.  97.  Pourquoi  l'épacte  26  ne  se 
trouve  jamais  que  dans  les  huit  dernières 
années  du  nombre  d'or.  p.  98. 


Parallaxe. 


Nouvelles  méthodes  analytiques  pour  ré- 
soudre différentes  questions  astronomi- 
ques. Seizième  Mémoire ,  dans  lequel  on 
applique  à  la  détermination  de  la  paral- 
laxe du  soleil,  les  formules  analytiques 
démontrées  dans  les  Mémoires  précédens, 
par  M.  DiONis  du  Séjour.  1781.  Ilist. 
p.  46.  Mém.  p.  297.  Exposition  du  sujet. 
ib.  Observ.  dont  l'auteur  fera  usage,  p.  298. 
Elémens  hypothétiques  dont  il  a  tait  usage 

pour 


DE  L'ACADEMIE.    1781— 1790.       49 

Astronomie.  (Théorie.)  Parallaxe. 

pour  former  les  équations  de  condition,  ib. 
Passage  de  Vénus,  du  3  juin  1769,  dans  le 
nœud  descendant,  p.  299.  Discussion  des 
observ.  du  6  juin  1761  ;  Obs.  de  Tobolsk. 
p.  3oo.  Calcul  de  l'observ.  de  Tobolsk, 
d'après  les  élémens  hypothétiques  du  pa- 
ragraphe 4.  p.  3oi.  Equation  de  condition 
entre   le  premier  contact   intérieur  des 
limbes  lors  de  l'entrée,  et  le  contact  inté- 
rieur des  limbes  lors  de  la  sortie,  p.  3o2. 
Observ.  de  Pékin,  ib.  Calcul  de  l'observ. 
de  Pékin,  ib.  Observ.  de  Madras,  p.  304. 
Calcul  de  l'obs.  de  Madras,  ib.  Equation 
de  condition ,  etc.  p.  3o5.  Obs.  de  Stoc- 
kolm.  ib.  Calcul  de  cette  observ.  p.  3o6. 
Equation  de  condition  entre  le  premier 
contact  intérieur  lors  de  l'entrée ,  et  l'ins- 
tant de  la  sortie  totale,  ib.  Equation  de 
condition  entre  le  contact  intérieur  lors 
de  l'entrée,  et  le  contact  intérieur  lors  de 
la  sortie,  p.  307.  Observ.  d'Upsal.  ib.  Cal- 
cul de  cette  observ.  ib.  Equation  de  con- 
dition, etc.  p.  3o8.  Observ.  de  Torneo.  ib. 
Calcul  de  cette  observ.  p.  Sog.  Equation 
de  condition,  etc.  p.  3 10.  Observ.  de  Her- 
nosand.  ib.  Calcul  de  cette  observât,  ib. 
Equation  de  condition,  etc.  ib.  Equation 
de  condition  entre  le  premier  contact  in- 
térieur lors  de  l'entrée,  et  l'instant  de  la 
sortie  totale,  ib.  Observât.  d'Abo.  p.  3i2. 
Calcul  de  cette  observ.  ib.  Equation  de 
condition,  etc.  p.  3i3,  Equation  de  con- 
Tab.  des  Mac.     17B1  —  1790.  G 


5o  TABLE  DES  MEMOIRES 

Astronomie.  {Théorie.)  Parallaxe. 

dition  entre  le  rontart  intt''rieur  lors  de 
l'entrée,  et  le  contact  intérieur  lors  de  la 
•sortie,  ib.  Observ.  de  Calmar,  ib.  Calcul 
de  cette  observ.  ib^  Equation  de  condi- 
tion ,  etc.  p.  314.  Observ.  de  ("ajanebourg. 
ib.  Calcul  de  cette  oteerv.  p.  3i5.  Kqua- 
tion  de  condition ,  etc.  ib.  Discussion  des 
observ.  du  3  juin  1769.  Obs.  de  Taiti.  ib. 
Calcul  de  cette  observ.  d'après  les  élé- 
lîiens  du  paragr.   5.  p.  3 16.   Equation  de 
condition,  etc.  p.  Siy.  Observ.  de  Saint- 
Joseph  en  Californie,  ib.  Calcul  de  cette 
observ.  ib.  Equation  de   condition ,   etc. 
p.  3 18.  Observât,  du  fort  du  Prince  de 
Galles,  ib.  Calcul  de  cette  observ.  p.  3  [9. 
Equation  de  condition,  etc.  p.  32o.  Obs. 
du  cap  Ward'hus.  ib.  Calcul  de  cette  obs. 
ib.  Equation  de  condition,  etc.  p.    32r. 
Observ.  de  Cajanebourg    p.  322.  Calcul 
de  cette  observ.  ib.^  Equation   de  condi- 
tion ,  etc.  ibid.  Equations  fondamentales 
relatives  à  la  résolution  des  questions  pro- 
posées, p.  323.  Solution  des  questions  pro- 
posées, p.  324.  Confirmation  des  recher- 
ches précédentes,  p.  326.  Comparaison  de 
l'observ.  de  Taiti  avec  celle  du  fort  du 
Prince  de  Galles,  p.  327.  Comparaison  de 
l'observ.  de  Saint -Joseph  avec  celle  du 
fort  du  Prince  de  Galles,  ib.  Rem£uque 
sur  l'observ,  de  Ward'hus.  p.  828.  Com- 
paraison de  l'observ.  de  Taiti  avec  celle 
de  Ward'hus.  ib.  Résultat  des  recherches 


DE  L'ACADEMIE.     1781  —  1790.        5r 

Astronomie.  {Théorie.)  Parallaxe. 

précédentes,  p.  829.  Remarque  sur  la  pa- 
rallaxe du  soleil  et  sur  le  demi-diamètre 
de  Vénus,  ib.  Distances  du  soleil  à  la  terre , 
évaluées  en  demi-petit  axe  de  la  terre, 
p.  33o.  Détermination  de  l'heure  do  la 
conjonction,  du  lieu  de  la  conjonction 
dans  l'écliptique,  et  de  l'erreur  des  tables 
en  longitude  et  en  latitude ,  pour  le  pas- 
sage du  6  juin  1761.  ib.  idem,  pour  le  pas- 
sage du  3  juin  1769.  p.  33 1.  Détermina- 
tion de  la  longitude  des  lieux  dont  les 
observ.  ont  servi  à  calculer  la  parallaxe. 
p.  334.  Conclusion,  p.  335.  (  La  parallaxe 
du  soleil  est  d'environ  8,7  secondes  ;  la 
différence  entre  les  résultats  déduits  de 
chacun  des  deux  phénomènes  n'est  que 
de  -^  de  seconde.  Hist.  p.  46).  Foye2  une 
note  dans  le  volume  de  1782,  p.  344,  sur 
une  erreur  relative  à  ce  Mémoire. 

Précession  des  équinoxes. 

Mém.  sur  la  durée  de  l'année  solaire,  par 
M.  Uelalande.  1782.  Ilist.  p.  46.  Mém. 
p.  337.  Importance  de  la  détermination  de 
la  durée  de  l'année  solaire,  ib.  Elle  est  de 
365'  5^  48  '48'.  ib.  Hist.  de  ce  qui  s'est  fait 
sur  cet  objet  avant  Hipparque.  p.  228.  Ses 
travaux,  p.  288.  Détermination  de  la  durée 
de  l'année  par  les  neuf  équinoxes  qu'il  a 
observés,  p.  240.  Obs.  de  Ptoléméc  c[ui  ne 
s'accorde  pas  avec  Hipparque.  p.  25i .  Obs. 


52  TABLE  DES  MEMOIRES 

Astronomie.  [Théorie.)  Précession  des équinoxes. 

û'Albatequius.-p.  252.  Obs.  de  Tycho-Brahé, 
p.  264.  Table  des  équinoxes  observés  par 
cet  astronome  pendant  quinze  ans,  réduite 
au  méridien  de  Paris,  et  comparés  avec  les 
tables,  p.  267.  Obs.  de  Riccioli  et  de  Do- 
minique  Cassini.  p.  268.  Obs.  de  Picard. 
p.  263.  Obs.  de  Flamsteed.  p.  267.  Ces  ob- 
servations réduites  au  nouveau  style  et 
comparées  avec  les  tables,  p.  26g.  Obs. 
modernes  de  M.  de  La  Caille,  p.  271.  Obs, 
du  soleil  faites  à  G  ottingue  par  Tobie  Mayer 
pendant  un  an,  calculées  sur  les  tables  de 
La  Caille  et  sur  celles  de  Tobie  Mayer. 
p.  272.  Obs.  faites  à  l'Ecole  militaire  par 
M.  d'Agelet.  p.  276.  Année  syderale  fon  dée 
surlaconnoissance  exacte  de  la  précession 
des  équinoxes.  p.  278.  Entrée  du  soleil 
dans  les  douze  signes,  avec  le  temps  qu'il 
emploie  à  parcourir  chaque  signe,  p.  280. 

Sur  quelques  points  du  système  du  monde, 
par  M.  de  Laplace.  1789.  Mém.  p.  i. 
(Chacun  des  articles  de  ce  Mémoire  est 
placé  dans  les  divisions  auxquelles  il  ap- 
tient.  ) 

Mém.  sur  la  quantité  de  la  précession  des 
équinoxes,  par  M.  de  Lalande.  1781. 
Hist.  p.  46.  Mém.  p.  887.  Lu  précession 
des  équinoxes  peut  être  déterminée  ou 
par  les  observations  anciennes  trop  peu 
exactes,  ou  par  les  observ.  des  modernes 
qui  sont  trop  peu  éloignées,  ib.  Les  ré- 
sultats de  ces  différezites  observ.  laissent 


DE  L'ACADEMIE.    1781  —  1790.        53 

Astronomie.  {Théorie.)  Précession  des  équinosies. 

de  l'incertitude,  p.  339.  La  précision  des 
obs.  de  Flamsteed  et  de  celles  de  La  Caille, 
quoiqu'éloignées  seulement  de  60  ans , 
doivent  être  préférées  à  cause  de  leur 
exactitude,  ib.  Le  résultat  de  ces  obser- 
vations comparées  donne  pour  valeur 
moyenne  de  la  précession  5o  ;  par  an- 
née, p.  342.  Table  des  changemens  de 
longitude  observés  sur  21 3  étoiles  dans 
l'espace  de  60  ans.  ib. 
Mém.  sur  la  précession  des  équinoxes  et  sur 
l'obliquité  de  l'écliptique ,  tirées  des  obser- 
vations de  Hipparque ,  par  M.  Le  Gentil. 
,  ijQ'j.  Mém.  p.  53o.  Différences  des  ré- 

sultats sur  la  précession  des  équinoxes , 
leurs  causes,  p.  53i.  Observ.  et  méthode 
de  l'auteur  pour  déterminer  ce  mouve- 
ment, p.  533.  Le  catalogue  des  étoiles  de 
Flamsteed  comparées  avec  les  observations 
de  notre  siècle,  ne  peut  rien  donner  d'assez 
exact,  p.  545. 

ÇUART  DE  CERCLE.   VoyeZ  MÉGANIQUE. 

Sphère.  Foyez  Zodiaque. 

Réfractions. 

Supplément  au  Mémoire  lu  à  l'assemblée 
publique  de  la  Saint-Martin  de  l'année 
1782,  par  M.  Lemonnier.  1781.  Mém. 
p.  25i.  Travail  des  Français  sur  les  ré- 
fractions solaires  horizontales  depuis  1 676. 
ib.  Le  rapport  de  ces  réfractions  dans  les 


.% 


54  TABLÉ  DES  MEMOIRES 

Astronomie.  {Théorie.)  Réfractions. 

climats  tempérés  entre  l'été  et  l'hiver  est 
comme  3  à  5  ou  6  à  lo.  ib.  Comparaison 
des  réfractions  qui  ont  lieu  dans  les  at- 
mosphères terrestre  et  lunaire,  p.  252. 
Extrait  d'un  Mém.  sur  des  observ.  astronom. 
faites  sur  les  réfractions  en  1786,  1787  et 
1788,  par  M.  Le  Gentil.  1789.  Mém. 
p.  224.  La  réfraction  plus  petite  dans  la 
Zone  Torride  qu'en  France,  p.  227.  A 
ris.le  de  France  en  juillet ,  temps  de  l'hiver 
dans  ce  climat ,  le  soleil  parut  à  l'auteur 
pendant  2  ou  3  jours  de  suite  se  coucher 
non  à  l'horizon  de  la  mer,  mais  à  une 
espèce  d'horizon  élevé  au-dessus  de  celui 
de  la  mer  d'environ  une  minute  de  degré. 
p.  229.  Même  phénomène  à  Fondichérj^ 
ib.  L'auteur  l'a  observé  aussi  sur  les  côtes 
de  Normandie,  p.  23o.  Il  dépend  de  l'état 
de  l'atmosphère  qui  doit  être  très-pure, 
p.  23i.  Il  est  connu  des  marins,  p.  233. 


Zodiaque. 


Dissertât,  sur  l'origine  du  zodiaque,  et  sur 
l'explication  des  douze  signes,  par  M.  Le 
Gentil.  1782.  Ilist.  p.  5i.  Mém.  p.  368, 
avec  une  carte  et  une  planche.  Occasion 
qui  a  donné  lieu  h  cette  dissertât. ,  ouvrage 
de  M.Dupuis.  ib.  Difficultés  à  l'occasion  de 
cet  ouvrage,  ib.  M.  Dupuis  attribue  l'ori- 
gine du  zodiaque  aux  Egyptiens,  p.  369. 
Le  germe  du  système  de  M.  Dupuis  se 


DE  L'ACADEMIE.    1781  — 1790.        5ô 

Astronomie.  (Théorie,)  Zodiaque', 

trouve  dans  Syneelle,  auteur  grec.  p.  870. 
ï""^  Partie.  Origine  du  zodiaque,  p.  872. 
Cette  origine  couverte  de  ténèbres,  ib.  Les 
Indiens  peuvent  le  disputer  en  antiquité 
aux  Egyptiens  et  aux  Chaldéens.  p.  878. 
Détails  sur  les  Bramines.  ib.  Us  n'ont  rien 
emprunté  des  Egyptiens  étant  beaucoup 
plus  anciens  et  j>eu  communicatifs.  p.  877. 
Fondement  du  système  de  M.  Dupuis. 
p.  878.  Le  zodiaque  des  Egyptiens  con- 
vient aussi  bien  à  un  autre  climat  qu'à 
celui  d'Egy"pte.  ib.  Les  Egyptiens  ponr- 
roient  être  une  colonie  chinoise,  p.  38o. 
Idée  du  système  de  M.  Dupuis.  ib.  Les 
preuves  qu'il  allègue  pour  l'Egypte  peu- 
vent également  s'appliquer  à  l'hide.  p.  882. 
Le  pi-emier  zodiaque  a  été  celui  de  la  lune, 
et  il  vient  de  l'Inde,  p.  383.  Les  Indiens 
ont  connu  l'équateur  avant  les  Egyptiens. 
p.  384.  La  balance  est  le  premier  signe  cjui 
ait  été  trouvé  par  les  Brames,  ib.  La  pré- 
cession des  équinoxes  est  connue  de  temps 
immémorial  dans  l'Inde ,  elle  n'est  con- 
nue des  Egyptiens  que  depuis  Hipparque. 
p.  887.  La  division  du  zodiaque  suppose 
cette  connoissance.  p.  388.  Autres  preuves 
que  les  Egyptiens  ne  sont  pas  les  inven- 
teurs du  zodiaque,  p.  889.  Réponse  à  une 
objection  de  M.  Dupuis, ïondée  sur  un  pla- 
nisphère égyptien  fort  ancien,  p.  891.  Ce 
planisphère  est  Je  fruit  de  l'imagination 
du  P,  Kircher.  p.  894.  Discussion  du  texte 


56  TABLE  DES  MEMOIRES 

Astronomie.  {Théorie.)  Zodiaque. 

de  Bérose  sur  le  poisson  austral  ou  oannes. 
p.  396.  Examen  des  effets  qu'on  attribue 
au  déluge,  p.  404. 

IP  Partie.  Explication  des  douze  signes  du 
zodiaque,  p.  406. Texte  de  M.  Dupuis,  qui 
explique  les  douze  signes  pour  le  climat 
de  l'Egypte  ,  en  regard  avec  celui  de 
M.  Le  Gentil,  qui  les  explique  pour  le  cli- 
mat de  l'Inde,  p.  409.  Noms  des  douze 
signes  du  zodiaque  dans  la  langue  des 
Brames,  p.  408. 

Remarques  et  observations  sur  l'astronomie 
des  Indiens,  et  sur  l'ancienneté  de  cette 
astronomie  ,  par  M.  Le  Gentil.  1784. 
Mém.  p.  482.  La  religion  chez  les  Indiens 
est  fille  de  l'astronomie,  ib.  Ils  ne  culti- 
vent cette  science  que  pour  maintenir  leur 
religion,  ib.  Les  éclipses  fixent  surtout  leur 
attention,  p.  488.  Ils  ont  deux  méthodes 
pour  calculer  les  éclipses,  p.  484.  Ils  ont 
une  époque  qui  remonte  3 102  ans  avant 
J.  C.  p.  485.  Leurs  tables  du  soleil  et  de 
la  lune.  ib.  Description  d'une  des  tables 
pour  le  soleil,  p.  486.  Autres  tables  de  la 
lune  et  des  planètes,  p.  488.  Détermina- 
tion de  l'inclinaison  de  l'orbite  de  la  lune. 
p.  490.  Tables  indiennes  des  mouvemens 
dusoleilet  de  la  luue,etde  leurs  diamètres 
apparens;  de  la  latitude  de  la  lune,  de  l'o- 
bliquité de  l'écliptique  dont  il  est  ques- 
tion dans  le  Mémoire  précédent,  p.  492. 

Mém.  sur  l'origine  du  zodiaque,  l'explica- 
tion 


DE  L'ACADÉMIE.     1781— 1790.         67 

Astronomie.  (  Théorie.  )  Zodiaque. 

tien  de  ses  douze  signes,  et  sur  le  système 
chronolog.  de  Nenton ,  par  le  même.  1 786. 
Mém.  p.  9.  L/origine  du  zodiaque  est  fort 
obscure,  ib.  Trois  époques  propres  à  la 
fixer,  1^  le  siècle  d'Atlas,-  2°.  la  position 
des  étoiles  principales  de  la  tête  de  la 
Vierge  au  solstice  d'été  pour  ce  siècle  j 
3*^.  le  renouvellement  de  la  période  cani- 
culaire de  460  ans  encore  pour  le  même 
siècle,  p.  10.  Ces  trois  époques  n'en  font 
qu'une  seule,  p.  1 1.  L'origine  du  zodiaque 
remonte  à  4242  avant  J.C.  ib.  De  la  sphère 
à'Eudoxe  et  du  système  chronologique  de 
Newton,  p.  i3.  Il  est  appuyé,  jk  14.  I,e 
zodiaque  a  été  imaginé  dans  le  ciel,  ainsi 
que  les  tropiques,  mille  ans  au  moins 
avant  qu'il  lut  question  des  Grecs  dans  le 
monde,  p.  16. 

Comparaison  du  zodiaque  indien  ,  desTran- 
sactions  philos,  ann.  1772,  avec  celui  c{ue 
l'on  voit  au  bas  d'une  des  tours  de  Notre- 
Dame  de  Paris  ,  suivie  de  réflexions  sur 
ces  deux  monumens,  par  le  môme.  1785. 
Mém.  p.  17.  Critique  de  l'opinion  de 
M.  Dupuis  sur  le  zodiaque  indien,  ib.  Ce 
zodiaque  n'est  point  l'ouvrage  d'un  Brame 
astronome,  p.  1 9.  Descript.  des  douze  signes 
du  zodiaque  que  l'on  trouve  à  l'entrée  de 
l'église  de  Paris,  au  bas  de  la  tour  septen- 
trionale ,  et  de  quelques  figures  symbo- 
liques qui  les  accompagnent,  p.  20. 

Observât,  sur  plusieurs  anciens  monumens 
Tab.  des  Mat.  ijôi  — 1790.  Il 


53  TABLE  DES  MEMOIRES 

Astronomie.  {Théorie.)  Zodiaque. 

gothiques  que  j'ai  remarqués  dans  cette 
capitale,  sur  lesquels  sont  o;ravés  les  signes 
du  zodiaque,  et  quelques  hiéroglyphes 
égyptiens  relatifs  à  la  religion  d'Isis,  par 
le  îiiême.  1788.  Mcm.  p.  390.  Le  zodiaque 
originaire  de  l'Inde  et  non  ce  l'Egypte,  ib. 
Zodiaque  de  la  lune.  p.  391.  Le  zodiaque 
étoit  nne  espèce  d'aluianach  ou  de  calen- 
drier religieux,  ib.  Le  rational  du  Grand- 
Trêtre  des   Juifs,   espèce    de  zodiaque, 
p.  392.  L'architecture  gothique  nous  vient 
des  Indiens,  p.  393.  Zodiaque  qui  se  trouve 
à  la  porte  de  Noti-e-Dame  de  Paris,  au  bas 
de  la  tour  septentrionale,  p.  394.  Descript. 
de  plusieurs  autres  ligures  cjui  accompa- 
gnent ce  zodiaque,  p.  895.  Zodiaque  de 
Sainte-Geneviève,  p.  396.  Conjecture  sur 
l'antiquité  de   ce   zodiaque,  p.  401.  Les 
auciens  monumens  conservent  des  ves- 
tiges du  cuUe  qu'on  rendoit  à  Isis  ou  la 
nature  personnihée.  p.  402.  Notamment  le 
])ortail,  les  pihers  et  chapitaux  de  la  nef 
de  l'église  de  Saint -Germain -des -Prés, 
p.  4o3.  .     ^ 

Description  du  zodiaque  que  l'on  voit  a 
l'abbaye  desBénédictins,  àSaint-Denis  en 
France  ,  par  le  même.  1788.  Mém.  p.  406. 
Descript.  des  douze  symboles  qui  répon- 
dent aux  signes  du  zocliaqne  dont  on  vient 
de  voir  la  description,  p.  408.  Plusieurs 
planches  qui  accompagnent  ces  Mémoires» 
pp.  404  et  410. 


DE  L'ACADEMIE.     1781  —  1790.       .^9 
ASTROKOMIE.  (Théorie.)  Zodiaque. 

Observation  sur  un  écrit  de  M.  de  Lalande, 
inséré  dans  le  Journal  desSavans  du  mois 
de  juillet  1788,  dans  lequel  cet  académi- 
cien rend  compte  de  mon  Mémoire  sur  le 
zodiacjue  de  Notre-Dame  de  Paris,  com- 
paré au  zodiaque  indien  desTi'ansactions 
philosophiques  de  1772,  et  inséré  dans  le 
vol.  de  l'Académie,  année  1785,  par  le 
niôrae.  1788.  Mém.  p.  411-  L.es  zodiaques 
gravés  ou  sculptés  dans  tous  les  pays  se 
ressemblent,  p.  414.  Diflérences  entre  le 
zodiaque  des  Transact.  philos,  et  celui  de 
Notre-Dame  de  Paris,  ib.  Discussion  sur  la 
figure  à  deux  têtes  du  zodiaque  de  Notre- 
Dame,  p.  426.  Sur  la  déesse  Isis.  p.  433.  Er- 
rata pour  les  Mém.  de  M.  Le  Gentil,  con- 
tenus dans  ce  volume,  p.  778. 

Mém.  sur  l'ancienneté  de  la  sphère  en  gé- 
néral ,  et  de  quelques  constellations  en 
particulier,  par  le  même.  1789.  Mém. 
p,  5o6.  Opinions  de  plusieurs  savans  sur 
ce  sujet,  p.  5o8.  Epoques  qui  servent  à 
fixer  l'antiquité  de  la  sphère  et  de  quel- 
ques constellations,  p.  5io. 

{Hauteurs  solsticiales  et  passages  au  méridien.)  Obli- 
quité de  l'écUptique. 

Observ.  faites  à  l'Ol^servatoire  royal  au  mois 
de  juin  de  l'année  1782,  et  particulière- 
ment des  hauteurs  méridiennes  du  soleil 
aux  solstices  d'été  des  années  1779,  1780 


6o  TABLE  DES  MEMOIRES 

Astronomie.  {Soleil.  Théorie.)  Hauteurs  solsticiales 
et  passages  au  méridien.  Obliquité  de 
l'écliptique. 

et  1782,  par  M.  Cassini  fils.  1782.  Jlist. 
p.  48.  Mém.  p.  281. 
Observations  des  hauteurs  méridiennes  au 
solstice    d'été    des   années    1779  ,    1780 
et  1782.  ib.  Résultat  d'un  travail  sur  la 
grandeur  de  l'obliquité  de  l'écliptique  et 
sur  ses  variations,  p.  282.  Différence  entre 
les  résultats  de  M.  de  Lalande  et  de  M.  Cas- 
sini.  p.  283.  Rectification  de  la  division  de 
l'instrument,  p.  284.   L'erreur  de   cette 
division  corrigée  étoit  de  8  à  9".  p.  286. 
Hauteurs  méridiennes  du  bord  supérieur 
du  soleil  prises  à  la  nouvelle   division, 
pp.  286,  288,  290.  L'obliquité  de  l'éclip- 
tique est  de  23"  27'  55'.  p.  291.  Vérifi- 
cation de  l'angle  des  lunettes,  p.  292.  Exa- 
men et  comparaison  de  l'ancienne  et  de 
la  nouvelle  division,  p.  297. 
Mém.  sur  l'obliquité  de  l'écliptique  et  sur 
sa  diminution  ,  par  M.  Le  Gentil.  1783. 
Mém.  p.  I.  Observ.  faite  à  l'Observatoire 
royal  de  Paris,  par  l'auteur,  en  1751  et 
17*56.  p.  2.  APondichéry,en  1768  et  1769. 
ib.  Nouvelles  observ.  faites  à  l'Observa- 
toire royal  en  1782.  p.  3.  Vérification  du 
quart  de  cercle,  p.  4.  Hauteur  du  pôle  à 
l'Observatoire,  p.  7.  Calcul  de  l'obliquité 
de  l'écliptique.  ib.  Elle  étoit  en  1782  de 
23°  28'  6,   9".  ib.  Elle  diminue  de  87" 
en  cent  ans.  p.  8.  Remarques  sur  les  obser- 


DE  L'ACADEMIE.     1781  — 1790.       61 

Astronomie.  {Soleil.  Théorie.)  Hauteurs  solsticiales 
et  passages  au  méridien.  Obliquité  de 
l'écliptique. 

vationsfaitesavecle  même  quart  de  cercle, 
par  M.  l'AU^é  de  La  Caille,  il  y  a  qua- 
rante ans.  p.  9. 

Okserv.  sur  les  hauteurs  solsticiales  au  mois 
de  juin  1782,  par  le  même.  1788.  Mém. 
p.  12. 

Observ.  de  la  hauteur  solsticiale  du  soleil 
faite  à  l'Observatoire  royal  en  Juin  1788, 
par  le  même.  1788.  Méiii.  p.  i3. 

Observ.  faites  en  1782  au  solstice  d'été,  au 
gnomon  et  verre  objectif  de  Saint-Sulpice, 
par  M.Lemonnier.  1788.  Mém.  p.  47. 

Observations  des  hauteurs  solsticiales  faites  à 
l'Observatoire  royal  en  1785.  1784.  Mém. 
p.  642. 

Hauteur  solsticiale  observée  à  l'Observatoire 
royal  en  juin  1786.  1786.  Mém.  p.  336. 

Observ.  du  passage  et  des  hauteurs  du  soleil 
et  des  principales  étoiles  à  l'Observatoire 
royal  en  1786.  1786.  Mém,  p.  887. 

Observ.  faites  à  l'Observatoire  royal ,  de  1 777 
à  1 786 ,  des  équinoxes  et  des  solstices.  1 786. 
Mém.  p.  366.  —  Obliquité  de  l'écliptique, 
de  1785  à  1796.  ib.  p.  867. 

Comparaison  du  soleil  h  diverses  étoiles , 
faites  à  l'Observatoire  royal,  de  1777  à 
1784.  1786.  Mém.  p.  370. 

Passages  au  méridien ,  du  soleil  et  de  plu- 
sieurs étoiles  observées  à  l'Observatoire 
royal  en  1787.  1787.  Mém.  p.  41. 


62  TABLE  DES  MEMOIRES 

Astronomie.  {Soleil  Théorie.)  Hauteurs  solsticiales 
et  passages  au  méridien.  Obliquité  de 
l'écliptique. 

Hauteurs  méridiennes  du  soleil,  observées  à 
l'Observatoire  royal  en  1788.  1788.  Mém. 
T)  nn 

passages  au  méridien  du  soleil  et  de  diverses 
étoiles,  observés  dans  le  même  Observa- 
toire en  1788.  1788.  Mém.  p.  79. 

Observ.  des  équinoxes  de  1767  à  1 773^ et 
des  solstices  de  1767  à  1776,  faites  à  l'Ob- 
servatoire royal.  1788.  Mém.  p.  109. 

Comparaison  du  soleil  à  diverses  étodes,  de 
1770  à  1775,  faite  à  l'Observatoire  royal. 
1788.  Mém.  p.  114. 

Nouvelles  comparaisons  des  bauteurs  solsti- 
ciales faites  au  quart  de  cercle  mobile  , 
suivies  de  quelques  autres  dont  la  date  est 
moins  ancienne,  et  qui  ont  été  faites  soit 
au  foyer  d'un  verre  objectif  de  80  pieds, 
soit  au  plus  grand  des  quarts  de  cercle 
muraux,  par  M.  Lemonnier.  1788.  Mem. 

p.  4.  Nécessité  de  placer  un  objectif  dans 
la  arande  salle  de  la  méridienne  de  l'Ob- 
servatoire royal,  p.  6.  Comparaison  des 
•      .:  observations  des  bauteurs  solsticiales  en 

1738  et  17 41 ,  avec  celle  de  1788.  p.  8.  La 
diminution  apparente  de  l'obliquité  de 
l'écliptique  a  été  en  5o  ans  de  12"  "  tout 
au  plus,  ou  10".  ih.  •  ,    ,     v  r 

Sur  les  variations  de  l'obliquité  de  1  eciip- 
tique  ,  du  mouvement  des  équinoxes  en 
longitude  et  de  la  longueur  de  l'année , 


DE  L'ACADEMIE.     1781—1790.       63 

Astronomie.  {Soleil.  Théorie.)  Hauteurs  solsticiales 
et  passages  au  méridien.  Obliquité  de 
l'é  liptique. 

par  M.  de  Laplace.  1789.  ]\Téni.  p.  6.  Il 
faut  coml^iner  l'action  du  soleil  et  de  la 
lune  sur  le  sphéroïde  terrestre  avec  les 
cliangemens  de  Fécliptique  ,  dans  la  re- 
cherche de  ces  phénoniènes.p.  7.  Résultats 
de  cette  recherche,  p.  8. 

Mém.  sur  quelques  corrections  essentielles 
aux  nouvelles  tables  du  soleil  et  sur  l'accé- 
lération du  mouvement  de  la  lune  ,  par 
M.  Lemonnier.  1789.  Mém.  p.  600.  Com- 
paraison des  dernières  tables  avec  les  ob- 
servations, p.  6o5.  L'erreur  des  tables  mo- 
dernes du  mouvement  du  soleil  étoit  d'en- 
viron une  minute  en  défaut;  savoir,  un 
siècle  entier  avant  la  publication  de  ces 
tables,  p.  608. 

Hauteurs  méridiennes  du  soleil,  observées 
en  1 789  à  l'Observatoire  royal.  1 789.  Mém. 
p.  122. 

Hauteur  solsticiale  du  soleil  observée  en  1 789 
au  Collège  Mazarin ,  par  M.  de  Lalande. 
1789,  Mém.  p.  173. 

Équation  séculaire.  V.  Lune.  {Théorie.) 

(  Soleil.  Eclipses.  ) 

Mém.  sur  les  éclipses  totales  du  soleil,  avec 
des  réflexions  sur  les  eflétsde  l'atmosphère 
de  la  lune,  par  M.  Lemonnier.  1781. 
Ilist.  p.  47.  Mém.  p.  243.  Dillérentes  opi- 


64  TABLE  DES  MEMOIRES 

Astronomie.  {Soleil.  Éclipses.) 

nions  sur  la  réfraction  des  rayons  solaires 
et  leur  inllexion  occasionnées  par  l'at- 
mosphère de  la  lune.  p.  246.  Cette  in- 
flexion, cause  de  la  durée  plus  longue 
qu'elle  ne  devroit  être  de  l'anneau  dans 
les  éclipses  annulaires,  p.  247.  Cette  durée 
difficile  à  déterminer,  p.  248.  Il  faut  ]ilus 
faire  attention  aux  limites  du  cône  d'ombre 
sur  la  surface  terrestre  qu'aux  durées  ap- 
parentes, ib.  Passage  de  l'ombre  sur  la 
France  pendant  l'éclipsé  totale  du  soleil 
du  22  mai  1724,  représenté  dans  une  pi. 
qui  termine  ce  Mémoire,  p.  25o. 

Mém.  sur  l'éclipsé  de  soleil,  du  17  octobre 
1781  ,  observée  à  Saint-Sever  en  Nor- 
mandie ,  sous  la  latitude  de  48°  5o',  et  sous 
un  méridien  plus  occidental  que  Paris 
de  o''  i3  ^  ',  avec  des  réflexions  sur  la  re- 
lation des  tables  lunaires  à  la  théorie  et 
autres  observ.  physiq. ,  par  M.  Lemon- 
^^lER.  1781.  Mém.  p.  287.  Moyens  de  per- 
fectionner les  tables  lunaires,  p.  288.  Obs. 
de  cette  éclipse  à  Dantzick,  à  Alep.  p.  290. 
Obs.  de  l'éclipsé  de  soleil ,  du  27  octobre 
1780,  à  Beverly  en  Amer,  sous  la  latit. 
de  42"  36',  comparée  avec  l'observ.  faite  à 
Paris,  ib. 

Observ.  de  l'éclipsé  de  soleil  du  28  avril 
1781  ,  faites  au  nord  de  Paris  et  tant  soit 
pou  à  l'est  de  la  pyramide  de  Montmartre, 
par  M.  Lemonnier.  1781.  Mém.  p.  284. 

Observ.  de  l'éclipsé  de  soleil  du  17  octobre 

1781 


DE  L'ACADÉMIE.     1781— 1790.      65 

ASTROIHOMIE.  {Soleil.  Éclipses.) 

1 781  au  matin ,  faite  à  l'Observatoire  royal 
de  Paris,  et  détermination  de  l'erreur  des 
tables  de  MM.  C lairaut  et  M ayer  dans  la  cir- 
constance de  cette  éclipse,  par  M.  Jeau- 
B.AT.  1781.  Mém.  p.  9. 
Observ.  de  la  même  éclipse ,  par  M.  PingrÉ. 

1781.  Mém.  p.  705. 

Observ.  de  la  même  éclipse,  parM.MESSiER. 

1782.  lîist.  p.  49.  Mém.  p.  602.  Table  de 
la  différence  des  méridiens  de  plusieurs 
lieux  où  la  fin  de  cette  éclipse  a  été  ob- 
servée, p.  667. 

Observ.  des  éclipses  de  soleil  du  14  juin  1779 
et  17  octobre  1781 ,  faites  à  Paris,  avec  la 
comparaison  de  celle  de  1779  aux  corres- 
pondantes à  Vienne ,  à  Prague  et  à  Kons- 
vinger  en  Norwège,  par  M.  Méghain. 

1783.  Mém.  p.  639. 

Observ.  faites  à  l'Observ.  royal ,  des  éclipses 

de  soleil  des  24  juin  1778,  3  juin  1779,  et 

16  octobre  1781.  1786.  Mém.  p.  864. 
Sur  les  éclipses  de  soleil  arrivées  en  1787, 

par  M.  de  Lalande.  1787.  Mém.  p.  204. 

Observ.  faites  à  Paris  et  en  différens  lieux. 

p.  2o5. 
Observ.  de  l'éclipsé  de  soleil  du  1 5  juin  1787, 

par  M.  Jeaurat.  1787.  Mém.  p.  5.  Obs. 

laites  à  Dijon,  au  Havre-de-Grace.  ib. 
Observ.  de  la  même  éclipse,  parM.  Messier. 

1787.  Mém.  76. 
Observ.  de  la  même  éclipse ,  par  M.  PiNGRÉ. 

1787.  Mém.  p.  384.     . 
Tab.  des  Mat.  1781  — 1790.  I 


66  TABLE  DES  MEMOIRES 

AsTjiONOMiE.  {Soleil.  Eclipses.) 

Observ.  sur  l'éclipsé  de  soleil  arrivée  en 
i666,  et  sur  la  longitude  de  Dantzick,  par 
M.  de  LALANDE.1787.  Mém.  p.  223. 

Observ.  faites  à  l'Observatoire  royal  ,  de 
l'éclipsé  du   i5   juin   1787.  1787.  Mém. 

Observ.  de  l'éclipsé  de  soleil  du  4  juin  1769, 
faite  à  l'Observatoire  royal.  1788.  Mém. 
p.  104. 

Mém.  sur  l'éclipsé  de  soleil  du  16  août  1766, 
observée  à  Rouen,  par  M.  de  Lalande. 
1788.  Mém.  p.  233.  Comparaison  de  cette 
observ.  avec  plusieurs  autres,  pour  établir 
les  longitudes  de  divers  endroits,  ib. 

Sur  l'éclipsé  du  soleil  du  i5  juin  1787,  par 
M.  Lemonnier.  1788.  Mém.  p.  i. 

Observ.  et  calculs  de  l'éclipsé  de  soleil  du 
4  juin  1788,  au  matin  ,  par  M.  Jeaurat. 
1788.  Mém.  p.  742.  Obs.  de  cette  éclipse, 
faite  à  Périnaldo,  par  M.  Maraldl  neveu, 
à  Rouen ,  par  M.  Dulague ,  et  à  Gréen- 
wich ,  par  MM.  Maskeline  et  d'Arquier. 

.  P.-  743. 

Eclipses  de  soleil  et  d'étoiles  observées  en 
1787  et  1788,  avec  les  résultats  des  ob- 
servations pour  les  longitudes  de  divers 
pays,  par  M.  de  Lalande.  1788.  Mém. 
p.  224.  Observ.  faites  en  différens  lieux, 
p.  229. 

Observ.  de  l'éclipsé  de  soleil  du  4  jum  1788, 
faite  à  Périnaldo,  par  M.  Maraldi  neveu. 
1788.  Mém.  p.  721. 


DE  L'ACADÉMIE.    1781  — 1790.        67 

Astronomie.  {Lune.  Théorie.) 

Nouvelles  méthodes  analytiques  pour  ré- 
soudre différentes  questions  astronomi- 
ques, 17^  Mém.,  dans  lequel  on  applique 
à  la  détermination  de  la  constante  de  la 
parallaxe  de  la  lune  les  formules  analy- 
tiques démontrées  dans  les  Mém.  précé- 
dens,  par  M.  DiONis  du  Séjour.  1782. 
Hist.  p.  45.  Mém.  p.  821.  Exposition  du 
sujet,  ib.  Observ.  du  Cap  de  Bonne-Espé- 
rance, p.  323.  De  Bologne,  Paris,  Gréen- 
wich,  Berlin,  Stockolm.  p.  826.  Observ. 
du  9  juin  1751.  p.  326.  Du  4  Juillet  1751. 
ib.  Du  2  août  1751.  p.  827.  Du  2  septembre 
1751.  p.  828.  Du  3  octobre  1751.  p.  829. 
Du  iooctobrei75i.p. 83o.  Du3  novembre 
1751.  ib.  Du  4  novembre  1761.  p.  33i.  Du 
2  décembre  1751.  p.  882.  Du  8  décembre 
1751.  p.  833.  Du  6  décembre  1751.  p.  884. 
Du  27  décembre  1751.  p.  835.  Du  28  dé- 
cembre 1761.  ib.  Du  29  décembre  1751. 
p.  836.  Du  3i  décembre  ijSi.  p.  837.  Du 
4  janvier  1752.  p.  338.  Du  26  janvier  1762. 
ib.  Du  26  janvier  1752.  p.  889.  Du  27  jan- 
vier 1762.  p.  840.  Du  3o  janvier  1752. 
p.  341.  Du  3i  janvier  1762.  p.  842.  Re- 
marque sur  la  méthode  connue  en  astro- 
nomie sous  le  nom  de  Méthode  des  plus 
grandes  latitudes,  p.  848.  Note  sur  une 
petite  erreur  qui  s'est  glissée  dans  le  Mé- 
moire sur  la  parallaxe  du  soleil  dans  le 
volume  de  1781.  p.  844.  Constante  de  là 
parallaxe  horizontale  polaire  de  la  lune 


68  TABLE  DES  MÉMOIRES 

Astronomie.  {Lune.  Théorie.) 

qui  résulte  de  toutes  les  observations ,  = 
56'  57"  6. 

Observ.  de  la  lune ,  par  M.  Cassini  fils. 
1782.  Mém.  p.  3o5. 

Détermination  de  18  lieux  de  la  lune,  faite 
en  1785  à  l'Observât,  royal.  1784.  Mém. 
p.  65i. 

Sur  l'équation  séculaire  de  lalune,parM.  de 
Laplace.  1786.  Mém,  p.  235.  Ce  que  l'on 
entend  par  équation  séculaire  de  la  lune. 
ib.  Recherches  sur  la  cause  de  ce  phéno- 
mène, p.  286.  L'auteur  l'a  découverte. 
p.  287.  Développement  de  cette  cause,  ib. 
Ces  recherches  jointes  à  celles  sur  la 
1  théorie  des  équations  séculaires  de  Jupiter 

et  de  Saturne  ,  présentent  une  théorie 
complète  de  toutes  les  équations  sécu- 
laires observées  par  les  astronomes  dans 
les  mouvemens  célestes,  p.  240.  Le  sys- 
tème du  monde  ne  fait  qu'osciller  autour 
d'un  état  moyen  dont  il  ne  s'écarte  jamais 
que  d'une  très-petite  quantité,  p.  241. 

Sur  les  équations  séculaires  du  soleil  et  de 
la  lune,  par  M.  de  Lalande.  1786.  Mém. 
p.  890.  Table  de  la  précession  et  du  mou- 
vement du  soleil  à  chaque  siècle ,  et  de 
l'équation  séculaire  du  soleil,  p.  SpS. 

Détermination  de  52  lieux  de  la  lune  en  1786, 
à  l'Observatoire  royal.  1786.  Mém.  p.  352. 

Avertissement  sur  quelques  observations  im- 
primées du  pas.sage  de  la  lune  par  le  mé- 
■);j  ridien ,  et  sur  l'erreur  des  époques  des 


DE  L'ACADÉMIF.     1781  —  1790.        ^9 
Astronomie.  {Lune.  Théorie.) 

tables  lunaires  qu'on  assigne  à  l'aide  de 
ces  observations ,  par  M.  Lemonnier. 
1787.  Méni.  p.  280. 

Réponse  à  cet  avertissement ,  par  M.  de 
Lalande.  1787.  Mém.  p.  233.  Vérifica- 
tion des  observations  de  M.  d'Agelet.  ib. 
Il  n'y  a  point  d'erreur  à  leur  reprocher, 
p.  238. 

Extrait  du  registre  des  observations  astrono- 
miques de  l'année  1680,  concernant  quel- 
ques longitudes  de  la  lune  observées,  et 
relatives  à  l'écrit  inséré  dans  le  volume 
de  l'année  1787  de  nos  Mémoires,  par 
M.  Lemonnier.  1788.  Mém.  p.  9.  Réflex. 
sur  les  conclusions  que  tire  M.  de  Lalande 
en  faveur  de  l'exactitude  des  observations 
faites  par  M.  d'Agelet.  ib. 

Observ.  sur  les  volcans  de  la  lune ,  faites  à 
l'Observatoire  royal.  1788.  Mém  p.  76. 

Détermination  de  57  lieux  de  la  lune,  faite 
en  1 788  à  l'Observatoire  royal.  1788.  Mém. 
p.  93. 

Sur  la  parallaxe  de  la  lune ,  4''  Mémoire ,  par 
M. de  Lalande.  i788.Mém.  p. 1 83.  (Foyea 
les  trois  autres  Mém.  années  1752,  1753 
et  1756.)  La  parallaxe  de  la  lune  diminuée 
de  6'  p.  187. 

Mém.  sur  le  diamètre  de  la  lune ,  par  le 
môme.  1788.  Mém.  p.  189.  Observ.  des 
diamètres  de  la  lune,  faites  avec  un  hélio- 
mètre  de  18  pieds,  depuis  1765  jusqu'en 
1764.  p.  193.  Diamètres  de  la  lune,  ob- 


70  TABLE  DES  MÉMOIRES 

Astronomie.  {Lune.  Théorie.) 

serves  à  Marseille  ,  avec  le  micromètre 
objectif  de  Short,  appliqué  à  un  télescope 
de  deux  pieds  de  foyer ,  par  le  P.  Lagrange. 
p.  198.  Calcul  des  observ.  précédentes. 
p.  2o3.  Le  diamètre  de  la  lune  est  de  82  ' 
47"  3  quand  la  parallaxe  pour  Paris  est  de 
60',  et  en  supposant  l'aplatissement  de  la 
terre  d'un  5oo^.  p.  2o5. 
Détermination  de  46  lieux  de  la  lune,  faite 
en  1 789  à  l'Observatoire  royal.  1 789.  Mém. 
p.  i33. 

r 

Lune.  Eclipses. 

Mém.  sur  l'éclipsé  de  la  lune  du  18  mars 
1783,  et  sur  la  grandeur  de  l'ombre  de  la 
lune,  par  M.  de  Lalande.  1783.  Mém. 
p.  89. 

Observ.  de  deux  éclipses  totales  de  la  lune 
en  1783,  la  première  fut  observée  le  18 
mars  au  soir,  la  seconde  la  nuit  du  10  au 
1 1  septembre ,  à  l'Observât,  de  la  Marine , 
par  M.  Messier.  1788.  Mém.  p.  104. 

Observ.  de  l'éclipsé  totale  de  la  lune  du  18 
mars  1783,  faite  au  Cabinet  de  Physique 
du  Roi^  à  Passy,  par  MM.  le  Duc  de  La 
Rochefoucauld,  l'Abbé  Rochon  et  MÉ- 
CHAIN.  1783.  Mém.  p.  625.  — Observât, 
faite  à  Toulouse,  par  M.  Darquier.  p.  627. 
Par  M.  Carrouge ,  à  Paris,  ib. 

Observ.  de  l'éclipsé  totale  de  la  lune  du  10 
septembre  1 783 ,  comparée  aux  correspon- 


DE  L'ACADÉMIE.     1781— 1790.        71 

AsTEONOSiiE.  {Lune.  Éclipses.) 

dantes  faites  à  Bagdad,  à  Yorck  et  à  Laon , 
par  M.  MÉCHAiN.  1788.  Mém.  p.  628. 

Observ.  de  l'éclipsé  de  lune  ,  faite  à  l'Ob- 
servatoire de  la  Marine,  à  Paris,  la  nuit 
du  6  au  7  mars  1784,  par  M.  Messier. 
1 784.  Mém.  p.  828.  Table  des  observations 
des  tacbes.  p.  829.  Observ.  de  la  grandeur 
de  l'ombre  et  du  diamètre  de  la  lune, 
p.  33o. 

Observ.  de  l'éclipsé  de  lune  du  6  mars  1784, 
faite  à  l'Observatoire  royal,  par  M.  MÉ- 
CHAiN.  1784.  Mém.  p.  3'67.  Observ.  de  la 
lune  au  méridien,  avant  le  commence- 
ment de  l'éclipsé,  p.  868. 

Observ.  des  écbpses  de  lune ,  faites  à  l'Ob- 
servatoire royal,  le  i3  décembre  1778, 

29  mai  1 779 , 1 8  mars  et  i  o  septembre  1 788 
et  6  mars  1784.  1786.  Mém.  p.  865. 

Observ.  des  éclipses  de  lune  du  4  janvier , 

30  juin  et  28  décembre  1768,  28  avril  et 
28  octobre  1771 ,  11  octobre  1772,  80  sep- 
tembre 1778,  et  3o  juillet  1776,  faites  à 
l'Observatoire  royal  1788.  Mém.  p.  io5. 

Observ.  de  l'éclipsé  totale  de  lune,  la  nuit 
du  28  au  29  avril  1 790 ,  faite  à  Paris ,  à  l'Ob- 
servatoire de  la  Marine,  par  M.  Messier. 
1790.  p.  486. 

Mne.  Occultation  d'étoiles,  etc. 

Observ.  de  la  lune ,  lors  de  son  passage  par 
le  méridien ,  environ  deux  heures  avant 


72  TABLE  DES  MÉMOIRES 

Astronomie.  {Lune.  Occultation  d'étoiles,  etc.) 

l'occultation  d'un  grand  nombre  des  étoiles 
des  Pléiades,  le  i3  décembre  1785,  par 
M.  Jeaurat.  1785.  Méra.  p.  229.  Erreur 
des  tables  de  la  lune  de  Mayer,  conclue  de 
cette  observ.  p.  281.  Différence  entre  les 
tables  du  soleil  de  Mayer  et  de  La  Caille,  ib. 

Conjonction  de  la  lune  aux  Pléiades  ob- 
servée le  i3  décembre  1785,  par  M.  Le- 
MONNiER.  1785.  Mém.  p.  367.  Résultat 
relatif  à  l'erre  ur  des  tables,  p.  368. 

Autres  observ.  de  la  conjonction  de  la  lune  à 
Vienne,  faites  le  12  avril  1786,  j^ar  le 
même.  1786.  Mém.  p.  370.  Observ.  com- 
parée avec  celles  de  M.  Messier  ,  à  Pans, 
et  de  M.  Dulague,  k  Rouen,  p.  371. 

Occultation  de  Vénus  par  la  lune,  observée 
en  1785  à  l'Observât,  royal,  par  M.  Ca3- 

siNi  fils.  1784.  Mém.  p.  664. 
Occultations  de  quelquesétoilesdesPléiades, 

les  II  avril  et  i3  décembre  1785,  ob- 
servées à  Paris,  de  l'Observatoire  de  la 
Marine,  par  M.  Messier.  1786.  Mém. 
p.  656. 

Occultation  de  Vénus  par  la  lune,  observée 
à  Paris,  le  12  avril  1786,  par  le  même. 
1785.  Mém.  p.  65g. 

Occultations  d'étoiles  par  la  lune ,  observées 
en  1786  à  l'Observatoire  royal.  1786.  Mém. 

p.  355.  . 

Occultations  d'étoiles  par  la  lune ,  faites  à 
l'Observatoire  royal ,  de  1 777  à  1 784. 1 786. 

Mém.  p.  369. 

Observ. 


DE  L'ACADÉMIE.    1781— 1790.       73 
ASTROîfOMiE.  {Lune.  Occultation  d'étoiles,  etc.) 

Gbserv.  de  la  lune,  lors  de  son  passage  au 
méridien  et 'de  ses  lieux,  faites  à  l'Obser- 
vatoire royal  en  1787.  1787.  Mém.  p.  56. 
Calcul  de  ces  lieux  avec  les  nouvelles 
tables  d'Euler,  publiées  par  M.  Jeaurat. 
p.  69. 

Occultations  d'étoiles  par  la  lune ,  observées 
en  1 787  à  l'Observatoire  royal.  1 787.  Mém. 
p.  60. 

Occultations  d'étoiles  par  la  lune ,  observées 
en  1 788  à  l'Observatoire  royal.  1788.  Mém. 
p.  gS. 

Occultations  d'étoiles  par  la  lune  en  1778, 
1774  et  1775,  observées  à  l'Observatoire 
royal.  1788.  Mém.  p.  112. 

Planètes.  Théorie. 

Théorie  des  attractions  des  sphéroïdes  et  de 
la  figure  des  planètes ,  par  M.  de  Laplace. 
1782.  Hist.  p.  45.  Mém.  p.  11 3.  Première 
Section.  Des  attractions  des  sphéroïdes  ter- 
minés par  des  surfaces  du  second  ordre. 
p.  116.  Seconde  Section.  Du  développe- 
ment en  série  desattractionsdessphéroïdes 
quelconques,  p.  i33.  Troisième  Section. 
Des  attractions  des  sphéroïdes  très-peudif- 
férens  de  la  sphère,  p.  144.  Quatrième  Sec- 
tion. De  la  figure  des  planètes,  p.  1 54.  Cin- 
quième Section.  Des  oscillations  d'un  lluide 
homogène  de  peu  de  profondeur  qui  re- 
couvre une  sphère,  p.  186. 
Tab.  des  Mat.     1 781— 1790.  K 


74-  TABLE  DES  MÉMOIRES 

Astronomie.  {Planètes.  Théorie.) 

Mém.  sur  le  changement  d'inclinaison  qnî 
doit  avoir  lieu  dans  les  orbites  planétaires , 
par  M.  de  Lalande.  1783.  Mém.  p.  98. 
Table  de  l'effet  de  chaque  planète  pour 
changer  l'inclinaison  de  toutes  les  autres 
en  un  siècle,  p.  96.  Une  planche  à  la  tin 
du  Mémoire. 

Mém.  sur  les  inégalités  séculaires  des  pla- 
nètes et  des  satellites,  par  M.  de  Laplace. 
1784.  Mém.  p.  I.  Ce  qu'on  entend  par  iné~ 
galités  séculaires,  ib.  Travail  de  M.  de  La- 
grange  sur  ce  sujet,  p.  3.  Variations  très- 
sensibles  dans  les  révolutions  de  Jupiter 
et  de  Saturne,  ib.  L'action  des  comètes 
n'influe  pas  dans  ces  variations,  p.  4.  Elles 
sont  une  suite  de  l'action  mutuelle  de  Ju- 
piter et  de  Saturne .  ib.  Résultats  que  donne 
le  calcul,  p.  5.  Travail  de  M.  Lambert  sur 
cet  objet,  p.  7.  Action  des  satellites  de  Ju- 
piter, p.  9.  Résultat  de  l'analyse,  p.  ir. 
Equations  générales  du  mouvement  d'un 
système  de  corps  qui  s'attirent  mutuelle- 
ment, p.  16.  Sur  les  moyens  iiiouvemens 
des  trois  premiers  satellites  de  Jupiter, 
p.  25.  Sur  les  excentricités  et  les  incH- 
naisons  des  orbites  des  planètes,  p.  46.  Le 
système  des  planètes  est  renfermé  dans 
des  limites  invariables  ,  du  moins  lors- 
qu'on n'a  égard  qu'à  leur  action  actuelle, 
p.  5o. 

Recherches  sur  la  figure  des  planètes,  par 
M.  Legendre.  1784.  Mém.  p.  370.  Théo- 


DE  L'ACADÉMIE.     1781  —  1790.        75 

Astronomie.  {Planètes.  Théorie.) 

rèmes  sur  une  espèce  particulière  de  fonc- 
tions rationnelles,  p.  371. 

Théorie  de  Jupiter  et  de  Saturne,  par  M.  de 
Laplace.  1785.  Mém.  p.  33.  (  Voy.  l'addi- 
tion et  l'errata  après  la  table  des  Mém.  ) 
Le  mouvement  de  Jupiter  s'est  ralenti 
depuis  Hevélius  et  celui  de  Saturne  s'est 
accéléré,  ib.  Ces  phénomènes,  loin  d'être 
une  exception  au  principe  de  la  pesan- 
teur, en  sont  une  suite  nécessaire  et  le 
confirment,  ib.  Première  Section.  Théorie 
analytique  des  perturbations  de  Jupiter  et 
de  Saturne,  équations  générales  des  niou- 
vemens  de  Jupiter  et  de  Saturne,  p.  37. 
Des  perturbations  de  Jupiter  et  de  Sa- 
turne ,  en  portant  l'approximation  jus- 
qu'aux premières  puissances  des  excen- 
tricités et  des  inclinaisons  des  orbites,  p.  5  r . 
Des  inégalités  séculaires  de  Jupiter  et  de 
Saturne,  p.  78.  Des  perturbations  de  Ju- 
piter et  de  Saturne,  qui  dépendent  des 
carrés  et  des  puissances  supérieures  des 
excentricités  et  des  inclinaisons  des  or- 
bites, p.  85.  Seconde  Section.  Théorie  de 
Saturne  ,  détermination  numérique  des 
inégalités  de  Saturne,  p.  108.  Comparaison 
de  la  théorie  de  Saturne  avec  les  observ. 
modernes,  p.  i38.  Avec  les  observations 
anciennes,  p.  i55. 

Observ.  des  planètes,  faites  à  l'Ecole  mili- 
taire en  1783 ,  avec  un  quart  de  cercle  um- 
ralde  7  î  piedsderayon,parM.  d'AGELET. 


76  TABLE  DES  MÉMOIRES 

Astronomie.  (Planètes,  Théorie.) 

1785.  Mém.  p.  267.  Observ.  faites  en  1784 
et  1785.  1786.  Mém.  p.  418. 

Suite  de  la  théorie  de  Jupiter  et  de  Saturne, 
par  M.  de  Laplace.  1786.  Mém.  p.  201. 
Travail  de  M.  Delambre.  ib.  Nouvelles 
tables  de  Jupiter  et  de  Saturne  qu'il  promet. 
p.  2o3.  Addition  à  la  théorie  de  Saturne,  ib. 
Formules  pour  déterminer  le  lieu  de  Sa- 
turne, p.  21 5.  Troisième  Section.  Théorie 
de  Jupiter,  p.  217.  Formules  pour  déter- 
miner le  lieu  de  Jupiter,  p.  227.  Compa- 
raison de  la  théorie  de  Jupiter  avec  les 
observations  anciennes,  p.  229. 

Mém.  sur  la  non-application  de  la  correction 
de  l'aberration  des  planètes  dans  le  calcul 
de  leur  passage  au-devant  du  soleil ,  par 
M.  Jeaurat.  1786.  Mém.  p.  672. 

Observ.  faites  à  l'Observatoire  royal ,  de  1 778 
à  1786,  de  l'opposition  des  planètes  supé- 
rieures. 1786.  Mém.  p.  368. 

Mém.  sur  les  variations  séculaires  des  orbites 
des  planètes,  par  M.  de  Laplace.  1787. 
Mém.  p.  267.  Développement  de  ce  prin- 
cipe :  9ue  le  système  du  monde  ne  fait 
qu'osciller  autour  d'un  état  moyen  dont 
il  ne  s'écarte  jamais  que  d'une  très-petite 
quantité,  p.  268. 

Suite  des  recherches  sur  la  figure  des  pla- 
nètes ,  par  M.  Legendre.  1789.  Mém. 
p.  872.  L'auteur  a  prouvé  dans  son  pre- 
mier Mémoire  que  la  figure  elhptique  est 
la  seule  qui  convienne  à  l'équilibre,  ib. 


DE  L'ACADÉMIE.    1781— 1790.       77 

Astronomie.  {Planètes.  Théorie.) 

L'objet  de  ce  second  Mémoire  est  de  dé- 
lerminei'  à  priori  la  figure  d'une  planète 
dans  les  diverses  hypothèses  susceptibles 
d'être  traitées  analytiquement.  p.  SyS.  For- 
mules de  l'attraction  pour  les  solides  des 
révolutions  hétérogènes,  p.  Syô.  Equation 
générale  de  l'équilibre,  p.  38i.  Première 
Hypothèse.  Figure  d'une  planète  dont  l'in- 
térieur est  solide  et  composé  de  couches 
semblables  à  la  surface,  p.  882.  Seconde 
Hypothèse.  Figure  d'une  planète  consi- 
dérée dans  l'état  de  fluidité,  p.  895.  Troi- 
sième Hypothèse.  Figure  d'une  planète 
dont  l'intérieur  est  solide  et  composé  de 
couches  elliptiques ,  dont  les  ellipticités 
suivent  une  loi  quelconque,  p.  420.  Dé- 
monstration de  plusieurs  théorèmes  d'ana- 
lyse, p.  426.  Formules  de  l'attraction, 
applicables  à  une  infinité  de  figures  qui  ne 
sont  pas  des  solides  de  révolution,  p.  442. 
Application  à  l'équilibre  d'une  planète 
solide  recouverte  d'une  lame  fluide  très- 
mince,  p.  447. 
Sur  les  variations  des  inclinaisons  et  des 
nœuds  des  orbites  des  planètes,  par  M.  de 
Laplace.  1789.  Mém.  p.  75. 

Herschel  ou  Uranus. 

Détermination  de  11  lieux  d'Herschel,  faite 
à  l'Observât,  royal  en  1786,  par  M.  Cas- 
SiNi  fils.  1784.  Mém.  p.  65o. 


78  TABLE  DES  MÉMOIRES 

Astronomie.  (Planètes.)  Herschel ou.  Uranus. 

Remarque  sur  ropposition  de  la  nouvelle  ou 
septième  planète  (  Herschel  ou  Uranus) ,  à 
l'égard  du  soleil ,  par  M.  Lemonnier. 

1785.  Mém.  p.  364.  Réduction  de  sa  lon- 
gitude géométrique  à  sa  longitude  hélio- 
centrique.  ib. 

Détermination  de  lo  lieux  d'Herscliel  en 

1786.  à  l'Observatoire  royal.  1786.  Mém. 
p.  35 1. 

Mém.  sur  les  mouvemens  de  la  planète  de 
Herschel,  2^  Mém.  {Voye%  le  l'j"  Mém. 
année  1 779.  p.  526.) ,  par  M.  de  Lalande. 

1787.  Mém.  p.  168.  Observ.  de  Herschel, 
faites  au  Collège  de  France,  p.  171.  A  l'Ob- 
servatoire royal,  p.  172.  De  l'inclinaison 
et  du  nœud.  p.  i8r.  Du  mouvement  de 
l'aphélie  et  du  nœud.  p.  182. 

Opposition  de  la  planète  Herschel ,  observée 

à  l'Observatoire  royal,  par  M.  Jeaurat. 

1787.  Mém.  p.  I. 
Détermination  de  3o  lieux  de  Herschel  en 

1787,  à  l'Observatoire  royal.  1787.  Mém. 

p.  54. 
Détermination  de  18  lieux  d'Herschel,  faite 

en  1788, à  l'Observât,  royal.  1788.  Mém. 

p.  92. 
Détermination  de  12  lieux  d'Herschel ,  faite 

en  1789,  à  robservat.  royal.  1789.  Mém. 

p.  182. 
Opposition  et  quadrature  d'Herschel,  ob- 

servéesauCollégeRoyaleni709,parM.de 

Lai.ande.  1789.  Mém.  p.  170. 


DE  L'ACADÉMIE.    1781  — 1790.        79 

Astronomie.  (Planètes.)  Saturne,  ses  satellites  et 
son  anneau. 

Opposition  des  deux  planètes  supérieures, 
Saturne  et  Jupiter,  par  M.  Cassini  fils. 
1782.  Mém.  p.  3oi. 

Détermination  de  33  lieux  de  Saturne,  faite 
en  1 786  à  l'Observatoire  royal.  1 784.  Mém. 
p.  648. 

Calcul  des  anciennes  observations  de  Saturne 
qui  sont  dans  l'Almageste,  par  M.  de  La- 
lANDE.  1784.  Mém.  p.  3l2. 

Mém.  sur  le  mouvement  du  cinquième  sa- 
tellite de  Saturne,  par  le  même.  1786. 
Mém.  p.  872.  Observ.  de  M.  Bernard,  à 
Marseille,  p.  877.  Planche  qui  termine  ce 
Mém.  p.  384. 

Détermination  de  68  lieux  de  Saturne  en 
1786  à  l'Observ.  royal.  1786.  Mém.  p.  847. 

Mém.  sur  la  théorie  de  l'anneau  de  Saturne, 
par  M.  de  Laplace.  1787.  Mém.  p.  249. 
Détermination  de  la  figure  de  l'anneau  de 
Saturne  d'après  la  théorie  de  la  pesanteur 
universelle,  ib.  L'auteur  ne  présente  qu'un 
essai  de  la  théorie  de  cet  anneau,  p.  25o. 
Une  couche  infiniment  mince  du  tluide 
répandue  sur  la  surface  de  l'anneau ,  y 
resteroit  en  équilibre,  en  vertu  des  forces 
dont  elle  seroit  animée,  ib. 

Mém.  sur  le  moyen  mouvement  de  Saturne , 
par  M.  de  Lalande.  1787.  Mém-  p.  210. 
Observ.  anciennes  de  Saturne,  p.  212. 

Sur  l'inclinaison  de  Saturne,  par  le  même. 
1787.  Mém.  p.  214. 


8o  TABLE  DES  MÉMOIRES 

Astronomie.  (Planètes.)  Saturne,  ses  satellites  et 
son  anneau. 

Détermination  de  49  lieux  de  Saturne  en 
1787,  à  l'Observatoire  royal.  17B7,  Méni. 
p.  62. 

Détermination  de  47  lieux  de  Saturne,  faite 
en  1 788  à  l'Observatoire  royal.  1 788.  Méra. 
p.  89. 

Opposition  de  Saturne  de  1767  à  1786,  ob- 
servée à  l'Observatoire  roj^al.  1788.  Mém. 

p.  IIO. 

Disparition  et  réapparition  de  l'anneau  de 
Saturne  ,  observées  en  1778  et  1774  à  l'Ob- 
servatoire royal.  1788.  Mém.  p.  112. 

Mém.  sur  les  satellites  de  Saturne ,  par  M.  de 
Lalande.  1788.  Mém.  p.  216.  Faute  des 
anciens  astronomes  dansleurs  observations 
des  satellites  de  Saturne,  ib.  Erreurs  des 
tables  de  M.  Cassini.  p.  220.  Correction 
des  tables,  p.  221. 

Détermination  de  28  lieux  de  Saturne,  faite 
en  1789  à  l'Observatoire  royal.  1789.  Mém. 
p.  i3o. 

Phases  de  l'anneau  de  Saturne  observées  en 
1789  à  l'Observatoire  royal.  1789.  Mém. 
pp.  112  et  187. 

Extrait  des  principales  observations  faites 
depuis  1671  jusqu'en  1789  sur  les  phases 
de  l'anneau  de  Saturne,  par  M.  de  Cas- 
sini. 1789.  Mém.  p.  142.  Phases  de  1671 
dans  le  nœud  austral,  ib.  Phases  de  i685 
dans  le  nœudLorf^al.p.  144.1'hases  de  1701 
dans  le  nœud  austral,  p.  1 45.  Phases  de  1 7 1 4 

et 


DE  L'ACADÉMIE.     1781-^1790.        8r 

Astronomie.  (Planètes.)  Saturne,  ses  satellites  et 
son.  anneau. 

et  171 5  danslenœudboréal.p.  147.  Phases 
dei73oeti73i  dans  le  nœud  austral,  p.  149. 
Phases  de  1 744  dans  le  nœud  boréal,  p.  1 5o. 
Phases  de  1760  dans  le  nœud  austral,  ib. 
Phases  de  1 773  et  1 774  dans  le  nœud  boréal. 
p.  i5i. 

Mém.  sur  la  disparition  de  l'anneau  de  Sa- 
turne en  1 789  et  1 790 ,  par  M.  de  Lal  ande. 
1790.  Mém.  p.  21.  Détail  des  observ.  faites 
en  diflférens  lieux,  p.  25. 

Mém.  contenant ,  1°.  les  observations  des 
quatre  époques  des  disparitions  et  réappa- 
ritions des  anses  de  l'anneau  de  Saturne 
en  1789  et  1790.  2°.  Observ.  de  plusieurs 

{joints  de  lumière,  vus  fréquemment  sur 
es  anses  de  l'anneau,  et  l'ombre  de  l'an- 
neau projetée  sur  le  disque  de  Saturne. 
3°.  Observ.  de  trois  oppositions  de  Saturne 
au  soleil  en  1788,  1789  et  1790,  pour  bien 
constater  le  lieu  de  cette  planète.  4°.  An- 
cienne carte  de  la  route  apparente  de  Sa- 
turne ,  qui  représente  les  quatre  observ, 
des  disparitions  et  réapparitioris  des  anses 
de  l'anneau.  —  Ces  observations  faites  à 
Paris  à  l'Observatoire  de  la  Marine ,  par 
M.  Messier.  i79o.Mém.  p.  421. Première 
disparition  de  l'anneau ,  annoncée  pour  le 
6  mai  1789.  p.  422.  Première  réapparition 
des  anses,  annoncée  pour  le  24  août.  ib. 
Seconde  disparition  de  l'anneau  annoncée 
pour  le  1 3  octobre,  p.  424.  Seconde  réap<- 
Tab.  des  Mat.    1781  —  1790,  L 


8a  TABLE  DES  MÉMOIRES 

Astronomie.  (Planètes.)  Saturne,  ses  satellites  et 
son  anneau. 

parition  de  Tanneau  annoncée  pour  le 
3o  janvier  1790.  p.  425.  Points  lumineux 
sur  les  anses  de  l'anneau,  p.  427.  Carte 
relative  à  l'anneau  de  Saturne,  p.  484. 
Observ.  des  oppositions  de  Saturne  en  1 788, 
1789  et  1790.  p.  481. 

Jupiter  et  ses  satellites. 

Mém.  sur  l'inclinaison  du  quatrième  satel- 
lite de  Jupiter,  par  M.  de  Lalande.  1781. 

Hist.  p.  68.  Mém.  p.  877.  D'après  l' observ. 

de  M.  Colas ,  à  la  Chine  ,  faite  le  29  nov. 

1779,  cette  inclinaison  est  de  2°  36'  24". 

Elle  ne  diffère  que  de  24"  de  celle  que 

M  M.Wargentin  et  Maraldi  avoient  trouvée, 

p.  878. 
Eclipses  des  satellites  de  Jupiter ,  par  M.  C  AS- 

siNi  fils,  1782.  Mém.  p.  3o5. 
Observ.  des  satellites  de  Jupiter,  faites  à  la 

Guadeloupe  en  1782,  par  M.  Tondu.  1782. 

Mém.  p.  666. 
Détermination  de  48  lieux  de  Jupiter,  faite 

en  1 785  à  l'Observatoire  royal.  1 784,  Mém. 

p.  646. 
Eclipses  des  satellites  de  Jupiter,  observées 

en  1785  à  l'Observatoire  royal.  1784.  Mém. 

p.  653. 
Examen  de  la  dernière  révolution  de  Jupiter 
'    et  des  élémens  artnels  de  son  orbite ,  par 

M.  de  Lalande.  1784.  Mém.  p.  Soi, 


DE  L'ACADÉMIE.     1781—1790.        83 

Astronomie.  {Planètes.)  Jupiter  et  ses  satellites. 

Erreurs  des  tables  de  Jupiter ,  en  négli- 
geant les  perturbations,  p.  807.  Equation 
trouvée  par  M.  de  Laplace.  p.  3 10.  Calcul 
des  anciennes  observ.  de  Jupiter ,  qui  sont 
dansl'Almageste.  p.3i  i.  Pareil  calcul  pour 
Jes  observations  de  Saturne,  p.  3i2. 

