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NOUVEAUX DIALOGUES
FRANGAIS-TDRCS.
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'tvouveaux dialogues
FRANÇAIS-TURCS
PRÉCÈDES
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VOCABULAIRE
PAR ERAM GUZED-OGLOU
MEMBRE DU BUREAU DES TRADUCTEURS AU SÉRASKIÉRAT.
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GONSTANTINOPLE.
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IMPRlIIEaiE-LlBaAIRlB DB S. BBNOtT. — G ALITA.
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Au nombre des progrès l îaportmi ttTréalisés dans ces dernières
années par le Gouvernement Impérial , on doit placer en première
ligne le développement considérable qu'a pris l'instruction pu<-
blique*
La formation d'un conseil supérieur , la réorganisation des éco-
les primaires, secondaires et spéciales, l'élatilissement d'une école
normale , la fondation de l'Université Impériale , et en dernier
lieu, la création de l'Académie Ottomane sont là pour attester
la sollicitude éclairée de sa M. le Sultan/qui veille aux intérêts
matériels de son vaste Empire, et ne cesse d'en agrandir le
cercle avee cette persévérance active d'où dépendent la prospérité
véritable des états.
Guidée par le tact admirable qui la caractérise au plus naiit
point» S. M. L a de tout temps encouragé l'étude de la langue
firançaise, cet instrument puissant de civilisation, dont le goût
tend à se répandre de plus en plus dans la capitale et dans les
principales^ villes de la Turquie.
Si d'une part l'étude du français est devenu un véritable besoin
pour les jeunes générations Ottomanes, de l'autre la langue
torque continue d'exciter à juste titre l'intérêt des nations euro-*
péennes , non seulement à cause des relations politiques et corn-
aierdales qui les lient à la S. I?-, mais aussi à raison de Ma
son extrême élégance *^ '^ produits variés de sa belle littéra-
tare, empreinte d*un caractère tout particulier qui est trèsap*
précié par les orientalistes.
Cependant les difficultés que présentent ces langues ne sont
pas de nature à être facilement surmontées ; car les mots n*ont pas
d'analogie graphique entre-eux et les phrases se construisent dans
Tune tout différemment que dans l'autre. D'ailleurs on sait que
le langage parlé, différent toujours beaucoup du langage écrit,
exige des relations suivies et presque journalières*
Cest ce qui fait que les étrangers éprouvent la plus grande
peine à parler correctement et convenablement la langue turque
dont le style est tout-à -fait autre pour la conversation.
Ceux des Ottomans qui se livrent à Fétude de la langue fran-
çaise et qui n*ont avec les français que des rapports peu fréquenta,
savent aussi quels obstacles il faut vaincre pour acquérir Fhabitude
de s'exprimer en cet idiome.
Ces considérations nous ont engagé à composer un guide de
la conversation dans lequel les jeunes Ottomans troav^ont des
expressions usuelles et familières tirées des meilleurs oovrtges
français i les étrangers aussi peuvent y puiser des tournures de
phrase élégantes particulières aux habitants de la capitale de
l'Empire Ottoman.
Appelé à remplir un double but, le plan de cet ouvrage a
été conçu de manière à mettre ks étudiants à même de se fa-
miliariser en peu de temps avec les éléments essentiels de la con-
versation turque et française. Il contient quatre-vingt-dix dîalognes.
▼Il
Nous avons fait choix des sujets 1m plus nécessaires et les plus
intéressants.
Ces dialogues sont précédés d'un vocabulaire frangais-turc con-
tenant environ quatre mille mots ; ce sont les plus généralement
employés. Nous en avons marqué la signification avec la dernière
exactitude.
Quand aux phrases et expressions employées dans les dialo-
gues , une version littérale étant de toute impossibilité , nous
a?ons été obligés de suivre le génie particuUer des deux langues.
Afin de rendre plus facile aux étrangers la lecture du tqjKte
turc, nous avons placé en regard la prononciation en caractères
français en suivant pour cet objet une méthode simple et com-
mode.
Enfin , rien n a été négligé pour faire de ce traité un ouvrage
pratique qui, nous Téspérons , méritera le suffrage de public,
et nos vœux les plus chers seraient comblés si notre humble
tra?ail pouvait être de quelque utilité.
* Nota* Le son des voyelles dans la langue turque est le même que
dans la langue française. La même chose a lieu pour les consonnes
à Texception de quatre / ce sont le ^ dj , le ^ tch , le ^ kh » le ^
gh. Le tableau suivant indique la forme sous laquelle ordinahre--
ment on les reproduit et la manière approximative dont on les
prononce.
^aS^jSTcMCmj Âoj 3 j4ijl <ilv--jj J:i^ jI^Ijî iS-^J^ ô^àL\ J^Xj
»La:X^1 •^j»>:: u{>,y-^ «^^î^U^ aJW ^J^y^ j^UUSlj ^a ^
,^4y A»^K *^b4? «/kSi^jb \js ♦jCj^Uli. i>,'>^>- A/\jJ!5L^ Âj_1_« «aj^tb-, '
v»U*Mli^^\ 'tjiS^jy^j U»s^ 0X5' t^-? **:^ ^-Ov*" 4:Ju-*- APUai>-Uî
l?j j ji; Av> ^^^•»j»-*^jyj j ->>-• 4li J 4 1^ w,l>- i>Jiy j ^jy^
^jy.> v^ L»r^ ir-» «-^ *'-^ v3^^ S^^s"^ "^^"^^ ^sM^^d^
j^fi» A9-L ^j;\j»^ j*.!:» j;J<Cl*l^jl îuL. AipL,j;j^\jis».t jj* %jlpL^ a:*-!»
VOCABULAIRE
FRANÇilS-TURC.
A. •
SUBSTANTIFS.
Abattant
Abattement
^Abbaye
il. Abdication
^Abeille '"^ : -
^ êbd et Gain
. Abtme
i
ê
^^ Abjection
' Abjaratkm
^Ablution
^ Abomination
^ Abondance
^ Abrégé
^ Abréviation
MEF80UF.
