BULLETIN
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DE
L'ACADEMIE IMPERIALE DES SCIENCES
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TOME TRENTE-UN. © 3 2-
- (Avec 4 planches.) .
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| ST.-PÉTERSBOURG, 1887. -
; Commissionaires de l’Académie Impériale des sciences:
: À ST.- PÉTERSBOURG : À RIGA: A LEIPZIG:
Eggers & Cie et J. Glasounof; . N.Kymmel; Voss Sortiment (G Haessel).
Prix du volume: 8 Roub. arg. pour la Russie, 10 marks allemands pour l'étranger.
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TABLES DES MATIÈRES.
A. TABLE SYSTÉMATIQUE.
(Les chiffres indiquent les pages du volume.)
SCIENCES MATHÉMATIQUES, CR ET BIOLOGIQUES.
MATHÉMATIQUES.
B, bare Sur la transformation d’une équation différentielle
pair à la forme d’une équation isopérimétrique.
ie
— et V, hlonkr, Sur un nouveau nombre premier, annoncé
par le père Pervouchine. Extrait d’un rapport à l’Académie.
D32—
ASTRONOMIE
o. Backlund. Rapport sur le mémoire de M. Harzer: Recherches
- sur un cas spécial du problème des trois corps. 125—188,
0, Struve, La nébuleuse près de c Orionis. (Avec une planche).
540—544.
PHYSIQUE ET PHYSIQUE DU GLOBE.
0. Chwolson. a photométriques sur la diffusion intérieure
de la lum . 213—261.
in Carl Sehmidt, Recherches ProloEines XLV—XLVII. XLIX.
262—288. 508— 533.
CHIMIE.
ne B Rizza et À, Boutléroff, Sur l’asarone. 496-—508.
MINÉRALOGIE.
N. de Kokcharof, Mursinskit, nouveau minéral. 450—464.
GÉOLOGIE.
LA Kärpitty Sur quelques roches métamorphoriques de l’Oural
contenant le graphit et le grenat. (Avec une planche). 484—496.
gre
— Contributions à la co Te Ra Da du gouvernement
Ü
de Pskow. (Avec une planche). 4
e Lahalka, Sur les poes ss Aie, crétacées en Bohème.
(Avec une planche). 464—47
BOTANIQUE ET PHYSIOLOGIE VÉGÉTALE.
C, J, Maximowiez, Diagnoses de nouvelles plantes de l'Asie. VI.
9—121. ,
ZOOLOGIE.
à À Bianchi, Contributions à la connaissance ornithologique des rami-
cations occidentales de Pamyr et de l’Alaï. 337—396.
N, soit Notice sur les aq du genre eng qui se
rencontrent en Russie. 533—53
PHILOLOGIE.
N. Katanof, re transcription des mots de la langue Koïbale
notés par Castrén. Avec une préface de M.Radloff. 138—213.
A. sy rr 3 cg 8 + l'ouvrage ue Galeni Pergameni scripta se
1. I. (Lipsiae, 1884). 3
W, Radio, eue
la linguistique contenus dans le Codex Comanicus. 121—124,
—— Rapport préalable sur un voyage en Crimée en 1886. 544—550.
—— PAPRaEt sur deux noticés de M. N. Katanoff contenant des
iaux pour l'étude du Sagaï. 550—554.
C, rats Études sur Je moyen-persan. L. 417—450.
Rapport sur les matériaux pour la AE persane re-
cueillis par M. V. Zoukovski. 537—540
F, 3, Wiedemann. re et rectifications au riens syren-
allemand et votiak- allemand de 1880. 293—387,
État du personel de l’Académie au 1 mars 1886. 1—12.
— 414. D
sur une nouvelle eblication des matériaux pour :
B. TABLE ALPHABÉTIQUE.
(Les chiffres indiquent les pages du volume.)
——
LA Pr 0. Rapport sur le mémoire de M. Harzer: Recherches
cas spécial du problème des trois corps. 125 —138.
Bianchi, Ÿ. Contributions à la connaissance ornithologique des rami-
sÈ fications occidentales de Pamyr et de l’Alaï. 337—396.
Boutléroff, À voyez Rizza, B.
Chwolson, 0, Recherches photométriques sur la diffusion intérieure
de la lumière. 213—261.
État du anal de l’Académie au 1 mars 1886. 1—
LR rer mdR B, a la transformation d’une He différentielle
air à la forme d’une équation isopérimétrique
.
— et Bouniakowsky, V. Sur un nouveau nombre premier, annoncé
“par le père Pervouchine. Extrait d’un rapport à l'Aca-
. démie. 532—533.
sky, À. Contributions à la connaissance ER du gou-
vernement de Pskow. (Avec une planche). 473-484.
__ — Sur quelques roches métamorphiques de POural contenant le
vi graphite et le grenat. (Avec une planche), 484-496.
= Kokcharoff, N., de, Mursinskit, nouveau minéral. 450—464.
Katanoff, N. Nouvelle transcription des mots de la langue Koïbale
_ notés par Castrén. Avec une préface de M. Radloff. 138—213.
Maximowiez, C, J, Diagnoses de nouvelles plantes de l'Asie. VI
21. :
Nauck, À. A propos de l’ouvrage Claudii Galeni Pergameni scripta
minora, Vol. L. (Lipsiae, 1884). 396—414.
Radloff, W, Rapport sur une nouvelle publication des matériaux pour
la linguistique contenus dans le Codex Comanicus. 121—124.
tanoff contenant des
matériaux pour l’étude du Sagaï. 550— Fr
Rizzà, B, et Boutléroff, À, Sur l’asarone. 496—
Mme er & Études sur le moyen-persan. I. 417—450.
sur les matériaux pour Ja en persane
recuéiis par M. V. D akUwSEE 537—
Schmidt, Dr, Carl, Recherches hydrologiques. XLVXLVIIL. XLIX.
—283, 508—533.
Struve, 0. 3 au près de c Orionis. (Avec une planche).
540—
—
Warsohonit, N. Notice sur les PRÈS du genre Phoxinus qui se
rencontrent en Russie. 533—536.
Wiedemann, F. J. Additions et Hs pere La retaper syren-
allem and e fines allemand de 1880.
ZLahalka, C, S s Phymatelles des ne He en Bohème.
(Avec une st 464—473
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tat du personnel de l'Académie au 1 Mars 1886 ............................. Der
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_W. Radloff, Rapport sur une nouvelle sa des matériaux pour la ieistique
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CARRE LU (Vass. -Ostr., 9° ligne, M 12)
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BULLETIN |
DE L'ACADÈMIE IMPÉRIALE DES SCIENCES DE ST.-PÉTERSBOURG.
ÉTAT DU PERSONEL,
(AU 1 MARS 1886.)
A. CONFÉRENCE ACADEÉMIQUE.
. Président, conseiller privé actuel, comte Dm. Tolstoï.
à 1882
| Dre, » » »
V. Bouniakovsky.
Rire Perpétuel, conseiller privé, C. Vessélof-
sky. 1857.
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7
MEMBRES EFFECTIES DE L'ACADÉMIE.
| 1 CLASSE PHYSICO-MATHÉMATIQUE.
… Mathématiques pures: Académicien Ordinaire, cons.
_ priv.act. V.Bouniakovsky (Vice-Président) 1828.
- Académ. Ord., cons. d’état act. G. Imché-
netzky. 1881,
Mathématiques appliquées: Académ. Ord., cons. priv.,
.. P. Tchébychef, 1853.
Astronomie: Académ. Ord., cons. priv., O. Struve.1852.
= — Académ. Ord., cons. de collège, O. Backlund.
1883.
ique: Académ. Ord., cons. d'état act., H. Wild.
8.
_—— Académ, Extraord., général-lieutenant, A. Ga-
. doline, 1875.
. Chimie: Académ. Ord,, cons. d'état act,, À. Boutlérof.
BR 1875.
Minéralogie: Académ. Ord. ,cons. priv., N. Kokcharof,
F. 1865.
Géognosie et Paléontologie: Académ. Ord., cons. d’ ne
__ act., Fr. Schmidt. 1872.
Fe Académ. Ord., cons. d’état act., Ch. Maxi
_ movicz. 1865.
1878.
: Tome XXXL
Acad. Extraord., cons. d'état act., Famintzine. |
Zoologie: Académ. Ord., cons. d’état act., L. Schrenck.
1862,
——— Académ. Ord.,
1867.
cons. d'état act., A. Strauch.
| Anatomie comparée et physiologie: Académ. Ord., cons.
d'état act., Ph. Ovsiannikof. 1862.
I. CLASSE DE LA LANGUE ET DE LA LITTÉRATURE
RUSSES.
Académ. Ord., cons. priv., J. Grot, Président de
‘la Classe, 1855.
Académ. Ord., cons. priv., Th. Bouslaef, à Moscou,
1860.
Académ. Ord., cons. priv., A. Bytchkof. 1866.
Académ. Ord., cons. priv., M. Soukhomlinof., 1872.
Académ. Ord., cons. d'état act., A. V'essélofsky. 1877.
Académ. Ord., cons. d'état act., J. Jagië. 1880.
HI. CLASSE HISTORICO-PHILOLOGIQUE.
Statistique et Économie Politique: Académ. Ord., cons.
priv., C.Vessélofsky (Secrétaire Perpétuel). 1852.
Académ. Extraord., cons. priv., W. Bézobrazof.
1864.
Histoire et Antiquités russes: Académ. Extraord., cons.
d'état act., Kunik. 1844.
Philologie et Archéologie classiques: Académ. Ord., cons.
priv., Stephani. 1850.
Académ. Ord., cons. priv., A. Nauck, 1858.
Littérature et Histoire des peuples asiatiques: Académ.
Ord., cons. priv., O0. Büthlingk. 1842.
_—— Académ. Ord., cons. d'état, Radloff. 1884.
= Académ. Ord., cons. priv., B. Wassilieff. 1886.
Langues et ethnographie des races finnoises: Académ.
Ord., cons. priv., F. Wiedemann. 1857.
Bulletin de l’Académie Impériale 4
B. MEMBRES HONORAIRES.
Sa Majesté l'Empereur Alexandre II. 1865.
Son Altesse Impériale, le Césarévitch Grand-Duc Hé-
ritier Nicolas. 1876.
Son Altesse Impériale Monseigneur le Grand-Duc|
Wladimir. 1875.
Son Altesse Impériale Monseigneur le Grau - Duc
Alexis. 1875.
Son Altesse Impériale Monseigneur le Grand-Duc
Serge. 1876.
Son Altesse Impériale Monseigneur le Grand-Duc
Constantin. 1844.
- Son Altesse Impériale Monseigneur le Grand -Duc
Nicolas père. 1855.
Son Altesse Impériale Monseigneur le Grand-Duc
Michel. 1855.
Son Altesse Impériale Monseigneur le Prince Ro-
manovsky Duc Nicolas de Leuchtenberg.
1865.
Sa Majesté Guillaume I, Empereur d'Allemagne et
Roi de Prusse. 1876.
Sa Majesté Don Pedro II, Empereur du Brésil. 1876.
Son Altesse l’Archiduc Rodolphe, d'Autriche. 1885.
” Mrg. le metropolitain Isidore. 1857.
_ MM. le conseiller privé actuel Hube. 1857.
à le conseiller privé actuel Kerbedz. 1858.
le conseiller privé actuel Delianof. 1859.
le conseiller privé actuel Golovnine. 1861.
le conseiller privé actuel Reutern. 1863.
le conseiller privé Middendorf. 1865.
le conceiller d’état actuel Abich. 1866.
le comte Milutine. 1866.
le comte Valouef. 1867.
l’admiral Zelenoï. 1873.
le conseiller 2. Dphenor 1873.
t lexandre Bunge. 1875.
le général F de camp comte Adlerberg. 1876.
le conseiller privé actuel Abaza. 1876.
le général aide-de-camp Greigh. 1876.
le conseiller privé actuel de Giers. 1876.
le conseiller privé prince Lobanof-Rostofsky.
MM. le conseiller d'état actuel Kotchoubey. 1876.
P. A. Tchikhatchef. 1876.
le conseiller privé actuel baron Bühler. 1878.
le général-major Przewalsky. 1878.
le général aide-de-camp Possiet. 1879.
le comte Loris-Mélikof. 1880.
le conseiller privé actuel Pobédonostsef. 1880.
le conseiller privé Sabourof. 1880.
le cons. privé actuel baron Nicolaï. 1881.
le conseiller privé actuel Nicolas Bunge. 1881. |
le conseiller privé Rovinsky. 18883.
le général-lieutenant du génie Paucker. 1883.
le général-lieutenant Vésélago. 1884.
le conseiller d’état actuel Bidder, à Dorpat,
1884. :
le conseiller privé actuel Polovtzof. 1884.
le général aide-de-camp M. deKaufmann.1885.
le cons. privé Zdekauer. 1885.
le conseiller privé Zakharine. 1885.
le marquis de Pietra Catella, à Naples. 1846.
le prince Louis Lucien Bonaparte. 1858.
le comte Moltke, à Berlin, 1871.
de Lesseps, membre de l’Institut, à Paris. 1876.
C. MEMBRES-CORRESPONDANTS.
l. CLASSE PHYSICO-MATHÉMATIQUE.
1. SECTION MATHÉMATIQUE.
MM. Lorentz-Leo Lindelôf, à Helsingfors. 1868.
le conseiller d’état actuel Dôllen, à Poulkova.
1871
le conseiller d'état actuel Bredikhine, à ve
cou. 1877.
le général-lieutenant Maïevsky, à St.-Péters-
bourg. 1878.
le général-major Stebnitzky, à St. Pétersbourg. ne
1878.
- le conseiller d'état actuel Letnikof, à Kharkof, . ;
1884
5
des Sciences de Saint-Pétersbourg. 6
MM. le conseiller de collège Yermakof, à Kief. 1884. | MM. le conseiller d'état actuel Beilstein, à St.-Pé-
le conseiller de collège Andréief, à Kharkof. tersbourg. 1883.
1884. le conseiller d'état actuel Müller, à Tiflis. 1883.
ee le conseiller d'état actuel Zaïtzof, à Kazan. 1885.
MM. Airy, à Greenwich, 1840. Neumann, à Künigsberg. 1838.
Hermite, à Paris. 1857.
Bertrand, à Paris. 1859.
Kummer, à Berlin. 1862.
Winnecke, à Strasbourg. 1864.
Weierstrass, à Berlin. 1864.
Adams, à Cambridge. 1864.
Warren De la Rue, à Londres. 1864.
Ross-Clarke, à Southhampton. 1867.
Cayley, à Cambridge. 1870.
Kronecker, à Berlin. 1872.
Sylvester, à Londres. 1872.
Auvwers, à Berlin. 1873.
. Schiaparelli, à Milan. 1874.
Newcomb, à Washington. 1875.
. Gould, à Cordoba (Rep. Argent.), 1875.
Hind, à Londres. 1878.
Asaph Hall, à Washington. 1880.
Catalan, à Liège. 1881.
Gyldén, à Stockholm. 1882,
Tissérand, à Paris. 1883.
- Brioschi, à Rome. 1884.
Repsold, à Hambourg. 1885.
D. Gill, au Cap de Bonne Espérance. 1885.
2. SECTION PHYSIQUE.
. le comte-de Keyserling, à Reval. 1858.
le conseiller d’état actuel Schmidt, à Dorpat.
1873.
le conseiller d'état actuel Jerémeïef, à St.-P6-
tersbourg. 1875.
le conseiller d'état actuel Mendéleïef, à St.-Pé-
tersbourg: 1876. _
le conseiller d’état actuel Oettingen, à Dorpat.
1876
, le conseiller d'état Avenarius, à Kief, 1876.
le conseiller d'état actuel Lenz, à St.-Péters-
bourg. 1876.
le conseiller d'état actuel Henri Struve, à Tiflis.
le conseiller d'état actuel Békétof, à Kharkof.
1877.
Chevreuil, à Paris. 1853.
Weber, à Goettingue. 1853.
Frémy, à Paris. 1856.
Hofmann, à Berlin. 1857.
Dana, à New-Haven. 1858.
Daubrée, à Paris. 1861.
Kirchhof, à Berlin. 1862.
Bunsen, à Heidelberg. 1862.
Edlund, à Stockholm. 1870.
Des Cloiseaux, à Paris. 1871.
Cahours, à Paris. 1873.
Rômer, à Breslau. 1874.
Berthelot, à Paris. 1876.
Frankland, à Londres. 1876.
Beyrich, à Berlin. 1876.
Damour, à Paris, 1876.
Sir William Thomson, à Glasgow. 1877.
R. Clausius, à Bonn. 1878.
le baron Nordenskjsld à Stockholm, 1879.
Gerhard vom Rath, à Bonn. 1880.
Chr. Websky, à Berlin. 1882.
Werner Siemens, à Berlin. 1882.
Gustave Wiedemann, à Leipzig. 1883.
P. Groth, à Münich. 1883.
G. Kenngott, à Zurich. 1884.
3. SECTION BIOLOGIQUE.
. le conseiller privé Trautvetter, à St.-Péters-
bourg. 1837.
le conseiller privé Mercklin, à né PE OUTE
864.
le conseiller privé Gruber, à St.-Pétersbourg.
1866.
le conseiller d’état actuel Setchénof, à St.-Pé-
tersbourg. 1869.
Je conseiller d’état actuel Regel, à St.-Péters-
bourg. 1875.
le conseiller d’état actuel Cenkovsky, à Khar-
kof. 1881.
. le conseiller d'état actuel Kovalevsky, à Odessa.
1883.
1*
7 Bulletin de l’Académie Impériale ss
MM. le conseiller d'état actuel Metchnikof, à Odessa. | MM. A. Ostrovsky, à Moscou. 1863.
1883.
le conseiller d’état Voronine, à St.-Pétersbourg
le conseiller d’état actuel Ra dde, à Tiflis. 1884.
le conseiller d’état actuel Ed. Russow, à Dorpat.
Gaimard, à Paris. 1839.
Owen, à Londres. 1839.
Küllicker, à Würzburg. 1858.
Alf. Decandolle, à Genève. 1858.
Jos. Dalton Hooker, à Londres. 1859,
Hyrtl, à Vienne. 1859.
Lovén, à Stockholm. 1860.
Leuckart, à Leipzig. 1861.
Steenstrup, à Copenhague, 1861.
Asa Gray, à Boston. 1862.
Henle, à Gôttingue. 1863.
Huxley, à Londres. 1864.
Naegeli, à Münich. 1865.
Helmholtz, à Berlin. 1868.
Van Beneden, à Louvain. 1869.
E. Weber, à Leipzig. 1869.
Ludwig, à Leipzig. 1871.
Vulpian, à Paris. 1878.
De Bary, à Strasbourg. 1880.
Virchow, à Berlin. 1881.
Ludw. Ruetimeyer, à Bâle. 1882.
Alb. Guenther, à Londres. 1882.
L. Ranvier, à Paris. 1882.
L. Pasteur, à Paris. 1884.
R. Koch, à Berlin. 1884.
À Milne-Edwards, à Paris. 1885.
Ch. Gegenbaur, à Heidelberg. 1885.
G. His, à Leipzig. 1885.
Il. CLASSE DE LA LANGUE ET DE LA LITTÉRATURE
MM. le conseiller d’état actuel Apollon Maïkof, à St.- |
Pétersbourg. 1853.
le conseiller d’état actuel Gontcharof, à St.-Pé-
tersbourg. 1860.
le conseiller d’état actuel Tikhonra vof, à Moscou.
1863.
le conseiller privé Galakhof, à St.-Pétersbourg.
l’Archimandrite Amphilochius, à Moscou.
1868.
le conseiller d’état actuel Bestoujef-Rumine,
à St. Pétersb. 1872.
le conseiller d’état actuel Savvaïtof, à St. Pé-
tersbourg. 1872. |
le comte Léon Tolstoï. 1873. “
le conseiller d’état actuel Pavlof, à Moscou.
1873 re
le conseiller d’état actuel Porfirief, à Kazan.
1873.
le conseiller d’état actuel Smirnof, à Moscou.
le conseiller privé Tchistovitch, à St. Péters-
bourg. 1874.
le conseiller d’état Potebnia, à Kharkof. 1875.
le conseiller privé Nicolas Dévrovikyà à Néjine.
1878.
l’'Archimandrite Léonide, à la Laure de la S°
Trinité près Moscou. 1882.
le conseiller d'état Boudilovitch, à Varsovie.
1882.
le conseiller privé Boulitch, à Kazan. 1883.
le conseiller d’état actuel Léonide Maïkof, à St.-
Pétersbourg. 1883.
Kukulevië-Sackzinsky, à Agram. 1855.
Miklosich, à Vienne. 1856.
Hattala, à Prague. 1862.
Raëki, à Agram. 1869.
Emler, à Prague. 1876. | RAT
Novakovié, à Belgrade. 1876. es
Leskien, à Leipzig. 1876.
Rambaud, à Paris. 1876.
Milan Milievié, à Belgrade. 1877.
Patera, à Prague. 1877.
Tomek, à Prague. 1878.
Nehring, à Bréslau. 1881.
Matkovië, à Agram. 1882.
Tomasek, à Gratz. 1883.
Häsdeü, à Bucarest. 1883.
L. Léger, à Paris. 1884.
Ralston, à Londres. 1885.
des Sciences de Saïint-Pétersbourg. 10
IH. CLASSE HISTORICO-PHILOLOGIQUE.
1. SECTION HISTORICO - POLITIQUE.
MM. le conseiller d’état actuel Koutorga. 1848.
MM.
le conseiller d’état actuel Skalkovsky, à Odessa.
1856
le conseiller privé Eugène Lamansky, à St.-
Pétersbourg. 1859.
le conseiller d'état Vassilievsky, à St.-Péters-
bourg. 1876.
le général-major Doubrovine, à St.-Péters-
bourg. 1877.
le conseiller de collège Goloubinsky, à Moscou.
le conseiller d’état actuel Nilus Popof, à Moscou.
1883.
le conseiller d'état actuel Zabéline, à Moscou.
1884
Zachariae von Lingenthal, près Mersebourg.
1856.
Hildebrand, à Stockholm. 1859.
Renan, à Paris. 1860.
Ranke, à Berlin. 1860.
Schirren, à Kiel. 1864.
Thomas, à Munich. 1866.
Michaelis, à Berlin. 1868.
A. Maury, à Paris. 1872.
M. Amari, à Rome. 1873.
| L. Stein, à Vienne. 1874.
E. Freemann, à Oxford, 1875.
_ Ferd. Hirsch, à Berlin. 1877.
A. von Gutschmid, à Tubingue. 1878.
H. Jireéek, à Vienne. 1882.
F. Loeher, à Munich. 1884.
S. Mueller, à Copenhague. 1885.
_ 2. SECTION DE PHILOLOGIE CLASSIQUE ET D'ARCHÉOLOGIE.
. MM. le conseiller d'état actuel Fr. Neue, à Stuttgart.
1848.
Wieseler, à Gôttingue, 1856.
Cobet, à Leyde. 1857.
Henzen, à Rome. 1860.
Brunn, à Munich. 1861.
Mueller, à Copenhague. 1867.
de ï Madvig, à Copenhague. 1871.
MM. H. Sauppe, à Gôttingue. 1874.
le baron de Witte, à Paris. 1875.
Ad. Kirchhoff, à Berlin. 1876.
Helbig, à Rome. 1876.
Newton, à Londres. 1876.
Fiorelli, à Naples. 1876.
Chr. Frühner, à Paris. 1877.
Henr. Keïil, à Halle. 1877.
À. Rangabé, à Berlin. 1878.
M. Schmidt, à Jena, 1878.
H. Weil, à Paris. 1882.
Th. Gomperz, à Vienne. 1883.
3. SECTION DES LETTRES ORIENTALES.
MM. le conseiller d’état actuel Chwolson, à St.-Pé-
tersbourg, 1858.
le conseiller d'état actuel Ilminski, à Kazan.
1870.
le conseiller d'état actuel Gottwald, à Kazan.
le conseiller d’état actuel Bakradze, à Tiflis.
1879
Fleischer, à Leipzig. 1849.
Roth, à Tubingue. 1855.
Weber, à Berlin. 1860.
Stenzler, à Breslau. 1867.
Spiegel, à Erlangen. 1870,
Wuestenfeld, à Gôttingue. 1874,
F. Nève, à Louvain. 1875.
Wright, à Cambridge. 1876.
Kern, à Leyde. 1876.
Edw. Thomas, à Londres. 1879.
Noeldeke, à Strasbourg. 1885.
Schaefer, à Paris. 1885.
&k. SECTION DE LINGUISTIQUE.
MM. Aug. Ahlquist, à Helsingfors. 1875.
Pott, à Halle. 1855.
W. Whituer, à New-Haven. 1875.
Ascoli, à Milan. 1876.
Budenz, à Buda-Pest. 1876.
Jules Oppert, à Paris. 1883.
Bulletin de l’Académie Impériale
12
een
D
D. Appartenances scientifiques.
1. Bibliothèque.
1” Section. Livres en langue russe et dialectes
slaves. Bibliothécaire: M. l’académicien Kunik.
Sous-bibliothécaire: M. Lambine. Aides: MM.
J. Gonsiorovsky et P. Syrku.
2" Section. Livres en langues étrangères. Biblio-
thécaire : M. l’académicien Strauch. Sous-biblio-
thécaire: M. Fuss. Aides: MM. Oenmann et
et Peters.
. Cabinet de physique. Directeur: M. l’académicien
Wild. Aide: Chwolson. Mécanicien: M. Peter-
_ mann.
. Laboratoire chimique. Directeur: M. l’académicien
Boutlerof, Aides: MM. Zagoumenny et Kra-
kau.
Cabinet minéralogique. Directeurs M. l’académicien
Schmidt. Conservateur: M. Gübel.
Musée botanique. Directeur: M. l’académicien
Maximovicz. Conservateur : M. Meinshausen.
. Musée zoologique. Directeur: M. l’académicien
Strauch. Conservateurs: MM. Poliakof, Mo-
ravitz, Herzenstein, Büchner et Pleske.
Préparateurs: MM. Ananof, P. ed
Th. Dessiatof et Fizley.
. Laboratoire physiologique. Directeur: M. l’acadé-
micien Ovsiannikof. Préparateur: M. P. Per-
stchetzky. Aide: M. Veliky.
. Musée asiatique. Directeur: M. lacadémicien W.
Radloff. Conservateur: M. Lemm.
. Musée d'archéologie classique. Directeur: M. l’aca-
démicien Stephani. Conservateur: M. Kiese-
rizky.
. Cabinet de numismatique russe. Directeur: M. l’a-
cadémicien Kunik.
. Musée éthmographique et anthropologique. Directeur:
M. l’académicien Schrenck. Conservateur: M.
Russow.
. Observatoire physique central. Directeur: M. l’a-
cadémicien Wild. Aides: MM. Rykatchef 3° et
Bélikof. Inspecteur des stations météorologiques
M. Schôünrock. Premiers observateurs: MM.
Bergmann et Rosenthal. Second observateur:
M. Mouratof. Calculateur: M. Chelkovnikof.
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—
Mécanicien: Freiberg. — Section de Météoro-
logie maritime: Aide M. Rykatchef 3°. Adjoint:
M. Neander. Physiciens: M. Sreznevsky et
Rensch. Calculateur: M. Zimikhof.
Observatoire magnétique et météorologique à Paw-
lovsk. Premier observateur: M. Leist. Seconds
observateurs: MM. Metz, Laurenty et Fride-
rich. Mécanicien: Dôühring.
Observatoire physique de Tiflis. Directeur: M.
Mühlberg. Aide: M. Assafrey.
Observatoire magnétique et météorologique à Jeka-
terinbourg. Directeur: M. Abels.
Observatoire magnétique et météorologique à Irkuisk.
Directeur: M. Stelling.
. Archives de l’Académie. Archiviste: M. Chemiot.
15.
14.
15.
16.
ni
]
—
Commissionnaires de l’Académie pour le débit de
ses éditions, les libraires:
J.Glazounof, Eggers & C”, à St. Péroe
M. N. Kymmel, à Riga. ,
Voss’s Sortiment (G. Haessel), à Leipzig.
Diagnoses plantarum novarum asiaticarum. VI. — In-
sunt Stirpes quaedam nuper in Japonia detec-
tae. — Scripsit C. J, Maximowicz. (Lu le 4 fé-
vrier 1886.)
Clematis ovatifolia It”) (Sect. Flammula DC. Div. …
2. Maxim. in Mél. biol. IX, 588). Glabra pe-. +
tiolis scandens, caulibus striatis; folïis bipinnatisectis 1
jugis primariis 2 terminalique trisectis: foliolis petio-
lulatis tenue coriaceis trinerviis subtus pallidis lanceo-
latoovatis acuminatis integerrimis opacis; alabastris
oblongis acutis, sepalis 4 albis oblongolinearibus pa-
tentibus margine tomentellis, filamentis linearibus an-
theras lineares breve apiculatas superantibus; carpellis
circa 8 glabris oblongis apice attenuatis, cauda rufes- :
cente plumosa. à
In Japoniae insula Nippon, proy. Ki, in monts res.
1) CI 1tô Tokutaro, venerabilis It0 Keiske nepos, mihi nuper | 5 “
plantas nonnullas pp quibus passim nomina nova dedit, F5
des Sciences de Saint -Pétersbourg.
14
Kumano, init. Augusti flor., Septembri fructif. (1tô
Tokutaro).
__ Similis CZ. chinensi Retz., quae tamen differt foliis
semel pinnatisectis, segmentis concoloribus basi tan-
tum trinerviis et carpellis ovatis pilosis. Reliquae par-
tes conveniunt atque mensurae fere eaedem.
CI. terniflora Benth. FI. Hongk. 7. in adnot. (lapsu
calami ternifolia) — nec DC.
Japonia (hb. Siebold), Zaukiu (Tashiro subdef.,
mis. Tanaka). China: Amoy (Fortune: A. 89),
Ningpo et ins. Putu (fide Forbes).
CI. Forbes in Journ. of bot. 1884, Septbr., spec.
authentica in herb. mus. Britann. examinans, CI. ter-
nifloram DC. synonymam esse invenit C. rectae L.
var. mandshuricae, C1. ternifloram Benth. vero bene
distinguendam à (1. chinensi Retz. segmentis latiori-
bus basi 5—7-nerviis, carpellis ellipticis. Quae igitur
‘de CL. terniflora DC. dixi in Mél. biol. IX, 596. ad
duas species spectant: Cl. fernifloram Benth. et CI.
… chinensemRetz., ad posteriorem autem pertinent specc.
_ omnia, praeter supra citata.
Paeonia obovata Maxim. Prim. f. Amur. 29, Rgl.
FI. Ussur. n. 41. F. Schmidt, F1 Sachal. n. 29. ?.
… albiflora Miq. Prol. 197 et Fr. Savat. Enum. I, 14 p.p.
_ Itô Keïiske, Nipon San buts shi. Musashi, Il, 5.
_ (fig. bona).
Fe In Mandshuria orientali sylvatica ab Amur boreali
_ usque ad Usuri superiorem et ejus affluentes, nec non
_ circa Wladiwostok, sylvis frondosis atque mixtis hu-
mosis, ubique parce, fine Maji flor., Septembri fruc-
ca tif; China boreali, ditione fi. Pekneneis (Tatarinow,
Bretschneider); “Tuvonie (berb. Lugd. Bat. s. n. jap.
_ anishiariari P. albiflorae admixta): montibus Hakone,
init. Novbris. frf. (ipse, flor., Tschonoski, Savatier
Pen. 51. f Sn P al. fl. roseo), princip. Nambu
_ (Tschonoski, flor.); in graminosis circa Hakodate
rarius, med. Novbri frf., Kumagatake silva frondosa,
_ medio Julio fr. immat. (ipse).
À P. albiflora, quacum commutatur, differt folio-
rum teneriorum laciniis latioribus obtusis, flore duplo
_ minore subclauso et seminibus baccatis. Sepala alba
v. pallide rosea, filamenta rosea basi stigmataque pur-
purea. Flos inodorus. Capsula matura intus rugosa
lilacinorosea. Semina perfecta azureonigra baccata,
arne tenui aquosa, succo atramentario, testa laevi
atra, numerosa abortiva inaequimagna angulata coc-
cinea.
Podophyllum japonicum It,
In Japoniae montanis Togakushi (1tô Tokutaro
folium 1. et adumbrationem plantae florentis cum fige.
lanalyticis misit).
Ex hisce figuris incertum manet, an sit anthera lon-
gitudinaliter aperta Diphylleiae, an valvatim dehiscens
Podophylli. A Podophylli speciebus omnibus differt
foliis ternatis, a P. peltato L. calyculo deficiente (?)
calyceque ante petalorum expansionem caducis, a P.
ÆEmodi Wall. sepalis non 3, antheris aeque ac in planta
americana anguste oblongis, a P. pleiantho Hce et
P. versipelli Hce (in Journ. of bot. XXI, 175, 362)
floribus singulis albis, neque pluribus sordide rubris.
Florens palmare, caule pennam corvinam crasso
basi squamis 2 (?) membranaceis fulto, apice diphyllo,
foliis suboppositis, flore inter folia 1 quasi terminali.
E foliis duobus inferum tenuius petiolatum serius
evolutum videtur, petiolo primum quam limbus duplo
breviore, postea (flore subdeflorato) limbum fere duplo
superante. Limbus 3-foliolatus: foliola petiolulata,
medium longius petiolulatum, omnia petiolulis longiora.
Foliolum terminale cordatoorbiculatum leviter sub-
quinquelobum lobo terminali passim trilobulato, 7-ner-
vium, sub anthesi pollicare, plene evolutum 12 cm.
longum totidemque fere latum,
minora, oblique cordatorotundata v. rotundatoovata
5-lobata cum lobulis 2 accessoriis versus basin mar-
ginis exterioris, omnia cum lobis obtusa integra mem-
branacea subtus glauca. Pedunculus crassiusculus ca-
lyce brevior. Flos erectus 6-sepalus (?), 6-petalus, al-
bus, diam. 2 cm. Sepala ovata trinervia petalaque pa-
tentia rotundata duplo breviora basi «nectariis» 2 pa-
rallelis ovalibus instructa. Stamina 6 petalis opposita
et breviora, filamento crasso inter nectaria locato flavo,
anthera grisea lata. . . . Stigma germini brevi late tur-
binato ‘impositum amplum peltatum area terminali
rotundata margine radiatim in lobos 6 contiguos di-
viso. — Reliqua ignota.
Podophyllum peltatum L. ?
Nippon in alpibus (Tanaka, japonice Sankayo).
Summitas speciminis florentis missa dubia est ob
stamina tantum 6. Cetera: foliorum indoles, floris
insertio, stamina, stigma fungosum—omnino identica;
lateralia non v. vix :
».
15
Bulletin de l’Académie Impériale
16
pubes tamen paginae folii inferioris ad basin nervorum
parcissima.
Macropodium DIPTOETTAUR F. Schm. FI. Sachal.
hf RUE
Nippon: prov. Senano in alpe Kumaga-take, flor.
(prof. Yatabe; japonice Hakusen nadzuna).
Species nunc florens lecta figurae plantae fructiferae
supra citatae simillima. Racemus sub anthesi fere
aequilongus. Pedicelli sepala aequantes, utraque cum
rhachi dense breve puberula. Sepala basi aequalia li-
nearia obtusa viridia anguste albomarginata erecto-
patula. Petala vix longiora alba, erecta, lamina utrin-
que attenuata sepalis duplo angustiore, unguem filifor-
mem vix superante. Filamenta filiformia, longiora pe-
talis fere 2-lo longiora. Antherae lineares ochraceae.
Glandulae 4 crassae amplae inter stamina. Stipes
germine utrinque attenuato linearioblongo stigmate
truncato sessili longior.
Senebiera pinnatifida DC.
Bonin-Sima (prof. Yatabe).
Jam prius (Engl. Bot. Jahrb. VI. 58) innotuit S$.
integrifolia DC. in ins. Liukiu a Tashiro detecta.
Polanisia viscosa DC.
Liukiu: ins. Miyako juxta Formosam (Tashiro,
1880 f. c. fr.).
Silene foliosa Maxim., a Franch. et Savat. I, 47.
sub S. éatarica B foliosa Rgl. enumerata sine loco
natali speciali, nunc accepta e Yezo, prope Otaru,
Julio 78 f. s. nom. Yezo mantema (mis. prof. Yatabe),
Stellaria yezoënsis. Ultrapedalis caesioglauca, caule
debili tetragono flexuoso atque panicula glaberrimis,
foliis chartaceis ad bases costamque subtus pilosis
margine parcius ciliatis, basi rotundata sessilibus cum
opposito margine membranaceo junctis, sensim atte-
nuatis acutissimis oblongolanceolatis margine undu-
latis; cyma terminali pluriflora membranaceobracteata
bracteis lanceolatolinearibus passim ore parce pilosis;
pedunculis pedicellisque elongatis patulis fructiferis
deflexis, sepalis lanceolatis acutis 1-nerviis late albo-
marginatis, petalis nanis bipartitis laciniis linearilance-
_ olatis subfalcatis, staminibus 10 inclusis, stylis 3 (4,
imo 5); capsula oblongoovali calycem fere duplo super-
ante ad basin 6 (— 10)-valvi; seminibus circiter 20
late ovalibus compressis laevibus cinnamomeis.
Yezo, ad Shiraoi, unde japonice Shiraoi hakobe, 2
Aug. 78 fructif, (mis. prof. Yatabe). ;
Proxima $. discolori Turcz., quae glabritie, foliis
obtuse acuminatis cet. differt, affinis etiam S. chinenst …
Rgl., a qua tamen foliis haud acuminatoovatis, inflo-
rescentia non alari, semine laevi atque pube distat.
Folia 60:11 mm, magna. Sepala sub anthesi 2,5
mm., in fructu 3,5 mm. longa. Capsula matura 6 mm.,
| semina 0,5 mm. longs.
Hypericum senanense.(Sect. Hypericum Spach) Simplex
flaccidum glabrum, caule tereti inani tenui, foliis
tenuibus subtus glaucis pellucide punctatis e basi ses-
sili subcordata ovalioblongis obtusis; inflorescentia
foliata 2—3-flora, pedicellis flore brevioribus, sepalis
lanceolatolinearibus acutis petalisque triente longiori-
bus obovatis nigrolineatis, staminibus 3-adelphis se-
pala stylosque paulo superantibus, anthera cum glan-
dula innata nigra, ovario ovoideo 3-loculari stylis
sesquibreviori stigmate capitellato.
Nippon: prov. Senano alpe Kumaga-take, 27 Juli
80 flor. (prof. Yatabe).
Affine A. Seniawini m.,
sed oliganthum et sectione
distinctum.
Hypericum yezoënse, (Brathys Spach.) Humile sub-
Simplex glabrum, caule lineis decurrentibus subqua-
drangulo, foliis approximatis crebre et majuscule pel-
lucide punctatis ellipticolanceolatis, ex axilla minute
foliigeris, inflorescentia foliata terminali oligantha,
pedicellis flore brevioribus, sepalis inaequalibus lan-
_ceolatis v. oblongélanceolatis corollaque duplo longiore
parce nigropunetatis, petalis oblique obovatooblongis;
staminibus circa 50 3-adelphis, anthera cum glandula
nigra innata petala fere stylosque 3 aequantibus, e
stigmate punctiformi, ovario trisulco late ovoideo 1-
loculari.
Yezo, circa Hakodate, 20 Juli 78 for. (prof. Yatabe). .
Affine H. Kamtschatico Ledeb., quod nuper et ex
Nippon in Togakushi-yama lectum s. n. Iwa otogirisô
a € Tanaka accepimus.
Calophyllum Inophyllum L. Hook. Arn. Bot. Beech.
60, 160
À Hookero et Arnott ex ins. Societatis et Bonin.
enumeratur, ante oculos habeo e Bonin-Simaa Wright
fl. et fructif. lectum, arbuscula ramosa succo lacteo
»
és
rares NCA 3
ré
pre
à + 17
des Sciences de Saint- Pétersbourg.
18
dictum, n mec non frf. s. n. Yarabo a Yatabe missum,
mie FE Liukiu, ad oppidum Napa-Kiang, in luco, traticert
“modicum trunco recto formans (Dr. Weyrich, fl,
_ Tashiro frf).
# Adinandra Milletti Benth. et Hook. Gen. pl. I,
183. Cleyera Millettii Hook. Arn. Bot. Beech. 171,
t. 33
Archip. Zaukin ins. O-sima (Tashiro, cum alab.),
Formosa (O1dh.! n. 37 fr. mat., sine nom.), prov. Gun
toniensi, montibus Pakwan née: fl).
. Fructus maturus indehiscens loculis 1—-2-spermis.
ee air 2 mm. longa angulatoovoidea, basi affixa, nigra,
_ testa seriatim fossulis rotundatis sculpta. n : in lo-
eulis ovarii placentae convexae dense inserta, numerosa.
Sepala interiora dorso margineque dense rnb.
: in fructu fere glabrata, praeterea margine fimbriis
parcis carnosis breve subulatis instructa.
‘2
É
Actinidia Lindi.
His generis apud autores € Japonia species 6
JONérantur, e China 2 2, is nuper addidit subdu-
EN AE et FAPSRER croi et 4. Kolo-
ae synonyma esset. Omnes has species, sola À.
di Franch. excepta, examipare potui. Constituunt
ae aiteram chinensem foliis suptus ovarioque
A. chinensis PI. in Hook. Lond. journ. bot. VI,
30 . Fol. rotundtis: apice truncato subito breve mu-
Le pin is, pedunculis brevibus paucifloris, flore pollicari.
ina Lips Ra D.
a. Folia lucida chartacea.
3. À. callosa Lindi. Nat. syst. ed. 2, 439. Glabra,
foliis chartaceis lucidulis ellipticis basi acutis, cymis
plurifloris, flore albo semipollicari, ovario conico dense
rufotomentoso stylo O stigmatibus brevibus acutiu-
sculis, «fructu ovoideo sparse verrucosor. Dyer in
Hook. f. F1. Brit. Ind. I, 286.
Himalaya temperata, a Garhwal ad Bhotan, fide
Dyer. Ipse vidi e Nipalia a Rudge et e Sikkim a
T. Anderson lectam, utramque florentem.
4. A. strigosa Hook. f. et Thoms. in Journ. linn.
soc, V, 55, Strigosohispida, pedunculo paucifloro, flore
#/, poll. diam. Dyer 1. c.
Himalaya: Sikkim (Hook. f. Th.), Khasia (Griffith!
;
Praeter characteres datos praecedenti similis, mihi
non satis nota; equidem tantum ramorum corticem
dense strigosohispidum video.
5. À. arguta PI. in herb. Lugd. Bat. Glabra v. sub-
tus ad axillas rufobarbata v. simul ad costam setoso-
pilosa, foliis late ellipticis subito acuminatis basi subito
acutis v. vulgo truncatis subcordatisve argute setoso-
serrulatis; cymis plurifloris, flore viridialbo inodoro
semipollicari; ovario fertili globoso glabro stylo crasso
brevi cum stigmatibus stellatopatentibus in fructu de-
mum deciduo, fructu subgloboso laevi dulcissimo. Fr.
Sav. Enum. I, 58. Miq. Prol. 203. F. Schm. F1.
Sachal. n. 90. À. cordifolia Miq. 1. c. Trochostigma e
arguta Sieb. Zucc. Abh. Münch. Acad. IF, 727.
Per totam Japoniam, Sachalin australi,
dshuria australi circa Wladiwostok et Portum Bruce,
nec non in Schin-king (Ross!); China boreali, in mon-
tibus a Pekino ad occidentem (Bretschneider). Japo-
nice: Shira-kutschi vel Saru nashi,
Quum in omnibus Acfinidiis japonicis folia quam
maxime variabilia sint, À. cordifolia Miq. vix varietas
dicenda est: folia latiora leviter cordata, subtus ad
axillas venarum omnium rufobarbata, serraturae den-
siores. Talia exempla latifolia et simul macrophylla
praesertim silvis umbrosioribus propria sunt, maxime
)| macrophylla e Mandshuria vidi, ubi simul serraturae
latiores minusque argutae. Pubes in nonnullis secus
costam subtus densa setosa primo obtutu valde pecu-
liaris videtur, sed possideo ramos innovantes ubi adest
in foliis iffecieibs | in superioribus autem arts
barbulis axillaribus solis evolutis.
2
in Man-
19
« Bulletin de l’Académie Impériale
Ludit folüis subtus glaucis (ad axillas eximie rufo-
barbatis). Talem ex prov. Idzu misit Yatabe.
Var.?rufa. À. rufa Miq. T. rufa Sieb. Zucc.
Foliis minus argute serrulatis, sepalis rufotomentosis
{in typo dorso glabris v. pilosis, margine ciliatis).
Archipel. Koreanus (O1dh.! n. 94, &), Japonia au-
stralis: Osima (Wright! d).
Fructu in hoc genere optimas differentias praebente
floreque © ignotis, planta dubia manet, ex charac-
teribus datis specie nondum sejungenda.
b. Folia membranacea opaca.
6. À. Kolomikta Maxim. F1. Amur. 63. Foliis sub-
tus secus nervos pubescentivillosis argute mucronato-
serratis e basi cordata oblongis v. ellipticis subito cus-
pidatis; pedunculis 1—3-floris ex axillis inferioribus
approximatis ramorum postea apice valde elongando-
rum; flore albo odoro semipollicari; ovario globoso
glabro stigmatibus 12—16 inordinate patentibus ses-
silibus tum caducis, fructu cylindricooblongo obtusis-
simo dulcissimo., F. Schm. F1. Sachal. n. 89. Prunus?
Kolomikta Maxim. in Bull. phys. math. acad. Petersb.
XV, 129. Kalomikta mandshurica Rgl. ibid. 219.
Trochostigma Kol. Rupr. ibid. 261. Actinidia platy-
phylla À. Gray!in Miq. Prol. 203. Fr. Sav.L. c. 58.
Mandshuria orientalis sylvatica, ab Amur infer.
usque ad limites Koreae sylvis acerosis frondosisque
umbrosis frequens; Sachalin a Dui versus meridiem:;
ins. Ÿezo frequens (Small!, ipse); Nippon media
(Tschonoski).
Planta cirea Hakodate a Wilford lecta, a herb.
Kew. s. n. À. callosae distributa, componitur e ramulis
florentibus À. argutae et À. polygamae, ïlla ab eodem
collectore in littore Mandshuriae lecta ad À. Kolo-
mikia pertinet.
7. À. polygama Miq. L. c. Foliis subtus ad costam
puberulis ad reticulum utrinque parce crasse setosis
ellipticis acuminatis basi acutis mucronato-serrulatis;
pedunculis vulgo 1- rarius usque 3-floris secus ramos
elongatos novellos axillaribus; flore albo pollicari sua-
veolente; fructu calvce persistente fulto e cylindrica basi
conico in stylum persistentem stigmata brevia erecta
ferentem attenuato, acri. Fr. Sav. Enum. I, 59. F.
Schm, FI. Sachalin. n. 91. Trochostigma polygama
. Sieb. Zucc. L c. tab. IE. f. 2. T. volubilis et T. re-
panda Sieb. Zuce. I. c. (haec, forma foliis latioribus,
est simul À. polyg. 6. latifolia Miq.). À. volub. (quae
forma . angustioribus) Miq. 1. c. 204. Fr. Sa v.
En. I, 5
Per Lo Japoniam in sylvis fruticetiaque subal-
pinis frequens; etiam in Tsusima (Wilford steril.);
in Sachalin australi; in Mandshuria australi: insula
Russki, sinu Possiet cet. — Japonice Matatabi.
Fructus maturus à reliquis japonicis quum forma,
tum colore flavescente nec viridi et gustu diversissi-
mus. Sapor primum mucilaginosus,
omnes ductus glandularum salivalium in ore inflam-
mantur et saliva vehementissime diuque movetur. Fri-
gore captus fructus innocuus fieri dicitur.
tum vero cito
- POS
Haec atque praecedens folia in apice surculorum
innovantium media aestate passim tota v. partim alba
(v. tempore frigidiore autumnali demum rosea) format.
Apud nos utraque frequenter colitur, Petropoli tamen
semper tantum flores masculos profert.
Schima Noronhae Reinw. Benth. FI. Hongk. 29. |
Bonin-Sima (frf. s. n. Hime tsubaki misit prof. Ya-
tabe), Liukiu S. n. J-dshiyn mis. Tanaka): in China:
Hongkong (Hance!), prov. Anwheï (Heude!). Prae-
terea in Malacca (ex Benth.) et Java (Reinw.!).
Abutilon indicum Don. Benth. FI. Hongk. 32. de
| Mast. in Hook. f. FI. Brit. Ind. I, 326.
Bonin Sim (Wright! Yatabel): Hongkong (Hancé Fe
ex Bentham), Formosa ad Tamsuy (Oldh.! n. 49 frf.).
Hibiscus Manihot L. H. japonigus Miq. Prol. 207.
Fr. Sav. En. I, 64 et 65.
In Japonia certe tantum cultus, e China, ut voa eo
introductus.
Species à Miquel proposita,plantae tantum sesqui- se
pedali, foliorum laciniis basin versus attenuatis latiori- nn
bus superstructa, ne minime quidem a pl. indica differt, He
ubi folia similia in planta magis juvenili semper evo- +
luta Mveniuntur, v. gr. spec. Wallich! n. 1926.
Hibiscus tiliaceus L. Cod. 5082. Bth. FI. Hong. 35.
Bonin-Sima (Wright!, Yatabe! s. n. Yama asa);
Formosa, Hongkong (Fort. n. 87, Wright!) et se
Éatinion à in tropicis omnibus.
Var. H. Hamabo Sieb. Zucc. F1. Jap.1,176.t.98.
Foliis basi attenuata leviter cordatis v. truncatis bre- se
vius petiolatis,
inferioribus latioribus quam — Le
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
22?
omnibus totoque frutice minoribus. Miq. Prol. 207.
_ Er. Sav. Enum. I, 63. Croton foliis subtus tomentosis.
Thunb. F1. Jap. 353. pl. obse. n. 22.
_ Kausiu: in littore circa Nagasaki, frutex tripedalis
medio Julio fl, Septbri frf. (ipse) et ibid. ita ac per
_ totam Japoniam cultus.
Flores, fructus et semina omnino ut in typo, ita ut
supersit statura minor et foliorum inferiorum forma.
Sed vidi specc. Sandvicensia aeque breve petiolata, fo-
lia basi attenuata etiam vix cordata, longiora tamen
. quam lata, omnino igitur transitum ad typum efficien-
tia. «Pori lineares» supra basin nervorum folii trium
subtus, quorum mentio facta apud DC. Prodr. I, 454.
interdum adsunt tantum in nervo medio, interdum
obsoleti sunt. In Æ. Hamabo nervo medio in foliis non-
_ pullis etiam observantur, potius autem rimae videntur,
- interdum minus profunde sursum et deorsum conti-
_ nuatae et in sulcum petioli abeuntes.
TPS TE
Hibiscus mutabilis L. Cod. 5087. DC. Prodr. I, 452.
Hook, f, FI. Brit. Ind. I, 344. Thunb. FI. Jap. 272.
- Miq. 1. c. Fr. Sav. Enum. I, 64.
China (Fort.! A. 119): Formosa ad Tamsuy (Oldh.!
np. 48), Liukiu (Wright! flore minore, folüs superio-
… ribus trilobis distincte regulariter crenatis); Japonia:
| Fe ad Nagasaki et Yokohama cultus, fine Septembris flo-
_ rens. — Ex De Candolle originis indicae, ex Mas-
_ ters in F1. Ind. e China ortus arborescens dictus, for-
tasse in Zäukiu spontaneus. In Japonia herbaceus est,
( notannis e radice truncos plures usque orgyales emit-
ns, floribus tectos innumeris pallide roseis fundo pur-
| pureis.
Corchorus acutangulus Lam. Benth. F1. Hongk. 40.
Liukiu, ins. Miyako(Tashiro! sub nom. jap. Turiaso
_modoki); China: Hongkong (Benth.), ad lacum prope
. Kiu-kiang (Shearer!), nec non in tropicis.
a CE " te
pr
2
- Fuodia Lamarckiana Benth.Fl. Hongk.59.cum synn
. Liukiu(Wright!): ubique ad ostium aestuarii Napa,
arbor 3—4-metralis, Junio 82 #. (Tashiro! s, n. jap.
Awadan); China: Formosa ad Tamsuy (Oldh.! n. 61),
_ Hongkong (Hance!, Wright!, Forbes!), Canton
(Wawra! n. 501).
Zanthoxylon planispinum Sieb. Zucc.
_ Bene distinguendum a Z. alato Roxb. foliis 1—3-
(neque 3—6-jugis), foliolis latioribus obtusis
acutis v. breve obtuse attenuatis (neque caudatoacu-
minatis), petiolo haud v. anguste alato, aculeis magis
compressis saepe multo latioribus. Tale, semper sibi
, | simile, occurrit sponte in Japonia australi et media, et
eandem plantam nuper accepi e Chinae prov. Kiang-su
(Feng-wang-shan, Majo 79 fl.) et in hortis Shanghai
cultam Novbri 80 frf. (Forbes!).
In China australiore vero, jam prope Amoy, verum
Z. alatum Roxb. crescere videtur, a Hance in Ann.
sc. nat. 5 sér. V, 209 sub nom. Z. Bungei (non Plan-
chon) descriptum.
Murraya exotica L. Benth. F1. Hongk. 50.
Liukiu (Tanaka!)
Aglaia odorata Lour. F1, Coch. I, 173. Hook. Arn.
Bot. Beech. 171, t. 34. Hiern in Hook. f. FI. Brit.
Ind. I, 554. C.DC. in A. DC. Monogr. Phanerog. I. 602.
Liukiw (Tanaka, fl. 4 s. n. jap. Moran); China
australis!; Zndia (Royle!) horto Calcutt. culta (Wal-
lich! n. 1235), Malacca, Ceylon, Java.
Nostra .specc. foliis 1-jugis gaudent, figg. vero
comparatae bijuga ostendunt, in descriptione autem
et 1-juga occurrere dicuntur.
Euonymus Tanakae, Arbuscula sempervirens glabra,
foliis chartaceis petiolatis ellipticis utrinque pl. m.
(apice interdum subito brevissimeque) attenuatis subtus
pallidioribus obsolete usque 8-costatis opacis, basi
excepta serrulatocrenulatis cum mucrone adusto ap-
presso tum deciduo in quavis crena; cymis multifloris
folia subaequantibus v. superantibus, pedicellis longi-
tudine florum, flore majusculo 4-mero albido, sepalis
depresse semiorbicularibus purpureo denticulatis, pe-
talis carnosis rotundatis, filamentis ipsi disco impositis
antheram superantibus, stylo conico distincto, cap-
sula....
Kiusiu, japonice Kokutengi (Tanaka!, Tashiro!)
Huic proxima Æ,. japonica Thunb. differt foliis
* | saepissime obtusis v. acutis distinctius crenatis 4—6-
costatis, cymis magis multifloris ramis divaricatis nec
patulis, flore duplo minore, sed structura floris fere
eadem. Fructus hucusque ignotus fortasse alias diffe-
rentias ostendet. Æ. crenulata Wall. differt pedun-
culis trifloris et foliis subintegris.
Folia in specc. 2 suppetentibus in altero fere ob-
tusa subito acutata, petiolo 8—10 mm., lamina 60 : 40
usque 75 : 35 mm. magna, in altero acuminata petiolo
9*
Bulletin de l’Académie Impériale
24
8—15 mm., lamina 35 : 15 usque 75 : 35 mm. Pe-
dunculus communis secundariis sesquilongior et tum
cyma divitior et flores pedicellis 5-1 ordinis insidentes,
vel pedunceulis secundariis multo longior et cyma tum
abortu 3—7-flora pedicellis 3-i ordinis jam florigeris.
Calyx diam. 5 mm. Petala 5 mm. Anthera lutea di-
dyma connectivo atropurpureo cum filamento crasso
articulata et facile caduca. Ovula in loculo 2—3 hori-
zontalia.
Euonymus Tashiroi. Arbuscula glabra sempervirens,
foliis chartaceis brevissime petiolatis ellipticis ovato-v.
lanceolato-ellipticis obtusis v. breve obtuse attenuatis
v. rarius acutiusculis tenuiter venosis subintegris v.
basi excepta obsolete distanter crenulatis; pedunculis
axillaribus solitariis v. geminis abortu 1-floris florem
duplo superantibus; flore 4-mero albido, sepalis de-
presse semiorbicularibus minute dense denticulatis,
petalis orbiculatis integris v. denticulatis, filamentis
styloque nullis ; capsula .
Liukiu (Tashiro 1882 flor.)
Ex affinitate Æ. javanicae BI. et E. indicae Heyne.
Prior abhorret foliis maximis oblongis, secunda petiolis
elongatis, foliis acuminatis, pedunculis saepius 3-flo-
ris, utraque flore 5-mero, petalis fimbriatis, filamen-
tis styloque distinctissimis.
Petioli 2— 3 mm., lamina 48 : 20 usque 85 : 50 mm.,
costis primariis circiter 5 et inter illas totidem minus
distinctis. Calyx 5 mm., petala 3 mm.
Microrhamnus franguloides Maxim. Rhamn. or.
asiat. 4, fig. 15—23. Rhamnella japonica Miq. Prol.
218. Franch. Sav. Enum. I, 81. Berchemia congesta
S. Moore in Journ. bot. XIII, 226 (ex descript. et |
loco natali).
Stationibus adde: Kiusiu prov. Hiuga ad Miyako-
n0j0, Augusto 82 frf, s. n. japon. Nekonoshishi mis.
Yatabe. China: Shanghai (Maingay ex Moore,
Siebold! 1859, Forbes! flor.)
Genus Microrhamni À. Gray a Baïllon, Hist. d.
pl. VI, 82, quoad speciem americanam ad Condaliam
Cav. ducitur, quoad speciem asiaticam vero non sine
dubio ad Rhamnum ïipsam (p. 52), verosimiliter ob
solum habitum, qui Miquelium induxit generice
sejungere sub nomine Rhamnellae. Habitus difte-
rentia tamen inter utramque MWicrorhamni speciem
non major quam inter Æhamnos occurrit, characteres
vero in utraque iidem et quum a Rhamno, tum a Con-
dalia diversissimi, scil. sepala intus cristata, petala
evoluta, discus crassissimus, putamen osseum crassum
1-spermum, In Condalia vero sepala membranacea
ecristata, petala nulla, folia integerrima, in Rhamno
sepala ecristata, discus tenuis, drupa 2—4-pyrena
pyrenis cartilagineis saepe dehiscentibus. Etiam nunc
igitur censeo, Microrhamni genus cum ejus speciebus :
2 servandum esse. — Exempla Forbesi e Shanghai
cristam sepalorum media longitudine dente distinctis-
simo auctam habent. De.
Acer Tschonoskiü. Foliis À. micranthi $. Z., racemo
erecto 6—10-floro, pedicellis flore duplo v. triplo
longioribus, petalis sepala parum superantibus utri-
busque subobovatis, staminibus intra discum positis
hypogynis, samarae loculis horizontaliter patentibus,
alis triplo longioribus pl. m. incurvis oblique oblongis.
Nippon: ex alpe Nikko (fructif. s. n. jap. Isanoha-
kaide et e Senano s. n. Ogarabana (cum À. spicato
confuso) fructif. et fl. © commun. Tanaka. E prov.
Nambu olim fr. immat. misit Tschonoski.
In enumeratione mea in Mél. biol. X, 594. locum :
tenet in Divis. 2. florib. racemosis foliis lobatis et :
serratis, et juxta À. micranthum S. Z. L. ©. 598. po-
nendum est. In Aceris monographia nuper inchoata
a Pax in Engl. Botan. Jahrb. VI, 328. locum tenere
videtur inter IV. Perigyna, sect. 12. Macrantha. Sta-
mina perigyna tamen, saltem in Macranthis, in solis
floribus d adesse videntur, ubi vero flores © noti hypo-
gyna sunt. Sectionis nomen Macrantha infeliciter se- 0 ;
lectum, dum duae ejus species À. micranthum et ë
À. PAPA Sn nominantur et nulla e Fédpbse - huc.
pertinentibus re vera flores magnos habet, | |
Species proposita arcte À. micrantho affinis, a que:
sterilis non distinguenda. Imo pubes rufa in a ;
costarum principalium subtus in utroque eadem, sed x
fortasse adest differentia in eo quod exempla pube
copiosiore donata À. micrantki barbulas ad axillas ve
narum secundariarum formant, A. Tschonoskäi vero
pubes aucta secus totas cobtaé principales ipsumque |
petiolum invenitur. Flores in racemo À. micranthi |
duplo saltem numerosiores (usque 20) et minores
(4—4,5 mm. neque 5,5 mm.), petala oblonga sepala
rotundata plus duplo superantia. Samara À. micranthi |
10—13 mm, ala loculo continua et pains Y. me
25 des
Sciences de Saint-Pétersbourg.
latiore, ad 4 mm. lata, loculi cum alis angulo obtu-
sissimo patentes. Samara À. Tschonoskii 18—22 mm.
longa, ala ubi latissima 6—8 mm. lata.
Acer Sieboldianum Miq.
Acceptis nuper exemplis floriferis e Mandshuria,
supellectilem meam denuo examinavi et speciei sat
polymorphae varietates sequentes distinguo:
a. typicum: pedunculis petiolis foliisque juvenilibus
cinereotomentosis, lamina foliorum majuscula (7—
9 cm.) vulgo 11-loba v.-partita laciniis inaequaliter
argute v. rarius incumbenter incisoserratis, pedunculis
corymbum densiusculum multiflorum 2-lo v. plus 2-lo
superantibus, flore flavescente, antheris virgineis pul-
vereoscabris, samarae ala latiuscula versus nuculam
3-lo breviorem valde angulatam ceterum laevem parum
(ù attenuata.
Spontanea in alpibus ÆKäusiu interioris, culta in
hortis Yedo.
8. mandshuricum: pedunculis petiolis foliisque pl.
m. villosis tomentosisve, lamina majuscula (8— 10 cm.)
9-—_11-loba v.-fida laciniis patule incisoserratis, pe-
_ duneulis corymbum laxiusculum aequantibus v. usque
- 2-lo superantibus, sepalis purpureis, petalis flavidis,
_ antheris virgineis laevibus, samarae ala nuculam 4-lo
_ superante ceterum ut in &.
In Mandshuria austroorientali.
y. microphyllum: pedunculis petiolis foliisque villo-
sis, lamina parvula (5—6 cm.) 7—9-fida laciniis ut
in bs peduneulis corymbo laxo plurifloro brevioribus
V. aequilongis, flore var. «., samarae ala basi duplo
_angustiore nuculam angulatam opacorugulosam pilo-
samque 5-lo usque superante.
Nippon montibus Hakone (Tschonoski fl. et frf.).
à. torluosum: tortuosoramosissimum, pedunculis pe-
tiolis foliisque pilosis adultis glabris, lamina parvula
a (7 cm.) 9—11-fida patule incisoserrata, pedunculo
quam corymbus pauciflorus breviore, antheris virgineis
Jlaevibus, flore ceterum ut in &., samara..,
. Hakone (Tschonoski f. incip. cum folio 1 superstite
_ vetusto). Huc fortasse Savat. n. 186 e Yokoska, fructu
delapso, s. n. À. japonici, ob ramos tortuosos et nodo-
É as nisi melius ad z. 0b folia lobata.
Characterem igitur e scabritie antherarum petitum
sa omnibus varr. non tam constantem inveni. Scabri-
illa e granulis flavis acutiusculis constans in an-
thera dehissa vulgo obsoleta fit (granulis caducis?),
sed non in omnibus floribus ejusdem corymbi observatur.
Forma sepalorum (oblonga) et petalorum (rotundata
undulata passim apice obsolete subtrilobata) atque ra-
tio eorum in omnibus varr. eadem.
Acer mandshuricum Maxim.
Mandshuria austroorientalis: jugo inter ditionem
rossicam et. sinicam finitimo, cirea fontes fl. Sedemi,
non procul a limite Koreano, Junio 84 subdefl. 9
(M. Jankowski). Ligno incolae lignarii utuntur v. gr.
in Curris conficiendis, ex collectore.
Ramuli 2 brevissimi nunc missi ex parte lignosa
5 mm. et innovante 2 mm. longa constant, perulis jam
delapsis, foliis 2 subtus pallidioribus et secus costam
villosulis, reticulo utrinque prominente. Corymbus
terminalis 3-florus pedunculo communi 4 vel 10 mm.,
bracteis 2 hyalinis oblongis oppositis, pedicello termi-
nali nudo praecociore 30 mm., lateralibus e bracteae
axilla ortis 25 mm. erectis firmis. Flores viridiflavi
omnes fertiles, diam. 14 mm. Sepala oblonga obtusa
7 mm., petala late obovata 8 mm., utraque reticulato-
venosa. Discus crassus lobulatus extrastammeus et
inter filamenta intrusus. Stamina 8 otals Mass
filamentis subulatis firmis antheris anguste oblongis
laevibus ochraceis, dehiscentibus quidem sed ut videtur
vacuis. Samara juvenilis petala jam fere 2-lo superans
atropurpurea alis erectopatulis. Stylus stigmata 2 re- Ne
voluta subsuperans validus, nunc dimidiam alam exce-
dens. Loculi ovariïi rite axi approximati, angulo supe-
riore interno ovulum appensum suborbiculatum foven-
tes, excavatione basali nunc ne indicata quidem. Sa
mara basi demum excavata evadit post fecundationem
igitur, unde character hic non magni aestimandus vi-
detur, et species haec locum prope À, nikoënse, quem
in Mél. biol. X, 609 assignavi servare potest, in syste-
mate Paxiano sect. 4. Trifoliatis (1. c. 326) inserenda.
Dodonaea viscosa L. Hiern in Hook. f. FI. Brit. .
Ind. I, 697.
Dent (Yatabe steril.), Liukiu (Tashiro, la-
tifolia frequens, angustifolia tantum in ins. Miyako
observata, utraque frf.). China: Formosa (Oldh.! frf.),
Fu-tschau (Dr. Augustinowicz frf.), ex adverso
Amoy, in ins. Ku-lung-su (Hance! flor.). In Zndia et :
per tropicos.
#-
27
Bulletin de l’Académie Impériale
28
Turpinia pomifera DC. Prodr. IL, 3. $. nepalensis
Hiern in Hook. f. F1. Brit. Ind. I, 699.
Kiusiu: Satsuma, 23 Mai 79 fl. incip. s. n. Shoben-
noki(Yatabe!), U-sima (Wright! flor.); China australi:
Hongkong (Hance!, Wright, Forbes!), Yunnan
(Hiern), India oriental!
Oxytropis japonica. (Sect. Caeciabia Bge.). Subacau-
lis elongatocaudiculosa viridis, stipulis alte petiolari-
bus obtusis 1-nerviis, foliolis 3—5-jugis linearioblon-
gis subattenuatis planis supra glabris subtus pilosis;
scapis folia aequantibus bifloris; calycis tubulosi nigro-
alboque pilosi dentibus tubo /, brevioribus, corolla coe-
rulea subduplo longiore, vexilli lamina orbiculari emar-
ginata alas obovatas truncatas aequante carinam breve
apiculatan superante; legumine obcompresso anguste
oblongo utrinque subito acuminato membranaceo bre-
viter inclusostipitato dependente dorso plano ventre
medio bicostato 2-loculari sub 20-spermo.
Nippon: Senano, alpe Komaga-take, 2 Aug. 80 flor.
fr. immat. s. n. Oyama yendo mis. Yatabe 1884.
Inter O. revolutam Ledeb. kamtschaticam et O.
nigrescentem Fisch. orientalisibiricam. Prior differt
legumine stipitem aequante breve oblongo basi rotun-
dato, stipulis reticulatovenosis, posterior stipulis con-
natis, calyce nigrovillosissimo, ovario sessili, sed legu-
men hujus nostro consimile. Omnes partes in his tri-
bus sat similes et subaequimagnae, ita ut descriptione
fusiore vix egeant.
Zornia diphylla Pers. Benth. F1. Hongk. 80. et in
Mart. FL Brasil. XV, 80, t. 21, 22. Hook. f. F1.
Brit. Ind. II, 147.
Sikoku: prov. Tosa, japonice Sunashi mame (legit
Makino, misit fructif. Y. Matsumura); China: Hong-
kong (Bentham), circa Macao (Vachell!), Amoy (For-
tune! n. 96). Late distrib. per tropicos.
Desmodium DC.
Species sinico-japonicae.
Clavis specierum.
Legumen altero margine integrum altero
leviter crenatum. Frutex erectus orgyalis
foliis 3- pe ru foliolo terminali maximo
(Sect. re biu DE PPS Pas DTA ARE D. gyroides DC.
Legume sacs v. uno margine sinuatum
et dédie articulatum, 2.
2, Herba foliis pinnatis Aoribus roseis , ...... D. Oldhami O1,
Folia ternata vel 1-foliolata, 3.
3. Frutices erecti, 4
_ caulibus © saepe basi lignes-
2
atibus
Folia 1- ololta (Sect. Pteroloma Desv.)..
-Folia 3-folio
5. Bracteae ps cru amplae persistentes im-
bricatae flores tegentes (Sect. Phyllodium
Des v.) 6
Bracteae elongatae parvae deciduae. 7
Legumen sericeovillosum articulis vulgo Dis
pe glabriusculum v. ciliatum articulis
.D. triquetrum DC.
. D. elegans Bth.
D. pulchellum Bth.
4 fnoreeonts axillaris (Sect. Dendrolobium
W. A.)8.
COR
In SG terminalis, folia viscidula(Sect.
CR BR icons elas rues D. laburnifolèum D:C.
. Rami téétes. foliola obtusa late ellipticasub-
tus aequaliter sericeopubescentia, articuli
fere duplo longiores quam lati ...........
Rami triquetri, foliola acuminata lanceolato-
elliptica costis subtus griseosericeis, articuli
œ@
D, umbellatum DC,
. Cephalotes W al].
F
©
ra
(=)
cer
[e]
ns
&
Le
©
er
=]
[æ]
=
&
Can
œ
RS RENE PES Ta D. retroflexzum DC.
Pobola-GhIDNBE ei, sieurs de dogs . gangeticum DC.
11. Inflorescentia ramulos brevissimos terminans
axillaris, as procumbentes (Sect. Sagotia
Wall.
HR terminalis (Sect. Desmodium
propr. Bak.) 14.
12. Leguminis sutura superior recta. 13.
Leguminis sutura utraque strangulata...... D. microphyllum DC.
13. Pedunculi mere axillares 3-flori ........., D. triflorum
DC.
Din D. heterophyllum D C.
14. Microphylla foliolis obtusis, racemi brevius-
culi. 15.
Gras foliolis attenuatis, racemi longis-
15, Foliola membranacea FÉES Le CE Vives D. polycarpum DC.
Foliola coriacea D.reticulatum Champ.
16. Legumen vix strangulstum pluriarticulatuun
RS
articulis oblongis, caules foliati. .......... . laxiflorum DC.
Legumen usque fere ad pi superiorem
in articulos 2—3 partitum. 17.
ETS CRORE TOUR ET RL duc recense . podocarpum DC.
Folia sg caulis in pseudoverticillum ap-
DrORIRARR 5 is nb Va ve sims t de dre . Gardneri Benth.
1. Desmodium gyroides DC. Proûr. II, 326. Baker
in Hook. f. F1. Brit. Ind. IT, 175.
China australi: prov. Canton ad Lo- fau-shan Fordt
f.). Tum Himalaya: Nipal (Wallich!), Khasia (Grif-
fith!), Sikkim (King!, Treutler!, Clarkel), Chota
Nagpur (Clarke!), India occ. bor. (Royle!): Sumatra
(Korthals!).
2. D. Cephalotes Wall. Cat. Baker L. c. 161. Hance
in Journ. bot. XVIII, 260. Dendrolobium ur
Benth, PI. Jungh. I, 218.
China australis: prov. Canton (Hance!). India!,
Java!, Moluccae!, Madagascar! cet.
LE
29 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 30
3. D. umbellatum DC. Proûr. II, 325. Baker 1. c. | 5717 (1828). Hedysarum recurvatum Roxb. Hort.
IT, 161. Bengal. 57 (nomen), 1814. Roxb. F1. Ind. IIT, 358
Liukiu, ubique in maritimis, frutex 3—4-metralis,
Junio 82 fructif. (Tashiro!). Philippinae, India trans-
gangetica, Polynesia cet.
4. D. pulchellum Benth. F1. Hongk. 83. Baker 1.
c. 162. FRONONNIE pulchellum Desv. in Journ. bot.
III, 123, t. 5. fig. 24.
bé (Tashiro! fl); China australis: Formosa
(Oldh.! n. 164), Hongkong (Forbes!, Augustino-
_wicz), Whampoa et Canton (Hance!). Phiippinae,
archip. Malaicus, India cis et trans Gangem.
5. D. elegans Benth. 1. c. Dicerma el. DC. Prodr.
Il, 339. Phyllodium el. Desv. Benth. PL Jungh. IL,
217:
China australi (W. J. Hooker!): Whampoa (Han-
ce!). Philippinis ad Manilam (Eschscholtz!); Java
(Bentham).
Ÿ 6. D. laburmifolium DC. I. c. 337. Baker. c. 163.
Miquel Prol. fl. Jap. 234. Fr. Sav. Enum. I, 100.
S. Moore in Journ. bot. XIII, 230. Hance ibid. XVI.
_ 9. Catenaria laburnifolia Benth. PI. Jungh. I, 220.
_ Hedysarum racemosum Thunb. F1. Jap. 285 et Icon
_ ined.! Miso na oshi, miso kusa, Soo bokf XIV, 27.
_ Kiusiu: circa Nagasaki in fruticetis frequens aliis-
que locis, Nippon: prov.Owari(Keiske!); China: prov.
Canton (Hance), Kiu-kiang (S. Moore). Tum in Hima-
… laya: Nipal!, Khasia!, Sikkim! alibique, Ceylon! Java!
d: _Thunbergii synonymon jam ob caulem frutescen-
tem huc pertinere debet et icon inedita omnia dubia
solvit. Obstant quidem verba: «leguminibus glabris»
et «calyx pedicellique glabri», at serius legumina
_«laevia» cum ïllis A. viridifiori comparantur, ubi
| «aspera» dicuntur, ita ut «glabra» tantum Jlapsus
_ calami considerandus sit.
7. D. triquetrum DC. I. c. 326. Benth. F1. Hongk.
_ 83. Baker L. c. 163. Péeroloma triquetrum Benth. in
_ PL Jungh. I, 220.
China australis (W. J. Hook.!): Macao (Vachell!},
_ Hongkong (Hinds!, Wright!, Forbes!); praeterea
in tota Zndia cis! et trans! Gangem, Java!, Ceylon!,
Mauritio!, Philippinis.
_ 8. D. laxiflorum DC. 1 c. 335. c. synn. (1825).
Baker 1. c. 164. D. recurvatum Grah. in Wall. Cat.
(1832).
Formosa ad Tamsuy (OIdh.! n. 161). Tum in Phi-
lippinis (Cuming! n. 681), Borneo, Java!, Pequ et.
India or. a Nipal! ad Kumaon! et in Deccan!
9. D. podocarpum DC. I. c. 336. Bak. I. c. 165.
a. indicum: caule paucifolio, racemis paucis, foliolis
rotundatis.
China australi: prov. Canton ad Lo-fau-shan (Ford!
fl.) et centrali: Kiukiang (Dr. Shearer! frf.); Hima-
laya: Nipal! Khasia!, Sikkim (Treutler!), Gurhwal
(Falcon!. 444), parte occid. (Royle!).
Ludit foliolis elongatis acuminatis: var. laxa Bak.
D. laxum DC.—Vidi e Nipal, Khasia (Griff.! 1624,1),
Sikkim (Clarke), Kumaon (Jameson).
6. mandshuricum: caule paucifolio, racemis paucis,
foliolis quam in D. laxo minoribus obtuse attenuatis.
Mandshuria austroorientali: Wladiwostok, ad sylva-
rum margines rarmus, ins. Russki sylva graminosa frc-
quens, Aug. fl. ft frf. (ipse).
Flos roseus, Ro basi alarumque apicibus satura-
tioribus, unguibus albidis.
Y. bond: caule elongato polyphyllo, foliolis
parvulis longioribus quam latis, racemis axillaribus et
terminali numerosis paniculam amplam constituenti-
bus. D. japonicum Miq. Prol. 234. Fr. Sav. Enum. I,
100. Hedys. caudatum Thunb. F1. Jap. 286 et icon.
ined.! (legumen ex descr. sublineare ferrugineotomen-
tosum, in spec. Thunb. florente tamen ovarium tantum
adest). Soo bokf. XIV, 25.
Per totam Japoniam et valde ludens, :
Exempla magis oligophylla et simul grandifolia, ad
indica appropinquantia, in australioribus frequentiora:
Kiusiu: prope oppidum Karatsu (Buerger!), ad pedem.
vulcani Wunzen ad fontes fervidas (ipse), Simabara
(ipse), circa Nagasaki (Oldh.! n. 351, Wawra! n.
1334, ipse); Nippon: Yokoska (Savat.! n. 268),
Yokohama (ipse).
Typica polyphylla et apritolls Nagasaki, Aug. fi.
Octobri frf. (ip$e, Wawra! Xcit.), Yokoska (Savat. ï
Yokohama in lucis frequens, Aug. f., Septbri frf.
(ipse), Tokio s. n. Nusubito hagi (Tanaka!), Hakone
(Tschonoski!)}, Hakodate in fruticetis vulgare, init.
Aug. flor., med. Aug. frf., Arigawa cet. (ipse).
PURE
Bulletin de l’Académie Impériale
Flos albidus apicibus alarum et interdum carina
roseis.
Foliolis pl. m. rotundatis:
(ipse), Yokoska (Sa vat.!).
Nagasaki et Yokohama
10. D. Gardneri Benth. in PI. Jungh. I, 226.
Baker L c. 165. D. podocarpum Miq. Prol. 234,
nec DC. Fr. Sav.Enum.I, 101.
In F1 of Brit. Ind. adducitur tantum e Deccan
(Wight) et e Ceylona (Gardner). Equidem vidi spec.
Wight (0.719 distr. Kew. s. n. D. podocarpi), Sikkim
(Clarke! sub eod. nom.), Ceylon (Thwaites sub eod.
nom. et ita in ejus enum., ubi D. Gardneri omittitur).
Japonia: circa Nagasaki in sylvis lucisque variis locis
frequens, Julio f. incip. Septbri frf. (ipse, Oldh.!
n. 349); Yokoska in fruticetis (Savat.! n. 267},
Yokohama (ipse).
Huc fortasse spec. nond. flor, e #ormosa (Oldh.!
n. 160), foliis solito multo brevius petiolatis foliolisque
angustioribus (lanceolatis), racemo simplici, pedicellis
calyce paulo longioribus.
À praecedente optime distinctum folis apice caulis
aggregatis paucioribus amplioribus, racemo terminal
_ Jongissimo subsolitario, pedicellis elongatis, flore fere
duplo majore et legumine longe stipitato. Obviam
fiunt quidem rarius individua quasi transitoria: ob
pedicellos breviores floresve minores seu folia sparsa
stipitemque leguminis breviorem, at talia multo melius
pro hybridis quam pro formis intermediis sumenda.
Proxime affine D. nudifloro DC. americano, quod |
praesertim differt flore majore fructusque articulis
apice breve acuminatis. D. acuminatum DC. forma
articulorum leguminis adhuc similius, sed pedicelli et
stipes breviores potius D. podocarpi, a quo flore magno
foliolisque subito acuminatis discrepat. Omnia quatuor
calycibus obiter dentatis excellunt. :
11. D. Oldhami Oliv. in Journ. linn. soc. IX, 165,
Miq. Prol. 234. Fr. Sav. Enum. I, 101. Hance in
Journ. bot. XII, 259.
Kiusiu: circa Nagasaki (Oldh.! n. 356), Nippon:
Sagami, ad rivulos (Savat.! n. 270), Yokohama in
umbrosis ad sylvarum margines, Julio f., Septbri frf.
Gipse, Wawra n. 1564), Nambu (Tschonoski).
China centrali: Kiukiang (Môüllendorff ex Hance,
qui tamen pl. japon. non vidit).
Unicum foliüis pinnatis praeditum, praeter D. finc-
torium Vieïll. ex Neo-Caledonia, fide Hanceï. Haec
species (Vieill. n. 367! fl. frf.) tamen valde differt
caule fruticoso foliato, inflorescentia densa breviuscula
illam D. polycarpi fere aemulante, foliolis obtusis et
articulis leguminis semirotundis.
12. D. gangeticum DC. 1. c. 327. Baker I. c. 168.
Benth. F1, Hongk. 84.
China australi: Hongkong (Forbes!), Canton
(Hance!); tum in Mariannis (Guahan!), Philippinis
(Cuming! n. 437), Celebes!, Timor!, Java!, Tenasse-
rim!, Deccan!, Sikkim!, India bor. oi Africa trop.!
13. D. retroflezum DC. I. c. 336. Baker I. c. 170.
Hance in Journ. bot. XVIII, 260. D. orbiculatum et
D. rotundifolium Wall. Cat. Hedys. retroflexum L.
China australi: in collinis circa Canton (Sampson!)
et Whampoa non rarum (Hance!)}. Himalaya: Silhet
|(Wallich!).
. 14, D. polycarpum DC. I. c. 334. Baker E. ©. 171.
Benth. FI. Hongk. 84. D. Buergeri Miq. Prol. 233.
Fr. Sav. Enum. I, 100.
Kiusiu: circa Nagasaki (O1dh.! n. 353, ipse), cacu-
mine graminoso montis Kawara (ipse); China australi
(W.J. Hook.! s. n. D. purpurei), Hongkong(Wrightl,
Forbes!), Formosa (Oldh.! n.163). Tum vidi e Phi-
lippinis (Cuming! n. 845), Java, Sumatra, Banka,
Tenasserim, Ceylon, Deccan, Khasia et Sikliim, ins. 1500
Otaheiti et Fidshi.
Specc. japonica exoticis vulgo magis microphylla.
Species affinis ex indicis D. concinno DC. et D. ru-
fescenti DC., ex americanis D. lineato DC., D. gla- _
bello DC. et D. ciliari DC. | 5
Var. trichocaulon Baker 1. c. 172: caule patentim
piloso, bracteis majoribus. D. érichocaulon DC. 1. c
335. Hance in Journ. bot. XVIII, 260. 5
China: prov. Canton (Parry ex un am
(Hance!). India! |
15. D. reticulatum Champ. in.Kew journ. bot. IV,
46. Benth. FI. Hongk. 84. Hance in nés bot.
XVII, 10. AE
China australi (Benth.): Hongkong (id.), Whampoa ne
(Hance!). LM
Praecedenti simillimum, sed paulo magis micro
phyllum, glabrius, foliis coriaceis, calycis laciniis acu- |
minatis nec acutis, foliolis subtus glaucis. Fructum
NE re
F a à î
33 ‘ des Sciences de Saint-Pétersbourg. 34
non vidi, nec Bentham bonum vidisse videtur, ita
ut an differentiae adsint quaedam in fructu nescio. —
Bentham 1. c. in herb. Zuccarinii specimen 1 e
Japonia vidisse asserit, anne errore, pro praecedente?
Formam foliis omnibus 1-foliolatis vidit el. Hance
ex ins. Hainan a Bullock lectam, Ex Hanceo folia
inferiora pl. typicae etiam non raro 1-foliolata sunt.
16. D. triflorum DC. 1. c. 334. Baker:-I. c. 173.
Benth. F1. Hongk. 83.
Honkong (Wright ex Benth.). Late distributum
per totam Indiam!, Ceylon!, Philippinas!, Mariannas!,
Moluccas!, nec non Mexico!, Surinam!, Haity (P oi-
teau!), Jamaicam (Swartz!).
17. D. heterophyllum DC... c. 334. Baker I. c. 173.
China (Baker): Formosa ad Tamsuy (Oldh! n.162).
Vidi e Java, Ceylon, et crescit in utraque Zndia orient.,
Philippinis et Mascarenis.
18. D. microphyllum D C. I. c. 337. Miq. Prol. 233.
Fr. Sav. En. I, 100. Hedys. microphyllum Thunb.
FI. Jap. 284. et icon ined.! D. parvifolium DC. 1. c.
334. Baker I. c. 174. Benth. FI. Hongk. 84. Hedys.
LS tenellum Don! Prodr. fl. Nepal. 243.
ke Kiusiu: circa Nagasaki frequens (omnes), prov.
- Osumi (Tashiro!), Nippon prov. Kii (Tanaka! s. n.
makive hagi, ex confus. cum ZLesped. virgata). China
_ australi (Benth.): Hongkong (id.), Amoy (Fort.! A.
. 118). Tum in archip. Malayano, Ceylon!, Deccan!,
ou (Buchan.!), Khasia (Clarke!), Kumaon!
Species incerta.
Desmodium aspectu D. oxyphylli DC., ut videtur
sect. Dollinerae. Hance in Journ. bot. XII, 259.
China centralis: Kiu-kiang (ex Hance).
Dicitur glabrum, foliola ovatorhomboidea, subtus
_ reticulata venis subeoloratis, racemi parvi, laxi, sub-
. paniculati micranthi, calyeis lobi brevissimi obtusi.
Vicia venosa Maxim. var. cuspidata: foliis 3—5-ju-
_gis, foliolis lanceolatis sensim longe acutissime acumi-
_ natis mucronatisque, floribus violaceis.
Nippon: prov. Senano, s. n. Yebira fudzi fl. mis,
Tanaka.
Vicia venosa in Sibiria orientali, Mandshuria et Ja-
nn variis locis inter se remotis crescens varietates
Tome XXXI.
plures foliorum forma florumque colore perdistine-
tas format, e quibus haec sane satis discrepans.
Foliola versus apicem petioli decrescentia, maxima
58: 14 mm., terminalia 40 : 9 mm. magna. Flos
15 mm. longus.
Galactia Tashiroi. Semper virens florens et fructifera
volubilis ad axes omnes pilis crispis pubescens; stipulis
stipellisque caducis his brevisetaceis; foliis ternatis
petiolo laminam superante, foliolis chartaceis laevibus
superne glabris subtus dense gilvo-sericeotomento-
sis, utrinque tenere subsexcostatis late ellipticis ob-
tusis v. vix acutiusculis breve, terminali vix lon-
gius, petiolulatis; racemis fo]lio longioribus interruptis,
bracteis minutis lanceolatis caducis, floribus singulis
v. geminis, calyce sericeo pedicellum apice minutis-
sime scariose bibracteolatum superante 4-fido laci-
niis linearilanceolatis acutiusculis summa ovata ob-
tusa binervi; corolla purpurea fere duplo longiore
vexillo oblongo truncato basi late brevissime unguicu-
lato, carina recta obtusa alas oblongas superante ve-
xillo breviore, stamine vexillari libero, ovario dense
sericeohispido stylo incurvo glabro; legumine plano-
compresso linearisubfalcato laevi appresse piloso sub-
octospermo stylo brevi uncinato, seminibus reniformibus
compressis opacis atris hilo brevi oblongo concolore.
Liukiu: maritimis circa oppidum Napa (Tashiro
fl, frf. 1882).
Proxima G. canescenti Benth. e Texas, quae differt
foliis utrinque incanis reticulatis reticulo subtus ele-
vato superne impresso, foliolis ovalibus v. obovatis,
petiolulo terminali lateralibus multo longiore, stipellis
persistentibus, legumine duplo minore longius uncinato
basi sensim attenuato convexiore, semine vix reniformi
parum compresso Ccastaneo, 5 : 3 q. exC. MM, MaAgno.
G. tenuiflora W. A., indica, foliorum valde ludentium
forma, indumento et consistentia membranacea magis
distat, sed legumen minus quidem nostrae similius.
Internodia 25—40 mm., petioli 3—4 cm., petiolu-
lus terminalis 4 mm., foliola a 32 : 20 ad 27 : 19 mm.
magna. Calyx 7 mm. Vexillum 11 mm., alae 8 mm.
ungue brevi lineari, lamina supra auriculam basalem
rectangulam transverse plicatula, carina 10 mm. un-
{
brevius quam in alis auriculata plicataque, apice inter
| se libera. Filamenta 9 ultra medium connata aequalia.
guibus ut in alis, lamina quavis basi leviter attenuata,
35
Bulletin de l’Académie Impriale
36
Antherae non visae,
3,0 :93 MM.
Cajanus indicus Spr. Syst. III, 248. Baker in
Hook. f. FI. Br. Ind. II, 217.
Laiukiu (Tanaka). Distrib. ubique in tropicis culta,
verosimiliter in Africa v. India orientali indigena.
Rhynchosia minima DC. Prodr. II, 385. Baker in
Hook f. F1. Brit. Ind. II, 223 ce. synn.
Legumen 50 :8 mm., semen
Liukiu (Tanaka). Distrib. ab Zndia per tropicos in.
Africam et Americam calidiores.
Pongamia glabra Vent. Jard. Malm. t. 28. DC.
Prodr. Il, 416. Benth. FI. Hongk. 94. Baker in
Hook. f. F1. Brit. Ind. II, 240.
Liukiu: (Wright! frf.): Osima, Jul. 82 fl. (Ta-
shiro!). China australi: Hongkong (Wright ex
Benth.), ad fl. Canton (Hance!), Distrib. India orien-
tali, archipel. Malayano, Australia boreali, Polynesia,
Mascarenis.
Euchresta Horsfieldii Benn. in Horsf. PI. Jav. rar,
148, t. 31. Hook. f. FL Brit. Ind. II, 248.
Liukiu (Tashiro! fl. 1882); Formosa (ex Benth.
et Hook. Gen. pl. I, 550), Java, Himalaya: Khasia.
Caesalpinia L.
Species Sinico-japonicae.
TEE aculeatum (Subgen. GudandinaB a-
ker). 2.
» inerme (Subgen. Eucaesalpinia B a-
er). 3- |
2. Stipulae membrauacene iptegrae ii ue C. Bonducella Flem.
» spiniformes bipartitae,,,..,......, C. minax Hce.
D RPDOE TOOPRNR 56 tu ste ues sou C. pulcherrima S w.
Arbores v. frutices aculeati. 4.
POS DARÉTODR ES res var ar TR C,. Nuga Aït.
» multijuga. 5.
5. Juga foliorum primaria secundariis numero-
» secundaria primariis numerosiora...... C. Millettii H. A.
6. Foliola acute ovata coriacea............... C. vernalis Champ.
É de subcoriacea angulo inferiori affixa. .. C. Sappan L.
membranacea media basi inserta..... C. sepiaria Ro xb.
1. C. Bonducella Fleming in As. research. XI, 159.
Baker in Hook. f, F1. Brit. Ind. II, 254. Guilandina
Bonducella L. Cod. 3003. Benth. F1. Hongk. 96.
Bonin-sima (Wright!), Liukiu (Tanaka!); China:
Hongkong (Wright!) et per tropicos.
2. C. minax Hance in Journ. bot. XXI, 365.
China: prov. Canton (Graves ex Hance).
3. C. pulcherrima Sw. Obs. 166. Baker 1. c. IX,
255. Poinciana pulcherrima L. Cod. 2988. DC. Prodr.
II, 484.
Liukiu (Tanaka!). Ubique inter tropicos culta, vera
patria ignota.
4. C. Nuga Ait. h. Kew. II, 32. DC. Proûr.
IT, 481. Benth. F1. Hongk. 97. Baker I. c. 255.
Engl. Bot. Jabrb. VI, 64. C: chinensis Roxb. F1. Ind.
IT, 361. Hook. Arn. Bot. Beech. 182 (cum ?). |
Archipel. Liukiu (Tashiro!, Tanaka), v. gr. Osima,
China: Formosa circa Tamsuy (Oldh! n. 184), Hong-
kong (Wright!); tum in Philippinis, India orient.
Archip. Malayano, Australia tropica et Polynesia.
5. C. Millettii Hook. Arn. Bot. Beech. 182. Hance
in Journ, bot. VIII, 313 (fructus descriptio).
China australi (Hooker et Arnott): insula Lappa
|prope Macao (Hance).
6. C. vernalis Champ. in Kew journ. bot, IV, ie
Benth, FL Hongk. 97.
Hongkong (Wright!, Hance!), nec alibi.
7. C. Sappan L. Cod. 2998. DC. Prodr. II, 482.
Baker 1. c. 255. Hance in Journ. bot. XVI, 10.
Biancaea Sappan Todaro hort. Panorm. t. 3.
China australi: ex adverso Hongkong (Hance). Tum
in Zndia cis et trans Gangem, archip. Malayano.
8. C. sepiaria Roxb. FI. Ind. IT, 360. Baker L. c.
256. Miq. Prol. 242. Maxim. in Bull. soc. Mosc.
1879, 9. Hance in Journ. bot. XX, 5. C. japonica
Sieb, Zucc. F1. Jap. fam. nat. n. 3. Franch. Savat.
En. I, 114. C. crista Thunb. F1. Jap. 179 (non L..)
Japonia (Miquel!): Hakone, cacumine montium al- | “
tiorum rara, fine Octob. frf. (ipse), Simoda(Wright!,
Yolkin!), Kioto (Rein!), Amakusi (id.!), prov. Higo,
cacumine Higo-san, fine Junïi f., Kipon-san prope
Kumamoto, fine Maji fl, circa Nagasaki in fruticetis,
init. Maji flor. (ipse); China: Ningpo (Hancock!)
prov. Hu-peh (Hance). Tum in tota Zndia or.! et
‘archip. Malayano!
Gleditschia L.
Synopsis specierum cognitarum.
Legumen tenue varie flexuosum et tortum,
cum pulpa succosa inter semina. 2.
sine pulpa, rectum. 4,
2. fatioressentin brevis densa continua, floribus
37
des Sciences de Saint- Pétersbourg.
& et © fasciculatis, semina medio legumine
digposita ...............esv0se 00 se 00
se d secus rhachin fasciculati, © race-
. G. caspica Desf.
ï. 3.
5. forest brevis, 4 densa, semina secus
suturam leguminis superiorem disposita, parte
erma seminiferae aequila
D nohrentie utriusque sexus interrupta elon-
G. Triacanthos L.
.®
CORRE ES
gata, semina medio legumine disposita ...... CG. japonica Miq.
4. Legumen chartaceum tenue breve 1—3-sper-
mur.
nosum crassum polyspermum. LU
5, Legumen PAT RE 1- star MRrectiss Walt.
oblongum 2—3-spermum......... pi heterophylla Bge.
6. Piors secus rhachin Dal PERTE PET G. chinensis Lam.
racemosi longe pedicellati...........
Obs. Gymnocladus Lam. statu forifero a Gledit-
schia non distinguenda, excepta spinarum deficientia
(spinae, tamen et in Gleditschia interdum desunt), a
Gleditschia legumine turgido pulposo seminibusque
non vel vix compressis diversa habetur. At legumina
seminaque G. chinensis et G. æylocarpae pariter tur-
gida sunt, pulpa tamen in parenchyma siccum durum
mutata. Unica igitur differentia illaque non absoluta
manet spinarum defectus.
. Pre a. Legumina plana pulposa indehiscentia.
ae 1. Gleditschia caspica Desf. Hist. d. arbr. II, 247.
_ Spinis validis ramosis, rhachi foliisque margine juven-
__ tute pilosulis, foliis uni- vel 3—4-jugo-bipinnatis, fo-
_ liolis 6—10-jugis majusculis reticulatis obsolete cre-
. nulatis oblique oblongis ovatooblongisve obtusis cum
mucronulo caduco; inflorescentia brevi continua densa
floribus fasciculatis subsessilibus, bracteis obsoletis;
. legumine palmari compressoplano toruloso pl. m. fal-
cato pleiospermo; seminibus medio legumine dispositis
illiusque latitudine triplo usque 5-lo ?) minoribus late
ovalibus duplo—triplo latioribus quam crassis. Ledeb.
F1. Ross. I, 718. Boiss. F1. Or. II, 631.
L __ Circa mare Caspium in australi parte: Talysch prope
Lenkoran! et Astara!, prov. Ghilan!
Foliola maxima 2:%, poll. Flos 5 mm. longus. Le-
. gumen usque 12:2 poll. magnum, pulpa dulci eduli,
_ fide Hohenacker, Enum. Talysch, in Bull. Soc. Mosc.
= 1838 X IV, p. 351.
2. G. triacanthos Li. Cod. 7696. Spinis validis ra-
mosis, innovationibus pilosulis tum glabratis, foliis uni-
2) Legumina recentia investigare AE licuit, semina vero exsicca-
tione valde contrahuntur, ita ut nidus seminis ipso semine multo
ajor. Sic 3-lo minora evadunt ae ds Jatitudine si ro 5-lo
autem si semen respicis,
et 4—5-jugo-bipinnatis, foliolis 10—12-jugis superne
glabris elevatoreticulatis pl. m. crenulatis oblique ob-
longis obtusis cum mucronulo caduco; inflorescentia
brevi 4 continua densa floribus fasciculatis, © race-
mosa, floribus omnibus brevipedicellatis; legumine pe-
dali compressoplano falcato pleiospermo; seminibus
secus suturam superiorem dispositis, parte leguminis
seminifera quam vacua aequilata, late ovalibus oblon-
gisve 2-lo usque 4-lo latioribus quam crassis. Torr.
and Gray F1 N. Am. I, 398. À. Gray Man. 145.
G. ferox Desf. Hist. d. arbr. II, 247.
America borealis, a Pennsylvania ad Virginiam, Il-
linois et versus austrum (A. Gray). Vidi e New-York
(plantatam), Kentucky, Alabama, et cultam.
Synonymon Desf. huc duxi ex specc. & olim a Spach
datis horti Paris. ob inflorescentiam densam continuam.
| C. Koch Dendrol. I, 10. cum dubio G. chinensi sub-
junxit.
Foliola majora 35 : 12 mm., in bipinnatis usque
duplo minora. Flos & 4 mm., © 5 mm. longus. Legu-
men 260 :20—35 mm., pulpa dulci.
3. G. japonica Miq. Prol. 242, Spinis validis ramo-
sis, petiolis rhachi foliisque margine puberulis tum
glabris, foliis 1-, rarissime 2 — 3-jugo-bipinnatis, folio-
lis 10-jugis majusculis reticulatis crenulatis oblique
oblongis obtusis cum v. sine mucronulo minuto; inflo-
rescentia elongata interrupta, floribus ebracteatis bre-
vissime pedicellatis d fasciculatis © racemosis; legumine
spithamaeo compressoplano flexuoso torto bullatoque ,
pleiospermo; seminibus medio legumine dispositis
illius latitudine 3—4-lo minoribus late ovalibus pla-
nis. Franch. Savat. Enum. I, 114, II, 327.
In Japoniae australioris sylvis montanis: Nippon,
circa Yokohama, jugo Hakone; Kiusiu alpe Inu-take.
Japonice: saï-katsi-ibara, pulpa leguminum ad lavan-
dam telam adhibetur. China media: Shanghai (F. B.
Forbes!) |
Foliola majora 40 : 15 mm., in bipinnatis 13:5 mm.
Flos © 6 mm. longus. Legumen 35 mm. latum, pulpa
viridi acida farctum.
b. Legumen lignosum turgidoplanum indehiscens.
4. G. sinensis Lam. Dict. IT, 465. Spinis conicis
ramosis robustis, innovatione parce pilosula cito glabra,
foliis uni-rarius 2—3-jugo-bipinnatis, foliolis 8—10-
jugis majusculis reticulatis crenulatis oblique ovatis v.
Bulletin de l’Académie Impériale
ovatooblongis subattenuatis mucronulatis, inflorescen-
tia elongata interrupta floribus fasciculatis longiuseule
pedicellatis ebracteatis; legumine vix palmari recto
lignoso compresso laevi indehiscente pleiospermo; se-
minibus medio legumine dispositis illiusque latitudine
3—4-lo minoribus late ovalibus compressis turgidis.
Benth. F1. Hongk. 100. G. macracantha Desf. Hist.
d. arbr. II, 247. (ex specc. h. Paris.).
China australi: Hongkong (Hance!, Forbes!), culta
in Zndia! et passim in Europa!
Foliola majora 35:15 mm. Flos 3 mm. longus.
Legumen cum sequente identieum et semina similia,
sed neutrius matura visa.
5. G. æylocarpa Hance in Journ. bot. XXII, 366.
Spinis validis ramosis, rhachi pubescente, petiolo foliis-
que subtus juventute parce pilosulis; foliis uni-rarius
2-jugo-bipinnatis, foliolis 4- (innovationum usque 6-)
jugis majusculis reticulatis crenulatis oblique ovato-
oblongis oblongisve attenuatis mucronatis mucrone
tum deciduo; racemis elongatis interruptis ebracteatis,
floribus longe pedicellatis; legumine palmari lignoso
recto laevi compresso turgido pleiospermo, seminibus
medio legumine dispositis latitudine ejus vix triplo
minoribus ovoideis parum compressis. G.sinensis Bge.
Enum. Chin. n. 122., nec Lam. Turcz. Enum. Chin.
n, 64. Gymnocladus Williams Hce: L. c.
In China boreali: circa Pekin (Bunge!, alüi!, Wil-
liams ex Hance), v.gr. Pan-shan (Bretschneider!),
Shang-hai (Bullock ex Hance), prov. Schensi (Pia-
sezki!). Leguminibus incolae saponis ad instar utuntur.
Foliola in bipinnatis pollicaria, in simpliciter pin-
natis usque ultra 3-pollicaria, plus quam pollicem lata.
Flos 8 mm. longus. Legumen ad 12 poll. longum, fere
2 poll. latum.
Neutram e speciebus Hanceanis hucusque vidi, sed
* descriptio Gymnocladi sub anthesi tantum autori notae
exactissime in speciem a Bungeo olim pro planta La-
marckii habitam quadrat, nec diagnosis G. xylocarpae,
fructiferae tantum notae, aliter discrepat quam foliolis
«coriaceis», quae in omnibus hujus generis speciebus
versus fructus maturitatem multo firmiora, non tamen
coriacea fiunt. Si G. æylocarpa Hce. revera a nostra
distincta evaderet, G. sinensis Bge G. Williamsii vo-
canda esset.
c. Legumen chartaceoplanum epulposum demum incomplete
dehisc
6. G. heterophylla Bge Enum. Chin. n. 123. Spinis
acicularibus simplicibus v. basi breve ramosis, pube
brevi molli sericea, foliis uni- et 2—3-jugo-bipinna-
tis, foliolis superne glabris 8—10-jugis parvulis laevi-
bus integerrimis oblique ovalibus oblongisve obtusis;
inflorescentia brevi interrupta, floribus subsessilibus 4
fasciculatis © racemosis; legumine oblongo parvulo
recto 2—3-spermo maturo chartaceo subdehiscente;
seminibus orbiculatis planis. Turez. Enum. Chin. n. 65.
Ditione Pekinensi non rara (omnes collect.)
Foliola in simpliciter pinnatis 20 : 8 mm., in bipin-
natis 2—3-lo minora. Flos 3 mm. longus. Legumen
55:20 mm., stipes 15 mm., maturitate epicarpium
membranaceum nigrescit et fragile ab endocarpio tenue
pergameneo ochroleuco hinc inde secedit.
7. G. monosperma Walt. FI. Carol. 254. Torr. and
Gray F1. N. Am. I, 398. Gray, Manual 145. G.tri-
acanthos Ê. (1-sperma) L. Cod. 7696. G. inermis Mill.
Dict. (1759). C. Koch Dendrol. I, 9.
America boreali: paludibus Illinois et versus meri-
diem (autt. amer.), v. gr. Florida!
Vidi tantum fructu nondum maturo. Speciem in-
signem amplius describere inutile puto. Legumen late
ovale chartaceoplanum stipite duplo longius.
Cassia glauca Lam. Dict. I, 647. DC. Prodr. I,
495. Var. suffruticosa Koenig. Baker in Hook. f.
FL Brit. Ind. II, 265. C. suffruticosa Roth, Nov. sp.
213. DC. Prodr. IT, 496.
Liukiu (Tashiro); China: Futschau, culta (Dr.
Augustinowicz). Sponte per Zndiam orient. utram-
que, archip. Malaicum, Polynesiam et Australiam tro-
picam. 2e
Spiraea nipponica. (Sect. Chamaedryon, Ser. 2. Maxim. : A
in Acta h. Petrop. VI, 185). Glaberrima, ramis angula-
tis, foliis subtus glaucis tenue 3—4-costatis reticula-
tisque laevibus, innovationum. . ., ramulorum fertilium
crebris orbiculatoobovatis v. late ellipticis obtusissimis
integris v. apice tricrenatis; corymbis racemosis multi-
floris ramulos foliatos novellos numerosos terminanti-
bus; petalis albis truncatoorbiculatis stamina circiter
20 subsuperantibus; folliculis vix exsertis parallelis A
406.
-
AL
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
42
apice reflexo stylo terminali coronatis; calycis fructiferi
laciniis deltoideis erectis. S. media var. rotundifolia
G. Nicholson in Gard. chron. 1885, 283, fig. 56.
*$ Nippon: Fudsi-yama, Niko, Shishibu (f. et frf. mis.
Tanaka et Yatabe). Japonice: Marubana iwagasa,
kobano iwagasa, iwa shimotsuke. — Introducta in hor-
tos europaeos a Siebold, fide Nicholson, sed pl.
cultam nondum vidi.
Proxima 8. mongolicae m. in Mél. biol. XI, 216,
quae differt foliis subtriplinerviis angustioribus flori-
busque minoribus, staminibus petala rotundata supe-
rantibus, carpellis intus villosis stylo subinfraapicali.
A S. media Schmidt longius distat staminibus brevi-
bus, foliorum forma, folliculis vix e calyce erecto ex-
sertis, neque calycem reflexum plus duplo superantibus.
Specc. praesto sunt spithamaea, intervallis pollicari-
bus ramulis fertilibus patentibus 2 —3-pollicaribus
obsessa. Folia in quodam ramulo 8—10, saepius
integra, petiolo 2—3 mm., lamina infimorum minorum
8:6 mm., reliquorum 12:10 ad 16:12 mm. magna.
Corymbi ipsa basi et interdum in pedicello infimo
l monophylli, rhachi /,—1-pollicari, pedicellis florem
_ duplo v. in summis parum superantibus. Flos diam.
_ 8 mm., calyx fere 4 mm. Carpella matura 3 mm. et
ultra longa, stylo demum deciduo parum breviora.
_ Semina 2 —2,5 mm. longa breve appendiculata, nucleo
_ tereti linearioblongo 2 mm. usque longo, 0,3 mm.
_ lato, testa arcte appressa laevi.
= Saxifraga lycoctonifolia. (Sect. Isomeria Torr. et Gray)
_glandulosopubescens, foliis pedatinerviis cordatoreni-
La _formibus supra glabris radicalibus et inferioribus
à 7- superioribus 5-lobis, lobis trilobulatis arguteque
. incisis et mucronatoserratis; paniculae laxae elongatae
_ pedunculis 3—5-floris, pedicellis calyce brevioribus,
_ calycis dentibus ovatis obtusiusculis sub anthesi tubo
= brevioribus petalisque oblongospathulatis exunguicu-
_ Jlatis erectis, staminibus 5 calyce brevioribus episepalis,
#
_nibus..
Nippon: prov. Senano alpe Komaga-take, 2 Aug.
_ 82 flor. mis. Yatabe s. nom. japonico Arashi gusa.
Simillima S. aconitifolia Field. et Gardn. Sert.
: plant. t. 57 (quam ex Alleghany montibus à Gray et
_Sullivant, e montibus Carolinae a Buckley lectam
vidi) differt foliis rotundatis profundius lobatis paucius
_ ovario ad ?/, adnato, stylis conicis subparallelis, semi-
serratis, cymae ramis magis multifloris indeque mani-
festius secundis, calycis limbo quam tubus breviore
dentibus acuminato-deltoideis tubum sub anthesi ae-
quantibus, petalis obovatis brevissime unguiculatis
calycis limbo duplo longioribus. $. elata Nutt., a me
non visa, diversa foliis rotundatis, laciniis calycinis
acute lanceolatis, petalis (cuneatooblongis) calÿcem
duplo superantibus. Certe tamen hae tres ärcte inter
se affines, etsi americanae ad Boykiniam amandatae
fuerint.
Bipedalis. Folia radicalia majora petiolo spithamaeo
lamina 9 em. lata, 6 cm. longa. Stolones innovantes
horizontales dense fuscohirsuti, internodiis longiusculis,
quam in S. aconitifolia duplo crassiores. Flos viridis
diam. 5 mm. Calyx imbricatus (ergo non Boykiniae).
Stamina rarius 6, uno enim epipetalo. Placentae sub
anthesi tenues, neque crassae ut apud Fielding et
Gardner delineatae.
Hydrangea sikokiana. Ramis ramulisque glabris, co-
rymbo plano foliisque subtus pallidioribus pubescen-
tibus, his suboctocostatis late ellipticis ovatisve serratis
versus apicem bi—sex-lobulatis lobulis late deltoideis
subito cuspidatis; inflorescentiae laxiusculae planae
pedicellis florem superantibus; calycis margine trun-
cato, petalis acutis ellipticis duplo longioribus, stami-
nibus longe exsertis, stylis 2 crassis, ovario infero;
floribus sterilibus paucis sepalis 5 inaequalibus rotun-
datis.
Nippon australi: prov. Kii (ex adverso insulae
Sikoku); japonice O-azisai i. e. Hydrangea magna.
(Tanaka fi. et subdefl.).
Huic valde affinis Æ. quercifolia Bartr. bene di-
stincta videtur ramis et rhachi rufoarachnoideotomen-
tosis, corymbo oblongo, foliis 3— 6-costatis costis valde
inaequalibus (inferioribus validioribus et longioribus),
lobis majoribus numerosioribus saepe jam a basi lami-
nae incipientibus, calyce distincte obtuse dentato.
Ex nomine japonico frutex v. arbuscula magna
videtur, sed spec. 1 missum descriptionem completam
non admittit. In ramulo ante oculos pars innovata
folifera 4 cm. longa, cum foliorum paribus 3 magni-
tudine cito decrescentibus: petiolis 65—20 mm.
laminis 11 : 9 em. ad 65 : 45 mm. Folia adulta superne
pilis appressis sat crebris adspersa. Pedunculus com-
munis 3 cm. longus. Corymbus fere 8 cm. latus, radiis :
M
Bulletin de l’Académie Impériale
4
inferioribus 4 cem., tum post intervallum 2 cm. radiis
4 approximatis 2 cm. longis cum terminali aequilongo,
omnibus in radiolos parum breviores divisos, qui pedi-
cellos ferunt. Alabastra 3 —4 mm. alta. Flos sterilis
abortu 1 longius pedicellatus parvus (diam. 11 mm.).
Iiea chinensis Hook. Arn. Bot. Beech. 89, t. 39.
Benth. F1. Hongk. 129. Hook. f. F1. Brit. Ind, II,
408.
Liukiu:
(Bentham):
n. 108).
Var. subserrata: fohis pl. m. pauciserratis serra-
turis spinosomucronatis.
Kiusiu: prov. Satsuma circa Kagosima; Ziukiu: ins.
Osima (Tashiro); Formosa (01dh.! n. 109).
Drosera indica Li. Cod. 2232. Hook. f. FI. Brit.
Ind. II, 424.
ins. Osima (Tashiro!); China australi
Hongkong (Hance!), Formosa (Oldh.!
Nippon: prov. Kadzusa (mis. Yatabe sub nom.,
Nagaba ishimotschiso); prov. Owari ad Okkawa, Tshita-
gori (Ito Tokutaro misit); China australis; India
orient. a Ceylona per Deccan usque ad Chota Nagpur,
India trans Gangem, Australia tropica, Africa.
Bruguiera gymnorhiza Lam. Il. t. 397. Engl. Bot.
Jabrb. VI, 63. Hook. f. F1. Brit. Ind. II, 437.
Liukiu: in maritimis Osima et Okinawa, initio Aprilis
f., Julio fr: immat. (Tashiro!, ex quo japonice Ohirugi,
cortice utuntur ad rubrum tingenda retia piscatorum,
lintea cet.). Late distributa per sylvas maritimas tro-
picas orbis vetusti.
Terminalia Catappa L. Cod. 7625. Hook. f. F1. Brit.
Ind. II, 444. Hook. Arn. Bot. Beech. 263.
Bonin-sima (Wright!, Yatabe! sub nom. japonico
Kurumi). Sponte in Malacca, culta ubique in tropicis
provenit.
Syzygium buxifolium Hook. Arn. Bot. Beech. 187. |
Benth, F1. Hongk. 118.
Japonia maxime australi: ins. Tanega sima (Tashiro!,
ex quo japonice Adéku), Liukiu ins. Osima (Doeder-
lein! steril.), Bonin-sima (Wright!, Yatabel); China
australi (Hooker et Arnott): Hongkong (Wright!)
Futschau, montib. graniticis 1300 ped. s. m. secus
fl. Min (Augustinowicz), Amoy (Fortune! A. 93).
Lagerstroemia subcostata Koehne in Engl. Jahrb.
IV, 20. «. hirtella Koehne I. c. 21.
Liukiu: ins. Osima, in montibus, arbor magna, peta-
lis albis et roseis, japonice Aka bura (Tashiro! fructif.);
Formosa (O1ldham!).
Pyxipoma polyandrum Fz1. in Ann. Wien. Mus. IT,
293. Miq. FI Ned. Ind. I, 1060. Trianthema
polyandrum BI. Bijdr. 1137. DC. Prodr. II, 352.
Liukiu, in maritimis, Majo f. fr. immat. (Tashiro!);
China: prov. Cantoniensi (Hance!), tum in ins. Mo-
luccanis (Fenzl), Java (Miquel), Timor (Decaisne).
Hydrocotyle L.
Species sinicojaponicae.
Mericarpia jugis primariis et secundariis
evolutis. Planta majuscula ex omnibus nodis
radicans et folia pedunculosque floriferos
DR PER RD AGDE ET RC EE or H. asiatica L.
eg jugis secundariis haud nn
8. 2.
2, Caulis primarius ex omnibus nodis radicans
et folia pedunculosque floriferos proferens. H. rotundifolia Roxb,.
Caulis primarius radicans ex axillis ramos
foliatos floriferos gignit. 8.
8. Macrophylla, umbellae apice ramorum ag-
gregatae multiflorae petiolo multo breviores. H, javanica Thunb.
Microphyllae, umbellae sparsae. 4.
4. np sinus apertus
imbricatoclausus . ..... re
H. Wilfordi m.
H. ramiflora m.
non
a. Cauliflorae.
1. H. asiatica L. Cod. 1903. DC. Prodr. IV, 62.
Benth. F1. Hongk. 134. Thunb. F1. Jap. 116. Miq.
Prol. 243. Franch. Sav. Enum. I, 178. Oo tshidome.
Soo bokf IV, 63.
Japonia (Langsdorff!), ubique in australioribus
fréquens: Nagasaki (01dh.!, ipse), Yokoska (Savat.!),
Yokohama (ipse), Nambu (Tschon
Bonin-sima (ex Bentham); China: Hongkong (Benth.),
Formosa (01dh.! n. 141) et ubique in tropicis et usque sk |
in Tasmaniam, Caput bonae spei cet.
Var.crispata: foliorum margine luxuriante crispato
et irregulariter inciso in lobulos obtriangulos v.rhom-
beos acute dentatos.
In hortis Tokio rarius culta (ipse).
2. H. rotundifolia Roxb. Hort. Bengal. 21. F1. Ind.
I, 38. DC. Prodr. IV, 64. Hook. f. F1. Brit. Ind.
Il, 668. H. nitidula À. Rich. Monogr. n. 35. fig. 33.
DC. L c. 66. Miq. Prol. 243. A. sibthorpioides Lam.
Dict. IT, 153. Franch. Sav. Enum.I, 11e Tshidome o “
gusa. S0o0 bokf. IV, 62.
kil); Liukiw et
45
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
46
Japonia australiore: Nagasaki (Oldh.! n. 292),
Naga-yama in Kiusiu, Hakone (ipse), Yokoska (Sava-
tier! n. 482), Yokohama (ipse), Tokio (Tanaka);
China: Formosa (O1dh.! n. 139). Tum vidi e Bengalia,
Himalaya (Silhet, Darjeeling), MNilagiri, Ceylona, Au-
stralia.
Specc. japonica culta v. locis apertis frequentatis
orta folia majora ad apicem petioli saepeque ad laminam
pilosa habent, individua sylvestria locis desertis enata
.microphylla glabra foliis profundius divisis lobis tri-
dentatis gaudent; quae posteriora veram sistunt
H. nitidulam Rich. et Hook. Exot. fl. t. 29.
Inter plantam umbella petiolo aequilonga et umbella
subsessili (4. tenellam Don, Prodr. Nepal. 183, DC.
1. c. 64), inter folia majora et minora obsolete lobata
et fere partita tanti status intermedii, ut limites vix
ulli stabiliendi sint. Ita et Æ7. sibthorpioides Lam. non
differre videtur et jam a Bentham (F1. Austr. III,
340, in adnot. ad A. hirtam) conjungitur.
H. Batrachium Hance in Ann. sc. nat. 4 ser. XVIII,
220, quam e China (Whampoa, abipso Hanceo datam,
Formosa, Oldh.! n. 140, et inter Sieberi fl. mixt.,
verosimiliter ex Australia, vidi) cum planta ons
sylvestri aeque microphylla, formam sistit foliis ad
basin partitis et apice petioli pilosis.
b. Ramiflorae.
3. H. javanica Thunb. Diss. 2, 415. t. 3. Hook.f.
h c. 667. DC, I. c. 67. Hance in Journ. bot. XXI,
821. H. nepalensis Hook. Exot. fl. t. 30. Mia. Cat.
# de mus. Lugd. bat. 40. Fr. Sav. En. I, 178. Æ. poly-
_ cephala Wight, Prodr. 366.
Japonia australis: Nagasaki, Naga-yama (ipse);
China australi: prov. Canton (Faber ex Hance). Prae-
_ ! terea vidi ex Assam, Nipal, Khasia, Sikkim, Kashmir,
_ Decan, Ceylon et occurrit in archip. Malaico, Philip
_ pinis, Australia et Africa (Mozambique).
+ Vera H. javamica foliorum lobos habet longiores acu-
_ tos, nostra ad 77. nepalensem pertinens breviores obtu-
sos, sed posteriores in priores insensibiliter transeunt
et in pl. nostra flores submasculi nulli inveniuntur,
itaut recte utraque in fl. Indica rejungatur.
un
4, H. Wilfordi. Ad apicem petioli et laminam subtus
_ parcissime setosa ceterum glabra, caule vetusto radi-
| cante aphyllo, ramis axillaribus innovantibus ascen-
dentibus foliatis et floriferis; foliis opacis reniformi-
cordatis obsolete 7-lobis lobis obtuse 3-crenatis cre-
pulatisque, stipulis rotundatis, pedunculis filiformibus
petiolos saepe triplo superantibus, umbella multiflora
subcapitata, fructibus compressis laevibus utrinque
costatis.
Nippon, circa Yokohama, et Yezo, circa Hakodate,
ubique in humidis vulgaris, caespites laxos elatiores
formans, initio Julii fl. c. fr. (ipse), sine loco speciali
sub nom. Yama tshidome (Tanaka!); Korea: portu
Chusan (Wilford!).
Modus crescendi Æ, javanicae Thunb., H. ameri-
canae L., H. densiflorae DC., H. geranioidis Rich.,
i. e. innovationes erectae v. ascendentes foliatae flori-
ferae non repunt, nisi peracta fructificatione decum-
bunt, tum radicantes fiunt et anno sequente ex nodis
iterum innovant. Primo tantum aspectu A. sibthor-
pioidem Lam., Rich. Mon. n. 31. fig. 8. in mentem
vocat, nam haec pertinet ad seriem modo crescendi di-
versissimam, ubi axis primaria reptans foliata et flo-
rens est, et ad quam praeterea v. gr. ducendae Æ. ro-
tundifolia L., H. interrupta Mx., A. conferta Wt., H.
leptostachya Rich., H. mexicana Ch. Sch1., A, Langs-
dorffi DC., H. rétuaculoides ES spicata Lam.,
H. cie L., A. asiatica L.
5, H. ramiflora. Glabra opaca, cauliculis vetustis
radicantibus subaphyllis, hornotinis ramisque foliatis
floriferis ascendentibus, foliis ob sinum imbricatoclau-
sum quasi peltatoorbiculatis obtusissime subseptemlo-
bis quovis lobo obtuse tricrenato, stipulis amplis late
ovatis fuscomembranaceis, pedunculis folia superanti-
bus, umbella capitata multiflora, fructibus compressis
marginatis laevibus utrinqgne bicostatis.
Yezo: circa Hakodate in humidis vulgaris, floribus
viridulis, init. Julii f. c. fr. (ipse).
Praecedenti simillima, sed foliis statim distinguenda,
Adnot. A, vulgaris Thunb. FI. Jap. 116. Æ, inter-
rupta Sieb, Zucc. F1. Jap. fam. nat. n. 422, Miq.
Prol. 243. Fr. Sav. En. I, 177., ex Thunbergio in
Japonia «hinc inde» crescens, igitur planta non rara
declarata, a nemine post Thunbergium reinventa,
botanicis indigenis pariter ignota, et in herbario
Thunbergii Upsaliae servato deficiens, e flora Japo-
nica excludenda videtur. Quum species permultae a
Thunbergio in Japonia indicatae in herbario ejus
quoque desiderentur, Thunberg plantas quas pro
47
Bulletin de l’Académie Impériale
4%
vulgaribus habebat omnino non collegisse, sed tantum
enumerasse, alias ex confusione schedularum vel lapsu
memoriae perperam ut in Japonia crescentes indicasse
videtur, Ita et H. vulgarem fortasse capensem tantum
legerat. Veram Æ. vulgarem in Japonia provenire non
verosimile, nam in Europa crescit a Lusitania et Sue-
cia australi ad Æungariam, tum in Asia circa lacum
Caspium in ditione Talysch et in Capite bonae spei in-
venta est, stirps americana autem à botanicis loci nunc
pro specie diversa enuntiatur.
Species dubia.
Quid? Hydrocotyle chinensis L. Cod. 1904. e «China»,
a DC. Prodr. IV, 71. cum ? ad Crantziam lineatam
Nutt. ducta, praeeunte Sprengel in Schult. Syst.
VI, 355, de qua identitate tamen Schultes in observ.
_annexa dubitare videtur.
Sanicula satsumana. Foliis radicalibus trisectis, seg-
mentis latissime rhombeis basi cuneata in petiolulum
subito attenuatis obtuse serratis cum mucrone brevi
serraturis imposito, terminali longius petiolulato antice
_tri-, lateralibus valde obliquis 2—3-lobis lobis omni-
bus obtusis; caulibus scapiformibus folia vix v. non
superantibus; umbella 3—5-radiata foliis 3—5 oblon-
gis mucronatis brevibus integris v. rarissime trilobis
involucrata, radiis umbellulas 1—3 gerentibus, um-
bellula centro florem femineum 1 sessilem, cireumeirea
flores masculos 3—5 pedicellatos ferente, floris mas-
culi dentibus calycinis acutissime subulatis petala re-
tusa superantibus, tubo calycis fertilis aculeis uncinatis
tecto.
Kiusiu: prov. Satsuma, in ipsa urbe Kago-sima, sub
arboribus, Octobri 83 f. legit Tashiro.
Affinis S. lamelligerae Hce et S. tuberculatae m.,
ab utraque abunde diversa, a priore segmentis folii
obtusis, umbellae radiis plus quam 2, involueri foliolis
pluribus, fructu aculeato, neque parallele alulato;
posterior magis distat foliis palmatipartitis, caule folia
duplo superante sub umbella solitaria foliato, floribus
fertilibus 3—5, fructu tuberculato aliisque signis.
Perennis, radice fibrosa. Petioli 3—5 cm. Seg-
mentum terminale 10—-14 mm. latum et longum, pe-
tiolulo 2 mm., lateralia 10—12 mm. longa et lata,
petiolulis 1,5 fini. Radii 2 mm. Fam radiolos sub-
aequantes.
Carum hol opetalum. Perenne elatum glabrum, caule
fistuloso striato ramoso, petiolis vaginatis vaginis ample-
xicaulibus linearibus apice rotundatoauriculatis, foliis
circuitu deltoideis biternatisectis, segmentis primariis |
mediisque secundariis petiolulatis, ultimis ovatis 2— 3-
fidis et inciso-grandiserratis dentibus lanceolatis acutis
apiculatisque, foliis summis 3-sectis; umbellis plurira-
diatis, involucris involucellisque oligophyllis phyllis
subulatis; calycis dentibus acute deltoideis persisten-
tibus, petalis unguiculatis obovatis integris cum acu-
mine brevi inflexo quam stamina brevioribus, stylopo-
dio depresso; fructu ovalielliptico a latere compresso
jugis anguste subalatis, valleculis 1-vittatis, commis-
sura minute 2-vittata, carpophoro bipartito. Zbuki zeri,
S00 bokf. V, 26.
Nippon media: prov. Iwashiro monte Side-san, 13
Aug. 79 fl. c. fr. fere maturo (misit Yatabe).
A Caro differt quidem petalis non emarginatis et
habitu potius Pimpinellam referente, sed ob vittas
solitarias priori generi adjunxi. A cl. Baïillon (Hist.
d. pl. VIT, 118) jam Pimpinella cum Caro juncta est,
verosimiliter recte. Quo magis tamen Umbelliferarum
genera reducuntur, eo difficilior fit eorum distinctio: …
characteres diagnostici, post Benthamii revisionem
saepe jam valde vagi, in opere Bailloni omnino desunt.
Quotidie tamen formae inveniuntur inter quaedam
| genera hucusque sat bene distincta vacillantes eorum-
que junctionem suadentes. Ita Baïllonium si sequi-
mur mox tota familia e paucissimis iisque vastissimis
nulloque limite ci iptis generibus composita erit,
nisi surget monographus, omnibus votis sane deside-
randus, totum familiae systema novis principiis recon-
struens.
Spec. missum bipedale, radice deficiente. Folium : es
inferius seorsim datum petiolo (cujus dimidium vagina)
6 em., lamina 17,5:15 em. Petiolulus terminalis7em.,
laterales 35 mm. Segmenta secundaria lateralia obliqua
bifida 65 : 35 mm., terminale item 3-sectum segmentis
petiolulatis: latéralibus sensim in petiolulum brevem …
angustatis et cum illo 95:40 mm. magnis trifidis,
terminali petiolulo 2 mm. lamina 90 mm. Foliorun
superiorum lamina vaginae insidens, summorum ad
segmenta 3 petiolulata tripartita incisaque reducta. TS
Umbellae apice ramorum, numerosae, radiis 8—9,
radiolis 10—15 involucella superantibus. Flores parvi
albi roseo suffusi, diam. 2,5 mm. Calycis dentes in
49 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 50
fructu conniventes. Antherae subquadratae. Styli sub
anthesi brevissimi paralleli, in fructu recurvi accreti,
sed stylopodium non excedentes. Fructus 4,5 mm.
longus.
Cryptotaenia japonica Hassk. Retz. I, 113 (c. diagn.
et descr. mediocr.). Foliis trisectis segmentis sessilibus
incisoserratis indivisis, umbellis paniculatis 2—3-ra-
diatis involucratis, umbellulis 2—4-radiolatis involu-
cellatis, calycis dentibus acutis minimis. C. canadensis
$. Z. FI. jap. fam. nat. n. 424. A. Gray, Bot. Jap.
891. Miq. Prol. 246. Hance in Journ. bot. III, 340.
et1867,114. Fr.Sav. Enum.I, 182. Sison canadense
Thunb. F1. jap. 118. :
Per totam Japoniam frequens, nec non in Chinae
prov. Canton (ex Hance).
Signis datis semper tute distinguitur a
cujus diagnosis erit:
C. canadensis DC. Foliis trisectis anrilié saltem
inferiorum petiolulatis bi-trifidis et incisoserratis, um-
. bellis 3—5-radiatis radiolatisque, involucro nullo,
_ involucellis setaceis, calyce obsoleto.
sequente,
Osmorhiza Raf.
Carpellis caudatis optime distinctum genus a HMyr-
« rhide, quocum a Baillon jungitur in Hist. d. pl. VII,
233. — Species $ 1. apud DC. Prodr. IV, 232 (invo-
lucris 3—5-phyllis) sequenti modo commode cognos-
cendae:
4 dus bis trisecta. 2,
RE. trisecta ns en 4.
à _ 2. Cana tn a 6-lo vior Ménpuans sa 0. brachypoda Torr.
ÿ 2-lo “es r. 5.
à Messtun péñicerlà Me. ho fo-
_ Hiorum subito acumina ta 3- -partita serrata-
que, .. CORLINUL DPEVES ‘2 os 8 à 0 ve ne 0 O. laxa Royle.
Fructus pedicellos superantes, segmenta
are tete tripartita et incisoserrata,
styli patuli longiusculi....,............. 0. longistylis DC.
Caudae mericarpio duplo breviores, fructus
a pedicello distincti basi soluti, segmenta
foliorum bijugopinnatisecta. 5.
_ Cauda mericarpio subaequ uilonga, fructus
a pedicello indistincti vulgo apice soluti,
ta -jugo-pinnatisecta pinnati-
titaque svcnaats, is yli breviusculi,
. pedicelli fructum supera
_ 5. Pedicelli fructum pe late segmenta fo-
2 rum obtusa v. acuta apice pinnatifida par-
à ER fractu. bréviores, segmenta folio-
rum acuminata apice pinnatiloba-fidave . .
Tome
. amurensis F, Schm.
CRAN)
O. japonica S. Z.
oi brevistylis DC.
Mo. Bot: Garden,
Ex his in Asia orientali duae crescunt:
1. O.amurensis F, Schmidt in Maxim. FL. Amur.
129. FI. Sachal. n. 194.
In Mandshuria orientali montana sylvatica a Dshare
ad Amur fl. secus jugum Sihota usque ad fontes fi.
Wai-Fudin aff, aestuarii St. Olgae; ins. Sachalin.
Planta americana, ab auctore (in fl. Sachal.) cum
hac comparata, erat O. nuda Torr., planta yezoënsis
vero ©. japonica S, Z. Cum hac ultima habitum com-
munem habet, sed folia magis divisa et fructus diversi.
2. O. japonica $S. Z. FL. jap. fam. nat. n. 431. Fr.
Sav. Enum. I, 183. O. longistylis À. Gray Bot. Jap.
391. Miq. Prol. 252. Chaerophyllum aristatum
Thunb.! FI. jap. 119.
Sylvis montanis per totam Japoniam;
legit Wilford!
Habitus O. brevisti ylis DC. Segmenta foliorum inf-
morum saepius rotundata sunt, superiorum acuta.
in Tsusima
Selinum longeradiatum. Pedale radice fusiformi, vaginis
amplis dilatatis apice biauriculatis summis subaphyllis;
foliis inferioribus trisectis circuitu deltoideis segmentis
bipinnatisectis ultimis 3—5-partitis lacinulis lineariob-
longis attenuatoacutis membranaceis transverse venu-
losis; caule ramoso tereti, umbellae amplae subexin-
volucratae radis hinc puberulis umbellulas multiinvo-
lucellatas 5-lo superantibus; calycis dentibus minutis
acutis, petalis non emarginatis, mericarpiis late ovalibus
jugis obtusis lateralibus alatis duplo latioribus, valle-
culis 1-, commissura 2-vittatis.
Kiusiu interiore monte Naga, cacumine gramine
brevi obtecto, init. Octob. fr. fere mat. (ipse).
Huic proximum &. Tilingia m. (Tilingia ajanensis
Rgl. FI. Ajan. n. 132 in Japoniae ditione Nambu a
Tschonoski lecta) differt vaginis exauriculatis, foliis
mious divisis venulis transversis obseuris, lacinulis
ovatis v. oblongis, umbellae minoris radiis umbellulas
triplo superantibus, petalis emarginatis, mericarpiis
multivittatis.
Angelica multisecta. Bi-quadripedalis ramosa, caule
fistuloso striato superne cum vaginis umbellaque pube-
rulo, vaginis dilatatis oblongis apice auriculato-obcor-
datis omnibus foliiferis, foliis ambitu deltoideis infimis
breve petiolatis reliquis sessilibus, inferioribus 4—
5-nato ternatisectis summis diminutis trisectis, seg-
4
pa
51 à Bulletin de l’Académie Impériale 5?
mentis ultimis ovatis lanceolatisve acutis basi breve
cuneatis bi-trifidis incisoserratisque dentibus acutius-
culis; umbellis longe exsertis centrali fertili lateralibus
masculis exinvolueratis inaequaliter multiradiatis, invo-
lucellis oligophyllis, umbellulis multiradiolatis; calycis
limbo obsoleto, petalis albis quam stamina brevioribus
obovatis emarginatis cum lacinula acuminata brevi in-
flexa, disco pulvinato, stylis elongatis recurvis, ovario
fructuque parce puberulis, fructu ovato a dorso com-
presso jugis alisque obtusis crassiusculis, valleculis
1- commissura 2—4-vittata.
Nippon: alpibus Fudsi-yama (ipse, Tschonoski),
Hakusan ad rivulos, et Ontake (mis. Yatabe).
A congeneribus facile distinguenda foliis latissimis
muiltisectis foliolis numerosissimis parvulis et vaginis
omnibus foliiferis.
Radix carnosa fusiformis ramosa intus passim cava
atque septata. Caulis crassitie pennae cygneae. Folia
infima sesquipedalia, petioluli omnes segmento suo bre-
viores, segmenta inferiorum ultima 1—17/, pollicaria,
Umbella centralis diam. semipedalis a ramis floriferis
superata. Petala intus minutissime puberula. Fructus
vix 4 mm, longus, alis quam in reliquis Angelicis sub-
angustioribus.
Angelica koreana. (Sect. Ostericum Maxim. in Mél,
biol. IX, 249). Caule striato farcto sub umbella sca-
bropuberulo ceterum glabro; foliis membranaceis infe-
rioribus tri- reliquis bi-ternatisectis petiolulis patulis,
summis minutissimis in apice vaginae linearilanceolatae
non inflatae, segmentis ultimis ovatis acutis subtrilobis
incisoserratisque dentibus acutiusculis; umbellis 12—
. 20-radiatis, involucro oligo- involucellis pleiophyllis
phyllis elongatis subulatis, radiis striatosulcatis hinc
. scabropuberulis, umbellulae multiflorae radiolis intimis
brevioribus; dentibus calycinis deltoideis persistentibus,
petalis albis brevissime unguiculatis orbiculatis emar-
ginatis cum lacinula brevi obtusa denticulata; fructu
subquadrato jugis dorsalibus angustissime lateralibus
late alatis ala disco fere 2-lo angustiore, valleculis
1- commissura 2-vittata.
Aë Koreae limites: locis lapidosis eirca sinum Possiet
sat frequens in pratis fruticetisque, med. des flor.,
fine Septbris fructif. (ipse).
À. polymorpha m., proxime affinis, differt vaginis
lanceolatis inflatis, foliis tenuius membranaceis petiola-
tis subrefractis bipinnatisectis,
phyllo, petalis obovatis, ala disco latiore; sed magni-
tudo partium fére eadem.
Peucedanum multivittatum. Pedale ad sesquipedale, parce
ad petiolulorum apicem foliaque subtus pubescens, va-
ginis foliorum inferiorum oblongis, superiorum ovatis
v. rotundatis, omnibus membranaceis apice cucullato
obtuse latequé auriculatis; caule striato fistuloso vix
ramoso 2—3-phyllo, foliis nervosis radicalibus longe
petiolatis bis trisectis ambitu deltoideis, segmentis
primariis petiolulatis, secundariis subsessilibus v. ses-
silibus, omnibus ovatis acutis v. rarius rotundatis ob-
tusis in lobulos 2—3 incisis serratisque dentibus ova-
tis apiculatis, caulinis superioribus vaginae insidenti-
bus segmentis acuminatis angustioribus; umbella 7 —8-
radiata radiis radiolisque inaequalibus intus fuscohispi-
dulis, involucro nullo, involucellis nullis v. oligophyllis
phyllis lanceolatolinearibus acuminatis; calycis denti-
bus ovatooblongis obtusis persistentibus, petalis stami-
na superantibus rotundatis brevissime unguiculatis pro-
funde emarginatis cum lacinula emarginata involuta,
disco depresso crenato, stylis brevibus patulis; fructu
elliptico alato jugis dorsalibus nerviformibus, vittis
tenuissimis passim ramosis numerosis sub valleculis
jugis et ad commissuram, carpophoro bipartibili.
Nippon media (Tschonoski, f.) occasum spectante: :
prov. Kaga, alpe Haku-san, 8 August. 82 fl. c. fr.
lectum mis. Yatabe.
Species sui juris, habitu potius Pimpinellarum japo-
nicarum, petalis et fructu convexo PRIOR vittis
numerosis Ferulae.
Vaginae viridifuscae, Folia opaca nervis subtus pro- je
winulis, radicalia spithamaea, lamina 9 em. lata, 7 em.
longa, caulinorum inferiorum 7 em. Jlonga, 6 em. lata.
Fructus 6,5 mm. longus, ala crassiuscula dimidium
nucleum lata. Vittae tenuissimae, at distinctae, epi-
carpio tenui extus bene visibiles.
P. decursivum. Angelica d. Franch. Savat. Enum.
I, 187. Porphyroscias d. Miq. Prol, 250.
Tota Nippon et Kiusiu in pratis et fruticetis fre. ;
quens,
8. albiflorum: floribus albis (nec atropurpureis).
In Xiusi interioris alpibus.
Ob fructus marginem simplicem et alas duriores non : ee
est as sed Peucedanum; conf. Baïll. Hist, d.pl.
involucro submono-
HE RS RS es TEE EU
QUE + y CE
53 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 54
VII, 100, adnot. 5. Foliis et fructu breviore a P.lati-| Himalaya temperata: a Kashmir ad Kumaon (ex
. folio DC. cui habitum et characteres proximum, | Hook. f.). Vidi specc. ex parte occidentali a Royle,
differt. valle Chenab (Ellis fl), Bahar (Duthie frf.), Kumaon
Abelia R. Br.
Synopsis specierum asiaticarum.
Pedunculi laterales, ex axillis summis ramo-
m approximati, apice y.
medio pedicellique apice bracteati. 2.
Pedunculi terminales in apice EE bre-
vium lateralium v. terminalium biflori ebrac-
teati, pedicelli apice bracteolati. 6.
Pedunculus elongatus biflorus in bifurcatione
AANÉE EST NOR ES LES STEP à Are .adenotricha Hce.
2. Bracteae bracteolaeque folinceac elongatae. 5.
Bracteolae saltem ovatae minutae. Pedunculi
et pedicelli evoluti. 4,
3. Inflorescentia corollaque longe pilosa, folia
acuminata lanceolata, caly és laciniae 5 subu-
latae bracteolis vix longiore PAT ie A. triflora R. Br.
Inflorescentia breviter rs dioun, folia
lanceolata, calycis laciniae 4 ellipticae, tubus
bracteolis MA Dreviorss 4% À.corymbosaRgl.Schmalh.
_. 4. Inflorescentia folia
FL » aph da multiflora (foliis flora-
Wa libus enim minutis bracteiformibus), calycis
: . laciniae 5 spathulatae corolla duplo saltem
- breviores, genitalia exserta ,.............. CS R. Br.
2 5. Bracteae EM minutae deltoideae. LT uniflora R, Br.
or » iaceae elongatae, bracteolae minu-
LE tae, nés) laciniae 5 spathulatae tubo corol-
à lino parum breviores, genitalia e tubo exserta.A. rupestris Lindl.
Dr 6. CR biflori tenues floribus sessilibus. 7
Rss. biflori nulli floribus pedicellatis... 4 biflora T ez.
7. Calycis IRON NT Ts Us o ES se À. spathulata S$. Z.
» laciniae 2 (8-5) RONA RS SENS. à À. serrata S. Z.
_ à. Pedunculi ex axillis summis laterales nunc corymbosoapproximati.
| 1. Abelia triflora R, Br. in Wall. PL as. rar. I, 14,
_ 1.15. Frutex erectus elatus ramulis minute puberulis,
foliis utrinque viridibus sub anthesi membranaceis
_ laevibus, in fructu chartaceis sat dense supra impresse
" subtus elevato reticulatis ciliatis lanceolatis acuminatis
_ integris (rarissimé prope basin hine v.utrinque 1-den-
tatis); pedunculis apice ramulorum in inflorescentiam
plurifloram densam approximatis brevibus 3 -floris,
bracteis bracteolisque linearilanceolatis foliaceis, flori-
bus centrali cujusvis pedunculi sessili 1-, lateralibus
breve pedicellatis 3-bracteolatis; calycis longe pilosi
Jlacinüis 5 subulatis corollae pilosae tubo cylindrico pa-
k. rum brevioribus, limbo corollae parvo patulo, genitali-
… bus inclusis. DC. Prodr. IV, 339. Wight, IL IN, 72,
tt. 121.C. Hook. f. et Thot in Journ. Vo: soc. IT,
174. Lindl. Paxt. FL Gard.IIl,93,t.91. Brandis,
For. f. Brit. Ind. 257. Hook. f. FL Brit. Ind. ILE, 9.
(Wallich).
. À. corymbosa Rgl. et Schmalh. in Act. h. Petrop.
V, ne Frutex dumosus ramulis numerosis dense ap-
presse deflexopilosis, foliis aride chartaceis utrinque
viridibus subtus pilosis sat dense elevatoreticulatis lan-
ceolatis obtuse breve attenuatis rarius passim incisis;
pedunculis apice ramulorum brevium in corymbum
pluriflorum arcte confertis 2—3-floris pedicellis sub-
nullis, bracteis bracteolisque foliaceis lanceolato-ellip-
ticis his tubum calycinum superantibus; calycis laci-
nus 4 ellipticis, corolla utrinque pilosa vix calycem
superante infundibuliformi limbo parvo patente, geni-
talibus inclusis.
Turkestan: prope Taschkent (Krause), alpibus
Alexandri (Fetisow).
* 8. À, chinensis R. Br. in Abel, Narrat. App. 377,
ce. tab. Frutex decumbens, ramulis tenuiter pubescen-
tibus, foliis ciliatis supra pilosulis ovatis acutiusculis,
inflorescentia multiflora subtrichotoma terminal, pe-
dunculis bifloris medio minute bibracteatis, floribus
sessilibus, calyce basi 3-bracteolato limbi 5-partiti
laciniis spathulatooblongis, corolla calyce duplo lon-
giore anguste infupdibuliformi fauce imberbi limbo
continuo quam tubus 5-lo breviore, genitalibus brevi-
ter exsertis. DC. Prodr.IV,339, 4, Hanceana Mart.
apud Hance in Ann. sc. nat. 5 ser. V, 17. ex ipso
Hance in Journ. bot. XX, 289.
China: prov. Kiangsi ad lacum Po-yang non procul
a Kiu-kiang (Abel ex R. Br.), prov. Fokien ad Amoy
in monte Lam-tai-wu (Hance), prov. Canton ad North
river (Henry ex Hance in Journ. bot. XVIII, 261).
Vidi fig. et descript. Brownii.
4, À. rupestris Lindl. Bot. reg. 1846, t. 8. Frutex
decumbens, ramulis calycibus corollisque minute pube-
rulis, foliis utrinque viridibus subtus secus costam parce
villosis v. glabratis subcoriaceis ovatis acutiusculis ser-
rulatis serratisve, pedunculis bifloris apice ramorum
approximatis in inflorescentiam foliatam multifloram pe-
dicellisque brevissimis, bracteis foliaceis oblongis, brac-
teolis minutis deltoideis; calycis laciniis 5obovatooblon-
gis tubo corollae infundibuliformi parum brevioribus,
4*
x
55
Bulletin de l’Académie Impériale
56
corollae limbo patente majusculo, genitalibus exsertis.
Lindli. et Paxt. F1. Gard. II, 130, f. 201.
China: collibus Chamoo in rupibus, 1844 detecta.
Verosimiliter ex parte Chinae australiori, quia ex
Lindleyo circa Londinum hiemem aegre perdurat.
Vidi cultam.
5. À. uniflora RBr. in Wall. PI. as. rar. I, 15.
Ramulis calycibus et corollis minute puberulis, foliis
utrinque viridibus coriaceis subtus ad costam villosis
ovatis acutis passim serrulatis, pedunculis 1—2-floris
apice ramorum approximatis in inflorescentiam folia-
tam pedicellisque brevissimis, bracteis bracteolisque
minutis deltoideis; calycis laciniis 2 (3) oblongis, co-
rolla calyce duplo longiore late infundibuliformi fauce
intus hirsuta, limbo patulo majusculo, staminibus in-
clusis. Lindl. et Paxt. F1. Gard. II, 145. fig. 208.
Belgique hortic. III, 338. Lindl. in Bot. reg. 1846.
sub tab. 8. Bot. mag. t. 4694 (excel. synon. À. ser-
ratae S. Z.).
China: prov. Fokien in regione theifera (Reeves
ex R. Brown, Fortune qui vivam introduxit, ex
Lindley). Vidi cultam.
Spec. authenticum R. Browni, cujus adumbratio-
nem cum corolla decerpta ex herb. Mus. britann, mihi
liberalissime transmisit el. F. B. Forbés, florae Si-
nicae scrutator indefessus, a figura Hookeriana in
Bot. mag. non parum quidem differre videtur pedun-
eulis 1-floris et corolla duplo minore angustius infun-
dibuliformi foliisque ovatis v. ellipticis subintegris, sed
figura citata Lindleyi flores aeque parvos et minus
late infundibuliformes foliaque vix serrata habet, ita
ut medium teneat. Pedunculi ex Lindleyo quidem
1-flori, sed in fig. ejus citata inferiores flores tres ab-
ortivos gerere videntur, item ut a Hookero triflori
passim occurréere describuntur.
b. Pedunculi semper biflori apice ramulorum terminales.
6. À. biflora Turcz. Enum. Chin. n. 93 in Bull.
soc. Mosc. X, 2, pag. 152. Subprocumbens, ramulis
hornotinis appresse reverse pilosis, foliis utrinque ad
costas margine superneque parce Calyce saepeque co-
rolla extus pilosis, foliis membranaceis ovatis lanceo-
latis imo linearilanceolatis acutiusculis v. acuminatis
integris v. serraturis paucis grandiserratis subconcolo-
ribus laevibus; pedunculis bracteisque nullis, pedicellis
distinctis, bracteolis minutis deltoideis v. rarius elon-
gatis linearibus tripartitisve tum caducis; calycis laci-
niis 4 oblongis tubo corollae angusté infundibuliformis
parum brevioribus, limbo corollae intus pubescente,
genitalibus inclusis. Maxim. F1. Amur. 472. Franch.
PI. David. I, 151, tab. 11 (errore triflora signata).
À. Davidü Hance in Journ. bot. VI, 329, XIII, 131.
China borealis: in montibus ditionis Pekinensis
(Kirilow!) ab urbe ad occidentem (Tatarinow!), v
gr. Po-hua-shan (Bretschneider!), Siao-wu-tai-shan
alt. 3600—5000’p. s. mare (Moellendorff!), prope
Jehol (David!) Mandshuria austroorientali: jugo
finitimo non procul a Korea (M. Jankowski! fl. 1884),
ins. Russki (portu Deans Dundas) silvis montanis sep-
tentrionem spectantibus sat frequens, usque 5-pedalis
(ipse frf. 1860).
Species sat variabilis formas duas bene distinc-
tas praebere videtur: latifoliam foliis membranaceis
vulgo fere integris et majoribus (4. bifloram Turcz.)
et angustifoliam foliis vetustis firmis saepe serratis et
minoribus (4. Davidii Hance). Sed bracteolarum
forma valde ludit et alii characteres diagnostici pari-
ter desunt. Ita exempla À. biflorae typicae pekinensis
bracteolas ovatolanceolatas v. rarius lineares elongatas
v. nonnullas deltoideas, mandshuricae semper deltoi-
deas, Davidiana in fig. Francheti tripartitas fructu
parum breviores, in exemplis communicatis jam deci-
duas, florentia À. Davidi lineares rarissime tripartitas
cum deltoideis intermixtis possident.
7. A. spathulata Sieb. Zucc. F1. Jap. I, 77, t. 34,
f. 2. Ramulis glabris, foliis ovatis v. rarius lanceolatis
acutis v. subito acuminatis integris v. grandiserratis
superne parce pilosis ciliatis subtus glaucis ad costam
villosis; pedunculis tenuibus calycis tubo duplo saltem
brevioribus, floribus 2 sessilibus basi bracteolatis, brac-
teolis minutis deltoideis: ; calycis limbo 5-partito iscutis .
oblongis linearibusve corollà basi cylindrica tum subito
infundibuliformi minute pubente plus duplo v. triplo
brevioribus, genitalibus e tubo exsertis. Miq. Prol.
157. Franch. Savat. Enum. I, 205. À. serrata A.
Gray in Perry’s Exped. 313 (fide Miquel, cui var. 8).
Nippon, in sylvis et in montibus, v. gr. Simoda
(Williams et Morrow Yaikint js Hakone (ipse),
Yokoska (Savatier!, Moseley!), Kanasawa (ipse).
8. À. serrata S. Z. 1. c. 76,t. 34. Omnia praece-
dentis; excepto calycis limbo bipartito laciniis ovalibus ls
57
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
58
v. ellipticis hinc 2-3-lobis-fidisve, corollaque calycis
limbo duplo longiore. Miq. Prol. 156. Fr. Sav. En.
I, 205, IT, 391. Hance in Journ. bot. XX, 5.
Kiusiu, in montibus frequens (Siebold!, Buerger!):
Kawara-yama non procul a Nagasaki (Siebold!), Miadzi,
inter frutices, pl. tripedalis fl, lacteis (ipse), Sikoku
(Rein!);, China: prov. Hupe et Sz-tchuen (Hance). —
Japonice haec et praecedens: Tsukubane utsugi i. e.
Diervilla quadrialoides, vel Ko tsukubane i. e. Qua-
driala parva.
In icone Sieboldi flores quidem paulo minores
quam in praecedente delineati, at corolla calyce toti-
dem longior ac in altera, quod equidem in exemplis
numerosis non ita invenio. Siebold utramque promis-
cue crescere affirmat atque conspecificam habet, mihi
utraque et geographice sejuncta apparuit et calyx
À. spathulatae constanter 5-partitus, in À. serrata
rarissime, vulgo laciniis per 2 vel 3 connatis.
c. Pedunculus elongatus 2-florus in bifurcatione ramorum.
9. À. adenotricha Hance in Journ. bot. IX, 132.
Ad ramulos hornotinos pedunculos bracteas calycesque
glandulosopilosa, foliis utrinque dense subtus densius
appresse pilosis ovatis acutis integris, bracteis foliaceis
- Janceolatis, floribus sessilibus, bracteolis...., calycis
Fe laciniis 4 oblonkis fructu triplo brevioribus.
China boreali: ditione Pekinensi ad Jehol (David
* ex Hance).
Species ob situm pedunculorum in furca ramulorum
elongatorum et pubem capitatam in genere anomala,
. floribus nondum notis. Inter pl. Davidi à Franchet
_ enumeratas (PI. David. I, 152) deest, sed quaerit
= Franchet anne sit eadem ac Lonicera Elisae Franch.
Le. t. 12. f. 2. et folia pl. Hancei ab ipso autore
communicata conspecifica declarat. Sed inflorescentia |
ex descriptione nimis aliena videtur, ut jungantur.
_ Adnot. Species 2 v. 3 americanae (genus Vesalea
Mart. et Gal. in Bull. acad. Brux. XI, 24), recte
__ obseryante Decaisne in Van Houtte F1. d. serr. II,
sub tab. 5, ab Abelia non differunt nisi bracteolis non
8, sed in À. floribunda Dne I. €. 1—5, in À. coriacea
Hemsl. (in Biol. centr. amer. Il, 4, t. 36 f. 1—5)
“ binis. Inflorescentia pluriflora terminalis seriei nostrae
_ primae, Pedunculi apice foliaceobracteati pedicellique
_ evolnti. Corollae incurvae elongatae cylindrico-infun-
dibuliformes, stamina inclusa, stylus subexsertus. Folia
parvula quoad formam potius species chinenses refe-
rentia, sed vel integra v. regulariter serrata.
Lonicera emphyllocalyx. (Subgen. Chamaecerasus, ser. 2.
Maxim. in Mél. biol. X, 63) Ramulis petiolisque no-
vellis pube minuta dense pilisque longis hirsutis, foliis
approximatis parvulis brevissime petiolatis ovatis utrin-
que obtusissimis superne àd costam subtus ubique
longe pilosis; pedunculis calycem superantibus dense
puberulis, bracteis subulatis pilosis calyce sesquilon-
gioribus, bracteolis crasse coriaceis in tubum obsoletis-
sime bilobum connatis calyces liberos ovales glabros
subsuperantibus, limbo calycino marginiformi, corolla
intus et extus pilis longis hirsuta, tubo cylindrico basi -
gibbo limbo sesquilongiore laciniis oblongis, genitali-
bus breviter exsertis glabris.
: Nippon: alpe Nikko (flor., Tanaka sub nom. jap.
Kuromino uguis, ex quo nomine fructu nigro gaudere
videtur).
E nostratibus nulli, ex indicis Z. tomentellae Hook.f.
et Thoms. (Hook. f. ‘FL Brit. Ind. III, 12) affinis,
-quam tamen non vidi. Ex descriptione brgriore omnes
partes similes et subaequimagnae videntur, praeter
bracteas subulatas, nec anguste oblongas, bracteolas
totum calycem tegentes, nec breves, et calyces liberos,
nec in fructu coalescentes.
Ramulus communicatus 75 mm. longus, cortice
_vetusto laevi glabro nigrescente, innovationibus instruc-
tus 2, altera basali brevi, altera terminali 25 mm.
longa, utraque florifera. In hac foliorum paria 6 et 2
juvenilia. Folia maxima (terminalia) 30:20 mm.,
petioli 2 mm. Pedunculi 4 mm. vel breviores, Calyx
2 mm., corolla 10 mm.
Lonicera gracilipes Miq. var. glandulosa. Calycis
tubus densissime, pedunculus parcius pilis capitatis
tectus, corollae tubus extus pilosus, stylus pilis paucis
obsessus, petioli foliaque subtus ad costas appresse
pilosa.
Nippon media (f. mis. Tanaka s. nom. jap. Ugu-
isu kagura).
In forma typica folia vulgo glabra, calyces et pedun-
culi rarius passim pilo capitato uno alterove instructi, et
folia vulgo minora; in var. proposita maxima 75 : 50 mm.
et petiolus 8 mm.
59 Bulletin de l’Académie Impériale | 60
Diervilla Tourn.
Species asiaticae.
Calycislimbus2—3-partitus laciniis2—3-lobis,
corolla lutescens, antherae sub stigmate cohae-
rentes, semina lanceolata apice basique lon-
HORS der D Gels «1 D. Middendorffiana Carr,
Calycis limbus aequaliter 5-fidus v. 5-partitus,
corolla alba rosea y. fuscorubra, antherae li-
berae. 2.
2. Laciniae calycis lanceolatae, corolla rosea,
semina triquetra exalata .............,..... D, florida $. Z.
Laciniae calycis lineares, semina alata. 5.
3. Corollae tubus e basi cylindrica subito late
infundibuliformis. 4.
Corollae tubus aequalis anguste infundibuli-
formis fuscus v. initio virescens cum ovario
et calyce pilosus, folia villosa,............. D. floribunda S. Z.
4. Glabrescens elata macrantha, corolla initio
Inctéa tumrOSBg.. 4.40. tione sh ésie evene D. grandiflora $. Z.
Pilosa, corolla rosea...................... D. japonica DC.
1. D. Middendorffiana Carr. Rev. hortic. 1853,
306. 1854, 261, t.14. Van Houtte, FI. d. serr. XI.
t: 137: S Moofre in Journ. bot. 1878, 129 (var.
Maximowiczii $S. Moore). Ca Lstecatiosa Midd.
Trautv. et Mey. in Bull. phys. math. Acad. Pétersb.
XIII, 220. F1. Ochot. n. 162, t. 25 a. et b. Rgl. Til.
F1. Ajan. n. 143. Rgl. Gartenfl. 1857, t. 183. Maxim.
FI. Amur. n. 350. F. Schmidt. F1. Amg. bur. n. 186.
F1. Sachal. n. 208. Wagneria Midd. Verschaff. in
Il. hortic. 1857, t. 115.
Sibiria austroorientalis: circa Ajan (Tiling), ad
sinus Mamga et Ujakon (Middendorff), ad ostium
fl. Tugur (Orlow); Mandshuria borealiorientali: mon-
tibus Uda et Oghobi prope Nikolajevsk, circa De
Castries; ins. Sachalino vulgaris supra terminum
Coniferarum (Glehn, F. Schmidt), ÆKurilis (flor.);,
Nippon: alpe Nikko (Tschonoski, Bisset!).
2, D. florida Sieb. Zucc. F1 Jap. I, 75 (1835).
Carr. Rev. hortic, 1853, 309. Hance in Journ. linn.
soc. XIII, 81. Calysphyrum floridum Bge Enum. Chin.
n. 196. Weigela rosea Lindl. in Journ. hort. soc. I.
(1846), 65, t. 6. Bot. mag. 4396. V. Htte. FI d.
serr. IT, 211. D. rosea Walp. Ann. I, 365. Franch.
PI. David. I, 151. Weigela pauciflora D C. et W. florida
DC. in Ann. se. nat. 2 ser. XI, 241. Calysph. paucifl.
Bge in Walp. Repert. Il, 450. Dierv. paucifl. Carr.
Rev. hortic. 1853, 310. D, amabilis Carr. ibid. 305.
Planch. in V. Htte. F1. d. serr. VIII, 287, t. 855.
Bot. mag. 4893.
China borealis: Pekini in hortis tantum (Omnes
coll.), in montib. occidentalibus (Bretschneïder),
Jehol, in sylvis vallium altiorum (David!), Tschifu
(Wawra! n. 1198), China media (Fortune! À. 25);
| Korea (Schlippenbach!), archip. Koreanus (O1dh.!
n. 490), Mandshuria austroorientalis: sinu Possiet ad
| declivitates rupium littoris frequens, portu Bruce simi-
li loco (ipse, frf.), ad fl. Sedemi in rupibus rarius
(Jankowski, fl).
Planta nonnibil variabilis. Illa e Korea et Mand-
shuria, ad typum pertinens calyce 5-fido, densius, in-
terdum etiam ad fructum, pilosa, filamenta basin versus
pilosa habet ut typica, sed pili densiores et longiores.
Spec. ex archip. Koreano Oldh. n. 490, a Miquel ad
D. versicolorem ductum, mihi huc pertinere videtur ob
folia concolora longius pilosa, qualia pl. koreano-mand-
shuricae propria, calyces limbi enim jam caduci.
D. amabilis Carr. typo simillima, at speciosior,
calycis limbo 5-partito laciniis linearilanceolatis di-
versa, quoad patriam dubia, mihi videtur var. grandi-
flora D. floridae et ob flores majores potius e borea-
lioribus locis orta, fortasse ex hortis Pekinensibus.
Ludit fl. albis: Weigela alba Carr. Rev. hortic.
1861, 331, ex ipso autore tantum varietas dicta.
W. Isalinae V. Htte. F1. d. serr. XIV, t. 1445.
Occurrit in hortis Belgii corolla alba roseostriata
(W. amabilis striata V. Htte 1. c. t. 1446, calycis
limbus 5-fidus) et limbo aÿbo lobo altero roseo.
Semine majusculo exalato triquetro dense impresso-
punctato optime ab omnibus diversa.
Planta ex Chinae prov. An-whei sub nomine D,
Japonicae a Hance in Journ. of bot. XX, 289 memo-
rata, mihi ad D. floridae var. amabilem ducenda videtur,
quia a Hanceo a D. versicolore $. Z., quam a mee
Japonia acceperat, non distinguenda dicitur.
3. D. grandiflora $. Z. FI. Jap. I, 71, t. 31. D. co-
raeensis DC. Prodr.IV, 330. Weigela cor. Thunb. in :
Acta linn. II, 331. et fig. ined.! XKorei utsugi. Kaempf.
Amoen. 855. Icon. ed. Banks, t.45. D. japonica Miq.
Prol. 157 p. p. À. Gray, Bot. Jap. 392 p. p. et —
syn. W. roseae.
Nippon: Simoda (Alexander!, Yolkin), Hakone 4
(Siebold!, Buerger!), Yokoska (Savatier! n. 549),
Yokohama, in fruticetis frequens, Tokio culta (ipse), .
is circa dmnoer frequens et luxurians dub
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
6?
Frutex 4—15-pedalis truncis pluribus brachii cras-
sitie, macrophyllus, dense frondens, quam sequens
minus speciosus ob frondem neque flores sub anthesi
praevalentem. Pedunculi longiuseuli vulgo distincti.—
Legi semel in littore limoso plantulas biennes tripolli-
cares jam floriferas!
Nomen D. coraeensis inaptum, quia species e Korea
non innotuit, Kaempferum vero hanc Korei utsugi
nominasse ex falsa interpretatione char acterum sinen-
sium demonstra vit Siebold 1. c. 73.
4, D. japonica DC. Prodr. IV, 330. Miq. Prol.
157, excel. syn. plerisque. Weigela jap. Thunb. FI.
Jap. 90, t. 16. et in Act. linn. IT, 331. Act. holm.
1780, 137, t. 5 (ex DC.). Nippon utsugi, Kaempf.
Am. 855 (verosimiliter). D. hortensis $. Z. F1. Jap. I,
70, t. 29, 30, 33, £ 2.
Japonia in montanis: Kiusiu prope Kuma-moto in
fruticetis montium, Nippon: Fudzi-yama sylvis vetustis
lateris continentalis (ipse), Hakone (Moseley!}, Yo-
kohama, rara (ipse), Nambu (Tschonoski), Yezo
circa Hakodate (ipse).
É A proxima D. grandiflora $S. Z. in vivo statim distin-
À GTR
dE A
guenda: frutex minor (5-pedalis), folia quoque minora
subtus saltem dense pubescentia v. villosa, flores nu-
merosiores, corolla minor ab initio rosea, pedunculi
(non obstante tabula fl. Jap.) vulgo fere nulli, sed oc-
_ currunt aequilongi ac in praecedente et usque 7-flori,
quod obvyenit praesertim in planta culta, quae simul
_ folia subtus canescentivillosa habet et veram sistit
D. hortensem S. Z. (Blume misit!).
7 Haec var., D. hortensis $S. Z., praesto est culta e
Japonia (Buerger, mis. Miquel s. nom. D. floribundae
_ var. hortensis), pariter culta e Nagasaki et Yokohama
_ (ipse, varians /?. albis) et sponte crescens ad Yokohama
fl. roseo (ipse), e Yokoska (Savatier n. 548 s, n.
D. floribundae).
PE 5. D. floribunda $S. Z. FI, Jap. I, 73, t. 32. Miq.
= Prol. 157 (excel. syn. D. hortensis $. Z.). Carr. L c.
307. D. versicolor 8. Z. 1. c. 74, t. 33. fig. 1. excl.
syn. D. multiflora Lem. IL. hortic. X (1863) t. 380.
Japonia (Siebold!, Blume!): Nagasaki, culta,
Kiusiu interiore in fruticetis planitiei prope Miadzi
_ (ipse).
D.multiflora Lem. sistit hujus formam genitalibus,
nn stylo, paulo magis exsertis.
À. Gray (Bot. Jap. 392) iconibus tantum fultus
conjunxit 1). floribundam S. Z. et D. hortensem S. Z.,
equidem comparatis exemplis authenticis priorem et
D. versicolorem $. Z. In hortis vero sub nom. D, ver- .
sicoloris habere solent D. japonicam, conf. Carr. Rev.
hortic. 1853, 305.
Adina globiflora Sal. Parad. Lond. t. 115. Benth.
FL. Hongk. 146. Maxim. in Engl. Bot. Jahrb. VI, 67.
Kiusiu: prov. Satsuma prope Kago-sima, prov.
Osumi, sponte crescens, arborea, jap. Tani watarinoki
(Tashiro!), China: Hongkong (Fortune! n. 119,
Wright!, Forbes!)
Randia canthioides Champ. Maxim. in Mél. biol.
XI, 791.
Hucusque e Hongkong tantum notam, nune in ins.
Liukiu detexit Tashiro, flor. Majo.
Diplospora viridiflora DC. Prodr. IV, 477. Benth.
in Kew journ. IV, 195. F1. Hongk. 157.
Liukiu (Tashiro! s. nom. jap. Koffi modoki fr. juv.)
China: Hongkong (Wright!, Hance!, Forbes!), col-
libus Pakwan supra Canton (Hance!).
Psychotria elliptica Ker. Maxim. in Mél. biol. XI,
797. et in Engl. Jahrb. VI. 67.
Liukiu (Tashiro!). |
Hujus synonymon est, fide Tashiro, Aucubaephyl-
lum liukiense Ahlburg in Bôt. Zeit. 1878, 113, cu-
jus descriptio nimis incompleta non nimis contradicens,
exceptis tamen «petalis» patentibus caducis (nec co-
rollae tubo brevi obconico), filamentis 4 disco (nec
5 tubo) insertis et stigmate 5-partito (nec 2-lobo). Anne
hae differentiae partim errores typographici v. gr.
staminum et stigmatis loborum numerus, partim for-
tasse male observatae?
Lasianthus Wallichü Wight. Maxim. in Mél. biol.
XI, 797
Liukiu: insulis O-sima et Okinawa (Tashiro! fl. et
cum alab, s. nom. jap. Maruba ruriminoki).
Glossocomia Don.
Duae species in Asia orientali crescunt, inter se
persimiles et saepissime confusae, verumenimvero signo
gravi optime distinctae:
1. G. lanceolata S. Z. F1. Jap. I, 174, t. 91) sub.
Bulletin de l’Académie Impériale
64
Campanumoea) Major, foliis margine setulosis ceterum
glabris v. rarissime parce pilosiusculis, corolla late
_infundibuliformi-campanulata fundo corollae inter sta-
mina quinquangulo, seminibus late alatis opacis lac-
teis. Miq. Prol. 123, 359, 366. G. hortensis Rupr.
in Bull. phys. math. Acad. Pétersb. XV, 209. Tsuru
ninsin, Thunb. F1. Jap. 353. pl. incert. n. 21.
Per totam Japoniam frequens, in Mandshuria
australiori, v. gr. ad Usuri medium, lacum Hanka,
circa Wladiwostok; China boreali: in montanis cirea
Pekin, v. gr. Takiosze, monte Po-hua-shan cet.
2. G. ussuriensis Rupr. et Maxim. in Bull. L c.
Minor, foliis margine setulosis subtusque saepe pilo-
sulis, corolla angustius infundibuliformi-campanulata
fundo inter stamina quinquefossulato, seminibus apte-
ris lucidis brunneis. Maxim. FI. Amur. 184. G. lan-
ceolata Rgl. F1, Ussur. n. 316. Ba sobu, Itô Keiske,
Nihon san budz shi, Mino, III, 9,
Nippon media (Tschonoski): Fudzi yama (Itô
Keiske), Hakodate (ipse), Mandshuria, in desertis
graminosis sylvisque frondosis lucidis frequens, ad
Amur australem, totum Usuri f., ad fl. Suifun et us-
que ad limites Koreae,
Scaevola Koenigi Vahl, Symb. III, 36. Clarke in
Hook. f. FL Brit. Ind. III, 421. Hance in Journ.
bot. IX, 202. Engl. in Bot. Jahrb. VI, 68. Sc. Lo-
belia Benth. FI. Hongk. 198.
… Liukiu (Doederlein fide Engler), Bonin-sima
(Wright! frf., Yatabe! fl. s. n. Kusa tobera i. e. Pit-
tospori herbacei); China: Hongkong (Wright!), Prata
island (Hance). Distrib. ad littora tropica utriusque
orbis.
Vaccinium lasiodiscus. (Sect. Æuvaccinium, ser. fl.
solit. axillaribus, À. Gray, Syn. fl. N. Am. IL, 1. p. 24).
Ramulis obtuse angulatis, novellis fiiformibus divergen-
tibus cum foliis subtus pedunculo totoque flore minute
hispidulopuberulis, foliis parvis membranaceis 1-ner-
viis laxe reticulatis sessilibus linearilanceolatis acutis-
sime acuminatis versus basin obsolete crenulatis; pedun-
culis axillaribus bibracteatis flore brevioribus defloratis
nutantibus, bracteis linearibus membranaceis ciliatis,
calycis cum pedicello articulati tubo hemisphaerico
dentibus 5 acute deltoideis duplo brevioribus, corolla
rt
urceolata ovali breve 5-dentata dentibus deltoideis |
patentibus, staminibus 10 filamentis subulatis ultra
medium villosis antheram superantibus, anthera mu-
tica loculis quam tubuli antice poro obliquo aperti
duplo brevioribus, stylo tubum corollae fere aequante
cylindrico disco tumido dense hispido umbonato im-
posito, ovario 5-loculari.
Japonia: sine loci specialis designatione s. n. jap.
Sunoki (variis Vacciniis communi) misit spec. 1. fl.
Tanaka.
Species sui juris, ex prima fronte Chiogeni hispi-
dulae non absimilis, a speciebus americanis jam fila-
mentis villosis diversa, neque ulli aliae descriptae apte
associanda.
Ramus missus, a crassiore abruptus, 14 cm., bis
dichotomus, dichotomia secunda novella cum ramulo
novello accessorio infra dichotomiam unam. Folia in
sicco nigrescentia, internodia duplo superantia, 12 : 4
mm. ad summum magna. Flores ex omnibus axillis
ramulorum innovantium inde a basi ipsa orti, folia
aequantes, Bracteae varia altitudine pedunculo in-
sertae, mox utraque approximata, mox pl. m. remota,
cito post anthesin caducae. Calyx 1,5 mm., corolla
6 mm. longa.
Vaccinium praestans Lamb. in Trans. linn. soc. X,
264, t. 9. Ledeb. FL. Ross. II, 904. F. Schmidt,
FI, Sachal. n. 285. Maxim. FI. Amur. 187. Zwatsu-
tsusi. Ito Keiske, Nihon shioku buts dzu setsu, I, 6
(fig. opt.).
Nippon: prov. Senano sub nom. Iwa tsutsusi i. e.
azalea rupestri mis. frf. Tanaka.
Sachalin; Mandshuria borealiorientali a sinu Hadshi
usque ad Nikolajewsk; et e Kamischaïtka.
Rhododendron Tashiroi. (Eurhododendron). Innovatio-
nibus (foliis vix erumpentibus superne) rufosetosis mox
glabratis, gemmae floriferae acute ovoideae setosoto-
mentosae triseriatim imbricatae tegmentis ovatis post
anthesin caducis, foliis apice ramulorum subternis co-
riaceis dstolé bus utrinque tenue subquadricostatis
superneque impresse reticulatis laevibus glabris brevi-
petiolatis ellipticolanceolatis subito breviter acumina-
tis; floribus 2—3 umbellatis, pedunculis brevibus
inclusis ebracteatis calyceque brevissime 5-dentato ru-
fosetosis, corolla late infundibuliformi profunde 5-fida
laciniis oblongis, genitalibus glabris, stylo stamina
10 paulo superante corollam fere aequante, ovario
ovoideo rufostrigoso 5-loculari.
Tum innotuit e
nat. PCR
CAE OT EL. P ho n ne ff
PÉTER EN ST PR SOS DENTS Ve Es ET
es
ce
ME
65
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
In Japoniae australis ins. Tanega-sima (Tashiro!
flor.) et fortasse in Läukiu ins. O-sima, (Doederlein,
sterile) si recte ex memoria huc refero «Rh. spec. ex
affin. FA. ovati, sed pube setosa distinctum» Maxim.
in Engl. Bot. Jahrb. VI, 64.
Nulli e descriptis apte comparandum! Habitu non
tam Æurhododendri quam Tsusiae, cui lubentius adnu-
merarem et quam in mentem vocat foliis diminutis
(3—10 mm. longis) paucis ad basin gemmarum folii-
ferarum, sed gemmae floriferae perscrutatae minime
folia novella sed tantum flores fovebant et unicam in-
veni ubi extus arcte approximata aderat gemma pro-
pria angusta, e qua folia novella erumpere incipiunt.
Ita absque dubio ad Eurhododendra pertinet. Quoad
folia ad Eh. ovatum PI. paulo accedit, modo crescendi
in mentem vocat Rh. Seniawini m. (inter Tsusias).
Foliorum lamina inter 20 :13 ad 65:26 mm., ple-
rumque 50:20 mm., petioli 2—7 mm. Peduneuli
7 mm., corolla 25 mm. longa eodemque fere diametro,
colore ignoto. Antherae ôchraceae 1,5 mm., poris ro-
tundis majusculis. Stigma subtruncato-capitatum ob-
solete 5-lobum margine tenui elevato circumdatum.
Rhododendron pentaphyllum. (Sect. Azalea, ser. 1. Ma-
- xim. Rhodod. 25). Elatum ramosissimum, foliis e gem-
mis propriis ad basin floriferae sitis, apice ramorum
per 5 approximatis et patentibus late ellipticis basi
breve in petiolum cuneatis apice acutis juvenilibus su-
perne secus costam tenere puberam margineque cine-
reopilosis adultis glabris utrinque subtus prominulo-
_ 6-costatis reticulatisque; floribus praecocibus solitariis
e gemma ortis ejusque tegmentis sub-5-seriatim imbri-
catis fultis, pedunculis exsertis calyceque 5-dentato
. (dentibus deltoideis acuminatis) glabris; corolla rotato-
campanulata 5-partita laciniis obcordatis purpurascen-
tibus concoloribus, staminibus 10, ovario glabro.
he Kiusiu: prov. Osumi, cacumine m. Taka-kuma
(Tashiro fl.)
A Rhod. quinquefolio Bisset et S. Moore in Journ.
bot. XV.292, ex descriptione persimili, a me non viso,
_ abhorret tamen sectione diversa, floribus non coaeta-
_ neis, tegmentis intimis extima triplo excedentibus
margine dense albociliatis, foliis non rhombeis, pedun-
_ eulis vix mediam corollam (nec folia adulta 3—4 cm.
longa) aequantibus, corolla duplo majore. Ipsi autores
_tamen de sectione dubitant.
. Tome XXXI.
Spec. ante oculos 1 florens aphyllum, aliud sterile
cum innovationibus valde juvenilibus Gemmae flori-
ferae anguste oblongae tegmentis duplo latioribus et
majoribus quam illa gemmarum folliiferarum, quae
linearioblonga sunt. Folia adhuc omnia convoluta, sed
explicata late elliptica. Pedunculi bracteis 2-—3 linea-
ribus fuscomembranaceis fugacibus cbsessi. Corolla
diam. 5—7 cm.
Lysimachia Tanakae. (Sect. II. Lysimastrum Duby).
Reptans, praeter folia superne rufovillosa, foliis oppo-
sitis petiolis laminam cordatorotundatam apiculatam
| dense ciliatam subtus crebre nigrolineolatam aequan-
tibus; peduneulis axillaribus folio brevioribus erectis,
calycis 5-partiti laciniis oblongis obtusiusculis elineatis,
corollae fere ad basin 5-partitae laciniis oblongis ver-
sus apicem parcissime lineatis, staminibus triplo bre-
vioribus glabris filamentis ad medium connatis late
subulatis, ovario parce piloso, stylo glabro corollam
fere aequante.
Nippon austroorientali: prov. Kïï, japonice Miyama
konasubi (Tanaka, fl.).
Proxima L. Christinae Hce in Journ. bot. XI, 167
a nostra differt glabritie, foliis immerse lineolatis, pe-
duneulis folia aequantibus, calyce corollaque crebre
lineolatis, staminibus duplo corolla brevioribus, fila-
mentis glandulosis. ZL. Nummularia L. magis distat
foliis brevipetiolatis rotundatis, pedunculis brevibus,
calycis corollaeque laciniis ovatis, filamentis basi con-
natis glandulosis et glabritie.
Spec. missum spithamaeum apice radicans, caule
filiformi. Internodia laminas foliorum duplo superan-
tia. Calyx 5,5 mm., corolla lutea 10 mm. longa,
stylus cum ovario 7 mm.
Samolus floribundus H. B. Kth. Enum. II, 181.
Duby in DC. Prodr. VIII, 73. S. Valerandi var.
americanus À. Gray, Syn. fl. N. Am. II, 1, p. 64.
Yezo, s. n. jap. haï hamabossu fl. c. fr. misit R. Ya-
tabe, ex quo provenit etiam in Nippon prov. Kadzusa
(ex adverso Yokohamae sita). Distrib. per Americam
utramque a Connecticut! et California australi! ad
Chile! et Argentinam!
Specc. japonica 4 missa in americana pernumerosa
comparata optime quadrant, sed omnia ex axillis radi-
cantia, quod tantum in californicis et borealiamerica-
nis rarissime observavi. Species a $. Valerandi levio-
5
67
Bulletin de l’Académie Hmpériale
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ribus quidem signis, sed constantibus distincta et tran-
situs uullos vidi: racemus laxior oliganthus, bracteo-
lae minutae, folia subavenia tenuiora, flos duplo minor,
petala capsulaque calycem parum superantia, Lies
cell graciliores longiores recti, neque saepissime ad
bracteolas sursum geniculati.
Diospyros Oldhami. (Æudiospyros A. DC.) Omnibus
partibus praeter costarum folii axillas subtus barbatas
demum nudas glaberrima, foliis membranaceis ovato-v.
rite ellipticis basi obtusiusculis v. acutis apice acumi-
natis, floribus à subternis racemosis petiolum sub-
superantibus, calyce campanulato 4-lobo lobis ovatis
breve acuminatis, corolla calycem triplo superante ur-
ceolatocylindrica 4-dentata dentibus rotundatis, sta-
minibus 16 pluriseriatis, ovario minuto truncato gla-
bro, floribus ©...
Formosa: Tamsuy (O1dh.! n. 36 s. n. «Ternstroe-
miaceae n. gen.?» flor. incip.).
Conferenda cum D, chartacea Wall, quam non
vidi, ceterum primo aspectu similis D. Loto L., seû
partibus floris glaberrimis et structura diversis dis-
tincta.
Parsonsia spiralis Wall. DC. Prodr. VIII, 402.
‘Hook. f. FI. Brit. Ind. IIT, 650. Heligme javanica
A. DC. I. ce. 425.
Liukiu: in rupibus scandens (Small! «flores vi-
rescentilutei»), ins. Okinawa (Tashiro!). Distrib.
China, Ceylon!, India trans Gangem et cis Gangem
in Silhet et Deccan, archip. Malaicus.
Buddleia Lindleyana Fort. Maxim. in Mél. biol.
X, 674.
Liukiu: (Tanaka). Raliquis stationibus 1. c. adde:
Shanghai (Forbes). |
Erythraea japonica. (Sect. III, Spicaria Gris.). Caule
stricto superne ramoso, foliis ovaliellipticis basi ro-
tundatis apice obtusis, floralibus parum diminutis su-
perioribus ellipticis acutiusculis, cymis spiciformibus
basi dichotomis, floribus omnibus brevissime pedicel-
latis 5-meris, corollae tubo infra stamina sito calyce
breviore, parte supra stamina limbi lobos oblongos ob-
tusos aequante, staminibus ad loborum basin attingen-
tibus, antheris oblongis filamento fere triplo breviori-
bus, seminibus seriatim areolatotuberculatis.
Liukiu: insulis O-sima et Okinawa, in maritimis
(A. Tashiro).
Affinis Æ. spicatae Pers., quae differt foliis florali-
bus diminutis linearilanceolatis, caulinis acutiusculis,
tubi corollini parte infra staminum insertionem plus
duplo illam supra stamina, hac limbum superante, an-
theris plus duplo filamento longioribus dimidias corollae
lacinias attingentibus, floribus sessilibus.
Usque 30 cm. alta, basi aphylla, a medio ramosa.
Folia caulina maxima 28 : 13 mm., floralia 8 : 3 mm.
Calycis 9 mm. fere ad basin partiti laciniae lineares
acuminatae, Corolla 13 mm. Semina immatura 0,2 mm.
Adnot. E. centaurioides Hook. Arn. Bot. Beech.
266. cum syn. Chironiae cent. Roxb. FI. Ind. I, 584.,
e Liukiu, mihi ignota. An eadem ac Æ. Roxburghü
G. Don Gen. syst. IV. 206 in Hook. f. F1. Brit. Ind.
IV, 102, ubi tamen de distributione ultra Zndiam
nulla mentio facta est?
Pterygocalyx volubilis Maxim.
Yezo (Tanaka, japonice: hosoba tsuru rindou).
Distrib. Mandshuria.
Ex Clarke in Hook.-f. FI. Brit. Ind. IV, 106.
Crawfurdiae subgeneri ejus Dipterospermo adscribenda
esset, sed a speciebus tribus indicis enumeratis jam
foliis membranaceis angustis et corolla eplicata differt.
Ophelia Tashiroi. Glaberrima annua vel biennis, foliis
1-nerviis ad vaginas nudis, inferioribus petiolatis ob-
longoellipticis acuminatis, summis brevissime petiolatis
anguste ovatis, caule robusto tereti apice in paniculam
pyramidatam linearibracteatam laxissimam soluto, flori-
bus majusculis paucis pedicello apice incrassato bre-
vioribus 5-meris, calycis lobis deltoideis, corollae par-
titionibus oblongolinearibus acuminatis media longi-
tudine macula obscura leviter biloba nuda instructis,
filamentis subulatis, capsula ovoidea apice attenuata
petala aequante, seminibus numerosis triquetris mu-
ricatis.
Kiusiu: prov. Osumi, japonice Hetsuka rindo (Ta-
shiro, Octobri fructif., fl. ult.)
Habitus peculiaris et characteres ab alis Opheliis
diversi. In alabastro 7 mm. longo maculae epipetalae
vestigium nullum, adest tantum in flore adulto (14 mm.
longo) nec ibi bene expressa: colore obscuriore et ma-
culis minutis hieroglyphicis v. vermicularibus obscuris 4
plurimis picta a reliqua lamina tantum distincta. Fo-
liorum paria 4—5, maxima fere 6 poll. longa, 3—3%,
poll. lata, e quibus inferiora 3—4 basi caulis conferta,
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
70
par unum in medio caule, reliqua jam bracteiformia
angusta.
Ophelia a Swertia habitu optime, characteribus vero
vix ullis diversa, recte fortasse a Benthamio cum
Swertia juncta est, nam characteres boni constantes
non adesse videntur, ne in semine quidem. Examinavi
_semina in omnibus ubi matura observare contigit et
inveni laevia in Ophelia macrosperma m. (Clarke),
Chirata Gris. et purpurascente Don, Swertia multicauli
Don et Pleurogyne carinthiaca Gris., tuberculata
in Ophelia florida Don, nervosa Gris., zeylanica Gris.,
bimaculata $S. Z., Swertia Schimperi Gris., alulis
crispulis subparallelis numerosis tecta in Swertia
lactea Bge et petiolata Royle, late alata in Sw.
perenni L., iberica Fisch. et speciosa Wall. In nulla
tamen tam acute muricata observavi quam in nostra.
Ipomoea pes caprae Sw. DC. Prodr. IX, 349.
Benth. FI. Hongk. 238.
Japonia: in maritimis prov. Idzu, ins. Hatsisjô, ins.
Kiusiu prov. Hiuga et Osumi, insulis Tanega-sima,
Yakuno-sima, Yerabu-sima, Sitsitô; Liukiu (ex Tashi-
ro, jap. gun bai hirai gawo), Bonin-sima (Yatabe!
nom. utshiwa kadsura); China: vidi e Formosa et ins.
Hainan (Hancock!). Tum in tropicis fere ubique.
Ipomoea reptans Poir. DC. Prodr. IX, 349.
Liukiu (Wright!), China: circa Pekin culta in
paludibus et locis siccioribus, folia sistunt olus sapidum
(Bretschneider!). Per tropicos usque in Africam.
Formae duae: microphylla latifolia flore roseo, an
spontanea? (a Wright lecta) et macrophylla angusti-
folia albiflora (culta pekinensis). A plerisque autoribus
flores quidem rosei dicuntur, Rheede (Malab. XI,
107) intus albos extus purpurascentes describit, sed
in libris sinicis (ex Bretschn.) planta in China diu
culta v. in nonnullis étre spontanea albiflora
dicitur. £
_ Ipomoea insularis Steud. Pharbitis insularis Choisy
… Conv. or. 57. DC. Proûr. IX, 341.
Nippon australi: prov. Kü, Xiusiu: prov. Satsuma
__ (Tashiro!), Liukiu: ins. O-sima (Wright!).
. Choisy radicem annuam dicit, nostra planta vero.
- ab A. Gray in scheda Wrighti ita nominata, planta
robusta perennis radice crassa elongata, caule tenaci
di _pilis parcis appresse piloso, foliis non cinereopubes-
sale corolla alba ni dr coerulea. In Japonia
a Tashiro praesente certe spontanea dicitur. Dubitare
licet igitur, anne nostra et Choisyana (ex Polynesia
orta) re vera conspecificae sint.
Ipomoea hederacea L. Syst. XV, 207. Turez. En.
Chin. n. 147. Pharbitis hederacea Choisy, Conv. or.
58. DC. Prodr. IX, 344. I. triüloba Thunb.! FI. Jap.
86., Icon. ined.—nec L. Pharbitis tr. Miq. Prol. 25.
Fr. Sav. En. I, 330. Ph. Ni Bge. Enum, n. 258.
nec Choisy. Sieb. Zucc. F1. Jap. fam. nat. n. 509.
Ringo vulgo Asagawo Kaempf. Am. 856. Asagao. Soo
bokf. IV, 18.
Japonia: Kiusiu in fruticetis littoralibus(Buerger!),
Yokoska saepe culta et hinc quasi sponte (Savatier),
Yokohama, culta (ipse), China: cirea Pekin, ad vias
in planitie et montibus perfrequens (Dr. Bretschnei-
der!). In Zndia vulgaris ct ubique in tropicis et sub-
tropicis occurrere dicitur.
I triloba Thunb. certe ab I. hederacea non differt,
nam radix, a Thunbergio quidem non collecta, etiam
annua, ut patet e specimine in ejus herbario, in icone
linedita delineato, ubi cotyledones adhuc persistunt.
Radix perennis tuberosa autem de qua loquitur ad
praecédentem speciem spectat, ab incolis etiam Asagawo
appellatam. Reliqui characteres autem identici.
I. hederacea 1. aegre distinguitur a specie sequente,
quacum jungitur a Clarke (in Hook. f. F1. Brit. Ind.
IV, 199): foliorum lobo terminali saepissime basi atte-
nuato (neque dilatato), pedunculis tenuibus brevibus
1-floris (neque crassis elongatis saepe 3-floris) et co-
rolla minore. Sed adest signum constans in seminum
colore nigro (unde sinice Koku tsin) in Z. hederacea,
albo (sinice baku tsin) in Z. Ni Roth, ut ipse vidi in
specc. a Dre Bretschneidero e Pekino missis.
Folia plantae japonicae interdum ad nervos pallidius
maculata.
Species a hortulanis Japonensibus in deliciis habita,
cultura diutina mirum in modum variabilis facta est,
quam forma foliorum tam indole forum. Folia occurrunt
tripartita lobis longe acuminatis, saépe iterum fissis
in lacinias lineares. Corollam vidi 5-petalam petalis
ex ungue filiformi spathulatis et alio modo diversissime
monstrosam, de quibus monstrositatibus tractant opera
duo ARRETE cum multis figuris.
Vera I. Nil Roth Catal.I, 36. Convolv. Ni L. Cod.
1225. Pharbitis Nil Choisy, Conv.or. 57. DC. Prodr.
5*
71 Bulletin de l'Académie Impériale 72
IX, 343, ex Choisyo in tropicis ubique crescens,
Pekini culta (Bretschn.!, Tatarinow!), seminibus
albis ab I. hederacea distinguitur.
Species delenda.
Ipomoea kadsura Ch. Conv. or. 93. DC. Prodr.
IX, 388. Thunb. FI. Jap. 350. pl. obsc. n. 6. sub
Convolvulo, Karami kadsura, Saisin, e genere et familia
excludenda et ad Cocculum diversifolium Miq. ducenda
videtur.
Solanum verbascifolium I. Cod. 1456. Dunal in
DC. Prodr. XIII, 1, p.114. Hook. Arn. Bot. Beech.
202.
Liukiu (Tashiro!)}, China australi (Hook. Arn.!):
Formosa (Oldh.! n. 341), Hainan (Hance!) et per
tropicos.
Cupsicum frutescens L. Cod, 1499. Dunal I. c. 413.
Osbeck It. 177. Lour. FI. Coch. 158.
Bonin-sima (Yatabe! frf.), China: circa Canton
cultum (Osbeck). Vidi praeterea ex India (Wallich!
n. 2642), San Jago capitis Viridis (Jaeger!) etc.
Physalis peruviana L. Cod. 1451. Dunal in DC.
Prodr. XIII, 1, p. 440. Clarke in Hook. f. F1 Brit.
Ind. IV, 238.
Bonin-sima (Yatabe, japonice Budô hôdzuki). Ex
America tropica orta inter tropicos ubique distribnta
culta et spontefacta.
Physalis minima L. Cod. 1454. Dun. I. c. 445.
Clarke I. c.
Japonia: circa Yokoska locis cultis (Savatier!),
Nagasaki in fruticetis ad Akano-ura (ipse). Distrib.
India!, Africa! et Australia! tropicae.
Specc. Savatieri integrifolia, mea foliis subcor-
datis dentatis, plerumque simplicia macra v. ramosa
ultra pedalia. Corolla parva, ex vivo sh aperte
campanulata, antherae luteae.
Pentstemon frutescens Lamb. in Trans. linn. soc. X,
259, t. 6. fig. 1. Ledeb. FL. Ross. III, 222. Bentham
in DC. Prodr. X, 321. À. Gray, Syn. fl. N. Am. I,
1, p. 261,
Yezo: monte Kumaga-take, japonice Iwa bukuro
(mis. Yatabe), Kamischatka!, Sibiria orientali prope
Ochot:k (Kruhse! ex quo ludit flore azureo et albo),
America, ad oras borealioccident. (Lewis): Unalaschka
(Pallas! quo teste flos lilacinus).
|'appendice staminum filiformi.
Specc. duo missa japonica reliquis magis microphylla
et angustifolia.
Torenia setulosa. (Sect. Nortenia Benth. in DC.
Prodr. X, 409). Pilis subulatis rigidis ad caulem parce,
ad Sets costas folii subtus laminamque superne,
ec non ad calycis dorsum setulosa, a basi ramosa,
foliis brevipetiolatis ovatis v. superioribus cuneato-
ovatis obtusis a medio pauciserratis, pedunculis axilla-
ribus fructiferis calycem plus duplo superantibus,
calyce ab initio profunde 5-partito laciniis subulato-
linearibus costatis costis 3 in pedunculum decurrenti-
bus, corolla calyce sesqui tuboque longiore, appendi-
cibus staminum anticorum brevibus capitellatis, cap-
sula calyce vix breviore oblonga utrinque breve atte-
nuata.
Nippon: prov. Ki, in m. Natshi-san, japonice Shisobo
urikusa (Yatabe).
Aspectus Vandelliae scabrae Benth. atque magnitudo
partium fere eadem, flores axillares nec racemosi et
calyx ab initio partitus etiam Vandelliae, sed calycis
reliqua structura, nec non stigma bilamellatum Toreniae,
hinc recte am. Hance (in Ann. sc. nat. 4 ser. XIV)
priorem posterioris sectionem declarasse videtur. Aff-
nis 7. parviflorae Ham. (cf. FI. Brasil, XV, t. 59,
cum analysi mala), quae differt glabritie, floribus spu-
rie ex axilla racemosis, calyce sub anthesi 5-lobo,
T. ramosissima Vatke
iisdem fere signis, tum pube molli copiosiore, calycis
laciniis dorso alatis distat.
Veronica Stelleri Pall. in Willd.hb. Led. F1]. Ross.
III, 247. DC Prodr. X, 481. Cham. et Schlecht.
in Linnaea, II, 557.
Nippon: alpe Hakusan, japonice Hime Kuwagata | #
(R. Yatabe);, Sachalin: valle fl. Nituinai et ad ripam
fl. Plyi (Mitzul!); Kamtschatka (Merk!, Peters!):
littore orientali prope Lopatkam (Rieder!); Unalaschka
(omnes!).
* Planta Kaméschatica foliis lanceolatoellipticis v.
Rte a ds minoribus proxime ad sachalinensem
accedit.
Veronica Schmidtiana Rgl. Ind. sem. h. Petrop.
1864, 22. F. Schmidt, F1. Sachal. n. 325. É.
Nippon: alpe Hakusan, prov. Iwashiro alpe Bandai- “
san, japonice Miyama toranowo (mis. R. Yatabe),
Sachalin: ad Dui, Ktausipal (F. Schmidt!).
73
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
74
Veronica Onoei Franch. Savat. En. II, 457.
Nippon: prov. Kotsuke (Ono, fide Fr. Sav.), Se-
nano: Asama (Yatabe!).
Affinis V. murorum GB. glabriori m., sed caulis usque
ad apicem radicans, pubes brevis, bis tenuiter den-
seque serrulata supra glabra, infOriors ovata, reliqua
fere rotundata, racemi multiflori folio 2—3-lo longio-
res, capsula obovata profunde obcordata calyce duplo
longior crispule pubescens. Corolla ignota.— Ab aucto-
ribus cum V. officinali L. comparatur.
Verbenaceae
orientaliasiaticae.
Phryma L.
P. leptostachya L. Cod. 4367. Maxim. FI. Amur.
212, 475. Rgl. FI Ussur. n. 374. Miq. Prol. 32.
Fr. Sav. I, 355. A. Gray, Syn. fl. N. Am. II, 334.
Mandshuria orientalis: a jugo Bureico ad mare et
ab Amur inferiore ad limites Koreae, jugis sylvestri-
bus frequens; Japonia tota in alpinis et subalpinis fre-
quens; China: circa Pekinum in montibus, circa Kiu-
kiang (Môllendorff!}; tum in Himalaya: Nipal!,
Khasia!, parte occid. (Royle!), America boreali atlan-
tica!
Lantana L.
L. Camara L. Cod, 4541. Benth. F1. Hongk. 268.
Schauer in DC. Prodr. XI, 598. L. aculeata L.
Hook. Arn. Bot. Beech. 205.
Hongkong (Forbes!) culta (Augustinowicz!), Ma-
_cao in hortis (ex Hook. Arn.). Ex America australi
_orta.
Lippia L.
L. nodiflora Rich. in Michx. FL. bor. Am. 11, 15
Schauer L. c. 585. Hook. Arn. L c. 205, 208.
China australi (Vachell); Liukiu (Hook. Arn.).
a. sarmentosa Schau. Fr. Say. En. I, 357.
Japonia , japonice Iwa dare sû (Tanaka ex Fr.
Say.)
8. repens Schau. L c. 586.
Hongkong (Fortune! n. 50, deest in Benth. fi.
ut) Formosa, ad Tamsuy (01dh ! n. 38).
Verbena L.
; F. officinalis L. Cod. 164. Thunb. F1. Jap. 22.
nr Arn. Bot. Beech. 268. Benth. FI. Hongk.
268. Miq. Prol. 29. Fr. Sav. Enum. I, 357. De-
beaux, Florule du Tchéfou n. 152, fl. de Shanghai n.
88. Schauer 1. c. 547.
Japonia (Siebold!) australiori: Yokohama (ipse),
Tokio, jap. Kuma tsudzura (Tanaka!), Yokoska (Sa-
vat.!), Nagasaki (0Oldh.!, ipse); Liukiu (Hook. et
Arn.); Korea: portu Chusan (Wilford!); China:
Tschifu!, Shanghai!, Amoy (Debeaux), Hongkong
(Bentham), Formosa (Oldh.!). Vulgivaga in calidio-
ribus.
V. sp. nova Hemsl. in Journ. of bot. XIV, 208,
China centralis: Kiu-kiang (Dr. Shearer ex Hems-
ley).
Callicarpa L.
Distiaguitur in hoc genere inter cymas axillares et
supraaxillares, et revera in nonnullis speciebus pedun-
culi basis distincte cum caule conflata apparet, in aliis
pedunculus usque ad basin liber, ubique tamen sub
anthesi v. postea inter petiolum et pedunculum oritur
gemma innovans et pedunculus supraaxillaris evadit,
gradus vero elevationis supra axillam in quadam specie
nonnihil variat, ita ut character hic solus ad distin-
guendas species non sufficiat. Equidem pedunculum
supraaxillarem dixi si basis ejus secus caulem distincte
decurrit.
:Calyx 4-fidus Jaciniis tubo longioribus. 2.
» truncatus v. 4-dentatus. 5.
2. Flores capitati, capitula globosa in cymas
breves densas eongesta, caulis petiolique
fuscovillosissimi, folia subtus dense tomen-
Î i i . C. tomentosa W.
basant SRI NT NET TDR Ne C. mollis $. Z.
Cie amplac valde multiforae dimidiam
en folii attingentes; dense stellatoto-
mentos
. 10.
‘ymae lé pluri-v. multiflorae, petio-
O2
C. brevipes H ce.
nn mms
4, Oculo nudo glabrae, folia utrinque acumi-
nata. 5.
Pilosae v. tomentosae. 8.
. Petioli elongati, folia dense serrulata ampla
unctata, %é mae petiolo duplo tronores y.
un AeqQUaRtES. esse de cie» à C.subpubescens H. A.
evieolétse glandulosopunctatae. 6.
6. Micranthae cymis laxis, stamina vix duplo
corolla longiora antheris subquadratis, lobi
Ni tubo duplo breviores. 7.
Macrantha macrophylla , cymae axillares,
lobi dors tubo fere triplo breviores, an-
therae oblongae corollam pl. np superantes C. japonica Thunb.
7. Mierophylla, folia breve obtuse acuminata
serrata, cymae supr lire pauciflorae,
flores pedicellis 4-i ordinis inserti
LA
C. purpurea Juss.
nr.
75
Bulletin de l’Académie Impériale
26
Macrophylla, cymae axillares, folia utrinque
apice longe acute acuminata dense crenula-
toserrulata, cymae valde multiflorae, pedicel-
6-um ordinem nuncupantibus
8. Stellatotomentosae. 9
Pilis simplicibus hirsutissima, folia lineari-
oblonga valde acuminata basi subcordata mi-
nute crenulata
. Folia petiolata argute it serrulata
basi attenuata v. rarius rotundata ........ C. formosana Rolfe
a subsessilia patentim des ran basi cor-
C. longifolia La m.
ss...
C.piosissima m.
ss runs tonte
Le)
RL PSN DRE eee Re dE CERTA RE C. rubella Lal.
10. Calyz glaber, flores parvi, folia serratà utrin-
LT TT ST GA NE AA PA RE A C. Reevesii Wall.
Calyx MEtittonNien
11. Pedunculi graciles phtali; folia serrata utrin-
QUE MINOR Sr res der vos k phyllaVent.
Pedunculi crassi squarrosodivaricati, folia
integra basi rotundata.........,....... C. integerrima Champ.
1. C. tomentosa W. Enum. h. berol. 158. Schauer
in DC. Prodr. XI. 647. Hook. Aru. Bot. Beech.
205. Hance in Walp. Ann. III, 236. Benth. FI.
Hongk. 269. C. americana Lour. FI. Coch. 88.
China australi: Hongkong (omnes), Canton, Putoy
cet. (Millett, Vachell).
2, C. mollis S.Z. EL. Jap. fam. nat. n. 526. Franch.
Savat. Enum. I, 359. C. Zollingeriana Schau. IL. c.
640. Fenoki. Thunb.! F1. Jap. 354, pl. obsc. n. 25.
Japonia australiore frequens in fruticetis et sylvis,
a Kiusiu interiore usque ad Yokohama, Tsusima(W il-
ford!), archipel. Koreano (Oldham!), japonice Yama
murasaki v. in Kiusiu inter. Namainoki.
3. C. macrophylla Vahl, Symb. III, 13, t. 53.
Schau. 1. c. 644. Benth. F1. Hongk. 270.
China australi (Bentham): Hongkong (Fortune!
n. 84, Forbes!). nec non in India orientali!
4. C. integerrima Champ. in Kew journ. V, 135.
Benth. 1. c. 270.
China australi (Benth.): Hongkong (Wright!, For-
bes!, Ford!).
5. C. Reeves Wall. Cat. n. 1830. Schau. I. c.
641. Benth. I. c. 270. C. nudiflora Hook. Arn. Bot.
Beech. 206 (fide aut. praeced.).
China australis (Reeves! in hort. Calcutt. introd.):
Hongkong (Benth.), Macao (Hance!), promont. Syng
moon (Meyen), Canton (Millett), ins. Lappa (Va-
chell).
6. C. rubella Lindi. Bot. reg. t. 883. Schauer IL.
c. 645. Benth. L. c. 271. C. tenuiflora Champ. in
Kew Journ. bot. V, 135.
China australi: Hongkong (Wright!, Forbes!),
prov. Canton pluribus locis (Sampson!), tum in Hi.
malaya: Khasia!, et Pendjab!
7. C. formosana Rolfe in Journ. bot. 1882, 358.
Formosa ad Tamsuy (0ldh.! n. 388, 389), nec non
Philippinis (Cuming! n. 526).
_ Diagnosis Rolfei ad supellectilem pauperiorem con-
fecta videtur, nam folia occurrunt et basi breve atte-
nuata, cymae petiolo non semper 4-lo, sed vix 3-lo
longiores, costae foliorum rarius utrinque 5, saepius
9—10
8. C. pilosissima. ($ 2. xx, Schauer I. c. 643). Pilis
setosis gilvis patentibus ad ramulos petiolos cymas et
paginam inferiorem foliorum dense hirsuta, foliis
breve petiolatis ex lineari oblongolanceolatis sensim
longe acuminatis basi subcordatis obsolete serrulatis,
superne pilis albidis breviorious dense molliter pubes-
centibus; pedunculis petiolos duplo superantibus, cy-
mis divaricatobifidis densiusculis, calyce hispido ob-
tuse dentato, corollae glabrae lobis tubo apice dilatatc
plus triplo brevioribus, staminibus corollam stylum-
que leviter bilobum triplo superantibus.
Formosa (0Oldham! n. 387. flor.).
Similis C. angustae Schauer (Cuming! n. 1425)
e Philippinis, quae tamen differt pube, folliis subtus
incanis basi cuneatis, corolla extus tomentosa; nec
non ©. caudatae m., cujus diagnosin inserere liceat:
C. caudata: Caule petiolis pedunculis foliisque
subtus gilvo floccosotomentosis, foliis superne caly-
cibusque hispidulis viscidoque punctatis, foliis breve
petiolatis e basi attenuata linearilanceolatis sensim
longeque caudatoacuminatis argute acuteque patu-
loserratis, cymis cum pedunculo longitudine petioli,
floribus numerosis dense aggregatis, calyce obsolete
4-dentato, corollae duplo longioris glabrae lobis tubo
late cylindrico triplo brevioribus, staminibus corollam
duplo superantibus, antheris subquadratis, stylo leviter
bilobo stamina superante.—Foliorum lamina 100 : 18
mm., petiolus 5 mm., cyma 12 mm. lata, calyx 1 mm.,
corolla 2 mm.
Philippinae (Cuming! n. 1095 flor.).
Folia C: pilosissimae petiolo 5 mm., lamina 11:2 em.
Pedunculus 15 mm., cyma diam. 20 mm. Pedicelli :
calycem aequantes v. superantes. Calyx 1 mm. corolla ci
2,5 mm. longa. 4
77
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
cé.
9. C. subpubescens Hook. Arn. Bot. Beech. 305.
Schauer 1. c. 646
Bonin-sima: ad collium latera, frutex dumosus flo-
ribus purpureis (Small!, Yatabe! sub nom. jap.
Shima murasaki). Aliunde ignota.
Species a Hookero et Arnott quidem inter mexi-
canas describitur, sed a Hemsley in Biol. centr.
amer. II. haud enumeratur, ex qua re patet, tantum
confusione schedularum patriam Mexico indicatam,
revera autem plantam e Bonin-sima allatam fuisse.
10. C. longifolia Lam. Dict. I, 562. Schauer 1. c.
645. (excl. var. B. et C. japonica). C. lanceolaria Roxb.
FI. Ind. I, 395. |
China australi: prope Canton (Hance in Ann. sc.
nat. 5 ser. V, 233). Vidi e Philippinis, Java, Tenas-
serim et Khasia.
de. NL. ÿ
n
Schauer IL. c. cum C. longifolia Lam. conjungit
C. japonicam Thunb., Bentham affirmat C. ameri-
canam ab illa interdum vix esse distinguendam, de qui-
bus duabus confer sub sequente. Planta hongkongensis
a Bentham OC. Zongifolia var. brevipes dicta sistit
C. brevipedem Hce., de qua atque ejus differentia à
C. longifolia vide infra.
11. C. japonica Thunb. FI. Jap. 60. Miq. Prol.
30. Fr. et Savat. Enum. I, 358. C. longifolia x.
subglabrata Schauer L. ce. 645.
Late diffusa per totam Japoniam. Ante oculos est
e Nagasaki, Hiogo, Yokoska, Fudzi yama, Yokohama,
Tokio (jap. Yabu murasaki, mis. Tanaka), Yezo au-
strali ubi luxuriat et valde latifolia fit, Tsusima (Wil-
ford!}, Liukiu (Wright!).
Fide Hance I. c. certe a C. longifolia Lam. distincta
est glabritie omnium partium (excel. inflorescentia)
foliisque late obovatooblongis apice longe caudatis.
Me judice satis differt flore fructuque fere duplo ma-
joribus, staminibus corollam 2-lo nec fere 3-lo supe-
rantibus cymaque minus composita minusque divari-
_ cata: ramulis 4-ti ordinis (nec 6-ti) flores ferentibus.
Pubes utriusque furfuraceostellata, sed in C. Japonica
cito evanescit, in C. longifolia vulgo persistit. C. ame-
_ ricana L. ab utraque jam pube ramosa patula fere
__ araneosa vix unquam deficiente abhorret, floris mag- # sas
. nitudine ac staminum exsertione cum C. Zongifolia
consentit, cyma minore densiore cum C. japonica, sed |
ab hac pedunculo brevissimo indeque cyma quasi sub-
sessili distat, Antherae C. japonicae ab utraque diver-
sissimae: loculi non contigui tota longitudine dehi-
scentes, sed basi liberi attenuati hinc sinu distincto
separati et apice tantum quasi poro aperti.
12. C. brevipes Hance in Ann. sc. nat. 5 ser. V,
233. et in Journ. linn. soc. XIII, 116. C: longifohia
var. brevipes Bentb. FI. Hongk. 270.
China australi: Hongkong (Hance!, Wright! ex
quo flores albi}, prov. Canton (Hance).
Cum Hanceo video: ramos flavido furfuraceo pu-
bescentes, folia haud viscida distanter obiter serrata,
cymas fere sessiles, flores pauciores majores, antheras
magnas partim tantum exsertas, fructus sphaericos
piperiformes. In C. Zongifolia Lam. vero rami glabri,
folia longiora integra v. minute serrulata, recentia
valde viscida, cymae laxioris pedunculi longiusculi,
flores numerosiores triplo minores, antherae late ova-
les decuplo minores, filamenta capillaria longe exserta,
fructus apice planus plus duplo minor.
13. C. purpurea Juss. in Ann. mus. VII 69.
Schauer I. c. 645. Miq. Prol. 30. Fr. Sav. Enum.
I, 358. C. gracilis Sieb. Zucc. F1. Jap. fam. nat. n.
525. C. japonica var. angustifolia Savat. Kwawi, 78.
Porphyra dichotoma Lour. FI. Coch. 87, ex Schauer.
Nippon australi: prov. Shima, jap. Ko murasaki
(Tanaka), alii collectores et ipse tantum cultam inve-
nimus; China media (Fortune! A. n. 94) ad Kiu-
kiang (Dr. Shearer!) et australi: prov. Canton ad
West-river et prope urbem Canton (Hance!), collibus
Lo-fau-shan (Ford!); Cochinchina (Loureiro).
In insulis Bonin et Liukiu ex Hooker et Arnott
formae duae inventae sunt, de quibus autores sub dubio
manserunt, anne huc pertineant. Illa e Bonin foliis
oblongolanceolatis sensim acuminatis, corymbis axilla-
ribus, illa e Zäukiu foliis subrotundoovalibus subito
acuminatis, inflorescentia ex axillis summis. In utraque
folia juvenilia praesertim subtus farinosopubescentia,
adulta glabra. ï
Premna L.
Stamina st pe m. didynama antheris ro-
tundatodidymi
Stamina es AE aequalia antheris ob-
DR UT RME mesrine ti tone ser staminea m
Corymbus densus convexus surpris crassi-
usculis, folia coriacea basi rotundata integra
v. passim grandiserrata, corolla calyce duplo
longior lobis subaequalibus, stamina inferiora
OUT ARE SEE FAP ES ENS PS P,. serratifolia L.
79 Bulletin de
l’Académie Impériale
so
Cymae compositae laxiflorae conicae pedun-
culis omnibus gracilibus, folia membranacea,
corolla bilabiata. 3.
8. Stamina inferiora breviora, ous conica, folia
DÉQEA E. dfé P. glabra A. Gray
4, Cyma conica elongata, folia utrinque acumi-
pata vulgo paucigrandiserrata.............. P. microphylla Tez.
Cyma brevis subhemisphaerica, folia basi cu-
neata apice obtusa vulgo integra ........... P. formosana m.
1. P. serratifolia L. Cod. 4535. Schauer in DC.
Prodr. XI, 632. Bentb. F1. Hongk. 269.
China australi: Hongkong (Hance!)}; Formosa
(Oïdham! n. 386), India cis! et trans! Gangem.
Schauer hanc vocat P. integrifoliam L., Hance in
Journ. linn. soc. XIII, 116 vice versa secundam
ducit ad P. serratifoliam et hoc nomen praeferendum,
, quia Linnaeus quaerit, anne hujus mera varietas
sit ejus P. integrifolia.
2. P. microphylla Turez. in Bull. Mose. 1863, IE,
217. (ex X Fortunei citato). P. japonica Miq. Prol.
29. Fr. Sav. En. I, 358. Hance in Journ. bot. XVI,
111. Priva spec. Sieb. Zucc. FI. Jap. fam. nat. n. 518.
Kiusiu: cirea Nagasaki (Oldham!, ipse, incolis
loci Haigara) v. gr. ad Himi et in Kawara-yama (Buer-
ger!), prov. Higo monte Higo-san, alte supra mare
(ipse), Tsusima(Wilford!); China australiore (Senia-
win!, Fortune! A. n. 23): Ningpo (Hancock!). —
Japonice: Hama kusagi (Tanaka!).
In Japonia arbusculam 10-pedalem, pedem usque
crassam sistit, in China ex Hancock fruticem 1—2-
pedalem, hinc prior vera patria censenda. Exempla
e China praeterea magis angustifolia foliis minus den-
tatis floresque in vivo intense luteos habere dicuntur,
nec pallide ochraceos ut in 7aponicis.
Calycis dentes ,obtusi, superiores 3 breviores et
minores. Corolla 6-—10 mm. longa, in breviore limbus
tubo parum, in longiore plus duplo brevior, labium
superius truncatum lobos laterales labïi inferioris ae-
quans, lobus infimus major longior. Stamina medio
tubo inserta, qui infra illa pilosus, superiora ad fissu-
ram inter labia, inferiora ad sinum inter lobos labii
inferioris attingentia. Loculi antlierae subglobosi. Crura
styli aequalia. Drupa atra, putamen longitudinaliter
eleganter verrucosum.
Haec et duae sequentes seriem propriam consti-
tuunt, inflorescentia laxa elongata, pedunculis omnium
_ordinum gracilioribus et glabritie distinctam. P. micro-
phylla ex foliorum forma similis P. viburnoidi Wall.
quae tamen statim differt pube et inflorescentia cd
vexa densiore.
3. P. glabra A. Gray (insched.). Fruticosa glabra fo-
liis membranaceis ellipticis (obovatis ovatis v. ovato-
lanceolatis) in petiolum brevem subito cuneatis obtusis
integris, cymis conicis compositis laxis, pedicellis calyce
brevioribus, calycis dentibus obtusis superioribus 3 mi-
noribus, corollae triplo longioris bilabiatae limbo tu-
bum calyce duplo longiorem aequante, labio superiore
truncato, inferioris lobo medio majore, staminibus in-
clusis supra medium tubum intus pilosum insertis su-
perioribus longioribus, antherae loculis ovatis, styli
lobis ovatis parum inaequalibus.
Japoniae maxime australis ins. Yakuno-sima et Lau-
kiu ins. Osima, in montibus (Wright! flor.).
Frutex, ex collectore, late ramosus 8—12-pedalis,
floribus ochroleucis tubo intus lutescente. Folia lu-
dentia magnitudine et forma, mensuris 110 : 55,
80 : 50, 85 : 35, 70 : 25, 35 : 20 mm. Inflorescentia
10—11 cm. alta, 4— 6 cm. lata, pedunculorum (2 cm.)
paribus utrinque 7—9. Flos 7 mm. longus. Corollae
tubus latus extus glandulosus brevipilosus.
4. P. formosana. Glabra, foliis membranaceis obova-
tis v. ellipticis obtusis v. acutiusculis basi in petiolum
brevem sensim attenuatis vulgo integerrimis, rarius
versus apicem obtuse parceque grandiserratis; cymis
compositis laxifloris late conicis subaequealtis ac latis,
pedicellis calyce brevioribus, calycis dentibus obtusius-
culis superioribus 3 minoribus, corollae tubulosae caly-
cem 4-lo superantis labio superiore integro lobos late-
rales labii inferioris aequante quam intermedius bre-
viore, staminibus medio tubo intra illa piloso in-
sertis inferioribus longioribus labium inferius aequan-
tibus, antherae loculis subglobosis, cruribus styli breve
subulatis inaequalibus.
Formosa: Tamsuy (Oldham! n. 385 flor., s. n. Vi.
tex spec.).
A praecedente forma foliorum et inflorescentiae sta-
minibusque diversa.
Petiolus 10—15 mm., lamina variat inter 70 : 35,
90 : 35, 45: 15—20 mm. Flos 8 mm. longus. Sta-
mina superiora basin labii superioris attingentia.
5. P. staminea. Innovans'tomento stellato incana cito ".
glabrata, foliis membranaceis ellipticis v. oblongoel-
$
ap
nées
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
se
lipticis utrinque attenuatis basi sensim in petiolum
brevem, versus apicem argute serrulatis, cyma com-
posita plana laxa, pedicellis calyce glabro truncato
4- nervi longioribus, corollae extus tomentellae intus
glabrae calycem 3-lo superantis tubo lato subturbinato
limbum patulum 4-lobum subsuperante lobis rotunda-
tis 2 superioribus majoribus tenuioribus, staminibus
aequalibus basi tubi insertis corollam subduplo exceden-
tibus, antheris amplis oblongis punctis aureoglandulosis
adspersis, stylo tenui longiore stigmatis lobis 2 rotun-
datis conniventibus, ovario 2-loculari.
Liukiu (Tanaka! flor.).
Antherae forma et corollae lobis subaequalibus inter
omnes notas excellens et anomala.
Ramus ante oculos cortice laeviusculo albidoochra-
ceo. Folia maxima petiolo 7 mm., lamina 100 : 45 mm.
concolore utrinque subquinquecostata costis arcuatis
reticuloque distincto subtus vix prominulis sed obscu-
rioribus, folia minora petiolo 5 mm., lamina 50 : 20—
25 mm. Calyx 2 mm. latus et longus. Corolla 9 mm.,
genitalia exserta totidem.
Gmelina L.
& chinensis Benth. FI. Hongk. 272.
Hongkong (Wright spec. 1 invenit, fide Bentham).
Vitex L.
Vs truncatus denticulatus, folia margine
tegra.
Fa Gure acute dentatus v. lobatus. 3
2.Glabra macrophylla, fiola ET acuminata,
V. Loureirii H. À,
: æ. panicula lata, flores et fructus
Ke
Se à
Incanotomentosa, foliola (in ris singula)
_ obtusa obovata, panicula angusta thyrsoidea,
… flores fructusque magni
3. Incanae v. dense pubescentes macrophyllae,
paniculae anguste ri ad in inflorescen-
tam disposita
Glabra micrphyla, foliola acute rhombea
_ dentibus m ronatis paucis, panicula
sors
V. trifoliata L.
V. Sampsoni Hce,
V, Negundo L.
4, Foliola majuscula integra v.-grandiserrata…
. incisa Lam.
» parvula profunda incisa......,.....
1. V. Loureiriü Hook. Arn. Bot. Beech. 206,
_ &. 48. Schau. L c. 686. Benth. F1. Hongk. 273.
. Hance in Journ. linn. soc. XIII, 117. V. heterophylla
__ Roxb. Schau. L. c. 686. Hce. in Ann. sc. nat. 4 sér.
. Symb. 11. Cornutia quinata Lour. Coch. 470.
_ China australis: Canton (Millett), prov. Canton.
: Sampson!), Lo Fau shan (Ford!), Hongkong (Hcel!),
Formosa (O1dh.! n. 384).
Tome XXXI.
Ex Hanceo glandulae peltatae luteae paginae ex-
terioris limbi corollini in tab. citata haud expressae.
2, V. trifoliata L. Cod. 4638. Schau. I. c. 683.
8. unifoliolata Schau. I. c. Miq. Prol. 31. Fr.
Sav. En. I, 360. V. ovata Thunb. FI. Jap. 257.
Hook. Arn. Bot. Beech. 206, 268, t. 47. Debeaux
Florule du Tchéf. n. 153.
Japonia(Buerger!) Nippon: Nambu(Tschonoskil),
ad Yokohama in littore (ipse), Kamakura (Savat.!),
Hakone (ipse), Simoda (Yolkin!), prov. Sagami s. n.
jap. Hama shikimi i. e. Skimmiae maritimae mis. Ta-
naka), inter Kioto et Maïdzuru Wakora (Doeder-
lein!), Kiusiu circa Nagasaki in littore (Oldh.!,
ipse). China: maritimis arenosis prope Tschifu (De-
beaux), insulis prope Macao (Vachell), promont.
Syng-moon (Meyen), Hongkong (Hinds!, Fort!
Forbes!), Formosa (Oldh.!), nec non Phiippinis!,
ins. Hawaü! et aliis, Mauritio!, Australia tropica.
In regionibus nostris semper 1-foliolatum et con-
stantissimum, in tropicis interdum in typum trifoliola-
tum abiens.
3. V. Negundo L. Cod. 4639. Schau. I. c. 684.
Benth. F1. Hongk. 273. Franch. PI. David. 232.
V. cannabifolia Sieb. Zucc. F1. Jap. fam. nat. n. 520.
Miq. Prol. 31. Fr: Sav. En. I, 360. Hemsl. in Journ.
bot. XIV, 209.
China: Pekin!, maritimis Tschifu, Chekiang, Kiangsi
(David), Shansi, Honan (Debeaux), Kiukiang (Da-
vid!, Shearer!)}, Ku-lung-su (Fort.!), Amoy (de
Grijs!), Futschau!, Hongkong (omnes!), Formosa
[(Oldh.!); Japonia (hb. Lugd. Bat.!; fide Yonan-si
in Kwawi, translat. Savatieri, introducta et plantata):
Yokohama et Nagasaki, frequens (ipse, japonice Nin-
sin boku, Tanaka!). Distrib. India!, Philippinae! ins.
Malaicue! cet.
Planta japonica non differt nisi foliis rome
quae et in typo rarius obvia.
4. V. incisa Lam. Dict. II, 605. Schau. I. c. 684.
Deb. F1. Tchéf. n. 154,. de Tientsin n. 53. Bge
Enum. Chin. n. 295. Turcz. Enum. Chin. n. 164.
Franch. PI. David. IL, 232.
China boreali: circa Pekinum in montibus, perfre-
quens (Bunge!) nec non etiam in planitie et in alto
monte Po-hua-shan (Dr. Bretschneider!).
Var. heterophylla Franch. I. c.: foliolis oblongis
6
_S3 : Bulletin de l’Académie Impériale s41
integris v. in eodem ramulo passim sinuatis v. profunde
incisis lobis integris. — Pekin (David).
A specie praecedente tantum ‘foliolis minoribus et
incisis differre videtur, omnes vero reliquae partes
eaedem, quam ob causam a Benthamio conjungitur,
a Schauero tamen diversa habetur et geographice
saltem bene cireumseripta invenitur.
5. V. Sampsoni Hance in Journ. bot. VI, 115.
China australis: prov. Canton (e diversis locis à
Sampson lectam misit Hance!).
Clerodendrum L.
Corolla infundibuliformis tubo longissimo
(Sect. Siphonanthus). . ..:.......... CI. Siphonanthus R. Br.
Corolla hypocraterimorpha pollice vix longior
y. minor (Euclerodendrum). 2.
9. A xilliflora foliis oblongolanceolatis. 5.
Paniculae terminales. 4. |
3. Calyx truncatus vix dentatus ........,... CI. inerme R. Br.
» cute Ddis 0 FRA ot CI. rer L.
4, ns en compacta. 5.
laxa. 7.
5. hais breve Strigosum, folia cordata grandi-
LT STE DRE C. foetidum Bge.
Villosa v. tomentosa, anti Le calyce
2-lo longior. 6.
6. sets amplus laciniis ovatis acuminatis, folia
cordatoovata acuminata. ,....,....., C. canescens Wall.
Calyx parvus laciniis sabulatis, folia subcor-
GAROFOQMAR HOUR se due cour C. fragrans Vent.
E nus esquamata. 8
glandulis peltatis dense squamata. 11.
8. Folia Acdks v. cordatoovata, calyx amplus
canostrigosus, corollae tubus!/, calyce longior. CL. infortunatum 1.
Folia basi cuneata.
À Née res corolla re pen 10.
folia ovata ii à cus pi fdata C. trichotomum Thunb.
10. Panicula grandibracteata, rss 5-fidus, folia
ovatooblonga caudato-acuminata. . ....,... C. formosanum m.
Panicula minute use sa 5-dentatus
folia oblongoelliptica obtuse acuminata .
11. Calyx 5-fidus parvus, corollae tubus calye
4-lo nn folia cordatohastata 5—7- ba C. paniculatum L.
Calyx 5-partitus, corollae tubus calyce 2-1
a fr folia cordata denticulata . ....... de squamatum Vahl.
1. Clerodendrum Siphonanthus KR. Br. in Aït. b. Kew.
ed. 2, IV, 65. Schauer |. c. 670. Hook. Arn. Bot.
Beech. 205.
China australis (Vachell), /ndia! tropica, Java.
ss...
*C. cyrtophyllum T cz.
2. CI. inerme R. Br. in Aït. 1. ce. Schau. I, c. 660,
Hook. Arn. 1. c. 205, 268. Benth. FI. Hongk. 271.
Volk:ameria inermis Lour. FI, Coch. 471.
China australi: Canton (Loureiro, Millett), Macao
(Vachell), Whampoa (Hance!), Hongkong (Wright!)
[Formosa (Oldham! n. 392 fl,
397 frf); Liukiu
(Hooker et Arnott, Tanaka!)
8. CI. fortunatum L. Cod. 4634. Hook. Arn. I. c.
Schau. 1. c. 671. Osbeck It. 228, 1.11. C. castanei-
folium Hook. Atn. I. ec. Schau. I. c. 672. C. lividum
Lindi. Bot. reg. t. 945. Benth. FI. Hongk. 272.
Schau. 1.c. 673. C. pentagonum Hce. in Walp. Ann.
HE 298:
China australis: Hongkong (omnes!), Whampoa
(Hance!), Canton (Millett).
Fide Seemann vera planta Linnaeïi, conf. Hance
in Journ. linn. soc. XIIE, 117.
4. CI. foctidum Bge. Enum. Chin. n. 296, nec Don.
Schauer I. c. 672. Bot. mag. 4880. C. Bungei
Steud. Nomenel. Van Houtte F1. d.serr. IX, t. 863.
China: hortis Pekinensibus cultum (omnes!).
C. foetidum Don, Prodr. Nepal. 103, quod CZ.
Buchanani Walp. Repert. IV, 108, DC. Prodr. XI,
672. Bungeano nomine quidem vetustius, Schauero
mihique incognitum est.
Planta quam 6. énfegrifolium dixit Hasskarl in
Retzia I, 60, e Singapur in hortum bogoriensem intro-
ducta, diversissima species videtur, sed à me non visa.
5. Cl. canescens Wall. Cat. 1804. Schauer I. c.
665. Benth. FI. Hongk. 272,
China australis (Reeves!): Hongkong, frequens in
planitie (Bentham). Extra Chinam non inventum.
6. C1. fragrans Vent. Jard. Malm. t. 70 (fl. sim-
plici). Schauer 1. c. 666. Hook. Arn. Bot. Beech.
205, 268.
Cha australi (Hook, Arn.): Hongkong (Forbes!),
Amoy sponte (Hance in schedis), Liukiu(Hook. Arn.).
6. pleniflorum Schauer.
Formosa: Tamsuy (Oldh.! n. 394.) et toto orbe
cultum.
Schauer sub var. 6. laudat Bot.reg. XXIV, 1838,
41, quae flore simplici gaudet et ex Decaisne (in V.
Htte FI. d. serr. IX, 17 in adnot. ad C. foctidum)
speciem propriam sistit, C!. Lindleyi Dne, limbo co-_
rollae minore, radice stolontfarà facile propagatam atque
Parisiis rusticam. Addit tamen Planchon (in V. Htte … à
1. c.) plantam Parisiensem ab illa a Lindley in bot.
reg. depicta differre flore inodoro et surculis innovan-
tibus violaceovelutinis (d’un velouté de couleur violette),
atque quaerit, anne et hic duae species lateant. Linie :
S5
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
vero de sua planta habet, tepidariam esse et primo
gelu necatam.
7. C1. infortunatum L. Cod. 4633. Lour. FI. Coch.
471. Schauer 1. c. 667. Cl. viscosum Vent. Jard.
Malm. t. 25. Hook. Arn. Bot. Beech. 205, 268.
China australi (Vachell), Liukiu (Hooker et Ar-
nott). India!, Ceylon.
8. C1. trichotomum Thunb. F1. Jap. 256. Schauer
1. c. 668. Sieb. Zucc. FI. Jap. fam. nat. n. 521.
Miq. Prol. 31. Fr. Sav. En. I, 359. Banks, Ic.
Kaempf. t. 22. Séo Kusitz: vulgo Kusogy, Kaempf.
Amoen. 827.
Japonia, frequens arbuscula a Kiusiu usque ad |
Yezo australem, China media (Fortune! A. 45),
. Shanghai (Augustinowicz!) et australi, Formosa
(O1dh.! n. 391).
Debeaux (florule de Shanghai n. 89), qui ad fossas
occurrere dicit, ait, plantam esse perennem 10— 14 dm.
altam: an nostra unquam ita occurrat dubito.
9. CI. formosanum. (Sect. 1, S 5. Paniculata,Schauer)
Ramis panicula parceque petiolis pube strigosa brevi
tomentellis, foliis oppositis modice petiolatis membra-
naceis opacis subtus paulo pallidioribus glanduloso-
punctatis ad venas parce strigosopuberis et ad venarum
originem parcissime squamatis cuneatoovato-oblongis
sensim longe caudato-acuminatis; panicula terminali
_effusa amplissima, bracteis numerosis foliaceis petio-
_ Jatis lanceolatolinearibus cymas cymulasque fulcien-
__ tibusearumque pedunculos excedentibus, cymis iterato-
trichotomis multifloris, flore parvo, calyce ipso brevius
_ pedicellato acute 5-fido, corollae glandulosopunctatae
tubo gracili brevi.
Formosa (Oldham! n. 396 cum alab.)
A praecedente multis notis discrepat. CZ. érichoto-
mum non est glabrum, uti vult Schauer, sed ad eas-
dem partes ut nostrum pube paleacea ochroleuca pu-
bescens, folia longe petiolata latius ovata subito cus-
pidata, panicula parcius bracteata bracteis ovatis cito
caducis, cymae pauciores minus multiflorae, calyces
corollaeque duplo saltem majores, priores inflati penta-
goni, corolla glabra, stigmatis crura brevissima.
+ Petioli C£. formosani l!}-pollicares, lamina usque
_ S8-pollicaris et 3 poll. lata. Calyx 8 mm., alabastrum
- vix rumpens 9 mm. longum, lobis corollae oblongis
… obtusis. Stamina 4 fauci inserta serius longe exserta
stylusque longior glabra, antherae ovatooblongae basi
bifidae, stylus apice breve acuteque bifidus.
10. C1. cyrtophyllum Turcz. in Bull. Mosc. 1863,
IT, 222. ex descr. et NM Fort. cit. CZ. amplius Hance
Advers. 34 in Ann. sc. nat. 5 sér. V. Franch. PI:
David. I, 231.
China: media (Fortune! A. 17), Amoy (de Grijs!),
Kiangsi ad Kiu-kiang (David), ins. Chusan (Fort.
11 A. s. n. Cl. trichotomi ex Franchet), ins. St, Jo-
annis maris chinensis (Stewart! mis. Hance), For-
mosa (Oldh.! n. 398), ins. Haïinan parte boreali
(Hance!}, prov. Canton (Krone ex Hce).
11. Cl. paniculatum Li. Cod. 4636. Schauer I. €.
668. Hook. Arn. Bot. Beech. 268. C. pyramidale
Wall.! Catal. 1882.
Liukiu (Hooker et Arnott). Formosa (Oldham!
n. 395). Zndia trans Gangem et insulae, v. gr. Penang
(Wallich!), Java.
Planta formosana florere incipiens huc ducenda vi-
detur, quamvis folia floralia indivisa, quae in iconibus
et spec. malo Wallichii lobata sunt, et corollae tubus
calyce duplo tantum longior, neque, ut a Schauero
descriptus, calycem 4-lo superans, sed hoc sane ob
corollam juvenilem.
12. C1. squamatum Vahl, Symb. IT, 24. Schauer
1. c. 669. Hook. Arn. 1. c. 205. Sieb. Zucc. F1.
Jap. fam. nat. n. 522. Miq. Prol. 31. Fr.Sav. En. I,
359. Hance in Journ. bot. XVII, 13. Volkameria
KaempfertJacq. Ic. rar. UT, t. 500. Banks Ic. Kaempf.
t. 58. Volk. japonica Thunb. FI. Jap. 255. Go too
vulgo Go too giri, Kaempf. Amoen. 861.
China australi (Hooker et Arnott): ins. Hainan
(Hancock!), in boreali! et in Japonia! cultum. India,
Mauritius!
Ex Kaempfero in Japoniam introductum ex ins.
Luzon et ex Korea, inde et ab indigenis Rjuke giri et
Korei giri appellatur.
Species dubia.
Clerodendrum pumilum Spr. Syst. II, 759. Schauer
1 c. 674. Volkameria pumila Lour. FI. Coch. ed.
Willd. 472.
China: Canton (Loureiro). Schauero ignotum.
Ex descriptione Loureirii ad axillaria pertinet,
folia lanceolata, corolla longa ASE De 5-fida, sta-
mina didynama exserta.
6*
s7
Bulletin de l’Académie Impériale
ss
Caryopteris Bge.
De plurimis hujus generis speciebus jam antea trac-
tavi, itaque satis erit hic clavem analyticam omnium
mihi notarum antemittere, simico-japonicas vero bre-
Vibus verbis enumerare.
Frutices, cymae pluri—v. multiflorae
Suffrutices foliis ovatis, cymae 1—3-florae, lobi
corollae integri.
2. pe lobus infimus integer. 3.
fimbriatus, cymae sub-
dites
3, Cymae le folia lanceolata acuminata à
IDOOID SOMRATR ni ur née des desdassscr C. Wallichiana Schau.
ymae laxiflorae, folia ovata breve acuminata
A DAS DrANCISGETAIR 524 nu Ur ei ges 27 C. divaricata m.
4. Calyx 5-fidus, folia cordatoovata v. ovato-
oblonga grandiserrata..........,.......... C. incana Miq.
Calyx 5-dentatus, folia lanceolata v. lineari-
lanceolata. 5.
5. Folia linearilanceolata integra v. pauciserrata,
fimbriae corollae 2 MAG ET ours rdece C. mongohica Bge.
Folia lanceolata Hi opndRerEn ts, fimbriae
corollae simpliees 52.0 see ar C. tangutica m.
6. Pedunculi 3-flori, calycis laciniae lanceolatae
EE CG ONE ER LS ET SE PES C. terniflora m.
Pedunculi 1-flori, calycis lobi ovati acuti. .... C. nepetaefolia m.
1. C. divaricata Maxim. in Mél. biol. IX, 829.
Clerodendron div. Sieb. Zucc. FL Jap. fam. nat. n.
523. Miq. Prol. 31. Fr. Sav. Enum. I, 360. Kari-
gane-s0, Soo bokf, XI, 40.
Japonia (Siebold!, Buerger!, Tanaka! s. nom.
jap. Hokake-s0): Yokoska (Savatier!), Hakodate (ipse),
Koreü: Sôul (Dr. Gottsche! in hb. Engler).
2. C. incana Miq. Prol. 29. Nepeta incana Thunb.
FI. Jap. 244. Car. Mastacanthus Schauer L. c. 625.
Benth, F1. Hongk. 268. Fr. Sav. Enum. I, 357.
Hance in Journ. linn. soc. XIII, 166. Barbula sinensis
Lour. F1, Coch. 444. Hook. Arn. Bot. Beech. 205.
Mastacanthus sinensis Endl., Lindi. Bot. reg. 1846,
4
Japonia (Miquel!, Tanaka!, jap. Dangiku): Naga-
saki (Oldh.!, ipse), Yokohama (ipse); China: Canton
(Millett), Macao (Vachell), Hongkong (Forbes!),
Futschau (Augustinowicz!), Kiu-kiang (Shearer!),
Amoy (Fortune!), alio loco reg. mediae (idem!).
Ex Hanceo lignum Juniperi virginianae spirat.
3." C. tangutica Maxim. in Mél. biol. XI, 301.
Chinae occidentalis prov. Kansu parte alte alpina
(Przewalski!).
"4, C. mongolica Bge. PI. mong. chin. dec. 27.
Franch. PI. David. I, 231.
Mongolia austroorientalis: secus tractum mercato-
rium (Bge!, Kirilow!), v. c. ad Iro (Tatarinow!),
jugo australi finitimo Muni-ula et in territorii Ordos
valle f. Hoangho (Przewalski!), Ulaschan (David!),
‘|jugo Alaschan australi (Przewalski!).
6. serrata m.: foliis passim pauciserratis.
Chinae prov. Kansu ad Hoangho super., alt. 7 mill.
ped. supra mare, jugo Nan-shan inter Mongoliam et
Tsaidam finitimo (Przewalski!).
5. C. ternifiora Maxim. in Bull. soc. natur. Moscou,
1879, 40.
China occidentali: prov. Schensi et Kansu (Piasez-
ki!)}, Hu-peh boreali (David!).
6. C. nepetaefolia Maxim. in Mél. biol. IX, 830.
et in Bull. soc. natur. Moscou, 1879, 40. Franch. PI.
David. I, 231. Teucrium nepet. Benth. in DC. Prodr.
XII, 580.
China media (Fortune!)}: Ningpo (Hancock!), ad
Jacum Ta-hu prope Shanghai Ce ), prov. Hu-peh
boreali (David).
Sphenodesma Jack.
S. unguiculata Schauer 1. c. 623. Hance inJourn.
bot. XXI, 355.
China australi: ins. Haïnan, scandens in bambusetis
ditionis Lai (Hance). Distrib. Tenasserim!, Khasia!
Avicennia L. ;
A. officinalis L. Cod. 4642. (sub À. éomentosa).
Schauer 1. c. 700,
China australi (Meyen) et in aestuariis orbis an-
tiqui, v. €. India!, mari Rubro!, Australia! et alibi.
Genus excludendum.
Erythrostaphyle vitiginea Hce! in Journ. bot. XI,
266, ex ipso, duce Oliver in litt., ibid. XII, 184.
est Jodis species, inter Olacinens. Chine dubai.
Platypholis gen. nov.
Orobancheue.
Calyx ebracteolatus antice et postice sectus, seg-
mentis bilobis. Corolla breve lateque tubulosa, parum
incurva, labiis brevibus erectis: superiore majore trun-
€ Stamina 4 didynama
exserta parallela recta, posticis longioribus. Antherae
ato, inferiore acute trilobo.
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parvae connectivo adnatae loculis parallelis oblongis : 54
muticis. Stylus longitudine staminum longiorum, stigma
capitatum. Ovarium basi nudum, placentis 4 parieta-
s9
des Sciences de Saint: Pétersbourg.
libus per paria approximatis. Capsula et semina ig-
nota. — Caulis crassus brevis squamis ovatis v. obova-
tis planis subcontiguis in bracteas majores abeuntibus.
Spica ovoidea brevis densa. Flores e bracteis parum
exserti majusculi.
PI. Boninsimae.
Bonin-sima (prof. Yatabe specc. 2. flor. misit).
Genus affine Conopholi Wallr., quae differt calyce
antice tantum secto, postice 4-dentato, 2-bracteolato,
corollae galea tuboque longiore incurvis, lobis majo-
ribus, staminibus e galea non exsertis subaequalibus
(sSuperioribus tamen et hic longioribus), antherarum
loculis mucronatis basi divergentibus. Lathraea corol-
lae tubo breviore calyceque ebracteolato congrua, ca-
lyce 4-lobo, galea biloba, staminibus (posticis item
longioribus) galeam aequantibus, antheris mucronatis
barbatis, ovario antice cum glandula crassa disci cog-
noscitur. Omnium propius genus videtur Boschniakia,
calyce cupulato breve 5-dentato, staminibus inclusis,
stigmate late bilobo, placentis bifidis tantum distinctum.
14—16 cm. alta, 8 mm. crassa, basi ipsa dilatata
É tuberiformi. Spica 4 cm. alta et lata. Bracteae 20 mm.,
3 corolla 22 mm. longae, calyx bractea brevior. Stamina
: inferiora breviora galeam aequantia, superiora stylo
aequilonga, 3 mm. galeà longiora.
Mosla Fordii. Spithamaea simplex pubescens griseo-
viridis, foliis linearioblongis v. linearilanceolatis utrin-
que acutis serrulatis; racemis terminalibus capitatis
_ brevissimis, bracteis imbricatis inferioribus sessilibus
_ reliquis subpetiolatis integerrimis longe pectinatocilia-
tis ovatis ellipticisve cuspidatis calyce fructifero duplo
aucto turbinato aperto brevioribus, pedicellis calyce
subaequaliter 5-fido brevioribus, laciniis calycinis
subulatis, corolla calycem vix duplo superante bis
= longiore quam lata exannulata, antheris cassis 1-locu-
_ Jaribus; nuculis tubo calycino occultatis subglobosis
obiter reticulatis, styli ramis brevibus subparallelis.
China: prov. Canton, ad Lo-fau-shan (Ford! fl. frf.).
Inter ZM, japonicam et M. chinensem m., habitu,
nuculis, antheris cassis prioris, corolla (tamen tantum
4 mm. longa) foliisque posterioris, bractearum forma
pilisque ab utraque distincta.
_ Bracteae 4,5 mm., calyx sub anthesi 3% mm., fruc-
-tifer 5 mm., corolla 4 mm. et ultra, nueula 1 q. exc.
_ mm. Folia 23 : 4 mm, capitula 10 :6—7 mm. magna.
Nepeta subintegra. (Sec. 2. Pycnonepeta $ 2, Benth.).
Elata fastigiatoramosa retrorsum pilosa, foliis parce
pilosis longe petiolatis petiolis patenter pilosis, lamina
subtus glandulis impressis punctata inferiorum corda-
toovata obtusa, reliquorum oblongolanceolata acutius-
cula, floralium flores aequantium subsessili ovata acu-
minata, margine foliorum infimorum subregulariter
grandicrenatoserrato dente terminali maximo, sequen-
tium incisocrenatoserrato incisuris baseos majoribus
omnibus patulis, summorum basi 1—2-serrato v. in-
tegro; verticillastris densis floribusque subsessilibus in
spicam terminalem elongatam densam vix basi inter-
ruptam digestis, bracteis lanceolatis v. intimis lineari-
bus acutis calyce longioribus v. aequalibus, flore parvo,
calyce 15-nervio sursum longius piloso leviter incurvo
ore obliquo 5-dentato dentibus acute deltoideis, corol-
lae azureoviolaceae tubo vix exserto limbum aequante,
galea porrecta acute 2-dentata staminibus superioribus
vix breviore, labio 3-fido lobis lateralibus ovatis acu-
tiusculis intermedio majore truncatobilobo, nuculis
(juvenilibus) laevibus.
E Mongolia boreali orta dicitur, ubi cirea Urga
hieme 1883 semina legerat et miserat Przewalski;
floruit in horto Regeliano Julio 85.
Affinitas cum nulla e notis bene expressa.
Summitas ante oculos 1//,-pedalis, tota graveolens.
Petioli 35, lamina 50 : 20 mm. Spica principalis 13 cm.,
non incluso verticillastro remoto infimo. Verticillastra
circiter 12-flora. Calyx 4 mm., dentes infimi 2 vix
minores subconniventes. (Corolla 9 mm. extus ad
limbum pilosa, intus in tubo parce pilosiuscula. Anthe-
rae atrae. Styli crura acuta aequalia, antheras supe-
riores non attingentia, inferiores superantia. Ovaria
laevia, processu disci aequilongo lineari albo.
Dracocephalum prunelliforme. (Sect. 3. Moldavica
Benth.). Ascendens vix pedale pilis aridis flexuosis
pubescens, foliis parcissime versus basin serratis sae-
pissime integris petiolatis (superioribus brevissime)
ovatis inferioribus obtusis, reliquis acutiusculis, flora-
libus imis oblongis basi orbiculatodilatatis, superiori-
bus sensim orbiculatis breve subito cuspidatis ciliatis
pilosisque; verticillastris confertis in spicam late ova-
tam, calyce basi piloso margine brevissime ciliolato
bilabiato labïis aequilongis: superiore 3-dentato den-
tibus ovatis, inferiore 2-lobo lobis lanceolatis, omnibus
Li
Bulletin de l’Académie Impériale
92
breve mucronatis; corolla ampla calyce 3-lo longiore
ad galeam erectam labium superantem apice cucullato
emarginatam stamina tegentem pilosa ceterum cum
genitalibus glabra, lobo labii medio majore transverse
orbiculato incisodentato, lateralibus ovatis integris,
tubo parum inflato intus pilosoarnulato. Ufsubo qusa.
S0o bokf, XI, 9 (foliis acuminatis paulo discrepans).
Nippon: prov. Senano s. n. jap. Jindou sô (Tanaka),
prov. Kaga monte Hakusan, s. n. jap. Tate-yama utsubo
gusa (Yatabe).
Typus proprius, nonnihil in mentem vocans Prunel-
lam grandifloram, et paulo accedens ad D grandiflorum
L., quod tamen adhuc nimis distat et aliae sectioni
adnumeratur.
Petioli inferiores 7 —10 mm., superiores 2—4 mm.,
lamina inferiorum (minorum) 30 : 15—20 mm., supe-
riorum (sensim majorum) à 55:35 ad 60:50 mm.
Calyx 11 mm, ultra dimidium in labia fissus, 15-ner-
vius ac reticulatus, purpureo suffusus. Corolla (pur-
purea ?) 30 mm., annulo pilorum incompleto parcius-
culo brevipilo. Stamina inferiora galea distincte, supe-
riora vix breviora. Stylus stamina breviora aequans,
lobis subulatis elongatis.
Adnot. D. urticifolium Miq., jam habitu v. gr.
stolonibus debilibus elongatis Cedronellam cordatam
Benth. referens, ob antherae loculos parallelos a
Dracocephalo removendum et Cedronella urticifolia
salutandum est.
Philoxerus Wrightii Hook. f. in Gen. pl. IIT, 40 (nomien).
Glaberrimus nanus caespitoso-ramosissimus et radicans,
foliis carnosulis planis spathulatis axilla imberbi, ca-
pitulis brevipedunculatis ramulos breves terminantibus
paucifloris, flore opaco lacteo, bracteis bracteolisque
parum minoribus hyalinis ovatis calyce fructifero plus
2-lo brevioribus, sepalis ovalibus exterioribus 3-inte-
rioribus 1-nerviis “patulis in fructu subinduratis cari-
natis conniventibus.
Liukiu: in fissuris rupium (Wright! n. 240 fi. c. fr.):
O-sima, rupibus maritimis rarus (Tashiro! nond. f1.).
Ab omnibus speciebus a Hookero huic generi ad-
judicatis differt bracteolis bractea brevioribus (nec
longioribus) omnibus ovatis obtusis. Proximus videtur
Ph. crassifolio Kth., e Mexico et Antillis, qui tamen
rhachi villosiuscula calyceque bracteas aequante abunde
distinctus videtur.
Caules fere spithamaei in caespitem vix ultra 2-poll.
altum dispositi. Folia 7:3 mm. internodia 2—3-lo
superantia. Capitula 5—7 mm. alta, circa 10—15-
flora. Bractea 1°, mm. bracteolis triente longior, om-
nes 1-nerviae. Calyx sub anthesi turbinatus vix 3 mm.
longus pedicello incrassato latior, fructifer 3,5 mm.
pedicello subgloboso farcto et duro aequilongus, sed
triente angustior, conicoconnivens, sepalis primum
hyalinis medio subviridulis, tum totis albidis pellucidis
cum margine hyalino angusto, interioribus angustiori-
bus. Staminum columna tenerrima, parte connata
filamentorum liberam aequante. Antherae flavae, vir-
gineae oblongae, dehissae late ellipticae filamenti par-
tem liberam fere deltoideosubulatam aequantes. Stylus
stigmatibus acute crasse subulatis patentibus germi- .
neque orbiculato longior, fructu maturo brevior et
persistens. Utriculus compressus membranaceus calyce
inclusus. Semen brunneum opacum testa membranacea,
cum albumine centrali discoideo hinc medio parieti
adnato. Embryo albidus cyclicus, radicula cotyledonum
longitudine ac illis subcrassiore cylindrica acutiuscula.
Atriplex arenaria Nutt. Gen. I, 198. Gray, Man.
409. $S. Wats. in Proceed. Amer. Acad. IX, 112.
Hook. et Arn. Bot. Beech. 157. Obione aren. Moq..
in DC. Prodr. XIII, 2, 107.
Liukiu:
Distrib. America borealis! atlantica littoralis, Veracruz
Mexici et Chile, ex Moquin. E California quidem
enumerant Hooker et Arnott, sed fortasse ex con-
fusione patriae, nam in Bot. of California IT omittitur.
Asarum Forbesi. Fibris radicalibus crassis, internodiis
abbreviatis, foliis membranaceis concoloribus longe
petiolatis cordatoreniformibus; calycis tubo campanu-
lato intus elevatoreticulato, lobis ovatis laevibus, fauce
extus haud constricta intus membranaceoannulata,
filamentis basi adnatis, antherarum processu brevis-
simo, stylis érectis teretibus supra stigmata lateralia
bifidis cruribus obtusis arcte continuis, ovario ultra
semisupero. À. Blumei Hce. in Journ. bot. XX, 293.
China: prov. Chekiang, ad Meichi (Forbes et
Carles!).
Folia À. Sieboldi Miq., recte observante Hance,
perigonii forma et magnitudo fere À, variegati A. Br,
praeter annulum in fauce tubi qui, sicut reliqui cha- 10
racteres florales, 4. Blumei Duch._
ins. Miyako juxta Formosam Eash ir) M
PSE
so
93 À
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
94
Petioli 135 mim., lamina in folio uno 67 mm. lat,
58 mm. v. a basi sinus mensa 43 mm. longa, in folio
secundo speciminis missi eaedem mensur?e 120, 60,
54,-41 mm. Pedunculus parte exserta 10 mm., calyx
15:10 mm.,
Styli ultra ?/, tubi sub anthesi attingentes tota longi-
tudine stamina superantes. Antherae oblongae fila-
mento duplo longiores. ;
Piper L.
Species sinico-japonicae.
Flores hermaphroditi. Planta glabra foliis
tenue membranaceis 5-nerviis ovatocllipticis
M eu Ve Ge nd Vo de ch nues P. chinense Miq.
‘
2. Spicae oppositifoline. 8.
» axillares, folia cordatorotunda ampla..
3. “ra Mes subtus pubescentia.
Glabr
4, Nr Das yalde obliqua semicordata, spicae
LA TS CÉPAEU S RUO NS LOS PE TE el P. puberulum Bth.
olia Ra aequaliter cordata, spicae re-
DR NS er st nee dau nee P. sinense C. DC.
5. Spicae utriusque sexus elongatae cylindricae,
folia septuplinervia acuminata pl. juvenilis
* subcordatoovata adultae basi obliqua ovato-
oblonga v. ovatolanceolata ................ + Futokadsura Sieb.
Spicae & elongatae quam © multo longiores. 6.
6. Folia 5—7-plinervia basi pl. m. Mesa {à
E » oblongoelliptica penninervia .......... P.officinarum C. DC.
SP € D oblongo- v. ovato- “eliptics sensim acu-
DR ER DENT et eve ME ph ae Pal Lee a die vs P, Hancei m.
Folia orbiculato- v. rite ovata subito acu-
D EN er Ne RL LI SUP Va P. sarmentosum Roxb.
P, Postelsianum m.
1. ? P. chinense Miq. in Hook. Lond. journ. bot.
IV, 439. C. DC. in DC. Prodr. XVI, 1, 375 (inter
Spec. miuus notas).
_ China (Millett in hb. Hooker, fide Miquel).
2. P. Postelsianum. (Macropiper Bth. et Hook. f.
Gen. pl. ILE, 129). Glabrum, foliis amplis longe petio-
latis profunde cordatoorbiculatis subito breve obtuseque
cuspidatis membranaceis 13-nervits nervis subtus pro-
_ minulis 5 mediis fere aequicrassis centrali usque in
_ acumen producto reliquis ante marginem anastomo-
_ santibus, petiolo ultra !! vaginante alis linearibus,
__ pedunculis geminis petiolo pl. duplo fere triplo bre-
vioribus, rhachi inter flores pilosa, bracteis peltatis
sis “orbenlatis cucullatis pedicellatis, staminibus 2 (3 ?)
= filamento brevi insidentibus, loculis ovoideis discretis
- filamento brevioribus. Pothomorphe subpeltata Mig. in
. Hook. Lond. journ. bot. IV, 431 (ex X coll. citato).
= Bonin-sima (Postels!, Mertens! n. 86, Yatabe!
5 sub nom. jap. Taiyo futokadsura).
tubi parte libera 8 mm., lobis 4 mm. |
Miquel ob habitum sane ad Pofhomorphen relegavit
et sterile tantum habuit, nam flores in Pothomorphe
hermaphroditi. Proximum P. guahanense C. DC.
(Macropiper methysticum et M. latifolium Miq., fide
Cas. DC.) differt foliis subtus ad venas ochraceohirtis
duplo minoribus 9—1 1-nerviis sensim acuminatis, ala
petioli breviore, spieis (9) singulis.
Lamina 22 cm. lata et longa, siuu angusto 4,5 cm
alto, petiolus 7,5 em., vagina 3 em. Internodia petiolo
breviora. Peduneuli 2,5—3 em. Spicae 11—13 em.
longae, 3 mm. crassae, basi apiceque obtusae.
3. P. puberulum Benth. FI. Hong. 335 (sub Chavica).
P. arcuatum Seem., Bot. Herald, 415, — non Miq.
? P. Hongkongense C. DC. I. c. 347 (ex descr.)
Hongkong (Hance, ex Bentham). Non vidi.
C. DC. I. c. 360. habet e Hongkong ?. arcuatum
Miq. in Seem. Herald, et de specie Benthami silet.
Tum enumerat var. à. triplinerviam e China ae
fide Miq. Syst. 335).
4, P. sinense C. DC. I. c. 361. Chavica sin. Champ.
in Kew journ. bot. VI, 116. Benth. FI. Hongk. 335.
Hongkong (Hance!, Forbes!).
5. P. Futokadsura‘ Siebold in Sieb. Zucc. FI.
Jap. fam. nat. II n. 455. Miq. Prol. 303. Fr. Sav.
Enum. I, 443. C. DC. in DC. Prodr. XVI, 1, 346.
Piper ‘foliis 7-nerviis Thunb.! FI. Jap. 351, pl: obsc.
p. 7. P. arcuatum var. Miq. in Ann. mus. higd. bot.
L'185:
Japonia (Miquel!, Tanaka! sub nom. jap. kiuma
(fol. latioribus) et Futou katsura (fol. angustioribus):
circa Nagasaki frequens (01dh.!, ipse), Nippon: Tokio,
culta s. nom. Biwats (ipse), Kamon saki (Savatier!);
Formosa, ad Tamsuy ai n. 468 steril. sub hoc
nomine missa).
6. P. officinarum C. DC. I. c. 356. Chavica offic.
Miq. Syst. 256. Ill. 39, t. 34. et in Lond. journ. bot.
IV, 433.
China (Millett, fide Miquel), tum in Philippinis!
Celebe, Java!, Sumatra.
7. P. Hancei m. Chavica leptostachya Hance in
| Journ. bot. VI, 301.
China: prov. Cantoniensi (Sampson! 6 et © misit
Hance); Liukiu (Tanaka! 9): O-sima (Wright! 6 et
l'fructif.).
#
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96
8. P. sarmentosum Roxb. F1. Ind. I, 162. C. DC.
1. c. 352. Chavica sarm. Miq. Syst. 242. Benth. F1.
Hongk. 335. P. fragile Benth. in Hook. Lond. journ.
bot. II, 234. (a C. DC. I. c. 358. e Nova Guinea
seorsim inter multiplinervia enumeratum). Ch. beile
Seem. Bot. Herald 415, neque Miquel.
China australi: Canton (Hance!) et prov. Canton.
(id.!, Sampson!), Hongkong (Hance!).
P. betle L. a C. DC. L c. 359, fide Miquel ad pl.
Seemanni e Hongkong enumeratum, ex Bentham
huc pertinet.
Machilus Rumph.
Species sinicojaponicae.
re subtus tomentosa. 2.
» labra v. vix pilosula. 4.
2. Folia basi rotundata obovatooblonga, panicu-
lae laxae longe pedunculatae
Folia basi cuneata. 3.
3. Tomentum villosum patulum, folia acute acu-
minata, paniculae sessiles
Tomentum appressum, folia obtuse attenuata,
M. Grijsii Hce.
paniculae pedunculatae ................... Kobu m.
4. Folia coriacea. 5.
KR. CANON, re te deshétoeeues trs M. japonica S. Z.
5. Gemma dorso ramulique saltem novelli tomen-
tosa. 6.
Gemma margine squamarum nent paniculae
folio breviores, ramuli glabri.........,,.... M. Thunbergi S. Z.
6. Folia elongatolanceolata sübtis secus venas
parce pilosula, paniculae longe pedunculatae
apice dense multiflorae ceterum laxae . ,..... M. oreophila Hce.
Folia basi cuneata obovatooblonga apice subito
breve obtuse cuspidata glaberrima, paniculae
totae laxae folia superantes. ....,......,.,. M. rimosa BI.
1. M. Gris Hce. in Ann. sc. . nat. 4 ser. XVIII,
296. Journ. bot. XX, 38. Meisner in DC. Prodr.
XV, 1, 504.
nn: prov. Canton. (Henry, ex Hance), prov.
Fokien (de Grijs, ex Hance).
Arborea. Folia 3%,—5", : 1'/,—
petiolus 3—7-linealis.
2. M. velutina Champ. in Kew journ. bot. V, 198.
Benth. F1. Hongk. 291. Meisn. L. c. 39.
Hongkong (Hance!), nec alibi inventa.
3. M, Kobu. Ramis foliisque subtus gilvotomentellis
demum glabratis, foliis novellis utrinque dense villo
rubiginoso, gemmaeque globosae tegmentis dorso to-
mentosis, foliis Jongiuscule petiolatis ellipticooblongis
v. ellipticooblongoovatis obtuse breve attenuatis su-
Fraises M. velutina Champ.
2°, poil. magna,
Miq. Prol. 127. Franch. Savat. Enum. L'FHIS
perne opacis obsolete scrobiculatis, subtus tum dis- |
tincte elevatovenosis areolatisque, paniculis folio bre-
vioribus tomentellis, drupa..…
Bonin-sima (Yatabe sterilem et florere incip. misit
s. nom. jap. Kobu-kashi vel Kuro tetsu).
Affinis M. velutinae Champ. et M. pubescenti BI.
(a me non visae). Prior paniculis sessilibus, tomento
omnium partium patente villoso rufo foliisque acute
acuminatis facile dignoscitur. Posterior ex descriptione
foliis angustioribus supra immerse (nec prominulo-)
costatis, subtus eveniis, brevius petiolatis chartaceo-
coriaceis, paniculis folia aequantibus differre videtur.
Folia minima petiolo 12 mm., lamina 93 : 28 mm.,
maxima petiolo 30 mm., fibres 130 :45 mm., latis-
sima petiolo 25 mm., basis 130 : 70 mm. Gens
23 mm. alta et lata. Perigonium 4,5 mm. longum.
Filamenta stylusque pilosa aequilonga, priora stami-
nodia 4-lo superantia. Stamina in flore dissecto vidi
fertilia 9, sterilia 6.
4. M. rimosa BI. Mus. Lugd. Bat. I, 330. Meisn.
1. c. 42. Benth. IL. c. 291. M. Thunbergii Benth. in
Kew journ. bot. V, 198, non Sieb. Zucc. 54
Hongkong (Wright!), Formosa (Watters ex Hce.
in Journ. bot. XXI, 335), praeterea in Java!, Mou-
mein (Lobb ex Meisner).
À simillima sequente distinguenda tegmentis exte-
rioribus tomentosis (neque tantum ciliolatis), ramulis
novellis ochraceotomentosis (neque glabris) et paniculis
folia aequantibus aut superantibus (nec brevioribus).
5. M. Thunbergi Sieb. et Zucc. F1. jap. fam. nat.
IL, n. 704. Meisn. L. c. 42. Miq. Prol. 127. Fr. Say.
Enum. I, 411. Engl. Bot. Jahrb. VI, 57. Lauwrus
indica Thunb. F1. Jap. 173, — non L. Tomu noki,
Kaempf. Amoen. 906. Ic. Käémpf t. 50. 2.
Korea: portu Hamilton (Wilford!); Japonia: ad
promontor. Nomo aestuarii Nagasaki et circa urbem
(ipse, Oldh.!), Simoda(Yolkin!), Yokoska(Savatier!),
Yokohama (Oldh.!, ipse); Ziukiu (Doederlein!), 5
Formosa, ad Tamsuy (01dh.! n. 450). É
Arbor dense frondens, 50—60-pedalis, pulchra. , …
Folia vulgo obovatooblonga ludunt a lanceolatooblon- 4
go in late ellipticum. 20
6. M. japonica S. Z. 1. e. n.705. Meisn. L. c. 42.
Japonia (Siebold!): Kiusiu interiore, ad Ko-isiwara %
4, Limbus tubo 2—3-lo brevior uterque
97
des Sciences de Saint: Pétersbourg.
ps
in sylvis, circa Nagasaki,
Tsusima (Wilford!).
Arbor 30-pedalis, 4 pedes usque crassa dicitur,
incolis Kiusiu interioris eodem nomine Tabu noki ut
praecedens nota. Gemmae M. Thunbergii. Folia subcon-
colora, subtus ex sicco non glaucescentia videntur, ab
illis A. Thunbergii consistentia chartacea et forma
angustiore ab oblongolanceolato sensim acuminato in
linearioblongum valde acuminatum ludente diversa.
Flores fructusque idem. An igitur tantum M. Thun-
bergii var. umbrosa habenda?
7. M. oreophila Hance in Ann, sc. nat. 4 sér.
XVIII, 227. Meisn. 1. c. 504.
Gina: prov. Fokien (de Grijs, ex Hance).
Dicitur arborea, foliis 5—7 poll. longis, 1—1!/ poll.
latis, petiolo subpollicari.
Species dubia.
M. ? longifolia B1. Mus. Lugd. Bat. I, 331. Miq.
Prol. 127. Fr. Sav. Enum, I, 112. Engl. Bot. Jahrb.
OT.
Liukiu (Doederlein, fide Engler), Japonia (hb.
Lugd. Bat.!).
Sterilis tantum lecta, quoad genus et imo familiam
dubia, japonice ex Franch. Savat. audit Ao kasi:
i. e. Quercus glauca.
in sylvis umbrosis (ipse),
Cinnamomum sericeum Siebold. Miq. Prol. 127.
Franch. Savat. Enum. I, 411. C. daphnoïdes Sieb.
Zucc. FL Jap. fam. nat. IT, n. 701.
Liukiu (Tanaka! flor.), Japonia: ad Nomosaki
_ (Buerger! in hb. Lugd. Bat.) et cultum (ipse).
Wikstroemia Endl.
Species Sinicojaponicae.
Folia omnia opposita. 2.
» opposita et alterna parva acute elliptica
subtus ramulique pilosula, capitula pluriflora,
En sericei luteopurpurei lobi tubo triplo
D Me L'or y ide or
2. Racemi capituliformes apice caulis ramorum-
que pm mer tirs densam con-
sti
Tidem | paume apice ramorum pl. m. elon-
atoru
W. Monnula Hce.
18 ini crassi dense imbricatofoliati, folia obo-
vata cas peer limbus perigonii tubo
triplo RON 25 re té à de CAN HEC à À
Rami rl virgati, folia acuta v. obtusa. 4.
glaber-
rimus, folia obtusa v. obtusiuscula ovalioblonga
abrata 5
Limbus tubo 3—5-lo brevior ue sericeus,
folia (infer. passim exceptis) acuta. 6,
Tome XXXI.
W. retusa A. Gray
5. Folia laevia paucicostata, flores albi. ..,.., W. indica C. A. Mey.
» nervosa multicostata, flores luteovirides. W. viridiflora Meisn,
6. Folia glaberrima laevia linearioblonga utrin-
. acuta, limbus tubo 4—5-lo brevior, flores
D cn iles nVe Aides W. Chamaedaplhine Meisn.
Rami ts subtus pilosa Y. — 7.
7. Folia lae £
flores lilacin CR DONS ET PR TT MON PE
Folia ane reticulatovenosa densa ovata v.
eliptica basi obtusa, flores tubo carnei limbo
ina que acnta
.W. chinensis Meisn.
nie Ham LS cn di CRT OR
8. Glabrae, capitula pauciflora, flores TE 9,
Sericea, capitula multiflora, limbus #
brevior, folia ovata v. ovatolanceclats aout. hs Sikokiana Fr.Sav.
9, Capitula nutantia apice ramorum solita
flores viridiluteï, se anguste ae pr
acuminata, rami flexuosi .......,.......
Capitula erecta ue cross flores st
cti. W. japonica Mia.
1. W. Monnula Hce. in Journ. bot. XVI, 13.
China: prov. Canton (Bullock, ex Hance).
W. nutans Chamr.
2. W. retusa A. Gray (in sched.). (Zuwwoikstroemia
Meisn.) Ramulis novellis pilosis dense imbricatofo-
liatis, foliis brevissime petiolatis herbaceis glabris
multinerviis obovatis retusis v. rarius ellipticis obtusis;
capitulis terminalibus breve pedunculatis, perigonio
pubescente lobis late ovalibus obtusis tubo brevioribus,
ovario vertice piloso, squamis hypogynis !, ovarii
altis oblongis passim bilobis liberis.
Liukiu: in sepibus, frutex ramosissimus 4—6-pe-
dalis (Wright!), ad Napakiang, ad latera collium fre-
quens, a basi patule ramosus (Dr. Weyrich!}; Bonin-
sima (Yatabe! s. nom. jap. Awo ganpi).
Valde affinis videtur W. rotundifoliae Dne. in Jac-
quem. Voy. 146, ex insulis Polynesiae, quae tamen ex
diagnosi breviore differre videtur foliis late ovalibus
utrinque obtusis (nec basi cuneatis) ovarioque glabro.
Rami crassi, pulvinis crebris prominentibus. Petioli
2—3 mm., lamina 40:20 ad 55:30 mm., vel in
sureulis novellis citius excretis laxiusque foliatis
60:25 mm., nervis utrinque 10—12 et inter nervos
venosa, Perigonium ex collectore viridiluteum, drupa
{late ovalis rubra 5—6 mm. Semen ovoideum nigrum
lucidum testa crustacea. Albumen membranae in mo-
dum embryonem globosoovoid radicula breve conica
excepta circumdans. Cotyledones semiglobosae Last
emarginatae, radicula brevissima.
3. W. indica C. A. Mey. in Bull. phys. math. Ac.
Pétersb. I, 357. Meisn. in DC. Prodr. XIV, 543.
Hook. Arn. Bot. Beech. 68, 94, 209, t. 15. Daphne
;
Bulletin de l’Académie Impériale
100
indica L. Cod. 2825. D. foetida Forst. in Linn. f.
Suppl. 223.
China (Osbeck, Vachell) occidentali: prov.Schensi
_secus fl. Han (Dr. Piasezki!, ex quo frutex parvus,
floribus albis fragrantia Platantherae); tum in Austra-
lia et Philippinis.
Specc. sinica a reliquis ante oculôs flore duplo mi-
nore recedunt, quem tamen variare statuit Meisner,
ceterum plantam, praeter pilos strictos in apice ovarii,
glaberrimam sistunt. Quoad floris colorem autores
dissentiunt: Blanco in D. indica viridescentes, in
D. foetida lutescentes dixit, Meisner utramque ad
D. indicam duxit, Linnaeus in Capura purpurata L.
a Meisnero etiam huc ducta purpureos habet. : An
hic plures species latent?
4. W. viridiflora Meisn. I. c. 546. Benth. FI.
Hongk. 297. W. alpina var. Benth. in Kew journ.
bot. V, 195. Daphne cannabina Lour. FI. Coch., fide |
Decaisne in Jacquem. Voy. 145.
Hongkong (Hinds!, Wright! quo teste flores vires-
centilutei, fructus lutescentiruber), Formosa (OIdh.!
n. 456), tum in Zndia (Falconer! n. 901), Chittagong
et Singapur (Bentham).
5. W. Chamaedaphne Meisn. 1. c. 547. Franch.
PI. David. I, 260. Passerina Chamaed. Bge. Enum.
Chin. n. 396. Turez. Enum. Chin. n. 174. Fa
Ind. Pekin. 476, Ind. Mongol. 485.
China borealis in lapidosis (Bunge!): circa Pekin
(Kirilow!, David), montibus ab urbe ad occidentem
(Tatarinow!) et septentrionem (Bretschneider!),
Nankou (idem!, Wawra n. 1008!), Takiosze et alibi
frequens, frutex 1—3-pedalis, floribus flavis suaveolen-
tibus (Bretschn.)
6. W. chinensis Meisn. L c. 546. Debeaux, flor.
du Tchéfou n. 175. Franch. PL David. I, 260.
China (hb. Monac. ex Meisn.): prov. Shantung ad
Tschifu (Debeaux), Kiukiang (David).
Flores dilute violacei tum lilacini, fide Debeaux.
7. W. Ganpi m. W. canescens var. Ganpi. Miq.
Prol. 298. Franch. Savat. Enum. I, 405. Passerina
Ganpi. Sieb. Zucc. F1 Jap. fam. nat. IL, n. 696.
_ Stellera Ganpi. Siebold, Syn. pl. oecon. n. 132.
Nippon: Yokohama, frequens (ipse, Oldh.! cujus
spec. n. 266. foliis lanceolatoovatis acutis ÿnsigne),
Yokoska (Savatier!), Nambu, jugo Hakone (Tscho-
noski!); Kiusiu: Tara-take non procul a Nagasaki
(ipse), Kago-sima (Doederlein!).
W. canescens Meisn. habitu ct floribus quidem
simillima, attamen differre videtur foliis angustioribus :
et vulgo acutioribus, costis principalibus 6—8 (neque
4—5), perigonii tubo limbum minorem magis supe-
rante, antheris ochroleucis sessilibus (neque fuscis
filamento libero brevissimo fultis), semine anguste lan-
ceolato utrinque acuto (nec ovoideo basi minute api-
culato, apice breve obtuse attenuato), drupa multo
brevius calyce persistente inclusa obverse linearilan-
ceolata apice tantum sericea majore, hine nervo elevato,
latere opposito nervis 3 spatio dilutiore separatis lon-
gitudinaliter pereursa (neque ovoideolanceolata obtusa
tota sericeopilosa, hinc crista dilutiore sulcata notata).
Var. pauciflora Fr. Sav. 1. c. II, 481. W. pauci-
flora Fr. Saw. L. c. I, 406.
Nippon (Oldham! 1861 n. 266 vix fl., an e Yoko-
hama?): Hakone, Senano (Savatier).
8. W. sikokiana Fr. Sav. 1. c. II, 481.
Sikoku (Rein! n. 77).
Specc. Reini quae ante oculos sunt, flores delapsos
MEN ETSEMSS
nec fructus ullos superstites habent, ita ut ad descrip- en.
tionem autorum nil addendum habeam.
9. W, nutans Champ. in Kew journ. bot. V, 195.
Meisn. L c. 545. Benth. FI, Hongk. 297.
China australi: Hongkong (Wright!,
Canton (Fortune! n. 174), nee alibi.
Hance!),
10. W. japonica Miq. Prol. 298. Fr. Sav. Enum.
I, 405. Passerina japonica Sieb. Zucc. FL Jap. fam.
nat. Il, n.695. Séellera japon. Siebold, Syn. pl. oecon.
n. 131. ÆRubia spicis ternis, Thunb. FL. Jap. 357.
Queria dichotoma Thunb. in Trans. linn. soc. II, 329.
Icon. pl. Jap. dec. À AE AN
Japonia (Siebold!. ex quo jap. kim cortice ad
chartam praeparandam adhibito): Nippon (Everton
Kiusiu: Simabara, vulcano Wunzen, frutex 3—4-pe-
dalis digitum crassus, praesertim apice ramosus (ipse).
Species distinctissima, neque W. virgatae Meisn.
affinis, quacum comparaverant Siebold et Zuccarini, 4
quae autem potius W. canescenti comparanda.
Observ. Daphne Kiusiana Miq. Prol. 298. Fr.
Sav. Enum. I, 405. Jamma Rintsjo, Kaempf.! Amoen,
101
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
844. ex mea opinione ad D. sinensem Lam. Dict. III,
438. ducenda est. — In Japonia crescit non rara
in sylvis Kiusiu, ubi sistit fruticem pauperem 4-pedalem
flore albo fragrante. Praeterea sterilis lecta fuit in
Yezo: arundinetis montium ad Idzi-no-watari (ipse,
Albrecht!). In Æuropa colitur s. nom. D. odorae, e
China olim introducta. A D. odora Thunb. differt
perigonii pubescentis laciniis late oblongis et foliis in
planta spontanea angustioribus floreque minore, sed in
planta culta flores majores fiunt, folia vero aequilata
ac in D. odora.
D. yezoënsis, à Fr. Sav. En. I, 404 tantum ex
sched. hb. enumerata, a me descripta est in Rgl.
Gartenflora, 1866. 34, t. 496, ubi comparationis
causa adducuntur etiam diagnoses D. Kamitschaticae
m, et D. Pseudomezerei À. Gray.
nd
Fagus japonica Maxim. (nomen) apud Nathorst in
Bihang till Svensk Vet. Akad. Handl. IX, Xe 18, pag.
8 in adnot. Folüs ellipticis basi obtusis v. acutiusculis
apice subito acuminatis utrinque 8—10-costatis costis
obscure in sinus vel passim versus dentes obsoletos v.
- distinctos tendentibus; pedunculis gracilibus amento
utriusque sexus pluries longioribus, fructiferis cernuis
* fructum parvum 2—3-lo superantibus, involueri dehissi
laciniis patentibus nucula subduplo brevioribus dorso
squamatis squamis acute deltoideis imbricatis apice
tantum patulis.
Nippon: jugo Hakone et prov. Naibi (Tschonoski).
_ Specc. flor. nonnulla olim sub nomine Æ. Süeboldi
distribui.
Quoad foliorum formam et magnitudinem nie
F. sylvaticae L. y. asiaticae D C.,.quae tamen, ut tota
EF, sylvatica, pedunculis crassiusculis amento ad sum-
__ mum sesquilongioribus, fructu duplo majore, involucro
_ nuculas superante, squamis ejus linearibus elongatis
.. recurvopatentibus nuculaque duplo majore valde dis-
_ tincta. Nervi foliorum in nostra vulgo numerosiores.
: Adnot. Ad F. sylvaticam T1, cujus var. y. asiatica
: A. DC. in sylvis Yezo australis frequens, ducenda est
_ etiam
e Var. à. Sieboldi m. Foliis ovatis basi subrotundis
_ subcordatisve costis in sinus tendentibus, fructu var. y.
_ Fagus Sieboldi. Endl. Gen. pl. suppl. 4, pars 2, p.29.
A. DC. Prodr. XVI, 2, p. 118. F. crenata BI. Mus.
Lugd. Bat. I, 307. F. ferruginea Sieb. Syn. pl. oecon.
nA101.
Nippon: in sylvis Nikko (Savatier!), Kiusiu inte-
riore in sylvis montanis, incolis Bunna, arbor dicitur
magna, 4 pedes usque crassa (ipse). — Fide Siebold
jap. Bunanoki, lignum in prov. septentrionalibus ad
aedificandum fabricandumque adhibetur, ex fructibus
exprimitur oleum,
Foliorum forma tantum a reliquis varr. diversa
indeque pro specie distincta nequaquam habenda.
Liparis japonica. Spithamaea vel ultrapedalis robusta,
pseudobulbo ovato, vaginis 2—3 obtusis virescentibus,
foliis 2 ellipticis oblongis v. rotundatoellipticis obtusis
in petiolum latissimum brevem v. rarius laminam
aequantem sensim v. subito attenuatis, scapo alatoan-
cipiti folia duplo v. ultra superante; racemo laxo
plurifloro, bracteis parvis pedicello ovarium aequante
multiplo brevioribus, floribus virescentibus erectopa-
tulis, phyllis perigonii membranaceis obtusis exterio-
ribus ovatooblongis 3-nerviis, interioribus spathulato-
linearibus 1-nerviis subaequilongis, labello paulo bre-
viore vix crassiore Po ae sens at basi sub-
cordata columnam iculato a medio
reflexo 5-nervio antice crenato cui dente majore in
medio, columna leviter arcuata basi latiore, rostello
truncato in dentem depressotriangulum acutum stigma
marginantem et ad dimidiam columnam decurrentem
abeunte, clinandrio utrinque 1-dentato, anthera depres-
sohemisphaerica 2-loculari, polliniis flavis per 2 in
massas ovatas connexis liberis. Microstylis japonica
Mig. Prol. 135. Fr. Sav. Enum. II, 21. Seitaka
Sudzumushi, Soo bokf, XVIII, 70 verso, fig. B.
Per totam Japoniam sylvis muscosis non rara; in
Mandshuria australiori: ad Amur australem in angus-
tiis bureicis (Radde! 1857), jugo Sihota ad fontes fi.
Wai-Fudin, insula Russki ex adverso Wladiwostok
(ipse).
Arcte affinis ZL. Zilüfoliae Rich.,
minusque in Japonia rara.
sed minus elegans
Bulbophyllum inconspicuum. ($ 1. Lindl. Orch. 48).
Rhizomate elongato repente filiformi pseudobulbis
remotiusculis oblongis 1-phyllis, folio brevipetiolato
lamina oblonga obtusa basi attenuata coriacea margine
revoluta 3-nervi; pedunculo radieali altitudine pseudo-
bulbi 1-floro 3-bracteato: bracteis laxiusculis membra-
103
Bulletin de l’Académie Impériale
104
naceis acuminatooblongis summis 2'inter se florique
approximatis; flore parvo ex sicco decolori, sepalo
summo subtrinervi petalisque minoribus subbinerviis
ovatodeltoideis acutis margine fimbriatis, petalis hya-
linis sepalis membranaceis, lateralibus majoribus oblon-
goellipticis obtusiusculis 3-nerviis integris, labello
petala aequante ovato acuminato incurvo intus crista
validissima percurso, columna apice utrinque acute
1-dentata, anthera minuta, stigmate amplo subqua-
drato, pede columnae elongato attenuato incurvo cum
labello articulato. Orchidea dubia 1, ded. Siebold,
Miquel, Cat. hb. Lugd. Bat. 103.
Japonia (Siebold! in hb. Lugd. Bat. s. nom. jap.
Mugi-ran): Kiusiu monte Naga, in arboribus, cum
Trichomane (ipse, ster. et fructif.).
E speciebus micranthis 1-floris mihi notis paulo
accedere videtur ad PB. pygmaeum Lindi. ex Nova
Zelandia (v. Ster.), nimis tamen diversum.
Eria japonica. ($ 1. Conchidium Griff. Lindl.). Foliis
binis lanceolatis basi vaginantibus scapum 1-florum
subsuperantibus, bracteis ovatis membranaceis parvis
versus apicem et ad basin, flore lacteo parvo ad mentum
pilosulo, sepalis petalisque oblongis acutis aequalibus,
labello purpurascente trilobo basi tricristato lobis late-
ralibus erectis ovatis, terminali reflexo aequimagno
omnibus obtusis. Osa ran, bakukoku ran, Soo bokf,
XVIII, 19. Dendrobium reptans Fr. Sav. Enum. IE,
510, ex fig. citata.
Nippon: provinciis australioribus (Savatier), Kiusiu
prov. Hiuga in monte Kirisima et alibi frequens, trun-
cos arborum caespitibus usque tripedalibus obducens
(fide Inuma in Soo boku I. c.), ipse cultam Tokio vidi.
FE. pusillae Lindl. proxima, quae tamen pseudo-
bulbis globosis, foliis basi attenuatis minoribus, bractea
sub flore ampla acuminata, labello integro satis nimis-
que differt. |
Rhizoma perinam corvinam crassum, pseudobulbis
crebris oblongis striatis 15 mm. longis numerosis
obsessum. Folia 3—4 cm. longa, 9—12 mm. lata,
carnosula. Scapus 2—2,5 mm. Flos 10 mm. longus.
Anoectochilus Tashiroi. (Odontochilus BI.) Caule foliato,
foliis viridibus brevipetiolatis ovatis acuminatis, racemo
laxo paucifloro cum bracteis ovariis eas superantibus
calyceque dorso articulatopilosis, petalis linearilanceo-
latis falcatis sepalum summum rhombeoovatum triente
superantibus et cum eo in galeam conglutinatis, sepalis
lateralibus divaricatis elongato-dolabriformibus basi
connatis, labelli sacco brevissimo intus utrinque cum
appendice 2—3-partita, ungue longitudine laminae
bipartitae (partitionibus oblique ovatis acutiusculis
extus irregulariter denticulatis) lineari secus medianam
bilamellato, margine longe fimbriato fimbriis utrinque
8—9 subulatis laminae latitudine brevioribus versus
ejus basin decrescentibus, rostello acute bipartito
patente.
Liukiu (Tashiro, misit Tanaka).
Habitus Cystopodis elongati BI. Orch. Arch. Ind.
t. 30, fig. 1, à quo differt forma sepalorum eciliatorum,
petalis cum sepalo dorsali non aequilongis, praesentia
dentis deltoidei inter partitiones labelli, cristis in ungue
labelli duabus.
Spithamaeus. Petiolus 6 mm., lamina folii maximi
5:3 cm. Racemus 6 cm. Perigonium ex sicco ruben-
tivirèns cum maculis parvis obsoletis, phyllis 1-nerviis
dorsali 5 mm., lateralibus connatis 15 mm., petalis
6 mm., labello albo 16 mm. longis.
Orchis Roborovskiü. Rhizomate horizontali brevi stolo-
nibus innovante, caule palmari diphyllo, foliis elliptico-
lanceolatis obtusis cum apiculo, spica 2 — 3-flora,
bracteis flores superantibus, flore roseo, sepalis late-
ralibus reflexis superius petalaque superantibus omni-
bus ovatooblongis obtusis 4—5-nerviis, labello basi
bicristato orbiculato antice breviter trilobo lobis ovatis
obtusiusculis medio productiore, calcari conico labellum
superante germen subaequante.
Tangut (Przewalski, 1880).
Huic proxima est Orchis Chusua Rehb. f. sic dig-
noscenda: Tubere unico ovali, caule spithamaeo
2-phyllo, foliis elongato-lanceolatolinearibus acumina-
‘tis, racemo secundo 2—5-floro, bracteis flores majus-
culos superantibus, sepalis petalisque 3-nerviis ovato-
oblongis obtusis sepalis lateralibus paulo majoribus,
labello latiore quam longo basi carinato aequaliter pl.
[m. trilobo calcar cylindricum atque germen aequante.
Gymnadenia Chusua Lindl. Orch. 280. — Nipal
(Wallich!), Sikkim (Hooker fil.!, Elwes!).
Orchis cyclochila. Rhizomate e fibris elongatis villo-
sis tenue carnosis, folio 1 radicali orbiculato v. orbi-
culatoelliptico obtusissimo in petiolum cuneatoatte- :
nuato, SCapo palmari, spica 2--3-flora, bracteis flores
Li
105
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
106
roseos subsuperantibus, sepalis patulis 3-nerviis oblon-
gis acutiusculis petala linearia 1-nervia superantibus,
labello obovatorotundato erosulo indiviso calcar anguste
conicum germenque subsuperante. Habenaria cyclochila
Franch. Savat. Enum.'Il, 516. Gymnadenia spec.
Miquel! Prol. 139. Gymn. n.sp. Miq.! Cat. hb. Lugd.
Bat. 102. Kamomesô, Soo bokf, XVIII, 46 (mala).
Japonia (bot. japon. in hb. Franchet): Fudsi yama
(Tschonoski!, Yatabe! s. n. jap. Ichiyô-ran), vallibus
profundis Kiso yama ([Inuma).
Eadenÿ species, ni fallor, delineata est apud Itô
Keiske, Nihon shioku ete. [, 35, sub nomine Itsiyo
tsidori.
Herminium alaschanicum. Caule foliato, foliis acumi-
natis infimo oblongo reliquis linearibus summis subu-
latis bracteiformibus, spica secunda densa, bracteis
lanceolatis subulatis ovarium superantibus, ovario
apice brevirostri inflexo erecto, floribus virentibus
nutantibus, sepalo summo ovato subtrinervi, lateralibus
lanceolatis 1-nerviis, omnibus obtusiusculis, petalis
triente longioribus apice carnosulis pl. m. trilobis
lobis medio lineari producto superiore dentiformi v.
obsoleto inferiore lineari v. anguliformi- deltoideo,
labello cuneato basi concavo ad medium trilobo lobis
parallelis linearibus acutiusculis medio subbreviore,
calcari scrotiformi distincto.
Tangut, in rupibus, alt. 10 mill. ped. s. m., rara,
Mongolia australi: jugo Alaschan ad latera argillosa
aperta, parce (Przewalski, 1873, 1880).
* Affine Æ. Monorchi R. Br., sed flores majores, calcar
_ distinctius, labellum SATA saepe triloba lobis pa-
rallelis. — Adsunt tamen varietates duae: alaschanica:
pedalis, petalis angulatis et calcari longiore, et éangu-
tica: spithamaea, petalis manifeste trilobis.
Tuber (tantum in pl. éangutica collectum) 1 globoso-
ovale. Caulis basi vagina 1 tubulosa hyalina, tum foliis
approximatis 2—5 instructus, quorum infima basi
. tubulosa vaginantia, reliqua sessilia. Imum oblongum
= breve acuminatum 40:10 mm., reliqua complicata
sensim acuminata 70 : 6 ad 35: 5 mm. magna, summa
. 2—A sparsa. Spica 2—8 cm. Sepala 4,5 mm., petala et
= labellum 5,5 mm. Columna nana basi labelli adnata, an-
: _ therae lculis parallelis basi parum divergentibus, polli-
# _niis caudicula brevissima, glandula ovali magna rostello
plano depresse deltoideo margine tantum libero apposita.
Herminium biporosum. Folio radicali oblongo obtuso
3-nervi cauli continuo basi tubulosa vaginante, scapo
nudo apice laxe racemoso, bracteis minutis obtuse
deltoideis pedicello brevi plus duplo brevioribus, flore
viridi phyllis obtusis obsolete 1-nerviis: sepalo dorsali
breviore late ovato cum petalis oblique anguste ovatis
aequilongis galeam formante, lateralibus ovatoellip-
ticis subobliquis labelloque vix longiore patentibus,
hoc à latiore basi linearioblongo basi secus nervum
utrinque poro rotundo marginato instructo, ovario
obovoideo pedicellum duplo floremque fere totidem
superante.
Tangut: in viciniis lacus Kuku-nor (Przewalski,
1880, spec. 1).
Huic proximum Æ. gramineum Lindi. in Wall.
Cat. 7413, Orch. 305, quod vidi e Nipal (Wallich!},
India bor. occid. (Royle!, Falconer n. 1049!) differt
folio lanceolatolineari acuminato multinervi, spica di-
midium caulem occupante, bracteis lanceolatis acumi-
patis germen ovatooblongum breve rostratum florem
aequans superantibus, sepalis ad apicem 1-nerviis ovatis
acutis aequilongis, petalis crassioribus longioribus le-
viter falcatis subenerviis oblongolinearibus obtusis,
labello rhombeoovato attenuato sepala aequante media
basi fovea rotundata ampla concava instructo inflexo
(neque patente), stigmatibus 2. Sed magnitudo florum
eadem.
Exemplum quod praesto 5-pollicare. Tuberi singuli
vestigium parvum carnosum. Vaginae laceratae 3 ad
|basin caulis. Lamina folii 30 :7 mm. Racemus 1',-pol-
licaris. Flores 6 cum apicalibus 2 abortivis internodia
aequantes, diam. 5 mm., ovarium 2,5—3 mm. Stigma
{amplum rotundatum oo
Platanthera interrupta. Tuberibus crasse linearibus
elongatis divergentibus, caule ad bipedali alatoangulato
plurifolio, foliis basi breve attenuatis subtubulosovagi-
nantibus inf ibus ellipticis obl isve acutis, sequen-
Pre
tibus paulatim ohlongtlioaribus acuminatis, summis
bracteiformibus, racemo elongato rarifloro, bracteis
inferioribus longitudine florum, flore viridi odoro, peri-
gonii phyllis 3-nervis obtusis membranaceis, sepalis
majoribus: summo rotundatoovato breviore, lateralibus
obliquis attenuatoovatis, petalis vix crassioribus sepala
lateralia aemulantibus, labello haud longiore ovatoob-
longo obtuso basi obtusissime auriculato, calcari tenui
107
Bulletin de l’Académie Impériale
108
acuto germen superante, antherae emarginatae loculis
divergentibus, rostello depresso obtuso.
Kiusiu: Nagasaki (ipse, Oldh.! n. 842, a Miquel
Habenaria japonica dicta), prov. Omura prope Sonnogi,
prov. Higo monte Higosan (ipse).
Ab affini P/. mandarinorum Rchb. f. in Linn. XX V,
1852, 226, Bot. Zeitg. 1878, 75 (cujus synonyma
Habenaria Keiskei Miq. Prol. 139. Platanthera Keiskei
Fr. Sav. En. II, 31, Plat. oreades 6. macrocentron
Fr, Sav. En. IL, 514) satis distincta radice, foliüis,
racemo laxo et labello brevi.
Platanthera ussuriensis. Radix e fibris tenuibus cylin-
dricis horizontaliter divaricatis, eaule gracili 1—2-pe-
dali supra basin 2-phyllo: folio infimo obovatooblongo
obtuso, superiore oblongolanceolato breve acuminato,
utroque basi attenuato et in vaginas tubulosas abeunte,
foliis sequentibus bracteiformibus linearibus acumina-
tis, spica digitali laxa multiflora, bracteis acuminato-
linearibus ovaria aequantibus, floribus viridibus parvis:
sepalis membranaceis 3-nerviis superiore rotundato
lateralibus paulo longioribus ovatooblongis petala 1-
nervia carnosa oblonga subsuperantibus, labello crasso
patente papilloso sepalis paulo longiore ovato et basi
utrinque in lobulum depresse deltoideum dilatato
apice obtuso, calcari rectiusculo ovario breviore, anthe-
rae truncatae loculis discretis parallelis basi vix atte-
nuatis, rostello deltoideo libero, processubus lateralibus
incurvis quadratis profunde suleatis glandulam oblon-
gam caudiculae longiusculae recipientibus. P/. tipuloi-
des var. y. ussuriensis Rgl. FI Ussur. n. 477, t.X,
fig. 7—9 (pess.). Franch. Savat. Enum. IT, 32.
Mandshuria: ad fl. Usuri (Maack!), Japonia
(Tanaka! sub nom. jap. Oba tonbosô), in Kiusiu: ad
pedem vulcani Wunzen in fruticetis paludosis, Nippon:
jugo Hakone (ipse, Savatier!)}, Yokohama, parce
(ipse), alpe Niko (Yatabe!), prov. Nambu (Tscho-
noski!), Yezo: sylvis graminosis circa Konoma et
Siginope, nec non ad Todohiki (ipse).
. Ad eandem speciem fortasse pertinet Tonbo sô, Soo
bokf, XVIIT, 14, de qua dicitur flores virides inodoros
habere et ad pedem montium crescere, sed flores nimis
magni delineati sunt.
Similis ?/. flavae À. Gray (quam vidi e Connecticut
ab Eaton, ex Alabama a Mohr, e Georgia a Beyrich
s. n. Haben. calycinae n. sp.), sed haec distat foliis
saepe tribus omnibus acuminatis, labello basi utrinque
leviter obtuse auriculato apicem versus rotundato sub-
dilatato, -sepalis petalisque crassis Jatioribus (obovatis
v. ovalibus), loculis antherae basi divergentibus, rostelli
processubus lateralibus simplicibus pariter quadratis
glandulam. ovalem caudiculae latae brevissimae reci-
pientibus, rostello crasso deltoideo ineurvo. Sed radix,
florum magnitudo, spica cet. eaedem.
Adnot. Ad Flatantheram£ decipientem Lindl. per-
tinet Gymnadenia Vidali Fr. Sav. En. II, 29, 512.
Obine tsidori sô, Soo bokf, XVIII, 52.—Lindley non
sine causa de genere dubitavit, caudicula enim omnino
deest imo in alabastro, ita ut segmenta angulata polli-
niorum libera in loculo contineantur, quod iterum
iterumque in individuis numerosis speciei per Japo-
niam borealem frequentis atque valde luxuriantis per-
scrutatis observavi. Valde tamen incertus maneo, an
ob solum caudiculae defectum planta haec dignitatis
genericae digna declaranda sit. |
Ad PI. ophryodem F. Schmidt, FI. Sachal. n. 432
(errore calami ophrydioides) pertinet PI, Reinii Fr. Saw.
Enum. II, 32, 513.
PI. hologlottidi Maxim. adde syn. Habenaria neuro-
petala Miq.! Prol. 139.
Microscordum.,
Allii sectio nova. :
… Perigonium breviter infundibuliforme pedicello apice
dilatato disciformi insidens, tenere membranaceum
G-phyllum, phyllis erectis 1-nerviis obtusis interioribus
angustioribus subminoribus.
epipetala ananthera saepeque pl. m. deficientia: fila-
menta basi adnata anguste subulata perigonio parum .
v. duplo breviora, antherae dorso affixae introrsae
parvae late ovales. Ovarium lata basi impositum leviter
trigastrum loculis phylla interiora perigonii spectan-
tibus biovulatis. Stylus trisulcus in stigmata 3 oblonga ‘a
circumcirca papillosa arcuatopatentia divisus. Capsula 51
carnosoparenchÿmatosa, matura seminaque non visa. — ne.
Herba palmaris odore alliaceo, bulbo pisiformi soli:
tario, tunica exteriore brunnea parallele fibrosa fibris
fibrillis transversis item parallelis inter se laxe con-.
AT DEEP APE SOLE
SC PO a on TE De Là à SEEN
RE A DS CRE 2 TANT NT PE
#
Stamina 6, quorum 3:
D a ee
ÿ: EE dan: SES % Site
RE ET EE 2. RER
nexis, interiore hyalina, caulis parte hypogaea vaginae
hyalinae tubulosae inclusus, foliis 1—2 radicalibus
quasi in petiolum elongatam contractis lanceolatolinea-
ribus acuminatis umbellam valde superantibus, bracteis
109
- prominulis, petiolo tereti.
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
110
tot quot flores, hyalinis acutatis flore paulo brevioribus,
floribus 1 v. rarius 2, altero brevissime crasseque
inclusopedicellato, altero si evolutus subsessili.
Allium monanthum.
Mandshuria austroorientalis prope limites Koreae,
ad fl. Sedemi (M. Jankowski, 1883), Yezo interiori:
Sapporo, in umbrosis alluvii secus f. Toychira intra
ipsum oppidum frequens (Kingo Miyabe, 1884).
Planta mandshurica ceterum simillima a japonica
differt floribus rarius 2 et staminibus perigonio duplo
brevioribus. — Folia circa 10 cm., scapus 5—6 cm.
Spatha 1-nervia 6,5 mm., perigonii phylla 4,5 mm.
longa.
E descriptione plantulae ad vivum factae a cl.
Kingo Miyabe humanissime communicata sequentia
extraho in sicco haud observanda: Folia semiteretia
pagina superiore leviter sulcata, nervis 5 dorso sub-
Scapus obtuse triangulus
inferne purpurascens. Pedicellus 1—2 mm., crassior
quam apex scapi. Perigonium album extus leviter
_ roseosuffusum (et in sicco). Filamenta subcomplanata.
Stylus trigonus semitrifidus.
Ancilema nudiflorum R. Br. Prodr. 271. adn.
Clarke in DC. Monogr. Phan. III, 210. Benth. F1.
Hongk. 376.
- Liukiu (Tashiro! misit Tanaka); China australi:
Formosa, ad Tamsuy (Oldh.! n. 576), Hongkong
(Wright!}, Whampoa (Hance!). DE a Ceylona!
Ve ad Himalayam!.
Flagellaria indica L. Cod. 2606. Kth. Enum. II,
370. Roxb. FI. Ind. IT, 154. |
Bonin-sima (Yatabe! sub nom. jap. Santô). Late
distrib. per tropicos Australiae! Indiae! cum insulis!,
_ Africae, a Madagasearia! et Mauritio! ad Guineam!
Pistia Stratiotes L. Cod. 6967. «. cuneata Eng].
Fi DC. Monogr. Phan. II, 634. Zala asiatica Lour.
FI. Coch. ed. Willd. 492.
… Liukiu (Tanaka! flor.), China australi et Cochin-
china (Loureiro), tum in Phiippinis (Cauming!): ad
Manilam (Kastalski!), penins. Zndiae (Heyne!) et
(als varietatibus) in tropicis utriusque orbis.
Scirpus fuirenoïdes. (Secé. Trichophorum) Tripedalis
gracilis viridis, culmo laevi apice acute ceterum obtuse
trigono toto foliato, foliis linearibus longe acuminatis
margine sursum scabris, ex omnibus v. superioribus
axillis peduneuligeris, pedunculis glomerulum tribrac-
teatum plurispicatum subglobosum ferentibus, inflores-
centia terminali e glomerulis 4—6 conflata, quorum
exteriores 2—3 pedunculati basi bracteis umbellam
duplo superantibus, interiores subsessiles bracteis
umbella multo brevioribus fulti, spicula ovatooblonga
multiflora griseobrunnea, squamis arcte imbricatis
oblongolanceolatis mucronatis costa 1 tenui concolore
margine versus apicem mucroneque sursum serrulato-
scabris, caryopsi quam squama triente breviore ellip-
soideotrigona vix stipitata apice mucrone cylindrico
duplo breviore superata laevi, stamine 1, setis hypo-
gynis 6 apice -incrassato sursum scabris ceterum lae-
vibus complicatis, vi explicatis caryopsin triplo exce-
dentibus.
Nippon: Yokohama, fine Septembris frf. (ipse),
Shichinobe, medio Augusto flor. (Yatabe!, japonice
Matsuzaka susuki). |
Ex affinitate S. Eriophori Michx., S. lineati Michx.
et S. polyphylli Vahl, sed jam inflorescentia abunde
diversus.
Culmus 3 mm. crassus, folia 3—3,5 mm. lata,
spicula fructifera 6 mm., squama 3 mm., caryopsis
2,1 mm. longa.
Scirpus concolor. (Sect. Trichophorum) Rhizomate
crasso obliquo, culmo 3-pedali et ultra obtuse trigono
fere usque ad apicem foliato, foliis planis late linea-
ribus longe acuminatis ad costam subtus margineque
sursum dense serrulatoscabris, involucro triphyllo
umbellà ampla composita diffusa breviore, radis valde
inaequalibus compressotrigonis sursum scabris umbel-
lulas consimiles minores item compositas ferentibus,
involucellis acuminatooblongis coloratis, spiculis per
1—3 aggregatis oblongis multifloris, squamis dense
imbricatis glabris profunde brunneis cum costa tenui
vix pallidiore acuminatoovatis vix mucronatis Caryopsin
trigonam estipitatam mucrone cylindrico duplo breviore
instructam laevem ochroleucam parum superantibus,
:staminibus 1— 2, setis hypogynis complicatis apice in-
crassato Sursum scabris vi extensis caryopsi plus triplo
longioribus.
Japonia (hb. Lugd. Bat. sub. Sc. Eriophoro ad-
mixtus, Tanaka! sub nom. jap. Abura gaya): circa
Yokohama, Augusto f., Septembri frf. (ipse).
_squama sua, 2 mm., plus duplo breviore). Setae hypo-
jap. Ai basô}: Yokoska (Savatier!), Mandshuria: sinu |
rai appellandus est.
Bulletin de l’Académie Impériale
Habet sese ad simillimum S. lineatum Michx., ut
S. Wichurai Bücklr. ad $S. Eriophorum Michx. Setis
“hypogynis apice scabris accedit ad S. polyphyllum
Vahl, ubi tamen spiculae parvae globosoovoideae et
caryopsis. brevissime mucronata squamam aequans.
S. lineatus Mx. differt squamis aureofuscis cum costa
lata viridi, caryopsi aequimagna quidem sed squama
sua fere duplo breviore, stipitata brevius mucronata,
staminibus 3, setis hypogynis tenuissimis laevibus vi
explicatis caryopsin duplo superantibus. Setas in hisce
omnibus non numerosas, sed semper 6 video, ita tamen
complicatas ut tantum earum apices erecti caryopsin
cireumdent parumque superent, bases vero angulo
acutissimo iteratim infractae fasciculos setarum paral-
lelarum simulent et facile pro setis numerosis haberi
possint.
Culmus pennam anserinam crassus vel tenuior.
Folia vulgo 9 mm. lata, sed adsunt usque 18 mm.
lata, spicula fructifera 6 mm.. squamae 2 mm. longae.
S. Wichurai Bôücklr. in Linnaea XXXVI, 729.
8. Eriophorum var. nipponica Franch. Savat. En. Il,
545. a S. ÆEriophoro Mx. revera simillimo optime
tamen distinguendus non solum setis hypogynis apice
crassiore sursum scabris fuscescentibus et squamis
ovatis v. superioribus in quavis spicula lanceolatis (nec
obovatis) utribusque acutatis, ut habet Franchet, sed
praesertim caryopsi (1,25 mm.) squama sua (1,5 —
2 mm.) parum breviore (neque minuta, 0,75 mm.
gynae S. Wichurai, si explicabis, caryopsin triplo,
in S. Æriophoro autem sextuplo superant. Stamina
S. Wichurai 1—2, filamentis caryopsin cum rostro
aequantibus, in $. Eriophoro Mx. stamen 1 post an-
thesin cito caducum, in fructu videtur deficiens.
Nippon media (Tschonoski!, Tanaka! sub nom.
Possjet ad limitem Koreae, locis udis pratorum per-
frequens, med. Aug. frf. (ipse). Vidi praeterea e
Bengalia orientali (Griffith! n. 6266 frf.), Khasia
(Scirpus n. 4. Hook. f. et Thoms., nond. flor.).
Si genus Æleocharis servatur nomen Bückeleri
adoptandum et Scirpus hakonensis Fr. Sav. E. Wichu-
Eriophorum japonicum. Spithamaeum v. pedale robys-
{tereti, foliis culmeis bractealibusque basi in vaginam
subtrigono superne scaberulo 5—7-phyllo, foliis rigi-
duloherbaceis lanceolatolinearibus acuminatis margine
antrorsum scabris planis excepto ipsissimo apice tri-
quetro, anthelae radiis pluribus scabris valde inaequa-
libus apice v. a medio 1—4-stachyis, spicis numerosis
viridiatris parvis plurifloris sub anthesi ovoideis postea
recurvis, bracteis radios subaequantibus, squamis ovato-
oblongis obtusis tenere membranaceis planiusculis apice
facillime laceratis, setis hypogynis 6 simplicibus a
medio ad apicem sursum scaberulis stylum elongatum
3-stigmaticum aequantibus, staminibus 3 antheris
linearibus.
Nippon borealis prov. Nambu, in alpinis (Tscho-
noski, flor.
pleiostachyi, setae indivisae Æ. alpini L.
Folia usque 3 lin. lata. Spica sub anthesi 6—10 mm.,
squamae 4 mm. longae.
rectiuscula candida v. pallide rubiginosa,
spicarum laxis elongatis teneris facile caducis tantum
a Scirpi sectione Trichophoro distinctum, ubi setae
complicatae jam sub anthesi elongatae fructu cadente
tantum extrahuntur, ad quem, cum À. Grayo, contra
Linnaeum et Benthamium, ducoS. Eriophorum Mx.
(Erioph. cyperinum L.).
Bth. Hook. Gen. pl. III, 1066). Elata culmo crasso
latam nigrescentem sensim dilatatis longissimis convo-
sessilibus oblongis summis confluentibus atris compo-
sitam valde superantibus, bracteis ex ovata basi cus-
rioribus atrofuscis sensim increscentibus parum inae-
formibus flexuosis stylo aequilongis, stylo elongato
squamam pl. duplo superante basi hispido breviter
2-stigmatico, caryopsi fusca lucida obsolete celluloso-
reticulata late elliptica v. elliptico-globosa lineis 4
tum luteoviride, rhizomate obliquo crasso firmo, culmo
SA!
À Es
CHA EESS
9 AP Sr
; a cu pis PET
AU lv D SE LE
So:
2
Habitus Æ. latifolii Hoppe, sed radii compositi
Genus Æriophori lana in fructu elongata mollissima
squamis
Gahnia Boninsimae. (Sect. 1. Lampocarya, Benth. in
lutis scaberrimis inflorescentiam e spicis axillaribus
pidatis, spiculis densissime congestis, squamis 5 exte-
qualibus e lanceolata basi valide (interioribus laminae
aeque longe) aristatis, 3 intimis !/, brevioribus fusco-
atris: 2 cuspidatis tertia mutica caryopsin superante;
staminibus 4 ad medium planis parce ciliatis dein fili-.
pallidioribus quasi subtetraquetra styli basi breve
‘apiculata. je
&
SA
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
114
Bonin-sima (Mertens! specc. 2 vetusta fruct.
delapso, Yatabe! fructif.).
Huic simillima est G. congesta Bücklr. in Linnaea,
XXXVIII, 352 (Lampocarya cong. Schrad. ined.), ex
insulis Sandvicensibus (Chamisso! flor.): Oahu (Esch-
scholtz! fl. in hb. C. A. Meyeri nunc Acad. Petrop.,
fructif. in hb. Ledebouri, nunc horti Petrop.), quae
tamen differt squamis exterioribus 6 e basi ovata ari-
statis internis brevioribus, 3 intimis parum brevio-
ribus rotundatoobtusis, caryopsi (hucusque indescripta)
squamis inclusa paulo breviore fusca lucida laevissima
styli basi elongata glabra apiculata, stigmatibus fide
Bôckeler 4; caryopsis sine apiculo 5—6 mm.
Culmus pennam anseris tenuiorem crassus, quoad
basin ignotus. Folia 3// pedem longa, vagina vi expla-
nata ad 9 Jin. lata. Spicae compositae axillares 3 cm.,
spiculae 8 mm. longae. Squamae coriaceae, externae
8,5—9 mm., internae 7 mm., caryopsis 5,5 mm. longa.
Adnot. Gahnia Wichurai Bücklr. 1. c. 348, cujus
patria autori ignota, eodem statu ac descriptioni op-
time conveniens praesto est e Singapur (Dr. Augusti-
nowicz!)
Carex grallatoria. (Secé. 1. À. b., Bücklr. in Linnaea
XXXIX, 15). Rhizomate descendente filiformi sub-
nudo ad intervalla pollicaria usque sesquipollicaria
caespites densos foliorum ferente, quorum inferiores
emortui, summi 1—2 floriferi, fasciculis foliorum
quovis caespite numerosis arcuatoascendentibus basi
vaginis aphyllis fuscescentibus pluribus vestitis, foliis
angustissime linearibus planis strictiusculis margine
scabris, postea elongandis flaccidis; culmis sub anthesi
2—3-pollicaribus subtrigonis scaberulis v. laevibus,
Spica laxa mascula subocto-, feminea circiter quinque-
flora, priore oblongolineari squamis oblongis obtusis
_ fuscis cum costa viridi breviore, posteriore sub anthesi
fere filiformi basi interrupta pallida tantum ad api-
cem fuscescente, squamis amplexicaulibus vi expansis
_ late ovatis inferioribus breve aristatis (arista scabra)
reliquismucronatoacutis, utriculo sub anthesi squamam
dimidiam aequante triquetro elliptico apice scabro sty-
um superante, stigmatibus 3 plumosovillosis stylo
plus duplo longioribus.
Kiusiu interioris pratis alpinis montium Kundsho-
san, ult. Majo flor. (ipse). :
Cum sola C. leiocarpa C. A. Mey. comparanda,
Tome XXXL.
quae tamen rhizomate squamis continuis vestito, tota
longitudine culmos solitarios emittente, spica feminea
10—20-flora, utriculo glaberrimo sub anthesi lineari,
nucula juvenili oblonga (nec ut in nostra subglobosa)
satis nimisque differt, quam ob causam florentem de-
scribere ausus sum. Nomen dedi ob stipitem elongatum
quo quidque exemplum collectum quasi grallis susten-
tum est. Prima species dioica hucusque in Japonia
detecta!
Fasciculi innovantes 2—3-pollicares, culmo vulgo
paulo breviores. Squamae florum © 4 mm., 4 6,25 mm.
Carex rhizopoda. (Sect. 1. B. b., Bücklr. 1. c. 31).
Virens 1—1!/-pedalis caespitosa, rhizomate repente
horizontali elongato flexuoso squamis striatis oblongis
attenuatis haud contiguis nodoso fibrasque radicales
crebras undique edente atque e quovis nodo culmigero,
culmis basi vaginis 2—3 aphyllis sequentibus lamini-
geris tectis, foliis utrinque margineque scabris planis
linearibus v. late linearibus sensim acutissime acumi-
patis culmum triquetrum scabrum florentem superan-
tibus, fructifero paulo brevioribus, spica usque sesqui-
pollicari et fructifera lineari, parte feminea terminalem
masculam 2—4-lo superante, squamis hyalinis utriculo
erectopatulo duplo brevioribus filamenta aequantibus,
costa valida pallide virente in feminea brevissime ex-
currente, in mascula sub apice evanida, utriculo laevi
|virente oblongoelliptico brevissime stipitato in rostrum
breve conicum obtusum obsolete bidentatum sensim
attenuato obtuse triangulo circiter 12-nervio nervis
circiter 6 validioribus omnibus fere ad apicem proten-
sis, caryopsi triplo breviore brevissime stipitata api-
culataque acute triquetra globosoelliptica lucida minu-
tissime denseque elevatopunctata, stylo caryopsin .
sesqui stigmata 3 brevia vix exserta duplo superante.
Yezo: circa Ono et Konoma in sylvis secus rivulos
locis paludosis non rara, medio Junio fr. nond. maturo;
Kiusiu: ad pedem vulcani Wunzen ad rivulos, medio
Majo eodem statu (ipse).
Var. longior: bipedalis stenophylla intensius vi-
ridis, squamis oblongoovatis manifestius mucronatis
dimidium utriculum superantibus, utriculo angustius
oblongo paulo longius rostrato, caryopsi nonmihil
ajore. |
* Nippon: prope Tokio, 5 Maji fr. perf. mat. s. nom.
japonico Shiraku suge leg. Yatabe.
8
115
Bulletin de l’Académie Impériale
Var. longior, sine rhizomate missa, fortasse olim
specie sejungenda.
Typum proprium sistere videtur! Spica fructifera
var. longioris in mentem vocat spiculam singulam ©
C. sylvaticae Huds.
Species in quavis statione nonnihil diversa. Rhizoma
longissimum ‘quod lectum 12 cm., cum squamis 10 mm.
longis brunneum, parte nuda in interstitiis squama-
rum passim perspicua tereti, 1,5 mm. crassa. Folia
plantae yezoënsis reliquis subflaccidiora et latiora, 4—
6 mm. lata, in sicco luteoviridia, kiusianae 2—3 mm.,
nipponicae 2—9,5 mm. lata. Flores d 8—12, 9 12—
15 infimo interdum remoto, reliquis statu fructifero
utriculo suo ad subsequentem ultra dimidium attingen-
tibus. Squamae floris feminei 2,5 mm., masculi 3,5 mm.
longae, var. longioris utriusque sexus 3,5 mm. longae.
Utriculus in typo 5—5,5 mm., in var. longiore 6 mm.,
caryopsis in typo 2 mm. straminea obtusius angulata,
in var. longiore 2,25 mm. acute angulata subangustior
secus ipsos angulos nervo viridi notata, ceterum atra,
faciebus in utraque subconcavis.
Carex capituliformis Meinsh. in sched. (Sect. 1. B. b.
Bôücklr. 1. c.). Radice fibrosa caespitem laxiusculum
haud amplum pallide viridem ferente, culmis 6—8-
pollicaribus filiformibus trigonis scabris inferne remote
oligophyllis, vaginis pallide fuscescentibus; foliis planis
anguste linearibus tis culmum dimidium aequan-
tibus v. superantibus, spica subglobosa parte mascula
terminali subinconspicua 3—4-flora, feminea circiter
10-flora, squamis pallide fuscis ovatis costa pallidiore
in infimis subexcurrente mucronatis in reliquis acutis,
utriculo ovatc triquetro in rostrum breve subbidenta-
tum attenuato subtiliter nervoso flavoviridi squamam
subduplo superante et ea latiore.…
Nippon: alpe Nikko (Tschonoski), Mandshuria: ad
.Usuri superiorem inter ejus affluentes Ssitucha et
Daubicha ac secus illos locis paludosis sylvarum fron-
dosarum cum C. uda frequens (ipse).
Similis C. nanae Boott, quae primo obtutu cognos-
citur spicae parte lineari pluriflora femineam supe-
rante v. aequante v. rarius breviore, squamis obtusis
utriculo breviore firmiore vix obscurioribus. Dimen-
siones utriusque speciei fere eaedem, sed utriculi in
nostra paulo graciliores et longiores.
Carex scita. (Sec. IT B. A. a. Bôückir. I. c, XXXIX,
16, XL, 379) Rhizomate brevi obliquo squamis casta- .
neis tecto stolonifero,. culmo fertili 3-pedali gracili
triquetro laevi ac fasciculo sterili per bina appositis
basi squamis castaneis superioribus laminigeris vestitis,
foliis linearibus acuminatis carinatis margine reflexo
remote scaberulis culmo brevioribus, inflorescentia
brevi e spiculis 4—6 pedunculatis multifloris: termi-
nali & oblongolineari utrinque attenuata erecta, reliquis
apice masculis, superioribus 2 approximatis breve
pedunculatis erectiusculis, inferioribus distantibus pe-
dunculos teretiusculos laeves superantibus nutantibus,
fructiferis oblongoellipticis v. oblongolanceolatis pol-
licaribus v. brevioribus, bracteis foliaceis non vagi-
nantibus, infima culmum superante, sequente subae-
quante, tertia spiculam quartaque pedunculum subsu-
perante fere setaceis, squamis (infimis vacuis) lanceo-
latolinearibus atris utrieulo brevioribus et angustiori-
bus costa viridi sensim in aristam scabram utriculo
[et in inferioribus squama longiorem abeunte, utriculis
erectis triquetris membranaceis viridibus secus angulos
superne atrodenticulatis quavis facie tenue 2—3-nerviis
oblongolinearibus ore parvo quasi immerso brevissime
bidentatis, stigmatibus 3 (2) late villosis stylum in-
clusum parum excedentibus, caryopsi in medio utriculo
laxe nidulante in stipitem stylumque sesquibreviores
sensim attenuata lanceolatoelliptica acute triquetra
laevi straminea faciebus convexiusculis. |
Nippon media, ad rivulos, verosimiliter in montibus
Hakone (Tschonoski frf.).
In serie mere artificiali androgynarum prope C. sci
tulam Boott (II. IV, 177, t. 600., Bcklr. 1. c. XL,
384.) ponenda, sed ab omnibus hisce jam culmis basi
squamatis abhorrens. Quo ultimo signo et gracilitate
appropinquat speciebus distigmaticis C. cryptocarpae
C. A. Mey. et C. Middendorffii F. Schmidt, signis
numerosis tamen adhuc diversis. C! fuscescens Bücklr.
in Engl. Bot. Jahrb. V, 517. ex Japoniae alpe Nikko,
a me non visa, ex eadem cum nunc nominatis affinitate
videtur et a nostra pariter utriculi squamaeque forma
distat.
Culmus 1 mm. crassus. Folia 2,5—3,5 mm. lata.
Spicula 8 18—25 mm. longa, 2,5—4 mm. crassa,
® 15—25 mm. longae, 5—7 mm. crassae, parte mas-
cula bene v. parum perspicua. Squamae 4—6 mm.,
0,5—1 mm, latae.
2 mm.
So
Pre io. à mr ei Col
Utriculus 4:1 mm., caryopsis
be
SE
OR EDR MES ENS
RE AT
117
des Sciences de Saint -Pétersbourg.
Carex plocamostyla. (Sect. III Bücklr. 1. c.) Rhizo-
mate brevi obliquo stolonifero squamis vetustis brun-
neis vestito fibris radicalibus villosis paucis, culmo fer-
tili acute triquetro scabro fasciculoque sterili per paria
congestis bi-tripedalibus basi squamis purpureis antice
cinnamomeis infimis aphyllis vestitis, foliis planis dorso
1- ventre 2-costatis margine serrulatoscabris ligula
oblonga fusca adnata, heteromorphis: fasciculorum
sterilium culmum superantibus linearibus longe atte-
nuatis, culmeis lanceolatolinearibus subito cuspidatis
1, inferiore dispositis, inflorescentia brevi e spiculis
3— 5 distantibus spiculà longius graciliter peduncu-
latis, summis 1—2 masculis erectis linearioblongis
ex cinereo fuscescentibus, Q multifloris nutantibus diu
post anthesin stylis stigmatibusque flexuosis circumdatis
eorumque ope ambitu late ovalibus, bracteis foliaceis
evaginatis, infimis foliaceis culmo brevioribus, samma
_ subulata basi dilatata colorata & fulciente, squamis
linearibus 1-nerviis in aristam laevem triente brevio-
rem subconcolorem sensim desinentibus utriculo pa-
tente strigosohispido membranaceo ex lanceolata basi
sensim in rostrum tenue bifidum ipso longius attenuato
longioribus, stylo longe exserto basi geniculata aequali
stigmata 2 villosa subsuperante, caryopsi elliptica
laevi opaca biconvexa.
Nippon, cum RU legit pauca specc. Tscho-
noski.
Locus ubi inserenda in systemate Boeckeleri vacat,
affinitas satis obscura. Solae C. longirostri Torr.,
Boott, Ill. I, 30, t. 78. videtur apte comparanda, sed
. baec jam culmo basi esquamato, foliis non heteromor-
phis, spiculis laxis, squamae et utriculi breviorum
forma et stigmatibus 3 differt, sed stylus basi pariter
geniculatus.
Folia fasciculi sterilis ultrapedalia, 2,5—3 mm. lata,
culmea superiora longiora 13 cm. longa, 4—5 mm.
lata. Pedunculi infimi spiculas 2-lo superantes arcuati
tenuiores quam ille spiculae masculae, qui stricte erec-
tus et spicula sua duplo longior, Squamae 8 mm.
ütriculi 6—7 mm. longi, 1 mm, lati.
Carex oligostachys Meinsh. (Sect. III, B.b. Bücklr.)
Laxe caespitosa, culmis flaccidis superne acute trique-
tris laevibus (1—1{/,-pedalibus) inferne foliatis basi
_ Vaginis squamiformibus fuscis sensim majoribus obsitis,
foliis late linearibus planis flaccidis lutescentiviridibus
culmo dimidio longioribus; spiculis 3—4 distantibus:
terminali mascula linearioblonga basi attenuata pedi-
cellata erecta, reliquis inter se remotis femineis ovatis
v. oblongis laxe 3—4-floris tenuissime longe peduncu-
latis nutantibus v. pendulis, bracteis foliaceis spiculam
superantibus longe vaginantibus, utriculo stramineo
glabro compresse triquetro anguste ovato apice sensim
attenuato subrecurvo longirostri obsolete nervoso ore
hyalino oblique truncato squamam ovatam acuminatam
margine fulvidam dorso medio viridem 3-nerviam duplo
superante.
Mandshuria austroorientalis: ad Usuri superiorem
et ejus affluentem Li-Fudin, in sylvis ad rivulos, fine
Maji 1860 cum fr. fere mat. (Maxim.).
C. flectens Boott Ill. t. 581., huic subsimilis, pe-
dunculis brevioribus, spiculis plurifloris, forma squa-
marum cet. diversa. C. cruenta Nees, ut apud Boott
Il. II, 75, t. 201. descripta et delineata, quoad habi-
tum propior, sed spiculae multiflorae atque squamae
cum utriculis diversissimae. Ex descriptione planta
nostra similis videretur C. filipedi Franch. Savat,.
(Meinshausen mss.).
Rhizoma breve obliquum stoloniferum, usque 2 mm.
crassum, fibris radicalibus numerosis. Oui ab autore
triquetri dicti mihi potius ancipites videntur, facie una
tamen medio acute costata. Affinitas cum C: flipede
Fr. Sav., a me non visa, ex descriptione proxima,
differt tamen C. filipes foliis 2—4 (neque 4—-8) mm.,
latis, spica à breve pedunculata parum conspicua 10—
12 mm. longa (in nostra 15 mm., pedunculum aequans
v. eo duplo brevior), spicula © superiore breve pedun-
culata (in nostra pedunculum aequante), inferiore sub-
nutante (in nostra omnibus nutantibus v. pendulis),
squama utriculo triente (nec plus duplo) breviore,
utriculo 4 mm. (nec 6—7 mm.) obovato (nec anguste
oblanceolato) in quavis facie 3—5- (nec 5—7-) ner-
vio.—Caryopsis in C. oligostachya 3 mm. longa, fere
[2 mm. lata, acute triquetra, ceterum ut in C. filipede
descripta.
Carex bostrychostigma. (Sect. III, B. b. Bückir.).
Rhizomate crasso brevi obliquo stolonifero dense fibris
radicalibus obsesso, culmis spithamaeis v. pedalibus
acute triquetris laevibus remotiuscule foliatis, foliis
planis pallide viridibus supra totis scaberulis, subtus
ad nervos margineque scabris linearibus longe subu-
Bulletin de l’Académie Impériale
1270
latoacuminatis; inflorescentia elongata rhachi scabra
e spiculis 6—7 laxifloris rufescentiviridibus: terminali
mascula solitaria breviore linearicylindrica utrinque
attenuata magis densiflora, reliquis femineis linearibus
laxis, omnibus erectis, inferioribus breviter exserte
pedunculatis, bracteis foliaceis basi longe vaginantibus
- infima anguste lineari spiculam superante sequentibus
setaceis paulatim spicula brevioribus summa squami-
formi evaginata, stylo incluso quam stigmata 3 utri-
culum duplo superantia quintuplo breviore, utriculo
membranaceo triquetro quavis facie subtrinervi pallide
virescente laevi linearilanceolato in rostrum triente
-brevius cylindricum basi purpurascens apice hyalinum
bifidum v bipartitum attenuato squamam oblongam
apice hyalino sublacero leviter attenuatam costa lata
albovirescente faciebus pallide fuscis parum superante,
caryopsi linearioblonga subobtuse triquetra opaca laevi
basi brevissime substipitata apice styli basi cylindrica
apiculata ochracea faciebus concaviusculis.
Mandshuria austroorientalis: in viciniis aestuarii
Olgae secus flumen Cruiser in sylvaticis herbosis hu-
midis, fine Junii 1860 fr. fere mat.; ÆKiusiu: alpe
Aso-san (ipse). be
Ex affinitate C. sylvaticae Huds., statura humili,
spicis erectis contiguis usque ad fructus maturitatem
stigmatibus flexuosis ferrugineis circumdatis (unde et
. nomen) facile cognoscenda.
Rhizoma 3—4 mm. crassum. Folia in planta japo-
nica 2—4 mm., in mandshurica 3—5 mm. lata. Va-
gina foliorum extus truncata, intus ligula oblonga ad
marginem annuliformem libera. Spicula $ 15—25 mm.
saepe sessilis v. saummae © approximata, rarissime basi
floribus Q 2 v. 3 aucta, spiculae © 8—20-florae,
15—30 mm. longae. Utriculus 7 —8 mm. longus,
_ parum latior quam 1 mm. Caryopsis 4 mm. longa,
0,75 mm. lata.
Carex capricornis Meinsh. Radice valde fibrosa, cul-
mis pedalibus erectis triquetris ad angulos scabrius-
culis sparsim foliatis: foliis longe vaginantibus e lata
basi sensim longe acuminatis planis nervosostriatis
margine reflexis; inflorescentia brevi conferta e spiculis
circa 4 brevipedunculatis, terminali mascula oblongo
cylindrica fulvida, reliquis femineis late oblongis, om-.
nibus erectopatulis; bracteis foliaceis spiculas 4—6-lo
superantibus basi atriculata brevissime vaginatoam- |
plexicaulibus; utriculo elongatolanceolato in rostrum
subulatum erectum sensim attenuato, rostri bifidi
dentibus longis recurvopatentibus, squamis subulatis
longius nervo medio velido aristatis quam fructus
brevioribus. C. Pseudocyperus 8. brachystachyus Rgl.
et Maack, F1. Ussur. n. 555, t. XII, fig. 13—17.
Mandshuria austroorientalis: ad litus borealiorien-
tale lacus Hanka (Maack! frf.), in stagno quodam
prope Nikolskoye ad fl. Suifun (Goldenstädt! fr.
immat.).
C. Pseudocypero L. proxima, sed humilior tenuior,
spiculis brevibus dentibus arcuatodivergentibus utri-
culorum tam dense circumdatis quod aspectus pecu-
liaris atque color cinerascens efficiatur, utriculi angus-
tiores et densiores quam in C. nn ypero L.—
Meinsh. mss.
Ex mea opinione valde affinis C. comosae Boott,
Ill. I, 14, t. 38, quoad rostri structuram fere identicae.
Sed C. comosa Boott sistit quasi formam robustiorem
C. ete L., a qua, secundum A. Gray Man.
ed. 5. p.597 et fide specc. numerosorum e variis locis
ds ante oculos habeo, distinguitur praesertim rostri
dentibus recurvo-patentibus longioribus et spiculis
fructiferis crassioribus majoribus. Ab ipso Boott postea
(IL. IV, 140), censetur C. Pseudocyperi L. var.comosa.
Quum equidem in hb. Mertensiano specc. 2 humi-
liora brevius spiculata atque inflorescentia congesta
donata C. Pseudocyperi invenerim, quorum schedulae
inseriptum, certe tantum monstrositatem esse, quaeque
ad Bielefeld in Germania lecta dicuntur atque rostrum
C. comosae possident, lubenter opinioni Boottianae
assentirem et hanc nostram cum Regelio varietatem
brachystachyam haberem, nisi praesto essent specc.
japonica fructu etiam perfecte maturo donata, quae .
rem mutare videntur:
Var. capitata: spiculis ovatis v. globosis sessilibus
v. subsessilibus in capitulum confertis, interdum ad
spiculam 1 globosam parvam reductis, utriculo rostro-
que typicae C. capricornis, statura spithamaea v. pedali.
Nippon: Hakone, ad lacum (Tschonoski). 2
Ita habemus C. Pseudocyperum: spicis nutantibus
longius peduneulatis distantibus cylindricis, rostri den-
tibus erectopatulis, vulgivagam: C. conicam Boott,
infiorescentia eadem, spiculis late v. oblongocylindricis,
rostri dentibus recurvo-patentibus, borealiamericanam,
utramque elatam, et C. capricornem: humilem, inflores-
121
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
centia conferta v. capitata spiculis erectis saepe subses-
silibus v. sessilibus globosis usque late oblongis, rostro
C. comosae. Adest fortasse adhuc differentia in eo quod
utriculi in duobus prioribus subsexfariam, in nostra
plus quam sexfariam dispositi videntur, sed hoc in vivo
revidendum est,
Polypodium senanense (Phymatodes) Rhizomate gracili
horizontali squamis teneris lanceolatis longe filiformi-
cuspidatis denticulatis cinnamomeïs, stipite filiformi
erecto opaco 1//-usque fere 3-pollicari, fronde pallide
viridi membranacea 3—4-pollicari 3 poll. lata circum-
circa regulariter appresse serrulata glabra concolore,
lobo terminali lanceolato oblongo obtuse acuminato
lateralibus minoribus utrinque 2—4 spatio lineae unius
rhachin non attingentibus oblongis obtusis rarius acu-
tis, reticulo subtranslucente venis principalibus indis-
tinctis ante marginem evanidis, areolis inter illas 1—3,
soris 1-seriatis inter venas principales singulis. P. fri-
fidum Fr. Sav. Enun. II, 247, nec Don.
Japonia (Ono in hb. Franchet, Tanaka!}: prov.
Senano alpe Kumaga-take, japonice Miyama uroboshi
(Yatabe! frf.).—Vidi frondes 4.
FE trifidum Don facile distinctum statura, textura
_ subcoriacea, colore nigrescente, margine vulgo integro
rarius tantum hinc inde atque irregulariter serrulato,
lobis omnibus acuminatis linearioblongis, venis princi-
palibus usque ad marginem protensis distinctis, squa-
mis rhizomatis crassioribus ex ovata basi subito cuspi-
datoacuminatis parcius denticulatis, stipite lucido fir-
miore crassiore.
Bericht über die Ausgabe des Sprachmaterials des
Codex Comanicus. Von W, Radloff, (Lu le 25 f6-
vrier 1886.)
Schon im Jahre 1884 habe ich in den «3anucru
Akaxemin Haykp» eine Abhandlung über die lautlichen
Erscheinungen des Komanischen Dialectes verüffent-
licht. In diesem Aufsatze habe ich einerseits versucht,
aus der Schreibweise des vom Grafen Kuun heraus-
gesebenen «Codex Cumanicus» (Budapest 1880) die
- Laute des Komanischen Dialectes zu reconstruiren,
andererseits, aus den Lautgesetzen diesem Dialecte
diejenige Stelle anzuweisen, die er unter den ver-
__ wandten Türkdialecten einnimmt. Die Arbeit, die ich
jetzt der Klasse vorzulegen die Ehre habe, ist eine Fort-
setzung der früheren Abhandlung. Ich habe alles im
«Codex Comanicus» befindliche Sprachmaterial ge-
ordnet und mit dem von mir in Türkischen Texten an-
gewandten Russischen Alphabete transscribirt. Bei je-
dem Worte sind alle Formen verzeichnet, in denen es
im Codex auftritt mit genauer Angabe der Stellen, wo
jede Form sich findet und in der Schreibweise, wie
der Codex sie bietet. Ausserdem habe ich bei jedem
Worte die verwandten Wôrter anderer Türkdialecte
beigefügt, so dass der Leser im Stande ist, NOUS
seine Schlüsse über die Verwandt
mit den übrigen Türkdialecten zu machen. Am Ende
des Würterbuches gebe ich alle diejenigen Wôürter an,
?| die ich nicht zu erklären vermag. Zuletzt folgt eine
Transcription der im Codex befindlichen Komanischen
Texte mit gegenüberstehender Schreibweise des Codex
und mit wortgetreuer Übersetzung. Ich habe an den
Texten nur wenige Ânderungen vorgenommen und
diese Ânderungen überall hervorgehoben.
Die Herausgabe des Sprachmaterials des «Codex
Comanicus» hat den Zweck, dieses Sprachmaterial
dem Forscher zugänglich zu machen. Dies ist beson-
ders deshalb nôthig, weil der Codex in der Form, wie
er uns vorliegt, wenig Nutzen bringen kann. Wir kônnen
dies am deutlichsten aus den Anmerkungen des Grafen
Kuun ersehen, die voll von Versehen sind. Zum Ver-
ständniss des Codex ist eine Bekanntschaft mit den
Türkdialecten nôthig, die den meisten Turcologen ab-
geht. Ausserdem war es nôthig, die Materialien des
Codex durch sich selbst zu erklären, d. h. die an ver-
schiedenen Stellen vorkommenden gleichen Würter
neben einander zu stellenu, was der Herausgeber unter-
lassen hat. In Betreff einzelner Würter wäre es mir
lieb gewesen, den Codex selbst vor Augen zu haben.
Die Zahl dieser Wrter ist aber, Dank der treffichen
Ausgabe des Grafen Kuun, so gering und die Aus-
beute verspräche eine so unbedeutende zu werden, dass
ich mich damit begnügen konnte, das Unverständliche
hier zusammenzustellen und die Untersuchung des-
selben einer späteren Zeit zu überlassen.
Das jetzt verôffentlichte Sprachmaterial wird aufs.
anschaulichste beweisen, dass ich in meiner ersten,
Abhandlung dem Komanischen Dialecte diejenige Stelle
angewiesen habe, die ihm gebührt. Er gehürt zu der
grossen Türkischen Stamm-Gruppe, die ich die Kyp-
tschakische nennen môüchte, die etwa vom 9—13 Jahr-
NT
Bulletin de l’Académie Impériale des Sciences de Saint-Pétersbourg.
124
hundert in ihrer Hauptmasse die weiten Steppen zwi-
schen dem Altai und dem Schwarzen Meere bewohnte
und deren Nachkommen ein Theil der jetzigen Aba-
kan-Tataren, Barabinzen, Irtisch-Tataren, die Kasan-
Tataren und Kirgisen sind, deren ursprünglich sich
sehr naheliegende Sprachen im Laufe der Zeit sich
getrennt und mit benachbarten Dialecten assimilirt ha-
ben, und jetzt sprachlich zu anderen Dialectgruppen
_ gehôüren. Der «Codex Comanicus» bietet uns nun das
älteste Sprachmaterial des Kyptschak-Stammes (im wei-
teren Sinne). Die Feststellung dieses Sprachmaterials
war also von ganz besonderer Wichtigkeit. Nach Voll-
endung dieser Arbeit werde ich meine ganze Aufmerk-
samkeit den ältesten Denkmälern der üstlichen Stamm-
gruppe des Türkvolkes, der Uigurischen, zuwenden
und Alles zusammenstellen, was uns eine Einsicht in
die Sprache dieser Stammgruppe bietet. Hier liegen
uns reichere Materialien vor: Das Kudatku Bilik.
Die Geschichte der Propheten Rubghusi ') eine Le-
gende des Oghus Chan (ein Manuscript das mir freund-
lichst durch Herrn Charles Schefer zur Verfügung
gestellt war), das Chinesisch-Uigurische Würterbuch
und Briefe der Uiguren, die sich in unserem Asiati-
schen Museum befinden.
Erst nach Beendigung dieser Arbeit werde ich mich
an die Feststellung des ältesten Sprachmaterials der drit-
ten Stamm-Gruppe machen, der südlichen, die ich die
Seldshukische nennen môchte, von der uns bis jetzt
die von Wickerhauser ?) verüffentlichten Seldshuki-
schen Verse vorliegen, die sich im Rebab-Name des We-
ledi Mesnewi (Manuseript der Privat-Bibliothek des
Kaisers in Wien, geschrieben im Jahre 768) finden, für
die aber. das von Baron V.Rosen beschriebene Manu-
script der Bologner Bibliothek®) ,/, ,X] > vom Jahre
816 gewiss eine sehr wichtige Ausbeute liefern wird.
Erst nach Feststellung dieser Sprachmaterialien
werden wir ein klares Verständniss von der früheren
Dialectgruppirung der Türksprachen gewinnen und
das Verhältniss der neueren Dialecte zur älteren Spra-
1) 2e Kasan 1859.
1) &s A0
2) Zac der Deutschen Morgenländischen Gesellschaft,
Band XX, p
3) TRS sur les manuscrits orientaux de la collection Mar-
siglia à Bologne. Rome 1885, p. 21.
che verstehen künnen. Für den Erforscher der Ge-
schichte der Türksprachen kônnen leider ausser den
hier genannten ältesten Sprachdenkmälern nur noch
wenige andere Schriftdenkmäler von Nutzen sein, da
die meisten Schriften, selbst die älteren, nur den künst-
lichen Schriftsprachen angehôüren, die als solche keinen
sicheren Anhalt für das Verständniss der Sprache
bieten. Die beiden Türkischen Schriftsprachen, das Os-
manische und das Dshagataische (Osttürkische), sind
nicht die Vertreter bestimmter Dialectgruppen, son-
dern im Laufe der Zeit entstandene selbstständige
Kunstsprachen, von denen das letztere auf Grundlage
des Uigurischen, dass erstere auf Grundlage des Seld-
shukischen (im weiteren Sinne) durch Beimengung der
verschiedenartigsten dialectischen Sprachmaterialien
entstanden sind; sie kônnen also zur Vergleichung mit
dem Sprachmateriale der Dialecte nicht herbeigezo-
gen werden. Wir brauchen nur einen Blick in das
Lexicon Pavet de Courteille’s, oder Vambéry’s zu thun,
um uns zu überzeugen, wie viele fremde ausserhalb des
Sprachmateriales der mittelasiatischen Sprachen lie-
gende Elemente hier aufgenommen sind. Da finden sich
Uigurische, Kirgisische, Turkmenische, Aderbedchani-
sche ja selbst Kasanische Wôürter. Man lese nur ein Buch
wie die Geschichte des Abulghasi und man wird anf
jeder Seite auf Alt-Uigurische Formen stossen ‘), die
nur durch die Schriftdenkmäler von den Uiguren auf-
genommen worden sind. Das bunteste Gemengsel bildet
aber die sogenannte Kasanische Schriftsprache, wo
sich in jeder Zeile Dshagataische Formen mit Osma-
nischen gemengt vorfinden, während das Volk weder
die Einen noch die Anderen kennt. Wir haben also
unter so bewandten Umständen Nichts gewonnen
wenn wir mit Blau *) oder Korsch ‘) behaupten, dass
das Komanische dem Dshagataischen nahe stehe, denn
das Dshagataische: stellt, wie gesagt, gar keïinen be-
stimmten Dialect dar.
4) Ich verweise hier nur auf dé häufig auftretende sc
(statt sl wäbrend die übrigen Formen von sa] abgeleitet
erd
si Über berne und Sprache der K Z.
as p umanen Z. d. D, M. G.
6) Archis Fi RER dl Band VIII, p. G44, Anm. 2.
4
Paru le 15 avril 1886.
SAR SUD. A AO SRE A De DU an PS mA AL D er LE GR
T, XXXE, N° 2.
BULLETIN
DE L'ACADÉMIE IMPÉRIALE DES SCIENCES DE ST.-PÉTERSBOURG.
TOME XXXL.
(Feuilles 9—1/,19.)
CONTENT.
0. Backlund, Rapport sur le mémoire de M. Harzer: Recherches sur un cas spécial
OU NOIR OO MUR RUEDE D ur na den net ier diese st Ce bales eiVa ae 125—138
N, Katanoff, Nouvelle transcription des mots de la langue Koïbale notés par Castrén.
VE RO DIN 8 MR OUIOM ee LU Li sudo une à aus ent de de vus à Ve 40 138—213
0, Chwolson, Recherches photométriques sur la diffusion intérieure de la lumière ..... 213—261
Dr. Carl Schmidt, Recherches Hydrologiques XLV—XLVIIT ....................... 262-283
B. Imchenetsky, Sur Ia transformation d’une équation différentielle de l'ordre pair
à la forme d’une équation isopérimétrique.. :...........................,. 283—292
— #83 —
CRE
#4
Imprimé par ordre de l'Académie Impériale des sciences.
Octobre 1886. ——— C. Vessélofski, Secrétaire perpétuel.
Imprimerie de l'Académie Impériale des sciences.
(Vass.-Ostr., 9° ligne, X 12.)
BULLETIN
DE L'ACADÈMIE IMPÉRIALE DES SCIENCES DE ST.-PÉTERSBOURG.
Dr. Harzer’s Untersuchungen über einen speciellen
Fall des Problems der drei Kôrper. Bericht an die
Akademie der Wissenschaften, von 0. Backlund.
(Lu le 22 avril 1886.)
Die Abhandlung des Herrn Dr. Harzer, die ich
hiermit die Khre habe der Akademie vorzulegen, bietet
ein ungewôhnliches Interesse dar und wird ohne Zweifel
viel dazu beitragen, die von Gyldén als nothwendig
erkannte Auffassungsweise über die Bewegung im Son-
_ nensystem unter den Astronomen zu verbreiten. Indem
Gyldén die elliptische Bewegung als eine erste An-
näherung an die wirkliche verwirft, berücksichtigt er
schon bei der ersten Annäherung gewisse Theile der
. sogenannten Stürungsfunction und ermôüglicht in dieser
Weise eine genäherte Lüsung, die rein periodisch ist.
Es ist charakteristisch für die Gyldén’sche Theorie,
dass das Auftreten von sekulären Gliedern verhindert
wird. Die Ausdrücke, durch welche nach den bisher
gebräuchlichen Methoden die Bewegung der Himmels-
kürper angegeben werden soll, enthalten ausser perio-
dischen Reïhen auch Potenzreihen, die nach den Po-
tenzen der Zeit fortschreiten. Da man über die Con-
vergenz dieser Reïhen nichts weiss, so künnen diese
Methoden, die wesentlich nicht anderes als Interpola-
tionsformeln liefern, nur für einen beschränkten Zeit-
raum eine Anschauung über die Natur der Bewegung
erlauben. Kann man dagegen die Coordinaten des Pla-
neten durch rein periodische Reïhen angeben, s0 ge-
winnt man — selbst wenn man die unbedingte Conver-
genz dieser Reïhen nicht strenge nachweisen kann —
doch Übersicht über die Bewegung für Zeiträume,
die bedeutend grôsser sind. Während bei der Ellipse
als primäre Bahn die Stôrungen Grôssen erreichen,
die mit den Coordinaten selbst vergleichbar sind, s0
kommt es nach Gyldén’s Principien darauf an, in
erster Näherung die Formeln für die Bewegung derart
aufzustellen, dass die Ausdrücke für die Coordinaten
den Ort des Planeten bis auf Grüssen von der Ord-
_ nung der Masse »° des «stürenden» Kürpers wieder-
XXXI.