Opposition  de  Jupiter  au  soleil,  observée  le 
27  août  1784,  par  M.  Lemonnier.  1784. 
Mém.  p.  354. 

Sur  l'inclinaison  et  le  nœud  de  l'orbite  de 
Jupiter,  par  M.  deLALANDE.  1786.  Mém. 
p.  41 5. 

Sur  l'équation  des  satellites  de  Jupiter,  dont 
la  période  est  de  487  jours,  par  le  môme. 
1786.  Mém,  p.  386. 

Observ.  des  satellites  de  Jupiter ,  faites  à  Pé- 
rinaldoen  1786,  par  Jac.  Phil.  Maraldi. 
1786.  Mém.  p.  6i3.  Continuation  de  ces 
observ.  en  1787  et  1788 ,  par  M.  Maraldi 
neveu.  1788.  Mém.  p.  718. 

Détermination  de  64  lieux  de  Jupiter,  en 
1786,  à  l'Observ.  royal.  1786.  Mém.  p.  844. 

Eclipses  des  satellites  de  Jupiter,  observées 
en  1786  à  l'Observatoire  royal.  1786.  Mém. 
p.  356. 

Mém.  sur  les  inégalités  du  troisième  satel- 
lite de  Jupiter,  par  M.  de  Lalande.  1787. 
Mém.  p.  184.  Observ.  du  troisième  satel- 
lite, p.  186.  Comparaison  des  5o  observ. 
avec  les  tables  dans  différentes  bypo- 
tlièses.  p.  190.  Table  des  anciennes  obser- 
vations, p.  196. 


84  TABLE  DES  MÉMOIRES 

AsTRONOjiiE.  (  Planètes.  )  Jupiter  et  ses  satellites. 

Détermination  de  62  lieux  de  Jupiter,  en 

1787,  à  robserv.  royal.  1787.  Méin.  p.  49, 
Eclipses  des  satellites  de  Jupiter,  observées 

en  1787  à  l'Observatoire  royal.  1787.  Méni, 
p.  61. 
Théorie  des  satellites  de  Jupiter ,  par  M.  de 
Laplace.  1788.  Mém.  p.  249.  Première 
Partie.  Théorie  analytique  des  satellites- 
de  Jupiter}  équations  générales  des  mou- 
..  vemens  des  satellites  de  Jupiter,  ib.  Des 

inégalités  du  mouvement  des  satellites , 
dépendantes  des  excentricités  des  orbites. 
p.  274.  Des  inégalités  des  satellites,  qui 
dépendent  de  l'action  du  soleil,  p.  289. 
Du  mouvement  des  satellites  en  latitude. 

f).  292.  De  la  durée  des  éclipses  des  satel- 
ites.  p.  809.  Des  inégalités  des  satellites, 
dépendantes  des  carrés  et  des  produits  des 
forces  perturbatrices,  p.  317.  Valeurs  nu- 
mériques des  inégalitésdessatellites.  p.  848. 
(  Foyt'2  la  suite  ci-après.) 

Détermination  des  42  lieux  de  Jupiter,  faite 
en  1 788  à  robserv.  royal.  1 788.  Mém.  p.  86. 

Occultation  de  Jupiter  par  la  lune,  observée 
le  14  mars  1788  à  l'Observatoire  royal. 

1788.  Mém.  p.  88. 

Observ.  des  éclipses  des  satellites  de  Jupiter, 
faites  en  1788  à  l'Observatoire  royal.  1788. 
Mém.  p.  97. 

Opposition  de  Jupiter,  de  1767  à  1786,  ob- 
servée h  l'Observatoire  royal.  1788.  Mém. 
p.  III. 


DE  L'ACADEMIE.     1781-^1790.         85 
Astronomie.  {Planètes.)  Jupiter  et  ses  satellites.  ■ 

Mém.  sur  le  diamètre  et  la  lumière  du  qua- 
trième satellite  de  Jupiter,  par  M.  de  La- 
lande.  1788.  Mém.  p.  209.  L'usage  des 
d'iaphragmes  nécessaire  dans  ces  sortes 
d'observations,  p.  214. 

Suite  de  la  théorie  des  satellites  de  Jupiter, 
par  M.  de  Laplace.  1789.  Mém.  p.  i  et 
287.  Seconde  Partie.  Théorie  astronomi- 
que des  satellites  de  Jupiter,  ib.  Détermi- 
nation des  masses  des  satellites  et  de  l'apla- 
tissement de  Jupiter,  p.  288.  Des  excen- 
tricités et  des  abscides  des  satellites,  p.  244. 
De  la  libration  des  trois  premiers  satellites. 
p.  253.  Théorie  du  quatrième  satellite. 
p.  255.  Théorie  du  troisième  satellite. 
p.  266.  Théorie  du  second  satellite,  p.  277. 
Théorie  du  premier  satellite,  p.  285.  Con- 
clusion, p.  291. 

Observ.  des  éclipses  des  satellites  de  Jupiter, 
faites  à  Périnaldo  en  1788  et  1789,  par 
M.  MoraZrfi  neveu,  présentées  par  M.  Cas- 
siNi.  1789.  Mém.  p.  639, 

Détermination  de  3i  lieux  de  Jupiter,  faite 
en  1 789  à  robserv.  royal.  1 789.  Mém.  p.  1 28. 

Eclipses  des  satellites  de  Jupiter,  observées 

en  1789  à  robs.  royal.  1789.  Mém.  p.  i36. 

^  Eclipses  du  troisième  satellite  de  Jupiter, 

observées  à  l'OJîserv. royal  de  Paris,  depuis 

1671  jusqu'à  1740.  1789.  Mém.  p.  i53. 

Çuadrature  de  Jupiter,  observée  en  1789  au 
Colk'.ge  Royal ,  par  M.  de  Lalande.  i  789. 
Mém.  p.  170, 


86  TABLE  DES  MÉMOIRES 

Astronomie.  (Planètes.)  Mars. 

Nouvelles  méthodes  analytiques  pour  ré- 
soudre différentes  questions  astronomi- 
ques. i8«  Mémoire ,  dans  lequel  on  appli- 
que à  la  détermination  de  la  parallaxe  de 
Mars  les  formules  anal'^-tiqites  démontrées 
dans  les  Mém.  précédèns,  par  M.  DiONis 
DU  SÉJOUR.  1783.  Mém.  p.  263.  Exposi- 
tion du  sujet,  ib.  Notice  des  observations 
correspondantes,  faites  en  ijSi  au  Cap  de 
Bonne-Espérance,  par  M.  de  La  Caille,  à 
robserv.  royal  de  Paris,  par  MM.  Cassini 
de  Thury  et  Le  Gentil;  et  à  Greenwick ,  par 
M.  Bradley.  p.  264.  Notice  des  observations 
correspondantes,  faites  en  lySi  au  Cap, 
par  M.  de  La  Caille;  k  Bologne ,  par  M.  Za- 
notti;  à  Stockholm,  par  M.  Wargentin,  et 
a  Upsal,  par  M.  Strommer.  p.  277.  Con- 
clusion, p.  289. 

Détermination  de  22  lieux  de  Mars,  faite 
en  1785  à  l'Observatoire  royal.  1784.  Mém. 
p.  645. 

Sur  l'équation  de  Mars  et  son  moyen  mou- 
vement, par  M.  de  Lalande.  1786.  Méui. 
p.  406. 

Observ.  de  Mars  en  quadrature ,  pour  véri- 
fier sa  distance  au  soleil,  par  le  même. 
1786.  Mém.  p.  411. 

Détermination  de  six  lieux  de  Mars  en  1786 
à  l'Observatoire  royal.  1786.  Mém.  p.  343. 

Détermination  de  20  lieux  de  Mars,  faite 
en  1787  àl'Observatoire  royal.  1787. Mém. 

P-  47-  , 


DE  L'ACADÉMIE.     1781-1790.       87 
AsTROîs^oMiE.  (Planètes.)  Mars. 

Détermination  de  20  lieux  de  Mars,  faite 
en  1 788  à robserv. royal.  1 788. Mém . p.  85. 

Oppositions  de  Mars,  de  1768  à  1783,  ob- 
servées à  l'Observatoire  royal.  1788.  Mém. 
p.  III. 

Détermination  de  5  lieux  de  Mars,  faite  en 
1789  à  l'Observatoire  royal.  1789.  Mém. 
p.  127. 

Observât,  de  Mars,  faites  à  Copenhague  eu 
1788,  par  M.  Bugge,  publiées  par^M.  de 
Lalande.  1789.  Mém.  p.  174. 


Terre. 


Mém.  sur  la  figure  de  la  Terre,  par  M.  de 
Laplace.  1783.  Mém.  p.  17.  L'objet  de  ce 
Mémoire  est  d'exposer  ce  que  les  obser- 
vations et  la  théorie  nous  apprennent  sur 
la_ constitution  de  la  Terre,  et  de  déter- 
miner, aussi  exactement  qu'il  est  possible , 
la  figure  que  l'on  doit  supposer  à  cette 


...^x.^.i^,ii  u<^  ICI  pesanteui  uc  1  C4ucinjur 
aux  pôles,  les  parallaxes,  les  éclipses,  la 
précession  des  équinoxes,  et  la  nutation 
de  l'axe  terrestre,  p.  18.  Les  mesures  des 
degrés  du  méridien  ne  suffisent  pas  pour 
faire  connoitre  la  vraie  figure  de  la  Terre, 
et  pour  y  parvenir,  il  faut  combiner  ces 
observations  avec  le  principe  de  la  pe- 
santeur universelle,  il/.  Observations  faites 
à  ce  sujet  et  sur  la  longueur  du  pendule 


88  TABLE  DES  MÉMOIRES 

AsTEONOMiE.  {Planètes.)  Terre. 

vers  le  pôle  et  à  l'équateur.  p.  19.  Observ. 
faites  au  nord,  en  France ,  à  l'équateur  et 
au  Cap  de  Bonne-Espérance,  ib.  L'hypo- 
thèse d'une  figure  elliptique  de  la  Terre 
ne  peut  pas  se  concilier  avec  les  observa- 
tions de  la  mesure  des  degrés  terrestres. 
p.  22.  Les  observations  dans  la  longueur 
du  pendule  suivent  une  marche  bien  plus 
régulière  que  les  variations  des  degrés  du 
méridien,  p.  23.  Table  de  ces  longueurs 
observées  depuis  l'équateur  jusqu'à   66'* 
48  '  de  latitude  nord.  ib.  La  variation  ob- 
servée de  la  pesanteur  exclut  aussi  l'h}'^- 
pothèse  de  l'ellipticité  de  la  Terre,  p.  24. 
Il  est  remarquable  que  tandis  que  les  va- 
riations des  degrés  s'écartent  sensiblement 
de  la  loi  du  carré  du  sinus  de  la  latitude , 
cette  loi  représente  à  très-peu  près  les  va- 
riations de  la  pesanteur,  ib.  En  combinant 
ce  phénomène  avec  la  condition  de  l'équi- 
libre de  la  mer ,  on  voit  naitre  la  loi  de  la 
variation  des  rayons  terrestres,  ib.  Calcul 

Î)our  parvenir  à  la  découverte  de  cette 
oi.  p.  25.  On  peut,  sans  erreur  sensible, 
supposer  que  la  Terre  est  un  ellipsoïde 
de  révolution  dont  les  axes  sont  dans  le 
rapport  de  820  à  32i.  p.  84.  Calcul  pour 
les  parallaxes,  p.  35.  Dans  le  rapport  ci- 
dessus  on  peut  calculer  sans  erreur  sen- 
sible les  éclipses  et  tous  les  phénomènes 
dépendans  des  parallaxes,  ib.  Calcul  pour 
la  précession  des  équinoxes  et  pour  la  nu- 

tation 


DE  L'ACADÉMIF.     1781— 1790.        89 

Astronomie.  (Planètes.)  Terre. 

tation  de  l'axe  de  la  Terre,  p.  36.  Chaque 
phénomène  dépendant  de  la  figure  de  la 
Terre ,  fournit  de  nouvelles  lumières  sur 
la  nature  du  rayon  terrestre  ,  et  ils  sont 
tous  parfaitement  d'accord  entr'eux.  p.  46. 
Ils  indiquent  l'hypothèse  la  plus  vraisem- 
blable, celle  d'une  densité  décroissante  du 
centre  à  la  surface,  ib.  La  loi  de  la  pesan- 
teur universelle  est  donc  la  vraie  cause  de 
ces  phénomènes,  ib. 

Mém.  sur  la  quantité  de  l'aplatissement  de 
la  Terre ,  par  M.  de  Lal  ande.  i  ySS.  Mém. 
p.  I.  Expérience  de  la  longueur  du  pen- 
dule, faite  au  Spitzberg,  par  M.  Lyons,  en 
1773.  p.  2.  On  peut  tirer  de  cette  obser- 
vation un  résultat  précieux  pour  la  figura 
de  la  Terre,  p.  3.  La  Terre  est  aplatie 
de  y^-.  p.  6.  Remarque  sur  la  véritable 
longueur  absolue  du  pendule  à  Paris,  p.  7. 
Les  observations  du  pendule  s'accordent 
avec  la  mesure  des  degrés,  p.  8. 

Sur  la  mesure  de  la  Terre ,  que  Fernel  publia 
en  i528,  par  M.  de  Lal  ande.  i7B7.Mém. 
p.  216.  Mérite  et  résultat  du  travail  de 
Fernel.  ib.  Sa  mesure  est  précisément  la 
même  que  celle  qu'on  a  trouvée  25o  ans 
après,  p.  222. 

Sur  les  degrés  mesurés  du  méridien ,  et  sur 
les  longueurs  observées  du  pendule ,  par 
M.  de  Laplace.  1789.  Mém.  p.  i8.  Peut- 
on  concilier  les  diftérentes  mesures  faites 
avec  une  figure  elliptique  ?  Discussion  de 
Tab.  des  Mat.  1 781  —  1 790.  M 


90  TABLE  DES  MÉMOIRES 

Astronomie.  {Planètes.)  Terre. 

cette  question,  ib.  Application  de  la  mé- 
thode de  l'auteur  à  neuf  mesures  des  de- 
grés du  méridien,  p.  29.  Discussion  de 
treize  observations  qui  ont  été  faites  de  la 
longueur  du  pendule  à  secondes,  p.  Sy. 
Sur  la  figure  de  la  Terre,  par  M.  de  La- 
PLACE.  1789.  Mém.  p.  44.  Dans  ce  Mé- 
moire, on  suppose  le  cas  où  la  Terre  ayant 
été  primitivement  fluide, elle  seroit  formée 
de  couches  de  densités  variables,  ib. 
Sur  la  stabilité  de  la  figure  de  la  mer,  par-le 
même.  1789.  Mém.  p.  55.  Recherche  des 
conditions  nécessaires  à  la  stabilité  de  la 
figure  de  la  mer;  ces  conditions  ont-elles 
lieu  dans  la  nature,  p.  56. 
Vénus. 

Observ.  de  Vénus ,  par  M.  C  assini  fils.  1 782. 
Mém.  p.  3o5. 

Détermination  de  42  lievix  de  Vénus,  faite 
à  l'Observatoire  royal  en  1785,  par  le 
môme.  1784.  Mém.  p.  643. 

Mém.  sur  le  mouvementde  Vénus,  parM.de 
Lalande.  1785.  Mém.  p.  248.  Anciennes 
observations  sur  la  révolution  et  le  mou- 
vement séculaire  de  Vénus,  ib.  Observ. 
du  17^  siècle,  p.  252.  Observ.  du  18*  siècle, 
p.  256.  Conjonctions  inférieures  de  Vénus 
comparées  avec  les  nouvelles  tables,  p.  264. 
Révolution  de  Vénus,  p.  266.  Inclinaison 
de  Vénv\s.  ib. 

Sur  la  masse  de  "Vénus  et  sur  la  valeur  des 


DE  L'ACADÉMIE.     1781— 1790.        9c 

AsTRoisroMiE.  {Planètes.)  Vénus. 

équations  du  soleil  produites  par  Vénus 
et  par  la  lune ,  par  M.  de  Lal ande.  i  786. 
Mém.  p.  398. 

Détermination  de  55  lieux  de  Vénus  à  l'Ob- 
servatoire royaleni  786.1 786. Mém. p.  340. 

Conjonction  inférieure  de  Vénus,  le  4  janv. 

1787,  par  M.  de  Lalande.  1787.  Mém. 
p.  199.  Observ.  de  Vénus,  faites  à  Paris  et 
à  Marseille,  p.  200.  A  Blenheim,  par  Mi- 
lord  Marlbowugh.  p.  201.  A  Oxford,  par 
M.  Hornsby.  p.  202. 

Détermination  de  42  lieux  de  Vénus ,  fait© 

en  1 787  à l'Observ. royal.  1 787.  Mém.  p.  45. 
Détermination  de  58  lieux  de  Vénus,  faite 

à  l'Observatoire  royal  en  1788. 1788.  p.  82. 
Passage  de  Vénus  sur  le  soleil,  du  3  juin  1769, 

observé  à  l'Observatoire  royal.  1 788.  Mém. 

p.  112. 
Conjonction  inférieure  de  Vénus,  le  7  août 

1788 ,  avec  une  nouvelle  détermination  de 
l'aphélie  de  Vénus  et  de  son  moyen  mou- 
vement, par  M.  de  Lalande.  1788.  Mém. 
p.  173.  Observ.  de  cette  conjonction,  faite 
en  Angleterre  et  en  dilTérens  pays.  ib.  Au 
château  de  Blenheim  en  Angleterre,  p.  1 75. 
A  Oxford,  p.  176.  A  Greenwick.  p.  178. 
Calcul  de  ces  observations  et  erreurs  des 
tables,  p.  179.  Observations  de  M.  Buggs 
à  Copenhague,  p.  182. 

Détermination  de  26  lieux  rlc  Yénus,  faite 
en  1789  ù  l'Observatoire  royal.  ■£789.Mém. 

p.  125. 


92  TABLE  DES  MÉMOIRES 

Astronomie.  (Planètes.)  Vénus. 

Sur  le  mouvement  moyen  de  Vénus  et  de 
son  aphélie,  par  M.'de  Lalande.  1789. 
Méni.  p.  159. 


Mercure. 


Observ.  du  passage  de  Mercure  sur  le  soleil, 
arrivé  le  12  novembre  1782,  avec  les  con- 
séquences qui  en  résultent,  par  M.  de  La- 
lANDE.  1782.  Hist.  p.  5o.  Mém.  p.  207. 

La  môme  observ.,  faite  à  La  Rocheguyon, 
situé  par  49°  4  '  58  '  de  latitude ,  par  MM.  le 
Duc  de  La  Rochefoucauld,  Desma- 
RETS,  l'Abbé  Rochon,  le  Marquis  de 
Saint-Vallier,  et  Patricauld.  1782. 
Mém.  p.  576.  ^ 

La  même  observation  ,  faite  à  Paris,  à  l'hôtel 
de  Noailles,  par  M.  Méchain.  i  782.  Mém. 

,  P-577- 

La  même  observation,  faite  à  Paris,  à  l'Ob- 
servatoire de  la  Marine  ,  par  M.  Messier. 
1782.  Mém.  p.  658,  avec  une  planche. 

La  même  observation ,  faite  à  Paris ,  à  l'Ob- 
servatoire royal,  par  M.  Cassini  fils.  1 782. 
Mém.  p.  663. 

La  même  observ. ,  faite  à  Paris ,  par  M.  Le- 
MONNIER.  1782.  Mém.  p.  647.  Additions; 
observ.  faite  à  New-Cambrige  en  Amé- 
rique, p.  649. 

Obseiv.  de  Mercure  ,  faites  à  l'Ecole  Royale 
mditaire,  par  M.  d'AGSLsx.  1784.  Mém. 
P-74- 


DE  L'ACADÉMIE.     1781— 1790.      93 

Astronomie.  (Planètes.)  Mercure. 

Sur  la  Ihéorie  de  Mercure ,  cinquième  Mé- 
moire, où  l'on  rectifie  les  principaux  élé- 
mens  de  Mercure  par  de  nouvelles  obser- 
vations, par  M.  de  Lalande.  1786.  Mém. 
p.  272.  (Les  quatre  premiers  Mém.  sont 
dans  les  volumes  de  1766,  1767  et  1771.) 
De  l'équation  de  Mercure,  p.  282. 

Observ.  de  Mercure ,  faites  aux  environs  des 
abscides  et  des  plus  grandes  digressions, 
pour  déterminer  son  excentricité,  p.  290. 
Des  latitudes  de  Mercure,  p.  299.  Observ. 
de  Mercure, faites  par  M.  d'y^o-e/ef  à  l'Ecole 
militaire ,  et  calculées  par  M.  Delambre. 
p.  3o5.  Seize  observations  de  Mercure , 
faites  à  Cadix ,  par  MM.  Tofino  et  Varela, 
et  calculées  par  M.  Delambre,  p.  3o6.  Ob- 
servations de  Mercure,  faites  à  Oxford, 
par  M.  Hornsby,  avec  un  mural  de  8  pieds. 
p.  807.  Observations  de  Mercure,  faites  à 
Bagdad ,  par  M.  de  Beauchamp.  p.  3o8. 
Observ.  sur  les  digressions  de  Mercure , 
faites  à  Milan,  au  mois  d'août  1786,  par 
M.  Fr.  Reggio.  p.  809.  Observ.  de  Mer- 
cure,  faites  en  juillet  et  août  1778,  par 
M.  Vidal,  p.  3io.  Observât,  de  Mercure, 
faites  à  Vilna,  en  1786,  par  M.  Poczobut. 
p.  3ir. 

Observ.  du  passage  de  Mercure  sur  le  diaque 
du  soleil,  le  4  mai  1786,  au  matin,  faites 
à  l'Observ.  de  la  Marine,  par  M.  M  ESSIER. 
1 786.  Mém.  p.  1 2 r .  Table  des  observations. 
p.  laa.  Planche  qui  accompagne  les  obser- 


94  TABLE  DES  MÉMOIRES 

AsTRONOaiiE.  (Planètes.)  Mercure. 

vations.  p.  i3o.  Table  des  étoiles  qui  ont 
été  observées  et  comparées  à  la  planète, 
sans  avoir  touché  à  l'instrument,  p.  126. 
Table  des  étoiles  qui  ont  été  comparées 
à  Mercure,  p.  127.  Recueil  des  observ. 
du  passage  de  Mercure  à  Upsal.  p.  i3q. 
A  Louvain.  p.  i3i. 

Observ.  du  passage  de  Mercure,  à  l'Obser- 
vatoire royal.  1786.  Mém.  p.  333. 

Ibid.  Observ.  de  quatre  lieux  de  Mercure, 
en  1786.  1786.  Mém.  p.  339. 

Passage  de  Mercure  sur  le  soleil,  observé  à 
l'Observatoire  royal,  le  12  novembre  1782. 

1786.  Mém.  p.  370. 

Détermination  de  quatre  lieux  de  Mercure, 
en  1 787 ,  faite  à  l'Observatoire  royal.  1 787. 
Mém.  p.  44. 

Détermination  de  trois  lieux  de  Mercure, 
en  1788,  faite  à  l'Observatoire  royal.  1788. 
Mém.  p.  81. 

Passage  de  Mercure  sur  le  soleil,  observé  le 
5  novembre  1789,  à  l'Observatoire  royal. 
1789.  Mém. pp.  III  et  i35.  Délermination 
de  deux  lieux  de  cette  planète,  p.  124, 

Observ.  de  Mercure  ,  comparées  avec  les 
tables,  par  M.  de  Lalande.  1789.  Mém. 
p.  176.  Observ.  du  passage  de  Mercure  sur 
le  soleil,  du  5  novembre  1789,  faites  en 
différens  pays.  p.  179.  Toutes  ces  obser- 
vations tendent  à  confirmer  les  tables  de 
Mercure  que  l'auteur  a  données,  p.  180. 

Observ.  du  passage  de  Mercure  sur  le  disque 


DE  L'ACADÉMIE.     1781—1790.         95 

Astronomie.  {Planètes.)  Mercure. 

du  soleil ,  le  5  novembre  1 789 ,  faite  à  l'Ob- 
servatoire de  la  Marine ,  par  M.  Messier. 
1790.  p.  417.  Table  des  positions  de  Mer- 
cure sur  le  soleil,  p.  419.  Détail  des  obser- 
vations destaches  du  soleil,  p.  420.  Planche 
relative  à  ce  Méni.  ib. 


Comètes. 


Mém.  contenant  les  observations  des  deux 
comètes  de  1781  (19*^  et  20®  observations, 
par  M.  Messier,  ôG"^  et  6-^  calculées), 
observées  par  M.  Messier  ,  à  Paris ,  à  l'Ob- 
servatoire de  la  Marine.  178 1 .  Méni.p.  849, 
avec  une  carte  céleste. 

Mém.  sur  la  comète  qui  a  paru  à  la  fin  de 
juin  et  en  juillet  1781 ,  par  M.  Méghain. 
1782.  Hist.  p.  5o.  Mém.  p.  58  r. 

Mém.  contenant  les  observât,  et  la  théorie 
de  la  seconde  comète  de  1 78 1 ,  parle  même. 
1782.  Hist.  p.  5o.  Mém.  p.  687. 

Mém.  contenant  les  observ.  de  la  comète 
de  1783,  observée  à  Paris,  de  l'Observa- 
toire de  la  Marine ,  par  M.  Messier.  i  788. 
Mém.  p.  128,  avec  une  carte  qui  indique 
la  route  de  la  comète. 

Mém.  sur  la  comète  de  1783,  par  M.  MÉ- 
CHAIN.  1783.  Mém.  p.  643. 

Observ.  de  deux  comètes,  laite  en  1785,  à 
l'Observatoire  royal.  1784.  Mém-  p.  654, 

Mém.  contenant  les  observations  de  la  pre- 
mière comète  de  1784,  observée  à  Paris, 


g6  TABLE  DES  MÉMOIRES 

Astronomie.  {Cojnètes.) 

de  l'Observatoire  de  la  Marine  ,  et  de  la 
seconde  comète  observée  à  Malte  ,  par 
M.  Messier.  1784.  Mém.  p.  3i3.  Table 
première ,  des  lieux  apparens  de  la  comète 
de  1784,  comparée  aux  étoiles  fixes. p.  822. 
Seconde  table ,  des  ascensions  droites  et 
des  déclinaisons  des  étoiles  avec  lesquelles 
la  première  comète  de  1784  a  été  com- 
parée, p.  324.  Seconde  comète  de  1784, 
observée  à  Malte  ,  par  M.  le  Chevalier 
d'Angos.  p.  826.  Carte  qui  représente  la 
route  apparente  de  la  première  comète 
de  1784.  ib. 

Mém.  contenant  les  observât,  et  la  théorie 
de  la  première  comète  de  1 784 ,  par  M.  MÉ' 
CHAIN.1784.  Mém.  p.  358.Table  première, 
des  longitudes  et  latitudes  géométriques 
de  la  première  comète  de  1784,  comparée 
au  calcul  fait  sur  les  élémens  de  l'orbite. 
p.  364.  Seconde  table  ,  des  ascensions  et 
déclinaisons  apparentes  des  étoiles  aux- 
quelles la  comète  a  été  comparée,  p.  365. 
Cette  comète  a  été  vue  à  l'isle  Bourbon, 
le  i5  décembre  1788,  par  M.  de  Lanux. 
ib.  Au  Cap  de  Bonne -Espérance,  le  16 
janvier  1784,  par  M.  Tondu;  à  Malte,  le 
20  janvier,  par  M.  le  Chevalier  d'Angos  ; 
à  Bagdad,  les  19  et  22  janvier,  et  à  Bas- 
sora ,  les  I  o ,  20  et  20  février ,  par  M.  l'Abbé 
de  Beauchamp.  p.  366. 

Mém.  contenant  les  observations  de  la  pre- 
mière comète  du  1785,  découverte  et  ob- 
servée 


DE  L'ACADÉMIE.    1781— ¥790.       97 

Astronomie.  (  Comètes.  ) 

sèrvée  àParis,  de  roloservatoire  de  la  Ma- 
rine, au  mois  de  janvier,  par  M.  Mes- 
siER,  avec  une  carte  céleste,  qui  indique 
la  route  apparente  de  la  comète.  1785. 
Mém.  p.  639. 
Mém.  contenant  les  observât,  de  la  seconde 
comète  de  1785,  observée  à  Paris,  de  l'Ob- 
servatoire de  la  Marine,  pendant  les  mois 
de  mars  et  d'avril ,  par  le  môme ,  avec  une 
carte  céleste.  1785.  Mém.  p.  646. 
Première  comète  observée  en  1786,  par  le 

môme.  1786.  Mém.  p.  96. 
Mém.  contenant  les  observât,  de  la  seconde 
comète  de  1 786 ,  observée  à  Paris ,  de  l'Ob- 
servatoire de  la  Marine,  depuis  le  11  août 
jusqu'au  11  septembre,  et  au  cliàteau  de 
Saron  en  Champagne,  depuis  le  16  sep- 
tembre jusqu'au  26  octobre,  par  le  môme. 
1786.  Mém.  p.  98.  (Cette  comète  a  été  dé- 
couverte à  Stougt,  près  Windsor  en  Angle- 
teri'e,  par  Miss  Caroline  Herschel,  le  i""^ 
août  1786.)  Table  i".  Des  positions  ap- 
parentes de  la  seconde  comète ,  observée 
en  1 786 ,  et  comparée  avec  les  étoiles  fixes , 
depuis  le  ir  août  jusqu'au  26  octobre,  p.  Ii3. 
Table  seconde,  des  ascensions  droites  et 
des  déclinaisons  des  étoiles  avec  lesquelles 
la  seconde  comète  de  1786  a  été  com- 
parée, p.  119.   Carte  céleste   qui  repré- 
sente la  route  de  la  comète,  p.  120. 
Observ.  de  deux  comètes,  faites  en  1786,  à 
l'Observatoire  royal.  1786.  Mém.  p.  Sôj. 
Tah.  des  Mat.     1 78 1  —  1 790.  N 


98  TABLE  DES  MEMOIRES 

Astronomie.  [Comètes.) 

Comète  de  1787,  observée  à  Paris,  à  l'Ob- 
servatoire de  la  Marine  ,  depuis  le  11  avril 
jusqu'au  20  mai,  par  M.  Messieb..  1787. 
Mém.  p.  70.  Carte  céleste  qui  représente 
la  route  apparente  de  la  comète,  p.  74. 

Comète  découverte  par  M.  Méchain,  le  10 
avril  1787,  observée  à  l'Observât,  royal. 
1787.  Mém.  p.  62. 

Comètes  observées  en  1 788 ,  à  l'Observatoire 
royal.  1788.  Mém.  p.  98. 

Observ.  de  la  première  comète  de  1788,  de- 
couverte  et  observée  à  Paris ,  de  l'Observ. 
de  la  Marine ,  aux  mois  de  novembre  et 
dedécembre,parM.MESSiEK.i789.Mém. 

p.  663.  Table  ])remière  ,  des  lieux  appa- 
rens  de  la  comète  de  1788,  comparée  aux 
étoiles  fixes,  p.  679.  Table  seconde ,  des 
ascensions  droites  et  des  déclinaisons  des 
étoiles  avec  lesquelles  la  première  comète 
de  1788  a  été  comparée,  p.  680.  Voyez  \a 
carte  céleste  qui  représente  la  route_ ap- 
parente de  cette  comète,  sur  celle  qui  re- 
présente la  route  apparente  de  la  comète 
de  1790.  Mém.  1790.  p.  344. 
Observ.  de  la  seconde  comète  de  1 788 ,  de- 
couverte  en  Angleterre ,  par  Miss  Hers- 
cheî,  le  21  décembre,  observée  à  Pans, 
à  l'Observatoire  de  la  Marine ,  le  5  et  le 
7  janvier  1789,  par  le  môme.  1789.  Mém. 
p.  681.  Tables  pareilles  à  celles  ci-dessus. 
p.  683.  Carte  céleste  qui  indique  la  route 
apparente  de  cette  comète,  p.  684. 


DE  L'ACADEMIE.    1781-1790.        99 
Astronomie.  (Comètes.) 

Observ.  de  la  première  comète  de  1790," 
découverte  en  Angleterre,  par  Miss  Her^- 
chel,  observée  à  Paris,  de  l'Observatoire 
de  la  Marine ,  le  19  et  le  20  janvier ,  par 
le  même.  1790.  p.  3og. 

Observ.  de  la  seconde  comète  de  1790,  dé- 
couverte à  Paris ,  par  M.  Méchain ,  le  9  jan- 
vier, observée  à  l'Observ.  de  la  Marine, 
depuis  le  1 1  jusqu'au  22  du  même  mois , 
par  le  même.  1790.  p.  3i3.  Carte  céleste 
représentant  la  route  apparente  de  cette 
comète,  p.  3i8. 

Observ.  de  la  troisième  comète  de  1790,  dé- 
couverte en  Angleterre,  par  Miss  Hers- 
chel,  le  1 7  avril  au  matin ,  oloservée  à  Paris, 
de  l'Observatoire  de  la  Marine  ,  depuis  le 
i^""  mai  jusqu'au  29  juin ,  par  le  même. 
1790.  p.  820.  Carte  céleste  qui  représente 
la  route  apparente  de  cette  comète,  ainsi 
que  de  celle  de  1788.  p.  844. 


Étoiles, 


Occultations  de  quelques  étoiles  desPleïades, 
observées  à  Paris,  le  9  février  1788 ,  et  com- 
parées aux  correspondantes,  observées  à 
Bude  ,  à  Drontheim  et  à  Bagdad  ,  par 
M.  MÉCHAIN.  1783.  Mém.  p.  633. 

Observ.  faites  en  1785,  à  l'Observât.  ro_yal, 
du  passage  du  centre  du  soleil  dans  le 
parallèle  de  plusieurs  étoiles.  1784.  Mém. 
p.  642. 


100  TABLE  DES  MÉMOIRES 

Astronomie.  {Étoiles.) 

Occultations  d'étoiles  par  la  lune ,  observées 
en  1 785  à  l'Observatoire  royal.  1 784.  Mém. 
p.  652. 

Table  de  la  déclinaison  de  plusieurs  étoiles, 
déduite  de  leur  hauteur  méridienne,  ob- 
servée au  quart  de  cercle  mobile  en  1785 
à  l'Observatoire  royal.  1784.  Mém.  p.  655. 

Vérification  des  nouvelles  découvertes  faites 
en  Angleterre  sur  les  étoiles  fixes ,  par 
M.  Cassini.  1784.  Mém.  p.  33i.  Décou- 
verte faite  par  M.  Herschel,  d'abord  d'une 
nouvelle  planète  ,  ensuite  d'un  grand 
nombre  d'étoiles  doubles,  triples,  quadru- 
ples, p.  332.  Les  observations  de  M.  Hers- 
chel pleinement  vérifiées,  p.  334.  Ce  qu'on 
doit  entendre  par  étoiles  doubles ,  tri- 
ples, etc.  p.  337.  Les  oculaires  de  la  plus 
grande  force  ne  sont  pas  les  plus  avanta- 
geux pour  ces  sortes  d'observations,  p.  338. 
On  ne  peut  pas  encore  prononcer  sur  leur 
utilité,  p.  339.  Table  des  étoiles  doubles 
et  triples  les  plus  curieuses  à  observer. 
p.  341. 

Mém.  sur  la  disparition  de  l'étoile  de  la  cons- 
tellation duTaureau  que  F/fl7?z5recf?a  placée 
dans  son  Catalogue  pour  1690,  à  Si''  46' 
5o"  de  longitude  ,  avec  une  latitude  de  o'' 
5'  ~  méridionale,  par  M.  Lemonnier.. 
1784.  Mém.  p.  353. 

Table  de  la  déclinaison  de  plusieurs  étoi- 
les, etc.  observée  en  1786  à  l'Observatoire 
xoyal.  1786.  Mém.  p.  358. 


DE  L'ACADÉMIE.     1781-1790.       lor 
Astronomie.  (Étoiles.) 

Table  de  la  déclinaison  de  plusieurs  étoi- 
les, etc.  observée  en  1787  à  l'Observatoire 
royal.  1787.  Mém.  p.  63.  Table  des  dé- 
clinaisons moyennes,  p.  68. 

Table  de  la  déclinaison  de  plusieurs  étoi- 
les, etc.  observée  en  1788  à  l'Observatoire 
^      .  royal.  1788.  Mém.  p.  99. 

Méni.  sur  la  période  ne  lumière  de  l'étoile 
Algol,  par  M.  de  Lalande.  1788.  Mém. 
p.  240.  Fondemens  de  la  table  des  plus 
l^etites  phases  d'Algol  pour  tous  les  jours 
de  l'année.  1789.  p.  24  t. 

Catalogue  des  étoiles  de  la  nébuleuse  de 
l'Ecrevisse  ,  par  M.  Lemonnier.  1789. 
Mém.  p.  610. 

Observ.  de  8ooo  étoiles  boréales,  faites  à 
l'Ecole  militaire  ,  avec  un  grand  quart  de 
cercle  mural ,  première  Partie ,  par  M.  de 
Lalande.  1789.  Mém.  p.  187.  Imperfec- 
tion du  catalogue  d'étoiles  de  Flamstecd. 
p.  188.  Préparatifs  pour  ces  observations. 
p.  189.  Erreurs  de  Flamstecd  sur  la  classi- 
fication des  étoiles,  p.  196.  Commence- 
ment des  observations  des  8000  étoiles , 
le  5  août  1789.  p.  198.  Journal  des  étoiles 
observées,  p.  199.  Surface  des  difîérentes 
zones,  dont  on  observe  les  étoiles,  de  la 
surface  entière  de  la  sphère,  p.  204.  Table 
des  observations  des  étoiles  boréales  dans 
le  méridien,  entre  le  pôle  et  46"  à  48"'  5i  ' 
10"  de  latitude,  au  quart  de  cercle  mural 
de  l'Ecole  militaire,  p.  206.  Remarq^ues. 


102  TABLE  DES  MÉMOIRES 

Astronomie.  {Etoiles.) 

sur  ces  observations.  223.  Table  des  bau- 
teurs  du  thermomètre  et  du  baromètre. 
{Voyez  année  1790.  p.  676.) 

Observ.  des  étoiles  faites  à  l'Ecole  militaire 
en  1784,  par  M.  Le  Faute  d'Agelet. 
1 789.  Mém.  p.  641 .  Avertissement  de  M .  de 
Lalande  sur  les  corrections  à  faire  dans 
ces  tables,  ib. 

Occultations  d'étoiles  par  la  lune ,  observées 
en  1789  à  l'Observatoire  royal.  1789.  Mém. 
p.  i35. 

Déclinaison  moyenne  des  principales  étoiles 
au  le'^  janvier  1788,  d'après  les  observa- 
tions faites  à  l'Observatoire  royal  de  Pans , 
depuis  1778  jusqu'en  1790,  avec  un  quart 
de  cercle  mobile  de  six  pieds.  1789.  Mém. 
p.  139. 

Observ.  des  étoiles,  faites  à  l'Ecole  mili- 
taire en  1784  et  1785,  seconde  suite,  joar 
M.  d'AoELET.  1790.  p.  633. 

Observ.  de  8000  étoiles  boréales,  etc.  seconde 
Partie,  par  M.  de  Lalande.  1790.  p.  346. 
Précautions  prises  pour  trouver  les  ascen- 
sions droites,  p.  848.  Table  des  hauteurs 
du  baromètre  et  du  thermomètre,  p.  676. 

Botanique  et  Agriculture,  (^^r/co^/er^fe 
Sibérie.  ) 

Mém.  sur  l'abricotier  de  Sibérie,parM.Fou- 
oEAOux  DE  BoNDARoy.  1784.  Mém. 
p.  207.  Les  abricotiers  doivent  être  séparés 


DE  L'ACADÉMIE.     1781  — 1790.      loS 

Botanique  et  Agkicxj li v ke. {Abricotier de 
Sibérie.  ) 

des  pruniers,  ib.  Description  de  cet  arbre. 
p.  208.  Synonymie  de  l'abricotier  de  Si- 
bérie, p.  209. 

Arbres. 

Mém.  sur  un  nouveau  genre  d'arbre,  Ailan- 
^/!U5g/a;i(fu/o^c,railanthe  glanduleux,  par 
M.  Uesfontaines.  1786.  Mém.  p.  265, 
Cet  arbre  confondu  avec  les  rhus  et  les 
sumacs  est  d'un  autre  genre,  ib.  Descrip- 
tion de  ses  fleurs  mâles,  femelles  et  her- 
maphrodites ,  et  de  la  planche  qui  le  re- 
présente, p.  266.  Sa  différence  des  sumacs- 
p.  268.  Détermination  du  genre  de  cet 
arbre,  p.  269.  L'ailanthe  est  une  espèce 
qui  appartient  à  ce  genre  d'arbre  origi- 
naire de  la  Chine,  p.  27  t. 

Sur  la  formation  des  couches  ligneuses,  par 

M.    FOUGEROUX    DE     BONDAROY.     1787. 

Mém.  p.  iio.  Conséquence  d'un  fait  rap- 
porté dans  les  Mémoires  de  l'Académie. 
1777.  p.  491.  Sur  la  figure  d'une  croix 
tracée  sur  l'écorce  d'un  hêtre,  40  ou  5o  ans 
avant  qu'on  exploitât  cet  arbre,  p.  1 1 1 .  Les 
couches  ligneuses  sont  le  produit  de  nou- 
velles lames  ajoutées  à  celles  qui  se  sont 
formées  précédemment  entre  l'écorce  et 
le  bois.  p.  112.  Elles  ne  s'étendent  plus  en 
hauteur  et  en  grosseur  que  par  des  aug- 
mentations de  nouvelles  couches  em- 
boîtées comme  des  espèces  de  cônes,  ib^ 


Î04         TABLE  DES  MÉMOIRES 

Botanique  et  Agriculture.  {Arbres.) 

L'écorce  au  contraire  ne  s'étend  qu'en 
largeur,  p.  ri3.  Expériences  qui  prouvent 
cette  théorie  établie  par  M.  Duhamel  dans 
sa  Physique  des  arbres,  p.  1 14.  Résultat  de 
ces  expériences,  p.  116.  Explication  des 
figures  de  la  planète,  p.  117. 

Arbres  à  épicerie. 

Mém.  sur  le  genre  du  muscadier ,  Myristica , 
par  M.  de  Lamarck.  1788.  Mém.  p.  148. 
La  muscade  peu  connue  des  anciens,  ib. 
La  fleur  du  muscadier  leur  étoit  inconnue. 
p.  149.  Auteurs  modernes  qui  en  ont  parlé, 
p.  1 5o.  Les  fle  urs  mâles  et  les  Heurs  femelles 
setrouventsurdesindividusséparés.p.i52. 
Description  de  ces  deux  sortes  de  fleurs. 
ib.  Caractère   essentiel   ou   distinctif  du 
genre,  p.  i53.  Exposition  et  caractères  dis- 
tinctifs  des  espèces,  p.  154.  Description  et 
synonymie  des  espèces,  p.  1 55.  Détails  sur 
l'introduction  du  muscadier  dans  l'Isle  de 
Fi'ance.  p.  169.  Sur  sa  végétation,  p.  160. 
Planche   qui   représente   cet_  arbre  ,   ses 
feuilles,  ses  fleurs  et  son  fruit,  p.  168. 
- ..  Mém.  sur  l'importation  et  les  progrès  des 

arbres  à  épicerie  dans  les  Colonies  fran- 
)  çaises,  parM.TESSiER.  1789.  Mém.  p.585. 

Conduite  des  Hollandais  pour  se  réserver 
le  commerce  exclusif  des  épiceries,  ib. 
Expéditions  de  M.  Poivre  en  1754  et  en 
^7^0 >  pour  se  procurer  du  plant  de  ces 

arbres 


DE  L'ACADÉMIE.     17G1  — 1790.      io5 

Botanique  et  Agricuiture.  {Arbres  à  épicerie.) 

arbreset  les  transporteranxTsles  de  France 
et  de  Bourbon,  p.  586.  Les  arbres  cultivés 
avec  succès  à  l'Isle  de  France,  p.  689.  Evé- 
neniens  qui  ont  ralenti  cette  culture  en 
1776.  ib.  La  culture  reprise  en  ijjS,  par 
M.  Céré.  Elle  réussit,  p.  690.  Observations 
sur  cette  culture,  ib.  Procédé  des  Hollan- 
dais pour  détruire  le  principe  de  germi- 
nation dans  les  baies  des  girofliers,  ib.  Pro- 
duit des  girofliers,  p.  691.  Description  du 
muscadier,  ib.  Distribution  des  plants  d'ar- 
bres à  épicerie  dans  les  Colonies,  p.  692. 
Le  muscadier  plus  difficile  à  élever  que  le 
giroflier,  ib.  Envoi  de  clous  de  girofle  en 
France,  p.  698.  Quelques  détails  sur  le 
canelier  et  le  poivrier,  p.  694.  Utilité  du 
jardin  du  Roi  à  l'Isle  de  France,  ib.  Projet  de 
communication  d'agriculture  entre  l'Isle 
de  France  et  Saint-Domingue,  p.  095. 

Bois, 

Observ.  sur  l'organisation  et  Paccroissement 
du  bois ,  par  M.  Daube  nton.  i  790.  p.  665. 
Couches  de  bois  concentriques  et  an- 
nuelles, ib.  Différence  d'organisation  dans 
le  palmier,  p.  666.  Rapport  de  cette  orga- 
nisation avec  celle  des  autres  arbres,  ib. 
Le  palmier  cesse  de  grossir  dès  qu'il  a  pris 
le  port  d'un  arbre  et  reste  cylindrique, 
p.  667.  Les  pétioles  des  feuilles  du  palmier 
sont  un  prolongement  des  filets  ligneux 
et  de  la  substance  cellulaire  du  tronc^ 
Tab.  des  Mac.     1 781  — 1790.  O 


io6         TABLE  DES  MÉMOIRES 

Botanique  ET  Agutculture.  (5o/5.) 

p.  669.  Progrès  de  la  végétation  du  pal- 
mier-dattier, z'è.  Différence  entre  ces  pro- 
grès et  ceux  des  autres  arbres,  p.  670.  Le 
palmier  n'a  ni  bois  ni  écorce ,  il  n'est  point 
nn  arbre ,  c'est  un  bois  en  faisceaux,  p.  671 . 
Plusieurs  plantes  à  bois  en  faisceaux,  ib. 
Description  du  rotin ,  l'une  de  ces  plantes, 
p.  672.  Jets  ou  cannes  appeléesy'onc^.  p.  673. 
Brésillet.  Voyez  Brucea. 


Bnicea. 


Mém.  sur  un  nouveau  genre  de  plante 
nommé  Brucea,  et  sur  le  faux-brésdlet 
d'Amérique,  par  M.  le  Cbevalier  de  La- 
marc  k.  1784.  Mém.  p.  342.  Descriptmn 
de  cet  arbrisseau,  ib.  Les  individus  mâles 
et  femelles  sont  séparés,  p.  844.  Des  bré- 
silletsoufaux-brésilletsd'Amérique.p.345. 


Châtaignier. 


Mém.  sur  le  bois  de  châtaignier  et  sur  celui 
de  chêne  ;  comparaison  de  ces  deux  bois  ^ 
parM.FouGEROuxDE  Bondakoy.  1781. 
Hist.  p.  14.  Mém.  p.  49.  Erreur  de  ceux  qui 
pensent  que  les  anciennes  charpentes 
d'églises  étoient  en  bois  do  châtaignier. 
p.  5o.  Comparaison  du  bois  de  châtaignier 
avec  le  bois  de  chêne,  pp.  5i  à  67.  Diffé- 
rentes espèces  de  chêne,  p.  53.  Examen 
des  différentes  charpentes  réputéesde  châ- 
taignier, p.  57.  Elles  sont  en  bois  de  chêne 


DE  L'ACADÉMIE.    1781— 1790.     107 

Botanique  et  Agriculture  {Châtaignier.) 

rouvre ,  ou  cliône  blanc,  p.  69.  Les  insectes 
n'attaquent  point  ce  Lois  ,  non  plus  que 
celui  de  châtaignier,  p.  69.  Le  chêne 
rouvre  peu  commun  k  présent,  p.  60.  Il 
croît  plus  lentement  que  les  autres  espèces 
de  chêne,  ib.  Le  désir  de  jouir  l'a  fait  né- 
gliger, p.  61 .  Nécessité  d'un  bon  aménage- 
ment pour  les  forêts,  p.  62. 
Observ.  sur  les  bois  du  chêne  et  du  châtai- 
gnier, par  M.  Daubenton.  1781.  Hist. 
p.  14.  Mém.  p.  295.  Comparaison  des 
échantillons  de  bois  de  chêne  et  de  châ- 
taignier pris  d'anciennes  charpentes.  Le 
prétendu  bois  de  châtaignier  étoit  du 
chêne,  p.  296. 

Chêne. 

Mém.  sur  le  chêne  ballotte  ou  à  glands  doux 
du  mont  Atlas,  par  M.  Desfontaines. 
1790.  Mém.  p.  394.  Description  de  ce 
chêne,  p.  895.  Lieux  où  il  croît,  p.  897. 
Usages  qu'on  fait  de  ces  glands,  ib.  Utilité 
d'acclimater  ce  chêne  en  France,  p.  898. 
Planche  qui  le  représente,  ib. 

Culture. 

Mém.  sur  la  manière  de  parvenir  à  la  con- 
noissance  exacte  de  tous  les  objets  cultivés 
en  grand  dans  l'Europe ,  et  parliculiôre- 
mentdansla France,  par  M. Tessieu.  1786. 
Mém.  p.  574.  Ce  Mémoire  a  pour  objet 


£08  TABLE  DES  MÉMOIRES 

BoTAiriQrE  ET  Agiuculture.  {Culture.) 

quelques  résultats  des  expériences  faites 
à  Rambouillet  sous  les  yeux  du  Roi.  ib,. 
Connoissance  des  espèces  et  variétés  de 
plantes  cultivées  en  grand  pour  la  nour- 
riture des  hommes  et  des  bestiaux  et  pour 
les  arts.  ib.  Précautions  prises  pour  faire 
ces  expériences,  p.  5j5.  Questions  pro- 
posées pour  parvenir  à  la  connoissance 
des  diverses  cultures  dans  les  difï'érens 
climats,  ib.  Trente  sortes  d'espèces  et  do 
variétés  de  froment  cultivées  en  Europe. 
p.  676.  Tous  ces  fromens  réduits  à  deux 
sortes ,  les  tendres  et  les  durs.  ib.  Détails 
sur  ces  fromens  et  sur  les  lieux  où  on  les 
cultive,  p.  577.  Différences  des  blés  durs 
etdes  blés  tendres,  p.  678.  Expériences  à 
faire  sur  ces  deux  sortes  de  ble.  p.  679.  Il 
n'y  a  qu'une  espèce  de  seigle  sans  variétés. 
ib.  Pays  où  l'on  cultive  le  seigle  en  grand 
ou  en  petit,  ib.  Huit  sortes  d'espèces  et 
variétés  d'orge. p.  58o.  Dix  sortes  d'avoine. 
ib.  Le  riz  n'est  pas  cultivé  en  France,  ib. 
Plusieurs^  espèces  et  variétés  de  maïs  cul- 
tivées principalement  dans  les  provinces 
méridionales,  p.  58i.  Le  sarglio  et  le  millet 
ne  réussissent  pas  dans  les  environs  de 
Paris,  ib.  Le  sarrasin  cultivé  dans  le  nord 
de  l'Europe,  ib.  Pays  où  l'on  cultive  en 
grand  les  plantes  légumineuses,  p.  682.. 
Elles  sont  originaires  du  midi ,  ainsi  que 
l'anis,  la  coriandre,  le  fenouil  et  le  cu- 
ûiin.  ib.  Division  des  différentes  espèces 


DE  L'ACADÉMIE.     1 781— 1790.      109 

BoTAisriQUE  ET  Agriculture.  {Culture.) 

de  climats  en  France  relativement  à  l'agri- 
culture, p.  583.  Plantes  propres  aux  prai- 
ries artificielles,  ib.  Pays  où  on  les  cultive 
avec  succès,  ib.  Plantes  dont  les  racines 
servent  à  la  nourriture  des  hommes  et  des 
hestiaux,  cultivées  dans  les  pays  froids  et 
tempérés  de  l'Europe,  p.  684.  Culture  des 
pommes  de  terre,  ib.  Des  topinambours, 
p.  585.  Du  chanvre  et  du  lin.  ib.  Graines 
à  huile,  ib.  Les  plantes  crucifères  se  plai- 
sent dans  le  nord ,  et  les  plantes  légumi- 
neuses dans  le  midi.  ib.  Pays  où  l'on  cul- 
tive le  soleil  pour  sa  graine ,  le  chardon  à 
bonnetier,  le  pastel,  la  garance,  lagaude, 
la  soude,  le  safran,  etc.  p.  586.  Culture 
du  tabac,  ib.  I  a  France  possède  presque 
toutes  les  plantes  envoyées  par  les  étran- 
gers, ib.  Utilité  de  ce  travail  pour  la  bota- 
nique, ib.  Apperçu  des  réponses  faites  aux 
questions  proposées  par  l'auteur,  p.  587. 
Utilité  de  ce  travail  pour  les  agriculteurs. 
p.  588. 
Mém.  sur  l'usage  du  terreau  de  bruyère  dans 
la  culture  des  arbrisseaux  et  des  arbustes 
étrangers,  regardés  jusqu'à  présent  comme 
délicats  dans  nos  jardins ,  par  M.  Thouin. 
1787.  Mém.  p.  481.  Avantages  de  l'emploi 
du  terreau  de  bruyère,  ib.  Origine  de  cet 
emploi,  ib.  Résultats  d'expériences  faites 
pendant  dix  ans  par  l'auteur  sur  l'emploi 
de  ce  terreau,  p.  482.  Analyse  jardinière 
de  ce  terreau,  p.  483.  Moyens  de  le  con- 


0 


no  TABLE  DES  MÉMOIRES 

Botanique  et  Agriculture,  {^Culture.) 

noître.  ib.  Ses  propriétés,  p.  484.  L'em- 
ployer en  grande  quantité  et  dans  une 
position  ombragée  du  soleil  du  midi.  ib. 
Manière  de  l'employer  selon  la  nature 
des  terrains,  ib.  Moyen  de  suppléer  aux 
arrosemens.  p.  487.  Dimensions  à  donner 
aux  plate-bandes  de  terreau  de  bruyère. 
p.  488.  Manière  de  cultiver  ces  plate- 
bandes,  p.  489.  Arbustes  qui  s'élèvent  et 

.  i-  se  conservent  dans  le  terreau  de  bruyère. 

ib.  Un  oranger  encaissé  dans  du  terreau 
de  bruyère  ne  gela  pas  en  1776,  quoique 

/  tous  ceux  qui  se  trouvoient  dans  la  même 

serre  ,  mais  dans  une  teri'C  différente  , 
fussent  gelés,  p.  490.  Cet  oranger  eut  besoin 
d'une  autre  terre  plus  substancielle  pour 
entretenir  sa  végétation,  p.  491 . 1,e  terreau 
de  bruyère  convient  aux  arbustes  dont  les 
racines  de  nature  sèche  et  cassante  n'ont 
qu'un  petit  nombre  de  rameaux  chargés 
d'un  chevelu  noir  et  déhé.  ib.  Ce  terreau 
propre  aux  semis  dans  des  terrines  et  dans 
des  pots.  p.  492.  Manière  de  faire  ces  se- 
-niis.  ib.  Ces  semis  doivent  être  exposés  au 
nord.  ib.  Culture  de  ces  sortes  de  semis, 
p.  493.  Le  terreau  de  bruyère  pur,  né- 
cessaire à  la  culture  des  plantes  bul- 
beuses étrangères,  ib.  Liste  des  arbrisseaux 
et  arbustes  qui  se  cultivent  avec  succès,  à 
l'air  libre ,  dans  des  planches  de  terreau 

••:  de  bruyère,  ib. 


DE.  L'ACADÉMIE.    1781—1790.      m 

Botanique  et  Agriculture.  {Cyprès chauve.) 

Méin.  sur  quelques  particularités  du  Ciipres- 
sus  disticha  (Linn.  )  appelé  cyprès  chauve 
par  les  Américains,  par  M.  l'Abbé  Tes- 
sier.  1785.  Mém.  p.  197.  Description  du 
cyprès  chauve,  ib.  Son  usage,  p.  198.  Pro- 
tubérances qui  s'élèvent  des  racines  et  leur 
usage,  ib.  Cet  arbre  originaire  des  Etats- 
.  Unis  d'Amérique  peut  s'acclimater  en 
France,  p.  200.  Il  croît  à  Malesherbes  et 
'  k  Denainvillers.  ib.  Examen  chimique  de 

la  terre  où  il  croît ,  et  de  ses  protubérances  j 
ainsi  c{ue  de  son  bois.  p.  202. 

Epiiie  blanche.  ] 

Mém.  sur  une  excroissance  de  l'épine  Han-» 

.  che,  par  M.F0UGEROUX  DE  BoîJDAROY. 

1782.  Hist.  p.  20.  Mém.  p.  2o5.  Différentes 

causes  des  excroissances  singulières  qu'où 

remarque  sur  les  arbres  et  sur  les  plantes. 

ib.  L'excroissance  dont  il  s'agit  dans  ce 

Mémoire  a  été  occasionnée  par  la  piqûre 

,  d'un  insecte,  p.  206.  C'est  l'espèce  d'ich- 

neumon  qui  pique  le  rosier  sauvage  et  qui 

produit  le  bédéguar.  ib.  Explication  des 

figures  de  la  planche,  ib. 

,.  '      Etiolement.  Foyea  Plantes. 


Froment. 


Expériences  relatives  au  froment  de  se- 
mence, par  M.  Tessier.  1790.  p.  209.  f.e 
germe  du  froment  résiste  aux  plus  grands 


112  TABLE  DES  MÉMOIRES 

Botanique  et  Agriculture.  (Froment.) 

froids  et  à  une  chaleur  de  plus  de  60''.  ib. 
he  froment  de  semence  ne  peut  pas  dé- 
générer dans  une  même  terre  en  deux  ou 
trois  ans.  ib.  Expériences  qui  prouvent 
que  le  froment  bien  mûr  peut  conserver 
long-temps  sa  vertu  germinative.  p.  21 3. 
Circonstances  où  la  semence  du  froment 
ancien  est  utile,  ib.  Expériences  faites  pen« 
dant  dix  années,  qui  prouvent  en  général 
qu'il  n'est  pas  nécessaire  dans  cet  espace 
de  temps  de  renouveler  les  semences  de 
froment,  p.  216.  Promesse  d'expériences 
relatives  à  la  quantité  de  grains  qu'on  doit 
employer  comme  semence,  ib. 

LotûS^ 

Rech.  sur  un  arbrisseau  connu  des  anciens 
sous  le  nom  de  lotos  de  Lybie ,  par  M.  Des- 
FONTAiNES.  1788.  Méni.  p.  448.  Deux 
espèces  de  lotos,  ib.  Espèce  dont  se  nourris- 
soit  un  peuple  nommé  Lithophage.  p.  444. 
Position  du  pays  de  ce  peuple,  ib.  Le 
lotos  croit  dans  la  partie  méridionale  du 
royaume  de  Tunis,  p.  445.  C'est  un  arbre , 
le  lotos  d'Egypte  est  une  herbe,  ib.  C'est 
une  espèce  de  jujubier  sauvage,  ib.  Des- 
cription de  cet  arbre,  p.  446.  Passages  d'au- 
teurs anciens  où  il  est  fait  mention  du  lotos., 
p.  447.  Passages  de  ces  anciens  auteurs, 
p.  461.  Planche  qui  représente  cet  arbre, 
p.  452. 

Muscadier.  Voyez  Arbres  a  épicerie. 

Mém. 


DE  L'ACADÉMIE.     1781-^1790.      nS 
Botanique  et  Agriculture.  {Orme.) 

Mi'in.  sur  une  nouvelle  espèce  d'orme,  par 

M.  FOUGEROUX  DE  BONDAROY.  1784. 

Mém.p,  21 1.  Utilité  de  l'orme  et  ses  diffé- 
rentes espèces,  ib.  Caractères  propres  au 
genre  d'ormes,  p.  212.  Caractères  parti- 
culiersàla  nouvelle  espèce  d'ormes. p. 21 3. 
Cet  arbre  est  commun  en  Sibérie  et  en 
Russie. p.  2 14. Planche  qui  le  représente. /&. 

Peuplier  d'Italie. 

Observ.  sur  une  substance  ramassée  aux  pieds 
de  jeunes  peupliers  d'Italie ,  par  M.  l'Abbé 
Tessier.  1784.  Mém.  p.  298.  Cette  subs- 
tance est  sucrée,  mêlée  d'un  peu  dégomme, 
à  ce  qu'il  paroît  ,  qui  a  les  caractères  du 
véritable  miel.  p.  294.  Pareille  substance 
se  trouve  sur  les  feuilles  des  plantes  cucur- 
bitacées.  ib.  La  chaleur  est  la  cause  de  l'ex- 
travasation  de  cette  matière  sucrée,  ib.  Les 
abeilles  sont  très- avides  de  ce  miel  tout 
préparé,  p.  295. 

Plantes. 

Expériences  propres  à  développer  les  effets 
de  la  lumière  sur  certaines  plantes,  par 
M.  l'Abbé  Tessier.  1788.  Mém.  p.  i33. 
Art.  premier.  Penchant  des  plantes  vers 
la  limiière.  ib.  Détail  de  douze  expé- 
riences, pp.  184-141.  Résultats  de  ces  ex- 
périences, p.  142.  L'inclinaison  des  plantes 
Tab.  des  Mat.     1 781  — 1790.  P 


Tî4  TABLE  DES  MÉMOIRES 

BoTAXiQUE  ET  AGRICULTURE.  (Plantes.) 

vers  la  lumière  diminue  à  mesure  qu'elles 
s'éloignent  de  leur  naissance,  ib.  Plus  elles 
sont  éloignées  de  la  lumière,  plus  elles 
tendent  à  s'en  approcher,  ib.  Leur  incli- 
naison vers  la  lumière  est  d'autant  plus 
considérable,  qu'elles  croissent  devant  des 
corps  dont  les  couleurs  absorbent  ou  ré- 
fléchissent peu  les  ravons  de  la  lumière,  ib. 
La  lumière  est  absolument  nécessaire  à  la 
végétation,  p.  144.  Art.  second.  Etiole- 
ment  des  plantes,  p.  145.  Détail  des  expé- 
riences, pp.  1 46- 1 54.  Résultats  de  ces  expé- 
riences, p.  1 55.  La  lumière  de  la  lune  con- 
tribue à  entretenir  dans  les  végétaux  la 
couleur  verte,  ainsi  que  la  lumière  d'une 
lampe,  ib. 
Essai  de  comparaison  entre  les  mouvemens 
des  animaux  et  ceux  des  plantes,  par 
M.  Broussonet.  1784.  Mém.  p.  609.  Les 
mouvemens  les  plus  sensibles  dans  les 
plantes  sont  presque  toujours  déterminés 
par  quelque  cause  irritante,  p.  611.  Diffé- 
rence entre  l'irritabilité  dans  les  animaux 
et  dans  les  plantes,  ib.  Cette  propriété  dans 
les  plantes  se  manifeste  surtout  dans  les 
parties  destinées  à  la  reproduction ,  et  qui 
rapprochent  davantage  les  plantes  des  ani- 
maux, ib.  Les  mouvemens  vitaux  sont  lents 
dans  les  plantes,  et  très-sensibles  dans  les 
animaux,  p.  612.  La  direction  des  plantes 
grimpantes  est  du  midi  au  couchant:  si  on 
change  cette  direction,  elles  périssent,  ib. 


DE  L'ACADÉMIF.     1781— 1790.      ii5 

Botanique  et  Agriculture.  {Plantes.) 

Rapport  des  mouvemens  essentiellement 
vitaux  dans  les  animaux  et  dans  les  plantes. 
p.  61 3.  Causes  de  ces  mouvemens  vitaux 
dans  les  plantes,  ib.  Causes  du  mouvement 
de  la  sensitive.  p.  61 5.  Les  mouvemens 
\'itaux  des  plantes  peuvent  être  modifiés 
par  des  causes  externes,  p.  61 6.  Ils  diffèrent 
'  de  ceux  que  la  volonté  détermine  dans  les 
animaux,  ib.  Les  feuilles  semblent  tenir 
lieu  de  cœilrdans  les  végétaux,  p.  621.  Le 
mouvement  est  un  attribut  moins  essentiel 
aux  végétaux  qu'aux  animaux,  ib. 
Mém.  sur  les  classes  les  plus  convenables  à 
établir  parmi  les  végétaux,  et  sur  l'ana- 
logie de  leur  nombre  avec  celles  déter- 
minées dans  le  règne  animal,  ayant  égard 
de  part  et  d'autre  à  la  perfection  graduée 
des  organes,  par  M.  le  Cbevalier  de  La- 
MARCK.  1785.  Mém.  p.  487.  Nécessité 
d'une  classification  dans  l'étude  des  pro- 
ductions de  la  nature,  ib.  De  la  classifi- 
cation des  végétaux,  p.  488.  Imperfec- 
tion des  méthodes  ou  systèmes  de  bota- 
nique, ib.  Qualités  d'une  bonne  méthode. 
p.  489.  Méthode  de  l'auteur,  divisée  en 
six  coupes,  p.  442.  Première  classe ,  les 
polypétales.  p.  448.  Seconde  Classe ,  les 
monopétales,  p.  444.  Troisième  Classe, 
les  composées,  ib.  Quatrième  Classe,  les 
incomplètes,  p.  445.  Cinquième  Classe, 
les  unilobées.  p.  446.  Sixième  Classe,  les 
cryptogames,  p.  447.  Tableau  des  classes 


ii6         TABtE  DES  MÉMOIRES 

Botanique  et  Agriculture.  {Plantes.) 

et  des  familles  de  plantes  auxquelles  sont 
rapportés  les  genres  et  les  espèces  men- 
tionnés  dans  le   Dictionnaire   de   Bota- 
nique de  l'auteur,  p.  448.  Etres  organi- 
ques, vivans,  assujétis  à  la  mort,  et  qiu 
ont  la  faculté  de  se  reproduire  eux-mêmes, 
p.  402. 
Observ.  sur  la  manière  de  faire  les  herbiers, 
par  M.  l'Abbé  IIauy.  1785.  IMém.  p.  iio. 
Méthode  pour  préparer  les  pétales  des 
fleurs  et  les  appliquer  sur  un  papier  peint. 
ib.  Méthode  pour  préparer  les  feuilles  des 
plantes  qui  sont  sujettes  à  noircir  en  sé- 
chant, p.  211. 
Description  d'un  nouveau  genre  de  plantes, 
parM.  FouGEROUXDE  Bondaroy.  1786. 
Mém.  p.   I.  Description  de  cette  plante 
originaire  de  la  Louisiane,  et  de  sa  fleur 
ainsi  que  des  deux  planches,  p.  2.  On  la 
nomme  gaillardia  (pulchella).  p.  5. 
Observ.  sur  l'irritabilité  des  organes  sexuels 
d'un  grand  nombre  de  plantes,  par  M.  Des- 
FONTAINES.1787.  Mém.  p.  468.  MM.  Du- 
hamel ,  bonnet  et  Linné  ont  signalé  cette 
propriété  irritable  des  plantes,  ib.  Les  mou- 
vemens  des  feuilles ,  des^  pétales  et  des 
organes  sexuels  tiennent  à  l'organisation 
particulière  des  plantes,  p.  469.  L'irrita- 
bilité se  manifeste  davantage  dans  les  or- 
ganes sexuels,  ib.  Observations  qui  éta- 
blissent cette  vérité,  p.  470.  Des  mouve- 
lîiens  des  étamines.  ib.  Exemples  tirés  de 


DE  L'ACADÉMIE.     1781—1790.     Î17 

Botanique  et  Agriculture.  {Plantes,) 

la  famille  des  Liliacées.z'è.DesRues.  p.  471. 
Cette  irritation  est  due  à  l'action  du  pistil 
sur  chaque  étaniine.  p.  473.  Nouveaux 
exemples  qui  prouvent  la  vérité  de  cette 
explication,  ib.  Le  mouvement  des  éta- 
mines  dans  certaines  plantes  dépend  d'une 
action  mécanique  et  non  d'une  irrita- 
tion, p.  476.  Des  mouvemens  des  organes 
sexuels  femelles,  p.  477.  Si  les  étaraines 
égalent  le  pistil  en  longueur ,  elles  se  meu- 
vent vers  cet  organe  ;  si  elles  sont  fixées 
au-dessous  des  styles ,  ceux-ci  s'abaissent 
du  côté  des  étamines.  ib.  Exemples  de  ces 
différens  mouvemens.  ib.  Cette  irritabilité 
tient  à  la  vie  des  plantes,  p.  479.  Elle  n'a 
lieu  dans  les  organes  sexuels  qu'au  mo- 
ment de  la  fécondation,  ib.  Ces  observa- 
tions établissent  de  nouveaux  rapports 
entre  les  plantes  et  les  animaux,  p.  480. 

Pommes  de  terre.  Voyez  Movlus  {Méca- 
nique ). 

QuiNOA.  Voyez  Tourretia. 


Safran. 


Premier  Mém.  sur  le  safran,  par  M.  Fou- 
geroux  de  Bondaroy.  17B2.  Ilist.  p.  19, 
Méui.  p.  89.  Origine  de  la  culture  du  safran 
en  France,  ib.  Description  de  sa  tleui-.  p.  92. 
De  son  oignon,  p.  93.  Le  cayeu  tire  sa 
subsistance  du  maitre  oignon  et  non  de  la 
terre,  p.  58.  Deux  maladies  de  cet  oignon  ^ 


ii8  TABLE  DES  MEMOIRES 

Botanique  et  Agriculture.  {Safran.) 

la  mort  et  le  tacon.  p.  97.  Symptômes  de  la 
maladie  appelée  tacon.  p.  99.  On  peut  la 
comparer  à  la  carie  du  blé.  p.  100.  Moyen 
de  la  prévenir  en  trempant  l'oignon  dans 
une  lessive  alkaline.  p.  loi.  L'humidité 
contribue  au  développement  de  la  ma- 
ladie, mais  n'en  est  pas  la  cause  aussi  in- 
connue que  celle  de  la  carie  desblés.  p.  102. 
L'une  et  l'autre  carie  se  communique  et 
n'affecte  que  la  partie  amidonacée  de 
l'oignon,  ib.  On  doit  lever  les  oignons  tous 
les  ans  au  lieu  de  le  faire  tous  les  3  ou 
4  ans,  selon  l'usage,  p.  io3.  Rapport  d'une 
safranière.  p.  104. 
Second  Mémoire  sur  la  maladie  du  safran 
connue  sous  le  nom  de  tacon, par  le  même. 
1782.  Hist.  p.  19.  Mém.  p.  io5.  L'objet  de 
ce  Mémoire  est  de  comparer  le  tacon  .du 
safran  avec  la  carie  des  blés.  Les  moyens 
■  curatifs  qu'on  doit  employer  contre  le 
tacon.  p.  110.  Explication  des  figures  des 
deux  planches  qui  appartiennent  à  ces 
deux  Mémoires,  p.  m. 

