SZ 8/80 19/1 €
OLNOHOL 40 ALISHAAINN - 9ISNW
DA PeTT
TENNIS VOS
4%
mn 24
fus
Ê
y
+ * a N L.
PODUPT UE.
y
Märouf
Savetier du Caire
OPÉRA-COMIQUE EN CINQ ACTES
TIRÉ DES MILLE ET UNE NUITS
d'après la traduction du Dr. J. C. MARDRUS
POÈME DE
LUCIEN NÉPOTY
MUSIQUE DE
HENRI RABAUD
Partition pour Chant et Piano
réduite par l’Auteur
PARIS, CHOUDENS, ÉDITEUR
30, Boulevard des Capucines
Tous droits d'exécution, de reproduction et d'arrangements
réservés pour lous pays,
y compris la Suède, la Norvège et le Danemark
U.S. A. Copyright by Choudens 1914
MAROUF
Savetier du Caire
D vw %
€ \ #3 +4 "”» rs Ci
suc .:s
PERSONNAGES
La Princesse Saamcheddine. Soprano :
Fattoumah la calamiteuse . . . »
Mârouf. . RSR Ténor
Le Fellah. Ténor
Premier Marchand. D
Un Anier . : »
Le Chef des Marins . #
Deux Muezzins (dans la coulisse) . »
Le Sultan de Khaïtân . . Basse
Le Vizir (1) . . . . . Baæylen
NOR TS »
Le Pâtissier Ahmad . . | Bsse
Deuxième Marchand . ; )
Le Kâdi . . RATE »
Deux Mamalik. ARS »
(Ces six rôles peuvent être remplis par
deux ténors seulement, répartis de la
façon suivante : I. Premier Marchand,
le Fellah. — IL. Le Chef des Marins,
l'Anier elle 1" Muezzin. — Le chant
du 2° Muezzin serait chanté par un
chorisle.)
(Ces huit rôles peuvent être remplis jar
cing artistes (basses ou barylons) ainsi
répartis : I. Le Sultan. — IT. Le Vizir.
— IIT, Ab. — IV. Le Pâtissier et 1°
Mamelouk. — V. Le Kädi, 2° Marchand
et 2 Mamelouk. — En cas de nécessite,
d'interpréte du rôle. d'Ali pourrait éga-
lement remplir les rôles du Pélissier et
du 1° Mamelouk.)
Deux hommes de police, coryphées (basses ou ténors)
Chœurs : 1* ACTE — Voisins de Mârouf (S. C.T. B.) — Marins (T.)
2° ACTE — Marchands et peuple de Khaïtän (S. C. T.B.)
3° ACTE — Dames du harem (S. dans la coulisse)
4° ACTE — Mamalik (B.)
s® ACTE — Mamalik (T. B.) — Czravaniers (S. C. T. B. voir la note p. 380)
Personnages muets : le cheik al-islam, chambellans, nawabs, diynitaires de la cour ; — mamalik ; —
_ esclaves, — danseurs et danseuses, — dames du harem, — nains, — caravaniers.
(1) LU exist. une version plus grave pour basse
du rôle du Vizir. à adresser à f Choudens, éditeur,
chez qui sont publiées également diverses variantes pour les rôles de Mirout. de la Princesse :1 de Fattoumah
MÂROUF, SAVETIER DU CAIRE
Première Représentation sur le Théâtre National de l'Opéra-Comique
(Paris 1914)
Direction de MM. GHEUSI et ISOLA
GINGERISr OrEn Tr
J
DISTRIBUTION
LA PRINCESSE SAAMCHEDDINE . . . . . . . . . . Mrs DAVELLI
FATTOUMAH LA CALAMITEUSE. . . . . . . . . . . TIPHAINE
Lens à MM. JEAN PÉRIER
HE SULTAN DE RHMAIFAN: : .. . . . . . . . VIEUILLE
à «Re mots va lla0t 3 DELVOYE
M AS RE VIGNEAU
ay, DE CREUS.
RER AMD. 0. 0 |: Li . . . . . AZÉMA
PREMIER MARCHAND . . .........+... CAZENEUVE
DEUXIÈME MARCHAND . . . 5... . ... . . . . . AUDOUIN
Mt: ... PAYAN
Le L'un. DONVAL
LE CHEF DES MARINS, ET UN MUEZZIN. . . . . .. DE CREUS
Ti ge ent THIBAUD
DM TE Du us. REYMOND
Eu in a, BRUN
UNHOMME DE POLICE. . . . . . . .. 4... DELOGER
AAHONMEDE POEICE. : . . . . . . . .. . Ne CORBIÈRES
Chef d'orchestre : M. RUHLMANN. — Regisseur général : M. CHÉREAU
Danses réglées par M”* MariQuiraA, et dansées par M'° Sonia PAVLOFF et M. QUINAULT
Chef du Chant . M. Viseur. — Chef des Chœurs : M. ARCHAINBAUD
Décors de M. JUSSEAUME
Costumes de M. MULTZER
WW w %w
& D #4 "M cv Li
LINGE
ACTE I
SCÈNE I. — Mârouf . Tee DOME TER"
SCÈNE II. — Mârouf, Fattoumah. , . . . . . . . .
SCÈNE III. — Mârouf, le Pâtissier. . . . . . . . . . . AT AS ve D OR
SCÈNE IV.— Mârouf, Fattoumah. . . . . . . .. DR PE PE ET: RACE
SCÈNE V.-— Mârouf, le Pâtissier, is RUE Rs le |
SCÈNE VI.— Les mêmes, Fattoumah, le Kâdi, Deux Moore DU DORE. 0 5 LS
SCÈNE VII.— Mäârouf. le Chef des Marins, les Marins. . . . . . . . . . . .
ACTE II
SCÈNE I.-— Mârouf, Ali, deux Muezzins PR Re AL Et dE RL !
SCÈNE Il.— Ali, 1 et 2° Marchands, l’Anier. un Muezzin, Femmes et Marchands |
SCÈNE III. — Mârouf, Ali, 1° et 2°° marchands, Femmes et Marchands. . . . . . .
SCÈNE IV.-— Les mêmes, le Sultan, le Vizir . . . . . . . . . . . . . . . . . .
ACTE III
SCÈNE I.— Le Sultan, le Vizir . . . . . . . DR. cu ee ou CREER
SGÈNE II. — Mârouf, le Sultan, le Vizir . . . . . . . . . LR 1e SRE FRE
de NS OR le à tn - Nés ei
SCÈNE III. — La Princesse, Mârouf, le re le Vizir, Donies dé harem Peer
SOÈNE IV.— La Princesse, Mârouf, Dames du nee nu: CU PS NES
ACTE IV
SGÈNE 1.— Le Sultan, ie Vizir . . . . . . . . . . RAT Se RE
SCÈNE II.— Mârouf, le Sultan, le Vizir. . . . . . . . .
SGÈNE III. — La Princesse, le Sultan, le Vizir. . . . . . . . . . . . . . . . .
SGÈNE IV.— La Princesse, Mârouf, le Sultan. . . . . . 5 Se rte CE SUR
SCÈNE V.—— La Princesse, Mârouf . ES RS à dr
SCÈNE VI.-— 1°" et 2° Mamalik, les Mamalik ‘PUR M io eu À
ACTE V
_SCÈNE I.— Le Fellah . . ; APTE
SCÈNE Il. — La Princesse, Mârouf, le Fellah . ROMANE OS
SORNE LIL. — La Princesse, Mârouf . . . . . . . . . . . . . . . . . . . à < «
SCÈNE IV. La Princesse, Mârouf, Le Fellah. PR RTE
SCÈNE V.-- La Princesse, Mârouf, les Nains. . . . . . . . . . . . . . . . .
SCÈNE VI. -— La Princesse, Mârouf, le Sultan, le Vizir, Ali, Marat: 06 COS
107
124
130
153
160
166
210
216
235
243
249
265
269
310
315
322
328
339
349
369
Avis à MM. les Directeurs de Théâtres
L'article VIII du traité passé entre la Société des Auteurs et Com-
positeurs Dramatiques, à Paris et MM. les Directeurs de Théâtres,
Casinos, Théâtres forains, Sociétés particulières, etc. est ainsi conçu:
ART. VIII. — Ÿe ne pourrai donner représentation des pièces mu-
sicales sans l’orchestration approuvée par les auteurs.
Il m'est de plus interdit de représenter ces pièces avec accompagne-
ment au piano sans avoir obtenu une autorisation spéciale des auteurs.
at mt dt PTS EE
L'orchestration des ouvrages étant la propriété de l'Editeur de
l'œuvre, les auteurs s'en sont remis à la décision de l'Editeur pour
cette autorisation spéciale.
En conséquence : Il est défendu de représenter cet ouvrage sans
avoir traité 1° avec la Société des Auteurs et Compositeurs dramati-
ques ; 2° avec M. Choudens, Editeur-propriétaire de l'œuvre.
MM. les Directeurs auront à justifier de ces deux traités pour
avoir le droit de représenter l'œuvre.
CHOUDENS, Editeur
30, Boulevard des Capucines, Paris.
Loi du 19 Janvier 1791
DROIT DE REPRÉSENTATION
ART, 3.— Les ouvrages des auteurs vivañts ne pourront être repré-
sentés sur aucun théâtre public daus toute l'étendue de la France sans le
consentement formel et par écrit des auteurs sous peine de confiscation du
produit lotal des représentations au profit des auteurs.
CODE PÉNAL
ART. 428.— Tout directeur, tout entrepreneur de spectacle, toute as-
sociation d'artistes, qui aura fait représenter sur son théâtre des ouvra-
ges dramatiques, au mépris des lois et règlements relatifs à la propriété
des auteurs sera puni d'une amende de 50 au moins et de 500 f" au
plus et de la confiscation des recettes.
MAROUF
Savetier du Caire
ce NC Bua, Se:
ACTE 1I®
| L'action se passe au Caire, La scène représente une misérable échoppe de savetier.
À droite, une petite porte donnant sur l'appartement, et à laquelle on accède par un escalier
de quelques marches. Au fond, des fenêtres s'ouvrent largement sur la ruelle du souk,
et laissent voir les devantures des boutiques d’en face. A gauche, sur un pan coupé, une
grande porte bouchée par un rideau usé,
Moderato (| pl = 72)
PIANO
aa HEC ORNE CORNE RESRE SE RE
TES SN ERNRRTIRERNN CEE PRDEMARX En LOS DS ins Ets TOP LD.
ET DOS CR RSR RES RSR SON VO MES DUR EST DOM 7.
NO SU RSS CON RS: SP CR DR RU
: x : £ ; Tous droits d'erccution publique, de traduction
USA. Copyrightby CHOUDENS 1912. . de reprodnction et d'arraxgemneaits réservés pour ous peys,
A. Paris, CHOUDENS, Editeur ; y compris da Suèd, éd Norvege, st ie Dansraurk .
L
2
s
SCENE
X
MAROUF seùl,
is
‘Au lever du rideau, Mârouf est assis sur un petit tapis de prière, le dos tourné à la porte
de droite,
I1 donne quelques coups de marteau, sans entrain, sur une vieille babouche;:
après
quoi il oublie sa besogne pour réfléchir.
FF
ui
)
A
MAROUF
(tristement)
Qi
” est des Mu.sul
mans
Il
nn
|
Cai
la vil”."le du
dans
mac.
poco
D
(1! A
1
3
ER,
”
CRT
SRE te.
RES ©
Es
D
[| 14 Q
a ET CERN
NE D CRE ar
DIRARG”. Sides Nes
se dé … Jlec … =
TT — — |
+ —
és
a ———
Dre ne UN)
© | Fe
TE QE
A % Y joue
Vi NON à
pins Bi c) TT
ë ï |
Lo]
5
lus
jh
=
17
DRE SEE
LR CRE ET el
et ne ni
é c
[3 LE | ÿ
HAE
sil
HE ©
î À il TT
Al Ill :
12 n
©
Ill : Ï
Ill A a] m
IT À HE
Hi à 1]
# # [
i È il
| [|
11 |
(l È
._
il
FREE =
il É : ji $ Î |
Ï a |
fl 1" il
TT jh TM TM
= > =
LH
des lacs
sont
tes;
|
ll Il we |
| = l œ ‘L °B=*
Ë il & x | LU
7]
RE £ x 2
se NT = | :
& r
mn Q | \
à [eb) e— 1 l
À à ” | o
ns
f : É
He T
[1]
27 ISSUE TIR ER
Rs A ee SES CE e 7 ni]
veux sont
C
a à =
TL Ai]. à
1 Il “ 1
F4 ©
| Il : :
er mn
£a
1 leu
ra
=]
L œ
‘, = |
F II
SUR
©
= 1
3 = ä
E s
. V - Le , . ME
inc TN 1
Æ À À
des no … bles ca .
(
\
À
J
ll
LS
nl
|
perl
Al . il
I (QU
j il
I al
|
| Qi
(ll RAS
d 1
pit
Du
QU
Li |
II
|,
TZ
==
a
ceux,
le bonheur de_
C
7
TT
le
JE RS où Le
dans
=
ot ec à
de blan . cheur
ay _ ant tant
F
UN)
leurs
las!
Q
||
|
a QU
IT 1
ù
I À
ë Ie
A EAN E
2 ë ra
| j CMS
ir ii
: ANT AJ
ns 3 a Wl
2 8 Idh_ + él LS
= | aùl
> | ||{{1
ë es pr
x ut D
| HS l
| ||!
PR FL
KE où
TS ne de SE
a
SCENE Il
MÂROUF, FATTOUMAH
(11 a dit les derniers mots en baissant la voix, et en tournant la tête ayec inquiétude vers la porte ue
droite. Alors il apercoit Fattoumah qui est entrée sans bruit, et qui le regarde du haut de l'escalier)
All moderato (d — 126)
FATTOUMAH >
CR 1 | . ES SL ms D'un
UT Di CSM NT OONSNNER SONDE D ESS N CRRS SNL SSSR SEE DS M CO U | GPU SONORE NME TENTE
SE ————_———————— "ÎÊ————f———— CDR ET DONNE CESUE "SEES
All? moderato Mau.dit soit le Lapi.dél!
LA =
Le
=. < = ’ ? : = +
, Sgiec M COS 2 mu 58 : .bfR : ete
RE CAR Re . 1 =
EE Re PE TEE
LS CRT ESS CRE DEL LUE SRE |
Fa ÉNENE ET Te
Hp: te ( beX_ = 1 —_ =
CS 2 SCO PE OS CS SR D PER EE D ESS ME —— EE CESR EN
UTC | DRE D RS — — CT CR a — 5223 2
Sn — / | © rx =
ns El
| à
mn" #11: RE EL Re Se
D "lt 1 D I 17 - 602
ET LE. FA C2
EL |
Fat,
chien des sa.vetiers!
(il s’est levé et il recule vers la gauche avec terreur)
A
MAROUF
1
-
Lo aCIel
lon
2 le de
fil
NT
Ebud PL
De" Sn. ‘7 4
ber de mon co .té
=
£
r
a pas lais.sé
}
n
FATTOUMAH, descendant vers lui
Ce
pe -tit res - se . me
le plus
11
£. ; |
|
Lu ; |
qll |
[11
[|| |
||
111
| |
| : Q | «4
|| : | |
| |
É NN.
| | L «| | 8 LR
| A 44
||! E. 1 . en G Re
1° | ii
lil se |
| :
ï
ie,
8 E là dr
ñ As
;
Il 5
Il S | | |
LS
, "| :
NL à
F +
La
: F û nos
o
1e
Li
| ù fL 1 qd
LA 6 |
[es |
[RE | l
LD S
ee £ :
| =
(a
S
LI
La
|
——
ESP SEE LUS
mm 17
68 | d'A
SSL ES
D OR VARIE -————
C1.
LEA 2
ee 7
Bond
+
a
[ex
E
MAROUF, timide
Il es ||
=
[°b]
»
md
| ak s ||] =
à. ©
a el] ©
ke |(T pis
Eu LE
| | H | 1 h
(| (
| Mn)
| qe |
| ! | |
| [||
D ||
| vf it
| (1 | |]
| En |
Us ie |
| KE Ce | ||ll
IN: EE,
( TA! © TT vi
Lé- Q hi |
BL Aux
dl
re Le
NS sé
A0,
V ŒIL
Fat fs? D:
2
ré _-e au mie
a - beil - les, bé_né.dic
d’
1
”
A.
la
te
Ap-por
Fi d
tt
7
bus
nr
E
1
ñ
soir
ce
moi
P molto staceato
1
plus
‘se ra
nuit
Ha
bien _
ingendo
un poco sStr
ES
_
sombre
14
pa -Wi-ar
cien
l’an
nuits de Job,_
(Elle retourne à la porte de droite)
(du haut de l'escalier)
FATTOUMAH
A ORNE
# 1
A b]
D
E fn
Fat.
=
te.
sur ta
tre
!
4
HT &
“ j)
il IT:
fi |
ni LUN
CL (1 )
l Pt
| TR
Li Lis
TES
l [ILES
Ji LEO),
Î :
il
à si
é sil
\ all
pq" il
AW Ut
NE er
li À
El fil
di. rs
qu HITS.
Ib)
Or * il
ii qe
în dhud
LM em.
e au miel
a
cré
su
fa
na
ke.
de
_blon
/
fnsd Ÿ
D nn.
lesi
=
16
(Elle sort):
T 1
|
S Lo
Us ”
1 reprend ses réflexions
3
où les avait interrompues l’arrivée de Fattoumah)
é, puis i
Märouf reste un instant accabl
(
17
SCENE III
…
MAROUF seul, puis LE PATISSIER
A
MAROUF
ène dd
t de la 1'® Scèé
Mouv
=)
vi de la 1'° Scène (d
jé
Je dcis su
vre!
FL
nn D (4
Ebud “à
u - ne
vieil
veut)
le
ES
ESS Se
DRE) CESSE
ES
-dron
de gou
poix et
= 2 |
7";
Ian. - "Fonse
pans
een]
== TE]
z
_
un me
|
|
Il
s
|
NN 3—
fr
FES D J- =
PS |
1] il
Ah FR
Le
| \
|| l'a M)
le LL]
 SA LR S à
L'r2) | nt |
ù
tn
ins Sdù
Du v. “n
tre insuppor.
n
un-em - pla
yeux,
sur mes
au
ET
un filé
7
\ VO J-
l
ab
NEIGE
sa.ve
de
mon cœur
19
LR -
= |
4
LEE
ps ee]
ma
Free
me
sans em-por -
E—
le
SON Mi Si SENS
BE 2e ASF FRE
. se Ds
SE 36
SR OR RES ”
GERS SSL
rai
se —| ©
CSSS ES
FN ta
Fe
ant noir - CI
Ÿ =
SITES sil AIT
S FT] S 1 1
pi) où Dh UE
= & Las) à . ;
4] 2P Ni Tr JA
ii jé rl
É [N © \ U\\ | 1
om
É UN Un L | | |
: ÈS (
© / ,)
Al. (AE
. À a ! e
Re \ NT
all à: cr
A : NS À
(l Ï a:
1: LB Eu Re Bel
| . RS Le nil $ 4 |
IL QU li ill ll ms
E x RÉ TT e nn: HN
= # =
1
de
pan
dans le
fieur
la moindre
-ter
Q QNI
FE
4
mon mar
De la ruelle, le Pâtissier qui
est devant sa boutique, l’apercoit, et lui adresse le bonjour)
Mârouf vient se rasseoir mélancoliquement
21
100)
Ce
=
LE PÂTISSIER
Moderato (un peu plus animé) (J
ji
Le]
] Il
| © ë
il 3 if
IE il
. LA f EN
5 ll Il
© 1 "
c HI a TN
: Rite eÀ
À Pal » D:
Ja(se ji
sh 1
le sa _- lam,
Moderato (un peu plus animé)
A
MAROUF
TESTS ES
Le
DT SERRES
ES PRESS
FER DNS SR
CES CRT
cheu . se.
=
+
pneo CFese.
Sur toi
CS
DES
= 2
se fa …
EE ———
Re =]
RTE)
ES
D]
agree à]
IN =]
BE
RE CES
ES
|
En ne — +
| |
cæ
moe
, CSS RE CRE PS,
2 FES EE FER SRE"
- gé d'une é.pou
ess :
pe she res]
ET Tr
7 ; DO
Re
EL ne Que | EE
LERNSST_NS DSE Se
F y
‘3
SES EP TERRE RE
IDCSECR SUN EN à VS © UE
LES FINS CORNE EE
LISE
Sri SP * SE SP
ie. rt 1 ( LE
CR ME € = 2? € +,
TT ? 1] faus a 4h lbud
rs CRE 7 ee ”.
: A
_-cri-ve sur ta
z
e
teur
Que le Rétri-bu -
lepâtis . sier.
monvoi-sin
' Sd nRS RER di PPT LL vec à.
nn 2
BE à
Ji DT |
| in
| à
IE
; 3
d [=
À “ #
s_ 1
1 # Le
c *
© 5
e TR k 2
+ #4
à LUF M I |
ll I]
CN a É fl 4
Lun © ù ©
3 #4 a Û m m
À # e IE 5
L) Le]
ne É ñ Ill 8
44 2 a d jh I
F.) 0 &o ©
2 5 B, B LA
4 LL
4 He |
ù :
; 1 :
re eo
il A) 8 à ”
Q DS
jl jt
el
7 —— SSL
D —
Pour _ quoi
se
Eee
te plus de bon - heur
A
MAROUF
Peine 4
FRE Le
RER
rou -
(Le Pâtissier, entrant en scène par
CRE
LE PÂATISSIER
PERS
RES HS
22
le moy -
tre
pi-re donc
mn ER
re 1]
peus -s
mins
Qu'il
|) [11 [LL ji 1) 1 le
A OS Te | - | ï
|111 ||! {| | ! :
ll de il He NT ë
|| | | _
Il Il FT | ! | c *
[|| \ œ ib | es
El | | ; Me |]
| jl Le F- |
| l, : « In : IBù Su A \
|| Il | ail | 1 sé Ai
JL A « :
LA fee || Es
Css = «> au
U ee, iii
: ; ba N°> l ai , ’
| Ut ; Te CD és) | à #
| &
Lol
4
IL |
SFSUE
D ne)
RERRE De Berre)
LE PÂATISSIER
Sn
pes]
A
-de sou.la - ger ton in. for.tu
LA
FT CO DC RES
es
<' JE
Es
Far
à NA SP EC SP PU
a A) JE À je
insd ‘à AN lbsd Sà S à
= = LE «
° 2
pè
…
MAROUF 5e faisant très câlin
re des pe-tits gà - teaux,
;
«
À
le de pis -
me et l’hui
4
—
ê
sa -. vant dans la cr
T NL
prends __
que mon.
ap
… dé An for
est u.negran
ne
eo
in - FO UU
25
pant
P
interrom
l’
res
oi
?
ca.la_miteu.se?
LE PATISSIER
Cet - te
pou.se Fattoumah.….
ral |
|
st
-"!
En
]d'a-
p 1
Tes
1
sucrée aumie
ESS TENE
SSSR
Re mr
à & me.
ESS TE SEE
e#,
EL LS
Pix
cer.nu-er son a
[1
f :
a qe
#W | | .
=
SSSR
LE :
fasse _ é
1 RS DE
RO SRSSTEN GE
PEINE".
se réjouir d’une once de kenafa
ee ee = |
<ÉAROOENNEEE
Mârouf, touch de ce souhait obligeant, salue poliment le pâtissier, qui lui rend son salut.
xp fa x
RQ QUEID
I 2 A * Ai
: Oo
= AN ©
Ch Fu à SM
TL S Re
SAGE
È SS Se
ail 0 = (D
LT LT Fr ne
a ser] ei] “s
A SE, À à
sd YF MY
8 Dee” 2e.
26
8 3
[T1
4
C3
LE PATISSIER
cet a.
fais
Eh bien,
L
; Ek
Hs vil
D UT
ù |
AT
LS ini
‘=
NT Sd
D A .
J
n'avait mar.
= “nées
des:ti
la
He . las!
e spi LALE
Animato poco a
poco
ES
pas même u.ne
nul gain pour Mâ - rouf,
-qué ce jour de
It. ji
A0 à Û
© ik AR,
SL Il
a F ee ME
e (Il ZA
© : &
à
© | Q
+ | s
|
0. |
E
4
27
& à On : i
à or 48 HN Le) - À
© [| H | [el ) 6
— #8 l Le | ! L.
© L=| N € (L] N ©
* g [l NT à
_ (] a \o
d - _
Aie Ie ail "| ”
* : 48 N 5] À
' Ÿ \ L ha"
à a /l
w cs Ex A7 /
| 5 M à A |
ee h 10 e #
2 à il à a. «pl TE E
: Hs ge te
£ [NT € A] E
Le
4 PA
: rs
© a
à es
L
©
2 Êl
[e œ
uw
a
CE
A
un
L
»
É
œ
2
Le
sr
_ piè- ce,
—…
|
|
D ee ee
ES Te g
Rs =
Mrs.
u =. se
EE À . AS" EU
RSR 0 RSS" 2: M
: PERS vi LCSSSSSERS Da =
SECTE SSSR
2
2 LICTIESSESRS SSSR
[LU TIR FRS
|
Et 6
|
RQ |
D —— << —
_ x
LA)
ins h. (]
- LE en. 4
4 é 4 À
Sempre animato
- la.mi.tél
ma ca
Sempre _animato
ps
G:
=
<
Q
p+
(Se voyant seul, il laisse son exclamation mourir dans son gosier)
(G
molto rit.
mollo dun.
Ya Al.lah!
&
{
per une large
étale la kenafa dans une sauce de beurre
}
au dans sa devanture,er cou
gà
le pâtissier, qui a eu un rire de bonté, sort par la porte de gauche.
Pendant les plaintes de Märouf,
Plein d'espoir, Märouf le suit du regard.On le voit prendre un
portion, puis revenir en scène portant un grand plateau, sur lequel 5
fet de miel.
}
Tempo 1
?
D
œ
Nù
=
LE PATISSIER
- teau,
â
Prends ce g
la fil.le de ton
… fin d'en réjouir
a
pau _ vres,
pauvre entreles
; AL. TT.
Se 4
[1 SAù
ipitant à ses pieds et lui baisant le bas de sa robe.
Par
a
po =]
=]
gé-ne -. reux!
gs,
5
sr
+
A
Le 2]
LS
L__
bon!
—
=
5 Ho
se précip
Ca
=] Bees Le)
CRE Cr
ER
Ô no - blel,
=
MÂROUF,
Le
on … cle.
30
fait au miel de canne
qu’il est
Che
sa
CN
|
run
MÂROUPF, prenant le plateau
|
u
re … cois desmains de ta
Je le
que le miel d’a - beil - les.
_auis
LE SE ES à AR
np
cœur plusdouxen.co.re que le plus douxdetes petits ga.
AE
1e
31
(le suivant obséquieux,
[=
œ
[OL
[N Lis]
Hill &
5 +
à ©
©
LE PÂTISSIER, se dirigeant vers la sortic
ES
Æs
sn
FRERE
LE RE ET]
ERNEST
fai
Je veux te
HALL... [é
Un: Lt SA
5 de. 4 :
et l’interrompant par ses élans de reconnaissance)
j
Il
dil
PERS
>
e. ne - reux...
»
est plus g
Mais Al . lah
Ya si.dil
Ya si-dil
(11 sort et ferme le
rideau derrière Jui
ES
re.
diai
-
me
que l’in.ter
suis
Je ne
cresce.
.
32
di!
Va 181
Va Sie du
i - dil
ee
Ya
un poco stringendo
s la porte de droite, ému
ée, puis il se dirige ver
et prenant mille précautions pour ne pas renverser la sauce.
11 regarde son gateau avec une joie extasi
de
porter une ‘eile merveille,
©
T
=
ä
Pa
L
Ÿ
®
©
ä
ET
-
SCENE IV
F seul, puis FATTOUMAH
=
MAROU
pe]
8 À
* à
A
UE
© ©
ù &
8D 6
4
4
ton
à ce gâteau
=
ap - porte
. pou - 8e,
r
mon €
Ô
«r.
| [3
Fattoumah,
Ô
2
si pré - ci - eux
(Fattoumah entre)
4 mon Sei-gneur Môhammad-.
grâce
j'aicomblé ton de - sir,
34
FAÏTOUMAH
. Sur Lui
paix.
la
t
«
i-.ere .e
la pr
paix.
la
la pri.ére et
Sur Lui
eproduit detes vols?
%
;
i
à
pochiss. rit.
= 104)
MAROUPF, très calme et souriant pendant que Fattoumah renifle le gâteau
1 À
Allegretto ( .
,
Ul in wii | |
| ©
QI [ PL | BA | 5
[ ïl | .
UN & Û |
SR À d
À à « Ë TRES | ë
5 UL à “Dal
IE À n dl,
1) &
o di À : TTL.