Tome
geben. Ebenso wie bei der rein elliptischen Bewe-
gung sind auch die einzelnen Glieder der Coordinaten
in der nach den Gyldén’schen Principien bestimmten
Bahn frei von dem Factor #’. Gyldén nennt solche
Glieder, die die Masse »° als Factor nicht enthalten,
sehr bezeichnend «elementär», und es ist leicht zu
verstehen, dass die Argumente derselben von der
Masse »' nicht unabhängig sein kônnen.
In Übereinstimmung mit diesen in aller Kürze an-
gegebenen Principien der Gyldén’schen Theorie, die
in «Undersükningar af theorien fôr himlakropparnas
rürelser » auseinander gesetzt sind, stellt sich Dr. Har-
zer die Aufgabe, die Bewegung des Planeten Hecuba
zu untersuchen; dabei hat er aber Wege eingeschlagen,
die sich mitunter beträchtlich von denen unterscheiden,
welche Gyldén in der erwähnten Arbeït angegeben
hat. Die mittlere Bewegung von Hecuba ist nahe zwei-
mal so gross wie die des Jupiters; die Môglichkeit eine
brauchbare Theorie für diesen Planeten nach den ge-
wôhnlichen Methoden aufzustellen, ist in Folge dieses
Umstandes sehr fraglich. Es ist also kein Zufall, dass
Dr. Harzer die Bewegung dieses Planeten zum Ge-
genstand seiner Untersuchungen gemacht hat, viel-
mehr sind das astronomische Interesse und die mathe-
matischen Schwierigkeiten, welche sich an den spe-
ciellen Fall knüpfen, wo die Umlaufszeit des «gestôrten»
Planeten nahezu das Doppelte von der des «stürenden»
beträgt, für die Wahl entscheidend gewesen. Für die-
sen Fall approximativer Commensurabilität der mitt-
leren Bewegungen kann es nicht genügend sein, nur
die elementären Glieder zu ermitteln, um eine Bahn zu |
erhalten, die sich von der wirklichen nur um Grôssen
von der Ordnung der Masse »' unterscheidet, denn
durch die Integration werden Glieder erzeugt, welche,
obgleich mit der Masse »' multiplicirt, dennoch mit
den elementären Gliedern in Bezug auf die Grüsse
vergleichbar sind. Indem Dr. Harzer sich also die
Aufgabe stellt, für Hecuba eine Bahn zu ermitteln,
die mit einer gewissen Annäherung in Bezug auf
die Excentricitäten und Neigungen sich von der wirk-
9
127
Bulletin de l’Académie Impériale
lichen nur um Grôssen von der Ordnung der Masse #»'
unterscheidet, hat er nicht nur die elementären Glieder,
d. h. die Glieder von der Form:
A) a %(ov + À), B) bKa((1—c)u—B)
wo » die wahre Länge, o eine Constante von der Ord-
nung der Masse »#’, a, b, À und B Constanten sind,
zu bestimmen, sondern auch die ähnlichen Glieder:
C) Ein (do +E), D) ns ((1— d)v + AH),
wo d von der Ordnung RREd ist. £ und n enthalten
allerdings den Factor »’, sind jedoch nach dem oben
Gesagten mit « und b vergleichbar. £$%E und LE St 74
bedeuten langperiodische Funktionen.
Die Art und Weise, wie Dr. Harzer seine Unter-
suchung durchführt, muss als sehr verdienstvoll be-
zeichnet werden, indem er mit Hülfe môglichst ein-
facher mathematischer Mittel die Entstehung und Be-
rechnung der Glieder der angegebenen Form in hohem
Grade übersichtlich und klar darthut. Dass ihm dies
so gut gelingt, ist wohl zu grossem Theil der zweck-
mässigen Aufstellung der Differentialgleichungen, wel-
che als Ausgangspunkt dienen, zuzuschreiben. Nach-
dem Dr. Harzer die bekannten Laplace’schen Diffe-
rentialgleichungen nach Hansen’s Vorschriften («Aus-
einandersetzung einer zweckmässigen Methode etc.»)
auf ein bewegliches Coordinatensystem bezogen hat,
leitet er die folgenden Differentialgleichungen der Be-
wegung ab:
dk œ
AN a AR AG ne x
dv? 1+v do Tr _(1—m)(1+»)
1 M. r?
À MT SG Mir
Là k V am, (1 — r?)(1 +»)
æE Q dé &'— € Cos H
ne el dun 1+-v BR.
Die Grôüsse v ist von der Ordnung der Masse »' und
wird aus der Differentialgleichung:
da (1 Ex EG m)
bestimmt. P, Q und À sind mit den Differentialquotienten
der . pen ;
oQ
= P:
00
? . a(1— r) D — cr a(l — 3 Cos A 2)
ré bezeichnet die Breite des Planeten über Bahn; r'£ hat
in Bezug auf den «stürenden» Planeten dieselbe Bedeu- |
tung. n ist eine Grôüsse von der Ordnung der Excen-
tricität; die Bedeutung der übrigen Grüssen ist die
gewühnliche. Ehe der Verfasser nun weiter geht, giebt
ler allgemein an, wie die elementären Glieder abgeson-
| dert werden sollen. Zu dem Zwecke setzt er:
RE 1+ 05.
= ste
und
2) : F0
wonach zur ns von 6 eine Raul
chung von der Form:
PE
3) dv?
hervorgeht. Über die Constante ç, die von der Ord-
+ F
nung der Masse m° ist, wird so verfügt, dass weder
in der rechten Seite von 2) noch in der von 3) ein
Glied von der Form Constans mal $, vorkommt. Die ‘à
Function X muss aber so bestimmt werden, dass F
keine Glieder mit den Argumenten (1 — a’) — 4", 4
(1— 0”) v — A" etc., wo 9’, o” etc. von der Ordnung
der Massen der grossen Planeten und 4’, 4” etc.
Constanten sind, enthält. Demnach ist X selbst —
wie sich dies auch näher aus den späteren Unter- |
suchungen ‘ergiebt — von der Form:
X=—x Cos((1—0')0—4")—x"Cos((1—0")v—4" Ne
Die Coefficienten x”, x” ete. sind von der Ordnung #°. Ë
Durch Integration der re 2) ergiebt sich dann:
— nr 204)
29 —=XxCos((1—5)0—T')-+
x
po a me
pre Cos((1 SE 6”)v—A"}+- .
25) Fe =) Do
x und FL sind die Integrations-Constanten. Setzt man à
nun: à
Costr=l)= x 2 #5 —g')v— 4’
nCos(r-T)=—x+ -n() Cos((1 he 4’)
4
Get p) (—0!) e + se)
A Sin (x —l)— Me, v— A)
at =)
cp sem)
so wird:
robe
Lei
DL
4ù à 2 1e
hi vid OR
128
Cos((1—o")o—4")#+.... ‘
Sin(a-#'}-4 D 4
ê = n Co ((1— c)0— r).
Se,
ee
PRTENR Sr
INT ER RUE ni
129
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
Die Grôsse n, die nach den angesetzten Formeln
bestimmt werden soll, ist also eine langperiodische
Function. Nachdem über $ und n in dieser Weiïse ver-
fügt ist, beweist der Verfasser den fundamental wich-
tigen Satz, dass F (— der rechten Seite von 3) über-
haupt keine elementäre Glieder enthalten kann.
n°
de SL ose SON DNS Rd do 1 +
dr? ds Va 2 do 1—"1
dr? a)
(1 + À Ce + o (a)
© 1— 1° 2(1— n°}
m, dt __V(1— 7}
4) 16 Va de — (1 + p}
dy e
+ R —
mr? Var fs
dr? dv
do 1
wozu noch die Differentialgleichung in v hinzuzufü-
gen ist, nämlich:
k dr?
dy dd
2 = 20 + 1—#
(1 + v).
Diese Gleichungen bilden die Grundlage für die
weiteren Untersuchungen. Sie unterscheiden sich in
vielen Punkten von denen, welche Gyldén in der an-
geführten Arbeit aufgestellt hat. Zunächst ist die Ein-
führung von v für den hier in Rede stehenden Fall von
wichtiger Bedeutung, indem man bei den späteren Ent-
wickelungen Vortheile erreicht, die man durch Anwen-
dung der Gyldén’schen Differentialgleichungen nicht
erreichen würde. Dass bei der zuletzt angeführten Sub-
stitution von © gerade die biquadratische Wurzel aus
_ 14 als Factor gewählt ist, hat offenbar zum Zweck,
eine môüglichst einfache Form für & herzustellen.
+ & yldén führt als unabhängige Variabele eine Grüsse
v, ein, die sich um eine Grôsse y—die «Variation» —
von * unterscheidet und statt é eine Function 7,
_ die «reducirte Zeit», Dass Dr. Harzer weder v, noch +
einführt und v durchweg als unabhängige Variabele
_ benutzt, ist als ein entschiedener Vorzug anzusehen,
_ indem unter anderem auch die Übersicht über die
dy
dv
LE 1, do, d Pr "do
” 81+1n 1+v 16 \1 —
Entwiékelungen beträchtlich leichter wird.
Die Gleichungen 1) dienen jedoch nicht als unmit-
telbarer Ausgangspunkt für die weiteren Untersuchun-
gen. Sie werden durch die Substitutionen:
a: 11-#"0 1 TEEN
EN mes CPR
in die folgenden transformirt:
dv
a (a do
& do \1+v
dr
1 dv
De 8 PA dt HN
- æ _1( & )\
81—® irv 16\1+v/
| + Pa"
du do 1 _d!| dd
j TL do u4(#)
:)
h
Um nun die Integration der vorstehenden Differen-
tialgleichungen in Angriff nehmen zu künnen, ist es zu-
nächst nôthig die Storungsfunction zu entwickeln. Dies
geschieht nach der von Gyldén in der erwähnten Ar-
beit gegebenen Methode. Ich kann nicht umhin zu be-
merken, dass die von mir in der Abhandlung «Zur
Entwickelung der Stôrungsfunction», St. Petersburg
1884, auseinandergesetzte Methode hier Vortheile
zu gewähren scheint; nach derselben erhält man für
al — worauf es bei der Entwickelung der Stürungs-
function gerade ankommt — eine Entwickelung, deren
allgemeines Glied
AU
ui w/ [6 n a id n+4
D ETATS 0 o (5) (7) + 4 b, ;() ui ae
x Cosi(o—v"+II—1T") Cosj(o+'+11-+1I1)
ist. à und ? sind ganze Zahlen und n — +7. Die a!
sind für s— 1 und s = 3 in der Abhandlung tabulirt.
Die à sind Polynomen in v, für welche Herr Callan-
dreau (Bulletin Astronomique) elegante analytische
Ausdrücke abgeleitet hat. Zur numerischen Berechnung
derselben sind a. a. O. ebehfalls Tafeln gegeben. Um
die von Dr. Harzer gebrauchte Form:
Ap°e "nn?" cos (( +3) (0 + IT) — (à Lg (0 + 11)
s . 9*
1
131 4
Bulletin de l’Académie Impériale
zu erhalten, hat man also nur die Substitutionen:
+
ali, y
te avr Vlæv, r =
a! (1 — 1”? 5 ?
en V1+»
auszuführen. Da es nicht meine Absicht ist, diese
Transformation hier durchzuführen, so begnüge ich
mich mit dieser Andeutung.
Da » als unabhängige Variabele beibehalten werden
soll, so muss + durch » ausgedrückt werden. Dies ge-
schieht mit Hülfe der Gleichung:
y" mi dt VO —n)
à —
A+ :
Wenn man nun wie gewühnlich y" als die mitt-
lere Bewegung n definirte und die rechte Seite nach
den Potenzen von o und n entwickelte, so würde man
nach der Integration—indem A die Integrations-Con-
stante bedeutet — erhalten:
nt-+ A — 0 — 2 |e do + [(e°— 7) do —…..
Da nun o und » constante Glieder von der Ordnung
der storenden Masse enthalten, so würde die durch
das Integral- Zeichen angedeutete Operation ein Glied
von der Form Constans mal » erzeugen. Um diesen
Übelstand zu vermeiden, ersett Dr.Harzer die obige
Gleichung durch:
(1 +0 — —(1 + à)
a do —
va)
(+ 0}
und bestimmt « so, dass die Constante der Entwicke-
lung der rechten Seite gleich der Einheiït wird, d. h.
mit anderen Worten so, dass die von der p, £?, n° etc.
herrührenden Constanten verschwinden. Dass diese
Operation auf eine Function ausgeführt ist, deutet er
. mit eckigen Klammern an; es bedeutet also z. B. [o]
dass o mit 1-+ « multiplicirt ist und & so bestimmt,
dass (1-+- &) 9 keine Constante enthält. Hiernach de-
finirt Dr. Harzer die mittlere Bewegung folgender-
maassen:
n—(1 + a) 1%
und es ergiebt sich nun:
né + A = 0— 2 [[e] de +- 3 [le —% |do—…
* und ebenso für den stürenden Planeten:
nt+ Lve 2[[e] dr’ + 3[ [e— T du...
Nach Elimination von { leitet er dann den folgenden
Ausdruck ab:
v'=pv—A—R,— 24.[[el dv + auf e—Ÿ] dv—….
PT Sin(1 —éjpo—(1—<)(a+R)—7)
n”Sin (1€ juv—(1—<)(4+R)—7 1
SE ina
= 4m Cosf(1— po —(1—2) 4427 fred
Der Index , bedeutet, dass die betreffende Function
nur Glieder von kurzen Perioden und der Index ,, dass
PE
RS Re
sie nur Glieder langer Perioden enthält, indem man
mit kurzperiodischen und langperiodischen Gliedern
solche versteht, deren Perioden mit der Umlaufszeit
vergleichbar resp. viel grüsser sind. Zur Abkürzung
ist in dem obigen Ausdruck gesetzt:
! 1 R 2
nb pA—A —A; R—2pfledo—3u[| —7] dv;
die gestrichenen Grüssen beziehen sich auf den stüren-
den Planeten. Die angeführte Relation zwischen und
v’ ist mit Rücksicht auf die im Folgenden erzielte An-
näberung genau bis auf Glieder dritter Ordnung in den .
Excentricitäten. Als charakteristisch für seine Methode
hebt Dr. Harzer hervor, dass er im Ausdrucke für …
v die Glieder kurzer Periode und von der Ordnung
der Excentricität aus dem Argumente der trigono-
metrischen Functionen herausnimmt, während er R, un-
ter dem Zeichen Cos. oder Sin. stehen lässt; das erstere
geschieht mit demselben Rechte wie die Storungsfunc-
tion nach den Potenzen der Excentricität entwickelt
wird; À, darf aber desshalb nicht aus den Argumenten
herausgenommen werden, weil es in Folge approxima-
tiver Commensurabilität der mittleren Bewegungen
beträchtliche Grüsse erreichen und daher die Conver-
genz der die trigonometrischen Functionen ersetzenden
Reïhen sehr schwach werden kann.
Hiermit ist im Wesentlichen der Inhalt des ersten s.
Kapitels angegeben.
Auf Grundlage der im ersten Kapitel gewonnenen he.
Entwickelungen wird im zweiten Kapitel die speciel-
lere Untersuchung der elementären Glieder von der
Form 4) und B) und der mit den elementären Gliedern |
vergleichbaren Glieder von der Form C) und D) durch-
geführt und die vorgelegte Aug endgültig theores 4
tisch gelüst.
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
134
Als Ausgangspunkt dient die erste der Gleichungen
4), die folgenderweise geschrieben wird:
5) + p=W,
wo çs so bestimmt wird, dass W keine Glieder von der
Form Constans mal 9 enthält. Es soll nun aus dieser
Gleichung der Ausdruck für p, insofern es sich um
elementäre Glieder von den Formen À) und B) und
um die von den Formen C) und D) handelt, ermittelt
werden.
Da der von Dr. Harzer behandelte specielle Fall
der ist, in welchem die mittlere Bewegung des gestür-
ten Planeten nahe doppelt so gross ist, wie die des
storenden, so ist, indem
TT und 1—2p —ù
gesetzt wird, à eine kleine Grüsse.
Zur Erleichterung der folgenden Untersuchung wird
noch die Bezeichnung
6) p— or A+T +R,
eingeführt. Die Glieder kurzer und langer Periode
fordern verschiedene Behandlungsweïise; wenn demnach
ein p und 6, — derart, dass p = p, +0, — zerlegt
wird, so soll p, nur Glieder von den Formen B) und D),
e, aber nur Glieder von den Formen À) und C) ent-
halten. Dr. Harzer leitet aus 5) für o, den folgenden
Ausdruck ab:
e—nCos((1-<)0-7)—; 72 Cos((1—<)0- T) {Sin 2pdv
i-—à
: — 50" Sin ((1-<)o-T)[Cos24 de.
Der Strich über Sin 24 und Cos 24 bedeutet, dass
die in der Entwickelung dieser Functionen enthaltenen
Glieder mit Argumenten von der Form 4) und ausser-
dem das in Cos2% vorhandene constante Glied weg-
gelassen sind. Zur Bestimmung von p, giebt er die Dif-
ferentialgleichung
d
= Hnn Sin(r'— 7 —(s—1<") v)— 5% =s
—VnSin(24-+r—0)—yn Sin[29—(5—ps')0+r 7];
Æ, Vs, Y, und y, sind von der Ordnung der stôrenden
Kraft. Die drei letzteren Grüssen sind constant, die
_ erstere aber eine Reïhe von Gliedern von der Form A).
_* Hiernach ist ersichtlich dass die nächste Aufgabe die
ist, à zu ermitteln, und hierin liegt die Hauptschwie-
rigkeit. Zu dem Zwecke wird die Differentialgleichung
7) + 28 Sin sos 20) = X
hergestellt, wo
X = 2pHan Sin(r'—r—(s—pe)v) —În%,
also die erste Zeile in dem Ausdruck für 29. 2e ist und
28 5% 20 langperiodische Functionen von der Ordnung
der stürenden Kraft bedeuten. Die Methode, nach wel-
cher diese Gleichung integrirt wird, ist Herrn Harzer
von Gyldén mitgetheilt. Indem X als eine kleine
Grôsse gegenüber 8 betrachtet werden kann, wird in
der ersten Annäherung X — O0 gesetzt, Die zu inte-
grirende Gleïichung
+ + 28 Sin (2ÿ + 20) = 0
ist also unter der Voraussetzung, dass 285% 29 constant
seien, die Differentialgleichung des einfachen Pendels,
dessen Integral
d—am(vo+ EF) Modk=Y-*.
+8?
«
oder
Sin ÿ =" rt Modk= 18, -
je nachdem 7 3 Kleiner cèu grüsser als die Einheit
ist. y ist für ln gesetzt und y und F sind Inte-
grations-Constanten.
Das erste Integral, das dem Fall des rotirenden
Pendels entspricht, kann bekanntlich folgenderweise
geschrieben werden:
d + 0 — x (0 + F) + Sin 2 r0L+F) +.
Fe
vergleicht man diesen Ausdruck mit 6), so ergiebt sich
Ô + €
SV
FepontEr
Wenn
v+$
Integralform, dass
>1 so folgt dagegen aus der zweiten
d + (a 0
wird, was dem Falle des oscillirenden Pendels ent-
spricht.
Für Hecuba ist, wenn Jupiter als der stürende Kôrper
betrachtet wird, die letzte Bedingung nicht erfüllt und
$ + s obgleich eine kleine Grüsse.jedenfalls > 0. Weil
135
Bulletin de l’Académie Impériale
136
diese beiden Füälle, à + ç >> oder — 0 charakteristisch
für die Bewegung sind, so würde, nach Herrn Har-
zer’s Auffassung nicht
1—2u—0—0
eine strenge Commensurabilität zwischen den mittle-
ren Bewegungen von Jupiter und Hecuba bedeuten
sondern
E— 2+çs—d+ç—0.
Da wie gesagt diese Bédingung bei Hecuba- Jüpiter
nicht zutrifft, so muss die erste Integralform ange-
Fe
; i — 1 —#k/?
, K
Sin A RTE 7 HR:
r \2
+ 16(,%)
Sin 20
pee
wandt werden. Um mit Hülfe derselben das Integral
der vollständigen Gleichung 6) zu erhalten, müssen
die Grüssen F und v als Functionen von v betrachtet
werden und mit Rücksicht auf die Grüsse X.und
auf die Variabilität von $ und © bestimmt werden.
Die Operationen, welche zu dem Zwecke mit grossem
| Scharfsinn ausgeführt sind, kônnen selbstverständlich
hier nicht wiedergegeben werden, sondern mag es
genügen die für Sin 24 und Cos 24 hergestellten defi-
nitiven Ausdrücke anzuführen. Dieselben sind:
| q Sin(2 00 + F)— 26) — qSin(2 5 (0 + PF) 26) +
+ 24Sin (4 5x (0 + F)— 26)— 2q° Sin (4 5x 00 + EF) + 26) +
v.le + ‘6 Je. 7e 575 9° + 6 0e ds ‘Se + 0:68 ee 1e 0
q Cos(2 5k 0% +F) 26)— a" Cos (2 + (0 + F7) + 7) un
+ 16 (x) + 2q”Sin (4 5x0 + F) — 26) — 2qÿ Cos (45 (vo + F1) + 26) +-
Die Bedeutung von X, E und # und g ist die ge-
. wühnliche; da # variabel ist (langperiodische Function)
so sind auch diese Grüssenariabel. Zur Vervollstän-
. digung der angeführten Ausdrücke gehôrt aber noch
die Bestimmung von 4. Wir kônnen uns aber auf das
Referiren dieser Bestimmung hier nicht einlassen,
sondern führen sogleich die Endresultate an, die deut-
lich die Beschaffenheïit der gesuchten Glieder darthun:
9, — Const. + nCos((1—<)v— 7x)
LA D Y j x
+16( 25) du = Cs((--3)027 Gr)
: zx \2 + L +
+8( x) d'en Cos((1-- 20) 04 G-T+26)
U—= Const.— [Arr Sin (tr —7—($— wc") 0) do — UE
M16( 2) gn Cos((3+ 9)o+ 2, 2. RG+R—T)
Me Bon gn Cos (0-27 Gæn—T)
Ç G ist eine langperiodische Function von derselben |
esp 0 0 + ee + € + + + ©
Form wie y, und F eine Constante, Für £ ist der - à
Ausdruck
ht + À — le G— A A—?)
:Sin((8 + 9)v+ 2,74 +26)
— É_ Sin (+ 90 222 G + 26)
—; 7 Sin((1—<)v— +)
sf) Yo
+9 Reg Si ((i + À) 0 + 2 @— r}
16() de
ue (arrange reas)
+° = Ÿ_ Sin 2((1—<s)u— 7)
ie, Sin((2--3—90+2% ct)
Der Ausdruck für den Sinus der Breite enthält |
keine grossen Glieder von der Form C) und D), die 4
137
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
LEE]
Ermittelung desselben ist deshalb wesentlich einfacher
als für © und £. Aus der dritten der Gleichungen leitet
Herr Harzer den folgenden Ausdruck ab:
®— Sin «Sin ((1+T)v— 6),
wo t eine Grüsse von Ordnung der Massen der grossen
Planeten ist und Sin t$%o langperiodische Functionen
bedeuten.
Im dritten Kapitel verwerthet Herr Harzer nume-
risch die im zweiten Kapitel erhaltenen Entwicke-
lungen. Die numerischen Resultate sind in vielen Be-
ziehungen interessant und werfen ein vortheilhaftes
Licht auf die Zweckmässigkeit der theoretischen Ent-
wickelungen. Eine Zusammenstellung der aus den Aus-
drücken für 0, £ und o für bestimmte Intervalle be-
rechneten oscillirenden Elemente zeigt die beträcht-
lichen Veränderungen, welchen die Bahn der Hecuba
unterworfen ist; dies wird ausserdem durch eine bei-
gefügte Zeichnung veranschaulicht. Die numerischen
Resultate werden aber nicht nur ein interessantes Bei-
spiel der auseinandergesetzten Theorie sein, sie werden
auch praktisch werthvoll sein, indem sie der Berechnung
von Aufsuchungsephemeriden des Planeten zu Grunde
gelegt werden künnen, denn diese werden voraussicht-
lich den Ort nicht auf mehr als 4—6' fehlerhaft geben.
In der Weise wird man ohne weitere Rechnungen den
Planeten bei seinen künftigen Oppositionen beobachten
künnen, bis ein so vollständiges Beobachtungsmaterial
vorliegt, dass: eine hinreichend genaue Bestimmung
der Integrations-Constanten erhalten wird, um eine de-
finitive Theorie der Bewegung des Planeten geben zu
kôünnen.
Obgleich es zu der vorgelegten Aufgabe nicht ge-
hürt, die unbedingte Convergenz der nach den in seiner
Abhandlung festgesetzten Principien allgemein folgen-
den Entwickelungen zu untersuchen, so giebt Dr. Har-
zer doch über diese wichtige mit der Stabilität des
Sonnensystems nahe zusammenhängende Frage einige
interessante Andeutungen. Eine sehr bemerkenswerthe
Folgerung der Untersuchungen des Herrn Harzer’s
ist die Feststellung der Anzahl der Argumente, die
bei dem Dreikürperproblem auftreten. Es ergiebt sich
__ nämlich, dass diese Argumente sind:
, r
Ÿ, LV, OÙ, GÙ, TU, TU,
Li wo p und » die gewühnliche Bedeutung haben und
o, 0, tund + Grüssen von der Ordnung der Massen
der beïden Planeten sind.
Der Bericht, den ich hiermit abgestattet habe, kann
natürlich keine anderen Ansprüche haben, als einige
der wichtigsten Punkte dieser hôchst interessanten Ab-
handlung hervorgehoben zu haben. Andererseits schien
mir aber die Wichtigkeit der Abhandlung eine aus-
führlichere Mittheïlung als gewôhnlich zu fordern.
Sie giebt uns nämlich die ersten nach Gyldén’s Prin-
| cipien durchgeführten Untersuchungen und zwar über
eine Frage, deren Lüsbarkeit nach den gewôbnlichen
Methoden zweïfelhaft erscheint. Die Untersuchungen
sind aber vüllig selbstständig und mit môüglichst ein-
fachen mathematischen Hülfsmitteln ausgeführt, d. h.
sie sind in erster Linie astronomisch. Alles dies bringt
mir die Überzeugung bei, dass die Abhandlung des
Herrn Harzer von dauernder Bedeutung für die Astro-
nomie sein wird.
Castrén’s Koibalisch-Deutsches Wôrterverzeichniss
und Sprachproben des Koibalischen Dialectes. Neu
transscribirt von N, Katanoff. (Lu le 11 Mars
1886.)
VORBEMERKUNG.
Der Student der Orientalischen Facultät der hie-
sigen Universität N. Katanoff, ein geborener Sagaier
aus dem Abakanthale, der seiner Muttersprache voll-
kommen mächtig ist, hat auf meine Veranlassung eine
Umschreibung des Tatarisch-Deutschen Würterver-
zeichnisses und des Heldengesanges, die in Castrén’s
«Versuch einer Koibalischen Karagassischen Sprach-
‘lehre» abgedruckt sind, unternommen. Ich hatte Herrn
Katanoff veranlasst, diesen Nachtrag zu Castrén’s
Sprachlehre zu liefern, da diese Sprachlehre von
vielen Turcologen benutzt worden, und die zahlrei-
chen Irrthümer und Ungenauigkeiten des Verfassers :
und Herausgebers mehrfach zu falschen Schlüssen ge-
führt haben. Da die Arbeit, die mir Katanoff vorge-
stellt hat, ein genaues Verständniss für die Lautver-
hältnisse der eigenen Sprache beweist, so halte ich
sie als eine wichtige Ergänzung der oben erwähnten
Sprachlehre und ich bin der Ansicht, dass es wün-
schenswerth ist, dieselbe im Bulletin abzudrucken.
139
Bulletin de l’Académie Impériale
110
Für mich bietet diese Arbeit ein ganz besonderes
Interesse-dadurch, dass sie mir ein Urtheil über die
Richtigkeit der von mir vor zwanzig Jahren im Aba-
kanthale gemachten Aufzeichnungen erlaubt. Im All-
gemeinen stimmt die Wiedergabe der Laute, die hier
in dem von mir angewendeten Alphabet geschieht, mit
der meinigen überein, besonders interessant sind aber
die wenigen Abweichungen, die eine genauëre Laut-
auffassung des seine eigene Muttersprache Schrei-
benden beweisen. So führt Herr Katanoff zum Bei-
_spiel ein getrübtes i (vergleiche meine Phonetik der
Nôrdlichen Türksprachen Leipzig 1882, Emleitung
XIII) in die Stammsilben ein, wo ich einfach i ge-
schrieben habe. Ich habe mich nach der Aussprache
des Verfassers überzeugt, dass er hier Recht hat und
dass in dem von ihm gesprochenen Dialecte dieser
weitere Fortschritt der Versetzung der Vocalscala
(vergl. Phonetik $ 23) schon stattgefunden hat. Ebenso
liegt das e der Stammsilbe, das Katanoff spricht,
-auf der weitesten Grenze zwischen e ‘und 1 also nach
Sievers zwischen e! und i, dass man sich fast ver-
sucht fühlt, es durch i wiederzugeben. Für p1 führt
_ Katanoff zwei Nuancen ein 51 und ñ von denen
letzteres ein sehr kurzer, dem Schwa mobile ähnlicher
Laut ist. So viel ich bis jetzt ersehen kann, tritt F1
zum grôüssten Theiïle 1) neben dem Consonanten p (r)
_ auf, der dabei mehr Stimmton erhält, 2) in der zweit-
und drittletzten Silbe der Würter, besonders wenn es
zwischen zwei a enthaltende Silben zu stehen kommt.
Den von mir angewendeten Vocal pr und i des prae-
dicativen Pronominal-Affixes der zweiten Person ver-
_ ändert Katanoff stets in a und ä und schreïbt also
AJBAH3AH AMNBIKCAH eCräpaäx statt AIRAHSEIH aNmbIKCRIH
ecräpsig. Tritt dass dem Altaischen 4 entsprechende
Sagaische c des Auslautes bei der Agglutination in
stehen, so geht es in Katanoff’s Mundart stets in
über apac Baum agaupi, ic trinken itin, während sonst
nur y zwischen zwei Vocalen auftritt. Meine Annahme
_ der halben Erweichung der tonlosen Consonanten des
Anlautes in der zusammenhängenden Rede, wenn
das vorhergehende Wort mit einem Vocale oder s0-
noren Consonanten endigt (Phonetik $ 459), findet sich
bestätigt, ebenso ist nach Katanoff’s Aussprache r
ein sonorer Consonant, wie ich ihh in meiner Pho-
netik (Einleitung XVIII, 10) geschildert habe, das-
selbe muss vom 6 (Einleitung XV, 6) im Worte e6
angenommen werden. Schliesslich will ich noch er-
wähnen, dass Katanoff im Inlaute das k und K zwi-
schen Vocalen potenzirt spricht und dies durch eine
Gemination der betreffenden Laute kk und KKk aus-
drückt, es findet sich also meine Annahme (Phonetik
S 314) ebenfalls bestätigt und es wäre diese Gemi-
nation in allen von mir gemachten Aufzeichnungen :
der ôstlichen Dialecte einzuführen.
W. Radloff,
EINLEITUNG.
In vorliegender Wiedergabe von Castrén’s Koïba-
lisch-Deutschen Wôrterverzeichnisse und Sprachproben
des Koïbalischen Dialectes sind von mir folgende Ver-
besserungen vorgenommen :
1) Statt b1 schreibt oft Castrén: e, è, a, y, o und i;
dagegen schreibe ich überall br; z. B. Castrén schreibt:
utugarben, ôgem, âgarèx, agarin, agazerben, àlyx,
tôkor, #itak und tilberan; ich schreibe: ysy5apôbn,
O5BIM (von ok), aBbIpbIT, ABPIPIH, ABBISAPOBIH, AIT,
uokpip, 414ak und ub116Prpar.
2) Ich schreiïbe: a, ï, #1 und ä, wo Herr Castrén
nur e schreibt; z. B. Castrén: ailanerben, maltak,
kalès, testänärben, tôgozènde, ortezende, kérek,
kälesken; dagegen schreibe ich: airanapôbie, mbtrrbik,
KPLIbIC, TICTAHAPOIR, TOBBISBIHNI, OPTABBIHJIA (VON OPTA),
Kepäx, Kkeläckin.
3) In den ersten Silben schreibe ich nur e statt des
Castrén’schen i, ä und e; uelärä, Kelxim (von el),
Kkeläckin und uerknän, wo er tilegä, kildem, kälesken
und tekpen schreïibt. Ferner schreibe ich: ï, sb und e
in den ersten Silben, wo Castrén nur e oder è an-
:wendet, z. B. Castrén: esenä, ezererben und èsterben,
ich aber schreïbe: isänä, BI3bIpap6bm und ecräpôin.
den Inlaut und kommt zwischen zwei Vocalen zu |
4) In einigen Fällen hat Herr Castrén sogar Buch-
staben ausgelassen; z. B. schreibt er: kâza kurt, tir ï s
‘éarga, atèrben, têty, mekelä, burnirben, adne; dagegen
schreibe ich: kasak kypr, rerip maphi5sr, arrapôbn,
uerri, Mekkälä, GYpyHMp6BIH und azprma (von ar).
5) Statt der Castrén’schen 9, +, k, schreibe ich
ik
Ÿ
A
in vielen Fällen u5 oder ar, 4 und 4; so schreibt
Castrén: buruya, künä, bütürü und türäk dok; da-
gegen schreibe ich: Gypynpa, Kÿnrä, Gÿuÿpô und +
uÿpäk 10k.
6) In einigen Füällen setzt Castrén das Länge- ci
_
IA1
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
142
zeichen, wo ich es nicht setzte, oder umgekehrt; so
schreibt Castrén: tür, aber ich schreibe rÿp (aus
dem Altaischen rÿaÿp).
7) Bei Castrén wird das lange #1 durch y, 1, &
und 6 ausgedrückt, z. B. syn und sin, ix und èx,
tênmade; dagegen schreïbe ich: cb, Bik und Tétamazt
(von ThIH).
8) Statt «r» gebraucht Castrén g und x; z. B.
sümälyx statt cÿmälir.
9) Am Anfang der Wôürter schreibe ich nur die ton-
- losen Consonanten k, Kk, n, 7, c, 4, die halbe Erweichung
in der zusammenhängenden Rede (siehe Radloff, Pho-
netik $ 459), die Castrén oft r, 6, 4, 3, n zu schreiben
veranlasst, lasse ich unbezeichnet.
Die mangelhafte und schwankende Vocalbezeichnung
Castrén’ ris schon A. DÉNORNOE in dem Vorworte
K lehre (Seite X VIT,
Zeil. 12—34 v. ob. und ferner, S. XVIII, Zeiïl. 1 —
21), Dr. W. Radloff in seiner «PhoneËk der Nôrd-
lichen Türksprachen» (Leipzig 1882 und 1883) und
im 2. Theile «der Volksliteratur der Türkischen
Stämme Süd-Sibiriens» (St. Petersb. 1868. Seite
XVI-—X VIII) hervorgehoben.
Die Ordnung der Buchstaben im Würterbuche
Castrén’s habe ich beibehalten ausser in einigen Füällen,
wo die Veränderung durchaus nôthig war.
Endlich bemerke ich, dass ich * zu denjenigen
Wäürtern hinzufüge, welche Castrén ausgelassen hat.
Die Würter des Karagassischen, Kottischen und
Burjätischen Dialectes, die Herr Castrén für den
Vergleich mit den Koïbalischen Wôürtern in seiner
Sprachlehre und in seinem Würterverzeichnisse her-
zur Kaïhalie
beïzieht, habe ich ganz ausgelassen, da es mir nur
darauf ankam, den Koïbalischen Text zu verbessern.
N. Katanoff.
I. Wôrterverzeichniss. :
a.
ai — 1) Lilienzwiebel; 2) Mond, Monat.
aïixan (aixanap6bia) — sich drehen, umkebren.
aiTaHAIP (aiHABAPIPAPÔBIE) — wenden, drehen.
Aina — bôüses Wesen, das in der Erde wohnt; s. Vor-
lesungen über die Finnische Mythologie, S. 230.
aiqac — in der That, wirklich.
ak — weiss.
ak ik (weisses Reh), Rennthier,
Tome XXXI,
ak 6axbik (Weissfisch), Schnäpel (Salmo Lava-
retus).
aHaPT (AHAPTAPÔBIH) — weissen.
akya — 1) Kopeke; 2) Geld.
akcak — lahm.
akca (akcip6rin) — hinken.
aGbIC (akcb1) — Mund, Mündung.
aa — Grossvater, Oheim.
aBPLI (AGBLIAPOBIH) — tragen, ziechen, schleppen.
ABBIPBIT — krank.
ABBID (aSHIPAPÔPIR) — krank sein.
AFAPT (aFAPTApÔPIH) — weissen, s. ak.
ak (a5ap6bix) — fliessen, rinnen.
ABPIPIH — langsam.
apac, a5bim — Baum, Holz, Brett.
abblC (aHbI3ap6BIH) — fliessen lassen, stromabwärts
fahren; s. ak (a5ap6bin).
ag — wildes Thier, Wildpret.
axHa (a4nipôbiH) — fangen, jagen.
arlap (aiapapôbin) — wälzen, rollen, umstürzen.
axla (a4AÏp6bH) — schauen, sehen._
aja — Handfläche.
ajak — Schaale.
ajac — heiter, ruhig, still.
aja (ajipôbix) — bemitleiden.
ax — Uluss, Dorf.:
axa — scheckig, bunt.
ax ai — bunter Monat, da die Erdflecken durch
den Schnee gucken.
axa6ypa (eig. bunter Ochs*) Barsch.
aabiM — Schuld.
AJBIMHBIT — schuldig.
ax (a1ap6biH) — nehmen.
aupau (eig. der Genommene) — Gatte, Gattin.
aapie (axabi) — Gesicht, Stirn; vorn; Gr. $. 66.*
Dat. axbtma, axmpina — nach vorn.
Loc. axbia, axabia]a — vorn, früher.
Abl, aïsmag, aïgbiHa4 — von vorn.
AIBIHAAGPI, ANHBIBAAHEI — vorn befindlich.
aïbin (aïb1HApÔPIH) —dumm sein, von Sinnen kommen.*
AXBICTHIP (AXPICTHIPAPOBIH) — wechseln.
axbin — Held.
aapir — dumm.
aJIBIH (aXBIHAPOBIH) — dumm, schlecht sein, von
Sinnen kommen. *
aipai — kleiner Kessel.
143
Bulletin de l’Académie Impériale
PR" RETENUE
4
1 2
aapan — Gatte, Gattin; s. ax (axap6bim).
axaBir — breit.
axtb1 — das Untere, unterhalb befindlich.
Dat. axrbtna — nach unten.
Loc. axTbiH]a — unter.
Abl. axrbtHan — von unten.*
aATHIBZAGEI — unten befindlich.*
aATHI — Sechs.
aaTBIHNBI — der sechste.
auro1aH — alle sechs.
AITBHIAP — Zu sechs.
ait” OH — sechzig.
axtbiH — Gold; golden.*
aaTan (axranapôBin) — sich auf’s Pferd setzen, auf-
sitzen.
aura (azripôs1a) — überschreiten.
asaBip (arxBIPapÔBIA) — unterliegen, unterlegen sein;
orql. AXTHI.
AMIBIPT (axab1prapôsm) — schaffen.
ann — Gast.
ai6asa — Zobel.
ap — Biene, Wespe.
TYÿkTŸr äp — Biene.
qbisäc äp — Wespe.*
äp — schwer; theuer.
aäpasir — theuer.
apa (apasbi) — Zwischenraum.
Dat. apasbina — zwischenhin.
Loc. apasbinya — zwischen,
Abl, apasbimag — zwischenher.
apa3BIHAAHBI — ZWischen befindlich.* (sw ist das
Suffix der 3. Person Singularis).
aphik — Koth.
appt (apipÔbiH) — mager sein.
apbik — mager.
appir — Insel.
appir — rein.
apa5a — Branntwein.
apsrak — gemeinsam, allgemein.
apBiC — Sommerroggen.
APBICTEIT — gewissenlos.
apam — selten.
apaggyaa (in Märchen), Epithet der Heldenrosse, —
trefflich, mächtig.*
__ ap5a — Rücken.
ap5bua (aP5BHIPOBIH) — reinigen; $. app.
appbie — Gefährte.
apsac — faul.
APHAMNBI — Énssmrss
äpasir — theuer; s.
äpia a) — bewirthen.
apThik — zuviel.
apya — Brautgabe (Kalym).
apart — Käse; Quark. ,
aparimak — Ranzen; Quersack.*
apzar (apzaapôria) — verderben.
an — Pronominalstamm; Gram. $ 54.
ant — das Seinige.
ana — dort, anHay — von dort.
anzap — dorthin.
AHXAPTBIH — VOn dorther.
anraxap — dorthinwärts, deshalb.
anjJar — solch einer.
anna — soviel.
ar — Pferd.
ar — Name. :
aza (aATpÔRIH) — nennen. 5
ar — Taucherhuhn (Anas rutila); vrgl. Pallas Zoogr.
Rosso-Asiat. T. II, p. 242, soll wegen des dem …
Wiehern ähnlichen Geschreies so benannt sein;
eig. also — ar +- ar. ne
at (aTrapôBIx) — schiessen.
ac (asap6prm) — ôffnen.
aubir — bitter, sauer, herb.
aubiH (auB1HapÔBIn) — bemitleiden.
auBianag — barmherzig.* ;
axa — Vater.
agai — Hund; Tis’agai — Hündin.
azxbip — halt! warte!
aza (aATPOPIH) — nennen; S. AT. 24
aya—Vaterbruder od.Vaterschwester; älterer Bruder*
ac — Korn, Saat, Brod. À.
ac — Hermelin. «
ac— hungrig.
acTa (acTTp6bix) — hungrig sein.
Gerund. acran — hungrig.
acTan-qüp — essen wollen,
ac (a3ap6bia) — sich verirren.
a3bIPA (a3PIPIPÔBIH) — nähren.
a3bIpan — essen.*
ackan (äckanap6brm) — stottern.
ackpip — Hengst.
2
145 des Sciences de Saint-Pétersbourg.
ackpip Täkkäk — Hahn.
a3ak — Fuss.
asbik — Vorrath.
aspif — Backenzabn.
asbip — Zweig (am Baum, am Pfeil); Gabel.
asbrpa (asb1pip6sin) — ernähren, verschlingen.
ac (asap6bra) — überschreiten, hinübergehen, vorüber-
gehen (in Märchen), aspipa — über; Gram.S$ 102.
AAP —= AB +- nAP (anrapapôrre) — fortführen.
anak — Greis.
a6a — 1) Vater; 2) Bruder, Oheim; 3) Bär.
a6akkai (in Märchen) — Ehrentitel der Frauen.
a6piT (a6B11ap6Bra) — schaukeln.
a6pic — Geistlicher.
a6xbpa — kleine (bei Castrén: grosse) Kiste.
am — jetzt; auch: amap1.*
am-0k, sogleich.
ambip — ruhig; still (vom Wetter).
amsa (am31p6b1n) — schmecken, kosten, versuchen.
à — Wirth.
äxk — Schlitten.
äx — leer.
ääix — Ferse.
€.
eräk — Feile (auch: erir*).
erà (ertp6in) — feilen.
erip — schief; krumm.
erägi — Frau des ältern Bruders; Tante.*
exix — Schulter.*
el— Volk, Unterthanen; Gegend, Land.
eläzä — genug.
elà (el:p6ïn) — sich quälen.
Ger. elän —kaum. |
elir — fünfzig.
_elimmik — Spinne; s. IpiMnik.
elrä (elrip6im) — sieben.
ep — Mam.
ep-1ok — Wittwe.
epia (epinäpôin) — faullenzen.
epianär — faul.
epix — Lippe. '
epKä — zart.
e. - epKix — Schwelle. ‘
_epräk — Daumen.*
epri— alt (von Dingen).*
Eplik Kan— Oberster der Aina’s.
eprä — frühzeitig.
epräx — Morgen.*
epr (epräpôin) — vorbeigehen.
eprrip (eprripäpôin) — verzcihen.
ep6äräi — Schmetterling.
ex — Zeïichen.
exà (cHHipôin) — zeichnen.
ex (enäüpôin) — abwärts gehen, schwimmen.
eHqäx — bergab.
enä — Vaterschwester.
enäi — Wirthin, Alte, Hausfrau.
eanä (axra) — soviel.
et — Fleisch, Leib.
eT (exäpôia) — machen, thun.
CAE — Saum.
exärrir ro — Weiberpelz.
ec — Eigenthum.
ec (e3äp6in) — rudern.
ecri — Ruder (von ec — rudern).
esän — Glück, Wohlfabrt.
esäxäp — treu, gläubig.
esäx (esänäpôin) — gläubig sein.
esäp — Sattel.
esäplä — satteln.*
esir — Thür.
esipik — betrunken.
esäp, esip — Rede.
e6, en -— Jurte. :
D. eGinä (e6rä, er6ä) — nach Hause, heim.
L. e6xä — zu Hause.
À. eGyxän — von Hause.
endi — ältere Frau; Hausfrau.*
e6ärk — rasch, leicht.
e6ip (e6ipäpôin) — umkehren, umwenden.
e6ipä — um herum.
em (CMäpÔiH) — saugen.
emäi — Brustwarze.
emnäx — Brust (der Frauen).
ec (ecräpôin) — hüren.
BI.
BISBIP (BI3BIPAPOBIH) — beissen.
Bik — Saiteninstrument.
BLI5A (bLISTPOBIH) — heulen.
bip — Lied, Gesang.
Bipaa (b1pMp6s1&) — singen; auch:
BIPHA (BIPHIPOBIH).
147 Bulletin de l’Académie Impériale 148
bipak — weit, entfernt.
BIpaKTHIA — Weither.
BIpa (#1p1p6bin) — sich entfernen.
BIPAT (bIpalapOrin) — entfernen.*
pic — Rauch.
bBI3B1p5a — Ohrgehänge.
BIC (B13ap6BIH) — schicken.
L] “ =
FE
1 — Auerhahn.
ikkäpä — Zwilling,
IKki — zwei.
ikkiami — der zweite.
ikkôläa — beide.
IKKÏäp — je zwei.
à (iuràä) — Nadel.
ilrà (ripôix) — sieben; s. elrä.
il — anhaken, aufhängen.*
ilric — Haken.
ip — Abend; tprä — Abends.
Tp (TpäpGix) — spinnen.
IpiMnik — Spinne.
ipig — Rotz, Euter, Fäulniss.
ipignä (ipimpôin) — faulen.
iprâk — 1) Männchen; 2) Daumen:
ia — Thierlager; Grube.
inäk — Kub.
irrirän — Hagebutte.
idärä — Darm.
ic (iaäpôïx) — trinken.
igip (isipäpôia) — tränken.
ir (äpOin) — stossen, fortstossen.
nie — Gefäss.
111 — S0.
iyä — Mutter; yayr-iuä — Grossmutter.
ic — Spur.
icrä (icr1p6ïn) — aufspüren.
isir — heiss.
icrà (icripôïia) — Schaaffelle bereiten.
icri — das Innere; Gram. $. 65.
Dat. icrinä. Loc. icrinxä.
Abl. icrinäx.
isä (e3ï) — Wirthin.
isänä — Steighügel.
isäpr — Stange (Russ. xepxr).
isün — Tasche.
L_
i3ä (131p6ïa) — gähnen.
tonäx, irnärk — Brod.
16äk— rasch, behend.
0.
oi — langes Thal, Schlucht.
oi — bläulich, hellblau; ar-oi — weissblau.*
oi — leicht.
oita (oimp6pin) — laufen (auf den eignen Beinen).
oidar (oixazap6pin) — laufen lassen.
ojbrx — Spiel.*
oïxa (oinipôsin) — spielen (von 0jB1H).
oimak — Grube.
oimakTbir — grubig.
ok — Pfeil, Kugel. .
ôk— schwach, gering (Vieh, rad 4
0k-rÿKk — Daunen. | ;
Ok-Türk — gering. hi,
ok (üKk) — doch, auch (Gram. $ 111). :
okcac, ockac — ähnlich, alswenn.
o5a — sehr; z. PB. opa Th — am stärksten.* |
O5b1p — Dieb. 4
o5BIpaa (o5B1païpOsE) — stchlen. e
oH — recht, rechts. |
ojak — Bergthal, Schlucht. |
OjBIHUBLI (VON ojbim) — Spieler. |
01—er, jener. |
OX TyCTa — dann.
OJap — sie* (Plur. von ox — er), oxapai — ibr.
01-0k — auch er (bei Cast. nur).
01 (aus o5p1i) — Sohn, Bursche*; vu — sein Sohn.
01ak — Knabe.
Oapax — Kind (allgemein, nicht nur von 3—4 venir: ï
wie Castr. angiebt). :
opai— spät am Abend.
ophix — Stelle.
oppar-ai — Erntemonat, Fi
opra — Mitte; mit dem Suffix der 3. Pers. Sing.: opraast 4
Dat. oprasbma. é.
Loc. opraspmya.
Abl. oprassmag. |
Oprsix Caxa — Mittelfinger. | à
oprstmak — mittlerer. : ES
OpTBI Kÿa — Mittag. 74
OH — zehn. 32
OHBIHNEI — der zehnte. à.
fa ss
AR
149
| des Sciences de Saint-Pétersbourg.
150
oH01ay — alle zehn.
OHap — zu Zehn.
oT — Feuer.
oT-kasb1 — Feuerstelle.
or — Gras; Heu.
or-ai (04-ajp1) — Heumonat.
oTak, oxar — Lager (von Heu, Brettern).
oTTbIk — Feuerstahl.
oTrBik Trac — Feuerstein.
OTTHIC — dreissig; OTTBI3BIHNBI — der 30-ste.
ous1 — das jüngste Kind (Sohn od. Knabe).
OABIP (0ABIpapÔBIH) — sitzen; leben.
OXBIPT (OABIPTAPÔBIH) — setzen.
ôc — Handfläche; Faust; Espe; Handvoll.
ko3-ôc — zwei Hände voll.*
ôc — Kuhmilch nach dem Kalben.
ockac — alswenn; s. okcac.
oc (o3ap6bin) — sich entfernen.
06a — Kurganstein.
06a1 — Sünde.
06ar Kyaai — bei Gott!*
O6AJIBIT — sündig.
ümac — stumpf.
Ü.
di — Stief-.
di na6a (aza) — Stiefvater.
di inà — Stiefmutter.
üKcôc, dKcyc — Waise.
üknà — Lunge.
Ôk (s. ik) — Saiteninstrument.
dHäx — kurzes Weiberkleid mit Säumen.
Ül— nass, feucht; s. ÿL.
ülir (6lixäpôin) — anfeuchten, nass machen.
Ôl (6läpGix) — sterben; s. ÿL.
dlrän — todt; s. ÿlräx.
ülÿr — still (vom Wasser).
_ Opämä — Schmand.
ôprä (opro) — Zelt der Helden, Schloss (in Märchen).
üprän — Pfahl, Zaunstange.
ôprix-ai — Monatsname; s. Mélanges russes. T. II.
. 313.
ün — Innerstes, Mark (R. cepanesmna).
Dat. ônïnä — zwischenhin.
Abl. üainäx — zwischenher,
Loc. Gminaä — zwischen.*
üHäkä — allein, ohne Zweifel; À. oxmako.
ürrir — kühn, tapfer, stolz.
dr (ürräpôin) — durchgehen.
drrip (ürripäpôix) — durchstecken.
Ger. dTripä — durch.
dxäpär (auch üpräk) — Ente.
üade, ôxic — Kehle, Gurgel.
dc — Rauch; s. pic.
ücrÿ — Knochen des Oberarms.
daÿn, üsän — 1) Kleine Schlucht; Baummark.
dc (63äpôin) — wachsen.
dGäki — Urgrossvater, Vater des Grossvaters.
ümäk — das Kriechen.*
dmärkTà (0märkripôin) — kriechen.
Y.
yi5ÿ — Schlaf.
yk — Strumpf.
yjar — Schande.
yjar (yjaxap6rim) — sich schämen.*
yjar-Bicrbir — zur Schande gereichend.
yjaai-n0k — schamlos.
yjarabis — schamhaft.
yaa (yMpôri) — zielen.
YAYE — gross.
yayr cok — grosse Kälte, Monatsname; s. Bul-
letin histor. phil. T. XIV. X 12, 13.— Mé-
langes russes T. IIL. p. 313.
yayr axa (wôrtl. grosser Vater) — Fürst.
yaryx — Schuhsoble.
yarypyk — Schuhheu.
yp (ypap6bim) — giessen, streuen, benetzen.
ya — Mehl.
YHYT (YAYAAPOPIH) — vergessen.
yr (yrrap6six) — gewinnen, erbeuten.
yc (ys3ÿ) — Ende.
yaya — für, wegen; 2. B. anbig yuyx — deshalb.
yayk (yay5apôrn) — fliegen.
yayp (yaypapôB) — 1) auslôschen; 2) abhauen.
yaa — oft.
yaŸp, yapa— entgegen.
yaÿpra — begegnen.
yc, y381 — schon; R. yxe.
ye (y3ap6bx) — schôpfen.
yeran — schwarze Wasserratte.
yeryr — spitz, scharf (von yc).
yeryr casa — Zeigefinger.
Pr
151
Bulletin de‘ l’Académie Impériale
y3ya — lang; Länge.
ysar(y3azapôrix) —zusetzen, verlängern (von y3yn).
ysaza — längs.
ymuÿ — Saughorn.
ÿekÿorä (ÿkkŸcripôin) — sich auf etwas werfen.
ÿrÿ — Eule.
ÿrpä — Suppe
ÿrpäx oanpos 4) — lernen; ÿrpär (ÿrpäaäpois) —
lehren.
ÿ1— nass, roh, feucht; s. ül.
ÿ1-6ia — ich bin nass (bei Castr.: nass sein).
ÿllä (ŸIlip6ïn) — anfeuchten, nass machen.
ÿläc (ÿläsäpôia) — sich theilen.
ÿläcrip (Yläcripäpôin) — theilen.
ÿ1 (ÿläpôin) — sterben; s. 61.
Part. Ylrän, ôlrän — todt.
ÿlÿr (ÿlär) — Theil.
ÿlräp — Plejaden.
ÿlrÿ — Maass. Hackenleder; auch: Gesetz.*
ÿp (auch: ÿp) — lange.
Ypaä (auch: ÿpaä) — längst.
ÿpaäri (auch: fpañri) — lingst gewesen.
ÿpän — Same, Saat.
_ ÿpäamir — kinderreich.
Ypäa — Messerrücken; s. CHIPT.
ÿp (ÿpäpoi 4) — 1) flechten, 2) blasen.
ÿpÿ — Axthammer.
ÿpKä (auch: üprä) — Murmelthier.
ÿpräa — Pfahl, Zaunstange; s. dpräs.
ÿYpränär — Fischrogen.
ÿpr (auch: üpr) — Rüdung; Feuer.
ÿpr-razai — Feuermeer.*
Yprrä (Ÿprripôin) — brennen; roden.
ÿpräk (auch: üpräk) — Ente; s. oxäpär.
ÿinnÿl — Haselhuhn.
ÿr — 1) Loch (gebohrtes); 2) Galle.
ÿrrä (ÿrripôiu) — bohren, ein Loch machen.
ÿaôp — unterhalb; unterer Theil des Pelzes.
faÿpä (Faÿ pipi) — wälzen.
ÿaÿprÿ — Schweissdecke.
ÿaip (Yaipäp6ia), auch: üxip (aus ü1 + rip) — tôdten.
ÿc— Lucks.
ÿc — geschmolzenes Fett.
ÿc — wenig.
+
kazapai — Nessel.
ÿc— drei.
faÿaui, yaÿmuŸ — der dritte.
ÿuüläüx — alle drei.
ÿaäp — zu drei.
ÿcKkäp — taub.
ÿcrÿ — das Obere (Spitze, Oberfläche, Quelle); s. Gram.
8 101, S. 65. 5.*
ÿerÿaxäri — das Obere.
ÿe (Fsäp6ix) — 1) reissen; 2) abreiïssen.
ÿ3ÿk — Abschnitt.*
ÿsŸr — die abgestorbenen Geister, die büsen Geister.
ÿmärrä, auch: ümärrä (ÿmärrTpOïiH) — kriechen.
Kk (x).
kai — was für ein, Pronominalstamm, Gram. $ 58.
kaiza — wo? kaïzapbr — wo befindlich.*
kaïzap — wohin?
kaizan — woher?
kaïzar — welch einer.
mipäp kaïxar — irgend welcher.
kaixi, kaina — wie.
kaisp1 — welcher.
kaïsak — Müwe.
kajbix (Kajp1apôprn) — schmelzen, zergehen.
Kkainsr — Scheere; vergl. kkmmrbr.
kakra (kakTTp6pix)—abschütteln, ausschütteln (Schnee,
Schmutz).
kaknak — Deckel (eines Kessels).
kaknac — Birken- oder Fichtenrinde.*
J kapptp (ka5bipapôrix) —- krächzen.
käx — Mäürzmonat; s. Bull. hist. phil. T. XIII. X 12,
13 — Mél. russes. T. IL. p. 3185.
kaya — Wagen. :
kausa —- Pfeife.
kaja — nak (na5apôsi) — sich umsehen.
kajpip — Bibergeil.
kax — weisse Weide.
kazak oder kaxañai — ach! Gr. $ 113.
kazpik — 1) Sprung, Satz, langer Schritt; 2) Volk.
Kkarbix — Brautgabe.
ka (karap6pix) — bleïben ; pi nachbleiben.*
kaxpra — dicht, dick (z. B. Wald).
kära (KaipOb1s) — hüpfen, einen Satz oder Sprung -
machen.
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
153
kaxrap — braunes Pferd mit weissem Maule (ZX. my-
XOPTHIH*).
kap — Schnee.
kap dan-1ä — es schneit.*
kapa — Acker.
kapa — zusehen (fut. kapip6bin).
kapa— 1) Schwarz, kan-kapa ganz schwarz*; 2) Nacht.
kapa kaïi (kapapaï), kapa kaspi — Fichte.
kapa kye — schwarzer Adler; (in Märchen:
kau-Kepi kye— Adler); kapa cük — Fliege.
kapak — Bergrücken. Nase (käpak).
kapak von kapa (kapipôra) — Auge.
kapak-1ok —- blind.
Kkapax (kapaïap6sre) von kapa — schwarz werden. *
kapau — geizig.
kapp1 — Glass; vergl. Kepäl.
kapbii — Banc.
kaprin — wenigstens.*
kaprigzac von kappix — Bruder.
kappiaabir — schwanger (von kapbim).
kapeum, kappic — Spanne.
kapôor — Visier an der Büchse.
kappa — Kräbhe.
kapgana — Linsenbaum.
kappa (kappipôrra) — verfluchen.
kaprprpa — Habicht
_ kap6a — Fischleim.
… kap6a — betasten (fui. kap6ïp6bin).
kapmak — grosser Angelhaken.
kan — Fürst. Blut; kau-kp13b1i — purpurfarben.*
kanar — 1) Schwinge; 2) Flügel.
kar — junges Weiïb, Frau; Karrb1 — seine Frau.*
karrsi-yok — unverheirathet (von kart).
kar — Johannisbeere.
kapa-kar — schwarze Johannisbeere,.
kbisBu-kar — rothe Johannisbeere.
karran — mal; wieder.*
nip karran — einmal.
ire karran — zweimal.*
kôn karran — vielmal.
karrpir — hart, rauh, zäh, fest.
karrbr (karTipObIH) — drehen, zwirnen.
: 4 karkñp (karksipapôsim) — laut* lachen.
: . kac (kauapôsm) — davonlaufen.
# kauëip (kauprpapôria) von kac eh nb ah «5 jagen.
kaubrpsre (kasBips1sapôrin) von kaubip— verfolgen.
Kkayza — zugleich.
kax’ ok — zugleich; Gram. $ 107.
kazprk — gemeinsam.
kazap (kazapapôbin) — wachen, weiden, hüten.
kazsii — Schicht*; fach; 2. B. nip kayxpin — einfach;
ikki kazB11 — zweifach.
Kkazbix (KaxP1ap6biH) — ärgern, reizen; mit einem an-
binden.*
kar (kazap6bim) — zwirnen; s. karrbi.
Kara — wann.
käc — Riemen.
kac — Hügel, Berg.
käc, käc Kisi — der Katschinze.
kac— Gans; kac naxasbi — junge Gans.*
kackak — steil.
kackpr von kac (kauap6bia) — Flüchtling.
kacrbi — Schwiegervater; vergl. kac-enû.*
kactBipsik — 1) Baumrinde, 2) Fischschuppe.
kasä — 1) Hof; 2) Stadt.
kasak kypr (wôrtl. russisches Insect*) — Floh.
kaspik — Fussknôchel.
kaspik — gesund.
kasan — Kessel.
[kac (kasbi) — Rand; Nähe.
Dat. kaspia — nahezu.
Loc. kasbtnja — nahebeï 3 2. BP. ak raxaïinbig ka-
3BIHIA — an dem Saume des weissen Meeres.*
Ab. kasprmag — von der Nähe her.
Com. ka3b16b18a4 — nahe entlang.
kasp1 — Bauchfett.
ka3pix — Birke.
kasapr (kasaprapôrbra) — färben, weissen.
kac (kasapObi) — graben; zerbeissen (2. B. ky3yk —
Nuss).*
kac-enä (kasrma) — Schwiegermutter.
kan — Sack; kanupik — Beutel.*
kan (ka6apôbix) — fangen, ergreifen.
ka6brpsa — Seite, Rippe.
ka66 — Zunder.
ka6b1 — als wenn (À. KaKR 6bi).
kam — Schaman.
kamaa (kamkïp6bin) — zaubern.
kamak — Stirn.
kamaôc — Otter.
kamyb1 — Peitsche.
kamyeraa — peitschen.*
155
Bulletin de l’Académie Impériale
156
käpaak (aus kajprpuak) — kleiner Kasten.
kbip (kb1pap6bin) — 1) schaben; 2) rasiren.
kpippic (Kb1p#13ap6bin) — schelten.
kbipbi4 — Rand (kbrpi — sein Rand); s. Gr. $. 66. 11.
Dat. kpipiaa — nebenhin.
Loc. kpbipïaza — neben.
Abl. kbipinan — von nebenher.
Com. Kkbipi6rimag — vorbei.
kpic — Mädchen, Tochter.
kpnisa — klug.
kprigpi — Schrei.
Kbrigbua (KBBRHTPÔHIE) — schreien.
ksriprik — Weiïberschwert (in Märchen).
… kpnimptpar (kprimbtpaxapôbin) — rühren.
kbrimbrpa (kbrimbipanapôsim) — sich rühren.
kb15Bip (Kbi5btpapôrin) — rufen; lesen.*
kbijprp — schiefäugig.
kpi1 — Mähne (abgeschnittene); Pferdehaar.*
kpir — Saite; Kb1uIbIT — mit Saiten bezogen.*
ksuBic — Schwert.
kbip — kleiner Bergrücken.
kprp — grau (vom Pferde).
kprprik — vierzig.
ksrprik — schneiden.*
kbipsimuBik von Kb1p (étpapéin) — Baumsaft.
kpin — Scheide.
kb —- verlangen (fut. kbiHapôpin).*
kric — Winter; kpicrar — Winterhaus.*
kpicra (Kb1CTTp6PIA) — überwintern (von kpic).
keickbip (kprckPipapôrix) — schreien.
kbisap (kpi3apap6ôr) von Kkb13B1I — roth sein.
kprsapr (kbrsaprapôrim) von kpisap — roth ma-
chen, färben.
kpi3pit — roth; kan kpi3b11 — purpurfarben.*
kpisb11-ai — Monatsname für den Mai.
kb13BII-CaCTHIT — rothhaarig.
kpic (kbi3ap6rim) — drücken; Passiv: kb13b1.*
kour (Acc. mit d. Suffixe der 3-ten Pers. kbi6b1n) —
Lichtschnuppe (bei Castr. brennend, fliegend,
d. h. Asche od. Russ).
ksimrbi— Scheere; vergl. kaïnpr.
kpmrptta — abscheeren.
kepär — nôthig; Nothwendigkeit; Geschäft.*
ox KepäkTäx — deshalb.
H0 KepärTäx od. 6 Kepäxk — weshalb?
repäl — Glas; vergl. kapbr.
Kec (KesäpOïa) — über das Wasser fahren.
Keuipä — über.
KM, KIM — wer.
kel (Kkeläpôin) — kommen; Kelie — übereinkommen.*
Kkeläckin — Eidechse.
kelïn — Schwiegertochter, Frau des jüngern Bruders.
kepä-kyc — Adler (in Märchen).
Kepria (Keprinäpôin) — glauben.
Kepric — wahr, richtig.
Kepricrir von Kepric — gläubig, treu.
Kexaip — Hanf.
Kexäp — seitwärts, fort.
Kenä — gestern.
kecri — Hintertheil. Gr. $ 101, $. 65, 4.
Dat. xecrinä — nach hinten.
Loc. Kecrinrä — hinten..
Abl. KecTinäx — von hinten.
Kec (Kesäpôin) — zerschneiden; tragen, anziehen; hauen.
Kesip (Ke3Ïpäpôin) — ankleiden.
von Kec).
Ke3ip, Kerip — Knorpel.
Ken — Kleidung.
Ke6iplir — ähnlich.
Keôic — Matte, Teppich.
Kemä — Boot.
KeMip (KeMÏpäp6in) — nagen.
Kirk — Ziege; Reh
ak KTKk — Rennthier; Antilope.*
Kiklô — stotternd.
Kikgï (vOn Kik) — Adler.
Kkip — alt (von Menschen).
Kip (Kipäpôix) —- eintreten, angehen.
Kipôik — Augenwimper.
Kin — Nabel.
Demin. Kkiginäk — ein wenig.
des Octobers.
kic — Zobel.
Kic — Ende (in Liedern); Filz.
KicTä (KICTipÔiH) — wiehern.
Kisän — Bande.
Kisi — Mensch. Tazap Kisi — Tatar.
KIM, KM — wer.
Kesäk — ein kleines Stück, wenig (eig. Abschnitt*, À
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kigir — klein, wenig; xisiraä—in der Minderjährigkeit*
Kidir cok — kleine Kälte, Name eines Monats,
RIM-NIp — na mo Castr. wer wohl; Gr. 555.
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157
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
155$
koi — 1) Schaaf; 2) Hammel.
kok — Blase.
kousa — Fliege; vergl. kapa cäk.
kojpir — dick (2. B. Brei); kojprr — dick machen.*
kojsi — Busen; koïab1 — sein Busen.
kox — Hand; Finger (2. B. ycrÿu-kor — Daumen*).
koxa — Messing.
kôza (kôip6bin) — lärmen.
komar — Bauchgurt.
kozrs1k — Achselhühle.
kôp — hellroth mit gelb gesprenkelt (d. i. Pferdefarbe;
ÆR. Koypptif*).
kopau — spâter.
koprik (Kopri5apôrin) — erschrecken.
koprikrbip (koprikrñipapôbin) — in Schrecken
sefzen.
kop5argBix, koppaaneni — Blei.
ak koppaayeut — Zinn.
kapa kopsaanei — Blei.
küpsa (kôpripôpia) — schnarchen.
koprsik von koprik — furchtsam.
kopxpr — Reiher.
koparrg — Maische.
ko (konapôbm) — übernachten.
koambik — Nachbar (von kon).
kor— wenn nur (R. xors). Gr. $ 111.
kozak — männliches Geschlechtsglied.
kôc — schôn.
kücra (kücripôrrm) — bunt machen, färben (von küc—
schôün).
koc (ko3ap6brn) — zunehmen; hinzufügen.
kospix (kosb11ap6bix) — zunehmen.
kockap-ai — Monatsname (April).
kockbin — Schwanzriemen.
kocrp: — Pfeil (in Märchen).
kocri — nebenbeiï; vergl. kbipiuya.
kozan — Haase.
ko3-5c — Handvoll (beide Füuste).
konra (konripôbin) — über etwas klagen,
= kompic — Balalaika, vielsaitige Harfe.
KOMJBI — Grab; Gruft.
Ko — schwarzes Insect,
lebt.
das meist in den Jurten
Kôinir — habsüchtig.
_kÔk— blau; grün.
… Kôk— Kuckuck.
Tome XXXI.
KôkCä (kôkCIpOIH) — laut schreien beim Zanken.
Kôrÿe — Brust unter der Achselhühle; Kôkeÿ — seine
Brust.
Küränäk — Hemd, langes Weiberkleid.
Kôrili, kôrÿl1ÿ — Schnepfe.
Kôrin — Enterich.
Kküjä — erloschene Kohle; vergl. rüc.
KÜI (Küjäpôïu) — brennen.
KÜl, Kÿl — See.
KüläTki — Schatten.
Küläuakä — Ring (Z. Kozeuko).
KÔI (küläpôia) — anspannen.
Kküläa (Külänäipôia) — wollen, wünschen.
KÜpik — gestreiftes Eichhorn (ZTamias striatus).
KÜp (Kôpäp6iæ) — sehen.
Kôpric — zeigen.*
KÜHëä — eben, gerade, gleich.
Korrän — der Hintern.
Küuä — Gerste.
KÜc (kü1äpOin) — nomadisiren, weiden.
kügik — der Hintere.
KÜzip — heben.
kômipil (Koxpiläpôin) — sich erheben.
Kôc — brennende Kohle; vergl. rüjà.
Küsä, auch: 06a — Kurganstein,
Küsää, auch: rôsärä*— Vorhang.
KÜsäHäk — Fenster.
KÜ3ÏT (KÜ311äpOÏH) — zeigen.
Kôn — viel, 0
oft.
| KÜGÏ pra = kleiné Brücke für Fussgänger.
Kô6iprän — wilder Lauch.
Kkô6ik — Schaum.
kômilxipirk — Brustriemen.
KôM (Kômäpôin) — begraben.
Kümickä — Augenbraue.
kÿ — Schwan; kÿkar — Schwanfrau (in Märchen).
kyi — Hühle.
kyisa — Kopfhaut; Gelée.*
kyjÿa — Wirbelwind.
kya — Knecht, Sclave.
kyza — falb mit schwarzer Mähne und schwarzem
Schweif (Pferd). Russ. caspacpiii.*
kyaak — Obr, Grif.
kyaac, auch: capasim (aus dem Russischen CARRE) —
Faden, Klafter.
kyzÿa — Füllen.
Bulletin de l’Académie Impériale
159 160
kyaÿagak — Demin; kyaÿaneir ni — Stute mit | kÿrÿpr — Donner.
den Füllen. Kÿrÿpr goab1 — Regenbogen (eig. Donner - Weg).
kyp — Gurt. KŸrYpT Taucan-uaxbip oder Kÿ3pän-4aJbip — es
kypÿr — trocken, leer, vergebens.
kypasan — Lamm.
kypÿ (kypip6bIH) — trocken werden.
kypÿr (kypÿ1ap6bin) — trocken machen.
kypÿr — Airàn-Käse.
kyp5ak — Gaumen.
kypaÿk — Kôcher für Eisenpfeile.
kypr — Wurm; kyprra — wurmstichig werden.*
kasak-kypr — Floh.
kypua (kypTpôrix) von kyp — umgürten.*
kypuaga von kypua — Mittelleib, Hüfte, Leib.
kyaÿ — Vielfrass.
kyrrÿk — Brunnen.
kyua — Hammel.
kyza — Freiwerber.
kyzaïa (kyzamip6sin) — werben.*
kyzapai — Freiwerberin.*
kyzai — Gott.
kyzai kyc — Taube.
kyzak — Zwischenraum zwischen den Armen, Tracht,
Last, so viel man mit beiden Armen umfassen
kann.
kygakra (kyrakripôbin) — umfangen, umfassen.
kyc — Vogel.
kyc nasasbr oder naxa kye — Vogeljunges.
kapa kyc — schwarzer Adler. È
kyzai kyc — Taube (eig. Gottes-Vogel*).
kyckagak von kyc — Spatz; Vôügelchen.*
nopa kyckanak — Sperling (eig. schwarzgraues
Vôglein*).
kyckÿa — Rabe.
kyc (ky3ap6bin) — 1) giessen, streuen; 2) ausspeien,
sich übergeben.
kys3ÿx (auch: ky3ÿk anac) — Ceder.
ky3ÿpÿk — Schwanz (Fisch-, Vogel-, Pferde-).
ky6añau, auch: epôärkäi — Schmetterling.
ky6ÿa (ky6Yrapôbin) — sich verwandeln.
ky6ÿarÿp (ky6ÿa1ÿpapôrin) — verwandeln.
kym — Sand.
kywa — Verbrämung.
kymÿcka — Ameise.
_ kymaÿc — Biber.
kapa kymxÿc — Otter (eig. schwarzer Biber*).
donnert.*
KkÿuŸp — ein hohler Baum mit Vogelnestern (Russ.
AYHJO).
kÿaä (auch: Kkôgaäi*) — leer, hohl.
Kÿl — Asche.
KkŸl (KŸläpôin) — lachen; kŸlxÿp — lachen lassen.* *
Kÿlÿk — tapfer.
Kkÿp, auch: airrir — scharf.
Kÿpäg — schwarzbraun, dunkelbraun (von Pferden).
Russ. 6yprii*.
kÿpäc (KkÿpäsäpOin) —- ringen.
KŸpäc — Kampf.*
Kÿpä (KŸpip6ia) — schaufeln.
kÿprkÿ — Birkhubn.
kÿprän — heftige Kälte, Monatsname — Januar.
S. Mélang. Russes, T. Ill, p. 313.*
KkŸpräk von Kÿpä — Schaufel.
[kÿa— Sonne, Tag.
OpTb1 KŸH — Mittag.
kÿnÿräc — Welp; junger Hund*, vergl. axai.
KÿCc— Kraft, Stärke.
KkŸcrÿr — stark.
Kkÿc-40k — kraftlos, schwach.
kÿc — Herbst; kÿckÿ — herbstlich.*
KkÿcTà (kÿcTapôin) — den Herbst zubringen.
KÿCKä — Maus.
kÿckŸÿe — Salmo Lenoc.
Kÿsän — Iltis.
[KŸ30, Kÿsä — Schwiegersohn.
kÿaÿpä (kŸ3Ÿpipôis) — donnern.
kÿ6ÿp — Schwefel.
KkŸÿmÿc — Silber ee silbern*).
H.
Hä (auS jaHb1) — neu.
Hak (aus ja4ak) — Wange.
Hañbic — einzig, allein.
HaHMip — Regen.
Han — Pferdeschopf. %
HaH (HaHapÔBin) — sich wenden, umkehren, zurück-
kebren. +
HAHABIP (HaH1BipapOBIE) — wenden, umkehren.
HAHNBI — Freund.
161
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
162
HaupiH — Falke (auch: xa1p1n*).
Häja — neulich, unlängst (von Hà).
HaJaspi — neulich (Adect.).
nemä — was; Ding* (Plur. nemäläp).
Hemäqäx — weshalb.
nerä — Frau des ältern Bruders.
erämi — 1) Tante; 2) — nerä.
Hex — Schneekruste,
gex mit dem Suffixe der 3. Pers. ni — Aermel.
- xenyi — Perle.
abimsak, aprmyak — weich. \
HBIM3AT (HBIM3a1aPÔPIH) — erweichen.
aik (aus jäxil) — leicht; billig.
xirkä — Nackensehne.
Hickä — schmal, eng.
HO — was.
HOJax oder H06k11a — weshalb.
HO-ABIp — was denn (was ist).
HOJap5a (aus: HO eJäprä) — Wozu.
uokra — Halfter.
Hom3a — Jeletz (Fisch), Cyprinus Leuciscus.
Hÿu (aÿnapôbix) — schnitzen (mit dem Messer).
uymak, ymak oder nsmak — Märchen.
uymak cax (carapôbim) — Märchen erzählen.
xymÿp(r)ka — Ei; Hode.
aymÿpr — Traubenkirsche (Prunus Padus). Russ. 4e-
pémyxa (auch: HBIMPIPT).
HyM3Ÿpÿk, MYH3ŸphIK — Faust.
T.
ra (rä), xa (xä) — encl. 1) nur; 2) in
Ta (rä), aa (xù) — encl. 1) und (Gran, $ 112); 2) ob-
gleich.*
raisak statt rajpisak (von rajpic) — seicht.
raima (auch: räimä*) — Lüge, Spôtter.
rakra — grosse Brücke; Bank*.
rar — Berg.
| TRFIBIT _ bergig.
TABPIPAH (TAF | , flicken.
TAHBIPA | (raSÉPIpOBIE) — ausbessern.
Tax — Morgenrôüthe.
TaH1a — morgen.
ragg-ÿpÿrÿu — übermorgen.*
ragma — Zeichen, Flecken, Merkzeichen.
TaMaïa (ranmaxipôsix) — Stempeln, zeichnen.
rajak — Stab.
Tai (rajb1) — Oheim, Mutterbruder.
Tajbic — seicht.
Ta — Weidengebüsch.
TaJai — Meer.
TaJaC (rala3apÔbiH) — eilen.
TaX (Talapôsis) — 1) schwimmen ;
fallen, -
Taa (Tampôrin) — zersplittern, zerschlagen.
TaJaï (Tasalapôsin) — in Stücke gehen.
Tapas — Gericht aus gerüsteter und fein zerstampfter
-_ Gerste.
TAJIA (TaLMPÔPIH) — auswählen.
rap — Pulver; eng.
rap — grobes Tuch, Kleid. Æ. apmare.
Tapa (rapipôbi) — kämmen.
TapaH (TapaxapôbiH) — sich kämmen.
TAPbIH (TAPHIHAPÔBIH) — sich ärgern, zürnen.
Taphiayak — bôse; zornig.*
Tapa (TapipÔbIH) — säen.
rap5ak von rapa — Kamm.
Tapiar — Acker.
Tapia (Taprp6bix) — laden, belasten.
TapT (raprapôbin) — ziehen.
TAPTBIA (TaPTEHapOBIH) — sich ziehen.
TAPTBIC (TAPTHI3ap6bIH) — einander ziehen.
Tax — Nordwind, Nord (auch: Zephyr*).
Tax — Dohle (Vogel).
raxa — Nüstern.
TAHBI (TAHIPOBIR) — erkennen, erfahren.
TAHBIC (VON TAHPI) — Bekannter.
TaABLIBIT — angenehm, schmackhaft.
rac — Stein.
TACTHIT — steinig.
Tackap — hinaus, draussen.
rackaprpin — von draussen.
racra (racripôsin) — werfen, lassen, vergeben.
ra3ak — Hoden.
TasbHIA (TasbLMpOSIH) — einen dumpfen Ton von sich
geben.
Ta3b1H — Ochs; Stier.
Tang0p — Steigbügelriemen.
Tauca (raucipôs18) — lârmen; sprechen.*
ranca6a (ranca6acni8) — schweigen (wèrtl.: nicht
sprechen).
Ta6ak — Schüssel.
ra6an — Ferse.
2) in Ohnmacht
163
Bulletin de l’Académie Impériale
164
Ta6Bipak — schnell; rek ra6bipak — schneller.
Tan (ra6ap6pia) — finden.
TAUKBIP — Räthsel.*
raôpic — Lärm; Nachricht.*
ramak — Kehle, Gurgel; Speise.
TAMBIP — Rp Ader; Bach, que
Tamyp1 — Tropfen.
TaMuBiia — tropfen; fliessen, rinnen.
Tekkäk — Huhn.
ackBip Täkkük — Hahn.
rep — Haut.
repôän — Mühle; repôäx rapr — mahlen.*
TekTipôä — Kaulbarsch.
reräi — kleiner Berg; Hügel.*
Tex — gleich.
Texxä (reHHipôin) — ebnen.
repä (räpä) — bis zu.
repär — Pappel.
Tepäx — tief.
repäc — Stütze.
rep (räp), repäpôta — sammeln.
repnärk — Rad, Kreis, rund.
reckäp asak — Taucher (Colymbus arcticus); auch:
Maulwurf* (würtl.: zurück-Fuss*).
rec (resäpôia) — hineinschieben; durchstecken.
resä (re3ip6ia) — mahlen, zerreiben (z. B. Tabak).
reôù — Kameel.
re6? inä — grosse Nadel (würtl.: Kameel-NadeÏ*).
ren (re6äpôia)— mit den Füssen stossen (Zuss. xararb*).
remäp — sehr; vergeblich.*
remnä — bereiten, in Ordnung bringen.
reräx — Fischwehre.
reräx Cb16B1 — Silbertanne.
rerip — Himmel; rerip rŸspän-1a — es donnert.*
rerip en — Kirche (würtl.: Gotteshaus).
rerip-n0x — Regenbogen (würtl.: Himmels Weg).
Terip-HapB1551— Abendrôthe. :
rerilôäk — steil, abschüssig. |
rex — gleich.
rep — Schweiss.
_ replä (replipôin) — schwitzen.
repuä — Zeltstange.
rec (resäpôix) — durchbobren.
Tesix (räsi1äpôix) — Lôücher bekommen.
Tesïk — Loch.
rem — rechte Zeit.
remip — Eisen.
Tôi (rétmapôbin) — beissen, fassen (von der Axt oder
dem Messer).
TBIXDIH (THIABIHAPOPIH) — Wagen.
TIC — Rubhe.
THICTI — ruhig.
THIMBIT — ruhig, Still.
TBIKTA, THIKTIPp6PIH — bereiten, anfüllen.
TH — Stark”, sehr.
THIIO — Morasthümpel.
rbipbik — Gründling (Cyprinus Gobio).
rBip5ak — Nagel, Vogelkralle.
TB1POA (THIP6IPOPIR) — harken.
THIPOAH (TBIpOaHapOEIH) — sich kratzen.
rB1p60€ — Rechen, Harke (Russ. rpa6an*); von Th1p6a.
TBIH — Âthem.
THIHBIC — Athemzug.
THIHAH (THIHAHAPOBIH) — ausruhen.
Tbit — Lärchenbaum.
Tipä (Tipip6ix) — stützen.
ricräx (auch: rsicran*), Ticränäpôin — dulden.
Tik (riräpôin) — nähen; bauen* (z. B. die Jurte, in
Märchen).
Tiri — jener.
Tiraäp — dorthin.
Tiraä — dort.
Tirxäpria — dorther.
Til — Zunge.
Tir — Verläumder.
TIikTia (TiikrinäpôiH) — verläumden.
Tilà (Tilipôix), auch: rilä (KilTpôiH) — suchen, bitten.
Tiläx (rilänäpôix) — betteln.
Tipir — lebendig.
Tipil (ripiläpôis) — Iébandig werden.*
TiH — Halfter.
Tia — Eichhorn.
Tin Kkaabr — Preiselbecre.
Tic — 1) Zahn; 2) Knie.
Tisi — Weibchen.
Tis’azai — Hündin.
T0 — Weissdorn (Crataegus oxycantha).
roi — Thon; Hochzeit.
TOMBIF — lehmig.
rok— satt; vergl. roc, rockan.
TOk-ns14, ich bin satt.
rokra (rokripôsm) — anhalten, aufhôren.
165
des Sciences de Saint -Pétersbourg.
rokrar — Verzug, Aufenthalt.
roknak — Klotz.
TOBBIH (TOBPHAPOBIH) — arbeiten.
ropac (ro5asapôbin) — besuchen, zusammenkommen.
na3a Topackaurya — auf Wiedersehen.
TOBBIp — querüber.
ro5bipkpt — Fremder; von To5bip.
TOBBIC — Arbeit.
TOHHIC — neun.
_ TOSBISPIENBI — der Neunte.
TOFBI3AP —- ZU neun.
TOBPI3-0H, neunzig.
TOSHI3-0JaH — alle neun.
ToH — gefroren; frieren (roHap6bit, TOPOPIH).
ToH ac — Saat, Getreide (eig.: gefrorenes Korn*).
TOJambip — Ringfinger.
roapai — schief (vom Baume u. s. w.).
TOAHA (TOAHIPÔEH) — winden, wenden.
TOxaBtp — füllen.*
TOIABIpa — voll.
TOph1 — stets.
TOpBir — braun (vom Pferde). Russ. rbaoï.
TOp5Bi — seidener Stoff.
ropsajak — Lerche, kleiner Steppenvogel.
ToH — Pelz.
Tor — Kruste, Schneekruste.
Toxak — Feldhuhn. Russ. im Minus. Kreise crennas
UJIH NOJeBAA KÿYPUHUA.
roc — Birkenrinde.
rogai (roc-ai) — Monatsname — Juli.
TOC (ro3apôrin) — satt werden.* -
rockan — satt (Partic.); vergl. rok.
To3a — ganz, alles.
rôc (103ap6b1a) — beendigen.
To6Bipak — Staub, Sand.
ro6Bia — kleine Mückenart (fhrips). (Russ. momka*).
TÔi — ähnlich.
TÜüruäc — Baumstamm (Russ. nenk*).
TÔK (TôräpOin) — streuen, giessen.
rôl — Geschlecht.
Tülä (rôlipôix) — bezahlen.
TÔläx — Milz.
Tôlkälä (rôlkälip6in) — zaubern, spähen.
Tôpi (rôpipôin) — gebären.
_ TÔpr — vier.
rôprinyi — der vierte.
LM
rôprôläg — alle vier,
TÔpräp — zu vier.
T0C — Brust; Geschlecht.
TÔC (mit dem Suffix der 3. Pers. Sing. Tüsi) — Baum-
stamm an der Wurzel.
TÜsà (rôs1p6ix) — betten, ausbreiten.
TÜsär — Bett.
rü6ia — hinunter.
TÜGIpTiH — von unten.
r06ïari — unterhalb befindlich.
Tyika — heimlich.
ryisak — Huf.
Tyr — Stromwehre.
ry5aa — Verwandter.
Tyyma — jüngerer Bruder, jüngere Schwester.
rya— Wittwer, Wittwe.
Tya-Kisi — dasselbe.
ryaÿn — Haarflechte (der Weiïber); aber: cÿpmäc —
Haarflechte der Mädchen.
ryayauÿr — mit einer Haarflechte versehen.
rypa — Stube, Hütte (auch: Stadt*).
ryp (rypap6bia) — stehen.
ryp5ÿc (ryp5ÿ3ap6rm) — stellen.
| rypÿa — Feuerbrand.
Typua — Kranich.
ryH (ryHapôBin) — taub werden.
Tyaÿk— taub.
ryza — Handgriff; von Tyr.
ryT (ryaapôsix) — halten.
TyaÿŸ6-ax (azapôbin) — fangen (bei Castrén:
rauben).
Tyaÿc (ryaÿsapôbi) — sich schlagen; einander
schlagen.*
Tyc — Salz.
rycra (ryCripôsIH)* — salzen.
TyCrÿr — salzig.
ryc-\0k, salzlos.
Tyc — entgegen; Zeit.
OI-TyCTa — dann.
TyYCTBIÉ — tüchtig, kernig.
Ty3a — Hülfe.*
ry3a (ry3ip6bu) — festbinden (Pferdefüsse).
rysak — kleine Angel; Fangschlinge.
rymak — Mütze mit Ohrklappen.
Tymuÿk — Nase; Vogelschnabel.
TÿKk— 1) Haar (bei Männern); 2) Daunen.
167
Bulletin de l’Académie Impériale
Tfkrÿr — haarig; rÿkrÿr ap — Biene.
TŸKKŸD (rÿxkÿpäpôia) — speien.
TŸkkÿpŸk — Speichel.
rÿräani — der letzte.
Tÿirÿ — Fuchs.
rÿlrÿnäk — Füchschen.
rÿp (aus TÿxŸp) — Schamanen-Trommel.
rÿpäi — Struampf- oder Schuhschaft.
rÿa — Nacht.
rÿaxä — bei Nacht,
rÿaà — früher, vor Kurzem.
rÿaäri — früherer.
TŸaÿa — Rauch.
rÿc— Traum.
Tÿsü (rŸ31pôix) — trâäumen.
rÿc — Süden, Mittag.
rÿc — eben, gleich.
Tÿc (rÿ3äp6ia) — herabsteigen, fallen.
rfaÿp (rÿ3Ÿpäpôin) — herablassen.
Tÿu — Boden.
rYmaÿk, rnaÿrk — Rauchfang; vergl. rÿaÿu.
%,
yàa — Bogen (gewôhnlich ok ua).
ya — Krieg.
yai — Sommer; daixar — Sommerhaus.
yai5b1 — Sommer-.
yaida (gaimpôsru) — den Sommer zubringen.
gaknac — Deckel.
gakcb1 — gut.
gakcsia (aakesimpôbin) — die Güte haben.
yapa — Pelzkragen.
JABBIH — nahe.
4aSPIHTBIH — von der Nähe her.
Ja5JA (4AFHMPÔBIH) — schmieren.
gaja (dajipôbiH) — 1) schaffen; 2) beschliessen.
ya — Flamme; vergl. sav.
qaJay — 1) unverheirathet; 2) zu Pferde.*
ypliac — nackt (bei Castrén: talàs).
qaJac (1a1a3b1pÔPIH) —streiten, kämpfen; von ua (Krieg).
gasackan — Streiter; von däac.
gaapiH — Blitz; vergl. uax.
qaippiC — allein; einzig (bei Castrén: talgas).
daipa (a 151pÔBIH) — lecken.
gala (AXMPOBIH) — miethen.
_ wau6ak — breit.
gap — steiles Ufer. Russ. ape.
yappik — Spalte, Licht.
gap (gapapôbix) — spalten.
yapa — nach verschiedenen Seiten hin.
gaPbII (dapb11apôBI) —- sich spalten.
JAPPIT (4aPPILAPÔPIH) — leuchten.
yappic ai— milder, leichter Monat — September s. Mél.
Russ. T. IIL, p. 318.
yapsim von ap — l) Hälfte; 2) dumm (eëg. halb bei
Sinnen*).
yapaa (aapMpôriH) — zu erkennen geben.
yap6a — Grütze.
ga3ax — langsam.
qana — Vaterbruder oder Vaterschwester,
Schwester.
yarak — kleine Fransen oder Lappen.
qaa (damapôbIH) — säen.
yar (gaapôbin) — sich legen, liegen.
gajan — kaum (Russ. exBa*).
gac— 1) Frühling; 2) Thräne, Regen.
gackpr — Frübling-.
gacTa (4aCTipôBI) — das Frühjahr zubringen.
qac — Lebensjahr.
gactsir — Lebensjahre habend.
gac (9a3ap6bin) — ausbreiten.
ya3bip (4a3bIpap6bix) — verbergen, verstecken.
da3Biphin — heimlich.
ältere
ya3a (4a31p6BIH) auch: qac re or (mit
dem Beiïle).
yasar — zu Fuss; vergl. uaxax.
Ya3B1 VON 4aC (4a3b1pÔ6bIH) — Feld, Steppe.
YanCB1 (4ANCIPÉBIH) — sich Soiéo
danchip (sanchipapôsiH) — befestigen (bei Castrén: 4
nahe kommen).
JAUCHIH (JANCHIHAPOEIH) — sich pressen (bei Castrén:
befestigen).
ya6ar — schlecht.
da6ala (4a6araip6s1n) — tadeln.
“san (4a6ap6Bin) — zumachen, zudecken.
JaOBIH (4a6b1HapÔBIH) — sich zudecken.
ya6ac — ruhig (von den Pferden).
| SaObIp (ta6bipapôbix) — niedrig machen.
daObie (4a6p13ak) — niedrig.
daGPIH (4aObIHAPÔBIH) von 4an (4a6ap6bIH) — sich be- .
decken.
dejäx (auch: yajan) — Gott (eg. Schüpfer*).
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169
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
170
yerrä — Vielfrass.
yernäx — feines Tuch (s. ceknän).
yexmä — eine Art wilder Ziegen.
yelin — Mäbne,
yerTi — sieben. 3
yeTTiami — der siebente.
JeTrTiläp — zu sieben.
yeTT’OH — siebzig.
yerTip (4eTTipäpôin) von uer (uexäpôin) — erlauben.
yezil — Husten.
yecrTäk — 1) Gartenerdbeere;
meinen.
yel — Wind.
delärä — Baumwurzel.
yelim — Leim.
yep — Erde.
geplä (aeplipôin) — ein Land bewohnen.
yexärän — der grosse Bär (Sternbild).
yer (uexäpôin) — einholen, erreichen,
dexipr (aexipräpôin) — näher bringen, nähern.
yerTipä von derrip (4eTripäpôin) — bis.
exil (aexiläpôin) — husten.
yey (qeaäpôin) — stechen.
yec — Kupfer (vergl. koza).
uecTäk — Gartenerdbeere, Beere.
yeOIPri — zwanzig.
ubikg6 — Schläfe.
UBIF (SIA POBIH * — YPIPOBIH) — sammeln.
dbIBBIH (aBI5BHApORIH) — Vorrath anlegen.
gpi5arak — Ellenbogen.
gb — Jahr.
YBH (4bLIApÔPIH) — herabgleiten.
4B1IaH — Schlange.
YBLI5bI — Tabune.
SBIIBBIIBIT — zur Tabune gehürig.
YBIITHIC — Stern.
ubiagak — Keil.
yBiZa — Schwert; Speer; Dolch.
4BIC — Geruch.
YBICTAH (4BICTAHAPOPIH) — riechen.
YBICTBIT — riechend.
gbiC — Wald; dick, dicht.
asimpragak — kleiner Finger (A. musnens *).
uBIMqak — weich (s. nn
JBIIBIT — War M.
JDLIDIH ARS — warm Werden.
2) Beere im Allge-
JBIJBIT (JbIABIIAPÔPMH) — erwärmen (bei Castr.:
tiläderben).
yBIEajak von gbli (ab11apÔôbiR) — glatt.
JBLIOPIpAH VON JBL (YbIIAPOBIH) — glatt, eben.
JBIPT (4BIPTAPÔBIR) — schinden.
YBIprb1k — Loch.
gb1Za — Lanze.
gbiak — Mist; Koth.
gBIC (4bI3aP6PIH) — abtrocknen.
gi (uïpôia) — essen.
diNpr (aiYpräpéI) — nähren.
gik — vergebens.
qikkä — steil; gegenüber.
gir — rob.
di, dilän — gleichsam.
qilig — Knochenmark.
dit AUS UITIT — Jung.
yirrir — scharf.
giuip (aixipäpôin) — verlieren.
gin — Faden (Russ. unrka*).
gi6äk von Jin — seidene Schnur.
g0k— Wort.
yokra (aokTipôrm) — reden.
gokkbrp — bunt.
uokkptpaa (aokprpaïpôrin) — bunt machen.
ok — arm; dürftig.
gopap — hinauf.
opaprsin — von oben.
yopapkpr — der Obere (Gott).
o5abrp — Borste.
yo — Weg.
KŸrYpT 4x1 — Regenbogen.
gopa — absichtlich.
4oppan — Decke.
yôpr — Käse; saure Milch (Russ. npocroksama*).
yopr (aoprapôrin) — in Galopp fahren.
yon — Volk.
yOH — dick.
yopak — Koppe.
yopakka — Zieselmaus.*
qoxa — Schienbein.
yo6ak — Mühe.
yo6asa (uo6axapôbis) — sich bemühen.
qüi (auch: soi *) — Betrüger, Lügner.
yôiläx (aôiläaäpôia) — betrügen, listig sein,
qaüp (sôpäpôia) — gehen, fahren.
Ÿ
171
Bulletin de l’Académie Impériale
qünai — gleich.
ayr (4ÿYpÔBIH AUS 4YHAPÔPIH) — waschen.
\ÿH (4ÿHaPOBIH) aus ayr — sich waschen.*
uy5a — dünn, fein.
qya— Bach, Waldbach.
qya (ayzapôbix) — rupfen, pflücken.
qypaÿ — Schwager.
gyr — Schneefall (auch: Regenwetter*). (R. nenacree).
yÿr — Feder.
qÿr dasanax ToHapak — Federmesser *.
uÿräx — Zügel.
qÿräneà (aÿräamipôis), auch: uÿrän CyK (Cy5ap-
6PiH*) — Zügel anlegen*,
uÿrÿp (aÿrÿpäpôin) — laufen.
qÿpär — Herz.
qÿpär 10k — faul (eig. herzlos).
gÿc — Baumschicht.
qgÿc — 1) hundert; 2) Rubel (— uÿc akya 100 Ko-
peken).
uÿc (Ysàp6ix) — scHwinion:
yÿcrŸÿk — Fingerring.
C.
cai — nur, enclit. Gr. $ 112. S. 71.
cai — Untiefe, Sandbank.
cak— nüchtern (Russ. Tpe3Bpiñ*).
cak (ca5apôrmm) — Feuer anschlagen.
cakprrar — Pfand (Russ. 3akxaxb).
caknbi, Cankb1 von can (ca6ap6bin) — Sense. s
capaxza Von cak-+-anya, capau1’ok—ebendort, ebenda.
CaHAHHAH VON Cak + AHHAH, CapanHaH Ok — D
(ok — auch).
CaBaHJa aus Cak + anzar — wirklich, also.
capam von cak +- am, capam 0k — sogleich.
capar — Bart.
CaGBIH (CA5PIHAPOBIH) — denken.
capbic — Verstand, Gedächtniss.
CAGBICTHIF — Kklug.
Cabb1 (CABIPÔBIA) — warten.
cap6a — hôrbar.
car — Glocke.
caHai — immer.
cagbic — Masholder (Viburnum opulus). (Russ. Kana).
car — Floss (Russ. n1078).
caza — Schôssling, Finger, Zehe, Axt.
caJa, Cazara — ein wenig; kaum.*
caga-CyJa — irgendwie.*
caï (cazapôrin) — legen, lassen.
CaaBin — Thau.
caipbik — Welle.
CAISBIIA (CAIBHIATPOÉBIH) — anschwellen.
Cai5bix — Rübe.
ca16P1k — Schneebrei.
capa — Trinkgeschirr aus Holz.
cäpa — Fusssohle, das untere Fussblatt. -
capPir — gelb.
capeir kbix (kb1ap6rin) — gelb machen.
caprir cäk — Mücke (Russ. koMapr*).
caphir Gaxpik — Hausen; eig. gelber Fisch.
Russ. crepaszs.*
capBisamzak — gelblich.
capricka — Heuschrecke, Grille.
cappi — seine Seite.
6y caphinza — diesseits.
O1 Capbia1a (auch: osaprik) — jenseits*.
capcbi4 — Vorrathskammer.
car (cap6six) — melken.
cana — Schneeschuh.
can — Rechnung, Zahl.
canHa — Zählen; denken (bei Castrén fälschlich
auch: lesen).
canmak (auch: camnak, camaak) — Lôffel.
cazak — Kôcher für (Holz) pfeile.
car (cazapôbm) — verkaufen.
caxbir — Handel.*
CaZBI5nBI — Kaufmann. a
CAABIC (Ca1B13ap6PIH) — handeln (auch: caxBir €T,
exäpOin).
CaAB16-a1 (a1ap6BiH) — kaufen.
CAABI6-PIC (BI8ap6bin) — verkaufen.
cac — wild; 2. B.: cac 4ep — Sumpf;
cac ar — wildes Pferd.
cac — Haar; vagp1 — sein Haar.
cäc aus cagBic — Harz.
cackan aus cagpickan — Elster (Vogel).
cackpic von cac (aauap6pm) — Müve (Vogel).
cac (ca3ap6b1H, 4a4ap6b1x) — säen; stechen.
CA3BIH (JabIH) — Papier, Schreiben.
can — Schaft, Stiel (am Messer, Axt u. s. w.).
can (ca6ap6bix) — schlagen.
OT can — Heu (or) machen.*
CaGB1A (ca6P11ap6bim) — geschlagen werden.
173
des Sciences de Saint- Pétersbourg.
174
ca6BIC (ca6513apôb5) — wetten.*
cankbr, caknbi von can (ca6apôbrn) — Sense.
caôbIH — Seife.
ca6zxap — Fuchs mit weisser Mähne und weissem
Schweife (Russ. nrpeniä, vom Pferde).
camaak, camnak, caumak — Lüffel.
cäk — Fliege (Russ. myxa*).
capbr cäk — Mücke (Russ. Kkomapr*).
cerip (ceripäpôia) — hüpfen.
ceH — du.
cent — dein.
ceknäx, Cenkäx — feines Tuch.
ceric — acht.
cerisiani — der achte.
cerisäp — zu acht.
ceris-0H, achtzig.
cepär — 1) die. Geister der Sade 2) die
Todten. : a
cec (cecräpôin) — losbinden.
cen — Nebenfluss.
cemic — fett. |
cemïp (cemipäpôin) — fett werden.
cipä — Bier; Lager, Bett.*
_‘cicrt-(auch: cläpx, cpäpat*) — euer.
cigip (cigipäpôia) — sich schnäuzen, rares
cilir — schôn, hübsch (Weib).
. clik (ciliräpôin) — erschüttern, ischitie
cilkäp — Mai-Monat.
_ Kidir cilkäp—Juni (s. Mélanges Russes. T. III,
p..9195"X
cip — Ader, Sehne, Faden.
ciprä — Nisse.
cipräi — Knäkente bios querquedula).
cir (cipôia) — Striche ziehen.
. CUnik — Urin.
cic — Bratspiess; diéte Geschwür*.
cicrä (cicripôin) — braten.
cic (cisäp6im) — schwellen.
chipai (cipäi) — Gesicht.
cbig — Wahrheit.
Ch14 — Maass.
CPIH (CHIHAPOPIH) —_ zerbrechen, in Sticke gehen.
* CHIHABIP (CHIHABIPAPOPIH) — - brechen, trennen.
CbI3bIp — Stroh.
CH16B1p (cb16b1papôbs) — kehren, fegen.
CBI6PIpa — überall.
Tome XXXI.
CPIGPIPEBI — Besen.
cbli — Geschenk.*
chriga (cbliaTpôB18) von chi —bewirthen, schenken.
ChikTa (CHIKTIp6BIH) — aus Kummer ‘weinen (Russ. ppi-
AATL*). |
CbI5ap — blind.
CbIk (CbI5ap6biH) — ausgehen, emporklettern,
CHIPT — 1) Rückgrat; 2) Messerrücken.
Cbi4 — Bergrücken.
CPIH AUS CHIBbIH — Hirsch (Auss. COMENT
CHIHHA (CHIHHIPOBIR) von Chin (Wahrheit) — versuchen
(ein Pferd).
CBIA (CHIMPÔBIH) — dulden.
Cbin, ceu — Lilienzwiebel.
CHI6BI — Tanne.
cbim — Haselhuhn.
con — Hintere.
COHBI (C0) — das hinten Befindliche*, nach hinten.
. Dat, coma — nach hinten.*
Loc. côuja — später; hinten, nach.*
Abl. Conan — von hinten.* Gr. $ 101.58. 65.
cok — Kälte: kalt.* |
cok (cosapôbin) — stossen.
.copak — Mürser.
copak nazasbr — Mürserkeule.*
COHMA, COH6A, COMpa — Quakerente (Anas clangula).
coi (cojapôprn) — 1) schlagen; 2) auskleiden; 3) schin-
+ den.*
cox — link; links.
côp — Arbeitsschlitten.
copi — immer (in Märchen).
copor — Pfeifenrohr.
coppin — Narbe, Wunde.
copkbrâ — Haselhuhn; Rebhuhn (mopkaà).
copran — Hecht.
| coxax — stumpf.
coaag kysÿpÿk — Stumpfschwanz (Wolf, in
Märchen).
cocka — Schwein.
côk — Knochen, Leichnam.
côkräp — Leiche (eig. Knochen*); Begräbniss. à
côk gBir (as15ap6bin) — begraben (eig. Knochen
sammeln*).
côr (côräpôin) — auftrennen.
côlä (cülip6ia) von côc — sagen.
côr — Weide; Erle. -
175
Bulletin de l’Académie Impériale
176
côc — Wort, Botschaft.
côsipôä — Zugnetz (Russ. HEBO1E*).
côn — Unrath, Schmutz.
côm — Spanne, , Arschin.
cyk —flüssig, dünn (Russ. xnariñ”*).
cyr — Wasser.
cyk (cy5apôrin) — stossen.
Cy5iÿk — Zaum.
cyza — Hafer.
Cyasa (Cy151p6PiH) — bedecken.
cyp (cypap6rin) — fragen; cypar — Befragung.*
cÿp (cypapôrix) — herausziehen (aus der Scheide), ab-
ziehen, abwerfen.
cya — Länge.
cyapap — längs.
cya (CyHap6pix) — ausstrecken. :
cyc— Tauchergans (Mergus merganser).
cyce (cycrapôbia) — ausziehen.
cyc (cysapôbin) — schüpfen.
cy6a (cy61p6r1x) — loslassen.
cÿräx — Schnauze, ein Geräth zum Fischfange (Russ.
«MOPAA», PHI0010BHBIE CHAPALE*).
cYläirä — Glas.
cÿp (cÿpäpôix) — jagen; verfolgen.
cÿpôn (auch: côpôu*) — kalt (Russ. npoxrazmbiit”*).
cÿprä (cÿprTpôia) — umwickeln (ein Kind).
cÿpr (cÿpräpôia), cyprkilà (cyprkiltpôir) — schmieren.
cÿpôäc (auch: cypuäc*) — Haarflechte (der Mädchen);
vergl. Ty1y4.*
- cÿnä — Seele.
cÿr — Milch.
cÿmä — Listigkeit.*
cÿmälir — hinterlistig.
cymälän — listig sein.*
CTOÔBI (eig. BICTOOBI*) — auf dass (Russ. 4To6b1).
H,
na, nà — Fragepartikel; etwa, enclit. Gr. $ 112.
na-11a (6à-6à) — entweder-oder; Gr. $ 112.
nai — reich.
naipam — grosses Fest.
naipamsa — ein Fest machen.*
nar — Strick, Riemen.
uapa — Frosch (auch: napa narak").
. napajak — Ferse.
nak (napapôsm) — klettern, emporklettern, aufwärts
gehen.
naja (nïjä) — neulich (Russ. xaBnua”).
najaxa — von neulich.
ajapbi — neulich us ).
nata — Kind.
yac naJa — Säugling.*
nazagak — kleines Kind.
uaasik — Fisch.
ak nazbrk — Schnäpel (Salmo Lavaretus),
capbir naxbik — Hausen (Russ. erepraab*).
natbikra (natb1KTipôpin) — fischen.
naapir — Wunde.
näJa (namipôbin) — schâtzen, taxiren.
narpac — Schmutz (auch: naxyak*).
nAJSA, 1AHIA (TAIHIPOPIH) von rar (Strick) — 1) binden,
2) anbinden; 3) das Netz auslegen. |
À nauTRI — Axt.
NAITHIP — Wade.
1ap aus na5brp — Leber; der obere Theil des Pelzes.
naäpcak von nap (Leber) — gnädig*.
napa — Reuse.
napakcan — arm, elend,
nappic — Lôwe; Tiger (Russ. 6apcr*).
rap (napapôbra) — gehen, fahren.
nana — Schwager.
nac — Kopf, Preis; Anfang.* |
nacTa (nacTipôBiH) — anfangen. Ger. nacran —
anfangs. :
na3a — noch; na3°0k — wiederum. n
nacka — ein Anderer, ein Fremder; ausser, ausge-
nommen.
iki nacka — nach zwei Seiten hin.
nacka — Hammer.
nackpic — Treppe.
naCTBI — jüngere Schwägerin.
uacTBIk — Fürst (in Märchen) von nac.
ua3ap — Markt. | en
mac (nasapôbia) — 1) drücken; 2) treten; 3) schreiten. …
nackbiia (nackbiïpôrm) von ac (na3ap6bm) — i
drücken, treten.
IASHIP — Karshsche (Fisch). 4
HASBIP (na3b1papôBiH) — beten, bitten (eig. sich ver- 4
neigen*). |
nauka — Knüchelchen (Russ. 6a6ka).
na6a — Vater.
/
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des Sciences de Saint-Pétersbourg.
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nep — hierher.
nelrip — Stelle, wo sich zwei Flüsse vereinigen
(Russ. yerse*); Mündung.
ip — ein.
nipiani — der erste.
ip karran — einmal; einst.*
nepirä — ältere Schwägerin.
nenä — ältere Schwester.
nec — fünf.
nesiani — der fünfte*.
nesôläx — alle fünf.
uesäp — je fünf.
uer — fest, kräftig.
nexrä (nekTipôin) — befestigen.
ner — Herr, Stammanführer; Beamter.*
nel — 1) Gürtel; 2) Bergrücken.
nel — Taimen (Fisch). (Russ. raïñmèns*).
neläa — fertig.
nelärrä (nelàrripôïa) — bereiten.
nec — Kandyk- Wurzel (Erythronium).
ner — freilich (Russ. Bbxp).
uesïk — Wiege.
UBIP5BIP (NBIPHPIPAPOBIH) — prusten. ÀRuss. æbIPKATE.*
nbickak — Pfote.
nbiyak von npic (npapôsrn) — Messer.
IC (np14ap6b1x) — zuschneiden.
HbBIAK (auch: npispraak*) — Speise aus saurer und
süsser Milch, wird statt des Brodes gegessen.
n1 — Stute.
mijä — neulich (Russ. nasnua*); vergl. naja.
milä, nilä — mit. Gr. $ 100. $. 63
nil (nïläp6in) — wissen, begreifen.
nilà (nilip6ia) — schleifen, schärfen.
. milô (auch: nÿlô)* — Schleifstein. *
nr — Laus.
nixi — also.
mx (nixpôia) — beschmieren.
nic — 1) Schneide; 2) Ahle.
micrir — scharf.
niC — wir.
niCTI — unser.
1050 — Perle.
n05za — schôn (vom Manne); heilig.*
1101 (n01ap6BIH) — werden.
nouBiC (noxbisapôrin) — helfen.
uopa — schwarzgrau. Russ. cmsbri (vom Pferde).
uopaa — Wirbelwind. Russ. 6yparr.*
nopcpik — Dachs.
nopuô — Blume.
07 (no5apôbin — n0p6rin) — einschliessen!
norkb1 — gebratener Brei. Russ. casamars* od. Kama.
uoxsik — weibliches Geschlechtsglied.
noua — Residuum der Airan-Milch; die zu Käse be-
reitet wird. |
uoc — frei, leer.
n03B1T (n03B11apO6bIH) — freilassen.
nocrbir — Mädchen (eig. ledig).
n0c — Strumpf- oder Schuhband.
noc — trächtig.
no3B1pak — rothhaarig; Sonntag (aus dem Russ. Boc-
KpeceHbe).
n03B1ir — Nagel.
nük (nüräpôix) — verstecken.
nôril (nüriläpôin) — sich verstecken.
nüc — eine Art Zeug (Russ. Knraïñka).
n03Ÿr, nü3ÿk (auch: nÿsik*) — hoch.
nüsÿr ai — Februar-Monat, da die Sonne hoch
über dem Horizont geht. S, Mél. Russes. T. III,
p. 313.
ny — dieser. Gr. $ 57. Seite 22.
Gen. mob — dieses.*
Dat. à — diesem.*
Acc. MptmBi — diesen. *
Loc. msiaga —<hier (eig. in diesem).*
MB1Hap (auch: nep) — hierher.*
MBIHAH — von hier. *
MBIHNA — SO viel.*
MBIHjJaï — solch ein.*
nyr — Zorn.
nypaÿr — büse; zornig.*
ny5a — Stier.
aa ny5a — Barsch hi (wôrtl. bunter Ochs).*
uyprai — Weizen.
uyaan — Elenthier.
nyayx — Winkel; Ecke.*
nyaÿr — Wolke.
DyAŸTTBIT — Wwolkig.*
nyA5a (HYAFIPOBIE) — mischen.
uya5oc —- Mischstock (Russ. mbcnao).*
nypÿapb1 — der Frühere.
uypÿa— Nase, das Vordere.
Dat. uypÿasa — nach vorn.
Bulletin de l’Académie Impériale
180
Loc. nypÿ#xa — vor.
Abl, uypÿanan — von vorn.
nÿpÿ45” ap — nach vorn.
. uÿpÿanbig YAŸ — Nüstern (wôûrtl. Nasenlücher*).
uypÿasa (uypÿenipôbim) von nypÿx — vorangehen, zu-
vorkommen.
nyr — Lende; Fuss.
nyc — Eis.
_nyc — zerbrechen, zerstüren. |
oysÿa (ny3ÿ3apôbm) — zerbrechen (intrans.).*
ny30 (auch: 15130) — Kalb.
_ nÿ — Netz (Russ. chre); vergl. cüsip6ä.*
nÿKk — Wiese.
nÿkrÿp — Hügel.
nÿlô (nïlô) — Schleifstein.
nÿp — Blatt.
nÿplir — blätterreich. =
nÿp — Wolf.
uÿpÿaxki — Dimmerung.
uÿpÿakiä — in der Dämmerung.
nÿpäx — Niere.
uŸpÿK — Mütze.
nÿpcÿ (eig- nipci — ander) Kÿn— fbermorgen (auch:
van fpÿrÿn*).
nÿx (aus ny kÿa — diesen Tag*) - — hente.
nÿarÿ — heutig.*
nÿaÿpô — Käse.
nÿaÿn —— 8anz
nÿs3Ÿk, NT — hoch; Hôhe.
npai (eig. npipai*) — alle.
HIBIPAÏ HEPAÂ — überall.
npô (eig. nb1p6 *) — Schuld.
UBIPOIBIT — schuldig.
M.
maimak — Stiefel.
maknac — hoher Baumstamm.
makrb1 — Weiïichen, der weiche Leib.
mak (makT1p6bin) — loben.
maxag — falb (vom Pferde).
max — Zeit; Musse.*
MaHHAH (maxnanapOsIn) - — fertig werden, zurecht
kommen.
MaH3BIpa (MAH3BIPIPOBIH) — eilen.
Man3Bipi — eiligst.*
ip as (MaH3B1paxapÔBIH) — beschleunigen.
mar — Vieh (eig. Habe*).
mäpka - — Knopf (aus dem Russ. mapka*); kaum o (bei
Castr.).
mäc — Bremse (Russ. oBOP, naYTP*).
merkkä — Betrug. *
merkälà — betrügen.
meläi —- Handschuh.
men— ich. Gr. $ 53, Seite 21.
Meni — mein.
Gen. menïg (auch: mäx) — meiner *
Dat. ma, mä (aus mapa, Märä) — mir.*
Acc. meni — mich.*
Loc. menxä — bei mir.*
Ab. MeHHËH — von mir.*
MeHJip — Quappe.
MBIATEIk — Flinte; auch: Heilandsfest (den 6. Januar,
den 1. August und den 6. August, da man zu
dieser Zeit Flintenschüsse abfeuert).*
mbipa — Plôütze (Cyprinus rubilus).
MbIHJa — hier.
MPIHAH, MBIHAHAD — VON hier:
MbiHJar — ein solcher also. s. 6y.
mic, mi (eig. mec, me*) — Gehirn; Mark; vergl. ail
Knochenmark*.
moïiprik — Kragen (von moin, MojbiH — Hals*).
Mojpix (mit dem Suffixe der 3. pers. ne Hals.
mosar — Stahl.
MOiTBipB1k — Nacken.
moayak — Termin (Russ. cporB*).
myipak — Hirschkuh (auch: maipak).
mykcÿa — gepflanzter Lauch.
MYH — tausend.
MyHJAT (e2g. uBIHIAT) — ein solcher.
Myx3ÿpb1k — Faust (auch: aym3ÿppik*).
mymak (auch: msimak, aymak, ymak*) — Märchen.
mymak cax (caxap6b18) — Märchen erzählen.*
myMÿprka (auch: aymÿprka) — Ei.
mymÿpr (auch: aymÿpr oder npmbipr*) — Trauben-
kirsche. (Russ. wepéuyxa*). . ;
mÿx — Fischsuppe (Russ. yxa*); Suppe.
MŸE — (uŸnäpôin) — zu Pferde sitzen.
MŸÿBAŸp Cujexfppôis) — aufs Pferd setzen.
mÿe — Horn.
MŸCTŸE — gehürnt.
mÿ3ÿk (auch: nÿ3Ÿr, Me note Hôhe *
I1S1 _ des Sciences de Saint-Pétersbourg.
IL. Heldengesang.
- Ilyayx depia aeplän-yazpip
HYJYH CYH Idi-YAAbIP
ak TaCKEHIHBIH ANTHIHJA,
ak TasaiubiH4 Ka3b1H]à ;
en CAJ-YALBID
a5-0i aTTBIT AgTbIH Rau
AuTbiH Apnir enäilir.
Täphisag chkkan nala3b1 405b11;
4A3BI TOJABIPA MATIBIT,
ÿlrŸsÿ-10k uou-ok.
Oz kapaspi koH-4a161p
ATTAP TAH ATTBII-KeÏTiK,
apBIT KŸH CHIBbIN-Kelji,
_aar-0n ackan Aurein Kax
aaTbIH CIpäaäx Typyu-Kelai,
TOIHAIBIN-AÜpII TOHAHBIO-AT/PI,
Tackap chi5a-koupt,
apaRHÿJa A-0i AADIH
. sÿrŸp-ôpin ÿrän cykrÿ, !) -
. e6ip-4üpin e3äp Cat,
TEM TePIiH TEPIHIN-4AABIP, *)
remip kyjak Kesïa-uaxpip ;
apBir uŸpÿryä ok-cazapbin
ac nella KÿP4AHbIN-YAABIP
Euäi Aurpin Apr :
ChIBBIN-KelAi:
CAZTRIH KAH A15aHbIM, |
Kaiaap nap-vaxbipsax?»
Auroin Ka angak côlän-saapip:
.. «Kajappan MabiMHbi canHan-Keli,
kaïak qonsimabr nôrin-Kelim, »
Asia kamnsran sôpin-cbikrb1;
ak'yasbi roxasipa kazap5an mais
CAHHAN-YÜPIT CAHPIH AJABI,
kasak yonpia n6rin nôrinis A1,
* jasar yüpräxni ?)
_ aake? arka mÿnaÿpaÿ,
#BHAC YÜpränni
yakCp1 Kent Ke3ipai.
Epräx nappan Aurein Kan
1) Castr, sakte
2) bei Castr. PE tâder.
8) Castr.: dôrgänene.
[ai ES [Se] es +
a ë os = es = a
ot
a
©
IpAä HAHPI0-OZIP,
eGinä KeliH axbiH DAMGAU- CAM,
esik agi Kipin-Keli.
«E3äR 0XPIP3an-Ma,
AJHAHBIM AATHIH Apbii ?»
«ÆEsün OZBIPOPIB,
AuTbiH Rax azpabim».
AC Caabit A3PAII-YA/APIP
apapa nepin CHIIJAN-HA]AIP,
ac In TOCTHI,
apapa juin e3ipAl.
«AJFAHBIM AITHIH APE,
u0k 4okTan-1epIm,
ecTäpsär-Mä? »
«Hop” ecnänän,
Ausanbim AaTbig Ran?»
«asb1 roxaipa kagappaiôBiC KÜn,
en TOXLPIPA JBIBAH 63101C KÜH,
icriGicräx Cb1kkan aa OBIC J0BBII,
agT-04 Jacka 4a3bI6PIC Y6TTI
kaGbrp5azax kappin]ac Y05BU,
TYHAHBIOBIC HICTIH YOHPLI,
YA3BI TOJABIPA kalapHaHbI6PIC
qakCb1 YOBHI H0J-HAPAP;
ell TOJABIPA e3161C
el 40hni n03BIN-1NAPAP».
Ox kapasbia Kkogsunr- “HAABIP,
aTTAP TAH ATTBII-Kel4},
apBIT KŸH chgbIn-Kelu}, 3
ame AaTbtx Rau Typÿu-Kelai,
rackap cpikrbt;
qaubi4 KATTIH AI,
OKTHIH KÜHISIH AJJI.
Aarbin Aphif exäi:
QAJGAHBIM A1THIH KaH,
kaïzap ua3’ok napbun- ro em
« Ausan-Kelim,
kycrÿx cemisin azsin-Kelim,
agubig kapasbia Gxip-Kelim».
Tazai kacri doprsu-ChiKTHI,
kanatrbir kye KÜpOä Ji,
raiga kbipiGbiHaH 4ÜpIG-0AIP,
ax Kôp6äxi Aïrbia Rax,
HAHB10-01b1P,
4) Castr. schreibt: âra Kün sègap kilde,
et
ct
AGakai wakcb1 Axrrbia Appir
aC 1Pil-YAAbIP, es
Aurbia Kau ac 4i0i4-4aJBip,
apaña nepsä iCN1H-4A/bIP,
HeMä CYP3a TANCAOIH-AAABIP.
QAJSAHDIM AaTbIH Ra,
AJAHA TAPBIHBIN — Ke] xÏH-Mä ?
gIp AC Capa J0HBLI-6a ?
Kesäp Kell Capa JeTrnäAi-0à?
MŸHËD AABIH Capa 40k no11B1-6a ?
HÔ HeMä mi TAPHIHBIN—Ke]AIH-Mä ?»
«Enäi AgThin APbIF,
H0 Hemä ceH mläxipsäx,
dadDIH Y3ŸH, Cabbinyar kbickak,
x0 Hemä cen Kkar Kisï
Hô Hemà cel nilyäxsäx!
kazap5an niCTiH MaXbIOPIC
5) Castr. seberü.
Ne
ce
ot
1
Le
Li
| ra6Bipak aGEHBHAP,»
KÜKCAII — JAJBID
| TOBBIC AJBINTEI.
Aursix Ra Tiri ryp5ax
CHIH YCTYHà
Dappin, 4a10ak Tac KÜ1p — Kelin,
CBIH ŸerŸHAä CaGbIn, Typÿn — JA BIP.
Ap5a JOHABIH APASBIHIA
ŸC JBHMIBIT JBHAC OJakTHI
TOBIC AID KOMAH, HyrTaH
ka6 — amino,
yeprä-xà TÂPprôis,
KkODipin — KeNäp.
Ve gbiabir gbuâc Oak:
Œasubispt kag Aurbin Kag,
KIdIT MeHIH IO3BIMHPI
üxip-6à!
icriguäx CHikKkan naxag mea xpGU,
sr
183 Bulletin de l’Académie Impériale 184
CHIH ŸCTÿHä LOpTEM-Kely} ; 85 | kazapap HeMä TÔpin-Tip,
ax KORYEISEI, kanTañpi nicTix e3i61CTi 130
el 40HBIH KÔpPIn Typ- JAABID |Ke3äp HeMà TÜpIn-Tip,
AP5A JOHHBIH OPTASBIHIA inäsinäy emrän CYAŸ
ÿc abapbir O1aK na3BIN-HApI; ÜxIpärä KeEPäK ;
kaïsin exiHJà, 90 | ŸC uepaäx Kesin — ONpäACIH.»
karrbir côriaä AGakai gakcer AxTbia Aprir: 135
qÿ3ÿ JOHEH; CAJAIDIT AJAHHBI AHBI OJXIP,
uy OxakTbny KapañbIHAH ŸC JIMIBIT OgakTb1 yep üxip-6à;
HyayT kbi3apa KÜJin-YAAbIp, kayan-14 CAHa H01BI3AP, APHPIC HOJAP,
kapa uepnin kaprp13pt 95 | icTiguäx CHIkKaH naxa Caba 101ap.»
CHIOBIPA Ÿ) KÜjIT-4aAPIP. KKki TyayHnÿr kaT Kisi, 140
Aurpm Ra anbt KÜpIn, cexH HO Hem nilnäHsäx !»
kapzax ak chrpajnt AaThi4 Kbi1B1abIH Ka6-ax1bi,
Kkapaza TaPTBIN-TYP; Tackap Chi5a — KOBzBI,
kannax KbI3bII CPIPajbt, 100 | Kb1isa — caaxbi: «Topic bin,
Kkÿl-nilän kapa Taprou-Typ. Ta6pipak Kelixäp !» 145
<Kazapñan menïy Mazbrmubi Toppic aasm nÿpÿkräpia
kagaphin siprä TÔpin-Tip, kozrsikrapprna Kkp13pin — Kelailäp.
kanrapsi esimni Kesäprä TÔpIn-TIP, <Yayr ner kanbi6pic,
inäsiaäg emrän CÿAŸ 105 | HO KEPäK HOJMI ?»
üxnipärä Kepär». «A JB 4aKCEHAP, 150
AZBIH KAMNBHAJPI, TOBBIC AIDIOPIM,
aipa Kipä oitan-Keli, Trek Ta6bipak !
AJBIH I10C TACTA]IBI, ÿC JBUMIBIT BIAC OJAKTHI
e6ôrä Kkipä-konBi, 110 | TIri TyYP5aH
aarbix Cipärä oxprpa-Tÿcrÿ. CHE ŸCTŸÿHä 156
by:
DE
185 des Sciences de Saint-Pétersbourg.
6) Castrén: kaskarebenar.
7) Castrén: bolbin.
8) Castrén: tènmäde.
Karrai Aïn
9) Castrén: kr.
186
AuTbin Kax angak: 175 | TOBBIC A3BIP MOJAT YJBILAM
RAAAPHAR MAIPIMHBI THIHAP 1016a3HIH».
kazapap5a 40iläain — ga1p1p3ax. dsriaspin Ka6-ampik, 220
Tex ra6bipak abb1BHAp, kÿrÿpr-ailän KkfsŸpän-4abp,
yar6ak racka yancbipa TOGBIC AIDINTHI KBIPHISbITI-HAABIP :
MOÏHBIH CAIBIHAP » 180 | «Trek Ta6bipak
Topeic agbin kÜAÏpin — Kelin adbIHAP KOITEISEI
yaa6ak Tacka ganchipa JbILAOBIHA JAJAPEA. » 295
CAJIDIIAP. Uhyra3bI TIAMIH-YA/IP.
Aubin rôpàn Aatbia Ran dBIIAM CAHA THIHMA3A
MOJAT KBLIPINDIH 185 | KŸpuäKdà MICTIT OFPIM CAGa
kä6-axpimn, THIHAP NOXOASBIE. »
ÿC gBLHABIT OIaKTAH AG-0i AJBIHA AITAHBIG-A AB 280
MOÏHBIH Ke3äprä-10p, Aurai chH ÿcrÿnä
aGakaï aakCb1 ATH ApPbir Kb1ia-CA 1/51:
kbickb1p6iHax *) oïan-Kelxi: 190 | «Toppic az! yar6ak Tôsin
«AJTOH JACTHIT AJTHIH Ra, AdBIT-DEPIHAP. »
ÿC YBIIIBIT BIAC OJAKTHI Taprom-Kelin, isäxä cipäain, 235
aHb1 OAIPräHN, YA3BIH TapTKaH]a,
elir yacrbir apanyÿaa ap-oi ar isäxäqà
Agrpin Apsir Meni üipl» 195 | kapa seprä Kip-napi;
Oixau-Kelin | epTäx TaprkaH 4a3b1H
ŸC-APLLIBIT 4BIIAC OIAKTHIH TPAË 103HIAHIN-TYPAŸ, 240
ŸCTYHä JAXBI0-BICTHI. racka aïlän Tasbui-TÿcrŸ.
«Merix côsimni ecnäsäx, Aursin Kan KopbiGBIN-nap}bi,
. kax ok meni ny Gaaknbinag 200 | e6iH-8äp oïan-ChiKTp1;
Ke3ÏII-CAJ». ŸC dBILIBIT OJaK TOHBIC AXBINTHIH
Aurbix Kana angak KoïPiHaH Cÿpa-TAPTBIHABI, 245
KBLIBIQBIH HÉPrÂP TACTAO-BICTBI, Aarbia Ran5a kblipa-Caabr:
kamypbr3pm kä6-abn, « dosap Kyyai Menï yajan-rÿ3ÿprän
AGTHIH APPITHEI | 205 | Capa ATbiH KauFa,
ÎRKI TYJTHAH ; väphIHHAH CHIKKaH naJa 101aPFa;
kä6-ampin CojpIn-4a/bIp ; ce meni OJipärä n101-40pP3äX, 250
KŸHHËH TŸCKA deTTIpäà COÏABI, : OH JTTI JeP AINTHIHJIA
Aurbih Apbir KaMNbl CHIJAU-101618 *), kbipsik Kÿkar Tara
TAaJbIN-NAPApI. 210 | casa satan Kkeläprä 46pläp.
Ra6-axpin TacTra6-PICTHI; Topic Jep 03apbIHJA
ksubinpin ka6-a1B1n TOHBIC KyIaC CHIHBBIT 255
ÿe YB1IBIT O1AKTEIH kbi3b11 Kk6p°) arrir
MOÏHBIHAH CANPIK, Karrai Ain
caukan axbtg 215 | TOSBIC KABHPIE 1A3bIH NIliN-4ALBIP,
Kb1IBIABI THIHMATBL). a10aH A1-JAJHIP,
CRBLIBIC CAFA TPIHMAS3A, kbippik KÿkaT, OIAPHBI HaÏBI3bI 260
187 es Bulletin de l’Académie Impériale
10) Castrén: senmä taimeba.
11) Castrén: âra.
MAJHIMHBI A10434H,
12) Bei Castrén wird überall «este» gebraucht.
385
ISS
Taux ok Keläprä aüpläp, Auretm Kan remxä-6à?»
exiqnäg Kesin dPräpläp, Aubin gakcp1 AuTbin KRan,
KARPIAHAH AHPISPIN 01 KBIIBAHHBI eCHIHËÈH
cyr-ailän idipäpläp; 265 | rackap ch15a-komipt;
Men CeHi KÜPII-TYPÿN NOXPICHACHBIH. » Arai CHIHHPI KÜP3à, 310
Exi riôinär kisbia Kkôp arrby ŸerŸaaä mÿarän
kapa kop5ammpx nou ausin Jakcb1 Rarrai Ain
_ kapa yep arrbima TYPŸT-YAJBIP ;
kajbutbm Tÿ3Ÿ6-BICTHI. 270 | OH JeTTI JP AITRIHJA
Aursm Ka e6ïnä Kelin kopbigbin-vazpip. AÏHAHBIH NABPIH nilin-varkau, 315
«HG nemäni ŸC 4B11abIT kpippik RÿkarTTb1
o1ak côläxi?» yAyT nenàä3i KeHAÏP TYAYHHŸT
«Eaäjim Arts Aprir! yayT aus Rykar mbtay ok Kelrip.
OH JeTTI JP AITHIHJA 275 | RarTai AJbIN, HAÏNPISBI, +4
kpbipbik Kykar ny ueprä kax’ ok Kelripläp. 820.
CHIBAPEA *OPIAP, AursiH Rak apannÿia
côläni, aB-0i AABIHA AITAHDIN
Kkb13B11 Kop arrbir AJTai CHIHHBI
Rarrai Axpin | 280 | Karrai aupin Kkbipita 40prBin Kelaï,
ropBIC kaHHbTy na3bin nilin {nip-1à nemä côlä6äni, | 395
* AXOAH AJBIN-YAAIP, gäkrag canTbr RarTai Aïbinrbi,
kbiphik KykaTTbi Haïnb13b1 ALBIHAH AHIAPA CAÔ-BICTI (1).
KRarrai Axbin Rarrtai Aubin Typa-KOHJI, ES
kax’ok micri damip5a 285 | oitan-Kelin Aus Kauxpi La
epräH-0K ee | Hakran-ap-0k canTbi, 330
coläni. | axbinan axaap’ ok cantbi (2);
Ve BIT ubuâc 01ak Aurbia KRax Typÿu-Kkelin,
ChIH-Ma, Taima-6a ) CÜlä]i, |nelräx kaGbrsbin Kÿpäsin- DAPIJAP ;
eHäjiM AJTHIH ApPbir ?» 290 | 4eTTi KŸH, TOBPIC KŸH Täpà
Ac nepin a3par-4a/pb1p, KYpäsin,
apa5a nepin CHILIAN-HAZbIP. TOHHIC KŸHHŸH HASBITA
ATTAP TaH-aTkaHna, AgrTbH Rap Kkÿuÿ SsREe
apbir ) kÿa chikkanya | Ÿe abuubir gpmäc 6aak
ikkôläx 14Ï310-01B1pIap ; 295 | ch YcrŸaxä To6brpak noabin |
ATTAP TAHHBIH COÔBIHAH, [Kky6yayn-Jaxb1p; 340
APBIT KŸHHŸH AJHBIOPIHA kbpeik kÿkarTren Yayf neyäsi
yayr del n01-4azprp, OxakTbi#4 4aTkan Sépisir ÿcrÿrä
apanÿJa TaGanbi yayr nacka lin, OABIPPI6-HICTEI ! à
Far apart ÿ Ja 800 | AuTbrA Ka ksrclespsn-vansp: à
THIHBI Yayr del dilän CRaJapsan MAIHIMHBI 1epiMm, 345
Kk01a6-0ZXB1Ip, ADBIT THIHBIMHBI Cal!
AuTai CHIHHBIH fcrÿmi meni OJipOà
aasim Jakcpi Keli. aan sakcs1 Karrai Auin!
«AT-0i AT 1aF5Ja-6a? 305
TYPÿY6-01PIP5aHIA
sep kprimprpan-4aTkan,
ÿC abrsasir qpriäc Ouak,
Kyÿkarrag koprikmin,
Kÿkar-cap yap’ ok
Tome XXXI
kanarrbir kyc KÜN Cab,
asakrapprHax yelini
kapcakrbiT ax
13) Bei Castrén überall: {lyg.
189 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 190
YOHBIMHBI IEPIM», 850 | aÿrÿpÿn-relmik,
HA3bIPBII-JAABIP capam ka6apra erri;
Karrai Asinka. yO5ap Typ5au Kyyai
Ve abubir abuiäc Guak niuik TY3ŸpAŸ,
YAJDIIT THICTAHMA/bI, ÿC YBIIIBIT Oak 400
KRykaTTBIH ANTRIHAH 366 | NY DIJIRTI
Typa-konbl. ka6-ameik, Kôpin Tanbin
«arkanpin milôiu-Jip». (3) KPIFPIPEIN-HA]AbIP ;
Ve abraasir 61ak uip capia Kÿkar
Typa-KoHJb1I; Kôpin KbIBbIPHI6-0k-4a/1b1p. 405
kbickbip6inan 360 | By 6xakrax
Kÿkar Kkopbi5b-napApt, ryrkan capi KyJai 1a3bIN-TbIp,
a3aBPIH KÜLIPIN Kykarrag ryrkan capix
AJTHIHA KÜPIT-YA/AbIP : yep AITBIHIABEI AÏHA HA3PII-TbIP :
. «Kaïzax chikrp1? ÿe KkŸarä räpä moxyak CaïbIn-THIP 410
Kisi noxqan-ma? Aiïxa nomma-Ma? 365 | 105ap Kyzai
TAH JePAËH CRIKTBI-6A, Kÿkarnpimag ŸC as1uBir *) Gzak
“NO3BIMHAH CHIBApa KOH]AbI-6a, Kÿpäcrnä3in.
kain meu mlôiu-kazeim ?» «ep ÿcerÿa nerrä-axim,
Kepriemie küaÿrŸH TyAÿ1-Kôpin-Ja bp. | nyaap ixôläg Kÿpäccä 415
«[ospimman ChIKMIH-AbIp, 370 | 1€p CHIJAN-11016aC. »
TAH depJäx CHIKKABEIH Ve Kÿarä Täpä 1opap Ryyai,
nl6ä im. » rü6ia Aïxa Mosyak
Kÿkar ny o1akrbm conax Kkôpin, CAIBII-TEPTIP 1YAAPFA.
JANICHIT OABIPHI6-JA]BID ; Ve rÿarà Träpä nyzap ikôläx 420
Ÿc wir Ouak 375 | S0pn-1aABIPIAP ;
OLIAI-TAP BIT ÿC KŸHHŸH NA3bI
Aurpin KRaHHpi gexin-Kelyi.
Rarrai AïbITAH Cÿpa-TAPTHIO-AII, KÿkarnsHmag ŸC JLMIBIT Oak
KeJäp i16-icTi, am xelin kÿpäcriläp, 425
1031 Karrai Axpmka 380 | TAF TAJAIBITI-YAJIP,
Kän-rypxÿ, TAJAÏ CAISAIBI-HAABIP,
ac nelxäx ka6-aaprr yep AITBIHIASDI Aixa
yeprä ca6-Pisa-6epJi, nyaapaax KOPHIFIT-VAAPIP,
cäckan uip exi 40k-nouxpt (4), rerip ÿerÿHaäri 430
ajai qaupip kagbi 40k-noxpt (5), 385 | Kyzaï KOPPIGbIN-HAAbIP ;
KRarrai AxbImTB1 OXIPIn-CAPIN, geTTi ADN KYPäC-HAPHAP,
TAPPIHBIO-BICKAH, TYAAP HEMASIH TAN, geTTi JHIIIAH CPTIN,
dôpin-yarca, yep kbrimbIPi TŸCTŸ, TOBBIC YPLIBA JeAII-TAPIAP ;
KeCTIHIÀ OAPIPHAH THIH TAPTBICKAHHAPEIHAA 435
Kÿkar depui Tajanbin 390 | exäkTäpinäg delini
191 Bulletin de l’Académie Impériale 192
KÔI ÔlIT-NApT; 440 | ox o6anb1 kyrakTan
kapa ep KüXIpIn n010AJI, TYPÿ0-BICTEI.
JP AJITBIHA Kÿkar Kexäp napi,
T3Ÿn-1aPHAP, KÔPII-Typÿn
ÿc yep arTbIHaH kaTkp1p-4azp1p. 490
epriô-ÜK CHIKTEIHIAP, 445 | «Kisi6inäüx Tac nip noamay-Ma?»
AHAH-AP OH JCTTI deP AITRIHA Cogax kpripak kä6-abut
Rykarrbr depinä racka Kajbippin-4ap1p,
dez16-0ZBIPJIAP ; kaïp1a nyAYE KaMyB1Aa ZI
Ÿc ubixabir Oak 1103BIH 1103” OK, 495
KÔPIn-naP13a, 450 | KaAIBIH eXIH CAOPIHBIN,
kapñanaapir Kaja Typyn-4a/b1p, KŸHHŸT deprà
OH JeTTi JP AATHIHAH gÿrŸpŸl-ChIKTBI,
üsinTip KŸHHŸE deprä KŸnaÿr deprä aÿrÿpÿn
ny Kaja. Agrpin Kanabix gepinä 500
Oz kajanbrq 455 | texin-Kelx].
e3iri ASBLIBIN-TAPEAH TYPYI-HAAbID ; AgTbix RABHBIH AITOH
Kykar anJap TapTHHbIn aCKPIPIBIT JPHISPISRI
KŸpä3in-4aJbIP. ak Tadaiabrg Ka3bHax
Ve subir Oak Cyr din, 505
nilin-napi: 460 | AXTHIH TACKPIIBA .
«RÿkaTTHIE uepi ny kaja CHISBIN HAP-HAABIPIAP.
HOABIITETIP. » KRÿkaT 01 YBHBEHIAPHEI
Ve abrmir Gaak KôpIn ag1ap 1ÿrŸpÿn-napi,
ambi nilin, JAY KÏdir N1 MAJHPI TO3à 510
KŸHHŸT deprä 465 | KÔPIn AÜp-daxpIp.
TAPTHIHBIN KŸPä3Ïl-HAJBIP. Toppic aÿe Maxubi4 na8b1 (6)
Ai ammickanya, AITHIH TŸKTŸE a5-0i ni
JBII EPTICKÂHNE, KYIYHBI JOFEIUI.
ÿC aBIIBIT Oak | Kÿkar apr milk, 515.
nip Hemä nil6iH-HaPJABI. 470 | AA5a KIpä ojan-Kelmik.
IBliain-Kelsä, Vayr, kidir, yakcpr, yaGaz,
kappanaïbir kapa kajanbig CPISap, akcakKTb1, To3a
icTiaä KIpin-Daplap KÔPITI-HAPI,
Kykarnpisag kag” ok; AITBIH APBITTA yeTTi, 520
kajaabix CTiuä KIpin-1aP5AB1A 475 | ASTHIH APEITHEIH
COHAH e3ÏK JaÜBLIBIN-HAPAEI; eJàTIH AJBIN-KÜPEà
kajanp1g iCTingä DAJA3HI JOBBII À);
OIAaKTHIH a3a5BIHA, KO1HIHA Kÿkar rackap cpr5a-konxpr, à
TOEBIC KAABII TOH MOJAT Ke3äH HCPHIH TAMPIPHIH KÜPIT-TIP. 525
CyBŸ I; 450 | «Au mobi aÿrŸpÿn nappanbt 105614.»
BIPHISBIHAH ÜTTIPà, Ve kbip asbipa, Ÿc oïnpr Keuipä
kyya5biHax ÜTTID’ ÜK kôn Tilän 40pin-yaxprp;
yec 06a kan Teriprä ÿC KPIPH6IH 03aPbrmya
CHISAPA Ü3in-NAPAbI ;
ÿc æuueir Oak 485] 14) Bei Castrén: dôgol.
kapa kaxrap arrbir
15) Bei Castrén: eäp.
193 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 194
reräi TYPÿI-YAAbID ; 530 | KaTTagyJa HaÏUbI3BIHEI eprin-ChikTBI,
ox reräirä oitan-Kelsä mip-aù Hemä CÔlàGA ;
ak KYXY4HBIX 131 MPIHJIA da]. aHAH-ap ak qasbraa
«Azxprp, ak kyaya! ak ky21yHHb1 KÜpin-TanTbI,
kapa ep Karrbir noxap, [rôpräa yeprä uexi6-0xp1p; 580
kan rerip nÿ3ik 101ap. 535 | ak kyaÿanbrg kÿaŸ anôiu-napi.
Mennäüx Kkaizap HA PPI-03ap3ax ?» «Razak ceni, Kykar,
Bi6tmäx icrän aÿrÿpÿn- -CPIKTHI, aABIM a5-0i ACKBIP TYP5AH,
ak kyayayak rarza rafra, YePIHäH DIPä-TAMBID
kbipzas Kbp5a kaïpin gÿrŸpY1-NAPTHIP. : [or uyaÿn vän-1013am-1i! 585
erri rerip uepni 540 | yäm axTbrx TYKTŸT a5-0i
dvrin-Kelsä ‘ niHÂH eMnärIHÈH
ak kyayaubi mipäp karran emin (auch: än) *)
apaany2 ATTBIT AB 4akCpi aI5AH 1013aM-1I !
KagP1p3B1I0-HAPTPIP ; äm KŸaÿK! 590
KRÿkar anbr KOpOIHäH 546 | AaTHIH Kanabix ak TaïajpiHax
karkb1pb11-4a/{b1p : nipä camrak
CA JIBIHMBIHAH HAÏIBIM CYT ICKäH nox3am-i!
MEHÏH HOJ3HIH, KRaïak ceni Kÿkar
kapa kazrap arrbir MeH Capa Aïxa 595
KRarrannyia axpin ; 560 | erTipäniknin-Mä ?
Kyrai nÿxÿpräx Yopap rypsas Kyaajsm
KŸHHŸr depaäri ÜCKÈH ny KŸHHäE apbir Kÿc ko3a-6ep,
Karrai Abu ülin-kaasan, ny KRÿkarrax
na3a mpci kaïni nousa äm kÿlÿkrŸ 600
Rarrannyia HaÏnBIM 555 | AXbIT-KAIIM. »
üläp-6ä, uok-na?» Tôc sopap relränyä
Ak Kkyaya-mbtHax Kÿkar yasa kan-Kelin,
kazrap aTTbIH eHNK TÜOIH HOJAHIA
e3iR CHIHHAN KÜPII-1API3a ak kyayn BIpat naPPI6-0XPIP, 605
ak kyayaabig nip kaïapan 560 | aÿrŸpŸ6-oxsrperr
kazrap ar ïki Kaïbin, CaBb16-ag8t Rÿkarrbr;
JeXÏPOIH-NAPTPIP. ca5am Kelin,
CA JBIHMPIHAH RaTTAHNVAIA HAÏBIM! TYAAPHà A0P, à
Kiuiqäx ak kyayagak ak KYAYH APAHNYIAHEI 610
ABBI-Aà JCTHIH; 565 | THIHBISEI-UBIHAH IBIPFAPIO-BICTEI.
enäi Mentä-AË XOBbLISAH.» [Ve rÿurä Täpä
Rap exit ry6ax TŸ3ÿ0-BICTHI.
03HIH 1103°0k Kÿkar ak kyayaupi
kaumeuansin aÿrŸpÿn-Cbikrpi, KÔPOIH Ka. 615
kazrap arrbig ïki kalapan 570 | « Tax deprä kipai,
np kaxakka karsin aÿrÿpÿu-chikrst, « | Tax reriprä csIkTEL. »
ak kyayaub icräx 1ckä Ily ry6ama
Ta3bn Jÿrÿpÿu-HApi, Kÿkar asbut 40pin-TapAbl;
ÿc wep osapixa
575
195 Bulletin de l’Académie Impériale
Karranny1a ny rackblinb1 a3bIDAbI,
7100
196
JeTTi KŸHrä TÜPà ASBIL JÜPIN-AA]BIP, 620 | 03aPPIH KÜPIN TYPŸU-HAAPIP ;
ak Ky1YAHÉE nappax Jepix ak ragaiabrg kasbinga
nilä-4OBPII. àI TYP-4AAbIP ;
Côuxa kaapan Karrauyyaa, ak GpräâHiH AXHPIHJA
TYOAHHEL 6ÏpIn epTin AITHIH BICTOHOA , 670
ak kyayaub1 kaub1p3p16-0Kk nap-4a1b1p. 625 | BICTON0à NaIHAII-CAIHAH
Kyÿkar ny ry6anza | a5-oi AT TYPŸ1-4A1BID;
asbin elän-40p-4azxb1p. Aurbin Ipräk ak eGinïx
Uerri kŸHHÂH ePTKäHË, ICTIHJà Y3Ÿ1-JaAPIP ;
akcbix agen, ak kyayayak oixan-Kelin, 675
ny TyOaHHBI 630 | HAAHAN-CAIHAH
ICTIHà TAPTPINI-JA]BIP, aG-0i ATTHI
ŸC KŸH agb110ac e6ipä YÜpIT-JaJBIP,
Hy TyYOaHHB1 TO3à ICTIHà TAPTHIO-ANAPI, KÔpin epTin-ChIKTBI,
akCbIHAH a3pan-1a461p, HAJFAI-CAIHAH 680
COHAH CHIBAPAI. 635 | ab-oi aT KICTäT-JAABIP,
Cô Ty6a nozpin dazpin-Kkalii, ysÿn-darkan Aurbix Ipräx -
AJHBI AIBIK HONBIN, yckyabin Tackap cbi5a-konxpi;
ak kyayanbig si kÜpsä ak kyzyauak
Tä6-ATBIN, gÿrŸpŸ1-napi. 685
amzap-0k cÿpÿn kagppapn-napi. 640 | «Y3yn KôpOIH kazzpiM,
.Kyÿkar msraga ka. kaïjar yakcpr kyayayak nap-4axp1p.»
AK kyaya nilin-napisa: Abix cecri6-a1bin, :
«Mpman-ap ak TacKB1IHBIH ANTRIHAA, | e3äpinüH TAPTPIHBIN AITAHPIO-AJIAI,
ak Tasaigbiy Kka3b1H]a «Y3ÿn-vaxpin KÜpPOIH-KaTAbIM, 690
ap-oi artBif Ai Meprän 645 | ak rackpumbrg ÿerÿnä
AABII HAP-IPräN-TIP, CBIBII-KÜPIM,
HAJEPIC Kai, uô nemä CÿpŸn-napi;
napakCan5a auBIHNAH KI], yaOaï eTCä, 1A0643bI ETTI-H,
aa Hap-KÜpIM.» Kidiqäxk ak kyzyx 695
Ak kyaya 650 | HÔ O6AI eTKÂH ke
Ai Mepräarä aÿrÿpÿn-napi, ny Ki3ä?»
AJHBIH KÜP3à Ak rackb1Hb1H
ak Tackb11 TYPŸn-Va/61p, Yerÿnä cppbin-Kelsä,
kanarrBir kyc kapa kaaTap arrir 700
yaypyu Ÿerÿuä 655 | Karramyaa Kelin-gaasip. |
CHIBBUI HOAOIH-JABIP ; aB-0i AABIH
kanarrpir kyC Tazbin ak Tackp11Hbi
HAHABIPA TŸ3Ÿ0-VaABIp. O3aPPIHA JA ANTAPEIN
Kapcakrpif a kaïsin uÿrŸpÿ TYP5Y3Ÿ1-CA MI ; 705
HAHABIPA TŸ3Ÿ11-YAAbID 660 | XA3BIR AJIBIN,
ny TACKELHEI |kypaysÿnax ok cÿpri6-aarn,
ŸCTYHà CHISPII NONOIH. TETAIHIH KeCTIHÜH JA3bIHBIT-4A/ABIP,
Ak kyzyarak RaTTaHNyJa8Bx a3bID depaä aTTappa.
ak rackormbrx YerŸaä AaTeta Ipräk capbi6-a1xp1;
CBISBIN-Kel}} ; 665
16) Castrén pans fast überall: kiné (künä).
17) Castrén:eäm. Aus äsïm.
18) Bei Castrén: kulendakte.
197 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 198
TapTBIn-Kelin AITBIH Cipätig ŸerÿHaä
AJTBIH IpPräk ATTRIÔ-PICTHI. aaTon KBIIIBIT garkan Can-4a]b1p;
Axa TyPŸYn-KÜpsä, ak kyayayak oixan-Kelin,
RaTTAHN y JAHPI 715 | kbip arrb Ÿce e6ipä
AAPI HO3BIOBIHAH aPA ATTHIO-BICTEI, epTin-DaPABI, 760
AuTbiH Ipräk Typÿu-Kôpsä, apaagyaa KBIp aT:
Kÿkar riri kelin-4axp1p; «äm ‘”) Kapa Môc
yasbin kangbik, Ta6Bipak chik!»
kypay5ÿHax ok cÿpubik, 720 | Kapa Müc cri5a kon.
OBbIH JApA Carpasakra Kôpsä ak kyayn aÿrŸpÿn-napi. 765
Kyÿkar uexin-Kkeliir, «[lajazan garkax cannasam
ca6ap5a KB1IBICOBIHAH uy ak kyayayakrTpr *)
MAHHAHMAJI , KÜpin-karaprp1knbiH.
aTTAP5A OKNBIHAH MAHHAHMIH 725 | A5-0i aCKbIPHPIH
daJBIn-Ka pt. kyzÿHpr okcac, 770
AJTPIH IPràK AJPIHA AJTAHABI, AgTHIH KRaHHbIH
Rÿkarreiy COGBIHAU Tüh okcac;
cÿpÿ3Ÿu-napt, nypyaza men älän-vüpränimä,
KÿkarrTbi gexin-Kelai. 730 | aabin kazpan AuTsix Ra no15an;
Kyÿkar Aurptm IprärTi AHBIH UAJABHIHAH YAÿH 775
ka6-axapr, ülsäm, ol.
AXBIHAH AHAAPA TAPTHI0-AJJPI, HO nemä couax kauprp3pm-Keli-ni.»
KŸ PSI — JAJBIDIAP KRpIp aABIHA AITAHAI,
derri kÿarä ”) Täpà; 755 | kapa rackbumbm ÿerÿuä
JeTTinni KÿHŸH}à csijapa uÿrÿprin-kelxi; 780
Aursia Iprärri Kÿkar ny CapbiHax Rapa Müc
OAI — CAMP, CHIBBUI-Kel Ai,
TÜ3ŸH CÔrË TAPTTHI, osapriax Kÿkar
KÜKCIHIH KAHBIHAH 740 | CHIapa-Kenzpt.
ÿce kosoc idin-carApt; «Kapa Môc yaÿr axpbin, 785
APBIBAHBI CEMIPAÏ, ACTAHPI TOCTHI. Mapa cen kaAb11-6a,
«A7p1p, ak kyayxyak, MeH Capa KAJB1I6ACUPIH.» —
am-xà kppbik ub1x aŸrŸpsäM CHMPOBIH.» «AK KkyxÿHub1 cex H0 exäprä
Ak kyayauak co6bmag-ok cÿpÿn-napi. 7a5 | CYpŸn-napisan?s
Koip arrsir Kapa Moc: Rÿkar anar-ap-0k 790
«Yayr aan ny sepnin ferÿmä, aÿrÿpin-napr,
Uÿ TETIPRÏH AATHIHAA, Rapa Môc axpin AailAHABIPA TAPTBIN,
Kapa Môcrax, Kÿkarrsi cYpÿn-cbikret,
aHaH YAYE Aïn eCHAOÏR, 750 | dexin-Keli,
KRapa Môc Capa 101BISAP ; kamnger-6bIHAH APHASBIHAH-AP CANTEI, 795
aHa-Jà CHIAIP Kÿaÿm nap-0k.» KRÿkar exi a5bip5arya
Ak kyzyayak Kapa Môcrstx capansax 1ÿrŸpin-ChIKTEI.
yepinä yezin — Kelai. Agoin Kapa Moc:
Kapa pate YAÿE Ib 755
199 Bulletin de l’Académie Impériale 200
«a6ar kamnb1-6bIHaH CA0-PICTEIM, Akkan cyr-6a, KôiräH OT-11a?
KBLIPIC-HBIHAH CA0AP 104-THIP» Tip. 800 | Kipä-ceripärä aôpin rokragpi *),
Ias’ok Kyÿkarrpt | MAÏMAGBIH Cÿpÿu 845
yexin-Kelnik, ABAHPIHBIH IPTATYH ML
KaMUbI3bIH TANIOPEA ÿPT TaJai5a CyYEÿIL KÜPIn-4A AID ;
KBI3BII-CAJEI, kaina cykkax, capaay'ok
KPLIBINBIH CYPA TAPTHIO-AJIBI, 805 | Y3ä-Kôjin yazpm-Kar pl.
ueliaäg-àp Rykarrbi CanTbt, KRÿkar Kkopbi5bin-napzt, 860
TOHBIH, CXIH JAPA-CANTEI ; KeAäP HAPBIN KÜPIN TYPÿ11-1AAbIP.
côriaä ana TOKTATTEI, <Kaïxi ny ŸPT TaJAÏHpI
exiaä abbipina !), KeCYäH? HEMË HOIMAH ?»
capannax Rÿkar Kapa Moôcrbr 810 | KÜPIn-TYP3a, ŸPT TAJAÏHBIH
ka6-axmin, kasbiaza Kaja Typ-1a4b1p, 855
AI D03bI-OBIHAH ox kajaubny ÿerÿrä
Hpil-Ca 11. CbIBbIN-KI 1}
Ak kyrÿagakrax-0k KRyÿkar,
Kkagb1p3bm-na pt; s15 | kaja ÿerŸnäx kôpin- TYPSa,
NY JAPHIKTBIH AJITHIHIA ak kysÿagak 860
ak kyaÿx uüpôäx yep
kau6azpr.
Aurbix Ipräk-ninän
KRapa Môcrax nacka
nip HeMä Ki3i-Jà
TAOBLIOA I;
dep-6inän Terip Tÿräarän
yeprä 4exin-kax1p1;
napap uepi 40k,
HAHABIPA AÏIAHBIN aÿrŸpi6-0ABIp,
oz-0k depinä Typa-rŸcrŸ ;
yÿrÿprän i3i-6inä
ŸpT TaJai JAPIAHÉN-JA/PIP;
AHBIH OPTA3PIHAA
Ke3äK APBIT NOJIEI,
OX aPPITHBIH
IcTinä KIipi0-aJ]b1,
HAJANAEBIH JePrà
Tÿsÿpai.
Ak kyaÿu cÿpéäcrir
kbicka ky6ÿ21516-axxpr,
KRÿkar Ypr Taraiabiy
kbrpina uexfn-Keli.
«Razak! #0 Hemä noxmar?
19) Castrén: êdenän âganine,
8
ë
(ee)
ND
Qt
8
©)
©
(ee)
C9
LEDs
8
; 8
kbicka ky6ÿ15ax
DAJANA GEI
kygakTan oXbIp-4azb1p;
Rÿkar oxapap1 Kôpin
kajanb Ÿerÿnäx
ceripiô-BICTBI,
KE3äK APPITHPIH
OPTA3HIHA TŸCTŸ.
AK kyaÿe kaixi-1a
NOJAPBIH HIOIH-4A APP ;
AJà COPTAHEA
kyGÿapInT, DAJASBIE bI3BIDBI0-AJBII ©),
YPT TaJainBi4 Tÿ6ÿHà
alAPBIT,
kyusa Ky6Y3ABIpEIN ,
U03BI AATHIH TŸKTŸT
üprärrkà ky6ÿ1Pm
YPT TAJAÏHBIH OPTASPIAJA
4Ÿsÿn 4Üp-daJbIp,
Rykarrpixg kaigt
HOJAPPIH KÔPUT.
Kyÿkar oïxan-Kelmik ,
Kelsä nip-1à Hemä do5bna,
aHJap Tilän, M nilär,
TAUTAJEI.
20) Castrén: Kirä sägärägä sh toktäde.
21) Castrén schreïbt: ezeréb
865
870
875
201 des Sciences de Saïint-Pétersbourg.
TYPÿ1-TAAHIP ;
KŸMŸC aÿräx CYHŸI-CAITHIP,
esäpia Ypÿ1-CAITHIP,
TOBBIC kazbii KOCKPIRBIH CYSŸT-CANTHIP,
22) Castrén: dir altène kireb este,
Apanÿaa ap-oi ar 9ÿrŸpin-Chikrbi
qarkan TAC YAPHIIBII-YA DID,
TYP5AH AHAC CHIHBII-HAABIP,
23) Bei Castrén: münäne.
206?
Osaprmag ceriprän kaja ÿcrÿnäx; TOBBIC Jepaäx KoMIGH TAPTBIN-CAITPIP ; 930
Iÿ CAaPPIHAH abIH e6ipä KÜpin-40psà,
AFAC-Tà JOBBII; Ryaai esäpix axbra kasbina
YPT TaJai5a DIdÏK NAZPIN-CAITHIP,
YbIMBIIIABPIH CYHŸI KÜPIT-HAJPID ; 890 | AABIH AJAI-CAITEIP :
kaïya cykkau, capaan'ok AG-0i aTTHIT AJBIN AilOJai ; 935
Ysä-Kôjin Jazp1n-KaJ]b1; äp AAPIH aJAHJA
KRÿkar H1San 46pin-41a]pip ; AÏJAHBIT HAHAPEA
kaïxi-1à n01apB1H n1161H-4a]b1p, TePIHINI-YAIBIP.
ÿe KkŸarä Täpä 40pOIH-YaAbIp, 895 | Apbin-u4aTkan (7)
nenqä nap Kÿ3Ÿ-61Hâx ŸDT TAJainbIH 940
. CeripiG-BICTBI ŸPT TAJAÏHBI KEUIPà, kpbipina Ye KaTTAN 1a3bIp-4a bp :
O3aPPIBJIA A3aHBI-OBIHAH KobI «KykaTrax Meni ambin-kapasax.»
dCPAËH TAPTPIHBIN-HAJBIN Ai-6bIHAH KŸHTà J0F5ap
CPIBBINI-DA PI, 900 | Kyzaipa derri karran
cogza KÜpOin aÿrÿpin-napi. HABBIPABI. 945
«App, ak kyxÿanak! «Aïra Rykarrax
kaqau noxsa no3b1-1à Keläp maña.» aIBIN-KAITHIP.
Aïsanpm Kykar nappi6-BiCTBi, Aixozai arka mŸaräx #),
ÿpr Tasaixa sŸ3ÿn-1üpräa 905 | aiaHBIn depinä
üpräk oz-0k ak kyrÿagak; q6pin-ChIKTHI, 950
kapa kaja fcrÿnä apa#qÿ Ja a5-0i aT
ChISBIN KÜPIO-TYPŸH-JAAbIP. KÔK OTTHI
Kÿkar ÿe kbIpHp1 a3HIn-naphint yaOBIPa-TaCHIH.
yep AITPIHA KÏPi0-PICTBI *°). 910 | A-0i a1bI CÔlän-napr: à
Ak kysÿagak «Ab Tôpäx Ail01ajpiM! 955.
radai Tÿ6ÿaaäri KaMBIH DYAŸMEBI JAPA-CAN,
IAJASBIA dep ŸCTÿHä akCPIMHBI 4APa-TAPT,
annaphu-Keli, |aÿrÿpin-Kküpim;
kyckanak üxipin, 915 | nekTäni6-0Ab1p,
CICTAN A3PIPAII-AA/JBIP. 0H JeTTI JepPHi 960
Ai agbickagra, ürripä Ôckän kap5aHalBir
JbII EPTICKAHHE, kapa kaja, F
ar ÜCTI, 103b1 ÜCTI. ox kajaubt Tan qÿrYPIl-KÜPIM.
Ox kapasbin TYaHäN yY3ÿ1-JaAbIp, 920 | VC ALIIBIT JBLHIAC
ATTAP TAH ATTHIN-Kel]i, a3ABPIHIA, KOAPIHAA TOBBIC kazxb1a 965
APBIT KŸH CHISBIN-KelAi; MOJAT KCSäHHI |
Oxak rackap chi5a-konxr; ÿsä aÿrŸpin-KÜpIM» TeLip,
Kôpsä «TYAŸH-1aPIsaH
aaTbtH TYKTŸT A5-0i-AT 925 | dIGäk TIHHäH
noc caxa-6ep!» Texip. 970
203 Bulletin de l’Académie Impériale 204
OH Jerri depui ox tÿlrÿ emäc,
ürripä OcKäH 975 | kbiphik RÿkaTrbiy
Kkaja TalaJbIm-4a1B1p, OUI TYHMA3DI
kox asänza Temip Kesän Ojprager Rapa,
ÿsÿ lir-yaxprp YAŸF axbIn, 1020
aÿ-0i arrsi sÿrÿpisiuäx. yaÿr-cÿmälir
Ve aæuBiT 4praC 6xak: 980 | OX HOINAH.
«Kyÿkar! kaïzap napabm?» rexip. Aïxôzai 40pi0-0Zb1p!
KRb1BENAHPI MHIHJA APISAH KaJBIHHBIT Taipà
Ailoïài TYHMAHIHA Kipä-4ÿrŸpäp; 1025
ecrilin-Ya Ip. dIOàk TIHIHHÏ
ApaayÿJa a5-0i aT 985 | 1@p TAPTHACCAN;
Typa-TŸcrŸ. n0381M-1a nilräayä CYpäpôin.
Axbin Ai1ogai Raïein Taisaya
Tÿsà *)-KOHJpI. THISBIH HEPÉACIUE ; 1030
A5-0i aTTHIH A3A5bIH TaÏpaAAr CHIBEIT, TACKPIIHBIH
kyrakran na3b1p-1a7b1p: 990 | nfaÿrinä aÿrÿpin-napap.
«Apaanÿ1a Menïit A5-0i AAbIM Tackbuabig nÿsÿrinä
n0 uemä milin Typa-TŸCTŸH ?» — THISBIH HEPOÂCIIH MCH AFa.
«AJBIn TÜpäR AÏOJAjIM, Ak uasa uÿrÿpäp, 1035
AJHBIHAA HAPIBAH JOIBIHIA ak 4a3P11a THISBIH HepOäCnin.
Hô nemä CeH mlä-11psâH ? » — 995 | AK uaspixa kaja Typÿn-daxprp,
«APaHNŸÿIa A5-0i AAPIM, 0x Kajansx
ip xemä nilà-40HPIIOBIH,» — e3iri ANBIAIBIN-TAPHAH
«Ranan-J1à menix CÜ3imni TYPŸI-HA IP. 1040
ecrin-10päpsäx-Mä?» — Ox kajä Kipräsärrä
«ADPaHTŸ1A AF-0i AAPIM, ‘1000 | TYTCAH, HICTI HOJAP.
cenïx côsiqni ) ecnänzä, Tyxÿn nondin kaja ripôäccäx,
KeMHÏH CÜ3IH ec4änMin?» *) üläpsäx.»
Moiabia kygakran PHIpan-4apip: opin-chikrs1, nopÿrrà yexin-Kelyi, 1045
«Ecräp-noasag côlän-nepim. kbipinag eprin-napt,
By napijan 402b11a 1005 | kapa Tÿlrÿ aÿrÿpin-chikrr.
Ke3äK HÜPŸT NOXAP; «Apaanÿaa ab-oi ar
ox nôpÿrai KbIpinaH Meni dexä-uÿrŸpain,
eprin-napisax, aabin Tôpän Ai10Jai 1050
Topric kyaac kapa Tÿlrÿ MeHi ATCHIH.»
OLIAN-CHIFAP.» 1010 | iGäk TInjx n0c caza-6epyi,
«Apagrÿza ar-oi ar KaJBIHHEIT TaÏpa koervk
meni dexä-gÿrÿpaïn, kipriläp.
aapsin yakcbi Aixüzai Ragbia TaÏ5ala THISBIH nepoäxiläp ; 1055
Men JeJin ATCHIE.» KaJbTHBIT Taipaqan CHIGapa uÿrÿpin,
Aub1 Cÿpärä Kepäk, 1015 | TACKPLIHBIH nÿsÿrinà aÿrYpAY,
ak rackbrayax Tÿsÿn,
24) Castrén: tüü. ak qasbya cŸpÿn-napi,
25) Castrén: sîne sôzän. ak wasbi1a apagyÿia a5-oi ar 1060
26) Castrén: éstägmen,
np KŸHHŸT dep nypHaubt;
j € pole Te :
PE RE I PR em TE
205 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 206
ap-oi at TŸIrŸAäH Ouap cenï ain-carap, 1105
kel-aÿrŸpaŸ ; oJaprar dep kopriknie,
kapa rÿlrÿni cagbi6-apmn yÜpi6-01BIP3AH,
gÿrÿpiu-nap. 1065 | ceH kophiknasax,
Ag Aï10Jai OJap CenHä kopbipapiap;
Ca5aM TyAŸn-KÜp-AûK !» Tezip. TÔprinni e3iriHà 1110
Kapa rYlrŸ conay vexin-Kelai KiPin-1a pisax,
kocri Kkelränzà; OTTBIC KBIC OABIP-HAJbIP,
Aiïjogai 4a3a käu-kaaxpi; 1070 | «esän Aïxozail» Tipläp,
IKIHI 31H CeH yep TanCaa,
ua3’0k derripä 9ŸrŸpAŸ, koi Tilipläp, 1115
Aïjogai na3°0k Marnaumix kogbix 4ep nep-6à!
ga ABIN-KAJTIb] ; KOIBIQUEI nepsäx-ÜK,
kapa kaja ÿŸe kyaac kaa-napi, 1075 | dläpsäx; am Kip!» rezxip.
ApaanÿJa a5-0i ar: Aubin Aïl10Jai Kipin-napi,
« Akcpi deTCä PI3bIPAHA» TEJIP. kan-Kipäläp, napbiCTap, a6azap 1120
Vrrxÿc- CATAI. | KOPBISPIN-AABIPIAP.
Kaja rÿlrÿ Kipä-konypr. Tôpriagi esirisä
AG-0i AT PBISPIDPII MAHHAHMIH-Kkayb}; 1080 | AuBIn Kipin-Kelsä,
kajanbi4 e3Ïri JaOBLIPIN-NA PI, OTTHIC KBIC OABIPBITI-HAABIP.
Aubin Aï10Jai Kipäp depin «ÆEsäx, Ai101ai, 1125
TANHIH JÜPIT-YJAAPIP, kozbig nep!» rexipläp.
eGipä kelsä qÿc nÿr *) Aubin Aixoaai
jec roknak gqar-uaxp1p. 1085 | A5-01 ATTEIH
Aïioai oïsan-Kelin, YTPäTKAHIH YHLŸI-CAITHIP,
ox TakuakTb1 kä6 agp, koabin oTTpIC Kkpicka 1130
ONAT-TAPPIN, nepin-CaJMEBIK ;
kapa kajanbr uec roknak-npinag cantbt, OTTHIC KBIC OABIPTA
kajaubix esïri agbra TŸcrŸ; 1090 | TAPTBI0-AIIBHIAP.
TOknAGEIH TACTAË-HICTHI, Apagnÿla a5-0i aT
Aïogai ox kajà kipin-napi, KIpä-KOHAI. 1135
a5-O0i AT KPISPIDEI-4AABIP: «Ab Ai10Jai,
«AJbIN Aj101ajbIM, HOGA AIBIT-3aH ?
kel näp! mexxäx cypar-nok 1095 | kozBiHHb1 nep-6ä, rä6im kai» rexip.
KIPIn-TapPI3aH , Orrpic kbic mip KbIC n01BIN-napAB,
MBIHAH NP e3IKKà RIPSH, nip kpicrax-ap cozang ky3ÿŸpÿkretr 1140
ikki kau-Kipä kycrap, oÿprà ky6ÿ1616 *) - axpr.
OJNAPHBI EPTKÂHAÀ, A5-0i a1bIH KÜPOIHËH,
aHAH-AP 1A3a Nip C3iK *); 1100 | Aixôaai Typa-koHap5a,
agbIN-KiP3äE, Kküdÿri deprä JanCHIHbINI-NAPTEIP ;
naPBIC IKKOÀ n0Jap; nfp ag-oi arrsi Cÿpÿn-CsikTbt, 1145
OXAPHBI CPTKÂHIË,
faÿani esirinnä irki kap’ an UOXap.
27) Bei Castrén: iberä kilzä düs pût.
28) Bei Castrén: ananâr baza bir izik.
Tome XXXI.
ap-oi aT 4ÿrŸp-NaPIphin,
côu kaja-nakTb1,
kaja3bi-Jà JOB,
29) Castrén schreibt: kubulep.
207
Bulletin de l’Académie Impériale
Aïxojai ak ga3b1Z1a
JAJbICKAH OXBIPEIN dAAbIN-KAbIK. 1150
A5-0i at depHi4 TÿHHÿriHà
4ep AITHIHA TŸHHŸT IH
a5<0i AT KIPIi-NAPI;
yeTTi dep AITHIHA TŸ3ŸII-KeÏmiK,
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YMäKTAN CHIBPIO-OJBID
TaH Ki3i, TaH Aira?
A5-0i AT TAHPIN H0161H-HAABIP.
Korpina aÿrÿpin-Kelsä,
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gäJac4an ŸC JBLLIBIT 4bIJAC OJak
YMäKTAD CHIBHIO-0APIP.
«Ta6Bipak Ÿc aprapir Gxak,
Ma5a a1Tan!»
A5-0i AT Ja/JBII-Nep}l.
«ok, Men Capa mÿamäcnin,
kozbra nepränä kü1ÿrin
geprä JalIICHIPIAH.
Kyÿkarrbrg cÿmälir
Ojsrambr Rapa n01-6a?»
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HAHABIPA aiJanbin Jÿrÿpin-Napi.
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Coxan nÿp: «RisiOIR» ‘ Tin
cÜläàn-4axp1p.
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aM KŸpä3in-aAbIPJIAP ;
YeTTi 4bII KŸPäSÏ-4ALBIT
üxipin-4ÜpIG-HICTPI.
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TO3a ÜLIPAI.
1155
1160
1165
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1185
1190
Kÿuuÿr deprä Tazasbm
CHIBbI0-O/BIP.
A5-0i AT «Ma5a MÿH»
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« ok, mex capa
yep MŸHMäCHIH»; TEAIP
gasar Kkelrä6ïn,
gasar-0k CHIFAPOPIH. »
ep fcrÿnä chipbn-Kelui,
asak ÿerŸnä Typÿn,
JYŸTäHIH CYHÿI-JA/AbIP ;
esäpix dakcïza ypÿn-4azb1p.
CAMABI MŸHËDOIR CAFA.»
A5-0i arka alTaHpl6-abin.
«Aï101a1 Kaï1ap nap-1axb1p?»
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4ÿrYpi6-OZXbIP ;
aJIBIN JaKCHIHAH
Täpä Tosa nelàrrän-carpan ;
Kel-4aJb1p,
KICTä6-0ZbIP ;
«Aavin gakepi, äm KŸlŸK,
esäx Kelin-4a151p3ar-ma?»
Ve aimir apuäc Oxak
AÏlOJAÏHPIH AJBIHAH
TYsä-KOHIBI,
ny a5-0i aTka
OlAN-HA PIN,
diOäàk Tiaaàx kanTBi,
e6Ïpä axbIH KOpIn JÜpIn-4aABIp,
KRyaai nackax nidik esäpinäx
AIDIH Ka3PIH]A.
AZPIH AJAN-CAITHIP:
A5-0i aFTBIP Ai Meprän,
aABIHA AITAHBIO-AJIBIN,
Aïlo4aipa 40pTh1n-Kelyi
AAPIHAH Tÿsà-KOHbIN,
Aïl0JaÏHPI CHHÏHËÂH
TYAŸN KÜMIPIN-YAABID;
KÜWŸTI Jeprä HANCHIHBIU-NAPHAH,
KÔAÏPIN NOJÔTH-4abIp.
AÏOJAÏHPIR A5-0i aAbI
Colän-gaxprp:
«Ai Mepräx, nap! TOÿBIC AIBIITBI ABDIIBIN
AïaOJaÏHPI KbIPIHAA OXMIPSäE,
HO3BI-Aà Typÿu-Keläp.»
1195
1205
1210
1215
1220
1225
1230
1235
Ai Mepräu: «Keipsik Kykarrax
_, kopriknänya,
L
30) Castrén schreibt: sôläpir.
209 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 210
Ai Mepräx côlän-daxp1p: Cipäpaäx kopbi5apôBin-Ma? rexip,
«KRaïaH TOBPIC AIPINTEI dsäpräx kopriknanya,
ABBIIBIN OAIPRAH? » ôläpräx kopsisapôsta-ma?» rexip.
A5-0i at: «IIypÿHza ArtTag Tÿsä-konbin, 1290
MeHi CYprä 1245 | RÿkaTTPBI O156IHa
kapa kazrap arrTsir Ratraunÿaa ; JANCHIHBIN KŸPäsin-1apPi,
AHbIH YOHPIHIA aabin TÜpäx Aiaozai
TOBPIC Ki3i JOHPII-6a ? RarranyÿJa8biH O5EIHA
ap, axax a5Bipin-nep.» JAIICHIHBIO KŸPä3in-DAPHAP ; 1295
Ai Mepräx axpbiHa axTanbim 1260 | ai AJBI3BIN-YA]BIP,
RaTrTagnÿianpig yepinä YbLI CPTISIU-4AIBIP,
DAPUBIK ; ŸC ABLIHBIH NASBIHIA
TOBBIC KI31 TYAÿŸÔ-AJIbIN, KR’ AJBINITEI
Aï101aÏia ASBIIBIN ÜXIPAI. IKKI31-OIHäH 1300
Aïixoïai n03b1 Typÿn-Kelai. 1255 | OXIpaïläP,
«Esäün, axpim Tôpäa!» Aï101ai-GbIHaH
AïgoJai KoïbIH TyAÿHBIN Ai Mepräa ixki kapbinyac
esänHHäCTIläp, ATTAPEIHA AITAHBIN, yepläpiaä alain
ikkÔlGH 4Ôpin-CHIKTENIAP, HAHPI6-OXBIPIAP. 4 1305
dÔpIn-HAPBIN JeTTIläp. 1260 | Apagnÿaa ap-oi ar
cKbipbik KÿkarTTbux 015pt Typa-TÿcrŸ.
uÿx yJexäp, Aïxoaai Ai Mepräx
RaTTanÿIanbiy 01581 IKKÔÏGH A3AFPIA
_IŸu-ÜK Keläp; kygakran na3bIp-4a1BIpIap 1310
Rykar-nsrmax Karrannÿsa 1265 | «ApaHnÿJa A5-0i AT,
ÎRÏ HaÏNBI HOJIFAHHAP, HO HeMà nilin-TYPAŸH ?
OJAPHBIH HAJAIAPEI gs ya3BIpOiH nilränigai côlän ”)-nep.» —
ÏKK-’ÜK HAÏNBI NOJAP; Lepiqiä MAIBIHHPI
apaunÿia AÏIOIaÏHbIH aan yakcb1 CŸpŸn-napt, 1315.
a5-0i AJbI . 1270 | YOHBIHHBI ÜXIPIN-NAPI:
côlän-nap1: agsin Toôpän Ai Meprüäx,
ÿarÿ KkŸanä deqäp MbInya, cex Ta6Bipak uepixä Hag!
Tek TaObipak ceHiH, AixOJai
40p16-0181pHap !» ‘[kar axap MOIqär nŸH DOMAH ; 1320
En naps16-oxprpsatap, 1275 | nÿa kaTTPHHbI AMBII-101048aH, L
ÏKKÏ aPaayÿŸ Ta ATTAPHBIH AAbIH-Aà TAC, 103BIH-AA TA3-0K 10JAP3A,
THIHHBISPL TAOBI3BI MbIHAH-Ap ŸC Terip dep,
yaÿr uel-uelän Teripaäx 1rigi-yok,
Kozan-Keli. AJTHIHAH TIpädI-HOK, 1325
Arai CHIHHBIE ŸCTŸHaà 1280 | TeripOinäH 4ePHIH OPTASLIHAA
TOHACTBLIAP. AXTHIH TYPa TYPÿ1-1AZbIP,
Ok-nsinar arreisanap-6a ? anbix icrimaä Ai Apr a6akai,
kpupic-npinax Kesisänäp-6à? HOCTBIT HAJA OXBIP-JAABID ;
neläx KkŸpäsänäp-6à? axap cenix Ryzai CAI5a, 1330
1285
ac dif TOCTBI, ApapA Ïain e3ipai.
«Aubin Aïl0jai, cakbixar ca6bI3a1-6a ?» —
«RaïAT ca6b13apObIc ?» —
31) Bei Castrén: kirep kilzäg, abakaï.
32) Bei Castrén: Sin âden sal.
ep enui Kelränyä,
TOI eJÏ0-4AaABIPIAP,
yeTTi KŸH Toi ETTIläp ;
33) Castrén schreibt: min bôzemne salim.
34) Castrén: sôläp tâder.
211 Bulletin de l’Académie Impériale
CeHT O1 HOJAH.» — «Yc KaTTan 4a3b1Hapa;
<AITBIHAH 1aCKb19BI-H0K, ceHi MEH TAlNCAM, 1375
auJap Kai4ï na5b16-aanar? a5-0l AAbIH MCHI HOJSPIH;
AHAH AHIAPEHBI6-0lräanä, MeHi CEH TANCAH,
TAC UOJBIN TYPŸD-JAJAPOBIH. » — 1335 | MEH CHI HOMM ;
«ok! axbin Tôpän Aitôaai CCH AABIHHBI CAI,
aHJAPHIIPI6-0l6äCCäH, MEH HO3BIMBEI CAAIM ! » *) 1380
me Ceni derripäpig nilräiôin, Tackap Typ5ax
AJAPBIH CeH MIäàpsäx ; ap-0i aT
Kkipin-Kelsäx, a6akai *) 1340 | 4OHBIH ECTIN BLIBAN TÿP-1AABIP :
yakCb1 OABID-YA/BID ; <KRaïat nysapabr mekkälärr-KÔpTM ?
ac nepin A3BIPIP, APANAH HEPIN CHHIMP, Aa Tôpäx Ai Mepräa 1385
ac AIT TOCCAH, eGiHzaä aJBInKa AJABIPTBIN OlIN-HAPT.
apayax idin e3Ïpsäx. Ext merrkälän-Kôpim.»
««Cakb1IaT Ca6P13aH,»» 1345 | TypOinag ap-oi ar
Tin CôMp, côlän-qazpip: *)
ceH dep CAOPIC-Ia ; «CakB1aT 4ep Ca6BICHAHAP, 1390
««Ÿe kaTTan 4a3PIHA I, Ai Mepräs eôtyä
ceHÏ MeH TANCAM, : AIbINKA AIABIPTHIN-JAAPIP,
AF-Oi AAPIH MCHI NOJI3HIH, 1350 | Tek Ta6BIpak napap5a Kepäk,
CeH MeHÏ TANCAH, Ai Mepräx ülin-napôasbin,
MeH C€HI NOJIM. CaKBHIATTBI CA6BICHAC KEPAE.» 1395
Cen aapranB1 Can ©), Agir Aïa0dai Chi5a-koBJpi,
MeH HIO3BIMHBI CAJIM !»» apanyÿ ia af-0i AXBIHA
E3ïpi6-ox81ppin, 1355 | AITAHPIO-AJAI,
cakbiJar Jep ca6pic-na!» Tezip. a6akai Ai APbIF aJTBiH TŸKTŸT
AJPIHA AITAHDIO-A II kapagbisaisa ky6ÿaÿn, 1400
düpin-ChIKTBI. YAÿ5bII-CHIKTEI ;
Ai Mepräx gepiaü HAPAEL. ap-oi ar dep Ÿcrÿ-Ginä
Aïl0Jai TeripHiH AITHIHIA TYPHAH 1360 | aŸrŸp-napr,
Typa dexiu-Kelyi; Aï Appir TerIpHIH ANTHIOPIHAH
apaznÿJa a5-0i aT Y4ÿ5bIn-napI. 1405
AïoJaisa esirix 2 mie goJJa TOKTAT 4okra,
«Mpinar-ap Kipl» Tin. yepinä wexin-Kelai,
Aïlôïai esiria agbin, Kip- nEDAGI, 1365 | aabin Tôpäx Ai Meprün
a6akai sakcb1 Ai . AJBIT JaKCHLIAPHPI
OAIP-AAJBIP, | kon üxipin-Tip, 1410
abII Ail0Jai KiPrää, en-cai 40pin apap’idin
ac nepin A3BIPAI-YAABIP, qÜp-JA IP,
apaFa HPIN CHIJAN-YAABIP ; 1370 | Aixoaai, Ai Aparr
1415
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213
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
214
TOHBIC KŸHrà rép
YOHBIH CHIIJAIPIIAP ;
apaHtŸ JA YKKI AB-01 ATTHI
YYTAHHAPIH CYpÿn,
esäpläpin api, CalbI6- “HICTEHAP mp À
Teripaix axrp1uya,
yepnix ÿcrÿHaä
Kyaai yajapau
AIBINTAPEA
THIXBIHAD ip- né HeMä
ok 10.
1420
1425
ANMERKUNGEN.
1) So schlug ïhn, dass er von seinem Rosse herabfiel.
Bei Castrén: Zog ihn vom Rosse und schlug ihn.
2) S. den Vers 327.
3) Dass er lag, dies weiss er nicht. Bei Castrén: Von
dem Liegenden wusste ich nicht.
4) War kein Fleisch für die Elster, zum Essen. Bei
Castrén: Die Elster blieb ohne Fleisch zu essen.
5) War kein Blut für die Hunde, zum Lecken. Bei
Castrén: Der Hund ohne Blut zu lecken.
6) Verse 512—514: Ein Haupt des Viehs, dessen
Anzabl 900 war, war die goldhaarige, weissblaue
Stute, deren Füllen fehlt. Bei Castrén: Neun-
hundert Kôpfe Vieh sind da. Der goldhaarigen,
weissblauen Stute Füllen fehlt.
7) Verse 939— 941: An des fliessenden (apsm-uarkan)
Feuer-Meers Ufer bückt er sich dreimal. Bei
Castrén: Nachdem er fortgegangen, an des Feuer-
Meers Ufer dreimal er sich bückt.
N. Katanoff.
Photometrische Untersuchungen über die innere Diffu-
sion des Lichtes, Von 0. Chwolson. (Lu le
22 Avril 1886.)
Im physikalischen Cabinet der Akademie der Wis-
senschaften habe ich, in Folge einer Anregung des
Herrn Directors H. Wild, eine experimentelle Unter- |
suchung über die innere Diffusion des Lichtes begon-
nen. Der Hauptzweck der von mir bisher ausgeführten
35) Castrén: èzerlären alep sâbep estelär.
Arbeiten war — die besten Beobachtungsmethoden auf-
zusuchen und in diesem, noch wenig bearbeiteten,
Gebiete gewissermaassen mich zu orientiren. Die Er-
gebnisse dieser vorläufigen Arbeit werden in dem
Nachfolgenden auseinandergesetzt.
Ausser den, gewühnlich als durchsichtig oder un-
durchsichtig bezeichneten Kôrpern giebt es noch eine,
gewissermaassen die Mitte haltende Gruppe von Kôr-
pern, in welchen eine’ innere Diffusion des Lichtes
stattfindet. Es sind dies die «trüben» Medien, welche
in Gôthe’s Farbenlehre eine so hervorragende Rolle
spielten. Sie kônnen in gewissem Sinne in zwei Grup-
pen getheilt werden, wobei jedoch ein und dasselbe
Medium je nach der Dicke der durchstrahlten Schicht
zu der einen oder der anderen Gruppe gehüren würde.
Durch gewisse trübe Medien lassen sich die Conturen
selbst äusserst intensiver Lichtquellen nicht unter-
scheïiden, auch nicht für den Fall, dass die Oberflächen
der durchstrahlten Schichten polirt sind. Wir wollen
diese Kôrper als durchscheinende bezeichnen; hier-
her gehürt z. B. Milchglas in nicht zu dünnen Schich-
ten. Durch andere Medien lassen sich aber die Con-
turen hellleuchtender Kürper wohl unterscheiden, wenn
auch nebenbei eine innere Diffusion des Lichtes statt-
findet; wir wollen diese Kürper als halbdurchsich-
tige bezeichnen. Hierher gehüren gewisse trübe Glas-
sorten, die obige Eigenschaft selbst bei bedeutender
Dicke zeigen und äusserst dünne Schichten Milchglas.
Bisher sind es nur feste Kürper, in denen innere Licht-
diffusion stattfindet, die von mir untersucht worden.
Es wird interessant sein die Untersuchung auf Flüs-
sigkeiten auszudehnen und die Resultate mit den bis-
lang erhaltenen zu vergleichen.
Ein Unterschied zwischen durchsichtigen Kürpern
(im gewühnlichen Sinne des Wortes, d. h. solchen, in
welchen gar keine innere Diffusion stattfindet), halb-
durchsichtigen und durchscheinenden muss sich unter
Anderem auch in dem Gesetz zeigen, nach welchem
die Lichtintensität sich weiïterhin ändert, nachdem
der betreffende Kürper durchstrahlt wurde. Es sei Z
(Fig. 1) eine Lichtquelle, welche das Flächenelement Æ
einer weissen Wand AB mit einer Intensität Z be-
leuchtet. Befindet sich zwischen Z und E kein Licht
_zerstreuendes Medium, so ist Z von der Form:
I = >
215
Bulletin de l'Académie Impériale
wo R— LE. Wird ein, zwar Licht absorbirender, aber
nicht zerstreuender Kürper ÆZN (Scheïbe) in den Weg
der Strahlen gestellt, so wird Z geschwächt; die Grüsse
der Schwächung hängt aber nicht davon ab, an welcher
Stelle, zwischen Z und E, die Platte AN eingestellt
ist und bleibt also unverändert, wenn dieselbe
z. B. nach M'N' verschoben wird. Ist LD — a und
DE = 56, also R— «a-+-b, so, ist bei allen Lagen von
MN stets:
WO + — K der Schwächungscoefficient der Platte MN
ist. |
Fig. 1.
œ
B
Dies wäre der eine extreme Fall.
Der andere extreme Fall würde einer Platte
entsprechen, welche nur durchscheinend wäre,
bei welcher alles auffallende Licht innen zerstreut
würde. Man ist berechtigt zu vermuthen, dass eine
solche Platte weiterhin (nach rechts in Fig. 1) als
selbstständige Lichtquelle zu betrachten ist, deren In-
tensität proportional ist der empfangenen Lichtmenge.
Ist die Platte sehr klein im Vergleich mit «& und b,
sodass eine gleichmässige Beleuchtung derselben an-
genommen werden kann, so muss die Beleuchtung in Æ
_offenbar von der Form:
sein, also bei constantem LE = a +-b je nach Lage
der Platte JAN in hohem Grade variiren. Dürfte man
das L'ambert’sche Gesetz für solche Platten anwenden,
so würde die von einem Elemente odo.dO einer grôs-
seren Platte MN, Fig. 2, nach Æ gelangende Licht-
menge von der Form:
LOT M ET RG 2 PNR 0. ‘a
e de de . sin à. sin 8
pp
sein. Einige auf diesen Fall bezügliche Ausrechnungen |
finden sich weiter unten $ 5.
Fig. 2.
M A
P. «18 4
L ÉS toip
772 A
2
AV
V1
Durch die Formeln (1) und (2) sind zwei, so zu-
sagen, extreme Gesetze ausgedrückt. Es frägt sich, ob
erstens diese Füälle in der Natur vorkommen !) und wie,
zweitens, die Verbreitung des Lichtes in den zwischen-
liegenden Füällen stattfindet, wenn wir es z. B. mit
halbdurchsichtigen Kôrpern zu thun haben, wo direc-
tes Durchdringen des Lichtes und innere Diffusion
gleichzeitig auftreten ©).
Findet innere Diffusion des Lichtes statt, so ent-
steht die Frage nach der Intensität des in verschie-
denen Richtungen austretenden Lichtes und zwar für,
unter verschiedenen Einfallswinkeln die Platte treffen-
den, Strahlen. Die hierbeï an einer etwaig matten Ober-
fläche beim Eïin- und Austritt hinzutretende äussere
Diffusion müsste sorgfültig von der inneren Diffusion
getrennt werden.
$ 1.
Die Apparate und ihre Aufstellung,
Das benutzte Photometer. Die sämmtlichen
photometrischen und polarimetrischen Messungen
wurden mit dem von Herrn Director H. Wild con-
struirten Uranophotometer ausgeführt, nachdem
dasselbe in ein gewôhnliches Photometer verwandelt
worden war. Eine ausführliche Beschreibung desselben :
1) Züllner vermuthet, dass für Milchglas, wenn es durchschei-
nend beleuchtet wird, das Lambert’sche Emanationsgesetz genau
erfüllt sei. Photometrische Untersuchungen, p. 24.
2) Eine analoge Frage lässt sich, nebenbei bemerkt, auch für
die Reflexion des Lichtes aufstellen. Ein Spiegel môge sich À in der
Entfernung a von einer Lichtquelle befinden; die reflectirten Strahlen
| beleuchten in einer Entfernung b vom Spiegel ein Wandelement E.
Für einen gut polirten Spiegel wird die Lichtintensität in E durch (1)
ausgedrückt; für eine weisse, matte Fläche, begabt mit môglichst
vollständiger äusserer Diffusion, würden wir die Formel (2) erhalten.
Zwischen diesen extremen Fällen muss es zwischenliegende geben—
| halbreflectirende Oberflächen, analog den halbdurchsichtigen Medien.
“.
217
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
findet sich in den Mélanges phys. et chim., tirés du
bulletin de l’Acad. Imper. des sciences de St. Petersb.,
T. IX,-p. 443, wo auch auf Seite 473 bereits die Ver-
wandlung desselben in ein gewühnliches Photometer
und die Benutzung und Theorie desselben mitgetheilt
sind. Die wesentlichsten Theïle desselben sind in Fig. 3
scizzirt. Fist die runde, allseitig geschlossene, innen
matt-schwarze Messingbüchse; À die aus 10, nahe
0,5 mm. dicken Glasplatten bestehende Glassäule, deren
Die um eine, zur Ebene der Zeichnung senk-
rechte Axe vérmittelét eines an dieser Axe angebrach-
ten Zeigers und einer auf dem Deckel der Büchse
befindlichen Kreistheilung gemessen werden konnte.
B und C sind Senarmont’sche Kalkspath-Prismen,
E ein Savart’sches Polariscop. Die Rôhre A ist so
eingestellt, dass das von Æ kommende Licht die Säule
Fig. 3.
A unter dem Polarisationswinkel trifft, wenn das re-
flectirte Licht in der Richtung der Axe der Rôühre N
geht. D ist ein unbeweglicher Kreis mit Theïlung
(Grade) am Rande. Die Rôhre Æ sammt Polarisator
darin kann mit Hülfe einiger Griffe G gedreht und die
Grôsse der Drehung durch einen, an 4 es
Zeiger auf D abgelesen werden.
- Die Rühre B wurde stets gegen die zu untersu-
chende Platte, die Rôhre Hgegen eine unveränderliche
Hülfs-Lichtquelle gerichtet.
Sollte der Apparat als Photometer dienen, so
wurde der Hauptschnitt des Polarisators in B unter
45° zur Einfallsebene auf die Glassäule orientirt (nach
der 1. c. p. 458 angegebenen Methode) und dann À 50
eingestellt, dass die von Æ kommenden Strahlen nach
N reflectirt wurden.
Durch Drehung der Rühre Æ konnten die in N
beobachteten Farbfransen zum Verschwinden gebracht
werden. Dies geschehe bei einem Winkel & zwischen
dem Hauptschnitt von C und der Einfallsebene aufdie
Glassäule, welcher an dem Kreise D abgelesen wurde.
Blieb die durch }Æ eintret
so war die zu messende Intensität Z des durch M. trs
tretenden Lichtes proportional cos’x. Es war nämlich
bei allen Versuchen die erstere, Z,, unpolarisirt, wäh-
rend die Zweite, Z, aus einem unpolarisirten Theile Z,
und einem, stets in der Einfallsebene der Glas-
säule À, polarisirten Theile P bestand. Es war
also:
1= I, + P.
Das durch c hindurchgegangene Licht hatte die
Intensität à I, wo K; ein Schwächungscoefficient we-
nig kleiner als 1, und konnte in die zwei Componenten:
K M:
[[S'Acos"æ LL <'Z sine
[|| und L zur Eiïnfallsebene der Glassäule zerlegt
werden. Nach der Reflexion werden wir haben:
HS _ ju 0e TRS à si sin°a-ÿ”,
wo + und y? zwei Constante repräsentiren (1. c. p.463
und 464).
gs von Æ eintretende Licht Z,+ P wird in B
auf — EE + P) reducirt, dessen entsprechende Com-
| het sind, wegen der obenerwähnten Einstellung
von B
1ÉG+P LÉ(+P)
und nach dem Durchgange ee die Glassäule:
| 2 +P}# L— PL + Pré.
Die Bedingungsgleichung für das Verlôschen der
in N beobachteten Fransen ist:
Hi d+— (I + P)s"—= TA sin°æ px aGrP)E.
219
Bulletin de l’Académie Impériale
220
Treffen die von Æ kommenden Strahlen die Säule À
genau unter dem Polarisatiqnswinkel, so ist y — 0
(1. c. p. 464). Da jee I,+ P= T ist, erhalten wir:
13e
ia I, cos’ a — C'cos x.
— e K
Der Bruch
Eins (1. c.).
Jedenfalls ist bei constantem Z die Lichtstärke
I proportional cos’ und dies genügt für unsere
Zwecke, da wir lediglich die Variationen von Z zu
beobachten hatten. Sollte der Apparat als Polari-
meter dazu dienen das Verhältniss von P zu 1, zu be-
stimmen, so wurde Æ geschlossen, die Rôühre M durch
eine andere ohne Polarisator, ersetzt und durch Dre-
hung der Säule À um einen gewissen Winkel ®, bis
zum Verlüschen der Streifen, das Verhältniss:
Re À
I ?
nach der 1. c. p. 465 angegebenen Weise, bestimmt.
Die Werthe der Function À, sind zwar 1. c. p.481
gegeben; doch hat Herr Director H. Wild seitdem,
nach genauerer Methode, eine Neubestimmung der
Function A+ ausgeführt und habe ich die so erhal-
tenen Zahlen weiterhin benutzt.
Die Aufstellung. Es sind zwei Aufstellungen be-
nutzt worden, welche kurz als erste und zweite be-
zeichnet werden sollen. Die erste Aufstellung, bei
welcher nur photometrische Messungen ausgeführt
wurden, ist in Fig. 4 scizzirt. Das Photometer war auf
Fig. 4.
ist jedenfalls sehr nahe gleich
a.
ie ls )e ed à 5: 6
Lo
L.
“
L
x
x
ee à
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O
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LS
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LT ———
Cal - —
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AIT
a É
a
A, 3
M €
HIPO
“ -
= 12
_— Ss
einen verticalen Fuss so aufgesetzt, dass die in Fig. 3
als Ebene der Zeichnung angenommene Einfallsebene
der Glassäule horizontal lag. In der Richtung der Axe
der Rôhre M stand eine eiserne optische Bank auf
welcher zwei Plattformen sich verschieben liessen. Die
erste trug die untersuchte Platte @, auf der zweiten
stand die Lampe L. Die Platte Gsteckte in einem Rah-
men, welcher beiderseits eine runde Offnung von
88 mm. Diameter frei liess. Die meisten Platten wur-
den durch Schrauben an einen anderen Rahmen so
befestigt, dass sie einen rechteckigen Ausschnitt von
70 mm. Länge (horizontal) und 35 mm. Breite be-
deckten. Dieser Rahmen wurde von einem kleinen
Theodoliten getragen, welcher Drehungen der Platte
G sowohl um die verticale als auch um die horizontale
(in der Platte liegende) Axe gestattete, wobei die
Drehungswinkel genau gemessen werden konnten,
Die Häülfsplatte G, war stets von derselben Sorte,
wie G. Die Lampen Z und Z, enthielten Oleofin und
zeigten die Versuche, dass bei richtiger Behandlung
der Lampen eine genügende Constanz der Lichtinten-
sititen erreicht werden konnte. Übrigens wurde in
allen Fällen folgendermaassen manipulirt: während der
Beobachtungen, sowohl bei dieser ersten, als auch bei
der gleich zu besprechenden zweiten Aufstellung, blie-
ben &, und Z, unverändert; dagegen wurden die Stel-
lungen von G und Z verschiedenen Veränderungen
unterworfen. Der Vergleich der von G ausgestrahlten
Lichtintensitäten (entsprechend diesen verschiedenen |
Stellungen) untereinander, war eben Zweck einer jeden
einzelnen Beobachtungsreihe. Es wurde von einer
| Normalstellung ausgegangen und nach jeder Messung
der Lichtintensität in anderer Stellung oder hôchstens
nach zwei solchen, wurde auf die Normalstellung zu-
rückgegangen. Auf diese Weise konnte der Einfluss
geringer Ânderungen in der Leuchtkraft der Lampen |
eliminirt werden; fanden grüssere Ânderungen statt,
so wurden die betreffenden Beobachtungen verworfen.
Die Lage von G und Z wurde selbstverständlich s0
justirt, dass bei allen Verschiebungen längs der op-
tischen Bank die Centra der Flamme und der Platte G
in der Verlängerung der Rôhrenaxe AN blieben.
Die grüsste Sorgfalt wurde verwandt um durch
richtige ,Aufstellung von Schutzwänden (aus matt-ge-
|schwärzter Pappe, 83 em. hoch) fremdes Licht und :
Reflexe zu vermeiden, Die Versuche wurden in einem
221
des Sciences de Saint- Pétersbourg.
22?
Zimmer ausgeführt, in welchem bei Abwesenheit der
Lampen Z und Z, vüllige Finsterniss herrschte; selbst
die Nebenzimmer waren verdunkelt worden. Die Stel-
lung der hauptsächhchsten Schutzwände ist in Fig. 4
punctirt angedeutet. Wurden zwischen ZL und G Schutz-
wände eingefügt, um etwaiges von den Seitenwänden
reflectirtes und G& treffendes Licht abzuhalten, so wurde
keine merkbare Ânderung in der Photometercinstellung
beobachtet. Das von den schwarzen Wänden reflectirte
Licht war also jedenfalls zu vernachlässigen, Zwischen
G und M erwies sich eine Schutzwand gleichfalls als
überflüssig und zwar aus Gründen, die weiter unten
(s. Prüfung des Photometers) erläutert sind. Der von
den Schutzwänden eingeschlossene Raum wurde auch
von oben, so weit thunlich, bedeckt um das von der
Decke reflectirte Licht abzuhalten und im Zimmer den
môglichsten Grad von Dunkelheit zu erreichen.
Bei der ersten Aufstellung konnten die Entfernun-
gen ZG und GA beliebig variirt und auch die Platte G
gedreht werden, doch bildeten die beobachteten aus-
tretenden Strahlen stets die gerade Verlängerung der
einfallenden. Bei der zweiten Aufstellung konnten
Einfallswinkel und Austrittswinkel beliebig und mess-
bar variirt werden; zugleich wurden auch polarime-
trische Messungen gemacht. Diese Aufstellung ist in
Fig. 5, 6 und 7 skizzirt. Das Photometer ist an eine
Fig. 5.
horizontale Axe befestigt, die Ebene der Zeichnung
Fig. 3 liegt also hier vertical. Die Rôhren M und N
bleïben horizontal, die Rôhre Æ (Fig. 3) ist nach unten
gerichtet. Fig. 5 und 6 giebt eine Ansicht von oben,
Fig. 7 eine Seitenansicht. T ist ein massiver eiser-
ner Tisch (Theil eines grossen Steinheil’schen Spec-
Tome XXXI.
trometers), dessen runde Oberplatte einen Diameter von
67 cm. hat. Durch das Centrum des Tisches geht eine
Axe, um welche sich der Messingstreifen S, auf der
Tischplatte schleifend, drehen lässt. Eine am Rande
des Tisches 7 angebrachte Theiïlung liess die Grüsse
dieser Drehung messen. Durch Holzblücke war die
Lampe Z mit dem Streifen $S fest verbunden. Der die
Platte G tragende Theodolit war gleichfalls mit die-
sem verbunden-und nahm also an der Drehung dessel-
ben Theiïl. Sollte, wie dies ja meist der Fall war, bei
constantem Einfallswinkel, nur der Austrittswinkel
verändert werden, so wurde der Streifen $ mitsammt
der Lampe Z und dem Theodoliten gedreht; um den
Einfallswinkel zu ändern wurde G um die verticale
Axe auf dem Theodoliten gedreht. So konnten beide
VWinkel vôlig beliebig eingestellt werden. In Fig. 6 ist
eine solche veränderte Stellung angegeben; Cn ist die
Normale zur Platte G; in Fig. 7 sind 7, G, S und. Z
in der Stellung skizzirt, welche der Fig. 5 entspricht.
F ist die Seitenansicht der Büchse des Photometers;
die Einfallsebene der Glassäule ist bei dieser
Stellung vertical. M und N haben dieselbe Bedeu-
tung, wie in Fig. 3 und 4. Die Rôbre A ist nach unten
gerichtet. Die Ebene der Hülfsplatte G, bildet mit der
Axe der Rôhre Æ und mit der Ebene der Zeichnung
Fig, 7 einen Winkel von etwa 45°; sie wird auf der
15
Bulletin de l’Académie Impériale
224
anderen Seite von der Hülfslampe Z, beleuchtet. Was
die Justirung dieser Aufstellung betrifit, so kam es vor
Allem darauf an eine richtige Ausgangslage zu erhal-
ten und wurde als solche die Lage angenommen,
welche in Fig. 5 scizzirt ist: Axe von NH, Centra
des Tisches T und der Lampe L in einer Geraden und |
Ebene von G senkrecht dazu. Letzterer Umstand
konnte auf drei Weisen verificirt werden: 1) der Strei-
fen S wurde mit Lampe und Theodolit um 60° zuerst
nach rechts, dann nach links gedreht, sodass der Aus-
trittswinkel +- 60° und — 60° wurde; 2) dasselbe,
aber die Platte G-um den gleichen Winkel rorithue.
dreht, so dass der Einfallswinkel + 60° und — 60°
wurde; 3) bei unveränderter Lampenstellung wurde
die Platte G allein zuerst nach rechts, dann nach links
um 60° gedreht. Bei jedem dieser Versuche mussten
bei den je zwei Stellungen gleiche Lichtintensitäten
beobachtet werden.
Die Stellung der Schutzwände ist in Fig. 5 punctirt
angegeben; bei Seitenstellungen der Lampe wurde
noch eine Wand X (Fig. 6) benutzt. Das Drehen der
Rühre ÆH und Ablesen der Winkel auf dem Kreise D
(Fig. 3), war nicht ohne Schwierigkeit; es dienten dazu
besondere Einschnitte in den Schutzwänden.
Prüfung des Photometers. Die mit dem Photo-
meter nach der Formel (4) gemessene Grüsse J soll
ein Maass sein für die Intensität der von G in der Rich-
tung der Rührenaxen MN ausgestrahlten Lichtmenge
(also nicht etwa ein Maass der gesammten Beleuch-
tungskraft der. Platte G als Lichtquelle betrachtet).
Durch zwei Versuche liess sich nachweisen, dass das
Photometer in der That dieser Bedingung in hohem
Grade genügte.
Erster Versuch. Bei dé ersten ‘Aufstellung
(Fig. 4) wurden Lampe Z und Platte G zusammen
verschoben. Zuerst befand sich die Platte in einer
Entfernung vor 1 bis 2 Decimetern von der Rôhren-
ôffnung W und hierbei wurde das Photometer einge-
stellt (die Fransen zum Verlôschen gebracht). Bei einer
Verschiebung von G und Z um fast einen ganzen
Meter war noch keine Ânderung in der Einstellung zu
bemerken; erst bei noch grôsserer Entfernung begann
. die beobachtete Lichtintensität langsam zu sinken.
Zweiter Versuch. Die Platte G (Milchglas)
wurde ohne den obenerwähnten Rabmen frei aufge- |
stellt; sie war 80 mm. breit, 120 mm. hoch undstellte
eine nicht ganz gleichfrmig (in der Mitte stärker)
leuchtende Fliche dar. Das Photometer wurde einge-
stellt und dann die Platte mit schwarzem Papier be-
deckt, welches in der Mitte einen kreisfürmigen Aus-
schnitt hatte. Bei einem Radius dieses Ausschnittes
von 9 mm. war noch keine Ânderung der im Photo-
meter beobachteten Lichtintensität Z zu bemerken.
Es wurden ferner von der Seite her über die Platte
schwarzes Papier geschoben und der Moment bestimmt,
wo sich Z zu ändern anfing. Es zeigte sich, dass die
Ânderung eintrat wenn das Papier von irgend einer
Seite her bis auf 4 mm. dem Centralpunct genähert
wurde.
Es ist also unzweifelhaft, dass nur die von einer
kleinen Fixirungsfläche ausgehenden, parallelen Strah-
len in dem Photometer zur Wirksamkeit gelangen.
Von der Seite herkommende Strahlen bleiben ohne
influss. Dies der Grund, weshalb zum Schutz des
Photometers keine Wände aufzustellen nôthig war; ein
anfänglich benutztes complicirtes System von Wänden,
welche zwischen G und dem Photometer aufgestellt
wurden, ist später, als offenbar überflüssig, weggelas-
sen worden. Selbst in dem Fig. 6 skizzirten Falle, wo
die Lampe Z direct hätte die Offnung der Photo-
meterrühre M beleuchten kôünnen, war die Zwischen-
setzung der Wand X von kaum merklichem Einflusse.
-$ 2.
Methoden der Untersuchung,
Die Verbreitung des Lichtes nach dem Durchgange
durch die Platten konnte auf verschiedenen Wegen
untersucht werden. Es wurden überhaupt die folgen-
den Beobachtungsarten benutzt, wobeï ein für alle Mal
8 den Eïnfalls —, y den Austrittswinkel des Lichtes
bei der Platte G (Fig. 8) darstellen soll. Liegen $ und
y in derselben Ebene, so sollen beide Winkel nach
Fig. 8.
. \ Pot.
225
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
226
derselben Seite von der Normalen aus positiv gerechnet
werden.
1) Bei der ersten Aufstellung (Fig. 4) wurde die
Platte G unbeweglich gelassen und nur die Lampe Z
verschoben, also die Entfernung GL verändert; es war
also 8 —"Y— 0.
Es ist wichtig zu bemerken, dass die erste Aufstel-
lung und ebenso die Normalstellung der zweiten
(Fig. 5) nur dann zu benutzen waren, resp. Photome-
ter, Platte und Lampe nur dann in einer geraden Li-
nie liegen konnten, wenn die Platte G durchscheinend,
nicht aber wenn sie halbdurchsichtig war (s. Einlei-
tung). In letzterem Falle erblickte man bei erwähnter
Stellung der Lampe im Gesichtsfelde des Photometers
die Conturen der ungleichformig hellen Flamme ; von
emer Einstellung des Photometers konnte also keine
Rede sein. Wurde aber die Lampe durch eine gleich-
mässig selbstleuchtende Fläche ersetzt, so konnte eine
derartige Untersuchung auch für halbdurchsichtige
Kôrper ausgeführt werden.
2) Bei der ersten Aufstellung wurden G audi L auf
ihren Plätzen gelassen und nur G um die verticale
Axe gedreht. Die austretenden Strahlen bildeten also
die gerade Fortsetzung der einfallenden. Obwohl dies
nur ein specieller Fall des allgemeinerenist, der gleich
erwähnt werden soll, schien es doch interessant ihn
einer besonderen itiuchoug zu unterwerfen, Es ist
hier y— — $.
3) Bei senkrechter feidèus der beleuchtenden
Strahlen wurde die Intensität der nach verschiedenen
Richtungen austretenden Strahlen bestimmt. Es ist in
diesem Falle 8— 0 und y veränderlich.
4) Dasselbe bei schiefer Incidenz d. h. für ein ge-
gebenes 8. Hierbeï konnten für positive y andere (klei-
nere) Werthe als für negative erwartet werden. Inte-
ressant müsste es sein, für diesen Fall die Intensität
der nicht horizontal oder, allgemeiner, nicht m der
Einfallsebene austretenden Strahlen zu bestimmen.
Eine solche Bestimmung ist aber bisher nur einmal
ausgeführt worden und zwar für den Fall à— 90°, wo à
der Winkel zwischen Einfallsebene und Austrittsebene.
Die Drehung des, die Platte G einschliessenden,
Rahmens um eine horizontale Axe ermôglichte es, die
Platte in solcher Stellung zu fixiren, dass die drei Winkel:
drei gegebene Werthe annahmen.
Um dies zu erreichen wurde von der Normallage
(Fig. 5) ausgegangen. Es sei, Fig. 9, 7 der Tisch
Fig. 9. RE
und OM der zum Photometer führende Radius des-
selben. Der Streifen S (Fig. 5) wurde zuerst mit Lampe
und Theodolit um einen Winkel 0 = < HOL gedreht;
hierauf der Rahmen allein um die verticale Axe um
einen Winkel b— < LOG zurückgedreht und end-
lich die Platte G um die horizontale Axe um einen
Winkel © — << GON geneigt; NO ist also die Normale
zur Platte G.—Es ist in diesem Falle:
B=— < LON
vs 4 NOH
— < (Ebene NOZ, Ebene NOH).
Man hat nun die drei Gleichungen:
cos B — cos Ÿ cos w
: cos y — cos (2 — 4) cos w
cos 0 — cos $ cos y + sin $ sin y - cos à,
aus welchen die Winkel ®, 0 und o, welche den ge-
gebenen 8, y und à entsprechen, berechnet werden
künnen. Hier müssen $ und y beïde immer als positiv
und kleiner als 90° genommen werden, während à von
0° bis 360° variirt.
Es giebt vier Stellungen, welche den gegebenen Be-
dingungen entsprechen, indem die erste Drehung des
Streifens $S (um den Winkel 6) nach der einen oder an-
deren Seite ausgeführt werden kann und ebenso die
Neigung des Rahmens (um den Winkel w) vorn oder
hintenüber erfolgen kann, wobei die Normale ON über
(wie in Fig. 9) oder unter die horizontale Ebene zu
liegen kommt.
Für den besonders interessanten Fall à — 90° hat
man die Gleichungen:
cos 8 — cos à : cos w
COS y — cos (9 — L) cos ©
cos — cos $ - COS Y.
15*
.
227
Bulletin de l’Académie Impériale
2?2s
Für $f—y—60" erhält man z. B. cos 0 — - :
ÿ— + und coso—V0,4, d.h. 0—75,5°, ÿ—37,75°
und © — 50,8°.
5) Um die äussere Diffusion von der inneren zu
trennen, wurden unter gleichen Umständen matte und
polirte Platten mit einander verglichen. |
6) Auf die vertical aufgestellte Platte liess man voll-
ständig polarisirtes Licht horizontal einfallen und be-
stimmte für das austretende Licht den Bruch : nach
Formel (4, a).
Auch hierbei wurden der Einfallswinkel $ und der
Austrittswinkel y in weiten Grenzen variirt. Das Licht
war bei allen Messungen senkrecht zur Einfallsebene
der Platte G d. h. in verticaler Ebene, also in der
Einfallsebene der Glassäule des Photometers polari-
sirt. Die dabei gebrauchte Einrichtung ist in Fig. 10
Fig. 10.
skizzirt. S ist der Messingstreifen (Fig. 5), L die
Lampe, G die untersuchte Platte. Ein doppelarmiges
Holzstativ trug die Linse e und den Nicol », welcher
unschwer richtig einzustellen war.
Es war zum Mindesten anzunehmen, dass die Be-
stimmung des Bruches & für das in verschiedenen
Richtungen austretende Licht wichtige Fingerzeige er-
geben würde, obwohl es nicht môglich ist für die wahre
Bedeutung dieses Bruches etwas Bestimmtes anzuge-
ben, ohne zugleich von einer bestimmten Vorstellung
über die in der Platte bei der Durchstrahlung statt-
findenden Vorgänge auszugehen. Darüber das Nähere
später.
7) Um die Wirkung der Dicke der Platten zu stu-
diren, wurden dieselben allmälig immer dünner ge-
schliffen.
Beobachtete und wahre Intensitäten. Die Win-
kel $ und y wurden von 0° bis + 60° varürt und nur
einmal bis 70° gegangen. War y nicht gleich 0°, d. h. |
stand die Platte nicht senkrecht zur Axe des Photo-
meters, so wurde Licht von einem Flächenstück er-
halten, welches umgekehrt proportional cos y war. Um
für alle y die, demselben Flächenstück entsprechen-
den, Z zu erhalten, müssten die direct beobachteten
Intensitäten 2 mit cos y multiplicirt werden:
L=i cos.
Im Weiteren sind stets die bereits berechneten Z
angegeben. Bei fast allen Beobachtungen variüirte Zin
Abhängigkeit von y nach einem Gesetz, welches nicht
bedeutend von dem Cosinusgesetz abwich. Die beob-
achteten à variirten daher überhaupt nur sebr wenig,
wenn y verändert wurde und folglich ebenso auch die
am Photometer gemessenen Winkel &, Formel (4). Es
kam daher weniger darauf an diese Winkel selbst, als
ibre-geringen Differenzen mit môüglichster Genauigkeit
zu messen.
Was die Genauigkeit der Messungen betrifft, so
liessen sich in fast allen Fällen die Winkel & mit einer
Genauigkeit von 0,1° einstellen. Vorläufige Versuche
hatten nun aber gezeigt, dass die grüsste relative
Sicherheit in der Einstellung sich erreichen liess, wenn
a zwischen 50° und 65° lag. Für die meisten Fälle
war & nahe gleich 60° und hier giebt ein Fehler von
0,1° eine Variation von cos «, die 0,6%, beträgt
(= 2 tg. «. Aa). In einigen Füällen, wo die Lichtinten-
sität sehr gering war und das Gesichtsfeld daher sebr
dunkel erschien, war die Genauigkeit eine geringere.
S 5.
Erster extremer Fall, Rauchglas,
In der Einleitung ist als erster extremer Fall
derjenige bezeichnet, welcher eintrifft, wenn in einem
Kürper absolut keine Diffusion stattfindet, obwohl die
Absorbtion bedentend sein kann. Für diesen Fall sen-
det die durchstrahlte Platte selbst kein Licht aus; vi-
sirt man also durch eine solche Platte nach einer Licht-
quelle, so muss die Helligkeit der letzteren unverän-
dert bleiben, wenn man die Platte dem Beobachter,
oder von ihm weg der Lichtquelle nähert. Dass solche
Kôrper wirklich existiren, zeigte sich bei der Unter-
Fig. 11.
|
L [As
O
M sn W
«
229
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
230
suchung zweïer Rauchglasplatten von 1,35 mm. und
1,5 mm. Dicke.
Es sei L die Lampe, G eine Milchglasplatte von
0,607 mm. Dicke, R das Rauchglas und ZZN der Pho-
tometer; GM war etwa gleich einem Meter. Die Platte
R wurde einmal dicht an G angelegt und dann gegen
M hin bis dicht an das Photometer verschoben. Es war
nicht die geringste Spur einer Ânderung in der Ein-
stellung des Photometers zu bemerken. Bei allen Stel-
lungen des Rauchglases gingen 28,77, des von G aus-
gestrahlten Lichtes durch dasselbe. Genau das gleiche
Resultat wurde erhalten, als zwei zusammengelegte
Rauchgläser benutzt wurden: bei allen Stellungen der-
selben empfng das Photometer 6,68, der von G aus-
gestrahlten Lichtmenge.
Wir werden später sehen, dass für eine halbdurch-
sichtige Platte (statt des Rauchglases) ein ebensolcher
Versuch eine Variation der Lichtstärke ergab von
1636, wenn die Platte dicht an G anlag, bis herunter
zu 40,3 bei einer Entfernung GR=— 320 mm. Bei der
ersteren Lage wurden 53°, bei der letzten 1,3% der
von G erhaltenen Lichtmenge in der Richtung zum
Photometer wieder ausgestrahit. Ich führe dies hier
nur des Vergleiches wegen an und um die Wirkung
der inneren Diffusion zu illustriren,
$ 4.
Zweiter extremer Fall, Milchglas,
Als zweiten extremen Fall haben wir den einer voll-
ständigen inneren Diffusion bezeichnet, wo direct
durchgehendes Licht nicht vorhanden ist und der
durchstrahlte Kürper gleichsam als neue Lichtquelle
betrachtet werden kann, deren Intensität proportional
ist der Beleuchtung, welcher man ihn aussetzt. Für
diesen Fall gelten die Formeln (2) und (3).
Wie bereits in der Einleitung (Anm.) erwähnt wurde,
glaubt Zôliner, dass im Milchglase durch die einge- |
streuten Partikelchen von phosphorsaurem Kalk (dem
Glassatz wird fein gemahlenes Knochenmehl beige-
mischt) eine totale Zerstreuung des Lichtes stattfinden
und daher für das wieder ausgestrahlte Licht das Lam-
bert’sche Cosinus-Emanationsgesetz genau gültig sein
müsse. Ich will nun kurz die Resultate einiger Vor-
versuche mit dickeren Milchglasplatten angeben. Wei-
tere Details von Versuchen, die mit Reïhen allmä-
lig dünner werdender Gläser ausgeführt wurden, fol-
gen in den späteren Paragraphen.
1) Das Beleuchtungsgesetz der umgekehr-
ten Quadrate. Es wurde bei der ersten Aufstellung
(Fig. 4) die Lampe allein verschoben und für verschie-
dene GL die Helligkeit Z der Platte bestimmt. Dicke
der Platte 1,610 mm. Bei der Berechnung (nach der
Formel I — Z, wo C eine Constante und r = GL).
wurde die Flammenbreite berücksichtigt und GZ von
der Platte bis zum Centrum der runden Flamme (Cy-
linderdocht) gemessen. Da die Richtigkeit dieser Mes-
sungsmethode keine unzweïifelhafte ist, so künnten ge-
ringe Differenzen zwischen Beobachtung und Berech-
nung hierin eine Erklärung finden. Im Nachfolgenden
gebe ich mehrere Beobachtungsreihen; die sinkenden
Zahlen für die Intensitäten entsprechen wachsenden
Entfernungen GL.
d. 15. Sept. 84. d. 17. Sept. 84. d. 19. Oct. 84. d. 9. Jan. 85.
Beob. Berechn. Beob. Berechn. Beob. Berechn. Beob. Berechn.
100 100 100 100 100 100 100 100
13,3 13,4 73,69 72,52 44,99 44,44 4944 49,97
59,08 59,24
26,47 96,95
12,67 12,69
412 4,58.
Die vierte von diesen Beobachtungsreihen wurde
ausgeführt als der Photometer an horizontaler Axe
befestigt war d. h. in der zweiten Aufstellung (s. Fig. 5).
Mit dünneren Platten wurden folgende Beobachtungen
gemacht:
Dicke der Milchglasplatte 0,607 mm.
d. 12. März 85.
Beob, Berechn.
100 100
35,46 36,00.
Dicke der Milchglasplatte 0,317 mm.
d. 12. März 85.
Beob. Berechn.
100 100
35,78 36,00.
Es wurde ferner das Gesetz geprüft für den Fall
nicht senkrechter Incidenz ($ nicht Null) und den Fall
nicht senkrechter Ausstrahlung (y nicht Null).
Bulletin de l’Académie Impériale
23?
Erster Fall. Senkrechte Incidenz (
seitliche Ausstrahlung (y — 50° ungefähr).
— 0), aber
d. 21. Oct. 84.
Beob. Berechn.
100 100
44,05 44,44.
Zweiter Fall. Schiefe Incidenz (8—50° ungefähr),
senkrechte Ausstrahlung (y — 0).
d. 23. Oct. 84.
Beob Berechn
100 100
44,86 44,44.
Wir dürfen aus diesen Versuchen wohl folgern, dass
für nur durchscheinende aber nicht durchsich-
tige Milchglasplatten, die dicker als 0,32 mm.
sind, das Gesetz der Quadrate erfüllt ist.
2) Schiefer Durchgang des Lichtes (y = — f).
Zu den ersten orientirenden Vorversuchen gehürte
auch der folgende, welcher entscheïiden sollte, ob für
die Milchglasplatte überhaupt von einem Durchgange
des Lichtes in schiefer Richtung die Rede sein konnte.
Die Platte wurde in der Fig. 5 angegebenen Stellung
beobachtet, dann um 60° um die verticale Axe ge-
dreht und für diese beiden Stellungen die Z bestimmt.
Dasselbe wurde dann für eine doppelte und für eine
dreifache Platte ausgeführt. Die sechs Füälle sind in
Fig. 12 skizzirt. Fände in der Lage II Durchstrahlung
in der Richtung des gebrochenen Strahles statt, so
wäre die durchstrahlte Schicht 3, => 5, wo à die Dicke
Fig. 12.
der Platte bedeutet und zwar wäre D —5, cos f,,
wo FR — —p— dem Brechungsexponent des Glases
wäre. Es seien nun die, den 6 Fällen I und II ent-
sprechenden beobachteten Lichtintensitäten:
I II.
F à A ty r A
HE à F x Ia PB, . L$
C D C, : HD
Dann müsste
.. —xù
(2 e x(Ô, —Ô)
om
sein, Wo x der ScEmachiinesteticient d des Milchglases,
Die Beobachtung zeigte aber, dass die, der Stellung IT
entsprechenden Lichtintensitäten, den, der Stellung I
entsprechenden, proportional waren; symbolisch, leicht
verständlich, ausgedrückt, war also: G
Ce ue pe
: MAR A6
und hieraus folgt sofort:
B— a,
d. h. die, in den Stellungen I und II durch-
strahlten Schichten hatten gleiche Dicken.
Die Verbreitung des Lichtes ist also bei schiefem
Auffallen nicht durch die Linien LM in Fig. 12, I
ausgedrückt. Es findet vielmehr auch bei schie-
fem Auffallen des Lichtes nur senkrechte
Durchstrahlung statt, wie dies in Fig. 13 ange-
deutet ist. Dies wird durch die, weiter unten sub. 5
angegebenen Resultate bestätigt.
Fig. 18.
ë L
Um dies Resultat direct zu prüfen wurde (4. 27 Nov.
84) der folgende Versuch gemacht (s. Fig. 14). L ist
Fig. 14.
#
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
234
eine Lampe, Æ ein Convexglas, F'G eine in einer
Wand SS steckende Rühre. Das aus dieser hervor-
kommende Strahlenbündel fiel auf eine 10 mm. dicke,
aus mebhreren zusammengelegten Scheiben gebildete
Milchglasplatte und zwar unter einem Einfallswinkel
8— 78,4. Die Seite AB war mit schwarzem Papier
bedeckt, in welchem sich ein kreisformiger Ausschnitt
befand, dessen Diameter ab — 15 mm. war. Dies war
also das seitwärts beleuchtete Stück der Oberfläche.
Auf der entgegengesetzten Seite DC der Platte zeigte
sich ein heller Fleck »n, vüllig genau gegenüber ab.
Er blieb unbeweglich auf derselben Stelle, soviel man
die Platte ABCD auch hin und her drehte. Der Dia-
meter dieses Fleckes war nicht merklich grüsser als
15 mm., nur seine Ränder erschienen verwaschen.
Von analoger Bedeutung ist der folgende Versuch.
Schreibt man auf eine Milchglasplatte schwarze Buch-
staben oder Figuren, so erscheint auf der anderen Seite
ein nur wenig verwaschener Schatten derselben; dieser
ändert seinen Ort nicht, wie schief auch das Licht auf
die Platte auffallen mag.
Hierher gehôrt auch der folgende Versuch: eine
ziemlich dicke Milchglasplatte (4 — 1,4 mm.), durch
welche man natürlich Nichts sehen Lie (dies ist be-
reits bei d— 0,2 mm. nicht mehr môüglich) wird auf
eine bedruckte Seite direct aufgelegt — man kann die
Schrift deutlich lesen.
3) Durchgang von polarisirtem Licht. Aufeine
_ Milchglasplatte von 1,6 10 mm. Dicke liess man, nach
der Fig. 10 skizzirten Methode, vollständig polarisir-
tes Licht einfallen. In dem austretenden Lichte
liess sich keine Spur von Polarisation nachwei-
sen. Fiel auf die Platte natürliches Licht, so enthielt
das austretende bei y — 60 etwa 8°, L zur Einfalls-
ebene polarisirtes Licht, ungefähr soviel, wie es nach
der Fresnel’schen Theorie bei einem Brechungswinkel
von 60° enthalten müsste.
4) Das Emanationsgesetz bei senkrechter In-
cidenz (6 — 0). Eine Milchglasplatte von 1,610 mm.
wurde wie in Fig. 5 angegeben aufgestellt und dann
der Streifen S mitsammt der Lampe Z und dem das
Glas tragenden Theodoliten um den Winkel + nach der
einen oder anderen Seite gedreht. Die hierbei direct
beobachteten Lichtintensitäten sanken, wenn auch lang-
sam; hieraus folgt nach Formel (4), dass die Z schnel-
ler als nach dem Cosinus-Gesetz abnehmen. Als cha-
raCteristische Zahl wurde das Verhältniss a der Inten-
sität bei yY—60° zu der bei y—0, in Procenten
ausgedrückt, betrachtet. Es ist also sy mbolisch ge-
schrieben :
(M he (ES 2e =): 100 = % : 100 (Fig. 15).
L |
Fig. 15.
A. B
L L
|
CG Fa RE Al
& & eh
AW
ÿM
Wäre, wie Züllner vermuthet, für Milchglas das
Cosinus-Gesetz gültig, so müsste
a = 50
sein. Es wurde aber bei der untersuchten Platte für a
ein Werth gefunden zwischen 43 und 44. Dass dies
nicht etwa ein Mittelwerth ist, welcher für dickere
Platten dem Grenzwerth 50 zustrebt, zeigte sich spä-
ter, als Platten von verschiedener Dicke untersucht
wurden. Für a wurde stets ein und derselbe Werth
gefunden, obwohl die Dicke der Platten von 0,3 mm.
bis 3,33 mm. (Doppelplatte) varürte, Nur für noch
dünnere Platten wurde ein anderes Resultat erhalten.
Wir sind also wohl berechtigt auszusprechen, dass für
Milchglas
445% a > 43
ist. Das Lambert’sche Emanationsgesetzist für
Milchglas nicht gültig, die Intensität sinkt schnel-
ler, als es nach diesem Gesetz der Fall sein müsste.
Die für y — 60° gültige, characteristische, zwischen
43 und 44 liegende, Zahl a scheint von allgemeinerer
Bedeutung zu sein und nicht etwa bloss für den spe-
ciellen untersuchten Kürper Gültigkeit zu haben, wie
wir später sehen werden. Es wurde dasselbe a erhal-
ten, gleichviel ob die Milchglasplatte glatt oder matt-
geschliffen war.
5) Das Emanationsgesetz bei schiefer Inci-
denz. Allgemein zeigte es sich, dass für dickere Plat-
ten bei schiefer Incidenz fast genau dasselbe Emana-
tionsgesetz gilt, wie bei senkrechter. Da bei wachsen-
235
Bulletin de l’Académie Impériale
dem Einfallswinkel 8 die Abweichungen von dem
Cosinus-Gesetz, also die Ânderungen in der direct beob-
achteten Lichtintensität, nur sehr langsam auftreten,
wurde als characteristisch für die meisten Platten nur
der Fall 8— 60° untersucht. Das Maximum ist bei
y —0 und nach beiden $Seiten sinkt Z und zwar stets
schneller als nach dem Cosinus-Gesetz. Bei einer Platte
von 2,56 mm. Dicke war nach beiden Seiten das Sin-
ken gleichschnell und für y — + 60 und y — — 60
war Z durch 43,3 ausgedrückt (100 bei y —0). Für
dünnere Platten war Z bei negativen y grôsser, als bei
positiven. Als Maass dieses Überwiegens wurde eine
zWeite characteristische Grôüsse, b, eingeführt, das Ver-
hältniss der Lichtstärke bei y — — 60 zu der bei
y = + 60° (immer 8 — 60° vorausgesetzt) in Procen-
ten ausgedrückt. Es war also:
(40). LL ——
y = + 60°
) 100 = ©. . 100 (Fig. 16).
Für dickere Platten war b — 100; für dünnere
grôsser als 100. In diesem Falle war (s. Fig. 16):
Fig. 16.
| D C
<a und F > 4.
So wurde für eine Platte von 1,114 mm. Dicke
H—=4243 und 245,32
gefunden, während für dieselbe a — 43,85 war.
Die Grôsse b war gleich:
p— 482,
42,43
100 = 106, 81.
Es überwiegt also C über D (Fig. 16) um 6,8%.
Nach der $ 2, 4 angegebenen Methode wurde noch
0 0=0
r 2x r
de sin « . sin 6 . 46
K| RTS = 2rKab 5
q (a? + p2)? (b2? + p2)?
ES
die Intensität Z für Strahlen bestimmt, welche nicht
in der Einfallsebene austreten, sondern in einer zu
dieser senkrechten. Es wurden die Z verglichen für
a nd LU ES à — (°
und 5—7y=— 60°, à— 90°. [Letzteres, wenn die Platte
nach der einen und dann wenn sie nach der anderen
Seite geneigt war].
Es war nicht der geringste Unterschied zu bemer-
ken. Fasst man die Resultate der vier in diesem $
summarisch angegebenen Beobachtungen zusammen,
so darf man wobhl sagen:
Durchscheinend beleuchtetes Milchglas, so-
wohl mattes, als auch polirtes, kann als selbst-
ständige Lichtquelle betrachtet werden, deren
Intensität proportional ihrer Beleuchtung ist.
Mit wachsendem Emanationswinkel sinkt die
Intensität Z des ausgestrahlten Lichtes schnel-
ler, als nach dem Lambert’schen Cosinus-Ge-
sétzitissl, Cos:v} Für.y== 60 "ist = 0,435
[statt Z—0,5 I,, wie es bei der Gültigkeit die-
ses Gesetzes sein müsste.
$ 5.
| Berechnung der Leuchtkraft durchscheinender beleuchteter
Platten, wenn sie dem Lambertschen Gesetz genügen,
Wir sahen, dass beleuchtetes Milchglas, den äus-
| sersten Gegenzatz zum Rauchglas bildend, als selbst- id
leuchtende Lichtquelle betrachtet werden kann. Obwohl
das Lambert’sche Gesetz für dasselbe nur annà-
hernd Gültigkeit hat, schien es doch nicht uninteres-
sant, für den Fall der Gültigkeit desselben die Be- …
leuchtung eines Punctes Æ (Fig. 2) zu berechnen, wenn
eine durchscheinende Platte MN zwischen diesen und
die Lichtquelle L gebracht würde. Die Platte seirund
und habe den Radius r. Bei Zugrundelegung der Ele-
mentarformel (3) erhält man für die gesammte von 4
der Platte MN zum Puncte Æ gelangende Lichtmenge
2 den Ausdruck:
e dp
236
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
Die Beleuchtung eines Elementes Æ der Wand AB erhält man dagegen nach der
Formel (s. Fig. 2):
pdp
p—0 60=0
K ist ein von ZL und MN abhängiger constanter
Factor.
Für eine sehr kleine Platte, wenn r im Vergleiche
mit &« und db verschwindend ist, erhält man, da cos ñ
(Fig. 2) gleich eins wird:
RER dt Ek ie ‘
also einen Ausdruck von der Form (2).
Behält man die erste auftretende Potenz der Brüche
. und _ bei, so erhält man (s. Fig. 17):
(4). perte
Ra KE {l (5 + F)=K-%
. Für eine unendlich grosse Platte MN erhält|
man den merkwürdigen Ausdruck (r — ©):
Re
TT {a+tÿ
Die gesammte nach Æ ec laeude Lichtmenge |
ist also in diesem Falle umgekehrt proportional dem
Quadrat der Entfernung von der ursprünglichen Licht-
quelle Z und unabhängig von der Lage der Platte MN.
Unter à küônnte man physicalisch die Gesammtbe-
leuchtung einer in Æ befindlichen sehr kleinen ne
oberfläche verstehen.
Die Beleuchtung Z eines Flächenelementes E der
Wand AB wird dagegen durch die viel verwickelteren
Ausdrücke:
” 2x r
UN 2 RE Ne op - |
?°9 (a? +- 92)? (02 +- p°}°
g 0
p—
Fig. 17.
A
M
Fr
(2 b FE
T
B
nr?
a?b?
K
(1 — 2 (tp + tee)
(tete):
Für a = b ist:
Wird die Entfernung LE verändert und zugleich
die unendlich grosse Platte AN so verschoben, dass 2
unverändert bleibt, so ändert sich Z umgekehrt pro-
portional dem Quadrat der Entfernung LE, wie man
ohne Weiteres aus (16) und (17) sieht.
Was endlich den Fall einer Weliebig grossen
Platte betrifft, wo r weder sehr klein, noch unend-
lich gross ist, so erhält man sehr verwickelte Formeln.
US et Viens A | Es ist (s. Fig. 17):
TrK — a? D:
MST 5 ; ..0>a
(a+0} A (b — a) ) .__ 2rK pq(a?+0?)— ab(p° + g°) a
ta a+ pa (a —v? Fe
| foret “Here Va?—1? EE (19) . re ee (cos b — cos æ) (a? cos p — D? cos Ÿ)
me“! (a +-b) cos @ cos D (a — b}?
(40..1—= ) .b<a
(a+ b}2\ (a — bŸ x
d
dargestellt. ve
Le rK (2q2 + p?) ab? Bab? : P—a SUR
HE ne +20 F Fe ar esin b &}...b>a
(20) — |
sé rK fo a (29*°+p°)ab? 3ab? (p— Va —tb?) b
| Gta 0 | + 2% — gp Re ER pa }-..5<a.
Tome XXXI. 16
Bulletin de l’Académie Impériale
Für den Specialfall a — D, also auch p—Qg und
® —% erhält man bei beliebig grosser Platte:
{ is ee [1 — cos “d]
I= sell — cos *Ÿ].
Man sieht aus diesen Formeln, dass der Schwächungs-
coefficient solcher Platten nicht etwa ohne Weiteres
durch Einsetzeu derselben zwischen eine Lichtquelle
-und eine beleuchtete Oberfläche, bestimmt werden
kann, Selbst bei sehr grossen Platten, deren Randwir-
kung vernachlässigt werden kann, hängt die erwähnte
Beleuchtung von der Stellung der Platte ab.
Wird die ursprüngliche Lichtquelle von einer hohl-
kugelfôrmigen Masse aus dem betreffenden Stoffe um-
geben, so ist die äussere Beleuchtung unabhängig von
dem Radius der Kugel, auch für den Fall, dass die
Entiernung der Wand von der Kugel von derselben |
Ordnung ist, wie dieser Radius. In diesem Falle kann
die Grüsse der äusseren Beleuchtung dazu dienen den
Schwächungscoefficient des Stoffes, aus dem die Kugel
besteht, zu bestimmen.
Dasselbe kann geschehen durch directes Aneinan-
derlegen von zwei oder mehreren Platten.
$ 6.
Erste Versuchsreihe mit successive dünner nes
Platten.
Da die erste Yébacheroine Was Vollstindigkeit und
zweiten weit zurücksteht, sollen die Resultate nur
summarisch angegeben werden. Sie sind in der folgen-
den Tabelle enthalten:
d a b Ist das senkrecht auffal-
2,560 mm. 43,3 100 en Licht polarisirt, so ist
1,990 » 43,5 106 (?) ‘im austretenden Licht keine
1,537 » 44,6 106 |Spur von Polarisation nach-
0,987 » 44,3 107 Jweisbar.
Die Abweichung vom Lambert’schen Gesetz
(a—50) ist für alle Platten nahe dieselbe. Sämmtliche
Plaîten hatten matte Oberflächen. Der für die zweite
Platte gefundene Werth b ist wohl unzweifelhaft zu
gross.
$ 7:
Zweite Versuchsreihe mit successive dünner geschliffenen
Platten, Allgemeine Übersicht.
‘Aus einer grüsseren Milchglasplatte wurden (vom
Mechaniker des Cabinets H. Petermann) successive
immer dünnere Platten geschliffen, im Ganzen 10. Die
Dicke von X 1 betrug 2,129 mm., die von À 10 nur
0,162 mm. Die Oberflichen “ardét abwechselnd matt
240
gélasaen oder polirt, Einer Platte—X 4—wurdekünst-
lich eine môglichst rauhe Oberfläche gegeben.
In der folgenden Tabelle befindet sich eine Über- D
sicht der wesentlichsten bei der Untersuchung jener
10 Platten erhaltenen Resultate. Die Platte N° 10 wird
Genauigkeit der Étobha taie betrifit, hinter der
weiter unten ausführlich behandelt werden.
L | IL | | IV. v. vi. | vin | vin. | IX. | LR:
« « à b Das auffallende Licht ist _L zur Einfalls-
X lOberfi. re. ebene vollständig polarisirt.
(100) (100) ,
PRE PR RE g=0 |\1=—+60 eco) B—0°% 8—0° |82= 60° | 8 = 60° | 8 — 60°
mm. | Y=0 y = 60° SAR 7 += 60° y = — 60°
1} matt |2,129 — 100 — es de DE re
2| pol. |1,967 102,6 M tbe de se
3| matt |1,114 43,85 106,8 — see sea Le
4! rauh |0,803 43,59 100 — — cs Dies ue
5| pol. 10,775! 43,88 109,8 — _— a Le cb
6| matt |0,607 43,33 106,9 — — és he ns
7| matt 10,383 42,62 (?) - 107,8 MÉLO0:17100 = be
8| pol. 10,317 44,02 123,5 [$%]| 22,0 | 21,0 | 14,4 | 13,3 22,0.
9! matt 10,306 43,38 110,3 [41 17,3 | 15,5 | 11,5 19 16,0
10] pol. 10,162 2) : 238 [x] | 58,5 | 39,0 39.0 21,0 50,8
241
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
24?
Colonne I enthält die fortlaufenden Nummern der
Platten, Col. II— Angaben über ihre Oberflächen,
Col. IT — ïhre Dicken in Millimetern. Col. IV und V
geben die oben besprochenen characteristischen Zahlen
a-und b; Col. VI—X die Grôsse es 100, (s. 4, a), den |
polarisirten Antheil im austretenden Lichte, wenn das
auffallende | zur Einfallsebene der Platte (also in der
Einfallsebene der Photometer-Glassäule) polarisirt ist.
Die Platten künnen in 3 Gruppen getheilt werden,
wie es die horizontalen Querstriche in der Tabelle an-
deuten; doch wollen wir schon jetzt aus den gesammten
Zahlen einige naheliegende Folgerungen ziehen.
1) Die Abweichung vom Lambert’schen Emana-
- tionsgesetz, characterisirt durch die Grüsse a, ist
bereits bei einer Platte von 0,306 mm. Dicke dieselbe,
wie für die dicksten Platten (vergl. die Tabelle im vo-
rigen $). Der Zustand der Oberfläche (polirt, matt,
oder rauh) bat hierbei keinen Einfluss. Im Mittel ist
‘Res SA
2) Die Grüsse b, welche die, zwischen den Fällen
C und D (Fig. 16) obwaltende Verschiedenheit
* misst, ist in auffallendster Abhängigkeit von dem Zu-
stand der Oberfläche. Durch Mattschleifen der Ober-
flâche wird jener Unterschied bedeutend reducirt, oder
_ gar vüllig aufgehoben, wie es bei der rauhen Platte
V 4 der Fall war. Bei X 6 und 7 ist b kleiner, als bei
X: 5 und ebenso bei M 9 kleiner als bei M 8
Beï den drei letzten Platten (NW 8—10) sind neben
D die den Füällen C und D (Fig. 16) direct entsprechen-
den Z beigefügt; I für den Fall Æ gleich 100 gesetzt.
3) Fällt polarisirtes Licht auf die Platte, so tritt im
ausgestrahlten Lichte die erste Spur von Polarisation
-beï einer Plattendicke zwischen 0,4 mm. und 0,6 mm.
auf. Über die erste Gruppe von Platten, M 1— X 6,
lässt sich Nichts Weiteres angeben. Sie ist characteri-
sirt durch das gänzliche Fehlen von durchgehendem
polarisirtem Lichte.
8 8.
Die zweite Gruppe der Milchglasplatten (4 — 0,306 mm. bis
d— 0,383 mm.), Das durchgehende polarisirte Licht,
Bei der Platte XX 7 wurde zum ersten Mal durch-
scheinendes polarisirtes Licht beobachtet und hier
zeigte sich bereits das unerwartete Resultat, dass die
. Polarisation nicht etwa nur bei y —, sondern bei je-
dem "y d. h. also auch in dem seitlich ausgesandten
Lichte auftrat. Bei 8 — 60°, war die Lichtstärke zu
gering und Polarisation nibit messbar. Wir re
uns zu den genauer untersuchten
Platten NX 8 und 9, die von fast gleicher Dicke,
aber die erste polirt, die #wéite matt, waren.
Die bedeutende Grüsse von b, Assymetrie bei schie-
fem Auffallen beweisend, steht in bester Übereinstim-
mung mit dem Auftreten bedeutender Mengen durch-
gehenden polarisirten Lichtes. Jene Assymetrie und
dies Durchgehen sind bei der matten Platte bedeutend
verringert.
Da die polirte Platte mehr Interesse erwecken muss,
als die matte Platte, wenden wir uns speciell zur Be-
trachtung des durch K 8 hindurchgegangenen polari-
sirten Lichtes. À 9 ergab analoge, nur weniger scharf
ausgeprägte Resultate. |
In der folgenden Tabelle sind die Resultate zu-
sammengestellt.
‘ Platte M 8 (4—0,317 mm.), polirt.
| Werthe von £ 100.
ÿ: —60° | —45° | —30°° Lx 30° 45° 60°
8
0 121,0! — | — 22,0, — | — |922,0
30 |24,0/ — |22,0|18,0,15,5| —,|16,5
45 | 24,0 |914,4! — |18,0| — | — |15,5
60 | 22,0! — |19,5|14,4! — | — |13,3
. Zwei Bemerkungen sind es nun vor allem, die sich
bei Betrachtung dieser Zahlen sofort aufdrängen.
1) Bei senkrechtem Auffallen des polarisirten Lichtes
(8—0) findet sich der gleiche Bruchtheil à polarisirten
Lichtes in allen, nach verschiedenen Richtungen aus-
gesandten, Strahlen, wenn man in einer Ebene bleïbt,
[die _L ist zur Polarisationsebene des Lichtes.
2) Für alle Winkel y=— — 8 wird derselbe Werth
für + erhalten.
$S 9.
Die Milchglasplatte X 10 (4 — 0,162 mm), poser
bersicht,
Die sämmtlichen photometrischen und sisi.
schen Beobachtungen an dieser Platte sind in der nach-
243
Bulletin de l’Académie Impériale
folgenden Übersicht angegeben. Der Einfallswinkel 8
und der Austrittswinkel y hatten die Werthe 0°, 15°,
30°, 45° und 60°. Die Polarisation ist jedoch nicht
für alle y gemessen worden.
30°
86,6
15°
96,6
—15° | 0°
100
45°
70,7 | 50
— 30°
86,6
— 60°|—45°
Y =
100csy=| 50 | 70,7
100/85,1169,1151,6/32,1
100/88,5/68,3149,0/31,6
100/83,0,63,6/47,1
100,84,5,66,7,47,3/27,
100/86,2/67,447,6128,8
32,1151,6
41,8/67,0
51,8/76,1
60,395,8
68,696,8
VUYIvY
69,1
87,5
102,9/100,8
104
116,8
—60°| —45° 45°
39,0
149,0
53,0
51,7
30,8
42,5
53,0
51,5
58,1
51,548,5/49,5/:
56,8(2)49,4| — |39,0/34,5
— |37,9| — |26.6
36,0| — |26,3122,0
Die Zahlen der zweiten Tabelle geben für das aus-
tretende Licht die Grüsse = in Procenten ausgedrückt.
Das einfallende ist senkrecht zur Einfallsebene pola-
risirt.
Die Tabelle I zeigt die Vertheilung der Lichtinten-
sitäten für senkrechte und geneigte Incidenzen. Die
Zahlen, welche y — —$, also den Füällen entsprechen,
wo das beobachtete austretende Licht die Richtung
des einfallenden hat, sind in beiden Tabellen hervor-
gehoben. Bei grossen Einfallswinkeln entsprechen sie
in I nicht mehr den Maximis (8— 45°, 60°) der Licht-
stärke. Es ist, als hätte man es bei schiefer Incidenz
mit zwei übereinandergelagerten Lichtvertheilungen
zu thun, von denen die eine ihr Maximum bei y — 0,
die andere bei y— —$ hat. |
Für positive y ist die Lichtvertheilung bei allen
Einfallswinkeln 8 ziemlich die gleiche.
à Zu vwichtigen Folgerungen führt die nähere Be-
= trachtung der in der Tabelle II angegebenen Zahlen.
$ 10.
Erste Folgerung aus den Zahlen der Tabelle IL,
Es sei à der Winkel zwischen den einfallenden und
den beobachteten austretenden Strahlen (Fig. 18), also
Ô — 0°, wenn y — —$ ist, oder allgemein:
(22) di PR RTE RE FORTE Ô — 8 Pi ES À
Fig. 18
Die in einer, von rechts oben nach links unten ver-
laufenden Diagonalreihe, stehenden Zahlen beziehen
sich auf constante à. Es ist nun im hôchsten Grade auf-
fallend, dass die, gleichen à entsprechenden, Zahlen
ziemlich nahe constant sind. Um dies deutlicher zu
zeigen ordnen wir die Zahlen der Tab. II nach den à
in folgender Tabelle:
IT.
—55°|—30°/—15—=58—| 0° | 30° | 55° | 60° | 90° | 120°
(y=—$)
Y
42,5, 48,5,51,5| 0°] 58,5 148,5] 42,5] 39,0) — | —
49,0! 53,0! 54,2) 15 | 58,1 |49,4/ — |39,0| — | —
— |53,0/53,0| 30 | 57,8 |49,0| — |37,2, 26,6, —
— | — 51,7, 45 | 53,0 | — |43,5| 36,0) 26,3| —
— | — | — | 60 | 50,8 46,8, — | 39,0,28,5/21,0
Gleiche à entsprechen gleichen Ablenkungen der
Strahlen und es scheint daher, dass man für diese
Platte sagen kann, dass gleich stark abgelenkte
Strahlen gleiche relative Quantitäten polari-
sirten Lichtes behalten haben.
Bei 3— 0°, wo die Ablenkung Null ist, zeigt sich
eine grüssere Inconstanz, aber hier künnte es sonder-
bar erscheinen, dass die Zahlen nicht noch viel schnel-
ler sinken. Die Zahlen der Colonne à — 0° entsprechen
dem Falle, dass die Platte um ihre verticale Axe ge-
dreht wird, bei der Fig. 5 skizzirten Anfangsstellung.
Geht man von der Ansicht aus, dass für diesen Fall
B-0, y-60°
245
des Sciences de Saint -Pétersbourg.
246
P der direct (ohne Diffusion) durchgegangene Theil
des Lichtes ist, so ist es nicht unmüglich, dass die von
uns gefundene Zahl (50,8) darin ihre Erklärung findet,
dass die durchgehenden Strahlen für den betrachteten
Fall den Fig. 19 angegebenen Weg nehmen. Beï einem
Brechungscoefticienten + wäre der Winkel o— 35°20",
cos ®— 0,82 und folglich Le — 1,22. Das Verhält-
niss der in den Richtungen d und d’ Spa art
nn : ep — 1,15;
setzt man pm — 1,6, s0 ai man ee 1,19
relativen Quantitäten Æ jst aber gleich =
Fig. 19.
\
Um das gefundene Resultat deutlicher hervorzuhe-
ben, sind in Fig. 20 noch die, den Zahlen der Colonne
8—$+y— 60" entsprechenden Strahlenwege ge-
zeichnet,.
me 20.
L
F
GE GE LE
À M y
M
A=15?; y=45. _ LS
57 P=s; HE ARE Fe sas
= weichungen (die betreffenden Zahlen stehen in Tab. III |
Wollte man an dies Resultat weitere ar
knüpfen, so müsste man die in den Momenten des Ein-
tritts und Austritts der Strahlen stattfindenden Bre-
chungen in Betracht ziehen. Die innerhalb der Platte
stattfindende Ablenkung der Strahlen ist viel geringer
als B+- "7.
Die Zahlen, welche in Tabelle IT links von den un-
terstrichenen stehen, entsprechen Ablenkungen nach
der anderen Seite, als sie in Fig. 19 skizzirt sind.
Hier finden sich in den Diagonalreihen bedeutende Ab-
links von den y), die aber ihre vollständige Erklärung
finden, wenn man statt der Gesammtablenkung B +-Y
nur die eben erwähnte innere in Betracht zieht.
Der Winkel à zwischen dem bereits eingetretenen
und dem eben austretenden Strahl ist (s. Fig. 21):
Eu 8" + Y
sin B— = sinf; sin ÿ — sin y:
&2. RARES
Fig. 21.
Z
‘ d
: SsY
Betrachtet man £ in Abhängigkeit von à statt von à,
so wird die Übereinstimmung jedenfalls noch grüsser.
Die Zahlen der Tabelle III, welche à — 60° ent-
sprechen und welche bei Fig. 20 nochmals in einer
horizontalen Reihe angeführt sind, entsprechen z. B.
folgenden Werthen von à (wenn n =+ angenommen
wird).
39,2 38° 39° 38° 30,2”.
Die mittleren, scheinbar zu kleinen Zahlen jener
Reihe entsprechen also in der That grüsseren à d, h.
pe inneren Ablenkungen.
Die drei Zahlen:
26,6 26,3 28,5
der nächsten Colonne in Tab. III (à — 90°) entsprechen
den à
47,5° 47,5° 45,2”.
Für das Sinken der, 8— 0, also auch 3 — 0 ent-
sprechenden, Zahlen bleibt aber nur die oben bereits
angeführte Erklärung des längeren Weges.
Was nun endlich die obenerwähnten Zahlen in der
Tabelle III, welche negativen à entsprechen, betrifit,
so ergeben sie, mit den entsprechen à’ verglichen:
=— 55° | — 80° | —15° ô’
42,5 |48,5151,5 28°195° 10°
(24 49,0 |53,0/54,2 925) 18|9,5
53,0| 53,0 15,7 | 8,5
51,7 7,2
Grüsseren 3 entsprechen kleïnere HA
nur die letz- : “ < .
ten Zahlen sind zu klein, offenbar analog dem Fallek +.
247
Bulletin de l’Académie Impériale
248
d—0, wegen des längeren Weges. Aus demselben
Grunde wird auch die letzte Zahl (46,8) der Colonne
à — 30° in Tabelle IT zu klein sein.
Den oben ausgesprochenen Satz über die Abhängig-
keit der übrigbleibenden polarisirten Strahlen von der
Grüsse der Ablenkung à künnen wir jetzt mit relativ
grüsserem Rechte so fassen: Strahlen, welche in-
nerhalb der Platte gleich grosse Ablenkungen
ÿ erfahren haben, behalten gleiche relative
Quantitäten £ polarisirten Lichtes. Bei gerin-
gen Ablenkungen (bis etwa 3 — 16°) wird das
Verhältniss a verringert, wenn $ gross ist,
weil dann der durchlaufene Weg jedenfalls ein
grüsserer Sein muss.
- 811.
Zweite Folgerung aus den Zahlen der Tabelle Il,
Wir sie dass mit wachsender Ablenkung à das
Verhältniss —- 7 kleiner wird, Ein Blick auf die Ta-
belle IIT et um den auffallenden Umstand zu be-
merken, dass dies Sinken von _ nahe proportio-
nal den 5 verläuft.
- In abgerundeten Zahlen haben wir nämlich::
P
ÿ +-:100
0° 60
30 50
60 40
120 20,
d. h. eine Verminderung des Bruches + um je +
seines Anfangswerthes bei jedem Wachsen von 5
um 30°. Dies führt zu dem .. F=0 gerade
bei 3—180°. Das Verhältniss — wäre somit
proportional dem Winkel 180°_—3 oder propor-
tional dem Winkel zwischen dem eintretenden
und dem beobachteten austretenden Strahle,
diesen Winkel gleich 180° gerechnet, wenn die
beiden Strahlen dieselbe Richtung haben. Die
_erwähnte Proportionalitit ist aber nur ganz roh vor-
handen. Dem Winkel 3 — 180° d. h. 8 — y — 90°
entspricht 5 = ff + y — 41,8° + 41,8° — 83,6°.
. Bei diesem 3 — 83,6° wäre also P— 0.
Ordnet man die BE nicht nach den à, sondern nach
den 3’, so findet sich innerhalb der Beobachtungen,
welche nur bis $# — 70,4° (entsprechend à — 60° +-
+ 60° — 120°) reichen, ebenfalls in roher Annühe-
rung Proportionalität zwischen der Verminderung
von = und dem Winkel 5. Hier würde man aber
+ — 0 erst für den physisch unmüglichen Winkel
S — 105° erhalten. Fernere Versuche müssen ent-
scheiden, ob die es den à oder den 5 proportional
sind — falls überhaupt eine derartige Gesetzmässig-
keit existirt.
S-129:
Polariscopisehe Untersuehung des durehgehenden polarisirten
Lichtes,
Bei allen polarimetrischen Versuchen war das auf-
fallende Licht L zur Einfallsebene polarisirt und das
austretende Licht wurde nur in dieserselben Ebene
untersucht.
Über die anderen Füälle, wenn sde snfaletde Licht
il der Einfallsebene polarisiet, oder das austretende
in einer zu dieser senkrechten Ebene liegt, wurden,
behufs vorläufiger Orientirung nur polariscopische
Vorversuche gemacht, deren Resultate hier kurz an-
gegeben werden sollen. Die Versuche wurden an der
Milchglasplatte M8 (s. $ 7) ausgeführt; ihre Dicke
ist 0,317 mm. Fällt auf die Platte natürliches Licht,
so ist das, sehr schief austretende, Licht stets L zur
Austrittsebene polarisirt; auch für den Fall schiefer
Incidenz, wenn die Austrittsebene JL ist zur Einfalls-.
ebene. ; |
Zur Abkürzung, wollen wir die erstere die A.-Ebene,
die letztere die E.-Ebene und die Polarisationsebene-—
P.-Ebene nennen. Da die Platte bei allen Versuchen
vertical und die E.-Ebene horizontal war, so dürfte
es bequem sein, die Lagen der P. “Ebeñe durch verti-
cal oder horizon zu bezeichnen.
EL Das polarisirte Licht fällt senkrecht auf
die Platte. Die P.-Ebene ist vertical. ,
a) Horizontale A.-Ebene. Dies ist der Fall, auf :
welchen sich die Zahlen der Colonnen VI und VII
(Platte M 8) im $ 7 bezichen. Die P.-Ebene des aus-
tretenden Lichtes ist vertical. à
b) Verticale A.-Ebene. Mit. wachsendem : Aus
ltrittswinkel + wird die Polarisation schnell geringer, 4
249
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
250
dann Null und bei grossem y ist die P.-Ebene hori-
zontal, das Licht also ! zur A.-Ebene polarisirt.
IL. Das polarisirte Licht fällt schief auf die
Platte; der Einfallswinkel ist etwa 65°. Die E.-Ebene
ist horizontal.
A. Die P. -Ebene ist ‘vertical db: L zur
E.-Ebene.
a) Horizontale A. Eten Dies ist der Fall, auf
welchen sich die Zahlen der Colonnen VII, IX bind X
(1. c.) beziehen, Die P.-Ebene ist vertical.
b) Verticale A.-Ebene. Mit wachsendem y wird
die Polarisation schwächer; die P.-Ebene dreht sich
und bei grossem y ist die P.-Ebene horizontal d. h.
_L zur A.-Ebene.
B. Die P.-Ebene ist horizontal, also das Licht
in der E.-Ebene polarisirt. Dieser Fall kam bei den
polarimetrischen Versuchen nicht vor.
a) Horizontale A.-Ebene. Für y—oist die P.-Ebene
horizontal. Mit wachsendem y wird die Polarisation
schnell geringer. Bei grossem positiven y ist sie
Null, bei grossem negativen fast Null.
b) Verticale A.-Ebene. Das Licht bleibt in der
E.-Ebene d. h. also L zur A.-Ebene polarisirt und
wird die Polarisation mit wachsendem y immer grüsser.
S +5.
Untersuchung eines halbdurchsichtigen «Üperfangglases»
(verre plaqué).
Da Rauchglas ($ 3) und das dickere Milchglas
bilden die extremen Füälle, von welchen im $ 1 die
Rede ist und welche durch die Formeln (1) und (2)
characterisirt sind. Ich habe noch zwei Kürper unter-
sucht, welche zu den nicht extremen Fällen gehôren
und nach dem im $ 1 Gesagten, als durchscheinend
bezeichnet werden konnten. Der erste Kürper war
eine aus zwei Schichten bestehende Glasplatte, sogen.
Überfangglas (verre plaqué), belgischer Fabrication.
Die dickere Schicht bestand aus gewühnlichem farb-
losen Glas; die dünnere aus einem, oberflächlich rein
weiss erscheinenden, Glasflusse. Die Dicke dieser
Schicht wurde durch Abschleifen derselben als gleich
0,390 mm. gefunden.
Die Platte ist entschieden durchscheinend; ein Theil
des auffallenden Lichtes wird zerstreut, ein anderer
geht frei durch. Hält man die Platte dicht vor eine
Flamme, so ist diese nicht zu sehen, weil die intensiv
beleuchtete Platte zhviel zerstreutes Licht giebt. Ent-
fernt man die Platte von der Flamme, s0 treten zuerst
die Conturen der letzteren hervor, Desto weiter man
die Platte entfernt, desto deutlicher sieht man alle
Details der Flamme, des Dochtes ete. Das erste Sicht-
barwerden der Flammenconturen findet, unabhängig
von der Leuchtkraft der Flamme, stets bei einer und
derselben Entfernung statt, worin eine hübsche Be-
stätigung des Fechner’schen psychophysischen Ge-
setzes sich nachweiïisen lässt.
Eine Milchglasplatte von der Hälfte der Dicke die-
ser weissen Schicht ist noch vüllig undurchsichtig.
Wir haben es also jedenfalls hier mit einem
anderen Stoffe zu thun, in welchem die zer-
streuende Masse minder dicht vertheilt ist.
Doppelplatte. Zwei Platten wurden mit den weissen
Seiten zusammengelegt. Die so entstandene Doppel-
platte war nur durchscheinend und konnte man keine
Flammenconturen durch dieselbe erkennen.
Die photometrische Untersuchung derselben ergab:
8=0 B— 60°
Y I Y I
O0 100 0 100
+ 60° 4409 “+60° 44,34
also nach unseren früheren Bezeichnungen (8) und (10):
a — 44,09 b— 100.
. Fiel auf die Platte vollständig polarisirtes Licht, so
war in dem normal ausgestrahlten Lichte keine Spur
Polarisation zu bemerken.
Das Resultat stimmt also sehr gut mit dem für
dickes Milchglas erhaltenen, insbesondere was die
Grüsse der Zahl a betrift.
Einfache Platte. Da man bei gerader Durchsicht
(y = — À) das Bild der Flamme im Gesichtsfelde sah,
konnte bei dieser Lage von Einstellung des Photometers
keine Rede sein. Die dadurch entstandenen Lücken in
der Beobachtung sind in der folgenden Tabelle durch
+ ausgefüllt. Bei der ersten Beobachtungsreihe,
welche der senkrechten Incidenz (8 — 0) entspricht,
fehlte der, y—0 entsprechende, Vergleichwerth von J,
of
welcher oben stets gleich 100 angenommen wurde. Es
wurden daher die Z mit dem, y—15° entsprechenden, ; ri
Werthe verglichen und dieser hierbei gleich 96,6—=
251
Bulletin de l’Académie Impériale
— 100 cos 15° gesetzt, womit aber nicht etwa gesagt |
sein soll, dass Z— 100 bei y — 0 sei.
Ein Vergleich zwischen den Zahlen dieser Ta-
belle IV und denen der Tabelle [,$ 9, zeigt einen enor-
men Unterschied in der Verbreitungsart des Lichtes
im dünnen Milchglas und in dem jetzt untersuchten
weissen Glas. Dieser Unterschied lässt sich dahin
formuliren, dass sich beim Milchglas ein, von der Rich-
tung des geraden Strahlendurchganges nach beiden
Seiten stark ausdehnender, Lichtüberschuss
zeigt, während bei dem Überfangglas dieser Über-
schuss auf einen sehr schmalen Raum concentrirt
bleibt. In Tab. I überwiegen die Zahlen der linken
Seite sehr bedeutend, während in Tab. IV der Unter-
schied nur ein geringer ist. ;
Für 8— 45°, finden wir bei y = — 60° und
y—= + 60° in Tab. I die Zahlen 60,3 und 27,9; in
Tab. IV dagegen 46,3 und 42,9.
IV.
—60°|—45°|—30°|—15°| 0° | 15° | 30° | 45° | 60° | —y
0°
30
45
60
ne |
—+-
100
100
100
83,6
81,0
80,1
43,0
45,0
46,3
FR
66,5
68,1|
+
70,3
96,6
98,5
96.8
98,1
96,6
94,0
93,3
94,1
66,5
64,1
64,6
64,9
43,0
42,8
42,9
427
he
88,9
88,6
Der Bruch ie bei, L zur Einfallsebene polarisirtem,
auffallenden Lichte ist bei 8—0, 30° und 60° ge-
messen worden.
Bei 8 = O0 wurde gefunden:
Ÿ +100
0 057
10 19,5
30 17,5
50 18,7
60 20,0
und ferner bei 8 — 30° und 8 — 60°:
Y.
E
(7 100)
60°! —45°|—30°|—15°| o | 15° | 30° | 45° | 60° | —=y
Le 6
20,0! 19,5! + |18,0/16,2|15,4/ 13,3, 13,8/15,4| 30°
+ |19,3118,6, — |14,3/11,4| 9,3! 9,5112,1| 60
$ 14.
Untersuchung einer halbdurehsichtigen Milchglasplatie
(d— 1,841 mm).
Diese Platte war noch bedeutend durchsichtiger,
als die zuletzt betrachtete. Trotz ihrer Dicke konnte
man durch sie hindurch sogar mittelmässig beleuch-
tete Gegenstände erkennen. Das durchscheinende Licht
war rôthlich, das reflectirte schwach bläulich gefärbt.
Die Platte diente unter anderem dazu die Wirkung
der Oberflächendiffusion zu untersuchen. Es wurden
zwei Platten aus einem Stück nebeneinander ausge-
schnitten. N° I blieb mit glatter Oberfläche; KIT wurde
matt geschliffen. N° IT war nur durchscheinend; die
Conturen selbst heller Flammen waren, wie beï allen
matten Gläsern, nicht zu unterscheiden. Die Dicke
von À IT war 1,723 mm.
Vergleich der polirten Platte I mit der mat-
ten N° II. Bei der polirten Platte konnte die Inten-
sität des in gerader Richtung durchgehenden Lichtes
wieder nicht bestimmt werden, da man im Gesichts-
felde das sehr intensive Bild der Flamme sah. Eine
sichere Messung war für den Fall 8— 0 erst bei
y—= 7° auszuführen. Es wurden nun für verschiedene
y die von I und IT ausgestrahlten £, und Z,, (p = po-
lirt, m — matt) verglichen. Folgendes sind die Resul-
tate:
F0:
I
p
L In
0° Sehr grosse Zahl,
É - Lt
10 0,921
15 0,972
30 1,08
60 1,09.
Die Zahl für y — 0° liess sich, wie gesagt, nicht be-
stimmen, doch muss sie über 20 gewesen sein. Die
angeführten Zahlen zeigen dass die Lichtmenge, welche
mit hoher Intensität, aber in Form eines schmalen
Centralbündels die polirte Platte durchsetzt und für
das Auge das deutliche Bild giebt, bei der matten
Platte in einen Conus mit breiter Offnung auseinander-
gezogen wird. In Folge dessen überwiegt schon bei
geringem Emissionswinkel y die Helligkeit der matten
|Platte, es wird 1, > Z,. Bei grüsseren Winkeln wird
253
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
254
aber L; wieder etwas grôsser als Z,. Das gesammte
hindurchgelassene Licht ist aber bei beiden Platten
nahe dasselbe. Legt man nämlich die beiden Platten
nach einander an eine durchscheïinend hell leuchtende
Milchglasplatte (NS 6, s. $ 7, d—0,607 mm.) und
beobachtet die Intensität bei 8 — y — 0, so erhält man
fast ganz gleiche Werthe. Es ergeben nämlich bei
senkrecht durchgehendem Lichte:
(25) f Milchglas M 6 + M II (matt). . . I, — 100
\ Milchglas X 6 +- N I (polirt) .. 1, —102,9.
Während also das concentrirte Licht einer
entfernten Flamme bei 8—y—0 für -” eine
sehr grosse Zahl giebt (über 20), giebt das
breite dicht an die Platten angelegte leuch-
tende Milchglas für diesen Bruch eine kaum von
Eins unterschiedene Zahl.
Hierin mag vielleicht ein Fingerzeig liegen, der
auf eine nicht unmôgliche Quelle von Fehlern bei
photometrischen Untersuchungen hinweist. Verglich
man J,, und 4, wie sie in (25) gegeben sind mit dem Z,
welches die Milchglasplatte N: 6 allein gab, so zeigte
es sich, dass die Platten NX I und X IT im Mittel
: 53,4%, des Lichtes durchgehen liessen—wohlverstan-
den ist hier von dem gesammten, in allen Richtungen
durchgehenden Lichte die Rede. In gerader Richtung
geht bei der polirten Platte unvergleichlich mebr
Licht hindurch, als bei der matten.
Von wie grosser Wichtigkeit dieser Umstand ist,
wenn es sich um die Bestimmung des Schwächungs-
coefficienten handelt, braucht wohl kaum ausführlich
hervorgehoben zu werden. Sowohl die polirte, als auch
die matte Platte wurden photometrisch und polari-
metrisch untersucht; es sollen zuerst die Resultate an-
gegeben werden, welche für die, an und für sich we-|
niger interessante, matte Platte gefunden wurden.
$ 15.
Die matte halbdurchsichtige Milehglasplatte X IL,
Bei den photometrischen Messungen zeigte es sich,
dass bei schiefer Incidenz, 8 0, die Lichtvertheilung
auf der positiven Seite (y >> 0) ganz den Character
hat, der bei dicken durchscheinenden Milchglasplatten
($ 7) gefunden wurde. Bei Vergrüsserung der y sank
_ Tome XXXI. ur
*
die beobachtete Intensität nur ganz langsam; die Z
sanken also etwas schneller, als es nach dem Cosinus-
Gesetz sein müsste. Bei schiefer Incidenz und posi-
tiven y, wurde daher, wie bei dickeren Milchglasplatten
($ 7) nur der Werth für y — + 60° bestimmt.
VE L
ous) 0 | — 16° | 0° | 16°: | 80° |-45° | 60° | =+
Re MUR ER _.
32,314 80 74,8 100 74,8|61,046,0/32,3| 0°
46,017 0110,4.108,0! 100 = | — | — |41,5| 30
50.7 Si ons — [100 — | — | — 145,4] 45
56,6 — | — | — |100! —| — |64,2/42,4) 60
À
VIL, —. 100.
—60° | —45° | —30° 0° 30° 45° 60° re)
— RE D Bo
0° | 881 — | 90/9298! 9,0! — | 88
30 114,3121,0125,0! 6,7| — : — | 27
45 117,0120.0115,0!. 0 | — | — | 0
60 1165) — | 0 | 0 | —)—]|0
Vergleicht man Tab. VI mit Tab. I ($ 9), so zeigt
sich in der ersten Reihe fast vüllige Gleichheït, in den
weiteren aber, besonders für positive y totale Ver-
schiedenheit; dasselbe findet man bei Vergleich der
Tabellen IT und VI.
$ 16.
Die polirte halbdurehsichtige Milehglasplatte L'EA
$
In gerader Richtung konnten photometrische Unter-
suchungen nicht ausgeführt werden; die Werthe von Z
bei y——$ waren sehr gross im Vergleiche mit allen
Übrigen. Polarimetrische Messungen sind aber doch
gemacht worden; sie ergaben eine enorme Quantität
(72,5°/) durchgehenden, polarisirten Lichtes. Bei
schiefer Incidenz erhielt man für y — + 60° wieder-
um eine 43 nahe Zahl und polarisirt unverändert : ns
durchgegangenes Licht nur in nächster Nahe der Linie Fo:
des geraden PT. re
17
255 Bulletin de l’Académie Impériale 256
Die photometrische Untersuchung ergab folgende Werthe der Z:
F- VIII.
FT qe | go | as | ane | age | __30 | 19° | o | 19° | so | 35° | 45° | 48° | 60°
8 € à
0° 148,6! — |65,2| — | — |100! + |100 — |65,2| — |43,6
45 |49,7| — | + | — 1870! — | 100! — |82,1| — | — | — |42,7
60 | + |72,0| — |83,8| — | — | 100! — | — |78,3| — |62,5|43,2
Die sehr grossen Zahlen, welche y— —$ ent- à
sprechen, sind durch <+- ersetzt. “ 1
Die SR Messungen ergaben folgende PIRE 231
Werthe + — + 100: 80 » 100
120 » 68,59
IX. 160 » 57,00
200 » 48,34
y= |—60°|—45°|-30°)—15°| 0° | 15° | 30° | 45° | 60° 40 0 43,84
320 » 40,30
6
0°|14,2! — 9,5172,5| 9,3] — | — 114,2 Bei weiterer Anderung von > blieb Z wesentlich
45 |22,772,5) 9,3 O0! O0! —}—1}! 9,3 ]|constant.
CONTE = mme tt | Wurde.die Platte À ganz fortgenommen, so wurde
Ô | 1 = 3064
Bei allen y——$ wurde derselbe enorm hohe| s,pjten. Da wir nun ftüher gefunden haben, dass die
Werth von + + 100 beobachtet. Die Seitenzerstreuung
des polarisirten Lichtes war aber nur eine geringe,
Mit der polirten Platte X I sind noch weitere Ver-
suche ausgeführt worden, um das im Glase zerstreute
Licht, von dem direct durchgehenden zu trennen.
Platte À dicht an M angelegt 53°/ des von M ausge-
henden Lichtes weiter ausstrahlt, so folgt, dass, wenn
wir r —0 gemacht hätten, wir 1— 3064.0,53— 1636
gefunden hätten. Wir kônnen also der Tabelle IX noch
die Zahlen:
y o I
dès (BL En, 0 mm. 1636
M <e hinzufügen.
; le r | Bree Beim Entfernen der Platte RÀ von der Platte M
| | sinkt also die beobachtete Lichtstärke zuerst enorm
_ Erste Versuchsreihe (Fig. 22). Als Lichtquelle
diente die beleuchtete Milchglasplatte M 6 (s. $ 7,
d—=0,607 mm.; Radius o — 20 mm.); sie ist in Fig. 21
durch M béséichhet: Nach dieser Lichtquelle wurde
mit dem Photometer P visirt und zwar durch die po-
lirte halbdurchsichtige Platte X I hindurch; diese ist
_ durch 2, die Lampe durch ZL bezeichnet. Die Entfer-
2 nung MR—7r wurde von 40 mm. bis 320 mm. Va
_ riürt. Die directe Beobachtung ergab für die Intensi-
= täten Z die folgenden Werthe:
schnell, dann langsamer, um sehr bald fast constant
zu werden. |
Das nach P gelangende Licht besteht aus zwei Thei-
len. Der erste, durchgehende, bleibt (bei allen Entfer-
nungen 7) constant, wie wir es im $ 3 beim Rauch-
glase gesehen haben; wir wollen diesen Theil durch À
bezeichnen. Der zweite Theil wird von der Platte R
ausgesandt und ist proportional der Beleuchtung der-
selben durch die Platte M. Bei grossem r ist der
zweite Theil nur gering; bei kleinem r dagegen über-
wiegt er den anderen um das 40 fache.
257
des Sciences de Saint - Pétersbourg.
258
Wäre die Platte M gleichfürmig leuchtend, so würde
die im Centrum von 2 stattfindende Beleuchtung um-
gekehrt proportional der Grôsse »°+-06° sein, wo © der
Radius von M ist. Für r > 100 mm. kann o° im Ver-
gleich mit r? füglich vernachlässigt werden. Da M aber
nicht gleichformig beleuchtet ist, so wird es ungefähr
wie eine Scheibe leuchten, deren Radius etwas kleiner,
als o — 20 mm. ist.
Wir setzen also:
I= À +
CE EE DRE NE A0
Rs
Um auch für r — 40 mm. einigermaassen Überein-
stimmung zwischen Rechnung und Beobachtung zu
finden muss x < o« angenommen werden und setzen
wir:
x— 16 mm.
Die Werthe der Tabelle X ergeben nach der Me-
thode der kleinsten Quadrate für À und B die Werthe:
HA rie
B = 457300.
Diese Werthe setzen wir in (27) ein und finden:
r I Beob. I Berechn.
40 Dh à 282,5
80 100; 42 102,8
12066059: 45 67,32
OO DL CR 53,8
200 4834 cn: 47,47
240 40,84 2001 44,02
320: 4030: %, 40,57
Für r—0o erhält man Z— 1822, während 1636
beobachtet wurde. Zum Mindesten also Grôüssen einer
Ordnung. Für kleine r liess sich Übereinstimmung
zwischen Beobachtung und Rechnung auch nicht er-
warten, da die Beleuchtung von À durch M sich ver-
wickelter, als durch (27) ausdrücken muss.
Die Zahlen (28) zeigen, dass 35,36 Lichteinheiten
(bei r— 80 mm. haben wir {= 100 gesetzt) durch
die Platte frei hindurchgehen. Etwa bei r — 112 mm.
ist dieser Theïl gleich dem von der Platte direct aus-
gestrahlten;, bei r — 80 mm. ist er nur noch wenig
über Re Drittel (35%), bei r —40 mm. bildet er
etwa — = und bei r—0 nur noch Ji dagegen bei
r= 320 mm. bereits 87°, des ganzen L.
1
Zweite Versuchsreihe (Fig. 23). Es sind einige
Versuche gemacht worden bei umgekehrter Anordnung
Fig. 28.
RS
7 g | # | Ji ERSS
der Platten; À und AZ haben dieselbe Bedeutung wie
früher. Es wurde also die Intensität Z der, durch die
Platte À hindurch beleuchteten Milchglasplatte M
beobachtet. Dies Z muss wiederum aus zwei Theiïlen
bestehen, deren Form durch (1) und (2) im $ 1 gege-
ben ist, wo a—9, b—7r ist. Wir setzen also, aller-
dings nur näherungsweise:
ARNO Ge DA 20 ii Ye :
Werden r und 9 miteinander vertauscht, so muss
I unverändert bleiben und dies wurde in der That
beobachtet. Folgendes sind die gefundenen Resultate:
XL.
p r I Beob. 1 Berechn.
100 mm 50 mm. 120,2 . 114,7
10: 3 15 9 100 99,7
75 » 100 »
100 » 75 » | 63,86 63,3
75 » 125: 5
fon + 0 49,27; 44,2
150 » 1%: 9 28,40(?).. 34,2.
Die letztere Zahl ist sehr unsicher, das Gesichts-
feld war äusserst dunkel und die Einstellung des Pho-
tometers sehr schwierig. Setzt man
A=— 1500, B—24700,
so erhält man für drei mittlere Zahlen eine ziemliche
Übereinstimmung, wie aus den obigen unter Z be-
rechnet stehenden Zahlen erhellt.
$& 17.
Vergleich der an vier Platten erhaltenen Beobachtungs-
fate,
Die vier Platten sind: das dicke Milchglas ($ 7), .
das dünnste Milchglas X 10 ($ 9—$ 13), das Über-
fangglas ($ 14) und die polirte halbdurchsichtige
Milchglasplatte ($ 17). Als fünfte kann die matt
Re Lu cs à aer
259
Bulletin de l’Académie Impériale
260
halbdurchsichtige Milchglasplatte erwähnt werden,
welche aber nur zum Studium der Oberflächendiffusion
Material giebt.
I. Die dicke Milchglasplatte. Sie ist als Grenz-
fall zu betrachten und durch folgende Eigenschaften
characterisirt:
1) Mit wachsendem Emanationswinkel y sinkt die
Lichtintensität Z schneller als nach dem Cosinus-Gesetz.
Bei y— 60° ist Z der 0,435-te Theil von der bei
ve 0"
2) Die Emanation ist unabhängig von dem Einfalls-
winkel des Lichtes.
3) Fiel vüllig polarisirtes Licht auf die Platte, so
war das austretende Licht vüllig unpolarisirt.
II. Die dünne Milchglasplatte M 10 (d—
0,162 mm.). Das ausgestrahlte Licht kann als aus
zwei Theiien béstehend betrachtet werden, derén er-
ster den sub I angegebenen Eigenschaften entspricht.
Zu diesem kommt aber ein bedeutender Überschuss
hinzu, der sich nach beiden Seiten von der Richtung
der eïinfallenden Strahlen bedeutend ausbreitet und
vielleicht bis zu den grüssten y reicht. Bei schiefer
Incidenz entsteht hierdurch ein sehr bedeutendes
Überwiegen der Z auf der einen Seite der Normale,
gegen die auf der andern. |
Polarisirtes Licht geht bei allen Incidenzen und bei
allen y in bedeutender Menge hindurch.
II. Überfangglas. Die wirksame Schicht ist
-0,390 mm. dick. Man sieht das Bild einer Flamme
hindurch. In der Richtung der auffallenden Strahlen
geht eine grosse Lichtmenge hindurch; der Über-
schuss ist nur wenig nach den Seiten verbreitet, in
Folge dessen bei schiefer Incidenz die eine Seite
nur wenig die andere überwiegt — ausser, natürlich,
_nabe der Richtung der einfallenden Strahlen. Bei
schiefer Incidenz erhält man für positive y eine Licht-
vertheilung, wie sie in I, 1 characterisirt ist. Das letz-
_ tere ist auch mit den polarisirten durchgehenden
Strahlen der Fall; doch findet man für diese nicht
unerhebliche, aber fast für alle + constante Werthe.
Man kann daher auf das Vorhandensein eines über.
vale y ft gleichfürmig vertheilten Überschusses
a schliessen. ;
à us EV: Polirte halbdurchsichtige Milchglas-
_ platte. Der Überschuss ist fast vôllig in der Rich-
tung der ei len Strahlen trirt Polarisirtes
Licht geht auch fast nur in dieser Richtung hindurch.
Bei schiefer Incidenz und positivem y erhält man das-
selbe, wie X II.
Sämmtliche Platten bestehen aus wesentlich glei-
chem Stoffe — gewühnliche Glasmasse, welcher fein
vertheiltes Knochenmehl, also phosphorsaurer Kalk
beigemengt ist. Die Dichtigkeit dieser Beimengung
ist bei den Platten I und IT am grôssten, bei III ge-
ringer und bei IV noch geringer..
$ 18.
Allgemeine Bemerkungen,
Ursache der Diffusion. Züllner weist («Photo-
metrische Untersuchungen» p. 24 u.f.) auf das Milch-
glas als auf einen Kôrper hin, für welchen das Lam-
bert’sche Cosinus-Emanationsgesetz gelten müsse.
Dieses wird auf bekannte Weise theoretisch für den
Fall abgeleitet, dass das Licht aus einer gewissen
Tiefe des Kôrpers dringe. Beim Milchglas sind nun,
nach Zôllner’s Ansicht, durch die in der Masse
gleichmässig vertheïlten, das Licht nach allen Seiten
zerstreuenden Partikelchen von phosphorsaurem Kalk,
die theoretisch geforderten Bedingungen gewisser-
maassen künstlich erfüllt. Für die Richtigkeit dés Ema-
nationsgesetzes spricht die in der Mitte und am Rande
gleichférmige Helligkeit halbkugelfrmig über die
Flamme gewôülbter Lampenschirme aus Milchglas.
«Aus diesem Umstande wird man nun auch auf die
Richtigkeit des Emanationsgesetzes für den Fall
schliessen dürfen, wo das Milchglas, anstatt von durch-
gehendem, von auffallendem Lichte erleuchtet wird.»
Wir sahen dass bei den Platten IIT und IV, in
welchen die Dichte der eingestreuten Partikelchen
eine verhältnissmässig geringe ist, der Lichtüberschuss
sich um die Richtung der einfallenden Strahlen con-
centrirt; in der etwas dichteren Platte III scheint er
etwas weiter und, ausser der erwähnten Richtung,
ziemlich gleichfürmig verbreitet zu sein. In der viel
dichteren Platte IT findet sich ein, sozusagen inten-
siver Überschuss mit starker Verbreitung nach beiden
Seiten.
Das Lambert’sche Emanationsgesetz. Wie
in diesem $ bereits angeführt wurde, hat Züllner
vermuthet, dass für Milchglas das Lamb ert’sche Ge- #4
setz richtig sein müsse, Wir fanden in allen Füällen
261
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
eine Abweïchung und zwar sinkt die Intensität des
ausgestrahlten Lichtes in dem Falle, wo die Platte so
dick und dicht ist, dass sieher Grenze weiterer
Ânderung des E ti ichtist, schneller
als nach dem Lambert’schen Cosinus-Gesetz. Was
den Züllner’schen Hinweis auf die Lampenglocken
betrifft, so dürfte der Contrast gegen den dunkelen
Hintergrund eine Rolle spielen. Projecirt man den
Rand einer Glocke auf die Mitte einer anderen, so
erscheint, mir wenigstens, in der That der Rand we-
niger hell als die Mitte. Ob dies seitlichen Beleuch-
tungen oder anderen stôrenden Ursachen zuzuschrei-
ben war, müsste durch genauére Messungen ent-
schieden werden.
E. Lommel hat das Emanationsgesetz für den Fall
durchsichtiger glühender Kürper aufgestellt und so
eine Verallgemeinerung des Lambert’schen Gesetzes
durchgeführt *), doch lassen sich seine Endformeln
wohl kaum auf unseren Fall anwenden.
Für beleuchtete Oberflächen fand Bouguer be-
kanntlich eine sehr grosse Abweichung von dem Lam-
bert’schen Gesetz und zwar bei mattem Silber, Gyps
und holländischem Papier («eher cos, als cos p» sagt
Züliner, 1. c. p. 22). Âhnliche Resultate erhielt Ko-
nonowitsch für weisses Papier (Carton) und Marmor.
Bei der theoretischen Begründung des Emanations-
gesetzes, besonders für den Fall des Milchglases, müsste
auf folgende Umstände Gewicht gelegt werden. Beim
Austritt der Strahlen findet Brechung derselben staft,
begleitet von entsprechender Schwächung (Lommel,
1. c. p. 458—459); die Strahlen, welche den sämmt-
lichen, zwischen den Werthen e und e + Ae liegenden
inneren Einfallswinkeln entsprechen, werden nach dem
Austritt auf einen breiteren und längeren Raum ver-|
theilt. Eine bedeutende Menge Licht wird total reflec-
tirt und verändert den Character der inneren Beleuch-
tung der Grenzschicht. Theoretische Untersuchungen
und weitere Versuche nach den früheren und nach
neuen, noch nicht angewandten Methoden werden
hoffentlich über das Wesen der inneren Diffusion wei- |
tere Aufklärung schaffen.
3) Wiedemann’s Annalen T. X, 1880, p. 453.
&
Hydrologische “Untersuchungen XLV, — XLVIH. Von
Prof. Dr, Carl Schmidt i in Dorpat. (Lu le 22 Avril
1886).
XLY, Wasser aus dem See Zizik-nor,
46°36 n. Br. . W. Mongolei.
93°20" 5. L. v. Greenw. 5410/—1648,9 Meter Meereshühe.
(17. (29.) April 1878. 6 hor.12°55”à.l.v. Greenw.
Bestimmung Rafailow’s)— geschôpft von Herrn G.
N. Potanin ) 4. (16.) April 1877.
«dieser kleine Gebirgs-$See liegt inmitten des Altai ?);
sein Wasser ist bittersalzig, am Boden krystallisirt
Salz. Die Ufer sind flach, 7 bis 10 Werst vom Nord-
und Süd-Abhange des Nam-daba- und Djetchän-daba-
Passes entfernt. Er ist etwa 10 Werst lang, abflusslos;
seine Ufer Salzmoräste».
Mit dieser Darstellung Potanin’s stimmt das Re-
sultat der Analyse hinsichtlich des überwiegenden
Glaubersalz-Gehaltes des Zizik-nor-Wassers über-
ein. Dasselbe scheint jedoch an der Schôpf-Stelle stark
durch Schneewasser verdünnt worden zu sein. Die
Analyse ergiebt nur 2!/ p. M. Salzgehalt etwa gleich
dem des finnischen Meerbusens vor Kronstadt, wobei
an eine «Krystallisation von Salz am Boden des See’s»
nicht zu denken ist.
Das Wasser ist klar, farblos, geruchlos, Volum.-Gew.
bei 20° C. — 1,00231
Analytische Data.
a) 93,061 grm. Wasser gaben 0,1152 Chlorsilber —
0,30609 p. M. Chlor.
b) 192,621 grm. Wasser 0,5855 Ba SO, —
p. M. SO.
c) 199,260 grm. Wasser 0,0248 CaO — 0,08890 p.
M. Ca
== 1,04364
b+ c) — 391,881 grm. (Filtrat von b u. c) 0,0356
Si0, — 0,09085 p. M. SiO,.
0,1446 MgS0, — 0,07380 p. M. Mg.
0,6330 KCI + NaOI,
__ f 0,02361 p. M.K.
VOSPEEN =} 0,61857 p. M. Na.
1) ef. G. N. Potanin, Skizzen der N.W.- sde + Petersburg
1881, I, p. 112 u. 362 (Russisch: «Ouepru posanaxaoñ Mox-
ras») 1 Resultate der Expedition der Kaiserl. prices Gesellschaft
1876—
2) AA A nôrdlich der Gobi und des ca. 3 Braliengrade süd-
licher den Zizik-nor-Meridian schneidenden Tjan-schan-Rückens. ei
Bulletin de l’Académie Impériale
1,000,000 grm. Wasser (ca, 1 Cubikmeter) enthalten:
Elementarbestandtheile.
4 JO UE SE DR Lie bn EU A M
RAP MEME à 23,61 | Kaliumsulfat K,S0, . ...... 52,57
NnumNa rit un 618,57 | Natriumsulfat Na,50, . . .... 1810,25
Cast Os ne 88,90 | Chlornatrium NaCI. ...... 80,55
Maghedam: Mu: 73,80 | Chlorcalcium CaCL, . ...... 246,53
CHIOr OR Lien adieu 306,09 | Chlormagnesium MgCL. . . .. 133,36
Schwefelsäure SO,. . ....... 1043,64| Magnesiumbicarbonat MgC, 0, 213,76
Koblensäure d. Bicarbonate CO, 146,96 | Kieselsäure SiO, . ........ 90,85
Kieselsänre S10,..,.:.::... 90,85
Sauerstoffaequiv. d. SO, u. C0, 235,45
Mineralbestandtheiïle . . ..... 2627,87 | Summe der Salze. ........ 2 627,87
Nasser, SDUr 0rpai SUDSt. : . . l 99791213) Wasser. nv. Jai", 997372,13
ne ST a EU 29 1000000,00 DA. 2, 1 r0. 1000000,00
Das Verhältniss der Sulfate zu den Chloriden gleicht
dem der Glaubersalz-Seeen des mittlern Jenissei (Mi-
nussinsker Kreis), zunächst des Tagarski See’s ?).
Reconstruirt man aus dem Abdampfsalze des letz-
teren das Wasser durch Berechnung des Kesselsteins
als Bicarbonat-Gemenges, so erhält man in 100 Th.
wasserfreier Mineralbestandtheile:
Elementarbestandtheile.
5 PS US: QUE ÙR 0 n g
Zizik-nor. Tagarski, Zizik-nor. Tagarski.
Raï ci sers 0,899 0,161 | Kaliumsulfat K,S0, . 2,001 0,358
Natrium Na....... 23,538| 27,778 | Natriumsulfat Na,SO,| 68,887. 80,427
CAOUNLS 4: 3,383 1,025 | Chlornatrium NaClI. . 3,065 4,329
Magresium Mg. .... 2,808 2,931 | Chlorcalcium CaCI.. . 9,381 2,842
HIT Cr: 02 — 0,085 | Chlormagnes. MgCL,. 5,075 |: 11,252
Schwefelsäure SO, . 39,715! 45,459 | Brommagnes. MgBr.. — 0,022
Fit 5 OF Eee 11,648! 12,849 | Magnesiumbicarbonat
Hu br, 5. 4) ns 00191 MeO0S 4... 8,134! 0,448
Kohlensäure der Bicar- Eisenbicarbon.FeC, O0, — 0,272
bonate CO, : . :: 5,592 0,458 | Kieselsäure SiO, .. . 3,457 0,050
Kieselsäure SiO, . . . . 3,457 0,050
Sauerstoffaequiv. d.SO,
11115 4 34 4 PRES 8,960 9,185
Summa . . . | 100,000 | 100,000 Summa . . .| 100,000 | 100,000
3 049 -
9) 15 Werst von der Stadt Minussinsk À Dog à Là Greenwich} % Bulletin T. XVIII, p. 477 (1885)
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
266
XLVI Wasser des Turkjuil-See’s
am Nord-Abhange des Tjan-schan
43094’ n, Br.
94°9’ 6, L. v. Greenw.
(63°49’ 6. L. v. Pulkowa).
Geschôpft von Herrn G. N. Potanin ‘) am 2. (14.)
Juni 1877, dessen Schilderung nachstehende Charak-
teristik des Seebeckens entnommen ist:
«Dieser Salzsee erstreckt sich W — O auf 6 Werst
Länge; das Wasser ist salzig, an den Ufern krystalli-
sirt Salz, das als Kochsalz benutzt wird.
Rings um den See wächst ZLasiagrostis mongholica
(Mongolisch: «Deressu»)”), auf dem Salzthonboden im
weiteren Umkreise Halophyten, auf dem Sandboden
eine Astragalus-Art der Gruppe Tragacanthae (Mon-
golisch: «Zagan ortüt»), Thermopsis lanceolata, Nitraria
Schoberi und Cynomorium coccineum. Ausserbalb dieser
Zone umgiebt den See harte Steppe, bedeckt mit Stein-
schutt, der sich zu dem den See umgebenden Felsgür-
tel emporzieht. N.und W. vom See ist diese Steppe von
natürlichen Rieselfurchen durchschnitten, in denen die
mit goldgelben Blüthen überdeckte Caragana traga-
canthoides D. C. wurzelt. An’s Nordufer des See’s
treten die Felshühen näher heran, deren Quellen zu
einem kleinen Bache zusammenrieselnd, in den See
münden, eine grüne, mit Weidengebüsch, Potentilla
anserina, Primula sibirica, Orchis salina Turcez, Po-
lygonum bistorta bedeckte Oase bildend. Der südliche
Gebirgsstock «Karluk-tag» ist mit ewigem Schnee
bedeckt, der nürdliche näher zum See herantretende
ist niedriger, nackter Fels.
Das Wasser ist klar, farblos, schwach alkalisch,
Geschmack stark salzig. Inhalt der Flasche 881,87 grm.
Soole A plus Krystallabsatz B.
Vol. Gew. bei 21° C. —1,23411
. f ‘999,504 p. M. Soole A
— | 0,496 p. M. Krystallabsatz B
in 1000,000 Gesammtwasser À + B.
4) G. N. Potanin, Skizzen der Nord-West-Mongolei I, p. 174.—
N.-0.-Ende des See’s 6 hor. 16’ 28” 6. L. v. Greenwich nach Rafai-
_….ow’s Bestimmung vom 15. (27.) Juni 1878 L. c. p. 354, 360 und 365.
5) Grasart aus der Familie der Gramineen in der Mongolei
sehr häufig und gesellschaftlich wachsend — botan. Bestimmung
AI. Bunge’s.
Analytische Data.
A. Soole:
a) 4,6193 grm. Soole A mit Silbernitrat und Ba-
ryumnitrat gefällt geben 2,6634 grm. AgCI + AgBr
= 576,2948 p. M. AgCIl+- AgBr des Wassers À +B
und 0,4065 grm. BaSO, — 30,1994 p. M. SO, des
Wassers A + B.
b) 98,7288 grm. Soole A mit Chlorwasser-+Chlo-
roform colorimetrisch 0,00025 Brom = 0,00253 p.
M. Br. = 0,00595 p. M. AgBr mithin 576,2889 p. M.
AgCI — 142,4991 p. M. CI des Wassers À + B.
c) 8,1343 Soole À 0,4737 Mg,P.,0,= 12,5933
p. M. Mg des Wassers À + B.
d) 141,474 Soole A mit BaCI, Überschuss und
Alcohol, dann Platinchlorid 0,0301 K,PtCl, —
0,0482 p. M. K des Wassers À + B,
33,0144 NaCI—91,9724 p. M. Na des Wassers A+B.
B. Krystallabsatz mit viel Wasser ausgewaschen,
das Waschwasser eingedampft 0,0525 CaSO, —
— 0,06640 CaSO, + 2 aq. in 881,87 grm. A+B
0,01544— Ca |
0,03088 — SO, ; in 881,87 grm. A+B
0,00618 — 0
0,0753 p. M. CaSO, + 2 aq. des Gesammtwas-
sers À + B
0,0175 p. M. Ca
0,0350 » » SO;
0,0070 » » 0
Der mit Wasser ausgelaugte Rückstand bei 140°
trocken — 0,3714 grm. = 0,4211 p. M. A + B, in
HCI unter starker CO, Entwickelung lôslich:
0,0448 Ca0O = 0,0363 p. M. Ca aeq. 0,0907
° p. M. CaCO,{ von
0,0550 Mg,P,0,—0,0135 p. M. Mg aeq.0,0472 fA+B.
p. M. MgCO,
0,0048 Fe,0;, = 0,0038 — p. M. Fe | |
aeq. 0,0079 — p. M. Fe,CO, von A+B
aeq. 0,0109 — p. M. FeC.0, |
0,0627 Si0,— 0,0711 p. M. SiO, von A+B
0,0011 Mg,P,0, — 0,0008 p. M. P,0, von A+B.
Das Wasser des Turkjuil-See”’s ist mithin eine Chlor-
natrium-Glaubersalz- und Chlormagnesium-reiche ge-
|
des Gesammtwassers A +-B.
ne
ee
ne —
——
sättigte Salzsoole, deren Gypsgehalt als Incrustation + de,
des Bodens grôsstentheils herauskrystallisirte. sr
Bulletin de l'Académie Impériale
1,000,000 grm. Wasser enthalten:
Elementarbestandtheile.
MR N DCD ET EUR EE
Mat KR ee ruine, 48,2 | Kaliumsulfat K,SO, . ...... 107,4
Nat Ni RCA 91972,4 | Natriumsulfat Na, SO, . . .... 53534,5
CHOIDRR etes 53,8 | Chlornatrium NaCI. . ...... 189421,0
Magnesium Mg............. 12606,8 | Chlorcalcium CaCL. . . ..... 148,6
PIB Ads el den. 3,8 | Chlormagnesium MgCL,..... 36941,7
Kieselsäure SiO,. ....... 71,1 | Brommagnesium MgBr,..... 2,9
Sauerstoffaeq. d. SO;, C.O,, P. 0, 8218,3 | Calciumphosphat CaP,0, . ... 4 à
Schwefelsäure SO, .......... 30199,4 | Magnesiumbicarbonat MgC.0,.| 17417,5
CIHOR CAS enr eeio demeure 142499,1 | Eisenbicarbonat FeC,O.. . . .. 10,8
BIO DE er nur. 25.1 RiéoaureiO SIN 71,1
Kohlensäure d. Bicarbonate C0, 11980,4
Phosphorsaure. PO, 2,5. ;
Mineralbestandtheile. . . . . ....l 297656,6 | Summe der Mineralsalze . 297656,6
Mar SR ess TORSAS LE Nat Ge and 702343,4
SUR 11° PAR ER EURE 1000000,0 DOM ne 1000000,0
Vergleicht man die Zusammensetzung des Zizik-nor-
_Wasser’s mit dem des Turkjuil-See’s, so ergiebt sich
dass ersteres relativ reicher an Kalium, Calcium, Schwe-
felsäure, Kohlensäure, Kieselsäure, letzteres (Turkjuil)
dagegen reicher an Natrium, Magnesium und Chlor ist.
Auf 100 Theïle Wasser enthält Turkjuil-See- Wasser:
7,622 Th. Na, SO,
26,971 » NaCl
_während bei 0° und 10° gesättigte Glaubersalz- und
_ Kochsalzlüsungen enthalten auf 100 Theiïle Wasser:
0° C. 10° C.
Natriumsulfat Na,SO, .. 5,02... 9,00
Chlornatrium NaCI. . .. 35,52 ... . 35,76.
Im Winter wird unter 6° der Glaubersalz-Über-
schuss als Na,$O,, 10 aq. herauskrystallisiren, während
alles Chlornatrium gelôüst bleibt. Aus 100 Theilen
Turkjuil-See- Wasser krystallisiren bei 0° heraus 5,902
Theïle NaSO,, 10 aq. — aus 1 Cubikmeter Turkjuil-
See-Wasser mithin 76,27 Kilogramme Glaubersalz,
dessen grosse Krystalle durch Siebschüpfer ausgebrückt
und erforderlichenfalls entsprechende technische Ver-
wendung zur Glas-Soda-Seifen-Fabrikation u. A. m.
finden kôünnen,
269
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
100 Theiïle wasserfreie Mineralbestandtheïle des Turkjuil-See-Wassers enthalten:
Elementarbestandtheile. Turkjuil, le. Gruppirung. fr Turkjuil. | "Ru.
à
Kahanx Ki, 2802 0,016 0,321 | Kaliumsulfat K,SO.. . |. 0,036 0,714
Natrium Na ....... | 30,899 28,129 | Natriumsulfat Nas, 17,985 | 39,676
Calcium Ca... « | 0,018 5,243 | Chlornatrium NaCI. 63,638 26,065
Magnesium Mg ..... |. 4,235 4,653 | Chlorcalcium CaCL.. 0,050 14,538
Has Tes unis | 0,001 Spur | Chlormagnes. MeC, 12,411 16,857
Schwefelsäure SO, 10,146 22,672 | Brommagnes. MuBr. | 0,001 0,030
CRETE nan 47,874 | 37,688 ny a
AOL: eo 0,001 0,026 A MERE AN pur Spur
Kohlensäure der Bicar- | Mount he)
bonate C0, 4,025 | : 1,417 Co, 5,851 2,061
Phosphorsäuré P,0, . . Spur Spur | Eisenbicarbonat .
Sauerstoffaequiv. der QC. Lie 0,004 Spur
se VU PAIE 2,761 4,792 Kieselsäure SiO, 0,024 0,059
“Éd SI0, 0,024 0,059
Summe der Mineral-
bestandtheiïle . . .| 100,000 | 100,000 | Summe der Salze . .! 100,000 | 100,000
Das mit dem Turkjuil-Soolwasser zusammenge- | XLyI, Wasser der Thermen am Fusse des Sehneegebirges
stellte Wasser des Balüktü-Kul-See’s repräsentirt
eine frühere Bildungsstufe des ersteren vor seiner
Concentration durch Sommerverdampfung bis zum
vollständigen Herauskrystallisiren des Gypses und
Kaliumsulfates. Beide verdanken wahrscheinlich dem-
selben Umsetzungsprocesse von Gyps mit Soda und
gelôsten Kali-Natron-Silicaten, — den Verwitterungs-
und Auslaugungs-Produkten des Tjan-schan und seiner
Parallelketten — zu Glaubersalz und Calciumcarbonat
neben Kalkzeolithen, ihre Entstehung. Wird Balüktü-
Kul- Wasser eingedampft, so krystallisirt zuerst Cal-
ciumcarbonat, dann Gyps und Kaliumsulfat, endlich
Chlornatrium oder im Winter Glaubersalz, heraus; es
hinterbleibt eine dem eo ra äbnliche Mut-
terlauge.
Fliessen, bei gleichzeitiger starker Sommerver-
dunstung Quellen und Bäche hinein, wie es beim
Turkjuil-See nach Potanin’s Darstellung namentlich
“von der nürdlichen niedrigeren Parallelkette des
Tjan-schan her stattfindet, so wird die Mutterlauge
entsprechend Glaubersalzreicher.
6) me 3 æ re ë. in der Kirgisensteppe 80 Werst
westlich von AAA best Bulletin T. XX VIUI, p. 476 (1883).
Tome XX
Otchan-Chairchan,
47940 n. Br. :
97° 30’ 6. L.' v. Greenw.
5000’ — 1524 Meter Meereshôhe.
Geschôpft von Herrn G. N. Potanin am 25. Juli
(6. August) 1877.
Über Lage und Umgebung dieser Thermen be-
richtet unser hochverdienter Reisender ?):
«Die Quellen liegen im Thalgrunde zwischen dem
Ufer des üstlichen Armes des Arschani-Gol-Flusses
und dem Nordabhange des Baga-otschirwani-Hoch-
gebirgsgipfels. Sie entspringen aus Rissen im rothen
Syenitischen Granit und bilden zwei Gruppen, eine
nôürdliche und cine südliche, etwa 50 Schritte von
leinander entfernt, jede zu 6 Quellen. Das Wasser
zeigt starken Schwefelgeruch. Seine Temperatur
übersteigt 40° C. — Leider war das Thermometer
nicht hôher getheilt.
Die Quellen zerfallen in Trink- und Bade-Quellen;
aus letzteren werden über 20 Wannen gefüllt, d. h.
hôlzerne in die Erde gegrabene Kasten etwa 2 Arschin
lang und 1 Arschin tief. Während der Badezeit sind ee
7) Skizzen der N.-W.-Mongolei, I, p. 282.
18
271
Bulletin de l’Académie Impériale
27?
diese «Wannen» von einem baumwollenen Zelte über-
dacht. Jede Quelle ist von einem Steinwall umkreist,
nach aussen von Strauchwerk und Stangengeflecht um-
schlossen, dessen Hühe den Maassstab für den Werth
und die Wärme der Quellen bildet: bei den heïssesten
übersteigt seine Hühe 2 Faden. ..»
Am 25.Juli nahte die «Badesaison» ihrem Schlusse—
es waren nur noch 25 Kranke und 1 «Lama-Doktor»
anwesend.... sie sassen je 1 bis 3 Stunden in den
Wannen, je nach der Vorschrift des «Doktors»..,
In Folge der hohen Lage treten mitunter schon im
Juli kalte Stürme und Schneefall ein.
Das in der wohlverkorkten Champagnerflasche ent-
haltene Wasser war klar, farblos, schwach nach Schwe-
felwasserstoff riechend.
Volum.-Gewicht bei 20° C. — 1,000325.
Analytische Data.
a) 168,739 grm. Wasser gaben 0,0386 hellbräun-
liches AgCI + Ag,S woraus:
0,0381 AgCI—0,05583 p. M. Chlor.
0.0005 Ag,8—0,00039 p. M.HS—0,00041p.M.HS.
b) 187,884 grm. Wasser direkt mit 10 Cc. Baryt.
wasser — 0,2230 BaO versetzt:
0,0243 BaSO, — 0,04441 p. M. SO,
0,0694 BaCO,— 0,08242 p. M. CO..
c) 557,080 grm. Wasser:
0,0045 CaO — 0,00577 p. M. Ca
0,0039 MgS0, — 0,00140 p. M. Mg
0,1338 KCI + NaCI
0,03534 p. M. K
0,1228 KPtCL =! 566808 SE
0,0467 Si0, = 0,08389 p. M. Si0,
0,0009 Fe,0, — 0,00113 p. M. Fe
0,0005 P,0; — 0,00090 p. M. P,0:.
1,000000 grammen — c. 1 Cubikmeter Thermalwasser enthalten:
Quellentemperatur. oirené Rachmanow sn vis Ragaz-Pfäfers A GE
über 40° 0. | 25°C | 478 © | 96,6 0. LÉ
RAR KR, 4... 35,34 7,62 6,06 11,6 385: | 16. 6,12
Natrium Na ....... 68,08| 29,20 84,50! 49,0 32,98 | Na 8,67
: n Li 0,45 Si 0,03 | NH,20,00
Calcium Can". 5,77 3,82 és 7.80 | 9,3 ee 52.26 | Ca ‘37,39
Magnesium Mg. .... 1,40 0,37 | Mg0,49 3,6 | Mg 15,16 | Mg 21,32
: Fe 0,34 — Fe 0,83
Heu Fees: 1,13|, Spur (à her A1 0220 }AI 8,01
CI 30,07
Obor BE: 55,83 | 3,89 28,19! 58,0//Br 0,016, —
Ü oo18
Schwefelsäure SO, ...| 44,41] 0,345) 123,59) 34,0 | SO, 21,97 | 234,50
Schwefelwasserst. HS, 0,39! 11,47°) — ? — H$ 8,20
Phosphorsäure P,0, . . 0,90! Spur 0,41 ? P,0, 0,53 —
Kohlensäure der Bicar-
bonate C0, ,.:., 70,13! 53,657) :19,92 44,1 |C,0,178,10 —
Sauerstoffaequiv. der -
D COS PO. 21,74 9,82 28,25 23,21 0 38,25 49,41
Le : B,0, 0,26 | je
Kieselsiure SiO, . 83,89] 48,86 |. 49,60) 127,0 EU “> 41,71
Summe der Mineralbe- | |
standtheïle . . .:. .. 389,01 | 169,04! 349,16! 359,8 388,10 | 435,33
Freie Kohlensäure F8 12,29 | berechnet!| — es Me Dis
Volum.-Gewicht. . . .[1,000325 |1,000214 |1,000335 | — 1,0003 —
» 9 one: Wasser geschüpft Sommer 1882 von Herrn N. A.
Ssokolow und B. K. Poljanow, in Dorpat angelangt März 1888.
= Schwefelwasserstoff ist wahrscheïnlich nicht präformirt, sondern
… durch Reduktionswirkung einiger Thermal-Algen während des Trans- |
__ ports aus der Schwefelsäure gebildet. 11,47 HS sind aequivalent
27,77 SO, — mithin wahrscheinliche Gesammt-Schwefelsäure des
frischen Rachmanow- Wassers — 28,11 grm. SO, im Cubikmeter
Wasser. Cf. Bull. T. XX VII, p. 497—502 (1883).
9) Berechnet — direkt gefunden 44,83 CO, (Gesammt- «ROIS
säure).
des Sciences de Saint-Pétersbourg. 274
Gruppirung.
1,000000 grammen — c. 1 Cubikmeter Thermalwasser enthalten:
0 e . . .
Quellentemperatur. nee Phchmaaer Hire rt Era LT ever ÿ
über 40° ©. | 425° C. 47,8 C. | 9690. | 37°C. 100° C.
Kaliumsulfat K,SO,. .. 78,68 0,74 13,50 25,9 7,46
) Ù , 13,63
Natriumsulfat Na, SO, . 14,72 se 208,50 39,8 | 32.94 26.74
Ammoniumsulf. N,H,S0) — — + ré 73.33
Calciumsulfat CaSO,. — — — — — 1 27, 12
Magnesiumsulfat MgSO,,, — — — — — 106,62
Chlorkalium KCI....| — SO re js ee Fa
Chlornatrium NaCl... 92,12 42,80 92,0 49,34 —
Bromnatrium NaBr. . _— — — 0,02 =
Jodnatrium NaJ..... — — — — 0.01 —
CHiortithidm ACL? , LE PURES 00
Natriumbicarb. Na,C,0,! 87,12 74,84 — 8,67 —
Baryumbicarb. BaC,0, . _— — — 0,78 —
Strontiumbicarb.SrC.O, — — — — 1,97 —
Calciumbicarb. CaC,0.. 19,87 13,75 28,08 28,9 | 188,12 —
Magnesiumbicarbonat
Me O0: ci. 7,46 1,98 2,59 19,2 | 80,85 a
Fioartiont FeC,0, 8,23 — 0,69 24,0 2:37 es
Kaliumsulfhydrür KHS — 5,54 — — — —
Natriumsulfhydr. NaHS 0,66 15,15 — — —
Kieselsäure SiO,. . ... 83,89 48,86 49,60 127,0 14,08 41,71
AluminiumsulfatALS,0,.) — — ne — _— 32,61
Thonerde ALO, . .... — — _ — { île 0 1 5,37
?
: Al,P,0 Na,B
Cal hosphat C 1,26 A Las daD304
alciumphosphat CaP,0, ; 0,70 } Cac! 3,5 { 0,38 H,S 8,20
Summe, ...| 389,01 | 169,04 | 349,16 359,8 | 388,10 | 435,33
Das Thermalwasser von Otchan-Chairchan ist
hier bequemen Vergleichs halber mit 4 Gebirgs-Ther-
malwassern annähernd gleicher Concentration und dem
viel verdünnteren des Belucha-Altai (Rachmanow)
zusammengestellt worden. Mit letzterem hat es den
relativ bedeutenden Gehalt an Kieselsäure und Na-
triumbicarbonat gemein, unterscheidet sich jedoch
wesentlich durch den viel hüheren Gehalt an Sul-
faten (Kaliumsulfat, Natriumsulfat) und Chloriden
(Chlornatrium), die dem Rachmanow-Thermalwasser
fast fehlen.
Wildbad-Gastein ist viel reicher an Glaubersalz,
ärmer an Kaliumsulfat, Chlornatrium und Kieselsäure,
frei von Natriumbicarbonat, auf ein kleines Volumen
eingedampft mithin nicht stark alkalisch, wie
Rachmanow und Otchan-Chairchan. ;
Trincheras (Venezuela) ist reicher an Kieselsäure
und Natriumsulfat, ärmer an Kaliumsulfat, frei von
Natriumbicarbonat, eingedampft nur schwach alkalisch.
Ragaz-Pfäfers ist viel reicher an Calciumbicar-
bonat, Magnesiumbicarbonat, ärmer an Kaliumsulfat,
Natriumbicarbonat und Kieselsäure.
Reykjahlid (Island) ist ein siedendes Sulfat- und
Schwefelwasserstoff- Wasser, frei von Chloriden, relativ
reich an Ammoniakalaun, Gyps und Bittersalz, ärmer
an Kieselsäure. Durch den bedeutenden Ammonium-
sulfat-Gehalt und die saure Reaktion des Eindampf-
rückstandes von den meisten Theïothermen charakte-
ristisch unterschieden, bildet es den Übergang zu den
Alaun- und Vitriolwassern Toskana’s (Allume, Boc-
cheggiano, Colombajo), Buxton («Orchard Alum
Spring»), Harrogate («Ancient Alum Well») u. N
10) J. C. Thvesh, Chemical News, XL, 226 (1882).
11)R.H. Davis, Journal of the Chemical-Society, XXXIX,19(1881).
8*
275
Bulletin de l’Académie Impériale
276
Das Wasser der Tanla-Thermen *), Temperatur
52° C., am Süd-Abhange des Tanla-Gipfels, Tibet
15600 bis 16000" (4755 bis 4877 Meter) über dem
Meeresspiegel entspringend — ist bedeutend concen-
trirter als Otchan-Chaïrchan und Rachmanow (1076,0
bis 1341,6 grm. Mineralbestandtheile im Cubikmeter),
enthält absolut und relativ weniger Kalium, Chlor
und Kieselsäure, mehr Natrium, Calcium,
Kohlensäure der Bicarbonate, absolut mehr, relativ
zum Gesammtgehalt an Mineralbestandtheilen weniger
Schwefelsäure als Otchan-Chairchan.
Neu Michailow #) (Amur-Littoralgebiet) Wasser-
temperatur 49° — 247,4 grm. Mineralbestandtheile
im Cubikmeter —Bagnères de Luchon“) (Pyrenäen,
source Bayen) Wassertemperatur 44° — 243,4 grm.
Mineralbestandtheile im Cubikmeter.—Plombières#)
(source des Dames) Wassertemperatur 35° C.— 322,0
grm. Mineralbestandtheile im Cubikmeter. — A mélie
les Bains'*) (Arles — source Gr ) Wasser-
temperatur 62,2° C.— 304,1 grm. Mineralbestand-
theile im Cubikmeter Thermalwasser enthalten weniger
Mineralbestandtheile als Otchan-Chaiïrchan. Alle ent-
POP |
4 000000 grm.— c. 1 Cubikmeter Wasser enthalten .
halten absolut und relativ weniger Kalium und Kiesel-
säure als Otchan-Chairchan.
Bohrbrunnenwasser vom Gute Jama bei Dor-
pat, in Devon-Dolomiten und Sandsteinen aus
235 Fuss—71,6 Meter Tiefe, 38 — 11,6 Meter über
den O Punkt des Embach-Pegels der Dorpater Stein-
brücke emporsteigend, enthält bei gleicher Gesammt-
menge Mineralbestandtheile !/, des Kalium, ?, des Na-
trium, ‘/, der Schwefelsäure, !/, des Chlors, ‘/,, der Kie-
selsäure, dagegen 6 mal so viel Calcium, 16 mal so viel
Magnesium als Otchan-Chaïirchan-Thermalwasser. Bei
3° C. Lufttemperatur und 8,7° C. Wassertemperatur
ergab dasselbe, am 17.(29.) December 1884 zur Ana-
lyse gepumpt, in 1 Stunde 36,9 Cubikmeter Wasser.
Dasselbe ist als typisches Normal-Quellwasser unserer
Mittel-Devonschichten, d. h. als mittleres Auslauge-
produkt unserer Mittel-Devon-Dolomit-Thone und
Sandsteine durch kohlensäurehaltige atmosphärische
Wasserniederschläge: Regen, Thau, Nebel etc. aufzu-
fassen und seine Parallele mit dem Syenit-Granit-
Wasserextrakte der Tjan-schan-Gruppe von beson-
derem Interesse.
. grm. Mineralbestandtheile:
os Auf letzterer ist 2 zu berichtigen: T. XX VIH, p. 1
B
Bicarbonate C,0, — statt: 0,5875—0,1542 lies: 0 nus
und p. 13: Natriumbicarbonat Na,C,O, — statt: 0,3778 lies: 0,5845
umme der Mineralsalze — statt: 1,1849 lies: 1,3416.
Dorpat Neue | 1 si . |'Tanla (Tibet
_Bokrbrannen Michaïlow Fe of purge ] eg re J 1785 Maté
Quellentemperatur. _ : pp Litora 13 (Pyrenñen.4, 0 Dames 15), ( Arles 18), über dem
87° C. 49 €. C: 85° C. 62,2 C. 52 C.
DORE. nr ou nes 8,41 10,5 — 3,7 D; 27,5
ONE Ein US ha. 34,18 51,9 78,5 60,9 115,7 199,3
ARMOR DL ini. 0,65 — — — ?
RU RU nus 32,07 — 7,6 10,7 — 140,5
MARnOsioi Me 1... 21,99 — —— 4,5 — 19,3
" Fe,0,+
PRO PO duo dinnit ii: die 0 0,17 — Spur ete | Fe 0,6
PUR OR Sd nes Dei At 9,75 9,9 50,2 ray 26,7 10,7
DonWtoisure SO. 4. Là 8,53 27, 0 — 49,8 27,6 74,2
Schwefelwasserstoff HS, ....... noi — 32,9 _ 5,1 2,3
Phosphonure PQ. .,..,..,.,.: 0,13 — be — — ?
Salpetersäure N 0, de 1,10 — — — : ps ?
Koblensäure der Héhinaté É O,. 205,31 68,9 | 16,7 96,2 ? 694,2
Sauerstoffaeq. d. SO, P,0,, N 0. C, O, 39,21 17,9 3,0 27,3 32,8 140,9
ie no 2... 7,28 61,3 55,8 61,0 58,0 32,1
_ Summe der Mineralbestandtheile . 368,78 247,4 244,7 321,8 | ? _ 1341,6
4 12) C£. Bulletin, T. XXVHII, p. 9 bis 15 und ASS Tabelle 13) Von Luedorf, die heissen Quellen am Amur bei Neu- Mi-
cg 1882.
14) E. Filhol, Journ. vers gs me Se DATES 81—88(1851)
15) D. Moissenet, Ann. 0 XVII, 11 (1860).
et de Chimie (3) XXXIV,
de fer » muss vorläufig,
in Ermangelung neuerer Analysen pe hr 4 bleiben,.
Auf 100 grammen Chlor enthalten, nach abnehmendem relativen Schwefelsäure-Gehalt geordnet:
Rachmanow Tan-la Plom Wildbad MAT At Amélie Dorpat Otchan- Ragaz- | Bagnères | Trincheras
Quellentemperatur. (Altai) (Tibet). bières Gastein, mur- les Bains Bohrbrunnen| Chairchan | Pfäfers. |de Luchon! Venezuela
Littoralgeb.) -
42,5° C. 52° C. 85° C.: F 47,8" 0. $ 62,2° C. 8,7° C. | über 40° C, | 87,5°C. | 44 C. | 96,6° C.
HAN Ki, ... 195,9 257,0| 48,0 21,5 106,1 21,4 86,3 63,3 bE,1 —— 20,0
Natrium Na..... |. 750,6 1862,6 | 790,9! 299,7 524,2 433,3 350,6 121,9 109,7 | 156,4 84,5
Ammonium NH,.. — —— — — — 6,7 — — es —
Lithium Li ..... — me — 1,6 — — — — 0,1 — —
Calcium Ca.. 98,2 1313,1} 139,0 27,7 — — 328,9 0,3 | 173,8 15,1 16,0
Magnesium Mg . 9,5 180,4, 58,4 ET — 225,5 2,5 50,4| — 2
Bison Fe, .... — 5,6| — 1,2 — Fe,0, 1 ne. 17 — 2,8 — —
Aluminium Al... — —— — 0,6 — +ALO, Al — 6|- mr
Schwefelsäure SO, | 722,6) 693,5| 646,7| 438,4) 272,7 103,4 87,5 19,5 73,1, 65,5! 58,6
ER 100,0 100,0! 100,0! 100,0 100,0 100,0 100,0 100,0 100,0! 100,0! 100,0
Brom und Jod. — ce paie Le ns _ 0,1 — —
Schwefelwasserstoff
HD 0 L.. — 21,0 — — — 19,1 — _— SR ps
Phosphorsäure
Os. — Er 1,5 per Me F9 1,6 1,8 —— —
Kohlensäure d. Bi-
carbonate CO, .| 1379,2 6487,9 |1249,4 68,5 695,9 _ 2105,8 1256}. 992,8 33,3 76,0
Sauerstoffaeq. SO,,
2 0» N,0,| 252,5 1316,8| 354,5| 100,2 180,8 402,2 3891 187,2 6,0! 40,0
Kieselsänre SO. 1265,0 300,0! 792,2| 175,9 619,2 217,2 74,7 150,3 46,8 | 111,2! 219,0
Borsüure B,0, . js ne . me — Æ nl pe
Salpetersäure YN, 0, _— dr se s — — 1,1 LE — = a
Summe der Mine-
ralbestandtheile. | 4345,6 | 12538,6 |4179,3 1238,6| 2498,9 — 3782,4| 696,8 | 1290,6| 487,5| 620,5
17) Rachmanow -Thermalwasser — auf 100 Chlor direkt gefunden { 57,8) | Péraut œudialt Uber die Grande dieser Annalrme vers. Baïlein, À XXI,
hier auf die ursprüngliche Gesammt-Schwefelsäure des frischen Thermalwassers | p. 497—502 (1883) und Anmerkung zur vorhergehenden Tabelle
248
‘SAnNOqS19)94"JUI8S 9p S92U919$ S9p
279
Bulletin de l’Académie Impériale
XLVIII, Wasser des Salzsee’s Nesamersajusehtseheje (nicht
zufrierender See),
In Nord-Tibet 12300 Fuss — 3749 Meter über dem Meeresspiegel.
Geschôüpft von Herrn General N. M. von Prze-
walski am 8. (20.) December 1884. In Dorpat ein-
getroffen März 1886,
Das Wasser ist klar, farblos, geruchlos, bläut ohne
vorherige Concentration gerôüthetes Lakmuspapier,
bräunt Çurcumapapier.
Volum.-Gewicht bei 18,6° C. (aq. gleicher Tempe-
ratur — 1) mit Sprengel’s Apparat bestimmt —
19,8448
177800 870. = 1,116005.
Analytische Data.
a) 19,8448 grm. Wasser eingetrocknet bei 200° C.
2,9059 grm. schwach geglüht 2,8825 — 145,2522 p.
M. Salzrückstand, davon beim Wiederauflôsen in
Wasser zurückbleibende Magnesia aeq.0,1780 Mg,P,
O0,= 3,23356 p. M. MgO — 4,43469 p. M. CIO
mithin wahre Summe wasserfreier nicht flüchtiger
Salze — 149,6869 p. M. Magnesia-Rest aeq. 0,5589
Mg,P,0, — 8,03730 p. M. Mg Summe.
b) 4,4458 grm. Wasser direkt mit Silbernitrat +-
1,000,000 grm. Wasser enthalten:
Salpetersäure 0,5268 AgCI + AgBr — 364,3658 p.
M. AgCI + AgBr.
c) 215,547 grm. Wasser auf ca. 100 Ce. abdestillirt,
Rückstand mit einigen Tropfen Chlorwasserstofisäure
angesäuert, mit etwas Chlorwasser+Chloroform colori-
metrisch bestimmt 0,0001 Brom—0,00046 p.M.Brom
aeq.—0,00108 p.M.AgBr
demnach
AgCI — 364,36472 p. M. — 90,09646 p. M. Chlor
mit BaCL, 2,1706 BaSO, — 3,45760 p. M. SO..
Filtrat mit Barytwasser neutralisirt, durch das
gleiche Volumen Alcohol gefällt, mit 50%, Alcohol aus-
gewaschen, geglüht 0,0069 BaB,0, — 0,01003 p.M.
Borsäureanhydrid — B,0,.
Filtrat mit Platinchlorid 0,6839 K,PtCI, (rein,
frei von Rubidium und Caesium) — 0,50868 p. M. Ka-
lium aeq. 969,61 p. M. KCI: Das Destillat mit etwas
verdünnter Salzsäure eingetrocknet, mit PtCI, —0,0273
Platinsalmiak (NH), PtCI, —
0,00973 p. M. Ammoniak NH,
aeq. 0,01030 p. M. Ammonium NH,.
d) 114,477 grm. Wasser direkt mit Ammonium-
oxalat 0,0028 CaO — 0,01747 p. M. Calcium;
0,0012 Si0, — 0,01048 p. M. SiO, und 13,2893
KCI + NaC1 = 45691,34 p. M. Na.
Elementarbestandtheile.
GruppirT sa £s.
DR ie. dome 508,68 | Kaliumsulfat K,SO, ........ 1132,55
Nat Na rss in ie, 45691,34 | Natriumsulfat Na,SO, . . . . ... 5216,30
Adnoment NE... .. 10,30 | Chlornatrium NaCI. . .......|1111694,00
Calemm GA. sous 5 17,47 | Chlorammonium NH,C1...... 30,60
MagDoninn Mig. ec," 8037,30 | Chlorcalcium CaCL, . . ...... 48,43
CORRE le neue ut: 90096,46 | Chlormagnesium MgCL,. . .... 29928,81
ae RS PT 0,46 | Brommagnesium MgBr,. . .... 0,53
Schwefelsiure SO, ...:..... 3457,60 | Magnesiumborat MgBo,0, . . .. 15,78
Dons RS. ur ot, 10,03 | Magnesiumbicarbonat MgC.O,; .| 2431,16
Koblensäure der Bicarbon. C,0,! 1670,90 | Kieselsäure SiO, . ......... 10,48
Kicselsare M0... su à 10,48
_ Sauerstoffaeq. d. SO,, B,0,, C,O,| 997,62
. Summe wasserfr. Bestandtheile . |150508,64 150508,64
Beim Abdampfen entweichen NH, und CO, (Hälfte) .......... SR nee
Berechneter wasserfreier bei 120° trockner Abdampfrückstand . . .. ... 149663,46
Das Offenbleiben des See’s bei starkem Froste erklärt sich aus
der Zusammensetzung des Soolwassers. Brom ist nur spurweise,
dagegen Salmiak und Borsäure in deutlich nachweïsbaren und be-
stimmbaren Mengen vorhanden. Rubidium und Caesium fehlen —
das aus dem Platindoppelchloride durch Reduktion im Wasserstoff-
strome erhaltene KC1-+-RbCI (?) ergiebt mit Silbernitrat gefällt
192,2%, seines Gewichtes Chlorsilber, das AgCI Aequivalent reinen
Chlorkaliums. Calcium und Kieselsäure sind nur in sehr geringer
Menge vorhanden. Der relative (auf je 100 grm. Chlor bezogene)
Kalium-Gehalt dieses Hochgebirgs-Salzsee’s ist geringer, als der
des Ocean wassers, des Caspi, Aral und Kukunor #). Vergl. seinen
relativenGehalt an Schwefelsäure,Calcium,Natrium undBrom.
Folgende Übersichts-Tabelle wird den Vergleich erleichtern.
1,000,000 grammen Wasser enthalten:
sajuschtscheje Ocean È Kukunor Todtes Meer. | Urmiah-See. Great salt
ord- -Tibet Kaspi. Aral. 800 Meter 5116’ über :
22500 La Mittel. (Herbst). Tiefe 19). dem Meere2). lake, Utah °1),
CR en rondes 90096,46 | 18218,7 5440,5 3833, 4288,9 | 174985 128476 83031
sitio: 0,46 44,0 7, 2,9 3,9 7093 Spur Spur
Schwefelsäiure SO... . ....... 3457,60 2148,1 2586,6 2780,6 1592,0 523 9273 8215
ee 508,68 288,9 70,3 58,5 115,9 4386 923 2408
D... 6, . 45691,34 | 10128,7 3197,4 2456,2 3277,7 14300 76437 49755
RCE... dun. : 17,47 376,4 296,5 458,0 189,6 17269 579 252
D NE... ..,, 8037,30 1233,6 772,7 596,5 810,8 41428 5839 3774
Summe der Mineralbestandtheile | 150508,64 | 329242 | 12977,2 10908,9 11146,3| 278135 223382 149078
Auf 100 grammen Chlor enthalten dieselben:
Se “à Rp 100,000 100,000 100,000 100,000 100,000 |! 100,000 100,000 | 100,000
SÉPARER, ec a 0,0005 0,241 0,131 0,076 0,091 4,053 Spur | Spur
Schwefelsäure SO TE. : 3,838 11,790 47,543 72,530 37,118 0,299 7,218 | 9,893
Rd ne: 0,565 1,586 1,292 1,526 2,702 2,506 0,718 | 2,900
NOR NS. 50,714 55,594 58,768 64,071 76,422 8,172 59,495 59,923
CNE CR... . és. 0,019 2,066 5,450 11,947 4,421 9,869 0,451 0,304
Magnesium Mg .,.,,:,...., 8,921 6,771 14,203 15,560 7,246 23,675 4,545 4,545
Summe der Mineralbestandtheile | 167,053 | 180,717 | 238,530 | 284,567 | 259,887 | 158,948 | 173,871 | 179,545
19 -& Bulletin, F XX VII À 7 a und Mélanges, XII, 42.
nalyse März 1864 von L. Lartet 5 Meilen og von
Wad, Mrabbu fr 500 rs Tiefe. À trs Wassers. Compt.-rend., LXII, 1329 Eat
H. Abich, Mém. de l’Acad. Imp. des Sciences de St-Pétersbourg, 6°"° Séri
56), im Februar 1855 am westlichen See-Ufer sf ee pe Spec. Dev.
8136 (Wasser res Temperatur=1). Nac Abichs brieflicher
nage der analytischen
1534
+4
dE
Soi
Il
Lu
=
grm. Urnisktisite e 14,806 grm. AgCl.
D 24,674 grm. Urmiahwasser — 0,020 CaO.
26, grm. Urmiahwasser = 0,716 Mg,P,0,.
1 grm. Urmi der aSO
e) 28! 102 grm. Urm m. K, PtCI.
PS berechnet — die rise sr re enthält einige Druckfi
in United States geological exploration of the fo den nelle, II, 1,
u877 bei Blackrockpoit 1869 geschopf. Spektral-analytisch Lithium, Brom Bor
Des nachweisbar
‘Sanoqgsio)9q-JuIeS op sSoou2$ s2p
Bulletin de l’Académie Impériale
PLE:
Zum Wasser des Todten Meeres bildet das Wasser
des «Nesamersajuschtscheje» Salzsee’s den vollständig-
sten Gegensatz. Während jenes das Bromreichste
bekannte Soolwasser bildet, in welchem zerfliessliches
Chlormagnesium und Chlorcalcium (Tachhydrit) neben
Chlorkalium — Chlormagnesium (Carnallit) weitaus
überwiegen, nachdem die Sulfate als Gypslager grüss-
tentheils herauskrystallisirt waren, enthält letzteres
(«Nesamersajuschtscheje») nur Spuren Brom und Cal-
cium, nur /, des Kalium, dagegen das Dreifache
Natrium, die nahezu 7fache Schwefelsäure-Menge
des Todten Meeres.
Mit dem Urmiah und Great salt lake (Utah) hat
«Nesamersajuschtscheje» den äusserst gerin-
gen Brom-Gehalt gemein. Beide erstere sind absolut
wie relativ zum Chlor viel reicher an Sulfaten (Glau-
bersalz) als Nesamersajuschtscheje — der Great salt
lake (Utah) enthält fast 4 mal so viel Kalium, als
Nesamersajuschtscheje, während Urmiah Kalium-
arm ist und in seiner Zusammensetzung den Minus-
sinsker Seeen *) (mittlerer Jenissei) gleicht.
Hinsichtlich der geographischen, geologischen und
anderweitigen Beziehungen dieses «nie zufrieren-
den» Hochgebirgs-Salzsee’s verweise ich auf die Mit-
theilungen unseres hochverdienten Reisenden, die
demnächst verôffentlicht werden. Es dürfte in densel-
ben auch der tibetanische Name dieses See’s er-
wähnt werden, dem hier die Russische Übersetzung:
«Hesamepsaromee 03epo» substituirt worden ist.
Sur la transformation d’une équation différentielle de
l'ordre pair à la forme d’une équation isopérimé-
trique. Par B.Imchenetsky. (Lu le 13 mai 1886.) |:
1. Il a été demontré par Jacobi, qu’une équation
différentielle isopérimétrique
d Va 9
ci cr
Œ y ae:
_ où V est une fonction de x, y, y,... 7", non linéaire
par rapport à y" — 7, peut toujours être trans-
= = 0 (1)
292) Cf. Re dre At e rs, LP 473—516 (1883) z. B.X XXXVIII
« Dschabalak-Kul »
formée en un système d’équations de la forme cano-
nique
dpi 0H dx _ 0H @
de 0q dx 0m?
H étant une fonction connue de x, p,, 4,...,p,, 4,
NAS CE PS GR th
Nous nous proposons de montrer, dans cet écrit,
quelles conditions sont nécessaires et suffisantes pour
la transformation d’une équation différentielle de
l’ordre pair
yo) Ste (2n — 1)
=f(&, YsY,..., (3)
en une équation de la forme isopérimétrique (1) et,
partant, en un système d'équations de la forme cano-
nique (2).
Se trouvant en possession de la méthode générale
de cette transformation et en l’appliquant, quand cela
sera possible, à l’équation donnée (3) de l’ordre pair,
on pourra profiter, pour son intégration, des avan-
tages considérables qui appartiennent, comme on sait,
à la forme canonique des équations différentielles.
2. Notre problème de la transformation ci-dessus
mentionnée, s’exprime par l'équation
dy dx dy! re de SEE ( 1) dx" dy) re (y f), (4)
V et p désignant deux fonctions inconnues de x, y,
, .. Y et f la fonction donnée, dans le second
home de l’équation (3).
Les valeurs convenables de V et de x étant obte-
nues et substituées dans l'équation (4) celle-ci deviendra
identique en x, y, y, ..…., °° et, différentiée partielle-
ment par rapport à ces variables, elle donnera d’autres
identités.
En effectuant ces différentiations, pour éviter la
complication, il faut suivre des règles particulières,
qu’on ne donne pas ordinairement dans les Traités
de calcul différentiel, mais qu peuvent être exprimées
par la formule suivante
1) Jacobi (Vorles. über ren Nachgelassene Abhandlung:
De aequationum differential imetric: nsformatio-
nibus earumque reductione F4 per re differentialem partialem
primi ordinis non linearem.
285
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
pe =
ap dam P (MM Ye. 9 )
A er ML 0p …. m(m—1) dM—2 + 09.
dam ape) demi dyE—1) | 1.2 dam—2 aa
ee m(m—1)...(m—1i+1) HR Le) Hot
Re On dam—$ ÿyl—$)
d 0p (Je)
dæ dyi—m+#1) pa dÿE—m) : (A)
Le nombre des termes de cette formule n’est pas
toujours égal à » + 1; car dors k— de la va-
riable y*—Ÿ, dans la dérivée
: enr n'étant jamais
négatif et plus grand que n, il faut supposer égaux
au zéro tous les termes de la formule (A) où les condi-
tions 0 <'k— Zn ne sont pas remplies pour à = 0,
A EVE à
La démonstration de la formule (A) est fort simple.
D'abord, il est facile de la verifier pour »m— 1. Et
ensuite, en la supposant vraie pour une valeur déter-
minée quelconque du nombre », on s’assure aisement
qu’elle existe alors pour cette valeur de » augmentée
d’une unité.
3. En différentiant successivement l'équation (4)
par rapport à ie et à ÿ°"— à l’aide de la formule (A)
on aura
A
#2) ana —Ÿ (5)
et
of
RE ag een
Il suit de l'équation (5) que la valeur de y ne peut
pas contenir les dérivées de y de l’ordre supérieur
à n; c’est pourquoi on à supposé — 0, en dé-
duisant l’équation (6).
Si l’on substitue dans l'équation (6) la valeur (5)
de ., on obtient
p
dy! 2n—1)
du
FR NET
ou + y
dlogu” û nr
dx LE dyen—1) 0 (9)
l'équation qui définit le facteur y de notre trans-
formation isopérimétrique.
oz comparant l'équation À avec l'équation connue
d DER + ne,
+ ES
Tome XXXI.
(8).
qui, d’après la théorie de Jacobi, définit le dernier
facteur M du système d'équations
L'NRTA)
yen—1)
dy A1)
= @
équivalent à l’équation donnée (3), on ne trouve que
cette différence entre p" et M: la valeur de M peut
généralement être une fonction de x, y, y, ..…, y?»
tandis que, d’après la remarque déjà faite plus haut,
la valeur de p ne peut contenir les dérivées de y que
de l’ordre non supérieur à ». Donc,
si on peut obtenir la valeur du dernier fac-
teur M du système d’équation (9) ne contenant
les dérivées de y de l’ordre supérieur à "#,
alors, en posant
ET Qu
y
4 ma
Éd! (40)
on aura le facteur p de la transformation iso-
périmétrique.
La valeur demandée du dernier facteur ZX s’ob-
tiendra D de l’équation (8), si la dérivée par-
tielle —=— ; —. est en même temps la dérivée complète,
par rapport à x, d’une certaine expression en #, y,
y, … de l’ordre différentiel non supérieur à n; c’est-
à-dire, si l'équation de condition d'Euler
ù 2n—1)5, d 2n—1) 9 PR AR 7
y y æ Of [A (41)
am of
Par a ee 1 dx oy2r—1) dy) = 0 |
est satisfaite identiquement pour » — où << n+ 1.
Donc la condition nécessaire (1 1) peut être considerée
comme équivalente à (7).
4. Passons, maintenant, à la recherche de la valeur
de Y, en supposant la condition (11) satisfaite et la
Valeur de x, tirée de l’équation (); substituée Dane
les équations (4) et (5).
Il faut remarquer d’abord qu’il suffit d'obtenir la.
valeur particulière (W) de V, satisfaisant à l'équation .
(4), pour avoir tout de suite sa valeur générale. . ee
En effet cette valeur joe sera
V= (7) +7
c®.
si II désigne une fonction Fe de x, y, y, .. oi à .
pr. Rp on sait que
a.Il
Fe dæ
| qui est appliquée à
287
Bulletin de l’Académie Impériale
2ss
est la valeur la plus générale satisfaisant à l’équation
(1), c’est-à-dire à l'équation (4) sans second membre.
On peut se figurer la valeur particulière (W) de l’in-
tégrale de l’équation (4) comme une somme
(P)=V,+V,_ +... +V+,
composée des expressions différentielles V,, V,_,, .…,
V,, V, des ordres respectifs n, n—1,
(13)
és 0 en dé-
rivées de y, V, désignant cnrs (e fonction
de x et y. On remarquera facilement, que le terme
existe nécessairement dans cette somme, tandis que
les autres y peuvent manquer en partie ou totalement.
5. Pour obtenir d’abord le terme V, de la somme
(13), on déduit de l'équation (5) !
V=(— 1)" | og" | O9 + U (14
Il est bien entendu que pendant l'intégration par-
tielle par rapport à y” on considère les autres va-
riables æ, y, y, .…, y" ” comme des constantes; donc
on à ; 3
| U— a+ Le (1 5)
où œ et a sont des fonctions inconnues de x, y, Ÿ,
LA °2 y"
HR, pour abréger l'écriture, par W l’inté-
grale double (—1) loge uw dy" et convenons de repré-
senter par le symbole Z°° l'opération
# do æ à ;
Bo Tama + CD
la fonction. V dans le premier
membre de l’équation isopérimétrique (1).
À l’aide de ce symbole l’équation : s’écrira
INT] pp —
et, en ÿ substituant
ire "fon" [ao + 0 = W+ 0,
on aura
ee
Ôy :
4
se?