C^ KépenL
« }
jyî cj^ %li< Izaléi gbaïret , fntonr.
Manastyn
Istiifa.
Arou, zénbonr.
Habil-ou l^abil.
Yarta khoufiré.
dénaet, altdiaklylc
Irlidad.
Abdèst.
Ifali seyié, féna ich.
Bollouk.
UjmàL
OditiBar.
lu
Abricot
•
^\k
Kayissy.
- Abricotier
^Ui^.li
Kayissy aghadjy.
^-Absence z^*?'^'?' >
• ••
Ghaïbèt.
/ Abstinence
/i*-Ç
Perbiz.
•
Absurdité
m •
Abési'àt.
Acajou
i^U'ûy^U
Mahon aghadjy.
^ Accélération
Taadjil
^Acceptation /-*> ' ;
/'•'"• v^
Kaboul
-^ Acception
"l^Ôt' 'J^
Imtiàz, terdjih«
, ' Accès
i^jf oli^U
Mulakat, gueuruchmé.
^^Accession
Ua)
Rizà.
^ Accident
*«^U ol»^^A»iâlj
Vakaà, zouhouràty aryz;
"^ Accommodement
^\
Tslah.
^ Accord
-4^ a>\ jun
Ittifak, ahénk, moukavè
' Accouchée
'vcoy»}*-:^^-
Lokhossa avrét
^ Accoucheusjs
> •
Èbé.
Accumulation
•
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Térakum.
«# Accusation
1
Itthàm, isnàd, chikiayé
Acheteur
Mouchtéri.
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Poulat, tchélik.
Acte
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Fiil, kiar, senèd.
^^ction
|iT-*-»^tM*
Fiil, hissé, sehm.
Adam
^lo^r-;*»-
Hàzréti adem.
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Zamm, yékun, ilavé.
^Adieu
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Nézarèt, hukumèt«
Tahsin, téadjub.
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Bulough.
Ibadët, sédjdé.
Héharët, unvan.
Hudahéné.
Zina
Nikbèt, félakët
Tévazou*
Masiahat, iche.
Mouhabbèt, ^méîL
Yafta.
Tasdik.
Kédèr, élèm.
Tahkyr, ar.
Sinn , Yache.
Vékii , faïL
Yztyrab, harékèt.
Kouzou«
Gopdja.
Hudjum, saylet.
Tchiftdji.
Ziraat
Yardym, ianet
Dédé, djét
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Aigrette
^^ Aiguille 1^ n./- ^_
^^ Aiguille de cadran
Ail
Aimant wi-^l^t^
Atné
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^^Airain
isance
AjoumeoiMit
Ajustement
^^Ichimie
^.^Icbimiste
Alcoran
Alcyon
Alêne
Allée
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7
liées et venues
Allégorie
^^Uégresse
..' Alliance
^^^llumelte /
^"Allure
^ 'Allusion
JU»^ J.j2«^lKàra-koucbe, karUi.
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Sergoutch , tqhélQBk.
Ekchilik.
Ikné.
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K|ina|(t bal.
MÎlLnadis, achyk, : '
Beuyuk kar-dadie
Hava, rouzguiar*
Pvindj.
Kolaylyk, yous-sat*
Tjfekhir* * ^
Ziynety duzen.
KImya.
Kimya guer.
Kouran.
Marty kouchou.
Béz.
Aghatchlyk yoU
Guélich guidiche
Kinayé, istiaré.
Sourour, férah, chenUk.
Ittifak, mousihéret.
Kibrit
Gfuidiche, tavr.
léia.
Imaiiach A*^^^
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Takvim.
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Âlar.
louette
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Tchaïr kouchou.
Itération
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Ghamm, ghoussa.
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Tarikh, yékayi.
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Damla, nouzonl.
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Ispélchiar, ézadjy.
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Mouhabbet, irlibat.
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Bérber.
Foutchy, varoul.
Tchorab.
Témel, esas.
Léguen, havouz.
Djenk, mouharébèé
Pitche, vélédi-zinat
Kayik.
Guémi, bina»
Damad,
Enichté.
Kayin péder.
Guzellik.
Yalova kouchou.
Tchapa, kurek.
Guélin.
Kayin ana.
Baidyz, gueurumdîéiL
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Rouglian , sadé^
Kutubkhané.
Eïoulik , mal
Husnu-hal.
Eïoulik , ihsan.
Edeb.
Kh^ïr khahlyk.
Djévahir*
Safra.
Tézkéré.
Hékbé , torba.
Katran.
Byâzlyk.
Boughdaï.
Yara.
Mouhasëré,
Ghiché,
Eukuz.
Koutou.
Khoumbara.
Sabah khaïr.
Âkhcham khalr«
11 —
Bosphore ir {*'-']
Bosquet
Botte »/
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Boucher «Ai^«/U- t
Boucle
Boucle^d'oreilles
Boucte de^cheveux
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Boghaz.
Orman.
Djizmé.
Aghyz , dihan.
Kassab.
Halka.
Koupé.
Kakul.
Kalkan.
Tchamour.
Balmomou.
Hachlama , seuyuche.
Lapa.
Et souyou.
Tiftik.
Djèllad.
Kissé, sourré.
Pousoula.
Oudje ' , kénar , nihàyèt<
Chiche , surakhi.
Dukkian
Kabardjyk , dukmé »
ghontché.
Ilik.
Bilézik
Dal y boudâisL.
— I4|
Brande
JV
Tchaly.
Bras l^u.^-^i.f
J^
Kôl.
Brasier
J*-*
Uankal.
Bravoure
^b^V: ^^.
Iguitlik , béhadyrlyk.
Brebis /^ /j.'^ . tj.
1 V«
Koyoun , gbaném.
Bride
MjCl-» ^»;
Bachiyk , dizguia
Brigand
J}Ju>.
Haïdout
Brique
^f ^^
Toughlà y kèrpitche.
Briquet
^iU
Tcbakmak.
Broche
Chiche.