Sainfoin  du  Bengale. 

Description  d'une  espèce  de  sainfoin  dont 
les  feuilles  sont  dans  un  mouvement  con- 
tinuel, par  M.  Broussonet.  1784.  Mém. 
p.  616.  Description  de  cette  plante  et  sa 
figure,  p.  617.  L'action  du  mouvement  de 
cette  plante  est  dans  le  pétiole,  ses  Iblioles 


DE  L'ACADÉMIE.     1781— 1790.       n^ 

Botanique  et  Agriculture,  {Sainfoin  da 
Bengale.  ) 

décrivent  un  arc  de  cercle,  ib.  Le  temps 
chaud  et  humide  et  la  pluie  sont  favo- 
rables à  ces  mouvemens.  p.  620.  Autres 
circonstances  qui  les  favorisent,  ib.  Ces 
mouvemens  sont  sensibles  sur  les  rameaux 
coupés  et  qui  n'ont  point  été  mis  dans  l'eau. 
p.  621.  Superstition  des  Indiens  au  sujet 
de  cette  plante,  ib. 


Seigle. 


Observ.  sur  le  seigle  ergoté,  par  M.  FouGE- 

ROUX  DE  BONDAROY.  lySS.  Mém.  p.  lOI. 

Cette  maladie  du  seigle  n'est  pas  due  aux 
brouillards,  selon  M.  Tillet.  ib.  M.  Tessier 
pense  le  contraire,  ib.  Elle  paroît  être  la 
suite  de  la  piqûre  d'un  insecte ,  et  une 
espèce  de  gale.  p.  102.  Fait  qui  semble 
prouver  que  l'ergot  est  une  suite  d'une 
trop  forte  végétation,  p.  io3. 


Tourretia. 


Mém,  sur  une  plante  du  Pérou  appelée  tour- 
retia ou  quinoa,  nouvellement  connue  en 
France,  par  M.  FouGEROux  de  Bonda- 
ROY.  1784.  Mém.  p.  200.  Description  de 
cette  plante,  qui  n'est  pas  le  quinoa.  p.  201. 
Elle  doit  être  placée  dans  la  didinamie 
angiospermie  de  Linn.  p.  204.  On  en  fait 
un  genre  particulier  qu'on  appelle  tour- 


120  TABLE  DES  MÉMOIRES 

Botanique  et  Agriculture.  {Tounctia.) 

relia,  p.  2o5.  Planche  qui  représente  cette 
plante,  avec  son  explication,  p.  206. 
Truffes.  VoyeT,  Mouche.  {Hist.  natur.  des 
animaux,  ) 

Varech, 

Observ.  sur  une  espèce  de  varech  qui  croît 
sur  les  côtes  occidentales  de  la  Basse-Nor- 
mandie et  sur  une  petite  coquille  qui  se 
loge  dans  le  tronc  de  cette  plante,  et  y 
prend  son  accroissement,  par  M.  Le  Gen- 
til. 1788.  Mém.  p.  489.  Description  de 
cette  plante,  ib.  Petite  coquille  du  genre 
des  patelles  qui  se  logent  et  vivent  dans 
une  cavité  au  collet  de  la  plante,  p.  440. 
Description  de  cette  coquille,  p.  441 .  Plan- 
che qui  représente  la  plante  et  la  coquille. 
p.  442. 
Acide  acéteux.  Voy.  Acide  carbonique 
et  Vinaigre  radical. 

Chimie.  {Acide  carbonique.) 

Observ.  sur  l'acide  carbonique  fourni  par  la 
fermentation  des  raisins  ,  et  sur  l'acide 
acéteux  qui  résulte  de  sa  combinaison  avec 
l'eau ,  par  M.  Chaptal.  1786.  Mém.  p.  718. 
Expériences  et  résultats,  ib.  Le  vin  bien 
fait,  bien  fermenté,  n'est  plus  susceptible 
de  passer  par  lui-même  à  l'état  de  vinaigre. 
p.  723.  Les  vins  se  conservent  mieux  dans 

des 


DE  ^ACADÉMIE.     1781—1790.       121. 

Chimie.  {Acide  carbonique.) 

des  vieilles  futailles  que  dans  les  nou- 
velles, ib. 

Acide  crayeux.  Voyez  Air  fixe. 

Acide  du  charbon.  Voyez  Air  fixe. 

Acide  marin. 

Mém.  sur  l'acide  marin  déphlogistiqué,  par 
M.  Berthollet.  1785.  Mém.  p.  276.  Cet 
acide   est   presqu'entièrement   dépourvu 
d'acidité,  p.  279.  La  formation  de  l'acide 
marin  déphlogistiqué  est  due  à  l'air  vital 
de  la  manganèse  qui   se  combine    avec 
l'acide  marin,  p.  281 .  Expériences  propres 
à  dissiper  les  doutes  sur  la  nature  de  l'acide 
marin  déphlogistiqué.  p.  282.  La  lumière 
ne  lui  donne  pas  le  phlogistique,  lorsqu'il 
y  est  exposé,  p.   285.  Manière  dont  cet 
acide  agit  sur  le  mercure,  p.  286.  Il  a  de 
l'action  sur  le  soufre,  p.  287.  Effets  de  sou 
mélange  avec  le  gaz  nitreux.  p.  288.  Avec 
le  phosphore,  p.  290.  Principe  du  change- 
ment des  couleurs,  p.  291.  Applicaticju  à 
l'étiolement  des  plantes,  p.  298.  L'action 
de  cet  acide  est  différente  sur  les  couleurs 
végétales  et  animales,  p.  294.  Réponse  aux 
difficultés  de  M.  de  Morveau. ib.{Voy. Eau 

RÉGALE.) 

Acides  minéraux. 

Mém.  sur  tm  phénomène  que  présentent  les 
acides  minéraux,  pendant  leur  concen- 
Taè.  c/c^Mar.  178 1  —  1790.  Q 


122         TABLE  DES  MEMOIRES 

Cnnui..  {Acides  minéraux.) 

tration ,  et  sur  un  nouveau  moyen  de  se 
procurer  facilement  une  eau-forte  des  plus 
pures,parMM.LAvoisiERetCoRîs"ETTE. 
1781.  Hist.  p.  29.  Mém.  p.  646.  La  distil- 
lation est  le  seul  moyen  de  séparer  l'acide 
vitriolique  de  son  mélange  avec  l'acide 
nitreux.  p.  648.  Dans  la  distillation  des 
acides  vitriolique,  nitreux  et  marin,  lors- 
qu'ils sont  parvenus  à  un  certain  degré  de 
force  dans  les  dernières  distillations ,  les 
parties  qui  devroient  être  les  plus  pesantes 
deviennent  plus  légères,  et  c'est  vers  le 
milieu  de  la  concentration  qu'on  obtient 
l'acide  le  plus  fort  et  le  plus  pesant,  p.  65o. 
Application  de  cette  découverte  à  la  fabri- 
cation de  l'eau-forte  et  moyen  de  la  rendre 
si  pure  qu'elle  n'attaque  pas  l'or.  p.  656. 

Acide  mwiatique. 

Observ.  sur  l'acide  muriatique  oxigéné,  par 
M.  Chaptal.  1787.  Mém.  p.  611.  Expé- 
riences sur  les  moyens  de  blanchir  le 
papier  avec  cet  acide,  p.  61 2.  Vieux  livres 
et  estampes  enfumées  blanchies  par  ce  pro- 
\  cédé.  ib.  Manière  de  l'exécuter,  p.  61 3. 

Procédé  pour  blanchir  le  papier  à  la  va- 
peur de  l'acide  muriatique  oxigéné.  p.  614. 
Blanchir  aussi  la  toile  et  le  coton,  ib.  Autre 
procédé  simple  et  économique,  p.  61 5. 
Observ.  sur  l'action  du  gaz  muriatique 
oxigéné.  ib. 


DE  L'ACADÉMIE.     1781  —  1790.      i23 

Chimie.  (Acide  nitreux.) 

Considérations  générales  sur  la  dissolution 
des  métaux  dans  les  acides,  par  M.  1,A- 
voisiER.  1782.  Hist.  p.  33.  Mém.  p.  492. 
Il  s'opère  dans  les  métaux  par  la  voie  hu- 
mide une  calcination  semblable  à  celle 
que  produit  la  chaleur,  par  une  calcina- 
tion sèche,  ib.  Dans  la  calcination  le  métal 
se  sature   du   principe   oxigène.  p.  493. 
L'existence  du  phlogistique  de  Stalh  n'est 
point  prouvée,  ib.  L'acide  nitreux  est  com- 
posé de  deux  gaz ,  le  gaz  nitreux  et  l'air 
vital  ou  principe  oxigène.  p.  494.   Dans 
les  dissolutions  métalliques  par  l'acide  ni- 
treux, le  métal  se  combine  avec  son  prin- 
cipe oxigène,  et  la  calcination  des  mé- 
taux a  lieu  par  la  voie  humide,  ib.  Preuves 
de  cette  assertion,  p.  495.  Le  résultat  de 
ce  qui  se  passe  dans  les  dissolutions  mé- 
talliques soumis  au  calcul,  p.  499.  Mille  liv. 
de  fer  enlèvent  à  l'acide  nitreux  pendant 
leur  dissolution  à  peu  près  32,72  livres  du 
principe  oxigène.  p.  5oi.  Dissolution  du 
mercure  par  l'acide  nitreux.  p.  607.  Détails 
des  forces  qui  agissent  dans  la  dissolution 
des  métaux,  p.  609. 

Acide  phosphorique. 

Mém.  sur  l'action  de  l'acide  phosphorique 
sur  les  huiles  et  sur  la  combinaison  de  cet 
acide  avec  l'esprit-de-vin,  par  M.  Cor- 
nette. 1782.  Hist.  p.  23.  Mém.  p.  219.  Cet 


T24  TABLE  DES  MÉMOIRES 

Chimie.  (Acide  phosphorîque.) 

acide  très-concentré  agit  sur  les  huiles 
essentielles  comme  l'acide  marin,  ib.  Il 
n'agit  pas  de  même  sur  les  huiles  sicca- 
tives, p.  221 .  Les  huiles  grasses  n'éprouvent 
pas  les  mêmes  altérations  que  les  huiles 
siccatives,  p.  222.  L'acide  phosphorique 
agit  plutôt  sur  l'eau  contenue  dans  l'huile 
c[ue  sur  le  principe  de  l'huile  même. p.  228. 
Cet  acide  se  combine  difficilement  avec 
les  huiles  grasses  j  les  huiles  essentielles 
sont  celles  sur  lesquelles  il  a  le  plus  d'ac- 
tion, p.  224.  Il  se  combine  difficilement 
avec  l'esprit-de-vin,  à  moins  qu'on  ne  le 
dépouille  d'une  sorte  de  matière  grasse,  ib. 

Acide  pmssique. 

Mém.  sur  l'acide  pmssique,  par  M.  Ber- 
ïHOLLET.  1787.  Mém.  p.  148.  Travaux  de 
MM.  Scheelle,  Macqucr,  Scopoliet  Mor- 
veau ,  sur  le  bleu  de  Prusse,  ib.  L'acide  pms- 
sique s'éloigne ,  dans  la  manière  de  se  con- 
biner,  du  caractère  des  autres  acides,  et 
tend  à  former  des  combinaisons  com- 
plexes, p.  i55.  Cet  acide  a  la  propriété 
des'oxigéner  môme  lorsqu'il  est  combiné 
avec  le  fer.  p.  1 56.  Le  bleu  de  Prusse  ne  doit 
point  être  altéré  par  la  lumière,  ib.  L'hy- 
drogène et  l'azote  existent  dans  l'acide 
prussique.p.  169.  L'acide  prussique  est  une 
combinaison  d'azote,  d'hydrogène  et  de 
charbon  pur  ou  de  carbone.  ii>.  Pourquoi 


DE  L'ACADÉMIE.    1781—1790.       i25 

Chimie.  (  Acide  prussique.  ) 

les  substances  animales  servent  à  la  for- 
mation de  l'acide  prussique.  p.  160. 

Acide  sulfureux. 

Expér.  sur  l'acide  sulfureux,  par  M.  Ber- 
THOLLET.  1782.  Hist.  p.  24.  Mém.  p.  697. 
Différences  entre  l'acide  sulfureux  et 
l'acide  vitriolique.  ib.  Le  premier  se  con- 
vertit en  acide  vitriolique  par  le  moyen, 
de  la  chaleur,  p.  698.  L'acide  sulfureux 
est  une  combinaison  d'acide  vitriolique  et 
de  soufre,  p.  600. 

Acides  végétaux. 

Observ.  sur  la  décomposition  spontanée  de 
quelques  acides  végétaux,  par  M.  Ber- 
THOLLET.  1782.  Hist.  p.  26.  Mém.  p.  608. 
Différens  résultats  obtenus  par  MM.  de 
Machi  et  Corvinus  sur  l'alkali  qu'on  re- 
tira:- du  tartre,  p.  609.  Expériences  qui 
donnent  la  raison  de  cette  différence. 
p.  611.  Il  se  dégage  du  tartre  et  du  sel 
d'oseille  des  iluides  élastiques  qui  se  dé- 
composent spontanément,  p.  6i3.  Le  sel 
d'oseille  est  bien  plus  propre  que  la  crème 
de  tartre  à  préserver  les  chairs  de  la  putré- 
faction, p.  6t5. 

Mém.  sur  la  nature  de  la  substance  saline 
acide  que  l'on  retire  de  la  cerise,  de  la 
groseille ,  de  la  pêche,  de  l'abricot,  de  la 


126  TABLE  DES  ÎVJÉMOIRES 

Chimie.  {Acides  végétaux.) 

framboise ,  de  la  mûre ,  de  la  pomme ,  de 
la  poire,  de  l'épine-vinette  et  de  la  gre- 
nade, par  MM.  deLASSONE  et  Cornette. 
1786.  Mém.  p.  606.  Les  fruits  distingués  en 
fruits  acides  et  en  fruits  doux.  p.  607.  Exis- 
tence de  la  crème  de  tartre  dans  chaque 
espèce  de  fruit  examiné  ;  ce  sel  est  iden- 
tique dans  tous.  p.  611.  La  quantité  de  ce 
sel  varie  en  raison  de  l'humidité  et  de  la 
sécheresse  de  la  saison,  p.  612. 

Acide  de  différentes  espèces. 

Rech.  sur  l'augmentation  de  poids  qu'éprou- 
vent le  soufre,  le  phosphore  et  l'arsenic  lors- 
qu'ils sont  changés  en  acide ,  par  M.  Ber- 
THOLLET.  1782.  llist.  20.  Mém.  p.  602.  Le 
soufre  et  le  phosphore  éprouvent  une  aug- 
mentation de  poids  comme  les  métaux 
qu'on  réduit  en  chaux,  ib.  Soixante  grains 
de  soufre  forment  quatre-vingt-sept  grains 
d'acide  vitriolique.  p.  6o3.  Cet  acide  con- 
tient le  tiers  de  son  poids  de  principe 
aérien,  ib.  L'acide  phospliorique  doit  un 
peu  plus  de  la  moitié  de  son  poids  au 
principe  aérien  que  lui  donne  l'acide  ni- 
treux.  p.  6o5.  L'arsenic  acquiert  environ 
un  neuvième  de  son  poids  lorsqu'il  se  con- 
vertit en  acide,  p.  607. 

Air  {Salubrité  de  l').  Voyez  Air  nitreux. 

Air  DÉPHLoaiSTiQUÉ.  Voyez  Inflamma- 
tion. 


DE  L'ACADEMIK     1781-1790.      127 
Chimie.  (  Airfxe.  ) 

Méni.  sur  la  formtition  de  l'acide  nommé 
air  fixe  ou  acide  crayeux,  et  que  je  dé- 
signerai désormais  sous  le  nom  à'acide  du 
charbon,  par  M.  Lavoisier.  1781.  Ilist. 
p.  25.  Mém.  p.  448.  Le  principe  oxigène 
est  la  substance  qui  s'unit  avec  les  métaux 
pour  les  constituer  dans  l'état  de  chaux , 
et  avec  les  substances  combustibles  pour  les 
constituerla  plupart  dans  l'état  d'acides,  ib. 
La  substance  charbonneuse  est  le  charbon 
dépouillé  d'air  inflammable ,  de  terre  et 
d'alkali  fixe.  p.  449.  Moyen  de  convertir 
l'air  vital  en  acide  charbonneux  sans  qu'il 
reste  aucun  résidu,  ib.  La  combustion  du 
charbon  est  un  jeu  des  difïérens  degrés 
d'affinité  du  principe  oxigène.  ib.  Les  ex- 
périences contenues  dans  ce  Mémoire  sont 
communes  avec  M.  de  Lapîace  et  M.  Meu- 
nier, p.  460.  Détail  de  ces  expériences, 
ib.  Il  s'est  formé  de  l'eau  dans  ces  diffé- 
rentes expériences,  faites  avec  le  charbon 
et  la  cire;  toutes  ont  présenté  les  mêmes 
résultats  relativement  à  la  proportion  des 
principes  qui  entrent  dans  la  composition 
de  l'acide  charbonneux,  p.  468.  L'acide 
charbonneux  est  un  corps  incombustible, 
un  acide  qui  est  naturellement  dans  l'état 
aériforme  au  degré  de  chaleur  et  de  pres- 
sion dans  lequel  nous  vivons,  et  qui  est 
composé  de  28  parties  environ  de  matièi-e 
charbonneuse  et  de  72  parties  de  principe 
oxigène.  p.  467. 


128  TABLE  DES  MÉMOIRES 

Chimii:.  {Air fixe.) 

Mém.  sur  l'effet  des  étincelles  électriques 
excitées  dans  l'air  fixe,  par  M.  Monge. 
1786.  Mém.  p.  43o.  Diverses  expériences 
faites  sur  cet  objet,  par  MM.  Priestley, 
Van-Marum  et  par  l'auteur,  ib.  Résultats 
de  ces  expériences  favorables  à  la  nou- 
velle théorie  chimique,  p.  488. 

Air  inflammable. 

Mém.  sur  l'effet  de  l'air  inflammable  sur  les 
corps  organisés,  par  M.  Sage,  1784.  Mém. 
p.  287.  Cet  air  a  la  propriété  de  détruire 
et  de  dissoudre  le  tissu  animal,  ib.  Con- 
jecture sur  le  mécanisme  de  la  digestion. 
p.  288. 

Air  nitreux. 

Mém.  sur  la  combinaison  de  l'air  nitreux 
avec  les  airs  respirables ,  et  sur  les  consé- 
quences qu'on  en  peut  tirer  relativement 
à  leur  salubrité,  par  M.  Lavoisier.  1782. 
llist.  p.  3i.  Mém.  p.  486.  Il  faut  66  k  6g 
parties  d'air  nitreux  pur  pour  absorber 
40  parties  d'air  vital,  p.  488.  L'air  atmos- 
phérique est  composé  d'environ  trois  par- 
ties d'air  méphitique  et  d'une  partie  d'air 
vital,  p.  490. 

■AïKYnAL{Combinaisonder).Voy.llviLSS, 

Observ. 


DE  L'ACADÉMÏE.    1781-1790.      129 

Chimie.  {Alkali.) 

Ohserv.  sur  la  raiisticité  des  alkalis  et  de  la 
chaux,  par  M.  Bkrthollet.  1782.  Hist. 
p.  27.  Méni.  p.  616.  Il  n'y  a  qu'une  très- 
fuible  affinité  entre  la  terre  calcaire  et  les 
substances  aniuiales;  la  causticité  de  la 
chaux  dépend  principalement  de  la  force 
avec  laquelle  elle  tend  à  s'unir  au  prin- 
cipe aqueux,  aussi  la  chaux  éteinte  con- 
serve-t-elle  peu  de  causticité,  p.  618.  La 
base  de  l'alun  se  combine  avec  la  subs- 
tance animale,  ib.  Il  n'existe  pas  de  diflé- 
rence  remarquable  entre  l'alkali  végétal 
et  l'alkali  minéral  caustique,  p.  619. 
Observ.  sur  la  combinaison  des  oxides  mé- 
talliques avec  les  alkalis  et  la  chaux,  par 
M.  Berthollet.  1788.  Mém.  p.  728.  Pro- 
priété de  la  chaux  pour  dissoudre  l'oxide 
de  plomb,  p.  729.  Ce  mélange  noircit  dille- 
rentes  substances,  p.  780.  Le  précipité  de 
l'oxide  d'argent  produit  par  le  mélange 
d'fimmoniaque ,  lorsqu'il  est  encore  hu- 
mide, fulmine  avec  violence,  si  on  le 
presse  avec  un  corps  dur.  p.  781.  Il  ful- 
mhie  plus  promptoment  s'il  est  sec.  ib.  Pré- 
cautions pour  réussir  dans  les  préparations 
de  l'argent  fulminant,  p.  784,  La  simple 
compression  suffit  pour  faire  fulminer  l'or 
et  l'argent,  p.  785.  Explication  de  ce  phé- 
nomène.z'Z'.  Dissolution  de  dilférentessubs- 
tances  métalliques  avec  les  alkalis  et  la 
chaux,  p.  788.  Les  oxides  métalliques  se 
combinent  quelquefois  entr'eux.  p.  740. 
Tah.  des  Mat.     1 781— 1790.  R 


i3o  TABLE  DES  MÉMOIRES 

Chimie.  [Alkali  caustique.) 

Mém.  sur  la  préparation  de  l'alkali  caus- 
•  tique,  sa  cristallisation  et  son  action  sur 
resprit-de-vin,parM.BERTHOLLET.i783. 
Mém.  p.  408.  Il  est  essentiel  que  l'alkali 
caustique  soit  pur  lorsqu'on  l'emploie  en 
cliimie./è.  L'esprit-de-vin  dissoutcetalkali. 
ib.  Quelles  sont  les  propriétés  de  cette  dis- 
solution? ib.  Expériences  desquelles  il  ré- 
sulte que  lorsqu'on  mêle  une  lessive  caus- 
tique avec  l'esprit-de-vin,  celui-ci  s'em- 
pare de  l'alkali  caustique  ,  etc.  p.  411. 
Expériences  de  MM.  Méyer  et  Macquer. 
p.  41 3.  ^application  des  résultats  de  ces 
Expér.  à  certaines  préparations  pliarnia- 
ceutiques.  p.  414. 

Alkali  volatil. 

Analyse  de  l'alkali  volatil ,  par  M.  Ber- 
THOLLET.  1785.  Mém.  p.  3i6.  Produits 
qu'on  obtient  du  nitre  ammoniacal,  lors- 
qu'il se  décompose  par  l'action  de  la  cha- 
leur, p.  3  [7.  Le  gaz  inllammable  de  l'eau 
est  une  partie  constituante  de  l'alkali  vo- 
latil, p.  319.  Revivification  d'une  chaux 
métallique  par  l'alkali  volatil,  p.  32r. 
Causes  des  propriétés  de  l'or  fulminant. 
ib.  La  mofette  contient  l'alkali  volatil,  ib. 
Détermination  des  proportions  des  prin- 
cipes de  l'alkali  volatil,  p.  323.  L'alkali 
volatil  se  forme  par  la  combinaison  de  la 
mofette  et  du  gaz  inflammable,  p.  32.5. 


DE  L'ACADÉMIE.     1731-1790.     i3t 
Choiie.  (  Alkali  volatil.  ) 

Il  se  forme  aussi  par  quelques  opéra- 
tions de  chimie  sur  des  substances  miné- 
rales, ib. 


Alun. 


Observ.  sur  la  manière  de  former  l'alun  par 
la  combinaison  de  ses  principes  consti- 
tuans,  parM.CnAPTAL.  i788.Mém.p.768. 
L'alun  résulte  de  la  combinaison  de  l'acide 
sulfiu-ic[ue  avec  l'alumine  ou  l'argile  pure, 
opérée  soit  par  la  nature  ,  soit  par  art.  ib. 
Moyens  économiques  de  fabriquer  l'alun. 

Ê.  769.  Manière  de  disposer  le  local  pour 
rûler  le  mélange  de  soufre  et  de  salpêtre. 
p.  771.  Choix  et  préparation  des  terres. 
p.  774.  Phénomènes  C[ue  présentent  les 
terres  exposées  à  la  vapeur,  temps  qu'il 
convient  de  les  y  laisser,  manière  de  les 
gouvernerdansleschambres.p.  776.  Avan- 
tages de  cette  méthode,  p.  777. 


Ammoniac. 


Mém.  sur  le  sel  ammoniacal  vitriolique,  ou 
sel  secret  de  Glauber,  et  sur  le  sel  ammo- 
jiiacal  nitreux,  par  M.  Cornette.  1788. 
Mém.  p.  781.  Travaux  de  MM.  Glouber 
et  Pott,  sur  le  sel  anmioniacal  vitriolique. 
ib.  Première  Partie,  sur  le  sel  ammoniacal 
vitriolique.  p.  784.  Expériences  ])ropres  à 
faire  voir  de  quelle  manière  ce  sel  se  cris- 
tallise, p.  735.  La  combinaison  de  l'acide 


i32  TABLE  DES  MÉMOIRES 

Chimie.  [Ammoniac.) 

vitrioliqiie  avec  l'alkali  volatil  n'est  pas 
aussi  intime  que  celle  faite  avec  les  autres 
acides,  p.  706.  Décomposition  du  sel  am- 
moniac par  l'acide  vitriolique.p.ySy.Pour 
obtenir  un  sel  secret  de  Glaiiber,  pur  et 
exempt  de  matières  étrangères,  il  faut  le 
pi'éparer  par  la  combinaison  immédiate 
de  l'acide  vitriolique  et  de  l'alkali  volatil, 
et  non  point  avec  le  sel  ammoniac  et  l'acide 
vitriolique.  p.  740.  Action  du  sel  ammo- 
niac vitriolique  sur  les  métaux,  p.  741.  Il 
n'a  aucune  action  marquée  sur  les  mé- 
taux parfaits,  mais  il  calcine,  les  autres 
métaux,  ib. 
Mém.  sur  le  sel  ammoniacal  nitreux,  seconde 
Partie  du  Mémoire  précédent.  1783.  Mém. 
p.745.Ilrésultedesexpériencesque  l'acide 
nitreux  combiné  avec  une  base  alkaline 
volatile  est  susceptible  de  rester  intact 
après  avoir  souffert  le  degré  de  cbaleur 
de  l'incandescence;  l'alkali  volatil,  dans 
ce  cas,  est  seul  susceptible  de  s'errtlammer 
et  de  se  détruire  par  cette  inflammation. 
p.  760.  Réponse  aux  doutes  de  M,  Baume 
sur  ce  sujet,  ib.  L'alkali  volatil  joue  le  prin- 
cipal rôle  dans  la  détonation  de  ces  diflé- 
rens  sels.  p.  753.  Rccbercbes  pour  con- 
iioître  en  quel  état  est  le  pblogistique  dans 
l'alkali  volatil,  p.  764.  Lssai  de  poudre  à 
canon  préparée  avec  le  sel  ammoniacal 
nitreux.  p.  765.  Pareil  essai  fait  sur  la  pré- 
paration de  la  poudre  fidniinante.  p.  767. 


DE  L'ACADÉMIE.     17^1—7790.      i33 

Chimie.  (  Ammoniac.  ) 

Action  de  l'acide  nitrenx  par  la  distilla- 
tion sur  le  sel  ammoniac,  ih.  Eau  régale 
obtenue  par  la  distillation,  p.  769. 

Mém.  sur  la  décomposition  du  sel  annno- 
niac ,  par  les  différens  intermèdes  terreux 
et  salins,  par  le  môme.  1706.  Mém.  p.  532. 
Proportions  convenables  déterre  calcaire 
et  d'alkali  fixe  nécessairespour  décompo- 
ser totalement  le  sel  ammoniac,  ib.  Expé- 
riences propres  à  fixer  ces  proportions, 
p.  533. 

Mém.  sur  les  phénomènes  qui  ont  lieu  dans 
la  précipitation  des  dissolutions  métalli- 
cfues  par  l'ammoniac  {alkali  volatil),  par 
M.  FOURCROY.  1788.  Mém.  p.  376.  Phé- 
nomènes relatifs  à  l'action  de  l'ammoniac 
dans  le  cas  dont  il  s'agit  ;  elle  tient  aux 
attractions  électives  et  comparées  de  l'oxi- 
gène  pour  l'azote ,  l'hydrogè  ne ,  et  pour  les 
substances  métallic[ues.  p.  383. 

Analyse  chimique. 

Essai  sur  une  nouvelle  manière  d'analyser 
les  substances  du  règne  animal  et  végétal , 
et  sur  les  moyens  de  diriger  le  feu  avec 
précision  dans  les  opérations  délicates  de 
la  chimie,, par  M.  le  Comte  de  Milly. 
1781.  Hist.  p.  20.  Mém.  p.  34.  Difficultés 
de  l'analyse  par  le  feu.  ib.  Insuffisance  de 
l'analyse  par  les  dissolvans  pour  les  ma- 
tières animales  et  végétales,  p.  35.  Diffi- 


i34  TyVBLE  DES  MÉMOIRES 

Chimie.  (Analyse  chimique.) 

culte  de  régler  le  degré  de  feu  et  d'en 
obtenir  un  égal  et  constant,  p.  Sy.  Manière 
de  graduer  la  chaleur  de  l'eau  distillée 
depuis  la  température  de  l'atmosphère 
jusqu'au  terme  où  elle  bout.  p.  38.  Usage 
de  lampes  pj'riques  ayant  chacune  plu- 
sieurs mèches  composées  d'un  nombre 
donné  de  fils  de  coton,  p.  89.  Chaque 
mèche  allumée  produit  un  maximum  de 
chaleur  déterminée  par  le  thermomètre 
plongé  dans  le  bain-marie.  ib.  De  l'ana- 
Ij'se  des  végétaux,  ib.  La  fermentation 
produite  par  la  chaleur  douce  de  l'at- 
mosphère est  le  seul  moyen  que  la  na- 
ture emploie  pour  décomposer  les  Corps 
et  les  recomposer,  p.  40.  Modèle  qu'on 
doit  suivre  dans  la  décomposition  ou  l'ana- 
lyse des  plantes.  zZ».  Manière  de  procéder  ù 
la  nouvelle  analyse  des  végétaux  tendres, 
d'après  ce  modèle,  ib.  Les  végétaux  piles, 
la  masse  divisée  en  quatre  parties  égales, 
la  première  distillée  avant  la  fermenta- 
tion ,  les  autres  après  qu'elles  ont  subi  soit 
la  fermentation  acide,  soit  la  putride,  p.  41. 
I,a  fermentation  putride  offre  des  diffé- 
rences bien  tranchantes  entre  les  diffé- 
rentes substances,  p.  42.  De  la  distillation 
analytique  et  de  l'appareil  chimico-pneu- 
matique.  ib.  Description  de  ces  appareils,  . 
et  explication  de  la  planche,  ib.  Degrés 
de  feu  employés  à  la  distillation  analy- 
tique, p. 43.  Cette  méthode  d'un  feu  gradué 


DE  L'ACADÉMIE.    1781— 1790.      i35 

Chimie.  {Analyse  chimique.) 

peut  faire  connoîtie  les  degrés  d'insalu- 
brité et  de  salubrité  des  végétaux,  p.  44, 
Plus  les  produits  se  rapprocberont  de  ceux 
de  la  belladona ,  plus  les  plantes  seront 
dangereuses;  ceux  qui  se  rapprocheront 
des  produits  du  seigle  et  du  froment  indi- 
queront des  plantes  saines  et  salubres.  ib. 

Calcination. 

Réflex.  sur  la  calcination  et  la  combustion, 
à  l'occasion  d'un  ouvrage  de  M.  Scheele , 
intitulé  ,  Traité  chimique  de  l'air  et  du  feu, 
par  M.  L-AvoisiER.  1781.  Mém.  p.  896. 
M.  Scheele  ôte  au  feu  et  ù  la  lumière  la 
cjnalité  d'élément,  ib.  Propriétés  générales 
de  l'air  commun  ,  d'après  M.  Scheele.  ib. 
I/air  atmosphérique  est  composé  de  deux 
Ihiides  élastiques  diflerens,  l'air  respirable 
en  forme  environ  le  quart,  et  la  partie 
nuisible  environ  les  trois  quarts,  p.  397. 
Combustion  des  corps  c[ui  ne  fournissent 
point  en  brûlant  de  fhiides  élastiques  aéri- 
formes.  p.  898.  Effets  de  la  combustion 
des  chandelles,  de  celle  du  charbon  et  de 
l'esprit-de-vin.  ib.  Il  n'y  a  qu'une  légère 
diminution  de  l'air  dans  ces  opérations,  ib. 
Une  chandelle  est  une  épreuve  sûre  pour 
connoître  si  un  air  qu'on  soupçonne  d'être 
altéré,  est  encore  respirable.  p.  399.  Diffé- 
rence d'opinion  entre  MM.  Lavoisicr  et 
Scheele,  sur  l'augmentation  de  poids  des 


i36  TABLE  DES  MÉMOIRES 

Chimie.  (^Calcination.) 

métaux  calcinés,  p.  400.  L'absorption  de 
l'air  par  le  corps  calciné  est  la  véritable 
cause  de  l'augnaenlatiou  de  son  poids. 
p.  401.  La  respiration  des  animaux  dans 
tin  air  renfermé  n'en  diminue  pas  beau- 
coup le  volume,  mais  une  portion  de  cet 
air  est  convertie  en  air  fixe  non  respirable. 
p.  402.  La  végétation  comme  la  respiration 
convertit  en  air  fixe  la  portion  d'air  vital 
*  contenue  dans  Tair  de  l'atmosphère,  p.  4o3. 

Selon  M.  Scheele,  l'air  vital  est  unedid- 
cification  de  l'air  fixe  par  le  plilogistique. 
p.  404.  La  doctrine  chimique  de  M.  Scheele 
est  appuyée  sur  des  suppositions  qui  ne 
cadrent  pas.avec  les  faits,  p.  408. 
Causticité.  Voyez  Alkali. 

Chaux. 

Sur  les  terres  calcaires  et  la  chaux,  par 
M.  Baume.  1787.  Mém.  p.  9.  La  terre  cal- 
caire qui  a  été  calcinée,  n'est  pas  régénérée 
telle  qu'elle  étoit  avant  la  calcination  par 
l'air  fixe  qu'on  peut  lui  rendre,  ib.  Base 
de  la  composition  du  sel  ammoniac,  ib. 
Voyez  Alkali. 

Combustion.  Voyez  Calcination. 

Couleurs. 

Mém.  sur  la  coloration  des  matières  végé- 
tales par  l'air  vital,  et  sur  une  nouvel  e 
préparation  de  couleurs  solides  pour  lu 
'^  peinture, 


DE  L'ACADÉMIE.     1781  —  1790.      i37 

Chimie.  {Couleurs.) 

peinture,  parM.  Fourcroy.  1789.  Mém. 
p.  335.  L'air  vital  n'est  pas  toujours  le  prin- 
cipe décolorant  des  végétaux,  p.  337.  Ré- 
sultats des  expériences  faites  sur  l'expo- 
sition à  l'air  des  décoctions  de  plusieurs 
substances  végétales,  p.  341.  Ces  résultats 
peuvent  être  utiles  pour  la  préparation 
des  couleurs  employées  dans  la  peinture. 
p.  340. 


Eau. 


Mém.  dans  lequel  on  a  pour  objet  de  prouver 
que  l'eau  n'est  point  une  substance  simple, 
un  élément  proprement  dit,  mais  qu'elle 
est  susceptible  de  décomposition  et  de  re- 
composition, par  M.  Lavoisier.   1781. 
Hist.  p.  21.  Mém.  p.  468.    L'air  inflam- 
mable dont  il  est  question  dans  ce  Mé- 
moire est  celui  qu'on  obtient  soit  de  la  dé- 
composition de  l'eau  par  le  feu  seul ,  soit 
de  la  dissolution  du  fer  et  du  zinc  dans 
les  acides  vitriolique  et  marin  ;  lorsqu'il 
se  présente  dans  l'état  aériforme,  on  l'ap- 
pelle air  inflammable  aqueux,  et  lorsqu'il 
est  engagé  dans  quelque  combinaison,  on 
l'appelle  principe  inflammable  aqueux,  ib. 
Le  résultat  de  la  combustion  de  l'air  in- 
flammable et  de  l'air  atmosphérique  n'est 
point  de  l'air  fixe.  p.  470.  Le  mélange  d'air 
inflammable  et  d'air  vital  produit  de  l'eau 
aussi  pure  que  l'eau  distillée,  p.  473.  Cette 
eau  est  égale  en  poids  aux  deux  airs  qui 
Tab.  des  Mac.     1781  —  1790.  5 


i38  TABLE  DES  MEMOIRES 

Chojie,  (Eau.) 

ont  servi  à  la  former,  ib.  L'eau  n'est  donc 
point  une  substance  simple,  ib.  M.  Monge 
obtient  à  Mézières  un  pareil  résultat,  p.  474. 
Evaluation  des  quantités  d'air  inflamma- 
ble et  d'air  vital ,  ou  principe  oxigène  dont 
est  composée  une  livre  d'eau,  ib.  Expé- 
rience de  M.  Priestley  sur  la  revivifîca- 
tion  des  chaux  métalliques  dans  l'air  in- 
flammable, p.  478.  Pareilles  expériences 
de  M.  Lavoisier.  p.  480,  Ces  expériences 
prouvent  que  l'eau  peut  se  décomposer  et 
se  recomposer,  p.  486.  Nouvelles  expé- 
riences faites  en  commun  avec  M.  Meus- 
nier,  qui  prouvent  la  môme  chose,  p.  486. 
On  emploie  dans  ces  expériences  le  fer, 
par  exemple   un  canon  de  fusil ,   avec 
lequel  le  principe  oxigène  a  plus  d'affinité 
cpi'avec  les  autres  métaux,  p.  488.  La  fer- 
mentation spiritue  use  est  encore  un  moyen 
de  décomposer  l'eau  par  la  voie  humide, 
p.  491. 
Mém.  où  l'on  prouve  par  la  décomposition 
de  l'eau ,  que  ce  fluide  n'est  poiiît  une  subs- 
tance simple ,  et  qu'il  y  a  plusieurs  moyens 
d'obtenir  en  grand  l'air  inflammable  cjui 
y  entre  comme  princij^e  constituant,  par 
MM.MEusNiERetLAVOisiER.  i78i.Hist. 
p.  21 .  Mém.  p.  269.  Précis  des  découvertes 
et  des  expériences  contenues  dans  le  Mé- 
moire précédent,  auxquelles  M.  de  La- 
place  a  eu  part.  ib.  Répétition  de  ces  expé- 
x'iences  faites  avec  M.  Berthollet,  et  mêmes 


EIE  L'ACADÉMIF.     1781— 1790.      189 
Chimie.  (Eau.) 

résultats,  p.  272.  Le  fer  rouge  éteint  dans 
l'eau  dégage  de  l'air  inflammable,  p.  278. 
I,es  substances  calcinables  ou  combustibles 
paroissent  les  seules  qui  puissent  décom- 
poser l'eau,  ib.  Description  de  l'appareil 
employé  dans  ces  expériences ,  et  planche 
qui  le  représente,  p.  276.  L'eau  ne  fournit 
l'air  inflammable,  qu'autant  qu'elle  dépose 
l'air  déphlogistiqué  dont  elle  contient  en- 
core la  base.  p.  279.  L'air  inflammable 
de  l'eau  dans  son  plus  grand  état  de  pureté 
est  environ  treize  fois  plus  léger  que  celui 
de  l'atmosphère  ,  et  l'eau  en  contient  à 
peu  près  la  septième  partie  de  son  poids, 
p.  281. 
Réflexions  sur  la  décomposition  de  l'eau  par 
les  substances  végétales  et  animales,  par 
M.  Lavoisier.  1786.  Mém.  p.  690.  La 
décomposition  des  végétaux  par  le  feu 
est  un  jeu  de  l'afiînité  de  l'oxigène  qui 
entre  dans  la  composition  de  l'eau,  et  qui 
quitte  le  gaz  hydrogène  pour  s'unir  au 
chai'bon  et  former  de  l'acide  carbonique. 
p.  695.  Nouvelles  expériences  qui  conflr- 
ment  cette  théorie  et  qui  renversent  le 
système  du  Docteur  Haies  sur  la  consti- 
tution des  végétaux,  p.  696.  Les  substances 
animales  sont  le  résultat  d'une  combi- 
naison triple  d'oxigène,  d'hydrogène  et 
de  carbone,  p.  600.  (^)uatre  manières  prin- 
cipales d'oxigéner  les  substances  végé- 
tales et  animales,  p.  6o3.  Nécessité  de  la 


140  TABLE  DES  MÉMOIRES 

CHI3JIE.  (Eau.) 

îiouvelle  nomenclature  chimique,  p.  604. 
Réflexions  relatives  à  la  végétation,  ib.  It 
ne  peut  y  avoir  de  végétation  sans  eau  et 
sans  acide  carbonique,  p.  6o5. 
Ohs.  sur  les  expériences  faites  pour  prouver 
la  décomposition  et  recomposition  de  l'eau, 
par  M.  Baume.  1789.  Mém.  p.  88.  L'eau 
est  un  liquide  indestructible  et  inaltérable. 
ib.  La  recomposition  de  l'eau  n'est  qu'une 
expérience  hydrostatique  dans  laquelle 
on  fait  passer  des  vapeurs  de  l'eau  de  deux 
vases  dans  un  troisième  placé  au  milieu , 
et  à  l'aide  d'un  courant  d'air  déterminé 

f)ar  deux  substances  enflammées  l'une  par 
'autre,  p.  89.  Description  de  l'appareil  où 
s'opère  la  recomposition  de  l'eau,  p.  90. 
L'eau  qui  se  manifeste  vient  de  celle  ren- 
fermée sous  les  cloches  et  qui  est  conti- 
nuellement en  évaporation.  p.  92.  Les 
expériences  011  l'eau  paroit  se  décomposer 
ne  sont  pas  plus  concluantes,  p.  98.  L'eau 
accompagne  toujours  les  gaz.  p.  94. 

Eau  de  mer. 

Examen  d'eau  de  mer,  pm'sée  par  M.  Pages 
dans  deux  parties  de  l'Océan  très-diflé- 
rentes  en  latitude  et  en  longitude  ,  par 
M.  Baume.  1787.  Mém.  p.  647.  Désigna- 
tion des  endroits  où  l'eau  de  mer  a  été 
puisée,  ib.  Expériences  sur  ces  différentes 
eaux  et  résultats,  p.  648. 


DE  L'ACADÉMIE.     1781—1790.     141 

Chimie.  (Eau  régale.) 

Observ.  sur  l'eau  régale  ,  et  sur  quelques 
affinités  de  l'acide  marin ,  par  M.  Ber- 
THOLLET.  1785.  Mém.  p.  296.  Action  réci- 
proque de  l'aeide  nitreux  et  de  l'acide 
marin,  p.  297.  Résultats  de  cette  action. 
p.  3oi.  De  quelques  affinités  de  l'acide 
marin,  ib.  Anomalies  des  combinaisons  de 
l'acide  marin  avec  l'acide  vitriolique  et 
l'acide  nitreux,  ramenées  aux  lois  con- 
nues des  affinités,  p.  3o2.  Les  variations 
dans  les  affinités  de  l'acide  marin  ne  sont 
dues  qu'à  des  circonstances  étrangères. 
p.  304.  Application  aux  sels  ammonia- 
caux, ib.  Observ.  sur  l'opinion  de  M.  Kir- 
wan.  p.  3o5. 

Esprlù-de-vin. 

Procédé  pour  extraire  de  l'esprit-de-vin  un 
acide  concret  semblable  à  celui  de  sucre, 
par  M.  Sage.  1785.  Mém.  p.  233.  La  quan- 
tité d'acide  du  sucre  qu'on  retire  de  l'es- 
prit-de-vin  est  relative  à  celle  de  l'acide 
nitreux  qu'on  a  employé,  ib.  Procédé  à 
suivre. ib. 

Mém.  sur  la  décomposition  de  l'esprit- de- 
vin et  de  l'étlier  par  le  moyen  de  l'air 
vital,  par  M.  Berthollet.  1785.  Mém. 

Î).  3o8.  Expériences  pour  reconnoitre  par 
e  moyen  de  l'acide  marin  déphlogisti- 
qué  ,  quels  sont  les  principes  de  l'esprit- 
de-vin  et  de  l'éther.  p.  309.  L'esprit-de-vin 


142  TABLE  DES  MÉMOIRES 

Chimie.  {Esprit-de-vin.) 

contient  du  sucre  qui  dans  l'expérience 
éprouve  un  effet  analogue  à  celui  do  la 
combustion,  p.  3ri.  L'éther  est  une  huile 
c|ui  s'est  séparée  de  l'esprit-de-vin,  et  qui  est 
combinée  avec  un  excès  de  gaz  inilatu- 
inable  et  avec  une  très-petite  quantité  de 
l'acide  qui  a  servi  à  sa  formation,  p.  3i3. 
L'acide  marin  n'a  point  d'action  sur  l'esprit- 
de-vin  ,  lorsqu'il  n'est  pas  combiné  avec 
l'air  vital,  p.  814.  Voye%  Acide  phospho- 
RiQUE  et  Alkali  caustique. 
Ether  {décomposition  de  V  ).  Voyez  ESPRIT- 

DE-VIN. 

Feb..  Voyez  Oxigène. 


Feu. 


Mém.  sur  un  mo3'-en  d'augmenter  considé- 
rablement l'action  du  feu  et  de  la  clialeur 
dans  les  opérations  chimiques,  par  M.  La- 
VOISIER.  1782.  Hist.  p;  28.  Mém.  p.  467. 
Essai  pour  augmenter  la  force  de  la  cha- 
leur, faits  avec  les  grands  verres  de  Tchir- 
nausen ,  la  grande  loupe  de  M.  de  Trudaine, 
la  grande  loupe  de  verre  massif  à  échelle 
proposée  par  M.  de  Buffon,  et  exécutée 
par  M.  Rochon  à  Saint-Gobin  ,  sous  la  direc- 
tion de  M.  Deslandes  jinmiihaus.  ib.  L'air 
déphlogistiqué  ou  l'air  vital  produit  une 
chaleur  la  plus  forte  que  l'on  connoisse. 
p.  468.  Emploi  de  cet  air  dans  les  opéra- 
rations  chimiques,  p.  469.  On  réussit  au 
moyen  de  cet  air  contenu  dans  une  vessie 


DE  L'ACADÉMIE.     1781— 1790.       143 
Chimie.  (Feu.) 

à  fondre  la  platine,  p.  460.  Description 
cl'Line  machine  propre  à  manipuler  cet  air 
et  perfectionnée  -par  M.  Meusnier,  auteur 
du  Mémoire  qui  suit.  p.  461. 

Description  d'un   appareil    propre    à   ma- 
nœuvrer différentes  espèces  d'air  dans  les 
expériences  qui  en  exigent  des  volumes 
considérables ,  par  un  écoulement  con- 
;  tinu  parfaitement  uniforme  et  variable  à 

volonté,  et  donnant  à  chaque  instant  la 
mesure  des  quantités  d'air  employées  avec 
toute  la  précision  qu'on  peut  désirer,  par 
M.  Meusnier.  1782.  Hist.  p.  29.  Mém. 
p.  466,  avec  deux  grandes  planclies. 

Mém.  sur  l'effet  que  produit  sur  les  pierres 
précieuses  un  degré  de  feu  très-violent, 
parM.  Lavoisier.  1782.  Hisl.  p.  3o.  Mém. 
p.  476.  Le  rubis  et  le  saphir  s'amollissent 
au  feu,  ils  paroissent  fixes,  leur  couleur 
est  altérée  et  n'est  pas  détruite,  pp.  478 
et  480.  L'hyacinthe  s'amollit  et  perd  sa 
couleur.  482.  Les  topazes  sont  décolorées  et 
se  fondent  en  globules  blancs  et  sans  trans- 
parence comme  la  porcelaine,  ib.  Les  éme- 
raudes,  les  grenats,  etc.  perdent  leur  cou- 
leur propre  et  se  changent  en  un  verre 
opaque  et  coloré,  p.  488.  Division  des 
pierres  précieuses  en  cinc{  classes  ,  fondée 
sur  ces  résultats,  p.  486.  Moyen  de  réunir 
ensemble  plusieurs  petites  pierres  pré- 
cieuses, ib. 

De  l'action  du  feu  animé  par  l'air  vital  sur 


144 


TABLE  DES  MÉMOIRES 


Chimie.  {Feu.) 


les  substances  minérales  les  plus  réfrac- 
taires,  par  M.  Lavoisier.  1788.  Mém. 
p.  563.  (Suite  du  Mém.  1782.  p.  457.)  Ma- 
nière de  procéder  dans  les  expériences. 
ib.  Les  résultats  de  ces  expériences  com- 
parés avec  ceux   des  expériences  faites 
en  1772,  avec  le  grand  verre  ardent  de 
Tschirnhausen.  p.  604.  L'air  vital  tiré  du 
mercure    précipité    rouge    produit   plus 
d'effet  que  celui  qui  est  tiré  du  nitre.  ib. 
Réponse  à  deux  objections  qu'on  peut  faire 
contre  ces  expériences,  p.  565.  Détail  des 
expériences ,  premier  or<ire ,  terre  et  pierres, 
première   Classe,  pierres  quartzeuses  ou 
siliceuses  dont  le  caractère  est  de  faire  feu 
avec  l'acier  :  on  y  a  Joint  quelques  pierres 
mélangées  dans  lesquelles  la  terre  sili- 
ceuse se  rencontre  en  quantité  prédomi- 
nante par  rapport  aux  autres  matières. 
Cristal  de  roche,  p.  566.  Quartz   blanc. 
p.  567.  Quartz  blanc  porjiliyrisé.  p.  568. 
Grès  très-dur  et  très-fin  dé  Sceaux-lès- 
Chartreux.  ib.  Sablon  blanc  ou  quartz  aré- 
neuxd'Etampes,porphyrisé.  p.  569.  Quartz 
gris  du  Trou-du-Diable  près  le   Valda- 
jean  dans  les  Vosges,  ib.  Quartz  phosplio- 
rique   des  environs   d'Alençon.   p.    570. 
Agathe  d'un   blanc    laiteux,   ib.  Agathe 
noire,  p.  571.  Calcédoine,  ib.  Cornaline. 
p.  572.  Silex  ou  pierre  à  fusil,  ib.  Silex 
blanchâtre  opaque  des  environs  de  Vil- 
lers-Cotterets.  p.  573.  Caillou  d'Egypte,  ib. 

Prase, 


DE  L'ACADÉMIE.     1781— 1790.      145 

Chimie.  (Feu.) 

Prase.  ib.  Jade  blanchâtre,  p.  574.  Jaspe 
gris,  veiné  de  rouge,  ib.  Jaspe  verd,  san- 
guin, p.  675.  Jaspe  fleuri,  p.  676.  Espèce 
de  jaspe  des  environs  de  Plombièi'es.  ib, 
Feld-spath  ou  spath  étincelant,  opaque 
de  la  montagne  de  Tarare  près  de  Lyon. 
p.  577.  Conséquences  des  expériences 
sur  les  pierres  qnaiizeuses.  ib.  Deuxième 
Classe ,  terres  et  pierres  argileuses  et 
leurs  composés  salins  :  le  caractère  de 
ces  pierres  et  terres  est  de  ne  point  faire 
effervescence  avec  les  acides,  ni  feu  avec 
l'acier,  à  moins  qu'elles  n'aient  été  pous- 
sées au  feu.  Terre  d'alun,  p.  678.  Alun 
vitriolique.  p.  579.  \lun  nitreux.  ib.  Argile 
blanche  très-douce  au  toucher,  ou  espèce 
de  kaolin  de  Bétheux.  p.  58o.  Argiles 
.inôh'es  de  terre  siliceuse  ou  calcaire,  ib. 
Conséquences  sur  la  terre  d'alun  et  sur  les 
terres  et  pierres  argileuses,  p.  58 1.  Troi- 
sième Classe  ,  terres  et  pierres  calcaires , 
avec  les  composés  salino-terreux  qui  ré- 
sultent de  leur  combinaison  avec  diffé- 
rens  acides  j  chaux  de  marbre  blanc,  ib. 
Chaux  vive  faite  avec  de  la  pierre  calcaire 
dure  des  environs  de  Melun,  aussi  pure 
que  la  chaux  de  marbre  blanc,  p.  682. 
Spath  calcaire  de  Sainte-Marie-aux-Mines. 
ib.  Autre  espèce  de  spath  calcaire,  p.  583. 
Craie,  ib.  Sélénite  formée  par  l'union  de 
l'acide  vitriolique  et  de  la  terre  des  os.  ib. 
-Gypse  de  Montmartre  très-pur,  qui  avoit 
Tab.  des^Mat,     1781  — 1790.  T 


146         TABLE  DES  MÉMOIRES 

Chimie.  {Feu.) 

été  préalablement  calciné,  p.  684.  Spatli 
fluor  pbospborique,  en  cristaux  cubiques 
jaunâtres  des  Vosges.  zè.Môme  spatli  tbior 
pbospborique ,  d'un  blanc  tirant  sur  l'amé- 
tbiste  tendre,  p.  585.  Même  spatb  fluor 
pbospborique,  couleur  d'amétbiste.p.  586. 
Espèce  de  spatb  des  Vosges  qui  a  en  appa- 
rence beaucoup  de  rapport  avec  le  spath 
pesant,  ib.  Conséquences  sur  la  terre  cal- 
caire, p.  587.  Quatrième  Classe,  terre  pe- 
sante et  les  composés  salino-terreux  qui 
résultent  de  sa  combinaison  avec  lesacides; 
le  caractère  des  substances  de  cette  classe 
est  de  brûler  avec  une  sorte  de  détonation 
quand  on  les  expose  au  feu  animé  par  l'air 
vital  j  terre  pesante,  ib.  Spath  pesant  ou 
baro-sélénite  de  Sainte-Marie-aux-Mines. 
p.  588.  Conséquences  sur  la  terre  pesante. 
ib.  Cinquiime  Classe,  terre  magnésienne; 
magnésie  du  sel  d'Epsom.  p.  589.  Tei-re 
précipitée  du  lac  de  Comore.  ib.  Con- 
séquences sur  la  terre  magnésienne,  ib. 
Sixième  Classe,  terres  et  pierres  résultantes 
de  la  combinaison  des  terres  simples,  ib. 
Première  Division  ,  pierres  précieuses, 
p.  590.  Deuxième  Division,  tourmalines, 
schorls,zéolitbes,lapis-lazuli,  tourmaline 
de  Ceylan.  p.  591.  Scborl  noir.  ib.  Scborl 
vert.  p.  592.  Zéolitbe.  ib.  Troisième  Division, 
stéatite ,  amiante ,  talc ,  etc.  craie  de  Brian- 
çon  porpbyrisée.  ib.  Amiante,  p.  598. Talcs, 
pierres  talqueuses,  serpentines,  stéatites. 


DE  L'ACADEMIE.     1781— 1790.      147 

Chimie.  (Feu.) 

p.  594.  Basalte  d'Islande,  ih.  Autre  espèce 
de  basalte,  ib.  Espèce  de  basalte  dont  sont 
en  partie  composées  les  montagnes  des 
environs  de  Giromagny  dans  les  Vosges. 
p.  595.  Conséquences  sur  les  pierres  com- 
posées, ib.  Septième  Classe ,  terres  et  pierres 
formées  de  substances  mécaniquement  et 
grossièrement  mélangées ,  schistes  et  ar- 
doises, ib.  Granités,  grès  micacés  propres 
à  faire  des  meules,  p.  696.  Porphyre  rouge. 
ib.  Poi-phyre  vert.  ib.  Expériences  sur  la 
combinaison  artificielle  des  terres  simples. 
ib.  Mélange  de  parties  égales  de  chaux ,  de 
marbre  et  de  terre  d'alun,  p.  698.  Mélange 
de  parties  égales  de  quartz  porphyrisé  et 
de  spath  calcaire  de  Sainte-Marie-aux- 
Mines.  ib.  Mélange  d'à  peu  près  parties 
égales  de  terre  pesante  et  de  terre  d'ahm  , 
p.  599.  Mélange  d'à  peu  près  parties  égales 
de  terre  pesante  et  de  spath  calcaire  de 
Sainte-Marie-aux-Mines.  ib.  Mélange  de 
parties  égales  de  terre  pesante  et  de 
quartz  porphyrisé.  ib.  Magnésie  de  sel 
d'Epsom  et  quartz  porphyrisé.  ib.  Magné- 
sie et  quartz  exposés  sur  le  charbon  en 
plus  petite  quantité,  p.  600.  Conséquences 
générales  sur  les  terres  simples  et  sur  leurs 
combinaisons,  ib.  Second  Ordre ,  siibsf ances 
sahnes,  borax,  p.  601.  Tartre  vitriolé,  ib. 
Sel  de  Glauber.  p.  602,  Aikali  fixe,  végé- 
tal caustique,  ib.  Alkah  fixe  végétal  safuré 
d'air  fixe.  ib.  Aikali  minéral  saturé  d'air 


148  TABLÉ  DES  MÉMOIRES 

Chimie.  {Feu.) 

fixe.  p.  6o3.  Sel  marin  décrépité,  ib.  Tartre 
phosphorique-  ib.  Conséquences  sur  les 
substances  salines,  p.  604.  Troisième  Ordre, 
soufre  et  bitumes,  ib.  Quatrième  Ordre,  subs- 
tances métalliques,  platine  brute,  p.  6o5. 
Platine  séparée  de  son  sable  magnétique. 
ib.  Or  de  départ,  ib.  Platine  forgée,  ib. 
Argent  de  coupelle,  p.  606.  Argent  au  titre 
de  Paris,  ib.  Cuivre  rouge,  ib.  vitriol  de 
cuivre,  p.  607.  Etain.  ib.  Plomb,  p.  608. 
fer.  ib.  Colcothar.  ib.  Espèce  de  mine  de 
fer  micacé  d'un  filon  qui  se  trouve  au  pied 
du  pic  de  la  montagne  du  Bon -Homme 
dans  les  Vosges,  p.  609.  Sable  magnétique 
de  la  platine,   ib.  Sable  magnétique  de 
Bar.  p.  6 10.  Régule  de  manganèse,  ib.  Mer- 
cure pTécïp'ûé  perse,  p.  61 1 .  Zinc  /è.V  itriol 
de  zinc.  ib.  Espèce  de  blende  écaillcuse 
grise  quialefacies  metallica.  p.  61 2.  Blende. 
ib.  Blende  de  Sainte-Marie-aux-Mines.  ib. 
Blende  lamelleuse  jaune  phospborique  de 
Derbyshire.  p.  61 3.  Antimoine  cru.  ib. 
Régule  d'antimoine,  ib.  Régule  d'arsenic 
du  commerce,  ib.  Pyrite  ferrugineuse  et  ar- 
senicale des  environs  de  Sainte-Marie-aux 
Mines  dans  les  Vosges,  ib.  Conséquences 
sur  les  substances  métalliques,  p.  614. 

Fosses  d'aisances.  Voyez  Méphitisme. 

Foie  humain.  Voy.  Matières  animales. 


DE  L'ACADÉMIE.     i78t— 1790.       149 

Chimie.  {Gaz  hépatique.)  ; 

Mém.  sur  la  formation  et  les  propriétés  du. 
gaz  hépatique ,  par  M.  de  Fourcro  y.  1 786. 
Méra.  p.  5o.  Travaux  de  plusieurs  chi- 
mistes sur  ce  gaz.  ib.  Article  premier,  des 
diverses  circonstances  où  se  forme  le  gaz 
hépatique ,  ou  de  l'hépatisation  en  général, 
p.  62.  Manière  de  former  le  gaz  hépati- 
que, ib.  L'eau  est  la  cause  de  sa  formation , 
preuves  de  cette  vérité,  p.  53.  L'eau  se 
décompose  dans  cette  production,  p.  64. 
La  production  du  gaz  hépatique  naturel 
est  due  à  la  même  cause,  p.  55.  Article 
second,  de  quelques  modifications  du  gaz 
hépatique,  p.  58.  Son  odeur  varie  selon 
,  les  circonstances,  ib.  Gaz  alliacé  ou  qui  se 

]  dégage  de  l'ail,  p.  60.  Article  troisième,  de 

l'union  du  gaz  hépatique  avec  l'eau,  et  de 
sa  décomposition  par  l'air,  p.  61.  Article 
quatrième  ,  de  l'action  des  acides  sur  le 
gaz  hépatique,  p.  63.  Toutes  ces  recherches 
confirment  la  nouvelle  théorie  chimique. 
p.  66. 

Gaz  hydrogène, 

Mém.  sur  la  combustion  du  gaz  hydrogène 
dans  des  vaisseaux  clos,  par  MM.  Four- 
CROY ,  Vauquelin  et  SÉGUIN.  1790. 
p.  485.  Observ.  sur  les  gazomètres  em- 
ployés, ib.  Définition  des  termes  solides , 
liquides  etjluides.  p.  487.  Note.  Point-de-vue 
sous  lequel  on  doit  considérer  les  gazo- 


i5o         TABLE  DES  MEMOIRES 

Cei^IE.  (Gai  hydrogène.) 

mètres,  p.  488.  Jaugeage  des  cylindres 
intérieurs,  et  travail  nécessaire  pour  éga- 
liser leur  pression  dans  toute  la  course 
qu'ils  peuvent  parcourir,  p.  491.  Valeur 
réelle  de  chaque  degré  des  échelles  à 
différentes  pressions,  p.  604.  Modèle  des 
Tables  cjui  indiquent  la  valeur  de  chaque 
degré  des  gazomètres  aux  différentes  pres- 
sionstant  barométriques  qu'additionnelles 
que  comportent  ces  instrumens.  p.  607, 
Moyens  employés  pour  obtenir  des  fluides 
)ermanens.  p.  5 1  r .  Précautions piises pour 
uter  le  ballon  clans  lequel  devoit  s'opérer 
a  combustion,  p.  5t3.  Opérations  préli- 
minaires à  la  combustion,  p.  5i5.  De  la 
manière  de  remplir  les  cylindres  inté- 
rieurs sans  interrompre  la  combustion. 
p.  517.  De  la  méthode  employée  pour 
peser  les  fluides  permanens.  p.  519.  Obser- 
vations, p.  520.  Moyens  de  connoître  le 
volume  des  fluides  employés  pendant  l'ex- 
périence, p.  522.  Modèle  des  corrections 
relatives  aux  pressions  et  aux  dilatations. 
p.  525.  Corrections  relatives  à  la  pression. 
p.  527.  Corrections  relatives  à  la  dilata- 
tion, p.  528.  Modèle  de  calcul  pour  déter- 
miner le  poids  des  lluides  permanens  dont 
on  se  sert.  p.  529.  Volume  total  du  gaz 
hydrogène  employé,  réduit  à  une  pression. 
,  de  28  pouces  de  mercure  et  à  une  tempé- 
"''.-  '  •■  '\  rature  de  i3  ;  degrés,  p.  532.  Volume  total 
de  l'air  vital  employé,  réduit  à  une  près- 


DE  L'ACADÉMIE.     1781  — 1790.       ï5ï 

Chimie.  {  Gaz  hydrogène.) 

sion  de  28  poTjces  de  mercure,  et  à  une 
température  de  14"'.  p.  533.  Examen  du 
iluide  permanent  restant  dans  le  ballon 
à  la  fin  de  la  combustion,  p.  534.  Obser- 
vations, p.  536.  Poids  de  l'eau  obtenue,  et 
des  fluides  permanens  qui  ont  été  con- 
sommés, p.  539.  Observations,  p.  542.  Exa- 
men de  l'eau  obtenue,  p.  543.  Rapport  qui 
existe  entre  le  volume  de  l'air  vital  et  le 
volume  du  gaz  hydrogène  qui  sont  néces- 
saires à  la  formation  de  l'eau,  lorsque  ces 
fluides  sont  à  une  température  de  14''  et 
qu'ils  éprouvent  une  pression  de  28  pouces 
de  mercure,  p,  544.  Leur  rapport  lorsqu'ils 
sont  à  la  température  de  10  avec  la  même 
pression,  p.  545.  Rapprochement  des  ré- 
sultats que  renferme  ce  Mémoire ,  réduits 
à  la  température  de  10*  et  à  la  pression  de 
28  pouces  de  mercure ,  et  conséquences 
qu'on  en  peut  déduire,  p.  547.  Observa-' 
tions  générales,  p.  55o.  Planche  qui  repré- 
sente les  gazomètres,  p.  552. 
Gaz  inflammable.  Voy.  Ijyflambiation. 

Gaz  niuriatique. 

Mém.  sur  la  combustion  de  plusieurs  corps 
dans  le  gaz  acide  nmriatique  oxigéné ,  par 
M.  FouRCROY.  1788.  Mém.  p.  365.  Il  y  a 
des  gaz  qui  ne  peuvent  pas  servir  à  la  res- 
piration et  qui  facilitent  cependant  la  com^ 
bustion  des  corps  combustibles,  ib,  Suite 


1» 


i52  TABLE  DES  MÉMOIRES 

Chimie.  {Gaz  muriatique.) 

d'expériences  qui  prouvent  que  le  gaz 
acide  muriatique  oxigéné  favorise  la  com- 
bustion, p.  366.  Faits  particuliers  relatifs 
à  cette  combustion,  p.  Syi. 


Huiles. 


Observ.  sur  la  combinaison  de  l'air  vital  avee 
les  builes,  par  M.  Berthollet.  1785. 
Mém.  p.  327.  Leshuiles  se  combinent  avec 
l'air  vital,  ib.  Même  lorsqu'il  est  dans  l'état 
élastique,  p.  328.  Différentes  combinaisons 
de  l'air  vital  avec  diverses  substances,  ib. 
Essais  infructueux  sur  les  moyens  de  rem- 
placer la  cire  par  des  espèces  d'builes  qui 
en  prennent  la  consistance  étant  exposées 
long-temps  sur  de  vastes  étendues  d'eau, 
p.  329.  La  cire  végétale  dépouillée  de  sa 
couleur  verte  est  plus  propre  à  la  com- 
bustion que  lorsqu'elle  contient  sa  partie 
colorante. p.  33o. (  VoyeTi  Acide  phospho^ 

RIQUE.) 


Huile  de  vitriol. 


Observ.  sur  la  cristallisation  de  l'huile  de 
vitriol,  par  M.  Chaptal.  1784.  Mém. 
p.  622.  Forme  des  cristaux,  p.  623.  Nou- 
velle expérience  qui  prononce  en  faveiir 
de  la  formation  des  cristaux,  p.  626.  Il  ré- 
sulte de  cette  expérience  que  l'huile  très- 
concentrée  ne  cristalhse  point,  et  que  le 
degré  de  froid  convenable  à  cette  cristal- 
lisation 


DE  L'ACADÉMIE.    1781— 1790.       i53 
Chimib.  {Huile  de  vitriol) 

lisation  est  depuis  —  i""  jusqu'à  —  SI  p.  627. 
Faits  qui  ont  de  l'analogie  avec  celui-ci.  ib. 
Expériences  sur  une  huile  de  vitriol  fumante 
de  Saxe ,  et  sur  le  sel  volatil  concret  qu'on 
en  retire  par  la  distillation  ,  par  M,  de 
FouRCROY.  1785.  Mém.  p.  373.  Diverses 
opinions  sur  la  nature  du  sel  volatil  con- 
cret de  vitriol  fumante,  ib.  Propriétés  phy- 
siques ou  apparentes  de  cette  liqueur. 
p.  876.  Expériences  faites  par  l'auteur  sur 
cet  acide  pour  en  retirer  le  sel  concret, 
et  phénomènes  singuliers  qu'elles  présen- 
tent, p.  877.  Résultats  de  ces  expériences. 
p.  890. 

Inflammation. 

Mém.  sur  le  résultat  de  l'inflammation  du 
gaz  inflammable  et  de  l'air  déplilogistiqué 
dans  des  vaisseaux  clos,  par  M.  Monge. 
1783.  Mém.  p.  78.  Lorsqu'on  enflamme 
par  l'étincelle  électrique  un  mélange  d'air 
déplilogistiqué  et  de  gaz  inflammable,  il 
reste  dans  le  vaisseau  clos  où  l'on  a  fait 
l'expérience,  un  résidu  après  la  dissipa- 
tion de  la  matière  de  la  chaleur  à  travers 
les  pores  du  vaisseau  :  il  s'agit  de  connoitre 
la  nature  de  ce  résidu,  ib.  Description  de 
l'appareil  qui  a  servi  à  ces  expériences. 
p.  79.  Examen  de  l'air  cxti-ait  élu  ballon. 
p.  85.  Examen  du  produit  en  liqueur,  p.  86. 
Tl  résulte  de  ces  expériences  que  lorsque 
Tab.  des  Mat.  1781  — 1790.  V 


i54         TABLE  DES  MÉMOIRES 

Chimie.  (  Inflammation.  ) 

l'on  fait  détoner  le  gaz  inflammable  eî 
le  gaz  déphlogistiqué,  on  n'a  d'autre  ré- 
sultat que  de  l'eau  pure ,  de  la  matière 
de  la  chaleur  et  de  celle  de  la  lumière. 
p.  87.  Antres  questions  difficiles  à  ré- 
soudre, îb.  Une  planche  accompagne  ce 
Mémoire. 


Litharge. 


Mém.  sur  la  nature  du  vin  lithargiré  ou 
altéré  par  le  plomb,  et  sur  quelques  moyens 
nouveaux  d'y  reconnoître  la  présence  de  ce 
dangereux  métal ,  par  M.  de  Fourcroy. 
1787.  Mém.  p.  280.  Ce  n'est  que  par  l'action 
du  l'eu  qu'on  peut  reconnoître  cette  pré- 
sence, les  réactifs  sont  insufïisans.  ib.  Arti- 
cle premier,  de  l'état  de  l'oxide  ou  chaux 
de  plomb  dans  le  vin.  p.  281.  Action  de 
la  litharge  dans  les  vins  aigres,  p.  284. 
Article  second ,  de  quelques  moyens  de 
reconnoître  la  présence  du  plomb  dans 
les  vins.  p.  285.  L'acide  sulfurique  con- 
centré dans  l'état  de  ce  qu'on  appelle  im- 
f)ropreme{it  huile  de  vitriol,  et  l'acide  oxa- 
ique  ou  saccharin ,  sont  propres  à  indi- 
quer la  présence  du  plomfj  dans  les  vins, 
lorsqu'on  ne  peut  pas  les  soumettre  à 
l'action  du  feu.  p.  287.  Le  gaz  hépathi- 
quo  dans  l'eau  distillée  est  un  réactif  sûr. 
p-  288.  Manière  de  préparer  ce  réactif,  ib. 
Note. 