Fs NT Cl:
2 - Cha # ë
Fa À
L “lil LE œ $
[e] + Fr! En) = |
nus fn Il} 22 A 2
il | all | 1 |
[LL [AL 5S Il | |
Fe j gl A EL À
+, NN —À
HT $ : RiiSE il nu‘
JA ‘. Ii :
1 F il ; à É ll |
soil Ê LAN
gi bien o … do
c pr |
pe. à
pour que ta
#4" R
Rs
an RE"
Re ne |
et
e | D ins
ä ä D 2e 4 ä
wi Se - " " CR SE CRE ce ne ÿ V3 ‘ : ‘ . * - pe— pr oi diet femmes. aus. Le
LL. | Cl
a. |
‘ ‘
SRE : nu.
+ 56.0
en
D 2
LL
BE =
7”
‘
E
L Ill
Ë 9 Il 4 | Fe ;
N [a La \ et
ù | |S— 2 Ô © : D Il :
a38s LEPRRE LU LE
HI « pa : fe. À
TN £ UE a +
HAT: © | es (a
T8 % Tel 8 dr “4
d
All! mod!
; JI
ui
all
ë. #1
Pere UT)
Fattoumah d’un coup de poing fait chavirer le plateau,
et le gâteau tombe et se brise en plusieurs morceaux.
NTEEN
V4
=
CZ]
de mes yeux __
… ñ
EE
RASE NE]
ei Ÿ—
la
Q
SRE RER
Sd ÉS
Be
1
5
LR
le téga
TR
D ——
fais
FATTOUMAH
DV SE
a
Ô
EE ——
+ [| PL
PR
| Dbns
& CSSS :
72
COPSUNL : D BRL ET ne Tr)
RSR 7 D CR ES NE
RE A | Re
F7 RC RE RENE)
A RS a
ÿ
— :
36
me trom.…
Pensais - tu
‘
‘
ble !
EE
nn ——
Ré Etre
CR.
SRE
ESS
rie?
> .E
Et nes]
RES (SES) Fo
| ___ =
r—
FES
| !
Æ').4
BSû 2
—_
——
DES ORDRE
tt)
7 —+ —
ta su. per.che
a —
EE ne es 5e |
Dames nue]
Les 7]
ns res
-per par
|
Lies TRS SSSR NN NN
rond
F-
Ë
miel
du
é
d
de. man -
FJ'ai
V7
Bus
P.
[A
«
a
canne
le miel de
ci
—
—
re … nifle
je
et
38
cre.
su
| [al
11 du
rs À Il UR
re UT A
1 [|
| il
nt 4h
Î ul
[TR f
\
*
: f
o + E |
à ls MEN | UCI
8, [Ù : mil
a
Æ UE I
‘9, A 18
ge |
É # E! 1
SA Bi, j |
Re IL
E« D: BA
E 0 MAGIE
rs Ê + |
Fi
8
æ E:
-d 8
A |
Fe | À
8 | | | je
& | EL
5
ch |
…. 5 4 a \
MS SA
|
FATTOUMAH
1
®
Tv
u
©
E
©
Le]
“
|
Q
1
&
Tu ne veux
39
8 13
| su
LE
a
la mort
MÂROUF, lui présentant de nouveau
Poco meno mosso
a
TS
TELUS
SSSR
le plateau ayec douceur
ac
il
F
Poco meno mosso
=. !
| | »
ba
É
5
(l
de canne à
_que
C]
tre de.main
et peut =
Allegro
la limite de la fureur
à
FATTOUMAH
tu veux me nar-guer en -
mais cette fois Mârouf a pr
dtitude sans d
et prend une
Elle marche sur le plateau pour le faire chay
*
le .
évu
fi, mais
[résolue..
rp3
lui,
ere
irer une seconde fois;
jè
Poco rit.
é sur un petit meuble derr
ûret
coup. 11 place le plateau en 5
L
#4 {|
œ i
A
5
A
© 1
A
É ee
1 NY NO
El
Poco rit.
EE ——_———
RS
pl
[l
Pi:
41
Ii s’installe accroupi
devant le gâteau et
se met en devoir de
le sayvgrer.,
ESS Du rm CRT
ER
je veux bienla man.ger,
moi!
gretto (d —10»)
Alle
- ger lablondeke-nafa,
FATTOUMAH
48 +
El
pu
cetteor . du …
ITR 5:
|
Quoi!
A
_MAROUF' au
gateau
Il
donne auxpropos de le.
Par
CR
KL «l |
ir
Li
[=
| æ
4
. 1
il (l 5
4
. l n
Hi ( | 8
L2 “| In
ill Il AL 5
| à Il
ll aa | | |
qi Il
. il
d
Il S_\
7 e = Q «à
Bb È
reu
SRE E y
CU EE ="
SR SEE 4
nd —
DEC
RIRE 2.
BDSM
CLS”,
… se!
xs es
LT ESS
=]
Es =)
Es
Er 2
ee 7 5]
N_ |)
om |
RS
"es
savyou
- pa sur” à
2 CLEA PSS
ne e er
pou . se
Pau 7
L 77
Bin: ln Bud
Le Le 4 .
| vb
À FE
nl
SE NC
Abus LT
Me à : cmtnle st ft tite. Fins
Î
ce morceau - —
accelerando
oco rit
js |
|
a LT
TRS N ï
| Eos
ent
“RE
> SSSS
LR
RE
- 8e que
: Märouf trés casme prend un
Le æ À
SrA.-0
ES WE
. rai detoil
be
SSSR DEN
RE En
Ses Er
Al - lah
72
Er
7
ESS
BE
sl
é
É w À
e _#
Ci 4
pl
que le souhait n’a pas été exauce
SRE RE
DÉS SRE PAR LE]
#,
VF RS Es
SR NC
: CR PIS
gorge ‘et
A
MAROUF constatant avec soulagem
je me venge …
Fr
rê
En nt
Rs CEE
CSSS
te en ta
RATTOUMAH tout à son depitet à &a rancuné
3 Pot x h
morceau 4ye6.se8 doigts et l’introduit dans sa bouc
L
£ A <
© : : JE *
D hi
Fr Al il
Ÿ Si ne
ne DL TEL nd dù Musa
+ “ IN ga £
CR : En
‘de ce
de me ven -ger
«|
—
FATTOUMAH bougonnant
a Tempo
22
TA TTET A4
mu’
| En € sai See 1
RE S- TELE, 00
r 5 - ets CT
qu d . Fr pl 2 lb |
TEA = 5 1 ©
| | | à
Fe . S] s, : =;
M = © *
|| 2 fn. «
Ch D "T
ni ed) :
Il +20 1 u
© © DS À 1
JE élRrIE
NEEU ae | © à fs. ë
CN. 7% à) |
NET té
- .| |» Le]
né id | 1E
[=
ao
ne ner
AE SERRES
Ê
SEE
RE
ger
DORE
LES
Bar 2
Well ni
till
DE ne Î
té
ME. (h
ET qi
ve
A
MAROUF constatant que ce deuxième souhait
est également rests sans effe
| à
M - sempre dim.e rit.
Mârouf introduit un autre morceau dans 8a bouche
se chan -
ee |
Ep _e
ACTES JS
LEE Ne
CERN
D Le
#
Ce
ApaRE-S
'—
CESSE |
SEEN
LEE
che .-e
|
ES + 1 —
©
ë
£
quin È aa À =
\AJb. \ o Il F. f L a
a à dE: FES Ne su LM
on. SO 2) 2 + ei
SRE « | SE SE a SE Se
NM 0 1 Ee …<. PAN M 1
DR. A " LS 2e 2 PA
!
IF
VA
| ess
e
[un 0
ME 5e
1
,
Lai.
LD M7
es
se.
un.
Lt Be
CHE
EE
NE] co
| v TT
| | Il
NL “(Fi
ni!
| sl
Call
QE
| #
; | IX
F H LA
5 Le GR}
1 OÙ "7 :
= Il " KRy
: IA.
Le] CT ©
1 (os N Æ rs
: ii is \l
+ TN & D us MT
5 AN = xt}
. 1 DE TEL à
« _N Ê il Æ
"| e n tn) © S
+ 6 rc pi : 4 ©
ï a | sa: Il
-
a .|. 1 . “a el J a
' DURE > [l < [ Fe
LI D
Ill Ke AT 4 à
ar tea Lr =
ae LL i où si
KE LE Le.
+ IN llhud [M ik:
45
de! On m'as.-s8a8.
l’ai
[|
al
Au moment de sortir
à gauche, elle se retourne vers Mârouf avec une pitié ironique
On la voit passer dans la ruelle criant de nouveau atuetète
Elle sort.
"=
É
Eu
s
= Tu die
/
Æ
TES 5
LE
EN
Ra PDA Re fl RE PE EN PT A TE RE + à 2 de à
4
Ps
ch
n
Ux}
[a
n
Es
(elle disparaît)
la voix se perd dans le lointain
SE
moil
Lg
46
47
SCENE V
x
ES VOISINS,LE PATISSIER
«
MAROUF, I
oisins ameutés par les cris de Fattoumah viennent en riant
Le]
=
Piu allegr
de déguster la kenafa.
mareato
poco
EE
A
Il |
Et | L
: Et) U
null l
£a
ll À
«gd Il
À pl)
É I €
ë fl
ie Hi
< ’
AE: ul
QT ||
n |
1r 1
VA
Ë Ie
ë ii
d.
£ Ill
T Ill
2 Il
É Il
an
É Ï
7 z
[2]
JL W
L ins Blrsd
Res
L |
mal
le
mal ma …
TO
|
É |
rouf,
Pp gaîment
bre. TS
49
lou
n
yeau
| pr | fn. EM M.
| IN sr
_ Nr: I ner
| I Ca
| l HAE qui ié
mes vol
TS
ne nr 2)
LS RSR
CENT NERSRSMETNNEE
st ce
_--t
sr
LR
ER
ET RSR RSR ETES
RSR ES CC RE SECTE
ta ca :> =
ESS PRES CORRE Cnar eee
SRE SSS SE LS
Le DR AE ET 2]
EE Es uses
{ ”s LA] Lu æ
MU NÉS) LE
7 es es
PRES re 7 — —#—+—5
CESSER
ECC SSSR ARE ES
BIT,
ÉD SERRE ENST RUSSE)
TSF RSR CCE UR ENS AITEE
sans trainer, plutôt un peu plus rite
leyg ter
Re)
CS
LS
LR SRE
SRE CNE
de
| [=
BR CNS Ee
ES - -
ES ue
RD ee IT A
Re Re = 2 |
MAROUF
‘
LITTLE ESSOR SRE
|
4 L1
1 Û . |
( L | ë
do
l ë
it Qi} 1 Î |
D | ds | '
} 5 IN] ©
| 15 À EN:
NE 4 PAR Du {7 € RE PRE
_ TT À fèni Ads S2ù bus DEP
OS a : Dee a 2 ;
& =
4 335
1 r :
5
ù Ÿ
IT #
u
canne à sucre esi
tre desgensde ‘bien.
RER ET
ES
SRE MES
RER M
e Fat . t à
SSSR
RBEESEN
RSS
ERP
bon:
me
Le miei de
BR
ES
dans le ven
ET SSSR
Mais que
1
5 = L.l = 4
d um à ë l 1 à | [l
Lo 8 + LC 7 ( 4
à “À :
1 e CR s |
k: el
A [ol +» 9 &
rm CL: 1 fi
3 R EH = 5
G a D ©
a A z © | FA —Q@éN À
& à S G ë |
: È - we = |
& = Fe © G n - )
1 | E
e . "1 à | LU
@ (à EE Te €
sh TL Bis |
50
51
A
MAROUF :
bouche pleine
ti
sa des.
te
sun]
LL. 1
D
En
=
…
=
_
z
LE PATISSIER entranten s&
x
ene
Lo
clat?
po -
L'un peu anime
4
2
A
o
plut
—
0
sans trainer
yais bai
la
ser
ne
je
si
52
à:
a Tempo
c'est par res .
yra …
pour ton ou
pect
mains.
LE nr
Mais
Al.lah
. &e-
2,
—_
«
4
=
=
x
=
ul
=
À
"
uit ve
(41 met un morceau dans sa bouche)
Ac
53
(il avale 14 bouchée}
La Voix de FATTOUMAH dans !2 couliss* assez loin
_
;
ART
{£
ssement)
mes+
des fem :
F7
- Chan.ce
: (mnurmures)
Parmi les voisins, dans la ruelle; on entend ces mots. chuchotes
“Le Kaädi!
au milieu d’une rumeur:
11 |
de"
1]
11
qi
sil
Al : 4 y
je a ||
1 Basses
di!
n
Pa à _
LA
Le
ichüchoté!)
(plus près)
CT =
fus
;
Bbsd
Se
sv
RSA 57, ME PER ER CU
La foule s'écarte avec respect et on voit passer derrière les fenêtres un homme
majestueux marchant ayxec autorité. Ilest suixi de deux hommes de police armés de
matraques. Mârouf se décide à quitter son repas, !l se lève dans la stupeur et l’inquistude.
: À Æ bi | |
EL d
altflargando
il VEN | RES
il
Î
|
CA
an
SCENE VI
LES MÊMES, LE KÂDI,FATTOUMAH le visage enveloppéde linges
MAROUF tout tremblant ad lib.
suivez
i
=] = == CORÉEN UP SR RE æ |
M CUITS D OP SNSNN Di SE CSSS © INR D UE SRE
JO 2 SNS MUR — CSS SUR D E —S CSP CROSS ENS SRE SSRES SES
Co TEEN 7 A SSSR 7 ERRSNEENENR pm NS =
.Son, à no.tre sei- gneur le Kâ.di! ;
LE KADI sévère et désignant Fattoumah
il |
1
pe
|
G
|
\l
|
|
motlo Cr'ese. Se
DE RS
Réponds!
MAROUF
: Te) |
|
ns
7
| BB
$ He |
Lo] Ë
É RE
a TT «
: LE 3
ê IBk; | |]
pre Fe |
o 2 le | a
Es JEù nl E
< Te | Ill g
ü 1 Ex * an [=
: : fl À
ONE e _. Ù
H HI à | à
è k
Ée E Lép] 1 A
F4 o |. «x
.@ = Q g ù | | M
ë "€ dla ll #
(Le Le | en + | L
Le". Li F 1
El | à 9
La}
\ 3 [1 4
[en
an | «© | |
E
=" [N ©
Ye ©
p=1
©
[MR
1 x
‘ LI
«d ,®
NL ni
NE SRCTS SD €
w TT [TT bad ù
57
+
e, mais les ve.-ri -
”
et'ce -
tra - ques,
enceest dansta bar- be b
; la sci.
re de la loi
]
pè-
LL
La]
=]
Le]
h 9
| s
©
Ch | T
Le]
Es [e’
il C 8
L 6 vé
Nh à ê
FE s ©
ne \ °
p=|
3 | f ” <
B LUN:
Ë |
xd x < L-
Fu | H
|
Lo]
g—{ ll Ë
am
Ê
Donnez-lui
nolto marea
és sont aux mains d
7
CL
LS
CESSER
ue.
ss
=. t
osé #0 TT
58.
- sant.
suf. fi
se ra
)
(Rumeur de protestation timide dans ia foule
il
(à bouche demi-fermée)
|
|
Les deux hommes de police saluent respectueusement le
#
tice
que ta jus
«ad
Le
d
Er
re
1
©
[=
de chaque côté de
‘épargne un in.n0o -
un coup l’autre, en comptant en arabe.
es
7
tant plac
et, s'é
à |
}
}
;, un coup l’un
obligent à se mettre à genoux
;
1
aârouf
puis il vont à M
âdi, 6
lui, ils commencent à le rosser méthodiquement
K
T
+E
|
LL
|
nl
|
il
|
LUN
FL
LIN
de À
E< CF
épargne un in-.no -
cent !
_ tice
:
Il
r
IE
|
l
JS \N
sil
TT
Leon. à
54
Setta !
Telata !
Arbekha !
Tenîn |!
Eu HOMME DE POLICE
2e HOMME DE POLICE
Allegro
sèmuli
Hu
[l
, au fond)
ee =
RE
ans la boutique)
Îto marcato
=
=
mo
N < 2d CHŒUR (ddns la ruelle
Ténors
a
|
en ne |
Basses
|
|
L
Allegro (d = 100)
5 — pe ; |
ee
M |E FT ï
« LE QE x LE
EH EE à dl NO & RU Le À
TE bu. D à EPS TRE Re. "PAT _ 210 Audi
; r de.
60
Sebkha!
TesKha !
ll
A
qi
x
1
in
«
Ten
Khachral!
Temenia !
ta
Que
ll 16
1 Les
mn A
UN
de ND
Al 1
Il | NT
D) 41
il |
il (I
fe ll
aul
[L LT
INA he
1
Le,
Sebkha !
Khemsa !
Telata |
Setta! Temenia !
Arbekha !
['o)
Oo
4
et
L
1° Ch.
>d
CHŒUR _ Bassee
sn
FR Ë 61
FATTOUMAH qui est passée à droite, aux hommes de police,
{
4 r
“ on LP ve —
À 1]
| | LEE Ee—
| LFSSRCSS
_ Æ “ S — ! L
| = (faibles gémissements) Har di gail
J/é = chi - - ne que Pon
Sebkha ! Teskha!
=
À
bo ; D |
ER anne ans ONDES a + Ë
pe
eur >
Que
une
est
pe
frap -
LT
ET
LA
5
ae
—
Telatal!
Ouâ.had!
$
Bu
+ N
=
œh
oi)
Te.nîn!
Arbekha !
l
]
Li =
ET
Cr [ =
né
BEN
LL
Il
IE
ee A
Het
soit
|
e
\ [®)
==
/
cresc
7
mo Er
CZ bp
le P.
ne.
chi
=
Seb.kha |!
|]
[N
Temenia !
63
Hardi !
Telata !
Ouähad !
Teskha !
Tenîn ! Arbekha!
Arbekhin !
|
!
_
ü
j
Nous le
nous
Nous le ju - rons,
UND HI pe
PE CNT no ee
| | | I
Il IP [4
| ! : : ; sl < [HI AN
VE fl fl EN QU
STI u | 1 Ê Ill
4 z à Fi A!
à : | 5 |) ii JU
. {| . =
A) = ANA à ILE illeitle “<f- I
ii I IE Ï I
Il I: ml
il] © los L Ill
ÉÉPT 9 Ca ° ITÉ
RS £ LE d ed
LA ; il all
| “hr l
h E L dr ]
EI] £ | : I
ET AN & ji È hr il
Nous le ju-rons.
Khemsa!
2 ———
RP S SES MURS Le DR CRE SERRE
“ATEN SRE PUS IRS
Hardi!
D ———
2 —
= —
LL 2 —7
CSRLRRS SSSR GP CS RES 2 2)
“ RS ARR A
>
5 —
LES RER CREER ON RE. |
Setta !
RE à
EE ————7
DÉCRÉRESRS CR GE CUS USSR MERE
PORTE RDS SRE SIN
D ——————
L 4 LI
CAR: DRE RER EE
au_ tres ses voi -
1°
8
LE =
! ÈS
4 4 s
[d ki |. SP SP! Pt p PA SP
de, de Hi Al “ Ke. À
Ensd I à EN Pa A di TI be)
at : : : : FE £ : :
Fe "1 si
sent vos ma . tra, ques de bois -
5
———————_—
&
il
AE
|
ne
\eX
nl
Ml.
LL 5 ES
3 Ë
Khemsa!
Telata!
Ouähad !
Set.ta!
Arbekha!
Te_nin!
S
Ÿ
&
Y :-
©
Le]
<
a
©
poco
P? Co
Ccrescendo
comme la
pouse, est, noir
fer!
noir
Ouâhad!
est
de cette é
bar.res de
de cetteé
en
ge
cresc.
ger
pou .…
- Teskha!
chan .
Le
se
de cetteé …
Temenia |
cœur
66
Fattoumah)
a
2
|
=
mil -
<a. la
; ’ |
Das
ap
|
[| V1
.
l |
in, ||
CPESCE
67
Temenia'
=
rs
Es
Sebkha l
Khemsa !
Set_ta!
Arbekha!
l
crese, imolto
Ca.lamiteu.se!
=
TS
=
cg
fe
o
©
a
d
O
[ee]
(à Fattoumah)
“2 ‘2
Telata!
LE 0 0 'oR
ess A !
LL 2° |
B.4 CA
CE, 0h
1
comme la nuit
cri äe douleur
LU «
End
Telata!
Ouähad!
Teskha!
PTE
Tenîn!
hin!
Sebk
n
crese. molto
dron!
4
La ]
©
Le]
É id
di] £
lé La
(LE ea) +)
3 [EX
BALE
: SA AL
( «.)
na 1 IL
él
Ie “Il à
pes
É (Î | All
FA
=
es
ge de gou …
E
pl
ll
nl
sa
H P2
Fe
_
Ÿ
TUE
Q La N
ua à
©
Vi
tre
plé
Et
poix |
bg
Cp
683
E
Ë
Ex
- | |
o at Fe
E nel
Fe
à Ê
Ël
d © Ni
EX
=
pe E
à L CA
D Q
. [TT
L
à
be]
CA
— È
© KA | S
ñ [NT
[dy
Khemsa!
- dron!
bouche fermee
L1
TMS
LR
LS
Ceres
M |
k
Le PU NT ET E
!
dos
nl
LE
Khemsa |
Telata !
âhad!
Ou
o
k |
À
Je
Set.ta !
Arbekha!
Tenîn!
mal … heu . reux
ce.
Le
bouche fermee
.
ai
&
>
a
©
NN
à
À
Ÿ
Po)
GC
AT
mt]
YN L:
x
Eu
Sa
en
- Teskha ! Ouähad !
Sebkhal
Te.nîn |
{
Teskhîn
Temenia |
mn.
brie ae |
71
en «
Sebkha !
Khemsa |!
Telata !
Temenia !
Set.ta!
Arbekha!
il
TT
ul [LÉ
I Hi
He #h
Al F}
HT
nl
ph
FE
y ||
il |
M à
lin Il
LT I
We ll
I (l
il AE]
MS pl
Teskha |!
Mia!
]
=
Li
A
‘mo
Rs
d
ca
ul
pa
à
à
Pol
72
(elle sort}
æ#,
Q
(e
FATTOUMAH sur la derrière marche qui monte à son appartement
ph
uw /..
EEK
tt: PRES RDS FRERES
ER ARR DIN M1 70
EE DUR ARS OUR SP DE RSS QT RESTE RS 7] DRE BLESSE "SRE “2 LI
Louange à tahau_te just -
â
Ô notre seigneur LK
ES
ce,
en Sa
aille
cun
Ben moderato
JR 2
|
D
'E
Les hommes de police chassent les badauds (femmes et enfants) qui barrent la porte de gauche. On
1»
(e) pauvre !
A
G Myrouf!
«
les entend murmurer:
te" CHŒUR Contr.
vrel
Märouf !
73
reer
dis
et
On voit les hommes de police repasser dans la ruelle
Le Kâdi sort le dernier.
Ô pauvre !”
“«() Märout !
les voisins qui murmurent également :
PP
dd CHŒUR _ Basses
» owyrel
pau
Le soir sst tombé lentement, la ruelle est complètement déserte -
dans sa lamentable position, puis il se leve péniblement,
Märouf reste un instant
geignant, et se frottant le dos.
.
>
HET
| à
jt :2 ‘h
il | | EE
Ml À
Îf À
né ul
A * pe d- x k ÿ )
IL NI £ | à |
à HQ
IN dl 2 |
a EI : rule e
IF | D. Nimes
-
al . |
al j
ul
[LE ! à
18 | Ï
h
de sur
Passant devant la kénafa
VU
trop lour
Alors, tantôt geignant, tantôt mordant
dans son gâteau, il se dirige misérablement vers la sortie de gauche.
puis UN GROUPE DE MARINS
DOS ._ÉTOSSSSNT MS Jess
CSSS RER FE <eT)
ee e
Ô Märouf!
: LA
Sr RUSSE DE
7 MODES GS.
BON 2" DCE VRS RSR D 77
LA BORN "07 GE m1
Ed
[ESF CRE
RER
SET
est
: | il Ë
25 ll de
es NU 5
D + le
D > Ifl LS -
{|| L
Ge: il
ENS
—»
ce de
AROUF seul,
nez
Re
LEE
Mélancolique, il décroche au mur son burnous, 8e le met, rabat le capuchon sur
dont il reste encore un large morceau, il la regarde ayec regret, hésite un instant,
sa tête, et prépare en hâte un petit baluchon de voyage.
puis se décide à la prendre dans sa main.
2
.—
©
«
&
L | (
+
5
2
@
a
s
ao
=
œ
x
2
a
E
2
D
&
5
£
G
=
©
T
5
| [=
5
Lo}
Il > _
€ = 2 5
! = = ..
A e H à ju 5 1ù 5 | +
A I] a | a
é fl 48 5 Th =
-v
11 li a il “
= » I Il 4 =
’ ©
FA ® pl WIN KL Nr
Né 2 Ni 1
Ke Le ps Le LE FE] Le
di fuss Lin dB à à TM A is dE à à hs
Tr .
= x
| dll ren
| ] "* ji st:
I ji
a ; DES è
l
\l] à :
EN A Ë
vas | |
it Ji |
UT dl |
li
Je
76
a Tempo
t
poco ri
vivace
Allegro
Inschallah!*
« Inschallah!
(On entend dans la coulisse, a gauche, des cri< joyeux:
d’un groupe «d'hormmes qui arrive }
ON ET
D 5
ES. ETS
SR
LR
’k _
anse
in '
©
D)
ë | Il 9
sa ZE q
L o à
wo | ”
A) >
#(.e
ti
Oo bed
HIS en (
€ Q ei
= T7 Pa
sLcinat «
Li) mL ln
— ch 15 .
Hhud [
PE
Den
NS: :
fes —
ED
lah!
1
—
Css]
pe.
Le]
n
1
[=
Ce
Märouf 1: appelle, el ils s’arrétent un instant dans l'encadrement de la port.
LL Da7z
LS
LL E& 4
RE 7 0
rins pleins de ’joie!
gens a.yven-tu -
ô
ce?
vous en par-tan -
etes
mn
LE CHEF DES MARINS
a Damiet . te.
*
*
et nousembarquonshientôt
U
Nil
Cesoir nous descendonsle
A
MAROUF
meur
comme ra …
e
A
de
lez-vous bier,
WOtE..:
ee)
T
L.
59
Bud
C)
mn
4
m Li
SAT
ji
1
Ge
mn
pol
Le
[2]
ee
©
nm
d
Lun)
Li
‘
Let]
Le)
La
Le]
Lo]
TT
1
©
[e]
Le]
Li
Oo
Fe]
54
og
né
crains-tu pas le dur mé.
Ne
PEUT
TL
ù
|
Ve A
1 AL
4 :
|
&
|}
> (D
LL
AE
Bud
pour
un -. dur.
il
Est
7 Y?7
du
ET
(Les marins
éclatent de rire)
ù
CE 4
bus
x
ga ca 1a-mi -
qui fuit
me
l’hom
Les marins sortent.
LE CHEF DES MARINS
nous.
bien, viens a.veo
Eh
79
“Inschallab! Inschali.
lan
schal
c
_
On les voit passer bruyamment dans la ruelle en criant:
In
LES MARINS
TT
il All
à à
a Le |
TT ES
an ss QE
Le]
L ©
è He s
CE « ©
= à M Ps
nl “rat? | = |
© 3 © ()
| “SE ce 7 À
dd ,
UN gs | D E
LE en
EE À
e | ©
Ç | | © Q
14 © ©
FH vaul à Li
a
1
1
"il
UT | |
Hi
di
nil
‘E
ER
ul J T KL ‘4:
SN
MÂROUF
EN
TILLCOISEENSSEE
Re a eh + es ce mn te EL |]
|
long
nn ne
LISE Den HSM ES EE DS) NN RER)
FEES IR ESS DS PEER
LI In. schal _ lah! perdendosi
| E -L = : k bi. à 5
4 - , Lt
NY OY A TY TM
HE E:
— & a & =
80
(murmuré, presque à bouche fermee)
On le voit passer
a
SSSR
a
I1 sort.
Modæerato
Ce
#
ne
=
4]
a
D
[1
- HCBal
\
lah i
in
Moderato
dans la ruelle, toujours geignant ou mordant dans son gâteau.
RIDEAU
’ndost
perde
FIN DE L'ACTE 1
AUTRE. Ie"
| La Scène représente un carrefour dans le souk de Khaïtâän. À gauche au premier plan, un groupé
d'arbres entoure un puits. Au premier plan à droite une boutique plus importante et plus riche que les
| y autres. Devant la porte une galerie surélevée de plusieurs marches et protégés du soleil par un auvent:
* c'est la boutique d’Ali. Trois ruelles: une à gauche derrière le bouquet d'arbres; uns autre se dirigeant
vers le fond du théâtre; une troisième à droite passant derrière la boutique d Ali. Dans l'angle de ces ru.
elles, des boutiques. Dans le lointain ce sont les terrasses, les dômes et les minarets d'une grande ville
des Mille et une Nuits.