Brocoli
Ai o^î
Kara lahana.
Broderie
Nakche,
Bronze
• •
Toundje , pirindje.
Brosse //•i'v'^^i^
>-j>
Fourtchà*
Brouillard Iji^^
CU^ uis»
Pous , Touman,
Bruit u%*%Jà^
^^J^>. <L^
Ghamala , havadiz.
Buisson -^ f «M n^
jC j JU
Tchaly , dikén.
c.
Cabaret
Cachet \^T
Cadavre
Cadeau
74u-f
r
Meïkhané
Jt*
Mouhur.
ii.'i
Lachè.
m
Hédiyé.
13
Cadi
Gadilasker
Caille ^>*^»^<-f-y
Caisse i^o^a^y
Calcul fi- 7-
Caleçon
Calendrier ày^^^^
Camarade t^07^
Camelot
\:ampagne ^/^
Canal ft'^
Canard (^^^^y
Canif . ^7^
Ganelle
Canon f)-<^*f'^--^'-yf^
Capital H-^ Jï^^i^^
Capitale
Capitulation
Captivité Jj-j^^^fH
Carabine /^^^^ Ch
Carême ^ ^^^^^^
Camayal m
Carotte s
Canari
Jk?> ê^ à^^*
f
Kady.
Kasiaskér.
Kahvé , kahvé khané.
Bouldrdjin.
Sandouk.
Hisàb.
Don, Dislik.
Takvim , rouznàmé.
Yoldache, arkadache.
Gbàli.
Keuï , séfèr.
Olouk, khalidje , boghàz.
Eurdèk.
Kanarya kouchou«
Kalémtracbe, tckaky.
artchin.
Tok
Sermayé.
Payitakht^ makàrre-bou-
kumèt.
Ahle , kavK
Essirlik.
Karabina.
Pérhiz , oroudj.
Et késimi.
Havoudje.
14
Carosse
Carte f^.}, jih^^^'^^^J'-^^^^'
Caserne ^ a ^\a^J^-^
Casserole p^fJ^hrf^
Castagnette
Castor
5UJ
•*
V^
^^>^
Cavalerie
Cavalier
Ceinture
Célébrité
Célibat
Cendre
Centre
Cercle
Cérémonie
Cerise
Cerisier
Certificat A^i^ç/^'^
Chagrin y^/i ^ «^ rr"^'^
Chaîne ji^ ip J5^/^
Chair
Chaise
^^
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*î^ ^}
' n
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I
A«L"jL^ Chahadètnamé.
j^
Chambre n/r*' W
Chameau ii s. * y
Chancellerie C^- ^t-
Âraba.
Moukavva , oyoun kà-
ghedy.
Kychla.
Téndjéré.
Zil.
Koundouz.
Atly askéri.
Atly, souvari.
Kouchak.
ChohrèL
Békiarlyk, tédjerrouteé
Kul, akhkèr.
Merkèz.
Dayiré.
Résm, àyïn.
Kiraz.
Kiraz aghadjy.
Dérd, Kèdér,
Zindjir.
Lahm, et.
Iskèmlé , Sandalié. .
Oda.
Dévé , djéméli éF '
Kanlchëlarya*
kà-
Chandelier ^/l"^^
Chandelle y^x/^
Changement t^ i^*v^ '^^--^b^
Chapelet
Chapitre 4//r»-^
Charbon h\ 5>w^
^ Charge p^>^
Charpeoterie ^yl4^/fjL-^J•^ s^'^J^^^
Chasse /v^
Chasse-mouche
b\j^ ! Chemdan.
^y ' Mom.
oVju Tèbdilat.
^«-j j Tèsbih.
cjL A-»i ! Fasl , bab.
jX" Keumur.
Jjbasseur j^^ i* h ^i
Ûiasteté
Chat
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plaigne i^ /Mffe'-/-^^;
yChateau Jfi^ }.^ jl^»-
H Tri
7 Cbaadière
Chaudron »k
Chauffage
Chef ^n. ^/.^
Chemin t** t/4?**~>
Cheminée 8 / *-^ y^
Chemise o %h "n /y
Cheval *^
Cheveu
Chèvre
Chien
u-i; tri--»
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Yuk , bar.
Dulguèrdjilik.
Âv, saïd, Chikiar.
Sinékiik.
Avdji.
Iffet.
Kédi.
Késlaiié.
Kala. hisar.
Tendjéré,
Kazghan.
Odoun. khatab
Réïs, hache.
Yol, Tarik.
Odjak.
Geumiek.
Esp, At.
Satche, kyl.
Kétchi.
4/ wJ^^M\ç, V^XÎL^-
Chirurgie
Chose /A-» —
Chou /L •jj^ T^
Choff-fleur jIm •^^^^**-y5^
Chrétien JL^/L w y-rA-^-^j
Christ fjh^^*^
Ciel /^^
Cimetière jf/rfl,*^^
Circoncisioii
Circulation
Cire
Ciseaux y/j ^^ ^
Cité V^-^l '■ U : -^
Citoyen
Citron j / 7^-7^
Citrouille
Civilisation
Clair 'h-'/i:
Clairvoyance
Classe f *s ^ ^^
Clef L^ He c^^i^
Climat 1 1} -' i^
Clou w
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Code
Coffre
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^l^ I DjérahHk.
Cheï , emr.
Lahanà*
Kamabit
Khristian , isévL
Hazréti Isa.
Gueuk , assnman > aénlft
Mézarlyk , kabiristaii.
Sunnët.
Dévr.
6al-momou«
Mikraz , Macaz.
Chêhir.
ChèhrL
Limon.
Kabàk.
Médiniyèt
Aydynlyk , zàhir.
Firasët , tëbessour. <
Synf , tabaka.
Miftàh , anakbtar.
Iktim, abou-havk.
Eksèr } tchivL
Donouz » khynzyr«
Ktnoun-namé.
^ ju^ I Sandouk.