PAULINE a f),
où où tire ; ;
re I"[U]= F, (16)
‘en posant
F=gg— f) PES (7)
nd est facile de faire voir que le premier membre
. _ de LÉ np (16) ne contient pas les dérivées de y de
l’ordre supérieur à 2n—2. En effet, U étant géné-
ralement de la forme (15), on a
n TT Es Ts d {da 08 (in)
I(U=; y) (+ )+.
RMS. Le 0) 8
+(— si is an") #1)
Mais on peut écrire
an an—1 {06 dy 8 m1 CENT
(B)— SMILE e#1) (n) |.
dr ane 07 Foy ognnŸ }
n dan
LB)
donc l'égalité PRES deviendra
n da ñ d [0x n
TAU=$ + y de LC + E y +.
CENT A LUE dœ ;
LR pe 1) dan— 1 Le Du
nd! US ! dB (—1)
pre D PE +; dy? A dyt—1) 9 h
d’où l’on voit que y°”7 ? est la plus haute dérivée de
y qui peut figurer en 1°” [U] et il en sera de même,
si l’on y suppose 8 — 0.
Nous admettrons cette hypothèse 8— 0, pour sim-
plifier la recherche de la valeur particulière de V, en
vertu de quoi il faudra écrire 2" "[U] au lieu de
I"[V], si U— a sera une expression différentielle de
l'ordre #n—1, où bien— changer T"{U] en 1°" U],
si U— « sera une expression différentielle de l’ordre
N — M.
Mais il faut savoir d’abord l’ordre différentiel de
l'expression F, du second membre de l’équation (16),
pour pouvoir faire une supposition déterminée sur
l’ordre différentiel de la fonction inconnue U.
6. On trouve sans peine que dans l'expression (17)
de F les termes en #°” et en y°"" se détruissent
mutuellement. En effet, à l’aide de la formule (4) on a
on... 2
agen) FE Op opt)
et
a, Li of
agen TR a LA Due à TT
AE [ue Sn ha æ |,
deux expressions se réduisant identiquement à zéro
en vertu des équations (5) et (7).
D'autre part, quelque hypothèse que l'on. fasse
sur l’ordre différentiel »—m de U, il est clair que
197 [U] sera toujours de l’ordre pair 2(n—m) et
linéaire par rapport à la plus haute dérivée y”.
289
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
290
Donc, notre problème de transformation iso-
périmétrique serait impossible, si l'expression
(17) de Fn’avait pas la forme suivante
FE pl fon En D V9 0 PTT M, (18)
où » peut avoir une des valeurs 1, 2, ..., n.
En supposant la condition nécessaire (18) dsbistaits,
il faut poser
TE Pda des
en Pa De A n une fonction inconnue de x,
Yes YU
De cette manière on aura un nouveau problème,
exprimé par l’équation
LORS RER fe) «e : (9)
analogue au problème primitif, qui s'exprime par
l'équation (4). Mais il y à cette différence entre eux,
que l’ordre de l’équation (19) est moindre de 2» unités
et que le facteur y, de son second membre est connu
à priori. Cette dernière circonstance donne lieu à deux
nouvelles conditions nécessaires:
PVy—
(Cr à AE (n—Mm) ÿ CT — Fm
ni (20)
n
fm Li
dy2(r—m)—1
et
dp.
(n — m) Le. Er
analogues à (5) et (7) et que l’on obtient en différen-
tiant l'équation (19) par rapport à y "età? Nu
La première des équations (20) montre que p,, doit
être de l’ordre différentiel n—»", tout au plus, et, si
cette condition est remplie, la valeur de p.,, doit en-
core satisfaire à la seconde des équations (20).
© 7. Dans ce qui précède nous avons obtenu la forme
générale des conditions nécessaires pour la solution du
problème consideré et il est aisé à voir qu’elles sont
en même temps suffisantes.
En supposant satisfaite la condition (11) on tire
de l'équation (7) la valeur du facteur y et ensuite on
aura
Vi =(—2)"[ 090 Fa du
le terme de la some 9 de l'ordre différentiel supé-
rieur.
Si l'on. suppose Fe dites a 8) et (20) Lait
on a
LA
le terme de l’ordre n—-m qui suit V, dans la somme
(13). s
À l’aide de la valeur de V,_,, on transformera
l'équation (19) de la même manière, comme au #° 5
on à transformé l'équation (4’) en (16), à l’aide de la
valeur W=Y,
Si l’on trouve, pour l’équation transformée, les condi-
tions analogues à (18) et à (20) satisfaites, on aura
un terme nouveau de la somme (13) de l’ordre infé-
rieur à » —m"” et qui suit le terme V,_
En continuant ainsi et en supposant que les condi-
tions analogues à (18) et à (20) seront toujours sa-
tisfaites, ce qui arrivera nécessairement si le problème
est possible, on obtiendra sa solution générale
VV Tr AE
n — n
"M" dx ?
où, comme il est dit plus haut, II est une fonction
arbitraire de #, y, y, .…, y" et le nombre des termes
LL) LA LA “
de la somme D 14 peut varier de zéro à n.
sm Nm
mn
Le cas le plus simple se présente alors, quand on
trouve, d’après la formule (17), que l’expression F
est une fonction f, de x et y, qui peut en particulier
se réduire à zéro.
‘Il est évident qu’alors la somme D se réduira
m
nm
à un seul terme V, — [ dy, qui s’évanouit, si f,—0.
Cette circonstance se rencontre toujours dans le
cas particulier n = 1.
Par conséquent, si l’on connait une rc M du
dernier facteur du es
0m. 00
du", ÿ_ f(&9,9)?
l'équation du second ordre
y—f(@, y, ÿ)=0
multipliée par M, se ramène toujours à la forme iso-
érimétrique
CRM ENT
ON ER
Je m’empresse de citer un travail récent de Mr. le
professeur N. Sonine”) où cette même remarque à
été faite sur ce cas particulier de la transforma- :
CROËCTEE
2) O6 onpexbzeni H IXE CBOÏCTBB
HIOCEUXB KPHBHIXE ($ 8) H. 4. Conuxa. Yuus. Has. 1886 r. X 1. 3 Pre
Bapmasa. : 1e rs
291 Bulletin de l’Académie Impériale des Sciences de Saint-Pétersbourg. 292
tion isopérimétrique; mais selon ma connaissance, | l’équation (a) devient
le problème général de cette transformation n’a pas FUIT (b)
encore été discuté.
8. Pour compléter l’explication de la théorie pré-
cédente nous allons l’appliquer à un exemple parti-
culier. Soit
mr 2% + 2% 4%) F
4 ( y ÿ y)?
) y3 1 y"? y? y”
T3 ares mur à
4
jy EE 20
l’équation différentielle du 4-me ordre que l’on demande
de ramener, s’il est possible, à la forme isopéri-
métrique.
Il faut poser l’équation
: I°[V]= 84" —p#),
où V et x désignent des fonctions inconnues de #, Y,
Sd. 6/5:
f=(2# +00 —0)g ee RUE Te
M9. ÿ
12 2 op
+py +5 er À
On a l’équation
d.logu? … of
dx . apr
_ de laquelle on obtiendra w. En effet,
of ie 2(Y ve y"! D);
y e ;
oy7 y y"
donc
dy" dy à
dogs — +
5h y" y y
et, par conséquent,
44
Fe rex Fe ?
C désignant une constante arbitraire.
Ensuite on peut poser
V —
_V,, V, V, désignant des expressions différentielles,
en dérivées de y, des ordres respectifs 2, 1, O et Il
une fonttion arbitraire de x, y, Y.
On a
L 2
V, = = [oy" [wo nds
et si l’on fait
| V=p,+U
se Ep" —f)—1%[7;]
Il est aisé d’exprimer en y et en ses dérivées les
quantités p(y!"—f) et 1°[V] et leur différence sera
F=C(—yy —;" +9).
On voit que F, ne contenant pas les dérivées y!} et
y” et étant linéaire par rapport à y”, remplit les condi-
tions demandées par la théorie.
On peut donc supposer que © désigne une fonction
inconnue de x, y, ÿ et changer Z®[U] en Z®[U].
Par suite l’équation (b) deviendra
IOTU]= m @"—f), (e)
où pb, ——0Cy et f,—= —; 2 + 1. Ces deux quantités
satisfont également aux conditions exigées par la théo-
rie, savoir y, ne contient pas les dérivées de y supé-
rieurs à y, a, et f, satisfont à l’équation
ce ARE ee = = 0.
Donc on a
= — | 0y [us 0y =1 Cyy?
et on peut poser
U—=V,;+U.
Par conséquent au lieu de as (c) nous aurons
ITU] — (d)
où
F,= [er À Aie ie
Par la dernière formule on trouve facilement
F= Cy,
donc on peut supposer que U, ne contient pas les dé-
rivées y, de sorte que l'équation (d) devient
IO[U]= Cy où = Cy.
De là, par l'intégration, on
U,=V,=10Cy"
Donc, en rt les Far précédents, on
conclut qu’en posant
tri V7 72 d.U(x,Y,
PRO RP ER,
l'équation
| OV. doV. d 0V
3 = 0
dy dx dÿ Ÿ dx? dy” 2
sera équivalente à l'équation différentielle proposes,
dès le 18 octobre 1886,
T. XXXL, N°53.
BULLETIN
DE L'ACADÈMIE IMPÉRIALE DES SCIENCES DE ST.-PÉTERSBOURG.
TOME XAXI.
(l'euilles 20—3/,27.)
CONTEND.
Page.
F, J, Wiedemann, Additions et rectifications au dictionnaire syren-allemand et votiak-
ORNE A ES ee Rue leo Ur di au ten ere tone bo see rm utirtre 293—-337
V. Bianchi, Contributions à la connaissance ornithologique des ramifications occidentales
de Pamyr ét de PAL 7.54 ne en nes mous poemes ne eee ne au 837—396
A, Nauck, À propos de l'ouvrage: su Galeni Pergameni seripta minora, Vol. I
(ipaiie 180) 156. tonnes ete ne ee pue ss save ne péte dense 396—414
———"#ñ BR —
Imprimé par ordre de l'Académie Impériale des sciences.
C. Vessélofski, Secrétaire Li jar
Imprimerie de l’Académie Impériale des sciences.
(Vass.-Ostr., 9° ligne, X 12.)
Décembre 1886.
PART À >
DES ADS SEPT EEE LEE bee
BULLETIN
DE L'ACADEMIE IMPÉRIALE DES SCIENCES DE ST.-PETERSBOURG.
Zusätze und Berichtigungen zu dem syrjänisch-deut-
schen und wotjakisch-deutschen Wôrterbuch 1880,
Von F, J.. Wiedemann, (Lu le 29 avril 1886.)
Seit 1880, wo mein syrjänisches und wotjakisches
Würterbuch im Drucke fertig und herausgegeben wur-
de, ist mir noch Manches an Wôrtern und Texten —
Gedrucktes sowohl wie Handschriftliches — zugekom-
men, das Material bot zur Bereicherung dieses Würter-
buches. Von Druckschriften sind besonders hervorzu-
: heben: für das Syrjänische eine von dem hiesigen
Gymnasiallehrer Herrn Lytkin, einem geborenen Syr-
jänen, welche unter dem Titel «31panckiü kpaïñ n 3b1-
paackiä sa3bkb» (Land und Sprache der Syrjänen)
unter Anderem auch mancherlei Texte enthält, theils
von dem Verfasser selbst angefertigte, theils aus dem
Volksmunde gesammelte, und von demselben die Li-
turgie der griechischen Kirche; für das Wotjakische
einige von der fleissigen «orthodoxen Missionsgesell-
schaft» in Kasan herausgegebene Schriften, ferner eine
«ethnographische Studie über die Wotjaken» von dem
Dr. Max Buch im XII Bande der «Acta Societatis
scient. fennicae» in Helsingfors, von dem Dr. Aminoff
unter den Wotjaken gesammelte Räthsel und Sprüche,
im ersten Heft der Zeitschrift der neu gestifteten
«ÆFinnisch-ugrischen Gesellschaft» eben da, «Brire Bo-
TAKOBE CapanyascKkaro yÉsaa» (das Leben der Wotja-
ù ken im Kreise Sarapul) von Koschurnikow, «Kpe-
“ mennsie Borakn Kasauckaro yhaza» (die getauften
… Wotjaken des Kreises Kasan) von Miropolski, und
… einige zum Theil auch schon vor 1880 erschienene
| Artikel in verschiedenen russischen Zeitschriften.
Das aus den angeführten Schriften und aus anderen
|} Quellen Geschôpfte hat einstweilen nur zur Bereiche-
rung meines Handexemplars gedient. Ein Werk wie
das in Rede stehende hat natürlich keinen grossen
Leserkreis, und ich kann, schon im zweiundachtzigsten
Lebensjahre stehend, wohl nicht darauf rechnen das
neu gesammelte Material noch bei einer zweiten Auf-
lage zu verwerthen. Ich habe mich daher entschlos-
Tome XXXI.
sen es in dem «Bulletin» unserer Akademie zu ver-
ôffentlichen und auf diesem Wege den dafür sich in-
teressirenden Besitzern des Würterbuches zugänglich
zu machen. Da in diesem das Syrjänische ohnehin
schon einen viel grüsseren Raum einnimmt als das
Wotjakische, so ist in den Zusätzen dieses verhältniss-
mässig reichlicher bedacht als jenes.
Die eingeklammerten Wôrter sind nicht ganz neu
hinzugekommen, sondern bilden schon Artikel des
Würterbuches, die hier nur noch mehr oder weniger
Zusätze éthalie haben.
Syrjänisch.
A.
alavastrôvüi (P) alabastern.
arôs Lebensalter.
(artalny), artalôm Gedanke.
as-vyityny, as-vyitôm — as-vyialny, as-vyi.
(avgus), avgust August. 5 F
B.
(baksiny) schreien.
(bara) und.
(bed'), iz-bed' Schieferstift, Grifjel.
beresta (P) PBirkenrinde.
berezliva (P) sparsam.
(bergüdny), bergüdôm Abzug.
bogoroditsa (P) Mutter Gottes.
(bolk) Kibitke.
(bolksa) Xibitken-
bonjôd, nin-b. Bastmaite.
(bübüt) (P) falsch, betrügerisch.
bürjüdny richten, verfolgen, bürjodan-lun, Gerichtstag.
bürjüdtSiny rechten, processiren.
büzitasny (1) fluchen.
brostok — bostrok.
bumaga Papier.
bur-juvôralny (P) das Evangelium predigen.
bur-kolômty$ny set geruhen.
bur-lun Güte,
295
Bulletin de l’Académie Impériale
bur-Setôm A/mosen, Geschenk, —segensreich, b.-$.-tor
Gabe, Geschenk.
bur-siny séatt bursiny.
bura-todôm Dankbarkeit, Erkenntlichkeit.
bura$em-lun Friede.
burôt (P) Recht, Gerechtigkeit.
bursedny segnen.
byd-in, davon als Adverb byd-ind etc. — bydlaÿ etc.
byd-tor Ales.
bydtas Garten.
D.
dastüdtsiny — dasedtsiny.
(dekab), dekabr December.
(deñga) halbe Kopeke.
(dert), d'ert ja. !
devjasil — devesil.
(dod”) Fuhrwerk, jur-vyla d. Kibitke, laïkan-d. Kutsche,
t$ürs-vylsa d. Achsenfuhrwertk, t.-v. vor-d. Wagen.
dolüdny — dolydmüdny.
dolüdt$iny erfreut, erquickt, erleichtert, getrüstet werden.
dolyd-in Paradies.
(donguz), dongus, tyngus-d. (?) Schwein.
(dor) jugdan-d. Morgendämmerung.
doréan-in — dort$an-in.
dorsiny — dortäiny, — dorsis Schmied.
(doz), gor$a-d. Krug, juan-d. Trinkgefäss, Glas, la-
pyd d. Teller, püZalan-d. Kasserolle, pym-va-d.
Theemaschine, sa-va-d., $üd-va-d. Tintenfass, $o-
jan-d. Schüssel, tSynôdan-d. Räucherfass.
(düra), jur-ulsod-d. Kissenüberzug.
druzka (P) Freundin.
dy$-lun Faulheit.
dyZjos — dyxôs.
(d/al) Schlittenkufe, giitan-d. Lineal.
déera vidény anschen.
dzimbyltny schmeicheln, liebkosen.
déon vidéan olan vylan (Grussformel).
(déormyny) blühen.
(d/ôrmalny) = déürny.
déurkjalny (déurkjavny) niséern, knarren.
_ dZünsalny (P) — dzeñdyny.
#. ap ot Tiefe.
_ (ebüstôm) gichébrüchig, gélähmt.
elinsa griechisch. |
em-bura vermügend, reich.
em-burtüm arm.
em-lun Dasein, Wesen.
em-luna wesenhaft, ôti-e.-1. gleichartig, einheitlich.
(ema), byd-dyrji e. ewrg.
emyi — em.
(eskyny), bura esky$ gläubig, veékyda e. rechtgläubig.
eskytôm-tui Unglaube.
eskôm-tui, in abu-e.-t, Unglaube.
etsüm solch.
G.
(gaZa lun) Festtag.
gazüra (P) froh.
gazôrasny (P) = gazmyny.
gaZtom-lun Betrübniss, Langeweile.
(giZôd), veZa-bur-juôr-g. Ævangelium.
giZtan-jitan-puktan-in Druckerei.
(glist) (P), glista Fingeweidewurm.
(gognitny), jurôn g. den Kopf schütteln.
gorny — gorüdny, gorüm Geschrei.
gorût (P) Geschrei.
gospüdsvuitny herrschen, regieren.
gôgôrüt (P) Umgegend.
gôgresoo (I) rund.
(gürmüg), vôl-g. scharfe Fetthenne (Sedum acre).
griva (P) Mähne.
k,
ierei Geistlicher, Priester, ydzyd i. Hohepriester.
(in), enoltüma in Wäste, kelman-in Bethaus, — inyn,
imô anstait.
ina-arta Beamiter.
intas Land, Gegend.
(isa, iska), bur-i. wohlriechend, Le -i.-tor Räucherwerk.
islaltyny (islavtyny) — islalny.
itseti Kindheit.
(iz), jugyd-i. Brülant. (\üz ï., $üd i.) Bleistift, lya i.
andstein.
(iz-ki), ki-pom-i.-k. Handmühle.
iz-va der Fluss Ishma.
(izny), izyS Müller.
d.
(jai), bala-j., yZ-j. Schaffleisch, kukañ-j. Kalbjleisch
môs-j. Rindfleisch, pors-j. Schweinefleisch.
jaisi$ny Fleisch werden.
jJanvar Januar.
297
des Sciences de Saint- Pétersbourg.
jazytSnik (P) Heide.
jem der Fluss Wym.
jem-dyn die Stadt Ustwymsk.
jenmüdny güttlich machen, vergüttern.
jensa gôttlich.
jeparkia Æparchie.
jepiskop Bischof.
jepiskopsa Bischofs-.
(jitny), giztan-pas vylô jitny puktyny drucken.
jokmylsiny — jokmylttSiny.
jomala Gott (der heidnischen Syrjänen).
(jo$), iztôg-j. Schwefelhôlzchen.
Jôgor — Jegyr.
(jüktyny), joktyS Tänzer.
(jürtod), jürtod vidzis Gärtner.
(jôtkyény), t$elttSiny j. läugnen, verläugnen.
(jualny), j. tôdmalny forschen, sich erkundigen, verhôren.
(jugyd), mu-j. Welt, Weliall.
(jukalny) theilen.
(jumol), $om-j, süsssauer.
juüktôdny #ränken, zu trinken geben, vordny j. bewirthen.
(jurôdz) Kopfgestell.
| K.
kad-dyrsa 2eitweilig.
(kaï) (viZ-k) Ammer (Emberiza).
kameñ (P) Séeinkrankheit.
(kar), (ki-k.) Handrücken, kok-k. Fussblait.
kartas, in das-k. Dekapolis.
katyny (1) — kajüdny.
kayny (1) — kajny.
ka/tylôm-lun, än burôn-k.-1. Dankbarkeit.
ka/tylôma, ir burün k. dankbar.
kaftylsiny — ka/tySny.
(kaétyny) sich erinnern, (burôn-k.) danken.
(ked/oltny) verachten.
kenak (P) Schwägerin.
keran-tor Werkzeug, Geräth.
_(kerny), ki-pyd-kery$ Handwerker, izün-k. Steinhauer .
(kidmôdny) zurück stossen, verachten.
kimalny (kimavny) betasten.
kindzi — kind/a.
(kiska) Hutband.
kist (P) Traube.
* kisttéem Austreten des Wassers, Ueberschwemmung.
kod-lun Ahnlichkeit.
(koda) -ähnlich, -artig, jugyd-k. lichtartig, Sondy-k.
sonnenähnlich, diolajas-k. wie die Kinder.
(kok), kürt-k. Schittschuh.
(koktüm) lahm.
(koktômmyny) lahm werden.
(kola kylny), kola-kyly$ Nachtigall.
kolmüdsiny (kovmüdsiny), kolmôüdtSiny (kovmüdtsiny)
Lust bekommen.
(kolmyny) (P) wollen, nüthig haben, brauchen.
kolmy$ny (kovmy$ny) wollen, kolmy$ema freivillig.
(kolny), kolüm Wüille, bur-k. Woklgefallen, Woklwollen.
kom der Fluss Kama.
(koñür) Armuth.
(kor), kor ...kor bald...bald, kor-tai wenn nämlich.
(korja), kuim-k. Kee (Trifolium).
korost (P) Reisig, Strauchholz.
koselt (P) Riss.
koskôs Hüfte.
(kost), kyk-vidé-k. Feischessenszeit (ewischen zwei
asten).
koza Ziege.
kozel Ziegenbock.
kozlonok (P) Zickel.
kôltôm (Kôvtom) — kültym.
(kôm), vylsa kok-k. Séiefel.
kôürt (P) Bündel, jur-si-k. Kopfbinde.
(kürtalny), kürtalüma Gefangener.
(kürtüd), kynôm-ulsa k. Bauchriemen, puküd-vyla Kk.
Sattelgurt.
kürtôda gebunden.
kôs — kô.
krinka — krintsa.
krukyl Haken, hakenfürmige Spitee.
kudjasa mit Kôrben versehen.
(kulny), myrdjy$ kulis Räuber.
kultümla-lun Unsterblichkeit.
(kum), izan-kum Mühle.
kunsuk (P) Flockasche.
(kustyny) beschneiden.
kutSkôb Zeichter Schlag.
Kuz männt. Name (Cosimus).
(kya), asyl-k. Morgenrûüthe.
(kyjan), téeri-k. Fischfang, Fischerei, Netz (2. Fiche
(kyjay, kyjy$), téeri-k. Fischer.
kyk-t$u/omjas Zwillinge
Gkyl) votSa-k. kutny zur | Baoercief zichen.
299
Bulletin de l’Académie Empériale
300
kylmüs Sinn.
(kylny}, kôr-kylôm Geschmack, Geschmackssinn.
kylan-tui Sinn.
kylôt (P) Gerücht, Gerede.
kylôttSiny (P) sprechen, Gerede machen, Gerücht ver-
, breiten.
(kylzyny), kylzyS gehorsam.
(kyn) kalt.
(kyntyny), kyntôm ÆErkältung.
(kyny), kyy$ Weber.
kyts — kyts, jur-k. Kranz, kürt-kok-k. Schlittschun.
kytSlol (kytSlov) — kyt$ol, sily-k. Kragen.
kyt$lola rund, Kreis-.
kytSod — kyt$ 4., jur-k. Krone.
(kytt$üd£) (mit der Negation) bis, so lange bis.
L.
(lad, jen-L.) Gottesfurcht, j.-1. tüdys gottesfürchtig, fromm.
lañtmyny, 1. ga£myny sich trôsten.
(lapa), (ki-1.) Handrücken.
(ledény), as ordaz 1. bei sich auf nehmen.
leptodny — leptyny. *
(leptySny), vylü-lepty$em Stolz, Überhebung.
(lettSiny) erlassen werden, vergeben werden.
(lok-lun) Schlechtigkeit, Bosheit.
loka (P) deswegen.
(lola), pez-l. besessen.
(lolziny), fañ lol£ema der Teig ist aufgegangen, bara-
lol£em Auferstehung.
(lony), bara-loôm Wiedergeburt.
lôdüs Schôpfen, Schôpf-, 1.-doz Et
lüg-t$uZôma grimmig.
. Jüman, jur-l. Schädel.
(lôn) Stille, Windstille.
(on bada-veZa-lun, déorydia-v.-1. Palmsonntag, gos-
podlün ve$em-1. Verklärung Christi, jenmüs t$uz-
tySlôn bur-juôr-$etôm -L. Mariä Verkündigung,
j. t$. tSuan-l. Mariä Geburt, j. t$. vitékoô vajô-
dôüm-l. Mariä Reinigung, jugyd-sizim-l. Oster-
woche, jugyd ydZyd veZa-1. Ostern, Kristoslün
lepty$em-l., K. lepty$an-1. Christi Himmelfahrt,
K. pyrtt$an-l. Epiphanias, K. t$uzan-1. Weihnacht,
ñolôd-l. Donnerstag, perna-leptôm-l. Kreuser-
hôühung, vetymynôd-1, Pfingsten, veZa-l. Sonntag,
veZa-kuima-l, Trinitatis, veZa-lol-1. Allerheiligen,
#
vitod-l. Freitag, ydZyd-nolôd-1. Gründonnerstag,
ydZyd vitôd-l. Charfreitag.
lun-dor Süden.
lun-dorsa südlich.
up lup (vom Patschen durch den Koth).
M.
maibyrtalny (maibyrtavny) — maiïbyrtny, maiïbyrtalôm
Lobgesang, Hymne.
malalôm Gefühl, Tastsinn.
maty nah.
mat$a nah, benachbart.
med (P) Rer.
(melhnit$a), vaün izan m. Wassermühle, tülôn izan m.
Windmühle.
mitropolitsa Metropoliten-.
mitsmaény schôn sein, hübsch sein.
mogmy$ny, — davon mogmySem Lage, Verhältniss; —
Noth.
monak Môünch.
monastyr AXloster.
monastyrsa Xloster-.
(mortä), morta mortôs einander, Einer den Andern.
mortsa menschlich.
(moz), mozün (als Postposition) wie, gleichsam wie.
(môd/la$ny), vistaény-m., müd/lagny vistaény Busse fhun.
mudémyny — mud/ény.
(munny), dynty m. vergehen, vorüber gehen.
munty$ny £ommen, heran nahen.
muôs (1) — môs.
(murtas, murtôs) Wegstrecke, Werst.
(musa 2.), m. olny Zeben, vylty-musaüs kerny ehe-
brechen.
musmüdny licben, uZ-musmüdüm Arbeitsamkeit.
musmüm-lun Liebe.
(mu), (mala-m.) Hummel, (P) Bremse (st. bala-moÿ?).
(myi), myiôn kü (c. sajut) durchaus nicht, keineswegs.
(mylkydtümasny), mylkydtümasem Unocinifs: Irrsinn.
myna bezahlt, losgekauft, frei.
myrdmüdny — myrdjyny.
myryl (P)= myr.
myS$an Waschgefäss, ki-m. Handbecken, Waschschale.
(myZdyny), bürjüdny m. verurtheilen.
(myZmyny), kulôm vylü myZmüma er hat den Tod ver-
dient |
myZsiny — myZmyny, myZsem Sünde.
des Sciences de Saint -Pétersbourg.
N.
nadi-lun Geiz, Sparsamkeit.
(nem), n. pomasem Ænde der Welt.
nemja ewig.
nilzan Schwitzbad.
(nima)-namig, sy-n. der und der.
(nimalny), nimalôm Ruhm, Preis.
(nirtan) Säge.
(nirtny) sägen.
nitkal Mitkal (Baumwollenzeug).
(noga), mukôd.-n. andersartig, neu.
nojabr November.
(nomsalny), nomsalüm Schwangerschaft, scheraw.
ñoñedtSiny — ñoñasny.
ñoZtôm (P) — noëtôm.
ñôba$an-vuza$an-in Kaufplatz, Markt.
nüZünikôn almählich.
(urgyny) mwrren.
(ñuZôdny) fortsetzen.
(nyrôm) viell. st. nyr-ôm, vgl. vom.
0.
Ode weiblicher Name (Awdotja).
oktabr October.
(olan-in), kuljas-o. Hôlle.
oljalny — olgyny.
olmo Apfel, olmo-pu Apfelbaum.
(olmüdt$iny), olmüdt$em Woknung, Aufenthalt.
(olny), bur olôm Glück, Wohlergehen, omül o. Unglück.
(omôl), omôl-kutys Feind.
Ô.
(üksiny), dk$em Sammlung, Versammlung, bürjüdan 6.
Gericht.
üksyny herrschen.
ültod Füächer, Wedel.
(ôt-vyiôdny), ôt-vyiddtôg, ôt-vyiôdtüm unvergleichlich.
üti-ema gleichen Wesens.
02 (P)— voz, gôür-ü2jes Gabeldeichsel am Pflug.
: | P.
pametnik (P) Denkmal.
(pas) Kalender, giitan-p. Buchstab.
(pasjalny) zielen, auf’s Korn nehmen.
(pasjyny), pasjôm Zeichen.
(pa$kôm), vyly-p. Oberkleid, Rock.
patriark Patriarch.
Pedesüi männl. und weibl. Name(Theodosius, Theodosia).
perjy$ny sich heraus arbeiten.
pesük (P) Sand.
pezlalny (peZlavny) — pezalny.
(pi), pyrtan-pi Pflegesohn, Adoptivsohn.
(pian) Kinder, por$-p. Ferkei.
(pidéüs) Absatz, Glied, Knoten (im Halm).
Pilip männt. Name (Philipp).
pimiam Weikrauch.
(piñol) Egge.
(pirag, pirôg), jai-p. Fleischpastete.
pisküdan Pfriem.
(polan) furchtsam, feig, — Feigling.
polüga furchtbar, fürchterlich.
(pom), vodé-p. Anfang, Beginn.
pondüs Anfang.
pondüsa einen Anfang habend.
pondyny — pondüdny.
porok (P) Fehler.
(potka) Niere.
(pot$üs), téeri-p. Fischwehr, Wehr.
pot$tar (P) Postknecht.
(poény), poéem môglich, abu p. unmüglich.
poZem — pozüm.
(pül), giZan-p. Schreibtafel.
Püras (P) weibl. Name (Praskowja).
(pürjalny), pürjalôm Lüge, Betrug.
pôtas — pütüd.
pravnut$ka (P) Urenkelin.
Protô männl. Name (Protogon).
propoveduitny predigen.
pudüvôi Tschetwerik (ein Hohlmaass).
pukasa von einer Statur.
puklüdny ausbreiten.
puktylsiny — puktySny.
(puktyny), kolôm p. für nôthig erachten, ..
gleich setzen, vergleichen. :
(pukty$ny), syly oz puktys es isé nicht verbindlich für ihn.
(pul) Beere (speciell éco
pydy immer.
pyisa — pyisa.
pyrskyény eindringen. | :
(pyrtny): » pre mi bekümmern, sr be-
. kod' p.
pyrtodny — port.
Bulletin de l’Académie Impériale
(pyzan) Sessel, Thron.
(py£), üdôn munan p. Dampfschif].
ER,
radmyny froh werden.
falzyny (favzyny) — ralzyny.
ramôt (P) Sanfimuth.
resnitsa (P) Wimper.
rezjüdny — rezgyny.
(rüdja) èm Trab, im Trab gehend.
(rômyd) grau.
rôs
rôt — rüd.
rôtja — rüdja.
rud£ schwach.
rumanitsa — rumana.
rysak (P) Traber.
(rytja-vyl) Abenddämmerung.
S.
(sabla) Messerfisch (Cyprinus cultratus).
sajüg — sajü
(Sam) Weise
$am-n0g Gewohnheit.
$am-tSupôd Abtheilung, Classe.
(Sama) gewühnlich.
(seky) = sek.
sentabr September.
(seralny), seraly$ Spüôtter.
seralsiny — seralny.
serebro (P) Siber.
(se$$a) ferner, und.
setün — set.
(setny) gewähren, erlauben.
sluna (V) — déu Loch, Verticfung.
éoia lehmig, thonig.
solmüdny (sovmüdny) salzen.
solmüdtSiny (sovmüdtSiny) sa/zig werden,
solonitsa (P) Salzfass.
som (I) und die Ableitungen davon — $om ct.
(sorla$ny) sich versehen.
(so$siny, su$siny) zuräcknehmen, wegnehmen.
SülmôüttSiny (P), in bur-s. sich erbarmen.
éolôm-lun, i# bur-$. Guéherzigkeit, Güte.
$ôrna inter einander.
(sürny) keifen, zanken, sôrôm, süran Gezänk, _—.
Faselei, FES Geschwätz.
(stupeñ) Séufe.
subota — subôüta.
(sultny), votsa sulty$ Widersacher.
sultôt (P) — sultüdan.
suüdt$iny wmher schlendern, sich umher treiben.
supoñalny(P) den K triemen an zichen, das Kummet
zusammen zichen.
svad'bôüvüi (P) hochzeitlich.
Symôt (P) Rost.
sy$ja$kon — sy$jasan.
LA
S.
Sanga Pfannkuchen.
(Sat), 8.-t$etvert fünf und zwanzig Kopeken, $.-diyn
halber Rubel.
Sebyr Decke.
Sedy$kytyny bemerkbar machen, zeigen, belehren.
(Sogalny), Sogalôm Xrankheït, Sogaly$ krank.
Sogmôüdny — Sogüdny.
Sogmôüdtsiny, sogmySny, Sogny, Sogy$myny — Sogsiny.
(Soi) Kôürper, Leib, veZa $. Reliquie.
(Soimyny), Soimüm Abgezehrtheit, Blässe.
Soitôm £ôrperlos.
(or), ju-Sor Bach, Fluss.
(Sôr), Sorô vony bestürat werden.
Sôryon — Süry.
Sud-vylja Glücks-.
Suôdny nennen.
Surin Schwager, Bruder der Frau.
Surol lufttrocken.
SuSkôdtSiny — Susüdtsiny.
(Sy), jüla Sy Echo.
Syts! sél-stul!
P,
(tai) denn, nämlich, myi-tai — tai.
talny = talalny. à
(tas) Gegend, tasyn an, längs.
(tasa) an oder bei ehwas befindlich.
tatarin (P) Kratzdistel (Cirsium).
(telega) Karren.
temja (P) Scheitel.
(tetény), lyd t. rechnen.
tipiktyny ziffern.
titsa (TD) V4
| ogel, 54
tüblôs Fingewickeltes, Plätechen. 2
(tüdny), bur tôdy$ dankbar.
305
des Sciences de Saint -Pétersbourg.
tsep (P) Kette.
téyrs (P) = tSdrs.
(tSapa, in kvaït-t.) Schnarrone (Crex).
tSeglasi$ zerbrechlich.
(tselttsiny) sich werfen.
(t$er) — t$er.
(téeri) — tseri.
(téerkjol) ausgestreckt.
(t$im) — dZim.
(tSipan) Huhn, ai-t. Hahn.
tSitser feiner Regen.
(téorp, t&orp) (P) Rückenwirbel, Wirbellnochen.
(tSôktyny) erlauben, t$üktôm Gesetz, Befehl, abu-t$ük-
tôm, tSüktytôom Gesetzwidrigkeit, Übertretung.
(tSôts), t.-keSjalys Mitknecht.
(tSôtSja) gemeinschaftlich.
tSôtSjalny (tSot$javny) sich vereinigen, sich verbinden,
tSôtSjalôm Gemeinschaft.
(t$üZ, t8oZ), t.-ai Oheim, Mutterbruder.
(t$üZ-ii) ModtsriGhiresier. |
t$éukôs Ruf.
(téuküstt$iny) krähen.
(tSukyla) — téukla.
t$uleb — téulk.
tSulütny (P) (die Zeit) zu bringen.
tSuskys Igel.
(t$u26ma), lüg-t. grimmig.
tSyrs — téürs.
tui-veZsan Kreuzweg..
(tuia), ai-t. Künstler.
tuja — tujana.
tujmüdny — tujüdny.
tujmôüdtSiny — tujüdtsiny.
(tujsiny), gebühren, — = tujny
tujsem-lun Würdigkeit, abu-t. Umvürdigkeit.
(tuktas) Geschwulst.
(tuna$ny) errathen.
tunalny (tunavny) rathen, errathen.
tunjalny (tunjavny) = tunalny.
(tuny), tuan bydman (Grussformel).
tura (P) — turi.
tydôs Bild,
tydôüsa irgend wie aussehend, Sog-t. traurig aussehend,
sauer sehend.
tykô = tykôs.
typ, typ-pu Æiche.
(tyr-lun), bur-t.-1. Freigebigkeit.
(tyrtny) beendigen.
tySkôs Gefecht, Schlacht.
U.
udZjüsalny (udZjüsavny) schuldig sein.
uksusnit$a (P) Essigflasche.
ulmô, ulmüs Apfel.
ultyrttSiny erniedrigt werden.
(ultys) Unteres.
urpyñ Xotz.
LE
(va), Sôd-v. Tinte.
(vartan), doran-v. Schmiedehammer.
(vartny), vartny viny erschlagen.
(varys), tSalkan-v. Habicht,
(vat$kan) Drossel, Wachtel,(kvait-v.) Schnarrwachtel(?).
veko (P) Augenlid.
velôt (P) Lehre.
(velt), gyna jur-v. Mütze.
(vem), (jur-v.) Gedächtniss.
(vermasny), vermasis Kämpfer, Raufbold.
vermôs — vermÜg.
vermôüsa stark, kräftig, abu v. schwach.
(vermyny), vermüma müglich, abu v. unmôüglich.
vernüi éreu, zuverlässig.
vers (1) = verst.
(vesküdny), vesküdys Art.
vesküdlyny — vesküdny, vül-vesküdlan Leine, Lenkseil.
(veskyd) Redlichkeit, abu ve$kydün fälschlich.
(veskyda), v. oly$ gerecht, rechtschaffen.
veskyd-tui — veskyd sbst.
ve$kydmyny gerecht werden, gerechtfertigt werden.
Vetja Wjatka.
vezaalôm-lun Neid.
vezôg Eifer, Neid.
vezôr-tui, mylkyd-v.-t. Weisheit.
(veZsiny), gospodlün veZ$em-lun Verklärung Christi.
(veZyn) krumm, schräg, schief.
(vidtSi$ny), votés vidtéiéeim Zank, Streit.
(vidéan), dod-v. Wagenscheune, Remise. Su-v. Korn-
scheune, Kornkasten.
vidéaün sichtbarlich, ôffentlich.
(vidéedny), vidéedem Blick.
(vidéedt$iny) = vidzi$ny.
vidées Wache.
307
Bulletin de l’Académie Impériale
vidémüdtsiny erscheinen, sich zeigen.
vidé$a munter, wachsam.
(vidési$ny) wachen.
Vikul männl. Name.
vinogradnik (P) Weënberg.
(vira)-blütig.
virdalan Blitz.
(visem), kid-v. Chiragra, Handgicht.
viser der Fluss Wischera.
(vi$ny), Sdlômüi vise (mt ]ylyS construirt) mir thut leid.
(vistodny) bekennen.
(vitny), (vitom) Leid.
vnutska (P) Enkelin.
(vodi) vorderes ÆEnde,
Vordertheil, Vordersteven,
(asyl-v.) Anbruch des Morgens, vom-v. Ausfluss-
rôhre am Fasse.
vod/oltyny zuvor kommen.
(vodzôs) Lohn.
vodisôs — vodzüs.
voisalny (voisavny) äbernachten.
(vom), (nyr-vom) Mund.
vorota (P) Pforte.
(vorsan), kytSlola v. Reihen, Reihentanz.
vorsmy$ny sich in’s Spielen vertiefen.
(vorsny), vorsys scherzhaft, lustig.
(voSny), ylasem-voSsôm Versuchung.
vossiny verloren sein, in der Irre gehen.
. votésüs — vodiüs.
vottSiny pflücken, sammeln (Beeren).
(voZ), vozjas Heugabel.
(voZa) sbst. Grabel.
(voZalny), veZürün v. zweifeln, Bedenken tragen.
voZla$ny — vozalny.
(vüipôdt$iny) — vôüipsiny.
vühny — vüñalny.
vüreg (1) Feind, s. vrag.
vôtSsiny — vôt$edtsiny.
vôttSiny — vottsiny.
vôtty (U) vorher.
(vudZny), t$ôktômôs v. das Greselz übertreten.
vugôrttäiny schläfrig werden.
(vunüdny), bur vunüdys undankbar, b. vanôdüm Un-
dankbarkeit.
_vunôdtéem Vergessenheit.
(vurny), kôm-kot vurys Schuster.
(vu), t$u/an-v. Generation, Geschlecht.
vuztômsiny ausgereutet werden.
vuztomtyny ausreuten.
(vyd-tyra), as-v.-t. eigensinnig.
(vylys), vom-v. Gaumen.
(vyn), ty$ka-v. Heer, Soldaten, Krieger.
vyn-tui, tySka-v.-t. Heer, Heerschaar, Armee.
vyndüdny — vynüdny.
vyamüdny — vynüdny.
vzduk — zduk.
É,
(ybsa) wild.
(ybôs), müd dor$añ vostan y. Flügelpforte, Flügelthür.
ydZdalny (ydZdavny) séolz sein, sich überheben, ydZdalôm
Stolz.
(ydZyd) Herr.
ylalsiny — yla$ny, ylalny.
ylôd, ylôdlan-lun Schalkheit, Hinterlist.
(ylôg), ylôg vistalys falscher Zeuge, (ylôgô pyrtny) ver-
suchen, überlisten.
ylsôg Versuchung, Tüuschung.
yrsküba schnell, hitzig.
(ySmüdt$iny) lüséern werden.
(yStô) dass.
(yt$!) st!
ytSkan-in — ytSkas-in.
(yt$kas-in, ytSkôs), turyn-y. Mähwiese, Heuschlag.
zapoved (P) Gebot.
(zduk) Minute.
(zeldZyk, zevdzyk) lieber.
zofa — Zofa-turyn.
(zy), ma-zy-ai Drohne.
zyl-lun Fleiss.
zylsiny, zylziny = zylny.
2.
Zabry (P) Kiemen der Fische.
Zertvennik A/far.
(Zynjan) Glockenblume.
Wotjakisch.
A.
(abi) Grossmutter, — Schwiegermutter des Mannes.
adarynyny geloben, adarynon Gelübde.
ad'iny ec. — adziny und die Ableitungen.
309
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
310
-Adyl männl. Name.
ad/ontem blind.
aeson — al$on.
(agar) wenn, wenn nun aber.
agarda — agar.
(ai), tubat-ai Séammuwater.
aison, ae$on, asjan, oSjan London der Weiber
in Fe einer abgekürzten Pyramide.
akaska Ostern.
akoja$ki, zin ein dreitägiges Frühlingsfest (Freitag,
Sonnabend, Sonntag), wohl dasselbe mit dem vor-
hergehenden Worte.
aktyk Schluss, Letztes, Rest.
akyr künftig.
alat$a gestreifte Leinewand.
albast ein büser, neckischer Geist.
(aldany) an locken, verlocken.
aldartaz Betrüger.
aldatyny — aldany.
allak — avlak.
alida ein büser Waldgeist.
altynatyny vergolden.
(ana) Feldstreifen, Feldbreite.
(anai), t$uZ-a. Grossmuiter.
Andrei männl. Name.
a — añg, Kinnlade, a.-ly dass., — Wange.
aña — ana.
Apa männl. Nains,
(apai), t$uz-a. dltere Mutterschwester, badzim a. jüngere.
(ar), vil-ar Neujahr.
(ar, är) är-tôrli allerlei.
argamat Zelter, Passgänger.
arjan Buttermilch, überfrorene und mit der zertrüm-
merten Eisschicht zusammengeklopfte Mick.
armys jährlich.
(arña) biger-a. Freitag.
artana — ardana.
a$kyny st. adzi$kyny.
_ a$jan s. aison.
atalmaz (eine schüne Wiesenblume).
atalt$i ein wohlriechendes Gras (Anthoxanthum odo-
ratum ?).
aulak — avlak.
(ai), dürem-ai Bruststück am Hemüe: — — ai erste, ai-
lañ luyny gelingen.
azab—azap.
azan der Ruf vom Minaret. :
(azap), azap adziny zu leiden haben.
(azaplany) quälen; leiden, zu leiden haben.
(azgyn) Schlechtigkeit.
aziny schlecht werden.
azlaysen vorher.
azmak niedrig.
B.
badagauz ug vylySky er hält sein Wort nicht.
badan Æimer.
(badzim) älter, erstgeboren.
badzimlyk Ærstgeburt.
badzym — badzim.
bagada — bagada.
bagalma Apfel.
bagyl, bagyles — babyl, babyles.
Baiïmet, Bairan männliche Namen.
(bak) séwmm. *
bakel luyny verzeihen.
baskôtS, baskyt — baskyts.
(ba$tyny), dunen b. kaufen.
basylyny ruhig werden, sich beruhigen.
batman zehn Pfund.
bazyny sich aufrichten.
begloi Läufling, Vagabund.
bekt$e, bekt$e — betske.
beralja$kyny — bergany.
bereketo gesegnet.
berekty$kyny — beryktySkyny.
(beryktySkyny) sich verwandeln
betske — betske.
biñalja$kyljany, biñalja$kyny sich ein wickeln, sich ver-
hüllen.
binalton Fusslappen.
biz (sweisse) Schminke.
bodyk — body.
bor$an, bor$any efc. — vorsan, vorsany etc.
borsatyny ein schliessen lassen.
borys-vetlys erster Theil der serie
botan Plumpkeule.
(bür), bürlañ zurück.
bürdzedny zum Weinen bringen.
brato Gebrüder.
budnik Minze (Mentha).
bujol = bujou. :
NN
Bulletin de l’Académie Impériale
bul Xohle.
bulgan was da ist, vorhanden.
bulyk Magenschmerz, Kolik.
burany stürmen.
burlak Arbeiter auf Schiffen.
butmar um den Hals gehende Schnur mit dem Schlüssel.
butmarka Leibschnur mit Kämmen.
(byd), byden byden im Ganzen.
(bydmyny) wm kommen, adiem bydmemte Hass.
(bydsa), bydsa, byttysa s0 gross wie, so viel wie.
(bydtyny) c. Gerund. für «vollends».
bydzym eéc. — badzim.
(byrgy) metallene Rôhre.
byrkentsi Schleier.
byrtet Zipfel des Kopftuches.
byrtyny benähen.
bytsy Leuchthäfer, Johanniswürmchen.
byttysa — bydsa.
byziny — biziny.
da und, aber.
dada Vater.
danly ehrwürdig, berühmt.
darali Seide, Seidenzeug.
Darja weibl. Name.
dei, dejmyny — düi, düimyny.
(den), den uti$ Priester.
dera, derem — düra, dürem.
(deulet) Gnade, Segen, Überfluss.
deület, deületo — deulet, deuleto.
diakon Diakon.
dolkany séwmpf werden.
dolkatyny séumpf machen.
dongySkyny sich bewegen, sich schobeus rücken (intr.)
dorôs — dürüs.
doska Tafel.
doskyt — dzoskyt.
(düdi), d. kuSton Mariä Verkündiqung.
dôl — jôl.
Dôra weibl. Name. |
(dürem), nyl-ky$no-d. Weiberhemd, pijos-d. Münner-
. hemd, Sod-d., Sot-d. Jacke, Kamisol ohne Armel,
— leinener Oberrock (2).
taie D été
dukta — dukja.
dulany àrgerlich werden.
(dunja), jugyt-d. Aufenthaltsort der Seligen, Himmel.
durmek — jurmek.
durt — jurt.
dusjet ein Halsschmuck (zwei mit einer Schnur über
den Hals gehängte, mit Münzen benähte Lein-
wandstreifen zu beiden Seiten des «gurnes»).
duvany — juany.
duZany, duzyt — dZuzany, dzuZyt.
dû — ju.
dyn = dzijyn.
(dyn), dynaz zu Hause, nach Hause.
{(dyr 1.) vg/. $S. dert.
(dyr 2.), vüi-d. Butterwoche, Carnevalwoche.
(dyrja), ta d. jetzt, heut zu Tage.
dz... (die so anlautenden Würter s. auch unter j.…
déardyny Morgen werden.
dées — diets.
(déets), d. karyny heiligen.
déet$jiralny, déet$yralny sich schaukeln.
déet$i — dzizi 2.
d£eziny — zeziny.
dziget ehrlich, redlich.
dzigetlyk Æhrlichkeit, Rechtschaffenheit.
à
| dzijin, dzin, dzyjyn Versammlung, Gemeinde.
dzilkyndyryny an spannen.
dzingyr déañgyr laut tünend, kling klang.
dzolgri — déorgyli.
(d/oskyt), d. karyny beengen, sich drängen.
dzôk, dzük Fuhr.
dZôt8i — dzizi 2.
déumalanyny, in kyk-kylo déumalanys Heuchler.
déumart, Zumart freigebig.
déumyny — zumany.
dzutkam Zeug mit gewebten Mustern.
déuZda — dZuda.
dzyjyn = dzijin.
déadZi, ZaZi — dZadz (S) Wandbrett, Regal.
(dZokatyny) drücken.
dzôk — dzek.
dZujy — dzui.
dZutytyny auf heben etc. lassen (vgl. dzutyny).
(dZyt), d.-pal Westen.
313 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 314
E.
chyr Geist, geistiges Wesen.
egsany reifen (tr.), Reifen auf zichen.
egyT — ÜLYT.
egyzen — igyzen.
ener und die Ableitungen — eñer etc.
eñnertsak — enertsak.
erkyjaskyny lieb werden.
(erkyn), erkin frei.
(erkynlyk) Freiheit.
erton Sérumpfband.
(eryk), erke nach Wohlgefallen.
Esenkul männl. Name.
(eryksyz) unfreuvillig.
(es) Verstand, Besinnung.
(esep}, eseb Termin, Anzahl, — Verstand.
Estek männl. Name.
evol, evül — evyl.
(evyltem), e. ponna ohne Grund, fälschlich.
eéel e/eltem — ezel, ezeltem.
ezyly$kyny schmelzen (intr.)
G.
gadel gerecht.
gadellek Gerechtigkeit.
gaitan mit Münzen benähte seidene Schnur.
ga$alo auf dem Rücken (liegend).
gertyny, kirtyny séricken.
gidka, gidk’-a/ — gid, gid- af.
godkany gackern, falzen.
Glaz die Stadt Glasow.
gonéyrtyny éraben.
gordomyny roth werden.
goryb buckelig.
goZlyny schreiben.
goZmo streifig, gestreift.
gôdôri — guduri.
gôl Rose.
goldyrtny donnern, krachen.
Gülzan weibl. Name.
gôür Ackern.
(gürany), g. poton (ein Fest D.
gôürlany girren.
gür$ok — gorsok.
grafityny liniren.
3
grifel, gripel Griffel.
(gu), je-gu ÆEiskeller.
gulbetS Raum zwischen Wand und Ofen.
gulkoi (glukoi?) taub.
gumer — gumyr.
(gumi), gumu, uzy-g. Angelika, pyt$al-g. Flintenlauf.
gumur — gumyr.
gurnes #it Münzen benühter Leinwandstreifen, auf
der Brust am Halsbande.
gur Läed.
gur-ulo, ên t$uZ-g.-u. #nit gelber Brust.
(gurt), tserka-g. Kirchdorf.
(guZ-dor) Fest am Montag nach Ostern.
guzjany bleichen (intr.), düra g. ein Fest zur Zeit der
Leinwandbleiche.
guzlany rauschen.
gürlany sich belustigen.
Sy — su.
gyltyny glätten, — abspülen.
gyYry = güra.
gyryk = gyrk.
gyryny — güryny.
gy$ Berg.
ikt$e — itsi.
ikym, ikem — itym.
ilmer = inmar.
indzi — in/y.
integyny sich quülen.
(inty), kur-ad/on-i. Ort der Pein, Hülle.
in/elka Weinbeere, i.-vu Wein.
ipostas Person, güttliches Wesen.
iposta$o -personig, kvin-i. drei Personen enthaltend,
dreieinig.
iSka dlterer Bruder.
(itsi-moñ) Jüngere Schwester des Mannes, Frau des
jängeren Mannesbruders.
itsemeñ — itsi-mon.
J.
(jaby) Mattensack (Kul), Baly.
jake oder.
Gal), j. SATA aus ruhen.
(jal 2.) Mähne
(jalbaryny) ch beugen, sich cerbeuen.
21.
315
Bulletin de l’Académie Impériale
(jam) Herrlichkeit.
jamsyk Postknecht.
(jara), tyl-j. Brandwunde.
jarsyny zufrieden sein.
jate, java gut.
(jen), j. Sedtyny Rath wissen, sich zu rathen wissen.
(jetyny) 20 kommen, zu fallen.
(jez) Metal.
jezany mit Draht versehen, oder bezichen.
(jir), jir-murt Oberer, Befehlshaber, tsilym-j. Pfeifen-
kopf.
jiradZ Kopfhkissen, j.-pu Kopfbettgestell.
Jjivatyny = jyvatyny.
jômys — jemys.
jôn — jen.
jJugany — jigany.
(jugdyny), jugdem Verklärung.
jumol — jumal.
juno stark, gewaltig.
(juon), tol-j. Wänterfest (24 Decbr.), guzem-j. Sommer-
test, (29 Juni), sizil-j. Herbstfest (1 Octbr.).
jurany deuten.
jurmek Wiesel, Kaninchen (2)
(jurt), Surest$i-pyron-j. Gasthaus.
juSman Umzug junger Burschen und Müdchen an Fei-
ertagen mit Tanz und Gesang, besonders à in Häu-
sern, wo Kinder sind.
juZ Wange.
(jüû$) = jus.
jyg karyny gewandt sein.
jyrjyoy = jirjyoy.
jyvor — Jivor.
ie
(kab), kut-k. Leisten f. Bastschuhe.
(kaban) Getreideschober, Getreidefuder.
Kabo männl. Name.
kabusta — kubista.
(kader) Werth.
(kaderlany) ehren,
kaderlatyny ehren lassen.
_ (kadertem) wnanständig.
_ kagarlany verfluchen.
_ (kagaz), goZlem-k. Schreibpapier.
kaisy) swilde Taube M
(kakyt) Agat, Karneol.
kalai Blech.
kalamper Nelke (?).
kalyp der Leisten.
kamali-kal mit Silbermiünzen benühtes Bandelier der
Müdchen.
kamzol Kamisol.
kañol — kanil.
kapkan Falle.
kaptsilyk Gnade, Milde.
karalty (?), ên ulon-k. Wohnung.
karol — karaul.
(kart), tür-k. Oberpriester, Opferpriester.
kartok Kartoffel.
(karyny), subbota k. den Sabbat halten.
Raë — kats.
katantSi — katantsi.
kandan verdorrtes Gras.
kaz Vogel.
(kazak) Bräutigamsführer auf der Hochzeit.
(kebit) Laden, Bude.
kebits — kebit.
kedzi — kei.
keliny liegen.
kem schlecht, gering.
(kema), kema ulem bere nach langer Zeit.
(ken), vil-k. junge, seit ques als einem Jahr verhei-
rathete Frau.
kendZali — kenali.
| (kenir), kvaka-k. Coriander?
(kenos), der untere Stock (ju-k.) ist für Getreide, der
obere (azbar-k.) enthält Zimmer (korka-k.), welche
als Sommerwohnung dienen.
keremet Opferstelle, Opfer, — büse Gottheit.
keremetka durch das Fuselül veranlasste Krankheit
der Säufer.
(kesek) als Zugnetz gebrauchtes Stück groben Leinen-
ceuges, og kesek vad'es eine Zeitlang, og k. inty
nicht allgemein.
kesi — kisy.
kets — kets. — ket$-pn — Leu
(ketse), kot k. was für ein nur immer, all.
ket$es — kets.
(keZi), kur-k. Bohne.
kiamat-tôre der Richter ae. eu bte
kibet — kebit,
317
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
kika, kitska weibliche Kopfbedeckung mit einem hinten
herabhängenden Tuche.
kilet roth, fuchsroth.
kiliny — keliny.
Kimofei männ!. Name (Thimotheus).
kininy = kyniny.
kirt-veñ Stricknadel.
kirtyny s. gertyny.
kisal, kiseÏ säuerlicher Mehlbrei.
kiston Todtenopfer, Trankopfer.
kitai Baumuwollenzeug, Nanking.
kitSka s. kika.
kizyr und die Ableitungen — kizer etc.
kobla Séufe.
kodfato wunderbar.
kokalny ein teigen.
koliny und die Ableitungen — Kkeliny etc.
Kkolosa Rad.
komali — kamali.
koñalo — koïal.
(kor), Suri-k. Tragbalken.
(korbon), k.-inty Opferstelle, Altar.
(korka) — kerka (S), Zimmer, Süd-k. Rauchstube, ulon-k.
das ganze Jahr hindurch bewohntes Haus, bus-k.
im Winter unbewohntes, zük-k. Bethaus.
(kort-tSogany) kort-tSogjany.
kosak Thürpfosten, Fensterstock.
ko$ako mit dem «ko$ak» versehen.
ko$o — kotso.
ko$tan angesehene Person, Opferpriester.
(kotkyny) falzen, vgl. godkyny.
_ (kotëo) Schecke.
kozma ein büser Waldgeist.
(koze) bei. :
kôber, küberany — keber etc.
küdzi — keäi.
küj, kôi Zustand (2), davon küjôn, küjyn als Post-
position im Sinne des ehstnischen Essivs, wie nyl
küjün als Jungfrau, sukyr k. als Blinder, blind,
ulep k. lebendig; vgl. (S) kod, koïd.
(küky) (nuny-k.) Tragkorb für Kinder.
kükyy$ Wiegen-.
or jir-k. Stirnbinde, dürem-kus-k. Hemdschnur,
Hemdgurt.
küZi — kezi.
krüdZ — krei.
(kryZ), k. tyl Nebenwind.
(ku), kot ku émmer.
kudoiï schlecht.
kudfavoi lockig.
(kui), küi, nañ-k. Brotschaufel.
kuiky — kuiki.
kujaskon Trankopfer, Todtenopfer.
kukt$askyny — kuk$askyny.
kukt$any — kukt$any.
(kules), kulesy$ wenigstens.
kulits Schlüssel.
(kulono), k. üvyl unsterblich.
(kum), k.-atai Pathe, Taufvater.
kumy$ka ungereinigter Branntwein.
(kuno) kunoe vetlyny besuchen.
(kunoka), auch st. kuno-kva Gasthaus.
kunyl Umarmung (2).
kupyrjany = kupyrtyny.
(kure) in Betracht.
(kurektyny), kôt (kyt) k. dass., es verdriesst.
kurojo = halmig.
kurySky$ Opferpriester.
kus-mekan Birkenschwamm, Feuerschoamm.
(kuSkyny) verlangen nach etw.
(kut), ukmyso k. aus neun (st. sieben) Baststreifen ge-
flochtener Schuh.
kutt$any = kut$any.
kutyrtySkyny glauben.
(kutySkon), güryny k. Fest nach der Saat des Sommer-
getreides.
kümes Kuchen, Fischpastete.
küz und die Ableitungen = kui etc.
(ku/a), ku/ayn längs, entlang.
kuziny, ku£yny auf schichten.
kuzirsy — gid-utis der Hofgeist.
(kuo) ein Reicher; —korka-k., vyZ-ul-k. Hausgeist,
nules k., tel-k. — fules-ñuña eine Waldgottheit,
— der Bür.
(kva) Zelt, Jurte.
kvadi — kva,
(kvala) Sommerhütte, Kochhütte, Zelt; — gurt-k. = vo-
aékon-k. Tempel, Bethaus, badzim g.-k. meh-
reren Dürfern gemeinschaftliches Bethaus.
(kvaldem) Bruch, Spaltung.
kygeti link.
kyktoïies Zeit von zwei Tagen.
319
Bulletin de l’Académie Impériale
320
kyktyny verdoppeln, kyktem das Doppelte, Zwiefache.
(kyl) Spruch, Zauberformel, (madiskon-k.) Räthsel, kyr-
: Zan-k. Lied, Gesang.
(kyl), bergan-k. Drehkrankheit, k.-düi ein büser Geist,
welcher krank macht.
kylja$kyny die Sprache wieder bekommen.
(kyr), bus-k. Wüste, Einüde.
kyryé liegende Harfe, Gusli, vgl. kreé, krüd£.
Kkyryz = kryz.
(kyskany) ziehen.
(kyskyny), tamak k. Tabak nn.
(kyS), tSyrty-k. Halsschmuck.
ky$! (scheuchend).
(kyëet), pitsi k. Brustlatz, pel-k. von den Weibern ge-
tragener rother Kattunstreifen um den Kopf.
kyStyr kaëtyr! (v. Rascheln).
kyti, kytti #0 hindurch.
kyt$-pu — ky$-pu.
kyt$eltyk Schimmer, Schneeglanz.
(kyzmet), k. karyny dienen.
kyzynyny angezogen werden.
L.
lag Wald.
lakyttem hässlich, unfreundlich.
(lapeg) klein von Wuchs.
(lapt$a), laptsa Æhebett.
_ lapuska Klette.
- ledziny — leziny.
lek — lük bôs, schlecht.
lekatyny stossen oder stechen lassen.
Yektsi, lektSi der Bôüse.
lelany zwinkern.
lemta, lenta Band.
letsket Wiege.
lineika Lineal.
lomy$ Gesträuch.
101,
lübtytyny — lüptytyny.
(lud) Wald, heiliger Hain, badzim 1. dass. mehreren
Dérfers gemeinsam ; = = keremet büser Geist.
(lugy) Kleite.
_ Jukatyny sammeln lassen.
(luny), luyz Ke no sei es nun.
lusjany — lusjyny.
(latékyny), lut$kemen heimlich.
(lym 1.), La lym-Syr Mittag, Süden, 1.-$.-pal
Süde
(lym 2.) pe
| Iyntyr Rate un Auftreten).
M.
mad — madon.
maigany Séangen auf richten.
majaljany betasten.
majaljaSkyny = majalja$yny.
majyg — majeg.
(make) irgend etwas.
(malpany), d£ets malpam Segen.
manara Minaret.
mändä — mende.
maner Form.
manet Werth von einem Rubel.
Marja weibl. Name.
Matron weibl. Name.
matSit Metsched.
meda — medam.
mende, mändä Xnecht, Magd.
mertsiny, mertsiny splüterig werden.
(meza), aña-m. Feldrain.
mitSiny — mitsiny.
mogatyny auf halten, verzügern.
momy — MUuMYy.
| morjo — mofo.
mot ausgelassen, wild.
(mozmytyny), mozmytyS Heiland, Retter.
müs — muÿ.
(mudor) Onfstéshrant in der Kochhütte, Gütze, m. .-utié
Opferpriester.
mudortsi — mudor-utis.
mudrana = mudran.
muly — muli, poi-pu-m. Haselnuss.
(mumi), m. kaltsina Mutter des Gottes inmar, guduri-m.
Güttin des Donners, Sundy-m. Güttin der Sonne.
(munt$o) ein Ballspiel.
(mufo) Schornstein. :
(murt), jir-m. Oberer, Vorgesetster, juon-m. Süufer,
palas-m. de büser Waldgeist, vu-m. Wasser-
geist. |
Musko — Muskou.
mutson — myty$kon.
321 des Sciences de Saint -Pétersbourg. 32?
(mut$), vuy$ m. Insel. (nyd), Sulo-n. Peitschenstiel.
(mue), muze, auch st. myzen. nygyli Kugel, iz-n. runder Stein.
mus — mus, (nyl), kazak-n. Brautführerin bei der Hocheeit.
(mydlañ), myd-mydlañ hierhin und dorthin. pyn, nynal, nyna/e — nun efc.
(mylkyd), solen mylyz-kydyz kilem er wurde zornig, | (nypy), nypyet Tragetuch.
mylkyd ponyny verlangen. (nyr), tyl-n. Schnuppe.
(mylkydo), badzim-m. äbermüthig, stolz.
mynt$o — muntso. Re
mynt$yktjaskyny — mynt$yktjany. obin Darrscheune, Riege.
myrk, myryk — myr (S) Baumstumpf. Obra$ka männt. Name (Ambrosius).
my$— S. Rücken. obyda — obid, o.-ky$no Hexe.
mytskon s. mytsyékon. odig, odik — odyg.
mytsy$kon, myt$kon, mut$on, x vyle-m. Opfer, v.-m.- odigeti — odygeti.
"als Opfertisch. Odokta weibl, Name (Awdotja).
(odyg), odyg og érgend ein.
: N. (og), og ogez bere Æiner nach dem Anderen.
nakaz, nakazjany — nakas etc. -0giien — ogiñe.
(üala), kud fi. bis wann, wie lange. oktet, èn jir-si-0. Haarflechte, Zopf.
altas — naltaz. (olip) vgl. alipa (S).
(añ), kvar-û. Pfannkuchen, pel-û. gekochte Tôrtchen. | "lanka Schrift und Adler (ein Spiel).
napes Dickes, Bodensatz. ortsontem wnvergänglich.
des Wok: | ortSiny und die Ableitungen — ortsiny etc.
fat Get ost, oste — 0Sta.
nerad àrgerlich, verdriesslich. (oSany) passen, nach dem Sinme sein.
nimjaljany — nimjany. (oSatyny) nach bilden.
(nin), niñ, n. puppy junge Linde (zur Bastgewinnung ofjan s. aison.
geschält). (o$on) Kleiderhaken.
nono mit Brüsten versehen, — Mutter. oSytyny auf hängen lassen.
nonok == nony. oti, otti dort hindurch.
(ôl) Wurfpfeil. otSorany, otSoratyny — utSirany eéfc.
numor, numores — nomyr, nomyres. ous. OÙ ae
(ñuña), fules-n., t$atsa-n. (= ñules- Kuño) eine Wald- | (0%, ozi), ozi luyz kü no dessenungeachtet, ozi ozi so
und 80.
gottheit, de Bür.
(nunal), badzim-n. Ostern, keremet-n. Festtag nach der
Ernte, tulys-n. Festtag nach der Saat im Früh-
jahr, vül-n. Sommerfest (20. Juli), nunal adziny
leben, eine Lebensart führen.
nunyka dèmin. von HBye
nurt Schlitten.
(hurtytyny) äberschvemmen lassen.
(furytyny) bedecken.
furyty$kyny, davon nurytySkem, iurt$kem Verwirrung,
— Krebs, fressendes Gescho ür.
nuëy Faulenzer.
nuytyny, nüetyny tragen lassen.
nünä — fu, fuña.
ozbor Einzäunung.
Ô.
üdany bitten.
(6jany) fluthen, schiwvimmen.
(mes), gord ü. Himbeere.
ürekt$an, ürykt$an etc. — ürykt$an efc.
(ôrykt$any) betrügen.
ürykt$askyny irren, sich täuschen.
ôttéany rufen, ein laden.
PL:
padza — pad/a.
… [(paga), pagdia Zreppe.
323
Bulletin de l’Académie Impériale
paidatem wnvortheilhaft, unnütz.
paky Messer (kleines).
(pal 2), pala, pal aziSen von fern, og pala bei Seite, og
palan auf der Seite, zur Seite.
palas s. murt.
palat Pritsche (unter der Stubendecke).
palats — palas.
paldyny schwärmen (von Bienen).
paltkaskyny über laufen, über fliessen.
(papa), Sôd-p. Adler.
paren Bursch.
(pars, pary$), paris, kyr-p. Wäldschwein.
paskany — patskany.
paskatyny — patskatyny.
paSpurt Pass.
pater Quartier, Wohnung.
Paviol männl. Name.
paza$kyny sich verbreiten.
pegdziny = pegziny.
peizdyny — pezdyny.
pelat (it Zahlen 2. B.) kviñ p. in drei Theile etc.
(peles), kut-p. Sérippe am Bastschuh.
peljany — püljany.
_ perepets Xeiner Pfannkuchen.
peres — püres.
pertsyny, pertSytyny —
pes-ai — pets-ai.
pester, pet$ter geflochtener Korb, Kober.
Petka männi. Name.
petlaéan, petlo, petlon, petlos — pedlasan etc.
petset — petsat.
petseto, petSeto mit einem Siegel versehen, versiegelt.
pet$ter s. pester.
pet$surka Ofennische.
(pi), kazak-pi Bräutigamsführer bei der Hochzeit.
(pildyny) sich bewülken.
(pinal), piñal jung.
(pirog) Torte.
pis = pis.
Pitas männt. Name.
pitsi = pitsi.
pityres rund.
(piZni) Dohne.
plaë — ples.
podjas Schreiber.
podmes Bienenstock.
pôrtsiny ec.
(podon), dzu-podon Ofenherd.
(ponyny), kyl p. sich besprechen, verabreden.
portyny durchbohren, durchdringen, bohren.
(poskes) metallenes Armband.
(posky), jar-po$ky Uferschwalbe.
(po$ky) Ausschlag, Flechte.
postyny alt oder hinfällig werden, sich ab nutzen.
(postem) abgenutet.
posul Pfand, Weihgeschenk, Exvoto.
poëiljaskyny sich zu schaffen machen, sich ab quälen.
potsi — poktsi. |
(potyny), svjatoi p. heilig gesprochen werden, kyt$e pote
tynyd was dünkt dich.
pOZ = py£.
pôny — punu.
pôs — pus.
À pôti = pyti.
(pô), suron-p. Lederhandschuh, vyrt-veñen p. gestrick-
ter Handschuh.
(pritt$a, prittsa) Ungemach.
psalom Psalm.
psaltir Psalter.
(pu), vamen-p. Achse.
pudom-pus ane Hausmarke.
pukala sitzend.
(pukran, pukron) (an Feiertagen getragen).
(pukton), Su$-tyl-p. Leuchter.
(puktyny) errichten, grümden, ein setzen.
pukylo Ball, Rue.
(puky$) Bolzen (der Armbrust), Bogenpfeil, val. fôl.
(pun), sereg-p. Brand, Feuerbrand.
Pup — pop.
(puran) Führe.
(pus) Kerbstock, p. ponyny bezeichnen, an kerben.
pustol Tuch, (Zeug).
(pus, pus-muli) Æichel.
put karyny spalten.
putet — puteg.
(put$), kener-p. Zaunstange.
putsany ein dringen.
puZy — puzi.
puZmo Kiefer.
‘puZnyny heulen.
pykjany hinan reichen.
pyktja$kyny — pykjany.
pynet, pyny — punet, punu.
325
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
(pyrgyny) zerbrechen (intr.)
(pyrontem), vu-p. wasserdicht.
pyrti durch.
pyrt$y Hintere, Sleiss.
pyrySkyny sich ein lassen.
py$al — pytsal.
pytsany sé. pydsany
(pyt$al), pu-p., Armbrust.
pyzer Schäben (v. Flachs, Hanf).
pyéni = pini.
R.
rakato — rakat.
rakim Barmherzigkeit.
rakmat, èn oi rakmat habe Dank.
ranziny = ranZyny.
ranzitiny — ranZytyny.
rat — rad, raten der Reihe nach.
rizalyk Zufriedenheit.
S.
sagynyny ehren, achten; — sich langweilen (?).
(salam), s. verany grüssen (in Auftrag Jemandes).
salmaken träg, langsam.
(Sam), so $am 50, auf diese Weise.
san Achtung, Beachtung, sane ponyny chren.
sanjany éhren.
sano geachtet, geehrt.
santem verachtet, santem karyny verachien, missach-
ten, verunchren. |
(sapeg), gyn-s. Filzstiefel.
sarai Scheune.
sarana Lälie.
(Sa$ka), téalma-$. Trollblume (Trollius).
éa&kany singen (v. Vügeln).
(sai) Wachsein.
seion Glückwunsch.
Sekyt wnd die aa davon — $Sükyt eic.
$el — sil 1.
$emolo Schober.
sendra, sendyra Prifsche.
(serak) ee
se$t — ses.
(sesyrmyny) sich beschiädigen.
Tome XXXL.
|surym Stange me nes ae
(Set) Setznetz.
Sety über den Rücken hängende Kopfbinde.
(si) Saite, krei-si Darmsaite.
siktan Pfriem.
silo — silo.
simvol Glaubensbekenntniss.
sin = sin.
sinmaskyny #missgôünnen, beneiden.
sirektjany, sirektjatyny = serekjany etc.
sirmet — sermet.
sityny, sijytyny essen lassen, zu essen geben.
siyny — siny. ;
skrypka Wioline.
smolojany = ysmolojany.
(so) — sy, syja (S), soyn, so ponna darum, deswegen,
so bereze, so bere darnach, darauf.
sogy Hechel.
Sor — $o0r.
Soryg — t$oryg.
sotysem — sotsem.
sükôri, sôkyri — sukuri.
(&ükyto), s. dyr Schwangerschaft.
sûl — sol.
‘{sôryny, sürySkyny = seryny elc.
sôtyny ein holen, ereilen.
süzjalton, sü/jany, sû/jatyny — se/jalton etc,
{stabes Schüssel.
$uansi, Suant$i — Suantsi,
sukman wollener Rock.
sukyri — sukuri.
Sulmas Kummetkissen.
$ulvor karyny bitten.
éulyk Tuch (über dem ai$on getragen und hinten herab-
hängend).
| éulys Zängliche Schüssel, Mulde.
$sumok — Sumyk.
Sumori ein Theil des Spinnrades.
Sunep, Sunepes — $uned, $unedes.
(sur), kvar-s. Fest Petri und Pauli (29. Juni).
suran Rührholz, gur-s. Schürstange.
surany #n rühren, schüren.
surestäi Reisender.
Surlo-tui Erntefest im Spätherbst.
Sursy-vu Birkenwasser.
&ury, $uro = Suru.
Bulletin de l’Académie Impériale
32s
sutaltyny — sutyny.
Si=csut.2
süi — sui.
Süres — $ures.
sûziny — suziny 2.
(svjatoi) fromm.
sydéan, in tsilym-s. Pfeifenräumer (st. suéan?)
sykal — yskal.
(sylyny), badagauz ug syly$ky er hält nicht Wort.
synany prüfen, versuchen.
syndyk — sandyk.
syr, syr syr dichtes Gestrüpp.
4
S.
Sabardi ausgebreitct.
Sabur leinener Sommerrock.
SakSylyk Unreinigheit.
Saktos männt. Name.
Salaë — salaë.
Sali kleine Steine, Kies.
Saltrak nur, lauter.
SamSurka weibliche ne À
Saña,— t$ana.
Sap zufällig, gerade.
Sap Sap! trab trab.
(Sedyny) merken, bemerken.
(Sedy$kyny) Dhserhen.
SedySkytyny, SôdSkytyny bemerkbar machen, zeigen,
belehren.
(Seklany) irre werden, Anstoss nehmen.
Seklanyny — $eklany.
Seksyz — Segtem.
Seksyzlanyny — $Seksyzlany.
Sektem, Sektemlyk — Segtem ec.
_ ($er 2.) Schleifstein, typo $. versteinertes Holz.
Serbet Honigwasser, Limonade.
_ Sidon Schmaus.
Siktem wnzweifelhaft.
Sila s. Silla
&ilk $alk (von Rascheln).
Silla, Sila — Syla.
&irany, Syrany Müuse fangen.
= (Sobyr) = Sebyr (S).
= 8ogjany séellen.
_ Sogol Séuizer.
_ (Soner), Soneren wahrlich, Sonere pottyny rechtfertigen.
(Sort), $.-my$kon Fest beim Waschen der Grespinnste.
Sory, Soryak mütten durch.
{Sot-dürem s. dürem.
Stsog — t$og.
Styk Bajonctt.
(Sug) schlimm.
Sugomyny éraurig werden.
(Sukkyny) schärfen (Sensen).
(Sum), Sum potymon erfreulich.
| (Sumes) — Somôs (S).
Sumi£ karyny renommiren, Händel suchen.
Südo — sudo.
Sykys — Sikys.
Synyr junge Saat.
Synkyt Nebel.
Syr, Syrany s. Sir eéc.
sh
(ta), ta bereze darnach, darauf.
tabañ (sé. taba-ñañ) Pfannkuchen aus Hafermehl.
tabynyny (c. Allat.) verehren.
{ag tag! (Gänsegeschrei).
(tagan) Gestell zum Aufhängen, murt o$on t. Galgen.
taktja — takja Käppchen der Mädchen.
famak — tamak.
(tamga) Familienzeichen, Hausmarke, Eigenthumss et-
chen, Handzeichen.
(tanyklyk), t. karyny zeugen, Zeugniss ab legen.
(tanka) Rubel.
tapéyryny übergeben, widmen.
tati Kopftuch der Mädchen.
(tatyulany) sich befreunden.
tatyulandyryny befreunden, versühnen.
tazaryhyny rein werden.
(tegis) tegyz eben.
(tektSytyny) hervor springen lassen.
tel bugo, telvugo Leine, Lenkseil.
temani lange.
tenke — tañka.
(terki), terke Teller.
tertyny, teryny — türtyny eéc.
teskyt — t$eskyt.
(tod), t. kutyny eingedenk sein, tode u$kytytyny erin-
|. ner.
toledz, tolü — tolez.
(tole), (kvaka-t.) März, (o8-t.) April.
329
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
Toton männl. Name.
tô — ty.
tüldyny, tüljyny windigen, aus wettern.
tülo Feld, vgl. tarlau.
(tôre), kiamat-t. Todtenrichter.
(türly), kyk-t. zweterlei, (odyg-t.) einerlei, ma-t. wel-
cherlei.
toSak — tusak.
tôzem, tüzy$ ordentlich, gehôrig, gerecht.
(tôzôtem) wnordentlich, wüst.
(tsabei), Sôd t. Bucluveizen, vadi-t, Weisen.
tsafyr Teufel.
tSeljaSkyny springen.
(tsigyny) zerreissen (tr.)
tsike Geist der Verstorbenen.
(tsilpam) Geländer.
tsilym Pfeife (zum Rauchen).
tsipsyny, t$ipsyny pfeifen, piepen.
(tsirdyny) singen (von Vôügeln).
(t$oZ), ta t$oZe bis Jetat.
tsukyndyrtyny éaufen lassen.
(tsukynyny) sich taufen lassen.
tSumon 7r0g.
t$utsi Blutgeschwür.
tsutySkyny hinken.
(tSuZon), gur-t. Ofenbesen.
tSabyny klatschen.
tSag, tSagyny = t$
tai Thee.
tSaliny — — téalyny.
t$alma D um den Kopf der jungen
..
Frauen.
t$as t$as! Fe fallendem Laub).
tSeber — t$eber.
t$erko — t$erk.
t$ersyny — t$ersyny.
_ téerteky$ mit Münzen benähter Brustschmuc.
tSeskyt — t$Seskyt.
tsetse — tsetsi.
tidyr dicht, ausammengeballt.
tsilter Schnitzwerk.
téiltero mi Schnitzwerk verziert.
tSilym = tsilym, t. kyskyny rauchen.
téilymtsi Raucher.
tSingulio klingelnd.
tSipsyny = tsipsyny.
“
tSirkemlyk Muth.
tsokmor — t$okmor.
tSortyny — t$Sorjany.
t$0Z — t$0Z.
tSüStem finnisch.
t$üZaskyny sich vermehren.
téuan Feier der Abholung der Neuvermählten aus dem
Elternhause, wo sie bis zur Butterwoche (Carne-
valswoche) als Gast lebte.
tSuas Tschuwasch.
tfudys Haarknoten an den Seiten des Kopfes.
(tSuk), t.-aeja früh Morgens, morgen.
tSuskyny — tSut$kyny.
tSuz — t$uz.
tSybor bunt.
tSygyny — tSogyny.
(tSyn) heilig.
tSynajak Theetasse.
tSynnany — t$ynany.
t$yno-murt eine seit mehr als einem Jahr Verheirathete
(nicht mehr vil-ken).
téyrekjany etc. — t$erekjany etc.
t$yreSyny — tsyrySyny.
t$yri pyri gans klein.
tSyrs bitter.
téyZektyny roih werden.
tuala — tue.
tubalgy, tubylgy Spierstaude (Spiraea).
_|tübat — tubat.
tud£ Spierstaude (Spiraea).
(tue) jetzig, heurig.
(tug), uko-t. bunte Feiertagsmütze der Mädchen.
(tugan), t. karyny ehren.
tugyny — tudyny.
(tui), tüi Metallsaite.
(tuklatsi), tuklaëti Brautwerberin.
tukmatS Fürberkamille (2).
tünotSi — tuno.
(tup) Ball.
(tupany) gleichen.
tuptany passen.
turi braun (v. Pferden) = : türi,
türly = tôrly.
turto Femerstange.
tygyzlany bedrängen, verfolgen.
|tygyzlyk Bedrängniss, Verfolgung.
ni. (utiny) regieren, halten,
Bulletin de l’Académie Impériale
tyla$kon Brandopfer, Feueropfer.
tynyS = tynyo.
tyny$lanyny ruhig sein, Frieden geben.
typo = typyo.
(tyryny), putSky$ t. gerührt werden, — tyrem (c. Abl.)
überdrüssig.
tyrytyny bezahlen lassen.
ty$at$ki Dorfpolizeimeister.
U.
ua — Va.
ubir büser Zauberer, Hexenmeister.
ug — ugoi.
(ugoi) nämlich.
ui! ach.
(ujany), üjyny, — treiben (st. uljany ?).
* ujez Xreis.
(ujol) wach, munter, — Munterkeit,
ukmyso neun enthaltend.
(uko) Siberfaden (zum Sticken).
(ukoe$), ukojo mit Silber gestickt.
(ukojany) mit Silber sticken.
(ulemo), déet$-u. fromm.
uljan, èn kurek-puz-u. Fest beim Hafersüen.
ulla$an wnten, von unten.
ultes, in jir-u. Kopfkissen.
uly Uniteres, Tieferes.
uléany — ulziny.
umoitemlanyny — umoitemlany.
urbet ein büser Feldgeist.
urmytyny reizen, wüthend machen.
urodlygySkyny boshaft werden.
(urom) Mensch.
urys — urs.
(usiny), sin use » der bôse Blick trifft.
(uskytyny), sin-u$kytem der büse Blick.
(usto) Herr (Ehrentitel).
(ustyny), mylkyd u. erheitern.
üSjano, üSjany, üsjaskyny = u$jano éc.
behalten, — (utis), lud-u.,
kvala-u., vor$ud-u., mudor-u. Opferpriester.
utiSkytyny beobachten lassen.
_ utsy — utsu.
_ utSyrtyny — utsiratyny.
ot ütyny — utyny.
uémak, uzmak Paradies.
u£y — uZy.
u/ym Wintersaat.
V.
vadé — vai, vad/-tsabei Weizen.
vakt$i — vaktsi.
(valatyny), valatysa Sotyny deuten.
valla$an oben, von oben.
(valt$e), v. karyny zusammen setzen, vereinigen.
(vandyny) schlachten.
Vañuska männ. Name.
varmes-babai Schwiegermuiter des Mannes.
vasil, in mus-v. Bienenschwarm, val. tscheremissisch
nasyl Generation.
vaskala = vazkala.
va$kyny, va$kytyny = vaziny, vaékytyny.
(vatet) Sacrament, h. Abendmahl.
vatSyl Jung.
vaziSkyny, vaziSkytyny — va/kyny, vaékytyny.
{(vaZkala), v. dyrja vor Alters.
vedeño Fest'am 24. Novbr.
| (vednam), vedñam angezauberter Schaden.
vedñamy — vednamy.
(vedyn), v. murt, vednas bôser Zauberer.
(veñ), kirt-v. Drm.
ver — vir.
(verany), azlay$en v. vorher sagen, denez serysa veras
Lrrlehrer.
(ves 1.) oft.
(veS 2.), ki-v. Armband von Perlen, tSyrty-v. Hals-
perlen.
(vetlyny) damit um gehen (etw. zu thun).
vetlys s. borys.
(vettos) zwanzig Obairutfaden.
vetyl Fürse, Kuh welche nicht gekalbt hat.
vezy und die Ableitungen davon — vüzy etc.
(vil), v.-ken Neuvermählte (seit weniger als einem Jahre).
(vis) eine Spanne, vier Werschok.
visak etc. — vots etc.
vizim, viZymM — viz.
voldet und die Ableitungen davon — veldet etc.
volnoi frei.
voltsyny gleiten.
volyt = volit.
|(vordyny), erhalten, halten; — Sud vordys s. vorsud.
333
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
voronka Trichter.
(vorsatyny) ein schliessen lassen.
(vorSud) — Sud-vordy$ Schutzgott, Gütze, — mudor
Opferschrank, kieiner Schrank auf dem Wandbrett
in der Kochhütte.
vortany, vortaskyny, vortyny, vortytyny — vürtany efc.
vot! siehe da.
vots — vots.
(voz) Last, Fuhr.
voiany bewahren, auf bewahren.
(vozit), vozite vutyny beschämen, scheiten.
(VoZ) Jung.
(voZo), voZo-dyr die Zeit vom 20. Juni bis zum 1. Juli
und 25. Decbr. bis 6. Januar.
(voZtyny) bezahlen.
vôldet mit den Ableitungen — veldet etc.
vôrtyny sich tummeln, sich an strengen.
vôrtytyny sich bewegen lassen, tummeln, jagen.
(vu), in-vu ein bôser Geist, (surs-v.) Birkenwasser
(surd-vu?).
- (vudor) Reiher (2).
vugal Niederung.
vuljany hin und her drehen.
(vuny), mar tatyu-ulemly vuoz was ist zu vergleichen
mit friedlichem Leben.
(vutyny) berichten.
(vy2), v.-ul Raum unter dem Fussboden.
(vyZi), (vyZiyn) unten bei, sis Mie unten, hinunter,
nicder.
à
(ym), badzim-ym Grossmaul.
(ymit) Hoffnung, Verheissung.
ymitlandyryny verheissen.
ymitlanyny hoffjen.
yrtsag Stange, Hebebaum.
ySkyny = ytékyny.
yStyrtyny ziehen.
Zaber männt. Name.
zabod — zavod.
zamana — Zaman.
zañgari grün, blau.
zar Gürtel.
zerebei Stôssel, a tods
zerekt$askyny sich drehen.
es — déets,
zin dreilägiges Frühlingsfest — akojaëki.
zolotoi golden.
(zoryny) herab fallen, kva zore es regnet.
zod = zud. u.
(zu), tsilym-z. Pfeifenrohr. |
zudany, zuda$kyny schleifen, zuda$kon zud Schleifstein.
ZUMYNÿ — ZUMANY.
zuop Glück, Heil, — glüchklich, unversehrt.
zuopo glücklich — recht, brav, gerecht.
zybka Schaukelwiege.
zybyn Oberrock der Weiber, kitai-z. baumuwollener.
Z:
Zal Zal! (von fliessendem Wasser).
Zegatyny hindern, auf halten.
Zltyr da Zaltyr mit Geräusch.
Altyrtyny erklingen.
Zivot Vich, Kleinvieh.
ÿoñ! (von zerbrechenden ass. _ Li
Zo2on, Z.-py£ Hafermehl. a
Zdk — dZek.
(ZugySkon) Xrieg.
Zujy = dzui.
Zumart — dzumart.
Zumat$ka Blindekuhspiel.
Zyngyres, zyhgyrjany, Zyhgyrtny — dzingyres ec.
2y2 Fussboden — dZadi (S), Zyz-ul Rawm unter dem
Fussboden.
Ich benutze diese Gelegenheit auch noch zur Angabe
und Berichtigung einiger entstellender, nicht schon
von dem Leser selbst leicht zu verbessernder Fehler,
welche theils schon bei der Redaction des Manuscripts,
theils beim Satz hinein gekommen waren und auch bei
der letzten Correctur noch übersehen wurden. a
Der wunderlichste und ärgerlichste Fehler ist ein
mit russischen anstatt mit den für das Syrjänische und
Wotjakische hier zu Grunde gelegten lateinischen
Buchstaben geschriebenes Wort. Die meisten von mir
benutzten schriftlichen Quellen haben Russen zu Ver-
fassern, welche natürlich auch für das Syrjänische und
Mdr sich ihres Sos bedient haben. Bei
335.
Bulletin de l’Académie Impériale
der Transscription nun so vieler tausend Wôrter aus
dem einen Alphabet in das andere ist es unvermeid-
lich, dass bei der Bezeichnung der Laute, die man im
Sinne hat, Hand und Feder sich in das falsche Alpha-
bet verirren, das man mit dem richtigen immer zu-
gleich vor Augen hat, und auch Anderen ist es, wie sie
mir versichert haben, ebenso gegangen. Das russische
Alphabet hat aber ausser den ihm eïgenthümlichen
Zeïichen auch viele mit den lateinischen gleiche, zum
Theïl mit derselben Bedeutung wie dort (a, d, e, i, k, 0),
zum Theïl aber auch einen verschiedenen Laut be-
zeichnend (b, €, m, n, p, u — lateinischen v, 5, t, p,
r, 1), und wenn bei dem obigen Versehen Bucbstaben
dieser letzteren Art concurriren, so kommt natürlich
ein ganz anderes Wort auf das Papier, als man im
Sinne gehabt. Meistens wurden Fehler dieser Art, auch
ohne dass gerade welche von den dem lateinischen
Alphabet ganz fremden Zeichen vor gekommen wä-
ren, sogleich nach dem Niederschreiben bemerkt und
corrigirt, oder wenigstens als später die gesammelten
Würter in die alphabetische Ordnung gebracht wurden;
dass mir bei «nops» (st. pors wie S. 344) die Unmôg-
. Jichkeit nicht ebenso augenfällig gewesen ist wie bei
anderen ähnlich verschriebenen Würtern, kann ich
mir nur dadurch erklären, dass es in dieser verun-
glückten Gestalt an klingt — wie so viele andere
Wôrter — an ein gleichbedeutendes Wort der ver-
wandten ehstnischen Sprache, nämlich «ups», dessen
Ahnlichkeit mit «nop$» noch grüsser erscheint, wenn
man berücksichtigt, dass schon im Ehstnischen selbst
_bisweilen an die Stelle des in einem grossen Theïl
des Sprachgebietes stummen anlautenden «h» dialek-
_ tisch ein «n» tritt, wie «nakkama» (an fangen) st. chak-
kama» (gesprochen «akkama»). Es ist also S. 2,a
Z. 14 pors zu lesen st. nops und S. 197,b die Zeile 15
zu streichen.
Noch einige Fehler gewühnlicher Art, die keiner
_ weiteren Befürwortung bedürfen, sind die folgenden:
_ 8. 16,4 Z. 10 v. u. l. bôryñtny sf. boryütny.
» 43,4 » 6 L. saran st. saram.
» 05,4 » Zu. 5 v. u. l. gormôüg st. gormüd.
» D9,b » 5 von «g.» an zu streichen.
» 72,4 » 8 v. u. l. sürny st. $Sorny.
» 78,b » 21. machen st. werden.
» 98,b » 5 v.u. zu streichen.
» 101,4 » 3 v.u. L. fynüdt$an sf. zynüdtsan.
| » 543,0 »
S, 112,b Z. 12 v. u. zu streichen.
» 113,a » 19 1. Helligkeit st. Helligzeit.
» 124,a » 10 1. kruksan sé. krusksan.
» 146, » 3 von «Hermelin» an zu streichen.
» 176,a » 16 1. Kuh- st. Kuh.
5 v. u. l. muû duzgyny st. muüd uzgyny.
» 187,4 » 5 1. naldny st. naldny.
» 235,0 » 8 v. u. L. pon sf. pom.
» 240,0 » 7 L. pükôt st. pükôt.
» 268,a » 10 v. u. l. Pflugbrett st. Pflugschar.
» 277,b » 18 1. ryskôbtyny st. ryskôptyny.
» 290,b » 91. ü$ st. üs.
13 v. u. zu streichen.
» 301,0 » 3 zu streichen.
» 824, » 12 v. u. 1. Sotémyny st. sotémyny.
» 329, » 5 1. Schvager, Bruder der Frau st.
«— Surÿn».
» 330, » 6 L. tuiüd st. tujüd.
» 338,b » 1 L. tat$aitny st. tatSaitny.
» 347,0 » 41. tüly$ st. tülys.
» 309,4 » 3 L, tSaprasny sé. tS$apasny.
» 354,4 » 5 v. u. L. t$egjalny st. tt$egjalny.
» 357,) » 3 1. t$erodittôm st. téeredittom.
» 385,b » 2 v. u. 1. tyrün st. tyrôm.
» 389,a » 1v.u. und b Z, 1 bis 5 L. udéjüs, udZjüsa,
udZjüsô, udZjüsa$ny st. ud2jüz etc.
» 897,0 » 2 v.u. 1. vaksyny st. vaksiny.
» 418,0 » 3 v. u. l. asyl-v. st. azyl-v., zel-v.
» 420,b » 11 1. kyskalan sf. kyska-lan.
» 423,b » 1 l. vork-va st, verk-va.
» 430,4 » 12 v. u. zu streichen, desgl. b Z. 6.
» 434,b »
» 445,4 »
11 v. u. |. vyjym sf. vyjyn.
17 1. zeldZyk st. zelzeldzyk.
» 450,b » 6 v.u.l. Pflugbrett st. Pflugschar.
» 455,b » 3 v. u.1. Zulliny st. zulliny.
» 470,a » 15,16 «sad-dürôm Schlafrock» zu streichen.
7 v. u. L. dugdüdny st. dngdüdny.
» 478,0 » 2 v. u.l. jamsyz st. jamsys.
» 488,0 » 5 1. t$ogany st. t$agany.
» 516,b » 171. pot st. pote.
» 532,a » 14, 13 v. u. l. Sodyny, Sody$kytyny, (Sôds-
kytyny), Sodytyny — Sedyny, Sedys-
kytyny, Sedytyny.
19 v, u. L. Sudzimyny st. Sudzimyuy.
10 1. t$abei st. t$abli.
2 v. u. l. tupyttem sé. tapyttem.
» 532,b »
» 537,4 »
337
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
33
S.549,b Z. 8 v. u. zu streichen.
» d51,a » 5 v.u. 1, (vaz) Spelt st. (vaz) Spalt.
» d52,a » 2 v. u. zu streichen.
b» 7v.u. «(ein Hohlmaass)» zu streichen.
» 60,4 » 6,7, 8 v. u. zu streichen.
» 61,0 » $8 1. Zerebei st. Zerebe.
» 643,b » 121, 97 st. 47.
Zur Ornis der westlichen Ausläufer des Pamir und
des Alai, Von V. Bianchi, (Lu le 27 mai 1886.)
Die vorliegende Abhandlung ist das Resultat der
Durchmusterung einer kleinen Sammlung ') von Vo-
gelbälgen aus dem ôstlichen Theïile des Chanats von
Buchara, die mir der Director des Zoologischen Mu-
seums der Akademie der Wissenschaften, Herr Dr,
A. Strauch mit gewohnter Liberalität zur Verfügung
gestellt hatte.
Das Gebiet, wo die Sammlung zusammengebracht
worden, erstreckt sich vom Amu-Darja nordwärts, bis
zum sogenannten Kaschgar-Dawan oder der Turkestani-
schen Gebirgskette mit Ausschluss jedoch der letzte-
ren; den am meisten nach Westen gelegenen Punkt
bildet die Stadt Karschi, nach Osten—der Berg Tup-
tschek, der etwas weniger als um einen Breitegrad
nach Westen hin vom Gletscher Fedschenko’s ent-
fernt ist. Die Gegend liegt mithin in einem in orni-
thologischer Hinsicht fast unerforschten Gebiete; so
viel mir bekannt ist, haben hier nur V. Russow und
Dr. A. Regel gesammelt, beide verhältnissmässig nur
sehr wenig, besonders letzterer: die von ihm einge-
sandten Exemplare (die sich in schlechter Verfassung
befinden) wurden mir, wie auch einige Bälge aus der
Russow’schen damulung von Herrn Th. Pleske
freundlichst zur Disposition gestellt.
Aus dem eben angegebenen Grunde interessirte
mich diese Sammlung in hohem Grade, ich wurde
aber bei näüherer Durchsicht derselben ziemlich ent-
täuscht, da dieselbe ohne System zusammengebracht
worden ist und Lücken'aufweist.
1) Diese Sammlung hat das Zoologische Museum von Herrn
Grum-Grzimailo gekauft.
[früher von Russow beim Eisernen Thore am Fusse
des Baiïissun-Tau erbeutet und ein np des Ni-
Alles in Allem enthält die Sammlung (Herrn Dr.
Regels 10 Exemplare mit eingerechnet)— 388 Bälge,
die 136 Arten angehüren. |
Von dieser Anzahl sind 54 Stück in Samarkand
(7 Ex.), Dscham (14 Ex.), in der Karschinskischen
Steppe (26 Ex.) und in Gusar (7 Ex.), d. h. in dem
Steppenlande Buchara’s gesammelt. Die übrigen 334
sind im gebirgigen Theile des Chanats, oder, phy-
sisch-geographisch richtiger ausgedrückt, in. den
westlichen Ausläufern des Pamir und des Alai, er-
beutet. Von den oben erwähnten 54 Exemplaren sind
21 Arten ôstlich von Gusar nicht angetroffen worden,
da aber einerseits die Mehrzahl derselben für die Steppe
nicht characteristisch ist, andererseits im gebirgigen
Theiïle des Chanats auch Sopnenint mit seinen Ver-
tretern existirt, so hielt ich mich für befugt, diese 21
Arten der Liste der Vôgel der Ausläufer des Pamir
und des Alai einzuverleiben ohne Bedenken zu hegen
die Physiognomie der Avifauna derselben zu entstellen.
Ich nehme folglich in dieser Gegend das Vorhan-
densein aller 136 Arten an. Diese Anzahl bildet im
Hinblick auf die Fauna des nôrdlich angrenzenden
russischen Turkestan nur wenig mebr, als ein Drittel
aller wabhrscheinlich in dem betreffenden Gebiete vor-
kommenden Arten.
Von den in Ost-Buchara aufgefundenen 136 Arten
fübrt Dr. Severtzow (Journ. Orn. 1875) nur fol
gende nicht an: 1) Saxicola Finschi, Heugl., 2) Pra- se
tincola caprata (Linn.), 3) Cyanecula leucocyana,
Brehm, 4) Herbivocula neglecta (Hume), 5) Acan- &
thopneuste nitida(Blyth), 6) Trochalopterum lincatum,
Vig., 7) Microcichla Scouleri (Vig.), und 8) Misaëtus
fasciatus (Vieill.). — Mittlerweile hat V. Russow
P. caprata und AH. neglecta aus Turkestan mitgebracht
(der erstere Vogel stammt von Tschinas, der letz-
tere vom See Iskanderkul) und H. Seebohm ein Fa
Exemplar des Microcichla Scouleri aus der Umgegend
von Samarkand erhalten. Mithin sind von unseren
136 Arten, so viel ich weiss, im russischen Theïle
von Turkestan nur 5 nicht gefunden worden, nämlich:
1) S. Finschi, 2) C. leucocyana, 3) Ac. nitida,
4) Trochalopterum lineatum und 5) N. fasciatus. Von
diesen letzteren fünf Arten wurde ?. lineatum schon
saëtus FRE stammt von Dr. sion
Bulletin de l’Académie Impériale
340
Auf diese Weise kann man mit grosser Wahr-
scheinlichkeit behaupten, dass die Avifauna der west-
lichen Ausläufer des Pamir und des Alai dieselbe ist,
wie die der anliegenden Berge jenseits des Gebirgs-
zuges, der unter dem Namen Kaschgar-Dawan be-
kannt ist.
Dieses ist eigentlich die einzige Schlussfolgerung,
zu der mich das Studium dieser Sammlung gebracht
hat; da beinahe zwei Drittel der Vertreter der Fauna
unseres Gebietes fehlen, so vermag man die Âhnlich-
keit derselben mit der benachbarten nur in dem Falle
zu erkennen, wenn die Fauna des Nachbargebietes
vollständig erforscht ist, was glücklicherweise in Bezug
auf die Fauna von Turkestan der Fall ist. Bei dieser,
dennoch etwas riskirten, Schlussfolgerung laufen wir
dem ungeachtet Gefahr, einen Fehler zu begehen:
erstens sind wir nicht im Stande alle die Formen auf-
zuführen, welche sich nicht bis nach Turkestan ver-
breiten; zweitens kônnen unter den fehlenden zwei
Dritteln (obwohl dies wenig wahrscheïnlich ist) ende-
mische Formen kleiner Bergvügel, die Standvôgel sind,
vorkommen; drittens endlich ist ein grüsserer Zusatz
von Formen, die dem Himalaya eigen sind, müglich; —
Alles dies kann die Âhnlichkeit der Fauna des in
Rede stehenden Gebietes mit der Turkestanischen
vermindern.
In noch grüsserem Maasse sind diese Bemerkungen
in Bezug auf andere, weniger oder noch garnicht er-
forschte, Nachbargebiete am Platz.
- Im westlichen Himalaya sind circa 100 von den
obenerwähnten 136 Arten gefunden worden, aber die
Himalaya-Provinz wird scharf abgesondert durch den
Zusatz von rein endemischen Formen, welche selbst
einem ungeübten Sammler nicht leicht entgehen kônn-
ten. — Ungefähr dieselbe Anzahl fand man in Afgha-
nistan, einem Lande, das bis jetzt wenig erforscht ist,
namentlich dessen nôrdlicher Theil,welcher détente
an das in Rede stehende Gebiet grenzt. — Im Pamir
und der Alai-Steppe fand Dr. Severtzow etwa die
_ Hälfte der Arten, die unsere Sammlung aufweist;
_ übrigens hält es Dbwer das Hochplateau des Alaïi nd
-_ Pamir, deren Thäler in einer Hôhe von 11—13. 500’
gelegen sind, mit deren verhältnissmässig niedrigen
_Ausläufern zu vergleichen: man müsste in diesem Falle
alle Fundorte von unter 10,000’ Hühe ausser Acht
_ lassen.— Aus eben demselben Grunde ist ein Vergleich
der Steppenfauna der am Caspimeer gelegenen Wüsten
unstatthaft; — und in den Bergen von Chorassan sind
die Forschungen erst kürzlich begonnen.
Bedenkt man schliesslich, dass mir eigene Beobach-
tungen fehlen und dass ich dadurch gezwungen worden
bin, nach Bälgen und den dazu gehôrigen Etiquetten
nur muthmaasslich den Character des jeweiligen Vor-
kommens der Vügel zu bestimmen, so wird man ein-
sehen, aus welchem Grunde ich mich jeglicher Schluss-
folgerungen, die wohl erwünscht wären, enthalte.
Die Details sind bei jeder Art angegeben, ich halte
es aber nicht für überflüssig, auf folgende in geographi-
scher Hinsicht interessante Formen besonders hinzu-
weisen: Saxicola Finschi, Cyanecula leucocyana, Her-
bivocula neglecta, Acanthopneuste nitida, Trochalopte-
rum lineatum, Microcichla Scouleri, Cyanistes flavi-
pectus, Rhodopechys sanguinea, Nisaëtus fasciatus etc.;
dagegen in systematischer Hinsicht auf folgende: C.
flavipectus, Scops obsoleta, Scelospizias cenchroides
und manche andere.
Es sei mir gestattet, noch einige Worte hinsichtlich
der Bearbeitung des Materials hinzuzufügen.
Ich hielt es für nôthig bei jeder Art kurze Citate
anzuführen, vermittelst welcher die Genesis der Be-
stimmung einer jeden Art leicht zu verfolgen ist.
Dasselbe bezweckt die in vielen Füällen in systemati-
schen Anmerkungen angegebene Motivirung. Ich habe
endlich bei einigen Exemplaren die permanente Num-
mer des ornithologischen Catalogs des Zoologischen
Museums nur aus dem Grunde angegeben, um das
betreffende Exemplar zu jeder Zeit leicht auffinden
und verificiren zu kônnen.
Ich habe alle Exemplare mit ihren Daten aufge-
zählt, da das Befolgen dieser Regel, meiner Meinung
nach, für das Studium der geographischen Verbrei-
tung und der periodischen RENE überaus
wichtig ist.
Die Daten sind alten Styls.
Ferner müchte ich noch den Umstand entschuldigt
wissen, dass die Maassangaben bei mir bald in Milli-
metern, bald in englischen Zoll angeführt werden.
Diese ichainbare Inconsequenz findet jedoch in Fol-
gendem eine Erklärung: während ich selbst mich des
metrischen Systems bediene, steht bei englischen Au-
toren stets das Zollmaass in Gebrauch, beim Vergleich
von Maassangaben mit solchen aus englischen Quellen,
341
des Sciences de Saint - Pétersbourg.
habe ich mich nun, um nicht die Angaben aus einem
Maass in ein anderes, überzuführen, ebenfalls des
englischen Zolles bedient.
Fast alle Namen der Fundorte konnte ich auf der
Karte auffinden und nur einige unbedeutende Ort-
schaften werden auf allgemeinen Karten wohl nicht
vermerkt sein. Über die ungefähre geographische Lage
dieser letzteren kann man aus der beigefügten Marsch-
route urtheiïlen.
Die Originaletiquetten waren in russischér Sprache
geschrieben, bei ihrer Wiedergabe mit lateinischen
Lettern habe ich mich an die deutsche Orthographie
gehalten. Der Name Eines Fundortes übrigens bedarf
einer besonderen Bemerkung: der Ort, an dem zwi-
schen dem 9. und 11. Juni gesammelt wurde, ist auf
den einzelnen Etiquetten Tobi-dara genannt und auf
der Karte finde ich ihn als Tabi-dara vermerkt, wäh-
rend in der Marschroute des Herrn Grum-Grzimailo
(Masbcria Pycex. Feorp. O6. r. XXI (1885), Bb. VI.
crp. 579—582) ?) augenscheinlich dieser selbe Ort
Tawildar oder Tabi-dag genannt wird; ich führe diesen
Fundort in der Schreibweise der Etiquetten an.
Marschroute des Herrn Grum-Grzimailo im Jahre 1885,
15—22, IIL Samarkand.
28—929. II. Dscham.
30. III Karschi-Steppe, zwischen Dscham und
Ak-Kuschuch.
1. IV. Karschi-Steppe, Brunnen nerrire 20
. Werst von Karschi.
1. IV. Ibid., Brunnen Taschli, 40 W. v. K.
3. IV. Karschi.
7. IV. Jange, am Wege von Karschi nach
Gusar. |
9—10. IV. Gusar.
11. IV. Tengi-Charam.
12. IV. Tschaschma-Chafisdschan.
13. IV. Engpass Tschak-Tschak oder Eisernes
Thor; — Ak-Rabat.
13. IV. Schur-ab.
14—15. IV. Sser-ob.
2) Da diese Marschroute nur einen Theil der Daten und Fund-
_ orte enthält, so ist die nachfolgende hauptsächlich nach den Eti-
quetten, mit manchen Zusätzen meinerseits, um die Lage der Ort-
.chaften näher zu erklären, zusammengestellt.
16: EV.
17—19. IV
20. IV
e. 1 Pa à ‘4
22;-1V
23, 51N,
24—926. IV
29. IV
80::IV
ES À
5 —6. V.
BEN.
REA À
8—10. V.
12—]14. V.
LOS NS,
17—18. V.
19,:V;
01-22: : V.
9—31. V.
7— 8. VI
9==11. VI
115 VE
12:5Y1
13: VI
EAU FE VE
19. VI
Doi VE
2: NI
25,: VI
26. VI
27.NVI-—2.VII.
3: il
4e 5. VII.
Laïljakan.
. Schir-abad.
. Weg von Schir-abad zum Fluss Surchan.
. Ak-Kurgan am F1. Surchan.
. Kum-Kurgan am FI, Surchan; Kap-
tugai.
. Garm-Kurgan am FI. Surchan.
. Kokaiïty-Kurgan am FI. Surchan.
. Sary-Dschuj.
. Regar.
, Karatag.
Engpass Kara-Kuss im ARR (zwi-
schen den Flüssen Surchab und Ka-
firnagan).
Schurjan-Tugaiï
Ak-Metschet
Dschidda-bach
Kabadian.
Fluss Wachsch, westliches Ufer.
Kurgan-Tjube | am ôstlichen Ufer
San-Tuda d. Wachsch.
Kischlak Baljan am Flusse Ktschi-Sur-
chan (Nebenfluss von Ak-Su, unweit
von der Stadt Kuljab mündend).
Baldschuan.
| am Flusse Kafir-
nagan.
. Karnak (am Ak-Su?).
. Tabi-dar am F1. Chingob.
. Fluss Chingob.
. Kischlak Inku.
. Fluss Sagri-Daschte; Kischlak Sagri-
Dascht.
. Sagri-Dascht-Pass, 10,000"; Flüsse
Chumbou und Bida- Abdschabar
(10,000).
. Fluss Sagri-Daschte (Rückweg).
Re CE | am rechten Ufer d. F1.
. Nossany | a
. Gardani-Kaftar-Pass.
Berg Tuptschek.
Chysch-Kuljak-Pass im Peter’s I Ge-
birge.
Nürdlicher Abhang des Peter’s I Ge- .
. birges; Fluss Sinde-Kul (4. VID); Li
Kalai-Ljabi-ob (4. VIT); ObI-Nassr s
rok, F1. Kara Saur (5. VID.
23
343 | Bulletin de l’Académie Impériale 344
11—12. VIL Obi-Garm am F1. Surchab, süd-west- 4. Monticola saxatilis (Linn.).
lich von Garm. | ee
‘1320. VIL Obi-Garm, Faisabad, Kafirnagan, Dju- | Cat B. Brit. La V, A Dresser,
schambe, Karatag und Sary-Dschuj. Le RE
21—25. VII. Längs dem Laufe des Flusses Sang- a. Q adit. Tschaschma— Chafisdschan 12. IV.
Girdan bis nn b. © adlt. | Éacosun Tache To. ;
23. VII. Sarym-Sakli am Sang-Girdan. c. 6 adit. Ak-Rabat (Eïsernes Thor) 13. IV
25—29. VII. Lagari-Murda-Pass. d. & adlt. | _ ss
30.VII—-8.VIIL. Tasch-Kurgan; Schaar; Tchim-Kur- e. Ô adit. Sser-0b 15. IV.
gan; Dscham. f. & adit. Schir-abad 19. IV.
9. VIII. Samarkand. g. à adit. Karnak PASS
h. & adit. Karnak NE
4. 6 adit. Inku 12 NE
+ . k, Jjuv. FI. Sagri-Dascht TONI.
1. Turdus viscivorus, Linn. 1. © adit. Ischtiun 23. VI.
Cat. B. Brit. Mus., V, pp. 185 (Key), 194; Dresser,
B. Eur, IL, tab. 1.
a. juv. Tuptschek A UVIE
b. juv. Lagari-Murda-Pass 26. VIT.
Das Exemplar a trägt noch das Nestkleid, während
_ bei dem ne Va b schon einige Federn auf der Brust
mausern.
sde 2, Merula merula (Linn.).
Cat. B. Brit. Mus., V, pp. 233 (Key), 235; Dresser,
B. Eur., IT, tab. 13.
a. à adit. Fluss Sang-Girdan 21. VII.
. Das einzige stark mausernde Exemplar, das uns
vorliegt, ist die typische M. merula und nicht M.
mazima Seebohm (Cat. B. Brit. Mus., V, p. 405).
: 3. Merula atrigularis (Tem m.).
Cat. B. Brit. Mus., V, pp. 235 (Key), 267.
à a & semiad. Dscham 29. III ( 10116).
Über die Halsseiten unseres Exemplares, welches
ein stark abgestossenes Frühlingskleid trägt, erstrecken
_ * sich schwarze längliche Streifen und der Hals ist von
_ schmutzig-weisser Färbung ohne dunkle Schaftstriche.
Es ist also der Hals nicht gefleckt, wie nach Se-
__vertzow, bei M. mystacinus, welcher noch 1883
_ die Selbstständigkeit dieser Form zu or
suchte.
Alle im April erlegten Männchen (e, d, e, f) und
Weiïibchen («, b) tragen noch die Spuren des Winter-
kleides, welche sich darin äussern, dass die Federn
auf der Brust, auf dem Bauch und-auf dem Rücken
am Ende weiss umsäumt sind. Da die Weïbchen über-
haupt bunter gefärbt sind, so erscheinen diese Säume
bei ihnen nicht so scharf prononcirt, wie bei den
Männchen. Diese Umsäumung fehlt beinabe schon
vollständig bei allen Exemplaren (9, k, à, !), welche in
der ersten Hälfte des Juni erbeutet wurden.
Die Steuerfedern des jungen Exemplars (%) haben
our drei Viertel der Länge erreicht, so dass man an-
nehmen muss, dass dieses Exemplar Anfang Juni das
Nest verlassen hat. Die breiten rostfarbig - weissen
Säume auf allen Schwungfedern lassen die Jungen
dieser Art von den Weibchen, bei welchen diese Säume
namentlich auf den Schwungfedern erster Ordnung,
nur sehr schmal sind, leicht unterscheiden.
5. Monticola cyanea (L.).
Cat. B. Brit. Mus., V, pp. HAE Dresser,
B. Eur., IL, tab. 18
a. 6 adit. Sser-ob 15. I.
b. Ô adit. ibd. 19, IV:
c. d'adit. ibd. 15: IV:
d. @ adit. Karatag BY.
e. Ô Sarym-Sakli 23.VII.
Dresser meint, dass das erwachsene Weibchen
in der Färbung dem Männchen gleicht, was jedoch nach
Hume (Stray Feathers, X, p. 109, footnote) nur aus-
345
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
346
nahmsweise der Fall ist. Unser Exemplar (d) ist oben
einfarbig schwarzbraun, unten mit Ausnahme der Sei-
ten gefleckt, zur Unterkehle wird die Fleckung eine
geringere. Auf dem Kinn, der Kehle, Gurgel und Ober-
brust ist jede Feder am Schañfttheile hell und von
einem dunklen Saume umgeben; auf den Schwung-
federn sind die Federsäume kaum merklich.
Die schwärzlichen und weisslichen Ränder der
blauen Federn sind als Spuren des Winterkleides bei
dem Exemplar a noch sehr stark, bei b und c schon
weniger stark prononcirt. Die vorherrschende Färbung
des Exemplars e ist blau, doch besitzt jede Feder am
Ende zwei Siume, einen schwärzlichen und einen
weisslichen und sind die Schwungfedern hell einge-
fasst; die Schwung- und Steuerfedern mausern nicht,
das Kleingefieder dagegen sehr stark und gehôüren
alle Federn schon dem Herbstkleide an; es ist ein|
jJunges Exemplar.
6. Cinclus asiaticus, Swains.
Cat. B. Brit. Mus., VI, pp. 307 (Key), 314; Gould,
B. Asia, IV, tab. 21.
a. à adit. Ischtiun 23. VI (K 10042).
b. juv. Tuptschek 30. VI (X 10041).
Das alte Exemplar trägt ein stark abgestossenes
Gefieder.
Das junge Exemplar habe ich mit einem unzweifel-
haft zu dieser Art gehürigen Jungen, welches Russow
mit den alten Vügeln erlegte, verglichen und als zu
dieser Art gehôürig erkannt.
7. Cinclus leucogaster, B p.
Cat. B. Brit. Mus., VI, pp. 307 (Key), 314; Gould,
B. Asia, IV, tab. 24.
a. & adlt. Tuptschek 28. VI (X 10040).
Unser Exemplar trägt ein abgestossenes, jedoch der
Mauser noch nicht unterworfenes Kleïd.
8. Saxicola oenanthe (L..).
Dresser, B. Eur., I, tab. 21.
a. Q adlt. Dscham 20..HEL.
b. © jav. Lagari-Murda-Pass 29. VIT.
Das Exemplar @ hat noch nicht das Früblingskleid
angelegt, da die braunen Enden der grauen Federn
auf dem Oberkürper noch nicht abgestossen sind.
Das Exemplar D trägt schon das Herbstkleid, doch
mausern noch die Federn auf dem Kopf sehr stark.
9, Saxicola morio, H. u. Ehr.
Cat. B. Brit. Mus., V, pp. 364 (Key), 372; Severt-
zow, Turkest. Jevotn., tab. VIII, fig. 1——4 (5, talas); :
Henderson und Hume, Lahore to Yarkand, tab. XIII
(S. Hendersoni). .
a. adit. Dscham 29. III (X 10043).
b.G adit. ibd. 29.114,
c. G adit. Karschi 3,17;
d.9 adit. Baldschuan 31. V (X:10046).
e.d adit. Lagari-Murda-Pass 29. VIT.
f.3 adlt.autum. Lagari-Murda-Pass 27. VII (K 10044).
g. & juv. autum. Lagari-Murda-Pass 27. VII (X 10045).
Die alten im Frühlinge erbeuteten Männchen (a—c)
stimmen am,besten mit der Abbildung bei Severtzow .
(1. c. fig. 1) überein und unterscheiden sich ziemlich
auffallend von derjenigen bei Gould (B. Asia, IV,
tab. 29) und Dresser, (B. Eur., IL, tab. 33, fig. 1°).
Der Färbung des Kopfes und der Oberseite ist näm-
lich bei ihnen in viel grüsserer Menge ein grau-brau-
ner Ton beigemischt. Beim Exemplar c treten schwarze
Federn mit braunen Enden in grüsserer Anzahl, als
bei a und b auf; beim Exemplar e fehlen diese braunen
Enden wie auf den weissen, so auch auf den schwarzen
Federn beinahe vollständig. Nach der Färbung der hellen_
Stellen haben unsere Exemplare auf diese Weise eine ent-
fernte Ahnlichkeit mit der Abbildung von S$. capistrata
bei Gould (1. c. tab. 28), doch unterscheïden sie sich
von dieser Art sofort dadurch, dass die zweite Schwinge
länger als die 6. und kürzer als die 5. ist, während bei
8. capistrata dieselbe Schwinge kürzer als die 6. ist
und die 7. an Länge überragt. Das erwähnte Verhält-
niss der Schwingen ist bei allen unseren Exemplaren
ein constantes. Ich halte unser Exemplar f, welches
auf der Oberseite noch mausert, für ein ausgewach-
senes Männchen im Herbstkleide; es ist der Abbil-
.|dung dieser Art bei Severtzow (1 c. fig. 3) und
Hume (1. c.) hôchst ähnlich. Mit der letzteren Abbil-
dung stimmt auch vollständig das junge (g) beinahe
ganz ausgemauserte Männchen im Herbstkleide über-
ein. Nach eingehendem Vergleich erwiesen sich diese
3) Nec fig. 2 — lugens (Licht.). n
347.
Bulletin de l’Académie Impériale
34s
Exemplare als identisch mit einigen Bälgen, welche b. Q juv. Tuptschek 30. VI(X: 10048),
Russow erlegt und an Ort und Stelle bestimmt hatte. | c. & juv. Lagari-Murda-Pass. 27. VII.
Das alte Weïibchen d in sehr abgetragenem Kleide ist| d. 9 juv. ibd. 27. VII.
der fig. 2 bei Severtzow sehr ähnlich; dieses Exem-
plar ist mit einem Weibchen der $. Zeucomela Pall.
identisch, welches Herr Kibort bei Krasnojarsk erlegt
hat, wo ausser ihr keine andere Art vorkommt, mit
der sie verwechselt werden künnte.
Dr. N.. A. Severtzow (Ibis, 1883, p. 69) suchte
noch 1883 die Unterschiede michel S. morio und
S. leucomela nachzuweisen, aber vergeblich, denn
Seebohm (cf. ibd. footnote) konnte zwischen diesen
Arten die erwähnten Unterschiede nicht finden. Die
Unterschiede, welche Biddulph angiebt und die darin
bestehen sollen, dass die Innenfahne der Schwungfe-
dern erster Ordnung bei S. morio schwarz, bei S. leu-
comela dagegen weiss gefärbt ist, sind ebenfalls irrig
und daher werthlos. Biddulph hat nämlich augen-
scheinlich die Arbeit von Blanford und Dresser
(P. Z. $. 1874, p. 225) benutzt, wo als $S. leucomela
die S. lugens Licht. beschrieben ist. Hume (Stray
Feathers, IX, p. 326 footnote) vertheidigt die Selbst-
ständigkeit seiner S. Hendersoni bis in die letzte Zeit.
10. Saxicola deserti, Temm,
Cat. B. Brit. Mus., V, pp. 364 (Key), 383; Dresser,
B. Eur., IL, tab. 27.
a. ® adlt. Sser-ob 14. IV (X 10057).
Diese Art ist mit S. montana leicht zu verwech-
seln, doch ist bei dieser letzteren die Innenfahne der
Schwingen erster Ordnung bis zum Schafte weiss,
während bei S. deserti die weisse Farbe auf der In-
nenfahne der erwähnten Federn nur als breiter Rand
_ auftritt. Die Länge des Flügels beträgt 3,6”, dieje-
_ nige des Schwanzes 2,7”. Nach Seebohm beträgt die
… Fittiglänge der Weïbchen von $. deserti 3,5 bis 3,3”,
bei den Weïbchen von 8. montana dagegen dant
__ dieselbe zwischen 3,9 und 3,6”. Unser Exemplar hat
ein nur wenig abgetragenes Winterkleid und mag
= desshalb einen etwas längeren Flügel haben.
Fe 11. Saxicola isabellina, Cretzm.
CL Brit. Mus., V, pp. 365 (Key), 399; Dresser,
_. B. fr. IE, tab. 22.
+ S adit. Sagri-Dascht, Fluss Bida-
ce. Abdschabar 18. VI (M 10047).
Das erwachsene Männchen (a) in ziemlich abgetra-
genem Gefeder unterstheidet sich von der Abbildung-
dieser Art bei Dresser (Weïbchen im Herbstkleide)
nur durch einen mehr prononcirten grauen Anflug.
Die jungen Exemplare (b und d) tragen das gefleckte
Nestgefieder und hat bei ihnen die Mauser noch nicht
begonnen. Das Exemplar c befindet sich in voller
Mauser und gehüren die meisten Federn schon dem
Herbstkleide an.
12. Saxicola Finschi, Heugl.
Cat. B. Brit. Mus., V, pp. 364 (Key), 388; Dresser,
B. Eur, IL, tab. 207 (S. erythraea).
a. G adit. Tschaschma-Chafisdschan 12. IV (X 10058).
Diese Art ist in der Vertheilung der weissen Fir-
bung auf der Oberseite (von dem Schnabel bis zu den
Schwanzdeckfedern) der S. melanoleuca im Frühlings-
kleide ähnlich, doch unterscheidet sich diese letztere
Art sehr auffallend von ihr durch eine weissgefärbte
Stelle zwischen dem schwarzen Hals und dem Flü-
gelbug, während S. Finschi seitlich vom Kinn bis zur
Flügelspitze durchgängig schwarz gefärbt ist.
Die Federn des Exemplars b sind im Ganzen ziem-
lich stark abgestossen.
Bis jetzt ist Tschaschma-Chafisdschan dr äusserste
Fundort dieser Art im Nordwesten und ist sie für
Turkestan, so viel mir bekannt, noch nicht nachge-
wiesen; im Südosten ist ihre Verbreitung bis Kan-
dahar und Quetta, wo sie Swinhoe (Ibis, 1882,
p. 107) sammelte, verfolgt.
13. Saxicola opistholeuca, Strick.
Cat. B. Brit. Mus., V, pp. 364 (Key), 376; Gould,
B. Asia, IV, tab. 27.
11.1V (M 10049).
FR,
a. & adit. Tengi-Charam
b. à adit. ibd.
c. 6 adit. Kara-Kuss (Engpass
im Baba-Dagh) 6. V.
Bei den mir vorliegenden Exemplaren ist das Ms
fieder noch wenig abgetragen.
des Sciences de Saint - Pétersbourg.
14. Pratincola caprata (L.).
Cat. B. Brit. Mus., IV, pp. 179 (Key), 195.
a. à adlt. Kurgan-Tuebe 18. V (Ÿ 10050).
Die Federn unseres einzigen Exemplars sind our
wenig abgetragen.
Diese ôstliche Art erreicht im Südwesten ihres Ver-
breitungsbezirkes das südôstliche Persien und kommt
in Nordwesten bis zum Atrek und der Chiwinischen
Oase, wo sie von Bogdano w ‘) gesammelt wurde, vor.
Im Turkestan ist dieser Wiesenschmätzer, nach Mit-
theilung von Herrn Th. Pleske, von Russow ge-
funden worden.
15. Pratincola maura (Pall.).
Cat. B. Brit. Mus., IV, pp. 179 (Key), 188; Gould,
B. Asia, IV, tab. 34 (P. indica).
a. à adlt. Dscham 28, IIL.
b. & adit. Lailjakan 16. IV (K 10052).
c. (8)°) juv. Baljan 22. V (10051).
d. (Q) juv. ibd. Da NY,
e. (9) juv. ibd. 22: Va
Das Kleid der alten Exemplare (a und b) ist wenig
abgetragen; auf dem schwarzen Rücken sind noch
viele Federn von den rostfarbigen Rändern der Win-
tertracht umsäumt.
Zwei rostfarbene eben zum Vorschein tretende Fe-
dern auf der Brust des Exemplars c geben mir die
Môglichkeit auch die Jungen im Nestkleide als zu
dieser Art gehürig anzusprechen.
16. Ruticilla phoenicura (L.).
Cat. B. Brit. Mus., V, pp. 335 (Key), 336; Dresser,
B. Eur. Il, tab. 41.
a. 4 adit. Schir-abad 17. IV (X 10053).
Das einzige DUR a ist in abgetragenem Früh-
lingskleide.
Die zweite Schwinge dieser Art ist grôsser als
die 6., während bei der folgenden Art dieselbe kleiner
als die 7. ist.
4) Oueprn npupoxst Xupnaekaro oasnca n neckoss Kussar-
Kyre. us 1882, crp. 75, 88.
5) Die von mir in Klammern gesetzten Geschlechtzeichen halte
ich für nicht ganz sicher.
17. Ruticilla rufiventris (Vieill.).
Cat. B. Brit. Mus., V, pp. 335 (Key), 342; Moore,
P.Z.S. 1854, pl. LVII (R. phoenicuroides); Dresser,
B. Eur. IL, tab. 48.
a. à adit. Inku 12. VI (MK 10117).
b. @ adlt. Ischtiun 23. VI (N° 10054).
©. juv. Fluss Sang-Girdan 22. VII (VX 10056).
d. 8 Lagari-Murda-Pass 29. VII (X 10055).
Das alte Männchen (a) mag nach seinem einfarbig-
schwarzen Mantel zu der Form À. atrata Jard. et
Selb. ‘) gehüren.
Das alte Weiïbchen (b) habe ich nach einem Exem-
plar, welches Russow zusammen mit dem Männchen
erbeutete, bestimmt. Ein anderes Weïbchen (d) in fast
ausgemausertem Herbstkleide ist jenem, trotz anderer
Nüancen in der Färbung, in der Grüsse und den plasti-
schen Merkmalen vollständig gleich. In diesen Merk-
malen stimmt auch das Junge (c), welches das ge-
fleckte Nestkleid trägt, mit den erwähnten Weiïbchen
überein.
Abgesehen von dem Unterschiede in der Färbung,
scheint das Weibchen von 2. rufiventris(V.) auch noch
kleiner als dasjenige von R. erythronota (Eversm.) zu
sein. Im Längenverhältniss der Schwingen scheinen
sich diese zwei Arten nicht von einander zu unter-
scheiden.
Das junge Exemplar (c), welches das gefleckte Nest-
kleid trägt und noch nicht (22. VII) zu mausern be-
gonnen hat, lässt eine zweimalige Brut vermuthen.
Ich füge noch die Ausmessungen und das Verhält-
niss der Schwingen von 6 R. rufiventris und 2 R.
erythronota bei.
os ttig ris er
: nge ange. er DCnwingen.
R. rufiventris | 4 + E-
a. G adit. (84, 75|.68,00 7>25>8
b. © ya Grum-ri-]79 00! 61,50 7>25>8
c. Q (aut.) mailo 179,00! 63,00 7>25%8
[d. jury. (77, 00! 60,00 759 fast—8
e. G adit.} Russow; ein 81 ,00! 63,00 7>8>2>9
f: ss adit. | uses pa 79,50! 60,50 (7>2>8
ER. erythronota |
a. à adit.| Russow; ein 85, 50! 70,00 7>2>8
b. © adit. Ban Paar 183, 00! 71,00 75>2>8
6) Cf. N. Zaroudnoiï, Oiseaux de la Contrée Trans- s-Caspienne :
p. 37, De von M, Menzbier nos
Bulletin de l’Académie Impériale
18. Cyanecula caerulecula (P all.).
Cat. B. Brit. Mus., V, pp. 294 (Key) 308; Dresser,
B. Eur., I, tab. 49 (C. suecica). :
a. & adit, Dscham 28. III (K 10060).
Das Gefieder ist nur wenig abgestossen.
19. Cyanecula leucocyana, Brehm.
Cat. B. Brit. Mus., V, pp. 294 (Key) 311 (Æ. cya-
necula), Dresser, B. Eur., II, tab. 48 (C: Wolfi).
a. & adlt. : Sagri-Dascht-Pass
b. & adit. (©) Tuptschek
14. VI (K 10061).
27. VI (M 10059).
Die Bestimmung des Exemplars b bietet einige
Schwierigkeiten, da der weisse Kehlfleck einen schwa-
chen rostfarbigen Anflug hat und daher die Müglich-
keit nicht ausgeschlossen ist, dass wir es mit einem
Bastard von C. leucocyana und C. caerulecula zu thun
haben; jedenfalls aber steht es der C. Zeucocyana viel
näher. Der Reisende hat es als Weïbchen notirt, doch
muss ich diese Geschlechtsbestimmung entschieden für
irrthümlich halten, da sogar bei hahnenfedrigen Weib-
chen der blaue Kehlfleck niemals so intensiv und un-
unterbrochen auftritt.
Das Exemplar von Scully, welches in Gilgit gesam-
melt wurde, scheint nach der Färbung des Kehlsternes
auch keïn typisches zu sein, da Biddulph (S. F. IX,
p. 330) von ihm sagt: «a faint rufous tinge appears at
the base of the satin-white feathers, looking very much
as if there were a change of colour in the feather».
Das Gefieder der mir vorliegenden Bälge ist ziem-
lich stark abgetragen.
Ich weiss nicht, ob diese Blaukehlchen-Form für
Turkestan schon nachgewiesen ist. Wie es scheint, lie-
gen die am meisten ôstlichen Fundorte dieser Art im
westlichen Theiïl der himalayanischen Provinz der Re-
gio aemodo-serica (Severtzow): Scully (Str. Feath.
IX, p. 330) fand sie in Gilgit am 15. April (3. IV n.
Jul. Kal.) auf dem Durchzuge (einzelnes Exemplar) und
nach Biddulph war sie «very common on both sides
of the Digar pass, between the Nobra and Indus val-
leys during the last week ?) of June» (Str. F. X, p. 268).
7) Also Mitte Juni, vielleicht brütend.
20. Calliope pectoralis, Gould.
Cat. B. Brit. Mus., V, p. 294 (Key.), 306; Gould,
BR: Asia, IV;:tab:. 239:
a. à adit. Tuptschek 27. VI (X 10062).
b. G adit. ibd, EVE l
c. Q adit. ibd. 2. VII (NX: 10064).
d. & adlt. Chysch-Kuljak-Pass,
über 10000" 3. VII (X 10063).
e. & adlt. ibd. 8. VII.
f. & adit. ibd. 3VIL
g. & adit. ibd. 3. VII.
h. Ô adilt. ibd. # VE:
Alle Exemplare sind in abgetragenem Sommerkleid
und mausern noch nicht.
21. Irania gutturalis (Guérin).
Cat. B. Brit. Mus., V, p. 304; Dresser, B. Eur., IT,
. tabb. 53 und 54. de
a. à adit. Karnak 7. VI (Ÿ 10065).
b. @ adit. ibd. 8. VI (M 10068).
c. G adit. Fluss Sagri-Dascht 13. VII (NX: 10066).
d. ® adit. ibd 13. VII (M 10067).
Alle Exemplare sind in abgetragenem Sommerkleid
und Kkeines mausert.
22. Daulias Hafizi (Severtzow).
Cat. B. Brit. Mus., V, pp. 293 (Key), 297 (Eri-
thacus Golzü); Blanford, Eastern Persia, II, tab. X,
fig. 2 (optima); Radde, Ornis Caucasica, tab. XV
(fig. mala).
a. à adit. Gusar SR
b. S'adit. Schir-abad 18. IV (W 10069).
c. Q® adit. ibd. 18. IV.
d. 8 adit. Karnak FINE
e. & adit. Fluss Chingob 11. VI (K 10070).
f. © adlt. ibd. 11: VE
Die Bestimmung des Geschlechtes ist bei allen
Exemplaren, welche ein nur wenig abgetragenes Kleïd
haben, zweiïfelhaft.
Bei den Exemplaren a und b ist die Abortivschwinge
gleich den grossen Flügeldeékfedern und 2 — 5 > 6;
bei den übrigen Bälgen (c—f) ist dieselbe etwas
353
des Sciences de Saint - Pétersbourg.
354
länger (nicht einmal um 0,1”) als die Flügeldeckfedern
und 2 > 5 > 6. Die unteren Schwanzdeckfedern sind
in allen Übergängen von weiss bis rostfarbig gefürbt;
beim Exemplar b ist auf denselben eine Wellenzeich-
nung zu bemerken.
23. Sylvia cinerea fuscipilea, Severtzow.
Sylvia cinerea B. fuscipilea Severtzow, Journ. f.
Orn. 1875, p. 176
Sylvia fuscipilea Seebohm, Ibis 1884, p. 427;
id. Hist. Brit. Birds, I, p. 406.
Sylvia cinerea fuscipilea Zaroudnoiï,
Trans-Casp. 1885, p. 41.
Oiseaux
a. à adit. Tuptschek 28. VI.
-b. adit. ïbd 29, VE.
c. G adlt. ïibd. 30. VI (K 10071).
d. & adit. ibd. 30. VI.
e. &adit. ibd. 30. VI (M 10072).
Wenn man diese Form als ôstliche Unterart der
gemeinen S. cinerea anerkennt, so müssen alle unsere
Exemplare als zu derselben gehürig angesprochen
werden.
Die Bälge sind in abgetragenem Kleide und haben
noch nicht zu mausern begonnen.
24. Sylvia currusa affinis, Blyth.
Cat. B. Brit. Mus., V, pp. 5 (Key), 19.
a. 6 adit. Sser-0b 15.1V(K 10165).
© b. © adit. Kara-Kuss, im Baba-dagh 6. V (10166).
c. 6 adit. Baldschuan 30. V (M 10073).
d. © adit. - bd. 1142 5
. e. 9 adit. Karnak ZiNE
f. & adlt. Ischtiun 23. VI.
9. & adit. ibd 23. VI(N: 10074).
Die üstliche Form unserer $. curruca unterscheidet
sich von dieser letzteren nur dadurch, dass bei ihr die
zweite Schwinge kürzer als die 6. und länger als die 7.,
während bei $. curruca dieselbe Schwinge länger als
die 6. und kürzer als die 5. ist.
Die Färbung der Oberseite der im April und An-
fang Mai erlegten Exemplare (& und b) ist hellbraun
und halte ich diese Färbung für diejenige der Winter-
tracht; die Ende Mai erbeuteten Exemplare sind oben
_aschgrau gefürbt. Auf diese Weise kann man, glaube
ich, diese Art im Tone mit S. ose ver-
| wechseln, doch variirt bei dieser letzteren die Länge
| des Flügels*) zwischen 2,45—2,3"(62,5—58,5 mm.)
während dieselbe bei unseren sieben Exemplaren von
S. affinis von 2,73 — 2,52" (69,5 -- 64 mm.) beträgt.
Die Fittiglänge bei den Exemplaren a und b ist 2,65
und 2,58” (67,5 und 65,5 mm.)
Von allen mir vorliegenden Exemplaren mausert
nur das am 7. Juni erlegte Weibchen (e): bei ihm ge-
hôüren schon alle kleinen Federn dem Herbstkleide an,
die frischen Steuerfedern, namentlich die äusserer, sind
noch kurz, während die Schwingen noch nicht alle
mausern, Wahrscheinlich war dieses Weibchen ledig
geblieben, da sogar die am 23. Juni erbeuteten noch
nicht angefangen haben zu mausern.
25. Sylvia orphaea Jerdoni (Blyth).
Cat. B. Brit, Mus., V, pp. 5 (Key), 16; Nicholson,
P.Z.S. 1851, p. 195, pl. XLITI (Artamus cucullatus).
a. & adit. Sser-ob 14. IV (10075).
D Oral bd 147 IV,
c. (G)adit. Karatag 3. V.
d. & adit. Tabi-dar 10. VI (10076).
é; 6 Alt, ibd. 10.:VI.
fo ait 15 : : 10. VE.
g. @ adit. Inku 12. VL.
Alle Exemplare gehôren der ôüstlichen Form der
S. orphea an; sie unterscheiden sich von der Abbildung
bei Dresser (B. Eur., IL, tab. 64) nur dadureh, dass
bei ihnen die Färbung auf der Unterseite einen sehr
schwachen isabellfarbenen und auf den Seiten einen
bleigrauen Anflug hat. Sie stimmen vollständig mit .
der Abbildung bei Nicholson (L c.), welcher die Art
fälschlicherweise in eine andere Gattung stellt, über-
ein, our scheint mir diese Zeichnung um ein Geringes
die natürliche Grüsse dieser Art zu übertreffen und
der Schnabel ist jedenfalls zu gross und dick wieder-
gegeben.
Die Länge des Schnabels (d. h. des Culmen), welche
nach Seebohm (Cat. B. Br. Mus. 1. c.) als bestes Crite-
rium dieser Art angesehen werden muss, beträgt beim
Exemplar f 0,67”, beim Exemplar g 0,70” und variirt bei
allen übrigen Bälgen zwischen 0,72—0,78”. DieLänge
des Flügels varürt zwischen 3,07—5, 20" , diejenige
des Schwanzes von 2,90"—3,07”. .. .
| 8) of. Seebohin, Cat. B. Brit. Mus., V, p. 5 (Key)
355
Bulletin de l’Académie Impériale
356
Das Kleid aller Exemplare ist mehr oder weniger
stark abgestossen. Herr Zarudnoï brachte diese Form
aus dem Transcapi-Gebiet mit, während Nikolsky die-
selbe in Nord-Persien (Firjuse bei Budschnurt 14. u.
12. VII, 85) erbeutete. Der Schnabel des alten Exem-
plars von Nikolsky misst 0,78”, derjenige des jungen
(M: 10077) nur 0,60”.
26. Adophoneus nisorius (Bechst.).
Cat. B. Brit. Mus., V, pp. 5 (Key), 6; Dresser, B.
Eur., IT, tab. 68.
a. & adit. Tabi-dara 9. VI.
b. à adit. ibd. 9. VI.
e:.0 adié. ibd. 10. VI.
d. & adlt. ibd. / 10. VI.
e. G adit. ibd. 10. VI.
f. & adit. ibd. 10. VI.
g. 4 adlt. ibd. 10. VI.
h. & adit. ibd. ÉECVE
i. Ô adit. ibd. IHVE
j. 6 adit. 1 TI VE,
k. & adit. Nôrdl. Abhang Puch I-Gebirge,
Fluss Kara-Saur 5. VIL
Alle Exemplare sind in einem mehr oder weniger
_ stark abgetragenen Kleiïde.
27. Herbivocula indica (Jerd.).
Cat. B. Brit. Mus., V, pp. 121 (Key), 126.
a. G jury. Lagari-Murda- Pass 28. VII (X 10078).
b. & juv. ibd. 28. VII (N 10079).
Ich habe Gelegenheit gehabt die mir vorliegenden
Exemplare mit Bälgen dieser Art, welche von Rus-
sow gesammelt und von Herrn Seebohm bestimmt
worden sind, zu vergleichen.
Bei beiden Exemplaren fangen auf der Brust Fe-
derkiele an sich zu zeigen und die frischen, aber
nicht mausernden, Schwingen und Steuerfedern wei-
sen darauf hin, dass wir es mit jungen Exemplaren,
= die ir Nestkleid vermaysern, zu thun haben.
28. Herbivocula neglecta (Hume).
Cat. B. Brit. Mus., V, pp. 121 (Key), 131.
a. adlt. Lagari-Murda-Pass 26. VII (VW 10080).
Dieses Exemplar habe ich ebenfalls mit Bälgen aus
_bohm bestimmt worden sind, verglichen.
der Russow’schen Sammlung, welche von Herrn See-
Einige Schwingen und das Kleingefieder mausern
sehr stark, während die Steuerfedern schon ausgemau-
sert haben.
Diese Art wurde schon früher am Iskander-Kul
(6. VIIT) von Russow gesammelt. Unsere Kenntniss
der geographischen Verbreitung dieser Art westlich
von Turkestan, wo sie zweiïfelsohne als Brutvogel vor-
kommt, ist in letzter Zeit durch die Funde von Za-
rudnoï ”) und Lorenz ) sehr wesentlich erweitert
worden. Ersterer hat sie auf dem Kopepet-Dagh er-
beutet und ich besitze einen Balg von ihm aus den
Bergen der Umgegend von Aschabad, während Herr
[ Lorenz dieselbe für den nôrdlichen Caucasus. nach-
gewiesen hat,
29. Acanthopneuste nitida (Blyth),
Cat. B. Brit. Mus., V, pp. 39 (Key), 43.
a. (6) adit. Dscham 28. III (W 10113).
Das mir vorliegende Exemplar in ziemlich frischem
Gefieder stimmt vollständig mit einem Balge meiner
Sammlung, welchen Herr Zarudnoï im Juli bei Ascha-
bad erbeutet hat, überein.
Die Verbreitung dieser Art im Westen scheint mit
derjenigen der vorigen Art zusammen zu fallen; we-
pigstens theilt Herr Menzbier ‘) mit, dass Herr Lo-
renz im Frühjahre 1885 À. mitida im nordwestlichen
Caucasus gefunden habe,
30. Acanthopneuste viridana (BI yth).
Cat. B. Brit. Mus., V, pp. 39 (Key), 44; Henderson
u. Hume, Lahore to Yarkand, pl. XIX.
a. à adlt. Tuptschek 28. VI œ 10114)
Unser Exemplar, welches ein nur wenig abgestos-
senes Kleid trägt, habe ich mit Exemplaren dieser Art
aus der Russow’schen Sammlung verglichen; die letz-
teren waren von Herrn Seebohm bestimmt.
31. Iduna languida (H. u. E br.).
Cat. B. Brit. Mus., V, pp. 76 (Key), 80; Dresser,
B. UP, CAD
a. Ô adit. hit 31. V (X 10084).
Durch Vergleich dieses Exemplars, wie überhaupt
aller Zduna unserer Sammlung, mit Russow’schen
9) Ois. de la contr. Trans-Caspienne, p. 40. Sep. Abdr. aus Bull.
Soc. Nat. Mosc. 1885, Xe 2.
10) Ibidem, Anmerkung von M. Mensbier,
11) Zarudnoi, 1. c,, p. 40, Anmerkung,
357
des Sciences de Saint - Pétersbourg.
es welche durch Herrn Seebohm’s Hände
gegangen sind, konnte ich meine Bestimmung einer
Controlle Ditrrer ti Diese Art und Zduna olivetorum
besitzen eine Abortivschwinge, welche kürzer oder um
hôchstens 0,05” grüsser als die grossen Flügeldeck-
federn ist, doch ist die Form dieser Schwinge eine von
den Acrocephalus-Arten vollständig verschiedene, was
auch die Môglichkeit giebt, diese beiden Species von
den Arten der letzteren Gattung zu unterscheiden.
: Das Exemplar ist in abgetragenem Kleide. — Der
. Flügel misst 77,0, der Schwanz 6,50 mm.; Reihenfolge
der Schwingen 3>4>5>2>6>7.
32. Iduna pallida (H. u. Ebr..).
Cat. B. Brit. Mus., V, pp. 76 (Key), 82; Dresser,
B. Eur, IL, tab, 80, fig. 1
a. & adlt. Kara-Kuss, Engpass im
Baba-dagh 6. V ds 10081).
c. à adlt. Dschidda- Bach, Fluss
Kafirnagan 10. V.
d. à adit. Baljan
Auch diese Art habe ich mit Exemplaren aus der
Russow’schen Sammlung, welche von Herrn Seebohm
bestimmt und von Hrn. Th. Pleske mir freundlichst
zur Untersuchung überlassen worden sind, zu ver-
gleichen Gelegenheit gehabt. An allen diesen Exem-
plaren, so wie auch an den Bälgen, die von Herrn Za-
rudnoi gesammelt worden sind und theilweise sich
jetzt in meiner Sammlung befinden, konnte ich mich
überzeugen, dass in den meisten Fällen (bei 11 Exem-
plaren an 10) die zweite Schwinge in der Grüsse zwi-
schen der 6. und 7. steht und nur bei einem Balge fand
ich dieselbe um ein Geringes kleiner als die 6. Schwinge.
Das Verhältniss der Schwingen ist also grüsstentheils
dasjenige der Zduna caligata und nur beim Verhält-
b. 6 adit. Ak-Metschet 8.V lguida und Zduna .opaca (nach Schwingenformel) ver-
Tabelle der Maasse und Schwingenverhältnisse
von Zduna languida, pallida, caligata und rama.
X| Iduna: So pa Coll. von: as. reg Reihenfolge der Schwingen.
ÿ \ mm, | mm. ;
1! languida | a Grum-Grz.Acad.Petr. 77,0 | 65,0 13>45>5725>6>7>8
2:00 240 Russow ibd 76,0 | 67,0 |3=—45>5>256>72>8
3|'pallida a (Grum-Grz. ibd. 66,0 | 55,0 | 4fast—3>5>6>7—2>8
4] do. b id. ibd. 67,0 | 56,0 | 4 » —=3>55>6>2>7>8
M 00 ét id, ibd. 67,0 | _56,0./4 » —3>5>6>2>7>8
-7| do. 416, Russow ibd. 69,0 | 60,0 .4=3>5>2fast—6>7>8
8. do. 420 id. _ibd. | 65,5 | 60,0 |4=3>5>6>2>7>8
9! do. É70 ei. ibd. | 68.0 | 57,0 |4—=3>5>6>2>7>8
10! do. 481| id. ibd. | 67,0 | 59,0 |4—3>5>6>2>7>8
11! do. 417 id. ibd. 68,0 | 56,0 |4=3>5>6>25>75>8
12| do. HaBe .ià ibd. | 66,0 | defect. 4—=3>5>6>2>7>8
13, do. 419 id, ibd. 66,0 |! 55,0 | 4=35>61206>2>7533
14! do.(juv.)1339, Zarudnoi | Bianchi 61,0 | 52,0 4=3>5>6>2>7>8
15! do. 1345 id. ibd. 6,0 | 54,0 | 14=3>5>6>2>7>8
161 caligata a Grum-Grz.Acad.Petr. 60,0 | 50,0 14=3>5>6>2>7>8
17, do. 717, Russow ibd. 0,05, 50,0 ,4=355>6>2>7>8
18! rama 489 id. ibd. | 60,0 | 55,0 ee —4=5>6>7>2>8>9
19, do.. 426 id. ibd. 58,5 | 50,0 Le 1=5>0>1>2>8>9
20: : do. 427 id. ibd. 62,0 55,0 | 3=4=0>6>7>8>2>9
HARAS Doch ist die erstere durch die auffallende während sich die letztere durch ihren ul platt-
Kürze ihrer Abortivschwinge sebr gut en re
Tome XXXI.
gedrückten Schnabel und ihre nr qu (Süd- ;
22, V.( 10082): :-
niss 5 >2>>6 kann man diese Art mit Zduna lan-
359
Bulletin de l’Académie Impériale
360
Spanien, Nordwest- und West-Africa) von unserer
Art genügend unterscheidet. Beim Schwingenverhält-
niss 5>6>2>7 kann man /d. pallida. nur mit
Id, caligata verwechseln, doch ist diese letztere klei-
ner, als die erstere Art: bei Zd. caligata ist die Flü-
gellänge immer kürzer, als 61,0 mm. (2,4”), während
bei pallida diesélbe dieses Maass immer übersteigt.
Iduna rama endlich, hat ein sehr charakteristisches Ver-
hältniss der Schwingen, und ZWar ist die zweite klei-
ner als die 7. oder sogar als die 8
Alle Exemplare sind in mehr due weniger abge-
tragenem Kleïide.
33. Iduna caligata (Licht.).
Cat. B. Brit. Mus., V, pp. 77 (Key), 85; Dresser,
B. Eur., II, tab. 84.
a. & adlt. Lagari-Murda-Pass 28. VII (K 10083).
Dieses Exemplar, welches ein stark abgestossenes
Gefieder trägt, hat noch nicht zu mausern begonnen.
34. Aedon galactodes familiaris (Ménétr.).
: Cat. B. Brit. Mus., V, pp. 5 (Key), 36; Dresser, B.
fu IL, tab. 82 fig. 2
a, & adit. Ak-Kurgan 21. IV.
b. à adlt. Kokaity-Kurgan 24. IV.
_ Diese Bälge tragen ein nur wenig abgestossenes
Kleïd.
35. Acrocephalus stentoreus (H. u. Ehr.).
Cat. B. Brit. Mus., V, pp. 88 (Key) 98; Stafford
Allen, Ibis, 1864, pl. I; Henderson a. Hume, Lah.
to Yark., tab. XVI (4. brunnescens).
a. à adlt. Kokaity-Kurgan 25. IV (M 10085).
b. Sadit. Baljan 21. Y.
‘ ç. Q adit. ibd. DEV.
Bei allen drei Bälgen ist die zweite Schwinge kür- |? |
zer als die 5. and sind die Beine dunkel gefärbt; die
Länge des Flügels beträgt bei a—3,52”, bei b—3,49"
und bei c — 3,47”. Daher spreche ich meïne Exem-
plare als zu dieser Art gehôrig an und sehe das Ver-
1e hältniss der Schwingen als bestes Merkmal für dieselbe
an. Hemprich und Ehrenberg haben diese Art auf
è Sie Weise HapnQHSLEEe «Habitu et colore Cur-
Sylviae) turdoidi similli , sed paulo inferior, sex-
ee MIO
Fat
pollicaris, remigum 2-da quam 5-ta aut 6-ta minore ©),
rostro longiore, pedibus gracilioribus. C. éurdoides dif-
fert, statura majore, remigum 2-da et 3-tia longis-
simis, pedibus validioribus, longioribus, rostro breviore
et paulo altiore».
36. Acrocephalus dumetorum, Blyth.
Cat. B. Brit. Mus., V, pp. 89 (Key), 104; Dresser,
B. Eur., IL, tab. 86, fig. 2
a. à adit. Kara-Kuss im Baba-dagh 6. V.
b. adlt. Ak-Metschet 8. V (MK 10086).
c. Ô adit. Obi-Garm 11. VII
d. 8 adlt. Lagari-Murda-Pass 27. VIL,
Ich habe die mir vorliegenden Exemplare mit Bäl-
gen dieser Art aus Turkestan (Russow), aus Achal-
Teke (Zarudnoi), aus Nord-Persien (Nikolski) und
aus dem Petersburger- und Twerschen Gouvernement
(Bianchi) verglichen und unter ihnen keine Unter-
schiede auffinden künnen.
Das Kleid der Exemplare « und à ist nur Wet :
abgetragen, dasjenige der Exemplare c und & jedoch
schon sehr stark abgestossen ohne der Mauser unter-
worfen zu sein.
(2
37. Accentor alfaicus, Brandt.
Cat. B. Brit. Mus., VIL, pp. 649 (Key), 660; Gould,
B. Asia, IV, pl. 49.
a. à adlt. Sagry-Dascht-Pass, Fluss
Chumbou, 10,000 14. VI.
b. & adit. ibd. 14. VI (X: 10090).
€. © adit. 1bd. 14. VI.
d. & adilt. Sagri-Dascht, FI. Bidà- |
| Abdschabar 18. VI (X 10089).
e. © adit. ibd. 18. VI.
f. 6 adlt. Chysch-Kuljak-Pass,
über 10, 000! 2. VII(N 10087).
g. Q ad. ibd. 3.VIL(K 10088).
Die im Juli erlegten Exemplare haben noch uicht
zu mausern begonnen.
38. Tichodroma muraria (Linn.).
Dresser, B. Eur., IL, tab. 123.
a. (&) juv. Sagri-Dascht-Pass 13. VI.
Das Exemplar trägt das Nestkleid.
12) Die Cursivschrift gehôrt mir an.
des Sciences de Saint - Pétersbourg.
39. Myiophoneus Temmincki, Vigors.
Cat. B. Brit. Mus., VII, pp. ? CÉEY 7; Gould, Cent.
Him B., pl. 21
a. & adit. Karnak 7: VE
b. à juv. Fluss Sagri-Dascht 19, VI.
c. Ô adit. Ischtiun 23. VI.
d. & juv. ibd. 23; V1.
e. Ô adlt. Lairan 24. VI.
f. © adit. ibd. 24. VI.
g. ® Jury. ibd. 24. VI.
h. © juv. Nosany 25. VI.
î. 6 juv. Nôrdl. Abhang Peter’s I- Ge-
birge, F1. Sinde-Kul 4. VII.
Obi-Garm 2 liVE
Die alten Exemplare sind in einem abgetragenen
Kleide, die Jungen im Nestkleide; sogar das am 11.
Juli erlegte Junge hat mit der Mauser noch nicht be-
gonnen; bei dem am 19. Juni geschossenen ist der
Schwanz schon vollständig ausgewaclisen.
3. 6 ju.
40. Trochalopterum lineatum (Vigors).
Cat. B. Brit. Mus.. V, pp. 356 (Key), 377; Hen-
derson a. He Lahore to Yarkand, tab. VIII.
a. & adit. Fluss Sang-Girdan 21. VII (X 10091).
b.(S) juv. ibd. 21. VII (X 10092).
c.(S) juv. ibd, 21. VIL.
Die Enden der Steuerfedern sind bei dem von Hen-
derson und Hume abgebildeten Vogel grauweiss; bei
unseren jungen Exemplaren sind diéselben jedoch dun-
kelaschgrau und beim Weïbchen hellaschgrau gefärbt.
Das Gefieder des Weibchens, welches noch nicht zu
mausern begonnen hat, ist vollständig abgestossen;
die Jungen tragen das frische Nestkleid.
Schon früher ist diese Art für den gebirgigen Theil
Buchara’s von Russo w, welcher sie am 9. October am
Fusse des Baussun-Tau (Eisernes Thor) erlegte, nach-
gewiesen. Dieser Fundort bildet, so viel mir bekannt
ist, den nord-üstlichsten Punkt der Verbreitung die-
ser Art; die mir vorliegenden Exemplare sind mebr
ôstlich, im Gissar, erbeutet. Sowohl im Norden, im
* russischen Turkestan, als auch im Osten, auf dem
Pamir, kommt Z. lineatum schon nicht mehr vor. Bis
nach Buchara verbreitet sich also diese himalayanische
Art aller Wahbrscheinlichkeit nach über den uner-
forschten Badakschan und Hindukuseh. In Gilgit und
weiter nach Südosten, auf allen Gebirgszügen des Hi-
malaya-Systems, kommt sie, wie es scheint, überall
als Standvogel vor.
41. Microcichla Scouleri (Vigors).
Cat. B. Brit. Mus., IX, pp. 312 (Key of Genera),
p. 322; Gould, B. Asia, IV, tab. 71.
a. G adlt. Kischlak Sagri-Dascht 13. VI (X 10093).
b. juv. Fluss Sang-Girdan 22. VII (X 10094).
Die Federn des erwachsenen Exemplars (a) sind
ziemlich abgestossen ; das Junge trägt dasjenige Kleïd,
in welchem diese Art als Æ. atriceps beschrieben
wurde und ist bei ihm die ganze Oberseite des Kop-
fes schwarz, die Unterseite, vom Schnabel bis zum
Schwanz weiss, manche weisse Brustfedern tragen
dunkle Enden.
Seebohm (Ibis 1882, p. 423) erhielt ein Exem-
plar dieser Art aus Samarkand; unser junges Exemplar
ist in Gissar (Provinz), das alte in Darwas erbeutet;
weiter südôstlich ist A: Scouleri von Scully in Gil-
git gefunden worden. Auf diese Weiïse, hat diese hi-
malayanische Art in Ost-Buchara ungefähr dieselbe
Verbreitung, wie Trochalopterum l'ineatum.
42. Aegithalus coronatus, Severtzow.
Acgithalus coronatus, Severtzow, Turkest. Zevotn.
p. 136, tab. IX, fig. 3.
aise Ham id., ibd. p. 137, tab. IX,
fig. 4 und 5
a. A adit. Karnak 8. VI (N 10095).
b. (8) juv. Nossany 25. VI (K 10096).
c (Q} IT: PT 208 VE
d. (Q) jav. Obi-Garm 11. VIL.
€... quy. id: 12. VIF (10097).
à (Qdavs bd 12, VIL
g juv. ibd. 12. VII (X 10098).
h. juv. ibd. 12. VII:
Die jungen Exemplare im Nestkleide sind der Fig. 5
bei Severtzow sehr ähnlich, Doch sind mir die un- ne
terscheidenden Charaktere der jungen À. coronatus,
wenn solche überhaupt vorhanden sind, nicht bekannt
und kann ich daher für die Richtigkeit der Bestim- 2.
mung nicht einstehen. | 1
363
Bulletin de l’Académie Impériale
364
43. Parus cinereus bocchariensis, Licht.
Seebohm, Hist. Brit. Birds. I, p. 463.
a. à adit. Kabadian 14. Y (K 10099).
BG a 1 HN
c.' 6 ad, 14 :: 14. .
d:(0} juv: "14 “14 W.:
Aller Wabrscheinlichkeit nach gehüren meine
ÆExemplare zu dieser Form und nicht zu P. cinereus,
Vieill.
Die Exemplare 4, b und c zeigen ein abgetra-
genes Kleid und hat Dai ihnen die Mauser noch nicht
begonnen; das junge Exemplar 4 trägt das Nestkleid.
Beim letzteren ist der Kopf schwarzbraun ohne me-
tallischen Glanz; der schwarzhraune Kehïfleck und der
Streifen, welcher nur bis zur Mitte der Unterseite
geht, sind viel schmäler als bei alten Exemplaren, bei
welchen der Streifen sich bis auf den Bauch erstreckt.
44. Cyanistes flavipectus, Severtzow.
Severtzow, Turkest. Zevotn. p. 133, tab. VIII, fig. 7;
Menzbier, Bull. Soc. Z. France, tome IX, 1884, p. 278.
_a.Q adit. Karnak rex à À
b. & juv. Lagari-Murda-Pass 25. VII (NM 10118).
Das Federkleid des alten Exemplars (a) ist stark
abgestossen, aber noch ohne Anzeichen von Mauser;
das Junge trägt das Nestkleïd, doch zeigen sich auf
der Brust schon neue Kiele.
Die Fundorte dieser zwei Exemplare in Gissar und
Darwas erweitern etwas den Verbreitungsbezirk die-
ser Art nach Süden.
Da eine ausführliche foséhreiline der Jungen von
C. flavipectus nicht existirt, so habe ich eine solche
nach dem mir vorliegenden Balge abgefasst.
Stirn und seitliche Scheitelstreifen blass fahlgelb:
Scheitel hellschieferfarben; Wangen, Kinn, Kehle,
Ohrgegend und Halsseiten von blasser fahlgelber Fär-
bung; auf dem Kinn und der Kehle steht ein ziemlich
deutlich prononcirter Fleck, welcher von dem danklen
_ durchscheinenden Basaltheile der Federn gebildet
wird; von der Halsoberseite erstreckt sich jederseits
. auf die Halsseiten ein schmaler, langer bräunlich-
_ grauer Streifen, welcher jedoch mit dem dunklen Kehl-
fleck nicht zusammenfällt. Auf dem oberen Theile des
= Rückens steht ein verwaschener matter Fleck. Mittel-
rücken und Schulterfedern sind hellbräunlich mit Bei-
mischung von Gelb; Hinterrücken und Bürzelgegend
etwas heller als der Mittelrücken mit bläulichgrauer Bei-
mischung ; Oberschrwanzdeckfedern noch heller. Brust,
Bauch und Unterschwanzdeckfedern von fahlgelber
Färbung. Kleine Flügeldeckfedern von der Färbung
des Rückens; grosse Flügeldeckfedern dunkelblau mit
c. 7 mm. breiten gelblichweissen Enden. Die Aussen-
fahne der Handschwingen (mit Ausnahme der ersten,
deren Aussenfahne durchgängig weiss ist) im Basaltheile
ultramarinblau, im Endtheïle weiss; die Innenfahnen
derselben grau mit einem weissen Saume an der Basis.
Die Armschwingen sind auf ihrer Aussenfahne ultra-
marinblau, auf ihrer Innenfahne grau gefärbt mit
weissem Seitensaume, Die Enden der Armschwingen
sind in einer Breite von 2 mm. weiss; die zwei äusser-
sten Armschwingen besitzen ein grüsseres weisses
Ende, wobei die weisse Färbung auf der Innenfahne
einen breiteren Endsaum, als auf der Aussenfahne
bildet ®). Die äusserste Steuerfeder ist längs der
ganzen Aussenfahne und auf der Innenfahne bis zur
Hälfte weiss, die folgende jéderseits ist auf der Aus-
senseite bis zur Mitte weiss gefärbt und auf ibrer
Innenfahne steht nur auf dem Endtheile ein grosser
weisser Keilfleck; auf der dritten Steuerfeder ist end-
lich auf der Endhälfte nur ein unregelmässiger weisser
Fleck zu sehen. Alle übrigen Schwanzfedern sind ul-
tramarinblau, am Schafttheile dunkler gefärbt,
45. Lophophanes rufonuchalis (B1yth).
Cat. B. Brit. Mus., V, pp. 29; Gould, B.
dia, II, pl. 60
a. G adlt. Sarym-Sakli 23. VIL
b. 6 adit. ibd. 20: YEL.
c. Ô adit. ibd. 23. VEL.
d. 6 adit. Lagari-Murda-Pass 25. VII.
e. Gadlt bd. 25. VII.
f. & adit. ibd. 25.NIT:
g. © jury. ibd. 25. VII.
h. Q adit. ibd. 25: VIE
i. Q adit. ibd. 26. VII.
k. © jury. ibd. 26. VII.
13) Durch diesen letzteren Umstand unterscheidet sich unser
ve von allen anderen Cyanistes-Arten, mit Ausnahme von C. cya-
us und C. tianschanicus, welche ibrerseits von C. flavipectus in
de Färbung des Schwanzes abweïichen. ;
des Sciences de Saint - Pétersbourg.
1. © adit. Lagari-Murda-Pass 27. VII.
m. & adit. ibd, 28. VII.
n. Q adit. ibd. 29. VIT.
Unter den mir vorliegenden Exemplaren fand sich
L. Beavani, Blyth nicht vor. Die Länge des Flügels
variirt zwischen 2,8 und 3/1.
Das junge Exemplar g trägt noch ziemlich viele
schwarzbraune Federn des Nestkleides auf dem vor-
deren Theile der Unterseite und namentlich auf dem
Kopf, wo übrigens auch schon einige Federn mit me-
tallischem Glanz aufgetreten sind. Beim Exemplar 4
sind nur noch wenige Federn des Nestkleides auf dem
Kopf stehen geblieben. Die alten Exemplare » und »
sind schon beinahe ganz vermausert, während alle
anderen sièh noch in voller Mauser befinden.
46. Sitta syriaca, Ehrenb.
Cat. B. Brit. Mus., VIIL, pp. 341 (Key), 346.
a. à adit. Tengi-Charam 11. IV.
b. G adit. Sser-ob 15. IV.
Ich halte die mir vorliegenden Spechtmeisen, welche
beide im abgetragenen Kleïde sind, für diese Art, da |
beï ihnen die Flügellänge 3,45” né 3,26” beträgt,
während dieselbe bei S. Neumayeri immer kleiner als
3,00" ist. So muss ich z. B. für letztere Art eine von |
Herrn Nikolski in Nord-Persien erbeutete Specht-
meise ansprechen, da ich bei ihr eine Flügellänge von
nur 2,87” gefunden habe.
47. Motacilla alba, Linn.
Cat. B. Brit. Mus., X, pp. 458 (Key), 467; Dresser,
B. Eur., HI, tab. 125, fig. 1; Gould, B. Asia, IV,
tab. 62 (M. dukhunensis).
a. Q adit. Weg von Karschi nach Gusar 7.IV (K 10115).
Ich kann nicht mit Gewissheit behaupten, dass un-
ser Exemplar nicht vielleicht AZ. dukhunensis ist, da]
ich die letztere nicht zu unterscheiden verstehe. Mei-
ner Ansicht nach kann weder die Grüsse, noch die Fär-
bung der Oberseite (bei unserem Exemplar ist sie dun-
kelgrau), noch die gelbliche Färbung der Gesichtstheile
(bei Jungen) Anhaltspunkte zur Unterscheidung dieser
beiden Formen liefern.
Der Balg ist im Sommerkleide.
48. Motacilla personata, Gould.
Cat. B. Brit. Mus., X, pp. 458 (Key), 479, tab, V,
fig. 3; Goutd, B. Asia, IV, tab. 63.
a. à adit. Baldschuan 30. V.
Das Exemplar trägt das Sommerkleid.
49. Calobates melanope (Pall.).
Çat. B. Brit. Mus., X, pp. 459 (Key), 497; Dresser,
B. Eur., III, tab. 128.
a. à adlt. Kischlak Sagri-Dascht 13. VI.
Sharpe (Cat. B. Brit. Mus., X, p. 459 (Key)) führt
den viel grelleren Ton der gelben Färbung auf den
Unterschwanzdeckfedern im Verhältniss zu der Fär-
bung der übrigen Unterseite als Merkmal für diese
Art an. Mir scheint jedoch der Contrast in der Fär-
bung zwischen dem gelben Bürzel und den Oberschwanz-
deckfedern und dem gräuen Rücken ein viel besseres
Merkmal zu bieten umsomehr, da bei den Arten der,
Untergattung Budytes die Oberschwanzdeckfedern mit
dem Rücken in der Farbe beinahe übereinstimmen.
Unser Exemplar trägt das Sommerkleid.
50. Budytes citreola (Pall.).
Cat. B. Brit. Mus., V. pp. 459 (Key), 503; Dresser,
B. Br III, tab. 127.
a. & adit. Karschi 3. IV.
b. Ô adit. ïibd. 3. I.
C. Ç adit, 14, : 3. I:
Beide Männchen unterscheiden sich von der Dres-
ser’schen Abbildung dadurch, dass bei ihnen der weiss-
lich-gelblichen Färbung am Hinterkopfe sehr viel
Grauschwarz beigemischt ist. Auf dem Halse und dem
oberen Theile des Rückens steht ein breiter schwarzer
Kragen, weiter nach hinten ist der Rücken dunkelgrau.
51. Budytes flava (Linn.).
Cat. B. Brit. Mus., X, pp. 459 (Key), 516, tab. VI, E
fig. 5.
a. & adit. Jange 7. IV (X 10100). : :
Dieses Exemplar ist der Fig. 5 auf der citirten Ta-
fel hôchst ähnlich und kann nicht als B. beema an- ;
gesprochen werden, da bei ihm die Ohrfedern und dé
Gesichtstheile nicht weisslich gefärbt sind. ps
Bulletin de l’Académie Impériale
368
52. Budytes melanocephala (Licht.).
Cat. B. Brit. Mus.. X, pp. 459 (Key), 527, tab. VIII,
fig. 3 (M. Feldeggi); Dresser, B. Eur, IT, tab. 130.
a. 6 adit. Karschi 3. IV.
Unser Balg stimmt mit Fig. 3 (1. c.) vollständig
überein; das Kinn ist weiss, die schwarze Färbung
des Kopfes geht etwas auf den Hals, auf welchem
übrigens die grüne Färbung vorwaltet, über. -
53. Anthus arboreus, Bechst.
. Cat. B. Brit. Mus., X, pp. 535 (Key), 543 (À. érivialis);
Dresser, B. Eur., II, tab. 132, fig. 2.
a. à adlt. Dscham 28. III.
0.6 dits Hd. . 28. ILE,
c. adit. Gusar 10. IV.
d. à adit. Tuptschek 28. VI.
e. &adlt. ibd. 30. VI (K 10101).
É CO adit bd. 30. VE
Da den mir vorliegenden Exemplaren der oliven-
grüne Ton in der Färbung, welcher für Anthus ma-
culatus so charakteristisch ist, vollständig fehlt, so
sehe ich dieselben als zur westlichen Art gehürig an.
Das Kleid der Exemplare a und b ist nur wenig ab-
getragen und dem Herbstkleide dieser Art sehr ähn-
lich, dasjenige des Balges c ist schon viel mebr
abgenutzt; die Exemplare d und f tragen ein stark
abgestossenes Sommerkleid, haben jedoch noch micht
zu mausern begonnen.
54, Anthus spinoletta Blakistoni, Swinhoe.
Cat. B. Brit. Mus., X, pp. 537 (Key), 592 (4. spi-
noletta, p. 595 — Blakistoni); Severtzow, Ibis 1883,
p. 62 (A. Coutelli).
a. Q adlt. Sagri-Dascht-Pass, Fluss
‘Chumbou, 10,000’: 14. VI (W 10119).
_ Unser Balg passt nach der Severtzow’schen Ta-
belle (1. c.), in welcher übrigens Anthus Blakistoni
unter dem specifischen Namen À. Coutelli angeführt
wird, nach der Mehrzahl der Merkmale, wenn auch
nicht nach allen, eher zu dieser Form. Die Länge des
cs Flügels beträgt bei unserem Exemplar 3,13”, dieje-
_nige des Schwanzes 2,55”; nach Seebohm (cit. im
_ Cat. ut supra p. 595) ist die westliche À. spénoletta
etwas grôüsser und variirt béi ihr die Fittiglänge zwi-
schen 3,6 und 3,3 und der Schwanz von 2,85 bis 2,55;
bei À. Blakistoni: Fitt. 3,4—3,1”, Schw.2,65— 2,45”.
Unser Exemplar trägt ein stark abgestossenes Som-
merkleid.
55. Oriolus kundoo, Sykes.
Cat. B. Brit. Mus., II, p. 189 (Key), 194; Hen-
derson and Hume, Lah. to Yark. pl. XI.
. 6 adit. Schir-Abad 17. IV.
& adlt. Kum-Kurgan 22. IV.
® adit. ibd. 22. IV.
. & adit. Kurgan-Tjube 17. V.
e. © adit. Baldschuan 30. V.
Beim Exemplar c steht ein kleiner schwarzer Fleck
an der Basis der Aussenfahne der äussersten Steuer-
feder; beim Exemplar a sind an der Basis derselben
Feder nur die Schafte schwarz. Bei diesem letzten
Exemplar ist auch die schwarze Färbung hinter dem
Auge viel stärker ausgesprochen als beim Exemplar 4,
bei welchem auf den Steuerfedern das Schwarz voll-
ständig fehlt.
5
LOI SS
56. Lanius minor, Gm.
Cat. B. Brit. Mus., VII, pp.232 (Key), 235; Dresser,
B. Eur. III, tab. 149.
a. 6 adit. Tengi-Charam: 14. TV.
b. 6 adit. Kara-Kuss (Engpass im Baba-dagh) 5. V.
c. 6 adit. Baldschuan 30: V.
d. © adit. | Lairan 24. VI.
e. G jury. Lagari-Murda-Pass To LE
Die Exemplare « und & tragen ein prachtvolles,
vollständig frisches Kleid, welches beim Balge c schon
etwas abgetragen erscheint. Am Exemplar d zeigen
sich auf der Brust schon Kiele, während € noch im
Nestkleide ist,
57. Otomela Romanowi, Bogd.
Bogdanow, Russ. Lan. p.14, tab. 1, fig. 2: Dresser,
B. Eur., ILE, tab. 152 (L. isabellinus).
a. Q adlt. Tengi-Charam 11. IV.
b. G adit. Tschaschma-Chafisdschan 12. IV.
c. à adlt. Ak-Kurgan DTA.
369
des Sciences de Sainé-Pétersbourg.
370
d. à adit. Tabi-dara 9. VL.
e. 6 adit.. ibd. 10. VI.
f. & adit. ibd. 10. VI.
g. à juv. Sarym-Sakli 23. VII.
Alle Bälge tragen ein nur wenig abgetragenes
Kleid. Die Färbung der im April erbeuteten Exem-
plare ist viel greller als bei Junibälgèn. -
58. Collurio erythronotus, Vigors.
Cat. B. Brit. Mus., VII, pp. 234 (Key), 263; Gould,
Cent. Him. B., pl. 12, fig. 2
a. à adlt. Tschaschma-Chafisdschan 12. IV.
b. G adit. Schur-ab 13. IV.
Die Exemplare sind im etwas abgestossenen Kleide.
59. Butalis grisola (Linn.).
Cat. B. Brit. Mus., IV, pp. 150 (Key), 151; Dresser,
B. Eur., II, tab. 156.
a. & adit. Karnak 8. VI.
In etwas abgestossenem Gefieder.
60. Erythrosterna parva (Bechst.).
Cat. B. Brit. Mus., IV, pp. 151 (Key), 161; Dres-
ser, B. Eur., IIL, tab. 159.
a. Q adit. Schir-Abad. 18. IV.
In etwas abgestossenem Gefieder.
61. Terpsiphone paradisi (Linn.).
Cat. B. Brit. Mus., IV, p. 344—346 (Key), 347—
348, obs.; Gould, B. Asia, I, tab. 18, fig. super. dextr.
a n0lt.
b. & imm., 3° veste { Ost-Buchara, Dr. Regel.
c. à imm., 3° vest te) |
Herr Dr. Alb. Regel sandte in’s Zoologische Mu-
seum der Akademie drei Exemplare dieser Art, leider
ohne näheren Fundort und Datum der Erbeutung, ein.
Zwei von diesen Bälgen sind Männchen im 3. Kleide,
wie dasselbe Sharpe annimmt; in diesem Kleide ist
der Schwanz sehr lang und rostfarben und die Schwin-
gen schwarz mit weissem Saume auf der Aussenfahne.
Bekanntlich ist diese Art schon von Dr. Severtzow
und V. Russow für das russische Turkestan nach-
gewiesen und erstreckt sich demnach der Verbrei-
tungsbezirk derselben, so wie auch von M. Temmincki,
weiter nach Norden, als derjenige von einigen andern
Himalaya-Arten, wie z. B. M. Scouleri, Trochalopte-
run lincatum, etc.
62. Lillia rufula (T em m.).
Cat. B. Brit. Mus., X, pp. 125 (Key), 156; Dresser,
B. Eur., IT, tab. 161.
a. 6 adlt. Dschidda-Bach, am F1. Kafirnagan 10. V.
63. Carduelis caniceps, Vigors.
Carduelis caniceps Vigors, P. Z. S. 1831, p. 23;
Gould, Cent. Him. B., pl. 33, fig. 1.
Carduelis orientalis Eversmann, Add. Z. R.-As.
II, p. 16, tab. 9; Gould, B. Asia, V, tab. 17.
a. à adit. Karatag a. V:
b, © adlt. ibd. 7.
c. 6 adlt. Kara-Kuss, Engpass im
Baba-dagh 6. V.
d.(6) juv. Obi-Garm 11. VII (K 10123).
Die Färbung aller Exemplare ist sehr blass und ge-
hôüren sie daher zu derjenigen Form, welcher Gould
den Namen C. orientalis Eversm. beilegen wollte.
Das junge Exemplar unterscheidet sich von den
jungen C. elegans durch dieselben Kennzeichen am
Schwanze, wie die Alten. Bei C. elegans steht näm-
lich auf der Innenfahne der äussersten Steuerfeder
nur ein ovaler weisser Fleck in der Mitte der Feder,
während bei C. caniceps die ganze Innenfahne bis an
die Basis der Feder mit Ausnahme nur eines dunklen
Endsaumes weiss gefärbt ist.
Die Exemplare «a, b, c tragen ein ziemlich abge-
stossenes Kleïd, das tie d — das Nestkleid ans
Anzeichen von Mauser.
64. Oraegithus pusillus (Pal).
Pallas, Z. R.-As., IL, p. 18; Dresser, B. Eur, IL
tab. 173.
a. à adit. Fluss Chingob TE VE
b. à adlt. Sagri-Dascht-Pass, 10,000 14. VI.
c. 6 adit: Tuptschek 30. VI.
d. & adlt. Lagari-Murda-Pass 26. VII.
e. Q adit. ibd, 26.VIL.
Das Exemplar d hat mit der Mauser bereits be- .
i- | gonnen und zeigen sich bei ihm auf der Brust Kiel
371
Bulletin de l’Académie Impériale
372
der neuen Federn; das Weïbchen(e) welches mit dem
eben besprochenen Exemplare an einem Tage erlegt
worden ist, hat noch nicht zu mausern angefangen.
65. Mycerobas carneipes (Hodgs.).
Hodgson, J. As. Soc. Beng., 1844, vol. XIIE, pt. IE,
p. 950; Asiat. Reas., XIX, p. 150 (1836); Gould,
B. Asia, V, tab. 21.
a. à adlt. Lagari-Murda-Pass 29. VII.
b. Q adlt. ibd. 29. VIT.
Die Exemplare sind noch nicht der Mauser unter-
worfen.
66. Passer hispaniolensis, Temm.
Dresser, B. Europe, IIL, tab. 177.
a. adli. Schir-abad 18,
b. & adit. Kaptugai, Kum-Kurgan 22.
c. Q adit. 1bd. 22.
In einem nur wenig abgetragenen Kleide.
AY
IV.
EY:
67. Petronia stulta (Brisson).
Dresser, B. Eur., IL, tab. 180, fig.
a. 6 adlt. (Q) Laïljakan 16. IV.
b. pull. ibd. 16. IV.
€. ® Sarym-Sakli 23. VIT.
Das Exemplar « ist im abgetragenen Kleide; das
mit c bezeichnete hat zu mausern begonnen und stehen
bei ihm auf der Brust schon Kiele. Das junge Exem-
plar trägt das Nestkleid.
Bei diesem letzteren hat der Schwanz kaum *,
der Normallänge erreicht, so dass man annehmen darf,
_ dass es das Nest im ersten Drittel des April ver-
lassen hat...
a
68. Montifringilla nivalis alpicola (Pa11.):
a Pallas, Z. R.-As., IL, p. 20; Blanford, East. Persia,
IL, p. 248; Radde, Ornis Caucasica, p. 171—172,
tab. VIII, fig. 2.
a. ® adit. Sagri-Dascht-Pass, g
Fluss Chumbou 14. VI (10102).
0" Her ist unser Exemplar ein Weiïbchen, wesshalb
an demselben die charakteristischen Merkmale dieser
6stlichen Form der im Westen verbreiteten M. niva-
lis (L.) schwer nachzuweisen sind, mit Ausnahme, übri-
gens, der Schnabellänge, die an unserem Balg 15,5 mm,
beträgt,während für das Männchen von deneuropäischen
Alpen Radde eine solche von 12 mm. angiebt. Aus-
serdem tritt auch auf der grauen Grundfärbung des
Scheitels die braune Nuance ziemlich scharf hervor.
Das Exemplar zeigt ein recht abgetragenes Kleid.
69. Fringilla montifringilla, Linn.
Dresser, B. Eur., IV, tab. 184.
a. & adilt. Baldschuan, Frübjahr 1884. Dr. A. Regel.
Ein Exemplar dieser Art in einem nur wenig abge-
tragenen Kléide ist von Dr. Alb. Regel im Frühlinge
1884, wahrscheinlich auf dem Zuge in Baldschuan
erbeutet worden.
70. Fringillauda altaica, Eversm.
Eversmann, Bull. Soc. Mosc. 1848, p. 219; Bp. et
Schl., Mon. Lox., pl. 47; Hume, Str. Feath., I, p. 43;
IX. p. 354 (F°. dial,
a. (&)adit. Fluss Chumbou 14. VI (K 10105).
b. & adlt. Sagri-Dascht-Pass 18. VI (X 10103).
c. Ç adlt. Tuptschek: 28. VI (X 10106).
d. 6 adit. ibd. 30. VI (VX 10104).
Synonyme dieser Art sind Passer pulverulentus, $e-
vertzow und Fringilla sordida, Stoliczka. Die Axil-
larfedern sind weiss, wogegen bei Fringillauda nemo-
ricola, Hodgs. dieselben gelb gefärbt sind.
Die Exemplare sind in mehr oder weniger abge-
stossenem Kleide.
71. Cannabina cannabina bella (H. u. Ehr.).
Cabanis, Mus. Hein. I, p. 161; Bp. u. Schl. Mon.
Lox., pl. 49 (L. fringillirostris); Biddulph, Ibis 1881,
p. 87; Borxauo8®, Ir. Kagk., p. 65.
a. S adit. Tschaschma-Chafisdschan LIN
b. G adit. Sser-0b° A dr à
c. G adlt.. Sagri-Dascht, 10,000” 13. VI.
d. Q adit. ibd. 1 1h
e. adlt. Nürdl. Abhang Peter’s I-Gebirge,
Fluss Kara-Saur 5. VIL.
Obyrohl man nicht umhih kann dieser ôstlichen
Form unserer westlichen ©. cannabina eine gewisse
Selbstständigkeit zuzuschreiben, so ist es dennoch
373
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
374
recht schwierig die Unterscheidungsmerkmale anzu-
geben. Weder die Grüsse des Spiegels (Biddulph),
noch die Breite der Kanten auf den Schwingen und
den Steuerfedern, noch die Intensität der rothen
Färbung auf der Brust (Bogdanow), noch die Grüsse
des Schnabels und des Vogels selbst liefern ein Cri-
terium für diese Art. Die jungen Vôgel und die
Weibchen sind absolut nicht zu unterscheiden, und
wenn auch die Männchen ein permanentes, wenn auch
recht feines Unterscheidungsmerkmal besitzen, so
doch nur im ausgefärbten Sommerkleide. Dieses Merk-
mal besteht im Fehlen der schwarz-braunen Schaft-
flecken auf den Federn des Rückens, woraus die
einférmig kastanien-braune Färbung des letzteren
resultirt. In dieser Hinsicht gleichen die ostbuchari-
schen Bälge den persischen.
Was unsere Exemplare anbelangt, so nähern sich
die im April (a, b) erbeuteten in Färbung und Zeich-
nung des Rückens der gewühnlichen Form, nur sind
die Schaftflecken weniger scharf prononcirt; beim
Männchen c, welches im Juni erlegt worden, sind nur
die. Striche, die von den dunklen Schaften gebildet
werden, nachgeblieben; beim Juli-Exemplar (e) endlich
sind auch diese letzteren nicht mehr vorhanden.
72. Carpodacus erythrinus (Pa1l.).
Dresser, B. Eur., IV, tab. 195.
a. 8 adit. Schir-Abad 17: AV;
b. 8 adit. ibd 14 1V:
c.(&)adit ibd. CINE
d. 3 adit ibd. 18:LY,
e.(9)adit ibd. 18. IV.
f. 3 adit Karatag 3. V,
g.(é)semiadit. Ak-Metschet 8. V.
h. S adit. Kischlak Sagri-Dascht 13. VI.
i.(Q)adit. Tuptschek 2. VII.
j.(&)semiadit. Lagari-Murda-Pass 27. VIL. .
k. Q adit. ibd 27. VIL.
Die Bälge a, b, d, f, h sind im rothen Kleide. Alle
Exemplare tragen ein mehr oder weniger abgetragenes
Gefeder; keines steht in der Mauser, nicht einmal
die am 27. VII erbeuteten (7, ”
Tome XXXI
73. Rhodopechys sanguinea (Gould).
Gould, P.:Z. S: 1837, p.127; 10. B. Asia, V,
tab. 28; Dresser, B. Eur., IV, tab. 197.
a. & adit.) Nürdl, Abhang Peters 1- 5. VII (K 10107).
b. © adit. f Gebirge, Fluss Kara-Saur 5. VII (K 10108).
Die beiden Exemplare haben augenscheinlich zu
einem Paare gehôrt; ihr Gefeder ist abgetragen, aber
ohne Anzeichen von Mauser.
Unsere jetzige Kentniss über die Verbreitung die-
ses, wie es scheint, überall seltenen Vogels, deutet
darauf hin, dass zwei separate Verbreitungsbezirke
desselben bekannt sind: der eine reicht von Palästina
(Libanon) und Arabien bis nach Nordpersien (Elburs),
der andere umfasst Turkestan, wo Severtzow Rh. san-
guinea für alle seine vier zoogeographischen Bezirke
nachgewiesen hat. Das Auffinden unserer Exemplare
am nôrdlichen Abhange der Gebirgsketten Peter’s I
erweitert etwas den zweiten Verbreitungsbezirk nach
Süden hin, verbindet denselben jedoch noch nicht mit
dem ersten. Es ist vorauszusetzen, dass man diesen
Bewohner der mit Laubwald bedeckten Vorberge in
den noch vollständig unerforschten Gebirgsketten des
nordwestlichen Afghanistan auftinden wird. :
Diese Art scheint überall Standvogel zu sein,
74. Granativora luteola (Sparr.).
Gould, B. Asia, V, tab. 14.
a. S adlt. Tschaschma-Chafisdschan 12. IV.
b. G adlt. ibd 12: FT:
c. G adit. ibd. 12.19.
d. & adit. Schir-abad. 19. IV.
Hier und da sind einzelne Federn noch mit den
dem Herbstkleide eigenen grauen Spitzen versehen.
75. Cryptophaga miliaria (Lin n.).
Dresser, B. Eur., IV, tab. 208.
a. Q adit. Dscham 28. III.
b. Ç adit. ïibd. 28. III.
40. Mb 150. 29. IIL us
Der Grüsse nach nähern sich die osthucharischen
Bälge den westeuropäischen und unterscheiden sich
scharf von der kleineren Form der vorderasiatischen;
25. à
375
Bulletin de l’Académie Impériale
376
diese letztere hat neulich von Radde (Ornis Cauca-
sica, p. 196) den Namen — var. minor bekommen. —
Länge des Flügels unserer Exemplare beträgt 112—
102 mm., des Schwanzes — 81,5—80; der Flügel
der mir vorliegenden Bälge aus Nordpersien (Nikol-
ski) misst 91—89, der Schwanz 66—63,5. Radde
führt für var. minor die Flügellänge von 98 —84 und
die Schwanzlänge von 73—70 mm. an.
Das Gefieder unserer Exemplare ist schon ziemlich
abgestossen,
76. Glycispina hortulana (Linn.).
Dresser, B. Europe, IV, tab. 211.
a. 8 adit. Tengi-Charam 11. IV.
Weder der Hals, noch die Brust unseres Vogels
hat irgend welche Striche aufzuweisen; der graugelb-
lichgrüne Kopf ist mit zarten schwarzen Schaftstreifen
_ versehen. Eïinige nordpersische Exemplare sind mit
_ demjenigen von Ost-Buchara vollständig identisch, bei
_ anderen dagegen sind auf dem Halse und der Ober-
_ brust dunkle Striche bemerkbar. Diese letzteren Exem-
plare kônnen wohl kaum als selbstständige Form —
ÆE. shah (cf. Blanford, Eastern Persia, IT, La
_ angesehen werden.
Das Gefieder unserer Bülge ist schon FRA abge-
stosserr.
| 77. Glycispina Buchanani (Blyth.)
Blyth, J. As. S. Beng., XVEI, p. 780 (1847); Hume,
12 ” Str. Feath., VIE p:.150; ie B. Asia, V, tab. 11
AA TOR a.
a. à adit. Sat: 0b 15. IV.
Ein vollständig typisches Exemplar im ziemlich
_ abgetragenen Kleide.
78. Hylaespiza Stewarti (Blyth).
: BIÿth, J. As. S. Beng., XXII, p. 215; Gould, B.
Asia, V, tab. 6 (Æ. _—
0 O Al Kara-Kuss
* b. e adit, re im Baba-dagh * FRS
c. adit. Baldschuan 30: V,
#. : adit Sarym-Sakli- 23.VII.
_ Das zugleich mit dem Männchen erbeutete Weib-
chen dieser Art gleicht der Abbildung bei Gould.
Von den Weibchen der ÆL. Stracheyi und Æ. cia unter-
scheidet sich dasselbe, wie folgt: 1) durch seine gerin-
gere Grüsse (der Flügel misst 73, der Schwanz 71 mm.),
2) durch den Umstand, dass die dunklen Schaftflecken
auf dem oberen Theil des Kopfes keine mehr oder
weniger deutlichen Längsstreifen bilden, 3) durch seine
gelblich-weisse,vom Schnabel bis zu den Unterschwanz-
deckfedern längsgestreifte Unterseite.
Beim Exemplar d beginnen sich Kiele auf der Brust
zu zeigen und die 6. und 7. Schwingen sind der Mauser
unterworfen.
79. Hylaespiza cia Stracheyi (Moore).
Moore, P. Z.S. 1855, p. 215, pl. CXII; Dresser,
B. Eur., IV, art. Æ. cia, p. 3.
a. & adlt. Karnak NE
b. © adit, ibd. 7.NI(M 10121).
c. 6 adlt. ibd. 8. VI (X 10120).
d. & adit. Lagari-Murda-Pass 27. VII.
Jerdon (Birds Ind. II, p. 372) führt beinahe als
einzigen Unterschied dieser Form von 71. cia die weiss-
liche Färbung des Kinns und des Halses an. Dicsem
Merkmal fügt Dresser (L c.) noch eins hinzu, näm-
lich dass die der ZZ. cia eigenthümlichen zwei Reiïhen
weisser Flecken, die von den Flügeldeckfedern gebildet
werden, bei ÆZ. Stracheyi weniger deutlich ausgespro-
chen und fahlgelb (fulvous) gefärbt sind. Dieses Merk-
mal soll von grossem Nutzen bei Unterscheidung der
Weibchen sein.
= Ich habe nicht Gelegenheiït gehabt typische ôstliche
H. Stracheyi zu sehen, bin jedoch der Meinung, dass
weder das eine, noch das andere der angeführten
Merkmale genügt, um diese conspecifischen, wenn
nicht identischen, Formen zu trennen. Übrigens be-
sitzen unsere Exemplare diese beiden Unterscheidungs-
merkmale, weshalb ich sie auch vorläufig unter dem
Namen 71. Stracheyi anführe.
Scully (Str. Feath., X, p. 129) sagt, dass die Exem-
plare aus Gilgit einen Übergang von A. Sfracheyi aus
Simla zu den westlichen ZZ. cia bilden. Dasselbe kann
ich hinsichtlich der von H. Nikolski aus dem nord-
üstlichen Persien heimgebrachten Vôgel sagen: sie
behaupten die Mitte zwischen den osthucharischen
und den osteuropäischen. Es existirt auf diese Weise,
bei minimalen Unterschieden, vermuthlich noch eine
Reïhe von Übergängen zwischen den extremen Formen.
Es
10; 0 adit.
37%
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
378
Die Schwanzlänge unserer Exemplare schwankt
von 3,05 bis 3,25” (78—83 mm.), bei den A. cia
(nach Nikolski’s Bälgen) beträgt diesclbe weniger
als 3” (76 mm.).
Die Exemplare à und c weïisen keine Spur von
Mauser auf; beim Exemplar «a mausert eine Steuer-
feder, wahrscheinlich zufällig, da die andere, symme-
trisch gelegene, der Mauser nicht unterworfen ist;
beim Balge d mausert sowohl das Kleingefieder, als
auch die Schwingen und die Steuerfedern stark; das
Mausern der letzteren, während im Gefieder noch
viele abgestossene, nicht vermauserte Federn stehen,
weist darauf hin, dass dieses Exemplar kein junger
Vogel ist. |
80. Alauda gulgula, Franklin.
Franklin, P.Z.S.1831, p. 119; Jerdon, B. India,
Il, p. 434; Severtzow, Turk. Zev., p. 142 (Al. in-
conspicua); Henderson and Hume, Lahore to Yar-
kand, p. 269, tab. XXIX.
a. Q adit. Karschi 3. IV (NW: 10109).
Länge des Flügels 3,8”. Die zweite Schwinge ist
die längste (die erste — Abortivschwinge — ist sehr
wenig entwickelt), deshalb kann unser Vogel nicht als
A. guttata, Brooks angesprochen werden, welche in
«Lahore to Yarkand» tab. XX VIII unter dem Namen
A. triborkyncha abgebildet ist; die beste vergleichende
Diagnose dieser letzteren scheint Severtzow (Journ.
Orn. 1875, p. 193) gegeben zu haben: «.... remige
secunda (praeter abortivam) *) longissima.….….»
Unser Balg hat noch unbedeutende Spuren des
Herbstkleides beibehalten.
81. Otocorys penicillata, Gould.
Gould, P. Z. S. 1837, p. 126; Scully, Ibis, 1881,
p. 581, woodeuts; Dresser, B. Eur., IV, tab. 244.
a. & adit. Sagri-Dascht-Pass, Fluss
Chumbou 14. VI(K 10111).
ibd. Fluss
Bida-Abdschabar 18. VI(K 10110).
Das Schwarz der Backen vereinigt sich mit demje-
14) D. h. die dritte, wenn wir die Abortivschwinge mitrechnen.
nigen der Brust; die Gesichtstheile sind weiss. Die
Maasse sind folgende:
a. b.
mm. mm.
Schnabel von der Befederungslinie. 12,5 12,5
» » » Stirn (culmen)... 16,5 15,5
Lünge de ii LEP RE QE 113,0 :: 1100
} 5 HCHNANES di 90.0 82,0
Bei den Exemplaren aus der Umgegend von Ascha-
bad (N. Persien) ist die Schnabellänge dieselbe wie
bei unseren Bälgen, die Länge des Schwanzes und
des Flügels weist einen Unterschied von weniger als
5 mm. auf.
82. Sturnus purpurascens, Gould.
Gould, B. Asia, V, tab. 44; Seebohm, Ibis, 1880,
p. 182; Hume, Str. F., VIII, p. 174.
La. & adlt. Karnak, Fluss Ak-Su 6.8.7. VI(K 10112).
Ungeachtet dessen, dass beim Benennen dieses
Exemplars die Angaben von Seebohm und Hume
(Il. ce.) in Betracht gezogen worden sind, so finde ich
es doch für nôthig eine kurze Beschreibung desselben
zu liefern, um etwaigen Missverständnissen vorzu-
beugen. Wenn zwei Farben sich vermengen, so gebe
ich die dominirende in Cursivschrift an.
Die Länge des Flügels, der an der Spitze ziemlich
abgestossen ist, beträgt circa 5,0; jedenfalls nicht we-
niger. Der Vorder-, wie der Hinterkopf ist purpur-
grün, ebenso Oberbrust; Ohrdeckfedern, Flügeldeck-
federn und Unterbrust rein purpurfarben; Ober- und
Unterrücken, Bürzel, Oberschwanzdeckfedern, metal-
lisch-glänzende Theile der Schwungfedern 2-ter Ord-
. ï
nung und Schulterfedern — purpurfarben mit mehr o
oder weniger bedeutender Beimischung von blaugrü- é, mn
ner, bläulicher und grünlicher Färbung; Seiten des
Kürpers bronze-purpurfarben; Bauch und Unter-
schwanzdeckfedern matt purpurfarben.
Der Vogel gleicht vollkommen dem X 2 Hume’s Ts
Tabelle (1.c.); nach Seebohm (1. c.) stellt er, folglich,
«extreme purple form of purpurascens» dar.
Wenn man, mit Seebohm, für Asien (also ausser
St, unicolor) 3 Arten Staare annimmt, so kann unser
Vogel weder S. vulgaris, noch «S. dioiss (apud See-
bohm)sein, da bei diesen die Schultern, die Flügeldeck- ”
federn und die Ohrgegend grün sind. Wenn man je-
Bulletin de l’Académie Impériale
doch, Hume’s Beispiel folgend, Anhänger von 5 For-
men ist, so unterscheidet sich unser Vogel von dem
__ihm sebr nahe kommenden St. minor durch die Grüsse
(die Flügellänge ist bei S. minor —4,25—4,50") und
dadurch, dass die Flügeldeckfedern und die Schwingen
2-ter Ordnung nicht grün, sondern purpurfarben sind.
Bei den übrigen 3 Arten ®) sind Kopf und Oberbrust
nicht grün, sondern purpurfarben.
83. Pastor roseus (Linn.).
Dresser, B. Eur., tab. 250.
a. & adit. Karschi 6. IV.
DO A0. id: 6. IV.
84. Graculus graculus (Linn.).
Cat. B. Brit. Mus., IT, pp. 146 (Key of Genera), 146;
Dresser, B. Eur., IV, tab. 251, fig. 1.
a. & adit. Tuptschek 1. VII.
Auf der Brust beginnen die Kiele sich zu zeigen.
85. Cypselus apus (Linn.).
Dresser, B. Eur., IV, tab. 266.
a. & adit. Kalaï-Sabi-ob 4. VII.
86. Cypselus melba (Linn.).
Dresser, B. Eur., IV, tab. 269.
a. à adit. Kokaity-Kurgan 26. IV.
b. & adit. ibd. 26. IV.
87. Caprimulgus europaeus Unwini, Hume.
Scully, Str. Feath., X, p. 101.
a. 6 adlt. Kum-Kurgan 22. IV.
b. & adit. Karnak 8. VI.
Unsere Exemplare zeigen eine ctwas hellere silber-
_ graue Färbung als die gewühnliche Form, wie Scully
= sie, 1. e., angiebt. In allem Übrigen, auch hinsichtlich
_ der Screen: unterscheidet sich diese re
= de vom europäischen Ziegenmelker.
88. Picus leptorhynchus, Severtzow.
= Severtzow, Ibis 1875, p. 487—489, woodeut on
: p. 489, fig. 2.
a. ® ad. Gusar 8. IV (Ÿ 10039).
15} #. vulgaris mit var. indicus, 5. nobilior und S, nitens.
89. Alcedo ispida, Linn.
À. ispida, Sharpe, Mon. Alcedin., p. 1, pl. 1.
A. bengalensis, id., ibd., p. 11, pl. 2.
a. & adit. Sary-Dschuj 29. IV.
b. © adlt. ibd. 29. IV.
ce. QÇ adit. Baldschuan 29. V.
d. 6 adit. ibd. 30. V.
e. 6 adit. ibd. 30: Y.
Sharpe’s Diagnosen von À. ispida und À. benga-
lensis enthalten keine positiven Unterschiede dieser
beiden Formen. Hume (Str. K., I, p. 168) und See-
bohm (Ibis 1882, p. 424) suchen die Differenz in
der Grüsse des Vogels. Als Criterium hierzu dient
ihnen absolute und relative Länge des Flügels und
des Schnabels. Als extreme, conspecifische Formen
werden von diesen Forschern einerseits die ostindi-
schen, andererseits die westeuropäischen hingestellt.
Eine endlose Reïhe von Übergängen, bekannt unter
dem Namen À. Pallasii Reichb., verbindet diese bei-
den Formen, die ohnehin nur einen Grüssenunterschied
von bloss einigen Millimetern aufweisen und wobei
ausserdem noch das grôsste indische Exemplar grôüsser
ist, als das kleinste westeuropäische und umgekebrt.
Es stellt sich auf diese Weise kein genügend scharfer
Unterschied selbst zwischen den «extremen Formen»
heraus. Auch in der Färbung lässt sich kein Merkmal
auffinden, wie ich mich nach Vergleich der buchari-
schen Vügel mit solchen aus Süd-Frankreich, Deutsch-
land, Turkestan, Persien und von der Insel Formosa
durch Augenschein habe überzeugen künnen. Murray
(Vertebr. Zool. Sind, p.111) giebt in seiner Beschrei-
bung differente Färbung des Unterkiefers an: bei À.
bengalensis sei derselbe schwarz, bei À. ispida —
orange-roth. Selbst bei Durchsicht einer kleinen Suite
von Exemplaren kann man sich aber leicht überzeugen,
dass auch dieser Umstand keinen Unterschied dar- .
bietet: ich gebe in Folgendem die Maasse und die
Färbung des Unterkiefers unserer 5 Exemplare.
des gel, d. et (Catar) ©; 54 MTRINIer
a 2,80” 1,45 ganz schwarz.
b. 2,94 1,60 ganz orange-roth.
e, 2,95 1,55 grüsstentheils orange-roth.
d. 2,99 1,47 ganz schwarz.
e 2,87 1,49 ganz schwarz.
i
381.
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
38?
Der Grüsse nach müssen die Exemplare D, c und d
als À. ispida angesehen, der relativen Länge des Schna-
bels nach zu À. bengalensis gerechnet werden, der
Färbung des Unterkiefers nach jedoch wiederum zu
ispida. Man kann auf diese Weise beim Bestimmen
zuweilen nicht bloss sagen, dass dieses oder jenes
Exemplar dieser oder jener extremen oder mittleren
Form angehürt, sondern es kommt auch häufig vor,
dass ein und dasselbe Exemplar gleichzeitig als hierher
und dorthin gehôrig betrachtet werden kann.
Unter solchen Verhältnissen konnte ich mich nicht
entschliessen, den mir vorliegenden Exemplaren einen
anderen als den Collectivnamen À. ispida beizulegen.
90. Coracias garrula, Linn.
Dresser, B. Eur., V, tab. 295.
a. à adlt. Karschi 3. IV.
91. Merops apiaster, Linn.
Dresser, B. Eur., V, tab. 295.
a. adit. Jange am Wege von Karschi nach Gusar 7. IV.
b. © adit. Kokaity-Kurgan 26.IV.
* 92, Merops persicus, Pall.
Dresser, B. Eur., V, tab. 296.
a. & adit. Kokaity-Kurgan 26. IV.
b. & adit. ibd. 26. IV:
93. Cuculus canorus, Linn.
Dresser, B. Eur., V, tab. 299.
a. & adit. Kokaity-Kurgan 24. IV.
b. Q juv. Inku +2 VE
Die Länge des Flügels beträgt 8,5”, der Vogel ist
folglich nicht C!, himalayanus V ig.(—striatus Drap.—
saturatusHodgs.—Horsfieldi Moore=canorinusCab.),
dessen Flügellänge, laut Seebohm (Hist. Brit. B. IT,
p. 379), von 7%,—6%" variirt.
Das Exemplar b ist in braunem Kleide.
94, Scops giu (Scop.).
Cat. B. Brit. Mus., II, p. 47; Dresser, B. Eur., V,
a. G adit. Sser-ob 14. IV.
D. S'adit "10 LA TY.
Die Exemplare zeigen folgende Maasse:
Flügellänge. D be of Tarsus. Reïhenfolge der Schwingen.
a. 152 mm. 70 mm. 21 mm. 3—4>5>6 fast—-2>7.
b. 159 » 77 » 24 » 3—4>5>6 fast—-2>7.
95. Scops obsoleta, Cab.
Scops obsoleta Cabanis, Journ. f. Ornith. 1875,
p. 126.
Scops Strauchi Bogd., Ouepkn npnpoxsi XusnacKaro
Oa3nCa H neCKkOBR Rn3b1rs-RyMr, Tamuxeurs, 1882,
p. 70, 72, 82, 101 (sine descriptione).
a. Q adit. Karschi 6. IV (X 10038).
Hinsichtlich der Färbung des Gefieders steht diese
Form in demselben Verhältniss zu S, giu, wie Capri-
mulqus acgyptius, Licht. zu C. europaeus, L. Das Ge-
fieder ist durchweg fahler. Grau ist im grüsseren Maasse
vorhanden, als Braun, die rostfarbigen Flecken werden
durch isabellfarbene, die weissen durch fast graue er-
setzt. Scops obsoleta scheint etwas grüsser als S. giu
zu sein, was wabrscheinlich vom etwas lüngeren
Schwanz abhängt, denn die Maasse sind folgende:
Flügellänge 155, Schwanzlänge 86, Tarsus 26 mm.;
Reïhenfolge der Schwingen: 3 —4 > 5 > G bedeu-
en >22>7T.
96. Athene bactriana, Hutton.
Cat. B. Brit. Mus., II, pp. 132 (Key), 137 (A. plu-
mipes), Seebohm, Ibis, 1882, p. 420.
a. 6 adit. Karschi GIV
b. (G) adit. Tschaschma-Chafisdschan 12. IV.
Diese Form, gewühnlich unter dem Namen À. plu-
mipes, Swinhoe und À. orientalis, Sev. bekannt,
weist, laut Seebohm (1. c.) folgerde Unterschiede
auf: 1) die Länge des Tarsus beträgt nicht mehr, wie
1,1”, während bei À. noctua und glaux dieselbe gleich
1,25—1,40"ist; 2)die Zehen sind bisan die Nägel dicht
383
Bulletin de l’Académie Impériale
befiedert, im Gegensatze zu den beiden anderen Arten,
deren Zehen mit spärlichen Härchen bedeckt sind.
Unsere beiden Exemplare besitzen eine Tarsuslänge
von circa 0,9”; die Oberseite der Zehen ist dicht mit
abgestossenen Federn bestanden, an denen man den-
noch leicht die Fahnen wahrnehmen kann. Aus diesem
Grunde sehe ich auch die mir vorliegenden Exem-
plare als zu dieser Art gehôürig an.
Nicht ganz so leicht scheint mir die Bestimmung
der jungen Vôgel zu sein, da einerseits die Maasse
hier von keinem oder geringerem Werthe sind, und
andererseits die Vügel auf den Zehen statt der kleinen
Federn, wie es scheint, Härchen besitzen. So z. B.
scheint ein Exemplar von Nikolski aus Nordpersien
der Tarsuslänge von 0,9” und der blassen Färbung
nach zu urtheilen zu Afhene bactriana zu gehüren und
doch sind dessen Zehen mit dichten Härchen bedeckt.
Es ist jedoch die Môglichkeit nicht ausgeschlossen,
dass dieses, so wie auch viele andere Exemplare aus
Achal-Teke, zu À. glaux, Savig. (— À. meridionalis,
Less., persica Bp.) gehôüren und die geringe Länge
des Tarsus sich durch den Jugendzustand der Vôgel
erklären lässt.
97. Gyps himalayensis, Hume.
Cat. B. Brit. Mus., I, pp. 4 (Key), 8
Dr. A. Regel hat ein Exemplar dieser Art ohne
nähere Daten aus Ost-Buchara eingesandt. |
98. Gypaëtus barbatus (Linn.).
Cat. B. Brit. Mus., I, p. 288; Dresser, B. Eur.
tabb. 322—325.
. Stammt ebenfalls von Dr. A. Regel, leider auch
ohne jegliche Daten.
99. Circus Swainsoni, Smith.
Cat. B. Brit. Mus., I, PP. 50 (Key), 67 en );
| Dresser, B. Eur., V, tab. 3
a. cn
Dscham 29; IH.
RS adit. Karschi-Steppe, zwischen Dscham
und Ak-Kuduk 30. III.
100. Nisaëtus pennatus (Brehm).
Meu36npr, Op. l'éorp. Esp. Poccin, I, p. 406:
Dresser, B. Eur., V, tab, 351, fig. 2.
a. Q adit. Kischlak Baljan 21. V (X 10026).
b. à adit. ibd. 22. V (M 10025).
Beide Exemplare gehôren der typischen Form die-
ser Art (die ich vorläufig im Sinne Severtzow’s auf-
fasse, indem ich AN. minutus als selbständige Art
betrachte) an, nicht aber der var. albipectus.
101. Nisaëtus fasciatus (Vieill.).
Cat. B. Brit. Mus., I, pp. 249 (Key), 250; Dresser,
B: Eur: V. 9: 10, 681.
a. adlt. Baldschuan? Dr. A. Regel (X 10167).
Dr. À. Regel sandte ein Exemplar dieses Vogels
ebenfalls ohne nähere Daten, aber glücklicherweise
in erträglichem Zustande, aus Ost-Buchara (vermuth-
lich aus Baldschuan) ein; der Mangel der genauen
Fundortsangabe ist um so mehr zu bedauern, als bis
jetzt niemand den fraglichen Adler in diesem Theiïle
Asiens gefunden hat. Er kommt in Persien, Afghani-
stan, Beludschistan, Sind, Pundjab und Indien vor,
ist doi weder im mssiachien Turkestan, noch in
Gilgit beobachtet worden.
102. Aquila imperialis, Bechst.
Men36upr, Opu. l'eorp. Ep. Poccin, p. 380; Dres-
ser, B. Eur., V, tab. 344 (adit.), u. tab. 343 (juv.).
a. Q adit. Samarkand 22:16
b. & semiadit. Kokaity-Kurgan 24. IV (M 10024).
103. Accipiter nisus (Lin n.).
Cat. B. Brit. Mus., I, pp, 131 (Key), 132.
a. Q adit. Schurjan-Tugai 7. V (X 10029).
Dieses Exemplar bietet einige Unterschiede von den
russischen Stücken derselben Art dar. Was das Ver-
hültniss der Schnabellänge zur Länge der Mittelzehe
(geringer als die Hälfte der Mittelzehe), die Grôsse
385
des Sciences de Saint-Pétersbourg,
386
und die Färbung anbelangt, so ist unser Vogel ohne
Zweifel ein Accipiter nisus, aber das Verhältniss der
Schwingen ist ein anderes, als bei europäischen Exem-
plaren. Die letzteren (N. Russland) weisen folgendes
Schwingenverhältniss auf: 4>5>3>6>2>7>8,
unser Vogel dagegen: 4> 3 > 5>2 bedeutend
> 6>7>8. Die Ausschnitte an den Fahnen der
Schwingen sind ebenfalls anderer Art: die St.-Peters-
burger Exemplare haben Ausschnitte an der Aussen-
fahne der (2.) “), 3., 4., 5. und 6. und an der Innen-
fahne der 1.—-5. Schwinge; das ostbucharische Exem-
plar an der Aussenfahne der (2.) ), 3., 4. und 5. und
an der Innenfahne der 1.—4. Schwinge. Das letztere
nähert sich folglich in dieser Hinsicht dem À. badius,
entfernt sich von demselben aber endgültig durch die
Länge der Mittelzehe, die Färbung und die unten an-
gegebenen Dimensionen.
Ausmessungen: Flügellänge 9,5”, Tarsuslänge 2,2”
Mittelzehe 1,5”, Schnabel 0,6”. Der Schnabel (vom
Vorderrande dr Wachshaut bis zur Spitze) ist folg-
lich um 0,15” (— 4 mm.) kürzer als die Hälfte der
Länge der Zehe.
2
104.7 Scelospizias badius cenchroides (Severtzow).
Blanford, E. Persia, IT, p. 107 (footnote 2), 108
[ A. (Micronisus) sp.]; Gurney, Ibis 1875, p. 360—
361, 479—480; Biddulph, Ibis, 1881, p. 40; Se-
eh Turk. Zevot., p. 113; id. Str. Feath., IE,
p. 422; Gurney, List of Birds of Prey, p. 31.
a. © adlt. Schir-abad 19. IV (K 10028).
Die Bestimmung dieses Exemplars hat manche
Schwierigkeiten verursacht. Es stimmt vollständig mit
der Beschreibung von Astur (Micronisus) sp. bei Blan-
ford (1. c. p. 108) überein; der einzige Unterschied
besteht darin, dass die seitlichen (jedoch nicht die
äussersten) Steuerfedern nicht mit 5, sondern mit 6
Querbinden versehen sind; übrigens befindet sich die
erste dieser Binden hart an der Basis der Steuerfedern,
ist undentlich ausgesprochen und von den Unter-
schwanzdeckfedern verdeckt. Blanford konnte sein
Exemplar nicht bestimmen; Gurney (Ibis, 1875,
16) Sehr nahe an der Wurzel.
p. 361) hält dasselbe für À. badius, jedoch nicht mit
Bestimmtheit, da es sich in der Grôsse zu sehr dem
À. nisus nähert. Aus den folgenden Zeiïlen wird übri-
gens klar hervorgehen, dass weder Blanford’s, noch
unser Exemplar zu À. nisus gehôren kann.
Die Dimensionen unseres Exemplars sind folgende:
8,80”.
1,97.
1,32"(— 33,5 mm.).
0,60”(— 15,0 mm.).
à." 000 LAROR LE.
Mittelzehe ohne Kralle..
Länge des Schnabels ")..
Also der Schnabel ist um weniger als 2 mm.
(1,75 mm.) kürzer, wie die Hälfte der Länge der
Zehe.
Die längste Schwinge ist die 45 3=—5>6 unbe-
deutend > 2>7; Ausschnitte an der Aussenfahne
besitzen die Schwingen (2) ), 3, 4 und 5, an der
Innenfahne: 1, 2, 3 und 4
Der Färbung nach kommt unser Stück dem À. badius
sehr nahe und gleicht einem, unzweifelhaft zu dieser
Art gehôrigen Männchen, welches Herr Zarudnoï in
Persien erbeutet hat, nur hat die Unterseite unseres
Exemplars, wie auch diejenige des Blanford’schen,
breitere Streifen aufzuweisen, nämlich je vier weisser
und rostfarbener auf einen Zoll. Auf der Oberseite
des Halses und auf dessen Seiten tritt der, von Bid-
duiph (1. c.) erwähnte, fahlrostfarbige Fleck scharf
hervor.
Unser Exemplar kann nur einer der folgenden
Formen angehôren:
1) Accipiter nisus (L.),
2) Astur brevipes, Severtzow,
3) Scelospizias badius (Gm.)
4) Scelospizias cenchroides (Severtzow).
Die Unterschiede dieser 4 Formen ergeben sich
aus folgender Tabelle:
17) Längs dem First von Vorderrande der Wachshaut bis zur
Spitze gemessen. Le
18) Hart an der Basis der Feder. 4
387 Bulletin de l'Académie Impériale 388
, de | Ausschnitte L |
Schwingenverhältniss. | L'4 nn He | ation
k Lass des 8 | | der Schwing. Li nee
ne ehunhétos Le à : 385% E 7 S| Des Flügels. | Des Tarsus. bats Re
= & Reïhenfolge. om Bale 0 | Flügel.
= 2225) à $ ê |
die Halfte Überragt
L DR die Mitte
brevipes, er Länge | 5 8 u. 4| 1—3 |9,1-8,2| 9,8—9,8 |2,1-1,8/2,1—1,8 dx
der Mittel- Bobwshighs
zche. ;
és
4>5>3>6>2>7 | 3—6 | 1—5 à
nisus. re 4 oder 7,5-8,1/10,0-8,75 22-25! €
BRPREEE 4>3>5>2>6>7 | 3—5 | 1—4 S
mn
Ô &
Ist grôsser, "5 ‘tæ@:
ñ “ À œ mire)
badius, | #lich oder | 4 35-92 kaum 6-7] 3—5 | 1—4 |8,1-7,2/8,3—7,8 1820202156 Ë £E
geringer. gas Be
| È 58
cenchroides.| do. 4 do? do? | do? |7,4-7,0/8,5—8,1 1,9-22215-2,9) © à =
à AR
U Etwas a. à 5
nser Re do à de £ 2
Exemplar.| geringer. 4 4738=5767271 8—5 | 1—4 8,8 1,97 É £ É
} 5 [ee]
Aus dem Studium dieser Tabelle folgt:
1) Das Verhältniss der Flügel zu dem Schwanz und
der Umstand, dass die lingste Schwinge die 3., und
nicht die 4. ist und dass die Ausschnitte auf der Aus-
senfahne nur bei den Schwingen 3 und 4, auf der
Innenfahne nur bei 1—3 zu bemerken sind, trennt
Ast. brevipes von allen übrigen Arten und kann unser
Exemplar mit ihm nicht verwechselt werden.
2) Die bedeutende Länge der Mittelzehe (im Ver-
gleich zur Schnabellänge), eine andere Färbung und
die bedeutende Grôsse unterscheiden À. nisus von den
übrigen Arten und unter anderen auch von unserem
Exemplar. Das Verhältniss der Schwingen kann, wenn
man das schon oben erwähnte Variiren derselben bei
einzelnen Individuen von À. nisus in Betracht zieht,
allem Anscheine nach keïn Criterium ablegen.
8) Wenn man endlich unser Exemplar mit À. badius
. vergleicht, so erweist sich, dass beide in allen Merk-
malen übereinstimmen, mit Ausnahme der Grôsse:
unser Weïibchen übertrifft um ,” die Maximalgrüsse
(in der Flügellänge) des Weibchens von À. badius.
Dieser Umstand kônnte uns einigermaassen abhalten
unser Exemplar mit À. badius zu identificiren, wenn
man nichts von der Existenz einer grossen Form dieser
Art wüsste, als welche sich wabrscheïinlich À. cen-
chroides Sev, erweisen wird. Bis jetzt ist diese Form
für mich eine räthselhafte, da sich unsere Kenntnisse
über dieselbe zur Zeit nur auf folgende Angaben be-
schränken.
In der ursprünglichen Beschreïibung von À. cen-
chroides führt Severtzow (Turkest. Zev. p. 113)
dessen Unterschiede von A. brevipes an und giebt uns
keine Aufklärungen hinsichtlich seiner Abnlichkeit
oder Verschiedenheit von À. badius und selbst von
A. nisus. Im Ibis (1875, p.104) wird dasselbe wieder-
holt, aber die Herausgeber dieses Journals fügen in …
einer Anmerkung (p. 480) hinzu, dass, laut Dresser,
Severtzow diese Art für eine grosse Form des À. ba-
dius hält. Etwas spâter (Str. Feath. 1875, III, p. 422)
pennt auch Severtzow selbst seinen À, cenchroides
einfach «the pale Cabul and Punjab race of À. badius».
Severtzows spätere Ansicht ist mir unbekannt.
Blanford (East. Persia, Il, p. 108) legt seinem
Exemplar den Namen À. cenchroides bei, jedoch mit
einem Fragezeichen, während Gurney, einige Monate
später (Ibis 1875, p. 479— 480) fortfährt, Zweifel zu
hegen an der Müglichkeit denselben von À. nisus zu
trennen, und erst neuerdings (List of Birds of Prey,
1885, p. 31) erklärt er ihn für eine Subspecies von
A. badius. Biddulph endlich (Ibis 1881, p. 40)
erklärt denselben für eine blasse Form derselben Art.
Nach allem Gesagten kann man, wie es mir scheint,
entgültig annehmen, dass À. cenchroides eine etwas
grôssere blasse Form von À. badius ist. Ich weiss je-
rie
ee D
389
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
doch nur nicht, in wieweit dieser Annahme das Vor-
handenseïn einer grôsseren Anzahl von Querbinden auf
den Steuerfedern des À. cenchroides widerspricht:
laut Severtzow (Turk. Zev. p. 113) haben die Sei-
tensteuerfedern deren 7-—8, die äussersten 9—10
aufzuweisen.
Von À. nisus ist À. badius (inclusive À. cenchroides)
auf den ersten Blick durch die Färbung und durch
die Kürze der Mittelzehe zu unterscheiden.
Alles Gesagte resümirend, kann man folgende syn-
optische Tabelle für die vier besprochenen Arten
zusammenstellen. |
a. Länge des Schwanzes geringer, als die Hälfte der
Totallänge; die zusammengelegten Flügel überragen
die Mitte des Schwanzes; die dritte Schwinge ist
die längste; Ausschnitte an der Aussenfahne sind bei
der 3. und 4.,.an der Innenfahne bei der 1., 2. und
3. Schwinge vorhanden; die doppelte, Länge des
Schnabels (längs dem First vom Rande der Wachs-
haut gemessen) übertrifft die Länge der Mittelzehe
ohne Nagel...... Scelospizias brevipes (Severtz.).
Länge des Schwanzes grôsser als die Hälfte der
Totallänge; die zusammengelegten Flügel überragen
nicht die Mitte des Schwanzes; die vierte Schwinge
ist die längste; Ausschnitte an der Aussenfahne zei-
gen die 3., 4. und 5., an der Innenfahne die 1., 2.,
3. und 4. Schwinge.
a. Länge der Mittelzehe, ohne Nagel gemessen,
übertrifft die doppelte Länge, des Schnabels (uti
supra) beinahe um die ganze letzte Phalange;
die Aussenzehe (an der Dorsalseite und ohne
Nagel) reicht kaum bis zum proximalen Ende
der dritten Phalange. Die Mittelzehe ist also
Accipiter nisus (Linn.).
b. Die doppelte Länge des Schnabels (uti supra)
übertrifft entweder die Länge der Mittelzehe, oder
ist derselben gleich, und wenn sie geringer ist, so
immer um ein viel geringeres Maass, als die letzte
Phalange der Zehe beträgt; die Aussenzehe (an
der Dorsalseite und ohne Nagel gemessen) über-
trifft das proximale Ende der dritten Phalange
und reicht fast bis zu deren Mitte. Die Mittelzehe
ist also verhältnissmässig kurz.
a”. Kleine dunkle Form. . . Scelospizias badius (G m.).
b’. Grosse blasse Form. . . Scelosp.cenchroides(Sev.).
Tome XXXI.
TS
105. Milvus migrans (Bodd.).
Cat. B. Brit. Mus., I, pp. 319 (Key), 322 (M. Kor-
schun (Gm.); Dresser, B. Eur., V, tab. 362,
a. à adit. Dscham 29. III.
106. Hypotriorchis subbuteo (Linn.).
Dresser, B. Eur., VI, tab. 379.
a. & semiadlt. Laïljakan, Weg nach
Schir-abad 17. IV (X: 10027).
Dieses Exemplar ist etwas grôsser, als der gewühn-
liche A. subbuteo, da die Länge des Flügels 11,1” be-
trägt ). Ausserdem wird die weisse Farbe des Halses,
des Kinnes und der Federränder auf der Unterseite
durch eine rostgelbliche ersetzt; die Flecken auf den
Halsseiten sind intensiv rostfarbig. Meiner Meinung
nach bietet weder die Grôsse, noch die Differenz in
der Färbung genügende Veranlassung, um dieses Exem-
plar für Æ. Eleonorae zu erklären.
107. Cerchneis tinnuncula (Linn.).
Cat. B. Brit. Mus., I, pp. 423 (Key), 425; Dresser,
B. Eur., VI, tab. 384.
a. 6 adit, Kum-Kurgan, Kaptugai 22. IV.
b. Q juv. Lagari-Murda-Pass 28, VII.
108. Nycticorax griseus (Linn.).
Dresser, B. Eur., VI, tab. 402.
a. Q adit. Laiïljakan 16. IV.
b:'6 alt. 104 : ES IV.
c. Gadit. Regar 30. IV.
109. Platalea leucorodia, Linn.
Dresser, B. Eur., VI, tab. 497.
a. Q adit. Kokaity-Kurgan 26. IV.
110. Plegadis falcinellus (Linn.).
Dresser, B. Eur., VI, tab. 409.
a. d adit. 128, EN;
b. G adit. {| Garm-Kurgan 23. IV.
c. adit. {am F1. Surchan 23. IV.
d. 4 adit. 23. IV.
19) Mit dem Bande gemessen.
Bulletin de l’Académie Impériale
111. Tadorna casarca (Linn.).
Dresser, B. Eur., VI, tab. 421.
a. ® adit. Garm-Kurgan am Surchan 23. IV.
b. & adit. Ak-Kurgan am Surchan ZE V:
112. Spatula clypeata (Linn.).
Dresser, B. Eur., VI, tab. 425.
a. S adlt. Kokaïty-Kurgan 25. IV.
ti. Nyroca ferruginea (G m.).
Dresser, B. Eur., VI tab. 458.
a. à adlt. Kabadian 12. V.
d. Gt. 100: 19. IV:
114. Palumbus casiotis, Bp.
Bonaparte, Comptes-rendus XXXIX, p. 1103. Bp.
Icon. Pig., pl. 58.
a. à adlt. Ak-Metschet 8. V.
115. Columba livia neglecta, Hume.
Henderson and Hume, Lahore to Yarkand, p. 272
and 273; Hume, Str. Feath., I, p. 208; Severtzow,
Journ. f. Orn. 1875, p.194; id. Str. Feath., IUT, p. 430.
a. à adlt. Tuptschek 2. VII (X 10030).
Der Bürzel dieses Exemplars ist in seiner vorderen
Hälfte weiss-bläulich, hinten weiss mit einer hell-bläu-
lichen Nüance; der Hinterrücken hat kein Weiss auf-
: _ zuweisen; die Zeichnung des Flügels ist dieselbe, wie
bei der typischen C. livia. Das in Rede stehende Exem-
plar kann man als var. neglecta, Hume bestimmen,
wenn man diese Form überhaupt unterscheidet. Hin-
sichtlich der Verbreitung der weissen Farbe auf dem
Rücken und Bürzel habe ich als typische Form Dres-
sers Abbildung (B. Eur., VIL, tab. 457) gewählt.
116. Turtur vulgaris, Eyton.
Dresser, B. Eur., VII, tab. 462.
a. à adit. Schurjan-Tugai 7. V.
Bd adit.
117. Pterocles arenarius (Pallas).
Elliot, P. Z. Soc. 1878, p. 245; Dresser, B. Eur,
VII, tab. 466.
a. 6 adit. RACROBFRRDES, zwischen Dscham
und Ak-Kuduk 30. IL.
ibd. Brunnen Ber-gamisch 1. IV.
c. Q adit. Kurgan-Tjube .
118.7? Phasianus chrysomelas, Severtzow.
Severtzow, Journ. f, Ornith. 1875, p. 224; id., Ibis
1875, p. 493; Gould, B. Asia, VIII, tab. 36.
a.- pull. FI. Kafirnagan, Dschidda-bach 9.V (X 10034).
b. Q adit. 10.V (M 10032).
c. 6 adit. Fluss Wachéch 15.V (M 10031).
d.Q adlt. F1. Wachsch, Kurgan-Tjube 18. V (NX 10033).
Es war mir nicht môglich diesen Fasan endgiltig
zu bestimmen. Von allen beschriebenen Arten (unter
anderen auch von Ph. Komarowi Bogd.”), der, wahr-
scheinlich, sich als identisch mit Ph. principalis
Sclat.”) erweisen wird) gleicht er am meisten dem
pd »
5
Fu Ÿ
Ph. chrysomelas, Sev. und zeigt nur folgende Unter-
schiede:
1) Die dunklen metallischgrün schimmernden Fe-
derränder am Kropf und auf der Brust sind bedeutend
breiter, als bei Ph. chrysomelas, die kupferrothe Mitte
der Feder jedoch kleiner, als beim letzteren; aus die-
sem Grunde erscheinen an unserem Vogel oben-
erwähnte Kôrpertheïle viel dunkler.
2) Der kupferrothe metallische Glanz der Federn,
besonders derjenigen der oberen Partien, tritt bei un-
serem Exemplare nicht so prononcirt hervor.
Diese Unterschiede glaube ich dadurch erklären zu
künnen, dass die Exemplare, die mir als Vergleichs-
material dienten, ein frisches Gefieder besassen, wäh-
rend unser Vogel im abgetragenen Frühlingskleide
ist. Ausserdem hat unser Exemplar kein Halsband
und nur beim Auseinanderbiegen der Federn kann man
auf einigen derselben (in der Mitte) weisse Flecken
entdecken; übrigens bin ich selbst nach Durchsicht
des geringen Materials, das mir zu Gebote stand,
zu dem Schluss gelangt, dass das Halsband bei 24.
20} Bull. de l’'Acad, Imp. des Se. “ St.-Pétersb., T. XXX, p. 356 |
21) P. Z.$S. 1885, p. 322—324, pl. XXII Ç
393
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
394
chrysomelas Stark variirt. Wenn mir ein Exemplar
dieses letzteren im Frühlingskleide vorgelegen häâtte,
wäre ich wahrscheinlich nicht in die Lage gekommen,
ein Fragezeichen stellen zu müssen. Überhaupt variirt
Ph. chrysomelas in hohem Grade, ein Factum, von
welchem mich schon Herr M. Menzbier freundlichst
benachrichtigt hatte.
119. Caccabis chukar (G. R. Gray).
Dresser, B. Eur., VII, tab. 470, fig. 2 (sinistra;
C. saxatilis).
a. Ô adlt. Engpass Kara-Kuss im Baba-dagh 5. V
b. Ç adit. ibd BV.
120. Ammoperdix Bonhami (G. R. Gray).
G. R. Gray, Ann. and Mag. Nat. Hist., XI, p. 372
(Caccabis Bonhami); Brandt, Bull. Acad. Se. St.-
Pétersb., X, p. 27 (Perdix griseigularis); Gould, B.
Asia, VII, tab. 1; Dresser, B. Eur., VII, tab. 472.
a. 6 adit. Sser-0b 14. V.
b. 6 adit. Lailjakan 16. IV.
c. G adit. Engpass Kara-Kuss im
; Baba-dagh 5. V (X 10036).
d.Q adit. ibd. 5. V (K 10035).
e. Q adit. ibd. D. Vs
f. © adit. ibd. 5. V.
g. à adit. ibd. 6. V;
h. 6 adit. ibd. et
à. Q adlt. ibd. 6. V (X 10037).
k. Q adit. ibd. HS ES
l. G'adlt. San-tuda, Felsen am
Wachsch Ia,
m. Q adlt. ibd. 19. V.
n. Q adlt. bd. 19. V.
Das Exemplar d zeigt eine aussergewühnliche rothe |
Färbung und sticht daher sehr von den übrigen ab,
die isabellfarben-grau sind; das Exemplar à hält etwa
die Mitte zwischen den letzteren und dem Stück d
ein; das Männchen c (welches zugleich mit dem © d
erbeutet wurde) unterscheidet sich in Nichts von
den übrigen.
Die Flügellänge der Männchen schwankt von 5,05—
5,50”, der Weibchen von 4,93—5,1"; kein Exemplar
bietet folglich eine so geringe Grôsse dur, wie ein von
Nikolski aus der Provinz Aschabad mitgebrachtes
Weibchen, dessen Flügel nur 4,52” lang ist; überdies
sind die Füsse dieses letzteren Exemplars nicht dunkel
olivengrün (ef. Gould, 1. c.), sondern gelb. Übrigens
giebt letzterer Umstand noch nicht das Recht, das
Exemplar von Nikolski zu À. Heyi, Temm. zu
stellen, da die Färbung der Füsse vom Austrocknen
des Balges abhängen kann; Dresser bildet À. Bonhami
einfach mit gelben Füssen ab und dasselbe behauptet
auch Hume (Str. Feath., I, p. 226).
121. Coturnix communis, Bonnat.
Dresser, B. Eur., VII, tab. 476.
a. Q adlt. Kokaïty-Kurgan 24. IV.
122. Gallinula chloropus (Linn.).
Dresser, B. Eur., VIE, tab. 503.
a. adit. Karschi-Steppe, Brunnen Taschli 1. IV.
123. Fulica atra, Linn.
Dresser, B. Eur. VIL, tab. 504, fig. 2.
a. à adit. Karschi 6. IV.
b. © adlt. ïibd. 6. IV.
LA
124. Houbara Macqueeni (J. E. Gray).
VIE, tab. 511.
a. (©) adit. Karschi-Steppe, zwischen Dscham
und Ak-Kuschuch 30. NL
Dresser, B. Eur.,
125. Oedicnemus crepitans, Temm.
Dresser, B. Eur., VII, tab. 512 (O. scolopax).
a. d adlt. Garm-Kurgan am F1. Surchan 23. IV.
b. 6 adit. Sari-dschu) 29. IV,
126. Glareola pratincola, Linn,
Dresser, B. Eur., VIT, tab. 513, fig. 1 (sinistra).
a. adlt. Weg von Schir-abad zum F1. Surchan 30.1IV.
127. Aegialitis curonicus (G m.).
Dresser, B. Eur. VII, tab. 524.
a. (8) adit, Gusar 10. IV.
b. (Q) adit. ibd. 10. IV.
c. (2) adit. ibd. 10. IV.
d. (Q) adit. 10. IV.
ibd,
e. Q adit. Schir-abad 18. ne
Bulletin de l'Académie Impériale
396
128. Himantopus candidus, Bonnat.
Dresser, B. Eur., VIT, tabb. 535 u. 536.
a. à adit. Karschi 3. IV.
b. à adit. ibd. 6: EN:
. Q adit. ibd. 6. IV.
ä. G adit. Kurgan-Tjube 18. IV.
129. Gallinago gallinula (Linn.).
Dresser, B.-Eur., VII, tab. 544.
a. Q adit. Samarkand 22. III.
130. Totanus ochropus (Linn.).
Dresser, B. Eur., VITE, tab. 564.
a. & adit. Samarkand 22. III.
b. © adit. Ib 22: UE
131. Totanus glareola (Linn.).
Dresser, B. Eur., VIIL, tab. 565.
a. & adit. Kum-Kurgan am Surchan 23. IV.
132. Totanus stagnatilis, Bechst.
Dresser, B. Eur., VIIL tab. 566. à
a. Q adit, Karschi 3. IV.
b S'adit "100." 6. EV.
133. Totanus calidris (Linn.).
Dresser, B. Eur., VIIT, tab. 567, fig. 1.
a. 6 adit. Samarkand 22. III.
DS adit. =" bd 22 HE
134. Limosa aegocephala (Linn.).
Dresser, B. Eur., VIIL tab. 575, fig. 3 (dextra).
a. & adit. Kokaity-Kurgan 24. IV.
135. Sterna anglica, Mont.
Méeer: 8. Eur., VIII, tab. 585; Saunders, P. Z.
S. 1876, p. 644.
a. 6 adit. Garm-Kurgan am Surchan 23.V.
b. G adit. ibd. 23,Y:
136. Larus ichthyaëtus, Pall.
__ Dresser, B. Eur., VII, tab. 598; Saunders, P. Z.
S. 1878, p. 198.
a. & adit. Samarkand 15. IT.
Schliesslich erlaube ich mir Herrn Akademiker Dr.
A. Strauch meinen innigsten Dank für die mir zur
Verfügung gestellte Sammlung auszusprechen. Ferner
môchte ich hier noch der Freundlichkeit und Rath-
schläge, mit welchen mir Herr Conservator Th. Pleske
bei meiner Bearbeitung entgegengekommen, und der
Hülfe durch Rath und That von Seiten des Herrn
Conservators Eug. Büchner mit Dank Erwähnung
thun.
BERICHTIGUNG.
1. Turdus viscivorus Hodgsoni, J'erd.
Die Bestimmung unserer Exemplare des T. visci-
vorus ist nicht ganz genau, da dieselben zur grossen
üstlichen Form dieser Art (var. Hodgsoni Jerd.) ge-
hôüren. Die Länge des Flügels variirt bei dieser Form
(nach Seebohm, History of British Birds, I, p. 217)
zwischen 6,7 und 6,0 Zoll; bei unseren Exemplaren
beträgt diese Länge 6,6 und 6,4 Zoll; bei der kleinen
westlichen Form dagegen varirt die Länge des Flü-
gels zwischen 6,1 und 5,6 Zoll.
Zu Claudii Galeni Pergameni scripta minora, vol. 1
(Lipsiae 1884). Von A, Nauck. (Lu le 14 octobre
1886.)
Die beiden umfangreichsten Griechischen Schrift-
steller die wir besitzen, sind Galenus und Libanius.
Eine kritische Gesammtausgabe des Libanius ist in
Aussicht gestellt von R. Fôrster: für den bei weitem
wichtigeren und noch viel mehr vernachlässigten Ga-
lenus werden wir voraussichtlich noch lange uns be-
| helfen müssen mit dem hôchst unzulänglichen Abdruck
des Griechischen Textes und der Lateinischen Über-
setzung, welchen C. G. Kühn (Leipzig 1821—1833)
{besorgt hat. Auch diese Ausgabe, die einzige welche
[dem Privatbesitz noch zugänglich ist, hat eine geringe
Verbreitung gefunden, wie schon daraus hervorgeht,
dass der Verleger sich entschlossen hat den ursprüng-
lichen Preis auf den zehnten Theil zu reduciren. Für
die heutige medicinische Wissenschaft ist aus Galenus
natürlich so gut wie nichts zu gewinnen: aber auch
dem Philologen, der eine so reiche Fundgrube des
Wissens nicht vernachlässigen sollte, ist es kaum zu
397
des Sciences de Saint - Pétersbourg.
398
verdenken, wenn er durch den Umfang (nominell zwan-
zig, factisch zweiundzwanzig starke Bände) wie durch
die Beschaffenheit der Kühnschen Ausgabe, die einen
hôüchst fehlerhaften Text bietet und eines kritischen
Apparates ermangelt, abgeschreckt wird dem Galenus
die gebührende Aufmerksamkeïit zu widmen.
Um die Emendation einzelner Stellen des Galenus
haben sich während der letzten Decennien besonders
Cobet und Kôvzos verdient gemacht: aber auch die
besten Emendationen sind für denjenigen, welcher ei-
nen Text des emendirten Schriftstellers nicht besitzt,
so gut wie verloren. Darum war es hüchst dankens-
werth, dass Joh. Marquardt, Iwan Müller und G. Helm-
reich sich entschlossen eine auch weiteren Kreisen
zugängliche Auswahl der Schriften des Galenus zu
veranstalten, von der bis jetzt das erste Bändchen
vorliegt, enthaltend J. Marquardt’s Recognition der
Schriften reoi duyñc ra)üv xxi auaptnuatov, mepl
rc dpiorne Oasxahiac, mepi roù X Ts ouuxpac
COAIpAs YUHLVAOIOU, TOOTRETTLXCE.
= Wer den Marquardtschen Text mit dem Kühn-
schen vergleicht, wird einen sehr erheblichen Fort-
schritt der neuen Ausgabe gern anerkennen. Freilich
aber überzeugt man sich auch bald, dass Marquardts
Ausgabe vieles zu wünschen übrig lässt. Wenn er an
manchen Feblern der Überlieferung ahnungslos vor-
übergegangen ist, so wird ihm niemand daraus einen
Vorwurf machen; weniger leicht lässt es sich entschul-
digen dass zuweilen unsichere und entschieden falsche
Ânderungen in den. Text gebracht worden sind: vor-
zugsweise aber ist zu missbilligen die Einrichtung der
annotatio critica, welche überflüssige Notizen in Masse
. bietet, Nothwendiges dagegen vielfach verschweigt
und an einzelnen Stellen Genauigkeit vermissen lässt.
Zur Begründung des Gesagten wird es genügen den
Anfang der Marquardtschen annotatio critica anzu-
führen. Der Titel der ersten Schrift lautet in der neuen
Ausgabe:
TAAHNOY LIEPI TON TAION EKAZTQ TIAOON KAI
AMAPTHMATON THE AIATNOYEQE B.
Dazu wird bemerkt: «De inscriptione vide Observat.
crit. p. 3; Gal. XIX, 45 ‘repi to uv ExGoTE TAÏGY
xai ne A This dre yvoseuc 8° et XVI, 335 ‘eipn-
Tex uv xad” Ev idix BufAiov repl ro apenuéro xo
raÏGY TA< FR émryeyoauuévoy mepl day. 2. depart.
r@v èv Exdorou Quyñ iiwv rad@y LO». Der auf die
Vorrede folgende Index notarum lebrt, dass L — Cod.
Laurentianus 74,3 und O — Omnes codices et editio-
nes. Somit enthält die Angabe LO einen Pleonasmus;
es genügte O. In der Kühnschen Ausgabe lesen wir
jedoch TAAHNOY TIEPI AIATNOYEQZ KAÏ OEPA-
JIEIAË TON EN TH: EKAËTOY WYXH: IAION TIA-
OON. Ich halte es für wahrscheinlich, dass auch im
cod. Laur. nicht Gtayv. x. Sepaur., sondern àxyvosewe
nai Jepameiac, nicht ëv Exgotou uyñ, sondern ëv à
éxaotou duyñ sich findet.
Zu éveorhoo p. 1, 2 wird bemerkt «ëvesrnow LAB
Don», dies und weiter nichts. Wer nur den Mar-
quardtschen Text vor sich hat (in dieser Lage wer-
den sich aber die meisten Leser befinden), kann den
Sinn dieser Bemerkung unmôglich ergründen. Das
Räthsel lüst sich, wenn man die Kühnsche Ausgabe
vergleicht, die jicht éveotou sondern évésTrnsa bietet.
Meiner Ansicht nach lohnte es sich nicht von dem
absurden évésrnox Notiz zu nehmen, das jeder Unter-
richtete ohne weiteres durch évesrtnow ersetzen konnte.
Hielt es aber M. für nothwendig oder rathsam einem
gleichgültigen Fehler der neueren Ausgaben die un-
verdiente Ehre einer Bezugnahme angedeihen zu
lassen, so war es in der Ordnung, dass er neben
dem richtigen und allein beglaubigten éveornro das
falsche und unverbürgte ëvésrnoa ausdrücklich er-
wähnte.
Die nächste Note lautet (p. 1, 4) «ëxi voë: Ch K»,
d. h. das im Text stehende éri ras findet sich in den
Ausgaben von Chartier und Kühn. Was aber bietet
statt dessen der cod. Laur. 74,3? Um dies zu erfah-
ren, sind wir gezwungen eine der vor Chartier er-
schienenen Ausgaben des Galenus nachzuschlagen, wie
etwa die Baseler Ausgabe vom J. 1538 oder die Al-
dina vom J. 1525. Unter hundert Benutzern des Mar-
quardtschen Textes werden kaum zehn dies künnen,
und auch wer es kann, wird wenig Lust verspüren
Recherchen anzustellen, die keine weitere Ausbeute
versprechen als einen ziemlich irrelevanten Schreib-
fehler. Marquardts an sich unbegreifliches Geheim-
halten der handschriftlichen Lesart erscheint hier als
um so befremdlicher, da man an der Berechtigung
der aufgenommenen Conjectur zweifeln darf. Statt ri
rois ist Ta überliefert: ich môüchte den Buchtitel zepi
ne voie ldlois radeary égédgeiac, zumal bei einem Epi- a
$
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Bulletin de l’Académie Impériale
400
kureer, nicht beanstanden. Dass von épeôsetx ein Da-
tivus abhängig gemacht wird, ist nicht befremdlicher
als Verbindungen wie érireryiouèc + ywpx Thucyd.
1, 122, 1 und émèpounv T@ reyiouan mapdomov-
dov 4, 28, 1.
Es folgt zu wopisa (p. 2, 6) die Anmerkung «èw-
oua Li». Den Schlüssel bietet die Kühnsche Ausgabe,
wo wir root lesen. — Weiter wird über xexAÿ-
cJau (p. 2, 10) gesagt «xcxAñodar LG xexAciodar A.
Der Druckfehler der Aldina xex)0da konnte füglich
unerwähnt bleiben, entbehrlich ist auch die Notiz über
G(oulstons Ausgabe): die Note ist überhaupt nur
bedingt durch die bei Kübn sich findende Schreibung
2x 580.
Nach diesen theils entbehrlichen theils unzureichen-
den Bemerkungen folgt endlich (zu p. 2, 18) eine
brauchbare Notiz «post x&yù plura excidisse censet R»
(der Recensent eines Marquardtschen Programmes).
Dagegen ist es wieder hôchst unangenehm, zu erfahren
dass die Schreibung ôoxcduey fuiv abroi p. 2, 23 auf
einer Vermuthung des Herausgebers beruht, ohne
dass der handschriftlichen Lesart (20xoimuev ao) ge-
dacht wird.
Besser ergeht es uns p. 3,3: «oiya vourouc* Pr.
XXXV oyotarous Lo». Als befremdlich aber erscheint
es dass über die Lesart des Laur. Verschiedenes be-
_ richtet wird: okyorarouc L bietet die ann. crit., «Laur.
bluyotätouc praestat» heisst es in der Vorrede p.
XXXV. Welche Angabe die richtige ist (die Wahr-
scheinlichkeit spricht für okyerérouc), werden wir
vielleicht künftig erfahren ?).
An den ersten Seiten der vorliegenden Ausgabe
glaube ich gezeigt zu haben, dass Marquardts anno-
tatio crit. weder ganz zuverlässig noch irgend wie
zweckmässig ist. Es widerstrebt mir das unerquick-
liche Thema weiter zu verfolgen, und ich wende mich
dem Versuche zu, einzelne Stellen des vorliegenden
Textes zu berichtigen.
Galenus bedauert, dass der Epikureer Antonius, der
repli Tic vois ldloic médeory égeñpeiuc geschrieben, das
Wort égedoci nicht selbst erklärt habe, so dass man
nur vermuthen kôünne, was damit gemeint sei: ëvaivero
_ Les:
Bé\rrov civur doxst citirt
5 Auch p. 18,11 lässt uns Marquardt über die handschriftliche
in Un ngewissheit, sofern er in der Vorrede p. XLI Euorye
Békriov sives hietet
in Übereinstimmung mit der Kühnschen
_ Ausgabe (V p. 24 7) im Text dagegen stillschweigend Egorys doxet
D, &c oiodæ, ai doapac Eounvetwy Tà moA À T@v eipn-
Uévov, @c elxaoat AAA ÉGTY N voñoat cape (p.
1, 11). Das xai vor äcaoüc ist mir unverständlich:
es sollte wohl heissen Atav arapüic.
Nachdem Galenus gesagt hat, der Epikureer Anto-
nius scheine mitunter uns zu ermahnen darauf bedacht
zu sein ôruwc y Tic ÉUTÈV ATAYOL TOY UAPTALATUY,
fibrt er fort (p. 1, 17—2, 1): & doxeï por vod ÀAcyou
mavTèc ElVaL GONG ÉXAOTOY YAO TOY TOOELPNLLE VE Y &-
LONTTÉV Eat Âal RELTTÉV, ei Lh ToÔc TOÜTOV GVAPÉPOUTO.
Statt mpèc roùrov (nämlich oxotév) fordert der Gedan-
kenzusammenhang vielmehr pô toùto d. h. moûc Tè
ÉAUTOV ARAYELV TOV AUADTALATOY.
Pag. 4, 16: à à IAdtwv xai Tny aitiav aroûidwot
roù yryvomévou' TuoAodTar yap, gnoiv, à LADY ep
ro guhoüuevov. So der Herausgeber nach Plat. Leg. V
p. 731 E statt des überlieferten rup&TTov Ydp, nt,
mo quhodv epi ro puhoïpievov. Sollte auch bei Plato
ë ad&v nothwendig sein, so durfte doch bei Galenus
die Lesart 7 ohoüv nicht angefochten werden, zu de-
ren Vertheidigung es genügt an zwei Plutarchische
Stellen zu erinnern, de adulat. et amico c. 1 p. 48
rupAodra yap To quhodv repli Tè quhobuevo, und de uti-
litate ex inimicis percipienda c. 7 p. 90 A: ruphoïrar
ve To puhoëv nepl té quhobuevov, wc à ITarwv ont.
Dem entsprechend sagt Galenus p. 5,2: TUYAWTTELV
avayratov Éont Tè puAobv Tepi ro de wo Mar-
quardt wiederum die unberechtigte Ânderung rév ot-
Acüvra in den Text gebracht hat. Für das Neutrum
rè œthoùy spricht auch p. 27, 19: 6m à où BAéromey
ég” u@v adr@v LMôEv, elvar voile roocuez TUDAOTNT
elite nepi vo quAobv eite mepi ro qucuevov. Selbst u-
pÂGTTey bei Gal. p. 4, 17 in tugkcüt zu ändern sind
wir nicht berechtigt, da re p. 5, 1 wieder-
kehrt. .
Pag. 6, 9: éav ième abToy Emi Täc Tüv TAcuoiwWY TE
al roÂd CR Van N xai Tac TOY pLovapywy oixiac
émiovra ouvey@c. Statt oixixs erwartet man hier, wo
vom Antichambriren die Rede ist, vielmehr S69cc. Vgl.
Galen. VI p. 758: ëri sc r@v noAL duvapévuwv éiévat
Soous. X p. 6: obdels rotwy obre Éwdev ëmi tac TOY
Thousiwv époita Spas Toocayopebawy "œbrobc obre els
ÉoTÉpaV Germvnoémevec. Diogen. Epist. 32, 3: tac Aic-
vustou Spas Separebev &yvocüvrec. Hor. ‘Epod. 2,8:
forumque vitat et superba civium potentiorum limina,
wo Kiessling zu vergleichen,
AO1
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
402
Alle Menschen fehlen tagtäglich, Gore unôè où vo-
mine a0Tos ao m1 MA oY 1 vIowroc eivar. So Mar-
quardt p. 7, 21 mit der Bemerkung «ouine airècts,
welche lehrt dass die den Gesetzen der Grammatik
widerstrebende Verbindung pen vouitne (statt un voue
oder ph vouions) auf einer Conjectur des Herausgebers
beruht. Bei Kühn steht otre unèë où voile caurèv
ao mi UA OV N avIowTov eive, was mir tadellos
scheint, Ob Marquardts Schreibung ñ ävIpwros ei-
va der Überlieferung entspricht, weiss ich nicht. —
Der von uns gerügte Verstoss gegen die Syntax kehrt
wieder an einigen anderen Stellen. So p. 17, 13: un
TOIVUY vo mins pocvmoy avBowToy Ürapyev, Wo nicht
gesagt wird welche Autorität das unmôgliche vouine
für sich hat, wahrscheinlich aber voute (so Kühns
Ausgabe) überliefert ist. Ferner p. 58, 21: nn voivuv
davudCns, wo in der Lesart des Laur. JaouaCot
offenbar nichts anderes zu suchen ist als das bei Kühn
stehende Saouate. Endlich verdankt ein unmüglicher
Conjunctiv ohne Negation seine Existenz dem Belieben
des Herausgebers p. 20, 7: &e © Ga (so Kühn und
Marquardt p. XXXIII, ws © oi &\ka Marquardts
Text) — mpoEAdVTES eic To émuésiov äravra mep@vr au
TRATTELV XOTULX, oùTw où XATX TN idLaY OÙXIGY TpdT-
ns, Wo Kühns Ausgabe roérrac bietet, während der
Zusammenhang TeAvTE fordert. :
Pag. 8, 3: isuc oùv tot, Nv EvavTiooYinèc "S;
NTOL XATA Le 1 EX (L0YJNPOŸ TLVOS NIOUS VE YOVW
TOLOUTOS ñ Aa pur pr Sven os &y, — TOUS gopouc avdouc
ao mt uäkhoy N dviowmouc eivm. Als Evavrioloyraée
kann nur derjenige bezeichnet werden, der geneigt
ist’ das directe Gegentheil zu behaupten (von dem was
andere sagen). Bis zu diesem Extrem aber pflegt der
Widerspruchsgeist sich nicht zu steigern, und sollte
das wirklich hie und da vorkommen, so wäre doch für
den Zusammenhang der vorliegenden Stelle der Be-
griff évayciwooyixé durchaus unpassend. Darum habe
ich im J. 1880 zu der Lesart der Kühnschen Aus-
gabe si (nicht ñv) évaymohoyixée ne die Correctur £dv
avuhoyuèc ns mir angemerkt. Marquardts Ausgabe
lehrt dass #v oder ei im Laur. fehit. Durch die somit
allein verbürgte Lesart, icwc oùy épete évavtiohoyixèe
ñ; wird meine Emendation : EGY éeayerde ne als rich-
ig erwiesen ?).—Nach den Worten ñ xx} güser quôvet-
-2) Bei Demosth, 22,44 bieten die meisten und éttan Hand-
L LU » LI
x06 &v folgt bei Gal. p. 8, 5: 6vov èni r@v vüv UT” woù
TROTYEYPAILUEVOY AGYWY, WO TP YEYOMLLÉVWY VON)
Herausgeber gesetzt worden ist statt des überlieferten
roocxeyonuEvev, das ich lieber in npoevnveymévoy
ändern môchte. :
Pag. 10, 14: à mn mAobotos mnte Quvatées. Viel-
mehr nèè Quvaroe.
Pag. 11, 23: aYyanmrèv Voüv fiv, ei ual ah To vod
‘Hpoaxhéous (sou), GAÂ& T6 YE Toù AY EE sYEV,N
ei MÔE ToUTO, TO Ye ToÙ Ale roc h Arounèouc ñ Aya-
péuvovoc ñ IlaTrpéxhov, si dE ph Tobtwv, WA AY YE rivwv
ayad@ov Tov nowwv. Statt 7 si unûè Toùro ist herzu-
stellen ñ ei un ToûTrou: der Genitiv rourcu, wie es
nachher heisst ei Ôè un vobtuy (nicht taüra), und &t
un (nicht pnôè) roûrou, weil es sinnlos ist zu sagen
«nicht einmal den Lieib des Achilleus», jenes Heros,
der an Kürperkraft als nur dem Herakles nachstehend
bezeichnet wird. Anstüssig sind, wie mir scheint, auch
die Worte &yad@v T@v npwwv. Vielleicht ist &yxd@y
verdorben aus uudéwv, Wozu T@üy npowv als Erklä-
rung beigeschrieben sein mag.
Pag. 17, 2: va uèv xavappätrev, ra dE Oduve,
à dE haxrilev. Richtiger xaraoarrev, obwohl die Schrei-
bung xavaspatrer häufig wiederkehrt.
Pag. 20, 20-—24: Aéhextor d’ ëmi mAËov èv voie moi
NDV UToUVAUAGIV, ÉTUC dpiornv Ti aÜTNY ÉpYATato,
ai Ge Thv HÈv ioybv où ypn xaTaahEt abTic, Wonep
c0dE Toy rTruwYy te xai xuv@Y oic APOLEIX, TV © ebrei-
Jeruv de ET ÉxEiVOY, oÙtw xam abris doxeiv. In den
Worten ôrws doiotnv mis adTny éoyäcaro ist nach 6rwe
die Partikel &v einzuschalten, und aùrnv beruht auf
einer unwahrscheinlichen Vermuthung Kühns: das
handschriftliche ny abzny ist wohl aus y duyv ent-
standen. Die letzten Worte haben die obige, vom
Kühnschen Text wesentlich abweichende Gestalt erst
durch den Herausgeber bekommen. Nach der Lesart
des Laur., &s Exeivny oûro xèr” af àoxäv, müchte
ich vorziehen: rhv © ebmeiderav &e éxeivov,
TAUTNS AOKEË. :
Die ëmduumrxn dbvaus der Seele gleicht, wie Ga-
lenus p. 21, 8 sagt, cby inne xai xuvi, àN oBpurs
XATO KA TOAY® KA TI TOV [éyoiwv] fus poD er uñ à
duvauévwv. Das unnütze und stürende &yoiwv ist zu
tilgen: |
OÙTO X4
schriften xäv pèv Evayria Àéyer vi statt xüv pLèv veau 4
vgl. Cobet Misc. erit. p. 525. nn
4103
Bulletin de l’Académie Impériale
4104
Wir sollen znv ëv qui &oyov Oüveuuv bei Zeiten
niederhalten, bevor sie wächst und eine schwer zu
né raidendé Kraft crlangt (p. 22, 10): ThyxadTe
yao ad Eav Se eANTN Te FANS AE aÜTNY dune, k-
TELUTX ONE, WOTEO fxoUo a TLVOG ÉYOVTOG
JA pèv rabsasdar, UN Jvaodar dE, Tapaxa EE TE
érny Quès bouiroc Exsivo To Ôeouév Bondñou
xai ro ados éxxébar. Das Participium Xëyovros hat
Marquardt hinzugefügt. Dies Einschiebsel kann ich
weder für nothwendig noch für wünschenswerth er-
achten, ja bei der oben mitgetheïlten Fassung der
Stelle ist es geradezu sinnstürend. Denn was wird mit
Marquardts Einschaltung erreicht? Offenbar dies, dass
die Worte ëdékev uèy Tabousda, un Obvasdar dE,
nicht dem Angeredeten, sondern dem és@v in den Mund
gelegt werden, dass somit ofoex des unentbehrlichen
Objectes er Hanget: Ohne Zweifel sind von ones die
Worte ëdéAcev pèv rauoardat un dbvardat DE abhängig:
durch das eingeschaltete A£yevrec wird diese Abhängig-
keit aufsehoben, d. h. die Stelle verdorben bis zur Sinn-
losigkeit. Allerdings aber liegt ein Fehler in den Worten
üoneo Nrousa mvoc ép@vroc. Unmôglich kann Galenus
behaupten, irgend ein verliebter Mensch habe ïhm
mitgetheilt, was der Angeredete sagen werde. Natür-
lich -muss es heissen ômep fxouod mvos to@vrec, du
wirst das nämliche sagen was ich aus dem Munde
eines Verliebten hôrte, du môchtest zwar abstehen,
aber kôünntest nicht. Nachdem 6reo hergestellt ist, er-
scheint die Hinzufügung des Aéyovroc zwar als müglich,
aber durchaus nicht als nothwendig. Die nachfolgen-
den Infinitive Bondñoar und Exxébe sind abhängig von
rasarahéces: diese Beziehung wird verdunkelt durch
die Worte 7& Gecuéve, die ich für einen fremdartigen
Zusatz halte, namentlich des Artikels wegen. Sollte
éxeivw näher béstimmt werden, so war zu sagen éxeivo
r® éowvt, nicht aber éxeivo +@ decuéve, denn von ei-
ner Bitte des Verliebten ist im Vorhergehenden nichts
gesagt. Übrigens bedarf Cobets Emendation Boy-
So statt der früheren Lesart Bonnous$u einer
kleinen Nachbesserung: da im Laur, Bondnserez steht,
so ist zu schreiben Bon)ñoui te xai tè roc Exx0 bar.
.:.Pag, 22, 17: où Ÿ Iomc oùd Emevénodc more toûro.
ÉPÉVTOc
Béduov cbv ot xai vüv évvoñoui te xai duaoxébasda
rétepoy anale Aéyoy—} Veèoua. Wer diese Worte
aufmerksam liest, wird sich leicht überzeugen dass xœù
dacht, so kann man mich auffordern es xxi vèv zu
bedenken; habe ich etwas früher nicht bedacht, so
wird die Mahnung lauten, ich môge es vüv oùy oder
&hÀ\& vüv oder xäv vüv bedenken. Und xa&v vüv (oder
xäv vuvi) las man vor Marquardt: das unpassende
xat vüy hat er erst in den Text gebracht. Denselben
Fehler haben die Abschreiber zuwcilen verschuldet,
vel. Crates Epist. 32: Ex oùv xai vüv (1 x&v vüv)
ÉTAVNXE.
Pag. 23, 14: OÙ Yap GORE [LOVOY GOPYNTIAY LYELV,
ahÀQ rai un xal Auyvelac civopAU Via TE XGA TE-
pepyias «ai odovou (yon) xadapebev. Schon früher
(Jambl. de vita Pyth. p. 227) habe ich bemerkt dass
es heissen muss gopynoiuv &oxeiv. Zur Unterstützung
dieser Emendation genügt es anzuführen Gal. p. 8,
16: oi dr 6kou Toù Biou amaderay ATANIMVTES, und Eur.
Bacch. 641: TpoG sooÙ yàe &vôpèc ATKEL cUPpoV? EU-
op YNT av.
Pag. 25, 20— 925: éd0c dm abcny (nämlich Eëri
Tv cupooobvnv) Éom ia Tic éyapatelac. oÙùtw (route
Marq.) yap abrocs mAcovexteï cwppwv éyxparoüc, 7%
uno” éme En Myvoy Éecudtuv, h dx To rohUyp6-
Vrov Edoc ñ Ô0 Eyxpdretav, xaddmeo x adro robvoua
abris évéetxvure, yeyovos [émeo éotiv] Ex roû nowretv
xat vixäv Täc émuupiac. Statt mit Marquardt yeyovés
nach éruupiac zu stellen, môchte ich die Worte ôxco
éoriy tilgen. Aber nicht nur diese Worte scheinen ei-
ner späteren Einschaltung ihren Ursprung zu danken,
sondern der ganze Passus, or Yap abrèc rAsovexTer
TOppov, Éyroatoëc bis wxäv ràs émiSuuixc ist so be-
fremdlich, dass ich nicht umhin kann die Echtheit
desselben in Zweifel zu ziehen. Der Gedanke ‘zur co- ‘
pporüvn gelangt man durch die ëyxpdre” wird in sebr
wunderlicher Weise damit begründet, dass der soppwy
vor dem éyxpatns den Vorzug geniesse Aiyva édécuaa
gar hicht einmal mehr zu begéhren: als ob die yxed-
eux nicht empfohlen, sondern herabgesetzt werden
sollte. Vom Adiectivum Âïyvoc ist mir keine Anwen-
dung bekannt, durch welche die Verbindung Ayvæ
écarte sich rechtfertigen liesse. Und warum werden
gerade die ëÿésuarz hier erwähnt? Wenn es sich han-
delt um éyxoarerz und cwpsosuvn, spielen die Speisen
eine ziemlich untergeordnete Rolle, so dass sie zwar
erwähnt werden konnten, nimmermehr aber allein in
Betracht gezogen Werdet durften, Hôchst anstôssig ist
viy unstatthaft ist. Habe ich etwas schon früher be-
|ferner der Gegensatz, ñ dix rè rohuygévov Eos ÿ à?
405
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
éyrodrauuv, da mit dem moAuyoéviov ëdoc schwerlich
etwas anderes gemeint sein kann als die fortgesetzte
Übung in der Selbsthbeherrschung. Was endlich gesagt
wird über das Wort éyxodreur, es sei Yeyovèc Ex Toù
APUTEV HAL VIXGV Tas émuuuiac, ist überflüssig und
nicht einmal zutreffend. Entscheidend jedoch ist für
meine Annahme einer umfangreicheren Interpolation
der Umstand, dass der bezeichnete Passus den Zu-
sammenhang stôrt, der durch Beseitigung der frag-
lichen Partie wiederhergestellt wird: éûèc à èr” abtny
Eort dia TG ÉVAPATELNS" ÉTITOVOS à Eori xai TRXYEÏX TO
VE xaT aoyac, Goneo Aa ai GA räcat TOY xxADY
ÉnITNdEULATUY doxNoEL.
Pag. 26, 24: ëy® puèv oùv dravra Taÿr elonéva
où Ta LEA AoVTA Àey Ines dar Toic BouAndEtoL Urotideuer.
Statt Tadr cionuéva ist zu schreïben z& + sionuéva. Das
voraufgehende &rayrx würde, wie mir scheint, besser
fehlen.
Pag. 29, 18: Eonv idetv Ex uèv dvaioyuvra rüv
radiov, Evix à aidobueva, xaÙ TA HÈV LYMLOVIXG, TA D’
auvnuovæ, Tiva à ëmAncuova. Dass die Kinder nach
ihrem Gedächtniss in drei Kategorieen zerfallen sollen,
1. uvmuouxd, 2. auvnmova, 3. ëmAnsuova, erscheint
als wunderlich; es dürfte vielmehr zu schreiben sein
ra à duvnuova xai értAnomova. (Gedächtnisslose Men-
schen (&uvnmovec) sind eben vergesslich (ërAnsuoves
Auch aigobueva halte ich für unrichtig. Als Gegensatz
zu &vaisyuvra wird vielmebr «iènueva erwartet. Vgl.
Aristot. Eth. Nic. 3,9 p. 1115 à 14: © mëv yäp pobob-
pevos émexhs xai aièmuov, à GE pin pofopevec àv-
ais 'YUVTOc.
Galenus vergleicht die Erziehung der Kinder mit
der Pflege der Gewächse. Der Landmann kann freilich
nicht bewirken dass der Dornstrauch Trauben hervor-
bringe, andrerseits aber werden Weinstücke, auch wenn
sie an sich geeignet sind Frucht zu tragen, falls er sie
nur der Natur überlässt, eine schlechte oder gar keine
Traube hervorbringen. Darauf heisst es p. 31, 3: cor
dE xai nv Toy Cowy ÉrTov pèv rade nc, £is rod
xpNSHLOY é£ete, äoxros dE, xäv nuépa ToTè déEn, HévOv
oÙx ÉYEL TNY Etuv, Eva à QE Xi THOPTLOG oÿ & ŒyoL TOÙ
DoxEy Âp0US dat TOCÉD JET a. Die unmügliche Rede-
weise ÿv 7üv Cowv frmoy uèv rudeuons dem Galenus
zuzueignen wurde der Herausgeber veranlasst durch
die fehlerhaft überlieferte Parallelstelle XVI p. 324:
oùro dE nai ei rüv Cowv frrov pèv rudeüsex. Nach
Tome XXXI.
der Lesart des Laur., oùto dE xai +) rüv luwy frroey
pèv raeucac, war es nicht eben schwer das Original
herzustellen: oùto dt xx ëni rov Cowy Érroy LÈèv rat-
dou.
Pag. 32, 3: dia ro un TAChaS erv æbrév els ToduTIxdG
asyohias EAxoUEvoy brè tv rokr@v. Den Pluralis
Aude asyokias mit Marquardt durch den Singularis
rohtixnv asyohiay zu ersetzen halte ich für verfehlt.
Vgl. Iambl. de vita Pyth. ce. 6 $ 28 p. 21, 18: ges-
VOY TA ToMTixdS aoyohias, und zahlreiche im Thes.
Gr. L. angeführte Belege (aus Plat, Xenoph. Lucian.
Plut, u, à.). |
Pag. 33, 17: oùr ixavN AUT NCA
pe, ThNv ei Taytoiws dmoAËTOU TA xTNUATE — DOENS
te Aa TS 6 rathp ciduoé pue xataopoyetv. Unpassend
ist ravroiwc: vielleicht genügt xxvs” roc.
Von seinem Vater sagt Gal. p. 34, 14: zoùroy yao
étideto Tp@TOV 6poV ÈXELVOV XTNLATWV, WG [AN TELVŸY
un ryoûv un Spy ei d mAtlw This els TaÛTX Lpeias
ein, [xœi] roès zac xahac Thdses, En, JPNOTÉOV aUTOi.
Das unpassende, aus den nachfolgenden Worten, we
xai moûc tac Torabtus npdkex (p. 34, 18) Lertrnoe
mene xai ist auszuscheiden. Vorher erscheint Exervwy
als sinnlos: es war zu schreiben éxeïvos.
Pag. 35, 24: Ever uëv (nämlich xrnuata) oùx 0p-
JO éonolast, xaddnep oi uaoyaoitar «ul oi oaxpôc-
vuyecs al 7” GAdar Aidor räcar xÉGUOoV Daneo ai YUVATKES |
OÏOV T1 DEpOUGAL Tac aprnapeévars QUTALS TOUTOU TO
yÉvous Éori Tà Ta ypuooüph Tv iuatiov N TVA TEpiep-
yov Éoyov Eywv ñ Ans dedueva TéppudEv xOUUCOUEVTE,
GorEp TOY net ovoualouEvey (ovouatouévns Laur.,
jedoch in évoualouévwv von erster Hand corrigirt). 50
lautet der heillos zerrüttete Text nach der Überlie-.
ferung. Ob xà 74 yousoüon, wie Marquardt will, in
xai Ta yousoüoñ oder in <à yousoüpñ zu ändern sei,
wage ich nicht zu entscheiden, wie ich auch hinsicht-
ich anderer Schwierigkeiten rathlos bin, Für den
Schluss, wo Marquardt zñs onprxñs ovoualonEvne ge-
schrieben hat, müchte ich vorziehen <a syptxx ovoua-
Côueva. Vorher vielleicht ai 7 &Aa Ada Täcu ai
xéUOY pépoucar Tais ÉÉaproauévas alta,
gung der Worte womep ai Yuvaïxes oi6v m1, die ur-
sprünglich oonep ai yuvatxec olovro oder alases ai vu se
vaixes hèovrai gelautet haben dürften. ca
Manche dem Wobhlleben huldigende verbrauchen,
sagt Galenus, nicht nur doppelt und pos so vil
T0:
, x ’ LA ‘
OÙV ATWAELX TIVSS
mit. Te
à es bren,
e 4x9 ousuro (statt éxegyäouro) Fpôs rhv 4x PO OV, und $ 138 138
Bulletin de l’Académie Impériale
408
als wir, sondern sogar das fünf-, zehn- und dreissig-
fache. Darauf heisst es p. 37, 7: oè à ouoiwc ëmoi duar-
rouevoy Jouat, AUTOUMEVOY è &vOOiwS LOI, KŒÉTOL
ris oÙdiac dou ÉRAOITOV ÉTOS aDEQVOULEVNE, ETEL TOV OE-
auToù 000600 Y GVAÂIOKETEL LLÉV OL TO GéxaTOoY lowc
uégoc, ai Aoumal Ÿ Evvéx poïpar Toïc orépyouat TpoaTI-
Sevtæ. Die Lesart des Laur., Tñs oboias oùy Exaotoy
ëroc, scheint auf fc oÙcias oou xaÿ” Exaotoy Ëtoc zu
deuten. Durchaus verfehlt ist Marquardts Ânderung
r@v seauroù rocsodwv statt des handschriftlichen +&v
téaur@vy ro076ÛwY, wofür ich tüyv ivrœuvotwy T00760wY
vermuthen müchte.
Pag. 38, 22: ebpnoec seaurév dudexa up à&v-
Jowrwy oùx dpxobpevoy sivar mAouowotepcv, &AÀX xai
robrous Boukduevoy Unephahéodar ai raurAouTov ëv
rhote yevécdar ce omebèovra. Seltsam dass der mehr
als wunderliche Pleonasmus raurAoutoy ëv Août
sich auch in der vorliegenden Ausgabe unangefochten
behauptet hat, wo die Emendation rautowrov ëv
rhoûtw so nahe lag, zumal wenn man die folgenden
Worte äuervoy Ev abtapxzia mo@tov Urapyerv (p. 38,
24) in Betracht zog. Zahlreiche Beispiele ähnlicher
Verderbnisse habe ich Eurip. Stud. IT p. 152 f. und
Mélanges Gréco-Romains IIT p. 37 ff. 289 ff. gege-
ben*). Ein neues Beispiel bietet Galenus p. 42, 22:
LoN Ye ÉauTO ETIOTATNY ÉTIOTION TO VE XUT Gpyde,
bots D” EXMITW TOV TRATTOLÉVOY AVAULVNTE TÔ TAPOPO-
3) Auch sonst habe ich ee einzelne analoge Fälle be-
sprochen, wie Nonnus Paraphr.
v HATLY Êxets; tive ia Tiva miriv eviberc:
wo das se Fe vielmehr 1590v lauten sollte (vgl.
Gréco-Rom. V p. 155). Auf dieselbe Quelle von Verderbnissen ist
meiner SAT T ee zurückzuführen die überlieferte Schreibung
in Soph. A
np d', énel Débpaxey, nèe Deutépu,
TOUTOL Érauxetv xat dedpaxutav yehüv
Schon früher habe ich erinnert, dass derartige durch ein benach-
bartes Wort veranlasste Schreibfebler nicht selten era sich
nachweisen lassen (wie wenn bei À pote
| muyxouteis Edpas ph les dns rparebvne ie
Edpas es Zur Erläuterung môgen dienen vier Stellen aus dé
Schrift des Roi de vita Pyth. Statt ŒhAho yévos pehomoutuc
(s0 die Floren Handschrift und die editio princeps) bieten $ 111
p. 81,10 die er Handschriften (Paris. und Ciz.) &\)o médoc
pe Xo roues. Nur auf Schreibfehler des ersten Herausgebers kann
n man ehemals las _$ 90 p. 67,9: ou
101,6:
(20 aürn Ephnvela rh mupa Tov Jedv Epnvetac Gite be
volac) éort. Einem Versehen des Setzers und Corre ctors haben w
es endlich zu danken, wenn $ 149 p. 109,5 aus TN TOY Sy in
Kiesslings Ausgabe rmnv Tov riudvy geworden ist, wofür ein
lgänger sich findet bei Ephraem 3467: Evda Sa Etuye
“e EMEA (statt rupñc) Evripou,
uevov, Wo zu Schreiben ist ëténTnv ériotiout nach
p. 26, 17: ëvépouc vois dpyomévoic ÉTioThoouEv ÈnéTTac,
und p. 41, 6: éniornonc Eaut®, xadaneo EuTooodev
eirov, ÈnéRTNV TVA xal Tatdxy@yOv.
Pag. 39, 5: aAÂG où ye, xdv oyñe, Ws ebyn, TAéov
Tv roTOY aravTwv, ox dpxeo non, TEpioxËn à œù-
TixA UN TG EV GA Nn ToÂE Thoucuorepoc En, LAY ÜUTY-
peToÜodv oo! cyNS xai Tpèc roûtois Tv Toynv «TE. Für
ln x&v soll der Laur, + &v bieten: was darin zu su-
chen sei, wird sich schwerlich mit Sicherheit entschei-
den lassen; auf keinen Fall aber durfte der den Ge-
setzen der Grammatik widerstrebende Optativus ein
hier eingesetzt werden.
Pag. 41, 2: xai Tata xœi GX ToÂÂd dMAIOV —
xQÏ TAVTUG ÉRELTA TO VE TApAUTIxX, Tv À Ex TOY bndEv-
Twy WoÉAaav oAryiotouc eldov Dotepov ÉyovTac TyAi-
rate yao Non Ta radn Tic Luyñe nbENx&TIV où moÂAo!
TOY avipurwvy &s àviata bräpyev. Offenbar fordert
der Zusammenhang nd£nxsoav.
Die Leïidenschaften zu bekämpfen ist im Anfang
schwer, wird aber leichter im Laufe der Zeit, je mehr
das Denken in uns erstarkt bei solchen Übungen, die
eine Abschwächung der Leidenschaften zur Folge haben:
mou yap (heisst es p. 43, 21) Tr pe Yiorwy GvTwy ëxpa-
TNGEV 6 hoYioméc aYUuvaotoc dv, elmAov wc Ha ov
XPATNGEL drrhc DTépoy NS EV TO YPOVW TOO YVEVOMEVNC
abr@ xai Yap aÙroc EE WV Eyuuvararo rod Vevvaté-
repos ÉcTa, xdxelivois AuotTe Net [LXPOTÉDOL LV Vo-
mévotc. Das Wôrtchen ëx scheint von der ursprüng-
lichen Stelle verschlagen zu sein; man sollte wohl eher
erwarten ômou ap meyiotwv évrwv Éxpatnoev © Aoyto-
pos Et: &youvaotos y. Durchaus unverständlich sind
mir die letzten Worte AucireAnoer puxootéooc yryvoué-
vois, WO AvorteAne von Marquardt gesetzt worden ist
statt des handschriftlichen àareAësa. Galenus argu-
mentirt: wenn der Acyisuc, während er noch unge-
übt war, die heftigen Leidenschaften überwand, s0
wird mit der Zeit der Sieg ihm leichter werden ‘),
nachdem er selbst erstarkt, die Leidenschaften dage-
gen abgeschwächt sind. Somit ergibt sich ohne Schwie-
rigkeit die richtige Schreibung: xæi yao œbrés &£ &v
À mérdeie 177) JTE ges Evto, x@xeivouc Quarahaœi-
Et pXpC mÉpols YEVOMEVOLS.
Statt H&Àov xowrnoet ist vielmebr päov xpariost zu schreiben,
entsprechend dem voraufgehenden Évvoodvras oÙx épotwc abro
(so dürfte statt _ zu schreiben sein) xæherdv Écsodur mpoïsvros
où Le6vou p. 43,1
2
409
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
Pag. 48, 12: ôm pèv Evo r@v deudcAGywy reidouai
avec, ebènhov ëx ToD rANŸCUS TOY @ipÉGEUV" ÊT: à ox
dy Emerdov de dANJQc, ei Un Te NV Ev Tois AGYOLS éuot-
étns, oÙDè Taüta dTAov. «ai où ouuxodv Ye yon VOICE
eivat Tv éuctnta Éäora Yap dv Épupddn Ti où TS
126v@ Baoantouévn roèc avèp@y afioAGywy Te xai moÀ-
À@v. Das sinnlose zaÿta 2ñAov ist in der neuen Ausgabe
beseitigt durch die einleuchtende Emendation +57 &èn-
Àov. Seltsam aber ist was Marquardt unter dem Texte
bemerkt: «roùr &dnA.* taüra dnhov LMO oùèt raür &èr-
Aov Cob. VIII, 244». Natürlich hat Cobet cbût roùr
&èrhcy als nothwendig bezeichnet, dasselbe was Mar-
quardt als seine eigene Emendation dem Cobetschen
Vorschlage gegenüberstellt, Auch die nachfolgenden
Worte sind nach meinem Dafürhalten in bester Ordnung,
wenn wir Cobets Besserung zoccûte (statt 7 où TG)
496% acceptiren. Die von Marquardt p. XLIIT aufge-
worfene Frage (quid pronomen Tocoüroc sibi vult? de
quanto qualique tempore cogitandum est?) scheint mir
befremdlich. Bei Sophokles lesen wir Oed. R. 771: xcù
pen otepn}ñe Y ÈS TOSCUTOV Anidewv époù GeBoros, und
kein Herausgeber hat es meines Wissens für nothwendig
erachtet das roccürey zu erläutern; wie die Sopho-
kleischen Worte bedeuten ès roroürov éioù Befros eic
éco BéBmxz, so besagen die Worte des Galenus c-
coute yp6v® Baravloumevn Gooy éBasavi(ere. Ein ande-
res von Marquardt gegen Cobet geltend gemachtes
Bedenken (quem putas pronomine mc significari?) ist
gegenstandslos, da durch dessen Schreïbung, rocoûrw
statt ie où r@, das Pronomen beseitigt wird. Wäh-
rend Cobet in den Worten xæi où ouuxpav — àlohcywy
re xai roh@v einen einzigen Buchstaben zu ändern
fand, gibt Marquardt folgenden Text: xai ravu
cuuxpav Ve EN vouileu sivar Thy éco TnTa" bäoTa yap
&v iowpdin xai où ToAAG 7p6V® BasaviComEvn rpès
avdo@v &Eichcywv. Ob andere mit diesem gewaltsamen
Verfahren sich befreunden werden, weiss ich nicht: ich
wenigstens halte das statt où gesetzte ravu für un-
môglich. Die nach évèp@v folgenden Worte te xxi roA-
X@v sind im Marquardtschen Text einfach weggelassen,
ohne dass die annot. crit. von dem wirklichen oder
vermeintlichen Emblem irgend welche Notiz nimmt.
Vorher wird in der annot. crit. xai ob ouuxpav, in der
Vorrede dagegen (p. XLII zu Ende) xai ouxpav als
Lesart des Laur. bezeichnet.
Pag. 50, 18: où robrouc EAmiuv bpeAnoe ele Tévèe
rèv Adyov Hxov' obdÈ yo el BouAndetev of ye rAciouc œb-
TOY bocnIfvar &v m Juvnoovtar, Unèè Ty MArxiay
EmTnèeov Tabtnv Thv mpèc maideuorv Éyovrec. Dass
Galenus &v mit dem Indicativus (oder Inf.) des Futu-
rum verbunden habe, halte ich für unglaublich, ob-
wohl ich nicht im Stande bin alle von Marquardt p.
XLV f. angeführten Belege derartiger Verbindungen
durch wabrscheinliche Emendationen zu beseitigen.
An der vorliegenden Stelle kônnte man vermuthen
@oeAndeev &v rw (mit Tilgung des Suynsovtai), aber ein
solches Vorgehen würde mit Recht als gewaltthätig
bezeichnet werden. Sicher glaube ich dagegen den sich
anschliessenden Passus herstellen zu künnen, wo die
vor npèc maieusiy stehenden Worte +abrny rnv sich
als unmôglich erweisen. Statt der Marquardtschen
Vermuthung zaërny rnv bietet der Laur. aiteïv, was
dem Original sehr nahe kommt. Man hat eben nur den
letzten Buchstaben in airetv zu tilgen und die nach-
bleibenden Elemente AITEI richtig zu deuten: prnût
nv Htxiav EmTnôerov ET: roûc Talideuorv Épovrec”).
Pag. 50, 25: rnadeiav rerpdodar ypnotnv. Es han-
delt sich um eine Form von spéow, nicht von roérw:
somit ist re9o4p9a zu schreiben.
Pag. 71, 12: à dyvuvaciay xai Boadurire Vuyñc.
Das überlieferte ayuuvaotiay ist, wie ich glaube,
nicht zu beanstanden: vgl. Lobeck Phryn. p. 509 f.
Pag. 76, 7: cols Grav Emunow, — ayavaxtoüot too
LE xai pasiv abtoi UÈv ox Eivat TAG deudoAoyiac aie,
mioTEÜTR Vap Eimévrt TOÛE Tivi, To © AUAOTNMA Éxeivou
yeyovéva. Sinn und Wortstellung fordern züèe mu,
womit zu vergleichen àoty%ar révèe mva p. 76, 1. 16.
n
TOVOE [LOË TIVA Ep! mode Téûe mt dnyNTaT Var p. 76,
10:-1E
Das Buch cp Quyfc auaprnuatuwv schliesst mit den
Worten (p. 81, 17): tosaüta xai rep T@V auaprnud-
Twy roèc Tè rapèv apxeicw. An der Richtigkeit des
letzten Wortes zweifle ich, da &pxeïoda meines Wis-
sens bedeutet «sich an etwas genügen lassen». Obenein
5) Dass die Schreïber unseres Codices ETI und AITEI nicht zu
LA
arerrox oder aeriouc), das vermeintliche Sp
ayri xaxoÙ xuvds y ATATES
entstehen konnte (vgl. Mélanges Gréco-Rom. V p. 246 f.).
(vielleicht ursprünglich
richwort a
Me
Bulletin de l’Académie Impériale
41?
beruht &pxciodw nur auf einer Vermuthung: da der
Laur. yoño%c bietet, so môchte ich vorziehen aroypnoet.
Von Karneades heisst es p. 86, 6: xai pèv oùv Ào-
vous, ol émyeroet Abe nor Tadra nai XX raurohlx
nov Evapy@c Ti elvai oo DAIVOUEVWY XAÏ TISTEUOMEVEV,
Em ai eic TOÛE cuomévous éyouev. Zu Anfang ist wohl
tobc uv odv Ayouc zu schreiben, wie bei Kühn, viel-
leicht auch in älteren Ausgaben steht. Ob nachher
nuperoet xatahUetv Tadta (mit Goulston) oder émryerpet
Aer xai rare (mit Chartier) oder noch anders zu
schreïiben sei, lasse ich aROpestans. Statt ivaoy@c Ti
eivar hat Marquardt ëvaoy@c 7 eivar gesetzt: mir scheint
das Adi. nothwendig, also +@v ivaoy@v eivai ao gavo-
LÉVEY.
Die Worte <nv &oyny p. 88, 24 sind nicht mit ëvo-
y@c oiuau GeùdéyJar zu verbinden, sondern mit den
voraufgehenden Worten. Die richtige Interpunction,
N Touaxbrn Oarxahie — où mévoy ox ÉmTiv dois tn Ty
&NwY, GANG oÙdÈ QBacaahie Thv &oynv, findet sich in
der Kühnschen Ausgabe.
Pag. 97, 19: vrac ueyiorac donoes, &c pLaAoTa
mévar — oi méÀecwc BaarAsts véuor xehetcuaiv. Ga-
. lenus benutzt hier eine Platonische Stelle Sympos.
p.196 C: à à dv Etv Exévm émoloyhon, paaiv oi mé-
hoc PasrAñs véto dtxaux eivar, wie Plato das berühmte
Wort Pindars, vôéuos ô mavrwy Basiheus (fr. 169, 1),
vor Augen gehabt zu haben scheint. Ein bisher un-
bemerkt gebliebenes Homerisches Citat (Od. w 249)
_ findet sich bei Galenus p. 109, 16: œbrév dE où oùx
dyasn xomuôn Eye.
Im Gegensatz zum Ballspiel setzt Galenus andere
kôrperliche Übungen (yuuvasix) herab: rà ro ya
aur@v, sagt er (p. 98, 9), &oyobs xai ünvnAobc xai Boa-
des Tnv yvouny éoyalerar ka Yao ka bTot xaTà Ta-
Aaiotpuv movobotv, els ToÂuaaoxiav LAÂAOV 1 Goethe
asxnouv géper. Mit Recht ist Marquardt den Hand-
schriften gefolgt, welche oéce: statt des gangbaren
oépouot bieten: nur war demgemäss das mit vé9e: durch-
aus unverträgliche ësot zu beseitigen durch die Emen-
dation 6x. |
; Pag. 110, 5: idtov tv obdèy dyaddv xexTUEVOL, dei
_ © ëm” dAlotpioc [rai] raie mapa rc TÜyns Etarodmevor.
_ Unter den fremden Gütern, von denen hier geredet
_ wird, sind +à yonuata d. h. die Gaben der Tyche zu
verstehen. Somit ist die Copula xai ungehôrig.
Pag. 110, 11: ñ ebyévax abTn, ëp’ n oeuvüvovræ,
Le
La
TOÏc HATA OAV FAO ÉOUXEV, TAO TOÏS JELLEVOLS
loyüovrar, map” &A AI éoti xESphe. Wahrscheinlich
beruht isyüovræ statt des nothwendigen isyevra nur
auf einem Druckfehler, wie xopuxsiais p. 25, 1. uno
p. 49,7. éyyudev p. 74, 19. xakcc (statt xaxëv) p.
110,14. Baôttev p. 116, 18. érayyeAduevoy p. 116, 23.
Pag. 111, 4: xai MéV Ye xai XUTAYLYVWIXOVTAE MAÀ-
Àov oi dvd£ror moù yévous. Sollte nicht xxi pv xxi zu
schreiben sein?
Pag:111,.25: (Avarapote) TPOZ TIVOS OVEL ne Evoc
êrr BépBapoc ein aa Exbdne, éuoi uév, on, n Tatoi
v y \ + , / = + s
ëveudoc, où dE rh namoiè, révu xaNGc mm A NEA rD nèe-
LAN LA ,
voc GE Fée], uôvoy à ëni T hr aToidt SEUVUVOLEV. El
; \
ydo Entorses Toic psy Hha vod, où ua Tac Té-
het ebpots av EV à Gên vo Le a Tac Sub, LAN
GUTÔ ss robvavriov Ô1X Tobc ayadobc &vèouc EV Tac TÉY.
vous ui Tc matpidas abr@v Lynmoveuouévac. Ein ver-
ächtlicher oder nichtswürdiger Mensch wird wohl rich-
tiger odevès àËios heissen als’ obdevés &£toc Aéyou. Da-
rum halte ich es für wahrscheinlich dass das nach &Zw
stehende Ayou zu streichen sei. Statt ëv 06Ën ist wohl
herzustellen évèc£ouc, obgleich wir lesen bei Iohannes
Sicel. Rhet. VI p. 229, 26: & roAo! xai T@v ëv G6ën
bnTéouy mepi roAAOË TooDvTO LA TEotÉTOUIL, TIÏNAOL
runrièas (vielmehr muet) xaTa sv raporuiav. Das
oben mitgetheilte Dictum des Anacharsis kehrt wieder
im Floril. Monac. 161: GA Euoi uv n matois éverèoc,
où dE Ts mapiècc, WOo Tà raroi zu schreiben ist.
Von Diogenes wird erzählt p. 115, 16: éstiouevos
TaQa TuVe TOV LÈV ÉauToÙ ravTuv dxoPGS rocvevonuéve,
pôvou À Eautob TavTérao Au ehnxo, xpEYapEvoS [0 e
nrüowv, sir ëv x0x}® TEPLTAOT TA cic oUDEV LV Ty
mépi£ Énruoev, abT@ dÈ per W TOCTETTUGE TO deoTotr
ThS oixiac. YaVaxt cobvtoc 0” auroù [xai Tnv œitiuv épw-
r@vToc] obdëv ÉPNTEV pGv oÙTWS QUEANUEVOY TV LATE
ty oixiav @c Exetvov. Nicht Apewbaueves de TTosuy
war zu sagen, sondern ypeudauevos xai nrüswv, Wie
Lucian Catapl. 12: mharb yoewbauevos xai xatartioas
uv, und entsprechend Laert. Diog. 2, 75: avxypeu-
Yapevoc roocémtuse 5 be. Denn das rrûsa ist eine
natürliche Folge des ycéuwbas$a. Nachher ist das un-
geschickte Einschiebsel xai rnv aitiav éowT@vzos zu
beseitigen, das nach dem &yavaxteüvros «broù als über-
flüssig und unpassend erscheint. Es genügte zu sagen
dass der Angespieene seinen Unwillen äusserte; nach
der Ursache des Anspeiens fragen hiess voraussetzen
413
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
ANA
dass Diogenes im Stande war sein Verfahren zu recht-
fertigen, was der Angespieene unmôglich voraussetzen
. konnte, wenngleich Diogenes sich für befugt hielt so
und nicht anders zu handeln°).
Pag. 123, 15: xdv éqixwvTai note sic toùto (näm-
lich yñouc), T@v ‘Ounox@v oùôty dmoheirovra ATV,
«ywot te fuooi re napafAonés r opIaAub» aroteAoù-
ueva. Was den Herausgeber bewogen hat die Worte
4whoi — arotehobweve als Interpolation zu bezeich-
6) Auch an zwei Fe. Stellen, wo dieselbe Anekdote sich
findet, ist die echte Fassung, wir mir scheint, durch spätere Zuthaten
verdunkelt. _ Laertius Diog. 6,32: onratévroe TLVOG GÜTÈV (den Dio-
genes) Etc oixov mohvreh fier xwUOTaG rrûcat], ére1è éxpémaro,
n EUpnAËvaL.
*
À
…
chweises: der Cyniker spie jenen Quidam
an, nicht aus Rache für ein He wun re liches Verbot, sondern weil
er seines Auswurfs sich entledigen musste und bei der glänzenden
Ausstattung des Zimmers einen geeigneteren Ort als das Gesicht
des Besitzers nicht fand. Diogenis Epist. 38, 5: ÉTUGTAV oÙv paot
ET Tv QPUTTE, éxpepbanv TEpEAUGUS àè Tù HAUTE ets rà xÜx\®,
êTeEt Er ot FTÜGau L{réxov] oÙùx Elo, el AUTO ÉTTUGU TOv vEuViGROV.
ToÙ dÈ bep RévoU ÊTI TOUTW, «Elta», Éqnv, COÛTOGD, ELTOY or &E
OvépaTos, «EpLÈ HEUpN ToÙ YEVOMEVOU XX! où GERUTOV ToÙs pv Tolxouc
xat Tu Eddpn XOGHNGUVYTE ToÙ dvèpüvos, x guutov dÈ pLOvOy A ea 50
[axoounrov] etc ei To éunruecda [ xwptov] érTndetov; » Sicherlich ist
axécwntov, wabrscheinlich auch réxey und xwptoy zu tilgen.
nen, ist mir ein Räthsel. Sicherlich aber hat Galenus
nicht épixwvrat geschrieben, sondern astxwvta. Statt
anderer Stellen vgl. Ar. Av. 606: müs Ÿ ëc yñpac
not apitovra.
Pag. 125, 20: wç évi nai yetu@ve xal Jéper cxéTE dat
Eéouar, ws &vunéderor Quatehetv. Der Deutlichkeit wird
gedient, wenn wir statt yemm@v xai dése den Genitivus
4Eu@vos xai Séocus herstellen. Nachher môchte ich
re vorziehen mit L. Dindorf im Thes. Gr. L.
, 2 p. 1049 B. In gleicher Weise habe ich nach den
A ai avuroèntoy statt &vurcèeroy geschrieben
bei Tamblichus de vita Pyth. c. 18 $ 85 p. 63, 2.
Soll die begonnene Auswahl von Schriften des Ga-
lenus ihrem Zweck entsprechen, so. werden die Her-
ausgeber zuvürderst und vorzugsweise auf zuverlässige
und relativ vollständige Mittheilung der handschrift-
lichen Lesarten ihr Augenmerk zu richten haben. Um
den Text des Galenus seiner ursprünglichen Gestalt
allmählich näher zu bringen, bedürfen wir vor allen
Dingen einer festen diplomatischen Grundlage: erst .
wenn diese gegeben ist, kann die Conjecturalkritik
mit einiger Aussicht auf Erfolg operiren.
Paru le 10 décembre 1886.
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T. XXXE, N° 4 et dernier.
BULLETIN
DE L'ACADÈMIE IMPÉRIALE DES SCIENCES DE ST-PÉTERSBOURG.
TOME XXAI.
(l'euilles 28-—3/,36.)
CONTENT.
Page.
C. Sdlomanl, indèd te 1 hioyén-Dersan, E.,..:./.14,,0.0 eee ere dissteerver vus d rites 417—450
\. de RSR OT ODRIE DOUTER IDÉTAl, LE SR ne NE rade den delle 62 dent de de 9 450—464
C, Zahälka. Sur les Phymatelles des couches crétacées en Bohème. (Avec une planche). ................ 464—47
e) 4
A, nager Contributions à la connaissance géologique du gouvernement de Pskow. (Avec une planche). 473—484
= Sur quelques roches métamorphiques de l’Oural contenant le graphite et le grenat. (Avec
une SU) AE MNT UNS ne à PS UNS Te Ne RTE SUN van EN des re dlénret rentes des net de 484—49
RER D ONE DOTE PAURIDRS.. 122 er nid Jaten caro séismes aev rates SU u nt die 496—508
Dire Cat RE Haoterohes Hrdrolomiques ALEL..4,, ini Leeds esse needs ses mere dei à 508—532
Imchénetzky et Bouniakowsky, Sur un nouveau nombre premier, annoncé par le père Pervouchine.
E don FapDort à l'ACAOQIE., eue uen ne sense nnhe soso Es eee 4e eee en 532—533
N. Warpachowsky, Notices sur les espèces du genre Phoxinus qui se rencontrent en Role sui ie, 533—536
C, Salemann, Rapport sur les matériaux pour la dialectologie persane recueillis par M. V. ee 537—540
0. Struve, La nébuleuse près de c Orionis. (Avec une planche). ..................................... 540—544
W. Radloff, Rapport préalable sur un voyage en Crimée en 1886#................................... 544-550
— Rapport sur deux notices de M. N. Katanoff contenant des matériaux pour l'étude du Sagaï... 550—554 .
Ci-joint le titre et les tables des matières du tome XXXI du Bulletin.
Imprimé par ordre de l’Académie re des sciences.
Avril 1887. C. Vessélofski, Secrétaire tes
Imprimerie de l’Académie ta rite des sciences.
(Vass.-Ostr., 9° ligne, X 12.)
BULLETIN
DE L'ACADÈMIE IMPÉRIALE DES SCIENCES DE \T-PÉTERSBOURG.
Mittelpersische Studien, Von C. Salemann, (Lu le 28
octobre 1886.)
,
ERSTES STÜK.
Ganjeshäyagän, Andarze Atrepât Märäspandän, Mädigâne Chat-
rang, and Andarze Khusroe Kavätän. The original Péhlvi text; the
same transliterated in Zend characters and translated into the Gu-
jarati and English languages; a commentary and a glossary of select
ords. By Peshutan Dastur Behramji Sanjana. Bombay
ee 1254 = 1885. 8°.
Lange jare hindurch ruhte ein dichter nebel von
misverständnissen und falschen hypothesen auf der
wunderlichen sprache, welche wir mit dem namen
Pehlevi zu bezeichnen gewünt sind, und verhülte
dem forschenden geiste das ware wésen der selben,
biB auch hier das licht der erkentnis durch drang.
Das sonderbare conglomerat auB iranischen, semiti-
schen und ganz unbestimbaren elementen, welches
einer der vildeutigsten schriftcharaktere noch geheim-
nisvoller erscheinen lieB, diser Proteus von sprache,
entpupte sich endlich, dank der bekanten notiz des
Ibn Mugaffa, als echt iranisch, indem alle nicht-
iranischen bestandteile in den texten in irem waren
werte—als ideogramme-—erkant wurden. Dise schon
von Westergaard geante und von Olshausen aub
gesprochene lüsung des rätsels hat Nüldeke in seiner
übersetzung des «Kärnâämak» (auf dessen text wir
noch immer warten) mit glänzendem erfolge weiter
gefürt, und ich wüste nicht, daB die von im ‘) und
Darmesteter verfochtene disent auf dir erheb-
lichen widerspruch gestoBen wäre.
Das Pehlevi bildet somit wirklich das ro gesuchte
mittelglid zwischen dem Neupersischen Firdausis
und dem Altpersischen der keilinschriften, so da es
mit vollem rechte den namen «Mittelpersisch» ver-
dient. Es verlonte sich darum, deucht mich, wol der
mühe den versuch zu wagen, ob man nicht, vom Neu-
persischen als dem best bekanten repräsentanten der
1} Vgl. auch GGA. 1882 st. 31 s. 961—980 seine anzeige des phl.
«Minôk i xrad» ed. Andreas und seinen artikel « Pahlavi» in der
Encyclopaedia Britannica gt … vol. XVIII (1885) p. 134—156.
Tome
neueren iranischen sprachbildung auB gehend, in die
lautliche gestaltung, den grammatischen und syntakti-
schen bau seiner älteren schwester, oder vilmer mut-
ter, tiefer ein zu dringen vermôchte, als es biBher ge-
schehen ist, Zwei vorbedingungen aber sind dazu un-
erläfilich: eine gründliche kentnis des Neupersischen,
besonders des älteren, und eine transéription des Peh-
levi, welche den anforderungen an consequenz und ge-
nauigkeit beBer entspricht, als die von versehen und
nachläBigkeiten aller art wimmelnden umschreibungs-
versuche der Parsen, das so genante Pàzend. Noch
weniger kan ich mich mit der von Haug und West
ein gefürten umschreibungsweise befreunden; zwar
auch von anderen gelerten an gewant, treibt sie doch
vorzugsweise in Indien ire tauben blüten, und als bei-
spil davon muB ich leider auch das vor ligende buch
an füren. Dise art zu transcribieren beruht teilweise
auf der neueren traditionellen lesung der Parsen, sie
hat aber den geringen historischen wert, welchen man
jener noch zu erkennen konte, gänzlich ein gebüfit,
dank der einfürung einer ganzen anzal unsicherer ety-
mologien, wobei das streben überal semitisches sprach-
gut auf zu klauben zu den kôstlichsten unformen fürt.
Besonders für zusammen hängende texte ist dise um-.
schreibung vüllig ungenügend: sie gibt nichts weniger
als ein klares bild der originalschriftzüge, geschweige
denn der ursprünglichen sprache, in welcher die ver-
faBer dachten.
Ferne sei es von mir den nutzen ee zu wollen,
welchen die überliferten Pâzendtexte gebracht haben
und noch immer bringen künnen; man solte aber dabei
nicht vergelien, daB das Pehlevi als lebende sprache
den verfafern diser umschreibungen, welche alle in
die zeit der herschaft des Neupersischen fallen, vil zu
fern lag, als daB ir Neupersisch in Awestaschrift von
uns als je gesprochene sprache dürfte an gesehen wer-
den. Anderseits aber hat das conventionelle Pâzend
gewis auf die Pehlevitexte zurük gewirkt, und jene
buntscheckigkeit der büchersprache hervor gerufen, #
bei welcher — ab gesehen von den ideogrammatischen
: - :
Cie NE
419
Bulletin de l’Académie Impériale
420
elementen—uralte und ganz moderne wortformen frid-
lich neben und durch einander gehen konten; ja ich
fürchte, selbst mancher man der Pehlevi zu schreiben
gedachte hat sich dem einfluBe der neueren sprache
nicht gänzlich entziehen künnen.
Dises nebeneinander von altem und neuem à ste nun
gerade, waB die frage nach dem vwirklichen lautwerte
des geschribenen Pehlevi nur noch mer verwirt, und
wir werden, so scheint es, gut tun verschidene schich-
ten des iranischen sprachgutes in unseren texten vor-
auB zu setzen, ja die überliferten denkmäler auch
sprachlich in zwei kategorien zu sondern. Denn eine
vergleichung der sprache der inschriften mit dem
bücher-Pehlevi ergibt meines erachtens die tatsache,
daB erstere noch auf einer älteren lautstufe steht; und
soweit das mangelhafte material ein urteil erlaubt, ist
das die jenige lautstufe, welche sich au der ortho-
graphie der büchersprache zum teil, sowie auB den zu
Arsakidischer zeit ins Armenische ein gedrungenen
lehnwürtern ergibt. Als beispile für die erstere behaup-
tung füre ich an: inschr. AOSYTN mscr. 18h», i. JAN
m. me, Î. ANT M. ex, Î. AND M. 180 mit verdun-
kelung des wurzelvocals, i. TN°nD m. »%e (Darme-
steter’s erklärung Études iran. I, 69 ist mir zu künst-
lich), i. sm m. (4e), i. JN2I%I m. mes. Ebenso zei-
gen die lehnwürter im Armenischen noch keine spur der
erweichung; man vergleiche z. b. wuguwsn çeye, wub fu
covse, qu 1@û, plus ne, guhr we i. 2, uquun-
ce, bpunn x)s, Vupu s)e,, und vile andere, welche das
auBsehen haben als seien sie buchstäblich umschriben.
_ Nennen wir dises die Arsakidische lautstufe des Mit-
telpersischen, so ist auch die jüngere, Sasanidische,
nicht weniger gut bezeugt, und zwar durch die syri-
_schen und griechischen schriftsteller sowol, als durch
die lesungen des «Farhang i pahlavi» *). Man vgl.
m2) es awistäk, nte-2507! Adeofiyavoy s3resenres
2) Ich citiere nach dem abdrucke in meiner «Parsenhandschrift»,
und mag bei erwänung dises schriftchens die gelegenheit nicht vor-
über gehen lafen, wenn auch etwal spät, zwei versehen zu ver-
befern, welche ich mir in dem selben habe lafen zu schulden kom-
men. Zuerst sei constatiert, daB schon Spiegel das von mir behan-
delte manuscript in händen gehabt hatte (Commentar über das Avesta
H He f-rner, daB ich nicht umhin kan Justiÿs berichtigung meiner
falschen angabe über die von im benuzten handschriften des «Far-
hang» (GGA. 1882 s. 1083 N) als vol berechtigt an zu erkennen: da
ich aber zur zal der SR mich ee zu dürfen ich
die ere habe, so wird der geerte herr professor es mir schon zu gute
halten müBen, wenn mir der frenndliche sin or schlubemerkung
noch bif dato dunkel gebliben ist.
Ol&b eh 2950.25) esse» Adurxvarkèd, 522 KaBaône
= ANT m. cm kavâd, pt Ishryéoône i. 9997
m. 144% usw. Ferner findet sich im «Farhang» ein gutes
teil solcher echt persischer würter in älterer schreib-
weise mit irer neueren lesung auf gefürt, z. b. 68,9
seu Sapr — 4 Sahr; 68, 10 42626) rôtastäk — 4262)
rôstâk; 84,7 ne£ mipr — mihr; 82, 12 4re âtinak
(geschrieben 4 s. u.) — 4 âyênak usw. Naturgemäf
‘erweist sich hier der lautbestand des älteren Mittel-
persischen noch fast ganz frei von dem einfluBe jener
lautschwächungen, welche, wol schon vor der zeit der
Sasaniden beginnend und immer weiter um sich grei-
fend, so zersetzend auf die neueren dialekte ein ge-
wirkt haben. Die äuBerst mangelhafte schrift konte
disen lautlichen veränderungen in nur ser geringem
maBe auBdruk verleihen, und daher müBen wir die
rechtschreibung des Pehlevi eine vorherschend histo-
rische nennen. Einen weïiteren beweis für dise laut-
lichen vorgänge im jüngeren Pehlevi gibt uns die
Awestaschrift#) an die hand, deren späte entstehung
wol von keinem mer an gezweifelt wird. Wenn die aw.
spiranten x auB phl. + + a entstanden durch an-
fügung des aspirationsstriches, und auf änliche weise
Ceb auB 5 (?+) e, oder andere zeichen auf ligaturen:
0 auB +, ef auB e, b auB _y (?), & auB » V1, — 50
konte diB ja nur geschehen zu einer zeit, wo der ur-
sprüngliche lautwert der grundzeichen sich in verschi-
dene verwante laute gespalten hatte. Keinem Englän-
der würde es je ein fallen die gruppe ch für & oder
keinem Deutschen die gruppe sch für £ zu verwen-
den, wenn nicht ire schreibung hinter der lautent-
wickelung zurük gebliben d. h. eine historische ge-
worden wäre.
Béi diser sachlage dürfen wir kaum hoffen, auf den
ersten anlauf eine lautliche form des Mittelpersischen
reconstruieren zu kônnen, welche, al den unendlichen
variationen und den mannichfachen eben auB einander
gesezten bedingungen rechnung tragend, ganz con-
sequent durch gefürt und in sich ab geschloBen wäre.
Wir müBen uns bescheiden, sie etwa für die zeit der
lezten Sasaniden zu fixieren, und zwar in der weise,
daB unsere widergabe den übergang des Mittelpersi-
3) Warum ich in den obigen aufBfürungen von de Lagarde’s neu-
esten « Bemerkungen zur Awestaschrift» (Gôttg. Nachr. 1886 M 4
p.158—168) in wesentlichen punkten ab weichen muste, sol in einem
folgenden stücke diser Studien dar gelegt werden.
#
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
schen ins Neupersische nicht al zu schrof erscheinen
lit. DaB dabei dem individuellen gutdünken ein nur
zu weiter spilraum bleibt, ligt in der natur der sache;
doch mit geeinten kräften muB sich das zil wenigstens
- an nähernd erreichen laBen: und so sei denn der ver
such einer solchen umschreibung, wie ich in weiter
unten zu geben wage, der strengsten kritik der sach-
verstindigen empfohlen.
Nach diser etwaB weitläufigen einleitung scheint es
wol an der zeit zur besprechung des am kopfe genan-
ten buches über zu gehen, welches wir als die neueste
bereicherung der an gedrukten texten so armen Peh-
leviliteratur mit der grüsten freude begrüBen künnen‘).
Wenn in den folgenden zeilen ich hie oder da einen
widerspruch gegen die ansichten und die methode des
gelerten herauBgebers laut werden laBen muB, so sei
er versichert, daB es lediglich im interesse der uns
beiden teuren sache geschah. Mügen die einheimischen
gelerten, welche die so lange unzugänglich geblibenen
schätze irer alten schriften zu hüten berufen sind, auf
dem glüklich betretenen wege fort schreiten, und uns
nur immer weiter mit neuen texten beschenken. Es ist
gewisser mafien die nächste pflicht, welche sie, auch
in irem eigenen interesse, zu erfüllen haben, — an uns
anderen aber ligt es, daB das freundlich mit geteilte
material dankbare benutzer und freudige bearbeiter
finde.
Der als herauBgeber des «Dénkard» schon rümlichst
bekante dastûr Peëôtan Behrâmji Sanjänà be-
schenkt uns in disem bande mit vier wertvollen texten,
von welchen drei biBher nur dem namen nach bekant
waren, wärend einer in neuér verbeBerter gestalt er-
scheint. Der band zerfält, nach je zwei blat titel und
dedication in englischer und guzerâtischer sprache, in
lauter einzelne teile in verschidenen sprachen, welche
alle leider besonders paginiert sind. Zunächst in Gu-
zerâti: Vorrede 17 pp., Übersetzung des (I) «Ganj i
Sâyakân» 31 pp., des (II) «Andar? i Âdurwäd» 10 pp.
des (II) «Mâdikân i éatrang» 5 pp., des (IV) «Andar?
à Di ser aufsaz war schon längst geschriben (zu weihnachten
1885) und der redaction einer fachzeitschrift ein gesant, als vu
Darmesteter’s anzeige des buches in der Revue critique, N. 8. XX
(1886) M1 p.1—8, zu gesichte kam. Da dort die + ersten so
ein gehender behandelt sind, s0 genügt es auf disen artikel zu ver-
weisen, welchem der meinige zur ergänzung dienen m
i Xusrov i Kavâdân» 3 pp.; Drukfeler 1 p.; — in
englischer sprache: Preface XXI pp., Preface to the
English translation 1 p.; Translation I 34 pp. II 11
pp. IT 5 pp. IV 3 pp.; Errata 1 p.; — dann folgt ein
pehlevi-guzerâti-englisches glossar 22 pp.; — ferner
von rechts gezält, in Pehlevi: Titel 1 p. I +1 pp. I q
pp. I o pp. IV + pp. Errata F pp.; —zulezt die
transcription in Awestaschrift: I FA pp. II 1#° pp. LI
v pp. IV #* pp. Errata F p.
Die vorrede berichtet über die abfaBungszeit und
den inhalt der edierten texte, gibt notizen über Chus-
rov Anô$irvân und seinen vezir Buzurgmibr, und über
die benuzten handschriften; wir werden ir eee
einiges zu entnemen haben. |
Die erste und umfangreichste schrift «Ganÿ i Sà-
yakân», deren abfaBung wol vil zu früh, in die zeit
Chusrov’s I (reg. 531—579 A. D.), gesezt ist, ent-
hält die weisheitsleren des Vazurgmihr Ce 531), ein
in der orientalischen literatur ser beliebtes und oft
behandeltes thema. Hâggi Xalfa IV p.175 nr. 8015
berichtet, ein phl. buch des gleichen inhalts, welches
deb ab betitelt war, sei unter dem Sâmäniden Nûh b.
Mansür (365—387 A. H. 976—997 A. D.) von Ibn
Sinà ins Persische übersezt worden. Doch scheint es
fraglich, ob diB das selbe ali 4L ist, welches Schéfer
im ersten bande seiner Chrestomathie persane *) ab
gedrukt hat, wo sich auch p. 4 notizen über zwei tür-
kische übersetzungen des büchleins finden. Auf mich
macht Schéfer’s text den eindruk eines aufizuges,
besonders da ich eine volständigere redaction in des
Hamdullâh i Qazvini &S ab $) nach weisen kan
Opeise del ob 5) p.52 Jei). Dise. redaction stimt,
5) Es findet sich auch im British Museum Add, 8994, vgl. Rieu
1 52), Sachau Contributions to the knowledge of Parsee literature
JRAS 1870 n. 5. IV, p. 278 (50).
6) Der anfang dises werkes (biB IT,2 uLslisL ESS J> |
obsls incl.) im grundtexte und ruBischer übersetzung, nebst ei-
er fleifigen biographisch-bibliographischen einleitung, ist als hie-
sige doctordissertation gedrukt worden unter dem titel: «Hcropuse-
ckia maBreueria» agropa Xamxyaasi Rassumekaro. CE npexncaosiems
OÛB UCTOPHIECKUXE UCTOHHUKAXE H HPAABICHIEME TEKCTA CB UE-
PEBOTOME |’. Mestrymona CII6. 1873. 80, tit. ind. LXXXI. Ie u.
06 pp. Der nows verzügerte die herauBgabe seines
werkes, es es doch noch bewerkstelligt werden kan. Mein
exemplar gs vas ich
Mods a . S. Oldenburg, der mich auc die über-
a es SR bei Sachau und Anquetil PES EE
acht hat
98%
der liebenswirdigkeit eines De en Zu
423
Bulletin de l’Académie Impériale
so vil ich sehe, mit unserem texte fast gar nicht über-
ein, eben so wenig wie die dem selben weisen bei
Masüûdi II 206 zu geschribenen zwülf sentenzen.
Ganz anders stehts mit dem «Sähnâma», worauf der
herauBgeber schon selbst hin gewisen hat. Firdausi
fürt (VI, 291 der kleinen Mohl'schen übersetzung)
merere sätze fast würtlich gleich an, so daB man ver-
muten müchte, im habe, wenn nicht das original selbst,
so doch eine genaue übersetzung des selben vor ge-
legen ?). Ferner entneme ich der vorrede, daB eine
zimlich getreue widergabe unseres textes enthalten sei
im > Uls,l («printed and published in Persia in the
Yezdezardi year 1246 by Mr. Manekji Limji Hoshang
Hataria»®) p. 49—66: Rieu II 441 kent dise auBgabe
nicht). Das vor ligende werk, auch «Kârnämak i Va-
Zargmihr i Bôxtakän» benant, ist zuerst von Haug
Essays” 111 erwänt worden (nach der handschrift des
«Pahlavi Sâhnâämak» A. Y. 691 — 1322 A. D. in
der bücherei des dastürs Jâämâspji zu Bombay, deren
inhalt ib. p. 109—111 auf gezält wird), und findet
sich auch unter seinen handschriften in München
X: 16,1) unter dem titel «Pandnâmak i Vazurgmihr» °).
Dem heraufgeber standen drei andere handschriften
zu gebote: eine datiert Samvat 1067, die andere da-
tiert A. Y. 1131, beide im besitze des dastürs Edalji
Dorabji Rustamji Sanjana, die dritte datiert A. Y.
1148 in einem sammelbande der bibliothek des «Parsi
Panchayat» zu Bombay. Alle drei handschriften sind
der reiïhe nach von einander copiert.
Der zweite text ist hier «Andarz u frahang i anû-
Sakrovän Âdurwäd i Märspandän» betitelt. Es ist die
selbe schrift, welche Sheriarjee Dadabhoy 1869
in Bombay als.Haug’s Prize Essay herauB gab, und
von welcher im jare darauf bei Trübner & Co. in Lon-
don eine englische übersetzung erschin (vgl. de La-
garde GGA. 1870 p. 1441 ff.—Symmicta I 24— 50).
Eine flüchtige vergleichung beider texte zeigt, da der
7) Darmesteter, I. c., zieht auf einer genauen vergleichung
beider texte den schluB, Firdausi habe noch Fans verstanden.
8) Über ein verdienten vertreter des Parsentums in Teheran
vel. W. ass m >Kyps. Mu. Hap. Ilpocs. 1885, x. & COXXX VII
OTX. 2 CTP. 7 0: 46 uoxoxenin Te6pose Br Tepeiu «, wo er
Mânykau de
9) Villeicht ik die «Réponse d’Aderbad Mahrespand au roi des
Perses» cod. Ang. VII pag. 254 (Anquetil ZA. I, 2 p. xx = Kleu-
ker ZA. I p. xxvij und Spiegel Einleitung IL p. 135) ein fragment
des Pandnämak : Müller’s abschrift dises textes findet sich in der
K. Hof- u. Statsbibliothek zu München als Cod. or. mixt, 8 (Cat. I, 4
p. 130).
peuere wol beBer ist, besonders, wa die saztrennung
an geht; doch werden noch andere handschriften
hinzu gezogen werden müBen, um einen lesbaren text
her zu stellen. Haug L. c. weist das werk in dem oben
erwänten sammelcodex nach, und in seiner eigenen
samlung befinden sich zwei abschriften: M 16, 2) und
NV 17,1). Wenn er ebenda 110, 111 die meinung auB
spricht das andere dem Âdurwâd i Mârspandân zu
geschribene schriftchen «Mâdikân i si rôZ» bilde vil-
leicht die fortsetzung unseres «Pandnâmak», so wird
diser gedanke auch durch die neue auBgabe nicht be-
stätigt. Welche und wie vile handschriften der herauf-
geber benuzt habe, das hat er zu melden unterlaBen.
Die beiden folgenden stücke sind bedeutend kürzer.
Das «Mädikân i éatrang» behandelt die einfürung des
schachspiles auB Indien und die erfindung des nard-
spiles durch den schon oben genanten VaZurgmihr,
und bietet einen recht guten text. Auch dise erzälung
findet sich bei Firdausi VI 306 ff. und im js
ef) JAS XIV p.119 und 139. Zwei handschriften
traktates wies Haug I. €. 111 nach; der herauf-
geber konte drei benutzen, zwei auB seiner eigenen
samlung, datiert A. Y. 627 und 1131, und eine in
der bibliothek des erwänten Parsi Panchayat, datiert
À. Y. 1148. Wie er uns ferner mit teilt, ist seine
Guzerâtiübersetzung diser erzälung zuerst 1854 im
augusthefte eines journals «Jagatpremi» erschinen.
Bibher auch noch nicht in den bibliotheken Europas
nach gewisen ist das lezte schriftchen «Andarz i Xus-
rov i Kavâdän» d. i. Anô$travân. Obgleich in diser
recension der künig, als er zu sterben Kam, seine guten
leren den «leuten» («gêhânikân», die übersetzung hat
«minister noblemen») vor trägt, so findet sich doch
manches an klingende in den ermanungen des selben
an seinen son Hurmuz IV bei Firdausi VI 391 ff.
und Mas üdi II 208. Haug kante disen traktat nur
auB der unter I erwänten alten handschrift, der her-
auBgeber benuzte zwei undatierte copien, deren eine
im selbst gehürt.
Der Guzerâtisprache nicht mächtig, kan ich mich
über die vom herauRgeber verfafite übersetzung nicht
au sprechen; bei der beurteilung der englischen über-
setzung aber, welche Hirji Pestonji Wadia zu ver-
danken ist, darf nicht vergeBen werden, daB sie nicht
auf dem originaltexte beruht, und daher mer einer
_ 425
des Sciences de Saïint-Pétersbourg.
426
paraphrase änlich siht, als einer von streng philolo-
gischem standpunkte auB unternommenen reproduc-
tion der urschrift. Für schwirigere stellen ists mir
daher kaum môglich zu entscheiden, wie der herauB-
geber selbst den grundtext construiert und auf fait.
Eine gute hilfe in solchen fällen künte das bei gege-
bene würterverzeichnis leisten, wenn es nicht bloB ein
«glossary of select words» wäre. Es ist aufrichtig zu
bedauern, daB der gelerte herauBgeber nicht dem bei-
spile seines oben erwänten vorgängers Sheriarjee
Dadabhoy gefolgt ist, und kein volständiges ver-
zeichnis aller in den texten vor kommenden würter
mit stellenangabe gelifert hat, sondern nur ein supple-
ment zu seinen würterlisten beim «Dênkard». Hier s0-
wol wie dort ist mir das bei der auBwal befolgte prin-
cip nicht ganz klar, denn würtern Wie Days, ue,
e»v9, dev u. del. erwartet man nicht gerade hier zu
begegnen. Ferner kan ich auch nicht umhin gegen
- manche der gebotenen erklärungen und etymologien
einspruch zu erheben, da sie wol geeignet sein dürften
schwache gemüter irre zu füren. Für leztere behaup-
tung nur ein beispil. Unter shy65r lesen wir: this
word is composed of the Chald. ÎTS Eye (sic), very
precious and persian >, à stone and means «a precious
stone» i 6 a diamond or a gem. Dergleichen erklärun-
gen, auch gut persischer würter, finden sich nicht
selten, wobei die in quadratschrift wider gegebenen
semitischen wôürter meistens so ser durch drukfeler
entstelt sind, daB erst die nebenan stehende arabische
transcription auf die richtige lesung fürt. Bei einer
künftigen änlichen arbeit würde es sich als zwekdien-
licher empfehlen das etymologisieren ganz bei seite zu
lafen, und lieber anstat dessen die nôtigen belegstellen
auf zu füren.
Es ligt mir nun ob, ein specimen von der art und
weise zu geben, wie ich mir nach den obigen auf-
fürungen die transcription eines Pehlevi-textes denke.
Ich wäle dazu die beiden lezten der in der eben be-
sprochenen aufigabe enthaltenen texte, teils ires gerin-
geren umfanges wegen, teils aber weil sie der recon-
struction und übersetzung keine al zu grofien schwi-
rigkeiten entgegen stellen. In betref der im folgenden
an gewanten umschreibung bitte ich aber beachten zu
wollen, daB bei der aufBwal der zeichen doch wol ei-
nige rüksicht auf die ursprüngliche schreibweise zu
nemen war; denn wie eine tote sprache gelautet habe,
äBt sich ja doch nur annähernd bestimmen.
Das vocalsystem des Mittelpersischen kônnen wir
getrost als mit dem des älteren Neupersischen identisch
an setzen. Für die grammatik genügt es a "), i, u nebst
iren längen, ê und Ô zu unterscheïden; der divhthong
ai ist überauS selten, und für np. # (noch jezt ow ge-
sprochen) finden wir_y ov und e& ow'), welche ich wie
an gegeben umschreibe, Endlich habe ich in der 1 sg.
praes. nach dem vorgange des Pâzend'om belaBen *). Bei
den consonanten: k (k) x g y,ëj,td(ddn,pfbw
(vgl. jüdisch-persisch 3 alt ;) m, jr lv, s z 8 Z,h ge-
nügt es zu bemerken, daB d dem pâz. e np. > (nach .
vocalen) entspricht, Gr k d (nach consonanten) w Z
die erweichten 4 + s e auB drücken sollen. Z für e
schreibe ich aber nur da, wo im Neupersischen ; (nicht
@) entspricht: schon im inschriftlichen jN2?%1 z. b.
muB @ einen mittellaut zwischen ; und ÿ, oder lezte-
res selbst bezeichnet haber, denn wie solte ap. vaz-
raka über *vajrak oder gar *vaërak zu np. J5 HE
geworden sein? Auch g für erweichtes altes k zu
schreiben mochte ich mich nicht entschlieBen, eines
umstandes wegen, dessen erklärung uns die herren
Arabisten werden geben künnen, Warum nämlich er-
scheint pers. g ( (J—= 3, im auBlaute &) in arabischen
schriftwerken bald als à (£)) bald als € Es scheint
einmal, als ob wir an nemen müsten, daB solche würter
auf mundartliche verschidenheiten des Persischen hin
deuten, wie noch zu classischer zeit sowol Si) als
JE, Cr und & u. dgl. geschriben und gesprochen
wurde (vgl. sé, ke, I, 8 und Blochmann’s Con-
tributions to the Persian lexicography JASB. 38 I
(1869) p. 34); andererseits kan man sich aber auch
dem gedanken nicht verschliefen, daB villeicht das
arabische ë selbst zu einer gewissen zeit oder bei ge-
10) Daf die Armenier in einigen würtern für im Mpers. vorauB
zu setzendes a # schreiben, zeigte Hübschmann ZDMG. XXXV
174; doch sind der beispile vil zu wenige, als daB wir bei der lesung
des Phl. darauf rüksicht nemen dürften.
11) Ich verwende die zeichen v 4 und w . altem herkommen
gemäl in um gekertem sinne wie Lepsius. Dagegen habe ich das
j wider in seine alten rechte als consonant zu i ein setzen zu pe
geglaubt.
12) Für altes ahmi lese ich aber ham, denn gs wechselt mit y.
Bulletin de l’Académie Impériale
42S
wissen stimmen noch wie g habe lauten kôünnen, also
volkommen dem pers. Fa entsprach. Dazu ne man
sich vor, da pers. , im Arabischen durch ; wider
gegeben wird, nicht durch eh welches nach der land-
läufigen auBsprache im doch bedeutend näher steht.
Später natürlich trat die analogie und die an genom-
mene schreibweiïse in ire rechte, und jedes pers. v (0)
wurde mit , umschriben; ja die lezten consequenzen
diser sitte haben die Perser selbst gezogen, in iren
misbildungen Gti u. dgl. Zur entscheidung der
oben auf geworfénen frage bedarf es aber einer ge-
nauen und volständigen samlung der ins Arabische auf
genommenen persischen wôürter, mit bestimmung des
Mädiîkân !) i éatrang.
Pa nâm i jazdân. 1. Édûün govénd ku: andar xvadä-
jih i Xusrov*) i AnôSakrovân, ka”) Déwsarm ‘) i va-
Zurg Sabrjàr®) i Hindükänihâ‘), awar Ôzmüdan i xrad
u dänâkih i Érânéabhrikän, u sûd-ic i xvéS nikiridan
râi, Catrang ê juxt’) SâänZdah tâk°) a uzumbrud”) u
SâänZdah tàk àZ jàkand!°) i suxr kard, fristàäd!!) —
awàk ân éatrang haZär u dû sad usturbâr ZATT U asim
u gôhar u murvärid u jàmak, nuvad pil, vas *) ëisi
mâdiki %) kard, awâk fristàd; u Taxtarîtüs #), ëûn andar
Hindûükân pa-viZin ®) büd, awàk fristàäd. U pa *“parvà-
nak 1) édûn niwit éstâd ku: awâjèd !), éûn Sumâ nâm
pa Sähân$ähih [därèd u]*) pa amä bamâk Sâhân Sh
hèd, awäjéd !*) ku dânäkàn 1?) i Sumâ aZ ân i amà dâ-
nâktar bênd: agar ëîm *”) i în éatrang [nê]”") vizärêd,
‘ângâsaë sk u bàzZ fristéd.
2. Sähâänkäh si rôZ zamân xvaäst, u êëi kas nè büd
a4 dânâkân i Érân$abr, ki &îm i ân éatrang vizärdan
Kâjist.
3. Sidigar rôz Vazurgmibr i Bôxtakän ©) awar Ô
pàj éstâd, vas guft ku: anô$ak bed! man éim i in éat-
rang tàk 45) rô% a% ân tm ràj bê nê vizàrd, tàk Sumâ
u har ki pa Érân$ahr hêd bê dânêd, ku *) dtidér Érân-
Sahr mard man dânâktar ham; man ëîm i în éatrang
xvârihà #) vizärom u sûk u bâz
az Dêwsarm istânom;
alters und der heimat der schriftsteller, bei welchen
die selben sich zuerst nach weisen laBen, — eine one
zweifel durchauB dankenswerte aufgabe.
Wie nun auch das urteil über den hier vor gelegten
versuch auB fallen môge einen Pehlevi-text in der form
dar zu stellen, wie er gesprochen, nicht geschriben
wurde, eines hoffe ich wird mein wagestük zur genüge
zeigen künnen, nämlich daB sowol die textkritik als
das grammatische und lexikalische verständnis der
sprache auB solchem tun nutzen zu ziehen vermôügen.
Die folgende übersétzung ist môglichst wôrtlich ge-
halten. ;
Die geschichte vom schachspil.
Im namen Gottes.
1. Also erzält man, daB unter der herschaft des Chus-
row Anôscharuwän, als Déwsarm, der groBe beherscher
der Inder, um den verstand und die weisheiït der Ira-
nier zu prüfen und auch der warung seines eigenen
vorteiles wegen, ein spil schach, sechzehn (steine) auf
smaragd und sechzehn auB rotem rubin gemachi,
sante, — er mit jenem schachspile tausend zwei hun-
dert kamellasten gold und silber und edelsteine und
perlen und gewänder, neunzig elephanten, für welche
dinge ein register gemacht worden (?), mit schikte; und
da Tachtaritus unter den Indern der auRgezeichnetste
war, sante er in mit. Im begleitbriefe aber stand also
geschriben: da ir den namen künig der künige fürt
und über uns künige alle künig seit, so zimt sichs,
daB eure weisen weiser als die unsrigen seien: wenn
ir nun den sin dises schachspiles nicht herauB bringet,,
so schikt dafür tribut und zol.
2. Der groBkünig erbat sich drei tage zeit, doch es
war niemand unter den weisen Irans, welcher den sin
Jenes schachspiles herauB zu bringen vermochte.
3. Am dritten tage erhob sich Wazurgmibr au$ der
familie Bôchtak und sprach: seit unsterblich! ich habe
den sin dises schachspiles biB auf den heutigen tag
auB dem grunde nicht erklärt, damit ir und ein jeder
der in Iran ist wiBet, daB unter den leuten Irans ich
der weiseste bin; ich wil den sin dises schachspiles
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
430
429
AVS, Ver À r ;j
u han *) éêi &is ê?) kunom, à Déwsarm fristom i aÿ*)
vizärdan nê tovân, azaë du bârak sâk u bâZ gîirom; u
pa în awêgumän bêd ku Sumä pa Sähänfhîh arZänik
hêd, u dâänâkân i Sumâ *”) aZ ân i Déwsarm dânâktar
hand. |
4. Sähân$äh si bâr guft ku: zihi°) Vazurgmihr i
Taxtaritüs 1 amâ; vas duàZdah haZâr ditam Ô Vazurg-
mibr framüd dâdan.
5. RÔZ i dudigar®) Vazurgmihr Taxtaritüs Ô pês
xvâst, guft*!) ku: Déwsarm în éatrang pa ëîm i kâri-
Zàr humânâk kard, vas humânâk du sarxvadäj kard,
Sâh Ô mâdijâvarän i®) 6 havik u daënak humânâk, fra-
Zin Ô artéStàrân sardâr humânâk, u asp Ô asovârân
sardàr humänäk, pijàdak Ô ân i ham pijädak humânâk
pês i ram. AZaÿ®) pas Taxtaritüs éatrang nihâd u awâk
Vazurgmihr vâzid, u Vazurgmihr duâdah dast az
Taxtaritüs burd: padaë vazurg râmiën Ô hamâk kisvar
mad.
6. Pas Taxtarîtüs awar Ô pâj éstàd, vas guft ku:
an0Sak bêd! jizad%) în var) u farr u amâvandih u
pêrôzkarih à Sumä dâd, Érân u Ânérân xvadäj hêd.
7. Cand tâk dânâkân i Hindûkân in éatrang ê juxt’)
nibâd pa vas arg%) u ranj, Ô in jàk *) fristàd %) nihâd,
u éëi kas vizärdan né tovân büd; Vazurgmihr i Sumà
az âsn xrad *) i xvés êdün xvärihà u sawukihà bé vi-
Zärd, vaë ân and xvâstak Ô ganj i Sähân$âh vês kard.
8. Sähân$äh dudigar rô% Vazurgmihr Ô pés xvâst,
vaÿ Ô Vazurgmihr guft ku: Vazurgmihr i amà, èt
hast ân &i8 i am guft ku kunom u Ô Déwsarm fristom?
9. Vazurgmihr guft ku: aZ dahjowadän i andar in
‘ haZârak Ardaëir *) kardârtar u dânâktar bùd, u Nèv-
Ardaëir#) & juxt”) pa nâm i Ardaëñir nihom: taxtak i
Nèv-Ardaëtr à Spandarmad zamîk ©) humânâk kunom;
u sih muhrak Ô sîh rôZ u Sawän“) humänäk kunom,
pândah i spêd Ô rôz humânâk kunom u pânZdah i sjâh
Ô Saw humâänâk kunom; gardänàk #) i & tàk Ô vardiën
i axtarân u gardiën #) i spihr “) humânâk kunom.
leichtlich lüsen und tribut und zol von Dêwsarm ne-
men; und wil noch ein anderes ding machen und dem
Déwsarm senden, welches er nicht herauB bringen
kan, und von im doppelten tribut und zol nemen.
Und dessen seit sonder zweifel, daB ir des groBkünig-
tumes wirdig seit, und daB eure weisen weiser sind als
jene des Dêwsarm.
4, Der groBkünig sprach: heil Wazurgmihr unserem
Taxtaritus! und befahl zwülf tausend dirhems dem Wa-
zurgmihr zu geben.
5. Des anderen tages berief Wazurgmihr den Tach-
taritus vor sich und sprach: Dêéwsarm hat dises schach-
spil änlich der ordnung des krieges gemacht, und dem
änlich zwei oberherren gemacht, den kônig änlich dem
mitteltreffen(?) zur linken und rechten, die künigin än-
lich dem hauptmanne der wagenkämpfer, und den
springer änlich dem hauptmanne der reiter, die bauern
änlich jenem selben fufivolke, (das) das vordertreffen
[bildet: läufer und turm felen]. Danach stelte Tachta-
ritus das schachspil auf und spilte mit Wazurgmihr,
und Wazurgmihr gewan dem Tachtaritus zwôlf spile
ab: darob kam groBe freude über das ganze land.
6. Darauf erhob sich Tachtaritus und sprach: Seit
unsterblich! Gott hat solche herlichkeïit und majestät
und macht und sighaftigkeit euch gegeben, ir seit
(warlich) herr über Iran und Aniran.
7. Merere weise der Inder haben dises schachspil
zusammen gestelt mit viler müh und sorgen, hieher
gesant und auf gestelt (?), und niemand war im stande
es zu erklären; (nur) euer Wazurgmihr hat es dank
seiner angeborenen weisheit so leicht und rasch her-
auB gebracht, und so vile reichtümer dem schatze
des groBküniges hinzu gefügt.
8. Der groBkünig berief am anderen tage den Wa-
zurgmihr, und sprach zu Wazurgmihr: O unser Wa-
zurgmibr, waB ist jenes ding, wovon du mir sagtest:
ich wils machen und dem Déwsarm senden?
9. Wazurgmibr sprach: Unter den herschern in
disem jartausende war Ardaschiîr der tätigste und wei-
seste, und (daher) setze ich ein spiel Nèw-Ardaschir
auf nach dem namen des Ardaschîr: das bret des Néw-
Ardaschîr [nard oder trictrac] mache ich gleich der
erde Spandärmadh; und die dreiBig steine mache ich
gleich den dreiBig tag und nächten, die fünfzehn wei-
Sen mache ich dem tage gleich, und die fünfzehn
schwarzen mache ich der nacht gleich; die bewegung(?)
431
Bulletin de l’Académie Impériale
432
180: Évak awar gardänâk édûn humânäk kunom ku
Ohrmazd êvak hast; har nêvakih ôi dâd.
11. Dù édûn humânäk kunom ëûn minôk u gêtik *”).
12. Si édün humânik kunom ëün humat hüxt hu-
var$t u minisn govisn kuniën.
13. Cahâr êédüûn humânâk kunom ëûn ëahâr âmê-
Ziën #), ki mardum aZaë, aë “) éahâr sûk i géhàn:
xvaräsän u xvarbarän *) u nêmrôZ u awâxtar..
14. Pan) édûn humänäk kunom ëün panj rôsanih,
éün xvarsèd u mâh u stärak u âtax$ u varzak i aZ às-
mân àjêd, u pan) gâs i roz u 8aw ‘!).
15. Saë édûn humänäk kunom éün dâdan i dûm pa
Saë gàs i gàsänbâr.
16. Nihâdak i Nèv-Ardaëir awar taxtak #) édün
humänàk Kkunom, &üûn Ohrsal xvadàj kaë dâm à
gêtik dàd.
17. Vardisn u ardiën i i muhrak pa gardänâki édûn
humâänäk kunom ëün mardumän i andar gêtik bôj à
minôkän padvast êstèd, i*) pa haft à duäZdah hamij
vardêènd u “niséwênd ‘*), u ka hast êvak à dudigar za-
nénd u awar éinênd%), ëûn mardumän i andar gêtik
êvak Ô i dudigar zanênd u awar éinênd.
18. U ka pa gardänäki ê gardisn- hamäk *) awar
éinénd, «angôÿidak °’)» i mardum ki hamâk aZ gêtik
vidiriën bênd; u ka dudigar bê nihènd, «angô%idak» 1
mardumän ki pa ristäxèZ hamàäk zivandak awàZ kunénd.
19. Sähäntäh kaë ân saxvan aënûd râmisnik bûd u
framûd duâZdah haZâr asp i tàZik 1 aZ ham môj, ki
pasâxttar %) pa zarr u murvärid; u duâZdah haâr
mard i jovän?), ki pa-vizin i a Dréniahr: duäzdah
baâr zrih i haëtgard); u duâZdah haZàr Samsèr i
pülâftin i virâst i hindük; u duàzdah haZâr kamar i
haftéaÿmak ; u awârik har ëi andar duàZdah haZär mard
u asp awâjist har êi awurnäkihâtar®) pêräjinid, u *)
Vazurgmihr i Bôxtakân awar ÔSân sardâr kard; rôZkâr
_i vizidak pa nêévakdahiën u jazdän ajàrih Ô Hindûkân
eines jeden mache ich gleich der bewegung der ge-
stirne und gleich der umdrehung des firmamentes.
10. Einen (stein) an bewegung (?) mache ich dem
gleich, wie Ormazd einer ist; alles gute hat er er-
schaffen.
11. Zwei mache ich dem gleich, wie himmel und
erde.
12. Drei mache ich dem gleich, wie gute gedanken
worte werke und denken reden handeln.
13. Vier mache ich dem gleich, wie die vier tem-
peramente, auB welchen der mensch (besteht), und die
vier seiten der welt: ost und west und süd und nord.
14. Fünf mache ich dem gleich, wie die fünf lichter,
wie sonne und mond und sterne und feuer und der
glanz, welcher vom himmel komt, und die fünf zeiten
von tag und nacht.
15. Sechs mache ich dem gleich, wie das erschaf-
fen der schüpfung in den sechs zeiten der Gahanbûre.
16. Die aufstellung des Nêw-Ardaschir auf dem
brette mache ich dem gleich, wie als Ormazd der herr
die geschôüpfe auf die welt sezte.
17. Die hin- und herbewegung der steine im laufe(?)
mache ich dem gleich, wie der menschen auf der welt
lebenskraft an die himlischen (kôrper) geknüpft ist,
welche zu siben (planeten) nach zwôlf (bildern) bestän-
dig kreiBen und unter gehen(?), und wenns (zeit) ist,
eines das andere schlagen und beseitigen, gleichwie
die menschen auf der welt einer den anderen schlagen
und beseitigen.
18. Und wenn man......... alle (?) beseitigt, (so
ists) als wie die menschen, welche alle auB der welt
davon gehen müBen; und wenn man sie widerum auf
stelt, (so ists) als wie die menschen, welche man bei
der auferstehung alle wider lebendig macht.
19. Als der groBkôünig dise rede hôrte, ward er er-
freut und befahl zwülf tausend arabische rosse von
gleicher farbe, welche am meisten mit gold und perlen
geschmükt waren; und zwülf tausend junge leute,
welche die auBerlesensten in Iran; zwülf tausend pan-
rer HIt ACRE ou, : und zwôlf tausend stälerne
damascierte (?) indische schwerter; und zwülf tausend
gürtel mit sieben schnallen (?buckeln? auB zu suchen),
und lieB alles andere waB für zwôlf tausend man und
rosse nôtig war aufs treflichste bereiten, und sezte den
Wazurgmihr auB der familie Bôchtak über sie zum
anfürer; zu einer (nach den regeln der sternkunde)
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
434
20. Déwsarm i vazurg Sahrjàr i Hindükânihà kaëân
. pa ân âyénak %) did aZ VaZurgmihr i Bôxtakân ëahal‘)
rôZ zamân xvâst; éèi kas né bûd az dânâkân i Hindü-
kân ki ëfm i àn Nêv-Ardaëir dânist: Vazurgmihr du-
digar ham and ân sâk u bâZ aZ Déwsarm istad, u
pa vihdabiën u vazurg awrang awâz 6 Érânèahr âmad.
21. Vizàriso i ëîim i Catrang in ku: ëi a$%) — pa
nérôk i az àn éün danàkàn ti) guft éstéd ku «pérô-
%ih%) pa xrad barënd ®)»— az hô$ zên i xradik ©)
mâdakvarihà dânistan. VàZidan i éatrang în ku: niki-
risn u tuxSisn i pa nikâs dâStan i awzâr 1 xvad; vés
tuxSièn, éûn Ô burdan Sâjistan 1 awzàr i Ô i dudigar; u
pa umêd i awzär i à i dudigar burdan Sâjistan râj
dast i vad nê vâzisn. Hamvär awzàr i évak i pa kàr
vâzänik ?) pa pahrêz dâriën; nikirisn i®?) bundakmi-
nisnihà vâZanik, édûün éün andar âyènak dahmak fràZ
à éstêd ?).
Anmerkungen.
1) »des ist villeicht mit dem arm. duunbut Zzu-
sammen zu stellen.
2) Hier immer :Ÿ+» geschriben; ich habe mich an
die gewünlichere schreibung y gehalten.
3) Anstat £ lese ich :6, welches wie s0 oft felerhaft
für +# steht; überhaupt werden ;6 kî «welcher» + ka
«als» und æ ku «daB» nur zu häufig mit einander
verwechselt.
4) Im syr. re À u Damnag 82) Debascherim,
im arab. u. s. w. >, Skr. à AT ; phL. 4e» (ob in
de Déwéarm zu corrigieren, wegen A = + (?).