DE  L'ACADÉMIE.     1781—1790.     i55 
Chimie.  (Matières  animales.) 

Nouvelles  expériences  sur  les  matières  ani- 
males, faites  dans  le  laboratoire  du  Lycée , 
par  M.  F0UR.CROY.  1789.  Mém.  p.  297. 
Sur  le  sang  artériel  et  veineux  du  bœuf, 
mêlé.  ib.  Sur  le  sang  du  fœtus  humain. 
p.  807.  Sur  le  beurre  et  la  crème  du  lait  de 
vache,  p.  809.  Sur  le  fromage,  p.  3i3.  Sur 
la  bile.  p.  3 1 5.  Sur  l'urine  humaine,  p.  3i8. 
Sur  le  sel  fusible  entier,  extrait  de  l'urine 
humaine,  p.  319.  Sur  le  calcul  de  la  vessie. 
p.  322.  Sur  plusieurs  matières  grasses  ani- 
males comparées,  p.  323.  Calcids  biliaires 
dans  l'alcohol  chaud,  p.  824.  Même  ma- 
tière dans  l'alcohol  froid,  ib.  Matière  grasse 
des  cadavres,  ou  espèce  de  cire  humaine 
dans  l'alcohol  chaud  et  froid,  ib.  Blanc 
de  baleine  dans  l'alcohol  chaud  et  froid. 
p.  325.  Fusibilité  comparée  du  blanc  de 
iDaleine ,  de  la  matière  blanche  des  cal- 
culs biliaires  et  de  la  cire  du  gras  des  ca- 
davres, ib. 

Observ.  sur  un  changement  singulier ,  opéré 
dans  un  foie  humain ,  par  la  putréfaction , 
par  le  môme.  1789.  Mém.  p.  827.  Résultats 
de  l'examen  de  ce  foie  exposé  à  l'air  depuis 
dix  ans  et  desséché,  p.  828.  Ce  foie  s'est 
converti  en  une  huile ,  semblable  au  blanc 
de  baleine,  comme  les  matières  animales 
tirées  de  la  fouille  du  cimetière  des  Inuo- 
cens.  p.  333. 


i56  TABLE  DES  MÉMOIRES 

Chimie.  {Méphidsme.) 

Mém.  sur  un  moyen  proposé  pour  détruire 
le  méphitisme  des  fosses  d'aisances ,  par 

M.  FOUGEROUX  DE  BONDAROY.  1782. 

Ilist.  p.  i3.  Mém.  p.  197.  Emphase  de 
l'annonce  faite  par  le  sieur  Janin,  d'un 
ouvrage  intitulé  V  Anti  -  Méphitique  ,  ou 
Moyen  de  détruire  les  exhalaisons  perni- 
cieuses et  mortelles  des  fosses  d'aisances  , 
l'odeur  infecte  des  égcuts ,  celle  des  hôpitaux , 
des  prisons ,  des  vaisseaux  de  guerre ,  etc. 
Il  résulte  de  l'examen  de  cette  méthode, 
qu'elle  ne  neutralise  point  l'air  méphi- 
tique des  fosses  d'aisances ,  que  cet  air 
méphitique  persiste  avec  le  vinaigre ,  à 
être  toujours  pernicieux,  souvent  mortel. 
p.  199.  Extrait  du  procès-verbal  des  expé- 
riences faites  en  présence  des  Commis- 
saires de  l'Académie ,  de  la  Société  Royale 
de  Médecine  et  de  la  Police,  par  le  sieur 
Janin ,  dans  une  fosse  d'aisances,  rue  de  la 
Parcheminerie.  p.  200.  Plusieurs  ouvriers 
sont  asphixiés ,  dont  un  est  mort  malgré 
les  secours,  p.  202. 
Mém.  sur  la  nature  des  fluides  élastiques 
aériformes  qui  se  dégagent  de  quelques 
matières  animales  en  fermentation  ,  par 
M.  Lavoisier.  1782.  Ilist.  p.  14.  Mém. 
p.  56o.  I,a  chaux  vive  présentée  comme 
moyen  de  prévenir  les  effets  de  la  mitte 
et  du  p/o/?!/»,  occasionnés  par  les  fosses  d'ai- 
sances, ib.  Expériences  sur  l'air  qui  s'est 
dégagé  des  matières  fécales  récentes  ex- 


DE  L'ACADÉMIE.    1781—1790.      1^7 

CiinuE.  {Méphitisme.) 

posées  à  une  chaleur  de  io\  p.  562.  Cet 
air  est  de  l'air  fixe  ou  de  l'acide  eu  vapeur. 
ib.  Les  matières  fécales  produisent  aussi 
de  l'air  inflammable  et  en  plus  grande 
proportion ,  à  mesure  qu'elles  sont  plus 
anciennes,  telles  que  la  gadoue,  p.  564.  Les 
acides,  tels  que  le  vinaigre,  dégagent  de 
l'air  fixe  de  la  gadoue,  p.  565.  Les  alkalis 
au  contraire ,  tels  que  la  chaux  vive ,  arrê- 
tent la  production  de  l'air  fixe  et  de  l'air 
inllammable.p.  566.  Ces  expériences  faites 
à  l'air  libre ,  ont  prouvé  que  la  fermenta- 
tion de  ces  matières  ajoute  à  l'air  atmos- 
phérique une  quantité  d'air  méphitique 
qui  le  rend  dangereux  pour  la  respiration. 
p.  567.  Elles  diminuent  la  quantité  du  vo- 
lume  d'air  vital  contenu   dans  l'atmos- 
phère, ib.  La  chaux  est  de  toutes  les  ma- 
tières qui  ont  été  employées  dans  les  ex- 
périences, celle  qui  a  rendu  l'odeur  de  la 
gadoue  plus  supportable  ,  et  le  vinaigre , 
celle  qui  l'a  rendu  plus   insupportable. 
p.  569.  Conséquences  qui  résultent  de  ces 
expériences  relativement  au  procédé  de 
M.  Janin.  ib.  Le  vinaigre  produit  plus  d'air 
méphiticjue   qu'il   ne    s'en  seroit  dégagé 
par  la  fermentation  naturelle,  p.  570.  Les 
alkalis  ne  détruisent  pas  complètement 
l'air  méphitique  ,  parce  qu'ils  n'ont  point 
d'action  sur  l'air  inflammable,  ib.  Cet  air 
inflammable,  lorscju'il  est  seul,  n'est  point 
dangereux  dans  les  fosses,  p.  671.  Précau- 


i58  TABLE  DES  MÉMOIRES 

Chimie.  (Méphitisme.) 

lions  à  prendre  dans  les  constructions  des 
fosses  et  dans  la  manière  de  les  vider,  ib. 
Procédé  usité  à  Strasbourg  pour  lîl  vidange 
des  fosses,  p.  572.  Il  se  forme  dans  les  fosses 
du  soufre  qui  s'attache  aux  plâtras ,  préfé- 
rablement  à  toute  autre  matière,  p.  574. 
Le  soufre  des  fosses  d'aisances  est  une  pro- 
duction accidentelle  sur  les  corps  qui  con- 
tiennent de  l'acide  vitriolique ,  comme  les 
plâtras,  ib. 


Mercure. 


Observ.  sur  le  mercure  doux,  par  ^I.  Cor- 
nette. 1786.  Mém.  p.  540.  Préparation 
du  mercure  doux.  ib.  Cette  préparation 
simplifiée  et  al^régée.  ib.  Le  précipité  de 
mercure  par  l'alkali  volatil  se  combine 
plus  aisément  avec  le  sublimé  corrosif,  que 
le  précipité  de  mercure  par  l'alkali  fixe, 
p.  641. 

Mém.  sur  les  différens  états  du  sulfate  de 
mercure ,  sur  la  précipitation  de  ce  sel  par 
l'ammoniac ,  et  sur  les  propriétés  d'un  nou- 
veau sel  triple ,  ou  du  sulfate  ammoniaco- 
mercuriel ,  par  M.  FoURCRO  Y.  1 790.  p.  1 82. 
Des  différens  sulfates  de  mercure,  p.  i83. 
Décomposition  des  différens  sulfates  de 
mercure ,  par  les  alkalis  en  général ,  et  par 
l'ammoniac  en  particulier,  p.  iqS. 

Observ.  sur  la  formation  de  l'acide  nitrique 
qui  a  lieu  pendant  la  décomposition  réci- 


DE  L'ACADÉMIE.     1781—1790.      iS^ 

Chuiie.  (Mercure.) 

px'oque  de  l'oxide  de  mercure  et  de  Tam- 
luoniaC;  par  le  même.  1790.  p.  204. 


Métaux. 


Mém.  sur  la  précipitation  des  substances  mé- 
talliques les  unes  par  les  autres ,  par  M.  La- 
VoisiER.  1782.  Hist.  p.  36.  Mém.  p.  5i2. 
Travailde  M.  5erg-ma/i  sur  cet  objet.  z3.  Pré- 
cipitation de  l'argent  dissous  dans  l'acide 
nitreux  par  le  plomb,  p.  5i  5.  Par  le  cuivre, 
p.  5i6.  Par  l'étain.  ib.  Par  le  bismuth,  ib. 
Par  le  nickel,  p.  617.  Par  le  régule  d'arse- 
nic, ib.  Par  le  régule  de  cobalt,  ib.  Par  le 
zinc.  ib.  Par  le  régule  d'antimoine,  ib.  Par 
la  manganèse,  p.  5i  8.  DansVacidevitriolique 
par  le  cuivre,  ib.  Par  le  fer  battu,  ib.  Or 
dissous  dans  l'eau  régale  précipité  par  le 
le  zinc.  p.  5ig.  Par  l'étain.  ib.  Platine  dis- 
soute dans  l'eau  régale  ,  précipitée  par  le 
zinc.  p.  520.  Mercure  dissous  dans  l'acide 
nitreux ,  précipité  par  le  zinc.  ib.  Plomb 
dissous  par  l'acide  nitreux,  précipité  parle 
zinc.  ib.  Cuivre  dissous  par  l'acide  nitreux, 
précipité  parle  zinc.  p.  621.  Etain  dissous 
par  l'eau  régale,  précipité  par  le  zinc.  ib. 
Bismuth  dissous  dans  l'acide  nitreux,  pré- 
cipité par  le  zinc.  ib.  Nickel  dissous  dans 
l'eau  régale,  précipité  par  le  zinc.  p.  622. 
Régule  d'arsenic  dissous  dans  l'eau  régale, 
précipité  par  le  zinc.  ib.  Régule  d'anti- 
moine dissous  par  l'eau  régale ,  précipité 


jdo  TABLE  DES  MÉMOIRES 

Chimie.  {Métaux.) 

par  le  zinc.  p.  523.  Tableau  des  quantitt?s 
de  principe  oxigène  qui  se  combinent  avec 
lesdifl'érentessubstancesmétalliques,dans 
leur  dissolution  par  les  acides ,  et  dans  leur 
précipitation  les  unes  par  les  autres,  ib. 
Ces  quantités  cadrent-elles  avec  celles  que 
ces  mêmes  substances  absorbent  par  leur 
calcination  à  l'air  libre?  Examen  de  cette 
question,  p.  624.  Tableau  des  quantités  de 
principe  oxigène  qui  se  combinent  avec  les 
ditîérentes  substances  métalliques,  p.  628. 
Résultats  de  ce  tableau,  p.  629.  (Koy.  Acide 

NITREUX  et  OXI&ÈNE.) 

Mofette  atmosphérique. 

)bserv.  sur  un  nouveau  moyen  de  se  pro- 
curer facilement  l'espèce  "de  fluide  élas- 
tique ,  connu  sous  le  nom  de  mofette  atmos- 
phérique ,  et  sur  la  production  de  ce  gaz 
dans  les  animaux,  par  M.  de  Fourcroy. 
1786.  Mém.  p.  546.  Propriétés  de  la  mo- 
fette atmosphérique,  ib.  Six  méthodes  pour 
obtenir  cette  mofette,  insuffisantes, p.  647. 
Les  vessies  natatoires  des  poissons  con- 
tiennent cette  mofette  atmosphérique  très- 
pure,  p.  548.  Ce  fluide  élastique  est  pro- 
duit par  hi  fermentation  des  alimens  dans 
l'estomac  des  poissons,  et  passe  de  l'esto- 
mac dans  la  vessie  aérienne,  p.  649.  Appli- 
cation de  cette  théorie  aux  phénomènes 
de  la  digestion  des  animaux  carnivores , 

comparée 


DE  L'ACADÉMIE.    1781— 1790.      Ï6i 

Chimie.  (Mofette  atmosphérique.) 

comparée  à  celle  des  animaux  qui  se  nour- 
rissent de  matières  végétales,  ib.  Facilité 
de  se  procurer  à  peu  de  frais  ce  fluide  élas- 
tique pour  les  expériences,  ib. 


Nitre. 


Observ.  sur  la  décomposition  de  l'acide  ni- 
treux,  premier  Mémoire,  de  la  décompo- 
sition du  nitre  exposé  sans  mélange  à  l'ac- 
tion de  la  chaleur,  par  M.  Berïhollet. 
1781.  Hist.  p.  28.  Mém.  p.  21.  Lorsqu'on 
décompose  le  nitre  seul ,  il  passe  une  quan- 
tité d'air  vital  presqu'égal  en  poids  à  la 
moitié  de  celui  du  nitre,  et  qui  représente 
la  totalité  de  l'acide  nitreux.  p.  24.  Le  ré- 
sidu est  une  substance  alkaline  combinée 
avec  la  terre  de  la  cornue  qui  s'est  dissoute 
pendant  la  distillation,  p.  28.  Le  nitre  mêlé 
avec  le  charbon  distillé  ne  donne  plus 
d'air  vital,  p.  25.  L'Abbé  Fontana  n'a  pas 
été  exact  dans  le  compte  qu'il  a  rendu  de 
ce  Mémoire  dans  le  Journal  de  Physique, 
p.  21 ,  etc. 

Second  Mémoire,  du  nitre  exposé  à  l'action 
de  la  chaleur  avec  le  charbon  ,  le  soufre 
et  l'arsenic.  1781.  Mém.  p.  228.  Le  gaz 
qui  se  dégage  des  charlwns  avant  qu'ils 
soient  entièrement  enflammés,  est  vrai- 
semblablement ce  qui  les  rend  si  dange- 
reux dans  les  endroits  enfermés,  p.  280. 
La  biaise  qui  contient  moitié  moins  de  gaz 
que  le  charbon  est  moins  dangereuse,  par 
Tab.  des  Mat,     1781—  1790.  X 


Ida  TABLE  DES  MEMOIRES 

Chimie.  {Nitre.) 

la  même  raison  lo  cîiarbon  de  lioiiille  est 
moins  à  craindre,  ib.  La  poudre  dans  la- 
quelle on  fait  entrer  une  petite  quantité 
de  soufre  a  le  double  de  force  que  la  poudre 
qui  n'est  faite  qu'avec  du  nitre  et  du  char- 
bon, p.  282.  La  quantité  de  soufre  qui  dé- 
compose entièrement  le  nitre,  sans  faire 
explosion ,  est  le  quart  du  poids  de  ce 
dernier,  ib.  La  quantité  de  phlogistique 
contenue  dans  le  gaz  inllamniable ,  le 
soufre,  le  gaz  nitreux  et  l'arsenic,  est  à 
peu  près  en  raison  inverse  des  nombres 
suivans,  4  :  3o  :  40  :  820.  p.  233. 
Troisième  Mémoire,  du  nitre  exposé  à  l'ac- 
tion de  la  chaleur  avec  les  substances  mé- 
talliques. 1781.  IVIém.  p.  234.  Le  phlogis- 
tique  est  en  beaucoup  plus  petite  quan- 
tité dans  les  métaux  que  dans  le  charbon. 
p.  286.  Selon  M.  Lavoisier  l'augmentation 
du  poids  des  métaux  par  la  calcination  dé- 
pend d'une  partie  de  l'air  atmosphérique 
qui  se  combine  avec  eux.  p.  287.  Il  faut  dis- 
tinguer la  matière  de  la  chaleur  du  phlo- 
gistique,  quoique  ces  deux  substances  ne 
paroissent  être  qu'une  modification  du 
même  principe,  p.  241. 

Oxigene  (  Principe  ). 

Mém.  sur  rafTmité  du  principe  oxigène  avec 
les  différentes  substances  auxquelles  il  est 
susceptible  de  s'unir,  par  M.  Lavoisier. 


DE  L'ACADÉMIE.     1781—1790.      i63 

Chimie.  (  Principe  oxigène.) 

1782.  Hist.  p.  39.  Mém.  p.  53o.  Différentes 
combinaisons  du  principe  oxigène.  ib.  Les 
difierens  degrés  de  chaleur  font  varior  ces 
combinaisons,  p.  53r.  Défauts  des  tables 
d'affinités,  p.  532.  Table  des  affinités  du 
principe  oxigène  avec  les  différentes  subs- 
tances avec  lesquelles  il  est  susceptible 
de  s'unir,  p.  535.  Développement  de  ce 
tableau,  p.  536. 
Mém.  sur  l'union  du  principe  oxigène  avec  le 
fer,  par  le  môme.  1782.  Hist.  p.  37.  Mém. 
p.  541 .  Expériences  faites  sur  la  limaille  et 
des  copeaux  de  fer  avec  des  acides  plus  ou 
moins  concentrés,  p.  544.  Le  fer  dissous 
dans  l'acide  vitriolique  est  dans  l'état  d'é- 
tlîiops.  p.  546.  Les  substances  métalliques 
ne  se  dissolvent  dans  les  acides  qu'après 
avoir  été  calcinées;  ilest  probable  que  le  fer 
est  dans  ce  cas.  p.  549.  Le  fer  se  calcine  tantôt 
aux  dépens  de  l'acide,  tantôt  auxdépens  de 
l'eau,  p.  55r .  Dissolution  du  fer  dans  l'acide 
marin,  p.  552.  Dans  l'acide  de  vinaigre. 
p.  553.  Expériences  sur  la  fonte  de  fer.  ib. 
La  quantité  d'air  inflammable  qui  se  dé- 
gage d'une  dissolution  métallique  est  un 
moyen  très-exact  de  déterminer  la  quan- 
tité de  principe  oxigène  qui  s'est  combinée 
avec  le  métal,  p.  554.  Combinaison  du 
principe  oxigène  avec  le  fer  rouge,  ib. 
Application  à  la  trempe  de  l'acier,  p.  555. 
Meilleure  forme  à  donner  aux  instrumens 
destinés  à  être  trempés,  p.  558. 


i64         TABLE  DES  MÉMOIRES 

Chimie.  (Principe  oxigène.) 

Mém.  sur  la  combinaison  du  principe  oxi- 
gène avec  l'esprit-de-vin ,  l'huile  et  diff'é' 
rens  corps  combustibles ,  par  M.  Lavoi- 
siER.  1 784.  Mém.  p.  593.  Expériences  pour 
déterminer  les  quantités  d'eau  et  d'acide 
charbonneux  que  contiennent  les  diffé- 
rentes substances  inflammables,  p.  695. 
Combustion  de  l'esprit-de-vin.  p.  5g6.  Ré- 
sultats de  cette  combustion,  p.  698.  Com- 
position d'une  livre  et  d'un  quintal  d'es- 
prit-de-vin. pp.  600  et  601.  Il  s'ensuit 
qu'une  substance  très-volatile  fournit  un 
résultat  plus  pesant  qu'elle-même.  p.  6or. 
Combustion  de  l'huile  d'olive,  p.  602.  Com- 
bustion de  la  cire.  p.  6o5.  Mêmes  résul- 
tats que  pour  l'esprit-de-vin.  pp.  6o3-6o8. 
Trois  planches  qui  représentent  l'appareil 
propre  à  ces  expériences,  p.  608. 

Phlogistique. 

Réflexions  sur  le  phlogistique,  pour  servir 
de  développement  à  la  théorie  de  la  com- 
bustion et  de  la  calcination  publiée  en 
1777,  par  M.  Lavoisier.  1788.  Mém. 
p.  5o5.  Tout  s'explique  en  chimie  par  l'air 
vital  ou  principe  oxigène  combiné  avec 
la  matière  du  feu  et  de  la  chaleur ,  sans 
le  secours  du  phlogistique  de  Stalh.  ib.  Dé- 
couvertes dont  on  est  redevable  à  ce  chi- 
miste j  les  métaux  sont  des  corps  combus- 
tibles j  la  propriété  de  brûler ,  d'être  in- 


DE  L'ACADÉMIE,     1781— 1790.    V65 

CmmiE.  (Phlogistique.) 

flammable ,  peut  se  transmettre  d'un  corps 
à  un  autre ,  de  manière  qu'un  corps  com- 
bustible transmet ,  en  la  perdant ,  sa  pro- 
priété à  un  autre  corps  qui  n'étoit  pas  com- 
bustible, p.  Soy.  Exposition  de  la  théorie 
de  Stalh  sur  le  phlogistique.  ib.  Les  corps 
combustibles  augmentent  de  poids  en  se 
calcinant,  fait  dont  le  phlogistique  ne  rend 
pas  raison,  p.  5o8.  Explication  que  donne 
M.  J5(3ume ,  partisan  de  la  théorie  de  Stalh. 
ib.  Premières  expériences  de  M.  Lavoisier, 
qui  le  conduisent  à  la  découverte  d'un  gaz 
élastique  qui  se  dégage  dans  la  revivifîca- 
tion  des  métaux,  p.  5io.  La  fixation  d'une 
portion  d'air  qui  se  combine  avec  le  métal 
.;  .  pendant  la  calcination  est  la  cause  de  l'aug- 

mentation de  son  poids,  p.  5ii.  Nouveau 
système  de  M.  Macquer,  qui  diffère  de 
celui  de  Stalh ,  quoique  son  but  soit  de  le 
défendre,  p.  5 12.  Insuffisance  du  système 
de  M.  Macquer.  p.  5i5.  Différentes  accep- 
tions données  au  mot  phlogistique.  p.  5 16. 
On  en  a  fait  un  principe  vague  qui  n'est 
point  défini  et  qui  s'adapte  à  toutes  les 
explications  dans  lesquelles  on  veut  le  faire 
entrer,  p.  SaS.  Considérations  sur  la  nature 
de  la  chaleur  et  sur  les  effets  généraux 
qu'elle  produit,  ib.  Définitions  précises  des 
différens  états  du  fluide  igné  ou  principe 
de  la  chaleur,  p.  526.  Ce  que  c'est  que  la 
chaleur  sensible,  p.  628.  Quatre  princi- 
paux phénomènes  qui  accompagnent  la 


i66         TABLE  DES  MEMOIRES 

Chimie.  (Phhgistique.) 

combustion,  p,  629.  Développement  de  ces 
principes,  p.  53o.  Circonstances  les  plus 
favorables  pour  obtenir  un  grand  dégage- 
ment de  la  matière  de  la  chaleur,  p.  532. 
Ce  qu'on  doit  entendre  par  ignition ,  inflam- 
mation et  détonation,  p.  533.  Un  corps  com- 
bustible est  celui  qui  a  la  propriété  de  dé- 
composer l'air  vital  et  avec  lequel  le  prin- 
cipe oxigène  a  plus  d'affinité  qu'avec  la 
matière  de  la  chaleur,  p.  535.  Phénomène 
qui  a  lieu  dans  le  mélange  de  l'acide  vitrio- 
lique  avec  l'eau,  p.  536.  Causes  des  varia- 
tions que  les  corps  éprouvent  par  l'effet 
du  chaud  et  du  froid,  p.  537.  (  Voy.  C  ALCI- 

NATION.  ) 

Phosphore.  Voy.  Acides  de  différentes 

ESPÈCES. 

Pierres  précieuses.  Voyez  Feu. 

Poids  {Augmentation  de). 

Nouvelles  réflexions  sur  l'augmentation  de 
poids  qu'acquièrent  en  brûlant  le  soufre 
et  le  phosphore,  et  sur  la  cause  à  laquelle 
on  doit  l'attribuer  ,  par  M.  Lavoisier. 
1783.  Mém.  p.  416.  Dans  l'acte  de  la  com- 
bustion il  se  combine  une  portion  con- 
sidérable d'air  vital  avec  le  phosphore ,  ce 
principe  devient  une  partie  constituante 
de  l'acide  phosphorique ,  auquel  il  doit 
principalement  et  peut-être  uniquement 
son  acidité,  ib.  Objections  de  M.  Bergman 


DE  L'ACADEMIE.     1781— 1790.       167 

Chimie.  (  Augmentation  de  poids.  ) 

contre  cette  théorie,  ib.  Expérience  dont 
le  résultat  i-épond  à  l'objection,  p.  418. 
La  quantité  de  chaleur  qui  s'échappe  de 
92  grains  de  phosphore  c]ui  brûle  n'a  pas 
de  pesanteur  sensible,  p.  421.  L'augmen- 
tation de  poids  dans  le  phosphore  et  le 
soufre  qui  brûlent  ne  peut  pas  être  ex- 
pliquée par  la  fixation  de  la  chaleur,  ib. 
L'absorption  ,  ou  plutôt  la  décomposition 
de  l'air  vital  peut  seule  l'expliquer,  ib. 
(  Voyez  Phlogistîque  et  Acides  de  dif- 
férentes ESPÈCES.) 
Raisins  fermentes.  Foyez  Acide  carbo- 
nique. 

Respiration. 

Premier  Mémoire  sur  la  respiration  des  ani- 
maux ,  par  MM.  Lavoisier  et  Seguin. 
1789.  Mém.  p.  566.  Tout  ce  qui  est  relatif 
à  la  respiration  n'a  pu  être  bien  connu 
que  depuis  les  nouvelles  découvertes  faites 
sur  les  airs,  les  gaz  et  l'air  atmospliérique 
en  particulier-,  ib.  Précis  des  découvertes 
de  M.  Lavoisier  sur  ces  objets,  p.  568.  La 
respiration  n'est  cju'une  combustion  lente 
de  carbone  et  d'hydrogène,  p.  570.  Suite 
d'expériences  pour  prouver  cette  propo- 
sition, p.  572.  M.  Seguin  se  soumet  à  ces 
expériences  ,  leurs  résultats  p.  575.  Quan- 
tité d'air  vital  qu'on  consomme,  p.  577.  1.& 
corps  de  l'hounne   se  prête  à  toutes  les- 


i68  TABLE  DES  MÉMOIRES 

Chimie.  (  Respiration.  ) 

circonstances  physiques  où  il  se  trouve, 
p.  579.  Trois  régulateurs  principaux  gou- 
vernent la  machine  animale,  p.  58o.  Appli- 
cation de  ces  principes  à  l'art  de  la  mé- 
decine, p.  582.  Réponse  à  une  objection 
qu'on  peut  faire  contre  ces  principes, 
p.  583. 

Sel  ammoniac.  Voyez  Ammoniac. 

Sel  secret  de  Glauber.  Voyez  Ammo- 
niac. 

Sel  de  verre. 

Mém.  sur  une  détonation  produite  par  une 
substance  connue  sous  le  nom  de  sel  de 
verre,  lorsqu'étant  en  fusion  on  le  jette 
dans  de  l'eau ,  par  M.  Fougerqux  de 
BONDAROY.  1788.  Mém.  p.  386.  Le  verre 
en  parfaite  fusion  jeté  dans  l'eau,  ne  pro- 
duit point  de  détonation,  ib.  Le  sel  de 
verre  surnage  le  verre  en  fusion  jeté  dans 
l'eau,  il  détone  d'une  manière  effrayante, 
p.  387.  Précautions  à  prendre  pour  éviter 
les  accidens.  ib.  Ils  n'ont  lieu  que  quand 
le  sel  de  verre  provient  des  soudes  de  va- 
rech, p.  388.  Soupçons  sur  la  cause  de  ce 
phénomène,  p.  389. 

Soufre.  Voyez  Acides  {de  différentes 
espèces.  ) 


Suite 


DE  L'ACADÉMIE.     1781  —  1790.      169 

Chimie.  (  Comparaison  des  substances  animales  et 
végétales.  ) 

Suite  des  recherches  sur  la  nature  des  subs- 
tances animales,  et  sur  leurs  rapports  avec 
les  substances  végétales ,  par  M.  Ber- 
THOLLET.  1785.  Mém.  p.  33i.  Résultats  du 
Mémoire  sur  le  môme  objet,  présenté  à 
l'Académie  en  1779.  ih.  Gaz  que  produit 
la  soie  mêlée  avec  l'acide  nitreux.  p.  332. 
Les  substances  végétales  traitées  avec 
l'acide  nitreux  donnent  du  gaz  nitreux 
mêlé  avec  de  l'air  fixe.  p.  334.  Discus- 
sion sur  la  nature  de  l'acide  nitreux.  ib. 
L'épreuve  de  la  pureté  de  l'air  par  le  gaz 
nitreux  est  sujette  à  des  inexactitudes. 
p.  336.  Nature  du  gaz  inflammable  des 
marais,  p.  340.  Expériences  faites  avec 
l'eudiomètre.  p.  341.  Nature  du  gaz  char- 
bonneux, p.  345.  La  mofette  contient  tou- 
jours de  l'alkali  volatil,  p.  346.  Combi- 
naison de  la  mofette  avec  le  gaz  inflam- 
mable pour  former  de  l'alkali  volatil. 
p.  347.  La  mofette  appartient  aux  subs- 
tances animales  qui  sont  sujettes  à  la  pu- 
tréfaction j  les  substances  végétales  pro- 
duisent de  l'esprit  ardent,  lorsqu'elles  se 
trouvent  dans  des  circonstances  favora- 
bles, ib.  L'acide  phosphorique  se  trouve 
dans  les  premières  et  non  dans  les  se- 
condes, p.  348. 

Terres  calcaires.  Voyez  Chaux. 

Tah.  des  Mat.     1 781  — 1790.  Y 


170         TABLE  DES  MÉMOIRES 
Chimie.  (Transpiration.) 

Premier  Mémoire  sur  la  transpiration  des 
animaux,  par  MM.  La  voisiER  et  SÉGUIN. 
1790.  p.  601.  La  macliine  animale  gou- 
vernée par  trois  régulateurs  principaux, 
la  respiration,  la  transpiration  et  la  diges- 
tion, ib.  Efiets  de  la  respiration  et  de  la 
transpiration  dans  les  différentes  tempéra- 
tures, p.  602.  Causes  de  l'état  de  maladie,  zè. 
Ce  qu'on  entend  par  transpiration,  p.  6o3. 
Transpiration  cutanée  et  transpiration  pul- 
monaire, ib.  Expériences  de  Sanctorius  sur 
la  transpiration,  ib.  De  Dodart.rt.  604.  Dé- 
tails des  expériences  faites  par  les  auteurs. 
p.  6o5.  Circonstances  qui  ont  lieu  pendant 
la  respiration,  p.  606.  Produits  séparés  de 
la  transpiration  pulmonaire  et  de  la  trans- 
piration cutanée,  p.  607.  Perte  de  poids 
qu'éprouve  en  24  heures  un  individu ,  par 
la  transpiration  cutanée  et  pulmonaire. 
p.  608.  Le  corps  revient  toutes  les  24  heures 
au  môme  poids  qu'il  avoit  la  veille ,  s'il 
est  en  santé,  p.  611.  Compensation  admi- 
rable établie  par  la  nature  ou  plutôt  son 
auteur,  ib. 

Vin  lithargiré.  Foyea  Litharge. 

Vinaigre  radical. 

Mém.  sur  la  diff'érence  du  vinaigre  radical 
etdel'acidenitreux,parM.BERTnoLL£T. 
1783.  Mém.  p.  4o3.  Le  vinaigre  radical  a 
plus  d'action  que  le  vinaigre  distillé,  ib. 


DE  L'ACADEMIE.     1781-1790.      i^t 

C'BmiE,  {Vinaigre  radical.) 

Y  a-t-il  des  différences  réelles  entre  ces 
deux  liqueurs,  et  à  quoi  tiennent  ces  diffé- 
rences?/^.  Expériences  qui  prouvent  que 
l'acide  radical  a  des  différences  essentielles 
qui  le  distinguent  de  l'acide  nitreux.  p.  406. 
Il  a  avec  les  alkalis  une  affinité  supérieure. 
ib.  Comment  l'acide  acéteux  peut-il  ac- 
quérir ces  propriétés  lorsqu'il  se  conver- 
tit en  acide  radical?  ib.  Lorsqu'on  forme 
l'acide  radical  dans  la  distillation  des  cris- 
taux de  verdet ,  il  se  fait  un  échange  entre 
la  chaux  de  cuivre  et  l'acide  nitreux ,  et  ses 
propriétés  acides  se  trouvent  rehaussées. 

S.  407,  Moyens  de  simplifier  la  fabrication 
u  verdet.  ib. 

GÉoeRAPHiE  ET  NAVIGATION.  {Trébizonde.) 

Mém.  sur  la  position  de  Trébizonde,  d'Aiz- 
Roum  et  de  quelques  autres  villes  de  l'Asie 
occidentale,  par  M.  Buache.  1781.  Hist. 
p.  49.  Mém.  p.  421  ,  avec  une  carte  qui 
présente  le  parallèle  des  différens  systèmes 
sur  la  position  de  Trébizonde  et  sur  l'éten- 
due et  la  figure  de  la  mer  Caspienne. 

Rivière  de  Saint-Domingue. 

Extraits  des  obsei'vations  qui  décident  de  la 
position  géographique  de  la  ville  et  em- 
bouchure de  la  rivière  de  Saint-Domingue, 
par  M.  Lemonnier.  1783.  Mém.  p.  97.  Il 


lya  TABLE  DES  MÉMOIRES 

GÉOGRAPHIE  ET  Navigation.  {Rivière  de  Saint- 
Domingue.  ) 

résulte  de  ces  observations,  que  la  longi- 
tude géographique  de  Saint-Domingue 
doit  être  réduite  à  moins  de  72''  3o  '  au  lieu 
de  78'  45  '  adoptée  dans  les  cartes  les  plus 
récentes,  p.  100. 

Usage  des  horloges  marines. 

Mém.  sur  l'usage  des  horloges  marines  rela- 
tivement à  la  navigation  et  surtout  à  la 
géographie,  où  l'on  détermine  la  diffé- 
rence en  longitude  de  plusieurs  points  des 
Antilles  et  des  côtes  de  l'Amérique  septen- 
trionale, avec  le  fort  royal  de  la  Marti- 
nique, ou  avec  le  Cap-Français  de  Saint- 
Domingue  ,  par  des  observations  faites  pen- 
dant la  campagne  de  M.  le  Comte  à'Estaing 
en  1778  et  1779,  et  celle  de  M.  le  Comte 
de  Grasse,  en  1 781  et  1782,  par  M.  le  Mar- 
quis de  Chabert.  1783.  Mém.  p.  49. 
Exactitude  des  horloges  marines  constatée 
par  les  expériences,  ib.  Degré  d'exactitude 
exigée  pour  la  solution  du  problème  de  la 
longitude,  ib.  Avantages  qu'on  peut  en 
tirer  pour  le  succès  des  expéditions  en 
temps  de  guerre,  p.  5o.  Motifs  qui  déter- 
minent l'auteur  à  s'cmbarcfucr.  ib.  Leur 
emploi  est  presqu'aussi  facile  que  les  opé- 
rations ordinaires  du  pilotage,  p.  5i.  Se- 
cours pour  ceux  qui  sont  chai'gés  de  ces 
;    .'  horloges. /&.  Exemples  de  leur  utilité  pour 


DE  L'ACADÉMIE.     1781—1790.       178 

GÉOG-RAPHiE   ET  NAVIGATION.  {Usage  des  hor- 
loges mannes.  ) 

la  navigation,  ib.  On  peut  avec  les  hor- 
loges marines  mesurer  assez  exactement 
la  direction  et  la  vitesse  des  courans.  p.  62. 
Plus  gi-ande  vitesse  du  courant  de  Baba  m  a 
trouvée  de  3  '-  milles  par  heure,  p.  54.  Opi- 
nion sur  l'inclinaison  de  ce  courant  à  la 
rencontre  des  eaux  du  fleuve  Saint-I.au- 
rent  et  autres,  confirmée  par  M.  Franklin. 
p.  55.  Inconvéniens  des  horloges  à  poids, 
plus  avantageux  de  n'en  construire  qu'à 
ressort,  p.  56.  Nécessité  d'en  observer  la 
marche  dans  le  port  pendant  deux  mois 
avant  le  départ,  ih.  Uniformité  du  mou- 
vement des  deux  horloges  à  ressort  assez 
bien  soutenu,  p.  ôy.  Réserve  avec  laquelle 
on  doit  faire  usage  des  horloges  marines 
pour  les  déterminations  géographiques,  ib. 
La  découverte  des  horloges  marines  est 
au  moins  aussi  utile  pour  la  géographie 
que  pour  la  navigation,  ib.  Nécessité  de 
perfectionner  les  cartes,  p.  58.  Raisons  qui 
firent  différer  à  l'auteur  son  travail  sur 
l'Archipel  de  la  Méditerranée  jusqu'à  l'exé- 
cution des  horloges  marines,  ib.  Exemples 
de  leur  application  à  la  géographie  ;  lon- 
gitude du  Cap  Ilinlopen  à  l'entrée  de  la 
Délaware.  p.  59.  Latitude  de  la  tour  à  feu 
de  la  Délawaro.  ]i.  60.  Diflérenco  en  lon- 
gitude entre  la  tour  de  la  Délaware  et 
celle  de  Sandy-Hook.  ib.  Latitude  de  la 
tour  de  Sand^/^-IIook.  p.  61.  Latitude  do 


174         TABLE  DES  MEMOIRES 

GÉOGRAPHIE  ET  NAVIGATION.  (  Usage  des  hor- 
loges mannes.  ) 

l'entrée  de  la  rade  de  Boston,  ib.  Longi- 
tude de  l'isle  de  Wattelin  au  débouque- 
ment  de  Krooked.  p.  62.  Longitude  de  la 
tour  à  feu  de  Savanah.  ib.  Latitude  de  cette 
tour.  ib.  Longitude  de  l'extrémité  S.  O.  de 
Tabago.  p.  63.  Longitude  de  l'extrémité 
N.  E.  de  la  Grenade,  ib.  Longitude  du  fort 
royal  de  la  Grenade  et  de  l'extrémité  S.  O. 
de  cette  ile.ib.  Longitude  de  la  Tortue  au 
nord  de  Saint-Domingue,  ib.  Passage  de 
l'armée  par  le  vieux  canal  au  nord  de  l'ile 
de  Cube.  p.  64.  Latitude  de  la  petite  île 
de  Cayeromaine  à  la  côte  nord  de  l'ile 
de  Cube.  ib.  Sa  longitude,  ib.  Longitude 
du  port  de  Matance  au  nord  de  l'île  de 
Cube.  p.  65.  Longitude  du  Pain-de-Ma- 
tance.  ib.  Longitude  du  Cap  Henri  à  l'entrée 
de  la  baie  de  Chésapéak.  ib.  Sa  latitude,  ib. 
Longitude  de  la  ville  de  Basse-Terre  à 
Saint -Cbristoplie.  p.  66.  Sa  latitude,  ib. 
Longitude  de  la  ville  des  Boseaux  à  la 
Dominique,  ib.  Longitudes,  l'oyez 
Astronomie  {Soleil,  Eclipses.) 

Ile  de  Frislande. 

Mém.  sur  l'ile  de  Frislande,  par  M.  Bu  acjie. 
1784.  Mém.  p.  4.30.  Preuves  de  l'existence 
de  l'isle  de  Frislande.  ib.  MM.  P'crdun, 
Borda  el  Pingre  ne  croient  pas  à  son  exis- 
tence, p.  482.  Sa  position  peut  être  dé- 


DE  L'ACADÉMIE.     1781  — 1790,      175 

GÉOGRAPHIE  ET  NAVIGATION.  (  Usage  des  hor- 
loges marines.  ) 

fectueuse  dans  les  cartes  et  son  nom  altéré. 
p.  486.  Précis  de  la  relation  de  Zeni,  et 
copie  de  sa  carte  (  à  la  fin  du  Ménaoire). 
p.  487.  Conséquences  de  cette  relation  et 
de  cette  carte,  p.  442.  Comparaison  de  la 
carte  de  Frislande  avec  celle  de  Fer-Oë. 
p.  447.  Quels  sont  les  fondemens  de  la 
position  que  les  géographes  lui  ont  assi- 
gnée, p.  452.  Conséquences  de  cette  dis- 
cussion, ib. 

Géographie  de  Ptolémée. 

Mém.  sur  la  géographie  de  Ptolémée ,  et  par- 
ticulièrement sur  sa  description  de  l'inté- 
rieur de  l'Afrique,  par  M.  BUACHE.  1787. 
Mém.  p.  119.  Observation  sur  cette  géo- 
graphie, p.  1 20.  Les  jugemens  divers  qu'on 
en  a  porté  sont  fondés,  ib.  Preuves  de  la 
justesse  de  ces  ditï'érens  jugemens. /3.  Carte 
contenant  la  Lybie  intérieure,  l'Ethiopie 
avec  rEg3^pte  et  l'Ethiopie  intérieure,  ex- 
traite de  la  carte  d'Afrique  ,  n°  iv  de  la 
Géographie  de  Ptolémée.  p.  126.  Utilité 
d'un  voyage  en  Afrique  pour  bien  con- 
noîlre  l'intérieur  de  ce  pays.  p.  127. 

Nouvelle  Bretagne. 

Eclaircisseraens  géographiques  sur  la  Nou- 
velle-Bretagne et  sur  les  côtes  septentrio- 


176  TABLE  DES  MÉMOIRES 

GÉoGUAPHiE  ET  NAVIGATION.  (  Géographie  de 
Ptolémée.  ) 

nales  de  la  Nouvelle-G  uinée ,  par  le  même. 
1787.  Mém.  p.  128.  Imperfection  des  cartes 
publiées  par  Dampier  et  par  le  Capitaine 
Carteret  sur  ces  pays.  ib.  Ils  sont  peu 
connus,  p.  129.  Découvertes  modernes. 
p.  i3i.  Examen  des  anciennes  cartes. 
p.  i35.  Deux  cartes  pour  l'intelligence  de 
ce  Mémoire,  p.  146. 

Longitude  de  Dantzick. 

Sur  la  longitude  de  Dantzick ,  par  M.  de 
Lalande.  1787.  Mém.  p.  228. 

Mer  Caspienne. 

Observ.  sur  la  position  de  la  mer  Caspienne , 
par  le  même.  1787.  Mém.  p.  226.  Elle  est 
déterminée  par  l'observation  de  la  fin  de 
l'éclipsé  de  lune  du 3o juin  1787, observée 
à  Casbine ,  par  M.  de  Beauchamp.  p.  227. 
Observations  faites  dans  le  même  dessein 
à  Ispahan.  p.  228. 

Ports  de  la  côte  des  Arsacides. 

De  la  situation  sur  le  globe  terrestre  des 
principaux  ports  de  la  côte  des  Arsacides 
dans  la  mer  du  sud,  à  l'orient  de  la  Nou- 
velle-Guinée, par  M.  Lebionnier.  1790. 
p.  i.Tentavives  faites  par  l'Académie  pour 
perfectionner  les  cartes,  p.  3. 

Mém, 


DE  L'ACADÉMIE.     1781— 1790.      177  ' 

Géographie  ET  Navigation.  {Intérieur  de 
r Afrique.  ) 

Mém.  sur  l'intérieur  de  l'Afrique  ,  par  M.  de 
Lalande.  1790.  p.  553.  Ignorance  absolue 
de  près  de  800  lieues  de  ce  pays.  ib.  Pre- 
•mière  Partie,  sur  la  direction"  du  Niger. 
p.  554.  Divers  auteurs  et  voyageurs  qui 
en  ont  parlé,  p.  555.  Le  iNiger  prend  sa 
source  à  l'Orient  de  l'Afrique  et  tondre  dans 
l'Océan  au-dessus  du  Cap- Vert ,  sous  le  * 
nom  de  Sénégal,  p.  562.  Seconde  Partie, 
sur  l'intérieur  de  l'Afrique,  p.  563,  On  peut 
traverser  l'Afrique  en  allant  du  Sénégal 
à  la  mer  Rouge,  preuves,  ib.  Ce  voyage 
seroit  plus  facile  aux  Français  qu'à  aucune 
autre  nation,  p.  58 1. 

Navigation  intérieure  de  la  Bretagne. 

Rapport  fait  à  l'Académie  des  Sciences,  par 
MM.  l'Abbé  BossuT,  l'Abbé  Rochon, 
de  FouRCROY  et  le  Marquis  de  Condor- 
cet,  sur  la  navigation  intérieure  de  la 
Bretagne.  1785.  Hist.  p.  iir.  Jonction  de 
plusieurs  rivières  par  des  canaux,  ib.  Prin- 
cipes généraux  qui  doivent  servir  de  guide 
dans  cette  opération,  ib.  Article  premier, 
communication  entre  Saint-Malo  et  l'em- 
bouchure de  la  Vilaine,  p.  11 3.  Article 
second, communication  de  Brestàl'Oricnt. 
p.  116.  Article  troisième,  de  la  communi- 
cation entre  le  Blavet  et  la  Vilaine ,  par  la 
rivière  d'Ouest,  p.  1 18.  Article  quatrième, 
Tab,  des  Mat.     1 781  — 1790.  Z, 


178  TABLE  DES  MÉMOIRES 

GÉOGRAPHIE  ET  NAVIGATION.  (Navigation  inti^ 
rieure  de  la  Bretagne.) 

communication  de  la  Loire  avec  la  Vi- 
laine par  Nantes,  p.  1 19.  Article  cinquième, 
de  la  communication  de  la  Loire  à  la 
Vilaine  par  Angers,  p.  121.  La  province 
de  la  Bretagne  ne  peut  être  chargée  que 
d'une  partie  de  la  dépense,  p.  126.  Ce  83-8- 
tème  de  navigation  proposé  pour  la  Bre- 
tagne est  une  opération  unique,  qu'on 
peut  diviser  en  plusieurs  parties,  à  la  vé- 
rité ,  mais  dont  chacune  est  liée  avec  toutes- 
les  autres,  p.  127, 


Voyages. 


'ôhserv.  faites  dans  un  voyage  aux  Terres 
australes, en  i773et  i774,parM.LEPAUTE 
d'Agelet.  1788.  Mém.  p.  487.  Hauteur 
des  marées  au  Cap  de  Bonne-Espérance. 

E.  490.  Mesure  d'une  montagne  avec  le 
aroiTiètre.  ib.  Longitude  de  Foulpointe. 
ib.  Observation  de  l'éclipsé  de  lune  du 
3o  septembre  1 778  à  l'Ile  de  France,  p. 49 1 . 
Température  de  l'hémisphère  austral., 
p.  493.  Table  des  observations  raétéorol. 
p.  494.  Aurore  australe,  p.  496.  Plantes 
trouvées  dans  les  îles  de  cet  hémisphère, 
p.  497.  Carte  de  ces  îles.  p.  498.  Observa- 
tion de  l'éclipsé  de  soleil  du  12  mars  1774. 
tv  Madagascar,  p.  499.  Exactitude  de  l'hor- 
loge marine,  n"  8,  de  M.  Bcrthoud.  p.  5oo. 
Table  de  la  pesiuiteur  de  l'eau  de  la  mer 


DE  L'ACADÉMIE.    1781—1790.     179 

GÉOGRAPHIE  ET  NAVIGATION.  (VoyOgCS.) 

d'après  l'aréomètre  de  M.  Baume,  p.  5o3. 
Température  de  l'eau  de  la  mer  à  difi'é- 
rentes  profondeurs,  ib.  l'iusieurs  planches 
qui  terminent  ce  Mémoire,  p.  5o2. 
Animaux  {Mouvemens des).  Foy. Plantes. 
(  Botanique.  ) 

Histoire  naturelle  des  animaux.  {Dents.) 

Considérations  sur  les  dents  en  général,  et 
sur  les  organes  qui  en  tiennent  lieu.  Pre- 
mier Mémoire,  comparaison  entre  les  dents 
de  l'homme  et  celles  des  quadrupèdes,  par 
M.  Broussonet.  1787.  Mém.  p.  55o.  Les 
dents  se  divisent  en  osseuses  ou  émaillées, 
en  crétacées  et  en  cornées,  ib.  Les  dents 
varient  dans  difFérens  quadrupèdes  depuis 
dix  jusqu'à  cinquante  j  le  nombre  est  le 
même  aux  parties  latérales  de  chaque  mâ- 
choire, p.  55i.  Il  est  de  trente-deux  dans 
les  hommes  et  dans  les  singes,  ib.  L'élé- 
phant n'en  a  que  dix.  ib.  Différences  entre 
les  dents  des  herbivores  et  des  carnivores, 
surtout  entre  celles  de  ces  derniers,  ib. 
Raisons  de  cette  différence,  p.  552.  Forme 
des  dents  des  quadrupèdes  carnivores,  ib. 
Formation  du  tartre  dans  les  dents  de 
l'homme,  dépend  de  l'usage  des  liqueurs 
fermentées  et  des  alimens  pris  très-chauds 
et  très-froids,  ib.  Couleur  des  dents  des 
herbivores  rongeurs  et  des  ruiuinans.  ib. 
Email  des  différentes  d-ents.  p.  553.  Nature 


i8o  TABLE  DES  MÉMOIRES 

Histoire  naturelle  des  animaux.  {Dents.) 

de  cet  émail,  p.  555.  Les  dents  destinées 
à  la  nianducation  et  à  servir  de  défense, 
p.  556.  Diflérens  ordres  de  dents,  les  in- 
cisives, les  canines  et  les  molaires,  p.  557- 
Position  de  ces  dents  dans  les  diflierens 
quadrupèdes,  ib.  Les  défenses  des  éléphans 
ne  sont  point  des  cornes,  et  sont  des  dents, 
p.  559.  Usage  des  différentes  espèces  de 
dents,  p.  56 1.  Conformation  des  mâchoires 
desrumiuansdifférente  de  cellcsdesautres 
quadrupèdes,  p.  562.  Position  respective 
des  dents  dans  les  carnivores  et  les  herbi- 
vores, p.  566. 

Loup  marin. 

Observ.  sur  le  loup  marin ,  par  M.  Brous- 
SONET.  1785.  Mém.  p.  161.  Cet  animal 
diffère  d'un  autre  poisson  connu  sous  le 
nom  de  loup.  ib.  Sa  description,  p.  162.  Son 
allure,  p.  169.  Cause  de  la  dureté  de  la 
chair  de  certains  poissons,  ib.  Planche  qui 
représente  ce  poisson,  p.  168. 


Mouches. 


Mém.  sur  les  vers  de  truffe ,  et  sur  les  mouches 
qui  en  proviennent ,  par  M.  Morand. 
1782.  Hist.  p.  17.  Mém.  p.  3i8.  La  mouche 
dont  il  s'agit  ici  diffère  de  celle  dont  parle 
M.  Geoffrai  le  jeune,  et  paroît  semblable, 
du  moins  dans  son  état  de  ver,  à  celle  que 


DE  L'ACADÉMIE.    1781— 1790.      181 
Histoire  naturelle  des  animaux.  {Mouches.) 


M.  de  Réaumur  n'a.  pu  observer  dans  l'état 
de  mouche,  p.  819. 


Oiseaux. 


Mém.  sur  quelques  nouvelles  espèces  d'oi- 
seaux des  cotes  de  Barbarie,  par  M.  Des- 
FONTAINES.  1787.  Méni.  p.  496.  Descrip- 
tion de  ces  oiseaux,  i".  l'outarde,  appelée 
hobara  par  les  Arabes,  ib.  2".  Le  merle 
fauve,  p.  498.  3°.  Le  merle  barbu,  p.  5oo. 
4°.  La  caille  des  bois.  ib.  5".  La  gelinotte 
cl  bandes  noires,  p.  5o2.  6".  Le  faucon  ])leu. 
p.  5o3.  7".  La  liupe  aux  pieds  d'alouette. 
p.  504.  Sept  planches  représentant  chacun 
de  ces  oiseaux,  ib. 


Poissons. 


Mém.  pour  servir  à  l'Histoire  de  la  respira- 
tion des  poissons,  par  M.  Broussonet. 
1785.  Mém.  p.  174.  I,a  ditférence  des  or- 
ganes de  la  circulation  est  toujours  eu 
raison  de  celle  qu'on  observe  dans  ceux 
de  la  respiration,  ib.  Diflérence  entre  les 
animaux  qui  ne  respirent  que  de  l'air  et 
ceux  qui  ne  respirent  que  de  l'eau,  p.  17,5. 
Différence,  quant  à  cet  objet,  entre  les 
poissons  cartilagineux  et  les  poissons  épi- 
neux, p.  1 76.  Variétés  de  la  forme  du  cœur 
dans  les  poissons,  p.  177.  Cet  organe  est 
proportionnellement  plus  petit  dans  les 


i82  TABLE  DES  MÉMOIRES 

Histoire  naturelle  des  animaux.  (Po/5^0/25.) 

poissons  que  dans  les  autres  animaux,  ib. 
Les  animaux  les  plus  féroces  ont  le  cœur 
plus  volumineux,  p.  178.  Les  poissons  cjui 
ont  les  ouies  les  plus  grandes  ont  aussi  le 
cœur  le  plus  gros.  ib.  Les  poissons  qui 
vivent  dans  la  vase  ont  le  cœur  très-petit. 
p.  179.  Le  cœur  des  poissons  n'a  qu'une 
seule  oreillette  et  un  seul  ventricule,  p.  1 80. 
L'artère  branchiale  dans  les  poissons  est 
la  seule  dont  le  battement  soit  sensible. 
p.  t8i.  Différentes  structures  des  ouïes. 

f).  182.  Les  organes  de  la  respiration  dans 
es  cartilagineux  sont  beaucoup  plus  éten- 
dus que  dans  les  autres  poissons,  p.  184. 
Usage  de  la  membrane  des  ouïes,  p.  186. 
La  quantité  de  sang  dans  les  animaux  est 
toujours  en  raison  de  la  perfection  de  leur 
respiration,  p.  188.  Les  poissons  dans  l'eau 
ne  peuvent  supporter  un  degré  de  chaleur 
égal  à  celui  que  supportent  les  animaux 
dans  l'air,  ib.  Expériences  sur  le  degré  de 
chaleur  supporté  par  différens  poissons. 
p.  189.  Les  degrés  varient  suivant  la  saison 
et  suivant  la  forme  des  organes  de  la  res- 
piration, ib.  Ils  ne  peuvent  se  soutenir  que 
dans  une  échelle  à  peu  près  de  So'  du  ther- 
momètre de  Réaumur  au-dessus  de  zéro. 
p.  191.  La  chaleur  intérieure  des  poissons 
n'excède  guère  que  ij"*  celle  de  l'eau,  ib. 
C'est  à  la  respiration  qu'il  faut  attribuer 
le  développement  de  la  chaleur  des  pois- 
sons, p.  192.  Les  variations  de  froid  et  de 


DE  PACADÉMIE.     1781—1790.      i83i 

Histoire  naturelle  des  animaux.  {Poissons.) 

chaleur  sont  moindres  dans  l'eau  que  dans 
l'air,  ib.  Lorsque  le  temps  menace  de  la 
pluie ,  les  poissons  montent  à  la  surface  de 
l'eau  pour  se  nourrir  des  insectes  c]ui  s'y 
précipitent  alors,  p.  198.  Leur  émigration 
doit  être  attribuée  aux  grandes  variations 
de  l'atmosphère,  ib.  Ceux  c[ui  n'émigrent 
pas  demeurent  engourdis  dans  la  vase.  ib. 
Les  poissons  résistent  aux  changemens  que 
la  pureté  de  l'eau  peut  éprouver,  p.  194. 
Observât,  sur  la  régénération  de  quelques 
parties  du  corps  des  poissons,  par  le  même. 
1786.  Mém.  p.  684.  La  régénération  est 

f)lus  commune  parmi  les  animaux  dont 
'organisation  est  la  moins  parfaite,  ib.  Cette 
régénération  a  ordinairement  lieu  dans  les 
parties  molles,  p.  685.  Régénération  dans 
les  pattes  des  écrevisses  et  des  salamandres. 
ib.  Les  nageoires  se  reproduisent  dans  les 
poissons,  ib.  Progrès  de  cette  reproduction 
dans  le  poisson  clore  de  la  Chine,  p.  686. 
Les  nageoiresse  reproduisent  plusou  moins 
lentement ,  selon  qu'elles  sont  plus  ou. 
moins  utiles  à  l'animal,  p.  687.  La  repro- 
duction n'a  lieu  que  lorsqu'il  reste  une 
partie  des  osselets,  ib. 
Poisson  électrique.  Voyez  Trembleur, 

Sûaid  [poisson.  ) 

Description  d'un  poisson  du  genre  dessilureS;^. 
appelé  shaid  ou  sliaidcrj^Sii:  les  Allemands_,, 


i84  TABLE  DES  MÉMOIRES 

Histoire   naturelle   des   animaux.  {Shaid, 
poisson.  ) 

par  M.  FouGEROux  de  Bondaroy.  1784. 
Méni.p.  216.  Ce  puisson  est  du  môme  genre 
que  le  trembleur  dont  M.  Broussonet  a 
donné  la  description,  ib.  Description  de 
ce  poisson,  p.  218.  Il  est  très-grand  et  pèse 
de  i5o  à  400  livres,  p.  227.  Planche  qui 
le  représente,  p.  228. 

Trachée-artere. 

Observ.  sur  la  disposition  de  la  trachée- 
artère  de  différentes  espèces  d'oiseaux, 
et  surtout  de  l'oiseau  appelé  Pierre  par 
M.  DaubENTON.  1781.  Hist.  p.  12.  Mém. 
p.  369.  La  longueur  de  la  trachée-artère 
proportionnée  à  celle  du  cou.  p.  870.  Le 
nombre  des  vertèbres  du  cou  varie  dans 
les  difiërens  oiseaux,  ib.  Dans  plusieurs 
oiseaux  la  trachée-artère  est  plus  longue 
que  le  cou.  p.  871.  Dans  l'oiseau  appelé 
Pierre ,  la  trachée-artère  n'entre  pas  dans 
le  sternum ,  mais  elle  s'étend  au-dehors 
de  la  poitrine,  sous  la  peau,  et  y  revient 
ensuite,  p.  878.  Caractère  qui  distingue  le 
Pierre  des  autres  oiseaux,  p.  874.  C'est  celui 
dont  le  canal  de  la  trachée-artère  est  le 
plus  long.  p.  875.  La  disposition  de  la  tra- 
chée-artère peut  rendre  le  cri  des  oiseaux 
plus  éclatant,  p.  876. 


Mém. 


•  ♦ 


DE  L'ACADÉMIE.     1781-1790.       i85 

Histoire  naturelle  des  ANniAux.[Tremblcur.) 

Mém.  sur  le  IremblGur,  espèce  peu  connue 
de  poisson  électrique,  par  M.  Brousso- 
NET.  1782.  Mém.  p.  692.  Différentes  ex- 
plications de  la  propriété  qu'ont  certains 
poissonsd'engourdir  ceux  qui  les  touchent. 
ib.  L'électricité  est  la  vraie  cause,  p.  6g3. 
Difiérens  poissons  électriques,  ib.  M.Adan- 
son ,  dans  son  Voyage  au  Sénégal ,  parle 
du  trembleur  dont  il  s'agit  dans  ce  Mé- 
moire, p.  694,  Sa  description  et  sa  diffé- 
rence cl'avec  la  torpille,  p.  6g5.  C'est  un 
poisson  d'eau  douce,  p.  697.  Peut-être  plu- 
sieurs autres  poissons  ont-ils  ta  môme  pro- 
priété, p.  698.  Planche  où  ce  poisson  est 
représenté. 

Voilier  (  Poisson). 

Mém.  sur  le  voilier,  espèce  de  poisson  peu 
connue ,  qui  se  trouve  dans  les  mers  des 
Indes,  par  M.  Broussonet.  1786.  Mém. 
p.  460.  Ce  poisson  n'est  pas  du  genre  des 
espadons,  ib.  Il  est  plutôt  de  la  famifle  des 
thons,  p.  45i.  Description  de  ce  poisson  et 
explication  de  la  figure,  ib.  Ce  poisson  est 
voyageur,  p.  455. 

MÉCANIQUE   ET  ArTS.  {BoUSSolc.) 

Description  d'une  boussole  dont  l'aiguifle  est 
suspendue  par  un  fil  de  soie,  par  M.  Cou- 
Tab.  des  Mat.  1781  — 1790.  Aa 


i86  TABLE  DES  MEMOIRES 

MÉCA>"iQUE  ET  Arts.  (Bousscle.) 

lOMB.  1785.  Méni.  p.  56o.  Cette  boussole 
diffère  de  celle  d(i  même  tuiteur  qui  se 
trouve  dans  le  xi*'  vol.  des  Savans  étrangers. 
p.  21 5.  ib.  Description  de  cette  nouvelle 
Lou.ssole,  et  explication  des  trois  planches 
c[ui  la  représentent,  ib.  Détermination  du 
méridien  magnétique,  et  description  d'une 
boussole  propre  à  cet  usage,  p.  667.  Re- 
marques, p.  568. 
Horloges  marines.  Voyez  Géographie. 

Instnimens  de  Mathématiques  et  de  Physique. 

Lettres-patentes  du  Roi  portant  l'établisse- 
ment d'un  corps  d'ingénieurs  en  instru- 
mens  d'optique ,  de  physique  et  de  ma- 
thématiques, données  à  Versailles  le  7  fé- 
vrier 1787,  enregistrées  au  parlement  le 
19  mai  audit  an.  1787.  ilist.  p.  2.  Extrait 
des  registres  de  l'Académie  ,  formation 
d'un  Comité  des  artistes,  composé  de  sept 
membres  de  l'Académie,  p.  5.  Les  six  pre- 
miers brevets  accordés  à  MM.  Lenoir,  Car- 
rochez ,  Fortin,  Charité,  Baradelle  l'ainé  et 
Billaux.  p.  6. 


Lampes. 


Mém.  sur  les  moyens  d'opérer  une  entière 
combustion  de  l'huile,  et  d'augmenter  la 
lumière  des  lampes  ,  en  évitant  la  forma- 
tion de  la  suie,  à  laquelle  elles  sont  ordi- 


DE  L'ACyiDÉMIF.     1781— 1790.      187 

MÉCANIQUE  ET  Arts.  (Lampcs.) 

nairement  sujettes,  par  M.  Meusnier. 
1784.  Mém.  p.  390.  Construction  d'une 
lampe  propre  à  obtenir  une  flannne  pure 
et  exempte  de  suie.  p.  398.  Lampe  de 
M.  Argant.p.  3g6.  Lampes  de  MM.  Quin- 
quet  et  Lange,  p.  897. 


Moulins. 


Observ.  théoriques  et  expérimentales  sur 
l'effet  des  moulins  à  vent  et  sur  la  figure 
de  leurs  ailes ,  par  M.  Coulomb,  i  781 . 1  list. 
p.  41.  Mém.  p.  65.  Travaux  de  MM.  Pa- 
rent ^  Dan.  BernouUi,  d'Alembert,  Euler  et 
Bossut  sur  cet  ol^jet.  p.  66.  l'remière  Sec- 
tion, quantité  d'effets  produits  parles  mou- 
lins à  vent,  d'après  l'expérience,  p.  67. 
Détail  des  expériences,  p.  70.  Un  moulin 
à  huile  des  environs  de  Lille  est  supposé 
travailler  huit,4ieures  par  jour,  en  éle- 
vant un  poids  de  1000  livres  à  218  pieds 
par  minute,  p.  78.  Son  effet,  d'après  Dan. 
BernouUi,  écjuivaut  au  travail  journalier 
de  61  hommes,  p.  74.  Ce  résidtat  est  trop 
fort  pour  des  hommes  cpii  travailleroicnt 
plusieurs  jours  de  suite,  ib.  Un  homme 
pesant  i5o  livres,  montant  un  escalier  à 
raison  de  42  pieds  de  hauteur  par  minute , 
produit  un  effet  équivalent  à  io5  livres, 
élevé  à  un  pied  par  seconde  ,  mais  il  ne 
peut  soutenir  long-temps  cet  efloit.  p.  j5. 
On  ne  pom'ra  avoir  une  estimation  oppro- 


»  • 


i88  TABLE  DES  MÉMOIRES 

MÉCANIQUE  ET  Arts.  (Moulins.) 

cliée  du  travail  journalier  d'un  homme, 
qu'en  le  faisant  travailler  pendant  plu- 
sieurs mois.  p.  76.  Manière  de  déterminer 
la  quantité  d'eau  qu'un  moulin  pourroit 
fournir  à  une  hauteur  donnée,  ib.  Calculs 
pour  trouver ,  d'après  les  expériences  pré- 
cédentes ,  quelle  est  la  partie  de  l'effet 
perdu  dans  les  moulins  à  huile  soit  par  le 
choc  des  mentonnets,  soit  par  le  frotte- 
ment, p.  77.  Cet  effet  perdu  est  le  sixième 
à  peu  près  de  l'effet  efîéctif.  p.  80.  Dans  la 

Î)ratique ,  quelle  que  soit  la  vitesse  du  vent , 
es  conducteurs  des  moulins  à  huile  de 
Lille  sont  dans  l'usage  de  disposer  la  ma- 
chine de  manière  que  le  rapport  entre  la 
vitesse  du  vent  et  celle  de  l'aile  soit  une 
quantité  constante,  p.  81.  Il  sêroit  à  sou- 
haiter que  l'on  fit  sur  toutes  les  machines 
des  expériences  semhlahles  à  celles  rap- 
portées dans  la  -première  Section  de  ce 
Mémoire,  ib. 
Moulin  à  moudre  les  pommes  de  terre,  par 
M.  Baume.  1786.  Mém.  p.  689.  I /auteur 
adapte  les  râpes  à  un  mouHn.zZ'.  Descrip- 


tion et  figure  de  ce  moulin,  ib. 


Niveau. 


Mém.  sur  une  nouvelle  construction  de  ni- 
veau, absolument  exempt  de  vériticatit)n, 
parM.de  FouCHY.  1781.  llist.  p.  44.  Mém. 
p.  82.  Ditlérentes  espèces  de  niveaux  ima~ 


DE  L'ACADÉMIE.     1781— 1790.       189 
MÉCAîs^iQUE  ET  ARTS.  [Niveau.) 

ginés  par  plusieurs  savans./è. Tous,  excepté 
le  niveau  simple  ou  à  l'eau,  ont  des  in- 
convéniens.  p.  83.  L'avantage  du  niveau 
simple  est  que  la  même  pièce  qui  donne 
le  niveau ,  donne  aussi  la  position  du  rayon 
visuel,  ib.  L'application  d'ime  lunette  lui 
conserve  ce  second  avantage,  p.  84.  Diffi- 
culté de  cette  application,  ib.  Description 
d'un  appareil  pour  essayer  des  verres  de 
dill'érens  foyers,  p.  85.  On  donne  la  pré- 
férence à  une  lunette  à  trois  verres,  com- 
posée de  deux  objectifs  et  d'un  oculaire, 
p.  87.  Application  de  cette  lunette  au  ni- 
veau'simple,  sa  description,  p.  90.  Ma- 
nière de  placer  le  niveau  dans  le  tuyau 
de  la  lunette  et  de  le  charger,  p.  g5.  Ma- 
nière dont  les  fioles  du  niveau  sont  vues 
au  foyer  de  l'oculaire,  p.  97.  Objection 
fondée  sur  la  difficulté  de  s'assurer  si  lo 
fil  de  la  lunette  est  horizontal.  Réponse. 
p.  98.  Détails  de  quelques  précautions  à 
prendre  dans  l'usage  de  ce  niveau,  pp.  100 
et  io3. 

Quart  de  cercle. 

Moyen  de  convertir  facilement  et  avec  assez 
peu  de  frais  un  quart  de  cercle  à  pied  en 
un  instrument  azimutal,  ou  du  moins  de 
lui  en  faire  faire  toutes  les  fonctions,  par 
M.  Grandjean  de  Fouchy.  1781.  llist. 
p.  48.  Mém.  p.  254.  Exphcation  des  deux 


«  »» 


190  TABLE  DES  MÉMOIRES 

MÉCANIQUE  ET  Arts.  {Quart  de  cercle.) 

planches  qui  terminent  ce  Mémoire ,  dont 
la  première  représente  les  détails  de  cet 
instrument,  et  la  seconde  l'instrument  tout 
monté,  p.  255. 

Tachy  graphie. 

Examen  de  la  tachygrapliîe  de  M.  Coulon 
de  Thévenot.  1787.  llist.  p.  9,  Utilité  de 
cette  méthode  d'écrire  aussi  vite  que  l'on 
parle.  zè.DitFérentes  méthodes  des  Anglais. 
p.  10.  Fondemens  de  cette  méthode  en 
général,  p.  11.  Conditions  requises  pour 
l'écriture  la  plus  simple,  p.  12.  Moyens 
généraux  de  satisfaire  à  ces  conditions, 
p.  14.  Combinaisons  de  la  tachygraphie 
de  M.  Coulon.  p.  16.  Sa  méthode  est  pré- 
férable à  celle  des  Anglais,  p.  18.  Trois 
tableaux  gravés  qui  représentent  les  com- 
binaisons des  signes  tachygraphiques  do 
M.  Coulon.  ib. 


Verrerie. 


Mém.  sur  la  fusion  de  différentes  substances 
vitrifiables  ,  et  particulièrement  sur  un 
verre  connu  sous  la  dénomination  de  Mi- 
roir de  Virgile, -par  M.  Fougeroux  de  Bon- 
DAROY.  1787.  Mém.  p.  412.  Expériences 
faites  dans  un  four  de  verrerie  sur  diffé- 
rentes substances  volcaniques,  ib.  Elles  ne 
produisent  que  de  maiîVais  verre,  p.  41 3. 


DE  L'ACADÉMIE.    1781— 1790.      191 

MÉCANIQUE  ET  ARTS.  (Verrerie.) 

Verre  appelé  Miroir  de  Virf^iîe ,  conservé 
dans  le  trésor  de  Saint-Denis,  p.  414.  Opi- 
nion des  antiquaires  sur  ce  morceau,  ib. 
Antiquité  de  l'usage  du  verre,  p.  416.  Ori- 
gine du  prétendu  miroir  de  Virgile  dé- 
posé dans  le  trésor  de  Saint-Denis,  p.  416. 
Description  d'un  morceau  de  ce  mircjir, 
et  expériences  faites  sur  un  de  ses  frag- 
niens.  p.  417.  C'est  un  vrai  verre,  p.  418. 
II  n'a  point  été  fondu  par  les  volcans,  ib. 
Il  est  entré  dans  sa  composition  de  la  chaux 
de  plomb,  et  environ  moitié  de  son  poids 
de  terre  vitrifiable.  p.  419.  On  connoissoit 
il  y  a  long-temps  le  moyen  de  faire  du 
verre  lourd ,  en  ajoutant  de  la  chaux  de 
plomb  aux  verres  de  sable,  ib. 