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Coin <«< ^ > (
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Colère /♦"//'• /^
Colique h «^ ê^'/'
Collé
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Colomb»
Colonne
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Combat >^«^7V\^^ 4ijli^ v±^
Comité Gfh^r^^ «"^^•«s»^ u*J^
Commis ^ /••^J^>^/» v^jt
G[>mmission J^y^f^hC^.Jy^ tjo^
Compagnon Ç^/fn 4^ lSc^-^
Compas yu^y/jo cXIjj^j:
Complaisance /L-Z^A. ) *-yt^3^^J«^^
Compliment <^ *> ^f J; -^ ^l-r ^^^ r'^'
Composition | iJtJt ^^fj
Compte ^ *^'i/ —
Ck)ncitoyen
Concluakm
Concombre Jj^ ;t ii -^jP
Coiidition S^^i*^-^^^"! JO^ uIm^JU^
Ck>ndoléance «^>j'
Condoléance (le ttro dh): A*li*>j
Conduite i/h^ M 1 "^-^J^ ^
Keuché, bou4|ak«
âïva.
Darghynlyk , gh%»ib,
Sandji , \ëdja^
Toutkal , tchîrîehQt
Môktèb , mèd|Ua.
Guvérdjin, hanasBkô*
Dirèk , soutoun.
Dj^nky mouharébé»
Môdjlis , djémiy^t»
Tidjarèt
Ya^idjy.
Sypariche, m^ourîyàt
Ré6k , chérik-
Péfkiar , pergnèl.
Khatyr chynasiyk.
Ikràm, iltif&t.
Tèrkib , téélif.
Hiaab.
Hémchéhri.
Karar » nétidj4
Hyîar*
Haï .kéyifiyêt.cbart
Taazîyët
Taaziyët-nan)é«
Confédération
Conférence
Confiance vui^v^ C
Confidence
Confirmation
Confiscation
Confusion
Congé
Conquête
Conscience
Conseil ' jn -"-p ' -
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Consentement
Consolation
Consommation ^
Constance
Consulat f^
^.Mx*^ Uv
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Consultation
Contagion
Conte •^•^•v
Contestation
Contrat
Contribution
Convalescence
Conversation fL ^ *. si «^
Conversion
1 /
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f=,-1t * — -
lltifak,
Moukialémé , muzakéré«
Itimad.
Kéchèfe raz.
Tasdik.
Musadéré.
Ikhtilal , karychyklyk.
Védà.
Futouhàt
Chahadèt-kalK
Nasihat
Riza.
Téselli.
Itmàm , télèf , hani^'e.
Israr, sèbat
Konsoloslyk ^ chéhbén-^
dérlik.
Istiçharé.
Sirayèt.
Massai , hikiayé*
Mudjadélé, mubahésé.
Sénèd , kavl.
Virgu , téklif.
Ifakèt.
Seuhbèt
J^ Jl^V ' Tèbdil , taghyir. . ,
^ 1» —
Conviction
Convocation
Convoi
Coq l^ /^ ^"^
Corail
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Corbeau
Corbeille / h n/^Lf
Corde
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Corps \/w IX *w-^
Correction
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Sépëd.
Ip , balat.
Ghaytan.
Chérit.
Vudjoud, djism.
Tasih.
Fésàd.
Koursan.
Alay.
Kisvèt, kyyafèt.
Panbouk , pémbé.
Boyoun.
Rénk, boya.
Tchift.
Ghayrèt.
Tadje.
Kourièr ,f^oulak.
Harékèt , djéryan.
jLjp- JV^ Déliai , syœwr.
Coussin h^- ] j
Couteau «^--1/-^^*-/
Coutume ^ '^^(^ ; ^
Couvent
Couverture ) «^ S; >^Jf
Craie
Crayon ^V*^ ^^f^
Crédit ui^v** ^-M
Crème ^^jry
Cri
Crime A t / '^^
Cristal «^ ^ v ^ ^ 7 /
Crocodile
Croisée
Croissance
Grotte
Croyance
Cuisine [^ *■ ^ *"^^J>
. Cuivre
Cupidité
Cyclope
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Yaadyk.
Bitchalc.
Acièt.
M^nastyr •
Eurtu.
Tébâchir.
Kourchoun kaléniL
Itibar.
K^ïmak.
Sè9 , séda.
Gunahy teuhmét.
Billor.
Timsah.
Péndjéré.
Nôchvou-néma.
Tchamour,
Itikat
Moutbakh.
Bakyr , nuhas.
Tamakiarlyk.
Yéiktchéchem.
1-- .'v?-
— 21
D.
Damnation
Date /?--f-"4 è>"
Débat (jti^^^M^^^P-^A^\^t^j
Débordement
Début
Décadence j^^ v
Décès
Décision y^î/^ «^t/i >î^>»'«^ J-^-i i^
Déclaration )^JT^ /^
'#^e>.
Défense
Défonce
Défiance
Défilé
Définition
Degré *h** y/
Déjeûner 4^*, L .^ '■
Délai Uji^i J^ e^L^Jk^J ^2Àfj^
Délicatesse ^t^M»*'
i\
îAo h\ ^v
Délice
Délivrance
Déluge
Demande tt , >V
Dématdie
Azap.
Tarikh.
Niza, mu4jadélé.
Tougbyany-ma.
Bédayèt , bachiangbydj.
Inhitat, douchkunluk.
Eulum, \éfat.
Heukm , faysal.
Ilan,
EBmayèt, sahabèt
Hurmèt riayét
Vésvésé, aadémi«itimat,
Dar yol , derbénd.
Taarîf,
Dérédjé.
Kahvéalti.
Mèuhlét.
Nézakèt, zérafét
Lézzét«
Khélas.
Toufan.
Rédja, istidà.
*l^jj^\\\itU^\)LÔM^ ^\ûî^^^-
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Démêlé
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l^yz, kérimé.
Gheïtan , djin>
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Méékulat , :çékhaîr.
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Kidiche , azimét
Tahrirat.
Masraf , khardj.
Emanét
Inhizàm, bozghounlouki
Béliyé , félakéf
Taarif \ tafsil.
Tcheul.