5) Bei der in sex nv de erhaltenen ältesten schrei-
* bung bezeichnete < von anfang an die spirans p, welche
aber im Mpers. längst in h über gegangen sein muste;
im Päz. wird freilich z. b. noch -&@ geschrieben
wird, nach analogie des Awestischen.
6) Man beachte die pluralform, welche noch ; 20
wider vor kommt,
Tome XXXI.
auB erwälten zeit, in wolbefinden und mit Gottes hilfe,
kam er in Indien an.
20. Als Dêwsarm der groBe beherscher der Inder
in in diser weise (oder in disem aufzuge?) sah, erbat
er sich von Wazurgmihr auB der familie Bôchtak vier-
zig tage (bedenk-) zeit; (doch) es war niemand von den
weisen der Inder, welcher den sin jenes New-Ardaschir
erkante: Wazurgmihr nam (also) dem Dêwsarm noch
einmal so vilen tribut und zol ab, und kam mit wolbe-
finden und groBem pompe zurük nach Iran.
21. Die lüsung des sinnes des schachspiles ist die,
daB man dazu—in kraft dessen wie etliche weise gesagt
haben «den sig trägt man davon durch verstand» —
die vernunft als geistige waffe in sonderheit erkenne.
Das spilen des schachs ist dises: auf passen und be-
strebt sein zum bewaren der eigenen hilfsmittel; groBes
bemühen, wie in betref des weg nemen künnens der
hilfsmittel des anderen; und in der hofñung (absicht)
auf die hilfsmittel des anderen, wegen des weg nemen
künnens (der selben) unerliches spil nicht spilen. Im-
mer sol man das eine mittel, welches am passendsten
ist zum zuge(?), in hut halten; acht haben auf erliches
ziehen(?), so daB man der sitte gemäf untadelig da
stehe (?).
7) Ich habe y »» vgl. $S 7. 9 var. (wo im texte
er steht, wa man 4,5) lesen künte, wenn das
einen sin ergäbe) vor ziehen müBen, und erkläre SL
9
Es «ein par» d. h. ein saz spilsteine in zwei ver-
schidenen farben; doch ist das nur ein notbehelf.
8) 3 np. alt und vulgär (auch in den dialekten) L
nach zalwürtern; vgl. $ 7 5 se. Somit dürfte man für
5, überall «tâk» (stat des unmôglichen pâz. uv
zu lesen wagen, wie ichs in disem stücke getan; denn
auch das beliebte np. SG oder af BG für einfaches L
ist môglicher weise gar nicht mit der conjunction af
zusammen gesezt; doch vgl.
9) lis dé» für vy65r, ru. H3YMPYAS.
10) vel. Nüldeke in Bezz. Btr. IV 62 N; in den np.
farhangen SSL oder SSL sa dem sites HUAe
vgl. meine aufgabe des ie ne Jus p. FV, 6.
si)
11) Man verbefere sw für new hier und weiïter
noch einige male; die drei verba nerex àmadan «kom-
men» 1erexo fristèdan «schicken» und ere âwurdan
«bringen» werden beständig mit einander vertauscht, à
Bulletin de l’Académie Impériale
436
So ist Ardà V. N. 1,8 gewis «sex zu lesen: u Ô
patijärak i vadbaxt i ahrmôk i darvand i anâkkardär
Araksidar i Hrümâjik i Mujräjik-mäniën awar mad u
bê sôxt — «und dank der unglükseligen feindschaft
des schlimmen übeltätigen Bôsen kam Alexander von
Rûüm der bei den Âgyptern wonende darüber (über
die heiligen schriften) und verbrante sie.» Haug siht
das subject fälschlich in Swve.
12) #e u.s.w. wird im pâz. mit «sub u.s.w. umschri-
ben; ich erlaube mir aber auch a$, wo das v nicht in
die construction zu passen scheint.
13) Dise beiden worte weiB ich weder zu lesen noch
zu construieren, ich folge also in der übersetzung dem
dastür, welcher übrigens .-wveuvç. PEADUIRUE list:
«and an inventory of the articles».
14) Das ist villeicht gar kein eigenname, sondern
ein titel, dessen ersten teil C& «thron» bildet: $ 4
wird Vazurgmibr so genant, und bei Masüdi II 225
heift der zweite vezir des Chusrov Parvêz sl,
(die varianten p. 451). Vgl. jezt noch Darmesteter
Reverb ce. 7 N.
15) »o in composition mit einem substantive bildet
adjectiva, wie & und L z. b. 3,& |, 5 u. dgl.
16) d.i. ai), » de Lagarde Ges:abh. 76. Nüldeke
Mand. Gramm. xxxj, 12. 418 N. Ich coniciere etwal
kün wwŸe für das mir verdorben scheinende 46))e, im
glossary: «a letter, an epistle, an account», eine be-
deutung, welche diser form doch wol kaum zu kom-
men dürfte
17) Eines der beiden ++ muB wol gestrichen
werden, wenn wir nicht eine al zu verschränkte con-
struction zu laBen wollen; an rhetorische widerholung
ist meines erachtens in einem phl. texte nicht zu
denken. Das folgende wve_ habe ich nach der tran-
scription des dastürs hinzu gesezt.
18) Von mir der construction wegen hinzu gesezt.
19) So muB man für 43»» lesen, wie das verb zeigt.
20) Ich habe das wort mit «sin» übersezt, vgl. Bdh.
49,7. 60,18 DK.13,21; eigentlich heifit es wol «urgrund,
ursache»: ge_ # se «deshalb» ib. 17,4. 45,9 ge % €
ib. 63,10 a? ân ëim râi $ 3 unseres textes («)— £ jezt
QsLe 51); ham ëim râ pédà ku sf ar: aé 44 MX.
. 1,14 u ham ëim rà gt ane: qi: b. 13,11 pa hamâ
# ‘im 4dfaaà 1,41; gee, «one grund» AV. 2,14 bè im
Aog.- 31; dazu ëimi-varzinän qomféni MX. 1,1.
An den übrigen mir bekanten stellen steht pe oder çe_
für 6 «warum» oder «denn» mit dem enclit. prono-
men Bdh.60,17.72,4.73,8 AV. 68,19; an beiden lezteren
stellen künte es auch die, von Justi an genommene,
fragepartikel «warum» sein, deren existenz wegen DK.
p.11,8.14.1 3,6.15 etc. Aog.48 im EL zu gegeben werden
muB. Die np. farhange kennen ein FE ( é) L), welches
sie durch | = erklären (Halimi, Surüri, Injü), oder
durch ai), [, as le (Injü) rl, 3, (Rañidi), und be-
legen es allesamt mit einem verse der Ja pud] pl:
Land © “do p25 sb 18 ee LS9E2
re CS à, Cl ro
[2
Für die andere bedeutung füren Injû und Rañidi einen
vers des {ç_veic an, den ich so her stelle:
le as à A6
ms ÿ je KE cite 5
21) Né ist unumgänglich, vgl. $ 3. 6.
22) BiBher sprach man wol fälschlich LS mit a,
Sacy Cal. Dimn. 26. Mas üdi II 206. Nôldeke Ta-
bari 251 N.
23) gw ist nach dem itaie 82,5 #:6» (lis #?),
worin ich den alten stam ima Dites Études I
172) zu erkennen vermeine; vgl. den folgenden text
€
$ 2 d)e),
24) e+ lis ve.
25) Xvär und duëxvâr — ,),3 (jezt «vilis») und
he oder ss = au und «Gwetss: Geldner
K. Z. XXV 478. Studien z. Avesta I, 17 ff; zur bil-
dung des zweiten wortes vel. v&uur muy ex) iuur.
26) wy pâz. ww; der einzige neue dialekt, in wel-
chem das alte anya (Dmst. Études [ 171) seine
ursprüngliche bedeutung bewart hat, ist das Jaghnôbi
(Tomaschek Pamir-Dialekte 14): in den texten
A. Kuhn’s, welche ich augenbliklich bearbeite, kom-
men vor: ani miti «am anderen tage», anj âdam «ein
anderer mensch», anjäkai «anderswo» u. s. w. |
27) Ê «einer» wird oft mit dem gewünlichen » ge-
schriben, anstat mit dem lang gezogenen
28) lis 425 für 2495.
28°) Ich denke so (43) müBen wir für #3 der auf-
gabe lesen, vgl. $ 1 am ende.
437
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
438
29) So môchte ich für «zik» lesen, doch vgl. die for-
men auf # AVN gloss. 344, yazis Parsenhds. 35
(yt. 1,9), deren entstehung au dem medialen -aësa
doch noch nicht ganz fest steht.
_30) Zu Dmst. Études I, 150, dessen erklärung von
25 ae noch dadurch bestätigt wird, daB von den
übrigen zalen, deren ordinalia eben nicht mit -tija
gebildet werden, änliche formen nicht nach zu weisen
sind, môüchte ich zu bedenken geben, ob wir nicht
9
noch dem Firdausi die ältere form ,$35> vindicieren
künnen? Es ist einfach das so häufig am versanfange
stehende ss in 588 — wo hat Dmst. L c. 183
die form “Es (sic) gefunden? — zu verändern: denn
die conjunction , ist bei den persischen dichtern immer
enklitisch und lautet à, auBer vof vocalen z. b._ÿ,
v-agar L j v-ayä (alte form L} phl. sw pâz. afro
&wssw) u. dgl., und darf sonst den regeln der metrik
gemäB niemals zu anfang des verses stehen. Bei den
späteren dichtern ist natürlich das auf falscher mo-
dernisierung beruhende Es volständig berechtigt.
31) Wer hier redet, ist nicht ganz klar; môglicher
weise ists der abgesante des dise da #e felt
und die selbe person weiter unten handelnd auf tritt.
32) Worauf beruht die angabe im glossary:
amaussonve adj. regulating, keeping within bounds;
V màä»? Trozdem daB das wort ser plene #spre£ ge-
schriben ist, môchte ich doch lieber an maïidja denken.
Auch habe ich die izâfat hinzu gesezt.
33) Ob 50? vgl. [jure — oJ2
34) rex 5, das À ist î ist schwer zu erklären.
35) Das wort bedeutet nach der tradition «weisheït»,
vel. Vd. 20,2 vareëañhatim æw3 0e m0 06»)
varjômandän, dânâkân éûn Kajus (3 KE 75
varetañhañtem 4» 56pdr (bei Dmst. Études II 294)
Que cp) ls ie eo (D. 297) rar ÉTAT:
(ib. 300); doch re ti ist die erklärung der per-
sichen lexikographen ok DR D vel. Fird., wo wir
die selbe zusammenstellung mit 3 finden:
9 Je übl Les €? Je + és € pri CL s51
(die stelle habe ich leider nicht auf finden kônnen).
Übrigens bitte ich im texte varj zu lesen; auch $ 3
hâtte ich arjänik schreiben kôünnen, wegen &) = jy).
36) Zu >)» arg «effort» im glossary vgl. «alag trouble»
West Pahl. Texts III 146. Im Jaghnôbi heiBit ark
«werk, arbeit».
37) Die etymologie von 3» jàk (?) KL ist unbe-
kant. Da das an lautende np. , fast überall auf älteres
j zurük geht (nur LL w8 aw. Faja? und üte = NPA S
haben », auB g), und da ferner im Mp. kein wort sicher
mit } Dégint, es auch für disen laut kein eigenes zei-
chen gibt, indem in und auf lautendes j durch e, aub
gedrükt wird, — so transcribiere ich mit j die würter
pe jadük, ge Jèm, so jâmak u. s. w.; dagegen »&6 gân
und 56% gurdäk (? Dmst. II 65 vergleicht chordeum»).
Würter wie y «jeh» aw. jahi, «jiv» (West L c. I
Ixxiij) aw. gâuÿ jivja sind erst auB der kirchen-
sprache entlent, wärend jaën (ib. 208) cs hôüchst
warscheinlich altes *jasna reflectiert, nach ap. laut-
gesetzen—aw. jasna-(vgl. ap. vaÿna aw. vasna), und
das einzige für die älteste zeit maB gebende wort, der
eigenname Qaulels aw. jämâspa, auf den münzen
mit ? zu beginnen scheint (ZDMG. XIX 439. XXI 161.
Nôüldeke Tab. 142) wie syr. em, arm. © woum,
38) Corrigiert auB sw. |
39) Corrigiert au va vgl. die variante ve,
widerum ein beispil für die verwechselung der liga-
turen & und w, wie im bekanten vs+ç für #06 jD7.
40) Nach Nüldeke in Bezz. Btr. IV 35 N ist die
lezte silbe beBer mit î (nicht ê) zu lesen; auch die Ar-
menier schreiben l'rwmwohn.
41) So las schon Haug, der herauBgeber hat die
unférmliche umschreibung Vinearthsadar; über das
erste element des compositums vgl. Nôld. Tab. 59 N
und Dmst. Rev. cr. L. ce. 7 N.
42) Die traditionellen lesungen «damîk» und «da-
mân» haben für die lautverschiebung h-z-d absolut
absolut keïinen wert; ir ? ist graphisch das selbe wie
In »6pp TONTN ov MIN.
43) Vgl. das adverbiale sex 6 AVN. 2, 35; auch
im np. ;,#L& kan ich die silbe -ân nicht als das
alte thematische -an- auf faBen, wie Dmst. I 28 N.
262 an zu nemen geneigt ist.
44) Ein troz merfachen vor kommens ($ 10. 17.18)
in bildung und bedeutung mir unerklärliches wort.
45) Dise nebeneinanderstellung der älteren und
jängeren form des selben wortes, welche sich $ 17
widerholt, weist wol auf die späte abfaBung unseres op
0 EN vite el
s. pe dl t
DE | Ro
Pre Pu"2 F: ie dx \ .
Fe
439
Bulletin de l’Académie Impériale
+10
schriftchens hin; doch vgl. auch #51 «» (eigentlich
«xvaÿ u xvaÿ»!) AVN. 3, 18; im Bund. finden sich
beide würter.
46) we» Vd. 19, 44 ist wol verschriben, Justi las
spaÿ; ser an zu zweifeln ist die zusammenstellung
von pwäsa — spihr mit sep: Hübschmann Zor.
Lied 76. 77.
47) Die verschidenen schreibungen Farh. 68,7 trad.
stayà stà stahà kôünnen eben so gut gêti(k) gelesen
werden; solten sie wirklich das aw. sti au drücken,
so gehürt dises wort sowol wie {2 f der Edoecties
terminologie an; lezteres hat sich im np. gegen alle
lautgesetze ation (wie sl ersteres ist ganz ver-
schollen.
48) In der übersetzung «the four elements»; doch
vgl. Qsmel temperies, are deu s. constitutio
corporis Vull. ex C.; JB ,,L e" eo = 3h Gps
à Fe A RC RE Abû Muvaffag ed. Se-
ligmann 5, 14.
49) sic, man erwartet ; u.
50) Im Bundehesch my vgl. IaTkan08B, Apuau-
cxaa reorpaoia VII 8., p. 58 N. Das etymon für QyL.),:
findet sich im Balûüëi: âs-ay, âs-ta «to rise», âsân cri-
sing», rôSäsân «sunrise»; s. Dames A sketch of the
Northern Balôchi language. (Extra nr. JASB. 1880, I).
Calc. 1881 p. 41. 80.
51) Wilson Parsi Religion 115 N. Haug Essays’
159 N
52) Corrigiert auB pue.
53) Felt im texte, die transcription hat «4 zu ge-
sezt. |
54) 5ves vel. 55, doch gibts im Np. kein zeitwort
#*OJsss; unhaltbar ist «néhipénd» von «néhîpiîtan to
proceed retrogressively (said of a planet)», welches
doch zu belegen war. Das simplex sehe ich in aui
op U. S. W.
55) Vgl. Ce » «auf pflücken, weg räumen»;
Me 5.4 der varr. passt durchauB nicht.
56) Villeicht ist hier und weiterhin »# zu lesen.
57) Traditionelle auBsprache; West Pahl. Texts
I 25 hat mit recht im ersten teile »» — êdûn erkant,
der rest bleibt aber noch dunkel.
58) Corrigiert \+)pw»# auB Meuse «pésidtar». Es
ist hier warscheinlich zusammen gesezt auB pa und
Cable pare F5 und Qu) S'PE also «gesattelt,
auf gezäumt»; doch lieBe es sich auch als particip
eines verbs pasäxtan (volbringen) auf fassen: «vol-
stindig an getan, geschmükt». AuB der bedeutung
«volbringen» entwickelte sich die andere «eine wun-
dertat volbringen, sich einem ordal unterziehen»,
welche ich an folgenden stellen glaube an nemen zu
müfen. In der übersetzung des AVN. 145 fürt Haug
ein citat auB dem «Dénkard» an, wo drei und dreïlig
verschidene arten von gottesurteilen erwänt werden;
dann heilt es weiter: vaë ayénak êvak ân i vidäxtak
rôd (gedr. :):) awar kas rêxtan, ëûn hüfravard Âdur-
wâd i Mârspandän pa pasäxtak i awar dên, padas
bôxtan âkâsih andar géhân (vi)stardak, waB wir etwa
so übersetzen künnen: «Und die eine art davon ist
geschmolzenes erz auf jemand giefen, wie (es mit dem)
hochseligen A. M. (geschah) beim ordal über die lere,
durch seine erlüsung (wurde) die kunde (von der lere)
in der welt verbreitet»; ein par zeilen hüher steht
var pasäxtak «var performance». An einer anderen
ebenda 144 an gefürten stelle des selben buches heïft
es: u pa vidäaxtak rôd pasäxtan i hûfravard Âdurwâd
i Mârspandän [u] bôxtan «und durch des hochseligen
À. M. sich dem ordal des geschmolzenen erzes unter-
ziehen (und) seine erlüsung (darauB}». Danach ist nun
auch AVN. 1,16 zu verbeBern: tâk ân ka zàd hûfra-
vard anôSakrovän Âdurwäd i Märspandän, ki padaë,
pa [palsâxt i pa dên kard, rôd i vidâxtak awar var
rêéxt «biB daB geboren ward der hochselige unsterb-
liche A. M., welchem beim ordal, dem er sich für
die lere unterzog, geschmolzenes erz auf die brust
gegoBen ward»: von «the tale (das müste von Y sañh
ja sâst heifBen!) which is in the Dinkard» kan hier
also nicht mer die rede sein. Der selbe aufdruck muB
sich noch finden im urtexte von Bahman Jaët 2,199,
wo West übersezt «with the prepared brass»; zur
[sache vgl. noch Sâjist né Sajist 15, 16. Skandgomäntk
Vizâr 10, 70.— Solte nicht Te ë je) caussativ zu
Cp (V saë) sein ?
59) Man kôünte ebenso gut guën lesen, doch passte
das nicht zur überliferung (vgl. zu Farh. 72,13 note v),
und ich ziehe es vor hier ein verschlungenes ; (für 1» ir)
Zu sehen, wie in & j’2 und um gekert | für > in 0
Farh. 70,7. _, für 3 Pahl. Pâz. GL. 21,7 ist fraglich,
da der St.-Petersburger codex #_y mit y» «avâm»
A
des Sciences de Saïint-Pétersbourg.
44?
umschreibt (Farh. 85,7), ebenso wie die ser gute hds.
K 25 fol. 73 r zeile 1, indem sie _y für » nemen.
60) In der transcription «haft-gérté octuple ar-
mours»; die bedeutung von gard kenne ich nicht.
61) ewwssue Spiegel Einl. II 311 $ 11 ist ein
zweites beispil dafür, daB das suffix des comparativs
ans adverb an treten darf.
62) Mein zusaz.
63) Selbstverständlich für rex.
64) Die conventionelle schreibung 3», welche ge-
wônlich T's gelesen wird, ist ursprünglich 5yce» #4
für æ) gewesen d. i. âdènak, vgl. np. ss y)
od. 3, welche doch gewis mit Wet od. avi ver-
want sind, ebenso wie mit av] (tat. al.
65) Oder üihil, oder ëihal? die vocale sind jezt
nicht mer zu bestimmen: np. J{> und
66) So dürfen wir, denke ich, das #e (für #4f)
des textes auf lüsen.
67) Es gibt im Mp. zwei partikeln @&, eine dem
alten «vw «und» entstammend, die andere dem ap. ëij
aw. +9, welche sich noch recht gut unterscheiden
lassen. Nur wenige der neueren dialekte haben dise par-
tikel erhalten, so die mundart der CLR eines dürfer-
complexes bei Ispahân, über welche wir genauere
nachrichten von hrn. mag. V. Zukowski erwarten
(s. den vorläufigen bericht in 3anuckn Bocrouaro Or-
xbuenia M. P. Apxeoxormaeckaro OGmecrsa I, 1 (1886)
p.23—29), In seinen materialien findet sich die phrase:
mun ji vâda bûm «auch ich bin da gewesen», vgl. gû-
râni: gée «ich auch», €) «er auchv Rieu Cat. Pers.
Mss. Brit. Mus. II 73 Im Jaghnôbi haben wir «èu»:
1) ;
Pa nâm i jizad i®?) dâdâr Ohrmazd. 1. Êdün govénd
ku anôSakrovän Xusrov°) i Kavâdän, andar ân han-
gâm *#) ka purgâs bûd, péS az ân ka gân aZ tan judäâk”)
bûd, pa andarz Ô géhânikân guft
Andar i anô$akrovân Xusrov i Kavädän
2(a). ku: éûn ka în gân aZ tan i man judàk bavêd,
in taxt i man awar dârêd, u pa Aspähân ) man barèd,
tavângar avàv: ajab axmaki i$t, tu &’ ît suxanit vaxtim
xu$ akuni, man èu tau xuaë akunim, ki yala û ’tifa-
rim «der reiche man sprach: du bist merkwirdig dum,
du erfreutest mich mit disem deinem worte, ich auch
erfreute dich, darauf korn warum gäbe ich» (Rosen
Narrat. pers. nr. 42 — frno6crie orioxpr 75,6—8). Im
Npers. hat sich die partikel ëi(d) nur in einigen weni-
gen zusammensetzungen erhalten: ces: ap. kañüi],
je ap. Üj, ge od. 2] Yaiva + ti (nicht aita wie
Dmst. wil), ;Ÿ» #hakara + di: auch ;5 nêz (die ältere
form ist im jüdisch-pers. #3 erhalten) glaube ich
hieher ziehen zu dürfen, indem ich es für auB *an-
jadä-ëi (vgl. É auB *kadä) «irgend wie anders» ent-
standen an sehe; Darmesteter’s ableitung von einem
vorauB gesezten *anyañë, *aniè wird dem sin und ge-
brauche der partikel nicht gerecht, auBerdem lautet
die einzige uns bekante schwächste form solcher stämme
nicht, wie im Indischen, -ië- vgl. aw. hävayaëa. Am
lebendigsten aber fült dé &(d) noch herauB in & AA |
«wenn auch», und villeicht in verbindungen wie as
pal, vgl. $ 19 zeiïle 8.
68) So lese ich nach der var. ve_Ÿ’e für e }e.
69) Wie die endung der 3 pl. # oder :£ eigentlich
zu lesen sei, bleibt noch fraglich; doch wol eher ând
als «yên»!
70) Auch die transcription hat das «i», figt aber
noch «va» hinzu.
71) Eine sonderbare bildung, u awäriîk gibt sovil
ich sehe keinen sin.
72) Corrigiert nach der transcription auB nf.
Meine übersetzung dises schwirigen absatzes ist ganz
conjectural.
Testament des unsterblichen Chusrow
son Kawâdhs.
Im namen Gottes, des schôpfers Ormazd. 1. Also er-
zält man, daB der unsterbliche Chusrow son Kawädhs,
zu jener stunde als seine zeit vol war, ehe die sele vom
leibe sich trente, in unterweisung zu den leuten also
sprach:
2(a). Wenn dise sele sich von meïnem leibe Lené
so hebet disen meinen thron auf, und traget in nach
443
Bulletin de l’Académie Impériale
ai
u pa Aspàhän man bè nihèd; pa sar i géhânikân vâng
kunêd ku:
(b). Mardumän! a vinâs kardan bé pahrêzêd, u pa
kirfak varZiën tux$âk bêd; u hir i gêtik pa xvàr dârêd.
(e). Üi77) in ân tan hast, ki dék #) bé în tan bûd, u
in ®) mardum pa si gàm *) nazdéktar bûd, pa har gâs
u zamân ahrâjih u hîr i gêtik bé awzüd;
(d). u im rôz bahr i rimanih râj *) har ki dast awar
nihêd, ângâsaÿ pa baraSÿnüm awâjèd $Sustan, ajow pa
jaZiin i ©) jazdân à hampursakih i vihân nê hilénd *).
(e). Dék Sukôh (94) i xvadàjih ri dast à kas nè
dàd ®), im rôZ bahr i rimanih ràj kas dast awar nê nihèd.
(f). Mardumän i géhân! durûdômand rawêd, râjinièn
pa miniën i râst u ©) kàr-varZikarih, u pa kàr i géhà-
nikän tux$âk u zénävand bêd.
(g). Âyên u padmän pa kâr dârèd, u pa kâr i dà-
distân râd u rästän hamsaxvan bêd.
(h). AndarZ guftärän i gân andarz i njôx$idär ‘*) pa
andàzak Ô kàr u padmân kunêd (sic).
(i). Pa bahr i xvês xvarsand bêd, u bahr i han kas
ma âvarêd; pa dahiën i darjôfân spôz%) u vistärih ma
_ kunêd, bé nikiréd ku, ëûn «apär» ®) béd, xvadäjih u
xvâstak bê Savêd, hir i stawr u duSärm Ô°?) duëxvärîh
u darjôSih bé vidirêd.
(k). Êdar zivandakih andak, u ânô râs i dûr u ha-
mêmâl i Skaft u dâdovar i râst; u kirfak pa âwâm nê
vindênd *).
(1). Druj u pârak kâr nè kunêd, u tan rovân râj nê
padirèd, bê ka vas kirfak kard éstêd, ajow *) pa üin-
vad puhl vidärdan nê tovän: ânû dâdovar êdûn éûn
Mibr u°’) Raën *).
(m). Vihdénan bêd, tâk garôdmanik 3) bêd; awsôs°?)
ma kunêd, tâk farrômand bêd.
Ispahan, und in Ispahan bestattet mich; (dann) rufet
über die leute auB:
(b). O menschen! vor dem sündigen hütet euch, und
zum tun guter werke seit eifrig; und die güter der
welt verachtet!
(c). Denn dif ist jener leib, welcher gestern (noch)
nicht solch ein leib war, und disen menschen um (die)
drei schritte näher war, (und dessen) reinheit und welt-
liches gut an jedem orte (oder zu jeder stunde) und
jeder zeit zu nam;
(d) und heute, — (seiner) unreinheïit wegen — wer
nur immer die hand daran legt, der muB sich durch
das Baraschnom reinigen, oder man läBt in nicht in
die gemeinschaft der guten um Gotte zu dienen.
(e). Gestern reichte (dieser leib), von wegen der
majestät des kôünigtums, niemanden die hand, heute
legt, von wegen der unreinheït, niemand die hand
an (in).
(f). Ir menschen auf der welt! wandelt mit preiB,
man sol fürdern mit gerechtem sinne und tätigkeit,
und in den angelegenheiten der leute seit eifrig und
wachsam.
(g). Sitte und vertrag bringet in auBfürung, und in
den werken der gerechtigkeit seit freigebig und der
gerechten genoBen.
h
CO, DE ONE CO OL NE 2e A VOD EUN MR DS MED GT 0 NL HN DER EN OU PO A DRE UP A Ge
(i). Mit eurem teile seit zufriden, und das teil der
anderen leute traget nicht davon; im beschenken der
armen treibet keinen aufschub und läBigkeit, sondern
haltet im auge, daB wenn ir davon gehet, herschaft
und reichtum vergehen, mächtiges vermügen und ere
sich in bedrängnis und armut wandeln.
(k). Hier ist das leben wenig, und dort ein weiter
weg und ein strenger widersacher (ankläger) und ein
gerechter richter; und gute werke erlangt man nicht
auf borg.
(D. Lüge und schulden (oder: bestechung) machet
nicht zu eurem tun, und den leib erwerbet nicht
um die sele, sondern wenn vile gute werke volbracht
sind, — oder man kan die brücke Tschinwad nicht
überschreiten: dort (gibts) richter als wie Mithra und
Raschnu.
(m). Seit bekenner der guten lere, auf daB ir des
paradises teilhaft werdet; treibet étien spott, auf
da ir verherlichet werdet,
445
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
446
(n). Ci névakih u «sy ®) pa har gâs u pa har kas
Sajéd büdan.
(o). Gêtik pa aspan) darêd u tan pa xân *), névakih
pa kard därêd u bazak pa rôZ-spôz ®), u minôk pa
xvês kuni$n.
3(a). In ëi guft éstèd ku har kas bé awàäjèd dàänistan
ku: aZ kû *) âmad ham, u ëî am êdar ham, vam awàäZ*”)
Ô kû ”) awâjêd Sudan, vam ëi aZaë xvähénd.
(b). U man în dânom ku: a% pô i Ohrmazd xvadäj
bè âmad ham, u stovinidan i druj râj êdar ham, awâ2
à pés i Ohrmazd xvadàj awäjèd Sudan, vam abrâjih
azaÿ xvaähênd u xvéSkârih 1 dânâkän u hamzivisnih i
xrad u évak-viràjisn 1 xîm.
4. AnôSakrovän bàd. Xusrov i Sähân$äh i Kavädân,
ki în andarz kard. Vaë in framän dàd: édün bâd.
Anmerkungen.
73) Disen titel habe ich auB dem guzerâti um
geschriben.
74) Im texte steht +», aber & scheint hier durchauB
nicht zu passen.
75) Die lesung ist nichts weniger als sicher; ich
glaube das wort kan auB juta «getrent» (Vd. 5,54"
157) + j»e zusammen gesezt sein.
76) Beide male defective geschriben we».
77) Ich lese für 1.
78) Beide male bs$e anstat dwéx des Farh., wider
ein beispil für den wechsel der ligaturen # und w;
man beachte den gebrauch des gleich folgenden
79) Man erwartete à, (oder à) für 6.
80) Das sind die drei schritte, welche die dem kür-
per entschwebte sele tun muB, ehe sie ins jenseits ge-
langt: Jt. 22,15. AVN. 4,7.
81) Die selbe ab geschwächte bedeutung von Lu
«anteil» haben wir im np. _# 5).
82) Ist dif nicht eine bestätigung der Geldner-
. schen deutung von pesôtanu als «auB gestoBen»?
83) Darmesteter übersezt in der Rev. cr. 6: Hier
encore cette main, à cause de sa splendeur royale, dé-
|rôZ spôz
(n). Denn gut oder büse sein ist an jedem orte (oder:
zu jeder zeit) und für jeden menschen müglich.
(o). Die welt haltet für eine herberge und den kürper
für eine wonung, das gute haltet für eine tat und die
sünde für eines tages aufenthalt, und daB der himmel
zu eigen zu machen ist.
3(a). Und auch das ist gesagt, daB ein jeder wifBien
mu: wo bin ich her gekommen, und wozu bin ich
hier, und wohin muB ich wider keren, und wa (ists)
worüber man von mir (rechenschaft) verlangen wird.
(b). ÜUnd das weiB ich: vom herrn Ormazd her bin
ich gekommen, und bin hier des verwirrens des Dä-
mons wegen, (und) muB zurük zum herrn Ormazd ke-
ren, und gerechtigkeit (ists) worüber man von mir
(rechenschaft) verlangt, und tugenhañftes tun der wei-
sen, und ein leben gemäf der vernunft, und gleich-
mäfige auBbildung (?) des charakters.
4. Unsterblich sei Chusrow der grofikünig son Ka-
wâädhs, welcher dises testament gemacht hat. Und er
gab disen befehl: dem sei also.
daignait de toucher aucun homme, der dastur besser:
it was but yesterday, that (this body) for (its) royal
splendour was not extending its hand to any one;
subject ist doch wol în tan.
84) em für das gewünliche sw". Der ganze
saz ist mir unklar: solte nicht # > für > saxvan ste-
hen, und der sin der selbe sein wie Jac. 1,22: yiveode de
rotnTa ÀGYou, xai UN LÔvOV &xpoutal....? Der dastur
paraphrasiert: Listen to the admonitions of those who
instruct about the soul and to the precepts of religion
and do the work (connected with it) in a worthy and
honest way.
85) Np. FPE SORT ar das selbe wort müBen
wir wol in ee eÿ $ 20) an nemen, man vgl. die pa-
rallelstelle Min. Xd. 36, 32: vist u nahum, ki vinàs
pa râjinièn u kirfak pa esese ÿ (sic) dârèd Ner. pa
, wonach W est’s neue über-
setzung lautet: who considers sin as to be urged on,
and a good work as a day’s delay. Villeicht heifit un-
sere stelle, wenn man das, bild von der lebensreise
weiter auB fürt: «ein gutes werk haltet für eine ge-
machte (tagereise oder station)»? Vgl. auch 3e» ab-
schnitt, capitel, das sich nicht wol von der V':kart
ab leiten laBen wil.
447
Bulletin de l’Académie Impériale
418
86) Päz. ebenso laut Pandnâmak i Âdurwäd 1869
p. 69 des glossars; vgl. im text $ 134 (140 der neuen
auBgabe): angàr ku dôdak tovânik, bè ka aZ tô «apär»
bavêd, àân zamân tô ràj hamràäs nê àjéd «bedenke, ob
auch die familie mächtig ist (a large family, Dest.),
aber wenn sie von dir (bei deinem tode) fern wird,
dann begleitet sie dich nicht (in jenes leben)».
87) Im texte ;, waB ich in !, beere.
88) Pâz. vañdàädan aw. vind (vend).
_ 89) Im Deutschen klingt dise sazbildung äuferst
vulgär, — aber ich wolte würtlich übersetzen.
90) Vgl. Vd. 13,9". 25° gl. den vers: jajà asti anjô
‘ rasnuÿ razisto. Bei dieser gelegenheit môchte ich
darauf aufmerksam machen, da dise versart (4+7
silben) noch jezt in ganz Iran gebräuchlich ist. We-
nigstens lässt sich nur bei anname einer solchen ur-
form der bau der volkstümlichen vierzeilen im Gila-
nischen, Talysch, Mazanderanischen (Chodzko Pop-
ular poetry 533 ff. nr. 11,63, 77. 556 ff. 569 ff.),
bei Bâbà Tâhir (Dorn Mél. as. V, 418. Clément
Huart JAsS VI, 513 ff), und im Tadschikischen
(s. das mir von hrn. prof. N. Wesselowski mit ge-
teilte liedchen rx. Arroxpi 107) begreïifen. Indessen
müBen wir jezt noch eïnen auftakt von einer oder
zwei silben zu geben, und ebenso die vertretung einer
silbe durch zwei schneller gesprochene. Auf dem echt
iranischen charakter diser versart beruht, glaube ich,
auch die beliebtheit der classischen form der selben,
d. b. des arab. 9 Les 7 (95 yhele yhele),
welche wir schon bei Azraqi (Houtsma Recueil de
textes relatifs à l’histoire des Seldjoucides I ir ff),
und in vilen methnevis (Garcin de Tassy Rhéto-
rique? p. 276 N) finden.
91) Corrigiert auB we): vgl. Aôgem. 110.
92) Corrigiert auB æwe trscr. +4
93) Wie dises wort zu lesen und zu erklären ist,
weiB ich nicht, im päz. findet sich dafür jatar, jatari
und West MX. 8, 17 (27,9 — warum sol jeder neue
bearbeiter von der alten bezifferung ab weichen? —)
hat «the reverse», wol im anschluBe an ser.
94) Ich lese wy für wo» trsCr. sw», WaB ich nicht
verstehe.
95) w ku für kû — LS vgl. AVN. gloss. s. v.
NV; YIK
96) Als ich im Lit. BI. £. or. Phil. II 80,22 auf
den wechsel von £eÿ awâk und M) awâz hin wis, wozu
sich noch einige beispile in den varianten zum Bdh.
finden laBen, war mir eine notiz unbekant, welche bei
der beurteilung des jüdisch-persischen tS3S nicht
übersehen werden darf. Im ç94i, Lüs,s I 99 lesen wir
s. v. 5L folgendes: 45L (be af af L (55le (ilelus
es bye Je Je D ou ot, el lol) Le af Cu)
EP w57* bis nec 8 per er Cul Qjse rep
as ls Le] as Fe aie role ES
ds Fe Abe noch mer: eh bin jezt so nr
biBher so gut wie unbekante praeposition wirklich in
der literatur nach weisen zu künnen, und zwar dank
dem hrn. prof. V. baron Rosen, welcher mich auf
ein rätselhaftes wôrtchen ;L in dem anm. 90 genanten
buche von Houtsma aufmerksam gemacht hat. Ich sah
den text sofort durch und notierte mir, wie ich hoffen
wil, alle stellen an denen das wort als praeposition
gelten muB; und sowol wegen der wichtigkeit einer
so unerwarteten erscheinung, als auch um anderen die
nachprüfung zu erleichtern setze ich meine notizen
volständig her. Dises interessante ;L steht immer an
stelle von «& der gewünlichen sprache, niemals für L
«mit» und zwar in folgenden verbindungen:
a) mit zeitwürtern, welche eine bewegung bezeichnen:
Quel 9,22. 59,16. 66,3. 91,20. 110,3. 111,4 118,4.
126,19. 135,16. 19. 136,17 “(ee instructiv: y (vas
UE ARR Qèrs Hole) 5 D LLs). 148,20.
149,5. 159,4 172,10. 173,7. 177,14. 181,1; in
übertragener bedébténg 1545; sb ,10 Er 5b
af Jel «es kam so weit da).
Qui «gehen» 63,10. 65,22. 85,1. 89,18. 1 14,4. 193,19;
ail ;L «nach hause» 119,11. 185,21.
13) Der früher apres vers lautet:
Die selbe form der praeposition môchte ich auch lesen Sàhn. ed.
Vull. 532 v. 151:
bob L Li >] Je ss Uyusl, vs & 1 Je
anstat ls sir waB gegen das metrum verstôBit.
449
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
450
y 82,20. 167,20. — Jess 152,16.
Qol usos 3,18. 80,21. 81,11. 92,12. 112,18. 117,6.
135,11. 13. 151,11. 161,12. 171,19; ls ;L 200,10.
Ur «535 184,21 Wo zu corrigieren: y UNd (653:
os: Le 72,5. 91,8. 109,7. 144,11. 171,7.
O2 JUS) 35,6. 80,8. 98,6. 114,20. 149,16. 169,12.
175,2. 195,20 (wo beïide D zu recht bestehen);
intr. JL JUS) 189,16.
US ds 41,11. 154,20.
U5p» plis 23,18. 158,21. 168,14. 191,1.
or Vi] 155,15 (gedrukt 3).
LAS JS 153,18; intr. 5L5l 59 160,8.
Dh, 264 cf; s2 108,1
Ce) Dhs Lies 103,11.
DJ ab 50 135,8. — cl 142,8. 6 ;L 135,1.
Uno) 58,12. 67,5. 70,18. 83,14. 146,7. 152,5. 163,18. |:
193,18
JS 129,2. 163,16. 169,5. a5ls ;L 89,19.
Uls 33,8. ss 5 103,10. ;
Us) Le, 5 cfiel im zu» 39,6. 42,2.
Jr Cas 5 43,23 LU.) 28,15 (gedrukt ,L). 50,10.
128,15. Cols) 126,1. Qols 154,19. C3, «sich
bemächtigen» 197,8.
25 pli 5b gs 478. — lé Gi 5b 25 148,5.
b) mit anderen zeitwürtern:
Us 46,16.
Up ol 28,18. 159,10. 29 Li] 26,1.
Dos JL 188,6. — Use JXe 119,22.
De Ces jb 119,21. 145,5. |
C) als besonders bemerkenswert füre ich an:
ss 3b «durch in, dank im» 44,7.
ul #P jk 18350. Lolé # 5b Jéle Luis 181,19.
ol... is 5 91,4. üJal.….… ule 3b 80,0.
Yi € 3b «zu nichts werden» 75,9.
An einer stelle 174,1 hat die handschrift noch ein
pleonastisches & ; sonst schreibt sie für gewünlich ganz
regelrecht , doch auch manchmal L (z. b. mit Gel |
187,6. Qu 62,9. 126,12. 167,15.177,10; als L 196,3.
Jl) 18917. çy5» pla 198,20; und mit verbis lo-
quendi 27,15. 190,14. 192,4) oder L (Gus 182,2)
Tome
oder 4cj (ssl Le 47,16); «sh» (y 97,20). ,
Auch wil ich nicht unterlaBen zu erwänen, daB ;L
sowol in des verfaliers ,s) ,] J® eigenem texte, als
in den stücken vor komt, welche er auB der geschichte
des je cpu] Jail entlehnt hat. |
Wie dises ;L zu erklüren ist, bleibt mir noch zwei-
felhaft. Hätten wir nicht die älteren formen awûÿ,
awàz, s0 lieBe es sich ser wol vom alten pati ab leiten:
pati — pad — bad JD —baz }» (als vulgäre auf-
sprache)—und mit denung bâz ;L. Darum warten
wir lieber neues material ab.
Mursinskit, ein neues Mineral. Von N. v. Kokscha-
row. (Lu le 4 novembre 1886.)
Dieses Mineral kommt am Ural vor, in der Um-
gegend des Dorfes Mursinsk (oder Mursinka, wie man
{es nennt an Ort und Stellé), bei Alabaschka, Ekate-
rinburger Bergrevier, wo es Einschlüsse in den so be-
kannten grossen, durchsichtigen Topas-Krystallen bil-
det. Ich schlage vor dasselbe « Mursinskit» zu nennen,
nach dem Namen der Localität, welche so viele schüne
Mineralien geliefert hat und dadurch weltbekannt ist.
Ich hoffe, dass dieser Name von den Mineralogen gern
angenommen werden wird.
Das Krystallsystem des Mursinskit ist tetragonal:
die Grundform: tetragonale Pyramide, deren Flächen,
nach meinen approximativen wenig befriedigenden
Messungen, in den Polkanten'unter einem Winkel
—127° 31° 40” und in den Mittelkanten
— 77° 23° 28” geneigt sind.
__ a:b:b—0,56641:1:1
(wo a — Verticalaxe, b — Nebenaxen).
Das Mineral kommt in kleinen, schôünen Krystallen
vor. Seine Farbe ist wein- bis honig-gelb. Glas-
glanz zum Fettglanz neigend. Durchsichtig bis halb- :
durchsichtig, Härte 5...6.
Chemische Zusammensetzung ist unbekannt. Das
spec. Gewicht auch noch nicht mit Sicherheiït bestimmt
worden.
Der Mursinskit ist ein hüchst seltenes Mineral. Ich be
kenne bis jetzt nur zwei Exemplare von demselben,
nämlich: einen kleinen Krystall, welchen ich aus einem …
Topas-Krystalle, für meine Untersuchungen, heraus-
Dr on
451
Bulletin de FAcadémie Impériale
. genommen habe und einen anderen, welchen ich auf
seiner primitiven Stelle in demselben Topas-Bruch-
stücke gelassen habe. Der erste von diesen Krystallen
hat ungefähr 2 Millimeter im Durchmesser und wiegt
0,039 Gramm”). P. Nikolajew, Laborant am Berg-
Institut zu St. Petersburg, hat das spec. Gewicht des-
selben zu bestimmen versucht. Mir scheint es aber,
dass wegen der ungemein geringen Dimensionen des
Krystalls man das von ihm erhaltene Resultat nicht
als ganz richtig betrachten kann; —er hat nämlich
das spec. Gewicht — 4,149 gefunden.
Es ist merkwürdig, dass der Mursinskit so selten
ist. Meine ersten Messungen an demselben waren schon
im Jahre 1854 angestellt worden; da aber der er-
wähnte Krystall, nach der Art seiner Bildung, mir
nicht genug befriedigende Resultate lieferte, so hielt
ich es für besser dieselben nicht gleich zu verüffent-
lichen, sondern das Erscheinen anderer Exemplare des
Minerals abzuwarten, welche im Stande wären mir
genauere Resultate zu geben. Leider war es mir
nicht môglich, m Laufe von 32 Jakren, auch nur ein
einziges Stück des Mursinskits zu erhalten, Aus diesem
Grunde habe ich mich entschieden in dieser Abhand-
lung meine alten, so wie meine in neuester Zeit, an
demselben Krystalle erhaltenen Resultate, ungeachtet
ihrer Unvollkommenheiten, zu verôffentlichen. Viel-
leicht werden die künftigen Beobachter glücklicher
sein als ich.
Der Krystall, welcher zur Untersuchung angewandt
wurde, ist hier in zwei horizontalen Projectionen ab-
gebildet: auf Fig. 1 in seinem natürlichen Zustande
und auf Fig. 2 symmetrisch. |
Fig. 1.
Z 9
He
XD si
1) Diese beiden Krystalle befinden sich in der Mineralien-
_ sammlung meines Sohnes.
Dieser Krystall enthält folgende Formen:
Tetragonale Pyramiden der ersten Art.
Pape
Tetragonale Pyramiden der zweiten Art.
= 2Pœ = (a:5b:b)
y = $Peo — (a: 2b : wb)
Ditetragonale Pyramiden.
g.= 5P2 = (a: !b.: £b)
8 — 8P2—(a: ib : :b)
1
| w= mPn—(a:,b :£2b)
o =mPn'= (a: 25b:%b) .
Diese Formen sind hier, nach der Quenstedt’schen
Methode, graphisch auf Fig. 3 dargestellt.
Die Flächen x, und y, sind glatt und sehr glänzend,
die Flächen z,, » und # sind auch ziemlich glänzend,
aber weniger glatt, alle anderen, obgleich glänzend
sind aber uneben und zum Theïl gebogen. |
453 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 153
XYZ 0
PA ss:
7 =P
| DRE
NS / 2e
men
A NN N\ BK
Fig. 3.
À |
Gers 4 x YzS°
Die mit dem gewühnlichen Wollaston'schen Reflexions- ' ne.
Goniometer ausgeführten approximativen Messungen, Le
Da der abgemessene Krystall, ungeachtet seiner Erste Einstellung — 127° 30/ unbefriedigend.
glänzenden Flächen, ziemlich unvollkommen ausgebil- 127 30 ;
det war, so kann man nicht den grüssten Theil meiner Mittel = 127° 30° 0” (a).
-Messungen als befriedigend betrachten. Um besser zu |
zeigen in welchem Grade bisweilen die Differenzen : é Fri ie a =.
zwischen den einzelnen Beobachtungen bedeutend wa- Zweite Einstellung = 127° 32 © (b) unbefriedigend. .
ren, werde ich hier meine. Messungen in ganzer Aus- A DE : Fa 1e
führlichkeit anführen, d. h. wie dieselben in meinem Mittel aus (a) und (b)— 127 31° 0° (1).
Notizbuche eingeschrieben waren.- | ha
455
03: 0,
Erste Di ras — 127° 10° unbefriedigend.
127 90 : »
Mittel — 127° 20 0” (c).
Zweite Einstellung — 127° 15’ unbefriedigend.
127 20 »
124: 4: »
Mittel — 127° 16° 20” (d).
Dritte Einstellung — 127° 20° unbefriedigend.
187.90 »
127 40 ue
Mittel — 127° 20° 0” (e).
Mittel aus (c), (d) und (e) — 127° 18’ 47” (2).
0,50,
Erste Einstellung — 127° 30/ passend.
127 45 »
Mittel — 127° 37° 30” (f).
Zweite Einstellung — 128° 0’ passend.
Bulletin de l’Académie Impériale
127 50
128 0
»
»
dr be |
Erste Einstellung — 102° 25” (a) unbefriedigend.
Zweite Einstellung — 102 O0 (b) »
Mittel aus (a) und (b) — 102° 12’ 30°.
Ya * 08
Erste Einstellung —150° 0’ 0” (a) mittelmässig.
Zweite Einstellung — 150 20 »
150 20 »
Mittel = 150° 20’ 0” (b).
Dritte Gr à — 150° 3” mittelmässig.
150 17 »
Mittel = 150° 10° 0” {c).
Vierte Einstellung — 150° 20° (d) mittelmässig.
Mittel aus (a), (b), (c) und (d) — 150° 12’ 30” (1).
3 * du
Erste Einstellung — 151° 10’ ziemlich,
19120 »
151 20 »
YEOETI0 »
10 0 »
AOL: EU »
Mittel — 151° 12° 30” (e).
Zvweiïte Einstellung —
151° 27’ ziemlich.
Mittel = 127° 56/ 40” (g).
Dritte Einstellung = 127° 25’ mittelmässig.
127 45 »
127 25 »
227: 50 »
28 2 UÙ »
Mittel = 127° 41° 0” (h).
Mittel aus (f), (g) und (h) = 127° 45’ 3" (3).
Also für die Neigung der Flächen der Grundpyra- |
4 _ mide o—P in den Polkanten haben wir erhalten:
(1)= 127° 31° 0”
(2)= 127 18 47
- (3)=127 45 3
im Mittel — 127° 31° 37”.
… Und daher wurde von mir der Winkel—127° 34/40” |
_ für die Berechnung des Axenverhältnisses der Grund-
form angenommen.
150
151
50
0
»
»
Mittel — 151° 5° 40” (f).
Mittel aus (e) und (f) — 151° 9° 5” (2).
Also für die Neigung der Flächen y, zu den anlie-
genden Flächen 0, und 0, haben wir erhalten:
(1) = 150° 12’ 30”
(2)—151 9 5”
im Mittel — 150° 40’ 48”.
Ys © Ty
Erste Einstellung — 173° 10° unbefriedigend.
178 30 »
175 95 »
179: 80 »
179 : 10 »
174 50 »
173 30 »
175::0 »
174 0 »
Mittel — 174° 1' 40”.
457 des Sciences de Saïint-Pétersbourg. 458
Ys * La Us : #
Erste Einstellung — 117° 50° unbefriedigend. à à
8 118 35 : ë Erste Einstellung — 88° 40° unbefriedigend.
117 50 , 15 »
118 5 » 87 40 »
118 30 " Mittel — 87 51’ 40” (2).
117 50 »
Mittel — 118° 6’ 40” (a).
Zweite Einstellung — 117°, 25’ unbefriedigend.
127::20 »
118 10 »
118 10 »
117 40 »
117.00 "He
118 0 »
1185" 0 »
Mittel — 117° 50° 38” (b).
Mittel aus (a) und (b) — 117° 58° 39”.
4? 6,
Erste Einstellung — 107° 15° unbefriedigend.
3 104 40 »
106 10 »
106 45 »
Mittel — 106° 12° 30”.
Ys° 3
_ Erste Einstellung — 88° 0’ unbefriedigend.
0 »
88 0 »
Mittel— 88° 0 0” (a)
Zweite Einstellung — 86° 55’ unbefriedigend.
87 40 »
Mittel— 87° 17° 30” (b).
Dritte Einstellung = re 30° unbefriedigend.
40 »
“ 25 »
Mittel— 85° 31° 40” (c).
Vierte Einstellung — 86° 20° unbefriedigend.
6 50 »
83 :.0 »
86 0
Mittel— 85° 32° 30”
Mittel aus (a), (b), (€) und (d) = 86° 35° 25" (1).
Also für die Neigung der Fläche y, zu den Flächen
&, und 2, haben wir erhalten:
(1) = 86° 35° 25”
(2) — 87 51 40
Mittel — 87° 13° 33”.
Ys : &
Erste Einstellung — 120° 0’ ziemlich gut.
120: 2 Dr.
12070 - »
120 30 » »
120 10 » »
120 10 » »
120 20 » »
120 20 » »:
120 09 ». »
120 35 » »
Mittel = 120° 16° 127:
Ya * So
Erste Einstellung — 62° 40’ ziemlich de
62 45 »
62 20 » »
62 20 » »
62 20 » »
62.50 » »
62 20 » »
Mittel — 62° 30° 43”.
CAR A
Erste Einstellung — 85° 30° ziemlich.
85:30: 1%»
Mittel = 85° 30° 0”.
459
Bulletin de l’Académie Impériale 460
2,5 8,
Erste Einstellung — 128° 40” unbefriedigend.
26.54 »
128 50 »
2 VU »
128 19 »
128 50 »
128 50 »
128 50 »
128 -5 »
194: 0 »
F29 7: D »
137.00 »
Mittel — 128° 20° 0”.
2,70
Erste Einstellung — 142° 40’ schlecht.
142 50 »
148 1075
143 40 »
A3" 0.5
Mittel = 142° 52° 0” (a).
Zweite Einstellung — 142° 50° schlecht.
140. :50: 5
143 20 »
Mittel — 142° 13° 20” (b).
Mittel aus (a) und (b) — 142° 32 40” De
83:
Erste Einstellung — ne 8 (c) schlecht.
Zweite Einstellung — 145 10 (d) »
Dritte Einstellung — 142 40 (e) »
Mittel — 143° 19° 20” (2)
ne 83: 0
Erste Einstellung —144° 0’ schlecht.
144 40 »
. Mittel — 144° 20° 0” (f).
Zweite Eistollung = — 145 50 schlecht.
146 10 »
| Mittel — = 146 0 0” (g).
| Dritte Einstellung — 142° 40°
142 30 Ë
Mittel — 149° 35° O0” (h).
Mittel aus (f), (g) und (h)— 144° 18’ 20” (3).
Also für die Neigung der Flächen 4,, z, und 2, zu
den Flächen o,, 0, und 0, haben wir erhalten:
(1) = 142° 32° 40”
(2)— 143 19 20
(3) — 144 18 20
Im Mittel — 143° 23° 27”.
2
Erste Einstellung — 116° 50’ mittelmässig.
“FES 29 »
Er" 0 »
Mittel — 116° 56° 40” (a).
Zweite Einstellung — 116° 5° mittelmässig.
5 40 »
116 10 »
Mittel = 115° 58° 20” (b).
Dritte Einstellung — 116° 10° mittelmässig.
116,5 »
116 40 »
Mittel — 116° 18’ 20” (c).
Vierte Einstellung — 116° 5° mittelmässig.
115 25 _»
r16 20 »
115 :40 »
Mittel — 115° 52° 30” (d).
Mittel aus (a), (b), (c) und (d) = 116° 16’ 28”.
É% O
Erste Einstellung — 92° 50” (im Mittel), ziemlich gut.
8:75 0
Erste Einstellung — 137° 50° mittelmässig.
4-20 »
10-34 »
Mittel — 137° 35° 40” (a).
Zweite Einstellung — 137° 30° mittelmässig.
1 959 »
Mittel — 137° 30° 0” (b).
Mittel aus (a) und (b) — 137° 32° 50”.
HT OR
Erste Einstellung — 145° 50° mittelmässig.
145 50 he
145 50 »
Mittel — 145° 50° 0” (a).
AG
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
462
Zweite Einstellung — 145° 20° mittelmässig.
145 40 »
Mittel — 145° 30° 0” (b).
Mittel aus (a) und (b) = 145° 40° 0”.
| S2 * 29
Erste Einstellung, À ,;, Lo an a” :: pe
im Mittel }119 20° 0” mittelmässig, :
vie,
Erste Einstellung — 175° 20° ziemlich.
140: 209 »
19:40 »
175 45 »
Mittel — 175° 25° 0”.
d : 23
Erste Einstellung — 141° 15° mittelmässig.
| 140 55 2
41: 20 »
14115 »
Mittel — 141° 12° 30”.
Mot |
A À
Im Mittel — 123° 15° 0” ziemlich.
W:2,
Erste Einstellung — 119° 25° schlecht.
TI 4060
119.59 »
Mittel — 118° 42’ 40” (a).
Zweite Einstellung —119° 0’ schlecht.
18:50 : s
FE9.: 0 »
Mittel — 118° 41° 0” (b).
Mittel aus (a) und (b) — 118° 41° 20”.
Berechnung der Krystallformen.
Wir bezeichnen:
1) In jeder ditetragonalen Pyramide mPn:
; die normale Polkante.....—X,
die diagonale Polkante.... = Y,
die Mittelkante....... ré dm
die Neigung der normalen Polkante X gegen
die Verticalaxe a —*,
die Neigung der diagonalen Polkante Y. gegen
die Verticalaxe a — 0,
die Neigung der Mittelkante Z gegen die Neben-
axe b—,
die Neïigung der Mittelkante Z gegen die Zwi-
schenaxe R — x.
2) In jeder éetragonalen Pyramide der Hauptreihe
oder der ersten Art mP:
qe Polkante cu, R —# @
die Mittelkante .......... PS Re
die Neigung der Fläche gegen die Verticalaxe ai,
die Neigung der Polkante gegen die Verticalaxe
a —=T.
3) In jeder éetragonalen Pyramide der Nebenreihe
oder der zweiten Art mP:
die Poikante "062 CE Cu
die Mittelkante.......... 2:
die Neigung der Fläche gegen die Verticalaxe a—i,
die Neigung der Polkante gegen die Verticalaxe
AL:
Diese Bezeichnung beïbehaltend, erhalten wir durch
Rechnung, aus
a:D = 0,06 ETS TL Re
(wo a— Verticalaxe, b— Nebenaxen), folgende Werthe:
Füro=P=(a:b:b),
IX — 63° 45° 50” ZX 127.51 404
1Z—38 41 44 Z— 77 23 28
i — 51° 18’ 16”
r— 60 28 20.
Für y= 5Pœ = (a : 5b : æb)
1Y = 60° 57’ 41” Y—121° 55° 22”
1Z=43 21 2 — 86 42 4.
i — 46° 38° 58”
r—56 16 34
Für = 2P> = (a : {b : «b)
1Y = 57° b9: 14" Y = 115°.58° 28”
1Z—48 33 48 Li 91 SLT
| i = 41° 26° 12”
PA 0E 10710:
Bulletin de l’Académie Impériale
164
Foré—DbP2 = (a ;iD:Eb)
IX — 64° 45/ 27"
1Y—72 926 58
1Z=—72 28 21
X — 129° 30° 54”
Y— 144 53 56
Z—144 56 42
Les 19 2608
9 —18 24 47
V—63 26 6
r—171 33 54
Für s— 8P2 — (a : :b : :b)
IX — 63° 5833!” X—127°57 7”
1Y—71 55 341 Y—143 51 9
1Z—78 50 2 Z—157 40 4
6 = 12726" 427
po —11 45 13
L—63 26 6
r—71 33 54
Um besser zu zeigen in welchem Grade die durch
Messung erhaltenen Resultate unbefriedigend sind und
wie wenig sie mit den berechneten. übereinstimmen,
geben wir hier die nachfolgende vergleichende Ta-
belle. In dieser Tabelle sind die unbefriedigenden
Messungen in Klammern gestellt.
Neigungen. Berechnet. Gemessen.
#8 == 129" 30 54” s 414 (128720)
2: : % ee GE 47 #7 85 30 ziemlich.
Lu] pe . (144 18)
= 143 11 20 . (142 33)
at) > . (143 :19)
Mittel —(143° 23)
0: 2415 5 80". :U(EI6" 16)
12:00, ==, 92 400. 92 50 ziemlich gut.
“He CE a Due . ( 86 35)
she 85 46 ul: :( 87 52)
Mittel —( 87° 14’)
4 :Ys —120°46 46”...
: | de 127 91
FE 127 81 200. 127 :19
NUE s | | #07: 45
. 120° 16° ziemlich gut.
8,:03 —137 8 20 . 137 33 mittelmässig.
BY; —— 02 90 904%. 62 31 ziemlich gut.
_ S:2; —143 46 43....(145 40)
ds #° 2:49 —120 11.53 .... 119 20 mittelmässig.
Gemessen.
, (1029199
150 13 mittelmässig.
Neigungen. Berechnet.
M0 102 50-03 4%
Vs: 1150 34 31 ΰ
he en
Ya . 151 9 ziemlich.
Mittel — 150°41
Ys:0 —105°18 43”....(106°13)
Ys: % —174 47 14....(174 2)
m2 11940 99: (CR17 59)
vis = = . 175 25 ziemlich.
AR PR — . 141 13 mittelmässig.
UD — . 123 15 ziemlich.
Win — . (118 41).
Bemerkung.
Es ist zu bemerken, dass die Winkel der Grund-
pyramide o— P (Polkantenwinkel — 127° 31° 40”)
des Mursinskits ziemlich nahe den Winkeln der von
V.v.Zepharovich bestimmten Pyramide der zweiten
Art £—3P (Polkantenwinkel — 127° 19° 26”) des
Vesuvians kommen, aber allen anderen Formen des Mur-
sinskits begegnet man dagegen nicht im Vesuvian und
im Allgemeinen hat der ganze Habitus der Mursins-
kit-Krystalle nichts SRMMPCRANEsA PS mit dem des
Vesuvians.
Beitrag zur Kenntniss der Phymatellen der bühmischen
Kreideformation. Von C. Zahälka. (Lu le 4 no-
vembre 1886.)
(Mit einer Tafel.)
Phymatella intumescens, Rôm. sp. aus den Scaphiten-
: (Fig. 1—8).
1864. Eudea intumescens, F. A. LP Palacontographica, Bd. 13,
S. 26, Taf, 11, Fig. 1
1878. Scyphia intumescens, Quenstedt, Petrefaktenkunde, Bd. 5,
S. 392, Taf. 138, Fig. 23—
1878. Phymatella inbumescens Zittel, Sidièn IT, Abh. de M.-Ph.
C1. d. k. bayer. Ak. d. W., Bd. 13, S. 188.
1883. ec inlmésomn, Hinde, ee FE. pi
1884 Poëta, Beiträge IL S. 3
Eine Phymatella éinescoie mit Cana Struk-
tur der Oberfläche und Skelet wurde bisher in der
bühmischen Kreideformation nicht aufgefunden. Im
Folgenden mag auf erhaltene Phymatella intumescentes
hingewiesen werden, welche sich überdies durch Man-
Mittel = 127° 317 mittelmässig.
nigfaltigkeit der Form auszeichnen.
Schichten der Rohatetzer Anhôhe bei Raudnitz a, E:
465
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
466
In den Scaphiten-Schichten der Rohatetzer Anhôühe
aNa vinicich» !), fand ich einige ganze Exemplare und
eine grosse Anzahl von Bruchstücken der Phymatella
intumescens. Dieser Meerschwamm wird im Verhält-
pisse zu anderen charakteristischen Petrefakten dieser.
Schichten selten vorgefunden.
Unsere Exemplare haben gewôhnlich eine walzen-
fürmige, gegen oben zu sich verengende oder eine birn-
fürmige Gestalt. Alle aufgefundene Exemplare sind
etwas zusammengedrückt, so dass ihr Querdurchschnitt
als eine Ellipse erscheint. Oft ist der obere Theil des
Schwammes mehr oder weniger gekrümmt. Am Gipfel
befindet sich eine grosse elliptische Offnung. Wenn
‘der obere Theiïl des Schwammes gerade und aufrecht
ist, dann ist die Offnung horizontal, ist aber der obere
Theïl gekrümmt, so hat dann die Üffnung eine schräge
Lage. Die Basis des Schwammes ist immer mächtiger
als der obere Theil. Die Ursache davon sind bedeutende
kugelfrmige oder unregelmässige Anschwellungen,
welche entweder durch flache Falten oder durch tiefe
in das Innere des Schwammes führende Lücher von
einander getrennt sind. Nach der Anzahl der Anschwel-
lungen, ihrer Gestalt, ihrer Zusammenstellung nach
den zwischen denselben sich befindenden Falten und
Vertiefungen verändert sich sehr die Gestalt eines je-
den neuen Exemplares,welches man findet. DerSchwamm
ruhte auf Stielen, welche aus dem unteren Theiïle des
Schwammes emporragen. Gewübhnlich verengen sich
die Anschwellungen am unteren Theile der Basis, indem
sie in einen kreisfôrmigen cylindrischen Stiel überge-
hen. Nur ein einzigesmal fand ich auch einen sich
verzweigenden Stiel. Auf den Stielen befinden sich
gewühnlich längliche Furchen. Selten sind die Exem-
plare, die nur einen einzigen Stiel haben; gewühnlich
pflegen der Stiele mehrere zu sein. An den Fig. 2 u.
4 abgebildeten Exemplaren sind die Stiele nicht er-
halten und an den Fig. 1 u. 3 ist nur der Anfang
derselben zu sehen. Junge Phymatellae intumescentes
pflegen einfacher zu sein. Die Anzahl der Anschwel-
lungen ist geringer. Ein solches Exemplar, welches
auf der Figur 5 abgebildet ist, hat nur drei kugel-
1) Ü. Z. Geologie vÿäiny Rohatecké u Roudnice n. L. (Geologie
der Rohatetzer Anhôhe bei Raudnitz à. E.). Mit 2 Taf. Sitzb. d. k.
bôhm. Gesellsch. d. Wissensch. 1885.
. Z. Über Isoraphinia texta, Rôm. sp. ete. Mit 2 Taf. Sitzb. d.
Kais. Akad. d. Wissensch. in Wien 1885.
Tome XXXI
formige Anschwellungen, von denen die untere sich
verengt, und auf dieser war der Meerschwamm ange-
wachsen.
Die Offnung am Gipfel des Schwammes bildet die
Mündung eines Centralganges, welcher bis in die Basis
reicht. Auf der Oberfläche des Schwammes befinden
sich zahlreiche kreisformige oder ovale auch unregel-
mässige, 0,5 bis 2 mm. breite Offnungen. Sie sind un-
ragelmassig verstreut. Aus diesen führen in die Wände
des Schwammes horizontale Gänge. Âhnliche Gänge
beginnen nahe unter der Oberfläche und münden im
Centralgange. Auf der Oberfläche des Stieles befinden
sich keine Offnungen. Der Stiel ist durch Vertikal-
gänge durchbrochen. Wenn das Skelet am Stiele ver-
letzt ist, so erscheinen die unter der Oberfläche befind-
lichen Vertikalgänge in Gestalt von Furchen. Die Off-
nungen auf der Oberfläche des Exemplares Fig. 5 sind
verhältnissmässig kleiner.
Die Dimensionen der abgebildeten Exemplare sind
folgende :
obere, Basis- Breite
Läünge b
Exemplar HS Lil Hühe
PAL. 010 7 0 3,9; Do 0. 12 cm.
2... 40 0 2:09 375 8,5 »
Sri A0 DV SN EU D 7,9 »
PARA NNONS N EU OU S 109
» D AN. 208: 11:19. 8 5,5 »
Einige aufgefundene Fragmente weisen nach ihrer
Länge und Breite noch grüssere Dimensionen auf als
die hier angeführten sind. :
Das Skelet (Fig. 6 u. 7) ist aus vierstrabligen
Kürpern von ansehnlicher Grüsse gebildet, deren
Arme glatt und rund sind. Die Enden der Arme sind
mit kurzen, mit wurzelartigen Fortsätzen versehenen
Âsten vergabelt. Auf der Oberfläche findet man zwi-
schen dem Skelete walzenfrmige Nadeln. Am Anfange
des Stieles, welcher bis einige cm. lang zu sein pflegt,
fangen die Arme der Nadeln an sich zu verlängern
und gehen weiter in lange schwach sich verzweigende
Fasern über. Diese Fasern sind schon mit unbewaff-
netem Auge wahrnehmbar. Auf der Fig. 8 ist dieses
Skelet aus dem Stiele nach 60-facher Vergrüsserung
dargestellt, Das Skelet unserer Phymatellen aus dem
Innern des Schwammkôrpers ist grôssten Theiïls in
kohlensauren Kalk verwandelt. Ein geringer Theilistin
Limonit verwandelt und ein noch geringerer hat das
31
467
Bulletin de l’Académie Impériale
16
Skelet noch aus Kieselsäure erhalten. Der Schwamm
enthält viele sehr zarte gerade Fleischnadeln. Auf der
Oberfläche ist das Kalkskelet sehr gut erhalten. Fig. 6
zeigt uns das Kalkskelet der Oberfläche bei 25-facher,
Fig. 7 bei 60-facher Vergrôsserung, und darnach sind
die Abbildungen auch zu beurtheilen.
Auf unseren Phymatellen fand ich nur eine Serpula
(auf Exemplar Fig. 2) angewachsen.
Beschreibung. Eudea intumescens des F. A.Rômer ?)
stimmt mit unserer Phymatella intumescens überein.
Seine Abbildung Taf, 11, Fig. 1 entspricht am mei-
sten unseren Fig. 1 u. 2. Unsere Abbildungen Fig. 3
u. 4 unterscheiden sich von Rômer’s Figur dadurch,
dass sie den oberen Theil etwas gekrümmt haben und
dass die Offnung des Centralganges schräge ist. Aber
solche Abweichungen sind auch bei anderen zu einer
und derselben Art gehôrigen Meerschwämmen bekannt.
Es mügen hier zum Beispiel Quenstedt’s Exemplare
der Phymatella tuberosa *) angeführt sein. Unsere
Exemplare auf der Fig. 3 u. 4 stehen zu den Fig. 1
u. 2 in demselben Verhältnisse wie sich Quenstedt’s
Phymatella tuberosa Taf. 133, Fig. 20 zu derselben
Art Taf, 133, Fig. 18 verhält. Wenn wir die Basis
unserer Abbildungen mit Rümer’s Figur vergleichen,
so ist zu erwägen, wie schon angeführt wurde, dass
nach der Anzahl und der Gestalt der Anschwellungen,
nach ihrer Zusammenstellurg, der Basistheil der Ph.
intumescens sich sehr mannigfaltig gestaltet, wie aus
einigen ganzen Exemplaren und einer Auzahl von Frag-
menten, die ich in einer und derselben Bank des an-
geführten Fundortes auffand, ersichtlich ist. Rômer
fübrt diese Art in der Cuvieri-Kreide am Windmühlen-
berge bei Salzgitter, bei Dôrnten und in der Quadra-
ten-Kreide im Kôhlerholze bei Ilsenburg an.
_ Quenstedt’s Scyphia intumescens“) stimmt auch mit
unseren Arten überein. Eine ähnliche Anordnung der
runden Knoten und des Stieles wie an dem Exemplare
Taf. 133, Fig. 23 fand ich auch an einem Bruchstücke
der Ph. intumescens. Quenstedt sagt auf Seite 394
(Taf. 133, Fig. 25): «Einen ganz anderen Eindruck
2) Die Spongitarien d. nordd. Kreïdegeb. Palaeontographica,
_ Bd. 13, Seite 26, Taf. 11, Fig. 1
La na Petrefaktenkunde Deutschlands, Bd, 5, S, 388—
390,
né s) 5 Péettenkande Deutschland Bd. 5, S. 892—395, Taf. 153,
—26.
machen zwar die grüssern Formen, wovon ich Fig. 25
eine verkieselte Endspitze mit schiefem ellipti-
schem Osculum von der Schmalseite abbilde, allein
es ist dennoch die gleiche nur mehr abgewitterte Spe-
cies, welche der Rümerischen Abbildung (Palaeontogr.
13, Taf. 11, Fig. 1) sehr nahe kommt....» Dieses
Exemplar stimmt demnach bezüglich der Form des
Obertheils vüllig mit meinen Exemplaren Fig. 8 u. 4
überein. Ein schlankes und dünnes Exemplar wie jenes
Quenstedt’s Taf. 133, Fig. 24 habe ich nicht gefun-
den. Als Fundort der Phymatella intumescens führt
Quenstedt den Obern Pläner von Dôrnten bei Salz-
gitter an.
Zittel”) reihte Rômer’s Eudea intumescens in seine
Gattung Phymatella ein. Unser Meerschwamm trägt
sämmtliche Merkmale dieser Gattung. Auch das Skelet
stimmt mit dem Skelete der Gattung Phymatella über-
ein wie sie Zittel abbildet: z. B. bei Phymatella hete-
ropora, Rôm. sp.) aus der Mucronaten-Kreide von Ahl-
ten. Auch das faserartige Skelet am Stiele unserer Ph.
intumescens hat denselben Charakter wie z. B. Zittel
bei dem Stiele der Phymatella tuberosa Rüm. sp.?) aus
der Quadraten-Kreide von Linden bei Hannover ab-
gebildet hat.
Hinde *) führt auch eine Phymatella intumescens
aus Upper Chalk: South of England an und schreibt:
«.…. which is cylindrical in form, tapering near the base,
with irregular hollows in its lower portion. It is 43
mm. in width; the cloaca is cylindrical, about 12 mm.
in width, and extends nearly to the base of the sponge.
The exterior surface is thickly covered with numerous
irregularly disposed canal-apertures 1 mm. wide; the
canals extend in a nearly horizontal direction towards
the centre of the sponge. The fourarmed spicules are
slender with inconspicuous nodules. The specimen is
preserved in Chalk, and the spicular structure has
been changed into reddish peroxide of iron».
In Bühmen wurde bisher nur in Schwefelkies ver-
wandelte Ph. intumescens gefunden. Poëta ?) behaup-
tet nämlich: «In den Sammlungen der k. k. bübhm.
5) Studien über fossile Spongien, I. Abh. d. M.-Ph, CL. d. k.
bayer. Ak. d. W., Bd. 13, S. 138.
6) Dasselbe, Taf. 8, Fig. Fa
7) Dasselbe, Taf. 8, Fig. 3
8) Catalogue of the fossil re Page 58
9) Beiträge zur Kenntniss d. Spongien d. bôhm. Kreidef. II, $. 33.
469
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
470
Universität zu Prag, befinden sich zwei in Schwefelkies
verwandelte Spongien aus den Teplitzer Schichten von
Koschtitz, die dem Âusseren nach mit der von Rômer
gegebenen Abbildung übereinstimmen. Schwammkür-
per einfach, fast cylindrisch, mit ziemlich langem, dün-
nem Stiel versehen, oben allmälig verengt und mit
weiter bis zum Stiele reichender Magenhühle versehen.
In der Nähe des Stieles ist die Oberfläche mit wulsti-
gen und knolligen Auswüchsen ‘und Anschwellungen
versehen, die durch Vertiefungen mit grossen runden
Lôchern getrennt werden. Das Skelet und die feinere
Struktur der Oberfläche nicht erhalten».
Phymatella tuberosa, Rôm. sp. aus den Scaphiten-
Schichten der Brozaner Anhôühe bei Lovosic.
(Fig. 9—14).
1841. Se tuberosa, F. À. Rümer, Die Versteinerungen, T. IT,
1864. Siphonia re | ag : © ms dd, Die Spongitarien, Palaeon-
tographica, Bd. 13, $. 2
1878. Spongites Quensteut Petrefaktenkunde, Bd. 5,
S. 888, Tab. 133, Fig. 1
1878. Phymatella hs Zittel, Studio IT. Abh. d. M.-Ph. CI. d.
k. bayer. AK. d. W., Bd. 13, 8. 138, T. 8, F. 3a.
Südlich von der Stadt Lovosic a. E. erstreckt io
die Brozaner Anhôhe, deren niedere Schichten zur
Kreideformation gehüren. In meiner Abhandlung:
«Prvni zprâva o geologickÿch pomérech vySiny Bro-
zanské» (Erster Bericht von den geologischen Ver-
hältnissen der Brozaner Anhôühe) ®) habe ich auf
Grund palacontologischer Studien darauf hingewiesen,
dass die niedrigsten zu Tage tretenden Schichten, wie
z. B. in der Gegend zwischen Lovosic, Cikovic und
Lukavec mit den Typischen Scaphiten-Schichten in
der Scaphiten-Zone der Turon-Stufe (Oberer Pläner)
in Norddeutschland übereinstimmen.
Der Fundort der bisher in der bühmischen Kreide-
formation nicht vorgefundenen Phymatella tuberosa
ist ein Plänerkalkbruch 1 km. ôstlich von CiZkovic am
Wege von Cizkovie nach Lukavee, wo ich einige Exem-
plare dieses Schwammes in einem bläulichen, weichen,
leicht verwitternden Plänerkalk fand. Letzterer tritt
dort ungefähr 160 bis 166 m. über dem Meere zu
Tage. Ein einziges kleines Exemplar fand ich in dem
fürstl. Schwarzenbergiscien Bruche ungefähr 1 km.
10) Abh. d. k. bôühm. Gesellsch. d. Wissensch. 1884.
ôstlich von Sulevic. Der Plänerkalk, in welchem dieses
Exemplar gefunden wurde, hat dieselben Eigenschaften
und tritt in der Hühe von ungefähr 151 bis 157 m.
über der Meeresfläche zu Tage.
Unsere Schwämme haben entweder eine eifrmige
knollige Gestalt, oder sie sind verlängert, zusammen-
gedrückt cylindrisch. Oben verengen sie sich bedeutend
gegen die Mündung des Hauptcentralganges zu, so
dass der obere Theil kegelfôrmig gestaltet ist. Selten
ist der obere Theil des Schwammes gekrümmt. Am
unteren Theile verengt er sich allmälig in einen Stiel,
der immer abgeschlagen ist. Der Stiel pflegt auch zu-
sammengedrückt zu sein. Der Querdurchschnitt des
Schwammes und des Stieles pflegt bei unseren Exem-
plaren elliptisch zu sein, oft nähert er sich auch dem
Kreise. Charakteristisch ist auch der Oberfläche die-
ses Schwammes eine tiefe Bucht, welche manchmal
wellenfürmig gekrümmt ist und bis *, des ganzen Um-
fanges des Schwammes umfasst, wie es bei Fig. 9 der
Fall ist; nur dass aus der Abbildung diese wellenfr-
mige Form nicht ersichtlich ist, da man nur einen
Theil der Bucht sieht. Oft bildet die Bucht nur einen
einfachen Bogen, Fig. 11. Exemplar Fig. 9, welches
unten einen Spondylus latus Sow. sp. angewachsen
hat, ist am meisten verlängert; Fig. 11 u. 12 hat
eine mehr eifürmige Gestalt.
Die obere Offnung ist die Mündung eines Central-
ganges. Diese Offnung ist elliptisch und ist in Folge
des mehrzugespitzten Endes des Schwammes kleiner
als bei Phymatella intumescens. Der Centralgang ist
cylindrisch zusammengedrückt aber an der Stelle der
tiefen Bucht verändert er seine Form. Fig. 12 ist zu
sehen, dass er sich verzweigt und dass überdies ein
Seitengang in denselben führt, welcher seinen Anfang
im oberen Theile des Centralganges hat. Âhnlicher
Nebengänge sah ich an manchen Exemplaren mehrere.
Der Centralgang hat seine Fortsetzung im Stiele, s0
dass unsere Exemplare, welche den Stiel abgeschlagen
haben, kreisformig oder elliptisch enden (Fig. 10u.11).
Wenn der obere Theil des Schwammes gekrümmt ist,
so ist dann die Mündung des Centralganges schrâge -
zur Längenachse gestellt. Die anderen Eigenschaîften
des Canalsystems stimmen mit der Phymatella intu-
mescens überein, namentlich sind auch auf der Ober-
fläche des Meerschwammes unregelmässig FAseUe 7
zahlreiche Mündungen von Gängen. 5.
31*
AI
Bulletin de l’Académie Impériale
472
Die Dimensionen der abgebildeten Exemplare sind
folgende:
Länge ie Hôhe
Exemplar (von links (von unten
nach rechts) nach Mort nach ben)
Hi ions 4,5 cm. 10 cm.
AE À NE UT 3 » «5,5 »
12! er » 3 » 5,5 »
Ein kleines Éremplar 1,8 » Lt LL
Das Skelet unserer Phymatella tuberosa stimmt mit
dem Skelete der Phymatella intumescens überein.
Fig. 14 ist das Skelet von der Oberfläche der Phy-
matella tnberosa bei 25-facher Vergrüsserung abge-
bildet, wogegen Fig. 13 das Skelet vom Anfange des
Stieles bei derselben Vergrüsserung zu sehen ist, wo
die Arme der vierarmigen Nadeln sich in längere Fa-
sern zu verlängern anfangen.
Angewachsen pflegen zu sein: Spondylus latus, Sow.
sp. und Ostrea Hippopodium, Nilss.
F. A. Rümer führt diesen Schwamm zuerst als Scy-
phia tuberosa "), später als Siphonia tuberosa **) an, und
beschreïbt ihn als «eiférmig, knollig, unten verengt, am
_ Scheitel mit tiefer enger Rôhre, Die Aussenseite zeigt
ein gitterformiges Gewebe mit einzelnen grôüsseren |
Mündungen». Als Fundort führt er die Quadraten-
Kreide des Sudmerberges an. Unsere Exemplare stim-
men mit Rômer’s {uberosa überein. Sie sind gewühn-
lich eiformig, knollig, manchmal aber verlängert, wie s
bei Quenstedt.
Quenstedt führt die Phymatella tuberosa als Spon-
gites tuberosus *) aus der Quadraten-Kreide vom Küh-
lerholz bei Ilsenburg an. Sein stark zugespitztes Stück
Taf. 133, Fig. 18 ist dem unsrigen Fig. 9, bezüglich
der Form und Grüsse ähnlich, aber unser Exemplar
hat die untere Mündung nicht verzweigt wie bei
Quenstedt. Quenstedt’s Taf. 133, Fig. 19 erinnert
uns, bis auf die untere Mündung, welche die Form
_ einer 8 hat, an unsere Fig. 11 und das schiefe Oscu-
lum, wie es Taf. 133, Fig. 20 hat, stimmt mit dem
Osculum unseres Exemplares Fig. 12. Die untere
Mündung unserer Exemplare stimmt mit der Mün-
11) F. “ ES die Versteinerungen des nordd. Kreïidegeb.
Taf. LL.
D F. À. er die Spongitarien, Palaeontographica, Bd. 13,
3 Quenstedt, Petrefiktenkunde Deutschlands, Bd. 6,S. 388—
— 890, Tab. 133, Fig. 18—20.
dung bei Quenstedt Taf. 133, Fig. 20 überein. Solche
Mündungen, welche getheilt wären oder die Form
einer 8 hätten, habe ich bei unserer Phymatella nicht
gesehen. Die Struktur der Oberfläche stimmt vüllig
mit Quenstedt’s Exemplaren überein. Quenstedt
hat Taf. 133 in kleinem Maasstabe das Skelet der
Phymatella tuberosa abgebildet und sagt von dersel-
ben: (sie).... «besteht nämlich auch aus zarten ein-
fachen mit blossem Auge kaum sichtbaren Fäden, die
aber an den Verbindungsstellen eigenthümlich knotig
sich verdicken». Das stimmt auch mit unserer Ph. tu-
berosa überein. Âhnliche tiefe Buchten, wie sich bei
Quenstedt’s Exemplaren vorfinden, bemerken wir
auch bei unseren Exemplaren.
Zittel reihte Rômer’s und Quenstedt’s éuberosa
in die Gattung Phymatella *) ein. Er bildet dann Taf. 8,
Fig. 3a eine Partie des Skeletes aus dem Stiel der
Fhymatella tuberosa aus der Quadraten-Kreide von
Linden bei Hannover ab. Denselben Charakter trägt
das Skelet am Stiele unserer Exemplare.
Erklärung der Tafel.
. 1,2, 3 u. 4. Phymatella intumescens, Rôm. sp. Verschie-
dene Exemplare aus den Scaphiten-Schichten der
Rohatetzer Anhôhe «Na vinicich» bei Zidovic un-
weit Raudnic a. E, */, der nat. Grüsse.
ig. 5. Phymatella intumescens, Rôm. sp. Ein junges Exem-
plar aus demselben Fundorte, wie die auf Taf. IL.
Natürl. Grüsse.
ig. 6. Dasselbe. Eine Partie vom Skelet aus der Oberfläche
der Basis. Nach 25-facher Vergrüsserung gezeichnet.
ig. 7. Dasselbe. Eïne Partie vom Skelet aus der Oberfläche
der Basis eines grüsseren Exemplares. Nach 60-
facher Vergrôss. gezeichnet.
. 8. Dasselbe. Ein Stückchen vom Skelet aus dem Stiel.
Nach 60-facher Vergrüsserung gezeichnet.
« 9. Phymatella tuberosa, Rôm. sp. Ein verlängertes und
stark zügespitztes Exemplar aus den Scaphiten-
Schichten der Brozaner Anhôhe bei Cf/kovic un-
weit Lovosic. Natürl. Grüsse.
Fig 10. Ansicht des unteren Endes von demselben Exemplare.
Natürl. Grüsse,
Fig. 11. Dasselbe. Ein eïfürmiges Exemplar. Auf dem oberen
und unteren Ende beschädigt. Von demselben
Fundorte. Nat. Grüsse.
14) Zittel, Studien I. Abh. d. M.-Ph. CI. d. k, bayer. Ak. d. W.,
13, S. 188. :
à Bulletin
de l'Acad. Imp. des 5e.
Autor delin.
cé
PTS
1
7:
»
|
|
|
|
Î
Ê
F
|
|
g. 5.
Fig. 9. Fig. 11.
Domomunia Pa. Imeuna.
473
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
474
Fig. 12. Dasselbe. Ein eiformiges Exemplar mit einem schie-
en Osculum. Längendurchschnitt, Von demselben
Fundorte. Nat. Grüsse.
Fig. 13. Dasselbe. Eine Partie des Skeletes der Oberfläche
vom Anfange des Stieles. Nach 25-facher Ver-
rüsserung gezeichnet.
Fig. 14. Dasselbe. Eine Partie des Skeletes von der Ober-
fläche. Nach 25-facher Vergrôsserung.
Zur Geologie des Gouvernements Pskow. Von A. Kar-
pinsky. (Lu le 2 décembre 1886.)
(Mit einer Tafel)
Vor einigen Jahren habe ich im Gouvernement
Pskow geologische Untersuchungen angestellt, um die
Frage über das Vorkommen von Steinsalzlager da-
selbst aufzuklären. Diese Frage ist von mir in einem
besonderen Artikel ‘) ausführlich behandelt worden;
die Resultate der Untersuchungen, die aber in keiner
direkten Beziehung zur praktischen Tü6sung der be-
treffenden Frage standen, sind nicht im Druck erschie-
nen, und nur einige derselben durch meine mündlichen
Mittheilungen ?) bekannt geworden. Obgleich ich auch
gegenwärtig noch keine vollständige Beschreibung
der von mir im Gouv. Pskow angestellten Unter-
suchungen geben kann, halte ich es doch für zeit-
gemäss über einige Fakta, deren Beobachtung im er-
wähnten Gouvernement nicht zu erwarten war, Genau-
eres zu verôffentlichen *).
Auf Grund der Untersuchungen von Pander, Gre-
wingk, Helmersen, Rosen, Stuckenberg u. a.
glaubte man gewühnlich, dass im ganzen Pskow’schen
Gouvernement nur devonische Schichten entwickelt
sind, die von glacialen und anderen posttertiären Ab-
lagerungen bedeckt werden. Nach den Beobachtungen
aber, die an der Düna, an der Gränze des Gouv. Smo-
lensk angestellt wurden, unterliegt es keinem Zweifel,
dass die hier entwickelten Carbonablagerungen sich
1) Berg-Journal, 1876, I, p. 179
2) Arbeiten det St. -Petersburger Naturforscher - Gesellschaft,
VIIL, 98.
8) 8) Ich verôffentliche einstweilen nicht die geologische Karte des
Pskow’schen Gouv., da der wichtigste Theil derselben in der inter-
nationalen Ausgabe der «Carte géologique de l’Europe» aufgetragen
werden 8011.
auch auf ein gewisses Areal im südôstlichen Theile
des Pskow’schen Gouvernements erstrecken.
Das Auftreten von Thonen des carbonischen Sy-
stems am Flusse Lowat wird durch einen Hinweis aus
früheren Zeiten auf das Vorkommen von schwarzem,
mit Schwefelkies gemengten und in Alaunerde über-
gehenden Schieferthon nachgewiesen “). Das erschien
um so môüglicher, als im Meridian des Auftretens
dieser Thone, von der Mündung des Wolchows an und
in der Richtung nach Süden längs diesem Flusse, am
Imen-$See und weiter am Lowat immer neuere Schich-
ten bis zu den oberdevonischen mitgerechnet zu Tage
treten, auf welchen weiter im Süden kohlenführende
Carbonablagerungen angetroffen werden konnten, die
wie bekannt (z. B. an der Msta), direkt auf den ober-
devonischen Schichten lagern.
Desto unerwarteter war hier das Antreffen, mitten
unter den oberdev blagerungen, einer ganzen
Reihe der ältesten normalen Sedimentgesteine des
europäischen Russlands, und zwar der cambrischen
und untersilurischen, die hier in einer Entfernung
von 300 Kiïlom. von ihrem Hauptverbreitungsgebiete
auftreten.
In Figur 5, die einen Theil des Lowatlaufes dar-
stellt, sind die Entblüssungen beim Dorfe Kunitzy
angegcben; die Ansicht des Ufers aber mit den zu
Tage tretenden Gesteinen sieht man in den Figuren
1—3. Der Deutlichkeit halber sind die diluvialen
Überdeckungen und Schuttmassen nicht angegeben; die
Aufschlüsse der silurischen und cambrischen Schichten
dagegen mit solcher Genauigkeit abgebildet, dass bei
Beschreibung derselben nur einige allgemeine Bemer-
kungen hinzugefügt werden künnen.
Das oberste Glied der silurischen Sedimente beim
Dorfe Kunitzy ist der Glaukonitkalkstein, der in dem
Profil X VII auf einer Strecke von 14 Meter in
Schichten von geringem Fallen nach NW zu Tage
tritt. In petrographischer Beziehung erscheint dieser
Kalkstein als eine seiner gewühnlichsten charakteristi-
schen Varietäten. Er ist grau, stellenweise roth ge-
fleckt und enthält einzelne Kürner, zuweilen auch un-
bedeutende Ansammlungen von dunkelgrünem Glau-
konit. In diesem Kalkstein sind nur ungenügend er-
4) Tschaikowsky und Warwinsky, Berg-Journal 1826, IV, ie
p. 32. “he
475
Bulletin de l’Académie Impériale
476
haltene Brachiopodenreste gefunden worden, von denen
nur Bruchstücke der Orthis obtusa Pand. bestimmt
werden konnten. Die paläontologische Ausbeute wäre
bei grüsseren Dimensionen der Entblüssung unzweifel-
haft reicher gewesen.
Direkt unter dem Kalkstein folgt der Glaukonit-
sand, der in dem Profil VII mit dem Kalkstein in Be-
rührung steht; in den Profilen VI und XI liegt der
Glaukonitsand auf dem unterlagernden Schiefer und in
den Profilen I, VIII und IX ist der Sand nicht in Be-
rührung mit anderen Sedimenten beobachtet worden.
Nach den petrographischen Merkmalen ist auch der
Glaukonitsand mit dem von Esthland und Gouv. St.-
Petersburg identisch. Zuweilen erscheint er sehr thonig
(Profil I), zuweïlen sehr reich an Glaukonit, der einen
vorherrschenden Bestandtheil bildet (Profil XII) und
dem Gestein eine reine grüne Färbung giebt, wobeï
durch Oxydation stellenweise rothe Flecken entstehen
(Profile VIII, IX). In diesem Sande kommen weder
Conodonten, noch die den Foraminiferen ähnlichen
Steinkerne vor.
Unter dem Glaukonitsande folgt der Alaunschiefer,
der, wie schon oben bemerkt wurde, mit dem ersteren
in den Profilen VI und XI und mit dem unterlagern-
den Ungulitensandsteine in den Prof. II, V und XIII
in Berührung steht. Ausserdem erscheint der Alaun-
schiefer auch in den Prof. III, IV, X und XII, wo
aber seine unmittelbaren Beziehungen zu den anderen
Gesteinen nicht bemerkt werden konnten.
In petrographischer Beziehung unterscheïdet sich
dieser Schiefer von demjenigen in Esthland und Gouv.
St.-Petersburg dadurch, dass er ähnlich der aequiva-
lenten Ablagerung Schwedens alaunhaltig ist. Der
Schiefer oder richtiger der Schieferthon erscheint ge-
wôübnlich sehr dünnschiefrig, zuweilen aber werden
seine Schichten 1 oder sogar 2 Cm. dick. Stellenweise
bemerkt man im Schiefer linsenférmige Theile bis 9 Cm.
Dicke, die fast gar keine Schieferung zeigen; das Ge-
stein ist von Schwefelkies stark durchdrungen und wird
durch die Verwitterung des letzteren alaunhaltig.
Der feinkôrnige Schwefelkies bildet in den Schiefern
ziemlich regelmässige Zwischenlagen (von ungefähr
1,5 Cw. Dicke; s. Prof. II, V, X u. XI) und sogar
dünne Schichten (bis 0,1 M. im unteren Theiïle des
… Profils XII).
M den Schiefern kommen auch kleine Schwefelkies-
concretionen vor, die gewôhnlich an der Oberfläche
in Brauneisenstein verwandelt sind. Ausserdem ent-
hält das Gestein Zwischenlagen (Prof. III) und Con-
cretionen von Anthraconit (Prof. XII).
Stellenweise (Entbl. XIT) erscheinen im Schiefer
verticale Spalten, die sich mit den Schieferungsflä-
chen kreuzen und das Gestein in dünne prismatische
Theile zerlegen. Der Schiefer ist schwarz, an verwit-
terten Stellen aber grau. Weder Dictyonema-Reste
noch Trilobiten sind trotz der genauesten Untersu-
chungen in den Schiefern gefunden worden. Die un-
mittelbare Berührung der Schiefer mit dem Unguli-
tensandstein in den Prof. Il, V und XIII ist schon
erwähnt worden, aber ausserdem erscheint dieser
Sandstein in den Prof. III und IV, und grosse plat-
tenfürmige Bruchstücke des letzteren finden sich noch
bei den Entblüssungen XIV und XV.
Der Ungulitensandstein erscheint hier als ein ziem-
lich loses, schwach cementirtes Gestein mit Ausnahme
seiner Platten, die in einzelnen Bruchstücken den zu
Tage tretenden Thon bedecken. Er ist gelblich, grau,
grünlichgelb (Prof. IT) oder grünlichgrau (Prof. II)
gefärbt. Die Oberfläche der Bruchstücke des losen
Sandsteines ist gewôhnlich von einer rothen eisen-
schüssigen Kruste bedeckt. Im losen Sandsteine fin-
den sich ziemlich selten vertheilte Schalen von Obolus
und Schmidtia, die fast in allen Entblüssungen des Ge-
steins angetroffen wurden, aber in den erwähnten ein-
zelnen Platten des festen Sandsteines in bemerkens-
werther Menge und Erhaltung vorkommen, wobei
Schmidtia celata Volb., in Begleitung von XKeyserlin-
gia reversa Vern., Keys. Buchii Vern. und Helmer-
senia sp.”) auftritt, so dass auf diese Weise nicht
selten auf einem kleinen Gesteinsbruchstück fast alle
5) Wie bekannt, hat Pander der von ihm creirten Gattung Key-
serlingia keine Species-Bezeichnung gegeben. (Bull. de l’Acad. de
St -Pét, 1861, III, 48). Die am Lowat angetroffenen Muscheln dieser
attung, ebenso wie auch der grôsste Theïil der im baltischen Gebiet
vorkommenden, gehôren scheinbar zu einer Art, die man als Keyser-
lingia Panderi bezeichnen kônnte. Ausserdem müsste, nach Pander, .
ie von Jeremejew als Siphonotreta Ladogensis (Verh. d. Min.
Ges: 1855—56, 73, 80) beschriebene Form zu derselben Gattung ge-
rechnet werden. Die beiden angeführten Arten unterscheiden sich
sehr gut unter einander, Der Schlossrand von Keys. Panderi n. sp.
bildet einen stumpfen Winkel von 110—120° und die grôsste Breite
is Muschel befindet sich in der Mitte der Schalen. Bei Keyserlingia
adogensis Jerem. dagegen ist die grüsste Breite am geradlinigen
oder sehr stumpfwinkligen Schlossrande und diese
sich auch, wie es scheint, durch eine geringere Grüsse aus.
Form zeichnet
47%
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
47s
Vertreter des Ungulitensandsteines vorhanden sind.
Gewübnlich finden sich die zahlreichsten Reste in den
oberen Schichten des in Rede stehenden Sandsteines,
da aber diese Schichten hier unmittelbar untersucht
werden konnten und sich nicht reichhaltig an Verstei-
nerungen erwiesen, die erwähnten Sandsteinplatten
dagegen in grosser Menge den zu Tage tretenden
Thon bedecken, so bin ich der Ansicht, dass der feste
Sandstein hier in der engsten Berührung mit dem
Thon entwickelt ist.
Der Thon tritt hier nur an zwei Stellen auf, am
linken und rechten Ufer des Lowat und hat eine gelb-
lichgrüne (Entbl. XIV) oder blaugrüne (Prof. XV)
Farbe. Organische Reste sind im Thon nicht gefunden
worden.
Beim Dorfe Kunitzy am Lowat sind nun folgende
silurische und cambrische Schichten in der Richtung
von oben nach unten angetroffen worden:
Glaukonit-Kalkstein, entblôsst bis . 0,9 M.
Ghautogisand is 2 UN 0,7 »
RARES TON US EN Nr 4 »
DinDee FROM Cr ?
Alle diese Schichten beobachtet man hier nur auf
einer Strecke von 50 M. (von dem Prof. VII bis zum
Prof. XIV).
Die horizontale Lagerung der Schichten ist gestôrt
und letztere bilden flache Falten, die in Fig. 4 darge-
stellt sind. (Vielleicht müsste die Form der Falten
etwas verändert werden, da einige Profile (z. B. I)
Einstürzungen darstellen.
An der nächstfolgenden Biegung des Lowat befinden
sich Stromschnellen, in welchen, im Niveau des Was-
sers, wie unter demselben Platten von Glaukonitkalk-
stein beobachtet werden künnen, die ein schwaches
Fallen nach NW besitzen. Sie enthalten auch Verstei-
nerungen, aber in Folge der grossen Schwierigkeiten
sie zu erlangen, konnten keine guten Exemplare zur
näheren Bestimmung herausgeschlagen werden. Diese
Platten sind von erratischen Blücken übersät.
_ Auf der Karte Fig. 5 ist zu sehen‘), dass unmittel-
bar hinter den beschriebenen Profilen am linken Ufer
des Lowat oberdevonische Thone und Sandsteine auf-
6) Alle Entblôssungen, die in dieser Figur eg und nicht
mit Cm (Cambrische), S, (Untersilurische) oder D, (Mitteldevonische)
bezeichnet sind, gehôren zu den Aufschlüssen der oberdévonischen
Ablagerungen.
| hohen Entblüssung, auf.
treten, die weiterhin sehr oft in den Ufern dieses
Flusses in horizontalen Schichten aufgeschlossen sind.
Es bleibt nur zu erwähnen, dass neben der Ent-
blüssung des blauen Thones am rechten Ufer des Lo-
wat ein Kalksteinstück gefunden wurde, das keinen
Glaukonit enthielt, dagegen aber Sérophomena sp. und
ein Pygydium von Asaphus expansus, die auf einen
hüheren Horizont als der Glaukonitkalkstein hinweisen.
Flussaufwärts am Lowat beim Dorfe Siwzowa in
einer Gegend, in welcher nur diluviale Entblüssungen
vorkommen, fanden sich gleichfalls Kalksteinstücke
mit Asaphus sp. Später wird es sich vielleicht erweisen,
dass hier auch unter dem Diluvium silurische Ablage-
rungen verborgen sind.
Unterhalb des Dorfes Kunitzy treten oft in den
Ufern des Lowat, ausser den diluvialen Schichten
noch oberdevonische Ablagerungen (hauptsächlich
Sand, Sandsteine, Thone und Mergel) zu Tage, welche
in Fig. 5 fast bis zur Gränze des Nowgorod’schen Gou-
vernements angegeben sind. Nur an zwei Stellen wech-
seln diese Ablagerungen mit anderen entblüssten Ge-
steinen ab. An einer derselben unterhalb des Dorfes
Maksimowa, 8 Werst von der Stadt Cholm, am linken
Ufer des Lowat ist der silurische Glaukonitkalkstein
aufgeschlossen, dessen Schichten nach NW, h. 6,
streichen und nach SW fallen, wobei sie in der Rich-
tung des Fallens gebogen sind; der Fallwinkel schwankt
zwischen 13° und 17°. Die Länge des Aufschlusses
beträgt ungefähr 14 M. Die Ansicht dieses Profils
flussaufwärts ist in der Fig. 7 dargestellt. Der Kalk-
stein ist hier mehr oder weniger thonig, hat entweder
eine graue, grünliche oder rôthliche Farbe und enthält
Glaukonitkôrner. Die einzelnen Schichten dieses Kalk-
steines sind 4 Cm. dick, aber einige auch 11 Cm.; Ver-
steinerungen sind hier selten. So fanden sich hier nur
einige Exemplare von Megalaspis planilimbata Ang.
und ebenso Asaphus (od. Megalaspis) sp., Orthis parva
Pand., Orthisina plana Pand. und Orthoceras wa va-
atiss Schl.
Die ersten Anzeichen der oberdevonischen Thone
bemerkte man am linken Ufer ungefähr 100 M.un-
terhalb der Entblôssung des Glaukonitkalksteines; noch
weiter abwärts hinter dem Dorfe Skarujewa treten
schon ganz horizontale gestreifte Thone und gelber | ct
Sandstein in einer von dem Niveau des Lowat 4 M.
479
Bulletin de l’Académie Impériale
480
Hier kann man folglich ebenso wie beim Dorfe Ku-
nitzy annehmen, dass die silurischen Schichten von
den oberdevonischen sandigen Ablagerungen bedeckt
werden.
Die bei den Dürfern Kunitzy und Maksimowa be-
schriebenen Durchschnitte sind bis jetzt im ganzen
Pskow’schen Gouvernement die einzigen Aufschlüsse
der Yordevonischen Sedimente.
Ausser der ganz unerwarteten Entdeckung der silu-
rischen und cambrischen Ablagerungen in dem ge-
nannten Gouvernement, sind auch folgende daselbst
beobachtete Data von grossem Interesse:
1) Die Beständigkeit des petrographischen Charak-
ters fast der ganzen hier entwickelten Schichtenreihe
in einer so grossen Entfernung von dem silurisch-
cambrischen Hauptgebiet, wobei sogar auch solche
unbedeutende Ablagerungen vorhanden sind, wie z. B.
der Glaukonitsand, der bei Kunitzy nicht mehr als
0,7 M. entwickelt ist. Hierbei muss jedoch bemerkt
werden, dass in den Sandsteinen der baltischen Pro-
vinzen, die unter dem Dictyonema-Schiefer lagern (wie
bereïits schon mehrmals vom Ak. Schmidt und Ande-
ren nachgewiesen wurde), nur in den obersten Horizon-
ten Versteinerungen vorkommen; die unteren Hori-
zonte dieser Sandsteine, die stellenweise ziemlich
mächtig entwickelt und fast fossilienleer sind, erschei-
nen mit dem blauen Thon durch abwechselnde Lage-
rung so eng verbunden, dass eine scharfe Trennung
derselben nicht môglich ist. Es ist anzunehmen, dass
die unteren Sandstein-Horizonte den oberen Theilen
des blauen Thones aequivalent sind and dass an ver-
schiedenen Stellen des baltisch-cambrischen Beckens,
die thonigen Ablagerungen nicht gleichzeitig durch
_ die sandigen ersetzt wurden. An dem Lowat ist die.
Ablagerung der unteren Sandstein-Horizonte gar nicht
erfolgt; hier ist dieser Sandstein bis zum Horizont mit
Obolus und Schmidtia durch den Thon ersetzt, daher
erscheint er hier nur wenig entwickelt und an der Be-
rübrungsfläche mit dem Thone sebr reich an Verstei-
_ nerungen.
2) Die zahireichen und Dane Mgr Formen im
Ungulitensandstein.
3) Die gestürte Lagerung, die nicht durch locale
= Ursachen ie werden kann, wie z. B. durch Ein-
. stürze u. s
4) Die. icone re der in Rede
stehenden silurischen Sedimente von den oberdevo-
nischen Schichten.
5) Die Beziehungen, in welchen die Pskow’schen
Schichten zu den aequivalenten Ablagerungen in Esth-
land und im Gouv. St.-Petersburg stehen.
Wie bekannt haben die baltischen silurischen und
cambrischen Ablagerungen, ungeachtet ihrer scheinbar
horizontalen Lagerung in den einzelnen Profilen ein
Fallen nach Süden, in Folge dessen bemerkt man im
cambrischsilurischen Gebiet in der Richtung von Nor-
den nach Süden einen allmähligen Übergang von den
ältesten Schichten zu den neueren.
Akademiker Schmidt u. A. haben schon ôfters dar-
auf hingewiesen, dass die obersten silurischen Schich-
ten nur an der Westgränze des erwähnten Gebietes zu
beobachten sind; in der Richtung nach Osten aber be-
decken die devonischen Ablagerungen die nach einan-
der folgenden älteren Horizonte dieses Systems, so dass
am südôstlichen Ufer des Ladoga-Sees, (was unter An-
derm aus den UntersuchungenInostranzew’s amSjass-
kanal zu ersehen ist), die devonischen Schichten schon
unmittelbar die unterste cambrische Ablagerung, den
blauen Thon überlagern. Es ist aber nicht bekannt,
ob von diesen ôstlichen Theilen des silurischen Gebie-
tes alle diejenigen silurischen Schichten, die weiter im
Westen entwickelt sind, sich auch nach Süden verbrei-
ten. Nach dem petrographischen und palaeontologi-
schen Charakter der letzteren zu urtheilen, müsste der
grüsste Theil derselben sich auf eine mehr oder weni-
ger bedeutende Strecke fortsetzen, aber sie wurden
zum Theil und stellenweise vielleicht vollständig durch
Denudation zerstürt; dieselbe erfolgte in der Epoche
der unterdevonischen Ablagerungen, als die in Rede
stehende Landesfläche zum Festlande wurde, und in
der mitteldevonischen Epoche, als das Meer dieses
Gebiet von Neuem bedeckte.
- Die hier betrachteten Verhältnisse zwischen den
silurischen Ablagerungen am Lowat und dem Haupt-
gebiet ihrer Verbreitung wird durch den beifolgenden
idealen geologischen Durchschnitt (Fig. 6) im Meridian
des erwähnten Flusses und des Wolchow’s dargéstellt.
Die untersten Schichten dieser Ablagerungen, die in
der Parallele von St. Petersburg zu Tage treten, fallen
so tief unter der Oberfläche ab, dass sie selbst
von den Bohrlüchern in Staraja Russa (an 226 M.)
nicht erreicht werden und treten dann wieder auf einer
LL
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
482
bedeutenden absoluten Hühe im Pskow’schen Gou-
vernement und bei Wischni- Wolotschek im Gouv,
Twer zu Tage; an dem letzteren Ort ist der von Bock
entdeckte untere silurische Kalkstein von den Ablage-
rungen des carbonischen Systems umringt. Diese bei-
den Punkte befinden sich in einer, den Entblôüssungen
der untersilurischen und cambrischen Schichten im
Gouv. St.- Petersburg parallelen Linie.
Auf diese Weise kann man-annehmen, dass die cam-
brischen und silurischen Schichten vor der Ablagerung
der mitteldevonischen Sedimente ein breites und flach-
abfallendes Becken oder eine breite Mulde bildeten,
wobei die erwähnten zu Tage tretenden Schichten am
(südsüdüstlichen) Rande dieses Beckens einstweilen
nur an zwei Stellen beobachtet worden sind. Die in
Rede stehenden Schichten sind ungleichmässig ausge-
waschen und von den mittleren und oberdevonischen
Ablagerungen (Lowat), wie auch von denen des carbo-
nischen Systems, einschliesslich der oberen Etage des
letzteren (Gouv. Twer), übergreifend bedeckt.
FT AT ALT |
Ausser dem Obengesagten folgen hier noch einige
kurze Bemerkungen über die devonischen Ablagerun-
gen am Lowat und über die carbonischen an der Düna.
Unter den ersteren verdienen ein besonderes Inter-
esse die mitteldevonischen Ablagerungen, die in der
Näühe der Stadt Cholm (an einer Stelle, die auf der
Karte Fig. 5 mit D, angezeigt ist) als Sandstein, Mer-
gel und grauer Kalkstein zu Tage treten und in der
Stadt Welikije Luki, wie flussaufwärts am Lowat aus
dolomitischem Kalkstein oder Dolomit, Mergel mit
Zwischenlagen von Gyps und Thon bestehen. Wie bei
der Stadt Cholm, so auch oberhalb von Welikije Luki
sind die Gesteine stellenweise sehr reich an Spirifer
Anossofi Vern.”). Beim Dorfe Ribjak und Andrei-
kowa erscheint diese Form nur in Steinkernen, aber
bei Cholm in vollständig erhaltenen Muscheln, auf de-
nen zuweilen Spirorbis omphalodes Gldf. zu bemer-
ken ist.
Wie schon Tschernyschew erwähnt, ist Spérifer
Anossof, der zum ersten Male im dkyonischèn Haupt-
verbreitungsgebiet am Lowat gefunden worden ist,
7) Bei Welikije Luki ist Spirifer Anossofi schon von Wenjukow
gefunden worden. Die Fauna d. dev. Syst., 1886, p. 82, 259.
Tome XXXI.
sehr charakteristisch für den oberen Horizont des Mit-
teldevons *). Die jüngeren devonischen Ablagerungen
sind bei Welikije Luki durch Denudation zerstürt wor-
den. Im Cholm'schen Kreise erscheinen sie als ober-
devonische Thone, Sandsteine und Mergel (zum Theil
als Kalksteine), die nach Tschernyschew Glyptolepis
leptopterus Ag. enthalten. Auf diese Weise entspricht
in erwähnter Gegend die Gränze zwischen der sogenann-
ten «oberen devonischen Sandsteinetage» und der «Kalk-
steinetage» fast vollkommen der Gränze zwischen dem
Mittel- und Oberdevon, während in anderen Gegen-
den des russischen devonischen Verbreitungsgebietes,
die erwähnte petrographische Gränze zwischen den
Etagen hôher hinauf in das Oberdevon reicht, so z. B.
an einigen Stellen des Schelon; im sogenannten südüst-
lichen devonischen Gebiet erhebt sich diese Gränze,
wie bekannt, bis zu den carbonischen Ablagerungen.
Im St.-Petersburger Gouvernement sinkt die untere
Gränze der oberen Sandsteine im (Gegentheil in das
Mitteldevon, wo in dem sogenannten nordôstlichen
devonischen Gebiet die erwähnte Etage schliesslich
in die unteren Sandsteine übergeht.
In Bezug auf die devonischen Ablagerungen des
Cholm’schen Kreises muss ich noch erwähnen, dass
beim Profil, in welchem die Kalksteine mit Spirifer
Anossofi zu Tage treten, Sandsteinstücke gefunden
wurden, die mit Pseudomorphosen dieses Gesteins nach
Steinsalz angefüllt waren und dass in dem in der Nähe
entblôüssten grauen Mergel (s. das Profil bei Tscher-
nyschew D,a°) das Auftreten von Kupfererz (Kupfer-
grün) bemerkt wurde, das zuweilen als pseudomor-
phische etwas verunstaltete Krystalle erscheint, die
scheinbar Hexaeder darstellen.
An der Gränze des Pskow’schen und Smolenskischen
Gouvernement ist das Auftreten von carbonischen Ab-
lagerungen!°)schon seit längerer Zeit bekannt. Obgleich
ich noch auf einige Entblüssungen dieser Ablagerun-
gen, die bis jetzt noch nicht beschrieben worden sind,
hinweisen kônnte, beschränke ich mich einstweilen
8) Verhandi. der russ. Kais. Mineral. Ges. 1886, XXII, S. 335.
9) Verhandi. der Min. Ges. XXII, S. 356.
10) Ditmar, Bericht über die geogn. Untersuchungen in den
Kreisen Ostaschkow, Rschew, Kaschin, Beschetzk und We ssiegonsk.
Mat, z. Geol. Russ]. IIE, S. 69
82
483
Bulletin de l’Académie Impériale
is#
nur auf einige Bemerkungen über die Profile beim
Kirchdorfe Dubno. Hier tritt am rechten Ufer der
_ Düna (Fig. 8) an dem Knie, unterhalb der Kirche im
Niveau des Wassers ein Kalkstein zu Tage, dessen ho-
rizontale Schichten unter der Wasserfläche bis zu
1 Meter zu beobachten sind. Am Ufer bilden diese
Schichten einen ganz ebenen Boden, der weiterhin steil
abfälit. In dem Kalkstein fand ich ausser einer undeut-
lichen Koralle, noch ein kleines Exemplar von Pro-
ductus giganteus Mart. Hüher am Uferabhange er-
scheint ein heruntergerutschter blaugrauer Thon. In
einiger Entfernung vom Ufer, auf einer hôüheren Stelle
treten von Neuem Kalksteinentblôüssungen (gewühnlich
künstliche) auf, wie z. B. an der Mühle. Bei Dubno
wird dieser Kalkstein gebrochen und ebenso wird hier
auch der unter dem Kalkstein liegende Thon gegraben,
der mit dem an der Düna entblüssten identisch ist.
Die Mächtigkeit des Kalksteins in den vom Ufer ent-
fernteren Gruben erreicht mehr als 6 Meter. Er ent-
hält viele grosse Muscheln von Productus giganteus
Mart. und stellenweise auch Stielglieder von Crinoi-
deen. Der im Kalkstein eingeschlossene Feuerstein ist
gewôühnlich von dem ersteren nicht scharf getrennt.
Der Thon führt Schwefelkiesknollen (sogenannten «Ro-
gatsch»), die gewühnlich sehr klein sind, aber zuweilen
(der Aussage der Arbeiter nach) bis 5 Pfund wiegen,
- und ausserdem auch Steinkohlenstückchen. Der Thon,
der hier zur Bereitung von Geschirr gegraben wird,
- bildet eine Schicht von ungefähr 1,72 Meter Mäch-
tigkeit; unter demselben liegt nach der Beschreibung
der Arbeiter ein thoniger Sand.
Die bei Dubno aufgedeckten Sand und Thonschich-
ten werden gewôhnlich zur unteren kohlenführenden
Etage des carbonischen Systems gerechnet, aber die
Parallelisirung der, in Fig. 8 dargestellten einzelnen
_ Entblüssungen beweist, dass die Thonschichten eine
der Etage mit Productus giganteus untergeordnete Ab-
lagerung darstellen. Diesem Umstande ist unter An-
derem auch zuzuschreiben, dass in diesem Thon unge-
achtet der zahlreichen und an vielen Stellen angeleg-
ten Gruben, bis jetzt keine Steinkohlenschichten an-
… getroffen worden sind, während das Auffinden der
= Jetzteren an den Gränzen des kohblenführenden Mos-
__ kauer Beckens, im Bereiche der Gouvernements Pskow
und Smolensk sehr müglich ist. Aus Allem, was wir
_ über die carbonischen Ablagerungen an der Gränze
des Pskow’schen Gouvernements wissen, kann man
schliessen, dass diese Ablägerungen sich in Form eines
breiten Streifens in das Innere des Gouvernements auf
eine Strecke von 10—15 Werst fortsetzen und dass,
_sowohl an den Gränzen dieses Streifens, der fast über-
all von diluvialen Schichten bedeckt ist, als auch in
seiner ganzen Ausbreitung (aber in verschiedener
Tiefe), das Antreffen von Kohlenlagern zulässig ist. Man
kann sich davorn sehr leicht durch Bohrungen über-
zeugen, aber ich glaube nicht, dass bei den vorhande-
nen ükonomischen Verhältnissen des, in Rede stehen-
den Theiles des Pskow’schen Gouvernements, die Kohle
mit Gewinn abgebaut werden kann. Die Reïhe an sie
kann erst in späteren Zeiten kommen.
Über einige graphit- und granatführende metamor-
phische Gesteine des Urals. Von A. Karpinsky.
(Lu le 2 décembre 1886.)
(Mit einer Tafel.)
Die Lehre von dem metamorphischen Ursprung der
krystallinischen Schiefer findet gegenwärtig, wie be-
kannt, immer mehr und mehr Gegner. Desto interes-
santer und wichtiger ist das Auftreten solcher Ge- .
steine, deren metamorphischer Character keinem Zwei-
fel unterliegt. Im Ural kennt man mehrere solcher
Fälle, die in dieser Beziehung sehr bezeichnend sind,
aber ich führe hier nur einen der bemerkenswerthe-
sten an und weise namentlich auf die metamorphisirten
Gesteine des carbonischen Systems hin, die beim Flüss-
chen Bagarjak in der Nähe des Kirchdorfes Bajew-
skoje am Ostabhange des mittleren Urals zu Tage
treten. Diese Gegend ist den Mineralogen durch das
Vorkommen daselbst von Wolfram, silberhaltigem
Bleiglanz, Graphit u. s. w. bekannt, ist aber in geolo-
gischer Beziehung noch nicht genügend untersucht
worden. Eine ausführlichere Beschreibung derselben
wird in meinem Werke «Geologische Untersuchungen
am Ostabhange des Urals» gegeben werden; hier aber
fübre ich nur die wichtigsten von den erwähnten me-
tamorphischen Gesteinen an, indem ich eins von den
letzteren ausführlich beschreibe.
Schon früher habe ich darauf hingewiesen!), dass
1) Berg-Journal 1880, I, S. 86.
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LL
485
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
486
das carbonische System am Ostabhange des mittleren
Urals in drei Etagen eingetheilt werden kann. Die
obere ist aus kalkigen Thonschiefern, Sandsteinen,
Conglomeraten, Kohlenschiefer, Gyps u. a. zusammen- |
gesetzt; die erstgenannten Gesteine sind die vorherr-
schenden.
Die mittlere Etage besteht aus Kalksteinen mit
Productus giganteus Mart. u. a., und die untere —
vorzüglich aus Thonschiefern, Schieferthone und
Sandsteinen mit Pflanzenresten.
In dem angeführten Artikel ist erwähnt worden,
dass die in Rede stehenden Gesteine stellenweise me-
tamorphisirt sind: die Kohlenschiefer in Graphitschie-
fer u. s. w. und eine solche Umwandlung z. B. am
Fluss Bagarjak, beim Kirchdorfe Bajewskoje zu
beobachten ist. Hier treten auf der ganzen Strecke bei
den Dürfern Larino, Mylnikowo, Bajewskoie, Fa-
dina, Melnikowa und weiter bis hinter das Dorf
Brjuchanowa von den Ufern des Bagarjak Entblôs-
sungen der metamorphisirten und normalen Ablage-
rungen des carbonischen Systems auf, die stellenweise
durch massige Gesteine (Porphyrite) und durch Ge-
steine problematischen Alters und Ursprungs unter-
brochen sind.
Unterhalb Larino und Mylnikowo sind schiefrige
kalkige Gesteine entwickelt, die meiner Ansicht nach
veränderte kohlige und gewôhnliche Kalkschiefer der
oberen Carbonetage darstellen. Zuweïilen nehmen sie
eine marmorartige Structur an, wobei die kohlige Sub-
Stanz in Graphit verwandelt ist; zuweilen aber erschei-
nen im Gestein eine Menge Granate, oder es bilden
sich in demselben Individuen von Biotit und Quarz;
auf das letztere Gestein passt vollkommen die Bezeich-
nung Kalkglimmerschiefer. An vielen Stellen enthalten
diese Gesteine Crinoïdeenreste, die sogar in den er-
wähnten glimmerhaltigen Schiefern sehr häufig vor-
kommen.
Die Ablagerungen der unteren Etage sind viel stär-
ker verändert, so dass sogar einige Forscher, die die-
selben anstehend beobachtet haben, diese Gesteine
nicht als zum carbonischen System angehôrig zu be-
trachten wagten, obgleich sie unmittelbar von den
_ Kaïksteinen mit zahlreichen Muscheln des Productus
giganteus und Korallen bedeckt werden. Aber das Vor- |
kommen in dieser Gegend zahlreicher Übergangsge-
steinsvarietäten zu den unveränderten Ablagerungen,
und besonders der organischen Reste liefert den augen-
scheinlichsten Beweis für die Angehôrigkeit der in
Rede stehenden Gesteine zum carbonischen System.
Dort, wo die Sandsteine nur wenig verändert sind
(bei Brjuchanowa), enthalten sie verhältnissmässig
nur seltene Individuen, wie auch stern- und garbenfür-
mige Gruppen von Hornblende, aber in stärker meta-
morphisirten Gesteinen findet sich dieses Mineral in s0
grosser Menge, dass die vom ursprünglichen Sand-
steine entfernteren Varietäten, die hauptsächlich aus
kôrnigem Quarz und verhältnissmässig grossen Kry-
stallen der stark pleochroitischen Hornblende bestchen,
ein dioritartiges Aussehen erhalten.
Ausser den erwähnten Mineralen enthalten diese
Gesteine zuweïlen eine unbedeutende Menge von Or-
thoklas und Plagioklas, wie auch das glimmerartige
Mineral, das besonders stark in den ursprünglich tho-
nigen Gesteinen vertreten ist. Einige veränderte Schie-
fer bestehen hauptsächlich aus diesem Mineral und
kleinen Hornblendeindividuen. Die Schieferthone, die
eine grosse Menge kohliger Substanz enthielten, sind,
wie schon oben erwähnt wurde, in Graphitschiefer
verwandelt worden. Die Beziehungen zwischen den
veränderten und verhältnissmässig wenig metamorphi-
sirten Gesteinen sind besonders beim Dorfe Fadina zu
beobachten, wo die Schichten des eigenthümlichen
Anthracites (an 1,3 M. mächtig) schon mehrmals unter-
sucht worden sind; der letztere enthält nach der Ana-
lyse von Prof: Jossa nur 0,38, Wasserstoff und (nach
den Untersuchungen von Nikolajew) zuweiïlen etwas
Graphit. Dieser Anthracit tritt in Begleitung von Gra-
phitschiefer auf, der sogar als Graphit von niedriger
Qualität ausgebeutet werden kônnte. Direct in diesem
Schiefer finden sich stellenweise zahlreiche Pfanzen-
abdrücke, obgleich das Gestein nicht die mindeste Spur
von amorpher kohliger Substanz enthält, die vollstän-
dig in Graphit verwandelt ist. Das beweist die Unter-
suchung des Gesteins vermittelst stark oxydirender
Substanzen (einer Mischung von Bertholetsalz und Sal-
petersäure) nach der Methode von Brodie. In diesem
Falle bilden sich gar keine lôsbare Huminsubstanzen,
dagegen erhält man eine grosse Menge Graphitsäure
(C;,H,0,)°). In Schiefern, die nur eine verhältnissmäs-
2) Brodie, Phil. Transact. v. 149, 1859, I, 249. Ann. d. Chemie
u. Pharm. 1860, CXIV, 6. Gottschalk, Journ. f. pract. Chem. 1865.
XCV, 321. Berthelot, Comptes-rendus, 1869, LX VII, 188, 259ete.
| 32* …
487
Bulletin de l’Académie Impériale
4188
sig geringe Menge kohliger Substanz enthalten, sind
die Pflanzenreste am besten erhalten. Unter den hier
angetroffenen Formen konnten folgende bestimmt
werden:
Stigmaria ficoides Brgn.
Lepidodendron Glincanum Eichw.
Sphenopteris rutaefolia Eichw.
Aneimites Sp.
Das Vorkommen von Pflanzenabdrücken in den me-
tamorphisirten graphitführenden Gesteinen hat eine
sehr wichtige Bedeutung für die Erklärung der Frage
über die Genesis der Graphitlager; aber dieses Vor-
kommen wird, wie zu erwarten war, sehr selten beob-
achtet. Ausser dem Ural kann man noch z. B. auf die
nordôüstlichen Alpen *) und die Umgegend von Wor-
cester in Massachusetts) hinweisen, wo die metamor-
phischen Gesteine nach den Pflanzenresten zu urthei-
len zu den carbonischen Ablagerungen gehüren.
Unter diesen metamorphisirten Gesteinen verdient
ein nicht geringes Interesse ein schiefriger graphithal-
tiger Kalkstein, der mit kleinen Granatkrystallen an-
gefüllt ist; diese Krystalle erscheinen in Folge einer
oberflächlichen Graphithülle ganz schwarz, sind aber
im Innern vollkommen farblos. Die Grüsse der als Do-
decaëder ausgebildeten Krystalle ist gewôhnlich unge-
fähr 1 Mm.; aber zuweilen erreichen sie auch 6 Mm.
Die Graphittheïlchen sind im Gestein ungleichmässig
vertheilt; stellenweise ist diese Vertheilung ganz un-
regelmässig, aber gewôhnlich wechseln äusserst dünne
Gesteinslagen, die sehr reichhaltig an Graphit sind,
mit solchen, die diese Substanz nur wenig enthalten,
ab, so dass bei Anfertigung eines Dünnschliffes aus
diesem Gestein senkrecht zur Schieferung , das Gestein
in demselben feingestreift erscheint. Die Streifen sind
etwas wellenfürmig gebogen, aber sie verlaufen alle
in einer und derselben Richtung. Ihre Biegungen be-
3) Stur, Funde v. untercarbonischen Pflanzen d. Schatzlarer
Schicht. etc. Jahrb. d. k. k. geol. R.-Anst. 1883, XXIII, X 1, 189.
Foullon, Über die petrogr. Beschafl d. kryst. Schiefer d. untercarb.
Schicht. Ib. Eé
4) Perr Note on à Foss. Coal Plant found in Micaschist at
Worcester, RE) J. 1885, XXIX, X 170, 159.
ebr bemerkenswerth ist die neue Edechate fossiler Pflanzen
im Gneïss. Société géol. Suisse, d. 1. cinqu. réun. ann
en Août 1886 à Genève. D’ Fellenberg: Tronc d'arbre fossile dans
le gneiss du Haslithal, p. 37; Prof. Baliner. Tronc d'arbre trouvé
d. le gneiss et le profil de Ja ‘Grimsel.
merkt man namentlich in der Nähe der Granatkrystalle,
wobei die Gesteinslagen ôfters fast perpendiculär zu
den Flächen dieser Krystalle gerichtet sind (ohne sie
zu umhüllen, wie das gewühnlich bemerkt wird).
In Fig. 1 sind diese Verhältnisse zwischen der Schie-
ferung und den Granatkrystallen stark vergrôssert
(30 M.) dargestellt.
Der im Gestein enthaltene Graphit besitzt einen
solchen Character, dass er von einer amorphen koh-
ligen Substanz nicht zu unterscheiden ist. Daher ist
er vermittelst der Reaction Brodie-Berthelot be-
stimmt worden, bei welcher nur Graphitsäure und
gar keine Spuren von Huminsubstanzen erhalten
wurde.
Diese Methode wird bis jetzt verhältnissmässig sel-
ten zur Unterscheidung der fossilen Kohlensubstanzen
angewandt, wenn die letzteren als selbständige Ge-
steinsbildungen erscheinen ; bei Gesteinen aber, die
diese Substanzen in unbedeutender Menge enthalten
und von denen einige sogar, wie bekannt, ziemlich oft
durch dieselben gefärbt erscheinen, wird diese Me-
thode gewühnlich ganz ignorirt. Die Bestimmung dér
Zusammensetzung der erwähnten Substanzen kann
vermittelst der chemischen Analyse die Frage in Be-
treff des krystallisirten oder amorphen Zustandes des
Kohlenstoffes nicht genau entscheiden, da die Analysen
des Graphits zuweilen auch ein gewisses unbedeuten-
des Quantum von Wasserstoff nachweisen (vielleicht
in Folge der Ungenauigkeit der allgemein angenom-
menen Methode der Analyse: $S. z. B. Jüptner.
Osterr. Zeitschr. f. Berg. u. Hütt. M 41, 1884, 592).
Als Beiïspiel kann man die von Sauer als Gra-
phitoid beschriebene kohlige Substanz anführen, deren
wirkliche Natur noch nicht genau festgestellt ist. Zur
Lüsung einer solchen Frage kann die Brodie’sche
Reaction dienen. Bei Untersuchung kohlenführender
Gesteine muss man der Klarheit der Reactionen hal-
ber, so auch'in Betracht des môüglicherweise gleich-
zeitigen Vorhandenseins von Graphit und amorphen
Kohlenstoffes zuerst die kohlige Substanz zu concen-
triren oder aus dem Gestein auszuscheiden suchen. Zu
diesem Zwecke bearbeitet man eine mehr oder weniger
grüssere Menge des Gesteins gleichzeitig oder nach
.|emander mit Fluor- und Chlorwasserstoffsäure oder
Schwefelsäure, oder schmilzt das Gestein mit Na,CO;
und bearbeïtet es mit Salzsäure. Die auf diese Weise
489
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
490
ausgeschiedene Substanz untersucht man nach der
Methode von Brodie-Berthelot”)
Nach der Analyse, die auf meine Bitte der Labo-
rant am Berginstitut P. Nikolajew gemacht hat, ist
die Zusammensetzung des in Rede stehenden Granats
folgende:
Kieselsäure: ... : .. 37,12
Thonerde. 8: 21,31
Eisenoxydul . .... 8,82
Manganoxydul. . .. 25,83
Kaki our ran 5,72
Magnesia ....... 0,94
99,74.
Aus dieser Analyse ist zu ersehen, dass das Mineral
eine isomorphe Mischung verschiedener sogenannter
Thongranate darstellt, wobei der Mangangranat den
Hauptbestandtheil bildet.
Berechnet man aus der angeführten Analyse die
elementare Zusammensetzung des Minerals (1) und
drückt den Procentgehalt der Elemente in Aequiva-
lenten (IT) aus, erhält man:
L IL.
puce 17,32 0,618
AT ii 11,34 0,415
perte 6,86 0,122
Mate 20,00 0,363
à EE 408 0,102
Mproies 0,56 0,023
un 39,56 2,472.
Das Verhältniss der zweiwerthigen Elemente zu Al,
Si und O kann folgendermaassen ausgedrückt werden:
Mr di 0 nie LU
0,610 : 0,415 : 0,618 : 2,472
oder
Las 1 1,53 : 5,95
d. h. fast ;
3:2:9142,
was der typischen Formel der Granate entspricht:
R;' AL SL 0.
5) Karpinsky, Material z. Kenntn. d. petrogr. Untersuchungs-
method. 1884. Die angeführte Bearbeïitung mit Säuren oder die
Schmelzung mit Na,CO,, die keinen Einfluss auf den Graphit aus-
üben, kônnen die Eigenschaften einiger amorpher kohliger Sub-
stanzen verändern; da die letzteren aber dabeï sich weder in Graphit
verwandeln, noch ganz zerstôrt werden, so erreicht die angeführte
Method e der Concentrirung der kohligen Substanz vollkommen
ihren Zweck
Wenn man aber die aequivalente Quantität des Mag-
niums als Einheit annimmt, so wird das Verhältniss
aller übrigen das Mineral zusammensetzender Elemente
durch folgende Zahlen ausgedrückt:
Mg : Ca Fe: Mn: "Al"; M. V
1:4,434:5,304:15,782 : 18,043 : 26,87 : 107,48
oder fast
PRES | 11 31 36 54 215.
Diese Data entsprechen der Formel:
31 (3 MnOALO, 3 SiO,)
11 (3 FeOALO, 3 SiO,) (A)°)
9 (3 CaOALO, 3 SiO,)
2 (3 MgOALO, 3 Si0,)
oder einer isomorphen Mischung bestehend aus:
58,5% Mn,ALSi,0,,
20,7%, Fe,ALSi0,0,,
17,0%, Ca,ALSi,0,,
3,8%, Mg ALSiO 9
Diese Grüssen erfordern übrigens einige unbedeu-
tende Correcturen, da bei der Berechnung der Ver-
hältnisse zwischen den Elementen einige Abkürzungen
zugelassen worden sind, ohne die die Zahlen in der
Formel À verhältnissmässig zu gross gewesen wären.
Viel richtiger ist das Procentverhältniss der Verbin-
dungen, die die isomorphe Mischung bilden:
60, Mn,ALSi,0,,
21%, Fe, Al SisO»
167, Ca; AL Si,0,,
3%, Mg,ALSi,0.
Vergleicht man die hieraus berechnete Zusammen-
setzung (I) mit der, die sich direct aus der Analyse
ergab, so findet man, dass sie fast vollständig überein-
stimmen:
pod Ébiiee Differenz.
MO 52: BTDS BTS 009
AO ET D. 014
VeD. 4 00984. + 0,27
MaQ 2075 2588 |--0.10
Ca0: 5,96 62 +0
Ms0O 0,89 0,94 0,05
99,87 . 99,74.
6) Oder vereinfacht # TeALSIO 6 |
- ao AL Ge
491
Bulletin de l’Académie Impériale
492
Das specifische Gewicht des in Rede stehenden Gra-
nats ist 4,065.
In Russland kommen die Mangangranate selten vor,
wobei nur einer derselben (aus den Umgebungen der
Hütte Kussa, Ural), der von Prof. Lissenko analysirt
wurde, sich durch einen grüsseren Mangangehalt
auszeichnet’). Alle diese Granate haben eine mehr oder
oder weniger dunkle rüthliche oder braune Farbe, wo-
durch sie sich von den beschriebenen farblosen Gra-
naten scharf unterscheiden, die überhaupt, wie be-
kannt, sehr selten vorkommen.
Eine noch seltenere Erscheinung bildet die mathe-
matisch regelmässige Vertheilung der Einschlüsse,
die in den mikroskopischen Präparaten als regelmässig
sich kreuzende Linien erscheinen. Diese Einschlüsse
sind in den Fig. 1—6 dargestellt. Sie sind unter dem
Mikroskop sehr gut zu sehen und in den dickeren
Präparaten auch vermittelst der Lupe. Die in Rede
stehenden Einschlüsse bestehen aus einem Gemenge
sehr feiner Graphit- und Calcittheilchen, d. h. aus
den Hauptelementen des Gesteins. In Folge einer sol-
chen Zusammensetzung erscheinen die Einschlüsse
bei gewôhnlichem durchfallenden Lichte in der farb-
losen Substanz des Minerals als pulverfürmige Linien,
wobei die Kalkspaththeiïlchen nicht zu unterscheiden
sind. Dagegen, bei gekreuzten Nicols verdunkelt sich
die vollständig isotropische Granatsubstanz, die Gra-
phiteinschlüsse sind nicht zu bemerken, während die
Calcittheilchen deutlich hervortreten, und in den er-
wäbhnten Richtungen helle punctirte Linien bilden.
Eine ebensolche Vertheilung der Einschlüsse in den
Granaten ist schon einmal von Renard in den meta-
morphischen devonischen Quarziten der Ardennen
beobachtet worden*). Das konnte ich aus den Abbil-
dungen Renard’s°) und der Photographie des Präpa-
rates dieses Gelehrten, die sich in den Cohen’schen
Tafeln *) befindet, schliessen; ein Abdruck derselben
ist auch in der zweiten Ausgabe der mikroskopischen
7) N. v. Re Materialen zur Mineralogie Russ-
lands. IL. 2
di. 8) nan Les roches grenatifères et amphiboliques de la région
de Bostogne. . dé Musée Royal d'Histoire Natur. de Belgique,
1882, I, p. 1.
9) Ib., PL. I, fig, 1
10) Cohen. Sanailahg von Mikrophotographien. Taf. LXXVIII,
+, Fig. 5.
standtheïlen dieser Gesteine:
Physiographie von Rosenbusch ") wiedergegeben.
Diese sehr bemerkenswerthe Vertheilung der Ein-
schlüsse ist jedoch weder von Renard, noch von an-
deren Gelehrten richtig erklärt worden. Der erstere
führt folgendes an:
«Ces inclusions sont généralement alignées suivant
les axes cristallographiques du grenat; les trois plans
suivant lesquels elles sont réparties, se coupent régu-
lièrement au centre du cristal. Dans lés sections elles
se traduisent par des lignes qui s’entrecroisent, et qui
sont assez nettement indiquées pour être discernées à
la loupé. Au microscope elles se montrent formées par
des files d’inclusions plus ou moins prismatiques et
orientées suivant l’axe cristallographique dont elles
marquent la direction. Souvent elles sont distribuées
dans les secteurs; mais alors même on remarque une
orientation constante pour ces enclaves “)».
Eine ebensolche Erklärung für die Vertheilung der
Einschlüsse führt auch Rosenbusch an, indem er
sagt, dass die in Rede stehenden Ardennen’schen Granate
parallel den Hauptsymmetrie-Axen überaus zierliche
Reïhen von Interpositionen zeigen. .
Bevor ich zur Erklärung des wirklichen Characters
der Vertheïlung der Einschlüsse in den Granaten über-
gehe, muss ich bemerken, dass die Gesteine des Urals
und der Ardennen, die diese Einschlüsse führen eine
grosse Analogie zeigen. Sie gehüren beide zu den re-
gionalmetamorphischen Bildungen und sind aus beiden
Fundorten mit Graphittheilchen überfüllt (in dem Ar-
dennen’schen Quarzit bildet der Graphit auch tafelfr-
mige Einschlüsse); ausserdem gehürt der Granat der
beiden betrachteten Gesteine zum Spessartin (enthält
in dem Ardennen’schen Granat nur 14,72°/ MnO.), und
schliesslich ist auch eine vollkommen identische Ver-
theilung der Einschlüsse zu bemerken. Die letzteren
bestehen in den Kalksteinen des Urals, wie auch in
den Quarziten der Ardennen, vorzüglich aus den Be-
in den Kalksteinen aus
Calcit und Graphit, in den Quarziten scheinbar aus
Quarz, Muscovit und Graphit. Obgleich nach Renard
die Einschlüsse nur aus den beiden ersten Mineralen
bestehen, unterliegt es aber, nach den. Abbildungen
der mikroskopischen Präparate zu urtheilen und nach
11) Rosenbusch, Mikroskopische Physiographie der petrogra-
phisch wichtigen Mineralien, 2 Aufl., 1885, 268, Taf, XIV, Fig. 3.
12) Renard, L c. p. 18.
493
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
494
der directen Mittheilung Cohen’s (dass die Einschlüsse
aus amorpher kohliger Substanz bestehen), kaum einem
Zweiïfel, dass in den Granaten auch Graphit vorhan-
den ist *). Das Auftreten einer amorphen kohligen Sub-
stanz ist meiner Ansicht nach kaum anzunehmen, da
der Quarzit selbst nach Renard’s Angabe Graphit
enthält und zwar zum Theïi in hexagonalen tafelfôr-
migen Individuen. Hierbei muss noch hinzugefügt
werden, dass auch einige Hornblendegesteine, die in
den Ardennen zusammen mit granatführenden Quar-
ziten vorkommen, nach der Zusammensetzung, Struc-
tur und den Eigenschaften der Hornblende den oben-
erwähnten Gesteinen des Urals sehr ähneln.
Wenden wir uns jetzt wieder zu der Vertheilung
der Einschlüsse im Granat. Sie befinden sich nicht in
den drei, im Centrum des Krystalls sich kreuzenden
Flächen, sondern in sechs Flächen, die dieses Centrum
schneiden und jedem Flächenpaare des Rhombendo-
dekaëders parallel sind. Dabei sind aber die Ein-
schlüsse nicht in der ganzen Fläche im Inneren des
Krystalls vertheilt, sondern nur zwischen dem Cen-
trum und dem Theile der Peripherie, wo die Fläche mit
den Kanten des Krystalls und nicht mit seinen Flächen
in Berührung kommt, wie das in Fig. 7 abgebildet ist.
(Wie bekannt, geht jeder Schnitt durch das Centrum
des Krystalls parallel der Dodekaëderfläche durch die
vier Kanten des Dodekaëders und die kurzen Dia-
gonale zweier Flichen). Mit anderen Worten der
Rhombendodekaëder zerfüllt durch die Flächen, die
die Einschlüsse enthalten in 12 Pyramiden, deren
Spitzen sich im Centrum des Krystalls befinden und
deren Basis die rhombischen Flächen bilden. Fig. 8
u. a. stellen z. B. einen solchen in Pyramiden einge-
theilten Rhombendodekaëder dar.
Trotz der verschiedenartigen Figuren, die die Ein-
_schlüsse darstellen und die in den Dünnschlifen der
Granate beobachtet werden künnen, bilden sie alle
Durchschnitte der ebenerwähnten Pyramiden. So sind
n Fig. 8 Schnitte des Krystalls parallel den Flächen
des Hexaëders ©o0Oco (100) dargestellt: in der
Hauptfigur ist eine perspective Ansicht und in den
übrigen sind die horizontalen Projectionen der ent-|.
sprechenden Schnitte vwiedergegeben. Alle Durch-
13) rs RE u. erläuternde Bemerk. zu d. Sammlung
v. Mikrophotographien,
schnitte zwischen der Spitze des tetragonalen Winkels
und der, die trigonalen Winkel durchschneidenden
Fläche bilden Quadrate, die durch Diagonale getheilt
sind (Fig. 8, À 1 u. 2). Die Schnitte || co0c durch
das Centrum des Krystalls gelegt bilden gleichfalls ein
durch Diagonale getheiltes Quadrat, dessen Seiten und
Diagonale aber einen Winkel von 45° zu den Seiten
und Diagonalen der obenerwähnten Quadrate bilden. Die
Schnitte zwischen dem Centrum und den trigonalen
Winkeln stellen Achtecke dar, deren innerer Einthei-
lungscharacter in der Fig. 8 K 3 wiedergegeben ist.
So bezeichnen a in Fig. 1 und c in Fig. 3 die Durch-
schnitte, die den Flächen des Hexaëders annähernd
parallel sind. Die Figuren 9, 10 und 11 entbinden
mich der Nothwendigkeit von den Figuren der Durch-
schnitte, die dem co0 (110), O (111) und 202 (211)
parallel sind, zu reden. Ich füge nur noch hinzu, dass
die Schnitte durch das Centrum des Krystalls parallel
den Flächen des Octaëders ein regelmässiges Sechseck
darstellen werden, das durch die im Centrum sich
kreuzenden Linien getheilt ist (Fig. 10, 4), und die
Schnitte durch das Centrum, die dem Rhombendode-
kaëder parallel sind, ein unregelmässiges Sechseck
Fig. 7 mit der in letzterer dargestellten Vertheilung
der Einschlüsse bilden. Die dem co0 parallelen Schnitte,
welche fast das Centrum berühren, kônnen in Folge.
des unbedeutenden und undeutlichen centralen Rhom-
ben (der allen dem ©0 parallelen Durchschnitten
eigen ist) eine Figur darstellen, wie die der centralen
Schnitte || O, von denen sie sich aber durch die un-
gleichen Winkel zwischen den Seiten des Sechsecks,
so auch zwischen den anderen Linien der Figur un-
terscheiden werden. Eine entsprechende sechseckige
Figur bildet der Durchschnitt durch das Centrum des
Krystalls parallel dem Ikositetraëder 202.
Die auf Tafel abgebildeten Granatkrystalle stellen
folgende Figuren dar:
Fig. 1a— Durchschnitt parallel der Fläche co0co.
b— Durchschnitt || #Om, wobei m> 2.
c — Centralschnitt stAherod parallel O oder
vielleicht Durchschnitt in der Nähe des
Centrums || co,
Winkel || ©. É
e— Schnitt || co0, in der Nähe des Cen- à
trums des Krystalls.
d — Schnitt durch die Spitzen der uns ee
495
Bulletin de l’Académie Impériale
496
Fig. 2 — Durchschnitt || O.
Fig. 3a — » || co0.
b — » durch das
Krystalls || O.
c — Durchschnitt || ©0000.
Centrum
Fig. 4 — » || co0On.
Fig. 5 — » [| 00.
Auf der Renard’schen Zeichoutg des Präparates
aus dem Ardennen’schen Quarzit (1. c. pl. 1, Fig. 1) sind
nur mit Ausnahme des rechten oberen Schnittes, wel-
cher parallel coO und des linken unteren, welcher
scheinbar parallel coOn ist, vorzüglich centrale Durch-
schnitte der Granate dargestellt, die entweder parallel
zu den Flächen O oder etwas schräg zu diesen letz-
teren verlaufen.
In den Mikrophotographien desselben Ardennen’schen
.Quarzites, die auf den Cohen’schen Tafeln (Taf.
LXX VIII, Fig. 3 und in Rosenbusch’s Physiographie
T. XIV, Fig. 3) abgebildet sind, sind auf der rechten
Seite der Figur die Durchschnitte || O0 und fast
1202 (letzterer in der Nähe des Krystallcentrums)
angegeben; auf der linken Seite befindet sich ein
Durchschnitt dicht beim Krystallcentrum || 0 und
ein anderer |} co0n.
Die oben beschriebene Vertheilung der Einschlüsse
ist meiner Ansicht nach sehr bemerkenswerth; sie
weist auf die Theilbarkeit der Krystalle in Formen
(rhombische hemimorphe Pyramiden hin), die dem An-
scheine nach dem regulären System nicht eigen sind.
Eine solche Theilbarkeïit zeigt sich auch in vielen Fäl-
len, in welchen die Granatsubstanz doppelt-brechend
wird. Der Typus der sogenannten optisch-anomalen
Granatkrystalle, die in 12 geometrisch und optisch
rhombische Pyramiden zerfallen, gehôrt zu den ge-
wôhnlichsten. Aus den Versuchen Klein’s, Mal-
lard’s, Rosenbusch’s u. à. folgt, dass einige Sub-
stanzen, die bei hoher Temperatur in Formen der
hôheren krystallographischen Symmetrie erscheinen,
ihre Structur bei einer niedrigeren Temperatur s0
verändern, dass diese Structur auf die Zugehôürigkeit
der Substanz zu den weniger symmetrischen Formen
hinweist. Wenn das Mineral anfangs zu dem regu-
lären System gehürte (Leucit, u, 4.), SO wird es dop-
pelt lichtbrechend.
Obgleich die Erscheinung der sogenannten anomalen
doppelten Lichtbrechung augenscheinlich oft gar nicht
von der Veränderung der Temperatur abhängt (z. B.
in den Krystallen des Alauns) und die Temperatur
selbst, bei welcher die Umgestaltung einer gewissen
Substanz erfolgt, sich unter dem Eïinflusse äusserer
Bedingungen verändern kann “), so erscheint doch
die obengegebene Erklärung für einige Minerale als
eine hôchst wahrscheinliche und bestätigt sich, wie
schon erwähnt wurde, durch directe Versuche, die
namentlich in Bezug auf Leucit besonders über-
führend sind. Die Versuche mit Granaten, die von
Penfield angestellt wurden, sind nicht genau be-
schrieben worden
Der Bagarjak’sche Granat, der einfach lichtbre-
chend bleibt, zeigt durch die Vertheilung seiner Ein-
schlüsse dieselbe Theïlbarkeit, die unter günstigen
Umständen bei der Veränderung der Substanz in eine
doppelt lichtbrechende, sich scharf ausprägen kôünnte !),
Sur l’asarone. Par MM. Benvenuto Rizza et
A. Boutlerow. (Lu le 9 septembre 1886.)
(27° partie.)
Il y à deux ans environ ‘) nous avons publié les
premiers résultats de nos recherches sur l’asarone.
Les analyses de ce composé, ainsi que la détermination
de la densité de vapeur *), nous ont conduit à la formule
14) Mallard et de Chatelier, Sur la variation, avec la pres-
sion, de la température Fe den. se produit la transformation de
Piodure d’argent. Bull. a Soc. minér. ce Fr. VII, 1884, 478,
15) Neues Jahrbuch A We 1884, II, 2
Nachrichten über den gegenwärtigen RÉ TEUR der Frage über
die anomalen optischen Erscheinungen in den Krystallen, ebenso wie
die einschlägigen litterarischen Angaben findet man in der Mal-
lar d’schen Abhandlung: Sur les hypothèses diverses proposées pour
expliquer les anomalies optiques des pers Bull. de la Soc. Fr.
de Minér., 1886, IX, 54. Siehe auch fetes : Zur Frage d. opt. Ano-
malien. N. Jahrb. £ Mineral., 1877, I, 4
ass die en éde der doppelten
suchen an Steinsalz u. à. ausgeführt worden ist. M
in der angegebenen Richtung an dem Bagarjak’schen Granat haben
noch zu keinem befriedigenden Resultat geführt
2 Bulletin de l’Acad. Imp. des se. de St. Pétersbourg. T. XXIX,
4 Nous profitons de l’occasion pour relever une erreur, qui s’est
glissée dans notre premier article: au lieu des densités de vapeur
De rapport à l’hydrogène, nous y avons donné les poids moléculai-
res; pour obtenir la densité de vapeur ces chiffres doivent par con-
séquent être réduits de moitié,
"ph. Gest.d.Urals.
+
10.
A.Karpinsky. Ueb: ein
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N 2
mo
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497
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
498
moléculaire suivante: C,,H,,0,. Nous avons établi que
l’asarone est capable de former facilement un produit
d’addition cristallin avec deux atomes de brome, ce
qui prouve la nature non-saturée de ce composé. Chauf-
fée avec l’acide iodhydrique, l’asarone fournit plus de
deux groupes méthyliques, qui se séparent sous forme
d’iodure de méthyle. Ce fait nous permit de constater
la présence de trois groupes méthoxyliques dans la
molécule d’asarone. Dans notre première communica-
tion nous avons remarqué en outre, que lors de l’oxy-
dation de l’asarone un produit cristallin neutre est en-
gendré, dont la nature était à déterminer par des re-
cherches ultérieures.
Peu de temps après la publication de nos résultats
M. le Prof. Th. Poleck de Breslau fit paraître les
premiers résultats d’un travail sur l’asarone entrepris
dans son laboratoire par M. Fr. Staats”). Plus tard
parut la dissertation‘) de M. Staats, renfermant un
exposé détaillé de l'ensemble des résultats obtenus
par lui.
Les données qu’ont fourni les recherches de cet au-
teur s’accordent en général avec nos résultats. Il n’y a
que l’analyse du produit neutre de l’oxydation de l’asa-
rone, qui ait conduit M.Staats à des nombres, rendant
fort probable que la substance, qu’il à eue entre les
mains n’était pas suffisamment pure.
De notre côté, en continuant nos recherches, nous
parvinmes à établir des relations déterminées entre
la composition de l’asarone et celle de ses produits
d’oxydation, dont il sera question plus loin. Les for-
mules, que donne M. Staats, ne font pas ressortir
ces relations et sont d'autant plus douteuses qu’elles
contiennent un nombre impair d’atomes d'hydrogène.
Ce fut surtout l'étude des produits d’oxydation de
_l’asarone, qui nous permit d'établir la nature chimique
de ce composé. De même que M. Staats, nous avons
obtenu un acide et le corps neutre, cité précédem-
ment. Enfin nous avons pu passer de cet acide à un
autre produit, qui est formé par élimination de CO,
au dépens du groupe carboxylique de l'acide. Les
pages suivantes seront consacrées à l'exposition de
nos expériences sur l'oxydation de l’asarone, des rela-
tions chimiques des produits formés dans cette réaction
3) Berl Ber. XVII (1884). 1415
k. Fr. Staats. «Ueber Asaron» ‘Inaugural- Fe Breslau
0]
Tome XXXL.
et des conséquences qui peuvent être déduites de ces
données experimentales.
Pour effectuer l’oxydation de l’asarone nous nous
sommes servis de deux méthodes différentes:
1° nous avons employé le bichromate de potassium,
en le faisant agir sur l’asarone dissoute dans l'acide
acétique concentré; 2° — l’action du permanganate de
potassium sur des solutions aqueuses du composé.
La première de ces méthodes conduisant à des ré-
sultats moins satisfaisants, nous eûmes donc générale-
ment recours à la dernière. L’oxydation par le bichro-
mate se faisait de la manière suivante: Une dissolution
de 12 gr. d’asarone dans 40 gr, d'acide acétique con-
centré est additionnée de 6 gr. de K,Cr, e mé-
lange est chauffé avec précaution, jusqu’à ce qu'il ait
pris une Coloration franchement verte. Le liquide, étant
refroidi et dilué d’eau, dépose après un court espace
de temps des «cristaux de forme aciculaire, ainsi
qu’une quantité considérable d’une substance rési-
neuse de couleur rouge-brun, contenant du chrome.
Cette substance, traitée par l’eau bouillante, donne
encore une certaine quantité du produit cristallin.
La substance résineuse n’a pas été examinée d’une ma-
nière plus détaillée; quant aux cristaux, ils sont de
nature neutre, se composent de longues aiguilles soy-
euses, peu solubles dans l’eau froide, se dissolvant facile-
ment dans l’eau bouillante, l’éther, la ligroine et la
benzine. Elles fondent à 114°, mais dès la température
de 100° elles commencent à se volatiliser, donnant un
sublimé de petites aiguilles brillantes de couleur blanc-
neige.
L'analyse de ce composé a donné les nombres sui-
vants: 0,2228 gr. de matière, brûlée avec de l’oxyde
de cuivre (vers la fin de Popération dans un courant
d'oxygène), ont donné 0,1230 gr. d’eau et 0,5018 gr.
d'acide carbonique; en centièmes: C — 61,42; H —
6,13. Ces nombres conduisent à la formule C,,H,,0,,
qui exige: C—61,22; H—6,12; 0—32,65. Le pro-
duit neutre se forme donc de l’asarone, d'aprés l'équa-
tion suivante:
C0, — 2C — 4H + 0— C,H,,0,
L’oxydation de l’asarone par le permanganate de se
potassium a été soumise à une étude plus détaillée.
Après un certain nombre d’expériences la méthode sui- : :
33 "
TUE
499
Bulletin de l’Académie Impériale
vante a été trouvée être la plus expéditive. On intro-
Rr duit dans une fiole spacieuse un mélange de 10 gr.
d’asarone et de 450 gr. d’eau, qu’on chauffe jusqu’à
# commencement d’ébullition. Dans ce mélange on verse
$ goutte à goutte une dissolution de 40 gr. de permanga-
nate dans 750 gr, d’eau. On procède d’abord lentement
en ayant soin que chaque fois le liquide ajouté soit entiè-
rement décoloré. Vers la fin de l'opération le perman-
ganate peut être introduit dans la fiole un peu plus
rapidement. Pendant tout le cour de la réaction le
mélange est maintenu à la même température. La
teinte violette de l’oxydant ayant disparu, le liquide
est porté à l’ébullition. On filtre et on lave à l’eau
bouillante l’oxyde de manganèse. Après refroidissement
la liqueur filtrée est agitée à plusieurs reprises avec
de l’éther; la solution éthérée est distillée; le résidu-
substance blanche cristalline neutre, — est repris par
ie l’eau bouillante et cristallisé de nouveau. Le liquide
2 aqueux alcalin séparé de l’éther est évaporé à sec et
le résidu, contenant du carbonate de potassium et les
sels des acides organiques formés lors de la réaction
est traité à plusieures reprises par de l’alcool (95%)
bouillant. Les premières portions de la solution alcoo-
lique déposent après refroidissement des écailles cristal-
lines blanches grasseuses, — sel potassique d’un acide
particulier. On peut aussi directement décomposer le ré-
sidu par l’acide chlorhydrique et reprendre par l’alcool
bouillant; la solution alcoolique concentrée donne des
cristaux aciculaires de l’acide lui-même. D’après ce
procédé 10 gr. d’asarone fournissent environ 4,5 gr.
d’acide cristallin et 0,2 gr. du produit neutre.
Outre ces deux substances cristallines, l’une neutre,
l’autre acide, il se forme de l’acide carbonique accom-
_pagné des acides oxalique et acétique. L’acide oxalique
a été identifié par son sel de calcium; la présence de
_ l'acide acétique en quantité considérable se manifes-
tait par l'odeur caractéristique de cette acide. Nous
crûmes pouvoir nous dispenser de constater la forma-
tion de ces acides par des expériences plus détail-
lées, ce fait étant déjà bien établi par les travaux de
M. Staats ”).
= En oxydant l’asarone, comme nous venons de le
_ décrire, on obtient comme LE eux acide
5) «Über Asaron» Inaug.-Dissert. p. 25, 26, 28.
quantité totale du permanganate étant ajoutée et la
cristallin, la substance neutre ne se formant qu’en
quantités relativement petites. Lorsqu'on procède d’une
manière modifiée il est aisé d'obtenir un rendement
plus abondant de ce dernier produit. L’expérience
suivante le démontre. Un mélange de 5 gr. d’asarone
finement pulvérisée et de 7,5 gr: de MnKO,, égale-
ment réduit en poudre fine est introduit par petites
portions dans 750 gr. d’eau bouillante, en agitant
continuellement le liquide. Le liquide encore chaud,
séparé par filtration de l’oxyde de manganèse, donne
après refroidissement une cristallisation abondante du
produit neutre. Une nouvelle portion de ce corps est
obtenue, en traîtant la dissolution aqueuse par l’éther.
De cette manière 5 gr. d’asarone donnent 2,1 gr. du
produit neutre. Ce produit obtenu par l’oxydation de
l’asarone à l’aide du permanganate est identique avec :
le produit formé par l’action du bichromate. Les pro-
priétés du composé, ainsi que les analyses suivantes,
le prouvent suffisamment.
I. 0,1259 gr. de matière brûlés avec CuO (dans
un courant d'oxygène vers la fin de la combustion)
ont donné 0,0688 gr. d’eau et 0,2828 gr. CO..
II. 0,1728 gr. de matière ont donné 0,0954 gr.
d’eau et 0,3876 gr. CO,..
En centièmes:
J. IL. Théorie pour C,9H 904:
C— 61,26 61,22 C— 61,22
H— 6,06 6,13 H— 6,12.
L’acide cristallin, préparé d’après la méthode pré-
cédemment décrite et purifié par des cristallisations
réitérées de ses solutions dans l’eau ou la ligroine,
présente les propriétes suivantes: il forme des aiguilles
cristallines incolores, solubles dans la benzine, la
ligroine, l’alcool et l’eau bouillante, difficilement solu-
bles dans l’eau à froïd. Les cristaux déposés par les
solutions aqueuses ne contiennent point d’eau de cristal-
lisation. Le point de fusion est situé à 144°, le point
d’ébullition à 300° environ. Chauffé avec des acides
minéraux concentrés, l'acide sulfurique surtout, le
composé prend une teinte verte et forme des produits
résineux. [l réagit d’une manière prononcée sur le pa-
pier de tournesol bleu et décompose les carbonates
avec effervescence. L’acide, de même que la substance
neutre, ne présente guère les propriétés des composés
non-saturés, propriétés si accentuées dans l’asarone.
L’acide purifié par plusieurs cristallisations dans la 44
$
501
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
ligroine, brûlé avec l’oxyde de cuivre (dans un courant
d'oxygène vers la fin de la combustiôn) a donné sur
0,2110 gr. de matière analysée 0,1056 gr. H,0 et
0,4374 gr. CO..
En centièmes: C — 56 54; H— 5,55. La formule
déduite de ces nombres est a exigeant: C —
56,60; H — 5,66. L'analyse du sel d'argent conduit
à la même formule. Ce sel a été obtenu par double dé-
composition du sel potassique avec le nitrate d'argent;
purifié par des cristallisations répétées de ses solu-
tions dans l’eau bouillante, il forme de longues
aiguilles soyeuses incolores, assez stables à l’air et
à la lumière.
La combustion de 0,3182 gr. de ce sel, en nacelle
de platine dans un courant d'oxygène, a donné: 0,1050
gr. d’eau, 0,4362 gr. CO, et 0,1070 gr. Ag; en cen-
tièmes: C — 37,38; H — 3,66; Ag — 33,62; la for-
mule C,,H,,AgO, exige:.C — 37,61; H = 8,45;
Age= 33,85. |
Ces résultats démontrent que la formule de l’acide
C;çH,,0, ne se distingue de celle du produit neutre
C;5H,,0, que par la présence d’un atome d'oxygène de
plus. Le produit neutre serait donc l’aldéhyde, corres-
pondant à notre acide. A l’appui de cette supposition
nous pouvons citer les faits suivants: 1° il est pos-
sible d'obtenir l'acide en oxydant le produit neutre;
‘2° le produit neutre forme avec la phénylhydrazine
un dérivé cristallin — réaction caractéristique pour
les aldéhydes. :
Une quantité d'environ 1,5 gr. du produit neutre
dissous dans Peau fut Éxydés par 5 gr. environ de
MnKO,. Une partie de ce sel fut introduite à l’état
de poudre dans la solution chaude du produit neutre,
le reste fut dissous dans l’eau et la solution versée peu
à peu dans le mélange, la quantité totale d’eau intro-
duite dans I réaction étant de 130 gr. En traitant
le mélange par le procédé décrit précédemment pour
l'oxydation de l’asarone par MnKO,, nous avons obtenu
dans l'extrait éthéré des traces du produit neutre non
oxydé, tandis que la dissolution aqueuse nous fournit
plus de 0,5 gr. de l’acide cristallin, parfaitement iden-
tifié par ses proprietés caractéristiques.
Nous traitimes d’après le procédé de M. Fischer”)
le produit neutre par le chlorhydrate de la phénylhydr:
azine en présence de l’acétate de sodium. Dès 4 ‘on
6) Ber, d. d. Chem. Ges. XVIL (1884). 572.
mélange les solutions de Ja phénylhydrazine et du
produit neutre dans l’alcool dilué le liquide se trouble.
Après un certain temps une substance jaune cristal-
line se dépose (présentant au microscope des prismes
à bases tronquées), et le liquide redevient entièrement
transparent. Purifié par une nouvelle cristallisation
dans l’alcool chaud, le composé azoté est obtenu
sous forme de beau prismes jaunes, au point de fu-
sion 120—121°.
Le dosage de l’azote d’après la méthode Dumas a
donné les résultats suivants: 0,3120 gr. de matière
donnèrent 28 c. c. d’azote (température 19°, pression
barométrique, réduite à 0° — 755,9 mm.), en cen-
tièmes — 10,22. Ce résultat s'accorde parfaitement
avec la formule empirique du produit, qui doit se for-
mer par l’action de la phénylhydrazine sur un aldé-
hyde de la composition de notre substance neutre. La
formule d’un produit de cette nature C,,H,.0,N, (Cs
H,,0, + CHEN, = CH ON, + H,0) exige 9 799,
d'azote.
La nature aldéhydique du produit neutre se mani-
feste en outre par sa faculté de se dissoudre dans
une solution saturée de bisulfite alcalin.
Traité par l’amalgame de sodium, l’aldéhyde forme
deux produits: l’un fusible à 62°, l’autre à 102°. Nous
n'avons pas soumis ces composés à un examen plus
détaillé. Néanmoins il est fort probable que l’un d'eux
est un alcool, l’autre ‘un produit de condensation.
La réaction serait donc analogue à la réduction de la
vanilline, du piperonal, des aldéhydes benzylique et
anisique par l’amalgame de sodium, réduction qui
mène d’un côté à la formation des alcools correspon-
dant aux aldéhydes cités et qui fournit de l’autre
côté des produits de condensation — l’hydrovanilloïne,
les hydropipéroïnes, les hydrobenzoïnes et les hydro- he
anisoïnes. je
Il a été prouvé que l’asarone renferme trois groupes
méthoxyliques dans sa molécule; or, rien ne fait croire
que ces groupes subissent un changement quelconque
pendant l'oxydation de ce composé; il était done fort
probable que la même quantité de méthoxyles devait se
trouver dans l’aldéhyde et l’acide, dérivés de l’asarone.
En effet ces deux substances chauffées au bain marie
avec de l’acide iodhydrique donnent une quantité con-
sidérable de CH,J, de même que l'acide re avec.
HCI fournit du CH,CI en grande ae à se
503
Bulletin de l’Académie Impériale
504
Mais ce sont les expériences sur le produit de dé- |
doublement de l'acide qui ont fournies une preuve in-
contestable de la présence de trois groupes méthoxyli-
ques dans ces produits.
En distillant un mélange de l’acide avec de la chaux
fraîchement éteinte (5 gr. d’acide sur 20 gr. de chaux)
nous avons obtenu une huile lourde, qui fut purifiée,
désséchée sur du chlorure de calcium, enfin soumise
deux fois à la distillation. Après ce traitement elle pré-
sentait les proprietés suivantes: elle est peu fluide, de
couleur faiblement jaune. Elle ne se solidifie pas
encore dans un mélange de neige et de sel marin, seule-
ment sa viscosité est augmentée d’une manière notable.
Elle possède une saveur brûlante et une odeur aroma-
tique, assez agréable, son point d’ébullition est situé
à 245°—247° environ, elle est presque insoluble dans
l’eau et les alcalis et ne donne pas de coloration avec
les sels de fer.
0,2844 gr. de cette substance brûlés avec CuO et
O, ont donné 0,1826 gr. de H,0 et 0,6716 gr. de CO;
en centièmes: C — 64,40; H = 7,13. Ces données
conduisent à la formule C,H,,0;, qui exige: C— 64,28;
H— 7,14. L'huile se forme donc, comme il était à
prévoir, par une décomposition de l’acidé selon l'équa-
tion C0H,905 — CO, = C,H,,03.
L'action d’un excès d’acide iodhydrique sur cette
huile a montré qu’elle contient trois groupes métho-
xyliques:
0,816 gr. de matière, scellés dans un tube avec
10 gr. de HI (p. d’éb. 127°), furent chauffés pendant
5 heures à 120°. En ouvrant le tube on n’observa
point de pression. L’iodure de méthyle formé fut sé-
paré par distillation au bain-marie: le rendement était
de 0,780 gr. Il fut alors introduit dans le tube de l’a-
cide iodhydrique fumant additionné d’une certaine
quantité de phosphore amorphe; le tube, scellé de nou-
veau, fut chauffé pendant 10 heures à 150°. Après
ouverture du tube une nouvelle quantité de CHI fut
séparé par distillation au bain-marie; cette quantité
était de 0,673 gr.; le montant total de CHI formé
était de 1,453 gr.
Par conséquent 100 p. de lhuile avaient fourni
178,06 p. d’iodure de méthyle. Pourtant la réaction
n’était pas encore terminée: le tube étant scellé et
chauffé de nouveau pendant 10 heures à 150°, nous
obtinmes encore une petite quantité de CH,I, qui du
reste ne fut pas dosée.
Ces expériences permettent de conclure que le com-
posé C,H,,0, contient en effet trois groupes méthoxy-
liques. L’élimination complète de ces groupes corres-
pondrait à la formation de 253 p. d’iodure de méthyle
sur 100 p. d'huile; en admettant que le composé en
question ne renferme que deux groupes méthoxyliques
on ne pourrait obtenir que 169 p. d’iodure de méthyle;
or plus de 178 p. de CH,I sur 100 p. d’huile furent
isolées.
D’après ce qui vient d’être dit l’huile formée par le
dédoublement de l’acide, que fournit l’oxydation de
l'asarone, présente la composition suivante:
CH (OCEH:)..
C’est donc l’éther tri-méthylique d’un phénol tri-
atomique. La formation de ce composé par dédouble-
ment de notre acide serait analogue à la formation de
l’anisol au dépens de l’acide anisique et du vératrol au
dépens de l’acide vératrique.
Pour nous convaincre d’une manière plus positive
de la présence d’un noyau aromatique dans l’asarone,
nous l’avons traitée par la poussière de zinc. Cette ex-
périence a été faite par M. Staats, mais ce chimiste
n’a pas pu constater la présence de dérivés aroma-
tiques parmi les produits de: la réaction. Un mélange
intime de 5 gr. d’asarone et de 100 gr. de poussière
de zinc fut chauffé en faisant passer les produits de la
réaction dans l’acide azotique concentré. L’acide étant
dilué par de l’eau une huile lourde s’est séparée; lavée
à l’eau et au carbonate d’alcali, elle fut distillée avec
la vapeur d’eau. Ainsi fut recueillie une huile légère-
ment jaunâtre à l’odeur caractéristique de la nitro-
benzine. Elle fut transformée, d'après la méthode de
M. Hofmann‘) en aniline, qui fut identifiée par son
odeur, par la coloration qu’elle prend avec le chlorure
de chaux enfin par la formation des cristaux caracté-
ristiques de son sulfate.
—
Les résultats, exposés ci-dessus, démontrent, que
l’asarone est un dérivé tétra-substitué de la benzine:
trois atomes d’hydrogène dans celle-ci étant substitués
par 5 groupes méthoxyliques, un quatrième par le
7) A. W. Hofmann. Lieb, Ann. LV, 200,
506
505 des Sciences de Saint-Pétersbourg.
groupe non-saturé C;H,, qui se transforme, lors de CH, __CO0H CH,- -CO0H 2P Real COOH
l'oxydation, d’abord en groupe aldéhydique, ensuite en #—OCH, = (OCH, h 1 Z(0CH, )e
carboxyle. Quant à la structure de ce groupe C,H,, il
est à remarquer que lors de l’oxydation de l’asarone
il se forme à ses dépens de l’acide acétique — composé
renfermant un groupe de méthyle, —tandisque l'atome
de carbone immédiatement relié au noyau aromatique
reste (dans le cas où il y a formation d’aldéhyde) en
combinaison avec un atome d'hydrogène. Or il est peu
probable que lors de l’oxydation le carbone se combine
avec l'hydrogène. Il faut donc admettre que le radical
CH, renferme déjà du méthyle tout formé et le groupe
CH, fournissant par oxydation le groupe aidéhydique
CHO. La seule structure du groupe C;H, qui pourrait
remplir ces conditions serait celle-ci: CH— CH — CH,;;
elle est en outre en parfait accord avec la règle, qui veut
que le dédoublement par oxydation des groupes non-
saturés se produise toujours à l’endroit de la double
liaison entre deux atomes de carbone. Les acides car-
bonique et oxalique sont évidemment les produits d’une
oxydation plus avancée.
Les formules suivantes représenteraient donc la con-
stitution de l’asarone et de ses dérivés, que nous avons
examinés :
—(OCH;), =(OCH;)s
Gb cac 0n; Cl CHBr-CHBr-CH,
asarone bromure d’asarone
== H
CRE QE CHOC
aldéhyde acide éther du phénol
” triatomique.
Le groupe non-saturé C.H,, présent dans l’asarone,
est le même qui a été déjà rencontré — souvent simul-
tanément avec le méthoxyle — dans plusieurs sub-
stances formées par les organismes végétaux tels que
l’anéthol, l’eugénol etc.
Laissant de côté la question, quant à la position re-
lative des groupes substituants dans le noyau benzi-
nique, nous pouvons constater les analogies suivantes:
-_C;H, 2:60,
GE _ 00H, Gi=(0cH), © see
anéthol éther pre asarone
de l’eugénol
Ch 00 cu OR er ge
1 OCH, entre ES ne ‘#
aldéhyde éther méthylique aldéhyde dérivé
anisique de la vanilline de Pasarone
acide dérivé
de l’asarone
acide anisique acides vératrique
diméthylrésorcique
Il paraît que l’asarone est le premier représentant
triméthoxylé qui soit connu de ce groupe de com-
posés,
La position relative des quatre groupes, qui rem-
placent dans l’asarone et ses dérivés les atomes d’hyd-
rogène du noyau benzinique, pourrait être déterminée
jusqu’à un certain point par la connaissance de la struc-
ture de l’éther triméthylique décrit plus haut. Malheu-
reusement ni pour la phloroglucine, ni pour le pyro-
gallol, ni pour l’oxyhydroquinone *) nous ne connaissons
d’éthers triméthytiques, qui pourraient être compa-
rés avec notre produit. Pour résoudre la question de
la structure de ce corps nous avons exécuté quelques
expériences qui seront décrites plus loin. Cependant
les résultats obtenus ne permettent pas de tirer une
conclusion précise concernant la disposition des
groupes substituants dans l’asarone”). Cette question :
n'étant d’ailleurs que d’un intérêt secondaire et exi-
geant pour la résoudre un travail long et pénible nous
l'avons laissée pendante. Elle sera résolue dès que
l’aldéhyde ou l'acide, que nous avons préparés en par-
tant de l’asarone, auront été obtenus par quelque autre
procédé, permettant de juger de leur structure d’une
manière dr
8) Monatshefte, IV. 1883. p. 176.
9) Pour la formule C;H, HEC 9 la théorie prévoit six cas
d’isomérie Er en effet, en sg par un groupe mon
mique un atome d'hydrogène ‘dans chacun des trois éthers triméthye
iques dérivés des trois triphénols isomériques, on obtient: pour
l’éther (1, 3, 5) — un seul produit de substitution, pour l’éther (1, 2,
3) — deux, pour l’éther (1, 2, 4) — trois produits:
(0)
MeO e
&0 G ho Put
NA NT
Me0 MeQ MeO
É pe É as É do
2. 9. 8.
MeO Me0 Me0 Me0 Fe
/NMe0 ZNMe0 NMeO x// \Me0
| 3. | | r 5. 6
+ 4 X +
4 MeO Me0 Me0
507
+
Bulletin de l’Académie Impériale
Croyant pouvoir substituer par le chlore les groupes
méthoxyliques de nos dérivés à l’aide du perchlorure
de phosphore nous traitâmes par ce réactif, et ensuite
par l’eau, l’acide et l’éther du triphénol. L’acide, ainsi
que l’éther, ont fourni dans ces conditions des ‘sub-
stances cristallines; mais ce ne furent ni l’acide tri-
chlorobenzoïque, ni la trichlorobenzine.
L'action de l’acide iodhydrique sur lacide C,,H,,0,
et sur l’éther C,;H,,0, n’a donnée à côté de l’iodure de
méthyle, aucune substance suffisamment caractérisée,
pour en faire l’objet de recherches plus détaillées.
L'action de l’acide chlorhydrique (densité 1,16) sur
les mêmes dérivés de l’asarone a conduit à des résul-
tats également peu satisfaisants. L’éther traité par ce
réactif, ne donne pas le triphénol: il se forme simulta-
nément avec le CH,CI un produit cristallin peu soluble
dans l’eau froide, apparemment identique avec le pro-
duit, formé par l'acide dans les mêmes conditions.
. Cette réaction a été effectuée de la manière suivante:
l'acide fut chauffé pendant 8 heures à 150° dans des
tubes scellés avec de l’acide chlorhydrique (d. 1,16).
Les tubes étant ouverts, il s’en échappe beaucoup
de CH,CI, accompagné de quantités notables de CO,
produites probablement par un dédoublement de l’a-
cide lui-même. Comme l'acide gallique se transforme
en pyrogallol déjà par l’action de l’eau à une certaine
_ température, on pouvait s'attendre dans le cas pré-
sent à la formation d’un triphénol. Mais à ce qu'il
parait la réaction va au delà de ce terme et ils se for-
ment des produits de déshydratation du phénol en
question.
_ Le contenu du tube, qui se présentait sous l’aspect
d’un liquide rouge-brun, renfermant des flocons gris-
foncé, fut traité par l’éther. La solution éthérée fut
décantée et soumise à la distillation, le résidu desséché
fut chauffé avec précaution dans un courant de CO..
Il se sublime une substance cristalline blanche peu so-
à _ luble dans l’eau froide, bien soluble dans l’eau bouillante;
par refroidissement de la solution aqueuse le composé
est obtenu sous forme de cristaux aciculaires brillants.
La solution aqueuse, exposée à l’air, prend une colo-
ration verdâtre; en présence d’un aleali elle devient
brune. Le composé est fusible vers 250°, mais déjà
à des températures considérablement inférieures il
__ devient brun et commence à se décomposer; en même
temps il est partiellement volatilisé. Le: corps, qui
vient d’être décrit, possède les réactions caractéristi-
ques suivantes: les acides sulfurique et azotique con:
centrés le dissolvent, donnant le premier un liquide
d’une couleur bleu-de-ciel, le dernier un liquide vert;
en mélangeant ces deux solutions, on obtient un liquide
rouge, La solution aqueuse donne avec le perchlorure
de fer une coloration noire; une solution diluée de
Fe,Cl,, additionnée d’une quantité minimale de NaHCO,
prend une coloration violette.
L'analyse de la substance sublimée, (brûlée avec
CuO, à la fin dans un courant d’oxygène), a donné les
résultats suivants: 0,2192 gr. de matière ont fourni
0,0750 gr. HO et 0,5336 gr. CO,; en centièmes:
C— 66,39; H — 3,80. Ces-résultats rendent fort
probable la formule C,,H:0,, qui exige: C—66,66°/;
H— 3,727, Si l’on admet cette formule, la substance
en question pourrait être envisagée comme un anhyd-
ride incomplêt d’un triphénol:
2C.H;(0H); rt 2H,0 —= C;,H,0,.
Parmi les anhydrides analogues nous ne connaissons
d’une manière plus ou moins positive, que le phloro-
glucide C,,H,,0,, anhydride, présentant du reste un
degré de déshydratation inférieur à celui de la sub-
stance qui vient d’être décrite.
St-Pétersbourg. Le 9 (21) mai 1886.
Hydrologische Untersuchungen XLIX. Von Prof. Dr. Carl
Schmidt in Dorpat. (Lu le 13 janvier 1887.)
Quellen, Brunnen, Bäche, Flüsse, Seeen der Bahalinie Pskow-
Dorpat-Werro-Walk-Wolmar-Wenden-Riga,
Im Spätherbste 1886 übersandte mir der Bau-
direktor der Pskow-Dorpat-Rigaer Bahn, Herr von
Goette, 22 mit besonderer Sorgfalt von den betref-
fenden Abtheïlungs-Ingenieuren in grosse Glasstüpsel-
flaschen à 12—13 Liter geschüpfte Wasserproben mit
dem Ersuchen um Analyse und Begutachtung behufs
Verwendung zur Lokomotiven-Speisung.
Ich benntzte dieses interessante Material: 2 Quellen,
1 Brunnen, 1 Bohrbrunnen, 10 Bäche, 3 Flüsse, 1 stag-
nirender Flussarm, 4 Seeen — zur vollständigen Un-
509
des Sciences de Saint - Pétersbourg.
10
tersuchung. Es sind, der Bahnrichtung NO—SW
folgend :
1) Pskow, Fluss Welikaja, geschôüpft 30. Septem-
ber (a. St.), Wasser gelblich.
2) Pskow, Bohrbrunnen- Wasser, das Bohrloch
6 Meter durch harten Dolomit getrieben; Wasser
farblos, Geschmack schwach salzig, geschüpft 30. Sep-
tember.
3) Isborsk, Kolomen-See, 2219 Meter von der
Bahnstation, Wasser gelblich, geschôpft 29. September.
4) Petschori, Bach Pimscha («Bümsche») in den
: Peipus mündend; Wasser gelblich, geschüpft 31. Octo-
ber, 225 Meter von der Station.
5) Werro, See Tammula; Wasser hellgelblich,
geschôüpft 8. October, 1323 Meter von der Bahn-
station.
6) und 7) Zwei Quellen bei der Station Antzen,
926 und 1016 Meter von letzterer entfernt, À 6 beim
Dorfe Masika, N 7 auf dem Plane als Y bezeichnet,
geschôüpft 30. September, Wasser klar, farblos.
8) Walk, Bach Peddel, dem Embach zufliessend;
Wasser gelblich, geschüpft 30. September, 1045 Meter
von der Bahnstation.
9) Karolen, Bach Orra, der Aa zufliessend; Wasser
gelblich, geschôpft 28. September, 53 Meter von der
Babhnstation.
10) Sagnitz, Bach Mudda, Wasser gelblich, ge-
schôpft 27. October, 1045 Meter von der Station.
11) Wolmar, Brunnen, Wasser farblos, klar, ge-
schôpft 25. September. -
12) Stakeln, Bach Kempen, der Aa zufliessend :
Wasser gélblich. geschôpft 25. September, 384 Meter
von der Station. Le
13) Lohde, Bach Renze, der Aa zufliessend;
Wasser gelblich, geschôpft 25. September, 427 Meter
von der Station.
14) Ramotzki, Bach Grube, der Aa A oc E
Wasser gelblich, geschôpft 25. September, 384 Meter
von der Station.
15) Wenden, See Kiner, Wasser farblos, sehr
weich, fade schmeckend, geschôpft 25. September,
2795 Meter von der Station.
16) Segewold, Bach aus einem Morast entsprin-
gend; Wasser dunkelgelb, geschôüpft 30. September
2091 Meter von der Station.
17) Hinzenberg, Fluss Aa («Livländische Aa);
Wasser gelblich, geschôüpft 30. September, 3307 Meter
von der Station.
18) Rodenpois, Bach Krew, der Düna zuflies-
send; Wasser dunkelgelb, wie M 16, geschüpft 30.
September, 309 Meter von der Station.
19) Riga, Kriegshospital «rothe Düna»; Stagni-
render rechtsseitiger, üstlicher Düna-Arm, 3 Kilo-
meter unterhalb der Stadt; Wasser gelb, stinkend, ge-
schôpft 20. October, 2560 Meter von der Halt-Station.
20) Riga, Düna-Fluss, Wasser gelblich, geschôpft
20. October, 107 Meter von der Bahnstation.
21) Elwa, Bach Elwa, in den Embach mündend ;
Wasser coli. Seschopft 20. September, 641 Meter
von der Station,
22) Elwa, Uddern'’scher See, Wasser gelblich,
geschôüpft 20. September, 320 Meter von der Station.
Nach abnehmendem Salzgehalte geordnet sind dar-
gestellt auf Tabelle I die Elementarbestandtheile in 1
Cubikmeter Wasser.
Tabelle II deren Gruppirung.
Tabelle III das Verhältniss der Elementarbestand-
theile — organische Stoffe und Mineral-Elemente auf
100 grammen der Summe letzterer berechnet.
Ein Blick auf die drei ersten Gruppen: A) Quellen,
B) Brunnen, C) Bohrbrunnen zeigt, dass das Was-
ser der 2 Quellen von Antzen mit dem des Wol-
marer Brunnens nahezu übereinstimnt. Nur der Chlor-
und Schwefelsäure-Gehalt ist wesentlich verschieden.
Während letzterer (SO,) ersteren (CT) um mebr als das
Doppelte (K 6 Masika) bis Fünffache (K 7, Y) über-
steigt, überwiegen in NX 11 Wolmar die Chloride be-
deutend. Dieses Verhältniss läisst auf einen Zusam-
menhang der Antzen’schen Quellen mit Gypslagern
schliessen, obschon letztere erst in grüsserer Entfer-
nung ostwärts bei Isborsk zu Tage treten.
Vüllig verschieden von jenen 3 ist das Bohrbrun-
nenwasser von Pskow. Dieses, 6 Meter tief die harten
devonischen Dolomitbänke der Welikaja-Ufer durch-
setzend, fürdert eine wahre verdünnte Salzsoolezu
Tage, ein Gemenge von Pskower Dolomit-Bicarbonat
und Isborsker Gyps mit dem durch überlagernde Do-
lomitbänke vor Süsswasserauslaugung bewabrt geblie-
benen Reste des Silur- und Devon-Oceans, der
wahrscheinlich in gleicher Weise die zablreichen schwa-
chen Soolquellen des Ilmensee-Gebietes um de en
Russa speisen dürfte. .
Bulletin de l’Académie Impériale
511 522
TABELLE I
1,000,000 RER AL an En 1 LRRIRRSNRS enthalten
X VAR | end | Kalium K. |Natrium Na. TT AUS Calcium Ca. Me
A) HAE
7 Enr) Quelle Y. Menu 5,894 2 294,991 1,703 1,088 0,964 | 71,923 | 23774
6 Antzen’ Quelle Masika. . . ... 3,272 | 277,892 0,978 5,988 1,445 | 73,068 15,767
. Sur 4
‘ B) DST u
11 | Wolmar Re | 12,882 | 284,160 | 1,918 | . 4,163 | 1,199 | 75,653 | 19,546
| C) Bo +
ER RO UE | 8,517 | 1488,580 | 11,614 | 226,781 | — | 204,205 | 63,633
D) B 4
21 | Bach Elwa bei Uddern. . .... 12,136 | 250,654 1,966 | 4,206 | 0,102 | 65,809 | 18,97
13 | » Renze bei Lohde...... 12,006 | 246,467 | .: 2,171 3,744 1,212 | 67,780 | 13,952
9 | », Orra bei Karolen . .... 16,592 | 237,648 2,476 4,548 0,964 | 63,043 | 15,7b
4 | » Pimscha bei Petschori 5,894 |’ 217,722 1,783 | 3,855 | 1,152 | 56,423 | 15,025
8 | » Peddel bei Walk. ..... 11,567 | 206,860 1,738 | 2,895 | 1,598 | 48,278 | 16,95
10 | » Mudda bei Sagnitz ....| 12,001 | 184,678 1,421 | 3,165 | 1,577 | 47,549 | 12,983
12 | » Kempen bei Stakeln. . ..| 23,135 | 184,537 | 1,308 4,234 1,082 | 41,678 | 16,870
14 | » Grube bei Ramotzki. . 21,831 | 154,278 0,827 | 3,534 | 1,419 | 39,148 | 9,888
16 | Moorbach bei Segewold . . . .. 39,079 | 110,571 1,010 | 2,473 | 2,379 | 23,088 | 7,710
18 | Bach Krew bei Rodenpois. . .. | 33,184 | 89,724 | 0,673 | 2,221 | 1,943 | 19,403 | 6,482
E) Fr. 1
17 | Finss Aa bei Hinzenberg ....| 13,100 | 215,777 | 1356 | 5,184 | 1,878 | 52,602 | 15,036
1] » Welikaja bei Pskow. : ..| 15,061 | 164,870 1,828 | 5,720 | 0,858 ! 42,736 | 9,780
20 | » Düna bei Riga... ... | 21610 |: 161,722 1,847 | 7,566 | 0,894 | 39,876 | 9,23
$ 22
r- F) D OR EE DU 000:
Vote Damas bei Rige | 57,197 | 505,480 | 28,076 | 43,350 | 18,232 | 71,509 | 26,
| ee
G) S e
22 | See Uddern bei Elwa. . ... 15,648 | 264,507 | 3,236 | 4,261 | 0,118 | 59,580
= 3 | » Kolomen bei Isborsk . 20,085 | 257,798 7,318 | 5,159 | 1,125 | 56,115
5 | » Tammula bei Werro . ... 8,772 | 149,951 2,129 | 2,783 | 0,499 | 39,948
15 | » Kiner bei Wenden. . ... 16,592 | 39,922 5,731 | 2,648 | 2,033 | 2,536
513 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 514
TABELLE I.
grammen wasserfreier Bestandtheile: ER Dee rt mem
K Sauerstoff- Säure-Anhydride x re unlôslich
2 FT nue EE : , ” derlslich ven
sen Fe. N,0:, CO», CIE Schwefel- | Salpeter- | Phosphor- Kohlensäure | Kieselsäure Ru enr as er ST] Kesselstein
Ë P,0,. : säure S0,. |säure N,0;.Isäure P,0.. CO. | SiO y : C.
“4 I e n.
11,377 7 | 46,614 | 1,454 7,519 | 1,888 | 0,075 | 123,222 | 10,390 302,64 20,80 | 281,84
0,469 | 40,925 | F, 472 16,090 | 2,802 | 0,087 | 102,481 | 10,320 290,76 58,64 | 232,12
n n e n.
0,825 | 44,647 ur | 4,564 2,438 | 0,643 | 0,075 | 121,109 | 7,380 | 286,46 | 27,62 | 258,84
E ta 2... A Es a ét RAS REP. ACTU JU Pas mr : STE MA AP re
b r u n n e n.
0,595 | 99,245 | 467,043 | 312,390 | — | 0,030 | 101,211 | 1,833 | 1761,50 | 1211,03 550,47
nc h ê.
0,216 | 40,194 2,384 2,342 | 0,625 | 0,048 | 108,947 4,840 259,38 23,66! 235,72.
0,296 | 38,273 1,543 7,354 | 1,547 | 0,069 | 100,506 8,020 247,22 27,62 | 219,60
_ 0,960 | 37,674 2,769 1,936 | 0,840 | 0,060 | 102,147 4,520 238,10 29,76 | 208,34
| 0,898 34,413 2,107 4,429 | 0,563 | 0,072 91,092 D, 100 : 223,72 26,58 | 197,14
0, 364 | 32,112 2,171 3,118 | 0,523 | 0,061 86,325 | 10,720 205,52 16,72 | 188,80
0,854 | 29,239 2,789 3,447 | 0,644 | 0,048 78,189 2,780 187,00 23,18 | 163,82
0,420 | 29,624 1,988 1,882 | 1,453 | 0,035 79,803 4,160 208,04 44,06 | 163,98
0,308 | 23,796 2 018 2,204 | 1,759 | 0,039 63,478 5,860 159,62 20,86 | 138,76
0,457 | 15,952 2,779 2,960 | 0,832 | 0,108 41,803 8,960 . 119,40 37,80 81,60
0,249 | 13,325 2334 0,749 | 1,210 | 0,059 35,680 5,396 103,76 26,34 77,42
Fi ü S , S e.
0,856 | 33,443 898 | 11,434 | 1,917 | 0,044 84,860 4,220 221,58 . 36,16 | 185,42
0,248 | 24,899 6,275 4,546 | 0,890 | 0,022 65,588 1,480 176,66 40,82 | 135,84
0,416 | 24,060 6,537 3,351 | 1,328 | 0,075 63,715 2,820 177,72 41,58 | 136,14
D otiu. ts. s re :
3,289 Us Peas) 69,157 | 27,153 | 2,071 | 1,033 | 141,439 | 10,660 | 509,16 | 246,18 | 262,98
0092 | 42,656 | 2873 | 1,428 | 1,767 | 0040 | 115765| 6,380 | 27494 | 2878 | 24616
0,443 39,688 6,607 6,496. 1,020 | 0,039 | 105,124) 6,060 258,32 51,58 206,74
0,142 | 23,586 2,384 2,733 | 1,479 | 0,044 | 62,715} 1,620 | 154,08 25,76 | 128,32
0,079 4,883 | 2,357 1,049 | 3,313 | 0,036 11,467 1,678 39,34 27,02 | LE
+ Tome XXXI. se.
515 Bulletin de l’Académie Impériale 516
TABELLE II. :
1,000,000 grammen Wasser (circa 1 Cubikmeter enthalten
; HET ‘ 1 À Natrium- ; E
. à Kaliumsulfat | Chlorkalium | Kaliumnitrat| Natrium- | Chlornatrium| Natrium- Calciumsulfat| Chlorcale
AR Ka) KCI. KNOs. (sulfatNa,S0,| Na. Initrat NaNO,. Na 00. CaSO,
A) Q u e
7 | 294,991 3.793 EE A ee 10,258 1,931 AE se Re
6. | 277,892 2,178 Een APE 18,462 “1 aa 7,978 | 11,689
| E.
| B) B u
11 | 284,160 | 4,972 | pe | su | 0,845 | 7,532 | 1,012 | 1,489 | ie | 4
C) B 0 r
2 | 1488,580 | 25,867 | Frs | ak, | ia | 575,497 | ei | st 510781 | 149,584
| D) B:. 2
21 | 250,654 4,379 Le _ 0,588 3,934 | 0,985 | 5,058 “ei +4
13 246,467 4,836 — — 9,115 2,000 — — — 0,518.
9k::297648F. 4216 |: 1111 de es 3,698 | 1,322 | 6,289 =” -24
4 | 217,722 3.972 se pr 4,627 3,477) 10886 |. 1712 sta 3
8 | 206,860 3,871 ms au 2,380 3,583 0.824 1,123 fe =
10 | 184,678 isa t ae 3,540 4,603 | 0,749 de ss 4
12 | 184,537 2,913 ca = 0,966 3,281 2288 | 4,621 js —
14 154,278 1,842 — — 2,411 3,330 2,769 1,587 —
16 | 110,571 2,249 _ — 3,429 3,459 Le he cs 1,068
18 | 89,724 1,499 22 cs 0,108 3,852 | 1,905 | 0,350 —
E) 1 4
17 | 215777 300 - Le 15,983 He e Le 1,779 | 4,472
1 | 164870 4,072 Lu — 4,752 | 10,355 | 0,364 . dE _
20 | 161.722 4,113 is — 2,596 | 10,788 2.052 4,478 ue —: 4
F) Mt al get ifaesn;de ra
19 | 505,480 | 59,125 | 2,916 | —… | pe | 110,008 — | ” — 1,741:
| | | G) S e.
22 | 264,507 | 3,109 | 3,507 | — Le 1,990 |. 2,783 | 6,266 | — 4
58. 2071984 14145 1,843 — — 9,458 1,606 2,294 mere T0
5 | 149,951 | 4,741 et _n 0,987 3.934 | 2329 | 0,649 De 24
15 39,922 | 2,284 | 4,959 | 5,439 us se 0,642 5,693 ce Fa
des Sciences de Saint -Pétersbourg.
517
be TABELLE II.
grammen wasserfreier Mineralsalze: CaO +- Ca0-
— : ; Aequivalent
Bénin) ne | cases | maueun | estous | cuoqut (Eéenultu| Anar | Amqaam | Kioélahuse- | de LOS 0
_ CaN,0s- CasP,0s- à MgCl,. MgCO,. FeCO,. Fes. N,H,C. N,H,S. SiO,. Härtegrade:
1 1 e
D 2866 | 0164 | 177,448 |: — 82,280 | 2,851 |: — | 2566 ré 10,390 | 155.31
- 4955 | 0,190 | 163,434| . — 54,569 | 0,971 us 3,846 _ 10,320 | 138,51
n n e
De | 0,164 | 188,918 | Ex | 67,647 1,709 | Eu | 3,192 | …— | 7,380 | 150,81
b r u n e n.
D | 0,065 | 2 | 30,519 | 193,203 1,232 | de, | de | re | 1,833 | 432,06
C h e
— 0,105 | 164,373| — 65,672 | 0,448 as 0,272 — 4,840 | 135,72
29348. . 0151 | 167354! 48,286 | 0,613 | — 3,226 ne 8,020 | 126,94
— 0,131 | 157,439 |: | 54376 19088 jeu 2,566 4,520 | 124,35
ho — 0,157 | 140,864] — 52,000 | 1,860 |. — 3,067 ie 5,100 | 113,50
_— 0,133 | 120,531| — bB687 1: 0764 | == 4,954 a 10,720 | 106,54
… 0,255 0,105 |:118,5894 44,933 1,769 Le 4,198 sus 2,780 | 96,39
— 0,076 | 104,095! — 58,387 | 0,870 |: — 2,880 cd 4,160 | 97,10
0,085 | 97,757] — 34,222 | : 0638 |: — 3,777 ce 5,860 | 77,52
1,263 | 0,236 | 55,743| — 26,891:| 0,947 | — 6,333 en 8,960 | 50,17
‘0,129 | 48,368 | — 22,499 | 0,516 | — 5,172 pi 5,396 | 42.06
ef S S €.
2,911 | 0,096 | 124,489| — 52086: HT7S Ex 4.999 4 — 4,220 | 108,31
1,001 0,048 |:106,154| — 33,846 0,514 — 2,284 — 1,480 82,29
‘ms 0,164 | 99,500! — 31,969 | 0,862 _— 2,380 — 2,820 | 77,04
F hu :s 1.
3,145 | 2,254 173,053 | — | 91,962 — | 5,171 | 37,912 | 7,533 | 10,660 | 161,15
— 0,087 | 148,820 | : — 91,061 | 0,190 | — 0,314 — 6,380 | 143,86
Her 0,085 | 140,163| — 78,232 | 0,917 ns 2,995.| — 6,060 | 130,49
he 0,096 | 99,747| — 24998: 09295 1,328 — 1,620 | 78,64
is 0,079 6,263| — 7,309: : 0,164 |: — 5,412 — 1,678 8,40
_ 519
Bulletin de l’Académie Impériale
TABELLE III.
| Ostliche | Entfer- Auf 100 grm. 100 r à ; À
DORP AR NNS Name der Bahn- |Nürdliche| Länge |nung von Farbe Mineral- 8 ms. 4
X Baches, Flusses, ; à von der Bahn ge et “4
Ses racer Breite. | Green | station | d°5 Wassers. Organische | Kalium K. | Natrium Na. A
wich. | (Meter). Stoffe. +2
A) Q u
Met 2
Ac DA PORTEURS EU Antzen..... 57° 56 26° 36! 1016 | farblos | 1,998 0,577 1,386 | 0,327
6 | Masika. .... Antzen . . ... — | — | 926! fus | 1177] 0352 | 2,155 | 0,520
B) Be or:
11 | UE | Wolmar 57° 32 25°25| 704 | farblos | 4,533 | 0,675 | 1,465 0,422.
C) B 0 h 1
Es | | -
2 | he | Pskôw: à | 57° A 28° 19: — | farblos | 0,572 | 0,780 | 15,234 | —
D) B à
or: Elwa 0:86 à. | Elhes Lt 58°14/ 26°26| 641 | gelblich |. 4842 | 0,784 | 1,678 | 004
14 Rénze:. 5. Lobde : 0. —. 427 | gelblich 4,876 0,881 1,519 0,492,
SrOrr Le. Carolen. : ... 57 45|26 23 53 | gelblich 6,982 1,042 1,914 0,406!
4 | Pimscha Petschori 57 47127 38| 225 | gelblich 2,707 0,819 1,771 0,529
8 | Peddel. . ... Nas 57 47126 4] 1045 | gelblich | 5,587 | 0,840 | 1,399 | 0,714
10 | Madda:::.. SAPRÉZ, 5 57 55126 13| 1835 | gelblich 6,498 0,769 1,714 0,854
12 :| Kempen Stackeln . :..|57 38125 41| 384| gelb 12,537 | 0,709 | 2,294 | 0,580
14 |'Grube.:.:.. Ramotzki .:.157 13|925 11| 384 gelb . 14,150 0,536 2,290 0,920,
16 | Moorbach Segewold. . ..!57 11|24 55] 2091 | dunkelgelb| 35,342 93 2,286 2,152
16 FKreni 5: Rodenpois . . . | 56 59|24 40! 309 | dunkelgelb| 36,985 0,750 2,475 2,165,
| E) F 4
pra Rd CE a de le |
AT TAR. u. Hinzenberg . . | 57° 8) 24° 40) 3307 | gelblich 6,071 0,628 2,402 | 0,870
1 | Welikaja. Pskow . ....|57 4928 19! — | gelblich 9,135 1,109°| 3,469 | 0,520
1) Dinacc: | Mig. 56 57/24 6)°107 | gelblih | 13,362 | 1,142 | 4678. 0,5%
| F) Shin EE, Mir e 42 f
19 Ehothe Düna: . | Riga, :..:: Kriegshospital | 2560 | gelb | 11,316 5,554 | 8,576 | 3,607)
G) se 2
22 PUddeME : 5. BIWa-... 11 58°12}26°281 320 | gelblich 5,916 1,223 1.611 0
3 | Kolomen Isborsk. . . .. 57 42127 54] 2219 | gelblich 7,191 2,839 | 2,001 | 0
20 Tammula. MNOrPO.. 57 51,27 1} 1323 |hellgelblich) 5,850 1,420 1,856 0
15 | Kiner...... Wenden 57 19,25 16| 2795 |hellgelblich| 41,562 | 14,355 6,633 5
521 des Sciences de Saint-Pétersbourg. | ; 522
dl
$ TABELLE II.
wasserfreier Mineralbestandtheile. enthalten: Das Wasser wurde
à : Magne- Lion Sauerstoffaeq.. | ‘18 äure-Anhydride. geschüpft (alten
Calcium Ca. Mr ve 00 720! Chlor CL dchwefel. | Salpeter- | Phosphor- | Kohlensäure me rs Styls, 1886) am:
: 8: säure SO;. | säure N,0.. | säure P,0.. | 0,.
Il l e n.
Las | 8,059 59 | 0,167 | 15,801 0,493 | 2,549 e 0,640 0025 | 41,772 | 3,529 30. September.
| 26,293 | 5,674 20100) 14,727 Hire 0,031 | 36,878 | 3,714 | 30. September.
D
EL 0,290 | sas. 1,606 | «0858 | : 0,226 | 0,026 | 42622 | 2507 | 25! September:
ea | 0,002 | 6,799 | 0123 | 50. September.
| in | 4,275 | 0,040 | 6,667 | 31,374 | 20,989
(2 h e.
| 26,256 7,570 | 0,086 16,035 | 0,951 | 0,934 0,249 0,019 | 45,466 1,931 —
27,500 | 5,661 | 0,120 15,529 | 0,626 2,984 0,628 0,028 40,777 | 3,255 | 25. September.
26,528 | 6,611 | 0,404 15,853 | 1,165 0,815 0,354 0,025 42,981 1,902 | 28. September.
25,915 | 6,901 | 0,413 15,806 | 0,968 2,034 0,259 0,033 42,210 2,342 | 31. October.
_ 23,339 | 8,198 | 0,176 15,524! 1,049. 1,507 0,253 0,029 | 41,731 5,182 | 30. September.
_ 25,746 7,036 | 0,462 15,828 | 1,510 1,866 0,349 0,026 | 42,335 1,505 | 27. October.
. 22,585 | 9,142 | 0.228 16,054 | 1,077 1,020 0,787 0,019 43,244 2,255 | 25. September.
25,375 | 6,409 | 0,200 15,424 | 1,308 1,429 1,140 0,025 41,146 3,798 | 25. September.
. 20,881 | 7,027 | 0,413 14,427 | 2,515 | 2,677 0,753 0,098 37,807 8,103 | 30. Septenrber.
"21,625 | 7,224 | 0,278 14,851:/..2,601 | :0835;1: 1,349 0,066 39,767 | 6,014 | 30. Fa
ü S S e.
n —
es —— SNS AR SM EE SANT) RME ANRT AN 2 ca + ———
24 490 | 6.968 | 0,397! 15,499| 1325| 5,299 | 0,888 | ‘0,020 | 39,328 | 1,956 | 30. September.
25,920 | 5,932 | 0,150! 15.103| 3,806| 2,757 | 0,540 | 0,014 | 39,782 | 0,898 | 30. September.
à 24 657 [712 0,257 14877 | 4042! 2072 | 0.821 | 0,046 | 59,399 | 1,744 | 20. October.
ï Fear vt , PAPER EEE FRE ANSE
p. Luis rat re hi
| 14,146 | 5,257 À 11,577
0,651 13 682 | 5,372 | 0410 . 0,204 27,989 | 2109 | 20. October.
2 7e n.
2 595 9,947 | 0,035 | 16,126| 1,086! 0,540 | 0,668 | 0,015 | 43,767 | ‘2,412 | 20. September.
21,767 | 8,768 | 0172! 15,395! 2563| 2520 | 0,396 | 0,015 40,778 | 2,350 | 29. September.
26,640 | 6,595 | 0095! 15,729 | 1,590 | 1,823 | 0,986 | 0,030 | 41,823 | 1,080 | 8. October.
- 6,352 | 5,290 | 0198| 12,231 | 5,904! 2,628 | 8,299 | 0,090 | 28,724 | 4,203 | 25. September.
(+)
:
_ 523
Bulletin de l’Académie Impériale
Mischt man 25 Liter mittleren Oceanwassers
(cf. Bulletin XXIV, 233 (1877) mit 553,2 grammen
Gyps CaSO,, 2aq und 275,6 grammen Pskower Do-
lomit in kohlensaurer Wasserlôsung und verdünnt
auf 1 Cubikmeter Gesammtvolum, so enthält die
Mischung :
Kalium K und Rubidium Rb ... 7,721 grammen.
RER Ni nr ur 259,356 »
Cac Oasis selon 204,205 »
Monueaum Me: ui. 63,633 »
PEUR hi 466,870 »
ed han 1,128 »
Schwefelsäure (anhydrid) SO, . . . 312,390 »
Gebundenes Kohlensäure (anhy-
ns DA dt PO CP AE A 130,268 »
im Cubikmeter Wasser, nahezu übereinstimmend mit
Pskower Bohrbrunnenwasser.
Zum Kochen sowie zur Lokomotiven-Speisung ist
dieses Bohrbrunnenwasser ungeeignet und nur im
Nothfalle verwendbar.
Das Wasser der 10 Bäche D) ist unbeeinflusst von
Industrie-Abfällen unter gleichen Kklimatischen und
geologischen Verhältnissen (Devon-Sandsteine und Do-
lomite; hie und da Gypslager) gebildet. Trotz bedeu-
tender Verschiedenheit der Concentration, von 250,6
bis 89,7 gramme Mineralbestandtheïlen und 12 bis
39 grm. organischer Substanzen im Cubikmeter, ist
bei ihnen Analogie des relativen Verhältnisses der
Mineralbestandtheile zu erwarten. Tab. III zeigt die-
selbe in charakteristischer Weïse. Die beiden süd-
lichsten X 16 und 18 sind die salzärmsten, absolut
wie relativ Humusreichsten, Der Härtegrad (Kalk
plus Kalk-Aequivalent der Magnesia, Tab. II letzte
Vertikalspalte rechts) steigt regelmässig direkt pro-
portional dem Gesammtgehalt an Mineralsubstanzen
_ umgekebrt zum Gehalt an organischen Stoffen (Moor-
_ Extrakt). Entsprechend ihrem hohen Gehalt an letz-
| tern zeïigen die Moorbäche X 16 und 18 hôhere
Ammonium-, Salpetersäure-und Phosphorsäure-
-Gehalt, als die nürdlicheren X 21 bis 14. Das Durch-
_ schnittsverhältniss der Wasser aller 10 Bäche, zu
_ gleichen Volumen gemischt +) sowie zu aequisa-
_ linen Volumen d, h. im Gemenge von
1 Cubikmeter Wasser 21 |
mit 1,0170 » » » 13
» 1,0548 » » » 9
» 1,1512 » » » À
»- 1,2118 » » DE. (8)
», E,93079 » » 10
» 1,3583 » » » -12
» 1,6247 » » » 14
» 2,2669 » » » 16
» 2,7936 » » » 18 J
sowie das Durchschnittsverhältniss aequisaliner Ge-
mische
y) der 2 Gypsreicheren Bachwasser K 13 und 4
à) der 6 Gypsärmeren X 21, 9, 8, 10, 12, 14
c) der 2 Gypsärmeren Moorbachwasser X 16 und 18
ergiebt nachstehende Tabelle IV.
Das Wasser der 2 grôüsseren Flüsse (E) Welikaja
X: 1 und Düna X 20 besitzt nahezu gleiche Zusam-
mensetzung, das der livländischen Aa X.17 ist
ärmer an Kalium, Natrium, Chlor, reicher an Ammo-
nium, Calcium, Mesa, Eisen, Schwefelsäure,
Salpetérsäure di ; jene.
Der absolute sowie der relative Gehalt an organi-
schen Substanzen ist im Wasser der Aa X 17 am
kleinsten, der Welikaja hôher, der Düna am grüssten.
Die sogenannte crothe Düna» X 19 (F) ist ein
alter rechtsseitiger Düna-Arm, etwa 3 Kilometer un-
terhalb der inneren Stadt Riga, dessen oberen Ein-
gang der «Katharinendamm» absperrte und zum
Versanden brachte, während seine untere Mündung
in den Düna-Hauptstrom durch die vorliegende Insel
«Pferdeholm» théilweise zum Stagniren gebracht
wird !).
_ Die Analyse ergiebt das Wasser M 19 (F) als Ge-
*|menge von Dünawasser mit Kloaken- und Abfall-
Wässern benachbartef Hospitäler (Kriegshospital,
1) Vergl. die Darstellung des H. Hafenbau-Ingenieur A. Pabst
«Die in den Jabren 1878 bis 1884 ausgeführten Dünaregulirungs-
Arbeiten». Rigaische Industrie-Zeitung X, X 8 und 9, pag. 85—
und 98—102 (1884) mit Karten der unteren Düna von der Stadt
Riga bis zur ag à in den Rigaischen Meerbusen.
Alexandershôhe) und Häuser.
das Wasser der rothen Düna im Cubikmeter:
Demzufolge enthält |
|
|
17,338
525 des Sciences de Saint-Pétersbourg.
TABELLE IV.
t ;. Gleiche Vo- | Gemenge peter Volume enthalten in 100 grm.
ume Wasser der Mineralbestandtheile:
bin : : | 9 Gv à) der 6
na dem] er 10 | reerer | Parme der à Moor.
Tr ] albe- achwasser > \ | bachwasser
Bachwasser. | X 13 und 4. | * EUX 10, X 16 und 18.
RAD MS NE SE SEL 0,816 0,804 0,850 0,780 0,831
NatrinmNdi5s2:5u OM a 1,852 1,929 | 1,645 | 1,881 2,355
Ammonium NH, ........ de 0,713 0,892 0,510 0,597 2,159
Calcium Gas fr aise mure 25,076 24,575 | 26,708 | 24,972 | 21,253
Magnesium Ke a nt Cry 7,148 7,178 6,281 7,494 7,125
à DT CE DE, AN RSS RS PA Re 0,267 0,278 0,266 0,259 0,346
Sauerstoffaeq. 60, N,0,, CO,, ,
RÉ ane iris 15,644 | 15,533 | 15,668 | 15,786 | 14,639
COTE de oeie 2 dut à 1,215 1,377 0,797 LE à à 2,557
! { Schwefelsäure SO, . 1,615 1,619 |:::2509 1,262 1,756
= | Salpetersäure N, ds 0,531 0,612 | 0,443 | 0,522 | 1,051
SE { Phosphorsäure P. 0. 0,032 0,037 | 0,032 | 0,024 | 0,082
= © | Kohlensäure CO, nat 60 41,886 41,546 | 41,493 | 42,484 | 38,787
A, Kieselsäure SiO, . . ... 2200 + 3,629 2,798 2,762 7,059
Summe der Mineralbestandtheïle| 100,000 100,000 : 100,000 : 100,000 ! 100,000
grammen Ammonium NH,,enthaltend 13, 487
N aequivalent 51,917 N,0..
$ ; 31,633 » Calcium
+. ne ie Sem | 17,335 » Magnesium
: ; F::2,870 » Eisen
dre He AE À 33,454 » Sauerstoff(aeq.SO,, N,0,, CO,,P.,0,)
PRE 62,620 » Chlor
ë é |
ee : k . + re 23,802 » Schwefelsäure SO, (anhydrid)
» » ISsen es 4
s 0,753 » Salpetersäure N,0,
OT M à tee (aeq. SO, N,0,, CO,, P,0,) 0,958 > Phosphorsäure P.0,
ri “ k ns és 77,124 » geb. Koblensäure CO,
ne à à ss se | St 7,840 » Kieselsäure SiO,
; » » alpetersaure 5 498 * Gchwefel S
13,77 » » Phosphorsäure cie Ne
292 » » geb. Kohlensäure 343,769 grammen «ta g
3,78 » » Kieselsäure co
ot \: 20 In diesem Zuwachs ist der Schwefel theils gelôst
NO 00e, SRE NRA PR SRART AE als Schwefelammonium N,H,S vorhanden, theils
| Fi ungelüst, als fein vertheiltes Lune Schwefeleisen |
Der Zufiuss von Abfall- und Kloaken-Wässern hat | …
; é à : : eS, suspendirt, wie letzteres im schwarzen Bade-
jeden Gubikmeter Dünawasser À 20 angereichert um: FR Ci Areniburs “dnû -Hapsal: d6ù Lil
26,229 grammen Kalium vieler Salinen (Staraja-Russa) aller Gossen und me .
Natrium aken enthalten ist. :
35,784 »
d /
527 .
Bulletin de l’Académie Empériale
328.
Der mittlere «Stadtlaugen»-Zuwachis von 125
Dorpater Stadtbrunnen enthält, auf gleichen Chlor-
Gehalt berechnet”):
33,38 grammen Kolini
31,42. » Natrium
0,89 » Ammonium NH,
29,46 >» Calcium
26,44 » Magnesium
: 0,18 » Eisen
És 62,62 » Chlor
te 14,50 » Schwefelsäure SO,
Lt 110,38 » Salpetersäure NO. aeq. 36,87 grm.
ES NH, — 28,68 N
2,97 » Phosphorsäure P,0,
37,89 » Kohlensäure CO,
3,85 » . Kieselsäure SiO,
.worin 29,31 grammen Gesammt-Stickstoff.
Auf gleichen Chlorgehalt reducirt enthält demnach
1 Cubikmeter Wasser der «rothen Düna».
mehr:
4,364 grammen Natrium Na
16,448 » Ammonium NH,
2,173 » Calcium Ca
2,852 » Eisen Fe (als FeS suspendirt)
9,302 » Schwefelsäure SO,
39,874 » Kohlensäure CO,
3,990 » Kieselsäure SiO,
weniger:
7,151 grammen Kalium K
9,105 » Magnesium Mg
109,627 » Salpetersäure N,0, aeq. 36,619
NH, enthaltend: 28,484 N
2,012 » Phosphorsäure P,0,
turkunde Liv-, Ehst- und Kurlands I, ‘370 (1863).
2) Carl Schmidt. Die Wasserversorgung Dorpats, Archiv f. Na- |
als der Zuwachs des unseren Städten zustrômenden
Quellwassers an «Stadtlauge» während des Durch-
sickerns des Stadtbodens bis zu den Stadtbrunnen,
Diese Differenzen sind sehr charakteristisch. Die
16,448 grammen Ammonium-Überschuss des Was-
sers der «rothen Düna» würden sich, den Boden durch-
sickernd, zu 49,241 grammen Salpetersäure-anhydrid
N,O, oxydiren. Von den mit obigen 62,62 grammen
Chlor als NH, und N.,0, ins Stadtbrunnenwasser über-
gehenden 29,31 grammen Stickstoff sind 15,627 grm.
als Schwefelammonium und Ammoniumcarbonat N,H,
CO,, die Umgegend belästigend, in die Athmosphäre
übergegangen, nur der kleinere Rest — 13,683 grm.
N noch in gleicher Form im Wasser der «rothen Mina»
vorhanden.
Als Koch- oder gar Trink-Wasser ist letzteres
absolut unbrauchbar, als Lokomotivenspeisungs-
“wasser nur im äussersten Nothfalle zu verwenden, da
der beträchtliche Ammoniak-Gehalt alle kupfernen
und messingenen Hähne, Verbindungsstücke, Muffen,
Schrauben etc. sehr stark angreiïft, als blaue Cupra-:
ammoniumcarbonatlüsung von denselben herabtropfend.
Das Wasser der 4 Seeen X 22, 8, 5, 15 (G) unter-
scheidet sich von dem der Bäche und Flüsse durch
absolut und relativ bedeutend hühern Kalium-
Gehalt.
Der Kiner See bei Wenden X 15 ist, der Zusam-
mensetzung seines Wassers nach eine Hièbe Cisterne,
ohne speisende Quellen, durch Zufluss oberflächlicher
Tagewässer gebildet, dre sich auf sehr kalkarmem un-
durchlassendem Lehmboden in geschlossener abfluss-
loser Mulde sammeln. Sein relativer Kalium-Gehalt
ist 5 mal so hoch als der des Kolomen-, 10 mal s0
hoch als der des Tammula-, 12 mal so hoch als der
des Uddern-See-Wassers, 14 bis 16 mal so hoch als
der der Fluss- und Bach-Wässer D und E. Diese rela-
tive Anreicherung der Landseewässer an Kaliumsalzen
tritt bezeichnend beim Vergleich des Verhältnisses
von Kalium zu Natrium mit den nahbelegenen oder in
die Seeen mündenden Bächen hervor. So enthalten:
des Sciences de Saint-Pétersbourg. 530
TABELLE V.
1 Cubikmeter Wasser | Auf 100 gram-
enthält .... gre ; Mo ni
Kalium, Natrium. | CT
Kiner-See bei Wenden MED Ce 5,731 2,648 46,2
dér benachbarté Ad-Finss N°17 2 SE, 1,356 2,184 382,2
Kolomen-See bei Isborsk À 3.,:...:....,..:... 7,318 5,159 70,5
der benachbarte Pimscha-Bach M 4. ........... 1,783 3,855 216,2
Cador Seth 28 Remises tes su 3,236 4,261 131,7
der benachbarte Elwa-Bach M 21............. 1,966 4,206 213,9
Tanmul-Seb Mb es Mt Er re 2,129 2,783 130,7
Peipus-See (Mitte des Sees Juli 1868).......... 2,19 2,91 132,9
Welikaja-Fluss (30. September 1886) .......... 1,828 5,720 312,9
Durch stetige Fällung von Calciumearbonat in Form | Wasser abflussloser Secen fortschreitend Magnesium-
von Thiergehäusen und Pflanzenincrustationen wird das | reicher. Es enthalten demgemäss:
TABELLE VI.
1 Cubikmeter Wasser Auf 100 gram-
enthält .... grammen. ue Cathie
- HART nie am
Calcium. | Magncsium.
alcium | agnesium Magnesiuin.
Kiher-Sob 15 nn eat A ES 2,536 2,112 83,28
der benachbarte Aa-Fluss M 17............ | 52,692 | 15,035 28,53
Kolomen-See bei Isborsk M 3............ A 56,115 | 22,604 40,28
der benachbarte Pimscha-Bach M 4.......... 48,278 | 16,957 35,13
Uédermneem 22 di han Er us à Sa 59,580 26,511 44,16
der benachbarte Elwa-Bach M 21........... 65,809 | 18,975 28,83
Ostabe ER NE a D dE ee rie 120,6 254,1 210,70
Dücs-Fhiss ss + D a QU 39,876 9,237 23,16
Beim Eindampfen aller Wässer setzen sich Na-
triumcarbonat und Magnesiumcarbonat mit Gyps,
Chlorcalcium und Calciumnitrat zu Calciumearbonat
und den betreffenden Natrium und Magnesium-Salzen
um.
Das Eisencarbonat oxydirt sich unter Kohlensäure-
Tome XXXI
Verlust zu Eisenoxydhydrat, als solches die dut =.
säure zu Fe,P,0, bindend.
Die Wasserlüsung des Abdampfrückstandes B rea- “ ;
girt mehr oder minder stark alkalisch; der Kessel
stein C ist ein Gemenge von Calciumcarbonat, Mag-
nesiumcarbonat, Kieselsäure, Eisenoxydhydrat, Ferri-_ .
35 :
531
Bulletin de l’Académie Impériale
53?
phosphat mit geringen Mengen organischer Substanzen,
den schwerlüslichen Calciumsalzen von Humussäuren,
deren leichtlôsliche Natriumsalze in die Wasserlôsung
B übergehen, dieselbe entsprechend tief bräunend.
Nur der Kesselstein vom Bohrbrunnenwasser
N: 2, Pskow, enthält je nach dem Grade des Ein-
dampfens, grüssere oder geringere Gypsmengen, da
die vorhandenen Carbonate zur vülligen Umsetzung
des Gypses unzureichend sind. Die Tab. I X 2 C auf-
geführten 550,47 grammen Roh-Kesselstein sind ein
Gemenge von
230,07 grm. Calciumcarbonat CaCO,
0,06 » Ferriphosphat Fe,P. AA
0,96 » Eisenoxydhydrat Fe, H, 90,= 0,82 Fe.0,
319,38 » Gyps-Rest.
Der bedeutende Überschuss des direkt gefundenen
Abdampfrückstandes über die Summe wasserfrei be-
rechneter Abdampfsalze besteht aus Halhydratwasser
des Magnesiumsulfats und Chlormagnesiums, einem
Theil ihres Krystallwassers und dem Kry stallwasser
des Gypses.
Bei den übrigen Wässern À, B, D, E, G sind die
Unterschiede zwischen direkt erhaltenen Abdampfrück-
ständen und der Summe der Einzelbestandtheile gering.
Mehrgewichte ersterer werden durch Hygroskopicität
. und Halhydratwasserrückstand, Mindergewichte durch
_ Kohlensäure-Verlust des Eisencarbonats und unver-
_. meidliche Verluste bei dér grossen Zahl von Einzel-
bestimmungen veranlasst.
Zur Bestimmung der «organischen Substanzen» mit-
telst Kaliumpermanganats in alkalischer Lôsung diente
ein verdünnter alkalischer Torf-Auszug, darge-
stellt aus
1 gramm bei 120° trockenem Torf (Ocht, Ehstland
à 6,4%, Mineralbest.), 2 Ce. Normal- Natronlüsung —
0,07992 grammen NaHO, 500 Ce. Wasser, 5 Stunden
bei 100° digerirt, mit Wasser auf 10 Liter Gesammt-
volum verdünnt und filtrirt.
. 1 Liter dieses Filtrats enthält 0,03734 grammen
bei 120° trockner Torfsäuren und anderer in so ver-
dünnter Hexenseung lüslicher ne Sub-
_ stanzen. :
100 Ce. derselben = 0,003734 grammen Humus- |
_säuren etc. entfärbten 17,1 Ce. !/,, Normal-KMnO,.-
ei a
1 gramm KMnO,, mithin 0,6902 grm. bei 120°
trockner lüslicher Torfsäuren.
Diese alkalische Torf- Lüsung, mit dem gleichen
Volum Wasser weiter verdünnt, ist dunkelgelb, gleich
N: 16 Segewold-Moorbachwasser und X 18 Rodenpois,
Bach Krew. Die so verdünnte gleichfarbene Torflosung
enthält im Cubikmeter 18,67 grammen Torfsäuren;
das Färbungsvermügen letzterer in alkalischer Lô-
sung ist mithin doppelt so hoch, als das der organi-
schen Stoffe im Moorbachwasser.
Die Bestimmung des Ammoniums geschah durch
Destillation von 2 Litern Wasser mit 25 Cc. Normal-
natronlüsung — 0,999 grammen NaHO (aus Natrium),
die der Sihtersture durch Destillation von Wasser-
lüsung B des Abdampfrückstandes von 5 Litern Wasser
plus dem Destillationsrückstande der NH, -Bestim-
mung, zusammen 7 Liter Wasserlüsung, Eindampfen
der Destillate mit einigen Tropfen Platinchlorid
+ HCI und Wägung als N,H,PtCI..
Zur Berechnung dienten die Atomgewichte:
H— 1 K — 39,038
O— 15,96 Na— 22,999
S — 31,982 Ca — 39,92
CI— 35,365 Mg — 24,32 (Marignac 1883)
N — 14,006 _Fe— 55 88
P—- 30,96 Ag — 107,667
100 grm. K,PtCI, — 30,560 KCI1= 16,034 K (Fre-
senius Zeitschr. f. analyt. Clianite XXI, 239:
(1882)).
100 N,H;PtCI, = 8,132 NH.
Sur un nouveau nombre premier, annoncé par le père
Pervouchine. Extrait d’un rapport, fait à l Aca-
démie par MM. Imchenetzki et Bouniakowsky.
(Lu le 27 janvier 1887.)
La présente Note est un extrait relatif au point
principal du rapport, lu dans la séance de l’Académie
le 27 janvier de l’année courante. En novembre de
Fannée 1883, dans la correspondance de notre Aca-
démie se trouve une communication qui contient l’as-
sertion que le nombre
211 — 2305843009213693951
est un nombre premier. Ce résultat nous à été an-
noncé par son auteur, I. M. Pervouchine, prêtre à
533
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
534
Chadrinsk (gouvernement de Perm), qui nous avait
envoyé auparavant des communications intéressantes
sur quelques propositions arithmétiques analogues
(Bulletin de l Acad. Imp. des Sciences, 1878 et 1879).
Tout en laissant à la charge de l’auteur la respon-
sabilité pour l’exactitude du résultat qu’il a obtenu
au bout de ses longs et fatigants calculs, — nous
devons constater, pour sauvegarder son droit de
priorité, que:
1°”. Le manuscrit du père Pervouchine contenant sa
communication de l’année 1883, est déposé aux
Archives de notre Académie; ce document est
accompagné de quelques tables, calculées par
l’auteur, et destinées à faciliter la vérification du
résultat qu’il a obtenu.
. Le tome XLVIII des Mémoires Russes de l’Aca-
démie («3anuckm Mmneparopekoï Akaxemin
Haywb») contient le compte-rendu de la séance
du 20 décembre 1883, dans lequel l’objet de la
communication du père Pervouchine est indiqué
avec précision.
Lie)
e
Notiz über die in Russland vorkommenden Arten der
Gattung Phoxinus, Von N. Warpachowski. (Lu le
13 janvier 1887.)
Die Zahl der russischen Arten dé Gattung Pho-
æinus ist ziemlich gross, da ich ausser Ph. laevis,
Agass., Ph. stagnalis, Warp., Ph. perenurus, Pall.®,
Ph. Lagowskii, D yb.?), Ph. Czekanowskü, D y b.*), und
Ph. Poljakowii, Kess1.*) in den Sammlungen des Zoo-
logischen Museums der Akademie der Wissenschaften
noch folgende neue Arten gefunden habe: Ph. Strau-
chi, Ph. alitus, Ph. Sabanejewi, Ph. sublaevis, Ph. va-
riabilis und Ph. kuldschiensis.
Abgesehen von dem überall verbreiteten Ph. laevrs, |
Agass. und dem von mir im Gouvernement Kasan
gefundenen PA. stagnalis‘), sind alle übrigen Arten auf
das asiatische Russland beschränkt, wo sie bis zu
70° nürdlicher Breite vordringen.
Paie, Zoogr. Ross.-Asiat. IIT. p. 299.
2) Dybowsky, Verh. Es bot. Ver., Wien, B. XIX, p. 952.
3) Dybowsky, Op. €
4) Kessler, Mél. 6 Acad. Science. Pétersb,, T. X., p. 235.
5) Warpachowski, Zoolog. Anz., 1886, X 216; Ouepr HXT.
vaynBr Ras. ry6., erp. 16, 53.
Ohne mich hier in ausfübrlichere Erürterungen
über die geographische Verbreitung der einzelnen
Arten einzulassen, werde ich nur bemerken, dass die
meisten Arten dem Altai-Sajanischen Gebirgs-System
eigen sind, nach den einzelnen Flüssen aber folgender-
weise sich vertheiïlen:
Ph. Sabanejewi, sp. n. nur in den Seen an den üst-
lichen Abhängen des Ural-Gebirges;
. variabilis, Sp. n. in den Zuflüssen des Obj;
. Strauchi, Sp. n. in den Zuflüssen des Irtysch;
. altus, sp. n. in den Zuflüssen des Jenissei;
. Sublacvis, sp. n. in den Zuflüssen der Lena;
. Lagowshii, D y b. in den Lena- und Amur-Becken;
. Czekanowskii, Dyb. nur im Amur-Becken:
. perenurus, Pall. im ôstlichen Sibirien;
. Poljakowii, Kessi. und in dem Balchasch-
. khuldschiensis, Sp. n. ecken.
SSSSSSSSE
Wie schon oben erwähnt, findet sich Ph. laevis,
Agass. sowohl im europäischen, als auch im asiatischen
Russland, auch Turkestan nicht ausgenommen, von
woher wir durch Herrn N. Majew im Amu-Darja ge-
sammelte Exemplare haben.
Indem ich mir die ausführlichere Erürterung der
geographischen Verbreitung, sowie des Verhältnisses
einzelner Arten zu einander für eine grüssere Arbeit
vorbehalte, müchte ich hier. nur bemerken, dass die
sibirischen Phoxinus-Arten meist ganz eigenthümlich.
aussehen, indem sie bald eine sonderbare an PA. stag-
nalis, Warp. erinnernde Kopf-Form, bald eine stark
verlängerte (Ph. Strauchi), bald endlich eine auffal-
lend hohe, comprimirte (PA. altus) Kürperform ha-
ben; einzelne Arten erreichen eine bedeutende Länge,
über 200 mm., was bei Ph. laevis, Agass. niemals
beobachtet wird.
Im Folgenden gebe ich die vorläufigen die
der neuen von mir unterschiedenen Arten.
Phoxinus Strauchi, Sp. n.
D. 317; À. 317; V. 2/5; P. 1/14—15.
Lin. lat. 85; lin. tr. 28 *).
Phoxinus corpore elongato compresso; altitu äné .
corporis 5,2 in longitudine ejus (absque pinna cau-
dali), 1,2 in peduneulo caudali; altitudine corporis ….
*) Die Zahl der Schuppen in einer > ne wird von dem an.
fang der Dorsale bis zur Ventrale gezähit. 7.
85*
535
Bulletin de l’Académie Impériale
536
minima 1,75 in maxima, 2,2 in pedunculo; longitudine
capitis 4 in longitudine corporis (absque pinna cau-
dal); altitudine capitis 1,5, latitudine 2 in ejus lon-
gitudine; oculis diametro, rostro aequante, 2 in latitu-
dine capitis; spatii interorbitalis latitudine 3 in longi-
tudine capitis.
Phoxinus Sabanejewi, Sp. n.
D. 3/7; À. 3/7—8; V. 2/6; P. 1114—15.
Lin. lat. 83—85; lin. tr. 30—532.
Phoxinus corpore compresso; altitudine corporis
3,7 in longitudine ejus (absque pinna caudali); alti-
tudine corporis minima 2,6—2,4 in maxima, 1,9—1,8
in pedunculo; longitudine peduneuli caudalis 1,3 in
altitudine corporis maxima; capitis longitudine cor-
poris altitudine paulo minore; altitudine capitis 1,4
latitudine 1,7 in ejus longitudine; oculis diametro,
longitudine rostri vix majore, 3,6 in capitis longitu-
dine, 1,25— 1,1 in spatio interorbitali.
Phoxinus altus, Sp. n.
D. 3/7; À. 3/7; V. 116; P. 1113—14.
Lin. lat. 78—83; lin. tr. 32—36.
Phoxinus corpore compresso; altitudine eorporis
3,4 in ejus longitudine (absque pinna caudali); altitu-
dine minima 2,7 in maxima, 2 in peduneculo caudali;
peduneulo caudali 1,3 in altitudine corporis maxima;
longitudine capitis subconici 4—3,8 in longitudine
corporis (absque pinna caudali), altitudine capitis 1,5,
latitudine 1,6 in ejus longitudine; oculis diametro lon-
gitudine rostri paulo minore, 3,8—4,4 in longitudine
capitis, 1,6— 1,4 distantibus.
Diese Art steht der vorigen sehr nahe, unterschei-
det sich aber hauptsächlich durch grüssere Kürper-
hôühe und kleineres Auge. /
Phoxinus sublaevis, sp. n.
D 87, A:ai7,v. 2155; P: LE):
Lin. lat. 82—92; lin. tr. 26—31.
Phoxinus corpore subcylindrico; altitudine corporis
4,5—4,4 in longitudine ejus (absque pinna caudali);
altitudine corporis minima 2 in maxima; longitudine
pedunculi caudalis altitudinem corporis maximam
aequante; capitis longitudine, altitudine corporis
maxima vix majore, 4,4—4,3 in longitudine corporis
(absque pinna caudali); altitudine capitis 1,5—1,4,
latitudine 1,7—1,6 in ejus longitudine; oculis dia-
metro, longitudine rostri fere aequante, 4,7— 4,1 in
longitudine capitis.
Phoxinus variabilis, Sp. n.
D. 3/7; A. 3/7 —8; V. 116; P. 1114—15.
Lin. lat. 81—87; lin. tr. 30—34.
Phoxinus corpore crassiusculo; altitudine corporis
3,7—4 in longitudine ejus (absque pinna caudali),
altitudine corporis minima 2,5—2,8 in maxima, 1,9—
2,4 in pedunculo caudali; peduneulo caudali 1,2— 1,4
in altitudine corporis maxima; longitudine capitis
3,4—3,6 in longitudine corporis (absque pinna cau-
dali); altitudine capitis 1,4—1,6, latitudine 1,7—1,8
? |'in ejus longitudine; oculis diametro, longitudine rostri
vix minore, 4,6—3,9 in capitis longitudine, 1,7—1,3
in spatio interorbitali.
Phoxinus kuldschiensis, Sp. n.
D 7: A: 011: Ve 2105 PP HI&;
Lin. lat. 90; lin. tr. 35.
Phoxinus corpore compresso; altitudine corporis 4
in ejus longitudine (absque pinna caudali); altitudine
corporis. minima 2,2 in maxima; pedunculo caudali
altitudigem corporis maximam aequante; capitis longi-
tudine, altitudine corporis paulo minore, 4,2 in longi-
tudine corporis (absque pinna caudali); altitudine
capitis 1,5, latitudine 1,9 in ejus longitudine; oculis
diametro, rostri longitudinem aequante, 4,25 in longi-
tudine capitis, 1,25 diametris distantibus.
Diese Art unterscheidet sich von dem ihr nahe ver-
wandten Ph. Poljakowii, Kessi, hauptsächlich durch
grüssere Kürperhühe und kleinere Kopflänge.
In den vorliegenden Diagnosen musste ich mich
selbstverständlich nur mit den wesentlichsten, in kur-
zen Worten oder sogar Zahlen leicht fassbaren Unter-
scheidungsmerkmalen begnügen. Die übrigen für jede
Art mehr oder weniger charakteristischen Kennzeichen
kôünnen nur in ausführlicheren, mit Abbildungen be-
gleiteten, Beschreibungen erürtert werden.
537
des Sciences de Saint - Pétersbourg.
538
Bericht über des Mag. V. Zukovski Materialien zur
persischen Dialektologie. Von C. Salemann. (Lu
le 3 février 1887.)
Ein besonders günstiges geschik waltet widerum
über dem von unserer Akademie so erfolgreich gefor-
derten studium der neuiranischen sprachen. Nach
einer kurzen, durch des sel. Dorn unersezlichen ver-
lust bedingten pause, wurde der druk der von den
proff. Socin und Prym gesammelten kurdischen
sprachproben genemigt, so wie dem schreïber diser
zeilen die herauBgabe einer arbeit über das Jaghnôbi
gestattet, und immer noch wird uns neues material
zu gefürt.
Ich halte es daher für eine angeneme pflicht, die
geerte Classe auf die arbeiten eines jungen iranisten
aufmerksam zu machen, welche ein sprachgebiet be-
treffen, das biBher nur ganz fragmentarisch unter-
sucht worden ist, ich meine die gegenwärtig im
eigentlichen Persien gesprochenen volkstümlichen
mundarten. Denn die früheren verüffentlichungen be-
zogen sich vorzugsweise auf die dialekte der nord-
küste Persiens, wärend von den im innern des landes
gangbaren mundarten nur das Gebri (Deri) durch
Beresin !}, Rehatsek?), Petermann-Justi*) und
Schindler *), und das Semnänische durch Schindler”)
und Dorn “Xe ein gehender behandelt worden sind.
Herr V. Zukovski, welcher wärend eines dreijä-
rigen, von 1883 biB 1886 dauernden, aufenthaltes in
Persien zum ersten male zu rein linguistischen zwe-
cken das land durchzogen hat, ist es gelungen eine
überraschende und die wiBbegir im hôchsten grade
spannende mannichfaltigkeit von dialekten zu consta-
tieren, und ein für die kurze zeit imponierend reich-
haltiges sprachmaterial zusammen zu bringen, über
E. Bérésine, Recherches sur les dialectes persans (Casan,
00 1'° partie, p. 100—118: 99 partie, p. 19—95; 3° partie (Voca-
bulai
2) k. Rehatsek, Deri phrases and dialogues. Ind. Antiq. IT
(1874), p. 331—335
3 F. Justi, Über die Mundart von Jezd. ZDMG. XXX V (1881),
p. 327—414,
4) A. Houtum-Schindiler, Die Parsenin Pérsien, ihre Sprache
und einige ihrer Gebräuche. Ib. XXXVI (1882), p. 54—88.
: H. Schindler, Bericht über den aide Dialect.
Ib. XXXII 1878), p. 535—541
6) D! orn, de die Ssemnânische Mundart. Mél. As. VIII
1878), p. dr CH 11.
welches ich seiner mitteilungen *) die folgenden notizen
mir zu entnemen gestatte.
Die untersuchten dialekte sind meistenteils auf
einzelne dürfer beschränkt, sie laBen sich indessen nach
mabgabe irer charakteristischen eigentümlichkeiten in
familien gruppieren, deren geographische grenzen an
nähernd bestimbar sind.
Im südlichen Persien trit uns zunächst das gebiet
von Siràz entgegen; biB 50 werst nürdlich und 20—
30 südlich von der stat wurden zwei dialekte unter-
sucht, im dorfe Sivend und im dorfe ‘Abdû (zu lezte-
rem gehüren auch die mundarten der dürfer Kelûn
und Pôpün).
Die zweite gruppe umfafit das gebiet von Ispahân;
sie ist durch drei dialekte vertreten, welche in den
dürfern Sedé, Gäz und Kafrôn gesprochen werden.
Es folgt eine dritte gruppe im gebiete von Käkân;
hier besitzen wir material auB vier dialekten, nämlich
der dürfer Vônisün, Kohrüd, Keëé und Zefré.
Die vierte gruppe gehürt zu Semnâän-Teherân; von
ir wurde nur der dialekt von Señgiser näher erforscht,
und zum teil die mundart des dorfes Semerzôd.
Da die genanten dialekte, mit nur geringen auf-
namen, keine selbständige literatur besitzen, so muste,
am zusammen hängende texte zu erhalten, durch über-
setzungen auB dem Persischen abhilfe geschaft wer-
den, und da ist es nun von groBem nutzen für das
vergleichende studium, daf merere stücke in allen
dialekten auf gezeichnet wurden, und zwar:
1) die sog. Bacmeistersche sprachprobe;
2) der anfang der (auch von Lerch ins Kurdische
übersezten) finnischen rune;
3) die geschichte vom verlorenen sone, Ev. Luc.
XV, 11—32;
4) zwülf erzälungen auB den volksbüchern US
Ji, ais LE, ab), und Dorn’s Beiträgen pe Co a
Dazu kommen:
5) für die mundarten von Kohrûd, Keëé, Zefré und
Sedé: übersetzungen persischer toile, liebes-
und kinderverse, wie sie in den dürfern anstat der ori-
ginale von mund zu mund gehen;
7) Vgl.
M'ÉROTOPHXE, pm Haphuiax
Apxeozor. Oôux. I (1886), p. 23—29.
auch B. noi, pins rs satire , Fe.
. Sanuexn Boer. Orx. M. P.
539
Bulletin de l’Académie Impériale
540
6) im dialekte von Kafrôn: eine reiche samlung von
nachbildungen Häfizischer und anderer dichtwerke,
an welchen sich der übergang zur kunstdichtung ver-
folgen läBt; und endlich
7) in den dialekten von Zefré, Gäz und Kafrôn: eine
statliche reihe selbständiger poetischer leistungen ein-
heimischer dichter, von welchen der samler einige hat
persünlich kennen lernen.
Einen nicht minder wertvollen teil der samlungen
bhrn. Zukovskÿs bilden für alle dialekte an gelegte
würterverzeichnisse, welche eine grofe anzal in den
texten nicht vor kommender auBdrücke enthalten; da-
bei wurde eine besondere aufmerksamkeit den ver-
schidenen stamformen der verba gewidmet, und auch
für jeden dialekt eine grammatische skizze entworfen.
Ganz unabhängig von disen materialien hat der
eifrige forscher noch eine reichhaltige samlung bach-
tijàrischer lieder zu wege gebracht, und auch einen
kurdischen dialekt erforscht, welcher einer unterab-
teilung des geschlechtes Kalchâäni vom grofien stamme
Güûrân*), den Küzievend eigen ist.
Nach durchsicht des mir vom verfaBer vor gelegten
teiles seiner arbeit kan ich mich nur mit hôchster an-
erkennung über seine methode und die auf gewante
sorgfalt auB sprechen, welche allen anforderungen der
_modernen sprachforschung genüge tun. Zur transcrip-
tion hat er auf mein an raten das etwaB modificierte
Sjogrenische alphabet gewält, und sich auch mit der
bezeichnung des accentes besonderer mühewaltung un-
terzogen, Und waB endlich die als originale bei gege-
benen persischen gedichte und lieder betrift, so bie-
ten dise sowol der sprache als dem inhalte nach so
viles interessante, ethnologisch und selbst literarisch
wertvolle, da auch diser hier gewisser mañen neben-
sächliche teil des werkes von jedem fachmanne mit
freuden begrüBt werden mul.
AuB al dem an gefürten ist leicht ersichtlich, welch
_ ein reicher schaz neuiranischen sprachgutes in hrn.
: Zukovskïs samlungen vor ligt, deren nuzbarmachung
für die wiBenschaft nur dringend gewünscht wer-
den kan. Ich beere mich deshalb den antrag zu stellen,
die Classe wolle genemigen, daB die verôffentlichang
von hrn. Zukovskïs es AIS H3ydeHiA Hep-
2
ar 8) Eine grammatische skizze des Güräni verdanken wir Rien:
Cat. Pers. Mss. Brit, Mus. x 728—732,
CHACHUXE Hapbuiñ» unter der aegide der Akademie
vor sich gehe. Das ganze material liefe sich in fünf
bände verteilen, von welchen die drei ersten den
schärfer ab gegrenzten ersten drei gruppen entspre-
chen würden, wärend der vierte den rest der persi-
schen dialekte und der fünfte die Bachtijàri-lieder
enthielte. Jeder der vier ersten bände würde sich in
eine einleitung, die texte, das glossar und die gram-
matik glidern, und das ganze wäre eine wirdige fort-
setzung der von Dorn begonnenen «Beiträge».
Der Nebelfleck um C Orionis. Von 0. Struve. (Lu
le 24 février 1887.)
(Mit einer Tafel.)
Vor 4 Wochen theilte mir Admiral Mouchez mit
es sei der Photographie gelungen im Sternbilde des
Orion einen ausgedehnten sich auf den clichés glän-
zend darstellenden Nebel zu entdecken, der mit den
Refractoren der Pariser Sternwarte dem Auge nicht
erkennbar sei. Indem er mich aufforderte die Sicht-
barkeïit dieses Nebels an unserm 30-Züller zu consta-
tiren, versäumte es aber mein geehrter College mir
dessen Ort näüher zu bezeichnen. Ich musste daher
auf weitere Mittheilungen warten. Solche sind mir
erst vor wenigen Tagen durch die Comptes-rendus
der Pariser Akademie vom 14: Februar zugekommen,
Es ergibt sich aus denselben, dass der vermeintlich
neuentdeckte Nebel kein andrer ist, als der längst
wohlbekannte um C Orionis belegene, dessen Abstand
vom Centro des grossen Orionnebels nur 33° in der
Richtung nach Norden’beträgt. Dass derselbe den
Franzüsischen Astronomen zeitweilig als neuentdeckt .
galt, erklärt sich muthmasslich aus dem Umstande,
dass er in dem bekannten Herschel'schen Ver-
zeichnisse von Nebelflecken und Sternhaufen vom
Jahre 1833, welches bis in die Mitte der 6O-er
Jahre als einziger zuverlässiger und in den meisten
Füllen genügender Leitfaden bei allen Nebelfleckbeob-
achtungen galt, nicht besonders aufgeführt ist. Ob er
dort nur aus Versehn weggelassen oder weil die Her- :
schel ïihn nur als einen integrirenden Theil des grossen
3-Nebels ansahen, mag dahin gestellt bleiben. Jeden-
falls ist er re in dem 1847 erschienenen Werke
541
des Sciences de Saint- Pétersbourg.
von J. Herschel über die Resultate der von ihm am
Cap der guten Hoffnung 1834—38 angestellten Beob-
achtungen nicht bloss katalogisirt, sondern auch be-
schrieben und sorgfältig gezeichnet, was auch bald
nach ihrer ersten Mittheilung von den Pariser Astro-
nomen erkannt ist.
Besonders auffallend ist der Umstand, dass die-
ser C-Nebel, der in der Regel mit mässig starken
Fernrühren erkennbar ist, an den zum Theil sehr
kräftigen Instrumenten der Pariser Sternwarte nicht
hat erkannt werden künnen, was Hrn. Adm. Mouchez
veranlasste auch den Director der Nizzaer Sternwarte
Herrn Perrotin aufzufordern mit dem vortrefflichen
im vergangenen Jahre aufgestellten 30-Züller der dor-
tigen Sternwarte, nach jenem Object auszuschauen.
In Erfüllung dieses Wunsches berichtet nun Herr Per-
rotin in dem erwähnten Artikel der Comptes-rendus,
dass er den Nebel relativ glänzend finde und gibt auch
einige Details über dessen Structur. Schliesslich be-
merkt er, dass das schlechte Wetter ihn verhindert
habe den Nebel zu zeichnen,
Diese Nachrichten brachten mir in Erinnerung, dass
ich selbst vor langen Jahren einmal versucht habe
diesen Nebel zu zeichnen. Obgleich ich mich sonst
mit Zeichnen von Nebelflecken nicht abgegeben habe,
so hatte ich doch mit dem Vorliegenden eine Aus-
nahme gemacht, weil das Fehlen desselben in dem
Herschel’schen Cataloge von 1833 mich im ersten
Augenblicke, als ich zufällig auf denselben stiess,
gleichfalls glauben liess, wir hätten es da mit einer
neuen Formation oder auch mit einem bis dahin noch
unbekannten Objecte zu thun. Durch Einsicht in die
Herschel’schen Capbeobachtungen kam ich jedoch
gleich folgenden Tages von dieser irrthümlichen Auf-
fassung zurück und legte deshalb die Zeichnung, nebst
den sie begleitenden Anmerkungen, ad acta. Dort hat
sie ruhig bis in die letzten Tage gelegen. Indem ich
sie jetzt wieder hervorsuchte, hat es mir geschienen,
dass unter den gegebenen Umständen dieses ältere
Document trotz der unvollständigen Ausfübrung nicht
ganz ohne Interesse sei und erlaube ich mir daher
dasselbe hiermit zu verôffentlichen. Die Anmerkungen
sind offenbar theils während der Beobachtung selbst
niedergeschrieben, theils unmittelbar nachher aus der
Vergleichung mit den Herschelschen Capbeobach- |
tungen hervorgegangen. Sie lauten:
54?
1851 März 6.
Helligkeiten der Sterne:
a—=(5), b—(6), c=(7), d=(9)
= (9), f =), 2 = (12 ON
Der Nebel tritt scharf hervor auf einer etwas aus-
gebogenen Linie von a nach d; € und b befinden sich :
entschieden ausserhalb des hellen Nebels, entgegen
dem wie es bei Herschel (Ospbeobachtunges) ange-
geben ist, obgleich wohl die ganze Gegend noch mit
etwas schwacher Nebelmaterie angefüllt ist. Die ge-
rade Begränzung ed stimmt genau mit Herschel, so
wie auch, dass f etwas ausserhalb derselben liegt.
Bei e biegt die Begränzung unter einem stumpfen
Winkel nach Sûüdwesten, wovon in Herschel’s Zeich-
nung nichts angegeben. Die grüsste Intensität des Ne-
bels ist in der Gegend zwischen a und e, Die nürdlich
von & belegenen Nebeltheile, die im Allgemeinen mit
Herschel’s Zeichnung übereinstimmen, sind nur roh
entworfen; ihr Glanz ist erheblich geringer als der
des Hauptnebels. Mit Sicherheit konnten Nebeltheiïle
auf + 8° von C— a aus in Declination verfolgt werden.
Zusatz 1851 März 7.
Von d nach b ist auch noch etwas hellerer Nebel,
aber viel weniger intensiv wie zwischen a und e. Von
der Linie db aus erstreckt sich ein noch schwächerer
Nebel keiïlformig bis 2. Das Sternchen c ist entschieden
ausserhalb des erkennbaren Nebels. Vorangehend vor
a erstreckt sich der Nebel wenigstens noch 12° weit,
allmälig abfallend.
Mit Ausnahme des Umstandes, dass ich den Stern c
als entschieden ausserhalb des helleren Nebels liegend
bezeichne, während die Herschel’sche Zeichnung den-
selben als noch vollständig von hellem Nebel umgeben
darstellt, stimmen offenbar unsre beiderseitigen Beob- À
achtungen, die respective den Jahren 1835 und 1851.
angehüren, vortrefflich unter einander überein. Später : =
habe ich diesen Nebel wiederholt betrachtet, nament-
lich zur Zeit meiner Bearbeitung der Centraltheile
des grossen 3-Nebels, ihn aber nie wieder so glän-
zend und in so scharfen Umrissen gesehn wie bei
jener früheren Gelegenheïit, was ich damals auf we. “
niger durchsichtige Luft zu schieben geneigt war.
Nach einer sichtbaren Fes dieses Nebels mit :
243
Bulletin de l’Académie Impériale
544
dem grossen 3-Nebel haben beide Herschel oft, aber
vergeblich ausgeschaut, wenngleich sie wohl angeben,
dass ihnen das die beiden Nebel trennende Intervall
gelegentlich nicht so dunkel erschienen sei, wie andere
Theile des Himmelsgrundes. Auch mir ist es nie ge-
glückt eine verbindende Nebelbrücke oder etwas dem
. ähnliches mit Sicherheïit zu erkennen, selbst nicht nach-
dem es bereits bekannt geworden war, dass G. P. Bond
im Frübjahre 1864 mit Hülfe des unserm alten 15-
zülligen Refractor in allen Stücken gleichstehenden
Refractors der Sternwarte Cambridge (Mass.) eine Ver-
bindung der beiden Nebel durch 3 bandartige Nebel-
streifen wahrgenommen hatte. Besonders auffallend aber
ist es, dass dieselben 3 Nebelbänder auch im Herbst
desselben Jahres 1864 von d’Arrest in dem nur
11!/-zülligen Refractor der Copenhagener Sternwarte
mit solcher Schärfe erkannt sind, dass er in seiner
1872 erschienenen Schrift «Undersogelser over de ne-
bulose Stjerner» ihren Verlauf detaillirt beschreiben
konnte. Ob dieselben später als 1864 irgendwo noch
wahrgenommen sind, ist mir nicht bekannt; bei uns
gewiss nicht und auch nicht von den beiden genann-
ten Beobachtern, indem Bond bereits 1865 starb
und d’Arrest sonst wohl dieses Umstands in seiner 8
Jahr später erschienenen Schrift Erwähnung gethan
hätte.
Besonders bemerkenswerth ist auch der Dnstanl
dass sowohl Bond wie d’Arrest während 7 Jahre vor
1864 den grossen Orionnebel sorgfältig studirt hat-
ten, ohne dass ihnen jene interessante Verbindung
aufgefallen wäre. Es liegt daher nahe die Vermuthung
aufzustellen, dass der Nebel um C Orionis und die
ihn umgebenden Nebentheile Lichtwechsel unterwor-
fen sind, die im Jahre 1864 ein Maximum der Inten-
sität erreicht haben.
Meine Beobachtungen über die Centraltheile des
Orionnebels, haben eine Variabilität im Lichte der
dieselben constituirenden Nebelmassen sebr wahr-
scheinlich gemacht und die späteren Beobachtungen
von Holden am 26-zülligen Washingtoner Refractor
… haben diese Wahrnehmungen bekräftigt. Es liegt nahe
die vorstehend ausgésprochene Vermuthung eines môg
_lichen Lichtwechsels am C Nebel mit jenen Verände-
rung in Beziehung zu bringen, besonders seitdem
_ durch die erwähnten Beobachtungen von Bond und
_ d’Arrest, der früher nur vermuthete physische Zu-
Ne
sammenhang der beiden Nebel, jetzt augenscheinlich
nachgewiesen ist.
Auf eine geringere Lichtstärke des Nebels zu ge-
genwärtiger Zeit deutet gewiss auch der Umstand,
dass die Pariser Astronomen mit ihren 13—15-zül-
ligen Refractoren nicht im Stande gewesen sind den-
selben mit Sicherheit zu erkennen, während d’Arrest
ihn 1864 mittelst des 11!,-zülligen Copenhagener
Refractors ganz detaillirt beschrieben hat. Adm. M ou-
chez ist geneigt diese Lichtschwächung der ungün-
stigen Lage der Pariser Sternwarte in der Mitte der
grossen Hauptstadt zuzuschreiben. Ohne Zweïfel mag
dieselbe ‘etwas dazu beigetragen haben, aber doch
wohl schwerlich in dem Maasse, dass dadurch der
grosse Unterschied der Sichtbarkeit in Paris und
Copenhagen ausgeglichen würde, besonders da die
erwähnten Refractore in Paris oben auf dem Dache
des hohen Sternwartsgebäudes aufgestellt sind. Somit
würde dieses Indicium der Lichtverminderung immer-
hin von Bedeutung sein, wenn nicht Herr Perrotin
in seinem Schreiben erklärt hätte, dass er in Nizza
den Nebel schon mit einem Fernrôlire von Mn =S
7,3 Engl. Zoll Offnung erkannt hätte.
Vorläufiger Bericht über eine wissenschaftliche Reise
in die Krym im Jahre 1886. Von W. Radloff. (Lu
le 3 Mars 1887.)
Die Herausgabe eines Mädschuma» der krymschen
Karaimen, d. h. einer Sammlung von Erzeugnissen der
tatarischen Volkslitteratur (Sprichwôrter, Räthsel, Er-
zählungen, Lieder u. s. w.) nach Aufzeichnungen tata-
risch sprechender Karaimen, veranlasste mich schon
seit einigen Jahren, mich mit dem Dialecte der Krym-
tataren zu beschäftigen. Ich hatte schon in Kasan Ge-
legenheit, dort wohnende Karaimen zu Rathe zu ziehen
und setzte hier diese Untersuchungen mit einem in
der tatarischen Volkspoesie sehr bewanderten Karai-
men, Herrn Erak, fort. Das Abweichende der Sprache
der einzelnen Individuen und die Schwankungen in den
mir vorliegenden Texten lieferte mir den Beweis, dass
auf der taurischen Halbinsel verschiedene Dialect-Nü-
ancen existiren mussten, und ich sah bald ein, dass ich
mir keïn klares Bild derselben verschaffen konnte, wenn
ich nicht die sprachlichen Eigenthümlichkeiten dieser
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545
des Sciences de Saint - Pétersbourg.
546
Nüancen an Ort und Stelle untersuchte. Dieser Um-
stand veranlasste mich, die historisch-philologische
Klasse zu ersuchen. mir die Mittel zu einer Reise in
die Krym zu bewilligen. In Folge der mir gewährten
freundlichen Unterstützung hatte ich die Môglichkeit,
diese Reise Ende October vorigen Jahres anzutreten
und mich bis Ende December daselbst aufzuhalten.
. Zu der Wahl einer für eine Reise eigentlich ungün-
stigen Jahreszeit hatte mich der Umstand veranlasst,
dass ich.einerseits die während der Saison in der Krym
herrschende Theuerung fürchtete, andererseits dass
ich meinte, im Winter die Bevülkerung weniger be-
schäftigt zu finden, und dass ich so leichter Gelegenheit
haben würde, die mir nôthigen Sprachmaterialien zu
sammeln. Ich reiste zuerst nach Sympheropol und be-
gann von dort meine Fahrten durch die ganze Halb-
insel. Meine erste Station machte ich in Baktschi-Sarai,
das gleichsam den Mittelpunkt der tatarischen Intelli-
genz der ganzen Halbinsel bildet. Von hier ging ich
zu den nôrdlichen Gebirgsthälern bis zu der Quelle des
Kasch und hielt mich einige Zeit im Rayon der Dürfer
Ésenbasch und Stile auf. Dann kehrte ich nach Bak-
tschi-Sarai zurück, wendete mich nach dem Süden und
verweilte in dem Dorfe Karalez, nôrdlich vom Baiïidar-
Plateau. Von Karalez ging ich über Sebastopol, Bai-
dar auf der grossen Poststrasse nach dem Südufer bis
Miskor bei Alupka, wo ich wiederum einige Tage Rast
machte. Von Miskor ging ich, Jalta passirend, bis
Ulu Lambat, 13 Werst westlich von Aluschta, und
dann, nach abermaligem Aufenthalt, über Aluschta
Kuru Üsen bis Üsküt. Nachdem ich in Üsküt das mir
nôthige Material gesammelt, ging ich über Sudak nach
Theodosia und von dort zur Halbinsel von Kertsch, in
deren Mittelpunkt, im Dorfe Chodschalar, ich wiederum
einige Tage verweilte. Nach Theodosia zurückgekehrt,
hielt ich mich einige Tage daselbst auf und reiste dann
direct bis Karassu-Basar, wo ich einen längeren Auf-
enthalt nahm. Von Karassu-Basar unternahm ich eine
Reise in die Steppe, und zwar durchschnitt ich die
Mitte der Halbinsel über Taschly-Dair nach Norden
bis Kyjat, 30 Werst südlich von Perekop, wo ich
wieder einige Tage verweilte; dann wandte ich mich
nach Südwesten und ging über Botasch bis Eupatoria,
von wo ich nach einigen Tagen schon nach Symphe-
ropol zurückkehrte
Diese meine Énsifatirt durch die Krym gab mir die
Tome XXXI.
Môglichkeit, mit Individuen der verschiedensten Ge-
genden zusammen zu treffen, so dass sie mich in Stand
setzte, mir ein klares Bild aller krymschen Mundarten
zu verschaffen. Die Tataren selbst theilen die tatarisch
sprechenden Einwohner der Krym in drei Gruppen:
1) Schähärhäm Tau-chalky, die Stadt- und Berg-Be-
wohner, d. h. Bewohner der Städte Sympheropol, Bak-
tschi-Sarai, Karassu - Basar, Theodosia und Eupatoria,
und die im Gebirge und am Südufer wohnenden Tata-
ren; 2) Tschôül-chalky, die Steppenbewohner, und 3)
Nohi: chalkv, die Nousior: elu jetzt ausgewanderter
Tatarenstamm, der früher nürdlich von der Landenge
von Perekop wohnte. Diese Eintheilung ist eine den
historischen Verhältnissen entsprechende. und wird
durch das richtige Sprachgefühl und die Verschieden-
heit der Lebensverhältnisse dieser Gruppen veranlasst,
Die Nogaier waren die spätesten Einwanderer, Sie
hatten am Ende des vorigen Jahrhunderts den nürd-
lichen Kaukasus verlassen und die Absicht, sich auf
türkischem Gebiete niederzulassen, waren daher nürd-
lich vom Schwarzen Meere nach Westen gezogen. Da
aber die Bodenverhältnisse Bessarabiens ihnen, den
Nomadeu, nicht behagten, so wendeten sie sich wieder
nach Osten und überwinterten nürdlich von der Krym,
da zu jener Zeit diese Landstriche vollkommen unbe-
wobnt waren. Durch die russischen Behürden veran-
lasst, schlugen sie in jenen Gegenden ihren dauernden
Wohnsitz auf und nomadisirten daselbst während der
ersten Jahrzehnte unseres Jahrhunderts, bis sie sich
auf Veranlassung des Fürsten Woronzew in Dürfern
ansiedelten und nun hauptsächlich sich mit dem Acker-
bau zu beschäftigen begannen. Sie blieben in jenen
Wohnsitzen, bis sie nach dem Krymkriege, aus Furcht
vor dem Militärdienste und durch mohammedanische
Emissäre veranlasst, nach der Türkei auswanderten.
Ausser einzelnen Individuen, die sich in der Krym
niedergelassen hatten, und wenigen Zehnt Familien, .
die von ihrer Wanderung durch Kleinasien zurückge-
kehrt sind und jetzt im Dorfe Kyjat wohnen, finden ; ..
sich heute nirgends mehr Nogaier im taurischen Gou-
vernement. Die Nogaier unterschieden sich durch Spra-
che, Gesichtsbildung, Lebensweise und geschichtliche :
Erinnerungen so scharf von den übrigen Tataren der .
Krym, dass noch jedes von denselben in der Krymzu-
rückgebliebene Individuum dieses Stammes sich als
Fremdling fühlt und sil seiner Gp bewusst on
545
Bulletin de l'Académie Impériale
548
ist. Die beiden übrigen Gruppen werden von den No-
gaiern als Krym-tatarlari (Krymtataren) bezeichnet,
und zwar deswegen, weil, wie sie sagen, alle diese Ta-
taren längst in der Krym ansässig gewesen seien, als
sie aus dem Kaukasus einwanderten. Die Unterschei-
dung der beiden letzten Gruppen ist auf die Wohnsitze,
Sprache und Beschäftigung gegründet, das Tschül-
chalky oder die Steppen-Tataren bewohnen die Steppe
der eigentlichen Krym und die der Halbinsel von Kertsch
und sind alle ohne Ausnahme Ackerbauer, während die
Tataren der letzten Gruppe, die in den Städten leben,
sich mit dem Handel oder mit Gewerben beschäf-
tigen, oder in Dürfern dem Garten-, Wein- und Ta-
baksbaue obliegen. Die Steppenbewohner sind auch
zum grôssten Theil ausgewandert, so dass jetzt nur
noch die tatarischen Ortsnamen beweisen, dass früher
die ganze Steppe von Tataren bewohnt war. Am zahl-
reichsten sind noch die Städte- und Bergbewohner zu-
rückgeblieben, und sie bilden jetzt die Hauptmasse
der tatarischen Einwohner der Krym. Nach officieller
_ Angabe betrug 1884 die tatarische Bevülkerung der
Krym 142,179 Individuen, unter diesen 77,717 männ-
lichen und 64,462 weiblichen Geschlechts. Ausge-
wandert sind vom Jahre 1860 — 1875 aus der Halb-
insel nach der Türkei 61,984 Männer.
Schon die Physionomien und die Sprache der Step-
penbewohner beweisen uns auf’s Deutlichste, dass die-
| _ selben anderer Abkunft sind, als die Berg- und Städte-
bewohner. Offenbar sind sie, wie auch die tatarischen
Dorfnamen der Steppe beweisen, fast ausschliesslich
seit dem XIII Jahrhundert eingewanderte türkische
Nomaden der verschiedensten Geschlechter, Kyrk,
Kyptschak, Känägäs, Altschyn, Kyjat u. s. w., die sich
Stammweise in den weiten, für die Vichzncht treffich
geeigneten Steppen niederliessen. Die Bewohner des
Gebirges und der Städte hingegen bilden in ihrer Haupt-
masse Überreste der yiel früher, vielleicht schon vom
IV. und V. Jahrhundert an, in die Krym eingewander-
ten Türkstämme: Uiguren und Komanen, die im Laufe
der Jahrhunderte zahlreiche Einwohner anderer Her-
kunft: Griechen, Gothen u. s. w. absorbirt haben. Im
Laufe der letzten Jahrhunderte hat auch ein nicht un-
bedeutender Zuzug von kleinasiatischen und Balkan-
| + Türken stattgefunden.
Bis in’s XVIL Jahrhundert war die Sprache der
_ Krymtataren offenbar eine Kyptschakische Mundart,
die aus einem Gemisch der Komanischen und der
der später eingewanderten Steppennomaden sich ge-
bildet hatte. Eine Aushahme bildeten vielleicht nur
die Bewohner des westlichen Theïiles des Südufers,
die gebildete Bevülkerung von Baktschi-Sarai und
die hôühere Beamten-Welt, die durch Eïinfluss der
Beziehungen mit Constantinopel, sich der litterarisch
ausgebildeteren osmanischen Sprache bedienten. Als
aber durch das stete Vordringen Russlands der Ver-
kehr der tatarischen Bevülkerung der Krym mit der
der Wolgagegenden vollständig abgeschnitten war, so
begann der Einfluss der ausgebildeten Litteratur-
sprache der Osmanen immer festeren Fuss zu fassen.
Der heutige Zustand der Dialect-Nüancen der Spra-
che der Krymtataren giebt uns ein klares Bild des
Kampfes des neu vom Süden importirten Süd-Dialec-
tes mit dem ursprünglichen Nord-Dialecte der Bevül-
kerung, ein Bild, welches besonders lehrreich für die
Entwicklung der Dialect- Übergänge überhaupt ist,
da der Kampf hier auf einem vollständig von stürenden
Nebenstrümungen isolirten, durch die Natur des Lan-
des genau begrenzten Raume, der die verschiedenar-
tigsten geographischen Bedingungen (Steppe, Bergland
und Meeresufer) bietet, stattgefunden hat.
Das Resultat des Dialect - Kampfes zeigt uns am
deutlichsten folgende Übersicht der Dialecte:
1) Südliche Mundarten.
Die lautlichen Erscheinungen, grammatischen Bil-
| dungen und der Sprachschatz zeigen überall ein Vor-
herrschen des südlichen Einflusses.
a) Die Sprache des Südufers (von dem Baidarthore
bis Üsküt). Eigenthümliches, festgeordnetes Laut-
system, das keinen bedeutenden Schwankungen
unterworfen ist. Diese Mundart muss in gramma-
tischer Beziehung vollständig zu den Süd- Dialecten
gerechnet werden.
b) Die Sprache der Städte Baktschi-Sarai, Symphero-
pol, Karassu-Basar, Theodosia und Kertsch. Misch-
sprache mit nôrdlicher Unterlage, wo aber in allen
Schichten schon das südliche Element vorherr-
schend geworden ist. Nirgends aber hat es sich
zu einer die Sprache beherrschenden festen Form
entwickelt. In Lautlehre und Grammatik ist das
südliche Element vorherrschend, überall treten
aber noch die alten Formen auf. Das mehr oder
weniger häufige Erscheinen alter Formen hängt
549
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
550
von der Bildungsstufe und der Beschäftigung der
Individuen ab.
ce) Die Mundarten der Gebirgsbewohner der nôrdli-
chen Abhänge und Vorberge. Eine ähnliche Misch-
sprache. Nur mit dem Unterschiede, dass hier
meist die ursprüngliche nôrdliche Form die vor-
herrschende ist. Jedem Individuum sind aber auch
die neueren südlichen Formen geläufig, wenn sie
in der Anwendung auch meist hinter den ersteren
zurücktreten.
2) Nôrdliche Mundarten.
a) Der Krym-Dialect. Der südliche KEinfluss ist
zwWar auch zu spüren, tritt aber vollkommen in den
Hintergrund. Den lautlichen Verhältnissen nach
ist die Sprache zu den nord-tatarischen Dialecten
zu zählen. Ebenso sind die grammatischen Formen
des Nordens durchgängig im Gebrauch, wenn auch
einzelne südliche Formen sich einzubürgern be-
ginnen. Das Lexicon zeigt schon einen bedeuten-
den südlichen Einfluss. Im Ganzen ist der Sprach-
gebrauch ein fester zu nennen, Anwendung von
Doppelformen ist seltener und findet sich nur bei
einzelnen Individuen. Man kann diese Mundarten
nicht scharf von einander scheiden, da die Natur
der Steppe hier im Ganzen ausgleichend gewirkt
hat. Bedeutendere Verschiedenheiten bietet nur
die Sprache der Steppe der eigentlichen Krym und
die der Halbinsel von Kertsch. Die Sprache der
Stadtbewohner, von Eupatoria muss zu den nürdli-
chen Mundarten gerechnet werden, ebenso wie die
Sprache eines Theiles derjenigen Einwohner von
Karassu-Basar und Theodosia, die durch ihre Be-
schäftigung mit den Steppenbewohnern im Verkehr
stehen.
b) Der Nogai-Dialect. Reiner nord-tatarischer Dia-
lect, der dem Kirgisischen sehr nah steht. Der
Dialect ist jetzt fast verschwunden und wird nur
noch von wenigen Individuen der Ansiedlung Kyjat
gesprochen, sonst lebt er noch in vielen Liedern
und Heldengesängen fort, die von den Sängern der
Steppenbewohner noch jetzt vorgetragen werden.
Die jüngeren Einwohner von Kyjat sprechen vor-
herrschend krymtatarisch.
Ausser den eigentlichen Tataren ist die tatarische
Sprache als Muttersprache der Karaimen, der Krym-
tschak (Talmudisten) und eines grossen Theils der
Griechen anzusehen. Die Karaimen und Krymtschak
sprechen den reinen Städte-Dialect von Baktschi-Sarai
und Karassu-Basar, während die Griechen, je nach
ihren Wobhnsitzen, die Stadtsprache, die Sprache der
Gebirgsbewohner und die des Südufers anwenden. Die
Sprache der Karaimen von Eupatoria weist viele Eïi-
genthümlichkeiten des Steppen-Dialectes auf.
Um die Eigenthümlichkeiten aller dieser Dialect-
Nüancen fixiren zu kônnen, habe ich allerorten zahl-
reiche Aufzeichnungen von Proben der Volkslitteratur
gemacht, lautliche Untersuchungen angestellt und mein
Lexicon nach Môglichkeiït zu vervollständigen gesncht.
Sehr wichtig war es für meine sprachlichen Unter-
suchungen, dass ich bei den Karaimen und Krymtschak
alte Bibelübersetzungen vorfand, die in der früheren
Sprache der Krymtataren verfasst sind und uns einen
Begriff von dem Zustand dieser Sprache im XVIL.
Jahrhundert geben. Ich gedenke, reiche Proben aus
diesen zum Theil mit Vokalzeichen versehenen Über-
setzungen herauszugeben. An diese wird sich das ka-
raimische Mädschuma anschliessen, das in seiner
Sprache den Dialect der tatarischen Intelligenz der
Städtebevülkerung treu wiedergiebt. Einen grossen
Theil des Mädschuma werde ich in Transseription nach
dem Dictat von Karaimen wiedergeben. Diesen Tex-
ten werden dann diejenigen Aufzeichnungen folgen,
die ich während meiner Reise an den verschiedenen
Orten der Krym gemacht habe. Auf diese Weise hoffe
ich, ein genügendes Sprachmaterial zu verôffentlichen,
das im Stande ist, ein klares Bild der Krym-Dialecte
zu entwerfen. Dies ist um so wichtiger, als die Osma-
nisirung, Wenn ich so sagen darf, mit Riesenschritten
fortschreitet und voraussichtlich nach wenigen Jahr-
zehnten die letzten Spuren der Eigenthümlichkeit der
Krymschen Mundarten sich verwischen und vollständig
verschwinden werden.
Bericht über zwei von N. Katanoff eingereichte Bei-
träâge zur Erforschung des Sagai-Dialectes. Von
W.Radloff. (Lu le 3 Mars 1887.)
Ich erlaube mir, heute der Classe zwei Arbeïiten des
Herrn N. Katanoff vorzustellen, welche uns einen
recht schätzenswerthen Beitrag zur Erforschung des
Sagaischen Dialectes bieten. Die erste ist ein Würter-
51
Bulletin de l’Académie Impériale
552
verzeichniss der aus dem Russischen entlehnten Fremd-
wèrter im Sagaischen. Herr Katanoff hatte bei seiner
neuen Transscription der von Castrén aufgezeichneten
Helden-Sage und bei dem Studium des II. Bandes
meiner Litteraturproben die mühsame Arbeit über-
nommen, alle in diesen Texten auftretenden Wôrter,
die aus dem Russischen entlehnt sind, zu excerpiren.
So gewann er eine schon ganz bedeutende Fremdwür-
tersammlung, die er auf meinen Rath noch durch eine
grosse Anzahl von Fremdwürtern der Umgangssprache
und von russischen Eigennamen, die bei den durch-
gängig getauften Sagaiern allgemein im Gebrauche
sind, ergänzte. Diese Arbeit konnte allein Herr Ka-
tanoff übernehmen, da er als geborener Sagaier solche
Würter leicht aus dem Gedächtnisse auffinden konnte,
wobei ihn das sichere Sprachgefühl für die Lautgesetze
der eigenen Sprache vor Anwendung sprachwidriger
Formen schützte. Da die Arbeit fast unter meinen
Augen vollendet wurde, so konnte ich mich davon über-
zeugen, mit welcher Vorsicht Herr Katanoff die Ver-
voliständigung seines Fremdwôürter: Verzeichnisses aus-
fübrte, er merzte jedes zweifelhafte Wort aus, ver-
zeichnete alle ihm bekannten Varianten und liess sich
nie durch den Wunsch leiten, in dem aufgeschriebenen
Worte einen Beweis für die Richtigkeit der von mir
aufgestellten Lautgesetze zu finden. Das Verzeichniss
wurde von Anfang an auf Zetteln alphabetisch geord-
net und dann sogleich so abgeschrieben, wie es uns
vorliegt. Erst nach Vollendung dieses Würterverzeich-
uisses machte der Verfasser sich an die Untersuchung
der Lautveränderungen und ordnete die einzelnen
Wäürter nach Gruppen, wie sie in meïner Phonetik auf-
gestellt sind. Das Resultat dieses zweiten Theïls der
Katanoff’schen Arbeit sind seine Untersuchungen über
den Lautwandel, dem die aus dem Russischen entlehn-
ten Würter unterworfen sind, sie bieten eine schätz-
bare Ergänzung und theilweise Verbesserung der von
mir in der Phonetik der Türksprachen aufgestellten
Sätze und beweisen, dass Herr Katanoff ein richtiges
Verständniss für die Auffassung der Lautverhältnisse
seiner Muttersprache hat.
Ich halte es für überflüssig, hier näher auf die
Resultate dieser Untersuchung einzugehen, ich will
mur auf Eines hinweisen, dies ist die Bedeutung
_des Accents der russichen Wôrter, die hier theilweise
: in ein neues Licht gestellt wird. Ich hatte in meiner
Phonetik schon hervorgehoben, dass bei der grüssten
Zahl der in tatarische Sprachen aufgenommenen
russischen Fremdwürter der Vocal der Accentsilbe
die Rolle des herrschenden Vocals, die in tatari-
schen Wôrtern sonst dem Vocale der ersten Sylbe
zufällt, übernimmt, und zum grôssten Theiïl die Pala-
talität und zum Theil auch Labialität der Vocale des
ganzen Wortes beherrscht. Ich hatte aber übersehen,
dass der Accent, ausserdem dass er diese Wirkung aus-
übt, noch als Accent in den meisten schon vollkommen
lautlich accommodirten Fremdwôrtern forthbesteht, d.
h. dass den Gesetzen der tatarischen Sprache zuwider
die Accentsilbe dynamisch hervorgehoben bleibt. Somit
erscheint ein russisches Fremdwort im Sagaischen nicht
immer als eine an die erste Silbe agglutinirte Silben-
reihe, wie ein jedes andere sagaische Wort, sondern
auch oft als zwei solcher Silbenreïihen, indem die
letztere Reihe gleichsam als Enklitica an die erste
Reïhe gehängt ist. Wir finden eine ähnliche Erschei-
nung in einzelnen Zusammenfügungen tatarischer
Würter, z. B. Kirg. rÿYpô-rälii er ist aufgesprungen
statt rypa rälxi. Hier hat die nahe Verbindung beider
Wäürter eine Vocalassimiliation bewirkt. Die guttu-
ralen Vocale des ersten Wortes sind durch die Pala-
talattraction der palatalen Vocale des letzten Wortes
in palatale Vocale verändert, y in ÿŸ und a in ü; das y
des ersten Wortes hat aber dadurch seine Labialität
nicht verloren, sondern der Einfluss derselben ist so
stark geblieben, dass sie das ä der zweiten‘Silbe in 6
verwandelt hat. Auf den zweiten Theil des zusammen-
gesetzten Wortes hat der Labialitätseinfluss des ersten
Worttheils sich nicht erstreckt, er ist non-labial ge-
blieben. Der Grund ist hier offenbar darin zu suchen,
dass der psychische Zusammenhang des nur wenig
veränderten rälai mit dem Worte Kälxi (er kam) noch
nicht geschwunden ist, schwindet dieser, so wird un-
bedingt rÿpü-rälai in rfpôrôlaÿ oder in rÿpôlaÿ über-
gehen, wie dies im altaischen yauyknazpi «er schwieg»
= ÿa + spiknapr (Laut + nicht hervorgegangen) ge-
schehen ist.
Russische Fremdwürter, deren Vocale nicht gegen
die Gesetze der Vocalharmonie des sagaischen Dialectes
verstossen, sind somit in Folge des ihnen eigenthümli-
chen russischen Accentes in zwei Gruppen zu theilen:
1) Wôrter, die den Hauptton auf der letzten Silbe
haben. Diese weichen in keiner Weise von den echt
553
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
554
tatarischen Würtern ab (vergl. Phonetik $ 136), z. B.
Ennim, Eläkcäi, [aukprpar, PITAHC, pasacna, cakkpuar,
2) Wäürter, in denen der Hauptton nicht auf der
letzten Silbe ruht. Solche tatarische Wôrter kommen
ebenfalls vor, sind aber als Ausnahmen zu bezeichnen
52% DJ UM V L V
(vergl. Phonetik $ 138), wie axa6biH, Kepäknic, appi-
A VU ONU a A LA LA A Y “ V
aamkazak, jekramagsr etc., z. B. Ilap6apa, nanka,
LA A VU $ A V M0 AL V V
Ocraunbii, Orpännänä, OCTRIPBIN.
Diejenigen russischen Fremdwürter, die gegen die
Vocalharmonie verstossen, sind als zwei getheiïlte Sil-
bengruppen aufzufassen, in denen die zweite enklitisch
LA) w YO OV
sich an die erste anschliesst, z. B. Kap + MOxbija,
LAN \ V Ps ‘ M: » a “ és S\ Al
nB1+- p030a, [lapa + ck06b1ja, [lei+-6pônijä, ca + MyKk.
Manchmal beginnt die Trennung vor der accentuirten
Silbe, z. B. nÿH + r06bIk.
Die zweite Arbeit Katanoff’s ist ein Verzeichniss
der «Sagaischen Namen der Flüsse, Dôrfer, Städte
und Stämme, die die Unterthanen des Steppenge-
richts der Vereinigten Stämme (an der Mündung des
Askys) bilden».
Dieses kleine Verzeichniss macht nicht den Anspruch
auf Vollständigkeit, ein solches wäre nur im Abakan-
thale selbst zusammenzustellen môglich gewesen. Es
bietet aber, so wie és uns vorliegt, eine wichtige Vor-
arbeit zu einem Lexicon der tatarischen Eigennamen,
welches Herr Katanoff die Absicht hat, in der Folge
zusammenzustellen. |
Da beide Arbeiten, wie ich schon oben erwähnt,
einen sehr schätzenswerthen Beitrag zur Kenntniss des
sagaischen Dialectes und der tatarischen Sprachen
überhaupt bieten, so ersuche ich die Classe, dieselben
im Bulletin abdrucken zu lassen, ich werde selbst den
Druck derselben leiten, und wo ich es für nôthig halte,
erläuternde Anmerkungen einschieben.
Paru le 28 avril 1887.
BULLETIN
DE
L'ACADEMIE IMPÉRIALE DES SCIENCES
DE
S'-PEÉTERSBOURG.
TOME TRENTE-DEUX.
(Avec 6 planches.)
Mo. Bot, Garden,
Ron «dr
ST.-PÉTERSBOURG, 1888.
Commissionaires de l'Académie Impériale des sciences:
À ST.- PÉTERSBOURG : A RIGA: À LEIPZIG:
Eggers & Ci° et J. Glasounof; N. Kymmel; Voss Sortiment (G Haesse I).
Prix du volume: 3 Roub. arg. pour la Russie, 10 marks allemands pour l'étranger.
»
TABLES DES MATIÈRES.
A. TABLE SYSTÉMATIQUE.
(Les chiffres indiquent les colonnes des volumes.)
SCIENCES MATHEMATIQUES, PHYSIQUES ET BIOLOGIQUES. À, Gernet. Sur l'acide phénil-angélique. 465—467
Gorboff et Kessler, De ne ction de l’iodoforme et de l’iode sur l’iso-
me butylate de soude. 218—255.
ASTRONOMIE. C, Sehmidt, Recherches hydrologiques. L. (Avec une planche). 77—89,
0. Backlund. Sur les termes hyperélémentaires dans la théorie des | ns
perturbations. [. II. 629—648. BOTANIQUE ET PHYSIOLOGIE VEGETALE.
—— Études sur le catalogue stellaire «Positions moyennes de 3542
étoiles, déterminées à l’aide du cercle méridien de Poulkova M. Chrap Hits Sy sen dim Se era par er bu
dans les années 1840—1869 et réduites à l’époque 1855.0. St. !
Pétersbourg 1886». 53—77.
—— Remarques complémentaires pour les études sur le catalogue
res Sr ee moyennes de 3542 étoiles, déterminées àl’aide | ZOOLOGIE.
du cercle méridien de Poulkova dans les années 1840—1869 et
réduites à débats 1855. 182—185.
et B, Séraphimoff, Eléments : po approchés de la
comète Encke pour 1888. 467— ATOME SATER
| C Z ec Didies des Gr nouvelles asiatiques. VIL
71—629. (Avec 4 planches
N. Warpachowsky. Sur le genre Hemiculter Bleek et sur une nou-
velle espèce du genre Hemiculturella. 13—24.
A, Bonsdorf, Sur la détermination ee constantes de Pellipsoïde de
a terre au moyen de mesures géodésiques. 377—383. PHILOLOGEE.
C. Y. L. Charlier. Sur la formation des courants météoriques par la is
désaggrégation des comètes. 383 —402. A. Nauck, Quelques remarques sur les fables de Phèdre. 434—464.
B, Hasselberg, Sur une méthode de déterminer avec une grande
exactitude la distance focale d’un système des lentilles pour les LETTRES ORIENTALES.
ivers rayons de la lumière. 412—453. N, Katanoff, Des mots du dialecte sagaï, empruntés au russe. 25—40.
M. Nyrén, Sur l'aberration dos Senes res. 202 4 Transformation phonétiques des mots empruntés au russe dans
le dialecte Sagaï. 40—49.
ns ET PHYSIQUE DU GLOBE. —— Liste des nonis sagaïs de fleuves, villages, villes et différentes
i 49— 53.
M, im ff, Du maximum de température avant midi en mer | tribus.
|
|
|
9—
ous les réa d’après les observations de M. Makarow. | @, . Histoire de 1e princesse Bentrès et de l’empereur Zénon
8 — 96. s deux filles. 4 76.
H, Wild. Sur l’effet du tremblement de Se. du en février 1887 à W. rte) Rapport sur un ouvrage e de M. le professeur Chwolson,
l’observatoire magnétique de Pawlowsk. 11— ee À aux inscriptions funéraires trouvées à Semiretschié.
—— Photomètre de polarisation pour 1es usages pa et son
emploi à la vérification de lampes à gas de Wenham. 193—218. | Ç, eq Nouvelles acquisitions du Musée asiatique. 98—154.
—— Rapport sur la publication de Mijàr i Jamâli (Avec nne RS
CHIMIE. planche. 255—376.
"A pers Recherches sur l'énergie de la combinaison. Les oxydes |
potassium et de lithium. 186—193. État du personnel de PAcatémie tn: au 15 mai 1887. 1.
BP —
B. TABLE ALPHABÉTIQUE.
(Les chiffres indiquent les pages du volume.)
Backlund, 0, Études sur le catalogue er sig moyennes
de 3542 étoiles, déterminées à l’a cle méridien de
Poulkova dans les années 18401869 et as à l’époque
1855,0 St. Pétersbourg 1886. 53—77.
—— Remarques “er rm aires pour les études sur le pret
stellaire «Positions moyennes de 3542 étoiles, déterminées à
l’aide du cercle méridien de Donlkots dans lesannées 18401860
et réduites à l’époque 1855». 182—185.
—— et B, Seraphimoff, Elements et éphéméride approchés de la
comète Encke pour 1888. 467—472.
Sur les termes pure dans la théorie des pertur-
bations. L. IL. 629-648.
al \, Lie sur l'énergie de | combinaison. Les oxydes
e potassium et de lithium. 186—
ss À, Sur la détermination des constantes hs ni enr de
la terre au moyen de mesures géodésiques.
Chartier, €. V. L. Sur la formati ge des courants ends par la
régation des comètes. 7 À
Chrapowitzki, A. Synthèse des substances albumineuses dans les
__ plantes contenant du chlorophyl. se
_ Gernet, À, Sur l’acide phenyl- ne —467
_ Gorboff et Kessler, De l’action de na et de l’iode sur l’iso-
butylate de soude. 218—255.
- Hasselberg, B. Sur une méthode de déterminer avec une grande
exactitude la distance focale d’un système de lentilles pour les
divers rayons de la lumière. 412—488.
Katanoff, N, Des mots du dialecte re empruntés au russe. 25—40,
—— Tansformatious phonétiques des mots, empruntés au russe
dans le dialecte Sagaï. 40—49
——
383—
— Ra as noms sagais de fleuves, villages, villes et différentes
ribus
ue et dataf voyez Gorboff et Kessler,
Lemm, O0, Histoires de la rene Bentrès et de l’empereur Zenon
et ses deux filles. 473—
Maximowiez, C, J, Diagnoses sn plantes nouvelles asiatiques. VII.
(Avec 4 planches). 477—629.
fauck, À, Quelques remarques sur les fables de ere 434—464.
Nyrén, M. Sur ue des étoiles fixes. 402—
Radloff, W. Rapport sur un ouvrage de M. le ren Chwolson,
_. tif aux RE Phons funéraires, Prune à Semiretchié.
—465,
be M. Du maximum de te SH MHE ne avant midi en mer
sous les past og d’après les observations de M. Makarow.
89—96
Salemann, C, Nouvelles acquisitions du Musée asiatique. 98—164.
apport sur la publication de Mifàr i Jamäli (Avec une
planche). 255—376.
——. à C. Recherches hydrologiques Z
ns
Avec une planche).
rail B,, et Baeklund, 0, voyez 0, Backlund et B, Séra-
Warpachowsky, N. Sur le genre RP radis et sur une nou-
velle espèce du genre Hemiculturella.
Wild, H, Sur l'effet du tremblement de pr ss 23 février 1887 à
observatoire magnétique de Pawlowsk. 11—
—— Photomètre de polarisation pour les usages SR et son
emploi à la vérification de lampes à gaz de Wenham. 193—218.
1
T, XXXEL, N°1.
PAT D
a)
4
FL
DE L'ACADÈMIE IMPERIALE DES SCIENCES DE ST.-PÉTERSBOURG.
TOME XXXIL
(Feuilles 1——3/,10.
CONTENT.
État du, Personnel de l'Acadäinie an IS mai: 1087.12 4450 um are amuse Ti duUn ne Joe do ut 1— 11
H, Wild. Sur l’effet du tremblement de terre du 23 février 1887 à l'Observatoire magnétique de Pawlowsk 11— 13
N, Warpachowsky, Sur le genre Hemiculter Bleek. et sur une nouvelle espèce du genre Hemiculterella.. 13— 24
N. Katanoff, Des mots du dialecte sagaïi empruntés au TUSSE.................................. ts, 26— 40
-—_— Transformations phonétiques des mots empruntés au russe dans le dialecte sagaï....,.....,.... 40— 49
—— Liste des noms sagaïs de fleuves, villages, villes et différentes tribus...................,...... 49— 53
0. Backlund, Études sur le catalogue stéllaire: « Positions moyennes de 3542 étoiles, déterminées à l’aide
es . méridien de Poulkova dans les années 1840—1869 et réduites à l’époque 1855,0».
dant LB vid Le di dt dt once D TNT NS 58— 77
Dr. Carl ui Recherches hydrologiques. L. (Avec une Sie SR uv PR CN A) PR 77— 89
M. Rykatschew, Du maximum AS température avant midi en mer sous les tropiques, d’après la observa-
SE di en id de lun nr u ve 8 et duo au oc bee oies
M. Chrapowitzki, Synthèse a substances ihuialhèuses dans les plantes contenant du chlorophyl.......
C, Salemann, ae toto du Musso Afiatiques 5.14 Loin nues ne ee dns
A Bat. (yat jen,
P - en
Imprimé par te de l’Académie Impériale des sci ie
Novembre 1887. C. Vessélofshi, Sert rpétuel.…
Imprimerie de l'Académie se hiriais des sciences. ne
(Vass.-Ostr., 9° ligne, X 12)
BULLETIN
DE L'ACADEMIE IMPÉRIALE DES SCIENCES DE ST.-PETERSBOURG.
ÉTAT DU PERSONEL.
(AU 15 mar 1887.)
A. CONFÉRENCE ACADÉMIQUE.
Président, conseiller privé actuel, comte Dm. Tolstoï.
Vice-Président, » » » V. Bouniakovsky.
1863.
Secrétaire Perpétuel, conseiller privé, C. Vessélof-
Sky. 1857.
MEMBRES EFFECTIFS DE L'ACADÉMIE.
I. CLASSE PHYSICO-MATHÉMATIQUE.
Mathématiques pures: Académicien Ordinaire, cons.
priv.act. V.Bouniakovsky (Vice-Président) 1828.
Académ. Ord., cons. d'état act. G. Imché-
netzky. 1881.
Mathématiques appliquées: Académ. Ord., cons. priv.,
P. Tchébychef., 1853.
Astronomie: Académ. Ord., cons. priv. actuel, O. Struve.
1852.
—— Académ. Ord., cons. de collège, O0. Backlund. |
1883.
Physique: Académ. Ord.,
1868
——— Académ. Extraord., général-lieutenant, A. Ga-
doline, 1875.
Chimie: Académ. Ord., cons. d'état act., N. Békétof.
1886.
Technologie et chimie appliquée aux arts et métiers:
Académ. Ord., cons. d’état act., Th. Beilstein.
1886.
Minéralogie : er Ord., cons. priv., N. Kokcharof,
cons. d'état act., H Wild.
Géognosie et Paléontologie: Académ. Ord., cons. d'état |
act., Fr. Schmidt. 1872.
ni ont cons. d'état, A. Karpinski. 1886.
Tome XXXII
Botanique: Académ. Ord., cons. ae act., Ch. Maxi-
movyicz. 1865.
Acad. Extraord., cons. d'état act., Famintzine.
1878.
Zoologie: Académ. Ord., cons. d'état act., L. Schrenck.
1862,
A. Strauch.
Académ. Ord.,
1867.
Anatomie comparée et physiologie: Académ. Ord., cons.
d'état act., Ph. Ovsiannikof. 1862.
Il. CLASSE DE LA gare ET DE LA LITTÉRATURE
RUSSES.
cons. d'état act.,
Académ. Ord., cons. priv., J. Grot, Président de
la Classe, 1855.
Académ. Ord., cons. priv., Th. Bouslaef, à Moscou,
1860.
Académ. Ord., cons. priv. actuel, A. Bytchkof. 1866.
Académ. Ord., cons. priv., M. Soukhomlinof. 1872.
Académ. Ord., cons. d'état act., A. V essélofsky. 1877.
Académ. Ord., cons. d’état act., J. Jagië, à Vienne.
1880.
II. CLASSE HISTORICO-PHILOLOGIQUE. :
Statistique et Économie Politique: Académ. Ord., cons.
priv., C.Vessélofsky (Secrétaire Perpétuel). 1852.
Académ. Extraord., cons. priv., W.Bézobrazof.
1864.
Histoire et Antiquités russes: Académ. Extraord., cons.
d'état act., Kunik. 1844.
Adjoint, général-major N. Doubrovine. 1887.
Philologie et Archéologie classiques: Académ. Ord., cons.
priv., Stephani. 1850.
Académ. Ord., cons. priv., A. Nauck, 1858.
Littérature et Histoire des peuples asiatiques: Académ.
Ord., cons. priv., O. Bôthlingk, à Leipzig. 1842.
1884. ;
Académ. Ord., cons. priv., B. Wassilieff. 1886.
- Adjoint, K. Salemann. 1886. on
FR et ethnographie des races finnoises: Académ. de
Ord.; cons. priv., F. Wiedemann. 1857. Fe
1
FRA Ord., cons. d'état actuel, W. Radloff. .
Bulletin de l’Académie Impériale 4
B. MEMBRES HONORAIRES.
Sa Majesté l'Empereur Alexandre IIL. 1865.
Son Altesse Impériale, le Césarévitch Grand-Duc Hé-
ritier Nicolas. 1876.
Son Altesse Impériale Monseigneur
Wladimir. 1875.
Son Altesse Impériale Monseigneur le
Alexis. 1875.
Son Altesse Impériale Monseigneur le
Serge. 1876.
Son Altesse Impériale Monseigneur
Paul. 1886.
Son Altesse Impériale Monseigneur le
Constantin. 1844.
Son Altesse Impériale Monseigneur le Grand-Duc
Nicolas père. 1855.
Son Altesse Impériale Monseigneur le
Michel. 1855.
le Grand-Duc
Grand-Duc
Grand-Duc
le Grand-Duc
Grand-Duc
Grand-Duc
Son Altesse Impériale Monseigneur le Prince Ro- |
manovsky Duc Nicolas de Leuchtenberg.
1865.
Sa Majesté Guillaume I, Empereur d'Allemagne et
Roi de Prusse. 1876.
Sa Majesté Don Pedro II, Empereur du Brésil, 1876.
Son Altesse l’Archiduc Rodolphe, d'Autriche. 1885.
ee
Mrg. le métropolitain Isidore. 1857.
MM. le conseiller privé actuel Hube. 1857.
le conseiller privé actuel Kerbedz. 1858.
le conseiller privé actuel Delianof. 1859.
le conseiller privé actuel Reutern. 1863.
le conseiller privé Middendorf. 1865.
le général aïde-de-camp comte Milutine. 1866.
le conseiller priv. actuel comte Valouef. 1867.
l’admiral Zelenoï. 1873.
le conseiller privé Sémenof, 1873.
le conseiller d’état actuel AlexandreBunge. 1875.
le général aide-de-camp comte Adlerberg. 1876.
le conseiller privé actuel Abaza. 1876.
le conseiller privé actuel de Giers. 1876.
le conseiller privé prince Lobanof-Rostofsky.
le conseiller d’état actuel Kotchoubey. 1876.
P. A. Tchikhatchef, 1876.
le conseiller privé actuel baron Bühler. 1878.
MM. le général-major Przewalsky. 1878.
le général aide-de-camp Possiet. 1879.
le général aide-de-camp comte Loris-Mélikof.
1880.
le conseiller privé actuel Pobédonostzef. 1880.
le conseiller privé Sabourof. 1880.
le conseiller privé actuel baron Nicolaï. 1881.
le conseiller privé actuel Nicolas Bunge. 1881.
le conseiller privé Rovinsky. 1883.
le général-lieutenant du génie Paucker.
le général-lieutenant Vésélago. 1884.
le conseiller d’état actuel Bidder, à Dorpat,
1884 |
le conseiller privé actuel Polovtzof. 1884.
le général aide-de-camp M. de Kaufmann.1885.
le conseiller privé actuel Zdekauer. 1885.
le conseiller privé Zakhariine. 1885.
le conseiller privé actuel Ostrowski 1886.
1883.
le marquis de Pietra Catella, à Naples. 1846.
le prince Louis Lucien Bonaparte. 1858.
le comte Moltke, à Berlin, 1871.
de Lesseps, membre de l’Institut, à Paris. 1876.
C. MEMBRES-CORRESPONDANTS.
l. CLASSE PHYSICO-MATHÉMATIQUE.
1. SECTION MATHÉMATIQUE.
MM. Lorentz-Leo Lindelôf, à Helsingfors. 1868,
le conseiller d’état actuel Dôüllen, à Poulkova.
1871.
le conseiller d’état actuel Bredikhine, à Mos-
cou. 1877. | ;
le général-lieutenant Maïevsky, à St.-Péters-
bourg. 1878.
le général-lieutenant Stebnitzky, à St.-Péters-
bourg. 1878.
le conseiller d’état actuel Letnikof, à Kharkof.
le conseiller de collège Yermakof, à Kief. 1884.
le conseiller de collège Andréief, à Kharkof.
1884.
MM. Airy, à Greenwich. 1840.
Hermite, à Paris. 1857.
Bertrand, à Paris. 1859.
5 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 6
MM. Kummer, à Berlin. 1862. MM. Kirchhof, à Berlin. 1862.
Winnecke, à Strasbourg. 1864. Bunsen, à Heidelberg. 1862.
Weierstrass, à Berlin. 1864. Edlund, à Stockholm. 1870.
Adams, à Cambridge. 1864. Des Cloiseaux, à Paris. 1871.
Warren De la Rue, à Londres. 1864. Cahours, à Paris. 1873.
Ross-Clarke, à Southhampton. 1867. Rôümer, à Breslau. 1874.
Cayley, à Cambridge. 1870. Berthelot, à Paris. 1876.
Kronecker, à, Berlin. 1872. Frankland, à Londres. 1876.
Sylvester, à Londres. 1872. Beyrich, à Berlin. 1876.
Auvwers, à Berlin. 1873. Damour, à Paris, 1876.
Schiaparelli, à Milan. 1874. Sir William Thomson, à Glasgow. 1877.
Newcomb, à Washington. 1875. R. Clausius, à Bonn. 1878.
Gould, à Cordoba (Rep. Argent.). 1875. le baron Nordenskjüld, à Stockholm. 1879.
Hind, à Londres. 1878. Gerhard vom Rath, à Bonn. 1880.
Asaph Hall, à Washington. 1880. Werner Siemens, à Berlin. 1882.
Catalan, à Liège. 1881. . Gustave Wiedemann, à Leipzig. 1883.
Gyldén, à Stockholm. 1882. P. Groth, à Münich. 1883.
Tissérand, à Paris. 1883. G. Kenngott, à Zurich. 1884.
Brioschi, à Rome. 1884. G. A. Hirn, à Colmar. 1886. *
Repsold, à Hambourg. 1885. Gust. Lindstrôm, à Stockholm. 1886.
D. Gill, au Cap de Bonne Espérance. 1885. 3. SECTION BIOLOGIQUE.
9. SECTION PHYSIQUE. MM. le conseiller privé Trautvetter, à St.-Péters-
MM. le comte de Keyserling, à Reval. 1858. bourg. 1837.
le conseiller d'état actuel Schmidt, à Dorpat. le conseiller privé Mercklin, à St.-Pétersbourg.
1873. 1864
le conseiller d’état actuel Jerémeïef, à St.-Pé- le conseiller privé Gruber, à St.-Pétersbourg.
tersbourg. 1875. 1866.
le conseiller d’état actuel Mendéleïef, à St.-Pé- le conseiller d’état actuel Setchénof, à St.-Pé-
tersbourg. 1876. tersbourg. 1869. ;
le conseiller d’état actuel Oettingen, à Dorpat. le conseiller d’état actuel Regel, à St.-Péters-
1876 bourg. 1875.
le conseiller d’état Avenarius, à Kief. 1876. le conseiller d’état actuel Cienkovski, à Khar-°
le conseiller d'état actuel Lenz, à St.-Péters- kof. 1881.
bourg. 1876. le conseiller d'état actuel Kovalevsky, à Odessa.
le conseiller d’état actuel Henri Struve, à Tiflis.
: le conseiller d’état actuel Metchnikof, à Odessa.
le conseiller d'état actuel Müller, à Tiflis. 1883.
le conseiller d'état actuel Zaïtzof, à Kazan. 1885. le conseiller d’état Voronine, à St-Pétersbourg
MM. Neumann, à Künigsberg. 1838. le conseiller d'état actuel Ra dde, à Tiflis. 1884. |
Chevreuil, à Paris. 1853. le conseiller d'état actuel Ed. Russow, à Dorpat.
Weber, à Goettingue. 1853. 1885 .
Frémy, à Paris. 1856. —
Hofmann, à Berlin. 1857. MM. Gaimard, à Paris. 1839.
Dana, à New-Haven. 1858.
Daubrée, à Paris. 1861.
Owen, à Londres. 1839.
Küllicker, à Würzburg. 1858.
7
Bulletin de l’Académie Impériale É
MM. Alf. Decandolle, à Genève. 1858.
Jos. Dalton Hooker, à Londres. 1859.
Hyrtl, à Vienne. 1859.
Lovén, à Stockholm. 1860.
Leuckart, à Leipzig. 1861.
Steenstrup, à Copenhague. 1861.
Asa Gray, à Boston. 1862.
Henle, à Güttingue. 1863.
Huxley, à Londres. 1864,
Naegeli, à Münich. 1865.
Helmholtz, à Berlin. 1868.
Van Beneden, à Louvain. 1869.
E. Weber, à Leipzig. 1869.
Ludwig, à Leipzig. 1871.
De Bary, à Strasbourg. 1880.
Virchow, à Berlin. 1881.
Ludw. Ruetimeyer, à Bâle. 1882.
Alb. Guenther, à Londres. 1882.
L. Ranvier, à Paris. 1882.
L. Pasteur, à Paris. 1884.
R. Koch, à Berlin. 1884.
À Milne-Edwards, à Paris. 1885.
Ch. Gegenbaur, à Heidelberg. 1885.
G. His, à Leipzig. 1885.
Il. CLASSE DE LA LANGUE ET DE LA LITTÉRATURE
RUSSES.
MM. le conseiller d’état actuel Apollon Maïkof, à St.-
Pétersbourg. 1853.
le conseiller d’état actuel Gontcharof, à St. -Pé-
tersbourg. 1860.
le conseiller d’état actuel Tikhonravof, à Moscou.
1863.
le conseiller privé Galakhof, à St.-Pétersbourg.
1868.
VArchimandrite Amphilochius, à Moscou.
1868.
le conseiller d’état actuel Bestoujef-Rumine,
à St-Pétersbourg. 1872.
le conseiller d’état actuel Savvaïtof, à St. Pé-
_ tersbourg. 1872.
le comte Léon Tolstoï. 1873.
le conseiller d’état actuel Pavlof, à Moscou.
1878.
MM.
le conseiller d’état actuel Porfirief, à Kazan:
1873
. le conseiller d’état actuel Smirnof, à Moscou.
MM.
le conseiller privé Tchistovitch, à St. Péters-
bourg. 1874.
le conseiller d'état Potebnia, à Kharkof. 1875.
le conseiller privé Nicolas Lavrovsky, à Néjine.
1878
l’Archimandrite Léonide, à la Laure de la S°
Trinité près Moscou. 1882.
le conseiller d’état Boudilovitch, à Varsovie.
1882..
le conseiller privé Boulitch, à Kazan. 1883.
le conseiller d’état actuel Léonide Maïkof, à St.-
Pétersbourg. 1883.
le conseiller d’état actuel Jacques Polonski..
1886.
le conseiller d’état actuel Athanase Chenchine
(Fett). 1886.
Kukulevië-Sackzinsky, à Agram. 1855.
Miklosic, à Vienne. 1856.
Hattala, à Prague. 1862.
Raëki, à Agram. 1869.
Emler, à Prague. 1876.
Novakovië, à Belgrade. 1876.
Leskien, à Leipzig. 1876.
Rambaud, à Paris. 1876.
Milan Milicevié, à Belgrade. 1877.
Patera, à Prague. 1877.
Tomek, à Prague. 1878.
Nehring, à Breslau. 1881.
Matkovië, à Agram. 1882.
Guilleaume Tomaschek, à Vienne. 1883.
Häsdeü, à Bucarest. 1883.
L. Léger, à Paris. 1884.
Ralston, à Londres. 1885.
I. CLASSE HISTORICO-PHILOLOGIQUE.
1. SECTION HISTORICO - POLITIQUE.
MM. le conseiller d’état actuel Skalkovsky, à Odessa.
le conseiller privé Eugène Lamansky, à St.-
Pétersbourg. 1859.
10
9 des Sciences de Saint-Pétersbourg.
MM. le conseiller d'état Vassilievsky, à St.-Péters- | MM. Th. Gomperz, à Vienne. 1883.
bourg. 1876. Fr. Bücheler, à Bonn. 1886.
le conseiller de collège Goloubinsky, à Moscou. H. Usener, à Bonn. 1886.
1882.
le conseiller d’état actuel Nilus Popof, à Moscou. : je née and ar mp re
1883. MM. le conseiller d’état actuel Chwolson, à St.-P6-
le conseiller d’état actuel Zabéline, à Moscou. tersbourg. 1858.
1884 le conseiller d’état actuel IIminski, à Kazan.
PS 1870.
le conseiller d’état actuel Gottwald, à Kazan.
MM. Zachariae von Lingenthal, près Mersebourg.
1856.
Hildebrand, à Stockholm. 1859.
Renan, à Paris. 1860.
Schirren, à Kiel. 1864.
Thomas, à Munich. 1866.
Michaelis, à Berlin. 1868.
A. Maury, à Paris. 1872.
M. Amari, à Rome. 1873.
L. Stein, à Vienne. 1874.
E. Freemann, à Oxford. 1875.
Ferd. Hirsch, à Berlin. 1877.
H. Jireëek, à Vienne. 1882.
F. Loeher, à Munich. 1884.
S. Mueller, à Copenhague. 1885.
L. Bodio, à Rome. 1886.
Neumann-Spallart, à Vienne. 1886.
Caro, à Breslau. 1886.
2. SECTION DE PHILOLOGIE CLASSIQUE ET DARCHÉOLOGIE.
MM. Wieseler, à Gôttingue. 1856.
Cobet, à Leyde. 1857.
Brunn, à Munich. 1861.
Mueller, à Copenhague. 1867.
H, Sauppe, à Gôttingue. 1874.
le baron de Witte, à Paris. 1875.
Ad, Kirchhoff, à Berlin. 1876.
Helbig, à Rome. 1876.
Newton, à Londres. 1876.
Fiorelli, à Naples. 1876.
Chr. Frôhner, à Paris. 1877.
Henr. Keil, à Halle. 1877.
A. Rangabé, à Berlin. 1878.
M. Schmidt, à Jena. 1878.
H. Weil, à Paris. 1882.
MM.
le conseiller d’état actuel Bakradze, à Tiflis.
1879.
Fleischer, à Leipzig. 1849.
Roth, à Tubingue. 1855.
Weber, à Berlin. 1860.
Spiegel, à Erlangen. 1870.
Wuestenfeld, à Güttingue. 1874,
Wright, à Cambridge. 1876.
Kern, à Leyde. 1876.
Noeldeke, à Strasbourg. 1885.
Schaefer, à Paris. 1885.
De Goeje, à Leyde. 1886.
&. SECTION DE LINGUISTIQUE.
MM. Aug. Ahlquist, à Helsingfors. 1875.
Le
[ie]
C9
2
Pott, à Halle. 1855.
W. Whitney, à New-Haven. 1875.
Ascoli, à Milan. 1876.
Budenz, à Buda-Pest. 1876.
Jules Oppert, à Paris. 1883.
D. Appartenances scientifiques.
Bibliothèque.
1” Section. Livres en langue russe et dialectes
slaves. Bibliothécaire: M. l’académicien Kunik.
2" Section. Livres en langues étrangères. Biblio-
thécaire: M. l’académicien Strauch.
. Cabinet de physique. Directeur: M. l’académicien
Wild.
. Laboratoire chimique. Directeurs: MM. les acadé-
miciens Békétof et Beilstein. ARE
Cabinet minéralogique. Directeur: M. pure
Schmidt. do
Bulletin de l’Académie Impériale
12
11
5. Musée botanique. Directeur: M. l’académicien
Maximovicz.
6. Musée zoologique. Directeur: M. l’académicien
Strauch.
7. Laboratoire physiologique. Directeur: M. l’acadé-
micien Ovsiannikof,.
8. Musée asiatique. Directeur: M. l’académicien W.
Radloff. -
9. Musée d'archéologie classique. Directeur: M. l’aca-
démicien Stephani.
Cabinet de numismatique russe. Directeur: M. l’a-
cadémicien Kunik.
.… Musée éthnographique et anthropologique. Directeur:
M. l’académicien Schrenck.
. Observatoire physique central. Directeur: M. l’a-
cadémicien Wild.
. Observatoire magnétique et météorologique à Pav-
lovsk. Directeur: M. Leist.
Observatoire physique de Tiflis. Directeur :
Mühlberg.
5. Observatoire magnétique et météorologique à Jeka-
terinbourg. Directeur: M. Abels.
. Observatoire magnétique et météorologique à Irkutsk.
Directeur: M. Stelling.
17. Archives de l’Académie. Archiviste: M. Chemiot.
M.
bd
(op
Commissionnaires de l’Académie pour la vente de
ses publications:
J.Glazounof, Eggers & C”, à St-Pétersbourg.
M. N. Kymmel, à Riga.
Voss’s Sortiment (G. Haessel), à Leipzig.
Note sur l'effet du tremblement de terre du 23 février
1887 à l'Observatoire magnétique de Pawlowsk.
Par H. Wild. (Lu le 14 avril 1887.)
D'après plusieurs communications dans les Comptes-
rendus de l’Académie des Sciences de Paris et dans
la «Deutsche meteorologische Zeitschrift» (cahier 4),
on a constaté surtout par les appareils enrégisteurs
des perturbations de la position des aimants, lors du
_ tremblement de terre du 23 février de cette année,
dans les observatoïres magnétiques de la France, de
_ l'Italie, de l’Autriche, de l'Allemagne et de l’Angle-
terre. Ces perturbations furent reconnues partout
telles à démontrer que l'influence du tremblement
de terre sur les aimants n’était nullement due à une
action magnétique, mais seulement aux chocs que les
piliers ou les pièces de suspension des aimants subis-
saient par le mouvement du sol, Les aimants n’avaient
pas dévié de la manière connue dans les perturbations
magnétiques, mais commencaient simplement à osciller
autour de leur position d'équilibre, comme cela se fait
quand on ébranle leur suspension.
Il me paraissait intéressant de voir si cette in-
fluence du tremblement du sol, qui s’est fait sentir
distinctement jusqu’à Kew et à Wilhelmshaven, se soit
aussi propagée jusqu’à Pawlowsk, c’est-à-dire environ
à une distance double du centre du tremblement de terre.
J’ai l’honneur de présenter à l’Académie les enrégi-
strements photographiques des trois appareils magné-
tiques de variation à l'Observatoire de Pawlowsk pour
le 23 février 1887. Il en résulte qu’au moment
du tremblement de terre à la côte Ligurienne, savoir
7 heures 40 minutes avant midi temps local de Paw-
lowsk ou avant ou après ce temps non-seulement
il n’y avait pas de variations magnétiques spé-
ciales, mais qu’aussi les courbes des trois instru-
ments n’accusent pas la moindre trace d’un ébranle-
ment des piliers et partant d’une oscillation des
aimants. À Pawlowsk les marques du temps sur les
courbes magnétiques ne sont pas comme ailleurs faites
par la pendule elle même, laquelle met en mouvement
les cylindres tournants avec le papier sensible, mais
elles sont produites, pour les rendre plus exactes,
par une pendule indépendante, laquelle ferme seule-
ment chaque heure pour quelques secondes le circuit
d’une pile électrique et fait dévier par ce courant
les trois aimants du magnétographe. Ces aimants
oscillent alors pendant 2 à 3 minutes autour de
leur position d'équilibre, ce qui selon le degré de
sensibilité du papier photographique et l'intensité
de la source lumineuse produit dans la courbe ou
une petite interruption ou un trait transversal plus :
ou moins long. Nos courbes présentent actuelle-
ment à la fois les trois modifications de ces signes
de temps; l’enrégistrement de la balance de Lloyd,
qui donne l'intensité verticale du magnétisme ter-
restre, se faisant par la lumière non affaiblie de la
lampe, montre chaque heure des traits transversals
assez forts et longs, le papier bromo-gélatin, que
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
14
nous employons étant très-sensible; dans la courbe
appartenante au magnétomètre bifilaire indiquant les
variations de l’intensité horizontale ces traits trans-
versals sont très-fins et courts, parceque la lumière
de la lampe y est affaiblie par un verre vert destiné
à donner plus de précision aux bords de la courbe
et enfin la courbe enregistrée par le magnétomètre
unifilaire qui indique les variations de la déclinaison,
montre au lieu de traits des lacunes blanches, par-
ceque la lumière y est encore plus affaiblie (par des
verres verts et bleus) ainsi que pendant les oscilla-
tions de l’aimant l’action de la lumière sur le papier
sensible est trop courte à chaque endroit pour y
laisser des traces. Maïntenant dans ces trois courbes
différentes on ne peut pas remarquer, même moyen-
nant une loupe, la moindre trace d’un trait latéral
on d’un affaiblissement dans le noir de la courbe
à 7° 40” après-midi du 23 février ou après ce temps.
On en peut donc déduire que le tremblement de terre
mentioné ne s’est pas propagé d’une manière sensible
jusqu’à Pawlowsk.
St.-Pétersbourg, ce 14 (26) février 1887.
Über die Gattung Hemiculter Bleek. und über eine neue
Gattung Hemiculterella. Von N. Warpachowski.
(Lu le 24 mars 1887).
Unter den Arten seiner Gattung Culter beschreibt
Basilewsky!) auch einen C. leucisculus, dessen am
meisten characteristisches Merkmal in den Worten:
«pinna anali abbreviata, linea lateralis anterius ad 2
pollices descendens, postea subito reversa et abdomini
valde approximata, *usque ad posticam partem pinnae
analis recta excurrens, abinde sursum recurvata et ad
caudam media propagata» besteht. Bleeker hat diese
Art zu einer besonderen Gattung Hemiculter erhoben,
die gewissermaassen die Mitte zwischen Culter und
Chanodichthys hält. Die von diesem Autor gelieferte
Gattungs-Diagnose*) liess aber noch manche Zweifel
über die Berechtigung der von ihm aufgestellten Gat-
tung übrig, besonders nachdem Kner°) eine von der
1) Basilewsky, Ichthyographia Chinae borealis. Nouv. Mém.
Soc. Natur. Moscou
* FA er eker, Atlas ichthyologique des Indes orientales. 1863.
3) S Novara-Reise, Zoolog. Th. I. Fische, p. 362.
Bleeker’schen etwas abweichende Beschreibung von
C. leucisculus Bas. verüffentlichte. Diese Abweichung
betraf sogar solch’ ein wesentliches Merkmal, wie die
Anwesenheit des Bauchkieles vor den Bauchflossen,
welche von Basilewsky und Bleeker geleugnet wird.
Günther stellte in seinem Catalogue“) C. Zeucisculus
in die Gattung Chanodichthys und lieferte eine Be-
schreïbung dieser Art nach Kner’s Angaben, wobei
er auch auf die eben erwähnten Unterschiede hinsicht-
lich der An- oder Abwesenheit des Bauchkieles hin-
wies. In einer späteren Arbeit gab Bleeker°) von
Neuem eine Beschreibung des A. leucisculus, wobei er
die Selbstständigkeit der Gattung Hemiculter verthei-
digt, zugleich aber bemerkt, dass die Basilewsky’sche
Art müglicherweise von der gleichnamigen Kner’schen
verschieden sein kônne. Hemiculter leucisculus wird
auch von Sauvage und Dabry‘) anerkannt.
Darauf hat Peters *) im Jahre 1880 die Ichthyo-
logen wiederum an die Existenz der Gattung Hemi-
culter erinnert, indem er eine neue Art derselben be-
schrieb und zugleich die Müglichkeit hervorhob, die
einander vwidersprechenden Angaben Kner’s und
Bleeker’s in Einklang zu bringen. Dabei hat aber
Peters die von Bleeker angegebenen Grenzen der
Gattung Hemiculter nicht eingehalten, da seine neue
Art Æ. dispar 17 verästelte Strahlen in der Analen hat,
während Bleeker die Gattung Hemiculier u. a. auch
«par la courte anale qui n’est soutenue que par 11 à
13 rayons divisés» characterisirt. Man sieht also aus
dem Vorstehenden, dass die Gattung Hemiculter von
einigen Autoren als selbstständiges Genus anerkannt,
von anderen mit Culter oder Chanodichthys vereinigt
wird und dass keine bestimmte Diagnose dieser Gat-
tung existirt.
Da ich Gelegenheit gehabt habe, die im Zoologi-
schen Museum der Akademie der Wissenschaften vor-
handenen Exemplare von C. leucisculus Bas. aus Ba-
silewsky’s eigner Sammlung zu untersuchen, gebe ich
in der nachstehenden Notiz eine Beschreïbung dersel-
4) Günther, Catalogue of Fishes, VII, p
5) Bleeker, Mém. sur les Cyprin. de ue Verhandi. d. K.
Akad. van Wetenschappen. 12, p. 76—78.
6) Sauvage et Dabry, Notes sur les poissons des eaux douces
de Chine, p. 12. Ann. d. Scienc. naturelles. Zoologie. Sér. VI, T. L
4 Pe é hs eine Sammi. von Fischen, welche Gerlach in
ngkon . Monatsb. d. K. P. Akad. d. Wissensch. zu
Berlin. 1880 p. es. 1036.
15
Bulletin de l’Académie Impériale
ben, wobei ich die Art in der Gattung Hemiculter be-
lasse und letztere folgendermaassen auffasse.
Hemiculter Bleek.
Kôürper länglich, comprimirt, mit mittelgrossen
Schuppen bedeckt. Die Seitenlinie, welche nicht mehr
als 60 Schuppen einnimmt, ist im Anfangstheile steil
nach unten gebogen, verläuft dann längs dem Rumpfe
ganz nahe dem Bauchrande, davon nicht mehr als durch
3 Schuppenreihen geschieden, steigt dann hinter der
Analen hinauf und nimmt im Schwanzstiele eine mitt-
lere Lage ein. Anale kurz oder mässig lang, mit nicht
mehr als 17 getheiïlten Strahlen. Der Anfang der Dor-
salen, die mit einem verdickten zweiten ungetheiïlten
Strahle versehen ist, steht etwas hinter der Basis der
Ventralen. Bauch meist gekielt. Schlundzähne drei-
reihig.
Wie aus dieser Diagnose ersichtlich, unterscheiden
sich die Arten der Gattung Hemiculter sowohl von den
Culter-, als auch von den Chanodichthys- Arten (von
Eustira gar nicht zu sprechen) durch die niedrige
Lage der stark gebogenen Seitenlinie, durch die kurze
Anale, durch die Stellung der Dorsalen, durch die
mittelgrossen Schuppen und durch die dreireihigen
Zähne.
Bei einer solchen Auffassung der Gattung Hemicul-
ter gehôüren hierher manche Arten, die unter anderen
Gattungsnamen beschrieben worden sind. Ich erlaube
mir hier eine Zusammenstellung aller mir bekannten
Arten zu geben.
Nachstehende synoptische Tabelle wird über die
Unterschiede der einzelnen Arten den nôthigen Auf-
schluss geben:
Die Analflosse enthält
I. 11—14 verästelte Strahlen. Der Bauch
a) gekielt. Die Länge des Kopfes
} ist der grüssten Hôhe des Kôrpers
gleich und ist in der Länge desselben
1) H. Foi
8) 4 Mal enthalten Jin ss, 2) H. K
2) ist geringer, als die Hôhe des Kürpers.
Die Zahl der Schuppen in der Seiten-
linie beträgt
1) NE As D0 sue 3) H. Schrencki.
OÙ RE 00 use, 4) H. Balnei
1 Di MORE ROM bonne vue dure edie } H. Bleekeri
IL. 16—17 verastelte Streblen: Die lacee des
£) ist der given Hôhe des Kôr-
PO GR nr un indie: 6) AH. dispar
de. _ geringer, als die Hôhe des .
OMR Sa ta entres 7) H. lucidus.
1) Hemiculter leucisculus Basil.
Culter leucisculus Basilewsky, Nouv. Mém. Soc. Natur. Moscou,
T. X, p. 238.
5272. China sept. Dr. S. Basilewsky. 1865. 2 Ex. ?).
D. 2j7; A. 3/11; V. 2/6; P. 1/15.
Lin. lat. 50 — 53.
Die Hôhe des seitlich ne längli-
chen Kürpers ist 4,6 —4,8 Mal in seiner Länge (ohne
Schwanzflosse), die kleinste Kôrperhôühe 2,1—2,3 Mal
in der grüssten und 1,6 Mal in der Länge des Schwanz-
stieles enthalten.
Die Länge des comprimirten Kopfes kommt der
grüssten Kôürperhôhe gleich. Die Hühe des Kopfes
wird 1,6—1,75 Mal, die Dicke 2,3—2,4 Mal von der
Länge desselben übertroffen. Der Augendiameter, der
etwas kürzer ist als die Schnauze, ist 4,2—4,4 Mal
in der Kopflänge und 1,2: Mal in der Breite der kaum
convexen Stirn enthalten, Die Länge der Schnauze
ist 3,8 Mal geringer, als die Kopflänge, Der Mund
ist halboberständig und die Schnauzenspitze kommt
dem oberen Augenrande gegenüber zu stehen. Der
Abstand vom Ende der Schnauze bis zum hinteren Au-
genrande ist kaum grôüsser, als der Abstand von dem-
selben Rande bis zum Ende des Kiemendeckels; der
Augendiameter ist 2,2 Mal in diesem letzteren Ab-
stande enthalten. Das vorderste Suborbitale ist gross
und reicht bis zum Oberkiefer.
Die Dorsale ist kurz; ihre Basis ist 10°, Mal in der
Kôrperlänge und 1,7 Mal in ihrer grüssten Hôhe enthal-
ten. Ihre kleinste Hôühe macht beinahe !/ der grôssten
aus. Der erste ungetheilte Strahl ist fast halb so lang wie
der zweite, in dessen Länge die Basis der Dorsalen 1,5
Mal enthalten ist. Die Dorsale ist kaum weiter vom
Schnauzenende als von der Basis der mittleren Caudal-
strahlen entfernt. Der Anfang der Dorsalen steht dem
ersten Drittel der Bauchflossen gegenüber.
Die Basis der Analen, die etwas kleiner als die Hühe
des zweiten ungetheïlten Strahles der Dorsalen ist,
macht!/, der Kôürperlänge aus. Ihre grüsste Hühe über-
trifft ein wenig die Basis der Dorsalen und ist 2,7 Mal
| grüsser, als ihre kleinste Hühe.
8) Die angeführten Exemplare gehôren dem Zoologischen Mu-
seum der Akademie der Wissenschaften und sind unter der ange-
gebenen Nummer im Katalog der en Samie À ein-
Jgetragen.
17
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
LE
Die Länge der zugespitzten Brustflossen ist 5,1 bis
5,2 Mal in der Kürperlänge enthalten und sie Nr
nicht bis zu den Ventralen; die Entfernung zwischen
dem Ende der Brust- und dem Anfang der Bauch-
flossen ist einem Drittel der ersteren gleich.
Die Länge der Ventralen ist 6 Mal in der Kürper-
länge enthalten. Der Abstand vom Ende der Ventralen
bis zum Beginne der Analen macht *. der Länge der
ersteren aus.
Die Seitenlinie fällt vom oberen Ende der Kiemen-
spalte steil nach unten, verläuft dann am Rumpfe sehr
niedrig und fast geradlinig bis zum Ende der Analen,
von wo sie sich scharf nach oben biegt und durch die
Mittellinie des Schwanzstieles zur Basis der Caudalen
kommt. Zwischen der Seitenlinie und den Bauchflossen
findet sich nur eine Reïhe von Schuppen.
Am Bauche vor den Bauchflossen ist eine ganz deut-
liche Hautfalte, hinter denselben ein deutlicher Kiel
zu sehen.
Die Länge unserer Exemplare beträgt 160 Mm.;
nach Basilewsky soll seine Art bis «6 pollices» Due
erreichen.
Fundort: Nürdliches China: nach Basilewsky
‘ «habitat in aquis versus sinum Tschiliensem curren-
tibus». |
Indem Basilewsky seine Art «abdomine non com-
presso» characterisirt, glaubte er zweïfellos dadurch
dem, Umstande Ausdruck zu geben, dass der Bauch-
kiel vor den Ventralen nicht so scharf, wie hinter den-
selben ausgebildet ist, denn an den eigenen Exempla-
ren Basilewsky’s kann man sicher eine, wenn auch
schwache, mediane Hautfalte vor den Bauchflossen
constatiren.
2) Hemiculter Kneri Warp.
Culter leucisculus Basil. apud Kner, Novara- Reise, Zoolog. Th. I.
Fische, p. 362.
Chanodichthys leucisculus Günther, Catalogue of Fishes, VIT, p.327.
D. 9/7; A. 2/13; Lin. lat. 50 ?— FE.
Die Kürperhühe vor der Dorsalen ist der Kopflänge
gleich, die ‘/, der Kôrperlänge ausmacht. Das Auge !/
der Kopflänge messend, steht über 1 Diameter vom
Mundrande und ebenso weit vom anderen Auge ab.
Die Dorsale beginnt gegenüber dem Raume zwischen
der Ventralen und der Analen hinter der halben Kôr-
perlänge, ihr erster dünner, sich an den starken Kno-
Tome XXXIL
verû
chenstrahl anlegender Strahl erreicht nur ”, der Hôhe
des letzteren. Die längsten Strahlen besitzen die Pec-
toralen, indem sie die Kopflänge etwas übertreffen und
fast bis zu den Ventralen reichen, während diese nur
unter das Ende der Dorsalen reichen. Der Bauch bis
zum After gekielt. Länge etwas über 4”. (Kner).
Fundort: Schanghai.
Bleeker hat schon seiner Zeit die Unterschiede
zwischen der von ihm beschriebenen Art und Kner’s
C. leucisculus betont und sich in dem Sinne aus-
gesprochen, dass der letztere môglicherweise mit dem
echten C, leucisculus Basilewsky’s identisch sei. Er
schreibt nämlich: «il est possible aussi que l'individu,
décrit par M. Kner sous le nom de C. leucisculus, ne
diffère point de l’espèce actuelle, mais M. Kner donne
un peu autrement les proportions de la hauteur du
corps et de la longeur de la tête, tandis qu'il parle de
50 écailles dans la ligne latérale et de 8 ou 87 écailles
au-dessus de cette ligne».
Aber obwohl Kner”’s C. leucisculus der gleichnami-
gen Art Basilewsky’s durch die Anwesenheit eines
Bauchkieles und die Zahl der Schuppen ähnlich ist,
unterscheidet er sich doch wesentlich durch längeren
Kopf, hühere Kürperform und Brustflossen, die die
Kopflänge übertreffen, während dieselben beim echten
C. leucisculus Basilewsky’s der Kopflänge nachstehen.
Freilich ist die Kner’sche Beschreibung unvollstän-
dig, aber auf Grund der angeführten Unterschiede
sehe ich Kner’s C. leucisculus als eine besondere von
der gleichnamigen Basilewsky’schen verschiedene
Art an, obwohl die Môüglichkeit nicht ausgeschlossen
bleibt, dass beï einer näheren Untersuchung beide For-
men ch als identisch erweisen kônnten.
3) Hemiculter Schrencki Warp.
Hemiculter ne Bapuaxosckiñ u l'epnenmreñne,
Ku 0 uxriouorin Gacceña p. Amypa, crp. 46—47, Ta6,
puc. 6. *
7033 | Fu-tschau. Poljakow. 1884. 2 Ex.
D. 2/7; A. 3/11; V. 2/6; P. 2/13.
Lin. lat. 8 50.
Die Hôühe des seitlich zusammengedrückten net:
chen Kürpers ist 4,3 Mal in seiner Länge (ohne Schwanz- _
9) Diese Arbeït ist in russischer Sprache mit lateinischen Din.
nde der Ar-
beiten der St.-Petersburger Naturforscher - Gesellschaft
C. Oômecrsa Ecrecrsoucusrrarezeÿ, T7. VID ire
gnosen und einem dentschen Résumé in dem
- on
19
Bulletin de l’Académie Impériale
20
flosse), die kleinste Kôrperhôhe 2,5 Mal in der grôssten
und 1,8 Mal in der Länge des Schwanzstieles enthalten.
Die Länge des comprimirten Kopfes, die geringer
ist, als die grüsste Kürperhôühe, ist 4,8 Mal in der Kôr-
perlänge (ohne Schwanzflosse) enthalten. Die Hühe des
Kopfes wird 1,6 Mal, die Dicke 2,2—2,4 Mal von der
Länge desselben übertroffen. Der Augendiameter, der
der Schnauze an Länge nachsteht, ist 4—4,1 Mal in
der Kopflänge und 1,1—1,25 Malin der Breite der kaum
convexen Stirn enthalten. Die Länge der Schnauze
kommt der Stirnbreite gleich und ist 3,3—3,4 Mal
geringer als die Kopflänge. Die Mundôffnung ist nach
oben gerichtet und die Schnauzenspitze befindet sich
in der Hôühe des oberen Orbitalrandes. Die Entfernung
zwischen der Schnauzenspitze und dem hinteren Au-
genrande ist kaum grôsser, als die Distanz zwischen
diesem letzteren und dem Ende des Kiemendeckels,
Die Basis der Dorsalen beträgt !/,—!/}, der Kürper-
länge (ohne Schwanzflosse) und ist 1,75 Mal in der
Hôühe derselben enthalten. Die grôsste Hôhe dieser
Flosse übertrifft 2,5— 2,7 Mal die kleinste. Der zweite
ungetheïlte Strahl ist 2—2,5 Mal länger, als der er-
ste und 1,5 Mal, als die Basis der Dorsalen. Die Dorsale
beginnt der Basis der Caudalen etwas näher, als der
Schnauzenspitze.
Die Basis der Analen ist kürzer als der zweite un-
_getheilte Strahl der Dorsalen und 8—8,5 Mal in der
Kôrperlänge (ohne Schwanzflosse) enthalten.
Die Länge der zugespitzten Brustflossen macht !!
der Kôürperlänge (ohne Schwanzflosse) aus. Dieselben
erreichen bei weitem nicht die Basis der Ventralen
und der Abstand zwischen dem Ende der Pectoralen
und der Basis der Ventralen kommt ‘/. der ersteren
gleich.
Die Länge der Ventralen ist derjenigen des zweiten
ungetheilten Strahles der Dorsalen gleich und 6,75—7
Mail in der Kürperlänge enthalten. Die Spitze der Ven-
tralen steht vom Beginne der Analen bedeutend ab
und dieser Abstand macht ‘, der Länge der Ven-
tralen aus.
Am Bauche vor den Bauchflossen ist eine Hautfalte,
hinter denselben ein deutlicher Kiel zu sehen. Die
grôsste Länge ist 145 Mm.
_ Fundort: Fu-tschau.
Diese Art unterscheïdet sich von der vorhergehen- |
_ den durch einen kürzeren Kopf, dessen Länge geringer
ist, als die grôsste Kürperhôhe, und durch einen hühe-
ren Kürper. Die Entfernung zwischen der Spitze der
Brustflossen und der Basis der Bauchflossen ist eine
viel grüssere, als bei den anderen Arten.
Eine Abbildung des Kopfes dieser Art findet sich
in der von mir gemeinsam mit Hrn. S. Herzenstein
in russischer und deutscher Sprache verôffentlichten
Notiz über die Fische des Amurbeckens, Auf dieser
Figur sieht man denn auch, dass das Suborbitale
anterius gross ist und bis zum Oberkiefer reicht.
4) Hemiculter Balnei Sauv.
Culter pe Semen gi Bull. Soc. Zoolog. de France. 1884. p.
3. PI. VIII, fig.
D..9; A; 17; Liu k,.57-—>.
Die Hühe des Kürpers ist 5 Mal, die Länge des
Kopfes 5°, Mal!) in der Gesammtlänge (mit der
Schwanzflosse) enthalten. Die Schnauze ist etwas län-
ger, als der Augendiameter, welcher ‘/, der Kopflänge
ausmacht. Die Stirnbreite übertrifft ein wenig den Au-
gendiameter. Bauchkiel vor und hinter den Bauch-
flossen. Die Dorsale steht der Basis der Caudalen
näher, als der Schnauzenspitze. Der zweite ungetheilte
Strahl der Dorsalen gleicht der Länge des Kopfes ohne
Schnauze. Die Brustflossen reichen nicht bis zu den
Ventralen. (Sauvage).
Fundort: Hanhoi in Tonkin.
VIIL
5) Hemiculter Bleekeri Warp.
Hemiculter leucisceulus Bleeker, Ichth. Arch. ind. Prodr. IL. Cypr.,
01; Atlas ichthyologique des Indes orient. 1863. T. II,
p. 31; Mém. sur les Cypr. de Chine, p. 76—78.
D. 2/7—8; A. 3111—13; V. 218; P. 1]13—14.
Lin. lat. 40 = 42.
Die Kürperhôühe ist 4°/,—4%, Mal, die Kopflänge
41/,—41/, Mal in der Kürperlänge (ohne Schwanzflosse)
enthalten. Die Hôhe des Kopfes macht 17,, die Dicke
2!/, der Kopflänge aus. Der Augendiameter ist beinahe
4 Mal in der Kopflänge, beinahe 2 Mal in dem Ab-
stande zwischen dem hinteren Augenrande und dem
Ende des Kiemendeckels, 1 Mal in der Stirnbreite ent-
halten. Die zugespitzte Schnauze ist kaum kürzer als
das Auge. Die Dorsale beginnt der. Basis der Caudalen
10) Da nach den Angaben Sa uvag e’s die Gesammtlänge 245 Mm.
und die Kopflänge 45 Mm. ausmacht, s0 verhalten sich die Zahlen
wie 5?/; : 1 ;
21
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
näher als der Schnauzenspitze. Die Pectoralen sind
eben so lang oder kaum kürzer als der Kopf. Sie er-
reiche fast die Ventralen. Der Bauch ist vor den Ven-
tralen abgeflacht, hinter denselben sehr stumpf gekielt.
(Bleeker).
Fundort: Yan-tse-Kiang ?
Obwohl Peters !!) vermuthet, dass Bleeker den
Kiel wegen der Kleinheit der von ihm untersuchten
Exemplare übersehen habe, erscheint es doch sehr
zweifelhaft, dass nach dem Erscheinen von Kner’s Be-
schreibung und Günther’s Bemerkungen Bleeker
trotzdem in seiner späteren Arbeit seinen Fehler nicht
berichtigt haben sollte. Zeigt er doch solche Unter-
schiede zwischen seiner und der Kner’schen Art an,
wie die Proportionen verschiedener Kürpertheile und
Zahl der Schuppen; es ist daher kaum denkbar, dass
er ein so wesentliches Kennzeichen wie den Kiel un-
beachtet gelassen haben sollte.
Die Abwesenheit des Kiels würde schon allein ge-
nügen eine besondere Art aufzustellen; aber es sind noch
andere Unterschiede von den übrigen Æemiculter-Ar-
ten vorhanden, denn abgesehen von den Proportionen
seiner Kôrpertheile, differirt Æ. Bleckeri von H. Bal-
nei, Sauv., namentlich durch seine grüsseren Schuppen, |
durch die mehr nach hinten gelegene Dorsale (die bei
H. leucisculus Bas. und ÆH. Schrencki Warp. beinahe
in der Mitte der Kürperlänge beginnt), durch die sehr
nahe bis zu den Ventralen reichenden Pectoralen und
durch das kleine (wenigstens der Bleeker’schen Figur
nach) Os suborbitale anterius.
6) Hemiculter dispar Pet.
Hemiculter dispar Peters, Monatsber. d. K. P. Akad. d. Wissensch.
zu Berlin. 1880. p. 1035— 1036. Fig. 7
D. 2/7; A. 3/17; V. js.
Lin. lat. 50 =.
Die Kürperhühe ist gleich der Kopflänge und 4’/, Mal
in der Totallänge (ohne Schwanzflosse) enthalten. Au-
gendurchmesser kürzer, als die Schnauze, 3%, Mal in
der Kopflänge enthalten. Oberkiefer reicht bis hinter
die Verticale des Nasenlochs. Brustflossen etwas kür-
zer, als der Kopf. Anfang der Rückenflosse in der Mitte
zwischen Schnauzenende und Schwanzflosse ; ihr zweiter
starker Stachelstrahl ist so lang, wie die Entfernung
11) Peters, 1. c. p. 1036.
der Schnauzenspitze von dem hinteren Rande des Vor-
derdeckels. Bauch hinter den Bauchflossen deutlich
gekielt. Totallänge bis 170 Mm. (Peters).
Fundort: Hongkong.
7) Hemiculter lucidus D yb.
Culter ser Ba pm Verh. zool. bot. Ges. Wien. XXII, p.
8. Cn6. Orx. M. P. l'eorp. OGux. T. VIII (1877), Xe 1—2,
F
Hemieuiter lucidus Dyb. Bapnaxosckiä nu l'epnenmreüx®»,
no uxTiOu. p. Amypa, CTp. 46—47.
D, 317; A: 3116; V. 218; P.1112.
Lin. lat. 49“ 52.
HET
Die Hôühe des Kürpers ist 3,8—4 Mal in seiner
Länge (ohne Schwanzflosse), die kleinste Kôrperhühe
2,5—92,6 Mal in der grôssten und 1,6—1,9 Mal in
der Länge des Schwanzstieles enthalten.
Die Länge des Kopfes ist 5,3—5,5 Mal in der
Länge des Kürpers (ohne Schwanzflosse) enthalten.
Die Hôhe des Kopfes verhält sich zu dessen Länge,
wie 1,3—1,4, die Dicke wie 2,2. Der der Stirnbreite
kaum nachstehende Augendiameter ist 3,4—3,6 Mal
in der Kopflänge enthalten. Die Länge der Schnauze
ist 4—4,1 Mal geringer, als die Kopflänge.
Die der kleinsten Kürperhühe gleichkommende Ba-
sis der Dorsalen ist 9,7—10,5 Mal in der Kürperlänge
und 2,2 Mal in ihrer grüssten Hôhe enthalten. Ihre
kleinste Hôhe wird 3,2 Mal von der grüssten über-
troffen. Die Dorsale beginnt der Schnauzenspitze be-
deutend nüäher als der Basis der Caudalen.
Die Basis der Analen ist 5,7—6 Mal in der Kürper-
länge und 1,5 Mal in ïhrer grüssten Hühe enthalten.
Ihre grüsste Hôhe übertrifft 2,5 Mal die kleinste. Die
Länge der Pectoralen kommt der grüssten Kürper-
hühe gleich.
Die Länge der Ventralen ist 6,3—7 Mal in der
Kürperlänge (ohne Schwanzflosse) enthalten.
Diese Diagnose ist nach Dybowsky’s Messungs-
tabelle ausgearbeitet.
Fundort: Chanka-See.
Der Zahl der Strahlen in der Analen nach nähert
sich diese Art dem Hemiculter dispar Pet., unter-
scheïdet sich aber schon durch den der Kürperhühe
bedeutend nachstehenden Kopf, der bei. Æ. dispar Pet.
derselben gleichkommt.
Ich scheide diese Art aus der Gattung Culter aus .
auf Grund der unbedeutenden Zahl der en in
+ 2
: keri.
Bulletin de l’Académie Impériale
21
der Analen und obwohl Dybowsky der Eigenschaften
der Seitenlinie nicht erwähnt, verläuft dieselbe doch
ziemlich niedrig, und ausserdem vermuthe ich, dass
. der Verfasser die Zah] der Schuppenreïhen unter der
Seitenlinie bis zur Mitte des Bauches gezählt hat.
Bei der Untersuchung der dem Zool. Mus. gehüren-
den Arten der Gattung Hemiculter bin ich auf eine
Form gestossen, die ihrem Habitus nach allerdings
einem Hemiculter ähnlich sieht, bei nüherer Untersu-
chung aber manche so wesentliche Abweichungen, und
zwar in der Dorsalen und in den Schlundzähnen, dar-
bietet, dass ich für dieselbe eine besondere Gattung
aufstelle, die sich in folgender Weiïise characterisiren
lässt :
Hemiculterella g. n.
Habitus, Schuppen und Verlauf der Seitenlinie wie
bei Hemiculter. Die Dorsale, deren zweiter ungetheil-
ter Strahl nicht verdickt ist, beginnt etwas hinter der
Basis der Bauchflossen. Bauch vor den Bauchflossen
ungekielt, hinter denselben scharf gekiclt. Anale kurz,
nicht mehr als 13 getheilte Strahlen enthaltend.
Zäühne zweireihig (5—3|2—4).
Hemiculterella Sauvagei sp. n.
Xe 4474. Sse-Tschuan occ. Mus. Paris. 1879.
D-217; À. 3113; V.216; P. 1/15:
Lin. lat. 50 ©.
_ Erinnert im Gesammthabitus an Hemiculter Plec-
Die grüsste Hôühe des länglichen und seitlich
comprimirten Kôrpers ist 4,8 Mal in der Kôrperlänge
(ohne Schwanzflosse), die kleinste Hôhe (an der Basis
der Caudalen) 2,3 Mal in der grüssten Hühe enthalten.
. Die Länge des Schwanzstieles übertrifft die grôsste
Kôrperhôhe kaum.