LL
| lt - 1 1 4
SINTPENRESS ti1 +. «1
Molto moderato (d — 60) "d
k “
\ 1
:
we’
sempre de "galo
PP
l'accompagnement de croches toujours
sas +
AJ à AN d
de,
Hnsé SAù
TS
ES
|
Tempo 1°
RIDE AU
6
Le |
4
7”
+
a
[+]
©
a
‘2
[è]
Lol
“ LT
5 [
[se
À .
ro
Be]
[1
Le }
T
F4
Le]
>
©
et
D |
«
an"
ré
S
xs
a
(es
à
CU
L
Les boutiques sont encore fermées,
C'est le petit jour.
745,
SCÈNE I | x
MAROUF évanoui, ALI. DEUX ESCLAVES
Ali entre par la ruelle de droite, il est suivi de deux esclaves portant Marouf évanoul,
(e -72)
q'iasi pizzicat
ER
ALI. aux esclaves Er
Æ CE PP - EN DU EN SEE LL —
E DE mn ER CE pr pp —-
LES ARE ES SU io ER D CF EP LD LR tete)
VE LS LOF ETS EE CORRE ER NE LE “JE, ES “ASE
_Apportez desta . pis devant le seuil demabou_
— =
( | sempre DD & | Le b
DRPEET _æ { ESS ge RE El
RCE SN © EN © ER PEU ET À Lo 0
VAS ESS HR Re Cf = A AT |
Les esclaves vont au puits. Pendant ce temps
Ali ôte san manteau, et le place sur Maärouf,
= =;
-ger.
Plus calme (Tempo 19)
Les esclaves apportent de l’eau dans des bols de terre cuite. Ali asperge le visage de
En
a
..
Poco più lento
se levant sur son séant.
=
MÂROUF,
le jardin de ce
i
= a
te
Je quit
Poco. più lento
RO ——
D ————_——+— |
ä, à
KE e
DE en.
87
+
F
=
dans
D
J1 est assis sur le rebord de la civière,
et regarde, avec des yeux énormes, Ali
et les deux esclaves, sans trouver un mot à dire.
re étran.…
fre
o mon
A
-Chasse la crain-te de ton cœur,
toi,
m'a con-duit vers
le Très - Haut qui
lou. ons
et
-ger,
ss
MAROUF, voulant lui témoigner sa reconnaissance,
sans toutefois changer de position
_
fi
m'a ER ———— ——— 2 ———— — ©
a. 4 TERRE ST EE me
FeR2S EE es
O mon mai … trel..….
N ALI, l’arrêtant TR
He D *f : a re eg
D. mn. 9 LR ETUDE Di CORRE CRE RE CE SRE RER MERS 5 |
Bd 2 RE DESE = =
é_yanou.i sur le ri_-va - ge. Je ne
suis que l’in-ter. mé-diai
e +
R9 Es 0 EE
A. AE SR PS D 1 SR re me es
g'il te plaît de m'’o.bli-ger, ra-con.te -moi ton a.ven.
>
K
IN LES NS LE
| Mt G
MÂROUF, les yeux dans le vague, et semblant assister aux évènements qu'il raconte
pp murmure
RL ——— ————— "À 2 | 7 nm | 0 AS trees
2 ——
HE ; re TE Lt
Ô fä-cheu-se a-ven |. tu - rel
J’é -tais un sa.ve … tier dans Pa Cvit. 2 > le mdu
=
D en Le —_
Fa Latest PRES /
PuCi re; ac 6. "27, DIE d'u.ne ut RS
=
[| TA . —
poco —
su -_ cre aulieu de miel d'a … beil - les. et je re
n .
:
HS | 4
=
p— vhs PP:
ie: EI
a
mm,
… teu = ge!
et _-te...
_ que à Da _mi
lou
ù
4
ÿ
” s
L' d ARR CRETE
LÉ
ER SRE NE L'' 25m 7/7
“3
Er ee
gschal -
In
Jem’embar.que...
4
DS AND PONS -(/ SONT EE Mi//71 ]
h@!
CHE TR Fr, pen (FES
=. -ZUT...
et l’a
rien que le si-ience
92
Piu agitato
| p
-—-ÿ DE RÉ
M CA bb 1) A
. CS — | PROS (ES
rm star tr me
Tout à coup, Ô ter. reur |
nt CEE BE ton
f. gs SION CNE GONE NN CRSSNES DNS PR CRD CR QU: LES PERReR
qi EE LLLON ee Mes - NE Si me
SR STONE CL nee
hr qu — 2-8 44 y __à CR RRNRNNRNNRE ARRET . Gi CNE SCENE SSSR ETUDE | RER Ce
L . :
Cl
de 2
PP —
TE OT OS eme TE EE)
L 1, Ba SNSTREN MS RER E NE CNT 4 RS A ES ETS CET T
Gi DE 0" ERSSRUT EET | LR CRE SR RE 7 UN A RE NS CPS EE ET RER MS MNT IT MA ET
ZT RE — ET CIONENNEN Ji OMR NOUS ON SL PRIT GRR GED MAP DRE LOS
ER) SR: NET RDS OR RE LP z VU DR 2 7 ua
RES NS Dis
ls
LV | BE CSS D 0 Pen ESS Sem s
Re he — ee À
= ADR” st nn ee + 2 —
5 —ÿ tre re —— 2 SERRE METTENT ESS
LS
Fe
TT TRS y poco «a DOCO cresc.
CDR En: AG CN
> :
D D —
ps res = SR s s VERS ANSE 8 2—
7”
RL CL snecdire 4
Le
93
- £gan, l’e .
gd — , —.
; ; f , £ RS Et
| LT GE LV RES RS ES 1 “CONAUU ER ES DORE ER T (ED! DIXESES
es PH
LS ORDER ÆU Ed a CS CNE
mp —
OR nu, nf | —
CT 7/6, ©) — ES
np it ee À
DR A 0” RE ER ne CON M me DIN PSS ON DRE MS MU =]
_:lpyosass ENT ms
qi
# , 0
_ rh DÉCORS
GEL CESR RER CES
M HO — Ÿ CARRE 5 rer
mm
LaCU = _ - me, la tem ,
a —
————— er
’ nes a ee SE
D ne | TRS Eee ESS 00 ER DNS VS A [4
CAL] nf mme Ne ai D UN le. ae —
Ms BAS D MS TE UNLA ART DNS DV“ DM 5 Do pol
EU VS = == RSR RS
L Be ss
————hf : =
#
te is =
D | | | le jeu pd SRE JT En
LUS 2 ES RE 2 GO POUR PER DRE PRO DRE CR DER CRD eee
je ef fofo te] A Me de = — AN | |
rs RE nr ES
À tra mer a mr! “A4
es dis p (y d “y 22 ue, pe
1
Le)
®œ»
"
L
LI
+
®
— ; ————
D + Es À sr
EE | | à ne pe nie | us.
RS re
EC ESS — |
a — E
nu: 2 a
La Fe lou £ £ que som =
mme serres
LH 17: Lt — nn.
ŒE {00 LAS 2 E L' 1 n_ Hé hr: 9 ©
[] ER Ke Rd RES Mer nine
D # LS L |
A
| Fo ae
| | AL DU À
L da. à
us
d
gnons
rent ….
ALI]
CI
PRESS)
=
mes
Le
(A rm =
& F4
|” |
s ss
5 Es
<S dE Cr lc [4e
+ Bud Hbud :
=
MAROUF
J'al
[l
le Rétributeur me
quand
- Si,
à aus
DEC TIF
- lais
metsous ia main
Je m'y cram.…
un
#
=
7 ÿ
; L CES LUN PANNES RESA | ER Ré | |
I TES ITS SO RE ER RESRNE MRRER PORN En
DC PAPE IDE ES
—————
?,
à er =
és
e A
malgr
e
UN
IE:
rl.
III
ES Si SF
Hnud Hbsd
De n
Æ
la ra
EE)
D — "4
Tempo 1°
See. Es.
SSL RL.
ETES Le
et Ps se
-teints un ri :va.ge incon - nu,
Ê
Ji #
; |
à
|
©
3
sai]
ie
LAS TOR A + Apr eZ
très calme
(i) il SENS
EU
il
NS pe
"4 «
x
uir
7
s'eyano
1] défaille de nouveau
sans toutefois
a
du mari
do
1
1
4
[]
mn
1
Dee)
Le
[en
[.b]
re]
Qu'Allah
97
au
est la
=
et tupeuxvoir là-bas le palais du s&l.
2-0 + -@ -@ = 2 nr | >
Mais ne m'as-tu pas dit que tu naquis
ville où les flots t'ont je - té
Fe)
|
S
<< d\e
AN At
Fr
Ëz S
= n— \#
Ÿ
Re ee ou vue ve
La
D'ERLENNEEZ
d
«qd
+
HS
\ Cl
Fe.
| M
Lo]
Le}
do
Lu |
Li «
= E
> Il +
« }
FA SE
NE | Ÿ U A
- [M NN - : A MN
MÂROUF
oui,;mon maî.ire,
AuCai-re,
Dansquelle rue ?
… Her
Cai
Quasi pizzicato
dun
x
RSR PRET,
CESSE NET ES
| “Bill EE
ED
7 |
As-tu con. nu
ge.
La rue rou -
ù
le cheikh Ah. mad ?
|
NI
FU] j
où *
Qu’Allah
é_taitmonvoi. sindenfa- - ce.
Il
.
Le pa.tissier ?
con. serve sesbiens!
=]
lui
QT! A
SP! =
Hi
ind si
2 L
Et ses fils?
à
à RES LS
Le =
PR,
3
NE =
EX
sEn»
LS ©
ta
À -
3
quant au second
nemadras. sah;
en u
é_cole
der
estmaïître d
L'un
Cresce.
. =
RE DER
Quantau second,
n
\
Var.
(Is
ED EEE Li OUTRE FORUMS EL
BNP NL RSR D
ce.
fan
er
=]
: il
5 (ss un
2 1]
u Bi
.mi d'en.
taitmon a
IFÉ
\
"À
:
|
L.b]
Ÿ
: I ,
d
2 ET ‘A
+ ; À
: “
|
[°b]
le
Le |
®
| = À
ce quilfit
Lib
etvingt ans sont pas.
ce;
il dut senfuir parcraintedeven.gean
DO
Ni
vu.
,
ne laplusre -
nul
191
Comment sais-tu mon
=.
Ÿ
bn
À
à
avec de grands gestes
nom ?
qui ré.u.nit les a .
ges au Très - Haut
Lou _ an
toncompagnon d'é -
Le
a
4
Le. |
mn
co
a)
»
n
L
l
»
il
et je
mn É
JE Me 2
= res
Pi
Tes affai . res ontprospe -
la - hou
>
y
A Li
2 À
Ë [ss]
FA
“a L |
Le
« [NT - |
EF RE |
cn || à |
À
| 2 _&
SD
© Ë :
Fu
(| :| 2 1; |
S A ik |
Ni s É
RE S oc :
"7 = -
; |
2 |
(x | , ,
À $ À Il
un \ | |
E | D + è ST rt ES
A si 2 Ÿ q! C | | il
||
J g (= | e | j
A] ) Æ | |
Lol = | |
[el Li:
3 | |
+ È ' €
40
œ d
A ; “
£ À |
Le]
|
: |
eo
AT]
pe |
ses = Ë
Le ou .
A [M |
©
—
24 MUEZZIN un Ténor (dans la coulisse)
TR RSR ue ce" À a
EE FT ic PE TilPs
a e E- Se uns Ep © |
né a el Ent SRE E =
» > PE e. Trans —— 2
CAUCOU
(pusprès) Allahou ak. bar.
(Ali fait signe à Mârouf de patienter, _. js se met à réfléchir ie “a
es NE =—
M. fé Su = Fe —
mi? Et —— RENE
3 en, ômonfre… re?,
in PE a a _
2 Mu. fa Ph 1 ——"© qe ge — ——
mi? ce CESSER DR LP QUE PRO ee | OPEN | LOI CERTES
La M) ‘res Ur
(Ali sort brusquement de sa méditation) 3 =
La , Es « E
DE — Fi — PES D CU NT 2 ee ES 7 DES 19 ME - ABS CURE.
2 PP RE Ene
Hâtons-nous, car lesbou. tiquesvontsouvrir. J'ai trouvé le moy-
4954
'Hah.
tout ?
es- tuprêt à
SAR
Fre
en.
a MUEZZIN (lointain)
il
+
LS
MAROUF
teu
E
lam
neryvers la ca.
tour.
a re
sauf
Prendscette
ene
\
sempre pD jusqu'à la fin de la se
nn.
HS
E:
% db CL
"UC
AI! [|
Ib SAR
pue
\
pes
ST il (N 35 Fa
\
TR ATP
= | =
> as SP
[TT] dà
Le.
105
d 3 V0 9 DS FRS
ri Mu. CEA DEEE ——— 8 —08 2 —p8 +" =] RESSENTI SET Pr
ES +55 —— © Bee & FES REP
Ag cha. : dou in - na Môhammad
|
ETS ESNNSSSERRS D FT» » + ss
| A = EN = LT IT LL IN PE ME à +
al LI 2 7 9 PA Lé LA LILI LIT ©
è é Le À ë
CU CSN SOUS OURS ES SN ON SN ÆN “AR “IN “LI HS E9Ear
bourse. Conduismonfrèreàmademeuredèla vil.le.
FA TE
LpeiDh _ C2
(à Mârouf)
EP = eo |
1 LS,
Rene a ie, nt nes
à à C { « 4 1 rh M # « > r
ue pr LEE ST nr ae :.
a” se % ei + nu À : . « À S Û # A.
Ai The °le à 5: CR 7 DS PP =
d Eu D PRESSE:
D] Mu L_4 Te | 7 | : ESC ES ER D DE CRE Ce NS DS SOS CRRSUE (EU LES GX ES 07 RER ET TEE
us CO SL à
[AU y ee
FN ER.
GET > 3
LL Ye | enfer] CESR RSR (0 JET Aù TN CR OS 5 RSS: [ONE LS ss
A: RDS — ES LES 5 TORRENT EME
IUT AR ILES ON ANT NE D C] LES D'ENS Es ee — —- N=Lr: DE
Le 4127 PES PEAR ER TE. DES SERRES
ro.be, puis reviens, etmelaisse faire.
Ne t'e‘ton_ne de
3
[) TRE de
mn Gr MEET CORRE = RL I SES
A _L ne EE. | nos +, 2
(eV LESSNSNS Lee — ES à
ARE = à) ——— —————— 2) — #5 er je —— RER es = 4
e e D —
x GE
—_ —— EVE = Ses _— En À — EE ——
335 |
105
.
4
cn PE
mur La
nu d Mu
5 CES ENT
A RE 12 OS) D I ER DU LEE D'E
: RSR PEU PE 5 ESC "Le
EP en AE SEEN)
ne me contredis
f
du æ
EU
£ au moment de disparaître:
MAROURF {tendant de nouveau ses bras ouverts à son ami {parlé
(Pendant les dernieres phrases, Ali conduit Marouf vers la rue du fond)
=
3
Jef ECS PSC CARRE Een 0 ES ST I ————— — — ——
rt ES CRT ESRRNN CNRS © ME 7 SP CU ISERE FRET RSS -SRRRr Loi
= A © ———— ——————————
A PE D PE %
Res 1" PASS" LIEARS En
-Haut, tu serascomble de Ses donschoi … sis.
Ka
SE — à ——
{T3 RS HR NET SSSR EE RES EE
ÉD EE =. PAR BE EE
V UE JR 7 ER IE REZ De ONE | 2077 SUMMER DRE PERS
e L2 1 — . =
. A F .
L2 <
.
‘ PE RE PAR Me
[ Dh s ES RE DR ROSE Re DEEE TTL TT
Mu Ps D] y FAP RE
> EE ————————
Jah il la ’llah.
s = (118 s'embrassent, puis sortent)
0e NA 2 RES RSR GREEN ELLES D es à Le ET UP
DR
+ — —- RER NRC
SCENE ïlI
LES MARCHANDS, DES FET MES
puis ALI
, Alle gro d = 144)
:
à
\
Nr.
"a
. ect
LA
D
mm emmmmmmmmmmemmmm— —
Un marchand sort de la
boutique de gauche et apprèête sa devanture.
sempi
=
Un deuxième marchand sort de la boutique du milieu et fait de meme.
+ Ali reparaît, descendant la rue du fond.
LE 1°! MARCHAND à Ali quand il passe devant lui
{ 7
UT
sur
Lt ui #1 en À |
ALA,
108
ALI (préoccupé)
cheikh
Ô
RE
PE EU RE PE
LE > MARCHAND à Ali quand il passe devant lui
ER CN 2e
DE
SERA DE
toi le sa .
te,
= 3
— PR J
3 ss ME] a
met
a Si mes
EME A4
Re EEE
N2È Sdù
<
a D)
“
|
x,
ès
TS
{ q
ils"
El fi
; : Sal
poto cresc.
109
(I1 est arrêté devant sa boutique, et s'adresse à son esclaye)
e
re _. pas
ya m'enyoy.…
Les deux marchands se rejoignent à l'amorce de Ja rue du fond pour chuchoter,
1F
TIR SE SEE
—————
|
-er. ee
Le"
ee: 3
Re PARENT ="
DR
Semi
ma _gni
LE 21 MARCHAND
G
_
MUEZZIN (dans la coulisse)(tres près)
ak
LE 1‘! MARCHAND
l’est plus que le seigneur
donc
i
Qu
ile
&
End
£
hantonnant.
ie avec son âne,enc
‘ävo
=
1e
t de son âne, et se met en devoir de puiser de l'eau.
ES
Li
pu,
=
L_+
A
a
PES
3
ES
el
1
ee
Gr
LC
te devant le puits. dépose à terre les deux amphores qui
arr
3
Un ânier vient dela ru
Ls ê
étaient dans leb
= Æ:!
ee ee
Ce Es
ee) |
= ==
EE —_—
{D'autres marchands siexinent se Joindre à eux)
#4
F- “A :
| | | À | F
x iù il
., 4 Œ 1 tn 8 4
fhud Hhud ol
er Le ne. 4
# #07
nor)
’
(Te
m
UN ANIER
111
L +
——
En
il LA
MUEZZIN (dans la coulisse}
CRE mir penses
chien!
2212
A
ER RS
1 : A: |
Il Co) | Âd
CCE ETES ER RTE NN = 1e
L
n -
S'Le
bon. :-1te7
—
“ all
| |
Le >
: (]
œ
e + À
[e
wa Die
à FE ELU IT (TT
EE
© 7 :
Il K Il É
CÈDE ! rs
en
e)
CR Fi
= à
L Q 5
Le] |
Il : il :
c «4
N
É F
g m
as
CN
EE 4 LES
TES ILES
Er —
veux-tu que je
Rene €.” -
D
ALI :
Une ou deux femmes voilées entrent par la rue de droite, et s'arrêtent devant les boutiques de
cette rue pour marchander. D’autres femmes en font autaut devant les boutiques de la rue du fond.
«d
| À
il Aui à. 0S
N F2 pt
Q ÿ $ de
Insé S2ù nid Ebud ni: PA
| 6 en. "4 À
£ £ ;
11°
-_/lah
- Jah
ce chif _fon.
.
-le._xe
|
ti
te -
(au 24 Marchand)
As -tudanstabouti
ta _ pis
un
que,
118
il in IT : I
(|| IL 5 à] 5
Il Ets E ss
œ
fù $
a
Lee]
Il s il l
Ill :
a es } ÿ
@ | @
F BL. É » Le
o ' \
& 1
; + } Î Lu
| | ® ÉTIT À “ | M
Re 1 +
Me € ù ul]| Ê
T é (il LT
Il ce - ë
À ; à [N
Æ qi SU *
|) |
se M D til ë
un 0 qu ; "4
es) LE : .
ds. #à TC à
BE e ve]
© ++ Lo:
© | Ë À
s à w =
M 2 ©
Le
En 1 E \ Ê ,
Q ÿ Î
Se quE $ J
9 2 « è
GE ji :
& à où D )
Ce (il sh)
| Re fil 2 ||)
se l < ï;
E 5
+ 2
An LU | < |
o © 1 x [
k LH
ju GI | «
Le) Q ; 3 s
= LL
M si 1 | ‘T0 I
pa Le Le Le Le pa se
; hvsd las TT di nus 1] TA
à F : TN ue
# < <
— —
‘A
Ga
© .
A
mn
Le
®,
es?
S
i
P
MUEZZIN (dans la coulisse)
|
<
na
SAT
As -. cha . dou
ALI donnant l'argent
Les voi
ci
Jais . ser.
le
115
(Les femmes de la rue de droite traversent la scène, et vont se joindre à celles de la rue du
Avec de nouvelles venues, elles forment un rassemblement à gauche pour chuchoter en
fond.
regardant la boutique d’Ali. Les marchanüs se groupent au fond, deyant la boutique du milieu)
MG - ham .
mad
©
F4
DEC
hôte
E
bf)
ñ
d
(=
Un hô.te
LES FEMMES chuchotant
, : . Fr ALT 2
(L Anier, qu} à fini sa besogne,repart par l&rue L'ANIER
hide dro'te,é1 chantonnant) :
"#° ï
Æe Sp Pt
cz SR GS
Had el = Mesa c
4 ; D ai ete. XE 3 :
EL ce = ———
LÉ —
Lawz PT
| le sei-gneur À - li?
EDS — DER 2 EN
15. D mn 0 NO Ce eg
Re “a : ER ELE
BE 2/2
chez lé sei-gneur À … . li?.
PE — — D ——
umn'Z. a SN j _ SR
w . ES SOLS RON RS mr PE
E /.. DFE DER SSSR + RSS ET SES ES es D
LESQ De EE ———— LE RE ——— << JR
——" :
L
=
(Ali continue de surveiller son esclave qui apporte des plats, des fruits, des gâteaux et des:
boissons sous l’auvent de la boutique)
A 4j
(Le groupe de# marchands s'enhardit jusqu’à s'approcher d'Ali et l'interrogger)
LE 1" MARCHAND, à Ali To |
3 Bol LP 11. 1 |
L 1 l
, .l Ds
a D a $
c # li : 2
fe 2 | Te À
@ | be
F1 | ; ie
$ =
ë e Ne ii : 1
| Ill Ce]
a > |
ke Lo | «
: nn |
M, À
A KR, dl
a .
«À [= — ciex] CN Be À CS P!
à 5 ER HT 4)
a 1
? ù | ÿ |
: . (a |
+ à
pas
pe]
[s.
Le)
#
Le]
£
_ 3
[re]
2 C À
[e] un il à Ë [A
Li un |
Lu = aan |
o a er di| |
ne Al |
1 + RE :
m1 | N EL: ww = FL
ù él *
2 ©
p a
x ë
" : ui
Fe à
ais
ALI (arrachant une coupe des mains de l'esclaye qui dresse le couvert)
®
4
œ
Li
L5
se
a
a:
dés _hon
;
le 4° Marchand court comme un fou vers sa boutique
mmes, et revient portant une coupe.
:
Immediateme
bousculant les
(|
|
i
{
eur!
ù
dr in
TT Ds
il [LU
À Il j
ll
“
A ee
FT [TTITS "A
ai} +
Qu
, k
». à
, (l
1
il
À
|
Î
ALI à l’'esclave
la jet.te -
nc
==
Mr
Tu
ES
= =
=
) à
ERA | DRE PRESENT »: CURSEUR FEU
é 09 ZFSSEN VEN LEP CSS BOSS
JESUS SR 7 DE LR DRE
PP RS D ER D DS 5
tecoupeen or
dim
==
Games :
nn Re =]
APRES FREE: Sen
ee LEE ”,
bel … “le que ’cet >;
_ “= ,
| K
=
LS]
6” Lg mn ru À “ee ?
LMI LES à ;
ER mer es SE]
LE 1°! MARCHAND
=. £
(e]
>
d
:
a
[re]
- à.
Il
&) :È
Leo]
I 2 il
&
[ ? À fl
SE à Il]
N 8 : L
Il : : mil
Le |
HR © © will!
N à À T IN"
Le]
(LL | À QI
ile à vf
e | ; ll
had
s ; LS 2e
#
435
120
LE 1°"MARCHANI: rendant la malr a Ali
(murmure des marchands
qui luicompte «es l'or.
Quin.ze cents
6 mon
Peux-tu nousdire,
LE 21MARCHAND
=—
Il
El
vill
A
sl
vil |
ga
ul
\
Te
fl L
]
|
14
is |
un mar
est
du
… Cchand
mar
grand
le plus
C'est
121
eS L = . np: | "hp |
M TN 5 Ms A Ma [M JM. UE
[el L\ L Ci) ï [TI [er | | 4 LA 1 Ï
. À - { Ë NN 2 pl | || a ill
44 : | é SN |] |] Al: |
| FT LA “ ? njA | ( © L
ci sell) 54 A ds HA IR
8 LR sl né Ne EE
F [ll & à | "É ‘| CN Pr à € Il ü
Lo É nl BA ll alle Hal 2
JA EN el au) En à
= sul TE IT & Le
s LUS =. É
Al à ;
Bu | N # - »
# (Me à z
É CR | | IT
3 ë [oil @ |
D À ani Fi 6 a] q
A : Ê li
< GI 8 | 8
2 : 1]
7 1 LE EN. 9
s £ l 2 RE
8 ÿ = La CN É -
3 4 | | 1 Cu
CE s Il 3
A AE
3 4 |
1
1 |
$ }
| ‘ : =
ll s 54 SENS R
L \ ‘ 4] 4 Ar
a À d KE BH = Le
sh À L PRE TT [TT
< à
» #9 |
Re De Pa
l’hom 2
» ph
D
<
12 2
ER
Er
Re
pau =
CR
all! | -
Ÿ
El Ë
TT 5
Qi £allllls
ES il
( {all
À “ii
À qe
AN) 4
ï "ed
[TT N11
zu pa
J1)
LS
| WII
BE.
Ja
ail
soil
; ù Le
qui
ee
all |
is.
\ Les | CE
l Î
Il si
ns ins lnsa
Le
Fe
—
en MARCHAND, revenant vers Ali
»
que vous al - lez con .…
RS
TES
ESS
SN EN
(es
|
E 1
* = #5
>
é - tran.… ger qui vientyers nous?
Fu
+
d
©Q
E
mn
pe
Ru
[eh]
Le)
Li
pe)
a
2
[æl
S
# Il]
as ||] lb
LC! à
à GALL LT es
É IR |
= | À
NL |
nr CRT) ©
lbs bud
re *
123
(HN se fait un grand remous dans la foule qui se place pour bien voir l'étranger magnifique)
S'2 bassa_ _____
B----------
35 .
124 SCENE Ill!
Maärouf parait, venant de la rue du fond, 11 est richement vêtu et se montre très étonne et très
intimide de l'eccusil inattendu qui lui ést fait. [1 passe entre deux haie# d'admirateurs, qui s’inclinent
= n
Moderato ( —72) À
—
respectususement devant lui. Quand il est au milieu de la scène, Ali 8e précipite vers lui, se met
à genoux et Jui baise les mains avec les marques du plus profond respect.
[Li
Il
0
fl
l
A
FRE rs
CE 22 OR RRRET D) RER CNE eu es ES Se li CT
7 w, F « RE ——}—
. EE FE je — + T7
RES CE RE Een, EAN LE nn ne DT LT | BE RE
Ô ____ notre sei.gneur!i Quelhonneur sur ma maison!
TX EX Es,
t
! S Pan Ÿ -
û ee À « STE » ue :
A. Pen 57 —
Aus" a -TueEr D Æ :
L
4
que
ble ré - pas
: hum
ter
Daigne ac-cep
rer.
fait pré.pa .-
t'a
ton ser.vi - teur
. 2 : . 2
.
NO VS d Of ms
Ad te.
ve aer v) 2.
qui
C'est moi
sis
(Mârouf toujourg
|
_ ‘re
=
8e
cu
Ex
se ma mi
"ra
y
LE
3
Hhnd q
ju "es
interloqué se met pourtant à manger, et surtont à boire)
\
saluant Märouf
“
17 MARCHAND,
mir.
<©
Al.labh sur
(Märouf lui rend son salut, sans
ARTE ESTONIE VS
(
MARCHAND
2e
toutefols interrompre son repas)
(og)
+
f
[=]
c- à =
am _ À =
: l ; à]
A © !
: «> Len |
: Ji '
4 = |
E Jr # 2
(e CL Le
mn [.b]
. IE
un 4 mn
5 E: É
E à |
j 5 |
I
a.
Le | Le]
É Il Il
É | |
[el F4 =
r- ag ©
O 5 a nn:
- | LE
= EX EU 7
e [A ©
©
a 1
=
À
ë | e
(= 2 A St #
A 3 il
A + CN Ë
d 2 ne
H Fu
se [es
mA
€ ©
= pe
x
Es = Il
ma + | PEL
1] Es = AS
lbué lnsd Sad
peu AN EC PPS AO DRAP
Fr
(l | [ RO
| | NL 4 I
e- |
ï Il | call
I Il j il
drap
Et du drap ,
s emêcher
à
beaucoup de
tu
|
MARCHAND En =
Autant que de l'au. tre, ô nm
EEFYFYFYTYFYYYTY,-CHhHHppppHHOUoU
————....