Firar , katchkynlyk.
Emél , arzu.
Itaatsyzlyk.
Kharabiyét, huzn.
Nizamsyzlyk;
Niyét , mèram.
Bakht, nasib.
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Difficulté
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Dimention
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Discours
Discussion
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Distance
Distinction
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Diversité
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OUaJ. Cheïtan.
Elmas.
Loughàt
Perhiz.
^Uah , Kbuda.
Fark.
Gudjluk, sououbët
Ilazm-taàm.
Istihkak.
Vusàt , kyta.
Takiil , azalmak.
Hind-tavoughou.
Idaré , nézarét.
Sohbél, kèlam.
Moubahésé, muzakéré,
Messafé . ouzaklyk.
Fark , imliyaz.
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Périchcaniyèli-zihn.
Ichghàl.
Ikhtilaf.
24
Document
Doigt ^AIv-^s
Domination
Dommage Jjf^h
Dorare ^^/^^^^'Q f/^
Dot g ?/*yN
Douane «/Ù./i,^Y
Douceur jp^^)f^^
Douleur «-{Jt^^T
Doute "Y^^^^)
Douzaine /'L Ç^^-^
Drachme yv^^^'*^ rT
Dragon vf \ \ *?-""- ?
Drap ^ .V )t--j
Drapeau
Droiture
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Echecs
Eclair /-'V. • /
Eclat ^f^^jt\.
Eclipse de soleil
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Sénéd.
Parmak.
Hxikumét
Zarar, ziyan.
Yaldyz.
Djihaz.
Gumruk.
Tatlylyk, hélaTét.
Aghry , védja , ghàtn.
Chubhé.
Désté.
Dirhém.
EJdèr.
Tthoka.
Bàïrak , alèm , leva.
Hàk , insaf.
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Sou , ma, ab.
Noumouné , e'umèk.
Satrandj.
Chimchèk.
Pertèv , ziya.
Gun toutoulmasy, kus-
souf.
Eclipse de lune
Ecole T' ;/• **;>
Écolier > *^/« < «v**^ '^'"
Economie L -**-y »/' ^»-; Pf-^j"^
Ecritoire
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le
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Ecriture W^jr»
Ecrivain -j n**^M^
Ecurie Ui^fi*^ —
Educalion y-»w t- y^xA
Effet {^/t/f^^
Effroi l'K'^ . i«fT «
Egalité ^^ '».^ ■- «^ «» '«:;»'>»' fcl,L,injj,LJd!,
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Eglise ////.Js^
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Elision
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Eloque&ce.
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Ay toutoulmasy» khous-
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Méktèb,
Gbiaguird.
Idaré.
Divit , murekkéb hok^
kasy.
Yazy.
Khàttàt , yazy khodjasy.
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Akhour.
Terbiyé.
Esër , nétidjé.
Korkou , vahchét
Bérabériik, tessavi, mu-«
eavat
Kilissè.
Inaniyèt , bénlik.
Indkhab.
Fil.
Yuksèklik , rifaàt.
Ghaguird.
Haef.
Médh , sénà.
Ouzakiyk , boud.
Bélaghat 9 féssahat
Zumrud«
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Eraigralion Û^J ilr
Empereur : i^n/ii» *^/>f^ jj^l/^l
Empire T i^vv i «* /^
Emploi
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Encouragement
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Endroit rf ^
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Enfer ^^c/ Y"*
Engagement Jr ^*^/
Enjouement
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Entêtement
Entremise
Entrevue
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Epaule K V ♦^
Epidémie
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Epine
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Epousée • V *** K^
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Téï^ki^yatîin.
Impérateur.
Dévlét.
Istimal , mansyb.
Mézàt
Téchvik,
Murèkkèb.
Murèkkèb hokkasy , di«
vit.
Mahal , yèr.
Tdiodjouk , éviàd.
Ojéhennèm.
VaàdySeuz, taàhud.
Chénlik.
Duchemèn, khasm«
Inad.
Vagsyta, tévassuth«
Mulakat.
Hassëd , arzu«
Omouz , deucbe.
Illéli-sariyé.
Ispanak.
Dikén , khar.
Tarikh,
Guéline, aàrous.
Ja\ ^j^|Zevdj, éhle.
27'
Epouse Ifj^^
Epreuve ^A
Equateur
Equilibre
Equinoxe
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Escadre
Escadron
Escalier ^fr^lJ^^L^
Esclavage ^l'T^^f ^
Espace ^jy^^J
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Espion (^ > A "^
Esprit Jfr^ ^
Estomac f^'-y^h^^f'
♦V
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Etat
Eté ^ c/ ^*t *^
Eternité
Etoile Im ^ "Ht
Europe r^f^^^'^-^
Evangile u^
Evénement
Eventail ^/>v(Ut*
Evidence
Exactitude
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.«I . «•
Halilé, zévdjé.
Tédjroubé.
Khatti-istiva.
Mizan , mouvazéné.
Tésavii leIou«nihar.
ylandjyk.
Donanma.
Souvari beulugui.
Nérdiban.
Esirlik,
Afusafé, aralyk.
Uumid.
Djàsous.
Rouh , Zihn.
Miidé.
Kalay.
oJjj C^f^ Hal , kéïfiyét , dévlét
^ jl Yaz , séïf.
L^x\ Ebédiyèt.
JU. jJJb Yyldyz , talie.
Evropa.
Indjil.'
Vakaè, hadissé.
Yèlpazé.
Bédahat
Dikkàt
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.Exagération
•
Moabalighé.
Examen
oi^i ,j^-
Téftiche , imtihan.
Exception
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Istisna.
Excuse / ^ y^""^
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Itizar , euzr.
Exécution ^
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Idjra.
Exemple (TH^^
Ibrèt , eurnèk.
Exemption
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Exercice i^j^^^"^^
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Taàlim.
Exigence
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Iktiza.
Existence
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Voudjoud , varlyk.
Expérience
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Tédjroubé.