MÉDECINE  ET  CHIRURGIE.  [Apoplexie.) 

Observ.  sur  l'apoplexie  ,  par  M.  Portai. 
1 78 1 .  Hist.  p.  I  o.  Méin.  p.  6^3.  De  ux  espèces 
d'apoplexie,  l'apoplexie  séreuse  et  l'apo- 
plexie sanguine,  ib.  Faits  qui  prouvent 
que  cette  distinction  n'est  rien  moins  c[ue 
certaine  d'après  les  symptômes ,  et  que 
sans  s'y  arrêter  on  doit  traiter  chaque  ma- 
lade d'fiprès  les  indications  que  présente 
son  état,  son  tempérament  et  les  cir- 
constances des  accidens  qu'il  a  éprouvés. 
p.  624. 


192  TABLE  DES  MÉMOIRES 

MÉDECINE  ET  CHIRURGIE.  {Maladie  singulière.) 

Observ.  sur  la  nature  et  le  traitement  d'une 
maladie  singulière,  par  M.  Portai.  1784. 
Mém.  p.  65.  Cette  maladie  dont  étoit  atta- 
qué le  jeune  Prince  Giustiniani,  étoit  occa- 
sionnée par  la  pression  et  la  compression 
de  la  rate  sur  l'estomac,  p.  6g.  Elle  fut 
guérie  par  des  remèdes  relàclians  et  fon- 
dans.  p.  70.  Remarques  sur  les  tuméfac- 
tions de  la  rate.  p.  72. 


Phîhisie. 


Observ.  sur  la  pbtliisie  de  naissance ,  par 
M.  PoRTAL.  1781.  Ilist.  p.  9.  Mém.  p.  63i. 
Distinction  de  la  pbtbisie  de  naissance  ou 
héréditaire ,  et  de  la  pbtbisie  prétendue 
contagieuse,  ib.  Abus  de  brûler  les  bardes 
des  pbthisiques  morts. p.  632.  La  pbtbisie  se 
propage  dans  certaines  familles,  mais  elle 
n'est  point  contagieuse,  p.  633.  Pas  même 
entre  mari  et  femme,  p.  634.  Les  glandes 
lympbatiques  sont  le  siège  de  cette  ma- 
ladie, p.  637.  Les  poumons  s'endurcissent. 
p.  540.  Humeur  visqueuse  qui  s'extravase 
dans  le  tissu  cellulaire  du  poumon,  p.  641. 
Cette  bumeur  estscrofuleuse.p.642.  Dillé- 
rence  entre  la  pbtbisie  de  naissance  et  la 
pbtbisie  accidentelle,  ib.  Traitement  de 
cette  maladie,  p.  644. 


Observ. 


DE  L'ACADÉMIE.     1781-1790.     193 

MÉDECINE  ET  CHIRURGIE.  {Pleun'sie.) 

Observ.  qui  prouvent  que  la  pleurésie  n'est 
pas  une  maladie  essentiellement  différente 
de  la  péripneumonie  ou  de  la  fluxion  de 
poitrine,  par  M.  Portai.  1789.  Mém. 
p.  556.  Symptômes  qui  caractérisent  la 
pleurésie  et  la  péripneumonie.  p.  507.  La 
différence  du  pouls  ne  constitue  pas  la 
différence  d'une  maladie  qui  n'a  pas  lieu. 
p.  559.  Le  poumon,  dans  la  pleurésie,  est 
toujours  plus  affecté  que  la  plèvre,  pp.  56i 
et  563. 

Rage. 

Observ.  sur  un' grand  nombre  de  morsures 
»  faites  à  une  même  personne  par  un  chien 

enragé,  traitées  avec  succès,  par  M.  Saba- 
TiER.  1784.  Mém.  p.  193.  Les  morsures 
et  les  plaies  étoient  au  nombre  de  vingt- 
cinq  et  les  égratignures  remarquables ,  au 
nombre  de  cinquante,  p.  195.  Toutes  ces 
plaies  furent  cautérisées  ,  et  le  malade 
guérit ,  tandis  que  le  jardinier  qui  avoit 
négligé  une  morsure  qu'il  avoit  à  la  lèvre , 
mourut  hydrophobe.  p.  196.  Il  en  est  des 
morsures  des  animaux  enragés  comme  de 
l'inoculation  d'un  levain,  tel  que  celui  de 
la  petite-vérole,  p.  197.  Utilité  de  la  cau- 
térisation comme  remède  essentiel ,  et  non 
pas  seulement  comme  moyen  auxiliaire, 
p.  198. 
Observ.  sur  le  traitement  de  la  rage ,  par 
M.  PoRTAL.  1786.  Mém.  p.  440.  De  tous 
Tab.  des  Mac.     1 78 1  —  1 790.  B  b 


194  TABLE  DES  MÉMOIRES 

MÉDECINE  ET  CHIRURGIE.  (Rage.) 

les  remèdes  essayés  contre  la  rage  ,  les 
frictions  mercurielles  sont  celles  qui  ont 
plus  de  succès,  p.  441.  On  doit  y  joindre 
l'usage  des  antispasmodiques,  p.  442.  Exem- 
ple d'une  cure  faite  avec  ce  remède  à  Brie- 
Comte-RoLert.  ib.  Précautions  à  prendre 
pour  la  vérification  des  faits,  p.  446.  Ré- 
flexions sur  l'insuffisance  des  traitemens 
extérieurs,  tels  que  la  cautérisation  et  l'am- 
putation, p.  448. 

Rotule. 

Mém.  sur  la  fracture  en  travers  de  la  rotule , 
par  M.  Sabatier.  1788.  Mém.  p.  760.  Lp 
traitement  le  plus  avantageux  consiste  à 
tenir  constamment  la  jambe  étendue  et  la 
cuisse  légèrement  fléchie  ,  les  bandages 
sont  peu  utiles,  pp.  762  et  764.  On  recom- 
mande l'emploi  de  la  machine  imaginée 
par  Jean-Louis  Petit,  et  décrite  dans  les 
Mémoires  de  l'Acad.  ann.  1718.  p.  766. 
Dans  bien  des  cas  on  ne  doit  remédier  que 
par  une  bonne  situation,  ib. 

Vapeurs  méphitiques. 

Observ.  sur  les  effets  des  vapeurs  méphi- 
tiques dans  f  homme  ,  second  Mémoire  , 
par'M.  PoRTAL.  1787.  Mém.  p.  2'5g.  (Le 
premier  Mémoire  se  trouve  ann.  1775, 
Mém.  p.  492  ).  Recherches  de  plusieurs 


DE  L'ACADÉMIE.    1781-1790.      19S 

MEDECINE  ET  Chirurgie.  {Vapeurs méphiuques.) 

médecins  sur  ces  effets,  ib.  Ils  ne  sont  pas 
dusseulement  à  l'introduction  de  l'airdans 
le  sang.  p.  241.  C'est  par  le  poumon  que  la 
vapeur  méphitique  agitsurlesanimaux.j^. 
L'air  méphitique  parvient  dans  le  sang  par 
les  dernières  ramifications  bronchiales  , 
d'où  il  est  transmis  au  cœur.  p.  242.  Les 
mêmes  altérations  observées  dans  les  ani- 
maux tués  par  le  tonnerre  et  par  les  va- 
peurs méphitiques,  p.  244.  La  mort  dans 
ce  dernier  cas  est  prompte,  mais  elle  n'est 
pas  violente,  p.  246.  Traitement  des  per- 
sonnes ainsi  asphixiées.  p.  246. 

MÉTÉOROLOGIE.  {Aérostats.) 

Rapport  fait  à  l'Académie  des  Sciences  sur 
la  machine  aérostatique  de  MM.  de  Mon- 
goljier,  par  MM.  Leroy,  Tillet,  Bris- 
son  ,  Cadet,  Lavoisier,  Bossut  ,  de 
CoNDORCET  et  Desmaret.  1783.  ITist. 
p.  5.  L'Académie  fait  faire  l'expérience 
sous  les  yeux  de  ses  commissaires,  par 
M.  Mongolfierle  jeune,  ib.  Tentatives  faites 
jusqu'à  cette  époque  pour  s'élever  dans 
l'air,  p.  6.  Roger  Bacon  est  le  premier  des 
modernes  qui  en  ait  parlé,  ib.  Ensuite  le 
P.  Lana  ,  description  de  sa  machine,  p.  7. 
Idée  du  P,  Gollien, \)iih\iée  en  1755.  p.  8. 
La  découverte  de  l'air  inllanmial^le  dont 
on  se  servoit  pour  remplir  des  boules  de 
savon,  ib.  MM,  de  Mongolfier ,  en  1782, 


196  TABLE  DES  MÉMOIRES 

MÉTÉOROLOGIE.  (Aérostats.) 

tentent  les  premières  expériences  en  ren- 
fermant dans  des  parallélipipèdes  de  tafl'e- 
tas  une  portion  d'air  échauffé  de  70'  du 
thermomètre  de  Réaumur,  et  raréfié  de 
moitié,  p.  9.  Ils  construisent  une  plus 
grande  machine  en  toile  couverte  de  pa- 
pier, qui  réussit,  p.  10.  Détails  de  l'expé- 
rience faite  en  présence  des  commissaires. 
p.  II.  Manière  de  dilater  l'air  intérieur 
en  l'échauffant,  p.  12.  Expériences  faites 
à  Paris  et  à  Versailles  en  présence  du  Roi. 
p.  i3.  Nouvelle  expérience  où  l'on  vit 
M.  Pilàtre  de  Rosier  s'élever  avec  la  ma- 
chine, p.  i5.  Seconde  ascension  de  M.  Pi- 
làtre de  Rosier  et  de  M.  le  Marquis  d'Ar- 
landes  à  la  Muette,  p.  16.  L'ascension  de 
la  machine  est  due  uniquement  à  la  raré- 
faction de  l'air  intérieur  par  la  chaleur. 
p.  i8.  La  dilatation  de  cet  air  est  à  peu 
près  d'un  tiers,  p.  19.  L'air  inllanunable 
peut  être  substitué  à  l'air  atmosphérique 
raréfié  par  la  chaleur,  p.  20.  MM.  Charles 
et  Robert  en  ont  fait  usage  pour  charger 
leur  ballon,  ib.  L'air  inflammable  paroît 
préférable,  p.  21.  Utilité  de  cette  machine 
,  pour  étudier  et  expliquer  les  phénomènes 
météorologiques,  p.  22.  Autres  avantages 
.qui  résultent  de  cette  belle  invention,  ib. 
Conclusions  du  rapport,  prix  de  600  liv. 
décerné  à  ]\L\T.  de  Mongolfier.  p.  23. 
Voye%  Atmosphère. 


DE  L'ACADÉMIE.     1781—1790.      197 

MÉTÉOROLOGIE.  {Atmosphère.) 

Mém.surlescourans  d'air,  en  sens  opposés, 
à  l'occasion  des  aérostats  observés  le  i^""  dé- 
cembre 1783,  par  M.  Lemonnier.  1782. 
Hist.  p.  40.  Mém.  p.  65o.  Deux  aréostats 
partis  ensemble  des  Tuileries ,  le  premier 
a  suivi  d'abord  le  courant  d'en  bas  qui  étoit 
sud-est ,  il  a  trouvé  ensuite  un  autre  cou- 
rant plus  élevé  de  nord-ouest  qui  l'a  porté 
à  Vincennesj  le  second  ne  s'est  pas  autant 
élevé  et  a  obéi  au  vent  sud-est  qui  l'a  porté 
à  Pontoise.  p.  65o.  Une  plancbe  qui  re- 
présente les  observations  faites  avec  des 
lunettes. 


Grêle. 


Observ.  sur  les  suites  d'une  grêle  tombée  le 
20  mai  1783  dans  un  canton  de  la  Beance, 
parM.l'AbbéTESSiER.  1784.  Mém.  p.  296. 
Cette  grêle  détruisit  entièrement  les  seigles 
et  les  fromens.  ib.  En  un  mois  les  tiges  de 
froment  repoussèrent  à  la  hauteur  des 
anciennes,  p.  297.  Il  n'en  fut  pas  de  même 
des  seigles  qui  étoient  trop  avancés,  et  qui 
tallent  plus  difficilement  que  les  fromens. 
ib.  Les  nouvelles  repousses  furent  écliau- 
dées  parles  chaleurs  du  mois  d'août,  p.  298. 
Comparaison  des  produits  des  champs 
grêlés  et  des  champs  non  grêlés,  ib.  Les 
bêtes  à  laine  refusent  la  paille  et  les  herbes 
des  pièces  de  terre  grêlées,  ib.  La  farine 
blanche  du  blé  grêlé  a  ahsorljé  plus  d'eau 
au  pétrissage  que  celle  du  blé  non  grêlé. 


198  TABLE  DES  MÉMOIRES 

MÉTÉOROIOGIE.  (Grélc.) 

p.  299.  Les  années  chaudes  et  humides 
favorables  à  la  repousse  du  froment  après 
la  grêle,  p.  3oo. 

Mém.  sur  l'orage  du  dimanche  1 3  juillet  1 788, 
par  le  même.  1 789.  Mém.  p.  628.  Hist.  de  cet 
orage  à  Andonville  au  sud  et  à  87,000  toises 
de  Paris,  ib.  Effets  sur  les  malades  et  sur 
les  animaux,  ib.  Détails  sur  la  svèle  tombée. 
p.  629.  Dégâts  causés  par  cette  grêle,  p.  63o. 
Effets  de  la  grêle  à  Rambouillet,  p.  63 1. 
Deux  orages  différens  à  Andonville  et  à 
Rambouillet,  p.  635.  Moyen  de  calculer 
la  perte  que  la  France  a  faite  par  les  suites 
de  cette  grêle,  p.  636.  Moyens  de  remé- 
dierauxpertesqu'ont  faites  lescultivateurs. 
p.  687. 

Rapport  ou  second  Mémoire  sur  le  même 
orage,  par  MM.  Leroy,  Buache  et  Tes- 
siER.  1790.  p.  263.  Situation  des  pays 
les  plus  exposés  à  la  grêle,  ib.  Progrès 
de  l'orage  qui  a  commencé  dès  le  12  dans 
certains  endroits,  p.  266.  Explication  de 
la  carte  qui  termine  le  Mémoire,  ib.  Bandes 
de  grêle ,  et  bandes  de  pluie  sans  grêle,  ib. 
Ces  bandes  ont  été  séparées  dans  un  espace 
de  cent  lieues,  p.  266.  Détails  sur  la  lar- 
geur et  les  bornes  de  ces  bandes,  ib.  Direc- 
tion de  l'orage,  p.  268.  Phénomènes  qui 
ont  précédé  et  accompagné  la  grêle,  p.  270. 
Différentes  heures  où  la  grêle  a  ravagé 
les  divers  pays.  ib.  Poids  et  grosseur  des 
grêlons,  p.  271.  Liste  chronologique  de 


DE  L'ACADÉMIE.     1781  — 1790.       199 

MÉTÉOROLOGIE.  (Grêle.) 

grêles  remarquables  depuis  828  jusqu'en 
1769.  p.  272.  Note,  forme  des  grêlons. 
p.  ^74.  Durée  du  temps  de  l'orage  pendant 
la  chute  de  la  grêle  dans  les  difiërens  pays. 
ib.  Calculs  des  pertes  occasionnées  par 
cette  grêle  et  le  vent  qui  l'accompagnoit. 
p.  275.  Exemples  de  grêles  à  peu  près  sem- 
blables à  celle-ci ,  pour  l'étendue  de  pays 
qu'elles  ont  parcourue,  p.  280.  Moyens 
emploj'^és  pour  remédier  aux  dégâts  de  la 
grêle,  p.  282.  Sacrifices  faits  par  les  pro- 
piiétairesenfaveurdescultivateurs.  p.  284. 
I.ettres,' mémoires  et  renseignemens  qui 
ont  mis  à  portée  de  faire  le  rapport,  p.  286. 
Notice  sur  les  autres  grêles  de  l'année. 
p.  288.  Conclusion  générale,  p.  29  r.  Noms 
des  paroisses  grêlées  par  l'orage  du  i3 
juillet  1788,  rangées  par  généralités  et  par 
élections,  p.  298.  Carte  des  parties  de  la 
France  et  des  Pays-Bas  qui  ont  été  ra- 
vagées par  cet  orage,  p.  3o8. 

Hivers  (  Grands  ). 

Grand  liiver  de  1788  à  1789,  par  M.  Mes- 
siER.  1789.  Mém.  p.  665.  Plus  grand  froid 
observé  sur  deux  thermomètres  à  mer- 
cure, à  l'Observatoire  de  la  Marine,  p.  666. 
Ce  froid  dura  jusqu'au  i3  janvier  1789. 
p.  670.  Ce  grand  hivercomraun  à  la  France 
et  à  une  grande  partie  de  l'Eui'ope.  p,  671. 

Mémoire   sur  quelques  grands   hivers  du 


200  TABLE  DES  MÉMOIRES 

MÉTÉOROLOGIE.  [Grands  hivers.) 

dernier  siècle ,  par  M.  PiNGRÉ .  1 789.  Mc^'in , 
p.  614.  Observ.  météorolog.  de  Boulliaud, 
s'étendent  de  i635à  1677.  ib.  Grand  hiver 
de  i655  et  i656  :  il  dura  du  ^5  novembre 
i655  jusqu'en  mars  i656.  p.  5i5.  Hiver  de 
1667  et  1 658:  il  dura  du  24  décembre  1657 
jusqu'au  20  janvier  X  658.  ib.  Débordement 
considérable  de  la  Seine  ;  le  Pont-Marie 
emporté,  p.  5i6.  Hiver  de  1662  et  i663: 

•  il  dura  depuis  le  5  décembre  1662  jusqu'au 
8  mars  i663.  ib.  Hiver  de  1666  et  1670. 
ib.  Hiver  de  1676  et  1677  :  il  dura  depuis 
le  2  décembre  1676  jusqu'au  i3  jan- 
vier 1677.  P-  ^^7-  ^^  **^"^  "^^^^  hivers  le 
plus  rigoureux  est  celui  de  i658,  où  la 
gelée  dura  55  jours,  ib.  Hiver  de  1728  et 
1729  :  la  gelée  dura  depuis  le  25  décembre 
1728  jusqu'au  22  janvier  suivant,  p.  5i8. 

Observ.  faites  pendant  les  gelées  des  mois  de 
décembre  1 788  et  janvier  1 789 ,  au  château 
d'Andonville  en  Beauce ,  par  M.  Tessier. 
1789.  Mém.  p.  618.  Observ.  du  thermo- 
mètre enfermé  dans  un  gros  tube  qui  est 
descendu  le  3i  décembre  1788  à  17^  au- 
dessous  du  terme  de  la  glace  fondante. 
ib.  Il  descend  encore  deux  fois  à  14'  au- 
dessous  du  même  terme,  p.  619.  Ce  froid 
a  duré  depuis  le  10  décembre  1788  jus- 
qu'au 1 1  janvier  1789.  p.  620.  Phénomènes 
observés  pendant  la  gelée,  ib.  Un  pied  cube 
de  neige  assez  compacte  rend  21  livres 
d'eau  ou  dix  pintes  et  demie,  p.  621. 

Observ. 


DE  L'ACADÉMIE.     lySr— 1790.      loi 
MÉxéoROLOGiE.  (  Météores,  ) 

Observ.  sur  un  météore  igné  vu  à  Valence 

enDauphiné,le  10  janvier  1785,  par  M.  de 

RoziÈRES.  1786.  Hist.  p.  44. 
Observ.  d'un  para  elène  vu  par  le  môme  et 

dans  le  même  lieu ,  la  nuit  du  7  au  8  février 

1786.  ib.  p.  44. 

Observations  météorologiques. 

Observ.  botanico-météorologiques ,  faites  au 
château  de  Denainvillers,  proche  Pilhi- 
viers  en  Gatinais,  pendant  l'année  1780, 
par  M.  Duhamel.  1781.  Mém.  p.  729. 
(  C'est  la  dernière  année ,  M.  Duhamel 
avoit  commencé  en  1740.) 

Recherches  sur  l'origine  et  sur  la  nature  des 
vapeurs  qui  ont  régné  dans  l'atmosphère 
pendant  l'été  de  1788, par  M.  Mourgue 
DE  MoNTREDON,  de  la  Société  Royale  de 
Montpellier.  1781.  Mém.  p.  754.  Ces  va- 
peurs ou  brouillard  sec  ont  commencé  à 
couvrir  le  ciel  à  Montpellier,  le  17  juin, 
ce  qui  dura  sans  interruption  jusqu'au  22 
juillet,  époque  d'une  très-grosse  grêle  qui 
fut  suivie  de  la  disparition  du  brouillard, 
p.  755.  Il  reprit  le  1 2  août ,  et  dura  jusqu'au 
4  septembre,  p.  756.  Ces  vapeurs  n'étoient 
point  aqueuses,  ib.  Elles  ont  été  occa- 
sionnées par  les  tremblemens  de  terre  et 
par  les  principaux  foyers  des  feux  sou- 
terrains, p.  758.  Ces  foyers  s'étendoient 
de  la  Calabre  à  l'Islande,  ib.  Il  existoit 
Tab.  des  Mat.     1781  —  1790.  Ce 


îoâ         TABLE  DES  MÉMOIRES 

MÉTÉOROLOGIE.  [Observations  météorologiques.) 

encore  d'autres  foyers,  p.  769.  Interrup- 
lion  de  ce  brouillard,  du  22  juillet  au  12 
août ,  due  aux  fréquens  orages  qui  eurent 
lieu  à  cette  époque,  p.  761V  Sa  réappari- 
tion occasionnée  par  cle  nouveaux  volcans 
qui  parurent  à  peu  de  distance  du  mont 
Hécla.  ib.  Ces  vapeurs  étoient  composées 
d'une  espèce  de  foie  de  soufre,  p.  762.  Elles 
étoient  inllammables.  ib.  Recherches  sur 
les  phénomènes  qui  ont  suivi  les  grands 
tremblemens  de  terre,  p.  763.  Même  phé- 
nomène en  Perse  en  ijzi.ib.  Journal  mé- 
téorologique qui  comprend  les  mois  pen- 
dant lesquels  les  vapeurs  ont  paru.  p.  766. 

Observ.  météorologiques  faites  à  l'Observa- 
toire royal  en  1785.  1784.  Mém.  p.  633. 
Description  des  instrumens  qui  ont  servi. 
ib.  Utilité  des  observations  météorologi- 
ques, p.  635.  Tableau  météorologique  de 
chaque  mois  de  1785.  p.  636. 

Mém.  sur  le  froid  observé  à  l'Observatoire 
royal  et  aux  Chartreux  à  la  fin  de  1783,  par 
M.  Le  Gentil.  1784.  Mém.  p.  478.  Détail 
des  observations  de  M.  Le  Gentil  et  de 
M.  Cassiniii  l'Observatoire,  et  de  D.  Ger- 
main aux  Chartreux,  ib.  et  p.  479.  Le  plus 
grand  froid  a  été  à  l'Observatoire  —  i5  ^ 
à  minuit  :^  du  3o  décembre  et  —  1 5  degrés 
aux  Chartreux  le  3i  à  5  heures  au  matin. 
P-  479- 

Remarques  sur  les  vents  qui  régnent  à  Paris 
et  dans  ses  environs,  par  le  môme.  1784. 


DE  L'ACADEMIE.     1781-1790.       2o3 

MÉTÉOROLOGIE.  {Observations  météorologiques.) 

Mém.  p.  480.  I,es  vents  généraux  à  Taris 
et  dans  les  environs  sont  de  la  partie  de 
l'ouest,  variables  du  N.  O.  au  S.  O.  ib.  Ces 
vents  généraux  comparés  aux  vents  alizés 
de  la  partie  de  l'est  entre  les  Tropiques,  ib. 
Annonce  d'un  Mémoire  sur  l'hiver  de  1783 
à  1784,  comparé  avec  les  hivers  de  1684, 
1709,  1740  et  1776,  dans  lequel  on  fait 
entrer  l'influence  de  ces  vents  généraux. 
p.  481. 

Extrait  d'une  lettre  écrite  de  Bagdad,  du 
23  février  1783,  par  M.  André  Michaux, 
botaniste ,  allant  àispahan  ,  par  M.  r,EMON- 
NiER.  1785.  Mém.  p.  366.  Observ.  du  ther- 
momètre et  de  la  boussole,  p.  867. 

Histoire  physique  de  l'atmosphère  à  l'Obser- 
vatoire royal  en  l'année  1786,  par  M.  le 
Comte  de"  Cassini.  1786.  Mém.  p.  323. 
Détails  sur  la  température  générale  de 
cette  année,  ib.  Tableau  météorologique. 
p.  325.  Résultats  des  observations  météo- 
rologiques faites  à  Cadix,  par  D.yln^  t///oa, 
de  1783  à  1786.  iè. 

Histoire  physique  de  l'année  1787,  par  le 
môme.  1787.  Mém.  p.  16.  Détails  sur  la 
température  générale  de  cette  année,  ib. 
Résultats  généraux  des  observations  mé- 
téorologiques de  l'année  1787.  p.  r  8.  Ta- 
bleau météorologique,  p.  19. 

Histoire  physique  de  l'année  1788,  par  le 
même.  1788.  Mém.  p.  68.  Détails  sur  la 
température  générale  de  cette  année,  ib. 


204         TABLE  DES  MÉMOIRES 

MÉTÉOROLOGIE.  (  Observations  météorologiques.) 

Grêle  du  i3  juillet,  p.  69.  Forte  gelée  en 
décembre,  p.  71.  Résultats  généraux  des 
observations  météorologiques  de  l'année 
1 788.  p.  7 1 .  Tableau  météorologique,  p.  72. 

Histoire  physique  de  l'année  1789,  par  le 
même.  1789.  Mém.  p.  104.  Détails  sur  la 
température  générale  de  cette  année,  ib. 
Résultats  généraux  desobservations,  p.  106. 
Tableau  météorologique,  p.  107. 

Extrait  du  Journal  envoyé  de  Macao ,  par 
M.  de  Guignes  le  fils,  concernant  les  obser- 
vations météorologiques  faites  en  ce  lieu- 
là  et  à  Canton ,  pendant  l'année  1787 ,  par 
M.  Lemonnier.  1789.  Mém.  p.  697.  Les 
variations  du  baromètre  ne  sont  pas  aussi 
grandes  en  Chine  qu'en  France,  ib.  Les 
grandes  élévations  du  baromètre  ont  lieu 
dans  les  temps  de  brouillards  comme  eu 
France,  p.  698.  11  descend  à  son  plus  bas 
en  été,  le  contraire  en  France,  ib.  L[éten- 
due  de  sa  variation  n'a  été  que  de  9  j  lignes. 
ib.  La  variation  du  thermomètre  n'a  été 
que  de  21  degrés,  p.  699.  Voyez  Voyages. 
(  Géographie.  ) 

Température. 

Mém.  sur  la  température  des  souterrains 
de  l'Observatoire  royal,  par  M.  le  Comte 
de  Cassini.  1786.  Mém.  p.  607.  Diverses 
espèces  de  thermomètres,  ib.  Imperfec- 
tion des  méthodes  de  graduation,  p.  5o8. 


DE  L'ACADÉMIE.     1781  — 1790.      2o5 

MÉTÉOROLOGIE.  (  Température.  ) 

Anciennes  observations  fciites  sur  la  tem- 
pérature de  ces  caves,  p.  609.  Expériences 
de  M.  Le  Gentil  en  lyyS.  ib.  Nouvelles 
expériences  de  l'auteur,  p.  5io.  Descrip- 
tion et  figure  d'un  nouveau  thermomètre 
de  température,  p.  5ii.  Etablissement  de 
ce  tbermomètre ,  détermination  de  la  tem- 
pérature des  souterrains  et  de  ses  varia- 
tions pendant  deux  années,  p.  614.  Ré- 
sultats de  ces  observations,  p.  617.  Le  ther- 
momètre monte  dans  les  caves ,  tandis 
qu'il  baisse  à  l'air  extérieur,  p.  5i  8.  En  deux 
ans  la  température  des  caves  n'a  varié  que 
de  22  centièmes  de  degré,  p.  ôig.  La  teni- 

Eérature  moyenne  a  été  9,16  degrés.  Ta- 
leau  des  observations  faites  depuis  le  5 
août  1783  jusqu'au  29  juin  1785.  p.  Sio. 
Explication  des  figures  de  la  planche. p.  53o. 
V.  Observations  météorologiques. 

Thermomètre. 

Essai  sur  les  moj^ens  d'établir  entre  les  ther- 
momètres une  comparabilité,sinon  exacte, 
au  moins  plus  approchée  que  celle  qu'on  a 
obtenue  jusqu'à  présent,  par  M.  Charles. 
1787.  Mém.p.  567.  Précautions  nécessaires 
pour  construire  un  bon  thermomètre,  ib. 
La  dilatabilité  du  verre  du  tube  est  un 
obstacle  à  la  comparabilité  de  ces  inslru- 
mens.  ib.  Expériences  qui  prouvent  les 
variations  de  celte  dilatabilité,  ib.  Consé- 


2o6         TABLE  DES  MEMOIRES 

]\IÉTÉOROLO&iE.  [Thermomètre.) 

quences  des  deux  premières  expériences, 
p.  569.  Deux  tliennomètres  ne  peuvent 
être  comparables  entre  eux,  quand  les  sur- 
faces comparées  au  volume  sont  dans  l'un 
des  thermomètres  beaucoup  plus  grandes 
que  dans  l'autre,  p.  ôyo.  Imperfection  des 
thermomètres  à  spirale,  ib.  Moyen  de  dé- 
terminer la  dilatation  dans  les  thermo- 
mètres, ib.  Les  thermomètres  soumis  aux 
expériences  relatives  à  ce  moyen  peuvent 
servir  d'aréomètres,  p.  671.  Proportions 
à  donner  aux  thermomètres  pour  rendre 
presqu'insensible  la  dilatabilité  du  verre. 
p.  572.  Différence  dufroiddu3i  décembre 
1788,  observé  sur  le  quai  Pelletier,  plus 
grand  qu'à  l'Observatoire,  p.  574. 
SupplémentàceMémoire.i787.Mém.p.  574. 
Réponse  à  une  objection  que  les  dilata- 
tions du  verre  étant  très-petites,  elles  sont 
proportionnelles  au  nombre  des  degrés 
observés,  p.  675.  Dans  les  thermomètres 
qui  portent  82  degrés  positifs  et  22  degrés 
négatifs,  il  faut  faire  la  bouteille  égale  à 
cinquante  fois  le  tube  en  capacité,  ib.  L'effet 
de  la  dilatation  du  verre  sur  le  thermo- 
mètre dépend  du  rapport  entre  la  dilata- 
tion du  creux  et  celle  du  fluide  employé. 
p.  576.  Equations  relatives  au  Mémoire 
précédent,  ib.  Procédé  du  constructeur. 
p.  578.  Voyez  Température. 


DE  L'ACADÉMIE.     1781— 1790.      207 

MÉTÉOROLOGIE.  (Tonnerre.) 

Observ.  sur  l'effet  du  tonnerre  à  Rambouillet, 
le  2  août  1785,  par  M.  l'Abbé  Tessier. 
1785,  Ml'Hi.  p.  36r.  Effets  de  la  foudre 
sur  quatre  palefreniers  et  sur  trente  clie- 
vaux  réunis  au  nombre  de  trente -deux 
dans  une  écurie,  ib.  Une  jument  tuée  roide, 
ouverture  de  son  cadavre,  p.  302.  Effets  du 
tonnerre  sur  le  bâtiment,  ib. 

Minéralogie  et  Métallurgie.  {Antimoine). 

Agathe.  Voyez  Prase. 

AlGUE-MARINE.   VoyeZ  BÉRIL. 

Analyse  de  la  mine  d'antimoine  arsenicale, 
régule  d'antimoine  natif  mêlé  avec  très- 
peu  d'arsenic,  par  M.  Sage.  1782.  Hist. 
p.  24.  Mém.  p.  3 10.  Elle  contient  peu  d'ar- 
senic, p.  3 II.  Essai  de  cette  mine  avec  le 
soufre,  p.  3x2. 

Analyse  d'une  mine  d'antimoine  et  de  plomb 
terreuse,  combinée  avec  les  acides  vitrio- 
lique  et  arsenical  ,  par  le  même.  1785. 
Mém.  p.  242.  Examen  d'une  mine  d'anti- 
moine de  Sibérie,  p.  243.  Moules  fossiles 
blanches  de  Sibérie,  ib. 

Analyse  d'une  nouvelle  espèce  d'antimoine 
terreuse,  d'un  jaune  clair,  parsemée  de 
bleu  martial  de  Sibérie  ,  par  le  môme. 
1787.  Mém.  p.  247. 


2o8  TABLE  DES  MÉMOIRES 

MiNiRALOGIE  ET  MÉTALLURGIE.  {Argent.) 

Expériences  qui  font  connoître  la  nécessité 
d'employer  une  grande  partie  de  plomb 
pour  extraire  l'argent  contenu  dans  des 
terres,  par  M.  Sage.  1784.  Mém.  p.  289. 
Il  faut  au  moins  trois  parties  de  chaux  de 
plomb  pour  enlever  l'argent  qui  se  trouve 
mêlé  avec  une  partie  de  terre,  p.  290. 

Expériences  propres  à  faire  connoître  que 
la  chaux  d'argent  ne  peut  être  réduite  par 
la  seule  action  du  feu,  par  le  même.  1787. 
Mém.  p.  7. 

L'art  de  la  liquation ,  ou  du  départ  de  l'argent 
d'avec  le  cuivre  par  l'intermède  du  plomb , 
par  M.  Duhamel.  1788.  Mém.  p.  604. 
Avant-propos,  ib.  Chapitre  premier,  du 
rafraîchissement  du  cuivre,  p.  5o5.  Pre- 
mière Section ,  du  fourneau  de  rafraîchis- 
sement, p.  5o6.  Seconde  Section  ,  de  la 
brasque.  p.  507.  Troisième  Section  ,  de  la 
chemise  du  fourneau,  p.  5o8.  Quatrième 
Section  ,  du  chauffage  au  fourneau  avant 
la  fonte,  p.  5io.  Cinquième  Section  ,  de  la 
fonte  dite  de  rafraîchissement,  ib.  Sixième 
Section  ,  différence  du  rafraîchissement 
riche  au  pauvre,  p.  614.  Septième  Section , 
des  proportions  des  métaux  dans  les  pièces 
de  liquation.  p.  5i5.  Huitième  Section, 
dispositions  préliminaires  avant  de  faire 
les  mélanges,  p.  5 16.  Tableau  des  cuivres 
tenant  argent,  p.  617.  Premier  mélange 
pour  une  pièce  de  liquation  dans  le  cas 
du  rafraîchissement  riche,  p.  519.  Second 

mélange 


DE  L'ACADÉMIE.     1 781— 1790.      209 

Minéralogie  et  Métallurgie.  {Argent.) 

mélange  avec  de  1«  litharge  pour  un  ra- 
fraîchissement riche,  p.   52'.i.  Troisième 
mélange  pour  un  rafraîchissement  pau- 
vre, p.  524.  (Quatrième  mélange  avec  des 
plombs  tenant  argent  pour  un  rafraichis- 
sement  riche,  p.  626.  Cinquième  mélange 
pour  un  rafraîchissement  riche  avec  du 
plomb  tenant  argent  et  deslitharges.  p.  627. 
Sixième  et  dernier  mélange  dans  le  cas 
d'un  rafraîchissement  riche  pour  une  pièce 
du  poids  de  35o  livres,  p.  SaS.  Cliapitre 
second,  de  la  liquation.  p.  53 r.  I^remière 
Section,  préparation  du  fourneau,  p.  532. 
Seconde  Section ,  fonte  dite  de  liquation. 
p.  533.  Chapitre  troisième,  du  ressuage. 
p.  536.  Première  Section,  ib.  Seconde  Sec- 
tion, p.  537.  Chapitre  quatrième ,  du  double 
procédé  de  la  liquation  et  du  ressuage. 
p.  543.  Première  Section,  dispositions  avant 
la  fonte,  p.  644.  Seconde  Section,  de  la 
fonte  dite  de  liquation.  p.  545.  Troisième 
Section  ,  du  ressuage.  p.  548.    Chapitre 
cinquième,  de  l'affinage  du  plomb,  pre- 
mière Section,  p.  554.  Seconde  Sech'on, 
procédé  de  l'affinage,  p.  556.  Observation 
sur  la  préparation  des  coupelles,  p.  56o. 
Chapitre  sixième,  du  raffinage  du  cuivre, 
p.  563.  Chapitre  septième,  de  la  fonte  des 
déchets  résultans  des  opérations  détaillées 
dans  les  Chapitres  précédens.  p.  566.  Cha- 
pitre huitième ,  du  raffinage  de  l'ai-gent 
affiné,  p.  569.  Explication  des  5  pi.  p.  572. 
Tab.  des  Mat.     1781  — 1790.  Dd 


2IO  TABLE  DES  MÉMOIRES 

Minéralogie  et  Métallurgie.  {Argent.) 

Analyse  compare'©  Je  la  mine  d'argent  rouge 
duPérou  et  de  celle  de  Sainte-Marie  ,  par 
M.  Sage.  1789.  Méra.  p.  99.  Produits  de 
chacune  de  ces  mines,  p.  loi. 

Aventurine. 

Examen  comparé  de  l'aventurine  et  de  quel- 
ques pierres  chatoyantes,  par  M.  Sage. 
1781.  Hist.  p.  18.  Mém.  p.  i.  Cette  pierre 
est  une  espèce  de  quartz  grenu,  ib.  Elle 
"  ressemble  par  sa  couleur  et  son  reflet  à 
l'émail  connu  sous  le  nom  à'aventurine.  ib. 
Les  pierres  chatoyantes  sont  des  espèces 
de  feld-spath  ou  de  schorl.  p.  2.  Analyse 
6-  du  feld-spath  cristallisé,  p.  3. 

Observ.  sur  le  spath  étincelant,  sur  l'aven- 
turine naturelle  et  sur  la  pierre  appelée 
œil  de  pois  s  on, -par  M.  Daubenton.  1781. 
Hist.  p.  18.  Mém.  p.  5.  Les  pierres  qui  ont 
la  cassure  brillante  et  chatoyante  sont  des 
spath,  ib.  M.  Desmarets  a  reconnu  avant 
M.  de  Saussure  la  cristallisation  prisma- 
tique et  rhomboïdale  du  spath  étincelant. 
{).  6.  L'aventurine  a  plus  de  rapport  avec 
e  spath  étincelant  qu'avec  le  quartz  grenu. 
f).  7.  Nécessité  de  bien  caractériser  l'ana- 
yse  des  difïérens  minéraux,  ib.  La  pierre 
chatoyante  appelée  œil  de  poisson  ou  pierre 
de  lune ,  est  un  spath  qui  doit  se  placer  à 
cûté  du  spath  étincelant.  ib. 


DE  L'ACADÉMIE.     1781-1790.      211 
Minéralogie  et  Métallurgie.  {Bêril.) 

Observ.  sur  le  b6ril  ou  aigue-marine ,  par 
M.  Sage.  1782.  Ilist.  p.  22.  Mém.  p.  314. 
Description  des  différentes  espèces  de 
béril.  ib. 

Observ.  sur  une  espèce  de  béril  feuilleté, 
cristallisé  en  prisme  tétraèdre  ,  nommé 
sappare  par  M.  de  Saussure  le  fils,  par  le 
même.  1789.  Mém.  p.  640.  Résultats  de 
l'analyse  faite  par  M.  de  Saussure,  p.  642. 


Bismuth. 


Analyse  de  la  mine  de  Bismuth  sulfureuse, 
par  M.  Sage .  1 782.  Hist.  p.  24.  Mém.  p.  307. 
DifFérens  essais  sur  cette  mine.  ib.  Manière 
de  faire  la  mine  de  bismuth  sulfureuse 
artificielle,  p.  809. 

Analyse  d'une  nouvelle  espèce  de  mine  de 
bismuth  terreuse , solide ,  recouverte  d'une 
elïlorescence  d'un  vert  jaunâtre  ,  par  le 
même.  1785.  Mém.  p.  245.  Origine  de 
cette  mine.  ib.  Quantité  de  quartz  con- 
tenue dans  cette  mme. ib.  Sa  couleur  verte 
est  due  à  du  cobalt,  p.  246.  Elle  ne  con- 
tient point  de  fer.  ib.  Cette  mine  contient 
de  l'argent,  p.  247. 


Bois  fossile. 


Analyse  du  bois  fossile,  par  M.  Sage.  1789. 
Mém. p.  538.  DifFérens  pays  où  l'on  trouve 
le  bois  fossile,  ib.  Il  exhale,  lorsqu'on  le 


212  TABLE  DES  MEMOIRES 

MIKÉB.ALOGIE  ET  MÉTALLURGIE.  {Bois fossik.) 

brûle  ,  une  odeur  i'étide  et  insupporta- 
ble, ib. 

Calcédoine.  Voyez  Prase. 

Chrysoprase.  Voyez  Prase. 

Cristal  de  roche. 

Mém.  sur  la  structure  du  cristal  de  roche , 
par  M.  l'Abbé  Hauy.  1786.  Mém.  p.  78. 
Différences  dans  la  structure  des  cristaux. 
ib.  Structure  particulière  du  cristal  de  ro- 
cbe.  p.  79.  Forme  primitive,  p.  80.  Formes 
secondaires  avec  leurs  variétés,  p.  81 .  Deux 
plancliespour l'intelligence  de  ceMémoire. 
p.  94. 

Cristallisation. 

Mém.  sur  la  structure  de  divers  cristaux  mé- 
talliques, par  M.  l'Abbé  H  AU  y.  1785.  Mém, 
p.  21 3.  Les  variétés  des  cristaux  métal- 
liques sont  assujéties  aux  mêmes  lois  de 
décroissement  que  les  pierres  et  les  sels.  ib. 
Examen  de  trois  sortes  de  cristaux,  dont 
les  molécules  constituantes  sont  sembla- 
bles, les  pyrites  ferrugineuses  en  cubes, 
les  cristaux  de  la  mine  de  cobalt  arsenicale 
et  ceux  de  la  mine  de  fer  de  l'ile  d'Elbe,  ib. 
Description  de  ces  cristaux,  p.  2 1 4.  Planche 
relative  à  ce  Mémoire,  p.  228. 

Sur  ime  cristallisation  du  plomb  ,  trouvée 
dans  les  débris  d'un  fourneau  à  manche, 


DE  L'ACADÉMIE.     1781— 1790.       2i3 

Minéralogie  et  Met al-lvrgie, {Cristallisation.) 

de  Lessard  près  les  Sables  d'Olonne  en 
Poitou,  par  M.  Duhamel.  1786.  Mém. 
p.  478.  Jusqu'à  présent  on  ne  connoissoit 
que  le  bismuth  cristallisé  dans  les  deux 
Etats  où  s'est  trouvé  ce  plomb,  ib. 

Mém.  où  l'on  expose  une  méthode  analy- 
tique pour  résoudre  les  problèmes  relatifs 
à  la  structure  des  cristaux  ,  par  M.  l'Abbé 
Hauy.  1788.  Mém.  p.  1 3.  Toutes  les  formes 
cristallines  primitives  se  réduisent  à  un 
petit  nombre  de  polyèdres  très-simples, 
parmi  lesquels  se  trouve  le  rhomboïde. /è.  *^ 

Des  formes  secondaires  simples,  p.  1 5.  Une 
planche  termine  le  Mémoire,  p.  82. 

Mém.  sur  la  manière  de  ramener  à  la  théorie 
du  parallélipipède  celle  de  toutesles  autres 
formes  primitives  des  cristaux ,  par  le 
même.  1789.  Mém.  p.  619 et  non  55i  (faute 
d'impression).  Une  planche  relative  à  ce 
Mémoire,  p.  532. 


Cuivre. 


Manière  de  déterminer  la  pureté  du  cuivre, 
par  M.  Sage.  1786.  Mém.  p.  287.  Procédé 
pour  séparer  le  fer  du  cuivre  dissous  dans 
l'acide  nitreux ,  et  précipité  par  le  mélange 
d'alkali  fixe.  ib. 

Examen  d'un  sable  vert  cuivreux  du  Pérou, 
par  MM.  le  Duc  de  La  Rochefoucauld  , 
Baume  et  de  Fourcroy.  1786.  Mém. 
p.  465.  Origine  de  ce  sable  vert.  p.  466. 


214         TABLE  DES  MÉMOIRES 

MiKÉRALOGIE  ET  MÉTALLURGIE.  {CuivrC.) 

Expériences  comparatives  de  ce  sable  et 
de  la  malachite,  p.  467.  Analyse  de  ce 
sable  par  la  voie  numide,  p.  469.  Expé- 
rience pour  reconnoître  la  présence  de 
l'acide  muriatique.  p.  471  •  Essai  de  ce  sable 
au  feu  de  porcelaine,  zè.  Résultats  des  expé- 
riences, p.  472.  Additions  à  ce  Mémoire. 
ib.  Notes  communiquées  -par  M.  Berthollet 
sur  l'analyse  de  ce  sable,  p.  474.  U  obtient 
les  mêmes  résultats,  p.  476.  Koy.  Argent. 


Falun. 


Observation  sur  une  espèce  de  falun  qu'on 
trouve  le  long  des  côtés  de  Basse -Nor- 
mandie, par  M.  Le  Gentil.  1782.  Hist. 
p.  16.  Mém.  p.  356.  Ce  falun  qui  sert  d'en- 
grais dans  les  environs  de  Coutance  est 
une  espèce  de  sable  mêlé  de  coquilles.  Il 
n'a  point  été  apporté  par  la  mer,  mais  il 
a  été  déposé  par  les  rivières,  p.  358.  Cet 
engrais  n'est  favorable  que  dans  les  années 
chaudes  et  humides,  p.  36i.  Il  contient 
beaucoup  de  matières  calcaires,  p.  363. 
Ce  sont  de  petites  coquilles  du  genre  des 
nautiles,  ib.  (  Voyez  les  deux  planches  qui 
accompagnent  ce  Mémoire.) 


Feîd-spath. 


Mém.  sur  la  structure  des  cristaux  de  feld- 
spath, par  M.  l'Abbé  Hauy.  1784.  Mém. 


DE  L'ACADEMIE.     1781— 1790.       âi5 

Minéralogie  et  Métallurgie.  (Feldspath.) 

p.  273.  Toutes  les  formes  de  feld-spath 
réduites  à  trois  principales,  p.  274.  Formes 
secondaires  des feld-spaths.  p.  275.  Planche 
qui  représente  la  forme  de  ces  cristaux. 
p.  286. 


Fer, 


Observation  sur  une  espèce  de  mine  de  fer 
argileuse,  rongeâtre,  prismatique  articulée 
schindelgeleisenstein  des  Allemands,  par 
M.  Sage.  1782.  Hist.  p.  24.  Mém.  p.  3i5. 
Elle  ressemble  au  basalte,  ib.  Elle  agit  sur 
l'aiguille  aimantée,  p.  Si  6.  Elle  a  produit 
par  quintal  dix-sept  livres  de  fer.  ib. 

Mém.  sur  le  fer  considéré  dans  ses  différens 
états  métalliques  ,   par  MM.   Vander- 

MONDE,  BERTHOLLET   et    MONGE.    1786. 

Mém.  p.  i32.  Propriétés  que  donnent  au 
fer  les  différentes  matières  avec  lesquelles 
il  est  mélangé,  p.  i33.  Ee  fer  dans  son  état 
de  pureté  se  présente  dans  les  arts  sous 
quatre  formes  différentes,  quelles  sont  les 
substances  auxquelles  il  doit  les  propriétés 
qu'il  acquiert  sous  ces  différentes  formes? 
ib.  Observations  sur  la  fabrication  du  fer, 
fonte  de  sa  mine.  ib.  Affinage  du  fer  coulé, 
p.  137.  Concentration  du  fer.  p.  140.  Extrait 
des  recherches  de  M.  de  Réaumur.  p.  146. 
de  M.  Bergman,  p.  14g.  Exposé  des  re- 
cherches des  auteurs  de  ce  Mémoire,  p.  1 54. 
Tableau  des  volumes  d'air  intlammable 
que  dégagent  les  différens  fers  par  leur 


2i6  TABLE  DES  MÉMOIRES 

Minéralogie  et  Métallurgie.  {Fer.) 

dissolution  dans  l'acide  vitriolique  affbibli. 
p.   i66.  Résultats  de  ce  tableau,  p.  i68. 
Deux  causes  principales  de  variétés  dans 
les  fontes,  p.  lyS.  Explication  desprocéclés 
que  Ton  suit  dans  les  forges  pour  faire 
passer  le  fer  par  ses  différens  états  métal- 
liques. De  la  fusion  de  la  niine.n.  178.  De 
l'affinage  de  la  fonte,  p.  182.  De  la  cémen- 
tation du  fer  doux.  p.  188.  Du  charbon 
considéré  dans  son  état  de  combinaison 
avec  le  fer,  et  dans  l'état  où  il  est  au  sortir 
de  cette  combinaison,  p.  191.  Récapitula- 
lion,  p.  198. 
Observations  sur  le  traitement  des  minerais 
de  fer  à  la  fonte ,  par  M.  Duhamel,  i  786. 
Mém.  p.  466.  Recherches  sur  la  raison 
pour  laquelle  ce  que  l'on  nomme  mines 
sèches  ne  donnent  ordinairement  que  peu 
de  fonte ,  et  souvent  de  mauvaise  qualité , 
quoique  susceptibles  de  fournir  de  bon  fer. 
ib.  Il  faut  ajouter  des  substances  vitrifiables 
dans  la  fonte  des  minerais  riches,  p.  468. 
Avantages  de  la  méthode  catalane,  p.  463. 
Masse  de  fer  fondue  trouvée  au  Chaco,  juris- 
diction  de  San-Jago  de  l'Estero ,  de  9  pieds 
de  hauteur ,  presqu'enterrée  au  milieu  d'un 
champ  dans  de  la  craie  pure  et  des  cendres, 
de  la  même  qualité  que  le  fer  trouvé  par 
M.  Pallas  sur  les  monts  Nénair  en  Sibérie. 
1787.  llist.  p.  8.  (Ne  seroit-ce  pas  un  aréo- 
lithe  ?  ) 
Procédé  particulier  usité  en  Limosin  et  en 

Férigord 


DE  L'ACADÉMIE.     1781—1790.      217 

Minéralogie  et  Métallurgie.  (Fer.) 

Périgord,  pour  fabriquer  du  fer  dur,  par 
M.  le  Baron  de  Dietrich.  1787.  Méui. 
p.  i63.  Description  de  ce  procédé,  ib. 

Fourneau. 

Observ.  sur  les  défauts  du  fourneau  de  cou- 
pelle des  essayeurs  des  monnoies,  par 
M.  Sage.  1790.  p.  6i3.  Construction  d'un 
fourneau  où  l'on  remédie  à  ces  défauts. 
p.  61 5.  Employer  des  moufles  percées  de 

{)lusieurs  ouvertures,  pour  éviter  l'exha- 
ation  des  vapeurs  mortelles  du  plomb  dans 
le  laboratoire,  ib. 

Géologie. 

Observ.  générales  sur  les  couches  modernes 
horizontales  qui  ont  été  déposées  par  la 
mer,  et  sur  les  conséquences  qu'on  peut 
tirer  de  leurs  dispositions,  relativement  à 
l'ancienneté  du  globe  terrestre ,  par  M.  La- 
vorsiER.  1789.  Mém.p.  35i.  F/examen  de 
l'intérieur  de  la  terre  nous  oHi-e  en  même 
temps  l'uniformité  et  le  désordre,  ib.  L'au- 
teur ,  dans  ses  recherches ,  suppose  la  cause 
et  fait  voir  que  les  phénomènes  cadrent 
avec  cette  cause,  p.  353.  Trois  causes  ont 
concouru  à  cette  imiformité,  les  vents,  les 
changemens  de  température ,  le  llux  et 
reflux  de  la  mer.  ib.  L'effet  du  vent  sur  la 
mer  ne  s'étend  pas  au-delà  de  i  o  à  1 2  pieds 
Tab.  des  Mat.     1781  — 1790.  Ee 


2i8  TABLE  DES  MÉMOIRES 

Minéralogie  et  Métallvb.gi'e.  {Géologie.) 

de  profondeur,  ib.  Il  en  est  de  même  du 
changement  de  tempc'rature.  p.  364.  I.e 
flux  et  rellux  ne  produit  que  de  petites 
oscillations  en  pleine  mer.  ib.  Son  action 
n'a  lieu  même  sur  les  cotes  qu'à  10  ou 
1 2  pieds  au-dessous  du  niveau  de  la  basse- 
mer,  ib.  Note.  L'action  du  vent  et  du  flux 
et  reflux  sur  les  côtes,  causes  des  effets  que 
l'on  remarque  de  pierres  dont  les  angles 
sont  usés,  de  la  formation  des  montagnes 
de  galets,  p.  355.  Deux  sortes  de  bancs ,  les 
pélagiens  formés  en  pleine  mer  à  une 
grande  profondeur,  les  littoraux  formés  à 
la  côte.  ib.  Les  bancs  pélagiens  formés  de 
matières  calcaires  presque  pures ,  les  bancs 
littoraux  de  différentes  matières,  selon  la 
nature  des  côtes,  p.  356.  Ordre  dans  lequel 
ces  matières  se  trouvent,  ib.  Figure  du  talus 
que  forme  la  côte  jusqu'à  une  certaine  pro- 
fondeur dans  la  mer.  p.  SSy.  Effets  des 
mouvemens  qu'a  éprouvés  et  qu'éprouve  la 
mer.  p.  359-  Point  de  coquilles  et  de  corps 
marinsdanslesendroitsoùlacôte  est  garnie 
de  galets,  p.  36o.  Conditions  favorables  ou 
nuisibles  aux  corps  marins,  p.  36i.  Bancs 
littoraux  formés  à  la  mer  descendante  et 
à  la  mer  montante,  p.  363.  Coupe  de  plu- 
sieurs montagnes  en  France  qui  prouvent 
la  théorie  de  l'auteur,  p.  365.  Différences 
remarquables  entre  les  bancs  de  craie  et 
les  bancs  de  schistes,  p.  869.  Le  mouve- 
ment progressif  et  rétrograde  de  la  mer  est 


DE  L'ACADÉMIE.    1781-1790.      219 

Minéralogie  et  Métallurgie.  {Géologie.) 

une  vérité  de  fait.  ib.  Plan  des  Mémoires 
subséquens(qui  n'ont  point  paru),  p.  870. 
Sept  planches  dont  on  trouve  l'explication 
dans  le  Mémoire,  ib. 

Granitelle. 

Mém.  sur  un  granitelle  globuleux  ,  par 
M.  Daubenton.  1790.  p.  659.  Formation 
du  granitelle.  ib.  Des  globules,  p.  660. 
Causes  de  la  formation  des  pierres  com- 
posées de  matériaux  de  natures  difié- 
rentes,  p.  661.  Comment  les  incrustations 
prennent  des  formes  rondes  ou  arrondies. 
p.  662.  Deux  planches  à  la  fin  de  ce  Mé- 
moire, p.  664. 

Herborisations  des  pierres. 

Mém.  sur  les  causes  qui  produisent  trois 
sortes  d'herborisations  dans  les  pierres , 
par  M.  Daubenton.  1782.  Hist.  p.  21. 
Mém.  p.  667.  Trois  sortes  d'herborisations 
dans  les  pierres  ;  la  première  se  trouve 
dans  les  agathes  :  elle  est  formée  par  des 
plantes  ou  par  des  zoophitesj  la  seconde 
est  composée  de  petits  grains  de  mine  de 
fer  limoneuse  :  elle  se  trouve  dans  les 
marbres;  la  troisième  est  formée  par  des 
cavités  dans  du  cristal  de  roche  et  dans 
du  quartz  demi-transpai'ent.  ib.  Agathes 
mousseuses,  p.  668.  Neuf  espèces  de  plantes 


226  TABLE  DES  MÉMOIRES 

MiàN^ÉRALOGiE  ET  Métaliurgie.  {Herborisations 
des  pieires.  ) 

reconnues  dans  les  agathes  lierborisées.  ib. 
Pierres  qui  montrent  la  seconde  espèce 
d'herborisation,  p.  670.  Dix  espèces  de 
plantes  reconnues  entre  des  feuillets  de 
schiste,  p.  673.  Trois  planches  terminent 
ce  Mémoire. 
LiQUATiON.  Vû^'ez  Argent. 

Mansanaise. 


D 


Analyse  du  mélange  métallique  envoyé  à 
l'Académie ,  sous  le  nom  de  régule  de  man- 
ganaise  par  M.  le  Baron  de  la  Peyrouse, 
par  M.  Sage.  1785.  Mém.p.  235.  Ce  demi- 
métal  étoit  allié,  ib.  L'analyse  le  prouve,  ib. 

Mercure.  (  Demi-métal.  ) 

Analyse  d'une  nouvelle  espèce  de  mine  de 
mercure  sous  forme  de  chaux  solide , 
d'Idriadans  le  Frioul,'par  M.  Sage.  1782. 
Hist.  p.  24.  Mém.  p.  3i6.  Cette  mine  pro- 
duit par  quintal  91  liv.  de  mercure,  p.  317. 
La  poudre  grise  qui  provient  de  sa  revivi- 
fication  contient  un  peu  d'argent,  ib. 

Mines  de  charbon  de  terre. 

Sur  les  montasines  ou  mines  de  charbon  de 
terre  embrasées  spontanément,  par  M.  Mo- 
rand. i78i.Hist.  p.  16.  Mém.  p.  169. 


DE  L'ACADÉMIE.     1781  — 1790.      221 

IJiKERALOGiE  ET  METALLURGIE.  {Mine S  de  char- 
bon de  terre.  ) 

Premier  Mémoire ,  Notice  historique  et  com- 
parative des  mines  de  charbon  embrasées 
spontanément  sur  toute  la  surface  du  gloire, 

.  suivie  d'une  description  détaillée  de  celles 
de  Rouergue.  ib.  Circonstances  favoi'ables 
à  l'inflammation  spontanée  du  chai'bon  de 
terre,  p.  172.  Détails  des  mines  embrasées 
dans  les  quatre  parties  du  monde,  p.  174. 
Mines  embrasées  dans  les  différentes  pro- 
vinces de  France,  p.  18  r.  Inflammation 
superficielle  d'un  terrain  prèsde  Grenoble, 
a^Tpiilé fontaine  ardente  ou  fontaine  qui  brûle. 
p.  i83.  Analogie  de  oe  phénomène  avec 
les  terrains  à  charbon  embrasés,  p.  i85. 
Mines  de  charbon  enflammées  dans  le 
Rouergue.  p.  1 90.  Terrain  embrasé  de  Fon- 
tagnes  près  Cahuac  en  Rouergue.  p.  201. 
Examen  desdiftérentessubstancesqui  com- 
posent ce  terrain,  p.  209.  Feu  de  chaumes 
de  chanvre  pris  pour  une  mine  de  charbon 
de  terre  embrasée  aux  environsdo  Bagnols 
en  Languedoc,  p.  182,  note.  Description 
de  diflérentes  substances  terreuses,  pier- 
reuses, salines  et  bitumineuses  ,  apparte- 
nant c\  la  couverture  extérieure  de  quel- 
ques mines  de  charbon  enflammées  spon- 
tanément ,  citées  dans  ce  Mémoire,  p.  223. 

Observ.  diverses,  par  M.  Morand,  i  78  i.  îlist. 
p.  17.  Mém.  p.  45.  i".  Sur  la  précipitation 
du  fer  par  un  acide  dans  l'intérieur  des 
mines  cfe  charbon  de  terre.  Les  chaux  de 


32a  TABLE  DES  MÉMOIRES 

MlKÉRALOGIE  ET  MiTALLVlIiGIE.{MineS  de  chai' 
bon  de  terre.  ) 

fer  ou  ocre  qu'on  trouve  dans  les  bancs 
de  substances  schisteuses  qui  recouvrent 
lesmines  de  charbon,  ressemblent  aux  pré- 
cipités retirés  des  dissolutions  du  fer  par 
différens  acides,  p.  ^.  2.".  Sur  des  évapo- 
rations  odoriférantes  agréables,  dévelop- 
pées à  volonté  dans  les  bitumes  fossiles 
fétides,  ib.  Ce  développement  tient  à  l'effet 
de  la  chaleur,  p.  47.  3°.  Sur  le  soufre,  fi. 
Il  s'en  est  trouvé  dans  des  fouilles  faites 
auprès  de  la  porte  Saint-Antoine,  et  dans 
la  rue  Guénégaut,  près  d'un  ancien  égout. 
p.  48. 

Montagnes. 

Observ.  sur  les  montagnes  et  sur  les  couches 
ou  lits  de  pierre  qu'on  trouve  dans  la  terre , 
parM>LE  Gentil.  1781.  îlist.  p.  i5.  Mém. 
p.  433.  Les  grandes  montagnes  sont  com- 
posées de  trois  chaînes  parallèles;  1-a  pre- 
mière, plus  étendue  en  largeur  et  moins 
élevée;  la  seconde,  celle  du  miheu,  plus 
élevée  et  moins  large  ;  la  troisième,  sembla- 
ble à  la  première ,  formées  l'une  et  l'autre 
des  débris  de  celle  du  milieu,  ib.  Les  angles 
saillans  et  rentrans  dans  les  montagnes 
n'ont  pas  une  correspondance  aussi  exacte 
que  le  dit  M.  Bourguet.  ib.  Les  couches 
de  pierres  ou  de  matières  terrestres  suivent 
toujours  l'inclinaison  de  la  pente  du  terrain  ; 


DE  L'ACADÉMIE.     1781— 1790.     223 

Minéralogie  et  Métallurgie.  (Monm^/ze^.) 

les  couches  horizontales  ne  se  trouvent 
cjue  dans  les  plaines,  surtout  au  bas  des 
montagnes,  ib.  Faits  cjui  pi'puvent  ces  dillc- 
rentes  assertions,  p.  434.  L'inclinaison  des 
couches  est  si  régulière,  qu'elle  peut  être 
employée  pour  mesurer  la  hauteur  môme 
des  montagnes  d'une  manière  très-appro- 
chi'e.  p.  447. 


Ocre. 


Or, 


Mém.  sur  les  ocres,  par  M.  le  Baron  de 
DiETRiCH.  1787.  Mém.  p.  82.  Différentes 
ocrières  décrites  par  M.  Guettard.  ib.  Des- 
cription de  l'ocrière  de  Saint-Georges  dans 
le  Berry.  p.  83.  Manière  de  l'exploiter,  et 
outils  dont  se  servent  les  ouvriers,  pp.  84 
et  85. 

Œil  de  poisson.  Voyez  Aventurine. 


Expériences  propres  à  faire  connoîfre  dans 
cjuelle  proportion  l'acide  nitreux  pur  dis- 
sout l'or,  pf)r  M. Sage.  1789.  Mém.  p.  547. 
Moyen  d'obtenir  l'acide  nitreux  dans  un 
haut  degré  de  concentration,  ib.  Note.  Cet 
acide  n  a  presque  point  d'action  sur  l'or 
laminé,  ib. 

Mém.  ou  expériences  et  observations  sur 
l'effet  qui  résulte  fhi  mélange  d'une  partie 
d'étain  avec  vingt-quatre  parties  d'or  lia 
ou  aUié  ,  lorsqu'on  lait  recuire  le  lingot 
réduit  en  lame,  que  ce  mélange  à  pro- 


224         TABLE  DES  MÉMOIRES 

Minéralogie  et  Métallurgie  (Or.) 

duit,  par  M.  Tillet.  1790.  p.  8.  Expé- 
rience de  M.  Aie horne,  essayeur  des  mon- 
noies  en  Angleterre,  sur  le  mélange  de 
l'étain  avec  l'or.  p.  10.  Il  en  conclut  que 
l'étain  n'ôte  point  ù  l'or  sa  ductilité  ,  à 
moins  qu'il  ne  contienne  beaucoup  d'ar- 
senic, ïb.  Résultats  des  expériences  de 
l'auteur  contraires  à  ceux  de  M.  Alchorne. 
p.  17.  Soin  que  doivent  avoir  les  bijou- 
tiers d'écarter  l'étain  de  leurs  ateliers, 
p.  18.  Conjectures  sur  la  cause  de  cet  effet 
de  l'étain  sur  l'or.  p.  19. 

Os  fossile. 

Observ.  sur  un  grand  os  qui  a  été  trouvé  en 
terre  dans  Paris,  et  sur  la  conformation 
des  os  de  la  tête  des  cétacés ,  par  M,  D au- 
BENTON.  1782.  Hist.  p.  18.  Mém.  p.  211. 
Cet  os  trouvé  dans  une  fouille  faite  dans 
la  rue  Daupliine,  près  le  Pont-Neuf,  est 
une  portion  du  crâne  du  grand  cachalot. 
p.  214.  Il  étoit  enterré  dans  un  dépôt  de 
la  rivière,  p.  211.  Trois  planches  accom- 
gagnent  ce  Mémoire. 

Pierre.  V.  Herçorisation  des  Pierres. 


Pierre  calaminaire. 


Analyse  d'une  pierre  calaminaire  ou  mine 
de  zinc  terreuse,  en  masses  transparentes, 
d'un  blanc  verdâtre  ,  de  Gazimour  en 

Daourie, 


DE  L'ACADÉMIE.    1781— 1790.      225 

MriïiR.Aio(îrE  et  Métallurgie.  (  Pierre  cala-  ■ 
minaire.  ) 

Daourie ,  par  M.  Sage  .  1 790.  p.  625.  Autres 
pierres  calaminaires  du  Hartz.  p.  626.  De 
Pierre  ville  dans  la  presqu'île  de  Cotentin. 
p.  627.  Manière  d'exploiter  les  mines  de 
5:inc.  p.  628.  Usage  du  zinc,  et  sa  consom- 
mation en  France,  p.  629.  iVccessité  de 
mettre  en  œuvre  les  productions  métal- 
liques de  la  France,  ib. 

Pierre  de  croix. 

Mém.  sur  les  cristaux  appelés  communément 
Pierres  de  croix ,  par  M.  Hau y.  i  790.  p.  27. 
Causes  qui  font  que  deux  cristaux  parois- 
sentsepénétrermutuellement./è.  Descrip- 
tion des  différentes  espèces  de  pierres  de 
croix  ou  croisettes.  p.  33.  Planche  pour 
l'intelligence  de  ce  Mémoire,  p.  44. 

Pierre  de  poix. 

Mém.  sur  la  pierre  de  poix ,  peclistein  des 
Allemands,  par  M.  Uaubenton.  1787. 
Mém.  p.  86.  Description  de  cette  pierre. 
ib.  Moyen  de  reconnoître  les  bois  pétri- 
fiés, p.  87.  La  pierre  de  poix  n'est  ni  un 
bois  pétrifié,  ni  une  pierre  de  volcan,  ib. 
Elle  est  formée  par  un  suc  lapidifique , 
chargé  de  molécules  quartzeuses  qui  se 
sont  insinuées  dans  de  l'argile,  p.  89. 
Caractères  des  pierres  de  poix.  ib.  Il 
Tab.  des  Mat.  1 781  —  1 790.  F  f 


226  TABLE  DES  MÉMOIRES 

Minéralogie  et  MiTALLTJ-RGiB.  {Pierre  de  poix.) 


entre  beaucoup  d'argile  dans  ces  pierres. 
p.  91. 


Plâtre. 


Expériences  propres  à  faire  reconnoître  que 
le  plâtre  produit  par  diverses  espèces  de 
gypse,  retient  plus  ou  moins  d'eau  après 
avoir  été  gâché  et  séché,  par  M.  Sage. 
1787.  Mém.  p.  78.  Moyen  de  connoître  la 
quantité  de  terre  calcaire  que  contient  le 
gypse,  ib.  Note.  Analyse  du  gypse  de  Mont- 
martre du  côté  de  Clignancourt.  p.  79.  La 
sélénite  réduite  en  plâtre  est  moins  alté- 
rable à  l'air  que  celui  qui  a  été  fait  avec 
le  gypse  qui  contient  un  excès  de  terre 
calcaire,  p.  81. 


Plomb. 


Analyse  d'une  mine  de  plomb  terreuse  jau- 
nâtre ,  antimoniale  et  martiale  ,  en  masse 
formée  de  difï'érens  lits ,  se  trouvant  par 
filons  à  Bonvillarsen  Savoie,  à  six  lieues 
de  Chambéri ,  sur  la  route  de  Piémont, 
par  M.  Sage.  1784.  Mém.  p.  291. 

Description  et  analyse  chimique  d'une  mine 
de  plomb  verte  "du  hameau  des  Roziers , 
près  Pont-Gibaud,  en  Auvergne,  lue  à 
l'Académie-le  18  mai  1789,  par  M.  FouR- 
CROY.  1789.  Mém.  p.  343.  Description  de 
la  mine.  p.  344.  Expénences  faites  sur  le 
minerai,  p.  345.  Proportion  des  dillérentes 


DE  L'ACADÉMIE.     1781— 1790.      227 

Minéralogie  et  Métallurgie.  (Plomb.) 

matières  contenues  dan»  cette  mine  de 
plomb,  p.  347.  Résultats  de  l'analyse, 
pp.  349  et  35o. 

Analyse  d'une  mine  de  plomb  cuivreuse , 
antimoniale,  cobaltique,  dans  laquelle  ces 
substances  métalliques  se  trouvent  com- 
binées avec  le  soufre  et  l'arsenic  d'Arnos- 
tigui ,  près  Baigorri  en  Basse-Navarre ,  par 
M.  Sage.  1787.  Mém.  p.  534. 

Analyse  d'une  mine  de  plomb  terreuse ,  com- 
binée avec  des  acides  arsenical  et  phosplio- 
rique  de  Rosier,  près  la  mine  de  Rouie,  en 
Auvergne,  par  le  môme.  1 789.  Mém.  p.  543. 

Obscrv.  sur  différentes  espèces  de  galènes 
(mines  de  plomb  sulfureuses)  aurifères,  par 
le  môme.  1789.  Mém.  p.  537.  Voyez  Anti- 
moine, Argent,  Cristallisation. 


Prase. 


Schorî. 


Analyse  de  la  prase  et  de  la  chrysoprase, 
ou  calcédoine  verte,  de  Cosémitz  en  Si- 
lésie ,  dans  le  Comté  deGlatz ,  par  M.  Sage. 
1788.  Mém.  p.  140. 


Observ.  sur  les  scliorls ,  par  M.  l'Abbé  Haut. 
1784.  Mém.  p.  270.  Le  seul  caractère 
propre  à  distinguer  les  différentes  espèces 
de  scliorls  est  la  forme  de  leurs  cristaux. 
ib.  Différence  des  cristaux  de  scborl  blanc 
de  ceux  du  scborl  noir.  p.  271.  Le  scborl 
blanc  se  rapprocbe  du  spath  étincelant.  ib. 