LE ———_—_—_—————————————
»e
_.
e
=
MAROUF, qui commence
a basse un peu en dehors
4 MARCHAND
Leurs
RES.
P
EEE USE
FR EU A
RER,
d'or?
128
A
MAROUF
S
n°7
Enué
À
sang de ga. zelle?
rou.ge
sang de ga -%elle,
rou - ge
… te de drap
Quan -ti
- dé,
et du bro
et du drap jaune,
(0
SCENE IV |
LES MÊMES, LE SULTAN, LE VIZIR, déguisés en merchanüs
Aliegro = à
dirigeant vers la rue du fond, mais un mendiant, venant de cette dernière rue, les arrête au passage
pour leur demander l' aumône. : :
LE‘ VYIZIR, au mendiant, qu'il chasse assez brutalement
le Y.
(2) no-tre Sul_
LE SULTAN, bas, au Vizir
Pourquoi cetie foule en ce lieu?
131
(Le mendiant va demander 1’ aumône aux marchands. Les uns lui donnent urr piéce, les autres se
_ coritentent de le renvoyer en lui disant: “qu’ Allah t’ assiste!” _ Pendant la scere précedente, 1-
groupe de femmes s’est insensiblement avancé vers la droite, se mélant au g...pe des marchands,
de sorte que le côté gauche du théâtre est laissé au Sultan et au Vizir.)
PP —
< 14 A os = = ni 1
4 Ps AUT _h OUT CSSS (ESS DRSSSRNRER | CESR D 9 CH RIDE Eee D
je V. RER + » 7 DRE 7 SRE S SNNNE © ACL 7 ASRSRERS © RE =
reconnais . se? Si tu m'en crois, hâtors-nousvct#le palais.
LE SULTAN,
bas, au Vizir
Je veux 51. ?
Mêrouf tire de sa poche la bourse que lui
arrivé éevant Märouf, et lui tend la maîn) a remise Ali, et verse une poignée de
Er 5 pièces dans la robe du mendiant.
35 a
La foule pousse un cri d’admiration.
Mârouf verse une deuxième poignée.
La Jr
PRE CREER
Alors Märouf verse tout ce
qui restait dans la bourse
LE ——
Ci
Lo)
—
£
o
8
d
—
©
3
Lea
ee]
6
Le
Lo)
Él
Len
Lo
[=
©
3
qd
L
A
E]
Tv
Lo
Tv
Fi
=
CA
J
LU
[e]
L'admiration est à son comble,
133
MAROUPR, au mendiant ‘3 —
| :
PA RE
PS —— LE es Ne
Ex._c1.-.se- moi de te donner si
fæ: mi 5
ha:
= /. En * _—_
y o
‘PEU: LE AT MARCHAND. évaluant d'ur coup d'œill'argent ({]] salue Mäârouf avec le
qui est dans la robe du mendiant. plus profond respect)
# < L
— Es meme PER RREpEs nn s
6 + ———————
Mil -. le di-nars au moins!
Î a
ENS É
LP
Mille dinars!
134
LE SULTAN, au Vizir
Mil-le dinars_pourune agmône?
(Cette nouvelle court de droite à gauche,
et arrive aux oreilles du Sultan)
Mille dinars!
Mille dinarsl.
ie di - narsl
Mil -
133
L/
Inter .
r 1
es
LL
mon vi. zir,
°° SERRE RENTE A
TES RES
a )
OR GUERRE |
La)
ER
va te mé.ler aux gens.
LE VYIZIR
-tran. ger
"=
. Coute.rai d'i-ci.
j'é
.
7
[TI Bud
SN
antmation
2
urre
{T MARCHAND, à Mârouf
La
Le
sont sur ma
dres
argmntion
avec
CN
(# |
|
LL
L NE
L- :
“ fe LA
=. à
(LL L (
fs
ta lt
LÉ rt |
ST AkF
NU LL
Se NT Re,
[PT Abus
ane dns LE per hou mia à à
ma bou-ti
Je l’ac - cepte, à mari
RS
avee animation
A
<
g Ë
ù À m
PR: Fu €
8 #4 =) 1 À
F4
8 £ 5 (®) © =:
E Li ®@ =
SJ nm w fi
2 x
Re À
© A
5, ©
D > 2 À
3 Oo re.
© 1
PL o ui 1
5 d d
Le TN) £ à
é + d [| 1
g Le. — œ
mm © || - # / ns] n
p h a
? © 18 mn \®
5 8 s Be 5 &
Ê 2 | l tu =
n CT) a
3 E HS + 8
© T ’ L
2 0 [NN
Ce) ns
7. + ll | ] A
| 1
re | (> à
ce 2 | #
n 5x TT | rs
& © J A ©
CE pu =
Di .
NE À TS CP .
Le ;
| Abd Ii
136
"M
137
si.
la mienne aus -
{
F
La
ter
daigne ac. cep
MÂROUF
nie
È ses:
#
C7
DE RSR NS SÉRMRNTCN CSSS P ATRSS
L
"”
ER ] ©
Bud
Nous nous en,.ten
at
)
tien
CDN EE
EI mn:
ne
£ IL: sr
D SE SAT
æ PPS PRRRE RER CL MU
Le.
#7
CPU PORN RE 4 JS.
J'ac _… cepte
3e —
EE ————+
ILE TÉSNSSSS
U
la
si
aus.
>
ST CP UN Je NS ES ns |
2N
POUr IE prix.
Ce
sé
«œÿ
.d
- L
b—{
[ea
"
nm
[=
©
Le
TJ
L :
Sie
F1
sur
sa . lam
Le
l |
d
1
TA FA
TS me
138
protecteur
A
©
=
w
=
[e]
F4
5
>
Quand
que l’on van -
biens
A
MAROUF
Ne
Lé
? me mais
toujours tres ant
sans crese.
39
1
15
-tends:
LE VIZIR
ment,
(11 boit)
ee
LE AR Re nd Met e Sa NET na]
dra.……
ex .ac.te
ee re 1
EIRE IRUES
vien -
Lors - que
Quand
Suivez
ad libitum—
‘3 A
£ &
Me.
3
+ z
ES
4, 8
& ©
5 3
= Dar”
n
= TL |
= à
x L
L
Lui
ira cire
de- :-t0n plus au .
=
#»
É
©
©
©
>»
‘©
à
©
#
Le]
Lo]
1
= 3
2 &
si
Se
à
EE
roles
© à#
& w
£
eu:
LE
RE
2 3
=. ©
10
E &
-R
pl
=
2
(d =
Moilto moderato
140, ®\'’
ALES 108)
va
8;-
(4)
&
+
al
d
um
Lt
de
TT
@
Cas
chargés _ de
le cha.meaux
Le
m1
tra.vers
$
en dehor
lodie un peu
Lé
e
la m
«
l'accompagnement pp
e
demescaraya …
chent sous le bä .ton
mar
fes
pa … niers sontrem.…
n
@
A
sempre PP
On peut transposer ua demi-ton
ne + page 147.
œ
Le]
haut depuis le signe À jusqu'au si
plus
n
141
|
Las B
LI
Le
©
"?
©
LS
© Le |
AT
ul
:
è |
5 qui
0
1
&
> GT
à | Ïl
D Q Bi
[=
L -
UE
nu, “7
[lbud
x
bres damasqui .
sa
de
et
gnards,
cais . ses pleines de poi
hi 2
Hsd
E
a_.vecleurs mule
_ lets
phirs.
sa …
les
» rhis
ru
les
|
LE VIZIR, bas au Sultan qu'il a rejoint sous les
14 1
core
[N
pl
À bn]
aill
maî. tre du
| Û
ù |
IE
| Et
| |
=
MÂROUF
mil
nombre de
1
|
Î Bt d :)
pe Ef
s [s. Ms
| TT] Fe] en à s= ES LT
1 |
| |
sont au
u
pl \ É [9
WE 5 } PT
DT au: i ni
14 h [e| MeP'3E did { Il
| Hi JE | me
| Nes | ] (E
| R\ u ÿ be
LE * pure
ï 74 | | * F |
le Il Bi
LE QU? hi : |
D -
il + Il
À ji ]
= À 5 à Li > À SN & CS A
paf ET il ee hf ! p li =
ins Né MT | TT
Le £ #
I
Fi |
| Si
NL |.
#
*
ss
Cu
: | "|
2
nl l
= |
3 renal
5 |: il
Fa
SN M
+È
PPRPLTORE CO EE
1
NÉ
| & |
o
IE
M =
Ë
ù ol
Frs
RE
CE EE 1 À
[N [°b] ND KI . s
ee) |
A 5 ] Il UE £
ne 1 D #
EEE à |
Soul = \ Si l 2 L.
nu k l J ve
Ë Ù | à qu + =
Î Ÿ \ à 3
. 1
Dre
© : TS
ENERS L Ë
| 1h RS À
; Ts 2
a 1 ° qu re
PA Re) Ne
ie À
N R\ re) [QAR É-
> A CM 1 ês Le
s TS À 2 3
n NN .2 ! +
& Î FI. © || D
2 pl = +! . =
Le] +
a]. : :
a Eù = ele F . n
a ul £ [= L | | if .
; il E #1 [ll : a <
s rl .
A il *
| TS où |
1 TN me
149
quand vien -. dra ma
-eS,
piex-re.ri.
LE SULTAN, bas au Vizir
ca.ra-va …
E —
|
Te |
[ce] |
: (IN
mb D, |M
£ 0 di ;
5 LR LT Aa
El IT
: Il || !
# \. Aa
$ {l ul
5 [DS «
E , |
- l
O S'
#
L]
À Rs
3
F
ER ——
RSS ce
FER
SR
Li .
AS. ]
EE
s LE RE
LILAS, SES D
va …
ca.ra
dans ma
J'’oubli. ais,
îner
sans tra
©
es
CI
,335
146;
en animant peu à peu
-cent chaïu!.!espor _ tantdessacs de pièces.
en animant peu à peu
sf 5
#2 p2
— : 1—
RES SE=2 UE. PP
PE Z ED
ton dîner de ce. soirest-il li- bre?
UM 17 ’ r 4]
©
fs + Æ
EX Era 2:
m7 1 À _ _—
EE
LE SULTAN (marchant vers Mârouf, et découvrant son visage
AÆqu'il dissimulait jusqu'à présent svus un capuchon)
EY qu ho
{9 Ein. bc l: transposition.
148
MÂROUF — =
‘ai : RE D T4 Er
= RE nl : Ssr,
Si :.… CONS La 4 is te — +0 En 2 ET
mur F EL CSS Se
Mê- me sicest toi, hon.né.te mar-chand.
ALI, plein d'épouvante,et tombant tout a coup à plat ventre.
l’imitant.
LA FOULE
Märôuf comprenant dans quelle situation il s’est mis et tremblant de tous ses. membres .
ù 3
M NS N
N
ms , ee, FAC
IR U LESC 7 RTE RIT DORE D ET ME CU LEE ee
« E : RL LL —————
LEZ ET. DORE VAR ARR 7 PL DS
AN? SR ARRETE | LABS FSC
i RATE. Æ= --J;TYYY,;,.,.,-VUpONnNnnn
EE EE
EP ASREEES EE ET
- tan! l |
Sopr.et_Gontr.
És rprs EI
Ô ___ le commandeur des Croy - antsi
maestoso
149
| | É
| tu |
| | = | ss | | |
| AAA | il 5 ue. | pur
| us 1 | —RRs A | tes
| Es ee | ANUS il be : | | |
mn” .|. “+
CN [| ( y | (M
© \
Int qi ë x |
E |
LIN _ F |
ù |
IH 2 |
EE re ne
il E
| B: 3 de
= il
É nn ©
1
x : =
: à 5
“ F | L [I *
5 UE All :
hrs q 8
AE E
2 (6 | o N ©
É ( | J | ET TE
Q 2) < |
— C2 . | LI
Il! = Il ; [à
ii. * à | HI ET
QT >» “4 © : ( | 2
il sl JP L (|| *
—- Qi fnud sù BA
R x . Es e. E ä
A
depier-re …
RER EE
LEE
PRE
———
LE SULTAN
_ les trente sacs
L2
mf espress.
A.
MARQUE, tout tremblant
15
Märouf cu: e51 bien oblige de se laisser faire, et ils marchent lentement xers le ford au milieu de
ALI] (Jur est prosterne au premier plan à droite, relevant seulement la tête)
Ma. rouf! Ô pau - L _rre
ER Es —
F4
(Le Sultan et M © * :ontinuent leur chemin,
RIDEAU
à
2 0 0 |
—®
sai
5“ | e
0 LA]
u 5
< —.
Fa
A
À
æ Li
: LL fu
Et
>| ‘*E “
v . ’
2 EPT
FA
s (
É
L]
[en
8 (
D AT
RC
[ei
er J-
n
É
F2
]
e)] à. ]
Lei
|
153
ROUTE 20
La scène représente une cour intérieure. Au fond et à droite, une galerie praticable, Dans l'angk
un trône surélevé de plusieurs marches et couronné d’un dôme, Au fond, un peu à gauche, une porte
monumentale, au dessus de laquelle se trouve un balcon, donne dans un immense et somptueux palais.
‘Une autre porte plus à droite donne dans un jardin. Sous la galerie de droite, une porte donnant sur ka
rue, et, à sa droite et à sa gauche, deux grandes baies. La scène est fermée à gauche par un bouquet d'ar.
bres\
Maestoso (d=66)
SCENE I
LE SULTAN, LE VIZIR
Au lever du rideau, le Sultan, revêtu de ses habits
RIDEAU royaux, est assis à la turque sur son trône: il est flan.
qué. à droite et à gauche de ses mamalik, portant des
lances. Le Vizir est courbé devant lui. LE a
er mt
154
8? Dis PURE DEEE, | i
—
sdb Mad
1
L
À
le V,
_-dions cet-te ca-ra va . ne?
LE SULTAN f animato
a —— ss
en ne + RS Rs + PR”
= AS SDS SNUMS H<E 7 2 2 = =
(8. ; vizir de mauyaisau.
animato
sempre stringendo
3
veux-tu que ja-han . donne aux marchands, ces fri-pons,
sempre stringendo
2 — ———————
156
a Tempo
=
__— par Allahsur moil
ma fil .le au_jourd’hui
pou-se.ra
é
Mâ-rouf
LE VIZIR
1’
UN &-.
QUE
=
ni :
IE
dé.ci-dé.
que je l'ai
]
si
ii
vis.
puisses-tu chan.ger d'a
7—
pl
LE
Se
en_.ne.mi de ton
EE
a ne
Ô chien,
LE SULTAN
À
1
À
Fais que lé cheikhal-is . lam
te entremes
”
se présen
maî - tre!
=
"+
RS ASF À
DESSSSSRNS
BOSS
cresc
ET
LESSRE" RES
il! | | | | | CD) 44 en
pol FL
Et at
| à +
RFI 1 aa || !
> #-
RSR SEE SNS O1 ER D eZ
coute et j'o-bé.is.
Je
ü
|
PA sd
FE
_ou je saurai faire en. trer ta longueur dans ta lar -
11 salue, puis va à la galerie de droite et donne des ordres à un des mamalik qui sort.
: les
il | :
Ïl S.- 10 | 7 eh
LR À 5 | A
| Ë qu è an sl k 3 a
in il al à I r + LR
ts TS ù rss
in me
Mani | 1 il |
PERS A dl.
HT Fm plis nr Ag SRE
TT —
D —
ET
lalee —-
.molto
IA
LL A HA
LES
Der: -s
mains.
- geur!
#7
: La
Le)
| à
||
Les dignitaires le saluent
Lo PR M]
CA
“ +
A 8
a É
x 5
; : |
‘ Ê F
Ë 3 ;
É a =
Le
ü # |
Le < à
cn É 3 v
n] “ © à
à Ë & 5
4 vd LI
pa LU LS S
: » É €
Ë x
è Lo n
4 | Es a w
Ë ù i g ss
: s [UN k a A 2
e_ Li ë ä
ein ts] À |
© ” jt &
Le |
a De él
at nd) \ | h.. È
— M dy
2 Li “| À 3 ;
\ SE Dés L Le à 9 :
à RS ce /
© ‘| À Hi 2 S \
S fe Niue. *
EN SN à |
EH)
; AU à Ë E 5 |
« | ë & |
| \
159
rm
LES MÊMES, MÂROUF
SCÈNE II
A
54
pr
Moderato (d - 66)
MÂROUF..
160
d'Al
soit com … blé des dons
maî.tre,le roi,
RTS
D ee
ni —
te fa-vo-ri.se de même, Ô LEFT
Lo]
ee -
à
5
El
sg
&n
; .
=
d
E
[e]
Fa
8
4
Q
=
3
Q
[en
TERRE TA AR PR
EE PINS]
LE SULTAN ra _
GE MN 2 RME En €
Qu'il
Mais
Que notre
RS SR
=
© \ à
È \ 5
& |N Ë
T a
[e)
= 8
Le)
, À SE, À
M Sd Hand MN
D TS
161
t-
(es (Il
U
Fu il
D
©
LA
d
Æ
|
pl
Le
MY
- Maître dutemps
de ne pou.
-fli.gé
suis fort af
je
7
_joi -e?
=.
E | Hu +
MY
TA (à
SR ne
ma ca.-ra .…
t’eus.se don.née, si
Ja dot, que je
-voir don-.ner
loi
Dep
=
a
: °
[7
æ
LE SULTAN, se leyant pour aller
_— = _ D
-vane était dans ces lieux.
TE TS RES SEP ET RE CRE)
a —— —
de bonnes ma.
doué
[e)
162
25 de | s il)
LS
f L
il 2
Ï ”
D
B\
[|
Ru
tn
BA
[LU
| plein de confi-an -
ce.
res, j’at - tendrai la dot
mil - le
espress.
=. Die
con ye.na
té
ants de la vil
c'eùt €
donné,--
Ÿ
=
3
=
CS
7
A
s
à
CS
Ÿ
‘
Pl
*
n
S
n
à
=
|
Ÿ
ex
À
_
>
=
=
4
8
…
+
nd
2
.
ns.
Sp l'PSS.
sacs de mil.le dinars aux mendi -
_- raig aussi
‘mn
163
mille au
de
teurs
aux por
sacs
tres
ca - deaux,
er le festin,
[
pour pay -
mil le sacs en .cor
LE SULTAN
Les 16:
exo - 81
LA
grande est ta ge-n
- lah!
14335
S il
| 83ll|ll
Lei @ — 4
À EI x
a SE a
&o @
8 2% É |
a Es £ ©
Ë SE ! S F
El 5 À =
Le] y £ ; à : à
\\Wal = %
5 27 | Le © à
a \ a a [a
© es \ 2 © ©
Â) © Ë 5
» & l ®
, -
à OU a sg =
| 5
: É à : 1 ;
© La] © Ë
( c Co] he 4 Le 1
v # gs
£ s 5
À M a d
L ii Be S A
[2] mn
(ss CR L 3 RD NE
(7) Ë © : li à: _—_ #
ps A a
e | A = (2 /At a [=]
a ® 8 | | & 5
\® je £ /B E.
4 ll 8 8 || SE
s fi £ D |
T qu $ Hs | We É 2
F " al TT { “ie
‘4 s e. { 4 É
4 ment Le
( : '* Sa Ua
F5 rss it
HE [il PEN]
ue Le Ÿ EE NY GA
© [TT] #4 Hbud s
D D” sn. 4
165
NII L #
BAD ;2-6PCra"
È
»
ERA
RER
CL 0)
CAUSES DESSERT MU 9
est un très grand cha
grin.
-
et mon chagrin
LE SULTAN
J'ad_mi - re ta dé.li-.ca … tes - 8e.
Mais je veux suppor-tertousles
.
Lt Ÿ UE
(au Vizir)
mon
por-.ter
Fais ap
ce.
no
la
frais de
if
F)
le S
il te demande
qu
. gent du tré-sor
Lar
tout
100 Le
Danses
+ | (li sort par la
porte du fond)
nas CAE FER
| Qu'Al- lahnouspro-te - ge des ca.lami - tés!
(11 retourne s'asseoir sur son trône ) ÿ L
RES RER EEE RE EE DS USSR MARS EC D
les. eh D — ÉRRRRNNRE RSR ARR EEE AR EEES FEE ER En EE à 1 DE
LÉ 97 — RE TR POV
ee pt — SERRE JR 5
.Tat:
Mârouf s’installe sur un-petit trône à gauche de celui du Sultan.
Le cheik-al- Islam entre par la porte de droite et va saluer le Sultan
> Il a sous le bras un énorme rouleau de parchemin. Les dignitaires
D L = . «
d’un ordre Inférieur entrent de gaunhe et saluent. Apres quoi ils se rangeni devant l’arcade
du fond. Le cheik-al-Islam, debout à la droite du Sultan, commence à mi-voix la lecture
du contrat: on entend un bourdonnement. ___ Le Vizir revient; le ballet commence.
DR RP EST
187
poco string,
a Tempo
G----——
Pendant le ballet, des negres,
112)
"
CE
e
A$sez anim
(1)
stribue-
di
formant une chaîne ininterrompue
, apportent les richesses du Sultan que Mérouf
aux dignitaires.
ITE"
Hal
ON
| VE
Te
(us
À 2
U L
in: où |
NN ne
207
+
RS OS RSR "GR ER
168
165
PF,
4170
IE
[a g |! 7 |: |
ES EP 7 NC DO OU OP GE CS EE BC
171
172
Moderato Cd = 63)
pra
E- mnt
—#5
——____—__—
ER ET
== nn bi
173
priu
RE ——
P
o-œ|
st
SR CRUE 0 20 006 OU RE 0 0
L us
=
174
- à Tempo
LA
k
Contralti
2 ou 3
175
178
a Tempo
A \
ad lib.
A
MAROUF
Viziri __
ô
l’or!
ae
LE VIZIR
( FN
dr
NE
NE ul
TT MA
TT lg
[
f 3
LE SULTAN (au Vizir)
. dre de mon gen. dre ?
l'or
| RE EE
Entends - tu
= 2
CESR SNS
=
7 Il ù )
AU [A
D & à
EL 2 q
Ke EN
TN me
EN sf
-leY
ton tré-sor est à moi-tié vi. de !__
Delor!
poco String.
-"
| INSRCIERRER
cesse un iustant,recommence
La chaîne des danseurs noirs, qui avait
—112)
de plus belle.
(
F°
mn
2
a nt
SRE ue
CR
Es Sn
e.*
& 5 nes
enr 2e
NL à dt
Î RUE
ND:
Ù à
BA +
OR.
D PE Né à
2
RE —
On peut passer du signe & au signe æ page 182
()
8-----
tr? TT
DNS ap LT ETES
All!!! moderato (è = 100)
Î
fi El
\
[ll (
+. ÿ e €
Fi __MN
00.
DL un
n l
il
{ii
156
LORS
Ce
Jp
=
pl
“5
mareato
sf
couper Îes dix mesures corprises entre le signe -.etle signe +. Dans ce cas, on fait
égalcmenrt la
1
veut
coupure indiquée a la page suivante
EE
Coupure des huit mesures comprises entre le signe $ et le signe #
Hhud RD I +
(A).
hi
Fo
Ge
& MT mi
: Er | Il
| à s | ||
ll 1 5 É al) |
a UT ee _ 1 |
Ill S [% |
VIRE F5 |
LL did +3 ;
HT 5 il A] 1 = #
il | Fan |
IE D FE
, dll Fe ‘ Lil
Ï TL > n é[L
il Ê el
il à [al
Veil] D nt: | |
NA TT ne NL |
Be:
ER
> _f\
TT p'
191
you you des
= 60)
# RSR RS RS RS
à xx
4 Œ Fee =
eue ;
DRE OR MEET Pen =
Re Er
tr:
Moderato (8
À3
=
Moderato
À ce moment on antend les y
[4
Sopr. (dans ia coulisse)
Fa
E
j:
l
‘e monde tourne le visage vers le balcon
toui
MÉLLA Dub het ee CPU TES -
ee
ee 7
au narem
+
Cu a RADAR RAR RSR RSS USERS
n
LI ©
dames
#>
ar ont
192
LE SULTAN (à Mäirouf)
e
9 mon gen - dr
A
MAROUF
RSR
sourire sur ta
gardez la pedale
193
—+
_,
8e .
: veu …
ma ‘se. con:de ca.l4 mi
B----—
CRE
La princesse paraît au balcon entoureefde ses dames d’honneur et le visagr voilé.
4 Soprano
4 Contralto
Les danseuses, Mäârouf, les dignitaires la saluent.
194
Märouf, distribuant des cadeaux: /parlé) «Pour les dames du harem»
(x1 jette de l’or aux dignitaires de moindre importance, qui se bousculent pour le ramasser,
2 A GB DNS 7 à
DR ER RES Ce ee Ce
SEX EN CRE MES QUS
Æ —
Si ER RE
puis à la foule, dont on entend les cris et les bouscalades de l’autre côte du mur)
=
F
Lis
=.
POP RE 76)
=
|)
Le
dl li FL | LS ‘
n°2 PA ins
= TN ne D on
mare,
195
196
(()
|
|
I
5
||
|
4
M
(a |]
.
de ——
l |
Î
(
Ï
Il
i
197
Res PLSRSES
FRRL RER
Be
nd =
b
TJ
1)
VE
NY il UP _ M
ill
je AE D
2°
Cd
Ce
ITU NI LT
ah | il
it | AE QU) PAR | Si
QL LI DU UN
da ht 44 Hi
[||
[||
( | | F il Q | [A |
IL (l 1 NL
| |
Ne Ne ND Ne
199
LES
æ
I ju
till
NT : : ll
x lo
il
il
_ a
D À
fnsd “4ù
= en.
Le cn. {4
<S
S RE
LD
in
201
2
202
cf
A DA
B---—-—-—-———————
BE
cresc.
(2
=
="
—…d
ln
Q
n
BE
]
I
dE
| |
==
203
UN a]
Lie
(
À |
’ |
Sopr.et Contr.
Se en mm comme me uns juuus me me (UN M de te um és (ue dom me ue cum de ue me une ue + ue mme ee ee ce ne ne ne eu ne mn ne mn ee + ee one ne ne ee ne ee pe
I 1
M
—S Hell
_ |
Q\ |
D LT
|
ID
à.
Ris LS SR
Sopr.et Contr.
REC
BU SDETU
SAù in =2
205
h I] $
, 2
El S/1 Il :
He LE
E =
N LS
| A Ji HI
FR IT jl
| ir tt
Fe at
Se | ST
Stan at
Il HN fil
RES ;
Qi] I |
æ [LIL QUE
ah Hd WI
| NT
1 LL
il ll (
TN \in:2 TS
= 104)
(cris de la foule, dans la coulisse)
(Les cris redoublent)})
206
207
LA
x
[CN
cal
A
Li]
a ° LE
on sf
Ji $ TT
Ji ©
# (l S ||]
#
tt MT
] pal
: IT
[1
g ÿal
L
fl ‘à |
s. \IE: l
à LUN
| il +.
dl pi
nd DA
208
L
|
RE
EE ES
Entrée de la Princesse, assiso sur
Elle est suivie de ses fermes.
|
press.
Es TA
es
5
ee ee 2 De
xs
Un peu plus large
un trône porté par des nègres.
|
Ar
| FD
22
Bd
A]
210
SCENE EII
LES MÊMES,
=
LA PRINCESSE,
les dames du harem.
———
s large
Un peu plu
4
à
Bal
dé
)
Ram
Kil
dtté ||" dép!
+ “EU
SC+
fa M
IN ne
À
LE SULTAN, se levant
s' TOUT,
Mä
a Tempo
é _
fais pr
je te
|
k
Fe —
=.
s
Re
or
?
Sn
E —
de la prin - ces.se Saamched - di
mi Eux
==
ne,
211
ne.dic_ti
4
la be.
sous
be
F
= 3ÿ
©
nl
prit
es
Son
son corps
et
e
la meéil- leu …
yers
des blancheurs de
mier sous
ple pal.
Xi
est un rose et fle…
3
RE Eee
ESS Ce
EMRLR ER
É
d’eau
seaux
CAISSE A
SSSR
ruis
- er les sou.cis du n
Märouf et la Princesse
saluent respectueusement.
| 8
1 E <
|
[«b]
a a
1 Fe)
( : Ë
73 °
[I] À . | ;
fa ra -
SACS
IE |
L à
< D
| 8 II
d 1 1
| ne (e|
5h 2
1 = |
m9) ns
di 8 se, PSE
Il HR U + |
= 3 PE PE . . |
+ ee É Aèe
be ue UE bc
£' D ù Ans FN
213
=
Lou.
vi-des.