Exportation
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Fable <^»^
Facilité U'tC
Faculté l^-jr^\^^Y^'-
Faillite
Familiarité
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Famine
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Fanal /-^ *J*v)-^
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Fanatisme
Fantôme
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Messèl, hikiayéti-kiazibé*
Souhoulèt , kolaylyk.
Kouvvét , koudrét
Iflaz , mufluzluk.
UIfét , téklifsislik.
Ehlou-éyàl, fanûlya.
Kytlyk , kaht
Fénèr,
TéassouK
Khéyal.
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Fardeau
Farine Aa (A- ^
Faste
Fatigue ^f^*j ^*^
Fausse-moofieîe ^
Faute ^-^^^-""'^
Fécondité
Fédération
Félicitation
Félicité
Femelle ^^
Féminin
Femme
Fenêtre ^
Fer ^7/-^'^
Fer- blanc 7"/^ V^/^^
Ferme
Fermeté
Férocité
Fertilité ,
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Feuille V-f^^
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Fierté C «^ ^^ a, r^^ ]^
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Oun , dakik
Onvan , ihticbam,
Yorgounlôttk.
Kalb akdjé.
Sehv , khata.
Bérékèt
Iltifak.
Tèbrik.
Ikbal , saàdét.
Dichi.
Muénnés.
Zèn . avrét.
Péndjéré.
Timour.
Ténéké.
Tchifliik.
Sébat, métanét
Vahchét
Bérékét.
Ziyafét.
Yortou.
Yaprak , yérak.
Bakia.
Sadakàt.
Kibr ^ fodouU$y\^«
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Fièvre
Fièvre tierce
Fière quatre
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Figuré
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Fil de coton
Fil de chèvre
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Fils H*^ S^
Petit-fils
Beau-fils
Finances
Fiole
Flageolet
Flambeau
Flamme flf- ^
Flanelle ^'t-- m'
Flatterie ^»/'
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Flegme
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Florence
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Hararèt , humma*
Hummaî-musellésé.
Hummaï-murebbéa.
Hummaî-mouhriké.
Kinayé/istiàiré.
Iplik.
panbouk ipligui,
Sof ipligui.
Agh.
Kyz , Doukhtèr.
Férsént » oghouL .
Toroun, hafid.
DamadL
Emvali-miriyé,
Sourahi , chiche.
Duduk^
Méchalé.
Alèv , cheu^e.
Fanéla.
M udahané.
Afét , béliyé.
Ok , tir.
Balgham.
Tchitchèk, choukufé.
Néhyr , tchay.
Djanfés.
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Flot ^(if
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Folie j^ ^V ^v >fcf
Fonction
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Force - jP/^ »• v^^A-^
Forêt iA>î
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Fortune ^•^^v:
Fossé
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Foyer
Fraîcheur ^ .» . ' i^ /^ K-
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Fraternité
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Iman , litikàt , dine.
Zalflyk , zébonnlouk.
Délilik.
Iche\ mémouriyét.
Esas^,;témèl.
Tchéchmé.
Kouvvèt , zor.
Orman.
Sonrèt , chékl.
Istihkiam.
Bakht.
Khéndèk
Chimchèk , bérk.
Zéhamy-nas, izdikham»
Tchatal.
Karyndja , mour.
Odjak, vétan.
Sérinlik, tazélik.
Tchilèk.
Fyransa.
Oukhouvèt , kardachlyk^
Firkatin.
Guém.
32 —
". ••--
Froideur
Fromage ^^•^^JiJ^p
Fromçnt
Frontière
Fruit TfT*^-^
Fusil ii,,^^
ojj^ c3%^ Sovouklouk , broudéL
je- Paynir.
^Ijl^j Boughdaï.
mi^ J^>i^ Sérliat, Syneur.
ê^^ *x Yémiclie, mèïvé.
^iL:i; Tufénk.
G.
Gabriel
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Gage c^
Gaité
Gant jf^^"'"J
Garantie
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Gardien
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Gazelle (J^
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Général
Génération
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Djëbraïl.
Emanët, rèbn.
Sourour, chénlik.
Eldivén.
Kèfalét.
Békdji.
Burundjuk.
Ghazétà.
Tchimèn.
Damad
Djénéral
Nèsl, zuriyêt.
Djeumèrdlik.
Muhéndis , firasét.
Diz,
Djins , nev.
33 —
Géographie *.^ .^^^|,^/.^c^Lil>>.
Germe J^
Girofle
Glace ^'*%i(\***\ •^1'""
Glaive
Gland
Globe
Gloire l^i^ » t »> p-
Golfe J. >y^ ^
I • • ••
V
jf^ /? A-
Goudron
Gouffre
Goût
Goutte y^j^
Gouvernail ;/j^
Gouverneur y 1^ . ,,. ^/u,
Grâce q -^y C
Grade
Grain
Graine
Grammaire vf-^, « ..< u. * >•
Grandeur t-rl ,-J \ i-'7
Grappe /7'j^l^, ..,
Gratification ^
Gratitude
Graveur
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Djéghrafîa.
Tokhm.
KaranfiL
Bouz, tondourma.
Rlydje , séïf.
Palamout
Kourré.
Chan , cheuhrèt.
Keurfèz.
Katran.
Varta , khafré.
Mézak , lézzét, hévës;
Damia, katra.
Dumén.
Mudir, zabit , muàllim.
Loutf, inâyét.
Dérédjé, routbé, payé.
4^1 j Dané.
Tokhoum,
Sarf-ou-néhv.
Âzamét, beuyukiuk,
Salkym,
Atiyé , bakchiche,
Chukrani-niimét
Hékkiak.
C3^
— 34 —
Grenade
■
jLj
Nar.
Grenouille
Griffe
. 1
Kourbagha.
Péntché.
Gril
'
Iskara
Grille
ii)^À
Parmaklyk.
Griotte
-
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Vichné.
Groseille
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Vrénk-uzumu.
Grotte
•>•
Magharé.
Grue
^0J^
Tourna.
Guérison
Guerre * -
Ifakàt.
Djenk , séfèr.