Die Länge des keïlf‘rmigen Kopfes ist 4,35 Mal in
der Kôrperlänge (ohne Schwanzflosse) enthalten. Die
. Hôhe des Kopfes verhält sich zu dessen Länge, wie
_ 1:16, die Dicke wie 1:2,3. Der Augendiameter ist |
3,8 Mal in der Kopflänge und 1,12 Mal in der Breite
der kaum convexen Stirn enthalten. Die Schnauzen-
länge übertrifft den Augendiameter ein wenig, und
. _ zwar verhält sie sich zur Kopflänge wie 1:3,25. Der
Mund ist klein, halboberständig; die Schnauzenspitze
steht der Mitte des Auges gegenüber. Der Unterkiefer |
de : trägt einen kleinen ar rl der in eine ent-
der Analflosse gleich.
sprechende Ausrandung des Oberkiefers passt. Der
Abstand von der Schnauzenspitze bis zum hinteren
Augenrande übertrifft bedeutend die Entfernung von
diesem letzteren bis zum Ende des Deckels, welche der
Kopfdicke gleich ist; der Augendiameter ist in dieser
letzteren Distanz 1,6 Mal enthalten. Das vorderste
Suborbitale ist gross und reicht bis zum Oberkiefer.
Der Bauch ist zwischen den Pectoral- und Ventral-
flossen abgeflacht, zwischen den letzteren und dem
After scharf gekielt.
Die Basis der Rückenflosse, welche über der Mitte der
Bauchflossen beginnt, ist 1 1 Mal in der Kôrperlänge und
1,75 Mal in der grüssten Kôürperhühe enthalten; ihre
kleinste Hühe macht weniger, als die Hälfte ihrer grôüss-
ten Hühe aus. Die beiden ungetheiïlten Strahlen der
Dorsalen sind ohne jegliche Verdickung. Die Hôhe des
zweiten ungetheïlten Strahls repräsentirt zugleich die
grôüsste Hühe der Flosse; der erste Strahl ist halb so
lang, wie der zweite. Die Dorsale ist etwas nach hin-
ten gerückt, denn ihr Anfang liegt nur wenig weiter .
vom Schnauzenende ab, als von der Basis der mittleren
Caudalstrahlen.
Die Basis der schwach abgestutzten Analen macht !/,
der Kôürperlänge aus. Ihre grüsste Hühe ist 1,2 Mal in
der Länge ihrer Basis enthalten und übertrifft 2 Mal
ihre kleinste Hühe.
Die Länge der zugespitzten Brustflossen ist der
grüssten Kürperhôühe gleich und die Länge der abge-
rundeten Bauchflossen ist kaum grüsser, als die Basis
der Analflosse. Die Pectoralen reichen nicht bis zu den
Ventralen und die Entfernung zwischen dem Ende der
Brust- und dem Anfang der Bauchflossen ist einem
Drittel der letzteren gleich. Die Ventralen reichen
fast bis zum Beginn der Analflosse.
Die Schwanzflosse ist stark ausgerandet und die
Länge ïhres mittleren Strahls kommt nur der Hälfte
Der untere ra ist
etwas länger als der obere.
Die Seitenlinie verläuft wie bei Hemiculter Blee-
keri Warp. Die Zühne zweireihig, rechts 4/2, links
513. Silberfarben, mit einem schmalen schwarzen
Streifen, der aus Flecken besteht und auf der 5. Schup-
penrèihe (von der Rückenflosse aus gezählt) Rte
Totallänge 120 Mm.
Fundort: Westl. Sse-Tschuan.
25
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
26
Die aus dem Russischen entlehnten Fremdwôrter des
Sagai-Dialectes. Von N. Katanoff, (Lu le 3 mars
1887.)
In einem nach dem russischen Alphabete geordneten
Würterverzeichnisse habe ich diejenigen Wôrter der
sagaischen Mundart verzeichnet, welche aus der russi-
schen Sprache entlehnt sind und welche nicht nur in
der gewôbhnlichen Rede, sondern auch in Märchen und
Liedern gebraucht werden !). Offenbar sind alle russi-
schen Fremdwäürter durch den unmittelbaren Verkehr
mit den Russen eingedrungen. Da viele russische
Wäürter in den bei den Minussinskischen Tataren auf-
gezeichneten Märchen und Liedern vorkommen, so
meint Herr A. Schiefner *), dass diese Würter dar-
auf hindeuten, dass auch diese Märchen aus russischem
Munde von den Türkischen Stämmen des Minüssinski-
schen Kreises vernommen sind. Ich halte diese Mei-
nung für unberechtigt, da alle Volkssänger oft alte
Erscheinungen des Volkslebens mit neuen Namen be-
zeichnen ÿ).
Bei denjenigen Wôrtern, die ich aus Castrén’s
Sprachlehre entnommen habe, habe ich natürlich viel-
fache Ânderungen vorgenommen. In Betreff der Vo-
calisation dieser Wüôrter bemerke ich nur, dass ich
die Längezeichen nur in denjenigen Fällen beibehalten
habe, wo der Vocal stets lang efscheint. Bei dem von
Castrén als lang bezeichneten offenen Vocal der Ton-
silbe habe ich das Längezeichen fortgelassen.
Bei jedem entlehnten Worte, welches von Castrén’s
oder Radloff’s Aufzeichnung entnommen ist, verweise
(V.), wo sie sich vorfinden.
A.
AGpäm — Abraham. ÆRuss. AgpaâmB, AGpärB. Dimin. |
A6packa — Russ. AGpamka.
Afânnprja — Agathe. Russ. Arâois.
Apuärpii — Ignatius, Ignaz. ÆARuss. Mruâriü. Diman.
Apuacka — Russ. Mraarmka.
1) Für die Letzteren haben mir als Quellen gedient: a) Castrén,
Versuch einer Koibalisch - Karagassischen Sprachlehre, St.-Peters-
burg , 1857, und b) Radloff, Proben der Volkslitteratur, Band I,
St.-Petersburg, 1864.
2) Vorwort zu Radloff, Proben der Volkslitteratur, Band I,
Übersetzung, Einleitung , S.
3) Vel. BecryxeB®- “Paoxu Pycekaa Mcropia, C.-Ierep-
Gypre, 1872 r., v, I, crp. 1
emcik — Postknecht. Russ. sum. Osman. (sl
ich auf Band (B.), Seite (S.) und Zeiïle (Z.) oder Vers |
Abpanrmiaa — Agrippina. ÆRuss. Arpnnanaa. Auch:
Erpänmaui.
Aaikcânapip — Alexander. Russ. Axercauapr. S. Elir-
CAHp.
Amôc — Amos. Russ. AmOct.
Âuna (Jakut. Aua)— Anna. Russ. Anna.
Aurôx — Antonius, Anton. Russ. Aurore.
anmâp (A. Abak.) — Niederlage, Magazin, Speicher.
Russ. Jakut. am6âpr. Pers. SO S. Radloff’s
Sprachproben, B. IE, $. 176, V. 107; $. 180,
V. 227, 229, 236 und 250; S. 181, V. 261,
268, 272 und 288; S. 182, V. 298, 299, 307,
309, 311,325 und 326; S. 183, V. 350; S.184,
V. 366: S. 185, V. 418 und 419.
Autanâchri — Athanasius. Russ. Aoonaciü.
ap6ÿe — Wassermelone. Russ. ap6ÿ35.
apbic (Al. Kasan. Kirg. apbum) — Roggen. Russ. poxr,
apkAHOÏ.
AE
Erpännänä (auch: Appanniua) — Agrippine. Russ. Arpa-
oéna. Jakut. Oppondnd.
Exkänri — Innocentius, Innocenz. Russ. Vunokentii.
Eläcäi (Jakut. Olürcôi) — Alexius. Russ. Anercbi,
Elijä — Elias. Russ. Mass, ais. Vgl. Ill.
Elikcanxïp — Alexander. Russ. Axekcauxpr. S. Asbik-
CAHXBIP.
Elixcanxipä — Alexandrine. Russ. Axercasapa.
ElicäGarrä — Elisabeth. Russ. Exmsagéra.
at
Courier, Eilbote (vom Persisch. rb— Couriers-
pferd). Kirg. nemumik.
Eunim — Euthymius. Russ. Esoumiñ, Eæwnmr.
eprälai — Prälat, Bischof, Russ. apxiepéii.
I.
I6ân (Jakut. ViGan, Alt. li6an) — Johann. Russ. loauxr,
Msäre.
isäpr — Stange. Russ. xepas. S. Castrén’s Versuch * |
ein. Koibal, Sprachlehre, $. 84 und 159: izärt.
Illin kÿn-— Elias-Tag (der 20-ste Juni). Russ. Main ne
aeub. Val. Elijä. ei
ipar — Reiïhe. Russ. pare. : ie
icuiurä — Schwefelhülzchen. Russ. (chpnas) conaka.
Icye D ra PR Site Russ. Incÿc» ne Fr
27
Bulletin de l’Académie Impériale
jä63ak — Kartoffel. Russ. kaproæeus; bei den Sibirischen
Bauern auch: 46a0K0 oder 3emaamoe A610k0 —
Erdapfel.
Jägbip oder Jasop — Georg. Russ. l'eoprit, Er6pz.
Jappän — Eugraphus. Russ. Errpaws.
jäkkpin — Diaconus (4. L. Priestergehülfe). Russ. 1b4-
KOHB.
Jäkkbin — Jakob. Russ. fko85.
jäma — Grube. Russ. fma. Dieses Wort «jäma» wird
bei den Katschinzen an der Ok-Mündung und am
Ui-tag gebraucht. Sag. oimak.
Jäpvaska (Jakut. wapôanxbi od. yap6ag) — Jahrmarkt,
Messe. Auss. tpmapra, 4pmagxa.
Japmazäi — Hermolaus. Russ. Epmorâü.
Jepämäi — Jeremias. Russ. Iepemis, Epemi.
Jon — Jonas. Russ. Iona.
D | Sn Le
Ka6äk (Alt. Kirg. Sag.) — Schenke, Krug. Russ. Ka6âke.
Ka6ak apapaspt — der Russische Branntwein,
eig. Schenkenwein.
KaGpisa — Gabriel. Russ. l'aspiuxre, Connie
käGb1 — wenn; als ob; als wenn. Æuss, KâkB Gbi.
S. Castres Ai “outh ein. Koïb. Sprachl. $. 71,
93 und 133: kaby.
Kasak (Sag.; Kirg. kasak-opye)—Kosak. Russ. ro3an,
KA3AKB.
kaosmmé (Sag. Kirg.)—Schatz. Russ. vasnä. Arab. à 53,
Uigur. = ;
kazäc — Kalatsch, Semmel. ÆRuss. Kazaur, Alt. Kirg.
kazam.
karär—Schlafrock. Russ. xazarB, von dem Arabischen
äebs, Ehrenkleid (Giergass, Würterb., S. 299).
… kam36x (Sag. Kirg.) — Camisol. Russ. Kam3078. Auch:
KAM301.
… kampic — Schüpfkelle, Russ. KkamBinrB, KoBmB; ixic ka-
MbIC — Geschirr; wôrtl. Geschirr und Kelle.
Kaparrina — Charitina. Russ. Xapuruma.
kapGän (Kysyl. kanmap) — Tasche. Russ. Kapmân.
8. Radloff’s Sprachproben, B. II, S. 192, V. 664.
S. auch: kapman und kapbi6an.
© kapwän (Æysyl. kanmap, A4. kapOar) — Tasche. Rad-
loff, B. II, S. 134, V. 1587; S. 556, V. 836 |
und 837; S. 557, V. 849; $. 558, V. 884 und
885; S. 559, V. 937; S. 560, V. 981. S. auch:
kapôan und kaprhiôan. Man sagt auch: rapuax.
kapmôupija — Harmonika. Russ. rapm6auka, rapmoups.
kapr (Abak. Al.) — Karte. Russ. Kapra, kaprBr. Radl.
B.:11,5. 20, V:11; 5. 43, V, 14 und 17; S. 44
V.19. Auch: kapr. Kirg. kapra.
Kaprÿc — Reisemütze, Mütze. Russ. Kapry3R. Auch:
KAPTYC
kapp16an (Kysul. kaamap, Ali. kapôan) — Tasche,
Russ. xapmaur. Radloff, B. IT, S. 84, V. 450.
S. auch: kapôan und kapmau.
kaprinaäc — Bleistift. Russ, kapañämr. Auch: Kaprm-
aac. Kirg. kaprigan.
Kaprrrrôn — Chariton. Russ. Xapnrône.
Karrapfna — Catharina. Russ. Ekarepia, Karepnna.
kaprfna — Gemälde, Bild. Russ. Kaprima. S. auch: Kep-
TIHà.
Kipicräi — Gregorius. Russ. l'pruxa, dimlius. von
Rsiipropsti, Gregorius (Russ. l'pnropiü).
Kôzka — Nicolaus. Russ, Kk6aPka, dim. von Hnkoxaï.
Kôavic — Leinwand. Russ. xoucre. Jakut. xoxycra.
komôT (Kirg. kambir) — Kummet. Russ. xoMÿTE.
Kônbin — Conon. Russ. Know.
kon — Graben, Kanal. Russ. npokonr von KOnaTr, gra-
ben, vgl. Mon. — ein kleiner Kanal oder
Graben (Schmidt, Würt., S. 162, c).
kônebik — Trinkgeschirr, Schôpfkelle. Russ. Kk6BmnKE.
Vergl. kambic.
kopôk — Erbse. Russ. ropôxR. Auch: Kopor.
kôpbirt (auch: küpar, Jakut. ryopaa) — Stadt. Russ. rô-
POXB. Auch: KOPbIT.
ôcka — Katze. Russ. xômka. Vergl. npiphick.
Kocrpraca — Gastgeschenk. Russ. rocrnnenr, Gen. ro-
cruaua. Radloff, B. II, S. 212, V. 1334.
kor—obgleich; obschon; wenn nur. Russ. xors. Ca-
strén, Vers. ein. Koib. Sprachl., S. 71, 96 und
164: ot.
kyObipnärrpip (Alt. Sag.; Jakut. ky6apnarbrp) — Gou-
verneur. ÀÆuss. ry6ePHaTOpr.
Kysma — Cosmas. Russ. Kocma, Kyspma.
kynäâxubt — Badehäuschen. Russ. kynâabus.
KouäGapija — Claudia. Russ. Kiâsais.
kbimâc — Kwass. Russ. KBacr.
Kempbijän — Cyprianus. Russ. Kanpidur. S. auch: Kiu-
mipijan.
des Sciences de Saint -Pétersbourg.
Ksip5oppri — Gregorius. Russ. l'pnrôpiä. 8. Kipicxi.
Koipsäa — Chrysanthus. Russ. Xpncänor.
Ksipicrôc — Christus. Russ. Xpuerécr, auch: Kpicrôc.
Koipricrbrjän (Sag. Alt.) — Bauer. Russ. Kkpecrkannme.
. KIPäCTIjàE.
KeanaTkä — Confect, Zuckerwerk. Russ. KonpéKTA.
Kepilä (Jakut. Kipillä) — Cyrillus, Cyrill. Russ. Ru-
pra, Kupnaa. Genit. KRupraa.
Keprinä — Gemälde, Bild. Russ. rapruma. $S. kaprina.
Kinäc (Abak. Alt.) — der Âlteste in jedem Stamme,
Fürst. Auss. KHA3L, KHA3CNB 04. CTAPOCTA poza.
Radloff, B. II, S. 527, V. 1191 und 1203;
S. 528,: V. 1231, 1234, 1236, 1237, 1244;
S. 529, V. 1276 und 1277; S. 530, V. 1292
und 1323.
Kiairä — Buch. Russ. raura.
Kinuipijäa — Cyprianus. Russ. Kuupiänr. S. ne
Kipä (Abak. Alt.) — Gewicht (der Wage, der Uhr).
Russ. rupa (BBCOBR, 4acoB®).
Kipäk — Sünde, Übertretung. Russ. rpbxe.
Kipäcrijan (A4. kpipeicrbijan, Kpäcrijän) — Bauer.
Russ. Kxpecrpanune. S. auch: kbipbiCrbijâx.
Kkipôc — Kreuz, Taufe. Russ. xpecrr, Kpeménie,
Kü3aix (Alt. küjôim) — Wirth, Herr. Russ. xos4nu8.
KO31p (Al. KÜ30p) — Hranné Russ. KO3bIpL.
KOKIÔ — Puppe. Russ. KÿKkaa.
Külanä (vgl. Pasacna) — Weihnachten (den 25. De-
cember). Russ. Kozaya, npazxmr? P, X. (25 /Le-
Ka6pA).
KkôlagKä — Ring. Russ. Koxéuko, dim. von koaeuo, Ring.
Castrén, Vers. ein. Koib. Sprachl., S. 97: kü-
lätkä.
kônnan — Haufen, Schober. Russ. konnä te Plur.
KÔDHBI, Gen. KONÉKHE.
künnac (Kirg. kÿnôc) -— Kaufmann. Russ. Kkynérrs.
KÜp — Masern (Krankheit). Russ. rops (6orbsne).
Kôücräukin — Constantin. Russ. Koncraurame.
Kÿläc (4/4. Abak.) — Schlüssel. Auss. kaoaB. Radloff,
B. II, S. 488, V. 3702 und S. 489, V. 3737;
auch S. 562, V. 1029. S. auch: Kÿlÿc. Kirg.kilm.
Kkÿlÿe (A4. rÿläc) — Schlüssel. Russ. knowB. Radloff,
B. IL, S. 62, V. 643; 5. 43, V. 13. S. rÿläc.
Ah.
Jakkän — Kübel; Becken; Waschschüssel. Auss.10xâar.
Jâuka (Alt. sakna) — Bank; Bude. Russ. xäBka.
LeGäuri — Leontius. Russ. Jeourit, .Tesonrif.
lérkip (Kirg. lerkäp) — Arzt. Russ. xÉKkape.
LeGpäari — Laurenz. Russ. Jagpénriÿ.
Jykkpijan — Lucian. Russ. Jykbine, Jyrians.
Jyaiua (auch: yasiua) — Kienspan. ÆRuss. ayunma. Val.
YAYIHA.
M.
Makkäp — Makarius. Russ. Maxkäpiü, Makap.
Makcpm — Maximus. Russ. Marcus.
Maränvija — Melania. Russ. Mexäuis, Maramps.
Mapina — Marina. Russ. Mapuua.
Mäpka — Marke, Knopf. Æuss. mäpra,
S. mapkbi.
Mäpka — Marcus. Russ. Maprtr. Gen. Mapra.
Mäpkr — Marke, Knopf. Auss. mâpra, nyrosnna.
Radloff, B. IL, $. 128, V.1374. S. auch: mapka.
Mäpua — Martha. Russ. Mäpoa.
Mapsija (Jakut. Maprija) — Marie. Russ. Mapis, Mäprs.
Marni — Matthäus, Mathias. Auss. Maroïü, Marsbi,
Merkinnip — Nicephorus. Russ Hnknæopz.
Merkirrä — Nicetas. Russ. Hnrwra.
Meccai — Moses. Russ. Moncéi.
Merpôuä — Matrona. Russ. Marpona, Marpèna.
Mirpai — Demetrius. Æuss. ]luurpiü. Dèmin. Mir.
Russ. Murs.
Mykuai — Nicolaus. ÆRuss. Hukoïaë. Dimin. koaka,
Russ. Kozpbka.
Mykadi ÿroxmik — Nicolaus (der Heilige). Russ. Hu-
KoJAË Yroaumre (wôrti. Nicolaus, der dienstfertige).
Mpoikkaisa — Michael. Russ. Muxaurr, Muxañua.
mocra (Jakut. myocra) — Brücke. ARuss. mocrr. Gen.
MOCTA. |
môcannik — Spitzbube, Betrüger. Russ. uoménanks.
IYTOBHHA,
Mÿka — Qual, Jammer, Russ. myÿKka. Radloff, B. I,
61, V. 618.
MŸT — Honig. Russ. mëxB. Alt. MÔT.
Morrrair — Medaille, Schaumünze. Russ. mexaas.
H.
Hasap — Nasarus. Russ. Hasape.
Hacräcerija — Anastasia. Russ. Auacracia, Hacracps.
Dimin. Hacra, Häcrä. Russ. Hacrs.
Harraxsija — Natalia. Russ. Haras.
Hasäanbik — der Vorgesetzte, Befehlshaber. Ans. aa ne
YA IBEAKD.
31
Bulletin de l’Académie Impériale
32
gaxä — aber, doch, allein. Russ. onuarko. Vgl. ünärä.
Hexilä (AU. uänlä, Tub. jänilà, Jakut. näinälä) —
Woche. Russ. nexbas.
Hennam — Methodius. Russ. Meocxiï, Heæëéxe.
ay — nun! Russ. uy! Radloff, B. IL, S. 3, V. 83.
0.
06priu — Reif. Russ. 66pyE.
06pac — Heiïligenbild. Russ. 66pasz.
oi306a (Alt. yaama) _— Gabelarm, Deichselstange, Fe-
merstange. ARuss. or1061.
oic — Achse. Russ. ock.
Okkpixina — Aquilina. Russ. Aknaumna, Akyauma. Man
sagt auch: Orlinä.
Okepmbija — Xenia. Russ. Kcénis, Arcnabs, Oxchaba,
Auch: Orcinijä.
Oupa — Olga. Russ. Ouvra.
Ouacka — Ananius. Russ. Andmxa, dimin. von Ananiü.
Ouaprpai — Andreas. Russ. Auapéü. Auch: Onaxipai.
Onicepmm — Onisymus. Russ. Onncuur,.
Opina (Alt. Apiua) — Irene, Russ. Upuua, Opusa.
Oc— Espe, Zitterpappel. Russ. oCHHa “).
Ocin (Teleut.: Ocxn) — Joseph. Russ. locnæs, Ocurs.
Ocrannbii — Eustath. Russ. Escraoiï, Acraoiü,
ocrÔi (Sag. auch: erox, biCrOx) — Tisch. ARuss. croxs.
Radloff, B. II, S. 67, V. 810; S. 69, V. 889;
S. 79, V. 283: S. 80, V. 325 und 332; S. 85,
V. 489 und 490; $. 87, V. 574; $. 125, V. 1284;
S. 188, V. 509 und 510.
Gersrpsn — Insel. Russ. 6crposr.
oupik — Heerd, Feuerheerd; Dreifuss. Æuss. ouar,
TPEHOKENKB. Alf: o10k 42
: td
Orpännänñ (A4. Jakut. Orpôundnd) -- Agrippine. Russ.
+ Arpavéna. Auch: Appanma, Erpän-
| CS Russ. Euéna.
_ ünäkä —allein, ohne Zweifel. Russ. oanako, 6e3r co-
_ mrbnis. Castrén, Vers. ein. Koib, Sprachl.,S. 71,
87 und 133: ünäkä. Vgl. näkä.
ne oe 4) Ich glaube nicht, dass € dies ein aus dem Russischen entlehntes |
: Wort ist Vergl. aycak (Tara- Dialect) ancak (Alt. Teleut: Schor.).
Re Radloff
5). Ouak (Tar. Dchg.) ist eintatar. Wort, entstanden aus ÿu+-ajak
. ; (Drei-+ Fuss), das russische Wort ist somit eine Entlehnung aus dem
Onaipai — Andreas. Russ. Anapéï. Auch: Onavpäi.
Ourôrriji — Eudoxia. Russ. EBxokia, AB10Tb4.
HaGia (Leleut.: Tla6bia) — Paulus. Russ. IäBexrs.
HaGxin — Paulinus. Russ. lagune.
na34p — Markt, Kaufhof. Russ. Gasapr. Kirg. Osman.
0 ,> ,—
Shibe
au (Jak. 6acb6a) — Dank. Russ. cnacn6o.
nai -— Theil, Portion. Auss. naï (4acrb, 1014). Osm. «sb.
thé = Dantus Basil. Russ. Bacnaiü. Dimin. von
Taciapri — Russ. Bacs.
nakna — Knôchel. Russ. 6a6ka. Radloff, B. IL, S. 501,
V. 317. S. nanka.
nakga — Päckchen. Russ. nauka. Radloff, B. II,
S. 43, V. 14; $S. 44, V. 19.
[axir — Hippolytus. Russ. Unnoaurr, Hours.
Hankbipar — Pancratius, Pankraz. ue Iaaxkpariÿ,
Iauxkpare.
nanka — Knôüchelchen. Russ. 6a6ka. Castrén, Vers.
ein, Koïb. Sprachl., $. 126: bâpka. S. auch: nakna.
napakkôrT — Dampfschiff, Russ. napoxoyrr.
[apackoGb1ja — Praskevia. ÆRuss. Ilapackesa, [apa-
CKOBIA.
IHap6apa — Barbara. Russ. BapBapa.
napka — Barke. Russ. 6apra.
Tapaam (dim. apzacka) — Warlaam. Russ. Bapraans.
uapôm— Fähre, der Prahm. Russ. napôwr.
Tacilicca — Basilissa. Russ. Bacnancca.
Tactabii (A6. Hacirai) — Basilius, Basil. Russ. Bacuaiït.
nacrÿk (Abak. Alt.) — Hirt. Russ. nacrÿxz. Radloff,
B. I, S. 11, V. 358; S. 13, V. 412; S. 531,
V:E997.
Tarran — Patapius. Russ. Tlaräniÿ, [orarrs.
[an — Peter. Russ. [erpr, dimin. Héra. Vgl. Terrip.
Häpä — Wera (wôrtl. der Glaube). Russ. Bépa.
nac (Alt. nâc) — Ofen. Russ. news. Radloff, B. II,
S. 205, V. 1103.
[e6pônijà — Febronia. Russ. Pespônis.
Hexaceñi — Theodosius. Russ. Ocoxécit, Oexochi.
ne364H oder necnän — Schnellwage (Gewicht von 2 und
einem halben Pfund). Russ. Gesménre.
Heläräjä — Pelagia. Russ. Hexarés,
uelär — Billet. Russ. Gnrers.
Tlelin oder Hilin — Philipp. Russ. Pamons,.
nendar -er— die Ehe einsegnen. Russ. Bbagars.
des Sciences de Saint - Pétersbourg.
nepäG0e — Überfahrt. Russ. nepesozt.
nepicrä (auch: neperä, Alt. näpicrä, Jakut. Giâpieri)—
Werst, Russ. Bepcra. Radloff, II, S. 71, V. 14;
MID, V, 146: S:79,:V::907)8.-81;V; 363;
S. 92, V. 137; S. 102, V. 475; S. 141, V. 779.
népcäl — Feldscherer, Russ. æéabamepr, æépmart.
nepcôk — Werschok. Russ. Bepmors.
Teciläi— Basilius, Basil. Russ. Bacnmiü. Auch: Haciamri.
ner — halt, freilich. ÆAuss. Bba. Castrén, S. 71,
127 und 142: bit.
Iérrip — Petrus, Peter. Auss. Herps, Dimin. Ti =
Russ. Flers. Teleut.: Härrip.
Tlerpôn Kÿx — Peter-Tag. Auss. Herporn AeHB (den
29. Juni).
neqar — Siegel. Russ. negars. Radlotff, B. IL, < S.D951,
V. 659 und 661; S. 556, V. 837; S.557, V.850,
852 und 868; $. 558, V. 891 und 898; S. 559,
V.916,938, 946 und 947; $S. 560, V. 969 and
982; S. 561, V. 997. Al.: nägär.
niuä — Elend, Unglück. Puss. Gba.
Iikrap — Victor. Russ. Bnrkropt.
nilärä od. nlärä — Flagge. Russ. æxara.
nläcär od. niläcär car —tanzen. Russ. nancars.
nilinä od. nlinà — Fladen, Pfanokuchen. Russ. Gmmur,
JeNËIMKA.
nilic od. ulic — Plüsch; baumwollener Sammet.
Russ. nIUCR (Stoff, és ee
nilkä — Gabel. Russ. Buaxa.
[issu — Pimenus. Russ. Tiens.
mipar oder upär — Verlust; Schade, Russ. Bpex,
Yutep6r. Radloff, BCE 40, "%, 6617:
mipÿknä od, npÿkni — Kohlrübe. Bus: 6pHKBa.
mirôk (A{é. närik, Jakut. Gürÿk) — Hahn. Russ.n'bryx3.
naar — Tuch. Russ, usarr, natokr. Radloff, B. II,
S. 15, V. 465 und 466; S. 234, V. 490.
Auch: upiar (Alt. Sag.).
n066cka od. n66ÿckä (Abak. Alt.) — Wagen. Russ. no-
863ka. Radloff, B. IL, S. 93, V. 187 und 190.
Kirg. 6dÿerd.
- nozÿcka — Kissen, Russ. n01ÿImKa.
nosâamicrpa — gefälligst; ch bitte. Russ. noxaryücra.
uo3pak — Sonntag. Russ. Bocxpecesse. Radloff, IL,
S. 562,.V. 1042. S, auch: nosbipak.
n0851pak — Sonntag. Russ. Bockpecebe. Gien,
S. 159: bôzerak. Val. nospak.
H6kka — Phocas. Russ: P6ka.
Tome XXXII.
1
noJac (Zel. noxoc) — Gerichtsdorf. Russ. 8010078.
noMocaBIk — Gehülfe. ÆAuss. nomomaure.
nopax (Alt. noposon) — Schneesturm. ARuss. 6ypaur’;
cabxabli Buxpb; Meress. Radloff, B. II, S. 222,
V. 74. Vyl. Osm. o Up Dschg. Je DE
[opic — Boris. Russ. Bopnez.
uôcua (Alt. ocn6) — Blattern;
Russ. 6ena (Goxbaus); Bocna.
notkôn — Hufeisen. Russ. nozx68a.
noTu0asija — der Raum unter der Diele. Russ. no7-
node. Schor. nonnazai, Alk: norTnaia.
Horrämpi — Potamius. FRuss. Toramii.
nôyka (Alt. nouko und nouka) — Fass. Russ. 66uka.
Radloff, B. II, S. 250, V. 53, 54, 56, 59, 60
und 61; S. 252, V. 65, 76, 78, 83 und 93;
S: 253, V. 98, 100, 109, 111,114,117u.118.
nôgra — Post. Russ. nôura.
Tôxip (Alt. Tüaüp) — Theodor. Russ. Oeoxopr, Péaope
Uüxlä — Thecla. Russ. Oékaa.
nôlicäi — Polizei. Russ. noxmnis,
npéxuik — Pfefferkuchen. Russ. nparure. 7. ni
péAHik.
upecas — Bittschrift. Russ. npoménbe. Auch: nipein.
uyaka — Semmel. Russ. 6ÿaka. :
Ilyakapeija — Pulcheria. Russ. Ilyasxépis.
HyETOOPIk — Gewicht von einem Pfund. Russ. yH- |
TOBHKB (THPA BB 1 YHTE).
nyarbi (Alf. mbrara) — Pfund. Russ. æyare.
uyr (4bak. Alt.) — Pud. Russ. nyxr. Radloff, B. II,
8. 41, V, 712; S. 49, V. 749 und 750; 8.98,
Pocken Maui
L 2]
V. 367; S. 338, V. 1210 und 1212; S. 341,
V. 1298; S. 461, V. 2781; $S. 468, V. 3036;
S..477, V. 3348.
nyiryaka — Flasche. Russ. 6yTPura.
uBlapaupia — Aufseher über mehrere Kirchen.
Russ. 61aro4nBHb1i (CBANIEHHUKE). |
Neuanimbip — Wladimir, Woldemar. Russ. Braanmip.
usar (Al. naar oder npiar) — Tuch, ÆRuss. nxars.
Radloff, B.IL S. 105, V. 603 und 604; S.165,
V.263; S. 183, V. 360; S. 302, V.976; S.350,
V.1620; S. 552, V. 76 und 77; S.553,V.72. |
nsipkaccsik—der Handlungsdiener. Russ. APR à Ke”
npipkac — Befehl. Russ. npnkase.
us1pO36a — Bittschrift. Russ. npôck6a. re.
D re — Prokopius, aan Buse: Upon. moe
| n. Ibipôua — Russ. II LS
à
Bulletin de l’Académie Impériale
36
Hripokkpip — Prochor. Russ. [poxope.
Ibipôna — Prochor. Russ. Ipôua. Dimin. von Tbipo-
kônnpii — Russ. Tporoniÿ.
Ipiprac — Protasius. Russ. [poraciï.
ubrppick — Katze. Russ. von Gprick! Kkomxa. Radloff,
B. II, S. 229, V. 330. Val. kücka.
nbICO rakhis — ebenfalls. Russ. Bc&-Takn,
nbicron — Piston (für die Flinte). Russ. mmcerôme FR
...
PYXKPA).
HIBITARC — a pin Pnes. KBNTAgUIA, 0der œu-
TAHCIA.
F
pasacna — Weïhnachten. ÆRuss. Poxxecr6 (den 25.
December).
pe6i30p — Revisor. Russ. pesus0pe.
Peccäi (Tel. Päccä) — Russland. ÆRuss. Poccia, oder
Pacés.
Pimä — Rimma. Russ. Puma.
Pomau — Roman. Russ. Pomänr.
pocnicka — Schein. Russ. pocnera.
Por — Geschlecht. Russ. pors. Radloff, B.IT,S.414,
Vers. 1179, 1181.
pycubik (auch: Thcslak): — Handtuch. Russ. Punk»,
TI0H0TEHIE,
py6aka od. ypôaka (Jakut. péaxs) — Hemd. Russ.
py6axa.
C.
ca66r (Alt. ca6ar) — Manufactur; Bergwerk. Russ. 3a-
BOXB; IPIUCKB.
- cai — Thee. Russ. gaï. So sagt man am obern Abakan.
Bei den Sagaiern und Altaiern: sai.
Cakkap — Sacharias. Russ. 3axapis.
cakzar (4bak. Alt.) — Wette. Russ. sakiane. Radloff,
B. I, S..270, V. 700. S. cakkpraar.
cakou (Alt. cakan) — Gesetz. Russ. 3akow2.
cakna (Alt. Abak.) — Mütze. Russ. manxa. Radloff,
ua ES EE V. 280::S.:54 :V.:369: S: 95,
940: S. 136, V. 18: S. 148, V. 432.
cakkbHäT (A. cakxar) — Wette. Russ. 3akaaxr. Ca-
*:\ ten, à 207; V. 1572 and 13955 5 206.
- V. 1356: sûkalèt.
+ . cäkkbp (AÏ. airip wnd cakap, Jakut. caxap, Kara-
. Kirg. mekäp)— Zucker. Russ. caxapr.
CAMAT (Sag. und Alt.; Jakut. _——. — Soldat. Russ.
come.
j
cauk66ai — Rubel. Russ. wbarôBbii, 1 py6a8.
camak (Abak. Alt.) — Schloss. Russ. 3am6k8. Radloff,
BAIL:S 176; Vs 108, M9 amd 119; :$S 177;
V. 125, 126 und 140; $S. 180, V. 237, 243 und
251; S. 182, V. 312; S. 471, V. 3145: S. 473,
V. 3208; S. 488, V. 3701; S. 489, V. 3732
und 3736; S. 561, V. 1010; $S. 562, V. 1033
und 1035; S. 564, V. 1107. Auch: cauyk.
tte tnt Fe Cauyur8, Camôüaa.
Cameôn — Simson. Russ. Camncowes.
camyk (auch: camak) — Schloss. Russ. 3aMOK.
caua6ap (Kara-Kirg. canôp) — Theemaschine. Auss.
CAMOBAPE.
cannak (Abak, Alt.) — Stiefel. Russ. canore. Radloff,
B. IE,5. 422, V.1480. Auch: cannok wnd cannÿk.
cannok (A7. cannak) — Stiefel. Radloff, B.IL S. 210,
Ÿ. 1262; S. 211, V. 1288; S. 219, V. 1317,
1321 und 1324. Auch: cannäk und cannÿk.
cannyÿk (A/é. cannak) — Stiefel. Russ. canére.
Canpox — Sophronius. Russ. Cowponii, Coæpors.
caluä — Schelm. Auss. mé THMA.
cânäx — Vorhaus. Russ. chur.
cexärril — Beisitzer, Assessor. Russ. sacharens.
| Ceuôn— Simeon. Russ. Cumeonr, Cemérz.
| Cend6tjä — Zenobia. Russ. 3nnosis.
| Cepänninä — Seraphine. Russ. Ceparuma.
cepäGpôou (Sag. Tel.) — Silber. Russ. cepe6pÜmrs.
Cepräi— Sergius. Russ, Ceprbi.
cépriGà — Kirche. Æuss. néproës. Man sagt auch:
rerip e6— Himmelshaus. Kasan. > yipkäÿ.
ciôaakä — Licht. Russ. cBbura.
-Cinap — Isidor. Russ. Mcuropr, Cirops.
ciläjà — Rûckenriemen. Russ. maea..
cilannä (44. Abak.) — Hut. ARuss. mana. Radloff,
B. II, $. 210, V. 1265; S. 211, V. 1294 und
1995: S. 212, V.1319, 1344 und 1345: S. 213,
V. 1368. Val. clännä. |
cimärran — saurêr Schmand, saure Sahne. Æuss. cme-
. raua. Radloff, B. IX, $. 1154: 28,
clannä — Hut. Russ. mama. ” cilännä.
Côja — Zoe. Russ. 36a.
Comvija — Sophie. Pre Covba.
concam— ganz. Puss. coschmB. Man sagt auch: côncäw.
Crannan (Sag. Tel.) — Stephan. Russ. Creœaur.
CTOZ (AVE. OCTO, yCroa, siCTox, ycraz; Jakut. cTYo1) —
Tisch. Russ. eror. Radloff, B. IL, S. 58, V. 508;
des Sciences de Saint - Pétersbourg.
S. 66, V. 798; S. 89, V.:45; $. 112, V. 883;
S. 196, V. 795; $. 198, V. 840; S. 198, V. 856;
S. 205, V. 1102; S. 206, V. 1114; S. 219,
V. 1559 und 1561; S. 247, V. 933; $. 263,
V. 447;'S. 268, V. 639; S. 274, V. 50; S. 981,
V.290; S. 289, V. 531; 5. 348, V. 1370; 5.368,
V.:2215:;$. 473, V. 3199: S. 491, V. 8819;
S. 552, . 709; S. 553, V. 716; S. 587, V. 417.
Kirg. Sag. auch: vicro.
CTol6a — Pfosten. ARuss. crox68. Radloff, B.I,S.263,
V. 438 und 457; S. 266, V. 552; S. 267, V. 595;
S. 270, V. 677; $. 272, V..769; S. 274, V. 45
und 46; S. 276, V. 93; S. 284, V. 367; $. 290,
V. 577; S. 300, V. 917; S. 301, V. 939 und
945; S. 304, V. 42; $S. 305, V: 93; S. 308,
V.189;5. 319, V,9332;:9:318;V:0525; 9,805,
V:: 705.8: 339, V::12386%.8 249, V: 1399:
S. 344, V. 1401: S. 345, V. 1455: 8. 348,
V. 1545, 1551; S. 350, V. 1612 und 1618:
S. 352, V. 1689: S. 353, V. 1717; S. 359,
V::1902; 1999; S. 860: V.:1942/ 8.361,
V. 1988 und 2000; S. 364, V. 2102; S. 368,
V.:2209; S:870,"V: 2282, 2300; S. 372,
V: 2849::S. 373, V. 24015 9.:374, V. 2499
‘und 2434; S. 382, V. 115 und 116; S. 387,
V. 264; S. 389, V. 339 und 346; $S. 406,
V. M0: and -912;;S 415; V:12392: $, 499,
V. 240, 244: S. 500, V. 274: S. 505, V. 461;
S. 507, V. 513; S. 511, V. 651, 663 und 664;
"8.533, V. 53:58. 541, V: 311; S. 549, V. 345:
S. 547, V. 526: S. 570, Y. 1290: S. 571.
V.1344; $. 586, V. 398. Auch bei Castrén,
Vers. ein. Koib. _. S.:187, V: 670 sa
671: stôlba.
cy6ar (4bak. Alt.) — Sonnabend. Russ. cy660ra. Rad-
ùJoff, B:IE;:6 562, V. 1043.
cykäipei (Sag. AU.) — Zwieback. Russ. cyxäph, Cyxapr.
cymaÿk (A. Sag. auch: cynaÿk) — Kasten. Russ. Cyu-
*aÿe. Radloff, B.IT, S.224,V.129. Arab. 3,922.
cynayk (Al. Sag.) — Kaëten. Russ. cynaykB. Radloff, |
B: II, S.43, V. 13: 8. 62, V. 646: 8. 75, V:149;
8. 80, V. 346; S. 81, V. 35038. 177, V. 149;
8, 179, V::217:8. 233, V:458;:5. 235, V.621;
S. 523, V. 1072, 1073 und 1086; S. 524,
V. 1087. Arab. à AP S. auch: cyMayk.
cyp5ÿce — Siegellack. Russ. eypryar.
cYlüirä — Glas. Russ. crekio, crekannxa. Castrén,
Vers. ein. Koib.Sprachl., $. 123 und 143: süläikä.
cb1a01ka — Rückenpolster beim Pferdegeschirr. Auss.
CAC IKA.
À
TaGir — David. Russ. Jarure.
Taicçprja — Taisia. Russ. Tancis. .
Tax — Weide. Russ. nBa, raxmma, Radloff, B. II,
S. 316, V. 443. Man sagt auch: côr. Vergl.
Djag. Osm. Uig. JG, JE — Weide®).
Taufsa — Daniel. Russ. Jlaninx», /Laumao.
Tapâc — Tarasius. Russ. Tapacit, Tapäcr.
Täâpsija — Daria, Dorothea. Russ. JIäpis.
TAPHIATAC — Fubtwerk. Wagen. Russ. rapanräcr. Man
sagt auch: kapanjac.
täc — Becken. Russ: rasr. Arab. €. lL. Per und
LÉ COR, CplË
radin Tatiana. ARuss. Tariäua.
relärä — Wagen. Russ. rexbra. Man sagt auch: kaä.
Tepänri — Terentius. Russ. Tepénriit.
repimnä — Dorf. Russ. 1epéBn.
recaraik — der Aufseher über zehn. Russ. aecéTENrS.
Tikkbrm — Ticho. Russ. Tuxons.
Tiaännai — Timotheus. Russ. Tnmooéÿ.
ripäa (Schimpfwort) —Kleinigkeiten; Strund; albernes
Geschwätz. Russ. pas. .
10617 — Dame (im Brettspiele). Russ. 16Bexe, AAMKA
(85 mameunoï urph), kirg. 1oïGoi.
rékrbtp — Doctor der Medicin. ÆRuss. AGKTOPE va a
+ HUHBI); BPATB.
rosarrä — Meissel. Auss. 101076. *
Témna — Domna. Russ. /[6mua.
T0p06a — Glück auf! Guten Tag! ÆAuss. 310p680!
sapascr8yä! Jakut. nopo6o! Radloff, B. II,
S. 254, V. 159;.58. 409, V. 1032; S. 412.
V.1118;8. 445, V. 2233; S. 454, V. 2671; *
S. 456, V. 2609; S. 599, Ÿ. 576. Man sai.
auch: esäa!
roufia od. rouïaa ras — Schleifstein. Russ. Tour.
rare Gericht. Russ. se
6) Taxuaa, raxsanxke sind offenbar aus dem Fnrnenes exlehnts “à .
russische Würter, R. Mo
g* *
Bulletin de l’Académie Impériale
40
rypô6à — Rôühre, Esse. Russ. rpy64.
rÿrä— Krummholz. Russ. xyrä. Radloff, B. II, S. 419,
V. 1358; S. 421, V. 1448; S. 447, V. 2305.
Tÿmaÿk — Rauchfang. Russ. 1bimauxr. Castrén, Vers.
ein, Koïb. Spr., S. 112: tümnük. Vgl. Jakut. rÿa-
uÿk (Fenster) und Karag. rÿxnÿr ?).
Toipaunim — Trophim. Russ. Tpoæumsz.
Toipionsix — Tryphon. Russ, Tpivons.
TBipôn—Schrot (für die Jäger). Luss. 1p068 (oxoranabA).
Ÿ:
y5bI6âT (auch: yknar) — Ofengabel.
von XBATATE (greifen).
Vakä — Lucas. Puss. Jykä.
yadfua — Kienspan. Russ. ayañaa. Va. Iy4IHA.
yc (koib. katsch. ym) — schon. Auss. yx®, yxé. Ca-
strén, S. 71, 88 und 157: us, us.
Yeupinja (Alt. üeuünjô) — Usminia. Russ. Y cumin.
ycrôx (Alt. yeros, bicros, yerax und ocros), PI. yer6a-
sap — Tisch. Russ. croxs. Radlaff, B. IE, S. 39,
V. 664. |
yairrsii — Lehrer. Russ. yanreas. Auch: ÿairril.
Æuss. YxBâTE,
ÿrÿpci — Gurke. Russ. orypens. Plur. orypupr.
ÿe (auch: yic) — Russ. yes! (zu Hunden). Radloff,
B:I1 5.102, V, 499.
‘ Æ |
- yasôx — Jasaul. Russ. acaÿas: vgl. Mong. Ée —
Schildwache (Schmidt, Würterb., S. 306, b).
qai (Sag. Jakut.)— Thee. Russ. aañ, Mong. À
gaiubik — Theekessel, Theekanne. ÆAuss. uaïñfre.
Jak. aaiubx, von sai.
yepuilä — Tinte, Russ. wepanaa.
we4oxk — der Kirchendiener, Vorsinger, Vorleser.
Russ. 1bA4éKR (arenr 85 mepKBn). Jakut, AôAÛK.
_ aülü6ir — Gruss; Ehrfurcht. Russ. sexo6urie, n0K1o4L.
Re . BI.
* Biabipfa — Ohrring. Æuss. ceppra. Man sagt auch:
_ CHIP5a Le und Abak.; Jakut. biTap5a).
7) Die Herkunft dieses Wortes ist wohl eine tatarische aus rÿ-
à aÿa+lÿx. Dafür spricht das altaische rÿaÿx und die weite Verbrei-
tung d Wortes. Dies schliesst aber offenbar nicht aus, dass im
aischen rÿmaÿx abermals eine Anlehnung an das russische ABIM-
nden, R.
a. HUKE stattgefunden,
bipôm — Rum. Russ. pour. Jakut. Ypyo.
bickämpija — Bank. Puss. ckamps.
BICk66pa — Pfanne. Auss. ck6BOpoza.
bicnacci6a — danke! Russ. cuacu6o!
bICHpâMHBIK (Jakut. ricupaGnpix, Alt. ricnpainbik) —
der Polizeichef eines Kreises. Auss. ncnpâBHure.
bicrTakkän — Glas. Æuss. Crakân'r. É
Bicräx (Sag. Jakut.) — Hosen. Russ. iwranbi. Radloff,
B. IL, $. 377, V. 1 und 2. PI. bicränuap.
Blcrannäu — Stephan. Russ. Crewänr. Dimin. Icranäi—
Russ. CTéna.
biérapebin (Jakut. eraperma) — der Âlteste. Russ.
craprnmnä. Pl. biCTapcbianap.
bICTOGPI — auf dass; damit. Auss. gr6681. Castrén,
S. 71, 124, 134 und 137: stoby. Z: B.: «rarxa
ana KOHAPOPIC, BICTOGBI ON TYCTA CYT AJAPEa
Tin» — dort werden wir morgen übernachten, um
Wasser zu nehmen.
Bicrôa (Jak. cryox, Alt. ocrox, ‘LCTOZ, yeTaa und
ycroz) — Tisch. ÆRuss. croxr. Radloff, B. IT,
29, 11108 SES, VOS. 1ASS K4 928
S' 131; V. 1483. |
BICTÔI (Abak, Al.), Pl. wicronrap — Flasche. ÆAuss.
mroæB. Radloff, B. IE, S. 195, V. 742 und 743,
PicrBipän (auch: bicrsipak) — Strafgeld. Russ. mrpaæ.
biCTBIpakrTa — Strafgeld auflegen.
BICTBIpOk — Termin, Frist. Russ. cpor®, volksth. cTpoKe.
Untersuchung über den Lautwandel der aus dem Russischen
entlehnten Fremdwôrter,
Die hier folgende Untersuchung über die Verände-
rung, Welche die einzelnen Laute russischer Würter
bei dem Eintritte in den sagaischen Sprachschatz
unterliegen,-bilden gleichsam eine genauere Ausfüh-
rung der von Radloff aufgestellten Theorien der
Ost-Dialecte *), ich ordne dahier die betreffende Laut-
veränderung nach Gruppen an, die den von Radloff
l'aufgestellten Sätzen entsprechen.
I. VOKALE.
1) Verstossen die Vokale der russischen
Fremdwôürter nicht gegen die Vokalharmonie,
so werden dieselben nicht verändert. Beispiele:
Buss. AGpaur (Slav. Aspaamr) — Sag. AGpam; Russ.
8) Vgl. Phonetik der nürdlichen Türksprache. Leipzig 1882.
A1
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
4?
Auga — Sag. Anna; Auss. Kka6arkt — Sag. Alt. ka6ak;
Russ. ns mapka; Russ. Hasapr — Sag. Ha-
gap; Russ. nañ — Sag. nai (Osm. (sb).
2) Unterordnung aller Vokale unter den
Vokal der betonten Silbe (wie in allen türkischen
Ost-Dialecten). Beispiele: Auss. Oëxopr (Slavisch
Ocoropr) — Sag. Hüxip; Russ. Oërra — Sag. Tôklä;
Russ. noxmuia — Sag. nôlicäi; Russ, kenragmia — Sag.
npiTanc; èuss. ry6epaaropr — Sag. Alt. kyGbrpar-
Tip (Jakut. Kky6bipaarbip); Russ. Knpnio (Slav. Kn-
pare) — Sag. Kepilà (Jakut. Kipillä); Russ. néperii,
(der erste) — Sag. nepôäi; Russ. rupa (Gewicht der
Wage)— Sag. Alt. Kipä; Russ. Marpëna — Sag. Me-
TPÜnä ; Russ. moménnnke — Sag. môcännik; Æuss. mMe-
nâas — Sag. merrrais; Æuss. Akyanma (Slav. Aku-
anna) — Sag. Üklinä; Russ. Orcuusa (Slav. Kcenia) —
Sag. Orernijä; Russ. Arpaæéna (Slav. Arprunnua) =
_ Sag. Ürpännänä; Russ. Anapéñ — Sag. Ouxipäi; Russ.
Bhpa = Sag. Häpü; Auss. æepmaars (aus dem Deut-
schen «Feldscherer») — Sag. nepcäl; Russ. Humenr —
Sag. Timbm; Russ. nomme — Sag. nornoabija (Ait.
norTuaisa, Schor. nonnaïai). À. Schiefner meint fälsch-
lich, dass «nornaira» aus dem Russischen «no18arr»
(Keller) entlehnt ist (Radloff, B. IT, Vorwort). Ferner:
Russ. Araoin — Sag. Apannmija; Russ. Vruarit —
Sag. Apuarbii; Russ. AtekCAnapr — S0g. AabikCaHAB1P;
Russ. Wuanoréariñt — Sag. Exkänri; Æuss. cnnska —
Sag. icniakä; ÆAuss. l'pnmxa — Sag. Kipicxä; Puss.
Kunpianr — Sag. Kemprijau; ÆRuss. Kkonæwérka (statt
KoHbekTa) — Sag. Kennärrä; Æuss., Kaprina — Say.
kaprina oder Keprinä; ÆRuss. xos4nms — Sag. rüsäin
(AU. Kôjôim); Russ. roxéuxo — Sag. Külurä; Auss.
Hukwwopr — Sag. Mexkinnip; ÆÀuss. Moncéiï — Sag.
Meccüi. Le ;
3) Herrschaft des Vokals der unbetonten
Silbe. Beispiele: Russ. roasxa — Sag. Küliuä. Hier-
bei ist zu bemerken, dass der gutturale Vokal einer
Silbe mit palatalisirten Consonanten als ein palataler
Vokal aufgefasst wird; hier: aa — 1a — là. Puss.
Hacra — Sag. Häcrä; Russ. yrôaanxs — Sag. ÿrüanik;
Russ. Arxôria (Slav. Esxoris) — Sag. Onrôrrijä; Russ.
Bepera — Sag. nepicrä, AÙf, näpicrä, Jakut. Giäpicrä;
Russ. Perponra — Sag. IeGpônijä; Russ. nepeso3r —
Sag. nepäGüc; Russ. BepmôKr — Sag. nepcür; Auss.
Ilerporr = Sag. [erpün; ARuss. HegäTs — Sag. neuäT;
Russ. pesus6pr — Sag. peGisüp.
4) Getheilter Einfluss zwischen den Vokalen
der Tonsilbe und einer anderen Silbe,
a) Der betonte Vokal bestimmt die Palatalität der
Vokale des ganzen Wortes. Beispiele: Æuss. Ky-
nénr — Sag. kônnäc, Kirg. kônnôc; Russ. Akchabn —
Sag. Ürcinijä oder Okcrkeja: Russ. Hewëyrs (Slav, Me-
ooaii) = Sag. Hennämi.
b) Der betonte Vokal bestimmt die Labia-
lität der Vokale. Beispiele: Russ. 16n9ëK8 — Sag.
yeuük, Jakut. 1640k (Vorsinger in der Kirche); Russ.
Bcë-Takn (ebenfalls) — Sag. nbico-rakhi; ÆRuss. cb-
aëara = Sag. chixoïka (statt «cünülkä»).
5) Das «i» der betonten russischen Silbe wird
oft gedehnt und erlaubt als palatal-indiffe-
renter Vokal eine freiere Vokalanwendung.
Beispiele: Æuss. Arpnnnnma — Sag, Agpannina;
Russ. Xapnrusa — Sag. Kaparrina; Russ. rupa — Sag.
Alt. xipä; Russ. Ilimers — Sag. Himbm; Russ. Iorpo-
mAio8s — Sag. Torpaccraan; Russ: Kaprina — Sag.
kaprina. Manchmal wird auch das «e» der unbetonten
Silbe in «I» verwandelt um es nicht dem betonten
Vokal unterordnen zu müssen, Beispiele: Russ. no-
Bezb — Sag. roôtr, Kirg. noïiGoi; Russ. Taser — Sag.
aix (statt «TaGbia»).
6) Vollständiger Vokalwechsel. beicbiele:
Puss. poxr = Sag. apric; Russ. Ko3bips — Sag. Küaïp
(statt kosbip), Al. Kôsüp; Russ, rozaga — Sag. küläaä;
Russ. oauaxo — Sag. dnäxä oder nükä; Russ. Poccin —
Sag. Peccäi; Russ. creriauka — Sag. cÿläirà (Castrén
sülâikä); Auss. ayra — Sag. rÿrä; Russ. xbiManKE —
Sag. vÿmaÿk oder Temamk; Æuss. orypnsi — Sag.
ÿrÿpci; Russ. ryria = Sag. Küklô; Russ. Oxkemba —
Sag. Okcbiasija; Russ. Anapeïñ — Sag. Onavipai, Russ.
rbkaps — Sag. likip; ÆRuss. BocKkpecenbe — Sag. no-
sppak; Auss. Kpecrs — Sag. Kipüc; ARuss. MEL —
Sag. mÿr; Russ. Kopb — Sag. kôp; Russ. KaoYE — Sag.
Kÿläc.
7) Abfall und Ausfall der Vokale. Beispiele:
Russ. ayma (Gericht) = Sag. rÿm; Russ. Iona — Sag.
lon; Auss. Kapra — Sag, kapr oder kaprbt; Russ. rap : :
una — Sag. bicrapeHiH, Jakut. crapcbima; Russ. n07-
KoBa -— Sag. norkon; Russ. cuerana — Sag. cimäTrän;
Russ. Hnrozaï — Sag. Mykaai.
AHes bis jetzt Gesagte entspricht vollkommen den à
von Radloff aufgestellten Regeln über den Einfluss
der Vokalliafmonie in Fremdwürtern. Es ist aber trotz .
*
43
Bulletin de l'Académie Impériale
44
der bedeutenden Herrschaft der Vokalharmonie in
Fremdwürtern ein Moment hervorzuheben, auf das in
der Phonetik der Türksprachen nicht Rücksicht ge-
nommen ist, das ist der Umstand, dass in den meisten
russischen Fremdwôrtern der Accent den Lautge-
setzen der tatarischen Sprache entgegen in seinem alten
Rechte bleibt und deshalb Vokale in der Accentsilbe
in solchen Fremdwürtern verbleiben, die in ächt tata-
rischen Würtern nie auftreten. Dites untatarische,
wenn ich so sagen darf, Auftreten des Accents in den
Fremdwürtern macht es nôthig, dass ich für die
russischen Fremdwürter hier eine ihm eigenthümliche
Vokalfolge aufstellen muss.
Die Vokalfolge in den aus dem Russischen
entlehnten Würtern ist folgende:
a) Auf den denti-gutturalen Vokal «a» künnen die
Vokale a, pr, i, o und y folgen. Beispiele: AGpa,
Ausa, Ajaunija, Anxagacbii, Afpannisa, Kaprisa,
kaparrisa, Karrapina, Amoc, kam301, kapmüasija, cai-
küGai, Camoisa, Camcon, apôyc, kapryc, cauyk, cannyk.
b) Auf den denti-palatalen Vokal «ä» konnen die
Vokale: i, à, à folger. Beispiele: Exkäuri, Eläxcäi,
: Elicä6ärrä, nepäGüc.
c) Auf den weiten denti-palatalen Vokal «e» kün-
nen die Vokale: ï, ä, ü folgen. Beispiele: Elijä, Ex-
KäaTi, nerrük (Hahn).
d) Auf den engen op paidtelen Vokal «i» kônnen
unmittelbar die Vokale: a, à, i, p1, y, 0, ü folgen. Bei-
spiele: Appanmna, Elijä, de Himsia, Icye, Kpicroc,
nepiôüc oder nepäGüc.
e) Auf den weiten labio- LE Vokal «o» kün-
nen unmittelbar alle vier gutturale a, 0, y, b1 und das
palato-indifferente «i» folgen. Beispiele: komor, no-
aÿcka, ToJaTTa, 1010618, n0MOCHIK.
f) Nach dem engen labio-gutturalen «y» stehen in
folgender Silbe Vokale: a, y, bi, i, 0. Beispiele: nyr-
TEA nyTTYAKA, HYHTBI, YCTOX, YATIHA.
g) Auf das enge denti-gutturale «br» kônnen un-
Ve mittelbar die Vokale: a, 0, bi Fig Beispiele: nosa-
ne JIBICTIPA, Hb1P0364, TBIPBIC.
h) Nach dem weiten labio-paatalen «ü» stehen in
se folgender Silbe Vokale: ä, i, 6, ÿ. Beispiele: ônäxä,
… Küsip, kôklô, n06ÿcKà.
i) Auf den engen labio-palatalen Vokal «ÿ» kônnen
nee die palatalen Vokale: ä, ÿ,i | folgen. Benpiele npÿkuë,
… sÿläc wud kÿlÿe, ÿrÿpeï, : -
gourif (statt «.leonriñ») — Sag. LeGänri;
II. CONSONANTEN.
8). Übergang der einfachen Consonanten:
I. Lippenlaute. a) Der russische explosive tônende
Laut 6 und die Spiranten 8 und æ gehen im An-
und Auslaute. oder als Bestandtheil eines des ton-
losen Consonantén bestehenden Doppellautes in n
über. Beispiele: Russ. 6asapr — Sag. nasap, Jakut.
Gacap, Kirg. Osm. Pers. 6asap; Russ. 6a6ka — Sag.
uauka; Auss. GprokBa— npÿknä; Auss. Gogka — Sag.
nouka, Al. nogko; Russ. œæyurs — Sag. nyarbt, At.
mbinTa; Âuss. Araoïa — Sag. Apannbija; ARuss. Mar-
oiï — Sag. Marni; Russ, Akoër — Sag. Jakkbin; Russ.
aagxka — Sag. sanka, Alt. Sag. xakna; Russ. Baca —
Sag. Taica; Russ. Bocna (statt «ocna») — Sag. nocna;
Russ. gepcra — Sag. nepicrä oder neperä, Alt. näpierä,
Jakut. Giäpicrä.
b) Zwischen zwei Vokalen erscheint statt æ meist
nu. Beispiele: FRuss. Aoonaciï — Sag. Annanacbii;
Russ. Araoia — Sag. Apannmija; Russ. Eoumr — Sag.
Eunim. — Ebenso wird häufig n zwischen Vokalen
durch nu ersetzt. Beispiel: Russ. Arpnnuna =
Sag. Erpännäuä ?). | |
c) Die im Inlaute stehende russische tônende Spi-
rante b wird in den entsprechenden tünenden Ex-
plosivlaut 6 verwandelt. Beispiele: Æuss. ABpa-
am — Sag. A6pau; Russ. Kansagera — Sag. Elicä-
Gärrä; Russ. Vsaur — Sag. IGau, Alt. I6an, Jakut.
ViGan; Russ. Kaagxia — Sag. KeuaGgpija; Russ. Jle-
Russ. Ia-
di Fans Russ. 3aB01r — Sag. ca6or, te
ca6a
$ à Die labialen Explosivlaute n und 6 gehen auch
in M über. Beispiel: Russ. 6aprnnna — Sag.mapricna.
Il. Laute der vorderen Zunge. a) Der alveolare
tonlose Explosivlaut Tr geht zwischen Vokalen in das
tünende x über, Beispiel: Russ. [era — Sag. Hänä.
b) Der russische alveolare tünende Explosivlaut 4
geht im Auslaute des Wortes stets, in Inlaute zuweilen,
in T,über. Beispiele: ÆAuss. xepas — Sag. isäpr;
Russ. ropors = Sag. koprir, kopar, Jakut. ryopal;
Russ. Mexars — Sag. mprrrais; Russ. SaBOAB — 549.
| ca6or, Alé. ca6ar (Fabrik).
c) Die russische tünende alveolare Spirante 3 int
9) Erpännäsà ist nicht aus ArpHuEa sondern aus dem volks-
thümlichen Arpaoësa entstanden. R. D
45. .
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
46
im An- oder Auslaute des Wortes in das tonlose €
über. Beispiele: Æuss. ap6y38 — Sag. ap6yc; Russ.
Eansasera — ElicäGärrä; Æuss. raprysr — Sag. kap-
ryc; Russ.. 06pasr — Sag. o6pac; Russ. Benosia —
Cendoijà; Auss. 3akonb (Gesetz) — Sag. cakon, Al.
cakax.
d) Die note alveolare tonlose Spirante m
geht gewôhnlich in c über. Beispiele: ÆRuss. A6-
parka — Sag. AGpacka; Russ. Kkapariame — Sag. ka-
phinnac; Auss. Re — Sag. PICTAPCHIH, “Jakut.
CTAPCPIHA.
e) Die dem mm entsprechende tônende alveolare
Spirante :k geht im Auslaute in © oder in 3, im
Inlaute zwischen Vokalen in 3 über. Beispiele:
Russ. poxr — Sag. aphic, Kas. Kirg. apoum; Russ.
KEPAE —= 54. I3àPT; are yYÆB (statt «yke») — a
yc, Koibal. Katsch. ym.
f) Der russische sonore Nasallaut mit alveolarem
. Zungenverschlusse # geht in das labio-labiale sonore
m über. Beispiele: Auss. Huknæopr — Sag. Mex-
Kinnip; ÆRuss. Huknra — Sag. Merkirrä; ÆRuss. Huko-
Jañ — Say. ice ee LE de — Sag. Cymaÿk
oder cynaÿk, Arab. à ie
. g) Der russische Laut x geht im Worte mit pala-
talen Vokalen immer in das sonore alveolare d» ps
Beispiel: ÆRuss. Kuprao (Slav. Kupuarr) —
Kepilä, Jakut. Kipillà (Bôhtlingk, Über die srae
der Jakuten. Würterbuch, S. 68,a).. :
.h}) Der russische alveolare Zitterlaut «p» geht in
das Sag. «ap» (im Anlaute) über. Beispiele: ÆAuss.
poxb — Sag. apric, Katsch. Kas. Kirg. apr.
INT. Laute der hinteren Zunge. a) Das russische r
geht entweder in 5 (zwischen Vokalen oder sonoren
Lauten in Würtern mit gutturalen Vokalen), oder in |.
k (im An- oder Auslaute), oder in k (im An- oder
Auslaute des Wortes mit palatalen Vokalen) über.
Beispiele: 1) Russ. Araoin — Sag. Apanubija; Auss.
Mraariä — Apuarpii; Russ. Oxpra — Sag. Oupa; Russ.
raïra — Sag. raisa, Alt. raika. 2) Russ. l'aspmio
(Slav. T'aspinre) — Sag. KaGpina; Russ. oJarr — Sag.
ouBik; Auss. ry6epaaropr — Sag. Alt. kyObIpHarTbp,
Tabait KYOBIPHATHIP; , 2USS. TOPOXB — S0g. kopar oder
kôüpoir (auch Kopar, Kkôpeir), Jakut. ryopaz. 3) Russ.
Vprropit — Sag. Kipirôpi; Russ. rHpa — 54. Alt. ripä. |
b) Das russische «x» geht im An- oder Auslaute i in
Würtern mit gutturalen Vokalen in den hinterguttu-
ralen tonlosen Explosivlaut k über. Beispiele: ARuss.
Kä6aKkr— Sag. Ait. ka6ak; Russ. dame ne kap-
Gau, Kysyl. kanmap. :
c) Das russische x geht im Worte mit gutturalen
Vokalen in k und mit palatalen Vokalen in r über.
Beispiele: 1) Russ. xararb — Sag. kaïar, Arab. :
Le PR Russ. Xapnrnma — Sag. Kaparrima; Auss.
XOMYTE — Sag. komor; Æuss. Muxañao (Slav. Mu-
xan18) — Sag. Mrikkaïta, Arab. 4 Ke; Russ. py-
6axa — Sag. ypôaka, Jakut. bipOaxb1; Russ. caxapr
(Zucker) — Sag. cakbip, AU. cakap, Jak. caxap,
Mong. À (Schmidt, Wôrterbuch,S.355,c), Kara-Kirg.
meräp, Arab. Pers. me Russ. xo1crr — Sag. koavie,
Jakut. xoxyCra; Russ. n'ÉtyxR — Sag. nirok, Al.
närik oder nô1ÿk, Jakut. Gürÿk (Bühtlingk, Über die
Sprache der Jakuten. Wôrtérbuch, S. 135,b). 2) Russ.
apxiepeñ — Sag. epKräläi; Russ. Xpucrdcr — Sag.
Kpicrüc; Russ. xo3anire ban ne Pr de À KOSä,
Alt. KküJüim.
9) Gewôhnlicher din der zusammen-
gesetzten Consonanten. a) Das russische n (r+-c)
geht in das tonlose alveolare c über. Beispiele:
Russ. rocrunna — Sag. kocrrinca. ee
b) Das russische «4» (r+-m) geht in «ce» über.
Beispiele: Russ.raraTr — Sag.kaïac; Russ. Kknogr —
Sag. Alt. xÿläc oder Sag. Kÿlÿc; Russ. nes — Sag.
nec, Alt. näc; ÆRuss. pyisnke — Sag. pycamk oder
ypeubik; Russ. qaï — Sag: cai (am Fluss Es, Is) und
qai (Sag. am Askys, Osman. und Jakut.), Mong. À .
(Schmidt, Wôrterbuch, S. 315,c), Kirgis. mai.
c) Das russische 14 (m7 oder m+v) geht
immer in die tonlose alveolare Spirante c über.
Beispiele: Æuss. ammmxr® — Sag. emcik, Osm. jauap1;
Russ. uparamerr — Sag. usipikacepik oder nripkacerik,
10) Übergang der russischen HE et
Consonanten.
a) Russ. x — ia (im Auslaute) Beispiel: Pass. Ti
MEJAIb — S4g. MbITTAÏT.
b) Russ. a — Sag. à im Worte mit aura.
Vokalen. Beispiele: ÆAuss. Re rss
Russ. xynaua — Sag. kynammpi; Russ.
a en |
47 re Bulletin de l’Académie Impériale “ie _4s
- ©) Russ. pe — Sag. là (im Worte mit palatalen
Vokalen). Beispiel: ÆRuss. apxiepeñ — Sag. epräläi.
d) Russ. pu (pi) = Sag. ip. Beispiel: Russ. Ku-
upiaur = Sag.. Rinnipjäx.
=. e) Russ. ps = Sag. ip (im Auslaute). Beispiel:
Russ. cyxaps — Sag. cykaip, Alé. cykaipi,
f) Russ. cA—=cb+a—ic+a. Beispiel: Russ.
Baca — Sag. Taiïca.
g) Russ: cb — Sag. ic. Beispiele: Russ. oc —
Sag. oic; Russ. yes — Sag. yic oder ÿc.
11) Übergang der Doppel-Consonanten.
a) Russ. Bœ (80) geht im Inlaute immer in den
potenzirt ausgesprochenen Explosiv - Consonanten n
über. Beispiel: Russ. Slav. Esouwr — Sag. Eunim.
b) Der russische Doppel-Consonant «m6» geht in
«m» über. Beispiel: Russ. am6apr (aus dem Persi-
schèn Se — Niederlage) — Sag. axmap.
c) Der russische Doppel-Consonant œr» wird in
* Fremdwôrtern nicht verändert, während er in nicht-
entlehnten türkischen Würtern in «y» übergeht. Bei-
spiel: Russ. Anrour — Sag. Anton séatt Anjau oder |
AHJBIH,
12) Zur Vs der Doppelconsonanz
im An- oder Auslaute treten folgende Erschei-
nungen auf.
a) Abfall der a Consonanten. Beïispiele:
Russ. 310p080 — Sag. ropo6a; Russ. cuacn60 — Sag. na-
3B16a. Russ. [[unrpiï— Sag. Mirpai; Russ. KkBwraunia—
Sag. npiTanc; ÆRuss. Xpncanor — Sag. blpsan oder
Kbipsax.
b) Eintreten und Vorsetzen eines Vokals. Bei-
spiele: Russ. Guns — Sag. uilinä; ARuss. Gprice —
* Sag. nbIPBIC oder nbipbick; Russ. Gprokba — Sag. ni-
pÿknä; ÆAuss. Baaxmmipr — Sag. [pitaqimbip; Russ.
BpezaB — Sag. mipär; Russ. Bcë-raku (ebenfalls) — Sag.
nbiCO-Takb1; Russ. L'paropit — Sag. Kbipnôprii; Russ.
_rpbxr=Sag. kipäk; Russ. xpo6e (Schrot der Jäger)—
Sag. rripou; Russ. 1paub — Sag. Tipän; ÆRuss. Arek-
ca1pB — Sag. Aabikcangeip oder Elikcäamip; Russ.
KBaCB — Sag. kpimac; Russ. Kaasaia — Sag. Kb11a6-
abija; Russ. Ko — Sag. Alt. Kÿläc, Sag. auch: Kÿlÿc;
_Russ. Kua3b — Sag. Kinäc; Russ. KpecrhsnnuB — Sag.
kpipeiCrbijas oder Kipäcrijän; ÆRuss. KDCTE = Sag.
__ nipôc; Russ. naarb — Sag. Alt. neuar; Russ. nmcr
(Plüsch)= Sag. nilic; Russ. nprammee — Sag. nvipi-
kaccbik; Auss. npnKka3? — Sag. npipikac oder nripkâc;
Russ. npomense — nipcän; ARuss. cebyrka — Sag. ci-
Gäurä; ÆAuss. ckamba — Sag. bickambija, Kas. icrä-
mijä; Russ. cxoBopoza—Sag. bicko6pa ; Russ. cuerana—
Sag. cimärrän; Russ. cruaka — Sag. icniarä; Russ. cna-
cn60—Sag.bicnaci6a, Jakut. 6acb16a, Sag. auch: na3p16a ;
Russ. crakanr — Sag. bicrakkau; Russ. Cros — Sag.
BICTOZ oder CTOI, Alf. OCTOI, YCTOH, HICTOA, YCTAI,
Jakut. eryox (Bôhtlingk, Üb. d. Spr. d. Jakuten.
Würterb., S. 174,b); Russ. Bropoï (der zweite) — Say.
ouTopoi; Æuss. KOBIE — Sag. kambic; Russ. crap-
muHa — SAÿ. bICTAPCHIH, Jakut, CTapchina; Russ.
wranbt — Sag. Jakut. ticran (ebend."S. 34,a); Russ.
[lerpr — Sag. Ilerrip, Osm., 5; Russ. æxara (aus dem
Deutschen «Flasche») — Sag.nilärä; Russ. Xpncanor —
Sag. Kpipsau; Æuss. Xpuerocr — Sag. Kbipicroc;
Buss. yro6b1 = Sug. BICTO6BI oder cro6b1 (Castrén:
stôby), Beispiel: bCr06br cyr axappa —um Wasser
zu nehmen. Ferner: Russ. maana — Sag. cilänä oder :
clännä (Al. Sag.); Russ. xoacrr — Sug. küabie, Fe
XOJIYCTA.
13) Das Umstellen (Metathesis). Beinidle
a) ay — ya, Àuss. ayanna — Sag. yagiua; Russ.
Jyxa — Sag. Yakä.
b) 8k = nk = kn, Russ. 1aBka — Sag. bé Jakna.
* c)py = Sag. yp, Russ.'py6axa — Sag. yp6aka,
Jakut. bip6axbI.
14) Eintreten und Vorsetzen der Consonan-
ten. Beispiele: ÆRuss. npannxs — Sag. mpäAHK;
Russ. chan — Sag. cânäk; Russ: ocua — Sag. nocna;
Russ. noxaïyüCTa — Sa. 10341BICTBIPA.
15) Abfall von Silben. Beispiele: ÆRuss. KpecTs-
AHUHE — Sag. KbipbiCTbijaH, Kipäcrijän; Æuss. npo-
kon — Sag. kon (séatt npipkou oder nbipkan).
16) Vereinzelter Übergang der Consonanten.
a) Der russische tonlose Explosivlaut « geht in
das tonlose n über. Beispiel: ÆAuss. Monokr (Name
eines Dorfes im Minussinskischen Bezirke) — Sag.
Hôüanik oder Hôabmn.
b) Das russische labio-labiale m geht entweder in
das labio-labiale 6 oder in das sonore alveolare #4
über. Beispiele: Russ, rambinrs — Sag. kaôbic; Russ.
KAPMAHR — Sag. kapôan, Kysyl. kaumap; ÆAuss. 6es-
men — ag. nes6àa; Russ. Tumooeï — Sag, Tinäunäi.
€) Das russ. c — pic, b18 (Séatt «c»), Beispiel: Russ.
49
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
50
cepsra = Sag. bl3bIp5a (salt Chip5a), Jakut. biTappa
(Ohrring), Djag. Kas. Kirg. cbipra.
d) Der russische tonlose alveolare Explosivlaut r
geht in den tonlosen vordergutturalen Explosivlaut
über. Beispiel: Russ. Koncranrune — Sag. Kücräkta.
17) Ausfall der Consonanten.
a) 8. Russ. Slav. Esrpaær — Sag. Jaspan.
b) r. Russ. or106414 (Femerstange) — Sag. 01106a,
Alt. yaama.
c) x. Russ. Slav. Poxaecr8o (Weiïihnachten) — Sag.
Pasacna, Alt. Pasxacua, Jakut. Oxocno.
d) K. Russ. Kkak+-6b1 — Sug. Ka6br.
e) a. Beispiel: ÆRuss. or10614 — Sag. 01106a, Al,
YJAMA.
f) 4. Russ. Koucranrunr — Sag. Kücränkin.
g) n. Auss. Slav. Caunconr — Camcos.
h) r. Russ. Slav. Poxxecrso — Sag. Pasacna, Alf. Pa-
æacna, Jakut. Oxocno,
18)Abkürzungen.Beispiele: Russ.ManorenTii—
Sag. ExkäaTi; Russ. KkButTagnia — Sag. npirâne (Quit-
tung); Auss. crapmnnä — Sag. vicraperiu (Dorfältester).
Verzeichniss der sagaischen Namen der Flüsse, Dürfer,
Städte und Stämme, welche die Unterthanen des
Steppengerichts der vereinigten Stämme (an der
Miündung des Askys) bilden. Von N. Katanoff.
(Lu le 3 mars 1887.)
À.
A56an — Abakan, linker Nebenfluss des Jenissei, Russ.
AGakanr. Z. B.: Apôan ka3biaa-— Am Ufer des
Abakan.
A56au ya3b1 — Abakansteppe. Russ. creur AGakanckan.
AGa-rypa — Stadt Kusnetzk. ÆRuss. Kysneure (Tom-
CKOÏ ry6epain).
Agrai ChIH — . Russ. xpe6ers AurTaïñckii.
Mong.
Ap6ar — Flüsschen art,
Abakan. Russ. Ap6arr.
Ackpic oder Akcpic — Askys, linker Nebenfluss des
Abakan. Russ. Ackbice.
Ackpbic oder Akcbic nelripi — Dorf Askys (an der
Mündung des Askys). Puss. cexo Ackbiccroe,
Abix kôpar — Stadt Atschinsk. Russ. ropoxr AUHHCKE.
Tome XXXII.
linker Nebenfluss des
E.
Ec — Es, Is, linker Nebenfluss des Abakan. Auss. Ecs.
Ec nelripi — Dorf Ust-Es, (wôrtl.: Mündung des
Flüsschen Es). Russ. cexo Vers-Ecnacroe.
J.
Jeniccäi kopar — Stadt Jenisseisk. ÆAuss.
Ennceïck®.
TOPOLB
K.
Kaspip cyr — Kasyr-Sug, rechter Nebenfluss des obern
Jenissei. (wôrtl. schnelles Wasser). Russ. Kasbrp
CyKEB.
Ka — Dorf Kolsky (im Minuss. Kreise). Russ. ne-
pesua Roïkcras.
Kan rerip — Kantigir, linker Nebenfluss des obern
Jenissei. Russ. Ranrnrnpe (wôrtl!. Künig-Himmel).
Kau küpar — Stadt Kansk. Æuss. ropoxr Kanckt.
Kap5a onropoi noxo6ix (oder: rar kappasbi) — Karga-
Geschlecht. 2. Hälfte (wôrtl. Berg-Karga). Russ.
Jaïbnekaprnackiä poxR; Raprnackiñ poxr 2-of
n0J10BAHbI.— Kappa nepôäi noxoGia (oder: cyr kap-
5a3bl) — Karga-Geschlecht 1. Hälfte (wôrt. Was-
ser-Karga). Russ. Banxnerkaprunckiä poxr; Kap-
CHHCKIH POLR 1-0 NOIOBHHI.
Kac (oder Kau) — 1) Fluss Katscha (Æuss. Kaya), an
welchem die Stadt Krasnojarsk liegt.— 2) der Ka-
tschinze. Russ. Ragunens. Plur. Kacrap (oder Kam-
rap— die Katschinzen. ÆRuss. Kaumamm). Herr
A. Castrén theilt fälschlich mit, dass «die Ka-
tschinzen sich selbst Chaschtarbs» nennen
(s. seine «Reïseberichte und Briefe aus den …
Jahren 1845—1849».$. 521). Dieses Wort hat
Castrén nicht verstanden. Chaschtarbs —
Kämrap-6me, d. k. wir sind Katschinzen. Ich
denke, dass Dieses auf die Castrén’sche Frage
«wer seid ihr»? oder «wie nennt ihr euch»? eine
richtige Antwort war. Kac ua3pr — die Katschin-
zische Steppe. uss. Kagnackasa crenr.
Karrmipac — Dorf Kaptyrewo (im Minussin. me
Russ. cexo Kanreipeseroe.
Ko6pii, PI. Ko6rrisap — Kobyi-Geschlecht,. Russ. Ka-
BunHeuB, RUBAHCKIK POLE.
oi6ax — der Koïbale; ?/. Koïi6asrap — die Koïbalen.
Russ. Koï6aïr; en
cKkiñ poxB. Koï6ar don die Koïbalische Mc |
Russ. RoïGaïbcKaa crens.
4
KRoüGaïbnpt; Koï6aas- |
o1
Bulletin de l’Académie Impériale
52
Koupir Kaja — Kysyl-Geschlecht. Æuss. Knsnasckiit
poaz. Wôrtl. rother (kr1b1a) Fels (kaja).
Kpisbia ap — Hauptstadt Krasnojarsk (am mittleren
Jenissei). Æuss. Kpacaoapcxr. Wôrtl. rothes
(kp13B11) Ufer (aap).
Kou, PI. Korisap — Kyi-Geschlecht. Æuss. Kiñcriñ
POXE.
K.
Ken — Fluss Jenissei. Russ. Eanceï.
M.
Mayap cyr — Madyr, linker Nebenfluss des obern
Abakan. ÆRuss. Maropr. Bei Castrén: Matyra.
Cyr — Fluss, Wasser.
Menÿccin kôpar — Stadt Minussinsk. Æuss. roporr
Munycuxcre.
Mpac oder Msipac cyr — Mrass, linker Nebenfluss des
Tom; bei Castrén: Mrassa. Russ. phkä Mpaccz.
H.
Hix cyr — Nenja, rechter Nebenfluss des Uibat. Russ.
Huus.
Hônbu — Dorf Monok (im Minussin. Kreise). Russ.
xepesaa Monorckaa oder Ménore.
pe Ô. j
Ok — Ok cyF oder Kamyschta, linker Nebenfluss des
mittleren Abakan. Æuss. Ramsnura.
IT.
Hasa cyF — Basa, linker Nebenfluss des mittleren Askys.
| Russ. Basa.
Helrip — der Beltire; 71. Ilelripläp — die Beltiren.
Russ. Bexsrupent, Bessrupri, Bexsrapupr; Beas-
THPCKIÏ POXR.
Hi cyr — 1) Béja, rechter Nebenfluss des obern Uibat.
Russ. Bes. 2) Beja, linker Nebenfluss des mitt-
leren Abakan. Æuss. Bea. — Il rypa — 1) Stadt
Bijsk; 2) Dorf Beiskoje (im Minussin. Kreise).
Russ. 1) ropoxs Biücks (Tomexkoÿ ry6.); 2) cexo
Beïücroe.
Torpacertan — Potroschilow’sche Überfahrt (28 Werst
von Minussinsk). Russ. Iorpomnio8r nepesosr.
Hÿpä cyr — Bjura, linker Nebenfluss des obern Uibat.
Russ. Bropa.
C.
Capai — — der. Sagaier; Plur. Capaisap — die Sagaier.
Russ. Caraewr, Caraïnpi. Capai onropoi nouo-
Gin — Sagaier-Geschlecht 2. Hälfte; Capai nepôäi
uo0611 —Sagaier-Geschlecht 1. Hälfte. Russ. Ca-
raückiä poxB 1-où n0o10BmHb1; CaraïCKiü POLE 2-0ù
no1oBuubI. — Capai 4a3b1 — die Sagaische Steppe.
Buss. Caraïñcraa Creuse.
Cajor oder Cojaunap — die Sojoten, Grenzbewohner
der Nord-Mongolei. ÆRuss. Coïorbi. Mongolischer
Sing. von Cajor ist Cojan: siche Cojax.
Ca16a — 1) Salba, rechter Nebenfluss der untern Tuba.
Russ. Cax6a. 2) Salba-Geschlecht.
Cä — Seja, Sé, linker Nebenfluss des obern Abakan.
Buss. Ces.
Cojau, P/. Cojannap — 1) der Sojote, Grenzeinwohner
der Nord-Mongolei (Vergl. Cajor); 2) Dorf Sa-
janskoje (im Minussinskischen Kreise). ÆRuss.
1) Caïñor?; 2) xepesua Caaackas.
Côp (oder Iop), PI. Coprap — Schor-Geschlecht.
Russ. KRapauepckiit poxe.
Côc— Dorf Judina oder Sossy (im Minussinskischen
Kreise). Russ. 1epesua FOyuua, Cocpr.
Cyc — Dorf Schuschenskoje (im Minussin. Kreise).
Russ. cero Hiymeuckoe oder lyme.
1"
Taôar — Dorf und Fluss Tabat (im Minuss. Kreise).
Liuss. Ta6ars.
Ta306a cyr — Tascheba, linker Nebenfluss des obern
Jenissei. Æuss. Tame6a.
Tajac, P/. Tajacrap — Tajas-Geschlecht, ARuss. W3y-
IePCKI POXE.
Tacrbin — 1) Taschtyp, linker Nebenfluss des obern
Abakan. Russ. Tamrbins. 2) Dorf Taschtypskoje
(im Minussin. Kreise). ARuss. cexo Tamrrbinckoe.
Teucäl cyr — Tepsel, rechter Nebenfluss des obern Je-
nissei. Æuss. Tencers.
Tec— 1) Tes, linker Nebenfluss der untern Tuba.
Russ. Tece. 2) Dorf Tessinskoje (im Minuss.
Bezirke). ARuss. cexo Tecnncroe.
Tom— 1) Tom-Geschlecht, P/. Tomnap. Russ. Rasa-
HOBCKIÏ por. 2) Fluss Tom, Nebenfluss des mitt-
leren Ob. ÆRuss. Tous. 3) Tom kôüpar — Stadt
Tomsk. Auss. ropoxr Tomer.
Ty6a — 1) Tuba, rechter Nebenfluss des mittleren Je-
nissei. *%uss. Ty6a. 2) Tuba-Geschlecht der Kat-
schinzen, P4, TyGarap. Russ. TyGnuckif pOxs.
53
des Sciences de Saïint-Pétersbourg.
54
Y.
Vi oder Ÿ — 1) Flüsschen Ui, linker Nebenfluss des
obern Jenissei. Russ. phka Vi. 2) Vi rar (oder Ÿ
Tar) — UÜi-Berg am mittleren Abakan.
ViGar cyr —Uibat, linker Nebenfluss des mittleren
Abakan. Russ. YüGarz. ViGar aazb1 — die Uiba-
tische Steppe. Auss. crens YüGarckas.
Yr— 1) Flüsschen Ut, rechter Nebenfluss des mittle-
ren Abakan. Zuss. Yre. 2) Dorf Uty (im Minuss.
Bezirke). Russ. 1epesua Vrnncras.
ÿ
Ÿ oder Vi rar — Ui Berg, am mittleren Abakan (unter
den Flüsschen Ok und Vi6ar, im Minuss. Bezirke).
Russ. ropa Yü.
ee
da6ar cyr — Tschebal Sug, rechter Nebenfluss des
obern Abakan (würtl. schlechtes Wasser). Russ.
Tebarcyke.
TarGaprsi — Dorf Tschelbarty (im Minussinsk. Kreise).
Russ. erGaprer oder Bospmoï Iyrr. (Grosse
Wiese).
Mai (oder Tai) cyr — Flüsschen Tschai oder Dschai,
linker Nebenfluss des obern Jenissei. Russ. phuxa
xaï.
Studien über den Sterncatalog .Positions moyennes
de 3542 étoiles, déterminées à l’aide du cercle
méridien de Poulkova dans les années 1840—
1869 et réduites à l'époque 1855,0“. St. Péters-
bourg, 1886. Von 0, Backlund, (Lu le 14 avril
1886).
Der mit dem obigen Titel versehene Catalog,
_ welcher von mir und unter meiner Leitung aus den in
den «Observations de Poulkova», Band VI und VII,
publicirten Beobachtungen hergelcitet ist, wurde, als er
noch im Manuscripte vorlag, von Herrn L. Struve
benutzt, um die Constante der Präcession, die Bewe-
gung des Sonnensystems und die Eigenbewegungen
der Bradley’schen Sterne zu berechnen. Da aber
Herr Struve, wie es scheint, bei dieser Gelegenheit
über den Catalog selbst keine Untersuchungen ange-
Stellt hat, so halte ich die folgenden Mittheilungen
nicht für überflüssig.
Die in den Bänden VI und VII der «Observations
de Poulkova» gegebenen scheinbaren Oerter sind, was
die Rectascensionen betrifft, durch Anschlussbeobach-
tungen ermittelt; die Anschlüsse künnen jedoch nicht
als vüllig streng betrachtet werden, weil sie in Zonen
bestimmten Aequatorpunkte abgeleitet; sie sind also
ganz unabhängig von irgend einem anderen System von
Sternpositionen. Aus diesem Material sollte ein einheit-
liches, mit dem Mittel aus den Pulkowaer Hauptcata-
logen für 1845,0 und 1865,0 identisches System ge-
schaffen werden. Um dieses Ziel zu erreichen, war
eine Reïhe von weitläufigen Untersuchungen nüthig, die
dadurch noch verwickelter wurden, dass an den Beob-
achtungen sich fünf verschiedene Beobachter betheiligt
haben, die in Bezug auf die Methoden sich mehr oder
weniger bewusst von einander unterschieden. Aus die-
sem Grunde erscheint eine Untersuchung a posteriori,
in wiefern unser Catalog mit dem erwähnten System
als identisch betrachtet werden darf, besonders geboten;
ferner ist aber auch die Feststellung seiner Qualität an
und für sich sowie in Bezug auf andere bekannte Sy-
steme eine wissenschaftliche Anforderung, die erfüllt
werden muss, wenn er überhaupt Verwendung für Auf-
gaben finden soll, die eine genaue Kenntniss des anzu-
wendenden Materiales verlangen.
1, Vergleichung mit dem von Herrn Romberg aus seinen
Beobachtungen am Pulkowaer Meridiankreise abgeleiteten
Cataloge,
Ein besonders werthvolles Material zur Erledigung
der Frage über die Identität unseres Cataloges mit dem
Pulkowaer Hauptsystem boten die umfassenden Beob-
achtungen des Herrn Romberg am Meridiankreise im
Laufe der Jahre 1874— 1880. Seiner freundlichen
Mitwirkung verdanke ich die Müglichkeit, dieses Ma-
terial benutzen zu künnen, indem er (aus dem Manu-
scripte seines Cataloges für 1875,0) alle den beiden
Catalogen gemeinschaftlichen Sterne mit bekannter
Eigenbewegung auszog und auf die Epoche 1855,0
reducirte.
Ehe ich zur Mittheilung der Vergleichung der bei-
den Cataloge gehe, wird es nothwendig sein, einige Be-
merkungen über die von Herrn Romberg getrofiene
Anordnung seiner Beobachtungen vorauszuschicken.
: | +
55
Bulletin de l'Académie
Zur Ableitung der Uhrstände und Aequatorpunkte der
Kreise wurden nur Sterne, die südlich vom Zenith cul-
miniren, benutzt, und zwar wurden die Sterne so
gewählt, dass das Mittel ihrer Declinationen für jeden
Beobachtungsabend nahezu dasselbe war. Durch eine
solche Anordnung wird offenbar kein stref#er Anschluss
an das adoptirte Fundamentalsystem erzielt, vielmehr
wird dadurch, namentlich was die Declinationen be-
trifft, eine vüllige Übereinstimmung mit dem Funda-
mentalsystem nur in demjenigen Parallelkreise zu er-
warten sein, welcher durch die mittlere Declination der
angewandten Fundamentalsterne bestimmt wird. Dass
man es hier, strenge genommen, nicht für jeden Abend
mit demselben Parallelkreise zu thun hat, ist selbst-
verständlich; die Abweichungen von einem mittleren
sind aber so gering, dass ihr Einfluss auf das
Endresultat nur den Character von zufälligen Fehlern
haben wird. Das Verfabren des Herrn Romberg hat
jedenfalls Res grüsseren wissenschaftlichen Werth als
reine À Ï gen, besonders wenn es sich
um sorgfältig und genau ausgeführte Beobachtungen
handelt, denn dadurch wird bis auf eine Constante ein
selbstständiges System erlangt, das also bis zu einem
gewissen Grade dem angenommenen Fundamentalsy-
stem zur Controle eventuell Verbesserung dienen kann,
vorausgesetzt natürlicherweise, dass das Instrument
hinreichend genau untersucht ist. Als Fundamentalsy-
stem hat Herr Romberg das provisorische Pulkowaer
System für 1865,0, welches dem Auwers’schen Funda-
mentalcataloge zu Grunde liegt, angewandt.
Bei den nun folgenden Vergleichungen wollen wir
uns der Kürze halber einiger Bezeichnungen bedienen,
nämlich:
P, — Der Catalog der Pulkowaer Haupt-
DRCPINS ŒE nc ed dus ue 1845,0
Pi — Der Catalog der Pulkowaer Haupt-
SIOEDS I Sen nue 2e 1865,0
(P.) = : Der provisorische Catalog der Pul-
| = kowaer Hauptsterne für. . . ... 1865,0
P,, — Das Mittel aus P, und P, geltend
NN IR is me une 1855,0
IH — Positions moyennes . 1855,0
R — Romberg’s Catalog für . ...... 1875,0.
Die nb von EI mit R ergab folgende Dif-
| wurde Aa — +
Impériale 56
Mittlere Differenzen.
ts:
à Aa #* AG #%
#8197 —0:24 0:05 13 —071 0,12 1}
+-77,5 —0,20 0,06 27 —0,60 0,07 29
+72,4 —0,16 0,03 23 —0,76 +0,07 25
+-67,2 —0,09 0,01 31 —0,62 +0,06 31
+-62,0 —0,11 #0,02 23 —0,31 +0,06 24
+-57,9 —0,015-<0,009 49 —0,12 0,06 49
+-52,4 —0,003-#0,012 30 —0,11 0,08 29
+-48,1 —0,008#0,010 39 —0,38 0,05 39
+-42,5 —0,015—#0,010 38 +0,10 0,07 37
+37,8 +0,030#0,007 41 +0,56 0,08 41
32,4 —0,024#+0,008 40 +0,43 +0,06 39
+27,0 —0,014#0,006 48 +-0,31 +0,07 46
+22,7 —0,0322#0,006 61 +0,03 +0,06 64
+-17,3 —0,042-<0,006 44 0,00 +0,08 41
+12,2 —0,059#0,009 29 —0,05 0,05 30
+ 7,3 —0,054#0,011 32 +0,31 +0,10 30
+ 2,7 —0,0302#0,011 30 —<+0,06 +0,10 29
— 1,7 —0,072-#H0,013 14 —0,54 +0,12 14
— 7,1 —0,044-H0,008 18 —0,30 0,10 19
—12,4 —0,047-H0,011 11 —0,58 0,12 13
Die w. Fehler der Differenzen Aux und A sind 'an-
gesetzt, um über die Zuverlässigkeit der anzuführenden
Ausgleichung leichter urtheiïlen zu künnen. Ein Blick
auf die Aa genügt, um sofort die Überzeugung zu ge-
winnen, dass sie nürdlich und südlich vom Zenith ge-
trennt ausgeglichen werden müssen, dass also das Ze-
nith als ein Unstetigkeitspunkt der ausgleichenden
Curve zu betrachten ist. Demgemäss wurden auch bei
der Ausgleichung die Aa als zwei verschiedene durch
das Zenith getrennte Systeme behandelt ).
Die Ablesung der ausgleichenden Curven gab fol-
gende Zahlen:
Ausgeglichene Differenzen.
II — XX.
ô Aa ô
4 80° 0219 — 064
+ 75 — 0,11 — 0,68
T0 008 (21066
1) Bei dem Zeichnen der Curve für die Aa sûüdlich vom Zenith
0:030, entsprechend à — + 37,8, unberücksichtigt ge-
lassen, weil in dieser Differenz kein hinreichender Grund zu liegen
schien, um von dem môglichst einfachen Zug abzuweichen. Die erste
Annäherung erwies sich als vôllig ausreichend, indem die zweite
Annäherung die angeführten Zahlen nicht merkbar änderte
57
des Sciences de Saint-Pétersbourg. 58
— 10
— 15
Aa
— 0:10
— 0,12
— 0,010
— 0,010
— 0,010
— 0,010
— 0,012
— 0,019
— 0,028
— 0,038
—— 0,044
— 0,046
— 0,043
— 0,041
— 0,040
— 0,040
— 0,040
AS
— 0:49
— 0,20
— 0,10
— 0,26
— 0,15
+ 0,50
+ 0,48
+- 0,356
+ 0,18
+ 0,01
— 0,02
+ 0,07
+ 0,19
— 0,30
— 0,42
— 0,40
— 0,65
Herr Romberg hat selbst die von ihm beobachteten
Pulkowaer Hauptsterne mit (P,) verglichen. Das Re-
sultat dieser Vergleichung ist das folgende:
Mittlere Differenzen.
(P)— R
ô Aa AS
+ 7456 HOIE ce 0577
+ 72,3 — 0,07 — 0,65
+- 67,1 — 0,10 — 0,46
+ 61,9 — 0,13 — 0,35
+ 57,4 —+- 0,020 0,00
+- 52,3 + 0,018 — 0,29
+ 47,5 + 0,015 — 0,22
+ 42,4 +- 0,009 + 0,07
+ 38,1 + 0,013 + 0,51
+ 32,9 + 0,025 + 0,52
+ 28,0 -+ 0,012 + 0,24
+- 22,8 + 0,006 + 0,053
+- 17,3 — 0,005 — 0,09
+ 12,7 — 0,014 — 0,17
+ 7,7 — 0,017 + 0,17
+ 5,0 — 0,022 + 0,23
99 — 0,024 — 0,80
— 8,0 — 0,022 — 0,34
— 15,1 + 0,001 — 0,76
— 16,5 — 0,015 — 0,64
Die von Herrn Romberg ausgeführte Ausgleichung
lautet:
Ausgeglichene Differenzen.
ô Au A
+ 80° — 020 — 0,77
+ 75 — 0,11 — 0,68
+ 70 — 0,08 — 0,56
+- 65 — 0,11 — 0,43
+ 60 — 0,13 — 0,19
+ 55 + 0,018 —0,11
+ 50 + 0,018 —0,27
+ 45 + 0,016 —0,09
+ 40 + 0,016 +0,33
+4- 35 + 0,014 +0,53
+ 30 + 0,015 +0,40
+ 25 + 0,008 +0,15
+- 20 — 0,001 — 0,06
+ 15 — 0,011 —0,17
+ 10 — 0,016 +0,03
+ D — 0,019 +0,22
0 — 0,024 —0,43
— 5 — 0,022 —0,56
— 10 — 0,012 —0,48
— 15 — 0,007 —0,71
Ich bemerke hier nun vor allen Dingen, dass die
Differenzen (P,)—R ausschliesslich auf den Pulkowaer
Haaptsternen beruhen, während zur Bildung der Dif-
ferenzen 112 diese Sterne nicht mit hinzugezogen
worden sind, Die Añzahl der verglichenen Sterne ist
also bei T1— À nahezu doppelt so gross, als bei (P,)—2.
Während aber die dem Cataloge II wie die dem Ca-
taloge À angehürenden Sterne durchschnittlich nur 4
Mal beobachtet sind, ist jeder der Pulkowaer Haupt-
sterne von Herrn Romberg durchsehnittlich 23 Mal
beobachtet worden. |
Wäre nun (?.) mit ?,, identisch, so würden die an-
geführten Differenzen sofort einen Aufschluss über die
Beziehung zwischen II und P,, geben. Da dies aber
nicht der Fall ist, so kônnen die Differenzen I—R
und (?P,)—R nicht ohne weiteres mit einander ver-
glichen werden.
Um die beiden angeführten Reductionstafeln mit : . :
einander vergleichbar zu machen, wollen wir die be-
kannten Relationen einerseits zwischen P, und P, und” .
59
Bulletin de l’Académie Impériale
60
anderseits zwischen P, und (P,) benutzen. Diese sind
durch die folgenden Tafeln gegeben:
Er l, Fe)
ô Aa Aë Aœ A8
80° —05158 +026 —0087 —0,19
+13 0,142 0,29 22 081 0,21
+70. 0,120 0,32 0,070 - 50,25
4-65 —0,082 —-0,32 0,070 : —0,28
+00 008 009 20,066. : 0,27
+55 —0,055 —0,22 0,062 —0,22
+50 —0,055 —0,07 —0,057 —0,15
+45 —0,056 +0,11 —0,054 —0,06
+40 —0,057 +0,25 —_0,050 +0,03
+55: -0056 +0,39 0047: - +0,08
+80 —0,054 +0,15 —0,044 —+-0,05
1625 20.048 +0,11 —0,041 +0,02
+20 —0,043 +0,21 —0,040 —+-0,02
+15 —0,040 +0,27 —0,038 —+-0,03
+10 —0,038 +0,20 —_0,038 +0,05
+ 5 0038 -H014 0 129. +007
0 —0,040 +0,16 0,040 +0,11
— 5 —0,043 +0,24 —0,042 +0,16
2-10 20,048: +0,30 0,044 +0,22
#15 0,060 +0,27 : (--0:045) (0,28)
Die Werthe der Tafel P.—P, sind der Einleitung
zu dem VIIL Bande der «Observations de Poulkova»
entlehnt.
Es ist
P=P,+i(P,; Pr)
Soil nun 11 mit P, identisch sein, so muss auch
P,=11+;(?7,—P,)
und also
P—R=—=1N—R+;(P,—P,)
sein.
Berücksichtigen wir ausserdem die Identität
P,—R=(?, tr US
so ist ersichtlich, dass wir aus den angeführten Ta-
. feln P—R in zweïerlei Weiïise erhalten künnen. Ein-
mal dadurch, dass wir zu den Zahlen der Tafel 11—-X
_ die entsprechenden Zahlen von P,—P, addiren, nach-
… dem sie mit 2 dividirt sind; und sodann aus der Tafel
(P,)—R durch Addition der entsprechenden Zahlen
der Tafel P.—(P). Wenn also die auf diesen beiden |
Wegen erhaltenen Tafeln für P,—2 identisch sind, so |
muss auch II mit P,, identisch sein. Es folgt nun das
Resultat dieser Rechnung: :
I—R+;(P—E,) (P,)—R+P,—(P,)
= P —k = P —R
ô Aa AS Aa TE)
280% ::220:27 —0,77 —0:29 : —0,96
+75 —0,18 —0,83 —0,19 —0,89
+70 —0,14 —0,84 — 0,16 —0,81
+65 —0,14 —0,65 —0,15 —0,71
+60 —0,15 —0,35 —0,16 —0,46
+55 —0,038 —0,21 —0,044 —0,33
+50 —0,038 —0,50 — 0,039 —0,42
+45 —0,038 —0,10 —0,038 —0,15
+40 —0,038 +0,42 —0,039 +0,36
+35 —0,040 +0,64 — 0,035 +0,61
+30 —0,046 +0,43 —0,029 +0,45
+25 —0,052 +0,23 — 0,033 +0,17
+20 —0,059 +0,11 —0,041 —0,04
+15 —0,064 +0,11 —0,049 —0,14
+10 —0,065 +0,17 —0,054 +0,08
+ 5 —0,062 +0,26 — 0,059 +-0,29
O —-0,061 —0,22 —0,064 —0,32
— 5 —-0,062 —0,30 —0,064 —0,42
—10 —-0,064 —0,25 — 0,056 —0,26
—15 —0,070 —0,49 — 0,052 —0,43
In & ist die Übereinstimmung, mit Ausnahme der
Zone + 30° bis + 5°, eine vollständige zu nennen;
die in dieser Zone stattfindende Abweichung ist aber
eine so geringfügige, dass man sie keineswegs als reel
anzusehen braucht. Die Ausgleichung, da sie durch
Curvenziehen stattfindet, ist immerhin einer gewissen
Willkür unterworfen, deren Grenzen von den wahr-
scheinlichen Fehlern der auszugleichenden Zahlen an-
gegeben werden; bedenkt man nun, dass jedes der ne-
ben einander gestellten Resultate die Summe zweier
ausgeglichenen Reïhen ist, so dürfte man kaum be-
rechtigt sein, eine grôüssere Übereinstimmung zu er-
warten. Die Übereinstimmung der A3 kann man nach
dieser Bemerkung ebenfalls als befriedigend betrachten;
man darf deshalb den Schluss ziehen, dass zwischen II
und P,, weder ein constanter, noch ein mit den Decli-
nationen veränderlicher Unterschied vorhanden ist. Es
erübrigt nun zu untersuchen, ob ein von der Rectascen-
sion abhängiger Unterschied sich zeigt.
Nach Berücksichtigang der vorstehenden Reduc-
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
tionstafel für 11— À, ergaben die übrigbleibenden
Differenzen, zu Mitteln von Stunde zu Stunde ver-
einigt, die folgenden Zahlen:
se
œ Âœ LE AÔ LE
05 —0:003 32 019 54
1,5 —0,002 30 —0,09 30
2,5 —0,019 33 =10,25.:33
3,5 <+0,011 24 —0,07 24
Abe. -0-00% 17 +0,10 . 21
5,5 0,001 27 +0,31 26
6,5 <+0,016 26 +0,09 27
1,5 0,021: 95 009 27
8,5 <+0,010 29 +0,11 29
9,5 —0,003 25 +0,12 925
10,5 <+0,010 26 +-0,28 26
11,5" -L0,082 ” 14 +0,15 15
125 +0,029 28 EOES 82
13,5 <+0,022 22 4-0,10 22
14,5 <+0,019 21 Loch "91
15,5 0,000 22 20.28.00
16,5 —+-0,010 23 +001 22
17,5 —+0,031 23 +0,15: 24
18,5 “<+0,034 25 D tt 41
19,5 —+0,049 30 0,02 31
20,5 <+0,009 39 —0,26 39
Dia 0,018 23 —0,05 24
295 0,046: 26 0,00 27
23.5 --0:032 33 +0,14 33
Bei dem Zeichnen der Curve für die Aa wurden die
Werthe dieser Grôüsse bis 12° vernachlässigt und nur
die späteren von dieser Stunde an berücksichtigt.
Nachdem diese Zahlen ausgeglichen waren, ermit-
telte ich, wie oben, P—2À und dann mit Hülfe der
von Herrn Romberg abgeleiteten Reductionstafel für
(P)—R die (P2J—R+P—(#)—=7#7,-—R. Es
konnte dabei
P,— P,=P, — (EP)
angenommen und daher die Reductionstafel in Au-
wers’s Fundamental-Catalog nach Umkehrung der
Zeichen benutzt werden, nämlich:
P, es (2)
3 œ Aa AG
0° —0:013 0716
1 —0,015 —0,10
2 —0,012 +-0,05
3 — 0,006 +0,10
4 0,000 +0,10
Au
+-0:006
+-0,010
+-0,013
+0,013
+0,010
+ 0,005
+-0,001
—0,003
—0,006
—0,008
— 0,008
—0,007
— 0,003
+-0,001
+-0,004
+0,003
0,000
— 0,005
— 0,010
—0,013
Ich erhielt in der Weise:
H—R+1(P, —P.)
P
&
© D I OS Ot à © D mm ©R
ee creme nat se Amen DES MD
à
+-0/02
—0,09
—0,01
(P)—R+P,—(P)
= ?P —R
l
HD M
—0011 —0,10
—0,024 —0,02
— 0,014 +0,05
0,000 0,00
0,010 —+-0,02
+0,014 +-0,08
+-0,018 +-0,08
0,019 +0,02
+-0,015 0,00
+-0,007 +0,12
—0,002 +-0,23
— 0,006 +0,29
— 0,001 +0,32
+-0,001 +0,19
—0,003 0,00
—0,003 —-0,08
40,001 —0,04
+0,006 —0,01
+0,003 —0,08
0,000 —0,13
— 0,012 —0,01
—0,012 0,00
— 0,005 —0,10
—0,008 —0,18
— 0,011
63
Bulletin de l’Académie Impériale
64
Die Reductionstafeln I1— À und (?,)— R führe
ich, um Raum zu sparen, nicht an. Sie ergeben sich
übrigens sehr leicht mit Hülfe der Tafel ?, —(?,)
aus den eben angeführten.
Auch hier ist die Übereinstimmung befriedigend,
wenigstens bis auf die A« für die Stunden 13"—20/;
in diesem Intervalle scheinen freilich die Unterschiede
der beiden Reïhen zu bestimmt hervorzutreten, um
ihnen jede Bedeutung abzusprechen, auch wenn man
berücksichtigt, dass sie aus einer Reiïhe von Opera-
tionen resultiren, deren jede für sich unvermeidliche
Fehler einschliesst. Wenn man nun annimmt, dass ?,
und À für 12*—20” identisch sind, wie es in der That
nach der zweiten Reïhe erscheint, so würden an II
folgende Correctionen anzubringen sein, um mit ?,
identisch zu werden:
Corr. zu II.
19° — 0006
13 —0,012
14 —0,015
15 —0,001
16 0,004
17 0,015
18 0,027
19 0,030
20 —0,011
Vorläufig lege ich jedoch auf diese Correctionen
kein Gewicht, sondern werde später diese Frage be-
rühren. Es mag aber hier hervorgehoben werden,
dass der ersten Reiïhe nur Vergleichungen solcher
Sterne zu Grunde liegen, welche im Allgemeinen
schwächer sind, als die Hauptsterne, aus deren Ver-
gleichungen die zweïte Reïhe abgeleitet ist; es Wäre
daher nicht undenkbar, dass der Unterschied von
Romberg’s Catalog herrührte, was jedoch unwahr-
scheinlicher ist,
| enn man nun auch die angeführte kleine Correc-
tionstafel als begründet annimmt, so muss dennoch
das Resultat der Vergleichung mit Romberg’s Ca-
_talog als im Wesentlichen befriedigend betrachtet
werden, indem aus derselben hervorgeht, dass IT so
nahe mit P, übereinstimmt, als man billigerweise
erwarten kann, wenn man bedenkt, wie heterogen das
im Bande VI und VII gegebene Material ist. Dies vor-
_ausgesetzt, ergiebt sich aus unserer Untersuchung eine
__ ganz besonders hervorragende Eigenschaft des Rom-
berg’schen Cataloges, nämlich dass die von ihm beob-
achteten Hauptsterne mit den anderen Sternen seines
Cataloges ein vollständig einheitliches System bilden,
denn sonst wäre die im Vorhergehenden erlangte
Übereinstimmung zwischen den Reductionstafeln P —R
nicht müglich gewesen, wenn man nicht gewisse Voraus-
setzungen machen will, die wenig Wahrscheinlichkeit
für sich haben. Es kann daher nur dringend gewünscht
werden, dass dieser werthvolle Catalog môglichst bald
herausgegeben wird, damit er der Wissenschaft den
môglichst grossen Nutzen leiste.
Es müge hier beiläufig, mit einigen Worten, das
Verhältniss des Meridiankreises zum Verticalkreis
den auf die Collimatoren bezogenen Beobachtungen
von Sabler, Dôllen, Winnecke und Gromadski
gebildetes mittleres System M verhält sich zu P,,, wie
in der folgenden-Tafel P, — M angegeben wird; die
Bedeutung der übrigen Columnen ist ohne weiteres
verständlich.
der Pulkowaer Sternwarte erwähnt werden. Ein aus
À ap pe ONE Sn 2 M—R
ô AS aë Aë
+-80° —0;28 —0°64 —0;36
+75 —0,14 —0,69 — 0,55
+70 —0,03 —0,68 —0,65
65 +-0,05 —0,49 —0,54
+60 +-0,14 —0,20 — 0,34
+55 +-0,21 —0,11 —0,32
+50 +0,32 —0,26 — 0,58
+45 +0,51 —0,15 —0,66
+40 +0,65 +-0,30 —0,35
+35 +0,78 +0,48 — 0,30
+30 +0,68 +0,36 —0,32
+25 +0,31 +0,18 —(0,13
+-20 +0,43 +0,01 —0,42
+15 +0,60 —0,02 —0,58
+10 +0,57 +0,07 — 0,50
+ D +0,44 +0,18 —0,26
0 +-0,01 —0,30 —0,29
— 5 —0,22 —0,42 —0,20
—10 —0,21 —0,40 —0,19
—15 —0,22 —0,50 —0,28
Dass M—R so gross ist, im Mittel — 0%, ist
allerdings auffallend, wenn man bedenkt, dass die
Beobachtungen mit demselben Instrument ausge-
führt sind; es lässt sich aber zum Theil daraus
erklären, dass Sabler, Düllen, Winnecke und
65
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
Gromadski den Aequatorpunkt mit Hülfe von Colli-
matoren bestimmten, Romberg aber denselben mit
Hülfe der Hauptsterne ‘abgeleitet hat. Ausserdem
sind die Combinationen der Lagen des Instrumentes
etwas verschieden gewesen, Die Herren Sabler, Dôül-
len, Winnecke und Gromadski beobachteten in 4
Lagen des Instrumentes — dabei wird der Umtausch
von Objectiv und Ocular als ein Wechsel der Lage
aufgefasst — und hatten dabei immer die Mikroscope
am ôstlichen Pfeiler befestigt, während Herr Romberg
nur in zwei Lagen beobachtete und die Mikroscope
am westlichen Pfeiler ablas. Durch diesen Umstand
sind allerdings für die beiden Reïhen verschiedene
Theiïle der beiden Kreise zur Anwendung gekommen;
nichts destoweniger ist diese Anordnung jedenfalls un-
zweckmässig, weil die systematischen Fehler der Kreiïse
nur zu geringem Theile eliminirt werden. Die Kreise
sind nämlich so gestellt, dass bei der ersten Reïhe im-
mer dieselben Striche der beiden Kreise zur Anwen-
dung kommen, und zwar in allen 4 Lagen, wenn ein
und derselbe Punkt des Himmels beobachtet wird.
Da nun die beiden Kreise nahezu dieselben systema-
tischen Fehler haben, so ist ersichtlich, dass die Thei-
lungsfehler systematischen Characters in dieser Weise
pur in ganz geringem Betrage eliminirt werden. Von
den beiden Lagen, in welchen Herr Romberg beob-
achtet hat, lässt sich genau dasselbe sagen. Durch
Anwendung der Mikroscope am westlichen Pfeiler sind
bei seinen Beobachtungen zwar andere Theile der Kreise
zur Geltung gekommen, als bei der ersten Reiïhe;
die systematischen Theilungsfehler wiederholen sich
hier aber beinahe in derselben Weiïse, was auch die
beiden Columnen P,— M und P,—R deutlich zu
erkennen geben, denn diese zeigen bis auf eine Con-
stante nahezu denselben Gang. Die Theïlungsfehler
der Kreise sind allerdings zweimal untersucht worden,
einmal in Intervallen von 7,5 und dann in Intervallen
von 10°. Die durch die vorstehenden Tafeln angege-
benen Abweichungen von dem gut untersuchten Ver-
ticalkreise stellen aber als dringendes Desideratum
eine noch genauere Untersuchung der Kreise hin, es
sei denn, dass man durch zweckmässige Drehungen
der Kreise die systematischen Theilungsfehler müg-
lichst vollständig zu eliminiren sucht.
Die Vergleichung von Il mit X bietet die Môglich-
keit dar, sich ein Urtheil über die Genauigkeit der Po-
Tome XXXII
sitionen von [1 zu bilden, vorausgesetzt, dass man die
Genauigkeit der Positionen von À kennt. Für die
Rectascension erhielt ich als w. F. einer Differenz die
folgenden Zahlen :
w. F. einer Diff,
+ 82° + 05166
75 — 80 + 0,139
10-273 + 0,079
60 — 70 + 0,072
30 — 60 + 0,057
HS 20 + 0,046
Nur für die Sterne südlich vom Zenith habe ich von
Herrn Romberg Angaben erhalten, welche vermu-
then lassen, dass der w. Fehler einer Rectascension sei-
nes Cataloges ungefähr =+ 05030 ist und zwar nahezu
gleich vom Zenith bis — 15°. Hiernach ergiebt sich
der w. Fehler einer Rectascension des Cataloges I zu
ô w. F.e. Æ
30°— 60° + 0048
— 15 — 30 # 0,034
Für die Declinationen fand sich
0) w, F. e, Diff.
60 55° + 0,36
30 — 60 + 0,43
0 — 30 + 0,48
— 15 — 0 + 0,44
Als w. Fehler einer Declination bei Romberg
wurde + 0,25 angenommen. Demnach findet man
für 11
ô w. F. e. Decl.
60 -— 85” + 0,26
30 — 60 0,96
0 — 30 + 0,41
— 15 — 0 Æ,0,36
Die in dieser Weise erhaltenen w. Fehler sind nur
als provisorische zu betrachten, indem die Annahmen
über die Genauigkeit der Positionen R nicht auf end-
gültigen Untersuchungen basirt sind.
2, Vergleichung mit Herrn Becker’'s Catalog,
Der schüne Catalog: «Resultate aus Beobachtungen
von 521 Bradley’schen Sternen am grossen Berliner 2
Meridiankreis» von E. Becker, ist durch die Art
und Weise, wie die Beobachtungen angestellt sind, .
als ein genauer Anschluss an (P,) zu betrachten ?). Die be
2) Ich nehme dabei an, dass (P,) und Auwers’s Fundamental- or
rt -
catalog identisch
5
Bulletin de l’Académie
impériale
Vergleichung von [1 mit diesem Cataloge musste also
eine werthvolle Controle der vorhergehenden Resul-
tate gewähren. 405 Sterne sind den beiden Catalogen
gemeinschaftlich; die Vergleichung der Positionen
derselben gab die folgenden, nach den Declinationen
ns mittleren Unterschiede:
Re
è . Aa A) +
48259 —0;043 0047 ji 0,25 F0/08 11
76,9 —0,069 40,032 14 +0,01 +0,10 14
72,3 0.094 50,018 16 —0,16 +0,07 16]
+67,2 0,065 0,024 8 0,40 +0,13 8
+-62,5 —0,067 0,016 19 +0,21 +0,11 19
+57,4 —0,072 #+0,008 65 +0,09 +0,05 65
452,8. 0,026 50,011 27 --0,10 0,07 97
#-47,7: 0,078 #0,011 25 —0,09 0,07 25
442,8 —0,032 0,009 20 —0,02 +0,09 20
438,5 +0,002 +0,015 17 +0,21 +0,13 17
482,4 0,023 0,011 14 —0,01 +0,17 14
+26,9 0,000 +0,011 14 +0,20 +0,09 14
+-22,7 —0,044+0,009 23 +0,65 +0,10 23
17,0 —0,044 #+0,015 18 +0,12 +0,08 18
+-12,8 —0,039 #0,009 19 —0,03 +0,10 18
+ 7,0 —0,021 #+0,013 16 —-0,07 +0,10 16
+ 2,0 —0,0146=20,012..16 +0,12 #+0.11. 16
— 2,2 —0,009 +0,007 28 +0,03 0,08 ,28
— 7,8 —0,026 0,011 18 +0,06 0,04 18
12,6 0,030 0,011 17 +0,07 +0,13 18
Mit Hülfe einer angenäherten Ausgleichung dieser
mittleren Aa und AS wurden von den einzelnen Ax und
_ A die von der ausgleichenden Curve abgelesenen Aux
und AS abgezogen, und die so erhaltenen Aa und AS in
Gruppen von 3 zu 3 Stunden zusammengezogen.
Diese Gruppen sind in der folgenden Tafel zusam-
mengestellt :
II — Becker.
a AV #** AS ie
LT - OUIÉ 07 0,00 67
48 “1010: 66 0,00 66
7,3. —0,013 72 —0,01 72
10,5: +0,01 28 :+09! 28
13,4 <+0,053 27 +0,19 27
16,7: 0,025 38 —0,12 58
04 .-#0.030: 62. 2002 61
228-::4+0,007 45: +0,02 : 46
Aus diesen beiden Zusammenstellungen wurden die
| folgenden Reductionstafeln ermittelt, von denen die
_ für die Declinationen auf zwei Annäherungen beruht:
Au
? —0;06
—0,06
—0,07
—0,07
70 07
—0,07
—0,060
— 0,048
—_0,022
—0,006
—0,002
—0,006
— 0,024
— 0,042
—0,046
—0,046
—0,042
—0,034
— 0,026
0,022
__0,022
[1 — Becker.
D
Aô
+-0710
+0,10
"0,08
— 0,24
—0,16
+0,10
— 0,06
—0,11
— 0,07
+0,01
+0,14
+0,27
+0,38
+0,37
+0,12
+-0,02
—0,02
+-0,02
+0,05
+0,08
+0,05
LDODIUIOGURCX Dm O©Q8e
Aus den Reductionstafeln für ?,—P, und ?,—(?,)
ergiebt sich
Aa
—0:08
—0,07
—_0,06
—_0,04
—0,03
—0,027
—0,027
— 0,028
—_ 0,029
— 0,027
— 0,025
—0,022
—0,022
—0,020
—_0,019
—0,019
—0,020
—0,021
Pur
Aô œ
— 0706
—0,07
—0,09
— 0,12
—0,13
—0,11
—0,12
—0,11
—0,10
— 0,08
—0,03
—0,04
—0,08 | 12
—0,11
—0,05
0,00
+0,03
+-0,04 | 1
n\h
0
1
2
3
+
D
6
7
8
9
10
Aa
—0;006
—0,008
—0,006
— 0,003
0,000
+-0,003
0,005
+-0,006
—+-0,006
—+0,005
+ 0,003
+-0,001
— 0,002
— 0,003
— 0,004
— 0,004
—0,003
—0,001
69
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
70
8 Aa AS | « Au A8
10° —0:026 -+-0/07 | 184 0001 —0/05
—_15 (—0,030) (—0,13) 19 +0,002 —0,0
20 +0,002 0,0
21 0,000 -+-0,03
22 0,002 +0,03
25 — 0,005 —0,05
24 0,006 —0,08
Da nun (?,) dem Auwers’schen Fundamental-Cata-
loge zu Grunde liegt und Becker’s Catalog diesem
angeschlossen ist, so müsste, wenn der Anschluss ein
voliständiger wäre, Becker’s Catalog sehr nahe mit
(P,) übereinstimmen. Da ausserdem II mit P,, identisch
sein soll, so müssten die beiden Reductionstafeln II —
Becker und P,—(P,) übereinstimmen. Dies findet
aber nicht statt, wenigstens nicht in genügender Weise.
Um dies leichter zu übersehen, ziehen wir die zweite
Reductionstafel von der ersten ab. Das Resultat kôn-
nen wir dann als Reductionstafel für Becker’s Catalog,
mit P,, statt (7,) als Fundamentalsystem, auf IT be-
trachten. ‘Da in dieser Weiïise eine Anderung mit
Becker’s Catalog vorgenommen ist, so wollen wir
dies mit der Bezeichnung (Becker) andeuten.
I — (Becker).
ù Au AÔ œ œ A
+80° +002 +0,26! O0 “<+-0:002 +0,08
+75 0,00 +0,17! 1 —-0,001 +-0,05
4-70 —0,01 <+0,03| 2 —-0,006. —0,03
+65 —-0,03 —0,12} 3 —0,011 —0,05
+60 —0,04 —0,03| 4 —0,014 —0,05
+55 —0,033 —<+0,18| 5 —0,016 —0,03
4-50 —0,021 +0,23] 6 —-0,017 —0,01
+45 +0,006 +0,17, 7 —0,016 0,00
+-40 +0,023 +0,09! 8 —0,010 —0,02
+35 +0,027 +0,17! 9 —0,003 —0,08
+30 +0,021 “+0,31110 <+0,015 —0,03
+25 <+0,001 +0,42 | 11 +0,025 —+-0,02
+20 —0,020 +0,45112 <+0,034 —+-0,05
+15 —-0,026 +0,17|113 +0,039 +0,09
+10 —0,027 +0,07 |14 -+-0,033 +-0,04
+ 5 —0.023 —0,0215 <+0,015 +0,05
O 0,014 —0,01 16 —0,005 0,00
— 5 —-0,005 +0,01|17 —0,009 —0,02
—10 +0,004 +0,01 !|18 0,000 0,00
—15 (0,006) (+0,18) 19 —+-0,015 0,0
| 20 +-0,022 0,00
21 +0,018 —0,05
22 <+0,010 —0,03
23 +0,005 +0,05
24 +0,002 +0,08
Da sowohl TT wie (Becker) mit P,, übereinstimmen
sollten, so müsste diese Reductionstafel eigentlich
verschwinden. Mit den AS nach den Rectascensionen
geordnet wird dies auch wohl der Fall sein; dagegen
bedürfen die 2., 3., und 5. Columne einer näheren
Betrachtung.
Was zunächst die Ax und AG, nach den Decli-
nationen geordnet, betrifft, so scheint es wohl nach
der Untersuchung in dem ersten Paragraphen wahr-
scheinlich, dass die hier auftretenden Zahlen wesent-
lich eine Reduction bedeuten, um Becker auf II zu
beziehen, d.h. mit anderen Worten, dass Herrn Becker’s
Catalog nicht vüllig identisch mit (P,) ist. Bei den Aa
sind die Minuszeichen bei den AS die Pluszeichen vor-
herrschend; demnach sind also die Rectascensionen
in Becker’s Catalog etwas grôsser als die Rectascen-
sion in (2,), dagegen die Declinationen kleiner, na-
mentlich in der Zone 15°— 30°.
In der Einleitung zu seinem Cataloge (pag. 29)
giebt Herr Becker eine Vergleichung mit dem Fun-
damental-Cataloge von Auwers. Diese Vergleichung
habe ich, wie die folgende kleine Tabelle angiebt,
geordnet:
Auvwers F. C.— Becker.
è Âa a ++
60.80.0014 -1-085 6
40 — 60 — 0,006 +0,16 13
20 — 40 —0,006 +0,15 12
D SD DOI i0rd 10
te 2 0 DE 4010 3
Obgleich die Ax und A3 klein sind, so scheinen doch
die Zeichen ziemlich sicher angedeutet zu sein und zwar
in dem Sinne, dass die Rectascensionen in Herrn
Becker’s Catalog, durchschnittlich kleiner, die Deeli-
nationen aber grüsser ausfallen als in (P.), wenn wir
annehmen, dass (?,) mit dem Fundamental- Cataloge
übereinstimmt.
Auf meine Bitte hatte Herr Romberg die Güte
die Declinationen von 76 Sternen, die in seinem und
Herrn Becker’s Cataloge gemeinschaftlich vorkom-
o | men, zu vergleichen.
Die Vergleichung gab:
Becker —R.
ô aë x
60°— 80° == 61 14
10 260 +029: 56
Bulletin de l’Académie Impériale
72
71
ô aë _
20°-— 40° + 0,24 12
02920 = 0,20 12
St 0 — 0,78 4
Hieraus bildete ich mit Hülfe der Reductionstafel
(P,) — R und unter Berücksichtigung der den ein-
zelnen AS entsprechenden Declinationen folgende
Zahlen für (P,)— Becker ab:
(P,) — Becker.
à à
0)
+ 0,27 14
60°— 80°
1060. FO17,. 96
AD 40 +OI6 19
0907 +094 12
RE VDS M UD? > 4
Die Täfelchen F. C.— Becker und (7,)— Becker
bestätigen sowohl einander wie die Vermuthung, dass
die Declinationen im Catalog Becker nôrdlich vom
Aequator zu klein sind. Wegen der geringen Anzahl
Sterne künnen sie selbstverständlich nicht als die wirk-
lichen Unterschiede der erwähnten Systeme betrachtet
werden.
Der stark ausgeprägte Gang der Aa in der dritten
Columne der Tafel 11 — Becker verschwindet nicht
durch Berücksichtigung der kleinen Correctionstafel
für 11; wir haben somit keine Controle für die Rich- |
tigkeit dieser Tafel gewonnen. Vielleicht trägt dazu
auch der Umstand bei, dass die mittleren Differenzen
I1— Becker in Intervallen von 3 Stunden ausge-
glichen sind, wodurch müglicherweise der Character
der ausgleichenden Curve etwas geändert worden ist.
Durch Vergleichung der Differenzen mit ihren Mit-
teln in den einzelnen Zonen erhielt ich als wahr-
scheinlichen Fehler einer Differenz 11— Becker: für
ein Az: +0:038 (im Aequator) und für ein A3: +0,36.
Nehmen wir für Becker den w. Fehler einer Æ zu
+ 05015 und einer Decl. zu +0,13 an (Becker,
p. 29), s0 findet sich für I der w. Fehler einer Æ —
+ 0:034 und einer Decl. — + 0/34; Resultate, die |
mit den vorhergehenden gut übereinstimmen.
4, Vergleichung mit Respighis Catalog,
. Der vollständige Titel des Cataloges lautet: Cata-
logo delle declinazioni medie pel 1875,0 di 1463
stelle comprese fra i paralleli 20° e 64° nord com-
__ pilato sulle observazioni fatte al circolo meridiono del
R. Observatorio del Campidoglio negli anni 1875,
1876 e 1877 dal prof. Lorenzo Respigbhi. Roma1880.
Die zahlreichen Beobachtungen, durchschnittlich
mehr als zehn directe und zehn reflectirte für jeden
Stern, ausgenommen die Zenithalsterne, die nicht
reflectirt beobachtet werden konnten, und die vor-
zügliche Übereinstimmung der nach den beiden Me-
thoden abgeleiteten Declinationen liessen vermuthen,
dass die Vergleichung dieses Cataloges mit IT nicht
werthlos wäre.
Die aus der Vergleichung hervorgegangenen Diffe-
renzen wurden nach der Declination von 5° zu 5° zu
Mitteln vereinigt und die wahrscheinlichen Fehler je-
des Mittels berechnet. Es fand sich in der Weise:
Il — Respighi.
ci) Aù g
+-6176 +010 +008 32
+57,3 +0,02 +0,05 85
+-59,3 — 0,18 +0,07 50
#47, +0,19 +0,05 78
+ 49,3 +0,11 +0,06 79
37,6 +0,28 0,06 98
32,5 +-0,35 +0,06 80
+-27,3 +-0,25 +0,05 118
+-22,8 +0,19 “+0,04 126
Der im Zusammenhang hiermit berechnete w. Fehler
einer Differenz 11—-Respighi ergab sich zu +0,50.
Durch Ausgleichung dieser Differenzen wurde die
folgende Reductions-Tafel ermittelt:
I1— Respighi.
ô AG
+ 64° + 0,04
+ 60 0,00
+ 56 — 0,06
+52 — 0,06
+ 48 + 0,10
+- 44 + 0,18
+- 40 + 0,25 ;
+ 36 + 0,30
+ 32 + 0,32
+ 28 + 0,27
+ 24 + 0,20
+ 20 + 0,13
Nachdem die einzelnen AS mit Hülfe dieser Tafel
reducirt wurden, um einen Gang nach den Rectascen-
sionen zu ermitteln, ergab sich:
73 des Sciences de Saint -Pétersbourg. 74
us æ aë
= + ro. . 20° + 0/04
0’ _o"4 58 21 — 0,02
2 0,99 65 22 — 0,09
4 06 74 23 — 0,11
6 +-0,12 86 24 — 0,12
8 +0,05 61 In der Einleitung des Cataloges giebt Herr Respighi
10 +0,22 64 eine Vergleichung mit Auwers’s Fundamental-Catalog
12 +0,19 99 und findet dabei den w. Fehler einer Differenz gleich
14 os je + 0,265; demnach müsste also der w. Fehler einer
16 +-0,02 41 JE
18 no ti 55 Declination in Respighi’s Catalog noch kleiner sein.
90 +0,02 89 Nehmen wir jedoch + 0,265 als w. Fehler einer De-
29 DE6 59 clination bei Respighi an, so würde, da der w. Fehler
Die grosse Anzahl Sterne kôünnte es berechtigt er-
scheinen lassen, diese Zahlen durch eine genaue sich an-
schliessende Curve darzustellen, eine solche ist die
durch die folgende Formel angegebene:
A — Respighi —
— — 0703—0,14 cos a—0,05 cos 2a—0,02 cos 3a +-
+ 0,08 cos 4x — 0,02 cos 54 + 0,01 sin &« —
—0,10sin 24-+-0,06 sin 34 — 0,04 sin 4a-+-0,06 sin 5@.
Ich habe es jedoch vorgezogen, die Mittel graphisch
auszugleichen und erhielt dadurch die folgende Re-
ductions-Tafel:
I — Respighi.
a AS
0° 0712
1 — 0,16
2 — 0,19
3 ce 017
4 SAUTS
5 — 0,04
6 + 0,03
7 + 0,08
8 + 0,13
9 0,17
10 + 0,20
11 +- 0,16
12 +- 0,09
13 0,00
14 — 0,08
15 = 0,06
16 + 0,01
ET + 0,07
18 + 0,10
19 + 0,09
einer Differenz 11— Respighi gleich +0,50 ist,
der w. Fehler einer Declination in I gleich + 0,42
sein, Dies stimmt nicht mit dem aus den Ver-
gleichungen mit 2 und Becker erhaltenen w. Fehler,
es sei denn, dass der w. Fehler einer Declination in
diesen Catalogen zu gross angenommen ist. Um über
diesen Punkt weitere Aufklärung zu erlangen, ver-
glich ich die Declinationen von 157 Sternen, die
Becker und Respighi gemeinschaftlich sind, und
fand dabei nach Zusammenziehung in Gruppen die
folgenden Zahlen:
Becker— Respighi..
ô AT) LE:
HORS HV. ECTS 7 19
+-57,3 0,00 +0,10 10.
409,0 5008 60,920. ‘M
MATRA IS #09 € DE
+42,6 - +0,02 #0:15. : 19
OS +099 +008. 24
6028. DST “ÆÉ000. 20
OR 0 HOT: 20.09 : “A1
223,227 620:00 0.19 6
und hiernach fand
ich als w. Fehler einer Differenz:
+ 0/45.
Wir bezeichnen nun mit:
=., den w. Fehler einer Diff, II — Becker,
De » » » » [— Respighi,
€ » » » »
“b,r
so dass man hat:
4 s
pts +6,
2 En e4 2
=, +e,
— ©
Becker — Respighi, ”
75
Bulletin de lAcadémie Impériale
76
Hieraus findet man die Relation:
2 Ce —= Cr
Unabhängig von jeder
Vorhergehenden gefunden:
He es,
His häben wir im
Ep —= HE 0,35
E, — + .0,50
= © 0,45, 3
woraus nach der ucfhsth Formel:
= + 0,30.
Mit dem erhaltenen Werthe von e_ finde ich dann
für Romberg’s Catalog als w. Fehler:
- + 0/31,
also grüsser, als ich angenommen hatte. Weiter er-
giebt sich für Becker:
Se 0,20
und für Respighi:
== € 0,40.
Die so gefundenen w. Fehler dürften ein ziemlich
richtiges Maass der Genauigkeit der hier in Betracht
gezogenen Cataloge sein. Dass der w. Fehler einer De-
elination in I #Æ 0,30 beträgt, ist überhaupt ein sehr
befriedigendes Resultat, jedoch meine ich, dass dieser
Werth eher zu gross als zu klein ist. Die Epochen
des Cataloges 11°sind ziemlich verschieden; für die
Sterne zwischen 15° und 60° ist die Epoche vorwiegend
zwWischen 1840 und 1850 enthalten, während die
Epochen der Beobachtungen der Sterne nürdlich vom
Zenith zwischen 1858 und 1866 liegen. Dié grosse
Mehrzahl der Sterne des Cataloges II, welche hier zur
Anwendung gekommen sind, sind also etwa 30 Jahre
früher beobachtet als die Sterne, welche in den Ca-
talogen Romberg, Becker und Respighi enthalten
sind. Der w. Fehler einer Eigenbewegung in Decli-
nationen dürfte wohl kaum kleiner als 0,008 sein; für |
30 Jahre macht dies 0,2, was bei der Ableitung der
_ W. Fehler aus der Vergleichung mit den 4 genannten
Catalogen gerade dazu beiträgt, den w. Fehler einer
Declination des Cataloges T1 zu vergrüssern. Auffallend
gross ist die Genauigkeit des Becker’schen Cataloges,
und dieser Catalog dürfte wohl in dieser Hinsicht
_ nahezuallein dastehen. Dagegen ist der w. Fehler einer
Declination bei Respighi weit grüsser als man bei der
. ersten Durchsicht dieses Cataloges erwarten künnte *).
nie m Eine dingehésde Untersuehung des Respighischen rs
_ scheint wünschenswerth zu
Bei Respighi beruhen die einzelnen Declinationen
mit Ausnahme der Declinationen der Zenithal-Sterne,
auf durchschnittlich 20 Beobachtungen, während den
Declinationen der Cataloge II, Romberg und Becker
nur 4 Beobachtungen zu Grunde liegen; ausserdem ist
zu beachten, dass die angeführten w. Fehler Durch-
schnittswerthe sind, die für 11, Romberg und Becker
vom Pole bis — 15° Declination, aber für Respighi
nur für die Zone + 64° bis +-20° Declination gelten.
Theils um das Verhältniss unseres Cataloges IT zu
Boss’s Fundamental-Declinationen kennen zu lernen,
theils um noch eine Controle des gefundenen w. Feh-
lers einer Declination in II zu erhalten wurde noch I]
mit Boss verglichen. Für viele diesen Catalogen ge-
meinschaftlichen Sterne sind nur in Boss’s Cataloge
die Eigenbewegungen angegeben; ich habe daher bei
der Vergleichung mit Boss’s Cataloge die in diesem
Cataloge angegebenen Eigenbewegungen berüksichtigt.
4, Vergleichung mit Boss's Cataloge,
II —Boss
Ô AS 8 à
+-8208 +0,20 0,16 3
+-74,6 0,00 +0,08 16
+-67,8 +0,12 0,09 11
+61,3 +-0,09 +0,12 8
+ 56,6 +-0,05 +0,08 15
+-51,5 0:23 +0,12 9
+-48,2 Æ0:12 “0:07 19
+-41,3 0,18 “0,11 13
+-37,9 20,17. 220,06 13
+-39,1 —0,25 +0,09 13
+-26,6 —0,08 +0,06 14
+-21,5 —0,13 =<0,16 6
—+18,4 +0,10 Æ#:0,09 8
Te —0,15 +0,09 8
+ 0,3 0,62 0,11 5
10,6 —0,85 +0,19 6
Als w. Fehler einer Differenz 11— Boss crhielt ich:
w. Fehler einer Diff. — + 0,31.
Nach den Angaben von Professor Boss ist der
wahrscheinliche Fehler einer der hier angewandten
Declinationen seines Cataloges durchschnittlich grôsser
als 0/15. Setze ich denselben — + 0,15, so erhalte
ich als w. Fehler einer Declination in I:
+ 097.
77
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
7
Die hier gefundenen mittleren Differenzen sind zu
unsicher, um eine Reductionstafel für [Boss abzu-
leiten; deutlicher, als die angesetzten w. Fehler an-
geben, ersieht man dies, wenn man bei der Vergleichung
der beiden in Frage stehenden Cataloge die Au-
wers’schen Eigenbewegungen anwendet. Selbst dieje-
nigen mittleren Differenzen, welchen eine gleiche
Anzahl Vergleichungen zu Grunde liegen, werden
dadurch stark verändert; nur die beiden letzten stim-
men darin überein, dass sie dasselbe Zeichen haben
und gross sind. Das einzige, was die Vergleichung
von [I mit Boss uns über das Verhältniss dieser beiden
Cataloge lehrt, ist also nur eine Bestätigung der längst
bekannten Thatsache, dass das Pulkowaer System die
Declinationen vom Aequator an gegen Süden zu süd-
lich angiebt.
Hydrologische Untersuchungen L. Von Prof, Dr. Carl
Schmidt in Dorpat. (Lu le 14 avril 1887.)
(Mit einer Tafel.)
Die Thermen von Neu-Michailowsk,
7 Werst vom rechten Amur-Ufer, 130 Werst von der Amur-
ündung.
Im Juni 1886 besuchte Herr Dr. med. Ludwig Birk
aus Dorpat, gegenwärtig in Wladiwostok, auf dem
Seewege über Nikolajewsk die 130 Werst stromauf-
wärts, 7 Werst vom rechten Ufer des Amur in einem
von hohen Bergen umgebenen Thalkessel belegenen
warmen Quellen von Neu-Michailowsk behufs per-
sônlicher Kenntnissnahme, Temperaturmessungen und
Eindampfens grüsserer Wassermengen an Ort und
Stelle zur Analyse.
Am 8. Juli auf dem Dampfer «Kostroma» über
Suez, Odessa nach Dorpat eingeschifit, langte die
Sendung Ende October wohlerhalten hier an. Dem
Begleitschreiben ‘des hochverdienten vom regsten
wissenschaftlichen Interesse bescelten Absenders ent-
nehme ich folgende nähere Mittheïlungen:
.. «Die Quellen von Neu-Michailowsk liegen 130
Werst von Nikolajewsk rt qe PR DA LL
vom rechten Ufer des Stromes entfernt in einem von
hohen Bergen umgebenen Thalkessel. In der Mitte
des Kessels stromt ein unbedeutendes nur 4—6 Schritt
breites Flüsschen, in welches die Abzugskanäle der
Quellen münden. Sämmtliche Quellen liegen am linken |
Ufer dieses Flüsschens, einige Schritte von demselben
und sind von einander zu je 20 —25 Schritt entfernt.
Zur besseren Orientirung lege ich einen primitiven
Plan der Lage der Quellen mit Angabe der Tempe-
ratur derselben, bei. Jede Quelle ist überdacht und in
ein hôlzernes Bassin mit Bretterboden, in welchem
sich runde Offnungen zum Einstrômen des Wassers
befinden, eingefasst. Die Bassins sind sehr alt und
vollständig verfault. Das Wasser in denselben ist
krystallklar, geschmack- und geruchlos.
Obwohl ich die Quelle B, bevor ich die Probe zum
Eindampfen entnahm, ausschôpfen liess und dann das
neu einstromende Wasser in den Kessel goss, so habe
ich dennoch eine stark getrübte braune Lôsung mit
viel Bodensatz nach dem Eindampfen erhalten, was
wohl an dem schmutzigen, verfaulten Bassin mit den
vielfach daran klebenden Epidermisschuppen liegen
muss.
Die Quelle A ist in ein circa 15 Fuss tiefes Bassin
eingefasst und wird nicht zum Baden, sondern nur als
Trinkbrunnen benutzt. Bei den unzureichenden Ar-
beitskräften daselbst war es mir unmüglich, diese
Quelle vor der Entnahme des Wassers ausschôpfen
zu lassen. Die Bassins zum Baden, 8 Fuss lang und
4 Fuss breit, enthalten 3 bis 4 Fuss tiefes Wasser.
Nach dem Ausschôpfen sprudelt das Wasser durch die
Offnungen des Bretterbodens sofort nach und erreicht
in 8 bis 15 Minuten seine alte Hühe. Die hôühere
Füllung des Bassins wird durch ein nach aussen füh-
rendes Abzugsrohr verhindert (s. Tafel).
Im Ganzen sind nach Aussage des Badewärters nur
3 Quellen aufgedeckt, von denen Quelle A, die wärmste,
our als Brunnen benutzt wird; die Quelle B, ein wenig
kälter als A, hat 2 durch eine Bretterwand getrennte
Bassins unter einem Dache, während die Quelle C—5
und Quelle D—4 Bassins enthalten, Zu den letzt-
ete
erwähnten 4 Bassins (Quelle D) soll das Wasser durch
eiu unterirdisches Abzugsrohr aus Quelle C geleitet
werden, Eingedampft habe ich das Wasser nur aus
den Quellen À und B—je 100 Liter auf circa 1
Liter (inel. Nachspülwasser des blanken Kupferkessels).
... Was die Frage nach sonstigen Thermen an-
langt, so kann ich vorläufig folgendes mittheilen:
kannt.
2) Eben so wenig auf
1) Auf Sachalin sind bis jetzt keine Thermen be- > de
ir:
den Kurilen und auf Jesso. : : :
79
Bulletin de l’Académie Impériale
3) Im Amur-Littoral-Gebiete waren bis jetzt ausser | bei Woskressenskoje so heiss wären, dass sie im Winter
den Thermen von Neu-Michaïilowsk keine weiteren |
bekannt. Während der Fahrt aber hatte ich Gelegen-
heit in mehreren Giljäken-Dôrfern zu übernachten
und erfuhr in einem derselben zufällig, dass sich
Quellen etwa 20 Werst von dem Dorfe Woskressen-
skoje, 110 Werst flussaufwärts von Nikolajewsk, und
andere Quellen bei dem Dorfe Tür, 90 Werst von
Nikolajewsk befänden. Die Giljäken, die es mir im
Vertrauen mittheilten, behaupteten, dass die Quellen
Kartoffeln darin kochen kônnten.
Ich scheine der erste Europäer zu sein, der von
diesen Quellen Kenntniss erhalten und môchte die-
selben sebr gern weiter verwerthen. Ich will mein
Müglichstes versuchen dorthin zu gelangen oder we-
uigstens Wasserproben von dort zu erhalten.
Temperatur der Quellen nach Celsius gemessen
vom 6. (18.) bis 10. (22.) Juni 1886 um 7 Uhr Mor-
gens, 12 Uhr Mittags und 7 Uhr Abends:
me fun) que ue nd
Juni. A Ta legal se Pets ME en ou cas
O [Le] | Le) | O [e) [e] [e) | Oo | Le] ©
roi 4711460 35.113711. 406444 45,3 45,9 29,6 | 29,4 | 26,0 22,1 | 25,1
7" Morg. [47,0 146,0 36,0 28,1 29,0 | 24,8 22,0 | 17,0
12 Mitt. |47,5145,5 36,0 370 40,5 rare 45:7[284 290 246 218| 182
7 Ab. |47,0/45,5 36,21 37,0 40,0 44,8 45,1 | 45,8128,4 29,2, 24,7 21,9 | 17,1
à f 7 Morg. |47,0/45,5 36,8136,3 40,0 44,5. 49,5 45,6 27 8 30,0 23,0 21,2] 11,4
12 Mitt. |[47,0146,0 36,0136,8 41,0. 442 44,0) :45,5128,0 30,5 |22,5 21,0] 18,6
a 7 Ab. |47,0146,0 36,0136,0 40,0 44,5 46,0 46,0129,5 31,0 26,0 22,0 | 13,2
7 Morg. |[47,5145,8 36,0/36,0 40,8 44,5. 1445 453 28,4 30,5 25,0 22,0 | 12,1
9.112 Mitt. |47,7145,5 36,0137,1 41,2 | 44,3 44,2 | 45,01 28,9 31,0 24,6 ,21,6| 11,4
Reg| 7 Ab. 47,6 45,4 | 36,0 36,5 | 4121430 44,0 44,8 [28,0 30,4. 24,0 21,0 | 12,3
10 7 Morg.!)46,5/45,3 35,5 36,2 39,0 41,0 43,8 44,6 128,0 29,6 | 23,0 20,2 | 13,0
À 7 Morg?)|46,5 16,8 36,6 s68 41,6) des 44,0[28,4 |
Î |
Im September 1877 besuchte der bekannte Rei-
sende, Herr Baron Friedrich August von Lühdorf
aus Hamburg das Amur-Mündungsgebiet, entnahm
den Thermalquellen von Neu-Michailowsk mehrere
Flaschen mit Wasser zur chemischen Untersuchung
und verôffentlichte seine Beobachtungen nebst den
Resultaten der Analyse in einer als Manuscript ge-
druckten, nicht in den Buchhandel gekommenen Ab- |
| : handlung”). Verfasser hatte die Güte,mir ausser letzterer
1) Vor dem Ausschôpfen der Quellen gemessene Temperatur.
2) Nach dem Ausschôpfen, behufs Entnahme frisch aufquellenden
Thermalwassers zur Analyse.
Die W ratur des Flüsschens oberhalb der Quellen
(bei a) 8%5 C., unterhalb (bei b) 13°0, Wassertemperatur des
Amu : 7 Werst von den Quellen entfernt, 1473 C.
… 3) Fr. Aug. Baron von Lühdorf, Die heissen Quellen am Amur
bei Neu-Michailo wsk im Bezirke Nikolajewsk. Hamburg, 1882. 8°,
Druck von Gustav Diederich und C°. 15 Seiten mit eingedruckter
Situationskarte auf ]
Verfasser bereiste zweimal Ost-und West-Sibirien,zwôlfmal China,
warin nn ue besuchte Kalifornien zur Zeit ‘des Goldfiebers, |
noch die Original-Akte der chemischen Untersuchung
des Herrn Dr. Th. Wimmel in Hamburg zu über-
senden. Ich theile dieselbe nachstehend vollständig
mit und beehre mich Herrn Baron von Lühdorf für
deren liberale Übermittelung den wärmsten Dank
auszusprechen.
Das Untersuchungsprotocoll des Herrn Dr. Th.
Wimmel—dat. Hamburg 29. Januar 1879 — lautet:
«Das (September 1877 geschôpfte) Wasser war
ungefärbt, aber nicht ganz klar und etwas flockig,
ohne hervortretenden Geschmack. Beim Offnen der
versiegelten Flasche zeigte sich Geruch nach Schwefel-
wasserstoff, der indess in den geôüffneten Flaschen bald
verschwand. Es war neutral gegen Lakmuspapier,
hielt sich 1854 längere Zeit in Japan auf und verôffentlichte seine
me Beobachtungen über Land und Leute in dem Werke:
cht Monate in Japan nach dem Vertrage von Kanagawa”».
1856. “Seine Studien auf dem Amur-Mündungsgebiete sind theilweise
bereits 1868 in Petermann’s Mittheilungen, IX, mitgetheilt.
si
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
s?2
färbte aber Lakmustinktur blauroth, wie die doppelt
kohlensauren Salze. Beim Abdampfen nahm es eine
stark alkalische Reaktion an.
Das specifische Gewicht war bei 15° C—1,0011.
Als Bestandtheile wurden nachgewiesen: Kali, Na-
tron, Kalk (Spur), Schwefelsäure, Chlor, Kohlensäure,
Kieselsäure und organische Substanz. Ammoniak und
die Oxyde des Stickstoffs fehlten.
Die quantitative Analyse ergab in 1000 grammen
(1 Liter):
0,2040 unverbrenuliche mineralische Stoffe
0,0520 verbrennliche organische Stickstofft-
freie-Substanz.
0,0350 chemisch gebundenes Wasser
mithin 0,2910 feste Bestandtheile in Summa.
Die Mineralstoffe enthielten :
0,1427 in Wasser lôsliche alkalische Salze
0,0613 Kieselsäure mit Spuren von Kalk
0,2040.
in den lôüslichen Salzen wurde gefunden:
-0,0116 Kali
0,0646 Natron
0,0099 Chlor
0,0280 Schwefelsäure
0,0308 Kohlensäure.
Der Gesammtsalzgehalt sowie die Schwefel-
säuremenge stimmen mit denen des von Herrn
Dr. Birk im Juni 1886 geschôpften Thermalwassers
vôllig überein. Der von Herrn Dr. Wimmel ge-
fundene grüssere Kali-,. Kohlensäure- und Chlor-,
geringere Natron- und Kieselsäure-Gehalt dürfte durch
die geringe zu seiner Analyse verwendbare Wasser-
menge veranlasst sein.
Analytische Data.
Die von Herrn Dr. med. August Birk am 6. (18.)
Juni 1887 den Quellen A, B, C, D entunommenen
Wasser sind klar, farblos, geruch- und geschmacklos.
Nur die Flasche C, zeigt beim Offnen schwachen |
Niederschlag aus demselben erscheint durch Beimen-
gung einer Spur Schwefelsilbers etwas gelblich.
Dichtigkeit und qualitative Reaktionen stimmen bei
allen nahezu überein: viel Kieselsäure, Natron, Schwe-
felsäure, Kohlensäure, weniger Chlor, wenig Kali,
sehr wenig Kalk und Magnesia, Spuren Eisen, Rubi-
dium, Lithium, Brom, Phosphorsäure.
100 Liter Wasser À an der Quelle im blanken
Kupferkessel von Herrn Dr. Birk auf circa 1 Liter
(incl. Nachspülwasser des Kessels) eingedampft, im
Dorpater Laboratorium in gewogener grosser Platin-
schale weiter concentrirt, hinterliessen 22,943 gram-
men bei 150° trockenen Rückstand. Dieser in der-
selben grossen Platinschale mit 500 cc. Wasser wie-
der ausgekocht, der «Kesselstein» auf dem Filter
mit heissem Wasser bis auf 1 Liter Gesammtfiltrat
erschôpfend ausgelaugt, zerfiel in:
1,039 grm. bei 150° tr. Kesselstein A,x
21,904 » » » lôsliche Mutterlaugensalze A6.
Ersterer (Kesselstein A,x) enthielt Kalk, Magnesia,
Eisenoxyd, Phosphorsäure mit circa ?/, der vorhan-
denen Kieselsäure, deren übrige ‘/,, als wasserlôsliches
Bisilicat und Hydrat neben Natriumsulfat und -car-
bonat, Kalium- und Rubidiumsulfat, Chlor- und Brom-
natrium, Spur Lithi bonat die Mutterlauge A,8
des auf !/,, concentrirten Thermalwassers bildeten.
Das Volumgewicht letzterer, bei 17° auf Wasser
gleicher Temperatur — 1 bezogen ist = 1,01855.
Das des frischen Thermalwassers À — 1,000298,
Als Summen von je 2 übereinstimmenden Einzel-
fällungen und Wägungen wurden aus 100 Litern
Thermalwasser A erhalten:
7,7495 grammen SiO, == 77,495 grm. p. Cubikmeter
Thermalwasser
2,0741 grammen AgCI + AgBr
0,00447 AgBr = 0,019 grm. Brom p. Cubikmeter
Schwefelwasserstofigeruch, der Chlor- + Bromsilber
Tome XXXII.
2,26963 AgCI— 5,117 » Chlor » »
8,1020 BaSO, = 27,819 grm. SO, » »
0,0753 CaD = 0,538». Caltiom + 0
0,0927 MgSO,— 0,188 » Magnesium »
»
0,0057 Fe,O, — 0,040 » Eisen a :
worin 0,0019 Brom (colorimetrisch bestimmt) ent-
sprechend:
Bulletin de l’Académie Impériale
“+
0,0038 Mg,P,0, — 0,024 grm. P,0, (durch Molyb-
dänsäure-Mischung aus dem Salpetersäure-
Auszuge des Kesselsteins gefällt.
0,0022 Li,PO, (aus Aetheralcohollüsung der Chlor-
alkalien).
14,2720 NaCI + KCI + RbCI, woraus durch PtCI,
0,9014 K,PtCI, + Rb,PtClI,
0,2691 grm. KCI +- RbCI, aus letzterem durch Glü-
hen im Wasserstoffstrome erhalten, gaben mit Silber-
nitrat gefällt 0,5129 grm. AgCI — 190,607, AgCI
(des KCI +- RbCI) entsprechend:
97,774 KC1 aeq. 319,954 K,PtCl,
2,226, RbCI » 5,326 Rb,PtCI,
mithin: 100,000 KCI+-RbCI—325,280 K,PtClI, +-
Rb,PtCI,
aus 100 Litern Thermalwasser:
13,9949 grm. NaCI — 55,148 grm. Natrium im Cu-
bikmeter Wasser
Kalium »
Rubidium »
0,27095 » KCI 1,422 »
0,00617 » RbCl— 0,044 »
2 Flaschen ursprünglichen Thermalwassers À, di-
rekt aus der Quelle gefüllt — 1492,543 grammen
ergaben:
0,0286 grm. AgCIl+-AgBr—19,162 grm. p. Cubikm.
0,1214 » BaSO, — 27,928 gr. SO, Thermalw. À
0,1164 » Si0,— 77,987 grm. SiO, »
_ 0,2084 » NaCI + KCI + RbCI — 139,63 grm.
NaCI + KCI + RbCI per Cubikmeter Wasser.
100 Liter Thermalwasser B in gleicher Weise
an der Quelle auf !/,, eingedampft, wie À weiter be-
handelt, ergaben p. Cubikmeter Thermalwasser :
7,6593 grm. SiO, — 76,593 grm.
2,1060 » AgCI + AgBr —
— 21,0146 AgCIl — 5,196 Chlor
— 0,0454 AgBr— 0,019 Brom
BaSO, = 27,511 grm. SO, p.
Ca0 — 0,436 grm. Calcium
_8,0125 »
0,0611 »
0,0699 » MgSO, — 0,142 grm. Magnesium
0,0036 » Fe,0,— 0,025 grm. Eisen
0,0020 » Mg,P,0, — 0,013 grm. P,0,
| 15,0287 » NaÜI-KOI+ RbOI
= woraus 9,004 K,PtCI, +- Rb,PtCI,.
0,2592 grm. KCI + RbCI aus letzteren durch.
Glühen im Wasserstoffstrom erhalten, gaben 0,4951
grm. AgCI— 191,01°, AgCI entsprechend:
98,330%, KCI = 321,764 K,PtCI,
1,670%, RbCI— 3,995 Rb,PtCI,
100,000 KCI+ RbCI= 325,759 K,PtOI, + Rb,PtCI,
mithin aus 100 Litern Thermalwasser B:
14,6366 grm. NaCI = 57,675 grm. Na p. Cubikm.
027180» KCbL= 426 5 Ko »
0,00462 » RbCI— 0,033 » Rb » »
1 Flasche ursprünglichen Thermalwassers des Bas-
sin B, Abtheilung I — 768,779 grammen ergab:
0,0152 grm. AgOI + AgBr =— 19,77 grm. p. Cubikm.
0,1127 » NaCI+-KCI+RbCI=—146,60 grm. p. »
2 Flaschen desselben, Abtheilung I1=— 1465,593
grm. Wasser.
0,0287 AgOI + AgBr = 19,58 grm. p. Cubikmeter
0,2294 NaCI + KCI+ RbCI— 156,53 grm.p. »
Quelle C— je 1 Flasche der Abtheilung:
[= 755,314 grammen Thermalwasser —
—0,0175 AgCl+-AgBr—923,17 grm. p. Cubikmeter
—0,1266 NaCl4-KCIH4-NaCl= 167,61 grm. p.Cbkm.
IH = 779,752 grammen Thermalwasser —
—0,0171 AgCI + AgBr — 21,93 grm. p. Cubikm.
—0,1231 NaCI+-KCI+-NaCI— 157,87 grm.p. »
I = 753,341 grammen Thermalwasser —
—=0,0158 AgCI + AgBr—20,97 grm. p. Cubikmeter
—0,1202 NaCI+-KCI+4-NaCi— 159,55 grmp. »
IV = 769,765 grammen Thermalwasser —
—0,0165 AgCl + AgBr — 21,43 grm. p. Cubikm.
—=0,1338 NaC1+-KCI-+-NaCl— 173,81 grm.p. »
- V — 738,438 grammen Thermalwasser —
—0,0140 AgCI + AgBr — 19,09 grm. p. Cubikm.
—=0,1110 NaCI+-KCI-+-NaCl= 150,32 grm.p. »
Summe — 3796,640 grammen Thermalwasser C:
0,0810 AgCI + AgBr — 21,33 grammen p. Cubikm.
0,6147 NaCI + KCI +- RbCI — 161,90 grm. p. »
s5
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
s6
Quelle D:
762, 912 grammen Thermalwasser gaben:
0,0184 grm. AgCI + AgBr — 24,12 grm. p. Cubikm.
0,1213 » NaCI+ KCI-+ RbOI — 158,99 grm. p.
Cubikmeter.
Bach E.
Das Wasser aus dem Bache, in den sich die Ther-
malquellen ergiessen, am 8 (20.) Juni 1886 einige
hundert Schritte oberhalb der Einmündung letzterer
geschôüpft, Wassertemperatur 8,5°C., Volumgewicht bei
17°C 1.000075 (Wasser gleicher Temp. — 1).
789,829 grm. Wasser eingedampft, hinterliessen
0,0400 grm. bei 150° tr. Salzrückstand = 50,64
grm. p. Cubikmeter Wasser:
0,0073 AgCI + AgBr — 9,24 grm. AgCI + AgBr p.
0,0185 BaSO, = 8,04 grm. SO, p. Cubikmeter
0,0128 SiO, — 16,21 grm. SiO, p. Cubikmeter
0,0047 CaO — 4,25 grm. Calcium p. Cubikmeter
0,0078 MgS0, — 2,00 grm. Magnesium p. Cbkm.
0,0136 NaCI + KCI + RbCI = 17,22 grm. NaCI +-
KCI +- RbCI p. Cubikmeter,
woraus 0,0232 K,PtCI,-+-Rb,PtCI, — 29,37 grm.
K,PtCl, + Rb,PtCI, p. Cubikmeter.
Unter der Voraussetzung annäühernd gleichen Ver-
hältnisses von Chlor-+Brom zum AgCl+-AgBr—Nie-
derschlage — 1 : 4,038 und Kalium +- Rubidium zum
K,PtCI, + Rb,PtCI, — Niederschlage = 1 : 6,160
enthalten je 1,000,000 grammen (1 Cubikmeter)
Thermal- und Bach-Wasser von Neu-Michailowsk
NaCI+KCI+RDbOI 139,63 151,56 161,90 158,99.
Cubikmeter | ..... grammen:
Thermalquelle, Bachwasser
A. B. #
VOOR PV 1,000298 1,000297 1,000075
RER pi QU HSE 31 ©, 59:06:
HAN ND Ve sRAdi.U2sn 0,044 0,033 477
ADO NT MR ER dns succes 1,422 1,426 :
Naam NE SE SE en 55,148 57,679 3,23
RACONTER Ce 0,004 0,004 L
Cho CR Rs Ne ee es 0,538 0,436 4,25
MagheNa Me... Au Ne 0,188 0,142 2,00
TT LR D OR TRE Dh Pa 0,040 0,025 ?
Sohnetsure 0 Lu Re rs 27,819 27,511 8,04
CDR TRS rt vie Den e: 5,117 5,196 2 98
DOM Te EN nv see te 0,019 0,019 7
Phosphorsäuré PO. ssh. 4 0,024 0,013 ?
Koblensäure C0)... 4.4.4 sx 24,555 22,342 8,19
Sauerstoff (aeq. SO,, P,0,, CO,, SiO,). . 18,627 19,409 4,58
Kicselihre 80.21... vi. 77,495 76,593 16,21
Summe wasserfreier Mineralbestandtheile 211,040 210,824 53,55
Wasser, Kohlensäure Rest, organ. Subst. | 999788,960 | 999789,176 | 999946,45
Thermal- und Bach-Wasser. . ....... 1000000,000 | 1000000,000 | 1000000,000
4) Des Abdampfrückstandes, als Carbonat gebunden.
Die, ohne Eindampfen, in Flaschen übersandten Thermalwasser ergaben:
‘ 5 ; D.
Chlor+-Brom,..,. 4,74 4,87 5,28 5,97
s7 Bulletin de lAcadémie Impériale ss
Gruppirung im Abdampfrückstande Thermalwasser. Bachwasser
(Fe,0, als FeCO, berechnet). 74 B. E.
Rubidiumsulfat Rb,SO,.............. 0,069 0,051 | 1055
Rabumsuié KO nu 0. 3,168 3,176 à
Natramentat Neso Ti 20516. 46,780 46,237 J,6
Chioradrinm Nas rs... 8,445 8,575 || 351
Bronnatfinnr NaBr:.1:.. 01... 1. 0,024 0,024 |f #
eat PACA pi es 56,862 52,000 --
bonat Li,CO, LS Mo en te dus 0,039 0,039 Ca CI, 0,23
tn tee Re NT à Came 0,042 0,023 ?
Calciumcarbonat CaCO,. ............ 912 1,075 10,42
Magnesiumcarbonat MsCO, Re Dr DA (EE 0,650 0,491 EE À p
rasentarpotae PebO 505 4, 0,082 0,051 ,
Natriumsilicat und f Natron Na,0 ..... 16,072 22,489 —
Kieselsäure — { Kieselsäure SiO, . . 77,495 76,593 16,21
Summe der Mineralsalze......... 211,040 210,824 53,55
Gruppirung im ursprünglichen Wasser Thepmalwasser. Bachwasser
{als Bicarbonate). À. B. E.
Rubidiumsulfat Rb,SO, . ............ 0,069 0,051 1055
Kalamsutfat K:40,, 6.1 3,168 3,176 és
Natriamenifet, NS EURE 46,780 46,237 5,71
Chiomatrium Nabf #35... 8,445 8,575 || dH4
B'OMAUNON Nabil eue 0,024 0,024 |f +
Natriumbicarbonat Na,C,O, . ......... 80,440 73,562 ?
Lithiumbicarbonat Li,C,0,. .......... 0,069 0,069 | CaCO, 0,23
Calciumphosphat Ca,P,0,... ........ 0,042 0,023 ?
Caleïiumbicarbonat CaC,0,. .......... 1,889 1,548 | 15,01
Magnesiumbicarbonat MgC,O, . ....... 0,989 0,747 10,5
Fisenbicarhonat Fe0.0,.. ui. 0,113 0,070
Natriumsilicat und fNatron Na,O ..... 16,072 22,489 —
Kieselsäure — ee HU. 77,495 76,593 16,21
Summe der Mineralsalze.. ........... 235,595 | 233,164 61,75
Wasser, organische Stoffe, freie CO,. ...| 999764,405 | 999766,836 | 999938,25
Thermal- und Bach-Wasser. . ... pre .1000000,000 : 1000000,000 | 1000000,000
Das Wasser des Baches E, in den die warmen 17,07 mal so viel Natrium
Quellen von Neu-Michailowsk sich ergiessen, ist dem- 478.» :5 » Kicselsinre
= nach, oberhalb der Mündung letzterer geschôüpft,
_ vüllig verschieden von den Thermalwassern. 3,46 ». » » Schwefelsäure
2 Das Thermalwasser A, enthält viermal so viel Mi- 3,00 » » » Kohlensäure der Bicarbousté
. neralbestandtheile als das Bachwasser E und zwar: RA
Chlor uni Brom.
Bulletin de l'Acad. mp des oc. | Prof Dr C Schmidt Hycrohg. Unters L
EE — — a — RÉTRRESR EE g —— 6,9 GC
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Quell e
s9
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
90
Dagegen enthält das Bachwasser E:
10,64 mal so viel Magnesium
Calcium ( als Thermalwasser A.
Kalium j
7 ,90 d'pE p
3522,» 5.9
Die zum Bache E oberhalb der Thermalquellmün-
dungen zusammenfliessenden Tagewasser und Quellen
müssen Kali-reichere, Dolomit-haltige Bodenschichten
auslaugend durchsickern, während die aus beträcht-
licheren Tiefen emporsteigenden Thermalwasser unter
Mitwirkung verwitternder Kiese (Schwefelsäure) ge-
spaltenen Natronsilicaten (Albiten?) ihren über-
wiegenden Soda- Glaubersalz- und Kieselsäure-Gehalt
verdanken.
Hinsichtlich des Vergleiches mit anderen salzarmen
Thermalwassern cf.:
«Die Thermalwasser Kamtschatka’s»y Mémoires
VIT Série, Tome XXXII, M 18 (1885) und «Die
Thermalwasser von Rachmanow, am Südabhange des
Belucha (Altai)», Bulletin XX VIII, 492— 516 (1883).
Das vormittägige Temperaturmaximum zur See in den
Tropen nach den auf der Corvette .Witjas“ unter
dem Commando des Flügeladjutanten, Capitän f.
Ranges S. 0. Makarow angestellten Beobach-
tungen. Von M.Rykatschew. (Lu le 26 mai 1887.)
1858 legte der Akademiker Lenz der Kaiserlichen
Akademie der Wissenschaften die Ergebnisse der Beob-
achtungen des täglichen Temperaturganges vor, die
während der Weltumsegelungen von Dr. E Lenz 1847,
1848 und 1849 auf dem Schiffe «Acht» der Russisch-
Amerikanischen Compagnie und vom Akademiker
L. J. Schrenck auf der Fregatte «Aurora» 1853
und 1854 angestellt wurden !).
Hr, E. Lenz durchkreuzte die Tropen 2 Mal im
Atlantischen und 2 Mal im Stillen Ocean. L. J.
Schrenck 2 Mal, von denen das eine im Atlantischen,
das andere im Stillen Ocean.
Hr. Lenz stellte in den Tropen zweistündliche in
2 Reïhen eingetheilte Beobachtungen am Tage und in
1) Über die stündlichen Temperaturänderungen der Luft vs
der Oberfläche des Mecres in den Tropen, von E. Le nz (lu le 26
vembre 1858). Ball. de l'Acad. Imp. des Sciences de St héniies
T. I. 1860.
der Nacht an, ausser zweien, die nur am Tage ausge-
führt wurden. Hrn. Schrenck’s Beobachtungen wur-
den stündlich Tag und Nacht gemacht.
Akademiker E. Lenz bearbeitete alle 6 Reïhen
der Beobachtungen, von denen er die 4 vollständigsten
einer Berechnung nach der Lambert’schen Formel mit
Berücksichtigung der dreifache Winkel enthaltenden
Glieder unterwarf. Er erhielt dabei wie für jede Reihe
so auch für das Mittel ein unverhofftes, interessantes
Resultat. Es ergab sich, dass im Ocean zwischen den
Tropen das Temperaturmaximum sich nicht eine oder
zwei Stunden nach Mittag, wie dies für beständige
Stationen des Erdballes gefunden, einstellte, sondern
vor der Mittagszeit, d. h. vor der maximalen Er-
wärmung durch die Sonnenstrahlen. Nach der von
Hrn. E. Lenz vollführten Berechnung ergiebt sich
als Zeit des Eintritts des Temperaturmaximums:
Im Atlant, Im Stillen
Ocean. cean.
Nach den v. Hrn. Lenz gemachten
Beobachtungen .......... 1] 49% 1007
Nach den v. Hrn. Schrenck ge-
machten Beobachtungen. ... 11 40 11 32
Akademiker E. Lenz erklärt diese Erscheinung
durch ein Abkühlen, welches von starker Verdunstung
oder von einem aufsteigenden Luftstrom oder von
beiden Ursachen zusammen bedingt wird.
Seitdem gab es, wie mir bekannt, keine genauen
Beobachtungen, ie diese Slustleérane Lerititee j
oder widerlegten. Indessen sind solche Beobachtungen
sebr erwünscht, da die angegebenen Ergebnisse des
Akademikers Lenz nach einer Formel berechnet sind,
die alle Ungleichheiten der Curve des täglichen Tem-
peraturganges ausgleicht.
Wenn wir indessen zulassen, dass das regelmässige
Steigen der Temperatur von Morgen bis Mittag unter
dem Einflusse anderer Ursachen, wie Verdunstung
oder ,aufsteigender Luftstrom gestürt wird, so muss
man unumgänglich annehmen, dass diese Ursachen
eine systematische Ungleichheit in der Curve des
tüglichen Temperaturganges hervorbringen künnen.
Es kann z. B. ein zeitweiliges Sinken der Temperatur
gegen Mittag stattfinden und eine solche Abweichung . . ”
wird in der nach der Formel erhaltenen Curve aus-
geglichen sein. Auch die
” sogar stündlichen Beobachtungen. sind zur Beur-
i benutzte,
+
91 Bulletin de l'Académie Impériale 92
theilung des Temperaturganges in der Näühe des
Maximums ungenügend.
In der nächstfolgenden Tabelle führen wir die aus
der erwähnten Arbeit des Akademikers KE. Lenz ent-
nommenen directen Temperaturmittel für die um
Mittag liegenden Stunden an.
l1/a.m. Mittag. 1”. ï
10/ a. m. 2"p.m.
Atlant. Ocean:
+ FT 20530 — 920543 — 20,31
Schrenck.... 20,71 20,74 20,85 20,78 20,74
Stiller Ocean:
RUE PORTE 19,60 — 19,78 — 19,51
Schrenck.... 20,19 20,25 20,23 20,11 19,96.
Wenn man nur diese Beobachtungen berücksichtigt,
so künnte man den Schluss ziehen, dass die Zeit des
Maximums im Atlantischen Ocean unweit des Mittags,
eher zwischen 12” und 1” p. m. als zwischen 11” a.m
und 12” eintrete. Im Stillen Ocean dagegen würde
das Maximum Vormittags zwischen 11° a. m. und
12” eintreten.
Capitän Toinby berechnete 1874 auf Grund eines
von dem Londoner Meteorological Office gesam-
_melten umfangreichen Materiales den täglichen Gang
der Lufttemperatur für das 3. Quadrat des Altanti-
schen Oceans (zwischen dem Aequator und 10° N. Br.
und den Meridianen 20° und 30° westlich von Green-
wich) ?). Er fand für die Zeit des Maximumeintritts:
in der nürdlichen Hälfte des Quadrats 1° 10”p.m.
in der südlichen » » » 0 547».
Hier ist also ein Resultat erhalten worden, das
dem vom Akademiker Lenz gefundenen entgegen-
vesetzt ist.
Die Schlussfolgerung gründet Toinby auf 9600 den
besten meteorologischen Tagebüchern entnommenen
und hôüchst sorgfältig bearbeiteten Beobachtungen.
Ungeachtet dessen muss das von Lenz erhaltene
Resultat bevorzugt werden, da letzterer die von L. J.
Schrenck angestellten stündlichen Beobachtungen
vierstündlichen Beobachtungen basiren. Es ist klar,
dass es unmüglich ist, über die kleinen Anderungen
__ gegen Mittag auf Grund noch so genau für die Ter-
a 2) Remarks to accompany the Monthly charts of Metcorogical
Data for Square 3. Published by sp of the Meteorological
Aursou es 1874. |
hingegen Toinby’s Ergebnisse nur auf
minstunden erhaltener Temperaturen. zu urtheilen.
Auf solche Weise bleibt es eine offene Frage:
ob das Temperaturmaximum in den Tropen im Ocean
vor oder nach Mittag eintrete und welcher Art dort
der tägliche Temperaturgang gegen Mittag ist.
In Erwägung des Besprochenen brachte ich, als der
Flügeladjutant, Capitän I. Ranges $S. O0. Makarow bei
den Vorbereitungen zur Weltumsegelung unter An-
derem sich auch an mich mit der Anfrage wandte,
welche Beobachtungen besonders zur See anzustellen
wären, ihm diese unentschiedene Frage in Erinne-
rung, worauf er es übernahm, specielle Untersuchun-
gen über den Temperaturgang gegen Mittag in den
Tropen anzustellen,
Im Januar des laufenden Jahres (1887) übergab
oun S. O. Makarow dem Physikalischen Central-
Observatorium seine darauf sich’ beziehenden werth-
vollen Beobachtungen, die in den Tropen auf der
Fahrt von der Insel Madeira bis Rio-Janeiro ange-
stellt waren. Wir führen hier die Ergebnisse dieser
Untersuchungen vor.
Die Beobachtungen wurden nach der Instruction
des Hrn. $. O. Makarow vom Secondelieutenant
Hrn. Igumnow angestellt. Vom 7. bis zum 10. No-
vember benutzte man ein Thermometer mit vergoldeter
und geschwärzter Kugel auf einem drehbaren Gestell.
Dieses Instrument wurde von dem Akademiker Wild
empfohlen und im Physikalischen Central- Observa-
torium verificirt. Die Correctionen der in ° ge-
theilten Thermometer wurden in Rücksicht genommen.
Für die Beobachtungen wurde das Instrument im
Freien im Schatten der Segel oder unter einem
Schirme aufgestellt und in schnelle Rotation gebracht.
Nach einer vom Instrumente während der Beobach-
tung aufgenommenen Photographie wurde das Gestell
mit den Thermometern auf die Lehnen der Com-
mando-Brücke gestellt. Die Temperatur wurde aus
den Angaben beider Thermometer nach folgender von
Akademiker Wild gegebenen Formel berechnet:
t=t,,—0,15(f, —4,,),
wo &,, die Angabe des mit einer vergoldeten Kugel
versehenen Thermometers, # des mit einer ge-
schwärzten bedeuten ©).
Da der Unterschied in den Angaben beider Ther-
_mometer selten 0,3 oder 054 überstieg, so kann man
3) Repertorium für Meteorologie, Bd. X, X 4, S$. 9,
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
94
das Resultat als ein sehr zuverlässig erhaltenes an-
sehen. Überhaupt gehüren wohl diese Beobachtungen
zu den besten jemals auf Schiffen gemachten Bestim-
mungen der Lufttemperatur. In Anbetracht dessen,
dass es besonders interessant war, die Frage zu ent-
scheiden, ob das Temperaturmaximum eintrete, bevor
die Sonne ihre grüsste Hühe erreicht hatte, wurden
die Reïhen der Beobachtungen nach der wahren Zeit
eingetheïlt. Die Beobachtungen fingen durchweg um
10” 50” oder 11” a. m. an und endeten um 1“ oder 1”
10” p. m.; sie wurden alle 10”, in seltenen Fällen alle
5" angestellt. Bei jeder Beobachtungsreihe sind Breite
und Länge am Mittage angegeben und für dieselbe
Zeit die Barometerhôühe, die Angaben des Thermo-
meter attaché, die des trockenen Thermometers, Zu-
stand des Himmels, Grad und Form der Bewôülkung,
Windrichtung und Windstärke, wahrer Cours und Lauf
des Schiffes. Ausserdem wurde alle 10 Minuten im
Moment des Ablesens der Thermometer annotirt,
welcher Theïl der Sonne von Wolken bedeckt war.
Am 10. November wurde durch heruntergefallenes
Takelwerk das Thermometer mit der geschwärz-
ten Kugel zerbrochen, demnach wurden die weiteren
Bcobachtungen mit den Thermometern Cels. À 1 und
N°: 3, die bei der Hydrographischen Hauptverwaltung
verificirt waren, angestellt. Die Kugel des einen Ther-
mometers (NX 3) wurde so gut es angieng vergoldet,
die des anderen (Ÿ 3) geschwärzt, worauf beide, an
das Gestell der früheren angepasst, wie letztere ge-
braucht,wurden.
Nach den übereinstimmenden, mit Hülfe beider
Thermometer beobachteten Anderungen und den klei-
nen Differenzen in den Angaben beider zu urtheilen,
kann man schliessen, dass diese Reihe der Beobach-
tungen ebenfalls vollkommen zuverlässig ist, wenig-
stens bezüglich der Temperaturänderungen.
In der folgenden Tabelle gebe ich die Resultate
aller Beobachtungen von 10 zu 10 Minuten; da die
Beobachtungen mit den Zwischenräumen von 5 Minu-
ten nur an wenigen Tagen angestellt wurden, so ent-
nehme ich denselben nur die Ergebnisse von 10 zu
10 Minuten.
With A
er
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Or
t
1886. Breite. Ne DT M it +
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wich.
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h, mn A mi A m
6 QU I MNE à bp. SR à és:
h
11 40”
ru
12
010"
November 7. 18°55'W —
» 8. 19 12W 23,18
99,84
929.57
97,27
29,88
10.
28,05
27,35
27,97
97,10
27,47
97,67
97,84
27,19 | 27,49
95,5
26,56
25,89
25,37
34 OM
34 15W
5134 55W
85 29W] 2
a 56W
5,4
18 36 48W 26,37
0. [19 108 37 5LW] 25,97
ééenber à [22 53840 8W
24, 97
95,37
A
26,19
95,56
95,29
21,37
26;
25 25,36 |
21,40
23/19
21, 537
98,56
21.57
925, 7
22 7
26,09 | 2
26, 17
1) Mittel aus allen 18 Tagen.…. 26,08
2) Mittel aus 15 lue von
1” a. m. bis 1
r p. 26,12
3) Mittel aus 13 Tagen in
des 26,05 | 26,11
26,04
den Tropen 26,05 | 26,16
4) Mittel aus 9 Tagen, zwi-| |
schen 10° N und 10°S.....1 (27,46) (27,51)
5) Mittel aus 2 heiteren Tagen
in den Tropen.
6) Mittel aus 2 Wan: Pigen
.-iù den Tropen,.:..,....:
26,07 | 26,12
CR
(27.52) (27.57) 27,67
| LA FE 7 L4
27,65 | 27,81 | 27,62
24.04 | 24,03 | 23,98
26:02
26,09
26,13
27,63
27,27
23,88
28,83
26,09
26,08
27,56
27,59
M
26,02
26,07
26,11
27,51
27,53
23,90
26,10
26,16
26,19
27,59
27,39
27,53
27,58
27,47
26,03
26,13
26,21
0 où
26,17
26,20
27,37
26/07 | Ex
29,37
7
97, 63.
259 |
27,29
26,47
25,47
Le)
26,12
26,16
27,54
——
(26,08)!
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(782)
23,93
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| 23,88 | 28
95
Bulletin de FAcadémie Impériale
BEMERKUNGEN.
”: November 7. und 8. Die Sonne war die ee Zeit über in keiner
Weise durch Wolken verdec
Le]
»
Nachmittag.
. Die ue war die ganze Zeit über durch Wolken
verdeckt.
>. Vormittag bedeckten von Zeit zu Zeit leichte Wolken
die Sonne.
. Vormittag bedeckten, mehr als am Nachmittag, von
Zeit zu Zeit leichte Wolken die Sonne.
. Die Sonne wurde die ganze Zeit über in kejner Weise
durch Woïken verdeckt.
. Vormittag Se ds leichte Wolken,
dichtere, die Son
Nachmittag
» 20. und 22. Vo mitlag. ‘bedeckten Wolken von Zeit zu
Zeit die
» 23. Nachmittag hétéct ten von Zeit zu Zeit leichte Wolken
die Sonne.
», 24. Am se: schien die Sonne kaum durch die Wolken
hindur
» 25
. Am tag mm je Wolken den grüssten Theil der
Sonne und um ” überzogen sie dieselbe voll-
ständig
‘ Vormitag at Wolken theilweise die Sonne
» 28. Die n ar die ganze Zeit über durch Wolken
ver
. Die rene wurde die ganze Zeit über in keiner Weise
durch Wolken verdeckt.
. Nachmittag verdeckten Wolken von Zeit zu Zeit die
Sonne. : :
December 1. Gegen 11° a. m. und gegen 1 p. m. verdeckten Wol-
en die Sonne
Die fehlenden Beobachtungen für den 17. November
von 10° 50" bis 11° 20”a. m. und 1*10”“p.m., so wie
für den 18. November um 10° 50”, 11” a. m. und 1”
10" p. m. wurden auf Grund des mittleren RE
turganges an anderen Tagen ergänzt.
Alle am Schluss der Tabelle A D a res
Ergebnisse zeigen, dass ein wenig vor dem Mittage
und gegen denselben ein kleines Sinken der Tempe-
ratur stattfindet, so dass sich 2 Maxima, das eine
eine ‘}, Stunde vor, das andere eine !/, Stunde nach
dem Mittage bilden.
Diese Erscheinung offenbart sich am besten in der
_ Nähe des Aequators, zwischen den Parallelkreisen 10°N
u. 10°; hier erreicht der Unterschied zwischen dem
Mittage und 11° 30" a. m.—0°,16. Bei dem Be-
trachten der Beobachtungen für einzelne Tage und
bei dem Vergleiche derselben mit den Aufzeichnungen
des von Wolken bedeckten Theiïles der Sonne kamen
wir zur Schlussfolgerung, dass, obgleich dieser Um-
stand auf den Temperaturgang an einzelnen Tagen
einen kleinen Einfluss übt, er doch nicht merklich
auf das Mittel wirken konnte, da die Fälle der Bede-
: AE verdeckten Wolken die Sonne mehr als
ckung der Sonne durch eine Wolke sich gleichmässig
auf alle Beobachtungstermine vor wie nach dem Mit-
tage vertheilten.
Zur Bekräftigung dieser auf der Corvette «Witjas»
erhaltenen Resultate ist eine Wiederholung solcher
Untersuchungen sehr zu wünschen, wobei es von
grossem Nutzer wäre, an jedem Termin des Ablesens
der Thermometer auch die Bewôlkung zu notiren, da
dieses Element jedenfalls einen Einfluss auf den Tem-
peraturgang ausübt und vielleicht bei der Erklärung
des Sinkens der Temperatur gegen Mittag mitwirken
wird, indem ich der Meinung bin, dass man den von
Lenz angeführten Ursachen dieses Abkühlens noch
den Einfluss der Bewülkung beifügen kann, da ja eine
starke Verdunstung und ein aufsteigender Luftstrom
eine Vergrüsserung der Bewülkung gegen Mittag be-
fürdern.
Über die Synthese der Eiweissstoffe in chlorophyllhal-
tigen Pflanzen. Vorläufige Mittheilung. Von Chra-
powitzki. (Lu le 26 mai 1887.)
Die neuesten Arbeiten über Chromatophoren von
Schmitz, Schimper, Meyer und besonders von Za-
charias weisen schon darauf hin, dass diese Gebilde
eine wichtige Rolle bei der Eiweisssynthese spiclen.
Um diese Frage genauer zu prüfen, liess ich Pflanzen
die in ihnen vorhandenen Reserveciweissstoffe verbrau-
chen, um darauf den Gang ihrer Neubildung vermit-
telst microchemischer Reactionen verfolgen zu kônnen.
Ich benutzte dazu die von Raspaille, Frôhde, Mil-
lon und Zacharias empfohlenen Reactionen. Die der
beiden Ersten sind am empfindlichsten und ermôgli-
chen, obwohl sie die Eiweissstoffe allmählich auflôsen,
nach der Intensität der Färbung der Präparate an-
näherungsweise deren Eiweissgehalt zu schätzen. Die
weniger empfindlichen Reactionen von Millon und
Zacharias bieten den Vortheil, dass sie die Eiweiss-
kürper nicht auflüsen. Um das Verschwinden der in
den Pflanzen enthaltenen Reserveeiweissstoffe zu ver-
anlassen, liess ich zuerst die Pflanzen im Dunklen ver-
weilen; allein dadurch wurde das gewünschte Ziel
nicht erreicht; die Pflanzen starben ab, ohne die Re-
serveeiweissstoffe verbraucht zu haben. Erst als ich
Wasserkulturen, am Lichte, in stickstofflosen minera-
lischen Salzlüsungen aufstellte, gelang es mir, die Pflan-
97
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
zen von Reserveeiweissstoffen zu befreien. Ich benutzte
dazu die Knopp'sche Lüsung, in der ich aber das sal-
petersaure Kali durch Chlorkalium und den salpeter-
sauren Kalk durch Gyps ersetzte. Ich stellte eine Lü-
sung dar, die in einem Liter destillirten Wassers
0,6 gr. KCI, 0,6 gr. KHPO,, 0,6 gr. Mg$0,4H,0
und 2 gr. CaSO,2H,0 enthielt. Die Samen wurden in
destillirtem Wasser zum Keimen gebracht und erst
als die Wurzeln die Länge einiger Centimeter erreicht
hatten, in die genannte zur Hälfte mit Wasser ver-
dünnte Lôüsung_ versetzt. Die Pflanzen wurden darin
gelassen, bis die, 70 bis 100 Cub.-Cent. fassenden
Gefässe für die Wurzeln zu eng wurden; hierauf aber
in grüssere, mit der obengenannten Lôsung gefüllte
Gefässe übertragen.
Anfangs entwickelten sich in dieser Lüsung die
Pflanzen (Phaseolus, Lupinus, Pisum, Cucurbita, He-
lianthus, Cannabis, Zea und Pinus-Arten) eben so gut,
wie in der Lüsung von Knopp. Allmählich jedoch er-
wies sich die Entwickelung immer mehr und mehr
verlangsamt; die ausgewachsenen Blâtter zeigten nun |
keine Eiweissstoffreaction mehr, während junge, in
Vegetation begriffene Pflanzentheile und die Siebrüh-
ren auch in diesem Falle bis zum Absterben der
… Pflanze Eïweissstoffe enthielten. Beim Vergleich zweier
gleich alter Blätter von Pisum, welche zweien sechs-
wôchentlichen Pflanzen entnommen wurden, deren eine
in stickstoffloser, die andere in stickstoffhaltiger Salz-
lüsung erzogen war, stellte sich eine in die Augen
springende Differenz in der Färbung dar. Die Blätter-
stücke wurden zu diesem Zwecke zuerst mit Alkohol
entfärbt und dann mit Zucker und Schwefelsäure be-
handelt. Das in der stickstofflosen Salzlüsung erwach-
sene Blatt blieb fast farblos, während das der stickstoff-
haltigen Lüsung entnommene eine intensiv rosa Fär-
bung erwies. Meinen Beobachtungen nach bedarf die
Pflanze gewühnlich 1 bis 2 Monate, um die in den
Blättern befindlichen Reserveeiweissstoffe zu verbrau-
chen; hierauf beginnen die Blätter zu welken; die
Entwickelung der Pflanze steht still und die Pflanze geht
allmäblich zu Grunde. Wenn man, nach dem Schwinden
der Eiweissstoffe in den Blättern, die Pflanze in eine Lô-
sung von Knopp oder überhaupt in eine salpetersaure
Salzlüsung versetzt, so lässt sich schon nach drei bis
sechs Tagen in den Chlorophyllkürnern eine Anhäufung
der Eiweissstoffe microchemisch nachweisen. Es gelang
mir auf diese Weise in einem sechs Wochen alten, in
einer stickstofflosen Salzlüsung erzogenen und von Ei-
weissstoften befreiten Phaseolus vulgaris, nach sechs-
tägigem Verweilen in einer salpetersauren kalkhaltigen
Lüsung, in den Blättern mittelst Zucker und Schwefel-
säure eine intensiv rosa Färbung hervorzurufen.
Einen merklichen Unterschied in der Färbung, vor
und nach dem Verweilen in dieser Lüsung, wiesen auch
die Reactionen von Millon und Zacharias nach. Bei
Cucurbita Pepo-Blättern trat der Unterschied, wenn
auch deutlich, doch nicht so intensiv hervor.
Sehr gut war unter denselben Umständen der Un-
terschied in der Färbung in Blattstücken von Zea Mays
zu beobachten. In allen diesen Füällen war die Fär-
bung bloss auf Chlorophylikôürner beschränkt.
Dasselbe Resultat erhielt ich bei vergleichenden Ver-
suchen mit abgeschnittenen Blättern. Es erwies sich
dabeï, dass zum Erzielen günstiger Resultate die Blätter
unter der Lüsung abgeschnitten werden müssen. Schon
nach 6—8 Stunden konnte mittelst Zucker und Schwe-
felsäure eine schwache Eiweissreaction erzielt werden;
nach zwei Tagen färbten sich die Blätter ziemlich leb-
haft rosa. Phaseolus- und Cucurbita-Blätter gaben das
gleiche Resultat. Blätter, welchen statt salpetersaurer
Salze Asparagin als Stickstoffnahrung dargeboten
wurde, färbten sich weniger intensiv, doch konnte auch
in ihnen nach 24 Stunden eine bemerkbare Färbung
der Chromatophoren mittelst aller obengenannten Re-
actionen erzielt werden.
Die angeführten Versuche rechtfertigen also, meiner
Meinung nach, den Schluss, dass die Chlorophyll-
kôrner als Orte der Synthese nicht nur der
Kohlenhydrate, sondern auch der Eiweiss-
stoffe zu betrachten sind.
Diese Arbeit ist, unter der Leitung des Herrn Pro-
fessors Famintzin, im botanischen Laboratorium der
St.-Petersburger Universität ausgeführt worden.
Neue Erwerbungen des Asiatischen Museums. Von . . :
C. Salemann. (Lu le 17 mars 1887.)
Herr N. Pantusov, beamter für besondere auf- ee
trâge beim kriegsgouverneur des Sibenstromgebietes ne
(Cemmpbase), sante im herbste des vorigen jares der
K. M num ee Geselschaft fünf Perd
Le, .
Bulletin de l’Académie Impériale
100
handschriften ein, welche für das Asiatische Museum
an gekauft worden sind. Im folgenden gebe ich eine
vorläufige beschreibung der selben.
I (Persisch).
Ne aa568,a. 24 X 18,5 em. 251 fol. 19—22 lin. à 12,5 cm.
Lake, ob vel. Rieu I, 164.
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Der titel findet sich fol. 4 v, z. 12.
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à [am rande »l3 lue] 5)5 > re sf, eh)
Fol. 83 v: sm, ét 5} ds! _35 Pl > ar
Fol. S4v: a aël > Le y Qui, AU cpl els
le is ab ouh ss vi pl, à , cymiess Lo]
#7
1) So, OH, hier und am schluf des ersten buches; die bei-
den anderen hdschr. lesen fälschlich EX, die osttürkische über-
setzung p.11 hat L} ab. NE
2) UM fügen noch hinzu: lé 5, elbiul sue 2e,L
3) So alle drei hdschrr., ob türkische construction anstat els
SU? T p.12 hat: (ll, 25 ét Ds os
Fe LR >» _»P MA) üll [am rande mit bleistift sl]
e ss » UE) ls >L 2} Jate 4 IL]
DE Ua lL Je ull, clé. 0 0
Dub il LEP Reis LU
r be . OBS te Line (f Li)
Das zweite buch begint unmittelbar auf der fol-
genden seite, one irgend welche überschrift; fol. 85r:
La 2) Glulss Las y Uluos ss p
Ji JS cp) JA Lise ( UY1) PS 4 ll JD HS :
A1 lee asp œil, d'ail ié ES
Am ende der geschichte des Sultän Husain (}
Lab us OL il) reg. 873-—911) von Herât
widmet der verfaBer merere seiten der biographie von
gelerten und dichtern, welche an dessen hofe geblüht
haben. Ich drucke den ganzen abschnit hier ab, und
bezeichne die neu erworbene handschrift mit P, die
beiden früheren mit U und M, die übersetzung mit T,
vgl. unten. Die folgende überschrift ist dem index zu
M entnommen.
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4) So die drei pers. hdschrr., die osttürkische pag. 184 ein
5) So die drei pers. hdschrr., die osttürkische pag. II,2 j9-gae
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107 Bulletin de l’Académie Impériale
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Das gedicht, welches auf den ersten blik nichts weniger als mysti-
schen inhaltes ist, findet sich in Gâmis erstem divân, in der hds.
der K. Off. Bibliothek Dorn nr. 422 (man beachte die wihéte Zu-
rechtstellung bar. Rosen’s in den Collections scientifiques de l’In-
stitut des langues orientales III, 252 #.), fol. 452r:
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die von bar. Rosen I. c. 233 nr. 24 erwähnte qaside, auch findet sie
sich weder in disem codex, noch in Dorn nr. 422 (freundliche mit-
teilungen der hrn. bar. Rosen und mag. Zukovski)
anderem reime: Cody, und UM: Laure 7 r) om.T. rr) 55 P
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r) Dorn p. 158; ed. Gottwaldt, Kasan 1885 s) Rieu I 17
t) ib. I 44 u) om. PT; Rieu IT 594 #) Sprenger p. 447
w) Rieu II 808 x) Rieu II 827 y) Rosen 252 ff.
z) Rieu IT 876, Dorn 372, 11). 373, 32)
113
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
114
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115
Bulletin de l’Académie Impériale
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127
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119
Bulletin de l’Académie Impériale
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cf. Rosen 125 5, ao, 925
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
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1) vgl. Rückert- Pertsch p- 174 und dazu Fleischer ZDMG.
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L Je Jl, Vo plans C4b, FI Lines us
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») die literatur findet man bei Rieu 1, 366; dazu Mux. Hukur-
CKaroO, Juapr-Husaum-51-nur8-Aau-inpr BB TOCyYLAPCTBCHHOMP
H XUTEPATYPHOMBR ero sHauenin. Diss. Cn6. 1856. 8°. 104 pp.
9) P 18r r) vgl. Hukurekiü p. 88 s) Rieu I, 240. II, 609
5) Belin JAs5 XVII (1861) p. 339; ebenda p. 233 ff. die liste von
Navàäÿs werken, vel. Hukurckiä p.75 ff. u) aKss asy T'as TU
v) T 93 æ) U 91v y) M 178 2) om. P
125
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L:J} 17 (hs. der Univ. Bibl. 618) fol. 38v; Âtaïkadah ed.
Fland p. |A. T vertauscht dise und die folgende überschrift
r) Navâi L e. V fol. 67; ÂAtaëkadah p. FF;
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Rieu IL 651 z) >U a) Navi III fol. 84v: ed Bepesuu%
S'JpenRes xpecromartis I (Ka. 1857) 147; Rieu II 651 b) dafür -
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c) Rien II 736; Ataskadah p. V d) Cl D LS»
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ganze pagraph felt in UM 1) P 114 . m) add. fälschlich
% U; s. Navâi II fol. 84v: ed. Bepesux® 1. c. 148; Rieu
I 351; Rosen p. 125 n}T y U ?) y U
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pesuu”8 1 c. 146; Rieu II 5925 ({529 ©) w) T ob Us tL
Rieu II 735° x) >P y) 3 «ss D von hier bif zu den versen -T
2) U 92v, om. af a) M 180 b) &ûs PT o LES Le
ds, Je! Ataëk. d) } 55 ü e) citiert von den lexicographen,
cf. Vullers II 1289* f) sic Co U f) sb à
g) sic, dafür U: ts D sic hs a clé! 3) Las
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h) welcher von beiden gemeint ist, weiB ich nicht,ob LS à p 5 € Jo)
(ALL) + 934, cf. Naväâi III fol. 47; Sprenger p. 319; Rieu
IL 6572, — oder sobre J,5 € ol + 942, cf. Na vài VI tol. 75; ME
ger p. 320; Rieu IL 657; Rosen p.127 îi) wol LS ne
(Qsæ 1) + 987, cf, Navi III fol. 38v: ed. Bepesux® I c. p. Fe
Hammer nr. 173; RARE p. 514. 22; ein auB Merv gebürtiger
dichter dises beinamen wird von Navâi IILI fol. 47 erwänt
k) disen beinamen Te merere dichter, s. Sprenger p. 30 (350).
42 (5738). 55. 65. 87 î) Jai UT, wol richtiger, denn bei
Sprenger sinds zwei personen p. 22 (209). 21 (200) vgl. Rieu II 735?
m) ib. 20 (164 ammer pr. 161 o) T, om. PU, vgl. Naväi
AS 0 jh pee
g) Sprenger p. 423; Rieu II 736% r) LAS EU
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welches sich auch in den ,;s a VI, 149—164 nicht ne è
anklar gebliben; villeicht ist für que zu lesen li: cles
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; . hésen 260. 321; w Re d) SR cf. Rieu 16 e) P 115
pe ea ST, ob y g) vom stern an > U
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q) Dorn 42, Rieu I 3732; TU schreiben (LS) He r) >T;—U 93
s) M 181, vgl. Dorn 42 ti) sic PU ÊTRE ar
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134
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halte ich mich in der lesung vorzugsweise an P, gebe aber genau
die varianten in U und T an. s) SL CRE PMCRERIE
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_ D MUR IT 9omP d) U 94, add. Cu)
+ SLT Eole UT;— M 188
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f) on. U QG) 4, T ) LL v
h) hier felt in P ein ganzes stük, biB zu den musikern, welches ich
nach UT gebe, obwol ein par stellen dunkel bleiben müfen; in
Le vorlage von P war offenbar ein blat au gefallen
Doi VDS S yis T n) T AE
0) davor 49 9 + 0 L%s N'y IS LU do A T!
q) sic? lil ul Op y _jau il ré Le)
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3, 5) Ur ds T, um nichts klarer r) Lui) 199 U
hier und später, MS y; T s)T104 # sic, ob 5L55?
That: CL (del. <) nu olep LG, waB ich auch nicht verstehe
u) HE Uas,T
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136
137
des Sciences de Saint -Pétersbourg.
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v) «kolenzeichnung, skizze » ? | Ji Do Le; Lo QU LE à
w) corr. nach T/ Jul aus, le 9 U x) T js jU y) undeuflich T
2) 4 U cf. T: Jp L:, de Gas ll > PE
Ds? Gp sole, ol &hs » os 5 ple plie
a) Le T b) Pa T, er las also ,> bb) 2e U! c)omT|
d) dagegen LS?» ] JL r° T dd) das ende dises absatzes felt i in T
f) Dorn 48 g) M 184
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if sl Je og » LI tn Ju do us
m) sic U | Junal Ge re, Je T ü so U, waB ich
nicht zu beBern weiB. T hat nur: Jos JP pli 4]
lp eur s 0 SSI jus LC lse3, IT
») >UP, welch leztere hier wider ein sezt; daB ich den text in etwal
roher gestalt geben muste, wolle man meiner ungenägenden kentnis
der realien zu gute halten, waB auch für den folgenden abschnit gilt
g) mein zusaz nach DO à ub] Ur T->PU
r) om. UT s) ésËL U Jumasél T à >U mb T
u) add. 2x) lus be T #) davor su U, dafür LL T
w) (9 P 2) p 295 pr U ps
2)» JE 4 à y) hier fügt U an: Elo) LS œb Bb,
A poly hes el Eb buses à
wofür T: us [ES ELJELiof ets) mur LL, +. ï :
ge Lsls 2») 299) Li Er me | sx) Les
LS 9 U aus T
Ks2») s} hesbé 2 £: den text wage ich nicht her zu stellen à
z) om. U a) p?P b) T 39 Ji Le D:
139
Bulletin de l’Académie Impériale
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sh lb > ds li) é alé as ne ‘Ubu,
Qu 49 Jde Giles REP A Ji Jo) ele,
{La op He CP
Fol. 173v ist unbeschriben, biB auf einen arabi-
schen spruch, es felt jedoch nichts, waB auch durch
die notiz plu ge an gezeigt wird.
c) so P DME pa De, U 5% El F5 A5 bu pis Lt
du ki Le dipl Gael Soi)
ce RE) Er (T 106) de! Le sr
ES Fe eee k,, F E é L5b 7?
= Fe T; ich verstehe die ganze erleuterung nicht q) 3) | L au
We do Cl 7 F5 He À 9) y ,%5 U! %) om. P
: î) om. UT Æ) sic? vor dem lezten worte Lee ? (villeicht auf
gestrichen) P hs U US ue T D om. P
. m) add. bots du vom stern an >T n) pb o UT
0 mp D JL r SLT D) je (ss U
| r) om. PT
J Fer
Der von Rieu erwänte tractat des Maulâänà Muham-
mad Qäzi solte im abschnitte: L pe Copé Cl, T5
nach fol. 185 folgen, er felt aber bi auf die lezten
zeilen, und nach einer lücke begint fol. 186r mit den
worten (U 156v,9. M 304,16): bles L'Euul OI,
2] il mel. Der schluB des abschnittes ist in den
neueren handschriften verschiden.
Fol. 209r,7 . C5 pos LA ME ne NES Ds) Lu) ? Uy>
à 39€ ls Le Jls-| es 3 Lo (sic) ds
Diser abschnit, welchem das bei Veljaminov-
Zernov IT, 198 ‘) ab gedrukte stük entnommen ist
(P 209v, vorlezte zeile), schlieRit fol. 211: b,] CSS
ol of Lol le 5! oil étés Lu aù LE Go LL,
de qv a # bb de Lx) af ul 4Jls,, und darauf
folgt der andere von Rieu erwänte tractat fol. 21 1v—
214 (M 361—371. U 181r—185r).
Fol. 248v: a Bb AS id Je his ie Élsul
DL JL er FA de ue dt Ji Jos
a Es
Mi on pe y | 4), Ego lil sb), Ca US slogé
“leu
| me Ule 5) Eef, ue Éleuk (fol. 249), 33514
Cup Gasb yes cpl Dye D agi lé Cane ( RS
SE Ka “8 es sLe) SJ! Elle Li} ue? P
ms das Le pi dre
Fob 249v: Les, Liber, QU ns)
Fol. 250v: NE bas ne) eu à»
das ai Lt à IN del re
6) B.Bexsamnmo8a-3epaora Macrhxosanie o KacnmoBCKkuxB
HapaxE A uapeBnuaxB. I—III. — Tpyxs Bocrouxaro Orxbaenia I.
Apxeozorudeckaro OôuiecrBa. IX. 1863. X. 1864. XI. 1866. Cn6. 8°.
Der vierte band, welcher genealogische tabellen und das register
bringen sol, steht noch immer auf.
7) Diser zusaz felt in den Ateren hdschrr., ich komme später
Fr auf in zurüû
8) Immer one punkte.
9) Hier schlieBen die beiden anderen hdschrr. UM, indem sie fürs
lezte wort HIS lesen!
1AL
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
142
ME ol SG 4 JE CM, 80 Ab dll,
Hodl 261, dlsle 6 gt 3% Lil gl sn
äe JJ) PL äm à) el lue], Jya) pb SUR
Li) y) Spas yyeil] he çèse (sic) Je) ebls
Es se Je Le ll Col Claull EU ss
Je el se Ms cp Ubudl & LL + + al ab
al Ce, [Rieu d] San y) SERRES y)
Gaël D (Le, olsfe id! Je, 05 il 5 GUd) 3 dl
[schräg? JL cs] sr dl äa, 4) ill al sLel) xl,
Die handschrift ist alt, zwar flüchtig aber recht
felerlos geschriben, und ermargelt ser oft der diakri-
. tischen punkte; das » hat oft das in Ostiran gebräuch-
liche unterscheidungshäkchen. Hie und da finden sich
correcturen am rande. Man künte fast das datum A.
H. 972 —A. D. 1564/5, welches sich fol. 211 findet,
für die zeit der abschrift zu geben. Auf einem merfach
ab gedrukten sigel findet sich das jar |1or.
In jedem falle verlieren mit ir verglichen die beiden
anderen handschriften, welche wir biBher besaBen (As.
Mus. a568,a !°) und Universitätsbibliothek nr. 272 —
Ras. 22022 vil an irem werte. M ist ec ne VS
yon U ab geschriben und widerholt alle feler der lez-
teren, da so vil ich verglichen habe, keine nl
_ mir auf gestoBen ist auBer dem charakteristischen
gs (oben $ 4 des textes), und beide mit dem selben
falschen worte mitten im satze ab brechen.
Auch eine osttürkische übersetzung des werkes
besizt das Asiatische Museum (nr. 590,0 Ÿ). Sie ist von
10) Ganz modern, aber undatiert; 463 pp. fol. Vgl. Bexramu-
H0BB-3epaoBe, Hacrbropanie o Kacumosckux® napax», Il, 130
und Mél. As. V, 456; — oben mit M bezeichnet,
11) Fol. 7-+-224 bl.: dj) pi ce dj} Je 8) 33 as |
1Pog -
Sr & Qéb'Yall Gall (5) (fol. 64); —oben U.
Are
12) Fol. pp. 184+ 316; — oben T. Be1LAMUHOBE - BEPHOBB
beschreibt sie 1. c. II, 138. 199, und gibt vile auBzüûge. Wie die
h un
verständlich; darum bleibt sie als textkritisches hilfsmittel aber
(ai Le jee für den fürsten (EL), x] 5,2
UE, F L, son des Kaëgarischen fürsten Ur) Lys
une Le als he und ee pag. 2:
SE dt ve RP me LL ss _.
Die vorrede gehürt dem cu das Re
liche werk begint pag. 10 unten. Beide teile des lezte-
ren sind separat paginiert, leider felt aber das ende,
denn im capitel | K&l, QU ne Li 5 bricht
der codex mit den worten ab: SJ) Ssc,UL ne li
u, l'esaxl Giles dl, 5 y JD soil vu}
[eustode Joel à], cf. P 204,5. U 173 v. Hie und da
finden sich einige bleistift-notizen, über welche fol-
gende randbemerkung auf pag. 12 auBkunft gibt:
«Toute la pagination de ce manuscrit ainsi que les
«notes marginales et les dates au crayon sont de la
«main bien reconnaissable de feu notre respectable
«collègue et ami Mirza Djafar Toptchibascheff 1).
«Bar. Desmaisons».
Früher gehôrte die handschrift einem Kasaner,
wie die pag. 1 befindliche aufschrift lert: 3. a5l. 5
A) ae dj! Fbsl 73) él EL J en
IPVP ds José äL à Ya st e ÿ® fe
ganz brauchbar. In sprachlicher beziehung mal ich die herren
Turkologen auf das sonderbare praet. © J, 5 pl. 55), 5)
aufmerksam, welches ich noch nirgendwo anders “Rolise habe.
Re sie, wol chin. Æ wañ «herscher, fürst ».
14) Über in vgl. Bezxsamunos®-3epro8®» L c.
schrib A. H. 1182 (am schluB steht 4 1136) eine geschichte von
Kaëgar unter dem titel RTE on}, welche hr. Ü. Vali-
chanov 1859 auB KaSgar mit gebracht bat (8auncru HU, P. l'eorp.
O6. I, 1861: Hscabrosania u
Ferner erwänt er selbst seiner rare des Tabari—T fol. ce
folgenden worten: Ë (JL pe L ut éb
ee “l ER Vs SP de -
15) Einige notizen über disen früheren professor unserer univer-
sität findet man in Grigorjev’s Geschichte es she (CII6. 1870) .
zerstreut, vel. den Index p. 13, und in N. Vesselovskÿs arbeit
in den Travaux de la 3° session du congrès internat. re ES
listes, L. p. 246. +
EE, 188: er -
u marepiaasr, p. 199); eine abschrift .
davon, wie es scheint, findet sich im Asiat, Museum sub nr. 590,00.
143 Bulletin de l’Académie Empériale ait
EtwaB älter ist folgende notiz auf dem vorsazblatte:
IPA4 JE OL as Lt” (SP LS Le Je 9?)
das felende stük befand sich also am anfange eines
besonderen bandes, worauf auch der original-einband
hin weist.
IT. (Persisch).
M 666,2. 27X 16,5 em. 192 fol. 15 lin. à 9,5 em.
Ce El von (ais Je pie Ye cp es js Ye
Eine geschichte Ferghäna’s, welche der oben er-
wänte hr. Pantusov, — allerdings one seine hand-
schrift oder handschriften zu beschreïben und durch-
auB nicht felerlos —kürzlich hat drucken laBen !f).
Mit vilen persischen und osttürkischen versen und ge-
dichten (chronogrammen) des verfaBers.
Die ersten siben blätter sind unbeschriben, Fol. 8v
begint das werk: 542 9)] caals Copa li Je
à ble Ligue sens SL Li, LC
und stimt biB fol. 15v, z. 9 mit der aufigabe 14,8; |
daran schliefit sich sofoit 1V,14 der edition (in folge
dessen das datum der abfafung A. H. 1288 — A. D.
1871/2 übersprungen wird), und so finden sich auch
weiterhin kürzungen und zusätze gegenüber dem ge-
drukten texte. Unser exemplar endet fol. 181r mit
Ed. 14,2:
haie He) JO LE | Es Et
rar af >L up, DES ST se es _p
Je ob fois be Je LL el 6 8
5 plé LE A
Eine flüchtige vergleichung beider texte legt die
_ anname nahe, daB die handschrift eine ältere, noch
nicht mit allem rhetorischen pompe auB gestattete,
redaction sein künne. Sie ist ser jung, und in Tur-
kestan geschriben. Fol.181v, sqq. sind unbeschriben "”).
16) Taapuxr Ilaxpoxu. Hcropia Bxaxbrereñ Pepranti. Couuxe-
Hie MOzaBI Hiasu Myxamwexs Gear Amyps Myxamwere, Xorasxna,
+. 4 usransan (sic) H. H. nr MR Kasaus. Tuu. U. Yuus.
titel. An gezeigt von |”
. H. Becesosckiü SK. M. EH. Ip. 048, T1, 175 (H046p& 1886).
1885. 8°, f#f#f# pp.; auch mit
17) Ein anderes exemplar dises werkes (172 fol. 8°, undatiert,
aber ganz modern) besizt die Universitätsbibliothek sub no. 942 als
one hrn. prof. N, Vesselovski.
III. (Cagataisch).
x 667,a. 25,5X 19 cm. 812 fol. 17 lin. à 11 cm.
Que 5 be» Jl,5] one daB der titel oder der name
des übersetzers an gegeben wäre. Anfang fol. 4v:
L: £ moe J995° y pe Sas
Schlu8 fol. 306r:
LIL or rE Ca | D) gene let
übe sy >) ANSE À , ok 2 p) 13 pin 232 as
ps Sy) JL pus EL Fois pos ob ICS
phull, ps purs moil ré aLAl 3 lil isuel a
Darauf folgt Là einzige zusaz des übersetzers:
a de Es je EE Su
nn É? Ge: Je Je» Fée :
waB die jareszal À. H. 1131 — A. D. 1738/9 ergibt.
Unterschrift: sk ee ON Ce SLO) + e
+ LU sk J> Le fre ds
SP Lo Le
Auf der folgenden seite finden sich neben drei per-
sischen perte noch D ce verse:
à fyenden nibe ich als rite der recht ge-
schikten übersetzung die 2. und 3. erzälung der ein-
leitung (ed. Ouseley p. «t# ff.) genau nach der
handschrift, nur einige punkte und lesezeichen ge-
hôren mir.
1.2 (+)
ob lassb QG Les, » Sa sl lil
übs ik lues Ub, ns Vo Lol de =
a) fol. 29v
145
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
146
on ul Pl D juuaals éb RS Et RP
jus rl © UL,L aësLl) SLI ds is ülb
QU, aus Eli) dl, Cash, pub as col lb
+ «s2»l
ces al HS rs ue) ét
RTE M
Jos gl sn» de “kg état
ur ss») I DUTY J'p55
JL, 4h Jluxse y db (sl LL
Jleus 5 ns dbule A ss Ja
Jus Hi a}, | ls Dislus] JS yes, a p
2e poilue Goes Dee Ko 5, ouls Île
gxsl Des Shi ,5b all ab Ki] so A)
x loile fébuil AL sl Jos lie 2), ‘|
so el, L'on sl Ci of ol 55
oelLs He Jà) Uy?s NS ol s & sl »
LES, 1 als il ses; al A nr
ékisasLeT ts «s2») ps vise sul Le, LUE Res
LL ee 5 EE ce As ç6b as 5
Lis Uy2sl SkL aab aw Jp , FE 1, Les < «s2»)
Cr Ks;L Jo) Ls2b5 Ls2») EN "HuyUT Ji
«y üls- Aols Je, pl sub Sip OL
Les Job 7 eds sl 4
ps) Ls seb, ES ‘aol Æ
dl ae ous ls Ke CT ca5,l JU
Lys e Aols Peas Kl Cous 2 anis,
Grue Uel esuie Vis EE connait tb,
& xl Lil culs lu je Ki MG luiel
Le rs op» awb lune JL » ile él Je
gb
b) lis luais c) sic d) mein zusaz e) ,9, Cod. f) d.i. 3) 5)
9 di (wi Mit Dies à (asë Coù.
1) sie; fol. 30r
Tome XXXII.
L uk J,| gb JS ur "ER ébsl
JG ais y nil 5 le » Lol LU,
éL® sol, «s2l B eybesl 2e) EL)
SL) La LS £Las a Ks>pl 5 CS KL Ls y
ps GI 0, Le (url LsJbs Lu, "amet
jeu KEL os; 5 (jl SL JE EL iles 5 dl,
ol ee le als 5 1 RU, ls lt
5e sl Jonie ans élil oui Ci ,L
«s2n) gb °], 5 r KG (52) sos l, 4 aù los, 5 2,1
ke célols lis se PEL, as) |) St
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ls 955 d RER ai stès L ñ ob of
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Ge auly “ébef g5 2e GK ST, ce pulse
Le 9, gel lus bots Jus QI LE es Ja
Li 6 JL jo G JO SU ES ue 5
m) LK: 5 Cod. n) …….l& Cod.
1 :
o) d.i. FE p) fiügge» cf. Byxaros®e 1,498 q) nur (y le Cod.
s) sic, pers. LS der einbeit, wie in disen
r) 59! Cod. »
u) d. i SL,
10 :
texten ôfters . t) mein zusaz
147
Bulletin de l’Académie Impériale
148
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LL) RSA pluls ST spenblo % és Lis ce sp)
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Ébe ag, af cpegls JG ee Le can
2 SG ES de ol Ge all
| v) fol. 30v._ w) add. 5] Cod.
_ z#\ s0,.one suffix 3 sg.
Lu
Fr
æ) mein zusaz y) œb j Cod.
ex ci À ut LU 6 0) Le B. xl le -
yre “pe » ol 29e) &8,eb Cas abc
Hi «s) «sl, ,B Kll Do! «5 Ds a GS se
ge PS à ps Ds cpelie Cels cest) Piye
J5p5 5 ’aes gra Do) rss Vers 9)
Us Üyrs lb SU abs Cols à ab ais
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sl: fl L cu, UyJ Cle JL 2x)
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29 7 lbs bus, ces) Cie rs Se 72
DA loge Jls cpuslh, (50 cms Go)] abs
Cie, Ce le él sl à alé def» ‘sal
a) fol. 31r b) corrigiert nach dem pers; io Cod. c) mein zusaz
d) « geleitet, auf den weg gewisen » ? €) bloB di, Cod.
f) om. Cod. pis JLLss ai Cl
149
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
150
dise» lun) als al ee ail less dl,
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EI de es opte VébLls do lg Sloes
“er es een Jp james LuËp pa) ) Ps
UE n550S Je ÿ uw ose Cl
os,
‘e)
Re
——
1) dif dempers. L entspréchende wort ist in den lexicis nicht zu finden
[ôrÿsñ «dach» kenne ich nur bei den Irtysch-Tataren. Radloff]
2 d. i Gb 1) fol. 31v
robe Mile
o) lis S [gesprochen rôm R.]
m) sic, im grundtext SE
n) 50, one folgendes suffix
p) sic, ob vom pers. p?
a ss Géle aus oo yet OoLeSb
Obs) Lil 9 aub_5 ul Le Gus
Us 2 PTE &s) ho) np mA sys Ce»
CAL ls Glorie ssiebls 2 je pe Eau
PS Casio ELL, if «ls gb sl, Ds All,
Li, és Ul ébubl » Gie Tonus
Jeb sl "en élues, lus Es 5h JS dl
0 plasil
Ji Jet Lust sl
Je Lefs Jane CEE À
au) il geusbs db » ÉLUT fsise aoluss
jadis) Aoks Des “spl JON pus) y
bu fie Ces ‘oleb Log » aies olisb
dial Qi Del le db GE dy de,»
Cstes Ke ions up (sub Ds aie gré
Jéll, a 5 ab Lis Je) Gb ge gs (5) FDA
Re
DS ds ce ol dy aus él uëlss LS
> ul me a), ai ai, NS del, ee) Gs
0» dl cyiles Celis
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ee los GS LL amtl Sie ue ss Le)
cb sLee ve cpl +É LAS PA ES Cstei fol sis
Cstai Êe af Lol gs yo pl :
‘ge oJi=) Je J> (pas
Cod. r) d. +
t) fol. 32r
q) om. -
s) «reichtum, überflu£»
er
t) sic, näch dem originale erwartete man: { En ; SL} E .
ww) 3 p} Cod. me és .
u) «zerschmolz» ” . .
L | v) im urtexte Ye sh, vgl. osm. sLL, gts «topf, gefäB»
. D lis Cp; nach dem urtexte
151
Bulletin de l’Académie Empériale
15?
FL: La d, sl El, Sie wlus Of y aoill
J 55 ÉLsolsy ps So SE ue es)
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ob Cas el Clé as] ,L] als »,,L D LA
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ae] SL os, 1,5 idiot Noos se Joie
ASS nl le Mol js suls Cols
SN 4 ES aus il late Gi
o is al y) lis Le
beholfen übersezt a) fol. 32v
# sic, für he ail
>Y Sles ail get Ce 1 SEE» u239l
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SAS PA D Debill, Este: Es) ii
pe hs is Lis 4
n5 ue CET OS ab) Les
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ab) Jo 655» . es) l,
æ . ULb -E. Ks ë ls bis di COR
es os one) fois vale Les Cobel ol
as Lnhust 75 yrle» ip prie asty
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gel sal, Us pe
asLLs [us Cl, él dr LE «pl Qlas,b
os all ag, b (us pole, JS CAT
y ol re Joy De ‘sont Ces
Slt, cons ls sl ),,)s rs 7 5 Le
CL al Ge Dell LT (subs culesl gs
nl. Aie ADTE LE Per
x CE J;|
IV und V (Cagataisch).
Ne 555,2. 22,5X 15 cm. 95 fol. 13 lin. à 9 em.
Xe 555,b. 26,25 X 16 cm. 76 fol. 14—15 lin. à 9,5 cm.
a) ab M), wie das methnevi auf einem bei ligen-
den, ganz modernen, blätchen genant ist, welches die
sn notiz über den verfaBer enthält:
LS Ar op Jé 359) Uyl fe 5)
c) om. y Ÿ Cod. à) lis JL)
e) njTaEx à «zu stande kommen», nÿrÿpmär «volbringen»: Karan0B8®
f) lis à g) sic
153
des Sciences de Saint -Pétersbourg.
154
daneben (6) Yl,| af Jus, JET ‘ ss Ole, ls)
os 2 DB als (set Durs Al Les usl
#14 éL 5 05, Je se ee LE J,e,l
as, Ulbs cxai 005, Je alé LU, L,|
OUR 5 de + Ab ae as Lie UE,
DS, Je Ce Go 5» (sic) _» JET sus unes
Im texte selbst habe ich weder den namen des ver-
faBers noch den titel seines werkes finden kôünnen;
das datum 1180 A. H. findet sich auf dem lezten blatte
von À,s. u.
Die erste handschrift (A) ist ganz volständig, der
anderen (B) felt anfang und ende. Anfang A, fol. 1v:
ab! SL Je se ir af tabl leu ul lol Cod
B begint fol. 1 mit À 3,5:
In PR ap or CA cer Ur de
SchluB des methnevi A 79v, B 68:
BULLE euels awlhs Le Le ULL CL 53»
D Dann fie ein us A 79v—85, B 68v—74v:
€ re her one Je LL rs dès
JU Yu le J> lb Sy
JU ob pbl [B_e] J5 y LL yyés
da Und ein anderes À 85—92v, B 74v—76v:
dE “a als, ES per ere pas se
ül) de ». De Us © 0 Je jp +
d) Ferner ein Lise A 92v— 93v; B 76v bricht
mit dem dritten verse ab. Beide one überschrift.
a) ol JE Çp A
Jets 5 Core fou» joue. NIUE
sdiles dual ble els dit » af
I at AVE 0
bas JO ot ds ne OP
Jobs (sb) éks EU » ue LS Up
Jadilrs (sic) Jie éls pl px) als jh Luc »
e) Endlich ein ps A 94—95; anfang :
sl ULe; 3) sl Dodo sols
sa Qi 3), Jp life Lu À 4
Das oben erwänte datum lesen wir in str. 3:
Sel af GS Es ol ps Des
ss y} blues ns le "
ar «sl ne se D9 ie jbl EME
(io) So ele 599 ce Et Drop
JSLL ol (sie) Slus Li, LES ag 3
DS Qu p ge Cal XGL lus ge regles
«sel (sic)üle 3 Gi, » De JISLLL 5
Die 7-te und lezte strophe lautet:
JS ot Gels 5,1 ob ae
dy 5 9 Lie Je dl
Je ob pli putes OL ox,5T ps
JSy UR ex) p}u)) HS D es
JS» oli opte Ure ax, 0
J-< OU sl ol ciboli àe
sul OL à Gil cons alain a
rlrrleriples
Damit schlieft A one unterschrift und datum der
abschrift; aber beide handschriften sind zimlich alt und
schon recht an gegriffen; turkestanischer schriftzug. :
Paru le 23 novembre 1887.
f
nd T.
TT. XXXEE, N° 2.
BULLET
DE L'ACADÈMIE IMPERIALE DES SCIENCES DE ST.-PÉTERSBOURG.
TOME XXXIL.
(l'euilles 11—3/,24.)
CONTENU.
Page
À, Karpinsky, De la régularité dans la configuration et la structure des continents........,.....,...,.. 157—173
W. Radloff, Rappot sur un voyage dans les gouvernements de l’ouest, chez les Karaïmes.............. . 173—182
0. Backlund, Remarques complémentaires pour les Etudes sur le catalogue stellaire: « Positions moyennes
de 3542 étoiles, determinées à l'aide du cercle méridien de Poulkota dans les annés 1840—1869 et
réduites à l’époque 1855..... de DR douane ane be D'OR den elle there ed ee Tan 182—185
NX. Békétoff, Recherches sur l’énergie de combhnhidon, Le oxydes de potassium et de lithium... RAA 186—193
H, Wild, Photometre de polarisation pour les usages techniques et son emploi à la verification de lampes
À GES 06 NAN in ne ti ide de ii ui rene er db iuer 193—218
Gorboff et Kessler, De l’action de l’iodoforme et de l'iode sur l’isobutylate de TE CRE A RER 218—255
C, Salemann, Rapport sur la publication de Mijàr 1 Jamäli, (Avec une DAME is er derriere 255—376
EE em —
+
Imprimé par ordre de l’Académie Impériale des scien
C. Ves qe eee “Rerrétiie perpétnel.
Imprimerie de l'Académie » Impériale des sciences.
(Vass.-Ostr., 9° ligne, X 12
Juin 1868.
|
|
|
|
|
BULLETIN
DE L'ACADEMIE IMPERIALE DES SCIENCES DE ST.-PÉTERSBOURG.
Bemerkungen über die Regelmässigkeit in der Gestalt
und dem Bau der Continente. Von A. Karpinsky.
(Lu le 26 mai 1887.)
Die Âhnlichkeit der Continente und ihrer Theile,
die in einigen Fällen geradezu auffallend ist, hat wie
bekannt schon längst die Aufmerksamkeit der Gelehr-
ten erweckt. Gleich nach Bacon beschäftigten sich
mit dieser Frage Forster, Steffens, Humboldt,
Peschel u. a. und in letzter Zeit z. B. Th. Fuchs,
Ziegler u. a. !).
Obgleich eine gewisse Analogie in den Umrissen
vieler continentalen Theile auch gegenwärtig aner-
kannt und fast in allen Lehrbüchern angeführt wird,
so werden dennoch nicht selten diese Aralogien in
letzter Zeit nur flüchtig erwäbhnt, als ein Gegenstand,
der für die Wissenschaft eher ein historisches, als
thatsächliches Interesse hat. Hüchst wahrscheinlich
ist ein solches Ignoriren der hier berührten Frage nur
die Folge einiger misslungenen Vergleiche und der
scheinbaren Unmüglichkeit diese Vergleiche zu irgend
welchen wissenschaftlichen Schlüssen zu verwerthen.
Wenn aber die Ahnlichkeit in den Umrissen der Con-
tinente nicht eine zufällige ist, sondern durch eine
allgemeine Ursache bedingt wird, so ist es sehr wabr-
scheinlich, dass sie gewisse gesetzliche Analogien auch
bezüglich der anderen continentalen Elemente zur
Folge hat. Finden jedoch bei Bebandlung dieser Frage
erkünstelte Vergleiche statt, so bleibt die Ahnlichkeit
der Continente in anderen Beziehungen nicht nur un-
bemerkt, sondern es künnen jene Vergleiche sogar
direkt zur Widerlegung dieser Âhnlichkeit führen,
wie dies z. B. bei der Vergleichung von Süd- Amerika
und Afrika der Fall war.
1) Die Âhnlichkeit vieler Theile der Erdoberfläche in tektonisch-
stratigraphischer Beziehung ist in dem classischen Werke von Suess
« Antlitz der Erde» vorzüglich erklärt worden.
Mit der Frage nach den Ursachen einer gewissen Regelmässig-
keit in Vertheilung und Form der Continente haben sich z. B.
. Green, de Lapparent, v. Habenicht beschäftigt.
Tome XXXII
Seitdem der grôsste Theil der Gelehrten die rela-
tive Beständigkeit der Continente anerkannt hat,
müssen die Daten über ihre Âhnlichkeit eine beson-
dere Bedeutung erlangen. Unsere lückenhaften geo-
graphischen und besonders geologischen Kenntnisse
gestatten uns noch nicht unfehlbare Verallgemeine-
rungen zu geben. Abgesehen davon erscheinen viel-
leicht noch folgende Umstände als unüberwindliche
Hindernisse. Wenn in den Umrissen der Continente
wirklich eine Âhnlichkeit vorhanden ist, so müsste
sie am auffallendsten in ihrer ursprünglichen Gestalt
hervortreten. Diese Umrisse, die sich wahrscheinlich
anfangs durch die grüsste Regelmässigkeit auszeich-
neten, erlitten im Verlaufe der geologischen Zeitalter
verschiedene Veränderungen, die zur Complicirung :
und Mannigfaltigkeit der Küstenlinien der Continente ne
fübrten. Die gegenwärtigen Küstenlinien entsprechen ? à
patürlich nicht vollständig den Umrissen der Conti- da
nente. Die Grenze der letzteren kann man nicht, wie
|man zuweilen annimmt, nach der Richtung einer un- ;
| terseeischen Linie tien, die einer bestimmten *s
Tiefe z. B. 100 Faden, entspricht. Die Veränderung |
der Küstentiefen hängt von verschiedenen Ursachen
ab; z. B. vou der Attraction der Continente, Disloca-
tionserscheinungen u. s. w. Schliesslich ist es sehr
wabrscheinlich, dass einige ursprüngliche continentale
Massen mit der Zeit tief unter den Ocean gesunken
sind.
Bevor ich zur Frage über die Âhnlichkeit der Con-
tinente übergehe, schicke ich einige vorläufige Bemer-
kungen voraus, die man, wie ich glaube, bei der Unter-
suchung der Vertheilung der Continente nicht ausser
Acht lassen darf. .
Die Anordnung der Landmassen und Meeresbecken
auf der Oberfläche der Erde wird durch ihre Lage
zur Erdaxe oder zu den sogenannten Weltgegenden
Res So z. B., wenn Gebirgszüge, Küstenlinien :
. s. w. mit Parallelkreisen zusammenfallen, so sagen
wir, dass sie eine und dieselbe Richtung hiabèn D:
selbe gilt auch für die meridionale ner ee. .
Bulletin de l’Académie Impériale
160
in diesem Falle die Gebirge, Küstenlinien u. s. w. in
der That zu einander senkrecht sein kônnen. Wenn
in den Erdschichten Faltungen in der Richtung irgend
eines Parallelkreises entstanden, die, wenn auch nicht
in ibrer ganzen Erstreckung, so doch stellenweise zum
Vorschein traten (Fig. 1, «8, «G, «’4"), so künnten
wir sagen, dass die auf diese Weise entstandenen
Kettengebirge, bei einer gewissen Übereinstim-
mung in ihrer Structur, zu einem und demselben
Fig. 1.
System gehüren. Wenn aber solche Faltungen in der
Richtung eines Kreises, parallel oder schräge zu irgend
einem Meridian (abgesehen davon, ob in diesem letzten
Falle dieser Kreis ein grosser d. h. durch das Centrum
der Erde gehender oder ein kleïner ist) entstanden, so
wird es uns vorkommen, dass die Gebirge, die an diesem
Faltensystem theilnehmen, eine verschiedene Rich-
tung haben, so in ab, ab’, a’b’— NS, in cd, c'd —
WO u.s. w.
So scheint uns die Richtung von Nord- und Süd-
Amerika nicht die von Eurasien, welches in der Rich-
tung WO die grôssten Dimensionen besitzt, und auch
_ die Lage Asiens zu Nord-Amerika eine ganz andere, als
die des letzteren Erdtheiïles zu Süd-Amerika zu sein.
Doch bleibt in der That, wie wir unten sehen wer-
den,
dieselbe.
Die oben angeführte Bemerkung soll durchaus
: nicht zu gewagten Erklärungen dienen, z. B. zur Ver-
_ einigung getrennter Gebirge von verschiedener Rich-
“ tung in ein Gebirgssystem, wenn dazu nicht begrün-
_ dete orogenetische Daten vorhanden sind. Ich wollte
nur zeigen, dass die Continentgrenzen, die Gebirgs- |
: _ketten u. s. w., wenn sie dieselbe Richtung auf einem
= bedeutenden Theile der Erdoberfläche beibehalten,
die allgemeine Richtung dieser Continente |
wobei diese Richtung weder mit der Breite noch mit .
dem Meridian zusammenfällt, in ihren verschiedenen
Theiïlen eine andere Lage zu den Weltgegenden zeigen
müssen, oder, mit anderen Worten, dass die gleiche
Richtung auf grossen Strecken hin nicht durch eine
gleiche Lage zu den Weltgegenden angegeben werden
kann.
Nach diesen vorläufigen Bemerkungen gehe ich zur
Âhnlichkeit in den Umrissen der Festländer und
ihrer Glieder über, wobei auch diejenigen Continents-
theile berücksichtigt werden müssen, die sich gegen-
wärtig unter dem Meeresspiegel befinden.
Betrachten wir die etwas schräg zum Meridian
gerichtete Zone, welche Süd- und Nord-Amerika
einschliesst, so sehen wir: 1) dass diese Zone auf
der entgegengesetzten Hemisphäre die Hauptmasse
der anderen Continente einschliesst, 2) dass die rela-
tive Lage der Continente dieselbe bleibt und 3) dass
der Umriss der Festländer bei einer gewissen Grup-
pirung grosse Âhnlichkeit zeigt, die besonders in
denjenigen Festlandstheilen hervortritt, die auf den
ersten Blick sehr verschieden erscheinen.
Auf der beiliegenden Zeichnung (Fig. 2) sind Asien,
Australien und Europa und die anliegenden unter dem
Niveau des Oceans befindlichen Continenttheile mit
einem dicken Strich so begrenzt, dass ihre Âhnlich-
keit mit dem Umriss von Nord-Amerika augenscheïin-
lich wird. (Die sich gegenseitig entsprechenden Fest-
landstheile sind durch bogenformige punktirte Linien
verbunden). Es ist durchaus nicht nothwendig diese
Âhnlichkeit mit solchen Details durchzuführen, wie
sie durch die dicke Linie auf der Zeichnung angegeben
sind, wobei z. B. Korea und Japan zu einer Halbinsel
verbunden wurden, um diesem Theiïle des Festlandes
eine auffallende Ahnlichkeit mit Californien zu geben,
welchem er durch seine Lage entspricht. Die wirkliche
Grenze der Continente, die durch eine unterbrochene
Linie annähernd angegeben ist, hat wie es scheint
keine complicirten Verzweigungen ?).
2) Es ist bekannt, dass die Küstentheile des Nord-Kismeeres
sehr seicht sind, mamentich papes dem Festlande und den nach
Norden liegenden Inseln, wie z. B. der Wrangel-Insel, Neusibirien
u. à., die na atürlich nur ue Theile des benachbarten Fe stlandes
so erreicht doch die grôsste Tiefe zwischen dem Nordcap und Spitz-
des Sciences de Saïnt-Pétersbhourg.
162
Fig. 2.
N
=
#
Zeichnung (Fig. 2) kann man folgende Bemer-
kungen hinzufügen.
Obgleich Süd-Amerika seinem Umriss nach mit
Nord-Amerika keine grosse Âhnlichkeit zeigt, so
besitzt es doch mit dem letzteren viel Gemeinsames.
Die grôüsste Verschiedenheiït in den Umrissen zeigen
diese beiden Theile an ihren ôstlichen und nôürdlichen
Küsten. Ihre Âhnlichkeït ist aber eine weit grôssere,
wenn wir sie in der Tertiärperiode betrachten. Den
nach rechts *) hervortretenden Theil von Süd-Amerika
kann man als den der Halbinsel Labrador mit Neu-
fundland und den anderen angrenzenden Inseln und
Halbinseln entsprechenden Theil betrachten. In Austral-
bergen nur etwas mehr als 200 Faden. Ostlicher, zwischen dem
Continent und Nowaja Semlja und auch zwischen letzterer und dem
Franz-Josephs- Lande, ist die Tiefe noch geringer. Da ich glaube
‘ annehmen zu künnen, dass eine solche Abnahme der Tiefe rés die
Fortsetzung des Ural’schen Gebirgssystems in demi in Rede stehen-
den Theile des N.-Eismeeres beding ind in Fig. 2 zwei
verschiedene Linien von der -
tinentes angegeben, von welchen die Linie (a), die mir die richti-
gere zu sein scheint, auch die grüsste RES mit der entspre-
chenden agit von N.-Amerika besitz
3) D.h.n man bei dem in Rede ue Vergleiche der
Festländer sich nicht en den Weltgegenden richten kann, so werde
ich bedingungs weise die Ausirücke: rechte, linke, obere und untere
Seite, wie es auf der Zeichnung (Fig. 2) angegeben ist, benutzen.
| schliessen Afrika’s trennt das der Halbinsel Labrador
Eurasien “) erscheint dagegen Arabien als derjenige
Theil, der der Halbinsel Labrador entspricht u. s: w.
In allen mit einander verglichenen Festländern hat
dieser Theil fast dieselben Dimensionen. Dagegen sehen
wir, dass die 3 einander entsprechenden Theile: die zu
Süd-Amerika gehôrige Partie von Central-Amerika,
Aljaska und Australien in der Richtung von Süd-
Amerika nach Austral-Eurasien hin stark an-
wachsen.
Der Umriss der Tafelländer ist, wie es scheint,
mebr dem Zufall unterworfen, als der der Gebirgs-
länder; doch zeigen die in Fig. 2 angeführten Bei-
spiele, dass auch die ihrer Lage nach einander ent-
sprechenden Tafelländer nicht selten grosse Âhnlich-
keit besitzen. Man künnte annehmen, dass diese Âhn-
lichkeit durch eine gewisse Begelnissigkeit in der
Bildung der grossen Bruchlinien bedingt wird, welche
die tafelartigen Theile der Continente begrenzen.
Zwischen N.- und $S.-Amerika befinden sich die An-
tillen, von denen die meisten und grüssten näher zum
oberen Festlande, d. h. näher zu N.-Amerika liegen.
Zwischen N.-Amerika und Eurasien liegt das bedeu-
tend grüssere Grünland, das dem unteren Festlande
(N.-Amerika) näher liegt. Schliesslich, noch weiter
binauf, entspricht Grünland das noch weit grüssere
Afrika, das an Eurasien anschliesst und gegenwärtig
durch eine Landenge damit verbunden ist. Dieses An-
entsprechende Arabien von SW.-Europa, d. h. von
demjenigen Theil, welcher Neu-Braunschweig u. a. bis
Neufundland einschliesslich entspricht °).
Zwischen Grünland und dem nürdlichen Ufer Nord-
Amerika’s befindet sich der ‘arktische Archipel der
grossen Inseln, welche die beiden erwähnten Festländer
fast zu einem Continent vereinigen. Zwischen der in-
dischen Halbinsel und Afrika existirt ein solcher Ar-
chipel nicht; aber es ist wahrscheinlich, dass hier
noch unlängst (im geologischen Sinne) die verschwun-
denen Theile von Indo-Afrika vorhanden waren, von
4) Das Wort Eurasia benutze ich. hier einfach Pa a
zur Bezeichnung der Continente von Europa und A
5) Das rechte Ende der Antillen erreicht noch si
rechte Ende von S.- Amerika (Fig. 2). Die rechte (die) Spitse de
| Grônlands reicht bis zum rechten Winkel von N.-A ny
lich un der rechte Theil Afrika’s
Eurasia’s über.
Pa mer
sn
“ 163
Bulletin de l’Académie Impériale
164
denen gegenwärtig nur einzelne Inseln nachgeblieben
sind °).
Der Umriss des Festlandes am Südpol ist nicht
bekannt: wenn aber die in Rede stehende Âhnlich-
keit der Festländer auch an ihm sich wiederspiegelt,
so hat vielleicht das antarktische Festland im Allge-
meinen eine dreieckige Form, deren eine Ecke sich
dem Feuerlande, die andere dem SO.-Australien
(Tasmanien und Neuseeland) nähert ?).
Auf Grund der von Reiter®) gesammelten Daten
ist auf der Zeichnung (Fig. 3) durch Punktirung der
problematische Umriss des südlichen Festlandes, wie
er mir am wahrscheinlichsten vorkommt, angegeben.
Er zeigt die grôsste Ahnlichkeit mit N.-Amerika und
auch mit Süd-Amerika, aber nicht in der von Reiter
angegebenen Richtung ?).
Fig. 8.
a
Hoorn
É Trinity L.
Ann
Vieloria on
Hudson
rues
Termination L.
; © W tps
Weiter unten werden wir der Kürze halber N.-und $. Sie
und Austral-Eurasien als Hauptcontinente, Grünland mit dem
schen Archipel, Afrika wie auch die Antillen als Area
bezeichnen.
7) Da dieues Festland zwischen Austral- res und Süd-Ame-
rika liegt, kônnte man voraussetzen, dass es der Form nach etwas
nn. ‘#wischen den erwähnten Continenten, ähnlich wie N.-Ame-
darstellen würde und dass durch die viei nähere Lage der
keit dieses Festlandes mit S.-Amerika eine grôssere sein wird, als
die von N.-Amerika.
8) Reiter: Sélpélarfiage. Zeitschr. f. wissensch. Geographie,
07 RIVE EL
9) Dank der gütigen ere von Suess konnte ich eine kleine
_ Abbandlung von ber die regelmässige Gestalt der
_ Continente», die “chon is ün Foldtani Kôzlony, 1) erschienen
war, berücksichti
Mu în dieser Abbandiong werden Europa, Asien und Australien auch
als ein Continent betrachtet und mit N.-Amerika verglichen, nur
eschieht das i in einer anderen Richtung als oben empires Durch
f. Ura
g: Cincinnatisatt
2 Pr
sites zu Süd-Amerika, als zu Austral-Eurasien, die Âhnlich- |
p ia
äusserliche Ahnli
verglichen wird, das m
Obgleich die Gebirge nach der Bildung der Conti-
nente und zwar in verschiedenen Perioden entstanden
sind, kann ihre Richtung dennoch in gewissem Zusam-
Schematische Darstellung der Vertheïlung der Gebirgsketten.
(Der besseren Übersicht wegen sind einige Ketten fortgelassen).
a. Himalaya. renzgebirgsbogen:
b. Kwen-lun.
c. Tian-schan.
. Altaï. N — Nordafrikanischer
2 — je rer nordamerikanischer.
À — Antillischer.
F— Falkländischer.
à ç
e. Sajan-Stanowoj.
F
tel.
oblem. antarkt. Gebirgskette.
einige Veränderung in der relativen Lage Afrika’s und des euro-
âisch-asiatischen Festlandes ist diesen beiden Continenten eine
hnlichkeit mit zwei anderen Continenten, denen von
S. Amerika verliehen worden, wobei S.-Amerika mit Afrika
it S- Fat grosse Âhnlichkeïit im Umriss
zeigt, aber açh sehr abweicht. Bei Vergleichung
der res ed dieser Cnénénte wird die Halbinsel Labrador
en igen mit Arabien verglichen; der grüsste Theïl der
side ist jedoch ganz verschieden. So z. B. w
Florida mit Klein-Asien, Californien mit Scandinavien u. s. W.
verglichen.
.-und
er inneren
165
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
menhange mit dem Umriss der Festländer stehen !°),
Ein solcher Zusammenhang ist von Suess in Bezug
auf die continentalen Küsten von pacifischem Küsten-
typus vortrefflich erklärt worden. Eine vollständige
Übereinstimmung in der Vertheilung der Gebirge ist
nicht vorhanden, aber eine Analogie wohl zu bemer-
ken, wobeï, je grüsser das Festland, desto complicirter
sein Gebirgssystem erscheint (Fig. 4) Die lingste
Gebirgskette zieht sich längs der ganzen linken (am
stillen Ocean) gelegenen Seite der Continente. Diese
Gebirgskette ist, mit gewissen Unterbrechungen, auf
ihrer ganzen Erstreckung von Vulkanen begleitet und
bildet einen fast vollständigen etwas gebogenen Ring,
der sich gürtelformig um die Erde zieht, aber nicht
in einem grôssten Kreise, sondern in ähnlichen, wie das
in Fig. 1 mit dicken Strielièn angegeben ist. ru diesem
Ring betheïligen sich auch die mächtigen Vulkane des
antarktischen Festlandes !!).
Auf dieser ganzen Erstreckung haben die Gebirgs-
ketten eine in Bezug auf die pacifische Küste ähnli-
che Structur. Suess sagt: «entlang der asiatischen
Küste des pacifischen Oceans durch Japan und die
Kurilen und dann ostwärts durch die Aleuten bis
Aljaska zeigen sich auf dem Festlande selbst oder auf
langen vorliegenden Inselreihen mehr oder minder zu-
sammenhängende Linien von Gebirgsketten, deren
Streichen entweder der Küste parallel oder gegen die-
selbe concav ist, so dass die Inseln wie ebensoviele
hängende Blumenkränze das Festland umgeben und
dass bestimmte Beziehungen zwischen der Umgrenzung
des Festlandes und seiner Structur nicht zu läugnen
sind.
In ebenso unverkennbarer Weise tritt der Zusam-
menbang des Verlaufes der Küste mit dem Streichen
der Gebirgsketten an der amerikanischen Westküste
bis Californien hinab und durch ganz Südamerika
hervor».
Zu diesem «pacifischen» Küstentypus rechnet Suess
0) Hier will ich an folgende bemerkenswerthe Worte von Suess
Dés («Antl. d. Erde», p. 8): «Die mächtigsten Gebirgsketten der
pe sind nur untergeordnete Glieder sebr grosser Structurerschei-
ungen, den ganzen Erdball beherrschen. Man mag di
ue und den Bau eines Gebirges im Einzelnen beob-
achten und beschreiben, aber man vermag nicht eine Erklärung für
dieselben zu geben, ohne die Beziehungen dieses Gebirges zu der
Vertbeilung der Gebirgsketten überhaupt im Auge zu halten».
11) Links vom oberen linken Winkel der Continente befinden sich
vulkanische Inselgruppen, die desto grôsser sind, je grüsser der Con-
tinent (Galapagos, Aleuten, polynesische vulkanische Inselgruppen).
@
'latitudinalen Gebirgsketten nach oben (nach Süd) gefaltet.
auch die Küste von Chittagong am nürdlichen Ende
der Bucht von Bengalen bis Java.
«Vom Ganges bis zum Cap Horn ist also eine Wech-
selbeziehung dieser Art die Regel».
Wie Reiter mit Recht gezeigt hat, kebrt die für
die pacifischen Küsten Amerika’s und Ostasiens cha-
rakteristische Gebirgsketten-Structur auf Neu-Guinea,
den Salomonen, Caledonien, Neu-Seeland und wahr-
scheinlich auch auf der pacifischen Küste von Ant-
arktis wieder.
Auf diese Weise ziehen sich längs der ganzen paci-
fischen Küste in einer allgemeinen Richtung des er-
wähnten, nicht durch das Centrum gehenden und et-
was deformirten Kreises, solche Gebirgsketten, die
nach links ?) einseitig vorgeschoben sind *).
Ep In verschiedenen Theilen dieses Kreises — nach W, nach O
FE
13) Eine ganz exacte Darstellung der Gebirgszüge APRES zu
geben ist jetzt noch nicht môglich. In dem Ussuri-Gebie n den
der Küstenregion angrenzenden Gebirgen bestehen die ie
aus massiven und archäischen Gesteinen, auch Kalksteinen, die prä-
cambrischen oder paläozoischen Alters sind, Ausserdem finden sich
ezeugt die verhältnissmässig unlängst stattge-
fundenen Dislocationserscheinungen. Es bleibt aber noch ganz un-
aufgeklärt, ob in dieser Gegend eine ne faltenbildende
ue nach der archäischen Âra erfolgt i
112.1 #14
a biee Flächenrâume mit stark re Lepage Schich-
. In andern Theïlen dieses Landes beobachte n Carbon-und
Po ner ere die letzteren zeigen ute ein Fallen
bis ee |
Sy Verhältnisse der noch weiter nach SW. bis
on nchi inc bin ina liegenden Küstenregion bleiben noch ungeachtet der
rm rennes Ri de u’s und der Arbeiten
anderer Gelehrten nicht gauz aufgeklär
Die ganze ôstliche Küstenregion pate stellt ein gefaltetes Ge-
birgsland dar, das jetzt aber aus den Reïhen vieler Trûämmer besteht.
Werthvolle Angaben über den Bau der japanischen Gebirgsketten
enthalten die letzten Mittheilungen Naumann s und Haradas.
Alpen sr sich
ausser ii archäischen Bildungen paläozoische Ablagerungen bis zum
Devon PAT stellenweise aber auch Carbonschichten, ob-
gleich die I letzt (auch oberd isch
Échichten) viel weniger gestürt sind,
An das oben angetührte pacifische Kstengebirse schliessen sich
die in anderen Richtungen verlaufenden Gebirge in Abzweigungen
an, Dabei verändert sich die Richtung der tangentialen Beweg
ke
dort, wo die Faltenketten sehr dicht auftreten und zusamme Bras
bemerkt man einige Unregelmässigkeiten (z. B. in Burmab).
Die
Solche ee rdv wie die Alpen oder der Kaukasus haben pra a
| Lage und Faltungsrichtung nach keine Analoga auf anderen Conti-
enten. 6 N A
rwahnte sit ürmige Vertheilung der Ketten erhält sich un. a
167
Bulletin de l’Académie Impériale
Wenden wir uns jetzt zu den anderen Gebirgen.
Die Gebirgsketten Brasiliens sind vorzüglich aus steil-
abfallenden Gneiss-Schichten und auch Schiefern, Quar-
ziten, Itakolumiten, Kalksteinen u. s. w. zusammenge-
setzt, die man oft für archäische hält, die aber nicht
ganz unbegründet von Hartt und einigen Anderen zu
den untersilurischen Ablagerungen gerechnet werden.
An diese Bildungen schliessen sich die horizontalen
devonischen und Steinkohlenablagerungen an, die
übrigens stellenweise schwach geneigt erscheinen ‘).
Den brasilianischen Bergen entsprechen der Lage
nach in Nord-Amerika die Alleghanen, welche aus
stark gefalteten paläozoischen Ablagerungen bestehen,
die, je weiter sie sich in das Innere des Continentes
erstrecken, eine um so mehr der horizontalen sich
nähernde Stellung annehmen. Die tangentiale Bewe-
gung richtete sich ins Innere des Festlandes.
In Austral-Eurasien entsprechen den Alleghanen
> die scandinavischen Berge, in welchen die paläozoi-
+ Ro schen Ablagerungen im allzemeinen gestürt sind; aber
nach dem Innern des Festlandes zu, noch in Schweden
selbst und dann in Russland, nehmen diese Ablage-
rungen eine horizontale Lage an. Die tangentiale
Bewegung ist auch hier im allgemeinen landeinwärts
gerichtet.
Solche Gebirge, die dem Ural entsprechen, treten |
in N.- und S.-Amerika nicht auf. In N.-Amerika künnte
vielleicht als Analogon die Anticlinale von Cincinnati
betrachtet werden, die wie der Ural sehr weite Flä-
chenräume trennt, welche aus paläozoischen Ablage-
no. rungen bestehen, die keine Stürungen aufweisen ).
ok Solche ausgedebnte Tafelländer befinden sich in
14) Die Frage ob die Bildung der Falten in den brasilianischen
Gebirgen noch in archäischer Zeit beendigt war, oder ob sie sich
noch in der paläozoischen Âra fortbildeten, pes man wie es scheint
als offene betrachten, selbst wenn die oben angeführte Ansicht von
“rt u. à. über das silurische Alter eines à Theile es der Schiefer,
Quar a. Gesteine sich nicht bestäitigen würde, Wenn z ie
ein ben nr nee irgend einer Ursache zufolge in Nore
Cwegen nic orb anden und an den daselbst auftretenden Falten
“
e
bus +
e und silurische Schich-
ten auflagern, die Faltung der Gebieins pv scandinavischen re
insel überall noch vor Beginn der paläozoischen Âra beendigt w
Le Faliangserschéiauore n in den archäischen en None
gen’s sind wahrscheinlich pone vorcambrisch
' 15) Es ist môglich, wi uess meint, dass der Cincinnati-
_ Faltensattel nur eine dite Falte à im Vorlande des Appalachien-
ré LE
allen Hauptcontinenten an den sich gegenseitig ent-
sprechenden Stellen,
Die indische Halbinsel, Arabien und der grüsste
Theil Afrika’s (d. h. Indo-Afrika) sind alte Tafelländer;
ebenso stellen die entsprechenden Theile von Nord-
Amerika, der arktische Archipel und Grôünland alte
Tafeln dar.
"Nach oben (d. h. nach N.) von der Anticlinale von
Cincinnati befindet sich in N.-Amerika eine Gruppe
grosser Seen (Obere, Michigan u. a. ), ebenso wie
nach oben (d. h. in der Richtung nach Süden) vom
Üral eine Gruppe von Binnenmeeren, wie das Caspi-
sche, der Aral und das Schwarze Meer auftritt !?).
Weiter oben ist eine Vergleichung Afrika’s und der
verschwundenen Theile von Indo-Afrika mit Grünland
und dem polaren Archipel Amerika’s angeführt wor-
den. Die denselben der Lage nach entsprechenden
Antillen unterscheiden sich jedoch ganz bedeutend in
orographischer und tektonischer Beziehung. Die letz-
teren sind in der That durch Gebirgsketten gebildet,
deren Structur so vortrefflich von Suess erklärt wor-
den ist. Die Cordilleren der Antillen bilden einen nach
oben d. h. nach N. convexen Bogen, der aus mehreren
Zonen besteht, von denen die innere jungvulkanischer
Entstehung ist. Das Vorland der in Rede stehenden
Cordilleren ist vom Meer bedeckt; als Theile desselben
kann man einige Inseln der 3. oder äusseren Zone von
Suess betrachten.
Das mächtige Nebenfestland von Austral- Eurasien
d.h. Afrika mit den nachgebliebenen und versunkenen
Theïlen von Indo-Afrika bildet, wie schon gesagt, ein
grosses Tafelland. Doch an seiner Grenze mit Eura-
sien sehen wir Gebirgsbogen, die eine grosse Ahnlich-
keit mit den Cordilleren der Antillen zeigen. Diese
ÂAbnlichkeit ist in vielen und mannichfaltigen Be-
zichungen schon von Suess nachgewiesen worden.
Die erwähnte Grenze hat jedoch eine so weite Er-
streckung, dass hier das Auftreten einer Gebirgskette
in der Gestalt eines einheitlichen Bogens (wie wir das
auf den Antillen sehen), kaum môglich ist. Wir sehen
hier im Gegentheil mehrere getrennte Gebirgsbogen.
16) Fast alle diese Seen (exel. Erie) sind die Krypto-Depressio-
nen R. Credner’s, d. h. Seebecken mit positiver Spiegel- aber ne-
Ro “eng
17) Der Aral ist eine Krypto- Robes Beim Caspi findet sich,
wie FAR bekannt, die echte Depression
169
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
170
Verschwunden, untergesunken oder der Beobachtung
unzugänglich sind nicht nur einige Theile derselben,
sondern vielleicht auch einige ganze Bogen.
Einen der grüssten Bogen bilden die nordafrikani-
schen Ketten mit den sich anschliessenden Bettischen
Cordilleren und den sicilianischen und apenninischen
Gebirgsketten. Die afrikanischen Ketten sind nach
oben (d. h. nach Süden) gefaltet, wie die Cordilleren
der Antillen, die auch bei tangentialer Bewegung nach
oben (in diesem Falle nach Norden) gebildet sind.
Die Vulkane Italiens und die vulkanischen Inseln an
der nôrdlichen Küste Afrika’s befinden sich, ebenso
wie auf den Antillen, im Innern dieses Bogens.
Der andere grosse Bogen wurde von Suess der
dinarisch-taurische genannt. Im ôstlichen Theiïle des
Mittelmeeres ist dieser Bogen fast überall eingebro-
chen, aber man bemerkt ihn noch auf Cypern und
Kreta. Im Innern dieses Bogens befinden sich die
Vulkane des griechischen Archipels.
Schliesslich, stellen die Nikobaren und Andaman-
Inseln die Reste eines ähnlichen Bogens dar, der sich
von Chittagong im Norden des Bengalischen Meerbu-
sens bis Java hinzieht.
In dem südamerikanischen Nebenfestlande haben
wir also ein Grenzgebirge mit unbedeutenden Tafel-
resten. Das Nebenfestland von Eurasien stellt dagegen
eine ausserordentliche grosse Tafel und verhältniss-
mässig unbedeutende Theïle von Grenzgebirgsbogen
dar.
Soviel ich weiss, scheint ein derartiges Grenzge-
birge zwischen N.-Amerika und seinem Nebenfestlande
gar nicht vorhanden zu sein Ÿ), und es bleibt noch un-
entschieden, ob es in der That fehlt, oder nur in Folge
der mangelhaften Untersuchungen nicht bekannt ist;
vielleicht ist auch das Fehlen desselben durch die Sen-
kung der gefalteten Bogen unter das Niveau des Oce-
ans hervorgerufen, wie das z. B. mit vielen Theilen
des dinarisch-taurischen Bogens geschah oder auch
mit den Theilen des Antillen-Bogens zwischen den
einzelnen Inseln und Honduras und Jukatan.
Es scheint mir nicht unwabrscheinlich, dass die
Falklands-Inseln mit South-Georgia und Sandwich-
18) Gegenwärtig ist es noch nicht môglich festzustellen, ob die
Ketten an der Nordküste Amerika’s (zwischen der Barrow-Spitze und
der Mackenzie-Mündung): Richardson, British, Rumjanzow und Pelly
einen solchen Grenzgebirgsbogen darstellen (siehe ? in Fig. 4).
| Ocean eindring
Group die Reste eines ähnlichen Bogens darstellen, wie
der der Antillen '?).
Die Reïhe oder die Zone der Continente theilt die
Oberfläche der Erde in zwei grosse Oceane: den Pa-
cifischen und den Atlantischen mit allen übrigen
grossen Meeren. Diese Oceane haben nur an zwei
Stellen verhältnissmässig tiefe und breite Verbin-
dungen,
Das Nord-Eismeer 7. B. (wie in Fig. 2 zu sehen)
bildet eine ebensolche golfartige Fortsetzung des At-
lantischen Oceans, wie das Karaïbische Meer und der
Mexikanische Meerbusen.
Eine solche Eintheïlung der Wasserfläche der Erde
in zwei grosse Theile ist schon von Reiter *) ange-
fübrt worden.
Suess hatte nachgewiesen, dass zwischen der atlan-
tischen Küstenlinie und der Structur des Continentes
kein ursachlicher Zusammenhang sichtbar ist.
«Diese Unabhängigkeit des Verlaufes der Meeres-
küste von jener der Gebirgsketten ist bezeichnend für
die atlantische Region» *).
Eine Ausnahme bilden diejenigen Grenzkettenbogen
zwischen den Haupt- und Nebencontinenten, deren
Vorland sich gegenwärtig unter dem Niveau des Oce-
ans befindet. Hierher gehôren der Antillen-Bogen und
der Java-Nikobaren-Arrakan-Bogen *®).
Wenden wir uns jetzt zum geologischen Bau der
Festländer.
Wenn das Meer zu den verschiedenen Perioden in
gleicher Weise die Continente überfluthet hätte, so
kônnte man einen ähnlichen geologischen Bau ihrer
Theile erwarten; aber die Transgression wird durch
complicirte Ursachen bedingt. Dessen ungeachtet, er-
19) Darwin hat gezeigt, dass die Falklands-Inseln aus gefalteten
paläozoischen Schichten A: die zuweilen in Quarzit und
Thonschiefer umgewandelt s
Obgleich das Auftreten de paläozoischen Schichten auf den An-
tillen nicht nachgewiesen ist, so ist es doch sehr wahrscheinlich, dass
die ie zuü ar tretenden Quarzite, Thonschiefer u. a. paläo-
zoischen Alters sind.
In anderen dé Lage nach entsprechenden Bogen (im Ma-
layischen Bogen, in den nordafrikanischen Ketten) sind die paläo-
zoischen Sehéchten rep bekannt
22) Alle ee LU sind nur RS So z. B.stellen
die Gebirge von Nowaja Semlja nur eine Forts
enden grossen Quergebirges dar, nas sic
nur auf dem _—— Theile des Continentes befindet.
tzung des in den ja:
h ausserdem
171 Bulletin de l’Académie Impériale 172
scheinen in der That die HAE CRLADre CAES
Festlandstheile in ibrer geolog g
nicht selten übereinstimmend.
Die Halbinsel Labrador besteht, wie es scheint,
hauptsächlich aus Graniten und archäischen (auch pa-
läozoischen) Bildungen. Eine gleiche Beschaffenheit
hat auch der entsprechende Theil von S.-Amerika und
ebenso Arabien, in welchem, soweit es bekannt, diese
Gesteine wenigstens als Fundament auftreten.
Im centralen Theïle von N.-Amerika treffen wir
einen mächtigen Flächenraum mit horizontalen paläo-
zoischen Ablagerungen; nur im rechten (ôstlichen)
Theile dieses Flächenraums befindet sich die flache
Anticlinale von Cincinnati. In dem entsprechenden
Theile von Eurasien sehen wir ebenfalls grosse Flä-
chenräume mit horizontalen paläozoischen Ablagerun-
. gen des europäischen Russlands und W.-Sibiriens, die
durch den Ural getrennt sind.
Auf dem südwestlichen Theile von S.-Amerika zeigt
sich eine busenfürmige Ausbreitung der marinen Ter-
tiärablagerungen. Eine ähnliche Erscheinung bemerkt
man in N.-Amerika und in dem entsprechenden Theïle
Eurasien’s (in Westsibirien von der Seite des Eismeeres).
Man kann noch auf einige derartige Beispiele hin-
weisen; z. B. auf die Âhnlichkeit in der Structur der
obenerwähnten Cordilleren der Antillen, Nikobaren-
Andamanen-Arrakanketten und dem taurisch-dinari-
schen Bogen, eine Âhnlichkeit, die schon von Suess
nachgewiesen ist, Aus dem ausserordentlich inhalts-
reichen Werke dieses Gelehrten («Antlitz der Erde»)
kôünnte man noch andere hierher gehürige Beispiele
anfübren.
Wiederholen wir hier in aller Kürze einige der oben-
angeführten Schlussfolgerungen.
Alle Hauptcontinente: der Antarktische, Süd-Ame-
rika, Nord-Amerika und Austral-Eurasien haben eine
_ dreieckige Gestalt, und sind derart angeordnet, dass
_immer die untere Ecke des einen der linken oberen
des benachbarten genähert ist. Ihre Abnlichkeit er-
scheint auch in den Details, wobei jeder Continent
der Gestalt nach eine mittlere Form im Vergleich
mit den Continenten darstellt, zwischen welchen er
sich befindet.
Die Richtung aller erwähnten Continente ist eine
und dieselbe. Die pacifische Grenze der Continente
hält auf der ganzen Erdkugel eine allgemeine Rich-
tung ein (die nur in Bezug auf die Weltgegenden ab-
weicht); diese Richtung folgt einem deformirten Kreise,
der schräg zum Meridian und nicht durch das Centrum
der Erde geht.
Alle Hauptcontinente erscheinen in orogenetischer
Beziehung unter einander analog, obgleich die Gebirgs-
systeme desto complicirter auftreten, je grôsser der
Continent ist.
An der oberen Grenze eines den Continentes be-
findet sich ein Nebenfestland, das um so grôsser ist,
je grôsser der Continent.
Die längste fast ununterbrochene Reïhe von Gebirgs-
ketten zieht sich in einer allgemeinen Richtung hin,
die mit der pacifischen Grenze des Continentes zusam-
menfällt
Die Reiïhe oder Zone der Continente theilt die Was-
serfläche der Erde in zwei Hauptoceane.
Diejenigen Theïle der Continente, die sich gegen-
seitig entsprechen, zeigen nicht nur Ahnlichkeit,
sondern zuweilen sogar bemerkenswerthe Überein-
stimmung in ihrer geologischen Zusammensetzung.
Nach allem Obengesagten glaube ich noch folgende
Bemerkungen hinzufügen zu kônnen. Wenn wir die
ursprünglichen Umrisse der Continente herstellen
kônnten, so würden sie hôchst wabrscheinlich viel
regelmässiger als gegenwärtig erscheinen. Die pacifi-
sche Grenze, die wohl mit Recht als die älteste ange-
sehen werden kann #), ist zugleich auch die regel-
mässigste *).
Überhaupt ist die Regelmässigkeit der Continente
eine normale Erscheinung, aber mit dem Lebenslaufe
des Planeten wird diese Regelmässigkeit allmälig mas-
Auf der Oberfläche eines anderen Planeten, des
Mars, wie auf der von Schiaparelli zusammenge-
stellten Karte zu ersehen ist, erscheinen die Landmas-
sen auch mit einer gewissen Regelmässigkeiït vertheilt,
23) Die ar Küstentheile der Continente sind vom Ocean
in verschiedenen Perioden auf eine gewisse Strecke überfluthet wor-
den. Die dabei rap arÈn Sedimente konnten später auch an der
Bildung der Falten theilnehmen.
24) Eine mathematische Regelmässigkeit der ältesten Grenzen
der Continente ist nicht zu erwarten. Nicht nur diese Grenzen, son-
h
2 ihre ursprüngliche Form eines regelmässigen Drehungselip-
pers nicht beibehalten.
173
des Sciences de Saint- Pétersbourg.
174
aber diese Vertheilung hat einen anderen Charakter
als auf der Erde. So viel man das gegenwärtig beur-
theilen kann, steht die Vertheilung von Land und
Wasser auf dem Mars in engerer Beziehung zu der
Drehungsaxe dieses Planeten, als auf der Erde.
In der vorliegenden Abhandlung ist die Structur
der Erdoberfläche unabhängig von der Stellung der
Erdaxe betrachtet worden, obgleich es den Anschein
hat, als ob ein so wichtiges Element der Erde, wie
ihre Drehungsaxe, nicht unberücksichtigt bleiben
kônnte. Und wenn es mir scheint, dass die obenange-
fübrte Vertheilung der Continente wohl einige Gründe
für sich hat, so ist es nur der dabei zugleich bemerk-
baren Âhnlichkeit der Continente in orogenetischer
Beziehung, und ihrer geologischen Zusammensetzung
zuzuschreiben. Ausserdem walten vorherrschend, so-
viel man es gegenwärtig beurtheilen kann, bei der
Bildung der Continente und Gebirge innere Processe
der Erde, deren Vorgänge den Einfluss vollständig
verhüllen, welchen müglicher Weise die rotirende Be-
wegung der Erde oder äusserliche astronomische
Ursachen auf diese Bildung ausüben. Endlich ist es
auch môglich, dass die Erdaxe nicht stets dieselbe
Stellung hatte wie gegenwärtig.
Es ist nicht zu läugnen, dass in der That gewisse
gesetzliche Beziehungen zwischen der Landvertheilung
und der gegenwärtigen Erdaxe vorhanden sind. Hier
wäre die bekannte südliche Zuspitzung der Continente
und ihrer Theile (Indien, Grünland u. a.) anzuführen;
obgleich nicht ausser Acht zu lassen ist, dass diese
Zuspitzung durch solche Continentalgrenzen bedingt
ist, die wir als verhältnissmässig neuere ansehen
kôünnen *). |
Bericht über eine Reise zu den Karaimen der west-
lichen Gouvernements. Von W. Radloff. (Lu le
18 août 1887.)
Zur Vervollständigung meiner im vorigen Jahre
begonnenen Untersuchung der tatarischen Mundarten
der Krym unternahm ich in diesem Sommer im Auf-
trage der Akademie eine Reise in die westlichen Gou-
pla Selbst in solchen Fällen, wo die erwähnte Gestalt von der
urchkreuzung einer alten Grenze mit einer neuen abhäà
Stande gekommen.
ome X]
vernements, um etwaigen Überresten der alten Sprache
der Krym bei den im XV. Jahrhundert nach Lithauen
und Volhynien übergesiedelten Tataren und Karaimen
nachzuforschen. Ich reiste im Juni dieses Jahres von
St. Petersburg nach Lithauen, wo sich in den Gouver-
nements Wilna und Kowno Ansiedlungen von Karai-
men und Tataren befinden. Zuerst besuchte ich die Stadt
Troki und Umgegend und fand leider, dass die Wil-
naer Tataren ïihre Sprache vollkommen vergessen
haben und sich jetzt als Umgangssprache ausschliess-
lich des Polnischen und Weissrussischen bedienen,
Alle diese Tataren sind, wenn ich so sagen darf, ent-
tatarisirt, und würden sich schon längst mit der sie
umwohnenden slavischen Bevülkerung assimilirt haben,
wenn sie nicht ibhre Religion bewahrt hätten und eine
Anzahl kleiner Gemeinden, die noch ziemlich streng
an ihren mohammedanischen Religionssatzungen fest-
halten, bildeten.
Dahingegen fand ich in der Stadt Troki selbst eine
noch bis jetzt tatarisch sprechende Karaimen-Ge-
meinde. Nach Aussagen dieser Karaïimen wäre die
Stadt Troki früher ausschliesslich von Karaimen be-
wohnt gewesen, die hier in einer Zahl von über 300
Familien angesiedelt worden sind. Sie hätten hier
einen recht ausgedehnten Landbesitz erhalten. Be-
deutende Privilegien hätten sie vor Unbill der Nach-
baren geschützt; unter Anderem wäre es keinem
Talmud-Juden gestattet gewésen, sich in Troki nie-
derzulassen. Da ihre Privilegien später von den polni-
schen Künigen und russischen Kaisern in ihrem gan-
zen Umfange bestätigt worden wären, so wäre es der
an Zahl geringen Karaimen-Gemeinde môglich ge-
wesen, sich als ein geschlossenes Ganze Jahrhunderte
lang zu erhalten. Seit den fünfziger Jahren hätten
sich die Verhältnisse geändert. Die Ansiedlung von
Juden und der Umstand, dass die St. Petersburg- War-
schauer Eisenbahn die Stadt Troki nicht berührt
babe, hätten eine stets zunehmende Auswanderung
der Rae veranlasst, und die Gemeinde würde ; .
schon jetzt sehr zusammengeschmolzen sein, wenn
nicht in den sechziger Jahren etwa 80 Karaimen-
Familien aus dem Kownoschen nach Troki überge-
siedelt wären. Die Erwerbsverhältnisse seien in Troki
so schwierig und ungünstig und durch die stets zu-
wâre
=nehmende Concurrenz der eingewanderten Juden so.
ein keilférmiger Umriss ohne die Bildung der Se ue zu 8 J
drückt, dass die ne nas Karaimen,
175
Bulletin de l’Académie Impériale
176
wenn sie auch in Troki als Bürger angesthrieben
blieben, doch in anderen Städten ihren Erwerb suchen
müssten und nur zeitweise nach Troki zurückkehrten
und hier nur ältere Leute und ganz arme Karaimen
zurückblieben, die durch den Gemeinde-Landbesitz
ihren Unterhalt gewännen.
Trotz dieser mit jedem Jahre zunehmenden, auf die
Gemeinde zersetzend wirkenden A jerung und
zeitweisen Übersiedlung in die verschiedenen Ge-
genden Russlands steht die Karaimen-Gemeinde von
Troki noch bis jetzt als eine feste kirchliche und, man
môchte fast sagen, nationale Gemeinschaft da, die die
religiôsen Überlieferungen ibrer Väter treu bewahrt
bat und starr festhält an der sie von allen Umwohnern
scharf scheidenden tatarischen Sprache. Es muss un-
sere Bewunderung erregen, dass ein so kleines Vülk-
chen, das bei seiner Ansiedlung hierselbst nur aus
300 Familien bestand, sich bis jetzt unter so ungün-
stigen Verhältnissen als ein Ganzes erhalten kounte
und im Stande war, in der Mitte anders redender
Nachbaren seine Sprache zu bewahren, trotzdem es
mit den Nachbaren in regstem Verkehre stand und
alle seine Glieder ohne Ausnahme die Sprache der
Nachbaren sich vollständig zu Eigen gemacht hatten.
Diese hôchst auffällige Erscheinung lässt sich nur
dadureh erklären, dass bei den lithauischen Karaimen
die tatarische Sprache zugleich als Träger des reli-
giôsen Ideals des Volkes auftrat. Wenn die Karaimen
der Krym auch ohne Ausnahme sich des Tatarischen
als Familiensprache bedienen, so sind sie sich doch
in Mitte der tatarisch-mohammedanischen Bevülke-
rung wohl bewusst, dass diese Sprache ihnen eigent-
lich eine fremde ist, und sie betrachten ausschliess-
lich die hebräische Sprache als den Träger des reli-
giôsen Ideals ihres Volkes.
Die lithauischen Karaimen hingegen, die von allen
Seiten von slavisch und jüdisch-deutsch sprechenden
Volksmassen umgeben sind, sehen ihre tâtarische
Mundart als ein Vermächtniss ihrer Väter an, als ein
theures Eigenthum, das ihnen zur Kenntniss ihrer
Religion unbedingt nôthig ist. Diese ihre Sprache
war ja der Wall, der sie scharf von den sie in dichten
= Massen umgebenden jüdischen Gemeinden schied,
denn in ihr kam der Secten-Unterschied von en
= ihnen fremden Glaubensgenossen am klarsten zum
__ Ausdrucke, Aus diesen Gründen blieb bei ihnen das
Tatarische nicht nur als einzige Familiensprache,
sondern es gewann selbst die Herrschaft in der Schule,
die die Kenntniss des Tatarischen ebenso forderte wie
die Kenntniss des Hebräischen. Ja selbst in der Syna-
goge, beim Gottesdienste, hat sich die tatarische Sprache
eingebürgert, denn am Sabbath und anderen Festtagen
werden die officiellen Gebete und zahlreiche Hymnen
in tatarischer Sprache recitirt, und bei religiôsen
Festlichkeiten, wie bei der Beschneidung und bei
Hochzeitsfeierlichkeiten, tatarische Gedichte und An-
sprachen vorgetragen. Wie tief die tatarische Sprache
im Volksbewusstsein der Karaimen wurzelt, beweist
uns unter Andern auch der Umstand, dass fern von
Troki lebende Karaimen häufig ihre Kinder auf län-
gere Zeit nach Troki zu Verwandten schicken, damit
sie dort ihre Muttersprache, wie sie sich ausdrücken,
erlernen. Die in Troki bestehende Medresch (Schule)
wird noch heute von 40 Kindern besucht, die hier
wäbrend einiger Jahre, vor Eintritt in die russische
Schule, die hebräische Schrift, tatarische Schrift-
sprache und die hebräische Sprache erlernen und sich
mit den Religionssatzungen bekannt machen.
Wie hoch die Trokier Karaimen ïhre tatarische
Mundart schätzen, davon konnte ich mich selbst wäh-
rend meines Aufenthaltes in Troki überzeugen. Kaum .
batte sich das Gerücht verbreitet, dass ich mich für
die karaimische Sprache (so wird dieselbe stets ge-
nannt) interessire und bhierher gekommen sei, die-
selbe zu erlernen, so fanden sich bei mir die ange-
sehendsten Einwohner des Städtchens ein und stellten
mir ihre Dienste zur Verfügung. Man verschaffte mir
nicht nur die geeignetesten Persünlichkeiten, die mir
Erzählungen und Märchen vortragen konnten, und
Kenner der Sprache und Litteratur, sondern man
suchte auch in allen Häusern nach Schriftdenkmälern
und stellte mir dieselben bereitwillig zur Verfügung.
So war ich im Stande, meine ganze Zeit ausschliesslich
den Sprachstudien widmen zu kônnen, und im Laufe
von fast zwei Wochen eingehende grammatische und
lexicalische Sammlungen anzulegen, Märchen und Er-
zählungen aufzuzeichnen und eine ganze Reihe von
Liedern und Gebeten, wie auch Theile von Überset-
zungen des alten Testaments mit Karaimen durchzu-
gehen und nach ihrer Aussprache zu transscribiren
und auf diese Weise reiches Material zur es
Hs. Mundart zusammenzubringen.
177
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
178
In diesen Materialien liegen uns zwei deutlich ge-
trennte Stufen des lithauischen Karaimendialectes vor:
1) Die Litteratursprache, ein ziemlich reiner
Türkdialect, der sich gewiss nur wenig von der ge-
sprochenen Sprache unterscheidet, den die Karaimen
vor Jahrhunderten aus der Krym nach Lithauen
verpflanzt haben. Sie ist am Reinsten in den Bibel-
übersetzungen bewahrt, die mir in einigen älteren
Handschriften vorlagen und gewiss treuen mündlichen
Überlieferungen der Vorzeit entsprechen. Diese Schrift-
sprache wird noch mehr oder weniger rein bis jetzt
im schriftlichen Verkehre angewendet und ist ausser-
dem die Sprache der Schule. In ihr fand ich auch
viele Gebete, Hymnen und Lieder geistigen und welt-
hchen Inhalts aufgezeichnet.
2) Die gesprochene Volksmundart. Dieselbe
ist lexicalisch stark mit polnischen, weissrussischen
und lithauischen Elementen versetzt und zeigt be-
deutende Abweichungen in lautlicher und gramma-
tischer Beziehung von der Schriftsprache, die offenbar
dadurch entstanden sind, dass in der kleinen, in sich
vollkommen abgeschlossenen Sprachgemeinschaft die
sprachliche Fortbildung schneller fortschreiten konnte
als in den sich gegenseitig stets zu reactionären sprach-
lichen Rückbewegungen zwingenden grôüsseren tata-
rischen Sprachgemeinschaften der übrigen Türk-
ialecte. ;
Besonders in die Augen fallend ist der Einfluss,
den die Syntax und die Wortstellung der Lette
Schriftsprache und der slavischen Mundarten der
Nachbaren, deren Sprachen die Karaimen seit Jahr-
bunderten vollkommen mächtig sind, auf den eigen-
thümlichen, von den vorgenannten Sprachen so abweï-
chenden, Satzbau des tatarischen Idioms ausgeübt
haben. Die den übrigen Tatar-Dialecten fremde
Wortstellung giebt der Trokier Mundart ein so eigen-
thümliches Gepräge, dass der anderer Türk-Dialecte
Mächtige sich anfangs gar nicht in den Gedanken-
gang der Rede hineindenken kann, so dass ihm das
aller Bekannteste in dem fremden Kleide vollkommen
unverständlich erscheint. Der tatarische Satzbau ist
selbst in der gesprochenen Sprache so vollkommen
vernichtet, dass Erzählungen aus dem Volksmunde
sich fast wie würtliche Übersetzung aus dem hebrüäi-
schen Urtexte ausnehmen. Dieser ganz eigenthümliche
Satzbau ist es auch, der die Trokier Karaimen veran-
lasst, zu erklären, ihre Sprache sei eine ganz selbst-
ständige, sie seien nicht im Stande, sich derselben im
Verkehr mit den krymschen Karaimen zu bedienen
und müssten mit ihnen russisch sprechen, da sie ein-
ander nicht verstehen kônnten. Ich will hier nicht
näher auf diese interessante Erscheinung eingehen,
sie bedarf einer allseitigen gründlichen Beleuchtung,
und ich hoffe, dass das reiche von mir gesammelte
Sprachmaterial im Stande sein wird, ein klares Bild
des Dialectes zu entwerfen.
Die Sprache der Karaïmen, die um Kowno wohnen,
und früher eine eigene grüssere Gemeinde in Pone-
vieZ bildeten, stimmt vollkommen mit der Sprache
von Troki és und unterscheidet sich von dieser
nur dadurch, dass die Kownoer Karaimen mehr li-
thauische Wôrter gebrauchen als die Trokier. Da ich
mich davon selbst überzeugen konnte, indem ich die
Sprache des erst vor einigen Jahren nach Troki ein-
gewanderten Lehrers Rojezki zu beobachten Gele-
genheit hatte, und ausserdem erfuhr, dass sich die
Gemeinde von Poneviez vollständig aufgelüst habe
und die Überreste derselben jetzt zerstreut in den
umliegenden Dürfern wohnen, so gab ich meine ur-
sprüngliche Absicht auf, mich noch nach Kowno zu
begeben und reiste, mit guten Empfehlungen versehen,
direct nach Volhynien, um die karaimische Mundart
in Luzk zu studiren.
Zwischen Troki und Luzk bestehen nur sehr ge-
ringe Beziehungen und ich konnte daher in Troki kei-
nerlei Nachrichten über den Zustand der Karaimen-
Gemeinde in Luzk erhalten. Sehr enttäuscht und
entmuthigt war ich daher, als ich in Luzk anstatt
einer Zahlreichen Gemeinde, wie ich erwartete, nur
den Hassan (Geistlichen) und drei Karaimen-Familien
vorfand. Der Hassan von Luzk, ein Bruder des Leh-
rers Rojezki aus Poneviez, konnte mir selbst nicht
bei meinen Sprachstudien behülflich sein, da er einen
Mischdialect zwischen der Sprache von Luzk und
Troki spricht, und die übrigen Einwohner waren ganz
lalte Leute, die ebenfalls mir nicht von Nutzen sein
konnten. Wenn ich trotzdem die Môglichkeit hatte,
erfolgreiche Sprachstudien hier vorzunehmen und den u
luzker Dialect gründlich kennen zu lernen, so war
dies nur dadurch ermüglicht, dass es den freundlichen
Bemühungen des Hassan gelang, einen sehr a
Karaimen zu ce piss der sich zufällig zum ,
179
Bulletin de l’Académie Impériale
in Luzk aufhielt, und der seinen Dialect rein, ohne
jede fremde Beimischung, sprach und sich mir wäh-
rend meiïines Aufenthaltes in Luzk vollständig zur
Verfügung stellte. Ausserdem wurden mir durch die
liebenswürdige Verwendung des Hassan alle hier-
selbst vorhandenen Schriftdenkmäler bereitwilligst zur
Verfügung gestellt. So konnte ich trotz der vollstän-
digen Auflüsung der luzker Karaimen - Gemeinde
doch ziemlich umfangreiche Sprachmaterialien sam-
meln, was gewiss nach wenigen Jahrzehnten unmüg-
lich gewesen wäre, denn der luzker Dialect ist im
Aussterben begriffen. Nur wenige in Russland sehr
zerstreut lebende Karaimen sind desselben noch
mächtig, und er wird nirgends mehr als ausschliess-
liche Familiensprache gesprochen. Von einer karaimi-
schen Schulsprache in Luzk kann gar nicht mehr die
Rede sein, die Medresch daselbst hat schon seit zwei
Jahren keinen einzigen Schüler mehr. Die Synagoge
wird zwar noch auf Kosten der zerstreut lebenden
Karaimen-Familien unterhalten, in ihr hält aber der
Hassan den Gottesdienst gewühnlich ohne Gemeinde
ab, denn nur an grüsseren Festtagen finden sich ver-
einzelte Mitglieder aus der Umgegend zum Gottes-
dienste ein. Mit Wehmuth erzählte mir dies Alles
mein Lehrer und fügte traurig hinzu: «Wir werden
wohl unsere Karaimensprache mit uns zu Grabe
tragen, unsere Kinder verstehen jetzt nur noch pol-
nisch und russisch und erklären die Kenntniss des
Karaimischen als vollkommen unnütz».
Das Verhältniss der gesprochenen Sprache zur
Schriftsprache ist in Luzk fast das nämliche, wie in
Troki. Die Litteratursprache ist die Sprache der ver-
gangenen Jahrhunderte, während die gesprochene
Sprache eine weit vorgerückte Stufe der Fortbildung
dieser alten Sprache darstellt. Beide Sprachen be-
_ weisen unumstôsslich, dass die Karaimen, die vor Jahr-
hunderten in Luzk angesiedelt varie. schon beï
ihrer Einwanderung nach Volhynien eine andere
: Mundart des Krym-Dialectes sprachen, als die Karai-
men von Troki. Die älteste Schriftsprache zeigt schon
_ viele Momente, die sie scharf von der alten Sprache
in Troki scheiden, und dieser ursprünglich schon ver-
= schiedene Türk-Dialect hat jetzt im Laufe der Jahr-
= hunderte einen ganz eigenthümlichen Gang der Fort-
_tung, als die Volkssprache von Troki.
_ entwicklung genommen in einer ganz anderen Rich- |
Ich kann mich natürlich hier nicht auf weitere Aus-
einandersetzungen einlassen, ich will aber doch einige
Punkte der Lautlehre hervorheben, die uns als cha-
rakteristisches Merkmal für den luzker Dialect die-
nen kôünnen. Während in der Trokier Mundart sich
alle ursprünglichen Vocale der Türksprachen, wenn
auch mit gewissen Modulationen, erhalten haben, sind
in Luzk die labiopalatalen Vocale 6 und ÿ ver-
schwunden und an ihre Stelle die entsprechenden
dentipalatalen Vocale à und i getreten; so lauten die
in Troki noch deutlich geschiedenen Wôrter ÿa (drei)
und ia (Inneres) beide in Luzk in wie auch die Wôr-
ter Kkü3 (Auge) kün (viel) 63ÿm (ich selbst) in der Form
Ke3, Ken und exim erscheinen, Ferner tritt in Luzk,
wie schon das zuerst angeführte Beispiel beweist, an
Stelle des zusammengesetzten Consonanten «x der
Trokier Mundart überall x anf. Letztere Erscheinung
unterstützt meine Ansicht über die Aussprache des
Buchstaben & im Codex Comanicus auf das Eclatan-
teste. Nicht minder interessant ist die eigenthümliche
Fortbildung und Abschleifung der grammatischen
Bildungssilben im luzker Dialecte.
Eine zweite Ansiedelung der Karaimen in Volhy-
nien, wo sich bis jetzt noch eine geschlossene Ge-
meinde erhalten hat, befindet sich im Städtchen Ha-
licz, das gegenwärtig zu Galizien gehôrt und etwa
dreissig Meilen von Luzk entfernt ist. Leider hatte
ich nicht die Môglichkeit, die Grenze zu passiren, da
ich versäumt hatte, mich mit den zur Fahrt ins Aus-
land nôthigen Papieren zu versehen. Nach Angabe
der luzker Karaimen ist die Sprache der Karaimen
von Halicz vollkommen die gleiche wie die ihrige,
nur seien diese Karaimen den Juden näher getreten
und biete ihre Sprache daher oft deutsche Wôürter, die
ihnen unverständlich wären. Dass die haliezer Schrift-
sprache sich durchaus nicht von der luzker unter-
scheidet, davon konnte ich mich selbst genügend über-
zeugen, da ich in Luzk ziemlich umfangreiche, in
Halicz geschriebene, Bibelübersetzungen vorfand.
Der einzige Unterschied, den diese Bibeltexte zeigten,
war der Gebrauch des Vocals ÿ, der in den luzker
Schriftstücken stets durch i wiedergegeben wird. Ob
die haliczer Karaïmen jetzt noch ÿ sprechen, konnte
man mir in Luzk nicht angeben. Wabrscheinlich ist
dieses ÿ der haliczer Schriftsprache ein Überbleibsel
-| der ältesten Schriftsprache, das nur in Bibelüberset- ;
des Sciences de Saint - Pétersbourg.
182
zungen beibehalten wurde. Ich hoffe später noch Ge-
legenheit zu haben die haliczer Mundart aus eigener
Anschauung kennen zu lernen.
Die während meiner diesjährigen Reise gesam-
melten sprachlichen Materialien für die Mundarten
der Karaimen der westlichen Gouvernements sind
somit folgende:
1) Übersetzungen eines grossen Theils des alten
Testaments zum Theil im Dialecte von Troki, zum
Theil in dem Dialecte von Halicz. Diese Texte sind
besonders dadurch wichtig, dass sie mit einer con-
sequent durchgeführten, peinlich genauen Vocalbe-
zeichnung versehen sind und daher als hôüchst werth-
volle Sprachdenkmäler der ältesten Karaimen-Mundart
gelten kôünnen, einer Mundart, die sich aufs Engste
an die Sprache des Codex Comanicus anschliesst.
2) Gebete, Hymnen und Gedichte in der Schrift-
sprache der Mundarten von Troki und Luzk. Diesel-
ben sind, zum grôssten Theïl mit hebräischen Buch-
staben geschrieben, in meinem Besitze, ausserdem
habe ich sie aber nach der jetzigen, zum Theil abwei-
chenden, Aussprache der Karaimen mit meinem Alpha-
bete umschrieben.
3) Aufzeichnungen von Redensarten, einzelnen
Sätzen, Erzählungen und Märchen, die ich nach dem
Dictat von Leuten niedergeschrieben habe, welche der
Schriftsprache nur wenig mächtig waren, die daher
eine treue Anschauung von der gewôhnlichen Umgangs-
Sprache geben.
4) Wôrtersammlungen und grammatische Aufzeich-
nungen,
Dieses an Ort und Stelle gesammelte Sprachmate-
rial ist im Stande, ein klares Bild des gegenwärtigen
Zustandes der karaimischen Mundarten und einen
Eïnblick in die Vergangenheit dieses Türk-Dialectes
zu gewähren. Da die ältesten Schriftdenkmäler dieses
Dialectes sich, wie schon gesagt, eng an das tür-
kische Sprachmaterial des Codex Comanicus anschlies-
sen, so künnen sie gleichsam als Ergänzungen zur Er-
Kkenntniss dieses jetzt ausgestorbenen Dialectes dienen.
Ich beabsichtige deshalb, mit der Verôffentlichung dieser
von mir gemachten Sammlungen sogleich zu beginnen,
da sie gewissermaassen die Fortsetzung meiner jetzt
im Drucke beendigten Arbeit über das Komanische
bilden, und als eine Grundlage für die richtige Er-
kenntniss der Mundarten der Krym dienen werden.
Durch die Verwendung des Hassan von Luzk ist es
mir gelungen, einen grossen Theil der haliczer Bi-
belübersetzung zu meiner Verfügung zu erhalten, was
mir um so wichtiger ist, als nur noch sehr wenige Exem-
plare dieser Übersetzungen sich erhalten haben, und
diese alle wie Familienheiligthümer bewahrt werden.
Der Besitzer dieser Übersetzungen will diese werth-
vollen Handschriften unserem Asiatischen Museum als
Geschenk überlassen, wenn wir dafür den Karaimen-
Gemeinden 80 gedruckte Exemplare zur Verfügung
stellen. Ich erlaube mir deshalb, der Klasse vorzu-
schlagen, sogleich mit dem Abdruck dieser Überset-
zungen zu beginnen und nach Vollendung jedes einzel-
nen Buches dem Hassan von Luzk und dem Lehrer
Rojezki in Troki je 40 Exemplare zuzustellen. Ei-
nige Bücher des alten Testaments, z. B. Hiob und
Daniel, die mir auch im Dialecte von Troki vorliegen,
werde ich im Dialecte von Troki abdrucken und nur mit
den Varianten der haliczer Übersetzung versehen
lassen. An diese Bibelübersetzungen sollen sich dann
meine übrigen Sammlungen ansschliessen und das
Ganze soll dann unter dem Titel: «Die Sprache der
Karaimen von Lithauen und Volhynien» in
unseren «Mémoires» oder als selbstständiges Werk
erscheinen.
Da die Kaiserliche Offentliche Bibliothek in der
Firkowitsch’schen Sammlung einige sehr alte Bibel-
übersetzungen der krymschen Karaimen besitzt, so
môchte ich dieselben zu Rathe ziehen, und ich ersuche
deshalb die Klasse, sich bei der Verwaltung der «Kai-
serlichen Offentlichen Bibliothek» zu verwenden, dass
mir die Manuscripte À 140—146 der Firkowitsch’-
schen Sammlung zur Benutzung in dem von mir ver-
walteten Asiatischen Museum überlassen werden.
Zusatz zu ,Studien über den Sterncatalog: Positions
moyennes de 3542 étoiles, déterminées à l’aide
du cercle méridien de Poulkova dans les années
1840-1869 et réduites à l'époque 1855,0.
St. Pétersbourg, 1886“. Von 0. Backlund. he
le 15 septembre 1887.)
Seitdem ich den Aufsatz mit dem angeführten Tite +
der Akademie vorlegte, habe ich Gelegenheit gehabt
die grain A der pas ei weleho bei bn la
183
Bulletin de l’Académie Impériale
Reduction der Declinationsbeobachtungen am Pulko-
waer Meridiankreis berücksichtigt worden sind, zu
revidiren. Es stellte sich dabei heraus, dass man die
Theïlungsfehler aus den Messungen mit falschen Zei-
chen abgeleitet hat. Die Anwendung der hiernach
construirten Theilungsfehlertafel hat also zur Folge,
dass die in den Bänden VI und VII angegebenen De-
clinationen fehlerhaft um den doppelten Betrag der
Theilungsfehler sind.
Wir wollen nun untersuchen, wie die Differenzen
zwischen dem Vertikalkreis und dem Meridiankreis
sich gestalten, wenn für den letzteren die wirklichen
Theilungsfehler berücksichtigt werden. Zu dem Zwecke
benutzen wir die in dem erwähnten Aufsatze gege-
bene Relation P,—M und bezeichnen mit (M) das
wegen der wirklichen Theïlungsfehler corrigirte AZ.
Pn—M Corr. wegen P,, —(M).
ô Re Th.-fehler Aë
tes 028: 44 0 00 0192
+ 75 — 0,14 —0,13 — 0,27
+ 70 — 0,03 —-0,14 —0,17
+ 69 + 0,05 —-0,12 —0,07
+- 60 + 0,14 0,00 +0,14
+ 55 + 0,21 —0,21 0,00
+ 0 + 0,32 — 0,29 +0,03
+ 45 + 0,51 — 0,39 + 0,12
+ 40 + 0,65 —0,37 + 0,28
+ 39 + 0,78 —0,48 + 0,30
+ 30 + 0,68 — 0,56 +0,12
+ 25 + 0,31 + 0,26 + 0,57
+ 20 + 0,43 +0,03 + 0,46
+ 15 + 0,60 — 0,29 +0,31
+ 10 + 0,57 — 0,27 + 0,30
+ 5 + 0,44 — 0,05 + 0,39
0 + 0,01 + 0,16 + 0,17
— — 0,22 +0,40 +0,18
— 10 — 0,21 + 0,06 — 0,15
— 15 — 0,22 —0,13 —0,35
Mit Ausnahme von den Differenzen bei - 25° und
+-20° ist die Übereinstimmung zwischen P, und (H)
überhaupt so gross, wie man von zwei von einander,
bis auf die Polhôühe und Refractions-Constante, unab-
bängigen Lors erwarten kann. Was die Differen-
: zen bei + 25° und + 20° betrifft, so ist es leicht ihre
Abweichung von den nächstliegenden zu erklären. Die |
| Reductionstafel P,— M ist auf Grundlage der Ver-
. der an ”beiden Instrumenten beobachteten
Pulkowaer Hauptsterne und zwar mit Hülfe von aus-
gleichenden Curven ermittelt; nun ist die Anzah]l
der Hauptsterne in der Zone 20°—25° eine verhält-
nissmässig geringe, so dass man bei dem Curven-
ziehen sich berechtigt betrachten konnte die in dieser
Zone angedeutete starke Biegung beträchtlich zu ver-
einfachen. Jetzt erscheint es in der That, als wenn
der Curve ein zu einfacher Verlauf gegeben wäre
und dass also der Anschluss des Cataloges II an P,, in
dieser Zone nicht hinreichend eng sei. Nehmen wir mit
Rücksicht auf diesen Umstand an, dass die Differenzen
P,—(M) von + 40° bis + 5° constant sind, eine
Annahme die nicht unberechtigt erscheint, so würde
sich für den Catalog II eine Correction von etwa —0,2
in der Zone 20°— 25° ergeben. Durch Anbringung
dieser Correction an II würde auch die Übereinstim-
mung zwischen II und dem Catalog Becker eine weit
bessere werden, so dass in der That die Differenzen
bei + 25° und + 20° zum Theïil von einem ungenauen
Zeichen der Curve herzurühren scheinen. Übrigens ist
zu bemerken, dass die Zahlen in der Columne P—(M)
noch kleine Modificationen erleiden kôünnen, wenn die
wahren Theiïlungsfehler thatsächlich an die Beobach-
tungen und nicht, wie hier, an die ausgeglichenen
Mittelwerthe angebracht werden. Jedenfalls ist die
Tafel P,—(M) verglichen mit der Tafel P,— M em
Beleg dafür, dass die Theilungsfehler mit ihren rich-
tigen Zeichen angebracht eine nähere Übereiustim-
mung zwischen Meridiankreis und Verres be-
wirken.
In der Columne P,—R pag. 580 sind die Zahlen
dieselben wie die AS pag. 568; P,, und II sind also
identisch angenommen. Es wäre misslich, wenn man
die Differenzen P,—R in derselben Weise corrigiren
wollte wie die Differenzen P,— M, denn die Aequator-
punkte, welche den Romberg’schen Declinationen zu
Grunde liegen, sind mit Hülfe der Hauptsterne abge-
leitet. Erlaubt man sich aber die plausible Hypothese
aufzustellen, dass der Einfluss auf die Aequatorpunkte
nahezu Null sei, und corrigirt demnach die Differenzen
P—R mit Hülfe der wahren Theilungsfehler, so er-
giebt sich eine sebr befriedigende Übereinstimmung
zwischen (M) und (R).
Die Herren Nyrén und Rvuhene haben an direét
zu dem Zwecke von Herrn Romberg angestellten
| _. die von mir durch Revision der früheren
; ;
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
16
Berechnung der Theilungsfehler gewonnenen Resultate
bestätigt.
In meinem vorhergehenden Aufsatz sind die Au
der Reductionstafel P,—(£,), pag. 586, etwas fehler-
haft, wie man sich leicht überzeugen kann, und dem-
zufolge werden auch die Ax der Tafel II — (Becker),
pag. 587, entsprechend fehlerhaft sein. Ich führe bier
die corrigirten Werthe an:
Pyn —(P:) I—(Becker)
Ô Au Aa
+ 80° — 0;01 — 0505
+ 78 0,01 — 0,06
+ 70 0,02 — 0,05
+ 65 — 0,03 — 0,04
+ 60 — 0,04 — 0,03
+ 55 — 0,036 — 0,024
+- 50 — 0,029 — 0,019
+ 45 — 0,026 + 0,004
+ 40 — 0,022 +- 0,016
+ 35 — 0,019 + 0,017
+ 30 + 0,017 + 0,011
+25 — 0,017 — 0,007
2-20 — 0,018 — 0,024
+ 15 — 0,018 — 0,028
+ 10 — 0,019 2 0:027
+ 5 — 0,020 20,023
0 — 0,020 — 0,014
= # — 0,020 — 0,006
-— 10: : 50.020 — 0,002
À Ce 0,015) :(e-0.007)
Wie man sieht, sind die Aa der Tafel II—-(Becker)
durch diese Correction so unbedeutend verändert
worden, dass die a. a. O. gezogenen Schlüsse durchaus
nicht berührt werden.
Ich benutze diese Gelegenheit um einige Druck-
und Schreibfehler in meinem früheren Aufsatz zu
corrigiren.
Pag. 571. In der Tafel P.—P, ist das + 80° gehürende
A zu + 0,26 angegeben; es soll sein
— 0,26. :
580. Zeile 12 steht — 0/50, lies: — 0,63.
589. Zeile 13 von oben steht ca lies: grüsser.
Zeilelé» » >» r, » kleiner.
Zeile 2 von unten steht bildete, » Jleitete.
»
»
5 Y Sy y
lies: Declination.
596. Zeile 5 und 6 von unten steht Declinationen, |
Recherches sur l’énergie de combinaison. Les oxydes
de potassium et de lithium. Par N. Békétoff.
(Lu le 15 septembre 1887.)
En entreprenant l’étude des oxydes anhydres des
métaux alcalins j'avais en vue de donner une nouvelle
preuve expérimentale en faveur de la relation, qui
doit exister entre l’énergie de combinaison (thermo-
chimique) et le poid atomique (ou équivalent pour
les éléments pluri-valents) des éléments combinés.
Il y a plusieurs années, que j'avais posé en principe,
que pour les combinaisons entre les éléments hétéro-
gènes — par exemple entre les métaux et l’oxygène
et les corps halogènes — l’action chimique ou l'énergie
de combinaison devrait être d'autant plus forte, que
la relation des poids (équivalents) du métal et de
l'élément électronégatif se rapprochait le plus de
l'unité.
D’après ce principe les éléments métalliques possé-
dant les minimes poids atomiques doivent développer
comparativement le plus d'énergie dans leurs combi-
naisons avec l’oxygène, qui de son côté possède le
moindre poid atomique et équivalent parmis les corps
électronégatifs. Dans le groupe des métaux alcalins
[les poids NOR augmentent rapidement du (i-
thium— 7, jusqu’au cesium — 133. On pouvait donc
prévoir, que l'énergie chimique de ces éléments de-
vrait suivre deux marches différentes — croissante ou
décroissante à partir du lithium, suivant que cette
énergie serait comparée dans la série de leurs com-
binaisons haloides, ou dans la série de leurs combinai-
données thermochimiques n’était connue que pour la
série des combinaisons haloides —chlorures, bromures,
génées n'étaient pas déterminées, puisque les oxydes
étudiés par suite de la difficulté de les obtenir dans
un état de pureté indispensable à cet étude. Po
C’est dans le but non seulement de combler cette
lacune, mais surtout pour n. le principe de la
telabion des poids équivalents, que j’ai entrepris rte .
étude. .
L'Académie connait le résultat de mes A? .
études sur l’oxyde anhydre de sodium et les nouvelles
@
ire de cet oxyde que j'ai eu sue de d
sons oxygénées. L'énergie chimique mesurée par les -
tandis que les données de leurs combinaisons oxy-
anhydres de ces métaux étaient très incomplètement
LE
PAT
187
Bulletin de l’Académie Impériale
couvrir — notamment son réduction par lhydrogène
et par l’oxyde de carbone. Mais un seul cas ne pou-
vait servir à déterminer la marche de l’énergie chi-
mique par rapport au poid atomique. Il fallait au
moins étudier un des métaux à poid supérieur et un
autre à poid inférieur pour voir la marche de l'énergie.
C’est dans ce but, que j’ai entrepris l’étude des oxydes
anhydres de potassium et de lithium.
L’oxyde de potassium. Cet oxyde à été obtenu
dans un état impur, par Davy et par Gay-Lussac,
qui en donnent une description très succincte et ne
mentionnent presque aucune de ses propriétés. L’oxyde
de potassium anhydre K,0 ne s’obtient qu'avec une
grande difficulté. La méthode de Gay-Lussac
c’est-à-dire l’action du métal sur l’hydrate ne m’a pas
donné de résultat, l’hydrate de potasse, comme celui
de soude n’est pas décomposé par le métal, qui se
volatilise sans déplacer l’hydrogène — ce qui était
facile à prévoir et ce qui s'explique par les propriétés
de l’oxyde, dont ïl sera question tout à l’heure.
J'ai beaucoup mieux réussi, en calcinant du peroxyde
(K,0,) ou plutôt le mélange peroxydé, qu’on obtient
en oxydant le métal en couche mince par de l'air
bien desséché avec du métal non oxydé. La calcina-
tion du peroxyde dans un cylindre en argent ne donne
pas d’oxyde, comme le pense Davy. Dans ce cas l’ar-
gent est oxydé et il se produit une combinaison fort
stable des deux oxydes — probablement de la formule
+0, où l’argent joue le rôle de l’hydrogène dans
l’hydrate F0. Cette combinaison résiste à une tempé-
rature rouge autant, que peut supporter le vase en
argent. D’un autre côté il est très difficile d'obtenir
un oxyde d’une composition définie (K,O), en calci-
nant le peroxyde, avec du métal, parce qu’une partie
du métal se volatilise avant la fin de la réaction et on
obtient un oxyde contenant du peroxyde.
= Pour avoir un oxyde pur et de la composition
_… normale c’est-à-dire le vrai oxyde anhydre K,0, qui
_ doit se dissoudre dans l’eau, ou les acides sans déga-
gement ni d'oxygène ni d'hydrogène j'ai eu recours à
un artifice. Je préparais d'avance une sorte d’amal-
game d’argent en poudre et de métal alcalin, que je
_ mélangeais avec du peroxyde; c’est ce mélange que je
_ calcinais dans un cylindre en argent. De cette ma-
_ nière le potassium métallique retenu par l’argent se
volatilisait lentement et préservait en même temps
l'oxydation de l'argent. De cette manière j'ai pu
obtenir de l’oxyde de potassium assez pur; il ne conte-
nait que de l’argent métallique mélangé mécaniquement
et en se dissolvant dans l’eau ne dégageait point de gaz.
C’est cet oxyde, qui m’a servi à déterminer la chaleur
de l’hydration et l’action de l’hydrogène.
Un poid de 8 gr. contenant d’après le titre de la
dissolution obtenue 2,5 gr. de K,0 fut dissous dans
550 gr. d’eau contenu dans un calorimètre en platine
et produisit une élévation de température de 3°2, ce
qui équivaut (avec les parties du calorimètre en eau) à
1788,8 calories. Pour le poid moléculair de K,0—94
on obtient le nombre de 67400 calorie.
C'est-à-dire la réaction K,0 + H,0 + aq. — 250 +
aq. — + 67400 c. Mais d’après Berthelot 220 +
aq. dégage 24920 c., donc la combinaison de la pre-
mière molécule d’eau pour produire deux molécules
d’hydrate solide dégage la différence de ces deux
nombres. 2
K,0 + H,0 — 220 — 67400 — 24920 — 42480 c.
D'un autre côté Thomsen a calculé la somme de
la chaleur d’oxydation et d’hydratation du potassium,
d’après la détermination expérimentale de la chaleur,
développée par l’action du métal sur l’eau.
Il en a déduit pour la réaction:
K, + 0 + H,0 + aq. — 240 + aq. — 164500 c.
En soustrayant de ce nombre la chaleur de lhy-
dratation de l’oxyde anhydre, que je viens de déter-
miner, on obtient: 164500—67400—97100 c. pour
la chaleur de combinaison du métal avec l'oxygène
pour former l’oxyde anhydre solide.
K, + 0 = K,0 = + 97100 c.
En comparant ce nombre à celui, que j’ai trouvé
pour l'oxydation du sodium — 100,260 c., on s’aper-
çoit, que l'oxydation du potassium pour produire K,0
est un peu moins énergique, que celui du sodium et
que l’action plus énergique du potassium sur l’eau
s’explique par une plus forte chaleur d’hydratation,
qui est 67400 c., tandis qu’elle n’est que de
55000 c. pour l’hydratation de l’oxyde de sodium.
La combinaison de la première molécule d’eau à
l’oxyde anhydre de potassium 42480 est encore plus
grande comparativement à celui du sodium — on à
189
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
pour la formation de l’hydrate solide en partant du
métal de l’oxygène et de l’eau:
K, + O0 + H,0 — 250 — 139580.
Ces nombres peuvent expliquer l’action de l’hydro-
gène sur l’oxyde anhydre et l’abscence de réaction
entre l’hydrate et le métal.
En vérité le résultat thermochimique de l’action
de l’hydrogène sur l’oxyde anhydre se déduit par le
calcul, comme il suit:
K,—0 K,0+H,0 H,+0
2K,0-rH,=22 É0+K, = —97100+42480+69000 —
Elle est donc positive et doit dégager plus de cha-
leur, que la réaction correspondante pour le sodium.
L'expérience a pleinement confirmé la prévision de la
théorie. Quelques morceaux d’oxyde de potassium
anhydre placés dans un tube recourbé, rempli d’hydro-
gène bien desséché, et dont l'extrémité plongeait dans
du mercure, ont été chauffés faiblement; aussitôt la
réaction a commencée et s’est continuée d’elle-même
et le mercure a monté rapidement; on a vu apparaître
le métal donnant une vapeur verte. Après le refroi-
dissement du tube j’ai pu en extraire le métal alcalin,
qui introduit sous une cloche m'a fourni jusqu’à
40 c. m. c. d'hydrogène. La réduction d’une partie
du métal de son oxyde anhydre est encore plus facile,
que pour l’oxyde de sodium. Les données thermochi-
miques ainsi que cette expérience directe donnent la
raison pourquoi le potassium n’agit pas sur son hy-
drate — cette réaction étant exothermique et devant
se faire avec une absorption de chaleur inverse de celle
de pa précédente:
2 FO +K,— —= 2K,0 + H, = — 14380.
Non de lithium. De tous les oxydes des métaux
alcalins c’est celui qui s’obtient le plus facilement grâce
à sa faible tendance à la suroxydation et à la moindre
Stabilité du carbonate de lithium. Le meilleur moyen
de se procurer l’oxyde de lithium anhydre est celui
qui a été proposé par Troost'). On calcine fortement
un mélange intime de carbonate de lithium et de
charbon en léger excès dans une capsule en platine;
si la première calcination ne détruit pas tout le car-
bonate on répète la calcination une seconde fois, en
1) Annales de chimie et de physique (3), t. 51, p. 112.
Tome XXXII.
ajoutant un peu de charbon. La réaction chimique est
la même que celle qui sert à préparer l’oxyde de
barium de son carbonate.
Li,CO, + C = Li,0 + 200.
L’excès de carbone ne produit pas de réduction du
métal comme pour les oxydes de sodium et de potas-
sium; c’est par cette raison, que le métal ne peut pas
être préparé comme les autres métaux alcalins par
la distillation à une très haute température d’un mé-
lange de carbonate et de carbon en grand excès, Ces
propriétés connues de l’oxyde de lithium faisaient déjà
présumer une plus grande énergie de combinaison du
métal avec l'oxygène. Il s'agissait de prouver cette
induction par des données thermochimiques, puisque
la chaleur de l'oxydation du métal était inconnue.
C’est ce que j’ai entrepris de résoudre par la même
méthode, qui m'a servi à établir l'énergie de combi-
naison avec l'oxygène du sodium et du potassium.
Dans mon mémoire «Recherches sur la formation et
les propriétés de l’oxyde de sodium anhydre» présenté
à l’Académie en 1881°), j'avais déjà énoncé la pré-
somption, que le lithium ne serait pas déplacé par
l'hydrogène de son oxyde Li,0 et que sa chaleur
d’hydratation devra être moins forte que celle de
l’oxyde de sodium et qu’en revanche sa chaleur d’oxy-
dation sera plus haute (p. 11 du mémoire). C’est ce
que l’expérience a pleinement confirmée. RS
L’oxyde de lithium préparé comme je l’ai dit par
la méthode de Troost contenait encore de 12 à 6%
de carbonate non décomposé; mais comme cela répon-
dait à une proportion moléculaire assez faible de 5 à
2,5 molécules de carbonate pour 95—-97,5 de molé-
cules d'oxyde anhydre il pouvait très die servir à la
détermination de l’hydratation à la condition de con-
naître la chaleur de dissolution — dans l’eau ou les”
acides — du carbonate de lithium. J’ai donc déterminé
par des expériences spéciales les données thermochi-
miques de l’action des acides et de l’eau sur le car-
bonate de lithium. Ces données m’ont servi à faire la
correction nécessaire des expériences sur l’oxyde dont
les échantillons ont été toujours analysés avant de :
s’en Servir. ss
Comme l'oxyde de lithium se dissout assez lente- ue :
ment dans l’eau, j'ai préféré le dissoudre dans l'acide
2) Mémoires de Académie Impériale des Sciences de: St. Péters- pe
bourg, VII* Série, T. XXX, X 2. |
13
Bulletin de FAcadémie Impériale
192
chlorhydrique. Puisque la chaleur de neutralisation
de l’oxyde dissous était connue par les expériences
très précises de Thomsen, la différence de ces
nombres de ceux de la neutralisation par le même
acide de l’oxyde anhydre exprime la chaleur de lhy-
dratation. Cette différence d’après mes expériences
est égal à 26000 c. par molécule. C'est-à-dire, que
la réaction:
Li,0-+H,0 + aq. — 20 +- aq. dégage — 26000 c.
La somme de la chaleur d’oxydation et d’hydrata-
tion trouvée par Thomsen étant de 166000 c., il
s’en suit, que la chaleur d’oxydation du lithium est:
166000 — 26000 — 140000.
C'est-à-dire la formation de l’oxyde anhydre solide
en partant des éléments dégage:
Li, + 0 — Li,0 = + 140000.
On voit donc, que cette chaleur surpasse de beau-
coup celle de la formation des oxydes de sodium et de
potassium, ce que j'avais prévu en appliquant mon
principe de la relation des masses (équivalents) com-
binées— cette relation pour la combinaison du aps
avec l'oxygène est ? ou pour la molécule Li,0 = #;
cette relation des del combinés est la plus favorable
parmis tous les métaux alcalins, puisqu'elle se rap-
proche le plus de l’unité. Pour connaître la chaleur
de combinaison de la première molécule d’eau pour
former l’hydrate solide, j'ai déterminé la chaleur de
neutralisation par l'acide chlorhydrique l’hydrate
solide et j'ai obtenu par différence de la chaleur de
neutralisation de l’hydrate dissous le nombre — 13000.
Li,0 + H,0 — 2#0 dégage — + 13000.
nu . Si on forme l'équation thermochimique de l’action
de l’hydrogène sur l’oxyde anhydre, on a:
à 214,0 + H, = 270 + Li, =
FE $ Li,—0 H,+0 Li,0+
:—=— 140000 + 69000 +- 200022 — — 58000,
o c’est une réaction fortement endothermique ou avec
une grande absorption de chaleur; par contre la ré-
action inverse c’est-à-dire le déplacement du second
_sera accompagné d’un dégagement égal de chaleur —
E. 58000. L ue 140 de bhram ne doit pas donc
atome d'hydrogène dans deux molécules d’hydrate|
être réduit par l'hydrogène, au contraire l’action du
métal sur son hydrate doit être très énergique. J’ai:
pu confirmer par l'expérience seulement l’impossi-
bilité de la première de ces réactions. Un échantillon
d'oxyde anhydre de lithium, chauffé fortement dans
une atmosphère d'hydrogène n’a subi aucun change-
ment. Je n’ai pas pu réaliser la seconde réaction,
à cause de la grande difficulté de se procurer du
lithium métallique. Je me propose cependant de
revenir à cette réaction.
Ces recherches sur l’énergie de combinaison des
trois premiers métaux alcalins avec l’oxygène et les
propriétés nouvelles, que j'ai pu constater, m'otorise
à en déduire les conclusions suivantes.
Plaçons en regard les données thermochimiques des
trois métaux.
Poid atom.
eee M;+0 M,0+-H,0 M,0+aq. M+0-+aq.
Lithium 7 (14) 140,000 13,000 26,000 166,000
Sodium 23 (46) 100,000 35,400 55,000 155,000
Potas. 39 (78) 97,000 42,000 67,000 164,000
D'après ce tableau il est clair, que la chaleur de
combinaison avec l’oxygène décroît à partir du lithium
jusqu’au potassium et que la chaleur de l’hydratation
suit au contraire une marche opposée — elle s’accroit
du lithium au potassium. On pourrait supposer à la
première vue, que c’est le poid atomique seul, qui
produit son influence, puisque la chaleur d’oxydation
diminue avec l’augmentation du poid atomique. Il
n’en est rien cependant, puisque par rapport aux élé-
ments haloides avec des poids athomiques (se confon-
dant avec leurs équivalents) beaucoup plus forts, que
ceux de l’oxygène (8) ces mêmes métaux alcalins
suivent dans leurs chaleurs de combinaisons une
marche diamétralement opposée. Le plus énergique
c’est le potassium, puis vient le sodium et en dernier
lieu vient le lithium.
K + CI dégage 105000
Na+CI » 97300
Li+CI » 93500.
Ce n’est donc pas le poid atomique d’un seul élé-
ment, qui influe sur l’énergie de combinaison, mais
aussi le poid du corps électronégatif (oxygène et ha-
193
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
194
loides) ou plutôt leur rapport. Dans le premier tableau
c’est pour le lithium que ce rapport est le plus favo-
rable c’est-à-dire se rapproche le plus de l’unité, où
Le
il est — — (is) et dans le second tableau ce rapport
16
est le re favorable pour le potassium, où il est
K
= 33; C'est pour ces métaux, que l’énergie de com-
binaison est la plus grande — du lithium pour l’oxy-
gène et du potassium pour le chlore.
Cette règle s'applique aussi à d’autres groupes de
métaux; mais je me propose de revenir une autre fois
à ce sujet, quant à présent je me bornerai aux métaux
alcalins et pour compléter mes études il me reste à
déterminer l’énergie de combinaison du rubidium et
du cesium, dont je m'occupe depuis quelque temps.
D'après ce qui a été développé dans ce présent mé-
moire on peut supposer, que la chaleur d’oxydation
continuera à décroître depuis le potassium jusqu’au
cesium et que leurs oxydes seront probablement
réduits par l’hydrogène.
Polarisations-Photometer für technische Zwecke und
Untersuchung von Wenham-Gaslampen mit dem-
selben, Von H. Wild. (Lu le 27 octobre 1887.)
Mein Krystall-Polarisations-Photometer,
welches ich vor vier Jahren bei Gelegenheït einer
Mittheilung über seine Umwandlung in ein Spectro-
Photometer in seiner neuen Gestalt beschrieben
habe '), verlangt behufs richtigen Gebrauchs eine
sorgfältige und umständliche Justirung aller Theile
desselben, welche nicht Jedermann’s Sache sein dürfte,
und eignet sich daher nur für streng wissenschaftliche
Untersuchungen. Bei technischen photometrischen Be-
stimmungen, ja selbst bei wissenschaftlichen Üntersu-
chungen, wo es mehr auf ein rasches Arbeiïten an-
kommt, dürfte deshalb das Glassatz-Polarisations-
Photometer in der Modification, die ich schon im
Jahre 1858 in einem Vortrag auf der Versammlung
schweizerischer Naturforscher in Bern *) angegeben
1) Bulletin de de so Impériale des Sc. de St. Pétersbourg,
VIN, p. 39
2 Archives des Fa de la Biblioth. Universelle de Genève.
Année 1858.
habe und die ich sodann auch in meinem Uranopho-
tometer *) verwendete, vorzuziehen sein.
In der That hat denn auch Herr Dr. 0. Chwolson
bei seinen «Untersuchungen über die innere Dif-
fusion des Lichtes»‘) mein in dieses Photometer
verwandeltes Uranophotometer benutzt und bewäbrt
gefunden.
Dies hat mich veranlasst, für derartige Untersu-
chungen und hauptsächlich auch behufs Einführung
des Polarisations-Photometers in die Technik, das
Glassatz-Photometer in einer Form construiren zu
lassen, welche eine müglichst bequeme und vielseitige
Verwendung desselben gestattet. Ehe ich zur Beschrei-
bung des neuen Instrumentes übergehe, will ich das
Princip und die Theorie des Glassatz-Photometers in
der von mir angegebenen Modification nochmals kurz
entwickeln.
Theorie des Photometers. Das fragliche Photo-
meter besteht der Hauptsache nach, wie die beistehende
Skizze es zeigt, aus einer Glassäule g (ungefähr 10
Fig. 1.
3) Dieses Bulletin Te xx p- 312. 1875. Feu phys. et chim.…
tirés du Bulletin T. ie
4) Dieses Bulletin T. KXXE, p. 918. due
195
Bulletin de l’Académie Impériale
196
Platten dünnen Spiegelglases aufeinander gelegt), vor
welcher das Polariscop-Fernrohr f so aufgestellt ist,
dass seine optische Axe unter dem Complement des
Polarisationswinkel des Glases in der Eiïinfallsebene
der Glassäule gegen deren spiegelnde Flächen geneigt
ist. In diesem Fernrobr künnen also Lichtstrahlen sich
vereinigen, welche einerseits in der Verlängerung
seiner optischen Axe durch die Glassäule hindurch-
gegangen sind und anderseits, von der Seite kommend,
an ihren dem Polariscop zugewandten Flächen reflec-
tirt worden sind. Auf dem Wege dieser beiderlei
Lichtstrahlen, welche von den gleichfürmig leuchten-
den Flächen a und a, ausgehen môügen, sind die Pola-
risatoren p und p, so angebracht, dass sie gewisser-
maassen um diese Lichtstrahlen als Axen betrachtet
… drehbar sind, also die Polärisationsebenen der aus ihnen
nach der Glassäule hin austretenden vollständig pola-
j risirten Strahlen beliebig zu variirende Winkel mit
Hs. der Einfallsebene der Glassäule einschliessen kônnen.
se Diese, an getheilten Kreisen abzulesende Winkel
sollen für die Polarisatoren p und p, respective $ und
8, sein.
_ Der Allgemeïnheïit halber nehme ich an, es sei so-
_ wohl das von a als von a, ausgestrahlte Licht theil-
weise polarisirt und zwar resp. in den Azimuten «
und a, zur Einfallsebene der Glassänle, auf welche
wir alle Orientirungen als eine feste Ebene beziehen.
* Die Intensität des natürlichen Antheïls des von a ein-
fallenden Lichts sei Z und diejenige des polarisirten
Theiïls P und die entsprechenden Grüssen für das von
a, kommende Licht sollen durch Z und P, *) darge-
_stellt werden.
risatoren werden die Intensitäten der von a und a,
stammenden Lichtstrahlen resp. sein:
k|%31-+P cos{(a—8) | und 4,[%,1,+P,cos'(a—8,) |
wo wir mit k und #, die Coefficienten bezeichnet haben,
_ welche die Schwächung des Lichts beim Durchgang
_ durch die Polarisatoren p und p, in Folge Reflexion
an deren Grenzflächen und Absorption im Iunern
de a
5) Um hier, wo ich nicht die voilständige Herleitung der For-
meln gebe, Missverständnissé zu vermeiden, habe ich die Intensitäts-
“ grôssen nicht wie früher durch die Quadrate der betreffenden Buch-
_ stabe née Ploss durch lineare Grossen eric Hit, :
Nach dem Durchgang durch die betreffenden Pola- |
Diese im Azimut $ resp. 8, zur Einfallsebene voll-
ständig polarisirten Strahlen fallen nun auf die Glas-
säule und geben nach ihrem Durchgang resp. nach
ihrer Reflexion an derselben folgende zum Polariscop-
Fernrohr gelangende Intensitätscomponenten parallel
(|) und senkrecht (_L) zur Einfallsebene:
zur Einfallsebene {|
k [y I + Pcos (a — 8) cos? 5 +
+ k (y, TI, + P, cos”(a, — 8.) cos*B,°%,
zur Einfallsebene L
k LY, + P cos®(a —$) | sin? -# + |
+ k, Er I + P, cos*(a, — 8) sin°8, -Y,
wo s, t, x und y gleich näher zu definirende constante
Gioison darstellen.
Damit nun die Interferenzfarben im A ee
verschwinden, müssen nach bekannten Principien °)
diese beiderlei Lichtquantitäten einander gleich sein
und man erhält daher folgende Gleichung zur Ermitt-
lung des Verhältnisses Z+ P zu Z + P;:
k Paz + Pcos’(a — B)| (ésin?8—s cos?) —
= k [1,1 + P, costa — $,) }rcos'f,—y-sint8,).
Nach Stokes”) haben die Constanten £ und y fol-
gende Bedeutung: Es ist:
t = ah, (2)
wo «a den Durchsichtigkeitscoefficienten des Glases,
A den Weg der Lichtstrahlen im Inneren der Glas-
platten repräsentirt, d. h. also — nd: cosec p ist,
wenn # die Anzahl, d die gleiche Dicke der einzelnen
Glasplatten, » ihr Brechungsverhältniss und somit
nach der Relation tang p —m die Grôsse p den Pola-
risationswinkel derselben darstellt. x und s sind eben-
falls bloss von n, », d und a, aber in complicirterer
y= 0,
| Weiïse abhängige Grüssen, Für den Fall vollkommen
6) Siehe deren präcisere Definition in meiner Abhandlung: «Pho-
arte ri rsuchungen» Pogg. Annalen, Bd. CXVIII, #10
und folg.
7) Piles, ab 4. Ser. T. XXIV, p. 480. 1862.
197
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
198
durchsichtiger Glasplatten i. e. für a — 1, wird nach
F. E. Neumann:
CEE
1 — m?\2 1—m?\2
br) jé (rs)
1—m2\29 1—m?\2
—1—$, (3)
Die obige Gleichung vereinfacht sich also jeden-
falls zu folgender:
I+ 2 Pcos(x — $) —
mas =[Z +2ñ cos”(&i— Bi 2 k as S es 8 cos?8 *
Hier sind noch zwei beliebig veränderliche Grôssen
nämlich die Azimute 8 und B, der Polarisatoren vor-
handen,; die eine derselben genügt zur Realisirung der
Gleichheït der Ausdrücke links und rechts resp. zur
Erzielung des Verschwindens der Interferenzfarben
im Polariscop, wir disponiren daher über die andere
und zwar über $ so, dass die Gleichung sich noch
weiterhin wesentlich vereinfacht. Wir setzen nämlich
constant:
Je
f= 45°, (5)
wodurch die obige Gleichung in folgende übergeht:
I1+-2P cos(a—45°)— (L+2P, cos (&,— a] C-cos’8.. (6)
Hier ist der Kürze halber als constante Grüsse:
A 64 (7)
gesetzt worden, welche Grôsse den obigen Relationen
zufolge für vollkommen durchsichtiges Glas : a — 1
und für _— gleiche Polarisatoren: k, = £ den Werth:
G=2 (8)
annehmen würde. Wir werden später sehen, wie am
fertigen. Instrument, ohne diese Voraussetzung der
wirkliche Werth von C empirisch bestimmt werden
kann. Ebenso werden wir auch dort die Messung der
Azimute « und &, der Polarisationsebenen des einfal-
lenden Lichts erdrtern und da der Winkel $, am Theil-
kreise abgelesen wird, so bleiben somit zur vollständi-
gen ue der Aufgabe nur noch die Verhältnisse
Ÿ
D und : 2 zu bestimmen.
F,
pa 1 —
Diese Messung kann ebenfalls vermittelst unsers,
in ein Arago’sches Polarimeter zu verwandelnden
Instruments ausgeführt werden. Zu dem Ende muss
die Glassäule um eine durch ihre Mitte o gehende, auf
der Einfallsebene senkrechte Axe gedreht und die
Drehungswinkel an einem Theilkreis abgelesen werden
künnen und ferner das Instrument um die Axe des
Polariscop-Fernrohrs f drehbar sein, so dass man die
Einfallsebene der Glassäule der Polarisationsebene des
einfallenden Lichts parallel machen kann, nachdem der
Polarisator p entfernt worden ist. Angenommen es sei
dies bei der Stellung des Instruments in Fig. 1 für
das von a herkommende partiell polarisirte Licht ge-
schehen — das von a, kommende Licht sei hiebei durch
einen Schirm abgeblendet —,s0 dreht man wieder die
Glassäule um ihre Axe, bis die Interferenzfarben im
Polariscop verschwinden. Ist © der Winkel, unter
welchem hiebei die Strahlen auf die Glassäule einfal-
len, so sind die einander gleichen Intensitätscompo-
nenten parallel und senkrecht zur Einfallsebene nach
ihrem Durchgang durch die Pants -
(klæP)s = lt
oder :
(9)
wo £,, und s, zwei den frühern Constanten £ und s ana-
loge, F jetzt aber noch von dem Winkel + abhängige und
2p = 1(e— 1) — ri
-daher mit diesem variable Grüssen darstellen. Für
vollkommen durchsichtige Glasplattéen wäre wieder
nach F. E. Neumann:
__fsin(o — 9) g (? — mi)
. en nes (een)
BE Es
nn 2 of
(40)
und hier ist ©, der zum Einfallswinkel o gehôürige
Brechungswinkel, mit dem er durch die bekannte Re-
lation: sin o — ” sin +, zusammenhängt. Da die obige
Bedingung in Wirklichkeït nicht genau erfüllt ist, so
dürfte es besser sein, die Function f(@) in Gleichung (9)
empirisch nach der Arago’schen Methode zu betimmen.
Zu dem Ende ist es bloss nôthig, zwischen dem Po-
Jarisator p und der Glassäule g eine parallel zur opti-
schen Axe geschnittene Quarzplatte so einzuschalten,
dass ihr Hauptschnitt parallel der Einfallsebene sei,
darauf die Glassäule der Reïhe nach auf die Einfalls-
winkel 10°, 20°, 30° etc. einzustellen und jeweilen
dén Polarisator nach der einen und andern Seite so
lange zu drehen, bis die Interferenzfarben im Polari-
scop-Fernrohr verschwinden. Heissen wir y den Winkel,
den hiebei jeweilen die Polarisationsebene des Polari-
199
Bulletin de l’Académie Impériale
sators mit dem Hauptschnitt der Quarzplatte macht,
so besitzen die aus der letztern nach der Glassäule
hin austretenden, parallel und senkrecht zum Haupt-
schnitt resp. zur Einfallsebene polarisirten Strahlen
die Intensitäten:
| Z cos *y, L Z sin ?+.
Die Mischung dieser verhält sich aber wie theil-
weise polarisirtes Licht, bei welchem die Intensität
des nach der Einfallsebene vollständig polarisirten An-
theils gegeben ist durch:
P = L (cos y — sin y)
und die Intensität des natürlichen Antheils repräsen-
tirt wird durch :
T= 2 L'an".
Aus diesen beiden Gleichungen folgt :
2 P — I (cotg y — 1). (41)
Combinirt man diese Gleichung mit Ÿ (9), die für die
gleichzeitige Einstellung an der Glassäule auf den Win-
kel o gilt, so ergiebt also diese Beobachtung für die
gesuchte Grôsse :
fo) = cotg *Y — à
oder :
æ Cote Y:
sp
In gleicher Weiïse, wie dies durch Gleichung (9) defi-
pirt ist, bestimmt man auch das Verhältniss 2 P,:1,,
nachdem man das in das Polarimeter verwandelte In-
strument durch Drehung mit der optischen Axe des
… Polariscop-Fernrohrs auf die von a, kommenden Licht-
strahlen eingestellt hat, womit dann die allgemeine
Aufgabe vollständig gelüst ist.
Wenn aber das Instrument nicht um die Polari-
scopaxe, wie vorausgesetzt, drehbar ist, so dass also
die Einfallsebene der Polarisationsebene des einfallen-
den SE nicht par zu machen ist, so kann bei
icht htzur Axe Césehnitieuen
Krystallplatte im Polariscop, doch im Allgemeinen
durch Drehung der Glassäule ein Verschwinden der
Interferenzfarben erzielt werden und man hat alsdann,
falls der Hauptschnitt. jener Krystallplatte unter 45°
zur Einfallsebene orientirt ist, z. B. bei Untersuchung
des von & kommenden Lichts die Gleichung:
Lee
2P=E ms
| MAN?
_® sgin?a — cos?
sp
g einer
: : t :
wo die Grüsse -? wieder entweder nach (10) durch
Rechnung oder nach (12) empirisch zu ermitteln ist
und es bleibt dann nur noch mit dem Polariscop das
Azimut æ& der Polarisationsebene des einfallenden
Lichts zu bestimmen °).
Haben wir es nur mit natürlichem Lichte zu
thun, so verwandelt sich die Gleichung (6) in die sehr
einfache :
1= 1 CCE (6)
oder angenähert in:
12 cos (6”
Durch Differentiation folgt hieraus :
0 — 9 sin 28, 08. (14)
Angenommen es sei der Fehler der Enistellung beim
Polarisator p, auf das Verschwinden der Farbfransen
im Polariscop: 08, — 051, so ergeben sich also der
Reiïhe nach für verschiedene Werthe von $, folgende
entsprechende Fehler in der Bestimmung des Intensitäts-
verhältnisses :
200
L I “ TJ
B % dE à + A
5° 1,985 0,00061 0,00030
15 1,866 0,00174 0,00095
25 1,643 000267 0,00163
35 1,342 000328 0,00244
45 1,000 0,00349 0,00349
55 0,658 0,00328 0,00498
65 0,357 0,00267 0,00748
75 0,134 0,00174 0,01302
85 0,015 0,00061 0.03989
; (13) |
Hieraus folgt, dass der procentische Fehler des
Resultats bei constant vorausgesetztem Einstellungs-
resp. Beobachtungsfehler mit wachsendem Azimut $,
des drehbaren Polarisators sehr stark zunimmt, so dass
er z. B. für 8, — 15° nur 0,1 Procent und für 8, — 75°
bereits 1,3 Procent beträgt. Jedenfalls wird es gut
sein, bei den Messungen nicht über diese Grenzwerthe
für 8, hinauszugehen, da die entsprechenden Ânde-
rungen der Intensitätsverhältnisse jenseits derselben
entweder zu rasch oder zu langsam erfolgen, um das
Verschwinden der Farbfransen mit genügender Sicher-
heit verfolgen zu künnen. Ob überhaupt der pi
8) Siehe das Nähere in meiner Abhandlung: «Über ein neues
Photometer und Polarimeter» Pogg. Ann. Bd 99, S. 249. 1857.
2061
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
tungsfehler, wie wir voraussetzten, constant sei oder
nicht, wird erst der Versuch entscheiden kônnen.
Die einfache Gleichung (6’) zeigt nun auch, in wel-
cher Weise die Constante C des Instruments empirisch
bestimmt werden kann. Denken wir uns nach Aus-
führung der dureh Gleichung(6') repräsentirten Messung
die beiden Lichtquellen a und a, vertauscht, so wird
eine neue Messung die Gleichung:
F: = 1:0c0s8 PS;
ergeben. Aus dieser und Gleichung (6”) folgt aber:
CE | (45)
cos B, - COS Êrr
Statt die Lichtquellen zu vertauschen kônnte man
offenbar das Gleiche auch dadurch erreichen, dass man
das ganze Instrument um eine, durch die Mitte der
Glassäule gehende und ihren brechenden Flächen pa-
rallele Axe um 180° umlegt. Für die Ausführung ein-
facher wäre es, zu dem Ende das Polariscop-Fernrohr
aus der Verlängerung der von a einfallenden Strahlen
in diejenige der von a, kommenden zu versetzen und
dann eine neue Messung zu machen, nachdem man
Fig. 2.
|jetzt den Polarisator p, auf 45° Azimut zur Einfalls-
|ebene orientirt und die Drehung des Polarisators p
zum Auslüschen der Interferenzfarben benutzt hätte.
Bei diesem Verfahren erhält man indessen, wie ich
dies schon in meiner Abhandlung über die photometri-
sche Bestimmung des diffusen Himmelslichtes®) erürtert
habe, nicht unsere durch Gleichung (7) definirte Con-
stante C, sondern die Grüsse:
und wir müssten daher dann noch die Coefficienten X
und 4 der Polarisatoren etwa nach der ebendaselbst
angegebenen Methode besonders ermitteln, um C zu
erhalten.
Beschreibung des Photometers. Aus dieser
Theorie des Instruments und den Anforderungen seiner
Justirung und bequemen Verwendung ergaben sich die
Constructionsbedingungen desselben, welche Herr Me-
chanikus H. Pfister in Bern nach meinen Angaben
in folgender Weiïse realisirt hat. Die nebenstehende
Fig. 2 giebt eine perspectivische Ansicht des Instru-
ments und Fig. 3 einen Durchschnitt durch dasselbe.
Fig. 3.
Bulletin de l’Académie Impériale
204
Die aus 10, je bloss 0,5 mm. dicken Platten be-
stehende Glassäule G ist, mit Zwischenlagen von Staniol
zwischen den Rändern der einzelnen Platten, in einem
Messingrahmen gefasst und mit diesem auf einer Axe
aufgeschraubt, welche den Deckel der sie umschlies-
senden cylindrischen Messingbüchse durchsetzt und
aussen einen auf die Kreistheilung an der Peripherie
des Deckels weisenden Index trägt.
Im Mantel der Büchse sind 4 Offnungen eingebohrt,
welche einander paarweïise diametral gegenüberstehen
und so angeordnet sind, dass die Axen der rührenfôr-
migen, äussern Ansätze der beiden Offnungs - Paare
66° 26° i. e. das doppelte Complement des Polarisa-
tionswinkels der Glasplatten miteinander einschliessen.
Die einen der rührenformigen Ansätze tragen die mit
den getheilten Kreisen À und B versehenen Halter der
Polarisatoren PP, welche in ihnen drehbar sind und
auf welche ihrerseits die Blendrühren »# m aufge-
schraubt sind. Auf die Kreistheilungen weisen die in
Fig. 2 sichtbaren an der Büchse festsitzenden Indices
und die Drehung der Kreise ist vermittelst Zahnräder
und Getriebe durch die Stangen «a und b mit rände-
rirtem Kopf in der Nähe des Beobachters zu bewerk-
stelligen. In eine oder andere der beïden, den Kreisen
A und B gegenüberstehenden Rühren C und D lässt
sich nämlich nach Belieben das Polariscop-Fernrobr »
einschieben, das aus dem Ocular N mit Nicol’schem
Prisma vor der Ocular-Linse und dem Objectiv I mit
. Savart’scher Doppelplatte Æ aus Kalkspath vor ïhr
besteht. Das Fadenkreuz im Focus des Objectivs ist in
der Zeichnung weggelassen; die andere der beiden
Rôhren wird jeweilen durch einen Messingdeckel ver-
schlossen. Eine Nase am Polariscop und entsprechende
Nute an der Rôhre giebt dem ersten stets wieder die-
selbe Lage. Über dem Ocular des Polariscop-Fernrohrs
ist noch ein kleines holländisches Fernrobr f ange-
bracht, welches zur Ablesung der Stellung des Index
an der Kreiïstheïlung À direct und an der Kreistheilung
B vermittelst eines auf dem Glassäulen-Index ange-
brachten und zu dem Ende aufzuklappenden Spiegels S
dient. Im letztern Fall wird, um die durch den Spiegel
gewendeten Zahlen wieder in der richtigen Stellung
_ zu sehen, am Ocular ein rechtwinkliches Glasprisma
angebracht. Am vordern Ende der Blendrübren m
lassen sich entweder blosse, die Üffnungen begrenzende
Blenden oder dann gefasste Milchgläser vorsetzen.
Um das Instrument leicht in jede Lage bringen zu
künnen, ist dasselbe, wie Fig. 2 zeigt, um zwei auf-
einander senkrechte Axen drehbar aufgestellt. Ein
Dreifuss mit Säule besitzt am obern Ende eine w-fôr-
mige Gabel, welche als Träger der klemmbaren Hori-
zontal-Axe dient. Durch ihre Mitte geht eine ebenfalls
klemmbare Stange hindurch, die am einen Ende am
Boden der Büchse befestigt ist und am andern ein Ge-
gengewicht trägt. Bei horizontaler Stellung der Büchse
resp. des Instruments dient diese Stange zugleich als
Vertikal-Axe, dagegen bei vertikaler Lage des Instru-
ments als Horizontal-Axe zur Neigung desselben und
im Horizont lässt sich dann dasselbe durch Drehen der
Gabel auf der Säule — mit etwas grüsserer Reibung —
verstellen,
Alle drei Kreïse: À, B und derjenige auf der Büchse,
sind nur in ganze Grade getheilt und die Indices sind
einfache Striche, so dass man durch Schätzung bloss
051 abliest.
Zur Bestimmung der Function f (@) in Gleichung (9)
nach der Arago’schen Methode (Gleichung (12)) lässt
sich in die festen Ansatzrühren hinter den Polarisato-
ren ? eine passend gefasste parallel zur optischen Axe
geschnittene Quarzplatte einschieben.
Für die Lüsung der allgemeinen, dmeh die Glei-
chungen (6) und (13) charakterisirten Aufgabe, wäre
eigentlich noch ein vierter getheilter Kreis nothwendig,
der mit dem Polariscop-Fernrohr fest verbunden auf die
Rühren C oder D aufzuschieben wäre, so dass man die
Drehungen des letztern um seine Axe vermittelst fester
Indices auf den Rôhren am Theïlkreise ablesen und so
die Azimute « und a, der Polarisationsebenen des ein-
fallenden Lichts ermitteln künnte. Diese Complication
ist indessen bei unserm Instrumente fortgelassen, da
dieser allgemeine Fall sehr selten vorkommt, sondern
diese Azimute durchweg entweder gleich 0 oder 90°
sind,
Es bedarf schliesslich kaum der Erwähnung, dass
alle innern Wände des Photometers mattschwarz ge-
macht sind.
Justirung des Instruments. Das Savart’sche
Polariscop zeigt bekanntlich in polarisirtem Licht far-
bige geradlinige Fransen; damit in unserm Falle diese
Farbfransen recht dexitlich erscheinen, muss das kleine
ungefähr 5 Mal vergrüssernde Fernrobr, mit dem WT
sie betrachten, auf die Unendlichkeit alagestaltt und
205
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
der Hauptschnitt des Nicols vor dem Ocular unter 45°
zum Hauptschnitt der Savart’schen Doppelplatte —
hier zwei unter 45° zur optischen Axe geschnittene,
gleich dicke, plan geschliffene und kreuzweise aufein-
ander gelegte Kalkspathplatten — orientirt sein. Diese
Orientirung soll durch den Verfertiger bereits ausge-
führt und ebenso das Fadenkreuz im Focus des Objec-
tivs angebracht sein, so dass der Beobachter das nicht
drehbare Ocular (Schraube daran, die sich in einem
Schlitz des Auszugs bewegt) nur durch Auszieben auf
deutliches Sehen des Fadenkreuzes einzustellen hat,
um das Fernrohr.auf die Unendlichkeit jüstirt zu er-
halten. Eine Verification der Richtigkeit dieser letztern
Einstellung ist durch Hinrichten des Polariscops auf
einen fernen Gegenstand jeder Zeit môglich.