LE SULTAN
sontcomplètement
O roidutemps, les coffres du trésor
LE VIZIR, bas au Sultan
H w
a
Us | +
+
\ E| | | 6 à
5 Lu
DE | | à à
QT É | | “4 Æ
44 | CR
mn
1] Ê e Ÿ 00 3 64
UK] 3 oo
AI % LEE Sn #4
1
lt «
5 2
pe
Il xg I
DRE. I
= me 7" |
ESRI
DS RE SE 0
CRE TES
BISRSCOEIET IR DA © OR : c'L 0
6 |
1
ji 2
Ë
el 8 | |
1É
à
all!) 5 5
Ni} Re
( oi | ;
AI :
& Q ee ve
IE 3
ill ; |
( dl! 2 Ë
All # _Æ a \ét L
U * | jk
FE # de
El <L À
BA bad Sd
(
©
214
Sortie du Ballet )
dignitaires, au Vizir et des mamalik.
F à
1
1
1
|
ii Ï
11 un |
a] = ]
| Del
Un:
el © |
| TT
215
ER
D
4
EE
LS LIRE
FF
216
SCENE IV
MAROUF, LA PRINCESSE,LES DAMES DU HAREM
astres NA
PATES
put y nn es
A TE — Et EE
CE FHECSRSRENEE" INC CDSESNS EL D JS SP 0 ONCSERNT DONS M GS OP GE VER. 0 JR MNNRSSSEMN EE
\ VU S = CORRE JR. ONRNNNNNNET Ch DS GREEN. PR MIE
ne A FRS 2: Re RRRERRE rer E
poco crese.,
/ Near.» _—_
NN 27 US
MAROUF (à part)
DE" 7
217
EE |
Re
LS
Ma secondee -
MAROUF (à part
Sr 2
PRE ee NES
CHR D RES
ya
br RPG INT
ï | 1}
ui
il 2
#
HN €
©
E es MA
Î £ [l1 | à Ÿ il
es
à | il Pet
D. .# . le U
e 22
LLPY! N SN
de F
Fe]
+
©
à
© |
© | |
Li
ei
F1 | æ
| [2]
fs #
2 .
p-| A S
Le] »
Le] nt z
À S
[ss À >
Ex A ko
Lo]
3 ||] » ë
o ou à
= d à
80 R,
2
=
e ©
Le =
sp [e]
- | | =
Le]
Le . £
sr re)
CN ni
1
Le
©
"TC
Sa
- pouser'apointune tail. le ca lami_teu
218
LA PRINCESSE
#
nn qe rm
EF pete RSR ESS AU RE
| La SN MRÉERQUE SET SENS Me assis 2
Ar T
{ ;
En Au OR TE
NN STE OM PDT Mess NS RENE" ER ER CORRE RE DEN TT
M IR os CORNE CE) NSP EDEN SORT SU D DRE CREER D 'NR DL DEA UP ONE OU RNER EE ET EE IE ET
NET nl Le GRR DS
commecel. le de l'autru “che:
sombres pensées roules-tu ___ danston cœur?
F
pourquoi soustes plis gracieux __—
DE
29
LS
“7
LA, PRINCESSE, riant
7
nesuispascontrarian
S—È
DM VER De
D/
2
2
Je
te.
j
“4
…
=
a
Le
MED
{| _
be
x
= prit contrari ant des fem
al Gi es
Bi DCR NRA DS,
+ —— — — "+
STRESS
de.
=
a mademan
je vaiste le prou - ver, si tu réponds
LA PRINCESSE
poco rit.
LA PRINCESSE
x
Piu mosso
&
=
2
PA
&
5
[}
g
Lai
e
=]
2
©
Pl
Jej'’ado.re.
Pcux<+u souffrirlemieldabeilles?
! Û
Dh | | a
| |
AL Bree
à z dl!
É à /
Pull
[FA & _
en RE
QI es
j£
Ce) 3
ga
Le 20. É
miel decanne à su-cre
que tune peux pas suppor.
la
C'estdonc
Em
8 - --
SE |
&
Là | q
LT LU
TN ue
LA PRINCESSE
QT TT
SR
er
1 LE .
Ya oueiï.lil
deux.
Je les ai. me tous les
f
m x? SR -REg-E
« - L
M. CSS ST SR NS D EP Un
mt
Cela n’estpas naturel.
h e = Ti
” .e EX” SR —
CE a :
LES ANUS re
Ra EE —— —
EAST, 2 3 ET
ECTS TE ee rs RE = Sr
4 SE DR ST
LE =. lrshee ORALE RS
a,
4 \
la P RE — 7 SRE En DER à HE RP NERO ES
a x, F= D ps ë ë = À ue
| RER 0 ee ra -—
L
- poux, est - ce pourmhumili . er quetumasfaitcesde-man_des é -
|
NS SENS er Fe
f Do on CORTE Ben mes DS 2
cr 1) | SRST MONEN ES. DEN 5 OS _& HE
D ER 'T Be ne Pt + | ours ES ES
ANT ‘a si ee Se” 7 Een ES ES
LN LA T I 5 ei EE. ce Am
D = = EE ———_—
RL LT | ARE ir OH =
7 CT: IN :LSSSNSSNRENNE : O oT BODSRSRSMEL EE Ver
2 pK 2
4 en 7 ent en RSR ee PAU ER. =
EE ———————
.tran - ges?
/ MÂROUF doice
22 ÉLIRE ; j Q
+ esse -
O0 Saantehedes din "16, ne crains
la main gauche, puis la droite, passant ainsi derrière elle)
a
È 69 RE 2 EE 7 SRE OURS SR CT RO, E
ES ee RON RSR CRE ES LÉ RRER TS
Tes jeu-nes doigts sont do L
tn à
- tes dans ]Jlo-a.sis,
brü _ le du désir deconnaître ton vi -
| ne es nee en
223
Je n'ose en.le . ver
*
Le ET = EE —£—
2 IE |
pourlenezcrochu,leslevres pendan.tes.
en animant peu a peu
_- rage Märouf,
À “2
ET —— a —- REX RARE ENRRSUE LR ARRETE == —
{us 4 j Er RER
M és Re DORE RRRE MES (8 CAE Ce ps Car 7 1) —
sa fe,
montre le moil.
sempre animando
(a part) _ a. ee (haut)
+ : ;
Es" rt” CNE on | à TEE ER VAS CR OS ON OU Mn 2
EU SES SR RENE Pr
ER L_æ# Ir Je DE. DN BEN BEN Mu Lu UN JUN LE DO EN EN 2 EN DM SU”
Et que le'Très Hautéioignedenouslesgrandesdentsetlesgorgespetites! Ton vi …
a a —
225
5”
€
ca-res.ser les yeux de 1
et puissentlestraits de lé. pou _ se
Très lent et tres large
(Elle ôte lentement son voile,et devant la révélation d'une admirable beauté,
Al!'ahestle seul
MAROUF
Mârouf joint les malins dans l'extase)
à
: a ———_ _
lent et tres large tt 69)
ê
N, Se
SG 6
Bbud LA
À
<
#“
”
à S
_—
À =
e à
bi 5
HT €
= Ÿ
OCR se
CICRRNE © eu
Si =
sl LA fall .
Fran RS!
et toute Sa splendeur ___ rayonne sur ta
LA
énéreux,
Grand,le Clément;le G
?
+
à.
tt +
défaillant et peu à peu reculant
sempre dim.
claveplaîtelleaumai .
Re Po mens sms à vi me
LA PRINCESSE (un peu coquette)
u
L
"HP:
CAT Ex
E /. Mb
ET 0
226
M tf -
EX
Un peu moins lent
Ô
fleur d’Allan!. un sultanviendratecueil.
suislindigne agenouillé deta perfection.
Un peu moins lent
E]
reg: |
ÊS
ct [1]
=
LA PRINCESSE
,
©
<
©
Le |
aq
La
.d
& ©
D CT
me El |
TC t#
gi œ
; O
C 5
D
o
& 5
mn
: A
2
pe] 1
É
Le]
cs |
Le Lu
pe Fu
Marouf,
mais non
227
=:
Eu
jai re.
te de sa.ve.tier,
te
de plus en plus iroubié
sur ma
trequ'astu?
Î
a
dHITE
Lee EP * JU ASIN
Li "te LOS « ENT
mur
| mnt CE di.
M.
ZA) : pl & [ki
és | -
RS fl È a à
(TN 8 | É = 15
ax s (| |... El Ê Se
” 11 A + O
Pl | il "és
* | 5
(| [TS / aq
Me) | Le”
| |
hEAl de ne dll |
fe © IR | a 47 |!
LE E TE JS ill
AIM à «NI: 15 |
en H NII |
2ù) = | iQ s #i
(Al © EH À ju ul
g El | 18
sr
W 1e
CN STE
ESC,
Bt
(Rp nes"
w,
= ==
et
mm
eo
PT és ne. —
ppp possihile
ae ne
REIMS
se
BE CESSE :
RU» POSSROSSSNE |
p—p-g Te
hi CESSE |
ommeuncoupdesoleil….
i
j
À
D Na. 5 |]
rt +7 1 =
réel...
ES
tie —
ni E SRE
:
— 4e"
HS
&..
n£ \ |
.: (°s CN Er) {|
; vi AIRE.
Ÿ EN © | tn | |
N Le RU o nr TR
ne er | UR |
IE 4h) à 5 \àl
à 7aù e = w VIER 8 EEE à
Il hé ii ir
JF LE er ME + ; ou | Q
a A ou cn avi A
le où SE Se ie Ft
NT sa OT dns hs PQ
M
M.
228
du mouv! précédent
“e
ol
Les dames du harem veulent yenir a son secours; mais la Princesse
Elles viennent baiser la main de la Princesse et sortent.
en aller,
‘
leur fait signe des
. 68S8[IN09 EI sueP
o88FIN00 ET sueP
o88#f[Nn09 EI SUEP
D
H$S[[N09 EI aurp
FAT
ll
“ au
lnsd S2ù
TT
e38FM009 eJ suep
et quels#st cete
i - nat-ten -
ces mots
ndosi
»
Pour _ quoi
perde
save .tier ?
LA PRINCESSE, à elle-mème
pauvre? Le Caire?
[e)
Tempo 1°
Tempo 1°
(a l'orchestre)
(dans la coulisse)
_ dus:
qui je suis donnée?
A
—
LI
- poux,
4
CHUTES
= |)
TN À
HNIPR ETS
la P.
R30
dulee espress.
LA PRINCESSE
}
we,
d'
comme des soirs
Ses yeux
ERNEST DNS
PORN ON MUR DONNE 2 RES Us
BL ———
SERRE" FE
ses sour.-cils,
des-si. nés __ par un ca.lam
sie. 1, 2 1
TL
a
Le
+
…
s
Se
plis -
il
quand
bres s’en_tre.cho - quant
sa
sont deux
Œ Je 1H" TRE
la P.
CKY
intain)
(effet lo
front.
trà
am)
©
un
m
ei
al
=.
Q
Oo
S
n
Fe]
œ
TT
_—
‘=
en
©
un
dS SE
Hnsd fs
tn
L'Le es:
SES … CHR SRE
BERG ES RS.
d ==
Je.
Her
RS AN SAS RS
RER ER PIQRE EEE
EN” US EE ON 7 LU DS #5 ONE
DE
a]
“JUS
w:3
ES
=)
HN
|
a
1) Wu)
SAUIS Lait
“ea Ê
s
ya
F
si PELL
a dar tp En or
che, ou si
Les
ir | 1]
IX IE: cn LUE Diirème
jt) #4
.: im à
FE ï |] JE Bi:
ES z
À À ET
L + Il
SE fil à
D e ]
sl : : Re
TL © É Un LD
à a Es (0 |
Le M (l
1 |
il em |, RE
Q- |
cn : ji «© IL ie LIT TES
NE |
Art Fù |
ARE È |
a ou
jh] à N a HIL
F _& F Trente
\ | pl |
[LE à
: RE ë
2 nn FX
TT LA ©
“t = L y
Le LE x 2
où ua Bad is ce K
al ! D De. Ds
à CH
A:
on
NE
LA
a
L:1
ni
=
»
un pas.gé
peut -
blie
ou
etre sné .
: ee
SR E
SERRE LES 7,
ERRS ORRREE CS
}
Less
1 DCR
ton
dans
EST
al
sommeil
en. dor . mi
poco à poco rit.
de prin…
voie un baiï-ser _
—
’en
t
prco a p
lah
oco ri
t
fe
234
piu lento
Molto
(Eile l’embrasse sur les lèvres)
)
(d= 66
RIDEAU lentement
1'T-E ER
FIN DE L At
&
+
Qt
ACTE IV
\
La scène représente l’intérieur d’une salle ronde plantée de colonnades et couronnée
d'un dôme. Les arcades sont aveuglées par des rideaux mobiles, Ces rideaux sont
fermés, sauf un ou deux, qui releyés comme yar hasard. laissent voir une galerie où. des
mamalik montent la garde. A gauche, sur un pan parallele à la rampe,une large porte
dont les rideaux sont également fermés,
Au milieu de l’'hémicycle un jet d'eau sur une vasque,
Andante (d — 60)
D | MEET Te
; LIEN on S
"LH 7 ù
Fu: 27 nt Rs ee 1 2 Eu)
LA TE VA DE) Enr ane "à er ue PE
ER — Et EE CSV CU REC Es 1 ës ai LE —— ——
Ps À = RER Re, Emi Re se 1 RES ENS : 1
. e - » . 1 . Pr 1 _——
6 die SPORT ee. |
>
FRS NS
uv
ll
crese.,
|
|
0 4
SCENE
LE SULTAN, LE VIZIR
>
_— On entend seulement 1#
Au fond de la scène, entre les colonnes, des femmes dorment, allongées sur des of:
C'est _ l'heure de la sieste.
D'autres sont couchées par terre,
jet d’
‘eau qui murmure...
hi
Le Sultan entro, agite et préoccupé. Il est suivi de son Vizir
FR C'LERRRRS DUR ES US me E =
. SE: CRD I ER CS C]
\ fm à — 5 —
CEE RÉ: Ps
à à TA [1
Pr |
£ =
= RE EE = , Î
e x e ?
; arcade du fond, #t regarde l'horizon avec anxiéts, puis, désappointé, redescend}
233
Peu à peu les femmes s#ycillent, et, sans se lever, s'étirent langoureusement. Puis deux ouh tros,
parmi les plus jeunes, quitient leur sofa; et s'amusent à tremper leurs pieds dans le bassin.
FÉÉ— + Ses a un sm DRE
« ESSSESS /
AT — ET —
LR RCE le ER : rs si =
Roi, ton es.prit tra . vaille ausu-jet detongen. dre.
LE SULTAN, avec brusquerie 3
3
À
Vi.zir sansjugement, je n’ainuile inquié.tu-de.
Le
[04
[Te
Eur.
[7 ©
KA
LE |
D ——
SET
—_—_—_——— mm,
—
a —
UNE LA DA DA LA DEN D OEREREEUR LA À LIEN LA LA LA LA
ES
g-&
5
240
É
à part
LE SULTAN,
ca.ra |… ya … ne...
La
LE YIZIR, le rejoignant
243
IDR 1 SE a
SR LS RE SON ESS
CEST CR SSL
RS 11.1
lex LAS
tant,
- 8e,ta fil - le, rienquunins.
la prin.ces
jecausais a- vec
Si
(11 montre la porte au premier plan à gauche)
(Le Sultan réfléchit à la-proposition)-
atra.vers ce rideau ?
Ci
AE
$
‘€
Se "EN :d
1. =:
:
“0
EN,
m:
DFE
le Y.
(Une jeune filles s'approche du.Sultan,et le salue)
LE SULTAN, à une des femmes
©
mm Il? |
LL LS Ed
242
ré-ponde aux ques _
disparait derrière le rideau (A ce moment, Märouf entre en scène par le rideau du second
du premier plan à gauche) plan à gauche. Le Vizir, l’apercevant, fait signe au Sultan
; Pr me
-ÿ-# El —* à
si = ue EE
Ts SRE DR D DT Re Re eee =
186 £ Este 2 Re ON CO RS
—ÿ ——— | ES
#e Hs
perdendos n
FATF D 'ENT”, RE + CT RE m7 MC ES
ARR — LIITTCORÈERSS LEE
mi = = D. PS RS
= Rss CLÉS BA LS EE
\ . 2 Are >
de se taire et tous deux vont se dissimuler au premier plan à gauche pour l’épier)
LÉ
| I SR RÉ
245
SCENE Ii
LES MÊMES, MAPUUE.
(Mârouf encore engourdi et s’étirant, marche avec ia nonchalance d'un pacha.
Il vient s'étaler sur un divan,et ne se sachant pas épie, se laisse -ller à sa réverie)
Poco piu tranquillo
Les femmes, complètement éveillées depuis que le Sultan à donné un ordre à l’une d’elles, vont
- ple sveillées d Ï le Sult d ! d 1 d’ell
MÂROUF, dans un soupir Ps
Ma .… _ SCHALIAN |.
se grouper autour de Märouf. Chacune d'elles tenant un éventail, elles }'éventent doucement pendant
(1) ou [qu’il chante)
= EE -— ?
D — ES À
, RES | En 0 GR | L = —À—
= À À DRRRRSR Dr F DRE M =
mm \ Es = MIE =
Dans le Ta -din fleu 2er M mi de
RAA
tranquille
guis le jet d’
qui ron-ron.ne d'a .
eau
moi, je.
fleurs,
FE
LA
L.]
PERS]
PEL
et
m2 Sd
nee es on cu ne
est le bas.
en lar
LA
je me re.pands
. joie,
-mes de
F
75
4
m
suis aus …
©
TJ
[||
LL.
+
LI
F4
Les |
La |
©Q
m
| ee]
à g
uLs
ŸQ Lai
3 TE
3 (RE fs
&
Ë E
+
au corps miel .
mon €. pousse =—_—
et
. Be mes flancs.
Pa
—-ÿ ————, RSR
À
D TITRE een —.,
— … SChal. lah.., MER
LE SULTAT
HATr: E =. TE
= en
fes
sortant de sa cachette.
La paix sur
les.
les.
se levant sans précipitation
f)_4 Le
CE —————ûîî————— =
2 | ts E E = ==
VU ER Sc 0 LORS EE SR
Sur toi la paix, Ô l’onclele sultan.
LC} Ex ——
= fS Se 2 à :
’ 5 Re ee mr
LUE NS # NT (nr re |
toi, 6mongen.- dre.
TT —
m'æ 7 POP RE 4
F : 5
KO — ne En /
p dolce
mn
JE, —— s T Ps |
a —_—_—_—_——__
(Les femmes sortent par le second plan à gauche)
sur le ton d’un homme qui dort debout
J'at - tends ma Cara
245
EL
Len
en, an
.
b
“Tu vois
veut dire
Le Sultan jette au Vizir un regard sévère qui
cle.
ô mon on .…
-
-moi,
Mais ex-Cu.se
ne
va
ses.
pour mes marchandi
truit
‘on cons.
Je dois surveiller le palais qu
A
MAROUF au moment de dispara
(1 sort suivi
ître,
des mamalik}
dans un soupir de bien être.
ond)
fo
du
nonchalance il gagne la sortie
245
SCENE HI
puis LA PRINCESSE.
)
LE VIZIR
LE SULTAN,
Allegro
N,.
J
LE SULTA
NT à
in
nl |
NL. à
fl
HI &
UT, &
Î £
Hi *
Æ
=
SE
maudits soient les calomniateurs !
Res
ce
Chien!
{l
2
® |||
Il |
—
Le
:
n
mn |
:
©
[|
©
[
lle
N| à
HE
dire
B, CA
(al qu 5
DES
CT ‘©
|
IE
it: Na
ile
[CN &
l CS)
a
cs ol 2
LIN m
HI 5
©
IE
Cr]
8
] ”
TT
Meno mosso
timide, mais obstiné.
}
LE YIZIR
a.vec la princes
- I
‘A
q
©
a
Le
L)
4
T
1
d
©
Es
©
"
ser
Dr er $
&
e
7"
ee
Lè]
ND.
4 *
à 2
œ
8
2 5
f à
O £
a
8 à
10 37
à ©
©
S 5
© «à
Z -
Le]
C-
Êl
LL
Le]
œ
7
©
ère
La Voix de LA PRINCESSE derri
250
me yoi_.ci.
Mon pe. re,
à travers le rideau.
LE SULTAN, à la Princesse,
é
t anim
A
La
Mod
eremen
de mon
noy- au
rie!
I
resc.
b
poco (5
les.
ce maudit,
zir,
_
C'est mon vi
cœur !
251
(à la Princesse)
(au Yixir)
> À
TES à Beau?
pe]
au
{
veut t’en.tre . te. nir
su _ jet
par Al:iahl!
La Yoix de LA PRINCESSE
de soupçon.
point
:M u UT I:
El) a
© À A a | x
a |] MIE || 2
à d RyRE!
R« re
2 | M o
& qul a FUI à
ë | ll |
LI]
: ail
y
yi
ré. pon.drai.
PR,
e
Lier)
CRE
L_#
»
: LE YIZIR
RS
DR SE ER En
tre.sor est
rss E)
ps
je
Éie
LS
b
FES
l'e . mir,
Lol
9
s I Ne
mn 2 @ =
3 | ITTR: NE É
CRIIL : ] &
: il '
6 a œ ‘©
E ï | S: a &
5 ; £
7 CN
4 HU # 2
: lé
ï sa | É
| * q
= TD
= À . $ L
5 à | à
cn æ
XXE s e €
a S2ù nd sd
© D ou. :
5 4 a: ea
æ © 2
TJ ir
route,
en
core
en …
est
La Voix de LA PRINCESSE
Je le sais.
LE VIZIR
se du re …
cau
in-qui
mon cœur s
Or
a
LOT
-tu de ton
Que penses
tard.
bien?
est-ce unhom.me de
- poux?
À
ss
&°
LA PRINCESSE sortant sa tête par l’entrebâillement du rideau.
. Se de
pen
Ce que je
de bien - faitsl
que son vi
ble
D
lah le com
vizir né. fas.te,
Qu’Al..
Andante
yreé.
1
jus - qu’à la Bäâ_tis _
l’au-tre u._nis
a
=
l’un
et sa pa - role unvin dont je m'en -
Nous serons
“Ji,
VENTES)
Cr'esc
M
ESS ISSN NN IUES)
sun
|
Le
[TM
à
Li
Len
ble
din .
ce que je pen-se
sempre
l'i_né.vi.ta
mi
zir,
é-poux,
»
à,
ra.tri.ce des
1
t voi.
«
_
414
Es mo Da
1° Tempo
- Seu-se des tombeaux,
Mort.
se:
la n’est pointmonaf -
Ce.
EE NE A En PRES
dit? |
ma mai-tres
=
ouvrant complètement le rideau, et se montrant
[| C=
> ® dis à
(e: put S
NI! #
= Cù <
4 el
1 é
ce n
| ” FA
u ne” O S
ul = E s
IN E *: ps 8
n +2 =
7 il NN <
| à Ê e :
£
Le |
[..]
; = # [el
ne : Ë
des N
, ji EX > |
Der a
I l 3 | — | > EL E
|
AL Pa Ja)
: bad FN! ne
5 | Il IT
("4 DURE Li
| [4 = . Ë |
| 4 | T |
| | ° É g
| |
=) ||] : è | 5 ||
> mi]
Ÿ | 8 ê Ë |
. [fl F | | |
LA | 3 FR 3 {| pl ‘© 1
— | | | , |
ra ” | | | n l
ie all all | :
| || [lil re [ea =
‘ Qu, os ||! Ll | 2
: | | | 1 bd [1] [as
| Nu »* 5 | S il pa
me | - M x EX US
= || < E | Fe |A
N || se. 80 N| =
| RL JU ; : HE Ï
|] s il : s |l pl
à 1 Le cd ;
Il : le NUIT
] Il A CA É | À Mi : le
Le]
il à st Ti
Ill 2 OÙ UE
il : Ke hs RS
AU IE
| Il B NE LOUE ”
fe CN À I où"
: 1] D IT Ï
I Ï Ü
e dell (il Hi li
& H M " : Bu “ À
il” H' N 0 & El IL
sn Le 2 | CE [le | CE LE | CH EL x a] | c|| CE ä {
Ke A Ke _f Ke EN M + À |
258
ne me dit rien de
rouf
mir
l’é
temps,
en ta _-ver.-tis- sant:
voir
mon de
fais
je
bon;
fl)
C3
Ca
.
fn
é SDS
D HER ERP DES (7 RE PR
we,
Mau .dit soitle Malin,
antmando
PE:
C]
proces
LA PRINCESSE, jouant la fureur et l’indignation
dé!
le La.-pi
animando
P C0
!
a |
PT
: | | o © Êl ET | | |
LT] L oo É | |
ë AN à ES = ||
di + [es ||]
\ de 1
a à 8 £ mes ||
| EL el Ÿ pa 2 ] | |
Se RE sp |
| = È : | ; |
| ï : 5 e |
Ex
Ia 5 À & à Du. |
4 a ga © Fr
> Le] =
® nee :
; EE MI. i
N S
À A © ee, | | É
o A + A
À © à f É
m4 © x &
| Lol
[en
Cr |
[e]
[NN J5- 5
sb]
: el
| S £
[e] , É
: A LA ‘4
: NI à ,
) NN <a 8
É © d a
tan ‘
8 [NN «© i3- # a
Le ° É
fi i Lo PA SN 2
£ : :
a ; :
L EX || | (æ] È
LA |
x AT = :
‘© (e: En &
[en
, [2]
Le] .
5 | è
2 ë <
I g s
Êl Ë : -
[e] n à
k El
© 7
Li 8 :
+ ; :
Li
260
LA PRINCESSE, (véhémente)
—126)
AI moderato (d
est ar . ri - vé cet .te
à 1
All moderato
TH Saù
TS ie,
Lk
ma - ma
(presque pleurant)
LE SULTAN (au Vizir)
<Ah L»
ils ont
ce qu’
Yoi-la
f
‘
DR CO EUR, QU ES SLT
|
beau :
si
EE
Al, | OL
| | | Fi
AL IT
l|
1 LRU
RS RE ES GS ES CR En
a
_—
===
=
1 LF: Lt à we: ”
3 | TT] TT
[e\ 4 | 1 |
E4 || CE] 5 ) L x
a | Lot M] © a
2 || : IL
mt nl 2£" |
8 h] < à
4] © f- jh.
. (] il
[re] i
. x
o d | /
D Î Es à HP. ER :
à | Ë E]
I — [NN & =
Lo
+2 )
NN © 5 2
i ° DE
N © Ni o »]
É l il © :
Q ee d
NI S < Il Le] [eo]
Il L où & €
A
ul
[en
—
Bédouins
<EsS
DES
dé . sert,
—
ER
des de
TES
CIE
-EFENX
- pris dans le
262
et dit.
re
cla-ta de rt
eè
rouf
Mâ
Mais
er |
LE SULTAN (soulagé)
« Ah! »
_Qua.tre cents,
rien.
ce n'est
re-tour.ner par._mi
les
lik de
don.na l’ordre aux ma-ma -
Il
=
che,
A, Mae
yer
fai-re act
et
ln P,
la PF.
=
| F2 ne
AU
chiens!
4
RE + — "1 ER) ER næræ Ut
EE ——rmdant mm
Rs
LE SULTAN, au Vizir bæ
FAT La
RL —
pape ec) | &
TITI SNS JS 2 Pl
Lt Es - tu confon.du?
È
faire en.trer ta lon.
sau - rail
je
ou
œil
le S D PR | ee
LI EN SNS RP EE” en |
lar.geur.
dans ta
- gueur
droite)
Es
4
sort à
i
CDÆ
RS ES
PEN RER
.
fi
}
=
Æs
Eee
(Le Vizir, penaud
us |
& in ;
|. He |
FE QUE
= rs | QUE
| QUE
: FA
: | . fl |
ë LE 21 l M:
Ê ñ [N| 5 | je |
Q © : É
A | |
Ë : IL À BEA
+ ë ill k |Î i
4 z
a 1 à | S
EX
1: | ï à :
n 2 | a
Re l il il | FAN il s
(æ = | -
: | È [7N = |
en DE 1e | | ii
dE $ ||) (h
Oo « ë |! ï Ê |
e = LR ui : :
ep) à à :
ï ". LI à ne |
| k | 3 DRE ù
_— = |
Was + El _ in] & il :
= S: Ë : À 5
: à | ë JA &o 1
Es ï 8 ; |
SE NL À EN à :
e! Le] il | ' ‘
ê . pl sl qi à |
œ de A n | 5
Ë ll 2 in (Ù * 5 ff
E ë | - ; [] © =] 18
s Mia) fa) LS le
a Fi \ | s |
n 3 \ < 9 | A © &
À NS eu ÿ Ë
S ; LI «4 | i LR
| ju < : || Shi
Le |
tn:2 e) RE L L ia
Îh !
—58)
Très modéré (d
266.