Guigne
J^J
Kiraz.
H.
HabUeté
Habillement
HabiUté
Habit (w^Jk^tt-y
Habitation t: '»=//' /
Habitude f « r >/ 1« ^ ^
Hache
Haine
Haleine . , ' v. < r
Hardiesse *■
« *.
J
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Méharët, ébliyér« liyakat.
Esvàb , rouba,
Istihkak.
Rouba , libas.
Méskén.
Adét.
Balta.
Kin, néfrét
Néfès.
DjèMrét,
Haricot j^*» -* •</ +3 ^^ 1
Fassoulya.
Hasard
•^
Bakht.
Hauteur ^^/y^..-/»
•'TaiOS; oij
Rilàt, yukséUik.
Havre
^^ OU"
Liman , mérsa.
Havre-Bac
v>
Tobra.
Hémisphère
Nysfy turré.
Hémistiche
Hémorrhoïdes
tu-
HisriL
Majésyl.
Héraut
jvj ^^i-^
Hunadi, déllaU
Herbage .
Herbe / '> y
Herbette fi- &^;</j
Hérédité
ZébzévàL
OU
dipi
Yéchillilc.
ilj- Ojjt
Ersiyèl, miras.
Hérisson
Hermine
Heure ^.
■ 4/
Kirpi.
Kakoum.
Saàt
Hibou 'fyj'tx
J-J^i
Bayiïouche.
Hippocrate
j,l>.
Botràt.
Hirondelle
^y îf ^^•
Kyrlanghydj-kouchou.
Histoire S-. :•■ j. /'
■•■ ■ V-
Tarikh.
Historien
Or
Mouvérikh.
Historiographe
u-ii"*'
Vakaà-nouvis.
Hiver ]•} '-
llijj
Kyche , chéu.
Homard
jyt-l
Vstakoz.
Homélie
ïp,
Vaaz.
Homnngs
Ov- 0.0.1
UaM ,V!SKH>fe\.
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Homme f/ /a |v^
Honneur ^"r <m ^v^-
Honte ^ "^^op
Hôpital Çt
w-uJ-t--^^"^-
V
— 36 ~
iX^ cr>*w (j^u^
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^1 ^IV»^
Horizon tr/J'i, '■ •
Horloger ^ ^ *<t t^f A/J
Hospitalité A/v./^..(^>» #- ^^J^Uf>
Hostilité
Huile f/^X.
Huilier /-^ * '(/ v^*^
Humanité ^ ;♦, .. v /^
Humidité /ma c»*.
Humilité
Hydropisie
Hypocrisi e
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Mo>j ^J^l:
t.?-^^ ç^iy
Er, adém , insan.
Irz, namous , chan.
Âr , hidjab , chérm,
Bimarkbané , khasta-
kbané.
Dàïréi-oufuk, oufuk.
Saàtdjy.
Mibmannévazlyk.
khousoumét, duchmén
lyk-
Yagb.
Yagh-kaby.
Chévkét, insaniyét
Yachlyk , routoubéL
Tévazou , khouzou.
liLi^l jlstiska.
a:a\ jl* L j 1 Rîy» 9 mudahéné .
I.
Idée
i
i^. ^ ^"^^
I/m.
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Idolatrie j»* »^ «7 •'••?';' »*
Idole j K- K i
Ignominie
Ignorance ^l J ' ,, ,; ': :[
JLi ■ Khéyal.
^^''^'>li^jC^, Butpéréslik.
Ji^ O Bout , sanëm.
CJVjj Rézaléf
/ô^\Ji d||l*U Djahillik , nadanlyk.
k
Ile
Illumination
Illusion
Imitation
Immodestie
Immunité
Impartialité
Impatience »-^^ ^^/fy
Impératrice
Imperfection
Impétuosité
Impiété
Impolitesse >--^*^ -^
Importance i
Imposition
— 37 —
.V .., ^
•
Impossibilité i-iLj, /./<■. />. ' ûlCl ^Oiï
Imprécation
Impression
Imprévoyance
Imprimerie ^ -^i.'^^^-p. •
Imprudence u.i.J^H ('
Impudence
Impuissance ; ' -. itk ^:
Impulsion
Imputation
S
1
J^.J ^.-^"
Ata , djéziré.
Kandil-donanmasy.
Vèhm , khéyal.
Taklit.
Arsyzlyk.
Mouafiyèt.
Figbarazlyk.
Adémi-tâsabbour, sabyr
syslyk,
Impératoritché.
Noksaniyét.
Chiddét, khiz,
Dinsislik*
Khoriadlyk.
Ehhémiyét.
Tèklif , virgu.
Adémi-îmkian.
Laânét, bêt-douà.
Tééssîr , basma.
Adémi-ihtîyat.
Basmakhané, tabékhané.
Akylsyzlyk,
Arsyzlyk,
Adjyzlyk.
Tahrik , ighva.
Incendie 4<'/^^
•^ ôi-/*-
Harili, yangkjn.
Incertitude
jj/i^
aubhé , téréddud.
Incident ■j--^ »(. /
Inctination
"" *-lj
V.ca».
O/j jlju:-! J^
Mén.islidad, mknii.
Incommodité
CJÏC*.j
Zahmêt.syklét.
IncoDslance
^^ja-^^
Adémi-métanét , oynak-
lyk.
Inconvénient
c^jji*
Hahzonr, hndjnét.
Incorporation
jU.\ .j>,^
Zammon-ilavé, iDiak.
Inculpation
jU-I l>i\
Iftira.isnad.
Indécence
>iH>jji
Edépsislik.
Indécision
■"J
Téréddud.
Indemnité
M!»^
Tazmin.
Indépendance / W/ ■'-
J511L.1 .1^^:
Sérbésdyêt.islikM.
Indigence
*»li_;»
Faltr, ftlta.
Indisposition
>*-¥
Kèfsislilc.
Indulgence
«£!_.
Mussaméha.
Industrie
>* Ojl^
Méharit, hunèr.
Infamie
^i-jj-j
RonsvàTlyk.