Die Farbfransen in diesem Polariscop verschwinden
nun jeweiler, wenn nur natürliches Licht auf dasselbe
einfällt, sodann aber auch, wenn die Polarisationsebene
des cinfallenden polarisirten Lichts dem Hauptschnitt
der Kalkspath-Doppelplatte parallel ist oder darauf
senkrecht steht. Die letztere Eigenschaft wird zur
Jüstirung der einzelnen Theiïle gemäss den Anforde-
rungen der Theorie benutzt.
Nachdem man sich überzeugt hat, dass die Glas-
säule parallel ihrer Drehungsaxe ist und diese der
Büchsenaxe parallel sei, was daran zu erkennen ist,
dass sei es bei der Stellung der Glassäule in Fig. 3,
sei es bei der darauf senkrechten, wie es die punktirten
Linien in dieser Figur andeuten, die Bilder der beiden
Offnungen À und B nach dem Durchgang und der
Reflexion an der Glassäule für den Beobachter bei C
oder D resp. für den Beobachter in À oder B die Bil-
der der Offnungen C und D sich vollständig decken, |
wird nach Entfernung der Polarisatoren P das Polari-
scop-Fernrohr bei C soweit eingeschoben, dass die Nase
noch frei bleibt, die Glassäule wie in der Fig. 3 unterm
Polarisationswinkel resp. so, dass die Bilder von À
und B sich decken, orientirt und nun nach Verschluss
der einen oder andern der Offnungen À und B das
Polariscop so lange um seine Axe gedreht, bis die Farb-
fransen darin verschwinden, alsdann ist der Hauptschnitt
der Kalkspath-Doppelplatte parallel oder senkrecht zur
Einfallsebene der Glassäule i. e. der Polarisationsebene
des von ihr her einfallenden Lichts.
Hierauf setzt man in den Theiïlkreis À den Polari-
sator wieder so ein, dass das Licht ganz ausgelôscht
Tome XXXII
wird, wenn beim Hineinsehen von der Offnung D aus
der Index am Theilkreise auf 90° weist; es ist dann
angenähert die Polarisationsebene desselben bei der
Ablesung 0° am Theiïlkreise parallel zur Einfallsebene.
Um nun die Ablesung am Kreise, wo dies genauer der
Fallist, zu erhalten,benutzen wir das in der obigen Weise
orientirte Polariscop. Wenn wir nämlich die Glassäule
senkrecht zur Sehaxe des letztern stellen (so dass sie also
das durchgehende Licht nicht polarisirt), so wird offen-
bar die Polarisationsebene des Polarisators bei À genau
parallel zur Einfallsebene sein, wenn die Farben im
Polariscop eben verschwinden und man hat dann nur
die Index-Stellung am Kreise abzulesen, um diese Lage
zu fixiren oder, unter genauer Einstellung auf 0°, den
Polarisator in seiner Fassung vermittelst der seitlichen,
durch einen Schlitz in der letztern herausragenden
Schraube (vis-à-vis P in der Fig. 3) etwas zu drehen,
bis das Auslüschen der Farbfransen erfolgt. Nach An-
ziehen dieser Schraube wird dann stets die Ablesung 0
am Kreise À dem Parallelismus der Polarisationsebene
seines Polarisators mit der Einfallsebene bei der Glas-
säule entsprechen. Stellen wir jetzt diesen Polarisator
resp. den Kreis am Index auf 45° ein, so werden wie-
der lebhafte Farben im Polariscop erscheinen, die beim
Zurückdrehen des Polariscops um 45° auch wieder
verschwinden. Sollte bei der so ermittelten Stellung
desselben die Nase des Polariscop-Fernrohrs nicht ge-
nau in den Schlitz am Rohre C passen, so würde das
eine nicht genaue Jüstirung der Kalkspath-Doppelplatte
in Bezug auf diese Nase durch den Verfertiger des
Instruments anzeigen und man müsste nun selbst diese
Platte mit ihrer Fassung im Rohre etwas nachdrehen,
bis beim Einfallen der Nase in den Schlitz, ein voll-
ständiges Auslüschen der Farbfransen erfolgt.
In ganz entsprechender Weise erfolgen die Jüsti-
rungen für den Polarisator im Kreise B,nachdem man
das Polariscop in die Rühre D eingeschoben hat.
Hiemit ist das Instrument für den Gebrauch bereit.
Gebrauch des Instruments. Die Theorie des”
Instruments setzt voraus, dass die zu vergleichenden
Lichtquellen zwei gleichférmig leuchtende Scheïben
von genügender Ausdehnung darstellen, um das Ge-
sichtsfeld des Polariscop-Fernrohrs gleichfürmig zu er-
leuchten und die Messung mit dem Instrumente wird
dann offenbar das Verhältniss des von gleich grossen
Flächenstücken ausgesandten Lichtes ergeben. Ist diese
14 fe :
207
Bulletin de l’Académie Impériale
Bedingung nicht erfüllt, hat man es also z. B. mit Kerzen,
Lampen und dergl. Lichtquellen zu thun, so muss man,
in gleicher Weise wie bei allen gebräuchlichen Photo-
metern, die Erleuchtung von durchscheinenden oder
diffus reflectirenden Schirmen durch diese Lichtquellen
mit dem Instrument messen und daraus dann nach be-
kannten photometrischen Gesetzen rückwärts auf das
Intensitätsverhältniss der fraglichen Lichtquellen
schliessen.
Demgemäss sind dem Instrumente zwei in die Blend“
rühren m m mit ihren Fassungen einzuschiebende
0,88 mm. dicke beiderseits matt-geschliffene Milch-
glasplatten beigegeben, von der Sorte,welche Herr Dr.
O. Chwolson in seiner Abhandlung: «Photometrische
Untersuchungen über die innere Diffusion des Lichts» als
durchscheinend bezeichnet hat. Dieses das einfal-
lende Licht diffundirende Glas wurde gewählt, weil
dasselbe nach den eben erwähnten Untersuchungen des
Herrn Chwolson selbst vollständig polarisirtes einfal-
lendes Licht beim Durchgang ganz depolarisirt, so dass
das von der Platte auf ihrer Hinterseite nach allen
Seiten wie von einem Selbstleuchter ausgesendete Licht
keine Spur von Polarisation zeigt, und sodann weil für
dasselbe wenigstens angenähert das Lambert’sche Ema-
nationsgesetz gilt, Für einen Emanationswinkel von 60°
sollte nämlich nach der Lambert’schen Formel: J —4J,
cos © sein: /,5 = J,.0,5, während die Messungen des
Herrn Chwolson hiefür den Werth: /,, — J,.0,435
ergaben. Die Depolarisation aber des Lichts durch die
Milchglasplatten ermüglicht trotz der eventuellen theil-
weisen Polarisation der Strahlen der fraglichen Licht-
quellen, etwa durch die umgebenden Zuggläser, Glas-
kuppeln und dergl., doch die einfache für natürliches
Licht geltende Formel (6/) für die Berechnung der Be-
obachtungs-Resultate zu verwenden, da es ja in diesen
Fällen durchweg auf eine gesonderte Bestimmung des
polarisirten Antheils nicht ankommt.
Das Messungsverfahren besteht nun im einen oder
andern Fall einfach darin, dass man die beiden zu ver-
gleichenden Éichtqnélien in gleicher Entfernung vor
den Rohr-Offnungen resp. Milchgläsern bei À und B
und zugleich mit ihrer Mitte in den Verlängerungen
der betreffenden Rohraxen aufstellt, den Polarisator À
unter 45° zur Einfallsebene bei der Glassäule einstellt,
dann den ränderirten Kopf von der Getriebestange a
zur Stange b versetzt — derselbe ist zu dem Ende leicht
abzunehmen und wird durch Eingreifen in eine Nase
bei den Stangen fixirt — und nun den Kreis B mittelst
desselben dreht, bis die Farbfransen im Polariscop
verschwinden. Sollte nun die Ablesung am Index er-
geben, dass der Winkel B, erheblich kleiner als 25°
oder beträchtlich grôüsser als 65° werde, so ist es räth-
lich, entweder die schwächere Lichtquelle dem Instru-
ment mehr anzunähern oder die stärkere davon weiter
abzurücken (ohne dabei aus den Rohraxen herauszu-
kommen) bis in Folge davon der Winkel B, beim noch-
maligen Bestimmen desselben durch Auslôschen der
Farbfransen innerhalb der obigen Grenzen fällt. Als-
dann werden entsprechende Einstellungen des Polari-
sators auf das Auslôschen der Farbfransen in allen 4
Quadranten gemacht und die Differenzen der Winkelab-
lesungen am Theilkreis im Quadrant 270°—360° und
0°— 90° einerseits sowie 270°—180° und 1 80° —90°
anderseits gebildet. Heissen wir diese Grôssen d, und
d, so ist dann:
wobei ein Fehler in der Jüstirung des Polarisators B—
Parallelismus seiner Polarisationsebene mit der Ein-
fallsebene, wenn man am Index 0° oder 180° abliest—
im Resultat herausfällt.
Repräsentirt e die Entfernung der Lichtquelle mit
der Intensität Z von dem Milchglas bei À und e, die,
eventuell nach dem Obigen verschiedene, Entfernung
der Lichtquelle Z, von dem Milchglas bei PB, so ist das
Intensitätsverhältniss jeu gegeben durch:
TE . C:cos°8,, (16)
wo in der Constanten C auch noch ein, von der even-
tuellen ungleichen Licht-Durchlässigkeit der beiden
Milchglasplatten herstammender Factor steckt. Be-
stimmt man diese Grôüsse nach dem durch die Gleichung
(15) charakterisirten Verfahren, so wird dieser Factor
mit erhalten; andern Falls kann er durch eine weitere
Messung nach Vertauschen der beiden Milchglasplatten
ermittelt resp. sein stôrender Einfluss durch Bildung
des Mittels aus den beiden Messungsresultaten elimi-
nirt werden. Beim Uranophotometer habe ich seiner
Zeit für diese Constante C den Werth:
C — 1,9870
gefunden, der also nur um 1%, von dem theoretischen
Werth 2 bei Vernachlässigung der Lichtabsorption in
der Glassäule abweicht.
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
Ehe ich zur Mittheilung einiger mit dem neuen
Instrument ausgeführten Vergleichungen von Licht-
quellen als Beispiele seines technischen Gebrauchs —
ein Beispiel wissenschaftlichen Gebrauchs desselben
bieten die damit ausgeführten, oben erwähnten Unter-
suchungen des Herrn Chwolson über Diffusion dar —
übergehe, will ich noch kurz einer Untersuchung
über die Einstellungs- resp. Beobachtungsfehler bei
demselben erwähnen.
Ermittlung der Variation der Einstellungs-
fehler mit dem Winkel 8. Um durch den Versuch
zu entscheiden, ob gemäss den Bemerkungen zu Glei-
chung (14) der Einstellungs- resp. Beobachtungs-
fehler 08, constant oder mit 8, variabel sei und im
letzteren Fall in welchem Betrag veränderlich, habe
ich von einer einzigen kräftigen Lichtquelle — das
eine Mal eine Petroleumlampe mit Runddocht von
21 Kerzen Lichtstärke, das andere Mal ein Argand-
brenner von 27 Kerzen — durch 2 beiderseits von
ihr aufgestellte Spiegel das Licht der einen und
andern Milchglasplatte des Instruments zureflectirt,
Indem ich dann die Lichtquelle bald dem einen, bald
dem andern Spiegel mehr annäherte, konnte ich be-
liebige und von absoluten Intensitätsschwankungen
derselben unabhängige, also constante Verhältnisse
in der Erleuchtung der beiden Milchglasplatten her-
stellen. Es wurden nun Jeweilen bei 3 verschiedenen
Beleuchtungsverhältnissen 10 Einstellungen am Kreise |
B gemacht, welche zu folgenden Resultaten für das
Mittel derselben 8, und die mittlere Abweichung der ein-
zelnen Beobachtungen von diesem Mittel: 08, führten.
În den beiden letzten Columnen habe ich den procen-
tischen Fehler des Messungsresultats: 100. 7 25
einmal gemäss der Tafel nach Gleichung (14), wenn
08, constant gleich 021 angenommen wird und sodann
unter Einsetzung der wirklich beobachteten Grüssen
für 08, beigefügt.
E
er
100-0-7:+
1887. B 0j 0B,—051 08, —0B;
26. October 33252 +039 0,230 0,897
» 45,82 +0,25 0,360 0,900
» 59,30 <+0,15 0,590 0,885
2. November 24,37 +0,52 0,152 0,790
» 45,37 “+0,23 0,354 0,814
» 64,55 +0,11 0,731 0,804.
Hieraus folgt ein Anwachsen des Einstellungsfehlers
mit abnehmendem Winkel B, und zwar wenigstens für
mein Auge in einem Maasse, dass das Resultat der
Messung inserhalb der Grenzen 8, = 25° bis 8,— 65°
nahe dieselbe procentische Sicherheit darbietet, näm-
lich 0,8 bis 0,9%. Was diesen absoluten Werth des
Fehlers im Beobachtungsresultat betrifft, so ist der-
selbe für verschiedene Beobachter etwas verschieden
und im Allgemeinen bei grôsserer Helligkeit geringer.
Bestimmung der Helligkeit von Wenham-
Gaslampen. Als Beispiel von Helligkeits-Messungen
mit diesem Photometer will ich hier die Vergleichung
des Lichts einiger Wenham-Gaslampen mit dem
einer englischen Spermaceti-Normalkerze ver-
mittelst desselben genauer beschreiben.
Die von mir selbst untersuchte Wenham-Gaslampe
ist eine solche mit Ventilation und Schirm-Reflector
(Classe Æ N° 2 des Preis-Courants von 1886 der Wen-
ham Company Limited) und an der Decke eines 4,2 m.
hohen und 5,3 m. in’s Gevierte haltenden Zimmers
befestigt. Die Ventilation erfolgt durch ein längs der
Decke gelegtes und in einen Schornstein eingeführtes
Rohr. In die *,-züllige zu dieser Lampe führende
Gasrühre wurde ein Experimentirgasmesser von J.
Pintsch in Berlin eingeschaltet, um während des Ver-
suchs den Verbrauch der Lampe an Leuchtgas be-
stimmen zu künnen.
Das Photometer wurde unter der Mitte der Lampe
so aufgestellt, dass die Grundfläche der Büchse eine
vertikale Lage hatte, die Axe der Rühre DB horizon-
tal stand und also die Axe des Polariscop-Fernrohrs un-
ter einem Winkel von 66° 26 zum Horizont geneigt
war. Für diesen Versuch hatte ich in der Werkstätte
des physikalischen Central-Observatoriums vom Me-
chaniker Herrn Freiberg zwei neue bloss 0,62 mm.
dicke Milchglasplatten schleifen lassen, welche mit
über die Rôhren » überzuschiebenden Fassungen die
eine bei PB senkrecht zur Rohraxe, die andere bei À
unter einem Winke]l von 23° 34’ zu derselben in gleicher
Entfernung von der Glassäule vorzusetzen waren. In
Folge dessen konnte durch Drehen um die Rohraxe die
letztere bei der obigen Lage der Polariscopaxe mit
ihrer Fläche horizontal gestellt werden, so dass das
Licht der Lampe senkrecht auf sie einfiel, wenn der
ganze Apparat auf dem Tische verschoben wurde, bis
die Mitte der Milchglasplatte nach dem Loth vertikal
14* .
Bulletin de l'Académie Impériale
212
unter der Brennermitte der Lampe stand. Vor der
Milchglasplatte bei B aber wurde in gleicher Hôhe
mit ihrer Mitte und in Verlängerung der Rohraxe eine
gewühnliche Petroleumlampe mit Rundbrenner aufge-
stellt, deren Licht, durch einen sie umgebenden Blech-
globus vom Zimmer abgeblendet, längs einer seitlichen
Rôühre in diesem allein zur Milchglasplatte B gelangen
konnte; in Folge Übergreifens dieser Rühre über die
Rôhre m war anderseits jedes fremde Licht als das der
Lampe von dieser Milchglasplatte abgehalten.
Die Distanz e des Brenners der Wenham-Lampe,
welche bei diesem Versuch wie gewühnlich nach unten
eine durchsichtige Glaskuppel hatte, von der horizon-
talen Milchglasplatte betrug:
# ==" +1:2000 M;
während die Entfernung der Mitte des Rundbrenners
der Petroleumlampe von der vertikalen Milchglasplatte
e, War:
€, = 0,2425 m..
Es bedarf kaum der Erwähnung, dass die Messungen
durch Einstellen des Polarisators B auf das Verschwin-
den der Farbfransen, wobei zur Bequemlichkeit des
Beobachters auch beim Polariscop ein rechtwinkliges
Prisma vor dem Ocular angebracht wurde, erst crfolg-
ten, nachdem die Petroleumlampe einige Zeit gebrannt
hatte und so in ihrer Umgebung ein stätionärer Tem-
peratur-Zustand eingetreten war.
Das Mittel aus je 3 Einstellungen in jedem Qua-
dranten ergab bei der ersten Messung:
2975 91055. 9901-1296
woraus folgt:
d\ — 989 d, = 100%5
also :
8, — 49585.
Hiebei betrug der stündliche Gasverbrauch der
Lampe: 13,175 englische Cubic-Fuss.
Die zweite Messung lieferte die Werthe:
4957 310,8. 23054: 19973
also :
M 98594 == 31011
und somit:
8, —=:5000
wobei der stündliche Gasverbrauch: 13, 7 englische
Cubic-Fuss betrug.
Nach der Formel (16) folgt hieraus für das Verhält-
niss der Intensität Z der Wenham-Lampe zur Intensi-
tät Z, der Petroleum-Lampe:
1. Messung. 2. Messung.
7 = C-10,18 — C:10,12
oder im Mittel:
ÿ É
7 = C-10,15 +0,03 (a)
bei einem mittleren Gasverbrauch der Wenham-Lampe
von 13,23 Cubic-Fuss (engl.) — 0,3746 Cubic-Meter
pro Stunde.
Angenähert aber wird für C — 2 sein:
sé ,
Die Petroleumlampe und das Photometer wurden
unmittelbar darauf in ein dunkles Zimmer gebracht,
dort die Photometerbüchse horizontal gestellt, die un-
veränderte Petroleumlampe wieder genau in derselben
Entfernung e, — 0,2425 m. vor der Milchglasplatte
bei B in der Verlängerung der betreffenden Rohraxe
placirt, dagegen vor der andern, zur Axe des Polari-
scops schiefen, aber nach Drehung des Instruments
jetzt ebenfalls in einer vertikalen Ebene liegenden
Milchglasplatte bei À in der Normalen zu ihr und in
er Entfernung
6, =+ 0,108 Hi
eine englische Spermaceti-Normalkerze aufge-
stellt. Passend angebrachte mattschwarze Schirme ver-
hinderten die Einstrahlung fremden, von den Wänden
und der Decke des Zimmers reflectirten Lichts auf
diese Milchglasplatte,. Die Einstellungen am Kreise B
auf das Verschwinden der Farbfransen, in ganz ent-
sprechender Weise und Anzahl wie oben ausgeführt,
ergaben bei drei aufeinanderfolgenden Messungen fol-
gende Werthe für den Winkel 8,, den wir hier zum
Unterschied mit 8, bezeichnen wollen.
1. Messung.. ..... 849,0
2. M eee Br = 952,8
5... 8, — 47,9
Heissen wir Z, die Licht-Intensität der Normal-
kerze, so hat man entsprechend (16) die Gleichung:
In (16°)
In _% O0
RS ET
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
214
Führen wir hier die obigen Werthe ein, so ergiebt
sich der Reïhe nach:
1. Messung 2. Messung 3. Messung
I 1 1 1 ;
oder im Mittel: #»
I 1
= 5 10,38 +0,77 (b)
wo die Grüsse C wegen der ganz entsprechenden rela-
tiven Lage aller Theïle offenbar genau denselben Werth
wie in dem Resultat (a) der vorigen Messung hat. Setzt
man wieder annäherungsweise: C'— 2, so kommt also:
Æ /
7 = 5,19. (b)
Obschon ich bei diesen Versuchen jeweilen den Ein-
tritt der normalen Flammenhôühe der Spermaceti-Kerze:
44,5 mm. abwartete, welche ich nach dem Vorschlage
von H. Krüss !) an dem optischen Bilde derselben
controlirte, so ist hier die Unsicherheit der einzelnen
Beobachtungsresultate, Wie man sieht, doch ungefähr
20 Mal grôsser als bei der Vergleichung der Wenham-
und Petroleum-Lampen. Es ist dies theils der grossen
Unruhe der frei brennenden Kerze theils auch dem
_ Umstande zuzuschreiben, dass die Flammenhühe oft F
schon im Laufe der für eine vollständige Messung
nôthigen Zeit erheblich sich veränderte.
Wegen dieser Unsicherheit schien es mir wünschens-
werth, die Petroleumlampe auch noch mit der von
Hefner-Alteneck vorgeschlagenen Licht-Einheit”)
zu vergleichen, welche nach ihm dem Licht einer engli-
schen Normalkerze bei 43,5 mm. Flammenhühe (ge-
messen von dem Punkte an, wo der Docht schwarz zu
_ werden beginnt) gleichkommt, also nur wenig kleiner
als die obige wäre. Ich verdanke eine diese Licht-
Einheit darstellende Lampe der Güte des Herrn Dr.
W.Siemens in Berlin. Dieselbe wurde mit Amylacetat
gespeist und während des Versuchs, bei ganz gleicher
Aufstellung wie die Spermaceti-Kerze, auf der, an der
Lampe selbst durch ein Visir fixirten Flammenhôühe si
erhalten.
Die beobachteten Winkel 8, waren hier bei der:
$. Messune. 4972
2. M dial == .49,8
à, PA Ne == D0,9
10) Journal für Gasbeleuchtung 1883,
11) Electrotechnische Zeitschrift 1888, ee 445 uud 1884, S. 20.
und daraus folgt dann nach Einsetzung dieser Werthe
in Formel (16”) für das Verhältniss der Intensität der
Petroleumlampe zu der der Hefner-Alteneck’schen
Licht-Einheit J, :
1. Messung 2. Messung . Messung
1 LUN ES. RARE ji
oder im Mittel:
I
1 = ÿ 10,43 +0,27. (€)
Die Sicherheit der einzelnen Messung ist also in der
That bei dieser Lichtquelle eine bedeutend grôssere
als bei der Spermaceti-Kerze, das mittlere Resultat
aber nahezu dasselbe. Verbinden wir daher die Resul-
tate (a) und (b) sowie (a) und (c) der beiderlei Messungen
miteinander, so erhalten wir unabhängig von dem Werth
der Grüsse C, die herausfällt,
I = I,-105,4
— 1,:105,9
d. h. also unsere fragliche Ventilations-Wenham-Lampe
mit Schirm-Reflector strahlt vertikal nach unten bei
einem stündlichen Gasverbrauch von 13,2 engl. Cubic-
uss oder 0,374 Cubic-Meter ein Licht aus, das in
runder Zah1106 englischen Normalkerzen gleichkommt.
Es giebt also mit andern Worten die vorliegende Lampe
pro 1 Cubic-Fuss Verbrauch an Gas in der Stunde eine
Lichtstärke von 8,03 Kerzen oder sie verbraucht pro
je 1 Kerze Leuchtkraft in der Stunde eine Gasmenge
von 0,125 Cubic-Fuss — 0,00354 Cubic-Meter. Dieses
Resultat ist aber nach der Tabelle von F. Fischer
über den Werth etc. verschiedener Lichtquellen?) ganz
dasselbe, welches im günstigsten Fall Siemens’sche
Regenerativbrenner ergeben, ja ein viel vortheil-
bafteres, wenn, wie wir aus unseren eigenen Messungen
weiter unten schliessen müssen, die unmittelbar am
Photometer erhaltenen Resultate für den letzteren
Brenner in dieser Tabelle bereits mit 2 multiplicirt
ind, .
Eine ganz entsprechende Messung der vertikal nach
unten ausgesandten Lichtmenge derselben Wenham-
Lampe, als ihre nach unten zu abschliessende klare
Glaskuppel durch eine solche aus mattgeschliffe-
nem Glase ersetzt wurde, ergab bei ungefähr dem-
12) Dingler’s polyt. Journal 248, S. 375, 1888,
215
Bulletin de l’Académie Impériale
L
selben stündlichen Gasverbrauch eine Intensität von
77,3 Kerzen, also einen Lichtverlust von 27,
durch das matte Glas.
Es bot sich die Gelegenheit dar, mit demselben
Photometer noch:einige andere Wenham-Gaslampen
auf ibre Licht-Intensität zu prüfen. Diese Untersuchung
hat auf meine Bitte Herr Dr. O0. Chwolson, als Labo-
rant am physikalischen Cabinet der Academie, im pho-
tometrischen Laboratorium der städtischen Gas-Be-
leuchtungsgesellschaft ausgeführt.
Die von ihm untersuchten Lampen waren solche
ohne Ventilation und ohne Reflectoren, wie sie in dem
_ fraglichen Preis-Courant der Wenham-Company unter
À bis F angegeben sind. Sie waren ebenfalls an der
Decke aufgehängt und wurden direct mit dem Licht
einer englischen Spermaceti-Kerze bei normaler Flam-
menhôühe derselben verglichen. Das Photometer war
dabei nur ausnahmsweise so wie bei meinen Versuchen
d. h. also so aufgestellt, dass das Licht der Wenham-
Lampe vertikal von oben auf eine horizontale Milch-
glasplatte vor der einen Offnung fiel, meistentheils
wurde dasselbe soweit seitlich von der Vertikalen durch
die Lampenmitte placirt, dass bei horizontaler Lage
der Polariscopaxe CA das Centrum des Brenners in
die Verlänÿerung der schief nach oben gerichteten
zweiten Rühre DB zu liegen kam, somit das unter
einem Winkel von 23!/° mit der Vertikalen schief nach
unten ausgesandte Licht der Lampe senkrecht auf die
Milchglasplatte bei der betreffenden Üffnung des Photo-
meters einfiel. Die Winkel 8, am Photometer wurden
jeweilen doppelt gemessen, indem man bei jedem Ver-
such die 0,88 mm. dicken Milchglasplatten vor den
beiden Offnungen vertauschte. Folgendes sind die Re-
sultate der Messungen des Herrn Chwolson, wobei
der Gasverbrauch in engl. Cubic-Fuss pro Stunde
und die Lichtstärke in engl. Normalkerzen für das
unter 23/° zur Vertikalen augesendete Licht
der Lampen angegeben ist. Bei der Berechnung nahm
Herr Chwolson die Constante C = 2 an.
Stündlicher ‘ à ; K
Gasverbrauch Xe Kemen 1 Oub-Fass.
Lampe M1: 770 38,8 5,04
5,75 19,7 3,43
Lampe X 2: 14,0 83,2 5.94
12,0 67,6 563
10,0 521 521
SU NN
Lampe K 3: 15,8 41,1 4,50
13,8 57,5 4,17
11,8 51,9 4,40
Lampe X 4: 24,0 107,6 4,48
19,9 102,7 5,16
15,2 65,6 4,32.
Unter diesen Lampen erweist sich also À 2 bei
12—14 Cubic-Fuss Gasverbrauch in der Stunde als
die vortheilhafteste.
Bei der Lampe X 4 hat sodann noch Herr Chwol-
son die Lichtstärke unter dem obigen Emanations-
winkel von 23'/° mit derjenigen für den Emanations-
winkel O”(vertikale Strahlen)verglichen und im letzteren
Fall eine Zunahme der Lichtstärke um 17°/, gefunden.
Ebenso erhielt er endlich ein Anwachsen der Licht-
stärke bei derselben Lampe um 27°, als er an ihr
einen Schirm-Reflector anbringen liess. Darnach würde
also in vertikaler Richtung und unter Anwendung eines
Schirm-Reflectors im Ganzen 44°, mehr Licht bei die-
sen Lampen erhalten werden als unter 23!/° mit der
Vertikalen und ohne Reflector. Wenden wir dies auf
das Resultat des Herrn Chwolson für die Lampe À 2
an, welche dieselbe Grôsse, wie die von mir untersuchte
hat, und benutzen dabei das Mittel der beiden ersten
Daten für einen stündlichen Gasverbrauch von 13 Cubic-
Fuss i.e. 5,78 Kerzen pro 1 Cubic-Fuss Gasverbrauch
in der Stunde, so würde also pro 1 Cubic-Fuss Gasver-
brauch diese Lampe mit Schirm-Reflector und vertikal
nach unten eine Lichtstärke von 8,32 Normalkerzen
ergeben haben, ein Resultat, welches wenig von dem
von mir für dieVentilationslampe gefundenen abweicht.
Dieses Resultat für die Leuchtkraft der Wenham-
Lampe beträgt indessen nur ungefähr die Hälfte der-
jenigen Zahlen, welche nach dem erwähnten Preis-
Courant die Herren Prof. W. Foster in London und
Dr. Wallace in Glasgow dafür gefunden haben. Die
Vermuthung liegt daher nahe, dass diese Herren die
unmittelbar mit dem Photometer erhaltenen Werthe
der Leuchtkraft nach dem, wie mir Gas-Techniker ver-
sicherten, bei undurchsichtigen Brennern üblichen Ver-
fahren verdoppelt haben. Im Fall der Wenham-Lampe
scheint mir aber eine solche Verdoppelung namentlich
für die Strahlung vertikal nach unten durchaus unzu-
217
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
218
lässig, indem dabei jedenfalls nur ein geringer Theil
des, um den Rand des undurchsichtigen Brenners herum
nach oben und innen reichenden Flammenmantels der
Wahrnehmung von unten entzogen wird. Wie dem
übrigens auch in Wirklichkeït sei, jedenfalls ist schon
unser unmittelbares Resultat bezüglich der Leuchtkraft
der Wenham-Lampe ohne irgend eine Vergrüsserung
ein sehr günstiges, wie die folgende Zusammenstellung
vergleichender Messungen über die Leuchtkraft ver-
schiedener Gasbrenner beweist, die Herr Chwolson
und ich gemeinsam mit meinem Photometer ausgeführt
haben.
Leuchtkraft
Lampen ohne Schirme n engl. Normal-
(normaler Gasverbrauch beim kerzen pro1C.-F, inCu
Stündlicher
Gasverbrauch
Ï tunde. Lichtstärke.
Wenham M 2, vertikal
13 Cub.-Fuss Gas pro Stunde 6,79 0,416
Muchall-Brenner, horizontal
6,5 Cub.-Fuss Gas pro Stunde 2,80 1,010
Siemens Regenerativ, horiz.
15 Cub.-Fuss Gas pro Stunde 2,37 1,195
Argand-Brenner, horizontal
9 Cubic-Fuss Gas pro Stunde 2,28 1,243
Von diesen unmittelbaren Messungs-Resultaten ist
jedenfalls dasjenige des Siemens’schen Regenerativ-
brenners im Verhältniss zu den übrigen wegen des un-
durchsichtigen Aufsatzes beim Brenner zu klein und
imuss nach meinem Ermessen, um vergleichbar zu sein,
etwa mit ‘, multiplicirt (aber nicht verdoppelt) werden.
Damit würde die Leuchtkraft: 3,16 Kerzen und der
stündliche Gasverbrauch pro 100 Kerzen: 0,897 Cubic-
Meter, also gleichwohl der Regenerativ-Brenner unter
gleichem Verhältniss noch nicht halb so viel als der
Wenham-Brenner leisten. Ob grüssere Brenner der
ersteren Sorte vielleicht bessere Resultate geben, muss
ich vor der Hand dahin gestellt sein lassen. Ebenso
muss es künftigen theoretischen Berechnungen, analog
etwa den von Strecker ‘) und v von Saltzmann "J4 aus
geführten sowie bezüglich E
Untersuchungen vorbehalten bleiben, das Verhältniss
der unmittelbar mit dem Photometer séhaitenen Licht
13) Electrotechnische Zeitschrift, Januar 1887, S. 18.
14) Ibidem, October 1887, S. 430
stirke der verschiedenen Brenner je zu der gesammten
von ihnen nach allen Seiten ausgesandten Lichtmenge
zu bestimmen.
Zum Schluss bemerke ich nur noch, dass weder bei
der Vergleichung der Wenham-Lampe mit der Petro-
leumlampe noch bei derjenigen der erstern direct mit
der Spermaceti - Kerze trotz der sehr verschiedenen
Färbung des Lichts dieser beiden, in der Intensität so
sebr voneinander abweichenden Lichtquellen eine er-
hebliche Schwierigkeit bei den Einstellungen an unserm
Instrument bemerkt wurde, Wie ich schon in der Ein-
leitung zu meiner Notiz betreffend Umwandlung meines
Krystall-Photometers in ein Spectro-Photometer ein-
gehend hervorgehoben habe, betrachte ich diesen Um-
stand als einen für die Technik sehr erheblichen
Vorzug meiner beiden Polarisations-Photome-
ter vor den gewühnlichen Photometern; die vor-
liegende Modification des einen derselben dürfte aber
auch bezüglich der leichten Handhabung allen billigen
‘| Ansprüchen der Technik genügen.
Über die Einwirkung von Jodoform und Jod auf Na-
triumisobutylat. Von A. Gorboft und A. Kessler.
(Lu le 26 Mai 1887.
1. Einwirkung des Natriumisobutylats auf
Jodoform.
Bereits im Jahre 1858 zeigte Prof. A. Butlerow'),
dass bei der Einwirkung von Natriumaethylat auf Jodo-
form Methylenjodid, Akrylsäure, CH,:CH.COOH und
Aethylmilchsäure CH,.CH(OC,H;,)COOH entstehen. Es
war nun hôüchst wahrscheinlich*), dass diese beiden, in
ihrem Moleküle die Gruppe C, enthaltenden, Säuren,
infolge einer auf diese oder jene Weise stattgefundenen
Verbindung der Kohlenstoffgruppen des Aethylats und
des Jodoforms, entstanden seien. War diese Ver-
muthung richtig, so mussten beim Eïnwirken anderer
Alkoholate auf Jodoform die Homologen der Akryl-
siure einerseits und Aethersäuren der Milchsäure-
reihe andererseits entstehen. Der Versuch bestätigte
1) Butlerow, À. Ann. chim. seu ut (1858) 313. Ann. Chem.
Pharm. 114, (1860) 204 und 118, (18
yTaepo8, À. M eg KB ARE H3YYeHIIO OPrTAHU-
yecxoh xumiu, crp. 301 (2-0e nsxamie). a
219
Bulletin de l’Académie Impériale
E
in der That diese Voraussetzung. Beim Einwirken
von Natriumisobutylat auf Jodoform erhielten wir”)
Methylenjodid und Dimethylakrylsäure C;H,0,, die
zum {sobutylalkohol in demselben Verhältnisse steht,
wie die Akrylsäure zum Aethylalkohol. Es kann dem-
nach als bewiesen betrachtet werden, dass die Re-
aktion zwischen den Alkoholaten und Jodoform eine
allgemeine Reaktion zur Bildung von Säuren der Akryl-
säurereihe, wenigstens von bestimmter Struktur, dar-
stellt. Desto interessanter erschien die Erforschung
des Mechanismus der hier vor sich gehenden Synthese,
die zunächst vollkommen unerklärlich war. Wir unter-
warfen daher die Einwirkung von Natriumisobutylat
auf Jodoform einer eingehenderen Untersuchung. Die
hierbei erhaltenen Resultate bilden den Inhalt vorlie-
gender Abhandlung. Obgleich dieselben in mancher
Hinsicht die gewünschte Vollständigkeit nicht erreicht
haben, indem sie keine direkte Antwort auf die ge-
stellte Frage geben, sind wir zu einer Verôffentlichung
derselben gezwungen, da wir an einer ferneren gemein-
samen Arbeit verhindert sind.
Gleich bei den ersten Versuchen stellte es sich her-
aus, dass die Reaktion hôchst complicirt sei, und zwar
sowohl in Betreff der Anzah]l, als auch der Mannig-
faltigkeit der entstehenden Produkte. Ausser der Dime-
thylakrylsäure erhielten wir noch mehrere gesättigte
Säuren und, als stetige Begleiter des Methylenjodids,
hochsiedende, jodfreie, neutrale Produkte. Eine Ver-
änderung der Reaktionsbedingungen, wie z. B. eine grüs-
sere oder geringere Concentration des Alkoholats u. a.
scheint auf die Zah]l der entstehenden Produkte ohne
Einfluss zu sein, denn ausser der Dimethylakrylsäure
erhielten wir stets eine bedeutende Menge anderer
Fettsäuren, sowohl hüher-, als niedriger siedender, und
hochsiedende neutrale Verbindungen. Die Ausbeute
dieser oder jener war jedoch Schwankungen unter-
worfen. So erhielten wir z. B. merklich mehr Dime-
thylakrylsäure beim allmähligen Zugiessen des Alko-
holats zum Jodoform, also bei einem Überschusse des
letzteren, als beim Einführen des Jodoforms in kleinen
Quantitäten in das Alkoholat. Die Ausbeute an Me-
thylenjodid schwankte aber in weiteren Grenzen, und
da die Gegenwart desselben die Erforschung der hoch-
siedenden, neutralen Substanzen sehr erschwerte, und
3) Gorboff, A. und Kessler, A. Mélanges phys. chim. XII, 21.
diese letzteren, wie wir dachten, vielleicht Zwischen-
produkte bei der Entstehung der Dimethylakrylsäure
sein würden und zur Aufklärung der Synthese der-
selben dienen kônnten, so wählten wir zu unserer Re-
aktion diejenigen Bedingungen, bei denen fast gar kein
Methylenjodid erhalten wurde.
Auf je 100 gr. Jodoform nahmen wir 200 gr. Iso-
butylalkoho!l (von Kahlbaum) und 20 gr. metallischen
Natriums (und zwar im geringen Überschusse, da auf
die ganze Jodmenge in 100 gr. CHJ, zur Bildung
von NaJ cetwa 17,5 gr. Na erforderlich sind) und ver-
fuhren folgendermaassen: zur erwärmten Lôsung des
Alkoholats, das sich in einem mit einem langen Kühler
verbundenen Kolben befand, wurde durch einen breit-
halsigen TrichterJodoform in kleinen Quantitäten ein-
getragen und der Trichter dann môglichst schnell
durch einen Korken geschlossen. Die Reaktion tritt
sofort ein und verläuft sehr stürmisch: jede neu zu- .
geschüttete Jodoform-Menge ruft ein Aufkochen und
Aufschäumen der Flüssigkeit hervor, die theilweise
durch den Kühler überdestillirt; es findet eine reich-
liche Ausscheidung von Jodnatrium statt, der Alkohol
färbt sich zuerst gelb und nimmt zu Ende der Re-
aktion eine dunkelbraune Färbung an. Nach dem Zu-
fügen der abgewogenen Menge von Jodoform wurde
der Kolben-Inhalt noch mehrere Minuten lang auf
freiem Feuer im Sieden erhalten (die hierbei über-
gehende Flüssigkeit wurde mit der während der Reak-
tion überdestillirten vereinigt) und dann mit Wasser
behandelt. Die entstandenen zwei Schichten wurden
mittelst eines Scheidetrichters getrennt und die alko-
holische Schichte noch zweimal mit dem gleichen Volu-
men heissen Wassers gewaschen.
Die sauren Reaktionsprodukte.
Alle wässrigen Auszüge, die Jodnatrium und die wäh-
rend der Reaktion entstandenen Salze der organischen
Säuren in Lôsung hielten, wurden vereinigt, bis auf
em geringes Volumen, zur Entfernung des gelôsten
Isobutylalkohols und anderer etwa entstandener neu-
traler Produkte, eingedampft und darauf mit einem
Überschuss von Weinsäure überdestillirt. Die Destil-
lation wurde so lange fortgesetzt, bis die übergehende
Flüssigkeit nur noch eine schwach saure Reaktion zeigte
(hierbei musste das Wasser im Destillationsapparate
mehrere Mal ersetzt werden). Das Destillat stellte eine
des Sciences de Saint -Pétersbourg.
klare Lôsung dar, auf deren Oberfläche eine dünne
Ülschichte schwamm. Dieses Ül — der am schwierig-
sten sich lüsende Bestandtheil des Säuregemisches —
wurde abgetrennt, während die Lüsung mit Soda neu-
tralisirt wurde (um die Neutralisation zu beschleunigen,
wurde zu Ende erwärmt) und zur Trockne einge-
dampft. Die so erhaltenen Natriumsalze wurden so-
dann mit Schwefelsäure zersetzt (1 Gew.-Thl. H,SO,
auf 1 Th. Wasser). Hierbei muss bemerkt werden,
dass die Zersetzung der trocknen Salze mit Schwefel-
säure recht schwierig vor sich geht, indem ein Theil
derselben in der aufschwimmenden Säureschichte gelôst
bleibt; daher wurde zu der von der Natriumsulfat-
Lôsung abgeschiedenen Ülschichte, unter Schütteln,
concentrirte Schwefelsäure so lange zugetropft, bis die
Bildung des Niederschlages aufhôrte. Das vom letzte-
ren abfiltrirte Gemenge von Säuren wurde darauf der
fraktionirten Destillation bis zu 180° unterworfen, da
bei hôüherer Temperatur schon Zersetzung eintrat. Der
Rückstand wurde später unter vermindertem Drucke
destillirt. Alles bis zu 180° Überdestillirte (zu dem
auch die unter vermindertem Drucke (von circa 40 mm.)
bis zu 95° erhaltenen Destillate des Rückstandes zuge-
gossen wurden), theilte sich nach mehrmaliger Destil-
lation mit dem Dephlegmator von Winssinger in fol-
gende Fraktionen: 1) 99°—105° (zwei Schichten),
2) 105°—153° (sehr wenig), 3) 153°—158° (Haupt-
menge), 4) 158°—180° und 5) Rückstand.
Die Fraktion 153°—158° konnte schon ihrem Siede-
punkte und ihrem Geruche nach als die bei 155° sie-
dende Isobuttersäure erkannt werden. Vollkom-
mene Überzeugung davon gewannen wir durch die
Bestimmung des Krystallisationswassers in dem, durch
Sättigen mit Calciumcarbonat erhaltenen, Calcium-
salze, welches lange nadelfôrmige Krystalle darstellte.
0,5501 gr. des durch Flicsspapier getrockneten Salzes
verloren bei 100° — 0,1607 gr. oder in Procenten
29,22 Wasser, während nach der Formel Ca(C,H,0,),
- + 5H,0 der Verlust 29,60 °/, betragen müsste.
Die aus zwei Schichten bestehende Fraktion 99° —
105° erwies sich als ein Gemisch von Isobuttersäure
und Wasser mit einem geringen Gehalt von Ameisen-
säure, dessen Vorhandensein durch die Reaktion mit |
Quecksilberoxyd und die Reduktion von ammoniaka-
lischer Silbernitrat-Lôsung und von Sublimat zu Ka-
lomel festgestellt wurde.
Tome XXXII.
Was den zwischen 158° und 180° übergegangenen
Theil anbetrifft, so scheint derselbe ein Gemisch von
Dimethylakrylsäure und Isobuttersäure gewesen zu
sein, da er sich mit einer bedeutenden Menge von
Brom vereinigte; einer genaueren Untersuchung ist
derselbe jedoch nicht unterworfen worden.
- Der über 180° siedende Rückstand schied beim Ab-
kühlen eine feste, ungesättigte Säure aus, deren Haupt-
menge sich in den niederen, unter vermindertem Drucke
erhaltenen, Fraktionen befand; diese bei 40 mm. Druck
zwischen 95° und 115° übergehenden Antheile (was
etwa einer Temperatur von 180°—-215° bei normalem
Drucke entspricht) schieden schon bei gewôhnlicher
Temperatur eine bedeutende Menge der festen Säure
aus. Aus heissem Wasser umkrystallisirt, bildete die-
selbe lange, glänzende, prismatische Krystalle, deren
Schmelzpunkt bei 69,5°—70° lag.
Die Élébent ets der freien Säure, so wie
ihres Silbersalzes, die schon in unserer ersten Mit-
theilung angeführt sind, ergaben die Formel C,H,0,.
Diese Daten erlaubten es uns schon damals die
erhaltene Säure mit der B$-Dimethylakrylsäure
Cu DE CH.COOH zu identificiren, die zuerst von
Neubauer‘) und darauf von Miller”) bei der Oxy-
dation der gewühnlichen Isovaleriansäure mittelst Ka-
liumpermanganat und chenso von Saytzew und Sem-
ljanitzin®) beim Einwirken von Phosphortrichlorid
auf die $-Oxyisovaleriansäure (aus dem Allyldimethyl-
carbinol durch Oxydation dargestellt) erhalten worden
ist. Die weitere Untersuchung hat die Richtigkeit un-
seres Schlusses vollkommen bestätigt. Zu diesem Zwecke
hatte Herr Glinka die Freundlichkeit einige Mes-
sungen der Krystalle der Dimethylakrylsäure auszu-
führen und ausserdem haben wir das Baryum- und Cal-
ciumsalz und die Bromverbindung der Säure, die in
letzter Zeit von Ustinow’) genauer untersucht worden
sind, dargestellt. |
Herr Glinka theilt uns Folgendes mit: :
«Die Krystalle der Dimethylakrylsäure besitzen die
Gestalt langer Prismen, deren Flächen, parallel der
vertikalen Axe gestreift sind; ausserdem haben die
4) Neubauer, An». Chem. ri 106. 63.
5) v. Miller, Ann. Chem. 200. 26
6) Semljanitzin und cn Ann. Chem. 197. 72.
7) Ustinow, K. 1885, 439.
15
Bulletin de l’Académie Impériale
Krystalle fast in allen Fällen, an Stelle des Basopina-
koids, trichterformige Vertiefungen, welche fast bis zur
Hälfte hineinreichen. Es ist mir gelungen nur einige
Haushofer’sche Angaben (Zeitschr. f. Kryst. IV, 570)
zu bestätigen, z. B.:
b:p—(010) (110) = 123° 40°; (110) (110) = 68°:
(110) (110) = 112°:
Die Flächen der Krystalle erwiesen sich zwar un-
vollkommen ausgebildet, jedoch konnte der Prismen-
winkel und einige Flächen an einzelnen Krystallen be-
stimmt werden; Winkel, welche Haushofer nicht
angiebt, habe ich an einem Krystall mit 142° 20° und
an einem anderen mit 145° bestimmt. Die letzte Form
ist in der Zeichnung berücksichtigt und habe ich sie
als Klinodom angesehen (annähernd 012) indem ich die
Haushofer’schen Angaben zu Grunde legte; doch muss
erwähnt werden, dass ich eine Dome mit einem Winkel
von 61° nicht bemerkt habe; statt der Orthodomflächen
(101),. deren Haushofer erwähnt, beobachtete ich
Pyramiden-Flächen (in der beigefügten Zeichnung mit
x bezeichnet), deren Parameter aber nicht bestimmt
werden konnte.
Der abgebildete Krystall zeichnet sich von den mei-
sten übrigen Krystallen dieser Substanz, so wie auch
von denjenigen ss HARMAN OTEES Angaben, besonders
durch bedeut icklung des Klinopinakoïds (010)
aus. Bei anderen Krystallen sind die Pinakoïdflächen
(100) und (010) bedeutend schwächer entwickelt, je-
doch verhältnissmässig deutlich ausgebildet».
Das Baryumsalz — Ba(C, H,0,), + 2H,0 — wurde
durch Neutralisation der wässrigen Lüsung der Säure
l'entsprechend,
mit Baryumcarbonat unter Erwärmen dargestellt. Beim
Verdunsten, der vom Überschuss des letzteren abfil-
trirten Lüsung, über Schwefelsäure schied sich das
Salz in prismatischen, grôsstentheils verwachsenen,
zuweilen von einem Punkte fächerfôrmig ausgehenden
Krystallen aus und enthielt, den vorhandenen Angaben
zwei Moleküle Krystallisationswasser,
0,2269 gr. des gut zwischen Fliesspapier getrockneten
Salzes verloren bei 100° 0,0219 gr.
Berechnet für Ba(C;H,0,), + 2H,0.
1
In Procenten.
HO 29,65.
Das Calciumsalz — Ca(C,H,0,), + 4H,0, das
ebenso erhalten wurde, krystallisirte beim langsamen
Verdunsten seiner Lôsung im Exsikkator in langen,
seideglänzenden, zu Büscheln vereinigten Nadeln. Es
enthält vier Moleküle Wasser und verwittert an der
Luft sehr leicht.
1) 0,2538 gr. des zwischen Fliesspapier gut abge-
pressten Salzes verloren bei 100° — 0,0575 gr,
2) 0,1859 gr. des wasserfreien Salzes gaben nach
dem Glühen 0,0436 gr. CaO.
In Procenten erhalten. Berechnet für (C;H,0,),Ca +4H,0,
1) H,0 = 22,65 H0 = 23,22
für (C,H,0,),Ca
2) Ca = 16/79 Ca 168E
Wird die Lôsung des Salzes auf dem Wasserbade
langsam verdunstet, so scheidet sich dasselbe in ein-
zelnen, ziemlich grossen prismatischen Krystallen aus,
die bei 100° keine Gewichtsveränderung erleiden und
ihren Glanz beibehalten. Ustinow (1. c.) beschreïbt das
Calciumsalz gleichfalls als in langen, seidenartigen Na-
deln krystallisirend, hält es aber für wasserfrei, da er
gefunden hat, dass «bei sehr langsamem Verdunsten im
Exsikkator sich das Salz in ziemlich grossen einzelnen
und zu Drusen vereinigten Krystallen ausscheidet. Beim
Erwärmen auf 100° verliert das Salz nicht an Gewicht
und die Krystalle behalten ihren Glanz». Unsere Beob-
achtungen stimmen, wie man sieht, mit Ustinow’s
Angaben nicht ganz überein; wir Shl geneigt anzu-
_nehmen, dass sich in die letzteren irgend ein Missver-
ständniss eingeschlichen haben mag.
Mit Brom verbindet sich die Dimethylakrylsäure
sehr leicht; wir erhielten das Additionsprodukt durch
tropfenweises Hinzufügen des Broms zu einer Lüsung
der Säure in Schwefelkohlenstoff. Nach zweimaligem
Umkrystallisiren aus Ligroïn stellte diese Verbindung
24
225
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
schôn ausgebildete, grosse Tafeln dar, die zum monokli-
noëdrischen Systeme zu gehüren scheinen. In Aether
sind die Krystalle sehr leicht lôslich, etwas schwie-
riger in Ligroïn. Der Schmelzpunkt liegt bei 107°—
108°, die Erstarrungstemperatur bei 97°, sank aber
nach mehrmaligem Schmelzen. (Ustinow giebt für den |
Schmelzpunkt 105°—.106° und den Erstarrungspunkt
76° an).
Die Dimethylakrylsäure sublimirt leicht und siedet
bei 194°—195°, spaltet sich aber schon bei einer um
etwa 10° hüher liegenden Temperatur in Kohlensäure
und Isobutylen. Zur Feststellung dieser Produkte er-
wärmten wir die Säure im zugeschmolzenen Rohre
auf 210°-—220°. Nach 25—30stündigem Erwärmen
stellte der Rühreninhalt eine leicht bewegliche Flüs-
sigkeit dar, die in einer Kältemischung nicht erstarrte.
Die durch Schnee und Salz gekühlte Rühre wurde
geôffnet und die hierbei entweichenden Gase in einem
Gasometer gesammelt. Das Vorhandensein von Kohlen-
säure wurde durch Eïnleiten in Barytwasser kon-
statirt, während der Kohlenwasserstoff durch auf 0°
abgekühlte Jodwasserstoffsäure absorbirt wurde. Das
erhaltene Jodür lüste sich bei längerem Stehen mit
Wasser schon bei gewühnlicher Temperatur voll-
stündig und der darauf aus der wässrigen Lôsung
ausgeschiedene Alkohol erwies sich nach dem Trock-
nen über Baryt als das Trimethylcarbinol, das s0
leicht an dem charakteristischen Kamphergeruch und
seinen bei Zimmertemperatur nicht schmelzenden
Krystallen erkannt werden kann. Es kann also keinem
Zweifel unterliegen, dass er Kohlenwasserstoff Isobu-
tylen war. Die beschriebene Zersetzung der Dime-
thylakrylsäure stimmt mit der, dieser Säure gewühn-
lich zugeschriebenen, Constitution überein, da, wenn
man die Môglichkeit einer Umlagerung nicht in Be-
tracht zieht, das Isobutylen und die Kohlensäure als
die Spaltungsprodukte von nur zwei Säuren C;H,0,
auftreten kôünnen, und zwar von der Struktur:
CH, CH, CH, CH,
NX K 4
C Fe
| |
CH CH,
| \ 4 |
COOH COOH
(8-Dimethylakrylsäure) (unbekannte Säure).
In der Reihe der Akrylsäuren ist eine solche, unter
dem Einfluss hoher Temperatur vor sich gehende,
Spaltung, die vollkommen derjenigen der Tetrolsäure
parallel wäre, unseres Wissens zum ersten Mal be-
obachtet worden.
Der Untersuchung der hochsiedenden Säuren stell-
ten sich bedeutende Schwierigkeiten in den Weg. Die
Rückstände der unter gewühnlichem Drucke ausge-
führten Destillation, die über 180° siedeten, wurden
unter vermindertem Drucke (bei ungefähr 40 mm.)
fraktionirt, wobei zur besseren Trennung der Antheiïle
ein ziemlich langer Dephlegmator von Würtz benutzt
wurde. Trotzdem konnten keine constant siedenden
Fraktionen abgeschieden werden, da die Flüssigkeit
unter Zurücklassung eines geringen Rückstandes ziem-
lich gleichmässig zwischen 100° and 150° überging,
wobei die niedrigsten Fraktionen bis zu 115°, wie
schon erwähnt, beim Stehen Dimethylakrylsäure aus-
schieden (die jedesmal entfernt wurde). Zuletzt waren
folgende Antheile erhalten worden: 1) 100°—1157,
2) 115°—135°, 3) 135°—142°, 4) 142°—150° und
5) der Rückstand. In denselben Grenzen siedete auch
derjenige Theil der Säuren, welcher von dem bei der
Destillation der wässrigen Auszüge mit Weinsäure (s.
oben) erhaltenen Destillate abgetrennt worden war, wo-
bei hier ein bedeutend grüsserer Rückstand des über
150° Siedenden zurückblieb. Die einander entsprechen-
den Fraktionen wurden zusammengegossen*). Der zweite
Antheil enthielt noch merkliche Mengen von Dimethyl-
akrylsäure, während dieselbe in den beiden letzten
nicht mehr vorhanden war, was durch Einwirken von
Brom festgestellt wurde. Da nun aus analytischen
Daten zu ersehen war, dass wir es mit einem Gemisch
von Säuren zu thun hatten, so machten wir den Ver-
such dieselben durch ïhre Calciumsalze zu trennen
8) Bei allen den zahlreichen Destillationen unter vermindertem
Drucke, die wiriw on serer Untersuchung auszuführen _—…
benutzten wir den v
18. 1363), der sich in rss Praxis als sehr bequem ervries. Die SA
lation wurde immer, nach der Vorschrift von Würtz (Dictionn. de
chim. Suppl. 667), unter Benutzung eines Kapillarrohres ausgeführt,
während der Ballon, aus welchem die Flüssigkeit destillirt wurde,
entweder auf dem Wasser- oder in einem Metallbade erwärmt wurde
Zur Regulirung des Druckes benutzten wir den Regulator von
L. Meyer (Lieb. Ann. 165. 303); zwischen dem Regulator und dem
Destillationsapparat befand sich ausserdem immer eine Glasflasche
yon mehréren Litern Inhalt.
VCLCILS
15%
227
Bulletin de l’Académie Impériale
?22s
(vorläufige Versuche hatten gezeigt, dass das Calcium-
salz einer der Säuren in Wasser ziemlich schwer lüs-
lich war). Die Neutralisation durch frisch gefälltes
Calciumcarbonat ging nur schwierig vor sich und er-
forderte anhaltendes Erwärmen, so dass wir zur Be-
schleunigung der Reaktion etwas Calciumhydrat zu-
setzten. Zu unserem Erstaunen lieferten die Analysen
der erhaltenen Salze ziemlich übereinstimmende Zahlen,
die der Formel C,H,,0, entsprachen, während die Ana-
lysen der wieder ausgeschiedenen freien Säuren weder
unter einander, noch mit denen der Salze überein-
stimmten. Dieser Umstand, im Zusammenhange mit
der schwierigen Neutralisation der Säuren, veranlasste
uns anzunehmen, dass in den sauren Produkten eine
Substanz von dem Charakter eines Lactons zugegen
sein müsse. Die weiteren Versuche bestätigten voll-
kommen diese Voraussetzung.
Die noch zurückgebliebenen Theile der di
135°—142° und 142°—150° wurden bei gewühn-
licher Temperatur mit einer gesättigten Sodalôsung
behandelt, wobei der grüsste Theil ungelôüst blieb und
als Schichte aufschwamm. Diese neutral reagirende
Schichte wurde abgehoben und die alkalische Lôüsung
zur vollständigen Entf g der neutralen Substanz mit
Aether behandelt, darauf mit Schwefelsiure versetzt
und die aufschwimmende Ülschichte der Säure in Aether
aufgehoben. Nach dem Verjagen des Aethers auf dem
Wasserbade wurde der Rückstand durch Durchleiten
eines trocknen Luftstromes unter vermindertem Drucke
getrocknet und dann unter 34 mm. Druck destillirt.
Das Sieden begann bei 138° und zwischen 141°—144°
ging die Hauptmasse über, welche besonders aufgefan-
gen wurde. Dieselbe war vollkommen farblos, besass
einen schwachen, an die niederen Fettsäuren erinnern-
den Geruch und verdickte sich merklich in einem
Kälte-Gemisch von Schnee und Kochsalz, jedoch
ohne zu erstarren. Bei der Verbrennung wurden Zah-
len erhalten, die mit der Formel C,H,,0, ziemlich gut
übereinstimmen: 0,1934 gr. der Substanz gaben
0,4266 gr. CO, und 0,1702 gr. H,0.
Berechnet für C,H,603
In Procenten erhalten
C=260,19 — 60,00
H— 978 H = 10,06,
Da unter den neutralen Reaktionsprodukten sich
ein Derivat des Aldehyds
C,H,,0, — Ds 5 >C(OC,H,) COH
befand, so war es im hôchsten Grade wahrscheinlich,
dass wir es mit der Isobutyl &-oxyisobuttersäure
OH 0,— De NS C(OC,H,) COOH
zu thun hatten. Um diese Frage zu entscheiden er-
wärmten wir dieselbe mit Eisessig, da zu erwarten
war, dass eine Säure von dieser Struktur unter den
gegebenen Bedingungen entsprechend der folgenden
Gleichung zerfallen würde:
CH
CH > C(OC,H,) COOH + C,H0, —
= C,H,0-00,H, + Ce Sc (OH).COOH.
7-8
Es erwies sich aber, dass die Zersetzung sehr
schwierig vor sich geht: bei andaucerndem Erwärmen,
selbst bis zu 170", bildete sich nur eine unbedeutende
Menge von Isobutylessigester. Da wir nun befürch-
teten, dass bei hôherer Temperatur unter dem Ein-
flusse der Essigsäure die Oxyisobuttersäure selbst zer-
fallen künnte, so beschlossen wir die Säure C.,H,,0,
mit Jodwasserstoff zu behandein, wobei wir aus Man-
gel an Material die schon mit Essigsäure erwärmte
Säure benutzen mussten. Dieselbe wurde von der Es-
sigsäure durch Destillation unter vermindertem Drucke
befreit und dann mit bei 0° gesättigter Jodwasserstoff-
säure und etwas rothem Phosphor im zugeschmolzenen
Rohre einige Stunden hindurch auf dem Wasserbade
erwärmt. Die im Robre entstandene ülige Schichte
wurde abgetrennt; dem Siedgpunkte 116°—118° und
den übrigen Eigenschaften nach erwies sie sich als
Isobutyljodid. Die saure wässrige Lüsung wurde nach
dem Verdünnen mit Wasser abdestillirt, das Destillat
unter Erwärmen mit frisch gefälltem Silbercarbonat
neutralisirt, vom Jodsilber abfiltrirt und das Filtrat
über Schwefelsäure im Exsikkator verdunstet. Die
Verbrennung des getrockneten Silbersalzes ergab fol-
gende Resultate: 0,1382gr. des Salzes gaben 0,0778gr.
metallischen Silbers. -
Gefunden in Procenten Berechnet für C,H,0, Ag
Ag — 56,29 Ag = 55,38.
Der zu hohe Silbergehalt muss unstreitig der un-
vollständigen Entfernung der Essigsäure zugeschrie-
ben werden; von einer Reinigung musste aber der ge-
ringen Menge des Salzes wegen abgesehen werden.
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
Es scheint uns jedoch, dass die bereits angeführten
Daten die oben ausgesprochene Voraussetzung über
die Natur der Säure genügend bestätigen.
Das Octolacton — C,H,,0..
Der bei der Behandlung mit gesättigter Sodalüsung
ungelôst gebliebene Theil der hôheren Fraktionen der
Säuren (s.oben) wurde mit dem aetherischen Auszuge
der alkalischen Lüsung vereinigt, mittelst geglühter
Potasche getrocknet und, nach dem Verjagen des Aethers
auf dem Wasserbade, unter vermindertem Drucke fraktio-
nirt. Nach zweimaligem Destilliren erhielten wir eine bei
139°—134° (bei 36 mm.) übergehende Substanz. Die-
selbe stellte eine klare, farblose, in Wasser schwer lüs-
liche Flüssigkeit von schwachem, etwas aromatischen
Geruche dar, die im Kälte-Gemisch von Schnee und
Kochsalz nicht erstarrte und auf blaues Lakmuspapier
vollkommen neutral reagirte. Beim Verbrennen gaben
0,2076 gr. der Substanz 0,5119 gr. CO, und 0,1852 gr.
HO.
Gefunden in Procenten Berechnet für C,H,,0,
C — 67,25 C — 67,60
H— 9,91 H— 9,86.
Die erhaltene Verbindung C;H,,0, lüst sich beim
Erwärmen in einer Lüsung kohlensaurer Alkalien und
sehr leicht in Barytwasser, gleichfalls beim Erwär-
men, unter Bildung von Salzen einer Oxysäure C,H,,0,,
und ist also ein Lacton. Beim Verdunsten, der vom
Barytüberschuss durch einen Kohlensäurestrom und
Abfiltriren des gebildeten Baryumcarbonats befreiten
Lüsung, bleibt das Baryumsalz im Exsikkator als
“amorphe, glasartige Masse zurück. Zur Analyse
wurde das Salz bei 80° getrocknet, da bei hôherer
Temperatur schon Zersetzung eintrat, was sowohl an
dem Auftreten des Lactongeruches, als auch daran
zu erkennen war, dass beim späteren Auflüsen eine
Trübung (von Baryumcearbonat) auftrat.
Bei der Analyse gaben 0,2465 gr.des Salzes 0,1263 gr.
BaSO,.
Gefunden in Procenten
Ba— 50,10
Das Baryumsalz ist in Wasser sehr leicht lüslich
. und lôst sich gut in Alkohol, aus welchem es sich beim
Verdunsten gleichfalls amorph ausscheidet.
Das Calciumsalz ist in Wasser verhältnissmässig
schwer lüslich und scheïdet sich aus einer concentrir-
Berechnet für (C,H,,0;),Ba
Cr u
ten Lüsung des Baryumsalzes beim Zugiessen einer
Lüsung von Calciumchlorid in Form von schneeweissen,
feinen Nadeln aus. Beim Verdunsten seiner wässrigen
Lüsung erscheint es in Form von Krusten, die (unter
dem Mikroskop) als verflochtene, feine Nadeln er-
scheinen. Das Silbersalz ist dagegen im Wasser leicht
üslich.
Bis jetzt sind nur zwei, und verhältnissmässig wenig
erforschte, Octolactone bekannt. Das eine, von unbe-
stimmter Struktur, erhielten Emmert und Friedrich?)
beim Einwirken von Zinkaethyl auf Succinylchlorid,
das andere stellte Young!) dar. Letzteres entspricht
der æ&-Aethyl-8-methyl-y-oxyvaleriansäure, die bei der
Zersetzung ihrer Salze das Lacton giebt (die Säure
selbst ist durch Reduktion der «&-Aethyl-8-methyl-8-
acetylpropionsäure CH, - CO - CH(CH,)CH(C,H,)COOH
erhalten worden). So weit wir nach den vorhandenen
Daten urtheilen kônnen ist unser Lacton ein Isomer
dieser beiden Lactone; auf die mügliche Struktur des-
selben werden wir bei der Auseinandersetzung des
Reaktionsverlaufes hinweisen.
Die Untersuchung der sauren Reaktionsprodukte
abschliessend, wollen wir noch erwäbnen, dass der
Rückstand von deren Destillation, der unter vermin-
dertem Drucke über 150° siedete, hauptsächlich noch
eine Substanz von Lacton-Charakter enthielt, da er
sich in einer gesättigten Sodalüsung in der Kälte fast
gar nicht auflüste und der ungelüst gebliebene Theiïl,
nach der Destillation, bei welcher er in sehr weiten
Temperaturgrenzen überging, eine neutrale Reaktion
zeigte.
Die Isobutyloxyvaleriansäure C,H,,0,, die der von
Butlerow (L. c.) beim Einwirken von Jodoform auf
Natriumaethylalkoholat dargestellten Aethylmilchsäure
entsprechen würde, haben wir, wie zu ersehen ist, nicht
nachweisen künnen.
Die neutralen Reaktionsprodukte.
Wie bereits oben erwähnt, wurde die, während der
À Einwirkung von Jodoform auf Natriumisobutylat, über-
destillirende Flüssigkeit besonders aufgefangen. Die-
selbe besass einen aetherischen Geruch und enthielt
folglich ausser dem Isobutylalkohol noch irgend eine
9) Emmert und Friedrich, Berl. Ber. XV, 1852.
10) Young, Liebig’s Ann. 216, 43.
Bulletin de l’Académie Impériale
andere Substanz. Bei der Destillation mit Winssin-
ger’s Dephlegmator zeigten sich schon bei 18° im
Kühler leicht verdunstende Tropfen (die Vorlage wurde
daher mit einem Gemische von Schnee und Koch-
salz gekühit), worauf dann das Thermometer ziem-
lich rasch auf 53° stieg. Das Destillat nahm begierig
Brom auf, besass den charakteristischen Geruch der
ungesättigten Kohlenwasserstoffe und enthielt ausser-
dem noch eine Jodverbindung, da beï der Oxydation
mittelst Salpetersäure eine nicht unbedeutende Menge
von Jod ausgeschieden wurde. Die bei der Einwirkung
von Natriumisobutylat auf Methylenjodid angestellten
Versuche!!) lassen keinen Zweifel übrig, dass während
der Reaktion Isobutylen entsteht ©); die fragliche
Flüssigkeit war daher, aller Wahrscheinlichkeit nach,
ein Gemisch von Isobutylen mit dem unten zu be-
schreibenden Methylisobutylaether und einer geringen
Menge eines Jodürs, seiner Flüchtigkeit nach wahr-
scheinlich des Jodmethyls. Von 53° an stieg die Tem-
peratur sehr langsam und bis zu 63° ging eine sehr
bedeutende Menge der Flüssigkeit über, während
darauf bis zu 105° nur sehr wenig überdestillirte.
Nach mehrmaligem Fraktioniren schied sich aus dem
Antheil 53°—63° eine Substanz aus, die nach dem
Reinigen mittelst Destillation über wetallischem Na-
trium bei 59° (unter 741 mm.) siedete und eine
leicht bewegliche Flüssigkeit von scharf ausgeprägtem
Aethergeruch darstellte. Bei der Zersetzung durch
concentrirte Jodwasserstoffsäure im zugeschmolzenen
Rohre, auf dem Wasserbade, wurden aus 5 gr. der
Substanz 17 gr. eines Gemisches von Jodüren erhalten,
die sich durch wiederholte Destillationen in zwei
Fraktionen theilen liessen: in eine bei 45°— 47° und
eine andere bei 118°—120° siedende. Erstere erwies
sich sowohl ihrem Siedepunkte, als auch ihren anderen
Eigenschaften nach als Jodmethyl und die zweite
als Jodisobutyl. Durch diese Daten ist die fragliche
Verbindung als Methylisobutylaether vollkom-
11) Gorboff, À., u. Kessler, A. Mélanges phys. chim., t. XIL
p. 321.
12) Das Isobutylen verdankt môglicherweise seine Entstehung
der intermediären Bildung von Isobutyljodid. Dieses Letztere künnte
als Produkt einer, zwischen dem Isobutylalkoho!l und den vorhande-
nen Jodüren stattfindenden Wechselwirkung auftreten, gleichwie
beim Erhitzen von CH,J mit Alkohol sich nach Busse und Kraut
(neben Methylaether) Jodaethyl bildet. Busse und Kraut, Liebig’s
Ann. 177, 272 (vergl. W olkoff 3%K, 18, 320).
men charakterisirt, womit auch die Resultate zweier
Dampfdichte-Bestimmungen gut übereinstimmen; von
letzteren war die eine bei Zimmertemperatur und die
andere im Wasserdampfe nach der Methode von Hof-
mann ausgeführt worden. Die hierher gehôrigen Daten
sind :
1) Gewicht der Substanz 0,0605 gr., Barometer-
stand 768,9 mm. bei 17,2°, Hühe der Quecksilber-
säule im Apparate 648,5 mm. bei 22° und Volumen
des Dampfes 127,14 Ce.
2) Gewicht dasselbe, Barometerstand 768,9 mm.
bei 16,8°, Hühe der Quecksilbersäule 70 mm. bei
30° + 560 mm. bei 99,8° und Volumen des Dampfes
130,94 Ce.
Hieraus berechnet sich die Dampfdichte:
Theorie für
I Il
Im Verhältniss zu Wasserstoff 43,5 42,6 44
» » M HD 3,01::2,95:30%
Der über 105° siedende Rückstand der soeben be-
schriebenen Destillation, der fast ausschliesslich aus
Isobutylalkohol bestand, wurde mit der Hauptmasse
des Alkohols, der nach der Reaktion (zur Entfernung
des Jodnatriums und der Natriumsalze der entstan-
denen Säuren) mit Wasser gewaschen worden war, ver-
einigt und darauf unter Benutzung des Winssinger’-
schen Dephlegmators destillirt. Bei 120° wurde jedoch
die Destillation schon abgebrochen (das zwischen 108°
und 120° Übergegangene wurde noch einmal fraktio-
nirt), und der Rückstand unter vermindertem Drucke
destillirt, da vorläufige Versuche gezeigt hatten, dass
die hochsiedenden Reaktionsprodukte sich bei hôherer
Temperatur leicht zersetzen. Hierbei wurden folgende
Fraktionen aufgesammelt: I) bis zu 110°, II) 110°—
135° (die Hauptmenge) und IIT) 135°—175° (bei etwa
30 mm, Druck). In dem Destillationsapparate blieb
ziemlich viel Harz zurück, das beim Abkübhlen erstarrte
und irgend welche Natriumsalze enthielt, — genauer
haben wir dasselbe nicht untersucht.
Aus der ersten bis zu 110° siedenden Fraktion,
die noch viel Isobutylalkohol enthielt, wurde durch
Fraktionirung, die anfangs unter vermindertem und
später bei normalem Druck ausgeführt wurde, ein
zwischen 160° und 164° siedender Theil ausgeschie-
den. Da derselbe eine jodhaltige Verbindung (CH,
oder vielleicht das Produkt CHJ (OC,H,)?) enthielt, s0
233
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
231
wurde er in einem mit Rückflusskühler versehenen
Kolben etwa 20 Stunden hindureh mit molekularem
Silber gekocht und darauf wieder destillirt. Nach die-
ser Behandlung blieben nur Spuren von Jod zurück,
doch hatten sich die Grenzen der iSiedetemperatur
etwas erweitert, was auf eine Zersetzung, infolge des
andauernden Erwärmens, hinweist. Nach einigen De-
stillationen gelang es uns aber eine konstant zwischen
162°—164° siedende Substanz auszuscheiden. Die-
selbe erwies sich, allen ihren Eigenschaften nach,
als identisch mit dem DiisobutyImethylenaether
CH, (OC,H,),, den wir schon früher beim Einwirken
von Methylenjodid auf Natriumisobutylat erhalten ha-
ben (1. c.). Die Analyse ergab folgende Resultate:
0,2504 g. der Substanz gaben 0,6183 gr. CO, (die
Wasserbestimmung verunglückte):
Gefunden in Procenten
C — 67,34 — 67,50
bre == 12 60:
Die Fraktion 110°—135° wurde mehrere Mal
unter einem Drucke von 36 mm. destillirt, wobeï zur
Dephlegmation ein ziemlich langes Würtz’sches Robr
benutzt wurde. Es schied sich eine konstant bei 122°—
125°siedende Verbindung aus. Die angegebenen Grenzen
konnten selbst bei wiederholter Destillation nicht ver-
engt werden, sondern es war im Gegentheil eine
Zersetzung zu bemerken, da beständig ein geringer,
hochsiedender Rückstand zurückblieb. Auch hier er-
wies sich eine unbedeutende Beimengung von jod-
haltigen Verbindungen, zu deren Entfernung die Sub-
stanz einige Stunden hindurch (unter vermindertem
Drucke) mit molekularem Silber gekocht und dann über
letzterem mehrere Mal überdestillirt wurde. Trotzdem
konnte das Jod nicht vollständig entfernt werden, da
eine Probe der Substanz beim Erwärmen mit Salpeter-
säure und Silbernitrat im zugeschmolzenen Rohre
immer noch Spuren von Jodsilber zeigte. Die auf diese
Weise gereinigte Substanz ist eine vollkommen farb-
lose, stark lichtbrechende, ziemlich leicht bewegliche
Flüssigkeit von stark bitterem Geschmacke und von
schwachem eigenthümlichen Geruche, der beim Er-
wärmen scharf wird. In Wasser ist dieselbe unlôslich,
vermischt sich aber mit Alkohol und Aether; in einer
Kältemischung von Schnee und Salz verdickt sie sich
Berechnet für C,H2002
ohne dabei zu erstarren. Das specifische Gewicht bei |
0° war 0,9041. Die Analyse (bei welchen zur Zurück-
baltung der Jodspuren hinter das Kupferoxyd eine
Silberspirale gelegt wurde), ergab Zahlen, die sich am
meisten der Formel C,,H,,0, näherten.
1) 0,2492 gr. der Substanz gaben 0,6058 gr. CO,
und 0,2647 gr. H,0.
2) 0,2628 gr. der Substanz gaben 0,6397 gr. CO,
und 0,2814 gr. H,0.
Gefunden in Procenten.
nl
C— 66,30 66,33 66,05
H= 11,60 11,89 1192.
Eine Dampfdichte-Bestimmung im Dampfe des Is0-
amylalkohols (bei 132°), nach der von Brühl'*) abge-
änderten Methode von Hofmann, ergab die Zah]l 6,75
im Verhältniss zu Luft. Die angewandte Menge be-
trug 0,0168 gr., die Quecksilberhühe im Apparate
vor der Einführung der Substanz 744 mm., nach der
Eïinführung 726,5 mm., das Volumen des Dampfes
127,05 Ce.
Die oben angeführte Formel verlangt für D = 7,55;
die Übereinstimmung ist also nicht vollkommen ge-
nügend, was dadurch bedingt sein mag, dass die Sub-
stanz nicht ganz rein war (worauf auch die obigen Ana-
lysen hinweïisen) und dass schon bei dieser Temperatur
wahrscheinlich eine Zersetzung eingetreten war (s.
unten).
Beim Einwirken von concentrirter Jodwasserstoff-
säure gab die Verbindung C,.H,,0, Isobutyljodid und
gleichzeitig harzige Produkte. Dieses wies auf einen
Gehalt von Isobutoxylgruppen und auch darauf hin, dass
der andere Bestandtheil der Verbindung sich leicht
verändert, indem er unter dem Einfluss der Säure ver-
harzt. Hierbei tauchte die Vermuthung auf, dass wir
es vielleicht mit dem Derivate irgend eines Alde-
hydes zu thun hätten. Es war daher nothwendig ein
solches Reagenz zu finden, das unter Abspaltung der
Berechnet für C,,H603.
| Butoxylgruppe das zurückbleibende Produkt nicht an-
greife. Als solches erwies sich der Eiïsessig, der schon
mit Erfolg zur Zersetzung des Acetals von Würtz !)
und Beilstein ”) angewandt worden ist, Die Behand-
lung der Substanz mit Eisessig führten wir in zuge-
schmolzenen Rühren aus, indem wir ungefäbr gleiche
13) Brühl, Berl. Ber. IX. 1369.
14) Würtz, Ann, Chem. Pharm. 100. 116.
15) Beilstein, Ann, Chem, Pharm. 142. 239.
235
Bulletin de l'Académie Impériale
236
Gewichtstheile von C,,H,,0, und C,H,0, nahmen. Die
Rôhren wurden bei 110°—120° etwa 20 Stunden lang
erwärmt, worauf dann der vollständig durchsichtige,
schwach gelb gefärbte Inhalt in Wasser gegossen wurde.
Die dabei aufschwimmende Schichte wurde abgetrennt,
mehrmals mit Wasser gewaschen und mittelst geglühter
Potasche getrocknet; bei der Destillation ging sie bei
116°—118° über und erwies sich als Isobutylessig-
ester. (Der geringe hochsiedende Rückstand bestand,
allem Anscheine nach, hauptsächlich aus noch unzer-
setzter Substanz, da er bei weiterem Erwärmen mit
Eisessig neue Mengen des Essigesters gab, und wahr-
scheinlich auch aus Condensationsprodukten des Oxyal-
dehyds).
Die wässrigen Lôüsungen wurden alle zusammenge-
gossen, mit Soda neutralisirt und mehrmals mit Aether
extrahirt. Nach dem Verdunsten des Aethers auf dem
Wasserbade blieb eine dicke Flüssigkeit zurück. Die-
selbe enthielt etwas Natriumacetat in Lüsung, dessen
vollständige Entfernung durch Auflôsen der Flüssig-
keit in einer verhältnissmässig grossen Menge von voll-
ständig trocknem Aether erreicht wurde. Aus der von
dem krystallinischen Niederschlage abfiltrirten aethe-
rischen Lôüsung wurde der Aether auf dem Wasserbade
abdestillirt und die zurückbleibende Flüssigkeit der
Destillation unter vermindertem Drucke (bei 32 mm.)
unterworfen. Letztere ging nun in weiten Grenzen über,
indem die Destillation schon unter 50° begann; der
bis 60° aufgefangene Antheil besass noch den Geruch
des Isobutylessigesters und enthielt auch Wasser;
darauf stieg das Thermometer gleichmässig und fast
alles ging bis zu 110° über. Das Destillat war eine
farblose leicht bewegliche Flüssigkeit von angenehmem
Geruche, welche beim Stehen dick wurde und nach
einigen Tagen die Consistenz eines sehr dicken Sirops
annahm; sie lôste sich gut in Wasser und reducirte
energisch Siülberoxyd in ammoniakalischer Lüsung,
unter Bildung eines schünen Spiegels.
Die Analyse der Fraktion 80°—100° ergab Resultate
die mit der Formel (C;H,0), gut übereinstimmen.
0,2963 gr. Substanz gaben 0,5906 gr. CO, und
0,2422 gr. H,0.
Gefunden in Procenten. Die Formel (C,H,0), verlangt:
C— 54,36 54,54
H— 9,08 9,09.
Durch die, mittelst Silberoxyd ausgeführte, Oxydation
wurde sodann festgestellt, dass die Substanz vollkom-
men homogen war und dass das Molekül der Formel
C,H,0, entspreche. Zu diesem Zwecke wurde die wäss-
rige Lôsung bei gewôhnlicher Temperatur mit einem
Überschuss von frisch gefälltem Silberoxyd 6—7 Tage
hindurch stehen gelassen. Nach Ablauf dieser Zeit wurde
die Lüsung von dem Niederschlage abfiltrirt und letz-
terer mit Wasser gewaschen. Aus der wässrigen Lô-
sung schied sich beim Verdunsten unter dem Exsikka-
tor das Silbersalz in Form flacher Prismen aus. Die
Analyse ergab folgende Zahlen: 0,1428 gr. des über
Schwefelsäure getrockneten Salzes gaben 0,0731 gr.
metallischen Silbers.
Gefunden in Procenten. Berechnet für C,H,0,Ag.
Ag — 51,19 Hi GRIS
Zur Gewinoung der freien Säure wurde das Silber-
salz in Wasser gelüst, durch Schwefelwasserstoff zer-
setzt, der Überschuss des letzteren durch Erwärmen
entfernt, die vom Schwefelsilber abfiltrirte wässrige
Lôüsung mehrere Mal mit Aether ausgezogen und letz-
terer verjagt. Es blieb eine krystallinische Säure zu-
rück, die nach dem Trocknen und Sublimiren feine
Nadeln darstellte und bei 78°—79° schmolz. Es konnte
daher keinem Zweifel mehr unterliegen, dass wir es
mit vollständig reiner «-Oxyisobuttersäure zu thun
hatten, für welche Markownikoff'*) die eben ange-
führte Schmelztemperatur angiebt, und dass folglich
das Ausgangsmaterial der &-Oxyisobutyraldehyd
ee C(OH)COH = C,H,0, gewesen sei. |
Zur genaueren Erforschung des erhaltenen Oxyalde-
hyds stellten wir eine grüssere Menge desselben dar.
Als Material diente uns die Verbindung C,,H,,0,, die wir
später auf eine etwas veränderte Weise, nämlich durch
Einwirken von Jod auf das Isobutylat, erhielten. Wir
fanden es bequemer die Zersetzung durch Kochen
eines Gemisches gleicher Theile von C,,H,,0, und
» | Eisessig in einem Kolben mit Rückflusskühler 20 bis
25 Stunden lang zu bewerkstelligen und zur Neutrali-
sation, der nicht in Reaktion getretenen Essigsäure,
eine zehnprocentige Natronlauge anzuwenden. Im
Übrigen wurde die Behandlung wie früher ausgeführt.
Bei der Destillation (unter 32 mm. Druck) destillirte
16) Markownikoff, Zeitschr. f. Ch. 1866, 502."
237
des Sciences de Saint - Pétersbourg.
der Oxyaldehyd wieder in denselben Grenzen: das
Sieden begann schon bei 40° und zwischen 75° und
110° ging alles über. Der Antheil 75°—110° wurde
noch einmal destillirt, die Siedetemperatur sank hier-
bei bedeutend: die ersten Tropfen gingen bei 47°
über, worauf das Thermometer schnell bis zu 50° stieg
und bis zu 55° war bereits der grüsste Theil überge-
gangen. Die im Destillationsapparate zurückbleibende
Flüssigkeit fing nun erst bei etwa 140° wieder zu sie-
den an und ging fast vollständig bis 144° über, wobei
das Destillat beim Abkühlen zu krystallisiren anfing.
Die Fraktion 50°—55° (diese Siedetemperatur ent-
spricht augenscheinlich derjenigen des monomeren
Oxyaldehyds unter dem gegebenen Drucke) wurde
analysirt.
0,2734 gr. Substanz gaben 0,5490 gr. CO, und
0,2268 gr. HO, was in Procenten: C — 54,76 und
H = 9,22 ausmacht.
Beim Stehen verdickte sich dieselbe und nach dem
Zufügen von Kryställchen fing sie an zu krystallisiren
und erstarrte nach einigen Tagen fast vollständig zu
einer krystallinischen Masse. Auf gleiche Weise wurde
auch das Oxyaldehyd aus der Substanz C,H,,0, , die
bei der Reaktion auf Jodoform erhalten worden war,
zum Krystallisiren gebracht. Die zwischen Fliesspapier
sorgfältig abgepressten Krystalle gaben bei der Ana-
lyse Resultate, die mit der Formel C,H,0, gut über-
einstimmen. 0,2066 gr. Substanz gaben 0,4120 gr.
CO, und 0,1692 gr. H,0.
Gefunden in Procenten.
VU == DE 09. = 04,54
Hs 9,10 + 9,09,
Aus diesen Daten ist deutlich zu ersehen, dass das
krystallinische Produkt ein Polymer des flüssigen
Aldehyds ist. Die Krystalle besitzen keine scharfe
Schmelztemperatur, sondern fangen schon bei 63° an
weich zu werden und werden erst bei 67° vollkommen
flüssig, zum Erstarren ist aber eine geraume Zeit er-
forderlich. Sie sind geruchlos und in Wasser und
Aether leicht lôslich. Die aus der aetherischen Lü-
sung zurückbleibende, dicke Flüssigkeit verwandelt
sich langsam in glänzende harte Krystalle, die bald
wie verkürzte Prismen, bald wie ziemlich dicke, aus-
gezogene sechsseitige Tafeln aussehen (Letzteres ist der
Fall, wenn die Krystallisation in flachen Gefässen vor
sich geht). Herr Glinka hatte die Güte, die prisma-
Tome XXXII
Berechnet für C,H,0..
tischen Krystalle zu messen und theilt uns darüber
Folgendes mit:
«Krystallsystem: rhombisch.
a:b:c= 0,98415 :1:0,81792.
Beobachtete Formen p = (110), s—(111).
Grenzwerthe.
90° 50 —59"
138° 48 —53
sms ».
(110):(110) = 90° 55’
(110):(111)= 138° 50’
(111):(111)—= 97° 40’
Beim Destilliren unter Atmosphärendruck geht das
krystallinische Polymer zwischen 130°—136° über,
indem es sich vollständig in das Monomer verwandelt:
das Destillat ist eine leicht bewegliche Flüssigkeit von
charakteristischem Geruche, die beim Stehen sich all-
mählich verdickt und schliesslich krystallisirt. Unter
36 mm. Druck siedet es aber bei 142°—145° (nur ein
ganz unbedeutender Theïl geht unter 142° ab); das
Destillat ist sehr dickfiüssig und krystallisirt allmäh-
lich wieder. Unter vermindertem Drucke kann also
dieses Polymer in Dampf übergehen, fast ohne sich
dabei zu zersetzen. Hierdurch erklären sich, unserer
Ansicht nach, die weiten Grenzen der Siedetemperatur
des nicht vollkommen reinen Oxyaldehyds.
Wir müssen noch hinzufügen, dass der a-Oxyiso-
butyraldehyd unter, von uns noch nicht näher festge-
stellten, Bedingungen, die Fähigkeit besitzt, sich mit
Wasser unter Bildung eines Hydrates zu verbinden,
das in prismatischen Krystallen erscheint, die in Aether
fast unlôslich sind, zwischen 68°—76° schmelzen und
darauf nicht mebr erstarren !”).
Die Eigenschaften des a«-Oxyisobutyraldehyds nähern
sich, wie zu ersehen, sehr denjenigen des Aldols von
17) Dieses Hydrat bildete sich beim Abkühlen in Schnee und
Salz einer der niederen Fraktionen der Destillation des rohen Oxyal-
dehyds unter vermindertem Drucke, Nach dem Auswaschen mit
16
239
Bulletin de l’Académie Impériale
240
Würtz, mit dem er isomer ist und das bis jetzt der
einzige Vertreter dieser Classe von Verbindungen war.
Das frisch überdestillirte Aldol ist, wie bekannt, eine
farblose, bewegliche Flüssigkeit, welche beim Stehen
dick wird und nach längerer oder kürzerer Zeit ein
krystallinisches Polymer liefert. Dieses letztere schmilzt
zwischen 80° und 90° und siedet unter vermindertem
Drucke in weiten Temperaturgrenzen *), indem es hier-
bei jedoch in das Monomer übergeht.
Kehren wir jetzt wieder zum Produkte C,;,H,,0,
zurück.
Beim Einwirken von Essigsäure auf dasselbe erhält
man, wie schon erwäbnt, einerseits den Isobutylessig-
ester, andrerseits den Oxyaldehyd C,H,0,. Quantitative
Versuche haben hierbei gezeigt, ie die zur Zersetzung
erf li ge der Entstehung von zwei
Molekülen des Essigesters entspricht. Die Verbindung
C,,H,,0, ist folglich ein Aetherderivat dieses Aldehyds
und lässt nur zwei Strukturformeln C;,.H,.0, zu:
CH; OCH
I Gx, > C(OH.CH é GR,
und II De » COCH)CH € S. de
Erstere entspricht dem Acetalderivat des &-Oxy-
isobutyraldehyds, die zweite — dem Isobutylalkoholat
desselben Aldehyds, dessen Hydroxylwasserstoff durch
die Gruppe (OC,H,) ersetzt ist. Sogenannte Alkoholate
d.h.Additionsprodukte der Alkohole zu den Aldehyden,
sind für das Chloral, den Monochloraldehyd und andere
Haloïdsubstitutionsprodukte der Aldehyde bekannt.
Als charakteristische Eigenschaft dieser Verbindungen
erscheint ihre Fähigkeit beim Erwärmen, oft schon bei
derSiedetemperatur, in die Komponenten zu zerfallen!).
Die Acetale, wenigstens die bis jetzt bekannten, sind
dagegen sehr beständige Kôrper, die ohne Zersetzung
und dabei bei verhältnissmässig hoher Temperatur
sieden”). Zur Entscheidung der Frage, welcher von
den angeführten Formeln die Struktur unserer Sub-
Aether und dem Trocknen wurde die Substanz analysirt. 0,0897 gr.
derselben gaben 0,1495 gr. CO, und 0,0742 gr. H,0.
Gefunden in Procenten. Berechnet ps 1H,0,+H,0.
cye
18) Würtz, C. R. 74. 1301; 76. 1165; 83, 205 und 1
19) Schäffer, Berl. Ber. I, 1871, De Lieben, Berl. Ber. III,
907; Pinner, Ann. Chem. Pharm. 179. 3
20) vgl. Würtz, Ann. chim. phys. ji (31. 1856, 371 und 376.
stanz entspricht, haben wir ihr Verhalten beim Erhitzen
uñtersucht, zu welchem Zwecke wir dieselbe der De-:
stillation unter gewôhnlichem Drucke unterwarfen ?),
Das Sieden begann schon bei 145°, zwischen 210°—
225° ging der grôsste Theil (der, wie es scheïnt, noch
unveränderten Substanz) über, aber selbst bei 265°
blieb immer noch ein geringer Theïl zurück. Bei wie-
derholter Destillation wurde die Anfangssiedetempera-
tur der untersten Fraktion immer niedriger, während
die Fraktion selbst immer zunahm. Zuletzt erhielten
wir einen ziemlich bedeutenden, konstant bei 106° —
108° siedenden, Antheil, der sich als Isobutylalkohol
herausstellte. Analysen ergaben sodann, dass die hôhe-
ren Fraktionen in der That ein Abspaltungsprodukt
eines Moleküls Alkohol von einem Molekül der Ver-
bindung C,,H,,0, seien.
CH w #0
CH, > COC,H,) CE Oo
CH
= CH, » C(OC,H,)COH + C,H,,0.
I. 0,2602 gr. bei 240°—265° überdestillirter Sub-
stanz gaben 0,2594 gr. H,0 und 0,6325 gr. CO,
IL. 0,2604 gr. des über 265° siedenden, nicht de-
stillirten Rückstandes, gaben 0,2595 gr. H,0 und
0,6312 gr. CO..
Gefunden in Procenten.
I Il
C—66,28 66,11 66,66
H—11,08 11,07 {111
Die erhaltene Verbindung C,H,,0, haben wir nicht
näher untersucht und wollen hier nur bemerken, dass
dieselbe eine farblose, dicke Flüssigkeit war, die sich
in Wasser nicht lôüste und-einen schwachen Geruch
zeigte. Die hohe Siedetemperatur und deren weite
Grenzen lassen sich, wie uns scheint, durch die Fähig-
keit der Substanz leicht zu polymerisiren erklären,
analog der Eigenschaft des freien Oxyaldehydes selbst.
Auf Grund des Gesagten ziehen wir den Schluss,
dass der Verbindung C,,H,,0, die zweite der oben an-
geführten Strukturformeln zukommt, nach welcher sie
als ein Isobutylalkoholat des Isobutyl-a-Oxy-
isobutyraldehyds betrachtet werden muss.
Was die hôhere, zwischen 135°—175° siedende
Fraktion der ursprünglichen Destillation der neutralen
Berechnet für C;H,802.
21) Wir benutzten hierbei die beim Einwirken von Jod auf das
Isobutylat erhaltene Verbindung C,,H:603.
241
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
24?
Produkte (s. oben) anbetrifft, so war dieselbe, allem
Anscheine nach, ein complicirtes Gemisch, denn trotz
wiederholter Destillation gelang es uns nicht irgend
einen constant siedenden Antheil auszuscheiden. Das
Gemisch ging unter Zurücklassung eines geringen Rück-
standes bis zu 200° bei 37 mm. Druck über. Es muss
jedoch bemerkt werden, dass hier kohlenstoffreichere
Substanzen zugegen waren, denn schon der Antheil
144°—154° ergab bei der Analyse 68,03 Procent
Kohlenstoff und 11,46 Procent Wasserstoff.
Bei der Einwirkung von Jodoform auf Natriumiso-
butylat (in Isobutylalkohol-Lüsung) bilden sich also fol-
gende Verbindungen: Ameisen-, Isobutter-, Dime-
thylakryl- und Isobutyl-a-oxyisobutter-säuren,
Octolacton C;H,,0,, Methylisobutyl-CH,OCH,
und Diisobutylmethylen-Aether CH(OC,H,), und
Pi Sn cbr Rd de Eu D
CH 22
CH, »c(OC, H,). CHOC, he 0%):
Diese Reaktionsprodukte zerfallen ohne Zweifel in
zwei Kategorien: die einen verdanken ihre Entstehung
unbedingt dem Jodoform, nämlich: die Ameisen- und
Dimethylakrylsäure und der Methylisobutyl- und
Diisobutylmethylen-Aether; bei der Bildung der
anderen hat die Kohlenstoffgruppe des Jodoforms,
augenscheinlich, keinen Antheil genommen, da die-
selben eine dem Isobutylalkohol gleiche oder multiple
Anzahl von Kohlenstoffatomen enthalten; es gehüren
hierher die Isobutter- und Isobutyl-æ-oxyiso-
buttersäure, das Octolacton und das Produkt
CO.
Den Isobutylortl , der als Resul-
tat der Umsetzung zwischen Jodoform und Isobutylat,
nach der Gleichung:
CHI, + 3C,H,ONa = CH(OC,H,), + 3Nad,
hätte entstehen müssen, ist es uns nicht gelungen unter
den Reaktionsprodukten ausfindig zu machen. Dieser
normale Process der doppelten Umsetzung geht hier,
augenscheinlich, nicht vor sich”), sondern es findet
4h
22) Unter diesen Verbindungen waren, bei den angegebenen Be- |
dingungen: Isobuttersäure, near rc à und die Substanz
Ciehas LA ee - die vorherrsche nden
L! 4
vn à ‘ : TMS &L 2. [4 41 LE.
PRES URE SS mag; Rd à
unter den gegebenen Reaktionsbedingungen vor allem
eine Reduktion des Jodoforms statt, zuerst zu Methy-
lenjodid (das sowohl von A. Butlerow, als auch von
uns erhalten worden ist (s. oben)), auf dessen Kosten
auch der Diisobutylmethylenaether entsteht, und
darauf zu Methyljodid *), das mit einem Überschuss
des Alkoholats den Methylisobutylaether giebt. Dass
das Methylenjodid unter solchen Reaktionsbedingungen
in der That diese Umwandlung erleiden kann, beweisen
die schon früher von uns ausgeführten direkten Ver-
suche. Beim Einwirken von CH.J, auf das Isobutylat
erhielten wir, zugleich mit dem Diisobutylmethy-
lenaether, dem normalen Reaktionsprodukte, auch den
Methylisobutylaether und ausserdem Isobutter-
säure und Octolacton (Dimethylakrylsäure und die
Verbindung C;,H,,0, waren hierbei nicht entstanden*”).
Es ist augenscheinlich, dass der zur vor sich gehen-
den Reduktion von CHJ, zu CH,J, und von CH,J, zu
CH,J erforderliche Wasserstoff auf die eine oder an-
dere Weise dem Alkohol (Alkoholat) entnommen wer-
den muss. Da aber bei der Reaktion Isobuttersäure,
das Oxydationsprodukt des Alkohols, entsteht, so liegt
die Voraussetzung sehr nahe, dass der Wasserstoffver-
erklärt sich die Bildung der von uns bemerkten Ameisensäure am
leichtesten durch die Zer setzung dieses Aethers unter dem Einflusse
eines Überschusses des rares Expire Bassett (Ann. Chem. 13?
unter Bildung des rase de Ameisensüure. Es ist zu be-
merken, dass auch bei Einwirkung von Chloroform auf Alkoholate
die Ausbeute von Orthoaethern sebr gering ist: nach Ladenburg und
Wichelhaus übersteigt dieselbe z.B. beim Serre nicht 109/,
der Meur agé Menge (Ann. Chem. 1869, 152, 165).
24) De em Anscheine 1 nach ue dieser Reaktiousverlauf bei den Poly-
beim Einwirken einer starken Lüsung von Kaliumsulft auf Chloro-
form bei 180° — Methylchlorid, CH,S0,K, CH,(S0,K), und wahr-
scheinlich CHCI,S0,K und CH,CLSO,K (Strecker, Ann. Chem. 1868,
48, 9
25) In der nage Mittheilung (1. c., p. 326) hatten wir schon darauf
hingewiesen, dass der hochsiedende Rückstand des Säuregemisches
ähnliche rebhatien besessen hat, wie die, bei der Einwirkung von
Isobutylat auf Jodoform, entstehenden hochsiedenden sauren Pro-
dukte. Der direkte re deniers uns davon, dass hier eben
das Octolacton vorhanden war. Was den hochsiedenden Antheil
(125°—130° bei ungefähr on ss Druck) der neutralen Produkte an-
betrifft, so hat er schon den Eiïgenschaften nach sich, mit der, bei
der Reaktion des Isobutylats auf Jodoform auftretenden Verbin-
dung C;,H,g03, als nicht identisch erwiesen. Die Analyse ergab
C = 70,80, H = 11,91, während die Formel C,,H,603 — C = 66,05
H = 11,92 verlangt.
wähnt, dass in der in Rede stehenden Abhand-
ung auf p. 821, Zeile 3 von unten und 5 von oben statt Dimethakryl-
äure — Dimethylakrylsäure und auf p. 322, Zeile 1 von unten statt
Isobutyljodid — tertiäres Butyljodid zu lesen ist,
Bulletin de l’Académie Impériale
244
lust ursprünglich zur Bildung des dem Alkohole ent-
sprechenden Aldehyds führen muss. Für diese An-
nabhme spricht auch folgende von Bolas und Groves*)
beobachtete Thatsache: beim Erwärmen von Tetra-
bromkohlenstoff mit Aethylalkohol in zugeschmolzenem
Rohre erhielten dieselben Bromoform, Aldehyd und
Bromwasserstoff, entsprechend der Gleichung:
CBr, + C,H,0 — CHBr, + C,H,0 +- HBr.
Die Gegenwart von Alkalien in unseren Versuchen
konnte einem solchen, durch folgende Gleichungen aus-
gedrückten, Reaktionsverlaufe nur günstig sein:
CHI, + C,HONa — CIHLJ, + C,H,0 + NaJ.
CH,J, + C,HONa = CH,J +- C,H,0 + Nad.
Diese Vorstellung über den Gang der Reaktion ist,
unserer Ansicht nach, die einzige, durch welche fast
alle von uns erhaltenen Verbindungen genetisch ver-
knüpft werden künnen. (Der Umstand, dass der Alde-
hyd selbst unter den Reaktionsprodukten nicht gefun-
den wurde, kann einer solchen Annahme nicht wider-
sprechen, da die ausserordentliche Leichtigkeit, mit
der die Aldehyde unter dem Einfluss von Alkalien sich
schon bei gewühnlicher Temperatur verändern, be-
kannt ist ?°)
In der That ist die Entstehung des Diisobutylme-
thylen- und Methylisobutyl-aethers schon aus den
soeben angeführten Gleichungen erklärlich. Was die
Bildung von Isobuttersäure aus dem Isobutyraldehyd
anbetrifft, so ist dieselbe beim Einwirken von alkoholi-
scher Kalilauge bereits von Perkin (1. c.) und Fossek
beobachtet worden (Monatsh. 1883. 3, 622). Wie ein
direkter Versuch uns zeïigte, findet sie auch beim Er-
wärmen des Isobutyraldehyds mit Isobutylat (und der
darauf folgenden Behandlung der Reaktionsprodukte
mit Wasser) statt. Aller Wahrscheinlichkeit nach er-
leidet der Aldehyd zuerst eine Polymerisation unter
Bildung des Isobutylisobutyresters, analog dem, wie,
nach den kürzlich verôffentlichten Beobachtungen von
Claisen*), der Benzaldehyd sich unter Einwirkung
26) Bolas und Groves, Ann. Chem. 1870, 156, 65 u. 1871,
160, 175.
27) Speciell den Isobutyraldehyd betreffend s. Urech, Berl. Ber.
1879. XIL. 191, 1744; 1880. XIII, 590. Fossek, Monatsh. f. Chem.
1882. 2, 614 und 3, 622 und Perkin jun. Chem. Soc. Journ. 1888.
91.
28) Claisen, Berl. Ber. 1887. XX, 646. Es ist wobl nicht unnütz
darauf hinzuweisen , dass eine ähnliche Polymerisation schon früher
des Alkoholats zu dem Benzylbenzoësäureester poly-
merisirt :
C,H,COH + HOC.C,H, = C;H..CH,O.OC.CH, .
Ohne Schwierigkeit ist auch die Bildung des Octo-
lactons zu verstehen, das als ein Derivat eines
Condensationsprodukts des Aldehyds*’) erscheint. Von
diesem Standpunkte aus sind für dasselbe folgende
zwei Strukturfülle môglich: entweder giebt der Alde-
hyd bei der Condensation den y-Oxyaldehyd:
CH CH x, ee
CH, / CH.COH + CH, ? CHCOH —
— (CH,),CHCH(OH)CH,CH.COH
CH,
der sich unter dem Einflusse des Alkalis oxydirend,
y-Oxoktylsäure giebt, welche beim Ausscheiden aus
den Salzen in ein Lacton von folgender Struktur über-
geht:
CH x
CH, / PR CCE
|
(
oder die Condensation geht folgendermaassen vor
sich *?) :
beobachtet worden ist und zwar bloss unter dem Einflusse erhôhter
Temperatur: Würtz erhielt nämlich beim Erwärmen von Aldol (in
zugeschmolzenen Rühren bei 180° und hüher) den Ester der 8-Oxy-
buttersäure und des B-Butylenglykols (C. R. 1883. 97, 1529): ‘
CH. CH(OH)CH..COH + HOC.CH,.CH(ON).CH, —
— CH,.CH(OH).CH,.C0.0H,C.CH,.CH(OH)CH.,.
29) Es erscheint uns nicht sq dertarrae Len das vorliegende
Octolacton “Gedoch nicht rein) sch . in Händen gehabt
hat (Chem m. Soc. Journ, 45, 91): ‘derselbe erhielt nälich beim Ein-
wirken er Isobutter-
sâure, noch ein saures Produkt das bei Dao 258 pese sich in
te und, seiner Zusammen-
setzung nach, sich der Formel C,H,402 its
30) Zu Gunsten dieser Ansicht sprechen die Versuche von
Lieben und Zeisel über die Condensation der Aldehyde, nach
welchen die Ausscheidung von Wasser in solchen Fällen immer auf
osten des Sauerstoffs des einen Aldehyd-Moleküls und des Was-
serstoffs des mit dem Carbonyl verbundenen Kohlenstofïs des ande-
ren Moleküls vor sich geht (Monatsh. f. Chem. 1883. 10 und 1886.
53). Zweifellos muss aber dem Ausscheidungs-Processe des Wassers
eine Aldol-Condensation vorhergehen, wie das bei der Bildung des
Krotonaldehyds aus
(Mich
einer solchen Annahme ist es nicht nothwendig, dass die beiden sich
in Form von Wasser ausscheidenden Wasserstoffatome dem am Car-
bonyl liegenden Kohlenstoffatom angehüren.
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
246
245
CH,CH
CH …
CH.COH + /
CB; / ÉH.COH
CH,CH,
CH
= CH, 7 CH.CH(OH).C.COH.
Der hierbei entstehende Oxyaldehyd bildet nun,
indem er Wasser seule und sich oxydirt *), die
Säure CH,0, = Gr » C:CH.C(CH,).COOH. Das
Lacton muss demnach +. das Produkt der Isomerisa-
tion der Säure angesehen werden; diese Isomerisation
konnte, unter dem Einflusse von HJ bei der Destillation
der entstandenen Salze und des Natriumjodids mit Wein-
säure, vor sich gegangen sein; die Struktur des Lactons
müsste in diesem Falle durch folgende Forme] ausge-
drückt pes
H,
de Ë, te
Hubs is
Als Beispiel einer leicht vor sich gehenden Isomeri-
sation einer ungesättigten Säure in das entsprechende
Lacton kann die Umwandlung der Pyroterebinsäure in
das Isocaprolacton unter dem Einflusse von Mineral-
säuren und sogar bei Destillationen dienen *). Es ist
interessant, dass die vorausgesetzte Säure C.H,,0,,
ibrer Struktur nach vollständig der Pyroterebinsäure
entspricht, wenn man, nämlich, annimmt, dass dieser
letztern die Formel Fr C:CH.CH,.COOH zu-
kommt *).
Was die Verbindung C,,H,,0, anbetrifft, so ist de-
ren Bildung durch die Annahme unschwer zu erklären,
dass in der Gruppe (CH)” des Isobutyraldehyds eine
DAS des Wasserstoffs durch Jod stattfindet und
31) Einen ungesättigten Aldehyd C HO erhielt bereits Fossek
beim Erwärmen von Isobutyraldehyd mit einer gesättigten Lüsung
von Natriumacetat (Monatsh. 2, 614), ebenso auch Perkin jun. (1. c.)
beim Einwirken von alkoholischem Alkali auf den Isobutyraldehyd.
Freilich schreibt Perkin der von ihm erhaltenen Verbindung eine
andere Zusammensetzung (C,,H,,0,) zu, aber für die Identität der-
. selben spricht sowohl die vollständige Übereinstimmung der Eigen-
schaften, als pe die Dampfdichte-Bestimmung (Urech. Berl. Ber.
ee XII, 5
32) Über pe “Bildung von Krotonsäure beim Einwirken von trock-
nem Aethylalkoholat auf gewôhnlichen Aldehyd findet man eine An-
gabe bei Laatseh (Ann. Chem. 218, 31).
83) Fittig u. Bredt, Ann. Chem. 1881. 208, 55.
34) For Ann. Chem. 208. 1
an betrifft, so
dass der entstandene Jodaldehyd sich darauf mit dem
Alkohol verbindet (da ja die haloïdsubstituirten Alde-
hyde eine ausgeprägte Eigenschaft besitzen solche Ver-
bindung zu bilden) und sein Jod beim Einwirken des
Isobutylats mit der Gruppe (OC,H,) vertauscht:
as / ŒH
(CH,),CJCOH + C,H,0H = (CH) CJ.CE € GG,
und (CH), CJ.CH € 0H + NaOCH, —
SOC, 4H
CEE / OH
san ei: A N OCE,
Etwas schwieriger erscheint die Frage über den
Mechanismus der Bildung des Jodaldehyds. Es ist
môglich, dass die Ersetzung des Wasserstoffs durch
Jod direkt auf Kosten des Jodoforms vor sich geht,
welches hierbei in Methylenjodid übergeht. (Zu Gunsten
einer solchen Voraussetzung kann die Beobachtung von
Hofmann”) angeführt werden, laut welcher Jodo-
form schon beim Erwärmen auf 150° Methylenjodid
bildet, wobei also ein Austausch des Jods durch
Wasserstoff stattfindet). Ebenso müglich ist es aber,
dass das Jodoform, bei der hohen Temperatur, bei
welcher die Éouttus verläuft, sich zersetzt und Jod
ausscheidet; letzteres kann nun, bekanntlich, in Gegen-
wart von Alkalien, direkt den Wasserstoff organischer
Verbindungen ersetzen. (Wir erinnern an die Bildung
von Jodoform aus Alkohol, selbst in Gegenwart von
kohlensauren Alkalien, und an die direkte Ersetzung
des Wasserstoffs durch Jod im Anilin).
Diese letztere Interpretation bewog uns zur Unter-
suchung der Einwirkung von freiem Jod auf das Iso-
butylat (in einer Lüsung in Isobutylalkohol) zu schrei-
ten. Auf Grund der über die Einwirkung der Halogene
auf Alkoholate *) vorhandenen Daten war die Môglich-.
#5 C(OCH,).CH + JNa.
35) Hofmann, A. W. Ann. Chem, 115. 267.
36) So erhielt Maly bei der Einwirkung von Chlor auf eine alko-
holische Aethylalkoholat-Lôsung, unter anderen Produkten, den
Acetaldehyd (Sitzungsb. d. Wien. Akad. 1868. 58, 407). Was nun die
Bildung des Jodoforms (Butlerow, Ann. Chim. Phys. [3] 53, 3
neben Ameisensäure bei. der Einwirkon ng
kann
dadurch, dass zuerst J odal-CJ,CHO entsteht, das nachher unter dem
Einflusse des Alkoholats in CHJ, und CH,0, zerfällt, was ganz anà-
log der Zersetzung des Se CHO unter diesen Bedingungen würe,
da letzteres nach Kekulé (Ann. Chem. (1861), 119, 188) beim ses
wirken von Alkoholat in CHCI, und Ameisensäure zerfällt. Derselbe
organg findet auch bei der Énckonk von Brom statt, indem ch
hier, bei einem Überschuss des letztern, nach Sell und Salzmann
(Berl. Ber. VIT, 496) Ameisen- und Essigsäure und, ausserdem, noch
247
Bulletin de l’Académie Impériale
248
keit der Bildung von Isobutyraldehyd in diesem Falle
sehr wahrscheinlich und somit waren auch alle Bedin-
gungen zur Bildung der Verbindung C,,H,,0, ”) gege-
ben. Der Versuch bestätigte vollkommen unsere Vor-
aussetzung, da die Substanz C.,,H,,0, das Hauptprodukt
der Reaktion von Jod auf Isobutylat bildet. Gleich-
zeitig wurden auch Isobuttersäure und Octolacton
(und wahrscheïnlich auch Isobutyloxyisobuttersäure)
erhalten, d. h. gerade dieselben sauren Produkte, die
auch beim Einwirken von CHJ, und CH.J, entstehen.
Letzterer Umstand führt zu der Folgerung, dass in
allen drei Fällen, d. h. beim Einwirken von CH,J,,
CHJ, und J auf das Isobutylat, identische Processe
vor sich gehen und bestätigt, gewissermaassen, die aus-
gesprochene Ansicht über den Verlauf der Bildung der
hierbei entstehenden Produkte.
Indem wir über die Entstehung der Dimethylakryl-
säure am Schlusse dieser Abhandlung einige Andeu-
tungen machen wollen, gehen wir jetzt zur ausführ-
lichen Beschreibung der Versuche über die Einwirkung
von J auf Isobutylat über.
2, Die Einwirkung von Jod auf Natrium-
isobutylat.
Beim Einwirken von Jod auf Natriumisobutylat
wurde auf folgende Weise verfahren: 23 gr. Natrium
wurden unter Erwärmen in 230 gr. käuflichen Isobutyl-
alkohols (von Kahlbaum), der sich in einem geräumi-
gen, weithalsigen Kolben mit Rückflusskühler befand,
aufgelüst. In dem Pfropfen des Kolbens befand sich,
ausser dem Vorstoss, noch ein weiter Trichter, der zum
Eintragen des Jods diente und seinerseits wieder durch
einen Pfropfen geschlossen werden konnte. Nach Auf-
Jüsen des Natriums, was gewühnlich mehrere Stunden
in Anspruch nahm, wurde der Kolben durch Wasser
abgekühlt und darauf allmählich, unter Schütteln, das
Jod eingetragen. Es tritt hierbei eine stürmische
ein schweres Bromprodukt entsteht, das bei 150° siedet und bei 0°
erstarrt, und daher ohne Zweifel, CHBr, ist, welches bei 151° siedet
und bei +-2° erstarrt. (Sell und Salzmann halten übrigens dieses
Produkt, auf Grund einer Brombestimmung, für die Verbindung
C,H,Br,. Tetrabromaethane sieden aber unter Zersetzung über 200°
und erstarren nicht bei 0°; der Gehalt an Brom in CHBr, und
C,H,Br, ist ziemlich gleich: das erstere enthält 94,8, Br, das die
tere 92,50/).
_ 37) Es ist zu bemerken, dass der Serie en zu den Sub-
stanzen gehôürt, die beim Einwirken von Jod und li kein Jodo-
form geben (Lieben, Ann. Chem. Supplb. 7, 218).
Reaktion, gleich wie bei der Einwirkung von Jodoform,
ein: das beim Abkühlen erstarrte Alkoholat wird bald
flüssig und der Kolbeninhalt geräth beim jedesmaligen
Eintragen von Jod in ein lebhaftes Sieden und wird
milchig, infolge des sich ausscheidenden Natriumjodids.
Nachdem 50—60 gr. Jod eingetragen sind, wird die
Reaktion jedoch weniger lebhaft, die Färbung vom Jod
erhält sich verhältnissmässig länger und zuletzt tritt ein
Moment ein, wo dieselbe schon nicht mehr verschwin-
det; die Menge des zugeschütteten Jods beträgt dann
115—-116gr. Zur Überführung des ganzen, zur Reak-
tion angewandten, Natriums in das Jodid sind 127 gr.
Jod erforderlich.
Im Ganzen haben wir auf diese Weise etwa 810 gr.
Jod verarbeitet. Die weitere Behandlung der Reak-
tionsprodukte war genau dieselbe, wie bei der Ein-
wirkung von Isobutylat auf Jodoform. Zu der noch
heissen Flüssigkeit wurde Wasser zugegossen und nach
sorgfältigem Schütteln wurden die entstandenen Schich-
ten mittelst eines Scheidetrichters getrennt.
Die durchsichtige, braungefärbte, alkoholische
Schichte wurde 2—3mal mit dem gleichen Volumen
{heissen Wassers gewaschen, von der wässrigen Schichte
getrennt und ohne vorhergehenes Trocknen der De-
stillation unterworfen. Letztere wurde bei 130° unter-
brochen, während der über 130° siedende Rückstand,
welcher bei der jedesmaligen Behandlung 28—29 gr.
betrug, zur Befreiung von harzigen Substanzen mit
Wasserdämpfen überdestillirt wurde; der bedeutend
grüssere Theil ging hierbei verhältnissmässig leicht
über, indem im Destillat ein fast farbloses OI auf-
schwamm, ein kleinerer Theil destillirte dagegen mit
den Wasserdämpfen viel schwieriger und das jetzt ge-
sondert aufgefangene Destillat war ein ziemlich dickes,
braun gefärbtes OL. Im Kolben blieb eine schwarze,
harzige Masse zurück. Die erhaltenen Destillate wur-
den vom Wasser getrennt und unter vermindertem
Drucke (von 38 mm.) durchfraktionirt. Nach Vertrei-
bung des Wassers und Isobutylalkohols auf dem Wasser-
bade (die überdestillirende Flüssigkeit besass einen
leichten Geruch nach Isobutylisobuttersäureester) ging
das mit den Wasserdämpfen flüchtigere OI bei der ersten
Destillation (von etwa 140 gr.) fast vollständig zwi-
schen 118°—128° über; während von dem schwer-
flüchtigeren Ôle bis zu 130° (unter demselben Drucke)
nur ein unbedeutender Theil überging und darauf das
249
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
250
Thermometer ohne irgendwo stehen zu bleiben bis auf
160° stieg. Den verhältnissmässig geringen, zwischen
130°—160° übergegangenen, Antheil, der schwach
gelb gefärbt war, haben wir nicht genauer untersucht.
Nach zwei systematischen Destillationen wurde aus
der ersten Fraktion eine zwischen 118°—120° (bei
30—31 mm.) siedende Substanz isolirt. Dieselbe wurde,
zur Entfernung des in ihr enthaltenen Jods, mehrere
Stunden hindurch (unter vermindertem Drucke) mit
molekularem Silber gekocht und dann über letzterem
auch destillirt. Es gelang jedoch auf diese Weise nicht
das Jod vollständig zu entfernen. (Erwärmen mit Silber
bei hôherer Temperatur oder Kochen mit alkoholischer
Kalilüsung konnten, wegen Eintreten der Zersetzung,
nicht angewandt werden). Eine Verbrennung ergab
folgende Resultate :
0,2493 gr. Substanz gaben O0, 2633 gr. H,0 und
0,6027 gr. CO..
Gefunden in Procenten. Berechnet für C,,H603.
C— 65,93 66,05
kHss.il.72 11,92
Die Eigenschaften der erhaltenen Verbindung
C,,H03 stimmen mit denjenigen der, bei der Reaktion
des Jodoforms auf Isobutylat entstandenen Substanzen
vollkommen überein. Die etwas niedrigere Siedetem-
peratur (118°—120° anstatt 122°—125°) erklärt sich
dadurch, dass, um Zersetzung zu vermeiden, wir unter
niedrigerem Drucke (30 mm. statt 36 mm.) destillirt
haben. Die so erhaltene Substanz scheint in der That
reiner gewesen zu sein (d. h. weniger das Zersetzungs-
produkt C,H,,0, enthalten zu haben); dafür spricht,
abgesehen von den Daten der Analyse, auch das gerin-
gere specifische Gewicht, das — 0,8992 war (oben war
0,9041 gefunden worden).
Die wässrige Schichte wurde bis zu beginnendem
Auskrystallisiren des Natriumjodids eingedampft (um
den Alkohol zu verjagen) und darauf mit einem Über-
schuss von Phosphorsäure versetzt. Die dabei freige-
wordenen Säuren wurden durch mehrmaliges Behan-
deln mit Aether ausgezogen, letzterer auf dem Wasser-
bade abdestillirt und der Rückstand fraktionirt. Das
bis zu 175° Übergegangene fing bei einer neuen De- |
stillation bei etwa 100° zu sieden an, indem bis zu
‘110° zurückgebliebener Aether, Wasser und etwas Iso-
buttersäure übergingen; darauf stieg das Thermometer
schnell bis zu 150° und zwischen 155° und 159° ging
die Hauptmenge der Flüssigkeit (ungefähr 20 gr.) über.
Über 159° siedete nur ein sehr unbedeutender Theil.
Schon die Siedetemperatur und der charakteristische
Geruch liessen nicht daran zweifeln, dass Isobutter-
säure vorlag. Es wurde dennoch aus der Fraktion
155°—159° mittelst Silbercarbonat das Silbersalz dar-
gestellt, das in den für die Isobuttersäure charakte-
ristischen Täfelchen krystallisirte. 0,2719 gr. des im
Exsikkator über Schwefelsäure getrockneten Salzes
hinterliessen beim Glühen 0,1500 gr. metallischen
Silbers, was in Procenten = 55,17 Ag ausmacht. Die
Formel C,H,0,Ag verlangt Ag = 55,38°/.
Der über 175° siedende Rückstand von der ersten
Destillation, der braun gefärbt war, wurde in trocknem
Aether gelüst, um die vorhandenen anorganischen Bei-
mengungen (wahrscheinlich Natriumjodid) zu entfer-
nen; zugleich mit den letzteren schied sich auch eine
geringe Menge von Harz aus. Aus der abfiltrirten Lü-
sung wurde der Aether auf dem Wasserbade verjagt
und der Rückstand unter einem Drucke von 37—
38 mm. destillirt. Hierbei wurden folgende Fraktionen
erhalten: 1) bis zu 105° mit dem scharfen Geruch der
Isobuttersäure, 2) 105°—128° (0,5 gr.) (eine Probe mit
Brom zeigte das vollständige Fehlen von ungesättigten
Säuren in dieser Fraktion), 3) 128°—150° (3,5 gr.) und
im Rückstande eine harzige Substanz. Da die Fraktion
128°—150° den Geruch des oben beschriebenen Lac-
tons (s. oben) besass, so wurde sie bei gewühnlicher
Temperatur mit einer gesättigten Sodalüsung behan-
delt. Hierbei schwamm eine unlôsliche Schichte auf.
Dieselbe wurde in Aether aufgenommen und letzterer
auf dem Wasserbade abdestillirt. Der im Exsikkator
über Schwefelsäure getrocknete Rückstand siedete bei
der Destillation unter 37—38 mm. Druck zwischen
130°—135°, während die Hauptmenge zwischen 132°
—134° überging. Die Analyse dieser letzteren, ge-
sondert aufgefangenen Fraktion führte zu folgenden
Resultaten:
0,2198 gr. der Substanz gaben 0,1918 gr. HO
und 0,5420 gr. CO,. (
Gefunden in Procenten. Berechnet für C,H,,0,.
C = 67,25 = 67,60
H=—= 9,69 9,86.
Das durch Erwärmen des Lactons mit einer Baryt-
lüsung erhaltene Baryumsalz ergab nach dem Trocknen
bei 80° bei der Analyse folgende Zahlen:
mn
252
251 Bulletin de l'Académie Impériale
0,2549 gr. des Salzes gaben 0,1294 gr. BaSO,. CE «, CH COH + CHJ, — CE cy CH(OH).CJ,
In Procenten erhalten. CH; / : CH; Le
Berechnet für (C,H,,0;),Ba.
mr
Ba 29,89
Die koncentrirte Lüsung des Baryumsalzes gab mit
einer Chlorcalciumlôsung im Niederschlage das schwer
lôsliche Calciumsalz. Es unterliegt also keinem Zwei-
fel, dass sowohl beim Einwirken von Jod, als auch
bei dem Einwirken von Jodoform auf Isobutylat ein
und dasselbe Octolacton entsteht. Beim Ansäuren
der alkalischen Lôüsung, mit welcher die Fraktion
128°—150° zur Erhaltung des Lactons behandelt
worden war, schied sich eine ülformige Säure aus, die,
allem Anscheine nach, die Isobutyl-x-oxyisobuttersäure
war. Leider war die Menge der Säure zur genaueren
Untersuchung zu gering.
Die Eïinwirkung des Jods auf Natriumisobutylat,
stellt, wie zu ersehen ist, eine sehr bequeme Methode
zur Gewinnung der Verbindung C,,H,,0, vor und er-
môglicht folglich auch den «-Oxyisobutyraldehyd ohne
Schwierigkeiten in verhältnissmässig bedeutenden
Quantitäten darzustellen. Wir nehmen uns vor das
Verhalten des Jods (und des Broms) zu Alkoholaten
anderer einatomiger Alkohole zu untersuchen, da es
vorauszusehen ist, dass aus einigen vollkommen analoge
Verbindungen entstehen werden.
Es bleibt uns noch die Frage über die Entstehung
der Dimethylakrylsäure bei der Einwirkung von CHJ,
auf das Isobutylat zu erôrtern. Die Hoffnung unter
den Reaktionsprodukten irgend eine mit dieser Säure
in genetischem Zusammenhange stehende Verbindung
aufzufinden, die den Schlüssel zur Aufklärung der Syn-
these hätte geben künnen, hat sich, wie aus dem Vor-.
hergehenden zu ersehen ist, nicht bestätigt. Eine Er-
klärung der Bildung dieser Säure unter der Einwirkung
der Verbindungen, die wir erhalten haben, erscheint
ziemlich schwierig. Man künnte vielleicht, auf Grund
der Arbeiten von Willgerodt*) über die Addition des
Chloroforms zum Aceton annehmen, dass der Isobutyr-
aldehyd (dessen Bildung, wie wir zu beweïisen gesucht,
aller Wahrscheinlichkeit nach stattfindet), sich mit
CHJ, verbinde und das Jodanhydrid der Ortho-x-0xy-
isovaleriansäure gebe:
88) Wiligerodt, Berl. Ber. (1881), XIV, 2451; 1883, XVI, 1585.
doch die Entstehung der Dimethylakrylsäure aus
dieser Verbindung würde allen bis jetzt vorhandenen
Beobachtungen widersprechen, nach denen die &-Oxy-
säuren (mit Ausnahme der tertiären ….oxalsäuren), nicht
die Eigenschaft besitzen, unter Wasserabspaltung in
ungesättigte Säuren überzugehen”). Dieselben Schwie-
rigkeiten stellen sich der Annahme entgegen, dass die
Dimethylakrylsäure (richtiger die Oxyisovaleriansäure)
sich auf Kosten einer Condensation des Isobutyralde-
hyds mit der Ameisensäure bilde:
C,H,0 + CILO, = C;H,,0;;
C;H,,03; — H,0 = C;H,0,.
Die Môglichkeit einer Condensation des Oxymethy-
lens (dessen Aethers) mit der Isobuttersäure (entspre-
chend der Gleichung CH,0 + C,H,0,= C;H,0,+ H,0)
ist ausgeschlossen, weil gerade bei der Einwirkung von
CH,J, auf das Isobutylat nicht cinmal Spuren einer
ungesättigten Säure erhalten worden sind. Wir ent-
schliessen uns daher die folgende, freilich sehr hypo-
thetische Erklärung über die bei der Einwirkung der
Alkoholate auf CHJ, vor sich gehende Synthese der
ungesättigten Säuren zu geben; dieselbe entspricht
wenigstens den bis jetzt vorhandenen Daten besser als
die vorhergehenden Spekulationen. Man kann sich näm-
lich vorstellen, dass der gegenseitige Austausch von
Jodoform und den Alkoholaten, welcher, wie bereits
oben angegeben, allem Anscheine nach, nicht bis zu
Ende geht, bei der Bildung eines unbeständigen Sub-
stitutionsproduktes von zwei Jodatomen stehen bleibt.
Im Falle des Aethylats würde dasselbe folgende Zu-
sammensetzung haben:
CHJ, + 20,H,0Na = CHJ 0 CE: 0H")
KOCHL.CH, + 2Nad.
39) Selbst wenn man die Môglichkeit des Wasserverlustes aus den
«-Oxysäuren unter den gegebenen Bedingungen zugiebt, so würde
die Bildung der «-Aethylmilchsäure (bei der Einwirkung vom Aethy-
lat auf CHJ;) unerklärlich bleiben, da dieselbe dann als ein Ad-
ditionsprodukt der Alkohol-Elemente zu der Akrylsäure zu be-
trachten wäre und zwar gerade in der entgegengesetzten Ordnung,
in welcher sich die Elemente des Wassers (unter der Einwirkung
von Alkalien) mit letztgenannter Säure verbinden. Nach Erlen-
meyer (Ann. Chem. 1878, 191, 282), entsteht in diesem Falle, be-
kanntlich, nur Hydrakrylsäure.
40) Es ist môglich, dass die Reduktion des Jodoforms auf Kosten
der Zersetzung folgender Verbindungen vor sich geht:
CHJ, + NaC,H,0 — CHJ,.0C,H3 + Nad;
CHJ,.0C,H, = CH9, + C,H,0.
253
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
254
Giebt man nun zu, dass einer solchen Verbindung
die Eigenschaft innewohnt, unter dem Einfluss von
Alkoholat, die Elemente des Jodwasserstoffs zu ver-
lieren, so müssen daraus die folgenden, eigenartigen
Oxyde entstehen:
CH,-CH, CH,-CH
| "
0 — HJ — (0)
L /
CHJ-OCH, CH—OC,H;
und
CH, — CH,
ré
[e)
né
CH — OC.H,;
welche durch Addition der Elemente des Alkohols
Oxyaldehydderivate geben künnen:
CH,-CH CH,-CH(OCH.- CH;)
W
O “+HO-CH-CH=— | ,on
"4 CHK OCH,
CH OC.H,
und
CH. CH, CH,.-CH,-(0CH,: CH;)
4 |
9 + HO-CH,-CH, — É 0H
SOCH,
CH — OC.H,;
Wie die Bildung der Isobutylisobuttersäure auf
Kosten von C,,H,,0, zeigt (s.oben), künnen solche Ver-
bindungen unter den Versuchsbedingungen Säuren ge-
ben, die, im gegebenen Falle, die Aethylmilchsäure
CH;.CH(OCH,.CH;) und die Aethylhydrakrylsäure
COOH
CH,.CH,(OCH,.CH,) sein würden.
doi.
Die erstere ist in der That, wie bekannt, von Butle-
row erhalten worden, was die zweite anbetrifft, so muss
dieselbe, wie aus der Analogie mit der Hydrakrylsäure
geschlossen werden kann, leicht die Elemente des Al-
kohols verlieren kônnen und dabei Akrylsäure liefern:
CH,.CH,(OC,H;) CH:CH,
——— mn er he
COOH 00H
Tome XXXII.
welche gerade das zweite saure Reaktionsprodukt bei
der Einwirkung des Alkoholats auf Jodoform bildet.
Unter Anwendung auf das Isobutylat führt das ge-
gebene Schema zu folgenden Gleichungen:
CE op. CH, CH,-CH(CH,)-CH, *)
CH,/ L | /
# | 4
0 — HJ= | (
L De
CHJ — OCH, 4
La CH—OC,H,
CH,: CH(CH;)CH, CH,-CH(CH;)CH,(OC,H,)
# |
F4 |
— cp 0H
“ O + HOC,H, — CEK GG, H,
m
CES. E,
Die letzterer Verbindung Atiechedes Säure kann,
unter Verlust der Alkohol-Elemente, eine ungesättigte
F CE,X
Säure von der Struktur CH,Z > C—CH.,.COOH geben,
die, indem sie eine Isomerisation erleidet, in die Säure
übergehen muss, welche die der Dimethylakrylsäure
allgemein zugeschriebene Struktur
Css : à
CH, ? C — CH.COOH besitzt ).
41) Wir beschränken uns auf diesen Fa weil a übrigen theo-
retisch müglichen Fälle der reg uug von HJ zur Bildung von
Isobutyloxyvaleriansäuren füh müssten, ru wir unter den
Reaktionsprodukten nicht Stpetinilen haben
42) Es ist übrigens Grund zur Annahme ie dass der Di-
methylakrylsäure in der That die erste Formel entsprechen künnte.
Aus den Arbeiten von Érédde r ([naug.-Dissert. nice hen, 1877) und
A.Hermann (Inaug.-Dissert. Zürich, 1883, Zürcher u. Furrer) folgt :
folge des Zerfalls der Diaethoxalsäure beim Erhitzen entsteht:
CH;.CEN, à : _# 0 = CB CH \
CH, SCHL > C(OH)COOH — H,0 = CH, CE, / C.CO0H;
dieses neue Isomer geht beim Einwirken hoher ARE oder
.starker Mineralsäuren in die sogen. Aethylkrotonsäure über. Hierauf
À à
er früheren Acthylkrotonsäure die
CH. CH, / CH.COOH zu. Sind
diese AL te woran übrigens kaum vezweifelt werden
kann, so müssen tsprechend auch die Formeln anderer, zur
Akrylsäurereihe res des Säuren umgeändert werden; s0 %. B.
mûsste der Angelikasäure die jetzige Formel der Tiglinsäure gege-
ben werden (was Hermann (I. c., pag. 62) auch bereits gethan hat,
indem er Dane ankündigt, dass es ihm gelungen ist durch Abspalten
47 |
fussend, schreibt Hermann
einzig môgliche Strukturformel
be
Bulletin de l’Académie Impériale
L
256
Zum Schluss.künnen wir nicht umhin auf den Para-
lellismus hinzuweisen, der bei der soeben gegebenen
Interpretation zwischen der Reaktion des Jodoforms
auf Alkoholate und der bekannten Reaktion der Bil-
dung aromatischer Oxyaldehyde beim Einwirken von
Chloroform auf Phenolate “) zum Vorschein kommt:
der Unterschied würde eben nur darin bestehen, dass
die Oxyaldehyde (deren Derivate) der Fettreihe, als
weniger stabile Verbindungen, unter den Reaktions-
bedingungen eine weitere Veränderung erleiden und
in die entsprechenden Säuren übergehen würden “).
Inwieweit die gegebene Interpretation der Wirklich-
keit entspricht, müssen weitere Versuche zeigen.
Der grüsste Theil vorliegender Arbeit ist von uns
noch zu Lebzeiten des verstorbenen Prof. Butlerow,
in dessen Akademischem Laboratorium ausgeführt
worden.
Bericht über die auRgabe des Mi‘jâr i Jamâli, Von
C. Salemann. (Lu le 17 novembre 1887.)
Indem ich die ere habe der Historisch-philologischen
Classe den ersten teil meiner aufgabe eines persischen
reimlexicons ?) vor zu legen, laBe ich über entstehung
und zwek diser arbeït einige bemerkungen folgen.
Als herr prof. de Lagarde im jare 1884 seine
«Persischen Studien» erscheinen lief ?), deren erster
von Wasser, beim Erhitzen, aus der Aethmethoxalsäure die ec
säure zu erhalten); der Tiglinsäure küme dann
CH,:CH.CH(CH,)COOH
zu; und es müsêten vielleicht auch die Formeln der flüssigen und
festen Krotonsäure und der Dimethylakrylsäure verändert werden.
Zur Entscheidung der Frage über die Struktur der letzteren sind
bereits von einem von uns einige Versuche in Angriff genommen
43) Reimer u. Tiemann, Berl. Ber. 1876, IX, 824 u. 1268; Rei-
mer, Berl, . IX, 428.
44) Ist die e Zusammenstellung richtig, so ist eine weitere Auf-
, klärung einigef Se iten dieser Reaktion,vielleicht,von der Erforschung
der Natur der beim Eïinwirken von "Chloroform auf die Phenolate
entstehenden Nebenprodukte zu erwarten
1) Shams i Fachrii Ispahänensis tétons Persicum id est libri
Mijàr :i Gamäli pars quarta quam ad fidem codicis Petropolitani
_recognitam annotatione critica adhibitis ceterorum lexicographorum
testimoniis instructam indicibus era auctam addito eius-
dem ut videtur auctoris carmine Margbüb al Quiûb inscripto auspi-
eïs Imperialis literarum universitatis Petropolitanae edidit Carolus
Salemann ppogerst Fasc. prior: textum et indices continens.
Casani 1887. 4°.
2) sm vel (Aus se XXXI B. d. Abbb, d. K. Ges. d Wiss.)
| 4. pr. 6+
teil eine bibliographische übersicht der biBher in hand-
schriften oder auch nur dem namen nach bekanten,
von orientalen verfaBiten, würterbücher des Persischen
enthält, glaubte ich kein überflüBiges werk zu tun,
wenn ich den in den bibliotheken St.-Petersburgs vor-
handenen handschriften diser art eine besprechung
widmete *). Denn vile von inen waren in den schriften
Dorn’s, des gewärsmannes von de Lagarde, noch
nicht auf gefürt worden. Zu diser arbeïit musten die
codices selbst nochmals einer genaueren durchsicht
unterworfen werden, und dabei kam mir auch die
nummer 477% des Asiatischen Museums in die
hände, über welche nur zwei ungenügende notizen
erschinen waren “)
Die handschrift umfaBt 72 blatt kleinquart, und
trägt von Dorn’s hand die aufschrift us (,s
durch welche nur der inhalt an gegeben, titel und
verfaBer aber unbestimt gelaBen werden. Sie ist eine
im jare der flucht 1275 (1858) auf Chanykov’s ge-
heiB her gestelte copie eines codex der bibliothek
der heil. stäâtte des Imâm ‘Al Rizà zu Meëhed, und
zeigt die bekanten unliebsamen eigenschaften moder-
ner persischer abschreiber, nachläBigkeit und unver-
stand. Alles diB in betracht gezogen, schin sie anfangs
keiner besondern beachtung wert, um so mer als der
ungenante autor ein gestandener mafen alle belegverse
selbst verfaBt hatte. Aber ein glücklicher zufal lief
mich auf ein par verse stoBen 5), die mir als dem
Sams i Fachri zugehôürig bekant waren, dessen verse
in so manchen lexicis als beläge für die lesung und
bedeutung der würter an gefürt zu werden pflegen,
wärend ich seinen namen in den mir zugänglichen
tadkirahs bifher immer vergeblich gesucht hatte.
Eine flüchtige vergleichung solcher im il) «# und
LS. les Lo vor kommenden verse, die sich alle
in der handschrift auf finden lieBen, erwis unumstüf-
lich, daB dise das bifher für verloren geachtete werk
ne Lao enthält, von welchem Hägéi Chalfa®) spricht;
3) Literaturblatt für orient. Philologie.. IH, 74 ff.
4) Mélanges asiatiques. IT, 495. 501. 18).
5) Wenn ich nicht irre, waren es die verse IV, 21 und 40.
6) V, 640 nr. 12440: ALP el x) 4 Lis
gs) ol pull JL LU all ed) 6 5 : |
SV du Er ol #2. Wie wir unten sehn werden, bedarf
dise notiz einiger verbefiernngen.
257
des Sciences de Saïint-Pétersbourg.
259
es ist das drittälteste der auf uns gekommenen persi-
schen lexica. Der wert unseres anfangs verachteten
büchleins stig damit zu einer hôhe, welche die bear-
beitung als ungemein wünschenswert erscheinen lief.
Ich nam mir eine abschrift, und konte auch bald daran
gehen, den text zum drucke vor zu bereiten. Denn troz
aller mängel der vorlage boten die citate bei den übri-
gen hier zugänglichen lexicographen — und zum glük
sind das gerade solche, die den Fachri stark benuzt
haben — eine genügend sichere kritische unterlage,
ja gestatteten sogar lücken der handschrift auB zu
füllen. So konte ich mit gutem gewiBen wünschen,
meine arbeit gedrukt zu sehen, und mit géwonter
liberalität gewärte mir die orientalische facultät un-
serer universität die mittel dazu. Dank ir bin ich nach
überstandenen nôten der druklegung so glüklich den
freunden und kennern der persischen sprache den nach
môglichkeit gereinigten text des interessanten denk-
males einheimischer paioione der Perser vor legen
zu kônnen.
Allerdings hätte das buch an volständigkeit und
correctheit nicht unerheblich gewonnen, wenn es mir
früher bekant geworden wäre, daB unsere handschrift
nicht die einzige ist. Herr mag. Oldenburg, dessen
indische studien seiner neigung für Iràn keinen ab-
bruch zu tun vermügen, schrib mir im frühjare aub
Paris, er habe das volständige werk des Fachri im
cataloge der Bibliothèque Nationale gefunden, und
beglükte mich durch genauere nachrichten und auf-
züge auB dem codex (Suppl. persan nr. 457), von
welchen ich weiterhin gebrauch machen darf. Und
in disen tagen erfreute mich herr oberbibliothekar
Dr, Pertsch in Gotha durch die mitteilung, der vierte
teil, eben das jezt edierte würterbuch, befinde sich
auch noch in der Küniglichen Bibliothek zu Berlin
(Petermann nr. 477 fol. 57—123). Da mein text
aber schon fertig ab gedrukt war, und noch manche
zeit vergehen kan, biB mir die vergleichung der neu
auf getauchten handschriften ermüglicht wird, so ent-
schlo ich mich die so weit ab geschloRene arbeit, so
wie sie one die genanten hilfsmittel geworden ist, ans
licht treten zu laBen, behalte mir aber vor in einem
zweiten hefte die volständige collation und die nôtig
werdenden verbefierungen nach zu liefern.
= Samseddin Muhammad auB Ispahân, mit dem dich-
ternamen Fachri, lebte am hofe des Saich Sah Jamäl- |
eddin Abû Ishàk, welcher als einziger und lezter
nachfolger seines vaters Mahmüd, des begründers der
dynastie, von 742—754 (1341—1353) in Fârs und
‘Irâk herschte. Der junge fürst stand bei den dichtern
und gelerten seiner zeit in hohem ansehen, er galt für
einen günner der kunst und wiBenschaft, und seinen
namen strebten sie alle zu verherlichen. So preist in .
Chvâjà i Kirmäni am schluBe zweier seiner lergedichte
(A. H. 743, 744 vel. Rieu Il, 621); so recitiert vor
im der literarische gegner des genanten dichters, Hai-
dar, eine satire auf seinen nebenbuler, die mit den
worten begint (Rieu II, 623):
Jupe Ole ji 5 HE >> CE
dure Ulale LS7* sel 2 3) us y ge
Der dieb auB Kâbul *), Chväjü, komt wol auB der stat
Kirmän heran, — :
der ämBe gleicht im dichten er, und komt zu Suleimän
heran!
So widmet Muhammad i Âmuli wol dem vezire des
fürsten seine encyclopaedie pal) Qwls, aber erst,
nachdem er in der vorrede disen selbst geprisen hat
(Rieu Il, 435); und als Jamäleddin in ‘onmächtigem
kampfe gegen den Muzaffariden gefallen ist, da ver-
kündet kein geringerer unter seinen schüzlingen als
Häfz den rum des milden fürsten noch in die folgenden
jarhunderte hinauB:
05l st) La hrs ere
59 J-stiuse CA, dd Jus > Ur
tes Fe" Le af A5, D23 ol
ace obl eL
Du hast ganz recht; das türkissigel
des Bu-Ishak erglänzte hell,
7) Doch wol eine pin auf die Zigeuner, denn noch heutigen
tages gibt es, wie Darmesteter berichtet (Afghan life in Afghan
songs: Contemp. Rev. Gé. 1887), unter den Afghanen eine erbliche
sängerzunft fremden (man dürfte meinen zigeunerischen) blutes,
welche sich Dum nennt: Dom ist aber der name, den sich die Zi
geuner in Persien bei legen, entsprechend dem Lom in Klein-Asien,
Rom in Europa (Tarkanos®, srann. Cn6. 1887 p. 19). Wie mir
vou befreundeter seite mit geteilt wurde, bilden im türkischen ge-
biete blinde Armenier eben solch eine sängerkaste, S c genant.
2
Bulletin de l’Académie Impériale
260
allein die tage seines glückes
entschwanden leider al zu schnell.
O über dise qual und härte
in diser nezumstrikten welt!
o über jene huld und gnade,
die seinem kreile nie gefelt!
Sahst du, Hàfiz, das stolze rephun,
wie es mit lautem schall gelacht
und an des schiksalsfalken kralle
der sorgen ledig nie gedacht? )
Im zu eren auch benante Fachri sein werk ,Lse
Qôle-l pl plie, JLe «Aiche des Jamâl und SchlüBel
des A bû Ishâk», und bestimte es zu einer art encyclopädie
der poetik und rhetorik im weitesten sinne des wortes.
Die schrift zerfällt in vier teile ( D «kunst» benannt):
Lise Pl verslere oder metrik (im Pariser codex
fol. 1v— 39v); IL. Al pe reimlere (fol. 40v—58v);
HE 2e darstellungslere (fol. 58v— 104) *), und
IV. £a) fe
107v—172v). Auf dise vierteilung weisen auch schon
zwei verse des lezten teiles hin, —T, 30
Que pl 28 er ge Le
LL ps gt ol gel
und XXIL, 4: à D DE pr À us
Das glossar ist nach den lezten buchstaben in 21
capitel geordnet (De, ; , #_J’als je ein buchstabe
gerechnet, aber > und à et, und die würter in
jedem capitel wider nach dem reime gruppiert; denn
für jedes wort hat der verfaBer als beispil einen vers
verfaBt, deren merere zusammen längere oder kürzere
würterkunde oder lexicographie (fol.
8) Übersezt yon v. Rosenzweig-Schwannau I, 454.
9) In der einleitung zum lexicon f”, 14 sind die drei ersten teile
D, EL Us JE D also IT «rhetorische fisu-
ren»; das IL cap. wird citiert 94, 16. 19. Das selbe thema hat unser
autor auch noch in einem besonderen werke behandelt, wie wir
durch H. Ch. II 27 nr. 1710 erfaren: FLE al, » La) el
6 su] îÙ, wenn ich den titel recht deute. Eines dieser
beiden werke wird wol Farahâni zu Anvari (cod. Mus. Asiat. 176
_ fol. 18?) un haben, wenn er sagt: all. ) JD LE ue
#1] . ans A en (Kykosckiä, Jasepu p. 94 nr. 50).
genant:
gedichte bilden; und dise alle sind dem preise des
fürsten gewidmet. In der einleitung heift es darüber
(pag. #”, 9):
«Vor disem haben meister der gedichte und brah-
«manen der geschichten in disem fache (nämlich der
«lexicographie) längere und kürzere werke verfaBt und
«für jedes wort auB den schriften der alten autoren
«ein zeugnis an gefürt. Aber auB disen zeugnissen
«äBt sich nicht erkennen, ob jenes (wort) richtig oder
«felerhaft sei, vermüge des umstandes, daB durch einen
«bloBen vers, den sie zur bezeugung éines wortes ci-
«tieren, nicht fest gestellt wird, auB welchen buchstaben
«es bestehe und welchen von den drei vocalen es habe.
«Wenn aber die verse vervilfacht und die reime ver-
«doppelt werden, so wird die zweideutigkeit und ver-
«schidene auffaBung in consonanten und vocalen ge-
«hoben. Auf grund diser vorbemerkung, — als es an
«die abfaBung dises sammelwerkes gieng, und in der
«lere vom metrum, den reimen und den rhetorischen
«figuren so vil unumgänglich nôtig war, unter der
«glük spendenden herschaft dises fürsten u. s.w. (folgen
«merere zeilen prächtiger beinamen), volbracht und
«beendet war, — ersuchte mich ein freund auf der zal
«der literaten, daB ich zur bestätigung des persischen
«wortschatzes, von dessen zierrate die renner der ge-
«lersamkeit meistens ledig sind, einige blat schreiben
«müBe, auf daB dises sammelwerk ein solches buch
«werde, daB alles, wessen die auBgezeichnetsten dichter
«bedürftig sind, in disem sammelwerke enthalten sei,
«und es in der tat für dichter und prosaiker ein gil-
«tiges muster und ein unumgängliches hilfsmittel werde.
«Dieweil nun der rum dises herschers und das welt-
«erobernde schwert dises weltbeschützers über die
«ganze erde sich verbreitet, so unterwarf ich, bei der
«erfüllung der bitte jenes (freundes), mich viler mühe-
«waltung, und stellte auB den gedichtsamlungen der
«älteren dichter und den aufzeichnungen der forscher
«dises compendium der persischen sprache zusammen.
«Und da die älteren für jedes wort einen vers als
«zeugnis an gefüit haben, so verfafite ich geringer
«knecht alle jene preis- und singedichte, und schmükte
«deren verse mit dem namen oder bei- oder zunamen
«dises gnädigen fürsten und gebieters der siben kli-
«mate, so daB es (d. h. mein buch) für die gelerten
«und poeten ein notwendiges muster und ein zuver-
«läBiges bezeugnis ist. Ich lebe der hofnung, dal es
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
26?
«von den herren der beredtsamkeit eines wolwollenden
«blickes gewirdigt werde, — so Gott wil.»
Näher bezeichnet Fachri seine quellen leider nicht,
nur hie und da werden verse früherer dichter an ge-
17. C2 4,5
fürt (Lsmo238 V, 20. Ls_poñc À, 2. HI,
LD 3 LP À ee (sic) 4, 3. Loue V, 19 pe CJES
«A, 17), oder dise bloB genant US, IA, 2,7. (cup)
Vo, 15 und eben da der von lezterem RS so oft er-
wänte Araber L& à a. Eine anspilung auf die poetik
des Raëid i Vatvàt _yxssl) le ( (Flügel I, 205) sehe
ich im verse I, 8:
uirtee JF» ele,
Le 5 vialus, 7e lue 0
A case rs
in welchem Fachri sich rümt: «sein buch sei ein gar-
ten voller gedankenblumen, die alle das lob des schâhs
verkündigen; die «Zaubergärten» (so hatte Vatvât
sein werk benant) und deren wunderdinge (oder tro-
pen, denn wl.# heifit beides) künne man ruhig bei
seite laBen». Ob er aber selbst seinen rat befolgt, oder
im gegenteil das lerbuch seines vorgängers eifrig auB
geschriben hat, das fest zu stellen muB der späteren
untersuchung vor behalten bleiben. Auch auf die wal
der äuBeren, zum teil poetischen, form, welche Fachri
seinem Wôrterbuch gegeben, scheint Vatvat's beispil
nicht ganz one einfluB gebliben zu sein"). Übrigens
habe ich in den poetischen leistungen unseres autors,
10) Vel. I. Ch. HIT, 116 nr. 4643: dun )l5 de a y Je
Ji Je ue Je cp Jef] oil Ji QI Gyure
ue day né lovt à Je LILIL [sell (s yoall
9) 4] 8e LRRRe ee VA à D? ? 5), OL phil
— wol kaum das bei Fi D Pers. Hdss. p. 117 nr. 309,b “est.
nete werkchen., Dazu H. Ch. IV, 239 nr. net II, 800): ls?) Dgac
ële 3 à 5 Lys (5) Æ de ee
Lu JE Toul pue du ad) di Rs cpu,
LILI us, ni Gui , Jest Louge Late sl)
ES OL ol, ji dues ut bo
ak: Ts] à — zweifellos das von Rieu Il, 507 beschriebene
arabisch-persische wôürterbuch, der sich durch Flügel's falschen
text mit der verfelten übersetzung hat irre leiten lafen. Ein an-
deres äal)} «3 pd) ae nennt H. Ch. eben da nr. 8298.
die zu seinem hohen selbstbewustsein freilich in um
gekertem verhältnisse stehen, manche anklänge an
früher gelesenes gefunden; se das ist ser erklärlich,
hat er doch selbst, wie wir belert werden !), eine
blumenlese auB verschidenen dichtern zusammen ge-
stelt. Es hätte aber doch zu weit gefürt, wenn ich
den hie und da, meistens noch in handschriften, ver-
streuten vorbildern diser imitationen hätte nach spü-
ren wollen. Solche détailforschung mag an der zeit
sein, wenn unsere disciplin etwaB mer aufBgewachsen
sein wird.
Vil interessanter und fruchtbarer erschin es eine
andere frage zu verfolgen, ich meine die, in welchem
verhältnisse die späteren lexicographen zu disem
irem vorgänger stehen müchten. Wir wiBen, daB seine
verse, so schlecht und recht sie sind, einer erkleklichen
anzal der späteren würtersamler zum belege irer er-
klärungen dienen müBen: Halimi, ‘Aufi (LL A) às),
Ni‘matullâh, Surûri (es . pi] ec) Injû (s le Los),
Raï (ue Li) ‘Abdulkädir alBagdädi (4e <lal
ali), Su‘üri, sie alle berufen sich auf Sams i Fachri,
und füren zum teil sogar dessen erleuterungen würt-
lich an. Solten sie wirklich man für man das werk des
selben zur hand gehabt haben? So meinten es doch
wol die früheren, wenn sie sagten: Fachri ist quelle
für den und den. Ich môchte dises «ist quelle» nur
mit einschränkungen gelten laBen, und habe auch
guten grund dazu. Denn da mir zur herstellung und
bestätigung der lesarten der einzigen handschrift des
lexicons alle citate auB dem selben, welche sich in
den übrigen finden, von grüstem werte waren, so
muste ich die lexica, denen Sams i Fachri als autorität
gilt, volständig excerpieren. Wie sich nun solche arbeit
beim besten willen nicht ganz mechanisch betreiben
läft, one da man hie und da weïiter lese oder sich zu
dem gelesenen seine gedanken mache, so hat sich
auch meine meinung von der giltigkeit der oben an
gefürten ansicht in mancher beziehung ändern müben.
Es ist bekant, daB orientalische autoren das literari-
sche eigentum mit vil liberaleren augen an sehen als
11) H. Ch. II 296 nv, 2674: Jai Ml 3 lUiess ile)
(Es OT pe) usls É 25 ws) un ne
© Qull£ àm y)
Le
Bulletin de l’Académie Impériale
264
wir; und das hat, wenigstens für den jetzigen forscher,
auch sein gutes. Die alten schreiben sich mit der
grüsten unbefangenheit auB, oft one die quelle zu
nennen; sie übernemen deren citate, und geben sich
den anschein, als ob sie dise selbständig gesammelt
hätten. Dem geschärften blicke aber kôünnen die fugen
solcher mosaikarbeit nicht überal verborgen bleiben,
und es bildete sich mir bei der durchsicht der ver-
schidenen lexica ganz wie von selbst ein gewisses
urteil auB über das ma der selbständigkeit, mit
welcher ein jeder verfaBer gearbeitet hat, und gestüzt
auf dises urteil eine meinung von dem werte und dem
verdienste jedes der selben für die kentnis und um die
bearbeitung des persischen sprachschatzes. Ich sage
ein gewisses urteil, denn um hier ganz sicher zu gehen,
müste man jeden einzelnen vers und jede einzelne
erklärung durch alle quellen verfolgen, und au den
zalenverhältnissen die definitiven schlüfe ziehen. Dise
arbeit aber muB der zukunft vor behalten bleiben,
denn ehe die wichtigsten werke nicht gedrukt und mit
registern versehen vor ligen, reichen die kräfte eines
einzelnen, und auch mererer, dazu nicht auf.
Im Senaiien glaube ich nun versichern zu kônnen,
daB Ni‘matulläh und Rad, wol auch Injû und Su‘üri
den Fachri nicht selbst ein gesehen haben. Rakid ge-
steht das gewisser maBen selbst zu, und Ni‘matullâh
und Su‘ûri haben durchgehends nur solche verse des
Fachri, die auch von einem früheren citiert sind; wo
sie allein zu stehen scheinen, môchte ich es auB dem |
umstande erklären, daB mir weder Halimi noch ‘Auñi
volständig vor gelegen haben. Selbständig den Fachri
benuzt haben aber die beiden eben genanten, und wél
auch Surûri, denn in allen dreien werden nicht nur
verse von im (von Halimi und ‘Aufi müfen dise fast
volzälig auf genommen worden sein), sondern auch
manche seiner erklärungen an gefürt), und ire art
und weise zu arbeiten steht dem nicht entgegen, daB
sie das buch auB erster hand benuzt haben künten.
Halimi ist der kritische kopf, und jeden fals der
12) Für Halimi sehe man in meiner aufigabe die anmerkungen
22f. 23b. 30i. 48in. 51k. 57k. 72c. 76fis. 78e. 83 p. 90fh. 92n. 93ab.
97 f. 101 bgk. 103 dm. 110 h. 116 d. 122 b? 123 i. 1241. 125 0. 126 n,
128 hm. 131 1. 139 f; und für Surûri 11 e. 13 i. 22 i. 26 m. 33t. 34r,
. 37 à. 49 c. 46 £. 47 an . 48 i. 54 k. 61 In. 62 k. 66 e. 67 n. 70 f.
74 k. 76 fgs. 78 h. 79 eg. 83 0. 87 a. 90 i. 97 g. 101 mo. 104 c. 1071.
112 a. 116 dh, 124 I. 126 h. 127 ep. 128 e. 129 b. 136 ce. 136 b.
_ 138 b. 140 0.
bedeutendste, unter den älteren lexicographen, die ich
kenne. Wenn er fremde ansichten an fürt, so be-
spricht er das für und wider, wägt die ab weichenden
auBsagen gegen einander ab, und gibt den auBschlag
nach mafBgabe seiner eigenen hôchst gründlichen kent-
nis der sprache und literatur ‘).
‘Aufi schreibt, one vil nach zu fragen, seine vor-
gänger einfach auB, und da passiert im denn hin und
wider das kleine malheur mer ab zu schreiben als für
seinen zwek gerade erforderlich war ‘#).
Surüri ist der mer naive pedant. Er copiert seine
mancherlei quellen immer ganz gewiBenhaîft mit ge-
nauer angabe der selben, und es stürt in weiter gar
nicht, wWenn seine gewärsmänner sich stricte wider-
sprechen. Darum ist sein buch eine ware fundgrube für
die kentnis der älteren lexicographen, deren werke
zum teil noch nicht wider auf gefunden worden sind”), .
und es verdiente recht bald gedrukt zu werden. Ich habe
dabei aber mer noch die erste auBgabe des (sal)
im auge, welche A. H. 1008 (1599-1600) erschin,
denn die zweite von 1028, als deren vertreter ich die
von mir mit «Mj» und «Mi» bezeichneten handschrif-
ten!) glaube an sehen zu dürfen. Hier ist die kôst-
liche unbefangenheit des autors schon gestürt, er
unterwirft sich nur al zu oft der autorität des Lei
se nimt sogar auB dem selben merere würter
neu auf, und streicht dafür manche für uns so wertvolle
citate auB den alten samlern.
Neben der eben besprochenen gruppe von wôürter-
büchern steht aber noch eine andere, welche von Sams
i Fachri volkommen unabhängig ist: das al, von
Ibrâhim Kiväm i Fârûki, die sr am rande genante
l,yse 4x, und Taki Anbadis ds &ope, — alle
drei von Ijû citiert, und die beiden erstern auch von
13) Vel. z. b. ||e g: «in der erklärung von kräuternamen solle
n den lexicographen nur nicht al zu ser trauen». [IF d: «dic
reime der dichter seien ein sichereres criterium als die behauptungen
der lexicographen, selbst wenn sie eigene verse als beläge an fürten ;
dise lezteren gegen erstere zu benutzen sei unkritisch».
14) Vgl. V9 £. Ar h. {PV 1 mit dem texte Fachris.
15) So hatte ich die freude, dank den citaten Surûris, in der
hds. nr. 477 des Asiatischen Museums ein bifher nur erst dem namen
nach bekantes glossar wider zu erkennen, nämlich die |: | pe ee -
Die beschreïbung der handschrift gebe ich in der zweiten beilage.
16) Bibliothek des Instituts nr. 277.276 cf. Bar.Rosen Collections
scientifiques de l’Institut des langues orientales. IIL. vas per-
sans. St.-Pét. 1886 p. 299 nr. 119 und p. 298 nr. 118. Es gibt aber
pr stellen, wo beide handschriften unter einander A Ate
sin
265
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
266
Surûri als quellen benuzt. Wärend Sams i Fachri, wie
sich auB den wenigen mir bekanten fragmenten des
Asadi schlieBen läft, hauptsächlich dessen erklärungen
übernommen zu haben scheint, gehen die lexica des
Fârüki und Aubhadi auf ganz andere vorlagen zurük,
die mir alle nicht zugänglich waren.
Trozdém habe ich den versuch gewagt, das ver-
wandtschaftsverhältnis aller der genanten farhange auf
nebenan stehender tafel graphisch dar zu stellen: der
das gewälte sigel umschliefende kreiB bezeichnet,
da Fachri’s verse in dem werke citiert werden; die
verbindungsstriche sollen die abhängigkeit eines spä-
teren vom früheren in der erklärung der würter zur
anschauung bringen.
WaB ich hier in algemeinen umrifen auB einander
gesezt habe, muB, wenn es sich durch spätere ein
sehendere studien als richtig erweisen läft, die biB
hiezu über den wert der verschidenen originalwürter-
bücher auB gesprochenen ansichten erheblich modifi-
cieren. Um nur ein beispil an zu füren, kôünnen wir
hinfort den Ni‘matullâh getrost bei seite laBen, sobald
das ungekürzte werk des Halimi algemein zugänglich
semacht worden ist, eine aufgabe, welche allerdings
hier in St. Petersburg auf mangel an handschriften
nicht gelüst werden kan. Alle die tüchtigen eigen-
schaften, welche dem Ni‘matulläh nach gesagt worden
sind, verdankt_ er disem seinem lermeister. Und wal
der (sys LU», bietet, ist auch -nichts weiter, als
eine compilation auB Türken und Persern, welche allen
wertes verlustig geht, sobald die originalwerke ge-
drukt sind. Dises zu ermôglichen, ist eine der schün-
sten aufgaben, welche der persischen philologie zu
erfüllen ob ligt. Hoffen wir, daB sich bald frische
kräfte finden um auf disem felde ir teil arbeit bei zu
steuern. Denn nur, wann die einheimische tradition
gründlich und alseitig erforscht ist, kan sich unsere
disciplin auf festem untergrunde weiter auB bauen.
Zum schluB noch einige worte über den dem texte
s JLs yLe bei gegebenen anhang. Ich habe das
mystische lergedicht lil) Eye &L, ab drucken
laBen, nicht etwa daB ich im dem inhalte nach eine
grôüBere bedeutung zu schribe, sondern weil neben der
etwaB ungeschikten versification sowol der name des
dichters ,..…, als auch das jar der abfaBung A. H.
757 auf unseren lexicographen hin zu weisen schinen.
Die Wiener handschrift enthält noch vier andere ge-
dichte; der verfaBer des zweiten nennt sich JE Une
und ist gewis identisch mit dem mystiker !?).
Die in den Addendis und Corrigendis ab gedrukten
drei kasiden sind gewisser mafen alle inedita, da ori-
entalische lithographien ja noch immer handschriften
gleich zu achten sind. Das herliche gedicht des Kamäl
Ismä‘il hatte für mich noch ein besonderes interesse
wegen der partikel ;L, auf welche jeder vers au8 geht
und welche vor kurzem an diser stelle!*) auch als neben-
form der praeposition & nach gewisen wurde. Als er-
gänzung des damals gesagten müchte ich noch an fra-
gen, ob in verbindungen wie - f 5e. UDgË 5b nicht
ebenfals die praeposition gesucht werden muf? Man
vergleiche deutsche redensarten wie «jemandem etwañ
an sagen, an zZeigen», in welchen die praeposition aber
auch schon zum adverb geworden. Es ist ganz die näm-
liche erscheinung, wie in Quel ,5, Qué nb), u. dgl.
Beilage EL
Sams i Fachri’s vorrede zum Mi:jàr.
Ich gebe hier die vorrede zum ersten p nach der
mir von hrn. mag. S. Oldenburg gütigst besorgten
abschrift auB der handschrift der Bibliothèque Natio-
nale, suppl. persan nr. 457 fol. 3v—6v “).
PS ds en) y dj _ [fol. 3v]
5 be, Hs le ss vi de digue
sl sf ks af Louis sf ul 2 WI] yrls
buépb cet Bi CLR Dee
'iap: un ble Ex! D 3) Sy é af
af HE slt Lo Joe vie
e gl > >| unE, qu Lite, El Obs)
Si Je, yo 31 lobes Jé Je > Os 4 (spas
17) Eine neue beschreiïbung diser hds. gebe ich in beilage IL
Hr.. oberbibliothekar dr. Pertsch teilte mir freundlichst mit, daf
der 10-te abschnit des von mir edierten methnevi (p. _. . auch
in Berlin se vorhanden ist: Ms. orient. 4°.
rande von fol. 4
18) Bulletin xx sn asiat. IX, 249, Vgl. dazu Bar. Ro-
n San. Bocr. M. P. Apxeor. O6. II, 185. Auch im divân
Mint s list man ges ab ere oft.
a) Zu wortspilen benuzte termini technici habe ich überstrichen
und wie in der aufigabe à von > unterschiden.
267
Bulletin de l’Académie Impériale
Cable prie 5! 5 pos Jie af (olud) ee
ol 3) lie, pe LD je é use a (5 je
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b) Die mire à dises und der folgenden gere verse und
asen verdanke ich der güte des hrn.
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c) vers des Abû “Talib, vgl. Ibn Hisàm ed. Wiüstenfeld F- IV. R.
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ET A 593.15 9 Ho nd.
d) Sur 28, 14. Le) Sur 17, 72, f) Sur. 40,66 — 64,3. g) Sur. 95,4.
h) corr. auf LL, vel. die auBgabe V9,8 und nota.
i)9 von mir hinzu gefügt.
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des Sciences de Saint-Pétersbourg.
270
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k) er regierte von 695(696)—730(733. 736) A. H. cf. Rieu II 812*.
III 1094. Zu obigem stimt, wa$ H. Ch. V,641 nr. 12446 bei bringt:
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Tome XXXII.
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271
Bulletin de l’Académie Impériale
27?
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Nachschrift vom 2411/7III. Der bogen 17 des
Bulletins (53, 54 der Mélanges) war schon ab ge-
zogen, als mir die oben erwänte Pariser handschrift
_ hieher übersant wurde. Indem ich der verwaltung der
Bibliothèque Nationale für dise unterstützung meiner
arbeit den ergebensten dank auch an diser stelle ab
zu statten mir erlaube, beeile ich mich eïnige ver-
beBerungen mit zu teilen, welche sich auB der einsicht
des originales ergeben.
m) Sur. 28,68. n) sic! Bar. Rosen coniciert:
“0 0 à "M A PA
sn ee JS 3 J 0 4,
0)
leo dif nd LS
Pag. 259 zeile 17: der text begint fol. 3v.
3 ist ein versehen von
, | mir; in der hds. fol. 59v (so ist zu lesen) steht
tal) el geschriben. Danach ist es klar, daB mit
der von H. Ch. und Farähânî genannten risâla kein
besonderes werk gemeint sein kan, wie in der _anm. 9)
— — » 18: {
gesagt worden. Die seiten 105v—106v enthalten, mit
eigener besmele, den anfang einer erklärung arabischer
würter, welche mit allen drei vocalen gelesen werden,
aber verschiedene bedeutung haben; das stük bricht
mitten auf der seite ab.
Pag. 261 z. 12: lis &».
Pag. 262—4 wird der verfaBer der LS] äé von
mir beständig ‘Aufi genant, anstat Obihi, waB mir
der leser freundlichst verzeihen wolle: auch jetzt noch
manchmal treibt die tückische Büûsjästa daregôgawa
"| (Vend. 18,16) ihr wesen.
Pag. 266 z. 4 des textes: streiche |, nach pb.
Z. 7 ende ist j) > > zu lesen. é
Pag. 267 z. 10: im codex steht deutlich dde wärend
die auf genommene lesung metrisch falsch ist; viel-
69-02
Jeicht wäre aber doch 445 zu emendieren?
Pag. 268 7. 8: lis Co, ab. Z. 12: lis
Anm. à) ist zu streichen, da das , schon von der
hds. geboten wird.
Beilage II.
Die Handschrift der Risâla i Mirzà.
Mus. Asiat, Ne 477. 19,75 X 13 cm. 168 fol. 17 lin. à 7 cm.
Die blätter 153 ff. sind am unteren inneren rande
geflikt, so da ein viertel des textes auf jeder seite
verloren ist.
Fol. 1r. ist ganz von einer kaside ein genommen,
welche beginnt:
. MS CR ‘
Je 55 25 L'onbss ie, 95 Us
Jbs onili 35 bis Cie ae Jaie
Fol. 1v. begint one besmele mit den worten:
Poe OS cul, ou DE GT e= SA Gb
| "2 je él
273
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
274
Es ist das würterbuch LS Y) ä< (de Lagarde
LC D: 27 n1: 3) x ee ganz in aller ordnung bi
zum schluBe des : ADI &L fort läuft,
fol. 8,13 mit den worten OlK pins É® vol
schliefit; nur sind die beläge zum teil auB gelaBen.
B.
Unmittelbar hierauf folgt in der selben zeile (fol. 8,13)
und von der selben alten hand, nach der roten über-
schrift - all (3 [schwarz über der zeïle a Jes der
text: Se) J> Fur «so$ 5 a Kb él F Fr à!
2] my Une, LRO wie alles folgende schon nicht
mer der &< an gehôrt. Dises andere glossar ist eben so
nach dem ersten und lezten buchstaben geordnet, und
geht biB fol. 167v,6, wo es plüzlich ab bricht. Die [+
letzten He lauten :
D'ART En Use éb- 5 L CE a 555 Éb,
c° PEN Je 9 [ob Lsl5?] As)» 5b JS [lis jo]
sil
Mit zeile 7 beginnt ein inhaltsverzeichnis irgend
éines buchs mit 2] J,] &b, von anderer cursiver
hand. Da dises blat 167 das erste und 168 das lezte
einer lage sind, welche in der hds. auB 6 oder 8 bl.
bestehen, so kônnen dazwischen 4 oder 6 bl. verloren
sein.
Fol. 168 trägt die unterschrift in schônem nasta lik:
JE asleus glhe 111r ae Lol Les gi il 2
36 op ges dll le il JS ol &f5 JL || ess
il pli LL, Qol JE | JE ole, Jar dl
LÉ,» oi A A COM il ul PO J=® be ;} LS 0
Il3pess Dsl Ces fl] Del D ge hs uëb mr RU à pi
PE ra Le
Ob aber die voran gehenden 167 bl. von disem
schreiber stammen, das wird jeder bezweifeln, der die
bequemen nasxîzüge der selben mit fol. 168 vergleicht.
Später an den rand geschribene verse finden sich
fol. 1v. 2 (von der hand des és 4 :» Je Ds
6145?) 6.29. 88. 70. 78. 86, éazelen fol, 17, 52,
und eine kaside von ne 5 ja cl csrw fol, 120v—
121v, welche begint:
pr » de 45 (55 Rte mé 51 (sé (sf
Das hier one anfang und ende vor ligende glossar ist
das von Surûri so oft als |; ex &L., oder le 43
citierte werk des : lune 2 081 plan:
GlioY), welcher 414 ra (Sprenger 29 nr. 5%,
vgl. 79,7), denn fol, 8v,1 lesen wir:
sole ef, Ci 05 pe és pi Er
und bei Surüri unter dem visa Pis
La. S}, 05) sy J JS jee pe La Line Le)
Fit Let
und so stimmen fast alle übrigen citate im xl) c£
zu unserer handschrift,
Zur bestimmung der zeit, wann Mirzà Ibrâhim ge-
schriben hat, dient seine eigene angabe fol, 115 v:
Ds ak Li, sil po n OÙ der Ge le
y) Si js Ubu IN au af Ge, T 2
}
Was den wert diser neuen quelle betrift, so genügt
es hier zu bemerken, da sie in so hohem grade von
Fârûkis aelis, abhängig ist, daB man în ir nur
einen hie und da mit ein par neuen wôürtern vervol-
ständigten auBzug auB dem genanten werke sehen kan.
Es ist charakteristisch für Surûri, daB er dif nirgend
an gemerkt hat,
Beilage EIL
Beschreibung des Codex Vindobonensis
A. F. 358a (527).
Da die beschreïbung dieser handschrift, — für deren
in liberalster weise gewärte zusendung ich der ver-
waltung der Hof- und Statsbibliothek meinen dank an
diser stelle ab zu statten mich verbunden füle, — bei
Flügel I, 526 nr. 529 nicht genügend volständig und
auch durch einige drukfeler verunziert ist, so dürften
die folgenden notizen nicht ganz one nutzen bleiben.
Der codex enthält auf 41 bl. kl. 8° folgende stücke:
I. fol. 2v—7r.: li) Lë,e l., ein methnevi
mystischen inhaltes, verfaBt von ui À. H. 757. Die
überschriften der capitel sehe man in meiner aufgabe
des Mi'jâr i Jamäli p. 1££—10#, wo das ganze gedicht
ab gedrukt ist. DaB die angabe der eben da mit ge-
teilten überschrift, das werkchen sei von 65 Qt |
verfaBt, falsch ist, hat schon Rieu II, 874 erwisen;
18*
275
Bulletin de l’Académie Impériale
276
nicht beBer steht es wol mit der glaubwirdigkeit der
drei folgenden titel. — H. Ch. V, 495 nr. 11809.
IT. fol. 7v—10r. Ein methnevi mit der überschrift:
all op dl uns Le Cués &b ils Anfang:
‘ oo), is cts y) ls, Us
JL = 5 Lin, EL 5
els cp pd) Cons ail
Ut, ER rl «le
SchluB fol. 10r.:
on pi nes he Eu
ol y EL Gb 5
Conan, Lie de]
Cul aie os ss Gb 5
Jhe Lt ne use bi
Je jp) Cul Ghn 5l
Wer der verfaBer sei, kan ich nicht bestimmen.
IIL. fol. 10v—12v. Eine kaside zum lobe des pro-
pheten, überschrift :
nl ie ni GX, Oyés Gil UT Anfang:
‘Obs JE Gb ue
dt 0 it
Ne pe Le mp m2 LEE JE de
Hu eh
Schlu fol. 12v:
‘Luuibas pe à lol an +)
he Sl . ee J'Jy— ee
[2
FR Re
oh é y) dE Le ob
» De ve Gl sel A US
ue FRE oL£ EE
IV. fol. 13v— 16r. er methnevi über die mystische
liebe zu Gott, überschrift:
ope yn5 Lse Copé el ice Anfang:
y Qie Jol (var. Lx) cs D ès
‘del Coy= ge 0 Qe 5)
Jet Gens sl és pi né
Schlu8 fol. 16r:
oh p£
à ere ve PL ; | Eee
Y. fol. 16v—41v. Ein sat stédieh inhaltes,
überschrift:
ae du de, (op) LE Gal) gas OL,
Über den verfaBer Halili weif ich nichts vor zu
bringen; wenn L£ in den unten an zu fürenden versen
wirklich der name des dichters ist, und nicht etwa ein-
fach «mein freund» bedeuten sol. Anfang :
g
l, FL SPROREE RO J> o2 ui,
Es finden sich folgende aufschriften:
1. Jsl ee 5e) Lu üls ss fol. 16v.
2 gui de ile ve » 17
3. plus pl sb Ole si
4. Cut) es Los > (gp » 18
5, Le ns 188
6. DE RER SU) PORN
T. Os cp Ji » 19
8. ol; » 19.
cf Cstei » 20v.
10. so) I, JE 5 Gls,s » 21v.
11. yasl y» Ubu ys » 22
277 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 278
12. JE Le} > opte » 22v.|46. op is Gb s « 30v
13. J| AE » 292v.| 47. Ds Los Jupe » 31
14—17. pr —ple-pu-pobhi » 23 |48. LR Ciluël Libui 55 2 Er
18—91. pis pur ils » 94 |49. LT JE ol » 32
2: Pan 24-190 Ps bob» » 32
23. NS DR ie us » 04 |01 EUL Oise Lis! Des » 32v
na Ni a Di NS ia > Fr 04 Lo IP Ds 38 Li) pui» 33
24. Cl Al J 53. ŒUL Es po pui» 33
dy Je di Jets po Url J> » 24v D4, CE ŒUL. ob » ‘5 ca ps » 33
25: SIC So 95. ŒUL. Jus CES J? ple ps » 33V
Jr 8Ÿ pyns pus pe 255 cils J> » 25 56. us us res? » 34
26. Cul dl (Je Jo) Les a Di es 36
| a pole Jr ple #5 Lit» 28 5107 is Jol,
24: A er 58. Ji Je) Gb 55 Jol sé » 35v
De prb en peu 5 Ole » 25v 59. Jo Jesl ls po pui » 35v
28. ul à) 3 60. QùS Jol üL J? De pr » 36
af pi pus pi J5 érbu 5 3:58 61. Joe plsl Up » 36
29. Lil dl 4 2 62. re Jus ss üb J? » 36v
ne 4 450 ps pis SS Ole ss » 26 [6 DE Jey ul » 36v
30. Po à dl pe ; Re Joy plsl ob 35» 40
à de OLS13 sl cie » 26Y 64. Jlas) Jess Ji)
32. Ji! eus » 26v | 65. Ole Jess Ole 5 pe ps » 37
329.28. ple — pus — ps pis » 27 !66. sie 5}5 Los HUE Der 37
36. phssl ls x 97 67. ee 72» ss UD D ple pr » 37
37. Lol, is Us » 27v 168. Li M sops dauel Cole 5.» 87
st (2
38. bp Di co ‘5 28 |69. Le, AS Ses Lduels Je :». 87T
39. ie? ge pe él, » 28 |70. LE s.8n
40, CS 2e JS pr & «sh » 28v 11: 209 JS ple ils 5» » 38
41. RER J? pe & ls » 29 ER ; Jus ple Où » 38
42, Hey 2 pes ol » 29v | 75. Cl gb) A A E-) üL ‘55 +» OÙr
43. 2e » pi ol, » 29v |74. An CA LE g— » 39
44. Ls 5 "ns h » 90 119. cel 5] ps é> » 39
45. spe “» 30v | T6. Ces sl pp pyi » 39v
279 Bulletin de l’Académie Impériale 280
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Auf der selben seite 41v steht noch die unterschrift
des schreibers:
| ü à) ax LS? 4 FF QG ous je Gall co
SG l'os) Gobll Gb Cissss ail all dus De
par due
Beilage IV.
Die handschrift der Risâla i Vafâi.
Bibl. Nat. suppl. pers. Xe 1047. 28,5 X 17 em. 1+130-+-5 fol. 17 lin.
à c
Die bekantschaft mit diser handschrift verdanke ich
gleichfals hrn. mag. $. Oldenburg. Seine freundlichen
mitteilangen auB der selben erwekten so groBes inter-
esse, daB ich sie mir hieher zu übersenden ersuchte,
welcher bitte auch in der liberalsten weise gewilfart
worden. Und ich hoffe meine erkentlichkeit am besten
erweisen zu kônnen, indem ich hier eine genaue be-
schreibung des wertvollen buches folgen laBe.
Es ist ein quartband auB blauem papiere, in gold-
gelbem orientalischen ledereinbande. Die fünf lezten
ungezälten blätter sind nicht beschriben. Auf dem
ebenfals nicht mit gezälten ersten blatte steht die
chiffre «Suppl. persan 1047» links oben in der ecke,
und im felde «Volume de 130 Feuillets || 20 Novembre
1884». Auf fol. 1r finden sich 6 zeilen in Guzerâti-
schrift, welche ich leider nicht habe entziffern künnen,
und darunter «A || Son Excellency || Count a dé Go-
bineau || Ambassador de France Emperor», darunter
der bibliotheksstempel, und rechts unten «R. 8551».
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
Es ist diB also eines der in der Gobineau’schen
samlung vorhanden gewesenen «six dictionnaires ou
vocabulaires»: Mél. Asiat. IV, 404.
Die handschrift enthält zweierlei:
A.
ls y AL,
À
Fol. 1v. begint ein persisches würterbuch mitten in
dem artikel L£, mit den worten (das überstrichene rot):
1] au po, JS gb D ANS af EL) Le oi,
5 Cf L'usls af Cf, ol és, sl
Ca af EE 6 ie, gilusl Jos > LI ass
5) JP> LL. cb) | LS üUbs > 3» «5 Loi esLs JS
pi Sl ee
2] de » pl ps el ob of dl oh ose 5 Bel
Cul Li Lis Ge 5 Jai Cul Fo Lu
Dann finden sich noch die 11 folgenden fasl dises
bâb, ferner fol. 3v Jai 05512 6 > > Eden
Ge a, çy=s Cl. Darauf
fol, 6 bâb III © in 20 fasi, mit 97 wôürtern
» 10v » IV + 11-%: 08 »
13") V : » Dry ss 00 »
OU À AUS VS A À : rs 1955 » »
sm Ibtin VIE “6 na 22 15:97 »
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» 25v » IX ; » 23 » . » 208 »
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09: «° AIX dE mt sc 71 »
»69 5 AX J Lt ns :» 595 »
» 14 » “XI 16 » + 07 »
s 80v:»: XXI Cr)» 260» » 313 »
09 FER Ss 26 » :s: 90 »
19) Am ende dises capitels steht aber one überschrift ein wort auf
L|7/
citierte a]L., oder | 5, eo.
noch in keinem ee beschriben worden. Zur be-
väv (fol, 93} JL. Fr 3h af JEL ses
. Aber dises capitel bricht schon im dritten abschnit
auf fol. 97v. ab; ich setze das stük ganz her.
SL Gil ébs db, al
Jëb KL 5 of 05
3]
5] a jus y Cois py> abs Jo] »3f> (ins so ue
ww» Us Le a HS Cu of 5 LL ob 5,
Cul JB de pl 5 5 ul, oise Cul list
ob y © Cul op sic Us CS db JD 095
Cal ob of CT lb y
es Lil DBŸs af au Liu oxél ar él
5 }, a ue fe Ca) ») Ja
sic JL Cys Lis els Los cpl L* pl »
>» Go Cu Jo) E
87 55 Le Lil obilét ul Css dk
oyall, | pel al, 3
tt Ib Due _yé Q3 1Hvre au |] ué lé
Dabei finden sich indessen, geringerer mängel zu
geschweigen, noch andere defecte, welche zum teil
schon in der vorlage da gewesen sein müfen, da der
- l'abschreiber lücken läBit (fol. 2 — 5 zeilen, 3 — 6 zeilen)
oder solche an merkt (fol. 84 zeile 4 zwischen den
wôrtern :p_» und ob) G Go de 92 ME o>L) Lsul
ul als eos Jei& ee5 Jess ie
Zur bestimmung des werkes dient eine stelle, wo
der verfaBer sich nennt, fol. 20v.:
97 gloss 5 il ge ges 2
ee aile; >5)S) no e reve af Q LS Lot ail
pre RQ
SLA , jf 1: + rl ge 2 ps ME Res €
Hier ligt also die von Surûri und späteren so häufig
&s vor, welche biBher
stätigung dient die vergleichung der erwänten citate,
Bulletin de l’Académie Impériale
281
wobei Surüri wider das meiste material liefert, wie
man sich an den weïiter unten gegebenen auBzügen
überzeugen kan.
Wann Husain Vafài gelebt hat, kann ich nur an
nähernd bestimmen, er scheint nach Sprenger Oudh
Cat. 87 und 21, nr. 191 in die mitte des zehnten jar-
hunderts der Higrah zu gehôren; der jüngste dichter,
den er citiert, it [28 Ÿ 9FA
Ich gebe im folgenden ein verzeichnis der von Vafài
genanten dichter und anderen autoren.
L. Dichter: (5,51 — aabl 3=*) pl pre il nl
si pl — pl — ele 31 — ball 31 —
ip call pl — us Gall 9 Gé — ssl 1 —
ei pl — le) il — (ul — lil, — Lhe
SD sel — (spi — sus) ones srl KE
Digi p — sl » — tbe? — ele — céghe 53
— Leb— ob — cel — ob LE = Bb —
GE gus — we? — 6 — JU — aus —| 2
opus pol — lou — (sopus — Ge — (as
du na
ge — a CL Ge — sole St
— SSL — PE — (sg de cpull Li —
JS pull qui Ulis — (5 ui — sui —
LsBé — jbe — pl — üLL EE bob nel cn
Un oué à le ba cn
—— LSJOÉE — clé — (sis JS 9) Le ae
oder Ji, Jes dl — sb: sic! — Li, ue 5 —
Lobs sic! — (5) — Lei — Lu — D
Jyl cool — QLks — pull En — œuf —
0 Jan) JUS ne) — ul — (onié Lie —
De J£ — DLL us symue — (si syaue — ik |
ue le ee de
— y pus poli — els — ,b,: sich selbst citiert er
unter den wôürtern: por : lg € Eh ° jo os
ges ‘ge Je pl: rs OUEST Gas]
‘2,5 und ,L
II. Lexicographen: .ç4) (K 3 in Beilage V).
2 ueei (M 9).
ns POI Que (NM 44).
ol ol) LS (M 8).
Andere autoren: pyë y> 4e oil Lbs LU},
WE — aol, 5 JE cp) “june et),
Wie Vafài seinen gegenstand behandelt, läfit sich
am besten auB beispilen ersehen; darum habe ich als
proben alle diejenigen paragraphen auB gewält, in
welchen er eine seiner quellen citiert oder mundart-
liche auBdrücke an fürt, und drucke sie hier in ge-
befertem texte nebst den parallelen auB Surüri ab.
Man wird den eindruk empfangen, daB das werk jeden
fals eines der tüchtigsten auf diesem gebiete ist; hof-
fentlich findet sich bald ein volständiges exemplar des
selben.
10] _n cata As lé T cb ré mel (80v)
auf af Duff dus 4e, à Ji as Li De Yb
uEe Us) 3) Le LE aicle EL >? Re LSJ9J
ar ris h Re Dis
ne met LI: ol de qe op
rx CPL ne LT
su vergleiche man Surüri:
sl, Che J - de Lu) se s' : ja Jeless
‘ui
l ie ui aicle, SES Eur
y 3, ÿle; G, u, at L (29 oi, Li
ss ans Sa, nf L CB
20) rs nähere sehe man in der folgenden beilage zu den quellen
des Surû
a) b) mein zusaz, wie hinfort alles ein geklammerte
c) meiner aufigabe XVIII, 81 nebst dem verse, wie weiter immer
d) Cod. CEA
285
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
26
Die, Al CET UT d'os EL,
GT QAR : ni Joe Ji Ji Je Css “|
Fe ob Le 29 ès late oui sb
11] SUN TE Dee FT Men us Al (10v)
js L JHEDTe aa (si
1er aa, re Ces SoaaT (69)
Cul Joatue fJél GLS; ÿle > JU, y
137. Sig re sat SE Poil Je, 55 gl (51)
CRIE Gran SL TA] Lis : un Jin ë Le
5 JO JEb (sje pl FE us Mo us
D Je: NS
14] é a Gps Jil sp cylles (305 er (81v)
af QUL sé le Oh és G be, au os
pr?» sls pe ‘ yrhës cpl sb, ps >
ul,
[Vgl. Suràri s. v. ol: Us ee “ » oi
SR IL gs Dés db Eu je Os dlese ss
as çpb ls gs fes 5, as] 3 JS JS Jus
Jus) pbs op Jil &b le Vgl. zu $ 46.
15] Ejl nie J;l >> is Je JE (635
JR cu a a El sl 3 ob QE AE
af LLo ii, JE Eure sl Cape SI üb L;
el cul Gb JE SUB pee EU 5 [as]
te “fl ot iles el is
ble, » pl a pb L ons 1 US cpl hs,
els CT un ip
of Jus (si Ge Fe CPE Cp pis Cl
) Cod. À ART f) sic ff) die lezte halbe zeile diser seite
ist Pi gelaBen, doch scheint nichts zu felen g) XIII, 34 ) Cod.
A ja
Tome XXXII.
NT
| Dazu wolle man vergleichen, waB Surüri sagt:
as ls op Le Li af ile ABRIS RCE Op F5)
Hu 0 ‘sl L,s, sb (pri : jai H$ tel
el aie (sl ME ob, cyuus EL “) J?s ‘Lol,
P'ARRER AT «ls Lila its CRE
<'aiee5 Las El à els CETD Qle JKil Ubs af 4 nr LS"
3e LOU gl so Ci af CEE Gel fes
Ca) PA RP Xl, #) oh J or pb éL 2)
rs gs Cul odelé ps Lil y je L'ue ui
SUP A NE CRAN ro ro D AT
Je" Bel Bus, pl SDS 5 Qi
pbs yes
Das selbe widerholt Su‘üri I, 114v.]
16] 5) Lie 0 del as one at Gin
Ca) Jonme 5,99
17] es pi Je Up Sil é* pi) (74)
SR L° Ode het Cu (oh El
pi) SE Qu ‘ NA T 23)
» Ysdil 5 3, Jéb ol pole
> Sp Ge pr gris pl ES 5) uée 2»
Jai Ji lue Cols
18] 6,bs n3 rs em] Jjl DE Qes > bi él) (55v)
Sn tie ék) "GIE yes ALP L
19] r£ Jos 4, ok dub œb au al (95)
ARR Gr A er : Ca af jbl
nos Lui 5 L
LS
aie
a) Se LES ‘pl
XV,118 #) nach Su‘üri gehrt der vers dem | as
1) Cod. Çyleys m) XVII, 54 mn) XV, 74, wo zu corri-
gieren. o) so schrib ich für ÇyLb;,, Cod. nach der ‘Lakhnauer
lithographie des diväns p. 346 und Surüri
19
287
Bulletin de l’Académie Impériale
2ss
Ob5baé, 3,5 Dre Poe j] CRBENS She L
JEb OÙ awspb af 5 uilise vue aus Li
M gl= Le) dl,
[Dazu vergleiche man wiederum den Surüri:
age cp C5 ve «sLs JIs pus Cofeu st
Rs Dies laut UE, Et
PA DR hs Ga
ue $ Aus D ob Luis, JS Gluw, 5%
EL r£ Ole JS à Ch Ge LA, cul is
Dr lomelien dla. nf
[UAS aus Up ef pl ube aS ose)
Go es uen» # jab < CT ÉL (83)
e= of JÜl, le J, üLE JS sS ol, sb
Ph afro Er
21] r£ bout JS 555 use) 0r O6)
dis ‘ À, # VU» Die) Vie LA es a on
LÉ, ge pe Jéb le wub ps * él ob
EL D ès pol) Qui Le L ob 35 cpl 59
ae) spé Dé pus ab : es 09 IS Le
il ob» C6 ES dE OT Ci,‘ 5
Hg ob LES ose a af Le pile
ii 2f Ho DRE a nr OBS af sil ru) et (11)
: | ES 3,5) LT ob5les, HS Ce lp > ülw,
sil. LÉ,
23] äbils, élisf pli Css Ce dll (96)
ki, gui Le es à Cul of 1 (sb af LT
Safe‘ ais LT ob5las, ne aile Hb 5135
p) ÇsJ> Cod. g) 75,u1 vers 54 r) add. | |, Cod.
s) (s98 Sur.; solte die eine oder die andere lesart den dichter-
#) VII, 2
” namen des genanten autors bieten? +) vel. &5 «freudenruf»
24] Cu abôas fo à els» cb É® a (96)
DES Cæ cpl li,» 2 Je) vhs » af Lx
$ cols hoc. pl! ° 3} Lu RE à LEE F
en v!) Uyrse LI ‘2,1 b", LE je à pe L
4 C9 de? S Cum > ad me A oi De 2
25] je : Cas aùf ep JE dif JL (27v)
LU nn ne É k, : 5 $ &* obus si
+ Ce xs a Œ Exue af LE me Us FR
dl
|Dazu vergleiche man Surüri:
er Je Cp des" (pui ne
el LI de: ai fu ES ls ub
»$ GE ge Jil 05]
des > JE Ca
JL CRE _. Yet 425
D] ul : jai
LE | Ji nn JU os: waB Su‘üri I, 202 gibt,
ist ganz confus.]
267 5» > sb volels Ji 5 é, éb
el le de ho,
0 j9) J abie, os à % LS Uni
M eh tés] a 5 la 59 405p ele (97)
Caire 5] 3 plus, a: Je cp 5) Ur eo) ve
Pr ub, as af an Ve Qui ali lus, Us?
u) Cod. J£ uu) im Cod. eine lücke, ich entneme das wort dem
Sur. und der lithogr. auBigabe des diväns, Teheran |[Pef”, fol. 52
w) sie, vgl. LS] BJ} bei Fachri XI,19 a) Cod.
y) XV, 56
b) XX, 183
a) Das ordnungswort felt im Cod.
289
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
290
28] «bslse 5 Je pol] je pre) D Li etes (97)
SL, Cuigl sl gen ele Ce
PE D aJ} sy) ju 53b o5ls* af JS à
[Danach heifit es bei Surüri:
ue as °c 5)
pollue pe Le JEb Las 5, pese Es jo eoleu
Cu55b ; 3 QE os a 6553 > ACIER > Je
AS p gr pire el Le culs cassé Ce cuil,
st fs bises de nil est AS
gi te es UE A ele à 0 Lisa
0 Sa ls LE Cysl ols® Fe ADR à Jupe Line
ae 5 : ja eme Lu Eee BL LS & D,
EL MSA branle td sliet vil à
La ol ol La (bu cp le
Ji lee dat Lis Juil diols pu (210
CIE je iv en Ur Ule ‘5 à old
: Cu af, Cuylss &ole pe 4 0253) 3
‘ 9] LU)
30] hab as a aber ss coll le (58)
srËf Je Les € 2 5lys als Le sel € clé el
sd oo be Sas
31] Hp Ds LS | er CR a (17v)
os si, Us> : : Lun as (55 LE CLTE 29 ot
Si] Eggs juil JL, is ulis
as
327 a (open ele 85 ie 2p Cuës Sp (175)
EL QU Ge a tb vil Jel Euéss à : Le
Cunsles je Je astres Le Lit
€) man lese mit Sur. Qu“ d) Elus Cod. dd) vgl. Ferh.
Raë. I, 224,6 e) VII, 66 f) die leztere erklärung ist ka
logisch richtig, vgl. aw. paitiwaca instr. ys. 21, 4 9)
jh, Jp cos pl
33] gr Le y txt» pe >, le EL (6v)
RER DUR il af, ob 5, Geo af
À)
34] GI : Ce af lise 0 f 1, Joss él, (57)
Ce 515 Lilo, Usb La GLS ob
851. 55 CA: os Ed & S le sle ob CE (7)
J?s ab; SL ste 2 J29 ah; jers ce is re
36] 0» sil dé . im — (56%)
bre Cu auf Elise JU Li » JL, Hp)
«4, Sale Au ll ses NE Lie
a nat ou dt ls Ole 5} af sb ob Ês
ff ar Un pp A Ce af ll
re us LU ETS tra 22
sd Us se Je 01 af Caulasq LR à Eu)
lé:
[Vgl. Surûrt: (ob Cie ob, 45 Le.
as All 55,5) » G js QT 3 D 3 ddl
ob QT S'&ss me vb de É Les ia
SUR ER DIS AS GE gi 5
SD et 082 po> Cite PE ls us dope
D JS Vo 92 3) sol Fm Fe Lee
ie Ph sde tale us Ci
fous 55 ste Jul cle so af alé, ass
37] lp
RES da ro
£, Ébs5 8 À lyepl
Le, : si.
h) XV, 54; auch der vers ist von Fachri, und daher im pr se
Ji zu streichen, wie späterhin üfters : 80 Sur., J und
Cod. k) XV, 2 1) sic
ÿ) so Sur, p Cod.
| 19*
> L Ds a Les af D (54) : : k
Bulletin de l’Académie Impériale
oeb 51 af Jil Gett Gp af auf nb es
"US ep
38] Lie ob 4Ls 58 Jil ale ca ste JS (65)
JL a°* lis si D EE
af Este DEL ef QUES D of be Li ue
> Lusl © Gus Go se CS ON (ele Un is : Cu
sb, ol ES et; ble Co Uel
ss, pes af (snif JS UYee D ho ni J
Le ut : HS se Cage JG : ce
Loi Jéel, ol 9 IL ple* É D
Lu #) al ebi üle [: Le] a pe HS
le dur Uno 1e en
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39] slbe Fe M # di DE es > (29)
ni ne Fe Fe AR
unis PAT Je
"ls ple Gba PS or OL 5 Us ‘ Las
ple AP PAT a eLe So} Fè >
É Je" pP55l J3) ü}, CAE ré Cas}e
vs p ol JLel, ob Le 5, Gioare ob B
3° id si Er de, J> LS Je Le
ETS D ip je9 PSS Pis,
407 5, ile QT 3 C5 lue Cuuéye Je (70)
Jlu ge ST: Cu af ele ue Tsluëils Li
m) fast würtlich eben so XIV,7
n) d. h. der herbst 0) 5h, Cod. _ lis PP p) es
ist wol 4, zu lesen pp) r Ferh. Gih. q) sic, das wort
findet sich in keinem würterbuche; vgl. aber im ee Ule »,> (das
citat verdanke ich hrn. mag. Zukovski): ne lé 5 € ru
‘Je >p$ ol) ESA Jre on JS JL oki
41] as "sr QU“ Jl, ds dis _ (7v)
ee wife Us. : Lists
su
42] père À] et as “ 5,)> us Je Ji (70v)
: cs SS RS È ce ES A r& els Ne
Se en 5 Je nu, ai oi 1 JL,
HS a.xb) ge" » JL Ls, OB, ÿË 2) af 5
Lo Joe ALES PARENT 5) ,. cs Je : Une
us He af D fee sms Se Lies : et eee
Cd
43] ik ES Cole De pe her ES (670)
D dif OULs js, Cul Eisf af oil af am
A juil sil ST à Le af Gus if She
ue Os (sys ab À
ce où aDl oki Lie ei
ges &l Le fes] af oelé ssl 35 AU,
ss "ss one ‘gs ouil a Le, JS je fur
ET db 2? Le af, pe Us 55 Eee Us
où sf fs nf 55 JL al un Joy
cp Jb auf an, nf élubis Ce a gb
7 Te F . LL … ie à -
«lb, Ts LS 24Ep ere $ «sole "A 0 pcs af ul
Ps Se
“en MTL, EX PAS
Vel. Fh. Gih. s. v.; Sur. schreibt allés, waB bei ByxaroBe
«KyauxB» d. i. scolopax bedeutet.
r) der sin des verses ist mir verborgen
+7
t) lis beide male (LL auch schreibt die hds. das lezte wort
w) XII, 40
s) III, 46
des verses Je
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
294
45] af (5 paie by Up Ji li Ji: (70v)
Je, Ds À Sup ol D*70J) übbs p : Lu
sul
[Vel: Surüri 8. v. JL : oui Que rer 5...
“af Des ue Of do Gui, dE js
reel Qns pb Le JS QE, a xs
aber: cpu fi 5 oJsse (sb Ok Le ce» Ke
Les os lb ali 55,
467 pès 5) af JE Ge J5l 23l> Que de ue (77)
» üls CT re 029 55 js 5 axif Ébisie DT
be Like 92 02) vas » ‘ pbs ie
af do jl ol da) af, DEL Je Re A ER 2
one, ? RE Ce af QUE, il a,
Loges Jél el, ple: ul, rs "ns pls es
bis Oh: ds à HER es
Hil; ask, 029) 5) af" >) lee ps ee Ds b Ls
Sri SR an A à
af (5 puis JS Le, ‘ y ül
[Der zweite paragraph scheint in der handschrift
gekürzt zu sein, wenn wir a. s worten per
schenken dürfen: sel Ji JD LR Car Œb, à ds >]
47] a Joe elésuis cpl Me Cul G x vis (48)
Pa, pe JË Ji: ol Jo 53 Cu ANS C5
ne Ln> 42 Sol Ji Je JE" vel 25 ur a
Ja) sus ee Jl ou Li > ol Jlel, 392,
v) XVI, 18 wo ich auB den dort an gefürten gründen JE ge-
drukt habe w) so schreibe ich für Ds Le Cod. mit
Sur., welcher überdif Fe LS7 hat und das dritte und sechste
. s] 2
3 weg läft; auBerdem gibt er die glosse: Ji
À
A
JS }, se les LS ce38 DrhËs Pa vel. zu $
æ) sic
ver) so!
UE
en “re
1 ci
JI5 Ji > 4
?] >» ab Le Lls fr ss sd Joss pe
He Lo: ole Ga | DS Ce Ai ME
pd “lis, 29 CRE Ua € A 9 sr ni 8
[Surüri sagt ganz richtig: Cisss ob, à Ds
Candy jo 452 Ji, vel. unten $ 49.]
48]. > af 5 di... JB y pis ob (21)
33-60 Lé Lil; D SJ pre “Hs cles FA
Sn Jet Je dl + ‘Jb y &b je
26 JL pere JL æb y af le L
5 & UT AT Ru Couits ‘pbes le :08
Den el L, ul Je ol Jssle LS JEb Se 5 > pl
Y, Eu ee Ji Ge of fl L, Sec dlss dle
2 Cle ge H) OS Le Ji, JIs 9% JD Jëb JIs
sb Ja, Jle ÿle Gé coulé Ds 5: Lu auf
y) y Cod. 2 #0, cr Sur,
aa) In seinem rock à), Une D» re JE (H. Ch. IT,
108 nr. 4614; hds. der Universitätsbibliothek nr. 86, fol. 68) komt
Saraf addin (ï AOA) bei dem namen € 9} 5 auf den unterschid
der beiden laute zu sprechen: PAIE) PR Cal JD UP»
are ED agile Css Jesus Del ess JS
D? ds du} a, (+ HA Sprenger 1743 vgl. 5,81) | yesb
DE lai :) Q2% op Si > H. Ch) y U29J€ LS
SH) of 5) Jess Ji: &sl J> L rl, SEPETET
del OI oui & all, pl del el 55 af Lt,
sable: ul 1) >yi 0) 45 fs LD) y) Su)
Je Jl> œl gt € à 5! Jéle as] a 5»
el PE ul AR pére JI | és >»
JF: dus ie al) 3 cb ÉJE ‘Jh, Jl> y y)
sr Dés Ce.
ce us) mit der variante im lezten verse JIs
des 80
Vafài hätte sich über den verfaBer diser verse
genauer auB drücken sollen..
295
Bulletin de l’Académie Impériale
ie Lil 55,5) Gin: Case lil 235 Of af ue 5]
JI5 de Gb a 3, vil Jh : SEL Qsee JP
| mes *?
49] Ex Lin y Vip er vi (481)
00) ns ia ES ce ae JEU Te en, _
Tr
De +,
51] 039, ou Ês re . re ke ee
52] Al» ie _ Pb he C5 (9)
Clos Cioy a Cal Re 25 Us ei f
pbel PR Gel) ,5 Le ! De» Gasels las Cuies 5,
Fe El, : ee ee
AREA ENT RS PSE EUR RAR Ÿ ne Sois" JS
ge Ps fes Jai DI af 59 (yes me 5 Cs;,
3! op LE Gil SL, 2e (sms Éce2, 29 |
de a Cégelo pe Uys Es y me > L
CS Jynbe Ceby, Cf (jte Cf > Ve
sb 5 Ge, 5 pb LI LL sl QU,
J> als, del 3999 0 0% j | Se 5 Li at
cs) ME a € 29 sd Du boot hs Jaies
ss 2h af él L'Ue Lulif af Lo man Essen,
Sos L as ue L'opeyis Cuilas; Mb ojste
He Loue, SR se pe
De à. rs or) Ve mb En e > L ol Je
Lin 31 5 DLS code el, De cslyies Co);
ee Rate ka ble he Je
SS,) LG 5 Cam, Cul Li el a el 5 65,
: del A Cal ca > D all P DES
b) Y=* Cod.
worte weiB ich nicht zu beBern
c) lücke d) vgl, #b im lexicon
e) IT, 42
dd) dise
f) sic, vgl. Sur,
[Dazu vgl. Surüri, dessen text etwaB ab weichts |
Pb colo Bi cpl RE ae 55, un 3, (pus dE >
a hlsps Gb vb Pull ae unis pal
Col, és, Cul Re 05 GE Qui
SE 52 JP cpds Cafe a jp af Co,
ls Jés ‘di St: af, soc
dl LS our
éreiS s* en je, Col, Sù Ule t Gs
[SL de jé Cas, Cas), Li af HS
SL, 29 Gsm Goes ps Jui 5) » se
Cons 29 Gpbles 2 FL ssl, 59 r£ gl
Ji (sage PS JS D D ARR geo le U3>
Uy>s 2 pl Hi DR cel et JE Jotie ee
Jal PR of D EE JE. LS“ LAS lb ;
> hs sa RE eruis) lus hip Jai ne
PR A ce:
as pe 6 spa Cab); José Llb ee (6, 5h, 2S°
'aa]le és 0 al Ce “15 DE) (55 JR
sloëe ls D 358 «op lui se Of 37° ns af
4) so 919 oi lun ,5] sr cab Jel 2, Casilée
Je A SR TER Cup dels af Obs ll
D dt SEE R tn El 5 )) ms Cp
slot Lines on nf es se Lsol U CH
>p 5l Elo) FE peLal, 0292 lelsf y) a Juge
21 29 ue 6 que L'ULES, Cas, de al
Cégusré 9) > Ci fe Ed UT) af 1; n°
Lab AUS, 2p of Gluzs 5 CG of us
JS > JU LS US 5 af Quwlele 2329 L, 59 Qu
ge LAS of ol üle D, Cul Les of
by Pi ue: Cu jp 3 La, 5 pi
7) ol Cod. h) djjf Cod
JS 5 Cable ah À ae
KL so ge, gel L pe ef of Al, Je.
296
297
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
29s
In der Risäla i Mirzà lautet der artikel volständig
auf fol. 78 (ich beBere offenbare schreibfeler):
Hb oi mé 25 Sas Jlebus Get Ci
uw Le? feel 3! 5 1 Les Dale 3 Cle |
de als pb peLol, où ps PS Ulées
is (62 o29) 42 28 cp D olé Lu Lif, av, |
H$, Céqué 3l md ax fs nn #5 02 fre
op uns ab 1 LS of Ulis 5 CR Kite
OT Fess eble LS SI TA] a clele 33e, Les
d};) 1,1 AS Us mis üle Ds ul L La] |
akll, 2 pre = 5) LR Cale jl L pères HS
Cul 23e (ya > je Lee ls vis Co
Hüren wir noch den Farüki (Mus. As. nr. 473
fol. 102):
5h Gui rl, une pli le 4
het af 8) A ul el or |, pi peLl, >p
ve are I)
53]: HF Cat-der, pa 1) Xl as 5) (84)
dot Ut U e O OU
Jis, apte > be sl af onsfe als LT DLSLeS
JS 3) y) L£s : Lu auf 1 r& ne ob
* y Ulis 5 “ob
54] ol al Se op Os és di ge Les (66)
Se je il O5 pis éb Les af" Qi
OP US émut DJS a je 1 (60)
AS | jou Ji) ü! Je, és NS ATe hr É»
Came Cod. sic À) 03% 9 075 Cod. D {3/,> Cod.
m) XV, 135; leider hat auch Vafài den in meinen drei hds. felenden
vers nicht an gefürt
gs AN Late De ENST à Lu
af axf el, vs ge JS pr : Ji 5,2) "OL clos
ea FPE œb b UE CT PS DPI ET psy
Can) Cu Gb Dydiat pole Rd us ER jme 5,
as] Lu ul 5] RS RP g Les : Lo
HS js | L'obe, Cul Qi pe: JL; à) Ule ce
PAG J af sylme pylae Use UlsLl As A
jo 5 vif anis Gé D ON Une di
sl L: a ol Te) “ > LUG:; JS) Je)
luble 4 Oil) ie L » cb sr Uÿ uk Lel,
jF. RÉRT ER D op af,
JL; DRE 3 Haba
56] és S Jb LS 5) 518, jne 43 515 (400)
LE of af af 58 Qui Je Ge 5 ob]
Sun F3) » culs HS: Ce af osent CU LES
515 ge O5 af us Le jrs *PULyS515 Que
E 7] af 5 Jéb obus, ob Has e> ‘ ULs
obfes af ose a Vi? Mb 515 (ou
‘ obiess Dis Lel
57] Si “cites af 6l “_$L JE à (18v)
ULe ob p Je ‘JE, «015 jp in us
aS Ji; el abiS sb AS Qen >, SÉ Gin
ul buis 368% 5 Gb ul Uopes
[Auf disen paragraphen bezieht sich Surüri, und
Ce ci.
dsl,
nach im Raëid.]
58] LT, D je 2 295 af onf LT 85 (59)
US Joe Jul 5Les y Le sil ait Gunuis
n) Cod. beide male [y 0)X,3 ») lys Cod. q) Si 55L
Cod. und Surüri II, 49vV #) al 5 Cod. sis a Ji,
Su, 5) mia und y Cod. t) dise worte mülen zu dem
artikel J ÿ gehôren, dessen anfang au gefallen, denn die über-
schrift lautet Cu) € 2) 32 o) j js?» r° Je, wärend in der
hds. nur ein $ bezeichnet ist
299
Bulletin de lFAcadémie Impériale
gbi'y ae Li Ge EL Ab ol : Le af
Nes _ nil «oui QG
59] pu D et 2e 2 a nf LT LES (84v)
a 25 D $ PJ 5Leé ae OST sus, pe
OR Ni te Short, Le: rer
60] Les Je es 2 J5l ub os» f b,L. (78)
let Lo) obb: A QE Re | RAS SATÉ
5.) 3) pis cp) dbl, >Les gl Mr us y
“ar ÿc ol ecbs Cle, Cu JY; 22 rl p> JD 9)
P plan cn; cul ef ele HU OÿL ou De.
pol LE À due, rnnl ER NU us ob La)
[DiB ganze citat bietet auch Surüri, one den Vañfài
zu nennen|.
617 Sa "5 je SEL oteyl 85 * (15)
62] : Cu af [jee Jéb ail AR JR (71)
ré » ? bb 27) ss übs j]l o ah übs Jé >
Ob5 51 (sumel Lise, cel 56 LS Ejars Ro
he Obs 5 9 3) Ulusl ls Le: cu af 15
af af sis Je Ul : PEL CR LI Jus
Cu cp) uk Eu es DE a ose.
Ji. MS plséls Ls Jel,s ébs 5] : : Lu 09)
pie for vnvile Jus bi 5 + Jeu Li
sp] plis pel Mi
63] D Al LL js af F sl ot (52v)
Lee >, S$ ie ob; Leë 5, ples o JUS Ge
EL ae os ol: te as) sil 5
His Dre
w) «waf hast du mit deinem verträglichen charakter an gefangen,
waB ist mit dir geschehen ?» v) 1,95 Cod. w) sic
æ) der
das rs felt y} sic! 2) cf. Pertsch, Arab. III, 461
V, 41 b) so corrigiere ich nach Sur. für das verlesene
I ne Le Cod. c) sic, Fe Sur, > cett.
f) Sur., (El, Cod.
64] ,55 vil Res 815 op ob 13 se
‘Lis dé
SJ Ce:
[Surüri: ob pb Pb Dé Doit 3 JMS 5 +.
Las D és, Sul us
en DE Qui Le db cpées sb di (32
pes Las me AE ar sl ER Lists J> A ie af
ce Ls},5 af de
[Suräri: tel 5 po os (ob Car Qolis 45 0,
gyees : Cu dif, Jilo plie
66] 55 p3> Canèye pl J5l 555 (jme ae LES (49)
as LE pl sie Ch le 5] 2 Un
PP Jbsës Oo ‘ob Toi Jls cbr
dé a ortell gl 9 ès, is SEA
os à‘ ls vis ité CE ae à
ge dl Sp uit afaf Mo its: Din pdf
[Surûri: *:"" Cum e rl PE ss 5, ....]
67] af à L pr 5) x SOLS pi pr pi (75
jues-Me Cha HS sb olebT ;5 LT JL
Cas pu S ne je sp, RS pos Cu Je
Cup pri ie 5Ub
68] CS pp: Co af Gp s0 bi sé 63)
Fe ad Le V as di ee We ‘os, S?* Tr
d) bol Cod., aber vorauf geht o ne Le e) VIII, 129
9) QU 8 y Cod. h) XII, 61
î) man beachte die altertümliche construction > für ph; da
schon voran gegangen; der zweite haïbvers felt im Cod.,
k) so Cod., waB ich nicht verstehe,
Sur. hat J& Cy n par, ; villeicht ist at zu lesen (?)
ein
er ist nach Sur. suppliert
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
Hey Cap 5)
69] us, jh ES J3l 25 Lime 9 pl (78v)
Den a es de ne se abelàs Jil
FRERE à all] ets JD KP 4 Cum Qams j) dE
6 ,,lL, il aise ous 5) af oi él &le all
Je 5 & eus Li: Ce paf us Eu) Qu
ge Ci] 3) ur a LS J 99 LE p oe
Fe So5,9 5
70] She cel lbs 4 gb Lie Li (67)
Es CE D Hilo) JD Vu“ D a Rae Less
pate a sde uses cb: as Le ie
Ko Gene Hs Css Of Ju Hs L: V2
le ou at de Ge dauu
APE RS ê! eus à5 : Ca Fil af, phil
ds be balkl,brobz Has af
Jéb aus C5, Buell
71] y ol à 4h oil Gus cui (6)
LE ce] af fs nf Pour LT lil,
rb oo ST GLS EC gs aber fus,
79 af S,, nf L Gb SEAL ? si PE Co
>» ‘JL » “af Se Ce gs dl oi ee
ol, AS af 6 5 ui sh se) à 7 sk,
nt
73] 35e Jioge LL 555 do &owf5s (43)
im) Su‘, welcher den vers dem ci |, aus (Halimi und
Raëid LS2 jus) Zu schreibt, hat wie dise LS 32 n) XV, 121
p) haras lautgesezlich auB farasb q) zu lesen farsab!
1) sic
o) sic
r) der Cod. hat durchgängig , ER se vorauf geht JP 5,9 ( #8)
s) -- gemefen anstat --* t) VII
Tome XXXII
He RAR
‘ 3]
74] GS Qui LI Cul ous Ejar seb (24)
t 2) Dies : Lay dif, Cal alsan 5,45 df
75] af 5 5 pet 5p sb ef LS bé (13%)
A one mb
lille pot 05.1
767 "br CI Le, Ci, 5 . (33v)
un oo pe fuit coulits Cl (ple
‘Dr D 15,8 Jel oil Le «is Jb Jp fe
[Surüri: ks 51e pes ls PE ns és 5 S, K
Causlo s C5 ,; danach auch Su‘üri. |
77] 2 LL ok x né se du a Le
Fe de > de CD de ÿ* Fos Eye
SL üB 5 ces lès CE FE
78] des ahüaw fs Cul,e, abiél Gb à LS (5x)
Safe SL üles JUI (G5LE, sb
[Surûri: uÿl,s L ë Us nil lue ét j5 JS ss
Obs je Gb, Ep, dl 2 f 3 2 Ge
79P 1 Pia Lei pos (83)
Eh œl ue es Sn à Le up
‘élr: Ce dif, on Less
[Citiert von Surüri.]
u) X,11
sonst el;
v) Ks3 Cod, aber das einmal punktierte heilt hier
w) VII, 26 æ)IV,13 y sic, lis La)
zweite bedeutung felt in allen übrigen lexicis
z) dise
a) Yle Cod, villeïcht für ->= (5? b) VII, 122
20
…
Bulletin de l’Académie Impériale
80] Oi* DJS 5 S syS L Léo CE
Ja Jsie Ubiles LT, 35 Jeb Lui OLS ose
‘6 LOL sl, L'olS oe : Cas dif. (Dge
nl GÉFR] JL DES Jilus
81] Dh 5509 ee sat day 591 ss (849)
aÉ, js dimwe IT af pos DE y JS 2
“a LS92 : Cu ax, xeb oui Las sb LT Hub
827 58 D» vb EE A US (54V)
DH a, uS bib; és a, JS ls dé, 5
al si LT oblicl pas, ils le Se PAT Un à
Su alpes by: oeuf,
“JS pH pl
83] Us Sul (xs Jjl >> (se s DNPR (88v)
Uble, ne 5 Dé ul ab © LR ol ,5b5 &s
ST Uose Obl js Luis bo où 25 ss
ut Lun ul,
af JL AR 3e 5 SC abäi,s ed Fer on ue,
dsl Dal 5} a 5 & be dus: LB CS ln
JS Que 5) aus LT, El sul
84] Lil jee op af élis db el 7 (80)
Qball jf 535 lus Cul 585, oil af, is, xs
D! P° ve JS 8515, Csisils ee : Le af
Cle pe gril lue ue élis y élaf|
dla à Cu af, oo pi le pr
€) YU sl Cod., vgl. die genauere beschreibung bei Injûü, dessen
die correctur bestätigt; bei Sur., der disen paragraphen vol-
… ständig an fürt, ist das wort auf gelaBen d) w% Cod.
e) VIII, 78 f) sic, PS Sur. g) sic, #b Sur.; leztere
form ist richtig und noch jezt M (täpu)} #KykoBckiñ,
Marepiazsi I, 90 (noch nicht erschin h) so schreibe ich zwei-
felnd für 539> Cod. i) XVII, #. steht Des wie auch die
beiden neuen hdss. lesen Æ) corr. auf Se denn vorauf geht ein
l) den zweiïten halbvers verstehe ich nicht ganz |
lis «die trockenen stücke»?), habe auch sonst wo den vers nicht
finden kônnen »} XVII, 60
anderes
85] ie: d: JS sde bic JS (35)
Si Clynus LT Us Bol js SE Jos D DS
Cab 5
86] a (spl _S Jéb nb, vis el, LS (80)
ess 5) D ‘br 2 Fan ay Gb ë : Ca
Jentne 5 LPC ee PI DE ps 2 >B p js
SR ce
87] & Jib Ebke, ls ds} ME ps Je ie (35)
JR lue Qu : Ce af ele ce de tu
Cunlals D 53 F2 is p 5 JS Less uLig : &)9
RÉ L5 dur 3 S Qgett Si Le pull LT a
adsl als 0 », du ee al (ps
JL Lol JE se 9 AU ob yep 4 Re Le] ©,
Je) A pale ml A. sLs) 5 ke ol 4%) (SJS Us f
RE pb of Jnf Lém 53 Se Lil
Se fe ‘#4 FE e] #$ D pl Le led
Ge le: Gr ps 25) rés OÙ Up ‘uso
"Es ue sb EST JAP UE SA é” af SEL
ui out Mile Glen ae sf ls
Ub sv Fe 5 jf D mr À aS >)
Fu en
[Die lezte bedeutung citiert Surûrt unter 93 8. $ 85.]
60 «
887 Cul (55e dS olipsie cp Se is 00
pla ge Doll si Gps 5) vil «el Jé
af (sus ass ob JF ie JéL J af >yüe
pbs db © J> Gi L 5 SH 5 Q8 po : Ce
n) waB mit disen schriftzügen, die ganz deutlich da stehn, zu
beginnen ist, weiB ich nicht; sie werden doch wol kaum zu dem
folgenden namen gehôren, welcher übrigens an Faonren stellen des
Cod. mit 3 geschriben ist à Cl oJù Elyse Cod. corri-
giert nach Sur. u a J> LU > à) cale né sic
305
des Sciences de Saint - Pétersbourg.
üj Us> élis #
0 PO
PER EU b prit Laë ss Lles jiy) (50)
00): nb fs El Re Te al (24)
af se Re AE
dal > [: Ce] a, HS js Lol 35b 35 4 >p
917 Do: Cu af (just JE Cf Ujése (90v)
on Lei ul Uièse 41 Jire ‘oil 585 Le db LS
2) Caslus «5e a D fe sors Je 9)
DH Qui Use, © Ujése …… lite if
Cu ouf QE a D fe SE JS
[Vgl. Surüri: huste: JA] UE Gb, Es p, GE
sb és db LP: et Uë sic Ps Cu tab
[él US » LS
92] ie rene ple lésle äyste (55)
Pr te D Gestes De CE ab 2: Ce a ul
: " * A AVE - à 9 , +) Q)
89]
Ca Ne
on EL, SE ‘aS 59 4 3 Lys ebG6)|.
YA 39 Us Cu) db store a bites eo” af 55
522 ‘ él, Jo 7 uses ef es à Ce af ip
Pair ëLe; 5L 5
94] Cal ju pre er. a Jo FE (43)
pl Us ce LE Rs ME rl Cplie be
fe Jr Lil he
?) XVIIE, 122 q) VIT r) diser vers gehôrt aber dem
Sams i Fachri XVIII, 132, . müfen die beiden namen um ge-
stellt werden; auferdem ist nach der angabe SurürŸs für die ersten
beiden Ç(,y;Ë5,e zu lesen JE y (+), und für JŸ + um gekert
C5 (8), so daB die lesart « dem Vafài gehôrt (das wort steht
zwischen Us pe und Use) 6 dem Fachri, und Qlé Ce (7)
dem Sams i Kaëmiri s)s0
t) as Le uw) wol és rossschweif oder federbusch an der
fane » +) V, 34
[Surûri: Cuuxs 33 ab » » sw 5 ne #
NE DE de ci 0
95] gs LT Obs à op AG Jeé (73)
dia OEj, nf [oder &5?]
96] "255 S JE (aûge Ji 5315 (ins 5 35 (417)
re» ef vbs LT ob, sel ais vbs
DR ppE: Ce 6 QU y ses LD EN
FT Gelée D pp pe ‘obe il nil x
A dust 4 dont ds Lou 35)5
Hi
[Dazu bemerkt Surûri: (aoge (as ls es Des
Las ss LT af auf, el 35 ul af cis ls
Cmdjie Jos EP 2 } LJ Sa 5 ls okÆ
[oseLs Us L asus Éd |
“ 35L 078 nes sos RUN «le * Pi (80)
pp pi: Ce GS (spi sf ol LT 4,
ES RU ob el si
98] cp ON De 5 pige Jai Cd Opens Gui (91)
‘(se cles ne.» il Ge lg : Ce auf Jo)
Gris Je Lo, opus Jr ses fe ss
nn 5 cs a le br Le Seurs d'a
w) vel. XVI, 43, wo zu lesen Lol Ji] (set y 32 »
Jl,s æ) ich müchte y) lesen y) dennoch hat Vafài
recht, da das wort «baumschule» bedeute; one auf die analogie von
> und ; L (lezteres auB *paradaiza = rapadercas On;
nicht aw. pairidaëza: de Lagarde, Armen. Studien $ 1878) gewicht
legen zu wollen, sehe ich im ersten elemente des wortes einen ver-
wandten von €_aux” Pwufubh, im zweiten etwa von © 5 aêsma?
|
2) sic, vel. XVII, 61
20*
307
Bulletin de l’Académie Impériale
308
Dre. se Ds ne:
Ms PE tn de gl
CUT PAS plie 021,5 5) Gel Ji 5,2 pp Je 15 (3)
0 sg JP DURS
folgt eine lücke von sechs zeilen
Ho pSes EL 35 Us Ho pe ps (919)
as ne DS: dl ob ce Je op se: Sn à
[Surüri: el 5 95 pu Car Cols du 5,....]
101] 5,2: En ee cire ENT su (68v)
Lai 2] of» élit; JL, #b 205 pr 5,8
OSSI, aa is Je Le, Hs,
—
Lu
[Beide werden von Surüri genant.|
B.
Fol. 98—130v enthalten ein geographisch-kosmo-
graphisches werk one anfang und ende. AuB der ver-
gleichung mit der von Rieu I, 421° erwänten hand-
schrift des Asiatischen Museums (vgl. Mél. Asiat. IV, 54
nr. 8)” erweist sich, daB wir hier das selbe werk vor
a) so ist der vers nicht zu scandieren, man lese mit Sur:
S : L
Élus lÉ #) Jo si] ; 3] &
€) JP Cod. im C; 2
; die ableitung von : ,xags steht fest
3, bec. 19 X 12,5. 229 fol. 14 lin, à 5,5 (biB fol. te und
7,175 (die frite fol. 86 das datum der abschrift |sr64., —
beginnt mitten im satze ein änliches werk, welches ce gs
188y—229 in alphabetischer ordnung geographische namen erklärt.
Der titel des selben findet sich fol. 188v: _— en A de E
b) auch diser vers ist verdorben
des {y ©
Vu she CAPE us #1 al Lebe
sHlute b,
uns haben, dessen verfaBer sich freilich nicht nennt,
welches aber nach einer schon von Rieu benuzten
notiz (cod. Mus. As. fol: 6v) im ae VrCA A (üley ol
Gba Ds :) nl &le ,
” le dj ) verfalit Aie
Rides ein geteilt ist (M fol. 2v):
und folgender
J'Y FU 4 Jj di Jes > » sa di
Lol olUb U2£9 Job CS j2e Oo) Celue
(M fol. Re elr
djjl Los a Le, JA Lis ETS SUIS ri Jes
(fol. 9v) sic ad) ,
Jil est 55 pe Jsl des es is » Je ps OL
(fol. 16) und so weiter IT (fol. 28v), IIL (fol. 35), IV
(fol. 57), V (fol. D (fol. 75v) und
En Cybe, Clg el pds! DS > pe Je
lus ei, Dos Ye Je Cases JL 5)
msll plel dl, JUN Jus Lbs y 51 Due LB, cul
(fol. 78)
Die Pariser handschrift (P) beginnt im 2-ten fasl
des Il-ten bâb mit den worten (ich entneme M fol. 32
den anfang des satzes):
Do) Ps El y Lu ne as NOË JiasslS el Le er
É- af pl LS 99 ESS gl pôl, &l, 55%. Ur®
Je pl 09] SL US Lys 56, LS ES Jle
Ua jee Cul 533 Le 5, Lui, yue Ft a (slt
cl 029? Qt ae ER pl UM
; | Se» ee pole L Uu ail, 5] Ce L oi Lil
ef ob sie ete 5e à bai pb, 1e sb las
Le dj 9 Ale > I. Ch. IV, 186. Surûri scheint das
7 | werk lou] L»ls° zu nennen: wenigstens findet sich seine
notiz unter EL : Rate XL À LS ue ob» 9
ol ul nlse S durch die worte fol. 196v € pp JL
Ju F3 Çs Jai ob Gb 3 aS bestätigt. Ein änlich be-
titeltes werk hat «s mo) ee verfafit, 8. $ 17 der V. Beilage. — Die
beiden handschriften bezeichne ich mit P und M.
309
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
102] &l ge, AE Or Cas ab > Go (cie)
Lib, É Jiloste LS Lil ue, 5,15 É2 55 ds,
ads, Jusfne [P fol. 98 ob OL, uogte Us
le Obs L él ol UD DL DHiygste » se
ie we Lil, wie vus 5 Lee (M 82v) Les 5,
>p Je @ob > uote UM] L
Die übrigen capitel finden sich: (3) fol. 99v., (4)
fol. 110v., nur mit Jæ Le] ein geleitet, (5) fol. 120,
(6) fol. 122v., (7) fol. 124. Der text bricht hier mit-
ten im satze ab: (os) > af) J] ne 45 > cp] Le
€ ne pbs) Qi (P fol. 129 zeile
10 — M 85 vorlezte zeile), wobei der abschreiïber be-
merkt >,/5 «>L3). Zeile 11 ist leer gelaBen.
Es folgt auf der selben seite fol. 129,12 —129v
ende, nach der notiz 3,/5 Us], ein stük über die stat
Ql,& in Jemen auB dem 1-sten fasl des Il-ten bâb
(M 26v—27v.,6), welches also ganz an den anfang
gehôrt hätte; und auf fol. 130,1 (welche zeile mit
9 Hd ,<b eù L Leu) 3,5 05Ul beginnt) — 130v,5 ein
anderes stük über Istachr u. s. w. auB dem 3-ten fasl
(M 41v—42v,2), welches aber die auf fol. 102,12 vom
abschreiber an gemerkte lücke nicht ganz ergänzt,
denn dise geht von M 39v,2 —43 ende. Die lezte zeile
lautet: Jiloste Uly af Lu? Dul. Ce cs cr 7
Gleich darunter der bibliothaksstempel.
Fol. 101v sind die worte rs À af Ji EL in
Jilyte Jus S'il (et Eu pe überstrichen
und am rande (mit einer stalfeder, also wol von cn
Europäer) hinzu geschriben |} sy pole Jess cpl 5]
Ji as || Lb pb He 5 ol ou) af. Die schrift
erinnert stark an die jenige des sel. Dorn, auf dessen
Caspia sich auch einige andre randnotizen auf fol. 101v.,
121, 123v., 126, 127v. beziehen künten; aber ich weiB
nicht, ob graf Gobineau im jemals dise handschrift ge-
lihen hat, denn zu seinen auBzügen auB dem werke
hat Dorn nur die Londoner handschrift benuzt, wie
29° af. Ca L,s
a) sic
Mél. Asiat. VI, 574. VII 43
steht.
Ich gestatte mir ein par auBzüge mit zu teilen,
welche von algemeinerem interesse sind.
(JL Jye) zu lesen
103] Zoroaster (auB buch IT cap. 4: M 65v. P 115v).
re ob, al, ulelusl Elle, JEb 3,5 ob yes
ete iay5 ‘ y Ulis, » (5 Jap us Ua
Ps< nes sa pyle Jres p22 &s Ut 5°, md olsbsl
pull al is in Lee us ile és
EX LI, is à Us (P116) Léa; * sy 0396
Dis gs _ Hs ss tps te on
af OU} of js dal Est; eee, Co à
b, D)» J yoe 418 “xl Je JéL Jopise NE
ls ps ül, Je) Je) ay Jl, ES 22 jbl, cs
LES, 25 De 3 5 cet, 28 des 2 eyes
So ao af (M 66) Jus Li fa, Lis sh lus
JT Cotes Gr Dos ie 5l Je FT ie Lelil, si
JE Gp 3) le, le Ge cols 53985lé au, 56
He, lé DLL (ss Jesl 5l, ‘uisse Los 49,
o Lot US es JUEI a ls Of (525 LS af
a BL ol; ob Ji Je 2 "Jebo
ee es or ble sul che té ae
Ses cc, où anetlilet de
lus LL L fe lus oies 5h pos cye CS
OÙ Le 28 db 55) ge ete Cube) LS ses
> el be Eu yles 9, ils bi 9 Gel 4° 2p
él L el SC ls), of 39 J>9 D 4) 97
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a) Jæ Le] M b) M scbreibt stäts cls 3 <)om.M
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j #9 ph Jus M HomP D»
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Jus P r) MSP
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Bulletin de l’Académie Impériale
31?
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du (9 sb LS, Seb, sb ls
JE » "2 ul) ds QU, >ye 5 jé L ol 5,
ol D LS ve, P16v es, Le, ex
99 #5 pi) Cul Lise oi Jsle je @,2 af so
ls b:,s à LL n le Li A
is, jp ou, y Sols, Élsislé Csuls CAT
CS gilles a ce je cpl af Eu) Css MS DS CR
a "ue 9 > Seb L las UJs k eue Jill
JL ol Qhs us a Le, dibdig 4 Le 5 me
r) Hi M s»9M 9 (3); MP, für il, w) add.
sMafP Décor w) 4 M du P hat , né)
Usll, > SE Lo Lo pl à >. Herr mag. 5. Olden-
burghatte die groBe freundlichkeit dise in den beiden hand-
schriften des British Museum (Add. 7704 fol. 66 (A) und Add. 23,545
fol. 70v (B) — vel. Rieu L c.) zu a Nach seiner angabe
lesen dise: pale (A L,5)) Ji) (B pl.) go) mn - pi)
JUL (A G Mb Pce (A ja Le p“>) r* pré ch
Epbul, (B gi) ie (B Rae Lisbon
(B ÿ! | L..s);: ich kan nur die folgenden worte entziffern: asem
vohû vahiStem asti ustà (ys. 27,14) …jad …japà frjô frjài? ….vañhu-
byô? dadad vâstärem (ys. 27,13? Bei diser gelegenheit wil ich be-
merken, daB die von dj Je CP NN 4
werke Os] cils SES Schéfer Chrestom. persane I | 4,20)
als anfang des von Zoroaster promulgierten buches an gefürte
«phrase en Zend tirée du Zendavesta» als solche nicht an erkant
werden darf. Sie erklärt sich einfach auf dem Pâzend (ich setze die
von mir gebeGerten lesarten des originales in klammern _—
De up (CP Es) 3 jus pe Ce (om. 1) ©
t. às),) Q Jui Li E d. i. awé . gumän . haë. pa . ristaxéz . u.
pa . hasti .i. hôrmezd .u. amsâspeñdan. Die bei gegebene über-
setzung ist richtig, ich kenne aber kein buch, das s0 an fängt,
Dh Cés,,P omM do %3P - 1) ul P
c)om. P dd) UælL P e) US LA M
| in seinem
La
lgsl Le 2b y L oies SSI Lee: /|,
ne 29) S je EL » CR
JS a53 pe a > 5 JS ve bb 9 He
aà> jl LS SI, Dos ls €” Guy F COUPE
Jos Hp pe QG ‘& aés, JAP El UT, ne
a Ji Cf de }» ob ‘L o2pes Jelytte lé cs
D hope 5) a ss, 55 sb 8 de 67) af Jvfne
oi mat PS Pa ESC, » p LL, il Jb tof
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M) Us$ M mm) S.
D) RE 9 :
Î) 42 025 M sic g)p M
HaÈP Das/l5P Mom,eM
Weil Biblische Legenden p. 71 ff.
n) JS, bi 0) Jam M
June ge lus re nusbP 94P #,)M
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
311
104] Ardeëîir (auB buch IT cap. 3: M40v).
Us ils S ee 1, wub ul&L pi) Gps 26
jus ol&b io) “ssh PE Qsleslé, 5365 &l,Le
Je, Ca Ge les 59 pue, GK Jile
Jet cf bb 5! si Lit G'usuel, 1 Lie
a Hs, JS ) Us CT EE OT Dos os
JS ph Le af if LL Se Lol a we Le
5h XF Jul as les op Gpliol 31 als Cif
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_»ÿ4)
Unmittelbar darauf folgt das nächste stük.
a) vgl. den widder bei Nôldeke in Bezz. Btr. IV, 45 b) sic
€) vel. L ec. 56 den «herrn des wurmes» Haftänbôcht, wofür Nül-
deke in seiner übersetzung des Tabari p. 10 zweifelnd Astowadh
schreibt _d) vgl. Bull. XXXI, 488 (Mél. asiat. IX, 237) n. 41, wo
dises wort, welches sich bei Dozy findet, und chald. 2792 (de
Lagarde, Semitica I, 66) hâtten sollen an gefürt werden
ske (P 130) 3 ue US |
105] Persepolis (M41v. P 130).
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L, Sls Lé5b dl Sp ls) ol ob af ef 2,
a) om. P b) add. 4 Pc) om. M. d) oje M
jai; Ssr NnSleP 9 OU po P: ich
erspare mir für dif mal alle nachforschungen nach der richtigen
form der ortsnamen und gebe sie einfach so wie sie in den hdss.
m) æége P n) jluyeP 0)3$P p)_# oder Las P
g) beide male one JP r)add. ,P s)p»P t)om,P
315
Bulletin de l’Académie Impériale
ls bp, J 28 Qsle me >)9) HIS LS 2
m7), 52 > Je (P130v) Lf 52 he af Louis
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Ji Jajee JL obs ve Lai, (M4) xx)
Nachschrift vom 17/29 IV. Auch diser beilage
mub ich einige worte nach senden. Sie war schon im
satze, als ich durch die güte des verfaBers in den besiz
des «Verzeichnisses der persischen Handschriften [der
K. Bibliothek zu Berlin] von W. Pertsch» kam, in
welchem unter Ÿ 119 ein volständiges exemplar des
cols cpu JGe,s (Ms. orient. 8°, 313) beschriben ist.
«Der verfaBer gibt an, daB er sein vor ligendes
«in 24 capitel ein geteiltes] werk unter der regierung
«des Laulsb I. j. 4## geschriben habe» — dise worte
bestätigen und praccisieren meine zeitbestimmung
p. 283.
Ferner wil ich nicht unterlaBen an zu merken,
daB die drei ersten abschnitte des p. 276 beschribenen
…....
methnevis 3läal) ss sich auch in Berlin finden:
X 85,1 p. 155 des «Verzeichnisses», und daB das in
anm. 17) erwänte fragment der lil) &é,e 4
eben da unter N° 2,10 verzeichnet steht.
Aber den meïsten vorteil habe ich auB dem reich-
haltigen werke für die in der folgenden lezten beilage
lage vor gelegte arbeït gezogen, welche‘dank dem neuen
von Pertsch mit geteilten materiale nicht unerheblich
vervolständigt werden konte, ja in einigen paragraphen
ganz um gearbeitet werden muste. Das nonum pre-
matur in annum hat sich hier wider bewärt, — ob
zwar das für dif mal invita Musa geschebn ist.
Le
u) add. ,> P; die lesart von M, wenn sie sicher wäre, bôte
w) J je P
widerum ein beispil für die praep. 5L
v) oyl y P
x) add. ,P y) add. y). P
Beilage V.
Chronologisches verzeichnis der Farhange,
Das folgende verzeichnis habe ich hauptsächlich
nach de Lagarde (L), Rieu (R), und Blochmann
(B), so wie nach den unten an irer stelle ab gedrukten
listen Surûri’s (M), Injü’s (F) und Rizà Quii Chân’s
(A) zusammen gestellt, und einige nachweïse über bif-
her noch nicht erwänte handschriften hinzu gefügt,
Die notizen auB dem Supplément persan der Biblio-
thèque Nationale verdanke ich widerum der liebens-
wirdigen mitwirkung des hrn. mag. S. Oldenburg,
die auBzüge auB den handschriftlichen catalogen der
Kgl. Bibliothek zu Berlin habe ich mir im sommer
selbst genommen, jedoch deren nicht ganz zuverläBige
angaben nachträglich nach dem «Verzeichnisse» von
Pertsch (P) berichtigt und vervolständigt. Werke, von
welchen bis jezt noch keine handschriften nach gewisen
werden konten, sind durch ein sternchen auê gezeichnet;
arabisch oder türkisch geschribene mit dem betreffen-
den sigel versehen. Den beschluf machen aïphabetische
register.
1
(M10.F1.A1.B1.) vor bee
Für a]. schreibt F Jos. Nach dem sls-i] ou von
ob JE Le, (lithogr. Teheran 140 fol.) I, 64 hieR der
verfaBler [ose (sue fs (Uaë #1 und lebte im
ersten jarhunderte: 6» (4,1 &le ,5. Im gehôürt fol-
gendes werk bei H. Ch. an: III, 514 nr. 6700:
Gr Soul] ay} ue LP JE ue ad )ll ay
Sol és 3, A ll Co di sd aff à
CL Eure bb opsèe, gel Le des (gxiiseulle
LES ,he (arabisch geschriben, vorhanden in Wien:
|Flügel I 402 nr. 415,1; die yllal) spl> betitelte
persische übersetzung von einem ‘gewissen J* in
Berlin: Pertsch nr. 1030); und villeicht auch VI, 71
nr. 12755: (3 semull 6] 095 (opel) Uais (pl dodie
ol, Lx 2
2 (L8.)
vOr Fo
me
È
317
des Sciences de Saint - Pétersbourg.
Laut dem Lai c* I, 237 hieB Rüdagi nach an-
deren dy} Je oder L£ y? pèse AW) Je pl, und ist in
dem oben an gesezten jare gestorben. — H. Ch. II, 93
nr. 2055. — Ein eben so betiteltes werk über die
arabischen infinitive verfaBte Baiïhaki (H. Ch. L. c.
nr. 2054, s. Pertsch, Gotha Arab. I, 352), vgl.
Zauzanïs yslal} QU (Rieu II, 505. Pertsch L c.
351) und das nach beiden bearbeïitete werk eines un-
genanten äal} ,>Lae (Pertsch 1. c. 352); die lezteren
beiden sind persisch ab gefaht,.
4, (M5 F2,42.B23 R1088.1928.)
es <a UL.,
ob du Sel se Je pee pl db
Gewônlich LS &JL., genant. Im Lai) ecil L107
ist das werk fälschlich dem vater zu geschriben: J;)
VOr KOe
G rt Z
SNL, ji de, ail os Gus Cl du
Cuusl SES ab. Den obigen titel gebe ich nach
(4 Gà bei Ethé Vhdign. d. V. internat. Orient.-
Congr. (Berl.) IT, j. p. 64. Halimi (s. meinen Fachri
114 d) und Su‘üri nr. 23 scheinen das werk nl
al zu nennen: widerum die verwechslung von son
und vater. Anordnung — ?
> H. Ch. — Quelle für X 15.
£*, (F 11. A3.B15) um Koe
[oil] àèl 3] els
2e GJéall (dl paie pl GLES n$ JL
So heifit er im lei) L£ I, 466, aber auch LS dep
und (55e,/, und starb Ko; eben dort wird im noch
ein al, )5 betiteltes werk zu geschriben, und lob-
gedichte auf seinen zeitgenoBen Lo 42e (T KP,
nach dem ls) + 1, 543). H. Ch. IT, 327 nr. 3146,
welchem ich den oben stehenden titel entneme, nennt
in einfach (ce Nl QLb5 ,$; wo Churchill JRAS.
n.s. XVIII (1886) p. 201 die ab weichenden namen
gefunden hat, weiB ich nicht.
Quelle für M 22.
N. (A 4.)
a) vgl. de Lagarde p. 40 über handschriften dises werkes.
Tome XXXII.
vor Ve
Durch Churchill 1. c. bin ich auf folgendes citat
gefürt worden: H. Ch. VI, 387 nr. 14008: aa) 1,5
Ci) @k&. Nach dem Lei] # I, 439 hieB der
dichter > LP E y» pl , Starb K&}q (so), und hat
ein werk & M) Qls 5 verfalt; vel. H. Ch. II, 277
nr. 2894: as per el) CéA) | os Mr GUS
is | wliall; Raëid i Vatvât hat also schon einen
vorgänger gehabt. Die PO sind aber môüglicher weise
doch ein arabisch-persisches würterbuch.
6. A. (M9. A925. B27. R499°. L p.58.) vor 4qr?
tell à Lol À
Da dises werk arabisch geschriben ist, wie auB den
auBzügen hervor geht, welche Surûri unter den wôr-
tern sugi, Et 02, of Ln La, dus Ja,
2; JBls, ds, eh Hs gibt, so künte es in
Leiden vorhanden sein, vgl. Dozy I, 76 nr. 131. 132,
welche beiïde ï. j. 49r geschriben sind.
Maidânis originalwerk ist 1P4o zu Teherän (?)
lithographiert worden, pag. F—110 eines sammelbandes
in 8°, welcher auferdem enthält: 4) ll Ses US
Gb dl âss Saull hf pag. 14—11. à) Gb] ee
+ Sr ce a ire (3 Del cp 4
ci pue I4b—i90. d) à le 3 ol QU
©al] pag. b—110 am rande, mit einer 45L
EM use, Wine pjli de Jai Je Jis RON
Lile pag. 114—10p am rande. e) jlail Dom (455
pag. 10f°—14] am rande. f) syyilL à, pal) 505 oJ9
TOUTE ce 2% ue 2 pag. INP—IAVam rânde, nebst
commentar. g) eine kaside des 3; ,5 pag. IAA—191 am
rande. X) noch eine kaside nebst einleitung und com-
mentar pag. |41—190 am rande.
De aL EL ei ist bei H. Ch. III, 573
nr. 6995 nicht erwänt.
1 (M 29. F42. B61. R491° ff. L 43.) UM Vee
as Css
Qof3s De pie Con Life UYe Gb
Injù nennt in (56 sua les Ghse, Su‘üri in ver-
wechslung mit M 20 (ls peLel. H. Ch. IV, 419
21
Bulletin de l’Académie Impériale
nr. 9044 setze ich ganz her, da der an zweiter stelle
genante 5} (so ist zu lesen) autor von X 44 ist:
5 polel coll # ob ls as
‘sic JV ai cp us ai LI, sal
Quelle für X 15. 20. 38. 44. 51. 63.
8. (A)T. vor V4
(M7. F36. B53. R499°. 515*. L 37. P p.189.)
pole
- D e à
Dh) GE Que ei else op oe al
So nennt sich der verfaBer selbst in seinem anderen
werke #K] jy (H. Ch. II, 227 nr. 5074. Dozy
E, 173. Flügel I, 235), welches Voq oder v4- ge-
éhriben wurde. Der v#4 gestorbene u: ol] Le
| Ji, welchem nach X 46 und 77 das werk ge-
lue ist, war vezir des Ji UB pl Je »
(Rieu I, 81° ff.). Der titel lautet in den meisten bei L
auf gefürten handschriften und bei Pertsch, Berl.
nr. 138—1 40 (nach welchem die erklärung der würter
persisch gegeben wird) &.s*)) Le}, bei H. Ch. IV, 91
ur. 7712 und À 54 wie oben, wärend Halimi s. v. &
sagt: us LS, ds) ll ce JS oléuis (s. Fachri
p. Irr N). Es gibt zwei aufigaben, bekant als a po
und HU, wie H. Ch. und die vorrede zu Nimatullâh
leren; leztere auBigabe scheint im Gothaer codex und
den zu im stimmenden vor zu ligen, doch vgl. Pertsch
L ce. p. 189. Der bei Dozy I, 100 genante codex
«Caes. Vindob. 12» ist bei Flügel nr. 119. — Vel.
N 58. 102. Anordnung s. Pertsch Gotha Pers. p.37,
: (M2. F59. A5. B58. R498. L58. P p.180)
Feat #1 e Lie, eue Lao
le) SE : ON Qi : Gb
H. Ch. V, 640 nr. 12440. — Vorhanden volständig
in Paris, der vierte teil in St. Petersburg, s. 0., und |
Berlin: Pertsch nr. 43,12 (cod. Petermanni 474, wo-
für oben p. 257 fälschlich 477 gedrukt ist),
Das selbe buch wird villeicht auch unter dem von B
p. 10 als quelle von À 51 an gefürten «Dictionary by
Shaikh Muhammad Khaghri (25) zu verstehn sein?,
Über die anordnung 5. 0.
10*, (IS BIT RIVE 23)
JsbY) J 7
H. Ch. II, 225 nr. 5061. —F 12. M22.B p.10
(als quelle für N°51), R 493° (quelle für N 38) nennen,
wie es scheint, das selbe werk einfach ,.. Doch ut
ce) J] RUE | pol ol =) dyl JE 1,
welcher «43 oder «9v starb, ein arabisches würterbuch
unter dem titel äall] ,,2. verfaBt: Dozy I, 73.
Quelle noch für M 15. 44.
1: (M23.F15:B19. R491! L31.)
So wird der verfaBer in 51 genant (B p. 10).
Auch (jlol5 cul) +] zum Anvari citiert das buch
(#Ryko8ckiü, Jusepn p. 91 nr. 28), aber wol in-
direct{), — H. Ch. III, 450 nr. 6394.
Quelle für M 15.
a.
vor Ar+°
VOr ArF
VOr AFF
etes
(F 28. B40. R491°.)
#92 9 Gb» Dhs
Den zusaz 5,3, gibt bloB 15. Vgl. H. Ch.IV,
471 nr. 9237: Ur pl äa) 3 MER D) s, wo für die
dingua Anüsh» (!) unbedenklich Qi) Zu lésen.
13. (M16. F32. B46. R491°. 494". L45.) vor AFF
Laëll ou)
H. Ch. V, 310 ar. 11095. Über den von Assemani
beschribenen codex sehe man jezt Pizzi in den Cata-
b) Doch gibts noch andere combinationen. Der von apart
(Kykosckiñ, 9asepu 96,66) benuzte astronom po) press à
LS JS ŸC. Ale, verfaler des A | AP D a
(H. Ch. IT, 269), wird so geschriben nur in der hds. des As. Mus.
476% bis, fol. 38v; die andere 476*, fol. 29v. 49v. hat beide male
KsJe5, wie auch die von Flügel an gegebene variante zu H. Ch.
IT, 479 lautet.
ge Xe 10—15 kônte für dise zal auch A} gesezt werden, nach
und R.
4) fol. 38v: à po) il, “a 7 de, 00
Gen Ja },=e Cyiæs, Wozu Surûri 5. v. Zu vergleichen: <
|all, 1 CUP as seu 5) 339
321
des Sciences de Saint -Pétersbourg.
loghi dei codici orientali di alcune biblioteche d'Italia.
Firenze 1878. p.311, der uns aber auch nicht weiter
bringt.
Quelle für N° 15. 19. 44. 51. 63.
14*, (F 20. B 29. R491°.) vor A+P
le ol ti Lo ;
Da diser gelerte nach Rieu lerer des verfaBers der
folgenden À gewesen, so läBit sich die zeit an nähernd
bestimmen. > H. Ch.
45. (M11. F4. B4; p.7,1. R491ff. Li.)
eMail HE)
Jules sl (ol ue js Uleels Gb
Alle mir zugänglichen handschriften von M und F,
auch Su‘üri, haben +. H. Ch. I, 215 nr. 323 mit
varianten im namen. — Geordnet alphabetisch nach
dem ersten und zweïiten buchstaben jedes wortes. —
Vorhanden in Paris Suppl. persan nr. 426.
Quelle für M 19, 44. 63.
16*,
APP
(Sarafnâma u. Kaëf allugät.) vor A44
ail) LL]
Quelle für X 20 unter dem worte ©], und für M 51
(B p.10, wo cl ya) p}hel steht). Nach lo) 5 sil #)
wird das werk von einigen dem ç ok ÉÀ zu geschriben
(Kykogcriü, Jusepn p.91 nr. 25 = p.9,13 des textes).
Âduri hieB nach den yes Q-Ls, lithogr. Teheran
ibn, fol. 146 5 hi) de Je y de pull 15
QiæJl, nach dem Lail| c IT, 6 aber pull» ÉË
cb Gionll EU Je 5 03, und starb 444. Von
seinen werken nennt die zweite quelle auBer dem!) divän
nur noch *) y ,-sl, (H. Ch. IT, 640 nr. 4265.
Rieu 1,43) — )L y) ls (H. Ch. IV,186 nr. 8062.
Dorn 471) — d'ores «Lab (Sprenger p. 316) —
und )lia)} =. Nach der oyele &l;s bei Sprenger
p. 316 bilden die nos. *) und ”) das 2-te und 4-te
buch eines 2} ,< betitelten methnevi. Über den dichter-
namen unseres autors lese man eine anekdote im Ferh.
Jah. s. v. ji, au8 den alé) .Jl£: Rieu I, 351.
e) vgl. oben die anm, 21.
17*, (M13. F16. B21. R493'f.)
Looles LÉO Les
So Injù, die übrigen sagen kurzweg L lb; 4.
> H. Ch. Nach B müste das buch wol älter sein.
Quelle für À 20. 38. 44. 63.
18*,
vor AFF
(F. 44. B64. R494°)
Dal] Jilse
> H. Ch. Solte der titel etwa mit bezug auf X 12
gewält sein? — Quelle für M 20. 44.
177
VOr AVe
(B p.10.) VOr A+
Der verfaBer war ein zeitgenoBe des Fârûki, wie
Beil. IV, 52 lert. Quelle für Ÿ 20. 51. >> H. Ch.
‘ um AVe
(M1. F3.19. AG. B 3.28; p. 7,2. R492f. L 36.)
| gore del &li,é
ls rl mL) SL
A nennt in fälschlich %».…, wol in verwechslung
mit X 63. Das würterbuch selbst wird auch als &eLi5,i
QneLel (63: R 496°) und eslsl Los (K 38 und
F3. B 3) bezeichnet. H. Ch. IV, 44 nr. 7557. — Ge-
ordnet nach dem ersten und lezten buchstaben, und
dann streng alphabetisth; © E j J werden unter-
schiden, nicht aber auf lautendes 5. — Vorhanden in
Paris, Suppl. pers. nr. 420. 421.
Quelle noch für Xe 44. 51.
7 3 PS à
(R515", L2.) vor AVF
pysl
H. Ch.1, 386 nr. 1084 nennt ein äall} pl: Halimi
citiert ôfters ein werk unter dem namen ml, s. den
index zum Fachri, p. 140. — Ein geteilt und geordnet
wie X 54, für welches es vorbild und quelle ist.
99,T. (M15. B45. R515°. L3—5.)
Pre
Der autor heilt snàll up (p) cp dj) Gh) Sell
Gil und hat eigentlich drei lexicographische werke
verfaft:
21*
Bulletin de l’Académie Impériale
323 324
a) lai) + H. Ch. II, 19 nr. 1667. vor Avr“ |23*, (Churchill JRAS.n.s. XVIII, 203 N) vw
3e “1: b
b) SU) LUS ibid. VI, 299 nr. 13576. avr Sal ne
c) «els ibid. IV, 503 nr. 9364. qive
welche erst Pertsch genauer geschiden hat. a) findet
sich in Paris: Suppl. pers. nr. 453; D) in Berlin:
Pertsch 143; c) eben da: 141. 142, fragmente 30,4.
137,2.
Die beiden St. Petersburger handschriften (Dorn
496. As. Mus. 474) bieten die gleiche kürzere redaction,
nämlich den ersten lexicalischen teil der acls. Ich setze
den anfang nach der zweiten handschrift her:
es a} Je Lolus a cl, éh Je cb SW
HS ps ph 8 5) Cul sue sas e* af all;
slls, ph CLR pis) Jo sul Lul yoni #
3 pal) ue éboe Je PL D pr
olal) eo cull) Gel Le sb sel, ai cl
Jbaif, Hs Jbauki RO AS Je Je
it out ON SO JL Jo
d/ Je, aclue djl + Cet Sp) co) CL? dl Gb]
Ds et SbS Sn ob; bé y Up» ‘af aels A]
D L 5 JS elibs pr oi "ells do y _p C4)
Sox uns cle Joël bi 2e pl, ee
Ji (sy JS 3 Ps Lol all es
Jes, pr Ab ol] bi, Te JS 33jfe pie
> po CR in Er mn vs
en ph dy, © pl fs: cite de 5 ce
ui Lip Cl Jo Sl Gle s Ji) 5
» Le, el ailes b SL»
Quelle für Xe 54.
a) vgl. anm. f b) Pertsch p. 207*)
d) sec., die erste hand hatte QU] e—e) diB stük teilte
de Lagarde 20 nach Tornberg 18 mit f) dise worte sollen
nach Pertsch p. 206 bedeuten, daB Lutfulläh sein erstes werk in
versen ab MP habe: lesen die Berliner hdd. etwa pi?
g) add.
6) ibid. p. 206
blé >pS D: Le D: >,)5 J: «He JL
Es ist dif der commentator des Anvari und des
Chäkâni (Rieu IF, 556. 561); das werk selbst habe
ich sonst nicht weiter erwänt gefunden. > H, Ch.. aber
vel. VI, 27 nr. 12586 05 J5Lail) plie, und M 76?
94%, T. (R513°. L10.)
plus kis
So schreibe ich anstat Qu der früheren, weil
leztere form nur der türkische accusativ ist, Vgl. in
der einleitung des Sähidi (NX 39, mscr. der Univ.-
Bibl. nr. 118) die verse:
VOT AA°?
Lil Url es as
neben dem dative: Ë
Cat as js pp pds
dolus ais J,) af, 5
> H. Ch. — Vorbild und quelle für X 39.
ls
oV
+4
95. T. (H. Ch. VI, 30 nr. 12605.) \44
EL aus pole FAR ne otre pire
Das autograph in Wien (Flügel I, 124); act Me
Münchner handschrift (Aumer, Türk. nr. 211) i. j.
Ag verfaBt. Aber auch Dozy I, 53 nr. 98 hat das
oben an gegebene jar. «Die alphabetische ordnung
hängt von den anfangsbuchstaben ab».
26. (F 24. B34. R493. L51.) A9
HeiBt bei F und B | «ele E > H. Ch. — Nach
den anfangs- und endbuchstaben RE
325
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
ET. (M°38. B26. R513. L35)
OU) Jeli
Auch && Jles) 5 Ca) genant. > H. Ch. — Nach den
end- und anfangsbuchstaben geordnet.
Quelle für À 54.
HE
um qe.
(H. Ch. V, 308 nr. 11080.)
sl à
“el il, ele of5 ol &
Ob mit türkischer erklärung?
2
VOT 9.f
(H, Ch. VII, 874 ad p. 418.) vor q-#?
TT CPE
[Flügel coniciert al,] bu, Lolal ll äit) à
oi) " dre #42 Pr le on 5 elal
In unserem exemplar der äl.., (As. Mus. nr. 479)
habe ich die beiden citate nicht taie
30.
(R 515%, L 59. P102,1)
Hell ysl d SEE TR
H. Ch. VI, 441 nr. 14239; nach der note dazu
get”
VIL 930 “ das buch meist (s9o° ps ge-
bélier. Rein alphabetische ordnung.
Quelle für M 54.
mis TL: (R 789. L 16.) um qi
H. Ch. IE, 243 nr. 2693. — Vorhanden in London,
Wien: Krafft nr. 13, Berlin: Pertsch nr. 149. Nach
lezterem fast identisch mit der folgenden X.
# PA Ne (L 29.)
a) La) -uils OL, |
H. Ch. V, 324. — Vorhanden in Berlin: Pertsch
nr. 139,3 150. 151. — Rom, Bibl. Vittorio Ema-
nuele: Pers. nr 1. 2 (Cataloghi p. 36).
33*, (F 14. B18. R493". L 25)
cYaill Je
> H. Ch.— Quelle für M 38.
um 91!
vor 914
34*. (F10. B16. ie vor 414
Qu»
> H. Ch. — Quelle für À jé, — Vel. X 64.
35*. (F 23. B33. R493".) vor 414
es Jos
> H. Ch. — Quelle für X 38.
36*. (F 26. B36. R 494.) vor 914
als Lo,
Wenn hierunter das von H. Ch. IV, 185 nr. 8057
mit den worten [jy) 0,95 ul) 5, Led CSL
erwänte werk zu verstehn ist — waB ich schon darum
nicht vorauB setzen môchte, weil es dann unter die
arabischen lexica gehürte —, so müste das datum um
ein bedeutendes zurük gestellt werden, weil En) nach
H. Ch. 4rF (I, 281. IV, 75) oder 4#- (IV, 248) ge-
storben ist.
Quelle für X 38.
37. (F 29. B41. R494°)
Cab Res
ss H. Ch. — Quelle für À 38.
38, (F 6. M 37. B6. 10. R493. L11)
Je cpl be fi je 238 Gb slaull rs
Bei X 63 Fa 5 leu)) &s (B 1. c.), bei F und
Firista I, 346 (nach R I. c.) go ()) À genannt.
se à Ch. Vorhanden in Paris: Suppl. pers nr. 427.
Geordnet nach den anfangs- und endbuchstaben, die
zusammen gesezten auBdrücke folgen in jedem der 22
L unmittelbar auf die einfachen würter als beson-
derer Jes.
Quelle für X 63,
(Vgl. X 22, c.)
(R 513. L13).
> H.Ch.— Vorhanden in Berlin: Pertsch nr. 104.1.
144, 145. 145%, und «mit erleuternden randbemer-
kungen» 146. Commentare und bearbeïtungen s. unter
den X 40. 93. 107. 111. 112. 113. 116. 117. 119.
124. 125. 126. 133. 135. 146. 149.
vor 414
qi
qiv
gp od. 9r1
39. T-
327 Bulletin de l’Académie Impériale 32s
40, T. (L p.31.) nach qr., vor — ? | 47, (M 3. F7. A 30. B9. R 494. L9.) q4
PE ER AGE Ie
Leiden nr. 197 (Dozy I, 102), wo auch das jar des
abschrift nicht an gegeben.
41. T. (Flügel I, 123 nr. 120,2.)
Le li)
Ein persisch-türkisches glossar, im an gegebenen
jare ab geschriben.
49*. (M 28. F 27. B37 (35). R494".)
he Je cle Lo;
> H. Ch. Vel. X 70.— Quelle für M 44. 51.
4ë*. (F 30. B42. R494*.)
ls aiels GG JUL axés
Der verfaBer ist nur in M 44 genannt, und alle
quellen auBer F lesen 4&és, waB ich für falsch halte.
vor 9FF
vor 9Fo
vor 9ro
. Ch.
Quelle noch für X 51. 63.
A4, (M8. F 435. B63; p. 9,3. R494. L49,) gro?
> H. Ch. — Vorhanden in Paris: Suppl. persan
nr. 419.944. Berlin: Pertsch nr. 171. AuBzüge fin-
den sich am rande unseres codex des aeLs,i (As. Mus.
ur. 473°), aber nur biB -,....s. Vel. zu 7. Nach den
anfangs- und endbuchstaben geordnet, die arabischen,
persischen und türkischen würter jedes mal getrennt.
Quelle für X 63. ;
A5. (M 35.) vor 4
ris Je pull Qui Se a,
Das erste wort habe ich nach Vafàäi davor gesezt.
> H. Ch. — Quelle für das folgende werk.
A6. (M4. F9. B14. R498". P p.189.)
œb pus a
Fürs erste wort sezt F Los. Farähâni citiert die
LL, AL, (cod. Mus. As. nr. 176° fol. 11) oder 4x5
lb (ibid. fol. 61), beide mal nach Surüri. > H.
Ch. — Vorhanden in Berlin: Pertsch nr. 119, und
Paris: s. die IV beiïlage. Nach den end- und anfangs-
buchstaben geordnet, dann streng alphabetisch.
nl
> H. Ch. Nach den anfangs- und endbuchstaben
geordnet. ’
48. (R 514. L 27.)
EH. Ch. I, 232 nr. 5110. — Vorhanden in Berlin:
Pertsch nr. 176. 176". Bologna: Marsigli 3413
(— 444,2 von bar. Rosen’s catalog). Vgl. À 81.82.
49%. (B p. 10.)
ball B
Als quelle für M 51 an gefürt, aber zweifelhaft,
ob lexicographisch. > H. Ch. |
50*. (B p.10.)
wenn der titel recht gelesen; es gilt hier die selbe
bemerkung, wie zu N° 49.
51.
VOT qe
40°
vor 90e
(F 21. B30; p.9,4 R495. L 44.) um qo-
LL, CU GES
De del cp mel ee Gb
Der autor wird in X 145 re? >) ue AS genannt.
F nennt das buch Lo là sell de ÉË Lo ,5; H. Ch. |
V, 214 nr. 10751 gibt ein falsches datum. Vorhanden
in Paris: Suppl. pers. nr. 424. 495. Berlin: Pertsch
nr. 170. Nach dem ersten, lezten und zweiten buch-
staben geordnet. |
92".
(F 34. A 39. B48.) um 40+?
Ge ob Je Gb aol SU
So nach A, ob aber F (#+) das selbe werk gemeint
hat, bleibt fraglich. Rieu beschreibt II, 534 eine hand-
schrift des asloli vom jahre 4x1 (Or. 1403), welche
auf fol, 7*— 10° schon ein glossar der veralteten
wôrter enthält.
53, T.
(L14.) vor 40A
nach Flügel I, 143. > H. Ch,
329
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
Der anfang lautet nach einer hrn. prof. bar. Rosen
gehôürigen sammelhandschrift in 16°, fol. 224v, folgen-
der maBen (ich laBe die meisten lesezeichen weg):
; Péta rer she pl dl
Lol is : ei ne : CAL
a) y) ri éb) KL? PS de ai ))5) LS éL)
Li d pli ch Je de
FE éblis) af Pois SL él Da
Se. : 5h25) cat ue à
0 0 -0
Jos, A SEE
ps adle dy) + cabe
DER »
Di Lo ] sir
her FT
ET
Le de? pi » J Sel, JI _: ie D 93?
Ko SR J ie à 538 colsel us. Ps
Sul ee. us SA Pre
a ge à
Fa SEE ui me .
DO ur2/ HS up eye) op bel
EE eg ve: 4h is Got
pen DAS Le Just”, Ha) 5b
Ed ee » KL? Jours RÉ
GËall äé (226) ds cpl Pb, PR el
» » (5) He IE gel
bé ve be ob où Gb pl
» a),] » ail us” JB » » tr
DR Es HAT A RAS
Lr us
Le) Es A
Die abschrift dieses stückes ward laut der unter-
schrift fol. 248v i. j. 1FFF beendet. Das werk gehürt
nicht ganz hieher, da es kein lexikon, sondern «eine
samlung persischer redensarten und gespräche mit tür-
kischer interlinearübersetzung» ist.
94, T (A 32. R514. L 48.) vor 943
: és Cal
30) #, Lo (6 cp del à ed dl do AE
H. Ch. VE, ee pr. ES — Vorhanden in Ber-
lin: Pertsch nr. 135. 137,1. 136, die lezte mit ge-
kürzter vorrede; Rom, Bibl. Vitt. Eman.: Pers. nr. 4
(Cataloghi p. 38).
Die vorrede lautet nach den codd. nr. 475 (A) und
Fonton 11 (B) des Asiat. Museums folgender mafen:
as Jules élL DC abeb Les bip 0e
5L Lol ares L gars LÉ, lil en
sr Ole oysll JL ) aL PME Il lé
pen,
E “? L oly el an tés le ob âop (sl
æ a Le US, y us pou Cie at, 5
LE De ol & Los) les Olyles Cp IS
Seal pn jnill pii loseye eds,
Dis p 3] 395 els » Fab af Jus 5 U}
ce Me bee Je Ge oee LL Lola, Les ol
Ge oi, CE bus dl JA nil
cu
ss Ulbs Je ‘ Jap ps pe D sl
ui ele e er ‘ve Ge pr Gb sl
Le ol), LS JI 2 mueb 5,5,
SUL übasss De Elle Os y» ue
‘ yaal pee Je dj) yes ? (55e J'
Re ae, ps Fe Us =) pb Re EL
a) 4} A
b) Ceby A c) der vers felt in A d) JB
PomA PJSlopA gai (sul
h) 3,5 B
A marg.
Bulletin de l'Académie Impériale
332
pl US US qe Lil ob ol ba 5
Dé Dur af ul lil LL os ep5l
“6
sol ile le ss af GE ge oil & ve poil
es Oui vel y Ab D es fs
ol b— ile. SL, «52
csbae + Le us aela) Hs soi D y) & $
ok pyi post L AU df 8, Y dif 8,4 YU
L ele de pal SE will, 8, CLÉS
JL Cols, JT sb Les clos
Lau, oil dl af OÙ le ei
= ps as ls) Pie 5! Dis 5 Lu Lo
Cal, Ras nes Sh el, r
He a ee Je do po °° ee etats
nent Je Ci y Lui hu
Sels OL “um, ons af Ps ] sole Jj] * rt
dal ul OL “os, tps de se Uk cl
Lars r pl ls y L, SI 9 ‘pl are,
cyse LU mure LE messe Cl J;l ae
Se sé OUT Je Ci il L'of
PS € ab pense us D9 ‘Dpù pole
te ta à à ie 53e bi hs
Cu _fp dise gb dé cè8 2 is osé pylae (am
” . Ca jui ess Ga ue Bi] af
Sp QU pl cle L'or gel de ce
lee
î) lea
m) add. KA n) Cu A
welcher disen absaz p. 202 mit teilt
rr) Jle A! sols) B:
5 LS A
o) om. À
D 5LA mad , A
D) pe À u. Bu
(a és AT 'r) be A!
t) om. A u) om. 4 À ù pa
À, B var.; Pertsch hat einen zusaz w) add. ” A LA rer F B
y) Jé À +) JEL A pps B, add. ak L P — doch
läft sich auB den lesarten von B der selbe sin gewinnen
) Qs uit B ©) ei A
a)
JE Sul gp AFS ee L'u cl
DP3 "Sigles onjee Ni) L'Oke éela cp fois js
oo plus ee, fn je vel LD oixe
*# 15) db, € poli
Bearbeitungen s. X 55. 89. 109.
55. T (R 515. L p. 55. P nr. 134)
dl des lil)
Eine ab gekürzte recension des vorigen werkes, mit
kurzer persischer vorrede, welche Pertsch ab drukt.
Das datum ist unbekannt, doch scheint sie vom ver-
faBer selbst her zu rüren. Geordnet wie das hauptwerk.
56*. (M12. F8. B11. R499°. 1088". 1088”. L19.) um qvo
+ H Ch. Vel. zu M 77.
97. D in I, 208 nr. 94.)
vor 94
vor qvA
Nach den anfangs- D endbuchstaben geordnet.
98", A? (R 790". L 38.)
se nr.
H. Ch. IV, 91 or. 777 13. Über den qAI verstorbe-
nen verfaBer vgl. Flügel, passim. EtwaB anderes ist
das buch ss) Lelj Laurent. 347, worüber man
Pizzi in den Cataloghi p. 311 nr. 19 nach sehen mag.
99, (M6. F38. ds ann)
> H. Ch. Chant Mus. nr. 477 (s. ie IL, BE
Geordnet wie M 57.
60. T.
vor 941
ad
(L12.)
drud) 5 ,d) au) ist
d) Qlw ,i A g) sad. 4,
qnA
e) JDle,s A f)om. B
QI] À
_ 333:
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
_ 334
H. Ch. IL, 229 nr. 2595, auch ais genant ibid.
IT, 228 nr. 5080, oder rt Aumer, Pers. p
114, oder (> xl) äi ais Flügel I, 138 nr. 136
Nach den end- und LT geordnet.
61*. (B p.7. R496"*.) VOT lol
(sic) Ls 255 Le |
> H. Ch. — Quelle für X 63.
62*. (B p.7.) vor le!
bail} Gi J Le,
> H. Ch.:— Quelle für X 63.
63, (F 40. B 59; p. 10, 5. R496. L 55.)
| JEUN lue |
GES pus Jr Je 2 ue SEA) nr
> H. Ch. Nach den anfangs- und endbuchstaben
geordnet, darunter in drei abteilungen, arabisch, per-
sisch und türkisch.
64*. (M 17.) VOT leoA
jus JLel
> H. Ch. Ob Sdentisch mit NX 34?
69*. A? (M 20.) VOT JeeA
ARS | LG
Villeicht eher ein arabisches wôrterbuch, vgl. H.
Ch. I, 91 nr. 2041: sd] lue il la Ll l'eb
np Lun di Le, sn si SU,
rl)
66*. (M14) VOT |A
0 due de, (ol bee da
> H. Ch; vgl. Albirünis Chronologie hgg. von
Sachau p. xxxvij. Das werk ist hôchst warscheinlich
älter, als ich es an setzen durite.
67. (F17. A7. B49; p. 12,6. R498. L50.) 1.4
. vil p#
On Las Pl Ike sb p pbs 8 Gb
H: Ch. V, 325 nr. 11147: A 5,2 à) Da ich
‘keine genaueren notizen habe, so füre ich die mir neuer-
Tome X
dings bekant gewordenen handschriften sämtlich unter
diser ersten aufgabe auf: St. Petersburg: Univ. nr.
935 (die erste aufigabe, undatiert). Paris: Suppl.
pers. nr. 431. 432. 433. Berlin: Pertsch nr. 122.
172,8.
Die von de Lagarde p.56 nach H. Ch. ab Lreue
liste der quellen ist nicht volständig, worauf schon
| bar. Rosen, Collections scientif. de l’Institut III, 299
hin gewisen hat. Ich gebe sie-darum hier noch einmal
nach der eben erwänten handschrift der Universitäts-
bibliothek :
Can) Qlisl Élu) Jai af ass Dole.
(M 20) Bb ls molol lb seul tels Ji
Œ 9) s# ui grHil le sl ps
#0 nl BE Cle üé pe
(K 46) Lolo cyuus 405 ple
[M 3) Fu sel val ep Je dl rè
gs el Lise cp melel ln dx pi
He rer
He Liu Je al, pe
pa ge Gil Sul) se Lits
(K 6) Ja UM Goelpé
(Ë 1) | LS Use p) üle; pe
Je (Go) okslb Gb Sal Si] PDA
(M15) pbs
(K 56) Lol Gil pb Cl) et pl,
(17) L,Éb; &es Pa
(66) Joue OL col Gite ke pale
Ejue Gb Gp pe A GE &s 25
ra as Le L El
. Last ol) poste
Gelegentlich fürt Surûri noch folgende werke an:
IV Qmss JL] —unter den würtern ülo$ j und ol
(X 64).
IA cb) Li) — unter HG. de). CuuEp - 6
es ist das (auch von F unter de, citierte) dE
übèr die materia medica æ% lis) von :p;
% |
335
Bulletin de l’Académie Impériale
y) Rieu II, 469.
1q all 5] — unter als. Wie die vergleichung
mit der ne von C1. Huart (Bibliothèque
de l'École des hautes études, fasc. XXV. Paris
1875 p. 79) lert, ist das buch GLés)) Q=+] von
cb coll 2 gemeint, vgl. Rieu IT, 814° or.
x} und Pertsch Berl. Pers. nr. 35, 2; der erste
teil der zulezt genanten handschrift enthält den
commentar des selben verfaBers zu den lus |
el}. betitelt lod) Le.
pe el) gb — unter den würtern ;/,L . Ps 1
(X 65).
PL Ae 9) Jde pe £eb sl —- unter dem worte
olsu; warscheinlich das von Rieu II, 464 be-
schribene werk des yyaie Œ JE vgl. oben
p. 284. 289 $ 28.
Fr ju — untér dem worte as 65) (M 10).
ppm) al.,— unter den würtern (y; » (s. x 11
anm. ) und F3? (X LE,
br dec pol) hs Hp'AI OME gi — unter dem
- worte pl: vgl. Pertsch Gotha Arab. IT, 461
und oben p. 284. 299 $ 60. e
ro UE € ae dem worte asot im Muaïjid
(M 43) wird ein nicht näher zu bestimmender
res e# als quelle genant.
r4 Li] 5e CE — unter dem worte +5, unter
be it es bloB LEY] le; ist nach Rieu II,
494° quelle für X 44. L
#v QJuMI Cols — unter den wôrtern 1. Ji.
ad: SL les . PL; vgl. anm. 21.
FA Gole Los — unter dem worte F5 auf dem Muaijid.
(M 42).
pq os. JL; — unter dem worte aëS. und unter
ol auB dem Muaijid (K 7).
pe Qerels — unter den wôrtern ba. und ;},b,s.
Pertsch, Gotha Arab. I, 348.
Fi A antere dem motte LÉ, s. Rieu IT, 507.
= — recht oft, z. b. unter oleb is
al ht be tas. &Jes . H. CH. V,
625 nr. 12369.
a Là (sy lail dl me Cole — unter dem worte asè+
über den verfaBer (5,9 +) s. Rieu I, 35.
pre ball à9;5—unter dem worte J,L, s. Rieu [, 418.
PO mn ue OI Gui Je unter den wôürtern
als und os (NM 45).
PA Lo à oft in der zweiten auBgabe, z. b.
unter pus) RAT NX 77).
Ebenso für die zweite auBigabe:
By 5læul) 4 — nach Blochmann nr. 10 und hs
If, 494*. 499; in meinen handschriften habe ich
diB buch nicht citiert gefunden, waB auch vom
Ip ehten gilt (NX 38).
ai ve _— nach -Blochmann nr. 26 und
Rieu 499’. 513° (M 27).
Geordnet nach den anfangs- und endbuchstaben,
innerhalb diser abteilaungen aber gauz wilkürlich.
68*. (B 51.)
CU) 8+
ee Ile Jai 1 Sub
. So heiBt das werk auch in der vorrede zu À 145.
Über den berümten verfafer s. Blochmann, The Ain
i Akbari transl. [. Calc. 1873 p. xxxj: er nennt das
werk ll] eb hat es aber selbst nicht geschen.
>»: H; Ch:
Quelle für M 145.
vor lell
0, (F 18. LE, vor 1+1V
> H. Ch Ver Een
70. (F25. B35.) vor felV
Qble Jos |
Ob identisch mit M 42? > H. Ch.
4i*. (F5. B5).) vor ielV
sp Lis dy} Je su ser
> H. Ch.
rie (F 35. B52.) vor Ie1V
ui s ve ns
5 H. Ch. 72 ï
337
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
338
13*. .(F 22. B31) VOr leiV
sole > Éé ss
hi Ch: Vgl. À 104,
4" (F 37. B55.) VOr lelV
pars Los
> H. CIE
75*. (F 41. B60.) =vOr lelV
: «53LaË yyare hs,
Uber den 44 gestorbenen fruchtbaren schriftsteller
ob gate pull SLe Le vel. H. Ch. VIT, 1077
die stellen, Rieu IT, 826", und die zu N° 16 genante
lithographie der 1 cl fol. 169: aber keine
diser quellen kennt ein lexicographisches werk von
im, und so müBen wir wol zwei verschidene autoren
an nemen.
76. (F 33. A 38. B47.)
ALL Olys li)
VOT le1V
DH: OH:
77. (M36. A8. B12; p. 12,7. R496. L 40.) fev
srle Jess |
“p9)) LS op) ssl Yr> pol) Jla AE
> H. Ch. Auch hier füre ich die handschriften
unter der ersten auBgabe auf: St. Petersburg: Univ.
Nr. 934 (mit vier appendices). Paris: Suppl. persan
nr. 434. 435. 436. 487 (mit allen fünf appendices).
945. Berlin: Pertsch nr. 123; one die appendices nr.
124. 195. 197; gekürzt or. 126; die «lb allein nr.
128; im ms. or. fol. nr. 1275 findet sich Olshausens
copie des IVten appendix (la) _p Lauliie : je »°
LC, Ji5b, Ji) nach codd. Mus. Brit. Add. 5647 und
16750 (Rieu II, 497. 496).
Auch Injà’s quellenverzeichnis noch einmal ab zu
drucken scheint mir notwendig. Denn bei Hyde, Hi-
storia relig. veterum Persarum. Oxon. 1700 p. 422 (H)
ist die alphabetische ordnung gestôrt, Blochmann
(B) hat eigene zusätze, und de Lagarde’ (L) hat der
a) Inj®’s mémoiren finden sich in Berlin: Pertsch nr. 137
._ b) Die anmerkung 23 p. 46 macht den leser etwaf stutzig. Hyde’ 8
worte lauten: «Cum his omnibus, ex {ndià accerseatur optimum
Lexicon T SE ss FPharhängh Gjihänghôri (à nobis cita-
tum Ph. Gj.), cujus priorem Tomum in folio eleganter st mendosè
L
schlechten lithographie folgen müBen; daher gibt er nur
43 titel, wärend es doch gleich nach der liste heiBt:
»5 je, Je cpl usloss. Auch der jüngst von
Pertsch (P) p. 195 gebotene abdruk ist nicht ganz
felerfrei. Ich benutze die handschriften der Universität
nr. 372 (U) und des Asiatischen Museums nr. 473-(A).
(M 1) Je Jedi »! Je |
(om. AH) :p Ja :p de syaill #) Jos ?
(Œ 3) 3h (ç2el syere
(M 20) geo Loi +
Je obus Gus Jall Cl Los
+
15) Jlslp &533all (s9l55 Le (50 UAH)
(X 71) spl du ge su) Loi o
(X 38) ténel Use 4
(K 47) 5) Lies Nr ar iles V
(X 56) sil ils pybie Slilll gels Loi 1
(X 46) - ol pus Joss 3
(X 34) cs Jin Le
(K 4) OLLs r& Le il
(M 10) [felt bei L] ju Les ir
(M 10) JL 2 Lo; (Les
(X 33) ail ts Loi 1
(X 11) alu, cha
Dés be Love, Lo Les 14
(X 17) col sus (ras
(X 67) Ur
SRE pré gpl ue ei cp Je Jos 11
De Gi és; el qu Us &ls 4
+ aRE Cl çyuses Casri) art us 329
(Ÿ 69) Gel &b
molb pie css Jal &li,s Jos 19
(X 20) (sic) 325L
(X 14) be ol Jos +
seriptum habemus». Er wuste jeden fals ser wol, daB « Angjou» der
verfaBer des lexicons war (p. 422 z. 25 — 24 7. D v. ü,}, wünschte
aber eine felerlose und volständige copie z zu erhalte ;
(X 44) nu Sa Ji pe
(X 18) lil [caett. use; 50 UAP] Je css Ke
Man beachte, daB unter nr. #—19 (X 20) und 1r—1#
(M 10), villeicht auch nr. 4o—+rv (MX 70—42), das
selbe werk mit verschidenen namen verzeichnet ist;
wenigstens je einmal also hat Injû ein nicht von Le
gesehenes buch als quelle genant. Sein verhältnis zu
.e) So UA, alle übrigen, auch Rieu, schreiben 43, aber vgl.
Dozy 5. v. d) B 43.R 496, utile für die arabischen wôrter
in X 63. > H. Ch.
339 Bulletin de l’Académie Impériale 340
den quellen überhaupt läfit sich auB der folgenden
à pl
51) ste Fr DER es Le} zusammenstellung einiger mafien beurteilen. |
(K 73) OCES € Les rr Ganz allein benuzt hat er die M 14 (re). 26 (bc).
(X 35) nos Jess | 51 (pi). 52 (Ke). 63 (re). 67 (IV). 69 (1A). 70 (po)?
à is 71 (o). 72 (Ho). 73 (pr). 74 (HV). 75 (ri). 76 (1H);
k _ 7. ces se wenigstens läfit sich eine erwänung diser werke bei
(X 70) ul Lo FO | den früheren lexicographen noch nicht nach weisen.
_ (X 36) Al er »,5 +4 Die übrigen quellen benuzte Inj à zugleich mit oder
” F mi” über
La 2 (sic) Ke Je Les HV — Adât (15): und zwar NX 12 (PA).
( 12) Jb» les Lo, PA] — Ad. Sarafnâma (20), Tuhfat alsa âdat (38), Muai-
(M 37) JE 2 Je >, +q| jid (44), +. allugât (51), Madàr (63), | Surûri
(X 43) [felt in U] ll) on. pr. LR
ls à # PRET — Ad., Sar., Mu., K., Mad., Sur: die M 13 (bb).
d * Lallens Losii E"A Ta, Mu. K. ST die X 10 (Ib und 1#).
) ob D
(X 13) ail Ce PET Hs ue : FRAIS
(X 76) JbE oülys Al Loir | Le Tu., Mu., Ma., Sur: die M 17 (14). 16 (rc).
(X 52) aelsli Cl Lost | — bah Mu. Ma: Ge Æ it (ere).
— Tu. M, e Ma., Sur.: X 20 (+ und 19).
a L, Lo PAIE Je ps fi - Halimi (22, a er nicht nennt, den aber Sur. be-
tar P] CN ue 4 t hat).: die À 4 (11)
f pure olés CP P 19 nuz ) Fa
k 8 F nu na ES al — Hal. oder Sur., Vafài (46): die K 8 (#4). |
; 2 Hope 7. a | fu die M 33 (ne). 84 (12). 85 (r). 86 (0). 87
ss REC PME OM.
gs oli Le rolel Le Los PA|— Mu. K., Ma., (Sur.): die M 42 (hv).
(x 59) ll — Mu., K., Ma: die À 43 (te).
ie S — Vaf., Sur.: die À 9 (#9).
(K 9) la lee Los pal K., Ma., Sur.: die X 44 (ch).
(X 63) [felt i In U] LEA pu >l ul) Ye ia) Mel Ma., Sur: die x 38 (4).
X 7 | Le; — Ma: die nr. #1, s. 0. die anm.
m9 530" ee 8 TT Sur: 1 (1). 46 (9). 47 (v). 56 (4). 59 (HA).
Dem zukünftigen herauBgeber des Lo »,s ligt es ob,
die citate durch alle quellen zu verfolgen, und nachzu .
weisen, welcher von inen sie entnommen, oder ob sie
selbständig gesammelt sind. Mir genügt es, den glau-
ben an unmittelbares quellenstudium Injû’s ein we-
nig erschüttert zu haben; doch erfordert die gerechtig-
keit zu sagen, daB Surôri unter den beiden wôürtern
LL und ct 39, Wo er XX 56 citiert, keine verse
auB dem selben an fürt, würend Injà dises_ üfters tut,
und zwar mit den worten: ,L5 4e 9,5 LÆ
0) +1, Z. b. unter pol und pob.
. Geordnet nach dem zweiten und ersten buchstaben,
und weiter hin streng alphabetisch. Vgl. X 85. 88.
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
34?
ES TL. (Flügel I, 102 ur. 90,3.) liste | 87, (R 836.) |.
Je] sl dub pus x JB ll) gli
& RER Eh Je s] fe Es > H. Ch. Ein anderes wôürterbuch des gleichen
Ein phraseologisches würterbuch. > H. Ch. Vor- titels s. unter X 99.
handen auch in Berlin: Pertsch nr. 172,1; Leiden: 88 (R 509) VOr 1°bV
Dozy I, 103 nr. 200, auch £l,. &L., genant. EtwaB he ie LE |
anders lauten die namen des autors H. Ch. VIT, 1218 PP MER ARS
nr. 8155.
os 8 CH ele Le qi ob db
«A large dictionary of the Arabic and Persian lan-
49. T. (L 47.) ‘vor Ier
7 | guages..…… In the case of the second ‘Unsur [IT. A
QebIl syuus mel li] Persian dictionary] this introduction [welche jedem
>: H. Ch. teile voran geschikt ist] is of considerable extent. It com-
80. (vgl. M 67. B p.168. R499) hs prises a list of sources and an account of the Persian
So37e Vi)) les
Die zweite auBigabe; vgl. X° 90.
81. T. (R514°. L27.)
bull Lu
oole Goal Got ll és ep val ob
H. Ch. III, 233 nr. 5110.
nach |°PA?
82. À. (R514. L18.) nach !-PA
la) mÈPs EU) op
> HO
83. (B24. R500°. 1089. L 34.) +9
| Sb al 5 Gb GUL |
> H. Ch. — Quelle für X 92. 145.
84, (B 44; p. a, R590.L46.) vor 1+#+
_msS dy JE ol Su Me db
Wôrterbuch zum Ls72e Lsye- Vorhanden in Paris:
Suppl. pers. nr. 422.
85, (oben Xe 77.) ET
| Hle Les
Die zweite bearbeitung; vgl. K 88.
86, T | (L 24.) vor |.
Lis Lube JB Joss
H. Ch. TA 297 nr. 5069. Die nie handschrif-
ten sind von Pertsch unter nr. 172,2 und 173 be-
schriben.
language and grammar, the whole of which is textually
copied without any acknowledgment from the Farhang
i Jahängiri, with the only difference that the word
Ul> has been substituted for os in the headings
of the twelve sections which it comprises.» Das gleiche
verhältnis wird sich wol auch im lexicon selbst vor
finden, und eben so im III. ‘Unsur: Metaphorical
phrases, Zend and Pâzend words. with some Turki
and Hindi words. — «The mscer. is endorsed eb
dE cap.
89, T VOT 1-14
Im Asiat. dan nr. 476: kl. 4°. Die handschrift
enthält auf 119 bI. folgende stücke:
a) Der obige titel findet-sich auf der ersten seite
in der stiftungsurkunde des _pgi)) peLal gb Me
lei vom jare 114. Anfang: &b À] 4j
J} aulee GT ŒUT se Of sul SIN. Die türki-
schen bedeutungen sind mit roter tinte unter die per-
sischen würter gesezt. Ende fol. 84v: OS) Ce
AS œb]l dj U3® à sul]
b) fol. 85—97v ns von anderer hand das lezte
stük me Jâmis FU > ui schluB: els) Far:
©) Fes rande von SL 97. Y. der selbe tractat
Jämi s, welchen Rieu II, 862°,v beschreibt, aber nur
20 kurze zeilchen, mit der carte OR) AE
du (3 dde _ Jane pull as Là)
343
Bulletin de l’Académie Impériale
344
Su pr À J, 1) ee ré À | OEerg de 3 ps
d à res
d) fol. 98 #. Gedichte von +) T, , Qel; —
98 v: von [094 Ldge, (5), ne ue 106v, 108);
vier kasiden von (6,91; — 105—106v eine kaside
von dés T.; — 107—108 LS, LS jus, Les ke,
von welchem RE ich nichts zu sagen weiB; anfang':
œbexSl 3 LSD59 posé; — 107v mu‘ammä’s vom
schreiber ail y el und JLS J 4) Jus Quest (sic).
e) fol. rs von anderer haud je ein beit von :yuus
}äs und
Die stücke a) b) und c) sind von einer hand, ob auch
d) bleibt mir zweifelhaft.
90. (B 50; p.18,9.)
Jb SU ns
DLaËl Cul ul di cd
Plagiat der zweiten auBgabe von Surüri, M 80.
> H. Ch.
91.
1°0F
(A 41. R775.) |°04
: pe pk.
GET Gael de Jet ep le Js Gb
Collectanea in fünf Les, nebst einer aëls, worin ent-
halten: «an alphabetical list of proper names of places
and men, with fixation of their spelling, and short
notices». >> H. Ch. — Vgl. Pertsch nr. 96 (one PÈRE
-92, (A 11. B7: B7; p.18, ne L 6.)
et ob» ob
“ub,» Led us il 5h gl Je Je JG
H. Ch. VI, 625 nr. 14924. — Vorhanden in Pa-
ris: Suppl. pers. nr. 442. 445,
93. T. (Li p.31)
SU) äis
H. Ch. VI, 599 nr. 14815. Commentar zu Ÿ 39.
l+4r
14h
a) Unter seinen quellen fürt ob» auch an 4 » 5 X) =
«sole Ye GG (B 32. R 8002)
297. T7
(B 22. L 32.)
Lilete |
Quelle für À 95; vel. B p. 21. Sonst ganz unbe-
kant, eben so wie der «dichter» _iLL., dessen namen
ich bei Pertsch p. 684 finde.
95. (A 10. B 20; p. 20,11. R500. L 41.)
sy Lo,
SF Qui and ll de ee Ji see all
Vorhanden in Paris: Suppl. pers. nr. 980. Pertsch
or. 129—131. Geordnet nach den ersten beiden buch-
staben, die weitere reihenfolge ist mir in irem principe
unverständlich gebliben.
96. T. (H. Ch. VI, 626 Ë 14995.)
dal Ci
EU Ans set
Das datum 1-vV4 bei :H. Ch. ist falsch. Flügel I,
141 nennt das buch aelgi Ki Cola) und Su‘ûri
nr. 32 aolgé © . Ein anderes werk dises gelerten,
welcher nach H. Ch. IV, 521 nr. 9447 i. j. 1-4 starb,
wird unter X 107 verzeichnet; vgl. auch X 111.
97*. (H. Ch. VI, 30)
| SK
ui)
Als quelle für X 99 genant, villeicht auch für Su‘ürt
(nr. 29).
98? T?
VOr [4x
94*.
Len
1e4V
VOT |°4A?
(H. Ch. VLS8 nr. 12543)
Go} Lis
he SA SH] Ji Cul ? ah CHEN al (3
Le für die folgende X.
(H. Ch. VI, 30 nr. 12607.)
. Lie
et C5 CEOMCR Lil Ge, SD +2 9 ne a
Jlsdl,
Nach Hammer’s Geschichte d. Osman. Dichtkunst
gab es zwei dichter dises namens; der eine lebte un-
ter sultan Suleimân I (qP4—qvre, 1. c. II, 491 nr. 623),
der andere ist |+4V gestorben (III, 429 nr. 1327). Das
zweite datum glaubte ich hier vor ziehen zu dürfen. —
Vgl. K 87.
VOT |e4A ?
vor |e41 2:
345
des Sciences de Saint -Pétersbourg.
346
100%. T? (H. Ch. II, 230 nr. 2602.)
, EP ba Gluell à das
Im an gesezten jare starb Hâgi Chalifah.
101*. T. (L 21.)
H. Ch. II, 561 nr. 3928.
102*.
VOr |°4A
VOr |°4A
(E. Ch. IV,91 am schluf von nr. 7712.) vor 1-44
a Le
LA nn, sel us. cé) JB
103*. (L 54 nach H. Ch. V, 468 nr. 11655.) vor 1-44
PARCS à Bt PE
proies sl 3 ie 5 dsl tolie al SU Le
le ve Le
104%. (Suüri nr. 1: üri nr. 15.) vor |+Vo
y Le, :
oder auch (395) , wie es unter den wôürtern pl und
ph genant ist. Wol kaum identisch mit X 73 oder
142? >> H. Ch.
(Su‘üri nr. 28.)
105". | vor {Vo
Li NME
He OK
106. T. (L 42.) IVO
sopé Le
H. Ch. VI, 555 nr. 14610: ou Jos Cal da 5
dl GB opel) GOT que pi pl ul
La, pes nb RTE à Æ os De lit
Cal &, et cp pole 6 Ab 4e, ‘ioes 3
oies WU LI Gaubl LL ae éle 55,1 all
a—a) im drucke steht SI dj pal b) eben da dope
c) eben da II, 450 lesen wir: : HI 5 Doris ds A) oi.
SL) J DE éb I ets ee es Pre
hs: (A) sie en JS SIG Ja uss
— VI, 626 nr. 14928: LI > 48 ge Loyni es
Ein anderes werk des selben gelerten findet sich wei-
ter unten X 115. Ferner verfafite er: H. Ch. VI, 590
nr. 14777: (0) pus (oppnt ail (O5 Jlle ci
; lPo : du) Je (à all — VI, 533 nr. 14519:
PIE LU spé Le hp als CU 3 & el el Jus
E p|pée di Mode VA — VI, 563 or. on Ds
Holos Jol LD, Je us Cosne dis aj;] *rjpe ul
1 seb ps fl lose 46 ES #
JL al, yes doJie (Je 45),
Die vorrede zu disem würterbuche findet sich hand-
schriftlich in Berlin: ms. or. 8” nr. 128. (>Pertsch.)
Fol. 2v—3r des I bandes der Constantinopler auf-
gabe von 1100 werden die quellen auf gezält; ich setze
das stük her...
tés Gaule pes cd es Jo à
oisIv a (1) DSL, àse Ci LS Laul,)
Je co deep Gb |< 6e ns Oh | He ue
JG CEA À ed “fe Gh 0210 ad (Fr) 3)
gt sir di Jill be Jos LE) x Ne Sos
ds (r) sRbbre pJielul Fr sue af jy)
œbs gi Le Lo, Ge) Qmsl Bb Sd Re
ic ous ol Line ce tes bus Loÿ, (0)
(5912 Se sic y Oolels RP ne “ea Lo, (A)
% Los, (v)
LÉ, Les, (9 le Gil Le ENT et
d) diser paragraph ist eine doublette des gleich darauf an zu
fürenden, und in der auBgabe an dic falsche stelle geraten
e) bezieht sich dises datum auf Mustafà Pà$à, oder wie oben auf
Su‘üri selbst ?
1) bei mir Xe 77.
6) 15. 7)X 44.
2) 67. 347 4)M 46. 5) X 59.
8) X 56. 9) X 17.
Bulletin de FAcadémie Impériale
347 348
les col Eure £a, (1) Laëll OU os, (+)! 07 T. : _ lv
“ ee Je dé . "
‘srl OLES 6 Lai, (in) 5 palal Jon, Ci
Ca V) Cal) Sn 0 om
gl SOI pa A US 2e # | Flügel I, 141. > H. Ch. Vgl. oben M 96.
p sil Jde og Dis sisle EE 108*. (Farähâni.) VOT |eAe
QE he Ciel >) JS 3 * j>3923e odens
7 Lt ouiel Lol Giéme cuiaullle Lili
oui) ps srËle ke Lo siske KIyb ré
Hs, ( 5(10) 3596 el pelel o lb LS des ,i, (Ir)
Ds Lo, (14) sa de Speo] 5e 4 (oo
> (IA) sm so Æ pl, (1V) re 29H49
ll ae: ON ll NT à Li EF
Lo, (r1) SU pe et es, (re) 7) âe'}al)
lol as ui si be JLe jLs, (+r) à GÈS
csbll (sd) Ja) cp dla &be eæliS$, (Pr)
alall Le, yo (+4) dll äsi à, (ro) Æ Æ pile (br)
Ta (9) Qi) indi, (va) sell) äle,, (PV) Cole
LL ULS st ll ts, pe) KA
DC, (b+) so 5l Jon A SU CUS, (11)
dl, (pre) «sb, Lil Jeall 350 op JL, (##) agé
cs bell ss J-Ul, es de js
spl dsts® tj ob) » > és Jyée oubL,
ps DES be as Uk] JJ5 de dus cles
aKnl cup, dre 4bl Coyare Ê cn Gi
d re PA) CAE Jen rLers Ce Jill:
Geordnet wie M 54. — Vgl. auch X 134.
12)X7. 13) 4. 14) 20. 15) M 104.
16) 17) X 8. 18)X 6. 19)Rieu II, 505; über die türkische über-
setzung dises werkes ©, 5] s. H. Ch. VI, 76 nr. 12758 und
558 nr. 14623: Flügel I, 96; Dozy I, 80 nennt noch andere tür-
kische übersetzungen dès werkes. Auch die hds. der Universitäts-
bibliothek nr. 176 (CXXI in Gottwald’s Onucanie), vom jare 44e
und 444, enthält vile osttürkische glossen, deren bearbeïtung unser
junger türkologe hr. Katanoff übernommen hat.
wid r68? 21)M61, 229 28) X 3.
25) 54 26) 22,a * 27) 80. 28) X: 105.
10) X 18. 11) X 66.
24) Xe 21.
29) ob X 97?
20) villeicht |
Die oben citierte stelle des Farähâni beruht weder auf eut noch
all U
Im commentar zu Anvari (cod, Mus. Asiat. 176°
fol. 73v) lesen wir: L sas PRE Mae ce usé
+. ah: 3) LssrqussS 4j, Le dus de >, His es
Hèp. Hienach kônte es allerdings auch ein arabisches
wôrterbuch sein. > H. Ch., doch nennt er V, 324,1
ein wôrterbuch ll} el one näheres mit zu teilen.
109, T
Flügel I, 132 nr. 128,2) vor |°Al
EI]
Ganz kurzer aufBzug (von 56 seiten zu 15 zeilen)
auB X 54. Anonym. |
110. (R 508, ij.)
père Ube 5 a Qu Cal one JS Cuyll cpl
vor l°AF
So lautet der anfang eines kurzen alphabetisch ge-
ordneten vocabulars: Brit. Mus. Add. 7443.
111, A. (L p. 32.) |
Dictiert von dé oben unter Fo 96 und 107 geuan-
ten Res ea Flügel I, 136 nr. 133.
1.9
> HEC
À À cit M (L p.31.) {tel
Je is
sn il JC cite CP JL) Le dl sdb
OH
Commentar zu X 39.—H. Ch. VI, 598 nr. 14811.
30) M 48. 31) H. Ch. V, 560 nr. 12097 vgl. 9784. 32) M 96.
33) X 86. 34)X
a) Cod. Mus. rés 477 steht s. v. bloB:
auf Injü.
349 des Sciences de Saint -Pétersbourg. 350
119”. T. (L p.31.) WUPITITST, (L p.31.) um |
pli) LL J= «52 ll) Gus SP url ea
cal ols all els] is ec He Gb sl melti Gb
Ebenfals. H. Ch. VI, 598 nr. 14812. H. Ch. VI, 599 nr. 14813. Ein anderes werk hat
der selbe autor nach ue 56 nr. 4479 1. j. 11#K be-
114, T? (Flügel 1,109 ur. 100.) Lun | endet.
che ci 118". T (H. Ch.) vor |1#4
ol; Ch _meill solos) ssl y EE Joël Gles Ca) ie 5
* H. Ch. > 536 nr, 14612 fürt mach dem $ £a.
à sh L, ab ca à) an: Pepe al 7
LORS ol eh es da p rl ur Hit wañ
mit «de quibus in litera Shin dicetur» übersezt ist.
Wie aber die anfangsworte im cataloge leren, bezieht
sich diser nachsaz lediglich auf X 118: es ist daher quo
zu beBern. Das erstere werk ist auBfürlicher beschriben
VI, 610 ur. 14865: cpu adlÿl 5,61) Le, fs Li À
SJ) dy Ji] d,| OS , Gui) Lis)
JF aie cl) bi, Je pe sil GUL pe
ps +. sk vais}, A Lo,e) Lu. Den sas s.
NV 136.
115.
(L 26 nach H. Ch. II, 227 nr. 5070.)
©, PS | 3 J7
ARE | ©},sU), É sslé 370 SIL,
1lPe
SJ
Steht nicht in allen handschriften. Vgl. ebenda VI,
626 nr. 14930: SL-YLl, &,,4ll, lai) Ca
ll ul jus La rue al C5 Sp clail]
Qt] RUE aSy, lile 5j ail) «som. War-
scheinlich sinds zwei besondere werke, eines über den
sprachgebrauch der persischen dichter, das andere
über den der türkischen.
116* T. (L p.31.) he
H. Fa VI, 599 nr. 14814. Die remet sind
Xe 54 entlehut.
Tome XXXIL.
[IP
Den titel habe ich gemacht; vgl. VI, 556 nr. 14612
(oben zu M 114) und 610 $ 14864: 5 pad)
ill sal je sil 6 el at CE; au 3
dj) HE à 3 A] ANR SERRE A
: ok ay + AR
(H. Ch. VI, 560 nr. 14635.)
ol Lai Le
dé ol sous Gil all LS, Lee pylre
Gyll, elle of 4le tabl nt Gall 6 sgh
à) Die ls Jyie ie y> af
120. (B 62.) vor lire
Se Los
Quelle für die folgende X.
121. (B 23; p. 25,12. R 502*. L 33.)
FIV
ELA oies Le oil eb- EAIE
Erster teil zum folgenden, welcher die sprache der
älteren dichter behandelt. Vorhanden in Cambridge,
King’s College nr. 125. (JRAS. n. s. IE, 115). Die
werke des verfaBers werden bei Pertsch, Berl. p. 765 N
auf gefürt.
122: (B13; p. 25,18. R501. L 22.) Le
Cols gl
Zweiter teil des eben polie werkes, von dem
selben; behandelt die neuere sprache.
Vorhanden ebenda nr. 125; ein fragment in Berlin:
Pertsch nr. 120,1.
2.
351
Bulletin de l’Académie Impériale
352.
123. (Berlin: Pertsch nr. 121. 120,2.) vor |IKA
Li Les
Erklärung persischer und arabischer würter, eigen-
namen und phrasen von unbekantem verfaBer, deren
abschrift im an gegebenen jare beendet wurde; bucha-
rische oder rohe indische hand. Ich habe den codex
‘nr. 121 im sommer flüchtig durch gesehn, kan das
werk aber nicht für so alt halten, wie Pertsch mit
einem «villeicht» an deutet. Anfang (mit allen felern):
ee Gel és de deb a Eli des 35
pas Sol Los CS 3 D» if Geo LUS 5
db o>lyx Te Lo E* rl, JP5 us Let
LU Ge JS SL ge, pull Le gssill
pl Li ls Lis LS Ulis Ads AL
1 el 35 5 el
Ende: ads Qi & » (6 4e >= LS L
Sos QU ui Le ue LS Cole en 5 Re
IV le Je tira pd] PE pe ol ee
LE JS cle 5)
Geordnet nach dem ersten und lezten buchstaben.
A (H. VI, 638 nr. 14982.)
13) ue
4 ne) als] 151 is À 1 Lol Site
dj] 1ren &uull GG el (pénis pal)
Gp Lib] aus J,l use ua
ES Je 5 of 2 sole
td) Je was db #
de Gb ME eS SIA
(L p.31.)
li sé » Gun Gus
ob ol; ll [je où _pell (ends db
Aumer, Pers. 116 nr. 308. => H. Ch.
LIrCA
125. T.
VOr [10e
a) es ist aber noch von keinen büchern die rede gewesen: ob
nicht der anfang der vorrede felt? vgl. den anfang in nr. 1202,
welcher leider nicht mit geteilt ist. '
126*. T2? (H. Ch. VI, 638 nr. 14983.) HLoY
Lo el CA) ob
015, dos, /5b era! FE Lis) Jal é) Jsll als]
= rl ail}, 1ov dl) 5,9 (3 af ns ÿf lu]
“al (Sgial) Ji, 1] LL
116. (R 997. L 56.) |LoV
ele pl sil Gb DE} Cie
Anordnung — ?
128. (Flügel I, 108 nr. 99.) vor |14e
pl de sple Gb Lil] il
Ein nach den stoffen geordnetes synonymisches wôr-
|terbuch. Zwei exemplare, das andere im an gegebenen
jare geschriben, befinden sich auch in der Mullà Firüz
Library zu Bombay: s. den Catalogue raisonnée...
compild by E. Rehatsek. 1873 p. 47.
129. (Flügel I, 111 or. 102.)
| 8), pëll ce os] À Le
5 ee el us) sal Lie Gb
Ein alphabetisch an gcordnetes glossar zum Vassäf,
vor |1AI
bei H. Ch. VI, 555 nr. 14611: le, ab Ca) àa p
JA al tit &ul Gi (D ds Le il sil
ms, SE se LS Le pl Ce Ji cull di
colin cu à LS M e äslau}, 3LJL
| (D
130. (B p.30 nr. 14,4 R502) vor IF
se ss Gb SL 1
Ein volständiges verzeichnis der persischen infinitive,
134. (B8; p. 28 nr. 14,1. R502. L 7.)
1" Ji JL pe DL
Es gibt merere spätere auBgaben, zu der lezten ist
auch X 137 auBgibig excerpiert worden. Anordnung —?
132.
[14P
(Berlin: Pertsch nr. 73,1.)
ol) ec) Le, de ,
is, M LE LR Ru Ge Le Je es lb
he pr oboy Ci Ji pen ms
LI4Y
353
des Sciences de Saint - Pétersbourg.
354
Für die lezten worte steht in der endschrift:
0 pp JS L AC ,> pr. «Œin in persischer sprache erklä-
rendes würterbuch des Arabischen (soweit das selbe in
das Persische auf genommen zu werden pflegt), des
Osttürkischen und des Persischen.» Geordnet nach den
anfangs- und endbuchstaben in Ù$ und &b, dann
nach den sprachen (AT P) in Had. Das werk urifolt
631 bl. fol.
133". T?
Lei Ve [f
H. Ch. VI, 599 nr. 14816. Commentar zu À 39.
134. T (L 53.)
soi Los Lil a
H. Ch. VI, 628 nr. 14938 nennt das jar 1-4r, aber
gleich der folgende paragraph, welcher des selben
verfaBers all] bise jvais? i. j. 1104 geschriben
sein lift, gibt die correctur an die hand. Su‘üri be-
endete sein würterbuch ja erst 1-Vo.
(L p.31.) |14P
135. T. Es D. sn vor 114A
C3 (SJ Poele È ec
Dorn nr. 495. > H. de
136. (L 52.) LIVRE
15 sé à ee a cran
H: Ch VE 628 nr. 14935, vel. x 114. In der
Münchener handschrift (Aumer, Pers. 119 nr. 312)
ist von späterer hand der titel cles e* Uesb vo
gesezt.
(B 57; p. 30,15. R 503. L 57.)
137. [lAe
| al, Gb lai) Glsthao
Alphabetische anordnung.
138. Eine L61 À LAS
A atuteche anor Tdnung.
114
139.T. (R 515. L 17. Zeuker I nr 30 fr.) 1194
nt: PT RS Us ds
140, (P nr. 174.) IP.
De où] à,
Jbse de ob Gb
sl» volsil
Œin lexicon persischer redensarten, ca figür-
licher und übertragener auBdrücke», verfalit für Mr.
Geo. Holyrood (?) Barlow. Eine als felt. 91 bl. 4.
«Am ende wird das buch CL Le) &zw genant».
{AA.T. (Dorn Mél. Asiat. V, 481.94, 508.145.)
bb obx tes » sb ob
ball pole sal sull Gb
Vgl. Zenker I nr. 68. 69 und se Huart JAs. V
(1885) p. 456 nr. 389.
47.
jl yo, sic Las RL
Iberc
vor |[P°0
(Aumer Pers. nr. 298. P nr. 132. 133,1.)
ESA Re E BAPE PA RG
Da in der anderen Berliner hds. auBerdem noch
das arabisch-persische würterbuch RS | Last
ak folgt, welcher 1-64 verfaBt worden (Rieu II,
510), so künten die Del, auch älter sein — ob etwa
gleich M 104? —, als hier nach dem datum der ab-
schrift an gesezt worden.
143. (L 60.)
EC
Vgl. Wiener Jahrbücher 35—44, 125 (1826—28.
49), und Fr. Rückert Grammatik, Poetik u. Rhetorik
der Perser. Neu hgg. von W. Pertsch. Gotha1874; dazu
r | Fleischer ZDMG. XXXI,563-81.XXXII, 225—-70.
um.
À dir
144: (B 39.) vor [PK
Quelle für die folgende X.
145. (B 38; p. ae 16. . L 39.) IP
Le
oo) Gé cp se Hs jo lé Je Gb
Unter anderen nicht ré werken und ara-
bischen wôrterbüchern fürt er als quellen an die Ÿ 44.
23*
355 Bulletin de l’Académie Impériale 356
51. 63. 67. 68. 77. 84. 92. 95, re Le 131.137. /autors, fl, l, re, gefertigten copie, welche diser
144, und die sb von 2e 5 (B p. 29,2. | selbst durch gebeBert hatte. Vel. Dorn, Mél. Asiat.
R 502”). V, 520 n1125.
Geordnet wie M 77.
146. T. (P nr. 147. 147°) vor |PKO
a D US Jo Ci 95 p Ye db
AuBfürlicher commentar zu X 39.
147. T. (Dorn, Mél. Asiat. V, 483.107)
RO PA
ol; Je. asybre Fe il Lu @ 5
; LH Ç
Gedrukt zu Constantinopel 1F4P.
IPO°
148, (A 13.)
ions
Über des PAS it à mir pe mag. PAR IEl
freundlichst folgendes mit. Wärend der autor sich am
hofe des Muhammad Sàh, ehe diser noch den thron
i. j. Iro- bestigen hatte, auf hielt, riet im der verfaBer
der xs Sp, Bahman Mirzi“, er môge doch auch
eine literarische arbeit dem prinzen dar bringen. Da
der r el üb» und 85 bee JL an verschidenen
mängeln leiden (s. die eigenen worte des autors zu
NX: 152), so entschloB er sich ein neues wôürterbuch
nach |Po+
zusammen zu stellen, und &base Cola E&* 029€ Le 4
Loi sol 5 sui, jet, Gaël Lilo)
of ps CE J5 » J}, Lil » LUS, ail 33 sr$le
JE Dis JE US dll Je af 4; nr
of, &s | ST, ét 1 Jyies Eat Jens pe
Es dl on Les, les db up EL
2 Ll. Das werk wurde erst nach der thron-
besteigung des Muhammad Sâh beendet und dem selben
vor gelegt. Lithographiert ists zu Tabriz 1+4-+, in einem
foliobande von 228 bI., nach der von dem bruder des
a) s. ae r, Relation de l'ambassade au Kharezm .... trad.
Par. 1879 p. x
149. T. (L p.32.)
cul) J je
Ein reichhaltiger commentar zu À 39. Da das buch
mir leider nicht zugänglich ist, so verweise ich auf L,
und nach im auf Flügel 1, 137.142. Zenker IT nr. 61.
150, (A 47.)
el oil Ge cel,
Css ge QE JS Ab
Lithographiert zu Teheran 1Pvr. 8°. 165 bl. Es ist
eine reimlere, nach dem alphabete geordnet, mit lexi-
calischer erleuterung der wichtigsten reimwôürter (wo-
bei die vocale (5, =. und J$s* besonders berüksichtigt,
und für die lezteren alle würter auf gefürt werden),
und belägen auB den älteren dichtern, ôfters auch in
eignen versen, welche mit pl da. y, ein gefürt werden.
151,
IPOo
[PA
(A 32.)
Less;
Über dises werk weiB ich nichts bei zu bringen.
vor PA
152, sel Dep) Lo IPAN
Colup Cell LE HE LB SAdb
Lithographiert zu Teherân 1rA4 fol. 6 pagg. und
17 bl. |
Über den verfaBer uñd seine vilen schriften vgl. Ch.
Schéfer, Relation de l'ambassade au Kharezm de Riza
Qouly Khan traduite et annotée. Par. 1879 [Publ-s.
de l’École des 11. orient. vivantes. 1° sér. IV] p. xvj
ff. und $. Churchill, À modern contributor to Persian
literature. Rizä Kuli Khän and his works. JRAS. n.s.
XVIII (1886). p. 196—206. Beide haben die auf den
ersten sechs seiten der auBgabe befindliche biographie
des autors von Mänukji benuzt”®?), und geben auch den
inhalt der vorrede kurz wider. Trozdem laBe ich hier
22) In der liste der werke felt: bei beiden das éagataisch-persische
wôrterbuch mit grammatischer einleitung, welches wir leider nur in
einem incomp:eten spi besitzen; Dorn Mél. asiat. V, 528
nr. 127: S$ li &s, ;.
357
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
358
das für unseren zwek wichtige stük über die ge-
schichte und die quellen der persischen lexicographie
im originale ab drucken. Es heifit fol. 2—3:
+ ble, Cal, Colg 5] ME CE Ls
CL oÙ, obus ss 5) Us af Colup Yyeki]
une 5), cl ÿlLl = Lie) ce Us «slasl,
LS Lai sl &llle blé ee NE Uby3e
AS él Loose af NL 5 K'asas, Cie
LE Lasaoe ta ls by
Len ste, Dre die «lab Dlail 5, as Cw jLs
gra) les ec. nl ob, 55 GS D
Eu 45 © ANR Un _p 9 pr 55 Le "ep pelal},
ambre se CODE AS Lu le as a Lulu
st, gredite 5) jleël jus cpl B Zeb ao,
les 1, En) ne Css‘ ls L moe
2e el Si 6 JM JU GS oi Es, Cor Le
da ur Cl, oo pre
als où dus bb, &fls Cul lil, 2 buis,
Dre Cys? 5 JL Dé, lie Dos, LR Je
on ÿ°b Don Ds ai JS all, ade 4j de he
Sc, BTS co fie Cal Æ pl cd,» Las
© pie ulss De alle “he ets Cal, ai
AS sais) ‘s Ent Uryites QanJes 1 sed
Lio je ais Oil bc Club obeb
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bai ne LS29 ue ue Le le cs} He
ps cÀ > Jde al pie lai) As re
Ris ul vop > e2® aïe) Mo ll |
Gel jyaie pl, (2) ss Gin ee x) es (1)
ri 7 jure CE (#f SRI 5 oLk 5, (3) “sb
a) Nach Schéfer I. ec. p. xix ungedrukt b) lithogr. Teheran
iP90. 2 vols. fol. pp. 20 + 4OV und pp. 8+ 4V4. Ethé in
Mgid, Forschungen. Lpz. 1875 p. 36. d) oben X 1 e) X 3
is Jd culs 5 LT 5 af uxlé + Ces LU
le » Bulls» Les, rl 65, als,
gb] Ge“) ét LE pol Jle af cpl; | Us JL ue
os As co pari sil Bb a
‘al » Su le
Dg2 JE*ture ds ds Das Fi:
a pol 4528 Que (6) aile ee Le (ul ni
DE) EU Cal, a US 9 Ca bol, Lai jl
of ps la le al Léo Gale ol
> pe is ob 51 GUl Sr 5 pelle (6)
EP Et GR poupe Hs me el Lol,
JE ab pr B ue 17) des 5 QU ‘ ds yes
ob Cal Fo Pa Lo sic os ges 1) EE
PARA pl af ,L SJ Je Y=)l c axilf
Jul ,5b j5 Of 45 02331 pl£b éle Gyie be
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da 53e Ms le Us pri ns 0e os
gps ab plis JL Le ue Uas Los; ol,
55 eye BL Ces, Fe ch ns Slelse cit
pe de I cs JL ut > bis 5
Lo ox Lis née Le cul Si es, (10)
1)X 67 m)X 77
o) unter dem titel
h) s. oben pag. 258 X9 AX18
ñ) Pertsch Die arab, Hdss. zu Gotha. I, 348
J
Le Rieu II, 510
359
Bulletin de l’Académie Impériale
360
5 l&b JS] ül Cul 32e Pre Pséy
Le us (A) : Cons le Ft, DE ne Qwill
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52 (12) aus Cu 39 (5e Gage 9 Je yygire CIE
7. obus Ghiles Ce cpl 5l JL osè de
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le, fais ‘ et … ol &ele (13) ‘El pee,
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Jhs ue b ue Se ca bee Us
Hi] es Es gi $ Gas as af Gui nn p Syge
Gel, CES de Lslasie EE D Li HE, Asa)
») X 95
X 145
qg) X 92 r)es sind wol die ls La gemcint,
s) À 148 vgl. fol. 2 oben der lithographierten aufigabe
æ) Pertseh Le
él; (14) A çpl rés ‘df ile PCR À
bd Le pl 5 pra celes L:5 1546 ES
5e D out ll Las Lu il Gb LL
J> ire CS cpl JD9 of is Uby, Los
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3 oies JE ls Le a ons awll D) 5! be
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obel obèses let Obs cul Jéie ot
ee. J?9 sel te obt | “à d& po LE J;b
Élu, ee ee ol ylei 4° gues 2 me
PS Cl LE fes “e ul», ce Cl
(lus Copé ef a Es, «5 ob , als
SA EN 1(15) le MC AU aallhe 3 aebe
Ve sul go (19) “sas Le, (7) gryebs (16)
Cste, (9) aa) 339, (29) all) 9, (21) axb] à ls, (20)
tolell &b, L'on ghes (24) US, (23) all)
Ole, as cg, (27) % LM ele, (26) ”
‘e coke ex il, (80) “SUU) &sl, (29) Sal
dé, (31) la jLuo, (5) Gosse xl) dE (7) Lee
Lo, (10) A Lo, (8) ael5,:, (6) Li)
Lo, (32) gels gens (13) Ab gloss (11) pins
ie IL, > (34) © y) ds Lo, (33) IG
t) Vullers I, vi 7) u)RieuFf, 141 v) Zenker I nr. 22
2 zx)Rieu 11,507 y) H. Ch. V, 395 nr. 11453
2) H. Ch. V, 324,11 hat nur den namen &lÿ Re aa) vel. 67,31
b) M 141? c)Pertschl.c. 1,357 d)vgl.zu 2 e) vel. zu X 6
S) H. Ch. VI, 273 nr. 13459 g) ebenda V, 497 nr. 11817, riagel
1,118 À) EH. Ch. VI, 625 nr. 14993 M 46 4) M 151 D X 54
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
pos Je > 4 re Lis Je "Ole
(85) ‘al Li 5 il fais JUL 5,
pe US Vois cpl aipsls af jlésl sie Css; OL,
HA AIQREE Us épi] JD Li. JE, wub
L olb Lys, OL sic EsLl cl ls
a 5,055 HD babe pre ape (36) ‘ AL
Cl, Le F gb. Gb pis a) e£
es (87) * «ils pére ob ls Lise, ps) Gl
01 Co es 255 “$ CARE ARE ER PE | 6
CU CPR AE of, « Cas CLÉ Clé
JHil, 5 AUS 5) af” a el 00 (88) cl
Cul Dose LAS cpl 5 Ék Lo © si) C6)
les Sul (89) ess ob OU, swbls pli
jf o5b; (sole Éepb Use af Paelioli l, (40) ° GE
ue pl oki D YU Fi ÿ} JL Dons
ce Ji Ji 02% poire es Cl > lee a$ ass De
Mal Ce JL ns “(41) Ps
: ou F6 üs, (44) ol (44) OU) (43) EL 'rLyl, (42)
©], (47) ne CU, (46) "dsl Ca éb (45) ME
ul el ae pr + buus y, er 1 ele
m) die nrn. 33—36 sind in einem sammelbande enthalten, den
Mänukÿi i. j. [Pq4 unter dem titel L:
phieren laBen: 8° pp. dl + 4°o. Nach zwei von im selbst geschri-
dus 4 hat lithogra-
benen PAR CA p. |—r€ und p. o—+] folgen a) œbi,s JL,
p. b—#i b) Lis) sie C5, OL, p. Pr—V4 — (die folgende
seite ist unbeschriben und nicht mit gezält) — c) PTS Pa | )
>, Al p. VV—1rA à) Ce 6595 p. 14—IVV — (i-
der eine ungezälte seite) — e) die von dem selben Mänukji verfalite
als p. IVA—PF°O n) übersezt von West in den Sacred Books of
the East XXIV — Pahlavi Texts III. Oxf. 1885 p. 253 f#. vgl. Rieu
1,49 0) 76 p) 52 g)unbekant r)M91 s) bei Surûri
(67) nr. PF t) Rieu II, 477; über die türkische übersetzung
} âié s. H. Ch. VI, 546 nr. 14576 u) Rieu I, 335
+) diser titel findet sich bei H. Ch. V, 324 one weitere angaben
æ) oben anm. « der ersten alphabets.
Ë. j a ne
OUT (seb 2 f pe Giles Up
Rein St geordnet.
#
Zum schluB füre ich noch einige werke auf, welche
sich chronologisch gar nicht ein reihen liefien.
153, (Paris: Suppl. pers. nr. 451.) ?
Jelaill =
AU 8 ce el De peu ce pl se sdb
Scheint zu den älteren werken zu gehôren, und ver-
diente deshalb wol eine nähere untersuchung. > H. Ch.
154.
(P nr. 85,2.) ?
=] à)
«Ein meist in persischer, biBweilen auch in arabi-
scher sprache kurz erklärendes persisches wôürterbuch
.. Die zu erklärenden würter sind in grüBere oder
Élédére reihen zusammen gestellt und innerhalb der
selben teils nach den anfangs- teils nach den endbuch-
staben geordnet». Auf fol. 133—140 eines sammel-
bandes in 4°, sol trozdem etwa 2800 würter erklären.
AuB der beschreibung scheint hervor zu gehn, daB
dises stük nicht von der selben alten hand geschriben
ist, wie das folgende. > H. Ch.
OT (L 20.) ?
Dozy I, 100 nr. 185.5. a. > H. Ch.
156. T (P nr. 148.) S
os w9B al
Ein persisch-türkisches vocabular one titel, in zwei :
hauptabschnitten ,>Lell und ,L.Y]; die weitere an-
ordnung wie in X 54. (101 bl, 4°).
107, T (P nr. 152.) ?
, mb Cal
Ein kurzes persisch-türkisches würterbuch one titel,
in zwei .M#5, wie oben, beide alphabetisch nach den
anfangsbuchstaben geordnet. (140 bl. 12°.)
“%
363
Bulletin de l’Académie Impériale
158, T (P nr. 153.) ?
os «s7°9 ls Ca)
Fragment eines verzeichnisses persischer und ara-
bischer wôrter mit interlinear-erklärung; alphabetisch
nach dem lezten und ersten buchstaben, auBerdem
noch nach der anzal der selben im worte geordnet.
“©
Là
159. (Dorn Mél. asiat. V, 238 nr. 34.)
| asUisli, LE
Codex Khanykov der K. Off. Bibliothek, one autor
und datum; nicht identisch mit Xe 96.
[Nicht hieher gehôren:
160, (L15.) vor |+49
els US CI en il G élue
Es ul bles À] eg cas Je Je
D ae Pre
H. Ch. IE, 233 nr. 2630. «Ein arabisch-persisches
....in versen ab gefalites vocabular»: Pertsch zur
Berliner hds. pr. 158.
161. (L 30.) vor Vol” ?
élarse de Cle, laps lus de,
oil ol)
Flügel I, 127 nr. 121,5. Ein SEADISC Re PraIOReR
glossar von unbekantem Vos.
a) B 65. Rieu II, 04a. Pertsch I. c. nr. 154ff.: quelle für unsere
Xe 63. 77. 145. Im > Lo werden folgende commentare zu
disem werke auf gefürt: “si, | GPL5 ei ») D l'Pae >
ré Jr pl > Sep JP Gels > D
sic «S VS LS32?: Der dritte commentar (vgl. H. Ch. VI, 346
ur. 13801) findet sich in Berlin: Pertsch ur. 156, wo auch unter
or. 157,1 ein fünfter commentar von Je beschriben ist,
b) H. Ch. VI, 350 nr. 13824, vgl. Flügel I, 118 N.
Register.
I. Titel°).
64, ua lal:— 152) 00e Te iii al
— 106,6. 15 Haul) 5151 — 6718 un Cl —
SLSYel — 108 SU LUI — 108 à) Li
106,19 n. y N} sas] — 21 ils —16 ml [pH]
rsil— 106,24. 21 aa] is] — 54.21 se pis) —
— 67,9 [3léal)] gris) Us) — 128 6) sil
— 152,15 ps)
19 — 153 Jlaill js? — 106,26. 22,a Lol al y
152,47. 150 =) ele —p. 272; n.9) wlll
141: 92 es Ole, — IV,40 n. 152,13. 148 cb Qle»
— 131 je le — 152,11.
D
2 bis pli LB — 65 Le LL — 65 cel) EL
ds — 141 pli CLS — 159,9» Qls — 152,5.
ds — p. 272 II A. 152,31. 106,3. 47 QI
Glen) às — 24 Le &é — n11) cad
39. 24 çuolé Gé — 60 ul) aix) — 38 (ok) |:
— 100 (lsall dif — 147 Lu Lite (oi dif —
— 93 SU äié — 160 (Dal ie — 53 slédll à
+ M9 je Be 10 M [use 4 A
GS — 31 dsolyJ} ais) — 147. 139 Lu &S
us — p. 315. IL, v Gléd) jis — 138 SL IL)
— TU, ij ae ils — 148 olises 6 S55 — 89,d yes
ne . 5 —— 5 M las — 82. 81 pull 55
14 le, Ab Cal des —106,0. 66 le, col
dncsl FAN 104 =) il ass — 129. LS.
Uasb—4 li 119 suwli Ca Lo y —106
— 136 Gle pi
a) Die nicht näher bestimmten zalen dises und des folgenden .
registers beziehen sich auf die paragraphen der V. Beïlage; die übri-
gen beilagen sind durch rômische ice bezeichnet, die fort laufend
gezälten anmerkungen durch n
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
366
RE PS
Ë
101 (yà)l eb—155 ob) eb—49 eball eb
106,8. 56 polie es ge—106,20. 68 SU gel —
Dplye — 152,56 Lui, Lie — 122 Elus se —
dep IL she 148 Go ls To
— 88 (> paie le — IV, 28. 67,21 abisl,s
£
ls — 67,26 LE li — p. 261; 67,19 ,=ws)] lus
Ch 86,8, Les il = 6770 lu
__n, 10) Li, ms —IVysn. ; be JL —62 ç) mil
— 152,34 Qliuss — 124 Pis — 16 opele &ls
3
159,14 55 — 152") Lol Gus — 32 ils
Jens = 10: Jebs ll tes — 67,22. 10 js —
QG up — 33 Jill js — 106,58. 86 Jai)
2 10 dl se Be Nil ns IS LL
18 pl) pli — 60 (Cl ail (3 od. A) ais
Von. JUL Ulyss — 16,1 Le Uls> — 106,0.
ë — IV,25n. ER Olp> —
J
3 eut EL, — 152,1:1 Lutte cer pol dl,
46 ob, cynus 4, — 89,c lb dl, — 152.
AL, — 82 jules OL, — 159,5 Qbiss DL, —
— 159,35 Lil Lis, JL, — 152,56 >, ,4ul,
110 425: Cal Cône > dl: — 9 6,505 OL,
— 161 fl laue Les alles — 89,b Lse > alle, —
QL, 11 [à] moiïll ,; — 106,84. 78 ),.. al, —
— 1 Qi gi, — 140 POLY) à, — 46 bi,
— 152) ll ob,
Tome XXXII.
J «
1627) 255 la 4, 5-2 "152,865, 05
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24
Bulletin de l’Académie Impériale
368
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b) So eben bemerke ich, daB auch die von Pertsch unter nr. 2,1
beschribenen fragmente zu disem gedichte gehüren; sie beginnen in
fasl IV mit vs. 86, darauf folgen fasl V—IX, und ferner die faslT,
If, III PA Ve Éaweder ist die handschrift verbaüden, oder es waren
die blätter irer vorlage in unordnung geraten.
369
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
370
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371
Bulletin de l’Académie Impériale
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373
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IV. Beilage. *
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375 Bulletin de l’Académie Impériale des Sciences de Saint-Pétersbourg. 376.
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— 63n. Sir. Ke — 71 Gr. us — 63 Mir. ? Ks
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e) im verse des Firdausi ist ie . zu lesen.
Paru le 10 juin 1888,
Bulletin
de l'Acad. Jmp.des Se.XXXII. Salemann.Bericht.
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Die verwantschaftsverhältnisse einiger persischen lexica graphisch dar gestelt.
Anm. Die sèglen sind die in der œussqabe des Fachri cn gewanten,sind sie von einem Areisse umschlossen s0
wird Fachri in den betr werken citiert. MAPTOTF SAMAMADHFA CR
de. 2
T. XXXIL, N° 3. | | sa
BULLETIN
DE L'ACADENIE IMPERIALE DES SCIENCES DE ST-PETERSBOURG.
TOME XXXIL
(Jeuilles 25—1/,31)
CONTENT.
4 Page
, À, Bonsdorff, Sur la détermination des constantes de l’ellipsoïde de la terre au moyen de mesures géo-
SOBIEURR Luna ben tele DA SAR den) Lier se ve sat a best eg mou a ei voter nv ed 377—383
€. V. L, Charlier, Sur la formation des courants météoriques par la désaggrégation des comètes......... 383—402
M NSP De l'oDeEraUon (os DONS HER Suit, el nu lies denses ei sel uiaus cute à als 402—412 ;
B. Hasselberg, Sur une méthode de déterminer avec une grande exactitude la distance focale d’un système
de lentiles pour les divers LAYORS Qu In Iumibre 0 M LU Cane ei pe da vee see der 12—433
Æ, Nauck, Quelques remarques sur les fables de Phèdre....:..5,.:,,,....4., 4eme 434—464
W. Radloff, Rapport sur un ouvrage de M. le professeur Chwolson relatif aux inscriptions funéraires
OU OUR À SO DR 2 NT TN Ras nas etai Di ni idee led enduro 64—465 £
A; Cotael Sur Facide phenyl-angéliqne., 5... sus diurne RE nee . 465—467
0, Backlund et B. Séraphimoff, Elémens et ephéméride approchés de la comète Encke pour 1888 ...... . 467—472
0, Lemm, Histoires de la princesse Bentrès et de l’empereur Zénon et ses deux filles.,..............., 473—476
\ Loic be:
* . Imprimé par ordre de l’Académie Impériale des sciences.
a Juillet 1888. ——— C. Vessélofski, Secrétaire perpétuel.
Imprimerie de l’Académie Impériale des sciences.
(Vass.-Ostr., 9° ligne, X 12)
#
BULLETIN
DE L'ACADÈMIE IMPÉRIALE DES SCIENCES DE ST--PÉTERSBOURG.
Zur Bestimmung der Constanten des Erdellipsoids
aus Gradmessungen. Von À. Bonsdorff. (Lu le
26 Janvier 1888.)
Eine Gradmessung führt man, wie bekannt, in der
Weise aus, dass die lineare Länge und Richtung einer
kürzesten Linie zwischen zwei Punkten, deren Lage auf
der Erde durch astronomische Beobachtungen bestimmt
ist, mit Hilfe einer Triangulirung gemessen wird. Die
Gradmessungen kônnen für die Bestimmung der Con-
stanten des Erdellipsoids in jeder zum Meridiane be-
liebig gewählten Richtung ausgeführt werden; ist die
Richtung der kürzesten Linie aber schief zum Meri-
diane, so kann man die beïden Constanten, die grosse
Halbaxe und die Excentricität aus einer einzigen Grad-
messung bestimmen; wenn aber diese Linie mit dem
Meridiane oder dem Parallelkreise nahe zusammen-
fallt, so sind für die Bestimmung der beiden Constanten
wenigstens zwei Gradmessungen erforderlich. Im Fol-
genden werden wir zeigen, dass man die Excentricität
oder die Abplattung ableiten kann, ohne die lineare
Länge einer kürzesten Linie zu kennen, so dass nur
die Bestimmung der grossen Halbaxe die Kenntniss
dieser linearen Länge voraussetzt. Es wird sich näm-
lich aus unseren Formeln ergeben, dass die Excentri-
cität bestimmt werden kann, wenn man die geogra-
phischen Breiten, den Längenunterschied und die
astronomischen Azimuthe der Endpunkte der kür-
zesten Linie kennt. Da aber die Lothablenkungen,
sowie die Beobachtungsfehler nach dieser Methode
viel stärker wirken müssen, als nach der gewühnlichen,
d. h. mit Hilfe der gemessenen linearen Länge der
kürzesten Linie, so giebt die Vergleichung der nach
beiden Methoden gewonnenen Resultate eine sehr
wichtige Controle für die Richtigkeit der Gradmessung
selbst.
Auf der Oberfläthe des Ellipsoids denken wir uns
eine kürzeste Linie zwischen zwei Punkten gezogen
und bezeichnen die grosse Halbaxe und die Excentri-
cität des Ellipsoids durch a und e, die en
Tome XXXII
Breiten, den Längenunterschied und die astronomischen
Azimuthe der Endpunkte der kürzesten Linie durch
B', B”,à, t' und 180°-+”, die letzteren von Norden
durch Westen gezählt. Die Vertikalebenen, durch
welche die astronomischen Azimuthe bestimmt sind,
schneiden die kleine Axe in zwei Punkten; mit diesen
als Mittelpunkte denken wir uns zwei Kugeloberflächen
beschrieben. Diese Kugeloberflächen werden von den
Vertikal- und Meridianebenen, welche durch die End-
punkte der kürzesten Linie gehen, in Bogen des grüssten
Kreises geschnitten, welche zwei sphärische Dreiecke
bilden. In dem einen Dreiecke sind zwei Winkel gleich
à resp. + und die zwischenliegende Seite gleich =—P,
in dem anderen sind diese Grüssen à, +” und + — B”.
Die in beiden Dreiecken den Winkeln +’ und +” gegen-
überliegenden Seiten bezeichnen wir durch + — L’ und
+ — F; die dritten Seiten sind die Vertikalschnitte der
Oberflächen mit den zwei Vertikalebenen.
Die sphärischen Dreiecke geben:
_tg "= sin cotgr’ sec B° + cos Atg B’... (1)
tg [= sin À cotg r”sec B°+- cos À tg B”. . . (2)
Bezeichnet man die reducirten Breiten, welche den
Breiten B° und B” entsprechen, durch 8’ und 8”, so
hat man nach Hansen (Geod. Untersuchungen):
sin $" }. ,
Br — TE ar ‘t88
w: sin $” , R/
tg {Vie + ——— es np - tgB,
aus welchen man leicht erhält:
tg 7” =(1—e#e se) EE
sin g
gl'={i—e+e RE). 8.
Setzen wir’: :
: sup”
Fr ep”
und
+ LE hf
2= ea) CE CT SIN (D :
379
Bulletin de l’Académie Impériale
380
so wird:
p=l-À+ ex,
Fa
q=1—e+ à .—
Eliminirt man aus den zwei letzten Gleichungen Œ;,
so erhält man:
a Le 2 ns brins (4
und auf Grund der Fa
é sin (B!— I”), sin (B— (5)
ets sin B’ cos 7”. sin(B"— PE Pas PET
Die Breiten B’ und B”, sowie der Längenunter-
schied À kônnen aus astronomischen Beobachtungen
bestimmt werden, die astronomischen Azimuthe +’ und
180°—+" dagegen aus den Beobachtungen der Hori-
zontalwinkel der Triangulirung und aus astronomi-
schen Beobachtungen; berechnet man also mit Hilfe der
Gleichung (1) und (2) L’ und L”’, so ergiebt sich €? aus
der Gleichung (5) unabhängig von der linearen Länge
der kürzesten Linie.
. Es ist leicht zu bemerken, dass, wenn p>1, s0
muss notwendig g <1 und umgekehrt, dagegen ist
immer 2—p—g<0. Der Zähler und der Nenner
im Ausdrucke für e? sind also immer negative Grôs-
sen. Setzt man B'— B", so wird ['—T"— B' und
Den d ==]; dr Ausdruck für & wird also in diesem
Falle unbestimmt. Wenn die kürzeste Linie mit dem
Meridiane zusammenfällt, so hat man À = 0,7 —+7"— (0;
die Ausdrücke für tg l’ und tg l” werden dann un-
bestimmt. |
Als Beispiel nehmen wir B'— 59° 550”, B'—38°
10, 1-58 il 29/54, [= 59° 52 8/06.
Mit diesen Werten der Winkel B und FT erhält
man: |
log p= 0,0011682, log qg — 9,9991658,
log (1—p»)—7,2830818, log (1—gq) — 7,4303106,,
log (2—p—g)—6,8889822, und log —7,8244102.
Die Gleichung (4) kann nach dem oben Gesagten
nur dann angewandt werden, wenn die Gradmessung
_ eine zum Meridiane schiefe Richtung hat. Für den
Fall, dass zwei Gradmessungen von einem und dem-
selben Punkte aus ausgeführt sind, kann man sich eine
kürzeste Linie zwischen den Endpunkten der Grad-
messungen denken, deren geographischen Breiten- und
Längenunterschied wir daher als bekannt voraussetzen
dürfen. Berechnet man die astronomischen Azimuthe
der Endpunkte dieser kürzesten Linie, so kônnen wir.
die Excentricität mit Hilfe der Gleichung (4) er-
mitteln.
Differentürt man die Gleichung (4), so erhält man:
à 1
de — En) dp + 2) dy,
oder wenn mañ
X=—sin B' cos L” sin (B"—T')+sin B” at sin(B'-[")
setzt:
— de = ET (sin B” cos B’ al” —
__ sin L’cos L' dB") + Den he. a Eu cos Bart
— sin 2” cos AE ).
Differentiirt man die Gleichung (1), so ergiebt sich: :
M ar (cos À cotg +’ — sin Bsin À) dx. +
cos? pi
cos? B"
sinAcos? I" , 7
cos B'sin? rt’ ” "?
4 (cos À + sin À sin B’ Cotg +’) dB —
cos? TJ! 1: ;
dl = pr (cos À cotg r'— sin B”sin À) dÀ +-
cos? 7” * :
+ pr (cos À + sin à sin B’cotg +”) dB"—
sin À cos? l'”/. dr"
cos B”. sin? tr” ?
. Substituirt man diese Ausdrücke für GE’ und d[°” in
den Ausdruck für de?, und setzt:
sin? (B'’— 1”) sin B' cos? 1” À j
he 3 (cosA cotgT'—sin B'sinÀ)+
sin? (B'— J"/)sin B” cos? T”’ : :
+ ie (cos À res T'—sin LA sin À),
sin2(B'— T”')sin B'’cos B” cos?
Be ( Le sr m F (cos À +-sin À sin LP cotg T')—
sin? (B'— 1") sin Tous PA
X2 ;
in?(B'— [') sin B’ ! cos?
Me ( Rs de ee I pr(c08 à-+-sin À sin B’’cotgr”)—
sin? ne T"”) sin si cos Gé
X2 ;
’ sin? (B'— J"')sin B' sin À
T'= — ne “he COR F7,
TE. sin?(B''—T") sin B” . sin
Dés X2 "sin? 1”. cos” 1”,
so erhält man :
— de = L. dd 4-BaR à B'dB"+-
+ Tr Tax’. | . (6)
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
38?
Bezeichnet man durch B,, B,”, À,, 7, 180°—+",
die beobachteten Grüssen nil sotzt B— B'+ AB,
B'—B;'+ AB", =, + Aù, nn T'+-7;
+ Ar”, so sind AB”, AB”, Aù, Ar’, Ar” die Verbesse-
rungen wegen Lothablenkungen und Beobachtungsfeh-
ler. Man erhält also für die Verbesserungen, wenn
man die Quadrate und hôheren Potenzen vernachläs-
sigt, folgende Bedingungsgleichung :
à
— A — L,Ax+ B'AB'+ B"AB'+
+ T'At + TA”, : (0)
in welcher die Coefficienten Z,, B;', B,", T,, T/" aus
LL B;:5:1; T1 ose Vertauschung der CLteso
B!, P', À, v, T mit B, B”, À, T, +,’ eérhalten
werden.
u
Es sei nun Ë die nürdliche und n die ôstliche Ab-
“weichung des wahren Zeniths vom ellipsoidischen,
weiter mügen SB', àB” u. s. w. Verbesserungen der
beobachteten Grüssen (vergleiche Helmert, Loth-
abweichungen, Heft I), X und À” die Längenunter-
schiede der Endpunkte der kürzesten Linie, von eimem
ersten Meridiane aus gezählt, bezeichnen; alsdann an
man genähert setzen: AB—3B"—#, AB"— SB'—
A = ON — 31 — 0 sec B” +1 ’sec B, AURA
te B'undAr"— ÿr"— 1’ tg B”, wodurch die Gleichung
(7) in die folgende übergeht:
— A I, (SX — SX — 1” sec B'+ n sec B)) +
+ BOB—E)+ B' (B'— E”) +
+ T' (dt n'tg B) + T'(èr"—1'te B”).
Ausser dieser Gleichung erhält man für die Bestim-
mung der Lothabweïchungen noch drei Gleichungen
‘und die bekannte Laplace’sche Gleichung; diese vier
Gleichungen findet man in der oben erwähnten Ab-
handlung von Hrn. Professor Helmert abgeleitet.