LE SULTAN, embarrassé et se faisant affectueux
Tu ferais bien pourtant d'interroger M4.
modéré
ès
Tr
ausujet delada te;
Je saurai, de la sorte, :
HEOQUT= :
LA PRINCESSE
Je l'interro_ge .
Si jedois prélever quelques nouveaux impôts,
267
‘ Pendant le baiser, Märouf paraît,
entrant par le fond. Voyant sa
f D — PE EC RARE =
UN ME ou. co = + |
la PEAR ED ape = Le Re ES : 5
LT SRE ‘VS LS = Æ— = es <.
JPei, monpèr.. re:
LE SULTAN, l'embrassant sur la téte
femme dévoilée, il fait signe à ses mamalik de rester dehors)
LE SULTAN, à Mérouf
) 4 1
A ss æ 1 F
MÂROUR_ +0: 2
# 4 D Css 7 =
SI TEE RER EP EE PL ] ww NN 73 FIRMES
7 Rens sl
y + L =
I1 estbien pe - t roi dutemps,
FT
ER "TR CIN EU z ; à —— ER
D CLS PEN ONE MS — O0 NN — CSS SSSR RES CR.
LOS ZE |) Ep | PER Ces D CCR O7 Does COR SET RER
Le = ETS
.lais va-til selon ton dé - sir?
268
,
‘enveux fai-reconstruiretrois .au.tres.
j
LE SULTAN
Laréus - site à tes projets.
Mäârouf se retourne vers le Sultan, et celui-ci lui répète)
(11 se dirige vers la sortie de droite, et s'arrête pour faire signe à sa fille de
parler à Märouf.
(IL sort)
269
[noux.
…
LA PRINCESSE, MAROUF
pou.se fleu-ri
e =
SCENE V
mon
[e)
A
MAROUF
Mârouf est assis sur un divan,et la Princesse va s’agenouiller à ses pieds et cacher 8a tête dans ses ge.
“a : LES CS
| 35 Le) LL, 4% ù à Ra, N R €
| + ae |
Ie Ë (C ti |
t || à ZT lU |
“} non 7 ANS —) [RE
ser | e AN Lt [ti \
[Li y & J- {|
É ne |
ES
Au
111] C2 | |
Le A)
TR] & F3 ql
| RL
| is
(o il 2 | dE
l ER
nm
[N © [Ta
| a EL)
[ON © | \an
Ii
[1]
el É
mit,
il e CR
Ch #4 CT
HR < R
mn LD
2] 5 ik
Mn:
F l< 5
À ; ] SL NL
[Y TH ins
ELU
A
EH .
D
©
Le
=
À
du
té
Beau .
Ccrescr
de maSaam - ched.di
à
ne,
gar
dez toujours la So.
271
rall.
dim.
ad lib.
m'arte FO:
ei
tu de narcisse
yê
Corps —
NN
«
|
|
|
ee.
LERLTES | ANT L ARE T
FREILES F ARNO $ SERRES
ad lib.
LE)
doleiss.
Fes
ndosi
perde
… Fisté,
/
écu
dans la s
GA U
M
4
LORS" CE e. ES OR Re. SSSR 7m CES / Si
— —
CR
LL]
LT NE
CR 7 C TRE à. RE ER LR ONE TETE
=
sn ss
=
_ |
ñ !
Fe:
e
272
= Ne
de
Flancs =
LU
A,
LA a"
92)
CR ER
SES
+ LE OI ED See S ©
MOERTSCEULSSEN"
Ton a-vis sur ce po_.e . me?
Moderato (J
Moderato
Ge
FLD
PERS
She
le
Ta
1 2 1 Se
ES CES 7 Dr "
lence à l'oi-seau guetté de la
=
tre]
ss
D | ;
MTS. “SRE eg
PA EE "DER - MR
be
mA I D
3
Fe
3
RE .
RE 7 RS HE ——
Pour … quoi ce cha-grin?
Sen
con-seil._le
RS
G'NRE
ESS
L__«
Al.-lah
LA PRINCESSE, tristement
EE
RENE EN 7]
D D
fle .… che.
{) EE
4
RTE PAST AE tr
274
… tel
ma ca.la. mi
="
.
LA PRINCESSE
}j
fui
en
mon bon-heur
A
MAROUF
Quel dan.
r £
SE EP PR DR ME
L L —
[I
a
Le
CR
—— —_—
BRrT .
28
PRE
ES
Le
a a
NO Al
lbs à
En. 4
el
ë
1 +. Li
n.2"7"!
SURr ° .<s
+
_#]
EX
rs
)
dd -
leil
DE
FR ER Gé ES LEURS
lé
, y
.
=
LL
KL
en_so.…
_
ô
2” à
le,
Par.
HS
te?
-gersur notre te
21%
Poco piu animato
Li
LA PRINCESSE
ce
vi-zir,
sa … cheque le
mon é - pOUX,
Poco piu animato
LEZ
#.
graves soup.cons
de la ca_ra.
su - jet
au
a con.cu de
chien,
————
©
A
Ji cs
x
11)”
“| d
*
pet ||
A
KE
Bbad
a
æ
—
=
MAROUF (indigné)
Par Al-lah sur moi!
276
Plus modéré
(timide et hésitant) +
Ja P, E . … Eh: SLSSSNEN HS SNS SES DR NF CS EP QU EU SN SET
IE VU? SDS DORE EEE RTS TERRA © PR AS PONT 0. RSR ED En
Ton: dre Mais nepeuxtumedire à quelle
Plûs moderé
4 dolce ur —
f) à 3
“ED SSSR: SET |) D SR À À À —— ——
la P > SR 7. NC D OS | ORNE SPRL Rs EN GR OR DT OR TU EEE
À LR TPE np fe
J RER ES SR ne TE
[l
date el.le viendra; 62 2 chéri de Jl'é … pou
+ "ai
Le “EU PEN CNE MT me
la P. Pen RE —— LE r EVER CRRURRRRRE > ERRRENRS DR ROSEERRERES | TOSSEERNET CNE
C1 e 7 ER ——— — ———
Ô u fs nique clarté du mon - de?
tr ann
tr ASS 5 LS SS S
té de 5 #8 #2
275
SERRES :
LP Es
A peu prés,
|
2) 9
1 © 04
MÂAROUF
da _. te?
A quel ke
dont je
me pen.
suis
mier,
: fr <
'— 2)
——
SN __ 0“
ES RSR ON D EN ARS RENE EU
AQU 1 RSR I PES 7 DURE
DT ——S$— 2" Ed
o
EE ———
ES =
sn -4
x
5
NE EUR
re PS
RE LA 1H
SE 55 1
PME næ
ET æ!
EE
=.
Kb she Ÿ 4
A
FFE
a) +
id ul
lnsd O0
152)
Allegro non troppo (d
. MAROUPF, 5e levant, Joyeux
ri
Er
LES,
pour u.ne deman.de si
‘simple?
cons
Pourquoitantde fa
Allegro non troppo
(éclat de rire)
Â
(=:
Mme
ci
©
[=]
ï
1
1
hs]
\, >
sul
I.
Ci L) Las |
CAR
" 1
48 ns
©O
| Le]
HI
(([
à
D
ill
\l
il
M
(éclat de rire)
- meaux
2 fm
ES
f- «
2
En
»
2
.
>
| 73
LA
à .
eh DSi
Le
IE] G
[e)
AR ET DE ET
crescendo pote «à poeo
. dx De
' ail
tiers?...
+
=
As
E\=E)
RUB)
BE
a
A Qua
[4
ad lib.
be.
É
CR.
— |]
L/
à SES
En ns
Us mi |
avec leurs. mu.…le
(dans un éclat de rire)
( | (fT) |
dl A À =
_FÙ d
43 . RE) Cu > AK)
IT Y hud NY
RAS ERP pere à
ñi marchan.
Er
#7”
pas qu'ellearri - ve ja.
ne le
— + = b ———
à D |
OS CE
Ti
Mais je n'ai
car je ne pense
Jan F1
Fe
à ;
| :
ni “ee
HA 2
a
E [N = QUE
= 4 ad <
ET ae
£ jh x o ||I[ "6 IT
Ÿ el uw pl ©
= © = La! à É] | |
je 53 a | à |
= é Ée | Ex.
5 11 é [TT
JL Bi st >
e (LI 3. & | |
L ET « _—
& [EN s fu « È
& ï pa F Q g
= 6 — J
E l l
| k |
A) = 5 NE
: [TT] LEE fbud :
x z ä “
281
©
Ca
>
1
4
Le |
©
©
Le)
vo
©
Li
2
[en
©
A
LI
Le |
©
A
@
E
a,
Lu
[en
. , \ ©
”, a
- | :
UN — —}l
. NT 5
PE À 8
T l 2
1 S
We
q
À
Ÿ | | |
GUN [
©
1]
LI
D''E Le
1") =
fe ë
I
R 4
Li
IN a
TL
Ai %
5 [ ETC
All
à À |] bo
i è
” à
. ñ
1 8
qulk
VSD k L
ù
|| N
ET
re!
un
LA PRINCESSE
pou-_van
tel
é …
ô
B------------
ter . reur!
(IT
Su
| L2 Ill
|
[AN
1
D»
©
7
MÂROUF
re D —
tee
u-
Ô
LÉ —
Per sr
a
=. es
Le <
ns es
7
+ £ di
1 | a
M el)
:
3% a Ill
MAN il
Lin .
Vin 5 .
LS]
Quelle est
Fe
su
—e—+#"
re!
a - ven
k | M :
Q0 | J
” | CN &
EL
|. JT:
[lil F d l o
. 1
| É F E & ml D
| | S KS
| 3 | |
( : | £ &
| MT 2à =
a bd AWil: 3 : ©
2. ° a LS \
| LT [ 1
| E | | |
ITS < Tr à
| ; B. Es
LI
=
| à T
+ d At ©
Il ù = FE Hill
ma LR A 1 | 1
| # h J |
| y
se w |
ERT
_
ca. la . mi
ll
1
RRQ EE DRE ne |
Vi is e = |
pou … À
L | d
nl
is AI LA o CN
rs LZ Q
N° W OL T
4 pe A 4 E#
ik fl ïL dl | ML
RE MO NE UE SE SC
lu LEP LA Be Bnud Ur
À TS ü ” e ü
m'em -
à
Je
mn,
te...
pe
À —— + —#
RE
Ns*
. Schal | Jlahl.
In
BRAS
BEC RE RCE
LT EE
Tout-à -
285
2. va
S
hom
xs ||]
1 .
11
Es
NN
l CT
© (N
[ks- xs
|
C’est A
pa-gron d'en -
com
li,
-sempre eresc.
te à ses
comme un
. mis
a
>
me pré - sen
ll
+ poco Cresc.i
CAN
sempre dim.
a
1)
DE
LS
& [I]
k ‘
De |
Q
(= mn
= S ”
nr |
% QI Fs
ME
VAE MMS ES TS
SRE DUREE
DRE DRM
tm
LEA)
D ns Vers PUS
PE
RE EEE
<S .T !
DS NES © DOS CU
"ASE, m5 EE
veux me re.-jou…
pê
je
DR. OR: AS SSSR CONS
CRE 7 ARS 2 MR JDE D
CRE SES
BREST
oi j
CS LH
7. 2
Sa
CA
deau
a
©
80
Li
dim.
BÉRCIRERRUSES
CES
LME Se PR
et
e-tran
-
sempre
IE CEE SES
pnCo
{l
dmarchand
gran
DoCO
Z*6
287
ca ra ya
ma
de
te
rl
CS
[a
. 1
1 L ” Al
ee S |
|
| II |
| [1 | Il |
[|
A
% LL
Ï |
LT |
RE |
|
Ch
mais.
crain
RS
ue —
FES
ps 2 3]
ja
sois sans
N
RSR TT
LS) PE]
DE
Qui mar. ri. ve. ra
LA PRINCESSE éclatant de rire
288
riant si fort qu’elle en tombe sur le divan
LA PRINCESSE
|
est
le tré.sor
Et
A
a
n
5
a
+
Æ
Lo)
E
Fa
[æ)
©
el
Le)
À
eg
“il |]
L'ER]
(°: Il |
M dé
[1 EE
Il
(os HI [||]
À HS
, a eu
tn
, à
>= |
2&y
Ils rient tous les deux comme des fous
Mârouf cesse le premier et prend un air trlst»
dim .
A
MAROUF
ou. 61
Ya
P espress.
4
N
Al
LA PRINCESSE riant encore
ran.… te ‘jours
dant qua.
LA =. 5
Pan 2
RSS EEE
Pour
cet
c Pen
—
RE Re
Rs Sr)
ee
=.
EI
EN
Le]
corps,
que
ss
À à QE
gr) ) il
Se a S 3
bod Là TM
SN .!
p=|
sempre dim.
Ppmolto espress.
ee D
SES
d’un
g)
ES - ES
Se
rai ré. vé
CI
291
ton
COR RRONET JR S D DORE QU LAC
292
re sau.ra tout.
quandton pe
ètre em.pa
je vais €
et
LA PRINCESSE, qui ne rit plus depuis un moment
monmaître ?
ô
Qui le lui di
sempre P
M” Ses 7.
L =
CN 72
+ -
L Al EEE
HE —- =
FE) =
5e +
sans doute.
toi,
- 8€,
._ tres
poco rall.
ü
/
\
la P..
la P.
Quasi adagio
LA PRINCESSE, allant le rejoindre lentement
pdolce
=
il n'est pas
ea] 7 : J1'CO) RE JS ERRRN PRE DCS TERRE Les SRE (ES
UE = = COS 7 * L'ERCE L SS BE y an 1
OT pers) 7 n- D 2 >
_ ches …. 8e que je te pré.fe é re. Devrait-il me tu.
Mârouf au comble du rayissement et de l'émotion tomb
dans les bras de la princesse et l'embrasse nr be: Vs
s be: b
29%.
ra)ll +
PEN ARE AE Te
Tempo 1° (Allegro)
LA PRINCESSE se dégageant, prise de terreur,et poussant Märouf vers le fond du théâtre
je trem. ble pour ta
poux,
KT
À ..
NY
"à
Le
nl
Prends]la
ra
lah s'oc. cu. pe
OS. CNT
295
mi,
. ton en.ne
Le 22 V2
tes a veux.
pu surprendre
( Elle est devant une arcade du fond, et ayant soule .6 le
rideau, elle regarde au dehors ayec inquiétude })
TRE LIRE FAR RSR RER ,
”
A
MÂROUF tristement
297
tranquille
Crains -
LA PRINCESSE quittan: son poste d'observation
piu p calme
Je necrains que ta
per ; te.
‘©
la pauvre
tu
se fâisant le plus suppliant qu'il peut
bien?... :
Eh
sans presser
298
mollo cresc.
po co sf
Ma. schal =#lan
D
TT
PAS" +
(T1 court au font et appelle a tue-tête
Lo AID A D JET [TA
CEA FER PES Sa: - = HE LE
TE L gp
WA; PSS ARTS CP 3
Eee DO D ro He
ZE =
[ESS à LE S °
M.
#- |
Foyer - IT dTIIT) 1 ere
ds EE — ce 2: 5 2
s , = a
A ES ———— Re 1w
J | |
CLÉ ES PR 1 RS PO SRE SSSR ee = 11
LEE — EEE EE
NE HU EEE RES : CESR) EM" Al
301
che
sc
deux
be k
D 1 - +
#
ñ
Lé
É ñ ‘
EE 2 RSS RE ESS SAS DR € RL A
PERTE =
RER Enr Re
|
ee nes me
|]
D ‘
EE
er
*
EE
te.
LE
e
Deux:
(le mamelouk sort)
D à" À)
RL ES)
À $ à
1] sn ÿ
Se NL LL
UY [NTP hd
* TN ne
E ,
MAROUF, sur la pointe des pieds, va vers là porte :
par où est sortie la lrincesse.
Pr een
)
sans
Le
V4
Sois
crainte
deau.
te du ri
- gar - der par la fen -
re
point
202
«11 fait doucement glisser Le rideau sur sa tringle, et le spectacle qui lui apparaît lui fait
ouvrir de grands yeux stupefaits)
Le)
(ee)
+
SE
re
ss
des
—
#
À
RENE DS
We dr ares +
WE MMS
DT AN FER
PS ES SC
fer =cpesn |
ER
1
FES,
= 1
D =
re —
EN Li
OT AN RS
CSS PRES
=]
Li em
Le RCE
- ee
(il recule vers le milieu en éclatant de rire)
LISTEN PERS CT CORRE RSR l'OS GRR |
LT Hi à ni
le pe Le
Mid SA [NY
= cn “4
Re
304
Regardant toujours ce qui se passe derrière la porte:et levant les bras au ciel.
bon.net?,
e
t
E
(11 tombe assis par terre)
LA
tel
' Un : pe
É rail
a I fl ml _ = le
1] fil “il. S (1 a : |
Il Ill A a £
Ë A Al Bi! |
& « Ill NS Ul d ll LC | |
1: | sil : Hi
s qu) ° # é | JA ss
A [4S £ IL à
“UE D LIRE:
ñ Ile | ÿ RE
AM "S la cul D
mi | DL l'alki |
Qi k Il À |
| 4! { a Lil!
NIUTE | M | |
nl al Ce
ul à Ein Al
HN | il * Fi
“ain s al] . FE
nl | | g
ei ml Q | TES |
| ; | 5
LA | A À @ E hi |! \t 3 ] "A }
a ir) * 4]
se Mo "© bl su a de Se
lbs linsd UT MY it NT NY ni EÙ
= & # x“
306
LA PRINCESSE (éclats de rire)
(e-
ns
3
LI
dans la coulisse
LU
Ha! Ha! Ha! Ha! Har
Ha!
(S =
E.
NT
mes
des fem -
ESS
ETES
LE eee]
Ha! Ha!
A me eee
A e UNe e nr
‘clats de rire) #E
2 3 ;
RSS à ER PE EE LEP) RE PE
ERREUR EEE A ee)
fm
æ
+
(éc]
EE JS
: Dee)
D —
= x
Ha! Ha!
Ha! Ha! Ha!
Ha! Ha! Ha!
Ha!
Ha!
807
te.
fui
compagnon de
n’a.vais point pré-vu ce
Je
3
qui s’est”
arouî
«
Ils s’embrassent en riant.
HR.
f et ceux de la Princesse deviennent de plüs en plus forts et
jeune garçon,entre e tombe dans les bras de M
1.
I
: JL
nu 1 ++ dd. +
2 I
= I
È I
4 I
2 !
1
|
i
I
. h
e | 1 :
© !
CA Û ë
@ = ee]
[=] À @
ET.
"4 2 ;
© [el
CR :
bo pe
e + 5
Er
T o A
mm ©
#
€ © ‘©
s k à
PE 9
fa es
« 2 i
: © x F
ee] s a L
© “+ aus
: EE pa
NT )
TT né
308
les
Soudain, Mârouf ayant entendu un pas derrière
t
éren
Paraît le mamelouk, qui se plante contre une colonne.
7
se dégage et prend un air indiff
1
colonnes
da
Moderato
MAROUF d'un ton degage, à là Princesse
wil . le-ne.-
ve.nu de la.
mn,
PR |
S
CSS CORRE
ari
SE Æ
Le——S
Ai
CES SP" REV"
D
4
A IE
LUE
° 309
LS ,
/ Eee | mn hum a ses |
A — = —
* KO — Se BAIE PES SAME ES" z SES,
Ita |. + allons . nous:;r#-jou
f): Bac. ET = nn. Y EN EE
nan’ +: sm = LS: esse : -Y PEIES
An. PO PR ee ——" € = cr =
CA | eg ue
re FILE ee, Q nes = 2 2e 2h | SRE TER D | 1 4 . de |
) Es - Fe
s SNS UT j
| : Î
b se [es = e!
re KV == î Hide: K. b
Di “ Re EL = = PERRET IAE PRET ITS UNS RES RE ERNEST
rs. | = = ê =
!
D 2 rm =
M CS el !
CROIS un Ds
Ep 7 AU y y Re
- ir d'un ga-lop dansla plai . ne.
mamélouk impassiblé dans son attitude militaire mais dont les yeux se désorbitent fixes sur la
: Princesse.
SCENE VI
LES MAMALIK
Arrivés a la porte, Märouf et la Princesse se sauyent tout a coup en éclätant de
Tempo 1° Allegro
Le maæmelouk pousse un “Oh!” d'admiration, et laisse tomber sa lance. Puis il court
« . È .
derriere les colonnes,et fait des signes aux sutres mamalik qui accourent. Et ceux-ci.
ayant vu la Princesse de l’autre côté du mur, laissent également tomber leurs lances-et
regardent a l'extérieur en levant les bras au ciel.
3 XX
Er EE fe $ ee EE
f 3 S 3 3 k
A “y .
/ "æ: Es] ESS ne ER EC sr CPE CLS MEET
tæ EE] | D RENE ER D = ms Et
SE GE Ps SE PU RSS EC
es SEE
DT MR mes ee =
RE Cée LE
DEN CR EE CET SERRE ER ——
3 ei 7" QE”
311
PL dd,
l’a . do .les_cent!
comme un fill
—
tail
sa
Al. lan!
Ya
MAMELOUK
we
[__
SC,
RS T7. 4
=
MAMELOUK
=—
{‘" MA MELOUK
#
212
313
4!
‘1
(ss
lah!
(On entend passer le galop de deux chevaux)
paie
3
P
“0 à
IN sdb
De Len 4
ii
+ | 60 | L
#$
4 4 ee
= z F
=. LS CS LES
RE By
DURS SR EN FES ET sl AVT PU'14&uE D'A7 DS
—p—# #5) 2h » 17+ 1. DUR PEER
L] Î ! Î ms :
G20
C) ©
(C FIN G\
NE DE L'ACTE IV >
Se <
TE OR
LCRN ;
©) (Q
C'
315
ACTE
La scène représente une plaine. Au ?° plan, un champ laboure, clos par une haie
ce cactus et de figuiers de Barbarie. À gauche, une misérable huttedevant laquelle
on a placé une petite table. Æ droite des orangers portant leurs fruits.
A l'horizon, très loin.une pyramide, des sphinx de fantaisie,
SCENE I
LE FELLAH, seul
- Au lever du Rideau.un fellah.
NE e ES — à Le
à | e É, =
e e- allé: de 3 LE Lolo, :
FER RSROS 7
À J | | Pam
si Es
LU LL LEE LE ER LL DL EE M nee — SR eee
A — - = — ES — — Æ 2 |
316
(vieux manteau, longue barbe,air misérafiféllaboure Je champ en compagnie d'un äne etique.
> PE
3 3
'
ES SAT CNE EN RSS
RE CREER
\ ÉXh = _æ — es I
RE nn
RE Lu ;
li chante une chanson qu'il interrompt pour encourager son âne.
moito it.
LE FELLAH PE re S: Allegro (d <132
——
li - yahl
Atlczrod #8
" +
EE
| Fe |
en sd SR mn ne = Re
© —— À LEE
ET OR Es = û
Fes = PR
L
en re 4, D
= En PE ] PR poco rit.
, —
© a
NA CE = RC
ES P, PR PRE TT
2 E = 7 Se RE DE PE
D = =É PU PR RE PRE
D a F & D —— ae ù >
Lent
LE FELLAH nr !
=
z
1 arte
pour ton corps...” (flarrha!)
(Harrha!)
le F. |-4
Allégro d= 104
“pour ton corps,
Æ
[1
(VU
' F
y E
‘er.
NE
Le EI Li +]
ER ER UE À
D —
ad lib.
_ Y
rep Gen nn ee use à es — |] Ee & ET =
16 F, PE | BU ON NE
ZE 11:
<..délec.ta ble.
o œ !
Ce à =. Jomeschues 2 | ESS DNS Sr D un tr |} Ai
CUS ESS SSSR VS | EE "HET 5 VDS PES |A
| EL Fe Te ESS # |
Le ESRRE PPS PRESS Rat es SE
318
Lent
] —— æ DENT er . FN
mue” DE LR | RE LORS 0 RSR DR Re) Q
SF UN SE El D ADR LES CON PROS. (OU MEME SSSR CORRET CR RSR GE Sn 1
le F [F2 77 AE Sr RE RE RME | 78 RER | ES RRSSRUES GONE ORNE) RSR D SRE 1 ME RU 2e D 1
ee CREED GX CNRS “0 CEA CREER. GAQ Eng ee Le EFIFS
LH t = æ ." e ‘.
Ton sein gauche est _ sibeau, dé. li _ cat et far . cique
Lent -
fa
14 s à , cs D He | É saurai « ;
Jjemétonne,A . li-yab, qu'Al . lahaitréus . si.” gré de ceconp "SPA
vil d'épaule }
À egro
SES Er:
»
le F À ; ES SSSR
D SR ÉRRRR L
le F.
Là
ER
ne 1 © LL el
= == PR PUS PURES CI ESS À PR TRES PEZE 0 li Men me
{ » 2 0 dl ——— PLSrs.i 11 oc PT.
f ë a TTL At ral MAP L I | | | : Le
319
a son âne p
EE |) 2 — 4 —
CRT USE TI SEE LE “EP US
% = ER | d ES 2 TR T2 1 5 MRCES.ST
_- Æ 1 SCEER 5 CODE SO DARBE 60 Re 1j
Portes (Havrha!) > . ÿ
Je se-rai dis-cret survous,°" montagries
leF a ) — = 3
TT 1 É DER = | "=
É
(Chaude est la journée entre les jouenées )
L'âne s'arrête, le Fellah Je laisse au milieu du champ
| ; a l’âne et va cueillir une orange a droite,en disant PS FA
RC se 2 2 |
LOT OISE —— =
] | Parte RAR LE -
(Qu'Allsh bénisse ta. sueur.
bète de bonne volonté.)
11 s'assied sur une pierre et se remet à chan:er en
Ê à faisant ur trou dans l'orange.et en ia pressant entre
I] cueille l'orange. ses mains pour en extraire le jus.
le F
320
Altegro
. ÈS en en = mimi
DRE = à 2 Den en mm em mn:
“Mais lorsque tutassieës surle sol leplusdur. le khali _
Allegro
RE —_ — HS BE a = 53
# 2 EE À, PR
LL S — 5 2e = !
RE ———— À
NOR UNE en es ESS LE PR
a son âne,qui veut 11 suce l'orange
se mettre en marche puis,la jetant: 7%
F] LC]
D CT NN NS CSD RER END ED CD RTE. - Dee =
PS PAST RES 2 N'ES
je F. C] De Ds SR —— T5 —— 20 — 7 —]
BON RSS OUR <UR S DNS D ANR D OR SUR 7 DR DS ER à C0 0) ES ET FERRER 0 DEN AU NP SR DRE 7
3
UE
,
3 u . . . . fe
. fatsur sontrône moelleux.” 5. Al ae oo à assis quetoi, Ali.
AIO IA,N0:) -
fx FN
, Poco piu allegro I se lève, va à sa hu teen disant à son ane
Fe a] —_ ]_—_ _
8F. (sn
VASE ©
- yabh!” Parle: (Ami.ie vais
= 3 1 +
LT Che m uit €! ei
4 CPL A _ té Ce PTT [ Cm)
[x ml 1 LI LOI PRE, JF. | le BE ES EN ESS percer "AUS ESEES ER SE 1
ADI nl, | ULWeLIIT TT 1, M ee. 1] ares — — | et LL
«x Sp. To OR D 40 7 PSE um} 7" 2.4 LISE Æ
SE, cg IA LT | | SR — NS CNE
NS is 1
I
11 prend un seau. devant Sa maison et il
traverse le théatre de gauche à droite er chantant
821
Ô montagnes
+
ARDESE
| Coha TT Kobu
All l ©
J D
Il | :
+
l à
Con!
jo
Lr]
2 1
= |
5!
*
" . La
ÿ [e]
>
C:]
‘ . |
R Le]
[|
o
+
[=
©
a $ [I
€ f ©
= 11 disparaïit
PE ne us
a Tempo
EE —
a Tempo
4
= O
| x À pa
i 3
Es (2
0 Le OP
"O7" Eire Ill F.
‘© | x t |
| ; il kg | æ
| ao ë le| a | LI
AUNIRE [fe “IT
& . / :
UE [ell 2
D aile > NES 2
Ë = il 2 & (U
E1 a ul [= ce
d si |, !
5 UN 5 aie
fttheES
II :: M
pe \ un
: | E 8 5 L
(il ce
Le ne
los TY
. Fi
4 L
ere
«
e en garçon,entre la premi
!
isé
à
e.
u
+
3
LA PRINCESSE
—
3
La Princesse dég
‘
SCENE II
LA PRINCESSE, MAROUF, puis LE FELLAMH
he en courant et riant.
à gauc
=
322
Îl
TL
_. =:
LA
Aarcuf entre à sa poursuiteet la rattrape au milieu de lascène pour l'embrasser :
LD.
à, ]
Craie. 2 |
\ CZ LA A set Sr D
323
mel
cent
LA PRINCESSE 8e dégageant et montrant l’âne
N —
an
=
de!
onnousregar …
O ma pudeur!