228  TABLE  DES  MÉMOIRES 

Minéralogie  et  Métallurgie.  (5c/jorZ.) 

Mém.  sur  la  structure  des  cristaux  de  schoil, 
par  le  même.  1787.  Mém.  p.  92.  Difficulté 
de  déterminer  la  structure  des  scliorls.  ib. 
Structure  des  schorls  appelés  tourmalines 
qui  s'électrisent  à  l'aide  de  la  chaleur. 
p.  98.  Schorls  qui  n'ont  pas  la  propriété 
des  tourmalines,  ou  qui  ne  l'ont  que  foi- 
blement.  p.  1 00.  Utilité  de  traiter  les  schorls 
par  voie  d'analyse,  p.  108.  Planche  pour 


l'intelligence  de  ce  Mémoire,  ib. 


Spath. 


Analyse  d'un  spath  pesant  vert,  parM.  Sage. 
1785.  Mém.  p.  238. Description  de  ce  spath. 
ib.  Analyse  par  le  moyen  de  l'acide  ni- 
treux ,  de  l'alkali  volatil  et  de  la  dissolu- 
tion d'argent,  ib.  Eprouvé  au  feu.  p.  289. 

Analyse  du  spath  pesant  aéré,  transparent 
et  strié  d'Alstonwoor ,  par  le  même.  1788. 
Mém.  p.  143. 

Mém.  sur  la  double  réfraction  du  spath  d'Is- 
lande ,  par  M.  l'Abbé  Hauy.  1788.  Mém. 
p.  34.  Explication  de  Newton ,  &Huyghens 
et  de  La  Hire.  ib.  Plan  des  recherches  et 
des  observations  de  l'auteur,  p.  35.  Expo- 
sition des  expériences  faites  par  Newton. 
p.  36.  Accord  des  résuhats  de  ces  expé- 
riences avec  les  observations,  p.  38.  Nou- 
veaux résultats  qui  déterminent  avec  pré- 
cision la  quantité  des  réfractions  que  su- 
bissent les  mêmes  rayons  dans  le  spath.. 


DE  L'ACADEMIE.     1781—1790.       229 

Minéralogie  et  Métallurgie.  (Spath.) 

p.  40.  Planche  qui  termine  le  Mémoire, 
p.  60. 

Observ.  sur  le  spath  calcaire  rhomboulal 
trouvé  dans  les  carrières  de  grès  de  Fon- 
tainebleau, par  M.  Sage.  1790.  p.  899, 

Spath  étincelant.  Voyez  Aventurine. 

ŒcONOMiE.  (Blanchiment.) 

Mém.  sur  le  blanchiment  des  cocons  jaunes 
de  vers  à  soie,  par  M.  Baume.  1787.  Mém. 
p.  583.  Blanchiment  des  cocons  jaunes, 
plus  difficile  et  moins  utile  que  celui  de  la 
soie  jaune  que  l'auteur  a  exécuté  en  1775 
et  1776,  par  un  procédé  qui  lui  est  par- 
ticulier, ib.  Le  blazichiment  des  cocons 
jaunes  a  des  avantages  et  des  inconvé- 
niens  dans  le  dévidage  de  la  soie.  p.  584. 
Le  procédé  de  l'auteur  pour  le  blanchi- 
ment de  la  soie  jaune  dispense  d'avoir  re- 
cours aux  soies  blanchies  à  la  Chine,  ib. 
Voye%  Acide  muriatique.  (^Chimie.) 


Bois. 


Renseignemens  généraux  pour  tenir  lien  de 
réponse  à  une  question  adressée  à  l'Aca- 
démie ,  par  M.  Gasté  de  Bonay ,  concer- 
nant la  cherté  et  la  rareté  du  bois  à  brûler, 
païticulièrement  du  charbon  de  bois,  re- 
lativement aux  grosses  forges  et  fourneaux 
à  fer,  par  M.  Morand.  1784.  Mém.  p.  402, 


53o         TABLE  DES  MEMOIRES 

ŒCONOMIE.   {BOÎS.) 

On  propose  et  on  enseigne  le  moyen  de 
substituer  au  charbon  de  bois  l'usage  du 
charbon  de  terre,  p.  408.  Un  point  essen- 
tiel pour  réussir  est  de  procurer  à  la  com- 
bustion du  charbon  de  terre  l'action  la 
plus  développée  de  l'air  libre,  p.  406. 


Cidre. 


Rapport  concernant  les  cidres  de  Norman- 
die, par  M  M.  Cadet,  La  voisier,  Baume, 
Berthollet  et  d'ARCET.  1786.  Mém. 
p.  479.   Première  Partie  ,  contenant  un 
abrégé  historique  de  ce  qui  s'est  passé  en 
Normandie  depuis  1771   jusqu'en   1785  , 
relativement  à  la  falsification  des  cidres, 
p.  480.  On  faisoit  usage  de  la  céruse  pour 
adoucir  le  cidre,  ib.  DifFérens  arrêts  du 
Parlement  de  Rouen  contre  les  falsifica- 
teurs de  cidre,  p.  482.  Procédés  indiqués 
par  M.  de  LafoUe,et  réclamation  de  M.  Des- 
croisilles  contre  ces  procédés,  p.  486.  En 
conséquence  de  ces  débats,  arrêt  du  Par- 
lement de  Rouen  pour  engager  le  Roi  à 
prendre  l'avis  desSavans  de  Paris,  p.  488. 
Seconde  Partie ,  contenant  les  expériences 
et  l'avis  des  Commissaires  de  l'Académie, 
p.  489.  Fabrication  de  différens  cidres: 
i".  Cidre  fait  sans  addition  d'eau  non  cuvé. 
p.  490.  2°.  Avec  addition  d'eau  de  rivière 
et  non  cuvé.  ib.  3^.  Sans  addition  d'eau 
et  cuvé.  p.  491.  4"^.  Avec  de  l'eau  de  puits 
non  cuvé.  ib.  5°.  Avec  de  l'eau  de  puits  et 


DE  L'ACADÉMIE.    1781— 1790.     a3i 
ŒCONOMIE.  {Cidre.) 

cuvé.  ib.  6".  Sans  eau  non  cuvé,  et  avec 
des  pommes  pi  lées  dans  une  auge  de  pierre, 
p.  492.  Expériences  sur  ces  difléreascidres, 
dirigées  par  une  suite  de  Questions,  ib. 
Première  Question  ,  la  propriété  qu'ont 
quelques  cidres  de  donner  par  l'alkali  fixe 
un  précipité  terreux,  est-elle  une  preuve 
qu'on  y  ait  ajouté  de  la  craie ,  de  la  chaux , 
de  la  cendre,  ou  quelqu'autre  terre  absor- 
bante? p.  493.  Seconde  Question,  l'addi- 
tion des  substances  terreuses  et  calcaires, 
telles  que  la  chaux ,  la  craie  et  les  cendres 
masquent-elles  la  présence  du  plomb,  au 
point  de  rendre  cette  substance  métalli- 
que méconnoissable  parlesdifférens  réac- 
tifs ,  tels  que  le  foie  de  soufre  ,  l'acide 
vitriolique  ,  l'acide  marin ,  etc.  ?  p.  496. 
Troisième  Question ,  les  expériences  faites 
par  les  réactifs,  tels  que  le  foie  de  soufre 
fixe  ou  volatil,  l'acide  marin,  etc.  sont- 
elles  suffisantes  pour  qu'on  puisse  affirmer 
d'une  manière  positive ,  qu'il  existe  du 
plomb  dans  une  boisson?  p.  497.  Quatrièmo 
Question,  quelles  conséquences  peut-on 
tirer  de  l'expérience  du  barreau  de  fer, 
faite  dans  les  derniers  temps,  par  les  chi- 
mistes de  Rouen?  p.  498.  Cinquième  Ques- 
tion, quels  sont  les  mélanges  véritable- 
ment condamnables  et  qui  doivent  exciter 
la  sévérité  des  lois?  Peut-on  tolérer  dans 
les  cidres  l'addition  des  substances  absor- 
bantes, telles  que  les  cendres,  l'alkali^  la 


232  TABLE  DES  MÉMOIRES 

ŒcoNOMiE.  {Cidre.) 

craie,  la  chaux  et  les  terres  calcaires  en 
général?  p.  5oo.  Sixième  (Question,  peut- 
on  tolérer  les  mélanges  de  cidres  nou- 
veaux avec  les  vieux  pour  les  rajeunir  ; 
les  introductions  de  sucre  ou  de  mélasse 
dans  les  cidres  pour  y  ranimer  la  fermen- 
'  tation?  Y  a-t-il  quelque  danger  de  soufTrir 
qu'on  y  ajoute  de  l'eau-de-vie  de  vin  ou 
de  cidre  pour  leur  donner  plus  de  corps 
ou  pour  en  prévenir  le  dépérissement? 
p.  5oi.  Septième  Question  ,  quels  sont  les 
moyens  que  le  Gouvernement  pourroit 
mettre  en  usage  pour  perfectionner  la 
fabrication  des  cidres  en  Normandie , 
pour  bannir  les  craintes  du  public ,  les  in- 
quiétudes des  tribunaux,  et  faire  renaître 
la  confiance  dans  le  commerce  ?  p.  5o2. 
Résumé  et  conclusion,  p.  604. 


Drap. 


Mém.  sur  le  premier  drap  de  laine  superfine 
du  crû  de  la  France ,  par  M.  Daubenton. 
1784.  Mém.  p.  76.  Détail  des  expériences 
faites  près  de  Montbard  en  Boui-gogne 
pour  améliorer  les  laines,  ib.  Micromètre 
appliqVié  au  microscope  pour  mesurer  le 
diamètre  des  filamens  de  la  laine,  p.  78. 
Fabrication  de  différentes  espèces  de  draps, 
p.  79. 

Addition  à  ce  Mémoire.  1784.  Mém.  p.  81, 
Les  laines  sont  aussi  fines  et  sont  plus  fortes 

et 


DE  L'ACADÉMIE.     1781—1790.       :i33 

Œqonomie.  (Drap.) 

et  plus  nerveuses  que  les  laines  superfines 
d'Espagne,  ib.  Les  laines  les  plus  fines  se 
trouvent  dans  les  pays  élevés,  les  plus  lon- 
gues sont  dans  les  plaines  les  plus  basses. 
p.  82.  L'alliance   des   différentes   races  , 
moyen  d'amélioration,  p.  83. 
Observ.  sur  la  comparaison  de  la  nouvelle 
laine  superfine  de  France,  avec  la  plus 
belle  laine  d'Espagne  dans  la  fabrication 
du  drap ,  par  M.  D  aubenton.  i  786.  Mém. 
p.  454.  Bêtes  à  laine  tirées  de  la  bergerie 
de  l'auteur  et  placées  à  l'Ecole  Vétérinaire 
d'Alfort.  p.  455.  Le  drap  fabriqué  avec  la 
laine  de  ce  troupeau  ne  diffère  pas  de  ceux 
qui   proviennent    des   plus   belles   laines 
d'Espagne,  p.  456.  Expériences  compara- 
tives faites  sur  les  différentes  laines,  ib.  Le 
suint  est  plus  abondant  sur  les  laines  su- 
perfines que  sur  les  lainesgrossières.  p.  468. 
La  laine  de  l'auteur,  sans  être  triée,  a  filé 
plus  fin  que  la  plus  belle  prime  d'Espagne 
triée,  ib.  Addition  au  Mémoire  précédent. 
p.  469.  Lettre  de  M.  Décrétât,  manufac- 
turier à  Louviers.  ib.  [,ettre  de  M.  Oger 
auxGobelins,  qui  a  fabriqué  du  drap  écar- 
late  avec  les  laines  de  l'auteur,  p.  461.  Ré- 
sumé de  toutes  ces  expériences,  p.  468. 

Grains. 

Sur  les  étuves  propres  à  la  conservation  des 
grains,parM.FouGEROUXDEBOi\DAROY, 

Tab.  des  Mat.     1781  — 1790.  Gg 


2^4  TABLE  DES  MÉMOIRES 

CEcoNOMlE.  {Grains.) 

1786.  Mém.  p.  423.  Le  blé  étuvé  fait  de 
très-bon  pain  ;  faits  qui  le  prouvent,  p.  424. 
Il  se  conserve  fort  long-temps  et  n'exige 
aucuns  Trais  de  remuage.  ib.  Utilité  des 
étuves  dans  les  années  liumides  et  plu- 
vieuses comme  en  1782.  ib.  Détails  de 
l'opération  faite  sur  le  blé  de  cette  année 
en  1783.  p.  425,  Moyen  d'assainir  le  blé 
carié  ou  mouclieté  par  le  lavage  et  la 
dessication  au  soleil  ou  dans  les  étuves. 
p.  428.  Moyen  indiqué  par  M.  Tillet  pour 
préserver  de  la  carie  le  blé  qu'on  sème.  ib.. 

Hôpitaux^ 

Examen  d'un  projet  de  translation  de  l'Hôtel» 
Dieu  de  Paris, et  d'une  nouvelle  construc- 
tion d'hôpitaux  pour  les  malades.  1785. 
Hist.  p.  I.  Inconvéniens  du  local  et  du  ré- 
gime de  l'IIôtel-Dieu  de  Paris,  p.  2. 

Rapport  des  Commissaires  chargés  par  l'Aca- 
démie, de  l'examen  (Ui  projet  d'un  nouvel 
Hôtel-Dieu  ,  par  MM.  de  Lassone  ,  Dau- 
BENTON,  Tenon,  Bailly,  Lavoisier, 
Lapl  ACE,  Coulomb,  d'Arcet.  1785.  Hist. 
p.  2.  Ce  projet  a  été  proposé  par  M.  Poyet, 
Architecte  et  Contrôleur  des  bâtimens  de 
la  Ville,  p.  3.  Le  premier  olîjet  des  Com- 
missaires a  été  d'examiner  l'Hôtel-Dieu  et 
les  hôpitaux,  ib.  Ils  ont  visité  une*  partie 
des  hôpitaux,  et  n'ont  pu  visiter  l'Hôtel- 
Dieu.  p.  4.  Ressources  qu'ils  ont  eues  pour 


DE  L'ACADÉMIE.     1781—1790.       ^35 

CEcoK-OMîE.  (Hôpitaux.) 

faire  leur  examen  et  leur  rapport,  p.  5. 
Examen  de  l'Hôtel -Dieu.  p.  6.  L'Hôtel- 
Dieu  est-il  suffisant  pour  la  ville  de  Paris? 
îb.  Détermination  du  nonijjre  moyeu  et 
.^'  journalier  des  malades,  ib,  L'iîôtel-Dieu 
doit  être  d'abord  capable  de  recevoir  ce 
nombre  moyen,  p.  7.  Nécessité  d'y  rece- 
voir au  moins  4000  malades,  ib.  Les  ma- 
ladespeuventsurpasserce  nombre  dc4ooo. 
p.  10.  Malgré  les  secours  que  les  pauvres 
ont  reçus,  il  faut  que  l'Hôtel-Dieu  soit  ca- 
pable de  recevoir  4B00  malades,  ib.  Secours 
que  peut  offrir  l'Hôtel-Dieu  actuel,  p.  12. 
Secours  qu'on  peut  en  attendre  quand  il 
sera  augmenté.  Ils  se  réduisent  à  2000  lits 
au  plus.  p.  i5.  L'Hôtel-Dieu  n'a  pas  réelle- 
ment le  nombre  de  lits  qu'il  paroit  avoir. 
p.  16.  I/Hôtel-Dieu  ne  pouvant  donner 
les  4800  lits  dont  on  a  besoin ,  ni  les  3ooo 
'  '  promis,  est  insuffisant,  p.  17.  L'Hôtel-Dieu 

est-il  commode  et  salubre?  Les  malades 
trop  rapprocliés  se  nuisent.  Beaucoup  de 
lits  dans  les  salles,  plusieurs  malades  dans 
le  même  lit.  p.  19.  Inconvéniens  de  l'usage 
de  coucher  plusieurs  malades  dans  un  lit. 
Pour  que  le  corps  se  repose,  il  faut  que 
les  muscles  soient  dans  un  état  de  relâche- 
ment, p.  21.  Il  faut  que  les  membres  soient 
fléchis,  ib.  Il  faut  changer  de  positicm  pour 
éviter  les  effets  de  la  compression,  p.  22. 
Un  lit  de  4  pieds  4  pouces  ne  peut  pas 
sufEreàces  destinations, quand  on  y  place 


236  TvVBLE  DES  MÉMOIRES 

(Economie.  {Hôpitaux.) 

quatre  ou  six  malades,  p.  28.  Ces  malades 
ainsi  entassés  ne  peuvent  pas  dormir  dans 
leur  lit.  ib.  Ces  lits  ont  une  chaleur  qui 
trouble  la  marche  de  la  nature,  p.  24. 
Cette  température  commune  n'est  celle 
d'aucun  des  malades  du  lit ,  et  elle  peut 
leur  nuire  à  tous.  p.  26.  Elle  échaufie  les 
salles  et  les  échauffe  d'une  chaleur  mal- 
saine, ib.  Ces  lits  à  quatre  ou  à  six,  et  môme 
les  lits  à  deux  malades  doivent  être  pros- 
crits, p.  27.  Pour  ménager  le  terrain  on 
accouple  les  litsj  inconvéniens  de  cette 
association,  p.  28.  On  multiplie  les  étages, 
inconvéniens  de  cette  disposition,  p.  3o. 
Les  salles  accouplées ,  les  étages  accu- 
mulés rendroient  l'Hôtel-Dieu  futur  sem- 
blable à  l'Hôtel-Dieu  actuel,  p.  82.  De  là 
naît  confusion  ,  mauvaise  disposition  des 
départemens ,  infection  de  l'air,  ib.  Les  con- 
valescens  sont  confondus  avec  les  malades 
p.  33.  Abus  de  les  laisser  sortir  les  jambes 
nues.  ib.  Les  fous  sont  placés  trop  près 
des  autres  malades,  p.  84.  Les  maladies 
contagieuses  sont  mêlées  avec  les  maladies 
ordinaires,  p.  85.  Les  hôpitaux  des  ma- 
ladies contagieuses  ont  toujours  été  hors 
des  villes,  ib.  L'Hôtel-Dieu  les  reçoit  pres- 
que toutes  et  les  concentre  au  milieu  de 
Paris,  p.  86.  Danger  de  la  comnmnication 
pour  les  habitans  de  la  ville,  ib.  Danger 
de  la  communication  pour  les  malades  de 
riIôtel-Dieu.  p.  38.  Les  hommes  varioles 


DE  L'ACADÉMIE.    1781— 1790.      aSy 
ŒCONOMIE.  (  Hôpitaux.  ) 

sont  plusieurs  dans  un  lit.  p.  40.  Les  femmes 
yariolées  sont  mêlées  avec  lesfébricitantes. 
ib.  Les  salles  des  maladies  chirurgicales 
sont  mal  disposées  et  mal  placées;  la  salle 
des  blessés  a  trop  de  mouvement  et  de 
bruit,  ib.  La  propreté  y  est  impossible. 
p.  41.  L'air  de  la  salle  des  opérations  est 
infecté.  Danger  du  spectacle  des  opéra- 
tions pour  ceux  qui  ont  été  opérés  ou  pour 
ceux  qui  doivent  l'être,  p.  42.  Les  salles 
des  femmes  enceintes  et  des  accouchées 
ne  sont  pas  mieux  disposées-  p.  4.3.  Ces 
femmes  sont  trois  à  quatre  dans  un  lit; 
elles  respirent  un  air  corrompu  et  humide. 
J3.  44.  La  salle  des  opérés  et  celle  des 
femmes  en  couche  sont  placées  sur  une 
rue  fréquentée  par  les  voitures,  les  ébran- 
lemens  nuisent  au  succès  des  opérations 
des  uns  et  au  rétabhssement  des  autres. 
p.  46.  Les  registres  pourroient  montrer  si 
les  opérations  sont  heureuses  à  l'Hùtel- 
Dieu.  ib.  Le  trépan  y  est  toujours  mortel, 
p.  47. 11  3^  a  souvent  à"  l'Ilôtel-Dieu  des  épi- 
démies sur  les  femmes  en  couche,  ib.  La 
conservation  des  femmes  enceintes  mérite 
toute  l'attention  du  Gouvernement,  p.  49. 
La  perte  de  ces  femmes  en  couche  et  des 
opérés  est  en  partie  l'efiet  de  l'infection 
de  l'air  ;  et  cette  infection  est  la  grande 
cause  de  l'insalubrité  del'Hùtel-Dieu.  p.  5o. 
L'homme  altère  l'air  qu'il  respire;  de  l;i 
naît  la  nécessité  que  l'air  soit  renouvelé,  ib. 


238         TABLE  DES  MÉMOIRES 

CEcoNo.MiE.  (Hôpitaux.) 

Les  salles  de  l'Hôtel-Dieu  sont  trop  basses; 
dimensions  des  salles  relatives  aux  difle- 
rentes  maladies,  p.  5i.  Tableau  des  dimen- 
sions des  principales  infirmeries  des  hôpi- 
taux de  Paris,  p.  5o.  Il  n'y  a  pas  assez  d'air 
dans  les  salles  pour  la  quantité  des  ma- 
lades, p.  02.  Le  renouvellement  de  l'air  y 
est  difl]cile,et  l'air  qui  arrive  est  souvent 
en  partie  corrompu,  p.  53.  On  infecte  en- 
core cet  air  en  vidant  les  paillasses  dans 
les  salles.  L'Hôtel-Dieu  doit  être  le  plus 
insalubre  des  hôpitaux,  p.  64.  11  faut  con- 
sulter l'expérience  sur  l'insalubrité  qu'an- 
noncent les  dispositions  locales  de  l'Hôtel- 
Dieu.  p.  55.  Tableau  de  la  mortalité  des 
diflérens  hôpitaux,  p.  56.  L'Hôtel-Dieu  est 
celui  de  tous  les  hôpitaux  qui  perd  le  plus 
de  malades,  en  proportion  de  ceux  qu'il 
reçoit,  et  son  insalubrité  est  démontrée 
par  le  fait.  p.  5g.  C'est  à  tort  que  l'on  fait 
entrer  les  enfans  nés  à  l'Hôtel-Dieu  dans 
le  nombre  des  malades  reçus,  ib.  Les 
femmes  enceintes  ne  devroient  pas  non 
plus  y  être  comprises ,  elles  font  paroitre 
trop  petite  la  mortalité  moyenne,  p.  62, 
Tableau  des  malades  entrés  et  des  morts 
pendant  les  dix  années  de  1762  à  1772. 
p.  63.  La  mortalité  moyenne  ici  déter- 
minée, au  moins  d'un  sur  quatre  et  demi 
est  donc  au-dessus  de  la  véritable,  p.  65. 
L'insalubrité  de  l'Hôtel-Dieu  est  une  cause 
constante  de  dépopulation  qui  s'ajoute  à 


DE  L'ACADÉMIE.     1781—1790.      sSp 

ŒcoNOMiE.  {Hôpitaux.)  ^ 

l'intempérie  des  saisons  fctcheuses.  ib.  On 
peut  comparer  l'Ilôtel-Dieu  à  la  Charito 
et  à  l'hospice  de  Saint-Sulpice.  p.  67.  Les 
maladies  contagieuses  reçues  à  l'IJôtel- 
Dieu  n'empêchent  point  cette  comparai- 
son, ib.  On  apporte  toujours  beaucoup  de 
mourans  aux  hôpitaux.  S'il  en  vient  plus 
à  l'IIôlel-Dieu,  c'est  sa  faute,  p.  68.  On 
auroit  pu  faire  des  comparaisons  plus  dé- 
favorables à  l'Hôtel-Dieu.  p.  69.  L'hôtel- 
Dieu  enlève  en  62  ans  99044  citoyens  et 
1906  par  an  que  la  Charité  auroit  con- 
servés, p.  70.  Ou  8i3i8  en  62  ans,  et  1664 
paranque  l'hospice  de  Saint-Sulpice  auroit 
conservés.  fZ'.  Les  maladies  y  durent  à  peu 
près  le  double  qu'à  la  Charité  et  à  l'hos- 
pice de  Saint-Sulpice.  p.  71.  Le  traitement 
des  maladies  y  est  plus  cher.  p.  72. 1/Hôtel- 
Dieu ,  le  plus  ancien  des  hôpitaux ,  a  le  plus 
besoin  de  réforme,  et  doit  être  le  plus 
imparfait. p.  74.  Les  Commissaires  de  l'Aca- 
démie en  jugent  comme  MM.  les  Admi- 
nistrateurs, p.  75.  Conclusion  des  Commis- 
saires. L'Hôtel-Dieu  est  insuffisant,  in- 
commode, insalubre.  Il  lui  faut  un  em- 
placement plus  vaste  ,  et  la  nécessité  de  sa 
translation  est  démontrée,  ib. 
Examen  du  projet  de  M.  Poyet.  1785.  Hist.. 
p.  78.  Exposé  du  projet  de  M.  Poyet.  ib-. 
Ce  projet  n'est  pas  nouveau,  p.  79.  Il  fuit 
le  juger  relativement  à  son  utilité,  p.  80» 
L'iie  des  Ciguës  doit  être  souvent  inondée  j; 


24Ô         TABLE  DES  MÉMOIRES 

ŒCONOMIE.  (Hôpitaux.) 

est-il  convenable  d'y  placer  un  hôpital?  ib. 
La  disposition  des  salles  est  assez  bien  en- 
tendue, p.  8i.  C'est  trop  de  trois  étages  de 
salles,  p.  82.  l-es  salles  sont  trop  élevées,  ib. 
Il  ne  faut  pas  de  cliambres  pour  les  payans. 
p.  83.  Le  nouvel  hôpital  contiendroit  un 
nombre  suffisant  de  malades,  mais  il  seroit 
trop  éloigné  de  plusieurs  quartiers  de  la 
ville,  ib.  Inconvéniens  de  ce  projet,  p.  84. 
M.  Poyct  mérite  des  éloges,  ib.  Avantages 
de  ce  projet.  Cet  hôpital  est  infiniment 
supérieur  à  l'Hôtel-Dieu.  S'il  étoit  cons- 
truit, il  mériteroit  d'être  approuvé.  Comme 
il  est  encore  en  projet,  il  faut  chercher  à 
faire  mieux,  ib.  Réflexions  sur  les  moyens 
de  secourir  les  pauvres  malades,  et  sur  les 
meilleures  dispositions  des  bàtimens  des- 
tinés à  les  recevoir,  p.  85.  On  doit  éviter 
de  faire  un  seul  hôpital  pour  5ooo  malades. 
ib.  On  se  propose  que  les  malades  soient 
bien  et  que  leur  traitement  ne  soit  point 
cher,  il  faut  par  conséquent  les  réunir  en 
nombre,  mais  non  pas  en  nombre  trop 
grand,  p.  86.  Trois  moyens  de  traiter  les 
malades.  Le  premier  est  de  les  traiter  chez 
eux,  et  on  ne  peut  l'employer  pour  tous 
les  malades,  ib.  Le  second  moyen  est  de 
substituer  à  l'Hôtel-Dieu  des  hospices 
fondés  dans  chaque  paroisse,  p.  87.  Ces 
hospices  ne  pourroient  être  ni  placés, 
ni  construits  suivant  de  bons  principes. 
p.  88.  Les  hospices  ne  rempliroient  pas  les 

destinations 


DE  L'ACADÉMIE.     1781  —  1790.      241 

ŒCONOMIE.  {Hôpitaux.) 

destinations  de  l'Hôtel-Dieu  ,  il  faut  ini 
hôpital  commun  pour  la  ville  de  Paris, 
prenu'ère  raison,  p.  89.  Seconde  raison,  ib. 
Troisième  raison,  p.  99.  Quatrième  raison, 
ib.  Cinquième  raison,  ib.   Il  faut  encou- 
rager les  établissemens  des  hospices  où  les 
malades  sont  mieux  traités ,  maiscomme  se- 
cours de  l'hôpital  conmiun  ,  et  non  comme 
mo>^en  unique,  p.  91.  Les  grands  hôpitaux 
appartiennent  à  l'Etat,  ils  sont  durables, 
p.  92.  Les  Commissaires  proposent  d'en 
construire  quatre,  ib.  Dans  l'exécution  le 
système  des  hospices  reviendroit  à  peu 
près  à  celui  de  ces  quatre  hôpitaux,  p.  9.3. 
Disposition   intérieure  de   ces   hôpitaux. 
p.  95.  Disposition  extérieure,  ib.  Disposi- 
tion intérieure  des  salles,  p.  96.  Départe- 
ment  des  maladies  contagieuses,  p.  98. 
Latrines  et  égout  souterrain,  p.  99.  Ces 
hôpitaux  seront  saluhres.  ib.  L'Hôtel-Dieu 
est-il  en  état  de  fournir  à  la  dépense  de 
4800  malades,  p.  100.  La  construction  de 
ces  quatre  hôpitaux  ne  sera  pas  une  dé- 
pense considérable  ,  si  on  supprime  la  dé- 
coration du  luxe.  p.  ICI.  Il  y  a  d'ailleurs 
plusieurs  moyens   d'économie.  On   peut 
retrancher  la  boulangerie  et  la  boucherie. 
ib.  On  n'a  besoin  que  d'une  médiocre  buan- 
derie, p.  102.  On  peut  trouver  des  hôpi- 
taux déjà  construits,  tels  que  Saint-Louis 
et  Sainte-Anne. p.  io3.  Changemens  faciles 
à  faire  à  l'hôpital  Saint-Louis,  p.  104.  L'hô- 
Tab.  des  Mat.     1 78 1  —  1 790. '  Hli 


242         TABLE  DES  MEMOIRES 

ŒcoKOMiE.  (Hôpitaux.) 

pitalSainte-Anne  n'est  pas  assez  grand,  mais 
on  peut  l'augmenter,  ib.  Il  y  auroit  pour 
im  troisième  hôpital  un  terrain  et  quel- 
ques bâtirhens  tout  prêts  au  couvent  des 
Célestins.  ib.  Le  quatrième  hôpital  pour- 
roit  être  placé  près  de  l'Ecole  nn'litaire. 
p.  io5.  Objection  contre  ce  plan.  Saint- 
Louis  et  Sainte-Anne  ont  été  réservés  pour 
ks  épidémies,  ib.  Les  épidémies  sont  si 
rares,  qu'on  peut  croire  que  les  causes  ne 
subsistent  plus.  p.  io6.  C'est  pour  suffire 
aux  saisons  les  plus  fâcheuses  qu'on  a  de- 
mandé 4800  lits.  Ces  hôpitaux  en  rece- 
vroient  encore  2400  dans  un  besoin  ex- 
traordinaire, p.  107.  I,es  deux  hôpitaux 
placés  près  de  l'arsenal  et  de  l'Ecole  mili- 
taire auroient  de  l'eau.  On  pourroit  en 
fournir  aux  deux  autres,  au  moyen  des 
rivières  qu'on  projette  d'amener  à  Paris, 
p.  108.  11  seroit  bon  de  conserver  un  dépôt 
à  l'Hôtel-Dieu.  p.  109.  Conclusions  géné- 
rales de  tout  le  rapport,  ib. 
Deuxième  rapport  des  mêmes  Commissaires. 
1786.  Hist.  p.  I.  Objet  de  ce  rapport.  Le 
choix  des  emplacemens  des  quatre  hôpir 
taux.  L'hôpital  Saint- Louis  très-conve- 
nable, sauf  quelques  inconvéniens  aux- 
quels on  indique  les  remèdes,  p.  2.  Le 
terrain  de  l'hôpital  Sainte-Anne,  ou  de 
la  Santé  ,  assez  vaste  pour  y  construire 
les  bàtimens  nécessaires,  p.  3.  Le  terrain 
des  Célestins  ne  convient  pas.  p.  4.  Choix 


DE  L'ACADÉMIE.     1781— 1790.      243 

ŒCONOMIE.  (  Hôpitaux.  ) 

de  la  maison  des  religieuses  hospitalières 
de  la  Roquette,  p.  6.  De  l'Abbaye  de  bainte- 
Périne  de  Chaillotpour  le  quatrième  hôpi- 
tal, p.  7.  Moyens  de  procurer  de  l'eau  à 
ces  hôpitaux  et  de  les  débarrasser  de  leurs 
immondices,  p.  9. 
Troisième  rapport  des  mêmes  Commissaires. 
1786.  Hist.  p.  i3.  Le  bâtiment  de  l'Ecole 
niihtaire  remplace  celui  de  Sainte-Pt'rine. 
ib.  Première  Partie ,  observations  sur  les 
hôpitaux  de  l'Angleterre,  p.  i5.  Quatre 
sortes  d'hôpitaux  en  Angleterre,  ib.  Né- 
cessité de  baigner  ou  éponger  les  malades 
qui  arrivent  à  l'hôpitaL  p.  17.  Usage  utile 
des  ventouses  pour  renouveler  l'air  dans 
les  salles._  p.  18.  Donner  les  fournitures  à 
l'entreprise,  ib.  Salles  pour  électriser  les 
malades,  p.  19.  Salles  de  bains  à  vapeurs. 
p.  20.  Perfectionnemens  des  lits  construits 
en  fer.  ib.  Distributions  gratuites  de  re- 
mèdes, de  consultations  et  de  secours  à 
domicile,  p.  21.  Historique  de  la  taxe  pour 
les  pauvres  en  Angleterre,  p.  22.  Détail 
des  soins  que  l'on  donne  aux  malades  en 
Angleterre,  p.  26,  Loi  de  la  propreté  essen- 
tielle, ib.  Seconde  Partie ,  plan  d'un  hôpital 
pour  1200  malades,  p.  27.  L'hôpital  par- 
tagé en  parallèles  de  pavillons  isolés,  ib. 
Détail  des  distributions  avec  un  plan  cpii 
termine  le  rapport  dressé  par  M.  Poyet, 
architecte  de  la  Ville,  p.  28.  ctsuiv.  Baisons 
du  changement  fait  dans  la  distribution 


244  TABLE  DES  MÉMOIRES 

ŒcoNOMiE.  {Hôpitaux.) 

des  salles,  p.  84.  Avantage  de  classer  les 
maladies  dans  les  salles,  p.  87.  Réponse  à 
une  objection  faite  contre  l'établissement 
de  quatre  hôpitaux,  ib.  Moyens  d'appro- 
prier l'hôpital  Saint-Louis  et  l'Ecole  mili- 
taire au  nouveau  plan.  p.  40.  ^ 
Précis  d'un  ouvrage  sur  les  hôpitaux ,  dans 
lequel  on  expose  les  principes  résultant 
des  observations  de  physique  et  de  méde- 
cine qu'on  doit  avoir  en  vue  dans  la  cons- 
truction de  ces  édifices,  avec  un  projet 
d'hôpital  disposé  d'après  ces  principes,  par 
M.  Leroy.  1787.  Mém.p.  585.  Motifs  qui 
ont  donné  lieu  à  cet  ouvrage,  p.  586.  Pre- 
mière Partie ,  effets  que  nous  éprouvons 
en  respirant  un  air  corrompu  par  la  réu- 
nion d'un  grand  nombre  de  personnes. 
p.  587.  Seconde  application  des  principes 
à  la  construction  des  hôpitaux,  p.  588. 
Règles  qui  résultent  de  ces  observations. 
ib.  Propriétés  de  l'air  qui  étant  connues 
doivent  diriger  dans  la  construction  des 
hôpitaux,  ib.  Développement  du  plan  de 
cet  ouvrage,  ib.  Exemples  du  danger  d'un 
air  corrompu,  p.  589.  La  mortalité  plus 
considérable  dans  les  villes  très-peuplées 
que  dans  les  campagnes,  p.  590.  Un  hôpi- 
tal trop  nombreux  est  un  très- grand  mal. 
p.  591 .  Nécessité  de  diviser  les  grauds  hôpi- 
taux, ib.  L'Hôtel-Dieu  de  Paris  funeste  aux 
malades,  ib.  La  forme  carrée  ou  rectan- 
gulaire des  hôpitaux  est  vicieuse,  p.  5()'à. 


DE  1,'ACADÉMIE.    1781— 1790.      245 

ŒcoNOMiE.  (Hôpitaux.) 

La  forme  de  croix  avec  une  coupole  ne 
vaut  rien  non  plus.  ib.  Toutes  les  salles 
doivent  être  isolées,  p.  594.  Forme  inté- 
rieure des  salles  propre  au  renouvelle- 
ment de  l'air,  ib.  Les  salles  voûtées  et  non 
plafonnées,  p.  695.  Ouvertur-e  au  sommet 
de  chaque  voûte  et  puits  à'  air  dans  les 
planchers,  ib.  Feux  au  haut  des  voûtes  au 
lieu  de  ventilateur,  p.  697.  Paravents  placés 
entre  chaque  lit.  ib.  Réponse  à  l'objection 
sur  la  dépense,  p.  698.  Note  sur  l'anté- 
riorité de  ce  projet  à  celui  de  M.  Poyet  et 
des  Commissaires  dont  le  rapport  se  trouve 
dans  le  volume  de  1786.  p.  599.  Deux  pi. 
qui  représentent  le  plan  d'hôpital  pi-oposé 
par  l'auteur,  p.  600. 


Pain. 


Sur  la  proportion  du  prix  desblés,  des  farines 
et  du  pain ,  ou  projet  d'un  tarif  propre  à 
servir  de  règle  pour  établir  la  valeur  du 
pain  ,  proportionnément  à  celle  du  blé  et 
de  la  farine ,  avec  des  observations  sur  la 
mouture  économique  comme  base  essen- 
tielle de  ce  tarif,  et  sur  les  avantages  du 
commerce  des  farines,  par  préférence  à 
celui  du  blé  en  nature,  par  M.  Tillet. 
1781.  llist.  p.  I.  Mém.  p.  107.  Cet  objet 
ayant  trait  au  bien  public,  tient  aux  tra- 
vaux de  l'Académie,  p.  107.  La  mouture 
économique,  seul  moyen  de  tirer  du  blé 


t^6  TABLE  DES  MÉMOIRES 

ŒcoNOMiE.  {Pain.) 

font  le  produit  possible,  p.  109.  On  ne  doit 
point  être  arrêté,  en  réduisant  le  son  à  une 
simple  écorce ,  par  la  considération  des 
animaux  qui  sont  privés  de  cette  nourri- 
ture, p.  iio.  Le  commerce  des  farines  est 
avantageux  au  peuple,  utile  aux  boulan- 
gers et  préférable  à  celui  du  blé  en  nature, 
p.  1 1 1.  La  taxe  du  pain  doit  être  fixée  par 
l'autorité,  on  ne  doit  point  l'abandonner 
à  la  concurrence,  p.  11 3.  Bases  qui  doivent 
servir  au  tarif  du  prix  du  pam.  p.  114. 
Avantages  de  la  mouture  économique  sur 
la  mouture  à  la  grosse,  pp.  i36  et  144. 
Réponses  aux  objections  qu'on  fait  contre 
le  tarif  du  prix  du  pain.  p.  161.  Tarif  par 
lequel  on  détermine  la  valeur  d'une  livre 
de  pain,  abstraction  faite  du  prix  de  la 
main-d'œuvre ,  en  prenant  pour  base  un 
sac  de  farine  pesant  820  livres  et  donnant 
420  livres  de  pain.  On  part,  dans  ce  tarif, 
depuis  I  liv.  jusqu'à  4  liv.  et  demie,  pour 
la  valeur  de  ce  même  sac  de  farine  ,  afin 
qu'on  y  puisse  trouver  tous  les  prix  inter- 
médiaires, et  les  porter  ensuite  au-delà, 
en  ajoutant  à  celui  de  42  livres  les  prix 
quelconques  qui  sont  au  dessus,  p.  268  bis. 
On  peut  aussi  se  servir  de  ce  tarif  pour 
déterminer  l'augmentation  que  produi- 
ront sur  la  livre  de  pain  les  frais  de  main- 
d'œuvre,  ib. 
Rapport  fait  à  l'Académie,  relativement  ù 
l'avis-  que  le  rarlemcnt  a  demandé  à  cette 


DE  L'ACADÉMIE.    1781  — 1790.      ^7 
ŒCONOMIE.  (Pain.) 

Académie  par  arrêt  du  6  septembre  1783, 
sur  la  contestation  qui  s'est  élevée  à  Ro- 
chefort  au  sujet  de  la  taxe  du  pain  j  sur 
les  expériences  qui  ont  été  faites  dans  cette 
ville  au  même  sujet,  en  exécution  d'un 
arrêt  du  Parlement  du  17  juin  1781 ,  et  sur 
les  moyens  d'établir  le  prix  juste  du  pain 

Î)roportionnément  à  celui  du  blé  ,  suivant 
a  quantité  de  farines  ditl'érentes  qu'une 
quantité  de  livres  de  blé  peut  rendre,  et 
suivant  la  quantité  de  pain  que  ces  farines 
doivent  donner,  par  MM.  l.EROYjTiLLET 
et  Desmarest.  1788.  Mém.  p.  157.  Sujet 
de  la  discussion  élevée  à  Rochefort.  p.  1 58. 
Première  Partie ,  détails  des  opérations  de 
la  meunerie,  p.  160.  Expériences  faites 
dans  les  moulins  de  Corbeil  sur  24  septiers 
de  blé,  dont  la  moitié  fut  soumise  à  la  mou- 
ture économique ,  et  l'autre  moitié  à  la 
mouture  à  la  grosse,  p.  t63.  Précautions 
prises  pour  l'exactitude  de  ces  expériences. 
p.  164.  Opérations  de  la  bluterie.  p,  168. 
DifFérens  produits  de  Tune  et  l'autre  mou- 
ture, p.  170.  Excès  du  produit  de  Ixi  mou- 
ture économique  sur  celui  de  la  mouture 
à  la  grosse,  p.  172.  Le  grand  point  de  la 
mouture  économique  est  d'obtenir  les  pre- 
mières farines  dans  leur  plus  grande  pu- 
reté, d'en  recueillir  le  plus  qu'il  est  pos- 
sible ,  et  de  ne  laisser  dans  les  dernières 
que  peu  de  son.  p.  179.  inconvéniens  de' 
la  mouture  à  la  grosse,  p.  182,  Le  prix  du 


248  TABLE  DES  MÉMOIRES 

ŒCONOMIE.  (Pain.) 

blé  marchand  qui  est  au-dessous  de  la  tête 
du  blé,  doit  servir  de  règle  pour  asseoir  la 
taxe  du  pain.  p.  1 85.  Seconde  Partie,  opé- 
rations de  la  boulangerie,  p.  i86.  Précau- 
tions prises  pour  faire  ces  opérations  avec 
exactitude,  p.  189.  Fabrication  des  difle- 
rens  levains,  ib.  Fabrication  du  pain  de 
diflérentes  espèces,  p.  194.  820  livres  de 
farines  de  bonne  qualité  doivent  rendre 
420  livres  de  pain.  p.  1 97.  Le  produit  varie 
avec  la  qualité  des  farines,  p.  199.  Avoir 
égard  à  la  quantité  d'eau  employée. p.  2o3. 
La  cuisson  du  four  fait  perdre  à  la  pâte 
la  moitié  de  l'eau  qu'elle  contenoit  lorsque 
la  farine  est  bien  sèche  et  de  bonne  qua- 
lité, p.  204.Troisièrae  Partie,  conséquences 
desexpériencesprécédentes.  p.  2o5.  Résul- 
tats généraux,  p.  219.  Application  de  ces 
résultats  au  tarif  du  pain.  p.  228.  Appli- 
cation particulière  à  la  contestation  élevée 
à  Rochefort.  p.  226.  Réponses  aux  objec- 
tions que  peuvent  faire  les  boulangers  de 
Rochefort.  p.  249.  Résumé,  p.  262.  Pre- 
mier Tableau,  mouture  économique  j  se- 
cond Tableau ,  mouture  à  la  grosse  ;  troi- 
sième Tableau  ,  produits  différens  d'un 
septier  de  blé  d'après  ceux  qui  sont  étabhs 
dans  les  Tableaux  précédens.  p.  262. 


Manière 


DE  L'ACADÉMIE.     1781— 1790.     249 

(Economie.  (Farine  de  pommes  de  terre.) 

Manière  de  prépaver  l'amidon  ou  farine  de 
pommes  de  terre,  pcr  M.  Baume.  1786. 
Mém,  p.  692.  Procédés  à  suivre  dans  cette 
préparation,  ib.  Remarques,  p.  698. 

Population. 

Sur  les  naissances,  les  mariages  et  les  morts 
à  Paris,  depuis  1771  jusqu'en  1784,  et  dans 
toute  l'étendue  de  la  France  pendant  les 
années  1781  et  1782,  par  M.  de  Laplace. 
1785.  Mém.  p.  693.  Travail  de  M.  Morand 
sur  le  même  objet  en  1771.  îb.  Le  nombre 
d'années  qui  exprime  la  durée  moyenne 
de  la  vie  est  le  vrai  rapport  de  la  popu- 
lation aux  naissances  annuelles,  p.  694. 
Cette  durée  moyenne  est  le  facteur  par 
lequel  on  doit  multiplier  les  naissances 
pour  avoir  la  population  ;  moyen  de  dé- 
terminer ce  facteur,  ib.  La  population  de 
la  France,  tirée  des  naissances  annuelles, 
n'est  qu'un  résultat  probable,  et  par  con- 
séquent susceptible  d'erreurs,  p.  695.  Ces 
Recherches  sont  soumises  au  calcul  des 
probabilités,  ib.  Les  différens  dénombre- 
mens  faits  en  France  donnent  à  peu  près 
26  pour  le  rapport  de  la  population  aux 
jiaissances  annuelles,  p.  6ç)6.  Calcul  ana- 
lytique qui  donne  pour  résultat  qu'il  faut 
porter  le  dénombrement  à  un  million  ou 
douze  cent  mille  habitans,  pour  obtem'r 
une  certaine  précision,  ib.  Premier  Ta- 
Tab.  des  Mac.     1781  —  i7C}o.  li 


203         TABLE  DES  MEMOIRES 

(Economie.  (  Population. ) 

Heau ,  état  des  naissances ,  des  mariages  et 
des  morts  de  la  ville  et  faubourgs  de  Paris, 
depuis  1771  jusqu'en  1784;  second  Ta- 
bleau ,  population  du  royaume ,  File  de 
Corse  comprise, suivant  l'ordre  des  géné- 
ralités, pendant  l'année  1781.  Troisième 
Tableau,  môme  chose  pour  l'année  1782. 
p.  702.  Voyez  Probabilités. 
Essai  pour  connoitre  la  population  du  royau- 
me, et  le  nombre  des  habitans  de  la  cam- 
pagne ,  en  adaptant  sur  chacune  des  cartes 
de  M.  Cassini,  l'année  commune  des  nais- 
sances, tant  des  villes  cpie  des  bourgs  et 
des  villages  dont  il  est  fait  mention  sur 
chaque  carte,  présenté  à  l'Académie,  par 
MM.  DusÉjouR,  le  Marquis  de  Condor- 
cet  et  de  Laplace.  1783.  Mém.  p.  708. 
Le  résultat  varie  suivant  la  nature  du  sol 
de  chacune  des  cartes ,  et  la  proximité  de 
laCapitale,  des  grandes  villes,  desgrandes 
rivières ,  etc.  p.  704.  Raisons  qui  ont  fait 
adopter  le  facteur  26  pour  multiplier  le 
nombre  des  naissances,  p.  706.  Le  facteur 
pour  Paris  doit  être  3o.  p.  707.  Détail  de 
ce  travail  et  de  pareils  travaux  entrepris 
auparavant,  ib.  Population  de  la  carte  de 
la  France,  n°  i'^''  (Paris),  p.  708  j  de  la 
carte  n°  60  (  le  Havre) ,  p.  710  ;  de  la  carte 
n"  127  (  Saint-Malo) ,  ib.  ;  de  la  carte  n°  98 
(  Baiileur) ,  p.  71 1  j  de  la  carte  n"  96  (  Avran- 
che),  ib.;  de  la  carte  n''  126  (Coutances), 
p.  712;  de  la  carte  n'^  87  (Lyon),  ib.  i  de 


DE  L'ACADÉMIE.     1781— 1790.       25r 
ŒcoNOMiE.  (Population.) 

la  carte  n"  25  (Rouen),  p.  718  j  de  la  carte 
«°  24  (Dieppe),  ib.  ;  de  la  carte  n"  94 
(  Bayeux) ,  p.  71 4  ;  de  la  carte  11°  1 25  (  Cher- 
bourg), p.  71 5;  de  la  carte  n°  2  (Beau- 
vais),/è.;de  lacarten°6i  (Lisieux),p.  716; 
de  la  carte  n°  26  (  Evreux  ) ,  ib.  ;  de  la  carte 
n°  62  (Séez),  p.  717;  de  la  carte  n°  7 
(  Etampes) ,  ib.  ;  de  la  carte  n"  27  (Chartres) , 
p.  718.  Ou  trouve  sur  ces  dix-sept  cartes 
yovilles,  5900  bourgs  ou  villages,  3,621,710 
habitans  dont  2,440,982  résident  à  la  cam- 
pagne. Ces  17  cartes  représentent  une  su- 
perficie de  8267  lieues  carrées  de  2000 
toises,  et  les  habitans  de  la  campagne  sont 
au  nombre  de  747  par  lieue,  p.  708. 
Suite  de  l'essai  pour  connoître  la  population 
du  royaume ,  etc.  1784.  Mém.p.  577.  Popu- 
lation de  la  carte  de  la  France ,  n°  i33  (  île 
deRé),zè.jdelacarten"4[  (Lille),  p.  578; 
des  cartes  n°^  i33et  i34(ile  d'Oléron),/^.; 
de  la  carte  n°  52  (Clermont-Ferrand) , 
p.  579  ;  de  la  carte  n"  5  (Saint-Omer) ,  ib.  ; 
de  la  carie  n"  6  (Dunkerque),  p.  58o;  de 
la  carte  n°  86(Màcon),p.  58i  j  de  la  carte 
n°  28  (Eu),  p.  582;  de  la  carte  n°  117 
(Bourg  en  Bresse),  ib.;  de  la  carte  n°  53 
(  Issoire) ,  p.  583  ;  de  la  carte  n°  85  (  Châlons- 
sur-Saône) ,  p.  584  ;  de  la  carte  n"  1 2  (  Mont- 
luçon),  ib.;  de  la  carte  n*^  114  (Dijon), 
p.  585;  de  la  carte  n"  8  (Orléans),  ib.  ;  de 
la  carte  n°  46  (Sens),  p.  586;  de  la  carte 
n"  22  (  Boulogne) ,  p.  587;  de  la  carte  n°  21 


252  TABLE  DES  MÉMOIRES 

ŒcoNoaiiE.  {Population.) 

(Amblefeuse  ou  Pas-de-Calais),  ib.i  de  la 
carte  n"  84  (Autun'),  p.  588;  de  la  carte 
11°  10  (Bourges),  ib.  ;  de  la  carte  n°  49 
(Ncvers),  p.  5Sg  ;  de  la  carte  n°  11  (la 
Châtre)  ,  ib.  ;  de  la  carte  n°  5o  (  Moulins) , 
p.  590  ;  de  la  carte  n''  i3  (  Aubusson) ,  ib.  ,- 
de  la  carte  11°  83  (Avalon),  p.  5gi  ;  de  la 
carte  n°  58  (Narbonne),  ib.;  de  la  carte 
n°  92  (  Montpellier) ,  p.  592.  Premier  Ta- 
bleau des  naissances  ,  mariages  ,  morts  , 
professions  et  décès  en  religion  dans  lo 
royaume  ,  l'île  de  Corse  comprise  ,  de 
l'année  1770  à  l'année  1783  inclusivemeiat. 
p.  592.  Second  Tableau  ,  population  dans 
le  royaume ,  compris  l'île  de  Corse ,  suivant 
l'ordre  des  généralités,  pendant  l'année 
1783.  ib. 
Suite  de  l'essai  pour  connoître  la  population 
du  royaume,  etc.  1785.  Mém.  p.  661 .  Popu- 
lation de  la  carte  de  la  France  ,  n°  g6 
(Mayenne),  ib.  ;  de  la  carte  n°  116  (Lons- 
le-Saunier),  p.  662;  de  la  carte  n*^  88 
(  Saint -Etienne  ) ,  ib.  ;  de  la  carte  n°  3 
(Amiens),  p.  663;  de  la  carte  n°  118 
(Vienne), p.  664;  de  la  carte  n°  6  (Alen- 
çon),zZ».  ;  de  la  carte  n°  119  (  Grenoble), 
p.  665  ;  de  la  carte  n°  64  (  le  Mans  ) ,  ib.  ; 
de  la  carte  n°  2  (Compiègne) ,  p.  666  ;  de 
la  carte  n°  ii5  (Dôle) ,  p.  667;  de  la  carte 
n°  98  (Angers),  ib.;  de  la  carte  n°  99 
(Chollet),  p.  668;  de  la  carte  n°  89  (le 
Vuy),  ib.  ;  de  la  carte  n"  32  (laSouteraine) , 


DE  L'ACADEMIE.     1781—1790.       253 

ŒcoKOMiE.  (PopuZaf/on.  )  > 

p.  669  j  de  la  carte  n°  97  (  Laval) ,  p.  670  ; 
de  la  carte  n°  90  (Viviers) ,  ib.  ;  de  la  carte 
n°48  (Auxerre),  p.  671  ;  de  la  carte  n"  147 
(  Nozeroy  ) ,  ib.  ;  de  la  carte  n°  65  (  Tours) , 
p.  672  j  de  la  carte  n°  gi  (  Nismes)  ,  p.  673; 
de  la  carte  n°  124  (Marseille),  ib.;  do  la 
carte  n°  loi  (La  Rochelle) ,  p.  674;  de  la 
carte  n°  66  (Saumur  et  Richelieu),  ib.  ;  de 
la  carte  n°  loo(Luçon),  p.  676;  de  la  carte 
n°  14  (Mauriac),  p.  676;  de  la  carte  u"48 
(Cosne),  ib.  i  de  lacarte  n°  i5o  (Barbaux), 
j).677j  de  la  carte  n°i  32  ( Sables d'Olonne), 
p.  678;  de  la  carte  n"  i55  (Toulon) ,  ib.  ; 
de  la  carte  11°  28  (Vendôme),  p.  679;  de 
la  carte  n°  167  (vVntibes),  ib,;  de  la  carte 
n°  148  (G ex),  p.  680;  de  la  carte  n°  3o 
(Loches),  ib.  ;  de  la  carte  n°  68  (Confo- 
lens),  p.  681  j  de  la  carte  n"  i24(  Aix), /&.  ; 
de  la  carte  n°  29  (Blois),  p.  682;  de  la 
carte  n"  3i  (Châteauroux),  p.  683;  de  la 
carte  n°  120  (Valence),  ib.;  de  la  carte 
n°  i54  (Draguignan),  p.  684;  de  la  carte 
n°  67  (Poitiers),  ib.  ;  de  la  carte  n°  146 
(Besançon),  p.  685;  de  la  carte  n"  121 
(  Vaison  et  Valréas) ,  p.  686  ;  de  la  carte 
n°  9  (Gien),  ib.  ;  de  la  carte  n°^  i52  et 
181  (Embrun  et  Larche  )  ,  p.  687;  de 
la  carte  n°  i53  (Digne)  ,  ib.  ;  de  la  carte 
n°^  i5i  et  180  (  Briançon  et  Oueiras  )  , 
p.  688;  de  la  carte  n°  166  (Vence),  p.  689. 
Table  de  la  population  dans  le  ro3'aume, 
compris  l'ile  de   Corse  ,  suivant  l'ordre 


a54  TABLE  DES  MÉMOIRES 

CEcoNOMiE.  (Population.) 

des  généralités,  pendant  l'année  1784.  ib. 

Suite  de  l'essai  pour  connoître  la  population 
du  royaume , etc.  1 786.  Mém.  p.  708.  Popu- 
lation de  la  carte  de  la  France,  n''  42 
(  Cambray  ),ib.;de  la  carte  n"  43  (  Noyon) , 
p.  704  ;  de  la  carte  n"  4  (  Arras  ) ,  ib.  ; 
de  la  carte  n°  44  (Boissons) ,  p.  706  j  de  la 
carte  n°  77  (Rocroy),  p.  706;  de  la  carte 
n"  18  (Castres),  ib.;  de  la  carte  n°  ii3 
(  Langres  )  ,  p.  707  j  de  la  carte  n°  46 
(  Meaux) ,  p.  708  ;  de  la  carte  n°  1 22  (  Avi- 
gnon), ib.  ;  de  la  carte  n°  i5  (Aurillac) , 
p.  709J  de  la  carte  n°  i6(Rhodez),p.  710,- 
de  la  carte  n"  17  (Alby  ),  ib.  ;  de  la  carte 
n°  81  (Troyes),  p.  711  ;  de  la  carte  n°  82 
(Tonnerre),  p.  712;  de  la  carte  n°  112 
(  Lodève) ,  tè.  j  de  la  carte  n°  79  (  Reims), 
p.  7 1 3  ;  de  la  carte  n"  64  (  Saint-Flour) ,  ib.  ; 
de  la  carte  n°=  169  et  176  (Perpignan  et 
Bellegarde),  p.  714;  de  la  carte  n°  117 
(Puycerda),  p.  71 5  j  de  la  carte  n°  80 
(Châlons-sur  -  Marne  )  ,  ib.  ;  de  la  carte 
n"  56  (  Milhaud) ,  p.  716;  de  la  carte  n°  55 
(Mende),  ib. 

Suite  de  l'essai  pour  connoître  la  population 
du  royaume  ,  etc.  1787.  Mém.  p.  6or  j 
population  de  la  carte  de  France ,  n"  69 
(Angoulême),  ib.;  carte  n''  34  T Tulles), 
p.  602  ;  carte  n°  141  (Metz),  io.  j  carte 
n"  142  (Nancy)  ,  p.  6o3;  carte  n"  5i  (Can- 
nât), p.  604 j"  carte  n"  33  (Limoges),  ib.; 
carte  11°  143  (Mirecourt),  p.  6o5;  carte 


DE  L'ACADÉMIE.    1781— 1790.      255 

CE.C01S0MIE.  (Population.) 

n°  38  (Toulouse),  p.  606  ;  carte  n°  78 
( Sedan),  zè.;  carte  n"3o( le  Dorât)  ,p.  607; 
carte  n°  145  (Vezoul) ,  ib.  j  carte  n°  i  ir 
(Toul),  p.  608;  carte  n°  76  (Tarbes), 
p.  609;  carte  n"  89  (Pamiers),  ib. 
Suite  de  l'essai  pour  connoitre  la  population 
du  royaume ,  etc.  1 788.  Mém.  p.  765.  Popu- 
lation de  la  carte  de  France ,  n°  168  (Saint- 
Pol-de-Léon),fè.;  de  la  carte  n°  i56  (Saint 
Brieuc) ,  p.  766  j  de  la  carte  n°  1 02  (Saintes) , 
ib.  ;  de  la  carte  n"  87  (  Montauban) ,  p.  767  ; 
de  la  carte  n''  172  (Ouessant),  ib.  ;  de  la 
carte  n°  40  (  Tarascon  ) ,  p.  768  ;  de  la  carte 
n°  128  (Dinan),  ib.;  de  la  carte  n"^  144 
(Remiremont),  p.  769;  de  la  carte  n°  173 
(  le  Conquet) ,  ib.  ;  de  la  carte  n°  70  (Péri- 
gueux),  p.  760  ;  de  la  carte  n°  109  (Mont- 
médi),i3.;  de  la  carte  n°  i9(Carcassonne), 
p.  76 1  ;  de  la  carte  n°  1 1  o  (  Verdun  ) ,  ib.  ; 
de  la  carte  n"  170  (Lorient) ,  p.  762  ;  de  la 
carte  n°  1 58  (Vannes) ,  p.  768  ;  de  la  carte 
n°  140  (Saint- Jean-pied-de-Port) ,  ib.  ;  de 
la  carte  n°  107  (Quintin),  764;  de  la  carte 
n°  1 59  (  G  uerrande) ,  iè.  j  de  la  car  te  n"  1 29 
(Rennes),  p.  765  ^  de  la  carte  n"  i3r 
(Nantes),  ib.;  de  la  carte  n°  169  (Brest) , 
p.  766  j  de  la  carte  n"  i3o  (rïedon),p.  767» 

Salles  de  spectacle. 

Mém.  sur  la  manière  d'éclairer  les  salles  de 
spectacle,  par  M.  Lavoisiee..  1781.  Hist. 


256  TABLE  DES  MÉMOIRES 

ŒcoNOMiE.  {Salles  de  spectacle.) 

p.  6.  Mém.  p.  409.  Réforme  dans  la  ma- 
nière d'éclairer  les  salles  de  spectacle, 
p.  409.  Trois  objets  doivent  concourir  à 
cette  réforme  ;  éclairer  le  théâtre  et  les  dé- 
corations, éclairer  l'acteur,  éclairer  le  spec- 
tateur, p.  411.  Pour  remplir  le  premier  et 
le  second  objet ,  adapter  aux  lampions  des 
réverbères  mobiles  propres  à  diriger  la 
lumière,  ib.  Ce  que  c'est  qu'un  réverbère. 
p.  412.  Des  réverbères  elliptiques  cachés 
dans  le  plafond  serviroient  à  éclairer  con- 
venablement les  spectateurs,  p.  417.  Essai 
de  ce  mode  d'éclairage  dans  une  des  salles 
du  Louvre,  p.  418. 


Tannerie. 


Mém.  sur  l'emploi  de  l'écorce  du  platane 
pour  tanner  les  cuirs,  par  M.  FoUGEROUX 
DE  BONDAROY.  1785.  Mém.  p.  24.  Diffé- 
rentes parties  dont  est  composée  l'écorce 
des  arbres,  ib.  Les  arbres  dont  l'écorce 
adhère  au  liber,  comme  le  chêne,  péris- 
sent lorsqu'on  enlève  l'écorce.  p.  25.  Il 
faut  quatre  livresd'écorce  pour  tanner  une 
livre  de  cuir.  p.  26.  Difltérens  arbres  et 
leurs  parties  dont  on  peut  faire  du  tan.  ib. 
L'écorce  du  platane ,  qui  se  détache  d'elle- 
même  tous  les  ans,  peut  servir  à  cet  usage. 
p.  27.  Analyse  de  l'écorce  de  platane  conv- 
parée  avec  celle  de  chêne,  p.  28.  L'écorce 
de  platane,  quoiqu'inférieure  à  celle  de 

chêne , 


DE  L'ACADÉMIE.     1781  — 1790.     sSy 

ŒcoNOMiE.  (Tannerie.) 

chêne ,  peut  servir  au  même  usage  et  à  la 
teinture,  p.  28. 
Mém.  sur  l'usage  qu'on  pourroit  faire  des 
peaux  de  vache  marine,  par  le  même.  1785. 
Mém.  p.  3o.  Ces  peaux  préparées  au  tan 
n'ont  pas  réussi ,  mais  passées  à  l'huile,  on 
a  obtenu  un  succès  complet,  p.  3i.  On  les 
emploie  en  soupentes  et  en  traits  de  voi- 
ture, ib.  On  pourroit  employer  à  couvrir 
les  livres  les  peaux  plus  minces  du  mar- 
souin, du  requin ,  du  chien  de  mer.  p.  82. 


Tueries. 


Rapports  des  Mémoires  et  projets  pour  éloi- 
gner les  tueries  de  l'intérieur  de  Paris,  par 
MM.Daubenton,Tillet,Bailly,  La- 
voisiER,  Laplace,  Coulomb,  d'Arcet. 
1787.  Hist.  p.  19.  Ce  projet  est  très-ancien 
et  remonte  à  i363.  p.  20.  Renouvelé  plu- 
sieurs fois.  ib.  Inconvéniens  qui  résultent 
des  tueries  dans  l'intérieur  de  la  ville,  p.  28. 
Réponses  aux  objections  des  bouchers, 
p.  29.  Examen  des  moyens  proposés  pour 
éloigner  les  tueries  de  la  ville,  p.  3i.  Ecarter 
toute  proposition  fondée  sur  un  privilège 
exclusif  et  sur  le  renchérissement  de  la 
viande,  p.  38.  Former  deux  classes  de  bou- 
chers; les  uns  ne  pourroient  vendre  que 
du  bœuf,  et  les  autres  de  la  vache,  p.  42. 


Ta  h»  des  Mat.  1 78 1  —  1 790.  K  i 


aSa         TABLE  DES  MÉMOIRES 

Physique  générale.  {Aiguille  aimantée.) 

Observ.  sur  l'inclin.  de  l'aiguille  aimantée  , 
par  M.  Lemonnier.  1786.  Hist.  p.  43.  In- 
clinaison de  l'aiguille  à  Cocliin  et  à  Malié. 
ib.  Importance  des  observations  faites  dans 
ces  pays  pour  connoîtrelenœuddu  méri- 
dien magnétique,  ib.  Carte  générale  des 
méridiens  et  de  l'équateur  magnétiques 
pour  les  années  177B  et  1780.  ib. 

Déclinaison  de  l'aiguille  aimantée  à 

l'Observât,  royal,  le  i^^  juin  1786.  21°  17' 

Inclinaison  de  l'aiguille,  le  i^'  juin.  71  5 
1786.  Mém.  p.  55 1. 

En  1787,  déclinaison  le  !«' juin 21  56 

Inclinaison  en  juin 71  o 

Année  1787.  Mém.  p.  i8. 

En  1788,  déclinaison  le  i*-^  juin 21  4^ 

Inclinaison 71  1 

Année  1788.  Mém.  p.  71. 

En  1789,  déclinaison  le  i*""^  juin 21  35 

Inclinaison  en  juin 70  56 

Déclinaison  au  Cap  de  Bonne  -  Espérance  , 
le  22  juin  1773.  1788.  Mém.  p.  489. 

Inclinaison  de  l'aiguille  à  Foulpointe ,  le  17 
août  1773.  ib.  p.  491.  Déclinaison  de  l'ai- 
o-uille  à  l'ile  de  France  le  9  octobre  1773. 
ib.  p.  492.  Inclinaison  de  l'aiguille  par  les 
lo**  46'  de  longitude  orientale  et  par  ii'^ 
i3'  de  latitude  méridionale,  p.  5oi. 

Aréomètre. 

Manière  de  construire  un  aréomètre  qui  soit 
tel ,  que  les  pesanteurs  spécifiques  qu'il 


DE  L'ACADÉMIE.     1781— 1790.       269 

Physique  générale.  {Aréomètre.) 

indique  soient  en  raison  inverse  des  vo- 
lumes qu'il  mesure  ,  et  qui  en  conséquence 
fait  connoître  la  pesanteur  spécifique 
des  liqueurs,  par  sa  simple  immersion  ,  et 
sans  qu'il  soit  besoin  d'aucun  calcul,  par 
M.  Brisson.  1788,  Mém.  p.  583.  Examen 
des  dilférens  aréomètres,  ib.  Principes  de 
construction  du  nouvel  aréomètre  de  l'au- 
teur, p.  588.  Règle  de  la  construction  des 
tables  propres  à  la  graduation  de  cet  aréo- 
mètre, p.  589.  Manière  de  le  graduer, 
p.  592.  Deux  tables  qui  doivent  servir  à  la 
graduation  de  cet  instrument,  p.  596.  Plan- 
che qui  accompagne  ce  Mémoire,  p.  616. 

Attraction. 

Mém.  sur  quelques  effets  d'attraction  ou  de 
répulsion  apparente  entre  les  molécules 
de  matières,  par  M.  Monge.  1787.  Mém. 
p.  5o6.  Ces  effets  sont  produits  les  uns  par 
des  pressions  et  les  autres  par  des  attrac- 
tions étrangères  qu'on  n'avoit  pas  encore 
considérées;  expériences  qui  le  prouvent. 
p.  507.  Tout  dépend  de  la  faculté  c[u'ont 
les  corps  d'être  mouillés  ou  de  ne  l'être  pas. 
p.  5 10.  Résultats  des  expériences  énoncés 
en  trois  propositions  ou  trois  lois.  ib.  Autre 
expér.  sur  plusieurs  gouttes  d'un  liquide. 
p.  5ii.  Erreur  de  M.  de  Saussure  sur  ce 
sujet,  p.  514.  Explication  des  lois  énoncées, 
ci-dessus. ib.  Analogie  entre  le  phénomène 


26o         TABLE  DES  MÉMOIRES 

Physique  générale.  {Attraction.) 

de  la  cristallisation  et  l'adhérence  que  con- 
tractent des  lames  de  verre  au  moyen  des 
couches  d'eau  interposées,  p.  624.  Mesure 
de  l'adhérence  que  contractent  les  corps 
ou  mouillés  ou  non  mouillés,  p.  525.  Plan- 
che pour  l'inteUigence  de  ce  Mémoire, 
p.  528.  Voyez  Astronomie.  (T/ieone.) 
Balance  électrique  et  magnétique. 
Voyez  Electricité. 

Combustibles. 

Expériences  sur  TefFet  comparé  des  différens 
combustibles,  par  M.  Lavoisier.  1781. 
Hist.  p.  5.  Mém.  p.  879.  L'objet  de  ce  Mé- 
moire est  de  connoître  le  rapport  des  droits 
imposés  à  Paris  sur  les  ditiérens  combus- 
tibles. Valeur  et  poids  du  charbon  de  terre. 
p.38o.  Du  charbon  de  terre  charbonné  ou 
épuré,  p.  38i.  Uu  charbon  de  bois.  p.  882. 
Prix  des  différentes  espèces  de  bois  à  brûler, 
soit  la  voie ,  soit  le  quintal,  p.  884.  Rapport 
de  ces  différentes  espèces  de  combustibles 
selon  leurs  effets  échauffans.  p.  385.  Le 
bois  est  le  combustible  le  plus  cher  à  Paris , 
quoique  ce  soit  celui  qui  paye  le  moins 
de  droits,  p.  887.  Le  charbon  de  terre  est 
celui  qui  contient  le  plusde  matière  échauf- 
fente ,  et  le  bois  celui  qui  en  contient  le 
moins,  ib.  Tableau  de  la  valeur  d'un  quin- 
:  tal  des  différens  combustibles,  avec  dis- 

tinction du  prix  marchandj  des  droits  et 


DE  L'ACADÉMIE.    1781— 1790.      î6i 

Physique  générale.  {Combustibles.)  •    ,;  ; 

du  transport  du  chantier  et  du  port  chez 
le  particuher,  calculé  pour  l'année  1780. 
p.SSg.NouvellesexpériencestaiteseniySS. 
p.  392.  Tableau  des  quantités  de  difïérens 
combustibles  nécessaires  pour  évapoi-er 
2.800  livres  d'eau,  avec  le  calcul  de  leur 
valeur  en  argent ,  et  du  montant  des  droits 
auxquels  ils  sont  assujétis ,  d'après  des  expé- 
riences faites  à  l'Arsenal  de  Paris  en  1 788 , 
le  tout  calculé  d'après  les  prix  et  les  droits 
qui  avoient  lieu  en  1780.  p.  3g5. 