Nachdem €? bestimmt ist, berechnet man die redu-
cirten Breiten 8 und 8” und die geodätischen Azimuthe
der Endpunkte der kürzesten Linie; die rechtwin-
keligen sphärischen Dreiecke, in welchen 5 —$ und
_. — &" die Hypothenusen und die geodätischen Azi-
muthe die Winkel sind, geben dann die Bogen 9’ und
œ”, welche die Grenzen des Integrales im Ausdrucke
für die Länge der kürzesten Linie sind, sowie die re-
ducirte Breite 8, des Schnittpunktes dieser Linie und
des zu derselben senkrechten Meridianes, aus welchen
man weiter die geographische Breite B, dieses Punktes
À
(8)
bestimmen kann. Berechnet man die Grüsse g nach
Jacobis Formel
SRE
log . q = log + + Aë sin? B, +
+ _ Ae* sint B, + È Ae sin° B, +
und bezeichnet die Amplitude der kürzesten Linie
durch ©, so hat man:
“me 2 $ Éof 7 ER à SERRE Je+
4 rer | CAUTDRER 25 ‘— sin 29) ,
+ 4° (sin 4o”— sin 49) Ée nd 3 (sin° 29”— sin 29°)
nd |
hi Re dent dues (10)
Die Bestimmung der Amplitude & und folglich auch
die der grossen Halbaxe mit Hilfe der Gleichungen
(9), (10) ist also abhängig von e* und den beobachteten
Breiten und Azimuthen.
Wenn die Gradmessung eine schiefe Richtung zum
Meridiane hat, und Azimuthe beobachtet Sind, so hat
man nach Prof, Helmert (Hühere Geodäsie, Th. I) für
die Bestimmung der Constanten des Erdellipsoids die
Gleichungen:
A se Br M
Vie ain8 ‘0H. mr “+: (41)
a P
Ass 2 #0, 1. (12)
wo M dep Abstand der Parallelen, P eine Funktion
der linearen Länge der kürzesten Linie, welche dem
Parallelbogen für die mittlere Breite B nahe gleich
ist, ©, und 0, die Krümmungsradien im Meridiane und
Perpendikel für die mittlere Breite B, und Aa die
Differenz der Azimuthe, die letzten von Siden gezählf,
bezeichnen.
* Diese beiden Gleichungen geben: € — :
wonach a am zweckmässigsten mittelst (11) abgeleitet
wird. :
Die Grüsse e? ergiebt sich also nach den Formeln
(11) und (12) mit Hilfe der linearen Länge der kürze-
sten Linie; aber der so erhaltene Werth kann sehr
stark von demjenigen abweichen, welchen man mittelst
der Gleichungen (1), (2) und (5) berechnet. Die grosse
Om
Halbaxe dagegen ergiebt sich aus den Gleichungen :
25* re
383
Bulletin de l’Académie Impériale
384
(9) und (10) nahe dieselbe, wie aus den Gleichungen
(11) und (12), wenn man nicht Rücksicht auf e° nimmt.
Die Gleichungen (9) und (10) kôünnen also keine neuen
Bedingungsgleichungen für die Lothablenkungen ge-
ben, während die Gleichung (8) eine neue nicht früher
bekannte Bedingungsgleichung für die Lothablenkun-
gen ist.
Über die Bildung von Meteorstrômen durch Auflüsung
der Kometen. I. Von Dr. C. V. L. Charlier. (Lu le
16 février 1888.)
Von den vielen Hypothesen, die man zu verschiede-
nen Zeiten über die Natur der Meteore aufgestellt hat,
wird wohl jetzt nur eine als wahrscheinlich von den
Astronomen angenommen, diejenige nämlich, nach der
die Meteore nur die Reste eines zum Theïl oder voll-
ständig aufgelôsten Kometen bilden, Die im Jahre 1866
erwiesene Identität der Bahn der Augustmeteore mit
der des dritten Kometen 1862, und ein ähnliches Re-
sultat in Bezug auf die Novembermeteore, sind die
ersten und zwar wichtigsten Thatsachen, die jene Hy-
pothese bestätigen. Die Trennung des Biela’schen Ko-
meten im Jahre 1845 und sein ausser Zweifel gesetzter
Zusammenhang mit dem schôünen Meteorregen in den
Jahren 1872 und 1885 erhühen ihre Wahrscheinlich-
keit bedeutend. Alle diese Thatsachen deuten darauf
hin, dass die Kometen, abgesehen von einer gasartigen
Umhüllung, aus Anhäufungen fein vertheilter Materie
bestehen, deren Dichtigkeit und innere Attraktion eine
äusserst geringe ist. Wie sich eine solche Sammlung
von Kôürperchen, durch die auflüsende Einwirkung der
Sonne und der Planeten, längs ihrer Bahn verbreiten
und somit die Bildung eines Metcorstromes erzeugen
kann, hat uns Schiaparelli in seinen klassischen Un-
tersuchungen in grossen Zügen gezeigt. Indem er von
einfachen mechanischen Voraussetzungen ausgeht, hât
er bewiesen, dass die Annahme einer gewissen unteren
Grenze der Dichtigkeit eines solchen Haufens zureicht,
‘ um diese Erzeugungsart der Meteorstrôme zu erklären.
Da er aber bei diesen Untersuchungen nicht beab-
sichtigte eine in’s Detail gehende Darstellung der Be-
wvegungszustände zu geben, vielmehr zum Hauptzweck
hatte, überhaupt die Môüglichkeit einer solchen Erklä-
rung darzulegen, so bleibt noch übrig, eine analytische
Untersuchung über den bei der Bildung eines Meteor-
stromes vorsichgehenden Auflüsungsprozess anzustellen. :
Das wichtigste Interesse, das sich an eine derartige Un-
tersuchung knüpft, ist die Aussicht durch Beobachtung
von getheilten Kometenkernen zu einer Bestimmung
der Kometenmassen zu kommen, die durch alle bisher
vorgenommenen Untersuchungen auch noch nicht an-
nähernd hat erlangt werden künnen..
Eine nähere Betrachtung der Theïlung des Biela’-
schen Kometen und der mit derselben in Zusammen-
hang stehenden Erscheinungen wurde dem Verfasser
Veranlassung, diese Bestimmung zu versuchen. Aus
dem Jahre 1846, als der Komet zuerst doppelt beob-
achtet wurde, sind eine grosse Menge von Beobach-
tungen der bciden Kerne vorhanden; wogegen aus der
zweiten und bis jetzt letzten Erscheinung des Kometen
im Jahre 1852 nur eine sehr beschränkte Zahl von
Beobachtungen vorliegt. Obgleich dieser Umstand,
durch die Schwierigkeit, die Kerne im Jahre 1852 mit
den entsprechenden bei der früheren Erscheinung des
Doppelkometen zu identificiren, das Problem in hohem
Grade komplicirt, so scheint es doch nicht unwahr-
scheinlich, dass eine Bestimmung der Kometenmasse
wirklich gelingen wird. Die Analyse zeigt nämlich,
dass beï dieser Bestimmung die Ermittelung des Un-
terschiedes zwischen den Elementen der beiden Ko-
metenkerne das hauptsächlichsté Moment bildet, und
zu diesem Zweck werden die Beobachtangen wahr-
schemlich ein hinreichendes Material hefern kônnen.
Bei der folgenden Untersuchung war daher mein
Hauptzweck, einen Versuch zur Theorie der Theïlung
eines Kometen in zwei andere zu geben. Da aber die
Analyse in diesem Falle nicht leichter wird, sondern
von derselben Natur ist als wenn es sich um die Ab-
sonderung kleiner Bruchstücke oder einzelner Meteor-
steine handelt, werden wir lieber diese allgemeinere
Aufgabe untersuchen., Wir verstehen daher unter
ein solches kleines Massentheilchen oder auch eine
Sammlung von solchen, die als ein zusammenhängendes,
und zwar durch die inneren Kräfte stabiles, Massen-
system angeschen werden künnen. Den Kometen
denken wir uns aus solchen kleinen Partikelchen oder
Massensystemen gebildet, die um gewisse Zwischen-
räume, Vorläufig beliebig grosse, von einander abstehen.
Die Gesammtmasse, des Kometen wird durch die
Summe Zu, ausgedrückt. Indem wir die Bewegung
385
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
einer dieser Massen À untersuchen wollen, erhalten
wir zuerst folgende analytische Ausdrücke der Accele-
rationen längs zwei in der augenblicklichen Bahn des
Kometen ee gegen einander senkrechten Axen,
d’x Tate Hi HG 9
dy W tE —
Der Anfang der Écrinilés ist hier in die Sonne
gelégt. Unter x, y sind die Koordinaten des zu unter-
suchenden Kürpers verstanden. M ist die Masse der
Sonne, #,, m”, etc. die der verschiedenen Planeten,
deren Einfluss hier merkbar werden kann. Weiter ist
+
ns (x, me x) dé (Y; He y),
ZX, und Fr; sind die Sn er der Wirkung der
‘stérenden Planeten, also
a
.3 .3
J à; Tj
UM Y LE
ENT ART
J J
wo. die Bedeutung von ë; » 1; , 7; und A; aus der obigen
Definition von X; und Fr: unmittelbar klar ist.
Die Koordinaten x und y in den obigen Gleichungen
werden wir gegen andere vertauschen, die für die
jetzige Untersuchung bequemer sind. Wir denken uns
desswegen einen Pünkt (x,, 7,), dessen Bewegung so
_ beschaffen ist, dass die Bahnen von g,, p., ete. immer
oder wenigstens in demjenigen Theil der Bahn, den
wir hier zu untersuchen brauchen, von der Bahn dieses
Punktes nur um einen so kleinen Betrag abweichen,
dass die hüheren Potenzen des Abstandes zwischen den
Punkten (&;, y;) und (x, y), Wenigstens vorläufig, nicht
berücksichtigt zu werden brauchen. Es ist diese An-
nahme eine so plausiblere, als die verschwindend klei-
nen Kometenmassen die Einwirkung des Kometen nur
dann mit der der Sonne vergleichbar machen künnen,
wenn der Abstand ein sehr geringer ist. Wann und
wie lange diese Annahme berechtigt ist, wird sich
übrigens bei einer thatsächlichen Anwendung der Me-
thode von selbst herausstellen, Die Bahn des betref-
fenden Punktes (x,, y,) werden wir im Folgenden kurz
mit dem Namen Referenzkurve bezeichnen. Wir setzen
386
Z = +9 Y =Y+h
Ti = Lo +4) h= Yo +
ü. 8. W.
und mit Vernachlässigung hüherer Potenzen von g und
h, erhalten wir hieraus folgende Werthe für r und A
"à er$ [1 + 26980]
FA 2 (659 + njh — 209 + Yoh)
À; AE A5 [1 et ER sde P. ya |
wo wir unter 7, und A,; die Abstände bis zum längs
der Rdltoucoits beweglichen Punkte verstehen, d. h.
) =149)
À; Et (Ë; — To) + (n; Rene LE
Aus den tue Werthen von r und à erhalten wir
weiter
SL _ af en mel
=
mal 1.67% CE KA mel
und p, hat die
= (9 — 9Ÿ + (, — Rÿ.
Nach a dieser Werthe in (1), werden wir
zur Bestimmung von g und k folgende Differential-
gleichungen bekommen
Fo? ro°
dt? tr,
— YNHWo —
: p5
dr ne
Res le (h; — “ Pi
Shnar a y
wo
= X,+0() A (a),
Le) AS)
und mit dem Index Null angedeutet wird, dass # und y
gegen x, und y, vertauscht werden sollen.
Die Wahl einer Referenzkurve steht uns noch frei,
und zwar giebt es unendlich viele Methoden um ge
an eine solche gestellten Bedingungen zu erfüllen. Von
diesen scheint diejenige die natürlichste zu sein, die
als Referenzkurve eine Bahn annimmt, die von dem
Schwerpunkte des Systemes beschrieben werden würde,
wenn man nur den Einfluss der Sonne berücksichtigen
wollte,-oder auch dieselbe Bahn unter Berücksichtigung
387
Bulletin de l’Académie Impériale
der planetarischen Stôrungen. Im ersten Falle wäre
also (x,, 7,) durch folgende Differentialgleichungen be-
stimmt.
Pro + Po D
(' 128 2
G) Yo My
0 0: é 0
mr 0
und zur Bestimmung von g und À erhalten wir dann
aus (2) es
Le M 8 Nr
7 ae L cotrg-cv) _ Vu 9 _ x
dh M % hj—h
me ali Safe eo) — DE EE à
Wollte man aber in der Bewegung von (x,, Y,) auch
den Einfluss der planetarischen Stürungen berücksich-
tigen, so erhalten wir statt (3) und (4) die folgenden |
Gleichungen
d?x, ee
se a. RP rer, = Len.
d? M. 4e
ee ge 7 se F,
und
d M 8 CT pi (di —
de + ra (9 To a. Y# pi(gi— 9)
dx 2
= =1(S } al 23 à
Œh
ue, (4 no NL
ARE a(2X
—= F4 kse ( ze
Die Glieder rechter Seite in den Gleichungen (4*)
sind zwar im Allgemeïnen sehr klein, da dieselben
nicht nur die kleinen Grüssen g und À sondern ausser- |
dem die kleinen Planetenmassen als Faktoren enthalten.
Es ist aber nicht immer erlaubt dieselben ganz zu ver-
nachlässigen, da nämlich solche Füälle eintreten künnen,
dass einer von den Planeten dem Kometen so nahe
kommt, dass seine auflüsende Einwirkung, von der hier
die Rede ist, mit derjenigen der Sonne Li map
wird, dieselhé sogar übertreffen kann.
Welches von diesen beiden Systemen (3) oder (3*) |
gewählt wird, ist von theoretischem Gesichtspunkte aus
eigentlich gleichgültig. Nur wenn die planetarischen
Stürungen von solchem Betrage wären, dass die Bahn
des Kometen während der in Betracht kommenden Zeit
sehr von einer oskulirenden Ellipse abweicht, was wohl
selten der Fall ist, müssen nothwendig die Gleichungen
(3*) zur Anwendung kommen. Wenn man dagegen eine
numerische Anwendung der Gleichungen beabsichtigt,
und dabei nicht nur die relative Bahn der Kometen-
theile zu einander, sondern auch ihre absolute Bahn
erhalten will, ist die letztere Annahme über die Refe-
renzkurve, also die Gleichungen (3*) und (4*), ent-
schieden vorzuziehen. In dem vorliegenden Aufsatz
kommt aber hauptsächlich die relative Bewegung der
Kometentheile zur Untersuchung, und für diesen Zweck
werden wir lieber von der Annahme (3) ausgehen, da
dieselbe eine einfachere geometrische Form der Refe-
renzkurve zulässt.
Um überhaupt eine Diskussion der durch die Glei-
chungen (4) definirten Bewegung vornehmen zu künnen,
müssen wir jetzt vor Allem eine Annahme machen über
die Konstitution und Form des Kometen. Wir haben
bis jetzt nur angenommen, dass der Komet aus einer
Anhäufung von Massentheilchen oder Massensystemen
u., d etc. besteht und wir wollen die Bewegung eines :
solchen Massentheilchens oder Massensystems À unter
dem Einfluss von y,, x, etc., der Sonne und der Pla-
neten untersuchen. Die.einfachste Hypothese, die wir
nun über die Vertheilung und Beschaffenheit von 1,
u, ete. aufstellen künnen, und die übrigens mit der
beobachteten Form der meisten Kometen übereinstimmt,
ist, dass die Gestalt des Kometen eine kugelformige
ist, und dass die Massen p.,, u, etc. um den Mittel-
punkt (und Schwerpunkt) dieser Kugel symmetrisch
vertheilt sind. Wenn man dann mit B die Summe aller
Massen p bezeichnet, kônnen wir schreiben
JEU D 09
; pi Re p3 ?
Vin
p 05°
wo. g und k' die Koordinaten des Schwerpunktes be-
zeichnen und
= (9 —9ÿ + —Ÿ.
Diese Formel hat auch dann Gültigkeit, wenn die
Masse À innerhalb der Kometenmasse liegt, wenn man
nur dann unter B nicht länger die Gesammtmasse des
Kometen sondern die Masse einer Kugel versteht, deren
halber Durchmesser gleich 9 genommen wird. Unter
diesen Voraussetzungen erhält (4) die folgende Form
B(# —h)
Pg M (9 md
not .
O) _ LE
+ 2 ( __ %o rl
389
des Sciences de Saïint-Pétersbourg.
390
In derselben Weise, in der wir die Differential-
gleichungen der Masse À erhalten haben, kônnen wir
nun die Bewegungsgleichungen für den Schwerpunkt
des übrigen Theils B des Kometen aufstellen, und
zwar wird |
es ee. au (y — 3 yet ns LE ES à
(6) æh
de
wo X’ und y eine mit X und Y die Bedeutung
haben.
Im Falle, wo es sich nur um die Bewegung eines
einzigen Meteors bandelt, kann man natürlich in die-
ser Gleichung À — 0 setzen.
Die Gleichungen (5) und (6) geben uns nun nach
der Integration die relativen Koordinaten von À und
B gegen den längs der Referenzkurve beweglichen
Punkt. Zunächst ist es aber von grüsstem Interesse
die relative Bahn von À und B gegen einander kennen
zu lernen, und zwar werden auch die hierfür nôthigen
Gleichungen analytisch einigermaassen leichter zu be-
handeln. Wir setzen Ne
j —g—=6@G
h—h=H,
und erhalten dann unmittelbar, wenn man die Glei-
chungen (5) von (6) abzicht, zur Bestimmung von G
und 7 folgende Differentialgleichungen:
7 a! 3% A a “+ À: A _— Lu
To? À
dG M 3 G H A+ B)G
de ta (G 2e +! + ne
(7) ar pad |
+ rs (E— Pat éen)) ARE
= Y'— YF,
und für X—X und Ÿ'—Y erhalten wir die Werthé
xx GDS )+
A
nos "es Yo)
—7=GÙ'6
ie a (= He )
doj° ï. hif
. Rue _ he Fu:
welche Gleichungen wir unter der Form
X'—X—1LG + MH
FY'—Y—MG+ NH
schreïiben werden. Hier bedeuten Z, M und N gewisse
bekannte Funktionen der Zeit.
Nach G und Æ umgeordnet nehmen jetzt die Glei-
chungen (7) folgende Form an
æG M 8%°\ . A+B
2. ( 380
— [et + M]H=0
0
F2 M 8 yo? *
PÉE ETE
0 0
—[(t +0) = 0:
Da hier in den Koefficienten von G und 4 alle Glie-
der mate Fuuktionen der Zeit sind, mit Ausnahme
von - 7 , So ist es klar, dass die obigen Gleichungen
in lineare Difierentialgleichungen übergehen, wenn
man einen (genäherten) Werth von 9 kennt. Wenn dies
der Fall und ausserdem die betrachtete Bewegung
Stabil wäre, so dass die beiden Kürper À und B im-
mer nur um sehr kleine Grôüssen von einander ab-
weichen, so lässt sich zwar das Integral dieser Glei-
chungen finden, indem sich dann die Koordinaten in
trigonometrische Reïhen entwickeln lassen, deren Ar-
gumente lineare Funktionen der Zeit sind. Da wir aber
hier gerade den Austritt der Masse À aus demjenigen
Gebiet, innerhalb welches eine stabile Bewegung müg-
lich ist, betrachten wollen, so kann die im vorigen
Falle gegebene Lôsung hier nicht zur Anwendung .
kommen, und auch wenn 9 eine bekannte Funktion der
Zeit ist, bietet die Behandlung noch grosse Schwierig-
keiten dar. Das Problem wird indessen viel vereinfacht,
wenn wir statt der früher benutzten auf ein festes Sy-
stem bezogenen Koordinaten, neue einführen, welche
sich auf zwei in der Ebene der Bahn liegende, beweg-
liche Axen beziehen, und die so bestimmt sind, dass
die x-Koordinaten längs der Verlängerung des Radius-
vektors von dem an der Referenzkurve beweglichen
Punkte, die y-Koordinaten in einer dagegen senkrechten
Richtung gezählt werden. Die auf dieses bewegliche
System bezogenen Koordinaten werden wir U und V
nennen, und sind dieselben also ihrer Definition nach
durch die folgenden Formeln mit den alten verbunden
T, 4
8) U— G + | H
%
V= — Fe G + A H.
Bulletin de l’Académie Impériale
Die positive Richtung von V wird hier so gezählt,
dass das Koordinatensystem XF durch eine Drehung
um den Punkt (x,, y) um einen veränderlichen Win-
kel, dessen cosinus gleich ist, mit dem System UV
zusammenfällt.
Obgleich dies Verfahren immer mit grossem Vor-
theil benutzt werden kann, werden wir doch hier noch
die Bedingung aufstellen, dass die benutzte Referenz-
kurve ein Kreïs ist. Dadurch werden in der That keine
dem Problem eigenthümlichen Schwierigkeiten ver-
schwinden, dagegen gewinnt man den grossen Vortheil,
dass die Dbetsiché über den Gang der M nat cine
viel leichtere wird. Wir setzen also
To = T9 COS NÉ, Yo = ToSin nf,
und nach der. Formel (3) wird dann
Li de
NW —= re
Da jetzt weiter
U— Gcosnit+ Hsinnt
V = —Gsin nt + Hcosnt,
- SO wird
A Te COS né + TE Sin né + nV
D — sin né + % cos nt —nU
und |
= 86 conte Pain née 2n +
PT 20 jme PE oo8 at © 99 PV.
* Wenn wir weiter beachten, dass die letzteren For-
meln unter der folgenden Form geschrieben werden
kôünnen .
Œ@U W14 21 .T PG %o PH
ae nn U " re de
mn NV _. de Ur dé?
s0 son wir leicht, indem die Werthe von ee und
Le H hier aus den Gleichungen (7) eingesetzt werden,
für die Bestimmung von U und Y folgendes übersicht-
liche System von Differentialgleichungen
Dan UT am + #5]
(9)
ae + on + V| = ]=Er,
wo Fund F, nur von der Einwirkung der Planeten
abhängen, Indem wir bemerken, dass nach (8)
| bestimmt ist.
392
G=Ru—Ly |
H=?U+®y,
To To
so ist es gleich ersichtlich, dàss Æ ad F\ lineare
Funktionen von U und V id, die also kleine Korrec-
tionsglieder in die Éosticienten von Uund Vin (9) ein-
führen sollten. Da aber, wie schon bemerkt, diese Glie-
der nur dann merkbar werden künnen, wenn der Komet
einem Planeten sehr nahe kommt, so werden wir die-
selben vorläufig ausser Acht Héèn und nur die auf-
lüsende Emwirkung der Sonne in Betracht nehmen.
Die Gleichungen, die wir jetzt zu untersuchen haben,
sind daher von der folgenden Form
ŒU av ANR
Mat U( — +4 )=0
(10) , Fe
PSS, A+ B
F7 NE 2n + SA p° = 0,
wo © durch é
= U?+ V°.
Obgleich das allgemeine Integral dieser Gleichungen
schwerlich gefunden werden kann, lässt sich doch durch
dieselben eine genäherte Diskussion der Bewegung aus-
führen.
Die Frage, die uns zunächst interessirt, betrifit die
Stabilität des von À und B gebildeten Systemes. Unter
welchen Bedingungen wird der Abstand zwischen den
beiden Kôrpern für immer nur zwischen gewissen end-
lichen Grenzen schwanken, und wann andererseits kann
man efwarten, dass die stôrende Einwirkung der Sonne
eine Auflüsung des gegenseitigen Bandes verursacht.
Um dies zu untersuchen werden wir das Verhalten der
{Integrale in der Umgebung eines gewissen ‘Werthes
des Abstandes von e studiren, und also annehmen, dass in
den obigen Differentialgleichungen während einer sebr
kurzen Zeit p einen konstanten Werth hat. Die Glei-
chungen gehen dann in Hneare Differentialgleichungen
mit konstanten Koefficienten über und wir nehmen an,
dass ein partikuläres Integral derselben die folgende
orm hat
(11) U=e", ="
stimmung von & und A die zwei Relationen
un 7 2m4+[—iw+Q1=0
- A + 2na + AQ : =0,
$
Diese Werthe, in (10) eingesetzt, geben zur Be-
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
Wo wir
Q Le A+ B
gesetzt haben. Aus der ersten bekommen wir für À
den Werth
_ — 3n° + Q
(43) AT
welcher in die zweite Gleichung (12) eingesetzt fol-
gende Gleichung vierten Grades zur Bestimmung von
« liefert
(4) œ+(n + 2Q)a — Q(3n — Q)— 0,
und von der Beschaffenheit der Wurzeln dieser hängt
jetzt die Art der Bewegung hauptsächlich ab. In Be-
zug auf «° aufgelôst ergiebt sich
& = — ; (+ 2Q + Vn‘ + 16 Qn°).
2
Da wir Q als positiv angenommen haben, d. h. die
Kräfte anziehend, muss &° immer reell sein. Da weiter
ein Werth von &° negativ ist, so müssen immer zwei
Werthe von « existiren, die imaginär sind, und die
also in dem Ausdruck für U und VF periodische Glie-
der erzeugen. Das untere Zeichen in der Gleichung
von a? kann dagegen einen positiven Werth von «° ver-
anlassen, und damit das Auftreten von Exponential-
grôssen in U und V bewirken. Damit dies nicht ge-
schehen kann, muss Q einen solchen Werth haben, dass
(n° + 2QŸ > n° + 16 On”,
welche Ungleichheit unter der einfachen Form
(15) Q> 3n
geschrieben werden kann.
Es ist diese Ungleichheit, die Nacht die Bedin-
gung der Stabilität des von den Kôrpern À und B ge-
bildeten Systemes ausdrückt. Der Bedeutung von Q
und * uns erinnernd, kônnen wir dieselbe in Worten
so aussprechen, dass ein stabiles System nur dann be-
stehen kann, wenn die beiden Kürper À und B unter
alleiniger Wirkung der gegenzeitigen Attraktion drei-
mal eine Rotation um den gemeinsamen Schwerpunkt
ausfübren würden, während der Schwerpunkt selbst
einmal einen Umlauf um die Sonne vollbringt. Natür-
lich hängt aber die Natur der Bewegung nicht nur
von dem Werth von @, während der hier betrachteten
Zeit, ab, sondern auch von den in diesem Augenblicke
vorhandenen Werthen der Integrationskonstanten.
Wenn wir die imaginären Werthe von & mit # À,i und
+ Ài bezeichnen, hat das Integral die Form
Tome XXXII.
(16) U= f, cos À t + f, sin At + f, cos Àf + f, sin À
V — 9, cos À,f + 9, sin Àf +- 9, COS À f + 9, Sin À,f
und vier beliebige von den Grüssen f und g kôünnen
hier als Integrationskonstanten betrachtet werden,
wenn nur gleichzeitig folgende, mit Rücksicht auf den
durch (13) bestimmten Werth von À erhaltene, Rela-
lationen zwischen den betreffenden Grôssen befriedigt
sind
93 — on À f nu On Le fs
AE Q—\7—3n° FR Q — À2? — 3n°?
A on À fi 1eme Ro “HUE fa
Sofern aber die durch (15) ausgedrückte Bedingung
nicht erfüllt ist, vorläufig von dem Falle abgesehen,
dass zwei Wurzeln in (14) gleich werden, erhalten die
Integrale statt (16) die folgende Form
47) U= ket+ ke + fcos)t + f,sin At
V = Ah — Ake À + 9, cos At + 9, Sin À,
wo Jetzt
(18) A= Pis
und 8 die aus der Gleichung
(19) pr (Vn+ 16 Qn° — n+20)
bestimmte, positive Grôsse bezeichnet.
Es ist allerdings môglich, dass in (17) die Integra-
tionskonstanten f, und f, so grosse Werthe haben kün-
nen, dass obgleich in einem gewissen Momente Expo-
nentialgrôüssen in den Ausdrücken für U und V zum
Vorschein kommen, die Kôrper doch durch den Ein-
fluss der periodischen Glieder wieder innerhalb der
Grenzen des Stabilitätsgebietes zurückkehren. Indessen
müssen dann sehr grosse Werthe dieser Koefficienten
vorausgesetzt werden, da sonst, wie sich gleich heraus-
stellen wird, die Exponentialglieder innerhalb weniger
Tage die vollständige Auflôsung des Systems bewirken.
Es braucht nämlich 9 nur einen Werth zu haben, der
sich ein wenig ausserhalb des durch (15) begrenzten
Stabilitätsgebietes entfernt, damit $ so viel wächst,
dass das erste Glied in (17) den grôssten Einfluss auf die
Bewegung bekommt. Nach Verlauf einiger Tage nach
der Aufhôrung der Stabilität braucht man dann in U
und V nur diese Glieder zu berücksichtigen und also
zu setzen
(20)
U à kePt
V = Ake — AU,
26
395
Bulletin de l’Académie Impériale
wo wie früher 8 und À mittelst der Gleichungen (18)
und (19) bestimmt sind, also nicht konstant, sondern
wie Funktionen der Zeit betrachtet werden müssen.
Um die grosse Geschwindigkeit, mit welcher beim
wachsenden $ der Abstand zwischen den beiden Kür-
pern zunimmt, besser beurtheilen zu kônnen, gebe ich
unten eine Tafel für $, die aus der Formel (19) be-
rechnet ist. Und zwar habe ich dabei sowohl Q wie
in Vielfachen von »° ausgedrückt. Setzt man nämlich
Q—= pr?
so geht (19) in die Form
QD #=S(T+ 16142)
über. Hier lasse ich p von dem Werth 3 bis Null her-
untergehen, und die Tafel giebt für jedes Hundertstel
den entsprechenden Werth von £ an. Man sieht aus
der Formel (20), dass 8° für p — 3 gleich Null ist, da
weiter
AN Re )
dp re L}
so muss 8 mit abnehmendem » wachsen, bis das Maxi-
mum für p — Ê — 0,9375 erreicht wird. Von da ab
fängt 8 an abzunehmen und konvergirt mit verschwin-
dendem » gegen Null. Um die Interpolation zu er-
leichtern, sind die Zahlen unten in umgekehrter Ord-
oung angegeben, indem p von Null bis 3 wächst. Die
Berechnung ist mit vier Decimalen ausgeführt und die
letzte Ziffer kann also nicht verbürgt werden.
Tafel für 6/n.
0 =
2 ‘8 4
2332 .2798 .3167
4841 .4975 .5099
.5857e .5931 .6000
.6460 .6507 .6551
.6849 .6881 .6912
©
e
pd
TAID 7187
1295, :
.7410 .
7475 .
.7498 .
()
7157
1323
.7489 .
7446 .
1382.
PA je d'A
SFITO
Li
ma
.7042 .
.6885 .
6709 .
6511
0292 .
[ie L2 L2 L] L2 L L2 . . L) + +
boNmeS vom Bb oO Sono BB % Ne ©
6051
5786 .
5490 .
5167 .
4807 .
pré
5 6 7 8 9 D
3476 .3742 .3975 .4183 .4370 +171
0214 .5324 .5426 .5522 .5612 86
6066 .6130 .6191 .6149 .6304 D4
6593 .6633 .6673, .6711 .6748 30
6941 .6968 .6995 .7021 ’.7046 24
CUAVÉU CAES. 12E0 1099: 21200 16
.1336 .7349 .7360 .7371 .7382 10
.1434 .1441 .7448 .7454 .7460 6
1486 .7488 .7491 ,7493 .7495 + 2
1499 .7498 .7497 .7496 .7495 — 2
1480 .7475 .7471 .7467 .7462 |
1431 .7424 .7418 .7412 .7405 7
1007 19349 1941 1892 1323 10
41200 7229 7291 1220 .T214 12
1139 .7126 .7112 .7099 .7085 14
.6997 .6982 .6966 .6951 .6935 16
6835 .6817 .6800 .6782 .6764 18
6652 .6632 .6613 .6593 .6573 20
.-6448 ,6426 .6404 .6382 .6360. 22
6223 .6200 .6176 .6151 .6126 25
0973 .5947 .5921 .5894 .5867 27
2700 .5671 .5642 .5612 .5582 30
.D397 .5366 .5333 .5301 .5268 33
.D064 .5028 .4992 .4957 .4920 36
.4691 .4652 .4612 4531 41
4572.
397 des Sciences de Saïint-Pétersbourg. 39s
? 0 1 2 8 4 5 6 7 8 9 D
2.5 0.4490 .4448 .4405 .4361 .4317 .4273 .4299 .4182 .4136 .4089 47
.6 0.4042 .3995 .3945 .3895 .3844 .3794 .3742 .3688 .3633 .3578 56
1 0:3522 .3466 .3408 .3349 .3289 .3226 .3163 .3098 .3032 .2964 70
5 0,2894 2825: 27149 :92675:.2095 .270914" 2430 2345" 29202 3108 99
.9 -0.2059 .1954 .1843 .1723 .1598 .1459 .1306 .1132 .0925 .0654 —654
3.0 0.0000
Tafel für À
p= à
? A BA p A BA p A BA p A 4 + 4. b4
3.0 000 — 0. 2.0 —0.514— 0.314 10 —0970— 0.719 0.10 —297 1.347 0.010 — 8.77 — LA481
: 29 —0.140—0.029 19 —0.551 — 0,349 0.9 —1.026—0.769 .09 — 3.11 1.369 .009 — 9.04 — 1.482
28 — 0200 —0.058 18 —0.588— 0.385 0.8 —1.100— 0.821 .08 — 3.28 1.372 ‘008 — 9.58 — 1.484
27 — 0.250 —0.088 17 —0.626— 0422 07 —1187— 0.877 .07 —348 L386 007 —10.25 — 1.486
2,6 — 0.293 —0.118 1.6 —0.666— 0.461 0.6 —1.288— 0.936 .06 — 83.74 1.400 —11.10 — 1.488
2.5 —0.332— 0.149 15 —0.707— 0.500 0.5 —1.415— 1.000 0.05 —407 1.415 0.005 —12.21 — 1.490
24 —0.370— 0.181 14 —0.754— 0.541 0.4 —1.578— 1.070 04 — 4,51 1.430 .004 —18.69 — 1.492
23 —0407—0.213 13 —0797-— 0.583 03 —1805—1.148 03 —5.17 1.446 .003 —15.74 — 1.494
29 — 0.448 —0.246 1.2 —0.847 — 0.626 0.2 —2.172 — 1.288 02 — 6.27 1463 .002 —19,43 — 1.496
21 —0.479— 0.279 L1 —0.901—0.672 0.1 —2.966— 1.347 O1 — 8.77 1.481 .001 —27.24 — 1 498
Ich habe die Tafel so ausgedehnt berechnet nicht
nur um den Gang der Werthe von $ zu zeigen, sondern
auch um sie für eine numerische Rechnung brauchbar
zu machen.
Die Tafel zeigt mit welcher Geschwindigkeit $ vom
Anfangswerthe Null mit abnehmendem Q zunimmt,
und da Q der dritten Potenz von 9 umgekehrt pro-
portional ist, so ist es klar, dass eine sehr kleine Zu-
nahme des Abstandes zureicht, um $ einen merklichen
Werth zu geben. Da weiter während einer kurzen Zeit
G wie konstant betrachtet werden kann, so wird der
Zuwachs in U annähernd durch die Formel
SU — BU,
berechnet werden künnen. Im Anfang der Bewegung
{von p = 3,0 ausgehend) wird die Veränderung von
U sogar schneller vorsichgehen, da die obige Formel
mit Rücksicht auf die. Veränderung von 8 eigentlich
die Form
SU— (8 +14) 0
hat, und ‘% % positiv ist. Gleichzeitig bekommen wir |
V aus der ones
Um zu zeigen wie À sich mit wachsendem Abstand
zwischen den Kometenkernen verhält, geben wir auch
ein Täfelchen für diese Grôsse,
Die dritte Kolumne enthaltend 8A ist desswegen
hier aufgenommen um zu zeigen, dass dies Produkt
sich allmählig einer endlichen Grenze — in nähert,
was übrigens schon aus der Formel für À leicht her-
vorgeht.
Der Weg,* den man verfolgen wird bei der Unter-
suchung über die relative Bahn zweier Kometenkerne,
ist nun der folgende. Der Einfachheit wegen nehmen |
wir an, dass die Integrationskonstanten solche Werthe
haben, dass U und VF auf ihre ersten Glieder reducirt
ven Die Behandlungsweiïse in anderen Fällen ist
analog. Wir setzen also
ÜU =
V — Ake!
und ausgehend von der Grenze des Stabilitätsgebietes
setzen wir :
CE A. == 0,
U,=k=6,
?
also
ni Faso
Es bedeutet dies, dass wir uns-die beiden Kometen-
kerne auf dem nach der Sonne gehenden Radiusvektor
liegend denken. Durch Differentiation erhalten wir nun
SU, — (8, +4 %) Uo
V=AU, , U,—=U,+0,
26*
?
Bulletin de l’Académie Impériale
400
dB
ZU Ver-
schaffen, kann man einfach dadurch vermeiden, dass
man nicht gerade von dem Anfangswerth 6 — O0, son-
dern gleich z. B. von 6 — 0,1 ausgeht, was in der That
pur bedeutet, dass man nicht bei dem Abstand o, an-
fängt, sondern bei einem um ein Tausendstel grüsseren.
Darnach erhält man für das zweite Zeitintervall
Die Schwierigkeit sich einen Werth von
U,= (8, +6: “)U,
D — U, + oU
Fat
Die 6 und À nimmt man direkt aus den früher ge-
gebenen Tafeln, und gleichzeitig erhält man auch einen
genäherten Werth von +. Die Zeitdifferenzen müssen
sa
so klein gewählt werden, cu Asowobhl wie — während
einer Zeiteinheit als konstant betrachtet Fa kôün-
nen. Der Übergang von einem Zeitmoment zum fol- |.
genden geschieht dadurch, dass man aus den erhal- |
tenen U und V zuerst einen Werth von p berechnet |
(in p, ausgedrückt)
— U? + V°;
und dazu beachtet, dass
Q — pr? — BE
Q; = pr # ne
also
P __ {Po\
(21) En EN
Hieraus künnen wir einen Werth von p und dann
diejenigen Werthe von 5 und À erhalten, die für die
Bewegung während des nächsten Zeitmoments zur
Anwendung kommen. Die Zeitintervalle muss man im
Allgemeinen sehr kurz wählen, da $ und À sich rasch
verändern, Die Veränderung von U ist am schnellsten,
wenn 6 seinen Maximalwerth hat (für p — 1). Yon
diesem Moment an wächst V, und damit auch der Ab-
stand, rasch, und z. B. für einen Kometen in der Ent-
feroung Merkurs von der Sonne wird die gegenzeitige |
Einwirkung der beiden Kometenkerne innerhalb sechs
Tage auf ein Tausendstel des Anf: erthes reducirt.
Es ist vor Allem die Veränderung von U, die für
eine Bestimmung der Kometenmasse aus den Beob-
achtungen von Wichtigkeit ist. Schon sehr kleine Ver-
änderungen in dieser Koordinate müssen nämlich ver-
hältnissmässig grosse Modifikationen der Elemente,
besonders der mittleren Bewegung und der Excentrici-
tät, hervorbringen, und durch die Verwerthung von
dieser ist es daher môglich die Grüsse der Komieten-
masse zu finden.
Die obige Form von U und V gilt nicht, wenn in
der Gleichung vierten Grades für & zwei Wurzeln gleich
werden. Dies trifft ein, wenn entweder Q = 3»° oder
Q — 0. Die entsprechenden Integrale sind nicht
schwer zu finden.
Wenn erstens Q — 3%° ist, so nehmen die Gleichun-
gen folgende Form an
0
se +- 2n À — D + 3n° V— 0
Aus der ersten ue man
D = OnV + Ci
Dieser Werth in die zweite Gleichung eingesetzt
giebt : “
cE LAS IV+2nC —0,
ire . ist
(22)
und also
TANT à
Re ct + “
Für Q — 0 erhält man ähnliche Gleichungen, näm-
lich
eu f cos VTnt+ gsin V7 né
7 9 cos V7 nt +-
æU av De
GE 2n — Sn U—=0
ŒY au
Und die Integrale dieser sind
: : K
ee f, cos nt + sin né + * "1
(23) 1 %
V = — 2f, sin nt + 29, cos nt — 3K,t + K,.
Es ist bemerkenswerth, dass während im vorigen
Falle U säkulare Glieder enthält, V aber nur periodi-
sche, das Verhältniss in den letzten Gleichungen gerade
umgekehrt ist. In der That steht dies mit den früheren
Resultaten in guter Übereinstimmung, da nach den-
selben U anfangs sich rasch ändert, V aber sehr lang-
sam, wogegen später allmählig U sich einem gewissen
401
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
407
Grenzwerthe nähert, gleichzeitig damit, dass V fort-
während in derselben Richtung schnell wächst.
Wenn die gegenseitige Einwirkung der beiden Ko-
metenkerne auf einen sehr kleinen Werth reducirt
worden ist, kann man den Verlauf der Bewegung
vortheihaft mit Hülfe der für Q — 0 geltenden Inte-
grale untersuchen. Man geht nämlich dann von der in
(23) gegebenen Form der Integrale aus, daselbst die
Integrationskonstanten X, und X, wie veränderlich
betrachtend. Zur Bestimmung derselben erhält man
sebr einfache Differentialgleichungen, die ohne Schwie-
rigkeiten integrirt werden kônnen. Auf diese Frage
hoffe ich aber später Gelegenheit zu haben zurückzu-
kommen, wenn ich mit der Untersuchung über den
Biela’schen Kometen fertig werde. In diesem Aufsatze
wollte ich nur einen Versuch machen zu zeigen, wie
man sich überhaupt eine Vorstellung von der Bewegung
verschaffen kann.
Eine andere Frage von grossem Interesse, die mit
der jetzigen Untersuchung in engem Zusammenhang
steht, ist die bezüglich der Bewegungsverhältnisse un-
mittelbar vor der Auflüsung der Stabilität, Soweit es mir
gelungen ist diese Frage zu untersuchen, muss dann
die Verbindungslinie zwischen den beiden Kernen eine
pendelartige Bewegung um den zur Sonne gehenden
Radiusvektor ausführen, Bei dieser Betrachtung ist es
am Besten die früher benutzten rechtwinkligen Koor-
dinaten gegen Polarkoordinaten zu vertauschen. Jeden-
falls werden solche Untersuchungen sehr schwer, 50
lange man nicht die genauen Integrale kennt.
Zuletzt ein paar Worte über die Auflüsung der Ko-
meten durch Absonderung einzelner Meteorsteine. Die
früher definirte Stabilitätsgrenze ist hier unverändert
und lautet jetzt
(24) ma
Die Betrachtungsweise wird einfacher, wenn man,
mit Schiaparelli, statt o das mittlere Intervall 24
zwischen den einzelnen Meteoren einführt. Es wird
ann
3
+ #()
und statt (24) bekommt man
M
welche Formel zeigt, dass die auflüsende Kraft der
Sonne nur von der Grüsse der Meteorsteine und ihrem
gegenseitigen Abstand abhängt, nicht aber von der
Totalgrüsse der Kometenmasse, die Vertheilung der
Meteore als gleichfôrmig angenommen. Bei einem
mittleren Abstand zwischen den Meteoren von einem
Meter wird nach der obigen Formel die Sonne schon
in einer Entfernung gleich der der Erde die Auflüsung
des Kometen verursachen, wenn die einzelnen Meteore
nicht mindestens die Masse von 0,23 Gramm haben,
und in der Entfernung Merkurs von der Sonne muss
dieselbe wenigstens 4,0 Gramm sein. Es ist dabei die
Masse der Sonne zu 200.10% Kilogramm angenom-
men. Schiaparelli hat in seinem «Entwurf einer
astronomischen Théorie der Sternschnuppen», p. 165
lität als die durch (25)
definirte ethalten. : wie es auch bei den von ihm ge-
machten Voraussetzungen nothwendig war. Man ver-
gleiche in Bezug hierauf übrigens die Note p. 163 in
derselben Arbeit.
Die von einem Meteore beschriebene Bahn wird in
derselben Weise berechnet, wie die relative Bahn zweier
Kometenkerne zu einander. Die einzige Veränderung,
die eintreten kann, betrifft den innerhalb des Kometen
selbst liegenden Theil der Meteorbahn, da nämlich,
einer früheren Bemerkung nach, für diesen die in den
Differentialgleichungen vorkommende Kometenmasse
als veränderlich betrachtet werden muss.
Zur Aberration der Fixsterne. Von Magnus Nyrén.
(Lu le 15 mars 1888).
Bekanntlich geht man bei Bestimmung der Aberra-
tionsconstante von der Voraussetzung aus, dass die
Geschwindigkeit, mit welcher der Lichtstrahl den Welt-
raum durchläuft, davon unabhängig sei, ob sich die
Lichtquelle in Ruhe oder in Bewegung befindet. Die
nahe übereinstimmenden Werthe dieser Constante, die
man durch Beobachten von vielen Sternen und in ver-
schiedenen Himmelsgegenden gefunden hat, gaben bis
jetzt auch dieser hé ce CHPISEUS Be-
rechtigung. Die vielen ] aber,
worunter weit auseinander liegende Sterne beobachtet à
werden müssen, machen die hierauf bezüglichen Schlüsse
immerhin mehr oder weniger unsicher. Künnte man
geeignete Sterne finden, die sich unter ganz gleichen
403
Bulletin de l’Académie Impériale
4104
Bedingungen beobachten liessen und bei welchen es den-
noch mit einem hohen Grade von Wahrscheinlichkeit
anzunehmen wäre, dass ihre eigenen Bewegungen in
Bezug aüf die zu uns ausgesandten Lichtstrahlen, von
einander verschieden seien, so müssten die Beobach-
tungen solcher Sterne einen jedenfalls wichtigen Bei-
trag zur Entscheidung der angeregten Frage liefern.
Von den in Pulkowa ausgeführten Beobachtungs-
reihen sind es besonders die zu verschiedenen Jahres-
zeiten gefundenen Rectascensions-Differenzen Polaris —
Comes, die sich für solche Untersuchungen eignen.
Die Beobachtungen beider Sterne werden, was Instru-
mentalfehler und atmosphärische Verhältnisse betrifit,
unter so gleichartigen Bedingungen gemacht, dass aus
solcher Ursache herrührende, systematische Abwei-
chungen dieser Differenzen als ausgeschlossen betrach-
tet werden müssen. Treten darin dennoch solche Ab-
weichungen auf, so liegt jedenfalls die Vermuthung
nahe, dass sie mit einem Unterschied der Aberration
für die beiden Sterne in ursächlichen Zusammenhang
gebracht werden sollten.
Schon W. Struve hat hierauf bezügliche Untersu-
- chungen angestellt. Mit Hülfe der in Dorpat beobach-
teten Rectascensions-Differenzen der genannten Sterne
hat er aus zwei an verschiedenen Instrumenten beob-
achteten Reïhen zwei nahe übereinstimmende Werthe
des Unterschiedes zwischen der aus & Ursae min. und
der aus dem Begleiter folgenden Aberrationsconstante
gefunden, und zwar aus der ersten Reiïhe, 55 Beobach-
tungen, Unterschied:
Comes — Polaris — — 07180 + 0/035
und aus der zweiten Reihe, 96 Beob.:
Comes — Polaris — — 0,133 + 0/025.
Auf Grund der nahen Übereinstimmung dieser bei-
den Werthe sieht Struve sich zu folgendem Schlnsse
berechtigt: «Apparet de exiguo inter utrinsque Stellae
aberrationes discrimine dubium vix relinqui» (Mens.
Microm., p. 247). Wir werden unten auf diese Unter-
suchungen noch zurückkommen.
Wahrscheinlich auf Veranlassung von W. Struve’s
Versuch äusserte unser verstorbener College Wagner |
kurz vor seinem Tode die, Absicht die hier am Passa-
_geninstrumente beobachteten Rectascensions-Differen-
zen der genannten Sterne für eine derartige Untersu-
chung zu verwerthen. Es ist zu bedauern, dass er sein
wW0.9, À, b B.:
Vorhaben nicht mehr ausführen konnte, umsomehr da
gerade seine Competenz in Fragen, die mit derartigen
Beobachtungen zusammenhängen, als unübertroffen
anerkannt werden muss. Beim Ordnen von Wagner’s
nachgelassenen Papieren fand ich, auf diesen Gegenstand
Bezügliches, nur die aus den schon gedruckten «Ob-
servations» ausgeschriebenen Rectascensions - Diffe-
renzen der genannten Sterne. Wenn also Wagner auch
zu der schliesslichen Durchführung dér fraglichen Un-
tersuchung, abgesehen von seinen vorzüglichen Beob-
achtungen, nur wenig beigetragen hat, so muss er
doch als der geistige Urheber derselben betrachtet
werden, indem ich ohne seine Anregung schwerlich
auf diesen Punkt aufmerksam geworden wäre.
Fast alle Beobachter an unserem grossen Ertel'-
schen Passageninstrument haben, gleichzeitig mit dem
Polarstern, auch dessen Begleiter beobachtet, 50
Schweizer, Fuss, Lindhagen, Wagner. Da es mir
aber bei einer Untersuchung der Art wie die in
Rede stehende nicht rathsam erscheint, von verschie-
denen Beobachtern gewonnené Data mit einander zu
combiniren, so werde ich die von Fuss und Lindha-
gen, als für selbständige Untersuchungen zu wenig
zahlreich, hier ausser Acht lassen. Wir haben dann:
von Schweizer 107 Beobachtungen, angestellt in den
Jahren 1842—44; von Wagner in fast allen Jahren
von 1851 bis 1884. Da aber Wagner, seitdem er 1862
für seine gewühnlichen Beobachtungen die Registrir-
methode in Anwendung gebracht, die Polarsterné fast
ausnahmslos sowohl nach Gehÿür wie nach der Regi-
strirmethode beobachtete, so haben wir von ihm zwei
getrennt zu behandelnde Beobachtungsreihen: nach
Gehür—182 Beobachtungen, registrirte— 181; wobei
noch 4 von der ersten und 3 von der zweiten Reihe
ausgeschlossen sind, weil sie vom Beobachter selbst
als zu unsicher bezeichnet waren.
Die Beobachtungen von Schweizer sind in Vol. I
der «Observations» gedruckt und schon auf den Jah-
resanfang reducirt. Wagner’s Beobachtungen, so weit
sie schon verôffentlicht sind, finden sich in gleicher
Form in den Vol. IE, XI und XII. Für die Jahre
1857—58 und 1874—84 habe ich die Rectascen-
sions Differenzen aus den Beobachtungsbüchern aus-
geschrieben und mittelst der Differentialformel
dr — du- À +- db. B + dc-C + 04.D,
-
. die bekannten Bedeutungen haben,
405
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
106
auf den betreffenden Jahresanfang reducirt. Die in @
. vorkommenden Grôüssen » und » wurden natürlich da-
bei als unveränderlich betrachtet, Für die in den
Quantitäten da, db--- vorkommenden & und à habe ich
das jedesmalige Mittel der Rectascensionen resp. De-
clinationen des Polarsterns und seines Begleiters ge-
nommen. Als Unterschiede der Coordinaten wurde da-
bei für 1850 angenommen:
Polaris — Comes in &« — + 2420
» Ô — +- 15,65.
Darauf sind alle Rectascensions-Differenzen in jeder
Reïhe durch Anbringung der Präcession, dut, auf eine
gemeinschaftliche Epoche reducirt, um sie so mit ein-
ander vergleichbar zu machen.
Obgleich nach den vorhandenen Micrometermes-
sungen von Positionswinkel und Distanz der in Rede
stehenden Sterne die scheinbare relative Eigenbewe-
gung offenbar sehr unbedeutend sein musste, so schien
es mir doch für die Untersuchung wünschenswerth den
Betrag derselben, in Rectascensions-Differenz ausge-
» »
_ drückt, môglichst genau festzustellen. Ich habe dazu
folgende Zusammenstellung gemacht:
2 Diff
Beobachter. Epoche. dr ee Rd
7 HR un, 1815 24591 19
» 1819 24,00 36
» 1821 23,94 19
» | 1824 24,04 96
DORREMOr ET 1843 24,44 107
Fuss, Lindhagen, Wagner . 1850 24,15 37
Wagnér, Gehôr ....... 1862 24,20 54
» 1870 24,16 74
» 1881 24,10 44
» tegiatls ire 1864 24,19 61
». » 1870 24,31 74
» » 1881 24,16 46
Hier zeigen die zu verschiedenen Epochen beobach-
teten Rectascensions-Differenzen offenbar eine so nahe
Übereinstimmung, dass wir, ohne der Genauigkeit un-
seres Resultates irgendwie Abbruch zu thun, die rela-
tive Eigenbewegung gleich Null setzen künnen.
Da die Sicherheit der einzelnen Rectascensions-
Differenzen innerhalb jeder Reïhe sehr verschieden
sein musste, je nach dem Zustande der Bilder und der
_ Zahl der beobachteten Fadenantritte, so mussten zu-
erst die relativen Gewichte berechnet werden. Dabei
wurde die von Wagner in der Einleitung zum Vol. XII,
p. (44) gegebene Scala angenommen, um die Sicher-
heit der beobachteten Rectascensionen beider Sterne
zuerst festzustellen; aus diesen beiden Gewichten wurde
dann das Gewicht der Differenz berechnet. Da aber die
erwähnte Scala für absolute Rectascensions-Beobach-
tungen berechnet ist, so kann offenbar ein solches Ver-
fahren, strenge genommen, nicht als vollkommen cor-
rect angesehen werden, indem der Zah] der beobach-
teten Fadenantritte hierbei ein geringerer Einfluss
zuertheilt wird als es bei reinen Differenz-Beobach-
tungen geschehen müsste. Im Mittel werden aber diese
kleinen Ungenauigkeiten sich vollständig aufheben.
Um beim Vergleichen der Aberration der beiden
Sterne nicht nôthig zu haben jede Beobachtung ein-
zeln zu behandeln, wurden alle in derselben Hälfte
eines Monats zu je einem Normalort vereinigt. Da
kein Grund vorlag auch die Nutation als eine unbe-
kannte Quantität hier in die Rechnung einzuführen,
so ergab sich nun für jeden solchen Normalort eine
Gleichung von der Form:
ax + by+n= 0,
worin
a—=—— 1.
b — Aberrationsfactor.
n —= Beob. — Rechn.
x — Corr. der angenom. ÆR-Differenz.
y —= Corr. der aus den Beob. von à Urs. min.
folgenden Aberrationsconstante.
Wir lassen hier die jedem Normalorte entsprechen-
den b und n mit dem dazu gehürenden Gewicht folgen.
| Beobachtungen von Schweizer,
Zahl der Beob. 107. Mittlere Epoche 1843.
Angenommen: Polaris — Comes — 23:55.
b n Gew.
Jan. 2 40:99 7220/9050. ‘‘* 0:40
“591 0,941 -0)445 | 146
Febr. 21 — 1,64 +- 0,608 0,51
Mürz 7 D 0 4270248 1.08
» 20 90h 40277: : 494
April 8 Ra eee D 06 9e
» 922 = 9,93 0,000 8,19.
Mai 6 408 TE 405160: 7,07)
98 11,64 +0,259
407 Bulletin de l’Académie Impériale 4105
b n Gew. Hier bekommen wir die Endgleichungen:
Popi re a Re As As 92.967+ 45,64y— 241—0
ÿ ir he 4 & + 448,43 y— 10,06 — 0
D F6
01 + 2,27 +- 0,140 4,50 |und die Werthe der Unbekannten:
Nov. 3 4210 0108 110 x = + 05016 + 0024
» 18 + 1,80 — 0,173 0,75 y = +0,021 + 0,011.
Dec. 5 + 1,35 + 0,129 0,85 W. F. einer Differenz mit dem Gewicht 1 ist
» 18 + 0,85 + 0,079 1,65 = + 05221.
Die hieraus nach der Methode der kleinsten Qua-
drate gebildeten Endgleichungen werden:
59,35%+ 24,49y— 1587 — 0
24,49 x + 264,53y— 4,15 — 0,
woraus man findet:
æ = +-0;026 + 0031
y = + 0,013 + 0,015.
W. F. einer Differenz mit dem Gewicht 1 ist
0235 [4
Beobachtungen von Wagner.
a) Nach Gehôr.
Zah]l der Beob. 182. Mittlere Epoche 1870.
Angenommen: Polaris — Comes — 26:99.
b n Gew.
Jan. 6 +- 0,14 — 0;294 3,27
» : 26 — 0,76 + 0,036 1,92
Febr. 2. — 1,03 + 0,630 0,46
» 20 — 1,72 + 0,373 0,51
März 11 — 2,29 — 0,107 1,22
».. 29 — 2,50 — 0,093 1,83
April 8 — 2,57 + 0,062 16,52
» 23 — 2,49 <+0,087 9,89
Mai 8 — 2,24 +0,122 13,99
» +16 — 2,00 — 0,015 5,97
Aug. 12 + 1,35 — 0,161 0,93
» ::.20 +- 1,64 — 0,258 1,59
Sept. 6 + 2,11 + 0,398 0,93
» 29 + 2,45 + 0,304 5,20
Oct 8 + 2,57 — 0,092 6,30
» «91 + 2,53 — 0,105 5,31
Nov. 9 + 2,26 — 0,292 3,87
2) + 1,82 — 0,086 4,63
Dec. ”8 +1,37. +0,083 4,20.
93 : 0,122 4,42
. Re 0,75
b) Registrirt.
Zahl der Beobachtungen 181. Mittlere Epoche 1873.
Angenommen: Polaris— Comes — 2751.
b n Gew.
; Jan. 10 — 0,01 — 0007 2,75
n 18 — 0,38 +- 0,029 0,35
Febr. 5 — 1,17 + 0,735 2,00
mn: 21 — 1,77 — 0,842 0,38
Mäürz 9 — 2,24 + 0,168 2,03
25 — 2,51 — 0,069 1,75
April 8 — 2,58 — 0,026 15,87
», 22 — 2,51 + 0,066 13,28
Mai 9 — 2,23 — 0,068 13,03
p.19 — 2,02 +- 0,016 5,58
Aug. 14 +- 1,40 — 0,196 0,56
5. 20 + 1,61 — 0,023 1,33
Sept. 8 + 2,17 — 0,283 0,53
* 22 + 2,46 +- 0,216 5;93
OU 7 +- 2,58 — 0,029 6,89
24 + 2,52 + 0,297 8,41
Nov. 8 + 2,29 — 0,072 7,37
20 —+- 1,90 + 0,032 5,33
Dec: 8 + 1,35 +- 0,112 8,56
n 02 + 0,78 — 0,274 5,32
Unsere Endgleichungen werden hier:
107,25%+ 26,37 y — 3:46 — 0
26,37 + 521,41 y +6,72 —0
und die Unbekannten:
x = + 0:036 + 0:022
y = — 0,015 + 0,010.
W.F. einer Differenz mit dem Gewicht 1 = #+0;231.
Die drei untersuchten Beobachtungsreihen geben
also als Correction der aus den Polarstern-Beobach-
tungen allein folgenden Aberrationsconstante:
409
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
410
Corr.— +-0,013 +0/015
» » Wagner: Gehôür. » —-+0,021 +0,011
registr, » — 0,015 +0,010
Mittel = +-0,004 + 0,007
Diese Correction kônnen wir gleich Null setzen
und sind also zu dem Ergebniss gelangt, dass die zu
uns kommenden Strahlen zweier Lichtquellen, welche
hôchst wabrscheinlich in Bezug auf diese Strahlen
verschiedene Bewegungen haben, in vollkommen glei-
cher Weise von der Aberration afficirt werden. Da die
discutirten Beobachtungen aus drei von einander so
gut wie unabhängigen Reiïhen bestehen, ausserdem
jede Beobachtung an und für sich die von W. Struve
gemachten an Genauigkeit bedeutend übertrifft, so
scheint es wohl kaum einem Zweifel unterworfen zu
sein, dass das von Struve gefundene Resultat durch
andere Ursachen als durch einen Unterschied der
Aberration für verschiedene Sterne erklärt werden
muss.
Betrachten wir dann die Dorpater Beobachtungen
etwas näher. In Vol. III der Observationes astron.,
p. LX VI sq. giebt Struve eine Zusammenstellung der
in den Jahren 1818—21 beobachteten Rectascensions-
Differenzen reducirt auf 1819:0. Ist die Ier Rec-
tascension des Polaris für 1819-0 — 0*56" 46°, die
scheinbare — B, die Declination — D, die Declina-
tion des Begleiters — d, so giebt er, um die zur
Zeit 1819 +4 beobachteten Difierenzen auf 1819. se
CE reduciren, die Formel:
[B —(0* 56 465 + 3514] (tang D — tang d)
tang D )
Beob. von Schweizer... ...
» » »
= —
oder wenn wir annehmen:
— 88°21 0”.
d —88 20 44,
so wird:
r = — 3 (B— 0" 56" 46°) + 0009 4.
Nach dieser Formel meinte Struve die Reduction
«quam proxime» berechnen zu kônnen. Es zeigt sich
aber bei näherer Betrachtung, dass sie gar zu ungenau
ist, indem man dadurch nicht einmal die Zehntel der
Zeitsecunde richtig bekommt; bei der danach ausge-
führten Reduction der erwähnten Beobachtungen auf
eine gemeinschaftliche Epoche begeht man Fehler,
“und zwar systematischer Natur, bis auf eine Viertel-
. secunde. Die Ungenauigkeit der Formel liegt darir,
: Tome XXXII.
dass, wenn à die DRE des Comes bedeutet,
n B
ein Factor von tang d, sn 40 Zwei Stellen gleich
Eins angenommen worden ist. Dass man in andern
ae
ebenso grossen Gliedern den Factor = — ] annimmt,
ist hier dagegen ohne Bedeutung.
Da man nun vermuthen konnte, dass die Dorpater
Beobachtungen nach einer richtigen Berechnung ein
etwas abweichendes Resultat gegen früher geben wür-
den, so habe ich sie alle-nach der oben p.:3 gege-
benen Formel neu reducirt. Unter Benutzung des von
Struve jeder Beobachtung beigefügten Aberrations-
factors bekam ich dann, indem die früher angewandte
Bezeichnung beïbehalten und jeder Beobachtung das
Gewicht Eins beigelegt wurde, folgende Endgleichun-
gen, wofür die Differenz—20;55 für die Epoche
1820 angenommen worden ist:
55z+ 23,06y+ 641 = 0
23,06 x + 188,96 y + 35,10 — 0,
Woraus
x = — (0041 + 0073
y=— 01810039. ,
W. F. einer Beob. — Æ# 0527.
Eiïigenthümlicherweise haben wir hier, trotz der er-
heblichen Unterschiede in der Reduction der Beobach-
tungen auf eine gemeinschaftliche Epoche, fast iden-
tisch dieselbe Differenz wie Struve zwischen den aus
den beiden fraglichen Sternen folgenden Aberrations-
constanten gefunden. Es erklärt sich dieses durch den
Umstand, dass die ungenügende Annäherung bei der
früheren Reduction zwei Glieder berührt, das eine
| säcular — das Präcessionsglied da. — das andere
periodisch — das Aberrationsglied 0d-D. Von dem
säcularen Gliede sollte ja eigentlich die Aberration
ganz unberührt bleiben. Durch eine wenig günstige
Gruppirung der Beobachtungen — der grüsste Theil
der um das Maximum der Aberration gemachten Beob-
achtungen liegt ganz am Anfang der Reïhe — ver-
mischt sich hier aber doch der Einfluss der beiden
Glieder auf das Resultat; andererseits ist auch ein Theil
dieses Einflusses auf die Unbekannte x übergegangen; so
dass y schliesslich davon ganz unberührt geblieben ist.
Wie die Beobachtungen der zweiten Reihe 1822—26
auf die gemeinschaftliche Epoche reducirt sind, ist an
der oben citirten Stelle nicht erwähnt; es ist nur ge-
sagt, dass die Untersuchung von Senff ausgeführt. ist
; 27 de.
A1
Bulletin de l’Académie Impériale
112
Von den erwähnten 96 Beobachtungen habe ich 93
aus den Dorpater Annalen ausgeschrieben und in der-
selben Weise wie vorher auf 1824.0 gebracht. Unter
Annahme einer Differenz von 21523 für diese Epoche
und allen Beobachtungen gleiches Gewicht gebend, er-
hielt ich daraus folgende Endgleichungen:
93z+ 26,18y— 0:23 —0
26,18 x + 339,44 y — 37,30 — 0.
Woraus: ,
x = + 0,034 Æ 0055
y=—0,113 + 0,029.
Auch hier stimmt der Werth von y recht gut mit
dem von Struve gegebenen, — 0,133 überein. Da
aber die Beobachtungen dieser Reïhe sich um die bei-
den Amplituden, Maximum und Minimum der Aber-
ration zweckmässiger gruppiren, so wird es hierdurch
auch wahrscheinlich gemacht, dass sie diesmal richtig
reducirt sind !).
Es stimmen also die beiden von Struve ausge-
führten Beobachtungsreihen in der That sebr gut darin
überein, dass sie für den Begleiter éinen beträcht-
lich kleineren Werth der Aberrationsconstante geben
als der Polarstern ihn erfordert. Angesichts der bedeu-
tend sichereren Resultate der Pulkowaer Beobach-
tungen, die hiermit in Widerspruch stehen, ist es
aber wohl nothwendig die Erklärung der Differenz in
andern Gründen als die von Struve herangezogenen
zu suchen.
_ Da der Begleiter nur FR Nachts beobachtet wer-
den kann, so ergiebt sich hieraus die Nothwendigkeit
ihn beim Maxima der Aberration in der oberen, beim
* Minimum in der unteren Culmination zu beobachten, |
d. h. die eine Phàse bei der Bewegung der Sterne von
links nach rechts, die andere von rechts nach links.
Es ist daon wohl sehr leicht denkbar, dass bei Ster-
_nen von so vérschiedener Helligkeit wie die des Polar-
sterns und seines Begleiters, die persônlichen Glei-
chungen des Beobachters, die ja so vielen Modifica-
tionen unterworfen sein kônnen, sich auch mit der
Bewegungsrichtung verschieden ändern; und damit
Ex der Ras Unterschied aufgeklärt. Es liessen
1) Durch Auffinden: der sais hi von Senff in der
Pulkowaer Bibliothek hat sich diese Vermuthung nachträglich béstà-
He Die Beobachtungen haben darin ee Gewichte bek kom
+ daher der Unterschied der
#
sich vielleicht auch noch andere Erklärungen der Er-:
scheinung finden als die hier gegebene; dem aus den
Pulkowaer Beobachtungen gewonnenen Resultate ge-
genüber dürfte aber die Annahme einer verschiedenen
Aberration bei den beiden Sternen wohl kaum mebr
in Betracht kommen.
Über eine Methode die Brennweite eines Linsensystems
für verschiedene Strahlen mit grosser Genauigkeit
zu bestimmen von Dr. B. UN (Lu le
15. Mars 1888.)
Bei der Achromatisirung eines Fernrohrobjectivs
ist bekanntlich bis jetzt das Princip maassgebend ge-
wesen, alle diejenigen Strahlen, welche für das Auge die
grôsste Helligkeit besitzen, nach Môglichkeit in einem
Punkt zu vereinigen. Die Leistungen der praktischen
Optik in dieser Hinsicht dürfen, insofern die Fernrühre
nur zu Augenbeobachtungen angewandt werden, im .
Allgemeinen als befriedigend bezeichnet werden und
sind in den neueren Exemplaren ohne Zweifel so weit ge-
trieben, wie es unter Anwendung der bisherigen Glas-
sorten überhaupt erwartet werden kann. Anders stellt
sich indessen die Sache; wenn ein solches Fernrohr zu
spectroskopischen oder oo yhicien Arbeiten an-
gewandt werden soll. Im letzteren Falle namentlich
sind alle Fernrôhre, auch die besten, als zum minde-
:sten mangelhaft zu bezeichnen, unter Umständen ‘der-
maassen, dass eine vortheilhafte Anwendung derselben
zu dem besagten Zweck geradezu ausgeschlossen er-
scheint. Bei grossen Brennweiten tritt dies besonders
hervor, weil dann das sogenannte secundäre Spectrum
eine absolut genommen so beträchtliche Ausdehnung
erhält, dass von einem Focus in strengem Sinne
kaum mehr die Rede sein kann, es sei denn, dass das
Empfndlichkeitsgebiet der angewandten photographi-
schen Schicht auf einen sehr kleinen Theil des Spec-
trums reducirt wäre. In den in dieser Beziehung ausge-
|prâgten Eigenschaften der nassen Collodionplatten
liegt, wie es scheint, gerade die Erklärung des Um-
standes, dass es z. B. Bond müglich war mit dem 15-zôl-
ligen Réciototiee Harward-College-Sternwarte recht
gute Sternaufnahmen zu erzielen, während mit dem
ue gauz gleichen Instrument auf den jetzi- :
gen, für einen grossen Theil des Spectrums empfind-
413
des Sciences de Saint -Pétersbourg.
414
lichen Gelatinplatten überhaupt keine brauchbaren
Sternaufnahmen môglich sind. Etwas günstiger stellen
sich allerdings die Verhältnisse, wenn das Ferprohr
zu spectroskopischen Beobachtungen angewandt wer-
den soil, da man dabei nur nôthig hat den Spalt des
Spectroskops jedesmal in die Brennebene derjenigen
Strahlen zu bringen, welche dem zu beobachtenden
Theil des Spectrums entsprechen, um diesen Theil, aber
auch nur diesen, scharf zu sehen. In jedem Fall ist
aber eine môüglichst genaue Kenntniss der Lage des
Brennpunkts jeder Strahlengattung unbedingt Prior
derlich.
Um zu dieser Kenntniss zu gelangen, hat vor einiger
Zeit H. C. Vogel ’) ein im Vergleich mit den von
den Optikern benutzten Methoden ebenso einfaches
als elegantes Verfahren angegeben, welches für ge-
wôbnliche Zwecke vüllig ausreicht und ausserdem über
die Art der. Achromatisirung einen guten Überblick
_gewährt. Das Princip dieses Verfahrens lässt sich kurz
folgendermaassemangeben. Bringt man vor dem Ocular
eines auf einen Stern eingestellten Fernrohrs einen klei-
nenPrismensatz mit gerader Durchsicht oder ein kleines
Sternspectroskop an, so würde, falls das Objectiv voll-
ständig achromatisch wäre, das Spectrum des Sterns
als eine feine, fadenfôrmige Farbenlinie erscheinen.
Da dies aber bei keinem Fernrobr der Fall ist, so er-
streckt sich die linienfürmige Gestalt des Spectrums
stets nur auf diejenigen Strahlengattungen desselben,
auf deren Focus das Ocular gerade eingestellt ist. Für
alle anderen Strahlen hat das Spectrum eine gewisse
Breïte, deren Betrag mit dem Durchmesser des Ab-
weichungskreises am Orte des Oculars übereinkommt. |
. Verschiebt man nun das Ocular, so wird sich für jeden
Strahl stets eine Lage desselben finden lassen, in der
das Ocular gerade auf diesen Strahl eingestellt ist,
und die entsprechende Stelle des Spectrums sich auf
fadenfürmige Gestalt reducirt. Durch Bestimmung der
Verschiebung, welche erforderlich ist, um diese Ein-
schnürung des Spectrums von einem Punkt auf einen
anderen zu bringen, erhält man, bis auf die sehr ge-
ringen Grüssen, welche den Achromatisationsfehlern
des Oculars und des Auges entsprechen, unmittelbar
die Focusdifferenz der betreffenden Strahlen. Wendet
man statt des kleinen Sternspectroskops einen Spec-
© 4) Berlin. Mouatsberichte, April 1880.
tralapparat von grüsserem Leistungsvermügen an, so
ist ersichtlich, dass der Methode eine erheblich grôs-
sere Schärfe verlichen werden kann, namentlich in
Betreff der. Bestimmung der Wellenlängen der unter-
suchten Strablen, die im ersten Falle natürlich nur
durch Schätzung erhalten werden künnen.
Man sieht, dass die Methode ein sehr bequemes
Mittel giebt, um sich über die Beschaffenheit eines
gegebenen Objectivs in chromatischer Hinsicht zu
orientiren. — Da indessen in dieser Weise nur die
Differenzen der Brennweiten der verschiedenen Strah-
len nicht aber diese selbst erhalten werden, ‘und zwar
mit einer Genauigkeit, welche wegen der nie fehlen-
den Unruhe der Sternspectra nicht immer so gross
ist wie es unter Umständen erwünscht sein künnte?),
so dürfte es nicht ohne Interesse sein auf eine andere
Methode hinzuweisen, welche nicht nur diese Differen-
zen, sondern auch die absolute Brennweite jedes belie-
bigen Strahls mit erheblich grôsserer Genauigkeit zu
geben verspricht. Es scheint dieselbe besonders dann
Beachtung zu verdienen, wenn es sich um eine Linsen-
combination handelt, bei welcher die zu bestimmen-
den Focusdifferenzen an sich klein sind, wie z. B. bei
Fernrühren von kurzer Brennweite, oder bei Objec-
tiven, welche aus den neuen, von der alten Silicat-
reihe wesentlich verschiedenen Jenaer Glassorten her-
gestellt' sind; bei denen bekanntlich das secundäre
Spectrum in ganz überraschender Weise vermindert
ist *). Ich erlaube mir daher im Folgenden die Haupt-
züge nebst einigen Beispielen der pp hr dieser
Methode kurz mitzutheilen.
Es ist békannt, dass Bessel bei seinen Uutereu
chungen über den Schraubenwerth des Künigsberger He-
liometers *) zur Ermittelung der Brennweite des Ob-
jectivs desselben eine Methode in Anwendung brachte,
welche an Schärfe alle sonstigen Verfahren um ein
Namhañftes übertrifft. Stellt man nämlich an den bei-
den Endpunkten einer Basis, deren Länge die vier-
fache Brennweite des zu untersuchenden Objectivs um
ein wenig übertrifft, einen passenden Gegenstand, z.B.
ein Fadenkreuz und ein positives Ocular und zwi-
2) Dies gilt ebenfalls in Bezug auf die von Young (Si. se ' .
Vol. XIX, p. 454) ae
Sterns der Sonnenrand benutzt wi
4) Buste, Astronom. Unters. Bd. I, p
_ 8) Siebe Vogel, Vire. At, Ges. Bd. 22, 1 148. . . :
AN X 408. ie
Re
Methode, bei welcher statt cines Do
A5
Bulletin de l’Académie Impériale
416
schen denselben das Objectiv derart auf, dass die op-
tische Axe desselben mit der Verbindungslinie des
Kreuzes und des Oculars zusammenfällt, so lassen sich
durch Verschiebung des Objectivs längs dieser Linie
stets zwei Stellungen finden, bei denen im Ocular ein
scharfes Bild des Fadenkreuzes erscheint. Nennt man
diese Verschiebung e, den Abstand zwischen dem Fa-
denkreuz und der Focalebene des Oculars Æ und die
gesuchte Brennweite f, so ergiebt sich unter Vernach-
lässigung der Linsendicke nach”bekannten Sätzen der
elementaren Dioptrik zwischen diesen Grôssen die Re-
lation:
af=E<.
Aus der Gleichung:
df= + (1 + pe) 0B— 5 de
ersieht man unmittelbar, da e/E eine kleine Grôsse ist,
dass der Einfluss der Beobachtungsfehler auf das Re-
sultat ein nur geringer ist, namentlich was die Grüsse
e betrifft. Um daher den Bestimmungen absolut genom-
men die volle Schärte, welche die Methode an sich ge-
stattet, zu verleihen, ist bei definitiven Untersuchun-
gen unbedingt die Linsendicke zu berücksichtigen. In
seinen Dioptrischen Untersuchungen *) hat bekannt-
lich Gauss die hierzu nôthigen Vorschriften gegeben
und zwar wird strenge: *
e?
4f—E—) — Sant
wo À der Abstand zwischen den Hauptebenen des Ob-
jectivs bedeutet und die Brennweite als der Abstand
zwischen der dem Brennpunkt zugekehrten Hauptebene
des Objectivs und diesem Punkt aufzufassen ist. Für
eine einfache Linse wird, wenn mit à die Dicke, mit n
r,r, resp. der nue und die beiden Krüm-
mungsradien *) bezeichnet werden:
n —1 d”
re n e al,
& n—1
wo indessen, da à im Verhältniss zu 7 —7, im 1 All-
_ gemeinen klein ist, das zweite Glied anstandslos ver-
es —. werden kann. Es wird somit einfach:
Ad & À
: É12
5) Gesammelte Werke Bd. V.
6) Positiv, wenn der Krümmungsmittelpuokt . auf derjenigen
Seite der Linse betindet, nach welcher das Licht sich fortpflanzt.
Für ein astronomisches Objectiv, bei dem die Lin-
sen sich berühren oder sehr nahe an einander liegen,
ist der zu benutzende à- Werth einfach der Summe der
für die einzelnen Linsen geltenden Werthe gleich zu
setzen.
Es ist diese Methode, welche in Verbindung mit :
einem stärkeren Spectroskop zur Bestimmung der
Brennweiten einer Linsencombination für Strahlen ver-
schiedener Brechbarkeit angewandt werden soll. Es
ist ohne weiteres klar, dass statt des von Bessel be-
nutzten Fadens ebensogut und sogar noch besser
das scharfe objective Focalbild einer Spectrallinie im
Brennpunkt des Fernrohres eines Spectroskops ange-
wandt werden kann, und zwar erwächst daraus der
Vortheil, dass man jedesmal nur mit Licht von vüllig
bestimmter Wellenlänge zu thun hat, und die Brenn-
weite des Objectivs gerade für diese Wellenlänge be-
ommt. Um dies zu realisiren, habe ich an dem einen
Endpunkt der Basislinie ein grüsseres Spectroskop der-
art aufgestellt, dass die optische Axe des Beobach-
tungsfernrohres desselben môglichst genau in einer
Linie mit derjenigen des zu untersuchenden Objectivs
und des positiven Beobachtungsoculars zu liegen kam,
und in dieser Stellung das Spectroskopfernrohr befes-
tigt. Ist der Abstand der Brennebene -des Letzteren
vom Beobachtungsocular etwas grôsser als die 4-fache
Brennweite des zu studirenden Objectivs, so wird man,
nachdem das Ocular des Spectroskops entfernt wor-
den ist, für dies Objectiv stets zwei Stellungen längs
der Basislinie finden, in denen die gerade eingestellte
Spectrallinie mit voller Schärfe im Beobachtungs-
ocular erscheint.
An derselben Skala, an welcher der Abstand zwi-
schen diesen beiden Stellungen, also die Verschiebung
e abgelesen wird, bestimmt sich ebenfalls die Länge Æ
| der benutzten Basislinie, indem das Beobachtungsocu-
lar von seiner bei der Beobachtung eingenommenen
Stellung längs der Basislinie, oder vielmehr lings der
gemeinschaftlichen optischen Axe des Systems, dem
Spectroskopfernrohr so weit genäñhert wird, dass die
Spectrallinie in demselben scharf erscheint, — Die
Strecke, um welche das Ocular dadurch bewegt wird,
ist dann offenbar genau dem Abstand zwischen der
Brennebene der Spectrallinie im Spectroskopfernrohr
und derjenigen des Otulars während der Beobachtung
gleich. Indem man nun eine andere Spectrallinie, sei
417
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
418
es durch Drehung des Prismas oder des Collimators
(das Fernrohr muss fest stehen) ins Gesichtsfeld hin-
einbringt, lassen sich für dieselbe ähnliche Beobach-
tungen ausführen u. s. w.
Das für diese Bestimmungen am hoistèn geeignete
Spectrum ist offenbar dasjenige der Sonne;—es lassen
sich aber auch dazu mit Vortheil die Metallspectra un-
ter gewissen Umständen benutzen, wobei man indessen
bei der Auswahl der zu beobachtenden Linien darauf
besonders zu achten hat, dass dieselben an sich scharf
sind. Die in vielen Metallspectra vorkommenden, ver-
schwommenen oder flammenden Linien sind desshalb
nicht brauchbar, weil die Beurtheilung der grüssten
Schärfe derselben mit erheblicher Unsicherheit be-
haftet ist. Bei den unten folgenden Beobachtungen
sind auch, hauptsächlich aus Mangel an Sonnenlicht,
Metallspectra benutzt worden, welche mit Hülfe einer
grossen Inductionsrolle in Verbindung mit einer Bat-
terie von vier Leydener Flaschen erzeugt wurden. Der
primäre Strom wurde von acht grossen Bunsen’schen
Cellen geliefert. Es empfehlt sich die Intensität des
Stroms môglichst weit zu steigern, um den Spectralli-
nien so grosse Helligkeit zu geben wie müglich, weil
von dem ursprünglichen Glanz derselben stets ein be-
deutender Theil verloren geht.
.. Wenn der Collimator und das Beobachtungsfernrohr
des Spectroskops vollkommen achromatisch wären, so
würde es genügen die Basislinie Æ ein für allemal für
die ganze Reihe der zu beobachtenden Spectrallinien
zu bestimmen. In diesem Falle würden sich die Diffe-
renzen der Brennweiten des Objectivs für die ver-
. Schiedenen Wellenlängen allein aus den Verschiebun-
gen e ableiten lassen. Man hätte nämlich für zwei be-
obachtete Linien resp.:
Ar se meN
he ke
. und
ts" 3 se
ntéd es wäre nur eine genäherte te der Basislinie
erforderlich um f, —f, mit grosser Schärfe zu erhal-
ten. Dieser Fall würde eintreten, wenn als Collimator
und Beobachtungsrohr beim Spectroskop Spiegeltele-
skope benutzt werden. Im gegenwärtigen Fall aber,
wo die secundären Spectra der Spectroskopfernrühre
*
eine gewisse messbare Grüsse besitzen, ist die Basislinie
für jede benutzte Spectrallinie verschieden und daher
auch, jedesmal besonders zu ermitteln. Die Genauig-
keit, mit welcher die Differenzen der Brennweiten er-
halten werden, ist desshalb, ebenso wie diejenige jeder
einzelnen Brennweite, vornehmlich von der Schärfe
abhängig, mit welcher die Grüssen Æ bestimmt wer-
den künnen, während im Falle vülliger Achromasie
der Spectroskopfernrühre dieselbe durch die Fehler in
Æ wenig beeinflusst sein würde.
Ehe zu den Beobachtungen übergegangen wird,
dürfte es zweckmässig sein den benutzten Apparat
näher zu beschreiben. Da das Beobachtungsfernrohr
des Spectroskops unveränderlich fest stehen muss, so
wurde zunächst aus disponiblen Theilen ein Spectro-
skop aufgebaut, bei dem der Collimator und das Prisma
beweglich waren. Es erwies sich aber diese Einrich-
tung desshalb wenig zweckmässig, weil beim Übergang
von der einen Spectrallinie zur anderen der Funken-
halter sammt der zur Vermehrung der Helligkeit
vor dem Spalt aufgestellten Concentrationslinse dem
Collimator nachgeschoben werden musste und die ge-
ringste Ungenauigkeit in der Centrirung dieser Theile
auf die Schärfe der Spectrallinien einen schädlichen
Einfluss ausübt. Statt des genannten Apparats wurde
daher schliesslich ein Spectroskop in Anwendung ge-
bracht, bei welchem Fernrohr und Collimator in un-
veränderlicher Lage zu einander befestigt, die Pris-
men aber beweglich sind. Dies von Prazmowski dem
Laboratorium- vor einigen Jahren gelieferte Spectro-
skop zeichnet sich durch recht bedeutende Dispersion
und Feinheit der Bilder aus, hat aber andererseits den
Übelstand, dass wegen der grossen Masse schweren
Flintglases, welche das Licht pe muss, die brech-
bareren Theiïle d ächterscheinen, dass
schon vor G die Beobachtung sebr erschwert und über
G hinaus vüllig unmôglich ist. Für die vorliegenden
Versuche, welche nur den Zweck haben die Brauch-
barkeit der Methode zu zeigen, hat dies weniger zu
bedeuten; für mehr umfassende Untersuchungen aber
würde die Anwendung eines Gitterspectroskops mit
festen Fernrôhren und beweglichem Gitter am besten
dem Zweck entsprechen.
Da bis jetzt keine Veranlassung vorlag das erwähnte |
Spectroskop näher zu beschreiben, so mag hier mit ”
einigen Worten das Wesentliche der etwas eigen-
419 Ù
Bulletin de l’Académie Impériale
420
artigen Construction desselben hervorgehoben werden.
Auf einer festen Grundplatte AB CD (Fig. 1) ist der
Pix: L::
‘Collimator C und das Beobachtungsfernrohr F un-
veränderlich und zwar rechtwinklig zu einander be-
festigt, jedoch in'verschiedenem Niveau, so dass die
aus dem Collimator austretenden Strahlen über das
Prisma p° hinweg in die obere Hälfte der grossen
Rutherfurd’schen Prismen P P, gelangen künnen. Nach
der hier erfolgten Dispersion treten dieselben durch
“das rechtwinklige Reflexionsprisma » rückwärts in die
so dass durch Drehung der Trommel jede beliebige
Spectrallinie ins Gesichtsféld des Fernrohrs gebracht
werden kann. Die Fernrôhre C und F haben bei resp.
30 und 33 Brennweite eine Oeffnung von 34” und sind
beide mit fein beweglichen Auszügen versehen. Die
Spaltweite wird mit Hülfe der Mikrometerschraube o
regulirt,.
Dies Spectroskop wurde an dem einen Ende eines
bhôülzernen Schienenweës BB (Fig 2) so aufgestellt,
dass das Fernrohr F der Mittellinie desselben paral-
lel steht. Auf diesem Schienenweg rollen zwei kleine
metallene Wagen W und W,, von denen der eine W, das
mittelst der Schrauben ss in Hôhe verstellbare Be-
obachtungsocular o, der zweite W, das zu untersu-
| chende ebenfalls in Hôhe verstellbare Objectiv O trägt.
Beide Träger lassen auch eine seitliche, zur Richtung
der Schienen senkrechte Justirung des Ooulers und Ob-
jectivs zu, wodurch eine vollständige Centrirung aller
Theile derart ermôglicht ist, dass die optischen Axen
môglichst in die Linie of zu liegen kommen. Diese Cen-
.trirung wird als befriedigend angesehen, wenn eine
Spectrallinie beim Übergang des Objectivs O von der
einen Stellung in die andere dieselbe Lage im Felde
des Oculars o behält. ‘Um dies zu controliren und
zugleich zufällige Verschiebungen des Oculars in
seiner Hülse zu vermeiden, trägt dasselbe im Brenn-.
punkte zwei feine Stahlspitzen, auf welche es beim
Beginn der Beobachtungen scharf eingestellt wird.
Zwischen den Schienen liegt, unveränderlich befes-
tigt ein in 0,75" getheilter eiserner Maassstab,
über dessen Theilung zwei an den Wagen fest ange-
Fig, 2
[7
os Les
Î | ñ te 0)
| #
É (8
‘untere Hälfte der Prismen P, P und von dort durch
das Reflexionsprisma p° in Fa Beobachtungsfernrohr.
Das Prisma P ist fest, P, dagegen um den Punkt »
‘ : + d mittelst der in einen gezahnten Limbus eingreifenden
Mikrometerschraube s und der Trommel 7 beweglich,
brachte Stahlspitzen spielen. Der Apparat bildet einen
Theil eines der geodätischen Instrumentensammlung
der Sternwarte gehürenden Comparators und ist daher
mit, grosser Sorgfalt gearbeitet, so dass die Bewegung .
der Wagen mit grosser Feinheit von Statten geht.
LI
421
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
42?
Die Beobachtungen mit diesem Apparat werden nun
in folgender Weise ausgeführt. Zunächst wird der Wagen
W, in die Nähe des Fernrohres F (dessen Ocular ent-
fernt ist) gebracht und durch vorsichtige Bewegung
auf dem Schienenweg so eingestellt, dass die zu be-
nutzende Spectrallinie im Ocular o scharf erscheint,
Die Stellung des Index wird auf dem Maassstab abge-
lesen und diese Beobachtung mehrmals wiederholt.
Das Mittel dieser Ablesungen giebt die Lage des
Brennpunkts des Fernrohrs F für die betreffende Linie,
Durch Drehung der Trommel T wird die nächste zu
beobachtende Linie ins Gesichtsfeld gebracht und für
dieselbe eine ähnliche Bestimmung ausgeführt u, s. w.
Nachdem in dieser Weise die Brernpunkte simmitlicher
= Linien bestimmt sind, wird W, in seine anfängliche
Stellung zurückgebracht und auf einen beliebigen
Theilstrich der Skala eingestellt, der jedoch so ge-
wählt sein muss, dass sein Abstand vom Focus f des
Spectroskops für alle Linien etwas mehr als die vier-
fache Brennweite des Objectivs © beträgt. . Dieser
Überschuss darf nicht gar zu klein genommen werden,
weil sonst die beiden Stellungen des Objectivs, in de-
nen die Spectrallinie die grôsste Schärfe zeigt, unge-
-_ nügend markirt werden. In dieser Lage verbleibt W,
-
während der nun folgenden ganzen Beobachtungsreihe.
Die Differenzen zwischen dem willkürlich gewählten
Theiïlstrich der Skala und den für die einzelnen Spec-
trallinien vorher bestimmten Mitteln sind offenbar
die später zu verwendenden Werthe der Basislänge ÆZ
für dieselben Linien. Für jede von diesen werden nun
durch langsame Bewegung des Wagens W, auf dem
Schienenweg die beiden Stellungen aufgesucht, in de-
nen die Linie im Ocular o scharf erscheint und daraus
die Verschiebungen e durch mehrfache Wiederholung
der Operation abgeleitet.. Nachdem in der Weise alle
gewählten Linien durchbeobachtet sind, wird der Wa-
gen W, von Neuem dem Fernrohre F genähert und
eiue nochmalige Controle der Focallage der Spectral-
linien ausgeführt. Aus den dadurch gewonnenen neuen
E-Werthen und den anfänglichen hat man dann die
Mittel zu nehmen und für die Rechnung anzuwenden.
Durch diese Bcobachtungen ist eine Reihe vollen-
det. Verstellt man nun den: Wagen W, um einige
Millimeter, so kann in derselben Weise eine zweite
Reihe erhalten werden u. s. w. Wie solche Reïhen
unter einander stimmen, ersieht man aus den folgen-
den für zwei kleine Objective versuchsweise ausgeführ-
ten Beobachtungen:
A. Kieines Fernrohrobjectiv von 40°” Oeffnung und 450" Brennweite.
Benutzte Linien Reiïhel Reihe ll
| À E e à E 1e “f
Zn. 636.3 1837.15 255.0 450.44 1821.75 191.0 450.44
Zn. 589.4 37.80 259.5 | 450.78 22.60 | -185.0 450.86
Aër 567.7 38.60 207 450.90 23.40 188.4 450.94
Cu. D2T2 39.00 252.9 451.06 23.80 187.6 451.09
Fe. 492.0 39.25 250.0 451.32 24.05 183.5 451.36
Zn. 468.0 39.13 243.3 451.73 23.93 179.5 451.65
PB. Hinterer Meniskus eines Landschafts-Aplanaten von Steinheil.
Benutzte Linien ReiheI Reihe Il
ne $ Hit a f BR l.e
636.3 [171543| 2541 419.50/1702.05| 201.4 419.56
589.4 16.48! 261.0 419.20! 02.85, 207.2 419.41
561.5 | 17.41 2721 |418.58| 03.79) 219.3 | 418.90] 1698.98) 204.8
597.0 | 17.72| 278.4 418.15 ess 99.26] 211.2
492.0 | 18.00/ 272.0 | 418.73 : _. 99.54! 202.6 418.841
_ 468.0 17.91] 258.4 | 419.%| 99.48 | 195.6 | 419.22)
a zeigen,
423
Bulletin de l'Académie Impériale
424
In diesen Tafeln enthält die erste Columne die che-
mischen Zeichen der benutzten Metalle und die Wel-
lenlänge der Linien, die zweite und dritte resp.
die in mm. ausgedrückten Grüssen Æ und e und die
letzte die daraus nach der Formel:
. e
abgeleiteten Brennweiten. In Betreff der Reïhe II des
zweiten Linsensystems ist zu bemerken, dass dieselbe
aus zwei Theilen besteht, weil während der Beobach-
tungen eine unabsichtliche Verstellung des Spectro-
skops erfolgte, welche zu einem anderen Basiswerth
Veranlassung gab. Um den Anschluss zu vermitteln
wurde nach Neubestimmung der Basislänge die Linie.
À — 561,5 nochmals beobachtet.
Wie man sieht, ist die Übereinstimmung der bei-
den Reïhen eine sehr befriedigende. Da die wahrschein-
lichen Febler der Grôssen Æ und e im Allgemeinen
resp. 0,2” und 0,5” nicht übersteigen, so wird der
wabrscheinliche Fehler einer Brennweite nur auf ei-
nige Hundertstel Millimeter zu veranschlagen sein,
Da die obigen Werthe ohne Berücksichtigung der
Linsendicke berechnet sind, so stellen sie nicht die
= wahren, absoluten Brennweiten dar, sondern man
= hat, um diese zu bekommen, noch die Grôsse
d +
res à)
binzuzufügen. Da mir jedoch weder die Brechungs-
indices der benutzten Glassorten, noch die Dicken der
Linsen bekannt sind, und die Letzteren aus dem Grunde
sich nicht bestimmen lassen, weil die Linsen verkittet
sind, so habe ich davon Abstand nehmen müssen, diese
… Correction in aller Strenge zu ermitteln. Indessen kann
man sich, falls die Genauigkeit nicht aufs Ausserste
getrieben werden soll, einige Approximationen erlau-
Li:
ben: — Statt der genauen Brechungsindices der an-
= gewandten Gläser lassen sich zunächst mittlere, für
0 gewübnliches Crown und Flint geltende Werthe be-
nutzen, da die daraus entstehenden Fehler vüllig in-
nerhalb der Greuzen der den Bestimmungen noth an-
_ haftenden
, Z. B. leich-
Unsicherheït fallen. Nehmen wir, um dies
beispielsweise. zwei an rochnder Kraft |:
es Fit: von Guinaudund Fit von Mers, für welche |
von Mascart *) und V. d. Willigen 7) die folgenden
Brechungsindices gefunden worden sind:
Flint Guinaud . Flint Merz,
Hw = 106811 = 1:7409
ss .5826 .71434
D .5867 1915
E .2920 1623
F .b967 1123
G .6059 1922
: 2 CE39 —
so wird bei einer einfachen Linse von 7e Dicke für
die Linie D resp.
‘Af—=—0277" AM=0,39
also der Unterschied der Correctionen im einen und
im anderen Falle nur 0,045", eine Grôsse, die von
der Ordnung der aus den Beobachtungen folgenden
wahrscheinlichen Fehler der resultirenden Brennweiten
ist. Eine genaue Kenntniss der Brechungsverhältnisse
der jedesmaligen Glassorten ist somit nicht nüthig.
Aus demselben Grunde kann man auch, statt der für
die einzelnen Linien des Spectrums geltenden Indices
einen mittleren Werth für das ganze Spectrum ein-
führen. Setzt man nämlich in die Formel:
den — Ô
dn an?
dn = 0.03 = n';— n, (Flint Merz)
nnñrs — 1.76
= 377,
so wird hôüchstens
d(Af) = — 0.007”
eine vôllig zu vernachlässigende Grôsse.
Für ein gewühnliches Objectiv kann man sogar noch
weiter gehen und wenn nicht sebr grosse Schärfe er-
forderlich ist für beide Linsen einen gemeinsamen
Mittelwerth
10
annehmen, wodurch einfach
Af—= — 0.09 D,
wo D die Dicke des Objectivs ist. Unter solchen Vor-
aussetzungen würden für die beiden obigen DE
steme deren Dicken resp.
"à
7) Lan dolt und Bôrnstein, Physikalisch-chemische Tabellen
p. 214.
425
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
426
A D=38" BDP=62%
die Correctionen der Brennweiten sein
Af=—0.34"" Af= — 0.56",
Für gewisse spectralphotographische Untersuchun-
gen, welche gegenwärtig im hiesigen Laboratorium
geführt werden, hat es sich als nôthig erwiesen auf
einer und derselben Platte, ohne irgend welche Ver-
stellung der Cassette Aufnahmen weit getrennter Theile
des Sonnenspectrums neben einander gleichzeitig scharf
herzustellen. Wegen der secundären Spectra des Col-
limators und des Cameraobjectivs ist es nicht môglich,
dieser Bedingung mit dem Spectrographen in seiner
bisherigen Gestalt zu genügen. Es scheint nun als
würde sich diese Schwierigkeit am einfachsten dadurch
heben lassen, dass man die dioptrischen Fernrühre des
Apparats durch Spiegelteleskope ersetzt; indessen
ist das Anbringen derselben mit vielerlei Unbequem-
lichkeiten verbunden und einige Versuche, welche ich |
in dieser Absicht mit einem älteren Spiegelteleskop
von Cuff anstellte, liessen in Bezug auf Reinheit
des Spectrums zu viel zu wünschen übrig, als dass
auf dies Mittel weiter zu reflectiren gewesen wäre. |
Es war daher ein sebhr glücklicher Umstand, dass ge-
rade in letzterer Zeit Objective aus den neuen Jeénaer
Glassorten erhalten werden konnten, bei denen nach
Vogel’s Untersuchungen das secundäre Spectrum der-
art reducirt ist, dass dasselbe praktisch genommen
so gut wie beseitigt angeschen werden kann. Durch
Vertauschen der alten Objective gegen Objective letzt-
genannter Art steht zu erwarten, dass der erwünschte
Zweck sich realisiren lassen wird, und habe ich
daber vor kurzem für das Laboratorium zwei solche Ob-
jective von etwa 1,5 Meter Brennweiteund 56% Oeff-
nung aus der Werkstatt von Bamberg in Berlin be-
zogen. Wie weit dieselben ihrer Aufgabe in genügendem
Maasse entsprechen werden, wird sich durch geeignete
Versuche mit Hülfe der Photographie nächstens ent-
scheiden; vorläufig bot es ein gewisses Interesse, deren
Acbromatisationsverhältnisse nach der vorliegenden
Methode so weit es die Mittel érlaubten etwas näher |
zu studiren. Ich habe daher im Anschluss an die obi-
gen Vorversuche die Methode auf das Eine dieser
Objective angewandt und dabei auch das bis jetzt be-
nutzte, aus gewühnlichen Silicatgläsern geschliffene
Tome XXXII.
Cameraobjectiv von ähnlichen Dimensionen zum Ver-
gleich in den Kreis der Untersuchungen mit hinein-
gezogen.
Zu diesem Zweck musste die für die kleinen Objec-
tive benutzte Basis etwas abgeändert werden, Die
Länge derselben wurde zunächst durch Ansetzen zweier
ähnlichen Schienenwege von genau derselben Spur-
weite auf 7,4 Meter vergrüssert, und nachdem das
Ganze fest verschraubt und nivellirt war, zwei Skalen
A und B an den beiden Enden in passender Entfer-
nung befestigt. Die Skala À aus Messing ist neben dem
Spectroskop, B dagegen aus Glas unter dem Wagen
W, derart angebracht, dass der Index des Letzteren,
wenn er von B nach À gerollt wird, überall genau
einspielt, — Zwischen beiden ist unter dem Wagen
W, der Maassstab C von 1800 Theilen zur Bestim-
mung der Verschiebungen e des Objectivs angebracht.
Der Werth eines Theiles der Skala À ist nach mehr-
fachen Ausmessungen auf der Theilmaschine:
1*—1.3346"”
derjenige eines Theils des Maassstabs C nach den Be-
stimmungen von W. Struve:
1%— 0.752492" —[9.87646]
so dass die ganze Länge desselben:
1800 — 1354.36”
beträgt. Die Skala B ist in Millimeter getheilt. Um
nuu den Abstand zwischen dem Nullpunkt der Skalen
A und B, welcher zusammen mit den Ablesungen auf
den Letzteren die jedesmalige Basislänge Æ giebt, zu
crhalten, wurden auf dem Schienenweg zwei zwischen-
liegende Punkte & und b dadurch markirt, dass zwei
Kupferscheibchen mit eingerissenen Strichen resp.
zwischen dem Nullpunkt von À und von C und zwi-
schen dem 1800-Punkt des Letzteren und dem Null-
| punkt von B befestigt wurden und darauf mit Hülfe
eines genauen Stangenzirkels die Abstände À, — 4,
a — GC, Cp — Ÿ, und b — B, auf die Skala C über-
getragen. Im Mittel aus je vier Übertragungen wurde
in Theilen der Letzteren erhalten:
A, —4a = 1228.06* + 0.03
a —C,—=1315.66 + 0.03
© Ci — 0. — 1480.10 + 0.03
b —#,—1507.54 +008
D Ce Ou Di D03136 2006
4161.00 76008
28
427
Bulletin de l'Académie Impériale
72]
Fügt man hierzu noch die Länge des Maassstabs C,
so folgt für den Abstand der Nullpunkte der beiden
. Skalen À und B:
v. M rs PB, === 551 696
Dieser Werth ist bei der Berechnung der unten
folgenden Beobachtungen benutzt worden. Bei der
recht constanten Temperatur deS Beobachtungssaales
habe ich nicht für nothig er rachtet irgend welche Tem-
peraturcorrectionen gen, denn unter Annahme
eines Ausdehnungscoëfficienten für Fichtenholz !)
8 = 0.000005
und einer Maximalschwankung der Temperatur von
+ 3° würde daraus eine Correction der Basislänge
von hôchstens = 0,09%% folgen, was innerhalb der
Grenzen des wahrscheïnlichen Fehlers liegt, mit wel-
chem die jedesmalige Basislänge ermittelt werden kann.
Um die Verschiebung des Wagens W, mit dem dar-
auf montirten Objectiv vom Beobachtungsocular aus
bewerkstelligen zu kônnen, sind an demselben zwei
Schnüre befestigt, welche zwischen den Schieren und
an den Endpunkten des Schienenwegs über zwei
Rollen laufen und dort mit zwei gleicheh Gewichten
belastet sind. Ein leichtes Ziehen oder Nachlassen an
der am Ocular befindlichen Schnur erlaubt dem Be-
obachter, dem Wagen mit grosser Sicherheit die
_ nôthigen Bewegungen zu ertheilen.
Es wurde schon oben bemerkt, dass von der ur-
sprünglichen Helligkeit der Spectrallinien beim Durch-
gehen des Lichtes durch das ganze System ein namhafter
Theil verloren geht. Es bietet dies nichts Auffallendes,
wenn man erwägt, dass von dem Strahlenkegel, welcher
das Spectroskopfernrohr verlässt, und welcher dessen
Winkelôffnung entspricht, nur ein kleiner Theil von
dem in der Entfernung seiner doppelten Brennweite
stehenden Objectiv aufgefangen werden kann. Je grüsser
_ diese Brennweite bei gleicher Oeffnung, um so schwä-
+ cher werden die Spectrallinien erscheinen. Bei dem |
jetzt zur Untersuchung vorliegenden Bamberg’schen
_ Objectiv würde unter der Voraussetzung, dass das ganze
Objectiv des Spectroskopfernrohrs mit Licht gefüllt
© wäre, nur etwa 3%, dieser Lichtmenge das Untersu-
d chungsobjectiv passiren. In Wirklichkeit ist freilich |
1) Landolt und Bôrn stein, Physikalische Tabellen p. 72.
das Missverhältniss zwischen der ursprünglichen Hel-
ligkeit des Spectrums und der Helligkeit desselben im
Beobachtungsocular nicht so gross, da man, um die
môglichste Schärfe der Linien zu erzielen, sich nur
der centralen Theile des Spectroskopobjectivs bedient.
Immerhin ist aber die Helligkeit so weit herabge-
setzt, dass nur unter Anwendung der hüchsten Inten-
sität des Spectrums eine für die Beobachtung noch
leidlich hinreichende Lichtmenge übrig bleibt. Die
Metallspectra, welche bei den ersten Versuchen sich
als sehr zweckmässig erwiesen, waren infolge dessen
jetzt wenig geeignet, wesshalb für die folgenden Be-
obachtungen stets das Sonnenspectrum benutzt wurde.
Wegen der grossen Länge des Apparats ist die Cen-
trirung der einzelnen Theiïle etwas umständlich und
mag daher in Betreff der dazu benutzten Methode
noch Folgendes Erwähnung finden. Nachdem das Spec-
troskop dérart orientirt worden ist, dass das Fernrobr
F angenähert der Mittellinie des Schienenwegs ent-
spricht, werden zunächst die beiden Fernrühre des-
selben mit Hülfe eines kleinen Niveaus und der Fuss- :
schrauben des Spectroskops horizontal oder der Ebene
der Schienen parallel gestellt und der Wagen W, in
die Nähe von F gebracht. Die Correctionsvorrichtun-
gen des Oculars gestatten jetzt dies so zu berichtigen,
dass die optische Axe desselben annähernd derjenigen
des Fernrobrs entspricht. Der Wagen W, wird jetzt
wieder auf seinen Platz geführt, und auf das Ocular
ein kleines Fernrohr, — dem das Ocular gehôürt, —
aufgeschraubt und nachdem das Objectiv O wegge-
nommen ist, damit nach dem Spectroskopfernrohr vi-
sirt. Wenn die optischen Axen des Oculars und des
Fernrohres F zusammenfallen, so wird man im Gesichts-
feld des Ersteren ein symmetrisch liegendes Bild der
kreisformigen Oeffnung des Letzteren erblicken, im
entgegengesetzten Falle aber durch eine geringe Cor-
rection am Ocularstativ dies bewirken künnen. Nach
Entfernung des kleinen Hülfsfernrohres wird das Ob-
jectiv O wieder auf seinen Ort gebracht und derart
orientirt, dass man nach Ausziehen des Oculars o die
ganze Fläche des Objectivs durch die von F ausge:
henden Strahlen erleuchtet sieht. Die Justirung ist
dann schon nahe richtig und wird sich ohne Schwierig-
keit noch so weit verbessern lassen, dass eine auf die
Mikrometerspitze des Oculars eingestellte Spectral-
linie beim Bewegen des Wagens W, ihren Ort im Ge-
429
des Sciences de Saint- Pétersbourg.
430
sichtsfelde des Oculars nicht ändert, in welchem Falle |
die Berichtigung als genügend angesehen wird.
Ebenso wie beim Benutzen der Metallspectra hat
man auch hier bei der Anwendung des Sonnenlichtes
sorgfältig darauf zu achten, dass das einfallende Strah-
lenbündel môüglichst genau parallel der Axe des Colli-
mators gerichtet ist, da sonst die Einstellungen auf der
Skala À an Genauigkeit wesentlich verlieren.
Als Beispiel mag eine vollständige Messung der
Brennweite für die Linie D hier aufgeführt werden.
Es wurde erhalten (# — Anzahl der Einstellungen):
Am Anfang der Reihe A4—40.70 + 0.07 n —10
» Ende » » — 40.43 0.08 n— 10
A= 40.56 —54.12"".
Der Ocularwagen wurde nun auf den Theilstrich 400
der Skala PB eingestellt, also
E = 54.12 + 400 + 5516.26 — 5970.38".
Aus 10 Beobachtungen der Verschiebung auf der
Skala C ergab sich im Mittel:
e = 540,9 + 1.0 — 407.0" + 0.7
woraus '
el. 27187"
4f — 5942.63
und
f= 1485.66”
erhalten wird. In dieser Weise gelangte ich zu den fol-
genden in mm. ausgedrückten Resultaten:
= Objectiv Bamberg I.
(Oefinung 56" Brennweite 14857),
; E e 4 E e f E e f
nee Linie # Fa tinie C Lisie D 22:
|
I | 5960.89 | 352.1 | 1485.02 | 5959.84 | 320.7 |: 1485.65 | 5949.80 | 194.5 F: 1485.86
Il 65.92 | 4024 84.69 64.89 | 354.2 85.96 51.24 | 241.8 | 85.36
II 73.92 | 456.0 84.78 69.65 | 402 85.63 59.77 | 322.6 | 85.58
IV 81.92 | 510.4 84.60 71.00 | 406 85.83 63.32 | 3548 | | 85.55
V es se se es ns _ 70.38 | 407.0 | | 85.66
1484.77 1485.77 1485.60
Linie b Linie F Linie À —467.
1 [5957.21 297.6 1485.50 | 5961.00 | 3084 | 1486.27 | 5968.96 | 414à | 1485.06
IL | 6138 3206) 85.%6| 68.00 | 3739. S615| 7346/4426) 85.2
III 64.86 | 3708! 85.4 | 74004162! SG2%5| 78.5 |4744| 85.55
IV 71.38 418.56. 85.51 81.00 | 467.0 86.13 81.13 | 481.0 85.61
: V 72.84 | 422.3 | 85.75 RE — 83.96 | 508.3! 85.20
1485.62 1486.20 1485.30
Die Abweichungen der einzelnen Reïhen von einan-
der sind, wie man sieht, allerdings grüsser als man
nach den wahrscheinlichen Fehlern der denselben zu
Grunde liegenden Bestimmungsstücke erwarten würde,
denn soweit es auf diese ankommt, würde der wahr-
scheinliche Fehler einer Brennweite im Allgemeinen
nicht 0,05 #" übersteigen. Es hat dies wohl haupt-
sächlich in dem mangelnden Acbromatismus und dem
veränderlichen Accomodirungsvermügen des Auges sei-
nen Grund, indem dadurch die der grüssten Schürfe
|. 98*
431
Bulletin de l’Académie Impériale
432
der Spectrallinien entsprechende Lage des Objectivs
und demnach die Verschiebung e bei verschiedenen
Gelegenheiten verschieden beurtheilt wird. Nichts-
destoweniger darf die Übereinstimmung als eine sehr
gute bezeichnet werden und ist jedenfalls genügend,
um die zwischen den einzelnen Strahlen hervortreten-
den Differenzen in den Schlussmitteln innerhalb enger
Grenzen zu verbürgen. Für diese Mittel wird nämhch
der wahrscheinliche Fehler sicher nicht 0,05” über-
steigen.
Die gefundenen Brennweiten bedürfen noch einer
Correction wegen der Dicke der Linsen. Nach den
Mittheilungen des Hrn. Bamberg haben die benutz-
ten Gläser die folgenden Constanten.
Jena-Glas:
woraus für die fraglichen Correctionen die folgendeu
Werthe sich berechnen:
Für C Af= 24.345"
» D 1.349
» F 1.359
» G 1.368
oder im Mittel
Af=— ant Far?
Die obigen Beobachtungen sind allerdings nicht
genügend um über die Achromatisationsverhältnisse
des Objectivs ein vôllig anschanliches Bild zu ge-
winnen; zu diesem Zweck hätten sie weiter nach dem
Violett hin ausgedehnt werden müssen. Leider gestat-
tete das angewandte Spectroskop dies nicht infolge
ie ot re der starken Absorption dieser Strahlen durch das
Con 156236 n, —=11.55496 ù à ;
schwere Flintglas der Prismen. Dass aber die Achro-
D —. .06494 .55801 Pie : ë : :
à matisirung eine wesentlich andere ist als bei dem
F se: O0) .)6522 > is * ;
e bisher angewandten aus Silicatgläsern geschliffenen
G = ,,:01084 57100 Re ; : 4
j Fa Objectiv der Spectralcamera, zeigt der Vergleich mit
Dicke der Crownlinse — 9 ; fé dé do den folgenden für dies Letztere gefundenen Werthen:
» » Fhnt.:1 =
Objectiv Steinheil No 10116.
(Oeffnung: 5377? Brennweite: 1525727),
LE e # E e f E e Pre
Reihe — © ARE D
Linie B Linie C Linie D
| |
I | 6121.27 339,7 | 1525.60 | 6122.50 | 369.9 | 1525.03 | 6125.96 | 417.1 | 1524.57
|
Il 28.27 | 398.7) 25,58] 30.50! 433.5] 24.96| 34.964737.) 24,59
I | 3028/4101) 25.71 30%/4310| 2510! 35.6 |4867| 24.4
IV | 36.4 | 4577! 25.57] 38.50|4813| 2519| 41.56 | 516.8] 24.62
1525.62 1525.07 1524.48
Linie b Linie F Linie À — 467.
| |
UN LI |6125.56 | 423.0 | 1524.09 | 6125.35 | 428.2 | 1523.86 | 6123.46 | 400.4 | 1524.32
A à 33.98 | 488.7 23.60 32,35 | 467.2 | 24.19 30.54 | 445.1 24,55 ||
II 33.56 | 480.4 | 23.98 38.35 | 501.3 24.85 37.54 | 494.9 24.37
IV | 40.565253, 2390! 43.35 | 534. 2420 | 43.54, 533.5 24.30
1523.80 | 1524.15 1524.58 ||
433
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
134
Die Corretion wegen der Linsendicke bei diesem
J Objectiv lässt sich strenge nicht ermitteln, da mir
weder die Brechungsverhältnisse noch die Diekcon der
Linsen bekannt sind, Aus der Totaldicke des Objectivs
D = 13" berechnet sich jedoch nach dem Obigen die
angenäherte Correction Af— — 1,17,
Die im Obigen mitgetheilten Resultate dürften ge-
nügen, um über die Leistungsfähigkeit der Methode
ein Urtheil zu gewinnen. Ich glaube nicht zu fehlen,
wenn ich die durch dieselbe erreichbare Genauigkeit
als wesentlich hôher bezeichne als diejenige, welche
die sonst gebräuchlichen Methoden der Breniweiten-
bestimmung zu gewähren im Stande sind, Freilich
muss zugegeben werden, dass mit derselben eine un-
ter Umständen nicht geringe Unbequemlichkeit inso-
fern verknüpft ist, als die Errichtung einer Basis-
linie von erforderlicher Länge nicht immer ohne
Schwicrigkeit ausführbar sein dürfte, namentlich wenn
es sich um Objective grüsserer Dimensionen handelt.
Indessen fällt diese Bemerkung, — die einzige, welche
gegen das Verfahren füglich gemacht werden kann, —
angesichts der übrigen Vortheile desselben nicht sehr
ins Gewicht. Für die in der optischen Technik gebräuch-
lichen Methoden mit künstlichen Sternen von verschie-
dener Farbe, die keineswegs bequem oder genau ge-
nannt werden künnen, würde, wie mir scheint, die
vorliegende Methode mit Vortheil sich substituiren
lassen.
Eine andere Frage, welche auf diesem Wege mit
Erfolg sich würde lüsen lassen, ist diejenige nach der
Ânderung der Brennweite mit der Temperatur. Die
Ânderung der Focallänge eines Refractors, welche
in dem Temperaturcoëfficienten der Mikrometerschraube
sich kundgiebt und diesen Coëfficienten grôsstentheils
bedingt, ist aus der ÂAnderung der Brennweite des
Objectivs an sich und aus derjenigen des Rohres zu-
sammengesetzt und die Trennung dieser beiden Glieder
lässt sich ohne Weiteres nicht ausführen. Ist dies für
die Praxis auch ohne Bedeutung, so kann es immerhin
interessant sein zu erfahren wieviel von diesen Ânde-
rungen der einen oder der anderen Ursache zur Last
fall.
Nachlese zu den Fabeln des Phaedrus. Von A. Nauck.
(Lu le 22 Mars 1888.)
Lucian Müller, der, wie wir aus der Schrift ‘Fr.
Ritsch! p. 139 erfahren, der strengste Richter seiner
Arbeiten ist, weiss über den Erfolg, mit dem er die
Fabeln des Phaedrus in seiner Ausgabe vom J. 1877
hergestellt zu haben glaubt, Folgendes zu berichten
p. XXXVI): «Multorum libri auctorum cum extent
nostris curis perpoliti, nullus tamen est, in quo tam
prope ad ipsa scriptoris verba accessisse me confidam
quam in his quas manibus tenes fabulis Phaedri. Quod
cum îta sit, apparet multum distare hanc recensionem
a Lucilii satirarum, cuius longe aliae sunt virtutes».
Im Gegensatz zu dieser Selbstverherrlichung meine
ich, dass Müllers Ausgabe des Phaedrus weit davon
entfernt ist die Kritik dieses Autors anch nur vorläufig
abzuschliessen, schon darum weil sie einer ausreichen-
den diplomatischen Grundlage ermangelt. ,
ie auf uns gekommenen Fabeln des Phaedrus
Buch IV) beruhen im Wesentlichen auf zwei stark
verdorbenen und in den auffallendsten Entstellungen
mit einander übereinstimmenden Handschriften oder,
wenn man will, Abschriften eines einzigen verloren
gegangenen Codex. Eine dieser Handschriften (codex
Remensis, verglichen von F. C. Vincent) ist im
J. 1774 verbrannt, die andere noch jetzt vorhandene,
die sich im Besitz des Marquis Lepelletier de Ro-
sanbo in Paris befindet (codex Pithoeanus), bedarf
a,
ET
nach den von J. Berger de Xivrey gegebenen Mit-
theilungén durchaus einer abermaligen Vergleichung.
Acht Fabeln des ersten Buches finden sich in cod.
Vaticanus 1616 (bei Müller mit 2) bezeichnet), den
L. Mendelssobn verglichen hat. Kinem codex Perotti,
von dem zwei Abschriften, die eine in Neapel, die an-.
dere in der Bibliothek des Vatican befindlich, erhalten
sind, werden verdankt die 30 Fabeln der Appendix.
Für die Zuverlässigkeit des von Müller mitgetheil-
ten kritischen Apparates kann es kein günstiges Vor-
urtheil erwecken, dass der Text seiner Ausgabe dureh
eine verhältnissmässig grosse Zahl von Druckfehlern
entstellt ist: vgl. kec (statt haec) IT, 8, 23. Noctu (statt
Noctua) HE, 16, 17. solebat (statt solebant) IV, 1, 5
nausiant (statt nauseant) IV, 7, 25. procellum (statt
porcellum) V, 5, 36. Phpitiom (statt Papilio) App.
29, Tr Lens cus tatt quercus) Fab. nov. 15, 7. partis
435
Bulletin de l’Académie Impériale
436
culum (statt particulam) Fab. nov. 20, 1. Falsche
Bezeichnungen der Verse finden sich in den kriti-
schen ARMÉE 1,2, 26, 28, 10:-II ep. 10.
520 App 1,5, 15,-8:30..5: et ER sind
die A RIDE te A in den Anm. zu ILE, 1, 5. 10,
42, Im Commentar p. 108 hat sich eine Fan
über Zeuxidem (V pr. 7) zu V, 1, 7 verirrt. In dem
Verzeichniss der vom codex Perotti gebotenen Fabeln
des Phaedrus (p. XXIII) berichtige man was über
Nr. 17 gesagt wird: statt VI, 23, 24 sollte es heissen
VI, 4, 23. 24.
Storender als derartige Versehen ist das hinsicht-
lich der Orthographie von Müller eingeschlagene
Verfahren. Um nach der handschriftlichen Überliefe-
rung orthographische Regeln aufzustellen, bedarf man
genauerer Collationen als sie bis jetzt vorliegen:
orthographica enim, sagt Eyssenhardt in seiner Aus-
gabe (Berlin 1867) p. 5, neque ex Pithoeano Bergerius
enotavit neque ex Remensi antiquiores. Müller hat
sich von der überlieferten Orthographie vielfach eman-
cipirt, wogegen nichts einzuwenden wäre, wenn nicht
eine seltsame Inconsequenz uns überraschte.
Das überlieferte penna hat Müller in der zweiten
Ausgabe mehrentheils in pinna geändert. Vgl. I, 13,6:
0 qui tuarum, corve, pinnarumst nitor (pennarum PR).
I, 31, 4: ef celeritate pinnae (pinnae M, pennae v)
vitassent necem. IV, 7, 7: pinus bipinni (bipenni B;
de R parum constat) concidisset Thessala. App. 30, 4:
qua visa pinmis (pinnis M, pennis V) altius se sustulit.
Unangefochten bleibt I, 3, 5: pennas nes as de-
ciderant sustulit..
Wenn der Herausgeber neben futtiles (LV, 19,:33)
auch futilem (V, 2,°10) duldet, so fragt man, warum
IV, 16, 3 futtilis und nicht futilis statt des überlie-
ferten fictilis vorgeschlagen wird. — Falls die Schrei-
bungen neclegunt IT, 7, 9. neclegenter IV, 2, 13. nec-
lecto IV, 5, 20 berechtigt sind, war es wohl nicht zu
kühn App. 13, 30 neclegentiae zu schreiben, wo aus
V negligentiae angemerkt wird; wie Il, 7, 9 meg-
ae lagunt R und negligunt N bieten soll, und wie die zu
IV, 5, 20 gegebene Notiz «nec lecto P, non R» uns zu
de And berechtigt, dass in R neglecto gestanden
habe: denn ob eine Handschrift nec lecto oder neclecto
ee _ bietet, wird in den meisten Fällen unentschieden blei-
ben und ist unter allen Umständen vollkommen gleich-
Le . giltig , wie Müller für sein Schwanken zwischen quod
si (IT ep. 8) und quodsi (TIT pr. 41. ITT, 10, 47. App.
, 7) oder zwischen nescio quid (Hor. Sat. I, 9, 2)
und »escioquid (Phaedr. Il, 5, 20), nescioquis (Prop.
I, 11, 7. Phaedr. LIT, 9, 5) schwerlich die Autorität
der Handschrifteu geltend machen wird.
Mehrentheils druckt Müller numquam, wogegen
I, 5, 1 nunquum und IV, 7, 6 unquam im Texte steht:
in ähnlicher Weiïse wird II, 2, 1 wécunque bevorzugt
im Gegensatz zu quicumque und quodcumque.
An stärksten treten die Schwankungen in Müllers
zweiter Ausgabe des Phaedrus hervor, da wo es sich
um Assimilation oder Nichtassimilation der Präpositio-
nen handelt. Er sagt p. XXX VII: «fenendum nos in
scriptura verborum constituenda plerumque secutos esse
|codices Pithoeanum ac Remensem. iam quia constat in
eis plerumque assimilationem quam vocant praepositio=
num omissam, de hac re hic monuisse satis erit, cum
praesertim appareat nec Vincentium nec Bergerum in
adnotandis minutiis talibus satis fuisse diligentes et
constantes», Was hier in den Worten constat — omissam
gesagtist, wird durch das nachfolgende cum praesertim
appareat — constantes in Frage gestellt: man kann
nicht füglich behaupten, es sei eine fest stehende That-
sache, dass im Pithoeanus und Remensis die Assimila-
tion der Präpositionen meistens unterblieben sei, wenn
in den vorhandenen Collationen dieser Handschriften
derartige Minutien weder genau noch vollständig an-
gemerkt werden. Hôchst befremdlich sind die Worte
de hac re hic monuisse satis erit. Was bedeutet de hac
re? Entweder, wie mir scheint, de assimilatione prae-
positionum oder de omisst praepositionum assimila-
tione. In jedem Falle erfährt man nicht das was man
zu hôüren wünschen musste und erwarten durfte, wel-
ches Verfahren der Herausgeber hinsichtlich der Assi-
milation der Präpositionen befolgt habe. Auch die
später gegebene Notiz, in appendice Perottina eadem
fere scriptura verborum qua in reliquis fabulis sum usus,
ist nicht geeignet uns über Müllers Verfahren aufzu-
kliren. Aus einer Vergleichung seines Textes mit
älteren Ausgaben geht hervor, was ein geschickter
Gedankenleser vielleicht sogar aus den oben ange-
führten Worten ungefähr errathen konnte, dass er die
überlieferte Assimilation der Präpositionen überaus
häufig beseitigt hat durch Substitution der ursprüng-
lichen, nicht assimilirten Formen. Inwieweit er hierbei
dem Princip der grata neglegentia oder der delectans
487
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
13S
varietas gehuldigt habe, môgen folgende Proben dar-
thun. Er schreibt:
adclamat V, 5, 34. — accrescat App. 10, 14.
adfirmat TEL, 3, 9. adfirmant V, 7, 21. adfirmavit
1, 17, 5. — affirmaret App. 9, 8.
adgravant TITI, 3, 13. adgressa IIL, 16, 10. — ag-
geras IV, 21, 23.
adlata IT, 10, 29. adluserit IT, 19, 12. — allicit
IF, 3, 7. alligant IT, 7, 18.
adpellatum App. 4, 21. — appellari App. 18, 4.
adpetebat IV, 3, 2. adpeterem V, 4, 5. adpetit X,
4, 1. IV, 8, 1. — appetens IV pr. 4.
adripuit V, 7, 2. 10, 5. — arripuit App. 23, 3.
adtendere XX, 5, 6. — attende I pr. 14.
adsequar TT, 9, 3. adsequi IV, 2, 11. — assecuta
App. 13, 5.
adspexit WI, 10, 29. — aspexit IV, 21, 5. aspicit
IE, 7, 15. aspiciunt App. 14, 23.
adtributum IV, 21, 12. — attribuisset App. 2, 3.
conminuta IT, 6, 13. — commemoras IV, 25, 14.
commendari IV ep. 8. commendat App. 4, 5. commen-
datio XI pr. 13. commendatur IT pr. 7. commercium
IV, 11, 11. commilito App. 8, 8. commiserts IT, 8, 7.
commisisset App. 17, 7. commisit I, 14, 16. commissum
EV, 19, 15. committi App. 8. 23. committit I, 31, 1.
committo App. 30, 12. commodasse 1, 17, 3. commotus
App. 15, 15. commutando I, 15, 1.
conpesceret I, 2, 12. conpilarant App. 13, 6. con-
pilavit IV, 11, 2. conponit App. 30, 2. conprensus
IE, 5, 10. IV, 2, 14. conprimis App. 10, 13. conpro-
barunt App. 14, 33. conpulsi I, 1, 2. conpungam II,
6, 3. — compererant NV, 5, 31. complere App. 9, 11.
complevit IL, 4, 16.
… conrodere IV, 8, 7.—corrigatur IT pr. 5. correptum
I, 1, 13. correptus App. 13, 18. corripere I, 2, 25.
corrumpas LIT, 8, 15. corrumperet IV, 26, 18. cor-
rumpit IV, 12, 8. corrupisset App. 25, 2. corruptos
H;8,21
inmisit IV, 9, 10.—immolasset V, 4, 1. immolatos
IV, 6, 9. immolatur IV, 25, 6.
inpendas LL pr. 11. énpensam IV, 21, 25. inpe-
gerat XI, 5, 2. inpertiar App. 1, 5. inpetrant IV, 19,
21. inpetrassent IV, 17, 1. inpetravit I, 19, 5. IIL ep.
22, inpinge I, 5, 7. inponere IV, 19, 29: énpost-
turum X, 15, 8.-inposuit IV, 10, 1. inportaret I, 28, 6.
inpugnantur I, 10, 53. inputare I, 22, 8. — impleam
LIL, 9, 7. émplet IV, 5, 13. impletur II, 7, 24. imyili-
cuisset III, 10, 41.
Auch bei dem negirenden in begegnen wir dem-
selben Schwanken. Mehrentheils unterbleibt die Assi-
milation (vgl. inpar inpius, inprobitas inprobus, inpru-
dens inprudentia u. à.), doch wird geschrieben impu-
dentine T, 14, 18 (trotz inpudentem II, 5, 9. inpudenti
[, 3, 8. inpudentius I, 22, 12) und érritam App. 23, 6
(neben inritos I, 23, 2), wie durchgäüngig smpune (I
2:94 21,9. EV;4, 15. An. 25,5)
Statt e oder ex hat Müller nicht selten ec dem
?
Phaedrus aufgedrängt. Die von ihm p. 118 ausge- .
sprochene Ansicht, Phaedrus'scheine vor Consonanten
ausser € immer die Form ec gebraucht zu haben, grün-
det sich auf den Umstand, dass statt der Präposition
ex zuweilen eé oder est oder in oder de überliefert ist.
Die für diese Frage in Betracht kommenden Stellen
sind folgende. E, 2, 17: forte una tacite profert e stagno
caput. I, 25, 3: bibere e (in PR, ex anon. Nil., « Rittersh.)
Nilo flumine. TT, 1, 2: e (et PR) testa. HE, 9, 5: ex
(est P, de R non constat) populo. HT, 19, 7: quidam e
(est P) turba garrulus. IV, 2, 10: annis et senecta de-
bilis. IV, 5, 47: conferent pecuniam ex (et P) pretio
rerum. NV, 5, 36: profert ipsum porcellum e (de V)
sinu. App. 8, 16: wnum e (de V) Romanis provocabat
barbarus. App. 14, 7: e matris sinu. App. 18, 2:
notus e vicinia. App. 19, 1: equum e quadriqa (et quu-
drigam V) multis palmis nobilem abegit quidam. App.
26, 10: seque e conspectu abstulit. App. 29, 3: quorum
ex reliquus animam nos accepimus. Für die beiden
letzten Stellen hat Müller ec vorgeschlagen, an den
voraufgehenden (zwôlf) Stellen eben diese Form in
den Text gesetzt. Es liegt auf der Hand, dass die an-
geführten Stellen ganz und gar nicht geeignet sind
die Form ec für Phaedrus sicher zu stellen. Übrigens
hat Müller dem Phaedrus ec nur als selbständiges
Wort beigelegt, während in Zusammensetzungen For-
men wie ebibere evellere, effodiens effugit, explerent ex-
tollerent geduldet werden: umgekehrt und bei weitem
e faucibus, e carcere, ex se, ex fluvio, andrerseits eccita,
ecfari ecfatus ecferret (daneben allerdings auch enodari,
wahrscheinlicher schreiïibt er bei Ennius einerseits
efflantes effudit effugit, excido excruciat, expetit, ex. .
tollere u. a.).
Mit Recht schreibt Müller benficium (1, 22, 8
III, 15, 13. III ep. 18) statt beneficèwm: nicht aber
439
Bulletin de l’Académie Impériale
140
hat es für nôthig erachtet zu sagen dass für II, 15, 13,
wo er in der ersten Ausgabe die überlieferte Lesart
beibchielt, die Emendation benficium, durch die ein
Proceleusmaticus im ersten Versfuss entfernt wird,
von mir herrührt (vgl. Bulletin XIV p. 404 oder Mé-
langes Gréco-Rom. IT p. 203 f.).
Nach der Analogie von benficium hat Müller in
der zweiten Ausgabe auch bei den Formen walefici
malefico maleficus die gleiche Verkürzung vorgenommen
und zwar an folgenden Stellen.
1, 17, 1: solent mendaces lueré poenas malefci.
Il, 3, 2: dinctum cruore panem misit malefico.
Il, 6, 2: si vero accessit consiliator maleficus.
IV, 11, 20: novissime interdicit, ne cum malefico.
App. 17, 5: suspectum officium repudiavit malefici.
Keine dieser Stellen spricht gegen die vollere Form:
darum war es nicht rathsam im Text eine Neuerung
vorzunehmen, die hôchstens in der adnot. crit. als be-
scheidene Vermuthung empfohlen werden durfte.
Einen frappanten Gegensatz zu der Beanstandung
des überlieferten maleficus bildet die Entschiedenheit,
mit der behauptet wird, Phaedrus habe durchgängig
validius gebraucht (p. 119). Überall wo bei Phaedrus
validius gelesen wird, gestattet das Metrum die Form
valdius. Vgl.
1, 19, 8: hoc quoque consumpto flagitari validius.
I, 24, 9: novissime indignata dum vult validius.
ILE, 11, 4: en, ait, hoc unum est cur laborem validius.
ILE, 16, 6: rogata est ut taceret. multo validius.
IV ep. 9: quanto poetae sumt molesti validius.
App. 3, 13: 24 cum rideret forte merctrix validius.
Ist maleficus am Schluss des Verses durch #malficus
zu ersetzen, so wird auch das den Vers schliessende
validius nicht frei von Bedenken sein: wer validius
am Ende des Verses für zulässig erachtet, darf schwer-
_ lich maleficus an derselben Stelle anfechten.
Die Form nihil dufdet Müller nur am Schluss des
Verses (IV, 5, 16: quae tulerint nihil. IV, 24, 4: ex-
tricas nihil); sonst hat er durchgängig nil gesetzt.
* Nothwendig scheint die einsilbige Form an etwa sechs
- Stellen. I, 15, 2: nil (nihil PR) praeter domini nomen
mutant pauperes. TL, 10, 31: sopita primo quae nil
(nil NV, nihil PRg) somno senserat. III, 10, 51: nù
(mil V, nihil PR) spernat auris, nec tamen Ms sta-
dim. IV, 23, 13: fu ex opibus il (nihil P) sumis tuis.
App. 5, 9: usus bonorum, sed nil possunt tangere. App.
18, 16: cum mali mil (nihil cod.) feceris. Unsicher ist
Il, 8, 11: frondem bubulcus affert, nil ideo videt, wo
nec ideo videt PR bieten, mil videt VN (sinngemäss
wäre nec quidquam videt, môglich nil intus videt).
Der unechte Vers V, 5, 31: sed in priore quia mil
compererant (nilil compererat PR) latens, kommt so
wenig in Betracht als der von Müller gedichtete
App. 15, 15: Aesopus eius nil commotus vocibus. —
Die Mehrzah1 der Stellen spricht für nihil. Vgl. IT, 5, 3
gratis anhelans, multa agendo nihil agens"). IX, 7, 12:
nam nil (s0 P, quod nihil N) amisi nec sum laesus vul-
nere.\IT. pr. 48: huic excusatum me velim nihilo minus.
IT, 7, 17: wnde hoc, amice? mil est. dic, quaeso,
tamen. HT, 10, 28: nihil respiciens dum (so V und in
Folge einer Correctur R, nihil in respiciendum P und
ursprünglich R, nl introspiciens, dum Müller) dolorem
vindicet. IV, 2, 2: dum nihil habemus maius, calamo
ludimus. IV, 13, 1: utilèus homini nihil est quam recte
loqui. IV, 25, 9: laboro nilil atque optimis rebus fruor.
IV, 25, 16: mil laboras, ideo, cum opus est, nihil
hubes. Y, 5, 20: nil (so P, nil V) est repertum, mul-
hs onerant laudibus. App. 26, 4: ne me indices, bu-
bulce; nihil umquam mali. App. 30, 8: nihil est quod
metuas, eg0 te multum diligo. Da Müller den Proce-
leusmaticus im ersten Fusse dem Phaedrus zugesteht,
hatte er kein Recht den Versanfang nihl agere quod
non prosit (III, 17, 13 und IV, 25, 1) zu beanstanden.
Auch die Behauptang: Pieds habe durchgängig
vemens geschrieben (p. 119), steht auf schwachen
Füssen. So viel ich weiss, hat Phaedrus das Adi. vehe-
mens und das Adv. vehementer je einmal gebraucht.
Vgl. IT, 5, 1: laceratus quidam morsu vehementi (so
Bongars statt vehementis) canis. App. 7, 7: ego, inquit,
quod te laudas vehementer probo. Für die von Lach-
mann Lucr. p. 133 angeregte Frage, inwieweit vehe-
mens durch das Metrum gesichert und somit berech-
tigt sei, kommt Phaedrus nicht in Betracht, da an den
beiden angeführten Stellen vehementi und vehementer
eben so gut môglich ist als das von Müller gesetzte
vementi und vementer. Dass es rathsamer war die
überlieferte Schreibung beizubehalten, lehrt Quintil.
1) Allerdings ist hier nihil befremdlich, sofern im fünften Fusse
ein Daktylus in der Regel nur da zugelassen wird, wo der Vers mit
“rage Worte von mindestens vier Silben schliesst ; vgl. jedoch IV,
aturum sine
6: ideo, cum opus est, nihil habes. V, 7, 89. prodi
mora! pe 9, 6: quidquid dederis, satis erit.
K
188
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
44?
I, 5, 21: durat ad nos usque ‘vehementer” et ‘compre-
hendere’ ct ‘mih.
Nach diesen allgemeineren Bemerkungen wende ich
mich zur Besprechung einzelner Stellen und zwar vor-
zugsweise solcher, an denen ich für die Herstellung
des äusserst verdorbenen Textes etwas thun zu künnen
glaube. Vielleicht ist es eine Vermessenheit, wenn
nach dem grossen ‘Kritiker’ L. Müller, der so gern
von seinen ‘emheitlichen Leistungen’ redet, ein kleiner
‘Conjectator” den Text des Phaedrus zu emendiren
unternimmt: da ich jedoch bereits vor acht Jahren diesen
Frevel verübt habe (vgl. Bulletin XX VI p. 251—276
oder Mélanges Gréco-Rom. IV p. 666—702), so
wird durch einen zweiten Versuch, zu dem mich
A. Rieses im J. 1885 erschienene Ausgabe angeregt
hat, meine Schuld nicht wesentlich gesteigert. Bei
den Citaten aus Phacdrus benutze ich wie bisher Mül-
lers grüssere Ausgabe (1877).
I, 1, 1—3: Ad rivum eundem lupus et agnus venerant
, siti compulsi: superior stabat lupus
longeque inferior agnus.
Da die Worte longe inferior agnus den voraufge-
henden superior lupus gegenübergestellt werden, so
erscheint que als befremdlich. Passender wäre «4 (vgl.
III, 13, 14: apertum est quis non possit et quis fecerit)
oder autem (vgl. V, 2, 2: unus profugit, alter autem
restitit) oder endlich aé (vgl. IV, 5, 5: unam formosam
et oculis venantem viros, at alteram lanificam frugi et
rusticam). Mit entschiedencr Vorliebe aber gebrauchen
die Lateinischen Schriftsteller in derartigen Gegen-
sätzen das Asyndeton, wie wir és finden IV, 10:
Peras imposuit Tuppiter nobis duas :
propris repletam vitiis post terqum dedit,
alienis ante pectus suspendit gravem.
hac re videre nostra mala non possumus:
alii simul delinquunt, censores sumus.
Auch Zonge inferior ist unpassend: der Wolf und
das Lamm künnen, da sie mit einander reden, nur
durch einen mässigen Zwischenraum getrennt gedacht
werden. Den beiden hervorgehobenen Übelständen
dürfte zu begegnen sein mit der Schreibung «liquanto
inferior agnus. Verwechslungen sinnverwandter, in den
Schriftzügen unähnlicher Würter sind wie anderwärts
so bei Phaedrus durchaus nicht selten: so werden ver-
tauscht ovis und bidens. I, 17, 8. fero und tuli I, 21,
10. tutus und munitus IL, 6, 1. volumus und cupimus
Tome XXXIL.
künnen, der zwar daméve,
II, 8, 17. éllegitimos und insitivos III, 3, 10. augent
und adgravant IT, 3, 13. vadit und accedit III, 10, 26.
Aesopus und sophus IT, 14, 9. fert und portat III, 15, 5
inquit und narrabit IT, 17, 8. castigate und cohibete
App. 6, 13. Aesopus und Phryx sophus App. 11, 2.
ait und #nquit App. 12, 4. Für die vorgeschlagene
Besserung aliquanto inferior erinnere ich an IT, 5,
25, wo das handschriftliche multo maioris ein will-
kürlicher Ersatz für aliquanto pluris zu sein scheint.
L'A,pe-8:
‘eur’ inquit ‘turbulentam fecisti mihi
aquam bibenti?” laniger contra timens:
‘qui possum, quaeso, facere quod quereris, lupe£
a te decurrit ad meos haustus liquor..
Der vorletzte dieser Verse ist nach Form und In-
halt anstôüssig. Der Schüchternheit und Zaghaftigkeit
des Lammes kommt es zu, der Anschuldigung des
Wolfes nichts weiter als die zur Widerlegung dieser
Anschuldigung ausreichende Thatsache entgegenzu-
stellen. Das rhetorische quaeso, die Anrede lupe, das
unpassende quereris (so Pithoeus statt des überlieferten
queris), wo es sich nicht sowohl um eine Klage als um
eine widersinnige Erfindung handelt, endlich die un-
ruhigen Rhythmen —alles dies scheint dafür zu sprechen,
dass der Vers nicht dem Phaedrus gehürt, sondern von
einem Interpolator herrührt.
Die Frôsche verlangen von Iuppiter einen Kônig:
er schickt ihnen zuerst einen kleinen Holzbalken, dar-
auf, als sie einen anderen Künig begehren, hydrum qui
dente aspero corripere coepit singulas. Weïter heisst es
I, 2, 25—28: rustra necem
fugitant inertes, vocem praecludit metus.
furtim igitur dant Mercurio mandata ad Iovem,
adflictis ut succurrat.
Schon früher habe ich erinrert, dass fugitant inermes
| mit Marquard Gude herzustellen ist und dass die nach-
folgenden Worte vocem praecludit metus der Situation
wenig entsprechen, sofern die Früsche nicht hoffen
konnten durch Jammern oder Parlamentiren bei der
Schlange etwas auszurichten. Noch wunderlicher ie
der folgende Vers, furtim igitur dant Mercurio man-
data ad Iovem. Von Mercurius ist bisher keine Rede
gewesen, eben so wenig wird nachher seiner gedacht: Fan
man begreift somit nicht, wie die obenein vor Furcht
stimmlosen Früsche diesem Gott Aufträge ertheilen Fe
nicht aber Barpayov
29 : à sa : * +
hin noch deutlicher zu Tage tritt,
er zeigen, wie thôüricht das Volk handelte,
443
Bulletin de l’Académie Impériale
22)
Aazos ist und wohl gelegentlich die Erde besucht,
nicht aber in Sümpfen odér in der Nähe derselben
einen stabilen Wohnsitz hat. Man würde nichts ver-
missen, wenn es hiesse: frustra necem fugitant inermes.
vocem tollunt ad Iovem, adflictis ut succurrat; aber
eine wahrscheïinliche Erklärung der jetzigen Textes-
gestalt zu geben vermag ich nicht.
I, 14, 1—4:
Dulus cum sutor inopia deperditus
medicinam ignoto facere coepisset loco
et venditaret falso antidotum nomine,
verbosis adquisivit sibi famam strophis.
Schon aus diesen Worten ersieht man, was weiter-
dass der Schuster,
der sich auf die Arzneïkunst legte, weil sein Handwerïk
ihn nicht nährte, durch seine Ankündigungen Reclame
zu machen verstand. Ein Charlatan aber pflegt die
urtheilslose Masse zu täuschen durch Erwähnung der
Wunderkuren, die er verrichtet zu haben vorgibt, er
wirkt auf das Publikum nicht sowohl durch wortreiche
als durch prahlerische Wendungen. Darum môchte ich
vorziehen
ventosis adquisivit sibi famam strophis.
Unmittelbar darauf heisst es V. 5 ff:
hic cum iaceret morbo confectus gravi 5
rex urbis cius experiendi gratia |
scyphum poposcit: fusa dein simulans aqua
miscere anhidoto sese illius toxicum »
ebibere iussit ipsum posito praemio.
timore mortis ille tum confessus est
non artis ulla medicae se prudentia,
verum stupore vulgi factum nobilem.
Der erste dieser Verse enthält einen Gedanken, der
zu der ganzen Erzählung in keiner Weise passt. Nicht
œi
Le)
durch eine Krankheït wurde der Künig veranlasst den
quacksalbernden Schuster zu citiren, vielmehr wollte
indem es
yon einem Betrüger sich ärztlich behandeln liess. Dass
der Künig nicht bettlägerig, sondern vollkommen ge-
sund war, als er den Schuster auf die Probe stellte,
_ geht namentlich aus V. 13 ff. hervor, wo der Kônie
dem versammelten Volk die thürichte Leichtgläubig-
_ keit vorhält. Ohne Zweifel ist V. 5 eine spätere Zu-
_ that. Wie ich nachträglich sehe, haben dies schon
< _ andere erkannt (vgl. Schwabe I p. 540 f. ): 80- na-
en metieh Lesnne (Simmtl. Schriften Bd. XI p. 109
der Lachmannschen Ausgabe), der auch V. 4 als un-
echt bezeichnete. Um so mehr muss man sich wundern
über das Schweigen der neusten Herausgeber. — Auch
V.-14 und 16 halte ich für fehlerhaft:
rez advocata concione haec edidit:
quantac putatis esse vos dementiue,
qui capita vestra non dubitatis credere 15
cui calceandos nemo commisit pedes£
Der heruntergekommene Schuster hat offenbar früher
Leute gefunden, die im Interesse ihrer Fussbeklei-
dung sich an ihn wendeten: sonst kônnte er nicht swtor
genannt werden. Erst als es mit seinem Handwerk
nicht mehr gehen wollte, hat er sich auf die Quack-
salberei gelegt. Das unpassende Perfectum dürfte so-
mit durch das Praesens committit (Heinsius wollte
commmittat) zu ersetzen sein. Ganz wunderlich ist die
Frage quantae putatis esse vos dementiae, Wie dumm
glaubt ïhr zu sein? Leute welche ïhr Leben einem
Quacksalber anvertrauen, der nicht einmal leidliche
Schuhe herzustellen vermag, glauben nicht dumm zu
sein, sondern sind dumm. Offenbar liegt der Fehler
in putatis. Sinngemäss wWäre quantae necesse est esse
vos dementiae. Vielleicht genügt putemus, obwohl man
auch an probatis denken künnte.
I, 5, 23 —25:
dum sic iocata est tanti maiestas ducis:
non multum egisti et opera nequiquam perit ;
mullo maioris alapae mecum veneunt.
Der letzte Vers, über. den ich bereits früher (Bul-
letin XXVI p. 256 oder Mélanges Gréco-Rom. IV
p. 673) gesprochen habe, dürfte so zu schreiben sem:
aliquanto pluris ne alapae meae.
Die derbe Abfertigung, welche dem allzu geschäfti-
gen, auf ein kaiserliches Geschenk speculirenden Hüf-
ling ertheilt wird, kann nicht wohl als ein Scherz be-
zeichnet werden: iocata scheint entstellt zu sein aus
locuta, wie längst Pithoeus vermuthet hat.
IT, 8. Der Hirsch, der um den Nachstellungen der
Jager Zu entgehen, den in einen Rinderstall geflüchtet
bat und hier nach dem Eintritt der Nacht mehreren
Dienstleuten verborgen geblieben ist, dankt den Be-
wohnern des Stalles für die ihm gewährte Gastfreund-
schaît, worauf einer ihm sagt: wir wünschen dir zwar
| das Beste, aber wenn jener kommt, der hundert Augen
hat, wird dein Leben sehr gefährdet sein. Auf diese
Worte folgen die Verse:
445 des Sciences de Saint -Pétersbourg. 446
haec inter ipse dominus a cena redit 20 plures habebit quos opponat Graeciae:
el quia corruptos viderat nuper boves sè libor oblectare curam voluerit, 10
accedit ad praesepe: ‘cur frondis parum est?
stramenta desunt. tollere haec aranea
quantum est laboris?” dum scrutatur singula,
cervi quoque alta conspicatur cornua,
quem convocata iubet occidi familia.
Der Dichter will zeigen, dass der Herr in seinen
eigenen Angelegenheiten am schärfsten sieht. Mit die-
sem Zweck verträgt sich ganz und gar nicht V. 21,
wo gesagt wird, der Besitzer des Gehôftes sei an die
Krippe herangetreten, qua corruptos viderat nuper
boves. Der Hundertäugige besucht in später Stunde
den Rinderstall, nicht weil er vor einiger Zeit bemerkt
hat, dass das Vieh elend und verkommen war, sondern
weil er als sorgsamer Wirth für seinen Viehstand sich
lebhaft interessirt. Den unverständlichen Ausdruck
corruptos boves will man erklären und rechtfertigen
durch Caesar de bello civ. IT, 58, 5: corruptis equis
macie. Mag diese Lesart richtig oder falsch sein (na-
türlicher wäre confectis macie nach Verg. Aen. 3,
590 und Phaedr. IIT, 7, 2), in jedem Falle ist cor-
ruptos boves ohne eine nähere Bestimmung befremdlich.
Überhaupt aber passen die Worte corruptos viderat
xuper boves nicht zu dem in der vorliegenden Fabel
gezeichneten Bilde eines rührigen Landmannes, der
sein Vieh überhaupt nicht verkommen lässt, weil er
tagtäglich den Stall besucht und jede Nachlässigkeit
seiner Untergebenen rügt. Ohne Zweifel ist V. 21 das
[el
ot
. Machwerk eines Interpolator, der bei den Verba redit |
und accedit eine Copula vermisste, während das Asyn- | y
deton gerade sehr passend ist um das rasche und ent-
schiedene Verfahren des Handelnden zu charakterisi-
ren. Unrichtig ist auch das redit in V. 20. Der Herr
‘kehrt nach der Mahlzeit in den Stall zurück’ konnte
nur gesagt werden, wenn er vor der Mahlzeit im Stall
war: dann aber hâtte er schon früher den Hirsch be-
merkt. Liegt also nicht eine stärkere Entstellang des
Originales vor, so werden wir dominus à cena venit
zu schreiben haben, wie es oben hiess sed lle, qui
oculos centum habet, si venerit.
Il ep. 10 f. Phaedrus, der in der Erzählung der
Fabeln, wie er sagt, mit Aesopus gewetteifert hat,
hofft dass sein Beispiel in Latium Nachahmer finden
-werde:
quod si labori faverit Latium meo,
Jph. Taur.
non tamen eripict laudis conscientiam.
Dass im vorletzten Verse sin livor obtrectare zu schrei-
ben ist, hat man längst erkannt: doch kann ich .
nicht glauben, dass damit die Stelle in Ordnung ge-
bracht sei. Der Ausdruck obtrectare curam leidet an
Undeutlichkeit, und im folgenden Verse ist /audis con-
scientiam schwerlich angemessen, wo gemeint war, wie
Lallemant sagt, la persuasion que je merite quelques
louanges. Vermuthlich beruht die jetzige Lesart auf
der Vertauschung zweier, ungefähr dieselbe Stelle im
Verse einnehmender Wôürter, einem Versehen, dem wir
am häufigsten zu Anfang und zu Ende, bisweilen auch
in der Mitte der Verse begegnen. Einen ganz evidenten
Beleg für diese Gattung von Fehlern bietet Euripides
1933:£:
abTi à émoÿe du’ tes tot Éevorv |
ÉTTELYE YELOi,
wo herzustellen ist abtn dt yeoci déc’ Eyousa voi
Gévorv Eorey” Gruode, wie nach meinem Vorgang
Kôchly, Weil und England jetzt schreiben. In gleicher
Weise meine'ich, dass der Tragiker Moschion geschrie-
ben hat nicht, was Stob. Flor. 125, 14 ihm beilegt,
ri xépdoc OÙUXET dvTac ŒixIÇELV VEXOOÛS ; .
Ti Tv ävaudov yaïav LBoiCerv mAëoV;
sondern
mi xéodoc obxér” dvrac UBotCerv vexooûc;
ré tv vaudov yatay aixilerv mAËOV;
mit unverkennbarer Beziehung auf IL Q 54: xognv
yäo Ôn YAtav derxiles ueveaivov. Für die obigen
Worte des Phaedrus môchte ich vorschlagen
sin livor obtrectare laudi voluerit,
non tamen eripiet rectam conscientiam.
Damit vergleiche man einerseits Livius VIII, 36, 4:
ut obtrectaretur laudibus ducis, andrerseits Cic. Epist.
ad Att. XIIT, 20, 4: a recta conscientia traversum un-
guem non oportet discedere. Der Hergang der stufen-
weise fortschreitenden Entstellung dürfte folgender
gewesen sein. Zunächst tauschten laudi und rectam
die Plätze, so dass obtrectare laudi und eripiet rectam
infolge eines Flüchtigkeitsfehlers in obfrectare rectam
und eripict laudi überging. Sodann wurde in obtrectare
reclam die Silbe re nur einmal geschrieben °). Endlich
2) Dass onde Silben von den Abschreibern nicht selten Fe : de ‘
ausgelassen, doppelt zu schreibende somit nur re geschricben a
_ unstatthaft
_ einem Begleiter des Pre liessen sich authentische Nachrichten
ner Reise nicht heimgekehrten Künigs |
‘ ré und nur des Pre és des Laios redet Kreon V. 118.
447
Bulletin de l’Académie Impériale
448
wurde willkürlicher Weise céam in curam und laudi
in Zaudis verwandelt. Meinen Herstellungsversuch
werde ich gern aufgeben, sobald jemand mit einfache-
ren Mitteln ein befriedigenderes Resultat zu erzielen
weiss: in jedem Falle ist die eben besprochene Stelle
durchaus geeignet jeden Urtheilsfähigen von der heil-
losen Zerrüttung unseres Phaedrus-Textes zu über-
zeugen.
Zu dem Wort Mnemosyne III pr. 18 bemerkt Mül-
ler unter dem Texte «ne Nemosyne P, Nemosyne Rg
(male Vinc. refert in R esse Memosyne)», und im
Commentar zu d. St. sagt er p. 104: «non ausus sum
Phaedro adscribere illud Nemosyne, quod codices offe-
runt. sane ea forma non infrequens in libris scripts;
et nota vulgo Clytaemestra, Hypermestra». Wo sonsf
die Schreibung Nemosyne vorkommt, vermag ich nicht
zu sagen: leider hat Müller unterlassen die ihm be-
kannten Beispiele anzuführen. Sicherlich aber ist die
wurden, ist bekannt: doch wird es RE überflüssig sein auf einige
aus derartigen Versehen hervorgegangene Textesentstellungen hin-
zuweisen, wo. der Ausfall gewisser Silben falsche Ergänzungen her-,
vorgerufen hat.
Wir finden überliefert TÉxVa Trou E[ve]xe FxTOpEv statt Todd’
Exa(rt) TÉXTOEV Eur. fr. 362, 14. oùx edpe mAny yuvatxdc [ie AJehev
Javeiy TpÔ xeivou statt ruvatnde (Go}rie fJeey Eur. 7. xpoVou
_ pèv elvex” [où] padeïv”pue Det rode statt elvex’ (ouadsis né Oed.
C. 22. rioèe yñs Léshrse nparele statt vhs (Ao)xsp xpureïs Oed. R. 54.
Zotw à’ [ody] rw xai Got pihov statt Ecru D’ (6) rw Oed. C. 1205.
rodc dyovrac [oonsp] otxétac Éyvwx’ Epautod statt Toùs dyovruc
! 14. praecanum solibus [apltum statt des
a ur xexavuévas nehouotv) Hor. as 1, 20, 24 u. dgl. m
PS Vers (fr. 838,
œiat, Toù Non Jetov tac à
atscheit bei Gregorins Pal. Prosop. animae et Era p. 16 in fol-
gender Gestalt: at af, ro dn vor dervov avŸpwmox xaxov. Leider
gibt die von A. Iahn veranstaltete Ausgabe dieser Schrift über die
handschriftliche Lesart keine Auskunft. Wahrscheinlich ist to: eine
falsche Ergänzung (ro dn deïov bietet Plut. de virtute morali c. 6
p. 446 A), Gervov dagegen eine hôchst ansprechende, neuerdings auch
von F. W. Schmidt Krit. Stud. IL p. 460 empfohlene Emendation
stat des überlieferten Jetov
. ue wiederkehrender Silben rechne ich auch
F br ei die häufig wiederkehrende Schreibung voudetixos statt
mr pan (vgl. Tambl de vita 60 p. 41, 14 nebst V. Aesopi
_p. 306, 12. 808, 12 Eberh.): denn +n bad +t fallen in Byzantinischer
Aussprache zusammen. Hiernach ist zu beseitigen ein bisher gedul-
deter Fehler bei Vas Oed. R. 116:
ouÈ * Eyrekés ” ti oÙdÈ GUUTPAXTWE Sdaù
raièev Grou Ti ÉXAVOV E ÉXPNGAT" &v;
Vielmebr 008 rt ru (rh )de cuuroaxtop G0où HYYEÀ 8tw Tiç
xti. Dass die Scheidung von Boten und Reisegefährten des Laios
i ation wi Antwort: nur von
e über den Tod des v
Erwähnung der Namen Clytaemestra und Hypermestra
hier durchaus ungehôrig. Denn MNemosyne ist ein
gleichgiltiger Schreibfehler, KAvtaunotex und ‘Yreco-
uhotox sind dagegen die allein richtigen Formen. Im
J. 1885 hat Pappageorgios nachgewiesen, dass Kuta-
wnotoa nicht nur durch die Lateinischen Schriftsteller
empfohlen wird, sondern auch für das Griechische auf
das beste bezeugt ist, namentlich durch Inschriften: vel.
C. I. 6195 und 7701 vol. 3 p. 879 and vol. 4 p. 144,
Robert Bild und Lied p. 154 (KAuteuvnotoa C. I.
8419 vol. 4 p. 232 beruht auf moderner Fälschung);
aber auch die besseren Handschriften haben die rich-
tige Form bewahrt, wie z. B. der codex Laur. A im
Text wie in den Scholien des Aeschylus und Sophokles
fast durchgängig (in Surama an 70 Stellen) KAvta-
unorox bietet: nur einmal (Aesch. Eum. 116) findet
sich, wie Wecklein anmerkt, KAvtauvnotoa. Dass man
erst vor wenigen Jahren darüber belehrt worden ist,
erklärt sich nur aus der kaum glaublichen Unzuver-
lässigkeit der vorhandenen Collationen: eben darum
lässt sich erwarten, dass aus sorgfältigeren Vergleich-
ungen der ältesten und besten Handschriften sich wei-
tere Belege der richtigen Form ergeben werden und
-| dass die nach Vitelli (Berliner philol. Wochenschrift
1886 p. 955 f.) allerdings schon in Handschriften des
zehnten Jahrhunderts vorkommende Schreibung KAv-
rauvnoteæ allmählich aus unseren Texten schwinden
wird. Auch ‘Yreouvnotox ist fehlerhaft: handschrift-
liche Belege der richtigen Schreibung ‘Yrepuñnopa,
die von den Herausgebern vielfach verdrängt worden
ist, finden sich durchaus nicht selten: vgl. Pind. Nem.
10, 6. Antoninus Lib. c. 17 p. 217 f. Diod. Sic. IV,
68, 5: Paus. II, 19, 6. 21, 1. 2. 25, 4. X, 35, 1.
Schol. Aesch. Sept. 569. Schol. Eur. Or. 872. Eust.
Dionys. Per. 805. Hygin. fab. 70. 168. 170. Serv.
Verg. A. 3,286. 8, 130. Selbst der Name des OAvurto-
viens Iohuunotuwp ist in [lsAuuvnorwo verunstaltet
worden bei Iohannes Antioch. fr. 1, 27 in Müllers
Fragm. Hist. vol. 4 p. 540 wie in einer Baseler Hand-
schrift des Solinus p. 26, 25 Momms., und Schoene
hat sich durch Scaliger verleiten lassen diese falsche
Form dem Eusebius Chron 1 p. 200 beizulegen, trotz
des von Gutschmid erhobenen Zweifels.
III pr. 20—23:
quamrvis in ipsa paene natus sim “sétole
curamque habendi penitus corde eraserim
449
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
et laude invita in hanc vitam incubuerim,
fastidiose tamen in coetum recipior.
Im vorletzten Verse bieten die neusten Ausgaben
et laude invicta vitam in hanc incubuerim,
wo énvicta von Desbillons, vitam in hanc von Prasch
herrührt, Die Ânderung von Prasch halte ich für hôchst
wahrscheinlich, wogegen das von Desbillons gesetzte
invicta nach meinem Dafürhalten absolut unmôglich
ist. Zu dem laude invicta seines Textes bringt Müller
im Commentar die Notiz «IV epil. 5 P viturum pro
victurum», womit bewiesen wird, was keines Beweises
bedurfte, dass vita und victa leicht verwechselt werden
konnten: nicht aber hater gezeigt, dass laus invicta
môglich und hier am Platze sei. Mir scheint eine aus
invicta genau so befremdlich als im Deutschen ein
‘unüberwindliches Lob”, und wollte man mit den Er-
klärern verstehen ‘unübertroffenes Lob”, so wäre damit
dem Zusammenhang schlecht gedient: Phaedrus be-
klagt sich, dass man ihm die gebührende Anerkennung
versage; unmôglich also kann er behaupten, er habe
mit unübertroffenem Lobe sich der Poesie gewidmet.
Sinngemäss ist was Wakefield Silv. crit. 1 p. 64 vor-
schlug,
et laudis avidus vitam in hanc incubuerim.
Nur erscheint avidus als zu stark (es war dafür ein
Begriff wie studiosus zu setzen), und die Ânderung ist
um der Gewaltsamkeit willen unwahrscheinlich. Wie
ich glaube, liegt hier dieselbe Entstellung vor wie bei
Babrius 59, 17:
reo@ TL notelv, Tov JCVOV ÊÈ HN XPIVELV,
wo zu schreiben ist roy œJovoy à’ £a yœigerv. Eine
beigeschriebene Erklärung "
n PLVELY
rôv oJévov Ô” Éx yæipetv,
womit gemeint war tov pJ6voy dE un ëx xoivetv, Wurde
falsch verstanden und verdrängte die ursprüngliche
Lesart. So dürfte Phaedrus geschrieben haben
et laude ductus vitam in hanc incubuerim.
War ductus von einem Erklürer durch énvitatus
glossirt in der Weise, dass über duc die Buchstaben
invita gesetzt waren, so konnte laude ductus leicht zu
laude invita verballhornt werden. Mit dem Ausdruck
laude ductus vel. Cic. pro Archia poeta 11, 26: érahi-
mur omnes laudis studio, et oplimus quisque maxime
gloria ducitur.
LIL, 2,8 f:
videre agrestes: alii fustes congerun,
alii onerant saxis, quidam contra miseriti —.
Die Lateinischen Dichter haben fast alle Metra,
deren sie sich bedienten, aus Hellas entlehnt. Indem
sie die Griechische Literatur studirten, widerfuhr
ihnen dasselbe, was uns auf Schritt und Tritt begegnet:
sie liessen sich täuschen durch fehlerhafte, von den
Alexandrinischen Grammatikern überkommene Texte.
In der überaus umfangreichen epischen und elegischen
Poesie der Griechen finden wir keinen einzigen Hexa-
meter, von dem sich behaupten liesse dass er nur
Spondeen enthielte; die Lateiner gestatteten sich
Verse wie ol respondit rex Albai longai
und introducuntur legati Minturnenses,
nur darum Weil Alexandrinische Grammatiker eine
Anzahl von zwôülfsilbigen Versen bei Homer entdeckt
zu haben glaubten (vgl. E 500 und Bulletin XXII
p. 28 oder Mélanges Gréco-Rom. IV p. 128 f.). Eben
so gründet sich die in der Lateinischen Poesie keines-
wegs seltene Elision der Schlusssilbe des daktylischen
Hexameters auf die schwerlich berechtigte Annahme,
dass an drei Stellen der Ilias Zfvx zu Ende des Verses
elidirt sei. In gleicher Weïse mochten Verse wie
OcoxAdUEvoy Gpoev’ eUbyEv} Te mapdévov, |
wo OcoxAdpevoy (richtiger vielleicht OevxAduevoy) vier-
silbig zu sprechen ist, die irrige Voraussetzung her-
vorrufen, dass die Griechischen Dichter im iambischen
Trimeter den Proceleusmaticus zugelassen hätten. Kein
Grieche hat diese für jedes gebildete Ohr unerträg-
liche Licenz jemals sich gestattet”): die Rômer schei-
Neun Belege dieser Licenz pat Frais in der zweïiten Auf-
+ der te p. 328 nachweisen zu
“2 D: 682: oÙTOs TIG Es 233 pret 7! SIYÈS; oux Épeîc;
Auf den Tribrachys > AËYE Tr folgt de er Anapaest y0 *t s1-. Wie die
fehlerhafte Stelle zu emendiren sei, habe ich schon früher gezeigt
rar XXX p. 107 — Mélanges Gréco-Rom. 4 p. 216 A?
ys. 1148: aüexiomes" GA 6 rpwxtôc dpurov &e xukéc. Die
Arte “Verbindung von Tribrachys und Anapaest (4ôtxt- und
ous AN) beruht auf einer Conjectur von Dindorf: die Hand-
schriften bieten &èmxioùmss oder adtxopec: adrxeümues schreibt Mei-
HE. Ar. Thesm. 285: 70 roravov, érwc ÀAuBoïox Jucw toïv Jecïv.
Wiederum Tribrachys und Anapaest: natürlich ist +5 zu tilgen mit
G. Hermann. +
IV. Ar. 1283: oxuTaht Epépouv: vuvi à’ Urogtpé days av.
Tribrachys und _Anapaest, éxurahtopépouvr vüy à schrieb Porson,
ae ist Épépouv cxutaux vÜv d’ vorzuziehen.
esp. 1169: wèt rpobus TOUPEPOV TL Sasrhaxen so, Tri-
brachys ui Anapaest, dcatxwwcov Dindorf nach Rosychins und . D :
L
451
Bulletin de l’Académie Impériale
452
nen wie sonst so auch in dieser Hinsicht weniger skru-
pulôs gewesen zu sein. Gleichwohl halte ich den Vers-
anfang ;
alii onerant sais,
wo auf den ersten Fuss nicht weniger als fünf Silben
(zwei Kürzen, eine Länge und wieder zwei Kürzen)
kommen, für absolut unmôglich. Es kann keinem
Zweifel unterliegen, dass wir herzustellen haben, was
ich im J. 1869 vorschlug, pars onerant saxis. Die
Gegenüberstellung von ali und pars findet sich überaus
häufig: ein Abschreiben mochte alii — ali für natür-
licher halten. Bedenklich scheint mir auch die von
Müller in der zweiten Ausgabe aufgenommene Lesart
der Handschriften PR bei Phaedrus IV, 11, 12:
ilaque hodie nec lucernam de flamma deum
nec de lucerna fas est accendi sacrum.
Das von Bongars vermuthete, ehemals von Müller ge-
billigte a hodie bezeichnet dieser jetzt p. XI als
vitiosum. Indess finden wir ia ganz eben so gebraucht
IV, 16, 14: üa nunc libido pravo fruitur gaudio, und
nicht anders in der von Müller gedichteten Fabel 10,
9: ia solus caecis noctibus semper volat. Zu Gunsten
des handschriftlichen éaque hodie ({V, 11, 12) kann
man sich aber berufen auf Seneca Tro. 945: vide ut
animus ingens lactus audierit necem.
III, 7, 2—4:
Cani perpasto macie confectus lupus
forte occurrit. dein salutantes invicem
ut restiterunt: ‘unde sic, quaeso, nites?”
Durchaus richtig hat Bentley forte occucurrit geschrie-
ben. Über die Fassung der nächsten Worte dein salu-
VI DE on 1356: ro yap vitdcov Tnoet jus, xdott dUcxokov. Zwei
Anapaest
VIL. Ne Eù 676: &yw D à xoplavv” ETotunv drodpapwv (0rEx".
àpæuwv R). Ein sphère entsteht, falls UTEXÈPAAOY
i m übrigen die bandschr iftliche Lesart
drexdoauwv vermuthet
ëyo > er td ROPIU VV”
e.
VII. Ar. fr. 124 D. (Com. 2 p. 1092) bei Erotian. p. 134, 4:
RApÉTA xatérpuev iuana xärerrt rws. Tribrachys und Anapaëst.
Dass æupéco (mit diesem Accent) sinnlos ist, braueht nicht gesagt zu
werden.
IX. C. I. 569 p. 493 (Corp. Inscr. Att. II 1355): SE Tôv Er!)ot-
nov év Bio xp0vov xaXüc. Daktylus und Anapaest. {A tv érihorov
_ vermuthete Meineke.
Unter den neun v von Christ Son Stellen zeigt somit nur
eine (VIT) die Licenz eines Pro smaticus, und an dieser einen
Stelle peer die Lesart. Nicht. évrihn t hat Christ Ar. Vesp. 967:
Fe durpôv’, Ekéer rodç TaAxTwpoUpE vous,
wo © Oaiuoy, EXCer zu schreiben ist mit Bentley.
tantes (so PR, salutati V) sind die Meinungen der
Herausgeber getheilt. Gegen Bentleys Schreibung dein
salutans invicem ist geltend zu machen, dass invicem
weder mit salutans noch, wie Bentley wollte, mit resti-
terunt verbunden werden kann: denkbar wäre wéerque
restitit und ambo restiterunt, nicht aber restiterunt in-
vicem. Orellis Eiïinfall dein salutatum invicem würde
ich mit Stillschweigen übergehen, wenn nicht die neu-
sten Herausgeber für dies todtgeborne Kind einge-
treten Wären. Es genügt zu bemerken, dass das soge-
nannte Supinum salutatum nur mit einem Verbum der
Bewegung, nicht aber des Stehenbleibens verbunden
werden kann, und dass auch ein grammatisch correcter
Ausdruck, wie etwa salutandi causa (oder salutaturi)
restiterunt hier befremdlich wäre, da man, um zu
grüssen, nicht stehen zu bleiben braucht. Die über-
flüssigen und stôrenden Worte dein — restiterunt sind
hinzugefügt von einem Interpolator, der die fehler-
hafte Schreibung forte occurrit bereits vorfand und zu
diesem Fehler einen zweiten hinzufügte, indem er in
saluto das a dehnte. Man bessere
Cani perpasto macie confectus lupus
forte occucurrit: ‘unde sic, quaeso, nites2?
So ergibt sich ohne weiteres, dass der Wolf es ist, der
mit den Worten unde sic, quaeso, nites? den Hund an-
redet. Vgl. IT, 8, 22: haec inter ipse dominus «a cena
redit. accedit ad praesepe: ‘eur frondis parum est?” V,
5, 38: at ile profert ipsum porcellum e Sinu [turpem-
que aperto pignore errorem probans]: ‘en hic declarat
quales sitis indices’ (wo der eingeklammerte Vers un-
echt zu, sein scheint). App. 29, 2: Papilio vespam
propter _—_—. viderat: ‘o sortem iniquam! dum vive-
bant corpora — |
In der onchfslpendin Erzählung (ILE, 7) sind vier
Verse (21—24) an eine falsche Stelle verschlagen.
Die Fabel wird etwa so zu schreiben sein:
Quam dulcis sit libertas, breviter proloquar.
Cani perpasto macie confectus lupus
forte occucurrit. ‘unde sic, quaeso, nites
aut quo cibo fecisti tantum corporis?
eg0, qui sum longe fortior, perco fame’.
canis simpliciter: «eadem est condicio tibi,
praestare domino si par officium potes».
‘quod? inquit ille. «custos ut sis liminis,
a furibus tucaris et noctu domum».
‘ego vero sum paratus, nune patior nives
8: 4
453 des Sciences
de Saint-Pétersbourg.
454
imbresque in silvis asperam vilam trahens’.
«quanto est facilius mihi sub tecto vivere
et otiosum largo satiari cibo. 14
afjertur ultro panis, de mensa sua
dat ossa dominus, frusta ractat familia
et quod fastidit quisque pulmentarium.
sic sine labore venter impletur meus.
vent ergo mecum». dum procedunt, adspicit 15
lupus à catena collum detritum canis.
unde hoc, amice?? «nihil est». ‘dic, quaeso, tamen’.
«quia videor acer, alligant me interdiu,
luce ut quiescam cet vigilem, nox cum venerit:
crepusculo solutus qua visum est vagor».
‘age, abire si quo est animus, est licentia?”
«non plane est» inquit. ‘frucre quae laudas, canis:
regnare nolo, liber ut-non sim mih?.
Dass die Verse 21-—24 in der überlieferten Folge
storend sind, erkannte auch A. Riese: nur irrte er,
wenn er sie unmittelbar nach V. 5 stellen wollte. Auch
durfte er nicht V. 13 und 14 zu der Rede des Wolfes
zichen.
III, 14. Aesopus spielt in einer Knabenschaar mit
Nüssen und bemerkt, dass er von einem Athener des-
halb verspottet wird. Darauf legt er mitten auf den
Weg einen abgespannten Bogen und richtet an den
Spütter die Worte ‘expedi quid fecerim, Das Volk
läuft zusammen, ille se torquet diu
nec quaestionis positae causam intellegit, ,
novissime succumbit. /
Aesopus will wissen, was er mit dem Niederlegen des
abgespannten Bogens habe sagen wollen. Darum môchte
ich vorziehen nec quaestionis positue sensum intellegit,
val. IV, 5, 19: postquam consumpta est temporis longi
mora nec testamenti potuit sensus colligi. Freilich er-
scheint auch quaestionis als anstüssig: vielleicht ist der
überflüssige Vers zu tilgen mit V.
IV pr. In der Widmung an Particulo heisst es:
mihi parta laus est, quod tu, quod similes tui
vestras in chartas verba transferetis mea
d'ignumque longa iudicatis memoria.
Den metrischen Fehler des mittleren Verses hat Pithoeus
durch die Correctur #ransfertis gehoben. Über den Sinn
des Verses sind verschiedene Ansichten ausgesprochen
worden. Burmann meinte, Particulo habe die Fabeln
. des Phaedrus nach dessen Vortrag niedergeschrieben.
Die uns vorliegenden Worte besagen vielmehr, Parti-
L
Le
[ea]
ca
[Le
©
| culo und andere ihm ähnliche Männer hätten in ihren
Schriften Worte des Phaedrus gebraucht. Denn vestras
in chartas kann nicht wohl anders verstanden werden
als in dem Sinne von vestros in libros. So ist mea charta
synonym mit meus liber bei Hor. Epist. 1, 13, 6. meue
chartae — mea carmina Hor. Carm. 4, 9, 31. Socra-
ticae chartae (philosophische Schriften) Hor. A. P.
310. Graecae chartae (Griechische Literatur) Hor.
Epist. 2, 1, 161. Ebenso Phaedrus IV ep. 5 f.:
Particulo, chartis nomen victurum meis,
Latinis dum manebit pretium litteris.
Aus dieser Stelle geht hervor, dass Particulo zwar ein
Freund der Fabelpoesie war, nicht aber selbst mit
literarischen Arbeiten sich beschäftigte: denn sein
Name soll durch die Fabeln des Phaedrus, nicht durch
eigene schriftstellerische Leistungen verewigt werden.
Folglich kann bei den Worten quod vestras in chartas
verba transfertis mea an eine Verwendung der Worte
des Phaedrus für literarische Arbeiten nicht gedacht
werden, d, h. diese Worte sind entweder so ungeschickt,
dass ein Missverständniss als unvermeidlich erscheint,
oder der uns vorliegende Text ist fehlerhaft. Für letz-
tere Annahme spricht V. 20. Das Werk eines Schrift-
stellers Zonga memoria dignum iudicare heiïsst es für
würdig erachten der Nachwelt überliefert zu werden.
Dem Andenken später Geschlechter werden aber die
Fabeln des Phaedrus erhalten nicht dadurch, dass ein
Freund des Dichters sie privatos in usus niederschreibt,
ebensowenig dadurch, dass einzelne Worte oder Ge-
danken des Dichters von irgend einem Literaten, der
sich mit fremden Federn schmückt, entlehnt werden,
sondern nur dadurch, dass sie eine Aufnahme finden
in ôffentlichen Bibliotheken oder in den Sammlungen
von Privatpersonen. Ein Herausgeber des Phaedrus,
C. W. Nauck, bemerkt zu V..18: ‘ransfertis ist
wohl nicht éransscribitis, sondern: euren Sammlungen
(chartae) einverleibt; longa memoria V. 19 ïst dann
ziemlich gleichbedeutend mit quae longum in aevum
adserventur. Damit ist allerdings der hier erforder-
liche Gedanke genau präcisirt; nur sehe ich nicht, wie
dieser Gedanke in den uns vorliegenden Worten ent-
halten sein kann: weder ist verba mea so viel als scripta
mea, noch kann vestras in chartas bedeuten vestras in
bibliothecas. Ausserdem ist in V. 20 noch ein Anstoss,
den die Herausgeber, wie es scheint, nicht bemerkt
haben: ich meine die Form dignum, die sich meinem
À _ haben dûürfte haec mihi
4 die Richtigkeit meiner Vermuthung hat neuerdings A. Sonny
Rhein. Mus. 41 p. 475 erbracht aus lustinus 17,
455
Bulletin de lAcadémie Impériale
456
Verständniss entzieht. Die obigen Verse dürften so
berzustellen sein:
mihi parta laus est, quod tu, quod similes tui
vestras in capsas chartas transfertis meas
dignasque longa iudicatis memoria.
Denn capsae sind, wie Kiessling Hor. Sat. 1, 4, 22
sagt, die zur Aufnahme der Buchrollen bestimmten
Kapseln.
IV,22, 9. Phaedrus fürchtet, eine missgünstige Kritik
werde das Gelungene in seinen Gedichten dem Aesopus
zuschreiben, das weuiger Gefällige ïhm zur Last legen.
Darum erklärt er, der Fabelstoff sei Eigenthum seines
. Vorgängers, von ihm selbst rühre her die Bearbeitung
(invenit ille, nostra perfecit manus). Darauf heisst es
nach den Handschriften PR:
sed exsequamur coeptum propositum ordinem.
In der ersten Ausgabe schrieb Müller cocptum pro-
positi ordinem mit Pithoeus; nicht für einleuchtend
richtig, wohl aber für wahrscheinlicher halte ich das
in der zweiten Ausgabe vorgezogene coepti propositum
ordinem, das sich schon bei C. W. Nauck, dessen Be-
arbeitung im J. 1855 erschien, im Texte findet. Ent-
schieden unzulässig ist hier, wo es sich nicht um die
Ausführung eines Vorhabens, sondern um die Fort-
setzung des Begonnenen handelt ( pergamus in instituto,
erklärt Schwabe) das Verbum exsequamur. Wie es
heisst bei Livius 6, 33, 2: quo minus incepta perse-
querentur, so kann hier nur persequamur stehen.
IV, 23, 5. Simonides bereiste die berühmten Städte
- Asiens,
mercede accepta laudes victorum canens.
In dem früheren Aufsatze habe ich mercede pacta vor-
= geschlagen (Bulletin XXVI p. 266 oder Mélanges
. Gréco-Rom. IV p. 687 f.), dabei aber übersehen, dass
schon Heinsius pacta als nothwendig erkannt lâtie.
Eine Bestätigung der an sich einleuchtenden Emen-
= dation bietet Quintil. 11, 2, 11: (Simonides) cum pu-
Fe.
carmen — mercede Re conscripsisset *).
‘4 Bei Verg. Aen. 2, 97 bieten die Handschriften si Ausgaben:
hinc mihi prima mali res bes, hine semper Utixe
criminibus Dbrare tue
Vor mehr als zwanzig Jahren (Bulletin XII p. 537 oder Mélanges
Gréco-Rom. IIE p. 89) erin nerte ich, dass der Dichter geschrieben
à labes. Den urkundlichen Beweis
1, 5: haec di prima
mali labes, dns werden die Herausgeber der Aeneis hierduroh
V, 5, 12. Ein renommirter Possenreisser macht be-
kannt, er werde ein im Theater noch nie gesehenes
Schauspiel zum Besten geben, und das Publikum strômt
ihm zu:
paulo ante vacua turbam deficiunt loca.
Die von C. W. Nauck vorgetragene Erklärung, dass
paulo ante bedeute ‘cum iam in eo esset ut proferretur
spectaculum’, also ‘kurz vor dem Beginn der Vorstel-
lung”, ist nach dem Zusammenhang schlechterdings
unmôglich, da weder in dem angeführten noch in dem
unmittelbar vorhergehenden Verse (dispersus Yumor
civitatem concitat, Wo ich convocat vorziehen môchte)
von der Vorstellung geredet wird. Offenbar besagt der
uns vorliegende Text, dass die Plätze vorher leer waren
und jetzt fehlen. Dies ist ein wunderlicher Gegensatz,
wie er einem vernünftigen Menschen unmôglich zuge-
traut werden kann: den leeren Plätzen waren die über-
füllten, den fehlenden Plätzen die reichlich vorhan-
denen gegenüberzustellen. Offenbar ist deficiunt ein
recht unpassendes Glossem, das den echten Wortlaut
verdrängt hat. Wie ich glaube, schrieb Phaedrus
paulo ante vacua turbam vix capiunt loca.
Entsprechend Terent. Heaut. 254: di boni, quid turbae
est: aedes nostrae vix capient, scio.
Am folgenden Tage findet ein Wettstreit statt zwi-
schen dem Possenreisser und dem Bauer (V. 27 f.):
scurra degrunnit prior
movctque plausus et clamores suscitat.
Angemessener dürfte sein clamores excitat.
Das versammelte Publikum findet, der Possenreisser
habe weit besser als der Bauer das Grunzen des Schwei-
nes nachgeahmt (V. 34 f.):
acclamat populus scurram multo similius
imilatum et cogit rusticum trudi foras.
Nicht acclamat war zu sagen, sondern succlamat. Vgl.
V, 1, 4: vulgus certatim ruit ‘feliciter succlamans.
Auch die Worte (populus) cogit rusticum trudi foras
kann ich nicht für richtig halten, und zwar liegt, wie
längst Tzschucke bemerkt hat, Fe Fehler in cogit.
Dies Verbum wäre am Platze, wenn es hiesse populus
cogit rusticum abire: dagegen populus cogit rusticum
foras trudi ist ebenso undenkbar, wie im Deutschen
‘das Volk zwingt den Bauer hinausgeworfen zu werden’.
sich bewogen sehen von einer des otébiehu hi Notiz zu nehmen,
die sie bisher meines Wissens keiner Beachtung gewürdigt haben.
457
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
458
Die ursprüngliche Lesart dürfte sein poscit rusticum
trudi foras. Waren in poscit die ersten Buchstaben
verdunkelt, so konnte das nachgebliebene cit leicht in
c[oglit verwandelt werden.
V, 7, 13. Der Flôtenbläser Princeps hat infolge
eines Beinbruches mehrere Monate hindurch das Zim-
mer hüten müssen und ist deshalb vom Theaterpubli-
kum vermisst worden:
ut spectatorum mos est et lepidum genus,
desiderari coepit.
Dass statt "”0s ein Adiectivum verlangt wird, hat
Müller richtig erkannt: ob jedoch seine Vermuthung
mollest Billigung verdient, môchte ich bezweifeln. Ich
ziehe vor ut spectatorum come est et lepidum genus.
Eben diese Adiectiva verbindet Terent. Hecyr. 837:
benigno et lepido et comi.
V, 8 lautet in den Handschriften:
Cursu volucri, pendens in novacula,
- calvus comosa fronte, nudo corpore,
quem si occuparis, teneas, elapsum semel
non ipse possit Tuppiter reprehendere,
occasionem rerum Significat brevem.
effectus impediret ne segnis mora,
finxere antiqui talem effigiem temporis.
Das unmôügliche corpore V. 2 ist, wie Schwabe IT p. 390
anmerkt, in der editio Bipontina beseitigt worden
durch die einleuchtende Emendation occipitio. Statt
reprehendere hat Nevelet reprendere geschrieben. Dies
ist meines Wissens alles was für die Emendation der
obigen Worte bis jetzt geleistet worden ist: denn einige
uurichtige Vermuthungen, zu denen auch Bentleys
übereilter Einfall cursu ille volucri V. 1 gehôrt, künnen
nicht in Betracht kommen. In dem mitgetheilten Texte
aber sind noch manche und zwar recht augenfällige
Fehler enthaltén, die zum Theil wenigstens, wie mir
scheint, mit vollkommener Sicherheit gehoben werden
kônnen, falls wir nicht die Mühe scheuen bei der Be-
handlung des Phaedrus auch auf andere Autoren unser
Augenmerk zu richten.
… Phaedrus bezieht sich in der uns vorliegenden Stelle,
wie längst bemerkt ist, auf eine berühmte Statue des
Lysippus, über die wir genauer unterrichtet sind durch
ein Epigramm des Posidippus Anthol. Plan. 275 wie
durch Callistratus Descr. 6 und Himerius (Ecl. 14, 1) bei
Photius Bibl. p. 371b 6, womit zu vergleichen Auso-
nius _— 33 p. 323 f. Peip. und Photius Epist.
XXXII.
A
240 p. 549 Ba. Bekanntlich hatte Lysippus darge-
stellt den Kaupos d. h. den rechten Augenblick, der rasch
enteilt und, falls man ihn unbenutzt lässt, unwieder-
bringlich verloren ist. Auf einem groben Missverständ-
niss beruht es, wenn Georgius Cedrenus und Tzetzes
behaupten, Lysippus habe den Xo6voc dargestellt *).
Der ypovoc ist Luxoèc xävapiduntos, endlos und ewig,
der Koœpcc dagegen kurz und flüchtig. Personificirt
man beide Begriffe, so wird der Xoéves als Greis zu
denken sein (vgl. yépwy yp0vos Nonn. Dion. 21, 160),
wogegen der Katpé von Lysippus als Knabe oder
Jüngling dargestellt wurde, wie Jon in einem Hymnus
ihn nannte vewtatoy maiîwv Auôce (Paus. 5, 14, 9).
Durchaus richtig wird Ka bei Phaedrus V. 5 wie
bei Ausonius durch das Wort occasio wiedergegeben;
unmôglich aber kann derselbe Phaedrus von einer
effigies temporis geredet haben. Schon Bentley hat die
in den Codices sich findende Überschrift unserer Fabel
Tempus als unstatthaft beseitigt und dafür Occasio de-
picta gesetzt: gleichwohl ist die Quelle dieser Über-
schrift, das von einem Spätling hinzugefügte Epi-
mythium, meines Wissens von niemand verdächtigt
worden. Die Verse
cffectus impediret ne segnis mora,
finxere antiqui talem effigiem temporis
verrathen sich als Fälschung theils durch das unge-
hürige effigiem temporis, theïls durch die ungeschickte
Ausdrucksweise des vorhergehenden Verses. Das Epi-
mythium ist einfach zu tilgen.
Statt calous comosa fronte, nudo occipitio V. 2
wäre angemessener puer comosa fronte, calvo occipitio,
doch mag ich die überlieferte Lesart nicht unbedingt
verwerfen, da nudo statt des genaueren calvo sich
stützen lässt durch Himerius, mout raôa vo eldoc afpév,
tv daxunv Epnéov, xouGvTa LÈv To Ex xpoTdapuv els jLE-
TWTOV, YULLVOV ÔË TÔ Ocoy Éxetdev Èni Ta VOTE luepile-
ra. Sicher dagegen scheint mir dass bei Phaedrus der
letzte Vers eine falsche Stelle einnimmt. Man bessere:
Cursu volucri, pendens in novacula,
calvus comosa fronte, nudo occipitio, 2
5
occasionem rerum significat brevem,
5) Cedrenus vol. 1 p. 564, 16: xat ro roy XP6VOY HLOEVOV
&yaua, Épyoy AuGirrov, SmodeEv pue v Pa IX PO, Eurposdey Bè x
Tzetzes Chil. 8, 431: oùtos à Evwwv vLoG ê AUTE
XOBDV,
10, Hu
30
mroc © TAGGTNS —
TAVGÉQUE retient où ypovou Thv Elxéva, und es ähnlich Chil.
e
+
° 459
Bulletin de l’Académie Impériale
460
quam si occuparis teneas, elapsam semel 3
non ipse possit Luppiter reprehendere.
App. 2. ‘Hätte die Natur nach meinem Dafürhalten
das Menschengeschlecht gebildet, so würden uns alle
Vortheile verliehen worden sein, die jetzt einzelnen
Thieren zugefallen sind (e/ephanti vires, leonis impetus,
cornicis aevum u. s. W.), und zugleich würde der
Mensch über die ihm eigenthümlichen Gaben ver-
fügen’. Wem diese Worte (V. 1—8) in den Mund ge-
legt werden, erfahren wir nicht: vermuthlich sind zu
nu einige Verse verloren gegangen. Darauf heisst
, mit Vorbedacht habe Iuppiter der menschlichen
N dur gewisse Schranken gezogen:
nimirum in caelo secum ridet Tuppiter,
haec qui negavit magno consilio hominis, 10
ne sceptrum mundi raperet nostra audacia.
V. 10 schrieb Müller ehemals #agno haec consilio
qui negavit hominibus, was er später mit Recht ver-
worfen hat aus einem metrischen Grunde (vgl. p. IX f.).
Gegen das neuerdings von ihm gesetzte magno haec
consilio qui negavit muminis spricht der Sion: mir
wenigstens ist nwminis durchaus unverständlich, wäh-
rend ein Dativus (homini oder hominibus oder nobis)
nicht wohl fehlen darf, und statt des befremdlichen
magno wird ein Begriff wie prudenti oder sapienti er-
wartet. Vielleicht ist zu schreiben haec qui negavit
_ nobis consilio cato. Vgl. Plaut. Epid. 258: dederim
vobis consilium catum.
An die eben besprochene Stelle schliesst sich die
Mahnung (V. 12—14):
ergo contenti munere invicti Tovis
fatalis annos decurramus temporis
nec plus conemur quam sinit mortalitas.
Der mittlere Vers besagt nichts anderes als vä#am de-
gamus oder (nach IV, 1, 2) vitam decurramus. Wie
wunderlich es ist, statt vifum zu sagen fatalis annos
temporis, bedarf keines Nachweises: gerade der Haupt-
us begriff via wird hier vermisst, und fatalis erscheint
wo vitale tempus gesagt ist wie bei Plautus Poen. 1 187:
als ungehürig, da man weder an den Tod noch an eine
_ verhängnissvolle Bestimmung des Schicksals zu denken
hat. Natürlich ist herzustellen
vitalis annos decurramus temporis,
luppiter, per quem vivimus vitalem aevom. — Einem
J | | Interpolator gehôürt der Schlussvers,
nec plus c conemur _—. snit __—.
{schon Haupt bemerkt hat:
V, 1—8 war gesagt, dem Menschen würde besser ge-
dient sein, wenn er neben den Vorzügen seiner Natur
die Vollkommenheiten gewisser Thiere besässe, die
Kraft des Elephanten, das Ungestüm des Lüwen, das
lange Lcben der Krähe u. dgl.; es handelte sich nicht
um den Gegensatz zwischen den sterblichen Menschen
und den unsterblichen Güttern, sondern nur um eine
Steigerung der menschlichen Natur durch Beigabe
der Virtuosität gewisser Thiere. Somit ist die Erwäh-
vung der Sterblichkeit des Menschengeschlechtes hier
widersinnig. Nicht minder verkehrt ist die Mahnung,
ne plus conemur quam sinit mortalitas. Wenn Gott
dafür gesorgt hat dass die Bäume nicht bis zum Him-
mel empor wachsen, so sind eben dem Wachsthum
der Bäume Schranken gesetzt, über die hinauszukom-
men sie nicht vermügen, und wenn luppiter dem Men-
schen die Kraft des Elephanten und das lange Leben
der Krähe versagt hat, so ist und bleibt der Mensch
schwächer als der Elephant und kurzlebiger als die
Krähe. Die Mahnung, der Mensch môge nicht mebr
versuchen als ihm gestattet sei, er solle nicht ver-
_suchen so stark zu sein wie der Elephant, so lange zu
leben wie die Krähe u. s. w., ist nicht nur überflüssig,
sondern durchaus sinnlos.
App. 9, 1—4:
cum castitatem Luno laudaret suam,
. tocunditatis causa non repellit Venus,
nullamque ut affirmaret esse illi parem,
interrogasse sic gallinam dicitur.
V. 2 schreibt Müller iocunditatis causam non sprevit
Venus. It die Ânderung non sprevit berechtigt, so
wird statt causam mit Haupt Opusc. 3 p. 366 ansam
herzustellen sein. Am Schlusse des dritten Verses
bietet Müller ipsi inparem mit der Bemerkung dass
schon Orelli émparem vermuthet habe. Allerdings ist
ipsi nothwendig, inparem dagegen halte ich für absolat
unstatthaft. Venus will beweisen, dass alle Frauen
wollüstig seien oder, wie hier gesagt wird, dass keine
Frau ihr (der Venus) gewachsen sei, sondern alle der
Macht der Liebesgôttin unterliegen. Für diesen hier
zu erwartenden Gedanken ist ämparem unmôglich, wie
‘ineptum est quod addit
(Orelli) sententiam requirere videri esse sibi imparem’.
Einen kleinen Febler enthält der Schlussvers:
risisse Zuno dicitur Veneris ivcos, .
quia per gallinam denotavit feminas.
‘
AG
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
462
Das unpassende quia ist aus quae entstanden. Erst
durch die Herstellung des Pronomen wird klar dass
zu denotavit, wofür ich mit Burmann denotarat vor-
ziehen môchte, Venus als Subjekt zu denken ist.
App. 10, 1—5:
Paterfamilias saevum habebat filium.
hic e conspectu cum patris recesserat,
verberibus servos afficiebat plurimis
et exercebat fervidam adolescentiam.
Aesopus ergo narrat hoc breviter seni. 5
Dass der Vater des übermüthigen und gewaltthätigen
Jünglings ein Greis war, wird V. 5 als bekannt vor-
ausgesetzt, obwohl dieser Umstand mit keiner Silbe
bezeichnet oder angedeutet war: statt sent wäre natür-
licher patri. Aber auch ein derartiger Zusatz erscheint
als wenig angemessen, sofern die an einen concreten
Fall anknüpfenden Fabeln des Aesopus nicht sowohl
für eine einzelne Person als für das gesammte Publi-
kum bestimmt sind. Vel. I, 2, 9: cum trisiem servi-
tutem flerent Attici— Aesopus talem tum fabellam ret-
tulit. I, 6, 2: vicini furis celebres vidit aie Aeso-
: cum de for- |
* tunis quidam quereretur suis, pme si consolandi
pus el one narrare incipit. IV, 18,
gratia. Hiernach môchte ich glauben, dass in den
obigen Worten seni auf einem namentlich zu Ende
des Verses sehr erklärlichen Fehler beruht. Man sollte
erwarten senex, eine bei Phaedrus nicht seltene Be-
zeichnung des Aesopus. Vel. IlL-pr. 8: equidem omni
cura morem servabo senis. TT, 3, 14: Aesopus ibi
stans, naris emunctae senex. Entsprechend IIT, 14,
Œ AO ENV, 18,2. App. 1.0
Aÿp. 11:
Victorém forte gymnici certaminis
iactantiorem cum vidisset Aesopus,
interrogavit an plus adversarius
valuisset eius. ille ‘ne istud dixeris,
multo fuere vires maiores meae.
quod, inquit, ergo, stulte, meruisti decus?
ferendus esses, forte si te diceres
. superasse qui esset melior viribus.
V. 2 schreibt man cum vidasset Phryx sophus nach
einer ansprechenden Vermuthung von Jannelli: nicht
minder denkbar wäre Zhryx senex. V. 7 erscheint forte
als anstüssig; ohne Zweifel ist mit Halbertsma Mnem.
nov. 6 p. 107 zu schreiben arte si le diceres superasse,
Lo |
so dass ars und vires einander gegenübergestellt wer- |
den. Im letzten Verse hat Müller die weder sichere
noch wahrscheinliche Vermuthung melior qui fuisset
viribus in den Text gesetzt: besser ist Studemunds
Vorschlag ‘qui esset melior quûm tu viribus’; vielleicht
genügt qui te melior esset. viribus.
App. 12:
Asinus iacentem vidit in prata lyram:
accessit et temptavit chordas ungula.
sonuere tactae. ‘bella res, sed me Hercules
male cessil inquit, ‘artis quia sum nescius.
si repperisset aliquis hanc prudentior, 5
divinis aures oblectasset cantibus’.
An diesen scheinbar fehlerlosen Text schliesst sich
die Nutzanwendung:
sic saepe ingenia calamitate intercidunt.
Mag dieses Epimythium vom ersten Erzähler her-
rübren oder, was ich für wahrscheinlicher halte, eine
spätere Zuthat sein, in jedem Falle bezog sich der Ver-
fasser auf eine von dem gangbaren Text etwas ab-
weichende Fassung der Verse 5 und*6. Es fragt sich,
welches éngenium calamitate intercidens in unserer
Fabel er vor Augen hatte. Unmôglich konnte er an
den Esel denken, der die Laute findet, aber von Musik
nichts versteht und darum den Fund nicht zu ver-
werthen weiss; ebenso wenig kommen Musikverständige
in Betracht, die zwar diese Laute nicht gefunden, aber
anderweitig ihr musikalisches Talent ausgebildet haben.
Somit ist bei dem durch ein Missgeschick verkomme-
nen Talent zu denken an die Laute. Auf die Laute
also bezog der Verfasser des Epimythium das oblec-
tasset, zu welchem nach dem auf uns gekommenen
Text nur aliquis als Subjekt ergänzt werdèn kann. Der
Verfasser des Epimythium las also
si repperisset aliquis te prudentior,
divinis aures oblectasses cantibus.
Diese Schreibung ist nicht nur älter, sondern auch
besser als die jetzige Lesart. Ainliche Entstellungen
(gratum esset statt grata esses und iucunda statt
iucunda es) finden wir [, 22,
APR IS ES
Post aliquot annos quaedam dilectum virum
_amisit et sarcophago corpus condidit :
a quo revelli nullo cum posset modo —
claram assecuta est famam castae mulieris.
V. 3 müchte ich divelli, nachher raram Sainte
Apps. 13, 20—23:
5 und App. 27,
: a
463
Bulletin de l’Académie Impériale
464
sollers acumen mille causas invenit,
per quas videre posset viduam saepius.
quotidiana capta consuetudine
paulatim facta est advenae submissior.
V. 20 und 21 handeln von dem zur Bewachung der
Leichen beorderten Soldaten, V. 22 und 23 von der
Wittwe. Man vermisst ein den Wechsel des Subjektes
bezeichnendes Pronomen. Darum müchte ich schreiben
quotidiana haec capta consuetudine.
ADR 21 ET:
Quidam per agros devium carpens iter
‘ave’ exaudivit, et moratus paululum,
adesse ut vidit neminem, cepit gradum.
iterum salutat idem ex occulto sonus.
voce hospitali confirmatus restitit, 5
ut, quisquis esset, par officium reciperet.
Hôüchst befremdlich: ist die Redeweise -cepit gradum
V.3, wo man erwarten sollte curpit viam. Ist diese
oder eine ähnliche Ânderung berechtigt, so wird V. 1
devium faciens üter vorzuziehen sein. Auch per agros
ist nicht frei von Bedenken: für. den hier erzählten
Vorgang, für den Wanderer, der einen weiten Weg
zurücklegt, wie für den Raben, der erst verborgen,
dann hoch fliegend sein ave ruft, eignet sich ein Wald
jedenfalls besser als Felder, Darum môchte ich fragen,
ob es erlaubt sei statt per agros etwa peregre zu ver-
muthen. Entschieden unrichtig ist confirmatus V. 5,
da weder an eine Ermuthigung noch an das Bestärkt-
werden in einem Entschluss oder in einer Meinung
hier gedacht werden kann: vermuthlich ist zu schreïben
| voce hospitali compellatus. Dem folgenden Verse wäre
besser gedient, wenn es hiesse par officium redderet
oder, falls eine so gewaltsame Ânderung zulässig sein
sollte, par pari rependeret.
App. 22: Pastor capellae cornu baculo fregerat:
rogare coepit, ne se domino proderet.
‘quamwis indigne laesa recitebo tamen,
. sed res clamabit ipsa quid deliqueris.
Vielmehr quis deliquerit, da der Hirt die Ziege ge-
beten hatte ne se proderet oder nach Babrius 3, 8 r&
Geonétn, Jiuatoæ, un 1e unvoons. Eine Spur der rich-
re Lesart findet sich im Vat., wo deliqueri steht
‘una post ri littera erasa”.
App. 31: Hoc qualecunque est, musa quod ludit mea,
nequilia pariter Luviié et frugalitas,
sed haec simpliciter, illa tacite trascitur.
Môgen diese Verse das Nachwort einer Fabel oder
einer grüsseren Sammlung bilden, unter allen Umstän-
den ist vorzuziehen musa quod lusit mea.
Das vorstehende Spicilegium wird, obwohl es bei
weitem nicht alle Schäden unseres Phaedrustextes be-
spricht, doch ausreichen um darzuthun, dass wir eine
den Anforderungen der Kritik genügende Ausgabe des
Fabulisten bis jetzt nicht besitzen.
Sollte ich bei meinen Vermuthungen hie und da die
Prioritätsrechte anderer verletzt haben, so mag die
Unzulänglichkeit der mir zu Gebote stehenden Hilfs-
mittel mich einigermaassen entschuldigen.
Der Bericht des Herrn Professor Chwolson über die
in dem Gebiete von Semiretschie aufgefundenen
syrischen Grabinschriften. Von Dr. W. Radloff.
(Lu le 8 Mars 1888).
Im Jahre 1886 hatte ich die Ehre, der Klasse einen
kurzen Bericht des Herrn Professor Chwolson über
syrische Grabsteine aus dem Gebiete von Semiretschije
vorzulegen. Seit dieser Zeit hat Herr Professor
Chwolson seine damals begonnene Untersuchung die-
ser interessanten Denkmäler längst verschwundener
christlicher Gemeinden, die die Nestorianer inmitten
der nôrdlichén Türkstämme gegründet hatten, mit un-
ermüdlichem Eïfer fortgesetzt und eine grosse Anzahl
von Inschriften entziffert, welche ihm durch Vermitt-
lung der Kaiserlichen Archäologischen Commission zur
Verfügung gestellt worden sind, Das von Herrn Pro-
fessor Chwolson untersuchte Material bilden 1) gegen
80 Grabsteine (unter diesen nur 15 undatirte), welche
sich jetzt im Asiatischen Museum befinden. Diese
Steine stammen mit Ausnahme von 6—7 Steinen alle
aus dem Friedhof bei Pischpek; 2) gegen 200 Photo-
graphien, die in der Stadt Wernyi angefertigt sind;
3) gegen 90 Papierabdrücke von datirten Inschriften
und 4) 35 Papierabdrücke von undatirten Inschriften,
davon 10 aus dem Friedhofe bei Tokmak.
Nachdem Herr Professor Chwolson jetzt diese :
seine Untersuchungen zum Abschlusse gebracht, hat
er sie zu einer grôsseren Abhandlung verarbeitet und
mir dieselbe übergeben, damit ich diese Frucht mehr-
jähriger Forschung der Klasse vorstelle.
465
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
466
Die Arbeit des Herrn Professor Chwolson besteht
aus einer Einleitung, welche die Auffindung und Ent-
zifferung der Grabinschriften und die äussere und innere
Beschaffenheit derselben und in ausführlicher Weise be-
handelt und eine Auseinandersetzung über die in den
Inschriften gebrauchten Daten enthält. Darauf folgt
der Text, die Übersetzung und Erklärung von etwa
160 datirten Inschriften aus der Zeit von 1249—1356
n. Chr. Geb. und ausserdem von etwa 35 undatirten
Inschriften. An diese Darstellung schliesst sich eine
Reihe von Abhandlungen an, die den Schriftcharakter,
die Spracheigenthümlichkeiten, kirchliche und andere
Würdenamen, Eulogien, andere Angaben über die Ver-
storbenen, historische Daten und die griechisch-rômi-
schen, biblischen, syrischen und türkischen Eigennamen
näher beleuchten.
Indem ich mit Freuden dem Wunsche des Herrn
Professor Chwoison nachkomme und diese wichtige
Arbeit. der Klasse vorlege, erlaube ich mir, der Klasse
vorzuschlagen, dieselbe in unseren Memoiren zum Ab-
druck zu bringen. Die wissenschaftliche Tüchtigkeit
des Verfassers und die Wichtigkeit des Gegenstandes
selbst, die schon aus dem in unseren Memoiren ver-
ôffentlichten Vorberichte zu ersehen ist, macht es hüchst
wünschenswerth, dass die vorliegende Arbeit müglichst
schleunig verôffentlicht werde und überhebt mich je-
des näheren Eingehens auf die durch sie gewonnenen
Resultate. An der Entzifferung der rein türkischen und
der gemisehten türkisch-syrischen Inschriften habe ich
selbst Antheil genommen und werde auf Wunsch des
Verfassers am Schlusse der Arbeit eine kurze Über-
sicht über die türkischen Elemente der Inschriften zu-
sammenstellen.
Über Phenylangelikasäure von A. von Gernet. (Lu le
29 Mars 1888.)
Die neuen theoretischen Anschauungen von J, Wis-
licenus haben das Studium der ungesättigten orga-
nischen Verbindungen besonders interessant gemacht.
Durch die Erkenntniss der Nothwendigkeit des Zu-
rückgreifens auf räumliche Gestaltung der chemi-
schen Formeln ist die Deutung der Konstitution iso- |
merer Verbindungen in ein neues Stadium getreten.
Als erstes Erforderniss stellt sich aber nunmehr ein |
ganz eingehendes Erforschen der Eigenschaften isome-
rer Kôrper dar. Von diesem Gesichtspunkt aus bot die
Untersuchung der Phenylangelikasäuren ein einladen-
des Material der Forschung dar.
Durch Erhitzen von Benzaldehyd mit Butyrylchlorid
auf 120—130° erhielten Fittig und Bieber'), bei
geringer Ausbeute, eine Säure O,,H,,0,, die bei 81°
schmolz, sich sehr schwer in kaltem Wasser lüste und
deren (in kaltem Wasser ziemlich schwer lüsliches)
Calcium- und Baryumsalz wasserfrei waren.
Später stellte W. H. Perkin°) durch Erhitzen von
2 Thl. Benzaldehyd mit 1 Thl. Natriumbutyrat und
3 Thl. Buttersäureanhydrid eine Phenylangelikasäure
dar, die bei 104° schmolz und sich wenig in kaltem
Wasser und Ligroïn lüste, Das Amid dieser Säure
schmolz bei 128”.
Nach den bisherigen theoretischen Anschauungen
müssten die nach beiden Methoden erhaltenen Säuren
identisch sein. Der Unterschied in den Schmelzpunkten
(81° und 104°) ist aber so gross, dass hier wohl ein
Fall von Isomerie vorliegen konnte. Auf den Rath des
Hrn. Prof. F. Beilstein unternahm ich deshalb eine
vergleichende Untersuchung der beiden Säuren, die
zum Ergebnisse führte, dass beide Säuren vollkommen
identisch sind.
1) Säure dargestellt nach Fittig und Bieber.
Die Darstellung erfolgte genau nach den Angaben .
dieser Chemiker. Die Ausbeute ist eine sehr geringe.
Die, nach den Angaben von F. und B. gereinigte
Säure schmolz bei 89°, war aber offenbar unrein. Im
Ligroïn fand ich ein treffliches Mittel zur Reindar-
stellung der Phenylangelikasäure. Beim Umkrystalli-
siren aus Ligroïn erhob sich der Schmelzpunkt rasch
auf 103° und blieb dann, bei weiterem Umkrystallisiren
aus Ligroïn, unverändert.
Lôslichkeit. 100 Thl. Ligroïn lüsen bei 20° 1,56
Thle. Phenylangelikasäure,
2) Säure dargestellt nach Perkin. Die Ausbeute
an Säure lässt nichts zu wünschen übrig und ist daher die-
ses Verfahren das geeïgnetste zur Darstellung der
Phenylangelikasäure. Die aus Ligroïn umkrystallisirte
Säure schmolz bei 103°. Krystallform, Lôüslichkeit und
1) éndes der Chemie a Lise pig 158, 364.
. 9) Jahresbericht der Chemie f. 1877, 5. 7!
467
Bulletin de l’Académie Impériale
468
allgemeines Verhalten war bei dieser Säure genau das
gleiche, wie bei der nach Fittig und Bieber darge-
stellten Säure.
Lôüslichkeit. 100 Thl. Ligroïn lôsen bei 20° 1,57.
Thle. Phenylangelikasäure.
Es unterliegt also gar keinem Zweifel. dass die nach
beiden Verfahren dargestellten Säuren identisch sind.
Phenylangelikasaures Magnesium.
Mg (C;,H,,0,) + H,0. 0,1695 g. Salz verloren bei
120° 0,0140 g. Wasser.
Berechnet.
8,3%,
Gefunden.
à H,0 2 3/4
Bei der Einwirkung von Natrium auf Buttersäure-
Benzylester erhielten Conrad und Hodgkinson (An.
193, 319), neben Benzylbuttersäure - Benzylester,
Buttersäure und bei 82° schmelzende Phenylangelika-
säure C;,H,,0,. Vielleicht ist dieselbe identisch mit
der im Obigen beschriebenen Säure. Ich wiederholte
den Versuch von Conrad und Hodgkinson, erhielt
aber nur eine solche unbedeutende Menge der Säure
CaH,0,, dass es mir unmôglich war, sie rein darzu-
stellen. Nur bei Arbeiten in grossem Maassstabe wird
sich eine zur Erforschung genügende Menge Material
gewinnen lassen.
Angenäherte Elemente und Ephemeride des Encke’-
schen Cometen für das Jahr 1888 von 0. Back-
lund und B. Seraphimoff, (Lu le 12 avril 1888.)
Die Untersuchungen über den Encke’schen Cometen
beziehen sich gegenwärtig auf eine müglichst genaue
Bestimmung der Merkursmasse und der Beschleunigung
der mittleren Bewegung; diese Untersuchungen sind
aber noch nicht 80 weit gediehen, dass die Vorausberech-
. nung der jetzt bevorstehenden Erscheinung in einheit-
lichem Zusammenhange mit den Stürungsrechnungen,
die für diese U t lig sind, ausgeführt
Le}
werden konnte. Es wurde deshalb auf eine strenge Be-
rechnung der Ephemeride für 1888 verzichtet.
Als Ausgangspunkt für unsere Rechnungen nahmen
wir das Elementensystem:
Epoche und Osculation 1884 Dec. 18,0 M. Z. Berl.
in — 336°15 11,09
57 45 18,63
334 36 56,32 |
158 39 45,91
M. Aequ. 1885,0.
“: 54 ë é: |
rire Se a | D 8 d
| L HW HU
nes 053121
— 1,88
>
ce.
wo &' und’ die von den RSR Storungen un-
abhängigen Veränderungen in & und @ während eines
Ümlaufes bedeuten. Unter Berücksichtigung der Stô-
rungen, welche der Comet durch die Planeten Venus,
Erde, Mars und Saturn im Zeitraume 1884 Dec.
18,0 — 1885 Aug. 10,0 und durch Jupiter im Zeit-
raume 1884 Dec. 18,0 — 1888 März 7,0 erlitten hat,
ermittelten wir das folgende System:
- Epoche und Osculation 1888 März 7,0 M. Z. Berl.
M =,2261953,61
o— 57 43 20,15
8 = 354,36 51,39)
7 — 158 35 56,54 | M. Aequ. 1888,0.
i— 1253 5,84
u — 1072/539695
Mit diesen Elementen ist die Ephemeride berechnet
worden. Die Unsicherheit derselben wird, in Folge der
vernachlässigten Stürungen, etwa 3° betragen; die Ge-
nauigkeit ist also für das Auffinden und Beobachten
des Cometen vollkommen genügend, besonders als er
erst in der Umgebung des Perihels sichtbar wird.
Überhaupt wird wohl der Comet nur auf der südli-
chen Halbkugel zu beobachten sein und wir ersuchen
daher die Herren Astronomen der südlichen Sternwar-
ten môüglichst zahlreiche ne rs anstellen zu
wollen.
«
469. des Sciences de Saint-Pétersbourg. 470
Ephemeride,
Log. Entfernung.
0" M. Z. Berl. RAY Diff, Decl. # Diff F4 v. © & v. ë
1888 Mai 12 244135 ae + 29°14/2 / 0,0311
F + 8 538 paf ua + 15,3 ? L
Jén CIS. 182 CS des be
4 y +- 3 46 A ic 1D0 , t ; 2
15 2 55 19 HE qe te AR DT Pine 0,0111 0,3087
16 2 59 10 + 93 147 0,0041 )
17 b 9.6 Maire: + 23 296 Here 9:9969 0:2965
18 8 7 7 + 93 444 où 9:9897 0:29
19 3 11 13 de 4- 23 59,0 + 14,6 9.9822 0:2891
20 3 15 24 Riu + 94 134 are 9,0745 02854
21 3 19 40 + 24 976 9:9666 02816
+ 4 22 + 14,1
22 324 2 + 24 41,7 9,9586 0,2778
4 98 ; + 18,9 ;
93 98 30 pet + 94 55,6 9,9503 0,2739
on m38 4 ra OT mer 99419 0/2700
25 3 37 44 in 4 95 29,2 te 9,0332 0,2661
26 3 42 81 te + 95 35,0 re 9,9243 0,261
27 3 47 2 + 95 474 ’ 99151 0,2581
28 «. 3 52 98 eo PR AE ES Meweru 99057 0,2541
29 3 57 29 HE Èe + 96 10,7 Due 8960
?: 941€
Fr de re m0 104 98760 0417
+ 5 29 + 98 d
Juni- 1 4 13 33 + 26 41,8 9,8653 0,2375
2 4 19 10 pti + 26 50,9 DR 9,8545 2333
3 4 94 55 ne fr + 26 59,1 ro 8435 0,2290
4 4 30 48 +97 65 4 9,8319 0/2247
5 4 36 49 SES + 97 181 me 9/8201 220
6 4 42 58 ar + 27 18,7 AR ;8080 0,2158
7 4 49 17 ad + 97 93,2 fra 9,7955 02113
8 4 55 45 dir + 27 26,4 REA CT __ 0,2068 ;
9 5 2 93 + 27 285 7 0,2022
10 5 9 10 Pt 4 97 294 0 9,7556 0,1975
| Le pos 9,7416 ),1928
1 5 16 5 + 27 98,8 0,1
12 5 923 RE + 97 963 #6 re 97273 : 0.1879
13 5 30 23 D + 27 220 av 9,7126 0,1830
14 5 37 46 Res + 27 15,8 RES 9,6976 0,1780
15 5 45 19 él loss mr “7. ’ 9,682 0,1729
+ 7 42 — 10,0
16 5.53. 1 tes + 26 57,6 res 9,6671 0.1676
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471
| Bulletin de l’Académie Impériale 472
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16 9 45 49 + 7 16 + 5 17,6 . 9,709 90202
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4 2 18 50 + 8 32 — 17 8,2 ts 99498 9 8556
5 12 27 22 + 8 32 — 18 10,5 PE 90581 as
6 128562 + 5 30 19101 ES 9,9662 D'8508
7 12 44 20 es La 90 — 54,6 oise 9,8628
8 12 62 44 res _— 91 539 (re 9,9893 A
. Le | | ee 996 9,8744
10 13 9 20 a _— 923 30,2 : 38
13 13 33 31 + 7 57 — 24 56,1 ous 0,017 98806
14 13 41 21 Rd Er M os nos
15 13 49 3 + 7 42 — 26 11,4 re 0,0508 99014
16 13 56 36 4.7 88 — 26 45,5 men 0,037 For
17 14 4 + 7 26 — 27 17,2 NE 435 0142
; 18 14 11 21 + 7 19 — 27 46,6 Fe 00496 9 9208
19 14 12 30 +7 9 — 22 15,7 mine 0856 90278
me 5 — 95,0 0,0556 9,9275
20 14 25 28 ein 29 1,7 Re à La
3 Hs ;
14 3 “k + 6 41 — 29 22,7 re 00730 09487
23 14 45 30 + 6 81 2 4,9 BA 0,070 995
24 4 51 52 + 6 22 re 46e 0,083) 9 9638
RE OR ea — 30 15,4 ". 0.0898 9°6708
15 4,10 +6 5 7. 80-29,8 mo 0,005
27 15 10 6 +- 5 56 — 80 42,7 Le 0, 7 90857
15 15 54 + 5 48 0 54,4 té 04 99955
| ee cape — 109 0,1047 9,9933
0,1097 0,0009
473
des Sciences de Saint - Pétersbourg.
474
Die Geschichte von der Prinzessin Bentres und die Ge-
schichte von Kaiser Zeno und seinen zwei Tüch-
tern. Von Dr. O0, v. Lemm. (Lu le 3 (15) Mai
1888.)
Wie Amélineau bei Besprechung seiner vor Kurzem
edierten koptischen Geschichte von Kaiser Zeno und
seinen zwei Tüchtern’) gezeigt hat, hat sich in der kop-
tischen Litteratur ein reicher Schatz von Erzählungen
“und Märchen erhalten, von deren Kxistenz bis vor
Kurzem sich Niemand hatte etwas träumen lassen. Die!
Vorliebe der alten Aegypter für Märchen und phantas-
tische Erzählungen vererbte sich auch auf ihre spä-
teren Nachkommen und ging selbst dann nicht verloren,
als die christliche Lehre bei ihnen Eingang gefunden
hatte. Die aegyptischen Münche hatten «die Lust zu
fabuliren» von ihren heïdnischen Vorfahren ererbt und
pflegten dieselbe innerhalb ihrer Klostermauern.
Es ist ja nicht zu leugnen, dass manche koptische
Erzäblungen reine Phantasiegebilde der koptischen
Münche enthalten, doch wird ebenso wenig zu leugnen
sein, dass viele altaegyptische Märchen und Erzählungs-
stoffe sich in der Tradition erhielten, wobei sie sich
selbstverständlich im Laufe der Zeit hier und da ver-
_äinderten und ein zeitgemässes Gewand annahmen, nach
Einführung des Christenthums von den München in
ihrer Denkweise und im Geiste der Zeit umgewandelt
wurden und die altaegyptischen Erzählungen gleichsam
die Münchskutte anzogen. An Stelle eines altaegypti-
schen Künigs oder Prinzen musste je nach Umständen
ein byzantinischer Kaiser oder sonst ein christlicher
Prinz treten, an Stelle des küniglichen Hofes der kaiser-
liche Hof oder gar ein Kloster. So glaube ich nun auch,
dass wir in der von Amélineau mitgetheilten Erzählung
von Kaiser Zeno und seinen zwei Tôchtern eine alt-
aegyptische Erzählung im Münchsgewande vor uns
haben, die natürlich im Laufe der Jahrhunderte starke
Ânderungen erlitt, aus der sich aber immerhin noch
der alte Kern herausschälen lässt. Ich meine, dass wir
hier mutatis mutandis dieselbe Erzählung vor uns
haben, welche schon längst aus der sogenannten Stele
der Bentreë bekannt ist.
1) Histoire des deux filles de l’empereur Zénon, in den Proceed-
ings of the Society of Biblical Archaeology. Vol. X, pagg. 181—206.
Tome XXXII.
| auch « Deutsche
Der Inhalt derselben ist nun in kurzen Worten
folgender ?).
Der Künig von Aegypten heirathet die ältere von den
zwei Tôchtern des Prinzen von Bechten. Nach einiger
Zeit wird die jüngere Tochter desselben, Namens
BentreS von einem Dämon besessen. Der Prinz
schickt nun seinen Boten zum Künige von Aegypten
um ihm sein Leid zu klagen und ihn um Hülfe zu
bitten. Der Künig lässt seine Weisen kommen und als
dieselben gegen den Dämon nichts auszurichten ver-
môügen, wendet er sich an den Gott Chonsu, durch
dessen Hülfe die vom Dämon Besessene schliesslich
Heilung erlangt.
Die koptische Erzählung weiss dagegen Folgendes
zu berichten.
Kaiser Zeno hat zwei Tôchter. Die ältere derselben,
Namens Hilaria, will ein Gott wohlgefälliges Leben
führen und entflieht ohne Wissen des Vaters in ein
Kloster der Nitrischen Wüste, und zwar auf besonderes
Anrathen in ein Münchskloster. Hier legt sie die
Münchskutte an und ihr Geschlecht wird nicht ver-
rathen. Sie erhält den Namen Hilarios. Nach einiger
Zeit wird die jüngere Tochter des Kaisers von einem
büsen Dämon besessen und er entschliesst sich auf
Anrathen seiner Grossen sie nach dem Kloster zu
schicken, wo bereits seine ältere Tochter ohne sein
Wissen weilt. Die jüngere Tochter kommt nun ins
Kloster und hier wird ihr gerathen mit einem Mônche
in einer Zelle zusammen zu wohnen und mit demselben
auf einer Bank zusammen zu schlafen. Das geschieht
denn auch, wobei sich nun in Kurzem herausstellt,
dass der betreffende Münch Niemand anderes ist als
die verkleidete Schwester. Durch Gebet wird dann die
Kranke von dem büsen Dämon befreit.
Vergleichen wir nun die beiden Erzäbhlungen mit
einander.
Sowohl der Prinz von Bechten als auch der Kaiser
Zeno haben je zwei Tôchter. In der altaegyptischen
Erzählung verlässt die ältere Tochter das Elternhaus
um sich mit dem Künige von Aegypten zu vermählen;
in der koptischen Erzählung zieht sie sich in ein Klo-
ster zurück, um dort gleichsam Gottes Braut zu ___— |
; 2) Eine vollständige Übersetzung der Bentre 3-Stele inde der .
Leser in Brugsch, Geschichte Set pagg. 63 ergl.
sters Rache ».
31
Revue» V, pag. 15 u. ff. die Erzählang re Pris …
475 Bulletin de l’Académie Empériale
des Sciences de Saint-Pétersbourg. 476
Diese Umgestaltung der alten Erzählung entspricht
ganz dem Geiste der Zeit. In beiden Erzählungen wird
die jüngere Schwester von einem Dämon besessen und
findet dann in der Nähe der älteren oder durch Ver-
mittelung des Schwagers Heilung. Es wird auch sicher
kein Zufall sein, dass die ältere Schwester in der kopti-
schen Erzählung den Namen Hilaria, resp. Hilarios
führt. Der Name bedeutet «Freude, Frühlichkeit»,
resp. «der Frühliche»; in der altaegyptischen Erzählung
führt die jüngere Schwester den Namen Bent-reë,
offenbar ein semitischer Name — 3-22 und be-
deutet «Tochter des Hauptes»”). Wie jedoch die aegyp-
de NS INA ]
tische Schreibung des Namens = a el
zeigt, war die ursprüngliche pe He FAUNE
vergessen und der Name volksetymologisch als «T'ochter
der Freude» verstanden worden. Vergl. kopt. paue
gaudere, laetari; gaudium, laetitia. Wir hätten hier also
genau denselben Namen wie Hilaria vor uns:
3) Vergl. den analog gebildeten Namen Bent-Anat. Lauth ver-
gleicht dazu noch den Namen «Benfey» «Sohn des Mundes». (Sitzungs-
bericht der philos.-philol. und histor. CI. der k. Bayer. Akademie d,
Lx mais 1875. Band I, pag. 121.
Dass in der koptischen Erzählung die ältere der
Schwestern diesen Namen führt, dagegen in der alt-
aegyptischen die jüngere, darf nicht auffallen, da der-
artige Verwechselungen beim Wandern von Märchen
nichts Ungewühnliches sind. Wenn in der koptischen Er-
zählung noch ein wichtiges Moment enthalten ist, das in
der altaegyptischen fehlt, nämlich die Verkleidung und
Verheimlichung des Geschlechts der älteren Tochter,
so schen wir klar, dass hier cben zwei verschiedene
Erzählungen in einander geflossen sind. Die Ver-
kleidung und Verheimlichung des Geschlechts ist ja
ein in mittelalterlichen Sagen sehr verbreiteter und be-
liebter Zug und findet sich in sehr vielen Sagen wieder,
besonders in denen vom Geschlechtswechsel. Vergl
zu diesen letzteren die lehrreiche Abhandlung von
A. Wesselowski, Croissans-crescens und die mittel-
alterlichen Legenden vom Geschlechtswechsel. Beilage
# 4. zum 39. Bande der Zapiski der Kaiserl. Akad.
. W. (Croissans-crescens n cperneBbKoBpiA xereHjpt
0 H010BOË MeTaMoPp03É. [puaioxkenie M 4. KB 39. roy
SauncorB un. AKkax. Hayr?) und Liebrecht, Zur
Volkskunde pagg. 362 und 507.
Paru le 18 Juillet 1888,
ÿ XXXEE, Î : 4 et dernier.
ULLETIN
|
|
|
DE L'ACADEMIE IMPERIALE DES SCIENCES DE ST.-PÉTERSBOURG
TOME XXXIL.
: | (Feuilles 32—1/,43.) |
CONTENT.
Page.
| C, J, Maximowiez, Diagnoses des plantes nouvelles asiatiques. VIT. (Avec 4 planches.)... 477—629
0, Backlund, Sur les termes hyperélémentaires dans la théorie des perturbations. Première
RO D en Leu de di ed à dame des lens lee due idee 629—648
Ci-joint le titre et les tables des matières du tome XXXII du Bulletin.
“hibiié par ordre de l’Académie Impériale des sciences. !
_— C. Vessélofski, Secrétaire perpétuel. E
M Août 1888.
; Imprimerie de l'Académie RAT des sciences.
(Vass.-Ostr., 9° ligne, Xe 12.)
BULLETIN
DE L'ACADEMIE IMPÉRIALE DES SCIENCES DE ST.-PÉTERSROURG:
Diagnoses plantarum novarum asiaticarum. VII, — Scrip-
sit C. J. Maximowicz. (Lu le 1 Mars 1888.)
Cum tabulis 4 lapidi incisis.
Clematis Tashiroi. (Sect. Flammula DC. Div. 1 b. Ma-
xim. in Mél. biol. IX, 581). Glabra longissime petiolis
scandens, foliis chartaceis trisectis petiolo petiolulos
duplo usque triplo superante his foliolo cordatoovato
emarginato-obtuso v.obtusiusculo 5-nervi triplo brevi-
oribus, pedunculis axillaribus nudis 1-floris folia flora-
lia diminuta tripartita laciniis lanceolatis 2-—3"° exce-
dentibus; sepalis patentibus linearioblongis extus dense
cinnamomeotomentosis intus glabris atropurpureis quam
stamina duplo longioribus, filamentis subulatis glabris
antheram linearem eximie lineariapiculatam 2 — 3°
superantibus, carpellis co lanceolatis compressis laevi-
bus longe laxeque pilosis in caudam plumosam elonga-
tam attenuatis.
Archipelago Ya-yama inter insulas Liu-kiu et For-
mosam sito (A. Tashiro 1886 f. c. fr.)
Pedunculis 1-floris sépalisque atropurpureis a simi-
libus quoad folia C!. Meyeniana W alp. et CI. oreophila
Hance diversa, a reliquis hujus divisionis jam foliis
ternatis distincta.
Rami collecti bipedales. Foliola usque 60 : 35 mm.
magna, petiolulis 20 mm. (terminali vix longiore), pe-
tiolis 55 mm. longis. Flos diam. 4 em. sepalis 18 :5
mm. Carpella immatura 5:1,5 mm. caudis 35 mm.
longis.
Thalictrum integrilobum. (Sect. IL. Microgyna, longi-
staminea, claviformia Lecoyer Monogr.) Fibris radi-
calibus filiformibus, caule gracili pedali uti tota planta
glabro, folio radicali caule breviore 2—3-ternatisecto,
caulinis 2 — 3 consimilibus superioribus subsessilibus
summo sessili trisecto, petiolis basi nec dilatatis nec
stipulatis stipellisque nullis, foliolis omnibus lineari-
oblongis integerrimis; corymbo terminali basi foliato
paucifloro, filamentis clavatis anthera oblonga obtusa
plus duplo latioribus, carpellis 3 — 4 stipitatis stipite
duplo v. triplo breviore quam carpellum oblongolance-
Tome XXXIL.
1 A x à d
olatum ]
mate gessili oblongo terminatum.
Yezo: monte Pamani, med. Junio 1884 flor. legit
K. Miyabe.
Affine Th. tuberifero m., sed minus et gracilius.
Fibrae radicales, fide collectoris (in litt.) haud tube-
roso-incrassatae. Foliola 12 — 44 mm. longa, 3— 6
mm. lata, utrinque obtusa v. rotundata membranacea
subtus subglaucescentia petiolulos suos pluries supe-
rantia. Flores albi.
2e
LCI YUSUUI US
Adnot. Thalictrum alpinum L. in Nippon prov. Kai
alpe Yatsuga-take spec. 1. legit Tschonoski 1887.
sub nom. Sirokane-s0.
Anemone Keiskeana T. Ito (in litt., nomen) Pilosius-
cula, rhizomate horizontali crasso carnoso subaequali
vaginarum basibus brevissimis remotiusculis quasi tu-
berculato, foliis utrinque viridibus radicali 1 trisecto
segmentis subsessilibus arcte contiguis partimque im-
bricatis basi integra late cuneatis ceterum argute in-
aequaliter serratis acutis terminali subdeltoideo-rhom-
beo lateralibus oblique ovatis subminoribus extus ver-
sus basin passim semel v. bis incisis; caule flaccido
erecto folium radicale superante, foliis involucri 3 ses-
silibus radicali duplo minoribus ovatis v. lanceolatis
incisoserratis v. praeterea versus basin trifidis, pedun-
culo involucrum vix excedente erecto solitario sericeo-
piloso, sepalis numerosis basi extus sericeopilosis line-
arioblongis albis patentibus, staminibus vix 30 exte-
rioribus sensim pluries brevioribus, filamento filiformi
anthera ovali, carpellis circa 15 gilvosericeis sub anthesi
lanceolatis in stylum rectum glabrum duplo saltem bre-
viorem intus stigmatosum sensim attenuatis. — ÆRuwri
Itsige 1. Keiske. Nihon Shokubutsu Dsusetsu, I, fol.
34 (fig. optima).
Nippon centrali (I. Keiske 1. c.), Sikoku: prov. Tosa
(T. Makino! 1885. flor. sub eod. nom. indigeno).
Ex affinitate À. #rifoliae L., cui multo similior
quam À. Delavayi Franch.! in Bull. soc. bot. de Fr.
XXXIII, 366., e Yunnan.
#2
479
Bulletin de l’Académie Impériale
480
Caulis palmaris foliaque supra, praesertim versus.
marginem, pilis parcis adspersa. Folium radicale ma-
ximum visum 8 em. longum, 10 cm. latum, sed adsunt
3 em. lata et 2 cm. longa, involueralia varia longiora
quam lata 25 : 18 mm., 30 : 10 mm., 15: 6 mm. Flos
diametro 30 mm. Sepala 10—13 15—18 mm. longa,
2,5—5 mm. lata, obtusa. Stamina intima longiora car-
pella duplo excedentia a sepalis plus duplo superata,
extima carpellorum capitulo fere duplo breviora. An-
therae 1 mm., carpella sub anthesi 2 mm. longa.
Lilicium L.
Species hucusque notae ita dignoscendae :
Stamina supra carpella astyla acuta omnino
conniventia et illa tegentia I. parviflorum Mich x.
Stamina erecta v. patula ovaria haud tegentia
et illis vulgo brevio
Filamenta antheris Hors (in Z. cambodiano
aequilata) 3.
Filamenta antheris angustiora, flores longius-
cule pedicellati.
3. Anthera eye flamento longior
» ovata filamento brevior, flores lutes-
ss. ses sers
b
e
centes. 5.
D AIO FOR MADHUN. 450 és de loose. + Mio Hook.f. Th.
SU PE A MEME LE mbodianum H ce.
Anthera ne Leg brevior, styli acutise
RU SO PR D D DE CO nt I. Griffithii Hk. f. Th.
Anthera filamento sesqui brevior, styli crassi
recurvi.
6. Folia parva, carpella 8 axi conica libera . ..Z. anisatum L.
Folia magna, carpella 12 odore debili, axis
CORRE és sr b dre veus eme I. Tashiroi m.
7. Anthera oblonga filamentum dnplo superans.Z. Simonsii m.
Anthera ovata filamento duplo brevior, flores
profunde purpurei.... .., Si rats CRE RN A d: I. floridanum El.
I. Tashiroi. Omnibus partibus usque in ovaria pune-
tis pellucidis scatens aromate debili, folis oblongo-
ellipticis utrinque attenuatis tenue coriaceis, floribus
_1—2 pedicellatis nutantibus ex albo lutescentibus, pe-
talis circiter 20 externis rotundatis ovatisve ciliatis se-
quentibus numerosioribus ovatooblongis intimis brevi-
oribus e basi lanceolata in acumen complicatum aequi-
longum attenuatis, staminibus 18 subbiseriatis quam
ovaria triente brevioribus, filamento lato utrinque vix
attenuato antheram ovatam apiculatam sesqui supe-
rante; carpellis 12 ovariis erectis arctissime sibi appli-
_citis stylis ovario sesqui longioribus attenuatis leviter
_recurvis, apice axeos toto cum ovariis Connato.
Archipelago Ya-yama inter Liukiu et Formosa, ar-
borea (A. Tashiro flor., 1886).
_ Z amisatum L. (L religiosum Sieb. Zucc.), a quo
JL. amisatum Lour. floriferum nondum notum quoad folia
non, quoad fructum vix differt et praesertim virtute me-
dica distinguitur, ab Z. Tashiroi discrepat foliis duplo
minoribus, floribus sub anthesi intra perulas numerosas
DObUAtS ageregatis, petalis intimis haud minoribus
non ligulatoattenuatis, carpellis circiter 8 ab axeos
apice obtuso conico liberis. Quoad folia et aroma si-
millimum est Z. Griffithii et I. Simonsü, sed folia minus
coriacea.
Folia Z. Tashiroi 5—6,5 poll. longa petiolo */ poll.,
1!/,—2 poll. lata. Flos campanulatoconnivens nec stel-
latopatens, diam. 21 mm. Petala et sepala non discer-
nepda, exteriora 7 — 11 mm. longa, 6 mm. lata, media
11:5 mm., intima 7 — 10 mm. longa, 4 mu. lata.
Flores leviter odorati.
Species duas proxime affines ita dignosco:
I. Simonsiü. Petalis circiter 16 exterioribus rotunda-
tis interioribus e latiore basi sensim oblongo-lineari-
bus patentibus, staminibus circiter 20 ovaria totidem
basi subconnata aequantibus erectis, anthera oblonga
obtusa filamentum teretiusculum duplo angustius dimi-
dio superante, stylo crasso acuminato recurvo ovario
parum longiore, axi (excepto apice truncato convexo
verrucoso) cum carpellis connata, floribus aggregatis
sub anthesi subsessilibus tegmentis numerosis obvalla-
tis, foliis oblongoellipticis utrinque acuminatis.—Fruc-
tus ignoti.
Assam (Simons! ex hb. Caleutt.).
I. majus Hook. f. et Thoms., a me non visum,
esse nequit, nam describitur filamento antherà latiore,
petalis 16, interioribus late ovalibus, pedicellis 1 — 3
(sub anthesi igitur distinctis), foliis apice latioribus.
I. cambodianum Hance in Journ bot. 1876, 240.
Pierre FI. forest. de Cochinch. tab. 4., ex descr. et
icone differt floribus duplo minoribus (diam. 1 cm.) al-
bis v. roseo suffusis longe pedunculatis, staminibus 14
quam ovaria totidem triente brevioribus, anthera ob-
longa filamentum aequilatum vix superante, stylo acu-
tissime acuminato, omnibus para valde aromaticis.
Folia I. Simonsii 4,5 — 5 poll. longa, 1,5 poll.
lata, coriacea punctis pellucidis non visibilibus. Petala
interiora 9:2 mm. magna, exteriora plus duplo bre-
viora latiora ciliata, omnia pellucide punctata. Odor
debilis amoenus, illi Z. Griffith et I. Tashiroi similis.
TL. Griffithii Hook. f.et Thoms. FL Ind. 74. Hook. f.
FI. Brit. Ind. I, 40. Floribus 1 — 3 pedicellatis,
AS1
des Sciences de Saint- Pétersbourg.
482
petalis crasse carnosis 18 — 24 exterioribus rotunda-
tis interioribus ovatis acuminatis, staminibus 20 — 24
erectis quam ovaria libera 12 — 15 triente breviori-
bus, filamento plano utrinque leviter acuminato anthe-
ram apiculatam ovatam latitudine paulo longitudine
duplo superante, carpellis in stylum subulatum duplo
breviorém erectum apice incurvum attenuatis, axeos
apice inter illa libero obtuse conico, carpellis maturis
horizontaliter patentibus stylo valido acuminato ‘acu-
mine basin deltoideam aequante subrecurvo. Zllicium.
Griff. Itin. notes. 38. 80.
Khasia (Griffith! n. 62 distrib. Kew.).
Dicitur 10 — 15-pedale. Folia 2 — 4 poll. longa,
1— 2 poll. lata, subtus fuscolutea supra lucida cori-
acea. Carpella a Griffith carnosobaccata albida di-
euntur, stylo indurato rubro suffuso. Franchet (Bull.
soc. bot. de Fr. XXXIII, 383. ejusdem speciei var.
yunnanensem in prov. Yunnan detectam descripsit
mihi ignotam.
Silene Tanakae. (Sect. IIT. Botryosilene, ser. 9. Ita-
licae, Rohrb. Monogr.). Suffruticosa bipedalis a basi ra-
mosissima ramis omnibus longiuseulis, plerisque foliosis
sterilibus, paucis elongatis floriferis, internodiis gla-
bris, foliis minute puberulis cauliculorum sterilium cre-
bris elliptico- fertilium remotis lanceolato-spathulatis
omnibus in petiolum brevem basi ciliatum attenuatis,
ramis inflorescentiae primariis trifloris pedicellis erec-
tis calycem cylindricum basi umbilicatum aequantibus,
terminali nudo lateralibus ipsa past cum bracteolis 2
lanceolatis, calyce puberulo 10-nervio dentibus ovatis
villosociliatis, petalorum unguibus vix exsertis ciliatis
linearicuneatis limbum purpureum cuneatum emargi-
natum basi breve coronatum superantibus, filamentis
glabris, ovario carpophorum aequante.
E Japonia, fortasse ex insulis australibus v. gr.
Liukiu, orta, ad expositionem Petropolitanam a, 1884]
a D. Dante missa, horto botanico floruit init. Octo-
bris 1887.
- Omnium mihi notarum magis suffruticosa, habitu me-
lius cum S. séruthioloidi À. Gray quam cum S. lan-
ceolata À. Gray, utraque sandvicensi, conveniens, ad
quam posteriorem tamen ex characteribus (calyce hu-
jus brevi excepto) accedere videtur. Priori, a Rohr-
bach ad nr relatae, quamvis in Rp
tione Grayi calycis duri nulla mentio facta sit, nostra
ob floris formam totumque habitum propior, sed fo-
liorum magnitudo potius $. lanceolatae. Reliquae spe-
cies hujus divisionis, fere omnes mediterraneae, rosu-
| las saepius sessiles habent et habitu minus similes sunt.
Trunci perennantes quidem, sed herbacei. Folia
rosularum 25:5 usque 50:15 mm., caulis floriferi
usque 60:13 mm. Flores in inflorescentia nune male
evoluta tamen 19, terminales ad pedicellum reducti
abortivi. Calyx 19 mm. longus. Limbus petali 9:3
mm. Stamina sub anthesi exserta, longiora ad medium
limbum attingentia, breviora basi unguium adnata,
antherae oblongae albocinereae. Styli 3 stamina su-
perantes, papillis stigmaticis secus latera interiora ad
medium v. ultra decurrentibus purpureïs.
Adnot. S. Masimooicrions Rohrb. in Linnaea
XXXVI, 680. ad exempla in hortis Yedo culta nana
descripta, nunc spontanea prostat e Nippon prov. Kai
monte Motoyama, ubi Septembri 87 fl. et defl. legit
Tschonoski, formis duabus. Altera, japonice Biranzi,
minor, etiam ad calycem pubescens, quam typica à
me olim lecta tamen duplo major, altera, japonice
oho biranzi i. e. b. magna, fere duplo altior, calyce
glaberrimo, reliquis partibus glabrescentibus. Ex his
exemplis patet, plantam in modum $. repentis Patr.
basibus cauliculorum procumbentibus prorepere, ita
quidem, ut in forma minore inter muscos vigente pars
epigaea foliata interdum brevior sit quam hfpogaea:
|illa 4 — 13 cm. longa, foliata 9 cm. alta. Folia
25 :7—9 mm. magna. Flores 1—2, pedicellis 2 cm.,
calyce 13 mm. longo. Petala pallide rosea unguibus
parum exsertis laminam aequantibus. Filamenta parte
inferiore parce pilosa.
Specimen formae majoris sine radice lectum e cau-
lis parte decumbente 2,5 mm. crassa cum ramis duo-
bus 32 cm. altis constans. Folia 70:18 mm. Dicha-
sium terminale pluriflorum peduneulis 25 mm. Calyx is
15 mm., petala 28 mm. longa. Structura floris identica.
Arenaria merckioides. (Subgen. ÆEuthalia Fenzl) Per- ;
ennis digitalis densifolia robusta, caule acute angu-
lato pubescente, foliis coriaceis uninerviis imis ad squa-
mas ovatas fuscescentes erectas reductis, caulinis pa-
tentireflexis ellipticis subito breve acuminatis subtus
|margineque parce puberulis, axillis haud fasciculige- .
ris; floribus versus apicem ramorum ren air u
483
Bulletin de l’Académie Impériale
is
laribus pedicello arcuato tum horizontaliter patente
brevioribus, calycis basi puberuli partitionibus oblon-
goellipticis obtusis herbaceis, petalis late ellipticis bre-
vissime unguiculatis calycem parum superantibus, fila-
mentis subulatis petala subaequantibus, stylis 3 fili-
formibus ovarium ovoideum superantibus, capsula ob-
longoovata brevioribus, seminibus plurimis orbiculato-
reniformibus late alatis compressis.
Yezo: cacumine montis Meaken, 5000 p. s. m. (K.
Fujita, Augusto 85 fi. fr. immat., misit K. Miyabe).
Habitu Merckiae physodis vel speciminis nani den-
sifolii Aren. peploidis latifoliae, quoad characteres
proxima À. ciliolatae Edgew. (himalaicae), quae sepa-
lis acutissimis ciliatis, petalis late obovatis pubeque
atra hispida primo dat diftert.
Vidi cauliculos 3: unum simplicem 1-florum, duo
ramosos, ad primam bifurcationem 5,5 mm. alto Fo-
lia squamiformia 3 mm. longa, caulina internodia duplo
superantia 18 : 10 mm. magna. Rami duo 2— 3 cm.
longi foliati. Pedicelli folia superantes firmi. Calyx
sub anthesi 4 mm., defloratus 5 mm. longus. Petala
5,5 mm. longa. Glandulae disci vix expressae, po-
tius discus incrassatus stamina ferens. Semina diam.
1,75 mm. :
Cerastium schizopetalum. Perenne diffuse caespitosum
basi ramosissimum, cauliculis bifariam viscidovillosis,
foliis ad oras ciliatis linearilanceolatis, cyma viridibrac-
teata pauciflora, pedicellis defloratis deflexis, calycis
viscidovillosi laciniis lanceolatis acutis angustissime
hyalino marginatis, petalis calyce fere duplo longiori-
bus cuneatoobovatis antice ad trientem in lobos 4 lan-
ceolatos acuminatos incisis ungue nudis, ovario globoso,
stylis 5, seminibus (immaturis) obsolete tuberculatis.
Nippon: pros: Kai alpe Kumaga-take, sub nom. ver-
naculo } kusa Sept.’87 leg.Tschonoski,
HICUMUENU
Horn
_ mis. rev. pat. Anatolius.
- Fructu maturo ignoto ad quam sectionem pertineat
_incertum est, sed ob ovarium breve verosimiliter ad
_ Orthodontem ducendum erit. Unica quod sciam Cerast
species petalis regulariter quadrilobis, illa Sfellariae
radiantis in mentem vocans. Habitus C. alpini minoris.
Pedale. Folia majora 15 :4 mm. Calyx 5 mm., pe-
tal cawR. 9 mm, longa. Stamina 10, episepala glan-
Fo
Lep parum dimidiaque
petala superantia. Ovarium 2 mm. altum, stylis plus
duplo longioribus. Ovula rotundata.
Elatine tetrandra. Caespitosa erecta, foliis oppositis
linearilanceolatis acutiusculis, floribus alternis brevis-
sime pedicellatis tetrameris, petalis ellipticis sepala del-
toidea duplo superantibus, staminibus 4, seminibus ob-
longis rectis longitudinaliter striatis non clathratis. —
E. triandra Franch. Savat. Enuwm. pl. jap. I, 54
(cum ?)
Per totam Japoniam: Yezo prov. Tokatshi, ripa li-
mosa fl. Toberi (K. Miyabe), Nippon, in oryzetis inun-
datis circa Yokoska (Savatier), Sikoku prov. Tosa (T.
Makino, japonice Mizu hakobe).
Flore 4-mero 4-andro, testa seminis non clathrata,
ratione cotyledonum ad radiculam ab omnibus notis
bene distincta. Habitus et partium magnitudo Æ. tri-
andrae Schkuhr. Dehiscentia capsulae peculiaris. Ex
Seubert (in Nov. act. Acad. Leop. Nat. cur. XXI, 1.
p. 37) aliisque auctoribus capsulae valvae dehiscentes
in ÆÉlatine loco intraflexionis secedunt et columellam
centralem late alatam formant, in Bergia autem haud
secedunt, sed capsulam rite septicidam in carpella sua
divisam sistunt. In Æ. éetrandra dehiscentia Bergiae
invenitur! Quum autem, fide Bentham et Hooker
(OR pl I, 163) in nonnullis Bergiis capensibus et
tia capsulae mox septifraga mox.
septicida inveniatur, habitus autem speciei propositae
Elatines sit, in hoc genere retinui.
Corolla expansa diam. 2,5 mm. Sepala herbacea
1-nervia, petala membranacea enervia. Stamina sepalis
opposita et duplo longiora, ovaria aequantia. Filamenta
linearia, antherae orbiculatae. Ovaria 4 parallela ellip-
UWOIUI VELO UUWO
soidea stylo brevissimo stigmate punctiformi coronata.
Semina in capsula examinata 22, vix 0,5 mm. longa,
striis longitudinalibus 10—12 laevibus, vix passim
tranverse quasi ruga una alterave instructis. Albumen
nullum. Embryo conformis albus, cotyledonibus ra-
diculam vix angustiorem subaequantibus erassis.
Planta Savatieri foliis lanceolatis obtusis differt,
sed nimis compressa, ut staminum numerus eruatur,
calyx autem, corolla et ovarium tetramera atque se-
mina valde immatura quae vidi pariter ut in nostra.
Berchemia pauciflora. Petiolis foliisque subtus ad venas
gilvopuberulis ceterum glabra, ramis gracilibus ramulis
floriferis abbreviatis, stipulis scariosis in unicam bicu-
485
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
486
spidatam connatis persistentibus, foliis tenue petiolatis
membranaceis subconcoloribus ovatis v. late ellipticis
obtusissimis cum apiculo obsoleto, paniculis terminali-
bus fi tibus e cymulis 1 —5-flo-
ris racemosis Compositis, pedicellis florem superantibus,
calyeis laciniis deltoideoovatis obtusiusculis, petalis
duplo brevioribus rotundatis stamina aequantibus, an-
thera filamento vix breviore.
Nippon: alpe Nikko (J. Matsumura).
Simillima quidem B. racemosae $. Z., sed in hac
petioli longiores, folia majora crassiora discolora, pa-
niculae innovationes elongatas terminantes ditissimae,
pedicelli florem vix aequantes, calycis laciniae elonga-
todeltoideae petala obovata triente superantia, antherae
ex petalo exsertae filamento pluries breviores et tota
planta glabra. In flore vix aperto B. racemosae tamen
autherae etiam filamentum vix superant ct loculi cum
connectivo concolores sunt ac in nostra, qui in flore
adulto B. racemosae discolores (connectivo atro) fiunt,
ita ut haec de aetate floris pendere videantur. Inflores-
centia plantae nostrae in mentem vocat illam B. volu-
bilis DC., cujus petioli foliaque aeque tenues et aeque
magna, sed in B. volubili folia acuta discolora et tota
planta glabra. An species nostra incipiente anthesi
lecta flores hermaphroditos v. polygamos habet, et
qualis est drupa ejus, nondum constat.
Acer Miyabei. (LV. Perigyna, 10. Platanoidea. Pax
Monogr. in Engl. Bot. Jahrb. VI, 327, VII, 233). Fo-
liis (sub anthesi) membranaceis superioribus lamina
longius petiolatis petiolo basi ciliato ceterum villoso,
Jamina latiore quam longa basi truncata 3-fida basique
utrinque 1-loba 5-nervia superne parce ad costas utra-
que pagina densius villosa ad angulos barbata, lobis
obtuse acuminatis a medio obtuse sinuato-bi-tri-lobu-
latis terminali passim iterum sinuatobidentato; corymbi
brève peduneulati pauciflori glabri pedicellis filiformi-
bus flore sulfureo 7 mm. lato pluries longioribus pilo-
sulis, sepalis petalisque majoribus spathulato-linearibus
longe ciliatis, staminibus crenis disei impositis longi-
oribus petala subsuperantibus, antheris ovatis laevibus,
stylo caduco stigmatibus revolutis subbreviore; samaris
divaricatis ad loculos dimidiamque alam gilvotomen-
tosis, ala loculum compressum angulatoretieulatum plus
duplo superante.
Yezo: prov. Hidaka, ad Niükappu, med. Junio flor.,
Augusto fructif. legit K. Mivabe. Japonice: Kurobi
Itaya.
Ex affinitate À. platanoidis L., sed folia minora tri-
fida, lobi obtuse acuminati, corymbus laxus. À. laetum
M. Bieb. et À. pictum Thunb. differunt jam lobis acu-
tissime acuminatis integris corymboque densissimo,
posterius etiam petalis obovatis. Adest similitudo cum
A. Hilgendorfi Nathorst fossili, cujus folium unicum
notum nostra minora bene referre videtur.
Exempla tria missa habent ramulos fertiles et fo-
lüferos brevissimos e ligne vetusto. Cortex rimosus
lutescenticinereus. Tegmenta imbricata ovata fusca
margine tomentella, exteriora 2, interiora 3 mm. longa,
intima jam delapsa. Folia maxima 8 cm. longa, 9,5
cm, lata, Ovarium fecundatum 11 mm. latum, 4 mm.
altum, alis basi lineam rectam efficientibus apice jam
glabrescentibus, vix 2 mm. latis, loculo quam ala cir-
citer duplo breviore. Samarae usque 5 cm. latae lo-
culis cunctis 15 mm. latis, 11 mm. longis, transverse
late ovalibus apice in apiculum latum productis, loculo
singulo 7 mm. alto, 9 mm. lato, 3 mm. crasso, tomento
denso molli. Margo alae inferior rectus, superior con-
vexus, apex rotundatus, tota ala ab apice loculi mensa
20 : 10 mm.
Photinia Wrightiana. Foliis apice obtusis plantae ju-
venilis lanceolatolinearibus acute a basi inaequaliter:
grandiserratis, plantae adultae oblongis v. ellipticoob-
longis supra basin crenatis, calycis dentibus glandula.
nigra apiculatis saepeque hinc 1 — 2-dentatis, petalo-
rum ungue dense villoso, staminibus circiter 15, loculis
vulgo 1-ovulatis, seminibus oblongis. Maxim. in adnot.
sub Ph. arbutifolia, in Mél. biol. IX, 180. Ph. arbu-
tifolia . Gray, On the bot. of Japan, 388. Miq.
Proi: 3
. (Wright fr. fere mat.); Lébiu fru-
tex 2 — 3-metralis (A. Tashiro, flor.).
Staminibus in nunc descripta non 10, sed 13—18,
Heteromeles, ad quam ex habitu ducenda esset, tantum
corolla torta a Photinia diversa videtur, habitu eodem,
si Pourthiaeas exeludis. — En diagnosis speciei con-
fusae :
Ph. arbutifolia Lindi. Bot. reg. t. 491. Foliis ob-
longo-vel elliptico- lanceolatis utrinque acutis acute
serratis, petalis glabris denticulatis, staminibus 10 an-
theris oblongis, loculis 2-ovulatis, seminibus ovalibus.
487
Bulletin de l’Académie Impériale
ss
Torr. et Gray, FI. N. Am. I, 473. Heteromeles
arbutifolia Roemer, Syn. III, 105. Decsne. Mém.
Pomacées, in Arch. Mus. X, 144, tab. 9. Bot. of
Calif. I, 188. H. Fremontiana Desne. 1. c.— Cali-
fornia.
Deutzia discolor. Foliis ovato- v. lanceolato-ellipticis
sat longe acuminatis serrulatis scaberulis subtus in-
canis: pilis minutis paginae superioris sparsis 5 —8-ra-
diatis, inferioris continuis densis multiradiatis, cymis
paniculatis cylindricis interrupte plurifloris, peduncu-
lis 1— 3-floris, pedicellis calyce incano pl. m. aequi-
longis, petalis erectopatulis oblongis acutiusculis ca-
lyce quadruplo longioribus stamina filamentis eximie
dentatis stylosque aequantibus, calycis dentibus acute
deltoideis in capsula truncata 4 — 5-cocca deciduis,
stylis 4—5 persistentibus.
Sikoku: prov. Tosa ad Nanokawa, initio Maji °86
flor. (S. Watanabe), Novbri ’84 frf. (T. Makino), ja-
ponice: Ura-siro-utsugi.
Inter D. crenatam $. Z., cujus flores, et D. stami-
neam R. Br., cujus folia habet, a priore insuper di-
stincta stylis persistentibus stigmatibus minutis coc-
cisque 4 — 5, posterior praeterea differt cymae den-
sae radis 3 saepe aequilongis, calycis persistentis den-
tibus acuminatis stylorumque basibus tantum in fructu
superstitibus.
Petioli 4 mm. longi, lamina inter 50: 10 et 33:16
mm. ludens. Calyx 2,5 mm. altus, petala 10 mm.
longa, capsula 3 mm. is, 2 mm. dits.
Sedum Makinoi. (III, Seda genuina Koch. ser. 2.
japonica Maxim. in Mél. biol. XI, 762). Spithamae-
um cauliculis procumbentibus e nodis fere omnibus
radicantibus apice ascendentibus, foliis omnibus prae-
ter floïalia oppositis caulium sterilium et fertilium
subconsimilibus obovatis supra basin attenuatam affi-
xis; cyma planiuscula iteratim dichotoma ad quandam
dichotomiam folio singulo florem superante fulta, flo-
ribus subsessilibus stellatis luteis, sepalis spathulatis
quam petala linearilanceolata duplo brevioribus, sta-
minibus petala spectantibus atque illa aequantibus ad
1, petali adnatis quam stamina sepalis opposita disco
inserta paulo brevioribus, antheris oblongis; folliculis
ad ?/, connatis oblique deltoideis patentibus stylo triplo
breviore subulato continuo terminatis polyspermis, se-
minibus linearioblongis laeviusculis.
Sikoku: prov. Tosa, ad Sakawa (T. Makino fi. fr.
fere mat., 1885).
Ab Sie speciebus Haas seniel foliis omnibus
i is facile distinguendum.
Folia 14:6 mm. “magna. Flores diam. 7 mm. Squa-
mae hypogynae petalis oppositae subaeque longae ac
latae cuneatae breves.
Q
©
A
©
—
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_.
lp]
2
À
5
»]
2
Je
Ophiorrhiza inflata, (Ser. 1. bracteolis nullis Hook. f.
F1. Brit. Ind. INT, 77). Palmaris herbacea pluricaü-
lis parce ramosa caulibus ascendentibus basi radican-
tibus rufotomentellis, stipulis utrinque in 1 deltoideam
connatis caducissimis, foliis petiolatis superne atrovi-
ridibus parce pilosiuseulis subtus pallidis ad venas
tomentellis lanceolato-oblongo- v. rite ellipticis acutis;
cyma terminali semel dichotoma gilvotomentella plu-
riflora bracteis bracteolisque nullis, floribus pedicel-
latis pedicello calyce 2—3-lo longiore, calycis tomen-
telli tubo depresse globoso laevi limbum deltoideo-
dentatum pluries superante, corollae 7 mm. extus fur-
furaceopuberulae tubo lato basi inflato sub limbo 4-lo
breviore patente dilatato intus ad faucem dense longe
albostrigoso, filamentis infra dimidium tubum insertis
glabris, antheris linearibus basi bilobis totis exsertis,
stylo sursum sensim incrassato hispido apice clavato
stigmate breviter bilobo lobis rotundatis ad antheras
attingente.
Archipelago Ya-yama inter Liukiu et Formosa sito
(A. Tashiro flor. 1886).
O. trichocarpa BI. (0. hispidula W all.! 6234) huic
quoad pubem staturam et folia similis, statim differt
floribus sessilibus, tubo corollae minoris angusto, sti-
pulis subulatis, inflorescentia terminali et laterali. —
Quoad corollam basi inflatam accedit etiam ad speciem
ineditam in prov. Kwantung ad Lo-Fau-Shan à cl.
Ford lectam, quae tamen, inter alia, fasciculis fibra-
rum brevium ad pedicellorum basin, calycis glabri
tubo lacinias parum excedente Mipuliaqne amplis her-
baceis rotundatis excellit.
Folia occurrunt 70:22 mm. magna sensim in pe-
tiolum circa 5 mm. augustata vel 55 : 20 mm. petiolo
5 mm. non cuneatim in laminam abeunte vel 55 : 14
mm. cum petiolo 4 mm. longo. Flos 6 — 7 mm. lon-
gus in sicco ruber, limbo utrinque papilloso lobis 5
anguste deltoideis. Filamenti pars libera antherà fere
sesqui longior. Discus bipartitus crassus inter lobos
489
des Sciences de Saint -Pétersbourg.
490
erectos stylum recipiens calycis limbo aequialtus. Ova-
rii loculi multiovulati.
Ophiorrhiza Tashiroi. (Ser. 2. Cyma bracteata et brac-
teolata). Frutescens pedalis et ultra parce dichotome
ramosa ramis diffusis passim radicantibus superne cy-
misque rubiginoso-furfuraceis ceterum tota glabra, sti-
pulis utrinque in 1 obtuse subulatam connatis cadu-
cissimis, foliüs atroviridibus subtus rubentibus longius-
cule petiolatis linearioblongis utrinque apice valde
acuminatis; cyma terminali et ex axillis summis axil-
lari longe pedunculata iteratim fastigiato-dichotoma
pluri- v. multiflora, bracteis subulatis 1-nerviis, brac-
teolis calycem subtendentibus, calycis furfuracei tubo
subhemisphaerico dentes obtuse ovatos duplo supe-
rante, corollae 18 mm. longae extus glabrae anguste
tubuloso-infundibuliformis tubo dimidio superiore in-
tus hirsuto limbi brevis erectopatuli lobis ovatis acu-
tiusculis intus papillosis, filamentis medio tubo inser-
tis glabris antheras oblongas inclusas aequantibus,
stylo aequali parce longeque hispido, stigmatis ampli
lobis ellipticis patulis.
Archipelago Ya-yama in vallibus, praecipue ad rivu-
los (A. Tashiro flor. 1886).
Ex affinitate O. Roxburghianae Wight, O. grandi-
florae Wight aliarumque, sed cum nulla e descriptis
apte comparanda.
Trunci pennam anserinam, rami filum emporeticum
crassi. Petioli usque 25 mm., lamina 120:25 mm.
Pedunculus 2—4 cm. Flores intra bracteolas sessiles,
supra bracteas pedicello calycem semel saltem supe-
_ rante suffulti. Antherae quadrante superiore tubi co-
rollini inclusae, dorso supra basin insertae basi bilo-
bae. Disci laminae 2 subquadratae crassae styli basi
appressae dentes calycis aequantes. Ovarii loculi mul-
tiovulati, placentis e basi ascendentibus.
Scorzonera L.
Species orientali-asiaticae.
Monocephalae Sora passim 2-cephalae). 2
Pleiocephalae
. Caulis foliatus dos cum foliis involucro-
1]
que Dim PAMAUUS sn e ii. , Sc. capito m.
Caulis nudus v. squamatus. 5.
3. Collum squamosum. 4.
%" DINMODÉMENR .. ii enmhoesii ou Sc. austriaca W.
4. Radix subhorizontalis ramosa, capitula parva,
radius involucrum parum superans ......... Sc.parviflora J ac q.
Radix verticalis, capitula magna, radius in- :
volucrum duplo superans ................. Sc. radiata Fisch.
5. Caulis solitarius elatus strictus, achaenia ro-
Sc. albicaulis Bge.
Caules plures, achaenia erostria. 6.
6. Folia carnosa recta linearioblonga, achaenia
DT is les do eue seb de te Do 6e out
Folia filiformia v. anguste linearia vulgo apice
hamata. 7.
Herbacea humilis oligocephala sut aus ne ve
Suffruticosa ramosissima saepe elata, pleio-
DONS TRI, Les PR RISQUE Sc. divaricata Tur cz.
Sc. austriaca W. Sp. pL.ITT, 1798. Ledeb. FI. Ross.
Il, 792. Turez. FI. Baic. Dah. I, 147 et Enum. Chin.
n. 106. Maxim. FI. Amur. 177, 473, 483. Herder,
PI. Radd. III n. 215. Rgl. et Herd. PI Semen. n.
639. Trautv. Enum. Song. n. 693. Boiss. FL or.
IIT, 770. Franch. PI. David. I, 191. $. radiata Bge.
Enum. Chin. n. 231, nec Fisch.
Sibiria orientalis: a Jakutzk per regionem baicalen-
sem usque ad Krasnojarsk ad Jeniseam, Transbaicalia
et Dahuria: ad Ingodam in deserto et ad Schilkam
(ipse, Maack), circa Nertschinsk et alibi, Kjachta ;
Mongolia: jugo Han-hai ad fl. Schuryk et alibi, deserto
et alpibus circa lacum Ubsa: valle lacus Urük-nor,
prope trajectum Ulan-Daba, ad fl. Chatu prope jugum
Sailughem, Altai australi: argillosis fl. Zizirin-gol et
fauce Dsussylyk; Gobi boreali (Potanin, 1877, 79,
1886), parte australi: montibus circa Kalgan, jugis
Suma-hada et Alaschan, desertis arenosolapidosis
(Przewalski, 1871, 73); Kansu occidentali: ad fi.
Hoangho superiorem, alt. 9500 p.s. m. in abruptis ripae
limosis (Przew. 1880), ad fl. Karyn et Lantscha-Lunwa
(Potanin, 1885); China boreali: ditione fl. Pekinensis
c mongolica m.
Fa.
Sc. pusilla Pal].
circa urbem et prope Jehol (David!}, prov. Schansi et
Kansu orientali ad fl. Tao-che (Potanin 1885). Tum
in Songaria, Sibiria occidentali et usque in Rossiam
australem, Helvetiam, Galliam et Belgium.
Apud nos semper 1-cephala caule initio squamato
tum excrescente spithamaeo basi 1-phyllo, glabra v.
rarius a petiolorum pArpE EE Ligulae lu-
teae, interiore P cte breviores.
8. linearifolia. DC.
Sibiria orientali: Jakutzk, Transbaicalia,
ic
dis tin
Dahuria,
Mongolia: Gobi inter fl. Argun et Onon (Radde), ad
tractum mercatorium (Kirilow), tum in Songaria, Altai,
Ural australi usque in Austrian.
9, Sc. radiata Eisch. apud Ledeb. IL. c. 793. Turez.
FI. Baic. Dah. II, 148. Trautv. et Mey. F1. Ochot.
D. 205. Rgl. et Til. FL. Ajan. n. 177..
Maxi FE
non absimilis, sed in hac pedunculi elongati, involucri
__ angustioris Squamae pauciores interiores latiores, li-
491
Bulletin de l’Académie Impériale
492
Amur. 177, 483. Herder, PI Radd, UI n. 216. F.
Schmidt, FL Amg. Bur. n 238. FI. Sachal. n. 269.
Franch, PI. David. I, 191 (cum ?)
Sibiria orientalis: a mari Ochotensi (Ajan, Ochotzk)
per Jakutzk, Irkutzk, Wilui ad Jenisei et Sajan atque
in regionem arcticam (fl. Olenek), Dahuria, Mandshu-
ria: sinu S-ti Wladimiri, Amur inferiore, montibus Bu-
reicis, Amur superiore, ins. Sachalin; Mongolia: ad
tractum mercatorium orientalem: Kjachta, Gagza-Chu-
duk, non procul à jugo Sailughem, et regione lacus
Ubsa (Potanin, 1879); China boreali: ditionis Peki-
nensis monte Po-hua-shan (Bretschneider).
Glabra v. caule basique petiolorum parce lanuginosa.
3. Sc. parviflora Jacq. FI. Austr. IV.t.305. Ledeb.
1. c. II, 795. Trautv. Enum. pl. Song. n. 694.
Mongolia: Gobi australi, pratis ad fl. Yedsin (Pota-
nin, 1886). Tum in Songaria, Altai, deserto Kirghi-
sico, Wolgensi (Sarepta) et Pontico (Odessa).
4. Sc.capito. Collo squamoso inter petiolos stupposo
altius ad folia caulemque parce arachnoideolanata v.
tum sabgiabrs, pabaaris glauca, foliis chartaceis ner-
ti linearilanceolatis cau .
toacuminatis margine “undulatocrispis : caulibus 1 —
folia radicalia vix excedentibus ascendentibus
phyllis, foliis caulinis e lata semiamplectente basi sen-
sim attenuatis lanceolatolinearibus, capitulis solitariis
multifloris sub anthesi aeque latis ac longis, involucri
campanulati arachnoïideovillosi squamis numerosis sen-
sim longioribus extimis ovatis intimis linearibus, ligulis.
patentibus subaequilongis involuero sesquilongioribus
luteis, achaenio apice parce lanato angulatocostato co-
stis achaeniorum exteriorum echinatis tuberculatisve
interiorum laevibus, pappo lacteo achaenium duplo in-
volucrum vix superante setis interi ribus crassioribus
scabris ad ?/, reliquis numerosioribns laevibus fere ad
apicem plumosis.
Mongolia: Ordos, valle fl. Hoangho, in limosis sparsa,
fine Maji flor. (Przewalski, 1872), Gobi boreali: valle
ad puteum Urdshüm, medio Augusto, et declivitate bo-
reali planitiei elatae Baïn-Zagan, fine Augusti flor.
specc. singula (Potanin, 1886).
Exemplis parvis 1-cephalis lanatis Sc. hispanicae L.
gulae longiores et angustiores, pappus rufescens invo-
lucrum tota parte scabra superans.
Radix verticalis. Folia radicalia basi in petiolum
inferne vaginantem abeuntia cum hoc 140 :20 mm.
magna subquintuplinervia. Folia caulina inferiora 90 :5
mm., superiora’15:3 mm. Pedunculi sub capitulo 2
mm. crassi. Involucrum sub anthesi 18 : 15, in fructu
25 : 22 mm., squamis circiter 40 apice purpurascenti-
bus. Flosculi sine achaenio 17 mm. longi, tubo quam
ligula breviore, hac genitalia subsuperante. Achaentum
7—9 mm. longum, 1 mm. crassum.
5. Sc. pusilla Pall. It. II. App. 744 n. 122. tab. L.
Led. I. c. If, 791. Rgl. et Herd. PI. Semen. Suppl.
n. 637,4. Boiss., FE or. II, 77
Mongolia: deserto Songarico montibus Kuku-Svrche
ad fontem, parce (Przewalski, 1879). — Distrib.
hinc per Songariam rossicam ad desertum Caspium et
Belutschistan.
A DC. Prodr. VII. 1. 118 corollae pallide purpu-
reae dicuntur, verosimiliter ad sicceum, Pallas, qui
speciem non ipse collegerat, ad siccum pallidas, Lede-
bour item ad siceum flavas statuit, Boissier luteas
describit et ita, obscurius striatae, videntur in nostra.
6. Sc. mongolica. Glauca glabra pluricaulis palmaris
decumbens v. ultrapedalis erecta, foliis carnosis radi-
calibus caule duplo brevioribus saepe longe petiolatis
intra petiolos vaginantes floccosolanatis lanceolatoli-
nearibus subito acuminatis acutis v. obtusinsculis obso-
lete trinerviis; caulibus plurifoliis versus apicem 1—6-
cephalis, foliis caulinis sessilibus late linearibus usque
linearioblongis acutis v. rarius acuminatis superioribus
interdum oppositis summis squamiformibus; capitulis
fere sessilibus anguste cylindricis sub-15-floris, invo-
lucri squamis paucis parce arachnoiïdeis v. glabratis.
extimis ovatis intimis oblongolinearibus, ligulis luteis
involucro parum longioribus erectiusculis; achaeniis
angulatis apice parce villosis ceterum minutissime pu-
berulis pappo 4-lo usque brevioribus, pappi ochroleuci
setis apice ipso excepto plumosis.
Mongolia australiore in salsis: valle deserta secus
pedem borealem jugi Thian-Schan orientalis, Gobi au-
strali secus fl. Yedsin (Potanin, 1877, 86) et oasi
Ssa-Tscheu, tum oasi Nia ad pedem jugi Keria, 4200
p.s. m.; Zaidam (Przewalski, 1879, °84, ’85).
493
des Sciences de Saint - Pétersbourg.
494
Var. foliis distinctius trinerviis sensim acumi-
natis minusque Carnosis.
Gobi australi: ad fl. Yedsin (Potanin, 1886).
Nulli e mihi notis propius accedit, nisi forte cum
Sc. acuminata Boiss., a me non visa, comparanda.
Planta secundum stationes admodum variabilis. Ra-
dix verticalis collo saepe dense stupposo petiolis vetustis
aufractis horrido. Folia radicalia’ sub anthesi mox nu-
merosa mox pleraque evanida, quoad magnitudinem
variantia inter 20 : 1 cm. (petiolo 8 cm.) et 7 : 4 cm.
_(petiolo 15 mm.). Folia caulina multo minora. Invo-
lucrum sub anthesi 12-—22 mm. longum, 4—5 mm.
latum, fructiferum 2—3 cm. longum, 8—9 mm. la-
tum, squamis circiter 10—12, extimis minutis caly-
culiformibus. Flosculi 19 mm. longi tubo ligulam
superante. Pappus sub anthesi ligula brevior, involucro
aequilongus, tum involucro triente, achaenio 6 —7 mm.
longo multo longior.
7. Sc. divaricata Turcz. in Bull. Soc. Mosc. V.
181. n. 23. Maxim. Ind. Mongol. in F1. Amur. 483.
Franch. PI David. I, 189. Hook, f. FI. Brit. Ind.
III, 418.
Species haec in desertis Asiae centralis late distri-
buta miro modo variabilis, formis extremis diver-
sissimis, sed altera in alteram transeuntibus, in varie-
tates quidem divellenda, sed nulla ex his varietatibus
bene delimitanda est. Typica planta, a Turczaninow
descripta, omnium formarum magis depauperata, pal-
maris glabra, rhizomate brevi, caule a basi divaricato-
ramosissimo, foliis filiformilinearibus apice hamatis,
saepe minutissimis, capitulis 4—5-floris 13—17 mm.
longis (ligulis inclusis, quae involucro sesquilongiores),
achaeniis laevibus glabris striatis circiter 6 mm. longis.
— Rarissime occurrunt folia caulina elongatolinearia
(8 mm.:1,5—2 mm.).
Mongoliae orientalis deserto Gobi: secus tractum
mercatorium (Kirilow! 1831, mis. Turczan.), v. gr. ad
Hak-lassutu, Gai-lin, cet. (Tatarinow), regione media:
Kobden-ussu inter lacum Gaschiun-nor et jugum Tostu
(Potanin, 1886), inter Hami et Ssatscheu (Prze-
walski, °79), et australi: inter pedem jugi Nan-schan
et vicum Schache (Potanin, ’86).
Omnia haec specc. tam tenuia, ut species a cl.
Franchet cum dubio annua habeatur, sed re vera suf-
fruticosa sunt, uti docent individua evidenter vetus-
Tome XXXII
tissima, caudice subterraneo ramoso pleiocephalo, trun-
cis vetustis aufractis et ramosis dealbatis, novellis
typicis:
Mongolia boreali: regione Ubsa, deserto sicco are-
noso non procul a lacu Dseren-nor, rarissime (Po-
tanin, 779).
Var. intricatissima: glabra globum densissime
ramosum et intricatum usque 27, pedem altum et
latum efficiens, sed etiam palmaris obveniens, foliis
plerisque ad squamas reductis, capitulo tomentello,
involucro 10—13 mm. longo, ligulis circiter 5 luteis
nervis aurantidcis vel praeterea dentibus v. subtus
versus apicem pl. m, purpureis, achaeniis 8 mm. longis
pallidis glabris costatis pappo rufescente pl. duplo bre-
vioribus.
Deserto Gobi, medio: secus fl. Yedsin pluribus locis,
et boreali: valle circa _puteum Urdshüm (Potanin,
1886).
Var. sublilacina: ut typica, sed à m. tomen-
tella, capitulo 5—15-floro, ligulis lilacinosuffusis cum
nervis Jilacinis, achaeniis apice villosulis laevibus
10 mm. longis pappo fere duplo brevioribus. Statura
palmaris usque pedalis.
China boreali, prov. Schansi, in deserto FRE nec
non in siceis RATES sortes locis (Potanin, °84),
ad limitem Mongoliae australem: jugo Muni-ula latere
boreali, in agris Sinensium frequens (Przewalski,
1871), regione Amdo prov. Kansu: ad fl. Hoangho
superiorem, 9000 p. s. m. (Przew. ’80).
: Var. foliata: Spithamaea usque pedalis patulo-
ramosissima glabra v. ad caulem foliaque sublanata,
foliis ramealibus apice saepe rectis v. vix hamatis usque
5 cm.: 3 mm. magnis, Capitulo 8 —12-floro pl. m.
tomentoso 20 mm. usque longo, ligulis luteis, achae-
niis 6— 7 mm. longis in eodem capitulo glabris et
laevibus vel minutissime villosulis ad costas nonnul-
las tuberculatis vel apice distincte’ villosulis pappo
1°/, — 2-lo brevioribus. — Specimen 1 retinuit folia
pauca radicalia ad 9 cm.: 6 mm. magna lanceolato-
linearia acuminata in petiolum brevem attenuata.
Mongolia boreali: regione lacustri deserta, circa
lacus Baga-nor et Kirghiz-nor, nec non Altai australi:
ad fl. Ssakssà et fauce Dsussylyk, Gobi boreali orien-
tali: glareosis graniticis planitiei elatae Baïn-zagan,
montibus Nemegetu, ad fl. Leg, nec non jugo Hanhai:
ad fl. Tuin-gol (Potanin, 1877, 1879, 1886).
33
495
Bulletin de l’Académie Impériale
496
Var. virgata: Sesquipedalis fastigiatoramosis-
sima tomentella v. saepius glabra, filifolia, capitulo
5—12-floro sub anthesi 15 mm., fructifero 20 — 24
mm. longo, ligulis Juteis, achaeniis glabris v. juven-
tute apice villosis laevibus vel pl. m. muricellatis
tuberculatisve 7 — 9 mm. longis nigroviridibus pappo
apice rufescente parum v. fere duplo brevioribus.
Mongolia centrali: Thian-schan, latere australi, ad
Nan-schan-kou (Potanin, ’77), deserto limoso ad pe-
dem jugi Keria, nec non Tübet borealiorientali: jugo
Burchan-Budda, fauce fl. Nomochun-gol, in ripa
limosa, 10,000 p.s. m. (Przewalski, 1884, ’85).
Haec proxime accedit ad plantam hkimalaico-tibeti-
cam: Kashmir (Royle!, Clarke!), Tibet occid. (Sto-
liczka!, Kurz!, herb. Calcutt.!), quam A. Fran-
chet (in Ann, sc. nat. 6 ser. XVI, 332) pro Sc. vir-
gala DC. habet et a specie nostra diversam credit,
quae vero a nostra var. virgata tantum differt capitulo
florente longiore (25 — 30 mm., 12-floro) et achae-
nio tenuiore longiore (13 mm., glabro laevi, vix ad
costam unam vel alteram tuberculato pallido pappo
rufescente sesquibreviore), Mihi etiam haec tantum
varietas kimalaica speciei nostrae polymorphae videtur.
Cum Sc. divaricata Turcz. comparandae sunt tan-
tum S. fortuosissima Boiss. et Sc. ramosissima DC.
Posterior habitu accedens quidem, sed pedunculis lon-
gissimis et collo rufostupposo discrepans, ob achae-
nium densissime lanatum ad aliam divisionem generis
pertinet. Prior diversa est caulibus ramisque flexuoso-
divaricatis crassioribus, capitulo sub anthesi vix 15
mm. fructifero 30 mm. quam pappus rufus fere duplo
breviore, involucri squamis interioribus numerosiori-
bus duplo angustioribus a ligulis parum superatis,
achaenio graciliter attenuato ceterum variante tenuiore
et crassiore 9— 12 mm. longo laevi v. ad costas pas-
sim undulato-tuberculato, ochroleuco.
+ 8. Sc. albicaulis Bge. Enum. Chin. n. 230. DC.
Prodr. VII, 1, 119. Sc. macrosperma Turez. in DC.
L ce. 121. et FI. Baic. Dah, IL, 149. Ledeb. FI
Ross. II, 795. Maxim. F1 Amur. 177. Rgl. F1. Us-
sur. n. 104. Herd. PI. Radd. IIL. n. 217. Franch.
PI. David. I, 190.
© Sibiria baicalensi, cirea Irkutzk rarissime; Dahu-
= ria: circa Nertschinskoi Sawod, ad fl. Argun et Schilka
(Turez.); Mandshuria: ad Amur australem (ipse, Rad-
Sy. #.:N. Am. l:2,32)
de), fl. Sungari (ipse), Usuri et Ssungatsche (Maack),
Suifun (Goldenstädt), sinu Possiet (ipse); Korea:
portu Tschusan (Wilford), archipelago Koreano (O1d-
ham); China boreali: prov. Tschili, circa Pekin (Ta-
tarinow) ad radices montium borealium prope Lun-
züan-ssy (Bunge), Gehol (David), Yin-shan, Tang-shan
(Bretschneider), valle fl. Wan-yun, sinice yô-mamà;
prov. Schansi: vico Peiho ad meridiem montium Din-
ssin (Potanin, 1884).
Radix respectu plantae parva cylindrica brunnescens,
collo squamato. Caulis strictus simplex apice corym-
bosopleiocephalus, rarius cum fasciculis foliorum steri-
libus ex axillis superioribus, usque 4-pedalis. Involu-
erum cylindricum 30—35 mm. longumi, ligulis sesqui-
brevius, pappum fere aequans. Ligulae, fide Bunge
pallide roseae, fide Bretschneider luteae, ex mea
observatione in vivo ochraceoflavae subtus venis croceis
lineatae, defloratae marcescentes venis approximatis
rubrae videntur. Achaenia usque 22: 1 mm. magna
opaca angulatosulcata striataque sub lente fortiore mi-
nute pulvereopunctata, in rostrum 7 mm. longum sen-
sim attenuata. Pappus rufescens circiter biseriatus
15 mm. longus serie externa fere usque ad apicem,
interna oligotricha ultra medium plumosa apice exserto
scabra.
Inter plantam sibéricam et sinicam nullam differen-
tiam invenire potui. Pubes plantae adultae saepe fere
tota evanescit.
Andromeda nikoënsis. ($ 4. Pieris ser. ** A. Gray,
Ramis tenuibus teretibus
vetustis glabris, foliis apice ramulorum per 5 — 7 ap:
proximatis patentibus membranaceis supra ad costam
pubescentibus subtus rufopilosis brevissime petiolatis
ellipticis v. obovatis apiculatis crebre setaceoserrulatis
serraturis incumbentibus (20: 11 ad 50:20 mm. mag-
nis); floribus coaetaneis albis in racemum peduneculatum
pluriflorum dispositis parvis. rhachi villosa, pedicellis
basi cum bractea setacea caducissima glabris elongatis
(rhachi duplo brevioribus) sursum incrassatis, calycis
partitionibus membranaceis ovatis ciliatis setaceoacu-
minatis corollà ovoidea 5-dentata pluries capsulà duplo
brevioribus, filamentis medio densissime longissime hir-
sutis, anthera glabra 2— 3-lo breviore obovata dorso
ex apice loculorum biaristata aristis recurvis loculo
497
des Sciences de Saint - Pétersbourg.
tota longitudine dehiscenti aequilongis, stylo columnari
corollam aequante; capsula in pedicello recto erecta
ovoidea valvis dorso sulcatis, seminibus (quodam loculo
abortu singulis) oblongis testa laxa minute eleganter
reticulata.
Nippon: prov. Musaschi alpe Nikko (Savatier frf.
admixta À. cernuae N° 2119, J. Matsumura sub nom.
japon. Abura-tsutsusi, deflorescens fr. immat.).
Flore excepto persimilis ÆEnkyantho Meisteriae (ob
ducto a Bentham et Hoo-
ker), qui olim Andromeda cernua Miq. et a nostra
differt foliüis latioribus, racemis subsessilibus rhachi com-
muni 20—25 mm. longa fasciculatis, pedicellis 5—15
mm. longis, flore majore (7 mm. longo, in À. nikoënsi
5 q. exc. mm.), corollae apice non constrictae dentibus la-
ciniatotridentatis erectis nec reflexis, filamento anthera-
que totis breve hispidis, capsula 5—6 mm. alta in pe-
dicello infracta, alis seminum longitudinalibus crispis,
una tota longitudine seminis, reliquis abbreviatis nume-
rosis. Æ. japonicus Hook. f. quoad corollam similis,
sed corolla basi eximie quinquegibba, differt calycis
partitionibus subulatolanceolatis, floribus fasciculatis
subpraecocibus, stylo ovarioque conicis sensim altero
in alterum abeuntibus.
semina alata ad nl
Rhododendron ellipticum. (Sect. Azaleastrum PI.) Ar-
boreum adultum glabrum, foliis coriaceis per 2 annos
persistentibus longiuscule (13—20 mm.) petiolatis con-
coloribus laeviusculis ellipticis subito apiculatis (60:22
usque 90:45 mm. magnis) ex gemma terminali linea-
rilanceolata prodeuntibus; floribus in quavis gemma
lanceolata imbriéatomultiperulata 1 —2 longe (25—30
mm.) pedicellatis amplis (diam. 6 em.) pallide roseis,
sepalis depressohemisphaericis v. ad merum marginem
reductis, corollae rotatae partitionibus obovatooblongis,
staminibus 10 inclusis filamentis basi dense paleaceo-
tomentosis, stylo stamina superante versus stigma ob-
conico germineque conicolineari 5-loculari glabris.
China australiore(Seniawin, flor.); archipelago Ya-
_yama inter Liukiu et Formosam (Tashiro, 1886 flor.)
Huic proximum est Æ2h. ovatum PI., pro quo olim
plantam Seniawini perperam sumpseram, quod vero
5-andrum microphyllum, ad pedicellos glandulosopilo-
sum est et florem duplo saltem minorem habet.
Schizocodon rotundifolius. Caudice elongato fibroso,
squamis subulatis membranaceis ad basin scapi paucis
atque in ipso scapo a medio sursum 3 — 5 summa ca-
lyei approximata, foliis longe petiolatis membranaceo-
chartaceis opacis orbiculatis v. rotundatoovalibus basi
brevissime secus petiolum decurrentibus v. intimis cu-
neatoobovatis omnibus obsolete truncatis atque circum-
circa apiculatosinuatis scapum debilem 1-florum supe-
rantibus, sepalis oblongis acutis truncatisve conniven-
tibus, corolla. .., germine globoso, stylo columnari ex-
serto persistente.
Archipelago Fa-yama (Formosae proximo) a. 1886
legit Tashiro fr. nond. mat.
Ad hoc genus neque ad Shortiam retuli ob styli na-
turam, ceterum Shortia uniflora foliis opacis tenuiori-
bus et flore 1 magis congrua quam Schizocodones duo
noti, qui floribus racemosis, foliis coriaceis lucidis squa-
misque ovatis coriaceis valde distant.
Folia maxima 73 mm. lata, 68 mm. longa, petiolus
90 mm. Scapus ascendens 8 cm. altus. Calyx 8 mm.
longus.
Androsace L.
Species Asiae orientalis et centralis!).
Annuae v. biennes, radice simplici tenui, ro-
sula foliorum radicationr solitaria v. nulla. 2
Perennes. 10.
Folia omnia caulina, umbellae axillares et
rs
Bis sors sit uns soso vides ete ie
Rosula radicalis, scapi nudi umbella termi-
nali. 3.
8. olia reniformicordata.
elliptica PE y. linearilanceo-
lata. 6.
4. Lamina foliorum lobata v. tas ibdinité iterum
crenatis v. rs. pedicelli breves, calycis
lobi in fructu A. rotundifolia Hardw.
mr jrs eent pedicelli valgo elon-
LD.
CC
4-11
k ciniis lanceo-
latis, corolla aie, rot press SE
Calyx fructifer ris ms ri
corolla caly ce vix lon
saxifragaefolia Bge. .
A. Gmelini Gaëertn.
calyx fructifer auctu
Involucrum pren PE tum vix v.
non auctus. 7.
7. Folia coriacea dense ciliata spathulata cum
piculo, scapi plures, umbellae multiflorae,
pedicel ad flores carnei mé 5-lobo,
ix A. Aizoon Duby.
Folia iles radix annua. 8.
8. Calyx ad medium 5-fidus laciniis elongato-
1) Exclusis arcticis À. arctica et À. ochotensi, de quibus nil De
habeo. : “ ve 4
Î \ à 33*
499
Bulletin de l'Académie Impériale
500
Calyx 5-dentatus dentibus deltoideis capsula
brevior.
; Flores minuti, pue Loemesn . mem-
branacea elliptica s
Flores majusculi, folia pe hu t
chartacea oblongolinearia parce visé
Radix pluriceps capitibus sessilibus dense
Net folia petiolata elongatolanceolato-
linearia mucronata Er ds umbellae
rare pedicellis elongati
Caespitosae stoloniferae tin folie
dense imbricatis plerumque minutis.
. Folia villosa v. hifsuta
» praeter merginem cartilagineociliatum
glabra coriacea. 14.
. Folia herbacea. patula majuscula v. magna,
scapi exserti, 1
Folia cartilaginea appressa carinata minuta
ovata obtusa, flores sr at limbo
corollae quam tubus breviore ............ A. tapete m.
. Stolones breves, folia ru ents laneeo-
lata v. spathulata saepissime acuta, flores
PALTUR AIDI Vi PORORS is éinener ee: A. villosa L.
Stolones elongati nudi, folia laxa obovata v.
spathulata obtusa y. obtusiuseula, scapi elon-
Su) DONS ADR MUNE. L4.0 E ess A. flavescens m.
. Folia majuscula linearilanceolata v. de mg
Le]
Fe filiformis Retz.
ss...
4 septentrionalis L.
en
=
.. À. longifolia Turez.
bi
[en
—
[ue
es
co
ni
mn
en
Eu
k Au umbellati, limbus tubo corollae lon-
RSS QU A A AA NME Ed AR RES sempervivoides J acqu em.
Flores singoli, limbo quam tubus corollae
DER did io eseuecpivisess .…...A. alaschanica m.
16. F1 bellati,foli tiaobt A.microphylla Hook. f.
» singuli, folia sh “svesà À. squarrosula m.
1. À. erecta Maxim. in Mél. biol. XI, 262.
Praeter Kansu occidentalem alte alpinam, ubi de-
texit Przewalski, occurrit in ejusdem provinciae re-
_ gione boreali: valle fl. Itel-gol, et orientali: valle fl.
Pei-schui prope Kwan-tin, et ad fl. Hei-ho (Potanin,
785).
2. À. rotundifolia Hardw. in Asiat. research. VI,
350. Hook. f. F1. Brit. Ind. II, 496. Var. dissecta
Franch. ined.
YFunnan (Delavay!). — Typus: Tibet occidentali
et Himalaya temperata a Kashmir ad Kumaon.
3. À. saxifragaefolia Bge. Enam. Chin. n. 297.
Turcz. Enum. Chin. n. 167. Maxim. Ind. Pekin.
474. Franch, PI. David. I, 199. Bak. et Moore in
Journ. linn. soc. XVII, 384. Franch. Catal. pl.
Tchéfou, in Mem. soc. Cherb. XXIV, 233. Hook. f.
F1. Brit. Ind. III, 496. À. patens Wright, in Mem.
Amer. Acad. 2 ser, VI, 401. |
Mandshuria australi: prov. Shin- king (Ross, ex.
k Bak. et. sur ai Liuhiu (Wright); China:
prov. Tschili: Tien-tsin, inter Pekiu et Tuntschu (Po-
tanin, ‘84), Pekin (Bunge, alii), Lun-züan-ssy (Ta-
tarinow), monte Po-hua-schan (Bretschneider),
Shantung: Tschifu (Hancock), Schensi australi (Da-
vid, ex Franch.), Hupeh: Ichang (Dr. Henry). —
Distr. Bengalia! et in Himalayam.
4, À. Gmelini Gaertn. De fr. I, 232. Ledeb. FI.
Ross. IIT, 21. Turez. FI. Baic. Dah. II, 234. Herd.
PI. Radd. II. n. 88. in Acta h. Petrop. I, 407.
Sibiria altaica et orientali, v. gr. Baïkal, Dahuria,
Mandshuria occidentali: ad fl. Schilka infer. (ipse),
China occidentali: Kansu: circa monaster. Dshoni,
declivitate boreali m. Yalissan, Amdo (Tangut): valle
ad fl. et pagum Ndami (Potanin, ’85), ad Hoangho
superiorem non procul ab oppido Huidui, 9000 p.s.
m. (Przewalski, 1880).
5. À. maxima L. Cod. 1144. Ledeb. FI. Ross.
HE, 20. Turez. FE Baic. Dah.:1l, 235. Trautr
Enum. pl. Songar. n. 742. Herd. PI. Semen. n. 691.
PI. Radd. I. c. n. 86.
Dahuria: ad fl. Schilka prope Stretensk (ipse),
Mongolia boreali: jugo Han-haïi ad fontes fl. Urtu-Ta-
mir (Potanin, 86), Altai orientali ad fortalitium chi-
nense finitimum Kak-nor (Malewski, °69), Sibiria
orientali: ad Angaram, nec alibi in ditione baicalensi
(Turez.), Krasnojarsk (id.), Alai, Songaria et hinc in
Turkestan, Persia, Asia minore, Syria, Caucaso, Ros-
sia, Europa media.
6. À. elongata L. Cod. 1145.
INT, 20.
8. nana Duby in DC. Prodr. VIIL 53. Franch.
PI. David. I, 200.
Mongolia: Sartchy, in arenosis (David), China:
Amdo: Ssan-tschuan ad fl. Hoangho (Potanin, ’85).
. Typica: Sibiria orientali: ad Irkutzk,-et altaica,
Ural: cirea Orenburg, Caucaso, Rossia: Kasan et
ditione australi, Europa media.
Planta Potaniniana cinerascentipuberula, qualem
passim inter specc. europaea videre contigit.
7. À. fiiformis Retz. Obs. II, 10. Ledeb. FI.
Ross. IT, 21. Turez. FI. Baic. Dah. IL, 234. Trautv.
et Mey. FI. Ochot. n. 233. Maxim. FI. Amur. 192.
Rgl. FI. Ussur. n. 327. Herd. PI. Radd. n. 87. F.
Ledeb. FI. Ross’
Schmidt F1. Amg. Bur. n. 277. Trautv. Enum.
Lt
501
des Sciences de Saint -Pétersbourg.
»
50?
Song, n. 743. Herd. PI. Semen. n. 692. Baker et
Moore in Journ. linn. soc. XVII, 584.
Sibiria orientalis a terra Tschuktschorum et Kam-
tschatka, a mari Ochotensi et Arctico usque ad Baikal
et Angaram, Dahuria, Mandshuria: ad Amur fi. us-
que ad ostium, fl. Usuri et Schilkam inferiorem, prov.
a king (Ross ex Baker et Moore); Songaria, Al-
, Ural, Rossia europaea usque ad gub. ous
raie et Smolensk.
8. À. septentrionalis TI. Cod. 1146. Ledeb. FI.
Ross. II, 19. Turcez. FI. Baic. Dah. II, 233. Ma-
xim. FI. Amur. 192, 483. (ind. Mongol.). Herd. PI.
Radd. n. 84. PI. Semen. n. 689. Trautv. Enum.
Song. n. 741. Franch. PI. David. I, 200.
Tota Sibiria, inclusis Kamtschatka et terra Tschuk-
tschorum, Mandshuria, Mongolia: jugo Hanhai ad fi.
Tui et alibi (Potanin, ’86), secus tractum mercato-
rium (Ladyshinski), Altai orientali: Sailughem,
Tschindagistai, fontes fl. Buchtorma (Malewski, °69)
et australi: Taischir-ola (Potanin, 77), Alashan et
montibus Muni-ula (Przewa]lski). — Tum in Songa-
ria, Caucaso, Europa boreali et media atque America
frigidiore.
Var. lactiflora Trautv. Enum. Song. n. 741.
Herd. PI. Radd. in Act. h. Petrop. I, 404. À. lacti-
flora Pall. It. III, 244, 253. Ledeb. I. c. 18. Turez.
F1. Baic. Dab. II, 232. Maxim. FI. Amur. 192.
Sibiria orientali: a Jenisei (Krasnojarsk) ad Baiïka-
lem et in Transbaiïcalia atque Dahuria, v. gr. ad fi.
Schilka; Mandshuria: ad fl. Amur (ipse), Mongolia:
ad lacum Kosogol (Radde), Songaria.
9. À. Aizoon Duby in DC. Prodr. VIIT, 50. Dene.
in Jacquem. Voy. bot. 141 t. 145. Hook. f. FI.
Brit. Ind. INT, 497.
Var. integra: eglandulosa, foliis dense ciliatis,
corollae majoris laciniis obovatis integris v. rarissime
subtruncatis.
China: Prov. Szetschuan parte boreali, ad fl. Ne-
rechu et inferiorem partem fl. Atu-Lunwa (Potanin,
85).
Et planta indica et nôstra mihi potius biennis quam
perennis visa est. Ludit var. proposita fere pedalis et
vix digitalis, corolla ex sicco rosea Himbo 8 mm. dia-
metro tubum subaequante laciniis integris. Fornices
ad faucem corollae, ex Duby et Hooker, nec non in
icone Decaisnei 5 bifidi, jam in descriptione Decais-
nei ad merum marginem crenulatum reducti dicuntur
et ita sunt in var. integra. Antherae rotundatoobo-
vatae filamentis brevissimis, illis pl. typicae simillimae.
Ovarium, capsula et semina eadem.
Planta indica (Falconer!, Dr. Giles! e Gilgit, Hen-
derson! Yarkand exped.) folia parce breveque ciliata
ceterum simillima, pubem inflorescentiae et scaporum
subglandulosam, corollam minorem (in fig. citata diam.
4 mm., sed in pl. Hendersoni jam majorem), laci-
nias limbi bilobas v. bifidas habet, sed ex Decaisne
etiam emarginatae occurrunt.
10. À. longifolia Turez. in Bull. soc, Mosc. V, 25.
Maxim. Ind. Mongol. 483.
Mongolia orientali: ad tractum mercatorium in au-
stralioribus (Kirilow! mis. Ave et australi: mon-
tibus Alaschan (Przewalski, 772).
Planta alaschanica specc. ane stirpis authenti-
<ae aemulat, folia enim solito triplo minora. — Pedi-
cellis elongatis in umbella subsessili vaginisque vetu-
stis fuscis rigidis basi cauliculorum imbricatoappres-
sis a formis variis À. sempervivoidis differt, quae prae-
terea cauliculis minus dense congestis discrepat.
11. À. sempervivoides Jacquem. in DC. Prodr.
VIII, 50, Duby in Mém. soc. phys. Genève, vol. X,
t. 3. fig. 2. Hook. f. F1. Brit. Ind. IV, 497.
Var. tibetica: dense caespitosa v. laxe stoloni-
féra glaucoviridis v. viridis, foliis ellipticis lanceolatis v.
linearilanceolatis mucronatis saepe in petiolum atte-
nuatis et tum erectis nec rosulatis margine cartilagineo
brevius v. rarius longius ciliatis; scapis eglandulosis v.
glandulis sessilibus sub villo versus apicem vulgo copi-
oso occultatis, elongatis v. rarissime subnullis, pluri-
floris bracteatis, pedicellis inaequalibus bracteas vulgo
(interdum pluries) superantibus v. rarissime aequanti-
bus, calyce feread medium lobato, capsula 2—5-sper-
ma. — Corolla ludit saturate v. pallide rosea sive lila-
cina albave annulo ad faucem semper luteo.
Tibet borealiorientali: latere boreali jugi Burchan-
Budda 11500 — 13000 p.s. m., ripa sinistra fl. Yang-
tze, 13000 p.s. m., ubique frequens ; Amdo (v. Tangut}:
ad Hoangho superiorem 8—9000 p. s. m. et ejus af-
fluentes, in deserto graminoso inter jugum finitimum
boreale et fl. Tetung (Przewalski, 1872, °73, 80 84) |
et multis aliis locis (Potanin, 85, °86), Kansuorien-
#
Bulletin de l’Académie Impériale
504
tali: valle fl. Tao-che, prov. Schansi: cacumine montis
Yan-myn-guan (Potanin, 84, 85); Mongolia australi
orientaliore: montibus Alaschan et Suma-hada, frequens
et passim gregaria (Przewalski, °71, °73).
Variis sub formis occurrit altera in alteram trans-
euntibus, equibus maxime memorabilis: scapis subnullis,
caespite densissimo, a Przewalskio ad fl. Baga-gorgi
ditione Hoangho superioris inventa.
Var. tibetica si magis microphylla et latifolia occur-
rit, jam ad À. Chamaejasmen satis accedit, qualis e Pe-
kino et Transbaicalia ante oculos est, sed haec foliis
obtusis non mucronatis molliter ciliatis differt.
12. A. alaschanica. Dense caespitosa cauliculis nume-
rosis ramosis basi nudis in radice crassa polycephala
dense parallele aggregatis, foliis glaucis coriaceis re-
curvopatulis lanceolatolinearibus mucronatis basi dila-
tata membranacea molliter ciliatis ceterum glabris v.
superne ad marginem parce scaberulis, floribus inter
folia immersis solitariis brevissime pedicellatis, pedi-
cello ad medium articulato dense longe lanatovilloso
ad articulum et supra .illum bibracteolato bracteolis
subulatis summa calyci aequialta, calyce pedicellum
superante obconico profunde 5-dentato dentibus delto-
ideis acutiusculis, corollae albae tubo limbum lobis
obovatis truncatis superante fauce cum annulo promi-
nente, antheris ovatis styloque columnari inclusis, ovario
brevissime obconico plariovulato.
Mongolia australi: declivitate occidental ; jugi Ala-
- schan medii, in rupibus frequens (Przewalski, 1873).
Inter À. longifoliam Turez. et À. sempervivoidem
Jacquem. media, ab utraque floribus solitariis brevis-
sime pedicellatis, a priore praeterea caulibus minus
densis, foliis non erectis, a posteriore cauliculis paral-
lelis nec inordinate intricatis, foliis angustioribus di-
stincta.
Caespites spithamaei. Folia cujusvis ramuli recentia
plura emarcidis fuscescentibus rigidulis pluribus fulta,
quaëé deorsum paulatim destructa basibus vaginarum
_ atrobrunneis cauliculum dense tegunt, qui. tandem basi
a vaginis putridis denudatus adhuc calamum corvinum
crassus manet. Folia extima et floralia intima minora
- o (6,5 mm. longa), reliqua majora (usque 14 mm.) lamina
nc viridiglauca vaginam aequilatam fere aequante,
as Flos
_ diam. 7 mm., calyce breve pubescentes |
13. À. microphylla Hook. f. FI Brit. Ind. III, 498.
Kansu occidentali: altissima regione alpina secus fi.
Tetung frequens (Przewalski, 1872). — Distr. Tibet
occidentali (Falconer!).
_Specc. authentica quidem non vidi, sed innominatum
Falconerianum a Kew missum in descriptionem bene
quadrare videtur, planta nostra autem cum illo bene
convenit.
14. À. squarrosula. Laxe caespitosa rosulis foliorum
secus cauliculos numerosis interruptis brevibus, vétustis
fuscis, hornotinis glaucis immersis, foliis emarcidis re-
curvis hornotinis patulis e basi lata hyalina ciliata in
laminam angustiorem cartilagineam deltoideam ovatam
v. ellipticam obtusiusculam glabram v. parce rigide
ciliatam angustatis; scapis inclusis v. breviter exsertis
inter innovationes nunce immersas terminalibus puberulis
apice bibracteatis, bracteis late subulatis basi latiore
ciliata membranaceis; flore abortu solitario brevissime
pedicellato, calycis turbinati lobis deltoideis breve cili-
atis, tubo corollae basi apiceque constricto vix breviore,
limbo albo v. alboroseo fauce flavomaculato tubum sub- :
superante plano laciniis orbiculatis, antheris ovatis sty-
loque columnari inclusis, ovario brevissime obconico
pluriovulato.
Tibet borealioccidentali: jugo Keria latere boreali
9200 p. s. m. in glareosis inter fupes parce, nec non
faucibus #. Kurab et Kük-Egil 10—13000 p. s. m.
solo limoso caespites spithamaeos formans sparsa, sed
frequens (Przewalski, 1885).
Folià praecedentis, sed multo minus ciliata ère
glabra, habitus squarrosus et scapi 1-flori À, Lehinanni
Wall.!, quae tamen jam foliis subulatis diversa.
15. À. villosa L. Cod. 1147. Ledeb. F1. Ross. II,
17 Turcz, FE Bac. Dah. If: 230. Maxim. EE
Amur, 192, 483. Herd. PI. Radd. in Act. h. Petrop.
I, 398 n. 83. Trautv. Enum. Song. n. 740. Rgl. et
Herd. PI. Semen. n. 687. Franch. PI. David, I, 200
Sibiria orientali: a Maja et Lena, nec non montibus :
Stanowoi usque ad Baicalem et Jéniseam, Dahuria,
Mandshuria occidentali : ad Schilkam inferiorem (ipse),
Mongolia: Gobi boreali inter Onon et Argun (Radde),
prope lacum Orok-nor trajectu Ubten-Daban (Pota-
nin, 86 — var. uniflora), ad tractum mercatorium
(Kirilow), regione australi: Urato (David! — var.
incana Franch.), China: prov. Schansi monte Siao- F2
550
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
506
wu-tai-shan (Bretschneider). — Tum in Songaria,
Altai, Ural boreali, Turkestania, Afghanistan, Persia,
Caucaso, Asia minore et alpinis Europae.
Var. latifolia Ledeb. F1. Alt. I, 218. Trautv.
Enum. Song. n. 740. Rgl. PI. Semen. n. 688. Herd.
PI. Radd. I. c. p. 400. À. Chamacjasme Koch Syn.
584. Ledeb. FI. Ross. ITT, 18. Turcz. FL Baic. Dab.
H, 231. Rgl Ti FE: Ajan, :n. 2056.: Forsyth,
Lahore to Yarkand, 331.
Sibiriaorientali: a terra Tschuktschorum, Kamtschatka,
insulis adjacentibus et mari Ochotensi usque ad Ocea-
num glacialem et Transbaicaliam; Mongolia ad fines
Rossicos: Altai orientalis alpe Altyn-Tschetsche (Kal-
ning); Chinae prov. Schansi: Siao-wu-tai-shan (Moel-
lendorff), Peitai 8000 p.s. m. (Potanin, *84), prov.
Sze-tschuan boreali: ad fontes fl. Atu-Lunwa (Potanin,
*85); Tibet boreali: cacuminibus jugi inter fl. Hoang-ho
et Yangtze (Przewalski, °84.).— Distrib. Aféai, Son- |.
garia, Ural boreali, Europa arctica et alpina, nec non
America boreali.
Ducibus Trautvetter et antea ipso Ledebourio
A. Chamaejasmen cum À. villosa junxi, nam charac-
teres de habitu sumti omnes transitus praebent, ille
ex pilis conspicue articulatis petitus non minus in-
certus, nam pili utriusque pluricellulares cellulis pl.
m. collapsis itaque pl. m. articulatis. Planta tibetica
folia facie pilosa atque praeterea ciliata habet À. villo-
sae typicae. Herder et Hooker fatentur nullos esse.
limites inter utramque. — Specc. orientaliasiatica ple-
rumque europaeis magis macrophylla esse solent, etsi
talia rarius inter europaea etiam adsint.
16. A. tapete. Densissime caespitosa cauliculis paral-
lelis congestis mox ob folia vetusta dense imbricata
non interrupta cylindricis mox inter rosulas foliorum
pisiformes brevissime nudatis; foliis arctissime imbri-
catis appressis vetustis fuscis glabratis ovatis acutis,
hornotinis oblongis v. obovatis obtusis apice conniven-
tibus inter vetusta nidulantibus apice dense sericeo-
villosis, omnibus basi membranaceis a medio cartila-
gineis; floribus solitariis sessilibus v. subsessilibus 1-|
bracteatis v. nudis, calyce obtuse dentato margine
sericeo, corollae albae tubo calycem limbumque sub-
superante lobis orbiculatis fauce cum annulo crenulato
_ prominulo, ovario 4-ovulato.
Tibet boreali orientali: declivitate boreali jugi Bur-
chan-Budda ad faucem fl. Nomochun-gol solum limosum
caespitibus usque sesquipedalibus ornans, frequens,
alibique in planitie tibetica 14000 p. s. m. alta (Prze-
walski, 84); China occidentali: regione Amdo (v. Tan-
gut) prov. Kansu: ad fl. Yedsin lateribus denudatis sep-
tentrionalibus, trajectu Rdonssug-Kikà ad fl. Lagi
(Potanin, ’86); Szetschuan boreali: rupibus calcareis
in parte superiore vallis fl. Atu-Lunwa (Potanin, ‘85).
À. villosa var. uniflora, D'uby, differt foliis angustis
patulis dense villosis majoribus, scapo distincto brac-
teato, tubo corollae quam limbus lobis obovatis breviore;
A. globifera, Duby, foliis rotundatoobtusis pubescen-
tibus et dense longeque ciliatis ciliis latitudinem folii
aequantibus vel superantibus, bractea scapi brevissimi
ad basin disposita; À. Selago, Hook. f. et Thoms.,
pube sericea brevi, foliis angustioribus, scapi prae-
sentia, calyce 5-fido, corollae lobis obovatooblongis.—
À. muscoidea, Duby, denique, mihi plane ignota et
ab autoribus diverso modo descripta, fide Dubyi ha-
bitu A. villosae, stolonibus nudis hinc inde rosuliferis
rosulis albovirescentibus e foliis linearilanceolatis ob-
tusis villo longo tectis, scapo exserto et calyce 5-par-
tito magis distincta esse debet.
Cauliculi in aliis 4 cm. longi, a basi ad apicem
quater in ramos fastigiatos divisi rosulisque foliorum
vetustorum 6—8 obsiti, intervallis 3—4 mm. nudi
teretiusculi uno millimetro tenuiores, in aliis 2—3 cm.
longi et ramosi aequaliter foliati humosobrunnei cylin-
drici 2—3 mm. crassi. Apices cauliculorum floriferi
foliati usque 9 mm. longi, foliis anni praecedentis 1—2-
seriatis fuscis, reliquis totis jam emarcidis brunneis,
summis 1—2-seriatis recentibus viridiglaucis. Folia
2,5—3,75 mm. longa basi hyalinomembranacea apice
viridi planoconvexo hyalinomarginato. Bracteam vidi
nune singulam oblongolinearem calyci appressam et
aequilongam, nunc 2 alteram ovatam alteram ex ovata
basi oblongam triplo longiorem, omnes absque ullo
vestigio alabastri in axillis. Calyx exceptis dentibus
hyalinus. Corolla diam. 3,5—4,5 mm., alba annulo
aurantiaco. Antherae ovatae albae.
17. À. flavescens. Laxe oies laete viridis hir-
suta, stolonibus elongatis foliatis vetustis denudatis,
foliis spathulatis v. obovatis in petiolum brevissimum .
attenuatis vix acutiusculis, scapis elongatis, umbellis
subdecemfloris pedicellis bracteas obovatas dense pui
507
Bulletin de l’Académie Impériale
508
sutas aequantibus vel superantibus, calyce campanu-
lato obtuse 5-lobo, corollae flavescentis limbo plano
tubum superante lobis rotundatoobovatis annulo ad
faucem concolore vix prominente, antheris ovatis.
Tibet occidentali boreali: jugo Keria fauce fl. Kurab
ad latera regionis mediae (Przewalski, 85).
Colore florum ex collectore «stramineo» in genere
anomala, ceterum À. sarmentosae Wall. persimilis,
quae tamen differt pube sericea, fronde obscure glauca
et statura majore.
Stolones vetusti herbacei cinnamomei, A mm.
. crassi.- Folia cum petiolo inter 5 : 3 usque ad 15 : 5
mm. variantia, membranacea. ee tenues digitales
virides. Calyx 3 mm. longus. Corolla diam. 8 mm.
Gentiana nipponica. (Sect. Chondrophylla Bge. Divis.
Perennes 1-florae, Griseb.). Caespitosa cauliculis de-
cumbentibus praesertim basi ramosis foliis emarcidis
obvallatis crebre foliatis, foliis coriaceis marginatis
recurvopatentibus ovatis obtusiusculis; floribus caulem
apice ascendentem ramosque breves apicales terminan-
tibus 1—3 subsessilibus, calyce anguste campanulato
5-costato semiquinquefido laciniis lanceolatis acutis |
apice recurvis, Ccorollae (violaceae?) calycem plus duplo
superantis tubo sensim ampliato limbum hypocrateri-
morphum superante lobis ovatis plicas laciniatas duplo
excedentibus, staminibus tubum aequantibus antheris |
oblongis, ovario oblongo stipitem stylumque superante
stigmatibus obovatis patulis.
Nippon: prov. Echiu monte Tate-yama, prov. Kaga
monte Haku-san (hb. univ. Tokio!).
In mentem vocat G. pyrenaicam L. vel inter indicas
G. carinatam Griseb. et G. coronatam Royle (corolla
tamen fauce fimbriifera donatas).
-Digitalis intricata intense viridis. Radix tenuis ra-
mosa pluriceps. Cauliculi basi foliis vetustis castaneis
persistentibus obvallati, Folia internodia vulgo super-
antia approximata, 6 : 4 mm. magna, sed adsunt cauli-
_ culi ubi internodio breviora, folia surculorüm sterilium
ovatooblonga vix 3 mm. lata. Calyx 10 mm., corolla
20 mm. v. paulo brevior, tubo apice 6 mm. lato.
. Adnot. Recte monuit cl. Fawcett plantam a me
sub nomine G. Thunbergü distributam non esse Thun-
bergianam a Grisebach promulgatam, tamen error
non est meus, sed Sieboldi et Miqueli, qui speciem
vulgatiorem solamque ïis cognitam pro planta Thun-
bergiana habuerant. Synonymia nunc ita stabilienda:
G. Thunbergi Griseb. in DC. Prodr. IX, 108.
Fawc. in Journ. bot. XXI. 1883, 183. Ericala Thun-
bergii Don, Gard. Syst. IV, 192. G. japonica Maxim.
in Mél. biol. IX, 396. G. aquatica Thunb. FI. Jap.
115.—nec L.
Hab. Kiusiu: alpe Aso-san (ipse), Sikoku (Rein):
prov. Tosa (T. Makino), Nippon: inter Miako et
Yedo (Thunberg in herb. Upsal. ubi ipse 1873 vidi,
et in herb. Mus. Britann. ubi vidit Fawcett), prov.
Echiu monte Tate-yama (Okubo), Yezo: prov. Ishi-
kari ad Horomui (K. Miyabe).
Var. minor: caule digitali filiformi simplici, foliis
parvis radicalibus late ellipticis obtusiusculis in petio-
lum attenuatis, flore 8—15 mm. longo calyce corolla-
que late obconicis, laciniis calycinis ad ”, vel 7, tubi
corollini attingentibus.
Cum typo crescit et in illum insensibiliter transire
videtur. Vidi e Yezo, Tate-yama et Sikoku.— À bota-
picis indigenis pro G. humili Stev. habetur, sed calyce
corollaque latius apertis differt.
G. Zollingeri Fawcett 1. c. G. Thunbergü S.Z. FI.
Jap. fam. nat. n. 543 nec Griseb. Miq. Prol. fl.
Japon. 287. Herd. PI. Radd. n. 123 in Acta h. Pe-
trop. I, 450. G. aquatica, Haru rindô, Soo bokf. IV, 54.
Hab. in pratis et fruticetis totius Japoniae, sed ubi-
que sparsa nec frequens, v. gr. Zollinger! n. 331,
Buerger!, circa Nagasaki (0O1dh.!, ipse), ins. Sèkoku
prov. Tosa (T. Makino!); Nippon: Yokoska (Savat.!),
Simoda (Yolkin!) Yokohama (ipse), prov. Owari (I.
Keiske, ex Miquel) aliisque locis, ins. Fezo: Ssiginope
(ipse), Akagawa (Albrecht), Sapporo (K. Miya be).
Ins. Sachalin (Dr. Augustinowicz). In Korea
(Schlippenbach), Mandshuria: secus fl. Usuri supe-
riorem (ipse), montib. Bureicis (Radde); China: pie
Che-kiang (Carles et Forbes!)
Gentiana Sikokiana. (Sect. Pneumonanthe Neck.) Vi-
ridis gracilis, foliis membranaceis majusculis petiolatis
fere ad apicem trinerviis ellipticis v. lanceolatoellipticis
acuminatis; floribus terminalibus subternis axillaribus-
que singulis alternis v. oppositis brevissime infimisve
longius pedicellatis atque sub calyce bracteis rotundatis 0
acutis involueratis, calycis 5-lobi tubo coriaceo laciniis
0509
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
510
rotundatis acutis sese invicem tegentibus patentibus,
corollae coeruleae infundibuliformis lobis late ovatis
plicas triangulares integras parvas valde superantibus,
antheris conniventibus demum liberis, stipite capsulam
oblongam utrinque attenuatam superante, seminibus
utrinque alatis. Asama rindô, Soo bokf, IV, 51. (spec.
minus).
Ins. Sikoku: prov. Tosa in Yokogura yama (T. Ma-
kino).
Proxime affinis et fortasse imo varietas extrema G.
Buergeri Miq., quae ipsa tantum varietate distinguenda
a G. scabra Bge, atque eadem videtur ac G. Fortunei
Hook. in Bot. mag. 4776 (a. 1854) e China media
orta, haec vero ni fallor est identica cum G. Preumo-
nanthe Hance in Journ. of bot. XXI, 324 e prov.
Cantoniensi et Shantung (Tschifu!). Omnes hae species
et ipsa G. triflora Pall. arcte sunt inter se affines et
sedulo investigandae, an sint revera distinguendae vel
pro formis unius speciei polymorphae habendae.
Specc. duo ante oculos, alterum fere pedale, foliis
65:27 mm., alterum palmare, foliis 115:35 mm.
magnis. Calycis tubus 10 — 12 mm., corolla 5 cm.
longa.
Pleurogyne Esch.
In Asia centrali orientaliore sequentes species mihi
innotuere:
Folia calycisque laciniae a hae
corolla in fructu immutata vix breviores
Folia calycisque A2 elliptiéé-arouc 4
2. Corolla in fructu immutata............,... Pi rm Gris.
COPIGMAIDT.. LC: P. diffusa
Fi rotata Gris.
» » »
1. P. rotata Gris. Gent. 309. DC. Prodr. IX, 122,
Led. FI. Ross. III, 71.
267. Maxim. Ind. Mongol. 483. Herd. PL Radd. n.
134, in Acta h. Petrop. I, 463 (excel. specc. ad Ophe-
liam dilutam spectantibus). Trautv. Enum. Song. n.
764.
Mongolia: parte boreali, inter fl. Argun et Onon
(Radde), ditione fl. Kemtschik (Jenisei tributarii) ad
Schimissu (Adrianow, 1882) ad lacum Ubsa circa
Ulangom, nec non ad lacum Olge-nor (Potanin, 79);
Tibet borealiorientali: alpibus Nanschan ad fl, Kuku-ussu
10000 p.s. m., nec non Kansu occidental (Przewalski,
| 772, ?79). Distrib. per Sibiriam a Kamtschatka in Eu-
ropam et Americam arcticas.
Tome XXXII.
Turez. FE Baic. Dah, IT, |
2. P. carinthiaca Griseb. Gent. 310. DC. Prodr.
IX, 122, Ledeb. L c.71. Turez. Il. c. 268. Maxim.
Ind. Mongol. 483. Boiss. F1 or. IV, 77. Traut v.
Enum. Song. n. 765. Herd. PI. Radd. n. 135. Hook. f.
FI. ‘Brit. Ind. IV, 120.
Mongolia boreali: ditione fl. Kemtschik ad Man
Tschuja (Adrianow, ’82), ad tractum mercatorium
(Kirilow), ad fines australes lacus Kosogol, jugo Han-
hai: ripa australi lacus Ssangin-Dalai, ad fl. Arschaïn-
gol et Bogdyn-gol (Potanin, °77). Tibet boreali: de-
clivitate boreali jugi Burchan-Budda, 13 — 15000 p.
s. m, pratis limosis frequens, nec non jugo Keria,
11000 p. s. m. sub rupibus parce (Przewalski, ’84,
785). — Distrib per Sibiriam, a mari Ochotensi usque
ad Altaiet Songariam, Afghanistan, Himalaya occiden-
tali et alpibus nonnullis Zuropae mediae.
Var. tetramera: pollicaris flore tetramero.
Mongolia boreali: Altai australi ad fl. Ssurbüira,
aff. lacus Daingul (Potanin, 76).
Habet sese ad typum sicut var. intermedia Turez.
ad PI. rotatam, sed tantum speciminula duo lecta sunt.
Ob antheram oblongam majusculam esse nequit ?. bra-
chyanthera Clarke.
3. P. diffusa. A basi diffuse ramosissima, foliis radi-
calibus spathulatis caulinis ovatolanceolatis, pedunculis
elongatis, floribus 5-meris parvis in fructu valde accre-
tis, calycis laciniis oblongoellipticis corolla duplo brevio-
ribus, antheris parvis ochroleucis filamento multo bre-
vioribus, capsula demum exserta.
Hab. Tibet boreali: declivitate boreali jugi Burchan-
Pudda, 10200 p. s. m., in fruticetis Myricarine solo
limoso frequens (Przewalski, °84).
A P. spathulata Kern. foliorum sepalorumque forma,
flore parvo tum accrescente, a ?. brachyanthera Clarke
corolla 5-mera, foliis non ellipticis differe videtur.
Habitus 2. carinthiacae pariterque minuta uniflora
occurrit, sed in bene evoluta caules vulgo violacei magis
decumbunt. Specimen maximum visum cauliculos habet
15 cm. longos basi ramosos v. saepius simplices axil-
lasque floriferas. Folia radicalia sub anthesi fere semper
persistentia brevipetiolata 12 : 3 mm., caulina 5 : 2 mm.
magna, Pedunculi 12—45 mm. longi. Corolla sub an-
thesi plane expansa diam. 8 mm., fructifera emarcida
circa capsulam torta 13 mm. Anthèrs flava filamento
suo 4-lo brevior ad dimidia petala attingens. Squamae a.
34.
sil
Bulletin de l’Académie Impériale
12
cpipetalae basales parvae laciniatae. Capsula 14:53
mm. magna, Semina late ovalia corrugata olivacea
0,33 mm. longa.
Scrofella n. gen.
Scrofulariaceae Cheloneae,
Calyx 5-partitus dentibus subulatis summo minuto.
Corolla calycem parum superans ventricosotubulosa
limbo brevi bilabiato: labio superiore erecto latissimo
crenulato 4-nervi, inferiore parvo brevi reflexo subqua-
drangulo ad palatum leviter intrusum dense barbato.
Stamina 2 inter nervos laterales labii superioris medio
tubo inserta, filamentis latis planis, antheris labium su-
perius aequantibus oblongis, loculis parallelis apice con-
fluentibus. Germen annulo crasso obliquo cinctum ob-
longum, stylo columnari parum angustiore et vix bre-
viore, stigmate truncato. Ovarium biloculare ovulis in
dimidio inferiore cujusvis loculi circiter 10 biseriatis
horizontalibus anatropis, micropyle infera, funiculo bre-
vi. Capsula et semina ignota. — Herba glabra rhizo-
mate obliquo repente, caule ascendente erecto gracili
dense foliato, foliis erectopatulis omnibus praeter infima
caduca alternis sessilibus oblongis obsolete denticulatis
_integrisve, racemo simplici terminali densissimo multi-
floro bracteato, bracteis foliaceis linearibus, floribus
flavescentibus dense Re breve pedicellatis ebrac-
teolatis parvis.
À proxima Scrofularia differt calyce, corollae labiis
integris, staminibus tantum 2 posticis, antherae locu-
lis parallelis, floribus rite racemosis.
S. chinensis.
China: prov. Sze-tschuan boreali, alta planitie prope
custodium Dshindshetan, nec non in monte Kungäla,
fine Jul florere incipiens (Potanin, 85).
_ Spithamaea v. pedalis stricta, intra inflorescentiam
pilosula ceterum glabra. Caulis teres filum empore-
ticum crassus, basi in rhizoma tenuius pulvinis oppo-
. sitis crebris notatum fibrisque radicalibus obsessum
abiens.
= membranacea obseure viridia costa tenui distincta, ve-
nis lateralibus paucis reticuloque laxo tantum trans
_ Jucem diffcileque visibilibus, basi parum attenuata
Folia a basi ad racemum crebra imbricata
_ sessilia, ima anguste obovata 18:6 mm. magna, me-
dia oblonga utrinque attenuata 45: 10 mm., summa
: lanceolatolinearia 24:4 mm. in bracteas flores aequan-
je abeuntia. “Bracteae er laciniae ciliatae.
Calyx pedicello piloso duplo longior 2 mm. longus,
laciniis e lata basi sensim attenuatis acutis usque ad
apicem 1-nerviis cum nervo abbreviato utrinque ad.
basin; lacinia summa subulata reliquis 3-lo brevior.
Corolla 3 mm. longa, labio superiore leviter incurvo
duplo latiore quam longo margine superiore recto mox
denticulato mox praeterea obsolete 3 — 4-Iobulato,
nervis 4 simplicibus, inter quorum paria lateralia dis-
ponuntur stamina. Labium inferius fere duplo bre-
vius enervium, sed nervo tubi apice tricruri versus
illud tendente, villo ad basin labii denso intricato.
Ovula oblonga.
Gratiola L:
Species japonicae.
Bracteolae sub calyce duae. Herbà robusta
crassicaulis, folia oblanceolata 3-ner via, flores
MR dés ne LS Et ed se rh Ua G. japonica. Miq.
Bracteolae nullae, herbae pondriés
2, Folia lintéoltobenrie acuminata, for 8 Vio-
lacei, stamina sterilia nulla, loculi fertilium
DATA PR RS TR NT NL EUU eee G. violacea m.
Folia late ovata acuta, stamina sterilia mi-
nuta capitata, loculi fertilium divaricati....@. adenocaula m.
1. G. gaponica Miq. Prol. 49, 369. G. micrantha
Fr. Sav. Enum. IT, 456 (ex descr.).
Nippon (1. Keiske! in hb. Lugd. Bat. sub nomine
Jap. Toshiba nome): prov. Musashi, ad Shinagawa (T.
Makino! s. nom. O-abunome).
G. micrantha a G. japonica distincta credebatur
foliis trinerviis, sed examen spec. authentici Mique-
liani docuit, folia G. japonicae pariter trinervia esse,
etsi ab autore 1-nervia dicta sint.
_Glabra. Caulis basi radicans ultra 3 mm. crassus.
Folia basi attenuata semiamplectentia, apice obtusa,
30:8 mm. magna. Calyx 3,5 mm. longus campanu-
latoconnivens 5-partitus laciniis lanceolatooblongis
obtusis tenue uninerviis ad basin bifurcatione nervo-
rum intercostalium 3-nerviis. Corolla lutea (?) 4,5
mm. longa tubulosa limbo continuo 4-lo breviore, la-
bis aequilongis: superiore latiore truncato binervi,
inferioris lobis subangustioribus truncatis 1-nerviis.
Stamina medio tubo inserta ad faucem attingentia:
fertilia 2 secus labium superius posita, filamento subu-
lato tenui, antheris conniventibus connexis connec-
tivo dilatato loculis divaricatis late ovalibus, sterilia
inter lobos labiïi inferioris, capillaria, anthera capitel-
lata punctiformi. Ovarium ovatum stylum aequans,
Istigma dilatatum planiusculum, loeuli 2 multiovulati.
513
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
514
Capsula subglobosa fere 4 mm. Semina numerosa line-
arioblonga clathrata brunnescentia 0,75 mm. longa.
2. G. violacea Maxim. in Mél. biol. IX, 407. Fr.
Sav. Enum. Il, 456. Jlysanthes saginoides Fr. Say.
L.C:1-346.
Kiusiu: princip. Simabara (ipse); Sikoku: prov.
Tosa ad Awa-mura (T. Makino, s. n. jap. Sawa to-
garashi), Nippon: viciniis alpis Niko(Savatier!n.2380).
3. G. adenocaula. Pilis glandulosocapitatis ubique
praeter folia adspersa pluricaulis usque spithamaea,
caulibus gracilibus ascendentibus, foliis late ovatis
acutis 5-nerviis, peduneulis alternis folia saepe caly-
cem semper saltem triplo superantibus, calycis 5-par-
titi laciniis linearilanceolatis attenuatis, corollae duplo
longioris (roseae?) tubo calycem limbumque superante,
labüis margine crispatis superiore truncato, inferiore
prominente trifido lacinia media biloba lateralibus lo- |
bos laciniae terminalis aemulantibus subquadratis, sta-
minibus ‘/ inferiori tubi insertis: fertilibus vix dimi-
dium tubum attingentibus arcuatis antheris conniven-
tibus loeulis orbiculatis divaricatis connectivo dilatato
vix majoribus, Sterilibus brevissimis e capitulo brevi-
stipitato constantibus, stylo ovarium' aequante stigmate
dilatato plano, capsula ovata calyce breviore poly-
sperma styli basi apiculata valvis bilobis placentam
bifidam nudantibus, seminibus oblongis clathratis.
Sikoku: prov. Tosa, ad Awa- mura et Sakawa (T.
Makino).
Soli G. ebracteatae Benth. (ex Oregon et California
boreali) affinis, quae tamen multo robustior grandiflora
et macrocarpa est, folia lanceolata et calycem corol-
lam aequantem habet.
Folia maxima 6:5 mm. Calyx 2,5 mm., corolla
5,5 mm., capsula 2,25 mm., semina 0,6 mm. longa.
Adnot. 1. Florae japonicae addenda nova civis:
Microcarpaea muscosa R. Br. Prodr. 436. Miq. F1.
fnd. Batav. IT, 700. Hook. f. FI. Brit. Ind. IV, 286.
Sikoku: prov. Tosa, ad Sakawa (T. Makino). Dis-
trib. China, Java, Ceylona, India (Wight! n. 2189),
Australia.
Specc. indica densius intricata, ceterum similia. De-
-scriptio autorum à nostra planta quidem differt calyce
5-fido (in nostra 5-dentato), corollae tubo brevi (in
nostra limbus tubo triplo brevior), filamentis filifor-
mibus (in nostra crassiusculis subulatis), anthera con-
fluentia loculorum 1-loculari (in nostra antherae lo-
culi divaricati connectivo dilatato obeuneato), capsula
oligosperma (in nostra tenue membranacea seminibus
translucentibus mox numerosis mox paucis), sed in
planta indica saltem calyx exacte erat ut in nostra et
in planta tam minutiflora examen floris perdifficile, ita
ut vix ex omnibus stationibus accuratius investigata
fuerit quoad floris variationes.
Adnot 2, Ad Dopatrium junceum Ham., in oryze-
tis Japoniae australis sat frequens, adde synonymon
Montia fontana Miq. Prol. 352. (spec. hb. Lugd. Bat.
cum alabastris pessimum), ünde in Franch. Savat.
Enum. I, 54. — Vera Montia fontana L. hucusque
in Japonia nondum detecta et igitur e flora japoniea
excludenda est.
Veronica vandellioides. (Sect. V. Chamacdrys, $ 4.
Scutellatae Benth. in DC. Prodr.) Palmaris tenuis
simplex v. paucicaulis basi repens pilis corrugatis elon-
gatis ubique parce hirsuta, foliis petivlatis imis petio-
los aequantibus obtuse orbiculatoovatis integris, reli-
puis petiolos duplo triplove superantibus acute ovatis
paucicrenatis, peduneulis axillaribus folium superan-
tibus longe plurimis 1-floris supra medium 1-bracteo-
latis, paucissimis cum flore accessorio ex bracteolae
axilla, fructiferis patentibus, calycis 4-partiti laciniis
linearioblongis obtusiusculis obsolete 3-nerviis, corollae
alboroseae -calycem superantis tubo brevissimo laciniis
4 ovatoellipticis aequalibus omnibus 1-nerviis, stami-
nibus inclusis, capsula latiore quam longa depresse or-
biculata emarginata plana dense ciliata abortu oligo-
sperma stylum gracilem. paulo superante, seminibus
planis.
China occidentali: Tangut, ad fl. Yussun-Chatyma,
9—10000 p. s. m., pratis alpinis secus fontes sparsa
(Przewalski, 80).
Similis V. montanae L. f.,
multo minor et abortu uniflora, primo aspectu simulans
V. Buxbaumü Ten.
Cauliculi filiformes teretes e Das ascendente erecti.
Folia utrinque pilosa, infima cum petiolo 6 mm., lamina
4:3,5.mm., caulina maxima petiolo 3 mm, lamina
11:7 mm., crenis utrinque 2—5. |
thesi ccoéto pin: 1-flori 6—7 mm., biflori 15 mm.
fructiferi 6—17 mm. Calyx 3 mm, a ongus, nervis et +
sed omnibus partibus
Pedunculi sub an- es
515
Bulletin de l’Académie Impériale
516
in fructifero indistinctis. Corolla 4 mm. longa laciniis
obtusis. Filamenta infra sinus corollae inserta linearia,
antherae late ovatae, Ovarium disco 5-crenulato cinc-
tum ovatum, stylus aequalis longitudine corollae, stig-
mate stylo aequilato. Capsula 3 mm. alta, 3,5 mm.
lata, immatura secus suturas facilius quam margine lo-
culorum aperienda, laevis plana. Semen (adhuc valde
immaturum inane) 0,75 mm. longum rotundatoovale
planum sub lente striolatum.
Veronica senanensis. (Sect. VII. Veronicastrum Benth.
1. c.) Basi ramosa suffruticosa palmaris usque pedalis'
pilosula, foliis plerisque oppositis omnibus (inferioribus
longe) petiolatis e basi cuneata ovatis v. lanceolatis
argute incisis laciniis lanceolatis acutis passim dentatis,
racemo multifloro laxo fructifero elongato, bracteis li-
nearilanceolatis floreque pedicello plus triplo breviori-
bus, calycis pilosi segmentis oblongis acutis ciliatis,
corolla lilacina calyce plus duplo longiore, staminibus
exsertis, stylo longissimo, capsula anguste obcordata
compressa turgidula calycem parum excedente, semini-
bus orbiculatis planoconvexis. Miyama Kuwagata, Soo
bokf I, 24. (spec. nanum).
Nippon: prov. Senano monte Hakusan (Yatabe) et
Togakushi (0Okubo), prov. Iwashiro monte Bandai-san
(Yatabe). Japonice: Miyama Toranowo.
Huic proxima V. Schmidtiana Rgl., e Sachalino, dif-
fert statura humiliore simulque robustiore, caulibus
pumerosioribus, foliis majoribus obtuse incisoserratis,
racemo florente et fructificante densiusculo, pedicellis
bracteas vix duplo capsulas parum superantibus flore
duplo majore brevioribus, capsula oblonga calycem bis
et semis excedente.
Si nana est, ut I. c. delineata, folia habet acutissime
ovata mere grandiserrata 2 : 1 cm. magna petiolo 18
mm. Saepius tamen occurrit pedalis et ultra, tum pe-
tioli ad 35 mm. longi, lamina 30 : 20 mm. vel in sum-
mis petioli 5 mm. lamina 15:5 mm. Pedicelli usque
15 mm. Calyx sub anthesi 3 mm. Corolla diametro
10 mm. Capsula 5 :3 mm. magna calyce nunc 4 mm.
fulta.
Pedicularis L..
Synopsis generis nova.
Laura inveniuntur plantarum genera, in quibus,
cum magis moe numerus specierum crescat, sys-
tema generis tam parum mutandum sit ut in genere
Pedicularis.
Steven*), primus monographus Pedicularium, anno
1823 species descripsit 49 et systema elaboravit optime
omnibus formis illo tempore notisadaptatum. Divisio-
nem primariam posuit in corolla personata (labio galeae
parallelo) v. ringente (labio patente) et posteriorem sub-
divisit ex foliis verticillatis v. alternis, ex galeae forma
et dentibus, ita ut obtinuerit tribus sex: Personatas,
Verticillatas, Faucidentes, Rostratas, Picuspidatas et
Edentulas.
Bunge®) 1843 et1846 et Bentham”) 1835 et1846,
primus species 99, secundus 109 enumerans, in syste-
mate Steveniano non multa mutaverunt. Personatae
apud Bungeum ex antheris muticis v. bicalcaratis in
subgenera 2 dividuntur: Sceptrum et Diacmandram.
Bentham sectionem naturalem Siphonantharum distin-
xit, Rostratas vero cum ÆEdentulis Steveni conjunxit
et species ex affinitate naturali in subseries ordinare
conatus est. ;
Equidem, supellectili centrasiatica Przewalskii et
Potanini, nec non propria e Mandshuria et Japonia
nisus, genus difficillimum adii bis: 1877 synopsin to-
tius generis tentans et 1881 ad eandem -addenda et
emendanda conferens”); summa specierum accrevit
ad 153. Quamvis characteres novos in systemate ad-
hibendos non invenerim, praeter inflorescentiam in
nonnullis centrifugo ordine evolutam, et hanc ob cau-
sam praecessores meos presso pede secutus sim, atta-
men nonnulla mutare coactus fui. Ita gregem Per-
sonatarum retinere non potui, quia species simillimae
tantum labii directione divellendae erant, tribum Fau-
cidentium a Bicuspidatis minime diversam esse com-
peri excepto dente ad faucem galeae, quem tamen in
aliis seriebus passim etiam occurrere inveni, Diacman-
drae species nova (P. centranthera À. Gray) docuit
hoc subgenus haud secernendum esse a Sceptro. Magna
copia specierum novarum ante oculos multo minus ex
habitu, quam ex forma corollae distinguenda erat, ita
ut coactus essem, principium fandamentale quaerere
non in habitu, sed in corolla et quidem in forma ga-
2) In Mem. soc. Mosc. VI 55. c. figg.
3) In Bull. scientif. Ac. er VIII, 241, se De phys. math.
Ac. Petersb. 1. 369, et in Ledeb, FI. Rose. TL.
4) Scrophularineae indicae, et in DC. Prodr, +
5) Bull. Acad. Petersb, XXIV. 26. XXVIL. 495. sers in Mél. biol.
X, 80 et XI, 278
517
des Sciences de Saïint-Pétersbourg.
51S
leae, in enumeratione formarum progrediens a longi-
rostribus ad brevirostres et erostres. Ita tribus sequen-
tes retinui: 1. Longirostres cum sericbus Siphonantha-
rum, Surrectarum et Gracilium, quae ultima foliis ver-
ticillatis gaudet; 2. Verticillatas, omnes foliis verticil-
latis amplectens praeter Graciles, 3. Rhyncholophas,
4. Bidentatas et 5. Anodontas, tres ultimas sensu Ste-
veniano fere circeumscriptas. In quavis tribu, duce
Benthamio, ex habitu series distinxi, interdum cha-
racteribus vagis tantum distinguendas, quales 20 enu-
meravi.
Nuper tres prodierunt contributiones principales
genus Pedicularis illustrantes: Hooker fil. (FI. of
Brit. Ind. IV) species indicas 37 cum 14 novis, A.
Gray (Syn. fl. of N. Am. Il, 1, 305, 454) species
borealiamericanas 31 cum 4 novis, denique H. Stei-
ninger (Botan. Centralblatt, tom. XXVIII, 215 sq.,
XXIX, 23 sq. et XXX, 25 sq.) species europaeas de-
scripserunt. Lange (in Kiaerskou, Bot. Tidskr. IV,
247) semina Pedicularium sedulo examinavit et optime
adumbravit. Omnia tamen haec opera ad classifica-
tionem Pedicularium vix novi.aliquid addiderunt.
Nune in novum attulerunt stupendam copiam for-
marum novarum peregrinatores Chinam et Indiam
perscrutantes. Mihi messem annis 1884 ad 1886 in
Tibetia, Mongolia et China à ci. vv. Przewalski et
Potanin collatam elaboranti, maxima cum liberalitate
ad examinandum miserunt Pediculares Davidi et De-
lavayi cl. Franchet, éndicas cl. vv. C. B. Clarke
et D. Prain, Calcuttensis, qui ipsè monographiam
stirpium é#ndicarum parat.
Examen novitiaram hac supellectili ditissima re-
dundantium atque reiterata investigatio formarum
antea notarum confirmarunt opinionem jamdiu a me
conceptam, habitum in systemate generis nostri minoris
_pretii habendum esse quam characteres florales. Ita
v. gr. habitus Resupinatarum repetitur in Siphonanthis
Polyphyllis nostris, ille Siphonantharum typicarum oc-
currit mox in Comosis, mox in Aostratis et sunt quae
solis foliis non verticillatis distingui possunt a Gracilibus
vel Verticillatis variis. Adsunt in seriebus inter se per-
distinctis species quaedam flore excepto vix vel haud
distinguendae, v. gr. P. elephantoides Benth. et P.
bicornuta K1., P, temuisecta Franch. et P. polyphylla
Franch., P. racemosa Dougl. et P. lanceolata Mx.,
P. denudata Hook. fil. et P. instar Prain, fide cujus
P. Zeylanica Benth. et P. carnosa Wall. omnibus
punctis, imo labio albo et galea purpurea, tam identicae
sunt, ut neglecto rostro minime cognoscendae. Nec
desunt talia exempla inter reliquas species satis nume-
rosa. Et profecto si inquirimus in habitus formas, tum
diversitates parum numerosas invenimus, vix 20 vel 30,
quae distribuuntur inter species ultra 200, unde se-
quitur, ut species numerosas oporteat habere modum
crescendi fere identicum. Quomodo autem fieri possit,
ut habitus in Pedicularibus saepe haud parallelus sit
‘structurae corollae, non minus mirabile quam v. gr. in
Cypripediis discrepantia habitus quam maxima et peri-
goni similitudo.
Res quum ita sese habeat, florum analysis exacta in
Pedicularibus maximi est habenda momenti, quod jam-
diu docuerunt synopses classicae Bungeanae Comosa-
rum atque Verticillatarum. Itaque ad quamvis Pedi-
cularem statu sicco recte intelligendam necessarium
est, florem aqua fervida imbutum accurate dissecare, ut
calycis structura et corollae forma sub pressione varia
directione vituperata restituentur. Omnibus speciebus
centrasiaticis et plerisque reliquis ita dissectis et analy-
sibus delineatis, ad illustrandas Pediculares utile inveni
synopsi meae addere tabulas in quibus omnes formae
principales calycum et corollarum adumbratae inveni-
untur. Ne tabulae nimis numerosae evadant in plerisque
speciebus tantum florem integrum, calycem fissum atque
staminum par eum ovario, in paucis praeterea corollam
longitudinaliter fissam adumbravi, et hasce figuras in
clavibus cujusvis sectionis v. seriei sub nomine speciei
delineatae citavi. Ne tamen publicatio fasciculi prae-
sentis confectione tabularum nimis retardetur, tantum
4 tabulas nunc emitto, reliquas autem fasciculo se-
quenti harum Diagnoseon subjungere in mente est.