CEE 65 LR Mi) ET
FT LS
À tombant assis sur une pierre pour rire à son aise
A
MAROU
Le fellah entre, chantant atu:têè1e. Il apercoit les deux
x isiteurs, «arrête ébaubi,oublie ses réucoulades, qui :
mvuarent dans Sa bouche,et laisse tomber son 8eau par Andante
t 2
Le salam sur toi, 6 chixni
Î D ?
AUTELLE
( 1
L_# «] 47.
LT C2 VERS GS
LENS en VE [|
LE er | F3
|
| En" £ à
|
|
'
dE AT >
DE , »
don
4
'
FA T2
BJ [L=
=. =
Estce là ten 10 L
‘sm + INSÉRER TN De — CONS ON CN NI SE CSSS On JS SSSR ZN 4
le F w « LOS IIIT IN CNISS EL s ie |) 11") CAES
- [ES 4 ASCEVETE AN I If I DECSNSNOSNSES ENS LE NUS EN COUR SF SES EST
Etsurtoilesaiam,la miséri . corde d'Allah, ses bénédicti . ons.
By s 8 = = Les nan SRE LENS SAME USE ES. 2
ww. — . ER ENS TRNERS / US PRES Dune D Ur 4 oi LES EN EE
= — o—= AA VE ES ST OS ES 7 (EP Eu
e
- Ep © T .
|
, _
LE CR
+ —
KT =
22187
PPS,
f ÿ
—# ES ss Sr
D CE NE D un ES ——0 27 ET
f me |
leF. nv : FU —— —<— æ PES LS 086 C8 PER FR
EM: LE ——— —- ;
Nonmonmaître, c'estle tien, car tu me ferasla grace dedescendre sous nion
Les] Es — 2 ———— —————
TT | EE en
< | à 2 G SES
L +:
326
LA PRINCESSE
ROSE LT ue
RIRE OR A EU RE OR RENE à. TAN LA TS Sp e E— LI 4 —— + #5
ae TE
PE
‘lé _ las tu n'as riencheztoi | men ss nt .S més .
LE FELLAH à la Princesse
! !
LL _# | SES > PONS nn
[T2
CESSE NI » SE a 2 SSs
Br LES DAS 21E D NE EN = RE RÉ ——— 5 — à —-E—
LEA LL ei LES AT — 2 — 5 — a q. ad RER 0 D RENNES MU 0 @n
A RS DR RS D OR UF Em CT Ter EE —
Ô vyisa._gede lait Ô jeune homme à la si bel. le‘tour Nu - re ieste con,
Sn
e * Qi
|
ne
19
|
||
i]
PR eg
rm /
i
[]
:
El fe un | D SC D OO CR On 1 |": OMIS ER 7 Dem DE Un tous Æ
NE R 00 BRNSRSS D DE MEN EU LUE s = GS GR LE RE 2 JUS GRR ERRRRS D DS
Ë
MAROUF
à RE SET RE NS 0 GS SES
TS TS
| EAN EU ee 7
: Frère d'infor .
É I1 veut aller vers sa hutte
1 É L [SN N
le F- fs — EE
327
ù
[& Es Lé EE CESR
E ER IS 4 EREEPRT APN
TE D 7) gb. IL LA 2 EL I
£ —
#tune, épargneton bien; jevais monter à che - val.
mais Mârouf lui barrels passage. LA
« = — LR 09 #0 1
De a | + ee es;
#7]
Non! par le prophè.te bé_
n4 N LE Parme à nt 2 . S
mn Ua Où NN 5 Me |
ER ONE Cr CE SRNSSEEET AN ON DONNEES M7 OMS (Ai MmRR 7 27 SI CSSS 1 SEE
en es. |. JU ? REF PUR
END er à RTS Se UT CSSS CAS SSSR MSN ET FF bb this
y PR HE. |
ue | =. : P
Wd=
|
ag
ES A
Sur lui la prière et la paix.
{
CT RE RE ET ER ER IRE CNRS SRE) CORRE SR RSR RSS CET RE ER EEE Er PES
|
et — es 2 + 2 55 RE he me LE MR
Sur luilaprière et-la paix.
cn)
Es = = DT UE PET PT ER CE COR CCR M5 5
leF CITE" ES SERRES CERN CRT “ORNE CUNRENE COUR SRB PES ŒULS TE SP VESS IE GERS DR ORNE" "1°. JE ?
NS NN D RS 1 LUN VOUS. D CESR. 99 EE) LEZ LE La - |
28 EL | Lo n——— CRIER LL ——— PRE (7 CN ARS “=
= > .
-ni! Sur luila prière et la paix. Jesuistonservi . teur, etnul ne sait
D _# Re || D
eur BE D
= SS:
leF FC KR ESC 7 LCA LPhe iæT, 1j, IN I'OW WAP, |L14 LE CESSE
5 2 RTS ONE EURE OR RU” SU SE Puis AT VERRE BP NI NE MUR E ES D a À
\ L/ PR S ” — —- = 2 1 DRE DS SLR RSS
À |) |
| LEZ = = 5 @
DR :
328
SCENE III
A
LES MEMES, moins LE FELLAH
A.
MAROUF_
Et rs
Cr
ÉË Bud
| à
À |
e
Er?
es, : €
RE
Rs
Us |
| D 2
Cet Il ë |
A
7 d ai Se 1
le ie LH
DT) pc: ea À
; a ||
ë0 ÊL
.e L e A
«© - ue w 4
“RD [M KI
‘3
ÿ S|
2 all]
m
A -
5 JL le
à [NO AT
3 |
: |
Lo)
s JL
fl .
Le : |
a A U
| Mi
Ur { LE
lbs \| OT
= 0.
à ble l
Quelle hutte mi,
..
L
à droite
ET
pe du
SCO D RE ROM MES Te
LL LR
D mes = —
Caire é.tait presque aussi
Cho’
é
Mon
: $
À di} £
kg “had
he
pS
/
10 P, fre 2 —
ITS Si. See 9 Enaeee D
sel Je)
€ cusillle des fleurs dans la haie à gauche,en riant; et 11 lui sourit aussi,
4 MAROUF '
w. DS en mr un: en
HN
SE RES SCORE SRE ENNERNE PSS RGP | ER
Chassons les mau.
- US æ
; ; à HS ESS
é és . ° < L
CT ET EUR ESS PRIRENT ON LUN An ORNE SRE ERGUES) LISE SENTIR SRE TER
| a
L | HS ES RS En = 2 RS
Li . n x 4 ei |
à Es A Le D
4 L Fà =
: L He Fi | + \ À PAS kr
7 nt en en RSR NON RSR te TE.
ER — _ NY it @ : =
:
-vai-ses pensées!
cn
paul
:.
l
üd
I1 va à l'âne, et dit à la Princesse,en imitant le Fellah:
FH
A
x UPS
|
= à eus
IRC DST NL ET
Len th St
Le 28
A
[_# EEE PURE
__Æ TPS REP RSREREN CERN CIDRST DEN DU DS ONE SU Ai "T CIRE D 7 CC SSSR DR TE
D, RARE M se ES
7. SU - SONNERIE mr en ee
BR A7 PS ARE TR. ET VS Se
1
1
"3
@
21
lait! Ô jeune homme à la si bel . letour - nu
|
|
4 m * eR: “nie ’ sd | on + ;
CM ES RE
D OR US RS © Burir RES CR ER
LPSC Tu it SSSR
BE 1 AUS ER R
|
ï
Il
h
Veux-tu que je te conteunehis.
-11 commence à labourer
i a
d CIRE ES |
. G 3 > D > » RSR
M SR
SE PRPREur P EE rI Ur
tucueilles desfleurs ainsi qu'une femme.
CACSE:
s# * . £ D
: 7
jp À DS Ch
Elle est venue s'asseoir sur le banc qui est devant la hutte, et songe, sor bouquet sur les genoux,
ad libitum :
d : 5. ©
la P D RP COS un 7 D | en Jun n Em ACER CRM. DEC TN ER ON SN EURE 25) SU S CN Qi
= 2 TEPRON ES ER LR LL ET Eh, LL LT LS SR
EE | EE Ré AS D A A ES DÉS MEAMABAaELTS
s : 4 RSR te ee : Y D 4 Û &
L'histoi … æ “ = n - redelaprincesse e_pou._se du save.
33?
. renttous deux du Me
Ils s'en. fui à
LA PRINCESSE
|
me | #2 —+#—
lio dos
La
pe
©!
Fe
es
Ë
| ;
2
| | Q
RE
| 2:
UE
al
dif
RP 2e ER PO Be DA CRT PORSREE)
Be. MR APRES © CRE DEN SEP ©. DOI
i!
=
C4
Hbsd
-R4
(]
4
palais pa.ter : nel,
et
dans la paix
n
MAROUF
( ) Ce chant est imité d’une mélodie musulmane.
(an)
©
Le)
La prin,cessecueil.
L’é.poux la.bou … rait le champ,
=
à son ane qu
i,malgre ses effortsne
peut pas faire avancer da charrue.
|
Pari
(Harrha!)
nl
a 2
ie \&
kadu j
tait des vers
chan
_ laitdesfleurs, ou
|
(Harrba!)
! a
| 1
: # -
LEITTSSSSSSSS
Be — g
LES
a _—-
ou Jui
CTI
pas
y PF
DES
CPR PES
|
son re … =
| Hi
i 1
:
Ê
Al
FL
ne |
il il
TT in: 4 Mind s1 É
Gi] ;
—
Era
Es
Lee —
pré_‘pa .rait
etenlève la terre qui est autour
)
Maärouf se penche sur le soc-de la charrue
33%
| Ji |
ea ar
]
| : |
!
+ @ l
É . AS
3 TE
N < 2 (HA #
STATS
El R
CN © Ca k
QUE 078 LE
Sul
æ
L
=
ne
legro
De
US D. ne ee ae ce
#3
aus
ER
Ya Allan!
ble.
Piuü allegro
en |
_ A EE
SR TES
SRE LG
un an . neau!
Piu a
PAR
C2
LITLE
Se Po
£
ÉPE
[Ab]
=)
4
Fu
Lu)
ls.
o
Le!
pd
d
Le)
©
(®]
(o]
d
+
n
4
4
©
pe]
74
Le]
pe]
\&
fl! af pi] |
(Il ;
#4 | 1
us E LAS
1 ñ
ni c L. DL 18ù 5
N £ l À Hl =
I ie | Il &
Lai ÿ Li / Len !
Et 5 pe
rs | Lo)
T I ul ft | :
k t
LE NE NE ;
Hhué Bnsd Bbud d
p« CH
e a
2 (M
» F1
NM ON 6: 4
: | | : dll
|; H À À : L ;
HN © 41 î
(os = |
on | Le 4
| | l
LL & { ul LE
a
TU 5 HE | TV JA î :
a © ane d) MMS À
at) : 5 NE
: 3 N''E
LE EE |
f - ë qu Lei
A || HS
É JT? - À
: nie Ë j|
< « NN €
< al VE | Ê
AT S
+ A = :
I un à
. c] — : ï
a] HI < a
Hi TA : |
LE à à
L NE É
A AIT 8 |
I JAI À |
le]
| Il ut sl 1 js
Un EN Té a)
IL " “ LI US." STEP LA
ë TL “ Ï UT A fi | dE
fl e ks ANT à l |:
| NUE Il
mi ST * HIS: M si
ji | a: il) A 2!
Qi su) TA 0
IL Nil $)
È TH TT (
A ne be
la P.
ia P,
ETS
356
.
LA PRINGESSE dans un cri de Joie Elle veut s'aventurer dans le trou béant; mais Mârouf
f) - nes
En" en. JE J'EN El ER RAS D RER EE
SES. FM hidnesr en Sr D
A+ PR PRE RE LE RME RS TR D
El. … len’estpas 1 - nie! p L
C2 . / EL 4 : - se . < x. 2 J ns. ue. LI
= ? L 4 » 3 . S
f # is = k ‘ # ë
* ARCS SRE PERREN VEN EDS DU RC CRE (PRES DER QUE BR D En En Be de D
DOS: ML "7" RARE ES OS PSE CR TS VOSSSRRN PSN 2 GRR ES — #
DORE EUR DEEE Ze
a los. 1 OR ss —+—--
SE SUR 28 SRE 00
Es RSR RES ARE DEL ZT
ET
toujours tres vi =
p (jou L f .
C__y SRE RSR ES RE NL CIN CCSN
4 ER PR CRE EE ER ER ES TT SNS ES MES EE 2
|| FX SRE RREREAE LOUER, 0 0 DA VS CO) Pa MERE GET D 2.
BRON SR ER ET “22 = P. RE
LL
épouvanté la retient par son habit.
MAROUF
Quefaistu?
= toujours très if
= ES = a
Re _— S
D C9 SR Ru mr)
OR CNRS ©7 DRM SR ET
RS CSL AU DSUELÉ ER) JM) nn
BOSS t'U EVE DOVE MP "T 1. me RS
ce OS CREER OURS OR OS (ETS CS MT LT 7 a SR
on nmnnt TT CES ES RE ON Een | 0
Es. _T
= S
—ÿ = EL ee NS ©
D. COS CR 9 —À 8 NS CR D
N /. VON DRSREET PPS D'OR D QU 7 ÆS Mmes DW-TT IC LT EE ES 0
NI — DER RE Re
_.lah nous à réser.ve danscegsouterrain
toujours très vif
Res-tel j'ai peur pourtesjours
ue ETYTYTYTYTVTTTIPSsS_————
mn, = RE
ee. 5
ES +, TDR
D
re tt — - PXSR PT
_ #S- Le 2
L:
c Uk A UT AE LE
Se = à D æ ë
I x JA «æ n
d HI1 2 F
W |]: :
8 Da - ©
IR I) E
à + y 14 d 5
ni és è
Je a \®@
Il | :
ak *e : L ! à
JL és ni SAN 4 !
A Q nil a s
ë c IA) t
T. CN © al m 2
ae Il À jy L es
\©
= © |
CN 6
” l . œ
do | | J es
a
| JR S' 5 55 T4
a ï Il |
LE ni ni , AB
) Fe Q } 00
Ni ai fl
pol - tron!
RES
»
descendstoi.- me
‘4
€
TT 1 NL _5à
Fr # P« £
Li 9 d A
nm
4
©
4
1
<
—
Re
TS <<
-toil |
À ——— ————
À
FR 7 CE
Les es
O
à —| RTS CERTES
LELETRSNET CSS SRE
pur CT SRE PE CE
souterrains
TULS L] nn Re MU PTS ne eee,
|
45 ju nm
| | :
NF ON)
TN ne
338
Meno mosso
'aP.
MARQOUF se decidant à contre cœur à engager une jambe dans le trou
ad lib Pa Parle
3 EI
LZ _ _eé IA © Rae À CELA DRE | CARE ME AU =
RESTE... à 7 Re "#2 #5
sortant précipitamment la jambe dutrou
Parle
ES SN RER NER ETE 7 OS VOUS RER ENn SE RDS DR SES
CORRE CR “ON NN O7 VON SRE 246. 0 SSSR NN NNNNNNNNENERONRRES CU - SP DENNENNSRENEENESRERE
‘
Con SNS RUES 00 - OUR 408 ON RRNRER NE 0 RDS RER ERNEST EL (OC ARR SRE CS €
———— — CR
Aschadouinna Moham. mad... Lefellah!
On entend dans la hutte la VOIX DU FELLAH chantant D ge.
: S
{ =
\
x
Sp
LA PRINCESSE
sotto voce
, ca eme
-£ É— 2e 2 p-
5 ii
LE eee 88" "7
« EL AS 57 BND ES DU LC D D | | 0 US — on 0 LOS D SR SRREE
ES Pr 22 AS RL EP En DES D Eu D 5 PE
Refermeletrou... sic'etaitun trésor.
æ
= EE 1 En CE
SR ere RCE LE #8 RL ne
M. he ————— "#2 ———— + tt} -bp— 28 22
mu? RS me CE Enr
11 faudrait partager. la malice dese -
D — ar GES sr pe "1
Be —S =. —S =
F_— te S RER res SC
\ D RE mé : — a TJ —
Os ee DS En s
|
ls SR EE nm —S 72 m2 ee
Be,
É
SCENE IV
LES MEÈMES,LE FELLAH
Entre le feliah. Il apporte une marmite et acheve la preparation du repas. le dos tourné au public
et chantonnant sa chanson, Éæ&-princesse s'est placée devant le trou pour lui ën cacher la vue.
LA PRINCESSE bas ä Mârouf
PRO TSR ONORESPRSRRRS CT ESS" OS . ZE DE DS | Te
CO 2 ED TEST ES UP DESSERT PSS: M CU "GUN IN LS ZCS-: Pa. OS, 112
mr mms M Le EL 1.7 D 4
SE FE CN NE | LE 2
Ehbien?remetsladalle,
“Ss
55 =
- pouses]
chantonnant, presque à bouche fermée
‘
ee LECTURES RE RE 7
leF — 5 CRT RSS SMS | é à © CR. NN ©: jf
| Sur le 801 le plus dur … le kha.li .
|
©" © rt TZ RES | 0 RENT — — SF;
DU CORRE D ON CRE RS NN ESS "cs CONS _ — et CS |. AE _ — SR IL >
IL ce SSSR Gi on a DESERT NET. AT CMS SNS © SR #2) SSSR ©
F
|
|
LL fs 1 ET CRETE CEE CNE 7 DER SEMESTRE : 572 9 DONC : 7:
JR CIN JL SONNENEE à- = = w = L?
-< K: ESC NSERRUESRS
Moderato
MAROUF qui fait des efforts surhumains sans parvenir à ébranler la pierre,
; bas à la Princesse SR —
= » 0 — mu ns — À pe
4.4 ÎT GRO ENN O7 SON - RSR NE! UNE UNDREZ DS - DR
E/. = LA CPI DEN CS CUS OST CSST ENS 2 OS COS C2 NN (CSS LS | BR
LU = & EE ————————" î 5 5 — 5 —
je ne puis Elle est de.ve.nue plus
a CLRR ATERSNSNNERSEEC SRE TONNERRE :
ler L_4 > LS —| FES Ds 2 —————— ———— ———— F
:
-fat sur son trô.ne moel . . leux... |
Moderato (94-686)
il
L
qu
| | |
[2
LT ER SE RS RSS ; LS - (OS SR SSSR Er --
Ci =
E D €
=
A
lour . de que tous les pé.chésdes hom… _ - mes.
= 44
Los RE" "ES GS 2 2 2 ‘2° Le
SU, ms LV PTRA ALES L'EU EN ob si
Le “ à 2 4 4
EESTI SÉRAERRSRUNES — a
CICFSRRER SE A ER CSS : LS
LS CRE IS LS ES EE ——————
Le Ses ET € Lie Re M SU RS
EN, Pl SO SD, |
D Lu — h1Œ
LA PRINCESSE au fellah, aimable
Quelleo . deur, ô mon maître :
3 rs (sans 8e retourner)
: a cr =
tt RE RS CR" ET SSSR
L_ 4 be le lo RS — HR PRES RES
RECU ORNE 0. ARR MORE D EE CORNE USERS EEE — GANT RSR EN DRE RSS EF Se SUR SRE
|
- > BR. Pres
7 — _é E ENS. ARS ISERE 1 DURS (CREER (9 CSS DT
5 î—————— — LÉ SR / RES) En LUCE SEE
2 z 2 ns
Qu’Al.-lah dur.cis_se tes bras! En.core un ef.fort!
RSR —
4
D CRT SR SERRE RER PRET RL T TEE CRE ER CT
qd oO ES
Li
LE
M \A SEE €
«Yan!
h be R te À : | Be:
ED RES RE Ë AVf p # PEN Re 7
EF CSSS Se EL es he mt VAR Lo 1e LL
D, ONE CURE MISES MR DES Le if s
————— eu 7
[|
Ci
|. LA PRINCESSE
. mm
2 —_—
= ann
MAROUF bas à la Princesse L Care =”
‘ Fig < 3
[_3 RSA RE ER SRE SRE
RE ——
L'anneau, ron_gé par la rouil.le, s'est bri 2
|
SL =
EE CR SE)
le lui passant ; (pendant qu'elle examine l'anneau il s'adresse au Fellah})
: # Lh ,. j , # - F
COUT LCOMPE VAT np ln" le 7 5 Mille, Limi A LOT
EEE RSR SLIENES ES RS SCENE DE 7 .<:. 0m 53-46-00 HAS Ii MD
mañître, quel parfum! . LÉ GE £.:
4 # LE FELLAH,toujours de dos F5 ” 1 © ss
EE a rt
ST f |
|, 7
RTS RAC R à" 1 PE
LH STE — LESSMSRRREENS CT CERANSESRRS 7 CERN VESSSRS DD à VESSSRCE DO Ni D OS DER
a
4 °
RE nn se | y ur. - —— "| -
BZ CSSS E een LE RER ee
Er | BEC RE A SR
BEEN ES) PR
- D À # Ce
Re
4 N s
‘RS CSSS © Ne RS = Re AN ne. — ©. -4.- 2. 2.) [TS SES SSS
la P. F4 CSS PA D PRE À RE DR D D PR D € ML AE — 28 ZAR US Mn ee —
; … ER” ES ER HAE MN EE LS DRE EURE © EE SR ©” 2 == EE
B\y Le eh Ut LA des
-lu._re où sont graves des ca-rac.tè. res que la poussière rend il. li -
à Q
Q
TT en |
D ———— #—
n SRE. Ce 4 œ “ 0
; ; © ol eee NN SNITN 4
© ————————_—_—_—_—_—_ 5 ————— tt
£ 4 Me TS LR ee in nf
EE —————_—_— À ——
|
°ur RE ———_—— fi
D = : l Le 2 Les À (
et ER URES SORT E FES .
Dr LEURS D 23 = LE SSSR HSE | DS Ré ©
34%
- Mârouf recule epouvanté et la Princesse se blottit dans ses bras à demi évanouie de terreur, car
le fellah a complètement, changé d'aspect. Sa vieille barbe sale a disparu, en même temps que/son
air misérabie, Ii est merveilleusement jeune et puissant. 1! est vêtu à la façon des personnages
hiéroglyphiancs et ses bras écartés développent 1a doublure de son manteau qui est étincelante.
Uné lumiere twsodigieuse l'éclaire. Ilest majestueux, surnatur“! et souriant.
LA PRINCESSE (er)
ET MÂROUF LOUE
RS 9 OR ER EE ERREURS CES SRE PRE CR RS ES
è:w FREE RSR: LS CONNUE BR TRS ( CONS “HRRRRRRS CADRE ESS
LEA ii 2 &: CRE ES — CRUE HN CORRE COURS SRE RSR EEE LT
Le REX tonne me ro mm == fr eg
LE FELLAH se retournant brusquement, Ya Al . lah!
(d'une voix toute changée)
4
et Lee
4 D RE US Rom SR
Lou VB LERX ° CE AS as f RÉ TE Se ee A Po Jr M Dan VAN SRE AR LE RS US
mir ‘ DR RES GERS RL EE Re D
Me voi.ci.
\
. Un) + © Ê
CHAUX Ÿ = SVUSE SE D JU JE 200 Ou SRE RS Le en
ww Le Si: DRE DEN D RE MEN DT ET NC CDN UN CS ON CUS CNRS VAT DSP M ©. SUN NY NT MP OM
NH VB: CROSS EE JS ON COS NS ON O0 08 FOR: SUSRRRRNEET ON) GRR — OS CC TRE: LR SD MO MT EU
1" SRE « a ————_———— dl 5 TRE LL
Ô Mârouf,tu voulusmejouerun tour en m'écartant du bé né.fi . ce.
ds @ IN FE = Eee æ
A 7" SL à Qc O US. CRE Où SON JU MS TI Tr med
OA LOU RSR OR DRE 2 D D 2 RE SM M A UE ne
S'il te faut Ô genni, la tê-te d’un coupa-ble ,
& fie CA
$ < “3 É | | M |
T [| 4 B «
| qu 3 LR n
mn [NN © LL] 7
| c = un 1 (es F *@
+ — R\ ji | pu, |
le É
Le]
| e Ë A 3 |;
(eo Ba À | Ca
5 <
un À ER 0 XNA S ÿ “
e 5 ch d | ch al . É 4 e Lo)
Hi mn : mp || Li EPA
à o : | 8 Qi
o = à |
9 TD o " ÿ
1 e il ®
= liés
+ o (= ki 5 H 4
= h
© EN £ ha Gti D és JULIE.
es. = A I Eh #
| 4 : Il
dl) à 5 à Il!
MN Li S a, CP
1 C pl gen . Le]
E Ds > | IN
AE ë ME NE | :
1] x
fn É e]]ll A+ te
' (e] ‘o
al © HE I 3/1
IN Ë : El * à | me SR
…| É Ni él À .
F E “I, ECUES. &
Ml = || . IR
1: | Lee) |
l : g ii 1] 3] st
: Hf NC =
FR HA Â | s | L = = «=
oi + .: :
&TT “y SI ë 5 2 (
Ÿ ] à Ù À
PRE D NÉE Dé
lié ln:3 She) | fus : où | |
douze centstribus
é … tantlechef suprê. me de
Jepuistoutfai _ re,
#it [Il
à | | ES
RS | RÉ,
il
+ [à
Le
pH à
FN) EN
MÂAROUF
si puissant ?
siché. tif, toi.
moi
à
M'o.be_ir,
frits.
VE
ji
Me
3
h
attends tes
J
me unvyœu.
For.
dé:
a :-dé-ci:
Il
Al. lah
MAROUPF, teut temblant et cherchant en vain
Molto tranquillo
Li
LA
ci
ss
Un vœu ?.. :
Un vœu ?.….
S
TL
dat | |
s
345
LA PRINCESSE, illuminee
Ta cara.
indulgent
d’u.ne ca-ra.va _ne ?
que dirais -tu
Homme de peu de jugement,
(ironie sympathique)
.va.nel
d'é 'iof fes.
Mil. le chameaux chargés
Poco più mosso
Poco x poco animato
fi,
Qua_tor.ze cents mu .… lets.
=
MAROUF, comprenant
Ayec leurs mu._le.
souslesbâtons demescaravya_niers…
Marchant
Ma cara.…
SEE RE.
DS Ps
COR “LT
les- pete
Re
Les sa.phirs!...
Les ru. bis.
les_ diamants...
LE GENNI, après un geste qui impose le silence
Por-tant
LE GENNI
On
ô Di
. au d |
Hbud 1
346
7
e genni cyrnmenc
.
L
Allegro
A cet appel on entend sous terre une rumeur sourde qui va grossissant
.. à disparai:re lentement, s’enfonçant dans le 801
Lo
1
”
1
»
| 4
|
Allegro (#:— 100) F
ai a —
fs + LEE LE TS SRE EEE
"tits! 8------------------
LA PRINCESSE, au Genni
F &)
Bud
n'oublie pas...
tu . re demonSei.gneur,
Grez a
MAROUF
=, “4
”=
bad
ca_ra-
Dans ma
| |
SN à.
é
—
è_.ces
De pi
es...
1
Cent chamel
I
4
tant les sacs...
.
oi
Por
mé - ha
le
Et mil:
Rx
T
drant….
E GENNI
, dont on n’apercçoit is de la
tête derrière une touffe d'herbe
poing. L
au
La lance
dl
FT
I1 disparaît
a. SCÈNE V
CR MÂROUF LA PRINCESSE, LES NAINS
Immédiatement , du trou laissé ouvert par Marouf, de celui par lequel le Genni a disparu,on voit
emerger des tôtes de nains qui examinent les lieux , puis disparaissent pour revenir un instant
apres. Plusieurs même se décident a sortir completement des trous, pendant que Märouf et la
Princesse, dans les bras l’un de l’autre, les regardent avec rayissement,.
Se:
Bt DVD EEE ENV HN }/1 2 M
af Jet 5576 se 2 Paie nl TT
(el 20 A 1, #'NEe s Éd DU DERe € LE mL mes Due ue us mn
LE rte
MAROUF, à la Princesse, qu’il tient dans ses bras
DT. am - ched = G D NE = o … nel
Man: . rouf!
E FT] | | T
LE , || 1
HN 5 rh 5 pes | 9 |
(|| A | || 21e à | K:
| pl | | 4 Ne dl : s | |
ni ill I] : DS aies |: "2
s LA al ll ls ] dr. Pie
oO PT
IE | # sf ds ME £ &E N')
CE | , © f © | 44 | ; { |
1 el ; {| [l |
È ne | ë à e|) [Rt .
À: A
A © it Du ;
UE : Il AT S [MEN ET
— À w TNA HA ||
8 | (TL |
Mori
x, £ ù ||
AI] = 5 à
Il | | à
SE 5
| ; | | |
n 1
AE ë 7: |
AE à fl
a (* il s D [| | bi] |
< CR «O S À Ÿ k l :
À Le NO A | Il à
D hé NP TT je
À ä
MT be
dl
Il | [F
1 sun
4 I
Le
ra
ca -
___—_—
Eee
LES)
DRAP
TRS
Be
DAS
ma re
Es
LL
a
He
de
{|
LA PRINCESSE, aux nains
ne !