Examen  comparé  de  l'intensité  de  ciialeur 
produite  par  la  combustion  du  charb(jn  do 
bois  et  de  celui  de  tourbe,  par  M.  Sage. 
1785.  Mém.  p.  239.  La  tourbe  réduite  en 
chai'bon  entretient  une  chaleur  plus  vive, 
plus  forte  et  plus  long-temps  soutenue  que 
celle  du  charbon  de  bois.  ib.  L'intensité 
de  leur  chaleur  respective  est  dans  le  rap- 
port de  3  à  I.  p.  240.  Expériences  qui 
prouvent  cette  assertion,  ib.  Cause  de  cette 
différence  d'intensité  de  chaleur,  p.  242. 

Examen  comparé  de  l'intensité  du  feu  ])ro- 
duit  par  la  combustion  de  mesures  égales 
de  bois  de  chêne,  de  charbon  de  ce  môme 
bois,  de  charbon  de  tourbe,  et  de  charbon 
de  terre ,  par  le  môme.  1789.  Mém,  p.  548, 
Formation  du  charbon,  ib.  Le  charbon  do 
terre  lorsqu'il  brûle,  a  une  durée  quatre 
fois  plus  grande  que  celle  du  charbon 
de  bois.  ib.  Note.  Formation  du  charbon 
de  terre,  ib.  Expériences  sur  différentes. 


252         TABLE  DES  MÉMOIRES 

Physique  générale.  [Combustibles.) 

espèces  de  charbon  de  terre,  p.  55o.  L'in- 
tensité du  feu  produit  par  le  bois  est  à  celle 
du  charbon  du  même  bois  dans  le  rapport 
de  4  à  5.  Rapport  du  charbon  de  tourbe 
et  du  charbon  de  bois  ,4a  13;  rapport  du 
charbon  de  terre  et  du  bois,  4  à  82.  p.  552. 
Phénomènes  de  la  calcination  de  la  pierre 
à  chaux,  ib.  Elle  produit  beaucoup  de  mé- 
phitisnie  ;  nécessité  d'éloigner  les  fours  à 
chaux  des  habitations  d'environ  3  ou  400 
pas.  p.  553.  Avantage  d'employer  pour 
cette  calcination  le  charbon  de  terre  au 
lieu  de  bois.  p.  554.  Manière  d'éteindre  la 
chaux ,  indiquée  par  Philibert  de  Lorme  , 
architecte  du  château  des  Tuileries,  p.  555. 
Elasticité.  Voyez  Torsion. 

Electricité. 

Mém.  sur  l'électricité  qu'absorbent  les  corps 
qui  se  réduisent  en  vapeurs,  par  MM.  La- 
voisiER  et  de  Laplace.  1761.  Hist.  p.  6. 
Mém.  p.  292.  Les  airs  inflammables  ni- 
treux  et  acide  dégagés  des  métaux ,  acquiè- 
rent une  électricité  négative  très-sensible. 
p.  293.  L'eau  en  se  vaporisant  donne  au 
contraire  des  signes  d'électricité  positive. 

P-  294-  .  ,        .  ,       , 

Mém.  sur  les  propriétés  électriques  de  phi- 

sieurs  minéraux ,  par  M.  l'Abbé  IIauy. 
1785.  Mém.  p.  206.  La  calamine  cristal- 
lisée s'électrise  par  la  chaleur  comme  la 


DE  L'ACADÉMIE.     1781—1790.       2(Î3 

riiYSiquE  GÉNÉRALE,  {Electricité.)  *J 

tourmaline,  p.  207.  Elle  conserve  plus  long- 
temps son  action  électrique,  ib.  Appareil 
pour  distinguer  dans  un  minéral  électrique 
le  côté  positif  et  le  côté  négatif,  ib.  Expé- 
riences sur  différens  minéraux  doués  de  la 
vertu  électrique,  p.  208.  Ces  expériences 
servent  à  reconnoitre  la  présence  des  mé- 
taux engagés  dans  les  substances  pier- 
reuses, ib. 

Premier  Mémoire  sur  l'électricité  et  le  ma- 
gnétisme ,  par  M.  Coulomb.  1786.  Mém. 
p.  569.  Construction  et  usage  d'une  balance 
électrique ,  fondée  sur  la  propriété  qu'ont 
les  fils  de  métal ,  d'avoir  une  force  de  réac- 
tion de  torsion  proportionnée  à  l'angle  de 
torsion.  Détermination  expérimentale  de 
la  loi  suivant  laquelle  les  éléraens  des  corps 
électrisés  du  même  genre  d'électricité  se 
repoussent  mutuellement,  ib.  Construction 
de  la  balance  et  description  de  la  planche. 
p.  670.  Loi  fondamentale  de  l'électricité. 
p.  672.  Expérience,  son  explication  et  sou 
résultat,  ib.  Première  Remarque,  p.  674. 
Seconde  Remarque,  p.  575.  Troisième  Re- 
marque, ib.  Quatrième  Remarque,  p.  676. 

Second  Mémoire.  1786.  Mém.  p.  678.  On 
détermine,  suivant  quelles  lois  le  fluide 
magnétique,  ainsi  que  lelluide  électricpie, 
agissent ,  soit  par  répulsion ,  soit  par  attrac- 
tion, ib.  Deuxième  Méthode  expérimen- 
tale pour  déterminer  la  loi  suivant  laquelle 
un  globe  d'un  ou  deux  pieds  de  diamètre 


264:         TABLE  DES  MÉMOIRES 

Physique  générale.  (Electricité.) 

attire  un  petit  corps  électrisé  d'une  élec- 
tricité de  nature  différente  de  la  sienne, 
p.  58 1 .  Expérience  ,  explication  et  résultat 
de  cette  expérience,  p.  583.  Première 
Observation,  p.  585.  Seconde  Observation. 
p.  586.  Expériences  pour  déterminer  la 
loi  suivant  laquelle  le  fluide  magnétique 
agit ,  soit  par  attraction ,  soit  par  répulsion. 
p.  587.  De  la  loi  attractive  et  répulsive  des 
corps ,  suivant  la  loi  des  distances.  Note.  ib. 
Préparation  aux  trois  expériences,  p.  590. 
Explication  et  résultat  de  ces  trois  expé- 
riences, p.  592.  Le  iluide  magnétique  agit 
par  attraction  ou  répulsion  ,  suivant  la 
raison  composée  directe  de  la  densité  du 
fluide,  et  la  raison  inverse  du  carré  des 
distances  de  ses  molécules,  p.  598.  Qua- 
trième Expérience ,  explication  et  résultat 
de  cette  expérience,  p.  594.  Première  Re- 
marque, p.  597.  Seconde  Remarque.  ib._ 
Deuxième  méthode  de  déterminer  la  loi 
d'attraction  et  de  répulsion  du  fluide  ma- 
gnétique, p.  600.  Description  de  la  balance 
magnétique ,  et  explication  de  la  planche 
qui  la  représente,  p.  6oi .  Premier  Résultat, 
p.  6o3.  Expérience,  ib.  Résultat  et  expli- 
cation de  cette  expérience,  p.  604.  Pre- 
mière Remarque,  p.  6o5.  Usage  de  la  ba- 
lance magnétique  pour  déterminer  la_  loi 
suivant  laquelle  les  parties  aimantaires 
agissent  l'une  sur  l'autre  à  différentes  dis- 
tances, p.  606.  Expérience,  p.  607.  Expli- 
cation 


DE  L'ACADÉMIE.    1781— 1790.      ^65 

Physique  générale.  {Electricité.) 

cation  et  résultat  de  cette  expérience,  ib. 
Récapitulation  des  objets  contenus  dans 
ce  Mémoire,  p.  6ri. 

Troisième  Mémoire.  lySS.  Mém.  p.  612.  De 
la  quantité  d'électricité  qu'un  corps  isolé 
perd  dans  un  temps  donné,  soit  par  le 
contact  de  l'air  plus  ou  moins  humide, 
soit  le  long  des  soutiens  plus  ou  moins  idio- 
électriques.  ib.  Première  Partie ,  expé- 
riences pour  déterminer  la  perte  de  l'élec- 
tricité par  le  contact  de  l'air,  p.  61 5.  Obser- 
vation sur  le  tableau  qui  termine  ce  Mé- 
moire, p.  618.  Seconde  Remarque,  p.  620. 
Troisième  Remarque,  p.  622.  Quatrième 
Remarque,  p.  624.  Cinquième  Remarque. 
p.  625.  Sixième  Remarque,  p.  626.  Seconde 
Partie ,  de  la  quantité  d'électricité  qui  se 
perd  le  long  des  soutiens  idio-électriqueâ 
imparfaits,  p.  627.  Détermination  de  la 
densité  électrique  de  la  balle  soutenue  par 
le  fil  de  soie,  lorsque  ce  fil  commence  à 
isoler  parfaitement,  p.  63o.  Première  Table 
pour  déterminer  la  quantité  d'électricité 
perdue  pendant  une  minute  parle  contact 
de  l'air,  p.  684.  Seconde  Table  pour  dé- 
terminer la  perte  de  l'électricité  le  long 
des  soutiens  idio- électriques  imparfaits. 
ib.  Une  planche  qui  termine  le  Mémoire. 
p.  638. 

Quatrième  Mémoire ,  oir  l'on  démontre  deux 
principales  propriétés  du  fluide  électrique, 
la  première,  que  ce  fluide  ne  se  répand 
Tab.  des  Mat.     1 78 1  —  1 790.  L 1 


266  TABLE  DES  MÉMOIRES 

Physique  générale.  {Electricité.) 

dans  aucun  corps  par  une  affinité  chimique 
ou  par  une  attraction  élective  ,  mais  qu'il 
se  partage  entre  différens  corps  mis  en 
contact  uniquement  par  son  action  ré- 
pulsive j  la  seconde ,  que  dans  les  corps 
conducteurs  le  fluide  parvenu  à  l'état  de 
stabilité ,  est  répandu  sur  la  surface  du 
globe,  et  ne  pénètre  pas  dans  l'intérieur. 
1786.  Mém.  p.  67.  Premier  Principe,  le 
fluide  électrique  se  répand  dans  tous  les 
corps  conducteurs  suivant  leur  figure ,  sans 
que  ce  fluide  paroisse  avoir  de  l'affinité  ou 
une  attraction  élective  pour  un  corps  pré- 
férablement  à  un  autre,  p.  69.  Second 
Principe,  dans  un  corps  conducteur  chargé 
d'électricité, le  fluide  électrique  se  répand 
sur  la  surface  du  corps,  mais  ne  pénètre 
pas  dans  l'intérieur  du  corps,  p.  72. 
Cinquième  Mémoire,  sur  l'électricité;  de  la 
manière  dont  le  fluide  électrique  se  par- 
tage entre  deux  corps  conducteurs  mis  en 
contact,  et  de  la  distribution  de  ce  fluide 
sur  les  différentes  parties  de  la  surface  de 
ces  corps.  1787.  Mém.  p.  421.  Figure  et 
description  d'une  nouvelle  balance  de  tor- 
sion, p.  422.  Deux  méthodes  pour  déter- 
miner la  manière  dont  le  fluide  électrique 
se  partage  entre  deux  corps  mis  en  contact, 
p.  424.  Première  Section ,  de  la  manière 
dont  le  fluide  électrique  se  partage  entré 
deux  globes  de  difierens  diamètres  mis  en 
contact  ;  expériences  et  résultats,  p.  427. 


DE  L'ACADÉMIE.     1781—1790.      267 

Physique  générale.  {Electricité.) 

De  la  densité  du  fluide  électrique  sur  les 
difFérens  points  de  deux  globes  en  contact  ; 
expériences  et  résultats,  p.  487.  Seconde 
Section ,  essai  théorique  pour  déterminer 
la  distribution  du  fluide  électrique  sur  la 
surface  de  deux  globes  en  contact,  et  pour 
déterminer  leur  densité  moyenne ,  lorsque 
les  deux  globes  étant  séparés,  ils  cessent 
d'agir  l'un  sur  l'autre,  p.  443.  Trois  globes 
égaux  en  contact  sur  une  ligne  droite. 
p.  447.  Détermination  de  la  densité  du 
fluide  électrique ,  depuis  le  point  de  con- 
tact jusqu'à  iSo"*  de  ce  point,  dans  deux 
globes  électrisés  qui  se  touchent,  p.  464. 
Détermination  par  approximation  du  rap- 
port suivant  lequel  l'électricité  se  partage 
entre  deux  globes  de  difFérens  diamètres 
mis  en  contact,  p.  469.  Seconde  méthode 
d'approximation,  p.  463.  Deux  planches 
pour  l'intelligence  du  Mém.  p.  466. 
Sixième  Mémoire  sur  l'électricité,  suite  des 
recherches  sur  la  distribution  du  fluide 
électrique  entre  plusieurs  corps  conduc- 
teurs; détermination  de  la  densité  élec- 
trique dans  les  difïërens  points  de  la  sur- 
face de  ces  corps.  1788.  Mém.  p.  617.  Dé- 
termination de  la  distribution  du  fluide 
électrique  des  six  globes  égaux  mis  en 
contact,  p.  61 8.  Suite  d'expériences,  ib.  Dis- 
tribution du  fluide  électrique  sur  la  sur- 
face d'un  cylindre  isolé,  p.  629.  Suite 
d'expériences,  p.  63o.  Seconde  méthode 


26S         TABLE  DES  MEMOIRES 

Physique  générale.  {Elecmcité.) 

d'approximation  pour  déterminer  par  la 
théorie  ,  la  distribution  du  fluide  élec- 
trique le  long  de  la  surface  d'un  cylindre 
terminé  par  deux  denii-splières.  p.  632. 
De  la  manière  dont  le  fluide  électrique 
se  distribue  entre  un  certain  nombre  de 
globes  égaux  mis  en  contact  sur  une  môme 
ligne  terminée  par  un  globe  d'un  plus 
grand  diamètre,  p.  684.  Suite  d'expé- 
riences, p.  635.  Application  du  calcul  aux 
expériences  qui  précèdent,  p.  641.  De  la 
manière  dont  le  fluide  électrique  se  dis- 
tribue entre  un  globe  et  des  cylindres  de 
différentes  longueurs,  mais  de  même  dia- 
mètre, p.  645.  Suite  d'expériences,  ib.  De 
la  manière  dont  le  fluide  électrique  se 
partage  entre  un  globe  électrisé  et  des 
cylindres  de  diff'érens  diamètres,  mais  de 
même  longueur,  p.  648.  De  la  manière 
dont  il  se  partage  entre  des  globes  de 
difFérens  diamètres,  et  un  même  cylindre, 
p.  653.  Application  du  résultat  des  expé- 
riences au  cerf-volant  électrique,  p.  654. 
Détermination  théorique  de  la  densité  de 
différens  points  et  de  la  densité  moyenne 
d'un  cylindre  mis  en  contact  par  son  ex- 
trémité avec  un  globe  d'un  plus  grand 
diamètre  que  ce  cylindre,  p.  655. Première 
méthode,  ib.  Suite  d'expériences,  ib.  Cy- 
lindres de  différentes  longueurs  en  contact 
avec  le  même  globe,  p.  661.  Seconde  mé- 
thode d'approximation  pour  déterminer 


DE  L'ACADÉMIE.     1781  — 1790.      269 

Physique  générale.  {Electricité.) 

la  variation   de  la  densité  électrique  le 
long  de  la  surface  d'un  cylindre  en  con- 
tact  par  son  extrémité  avec  un  globe, 
p.  663.  Détermination  théorique  du  rap- 
port des  densités  électriques  moyennes  de 
deux  cylindres  d'un  très-petit  diamètre , 
d'une  très-grande  longueur,  en  contact 
par  leur  extrémité  avec  un  gros  globe. 
p.  669.  De  deux  corps  conducteurs  placés 
à  une  distance  assez  grande  l'un  et  l'autre, 
pour  que  l'électricité  ne  puisse  pas  se  com- 
muniquer à  travers  la  couche  d'air  qui  les 
sépare,  p.  670.  Des  deux  natures  d'électri- 
cité, p.  671.  Expériences,  p.  674.  Résul- 
tats, p.  685.  Calcul  théorique  destiné  à  dé- 
terminer par  approximation  l'état  élec- 
trique d'un  cylindre  non  isolé ,  dont  l'axe 
passe  par  le  centre  d'un  globe  électrique 
et  isolé ,  placé  à  une  distance  de  ce  cy- 
lindre, assez  grande  pour  que  l'électricité 
du  globe  ne  puisse  pas  se  décharger  à  tra- 
vers la  couche  d'air  qui  les  sépare,  p.  692. 
Planchesqui  terminent  ceMémoire.  p.  704. 
Septième  Mémoire  sur  l'électricité  et  le  ma- 
gnétisme, par  le  même.  1789.  Mém.p.455. 
Voyez  Magnétisme  et  Machine  élec- 
trique. 

Frottement. 

Mém.  sur  les  fi'ottemens  de  la  pointe  des 
pivots,  par  M,  Coulomb.  1790.  p.  448. 


27©  TABLE  DES  MÉMOIRES 

Physique  générale.  {Frottement.) 

Expériences  pour  déterminer  le  frotte- 
ment qu'éprouvent  les  corps  sur  la  pointe 
d'un  pivot.  Théorie  de  ce  frottement,  ib. 
De  la  forme  plus  ou  moins  aiguë  qu'il  faut 
donner  à  la  pointe  des  pivots,  p.  467.  Appli- 
cation de  la  théorie  aux  résultats  des  expé- 
riences, p.  465.  Récapitulation,  p.  470.  Plan- 
che qui  accompagne  ce  Mémoire,  ib. 
Lumière.  Voyez  Plantes.  {Botanique.) 


Lunettes. 


Nouvelles  observations  sur  la  construction 
des  lunettes  déplantidiennes  ou  à  double 
image,  par  M.  Je  aura  t.  1786.  Mém. 
p.  562.  Premiers  travaux  de  l'auteur  sur 
cet  objet,  ib.  Justification  de  l'auteur  contre 
l'Abbé  Boscowich.  ib.  Comparaison  de  la 
solution  de  cet  Abbé  avec  celle  qu'ayoit 
donnée  l'auteur,  p.  563.Tablespour  diriger 
le  constructeur  quant  aux  dimensions  et 
quant  aux  distances  que  doivent  avoir  en- 
tre eux  les  trois  objectifs,  p.  667.  Planche 
qui  termine  le  Mémoire,  p.  670. 

Recherches  sur  la  date  de  l'application  des 
lunettes  aux  instrumens  ,  sur  le  temps 
auquel  on  a  commencé  à  observer ,  à  l'aide 
de  ces  lunettes,  les  planètes  et  les  prin- 
cipales étoiles  en  plem  jour ,  et  sur  l'auteur 
de  ces  découvertes,  par  M.  de  Fouchy. 
1787.  Mém.  p.  385.  Recherches  de  M.  de 
la  Hire  en  1717,  infructueuses,  ib.  Morirt 


DE  L'ACADÉMIE.    1781— 1790.      271 

Physique  générale.  (Lunettes.) 

en  1634,  est  l'auteur  de  l'application  des 
lunettes  à  l'alidade  au  lieu  de  pinnules. 
p.  386.  Auzout  exécuta  vers  1 667  le  moyen 
qu'avoit  imaginé  Huyghens,de  placer  des 
fils  en  croix  au  foyer  commun  des  deux 
verres,  p.  388.  Le  même  Morin  en  i635 
observa  les  étoiles  et  les  planètes  en  plein 
jour.  p.  389.  L'Abbé  Picard  se  dit  l'auteur 
de  cette  dernière  découverte  en  1669. 
p.  390.  Justice  rendue  à  Morin  comme 
astronome,  p.  891.  Lettre  de  Picard  k  Hé- 
véîius,en  latin,  p.  398.  Traduction  de  cette 
lettre  en  français,  p.  396.  Picard  sou- 
tient contre  Hévélius  la  préférence  qu'on 
doit  donner  aux  lunettes  sur  les  pinnules. 

^  P-  397- 

Mém.  sur  les  lunettes  nommées  binocles ,  et 
sur  un  voyage  aux  côtes  maritimes  occi- 
dentales de  France,  par  M.  Le  Gentil. 
1787.  Mém.  p.  401.  Savans  et  artistes  qui  se 
sont  occupés  de  la  perfection  des  lunettes 
jusqu'à  la  découverte  des  lunettes  achro- 
matiques, ib.  Les  binocles  imaginées  dans 
le  17*^  siècle  servent  à  observer  avec  les 
deux  yeux  à  la  fois.  p.  402.  Le  P.  Rheita 
est  l'inventeur  des  binocles,  ib.  Utilité  des 
binocles  et  expériences  de  l'auteur  sur  les 
moyens  de  les  perfectionner,  p.  404.  On 
observe  mieux  avec  les  deux  yeux  qu'avec 
un  seul.  p.  406.  Répétition  sur  les  côtes 
maritimes  occidentales  de  France  des  ob- 
servations astronomiquesfaites  par  l'auteui: 


272  TABLE  DES  MÉMOIRES 

Physique  gén:éraie.  (Lunettes.) 

dans  l'Inde  sur  les  réfractions  astrono- 
miques, p.  410. 

Machine  électrique.^ 

Mém.  sur  une'nouvelle  machine  à  électriser, 
qu'on  peut  regarder  comme  une  véritable 
pompe  à  feu  électrique  ;  cette  machine 
étant  construite  de  manière  que  son  effet 
consiste  uniquement  à  tirer  le  fluide  élec- 
trique des  corps,  et  à  les  électriser  par- 
là  négativement  ou  par  raréfaction ,  par 
M.  Leroy.  1783.  Mém.  p.  61 5.  Cette  ma- 
chine diffère  des  autres,  1°.  en  ce  que  le 
plateau  est  mu  non  à  la  main ,  mais  au 
moyen  d'une  roue,  comme  autrefois  les 
gloBes  et  les  cylindres,  p.  620.  2°.  Dans  la 
disposition  des  coussins  qui  est  telle  qu'ils 
ne  peuvent  fournir  que  de  l'électricité 
négative  ou  par  raréfaction,  p.  621 .  Expli- 
cation de  la  planche  qui  termine  le  Mé- 
moire, p.  623. 

Magnétisme. 

Observ.  sur  deux  barres  d'acier  suspendues 
à  un  fil,  l'une  dans  le  plan  du  méridien 
magnétique ,  l'autre  perpendiculaire  à  ce 
plan ,  devenues  magnétiques  à  la  suite 
d'un  tremblement  de  terre  à  Valence  en 
Dauphiné,  par  M.  de  RoziÈRES.  1786. 

Hist.    p.    43.  -n.         ,  1 

Recherche 


DE  L'ACADÉMIE.     1781  — 1790.      278 
Physique  générale.  {Magnétisme.) 

Recli.  sur  l'espèce  d'acier  le  plus  propre  à  re- 
cevoir la  vertu  magnétique,  par  M.  Bris- 
son.  1788.  Méni.  p.  169.  Fabrication  de 
cinq  paires  de  barreaux  de  difîerens  aciers. 
ib.  Précautions  pour  les  aimanter,  p.  170. 
Résultatsdecesexpériences.p,  171.  L'acier 
d'Angleterre  est  le  plus  propre  à  recevoir 
la  vertu  magnétique ,  ensuite  l'acier  d'Alle- 
magne, connu  sous  le  nom  d'étoffe  de  Pons, 
ib.  Les  aciers  fondus  ne  reçoivent  que  peu 
de  vertu  magnétique,  p.  172. 

Mém.  sur  le  magnétisme,  par  M.  Coulomb. 
1789.  Mém.  p.  455.  Résultats  de  difi'érens 
Mém.  publiés  par  l'auteur,  ib.  Appareils 
dont  l'auteur  a  fait  usage  dans  ses  expé- 
riences, p.  457.  Comparaison  des  momen- 
tum  magnétiques  de  différentes  aiguilles 
d'acier,  de  même  diamètre  et  de  diffé- 
rentes longueurs,  p,  461.  Du  momentum 
de  la  force  directrice  des  aiguilles  relati- 
vement à  leur  diamètre,  p.  464.  De  l'action 
desdifferens  points  d'une  aiguille  aiman- 
tée, suivant  que  ces  points  sont  plus  ou 
moins  éloignés  de  l'extrémité  de  l'aiguille. 
p.  468.  Récapitulation,  p.  480.  Essai  sur  la 
théorie  du  magnétisme  ,  avec  quelques 
nouvelles  expériences  tendantesàéclaircir 
cette  théorie,  p.  481.  Forme  et  degré  de 
trempe  des  aiguilles  aimantées,  p.  493.  Etat 
magnétique  d'un  faisceau  composé  de  plu- 
sieurs lames,  p,  496.  De  la  manière  d'ai- 
manter, p.  5oi.  Construction  des  aimans 
Tah.  des  Mat.     1781—1790.  Mm 


-74         TABLE  DES  MÉMOIRES 

FnYSiQUE  GÉNÉRALE.  {Magnétisme.) 

artificiels,  p.  604.  Deux  planches  qui  ac- 
compagnent ce  Mémoire,  ib.  Voyez  Elec- 
tricité. 

Magnétisme  animal. 

Exposé  des  expériences  qui  ont  été  faites 
pour  l'examen  du  magnétisme  animal,  par 
MM.  Bailly  ,  Franklin,  Leroy,  de 
BoRY  et  Lavoisier.  1784.  Hist.  p.  6.  Divi- 
sion d'opinion  sur  le  magnétisme  animal, 
regardé  par  les  uns  comme  une  décou- 
verte utile  et  sublime ,  par  les  autres  comme 
ime  illusion  dangereuse  et  ridicule,  p.  8. 
Danger  des  erreurs  c[ui  influent  sur  le 
moral  et  sur  le  physique,  ib.  Opposition 
entre  la  nature  des  effets  produits  et  l'insaf- 
fisance  apparente  des  moyens  employés. 
ib.  L'examen  des  diff'érens  effets  fait  dis- 
paraître les  propriétés  attribuées  à  ce  pré- 
tendu fluide,  p.  10.  L'examen  moral  fait 
reconnoître  l'influence  de  l'imagination, 
p.  II.  L'épreuve  sur  des  animaux  ne  pou- 
voit  être  concluante,  p.  1 2.  Rien  ne  prouve 
l'existence  d'un  lluide  magnétique  ani- 
mal, ib.  Influence  du  moral  sur  le  phy- 
sique, p.  i3.  L'homme  moral  se  perfec- 
tionne par  l'imitation  ,  il  agit  et  il  de- 
vient puissant  par  l'imagination. z'Z».  Le  ma- 
gnétisme animal  est  une  grande  expé- 
rience sur  le  pouvoir  de  l'imagination, 
p.  i5. 


DE  L'ACADÉMIE.     1781— 1790.       275 
Physique  générale.  {Marées.) 

Observ,  de  physique  faites  eu  1781 ,  dans  nu 
voyage  sur  les  côtes  de  Basse-Normandie, 
par  M.  Le  Gentil.  1782.  Histp.  r5.  Mém. 
p.  345.  La  marée  la  plus  haute  est  en  général 
celle  qui  répond  à  la  pleine  lune  qui  suit 
l'équinoxe,  et  non  à  la  pleine  lune  qui  la 
précède,  ni  même  quand  celle-ci  est  plus 
voisine,  p.  356.  Deux  cartes  suivent  le 
Mémoire. 

Remarque  sur  les  marées  de  l'équinoxe  du 
printemps,  observées  à  Brest  en  1789 ,  par 
M.  de  Lalande.  1789.  Mém.  p.  i83.  Les 
marées  des  équinoxes  ne  sont  les  plus 
grandes  de  l'année  que  lorsque  les  vents 
d'ouest  soufflent  à  cette  époque,  ib. 

Mém.  sur  le  flux  et  reflux  de  la  mer,  par 
M.  de  Laplace.  1790.  p.  45.  Difficultés 
de  résoudre  complètement  le  problème 
des  marées,  p.  46.  Théorie  des  oscillations 
de  l'Océan,  et  sa  correspondance  avec  les 
observations,  objet  de  ce  Mémoire,  p.  47. 
Le  port  de  Brest ,  le  plus  favorable  à  l'ob- 
servation des  marées,  ib.  Dans  ce  port  les 
plus  grandes  marées  des  syzigies  et  les 
plus  petites  marées  des  quadratures  arri- 
vent dans  les  équinoxes;  en  général  les 
déclinaisons  du  soleil  et  de  la  lune  ont  une 
inlluence  très-sensible  sur  les  hauteurs 
et  sur  les  intervalles  des  marées,  p.  48. 
Détermination  de  la  loi  suivant  laquelle 
la  mer  s'élève  et  s'abaisse,  p.  49.  lullucnco 
des  circonstances  locales,  p.  5i.  Action  de 


276         TABLE  DES  MÉMOIRES 

Physique  générale.  (Marées.) 

la  lune.  p.  62.  Causes  des  variations  dans 
les  heures  des  marées,  p.  55.  Influence  de 
la  variation  des  niouveniens  du  soleil  et 
de  la  lune ,  et  de  leurs  distances  au  centre 
de  la  terre,  p.  59.  Influence  de  la  paral- 
laxe de  la  lune.  p.  61.  De  la  j^ériode  qui 
ramène  l'apogée  de  la  lune  à  la  même 
position  par  rapport  aux  équinoxes.  ib.  Des 
déclinaisons  du  soleil  et  de  la  lune.  ib. 
Accord  de  la  théorie  du  flux  et  du  reflux 
de  la  mer,  fondée  sur  la  loi  de  la  pesan- 
teur, avec  les  phénomènes  des  hauteurs  et 
des  intervalles  des  marées,  p.  65.  Les  ré- 
sultats de  la  théorie  confirmée  par  les  ob- 
servations, ib.  Importance  des  observations 
suivies  des  marées,  ib.  Manière  de  faire 
ces  observations,  ib.  Expression  générale 
de  la  hauteur  de  la  mer.  p.  66.  Des  hau- 
teurs des  marées  vers  les  syzigies.p.  83. 
Table  première  ,  marées  dès  syzigies  des 
équinoxes.  p.  94.  Marées  des  syzigies  des 
solstices,  p.  95.  Table  seconde,  p.   io5. 
Table  troisième,  p.  112.  Des  hauteurs  des 
marées  vers  les  quadratures,  p.  1 17-  Table 
quatrième  ,  marées  des  quadratures  des 
équinoxes.  p.  121.   Marées   des   quadra- 
tures des  solstices,  p.  122.  Table  cinquième. 
p.  i3i.  Des  heures  et  des  intervalles  des 
marées  vers  les  syzigies.  p._i34.  Vers  les 
quadratures,  p.  147.  Table  sixième,  p.  160. 
Expression  générale  des  hauteurs  des  ma- 
rées à  Brest,  p.  170.  Table  septième,  p.  173. 


DE  L'ACADÉMIE.     17S1— 1790.       277 

Physique  générale.  (Marées.) 

Table  huitième,  p.  176.  De  la  loi  suivant 
laquelle  la  marée  monte  et  descendu  Bresl. 
p.  178.  Table  neuvième,  p.  180.  Les  phé- 


nomènes  des  marées  n'ont  point  changé 
depuis  80  ans  à  Brest,  p.  i8i. 


Mesures. 


Rapport  sur  le  choix  d'une  unité  de  mesure , 
par  MM.  Borda  ,  Lagrange  ,  Lapl ace  , 
MoNGE  et  C0NDORCET.  1788.  Hist.  p.  7. 
Unité  de  mesure  pjrise  dans  la  nature ,  la 
rend  commune  à  tous  les  peuples,  ib.  Trois 
sortes  d'unités  peuvent  servir  de  bases,  la 
longueur  du  pendule,  un  quart  de  cercle 
de  l'équateur,  un  quart  du  méridien  ter- 
restre, p.  8.  La  longueur  du  pendule  a  paru 
en  général  mériter  la  préférence,  pour- 
quoi ?  zZ». Celle  de  4.6  degrés  doit  être  choisie. 
p.  9.  Il  y  a  moins  d'arbitraire  dans  le  quart 
d'un  des  grands  cercles  terrestres ,  et  l'on 
préfère  le  quart  du  méridien  au  quart  de 
réquateur.  p.  i  o.La  dix-millionième  partie 
du  quart  du  méridien  ,  d'après  la  division 
décimale,  sera  l'unité  usuelle  de  mesure. 
ib.  L'eau  distillée  à  une  température  fixée 
sera  la  base  de  l'unité  de  poids,  p.  11. 
Manière  de  déterminer  la  longueur  du 
quart  du  méridien ,  par  la  mesure  d'un  arc 
d'une  certaine  étendue,  ib.  Réponse  aux 
objections  qu'on  peut  faire,  p.  12.  L'arc  du 
méridien  à  mesurer  s'étendra  depuis  Dun- 


278  TABÏ.E  DES  MÉMOIRES 

Thysique  générale.  (Mesures.) 

kerque  Jusqu'à  Barcelone,  p.  i3.  Raisons 
de  la  préférence  qu'on  donne  à  la  niesure 
de  cet  arc.  ib.  Opérations  nécessaires  pour 
ce  travail,  p.  14.  La  longueur  du  pendule 
au  45^  degré  servira  de  vériKcation.  ib.  Six 
Conniiissions  formées  dans  l'Académie 
pour  les  différentes  parties  du  travail, 
p.  i5.  La  dix-millionième  partie  du  quart 
du  méridien  ne  diffère  du  pendule  simple 
que  d\m  cent- quarante -cinquième  en- 
viron, ib. 

Exposé  des  travaux  de  l'Académie ,  sur  le 
projet  de  l'uniformité  des  mesures  et  des 
poids.  1788.  Hist.  p.  17.  Formation  des 
différentes  commissions  et  noms  des  Com- 
missaires, p.  18.  Lesperfectionnemensque 
les  instrumens  peuvent  acquérir  dans  la 
suite,  ne  sont  point  un  obstacle  au  degré 
d'exactitude  qu'on  peut  obtenir  avec  les 
instrumens  actuels,  p.  19. 

Essai  sur  l'uniformité  des  mesures,  tant  li- 
néaires que  de  capacité  et  de  poids,  et 
sur  une  nouvelle  manière  de  construirô 
les  toises  destinées  à  servir  d'étalon ,  par 
M.  Brisson.  1788.  Mém.  p.  722.  La  lon- 
gueur du  pendule  dans  un  lieu  déterminé, 
un  volume  déterminé  et  une  température 
donnés  pour  l'or  à  24  karats,  ou  pour  l'ar- 
gent à  12  deniers,  ou  pour  l'eau  distillée, 
bases  de  l'uniformité  des  mesures ,  tant 
linéaires  que  de  capacité  et  de  poids,  ib. 
La  longueur  du  pendule  à  Paris  préférable 


DE  L'ACADEMIE.     1781  — 1790.     279 

Physique  générale.  (Mesures.) 

à  celle  du  45*^  degré,  p.  728.  I.a  nou- 
velle et  l'ancienne  toise  seroient  dans 
le  rapport  de  5i  à  5o.  ib.  L'eau  distillée 
préférable  à  l'or  et  à  l'argent  pour  base 
de  l'unité  de  poids,  p.  724.  Les  mesures 
de  capacité  réglées  sur  le  pied  cube  me- 
suré sur  la  nouvelle  toise,  ib.  Rapport 
d'après  ce  système  ,  des  anciennes  et  des 
nouvelles  mesures  de  capacité,  p.  725.  La 
toise  étalon  doit  être  de  bois  dur,  comme  de 
bois  de  Gayac.  p.  726.  Manière  de  l'em- 
pêcher de  voiler,  ib.  Table  des  compa- 
raisons des  mesures  actuelles  avec  les  nou- 
velles; de  l'expression  de  la  valeur  de  ces 
nouvelles  mesures ,  et  leur  rapport  avec 
les  mesures  actuelles,  p.  727. 
Rapport  sur  le  système  général  des  poids  et 
mesures,  par  MM.  Borda,  Lagrange 
et  MoNGE.  1789.  Hist.  p.  I.  De  la  division 
décimale,  p.  2.  Utilité  de  cette  division 
appliquée  aux  mesures  de  tout  genre,  ib. 
Des  mesures  linéaires,  p.  3.. Le  quart  du 
méridien  terrestre,  base  de  ces  mesures. 
p.  4.  Usages  que  doivent  avoir  les  divisions 
du  quart  du  méridien,  ib.  Noms  à  donner 
à  ces  difiérentesdivisions  ou  mesures,  p.  6. 
Tableau  de  deux  nomenclat.  différentes, 
p.  9.  Mesures  des  liquides  et  des  grains ,  les 
mêmes,  p.  10.  Tableau  des  deux  nomen- 
clatures relatives  à  ces  mesures,  p.  12.  Des 
poids,  ib.  Division  des  poids,  p.  1 3.  Tableau 
de  leur  nomenclature,  p.  i5.  De  l'unité 


28o  TABLE  DES  MÉMOIRES 

Physique  générale.  (Mesures.) 


monétaire,  ib.  Division  des  pièces  de  mon- 
noie.  p.  i6. 


Monnaies. 


Rapport  sur  le  titre  des  monnoies,  etc.,  par 
MM.  Borda,  Lagrakge  ,  Lavoisier  , 

TiLLET  et  CONDORCET.    1788.   Hist.  p.  I. 

Ce  titre  peut  être  fixé  avec  une  assez  grande 
précision,  mais  non  avec  une  exactitude 
rigoureuse,  p.  2.  Raisons  de  cette  incerti- 
tude, ib.  Laisser  une  certaine  latitude  pour 
le  titre  et  pour  le  poids,  c'est  ce  qui  s'ap- 
pelle remède,  ib.  Lequel  est  le  plus  avan- 
tageux de  fabriquer  des  monnoies  d'ar- 
gent pur  ou  des  monnoies  alliées?  p.  4. 
Note.  Il  faut  séparer  l'exactitude  du  poids 
de  celle  du  titre,  fè.  Plus  les  monnoies  sont 
pures,  plus  elles  ont  de  valeur  dans  les 
pays  où  elles  n'ont  pas  cours,  p.  5.  L'échelle 
arithmétique  doit  servir  de  base  à  toutes 
les  divisions,  z'è.  L'échelle  décimale  pré- 
férable à  la  duodécimale,  p.  6. 


Optique. 


Observ.  sur  une  illusion  d'optique ,  par  M.  de 
FouRCROY,  Maréchal- de -camp.  1784. 
Mém.  p.  355.  Image  d'un  treillis  de  fil 
de  fer  projeté  à  la  lumière  du  soleil  sur 
un  mur  blanc,  ib.  Variété  dans  cette  pro- 
jection lorsqu'un  nuage  passe  devant  le 

soleil. 


DE  L'ACADÉMIE.     1781  —  1790.      î8i 

Physique  générale.  {Optique.) 

soleil,  p.  356.  Lesnuages  transmettent  quel- 
quefois à  la  terre  des  coups  de  soleil  beau- 
coup plus  chauds  que  ceux  qui  nous  en 
viennent  par  la  simple  traversée  de  l'at- 
mosphère, p.  357.  Planche  qui  représente 
le  treillis  et  la  projection  de  son  ombre, 
p.  356. 
Mém.  sur  la  grandeur  apparente  des  corps 
opaques  vus  sur  un  fond  lumineux  ou 
autrement,  par  M.  Le  Gentil.  1784. 
Mém.  p.  469.  Lnportance  de  l'objet  de  ce 
Mém.  pour  l'astronomie  et  la  physique,  f^. 
Précis  de  ce  qu'ont  fait  les  astronomes  sur 
cette  matière,  p.  470.  Nouvelles  expé- 
riences, p.  474.  Les  corps  opaques  vus  sur 
un  fond  lumineux,  éprouvent  à  nos  yeux 
une  diminution  réelle,  p.  477. 

Paratonnerres. 

Mém.  sur  un  voyage  fait  dans  les  ports  de 
guerre  de  l'Océan  ,pour  y  établir  des  para- 
tonnerres ,  et  en  faire  placer  sur  les  vais- 
seaux, par  M.  Leroy.  1790.  Mém.  p.  472. 
Occasion  de  ce  voyage,  p.  673.  L'établisse- 
ment des  paratonnerres  à  Brest  éprouve 
quelques  contradictions,  p.  475.  Les  vais- 
seaux sont  plus  exposés  à  la  foudre  que  les 
édifices,  p.  476.  Consti'uction  d'un  paraton- 
nerre, et  ce  que  c'est,  p.  478.  Manière  de 
l'établir  sur  les  vaisseaux,  ib.  Preuve  de  sou 
utilité  sur  les  vaisseaux,  p.  481.  Etablisse- 
Tah.  des  Mat.  1781  — 1790.  Na 


282  TABLE  DES  MÉMOIRES 

Physique  générale.  {Paratonnerres,) 

ment  des  paratonnerres  sur  les  édifices  de 
Brest ,  de  Lorient  et  de  Rocliefort.  p.  482. 
Mém.  sur  la  nécessité  et  les  moyens  d'armer 
les  édifices  de  paratonnerres  ou  de  conduc- 
teurs ,  pour  les  préserver  de  la  foudre ,  par  le 
même.i790.Mém.p.583.]VI./;/'fly,anglais, 

annonce  le  premier  l'identité  de  la  ma- 
tière électrique  avec  celle  du  tonnerre,  ib. 
Franklin  prouve  cette  identité  par  l'emploi 
des  pointes  métalliques,  p.  684.  L'expé- 
rience de  Marly-la-ville,  par  M.  d'AU- 
bard,  la  confirme,  ib.  Ftablissement  des 
conducteurs  ou  paratonnerres  proposé  et 
exécuté  i^av  Franklin,  p.  585.  Effets  et  utdité 
des  paratonnerres,  p.  087.  Ils  ont  peme  a 
être  adoptés  en  France,  p.  588.  De  la 
construction  des  paratonnerres,  et  de  la 
manière  de  les  établir  sur  les   édifices. 
p.  Soi.  Précautions  qu'exige  cette  cons- 
truction, ib.  Une  pointe  élevée  de  12  ou 
1 5  pieds  au-dessus  de  l'édifice  en  préserve 
une  étendue   de  100  pieds  de  diamètre, 
p.  594.  Manière  de  placer  les  barres  de 
transmissions,  p.  696.  Circonstances  par- 
ticulières dans  la  construction  et  la  pose 
des  paratonnerres,  p.  598.  Résumé  de  toutes 
les  précautions,  p.  599.  Le  terme  de  con- 
ducteur dont  on  se  sert,  équivoque  lors- 
qu'on l'applique  à  tout  l'appareil,  p.  600. 
Poids.  Voyez  Mesures. 
RÉPULSION.  Voyez  Attraction. 


DE  L'ACADÉMIE.     1781  — 1790.      aSi 

Physique  générale.  (Seine.) 

Mém.  sur  l'état  moyen  des  eaux  de  la  Seine 
à  Paris,  par  M.  de  Lalande.  1788.  Mém. 
p.  244.  Cet  état  moyen  doit  être  réglé  non 
sur  la  plus  grande  et  la  plus  petite  élé- 
vation des  eaux  ,  mais  sur  leur  hauteur 
observée  pendant  plusieurs  années  dans 
les  différentes  saisons  dont  on  prend  le 
milieu,  ib.  Table  des  hauteurs  moyennes 
de  chaque  mois  en  1782  et  1787.  p.  245. 
Le  mois  de  septembre  dans  ces  deux  années  ' 
a  été  le  plus  sec ,  et  le  mois  de  mai  le  plus 
sujet  à  la  pluie,  ib.  La  hauteur  moyenne 
au  Pont-de-la-Tournelle  est  d'environ 

5  pieds,  ib.  Au  Pont- Royal,  à  7  pieds  5 
pouces,  p.  246.  Au  Pont-au-Change,  à 

6  pieds  3  pouces.  Détails  sur  la  pente  de 
la  rivière,  tant  à  Paris  que  vers  l'Océan. 
p.  247.  (Toise-Etalon.  Voy.  Mesures.) 

Extrait  des  procédés  suivis  par  les  cinq  Com- 
missaires nommés  par  l'Académie  pour 
fixer  la  distance  des  nouveaux  termes  où 
seront  marquées  les  grandes  crues  de  la 
Seine ,  et  les  basses  eaux  de  ce  fleuve  ,  à 
la  distance  de  200  toises.  1787.  îlist.  p.  7. 
Les  Commissaires  sont  MM.  Lemonnier, 
Leroy,  l'Abbé  Bossut,  Cousin  et  Bua- 
CHE.  Les  nivellemens  projetés  dépen- 
doient  de  la  construction  d'une  pyramide 
au  Cours-de-la-Reine,  dont  les  Commis- 
saires posèrent  la  première  pierre  ,  le  25 
juin  1787,  et  qui  n'a  point  été  achevée. 


284         TABLE  DES  MEMOIRES 

Physique  générale.  {Tonnerre.) 

Mém.  sur  quelques  effets  du  tonnerre,  ob- 
servés en  1787,  à  l'église  de  Saint-Paul  à 
Paris  ,  par  M.  Lavoisier.  1789.  Mém. 
p.  61 3.  Différentes  routes  qu'a  suivies  la 
foudre,  p.  614.  Moyens  de  prévenir  d© 
pareils  accidens  dans  cette  église,  p.  616, 
Usage  des  paratonnerres,  ib. 


Torsion. 


Recherches  théoriques  et  expérimentales  sur 
la  force  de  torsion  et  sur  l'élasticité  des 
fils  de  métal;  application  de  cette  théorie 
à  l'emploi  des  métaux  dans  les  arts  et  dans 
diflérentesexpériencesde  physique;  cons- 
truction de  différentes  balances  de  torsion 
pour  mesurer  les  plus  petits  degrés  de 
force  ;  observations  sur  les  lois  de  l'élas- 
ticité et  de  la  cohérence  ,  par  M.  Cou- 
lomb. 1784.  Mém.  p.  229.  Section  pre- 
mière ,  formules  du  mouvement  oscilla- 
toire ,  en  supposant  la  réaction  de  la  force 
de  torsion  proportionnelle  à  l'angle  de 
torsion ,  ou  altérée  par  un  terme  très- 
petit,  p.  281.  Expérience  pour  déterminer 
les  lois  de  la  force  de  torsion,  p.  286.  Expé- 
rience sur  la  torsion  des  fils  de  fer.  p.  287. 
Résultat  des  expériences  qui  précèdent, 
p.  241 .  De  la  force  de  torsion  relativement 
aux  longueurs  des  fils.  p.  244.  De  la  force 
de  torsion  relativement  à  la  grosseur 
des  fils.  p.  245.  Résultat  général,  p.  247.^, 


DE  L'ACADÉMIE.     1781— 1790.      285 

Physique  générale.  {Torsion.) 

Comparaison  de  la  roideur  de  torsion  de 
deux  métaux  différens.  p.  249.  Usage  des 
expériences  et  de  la  théorie  qui  précèdent. 
p.  261.  Balance  pour  mesurer  le  frotte- 
ment des  fluides  contre  les  solides,  ib. 
Section  seconde ,  de  l'altération  de  la  force 
élastique  dans  les  torsions  des  fils  de  métal  ; 
théorie  de  la  cohérence  et  de  l'élasticité, 
p.  255.  Deux  planches  relatives  à  ce  Mé-- 
moire,  p.  268. 


TABLE  ALPHABETIQUE 

DES  NOMS  DES  AUTEURS  DES  MEMOIRES  ET  DES 
OBSERVATIONS  CONTENUS  DANS  LA  TABLE  PRÉ- 
CÉDENTE. 

ANNÉES    1781  — 1790. 

JjAiLLY.  Exposé  des  expériences  qui  ont  été  faites 
pour  l'examen  du  magnétisme  animal,  en 
comnmn  avec  MM.  Franklin,  Leroy, 
de  BoRY  et  Lavoisier.  1784.  Hist.  p.  6. 

.Baume.  Moulin  à  moudre  les  pommes  de  terre ,  et 
manière  d'en  préparer  l'amidon  ou  farine. 
1786.  Mém.  p.  689. 

Sur  les  terres  calcaires  et  la  chaux.  1787. 
Mém.  p.  9. 

Examen  d'eau  de  mer.  1787.  Mém.  p.  547.. 

Mém.  sur  le  blanchiment  des  cocons  jaunes 
de  vers  à  soie.  1787.  Mém.  p.  583. 

Observations  sur  les  expériences  faites  pour 
prouver  la  décomposition  et  la  recompo- 
sition de  l'eau.  1789.  Mém.  p.  88. 

Berthollet  (M.).  Observations  sur  la  décompo- 
sition de  l'acide  nitreux.  Premier  Mémoire 
de  la  décomposition  du  nitre  exposé  sans 
mélange  à  l'action  de  la  chaleur.  1781, 
Hist.  p.  28.  Mém.  p.  21.  Second  Mémoire. 
1781.  Mém,  p.  228.  Troisième  Mémoire, 
1781.  Mém.  p.  234. 


588  TABLE  DES  AUTEURS 

Expérience  sur  l'acide  sulfureux.  1782.  Hîst. 
p.  24.  Mém.  p.  597. 

Rech.  sur  l'augmentation  de  poids  qu'éprou- 
vent le  soufre,  le  phosphore  et  l'arsenic 
lorsqu'ils  sont  changés  en  acide.  1782. 1  list. 
p.  25.  Méni.  p.  602. 

Observ.  sur  la  décomposition  spontanée  de 
quelques  acides  végétaux.  1 782.  Hist.  p.  26. 
Mém.  p.  608. 

Observ.  sur  la  causticité  des  alkalis  et  de  la 
chaux.  1782.  Hist.  p.  27.  Mém.  p.  616. 

Mém.  sur  la  diflérence  du  vinaigre  radical 
et  de  l'acide  acéteux.  1788.  Mém.  p.  4o3. 

Mém.  sur  la  préparation  de  l'alkali  caustique, 
sa  cristallisation  et  son  action  sur  l'esprit- 
de-vin.  1788.  Mém.  p.  408. 

Mém.  sur  la  décomposition  de  l'esprit-de-vîn 
et  de  l'éther,  par  le  moyen  de  l'air  vital. 
1785.  Mém.  p.  3o8. 

Mém.  sur  l'acide  marin  déphlogistiqué.  1785. 
Mém.  p.  276. 

Analyse  de  l'alkali  volatil.  1786.  Mém.  p.  3 16. 

Observ.  sur  la  combinaison  de  l'air  vital  avec 
les  huiles.  1785.  Mém.  p.  827. 

Suite  des  recherches  sur  la  nature  des  subs- 
tances animales  et  sur  leurs  rapports 
avec  les  substances  végétales.  1786.  Mém. 
p.  33 I. 

Observ.  sur  l'eau  régale  et  sur  quelques  affi- 
nités de  l'acide  marin.  1785.  Mém.  p.  296. 

Mémoire  sur  l'acide  Prussique.  1787.  Mém. 
p.  148. 

Observ.  sur  la  combinaison  des  oxides  mé- 
talHques  avec  les  alkalis  et  la  chaux.  1788. 
Mém,  p,  728, 

Borda 


DES  MÉMOIRES.     1781—1790.       589 
Borda  (M. de).  Mém.  sur  les  élections  au  scrutin. 
1781.  Hist.  p.  3i.  Mém.  p.  667. 

Brisson.  Essai  sur  l'uniformité  des  mesures  tant  li- 
néaires que  de  capacité  et  de  poids;  et  sur 
une  nouvelle  manière  de  construire  les 
toisesdestinéesàservir  d'étalon.  1 788.  Mém. 
p.  722. 

Manière  de  construire  un  aréomètre,  etc. 
1788.  Mém.  p.  583. 

Rech.  sur  l'espèce  d'acier  plus  propre  à  re- 
cevoir la  vertu  magnétique.  1788.  Mém. 
p.  169. 

Broussonet.  Mém.  sur  le  trembleur,  espèce  peu 
connue  de  poisson  électrique.  1782.  Mém, 
p.  692. 

Essai  de  comparaison  entre  les  mouvemens 
des  animaux  et  ceux  des  plantes,  et  des- 
cription d'une  espèce  de  sainfoin ,  dont  les 
feuilles  sont  dans  un  mouvement  conti- 
nuel. 1784.  Mém.  p.  609. 

Observ.  sur  les  vaisseaux  spermatiques  des 
poissons  épineux.  1786.  Mém.  p.  170. 

Mé_m.  pour  servir  à  l'histoire  de  la  respira- 
tion des  poissons.  1785.  Mém.  p.  174. 

Observ.  sur  le  loup  marin.  1785.  Mém.  p.  161. 

Mém.  sur  le  yoiber,  espèce  de  poisson  peu 
connu,  qui  se  trouve  dans  les  mers  des 
Indes.  1786.  Mém.  p.  460. 

Observ.  sur  la  régénération  de  quelques 
parties  du  corps  des  poissons.  1786.  Mém, 
p.  684. 

Considérations  sur  les  dents  en  général  et  sur 
les  organes  qui  en  tiennent  lieu.  Premier 
Tab.  des  Mat.     1781  — 1790.  Go 


290  TABLE  DES  AUTEURS 

Mémoire,  comparaison  entre  les  dents  de 
l'homme  et  celles  des  quadrupèdes.  1787. 
Mém.  p.  55o.  (  La  suite  n'a  point  paru.) 

BUACHE  (M,).  Mém.  sur  la  position  de  Trébizonde, 
d'Arz-Roum  et  de  quelques  autres  villes 
de  l'Asie  occidentale.  1781.  Hist.  p.  49. 
Mém.  p.  421 ,  avec  une  carte. 

Mém.  sur  l'île  de  Frislande.  1784.  Mém. 
p.  480. 

Mém.  sur  la  géographie  de  Ptolémée,  etc. 
1787.  Mém.  p.  119. 

Eclaircissement  géographique  sur  la  Nou- 
velle-Bretagne et  sur  les  côtes  septentrio- 
nales de  la  Nouvelle-Guinée.  1787.  Mém. 
p.  128. 

Cassini  (Comte  de).  Observ.  faites  à  l'Observatoire 
royal  au  mois  de  juin  de  l'année  1782,  et 
particulièrement  deshauteurs  méridiennes 
du  soleil  au  solstice  d'été  des  années  1779, 
1 780  et  1782. 1782.  Hist.  p.  48.  Mém.  p.  281. 

Opposition  des  deux  planètes  supérieures, 
Jupiter  et  Saturne.  1782.  Mém.  p.  Soi. 

Observ.  de  Vénus.  1782.  Mém.  p.  804. 

Eclipses  des  satellites  de  Jupiter.  1782.  Mém. 
p.  3o5. 

Observ.  de  la  lune.  1782.  Mém.  p.  3o5. 

Observ.  du  passage  de  Vénus  sur  le  soleil,  du 
1 2  novembre  1 782 ,  faites  à  l'Observatoire 
royal.  1782.  Mém.  p.  663. 

Extrait  des  observations  astronomiques  et 
physiques  faites  à  l'Observatoire  royal  en 
l'année  1786.  1784.  Mém.  p.  63 1. 

Vérification  des  nouvelles  découvertes  faites 


DES  MÉMOIRES.    1781  — 1790.      291 

en  Angleterre  sur  les  étoiles  lixes.  1784. 
Méni.  p.  33r. 

Extrait  des  observations  physiques  et  astro- 
nomiques faites  à  l'Observatoire  royal  en 
l'année  1786.  1786.  Mém.  p.  314. 

Supplément,  extrait  des  principales  obser- 
vations faites  depuis  1777  jusqu'en  1785. 
1786.  Mém.  p.  363. 

Mém.  sur  la  température  des  souterrains  de 
l'Observatoire  royal.  1786.  Mém.  p.  607. 

Extrait  des  observations  astronomiques  et 
physiques,  etc.,  en  l'année  1787.  1787. 
Mém.  p.  10. 

De  la  jonction  des  observatoires  de  Paris  et 
de  Gréenwich,  et  précis  des  travaux  géo- 
graphiques exécutés  en  France  qui  y  ont 
donné  lieu.  1788.  Mém.  p.  706. 

Extrait  des  observations  astronomiques  et 
physiques,  etc.,  pour  l'année  1788.  1788. 
Mém.  p.  62.. 

Supplément,  extrait  des  principales  obser- 
vations faites  depuis  1767  jusqu'en  1777. 
1788.  Mém.  p.  io3. 

Eclipses  des  satellites  de  Jupiter,  et  autres 
observ.  faites  à  Périnaido ,  par  M.  Maraldi 
neveu,  1788.  Mém.  p.  718. 

Extrait  des  observations  astronomiques  et 
physiques,  etc.  pour  l'année  1789.  1789. 
Mém.  p.  102. 

Application  du  cercle  à  l'Observation  des 
hauteurs  méridiennes  des  astres.  1790. 
Mém.  p.  617, 

ChaBERt  (  Le  Marquis  de  ).  Mém.  sur  l'usage  des 
horloges  maxines  relativement  à  la  navi- 


29â  TABLE  DES  AUTEURS 

gation  et  surtout  à  la  géographie,  etc.  lySS. 
Méni.  p.  49. 

Chaptal  (M.).  Observations  sur  la  cristallisation 
de  l'huile  de  vitriol.  1784.  Mém.  p.  622. 

Observ.  sur  l'acide  carbonique  fourni  par 
la  fermentation  des  raisins,  et  sur  l'acide 
nitreux  qui  résulte  de  sa  combinaison  avec 
l'eau.  1786.  Mém.  p.  718. 

Observ.  sur  l'acide  muriatique  oxigéné.  1787. 
Mém.  p.  611. 

Observ.  sur  la  manière  de  former  l'alun  par 
la  combinaison  directe  de  ses  principes 
constituans.  1788.  Mém.  p.  768. 

Charles  (  Géomètre  ).  Théorème  sur  les  équa- 
tions en  différences  finies.  1783.  Mém. 
p.  56o. 

Recherches  sur  l'intégration  d'une  espèce 
singulière  d'équations  à  différences  finies. 
1786.  Mém.  p.  695. 

Suite  des  recherches  sur  une  équation  sin- 
gulière. 1786.  Mém.  p.  698. 

Recherches  sur  les  principes  de  la  différen- 
tiation  ,  et  sur  les  intégrales  connues  jus- 
qu'ici sous  le  nom  d'intégrales  particulières. 
1788.  Mém.  p.  II 5. 

Suite  du  Mém.  sur  les  principes  de  la  diffé- 
rentiation.  1788.  Mém.  p.  182. 

Nouvelles  recherches  sur  les  constructions 
des  équations  en  différences  finies  du  pre- 
mier ordre ,  et  sur  celles  des  limites  de  ces 
équations.  1788.  Mém.  p.  58o. 

Charles  {Physicien).  Essai  sur  les  moyens  d'établir 


DES  MÉMOIRES.    1781— 17.^0.       293 

entre  les  thermomètres  une  comparabilité, 
sinon  exacte ,  au  moins  plus  approchée  que 
celle  qu'on  a  obtenue  jusqu'à  présent.  1787. 
Mém.  p.  567. 
Suppl.  à  ce  Mémoire.  1787.  Mém.  p.  674. 

CoNDORCET  (M.  de).  Mém.  sur  le  calcul  des  pro- 
babilités. 1781.  Hist.  p.  38.  Mém.  p.  707. 

Discours  prononcé  à  la  séance  du  6  juin  1782, 
à  laquelle  assistoient  le  Grand-Duc  et  la 
Grande-Duchesse  de  Russie  ,sous  les  noms 
de  Comte  et  de  Comtesse  du  Nord.  1782. 
Hist.  p.  5. 

Rapport  sur  un  projet  pour  la  réformation 
du  cadastre  de  la  Haute-Guyenne,  etc. 
1782.  Hist.  p.  42.  Mém.  p.  620. 

Suite  du  Mémoire  sur  le  calcul  des  probabi- 
lités; troisièuie  partie,  sur  l'évaluation  des 
droits'  éventuels.  1782.  Hist.  p,  44.  Mém. 
p.  674. 

Rapport  fait  à  l'Académie  des  sciences  sur 
la  machine  aérostatique  de  M.  de  Mon- 
golfier,  en  commun  avec  MM.  Leroy, 
TiLLET,  Brisson,  Cadet ,  Lavoisier , 
BossuT  et  Desmarest.  1783.  Hist.  p.  5. 

Suite  du  Mémoire  sur  le  calcul  des  proba- 
bilités. 1783.  Mém.  p.  539. 

Discours  prononcé  à  l'Acad.  devants.  A.  R. 
le  prince  Henri  de  Prusse ,  le  4  septembre 
1784.  1784.  Hist.  p.  I. 

Suite  du  Mémoire  sur  le  calcul  des  probabi- 
lités. 1784.  Mém.  p.  454. 

Rapport  sur  le  titre  des  monnoies,  en  com- 
mun avec  MM.  Borda  ,  Lagrange  ,  La- 

VOISIER  ET  TiLLET.  1788.  Hist.  p.   I. 


294  TABLE  DES  AUTEURS 

Rapport  sur  le  choix  d'une  unité  de  me- 
sure ,  en  commun  avec  MM.  Borda  ,  La- 
grange,  Laplace  et  MoNGE.  1788.  Hist, 
p.  7. 

Liste  chronologique  des  Eloges  des  Académiciens 
décédés,  prononcés  par  M.  de  Condorcet» 

ANNÉES  1781  —  1790. 

Eloges  de  MM.  Bertin. 

Courtanvaux. 

De  Maurepas. 

Tronchin. 

Pringle. 

Danville. 

bordenave. 

Dan.  Bernoulli. 

De  MONTIGNY. 

Margraaf. 

Duhamel  du  Monceau. 

De  Vaucanson. 

HUNTER. 
EULER. 

Bezout. 

D'aiembert. 

Le  Comte  de  Tressan. 

Wargentin. 

Macquer. 

Bergman. 

Morand  (Médecin). 

Cassini  de  Thury. 

Le  Comte  de  Milly. 

Le  Marquis  de  CouRTiVRON. 

Le  Duc  de  Praslin, 


DES  MÉMOIRES.     1781— 1790,       295 
Eloges  de  MM.  Guettard. 

L'Abbé  de  GuA  de  Malves. 

Le  Marquis  de  Paulmy. 

Bouvart. 

Delassonne. 

Le  Cardinal  de  Luynes. 

De  FoucHY. 

Le  Comte  de  BuFFûBr. 

TURGOT. 

FOUGEROITX  de  BoNDAROY. 

Voyez  Ac A d É MI E  (  Eloges.  ) 

Cornette  (M.).  Mémoire  sur  un  phénomène  sin- 
gulier que  présentent  les  acides  minéraux 
pendant  leur  concentration ,  et  sur  un  nou- 
veau moyen  de  se  procurer  facilement 
une  eau-forte  des  plus  piu'es,  en  commun 
avec  M.  Lavoisier.  1781.  Hist.  p.  29. 
Mém.  p.  645. 

Mém.  sur  l'action  de  l'acide  pbosphorique 
sur  les  huiles,  et  sur  la  combinaison  de 
cet  acide  avec  l'esprit-de-vin.  1782.  Hist. 
p.  23.  Mém.  p.  219. 

Mém.  sur  le  sel  ammoniacal  vitriolique  ou 
sel  secret  de  Glauber,  et  sur  le  sel  ammo- 
niacal nitreux.  1788.  Mém.  p.  781. 

Mém.  surleselammoniacal  nitreux, seconde 
Partie.  1788.  Mém.  p.  745. 

Mém.  sur  la  substance  saline  acide  que  l'on 
retire  de  la  cerise ,  de  la  groseille ,  etc. ,  en 
commun  avec  M,  de  Lassone.  17B6.  Mém, 
p.  606. 

Mém.  sur  la  décomposition  du  sel  ammo- 
niac ,  par  les  difïérens  intermèdes  terreux 
et  salins.  1786.  Mém.  p.  532. 


zç)6  TABLE  DES  AUTEURS 

Observ.  sur  le  mercure  doux.  1786.  Mém. 
p.  540. 

Coulomb  (M.).  Observations  théoriques  et  expé- 
rimentales sur  l'effet  des  moulins  à  vent 
et  sur  la  figure  de  leurs  ailes.  1781.  Hist. 
p.  41.  Mém.  p.  65. 

La  théorie  des  machines  simples  en  ayant 
égard  aux  effets  du  frottement  et  à  la  roideur 
des  cordages;  ouvrage  couronné  en  1781 
par  l'Académie.  1781.  Hist.  p.  5i. 

Rechercliesthéoriques  et  expérimentales  sur 
la  force  de  torsion ,  et  sur  l'élasticité  des 
fils  de  métal  :  application  de  cette  théorie 
à  l'emploi  des  métaux  dans  les  arts  et 
dans  différentes  expériences  de  physique  : 
construction  de  différentes  balances  de 
torsion  pour  mesurer  les  plus  petits  degrés 
de  force  :  observations  sur  les  lois  de 
l'élasticité  et  de  la  cohérence.  1784.  Méra. 
p.  229. 

Sur  l'électricité  et  le  magnétisme ,  premier 
Mémoire.  1786.  Mém.  p.  669. 

Second  Mémoire.  1786.  Mém.  p.  678. 

Troisième  Mémoire.  1785.  Mém.  p.  612. 

Description  d'une  boussole  dont  l'aiguille  est 
suspendue  par  un  fil  de  soie.  1785.  Mém. 
p.  56o. 

Quatrième  Mémoire ,  oîil'on  démontre  deux 
principales  propriétés  du  fluide  électri- 
que,  etc.  1786.  Mém.  p.  67. 

Cinquième  Mémoire  sur  l'électricité ,  etc. 
1787.  Mém.  p.  421. 

Sixième  Mémoire  sur  l'électricité,  etc.  1788. 
Mém.  p.  617, 

Septième 


DES  MÉMOIRES.     1781-^1790.       297 

Septième  Mémoire  sur  l'électricité^et  le  ma- 
gnétisme. 1789.  p.  455. 

Mém.  sur  les  frottemeris  de  la  pointe  des 
pivots.  1790.  p.  448. 

Cousin  (M.).  Remarques  sur  la  manière  d'intégrer 
par  approximation  les  équations  diflëren- 
tfelleset  les  équations  aux  différences  par- 
tielles. 1783.  Mém.  p.  649. 

Mém.  contenant  quelques  remarques  sur  la 
théorie  mathématique  du  mouvement  des 
fluides.  1783.  Mém.  p.  665. 

Méin.  sur  l'intégration  des  équations  aux 
différences  partielles.  1784.  Mém.  p.  407. 

D'Agelet  (  M.).  Observations  de  mercure  faites  à 
l'Ecole  Royale  Mihtaire.  1784.  Mém.  p.  74. 

Observ.  des  planètes ,  faites  à  l'Ecole  Mihtaire 
en  1783 ,  avec  un  quart  de  cercle  mural  de 
7  pieds  et  demi  de  rayon.  1 785.  Mém.  p.  267. 

Observ.  des  planètes,  faites  en  1784  et  1785. 
1786.  Mém.  p.  418. 

Observ.  faites  clans  un  voyage  aux  Terres 
australes  en  1773  et  1774.  1788.  Mém. 
p.  287. 

Observ.  des  étoiles ,  faites  à  l'Ecole  Militaire 
en  1784.  1789.  Mém.  p.  641. 

Seconde  suite  de  ces  observ. ,  faites  en  1784 
et  1785.  1790.  Mém.  p.  633.  (  Le  départ  de 
M.  d'Agelet  pour  son  voyage  autour  du 
monde,  pendant  lequel  iï  est  mort,  a  mis 
fin  à  ces  observations  des  étoiles.  ) 

D'Akcet  (M.).  Rapport  concernant  les  cidres  de 
Normandie ,  en  commun  avec  MM.  Cadet , 
Tab.des  Mat.  ijQi  —  i'jgo.  Pp 


298  TABLE  DES  AUTEURS 

Lavoîsier,  Baume  et  Berthollet.  1786.  Mém. 
p.  479. 

Daubenton  (M.).  Observation  sur  la  disposition 
de  la  trachée-artère  de  différentes  espèces 
d'oiseaux,  et  surtout  de  l'oiseau  appelé 
Pierre.  178t.  Hist.  p.  12.  Mém.  p.  869. 

Observ.  sur  les  bois  du  chêne  et  du  châtai- 
gnier. 1781.  Hist.  p.  14.  Mém.  p.  295. 

Observ.  sur  le  spath  étincelant,  sur  î'aven- 
turine  naturelle,  et  sur  la  pierre  appelée 
œil  de  poisson.  1 78 1 .  Hist.  p.  1 8.  Mém.  p.  5. 

Observ.  sur  un  grand  os  qui  a  été  trouvé  en 
terre  dans  Paris ,  et  sur  la  conformation 
des  os  de  la  tête  des  cétacés.  1782.  Hist. 
p.  18.  Mém.  p.  211. 

Mém.  sur  les  causes  qui  produisent  trois  sortes 
d'hei'borisationsdanslespierres.  1782.  Hist. 
p.  21.  Mém.  p.  667. 

Mém.  sur  le  premier  drap  de  laine  superfine 
du  cru  de  la  France.  1784.  Mém.  p.  76. 

Addition  à  ce  Mémoire.  1784.  Mém.  p.  81. 

Observ.  sur  la  comparaison  de  la  nouvelle 
laine  superfine  de  France  avec  la  plus 
belle  laine  d'Fspagne  dans  la  fabrication 
du  drap.  1785.  Mém.  p.  464. 

Mém.  sur  la  pierre  de  poix ,  Pechstein  des 
Allemands.  1787.  Mém.  p.  86. 

Observ.  sur  l'organisation  et  l'accroissement 
du  bois.  1790.  Mém.  p.  665. 

Mém.  sur  un  granitelle  globuleux.  1790.  p.  609. 

Desfontaines  (  M.  ).  Mémoire  sur  im  nouveau 
genre  d'arbre  oilanthus glandulosa  (  l'ailan- 
the  glanduleux).  1786.  Mém.  p.  265. 


DES  MÉMOIRES.     1781— 1790.       299 
Observ.  sur  l'irritabilité  des  organes  sexuels 

d'un  grand  nombre  de  plantes.  1 787.  Mém. 

p.  468. 
Mém.  sur  quelques  nouvelles  espèces  d'oi- 
seaux des  côtes  de  Barbarie.  1787.  Mém. 

p.  496. 
Rech.  sur  un  arbrisseau  connu  des  anciens 

sous  le  nom  de  lotos  de  Lybie.  1788.  Mém. 

p.  443. 
Mém.  sur  le  chêne  ballotte  ou  à  glands  doux 

du  Mont-Atlas.  1790.  Mém.  p.  394. 

DiETRiCH  (M.  le  Baron  de).  Mémoire  sur  les  ocres. 
:  ,.v      1787.  Mém.  p.  82. 

Procédé  particulier  usité  en  Limosin  et  en 
Périgord  pour  fabriquer  du  fer  dur.  1787. 
Mém.  p.  i63. 

Duhamel. (M.).  Sur  une  cristallisation  du  plomb. 

1786.  Mém.  p.  478. 
Observ.  sur  le  traitement  des  minerais  de  fer 

à  la  fonte.  1786.  Mém.  p.  466. 
L'art  de  la  liquation  ou  du  départ  de  l'argent 

d'avec  le  cuivre ,  par  l'intermède  du  plomb. 