Priusquam ultra progredior, de calyce et corolla
nonnulla dicere idoneum habeo. |
Quamvis calyx jam a Stevenio valde variabilis de-
clarabatur, tamen sat magnam praebet constantiam in
consistentia et reticulatione. Invenitur totus vel in solo
tubo tenere membranaceus v. herbaceus v. rarius co-
riaceus, cum dentibus fere nunquam aeque tenuibus,
sed crassioribus. Tubus semper est longitudinaliter
costatus costis 5 vel rarius paucioribus in dentes ten-
dentibus, inter costas occurrunt saepius nervi interco-
stales simplices tenues, quitamen interdum passim du-
plices vel incompleti v. nonnulli obsoleti esse possunt.
519
Bulletin de l’Académie Impériale
520
Reticulatio in dentibus nunquam deficiens in tubo rarior
occurrit. Incipit a costis, quaelatereramalis brevibus ad-
auctae sunt, sed adest crebra et elegans in toto tubo apud
Comosas et vix non semper oceurrit in americanis.. Nu-
merum dentium limbi, si adsunt 5 vel 2 e reliquis con-
flati, sat constantem inveni, dorsalis fere semper reli-
quis minor et integrior plane deesse potest. Dentibus
2 tantum evolutis uterque componitur vel e duobus,
dorsali abortiente, vel alter e 2, alter e 3, ad quod
intelligendum adjuvat numerus et directio costarum.
Magnitudo dentium i. e. eorum ratio ad tubum inter-
dum variat, ita enim, ut calyx brevi- v. grandiden-
tatus, semiquinquefidus et quinquefidus in eadem
specie obvenire potest, non variat autem ratio dentium
inter eos ipsos, ita quidem, ut secus dorsalem minorem
ponuntur omnium longiores, ventrales vero breviores
evadunt, nec variat fissura dum adest ventralis, quae
tamen profundior et tenuior in eadem specie invenitur.
Dentes esse possunt integri, serrati v. duplicatoserrati et
quidem integri cum obsolete v. simpliciter serratis in ea-
dem specie occurrunt, v. gr. in P. rubente Steph., P.
versicolori Wahlbg., P. tristi L., dentes serraturis
duplicatis incisos vero, eos quos Linnaeus cristatos
appellavit, nunquam integros, sed tantum paucius ser-
ratos fieri observavi. Ipsi dentes calycini saepe eorum-
que serraturae saepissime reflectuntur, quo modo calyx
dentes indivisos habere, serraturae autem obtusae esse
videntur, quales perperam ad siceum ab autoribus
describuntur. Revera serraturae fere omnes non solum
acutae, sed mucronatae sunt, mucrone tamen arcte
reflexo. Dentes calycini rite crenati rarissimi sunt,
v. gr. in ?. deltoidea Franch. aliisque paucis.
Alabastrum calyce vix aperto inclusum vel ex eo
vix exsertum in diversis sectionibus generis aspectum
praebet diversum. Limbus, antherac, germen multo
citius evolvuntur, dum tuba. Lena atque stylus
adhuc brevissima sunt. Praeñloratio ubique normalis in
Euphrasieis postulata: lobo medio labii extimo, galea
intima lobis lateralibus labii obtecta. Ubi labium
adest magnum, ut in Siphonanthis, plerisque Verti-
cillatis, multis Rhyncholophis, galea tota obtecta, ubi
minus — dorso nuda manet, ubi labium galea multo
brevius apex galeae cito exseritur, quod rarius occurrit
et in labio majuseulo, v. gr. P. grandiflora Fisch. In
Jimbo ipso labium omnium praecocius, galeae pars an- |
theras fovens aeque praecox, rostri initium etiam diu
jam formatum, sed ad totam longitudinem sero attingit,
si demum curvatum erit primum rectum est, tum
apex sese versus medianam labii et faucem inflectit;
basis galeae quae tubo continua ultima prodit. Fila-
menta in alabastro semper basi v. paulo supra basin
tubi inserta sunt, prolongatione tubi ante anthesin
versus medium v. apicem tubi auferuntur; barba si
adest jam cito formata”). In quavis spica multiflora a basi
florente tubi prolongationem in alabastris ab apice
spicae paulatim versus basin increscentem observamus, .
in solis Siphonanthis longo tubo donatis tubus citissime
extenditur et quidem, ut certiorem me fecit cl. Prain
per litt., in eodem individuo saepe inaequaliter, quod
equidem in stirpibus sinicis probare nequeo.
Jam Steven (Monogr. 6) monuit: «in plurimis spe-
ciebus spicatis tota corolla oblique torta, unda spica
spiralis evadit; in omnibus fere practerea labium in-
ferius obliquum». Equidem in nonnullis vivis observavi
totam corollam, praesertim vero galeam, dextrorsum
(cum Sole) curvatam esse, cum labio obliquo, sed an
labium solem spectat vel ab eo aversum sit non ad-
notavi*). Non dubito, quin haec curvatura in plerisque
Pedicularibus observetur et miror, qua de causa in ico-
nibus optimis ad vivum pictis, v. gr. Florae Danicae, Ger-
manicae, English botany cet. non expressa sit, nisi
quod pictores ipsique autores ad naturam corrigendam
proni sint. Ex investigatione ad siccum torsionem spi-
ralem observamus mox jam in calyce (ita ut dens minor
dorsalis ad ventrem dejectus sit), mox in tubo corollino
vel in basi galeae, et quidem completam vel repetitam
vel incompletim, quo ultimo casu corolla resupinata
fit. Quomodo fiat haec torsio, an in nonnullis deesse
possit (v. gr. P. Sceptro?), an in arcticis major v. mi-
nor sit quam in illis sub Jove magis clemente vigen-
tibus, quo modo sese habeat in stirpibus aequatorialibus,
ut D. incurva, zeylanica et Perrottetii, ulteriori obser-
vationi locis ipsis institutae relinquo.
Corollam fusius describere supervacaneum did
nonnulla verba tamen de galeae et labii structura ne-
cessaria sunt. Galea e duabus partibus constat: basali
tubum continuente et aeque membranacea et parte in
flata antheras fovente saepius incurva, quae in tribubus
5) Confer quoad alabastri formas ad figuras np passim.
6) Flores simili modo cum Sole torti habentur n Ore hideis
inadenia Conopsea, pee rs et et ‘hologlottide alifé,
que, labelli directione tamen im
+
521
des Sciences de Saint - Pétersbourg.
52?
primis, praesertim in omnibus rostratis, crassior, saepe
coriacea, in plerisque Bidentatis et Anodontis tenuior
pl. m. membranacea esse solet. Pars basalis semper
tubo continua et erecta nervo stamini postico breviori
opposito percursa est, qui sursum subito versus margi-
nem deflectitur et ex hac parte arcuata, limitem inter
basin galeae et partem antherigeram constituente, ner-
vos teneros parallelos galeam propriam percurrentes
et versus ejus frontem anastomosantes emittit. Quae
pars basalis galeae margine semper incrassata et saepe
tuberculata est, plerumque partem antheras foventem
circiter aequat, rarius superat, interdum vero brevissima
est, quo casu galeam subsessilem obtinemus. Rostrum
si adsit substantià partem antherigeram aemulat et in
eadem specie nonnihil longitudine variare potest (conf.
v. gr. nostram fig. 51 P. resupinatac vel fig. 110
P. Chamissonis japonicae et tab. IV Stevenianam spe-
_ ciei typicae).
Labium, semper trilobum, saepissime rotundatum,
_rarissime (2. excelsa Hook. f.) e lata basi sensim atte-
nuatum ovatooblongum, duas formas principales induit
(altera in alteram tamen a specie in speciem transeuntes):
sessile est, saepissime latius quam longum in plerisque
Siphonanthis, Verticillatis et Rhyncholophis, stipita-
tum i. e. quasi ungue ubique aequilato instructum, in
Bidentatis et Anodontibus plerisque. Optime haec dif-
ferentia in alabastro manifesta est, sub anthesi vero
labium sessile vulgo patet, stipitatum autem in Perso-
natis sic dictis galeae parallelum manet, in reliquis
solum limbum deflectit. Sunt vero inter Siphonanthas |
et Resupinatas quae labium amplum per totam an-
thesin galeam obtegens servant et quidem in aliis
semper (P. Elwesi Hook. f.), in aliis passim (P. resu-
pinata, P. yezoënsis, P. longiflora). Ita directio lab
in systemate multo minus valet quam ab autoribus
censebatur. Labium non raro obliquum evadit ob lobum
lateralem in alabastro obtectum minorem.
Quoad consistentiam labium quam galea fere semper
tenuius est et saepissime tenere membranaceum. Oc-
currit tamen et chartaceum in paucis Æhyncholoplis.
Venatio labelli in quavis specie quidem constans, sed
inconspicua et eam ob causam in descriptione negli-
genda; quivis lobus labii in aliis nervo singulo, in aliis
. nervis tribus parallelis percursus, qui pinnatim venu-
Josi venulis mox liberis mox anastomosantibus reticu-
Jam laxius v. densius vel non areolatum efficiunt.
Ex is quae supra exposui patet, neque calycis neque
corollae structuram intimam, nèque alabastrum charac-
teres praebere satis absolutos ad sectiones prius propo-
sitas melius dignoscendas vel novas et quidem magis
naturales stabiliendas. Etiam nunc post omnes novi-
tias pernumerosas examinatas frustra studui melius ali-
quid invenirèe quam id systema quod praecessores
meos secutus antea proposui. E contrario novitiac
nunc addendae limites inter sectiones diversas generis
naturalissimi in diem difficilius servandos efficiunt.
Etiam hodie Siphonanthae mihi nobilissimae et omnibus
reliquis anteponendae videntur, illisque ut antea sub-
jungo Longirostres inter Verticillatas, tantum folio-
rum dispositione distinguendas. Sed post ?. excelsam
Hook. f. detectam melius duxi Surrectas meas ex
sectione Longirostrium exeludere et Æhyncholophis sub-
jungere. Quum autem inter Verticillatas sic limitatas
longirostres ad tribum I, amandatae sint, ceterae vero
rostrum in quavis earum serie paulatim brevius possi-
deant donec in ultimis seriebus plane evanescat, Rhyn-
cholophae vero, paucis exceptis, rostratae et ex iis
series Resupinatarum et Rostratarum saepe Siphonan-
this simillimae sint, melius videtur, Rhyncholophas nunc
anteponere Verticillatis, quia tum in serie tribuum pro-
gredimur a longirostribus ad erostres. Reliquae sec-
tiones intactae manserunt, sed ubique ex affinitate
naturali series novae intercalandae erant, quarum
numerus nunc ad 28 attingit.
Series tribuum igitur nune est sequens:
I. Longirostres. Corollae tubus tenuis saepe elongatus,
labium amplum sessile tenerum, galea coriacea longi-
rostris v. rarissime erostris, folia sparsa v. verticillata.
I. Rhyncholophae. Galea rostrata rostro rarissime
nullo, tubus cylindricus sursum dilatatus ut in sequen-
tibus, folia sparsa.
IT. Verticillatae. Corolla varia, sed galea haud longi-
rostris, folia verticillata v. opposita.
IV. Bidentatae. Galea adunca erostris v. brevissime
latirostris infra apicem bidentata, folia sparsa.
V. Anodontae. Galea erostris apice rotundata v. an-
gulo inferiore acutiuscula edentata v. rarius et incon-
stanter bidenticulata, folia sparsa.
Subdividuntur istae tribus:
#
Bulletin de l’Académie Impériale
524
I Longirostres.
1. Siphonanthae.
Corollae tubus tenuis aequalis, filamenta inter me-
dium et apicem tubi, plerumque infra faucem iuserta,
folia sparsa.
1. Typicae. Robustae grandiflorae tubo plurimum
elongato rostro saepius curvato, racemi densi, bracteae
basi dilatatae. — Hab. juga Asiam centralem cingentia,
praesertim australia. Sp. 1—24.
2, Muscicolae. Graciles diffusae, corolla modica ro-
stro incurvo v. recto, flores axillares. — China occiden-
talis. Sp. 25—27.
3. Polyphyllae. Caules elati foliati, racemi elongati
saepius interrupti, corolla parva tubo brevi rostro por-
recto, bracteae anguste petiolatae. China occidentalis.
Sp. 28 — 34
Aegre rare a Rhyncholophis Resupinatis nonnullis tubo ad
faucem non dilata
2, Folia verticillata.
4. Tenuirostres. Rostrum tenue curvatum v. rectum,
racemi saepe elongati, bracteae basi dilatatae. — Juga
circumtibetica, iatser titi australia. Spec. 35—51.
Repetunt 1. Siphonanthas typicas.
5. Axillares. Rostrum rectum, flores axillares, brac-
teae anguste petiolatae, folia saepius opposita. — China
occidentalis, India, una ‘in Japonia. Spec. 52—58.
Respondent 3. Pol, yphyllis.
IT. Rhyncholophae.
6. Surrectae. Rostrum tenue elongatum porrectum,
labium appressum in alabastro rostrum non obtegens.
— America borealis et australis. Sp. 59—61.
7. Excelsa. In modum seriei 7, sed rostrum in
alabastro labio tectum. — Himalaya. Sp. 62.
8. Resupinatae. Ramosae floribus saepissime axil-
laribus, galea rostro gracili saepe elongato v. nullo.—
India, Chips, Sibiria, Japonia, America borealis. Sp.
63 — 73.
Consentiunt 3. Polyphyllis.
9. Tristes. Galea rostrata v. erostris margine latere
v. dorso pilosa. — Asia centralis. Sp. 74—86
a margine pilosa praeterea invenitur in P. grandiflora
inter 24, Sceptra, dorso sparse pilosa in P. lanata W. inter 28, Hir-
sutas
| 10. Rostratae. Simplices caespitosae humiliores ra-
cemo denso. Galea declivis saepissime brevirostris.—
Europa media, Himalaya, China occidentalis, Sibiria
orientalis, 1 in Sika. Sp. 87 — 107.
Congruunt cum 6. Myriophyllis.
11. Compactae. Ut 9, sed galea glabra. Elatae
simplices racemis elongatis. — America borealis occi-
dentalis, Sibiria, 1 in Afghania, 1 circumpolaris. Sp.
108 — 115.
III. Verticillatae.
12, Myriophyllae. Rostrum crassiusculum breve inte-
grum cum fronte declive. — Sibiria, China, Japonia,
Sika. Spec. 116—124.
13. Cheilanthifoliae. Rostrum brevissimum ceterum
ut in praecedente. — Asia centralis. Sp. 125—1 30.
14. Platyrrhynchae. Rostrum verticale brevissimum
latum utrinque infra apicem unidentatum v. integrum.
— Asia centralis. Sp. 131— 136.
15. Superbae. Bracteae basi in vaginam tubulosam
connatae, flores magni, galea fronte verticali rostrata
v. erostri. -— Himalaya orientalis, China austroocciden-
talis. Sp. 137. 138
16. Verticillatae. Galea erostris angulo frontali su-
periore rotundato inferiore acuto.— Asia centralis prae-
sertim China occidentalis, Sibiria, unica circumpolaris.
Sp. 139—160.
17. Caucasicae. Uterque galeae angulus frontalis
obtusus.— Asia occident. ad Himalayam. Spec. 161
— 167.
18. Lyratae. Frons galeae saccatoprotrusa inferne
infra apicem pluridentata, labium nanum. — China oc-
cidentalis, una himalaica. Sp. 168—171.
IV. Bidentatae.
19. Palustres. Annuae vel biennes ramosae, flores
axillares. — Boreales partim circumpolares, 2 euro-
paeae, 1 americana, 1 ochotensis. Sp. 172 — 177.
20. Canadenses. Perennes radicis fibris aequalibus,
simplices, folia crenata v. pinnatiloba spica brevis
densa, galea fronte verticali brevirostris — America-
nae. Sp. 178, 179.
Similes 11. Compactis.
21. Sudeticae. Perennes radicis fibris apice incrassa-
tis, simplices, folia pinnatipartita. — Sibiria, Ame-
rica borealis, 1 circumpolaris. Sp. 180 — 185.
22. Comosae. Sicut 21 sed elatiores, folia pinnati-
secta v. bipinnatipartita. — ÆEwropa, Asû net
Sp. 186 — 210.
In mentem vocant 14. Platyrrhynchas.
r
+
525
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
526
23. Striatae. Ad instar 22. sed labium parvum
accumbens. — Asia orientalis centralis, America bore-
alis, Sp. 211 —213
V. Anodontae.
24, Sceptra. Macrophyllae fere semper macranthae,
galea incurva, labium parallelum accumbens v. rarius
patens, capsula globosa v. ovata. Species robustae, 2
acaules, — America borealis occidentalis, Asia borealis
orientalis, 1 Æuropae et Asiae communis. Sp. 214—222.
25. Brevilabres. Galea recta labium nanum accum-
bens valde superans, caulis cum spica densa foliosus.
— America borealis occidentalis. Sp. 223, 224
26. Foliosae. Galea incurva labium patulum sub-
aequans, habitus ut in 25. — Europa, Caucasus, Si-
biria. Sp. 225 — 232.
27. Roseae. Humiles foliis pinnatisectis, flore ut in
16. Verticillatis. — Europa media. Sp. 233—236.
28. Hirsutae. Galea labium aequans v. in 1. supe-
ras incurva utroque. v. superiore angulo frontali ob-
_tuso, flores saepe parvuli dense spicati, plantae humiles
foliis angustis pectinatis, spica plerumque centrifuga.
— Arcticae cum 1 pontica. Sp. 237 — 243.
- Mihi ignotae v. minus notae. Sp. 244—250.
Ita numerus specierum ab anno 1881 ubi 153 enu-
meravi hodie increvit ad 250, quarum maxima copia
accessit e China. At imperium Chinense a collectoribus
vix inchoatum ingentem messem novitiarum adhuc
largiri promittit. Neque Himalayae perscrutatio ad
finem peracta videtur. Quam ob causam nunc fusius
in distributionem Pedicularium per singulas regiones
inquirere praematurum habeo, sufficient numeri prin-
eipales in quadam e 5 tribubus, ut sequitur:
_ Tome XXXIL.
DE M | .e 5
Tribus. ë LÉ + È Æ à Ë
A | Se) #8 |«
I. Longirostres. ...….:... 21 41924132}! 1 | —
IE Verticillatae.…...,... 2h Grise 83148) «+
- IIL. Rhyncholophae. 5 2! 8/10l16| 2 | 12
LV. Bidebtatag. 1.400. MAIS EURE STI Si
V: Anodontae ......,..: NI BLIBT Ir er ETS
Summa..... dundade - . 148 | 18 | 59 | 49 | 97 | 8 | 31
BP ORNE 83 [14/29 [33 167! 5 1221
Eaedem centesimis. ….p.c. |68,7| 77,7! 49,1| 67,3| 69,3] 62,5! 70,0
Ditissima igitur speciebus est regio Chinensis, ratio
endemicarum ad latius distributas vero ex hisce nu-
meris apparet omnium optima in Asia occidentali,
omnium pessima in Sibiria cum Turkestania. Res ta-
men aliter sese habet, si juga alpina Himalayae et
Chinae occidentalis pro una regione sumimus et in
illorum Pediculares inquirimus. Tum summa specierum
in hac regionc erit 123, e quibus tantum 16 et alibi
inventae sunt, quod ut supra expressum rationem ob-
tinet 87 p. c. Itaque regio illa indico-sinensis est sedes
principalis generis Pedicularis.
Enumerationem specierum adeuntes praemittere ha-
bemus, claves novas specierum cujusvis seriei datas
esse ubi species novas addendas habui, ubi claves non
adsunt antea datae (Mél. biol. X, 80 et XI, 278) va-
lent. Species enumeravi vel praeterea descripsi aut
nunc à me primum adductas, aut centraliasiaticas, qui-
bus stationes novae addendae erant. Figuras citavi in
clavibus vel ubi tales deerant sub speciebus vel in
adnotationibus ad series varias.
I. Longirostres.
Maxim. in Mél. biol. X. 80.
1. Siphonanthac.
Benth. Scroph. Ind. 58.
Corollae tubus tenuis cylindricus ad faucem non
dilatatus calyce semper sed saepius pluries Jongior,
galea in 1. erostris, in reliquis longirostris rostro gra-
cili sigmoideo cyelico v. rarius rectiusculo porrecto
interdum torsione resupinato, labium amplum sessile
galeam saepe et sub anthesi obtegens. Filamenta sub
fauce vel paulo demissius, rarissime versus medium
tubum inserta. — Species Asiae centralis, praesertim
in Himalaya orientali et China occidentali frequentes,.
Series 1. Siphonanthac typicae.
Flores magni tubo corollae saepius elongato, rostro
cyclico v. sigmoideo, in 1. subrecto, in 1. nullo. Ra-
cemi saepius breves densi, bracteis foliaceis ad pe-
tiolos pl. m. dilatatis. Caules saepissime robusti modici,
pani v. rarius elati erecti vel arcuati laxe foliati, flores
centrifugo ordine aperti (an semper?).
Rostrum nullum, tubus elongatus, re
plex pauciflorus, corolla alba... . P. Perrottetit has
Rostrum plerumque elongatum, L. Tab. I, fig.
ne rest 3.
—3-dentatus. 16.
35
Bulletin de lAcadémie Impériale
527 28
. Rostrum subrectum, flores rosei tubo caly- 17. Flores flavi tubo piloso calycem triplo saltem
cem triplo superante, a vote planta super 18.
AUS MR 7 lorient ned sis vus «.2. P. Prsewalskii m. Flores rose
Rostrum cyclicum v. sigmoi ide um fig. 2 18. Galea cum rostro subcyclico labio duplo bre-
4, Nana acaulis, folia poses ores purpurei vior. 19.
tubo calycem plus duplo superante, galea Galea labium aequans rostri apice sigmoideo,
Eee angusta elon Sp gai mn in calycis dentes 2 foliaque PE
rostrum plus duplo brevius recurvum atte- dentibus mucronAtis. : Less ri ses 17. P. armata m.
nuata labio maximo incumbens et a eo ob- 19. Galea Mr 20. fig. 9
RE ne CE NT LE IN he 0 .3. P. bella Hook. f. ristata crista ad basin rostri subito
Caulescentes saepissime clatiôres. " fig. 3 NPA folia pinnatipartita laciniis acu-
5. Tubus corollae sub plena anthesi calyce vix PR RU du du Pa AND lé ads es ID pe m.
longior 20. Subacaulis foliis Sansa floribus axil- 10.
Tubus corollae calyce duplo v. ultra lon- laribus, galea nana, labium ciliatum lobis
gior. 11. rotundatis nt 8-lo minore, filamenta
6. Rostrum galea nine filiforme recti- DAS NL tt. A bidentata m.
usculum porre m apice curvatum Folia pinnatifida laciniis cblongis. 21.
resupinatum, ni rar folia À RaSsaer 21. Subacaulis, galea supra faucem gibba, ur
laciniis contiguis pinnatilobis. . 4. P. PEER Bth. trum apice fissum..................,... 0. F. lonpiotars Rud.
Rostrum cyclicum. 7 fig. Cauescns galea aequalis, ob er
7. Rostram resupinatum, labii lobus medius | grum.................................. 21. P. chinensis m.
lateralibus paulo angustior. 10. 22. Gus cyclica et hr curvata. 23.
Galea non tor » recta edentata in rostrum versus apicem
8. Flos ruber, rhétenn cyclicum apice fissum, recurvum labium its superans sensim
lobus ais ses ceteris parum minor Die AO De Leurs see de ...24. P. ose Franch.
Nr DA iv nu 5. P. Garckeana Prain. | 23. Galea à basi incurva à fauce Hiésatitss tubus ig.
Filos FT SRE TRIER v. luteu calyce pluries longior.. re nn Don.
9. Galea ecristata smic labii lobus Galea edentata “. sidi erecta tubus de
medius reliquis minor, flos luteus lyce 2—8-l0 longior....... 3. P. Hookeriana W all.
rie Gr. re die Prain.
Galea annulata dorso anguste cristata crista fig.
utrinque sensim evanescente, labii lobi sub-
aequilati, flores er a folia RENE
tita lacinis pinnatifidi
Flores rosei, flamenta pilosa, folia ut
ects obis 8 pinnatifidi 5
Flores lutei, filamenta bre folia pinnati-
loba lobis dentatis 0, PF erima Watt.
Flores rosei, folia profunde pinoatipartita
laciniis abbreviatis. 12,
Flores flavi rostro apice bifido, folia pinnati-
fida laciniis oblongis v. ovatis. 1
Rostrum apice bilobum, tubus cape Le
4-lo longior, fil
villosa . . re grd
Rostrum integrum, tubus calyce duplo ….
P, ochroleuca Duthie.
ne. 4
g, 5.
. P. macrantha KI,
tr
ee
LA
.
A 2 à
13. Filamenta glabra. 14.
is ora villosa, rostrum yes
sde nat le 1. P. labellata Jacquem.
14. Rostrum galea a faucem bidentata Fr
plan: ta spithamaea P. labellatae si “re ma ..
2 P. rhinanthoides Schrenck.
ne edentata longs, Etre at
‘ P. Elephas Boiss.
Rostrum
| pollicari À ‘
4. P. megalantha Don.
15 bl g laci fl obl gis, stamina
pilosa.....
Folia Meuse nu laciniis AE
vel ovatis, filamenta glabra
16. Tabus corollae e calyce param exsertus,
ea sensim in rostrum integrum breviter
recurvum eau et cum illo semicircu-
_laris, flamenta pilosa, folia pinnatisecta, hi
. ns brevi floribus vs ae A
se, 16. P. Elwesi Hook. f. |
. Tübus ‘corollae calyee. duplo saltem lon- fig. 8.
de Rs:
it diuice 15. P. bicornuta KI.
2. Pedicularis Przewalski Maxim. in Mél. biol. X,
84,
In Chinae prov. Kansu occidentali: pratis alte alpi-
nis secus fl. Tetung (Przewalski, 1872, 1880), prov.
Szetschuan boreali: valle fl. Ksernzo, alpe Ssü-ye-schan
| ad limitem nivis aeternae (Potanin, 1885), Tibet bo-
reali: ad fl. Diao-tschü (Przewalski, 1884).
Flores, teste Przew alski, pulchre rosei suaveolentes.
3. P. bella Hook. f. F1. Brit. Ind. IV, 313.
Sikkim (Hooker fil.); Tibet occidentali (herb. Cal- :
cutt. !).
Affinis P. Przewalskii m. Calyce atque corolla in-
complete descriptis utrumque in noyum exponere liceat.
Calyx 12 mm. longus cylindricus pilis latiusculis cor-
rugatis canescentihirsutus, , ventre ad !/, tubi incisus,
ceterum dentatus, dentibus ex angustiore basi in lami-
nam herbaceam inaequaliter circumecirca dentatam
(dentibus rotundatis cum apiculo) dilatatis: summo mi-
nore lanceolato, reliquis rotundatis obtusis, tubo 5-co-
stato 5-nervio a medio sursum HouIA Corollae
profunde purpureae tubus 25 mm. longus, 1 q. exc. ce
mm. crassus, cylindricus pubescens rectus. a
perioris pars tubo continua et erecta nana (5 mm. ) :
ventre Supra basin utrinque cum dente deltoideo pro-
| minulo. re Sr ipferius angulum are
Labii sue
costatus 5-nervius et superne reticulatus.
529
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
530
cum tubo efficientia, prior 15 mm. longa, parte pro
antheris inflata elongata angusta (2,5 mm.) parum con-
vexa rostrum tenue apice recurvum integrum plus
duplo superans et in illud sensim attenuata. Labium
inferius 17 mm. longum, expansum 20 mm. latum, in
sicco galeam utrinque obtegens, antice trilobum, lobis
lateralibus maximis oblique ovalibus, terminali ovato
parvo (5,5:4 mm.) non obtecto et vix prominente.
Filamenta apice tubi inserta pilis cinereis flexuosis te-
_neris elongatis barbata. Antherae oblongae apice api-
culatae loculis acutiusculis ochraceis. Ovarium anguste
ovatum. Stylus cum stigmate capitellato e rostro bre-
viter prominens.
5. P. Garckeana Praïinined. Hirsuta palmaris gracilis,
caule erecto polyphyllo, foliis omnibus petiolatis lineari-
bus pinnatifidis laciniis contiguis ovatis pinnatilobis den-
tatisque mucronatis; floribus axillaribus in racemum plu-
riflorum approximatis, calyce pedicellato hirsuto antice
fisso 5-dentato dentibus ellipticis cristatis, corollae
rubrae tubo calycem vix superante labio breviore, ga-
lea falcata cum rostro gracili apice bifido circulum
formante, labio latiore quam longo lobo medio parum
prominente truncato lateralibus parum minore, filamen-
tis infra faucem insertis omnibus (brevioribus parce)
barbatis, ovario linearilanceolato.
Himalaya oriental: Chumbi, ad Be-ong-chin (hb.
Caicutt.!).
P. megalantha Don, huic proxima, differt floribus
flavis, labii lobo ae parvo angusto, tubo corollae
elongato, foliis ovatooblongis et fortasse statura elatiore,
pedali.
Foliorum inferiorum petioli laminam aequantes, haec
35 :6 mm. magna, floralia mere serrata calycem supe-
rantia 2 mm. lata. Calyx 13 mm. membranaceus 5-
Corollae
tubus et galea 22 mm., labium 21 mm. latum, 15 mm.
longum. Antherae oblongae loculis acutis. Stigma ca-
: pitatum inclusum.
6. P. Scullyana Prain ined. Hirsuta spithamaea v.
pedalis robusta, rhizomate horizontali crasso carnoso,
caule stricto polyphyllo, foliis omnibus petiolatis linca-
ribus multijugo-pinnatipartitis rhachi dentata laciniis
breve oblongis pinnatilobis lobis triangulis paucidenta-
tis mucronatis, floribus axillaribus in racemum multi-
florum approximatis, calyce pedicellato cylindrico hir-
suto 5-dentato dentibus cristatis, corollae luteae tubo
calycem parum superante, galea cum rostro verticali
brevi bifido falcata, labio longiore lobo medio laterali-
bus duplo minore, filamentis rufovillosis.
Sikkim: Tongri ad Pey-kiang-là (herb. Caleutt.!).
A P. macrantha KI. floris colore atque rostro brevi
statim distincta.
Folia majora petiolo 4 cm., lamina 8 : 1 em., summa
floralia mere serrata 2 mm. lata calycem 15 mm. lon-
gum excedentia. Corollae tubus 20 mm., galea 13 mm.
longa, ultra 4 mm. lata, rostro latitudini galeae aequi-
longo. Labium 20 mm. latum 12 mm. longum.
7. P. ochroleuca Duthie in sched.
Kumaon: Darma, valle Niptschang, 14—15000" s.
m.(Duthie!n. 3219: flower creamcoloured with purple
falcate upper lip).
Spec 1. missum ultrapedale, radice e fibris carnosis
fusiformibus fasciculata, caule simplici erecto pennam
corvinam crasso, inter flores viscidopiloso ceterum gla-
bro. Folia radicalia evanida, caulina 4: inferiora pe-
tiolo basi in vaginam brevem dilatato 8—5 cm. longo,
lamina 13:2 cm., reliqua multo minora subsessilia,
omnia pinnatisecta rhachi dentata segmentis remotius-
culis patentibus oblique ovatis v.ovatolanceolatis acutis
pinnatifidis incisodentatisque dentibus lobisque mucro-
patis. Racemus laxus 12 cm. interruptus 12-florus.
Bracteae 3 infimae folia referentes sessiles 2 : 1 em.,
reliquae ad vaginam linearem lamina lineari pinnati-
fida longiorem reductae 15 mm. longae. Pedicelli 8—6
mm. longi. Calyx 10 mm, fructifer 15 mm. longus,
anguste campanulatus, postea ovoideoinflatus, hinc fis-
sus, tubus membranaceus ad costas 5 pilosus et inter co-
stas 7-nervius (nervis pro dente summo duplicatis), apice
tubi reticulatus, 5-dentatus, dentibus foliaceis subae-
quilongis 3 mm, longis acutis mucronatolobatis denta-
tisque summo lanceolato reliquis ellipticis. Corolla 1
specimini adjecta tubo abrupta lactea galea purpurea,
pars tubi superstes 10 mm. longa, 2,5 mm. crassa
cylindrica glabra, pars labiïi superioris tubo continua
erecta 6 mm. longa tubo fere aequilata incurva et sensim
attenuata in rostrum quocum annulum completum diam.
|10 mm. efficit, galea vertice crista 5-loangustioreutrin-
que attenuata percursa, rostrum crassiusculum apice
breviter fissum. Labium inferius 25 mm. latum, 20 mm. : <.
longum, patens galeam tegens superne purereopaber .
531
Bulletin de l’Académie Impériale
53?
ulum subaequaliter trilobum, lobis rotundatis lateralibus
terminalem partim tegentibus. Filamenta infra apicem
tubi inserta, omnia pilis elongatis ochraceis barbata.
Antherae oblongae obtusae ochroleucae. Capsula non-
dum dehissa calycem parum superans oblique ovatolan-
ceolata styli basi crassa mucronata, 18:6 mm. $Se-
mina nondum matura 1,5 mm. longa late oblonga ochro-
leuca, testa laxa cellulosoreticulata, caruneula majus-
cula.
Habitus, folia, crista galeae similia P. macranthae
KI1., quae tamen corollam roseam, galeam torsione re-
supinatam et lobum labii terminalem lateralibus angu-
_stiorem habet.
9, P. eximia Watt in Journ. linn. soc. X VIT, 381.
LA À 1 |
Himalaya borealioccidentalis. — Non vidi.
À Hookero fil. F1, Brit. Ind. IV, 312. P. bicor-
nutae K]. synonyma habetur.
10. P. Delavayi Franch. ined. Vix digitalis simplex
ad caulem petiolos calycesque parce pilis longis hir-
suta, radice tenui fusiformi ramosa, foliis superne stri-
gosis radicalibus caulinisque infimis longe petiolatis
linearioblongis fere ad basin pinnatipartitis laciniis
ovatis obtusis pinnatilobis patentibus subdivaricatis,
floralibus brevipetiolatis, floribus axillaribus in race-
mum brevem pauciflorum approximatis, pedicellis ca-
lycem cylindricum 5-dentatum hinc semifissaum super-
antibus, tubo membranaceo ad medium reticulato, dente
summo subulato integro reliquis ovatis mucronato-in-
cisodentatis, corollae purpureae tubo tenui calycem
plus 4-lo superante, galea subsessili in rostrum longius
apice bilobum sensim attenuata et cum illo in ultra
semicireulum falcata lateraliterque decurva duplo bre-
viore quam labium maximum patens cordatorotunda-
tum trilobum lobis ciliatis lateralibus semirotundis
terminali duplo latiore ac longiore latissime obcordato
omnibus auriculisque basalibus ad margines sese tegen-
tibus,
dense villosis brevioribus parce barbatis, stigmate
__ capitellato rostrum aequante, ovario ovato.
China: Yunnan, Li-kiang monte Sueechan collibus
© calcareis, 4000 m. s. m. (Delayay!).
Ex affinitate P. labellatae et similium, sed jam sta-
= tura nana, flore minore, tubo elongato, laciniis folio-
__ rum obtusius crenatis dentatisque distincta.
filamentis prope faucem insertis longioribus
Folia radicalia 6—7 em., lamina 25 : 10—13 mm.
laciniis utrinque 6 — 8 subcontiguis. Calyx 13 mm.
Tubus corollae 6 em., labium 2 em. latum et longum
laxe venosum copiose areolatum. Galea cum rostro
8 mm., basi vix 2 mm. lata. Antherae anguste oblon-
gae brunnescentes loculis basi acutiuseulis.
11. P. labellata Jacquem. Maxim. IL. c. 83. Huc
P. near labellata Henders.! Yarkand, 330 n. 266.
Stationibus olim a me enumeratis adde: Kansu occi-
dentali: pratis alpinis Nanschan et aliarum alpium
frequens (Przewalski, 1879, °80); Kansu orientali:
valle fl. Hei-ho prope limitem prov. Sze-tschuan (Po-
tanin, 1885); Yunnan (Delavay! in hb. Paris.);
Tibet boreali: alpes Burchan-Budda, 14,500 ped. s.
m., ad lacum Russki (Przew. 1884).
Ludit flore saturate v. pallide roseo v. rarius albo.
14. P. megalantha Don, Prodr. 94. Benth. in DC.
Prodr. X, 564. Maxim. in Mél. biol. X, 82. Hook. f.
FI. Brit. Ind. IV, 312. Rgl., Gartenfl. t. 943.
P. Hoffmeisteri K1. Ergebn. Pr. Waldem. 108 tab.
60, confirmante cl. Praïn in litt., qui spec. authent.
vidit.
Figura Regeli flores flavos habet, Don describit
galeam purpuream, Jabium (eum dubio) flavorubicun-
dum, collectores, ex Hookero, corollam mox luteam,
mox roseam dicunt, et in planta Sikkimensi purpuream
esse Contendit Hooker. An color variabilis, an duae
species confusae ?
Var. pauciflora Prain in litt. Vix palmaris
diffuse ramosa, racemis subtrifloris, lobis labii latera-
hbas (fide Prain) truncatis.
Himalaya orientali: Jongri ad Bloktan (herb Cal-
cutt.!), Jaunsar-Bahar: Deoban Range (Duthie!
n. 1202).
16. P. Elwesi Hook. f. FL Brit. Ind. IV, 312.
Sikkim: valle Lachen (Hooker f.) et ad limitem
Tibeti (hb. Calcutt.!); Tibet australis: Phari (hb. Cal-
cutt.!); China: Yunnan (Delavay!).
Habitus et corollae forma (excepto tubo brevi) P.
labellatae Jacquem., calyce 5-dentato tamen jam
valde diversae. P. macrantha K1. tubo corollino con-
grua jam foliorum forma magis distat. ne
Radix perennis e fibris elongatis fusiformibus salé st
dis fasciculata. Folia radicalia plura petiolo 25 mm., . 5
533
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
534
lamina majorum 35 :10 mm. Caulis solitarins tenuis
usque ad spicam 15 mm. longam 5-6 cm. altus.
Folia caulina pauca brevipetiolata radicalibus similia,
fere usque ad costam pinnatipartita laciniis contiguis
oblongis pinnatifidis dentatisque. Bracteae foliaceae
petiolis vaginatodilatatis. Flores in racemo denso
pauci. Pedicelli calyce plus duplo breviores. Calyx
10 mm. cylindricus extus minute reverse puberulus,
tubo (contra Hookerum) distincte tricostato costis
dentibusque ad dorsum rejectis, nervis intercostalibus
inter dentes binis, ventre sex, apice breve anastomo-
santibus. Corollae purpureae tubus calycem non exce-
dens cylindricus rectus fere 2 mm. crassus. Pars
inferior labii superioris a tubo sub angulo recto in-
curva 5 mm. longa, tum item angulo recto abiens
in galeam tubo parallelam leviter falcatam medio
2 mm. latam 10 mm. longam, quae antice sensim
transit in rostrum dependens ipso apice bilobum fere
filiforme 6 mm. longum labio inferiori incumbens.
Labium inferius maximum 20 mm. latum 17 mm.
longum circumcirca ciliatum antice trilobum lobis
lateralibus oblique ovalibus apicibus lobum termina-
lem prominentem depresse rotundatum (9:6 mm)
tegentibus. Filamenta infra medium tubum inserta
omnia superiore parte pilis longis rufidulis barbata.
Antherae oblongae loculis acutis ochraceis. Ovarium
ovatooblongum, stylus stigmate capitellato exsertus.
17. P. armata Maxim. 1. e. 86.
Kansu occidentali legit olim Przewalski; prov.
Sze-tschuan parte boreali trajectu Gumà-kikä et ad fl.
Nereku, Potanin, 1885. :
18. P. cranolopha Maxim. L. c. 85.
Prov. Kansu occidentali; locis adductis adde: monti-
bus Mudshik, 9500 p. s. m. (Przewalski, 1880).
19, Pedicularis bidentata. Digitalis tota breve cine-
rascentivillosula, radice fusiformi tenui, caulibus sub-
nullis aggregatis, foliis omnibus basalibus longiuseule
petiolatis linearioblongis obtusis basi attenuatis crena-
tolobatis lobis semirotundis crenulatis crenulis cum
apiculo revoluto; floribus axillaribus quovis cauliculo
2 — 4 breve pedicellatis, calyce amplo cylindrico biden-
tato dentibus basi attenuatis lamina elliptica obtusa |
crebre incisodentata; corollae luteae tubo tenui piloso
calycem 5-lo superante, galea nana ferri equini àd in-
star curvata a labio amplo breve dense ciliato obtecta,
labii Jobis rotnndatis lateralibus magnis, filamentis
apice tubi insertis rufobarbatis, ovario ovato stylo ex-
serto.
Prov. Szetschuan: monte Kungäla (Potanin, 1885,
specc. 2).
Ex affinitate P. longiflorae Rud.
Folia majora petiolo 35—20 mm., lamina 5 : 1 em.
Calyx 15 mm. (dentes 5 mm.) tubo crassiusculo dorso
bicostato inter dentes bi-ventre 4-nervi et fere ad basin
reticulato. Corollae tubus 75 mm. longus, 1,5 mm.
latus, galea vix 7 mm. alta rostro sensim attenuato
crasso fere aequilongo, labium 25 mm. latum, 17 mm.
longum, galea fere in centro baseos loborum lateralium
posita, lobo terminali 6 mm. longo, 8 mm. lato.
20. P. longiflora Rud. — Maxim. I. c. 86.
Mongolia boreali: ad fl. Kemtschik, aff. Jenisei su-
perioris (Adrianow, 1882), lacum Kosogol (Czek a-
nowski), jugo Hanhaïi: ripa humosa fl. Sehuryk et
Zagan-Mänti (Potanin, 1877, 1886); Tibet boreali:
jugo Burchan-Budda, 13— 15000 p.s. m. et ad lacum
quendam, 13,500 p. s. m. (Przewalski, 1884).
Flores vulgo lutei concolores, in planta fibetica ex
alpibus Burchan-Budda cum maculis 2 cuneatis longi-
tudinalibus purpureis ad faucem labii inferioris.
21. P. chinensis Maxim. 1. c. 78.
Nunc denuo e pluribus locis Xansu quam occiden-
talis tam orientalis a Przewalskio 1880 et a Pota-
nin 1885 allata est.
E signis quibus hanc a praecedente distinxi racemus
magis multiflorus, bracteae, labii lobus medius tantum
emarginatus etiam pl. m. in altera obviam fiunt. Su-
persunt tamen et in supellectili copiosa nova galea ad
faucem egibbosa, rostrum integrum, caulis distinctus
elatior floresque triente majores, ita ut plantas primo
obtutu distinctas etiam nunc conjungere haesitem.
Capsula P. chinensis latior videtur, ovatooblonga caly-
cem fere duplo superans.
29, P. siphonantha Don, Prodr. fl. nep. 95. Benth.
in DC. Prodr. X, 565. Hook. f. FI. Brit. Ind. IV,
313 excel. syn. plerisque. ie
China: prov. Sze-tschuan districtu Moupine (David!
in herb. Paris.) — inter pl. David. vol. IE. non enu-
merata.
535
Bulletin de l’Académie Empériale
536
24. P. sigmoidea Franch. ined. Caule spithamaeo
arcuatoascendente foliato cum foliis puberulo, petiolis
basi dilatatis lamina oblonza pinnatipartita brevioribus,
laciniis e basi latiore ovatooblongis ovatisve pinnatilo-
bis parceque cartilagineodentatis, bracteis foliaceis
summis calyce brevioribus lamina quam petiolus dila-
tatus membranaceus multo breviore; racemo denso
multifloro, calyce membranaceo tubuloso hirsuto ventre
semifisso tridentato dente saummo parvo lanceolato la-
teralibus deltoideis 3—5-lobis omnibus incisodentatis,
corollae purpureae tubo tenui piloso calyce triplo Jimbo
4-lo longiore, labii superioris parte basali erecta nana,
galea horizontali sensim in rostrum tenue leviter fal-
catorecurvum aequilongum integrum attenuata fere 4-lo
longiore, labio rostram non aequante transverse ovali
breve ciliolato antice trilobo lobo medio vix minore
parum prominulo, filamentis ad faucem tubi insertis
medio longe barbatis, stigmate vix incrassato exserto,
ovario anguste ovato.
China: Yunnan, monte Koua-la-po prope Ho-kin,
3000 m. s. m. (Delavay!).
Proxima P. Hookerianae Wall.
Spec. missum ultra spithamaeum. Folia petiolo 25
mm., lamina 27:10 mm. Calyx 15 mm. 3-costatus
8-ner ticulatus. Corolla 47 mm. longa,
galeae pars Horizontale 14 mm., labium 13 mm. lon-
gum, 18 mm. latum. Antherae oblongae ochraceae
loculis acutis.
Q nonnzine nt
| Series 2. Muscicolae.
Caules procumbentes ramosi saepe elongati foliati
ra axillaribus. Calyx 5-dentatus dentibus erista-
Corolla purpurea modica, rostro porrecto incurvo
Y. Fun Species sinenses.
Segmenta foliorum petiolulata, corollae tubus
NE PO D PE PE D A 25. P. muscicola m.
fig. 13.
Segmenta foliorum lata basi ossi a. g.
2. Tubus corollae parvulae longissimus. … P. macrosiphon Franch.
fig. 14
g-
».” » calyce sesqui longior..... 27. F, gruina Franch,
25. P. muscicola Maxim. 1. e. X, 84.
Praeter stationes enumeratas nunc praesto est €
Kansu crientali: circa monasterium Dshoni (Potanin,
1885).
W 26. P. macrosiphon Franch. PI. David. IF. n. 253.
in Nouv. Arch. Mus. 2 ser. X, 66. In caespitem pe-
ne dalem nes a basi foliata ce a ramosa un fo-
liis amplis membranaceis petiolatis linearioblongis pin-
natisectis-partitisve segmentis subalternis patentibus
v. inferioribus recurvis summis confluentibus ceteris
contiguis e lata basi oblique ovatis acutis inaequaliter
mucronatoserratis, floralibus minoribus; floribus om-
nibus axillaribus; calyce pedicello breviore campanu-
lato 5-dentato ventre semifisso dente summo minuto
deltoideo integro reliquis lanceolatis v. ellipticis inae-
qualibus mucronatodentatis, corollae roseae parvae
glabrae tubo filiformi calycem quinquies et ultra ex-
cedente, galea falcata in rostrum brevius porrectum
crassiusculum sensim attenuata, quam labium breviore,
labio sesquilatiore quam longo trilobo lobis lateralibus
oblique ovalibus terminali minore subsemiorbiculari,
filamentis apice tubi insertis glabris; capsula late ovata
mucronata calycem vix excedente;, seminibus angulato-
oblongis laevibus testa ossea crassa, caruncula magna.
China: prov. Kansu orientali non procul ab oppido
Nan-pin, monte Itschu-schan, ad sylvarum margines
(Potanin, 1885); prov. Szetschuan: tractu Tibetiae
finitimo Mou-pine (David!).
Ab omnibus congeneribus semine osseo laevi ab-
horret, ceterum sequenti evidenter affinis.
Specimen 1 à Potanin lectum humiditate -subpu-
trefactum massam pedalem valde intricatam foliosissi-
mam haud divellendam sistit, sed cum exemplis Davi-
dianis optime convenit. Folia majora spithamaea pe-
tiolos superantia, segmentis 15:7 mm. mag si Ca-
lyx 10 mm., corollae tubus 55 mm., labium 7,5 mm.
longa, hoc 12,5 mm. latum. Galeae pars ha 5
mm. longa erecta, illa antheras fovens sub angulo
recto abiens eum rostro 7,5 mm. longa. Capsula 7—8
mm. Semina cum caruncula cellulosa 4 mm.
27. P. gruina Franch. ined. Hirsuta, caulibus gra-
Jeilibus longissime decumbentibus ramosis polyphyllis,
foliis parvis sparsis petiolatis ellipticis obovatis v. ob-
longis pinnatisectis-partitisve bas are: lata basi ses-
silibus oblongis pinnati ratis, foribus
axillaribus v. apice ramorum approximatis calyce lon-
gius pedicellatis, calyce cylindrico 5-dentato dentibus
fabellator pusdaue mucronato-incisodentatis, corollae
purp t m paulo superante limbum aequan-
te, galeae parte inflata ad marginem utrinque obtuse
1-dentata quam basalis erecta breviore in rostrum por-
Frectum apice tantum decurvum sesquilongius sensim
Li
537 des Sciences de Saint-Pétersbourg. ! 538
attenuata, labio aequilongo cordatorotundato breviore | 6. Calyx 2—3-dentatus dentibus pauciserratis,
: i d 1 t
quam lato antice trilobo lobis depressis medio parvo, | Sons #aiene Ovatus obtusus, Flamenta glil sr ha Frinet
filamentis supra medium tubum insertis totis barbatis, Calyx 5-dentatus eximie cristatus, dens galeae fig. 21.
ovario lanceolatooblongo, stigmate capitellato subex-
serto.
China: Yunnan, prope Li-kiang in paludibus, nec
non quercetis cacumine montis Che-tcho-tze supra Ta-
pin-tze, — posterior forma cinerascens foliis pinnati-
partitis (Delavay! in herb. Paris.)
Praecedentibus duabus habitu accedens, tubo brevi
abhorrens, a serie Æesupinatarum tantum staminum
insertione et corollae tubo aequali tenui distinguenda.
Caules collecti ultra sesquipedales ramis debilibus
Spithamacis. Folia majora 35 : 12 mm. petiolo infimo-
rum ultra 10 mm. Calyx 8 mm. 5-costatus 5-nervius
membranaceus dentibus coriaceis. (Corolla 19 mm.,
labium 15 mm. latum 10 mm. longum, galea 10 mm.
Antherae ovatooblongac ochroleucae loculis acutius-
culis.
Series 3. Polyphyllae.
Caules erecti fere semper caespitosi elati foliati, fo-
lis plerisque radicalibus vel secus caulem numerosis
parvis vel, si pauca, saltem respectu plantae magnis.
Racemi multiflori elongati interrupti, in 1 specie bre-
ves et densi. Corolla parva tubo calycem vix v. ses-
qui superante, rostro porrecto arcuato passim resupi-
nato, in 1. basi contorto tum porrecto. Bracteae folia-
ceae petiolo tenui vel in 1. superioribus basi dilatatis.
Caulis fastigiatoramosus solitarius dense po-
lyphyllus RTE es pinnatipartita,calyx
5-dentatus dentibus rotundatis incisodentatis,
rostrum deu devitér sigmoideum, fila
menta barbata. 34 P. én Pah
Caules encapitoei “simplices v. pauciramosi,
folia majuscula v. magna haud densa. 2.
. Rostrum torsione'baseos v. galeae resupina-
tum, labium ciliatum, care dentes tres. 3.
Rostrum non resupina
. Basis galeae torta, port dentes cristati, folia
basi canlig aggregata. ...,.,......,4.... 28. P. torta m.
Basis rostri torta, calycis dentes integri, folia fig. 17.
secus catlem sparsa passim opposita v. pire
Lg
[2e]
2% PF. La goes
Galea margine pis cum dente dites
tissimo, calyx cris!
Galea edentata, Retit dorso anguste cri-
statum, calycis dentes 3 subulati, caules pes
thchei IN TérPRDÉR ie ess 4 recois 6.
Galea subito (cum gibbo) in rostrum Mr
arum a
petioli dilatati................... P, cephalantha Franch.
Aa sensim ee caulis AE doi fig. 20.
longe petiolata. o
Lan
oxycarpa Franch.
ig. 19.
a
oblongus
acutus, filamenta dass pilosa,
ovarium ovatolanceolatum. . , DJ:
ds RÉ r À ranch.
28. Pedicularis torta. Caespitosopluricaulis usque ses-
quipedalis, radice perenni simplici v. ramosa, cau-
libus erectis superne calyceque minute reverse pube-
rulis multifoliatis, foliis versus basin sitis multo majo-
ribus petiolatis reliquis diminutis omnibus circuitu
oblongo- vel superioribus elliptico-lanceolatis pinnati-
sectis rhachi integra, segmentis crebris imis recurvis
mediis patentibus ovatooblongis acutiusculis pinnati-
fidis dentatisque: dentibus lobisque mucronulatis, brac-
teis tenue petiolatis foliaceis superioribus trisectis;
racemo elongato multifloro laxiusculo, calyce pedi-
{cellum superante bracteas aequante parvo cylindrico-
campanulato hinc fisso 3-dentato: dentibus foliaceis
inacqualibus 2 amplis ex angusta basi flabellatorotun-
datis mucronatodentatis lobatisque summo minuto in-
tegro v. 3-dentato lineari; corollae tubo cylindrico
piloso calyce 1//, longiore labio 2-lo galeaque breviore,
labii superioris parte tubo continua spiraliter et
semis torta itaque galea resupinata parte ejus in-
flata dorso anguste cristata a tergo valde gibbosa
cum rostro longiore filiformi ascendente semicireulum
formante, labio patente cordatorotundato lobo medio
prominente majusculo transverse latiore, filamentis
apice tubi insertis rufescentibarbatis; capsula calycem
plus duplo superante et cum illo cernua ovatolanceo-
lata acuminata.
China occidentalis: prov. Kansu parte orientali
montibus Tschâgola, I-tschu-schan et alibi supra li-
mitem sylvarum, prov. Sze-tschuan valle fl. Hei-ho nec
non monte Kungäla (Potanin fl. fr. immat., 1885).
Species pulchra, sequenti proxima.
Folia basalia petiolo 5 cm. lamina 9 : 27, em., media
et superiora petiolo 5 mm. lamina 4:1 em. vel multo
minora bracteiformia. Racemus ultra spithamaeus de-
florescens interruptus. Bracteae imae folia aemulantes
calycem superantes, superiores latiores quam longae
ad ségmenta 2 et terminale reductae calycem aequantes.
Calyx 6 mm. tubo membranaceo, dentes 2 mm. Go-
rolla 15 mm. longa, ex sicco lutea (2?) cum galea ss . .
scuriore, rostro sursum falcato ad apicem
539
Bulletin de FAcadémie Impériale
540
curvo labio expanso patente non velato. Tubus 7 —8
mm., galea 8 mm.
ciliatum atque supra pulvereopuberulum 14 mm.
latum et longum, lobis lateralibus 12: 6 mm., termi-
nali prominente basi attenuato 4 mm. longo, 5 mm.
lato. Galeae pars basalis arcte spiraliter torta 2 q.
exc. mm, Crista galeà triplo angustior ante gibbum
ovoideum incipiens, basi rostri evanescens. Galeae pars
horizontalis leviter arcuata 6 mm., rostrum 8 mm.
longa. Antherae ovatae. Calyx in fructu haud auctus.
Capsula 13 : 4 mm. Semina basi capsulae locata pauca
vix 2 mm., reticulata, caruncula parva.
29. P. Davidi Franch. PL David. II, 67. Furfu-
raceopuberula erecta simplex v. basi ramosissima
ramis sesquipedalibus ascendentibus, foliis inferioribus
mediisque passim verticillatis v. oppositis reliquis brac-
_ teisque semper sparsis petiolatis pinnatisectis segmentis
lanceolato- v. lineari-oblongis pinnatifidis atque carti-
lagineodentatis, racemo laxo elongato multifloro, brac-
teis tenue petiolatis foliaceis superioribus trisectis
calyce brevioribus, calyce pedicellum superante mem-
branaceo cylindricocampanulato ventre fisso dentibus
3 oblongis integris, corollae roseae tubo pubescente
calycem fere duplo superante limbo breviore, galea
tenui labium aequante supra basin brevissimam in
annulum impervium contorta tum horizontaliter por-
recta in rostrum elongatum apice recurvum attenuata,
labio patente cordatorotundato lobo medio latissime
obovato prominente lateralibus parum minore, fila-
mentis triente superiore tubi adnatis parce barbatig:
capsula calycem triplo snperante et cum illa cernua
ovatolanceolata acuta.
China: Sze-tschuan, districtu Mou-pine (David).
P. tortae m. simillima, sed jam foliis nonnullis oppo-
sitis calyceque facile distinguenda. Inter Verticillatas
haud collocanda, quia in his folia alterna si occurrunt
semper infima, reliqua vero cum floribus exacte verti-
cillata sunt, quum in P. Duvidi flores omnes foliaque
superiora pleraque sparsa sint,
Folia radicalia nulla, caulina infima petiolo 4 cm.,
lamina 7:2 cm., segmenta utrinque 9—11. Calyx
5 mm. 3-costatus sub-7-nervius non reticulatus. Co-
rolla 16 mm., labium 10 mm. longum laxe venoso-
areolatum, galea basi 1,5 mm. lata parte horizontali |
7—8 mm. longa. Antherae oblongolanceolatae brun-
do neae loculis acutis. — 10:4—5 mm.
labium distinctissime circumeirca
galeae portio horizontalis 8 mm.,
30. P. oxycarpa Franch. ined. Spithamaea erecta
simplex v. pluricaulis puberula, radice verticali fusi-
formi, caulibus strictis a basi foliatis, foliis inferiori-
bus petiolatis lamina oblonga v. oblongolanceolata
pinnatisecta segmentis anguste oblongis pinnatilobis
ét cartilagineodenticulatis, racemo multifloro sub an-
thesi brevi denso fructifero laxo dimidium caulem oc-
cupante, bracteis foliaceis calyce brevioribus, pedicel-
lis inferioribus calycem aequantibus, calyce membra-
naceo minute puberulo breve tubuloso ventre fisso
tridentato 3-costato plurinervio dentibus coriaceis
breve subulatis, corollae albae ac roseae tubo pubes-
cente calyce sesquilongiore limbo breviore, galeae
parte basali erecta membranacea triplo breviore quam
horizontalis coriacea sensim in rostrum elongatum
vertice cristatum apice deorsum flexum attenuata,
labio velutino ciliato amplo copiose venosoareolato
rotundato latiore quam longo antice breve trilobo:
Jlobo medio minuto orbiculato vix prominulo, filamen-
tis triente superiore tubi insertis ibique cum tubo pi-
losis omnibus versus apicem rufobarbatis, stigmate ex-
serto pyriformi, capsula patente calycem fere ne
superante anguste ovata acutissime attenuata.
China: Yunnan, prope Lankong, monte Hee-Chan-
Men (Delavay! in herb. Paris.: «fleurs bigarrées de
blanc et de rose»). Ex sicco labium pallidum (album?),
galea atra (rosea ?).
Habitu, magnitudine florum, forma et directione
capsulae non absimilis ?. tortue m., sed planta minor
minusque foliata.
Folia radicalia evanida, caulina infima maxima pe-
tiolo 17 mm., lamina 55: 12 mm., plerumque tamen
duplo minora, media petiolo 5 mm. lamina 25 : 8 mm.
Calyx 5 mm. longus, costae 3 crassissimae nervique
intercostales 10 crassiusculi, reticulum nullum. Co-
rolla secus galeae partem erectam mensa 11 mm.
labium 8 mm. lon-
gum, 11 mm. latum. Galeae pars antherigera a basali
membranacea sejuncta est plica transversa prominente,
crista rostro angustior utrinque attenuata. Antherae
oblongae griseoochraceae, loculis acutis. Capsula
12:5 mm. magna.
31. P. cephalantha Franch. ined, A basi ramosa
caespitosa glabra ramis basi breve ramulosis ascenden-
tibus spithamaeis, foliorum paribus in quovis caule v.
541
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
541?
ramo praeter racemum 2 — 4, superiorum distantium
1 — 2 foliis alternis, inferiorum longipetiolatis oppo-
sitis, pinnatisectis segmentis lanceolatis profunde pin-
natifidis et mucronatodentatis lobis omnibus acutis;
racemo paucifloro brevissimo denso, bracteis foliaceis
summis calycem aequantibus, calyce breve pedicellato
cylindrico chartaceo ventre fisso 5-dentato: dentibus
2 lanceolatis cristatis 3 subulatis integris, corollae
atrorubrae tubo calycem subduplo limbum sesqui su-
perante, galeae parte basali brevi, horizontali ad mar-
ginem utrinque cum dente nstais inflexo, fronte
scabra et gibba, tum in rostrum tenue basi conicum
leviter decurvum galea longius abeunte, labio sublon-
giore brevissime anguste stipitato transverse ovali an-
tice trilobo: lobo medio parvo parum prominulo, fila-
mentis triente superiore tubi insertis longioribus bar-
batis, antheris ovatis- loculis acutis, germine anguste
-ovoideo, stigmate capitellato vix exserto.
China: prov. Yunnan, angustiis Koua- la-po inter
Tali et Hokin (Détivays in herb. Paris.)
Sequenti proxima.
Caules crassiusculi 3 mm. crassi. Folia infima pe-
tiolo 4 em., lamina 80:17 mm., superiora petiolo
1 cm., lamina 4:1 cm., segmenta distantia utrin-
que 10— 12. Calyx 8 mm. longus margine breviter
ciliatus tenue 5-costatus nervis intercostalibus nullis,
dentes coriacei. Corolla 18 mm. longa, tubus ventre
ad faucem intus villosulus. Dens galeae anguste tri-
angulus inflexus supra nervum obliquum positus. An-
therac ochraceae. |
32. P. longepetiolata Franch. ined. Bipedalis erecta
pluricaulis glabriuscula, radice crasse carnosa fascicu-
lata, foliis radicalibus linearioblongis lamina longius,
caulinis pluribus remotis lanceolatooblongis breve pe-
tiolatis summisque sessilibus pinnatisectis, segmentis
divaricatopatentibus remotiuseulis ovatolanceblatis
obtusiuseulis pinnatifidis et cartilagineo-dentatis; ra-
cemis brevibus laxiuscalis plurifloris, bracteis foliaceis
calycem superantibus, calyce tubuloso chartaceo ventre
ad medium fisso 5-costato’ et a medio reticulato 5-den-
tato: dentibus coriaceis summo imisque lanceolatis
mediis rotundatis omnibus 2 — 3-fidis mucronato-in-
A cisodentatis, corollae purpureae tubo calycem duplo
= limbumque superante, galea e basi membranacea erecta
Fi sis parte inflata basalem vix aequante quam
. Tome XXXIL
pitatis rotundatis cristatis,
rostrum falcatoincurvum tenue integrum breviore, me-
dio margine utrinque cum dente lanceolato retro
inflexo, labio patente galeam excedente e constricta
basi transverse rotundato crebre venosoareolato antice
breve 3-lobo: lobis lateralibus depressis auricula sua
terminalem prominulum rotundum tegentibus, filamen-
tis supra medium tubum insertis longioribus barbatis,
stigmate capitellato incluso, ovario lanceolato, capsula
ovatooblonga oblique apiculata calyce sesquilongiore.
China: prov. Yunnan, ad Lankong in pes
2800 metr. s. m. (Delirayl in herb. Paris.)
Calyce etsi 5-dentato 5-costato, tamen costis dua-
bus debilioribus, jam ad tridentatas vergens et inter
has non male quoad habitum accedens ad seriem P.
Hookerianae et P. siphonanthae.
Lamina foliorum radicalium 10 cm.:25 mm., cau-
linorum sessilium 3 : 1 em., segmenta priorum 12:7
mm. subopposita utrinque ad 14, caulinorum usque
dena 5:2 mm. Calyx 10 mm. Corolla 23 mm. longa,
galea fere abrupte in rostrum attenuata coriacea 10
mm. longa, labium 11 —13 mm. longum, 13 — 15:
mm. latum. Tubus angustus aequalis ventre intus ad
ipsam faucem pilosus. Stamina antica supra medium,
postica medio tubo inserta, filamentis priorum versus
apicem barbatis. Antherae oblongae brunneae loculis
obtusis.
33. P. oligantha Franch. ined. Elata flaccida à basi
elongatoramosa. foliata macrophylla glabrata, foliis
membranaceis praeter summa longe petiolatis oblongis
pinnatisectis, segmentis decurrente basi sessilibus ob-
longis obtusis pinnatifidis et mucronato-incisoserratis;
floribus axillaribus ad apices ramorum caulisque appro-
ximatis, calyce brevipedicellato hirsuto hyalino hinc
fisso dentibus 3: dorsali minimo subulato reliquis sti-
corollae luteae (nondum
bene expansae) tubo calyci incluso limbo subbreviore,
galea falcatoincurva medio margme utrinque cum ce
|dente ovato majusculo, in rostrum ténue apice bilobo
deflexum aequilongum sensim abeunte, labium ciliatum
rotundatüm antice trilobum lobo medio minuto ae
quante, filamentis infra faucem insertis glabris, ovario
anguste ovoideo. ee
China: Yunnan, prope Lankong, sylvis Move tra- .
djectum Yen-tze-hay, 3000 m. s. m. pe nm: ss
herb. Fa :
: ÿ ;
“ À :
543
Bulletin de l’Académie Impériale
LEE]
. Cum P. longepetiolata et P. cephalantha galea mar-
gine dentifera, caule foliato respectu plantae macro-
phyllo fhsque pinnatisectis convenit, sed ab utraque
calyce 3-dentato differt.
Caulis basi decumbente radicans, incipiente anthesi
jam ultra sesquipédalis, usque ad apicem foliatus. Fo-
lia omnia alterna, infima petiolo 35 mm., lamina
90:25 mm., floralia subsessilia 25:13 mm. Calyx 8
mm. hyalinotener dense ciliatus 2-costatus sub-7-ner-
vius, dentibus herbaceis. Corolla 11 mm., labium 7
nm. latum, 6 mm. longum. Antherae Hoi dura
loculis acutiusculis. Stigma capitellatum exsertum.
34. P. polyphylla Franch. ined. Cinerascentihispida,
- caule ultrapedali stricto polyphyllo.parvifolio sursum
dense fastigiatoramoso, foliis brevipetiolatis oblongis
_subtus cinereohispidis pinnatipartitis, laciniis lata basi
insidentibus pinnatilobis cartilagineoserratis; racemis
elongatis laxis multifloris, bracteis foliaceis calycem
superantibus, calyce pedicellato late breveque cylin-
drico 5-dentato: dentibus rotundatis mucronato-inci-
soserratis, corollae purpureae tubo calycem sesquisu-
perante limbum subaequante, galea e basi brevi erecta
- horizontaliter incurva in partem inflatam basali aequi-
Jongam in rostrum leviter sigmoideum porrectum su-
bito abeuntem labium aequantem, labio ex brevissima
_stipitata basi cordato-rotundato latiore quam longo
ciliolato, antice breviter trilobo: lobis depressis me-
dio minore vix prominulo, filamentis !/.-superiore tubi
versus faucem ventre pilosi insertis totis barbatis, cap-
_sula oblique ovata acuta calycem parum superante.
| China: Yunnan, prope Lankong monte Hee-chan-
o men, 3000 m. s. m. (Delavay! in herb. Paris.)
Simulat erostrem P. tenuisectam Franch.
inter
_ corollae is pu re et an insertionem
jus col
+ | Sicca nn “pabes elongata corrugata. Caulis
teres hispidus. Petioli 5 mm., folia 20:5 mm. Ca-
x 8 mm. longus, 5-costatus, 5-nervius, superne levi-
ter reticulatus, dentes coriacei. Corolla 18 mm. An-
_ therae ovatae brunneae loculis acutiusculis, flaments
ta rufa. des ARNO éxsértum.
; : Resupinatas, quarum habitum refert, sed .ob tubum |
2, Longirostres verticillatae.
Series 4. Tenuirostres.
Graciles Maxim. in Mél. biol. X. 80. XI, 279. p. p.
Folia saepissime rite verticillata. Racemi saepe
elongati. Bracteae basi dilatatae. Rostrum tenue cos
gatum varie curvatum v. rectum.
Rostrum galeae convolutum sigmoideum v.
saltem apice lateraliter hamatoinvolutum. 2
Rostrum rectum. 10.
2. Bracteae ovatae integrae v. apice foliaceo
ae cum lamina 3—5-partita v. -secta,
ne RE galea labio brevior. Folia pinna-
tipar -secta. 8.
: be dntes cristati, corollae tubus er
subduplo longior, filamenta barbata.
Calycis dentes integri, corollae tubus vix ex-
sertus
4. Corolla purpurea, galea porrecta sigmoidea,
folia calycisque dentes crenata 35. P. integ He Hook. f.
Corolla lutea, galea circularis, folia. pinna- Tab. IL. fig. 28.
tipartita, calyeis dentes mucronatocr istati .
G:.P, ait Franch.
5. <petels 29 glabra, labium parvum Fe de
aequa
©)
LE. Fetissoii Rgl.
CPC
Li +
+, Parvo. 6.
6. Rostrum galea ra in semicirculum in-
volutum, spica elonga
Rostrum galea er sigmoideum (i. e. in-
_flexum apice reflexum), spica brevis densa,
flores rosei, folia bipinnatipartita . ...... 38, PF. nr ré Wall.
7. Spica. interrpta, flores rosei labio basi ro- fig. 2
Re folia pinnatipartita laciniis
pinnatifidi 89:P. p: gén ob ve ne
Spica pra Aocos lutei labio basi rotundato- fig,
cordato, folia pinnatifida laciniis LTÉE
sms
0. P. pires nie
8. Galea supra basin semitorta rostro Fer re- g. 2
Hi oral calyx ventre fissus dentibus in-
CORTE ns de Dole dpi cer ei 41. 2. semitorta m.
Gales non tor
9. Calyx sessilis de villosus 5-fidus tubum
corollae aequans, galea semicircularis . . ...
42. ra tianschaniea Ru] pr.
Calyx pedicellatus glaber breve 5- dentatu
tub bo corollae brevior, rostrum en
45. P, Roborowskii m.
10. Flores flavi plerique e béisieis exserti, sbles . 29.
interrupta elongata, folia en NS seg-
mentis acute linearilanceolatis
Flores purpurei, 1
11. Galea dorso cristata crista ante basin rostri
abscissa, calyx inflatus dentibus 5 deltoideis
integris, verticilli distantes, bractene conte
acumine foliaceo trisecto, planta elat ta.
Galea ecristata. 12,
12, Spica néprt 13.
COR
44. A Suez m,
fig.
45. P. sidi m.
fig, 81.
A Hodkero f. in F1 Brit. Ind. IV, 306 pro var. P. pectisales! "
se Wall. declarata, vix recte. Flores dissecti P. tenuirostri persimiles,
Ja P. pectinata reg
545
des Sciences de Saint - Pétersbourg.
546
RS foliorum atque florum distantes,
DR OR TN du es rose ve . P. instar Prain.
18. Plantae humies si spica brevi densa fig. 32
ill 0 infimo remoto, bracteae pinna-
Elata foliis pinnatilobis, spicaelongatadensa,
b e ovatae attenuatae integrae dense
imbricatae, calycis dentes 5 breves cristati.
47.
14. Au verticillata laciniis ovatis, planta er
JO iranien dune et
Foli vulgo. opposita, pl. glabriusculae. ee
15. Folia oblonga laciniis utrinque 5—9 con-
tiguis. 16.
Folia ovata cabane subdistantibus pa
2—3, flame ta glabra ÉCRIS Len CUS S 6 9:-P. debilis Franch.
* 34.
» On SIADIR SET re déve 51. P. porrecta W all.
35. P. integrifolia Hook. f. F1. Brit. Ind. IV. 308.
Sikkim (ex auct. cit.); Tibet australi (herb. Calcutt. !).
36.P. gyrorhyncha Franch. ined. Caule tereti stricto ex
axillis breve ramoso cum foliis subtus villosulo, foliis
infimis oppositis reliquis ternis brevipetiolatis oblongo-
lanceolatis pinnatipartitis laciniis oblongis pinnatilobis
parceque cartilagineodentatis; racemo interrupto, brac-
teis foliaceis calyces pedicellatos superantibus, calyce
_brevetubuloso hirsuto 5-dentato: dente saummo nano del-
toideo integro reliquis rotundatis incisoserratis, corollae
luteae tubo tenui recto calycem subduplo superante
- limbum subaequante, galea subsessili incurva rostrum
tenue aequante et cum illo in cyclum fere completum
involuta, labio galeam superante ciliato duplo latiore
quam longo basi cordato antice trilobo lobo medio
semirotundo cucullato parum prominente lateralibus
minore, filamentis apice tubi insertis rufobarbatis, ova-
rio ovatolanceolato stigmate capitellato exserto.
China austrooccidentalis: prov. Yunnan, ad fauces
Koua-la-po (Delavay! in hb. Paris.)
Similis P. Fetisowi Rgl., quae calycis dentibus inte-
gris labioque parvo statim distincta.
Spécc. adsunt 2, alterum vix pedale simplex, alterum
fere bipedale breviramosum. Radix tenuis ramosa, ni
fallor annua. Caulis teres. Folia ima lamina 25:
mm. petiolum duplo superante, media petiolo 1 cm.
Jamina 4:2 em. v. duplo minora. Calyx 6— 8 mm.
ae des membranaceus, dentibus herbaceis, tubo
5-costato 5-nervio a medio sursum reticulato. Corolla
18 mm. Labium tenere membranaceum 16 mm. latüm
| su + mm. longum. Galea et rostrum apice breviter bilo-
à um coriacea. “Tubus Durs intus ad faucem parce
TE, Alopecuros Franch.
fig. 38.
8. P. brevifolia Don.
pilosus. Filamenta longiora dense RAODATRRIE Anthe-
rae oblongae brunneae loculis acutis.
41. Pedicularis semitorta. Pluricaulis ad bipedalis
parce pilosa, caulibus subsimplicibus crassiusculis, fo-
Jiis 4-nis brevipetiolatis (petiolo rufovilloso cum linea
villosa secus caulem decurrente) circuitu ellipticis lan-
ceolatisve pinnatisectis rhachi dentata, segmentis acutis
linearibus v.lanceolatolinearibus pinnatipartitis lacinulis
ovatis cartilagineoserratis, bracteis e lata membranacea
basi inferioribus foliiformibus superioribus 3-sectis at-
que incisoserratis, inflorescentia elongata interrupta;
| 'calyce pedicellato ovato ventre fisso 5-dentato dentibus
retro dejectis subulatis integris summo minore; co-
rollae luteae tubo leviter incurvo calycem duplo supe-
rante, galea supra basin semitorta e dorso valde con-
vexo in rostrum semicirculare ventre sursum spectans
sensim attenuata ad basin rostri utrinque dente ovato
instructa, labio galeam superante amplo 10B0 terminali
rotundato lateralibus obli
filamentis inferioribus superne pilosis, ovario ovatô at-
tenuato.
Prov. Kansu parte occidentali: prope monasterium
Kadiger, parte orientali: valle fl. Tao-che:ad monast.
Dshoni, nec non in monte Yali-ssan non procul a pago
Katapu (Potanin, 1885).
Statura foliisque P. pectinatam Wall. aemulans,
quae tamen jam Pracieis integris atque floris structura
diversissima.
Radix fusiformis simplex v. divisa. Caules usque
pennam anserinam crassi, rarius e verticillo summo
ramulos breves postea florituros proferentes, foliorum
verticillis 2—4, Folia radicalia nulla, si tamen adsunt
lamina linearioblonga 30:6 mm. De vix supe-
rante, caulina infima petiolo 15 mm. lamina 75 : 20
mm., summa multo minora. Segmenta basi mox con-
fluentia, mox distincta, in foliis maximis 20:5 mm.
magna. Bractearum segmenta 3 vaginae ovatae impo-
sita incisoserrata, summarum subulata integra. Ca-
© lyx 12 mm. Corolla plane evoluta 25 mm. Filamenta
apici tubi inserta, antherae ellipticae.
43. P. Roborowskii Maxim. in Mél. biol. XI, 281.
Kansu occidentali olim legit Przewalski, nunc e
Szetschuan boreali ad fl. Nereku in montibus supra bi
n SR
[attalé Potanin 1885.
mitem sylvarum copiose crescentem vidit, Sc ao LE,
547
Bulletin de l’Académie Impériale
548
44. P. Scolopax Maxim. 1. c. XI, 2
Etiam in Täbetia boreali: ad fl. . alt. 13000
ped. s. m. parcam invenit Przewalski, 1884.
Species rara, praeter corollam habitu non parum
referens P. alaschanicam m.
45. Pedicularis cristata. Uni-bipedalis, radice fusi-
formi ramosa, caulibus 1 — 4 strictis subsimplicibus
superne cum lineis pubescentibus, foliis distantibus in- |
ferioribus oppositis v. omnibus ternatim verticillatis ad
petiolos dense gilvovillosis, subtus secus costas parce
hirsutis pinnatisectis-partitisve, laciniis linearioblongis
pinnatifidis dentatisque, bracteis e dilatata hirsuta basi
inferioribus folüiformibus mediis cum acumine pinnati-
fido summis trisectis simplicibusque serratis; calyee
ovoideo inflato secus costas hirsuto 5-dentato dentibus
deltoideis integris summo minore; corollae roseae (?)
tubo calyce sesquilongiore galea labioque breviore, ga-
- leae parte verticali horizontalem in rostrum tenue de-
flexum attenuatam subaequante vertice cristata crista
angusta ante rostrum abrupte desinente, läbio galeam
superante amplo ambitu late deltoideo lobis lateralibus
oblique ovatis terminali rotundato saltem duplo majo-
ribus, filamentis apice tubi insertis subaequilongis in-
ferioribus parce barbatis; capsula oblongolanceolata
acuta calycem superante. |
Chinae prov. Sze-tschuan parte boreali: prope oppi-
dum Ssun-pan (Potanin).
-_ Habitu accedit ad P. Roborowskii m., sed crista ga-
leae ab omnibus hujus seriei statim dignoscenda.
Specimina lecta 2, quidque cum caulibus 4. Fo-
lià radicalia nulla, caulina remota verticillis paucis, in-
fima petiolo 25 mm. longo laminam 10 mm. latam
aequante, media petiolo 10 mm., lamina 30 : 12 mm.
segmentis utrinqué S8—11 in rhachin decurreñtibus.
Calyx brevissime pedicellatus v. subsessilis margine
tenere dense villosus 9 mm. longus. Corolla 2 cm.
. Antherae ovatooblongae loculis apiculatis sulfureis.
Ovarium dr ln us nondum matura
13: 5 mm.
46. P. instar Prain ined. Câule elongato ut
à simplici verticillis foliorum florumque distantibus, fo-
dis parvis oblongis pinnatifidis floralibus similibus la-
| cinis breve ovatis, calyce pedicellato late breve cam-
co « panulato dentibus 5 magnis ovatis dentatis, corollae
| ns tubo calycem ei mecs limbo breviore, galeae
parte horizontali eum rostro gracili porrecto in quod
sensim attenuata partem erectam basalem vix supe-
rante, labio galeam subaequante rotundato tripartito
lobis obovatis medio latiore prominente, filamentis
apice tubi insertis glabris, ovario ovato.
Himalaya: Sikkim, Ongla-thang infra Kanchin-
junga (herb. Calcutt.!)
Nuili in hac serie propius affinis et labio tripartito
valde discrepans, quoad habitum simulans ?. denuda-
tam Hook. f., fide Praininitt.
Pars caulis ante oculos spithamaea. Folia 15:3
mm, Calyx 5,5 mm. 5-costatus 5-nervius. Corolla
10 mm. membranacea glabra. Antherae ipsa basi ga-
leae locatae ovatae brunneocinereae loculis acutis.
Capsula immatura calycem superans ovata oblique
mucronata 8 mm. longa.
* j “
47. P. Alopecuros Franch. ined. Elata stricta vil-
losohispida, radice fusiformi tenui annua, caule parce
breviramoso ramis erectis strictis, foliis oppositis v.
verticillatis subsessilibus oblongolinearibus attenuatis
grandicrenatis v. pinnatilobis denticulatisque, spica
elongata densa v. basi breve interrupta, bracteis arcte
jimbricatis e basi late ovata membranacea in acumen
foliaceum crenulatum v. integrum sursum sensim bre-
vius attenuatis calyce longioribus, calyce brevipedicel-
lato hirsuto ovoideo hinc semifisso 5-dentato dente
summo nano deltoideo integro reliquis obovatis cre-
natis; corollae (galea lilacina labio albo ?) tubo tenui
calyci immerso limbo breviore, galea tenui e basi brevi
erecta in horizontalem sensim anguste rostratam por-
rectam duplo longiorem incurva, labio longiore rotun-
dato trilobo lobis rotundatis subaequalibus, staminibus
triente superiore tubi insertis glabris, ovario oblongo-
ovato stigmate sepielase stamina longe superante
incluso.
China: Yunnan (Delavay! in Mus. Paris.) |
Ob folia parum divisa bracteasque P. tenuirostri
Benth. sane similis, at jam flore duplo minore rostro-
que recto abhorrens.
Bipedalis, folia 3:1 cm. magna. Calyx 10 mm.
tubo tenere membranaceo reticulato 5-costato nervis 2.
Co- . SN
intercostalibus incompletis, dentibus herbaceis.
rolla 18 mm. tubo glabro, labii lobo medio cucullato.
Antherae ovatooblongae obscure ochraceae loculis
acutis.
549
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
550
48. P. brevifolia Don, Proûr. 94. Benth.et Hook. f.
H°0€.
Himalaya, iisdem locis ac P. porrecta; China: Yun-
nan, supra Lankong, 3000 m. s. m. (Delavay!).
Haec et P. porrecta numerosis speciminibus praesto
sunt quidem, sed equidem utramque ex corolla distin-
guere frustra conatus sum, ita ut in clavi supra data
e signis quibus a botanicis laudatis dignoscuntur tan-
tum illis ex habitu depromptis usus sim. Examinatis
floribus nonnullis utriusque, calycis dentes minime cum
Hookero fil. video obtusos crenulatos, sed si rite
expanduntur acutos mucronatodentatos, dentibus statu
sicco tamen apice revolutos. Labium in utraque simil-
limum atque galeam superans, lobis lateralibus ma-
ximis depressosemirotundis terminali consimili multo
majoribus. Galea etiam mihi in utraque simillima visa
est. Filamenta medio v. supra medium tubum inserta
glabra. Pubes nonnihil variabilis videtur.
49. P. debilis Franch. ined. Palmaris gracilis ra-
dice tenui fasciculata, caule debili simplici ad angulos
puberulo, foliis oppositis infimis longe, superioribus
breve petiolatis late ovatis pinnatifidis usque -sectis in
lobos utrinque 3 ovatos inaequaliter crenatos vel in
foliis superioribus sessiles v. petiolulatos iterum pin-
natifidos crenatosque; racemo paucifloro brevi inter-
rupto, bracteis foliaceis petiolatis pinnatifidis calyce
longioribus, calyce tubuloso dentibus 5 elongatis lan-
ceolatis summo integro reliquis tridentatis, corollae
tubo calycem duplo superante limbum aequante, galea
labioque ciliato P. brevifoliae, filamentis glabris, ova-
rio ovatooblongo. |
China: Yunnan, sylvis ad pedem glaciei Likiang
(Delavay! in Mus. Paris.)
Flores P. brevifoliae, sed folia diversa.
Folia infima petiolo 35 mm., lamina 10:10 vel
13:19 mm., sequentia petiolo 2 cm., lamina 20:15
mm. floralia petiolo 5 mm., lamina 7:3 mm. Calyx
5 mm. pedicello duplo longior. Corolla 14 mm.
50. P. verbenaefolia Franch. ined. Omnibus par-
tibus P. porrectae Wall. persimilis et tantum filamen-
0 Ais longioribus totis pilosis distinguenda.
China: Yunnan (Delavay! in Mus. Paris.)
_ Formae lectae sunt duae: minor Franch., planta
+. digitalis P. porrectam referens, et major Franch. ultra
spithamaea pluricaulis foliis floribusque conspicue ma-
joribus.
Calyx 8— 10 mm. 5 costatus 5-nervius dentibus
herbaceis dorsali subulato reliquis triangulis incisoden-
tatis duobus lateralibus majoribus. (Corolla 16 -— 19
mm. longa, labium ciliolatum. Antherae ovatooblongae
loculis aeutis. Ovarium oblongoovatum.
51. P. porrecta Wall. Cat. 423. Benth. in DC.
Prodr. X, 561. Hook. f. F1, Br. Ind. IV, 307.
Himalayae regio alpina a Sikkim ad Kashmir; China:
Yunnan, monte Tsang-schan supra Tali (Delavay!
M 202). À
Series 5. Axillares.
Graciles Maxim. L c. p. p.
Bracteae petiolatae petiolo tenui non dilatato. Fo-
lia, excepta ?. moupinensi, plerumque opposita. Flores
rosei axillares distantes, vel in P. flexuosa superiores
| dense approximati. Galea rostrumque rectum gracilia,
labium galeam superans vel aequans amplum rotunda-
tum lobo medio minuto. — Species sinico-japonicae et
2 indicae.
Corollae tubus calyce profunde dentato cris-
EE RTE planta pe
ramo ‘ovata pinnatipartita es
pinnatifidis états 4101117 NS ENENN ARR P. flexuosa sp f.
. tubus calyce ad summum duplo ui Tab. IL, fig.
gior. 2
n
ramorum pre caulina v omnia ver-
ticillata; pl. elatae calyce nike 5-dentato
dentibus integris v. Malle s. 5.
gr caulina alterna ramorum v. omnia op-
posita. 4.
8. Cane plures subsimplices, floreset folia vulgo
pinnatipartitis, pedicelli calyce breviores, fila-
a tota villosa, lapin ciliatum. 53. Franch.
D... Sagima orarte
opposita, filimenta labinmque is isd4s0D08 Le cl Wall.
Calycis , pedicellum superantis hinc partiti
dentes 2, caulis erectus simplex, folia omnia
opposita segmentis PEN os
pinuatifidis, filamenta inferiora pilosa. .
Calyx rs brevior, pedicelli delérati mr
flexi
rar . Say.
fig.
sr s-fidus, filamenta glabra. 6.
» * bifidus pedicello 6-lo brevior 7.
cristatis, filamenta longiora barbata....
. Pedicelli folia ampla membranacea .
aequantes, foliorum segmenta ovata pinnati-
fida, gare ee linearilanceolati 1—2-den- .
D da acc delire at 0 Pingipam
6. P. res m.
a
551
Bulletin de l’Académie Impériale
55?
Pedicelli calyce duplo saltem Hogren +.
| dentes lanceolati étittati. 7 P axillaris Franch.
fig. 39.
52. Pedicularis flexzuosa Hook. fil. FL Brit. Ind.
IV, 308.
Himalaya: Sikkim (Clarke!, King!) alt. 10—13000
p. s. m. ex Hookero fil.
Calyx breve cylindricus hirsutus 8,5 mm. longus
limbo obliquo valide 5-dentato: dente summo deltoideo
integro, vicinis duplo longioribus triplo latioribus ova-
tis mucronatoincisodentatis, imis duobus summo aequi-
longis ellipticis dentatis. Corolla rosea 25 mm. usque
ad verticem galeae longa, galea labio brevior parte
erecta triente quam horizontalis breviote, hac in ro-
strum rectum leviter deorsum directum sensim atte-
auata. Labium ambitu ovatum amplum glabrum lobis
lateralibus semiovatis terminali minuto orbiculato. Fi-
lamenta apice tubi inserta, inferiora parce barbata.
Antherae ovatae obscure ochraceae loculis apiculatis.
Ovarium ovoideum, stylus exsertus.
triente longior ovatolanceolata acuminata 9—11 mm.
longa.
53. P. moupinensis Franch. PI. David. IF, n. 255.
. Caespitosa ultrapedalis, radice fasciculata, caule practer
partem floriferam lineis viscidopuberulis instructam
foliisque glabriusculis, foliis fascieulorum innovantium
longe caulinis 4-natim verticillatis breve petiolatis verti-
cillis subtribus superioribus ramiferis florigerisve, la-
mina membranacea radicalium oblongolanceolata cau-
linorum lanceolatoelliptica pinnatisecta segmentis line-
arilanceolatis-oblongisve pinnatipartitis laciniis e lata
basi ovatis acute serratis, bracteis omnibus foliaceis
petiolo tenui lamina ad segmentum 1 reducta summa-
rum minutissima tenui calycem superante, florum verti-
cillis paucis distantibus 4-floris; calyce pedicellum |
superante campanulato hine fisso breve 5 5-dentato den-
tibus anguste deltoideis saepissime integris; corollae
purpureae tubo calycem sesqui superante galea labio-
que fere duplo breviore, labio ciliato galeam superante
_ maximo ovato lobo terminali minuto depresse rotun-
dato, galeae parte verticali quam horizontalis rostrata
Jeviter falcatoreeurva 4-lo breviore, filamentis apice
_ tubi insertis excepto apice totis et ad partem adnatam
villosis, ovario .ovoideo.
Mn: ne Sretschuan ocidental regione Mou-
Capsula calyce |
pine (David! in hb: Paris.); prov. Kansu parte orientali,
sylva ad latus boreale prope cacumen montis Tschä-
gola (Potanin, 1885).
Distinctissima, soli praecedenti subsimilis.
Folia maxima radicalia petiolo 9 em., lamina 12:4
em., caulina petiolo 2 cm., Jlamina 11 : 4 cm., plerum-
que duplo minora, segmenta fere contigua v. rarius re-
motiora utrinque 12—20. Racemus respectu plantae
brevis, verticillis simul florentibus vix ultra duobus,
Calyx 5,5 mm. longus, dente summo brevi vicinisque
integris, infimis 2 paulo majoribus vulgo extus denti-
culatis. Corolla ad verticem galeae usque mensa 10
mm., galcae pars horizontalis cum rostro sensim atte-
nuato 12 mm., labium 14 mm. dense breve ciliatum,
lobis lateralibus semiovatis. Antherae ovatooblongae
loculis breve apiculatis flavis. Stylus exsertus.
54. P. gracilis Wall.! Cat. 413. DC. Prodr. X,
561. Hook. f. FL. Brit. Ind. IV, 307. P. stricta Wall.!
Cat. 414. P. Brunoniana Wall.! Cat. 422.
Himalaya temperata et alpina: Kashmir!, Kumaon!,
Nipal!, Sikkim!, Khasia!; China: Yunnan, prope Hoi
(Delavay! in berh: Pre |
55. P. Keiskei Franch. et Savat. En. pl. jap. IL,
459. Rhizomate repente elongato stolonifero, caule
erecto glabriuseulo foliato, foliis amplis oppositis mem-
branaceis brevipetiolatis ovatis pinnatisectis segmentis
petiolulatis lanceolatis pinnatifidis dentatisque; floribus
laxe racemosis, bracteis inferioribus foliiformi
calycem superantibus longe petiolatis 3-sectis- -partitisve
summisve integris; calyce pedicellum superante oblongo
antice fere ad basin fisso postice 2-dentato dentibus
ceteris
Jate deltoideis acutis integris, corollae roseae tubo ca-
lycem usque duplo superante cylindrico versus faucem
vix dilatato recto, labii superioris parte tubo continua
et illo latiore supra faucem rarius dente anguliformi
adaucta subbreviore quam galea angulo recto abiens
et sensim in rostrum conicum partem antheras foven-
tem superans attenuata, labio inferiore galeâ longiore
patente brevissime stipitato latissime orbiculato antice "
ciliolato brevissimeque 3-10bo lobis lateralibus depresse
semiorbiculatis terminali minuto transverse ovali mul- :
tiplo majoribus, filamentis longioribus barbatis; capsula
ovatolanceolata cum apiculo calycem plus duplo exce-
dente. Phonzo Zoufou, XIV fol. 8 recto fig. sinistra.
Nippon: prov. Senano alpe On-take (I. Keiske fide
553
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
554
Franchet et Savatier, Yatabe!), prov. Shimotsuke
alpe Nikko (Tanaka!, Yatabe!). — Japonice: Oba
Shiogama sô (ex Keiske), Seriba Shiogama-sô (ex Y a-
tabe), Miyama Hankai Azami (ex Tanaka).
Exempla ante oculos 8 florere incipientia et fructi-
fera à descriptione autorum recedunt caule vix unquam
bifariam pilosulo neque superne pubescente, calyce
nunquam 5-dentato, corollae tubo (quia florere incipit)
calycem sesquisuperante galeaque glabra nec puberula,
nihilominus non dubito conspecifica esse. :
Rhizoma calamum corvinum crassum. (Caulis gra-
cilis pedalis. Folia laete viridia fere omnia exacte op-
posita, exceptis passim imis suboppositis, paribus 3
infimis jam caducis, reliquis 6 ex axillis minute rami-
geris (ramulis nonnullis tum florituris), paribus sumnis
floriferis, media majora 9 : 5 cm., segmentis subalternis
distantibus 6—8 reliquis confluentibus. Calyx 4 mm.
longus breve pilosus 2-costatus atque 10-nervius ner-
vis 3 paulo crassioribus cum costis ad dentes breves
tendentibus, omnibus versus apicem breve reticulatis.
Corolla 13—15 mm. tubo intus ventre versus faucem
piloso. Filamenta infra medium tubum inserta ad in-
sertionem pilosa. Antherae ovatae brunnescentes lo-
culis basi acutis. Stylus e rostro breve exsertus, stig-
mate capitellato. Capsula 9—-10 mm. longa.' Semina
adhuc juvenilia.
56. P. Franchetiana. Intricatoramosissima humilis
caule tereti villosulo, foliis oppositis petiolatis pinnati-
partitis laciniis ovatis dentatis, floribus omnibus axil-
laribus longissime pedicellatis folia excedentibus, calyce
parce hirsuto breve tubuloso ventre fisso dorso semi-
fisso laciniis 2 ex angusta integra basi late deltoideis
trifidis et incisodentatis, corollae purpureae tubo caly-
cem haud superante limbo breviore, galea subsessili
erecta incurva in rostrum tenue integrum dependens
nulo lateralibus subaequali, filamentis apice tubi in-
sertis longioribus longe barbatis, ovario ovato stig-
mate applanato obpyriformi. .
._ China: Szetschuan occidentali, regione Mou-pine
(David! in hb. Paris., P. siphonanthae admixta).
Habitu accedit ad P. axillarem Franch., pedunculis
| Jongis ad P. longipedem m., calyce ab utroque difiert.
Spec. 1 lectum incompletum male exsiccatum vix
que 7 —9 remotiuseulis.
rite describendum. Caulis fili emporetici crassitie. Fo-
lia petiolo ad 25 mm, lamina 20:5 mm. Pedicelli us-
que 4 cm. longi. Calyx membranaceus bicostatus sub-
8-nervius et apice tubi reticulatus 6 mm. longus. Co-
rolla 10 mm. longa, tubo extus pubescente, labio 16
mm. lato 12 mm. longo ciliato, Antherae oblongae
loculis acutis.
57, P. longipes. Palmaris tenera puberula, rhizomate
filiformi stolonifero, caule filiformi erecto basi ramos
procumbentes caule longiores emittente, foliis in caule
alternis ramorum oppositis imis longe petiolatis oblon-
golanceolatis pinnatisectis segmentis ovatis v. oblongis
pinnatifidis et mucronatodentatis; floribus omnibus axil-
laribus pedicellis longissimis folia passim aequantibus
post anthesin arcuatoincurvis, -calyce turbinatocampa-
nulato 5-fido laciniis lanceolatolinearibus acuminatis
versus apicem passim 1—2-denticulatis; côrollae ro-
seae tubo calycem 2-lo supérante angusto superne sub-
ampliato, labii superioris parte tubo continua illoque
latiore sub angulo verticali in galeam abeunte angusti-
orem a basi in rostrum gracile elongatum rectum sen-
sim attenuatam, labio inferiore amplo galeam superante
ciliolato rotundato antice breviter trilobo lobis latera-
libus semiobcordatis terminali rotundato vix prominulo
pluries majoribus, filamentis glabris, ovario oblongo-
ovato.
China: prov. Sze-tschuan parte boreali, monte Ken:
gâla inter custodia Tashitu et Dshindshetan (Potanin,
1885).
Sequenti valde affinis, quae tamen radice carnosa
fusiformi, foliis in sicco nigris crassioribus breve petio-
latis omnibus, ut videtur, oppositis, segmentis oblongis,
pedicellis calyce deflorato tantum 3-lo longioribus, ca-
lycis dentibus, flore minore, labii lobo terminali semi-
orbiculari bene distincta videtur.
apice incurvum cito attenuata, labio cordato latiore |
quam longo trilobo lobo medio semirotundo vix promi-
Petioli, caules, pedicelli parce, calyx paulo densius
pilosi. Folia membranacea laete viridia inferiora pe-
tiolo 3—6 cm., lamina 70:25 mm., segmentis utrin-
Pedicelli ex axillis infimis
saepe 6 em. longi. Calyx 6,5 mm., tubo membranaceo :
margine dense ciliolato tenue 5-costato, nervis interco-
stalibus teneris passim duplicatis, dentibus herbaceis.
Corolla 16 mm., galea 9 mm., labium inferius 11 mm.
longa, hoc 14 mm. latum. Autherae ns oc als ; :
obtusis.
555
Bulletin de l'Académie Impériale
9556
58. P. axillaris Franch. ined. Digitalis puberula,
foliis oppositis petiolatis ellipticolanceolatis pinnatisec-
tis segmentis acute oblongis pinnatifidis, pedicellis
omnibus axillaribus sub anthesi erectis defloratis elon-
gatis horizontaliter patentibus, calyce turbinatocylin-
drico 5-fido laciniis ex angusta integra basi late ellip-
ticis incisodentatis, corollae tubo calyce vix sesquilon-
giore, galea in rostrum porrectum filiforme illà lon-
gius attenuata, labio galeam vix superante breve cili-
ato lobis semiorbicularibus lateralibus terminalem
multo superantibus, filamentis infra medium tubum
insertis glabris.
China: prov. Yunnan: monte “Tsang-schan supra
Tali (Delavay!).
Calyx 6 mm., corolla 13 mm. Lans
IT. Rhyncholophae.
Series 6. Surrectae Maxim. in Mél. biol. X, 81.
Corollae tubus rectus calycem subaequans,
flores perl (8—13 mm.) purpurei, rostro cur-
vato. 2.
Corollae tubus calyce subduplo onbiux infrac-
tus, flores majusculi (25 mm.) rostro porrecto. 59. P. incurva Benth.
. Glabra, calytis dentes breves, rostrum tubo Tab. IL fig. 41
duplo longius deorsum falcatum apice incur-
vum 60. P.
Ad spicam pubescens, calycis dentes tubum
fere aequantes, rostrum tubo brevius à basi
refractum
[ea
ss
AE Retz.
fig. 42
61. P. cr ages Gray.
fig.
59. P. incurva Benth. in DC. Prodr. X, “ie
Columbiae andibus.(Jameson) in Homhidie Loma de
Nevada (Goudot) — ex Bentham; Cauca: Paramé
_ de Ruiz, 3200 — 3800 m.s. m. (Lehmann! 1883).
Speciei rarioris florem fusius describere liceat. Ca-
lyx cylindricus 12 mm. longus limbo obliquo 5-den-
tato dentibus margine versus basin dense ciliolatis
triangularibus acute 5—7-denticulatis, tubo membra-
naceo secus costas et nervos intercostales plerumque
duplicatos toto reticulato. Corolla 25 mm. longa sta-
_minaque ‘/ superiori tubi inserta glabra. Tubus co-
rollae calyce fere duplo, limbo duplo longior ad fau-
cem dilatatus, in semicirculum ita incurvus ut apex
- rostri cum basi calycis aeque altus sit. Labii superi-
oris pars inferior tubo continua brevis supra faucem |
ad marginem dente ovatooblongo inflexo instructa sen-
sim transit in galéae partem inflatam antheras foven-
- tem et ïlli aequilonga est, galea sensim in rostrum
subcylindricum apice emarginatobilobulum acuminata
et illud circiter aequans. Labium inferius tubo conti-
nuum galeae parallelum et illa brevius firme membra-
naceum trilobum lobis lateralibus obovatis medium
ellipticum parum prominentem duplo saltem superan-
tibus. Antherae late oblongae loculis obtusis, stylo
stigmateque capitato incluso parum breviores. Ova-
rium oblongolanceolatum.
60. P. groenlandica Retz. FI. Scand. ed. 2, 45,
FIL Dan. t. 1166. Benth. in DC. Prodr. X, 566.
A. Gray, Syn. fl. N. Am. IT, 2, 306. P. surrecta
Benth. 1. c. P. incarnata Retz. 1. c. ed. 1, 117 et
Obs EN 27; BE
America, borealis: Groenlandia, Labradoria!, ter-
ritor. Britanuicum! et Montes Scopulosi! a Columbia
usque ad Novum Mexicum et Californiam.
Racemus glabriusculus. Flores subsessiles. Calyx
breve 5-dentatus ventre semibifidus. Corolla purpu-
rea tubo calycem non excedente. — Labium vi expli-
catum transverse oblongum tripartitum lobis rotunda-
tis lateralibus medium . totum tegentibus. Galea ad
marginem cum dente obtuso majusculo, tum in rostrum
porrectum apice recurvum bilobum tubum labiumque
duplo superans sensim attenuata. Filamenta infra
medium tubum inserta glabra, ântherae rotundatae.
P. surrecta Benth. nunc habetur pro statu ea evo-
luto speciei.
61. P. attollens À. Gray in Proc. Amer. Acad.
VII, 384. et in Bot. Calif. I, °9e Syn. fl. N. Am.
3 VAR HA
Caifartie !
Racemus villosus. Flores distincte pedicellati. Ca-
lyx anticé fissus dentibus magnis. Corolla sordide ru- :
broviolacea. Labium cuneatorotundatum antice 3-lo-
bum lobo medio non obtecto, lateralibus erectis galeam
cum rostri parte tegentibus. Galea margine ad fau-
cem gibba, sed vix dentata, rostro integro a basi refracto
erecto tubum aequante. Filamenta infra medium tu-
bum inserta, omnia villosa. ;
Series 7. Excelsa.
”. P. excelsa Hook. f. L. c. 81, Nostra tab. IL.
g. 4
. Eh
FE A Sikkim, valle Lachen, 12,000 p.s. m :
(Hooker fil.) Chumbi et Phari (hb. Caleutt.!).
Habitu proprio gaudet et forma corollae anomala! ë .
Folia in spec. ultrapedali ante oculos, à caule aufracto,
557
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
558
septem, petiolis 2 — 6 cm. laminis 4:3—12:8 cm.
magnis, basi pinnatisecta, ceterum bipinnatipartita
rhachi serrata, segmenta utrinque 6—9, majora lan-
ceolata 40 : 18 mm., laciniae oblongae pinnatilobae et
mucronatodentatae. Racemus florere incipiens 8 cm.
basi laxus. Bracteae petiolatae ovatae foliaceae pin-
natifidae calycem aequantes. Flores, fide cl. Prain
in litt., interdum omnes clausi manent, saepius basales
clausi reliqui aperti, rarius basales primi aperiuntur,
ut in exemplo ante oculos. Sed etiam hic labium ga-
leae appressum et rostri apicem intra lobum labii ter-
minalem nidulantem video.
E floribus 3 liberalissime ex herb. Kew. mecum |
communicatis aliisque sequentia addo. Calyx ovoideus
breve pedicellatus membranaceus margine breviter ci-
liatus antice profunde fissus 5,5 mm. longus, tubo te-
nue 5-costato et subdecemnervi, inter nervos a medio
sursum laxe reticulato, limbo postice productiore, den-
tes 5 breves obtuse deltoidei integri. Corolla 12 mm.
longa, calycem vix sesqui superans, tubus latus fauce
ampliatus parte labii superioris cum illo continua mar-
gine breviter sat dense villosa parum longior. Ro-
strum angulo recto a galea abiens et ïlla longius, sen-
sim attenuatum filiforme apice leviter deflexum 8 mm.
longum. Labium inferius patens complicatum tubo
galeaque longius, ciliatum, e lata basi sensim attenua-
tum ovatooblongum ipso apice trilobum, lobis laterali-
bus brevissimis semiorbiculatis, terminali reflexo valde
prominente ex angusta basi flabellato et antice parti
apicali labii subaequilato. Filamenta triente inferiore
tubi inserta recta glabra. Antherae parte erecta! labii
nidulantes ovatae loculis obtusis. Ovarium late ovoi-
deum, stylus inclusus, stigma capitellatum. Capsula,
ex autore, calyce 4-lo longior oblongoovata apice ro-
tundato oblique apiculata. — Hooker fil. galeam la-
bio longiorem describit et ita apparet ob labii apicem
recurvum, sed flore fisso et vi explicato res evadit
diversa.
Series 8. Resupinatae Maxim. L c. 103. p.p.
Elatiores ramosae, folia petiolata semel crenata lo-
bata pinnatifida v.-secta, flores plerumque longius pe-
dicellati axillares v. in racemum interruptum rarius
brevem apice densum approximati. Calyx saepissime
ventre fissus bidentatus dentibus plerumque integris.
Galea gracilis rostro nullo v. saepissime longiusculo |
v. elongato porrecto v. deflexo, in paucissimis cum ga-
lea lata brevi conico. Tubus rectus sursum dilatatus.
Filamenta inter quadrantem inferiorem et dimidium
tubum inserta. — A Siphonanthis Polyphyllis et Mus-
cicolis differunt tubo latiore haud elongato ad faucem
dilatato et staminum insertione. Stirpes erostres ab
Anodontibus tantum caule ramoso distinguendae.
Galea erostris obtusa, flores ét) calyx
ventre fissus 5-dentatus er
Galea rostro gracili v. crasso c
2, À basi ramosà, Gr nat, paré crecta
tantum apice incu
Elata sursum ASC RREIER folia Sr
secta sr rte mere re nn
jam a medio in 64. P tenuisecta ste
3. . hs 2 Tobe fig. 4
pinnatisecta, gales aduncs. 10.
4. Corolla shrdlbiés v. flavescens. 5.
sg Benth.
“Ris L. fig. 45.
ere.
purpurea.
b. ren conicum m crassum mie labium “
leae parallelum subsuperans..,......... 65, P. re à Mx.
Rostrum gracile. fig. 4
6. Rostrum i incurvum, “planta glabra multicaulis
basi D caules simplices vel superne
breve ramosi.. 54e dorrosessness 66. P. racemosa Dougl,
Rostru spi planta puberula, caulis fig. 48.
mt nbr er basi esquamatus ramosissimus,. ,.67, P. yezoënsis m.
7. Calyceis fissi dentes integri. 8. fig. 49.
M re cristati, folia crenata, rostrum *
porrectum. 9.
8. Rossi longitndine galeae porrectum rec-
tum, folia era et 7 sat
longe petiol re sr :
Rostrum leu lp defoxnin folia cre-
nata et dentic . 69. PF.
9. Calyx antice sas 2-dentatus, rostrum tenue fig.
Boronnssso uses
omnia super ce
puberula,ovarium lanceolatum, folia Ve
que petiola
Calyx integer 3_4-dentatu us, roétrus crassum
conicum latitudine galeae brevius, labium
late obovatum lobis ovatis, tubus ga van
pilosus, filamenta longiora superne p
erula, ovarium ovatum, folia sr
nn men nor
0, P. carnosa W all.
fig. 52.
ce pu -
.. 71. P, crenata m.
10. Corollae tubus calyce duplo triplove longior, fig. 53
galea semicircularis basi apiceque ____.
2. P. flagellaris Bth.
Corollae tubus calyce dimidio elec
basi ac medio aequilata recta tan apice
adunca, rostrum latitudine galeae us co-
nicum fissum verticale CPR LE ge dc
g. 54.
64. Pedicularis tenuisecta Franch. ined. Sesqui-
pedalis stricta superne breve fastigiatoramosa, caule
tereti crasso copiose foliis parce hirsutis his numerosis
subimbricatis parvis erectopatulis sessilibus lanceolato-
oblongis pinnatisectis segmentis oblongis patentibus
pinnatifidis acuteque dentatis, racemis apice caulis
Pig pe
559
Bulletin de l'Académie Impériale
560
ramorumque elongatis multifloris basi laxiuseulis, brac-
teis foliaceis et saummis calycem superantibus, calyce
pedicellato brevipiloso campanulato hinc fisso breviter
5-dentato dentibus lanceolatis cristatis, corollae rubrae
tubo basi incurvo sursum sensim ampliato calycem
fere duplo excedente limbum subaequante intus ventre
usque ad faucem piloso, galeae parte basali erecta
horizontaliter incurvam aequante ubique subaequilata
fronte verticali angulo inferiore truncato, labio sub-
longiore ex angusta basi rotundato ciliolato antice tri-
lobo lobis lateralibus depresse semirotundis medio
orbiculato aequimagno prominente, filamentis ”/, infe-
riore tubi insertis totis parce barbatis, ovario ovato-
oblongo, stigmate capitellato exserto.
China: Yunnan, monte Pée-ngay-tze supra Tapin-
tze in sylvis (Delavay! in Mus. Paris.).
Habitu foliis pube florum colore et magnitudine
simulat P. polyphyllam Franch. inter Siphonanthas.
Caulis pennam anserinam crassus triente superiore
ramosus, usque ad ramos circiter 40-phyllus. Folia
10:3 mm. segmentis utrinque circa 10. Calyx 7,9
mm. chartaceus tubo pallido tenue 5-costato irregula-
riter &-nervio, dentibus coriaceis. Corolla 21 mm.
Antherae oblongae ochraceae loculis obtusiusculis.
67. P. yezoënsis Maxim! L. c. 106.
. Stationibus adde: Nippon, alpe Nikko (R. Yatabe,
sub nom. Shiwogama giku), prov. Kai in Higassi yama
(Tschonoski, 1887).
| Exempla nipponica minus ramosa quam quae olim
_ descripsi yezoënsia, saepe caulem solitarium elatiorem
v. numerosos spithamaeos omnes subsimplices gerunt.
71. P. crenata. Spithamaea v. altior, ramosa parce
hirsuta, radice tenui fasciculata, caule gracili flexu-
= os0, foliis brevissime petiolatis v. subsessilibus her-
_ baceis (nec carnosis) linearioblongis obtusis basi atte-
_ nuatis crenatis denticulatisque, racemo elongato inter-
% rupto plurifloro, bracteis foliaceis ovatis calycem super-
__ antibus, calyce pedicellato hirsuto cylindrico bre-
+ viter bidentato dentibus bifidis lobis rotundatis cir-
_ cumcirca acute dentatis, corollae tubo gracili sursum
__ dilatato calyce scqlongiore recto limbum subae-
_ quante, galeae parte basali erecta horizontalem leviter
giore ex dues basi RENE antice trilobo
_ falcatam in rostrum erasse conieum latitudine galeae |
: brevius insensibiliter abeuntem subaequante, labio lon- |
lobis ovatis subaequimagnis, filamentis quadrante in-
feriore tubi insertis longioribus superne parcissime
barbatis, ovario ovato, stigmate capitellato exserto.
China: Yunnan, pratis montium supra Tapin-tze
(Delavay! «fleurs blanches ou roses» in Mus. Paris.
ubi sub P. carnosa jacebat).
Similis quidem ?. carnosae Wall., sed satis dis-
tincta videtur non solum rostro brevi, sed etiam labio
ovario foliis, nec non filamentis non omuibus barbatis.
Color floris fortasse idem: galea verosimiliter purpu-
rea labio albo.
Folia maxima 60:18, minima 20:7 mm. Calyx
9 mm. aeque ac in P. carnosa crasse membranaceus,
sed non fissus et haud (nec crebre) reticulatus. Corolla
22 mm.
73. P. Henryi. Molliter pubescens, caulibus graci-
libus ascendentibus crebre foliatis, foliis parvis breve
petiolatis oblongis pinnatisectis segmentis oblongis
cartilaginco-incisodentatis, floribus parvulis axillaribus
interrupte racemosis, calyce pedicellum gracilem super-
ante crassiusculo oblongocylindrico hinc fisso postice
breve 5-dentato dentibus rotundatis incisoserratis, Co-
rollae purpureae tubo recto versus faucem sensim
‘dilatato calycem limbumque sesqui v. paulo magis
superante, labii superioris parte tubo continua recta
ubique aequilata galeam incurvam apice adunco brevi-
rostrem superante, rostro galeae latitudine triplo bre-
viore crasso bifido, labio inferiore galeam excedente
patente e basi brevi angustiore in limbum rotundatum
latiorem quam longum dilatato antice trilobo lobis late-
ralibus oblique ovatis terminali orbiculato plus duplo
-majoribus, filamentis totis (brevioribus parcissime)
pilosis, capsula ovatolanceolata acuta calycem duplo
Superante.
Chinae prov. Hupeh: Nant’o et montes boream versus
(Dr. Henry! 1887).
P. flagellaris Benth.,
pube, foliis parvis pinnatisectis, racemo interrupto
floribus axillaribus atque calyce convenire videtur, sed.
ex descriptionibus distincta racemo brevissimo pauci-
floro, corollae (ultra 20 mm. longae) tubo calycem
attenuato cum rostro acuto brevi semicireulum for-
mante, inferiore date trilobo», capsula lanceolata acu-
[minata calycem !, superante (immatura ut in nostra). _
a me non visa, Cum nostra
2—3-lo superante, labio superiore angusto utrinque
561
des Sciences de Saïnt-Pétersbourg.
—_
Caulis 1 ante oculos (fortasse unus ex multis, ut
in P?. flagellari) 10-folius, tum a medio florifer, flo-
ribus foliisque floralibus caulina aemulantibus circiter
17, summis juvenilibus adhuc in capitulum breve
dense confertis. Folia caulina petiolo 3—4 mm., lamina
15:6 mm. magna, floralia calyce longiora. Pedicelli
3—4 mm. Calyx villosus 6 mm. tubus 5-costatus et
5-nervius dense reticulatus. Corolla 14—15 mm.,
tubo intus ventre ante faucem brevi spatio pubescente.
Filamenta supra basin tubi inserta. Antherae late
oblongae loculis utrinque acutiusculis. Stylus cum stig-
mate capitellato vix e galea exsertus. Capsula imma-
tura 11:5 mm
Séries 9. Tristes Benth. in DC. Prodr. X, 579.
Proboscideae Maxim. in Mél. biol. X. 100. p. p.
Galea margine dorso vel cireumeirea pl. m. villosa,
rostrata v. erostris rostro conico saepius brevi vel in
erostribus fronte saepe rotundata aperta. Plantae sae-
pius robustae pedales vel elatae simplices, foliis pinna-
tisectis -partitis v. pinnatifidis secus caulem numerosis,
in 1. ad basim confertis, racemis multifloris saepe elon-
gatis et interruptis. Calyx 5-dentatus v. 5-fidus den-
tibus integris v. serratis, rarius ventre fissus. Corol-
lae tubus calyce sn o parum, interdum sesquilon-
gior.
Galea rostrata. 2.
erostris navicularis v. falcata, folia
pinnatifida- -lobatave. 11:
nmnia artinoa
topinnatisecta segmentis © linearibus ser-
ratis, racemus interruptus elongatus, rostrum
tenue pendulum apice penicillatovillosum
labium parvum SP laciniis acute
F°
ellipticis superan seu... 74, P, lachnoglossa Hook. f.
Caulis crebre RES, rostr at apice gla- : Tab. II, fig. 55.
brum. 3.
Rostrum porrectum labio en 4.
» labio aequale v. bre
Folia pinnatisecta segmentis ineilnces
latis pinnatifidis incisoserratis.
os
La
Folia am hs crenata, pe ea falcata
rostro abii lacinine aequales ob-
ovata
e. 6.
Galea dorso ventreque leviter convexa mar-
gine villosa in rostrum horizontale late co-
nicum jatitudine galeae brevius attenuata,
labii latissimi lobi br cp medio parvo..
a
75. P. APRES Étes
fig.
Ga alea lataro ï :1!
R 5
+. AAA NE
eye parum brevius sensim attenuata, labi-
um ne tel lobis Rat medio
nono v. maj
COR
6. Galea fronte circumcirea dense tomentosa
rostro tenui integro, labium 8-partitum. ...77. P. ph m.
Galea margine villosa rostro crasse conico fig.
apice bilobo, labium trifidum..... s.546070, Perpéotri m.
Galca sensim attenuata in rostrum late co-
tum margine ciliatum, labium
cuneatoobovatum. 8
Rostrum pendulum, labium reniforme. 9.
8. Folia pinnatipartita laciniis ovatis, spica bre-
viuscula
1
UPPER RER A PARA Brie AE ERA: À
“Hits crénata, spica longisaima interrupta,
. rostrum latitudine galeae brevius, labium
rotundatoobovatum trifidum lobis obovatis
De 11, COPNANRERE AN ONREOS ENTER Er 80. P. ingens m.
p ] fig. 61.
P, Clarkei Hook. f.
fig. 60.
reste à galea margine “villosa cum
bifido tenui illius latitudinem sub-
acquante semicircularis, labium antice 3-lo-
bum lobo medio minuto, calycis dentes bre-
ves integri LE de arpare Bge.
Folia pinnatifida laciniis ovatis dentatis, Ca-
lycis ventre fissi dent
rostro SR falcata v. semicircularis, labii
lobi imbricat
Corollae ébus extra calycem 5-fidum inciso-
dentatum arcte incurvus et vix longior, galea
dorso villosa cum rostro conicocylindrico la-
titudinem galeae superante ultrasemicircu-
laris, labii lobi subaequales rotundati. 82, P. ae pre nn f.
Corollae tubus rectus calyce grandidentato fig. 6
dentibus serrulatis sesquilongior, galea cir-
cumcirca villosa cum rostro conico illius ci
titudine breviore 180 labii lobus mediu
. anguste reniformis .. 188. P. rhodotricha m,
11: Galea falcata margine ‘villosa fronte clause . 64
folia
OL EP tristis L.
fig. 65.
10.
pinnati tiloba
Galea deuhitis fronte fissa
CR
12. Galea lateribus pilosa antice et labium
trifidum super. P, Prainiana m
Galea margine rés ea EE fig. 66
labium trilobum aequans...,..,..,..,...... rudis m.
fig. 6
74. P. lachnoglossa Hook. f. FL Brit, Ind. IV, 311. |
Himalaya: Sikkim (Hooker f.); Chumbi et Phari
(hb. Calcutt.!); China: Yunnan, supra Hokin in monte :
Koua-la-po, 3500 m. s. m. (Delavay!). _
Descriptionem breviorem autoris suppleas: Calyx ;
breve pedicellatus cylindricooblongus 5-fidus 10 mm.
longus, tubo 5-costato et sub-10-nervio superne reti-
culato glabriuseulo, lacinüis margine villosis e latiore
integra basi lanceolatolinearibus acutis a medio sub-
aequaliter erebre denticulatis. Corolla rubra 16 mm.
longa, tubo cylindrico fauce breviter dilatato calycem
| DRÈER « et extra illum incurvo labium ont _—.
563
Bulletin de l’Académie Impériale
564
qui inferius plus triplo superante. Pars labii superioris
tubo continua galeà fere triplo brevior tubo galeaque
angustior, galea parte inflata angulo recto abiens, ro-
strum deflexoporrectum. Labium inferius nanum pa-
tens circumcirca longiuscule ciliatum, in lacinias 3 el-
lipticas acutas aequimagnas tripartitum. Filamenta
medio tubo inserta glabra. Antherae ovatae loculis
acutiusculis stylo tenui non exserto parum breviores.
Stigma parvum capitellatum. Ovarium ovatooblongum
acuminatum. Capsula, ex Hookero, calyce duplo lon-
gior lanceolata sensim attenuata.
Habitus P. Parryi, sed spica et flores diversissima.
75. P. proboscidea Stev. in Mem. Mosc. VI, 33.
Bunge in Ledeb. FI. Ross. IIT, 279. Trautv. Enum.
pl. Song. n. 858. Rgl. PI. Semen. n. 812.
In Altai Mongoliae, valle fl. Kandagatai (Potanin,
1876) et Sibiriae, tum in cireulo Omsk et ad fl. Ob
(Semenow), nec non in Songariae jugo Alatau
(Schrenck).
76. P. recurva. Radice tenui fasciculata, caule soli-
tario stricto 1, — 2-pedali tereti laevi intra flores
pubescente, foliis radicalibus evanidis, caulinis pluri-
. bus puberulis sensim decrescentibus summis subsessili-
bus oblongo- v. ovato-lanceolatis pinnatisectis segmen-
tis oblongolinearibus pinnatilobis denticulatisque sum-
mis confluentibus; spica elongata multiflora laxa, brac-
teis lanceolatolinearibus (exceptis inferioribus) calyce
brevioribus, calyce subsessili globosoovato hinc fisso
inaequaliter 5-dentato dentibus deltoideis obtusis sub-
integris; corollae (roseae ?) tubo lato calycem vix su-
perante tum limbum fere aequante, labio superiore
ad galeam reducto e basi inflata convexa in rostrum
conicum acutiusculum concavorecurvum sensim atte-
_nuatam margine dense villosam et medio latere maçula
villosa oblonga instructam labium cuneatum breve
trilobum lobo medio majore producto aequantem, fila-
_ mentis glabris, capsula ovata breve suboblique acutata
_ calyce sesquilongiore.
= Chinae prov. Sze-tschuan boreali: vallibus fluvio-
rum Heiho et Ksernzo (Potanin, 1885), prov. Yun-
nan: Likiang, ad pedem glaciei, 3800 m. s. m. (De-
lavay! in mus. Paris.).
_ Praecedenti proxima.
Folia inferiora petiolo aequali 4 cm. longo, lamina
75:30 mm. magna, summa sessilia 35: 12 mm., seg-
menta 9 — 11 intervallis aequilata, praeter termina-
lia confluentia. Calyx 5 mm. longus inflatus membra-
naceus tenue 10-costatus. Corolla 11 mm., galea 10
mm. longa, tomento denso pallide rubiginoso. Fila-
menta supra medium tubum inserta et illi aequilonga
ideoque recta. Antherae ovatae brunnescentes erectae
sub ipso vertice galeae locatae. Calyx fructiferus 7
mm., capsula 12 mm. longa.
77. P. lasiophrys Maxim. in Mél. biol. X, 104.
Patriae adde: Tibet boreali, latere septentrionem
spectante jugi Burchan-budda, pratis limosis, 13—
15,500 p.s. m. (Przewalski, 1884).
Var. sinica: pube annuli pilosi galeae secus
hujus dorsum fere usque ad tubum extensa, labio ga-
leae subaequilongo v. parum breviore.
Kansu orientali: cacumine montis Tschagola, : Sze-
ischuan boreali: trajectu Gümà-Kikà, nec non circa
fontes fl. Atu-Lunwa (Potanin, 1885).
Proxima P. trichoglossae Hook. f., quae tamen signis
supra in clavi datis abunde differt.
78. P. craspedotricha. Spithamaea simplex stricta
subglabra, rhizomate filiformi repente stolonifero, caule
basi squamato crebre foliato, foliis mediis sensim majo-
ribus basi rotundata sessilibus linearioblongis obtusis
obtuseque crenatis crenis inaequaliter dentatis, racemo
brevi laxo 3-10-floro, bracteis foliaceis summis integris
calycem vix aequantibus, calyce brevipedicellato cam-
panulato ad ”, 5-dentato dentibus anguste ovatis ob-
tusis integris v. nonnullis passim obsolete denticulatis,
Corollae tubo e calyce parum exserto tum extra illum
incurvo limbum subsuperante, galea cum rostro cras-
siusculo bidentato conico falcata medio margine inferi-
ore villosa, labio galea breviore subcoriaceo rotundato
in lobos obovatos subaequales fisso lobo terminali pro-
minulo, filamentis glabris, ovario globosoovoideo.
China: Sze-tschuan boreali, trajectu Gumà-Kikà
(Potanin, 1885),
Sat similis P. lasiophryi m., quae differt foliis infe-
rioribus majoribus aggregatis, galea villosa rostro tenui
aliisque signis. Rhizoma P. lapponicae.
Folia maxima 32:6 mm. inferiora sensim minora in
squamas integras lanceolatas basales abeuntia. Calyx
glaber 10 mm. longus, dente summo reliquis vix mi-
nore. Corolla 15,5 mm. longa in sicco ex rubro brun-
nea. Galea 8 mm. labium 6,0 mm. longa. Filamenta
565
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
566
7, superiori tubi fauce paulo dilatati inserta. Antherae
oblongae loculis obtusis ochroleucis. Stylus vix exser-
tus, stigma capitatum.
79. P. Clarkei Hook. f. F1. Brit. Ind. IV, 310.
Himalaya: Sikkim, 12—13,000 p. s. m. (Hooker
fil.) v. gr. ad Jongri (Clarke!), Tang-ka-la (hb. Cal-
eutt.!).
Calyx pilosus 15 mm. longus totus membranaceus
et reticulatus 10-nervius costis parum crassioribus
quam nervi intercostales, dentibus quinque deltoideis
4 mm. longis summo minore, omnibus acute incisoser-
ratis. Corolla 20 mm. longa tubo incluso (vel ex auctore
paulo exserto) anguste cylindrico, ut videtur recto.
Labii superioris pars inferior tubo continua illoque
sesqui brevior aequilonga cum galea angulo fere recto
incurva primum aequilata, vertice parce pilosa, tum
sensim attenuata in rostrum rectum parti dilatatae
aequilongum apice emarginatobidentatum. Labium
inferius patens galeam superans cuneatoobovatum an-
tice breviter trilobum cum dente deltoideosubulato in-
ter lobos obovatos ciliatos. Filamenta triente inferiore
tubi inserta, ad insertionem parce villosula ceterum
glabra. Antherae ovatae loculis obtusis obscure ochra-
ceis. Capsula 14 mm. longa ovata obliqua acutius-
cula. Semina obovata griseoochracea 2,5 mm. longa,
testa laxa reticulata, nucleo oblongo laxe nidulante.
80. P. ingens. Gigantea pubescens, caule crasso
striato, foliis summis auriculatosessilibus line-
aribus acuminatis incisodentatis dentibus mucronatis,
bracteis oblongolinearibus calyce longioribus appressis
apice foliaceo dentatis et cum illo villosis; calyce cy-
lindrico breve 5-dentato dentibus deéltoideis denticu-
latis; corollae tubo calycem galeamque sesqui supe-
rante aequali recto post anthesin ad apicem incurvo,
labii superioris parte tubo continua illique aequilata
duplo breviore quam galea sub angulo obtuso incurva
| PEL CRT Pie One
medio margine longe villosociliata sensim in rostrum |
“breve crassum bidentatum attenuata, filamentis supra
medium tubum insertis ibique cum tubo inter illa lon-
gioribusque parte libera brunneobarbatis, labio galeam
subsuperante late obdeltoideo trifido lobis obovatis
subaequalibus, ovario ovatooblongo.
Prov. Sze-tschuan parte boreali: ad fluv. Nerechu
(Potanin, 1885).
P. rudi m. proxima et à collectore evidenter pro
illa sumta, ob galeam brevirostrem P. rudem reliquis
speciebus hujus seriei appropinquans.
Summitas unica collecta bipedalis fere tota floribus
obsessa, caule pennam cygneam crasso. Folia saumma
4 em. longa, basi ultra 1 em. lata. Calyx 5-costatus
ct 10-nervius 11 mm. longus. Corolla 22 mm. longa,
tubo 15, galea 11, labio 12 mm. longis. Antherae
ovatooblongae loculis acutiusculis.
82. P. trichoglossa Hook. f. 1. c. 310.
Himalaya: Sikkim et Nipal orientalis (Hooker f.),
Kurmaon (Duthie!}, Chumbi et Phari (herb. Calcutt.!).
Descriptioni 1. c. addas: Calyx villosus coriaceus
campanulatus totus dense reticulatus 12 mm. longus
ultra medium 5-fidus, tubo 5-costato et 5-nervio, la-
ciniis inaequalibus mox lanceolatis mox linearilanceo-
latis basi latioribus v. angustiorivus dentibus paucis
linearibus saepissime versus basin laciniarum dejectis
plerisque triangulis acutis passim duplicatis. Corolla
rubra 18 mm. longa tubo brevissimo recto incluso la-
bio parum galea sesqui breviore. Labii superioris
pars tubo continua illoque vix brevior galeam angulo
recto incurvam illaque latiorem subsuperans, haec in
rostrum deflexum tubo parallelum attenuata, villo ga-
leae dense longo rubiginoso. Labium inferius patens
coriaceum duplo latius quam longum profunde trifi-
dum laciniis aequimagnis reniformibus lateralibus valde
obliquis terminalem tegentibus. Filamenta apice tubi
inserta glabra, antherae oblongae loculis obtusis brun-
neis stylo exserto multo breviores. Ovarium ovatum.
Capsula, ex auctore, subinclusa breve oblonga obtusa
turgida, ex spec. a Duthie misso compressa acute
ovata calyce parum longior.
83. P. rhodotricha. Vix spithamaea gracilis sim-
plex, caule unifariam hirsuto foliato, foliis brevipetio-
latis v. subsessilibus linearioblongis pinnatifidis laci-
niis ovatooblongis obtusis mucronatodentatis, racemo
brevi paucifloro densiusculo, bracteis foliaceis summis
calycem aequantibus, calyce pedicellato ciliato coriaceo
eampanulato hinc semifisso dentibus magnis ovatis ob-
solete serrulatis, corollae roseae tubo sursum dilatato
recto calycem sesquisuperante limbo breviore, galea
falcata parte erecta glabra incurvam circumcirca ro-
seovillosissimam in rostrum conicum latitudine galeae
| brevius deflexum attenuatam superante, labio galeac .
ann longe ciliato e basi breve stipitata reni- .
567
Bulletin de l’Académie Impériale
565
formi antice 3-lobo lobis anguste reniformibus me-
dium minorem tegentibus, filamentis medio tubo inser-
tis ibique villosis ceterum glabris, ovario late ovato
stigmate capitato incluso. P. érichoglossa Franch. PI.
David. IL. n. 254 in Nouv. Arch. Mus. 2. ser. X, 67.
China occidentalis: prov. Sze-tschuan districtu Mou-
pine, 5000 m. s. m. (David! in herb. Paris.), prov.
do supra Hokin monte Koua-la-po 3500 m. s.
mn. (Delavay!).
Simillima quidem ?. trichoglossae Hook. fil.,
plurimis gravissimis notis certe diversa.
Exsiccata nigrescens. Folia pauca passim opposita,
majora petiolo 7 mm., lamina 28 : 8 mm. Calyx 9 mm.,
5-costatus 5-nervius parce subreticulatus. Corolla co-
riacea 22 mm., labium 18 mm. latum, 9 mm. longum.
Tubus intus ad faucem supra staminum insertionem
longe sericeobarbatus. Antherae oblongae loculis acu-
tis ochraceis.
at
84. P. tristis L. Maxim. 1. c. 102.
Locis adductis adde: Mongolia maxime boreali:
jago Hanhai ad fl. Chara-Tschilotu, montibus circa
lacum Ubsa: inter Dsussylan et Ssarintschi, nec non
ad fontes fl. Har-kira (Potanin, 1879); China: Kansu
occidentali, pratis alpinis alpium Mudshik, inter fru-
tices, parce, 10,500 p. s. m. et altius (Przewalski,
880).
Var. macrantha: flore 40 — 45 mm. longo,
galea 6—8 mm. lata. (In typo flos 26— 30 mm.
_ longus).
Prov. Sze-tschuan onde trajectu montano
Gumà-kikà (Potanin, 1885). Stylus diu post anthe-
sin persistens.
In pl. sibirica dentes calycis integri, in omni sinensi
_ argute serrati.
85. P. Prainiana. Hirsuta v. pilosa, caule erecto
folioso, foliis sparsis oblongolinearibus profunde pinna-
_tifidis lobis oblongis acutis cartilagineo duplicatoserra-
= tis; racemo foliato brevi denso, bracteis linearioblon-
gis apice serrulatis superioribus flore brevioribus; ca:
lyce hirsuto anguste campanulato 5-dentato dentibus
acutis summo deltoideo integro reliquis lanceolatis
serratis; corollae tubo calycem galeamque dorso pilo-
sam parum superante, galea naviculari antice latiore
__fronte rotundata aperta, labio galea subbreviore trifido
lacinïis obovatis breviter ciliatis media majore, fila- |
mentis glabris, ovario lanceolato stigmate capitellato
galeam aequante.
Himalaya orientali:
rolla yellow»).
P. rudi m. sane proxima, sed jam galea clavata
distans.
Habitus P. rudis et folia corollaque subaequimagna,
sed calyx major, 15 mm., dentibus majoribus. Corolla
22 mm,
Chumbi (herb. Calcutt.! «co-
86. P. rudis Maxim. in Mél. biol. X, 102.
China: prov. Kansu parte occidentali alpina e plu-
ribus locis denuo attulit Przewalski 1880, et parte
orientali montosa ad fl. Lumbu, nec non Sze-tschuan
septentrionali, valle fl. Heïho invenit Potanin, 1885.
Corolla, ex Przewalskio, infra straminea, dorso
fuscobrunnea. Capsula orbiculata subito breve acumi-
nata calyce tum disrupto plus duplo longior, 10 mm.
alta, 9 mm. lata. Semina numerosa rotundatoovalia
angulata lucida fere 2 mm. longa, nucleo intra epider-
midem laxam reticulatam nidulante.
Series 10. Rostratae Maxim. 1. €. 110.
Humiles vix ultra spithamaeae perennes, radicibus
fasciculatis, caulibus pluribus saepissime arcuatoascen-
dentibus. Folia pleraque radicalia pinnatipartita v.-secta,
caulina diminuta v. subnulla. Racemi breves utplu-
rimum densi, bracteis foliaceis. Calycis dentes 5 fere
semper cristati. Corolla rosea purpurea v. flava, tubo
latiusculo versus faucem dilatato calycem paulo usque
duplo superante. Galea fronte declivis rostro plerum-
que galeae latitudinem parum v. non excedente v. in
paucis galeam aequante v. in una cum fronte galeae
verticali. Stamina supra basin v. ad medium tubum
inserta. — Pleraeque ewropaeae, nonnullae asiaticae,
1 borealiamericana.
De speciebus europaeis confer ad Steininger,
Beschreibung der europäischen Arten der Gattung
Pedicularis, in Uhlworm, botan. Centralblatt, XX VIH
et XXIX, ubi enumerantur P. tuberosa L. 1. c, XXVIII,
314, elongata Kern. L. ec. 341, Barrelieri Rchb.
1. c. 375, incarnata Jacq. 1. c. 388, rostrala L. I. c.
390, caespitosa Sieber (P. rostratae var. Stev.) 1. c.
XXIX,
mr Gr. Godr. F1. Fr. HT): cs ceni-
93, P. pyrenaica Gay. 1. c. 54, P. mixta .
Gr. et Gode. in Philipp. F1 Pyr. I, 123 (P. pyre- Re
569
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
570
sia Gaud. FI. helvet. IV, 132, 1. c. 56, P. aspleni-
folia Floerke, Stein. 1. c. 57, P. gyroflexa Vill.
Stein. 1. c. 85, P. elegans Ten. (P. rosea Ten. non
Wulf., P. fasciculata Ten. non Bell.), Stein.
c. 87, P. geminata Portenschlag in Gebh. Verz.
1821, 190 (P. Portenschlagii Saut.), Stein. I. c. 88 et
nonnullae hybridae inter quas P. atrorubens Schleich.
(ëncarnata X recutita): Stein. 1. c. 122, 154—157,
185 — 188, 216. Speciebus extraeuropacis adde
” quoad locum in systemate non satis certam: P. orni-
thoryncha Benth. in Hook. F1. Bor. am. II, 108 et
in Prodr. X, 577 ex Oregon, postea a nemine visam |
et À. Grayo ignotam.
pois flavescens. 2.
rosea v. purpurea. D.
2. olia pinnatisecta laciniis utrinque 2—4
ovatis den BI P nr #
Folia pinnatisecta laciniis Co pinnatifidis 3. Tab. IV. fig. 681).
3. ronde rfi re ER ee 88. P. Barrcheri ReNE,
ncisoserratae. 4.
4. Giles be rillosi, calycis dentes intus
PA Le PS EN PONS De ARE PES EE RES 89. P. tuberosa L.
ess I trifarini “Ra dentes intus ue
5 UT RARE PTE 0. P. elongata Kerner.
5. sync gril latitudinem galeae aequans
v. supera
Rostrum as latitudine galeae brevius,
folia pinnatisecta. 19.
. Caules foliati foliis quam radicalia vix mino-
ribus. 7.
(ep)
us.
Caules subaphylli v. folia caulina diminuta,. 9.
7. Folia Fm rryeer v. -partita laciniis ovatis
denta
Folia FR v.-secta laciniis LEE
latis pianatifidis.. sr users stone 1. P. incarnata Jacq.
8. Calyx 5-fidus, labium adorer he
brum, co corolla 25 25 mm. longa.....92. hanensis ie
Calyx 5-dentatus, labium Fa ia anti fig.
LES dd
ciliatum, corolla 15 mm
. Corollae tubus calycem duplo superans, race-
mus capitatus pauciflorus. 10.
Corollae tubus calycem parum usque 11/, su-
perans. 11.
. Folia pinnatifida laciniis oblongis dentatis,
filamenta glabra, rostrum “hr tenue
galeae aequilongum, corolla 12 mm. .94. P. microcalyx Hook, f.
Folia pinnatipartita laciniis “eur den- fig. 71.
tatis, filamenta barbata, rostrum porrectum
her latitudinem galeae mel corolla
25 m 5, P. pes Portenschl.
ss. ss),
imnanensis Franc
fig. 7
Le)
ei
©
Lu Flores en pelicllati 12.
» subse
12. PS sir nn ms plures ascen-
dentes, folia secta segmen Rues: 96. P, rostrata L.
Labium glabrum, folia Fou a 13,
Er. à rc segmenta pinnatifida v.-partita. 14.
à » qua Font 15.
1) Tab. IV. cum fasciculo sequente editura.
14. pres cauliculis arcuatoascendentibus, la-
m galea longi caespitosa Sieber.
Sthnitass erecta, labium galea brevius. 98. L. PE Bge.
5. Nana superne rufovillosa.......... 99, 7. PR FÉES
Spithamaea tota glabra 100. P. Nordmanniana Bge.
Bracteae foliiformes pinnatipartitae, fila-
menta 2 barbata. 17.
Bracteae lineares integrae v. inferiores den-
tatae, spica capitata multiflora densa, calyx
parce hirsutus, filamenta glabra ...... 101. P, nasuta. Ft Bieb,.
fig.
—.
16.
Galyi gibier. 55 es nuire 102. P. pyr naica Gay,
» villosohirsutus. 18.
Petioli foliorum radicalium glabri, caules
HD EL 4 19 11 OS SPORE ANNEE SR 103. P, mixta Gren.
Petioli foliorum radicalium villosi, caulis
1—2-phyllus
Rostrum cum fronte galeae verticale, is
ciliatum, filamenta 2 parce Han flores
distincte pedicellati, foliorum RTE ta pin-
b 05, P. Fiicula Franch.
Frons declivis, rostrum porroétur, filamenta fig. 74.
gr _. bata, foliorum segmenta pinnati-
part 20.
k Petioli ‘calyeesque dense villosi,
thamaea
Petioli éslyéesque glabrati, pl. palmaris. .
87. P, Potanini. Palmaris margine DORE caly-
cisque ciliata ceterum glabra, foliis radicalibus caule
longe nudo vix brevioribus petiolo laminam ovatam
pinnatisectam pluries superante segmentis utrinque
3 — 5 obovatis incisodentatis terminali majore rotun-
dato, caulinis ad floralia reductis oppositis petiolatis
petiolis bracteisque superioribus basi vaginatodilatatis
lamina ovata v. triangula pinnatiloba lobis rotundatis
antice incisodentatis, floribus omnibus axillaribus breve
pedicellatis inferioribus remotis superioribus confertis,
calyce oblongo tenue 5-costato subenervio breve 5-
dentato dentibus inaequalibus rotundatis mucronatoin-
17,
—
œ
104. P, cenisia Gaud,
CCC
ed
ne
planta Les
[Se
©
06. P. gyroflexa Vi1l.
.107, P. élegans Ten.
ss...
À cisodentatis, corollae tenerae albae (?) tubo latiuseulo
recto calycem limbumque sesquisuperante, labii supe-
rioris parte inferiore tubo continua illoque latiore ga-
leam angulo recto incurvam angustiorem sensim in
‘rostrum conieum galea brevius attenuatam fere duplo
superante, labio inferiore subaequilongo rotundato la-
tiore quam longo antice breve 3-lobo lobo terminali
parum prominulo transverse ovali minuto, filamentis
(longioribus dense) pilosis, ovario ovatooblongo.
China: Kansu orientali, sylva ad latus septentrio-
ie montis es vie prope pagum Terjga (Potanin,
885). :
Le non satis complete collects pro tempore hic
Let uen prope P. EE ‘collocata cégn L. |
571
Bulletin de l’Académie Impériale
57?
quae statim differt labio galea breviore ciliato laciniis
rhombeis, segmentis foliorum oblongis, filamentis gla-
bris cet. Ad ?. furfuraceam Wall. inter Resupinatas
ctiam accedere videtur, sed magis distat foliis oppositis
floralium petiolis basi dilatatis, floribus congestis, ca-
lyce haud fisso aliisque signis.
Spec. 1 et alii summitas florere incipientia tantum
lecta sunt. Rhizoma breve crassiusculum articulatum.
Petiolh foliorum radicalium 35— 60 mm., laminae
15:9 usque 20:12 mm. Folia floralia ima petiolo
17 mm. longo a basi 4 mm. lata sensim attenuato, la-
mina 19:18 mm., sequentia basi vaginante violascente
10:6 mm., parte foliacea 15 : 10 mm. v. minore. Pe-
dicelli 3 mm. Calyx 9 mm. longusætotus membrana-
ceus sun rubente dentibusque viridibus non reticulatis
ner ibus i letis v. obsoletis, dens sum-
mus et ventrales 2 duplo minores ncoulatt laterales
2 rotundatoelliptici 3 mm. longi. Corolla 19 mm.
longa, galea cum rostro 9 mm., labium inferius 7 mm.
longum, 9 mm. latum. Filamenta supra medium tubum
inserta, pilis longis barbata. Antherae oblongae ochra-
ceae loculis utrinque obtusis. Stylus e galea exsertus,
stigma capitellatum.
92. P. tsangchanensis Franch. ined. Radice e fibris
crassis carnosis fasciculata, caulibus 2—3 palmaribus
ascendentibus, foliis calyceque hirsutis, prioribus peti-
olos superantibus lanceolatooblongis pinnatifidis laci-
niis contiguis ovatis obtusis mucronatis incisodentatis,
radicalibus paucis ad basin racemi attingentibus, cau-
linis 4— 6 vix minoribus, racemo laxo basi in flores
axillares remotos soluto, bracteis foliaceis summis ca-
lyces aequantibus linearibus dentatis, calyce pedicellum
aequante v. superante Dénériee res laciniis e basi
angustata integra ellipticis i minuta,
tubo calycem fere duplo lim-
bumque superante, galea fronte declivi cum rostro gra-
cili porrecto latitudinem galeae superante partem ba-
salem tubo continuam excedente, labio galea longiore
cuneatorotundato antice truncato trilobo lobis semior-
_biculatis medio paulo minore, filamentis supra medium
= tubum insertis longioribus parcissime barbatis, ovario
oblongo, stigmate capitato exserto.
China: Yunnan, in humidis montis Tsang-chan supra
ee “os 4000 m. s. m. (Delavay! in herb. Paris.).
_ Folia in sicco nigra crassiuscula, radicalia petiolo
LE L
3 em., lamina 40:13 mm., caulina petiolo 2 mm.,
Dés 35:15 mm., rarius FR opposita, petiolié
lamina longioribus. Flores mox in spicam 25 mm. lon-
gam continuam collecti, mox jam ex axillis inferioribus
incipientes. Calyx ultra 10 mm. longus 5-costatus 10-
nervius dentibus herbaceis. Corolla 25 mm. longa
tubo sub fauce dilatato, galea parte erecta 5 mm., ho-
rizontali cum rostro 10 mm., labium 12 mm. longum,
15 mm. latum areolatovenosum. Antherae oblongae
loculis acutiusculis. Capsula immatura Rte
calyce paulo longior, 10 : 4 mm. magna.
93. P. yunnanensis Franch. ined. Radice e fibris
carnosis fusiformibus stipitatis fasciculata, caulibus
1 — 2 erectis spithamaeis et ultra, superne cum foliis
calyceque puberulis, prioribus lanceolatooblongis acutis
pinnatifidis laciniis ovatooblongis obtusis mucronato-
incisodentatis, radicalibus paucis petiolo 2-lo et ultra
brevioribus, caulinis subbinis brevipetiolatis vix mino-
ribus, racemo laxo 6—15-floro basi in flores remotos
axillares soluto, bracteis omnibus foliaceis petiolatis
summis linearibus dentatis calycem aequantibus, calyce
pedicellato breve tubuloso ventre semifisso grandiden-
tato: dente summo parvo integro reliquis ellipticis in-_
cisoserratis, corollae rubrae tubo calyce paulo longiore
limbo breviore, galea gracili parte horizontali erectam
rostrumque filiforme deflexum aequante, labio galeam
superante ciliato latiore quam longo cordatorotundato
lobis rotundatis subaequalibus, filamentis medio tubo
insertis longioribus parce barbatis, stigmate minute
capitellato rostrum aequante, capsula ovatolanceolata
decurvo-mucronata. :
China: Yunnan, monte Tsang-chan supra Tali,
4000 m. s. m. (Delavay! in herb. Paris.).
Caules basi vaginis aphyllis 2— 3 membranaceis
elongatis summa 6 cm. longa fulti. Folia herbacea in
sicco nigra, radicale maximum visum petiolo 11 cm.,
lamina 55:20 mm., item caulinum petiolo 2 cm. la-
minàa 50:15 mm. Pedicelli inferiores calycem supe-
rantes. Calyx 7—9 mm. membranaceus 5-costatus
subquinquenervius dentibus herbaceis. Corolla 13—14
mm., galea cum rostro 9 mm., labium 14 mm. latum
9 mm. longum. Antherae ovatooblongae loculis acu-
tissimis. Capsula 12 :5 mm. magna, calyce 17,—2-lo
longior.
94. P. microcalyx Hook. f. FL Brit. Ind. IV, 315.
#
573
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
574
Sikkim alte alpina (Hooker fil.). Vidi fragm. pl.
authenticae ex herb. Berolin. humanissime communi-
catum ab am. cl. Urban.
Ex fragmento cauliculi florentis ante oculos flores
non «subsessiles», sed calyx pedicellum duplo supe-
rans. Calyx «cupularis 4-nervius ad !/ 4-fidus» ex
mea investigatione 6 mm. longus breve lateque tu-
bulosus tubo membranaceo tenue 5-costato sub-7-ner-
vio ventre fere ad dimidium fisso, dentibus coriaceis 5
majusculis dorsali late subulato integro paulo minore,
reliquis ellipticis mucronatodentatis basi integra angu-
stioribus. Corolla 11 mm. longa, tubo calycem 1”, su-
perante quam limbus breviore (in FI. Ind. tubus calyce
3—4-lo longior dicitur in diagnosi, !/, poll. v. brevior
in descriptione, ubi calyx 1, poll. statuitur, ergo tubus
calyce tantum duplo longior evadit). Galea labium dis-
tincte superans (in FI. Ind. aequans), parte basali 3,5
mm. alta, parte horizontali cum rostro leviter deflexo
9 mm. longa. Labium parce breve ciliatum 11 mm.
latum, 7 mm. longum, lobis rotundatis lateralibus me-
dium orbiculatum prominentem pluries superantibus.
Filamenta infra medium tubum adnata glabra. Anthe-
rae anguste ovatae loculis acutis ochraceis. Ovarium
lanceolatum. Stigma capitellatum.
99. P. aspleniifolia Floerke in Willd. Sp. pl. IIE,
208. Benth. in DC. Prodr. X, 578. Reichb. Ic. fl.
Germ. t. 1743. — ? Hook. f. F1. Brit. Ind. IV, 315,
excel. synon. ?
Species in alpibus Æuropae centralis crescens, a flo-
ristis Zndiae etiam ex Himalaya adducitur, et quidem
e Nipalet Sikkim a Hookero fil., qui praeterea habet
var. albifloram et var. pubescentem utramque in Sikkim
obviam. Equidem vidi tantum spec. pessimum Walli-
chianum et florem var. pubescentis et rem integram
relinquere coactus sum. Sed planta Wallichii a
Bungeo pro specie propria, P. Wallichii Bge, sumitur
et cum ?. rostrata L. comparatur (Bge. in Bull. sci-
entif. Acad. Pétersb. VIII, 251 (nomen) et in Walp.
Repert. III, 415).
| 105. P. Filicula Franch. ined. Palmaris parce hir-
… suta, radice e fibris crasse carnosis fusiformibus fasci-
culata, caulibus 1—2 erectiusculis basi squamis mem-
_ branaceis fuscis oblongis fultis, foliis radicalibus nume-
rosis petiolos aequantibus linearioblongis pinnatilobis
acuteque dentatis, caulinis 1—2 brevipetiolatis mino-
Tome XXXII.
ribus, racemo oblongo interrupto, bracteis foliaceis
summis calycem aequantibus 3 — 4-sectis segmentis
subintegris, calyce pedicellum duplo superante char-
taceo turbinatotubuloso grandidentato: dentibus 5 in-
aequalibus mucronatoincisodentatis et duobus subtrifi-
dis, corollae rubrae tubo calycem vix superante apice
incurvo et dilatato limbum aequante, labiis subaequi-
longis, galea subangulatofalcata rostro subverticali
crassiusculo obtuso galeae latitudinem non aequante,
labio antice parce ciliato brevistipitato rotundato lobo
medio e basi angustata obovato prominente lateralibus
minore, filamentis medio tubo insertis longioribus par-
cissime barbatis, germine ovatooblongo, stigmate mi-
nute capitellato exserto.
China: Yunnan, pratis alte alpinis prope glaciem
Li-kiang (Delavay! in herb. Paris.)
Folia crassiuscula in sicco nigra, radicalia petiolis
2—5 cm., lamina 2 —4 cm. longa, 5—15 mm. lata.
Calyx 12 mm. 5-costatus 5—7-nervius, dentibus co-
riaceis. Corolla 21 mm., galea 10 mm. longa, 4 mm.
lata, rostri apex crenulatus, labium 9:9 mm., tubus
intus glaber. Autherae oblongae loculis anis.
Series 11. Compactae.
Proboscideae p. p. Maxim. in Mél. biol. X, 100.
Spithamaeae vel elatiores simplices, caulibus mox
prope radicem polyphyllis, mox foliatis. Folia semel
pectinatopinnatifida v.-partita. Racemus densus elon-
gatus v. basi interruptus. Calyx saepe ventre fissus
5-dentatus, dentibus integris v. rarius serrulatis. Co-
rollae tubus calyce parum longior sursum dilatatus.
Rostrum conicum sacpissime breve, nunquam galea
longius, galea glabra plerumque labium superans. Fila-
menta inter medium et ‘/, inferiorem tubi inserta.
P. contorta Benth., ex-America boreali, mihiignota,
rostro elongato lineari fere circinnato in labium latis-
simum incurvo, spica laxiuscula elongata, foliis pinna-
tipartitis laciniis remotis linearibus serratis — an buc
referenda, nescio.
Folia radicalia numerosa, caulina pauca di-
minuta, stamina medio tubo inserta. Species
americanae. 2.
Folia radicalia pauca v. nulla, caulina nume-
rosa, stamina infra medium v. supra basin tubi
inserta. 4.
Rostrum conicum latitudine galeae longius
labium superans, calyx ovatus hinc fissus den-
12
575
Bulletin de l’Académie Impériale
576
tibus 5 brevibus ovatis integris, filament
Éd see parce barbata, corolla alba. 108. P. Parryi A. Gray.
m brevissimum crassum traneatum: co- Tab. IV. fig. 75.
rar be tubo albido, calyx ovatus
DR grandidentatus dentibus 5 pis
olatis serrulatis summo integro deltoideo
AN
Galea labium superans rostro conico aeque
longo ac lato, filamenta glabra, ie Ant
Galea labio brevior rostro cylindrico durée
quam longo crenulato, filamentalongioraapice
barbata, ovarium lanceolatum 0. P. mexicana Zucc.
À Folia pinnatifida v. -loba v. indivisa, flores fig. 77.
Ce
P, Oriszabae Ch. Schl.
fig. 76.
en
ee pinatisecta laciniis lanceolatis inciso-
De
Labiam galeam .superans, rostrum crassum
calyx ventre fissus dentibus ovatis; pl. spitha-
A foliis pinnatifidis laciniis brevibus ser-
Gale labium superans, calyx non fssus ne.
tibus es integris, filamenta ae fo-
PR TR Ne sde ver dal 2. P. Howellii “ ba
Rostrum verticale latitudine galeae ierins fig. 7
ium nanum, calycis dentes subulat
rium lanceolatum, racemus longus rs 113. P.cabulica Bth.
Rostrum nue um latitadine galeae longius g. 80.
labio subaequa
. Calyx ovatus Srdtiqu érege ovatis Ses
corolla tantum duplo brevior, rostru
latum, ets tubus ya lonies sica
brevis den 14. P, compacta Steph.
Calyx campanulatus minutus tubo cri fig. 81.
brevi adhuc duplo brevior dentibus trian
laribus acutis, corollae tubus limbo de
brevior, labium amplum rostrum natée tenue
saperans . : :. Im P nee .
fig.
111. P, lapponica L.
fig. 78.
se
1
112. Pedicularis Howellii A. Gray in te
Amer. Acad. XX, 307. Syn. fl. N. Amer. 2 ed. II,
1 p. 454.
California borealis: montes Siskiyou, 10 Julii 1887
frf. (Howell!).
Haec sunt eadem specc. quae ante oculos habebat
auctor, qui tamen corollae tubum e calyce exsertum
L descripsit. Equidem in exemplis statu fructifero tan-
calyte 8 mm, longo igitur inclusum ostenderunt.
tum lectis in omnibus capsulis corollas emarcidas in-
veni, quae caute explicatae tubum 7 mm. longum, in
lyx membranaceus tenue 5-costatus totusque reticu-
latus nervis intercostalibus incompletis v. obsoletis.
Corolla 14 mm. longa limbo longitudine tubi. Labii
x
_superioris pars basalis galeam sub angulo recto ab-
_ euntem subsuperans, haec vertice valde convexa fronte
convexodeclivis in rostrum breve conicum obtusum, La-
+ bium inferius nanum Fi | lobis subaequalibus ob-
”
Ca-
ovatis crenulatis. Filamenta quadranti infimo tubi in-
serta glabra. Antherae oblongae loculis basi acutis.
Capsula ultra 7 mm. longa oblique subglobosa styli
basi mucronata. Semina late subobovata angulata pal-
lida crebre favosoreticulata, caruncula minuta obscu-
riore.
114. P. compacta Steph. Maxim. I c. 101.
Trautv. Enum. Songor. n. 859. F. Schmidt F1.
Jenis. arct. n. 179
Mongolia boreali: declivitate australi Altai meri-
dionalis valle fl. Küngüity; regione lacus Ubsa ad bra-
chium australe f. Har-kira; jugo Hanhaï ad fl. Teksch
(Potanin, 1886, °77, 79). Cetera loca confer apud
me IL. c.
IIL Verticillatae.
Series 12. Myriophyllae Maxim.
in Mél. Biol. X, 89 p. p.
Rostrum galeae distinctum crassiusculum rectum
breve (latitudini galeae subaequilongum v. longius)
cum fronte galeae declivi (in 1. verticali) continuum
porrectum integrum, corollae tubus rectus tum medio
v. apice incurvus. — Elatiores vel 1. nana. Folia
secta v. partita. Calyx 5-dentatus dentibus pl. m.
cristatis. Species orientaliasiaticae cum 1. caucasica.
cum rostro verticalis, tubus calycem vix
Aria folia pinnatisecta per 4 verticillata,
rolla pürpureg, 44.500.000 ci +..116. P. Tatwrinowi m.
Galea fronte declivis rostro porrecto. 2. Tab. V. fig. 8
Tubus corollae media longitudine intra v.
extra calycem incurvus, calyx ovatus dentibus
cristatis. 3.
Tubus rectus tum extra calycem sensim v.
ab initio apice incurvus. 5.
3. Elata diff issima. f
[ie
o
re “1lo
purci, lobus labii medius parvus acuminatu
CnDIInS INRP VO nee ie se 117. P. longicaulis Franch.
Caules simplices erecti v. ascendentes, racemi fig. 84.
interrupti, lobus labii medius parum minor
rotundatus planus
4, Flores flavi, folia ‘oblongolanceolata Mo
secta segmentis pinnatifidis....,.,.....
lores purpurei, folia oblongolinearia ER
natopinnatisecta segmentis pinnatilobis 120. P. anas m.
b, Elatiores, folia per 4 verticillata lanceolata,
es ca elongata, tubus corollae calyce vix lon-
8. P, curvituba m.
g. 85.
Digiaites spica brevis ar v. basi inter-
rupta, corolla purpurea.
olia opposita pinmiparta, corollae Rires
calyce plus duplo longior,..........,....
Folia Pre pinuatisecta, “corollae ins g. 88.
calyce parum longior.. 29. P. crassirostris Pre
fig. 89,
em
LP binaria m.
ser REP
57%
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
57
7. Caules ee rie ascendentes, folia pinna-
LIDAELICA, HOPES MAN, eee ue
Caules erecti Édltrépeia les
. Folia dense pectinatopinnatipartita laciniis
lanceolatis incisoserratis, rostrum Re lati-
[ee]
Folia pinnatisecta segment
ribus Laon rostrum conicum latitudine
galeae brevius .
116. Pedicularis Tatarinowi Maxim. I. e. 92.
Ex spicis fructiferis e ditione Pekinensi a Dre Bret-
schneider missis adde:
Spica fructifera 4—5 cm. longa basi laxiuscula.
Calyx immutatus. Capsula calyce paulo v. sesquilon-
gior, oblique ovata margine antico recto, postico valde
curvato, 12—16 mm. longa. Semina oblonga cum ca-
runcula basali parva fere 3 mm. longa, testa vix laxi-
uscula dense insculptoreticulata.
117. P. longicaulis Franch. ined. Parce hirsuta,
caule longissimo diffuso fistuloso ex omnibus axillis flac-
cide ramoso, foliis caulinis per 4, ramealibus per 2 et
3 verticillatis subsessilibus ellipticis prioribus bis poste-
rioribus semel pinnatipartitis lacinüs cartilagineoser-
ratis, floribus superiore parte caulis ramorumque axil-
laribus breve pedicellatis basi foliorum floralium caly-
ceque patenter hirsutis, calyce membranaceo campanu-
lato profunde 5-dentato dentibus herbaceis ex integra
angusta basi rotundatis incisodentatis, corollae purpu-
_reae praeter rostrum membranaceae tubo extra calycem
inflexo eumque fere duplo superante limbum subae-
quante sursum ampliato, labïis subaequilongis, superi-
oris parte basali duplo saltem breviore quam galea
valde falcata fronte declivi in rostrum porrectum cylin-
dricoconicum latitudinem galeae superans abeunte, la-
bio inferiore ex basi angusta rotundato antice 3-lobo:
lobis lateralibus semiobcordatis medio lanceolato pro-
minente in acumen incurvum attenuato, filamentis supra
basin tubi insertis glabris, ovario rotundatoovato stig-
mate capitellato incluso.
China: Yunnan, in dumetis ad Mao-kou-tchang supra
Tapin-tze (Delavay! in herb. Paris.)
Species sui juris! Caulis pennam anserinam crassus,
pars collecta 1!/-pedalis ramis spitl is bi-tri Fe
villosulis. Folia firme herbacea in sicco nigrescentia,
caulina 6:3 ém., ramealia 25:10 mm., floralia 15:10
mm. floribus saepissime breviora. Calyx erectopatulus
n 5-costatus 5-nervius non reticulatus 8 mm. (dentibus
AIDE ps aa m,
.123. P. Chamissomis Ste v.
fig, 90.
124. P. myriophylla Pall.
fig. 91.
3—3,5 mm.). Corolla 24 mm. labio inferiore copiose
venosoareolato, tubo intus ventre inter stamina ad in-
sertionem breve villoso et ad faucem parce piloso. An-
therae ovatae ochraceobrunneae loculis obtusiusculis.
Diseus circa ovarium hinc tumens.
118. P. curvituba Maxim. I. c. 92.
Kansu occidentalis vallibus rivulorum frequentem
antea observavit Przewalski, nunc (1884) attulit e
Tibet boreali: ad fl. Assak-gol et Dshagyn-gol, 13,700
p. s. m., in arenosis frequentem.
Specc. tibetica ex utroque loco nana et diffusa, quo
charactere accedunt ad P. alaschanicam, a qua nunc
tantum differunt folii pinnatisecti laciniis pinnatifidis
et filamentis omnibus pilosis. — Capsula calyce triente
longior oblique ovata acuta sutura inferiore recta
superiore curvata compressa, 18 : 8 mm. Semina ellip-
tica compressa minute reticulata testa laxiuseula ochro-
leuca 3—3,5 mm. longa.
119. P. alaschanica Maxim. 1. c. X, 91.
Praeter Mongoliae australis montes Alaschan et
Kansu occidentalis desertum boreale, unde primum
innotuit, postea allata est ex regione eadem: alpibus
Nanschan alt. 8000 p. s. m., ad lacum Kuku-nor in
ripa arenosa, 10200 p. s. m., et jugo alpino ad meri-
diem ejusdem lacus, 10,500 p. s. m., tum in faucibus
ad Hoang-ho superiorem ubi frequens (Przewalski,
1879, ’80); Kansu orientali: ad latera aperta limosa
circa monster iQ Dshoni valle fl. Tao-che, 8820 P- s.
m. (Potanin, 1885).
Locis magis demissis valde luxuriat, specc. v. gr.
ad Dshoni lecta caulibus gaudent diffusis pedalibus.
Var. tibetica: bi-tri-pollicaris, calycis dentes
integri, galea brevius rostrata rostro latitudine galeae
manifeste breviore.
Tibet borealiorientali: valle fl, Assak-gol, cum specie
praecedente (Przewalski, 84); Himalaya: Chumbi
et Phari (hb. Calcutt.!).
120. Pedicularis anas. Simplex v. e collo ramosa ra-
mis cauli parallelis erectis subaequilongis foliisque
slabris, Lu per 4 verticillatis brevipetiolatis linearibus
omentis oblongis mucronato-pinnatifidis,
spicae oblongae verticillis snboootinuis, bracteis e basi
lineari integra in acumen pinnatifidum attenuatis mediis
summisque calyce inflato ovoideo pedicellato breve 5- ns
: 5 RS
579
Bulletin de l’Académie Impériale
580
dentato brevioribus, dentibus calyeinis imaequilatis ser-
ratis, corollae purpureae tubo supra basin infracto ca-
lycem parum superante limbo breviore, galea curvata
vertice convexa fronte declivi in rostrum porrectum
galeae latitudine plus triplo brevius attenuata labium
lobis rotundatis subaequimagnis paulo superante, fila-
mentis glabris, ovario oblongoovoideo.
Chinae prov. Sze-tschuan: circa -custodium Dshin-
dshe-tan (Potanin, 1885).
P. curvitubae proxima, sed flos ruber brevirostris.
A brevirostribus P. myriophylla et P. Tatarinowii ga-
lea declivi longius rostrata statim distincta.
Specc. lecta 2 pedalia, alterum simplex, alterum
(caule primario deperdito) 5-caule. Rhizoma brevissi-
mum radice tenui fasciculata. Folia respectu plantae
parva (maxima 40 : 5 mm.) verticillis 4 — 5 disposita.
Florum verticilli 4-Hlori spatio 10—5 mm. quidem se-
juncti, attamen primo obtutu subcontinui. Bracteae
infimae calycem cum pedicello aequantes jam supra
basin pinnatifidae. Calyx 7 mm. longus brevidentatus
ventre ad medium fissus, dentium summus anguste
deltoideus, imi 2 ad denticulos reducti, reliqui 2 late
deltoidei mucronatodentati. Corolla vix 20 mm. labio
superiore caput et collum anatis sat bene simulante,
.tubus intra calycis tubum infractus parte exserta igitur
horizontali tum infra faucem recurva, ita ut limbus
item calyci continuus appareat. Faux labii inferioris
intus pubescens. Filamenta ‘, inferiori tubi inserta
ibique villosula. Antherae oblongae loculis acutis. |
Stigma capitatum exsertum.
121, P. binaria. Annua digitalis simplex v. e collo
pauciramosa villosopubescens, foliis radicalibus nullis,
caulinorum verticillis 1—2 foliis floribusque oppositis
prioribus breve petiolatis ellipticooblongis pinnatipar-
titis jugis 5—8 laciniis ovatooblongis obtusis duplica-
to-incisoserratis, bracteis rhombeis pinnatifidis supe-
rioribus 3—5-fidis, spica densa 3—6-flora, calyce
brevipedicellato profunde 5-dentato dente summo lan-
ceolato integerrimo reliquis duplo majoribus e basi
attenuata in laminam ellipticam acute dentatam dila-
à as corollae parure tubo cylindrico recto calycem
is parte basali tubo aequi-
: . Jata anticam. angnlo recto patentem sesquilatiorem
| _aequante galea fronte declivi in rostrum continuum |
. _— conicum rectum Lane galene latitudinem |
aequans attenuata, labio amplo galeam superante cili-
ato lobis lateralibus depresse semirotundis terminali
late rotundato triplo minore apice cucullato, filamentis
longioribus superne barbatis, ovario oblongoovoideo.
Chinae prov. Sze-tschuan parte boreali: ad fontes
fl. Atu-Lunwa (Potanin, 1885).
Ab omnibus notis numero binario foliorum et florum
distat, statura P. brevifoliae Don, tubo recto P. Cha-
missonis, calyce cristato, labii forma atque galea haud
nimis dissimili cum ?. Tatarinowi conveniens, prope
quam ponenda videtur.
Radix tenuis simplex! Rami e collo usque tres omnes
tum floriferi, sed caule primario breviores et multo
serius florituri. Folia maxima petiolo. 1 em., lamina
2:1 cm. Bracteae parte basali dilatata pallide viridi
calyces tegentes. Pedicellus 2 mm., calyx 7 mm. longus
ad !/, in dentes divisus. Corolla 25 mm. Stamina su-
pra basin tubi inserta. Antherae oblongolanceolatae
acutae cinereoochroleucae. Stylus vix stigmate e ro-
stro exsertus.
122. P. crassirostris Bge in Bull. scientif. Acad.
Pétersb. VIIT, 248. et in Ledeb. FL. Ross. IT, 275.
Boiss. FL. or. IV, 488.—? P. araratica et P. armena
Bge. PI. Abich. n. 351, 352. in Mém. Acad. Pétersb.
VI sér. sc. phys. math. VIT (IX), 594.
Caucasia: Kasbek, Suania, Imeretia, Tuschetia, Da-
ghestania; Armenia: montiliis Alagôs et Fra
P. crassirostris (fig. nostra 89.) ab autore ad specc.
pauca vetusta a Güldenstädtio, P. araratica et P.
armena vix non ad singula ab Abichio lecta stabili-
tae sunt. Prima postea à multis collectoribus, prae-
sertim a Ruprecht multis locis inventa, rostrum paulo
longius v. brevius ostendit et talia exempla brevius
rostrata per omnes status intermedios ad typica trans-
euntia sistunt P. araraticam (fig. 89..e spec. frf.
a me viso, ubi corolla delineata capsulae insidebat).
P. armena (fig. 89.), a Seidlitz postea eodem loco ac
ab Abich reinventa et ab ipso Bunge identica decla-
rata, una Cum P. crassirostri lecta et ab hac tantum
rostro paulo tenuiore distinguenda videtur. Reliquae
partes in omnibus tribus fere identicae: calyx cylin-
dricocampanulatus grandidentatus dentibus lanceolatis
paucidentatis. Corolla rostro excepto eadem. Capsula
omnium oblongolanceolata calyce duplo longior.
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
58?
Series 13. Cheilanthifoliac.
Galea fronte declivi in rostrum porrectum latitu-
dine galeae multo brevius v. brevissimum, 1. excepta
integrum, conicum interdum latissimum abiens. Co-
rollae modicae tubus rectus v. incurvus. Calyx campa-
nulatus 5-dentatus dentibus saepissime cristatis. —
Centrasiaticae humiles v. elatiores graciles.
Adnot. Species huc fortasse referenda, fere nemini
nota :
P. Menziesii Benth. in DC. Prodr. X, 563. A. Grass
Synopt. fl. N. Am. IE, 1, 305.
Ora borealiéccilontatt Americae; spec. 1.
dicitur in herb. Smith., a solo autore speciei visum.
Galea suberostris.
Corollae tubus calycem inflatum fere 3-lo
labium galeam aequans denticulatum aequa-
liter trifidum 125. P. leptoriza ns
Corollae tubus calycem parum v. usque duplo Tab. V fig. 9
superans rectus v. intra calycem incurvus,
galea ecristata, filamenta medio tubo v. !/, in-
feriori inserta. 2.
en conicum brevissimum RARES
Rostru otins galeae
frons Heu dilatata) antice totum fissum,
galea recta labium parvum anguste rap
aequans, corollae viridis tubus calyce
longior, flores axillares, folia are 196. r pa Prain.
. Corollae roseae tubus calyce uplo longior,
“Moro florum et foliorum in caule elo ag
MURS, os Vlassatedehner rive a 27. P. denudata Hook. f.
Corollae tubus calyee parum ARE spica
brevis densa v. basi breviter eg 4.
. Galea labium superans v. aequans. 5.
Labium amplum galeam sensim in rostrum
horizontale attenuatam superans, filamenta
glabra, ovarium fé ovatum, folia Un .
secta, flores
Corollae ris étre calycem incurvas, ros-
trum porrectum brevissime conicum trun-
catum, labium parum latius quam longum
lobo medio prominente, folia rames
29: PF, cheilanthifolsa Schrenck.
Corollae tubus rectus, rostrum ris spec-
tans latissime conicum apice rotundatum, la-
bium plus duplo latius quam longum lobo
medio vix prominulo, folia pinnatifida. . 130. æ, dr su “re ke
nes esse.
La
©)
en
BE PR m.
er sers error esee
Lu
495: A Rupr. Sert. tiansch. 62.
Thian-schan: fauce Dshaman-daban, regione sub-
alpina, 1 Aug. 1867 fi. def. (Osten-Sacken!).
Ab autore cum 2. cheilanthifolia et P. myriophylla
. comparata, sed non descripta.
adesse |
Specc. lecta 2, alterum radice abrupta simplex,
alterum cum rides e collo cum caulibus 6, utrumque
11—12 cm. altum. Radix annua tenue fun sub-
verticalis 4 em. Caulis striatus lineis villosis a quovis
petiolo decurrentibus notatus, simplex erectus. Folia
ad vaginas reducta nulla, rite evoluta ab ipsa basi
caulis incipientia, verticilli infimi 2 valde .approximati,
sequentes 2 in caule remoti, reliqui flores fulcientes,
5-phylli in individuo simplici, 2—4-phylli in pluri-
cauli. Folia maxima prioris 18:3 mm., (petiolo 3 mm.),
posterioris 30:5 mm. (petiolo 8 mm.), patentia pin-
natisecta, segmentis 6—7-jugis remotiusculis 2—3
mm. bis 1 q. exe. mm. latis pinnatifidis, lobis car-
tilagineomucronatis vix passim dentatis. Spicae 18—
30 mm. longae apice caulium omnium pleraeque sub-
coaetaneae, primum densae, tum basi interruptae.
Bracteac infimae foliaceae basi vix dilatatae, summae
calyces aequantes vaginatae anguste ovatae membra-
naceae acumine foliaceo brevissimo denticulato. Calyx
sub anthesi 7,5 mm. et postea haud accretus subsessilis
inflatocampanulatus 5-costatus 5-nervius ad costas
hirsutus tubo membranaceo, 5-dentatus dentibus cras-
sis summo deltoideo integerrimo reliquis triangulis
basi integris a medio utrinque mucronato-1—2-den-
tatis. Corolla 20 mm. (purpurea?) tubo inferne recto
calycem plus duplo superante superne infracto et ante
faucem dilatato, parte recta infractam cum labio supe-
;
riore plus quam sesqui superante. Galea cum rostro
crasse Conico truncato subovata partem basalem labii
superioris circiter aequans, cum crista dorsali angusta
vertice galeae ante frontem ejus subito abscissa;
rostrum leviter subdeflexum. Labium inferius galea
subbrevius patens latius quam longum irregulariter
dentatum trilobum lobis rotundatis, terminali parum
minore breviter stipitato toto prominente. Filamenta
infra apicem tubi inserta, longiora parce barbata. An-
therae oblongae loculis acutis cinereoochraceis. Ova-
rium ovoideum sensim in stylum breve exsertum ne
mate capitellato attenuatum.
126, P. fragilis Prain ined. Parce hirsuta caule
simplici spithamaeo foliato, foliis per 3 verticillatis
subsessilibus membranaceis ellipticis acutis pinnati-
partitis laciniis lanceolatis mucronato-incisodentatis;
[floribus axillaribus breve pedicellatis versus apicem La
lcaulis, calyce campanulato hirsuto membranaceo tenue
583
Bulletin de l’Académie Impériale
584
5-costato haud reticulato 5-dentato dentibus triangu-
laribus subintegris, corollae viridis tubo recto subae-
quali calycem limbumque duplo superante, galea tubo
continua fronte subito dilatata in rostrum semiorbicu-
latum antice fissum, labio galeam subaequante anguste
obovato ad medium trilobo lobis lateralibus anguste
ovatis medio obovato cucullato prominente brevioribus
et angustioribus, staminibus !/, inferiori tubi insertis
glabris, stigmate incluso, capsula ovata subito acumi-
nata calycem aequante.
Himalaya: montibus Khasia (G. Mann! in hb. Cale.).
Planta a reliquis speciebus hujus seriei quam cha-
racteribus tam habitu valde distincta.
In exemplo ab autore benevole communicato verti-
cilli 9, imus jam aphyllus summi 6 floriferi. Folia
25:13 mm. Calyx 5 mm. nervis intercostalibus in-
completis. Corolla 15 mm. Galea 4 mm. longa a basi
et ultra dimidiam longitudinem 1,75 mm. lata, hinc
ad apicem scil. ad rostrum 2,6 mm. lata. Labii limbus
obsolete ciliatus stipitem suum latitudine et longitu-
dine parum superans.
127. P. denudata Hook. f. F1. Brit. Ind. IV, 309.
Himalaya: Sikkim, valle Lachen, 12—13000 p. s.
m. (Hooker fil.), Patang-la (herb. Calcutt.!).
Spec. fructif. florib. ult. corolla 1 superstite bene-
vole cum analysi delineata a cl. Prain mihi missum
omnino in descriptionem autoris quadrat. Ex hisce
_calyx 5 mm. brevipedicellatus inflatocampanulatus
5-dentatus, dente summo deltoideo brevi integro reli-
quis ex integra angustiore basi ellipticis cristatis. Co-
rolla rosea 13—15 mm. tubo calycem duplo super-
ante apice incurvo limbum duplo excedente. Galea
labium aequans recta ubique aequilata fronte declivi
in rostrum brevissime conicum acutum porrectum ab-
eunte. Labium duplo latius quam longum trilobum,
lobo medio minore prominulo, Stamina supra medium
tubum inserta, filamentis, fide Prain, barbatis. Stigma
capitellatum inclusum. Capsula oblique ovata acuta 8:5
mm. magna calycem 6 mm. longum parum superans.
| 198. P. ophiocephala. Digitalis radice tenui fasci-
_ culata, caule solitario gracili seriatim pubescente sim-
- ue plici basi vaginato, foliis radicalibus lamina longius
petiolatis, caulinorum verticillis 1—2 bi—tri-phyllis
= brevipetiolatis lamina linearioblonga pectinatim pinna-
_ tipartita laciniis oblongis acutis incisodentatis; brac-
teis foliaceis pinnatifidis summis calyce subsessili bre-
vioribus, florum verticillis 1—2 bi-trifloris approxima-
tis v. Hotaatihus: calyce piloso campanulato 5-dentato
dentibus sammo minuto deltoideo integro reliquis tubo
tantum triplo brevioribus e lata basi lanceolatis usque
ad medium dentatis; corollae roseae tubo calycem non
v. vix excedente intra limbi calycini basin infracto
apice dilatato galeam leviter falcatam tubo subconti-
nuam potius sensim acuminatam quam rostratam ae-
quante, labii lobis truncatis lateralibus galea brevio-
ribus depresse semiorbiculatis, terminali obovato late-
rales fere tota longitudine galeamque excedente; fila-
mentis glabris; ovario globosoovoideo.
Himalaya: Kumaon, valle Rälam, 13 — 15,000",
Augusto 1884 (Duthie! n. 3225 s. nom. P. verticil- …
latae), Barji-kang, 14,700 (Strachey et Winter-
bottom! n. 8. — specc. pessima).
Galea labioque omnino pecularis, ceterum sequenti
proxima.
Caulis gracilis interdum flexuosus. Foliorum la-
mina usque 23 : 5 mm., petioli radicalium ad 35 mm.
tenues aequales, caulinorum anguste dilatati 6 mm.
longi. Calyx 7 —8 mm. Corolla 21 mm. tota mem-
branacea, galea a fauce ad apicem 8 — 11 mm., basi
4 mm. lata tum sensim attenuata ante apicem 2 mm.
lata, ipsius apicis angulo inferiore obtuse acuminato,
superiore ob frontem nimis declivem evanido. Labium
circuitu ovatum 11:8 mm. Filamenta !/, inferiori
tubi inserta. Antherae ovatooblongae cinereae loculis
acuminatis, juxta ipsum galeae apicem locatae stylo
exserto breviores.
129. P. cheilanthifolia Schrenck. — Maxim. L c.
X. 89. Hook. f. FL of Brit. Ind. IV, 308. P. abro-
tamifolia Henders. Lahore to Yarkand, 330 n. 263!
2
Chinae prov. Kansu parte occidentali: ad fi. Mu-
| dshik-che nec non paludibus ad lacum Kuku-nor, dlo-
{ribus ex albo roseis»;
Tibetia boreali: pratis alpinis
jugi Burchan-Budda, 13 — 15,500" s. m. «fl. albo
apice galeae labioque atropurpureo striolato», in ripa
fl. Bô-tschu «flore albo», pratis alpinis secus fl, Kon-
tschun - Tschü, «flore rose0», fere ubique frequens,
tum parte occidental: jugo Keria, juxta campos lapi-
dosos, 12,500—13000" s. m., parce, «flore alboroseo
rzewalski 1880, ’84, 85). Karakorum ER
585
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
Ladak et Yarkand (Henderson!). — Locis e Hima-
laya à me ante enumeratis adde: Pangi (Heyde!),
Kanaor 18300 p. s. m. (Jacquem.! n. 1779, ex quo
galea compressissima purpurascens, labium album
lineis purpureis pictum).
Specc. alte alpina tibetica rarius ab apice florentia
occurrunt.
Var. isochila: galea solito paulo latiore labium
majus aequante.
Kansu occidentali: valle f. Runwyr infra monaste-
rium ejusdem nominis, dlores odore debili moschi»;
ejusdem provinciae parte orientali: monte Yalissan
prope pagum Katapu (Potanin, 1885).
LA
130. P, globifera Hook. f. FI. Br. Ind. IV, 308.
Himalaya: Sikkim (Hooker f) — vidi florem e
Kew communicatum.
Etsi plantam ipsam non viderim, ex descr. caule
pumilo crasso florisque formatione ad hanc seriem
pertinere videtur. Galea fere P. leptorhizae Rupr. sed
crista continua, nec subito abscissa, et vertex galeae
minus declivis, labium diversissimum, calyx subsimilis.
Calyx floris 1 examinati 6 mm. longus, membra-
naceus inflatus ad costam marginemque pilis elongatis
rectis hirsutus, crasse 5-costatus, nervis intercosta-
libus tantum 2 evolutis, breve 5-dentatus ventre tan-
tum profundius incisus, dentibus depresse deltoideis v.
subquadratis crassis circumcirca cum denticulis mu-
cronatis 4—6. Corolla 14 mm. longa tubo parum ex-
serto latiusculo recto sursum versus faucem sensim
ampliato labium superius superante. Hoc parte infe-
riore tubo continua et subaequilata galeam angulo
recto abeuntem fere sesqui excedens. Galea parte in-
feriore labii sui latior, cum rostro brevi obtuso crasse
conico fere ovata. Labium inferius galeam vix aequans
duplo latius quam longum, valide biplicatum, lobis
depresse reniformibus lateralibus medio vix majoribus.
Filamenta glabra ”, inferiori tubi inserta. Antherae
ovatae griseae loculis acutis galea nidulantibus. Ova-
rium lanceolatum in stylum stigmate capitellato sen-
sim acuminatum. a
Series 14. Platyrrhynchae.
Myriophyllae Maxim. 1. c. p.'p.
Galea fronte verticali in rostrum latum breve con-
tinuum deorsum spectans infra apicem utrinque 1-den-
%
tatum v. integrum abiens. Bracteae liberae. Calyx 5-
dentatus. Corollae tubus rectus postea incurvus. —
Species asiaticae vulgo elatiores.
Calycis dentes minuti brevissimi, flores rubri,
folia linearilanceolata pinnatiloba. 2,
Calycis dentes su sent v. lanceolati,
pinnatipartita v. -secta, £
. Glabrata racemo interr ee
folia
Nr p ES à ne Re er Franch,
V fig. 96.
Strigosohirsuta racemo denso : diverses one 132. P, ii deb
8. Humiles, foliorum tae v, obovitse, fig.
filamenta longiora parce Fr
Elatae, foliorum segmenta lanceolata inciso-
serrata. D
. Nana laciniis foliorum ovatis, galea labium
aequans brevissime dre rostri rene lato
perbrevi, flores purpur 3. P. subrostrata C. Le “hd
Spithamaea laciniis lives Are galea fig.
labium superans distincte late rostrata rostri
dente lato distinctissimo, fl. ochroleuci.
134. P. platyrrhgnehe FAP
. Calyx campañulatus pilosus, rostrum tru fig.
catum dente mere anguliformi 155. p ineript “at eph.
Calyx breve cylindricus scaber, rostrum con- fig. 1
spicuum angulo apicali antico obtuso postico
in dentem acuminatum protracto.136.P. chorgossica 6 bé nkl.
fig. 1
ss...
ox
131. P. comptoniaefolia Franch. ined. EEE ultra
bipedalis stricta superne breviter ramosa glabrata, caule
tereti, foliis coriaceis per 4 verticillatis brevissime pe-
tiolatis linearibus acuminatis pinnatilobis lobis rotun-
datis cartilagineodenticulatis, racemis caulem ramosque
terminantibus interruptis plurifloris, bracteis foliaceis
mucronatoserrulatis calycem superantibus, calyce bre-
vipedicellato campanulato inflato chartaceo brevissime
5-dentato dentibus deltoideis integris margine villosis,
corollae atrorubrae tubo ad calycis faucem incurvo sur-
sum ampliato calycem fere triplo limbum fere duplo
superante, galea tubo continua fronte verticali in ro-
strum brevissimum latum oblique truncatum utrinque
1-dentatum abeunte, labio galeam subsuperante ex an-
gustiore basi late ovato crenulato antice breve trilobo
Jlobo medio truncato prominulo lateralibus minore, fila-
mentis supra basin tubi insertis longioribus parce bar-
batis, ovario ovato stigmate capitellato exserto.
China: prov. Yunnan, supra Tapin-tze te
in herb. Paris.).
Radix deest, sed ex coli superstite crassa praesu-
menda. Planta statu sicco nigra. (Caulis parcissime
_crispe puberulus penna corvina crassior. Foliorum ver-
ticilli usque ad ramificationem 8 — 14, inferiores jam
aphylli. Folia majora petiolo 3 mm., lamina 50:7
mm. basi vix attenuata rotundata. Racemi ultra digi-
587
Bulletin de l'Académie Impériale
tales verticillis 4-floris. Calyx 6 mm. Corolla 20 mm.
fere chartacea tubo intus ventre inter staminum inser-
tionem et faucem piloso. Labii superioris pars basalis
galea duplo brevior. Filamenta ad insertionem pilosa
deorsum incrassatodecursiva. Antherae oblongae atro-
castaneae loculis acutiusculis.
132. P. rigida Franch. ined. Pube brevi densa cine-
rascens, caule stricto bipedali crebre foliato superne
breviter ramoso, foliis coriaceis quaternatim verticilla-
tis brevissime petilats oblongolinearibus acuminatis
pinnatilobis lobis obtu latis, race-
mis caules ramosque Lrminantibus densis multifloris,
bracteis foliaceis imbricatis calyces superantibus, calyce
brevissime pedicellato inflatocampanulato brevissime
5-dentato dentibus minutis deltoideis integris, corollae
rubrae tubo calycem subduplo superante sursum dila-
tato extra calycem incurvo limbum sesqui excedente,
galea leviter incurva fronte verticali brevissime late
rostrata rostro infra apicem utrinque cum dente subu-
lato, labio galeam aequante rotundato antice brevissime
trilobo .lobo medio duplo minore vix prominulo, fila-
mentis quadranti inferiori tubi insertis ibidemque dense
villosis ceterum glabris, ovario ovato stigmate capitel-
lato exserto, capsula acute ovata calycem vix superante.
China: Yunnan, sylvis montis Pée-ngay-tzé supra
Tapin-tze (Delavay! in herb. Paris.).
Radix non collecta. Caulis teres pennam corvinam
crassus, verticillis 12 usque ad ramificationem, infimis
_aphyllis. Folia majora petiolo 3 mm., lamina basi cu-
_neata 45:8 mm. Calyx membranaceus 5 mm. margine
villosociliatus 5-costatus 5-nervius haud reticulatus.
Corolla 18 mm. chartacea, galea quam tubus sublatiore,
= tubo ventre intus inter bases staminum et faucem pi-
_loso. Antherae oblongae ochraceae. Discus circa ova-
: rium hinc vix tumens. Capsula 7 mm. longa.
133. P. subrostrata C. A. Mey. Ind. Cauc. 108.
2 PRRS ES Pr F1. Ross. III, 272.
4 in herb. Acad. Petrop.).
Species post inventorem nemini obvia, unico exemplo
_ nota, a me primum inter seriem Armenae nunc disso-
_ lutam et inter alias series distributar recepta, melius
| hic militare videtur.
Series 15. Superbac.
Elatae, petioli bracteaeque verticillata basibus dila-
tatis in vaginam membranaceam connata, flores magni.
Calyx hinc fissus. Galea fronte verticali erostri v.
rostrata. Folia pinnatisecta. — Species 2 Chinam au-
stralem occidentalem incolentes, una in Himalayam
orientalem progressa.
Calyx e vagina bractearum exsertus 5-den-
tatus dentibus cristatis, corolla rubra labio
amplo galeam rostratam superante, rostrum
Rs galeae aequilongum verticale inte-
137. P. superba Franch.
Calyx vagina inclusus bilobus 5- “déntatus den- Tab. V. fig. 102.
tibus nanis integris, corolla flava labio parvo
quam galea fra apicem truncatum nn
AuDio UroVione.:. used uie rer dre 138, P. rez RER
fig. 1
137. Pedicularis superba Franch. ined. Role itra
pedalis superne parce hirsuta, caule crasso tereti fistu-
loso, foliis ternatim verticillatis brevipetiolatis petiolo
caulinorum basi cum vicinis in tubum brevissimum,
floralium latissimo ad medium cum vicinis vaginatocon-
nato, Jamina oblongolanceolata basi pinnatisecta a medio
pinnatipartita rhachi dentata segmentis remotiusculis
oblongis pinnatifidis et mucronatodentatis, florum ver-
ticillis paucis remotis, calyce hinc semifisso vaginam
subduplo superante ad costas hirsuto membranaceo 5-
dentato dentibus herbaceis lanceolatis acutis pinnati-
lobis atque mucronatodentatis, corollae purpureae tubo
recto cylindrico sursum ampliato calycem parum supe-
rante limbum aequante, galea falcata fronte verticali
in rostrum latitudini galeae aequilongum anguste coni-
cum verticale attenuata, labio galeam superante cilio-
lato sesquilatiore quam longo semiorbiculari basi ro-
tundato antice rectilineo triloboque lobis rotundatis
medio minore haud prominente, filamentis triente in-
fimo tubi insertis barbatis, ovario ovatolanceolato stylo
versus apicem incrassato! stigmati capitellato aequi-
lato.
China: Yunnan, monte Li-kiang, 4000 m. s. m.
!
_ Caucaso occidentali pratis subalpinis (C. A. Meyer! Delavay!).
Caulis crassitie pennae anserinae basi fibris copiosis
tenuibus radicans. Folia caulina petiolo 25 mm., la-
mina 70:25 mm. membranacea. Calyx 22 mm. longus
5-costatus incomplete plurinervius atque superne reti-
culatus. Corolla 37 mm. membranacea ad faucem
intus longe pilosa, tubo 13 mm., labio vi expanso 17
mx. longo 26 mm. lato copiose venosoareolato, galea
589
15 mm. longa extus punctatoscabra margine anguste
involuta et ad nervum obliquum excurrentem gibboso-
prominula. Barba filamentorum rufescens. Antherae
ellipticae brunneolutescentes loculis acutiusculis. Dis-
eus ad basin ovarii hinc vix magis tumens.
138. P. rex Clarke in sched. Erecta ad 4-pedalis
caule stricto crasso acutissime quadrangulo simplici v.
superne fastigiatim parce ramoso; foliis radicalibus sub
anthesi emarcidis, caulinis 4-nis brevipetiolatis petiolis
inferiorum basi dilatata confluentibus superiorum in
vaginam brevem tubulosam connatis, lamina elliptica
pinnatisecta segmentis lanceolatis pinnatifidis dentatis-
que; spica pedali interrupta verticillis 4-floris bracteis
foliaceis basi in tubum membranaceum calyces supe-
rantem connatis; calyce subsessili tenue membranaceo |
ventre fisso ‘Re semibifido laciniis latissime ovatis
apice brevissime altera 2- altera 3-dentatis dentibus
deltoideis integris; corollae flavae tubo recto calycem
triplo labium superius cum illo continuum duplo supe-
rante, galea brevissime adunca suberostri ante apicem
subulatobidentata, labio inferiore galea duplo breviore
rotundato valide biplicato antice trilobo lobo medio
prominulo transverse late ovali lateralibus minutis se-
mirotundis; filamentis totis rufobarbatis; capsula vix
e calyce exserta rotundato-ovoidea oblique mucronata,
seminibus atris ellipticis utrinque apiculatis minute
reticulatis.
Himalaya: Khasia, ad Shillong, 6000 p.s. m. (C.
B. Clarke! 1885); Burma (Brandis! in hb. Calcutt.);
China: Yunnan, ad Tsang-schan supra Tali (Delavay!
in hb. Paris.), prov. Kweï-tschou (Perny! ibid.).
Bracteis in tubum connatis valde peculiaris, ceterum
manifeste P. interruptae et P. chorgossicae affinis et
cum illis a Comosis tantum foliis verticillatis discrepans.
Folia superiora 5:2 em. Calyx 9 mm. longus ob-
scure 4—5-costatus et 5—6G-nervius haud reticulatus
glabriusculus. Corolla plene evoluta fere 4 em. Pars
inferior marginis antici labii superioris incrassata. La-
bium inferius ex paulo angustiore basi rotundatum,
secus medianam aeque ac tubus intus pilosum. Stamina
1! inferiore tubi inserta, antherae oblongae loculis acu-
minatis cinereis. Ovarium ovatum basi disco cinctum,
qui antice in cornp ovarium aequans! productus est.
Stylus e galea brevissime exsertus, stigma parvum Ca-
Fa pitellatur. Capsula 13 : 18 mm. Sadiins 3 mm. longa.
hi. Tome XXXIL
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
Series 16. Verticillatae.
Galea erostris ubique subaequilata angulo frontali
superiore rotundato inferiore acuto v. rarissime brevis-
sime subapiculatoproducto. Corollae tubus infractus.
Calyx (paucis, exceptis) inflatus campanulatus dentibus
brevibus deltoideis subintegris v. in paucissimis crista-
tis, — Species, L circumpolari excepta, asiaticae et
quidem praesertim in parte alpina Chinae et Himalayae
numerosae.
Corolla apice tubi (extra calycem) infr pére) 2.
intra
» asi » (intr »
2. Folia gubbipinnatisecta 4-natim to
Jata.
Folia nalinartits per 3 v. 4 verticillata. 4.
3. Flores sulfurei, galea labio longior. .139. P, abrotanifolia M. B.
. fig. 104.
purpurei, » »: brevior....., 0.P. moschats mn.
4. Bracteae 3—4-partitae sectaeve, “olia 4-na SE fig. 105.
pinnatipartita oblonga, re rosei labio se
leam superante, planta na
s cteae pinnatifidae v.
e, 5.
REA A EEE Là ve Boiss.
RU ne fig. 106.
5. Folis ternatim verticillata. 6.
» quaternatim v. opposita, calycis
dentes cristati, flores purpurei. 8.
6. Corolla atropurpurea galea obtusa, calyx
oblongus dense appresse incanotomentosus
dentibus brevibus integris.
Corolla rosea galeae angulo inferiore i in api-
culum obtusum producto, calyx ovatus
7. Elata, verticilli florum distantes cinercoto- : 08
mentosi ses vs il péage m.
108.
Humilis, spica densa albotomentosa. ...... 144. P. rénnhe m.
&. Nana a basi multicaulis D ds ee 109,
pinnatifida, calyx pos us pe-
dicellum parum su
gulo
5. P. pol era re f.
Pedalis simplex, folia : -Dà pinna ait,
spica multiflora densa, calyx subsessilis o
tus, flores rosei, re angulus inferior mere
146. P. a GA ne
9. Galea labium port, Labs ovatus, plantae fig. 1
Fest ee
CCC CE
10. Folia pinnatisecta seumentis a
bracteae membranaceae trifidae tegrae,
corolla lilacina v. alba galea sect “Him
parum superante 7. P. violascens Schrenck.
Foliapi fig. 112.
CRC
1 + L: }
corolla purpurascens galea arcuata labium
2-lo superante
1: Bracteae tripartitae v. trifidae, Res pur-
urea
ns ns
bd
Brâctenc integrae serratae usque pinnati-
as 14.
2. Pygma folia chose imbricatopinnati-
der calycis __. integri, tubus corollae
us
148. P. dre Rs
591
Bulletin de l'Académie Impériale
59?
vix exsertus, galeae angulus inferior ne
l 149. P. pygmaea m.
Corollae tubus calycem duplo superans, ga- fig. 114.
leae qi inferior mere acutus, folia pin-
uatisecta. 15
13. Canles squamati, segmenta foliorum pin-
uatifida v. serrata, calyx cylindricocampanu-
latus dentibus lanceolatis majoribus denti-
culatis v. integris, lobus medius labii trun-
res antherae contiguae, spica brevis densa
asi breve interrupta ..150, P. amoena Ad.
Caues elati esquamati, segmenta Dinnatiar . 115.
ta lacinulis serratis, calyx late campanu-
mi inflatus dentibus deltoideis serratis,
sensor.
151. P. kansuensis m.
14. Galea nana labio plus pat nu ns Tab. IV. fig. 116.
pinnatifida v. -partita, flores purpur
Galea labio parum brevior.
15. Bracteae flabellatae margine trié den-
tae ceterum integrae, spica elongata densa,
calyx minutus subglobosus dentibus 5 parvis
integris, folia re caulis simplex v.
fastigiatoramo:
Bracteae eme v. lineares apice foliaceo
pinnatilobae v. dentatae, calyx ovatus grandi-
dentatus, caulis simplex, spica brevis. 16.
16. Calycis dentes ovati summo excepto cristati,
folia pinnatiloba 153. P. lineata Franch.
Calycis dentes subulati integri, folia pinnati- g.
154. P. likiangensis Franck
fig. 1
152. P. AT Pall.
DCR
nn msn
PODIUM conti use
ÊF. Corolla mr galea supra faucem gibba
cum plica induplicata mg se obliqua
Le gibbum et apicem galeae extensa, ca-
lycis dentes cristati, folia . innatisecta ME
meutis pianatiiqis 15453 ui ie mr m.
Corolla rosea v. purpurea, “‘gules eplieats y. 120.
obiter plicata.
18. Calycis dentes imyli valide cristati, plantae
humiles, folia pinnatisecta, racemus br
vis. 19.
lai ly RC be » 2 gri obsolete den
tculasl. 2
e 3 Le
9. C
dentatis, foliorum segmenta rie
156. 2. rupicola re
Calyx semiquinquefidus nec ventre fissus fig. 1
dentibus lanceolatis ovatisve er etinciso-
rene foliorum segmenta in isoserrata.. ER P. Roylei m.
20. F aly fig. 122.
er non reticulatus, antherae de
filamenta longiora pilosa, capsulae ie 158. P. verticillata L.
Folia longiuscule petiolata pinnatiloba -f- fig. 123.
dave, calycis costatus et sursun reti-
at US, anthaoran nnntionno
tissimae subrefractae. 21.
21. sé sé v. lanceolata basi cuneata, ra-
terruptus, ne a semper +.
F ata v. sb ina,
racemus tantum basi interruptus, g a au-
: infra
llum rarius 2-dentata, flamenta re .…
160. P. szetschuanica m.
fig. 125.
La
59. P. Cr m.
üg.
folia radicalia numerosa habent.
139. Pedicularis abrotanifolia M. Bieb. in Stev.
Mon. 22 t. 5 f. 1. (mediocris). Ledeb. FI. Ross. IIT,
273.
Hujus speciei formae duae occurrunt:
a. Altaica: galeae angulo apicali inferiore pro-
tracto labium parum superante, ovario ovatooblongo.
Sibiria altaica (Pallas! in hb. Steph., Bunge!,
Kar. Kir.!) v. gr. ad Tschujam (Gebler!); Songaria:
Alatau (Fetissow!, Kuschakewicz!); Ural: gub.
Perm, ad fontes fl. Koswa in monte Koswinski kamen
(spec. 1. invenit Teplouchow! Julio 1886).
. Mongolica: galeae angulus apicalis inferior
mere acutus v. vix obsolete lateque productus et rarius
infra apicem utrinque 1-dentatus labium !/, superans,
ovarium late ovatum, flos paulo minor. P. abrotani-
folia Turez. FI. Baic. Dah. II, 357.
Mongolia borealiorientali: ad lacum Kossogol (Tur-
czan.!) Intra limites imperïi rossiei nondum lecta.
Filamenta in utraque varietate glabra ‘/, superiori
tubi inserta. — Turczaninow accuratius non exami-
nasse videtur, nam ad verbum diagnosin «florae altai-
cae» transscripsit, nil addens imo de floris colore.
140. P. moschata Maxim. in Mél. biol. XI, 286.
Mongolia borealis: Altai australi.
142. P, sima Maxim. 1. c. XI, 284.
Speciei ut videtur rarae spec. 1. denuo lectum ad
limitem Kansu orientalis et prov. Sze-tschuan, valle
fl. Heiho, P. szetschuanicae admixtum (Potanin,
1885).
A typo, e Kansu occidental, recedit bracteis omni-
bus foliaceis amplis calyces excdeutibus.
143. P. ternata Maxim. L c. 98.
Olim in Mongoliae montibus Alaschan lecta, nune
ss Kansu occidentali ad f. Rakogol alt. 10,000
. 8. m., Tibet boreali: latere septentrionali jugi Bur-
tie alt. 11,500 — 13,000 p. s. m. (Prze-
walski, 1880, 1884). — Flos ex autore atrosangui-
neus v. atrocerasinus.
Folia in exemplis nunc lectis fere semper per 4
verticillata. Specc. vetusta caules ferunt usque 4 et
Capsula calyce //
longior, 15 — 16 mm. longa, 7 mm. lata, compressa
ovata acuminata acumine leviter. deorsum curvato.
Semina late ovalia 2—3 mm. longa, testa ochroleuca :
supra nucleum laxa eleganter favosoexsculpta.
593
des Sciences de Saint -Pétersbourg. *
144. P. pilostachya Maxim. 1. c. 99.
Alpibus Nanschan, inter Tibet et Mongoliam finiti-
mis, alt. 11,000 p. s. m. (Przewalski, 1879 ‘flore
atrocerasino»). :
Descriptioni adde: racemus fructifer tum palmaris
basi interruptus. Pedicelli inferiores 4 mm. longi.
Calyx fructifer 14 mm. : 9 mm. magnus. Capsula
17:10 mm. ovata acuta apice vix deorsum spectante,
compressa. Femina pauca maxima (4:2—3 mm.)
compressa pallide brunnescentia, tésta laxa rugosa
more generis crebre celluloso-lineata atque transverse
striolata.
145. P, polygaloides Hook. f. FI. Brit. Ind. IV, 317.
Diffusa pygmaea v. digitalis multicaulis, radice crassa
fusiformi ramosa perenni, cauliculis simplicibus graci-
libus seriatim villosis, foliis radicalibus evanidis, cau-
. linis oppositis usque quaternis brevipetiolatis vel ses-
* silibus ovatis vel ovatooblongis obtusis pinnatifidis in-
cisodentatisque pilosis, verticillis imis remotis fere
omnibus floriferis, bracteis superioribus pinnatifidis;
floribus purpureis pedicellatis pedicello inferiorum ca-
lycem superante, superioribus in spicam densam sub-
globosam approximatis, calyce villoso turbinatocampa-
nulato profunde 5-dentato limbo obliquo dentibus
summo minuto subintegro reliquis ellipticis lobatoden-
tatis, corollae tubo calycem sesqui superante apice
incurvo, galea tubo sesquibreviore labium aequante
porrecta margine versus basin incrassato apice sub-
verticali angulo inferiore in rostrum brevissimum api-
culiforme bilobum porrectum producto, labio latiore
quam longo circuitu transverse rotundato ad medium
trilobo lobis rotundatis lateralibus obliquis medio du-
plo minore basi angustato prominulo, filamentis apice
tubi insertis glabris, ovario anguste ovoideo.
Himalaya: Sikkim (Hooker f., vidi florem ex hb.
Kew commun.), Tibet australi: Chumbi (hb. Calcutt.!).
Ab auctore ad specc. 1—1!/, pollicaria descripta et
inter sparsifolias collocata, nune melius evoluta inter
verticillatas ponenda, inter quas P. pygmagae m. et
P. simae m. accedit, e quibus prior tamen bracteis
trifidis, calycis dentibus integris, labio magno, posterior |
caule elato simplici, foliis longiuscule petiolatis, spica
densa, floribus albidis majoribus, galea labium super-
ante praesertim difiert.
Folia 8:3 mm. (Calyx.6 mm., corolla 12 mm,
longa. Galeae margo basalis incrassatus crassitie fau-
cem versus sensim latiore ad ipsam faucem subito gibbi
in modum desinente. Antherae ovatae loculis acutis
stylo non exserto parum breviores.
146. P. densispica Franch. ined. Ultrapedalis sim-
plex stricta gracilis molliter villosa, radice annua te-
nui, foliis infimis oppositis longe plerisque reliquis
quaternis breve petiolatis anguste v. late oblongis pin-
natipartitis laciniis approximatis e lata basi oblongis
pinnatilobis acuteque dentatis; spica multiflora densa,
bracteis foliaceis appressis pinnatifidis calycem sub-
sessilem ovatum grandidentatum superantibus dentibus
calycinis 5 summo nano deltoideo integro reliquis e
basi angusta integra ellipticis mucronatoincisodentatis,
corollae roseae tubo lato vix e calyce emerso et extra
illum incurvo limbum subaequante, galea subrecta
erecta fronte verticali convexa angulo inferiore in api-
culum brevissimum producto labium ciliatum orbicu-
latoovatum antice trilobum vix aequante lobis latis
lateralibus rotundatis medio ovato producto, filamentis
medio tubo insertis anterioribus superne barbatis, stylo
incluso stigmate vix crassiore ovario ovato.
China: Yunnan, pascuis elatis montis Tsang-chan
supra Tali (Delavay! in herb. Paris.)
P. verticillatae robustiori non absimilis.
Specc. praesto 3, quorum 1 cum caule accessorio
breviore ascendente ad basin, 1 cum ramulis erum-
pentibus ex axillis superioribus. Folia infima petiolo
2 cm., lamina 30:7 mm., mediorum caulinorum ver-
ticilli 2—3 petiolo 5 mm., lamina 25 : 12 mm. Spica
cm. Calyx 7—8 mm. tubo 5-costato 5-nervio neque
reticulato neque fisso. Corolla 13 mm., galea 8 — 9,
labium 10 mm. longum et latum vix areolatum. An-
therae oblongae ochraceae loculis obtusiusculis. Stigma
stamina aequans. Diseus ad basin ovarii hinc rotun-
datotumidus.
147. P, violascens Schrenck in Bull. phys. math.
Acad. Petersb. I, 79. Enum. pl. nov. II, 22. Bge in
Ledeb. FI. Ross. III, 270. P. amoena var. violascens
Regel PI. Semen. n. 809. P. Korolkowi Regel in
Acta h. Petrop. VI, 349.
Songaria, variis locis; Tübet boreali: ad ripam fl.
Ladronum, 13,500 p.s. m., cum P. cheilanthifolia,
| pratis alpinis secus fl. Kon-tschün-tschü, 13—14,000
p. s. m. (Przewalski, 1884).
#
|
595
Bulletin de l’Académie Impériale
596
A P. amoena labio galeam aequante parvulo, co-
rollae tubo supra medium (nec supra basin) infracto,
verticillis floralibus saepius jam supra basin caulis in-
cipientibus distinguenda. Capsula autem in utraque
oblique acuminatoovata calycem subduplo superans.—
Typica planta Schrenckiana habet calycis dentes an-
guste deltoideos passim subserratos, labium galea in
flore deflorato brevius, sub anthesi subaequans, corol-
lam 16 mm. longam, fide Bunge violaceam, ?. Ko-
rolkowi calycis dentes similes v. lanceolatos et distincte
serratos (nec integros, ut ex sicc) statuit auctor spe-
ciei), galeam labium subaequantem, corollam etiam
16 mm. quoad colorem ignotam verosimiliter similem,
planta #betica denique calycis dentes ellipticos serra-
tosque, galeam praecedentis, corollam 18 mm. lon-
gam, ex collectore roseoalbam. Omnes igitur conspe-
cificae mihi videntur, etsi nonnihil variabiles.
148. P. microchila Franch. ined. Perennis digitalis
diffusa glabriuscula, radice fusiformi, foliis 4-nis ob-
longis infimis longe superioribus brevissime petiolatis
pinnatilobis lobis depresse rotundatis antice acute den-
_ tatis, racemis brevibus densis plurifloris, bracteis folia-
ceis calyce longioribus, calyce brevipedicellato parce
setoso late ovoideo grandidentato dentibus 5 ovatis
acutis denticulatis, corollae rubrae tubo basi infracto
calyce plus duplo longiore galeam basi refractam tum
areuatoineurvam longissimam fronte verticali angulo
inferiore subprotracto aequante, labio quam galea plus
duplo breviore latiore quam longo rotundato antice
trilobo lobis rotundatis medio paulo prominente mi-
nore, filamentis supra basin tubi insertis glabris, an-
_ theris ovarioque late ovatis, stigmate capitato incluso.
China: Yunnan, monte Tsang-chan supra Tali, 3800
M. 8. M. (Détavaÿt). |
Galeae forma et longitudine insignis.
Folia infima petiolo 15 mm., superiora 2 mm., la-
mina Omnium circiter 10:5 mm. Calyx 4 — 5 mm.
membranaceus obseurus 5-costatus 5-nervius haud
reticulatus dentibus herbaceis. Corolla 4 mm., galea
10 mm., labium parce venosum 10 mm. latum 4 mm.
longum. Antherae brunnescentes loculis acutiusculis.
Le Discus cirea ovarium hinc breve tumidus.
149. P. pygmaca. | Radice tenui fasiformi, caule ad
: summum
. mato, folis |
LA! ticillo altero
ÉRRTS ; ge
»Squip to simplici i basi pancisqua-
petiolatis quaternis linearioblongis pinnatisectis seg-
mentis imbricatis rotundatis v. ovalibus mucronatoden-
tatis, verticilli caulini alterius sessilibus consimilibus
racemum spiciformem globosum densum fulcientibus,
bracteis inferioribus foliaceis reliquis tripartitis denta-
tisque calycem excedentibus, calyce globosoovoideo
inflato longe hirsuto ventre fisso dentibus 5 integris
deltoideis inferioribus 2 brevissimis summo angustiore,
corollae roseae tubo supra basin infracto calyce sesqui-
longiore, galea tubum fere aequante erecta recta apice
cucullatoverticali angulo inferiore protracto in api-
culum rotundatum, labio amplo galeam superante lobis
truncatis terminali duplo minore basi constricto rotun-
dato, filamentis glabris, antheris contiguis, ovario glo-
boso-ovoideo.
Tibet boreali: decursu medio f. Dshagyn gol, ripa
graminosa limosa frequens (Przewalski, 1884).
P. polygaloidi Hook, f. affinis, sed bracteis trifidis
et labio amplo etiam P. amoenae Ad. proxima.
Annua videtur. Vaginae ad basin caulis oblongae
acutae fuscescentes. Folia radicalia saepe plura, ima
caulina iis et sequentibus quaternis valde approximata
passim opposita, cum petiolo laminam subaequante 16
mm. longa cum caule pilosa jugis 6—10. In specc. 2
e numerosis collectis prodeunt ex axillis infimis rami
2 apice florituri, nunc caule multo breviores. Flores in
spica usque 30 breve pedicellati 9 mm. longi. Calyx
pilis longis patentibus saepe purpureis praesertim ad
costas hirsutus corolla duplo brevior, antice ad medium
fissus. Corolla tubo lato labium inferius aequante supe-
rius vix superante, galea fere P. polygaloidis Hook. f.,
sed minus expresse rostrata.
150. P. amoena Ad. Maxim. |. e. 97. excl. pl. Hi-
mal. et synon. Rgl. PI. Semen. n. 809.
Locis a me olim enumeratis adde: Mongolia boreali:
jugo Hanhai ad fl. Teksch, regione montana circa la-
cum Ubsa in trajectu Ulan-Daban (Potanin, 1877,
1879).
151. P. Kansuensis Maxim. 1. c. 287.
Kansu occidentali olim legit Przewalski, nune ex
ejusdem parte orientali e pluribus locis vallis fl. Tao-che
attulit Potanin, 1885.
Var. fl. albo moschodoro.
= Sze-tschuan boreali: ad fl. Nerechu prope Lan 2
Tschan-la (Potanin, 1885).
597
des Sciences de Saïint-Pétersbourg.
598
152. P, spicata Pall. Maxim. 1. c. 97.
E Mongoliae australis orientalis montosae collibus
cirea Siwan-tze mis. rev. pat. Artselaer, 1879.
153. P. lineata Franch. ined. Caule flexuoso spitha-
maeo sub nodis ad petiolos calycesque dense hirsuto,
foliis caulinis imis oppositis reliquis paucis ternis v.
quaternis petiolatis cordatoovatis v. oblongis pinnati-
lobis dentatisque, spica pluriflora brevi basi interrupta,
bracteis foliaceis, calyce brevissime pedicellato ovato
breviter 5-dentato dentibus subtriangulis ellipticisve
parce acute dentatis, corollae purpureae tubo gracili
calycem duplo superante labium aequante, galea labio
plus duplo breviore leviter incurva fronte verticali basi
fissa, labio ex angusta basi transverse rotundato trilobo
lobis rotundatis subaequalibus, filamentis infra medium
tubum insertis glabris, ovario ovatooblongo stigmate
capitellato breviter exserto.
China: Yunnan, ad angustias Yen-tze-hay supra
Lankong, 3500 m. s. m. (Delavay!).
Simulat P. szetschuanicam m.
Petioli infimi 25 mm., lamina 13: 8 mm., foliorum
mediorum petioli 8 mm., lamina 20:13 mm. Calyx
6 mm. membranaceus tenue 5-costatus 5-nervius,
dente summo integro. Corolla 17 mm., galea 3,5 mm,
labium 8 mm. longa, hoc 10 mm. latum, tubus intus
fere a basi et usque ad faucem breviter pilosus. An-
therae late ovatac obscure ochraceae loculis acutis.
154. P. likiangensis Franch. ined. Spithamaea sim-
plex pube rufa parce villosa, caule gracili erecto, foliis
oblongis v. ovatooblongis acutis pinnatipartitis laciniis
ovatis pinnatilobis, radicalibus Jamina longius, caulinis
4-patim verticillatis breve (PÉDALE, racemo hier plu-
rifloro interrupto, bract
calyce brevipedicellato braunechirguto ovato ventre
fisso grandidentato dentibus subulatis integris, corollae
rubrae tubo extra calycem infracto eumque dés duplo
fronte verticali convexa, labio galeam plus duplo super-
ante latiore quam longo trifido laciniis ovatis subae-
qualibus, filamentis //, inferiore tubi insertis longioribus |
superne barbatis, germine late ovato stigmate capitel-
Jato exserto.
China: Yunnan, Likiang, Sueechan, 4000 m. s. m.
(Delavay! in herb. Paris.)
se Cum praecedente P. spicatae Pall. affinis.
Radix deest. Folia radicalia petiolo 3 cm., lamina
10:8 mm.; caulina verticillis 2—3 disposita petiolo 8
m., lamina 18:10 mm. Calyx 6 mm. totus membra-
naceus 5-costatus 5-nervius, setis saepe lilacinis hir-
sutus. Corolla 15 mm., galea 3—4 mm., labium 8 mm.
longa; tubus intus infra genu pilosus. Filamenta basi
aequalia pilosa, antherae rotundatoovatae loculis acutis.
155. P. plicata. Caespitosa caulibus simplicibus,
foliis linearioblongis inferioribus oppositis reliquis
paucis per 4 verticillatis pinnatisectis segmentis oblon-
gis pinvatifidis lobis mucronatis subdenticulatis; spica
terminali densa brevi (verticillo imo passim remoto),
bracteis pinnatifidis, calyce campanulato hinc fisso
5-dentato dentibus summo imisque 2 minoribus omni-
bus late ellipticis mucronatoincisoserratis; corollae
tubo supra basin infracto breviter exserto labium ae-
quante galeam superante, galea subarcuata apice ro-
tundata utroque angulo obtuso, basi supra faucem
gibba cum plica induplicata obliqua inter gibbum et
apicem, labio galeam superante lobis denticulatis trun-
catis lateralibus oblique semiorbiculatis terminali ro-
tundato basi constricto minore, filamentis glabris, an-
theris contiguis, ovario ovoideo.
Kansu orientali: cacumine montis Tschagola, P. versi-
colori admixta; Sze-tschuan boreali: trajectu Gumà-
kikà, nec non ad fontes fl. Atu-Lunwa(Potanin, 1885).
Galea quovis latere plica profunda prominente in-
structa tantum sequenti comparanda, ceterum P. viola-
scenti Schrenck affinis, cujus galea passim etiam pli-
cam parum indicatam v. etiam 2—3 quovis latere
ostendit, quae vero differt flore multo minore ex roseo-
violascente (in nostra, cum P. versicolore confusa, fla-
vescens videtur), galeae angulo inferiore acuto, spica
interrupta, bracteis trifidis, filamentis duobus barbatis,
calycis dentibus parum inaequalibus parce v. àon
denticulatis. — Ob galeam utroque angulo apicali ro-
superante labium sesqui excedente, galea nana incurva tundatam ad seriem Caucasicarum accedit, sed tubo
infracto recedit. .
Palmaris usque spithamaea, statu sicco nigrescens.
Rhizoma brevissimum saepissime ad collum reductum,
radice fasciculata sat tenui. Caulis ad angulos, folia
subtus parce villosula. Folia radicalia pauca v. nulla e. . :
petiolo laminam 20 : 5 mm. magnam v. minorem super-
ante, caulina verticillis 1—3 4-na brevipetiolata linea- mr
rioblonga, lamina usque 45: 8 mm. Spica maxima
599
Bulletin de lPAcadémie Impériale
600
7 em. longa, verticillo infimo tum intervallo 2 cm. a
reliquis remoto bracteisque foliiformibus. Bracteae
summae linearioblongae integrae calyce breviores. Ca-
lyx LA re sua pilis longis sccus costas margine-
que hirsutus, 5-costatus 5-nervius, 7 v. 10 v. 13 mm.
longus, corolla eorundem 15, 20, : mm. Stamina
supra basin corollae altitudine baseos styli inserta, ad
ipsam insertionem deltoideodilatata et puberula. An-
therae ovatae loculis acuminatis brunneis.
156. P. rupicola Franch. ined. Caespitosa vix spitha- |
maea caule crasso parte hypogaea squamata epigaea
ipsa basi in ramos diffusos arcuatoascendentes divisa,
squamis foliisque imis oppositis foliis plerisque reli-
quis 4-im verticillatis lanceolatis v. ellipticis pinnati-
sectis segmentis ovatis pinnatipartitis lacinulis pinnati-
fidis mucronatodentatis; spica in omnibus ramis termi-
nali brevi densa verticillis basalibus 1—2 remotis
bracteis pinnatisectis, calyce campanulato ventre fisso
5-dentato dentibus rotundatis mucronato-incisoserratis
summo minore ventralibus decurrentibus, corollae
roseae tubo intra calycem infracto eumque nec non
limbum duplo superante, galea subarcuata apice rotun-
data angulo inferiore acuto cum plica superficiali ob-
liqua secus partem anteriorem marginis, labio galeam
superante lobis depresse rotundatis medio prominente
paulo minore, filamentis infra medium tubum insertis
glabris, ovario late ovato.
China: Yunnan, Li-kiang monte Suée- chan, 4000 |
m. S. m. inter fragmina rupis calcareae (Délarayl
in herb. Paris.)
P. plicatae m. proxima.
Statu sicco nigrescit. Radix crasse fusiformis. Squa-
mae hypogaeae ovatae basi approximatae sursum remo-
tiores. Caulis 5 mm., rami 4 mm. crassi ad angulos
parce villosuli. Folia verticillorum 2—3 infimorum
petiolo 20 mm., lamina 15 : 10 mm., superiorum verti-
cilli jam vulgo florigeri petiolo 10 mm. lamina 30:10
— 13 mm. Calyx 9 mm. hirsutus tubo 5-costato nervis
_intercostalibus paucis evolutis. Corolla 20 mm. tubo
intus ad genu piloso. Antherae ovatae ochraceae
loculis acutiusculis. nes ad basin ovarii hinc tumi-
dulus.
157. PR. Roylei Maxim. L c. 288. P. amoenae var.
. tem ©. 97. P. verticillata Ant. À. Tndicae. |
nf f. Yang-tze, 13000 |
| Tibet boreal
ie. tonnet ont
à
p.s. m., trajectu 14,700 p. s. m. alto inter fl. Tala-
tschü et Bü-tschü, secus fl. Djao-tschü et Kon-tschün-
[tschü (Przewalski, 1884); Chinae prov. Sze-tschuan
parte boreali: valle fl. Ksernzo, alpe Ssü-ye-schan, ad
limitem nivis aeternae (Potanin, 1885). E Himalaya
occidentali, praeter exempla olim examinata, denuo
accepimus s. n. P. verticillatae e Sauch pass (ex hb.
Kew.), e pluribus locis Garhwal (Duthie, 15—16000
p. 8. m.), e Tibet australi: Chumbi (hb. Calcutt.)
Specc. Przewalskiana florere incipientia a basi
arcuatoramosa ramis cauli aequilongis apice spica juve-
nili instructis, caule principali fere a basi florifero.
Folia saepius pinnatisecta segmentis lanceolatis pin-
patifidis partitisve, sed occurrunt et pinnatipartita
partitionibus oblongis pinnatifidis lobatisve illis P. ver-
ficillatae simillimis. Antherae occurrunt contiguae et
intervallo pl. m. distincto latitudinem antherae tamen
haud attingente sejunctae.
158. P. verticillata L. Maxim. 1. c. 95 excel. varr.
Stationibus enumeratis adde: Mongolia: jugo Han-
hai, sylva acerosa ad fl. Urtu-Tamir, regione Ordos
prope lacum Tschagan-nor; China: Kansu orientali
circa monaster. Dshoni, 8820 p. s. m., Sze-tschuan
septentrionali trajectu alpino inter fl. Atu-Lunwa et
Honton-Lunwa, nec non m. Kungäla (Potanin, 1885,
11886); Tibet boreali: in pratis 14,700 p. s. m. inter
fl. Tala-tschü et Bü-tschü (Przewalski, 1884).
Planta asiatica et americana (alaskana) plerumque
robustior et elatior quam ewropaea et tum spicis inter-
ruptis instructa. Galeae apex variat mox aequilatus ac
reliqua pars galeae, mox paulo latior ob angulum in-
feriorem subproductum. Angulus hic protractus item
occurrit mox acutus mox quasi truncatus. — Pleraque
specc. Potaniniana hirsutiora quam ulla alia a me
visa. Przewalskiana tibetica nana (2 — 3-pollicaria
compacta) à typo nonnihil recedunt calyce interdum
3-dentato dente 1 v. altero bilobo v. omnibus integris,
_corollae tubo calycem sesqui nec duplo saltem super-
ante et labii lobis truncatis, atque talis forma e semi-
nibus a 1880 in Kansu dit lectis me 1883
in horto Petropolitano florebat. |
159. P. refracta Maxim. in Mél. biol. XI, 289. :
China: prov. Kouy-tcheou (Perny in herb. Paris)
Specc. 2 florentia parvula huc cum dubio rene ob, .
di reticulatum et filamenta pilosa.
601
des Sciences de Saint -Pétersbourg.
160. P. szetschuanica. Villosa v. glabrata, simplex
spithamaea v. e collo ramosa 1°/-pedalis, radice debili
ramosa ad collum squamata, foliis radicalibus longe
petiolatis cordatoovatis cordatooblongisve pinnatilobis
atque dentatis, caulinis floralibusque inferioribus bre-
vius petiolatis similibus, racemo brevi multifloro denso
v. basi interrupto, bracteis petiolatis v. basi attenua-
tis oblongis acumine foliaceo serrato reflexo; calyce
ovoideo inflato 5-dentato dentibus summo imisque 2
anguste deltoideis saepius integris, lateralibus 2 majo-
ribus ovatis v. ellipticis dentatis; corolla rosea illam
P. refractae referente, sed angulo galeae inferiore
saepe in apiculum protracto v. praeterea infra apicem
utrinque dente subulato distinctissimo instructo, fila-
mentis glabris, antheris contiguis, capsulis 2. re-
fractae. — P. verticillata Franch. PL David. II, 68
n. 257.
Prov. Kansu orientali et Szetschuan boreali multis
locis alpinis (Potanin, 1885).
Valde affinis ?. refractae Maxim. ( intémiode); sed
signis datis distinguenda atque tenuior et gracilior.
Quoad staturam, foliorum latitudinem et floris mag-
nitudinem valde varians. Folia radicalia fasciculorum
sterilium petiolum triplo longiorem habent quam la-
mina 10:6 mm. magna, illa basin caulis circumdan-
tia 30:20 mm. magna petiolos aequant. Folia cau-
lina in exemplis parvis macris 5 : 2 mm. petiolo multo
longiora, in elatis robustis 40 : 25 mm. petiolos vix
superantia. Racemus usque 6 cm. longus, in pygmaeis
_bipollicaribus ad verticillum unicum 4-florum reduc-
tus. Calyx 5—7 mm,., pilis mox parcis rigidiusculis
elongatis roseo suffusis, mox copiosis mollibus cinereis,
tubus secus costas a medio sursum reticulatus dentes
triplo superans. Corolla 10,5 — 16 mm. longa. Ga-
lea simili modo varians ac in P?. verticillata supra ex-
posui, accedentibus tamen passim dentibus subulatis
infraapicalibus ultra 0,5 mm. longis, nec non cristula
angusta ad marginem dorsalem semper evoluta, passim
aute apicem desinente. Filamenta basi tubi inserta
ibique pilosula ceterum glabra. Ovarium late ovatum. |
Series 17. Caucasicae Maxim. Il. cc. 99, 289.
Calycis dentes 5 lanceolati (in P. Kingü minuti
deltoidei). Corollae tubus medio incurvus vel rarius
rectus (nec infractus). Uterque angulus apicalis galeae
Species hujus seriei in subseries duas dividendae,
quarum altera plantas humiles, altera elatas continet.
Posteriori hucusque ex unica P. molli W all. constanti,
nunc accedit nova ndica, ab illa quidem toto coelo
diversissima, sed corollae tubo galeaque continuis rec-
tis, labio nano calyceque campanulato consentiens.
Corollae tubus medio incurvus, on cylindri-
cus 5-dentatus dentibus subintegris, 2
Corollae tubus galeaque recta as té calyx
au at labium nanum galea multo
2, Labiun galea sb/srS 8.
giu
| 3. Bhacteus as niernée- flores albidi,
ovarium globosum, folia 4-na pion atpartita
sLr, A Mere Boiss.
Bracteae trifidae, flores purpurei, ovariumn Tab. IV. fig. 1£
ovoideum, folia 3-na pinuatisecta rhac pi
CU se PR RTE D EN EN OPA PES UT TR 2. P, Bourgeaui m.
4, Folia pinnatipartita rhachi serrata, bracteae fig. 128.
oblongae lamina brevi serrata, flores albi,
labii lobi truncati, ovarium globosum 168.
Folia PAS gt a 2 integra, ‘bractese
rhombeae v. ovata 8-fidae v. serratae, capsula
calyce longior. 5.
Folia nr bracteae rhombeae 3-fidae et
serratae, corollae roseae tubus elongatus extra
calycem incurvus, “abit lobi rotundati medio
ad b 2 LE FN ET À À 1 : PA F4 4
P. Semenowi Rgl1.
fig. 129.
acuminata
Folia 4-na, bracteae ovatae serrulatae, corollae
albae tubus intra calycem incurvus, la bii lobi
emarginati medio sessili, capsula lanceolata
acuminata recta 165. P. caucasica M. B.
4, P. cadmea Boiss.
nest nus.
Folia per 5 verticillata, calyx 5-fidus
niis lanceolatis cristatis, labium ciliatum la-
tius quam longum.…...
Folia opposita, calyx brevissime 5- dentatus
és en labium glabrum Er
ol
166, P. mollis Wall.
fig. 126
LÉ & Fr Prain.
161. P. pycnantha Boiss. Maxim. 1. c. 291. P.
Olgae Rgl. PI. Fedsch. 61.
Stationibus adde: Himalaya occidentalis: Gilgit
(Dr. Giles!); Turkestan: valle ff. Sarafschan (0. Fed-
tschenko!).
Tubus corollae P. Olgae non basi infractus, sed rec-
| tus est.
167. P. Kingü Prain ined. Parce pubescens, caule
pedali filiformi apice breve ramoso, foliis oppositis om-
nibus petiolatis ovatis pinnatisectis segmentis saltem
cauli propioribus petiolulatis oblongis pinnatifidis la-
ciniis ovatis mucronatodentatis; floribus axillaribus
versus apicem caulis atque ramulorum pedicellatis, ca-
lyce campanulato limbo truncato brevissime 5-dentato
: SLriIcta
Bulletin de l’Académie Impériale
604
dentibus integris, corolla tenera recta tubo late cylin-
drico galeam aequante calycem fere duplo superante,
galeae fronte rotundata cucullata labium stipitatum
subquadratum antice trilobum duplo superante lobis
labii lateralibus minoribus acute ovatis medio promi-
nente rotundato concavo, filamentis supra basin tubi
insertis longioribus versus apicem parcissime pilosis,
ovario ovato stigmate subexserto.
Himalaya: Sikkim, ad Gangtuk (hb. Calcutt.!)
Species paradoxa et sui juris, ob racemos breves
axillares, corollae formam et Jabium minutum inter
Verticillatas abnormis.
Folia inferiora petiolis 3 em., lamina 4:3 cm. Ra-
cemi 4—6-flori e ramulis axillaribus filiformibns et
verticillis foliorum florumque distantibus 2—3 con-
stantes, in axillis caulinis superioribus flores singuli.
Calyx 3,75 mm. membranaceus margine villosulus
5 costatus 5-nervius. Corolla 16 mm. tenuiter mem-
branacea nervatione vix conspicua, ex sicco rosea.
Galea vertice ante apicem pilosula. Filamenta basi
dilatata inserta. Antherae ovatae loculi acuminati.
Series 18. Lyratae.
Calycis dentes 5 lanceolati. Corollae tubus rectus
Y. una intra calycis Ds incur vus. Galea labium
| p .rarius aequans,
dies Sr boacs saccatoproducta et retire infra sac-
cum 1-pluridentata.
Galea utrinque 1-dentata, flos ruber, labium
galeam subaequans
Galea utrinque 8—5-dentata labium longe
superans, flores albi v. lutei
2. Folia oblonga pinnatisecta, corollae tubus ca-
lycem duplo superans et intra ejus limbum
incurvus, planta elata Feu: 168. Ft . melampy pyrsfoie Franch.
AT E V. fig. 132.
calyce sesquilongior rectus, pl. spithamaea. .
169. P,. ea Franch.
3. Spithamaea, folia oblonga, corollae luteae fig. 133.
tubus calyce parum longior, galea Ra
tata 170. P. lutescens Franch.
Pygmaea ro Cr folia cordatoovata lon- fig, 134.
sé gras orollae albae tubus HSE
uplo excelens, Le utrinque 3-den-
...
171, P. lyrata Prain.
fig. 135.
168. P. melampyrifolia Franch. ined. Sesquipedalis
stricta su pube erispula rufa pu-
berula, radice annua ramosa, foliis 4-im verticillatis
ŒVCVENC !
a. rhachi dentata Ra pers oblongis #
puberulus penna anserina parum tenuior.
_breve petiolatis lanceolatis pinnatisectis superioribus|
natifidis acuteque dentatis, racemis caulem ramosque
terminantibus interruptis plurifloris, bracteis foliaceis
calyces superantibus, calyce pedicellato membranaceo
breve cylindrico grandidentato dentibus 5 late ellipticis
mucronatodentatis, corollae rubrae tubo calycem lim-
bumque duplo superante et intra prioris dentes incurvo
superne sensim ampliato, labiis aequilongis superiore
tubo continuo fronte ultraverticali in rostrum brevissi-
mum latissimum infra apicem utrinque dente deltoideo
majusculo instructum producta, labio inferiore ex an-
gusta basi late rotundato antice 3-lobo lobo medio de-
presse hemisphaerico parum prominulo lateralibus mi-
nore, filamentis supra basin tubi insertis glabris antheris
rotundatis, disco ad ovarii late ovati basin hinc in
processum brevem latum tumente, stigmate capitellato
incluso.
China: Yunnan, ad pedem montis Yang - in- chan
prope Lankong (Delavay! in herb. Paris.)
Exsiccata nigrescens. Caulis angulatosulcatus sulcis
Folia infe-
riora petiolo 12 mm., lamina 60:25 mm. Pedicellus
calyce duplo brevior. Calyx brunneus 7 mm, regula-
riter 5-costatus 5-nervius. Corolla 17 mm. ventre
intus secus plicas breve pilosa. Filamenta basi tubi
dilatatodecurrentia cellulosa. Galea parte basali labü
superioris longior, supra rostrum plica longitudinali
prominula instructa.
169. P. deltoidea Franch. ined. Palmaris v. spitha-
| maea griseopubescens, radice tenui fasciculata, caulibus
1—3 simplicibus crebre sed remote foliatis, foliis par-
vulis supra glabris subtus villosis oppositis v. ternatis
brevissime petiolatis e basi truncata deltoideoovatis
obtusiusculis pinnatilobis cartilagineodentatis, racemo
brevi multifloro denso v. basi brevissime interrupto,
bracteis foliaceis et summis calycem aequantibus, calyce
distincte pedicellato membranaceo cylindrico villoso
5-dentato dente summo subulato integro reliquis paulo
majoribus oblanceolatis obtusis basi integris ceterum
obtuse paucidentatis, corollae «rubrae» erectopatulae
tubo recto calycem limbumque sesquisuperante ad fau- :
cem dilatato, labio superiore tubo continuo galeam in-
curvam fronte plus quam verticalem infra apicem mi-
nute v. passim obsolete dentiferam duplo superante,
labio inferiore breviore erosodenticulato profunde 3-
lobo lobis rotundatis subaequalibus, filamentis supre
\
605
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
606
basin tubi insertis ibidemque pilosis ceterum glabris,
antheris rotundatis loculis acutis, disco hinc in cornu
ovario oblongolanceolato duplo brevius protracto, stig-
mate capitellato e galea exserto.
China: Yunnan, in lapidosis Tsangchan supra Tali,
3000 m. s. m., nec non montibus Koua-la-po prope
Hokin, 3000 m. s. m. (Delavay! in herb. Paris.)
Foliorum verticilli infra florigeros 4—8, folia cum
petiolo 8 :6 ad 12:8 mm. Calyx 10 mm. tenue 5-co-
status et 5-nervius. Corolla 24 mm. Antherae ochra-
ceae.
170. P. lutescens Franch.ined. Spithamaea simplex
v. ramosa hirsuta, radice tenui fasciculata, caule tereti,
foliis imis oppositis ceteris ternis brevipetiolatis e basi
truncata ovato- v. rite oblongis obtusis pinnatilobis
lobis ovatis inaequaliter dentatis dentibus acutiusculis;
racemis brevibus densis apice caulis ramorumque om-
nium, bracteis foliaceïs florem v. summis calycem su-
perantibus patulis, calyce brevissime pedicellato mem-
branaceo breve cylindrico grandidentato dentibus 5
summo minore triangulari integro reliquis ex angusta
integra basi ellipticis acute dentatis, corollae luteae
magnae tubo recto calycem vix excedente labio superiore
toto incurvo sesquibreviore labium inferius aequante,
galea subhorizontali basin labii sui subaequante fronte
rotundata cucullata infra apicem subtus ad marginem
approximato-4—6-dentata, labio inferiore sesqui-
. breviore ex angusta basi rotundato usque ad medium
trilobo lobis rotundatis subaequalibus argute erososi-
nuatis medio valde prominente, filamentis basi dilatata
1, inferiori tubi insertis glabris, disco hinc in cornu
acuminatum apice hamatum dimidium ovarium ovato-
oblongum attingens tumente, stigmate capitellato ex-
serto..
China: Yunnan, angustiüis Yentze-hay supra Lan-
kong, 3200 m. s. m. (Delavay!)
Fibrae radicales anguste fusiformes atrae. Caulis
pennà corvinà tenuior, ramis dum adsunt erectis debi- |
libus ex verticillis inferioribus dimidium caulem su-
perantibus. Folia infima opposita petiolo 10 mm. la-
minam ovatam aequante, verticillata majora petiolo 8
. mm, lamina 50 : 20 mm. Racemus sub anthesi ovatus,
rarius flos basalis unus v. alter remotus. Bracteae fo-
_ liaceae petiolo dilatato et breviore. Calyx 12—15 mm.
« 5-costatus nervis intercostalibus incompletis in reticu-
Tome XXXII.
Jum laxum areolatum solutis, dentibus herbaceis. Co-
rolla membranacea 25 mm., tubo cylindrico fauce vix
dilatato intus ventre piloso. Labium parce laxeque
venosum non areolatum 20 mm. longum, 22 mm.
latum, plicae ad faucem latae prominentes. Labium
superius 15 mm. longum, 3,5 mm. latum, parte basali
quam ipsa galea paulo angustiore, galea usque in to-
tum cucullum crista angusta dorsali marginata, dentes
subulati inaequales anteriores minores, Antherae ante
cucullum locatae ovatae.
171.P.lyrata D. Prain inlitt. Bipollicaris subacaulis
pubescens, radice tenui ramosa collo pluricipiti, foliis
oppositis subcordatoovatis obtusis grandicrenatis den-
ticulatisque petiolum aequantibus, bracteis foliaceis,
floribus laxe racemosis breve pedicellatis, calyce her-
baceo tubuloso hirsuto tenue costato reticulato grandi-
dentato dentibus 5 summo subulato integro reliquis ex
angustiore longiore integra basi breve ellipticis parce
dentatis, corollae «albae» elongatae rectae tubo angu-
ste cylindrico ad faucem parum dilatato calycem duplo
labium superius sesquisuperante, galea adunca fronte
rotundata cucullata deorsum breve producta et infra
apicem utrinque 3-dentata, labio duplo breviore ro-
tundato erosocrenulato ad medium trilobo lobis rotun-
datis medio majore toto prominente, filamentis supra
basin tubi insertis glabris, disco hinc in processum
brevem ovoideum tumente, ovario oblongolanceolato,
stigmate capitato incluso, capsula oblonga acuta caly-
cem superante.
Himalaya: Chumbi et Phari, ad Ting (hb. Calcutt.!).
Spec. missum unum,. Petioli 6 — 8 mm. longi, la-
mina 6—8:3-—6 mm. magna. Bracteae calycem
aequantes basi submembranaceae leviter attenuatae
ovales pinnatilobae denticulatae hirsutae. Calyx 7 mm.
costis nervisque intercostalibus tenerioribus quinis
inter se reticulatis. Corolla 19 mm. tubo galeaque 2
mm. latis, apice galeae cucullato tamen 3,5 mm. lato.
Galea quam pars basalis labii superioris brevior. Tu-
bus ventre versus faucem parce hirsutus. Filamenta
dilatata basi inserta, antherae ovatae loculis acutis.
Series 19. Palustres Maxim. I. c. 111.
Huc pertinent: 172. P. sylvatica L.; 173. P. euphra-
sioides Steph., confer nostram fab: IV. fig. 136 cum on
_ 40
607
Bulletin de l’Académie Impériale
608
fasciculo sequente edendam; 174. P. angustifolia
Benth. fig. 137; 175, P. adunca M. Bieb. fig. 138.
176. P. palustris L. Maxim. L. c. 113.
Stationibus adde: Mongolia boreali: secus f. Kem-
tschik (Adrianow, 1882), ad lacum Ubsa circa mo-
nast. Ulangom (Potanin, 1879) — utraque typica.
Ab hac sejungenda videtur a nonnullis cum ea con-
juncta:
177. P. lusitanica Hoffmsgg. et Link, FI Portug.
I, 306 t. 61. Kunze in Flora XXIX, 738. Nyman,
Syll. fl. europ. ed. 2, p. 553. Steininger in Uhl1-
worm, Botan. Centralblatt, XXIX, 220.
Lusitania! ubique, Hispania.
Habitus P, sylvaticae L. et labium repandodenticula-
tum glabrum hanc à P. palustri L. distinguunt.
Series 20. Canadenses Maxim. I. c. 114.
178. P. canadensis L. conf. tab. IV, fig. 139; et
179. P. crenulata Benth., fig. 140.
Series 21. Sudeticae Maxim. 1.
Clavis data ita augenda:
G +14.
Humiles caulibus re an v. parvifoliis. 2.
2, Spica densa brev
3. Corolla dr pire incurva rostro dentibusque
brevibus
Corolla PTS recta galea ipso apice
adunca erostris ping labium superans,
calycis dentes in
4. Calyx ét dents lanceolatis serratis,
ngalas Ibn AEQUARE LEE sd us ele
Calyx 5- at pare dehoideis integris,
galea labium superans 3. P. scopulorum À. Gray.
5. Calyx tubulosus dentibus lanceoatis acumi- Tab. VI), fig. 148.
natis, filamenta longiora pilosa..... . P. songarica Schrenck.
Calyx campanulatus dentibus Are fila-
menta glabra, planta nana pas caule
VD nr india is Reste. 89, À. ess or tps vor
+. Cetera 180. P. élatam W. Tab. v'âe 141. fig. 1
et 181. P. villosam Ledeb. fig. DE spectantia
ut LE exposita su sunt.
183 EF. écopulorum A. Gray, y ‘fl. N. Amer.
2 ed. JE, 1, 308. P, sudetica var. À. Gray in Amer.
journ. ser. 2. XXXIV, 251.
America boreali: montibus Scopulosis, Coléraia
_(Parry! n. 253, A. Gray! 1872), circa fontes Clear
creek, 11—14000 p.s. m. (Patterson! n. 124, 1885).
182. P, sudetica W.
Habitus P. sudeticae W. et labium pariter denti-
culatum, sed galeà distincte brevius, calycis dentes
| breves integri, capsula calyce parum nec duplo longior.
Vera P. sudetica W. igitur tantum Americae arcti-
cae frigidaeve propria videtur.
185. P. sarawschanica Rgl. PI. Fedtschenk., 61.
Turkestan: valle f. Sarawschan, 7—12000 p.s.
m. (0. Fedtschenko!).
Simillima P. songaricae Schrenck, quae alte alpina
etiam nana fit, attamen signis datis distinguenda vide-
tur. Filamenta in utraque supra basin tubi inserta,
antherae oblongae loculis basi acutis.
Series 22. Comosae Maxim. I. c. 116.
De speciebus europaeis confer ad Steininger, in
Uhlworm, Botan. Centralbl. XXIX, 1887 p. 246,
278 sq., 314 sq. ubi accedunt ad jam à me enume-
ratas P. asparagoides Lap., P. heterodonta Panë.,
P. campestris Gris., P. schizocalyx Lge., P. occulta
Janka et P. petiolaris Ten. Sed P. Sibthorpu Boiss.,
praeeuntibus aliis autoribus, varietas P. comosae L.
declaratur.
Ob has species addendas, alias rejungendas, nec non
ob emendationes nonnullas, clavem hujus seriei novam
elaboravi:
Calycis dentes deltoidei circiter aeque longi
ti.
Calycis dentes lanceolati v. spathulati. 11.
è ere dentes integri
D CNRS es veine ....186. P. schizocalyx Lge.
és purpurei. 4. :
» vi vel albi. 5
4. Calyx reticulatus, labium galeam aequans,
FIMAODRN STATE EL dire idees 187. P. fissa Turcz!}
Calyx non reticülatus, labium er brevius, Tab. VI. fig. 145.
filamenta duo pilosa 88. P. asparagoiïdes Lapéyr.
5. Corollae tubus seriatim longitadinaiter pi-
losus, bracteae triangulae pinna atifidae. 189. P, hatévodonia Panc.
Corollae tubus extus De 6.
. Rostrum longius quam latum, labium galeam
fere aequans, spica cylindrica multiflora,
L 14 LT à | ps! L + 1 2 190 u 8 ME PR RE
[ol
Le
ss sss
a
© .,1
Rostrum latius quam longam. 7. fig. 146.
% sp Age trifidae. 8.
inearilanceolatae, 9.
8. Galea Hans RE ER RM PM pese 191. P. altaica Steph
g. 147. à
ON nn F'RORRS 192. P, venusta Schang.
| \e 148. te
Le “ 1) Tab. VI et VII cum fa ï ul é CN ls
1) P. fissa? apud Hook. fil. FL Brit. Ind. 1%, 316 e e Kamir, “
mihi plane ignota, 5
1
609
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
610
9% dau Sos see parallelae. 1
s ovatae ok fs
ns nues
10. Capsnia oblique. ovata et iron Huuis omosa L.
Capsula recte Dares Ch Te: 195. 7 eampesirés Gris,
11. Flores purpure
» albiv flavi 16.
12. Labium stipitatum
» sessile galea longius latissimum, folia
in lacinias lineares iteratim dissecta....... 200. P. apodochila m.
13. Bracteae re ares. 14. fig. 149.
» eatae palmatifidae
14. Caulis Se bracteae un calycis
ANR LS EM ENV Sn Rd ro es 196. P pr id
Caulis et bracteae serratae, calycis fig. 1
OUT IR ORTE renoue tenues sil 197, P are Ten.
15. Segmenta foliorum pinnatifida, dentes calycis
ee i subaequales, galca distincte +
NA AS Ed Ve Lio tien rrne: 14 se 8. P. uliginosa Bge.
Pen foliorum pinnatipartita, us fig. 151.
calycis subulati, galea brevissime rostrata. 190. P. rubens Ag
16. Labium galea longius, dentes calycis ser- fig. 152
rati.
Galea labio longior. 18.
17. Braëteae tripartitñe, .., .,..,:,...,.,.,.., 201: .P: exe Pall.
fig. 153.
foliaceae serratae............. 2. P. mandshurica m.
18. Bractae cuneatae pinnatifidae, radicis os fig. 154.
IDrAG AOQRAIOR se des es ose 000 0 0»: 203. P, occulta Janka.
dr linear
19. Ex rer à bractene serrata. 20.
» » integerrima. 25.
20. Calycis Lo parce v. non Fr ra ova-
um ovatooblongum. 21.
Calycis tubus copiose reticulatus, capsula
204. P. ne Bge.
21. Spica densa hirsuta v. lanata. 22. fig. 1
» laxa subglabra 205. P.1 1
. Spica flavolanata, Éres semiovata antice
recta calyce multo lon 206. F. lasiostachys Bge.
Spica cinereohirsuta, M cblongoovita fi
caiyce parum longior 207
23. Tota breviter canescens, capsule lanceolato-
oblonga oblique acuminata cal ss duplo lon- .
gior, filamenta 2 parce barbat PE Li Steph.
Spica villosa, capsula are cum 157.
apiculo fere recto calyce parum longior, fila-
menta omnia parce barbata, .209. P. Friederici Augusti Tommas.
Comosas Asiac orientalis 1. c. jam enumeravi, hic
praesertim Mongoliae indigenas nominabo, nam Tibe-
tiam (1. excepta) atque Chinam propriam adire non
videntur.
190. P. dolichorrhiza Schrenck, Enum. pl. nov.
II, 23. Bge. in Ledeb. F1 Ross. IT, 291. Maxim.
1. e. 117. Rupr. Sert. tiansch. 63.
Mongolia boreali: Thian-schan orientali, declivitate
boreali, regione sylvatica fl. Kungess superioris, 4000
p. s. m., sparsa, latere australi, solo limosolapidoso ad
_ pedem parce; Tibet boreali, jugo Keria, pratis alpinis
lapidosis Tschi-wei, 10500—13000 p. s. m., parce
Rite
vs...
ÿ
cures es se
g. 156.
. P. graeca Bge.
ss
FES 2 es do. Schloss.
(Przewalski, 1877, 1879, 1885), Tibet occidentali:
Ladak inter Baltal et Dras, transitu Zoji-la (Hender-
son! Yarkand exped. sub nom. ?. comosae ex herb.
Kew. commun., sed in enumer. plant. hujus itineris
omissa).
Exempla thianschanica media inter typicam et G.
latisectam Rgl. in Act. h. Petrop. VI, 352, tibeticum
e Keria palmare «fi, flavis» et illud e Ladak normalia.
192. P. venusta Schang. Maxim. I. c. 121.
Mongolia borealiorientali: inter fl. Onon et Argun
(Radde!).
Var. F. Schmidt, F1. Sachal. n. 335.
Japoniae ins. Yezo: districtu Kusuri ad Hattanshi
(K. Miyabe, 1884 flor.).
Spec. e Yezo ingens ultrapedale, foliis radicalibus
spithamaeis 2 poll. latis segmentis PAPER solito la-
tioribus.
194. P. comosa L. Maxim. 1. c. 122.
Mongolia boreali : Hanhaï, ad fl. Eder (Kolomeizew),
Altai australi: Dolon-nor (Potanin, 1877).
P. Sibthorpü Boiss. et P. acmodonta Boiss., a me
1. c. X, 118 seorsim enumeratae, in Boiss. F1. Or.
IV, 492. pro var. £. et y. P. comosae L. declarantur.
196. P. laeta Stev. in Bge. apud Ledeb. FI. Ross.
III, 289 c. synon. Trautv. Enuw. Song. n. 863. Rgl.
et Herd. PI. Semen. n. 816.
Mongolia boreali: Altai ad f. Zizirin-gol (otanin,
1877), Sibiria: Altai, ad fl. Tschuja (Gebler), Rid-
dersk (id.), ad fl. Irtysch (Karel. et Kiril.), Ischim
(Lessing) et Tobol (Pallas ex Bunge), Ural australi!
et usque ad deserta secus fl. Wolga, Donez et ultra.
198. P. uliginosa Bge. Maxim. I. c. 118.
Mongolia boreali: ad lacum Kossogol (Turez.), jugo
Hanhai: ad fl. Schuryk, ad fontes #. Chara-Tschilotu,
secus fl. Bogdyn-gol; montibus circa lacum Ubsa ad
Dsussylan et ad fontes fl. Har-kira; Altai meridionali:
montibus Taischir-ola (Potanin, 1877, 1879) et 8.
alpina: ad fines Sibiriae, alpe Altyn-Tschetsche (Kal-
ning). — Distrib. geogr. adde: Ferghana!
199. P. rubens Steph. Maxim. 1. ce. 119.
: Mongolia boreali: ad tractum mercatorium orien- a
talem, regione lacus Kossogol, ad f. Ulei litoris ocei-
dentalis atque valle Arassai; tum valle deserta pedi
Lot
Bulletin de l’Académie Impériale
61?
boreali Thian-schan parallela, non procul a lacu salso
Turkül, spec. 1. (Potanin, 1877, 1880). Distr. geogr.
adde: A/tai orientali ad Tschujam fl. (Gebler!), Sibrria
orientali ad fl. Janam prope Werchojansk (A dams!).
Specc. mongolica incipiente anthesi collecta, vix spi-
thamaea, rarius simplicia, plerumque pluricaulia, ca-
lycis dentibus passim serratis jam accedunt ad pl. 7a-
ponicam. — An planta in Rgl. PI Semen. n. 817 ex
viciniis lacus Saissan revera huc pertinet, ultro inqui-
retur; Trautvetter e Songaria non habet.
Var. baicalensis: spica subglabra, labio galeam
superante, calycis dentibus integris.
Ad Baikalem (Radde).
200. P. apodochila. Omnia P. rubentis Steph., sed
spica parce pilosa, calycis ventre semifissi dentes lan-
ceolati crebre mucronatoserrati, labium galea longius
sessile latissimum ciliatum lobo medio parum minore
quam laterales, filamenta omnia viscidovillosula, ova-
rium late ovatum. P. rubens var. japonica Maxim, I.
GE FI.
Nippon media et boreali (Tschonoski).
Adsunt quidem dentes calycini serrati, spica gla-
brata et labium solito majus passim et in ?. rubente,
sed labium semper stipitatum lobusque medius reliquis
duplo minor invenitur, quam ob rem planta Japonica
. conjungi nequit.
201. P. flava Pall. Maxim. 1. c. 122.
| Locis e Mongolia a me enumeratis, omnibus e re-
gione maxime orientali simulque boreali sitis adde ex
eadem: jugo Hanhaiï, inter fl. Dsabchyn et Gutu, tra-
jectu ad Karagan prope oppidum Ulässutai, inter Chod-
shirtu et faucem ad fl. Schuryk ducentem, ad fl. Tui ex
adverso ruinarum Boro-hoto; Altai australi: alpibus
ad austrum a fl. Zizirin-gol, in glareosis graniticis
Dolon-nor, fauce fl. Tata] (Potanin, 1877, 1886).
_ Foliis puberulis, spica cinereohirsutovillosa, corolla
_ paulo minore erostri a P. physocalyce Bge. distinguenda,
sed bracteae tripartitae passim in utraque occurrunt
et capsula eadem.
206. P. lasiostachys ce in Ledeb. F1. Alt. II, 434.
FI. Ross. IL, 296.
/ Mongolia borealis: Dsussylan non procul a lacu Ubsa
(Potanin, 1879). — Altai: ad f. Tschuja (Bunge!).
| 208. P. achilleifolia Steph. Maxim. LC FA0,
Mongolia boreali: litore boreali lacus Kosogol colle
Wan-Tologoi; jugo Han-hai: trajectu montano ad op-
pidum Ulässutai ducente; montibus circa lacum Ubsa:
Ulan-Daban («fl. alboflavescentes»), trajectu Baïrimen-
Daban, ad fontes fl. Har-kira (Potanin, 1877, 1879,
1880). — E Mongolia australi var. parvifloram 1. c.
olim jam enumeravi.
Adnot. 1. À 191. P. altaica Steph. non diversa,
praeter labium eciliatum, videtur ?, Mariae Rgl. in
Act. h. Petrop. VI, 351. e Songaria prope Wernoje
et Kuldsha. Caléis dentes breves inaequales latiores
quam longos video, ut occurrunt in P. altaica.
Adnot. 2. Ad Comosas galea breviter bidentata
pertinere videtur 210. specimen unicum nondum florens
sub nomine P, breviflora Rgl. in Acta h. Petrop. VI,
352. descriptum, e viciniis Kuw/dsha allatum. Ob ala-
bastra nondum aperta corollaeque colorem ignotum,
species nondum rite describenda est. Ex mea analysi
(tab. VI, fig. 158) tubus corollae atque galea sub
plena anthesi adhuc elongari debent, uti docent fila-
menta nunc supra ipsissimam incrassatamque basin
tubi inserta et apice excepto tota conduplicatocorru-
gata. — Descriptioni cl. auctoris adde: calyx 11 mm.
Jongus breve villosus breviter 5-dentatus, tubo crasse
5-costato costis breve ramulosis, nervis intercostalibus
incompletis passim irregulariter duplicatis, dentibus
acuminatodeltoideis inaequalibus nonnullis parce den-
tatis. Corolla nunc nondum aperta 14 mm. longa,
limbo tubum superante. Tubus latus fauce valde dila-
tatus. Galea falcata apice adunca nunc duplo tantum
longior quam lata vix rostrata rostro truncato breve
2-dentato dentibus porrectis. Labium ex angustiore
basi subito dilatatum in limbum duplo latiorem quam
longum denticulatum, lobis lateralibus subreniformibus
medium duplo minorem vix prominulum fere tegenti-
bus. Filamenta longiora superne barbata. Antherae
ovatooblongae loculis acutis. Germen ovatum stylo
stamina parum superante stigmate vix capitellato.
Series 23. Striatae Maxim. 1. c. 123.
Elatae strictae foliatae. Folia partita v. secta seg-
mentis dentatis incisolobatis v. pinnatifidis. Racemi
multiflori bracteis e basi latiore integra cuspidatis
cuspide integro v. serrato. Calyx profunde 5-dentatus
v.subquinquefidus dentibus lanceolatis integris v. parce 5
k \
613
des Sciences de Saint - Pétersbourg.
614
serratis. Corolla majuscula (20—25 mm.) recta galea
continua adunca suberostri pl. m. bidentata labium
parvum erectum galeam amplectens superans v. ae-
quans. Filamenta longiora superne barbata.
Folia pectinatopinnatipartita laciniis linea-
ribus dentatis, calycis dentes integri, galea
bicuspidata, labium parvum 211. P. striata Pal].
Laciniae foliorum lanceolatae v. ovatae iterum fig. 159
ssae, 2
Folia natisecta segmentis lanceolatis
pinnatifidis, corolla ampla galea bicuspidata
labio denticulato aequilonga, calycis sites
RE NU nl ei dne der sets 212. P. procera À. Gray.
Folia pinnatipartita laciniis ovatis pinnatilo- fig. 160.
bis, ais dentes serrati, labium ae bre-
viu LE rat à ie
Le
COR
211. P. striata Pall. Maxim. I. c.
Loca Mongolica 1. supra citato jam enumerata.
212. P. procera À. Gray Syn. fl. N. Am. IL, 1,
308. Hemsl. in Biol. centr. am. II, 467.
America borealis: Colorado (Jones!, Parry!), Nova
Mexico (Gray).
Comosis, v. c. P. dolichorrhizae et P. comosae 0b
folia simillima, attamen labio galeam amplectente
erecto totaque corollae forma melius cum P. striata
consentiens. Subjungo floris expositionem fusiorem.
Calyx viridis membranaceus 15-nervius et totus
reticulatus costis quam nervi intercostales vix crassio-
ribus. Dentes tubo 4-lo breviores e latiore basi anguste
deltoidei (plus 2-lo longiores quam lati) acuti integri.
Corolla calycem plus duplo superans, dorso breve
glandulosopuberula, tubo recto fauce dilatato intus
versus faucem piloso galeam tubo continuam paulo
excedente. Galea basi angustior quam apice, apice in-
curva, fronte verticali, dentibus ante angulum infe-
riorem abeuntibus acute deltoideis. Labium galeam
aequans, sed si lobum medium recurvum erigis super-
ans, denticulatum, vi expansum circuitu fere quadra-
tum, plicis duabus medianis parallelis prominentibus,
antice trilobum lobis lateralibus medio parum promi-
nulo orbiculato parum majoribus et illum fere tegen-
tibus. Filamenta quadrante inferiore tubi inserta, des D
insertionem incrassata decurrentia, longiora superne
parce pilosa. Antherae oblongae loculis acutiusculis.
Germen ovatum, ita ac capsula quae calycem parum
_ superat. Semina sat numerosa griseobrunnea ovato-
-_ oblonga testa nucleo subappressa more generis sculpta,
_ 3 mm. longa.
213. P. FurbishiaeS. W ats. in Proceed. amer. acad.
XVII,.375. À. Gray, Syn. fl. N. Am. II, 1, 454.
America borealis: Maine (dom-a Furbish!)}, Nova
Brunsvigia (ex Gray).
Ob labium galeae appressum erectum huc pertinens,
etsi ab reliquis duabus satis distincta.
Calyx campanulatus glandulosopubescens 10 mm.
longus 10-nervius et totus reticulatus, fere ad medium
fissus in dentes 5 lanceolatos acutos hinc v. utrinque
1— 3-dentatos. Corolla 20 mm. longa angusta recta
ventre intus praesertim secus medianam labii pilosa,
tubo galeam aequante. Galea basi et apice aequilata
fronte verticali erostris v. suberostris angulo inferiore
enim protracto in apiculum breve latum truncatum v.
subbidentatum erosodenticulatum. Labium galea bre-
vius et illam amplectens, vi expansum tubo parum bre-
vius, Stipitatum, in limbum ambitu orbicularem ad me-
dium 3-lobum dilatatum, lobis lateralibus semirenifor-
-mibus medium anguste reniformem subcucullatum fere
omnino tegentibus. Filamenta supra basin tubi inserta
ibique pilosula, longiora versus apicem pellucide bar-
bata. Antherae ovatae loculis acutissimis. Stylus sta-
mina parum superans stigmate vix tenuior. Germen
ovatum.
Structura corollae hic descripta ab expositione auc-
toris in eo differt quod galea non trientem sed dimidium
tubum aequat et galea apice obsolete bicuspidata in-
venitur.
V. Anodontae.
Series 24. Sceptra Maxim. 1. c. 124.
Clavis 1. c. data sequentibus augenda :
amosus, spica elongata aphylla
Scapus saeper
bracteis dilatatis, floribus magnis labio galeae
rectae TAN Folia pinnatipartita v
2a. rennes foliorum obtuse lobatae, sc:
Na simplex, flores flavi, galea labio para
PONT PE re 214. P. Sceptrum us
Sein menta foliorum pinnatifida, scapus ramo-
sus, flores rosei, labium patens..215. P. gloriosa Biss. et Msobl.
Titulus 4. in clavi ita exponendus:
+ Caulis praeter folia floralia nudus vel sub-
us folia radicalia pinnatisecta vix
superans, spica pauciflora densa, flores albi.
4.
4b. Caulis nr galea a medio incurva
i inferiore acuto labium paral-
lelum Paso ee superans, ilamenta |
RS aides dy ins iv enr hot CL AE ou Mare Ad.
615
Bulletin de l’Académie Impériale
616
ral 4 e st A à: + +
incurva angulo inferiore truncato labio amplo
rotundato up subbrevior, filamenta i
feriora bar 218. P. Harinonniert Krasn.
Reliqua: 716 P. grandiflora Rich fig. 162 fig. 164.
219. P. semibarbata À. Gray, fig. 165; 220. P.
centranthera À. Gray. 221. P. acaulis Wulf.
et 222. P, Artselaeri m. Tab. VII, fig. 166. im-
mutata manent.
215. Pedicularis gloriosa Bisset et Moore in Journ.
of bot. XV, 1877, 295. Franch. et Savat. Enum.
pl. jap. IL, 654. P. Sceptrum Miq. Prol. 54. Franch.
et Savat. L c. I, 352. Maxim. in Mél. biol. X, 127.
quoad pl. japon.
Nippon: in turfosis montium Hakone (Savatier!
nond. flor.), Nikko (I. Keiske!, fide Miquel), Oyama
(Bisset). — Japonice: Hankaï azami (in herb. Lugd.
Bat.), Tankaiï azami (Tanaka apud Franchet et Sa-
vatier).
Planta mihi incomplete nota, signis bonis tamen ab
affini P. Sceptro distincta.
COR
218. P. Maximowiceüù Krasn. in Scripta bot. horti
- Univ. Petrop. IT, 18. Radice crassa fasciculata, caule
supra Collum squamatum ramosissimo ramis dense
caespitosis brevissimis glabris oligophyllis; foliis ple-
_ risque basalibus longe petiolatis circuitu oblongis, cau-
lino vulgo 1 v. O floralibusque brevius petiolatis ova-
tis, petiolis dilatatis hirsutociliatis, lamina pinnatisecta
segmentis oblongis pinnatifidis v. -partitis laciniis inae-
qualiter incisodentatis; floribus albis amplis ramos
omnes terminantibus breve capitatis, bracteis foliaceis,
calyce pedicellato hirsuto campanulato sub-5-fido laci-
niis linearilanceolatis a basi acute pluridentatis, co-
rollae tubo parte calycem superante valde dilatato,
galea tubo continua et subaequilonga recta versus
apicem leviter areuata fronte verticali rotundata ad
_ angulum inferiorem breve truncata et passim infra
apicem breve bidenticulata,
patulo amplo trilobo lobis integris lateralibus oblique
rotundatis terminali obovato prominente duplo majori-
ne bus, filamentis longioribus barbatis, ovario ovato-
_ oblongo.
_ Thianschan, latere boreali, prope fontes fl. Tekess
"et Muzart (Krasnow! 1886 flor.).
_ P. capitata Ad. differt rhizomate fliformi stoloni-
d. fero, caule solitario, galea jam a medio incurvata fronte
_ante angulum inferiorem acutum prominulum integrum
Concava labium duplo superante, 1abio galeae Pen
labio galeam aequante |
ex angusta elongata basi in lobos denticulatos subae-
quimagnos obovatos dilatato, filamentis omnibus gla-
bris basi (nec infra medium tubum) insertis. Corollae
tubus in utraque intus ante faucem pubescens.
Bi-tri-pollicaris. Folia ima petiolo circiter 3 em.,
lamina 20 :7 mm., superiorum petiolo 1 em., lamina
20:15 mm. Calyx 15 mm. longus tubo membranaceo
5-costato 5-nervio costis breve ramulosis, dentes foli-
acei utrinque 2 —3-dentati subaequilongi. (Corolla
30 mm. longa. Labium vi expansum 13 mm. latum,
12 mm. longum. Antherae ovatooblongae loculis cus-
pidatis cinereoochraceis. Filamentorum pili parci longi
byalini articulati. Stylus stigmate capitellato breve
exsertus.
222. P. Ariselaeri Maxim. 1. c. 127.
Patriae adde: Prov. Schansi, monte Siao-wu-tai-
schan, 3,600 — 5,000 p. s. m. (v. Moellendorff!
flor.).
Capsula in exemplis a primo inventore postea mis-
sis calycis tubo arcte inclusa late ovoidea oblique api-
culata compressa. Planta sub exsiccatione chartam
rubro tingere dicitur a cl. collectore.
Series 25. Brevilabres Maxim. 1. c. X, 128.
223. P. densiflorae Benth. tab. VII, fig. 168 nunc
subjungitur P. attenuata Benth. ab A. Gray in Syn.
fl. N. Am. Il, 1. 310., ita ut series nunc tantum e 2
speciebus coihpogtté sit, nune laudata enim et 224.
P. bracteosa Benth., fig. 169.
Series 26. Foliosae Maxim. 1. c. 128.
Flores rubri, à
» sulfure
2. Folia D ctntoiEN ati par bé ee
lata partitionibus oblongis inecisodenta
lyx glaber, corolla purpureosuffusa ridie. 208, P. recutita Li.
Folia pinnatisecta late ovata segmentis lan-
ceolatis bag are lacinïis pinnatifidis
serrulatisque, calyx dense lanatus, corolla
ATODUEDRTOR és rec, : 008 . P, atropurpurea N ordm.
cens.
Calyx non fissus. 5.
4. _. corollae glaber, caulis elatus cr
folius
rss ss
7. P. exaltata Bess.
Tubus corollae intus birsutus, caulis superne.
AO PR de 298. P. sumana Spr. ; é
5. rende aie no. 6.
6. Galea PE Le
% » b
FRE NME LATE 3 np PES .
_ fig. 171.
Calyx ventre semifissus, galea margine pubes- Tab. VIL fig. 170.
+
229. P, Wiühelmsiana Stev. Lee
LÉ
617
des Sciences de Saint- Pétersbourg.
61
7 Galea bete capsula obovata acqualis calyce
clus 281; P, Ne ur Es Bieb.
Gale villosa, capsula oblique ovata et mucro-
nat
COR
232. P,. pe fai L.
Speciebus a me nominatis adde:
228. P. sumana Spr. PI. nov. 2, 70. Steininger
1. c. XXIX, 377. P. Hacquetii Graf in Flora 1834, 40.
Hab. imperio Austriaco: Galicia, Hungaria!, Trans-
sylvania, Carinthia, Croatia, Istria, Tiroli; Serbia, Bos-
nia!, Apennino!
Series 27. Roseae Maxim. 1. c. 129.
Speciebus enumeratis: 233. roseae Wulf. et 235.
P. orthanthae Griseb. f. 173. adde:
234. P. Allionuü Reichb. fil. Ie. f. Germ. XX, 77.
Stein. 1. c.58., ex quo a P. rosea vix specie sejungenda.
Hab. Sabaudia, Pedemontio.
235. P. limnogena K erner in Oesterr. bot. Zeitschr.
XIII, 1863, 362. Stein. |. c. XXX, 56.
Hab. Carpathis. E. hucusque tantum fructi-
feram vidi,
22. Hirailne Maxim. 1. c. 129.
In clavi data, sub speciebus spica centrifuga donatis
loco puncti 2. insere:
Foliorum DS PERRIN abbreviatae ob-
tusae v. mere a
Foliorum isa acuminatae pinnatifidae.et
incisae ovatae v. lanceolatae, flores fusci....P. Alberti Rgl.
2P, Corolla rosea cet. ut ere conf. I. c. ad 8. fig. 175.
» citrina cet. ut
air hujus seriei Pre figuris illu-
: 287. P. Langsdorffii Fisch. fig. 174;
. "P lanata W. fig. 176; 240. P. hirsuta L:;
241. P. olympica Boiss.; 242, P. versicolor
Wahlbc. fig. 177.; 248. F. flammea L.
238. P. Alberti Rgl. in Act. h. Petrop. VI, 353.
Turkestaniae borealis prov. Heptopotamia: prope
oppidum Wernoje ad fl. Almatinka, 3—5,000 p. s.
m. (A. Regel flor.).
Descriptioni autoris adde:
Radix valida e fibris pluribus crassis parallelis fusi-
formibus fasciculata. Cauliculi plures digitales basi
copiose suffulti squamis fuscescentibus ovatis v. oblon-
gis obtusis. Folia circuitu anguste lanceolata, plera-
que radicalia, caulina pauca sparsa. Spica densa mul-
_ tiflora centrifuga, floribus ex adnot. collectoris fuscis.
= Calyx breve pedicellatus turbinatocampanulatus 6 —7
mm. longus membranaceus totus laxe reticulatus, 5-
_ dentatus, dentibus tubo plus triplo brevioribus acmui-
natodeltoideis longioribus quam latis integris, summo
minore. Corolla 15—18 mm. recta angusta, tubo ca-
lycem galeamque sesquisuperante, versus faucem pa-
rum dilatato. Galea tubo continua eoque latior basi
apiceque subaequilata, angulo apicali superiore rotun-
dato, inferiore acuto. Labium nanum patens galea
plus duplo brevius, plicis medianis 2 parallelis validis,
lobi tres: laterales oblique obovati terminali rotun-
dato parvo pluries majores. Filamenta (quantum e flo-
ribus putridis judicandum) basi corollae inserta glabra.
Ovarium anguste ovatum attenuatum.
Evidenter P. versicolori affinis, sed folia quoad for-
mam corollaque non parum in mentem vocant P. pyc-
nantham Boiss., quamobrem a Hookero fil. in FI. of
Brit. Ind. IV, 310, infauste pro synonyma habita fuit.
Abhorret tamen foliorum segmentis imbricatis, nec di-
stantibus, calyce reticulato nec mere costato, corollae
tubo recto nec extra calycem tum infracto, galeae an-
gulo inferiore acuto nec utroque rotundato, filamentis
glabris, ovario anguste ovato neque subgloboso. Prae-
terea P. pycnantha ad seriem foliis verticillatis perti-
net atque talia vix non semper revera ostendit.
242. P. versicolor Wahlbg. Maxim. 1. c. 133.
Stationibus enumeratis adde: Mongolia boreali:
circa lacus Kosogol, Dod-nor et Ubsa locis alpinis (Po-
tanin, 1879, ’80), Thianschan orientali planitie elata
Yulduz minoris 7,500—9,000 p.s. m. (Przewalski,
1877), Chinae prov. Schansi: alpe Siao-wu-tai-schan,
supra limitem sylvae, ead. altit. (v. Müllendorff,
1879) et montibus Peitai, 8,000 p. s. m. (Potanin),
prov. Kansu quam occidentali multis locis (Przewal-
ski, 1880) tam orientali: cacumine m. Tschagola (P o-
tanin, 1885); Tibet boreali: cacuminibus jugi inter
fl. Hoangho et Yangtze et montibus secus posteriorem,
nec non in jugo Keria in fauce fl. Kük-Egil, 13 die
p. s. m. (Przewalski, 1884, 85)
Specc. orientalia ditionis nostrae robustiora grandi-
flora galea lutea, occidentalia parviflora galea obseura,
utraque ab exemplis sibiricis et europaeis dentibus
calycis apice serratis et toto calyce saepe oblongo di-
stincta. Filamenta longiora in omnibus parce tenere lon-
geque barbata, in pl. ewropaea medio tubo, in sinensi
supra dimidium tubum, in var. rubra triente superiore
tubi inserta. Quum autem cum tanta florum diversitate
habitus omnium identicus sit, varietates se
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nolui, quae in posterum accuratius examinatae fortasse
aut una in alteram transibunt, aut e contrario ut spe-
cies legitimae cognoscentur.
Var. rubra: corolla fuscorubra, calyce oblongo
dentibus integris.
Thianschan: montibus altissimis Chan-tengri(Kras-
now, 1886).
Pediculares mihi ignotae vel incomplete lectae.
244, P. robusta Hook. f. FI. Brit. Ind. IV, 306.
Dicitur humilis, foliis caulinis paucis oppositis v.
alternis, galea inflata tum arcte decurva et brevirostris.
245. P. curvipes Hook. f. L. c. 316.
Sikkim (Clarke! fructif.).
Florens nondum collecta ideoque quoad locum in sy-
stemate incerta. Caule ramoso, foliis sparsis parvulis
sat numerosis, floribus axillaribus calyce longius pedi-
_cellatis appropinquat Resupinatis.
246. P. Canbyi A. Gray, Syn. fl. N. Am. 2 ed. II,
1, 454.
Americae Montibus Scopulosis, territorio Montana.
Proxima dicitur P. compactae Steph. sed rostrum
pe
247. P. tripinnata Mart. et Gal. in Bull. Brux.
XII, 3. pag. 34. Walp. Repert. VI, 654.
Mexico.
Galea obtusa truncata sub apice 2—4-dentata de-
scribitur.
Jam supra enumeravi:
248. P. contortam Benth. inter Compactas.
249. P. ornithorrhyncham Benth. inter Rostratas.
250. P. Menziesü Benth. inter Chelanthifolias,
omnes tres ex America boreali-occidentali ortas.
Quibus accedit nondum florens descripta P. brevi-
_ flora Rgl. supra inter Comosus. |
—————
Utriculariis in Japonia degentibus addendae:
.. U. racemosa Wall! Cat. 1496. DC. Prodr. VIII,
2. Hook. & FL Brit Ind. IV, 333. U. éoeriiis
* DC.L c. 19. Wight, Icon. 1583. — nec L.
Nippon: prov. Kadzusa ad Ichinomiya (Yatabe fi.
frf. Aug. 1880), prov. Hitachi (J. Matsumura fl frf.),
prov. Senano, Togakushi yama (Tanaka fl. def. s. n.
vernaculo Hinano Kanzashi); Yezo: Horomui, valle Ishi-
kari, non procul a Sapporo (K. Miyabe fl. defi.).
Digitalis usque pedalis. Folium radicale si adest
minutum petiolatum ellipticum. Caulis simplex v. parce
ramosus, parce squamatus, squamis bracteisque medio
affixis utrinque acuminatis. Flores racemosi subsessiles
coerulescentes latere bracteolati, calycis 3 mm. longi
lobis aequalibus cum calcari palato atque capsula pul-
verulentis, corolla 7 mm. calcari conico obtusiusculo
labium inferius ovatum subsuperante. Capsula globosa
longitudine calycis. Semina rotundatoovalia obscure
reticulata 0,3 mm.
U. affinis Wt. Icon. 1580 fig. 1. Hook. £. 1. c.
330 cum var. Griffithü 1. c. 331. (Wight Icon. 1576
sp. propr.). UÜ. coerulea Benth. FI. Hongk. 256 —
nec L., fide Hooker fil.
Nippon: prov. Hitachi in paludosis (J. Matsumura
fl. frf., corolla azurea vel purpurea), prov. Rikuzen ad
Awomori (R. Yatabe flor. Julio 1880, ex quo crescit
etiam in Yezo), prov. Senano, Togakushi-yama (Ta-
naka, flor.); China: Hongkong (Wright!).
Glabra. Caulis filiformis sub anthesi aphyllus parce
squamatus, squamis bracteisque acute ovatis basifixis.
Flores racemosi azurei v. purpurei. Pedicelli longitu-
dine calycis vel in fructu longiores semper erecti. Brac-
teolae nullae. Sepala in pedicellum decurrentia late
ovata acutiuscula capsulam late ovalem superantia.
Calcar acute conicum incurvum labellum obovatum in-
tegrum marginibus reflexis aequans. Labium superius
bilobum parum brevius. Semina subglobosa laxe ob-
scure reticulata. |
Ajuga Boninsimae. (Bugula $ Genevenses Maxim. in
Mél. biol. XI, 809). Erecta pubescens grandifolia ma-
crantha, foliis rosulae nullis, caulinis obovatis obtusis-
simis : pe pauci-grandicrenatis mediis MAjONERS,
interruptis plurifloris,
flore calyce brevius pedicellato, calycis semiquinque-
fidi laciniis lanceolatis, corollae (20 mm.) tubo recto
exannulato calycem fere triplo superante utrinque hir-
suto, limbo quam tubus sesquibreviore, labii superioris
lobis ovatis, lateralibus labii inferioris vix longioribus
oblique ovatis acutiusculis, lobo terminali prominente
truncato latereque utrinque obsolete lobulato, genita-
libus glabris sub labio superiore nidulantibus.
6?1
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
Bonin-sima (Y atabe, flor. 1884).
Pertinet quidem ad seriem À. remotae, À. bracteosae
et À. australis quoad folia floralia caulinis similia, at
flore duplo majore, corolla exannulata, labio superiore
majusculo ab ïis distat.
Spec. 1. ante oculos 13 cm. altum erectum. Folio-
rum paria 5, reliqua floralia approximata minora. Fo-
lia inferiora 5 : 2 cm., media 7 : 3 cm. in petiolum atte-
nuata, crenis utrinque 3—4. Calyx hirsutus 5 mm.
Ajuga bracteosa Wall. Cat. 2032. Benth. in Wall.
PI: as. rar. I, 59. DC. Prodr. XII, 598. Maxim. in
Mél. biol. XI, 818. Hook. f. F1. Brit. Ind. IV, 702.
Archipelago Ya-yama (prope Formosam) in umbrosis
(A. Tashiro f. frf. 1886. «flores pallide coerulei).
Flos 9 mm. (nec 12 mm), folia, usque 5-pollicaria
et ultra, obovata rotundatoobtusa, floralia parum v.
multo minora. Ceterum cum specc. indicis congrua,
. neque cum ulla specie japonica confundenda.
Croton Cumingii Müll. Arg. in Linnaea XXXIV,
101:: DC. Prodr. XV. 2, 506.
Archipelago Fa-yama, in montibus (A. Tashiro,
«arbuseula, jap. Tian-kani»); Formosa, ad Tamsuy
(Oldham! n. 482); Liukiu (Wright ex Müller: fru-
tex 2—3-pedalis);, Luzon (Cuming! 1384).
À descriptione Mülleri in Prodromo data pl. Ta-
shiroi differt staminibus floris Z numerosioribus (circa
30), sed hoc in ipsissima planta Cumingiana a Mül-
lero citata obvenit. Bracteae infimae rarius praeter
flores © etiam 1—2 & fovent, es ex Müllero in hac
sectione haud occurrere solet.
Ficus Tashiroi. (Subgen. Covellia Gasp. 5. C? dahoge yne
Gasp., Miq. in Ann. Mus. Lugd. Bat. III, 296).
Arbor vasta glabre, ramulis tenuibus crebre foliatis,
_ cortice profunde cinereo ruguloso, stipulis caducis fuscis
membranaceis lanceolatis acuminatis gemmam termi-
nalem involventibus, foliis breve (5— 10 mm.) petiolatis |
coriaceochartaceis in sicco obscuris subtus pallidius
rufdulis supra minute scaberulopunctatis basi 3-nerviis
_ eta Ÿ, vel Y utrinque 3— 5-costatis atque subparal-
: ele venosis FRACUAIQUE reticulo utrinque prominente
apice fere caudato-acuminatis
. on (50 : 20 usque > 120: 40 mn Magnis); re”
_ ceptaculis axillaribus solitariis
_aequantibus v. superantibus mollibus laevibus praeter
achaenia pressione promuiqls, basi ve 3 deltoi-
Tome XXXIL. : +
deis fuscis minutis facile caducis, ore bracteis obtusis
circa 5 fere clauso haud prominente, floribus 4 …, Q
sessilibus perigonio vesiculoso apice vix 2—3-lobo
integrove achaenium globosum laeve usque ad dimi-
dium stylum obducente pellucido tenero decolore, stylo
laterali elongato stigmate terminali oblongo vix cras-
siore.
Archipelago Ya-yama. in vico quodam (A. Tashiro,
Rami et folia fere Æ. gibbosae BI1., sed pallidiora, ‘
perigonium et stylus tamen longe diversa.
_ Betula Ermani Cham. in Linnaea, VI, 537 tab. 6
fig. D. Regel, Monogr. 62 et in DC. Prodr. XVI, 2,
176. Trautv. in Maxim. FI. Amur. 252. Rel. Ti
F1. Ajan. 119. Trautv. et Mey. FI. Dchot. 83. Ledeb.
F1. Ross. IIE, 658.
a. typica Regel.
Kuries: Iturup (vel jap. Etorofu) Julio 1884 frf.
(K. Miyabe).
à. nipponica: gemmis li glabris eglan
dulosis, foliis basi cordatis late ovatis acuminatis exi-
mie duplicato serratis dentibus acuminatis, strobilis
breve pedunculatis nutantibus oblongocylindricis, squa-
mis basi breve cuneatis brevissime ciliatis lobo ter-
minali recurvo.
= Nippon: alpe Nikko (J. Matsumura, fr. nond. mat.)
Fere species! Folia subtus ad venas ni ser parce
longe pilosa.
Goodyera KR. Br.
re er -sinenses.
4. RO TIELTS
iles rostellum nie bifidum, flores
magni, planta na
Perigonium oblique oroiden phyllis ovatis
lanceolatis v. oblongis.
Spica densa multiflora, PA anguste lanceo-
lata acuminata, sepala obtusa, rostellum bi-
fidum. 3.
. macrantha m.
À. 5 4 L; FÉNPORRS ANSE EE ANR
um.
* Spica laxa secunda parum elongata. 4 è
3. Planta pr. spica infracta sec éunda. G. pendula m.
M] ie spica rm continua cylin-
i G
_...
at CN PE A
4, Folia violacea coëts este, suis ovata,
petala obovata, labelli gibbus intus pilosus. 5.
Folia viridia. 6-
3 abra, l
duplo brevior, columna antherâ “uno rase
._triplo brevior, perigonium 12
Caulis et spica mg label I lamina où ‘obo-
LG cmt ms
doñnnn
TOTIOY
rostello paulo b
procera Hook. + “
26: bite BL. : Rs sa
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623
6. Rostellum bifidum. 7.
» bidentatum, folia variegata....... G. repens R. Br.
7. Sepala obtusiuscula, saccus labelli parum co
M mess IVe G. Selltendetinnn Rchb. f.
Sepala acuminata............ + Net iff
1. Goodyera macrantha Maxim. in Regels Gartenfi.
1867,36, t. 533 fig. IL. Shusu ran, Soo bokf. X VIII, 85.
In Japonia meridionali et archipelago Koreano.
2. Goodyera pendula. E truncis arborum dependens
_spica rigide infracta sursum spectante, caule spithamaeo |
polyphyllo sursum cum foliis bracteis floribusque pilis
longiusculis articulatis pubescente, petiolis basi in va-
ginam tubulosam dilatato ceterum lamina linearilan-
ceolata acuminata 5-nervia reticulataque margine
valde undulato triplo v. magis breviore, foliis a medio
caule sursum recurvis linearibus summis membrana-
ceis bracteiformibus, spica densa multiflora, bracteis e
basi lata semiamplexicauli linearilanceolatis acumina-
tis 1-nerviis ovarium ellipticum v. ovoideum superan-
tibus, perigonio albo, sepalis dorso pilosis summo e
lata basi lanceolato obtusiusculo cum petalis oblique
lanceolatis obtusis coadunato, lateralibus oblique ova-
tolanceolatis concavis omnibus 1-nerviis subaequilon-
gis ac labellum sacco rotundato intus longitudinaliter
tricostato ceterum glabro laminam ovalem planiuscu-
Jam obtusam duplo superante, anthera late ovata api-
culata brevi, rostelli bipartiti cruribus antheram haud
excedentibus stigmati concavo marginato aequilongis
caudicula ovata molli pollinia 4 ovoidea aequante.
: Shusu ran. Soo bokf. XVIII, 86.
Japonia: insulae Sikoku provincia Tosa (T. Ma-
kino), Nippon prov. Ise (Inuma).
Videtur valde affinis G. recurvae Lindi. in Journ,
linn. soc. I, 183, e Khasia, quae tamen ex diagnosi
autoris differre videtur foliis lanceolatis omnibus sub-
_ consimilibus et parum inaequalibus, sepalis abrupte
acuminatis, labelli lamina canaliculata oblonga saccum
_ duplo superante. |
_Spec. 1. ante oculos sine radice 12 cm. Radicis
Jia in caule 21, e quibus 12 normalia reliqua recurva
_ paulatim bracteiformia, priora in inferiore parte ma-
| gis approximata patentia lamina 25 : 5 — 6 mm., om-
nia etiam summa internodia (inferiora multo) supe-
rantia. Folia bracteiformia ima lamina 20:3 mm.
à ns cteae inferiores LA mn. Flos ae 11 mm. peri-
__fibrae crassae paucae rufovillosae 3 cm. longae. Fo- |. ch
861. Walp. Ann. III, 597. Miq. Prol. 141. Fr.
gonio ovarium aequante. Sepala et petala galeae 5 mm.,
lateralia cum labello 5,5 mm. Columna saccum labelli
aequans, hic crassiusculus costis crassis subundulatis
*|distinctissimis. Ovarium non tortum. — Specimen I. c.
delineatum nostro simile, sed minus multiflorum et
basi caule innovante foliato brevi auctum.
3. G. procera Hook. Exot. fl. t. 39. Lindl. Or-
chid. 493. Rchb. f. in Bonpl. INT, 250. Neottia pro-
cera Ker., Bot. reg. t. 639.
China. (Parkes in hb. Kew, fide Forbes in litt.):
Formosa prope Tamsuy (Oldham! n. 558 flor.), Liukiu
(Wright in hb. Kew, ex Forbes), tum Java!, Ceylon!
Decan!, Himalaya!.
Vidi specimen hujus speciei in horto botanico To-
kio cultum s. nom. japon. kin-gin-sô, quod spica brevi
pubescente quadrare videtur in G. lancifoliam Fr.
Sav. En. pl. jap. II, 520, à me authenticam non vi-
sam, G. procerae Hook. et G. parviflorae BI. affinem
dictam, à qua posteriore labello differre declaratur.
Sed spica solito brevior et pl. m. puberula occurrit
jam in typica G. procera, de aliis vero differentiis G.
lancifoliae a G. procera autores silent.
4, G. velutina Maxim. in Rgl., Gartenfil. 1867.
tab. 533. Van Houtte, F1. d. serres, AE 1779.
Fr. Sav. En. IL, 38. :
_Japonia Astral passim, v. gr. Nippon, prov.
Awa (Kramer!) et saepe in hortis culta; introduxi
in ÆEuropam a. 1864.
5. G. bifida BI. Orch. ind. et jap. 40 tab. 9 c. fig.
1— 11. Georchis bifida Rchb. in Bonplandia V, 35.
Sikoku: prov. Tosa (T. Makino).
Optime quadrat in descriptiones Blumei et Rei-
chenbachii, nisi spica minus multiflora (in hoc exem-
plo 4-flora). Plantam javanicam non vidi.
Ob stigma cyathiforme, rostellum longissimum bi-
partitum atque antheram acuminatissimam ad Geor-
chin pertinet. $
6. G. Schlechtendaliana Rchb. f. in Linnaea, XXI,
Sav. En. II, 38. G. japonica BI. Orch. arch. Ind. I,
38, t. 9. fig. 1, t. 11 (analyt.). G. sémilis BI. L. c. 39,
t. 9. f. 2, t. 11 fig. D. (foliis viridibus). Miyama ud- ;
| aura, Kamome ran, Soo bokf. XVIII, 83 (typica).
Japonia australi: circa Nagasaki sylvis montanis
PR
L
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des Sciences de Saint-Pétersbourg.
humidis muscosis ubique rara, Septembri fl. (ipse,
Oldh.! sine M), promontorio Nomosaki ins. Kiusiu
(Buerger! in hb. Lugd. Bat.), Nippon: Fudsi yama
(Tschonoski! f.), circa Yokoska frequens (Savatier!),
culta Tokio (ipse).
Variegata et viridis occurrit. Blume quidem sepa-
lorum forma et labello utramque distinguit, sed ex
ipsius figuris identicae videntur.
7. G. secundiflora Griff. Not. IIT, 393. Ic. plant.
asiat. t. 347. Lindl. in Journ. linn. soc. I, 182. Goo-
dyera n. 6. Griff. I. c. 392. |
China: sylvis prov. Chekiang (Fortune); Himalaya:
Khasia, Assam (omnia ex Lindley).
8. G. repens R. Br. h. Kew. V, 197. Miq. Prol.
141. Fr. Sav. En. Il, 38, 520. Ledeb. FI. Ross.
IV, 86. Turcz. FI Baic. Dah. III, 188. Maxim.
F1. Amur. 270. F. Schmidt, FI. Sachal. n. 438.
Nippon: jugo Hakone (Tschonoski!); China: prov.
Kansu occidentali ad fl. Tetung in sylvis muscosis fre-
quens, 7500 p.s. m. (Przewalski, 1880); Sachalin
ubique (F. Schmidt), regione littorali boreali Man-
dshuriae (ipse); Kamtschatka: Kljutschewskaja (Dr.
Dybowski); ditione baicalensi (Turczan.); Songaria;
tum in Æimalaya (Falconer!): Q
Europa!
Franchet et Savatier 1. c. 520. enumerant G.
repentem omnino pl. europaeae congruam e Nippon,
Sikkim; Caucaso!;
unde verosimiliter e prov. Boshiou spec. 1. habuerunt.
Mea specc. japonica vero flore majore et foliis conco-
loribus differunt, sed ob rostellum bidentatum et sac-
cum labelli aeque profundum non ad G. similem, sed
huc pertinent, ubi lusum sistunt analogum G. simili
in G. Schlechtendaliana.
Tricyrtis macrantha. Caule foliorum basi nervisque
subtus pilosulis, priore elato foliato, foliis lanceolato-
oblongis longe acuminatis, infimis basi rotundata
sessilibus, reliquis florigeris cordatoamplexicaulibus
lobis sese tegentibus, pedunculis axillaribus patentibus
= flore sesquilongioribus, perigoniüi ampli pulchre lutei
_ concoloris phyllis conniventibus oblongis obtusis apice
non revolutis sacco basali divergente ovoideo, stylo
. stigmata semibifida crassiuscula duplo superante, oya-
. rio glabro.
… Sikoku: prov. Tosa monte Yokogura, in rupibus cal-
careis, japonice: Kibana-no-hototogigu (T. Makino
1885
Habitus T7. macropodae Miq., perigonium T. flavae
m., sed ultra 4 cm. longum. Folia in caule, basalibus
frais emarcidis exclusis, 19, e quibus 8 sessilia reliqua
florifera amplexicaulia, intoriats 10:4 cm., media 14:4
cm. summa minora. Pulchra species.
Hierochloë japonica. (Sect. Ataxia Benth. in Benth.
et Hook. Gen. plant. IT, 1139) Sesquipedalis gracilis,
radice …, nodis laevibus e vagina striata exsertis, li-
gula ovata v. oblonga, foliis vagina longioribus planis
supra pilis longis tum evanidis pilosis linearibus longe
acuminatis (14 cm.:5 mm.), panicula angusta subse-
cunda lucida exserta radiisque plerumque binis laevibus,
his apice pilosiusculis 2—3-spiculatis, spicula(4,5 mm.)
3-flora virescente terminali quam pedicellus breviore
lateralibus pedicello longioribus, glumis omnibus ellip-
ticis: imis parum inaequalibus carinatis majore obscure
trinervia, sequentibus 2 carina et marginibus longe
ciliatis triente minoribus vacuis ad medium bifidis àrista
rectae sinu in tertia glumam triente superante, in quarta
illam aequante, glumis quinta et sexta fertilibus 1-ner-
vis obtusiusculis glabris stamina 3 ovariumque stylis
? | plumosis duplo superatum includentibus, rhachilla inter
glumas distincta fructiferarum longiuscula.
Nippon: prov. Senano alpe Haku-san, sub nom. Ja-
ponico Haru gaya (Yatabe, 1881).
Huic proxima est spec. indica inedita:
La
Hierochloë sikkimensis.… Statura nodi exserti vagina li- : ni
gulaque praecedentis, folis vagina brevioribus anguste
.| linearibus longe acuminatis margine involutis glabris,
panicula longe exserta secunda racemiformi radiis sin-
gulis 2—3-spiculatis, a basispiculigeris, spicula brun-
nescente (5 mm.) terminali pedicellum parum laterali-
bus illum pluries superantibus, glumis sterilibus mem-
branaceis imis !/, inaequalibus ellipticis acutis minore
1- majore 3-nervia, sequentibus duabus parum brevio-
ribus oblongis subquinquenerviis ultra medium bifidis U
apice fimbriatodentatis carinaque et margine longe ci-
liatis e sinu aristatis: arista inferioris glumam fere
duplo, superioris parum superante, glumarum genitalia a
includentium duplo breviorum inferiore cartilaginea
fragili late ovata obsolete 3-nervi paleam fere aequi-
longam linearioblongam bidentatam € enervem ina
627
Bulletin de l’Académie Impériale
6?2s
tente, staminibus ……, caryopsi late oblonga laevi glumis
paulo breviore libera, rhachilla obsoleta.
Sikkcim (Ataxia 1. Hook. f. et Thomson).
H. Horsfieldii (Ataxia Horsfieldii Kth. Agrost. syn.
39, Benn. PI. jav. rar. I, 8, tab. 3) utrâque robustior
magis crassiculmis praeterea differt ligula brevi, rha-
chilla inter glumas inferiores indistincta et glumis
tertia et quarta paleam staminaque includentibus cum
flore hermaphrodito structura diversis. — Java.
Huic peraffinis est:
Hierochloë Hooker. Gracilis, foliis linearibus longe
acuminatis vagina striata brevioribus supra pilosis,
ligula oblonga, paniculae angustae subsecundae laevis
radis binis v. singulis 2—5-spiculatis, spicula vires-
cente (6 mm.) terminali pedicellum aequante, latera-
libus illum pluries superantibus, glumis 1—4 membra-
naceis, imis /, inaequalibus oblongoellipticis breve
acuminatis minore 1- majore elevato-3-costata, dua-
_ bus sequentibus paleam linearem 2-dentatam enervem
atque stamina 2—3 cassa v. ad filamenta reducta
_stylumque cassum bifidum ineludentibus oblongis sub-
_ quinquenerviis ds margineque Ing ciliatis, sn
riore ad medi
que e sinu aristata arista prioris glumam bis posterioris
_ vix superante, glumis terminalibus breve stipitatis sta-
mina 2 caryopsinque linearem amplectentibus parum
| quam __—. ts et Laden minoribus 1-nerviis, in-
feriore coriacea ica superiore minore mem-
Atacia Hookeri Griseb. Nachr.
at hhiiiccs tancelat
_ Gütt. 1868, 7
Sikkim, is p.s. m. (Hooker fil. s. n. Afa-
AD).
Ob diagnosin breviorem Grisebachi hic fusius ex-
ponendam putavi. Caryopsis in spec. ante oculos my-
clio ete infestata et corrupta est.
dalis stricta glabra, culmo scaberrimo sub panicula
aeviusculo, foliis ] utrinque scabris late
_exserta coarctata violascente elongata (16 : 2 cm.), ra-
: düs semiverticillatis 4—6 scaberrimis supra basin jam
roles x |
ulis linearilanceolatis mucronato-
ir se sales ge 75 sur paleam inferiorem |
Ta ne dorsum arista
Yatabei. (Sect. Deyeuxia). Ultra tripe-
ibus, ligula brevi truncata integra, panicula parum |
is, glanis à cost rulatis ceterum
recta paleam aequante instructam triente superantibus,
palea superiore bicuspidata quam inferior parum bre-
viore, pilis calli paleam inferiorem, pilis rudimenti mi-
nuti paleam superiorem subaequantibus.
Nippon: montibus Hakone, japonice Yama awa (Ya-
tabe, 1884).
Proxima C. canadensis P. de B. differt culmo laevi,
ligula lacera, foliis angustioribus, glumis latioribus
acutis vaginisque inferioribus pubescentibus,
Calamagrostis Matsumurae. (Sect. Deyeuxia). Vaginis
culmoque erecto aequali scabriusculis, posteriore sub
panicula scabro, foliis rigide erectis dimidio inferiore
costa crassa percursis atque margine scabro late in-
flexis, subtus laevibus glabris, supra dense puberulis,
late linearibus (6 mm.) longissime acuminatis, summo
paniculam parum exsertam aequante, ligula basi pu-
berula elongata obtusa tum biloba; panicula fere spi-
thamaea densiuscula radiïis quinis semiverticillatis sub
anthesi erectopatulis multifloris, pedicellis spicula bre-
vioribus, glumis parum inaequalibus (5,5 et 5 mm.)
paleaque inferiore dense scaberulis pellucide pallide
ochraceis 1-nérviis-acuminatolanceolatis, palea inferiore
(4 mm.) superiorem paulo superante mutica ipso apice
brevissime bidentata costa ad apicem haud extensa, pilis
calli paleam dimidiam pilosque rudimenti subulati mi-
nutissirhi aequantibus.
Japonia: Aomori (J. Matsumura).
C. tenella Lk. huic proxima aristae vulgo absentia,
vaginarum culmique scabritie foliorumque pube, distat
rudimento deficiente, omnibus partibus duplo minoribus,
foliis flaccidis, gluma superiore et palea inferiore 3—
5-nerviis etc. — E nostratibus accedere videtur C.
sachalinensi F. Schmidt (quae e Japonia nuper missa
est: Fudsi-yama et prov. Senano, a prof. Yatabe lecta),
sed haec habet folia plana glabra brevius acuminata,
ligulam Se Dogs v. subnullam et paleam nn ne :
aristatam.
Diarrhena mandshurica. Bi-tripedalis vaginis foliisque n.
lanceolatolinearibus acuminatissimis superne pilosis,
erectis 2—3 semiverticillatis, spiculae 3-florae glumis
valde inaequalibus dorso margineque scabriusculis 1=
nerviis: superiore late ovata acutiuscula inferiorem i
pa ovatam obt
" J
san on iré F
ligula brevi truncata ad oram vaginae utrinque barbata,
panicula angusta scabra exserta radiis semper stricte
Lu le _ Octobre 1890.
Tabulas IV, VI et VII ad
Maximowicezii
Diagnoses plantarum Asiaticarum, VIL,
fasciculum a. 1888 publici juris factum, quas tune ob
brevius temporis spatium in lucem edere non potui,
sed cum Diagnoseon fasciculo VIII promulgare in mente
habebam, jam nunc lectoribus tradere necesse habeo.
Figuras in hisce tabulis delineatas jan omnes usque
ad fig. 177 in textu fasciculi VIT suis locis citavi, quum
vero in tabula VII spatium liberum sat magnum super-
fuerit novas figuras addere idoneum duxi specierum
quas illo tempore obtinere non potui vel quae recentiore
tempore detectae sunt. De quibus omnibus sermo erit
in fasciculo VIII, nunc vero tantum figurarum novarum
explicationem brevem cum indicatione loci quem quae-
vis species delineata in systemate ex sententia mea
_ tenere debet proferre sufficiens erit.
Tab. VIL fig. 178. Pedicularis robusta Hook. f.
(ad Siphonanthas typicas m.). Vidi flores 2 ex herb.
Calcuttensi. Affinis P. Przewalskii m.
179. P.strobilacea Franch. in Forbes et Hemsl.
ÆEnum. Chin. I, 216. (Siphonanthae, 3. Polyphyllae m.)
Yunnan.
180. P. macilenta Franch. 1. c. 212., ut praece-
“e dens et ibidem. :
181. P. OliverianaPrain in Journ. As. soc. Ben-
. à pi LVIN p. 2. pag. 257. (2. Longirostres Verticil-
Jatae, 4. Tenuirostres m.); proxima P. gyrorhynchae Fr.
Ex herb. Calcutt.
182. P. filicifolia Hemsl. in Forbes et Hemsl. L.
c. 208. (eadem divisio. 5. Axillares m.) Prov. Hupeh.
183. P. contorta Benth., a me cum dubio inter II.
Rhyncholophas, 11. Compactas enumerata, revera ad
hujus divisionis seriem 6. Surrectas pertinet. Specimen
amicitiae cl. S. Watson debeo.
184. P. Viali Franch. in Forbes et Hemsl. 1.
Cc. IT. 219. Ut praecedens. Yunnan.
Series 7. Excelsa, m. cum serie 6. Surrectis m.
conjungenda videtur, subseries duas sistens: americanam
foliis basi caulis aggregatis sursum cito decrescentibus,
et asiaticam foliis mediis multo majoribus, ad quam
posteriorem nunc P. excelsa Hook. f. et P. Vaiali Fr.
ducendae essent.
185. P. Colletti Prain I. c. 278 (II. Rhyncholo-
phae, 8. Resupinatae m.) Ex hb. Calcutt. Juxta P.
resupinatam L.
186. P. corymbosa Prain 1. c. 277. (ut praece-
dens). Proxima P. crenatae m. Ex hb. Calcutt.
187. P. flagellaris Benth. (ut praecedens). Par-
ticulam exempli unici in hb. Calcutt. servati debeo am.
cl. Prain.
188. P. vagans Hemsl. 1. c. 218. (ut praecedens).
In Chinae prov. Szetshuan (herb. Kew). :
189. P. odontophora Prain 1. e. 275. (IL. Rhyn-
-| cholophae, 10. Rostratae m.) — Ex hb. Calcutt.
190. P. asplenifolia Floerke (ut praecedens). Ana-
lysin pl. europaeae dedi comparationis causa cum se-
quente.
191. P. Wallichi Bge. (ut praecedens). Ex hb.
Calcutt. de.
192. P. Canbyi À. Gray. (II. Rhyncholophae,
11. Compactae m.) — Summitatem exempli authen-
tici misit el. S. Watson.
193. P. conifera Maxim. in Forbes et Hemsl. = Hi
1. c. 206. (III. Verticillatae, series nova: Conifera m.
rostro elongato). Chinae prov. . sue Le
194. P. schizorhyncha Prain I. c. 260. (II. Ver-
ticillatae, 12. Myriophyllae, characteri seriei adde:
rostro rarissime apice laciniato). — Ex. hb. Calcutt.
195. P. collata Praïin 1. c. 266. (III. Verticillatae,
series nova: Collata m., a proximis 14. Platyrrhynchis
rostro nullo distincta, angulo frontali superiore obtu-
sissimo, inferiore infra apicem bidentato, labio amplo).
— Ex hb. Calcutt.
196. P. gibbera Prain (Eadem divisio, 16. Verti-
cillatae). Affinis P. pygmacae m. et P. polygaloidi
Hook. f. — Herb. Calcutt,
197. P. hirtella Franch. 1. c. 209. (IV. Biden-
_ tatae, 23. Striatae m.) — Proxima P. Furbishiae
S. Wats. — Yunnan (Mus. Paris.).
Imprimé par ordre de l’Académie Impériale des Sciences.
.… Decembre 1890.
Imprimerie de l'Académie Im périale des Sciences.
ass.-Ostr,, 9 ligne, X 12.
198. P. salviaeflora Franch. I. c. 215. (V. Ano-
dontae, 24. Sceptra m.). — In serie nimis polymorpha
typum proprium sistit a principali fortasse sejun-
gendum, simili modo ac jam Acaules a Steiningero
sejunctae sunt. — Yunnan (hb. Paris.)
199. P. Regeliana Prain I. e. 274. (V. Anodontae,
24° Acaules Stein.). Proxima P. Ariselaeri m. Hb.
Calcutt.
200. P. tripinnata Mart. et Gal. (V. Anodontae,
25. Brevilabres m.) Fragmenta speciminis unici lecti
et ejusdem figuram photographicam liberalissime com-
municavit cl. Ed. Martens, professor Lovaniensis.
Mexico.
À. Strauch, Secrétaire perpétuel.
l
Tab.
8. Belle Hook.
5. Ochroleuca
1
‘7. Vleway
Hook.
8. Efwesii
Benth.
4. Elephantoides
Ê\
s
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11.
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19.
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27. Pyramidata Royle.
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24. Gyrorhyncha
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33. Alopecuros Franc h.
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Semitorta
Jntegrifolia Hook.
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. 187 Vacat.
1 Ses
D
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
630
plus duplo breviore, floseulis infimo sessili excepto pe-
dicello dimidium flosculum superante suffultis, omnibus
teretibus lanceolatooblongis, palea inferiore (vi expli-
cata) ovatooblonga obtusiuscula trinervi, nervis promi-
nulis scabriuseulis, superiore subaequilonga conformi
bicarinata acuta teneriore ad carinas hispidociliata,
caryopsi paleis breviore. Gramen indeterm. Maxim.
FI. Amur. 332. Gram. gen. nov., Rgl. FI. Ussur.
n. 592.
Mandshuria: ad Amur meridionalem, locis humidis
sylvarum frondosarum passim frequens, v. gr. ad Njun-
gja, Jekaterino-Nikolsk, faucibus bureicis (ipse, Radde),
ad fl. Sungatsche (Maack) Wladiwostok, valleculis
rivulorum umbrosis, Possiet, fructicetis umbrosis sat
frequens (ipse).
A sequente bene differt vaginis foliisque pilosis, flos-
eulis longius pedicellatis fructiferis lanceolatooblongis
(nec lanceolatoellipticis) majoribus (4 nec 3 mm.) ad
__ nervos scabris neque laevibus caryopsique paleis bre-
viore nec longiore.
M Diarrhena japonica Fr. Say: Enum. pl. jap. II, 603.
… Onoea japonica Fr. Sav. 1. c. II, 172.
_ Japonia: circa Hakodate sylvis montanis, montibus
Hakone in fruticetis ad rivulos (ipse), tractu alpino
Nikko (Rein).
Nostra paniculae radiis radiolisque, saltem in fructu,
patentibus a descriptione autorum recedit.
Étuendaudx ai baclcitht VE
bruario 1886 edita, serius promulgata evadit quam
Sp. bracteata Zabel in Gartenzeit. 1886, 20 c. fig.
_ xylogr., Januario, quod nomen antiquius igitur prae-
_ ferendum.
Carum holopetalum m. 1. c. 466. errore typographico
Carum hol opetalum impressum est.
Allium monanthum m. 1. c. 554. Nomen fluminis est To-
548 nec Toychira.
Bemorkung über das Auftreten von hyperelementären
= Gliedern in der «Stürungstheorie». Erste Mitthei-
lung. Von 0. Backlund. (Lu le 1 Mars 1888).
Wen man in der Theorie der Bewegung der Him-
melskürper Entwickelungen nach den Potenzen der
_ Spiraea nipponica m. in Mél. biol. XII, 455, Fe-
Zeit vermeiden will, so hat man vor allen Dingen dar-
auf zu achten, dass sogenannte hyperelementäre Glie-
der nicht erscheinen, d. h. solche Glieder, die mit den
negativen Potenzen der Masse des «stürenden» Kôrpers
multiplicirt sind. Es sind freilich Fälle denkbar, ja
kommen sogar wirklich vor, wo Entwickelungen nach
den negativen Potenzen der «stürenden» Masse zu einer
Lüsung gewisser Aufgaben führen kôünnen; solche Fälle
sind aber wohl als Ausnahmen zu betrachten, und
in unserem Sonnensystem dürften die Verhältnisse so
liegen, dass das Nichtauftreten von hyperelementären
Gliedern im Allgemeinen als eine nothwendige Bedin-
gung der Convergenz der successiven Annäherungen
zu betrachten ist.
In seinen «Undersokningar om theorien für himla-
kropparnas rürelser» hat Gyldén gezeigt, dass in den
von ihm gegebenen Ausdrücken Glieder von der er-
wähnten Art nicht vorkommen, Ebenso hat Harzer
in seiner Arbeit: «Untersuchungen über einen spe-
ciellen Fall des Problems der drei Kürper» gezeigt, dass
die von ihm gewählten Differentialgleichungen der Be-
wegung, die den Gyldén’schen wesentlich ähnlich sind,
keine hyperelementären Glieder veranlassen. Es ist
von Wichtigkeit zu untersuchen, ob das Nichtauftreten
dieser Glieder an eine gewisse Form der Differential-
gleichungen der Bewegung gebunden ist.
Von besonderem Interesse scheint mir die Unter-
suchung, ob Glieder der erwähnten Art erscheinen,
wenn man auf dem von Laplace im 6. Capitel des 2.
Buches der Mécanique Céleste und in seiner Theorie
der Jupitermonde eingeschlagenen Weg die polären
Coordinaten ermitteln will. Zu dem Zwecke nehmen
wir die Differentialgleichungen (Q) und (2) (Chap. 6,
Livr. II, Méc. CéL.) als Ausgangspunkt.
Schreiben wir in diesen Gleichungen — Q statt : und
bezeichnen die Integrationsconstante mit + — +, wo
a von der nullten und c von der ersten Or dnung der
Masse m° ist, so wird:
dr? M: 5)
Es
o {dw\2 dr \2 2: pe
Setzen wir nun:
r = ®(1 +0)
Fours
mr
42
Bulletin de l’Académie Impériale
und nehmen an, dass op, oder, was auf dasselbe hinaus-
kommt, die Excentricität hinreichend klein sei, damit
nach den steigenden Potenzen dieser Grüssen entwickelt
werden kann, so ia sich:
(ie)
35
RAA 3 4
me +ne— n° Ne + à ne A
+ 2n%c + dan? | dQ + dar (1 +0
49
Et ere
1 do e do 9 p?/de 1 /det
ti du (a) ET (2) aa) - 128 ni (à) 5“
(sf)
indem wir hôhere Potenzen der Excentricität als die
vierte und hôhere Potenzen der Masse »#’ als die erste
nicht ausgeschrieben haben. Wir betrachten nur die
Bewegung in der Bahn und setzen die Neigung — 0
voraus. Diese Gleichungen sind es, die wir unter-
suchen wollen.
Nehmen wir nun an, Q sei in eine trigonometrische
Reïhe nach den Vielfachen der Zeit entwickelt, näm-
lich:
Q—ZA cos {(in—ÿn)t—(k: — k'$)t + P},
wo À, CR ” Constanten von der Ordnung der Masse
m'; à, Ÿ, k und W ganze Zahlen und P ein constanter
Winkel oder Von den Gliedern dieser Entwicke-
lung künnen hôchstens diejenigen, welche die Form:
_B cos {(ks —ke)t + Q}
der Annahme à — + — 0 entsprechend, haben, hyper-
a
do
= 1—p++ — 5e +
_ elementäre Glieder verursachen. Das entsprechende
Glied in | d Q wird sein:
PET) Cos {Es — Ke} + Q)
i
- und ist also von de ersten Ordnung; durch Integration
der ersten der Gleichungen À wird auch diese
Ordnung behalten und erst im Integrale der zweiten
_ Gleichung d. h. im Ausdrucke von » wird es von der
aullten Ordnung also elementär, aber nicht hyperele-
mentär. Von Q kônnen also elementäre, aber nicht
hyperelementäre Glieder kommen.
_ Die elementären Glieder von 9, wenn wir uns mit
= der ersten Ordnung in Bezug auf die Excentricität
LA Li kônnen im Ausdrucke:
p——1 Cos (n—<si+A—7T)
zusammengefasst werden, wo n und x elementäre lang-
periodische Functionen von der Form:
n Cos(r—1)—x-+x, Cos(s —<sé+A—7)+..... |
nSin(r— 1) —
bedeuten. Die auf der rechten Seite vorkommenden
Grüssen sind alle, mit Ausnahme von {, Constanten.
Demoach ist klar, dass die Einführung dieses Ausdru-
ckes von p in die beiden ersten Zeilen des Ausdruckes
von Eu Glieder von der Form:
bn, (a)
wo b eine Constante nullter Ordnung der Masse » ist,
also nach PB langperiodische elementäre Glieder pro-
ducirt. Durch Integration treten also in v hyperele-
mentäre Glieder auf; wenn daher diese Glieder sich
nicht heben, so würden diese Ausdrücke für die Unter-
suchung der Bewegung unzweckmässig sein. Unsere,
Aufgabe ist also die, zu ermitteln, ob das Auftreten
der hyperelementiren fou nur ein scheinbares ist.
Setzen wir %° — 0, s0 wir
x, SIN (s —çsé+A—7)+.....
(4):
de di 5
H + Ne — Eng — à np + 2e re
M ts 49 4
m=N(A—-e+se — ne HE aPireer.e. |
(2)
1 / de do a (Se) 1 (eY
“xl a) + dt 64n?\ dt 128nt\ dt
Das allgemeine Integral der ersten Gleichung er-
giebt sich leicht durch successive Annäherungen:
Q) = Sn+ nn Cos (nt À — 7%) |
: ;
—( Pin s) Cos (nt + À — x)
— 5" Cos 3(nt+ A7) (---- (8)
— nt Cos 4(né + A — x)
wo n und À —r die Integrationsconstanten bedeuten.
Wenn man die bekannte Entwickelung vor =: quadrirt
und den von der Excentricität abhängigen Theïl mit de
(3) identificirt, so ergiebt sich: She
n = 2e. — 1e nier
Den elementären Gliedern von 9 kann man € À
diese Form geben, nämlich: à
.
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
634
pin + sn — 1 Cos (n— st A— 7")
— (Gi n) Cos (n—çcét+ À — 7)
ES
st
— 3% D Cos(n—ci+A—7x)f:
nf Cos(n—çi+A—7)
E
96
dé er Sie ete) se 6 dre ls. ee 6% 6-00 0, 270
wenn c eine Constante von der Ordnung »' ist, und ñ
und z die in B angegebene Bedeutung haben. Wird
nun p, so wie diese Function in (3) gegeben ist, in (2)
eingeführt, so müssen die constanten Glieder d. h. die
von den Cos. freien Glieder von der Form pr” sich gegen-
seitig vernichten, denn sonst wäre, der Voraussetzung
gemäss, nicht x = }/*-. Da nun (3) und (4) von dersel-
ben Form sind, so müssen die langperiodischen Glie-
der von der Form a, welche in der zweiten Gleichung
À durch Einführang von o mittelst der Formel (4) ent-
stehen, sich auch nothwendig heben. enthält also
keine elementären Glieder und folglich v keine hyper-
elementären.
Es ist: É
dr = 0
dt dv
Setzen wir #° = 0, also:
dv
dt
SPA : und
re — Constante — Vu Va(1—e?)
1
so wird, wenn wir noch
v n*
F—p(+puidi—e 1...
setzen: |
de: > À 4
= np + pt — gi pt...)
Wenn hier 9 mittelst (3) eingeführt wird, so schlies-
sen wir wiederum, dass die constanten Glieder von der
Form px” sich heben müssen, weil sonst die Bedeu-
tung von »# mit der Gleichung n° 5 nicht ver-
_ einbar wäre. Lassen wir nun die Annahme » —0
_ fallen, so haben wir:
de
Vo nine share JA — +67 — 9" pt Es )
09 F
+(1—prp.....)fS di... (5)
wo n veränderlich gemäss 2 ist.
In der ersten Zeile der rechten Seite heben sich die
langperiodischen Glieder von der Form a, weil in der
vorhergehenden Gleichung die Constanten von der Form
pr sich heben. Da, wie schon bewiesen ist, = keine
solche langperiodischen Glieder enthält, so enthält auch
deren keine. Dieser Satz ist schon von Laplace gege-
ben worden.
Aus der zweiten Gleichung von (4) und (5) ergiebt
sich
ee
a
JA —e+e — 6 +pt....)
LE () )
Bn2\dt} °°°
wo für 9 natürlicherweise die elementären Glieder zu
setzen sind. ,
Es erübrigt nun zu beweisen, dass die elementären
Glieder von @ wirklich auf die Form (4) gebracht
werden künnen. In einer zweiten Mittheilung werden
wir den Beweis dafür liefern.
CRC
Bemerkung über das Auftreten von hyperelementären
Gliedern in der Stürungstheorie. Zweiïte Mitthei-
lung. Von 0, Backlund, (Lu le 10 mai 1888.)
In einer früheren Mittheilung (Mäürz 1. (13.) 1888)
habe ich nachgewiesen, dass sogenannte hyperelemen-
täre Glieder in den Ausdrücken für Radius Vector
und für die Länge sich heben d. h. dass sie in den
endgültigen Ausdrücken überhaupt nicht vorkommen
künnen. Dabei wurde aber vorausgesetzt, dass man
den elementären Gliedern des Radius Vectors dieselbe
Form geben kann, wie sie der von der Excentricität ab-
hängige Theil des Radius Vectors in der rein eHipti-
schen Bewegung hat. Zweck heutiger Mittheilung ist
eben den Beweis zu liefern, dass die erwähnte Form
in der That hergestellt werden kann. Wie in der vori-
gen Mittheilung wird auch jetzt natürlicherweise die
Zeit als unabhängige Variabele angenommen. Die Wahl
der Zeit als unabhängige Variabele ist nicht nur des-
halb von Interesse, weil Gyldén in seinen «Under-
sôkningar etc.» die von ihm genannte intermediäre
Länge, und Harzer in seinen «Untersuchungen über
einen speciellen Fall etc.» die wahre Länge als unab-
635
Bulletin de l’Académie Impériale
636
hängige Variabele gewählt haben, sondern auch des-
wegen, weil dadurch in vielen Füällen grüssere Ein-
fachheit und mehr Symmetrie der Ausdrücke gewährt
wird.
1. Wir beginnen mit der Bestimmung der Glieder,
deren Perioden sich nur um Grôssen von der Ordnung
der stôürenden Kräfte von der Umlaufszeit unter-
scheiden, Wenn wir voraussetzen dürften, dass die
Theorie des stôrenden Kürpers vüllig bekannt wäre,
so würde unsere Aufgabe etwas einfacher sein; da aber
die Bestimmung der Bewegung der Planeten ebenso
wie die der Satelliten nur durch simultane Approxi-
mationen geschehen kann, so wollen wir voraussetzen,
dass es sich um zwei Planeten, die sich um die Sonne,
oder um zwei Satelliten, die sich um ihren Planeten be-
wegen, handele. Die Differentialgleichungen von 9 und
* 9’ sind (Erste Mitth. 4), wenn wir noch #°vo und n°ve"
auf beiden Seiten subtrahiren
dæ
a HR (1—V)p—=—" Er Re 8 5 y a 7" ç°
35 ,2 ,4
—- 64 n (9 TU SU Ale QUE Le
de La FH PA f9 no En 9 0"
ae +2 (1-v)e =" ve ++ n°0
de n°? mé
RE
Re A
+ 2n/°c'+ 4’ ne [do aan (89
00,
|
+ Inc + 4 ar Reno ie
1h
ep" }
v und y sollen so bestimmt werden, dass keine der
Zeit proportionalen Glieder auftreten; wie bekannt er-
_ geben sie sich dann als die beiden Wire einer qua-
dratischen Gleichung.
_ Es wurde gesetzt
= (140); r°= 4% (1 +6),
und. ;
v=n+y, V=ni+Y,
“wo also 0, ©’, y und y von der Ordnung der Excentri-
cität sind.
Wir nehmen an, um die erste Approximation aus-
zuführen
a + 1 l)
g= —x'Cos(n—< {+ AT)
und folglich
y —=Xx Sin(n—çsit+-A—T)
y = x! Sin(n—ç + A'—T),
wo x, x’ und Z Constanten sind. Die Constante v ist mit
s durch die Formel
(1) = (n—$
verbunden.
Denken wir uns Q und Q, nach den Cos. und Sin.
der Vielfachen von (» — n'}f + À — A’ und nach den
Potenzen von 0, »’, y und y entwickelt; führen wir
dann für die letzten Grüssen die eben angesetzten
Ausdrücke in die rechten Seiten der Gleichungen (1)
ein, so ergiebt sich, indem wir vorläufig v statt v in
der zweiten Gleichung setzen und nur die Glieder in
Cos (n—çt+ AT) resp. Cos (n —çct+ A —T)
beibehalten :
En (1—v)g=n® {(v—a)x—8x/! Cos(n—ct-A—T)
A 2(1-v)0 = =n°{(v-«)x-8x} Cos(n-<t+A-T)
Damit nun diese Glieder verschwinden, muss
(v— a) x — Bx — 0
(v— à) x — Br — 0,
wo à, &', 8 und $” von der Ordnung der Massen sind.
Zur Bestimmung von v ergiebt sich hieraus:
TP
/
V0
IV — &,
cr B,
Die beiden Wurzeln dieser Gleichung sind bekannt-
lich wenigstens für die grossen Planeten und für
die Satelliten reell und verschieden. Dem entsprechend
erhalten wir zwei Werthe des Verhältnisses = nehmen
wir an, x und x, seien zwei willkürliche Constanten,
die aus den Beobachtungen zu bestimmen sind, s0
setzen wir
Vi
x __ a',—a+ ae |
er 28
“ _ œ—a—V(x, nl
di 28
Die Een der Gleichungen (2) sind dann:
p = — x Cos(n—ci+ AT) x, Cos(n—<s'i+AT)
p' = —x'Cos(n/ ci AT) — x'/Cos (n—<s't+ AT). “à
Fund F”, bezeichnen zwei willkürliche Winkel, die ’
ebenfalls aus den Beobachtungen zu bestimmen sind.
637
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
63s
Setzen wir nun:
n Cos(r—T)=x+x, Cos(s—<ct+T—T))l
n Sin (ù—T )— x, Sin (s—çt+T,—T) «
1 Cos(x' —T,)= xx" Cos(s—çé + —T.) |
n'Sin (x —T,)— x Sin(s—çci+T —T;))
so künnen wir die Integrale folgendermaassen schreiben:
p——1n Cos(n—çsit+—A— 7)
p_—— 1 Cos(n—< t+A'— 7x).
Führen wir für 9 diesen Ausdruck in die rechte
Seite der ersten der Gleichungen (1) ein und vernach-
lässigen alle elementären Glieder von hôherem Grade
als von dem zweiten und ebenso alle nicht elementären
Glieder, so ergiebt sich
as
de +2 (1—v)e— È nn + L n°1" Cos An—< {+ A-—T).
Das Integral hiervon finden wir nach der Formel:
M | (1 + Cos2(n cé A— 7)]
Sin (n — çs){ v° dt
[1 + Cos2 (nm ci A—7x)]
_ (n — ç)t n° dt.
_ ; nach den in (4)
gegebenen Definitionen von sé und Pi der ersten
Ordnung in Bezug auf die Masse »#’ sind, so ergiebt
0 —
a 3 Sin(n—cç)t l
8 n—<
Bemerken wir nun, dass © — Ÿ und ©
= sich nach partieller Integration, dass die einzigen
elementären Glieder zweïiten Grades die folgenden
sind:
os + n — _ n Sin2(n—çit+A— nr).
Der vollständige Ausdruck der elementären aa
ersten und zweiten Grades ist also:
= = n° —"n Cos (n—çsi+—A—7r)
— à n Cos2(n—çcit+A— 7x)
__ Ebenso erhalten wir für p':
(5)
= + n° 1 Cos(n—<' t+ A — r)
— _ n° Cos2(n'— <'t+ A'— x),
So weit ist sa für o dieselbe Form wie in der rein
ciNppschen Bewegung gewahrt.
2. Mit der Bestimmung der Glieder dritten Grades
ist eine Neubestimmung der Grüssen », v, x’ und x,
verbunden; dies ist daraus ersichtlich, dass solche
Glieder auch die Argumente —çt+A—T, n—<t+A—T,
n—çt+ A’ —T" und n —di+ A'—T”, besitzen.
Wir müssen zunächst die elementären Glieder von
y und y ermitteln. Führen wir den eben gewonnenen
Ausdruck (5) von 9 in die zweite Gleichung À (erste
Mittheilung) ein, so ergiebt sich nach der Integration:
y = NSin(n—ç A — 7) + à n° Sin A{n—$st+A—"r)
und demgemäss auch:
g'=0 Sin(n—< #4 A'—x')+ à n°Sin {n—<'t+A'-r).
Dies sind aber nicht alle elementäre Glieder zwei-
ten Grades, die y und y’ besitzen. In der ersten Mit-
theilung haben wir gesehen, wie elementäre Glieder
langer Periode in » entstehen künnen; der niedrigste
Grad dieser Glieder ist der zweite und sie haben die
Form
+, —7
a Sin (=
+. m, und dem ent-
für den Planeten oder
sprechend für #
d'une EL
Die Coefficienten a und « sind Constanten und un-
serer Annahme gemäss von der nullten Ordnung in
Bezug auf die Masse; weiter nehmen wir an, dass sie
wirklich von der Grüsse der Quadrate und der Pro-
ducte der Excentricitäten sind, d. h. dass sie nicht
letwa durch kleine Divisoren grüsser geworden sind.
Die vollständigen Ausdrücke für y und y, wenn wir
nur die elementären Glieder zweiten Grades berück-
sichtigen, sind also:
— N Sin (n—$ n—<trA-r)# 5m Sin 2(n—ct+A—T)|
“+aSin(e—<st+r,-r)|
ee a
y'=1! Sin(n'—<'tA'—r"}+nSin 2(n'-<s'#A'—x')
+ a Sin(ç—s'isT-T,)}
Mit Hülfe von (5) und (6) berechnen wir die rechten
Seiten der Gleichungen (1) und behalten nur diejenigen *
Glieder ersten und zweiten Grades, deren Argumente
von der Form (n—5){+- X sind, indem wir mit gs. ‘
eine Grüsse von derselben Ordiung wie ç und ç be-
zeichnen. Es ergiebt sich in dieser Weise:
Bulletin de l’Académie Impériale
640
PR + n(1—v)o = n° [(— a —a)x —(8+8)x]
Cos(n—çsit+A—T)
+ n°[v—a— 0) x, — (8-1-8,) x,/] Cos(n—<'é-A—T)
— fn? Cos(n—2s+st+A—IT +7)
— gr? Cos(n—2s+çsit+A—2T.+T)
Den (1) e = nf —a' 0") x — (8 8)x]
dt?
Cos(n'—çst+A'—T)
D à + n°[(y-0"-a!)x,—(8"+-8,/)x,] Cos(n—<’ t-+-A'—T,)
fn Cos(n—2c+rc te À 2T+T)
— du Cos (2 cc 1 A'—2T +7)
Hier bezeichnen nun:
a a, & B'Grüssenerster Ordnung und nullten
Grades !)
As ds, Bo; B, ds:
» » » Zweiten »
Lay es ti. 6
f, 9; f: , g » » » » dritten »
Wir schliessen mit Hülfe dieser Gleichungen, dass
ie die Argumente von 9 und 9’, welche sich in Bezug auf
die Periode nur um kleine Grüssen von den Umlaufs-
_ zeiten unterscheiden, und wenn wir Grüssen hüheren
_ sind:
ncit+A LT: n<çi+A— TD: nct+A—T;
Dont —Tin—2ç+ct+A—T+p;:
. n—2ç+ct+A—02 F,+7; n—2cre t+N 920 + FE:
Ni ir Hem oh HE.
Setzen wir zur Abkürzung:
26. 2—ç— 0;
: 27—1,=6G, 21,-—7=6G;,
so künnen wir für o, p, y und y die folgenden An-
_ sätze machen:
cn P—=—X Cos(n—< t+A—T)—x, Cos(n—< t+A—T!)
. —A Cos(n—6 t-+A—G)— A Cos(n—5, + A—G;)
= — x Cos(n'—<t-A\'—T)—x/ Cos(n—é#+-A/—T)
— A'Cos(n—0 t-+ A0) rs des t+A'-G,)
| erden, beziehen sich auf die Massen resp, die Excentrici
Grades als der értité nee die folgenden |
* 1) Die Worte Ordnung und Grad, wenn sie ohne weiteres benutzt
itäten. ;
x Sin (n—< + A—T) + x, Sin(n—<' ét A—T,)
| + a Sin(s—çst+ TT)
+ ASin(n-ot+A-G)+ A, Sin (n—0, t+A—G;)
y—= x'Sin(n—c {A —T)-+x, Sin(n—< A —T)
+ a Sin(—< t+T-T)
+ ASin(n—0 t+A'—G)--AÀ; Sin (n'—<’ t+A'—G.).
Diese Ausdrücke, in den Gleichungen (1) links und
rechts eingesetzt, geben die folgenden Bedingungs-
gleichungen zur Bestimmung von », v’ und der Coef-
ficienten x’, x, À, 4’, À, und À’:
E—a—a)x — (B+8)x = 0
Y —=
dns -(0+85)20
PR a - (a)
E—a—a}x — (B+B)x = 0
G—a—a,)%— (88) = 0
A(o—#)—-458=f5
A(s— es à B—9 : Po ns
A(o—S)—A4%R8=TE
As —%) — AF—-gT :
Eliminiren wir v und y’ aus der EUR Gruppe, so
erhalten wir zwei Gleichungen zweïiten Grades, um die
Verhältnisse © und “1 zu bestimmen:
x” \2 / 4 /
B+8)(}— (area) À — (846) — 0
a \/*x1 , TReT RER | An’
BH) — (04-02) 2 —(8+87) —0.
In Übereinstimmung mit (3) ergiebt sich hieraus:
x @—a+a—0 + V (a —a+ a) — 23)? + 4 (B-+-B2) (84-83)
Fe. 2 (B+-$5)
MU dar) —e, — V(ata) a) + 46+ 1h) +)
Xy 2(B+-2)
oder, weil wir nur die Correctionen Rranchen, welche
14
an die durch (3) bestimmten Werthe von = und ** an-
Ki]
zubringen sind, damit die Grüssen 2veites Grades
berücksichtigt werden:
Ax' ___a,—a, x" Po. ?
Re 28. à à "7 28
Bu aa, __ x Be _
wi: 30 x, À 28?
ATEN à
\* " À DC dé"
“e NA us SES
641
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
wo © und 9 durch die folgenden Formeln gegeben
sind:
: V(a'—a)ÿ +488 =(x —a)(a/—a)+2(68, +68.)
pV (a — a) +468 —(x —a) (ay —a)+2 (B'B,'+ BB).
Mit den so corrigirten Werthen von x und x’, wer-
den v und v’ mittelst (a) von Neuem berechnet. Diese
neuen Werthe künnen also unter der Form
Ÿ — m (D + Pi € £,)
# V = m(p+9p'e).
; “’geschrieben werden, wo €, und s, von der Ordnung
der Quadrate und dure der Excentricitäten sind.
Die Auflüsung der Gleichungen (b) giebt:
nn! Bf' +2 nf(s 7 ss
Te)
, miram(n-"#)
D ere s) <mm
+ nn fan (s— =)
Pan | GED ge da
nn. nn! 8 g+ 2n°g de 3)
A(ssr)(a 8
_ Diese Coefficienten sind vom dritten Grade, weil
die Grôssen f, f’, 9, g vom dritten Grade sind.
Wir setzen nun:
n Cos(r—T) = x+%x, Cos(s —çt +T,—")
+ À Cos(o— st G —7T)
+ À, Cos(o,—<çit+ G—T)
x, Sin(s—çsé+T,—T)
+ À Sn(o—çsit+G—T)
: + A,Sn(o—<çsi+G,—T)
: A Cos(r'—T,) — x; + x’ Cos éeciar Ki
+ À; Cos(o—<t+ G — —|,)
G— r)
x Sm(s—ct+T—T)
" Sin (r—[) —
+ À;'Cos(o,—<st+G—
1 Sin(r/ —T,) —
+ À’ Sin (o—ç't+ G—T)
+ À;'Sin(o,—<t+ GT)
Alsdann bekommen wir wieder die Form:
o— —n Cos(n—sit+A—7r)
= — 1» Cos (n—<i+A'— +).
Aber hier sind 1, n, x und x’ ebenso wie ç und ç’
durch Ausdrücke bestimmt, die bis auf Grüssen dritten
Grades incl. genau sind. Mit diesen neuen Werthen
künnen wir also aus den Differentialgleichungen (1)
alle elementären Glieder bis zum fünften Grade exel.
ermitteln. Es ergiebt sich nämlich nach denselben
Principien, welche bei der Ermittelung der elemen-
tären Glieder zweiten Grades zur Anwendung kamen:
he à Ps n—1n Cos(in—5st+A—7T)
. — (5 P— er n°) Cos 2 n—ct+A—r)
Le Le Cos 3 (n—çst+A—7r)
* Cos4 (n—<ci+A—7r)
26
nd 4» Cos (n—< t+ A'— 7)
12
Es Cos 2 (n—<s't+A'— 7x)
— L Cos3 (n—c'it+A— Tr)
"4 2 a Fr
+ ge COEUR CES RE
Hiermit haben wir den Gang der Approximationen
angegeben. Wollen wir einen Schritt weiter gehen
d. h. Glieder fünften Grades mitnehmen, so haben wir,
wie bei der Ermittelung der Glieder dritten Grades,
zuerst x, x’, 6, s, À, À,, 4’ und 4’, neu zu bestim- ce,
men à dann die Coefficienten F5
CNE AOL NE ANS à
CCR
mA Argumenten von der Form
n—ci+G—T n—0,t+G—T..
ne Eee / nn JE |
n—0it+G—T; n—0ct+G,—T,...
ee + EU 95 9 + + + + »
zu ermitteln, wo Ta und 6”,, 5,
linear aus s und $’ zusammengesetzt sind.
Es ist leicht zu sehen, dass die Coefficienten der
neuen Argumente folgenderweise zusammengesetzt
sind :
nn! nn’ Bf+2nf; CES )
+
nn’
ce Là }
Bulletin de l’Académie Impériale
+
GES
4
an an \ nn,
HOPSICES ETS
lp
nn'Bh,+2nh, (a
2
D su
ET
a
à Là
nn 891 + 29; (ss -)
]
À Æ eos sr on ee dev
nan Bf+2nf; (5)
4’ At ‘ 2 NT
Se an an nn à,
af(e-5)(e-5) 8)
; n'B'g +209 (5)
nn. an a/n' nn …, s
al(a—T) de )— mt oo
: nn h',+2 ni (sx—®)
A4 = an œn/\ nn,
a! #0 a) ra go
0
À; M dise ee à à etes 4 + 20e ;
wo f, fn Ju Ju hi K, etc. alle vom fünften Grade
+ sind. Die À., À, etc. si also auch vom fünften Grade.
ÆEbenso wie vorher stellen wir dann die Form
o— — n Cos(n—si+A—T)
p— — mn Cos(n—$ £+ A'— 7)
x
wieder her, wonach die Integration der Differential-
_ gleichungen (1) die elementären Glieder bis zum 7.
= Grade excl. genau liefert, und zwar unter derselben
Form, wie o und €’ in der elliptischen Bewegung
= haben, wenn sie nach den Potenzen der Integrations-
= constanten n und n und nach den Cos der Vielfachen
der Winkel né + À und n# + A’ entwickelt sind.
Der Gang des Beweises, dass die elliptische Form der
gilt, ist hiernach zu erschen.
Wir haben so den Weg angedeutet, auf welchem
man die Form herstellen kann, welche der Beweiïs für
aussetzt. Wir bemerken aber, dass unsere Appro-
ximationen nicht vollständig sind, indem wir bei der |
; elementären Glieder Li auf den (2n+ 1)-ten Grad|
- hrt wird, wenn sie bis auf Glieder 2»-ten Grades |
das Nichtauftreten der hyperelementären Glieder vér- |
Bestimmung der Coefficienten x', x',, À, A' etc. die
Massen » und » vernachlässigt und bei der Bestim-
mung von çs und ç’ überhaupt nur die erste Potenz der
Massen berücksichtigt haben. Indessen verursacht das
Mitnehmen von Gliedern hôherer Potenzen der Mas-
sen keine Schwierigkeit und übt keinen formellen Ein-
fluss auf die vorhergehenden Resultate aus, indem die
Argumente genau dieselben bleiben.
3. Wenn nur Glieder mit Argumenten, deren Pe-
rioden sich um Grôssen von der Ordnung der stürenden
Kräfte von der Umlaufszeit unterscheiden, berück-
sichtigt werden, so ist, nach dem, was wir jetzt ausein-
andergesetzt haben:
—— x Cos(n—< t+- AT) x, Cos(n—</ t+A—T")
— Y(3)4, Cos(n—s,t+A—@,)
2 d(6)4, Cos(n—5, + A—G,)
— NY (74, Cos(n—c,t+A—6G,)
CC
()
Die (3), (5), (7) etc. unter den Summenzeichen be-
zeichnen die Ordnung in Bezug auf die Grüssen x
und x,.
Damit unsere Resultate nicht illusorisch werden,
reichend ist aber diese Bedingung nicht, dazu ist noch
erforderlich, dass ihre Summe von derselben Grüssen-
ordnung bleibt wie die Integrationsconstanten x und
" denn unsere vorhergehenden Untersuchungen be-
ruhen eben auf der Voraussetzung, dass © und 9” die
Ordnung der Excentricitäten nicht überschreiten. In-
dem wir uns die vollständige Mittheilung der Unter-
suchungen für eine ausführlichere Arbeït über diesen
gnügen, die Resultate anzuführen. ‘4
Für die Entscheidung über die Convergenz doi .
suchen, wie sich die Nenner der Ausdrücke für die
Coefficienten À verhalten, Wenn nämlich ein oder
mebrere o sehr nahe gleich einer Wurzel der Gleichung
4 1 , F
(— ?) (s— %) — nn —0.... (0
sind, so künnen die entsprechenden À beträchtlich
Serdén, obgleich sie von hoher Ordnung in see EL
ist es nothwendig, dass diese Reïhe convergirt; hin- ee
Punkt vorbehalten, werden wir uns hier damit be-
Reïhe (7) ist es vor allen Dingen nothwendig zu unter- Lu
645
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
646
die Excentricität sind. Wenn aber © nahezu gleich
einer Wurzel dieser Gleichung ist, so bedeutet das
nichts anderes, als dass a einer der Grôssen $ oder $
nahezu gleich ist. Um zu entscheiden, wann dies
überhaupt eintreffen kann, d. h. wann die Unterschiede
U
O — 6, CO —ç
kleiner als von der Ordnung ç oder s’ werden künnen,
wird es"nothwendig die Argumente der Reïhe (7) näher
ins Auge zu fassen. Es ergiebt sich, dass die einzelnen
”ummen aus nur zwei Gliedern bestehen und zwar 50
#. dass, wenn x > x’, wir (7 21 paies folgender Form schrei-
ben künnen:
Q=—=— x | Cos (n—< ç t+Â — D+% Cos(n—<'#
AT )|
FE Cos(n—0, cyt+A—G. )+B; Cos(n—0c;'t
+A—6,)]f 0)
ue — x? LB, Cos(n—0.t+A—G,)+B, Cos(n—0c./t
| + À — si
wo die B von der nullten Ordnung sowohl in Bezug
auf die Masse wie in Bezug auf die Excentricität sind,
Es ist nun eine überaus wichtige Thatsache, dass
_ die Argumente o die folgende und keine andere Zu-
$ cet haben:
Con — Nç—(n—1)6"; du. — né —(n—1)c.
Aus der Theorie der grossen Planeten und der Sa-
telliten ist bekannt, dass für diese Himmelskürper
_ç und ç’ immer verschieden sind. Wenn nun z. B.
gleich ç oder $’ sein soll, so muss
#1 Gon—1
ie ne —(n—1)s —<
oder
_ sein, woraus folgt, dass
ist, und dies ist nach der eben gemachten Bemerkung
nicht müglich. Die c« künnen also nicht einmal ange-
nähert die Gleichung (8) befriedigen, Wir haben hier-
mit den wichtigen Satz gefunden, dass sämmtliche &
sowoh] unter sich wie von 6 und £ verschieden
sind. Dieser Satz kann auch so ausgesprochen werden:
Bei der Entwickelung der Reihé (9) entstehen
keine kleine Divisoren, die das Grosswerden
eines oder mehrerer der Coefficienten B ver-
ursachen.
Aus der Zusammensetzung der & geht hervor, dass
sie mit der Ordnungszahl wachsen; denn es ist
c
m1—= N(—c)+c,
Con = —(n—1)(s—<c)+<.
Die Divisoren der Coefficienten B erhühen also die
Convergenz statt sie zu vermindern.
Von einer gewissen Grüsse der ganzen Zahl » an
sind die ç und ç' von entgegengesetzten Zeichen, und
zWar 50, dass stets
Jai 7 Cu en CE
Nachdem wir dieses Resultat gewonnen haben, ist
die Untersuchung über die Convergenz der Reïhe (8)
verhältnissmässig einfach uud beschränkt sich auf die
Untersuchung gewisser Combinationen der Entwicke-
lungscoefficienten der Stürungsfunction. Hier führen
wir beiläufig nur folgendes an: wenn unter der An-
nahme x, zx
+ «=
so wird die Summe der Reïhe (9) den Werth
2 »x
1—4x?
nicht überschreiten künnen. Bei den grossen Planeten,.
mit Ausnahme von Merkur, und auch bei den Sato.
Jiten ist x < 0,1. Der Ausürurk (9) für 9 wird dann
«03 perdens. aber in Bezug auf cute wird die .
die
Nr
in einer and main
na