#
- VOUS.
mon
Car
© 17
Le) |
où |
(os it
|
|
| |
h
|
tend
re
à
bd
sa fille
: rant
pleu
… -POUX,
a _vec l’é
. fuie
en
yos
RER MERN LeS JTE Mo
RE |
be.
==
sur
bebe
rez
F
=
ee
D "|
TI TICF ESPN NS
Cou
ne me Tnt
2
LEURS IEC CES RS L__
VE she | area UE |
354
de di.a_.mantsyog pe . ti.tes
saisis
.
3
…
= ©
\à N = là & lesld E
sa À - 1 LR: HF 6
«qd
= Â à |
p] |
|
mn
—
+
1 L_]
d
A
Q ©
(l TD NT
| _—
all) 3
ju REF
NT] © ANA 5 <
.
ul ; LE €
T €
Le | &
| (ll à |
m
Le | l'a
a ÀQ KO e ë
: | TT VRAI ÈEE 7
< pr XX à 2 I © Ê
L
ïl À | À EN cg 12 H «a =
| ë
€
F
| è
u
&
% L'TE w d
ee s-
à Ë Na 24 2 ë
+ © . re re) R
æ AG x #
I (ll LL:
OR =. KE . KT) CA KE è
[NY Hhud Bbod É
a; a; ; s
E | S À
re
—
| & $
l de ë
© £
uw 2 È J
4
“ | |) & ‘ |
sd É :
É 5 e |
© É 3
s A É :
C =] : :
: A 1
5 | ; |
2 LL! à ; :
rl £ : ;
É EuUE 3 : -
| \
Ê TL : -
© :
: ‘3
3 5 | ;
5 E : | |
7 1h 9 :
À :
. ii tie. : -
ë | Il 3 cl 8
i 3
ë i : ; :
1 k =ù EH
© sera l Le |
F cal “ ; :
: Il É
— | |
= ISTRA < ; :
4 LS ee | _ © :
’ IR Ex e É
dx | cé ; JR É :
+ é =
Lo] ( At At FS : : |
o “ :
. | 5 : |
ss il Ë :
© =
ee x lb : : |
© a
3 Ill à : |
o . n
= |
Rs || > É É | :
hs | | |
EH :! E. s | -
Î Lin g © Le] ©
1 “ |
D | [| $ :
© : L F4 : ;
He LU) É
a ! : |
“e a | [| |
PAL : ;
© © Ë 5 |
9 ! = lil É |
nm ; az ra |
+. ë |
Le) i . o : ;
5 [l | LT À a |
+ ra” d ll e
an ! É |
: ; E £ E
[#1
# |! LD : :
Su | F
4 m4 s à
Le] ) :
# ; | É
A OC) -e
a FT ) $
Il
ED s
SE 27
Ans È
- Le on “4
SN
. 356
357
Ils en chargent”
un puits avec margelle et poulie, dont ils tirent des seaux de pièces d or.
Tous ces petits bonshonimes tombent, se relèvent.
\
des camarades et ceux-ci suivent la galopade.
les coups de fouet des chefs de tribus, choisis parmi les plus petits
\
sous
3
se battent
se bousculent,
de
+
Mârouf et la Princesse les excitent \les gestes et de la voix.
ns
et les plus barbus.
s à 1
à a
h |
Il ] 1 ll
a! CE
RARE Jl
| il
da Hs da !
al Ml |
ll Mi,
VAR | |
AN |
{
2 ie # TN |
‘à D nn D
35%
a
tete EE —
360
*
GLS 4
vous!
=> ii,
ES Ge
RS: a 1
Len)
[|
i
=
.
RE :
tits,
LEE
ET
ER
tits,
RP TE
ha…tez
= =
MT
ES
Les
|
SES
LRRRRE DES
TRS
AE
pe _
CR CR RES
ÉEnNeEPMR LT D. 2 a |
RSS SERRES |
vous!
|
a
re]
“ yousli
ps]
RES
CSSS
WS
RE ME
ha .tez
ha -_tez
DISS mes
a || PR
Le] ET « à‘
5 » L L
ss © | il
< D a 4 I | né EP |
A
A 0.0 DT Hi!
54 [NY NY Basé
a =
d
sine Eye
A =
L +
362
Ka
fe
EX
363
CPE.
Fe
Ch 4.
LS RP RS EE (|)
ne ee Pen ee
REC ES,
Nil
LA PRINCESSE
di!
: MAROUF
Il
elle
12
["
(
TT
1
ail
I
ha_tez - yvousi.
=
-hä.tez - vous!
: os
DS PISE 7 DR ST ES
RS NN" us
JR PRESSE EE
PACE RSR EE
SE RE RES
EE
da
\
Ill
| (ITR
ilh
Ju
; I.
LU Hill
dt Mt
Il
|
EN Î
5 "II
De]
PES
Havre di!
pu
Re =
ar. Ps PE
TN
La. hâ.tez - vous
L .
25 Es à Aer mr
ss F d
ra Stude: À
8% bassa Ads, EAN
Le soir tombe lentement. Les nains, qui ont achevé le déménagemert.
# 0 #
. \ s'
4 A
nt | | PP HP | | LÉ AP NN Sal
SE ie et RS URL er me 12 M Se 2
CS — ere — run. 15 SR: T OSSI RM CNRS GUN LOS) GRR GS 1] D JE 1.2 5 DE
RE ea — SE SC CR RE (RSS CS SUR VURUX EME DORE DS Dei AE | ee
| ns ES
din, poeco a poco
æœe EE —— ere a
LD ITS ESS SES mes ET
do RECU SSD SSSR SSSR me CZ
ESS TN TISSUS CN SSSR e «
= CRE LE AC = AC] en
|
366
Allegro LA PRINCESSE prêétant l'oreille
ESS ER
a LR TE 2
Allegro d-=138
pue È 7 p 7
0
ù
mi
montrantun $
autre point
Ja P Fa
na nant
nes
4
&
P 0C0O mMmAI'e.
7 UD
ee
Fi
(
HN ©
Î
|
|
|
[
l
|
ne 1
Vers
€]
29
| ai «
Il
|
|
| |
dial
di8)
€ 4 ta ” ” :
SIUGErIgrEErE: |
D FT MIT CPP SONETTT TT TI RTS PI [TITI
tr RE EN a Be pl
nl || È [1111 nil | | ||] és LT]
GAL EU PRRNIT ORAN h | LH al
NI] JRE || He ue dan 5
IT TES | \: | | || Ê
| 1 | _ s
Il An | Lin jll Il 2 LL à IL Ë
[11 Île | \l re Il
| | Rs RSS | "+ | : | =
| Î am \ î M qi =. ee
| [A 5 | | LA | TE |
(| | bt | | il | ù | à
j ee
In - |)
| | u 1e M =
| HIER - aout à ;
HI | « Il :
| Le WU à ml
ll : il | 1].
(UE tr |] A:
Lol | ë ”
il: ll : cal || 1:
| A É I = +] TA €
° NE LÉ ;
s Le)
| il: us |
; | x
mn + el
NT A Ï he - | jrs 5
| à H) à à H à
LE Se. <k Le > | Le
Mass NY us PIE : TY
368
-yons
Fu
yi
nez
le
La nuit s’est faite,
jusqu’au
s’al . 1on _ge -: ra
qui
ce chien,
= ZIP,
que la scène est envahie par
vizir, qui fait un signe.
.
À peine le dernier nain at-il disparu, s'enfonçant dans la terre
te se trouve le
ê
À leur t
Immédiatement les memalik s'emparent de la princesse.
des mamalik portant des torches.
sol
erese, molto
S e Il d | Al [TD
Ÿ d [| 19 | || ||
Slll £ IL ||! = que là |. | QE | =
Mine ml) à in : dll?
= SNS HT À En.
£ st M. © Hu LE.
: Ë Ale " Lis:
= © NL ge | =
à DIT rt NT: 6
3 D RE als FO |
3 ê TT Ra D. | v I
É | Slr Ë ON: ll à
] 5 F + i é
< | ° à a | A F
= cs Ill k a 1) ä \E | | ;
À ll il a NE : |
ne - = AH J'ÈN * \IE 2
> à s JE AE re
A ME HN À , Il
Bu Te des, | il
a A — Ill & Fr  il [el
ds :ï\i* Se il if DL S
= 5 fi 1 [TA
É 2 AL WrR \Ut
É QI ; qu Fa
te 4 Het MR ‘ls
Lu n ra 1 =
er di Hi | ill $
L'URA Rev n) | NM) à Ë
a | e* e 4
3 4 ee ii mir xt pe Ële Il A
s pE. LR £ Ul.
5 ‘ Re) Ur : fi <
will ME, + HS €
_S "2 e e ©ù
SP | IF 5"
ll ie HS « #
Le eu LR à * ul
As PRE M Ci sd
|
|
pe NET PE
Entre Ali ligotté, que l’on place à côté
mal
fi
YEbe
de Märouf dans la même position que lui,
LE VIZIR ausultan
lui montrant les deux condamnés
deux
les
dit ?.
yals- je
que t'a
VS DORE M € Me 0 0
LL LL Tom
—
Lan)
no)
. bes
four
Mârouf
ALI reconnaissant
=
MAROUF, serein
All
vre!
RS EE Se ER En ee]
pau - » 4
E
les
au Tres - Haut
… ges
. «an
372
_ tes êra
at
3
Le Sultaz se taiten
ren
rh
[AN
1 1}
menaçant
Æ
BE SULTAN
ESSE suppliante
LA PRINE
#1
fs
ta
E
À
…
*L A
INT dù
LS Sn.
_est à genoux dexant lui.
is contraires. La Frincesse
1
de sentir
proie à
ALI gemissant
-
313
a: QT”
L2
——,
El
ca
ESS SE RES SEEN
RS — —_ .
cher .-
7 —
DESCRRSENE ER RSR EE | RE +
Quoi?
EE ——_— —
Ma.
ile
[e]
NN. f4
IE
I
D» à
T
[>|
ET ©
|
: il I:
re) aù .
k il % a ü
O4 TS HE
x IE
à &
MN 5
| qu & :
LU QE de er a
SE À Se oil | va
LE... 5 lnsé ns à | ‘à
#4 < A <
374
LA PRINCESSE au sultan
n
[
|
STI
LE ]
l
S LA
="!
de tes
=
[x]
suis la plus ché.rie
Elle appro,che.
5
48
. ® |
que je
Yade;
[2
ORNE RE ES ER RE
€ DR RE M ET
| NES a
TT SCOR © ©
; LR
Fo Fi
AE; RS
ba XL
4 N ls:
< è
sempr c D
Et la care
LE VIZIR, ironique au sultan
5)
4
1]
37
Le
fu
5
©
ee
<
2
tra.ver _
va
D CPS PRE SRE
ijeV ET |
4
RE
L'RUE ESS r'RUEN P'REUEE
GERS SN
est
Où
a cent pes di. ci
irouye
-
gue
le
ALI
que cest
Ou... blies-tu
= ne?
Ca. rat. va …
Ta
376
]
À
=
MAROUF
qui J'a_-vons
nous
SL
hé
E
les
ont
mar
—
_. vrent la
ou
LA PRINCESSE
qui
_ meaux
cœur,
=
est plus doux a mon
Es
he = 2e"
Ets
piedsdansl’eau
en D
ALI gémissant
bu
=
li!
oueiï
Ya
espress é
A OT | “
< th) Us ee i] M y E
| 4 rs (Ch nd 4) [A
HA | ni S HE + E F
IT sa gd soil RE LL Soil
& (ss il LT ji È (| à
= la | + &
[I AU \r ë "
| | 5 \T =
ge a. nAAE
Pr —-
Le]
Î
du
|
ÈS
|
es
mr
ER MERS
P—#e
US
douce
RER]
Fe
Et le trésor
#
= C}
—Ÿ#— + bd "hs
L Lie ES
DIRIEREER
vo _ ler leur té . tel
É R R e PTS Re, — sn. … |
LR MR en re EU US LE
RER EUR EU ME NUE MN Um ne | ue <a ll
RS RE ee à US —}
PR re PRE mr ceemeess |) |
Am
DES OR ERA
= =
SES
ne,
a
LEE)
7
S1
3
CIRE RE
pese > |
bar LS
FES D ORT
a | a
EN
RE RER ST ER]
Eee ent FT]
ACER
sour … ce,
lom_ bre
EE EE 4
FIRSSESNM SRE
mme
IR que
T RRRRRES CE
et | LS
ES MORE NE
DETSRREE 5 ENS ONE Des
Là
Le
|
RE mn ne]
= —
WI
ss Le
SRE PROS SSSR 202 PE
DRE LS SRE MR RIRES SSSR)
PSS SRE
et la fraicheurde la
LE SULTAN, se décidant,ayec violence
ni al "té. ré.
LE VIZIR au sultan
ne Us etes = nn |
LATE RÉ CRE É
ee tu ae me
CS DE Pt me em de
à
, Ex ê
Pete nn, — — «, Ep): 3
St ET Le er | EL :
Aus Basé S2ù Had Sù fn
4 e
378
- à : ; n ‘
On commencé » entendre le bruit d'une caravane en marche. Sonnettes,chansons de muletiers ete.
Molto moderato ALI
ee ei — 3
Res RE; |
pe iii nette
CRT ee y re qe
SSSR RE ET CU
Un mamelouk tire son sabre, retrousse ses manches et fait les préparatifs de l'exécution.
Pendant ce temps, rumeur. parmiles mamalik: “ Une caravane. Une caravane...»
a,
Ts LA Ce RE
A m7 OV = EE ee
RSR ER RS PO Es
li. vre d'Allah.
Quelques Contralti, dans la coulisse, très loin
LE VIZIR inquiet
A Un RSR = Fr rs = BARS où ee & Sn DE
m4 [Eve LES = CEYYYYTY,Y,,SYYS,S GR
EF. a | “ARR “ET (RSS CT
Une ca-ra
379
- ce la
Serait
LE SULTAN a Mârouf
+
Etes.
CE
Une cara. va_ne?
[7
ag
um?
777
7
#]
PENSE HN... Lei
LA PRINCESSE ravie
ii 5 HA
1: ITA
IR Î
A | A |] Q
l < TU Eli
Hi]
D]
MAROUF pendant que les premiers chameaux traversent le fond de la scene
C=
a É
TT
1
A ei 1
| Il
l s HT) NT oi
, 0
| ily LT 1
| MTS Ua} [IT me
CD ln
| | (Es
BA © une
É fl
Ik LUE I Ï NT
LE LL EF HT LE ll
526 in: a TN ei TC
Ca-ra-va
LE VIZIR aux hommes dela caravane É]
O caravaniers, versquelle ville allez-vous?
LES CARAVANIERS()
Sopr. et Contre. (en scene) (dans la coulisse tout pres;
RE DE à 2
———— CE
fes? ——4{ EEE
NI PE DR — PR EE
- FL SES
Khaï |. tân. Khaï | tän. Bal
ù à Téncr: (en scène) {dans la coulisse tout près) |
HD — PRE ES nn nee ES
! RS BE à =
Fax ARR PE ——
‘EASY DB
e fa x
Khaï|- tan. = Khaï !- tan.
Basses (eu scène) __2T (dans la coulisse ‘out près)
nt nr SEE 7 nee RP Le” ee _.
7 TS) MR ARE ee 0 Re D © ES
A —— = =
Khan _—_—_—_—_—_— Khaï - tan. me © |
.s DE
a | s— s —
| | ii
e - ie Es EEE
ES " = —| —
1 ES —- +, LT ES
= + RSS A
mp” Diese LT + EL —
. . . .
. L ke < : $ k L L 4 <
‘
> « , . : QE Q
(A) Tuutes ces réponses des caravaniers peuvent étre chantees PA MNE PAPE seulement du chœur, soit par des tenurs
seuls, soit par des basses seules, suit même-par des voix de femmes seules, mais.dans ce dernier cas,le sol grave
: Le : ; ; : Ts :
des contraiti est 'ndispers ble, à loctave du sol ües Soprant,
ù LL ë
erdre
LS
po Re
aton
frappe, amil
appartienne:
Nor.,
©
nr
=
(=)
=
Le
pa |:
EE
$
>
LI
Quite
tan
[2
ns
LT PR PRE 0
2
a —
ts —
ER Be
#. .
A
Khaï
plus lointain
Suspendston bras mamelouk!]
LE SULTAN, au mamelouk qui allait exécuter Ali
2,
Délivrez ces hommesde
[ D Tell
SL I Hn Ù :
| F1]
1 Bin
Fi |
QU.
ki AT
FAR ER! Ql MNT :
ML AT 0 I
(dans la coulisse, tout près)
(dans la coulisse, tout près
(4
TEE”
UN RD. D DUT DU DORE UT © DD 7
LR El SEL.
D EE LD |:
DUR De, de
1 Le al
> a — © — ES 2 —
ce ET RES CS D | (QU RE CRE MSC
L_
Tan,
RES US NE FS
rouf.
ED — 4
COTE es
Eco DINTSEEETE en |
EE HE
Es
CS eu ED
Etes
SL TS
LE SULTAN
Ces TT ss . : se : ll Ses - : ss à: : |
Ml 2
EUNIIE a
1 Et té j
UE RS eldeT
e ll El “ ‘à ll
LA IR »
- igul ë N , Le à.
= à | # = À 0 F4 A 2 CS ..… | Pat ,
RASE £ È ERNUIIER BL
| RE PEUIE An
CA HE : 31.500 AL 1 É EU"
= nt (NM © É INDE un 5 Ales 2e IL [1
- HT MONT E E . \ . Ë ME SNNE
£ eu INT = nl < HA : £ ET PTT la.
LES 2°] 1 : fi pe
5 MU IR) 5 = Re : le L. fe
“| il [St = 2 Ë l ae | Le fs
| \ Ni 1 be d
HT U] 2° 1e I “ U
PA Mar { pk nn CN ‘> LL | | e. js LE BEY dk En PES |
Do Tr MD À Te FN 2 Al
à |
Ï Il
* ne LE
2 ” PA MS: dr
|e +) F |
L 5 sf LS
—
u | a Tu
| £ } MIN
R a LR
R ë NI
5 a et)
e QAUN | M NT M © [LA
: Les INT NT |. ET
à # IE: C | CTP S
2 5 ce 8 € ER Et \
; : IN 2] © 200: rl di
à 3 8 æ 2 l Fe L je :
À 9 - = É l =
É s : LA
FL Ë 5 |" ni Il
9 | Ki fl
9 % Le \ ;
[= cu
g 8 LL ;
F4 [| Q BiN
el SAN 2 À il
# EN E u.
à | £ | Nes 14
D Fi ù «+ x <
S LUE [III Sn _ ||]
CE | a il
© ; La :
5 me. . + |
L N Fa A s on À.
Ne EN En : il a e sh
2 ; LE + o NN = 3
LS 8 17: 2e 3 Le HR
” Q Pc a Q
= x sw £
: .
Le
| Le BE
IT ER:
384
t
LE SULTAN à Märouf.qu'il a lui-même délivré de ses liens. sur un ton confus et respectueux.
nn
0 om =. Éc E MER 7 RSR SN ORRGRRENE SSSR POSE Ann)
|
\4
ù
|
SA 7 CRE Di EE
a — 2 È—————————
Par. donne __ à l'igno. ran . ce, ! @. mOn gen - dré sim: s
: (loin)
Mârouf, qui tient la princesse
CE
es a
che
ALI, à Mätouf., respectueusement
s- (J = L}
CRC Tr FES FER FER VE S RS SE JE Si CSS
“ 2 ER
SNS Se Re. RE a
= 2 SERRE CL 7.
Ô leplusgrandmarchanddu mon . de, pour. quoimas-tutrompé,
û s re. nn -—— ere [__ ==
CAE = = ur Een es S 2,5 —
Œ fes 5] RER IE ET LE : BUT MC CREER SL SR EE
EE res RE A is _—# 0 | 3
RIE: js 3 HE
ms sempre crese. En animant peu
EC PR :
VD CS HE | = = E : æ 1 ER Æ' Re 7 =
NES = RS = une RSS
DRE CS
dans 6e5 bras, accepte les z :
hommages sans modestie. LE VIZIR, à Märouf, à qui il vient aussi faire sa soumission
2 ———
tre, par -
en me ca_chant tantde ri . ches - ses?
385
qi ji dll à
ls ts | SU À 1:
All : Re 1 ë
1L MER
- À + Il a
É © N , 1
ce | ll è + | 5
| . :
| di : A | S
| 5 à Fu A B nl !
| nn . : j A «
US £ o dl Niue
£ A © SL ÊE De ll ile
QUE SO “à 2
è ; DIT 5
: M le
= | I
2 bi (ll IN
[ea] le) D.
Re à | UE
!
; KO CN g
à | D ne :
8 | | AE ie & ‘
| | R [Ile IE
. Ji Ml £
= : vu II
à Nas [il JR
a. 3 ©
2 el: [I U, ÿ
E All E sa ë £ É
N | [ll < il Il I] :é
Û Sd 4 su à SEX
L 1 il: L
DL | hi ui A si Y A a
L“)
© =
CT
DH SU
(Les mamalik entraînent le Vizir vers le fond,6t le frappent régulièrement jus.
. qu’à la fin de l'acte, tandis que
)
filer.
CI
dans le lointain, la carayane continue de d
)
STbassa _ 22 RL de M A ANS LR Ut RE SES
LE SULTAN
_
au Tout
tre-- du mon -
Maî -
387
E
lah !
D —
CRE
. -68;
5 da chœur
Basse
au
Gloire
le
lah!
1
A
lah !
Al
le _
Seul
le
Puissant,
Tout
|
Il
la
de
et
jour
é.a . teur du
4
Cr
de,
Maî … tre du mon
m
MAROUF
er |
Le aer ee =]
DROIT
Gloire
Pasd
B
€
Il
ï
n
La
_—
nuit.
4% Ténors
u chœur
PE
EN
Vi_.vant
Seul
le
354
Vi
le
: Il TT hf qu
| Dr de |
(ll! # ! \ Ne | 4 d
TT NI ®
I] | |
if || RS | , _ || +
| «llll | IE ME
\l |
| ù d a
m4 = =:
id
À «xl = > [NI <
dl Il q à ñ
I dl Pal 5 F >
= Il L. | j
| ON di TH j D à
| ) É
—_—_—_—_——————
Fe À
le
es he
| |
ne ee me. 1-4
au Tout
Era 2]
——
Ro |
Gloire
ms
Ce
SRTRRRISS EPS RE
Rs TE Si Re
NH
en _
DEERSNRE C
RS
CSSS SR: SEE
DRE NT
RTE Ne |)
TN ES
CR Den RS DRE cou
mn rever 18
SES. Nr
FER EI,
SEE © ON
-tre du mon
FESRASNSRSERSESES
RER UE SN |]
ETC RSS RS
AI -
DT =
ESS SE —
=
& À
Ü UT [
Hi, SO
TP Pi) Des RS TP
D on. :
x
Æ
Puissant,
7
néreux,
néreux,
au Tout
l À
ë | | j \
; 4
4
.Ÿ Le] 4 |
ë x G:] A . | :
7 ! = = q | Si - F l$ -
ea "| D :a = | \
£ Ÿ -
© ; FA 7) 0 UE |
é ë, o | |
é AN e ; ü | qi
n . k Le = |
T
er) À LI g #5 2 + |
3 ‘o a = Q E ++
a [de] © . > 1 ||
B = | | s PA
“ à ce 5 N'ES “ Ÿ
S | |
a
La] do |
© + ë |
= o |
© S
> G = 4 ir
+ e A | [e o
: < 5 MN 5 Un | gl re
. E ” ÿ D [|| [TT
8 nm De", ] | |
= C4 SES
« È a. .,e
_ “ SN
390
391
Sæ
& es
FA
tre Au:
Gé _ né -
CRE ENS 19 ES 2 LT
le
FD —
18) Mat.
RSS AC PRESSE a SR
ALTER le
EE)
ps
au
pe
pen
—
+
LR cé
Gioire __—
Al
= ——
F7
mA
et delanuit,
Fuis. sant.
PA
Es
2 ——;
es
ES
SR
=
=
Es
le Créateur du jour
Tout
reux,
mon
|
IT
bel Le AUÉ
— + # es a À «à Lek E. FI à FI à
du Mn < sd À se TY TE _ QNI HN
Eu . 4 ; D TN
——— ———
592
Tout - Puis -
sant
sant
[=
©
[=
=)
TD
(ee)
F4
+
LI
Lai
E
Fi
“4
lah !
Al
394
… yant.
Vi
seul
le
h si
| ul
;
| L
; |
Li Dh
“ | &
Î |
quil
Co] Li] Li]
l 1
|
NT . |
an
rs
Il IR
LU É
en IL |
CT? à ||
Te eh
Le + ii
lnsd A Bird
A
ji
res
eee ee Sr, 52 8)
teur
yant
ER et ns 2]
DEC
Ni.
EEE
Cr
Seul
LS
pe |
au
DRE
ns]
mm... |
le
| F
Ill
Puis ES
|
ut
«
œ
n
I
| Ll
NN 3
ren
1 qi
+
| |. #
| (le
| | |
ù
@
©
Ù
BEN ET Fi
Æe ee À 1 sat
A
ASS ms
D
ae. Ab:
. A7
[En
… reux,
Il”
à
TT
LEUR
in:2
Mai … tre du mon
d
—
Seul
Vi-vant,
la
de
et
BE
Vivant,
Seul
395
in
4
æ
Tout - Puis
au
le
de
Maî … tre du
d
A
L
pi
©
Æ
D
Tv
©
CT
—
Maî … tre du mon.
pe]
ï ©
Le]
Lo]
1
Le
ë
pe]
[2 |
©
Ex
2]
Le]
Gloire ___
BaudonGr
S------------------
=
, 397
-_ :
à
Tant.
lah !
1
A
A1
_—_
1
am
cm
Al:
ER
REC
Gé -… né_reux__
TeUX —
aé
… Ré.reux _
æ
2
né_reux __
ES
+
|
DEEE
LES
en,
Sas
LR
=]
És
“SEE
EE —— —— _—.
LETTRE ITS ERREURS De AN PRET PLAT ESRI De, SRE
N hi é ‘
ph ——#@
© —
DL ——|
: RE —
N “ 6 oil
ni dl] à [I] HT
il © © | + AR
1] Bi + AM ES
+. | | AN) | : È
= | S =
I É AMIE
LM
LT 7 MATE | a
Ts = ls Ji
*
ji 4 2 Il ee * à
1-3 IE ail 4
à à I & [LI N IL a
: |A n à
mel: Si à ‘E
tL LT C Et 3
nn. 7 € dE J ge
Mat Ni A _ HN. al ë
#
, “AMEN
MICRO. +. + |
Le
M Rabaud, Henri
1503 -Mêrouf. Piano-vocal
R113M2 score. French,
Mârouf |
Music
PLEASE DO NOT REMOVE
CARDS OR SLIPS FROM THIS POCKET
UNIVERSITY OF TORONTO LIBRARY
(HN ENT lp dLHIE
” il
il HU al [A ! Ut : pl nl il QU lp
Fou ii (l I] 4 Il sn " pr De . Fe HULL . Ut {f
oo Le il
. A Li D ui ji fl il
. qi
4
ei . ju eu us (y nu ul “is … a in PAT
ji
MIE sh ut
û li
ll
Hp
A sil run me L ie nt nt
is
F HN ii TT qe l
jo ni sa ne eo En
fl il pl tr ï ji F ! {l l if}: il ul fl l fl ii ji ai sf ds ï
gl il 1 ji if . il Le = if ils ii 4h 1
. u il {lui “a Vi 1 li
fi ip . .
Il
{HART dl AUT ai ES AU
il qu lis pre een tn
TH }! AU “qu tnt] jun |
ae Ut HU il Eu
te Ki j . no fil
pal
HIHI
oi
|l
if
HETTIOT
l
M “han Me pie 04
til AI mn
, W
HAT 4 i ‘ si
] se "0 [OT ; è "A
dt il QI DIN e ‘ JRON pe HO
dr Fou
TN RU
TR tt di Ki ul 4! 1 shall nl (à
À 1 h j ; nm OLA n 4. N | ati
| ji Suit 2 yil no Hi Mu, S AUS
_ Hi a s. ge ue a i Hi M
\ NL a l A. LAURE [?
{
ii HER HALO RU à nos ere il
PT mnt A | :
Le pl ju % | il En if! LS lil En “il ll mn sl ji |
ni Cr ns à De
a et Hal sn a FLE
AITu
l
a LUS
“qu:
| | à IT
IL TENTE Ï |: " Lo mr ul pi. mi st,
qu il MU nl Le qu TH Mu
. à ne
| ii ni fu al (r | ni Hill lf gl il me
| ut “ul
je Pt fi
if n[fl
il}! LI vil HU KL NT
LUS sil
\
TN '
LUN 1 M, ‘
lus put
If il,