1788.  Mém.  p.  604. 

Duhamel  du  Monceau  (M.).  Observ,  botanico- 
météorologiques, faites  au  château  de  De- 
nainvilliers ,  proche  Pithiviers  en  Gati- 
nois,  pendant  l'année  1780.  1781.  Mém. 

p.  7^9- 
DiONis  DU  SÉJOUR  (M.).  Nouvelles  méthodes  ana- 
lytiques pour  résoudre  différentes  ques- 
tions astronomiques ,  seizième  Mémoire  , 
dans  lequel  on  applique  à  la  détermina- 


3oo  TABLE  DES  AUTEURS 

tion  de  la  parallaxe  du  soleil,  les  formules 
analytiques  démontréesdanslesMémoires 

précédens.  1781.  Hist.  p.  46.  Mém.  p.  297. 

Nouvelles  méthodes  analytiques,  etc.  dix- 
septième  Mémoire ,  dans  lequel  on  applique 
à  la  détermination  de  la  constante  de  la 
parallaxe  de  la  lune ,  les  formules  analy- 
tiques démontrées  dans  les  Mémoires  pré- 
cédens. 1782.  Hist.  p.  45.  Mém.  p.  321. 

Nouvelles  méthodes  analytiques ,  etc.  dix- 
huitième  Mémoire,  dans  lequel  on  applique 
à  la  détermination  de  la  parallaxe  de  Mars 
les  formules  analytiques  démontrées  dans 
les  Mém.  précédens.  1783.  Mém.  p.  263. 

Mém.  sur  une  relation  algébrique  entre  l'ano- 
malie vraie  et  l'anomalie  moyenne.  1790. 
Mém.  p.  401. 

EuLER  (Léonard).  Calculs  sur  les  ballons  aérosta- 
tiques, faits  par  M.  Léonard  Euler,  tels 
qu'on  les  a  trouvés  sur  son  ardoise  après 
sa  mort, arrivée  le  7  septembre  1783. 1781» 
Hist.  p.  40.  Mém.  p.  264. 

FOUCHY  (M.  de).  Mémoire  sur  une  nouvelle  cons- 
truction de  niveau  absolument  exempt  de 
vérification.  1 781.  Hist.  p.  44.  Mém.  p.  82. 

Moyen  de  convertir  facilement  et  avec  assez 
peu  de  frais  un  quart  de  cercle  à  pied  en 
im  instrument  azimutal ,  ou  du  moins  de 
lui  en  faire  faire  toutes  les  fonctions.  1781. 
Hist.  p.  48.  Mém.  p.  264. 

Observ.  anatomique.  1784.  Mém.  p.  399. 

Rech.  sur  la  date  des  applications  des  lunettes 
aux  instrumens,  etc.  1787.  Mém.  p.  385» 


DES  MÉMOIRES.     1781  —  1790.      3oi 

FOUGEROUX  DE   BoNDAROY  (M.).  Mémoire  sur 

le  bois  de  châtaignier  et  sur  celui  du  chêne  ; 

comparaison  de  ces  deux  bois.  1781.  Hist. 

p.  14.  Mém.  p.  49. 
Mémoire  sur  un  moyen  proposé  pour  dé- 
truire le  méphitisme  des  fosses  d'aisance. 

1782.  Hist.  p.  i3.  Mém.  p.  197. 
Premier  Mémoire  sur  le  safran.  1782.  Hist. 

p.  19.  Mém.  p.  89. 
Second  Mémoire  sur  la  maladie  du  safran 

connue  sous  le  nom  de  Tacon.  1782.  Hist. 

p.  19.  Mém.  p.  io5. 
Mém.  sur  une  excroissance  de  l'épine  blan- 
che. 1782.  Hist.  p.  20.  Mém.  p.  2o5. 
Observ.  sur  le  seigle  ergoté.  1 788.  Mém.  p.  1 01 . 
Mém.  sur  une  plante  du  Pérou  appelée  tour- 

retia  ou  quinoa ,  nouvellement  connue  en 

France.  1784.  Mém.  p.  200. 
Mém.  sur  l'abricotier  de  Sibérie.  1784.  Mém. 

p.  207. 
Mém.  sur  une  nouvelle  espèce  d'orme.  1784. 

Mém.  p.  211. 
Description  d'un  poisson  du  genre  des  silures, 

appelé  shaid  ou  shaiden  par  les  Allemands. 

1784.  Mém.  p.  216. 
Mém.  sur  l'emploi  de  l'écorce  du  platane 

pour  tanner  les  cuirs.  1785.  Mém.  p.  24. 
Mém.  sur  l'usage  qu'on  pourroit  faire  des 

peaux  de  vache  marine.  1786.  Mém.  p.  3o. 
Description  d'un  nouveau  genre  de  plantes. 

1786.  Mém.  p.  I. 
Sur  les  étuves  propres  à  la  conservation  des 

grains.  1786.  Mém.  p.  423. 
Sur  la  formation  des  couches  ligneuses.  1787. 

Mém.  p.  iio. 


3oâ  TABLE  DES  AUTEURS 

Mém.  sur  la  fusion  de  différentes  substances 
vitrifiables  ,  et  particulièrement  sur  un 
verre  connu  sous  la  dénomination  de  mi- 
roir de  Virgile.  l'jQ'j.  Mém.  p.  412. 
Mém.  sur  une  détonation  produite  par  une 
substance  connue  sous  le  nom  de  5e/c?^v£r/Te, 
lorsqu'étant  en  fusion  on  le  jette  dans  de 
l'eau.  1788.  Mém.  p.  386. 

FoURGROY ,  (  M.  de)  Ingénieur.  Observations  sur  une 
illusion  d'optique.  1784.  Mém.  p.  355. 

FouRCROY,(M.  de)  Chimiste.  Mémoire  pour  servir 
à  l'Histoire  anatomique  des  tendons,  dans 
lequel  on  s'occupe  spécialement  de  leurs 
capsules  muqueuses.  1785.  Mém.  p.  392. 
Second  Mémoire  pour  servir  à  l'Histoire  ana- 
tomique des  tendons,  etc.   1785.  Mém. 

Expérience  sur  une  huile  de  vitriol  fumante 
de  Saxe ,  et  sur  le  sel  volatil  concret  qu'on 
en  retire  par  la  distillation.  1785.  Mém. 
p.  373. 

Troisième  Mémoire  pour  servir  à  l'Histoire 
anatomique  des  tendons,  etc.  1786.  Mém. 
p.  38. 

(^)uatrième  Mémoire  pour  servir  à  l'histoire 
.  anatomique destenaons.1786.Mem. p. 55o. 

Mém.  sur  la  formation  €t  les  propriétés  du 
gaz  liépathique.  1786.  Mém.  p.  5o. 

Observ.  sur  un  nouveau  moyen  de  se  pro- 
curer facilement  l'espèce  de  iluide  élas- 
tique ,  connue  sous  le  nom  de  mofette 
atmosphérique,  et  sur  la  production  de  ce 
gaz  dans  les  animaux.  1786.  Mém.  p.  546. 


DES  MÉMOIRES.     1781— 1790.       3o3 

Cinquième  Mémoire  sur  les  tendons.  1787. 
Mém.  p,  289. 

Sixième  et  dernier  Mém.  sur  les  tendons. 
1787.  Mém.  p.  3oi. 

Mém.  sur  la  nature  du  vin  lithargiré  ou  altéré 
par  le  plomb ,  et  sur  quelques  moyens  nou- 
veaux d'y  reconnoître  la  présence  de  ce 
dangereux  métal.  1787.  Mém.  p.  280. 

Mém.  sur  la  combustion  de  plusietirs  corps 
dans  le  gaz  acide  muriatique  oxigéné.  1788. 
Mém.  p.  365. 

Mém.  sur  les  phénomènes  qui  ont  lieu  dans 
la  précipitation  des  dissolutions  métalli- 
ques par  l'ammoniac  {alcali  volatil).  1788. 
Mém.  p.  376. 

Nouvelles  expériences  sur  les  matières  ani-  ■ 
maies  faites  dans  le  laboratoire  du  Lycée. 
1789.  Mém.  p.  297. 

Observ.  sur  un  changement  singulier,  opéré 
dans  un  foie  humain  par  la  putréfaction. 
1789.  Mém.  p.  327. 

Mém.  SUT  la  coloration  des  matières  végé- 
tales par  l'air  vital ,  et  sur  une  nouvelle 
préparation  des  couleurs  solides  pour  la 
peinture.  1789.  Mém.  p.  335. 

Description  et  analyse  chimique  d'une  mine 
de  plomb  verte  du  hameau  des  Roziers  , 

f)rès  Pont-Gibaud,  en  Auvergne,  lue  à 
'Académie  le  18  mai  1789.  1789.  Mém. 
p.  343. 
Mém.  sur  les  différens  états  du  sulfate  de 
mercure ,  sur  la  précipitation  de  ce  sel  par 
l'ammoniac,  et  sur  les  propriétés  d'un  nou- 
veau sel  triple  ,  ou  du  sullate  aramoniaco«. 
mercuriel.  1790.  Mém-  p»  i83. 


3o4  TABLE  DES  AUTEURS 

Observ.  sur  la  formation  de  l'acide  nitrique 
qui  a  lieu  pendant  la  d(^composition  réci- 
proque de  l'oxide  de  mercure  et  de  l'am- 
moniac. 1790.  Mém.  p.  204. 
Mém.  sur  la  combustion  du  gaz  hydrogène 
dans  des  vaisseaux  clos ,  en  commun  avec 
MM.  Vauquelin  et  Seguin.  1790.  Mém. 
p.  485. 

GUA  (l'Abbé  de).  Trigonométrie  spliérique  déduite 
très-brièvement  et  complètement ,  de  la 
seule  solution  algébrique  du  plus  simple 
de  ses  problèmes  généraux ,  au  moyen  de 
diverses  transformations  dont  les  rapports 
des  sinus  et  cosinus,  tangentes  et  cotan- 
gantes,  sécantes  et  cosécantes  d'un  même 
arc  ou  d'un  même  angle  plan,  rendent 
cette  solution  susceptible  ,  et  compren- 
nent quelques  formules  et  observ.  qu'on 
croit  utiles  et  neuves.  1783.  Mém.  p.  291 
Diverses  mesures,  en  partie  neuves,  des  aires 
sphériques  et  des  angles  solides,  triangu- 
laires et  polygones  dont  on  est  siipposé 
connoître  des  élémensen  nombre  suffisant, 
avec  des  remarques  qu'on  croit  pouvoir 
contribuer  à  simplifier  les  intégrations  de 
plusieurs  équations  différentielles  à  incon- 
nues actuellement  séparées.  1783.  Mém. 

P-  344- 
Propositions  neuves  et  non  moins  utiles  que 
curieuses  sur  le  tétraèdre  ,  ou  essai  de 
tétraédométrie.  1783.  Mém.  p.  363. 

HaUY  (M.  l'Abbé).  Observations  sur  les  schorls. 
1784.  Mém.  p.  270. 

Mém. 


DES  MÉMOIRES.     1781— 1790.       3o5 
Mém.  sur  la  structure  des  cristaux  de  feld- 
spath. 1784.  Méni.  p.  273. 
Observ.  sur  la  manière  défaire  les  herbiers. 

1785.  Mém.  p.  210. 

Mém.  sur  les  propriétés  électriques  de  plu- 
sieurs minéraux.  1785.  Mém.  p.  206. 

Mém.  sur  la  structure  de  divers  cristaux  mé- 
talliques. 1785.  Mém.  p.  21 3. 

Mém.  sur  la  structure  du  cristal  de  roche. 

1786.  Mém.  p.  78. 

Mém.  sur  la  structure  des  cristaux  de  schorl, 

1787.  Mém.  p.  92. 

Mém.  où  l'on  expose  une  méthode  analyti- 
que pour  résoudre  les  problèmes  relatifs  à 
la  structure  des  cristaux.  1788.  Mém.  p.  1 3. 

Mém.  sur  la  double  réfraction  du  spath  d'Is- 
lande. 1788.  Mém.  p.  34. 

Mém.  sur  la  manière  de  ramener  à  la  théorie 
du  parallélipipède,  celle  de  toutes  lesautres 
formes  primitives  des  cristaux.  1 789.  Mém. 
p.  5i9  et  non  55 1  (faute  d'impression). 

Mém.  sur  les  cristaux,  appelés  communé- 
ment pierres  de  croix.  1790.  Mém.  p.  27. 

JeaurAt  (M.).  Observation  de  l'éclipsé  de  soleil 
du  17  octobre  1781 ,  au  matin,  faite  à  l'Ob- 
servatoire royal  de  Paris;  et  détermina- 
tion de  l'erreur  des  tables  de  la  lune  de 
MM.  Clairaut  et  Mayer  dans  la  circons- 
tance de  celte  éclipse-ci.  1781.  Mém.  p.  9, 
Observ.  de  la  lune  lors  de  son  passage  par 
le  méridien  ,  environ  deux  heures  avant 
l'occultation  d'un  grand  nombre  des  étoiles 
des  Pléiades,  le  i3  décembre  1785.  lySô. 
Mém.  p.  229. 
Tab.  des  Mat.     1781  — 1790.  Çq 


3o6  TABLE  DES  AUTEURS 

Mém.  sur  la  non-application  de  la  correc- 
tion de  l'aberration  des  planètes  dans  le 
calcul  de  leur  passage  au-devant  du  soleil. 

1786.  Mém.  p.  572. 

Nouvelles  observations  sur  la  construction 
des  lunettes  diplantidiennes  ou  à  double 
image.  1786.  Mém.  p.  562. 

Opposition  de  la  planète  Ilerschel  observée 
à  l'Observatoire  royal.  1787.  Mém.  p.  i. 

Observ.  de  l'éclipsé  de  soleil  du  1 5  juin  1787. 

1787.  Mém.  p.  5. 

Observ.  et  calculs  de  l'éclipsé  de  soleil  du 
4  juin  1788,  au  matin.  1788.  Mém.  p.  742. 

LalANDE  (M. de).  Mémoire  sur  la  quantité  de  la 

précession  des  équinoxes.  1781.  Hist.  p.  46. 

Mém.  p.  337. 
Mém.  sur  l'inclinaison  du  quatrième  satellite 

de  Jupiter.  1 781.  Hist.  p.  48.  Mém.  p.  377. 
Mém.  sur  la  durée  de  l'année  solaire.  1782. 

Hist.  p.  46.  Mém.  p.  227. 
Observ.  du  passage  de  Mercure  sur  le  soleil, 

arrivé  le  1 2  novembre  1 782 ,  avec  les  consé- 
quences qui  en  résultent.  1782.  Mém. p.  207, 
Mém.  sur  l'éclipsé  de  lune  du  18  mars  1783, 

et  sur  la  grandeur  de  l'ombre  de  la  lune. 

1783.  Mém.  p.  89. 
Mém.  sur  le  cbangement  d'inclinaison  qui 

doit  avoir  lieu  dans  les  orbites  planétaires. 

1783.  Mém.  p.  93. 
Examen  de  la  dernière  révolution  de  Jupiter 

et  des  élémens  actuels  de  son  orbite.  1784. 

Mém.  p.  3oi. 
Mém.  sur  la  quantité  de  l'aplatissement  de 

la  terre.  1786.  Mém,  p.  i. 


DES  MÉMOIRES.     1781— 1790.       307 

Mém.  sur  le  mouvement  de  Vénus.  1785. 
Mém.  p.  248. 

Sur  les  équations  séculaires  du  soleil  et  de  la 
lune.  1786.  Mém.  p.  390. 

Sur  la  niasse  de  Vénus  et  sur  la  valeur  des 
équations  du  soleil  produites  par  Vénus 
et  par  la  lune.  1786.  Mém.  p.  898. 

Sur  l'équation  de  Mars  et  son  moyen  mou- 
vement. 1786.  Mém.  p.  406. 

Observ.  de  Mars  en  quadrature,  pour  véri- 
fier sa  distance  au  soleil,  t  786.  Mém.  p.  41 1 . 

Sur  l'inclinaison  et  le  nœud  de  Torbite  de 
Jupiter.  1788.  Mém.  p.  416. 

Sur  la  théorie  de  Mercure,  cinquième  Mé- 
moire, où  l'on  rectifie  les  principaux  élé- 
mens  de  Mercure  par  de  nouvelles  obser- 
vations. 1786.  Mém.  p.  272.  (Les  quatre 
premiers  Mém.  sont  dans  les  volumes  de 
1766,  1767  et  1771.) 

Sur  l'équation  des  satellites  de  Jupiter.  1786. 
Mém.  p.  386. 

Mém.  sur  le  mouvement  du  cinquième  satel- 
lite de  Saturne.  1786.  Mém.  p.  872. 

Sur  la  mesure  de  la  terre ,  que  Fernel  publia 
en  1628.  1787.  Mém.  p.  216. 

Sur  les  mouvemens  de  la  planète  de  Ilers- 
cliel,  second  Mémoire.  {Voye%\e  premier 
Mémoire, ann.  1779.  p.. 626.)  1787.  Mém. 
p.  168. 

Mém.  sur  les  inégalités  du  troisième  satellite 
de  Jupiter.  1787.  Mém.  p.  184. 

Conjonction  inférieure  de  Vénus,  le  4  jan- 
vier 1787.  1787.  Mém.  p.  199. 

Mém.  sur  le  moyen  mouvement  de  Saturne. 
1787.  Mém.  p.  210. 


3o8  TABLE  DES  AUTEURS 

Sur  l'inclinaison  de  Saturne.  1787.  Mém. 

p.  214. 
Réponse  à  l'avertissement  de  M.  Lemonnier 

sur  quelques  observations  imprimées  da 

passage  de  la  lune  par  le  méridien.  1787.. 

Mém.  p.  233. 
Sur  les  éclipses  de  soleil  arrivées  en  1787. 

1787.  Mém.  p.  204. 
Observ.  sur  l'éclipsé  de  soleil  arrivée  en  1 666- 

et  sur  la  longitude  de  Dantzick.  1787.  Mém. 

p.  228. 
Observ.  sur  la  position  de  la  mer  Caspienne. 

1787.  Mém.  p.  226. 

Mém.  sur  l'éclipsé  de  soleil  du  16  août  1766^ 
observée  à  Rome.  1788.  Mém.  p.  288. 

Eclipses  de  soleil  et  d'étoiles  observées  en. 
1787  et  1788 ,  avec  les  résultats  des  obser- 
vations pour  les  longitudes  de  divers  pays. 

1788.  Mém.  p.  224. 

Conjonction  inférieure  de  Vénus,  le  7  août 
1788, avec  une  nouvelle  détermination  de 
l'aphélie  de  Vénus  et  de  son  moyen  mou- 
vement. 1788.  Mém.  p.  173. 

Sur  la  parallaxe  de  la  lune ,  quatrième  Mé- 
moire. 1788.  Mém.  p.  i83.  (  Voyez  les  trois 
autres  Mém.  ann.  1762.  1753  et  1766.) 

Mém.  sur  le  diamètre  de  la  lune.  1788.  Mém. 
p.  189. 

Mém.  sur  le  diamètre  et  la  lumière  du  qua~ 
trième  satellite  de  Jupiter.  1788.  Mém. 
p.  209. 

Mém.  sur  les  satellites  de  Saturne.  1788. 
Mém.  p.  216. 

Mém.  sur  la  période  de  lumière  de  l'étoile 
Algol.  1788.  Mém.  p.  240. 


DES  MÉMOIRES.     1781—1790.       809 

Mém.  sur  l'état  moyen  des  eaux  de  la  Seine 
à  Paris.  1788.  Mém.  p.  244. 

RéHex.  sur  le  calendrier  des  épactes,  1789. 
Mém.  p.  95. 

Observ.  de  8000  étoiles  boréales  ,  faites  à 
l'Ecole  Militaire  avec  un  grand  quart  de 
cercle  mural ,  première  Partie.  1 789.  Mém. 
p.  187. 

Sur  le  mouvement  moyen  de  Vénus  et  de 
son  aphélie.  1789.  Mém.  p.  159. 

Observ.  astronomiques  faites  en  1789.  1789. 
Mém.  p.  169. 

Observ.  de  Mercure  comparées avecles  tables. 
1789.  Mém.  p.  175. 

Rech.  sur  les  marées  de  l'équinoxe  du  prin- 
temps, observées  à  Brest  en  1789.  1789. 
Mém.  p.  i83. 

Observ.  de  8000  étoilesboréaleSj  etc. ,  seconde 
Partie.  1790.  Mém.  p.  345. 

Mém.  sur  la  disparition  de  l'anneau  de  Sa- 
turne en  1789  et  1790.  1790.  Mém.  p.  21. 

Mém.  sur  l'intérieur  de  l'Afrique.  1790.  Mém. 
p.  553. 

Lamarck  (M.  de).  Mém.  sur  un  nouveau  genre 
de  plante  nommé  brucea  et  sur  le  faux 
brésillet  d'Amérique.  1784.  Mém.  p.  842. 
Mém.  sur  les  classes  les  plus  convenables  à 
établir  parmi  les  végétaux,  et  sur  l'ana- 
logie de  leur  nombre  avec  celles  déter- 
minées dans  le  règne  animal,  ayant  égard 
de  part  et  d'autre  à  la  perfection  graduée 
des  organes.  1785.  Mém.  p.  487. 
Mém.  sur  le  genre  du  muscadier,  myristica. 
1788.  Mém.  p.  148. 


3io  TABLE   DES  AUTEURS 

Laplace  (M.  de).  Mémoire  sur  l'électricité  qu'ab- 
sorbent les  corps  qui  se  réduisent  en  va- 
peurs. 1781.  Hist.  p.  6.  Méra.  p.  292.  (En 
commun  avec  M.  Lavoisier.  ) 

Mém.  sur  les  approximations  des  formules 
qui  sont  fonctions  de  très-grands  nombres. 
1782.  Hist.  p.  43.  Mém.  p.  i. 

Théorie  des  attractions  des  sphéroïdes  et  de 
la  figure  des  planètes.  1782.  Hist.  p.  45. 
Mém.  p.  II 3. 

Mém.  sur  la  figure  de  la  terre.  1783.  Mém. 

Suite  du  Mémoire  sur  les  approximations  des 
formules  qui  sont  fonctions  de  très-grands 
nombres.  1783.  Mém.  p.  428. 

Sur  les  naissances ,  les  mariages  et  les  morts 
à  Paris,  depuis  1771  jusqu'en  1784,  et 
dans  toute  l'étendue  de  la  France,  pen- 
dant les  années  1781  et  1782.  1788.  Mém. 
p.  693. 

Essai  pourconnoîtrela  population  du  royau- 
me et  le  nombre  des  habitans  de  la  cam- 
pagne ,  en  adaptant  sur  chacune  des  cartes 
de  M.  Cassini  l'année  commune  des  nais- 
sances, tant  des  villes  que  des  bourgs  et 
des  villages  dont  il  est  fait  mention  sur 
chaque  carte  ,  présenté  à  l'Académie  ;  en 
commun  avec  MM.  Du  Séjour  et  le  Mar- 
quis de  CoNDORCET.  1783.  Mém.  p.  708. 

Mém.  sur  les  inégalités  séculaires  des  pla- 
nètes et  des  satellites.  1784.  Mém.  p.  i. 

Suite  de  l'essai  pour  connoitre  la  population 
du  royaume,  etc.  1784.  Méui.  p.  677. 

Théorie  de  Jupiter  et  de  Saturne.  1785.  Mém. 
p.  33. 


DES  MÉMOIRES.     1781— 1790.       3ii 
Suite  de  l'essai  pour  connoître  la  popula- 
tion du  royaume,  etc.  1786.  Mém.  p.  66r. 
Suite  de  la  théorie  de  Jupiter  et  de  Saturne. 

1786.  Mém.  p.  201. 

Sur  l'équation  séculaire  de  la  lune.  1786. 

Mém.  p.  235. 
Suite  de  l'essai  pour  connoître  la  population 

du  royaume,  etc.  1786.  Mém.  p.  708. 
Mém.  sur  la  théorie  de  l'anneau  de  Saturne. 

1787.  Mém.  p.  249. 

Mém.  sur  les  variations  séculaires  des  orbites 

des  planètes.  1787.  Mém.  p.  267. 
Suite  de  l'essai  pour  connoître  la  population 

du  royaume,  etc.  1787.  Mém.  p.  60 r. 
Théorie  des  satellites  de  Jupiter.  1 788.  Mém. 

p.  249. 
Suite  de  l'essai  pour  connoître  la  population 

du  royaume,  etc.  1788.  Mém.  p.  755. 
Sur  quelques  points  du  système  du  monde. 

1789.  Mém.  p.  I. 
Suite  de  la  théorie  des  satellites  de  Jupiter, 

seconde  Partie.  1789.  Mém.  pp.  i  et  287. 
Mém.  sur  le  flux  et  reflux  de  la  mer.  1 790. 

Mém.  p.  45. 

La  Rochefoucauld  (  Le  Duc  de  ).  Observation  du 
passage  de  Mercure  sur  le  soleil  du  12  no- 
vembre 1782  ,  faite  à  La  Rocheguyon.  1 782. 
Mém.  p.  576. 
Observ.  de  l'éclipsé  totale  de  la  lune  du  18 
mars  1788  ,  en  comnum  avec  MM.  l'Abbé 
Rochon  et  Méchain.  1788.  Mém.  p.  625. 
Examen  d'un  sable  vert  cuivreux  du  Pérou, 
en  commun  avec  MM.  BaumÉ  et  de  FouB.- 
CROY.  1786.  Mém.  p.  465. 


3i2  TABLE  DES  AUTEURS 

Lavoisier  (M.).  Expériences  sur  l'effet  comparé 
des différens combustibles.  lySi.Ilist.  p.  5. 
Mém.  p.  379. 

Mém.  sur  l'électricité  qu'absorbent  les  corps 
qui  se  réduisent  en  vapeurs.i781.Hist.  p.  6. 
Mém.  p.  292. 

Mém.  sur  la  manière  d'éclairer  les  salles  de 
spectacle.  1781.  llist.  p.  6.  Mém.  p.  409. 

Mém.  dans  lequel  on  a  pour  objet  de  prouver 
que  l'eau  n'est  point  une  substance  simple, 
un  élément  proprement  dit ,  mais  qu'elle 
est  susceptible  de  décomposition  et  de  re- 
composition. 1781.  Hist. p.ai.Mém.  p. 468. 

Mém.  011  l'on  prouve  par  la  d/composition 
de  l'eau,  que  ce  fluide  n'est  point  une 
substance  simple ,  et  qu'il  y  a  plusieurs 
moyens  d'obtenir  en  grand  l'air  inflam- 
mable qui  y  entre  connue  principe  cons- 
tituant, en  commun  avec  M.  Meusnier. 
1781.  Hist.  p.  21.  Mém.  p.  269. 

Mém.  sur  la  formation  de  l'acide  nommé 
air  fixe  ou  acide  crayeux,  et  que  je  dési- 
gnerai désormais  sous  le  nom  à'acide  du 
charbon.  1781.  Hist.  p.  26.  Mém.  p.  448. 

Mém.  sur  un  pbénomène  singulier  que  pré- 
sentent les  acides  minéraux  pendant  leur 
concentration,  et  sur  un  nouveau  moyeu 
de  se  procurer  facilement  une  eau-forte 
des  plus  pures,  en  commun  avec  M.  Cor- 
nette. 1781.  Hist.  p.  29.  Mém.  p.  646. 

Réflex.  sur  la  calcination  et  la  combustion, 
à  l'occasion  d'un  ouvrage  de  M.  Scheele, 
intitulé  :  Traité  chimique  de  l'air  et  du  feu. 
1781.  Mém.  p.  396. 

Mém.  sur  la  nature   des  fluides  élastiques 

aériformes 


DES   MÉMOIRES.    1781—1750.      SiS 

aériformes  qui  se  dégagent  de  quelques 
matières  animales  en  lermentation.  1780. 
Hist.  p.  14.  Mém.  p.  56o. 

Mém.  sur  un  moyen  d'augmenter  considé- 
l'ablement  l'action  du  feu  et  de  la  chaleur 
dans  les  opérations  chimiques.  1782.  Hist. 
p.  28.  Mém.  p.  457. 

Mém.  sur  l'effet  que  produit  sur  les  pierres 
précieuses  un  degré  de  feu  très-violent. 
1782.  Hist.  p.  3o.  Mém.  p.  476. 

Mém.  sur  la  combinaison  de  l'air  nitreux 
avec  les  airs  respirables ,  et  sur  les  consé- 
quences qu'on  en  peut  tirer  relativement 
à  leur  degré  de  salubrité.  1782.  Hist.  p.  3i. 
Mém.  p.  486. 

Considérations  générales  sur  la  dissolution 
des  métaux  dans  les  acides.  1 782,  Hist.p.  33. 
Mém.  p.  492. 

Mém.  sur  la  précipitation  des  substances  mé- 
talliques les  unes  par  les  autres.  1 782.  Hist. 
p.  36.  Mém.  p.  5 12. 

Mém.  sur  l'affinité  du  principe  oxigène  avec 
les  différentes  substances  métalliques  aux- 
quelles il  est  susceptible  de  s'unir.  1782. 
Hist.  p.  39,  Mém.  p.  53o. 

Mém.  sur  l'union  du  principe  oxigène  avec 
le  fer.  1782.  Hist.  p.  87.  Mém.  p.  641. 

De  l'action  du  feu  animé  par  l'air  vital  sur 
les  substances  minérales  les  plus  réfrac- 
taires.  1788.  Mém.  p.  563.  (Suite  du  Mé- 
moire. 1782.  Mém.  p.  457.) 

Réflexions  sur  le  phlogistique ,  pour  servir 
de  développement  à  la  théorie  de  la  com- 
bustion et  de  la  calcination ,  publiée  en 
1777.  1783.  Mém.  p.  5o5. 
Tab.  des  Mat.  1781  — 1790.  Rr 


3i4  TABLE  DES  AUTEURS 

Nouvelles  réflexions  sur  l'augmentation  de 
jîoids  qu'acquièrent  en  brûlant  le  soufre 
et  le  phosphore,  et  sur  la  cause  à  laquelle 
on  doit  l'attribuer.  lySS.  Mém.  p.  416. 

Mém.  sur  la  combinaison  du  principe  oxi- 
gène  avec  i'esprit-de-vin ,  l'huile  et  difl'é- 
rens  corps  combustibles.  i';784.  M  ém .  p.  ôpS. 

Réflexions  sur  la  décomposition  de  l'eau  par 
les  substances  végétales  et  animales.  1786. 
Mém.  p.  590. 

Rapport  des  Mémoires  et  projets  pour  éloi- 
gner les  tueries  de  l'intérieur  de  Paris,  en 
commun  avec  MM.  Daubenton,Tillet, 
Baill Y, Lapl ACE, Coulomb  et d'ARCET. 
1787.  Hist.  p.  19. 

Premier  Mémoire  sur  la  respiration  des  ani- 
maux, en  commun  avec  M.  Séguin.  1789. 
Mém.  p.  566. 

Observ.  générales  sur  les  couches  modernes 
horizontales  qui  ont  été  déposées  par  la 
mer ,  et  sur  les  conséquences  qu'on  peut 
tirer  de  leurs  dispositions,  relativement  à 
l'ancienneté  du  globe  terrestre.  1789.  Mém. 
p.  35ï. 

Mém.  sur  quelques  effets  du  tonnerre ,  ob- 
servés en  1787  à  l'église  de  Saint-Paul. 

1789.  Mém.  p.  61 3. 

Premier  Mémoire  sur  la  transpiration  des 
animaux,  en  commun  avec  M.  Seguin. 

1790.  Mém.  p.  601. 

Le  Gendre  (M.).  Recherches  sur  la  figure  des 
planètes.  1784.  Mém.  p.  870. 
Recherches  d'analyse  indéterminée.   1785. 
Mém.  p.  465. 


DES  MÉMOIRES.     1781  — 1790.       3i5 

Mt'm.surla  manière  de  distinguerlesmaarmîa 
des  minima  dans  le  calcul  des  variations. 
1786.  Mém.  p.  7. 

Premier  Mémoire  sur  les  intégralionspar  arcs 
d'ellipse.  1786.  Mém.  p.  616. 

Second  Mémoire,  ib.  p.  644. 

Mém.  sur  l'intégration  des  équations  aux 
différences  partielles.  1787.  Mém.  p.  809. 

Mém.  sur  les  opérations  trigonométriques 
dont  les  résultats  dépendent  de  la  figure 
de  la  terre.  1787.  Mém.  p.  352. 

Mém.  sur  les  intégrales  doubles.  1 788.  Mém. 
p.  454. 

Suite  du  calcul  des  triangles  qui  servent  à 
déterminer  la  différence  de  longitude 
entre  l'Observatoire  de  Paris  et  celui  de 
Gréenwich.  1788.  Mém.  p.  747. 

Suite  des  recherches  sur  la  figure  des  pla- 
nètes. 1789.  Mém.  p.  872. 

Mém.  sur  les  intégrales  particulières  des 
équations  différentielles.  1790.  Mém.  p.  2 1 8. 

Le  Gentil  (M.).  Observations  sur  les  montagnes 
et  sur  les  couches  ou  lits  de  pierre  qu'on 
trouve  dans  la  terre.  1 78 1 .  Hist.  p.  1 5.  Mém. 
p.  433. 

Observ.  de  physique,  faites  en  1781  dans 
un  voyage  sur  les  côtes  de  Basse -Nor- 
mandie. 1782.  Hist.  p.  i5.  Mém.  p.  845. 

Dissertât,  sur  l'origine  du  zodiaque  et  sur 
l'explication  des  douze  signes.  1782.  Hist. 
p.  5i.  Mém.  p.  368,  avec  une  carte  et  une 
planche. 

Mém.  sur  l'obhquité  de  l'écliptique  et  sur  sa 
diminution.  1788.  Mém,  p.  i. 


3i6  TABLE  DES  AUTEURS 

Observ.  des  hauteurs  solstlciales  du  soleil  au 

mois  de  juin  1782.  1788.  I\Jém.  p.  12. 
Observ.  des  hauteurs  solstlciales  du  soleil , 

faites  à  l'Observatoire  royal  en  juin  1783. 

1783.  Mém.  p.  i3. 

Remarques  et  observations  sur  l'astronomie 
des  Indiens,  et  sur  l'ancienneté  de  cette 
astronomie.  1784.  Mém.  p.  482. 

Mém.  sur  le  froid  observé  à  l'Observatoire 
royal  et  aux  Chartreux  à  la  fin  de  1783. 

1784.  Mém.  p.  478. 

Remarques  sur  les  vents  qui  régnent  à  Paris 
et  dans  ses  environs.  1784.  Mém.  p.  480. 

Mém.  sur  la  grandeur  apparente  des  corps 
opaques  vus  sur  un  fond  lumineux  011 
autrement.  1784.  Mém.  p.  469. 

Mém.  sur  l'origine  du  zodiaque,  l'explica- 
tion des  douze  signes,  et  sur  le  système 
chronolog.  de  Newton.  1786.  Mém.  p.  9. 

Comparaison  du  zodiaque  indien  des  Tran- 
sactions philosophiques,  ann.  1772,  avec 
celui  qu'on  voit  au  bas  d'une  des  tours 
de  Notre-Dame  de  Paris ,  avec  des  ré- 
flexions sur  ces  deux  monumens.  1785. 
Mém.  p.  17. 

Mém.  sur  la  précession  des  équinoxes  et  sur 
l'obliquité  de  l'écliptique ,  tirées  des  obser- 
vations d'Hipparque.  1787.  Mém.  p.  53o. 

Mém.  sur  les  lunettes  nommées  binocles,  et 
sur  un  voyage  aux  côtes  maritimes  occi- 
dentales de  France.  1787.  Mém.  p.  401. 

Observ.  sur  plusieurs  anciens  monumens 
gothiques  que  j'ai  remarqués  dans  cette 
capitale ,  sur  lesquels  sont  gravés  les  signes 
du  zodiaque  ,  et  quelques  hiéroglyphes 


DES  MÉMOIRES.  1781— 1790.  817 
égyptiens  relatifs  à  la  religion  d'Isis.  1788. 
Mém.  p.  890. 

Descript.  du  zodiaque  que  l'on  voit  àl'abbaye 
des  Bénédictins  à  Saint-Denis  en  France. 
1788.  Mém.  p.  406. 

Observ.  sur  un  écrit  de  M.  de  Lalande,  in- 
séré dans  le  Journal  des  Savans  du  mois 
de  juillet  1788,  relatif  au  Mémoire  sur  le 
zodiaque  publié  dans  le  volume  des  Mé- 
moires de  l'Académie  pour  1785.  1788. 
Mém.  p.  411. 

Observ.  sur  une  espèce  de  varech  qui  croît 
sur  les  côtes  occidentales  de  la  Basse-Nor- 
mandie ,  et  sur  une  petite  coquille  qui 
se  loge  dans  le  tronc  de  cette  plante  et 
y  prend  son  accroissement.  1788.  Mém. 

P-  439- 
Extrait  d'un  Mémoire  sur  des  observations 

astronomiques,  faites  sur  les  réfractions 
en  1786, 1787  et  1788. 1789.  Mém.  p.  224. 
Mém.  sur  l'ancienneté  de  la  sphère  en  gé- 
néral ,  et  de  quelques  constellations  en  par- 
ticulier. 1789.  Mém.  p.  5o6. 

Lemonnier  (M.).  Mémoire  sur  les  éclipses  totales 
du  soleil,  avec  des  réflexions  sur  les  effets 
de  l'atmosphère  de  la  lune.  1 78 1 .  Hist.  p.  47. 
Mém.  p.  248. 

Supplément  au  Mémoire  lu  à  l'assemblée 
publique  de  la  St.-Martin  de  l'année  1 782. 
1781.  Mém.  p.  261. 

Observ.  de  l'éclipsé  du  soleil  du  28  avril  1 781 , 
faites  au  nord  de  Paris  et  tant  soit  peu  à 
l'est  de  la  pyramide  de  Montmartre.  178 1 , 
Mém.  p.  284. 


3i8  TABLE   DES  AUTEURS 

Mém.  sur  l'éclipsé  de  soleilduiyoctobre  1781, 
observée  à  Saint-Sever,  en  Normandie, 
sous  la  latitude  de  48^  5o'  et  sous  un  mé- 
ridien plus  occidental  que  Paris  de  o''  i3  ^', 
avec  des  réflexions  sur  la  relation  des  tables 
lunaires  à  la  théorie ,  et  autres  observations 
physiques,  1781.  Mém.  p.  287. 
Méni.  sur  les  courans  d'air  en  sens  opposés  à 
l'occasion  des  aérostats,  observés  le  i*""  dé- 
cembre 1783. 1782.  Hist. p. 40.  Mém. p. 65o. 
Mém.  sur  le  passage  de  Mercure  par-dessus 
le  disque  du  soleil ,  observé  le  1 2  nov.  1782. 

1782.  Mém.  p.  647. 

Observ.  faites  en  1782  au  solstice  d'été  au 
gnomon  et  verre  objectif  de  St.-Sulpice. 

1783.  Mém.  p.  47. 

Extrait  des  observations  qui  décident  de  la 

Êosition  géographique  de  la  ville  et  em- 
ouchure  de  la  rivière  de  St.-Domingue. 
1783.  Mém.  p.  97. 

Mém.  sur  la  disparition  de  l'étoile  de  la  cons- 
tellation du  taureau  que  Flamstéeda  placé 
dans  son  catalogue  pour  1690  à  5i''  46'  5o' 
de  longitude,  avec  une  latitude  de  o''  5'  § 
méridionale.  1784.  Mém.  p.  353. 

Conjonction  de  la  lune  aux  Pléiades,  ob- 
servée le  i3  décembre  1786.  1785.  Mém. 
p.  367. 

Autres  observations  de  la  conjonction  de  la 
lune  à  Vénus ,  faites  le  1 2  avril  1 786. 1 785. 
Mém.  p.  870. 

Remarques  sur  l'opposition  de  la  nouvelle 
ou  septième  planète  (llerschel)  à  l'égard 
du  soleil.  1785.  Mém.  p.  864. 

Extrait  d'une  lettre  écrite  de  Bagdad  du  28  fé- 
vrier 1783,  par  M.  André  Michaux ,  Bota- 


DES  MÉMOIRES.     1781—1790.       819 

niste  allant  à  Ispalian.  1785.  Mém.  p.  366. 

Observ.  sur  l'inclin.  de  l'aiguille  aimantée. 
1786.  Hist.  p.  43. 

Avertissement  sur  quelques  observations  im- 
primées du  passage  de  la  lune  par  le  mé- 
ridien ,  et  sur  l'erreur  des  époques  des 
tables  lunaires  qu'on  assigne  à  l'aide  de  ces 
observations.  1787.  Mém.  p.  280. 

Extrait  des  registres  des  observations  astro- 
nomiques de  l'année  1680  ,  concernant 
quelques  longitudes  de  la  lune,  observées 
et  relatives  à  l'écrit  inséré  dans  le  volume 
de  1 787  de  nos  Mémoires.  1 788.  Mém.  p.  9. 

Nouvelles  comparaisons  des  hauteurs  solsti- 
ciales,  etc.  1788.  Mém.  p.  4. 

Sur  l'éclipsé  du  soleil  du  x5  juin  1787.  1788. 
Mém.  p.  I. 

Mém.  sur  quelques  corrections  essentielles 
aux  nouvelles  tables  du  soleil,  ou  sur  l'ac- 
célération du  mouvement  de  la  lune.  1789. 
Mém.  p.  600. 

Catalogue  des  étoiles  de  la  nébuleuse  de 
l'écrevisse.  1786.  Mém.  p.  610. 

Extrait  du  journal  envoyé  de  Macao,  par 
M.  de  Guignes  le  fds,  concernant  les  obser- 
vations météorologiques  faites  en  ce  lieu- 
là  et  à  Canton ,  pendant  l'année  1 787. 1 789. 
Mém.  697. 

De  la  situation  sur  le  globe  terrestre  des  prin- 
cipaux ports  de  la  côte  des  Arsacides  dans 
la  mer  du  sud,  à  l'orient  de  la  Nouvelle- 
Guinée.  1790.  Mém.  p.  I. 

Leroy  (M.).  Mémoire  sur  une  nouvelle  machine 
-  à  électriser,  etc.  1783.  Mém.  p.  6i5. 


izo  TABLE  DES  AUTEURS 

Précis  d'un  ouvrage  sur  les  hôpitaux,  etc. 
1787.  Mém.  p.  585. 

Méni.  sur  un  voyage  fait  dans  les  ports  de 
guerre  de  l'Océan ,  pour  y  établir  des  para- 
tonnerres et  en  faire  placer  sur  des  vais- 
seaux. 1790.  Mém.  p.  472. 

Mém.  sur  la  nécessité  et  les  moyens  d'armer 
les  édifices  de  paratonnerres  ou  de  conduc- 
teurs pour  les  préserver  de  la  foudre.  1790. 
Mém.  p.  583. 

Maraldi  (M.  Jacques-Philippe).  Observations  des 

satellites  de  Jupiter ,  faites  à  Périnaldo 

en  1786.  Mém.  p.  6i3. 
Continuation  de  ces  observations  en  I787  et 

1788  par  M.  Maraldi  neveu.  1788.  Mém. 

p.  718. 
Continuation  de  ces  observations  en  1788  et 

1789 ,  par  le  même.  1789.  Mém.  p.  63g. 

MÉCHAIN  (M.).  Observation  du  passage  de  Mer- 
cure sur  le  soleil ,  le  12  novembre  1782 , 
faite  à  Paris  àl'hôtel  de  Noailles.  1782.  Mém. 

P-  ^77' 
Mém.  sur  la  comète  qui  a  paru  à  la  fin  de 

juin  et  en  juillet  1781.  1782.  Hist.  p.  5o. 

Mém.  p.  58i. 

Mém.  contenant  les  observations  et  la  théorie 
de  la  seconde  comète  de  1701.  1782.  Hist. 
p.  5o.  Mém.  p.  587. 

Observ.  de  l'éclipsé  totale  de  lune  du  10  sep- 
tembre 1783,  comparée  aux  observations 
correspondantes,  faites  à  Bagdad,  Yorck 
i  et  à  Laon.  1783.  Mém.  p.  628. 

Observ.  des  éclipses  du  soleil  des  14  juin  1779 

et 


DES  MÉMOIRES.     1781— 1790.       821 

)  et  17  octobre  1 781 ,  faites  à  Paris,  etc.  1783- 

Méni.  p,  639. 
Occultations  de  quelques  étoiles  des  Pléiades 
observées  à  Paris  le  9  février  1783,  etc. 

1783.  Mém.  p.  633. 

Mém.  sur  la  comète  de  1783.  1783.  Mém. 

p.  643. 
Mém.  contenant  les  observations  et  la  tbéorie 

de  la  première  comète  de  1 784. 1 784.  Mém, 

p.  358. 
Observations  de  l'éclipsé  de  lune  du  6  mars 

1784,  faites  à  l'Observatoire  royal.  1784. 
Mém.  p.  367. 

Messier  (M.).  Mémoire  contenant  les  observa- 
tions des  deux  comètes  de  1781 ,  observées 
à  Paris,  de  l'Observatoire  de  la  Marine 
(  19^  et  20^  observations,  par  M.  Messier, 
66^  et  67^  calculées),  avec  une  carte  cé- 
leste. 1781.  Mém-  p.  349. 

Observ.  de  l'éclipsé  de  soleil  du  17  octobre 
1 78 1,  faites  à  Paris.  1782.  His.  p.  49.  Mém. 
p.  652. 

Observ.  du  passage  de  Mercure  sur  le  soleil 
du  12  novembre  1782,  faite  à  Paris  à  l'Ob- 
servatoire de  la  Marine.  1782.  Mém. p.  658, 
avec  une  planclie. 

Observ.  de  deux  éclipses  totales  de  la  lune, 
le  18  mars  et  la  nuit  du  10  au  1 1  septembre 
1783.  1783.  Mém.  p.  104. 

Mém.  contenant  les  observations  de  la  co- 
mète de  1783, avec  une  carte.  1783.  Mém. 

p.   123. 

Mém.  contenant  les  observations  de  la  pre- 
mière comète  de  1784,  observée  à  Paris 
Tab.  des  Mai.    1781  — 1790.  Ss 


322  TABLE  DES  AUTEURS 

de  l'Observatoire  de  la  Marine ,  et  de  la 
seconde  comète  observée  à  Malte.  1784. 
Mém.  p.  3i3. 

Observ.  de  l'éclipsé  de  lune,  faite  à  l'Obser- 
vatoire de  la  Marine,  la  nuit  du  6  au  7 
mars  1784.  1784.  Mém.  p,  828. 

Occultations  de  quelquesétoilesdesPIéïades, 
les  1 1  avril  et  1 3  décembre  1 786 ,  observées 
à  Paris,  de  l'Observatoire  de  la  Marine. 
1785.  Mém.  p.  656. 

Occultation  de  Vénus  par  la  lune,  observée 
ciPiirisle  12  avril  1785. 1786.  Mém.  p.  65g. 

Mém.  contenant  les  observations  de  la  pre- 
mière comète  de  1 786 ,  découverte  et  obser- 
vée au  mois  de  janvier  1786.  Mém.  p.  689. 

Mém.  contenant  les  observations  de  la  se- 
conde comète  de  1786,  observée  pendant 
les  mois  de  mars  et  d'avril.  1785.  Mém. 
p.  646. 

Observ.  du  passage  de  Mercure  sur  le  disque 
du  soleil,  le  4  mai  1786  au  matin  ,  faite  à 
l'Observatoire  de  la  Marine.  1786.  Mém. 
p.  121. 

Première  comète  observée  en  1786.  1786. 
Mém.  p.  95. 

Mém.  contenant  les  observations  de  la  se- 
conde comète  de  1786,  observée  à  Paris 
■  de  l'Observatoire  de  la  Marine ,  et  au  châ- 

teau de  Saron  en  Champagne.  1786.  Mém. 

P-  98. 
Observ.  de  l'éclipsé  de  soleil,  le  1 5  juin  1787. 

1787.  Mém.  p.  76. 
Comète  de  1787,  observée  à  Paris  à  l'Obser- 
vatoire de  la  Marine,  depuis  le  11  avril 
jusqu'au  20  mai  1787.  Mém.  p.  70. 


DES   MÉMOIRES.     1781—1790.       .SaS 

Observ.  de  la  première  comète  de  1788  ,  dé- 
couverte et  observée  à  Paris,  de  l'Obser- 
vatoire de  la  Marine,  aux  mois  de  no- 
vembre et  décembre, avec  un  détaiiabrégé 
du  grand  hiver  de  1 788  à  1 789.  Mém.  p  663. 

Observ.  de  la  seconde  comète  de  1788,  dé* 
-  couverte  en  Angleterre  par  Miss  Herschel, 
le  21  décembre  ,  observée  à  Paris,  à  l'Ob- 
servatoire de  la  Marine  ,  les  5  et  7  janvier 
1789.  1789.  Mém.  p.  681. 

Observ.  du  passage  de  Mercure  sur  le  disque 
du  soleil,  le  5  novembre  1789. 1790.  p.  41 7. 

Mém.  contenant  les  observations  sur  les  dis- 
paritions et  réapparitions  de  l'anneau  de 
Saturne ,  etc.  1790.  Mém.  p.  421. 

Observ.  de  l'éclipsé  totale  de  lune,  la  nuit 
du  28  au  29  avril  1790,  faite  à  l'Observa- 
toire de  la  Marine.  1790.  Mém.  p.  436. 

Observ,  de  trois  comètes,  faites  en  1790  à 
l'Observatoire  de  la  Marine.  1790.  Mém. 
pp.  309  ,  3i3  et  320. 

Meusnier  (M.).  Mémoire  où  l'on  prouve  par  la 
décomposition  de  l'eau ,  que  ce  fluide  n'est 
pas  une  substance  simple,  et  qu'il  y  a  plu- 
sieurs moyens  d'obtenir  en  grand  l'air  in- 
flammable qui  y  entre  comme  principe 
con.stituantj  en  commun  avec  M.  Lavoi- 
siER.  1781.  Hist.  p.  21.  Mém.  p.  269. 
Description  d'un  appareil  propre  à  manœu- 
vrer différentes  espèces  d'air  dans  les  ex- 
périences qui  en  exigent  un  volume  con- 
sidérable, etc.  1 782.  ilist.  p.  29.  Mém.  p.  466, 
<ivec  deux  grandes  planches. 
Mém.  sur  les  moyens  d'opérer  une  entière 


324  TABLE  DES  AUTEURS 

combustion  de  l'huile  et  d'augmenter  la 
lumière  des  lampes  en  évitant  la  forma- 
tion de  la  suie ,  a  laquelle  elles  sont  ordi- 
nairement sujettes.  1784.  Mém.  p.  390. 

MiLLY  (Le  Comte  de).  Essai  sur  une  nouvelle 
manière  d'analyser  les  substances  du  règne 
animal  et  végétal,  et  sur  les  moyens  de 
diriger  le  feu  avec  précision  dans  les  opé- 
rations délicates  de  la  chimie.  1781.  Hist. 
p.  20.  Mém.  p.  34. 

MONGE  (M.).  Mémoire  sur  la  théorie  des  déblais 
et  des  remblais.  1781.  Hist.  p.  34.  Mém» 
p.  666. 

Mém.  sur  une  méthode  d'intégrer  les  équa- 
tions aux  différences  ordinaires ,  lors- 
qu'elles sont  élevées ,  et  dans  les  cas  où 
les  intégrales  complettes  sont  algébriques. 
1783.  Mém.  p.  719. 

Mém.  sur  l'intégration  des  équations  aux 
difiérences  finies  qui  ne  sont  pashnéaires. 
1783.  Mém.  p.  725. 

Mém.  sur  le  résuUat  de  l'inflammation  du 
gaz  inflammable  et  de  l'air  déphlogistiqué 
dans  des  vaisseaux  clos.  1783.  Mém.  p.  78. 

Mém.  sur  l'expression  analytique  de  la  gé- 
nération des  surfaces  courbes.  1784.  Mém. 
p.  85. 

Mém.  sur  le  calcul  intégral  des  équations 
aux  différences  partielles.  1784.  Mém. 
p.  118. 

Supplém.  à  ce  Mém.,  etc.  i784.Mém.p.  5o2. 

Mém.  sur  l'effet  des  étincelles  électriques 
excitées  dans  l'air  fixe.  1 786.  Mém.  p.  43o. 


DES  MÉMOIRES.     1781—1790.       325 

^  Mém.  sur  le  fer  considéré  dans  ses  diffé- 

rens  états  métalliques,  en  commun  avec 

MM.  BertholeteiVandermonde.  ijQ6. Mém. 

p.  iSa. 
Mém.  sur  quelques  effets  d'attraction  ou  de 

répulsion  apparente  entre  les  molécules 

de  matière.  1787.  Mém.  p.  5o6. 
Rapport  sur  le  système  général  des  poids  et 

mesures,  en  commun  avec  MM.  Borda  et 

Lagrange.  1 789.  Hist.  p.  i . 

Morand  (M.).  Sur  les  montagnes  ou  mines  de 
charbon  de  terre  embrasées  spontané- 
ment. 1781.  Hist.  p.  16.  Mém.  p.  169. 

Premier  Mémoire ,  notice  historique  et  com- 
parative des  iiîines  de  charbon  embrasées 
spontanément  sur  toute  la  surface  du  globe, 
suivie  d'une  description  détaillée  de  celles 
du  Rouergue.  ib. 

Observ.  diverses  d'histoire  naturelle.  1781. 
Hist.  p.  17.  Mém.  p.  46. 

Mém.  sur  les  vers  de  tr ufîé  et  sur  les  mouches 
qui  en  proviennent.  1 782.  Hist.  p.  1 7.  Mém. 
p.  3i8. 

Renseignemens  généraux  pour  tenir  lieu  de 
réponse  à  une  question  adressée  à  l'Aca- 
démie,  par  M.  Gasté  de  Bonay,  concer- 
nant la  cherté  et  la  rareté  du  bois  à  brûler, 
particuhèrement  du  charbon  de  bois,  re- 
lativement aux  grosses  forges  et  fourneaux 
à  fer.  1784.  Mém.  p.  402. 

MOURGUE  DE  MONTREDON  (M.),  de  la  Société 
royale  de  Montpellier.  Recherches  sur 
l'origine  et  la  nature  des  vapeurs  qui  ont 


3a(5  TABLE   DES   AUTEURS 

régné  dansl'asmosplière  pendant  l'été  de 

1783.  1781.  Mém.  p.  764, 

PlNGRÉ  (M.),  Observation  de  l'éclipsé  du  soleil 
du  17  octobre  1781.  1781.  Mém.  p.  joS. 
Observ.  de  l'éclipsé  de  soleil,  du  i5  juin  1787, 

à  Sainte-Geneviève.  1787.  Mém.  p.  884. 
Mém.  sur  quelques  grands  hivers  du  dernier 
siècle.  1789.  Mém.  p.  614. 

PoRTAL  (M.)  Observation  sur  la  plithisie  de  nais- 
sance. 1781.  Hist.  p.  9.  Mém.  p.  63r. 

Observ.  sur  l'apoplexie.  1781.  Hist.  p,  ro. 
Mém.  p.  623. 

Observ.  sur  des  morts  subites  occasionnées 
par  la  rupture  du  ventricule  gauche  du 
cœur.  1784.  Mém.  p.  5r. 

Observ.  sur  la  nature  et  le  traitement  d'une 
maladie  singulière.  1784.  Mém.  p.  65. 

Observ.  sur  le  traitement  de  la  rage.  1786. 
Mém.  p.  440. 

Observ.  sur  les  effets  des  vapeurs  méphi- 
tiques dans  l'homme  ,  second  Mémoire. 
1787.  Mém.  p.  239.  (  Le  premier  Mémoire 
se  trouve  ann.  1776.  Mém.  p.  492.) 

Observ.  qui  prouvent  que  la  pleurésie  n'est 
pas  une  maladie  essentiellement  différente 
de  la  péripneuraonie  ,  ou  de  la  fluxion  de 
poitrine.  1789.  Mém.  p.  556. 

Rochon  (M.  l'Abbé).  Rapport  fait  à  l'Académie 
des  Sciences  sur  la  navigation  intérieure  de 
la  Bretagne ,  en  commun  avec  MM.  l'Abbé 
BossuT  ,  de  FouRCROY  et  le  Marquis  de 

CONDORGET.  1785.  llist.  p.  m. 


DES  MEMOIRES.  1781-1700.  827 
RoziÈRES  (M.  de).  Observation  sur  deux  barres 
d'acier  brut  suspendues  et  devenues  ma- 
gnétiques à  la  suite  d'un  tremblement  de 
terre.  1786.  Hist.  p.  48. 

Observ.  sur  un  météore  igné,  vu  à  Valence 
en  Dauphiné ,  le  10  janvier  1785.  1786. 
Hist.  p.  44. 

Observ.  d'uji  parasélène  ,  dans  la  nuit  du  7 
au  8  février  1786.  ib. 

SabatieR  (M.).  Mémoire  sur  quelques  particula- 
rités de  la  moelle  de  l'épine,  et  de  ses  en- 
veloppes. 1783.  Mém.  p.  67. 

Mém.  surla  fracture  en  travers  de  la  rotule. 
1783.  Mém.  p.  760. 

Observ.  sur  un  grand  nombre  de  morsures 
faites  à  une  même  personne,  par  un  chien 
enragé,  traitées  avec  succès.  1784.  Mém. 
p.  193. 

Remarques  sur  les  muscles  situés  à  la  partie 
antérieure  du  col.  1790.  Mém.  p.  242. 

Observ.  sur  les  nruscles  droits  du  ventre. 
1790.  Méin.  p.  269. 

Sage.  (M.).  Examen  comparé  de  l'aventurine  et 
de  quelques  pierres  chatoyantes.  1 781 .  Hist. 
p.  18.  Mém.  p.  I. 

Observ.  sur  le  béril  ou  aigue-marine.  1782. 
Hist.  p.  22.  Mém.  p.  814. 

Analyse  de  la  mine  de  bismuth  sulfureuse. 
i'782.  Hist.  p.  24.  Mém.  p.  807. 

Analyse  de  la  mine  d'antimoine  arsenicale, 
régule  d'antimoine  natif  mêlé  avec  très- 
peu  d'arsenic.  1782.  Hist,  p.  24.  Mém. 
p.  3io. 


328  TABLE  DES  AUTEURS 

Observ.  sur  une  espèce  de  mine  de  fer  argi- 
leuse, rougeâtre,  prismatique,  articulée. 
1782.  Hist.  p.  24.  Mém.  p.  3i5. 

Analyse  d'une  nouvelle  espèce  de  mine  de 
mercure ,  sous  forme  de  chaux  solide ,  d'I- 
dria  dans  le  Frioul.  1782.  Hist.  p.  24.  Mém. 
p.  3 16. 

Mém.  sur  l'effet  de  l'air  inflammable  sur  les 
corps  organisés.  1784.  Mém.  p.  287. 

Expériences  qui  font  connoître  la  nécessité 
d'employer  une  grande  quantité  de  plomb 
pour  extraire  l'argent  contenu  dans  des 
terres.  1784.  Mém.  p.  289. 

Analyse  d'une  mine  de  plomb  terreuse  , 
jaunâtre,antimoniale  et  martiale,  en  masse 
formée  de  différens  lits,  se  trouvant  par 
filons  à  Bonvillars  en  Savoie,  à  six  lieues 
de  Chambéri,   sur  la  route  de  Piémont. 

1784.  Mém.  p.  291. 

Procédé  pour  extraire  de  l'esprit-de-vin  un 
acide  concret  semblable  à  celui  de  sucre. 

1785.  Mém.  p.  233. 

Examen  comparé  de  l'intensité  de  chaleur 
produite  par  la  combustion  du  charbon  de 
bois  et  de  celui  de  la  tourbe.  1785.  Mém. 
p.  239. 

Analyse  du  mélange  métallique  envoyé  à 
l'Académie  sous  le  nom  de  régule  de  man- 
ganèse ,  par  M.  le  Baron  de  La  Peyrouse. 
1785.  Mém.  p.  235. 

Manière  de  déterminer  la  pureté  du  cuivre. 
1785.  Mém.  p.  237. 

Analyse  d'un  spath  pesant  vert.  1785.  Mém. 
p.  238. 

Analyse  d'une  mine  d'antimoine  et  de  plomb 

terreuse , 


DES  MÉMOIRES.     1781—1790.       829 

terreuse ,  combinée  avec  les  acides  vitrio- 
lique  et  arsenical.  1785.  Mém.  p.  242. 

Analyse  d'une  nouvelle  espèce  de  mine  de 
bismuth  terreuse ,  solide ,  recouverte  d'une 
efflorescence  d'un  vert  jaunâtre.  1785. 
Mém.  p.  245. 

Expériences  propres  à  faire  connoître  que 
la  chaux  d'argent  ne  peut  être  réduite  par 
la  seule  action  du  feu.  1787.  Mém.  p.  7. 

Analyse  d'une  nouvelle  espèce  d'antimoine 
terreuse,  d'un  jaune  clair,  pai'semée  de 
bleu  martial  de  Sibérie.  1787.  Mém.  p.  247. 

Expériences  propres  à  faire  connoître  que 
le  plâtre  produit  par  diverses  espèces  de 
gypse ,  retient  plus  ou  moins  d'eau  après 
avoir  été  gâché  et  séché.  1787.  Mém. 
p.  78. 

Analyse  de  la  prase  et  de  la  chrysoprase , 
ou  calcédoine  verte  de  Cosémitz  en  Silésie, 
dans  le  comté  de  Glatz.  1788.  Mém.  p.  140. 

Analyse  du  spath  pesant  aéré,  transparent 
et  strié  d'Alstonmoor.  178O.  Mém.  p.  143. 

Analyse  comparée  de  lamine  d'argent  rouge 
du  Pérou ,  et  de  celle  de  Sainte-Marie.  1 789. 
Mém.  p.  99. 

Analyse  d'une  mine  de  plomb  cuivreuse ,  etc. 
d'Arnostigui,  près  Raigorrica  ,  Basse-Na- 
varre. 1789.  Mém.  p.  534. 

Analyse  d'une  mine  de  plomb  terreuse ,  com- 
binée avec  les  acides  arsenical  et  phospho- 
rique  de  Rosier ,  près  la  mine  de  Roure  en 
Auvergne.  1789.  Mém.  p.  648. 

Observ.  sur  diflérentes  espèces  de  galènes 
aurifères.  1789.  Mém.  p.  687. 

Analyse  du  bois  fossile.  1789.  Mém.  p.  538. 
Tab.  des  Mat.  ijQi  —  i7C)o.  Tt 


33o  TABLE  DES  AUTEURS 

Expériences  propres  ci  faire  connoître  dans 
quelle  proportion  l'acide  nitreux  pur  peut 
dissoudre  l'or.  1789.  Mém.  p.  647. 

Observ.  sur  une  espèce  de  béril  feuilleté , 
cristallisé  en  prismes  tétraèdres,  nommé 
sappare,  par  M.  de  Saussure  le  fils,  1789. 
Mém.  p.  540. 

Examen  comparé  de  l'intensité  du  feu  pro- 
duit pardiflerenscombustibles.  1789.  Mém. 
p.  548. 

Observ.  sur  le  spath  calcaire  romboïdal , 
trouvé  dans  les  carrières  de  grès  de  Fon- 
tainebleau. 1790.  Mém.  p.  899. 

Observ.  sur  les  défauts  du  fourneau  de  cou- 
pelle des  essayeurs  des  monnaies.  1790. 
Mém.  p.  61 3. 

Analyse  d'une  pierre  calaminaire  ou  mine 
de  zinc  terreuse  en  masses  transparentes, 
d'un  blanc  verdâtre  ,  de  Gazimour  en 
Daourie.  1790.  Mém.  p.  626. 

Tejîon  (M.).  Rapport  des  Commissaires  chargés 
par  l'Académie,  de  l'examen  du  projet 
d'un  nouvel  Hôtel-Dieu ,  en  commun  avec 

MM.  deLASSONE,DAUBENTON,BAILLy, 

Lavoisier,  Laplace,  Coulomb,  d'AB.- 

CET.  1785,  Hist.  p.  2. 
Deuxième  rapport  des  mêmes  Commissaires. 

1786.  Hist.  p.  1. 
Troisième  rapport.  1786.  Hist.  p.  i3. 

Tessier  (M.  l'Abbé).  Expériences  propres  à  dé- 
velopper les  etl'ets  de  la  lumière  sur  cer- 
taines plantes.  1788.  Mém.  p.  i33. 
Observ.  sur  une  substance  ramassée  aux  pieds 


DES  MÉMOIRES.    1781— 1790.      33i 

de  jeunes  peupliers  d'Italie.  1784.  Mém. 
p.  293. 

Observ.  sur  les  suites  d'une  grêle  tombée 
le  25  mai  1783,  dans  un  canton  de  la 
Beauce,  1784.  Mém.  p.  296. 

Mém.surquelquesparticularitésducuyDre55«5 
disikha  de  Linnée,  appelé  cyprès  chauve 
par  les  Américains.  1785.  Mém.  p.  197. 

Observ.  sur  l'effet  du  tonnerre  àRambouillet, 
le  2  août  1785.  1785.  Mém.  p.  36r. 

Mém.  sur  la  manière  de  parvenir  à  la  con- 
noissance  exacte  de  tous  les  objets  cul- 
tivés en  grand  dans  l'Europe ,  et  parti- 
culièrement dans  la  France.  1786.  Mém. 
p.  574. 

Mém.  sur  l'impoiiation  et  les  progrès  des 
arbres  à  épicerie  dans  les  Colonies  fran- 
çaises. 1789.  Mém.  p.  585. 

Observ.  faites  pendant  les  gelées  des  mois  de 
décembre  1 788  et  janvier  1 789 ,  au  château 
d'AndonvilleenBeauce.i789.Mém.p.6i8. 

Mém.  sur  l'orage  du  dimanche  1 3  juillet  1788. 
1789.  Mém.  p.  628. 

Expériences  relatives  au  froment  de  se- 
mence. 1790.  Mém.  p.  209. 

Rapport  ou  second  Mémoire  sur  l'orage  à 
grêle  du  dimanche  i3  juillet  1788,  en 
commun  avec  MM.  Leroy  et  Buache.  1790. 
Mém.  p.  263. 

Thouin  (M.).  Mémoire  sur  l'usage  du  terreau  de 
bruyère  dans  la  culture  des  arbrisseaux  et 
arbustes  étrangers,  regardés  jusqu'à  pré- 
sent comme  délicats  dans  nos  j  ardins.  1 787. 
Mém.  p.  481. 


332  TABLE  DES  AUTEURS 

Tille  T  (M.)-  Mémoire  sur  la  proportion  du  prix 
des  blés,  des  farines  et  du  pain,  ou  projet 
d'un  tarif  propre  h  servir  de  règle  pour 
établir  la  valeur  du  pain,  proportionné- 
ment  à  celle  du  blé  et  de  la  farine  ,  avec 
des  observations  sur  la  mouture  écono- 
mique,comme  base  essentielle  de  ce  tarif, 
et  sur  les  avantages  du   commerce   des 
farines  par  préférence  à  celui  du  blé  eu 
nature.  1781.  Hist.  p.  i.  Mém.  p.  107. 
Rapport  fait  à  l'Académie  ,  relativement  k 
l'avis  que  le  Parlement  a  demandé  à  cette 
Académie,  par  arrêt  du  6  septembre  1783, 
sur  la  contestation  qui  s'est  élevée  à  Roche- 
fort  au  sujet  de  la  taxe  du  pain  ;  sur  les 
expériences  qui  ont  été  faites  dans  cette 
ville  à  ce  même  sujet,  en  exécution  d'un 
arrêt  du  Parlement  du  17  juin  1781  ,  et 
sur  les  moyens  d'établir  le  prix  juste  du 
pain  proportionnément  à  celui  du  blé  , 
suivant  la  quantité  de  farines  différentes 
qu'une   quantité  de    livres   de    blé  peut 
rendre  ,  et  suivant  la  quantité  de  pain  que 
ces  farines  doivent  donner,  en  commun, 
avec  MM.  Leroy  et  Desmarets.  1783.  Mém. 

Mém.  ou  expér.  et  observ.  sur  l'effet  qui 
résulte  d'une  partie  d'étain  avec  24  parties 
d'or  fin  ou  allié  ,  lorsqu'on  fait  recuire  le 
lingot,  réduit  en  lame,  que  ce  mélange 
a  produit.  1790.  Mém.  p.  5. 

Tondu  (M.  l'Abbé.),  observation  des  satellites  de 
Jupiter,  faite  à  la  Guadeloupe,  en  1782. 
1782.  Mém.  p.  666-,    .     .  •:■• 


DES  MÉMOIRES.     1781  —  1790.      333 

Vicq-d'Azyr  (M.).  Recherches  sur  la  structure 
du  cerveau  ,  du  cervelet ,  de  la  moelle 
alongée,  de  la  moelle  épinière,  et  sur 
l'origine  des  nerfs  de  l'homme  et  des  ani- 
maux. 1781.  Hist.  p.  8.  Mém.  p.  496. 

Premier  Mémoire,  p.  496.  Mém.  p.  643. 

Second  Mémoire,  p.  643. 

Troisième  Mémoire.  Mém.  p.  566. 

Quatrième  Mémoire.  1783.  Mém.  p.  468. 

Mém.  sur  les  clavicules  et  sur  les  os  clavi- 
culaires.  1785.  Mém.  p.  35o. 


ADDITIONS  ET  CORRECTIONS. 


Pag.    Lig. 

v|  i3 
i3 
18 


19 

22 

18 

4» 

14 

45 

5 

48 

6 

53 

8 

54 

19 

78 

12 

81 

22 

153 

9 

175 

I 

176 

I 

270 

12 

'6ZQ 

27 

Fautes, 
cent  quarante-deux 

COUHTANVOUX  , 

ajoutez  :  Amelot  ,  Bre- 
TEuiL  (  Baron  de) ,  Cadet 
DE  GASSicoonT  ,  Cor- 
nette ,    La   Luzerne  , 

XOSIÉNIE    DE    BrIENNE, 

Meusnier  ,    Vander- 

MONDE. 

dix-neuf 

Scanégat , 

stito-hyoïdiens. 

l'extrémité 

de  la  quadrature 

Soi 

sur  les  côtes  de  Normandie. 

17°  Mémoire , 

4°.  ancienne  Carte 

fumante. 

usage  des  horloges  mannes. 

Géographie  de  Ptolémée. 

déplantidienues. 

1701. 


Corrections. 
cent  cinqiiante-clncj 

COURTANVAUX , 


vingt-sept 

Scanégati , 

styto-hyoïdiens. 

l'excentricité 

à  la  quadrature 

5a'  15'" 

ajoutez  :  voyez  page  27 r  de 

cette  table, 
premier  Mémoire , 
4'.  une  carte 
fumant. 

I/e  de  Frislande. 
Tsouvelle  Bretagne, 
diplautidiennes 
1801. 


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