Infanterie
^£/le«U
Piadé-asliéri.
Infection
C->i»
Oufounèt.
Infidélité ,^. . .
'cJU-^Io-I^
Adémi-sadaliat , khianèt.
Infinité
^J^^J'3
Véfrèt.lcésrèL
Inflammation
i\^\
Ichtial.
Influence
;t:
Téésir.
Information
J*»-
Khabér.
39
Infortune «^kx /^*« -^ • •--
k' ' ^
V.
Ingénieur JJ^^ u, >^^ *•>
Inhumanité ff^^^f^
Inimité
Iniquité
Injonction
Injure
Injustice
Innocence ^■^•r ^ »* /^^
Inondation
Insouciance
Inspection
Instance
Instant ■;/'''{^'jn} — *
Instruction
Instrument y ;t -, j //^
dll>Jii Bakhtsyzlyk.
^jl:^ Muhéndiz.
Insaniyëtsislik.
Ducbméniik , khousou-
met
^^^
y
Insulte
Insurrection
Intelligence/^^ «^ v \
Intention
Intercession
Intérêt \^- C
Intemonce
UvjL»i» ^^-je^ll»y-d
«• M
^\^
I
1
Zoulm , taaddi.
Ténbih.
Chètm.
Zoulm, taaddi.
Bérati-zimmèt , sadé dil-
lik.
Soutachmasy, toughya«
nima.
Ghaflët.
Nézarèt
Ibram , ilhàh.
Dakiké.
Taalim térbiyé.
Alèt.
Béd mouamélé.
Issyan, zorbalyk.
Âkl , idrak.
Méram , niyèt,
Chéfaàt.
Maslahat ménfaàt.
d^^ ^^3
\ Orlailldvv.
^
- M —
Interprète/**-^ A-
- . cu,j
Intervention
^^y 1 TévessDt.
Intimité
Kf lUilj Habytaî-ka^yt.
iDtrigve
f^ AlltjFîtné, Tessannon.
Introduction
Invaàon
Cjy» jy^ j Hudjoum , saïlèt.
Inventaire
>iJwto.
Invention *fi^'^/\».
^-^- J^\
I4'ad.
Invitation (/•^f'-f-y^
oy=j
Daavét.
Ironie
i^iji !>.l
btihza , zéfliléiim«.
Irréligion t^U^*.*^P
Irrésolution
4>J;^
Dinsislik.
Adémi-karar , téléddlld
Irrévérence
Adémi-hurmét.
Islamisme
Islam.
Israël
taayéL
Ivoire
^-J:i
Fil-dicbi.
Ivresse
Ô'^J'J"
Sirkhochelouk.
J.
Jacinthe
Jalousie c,.^/,.,
.,A,v.-
Ci<) -"-^ t^jt
Sunboul.
Kyskanma, hassèd, ré
chek.
Jambe ,, .^
^
é^.
Badjak.
41
Jardin VV^A»
Jardinier •y*H/*7xA ^
Jasmin
Jérusalemy //i > ^'
Jésus Christ Jp^/^ A
Jeunesse ^/ y» u, - ^»« /»
Joie H^^*/^^^ i»- P4
Jonquille
Joue
Joseph
Jouissance
Jour (^^
Jouteur
Joyau
Juge CA-^H.» «7 vu,^
Jugement , ,
Jument
Jupe
Jurisprudence
Justice u»^-'«^y^v*i
Justification
#tr*
fh.
jjij^ ,3>'
• •
i.>^J i&^ jM
Raghtché.
Baghtchéban.
Yassémén.
Koudsi-chérif.
Hazrèti Issa.
Guèndjiik, chébab.
Sourour,
Foui.
ff
Yanak , roukhsar*
Yousouf.
Tassarouf.
Gun , rouz.
Djanbaz.
Djévahir.
Hakim.
Hukm.
Kysrak.
Fistan.
Fykh.
Hak , adalét
Tébériéî- zimméL
H —
K.
Kan
Kangiar
Kermèft
Koran
OU Khan.
Rhantchèr.
j,j^ Ryrmyz.
jLJ Kouran*
L
Labourage <^A^ <^a/.|4>*^?»^ ^^\j^
Laboureur v^*'?^*^^/!^
Lac ii ^
Laideur
Laine
Lait /ih fi
Laiton
Laitue
Lampe j k. ôA/
Lance
Lancette
Langage ^'^^'^^j^/v^
Langue (^ A î^
Lanterne ws v v /t^
Lapin V'*- J^^/"**
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Ziraàt.
Tchiftdji.
Gueul 9 Boukhaïra
Tcbirkinlik.
Yun , yapak.
Sud.
Pirindj.
MarouL
KandiL
Mizrak.
Nichtèr,
Lissan , diL
Dil.
Fénér.
JLijlLAUlAta tavchany.
48-
Laquais
Large //^ ^a^>^/^^ —
Largesse
Larme U4/i^p^^y
Larron
Lassitude
Laurier
Lavement
Leçon ^-^*» <*
Lecture ^^p/^^ /H^--^ — '
Légalisation
Légation
Légèreté
Légion
Légumes pu^Ji/^ f^h
Lenteur '
Lentille
Léopard
Lest de vaisseau
Lettre â}<^
Levain
Levant
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• l • • •
• 9|
Levée
Lèvre i^^f^Y^j
Lévrier
V
M
Kbydmétkiar.
Ârz, énlik.
Djeumérdiik.
Gueuz yachy, échk«
Khyrsyz, sarik«
Yorgbounlouk.
1 Défné.
Ibtikan , hokna.
Dérs.
Kyràèt
Tasdik.
Séfarèt.
Rhaamk.
Beulùk*
Sébzévàt.
Agbyrlyk. bétaèt
Mérdjimèk.
Raplan.
Safra.
Méktoup, barf«
Mayé.
Mécbrik, gunèche-togb-
doughou yèr.
TahsiL
Lëb , doadak.
j\:\Ta*Y
— w
Liaison
O^U. Aiailj
Babyta , minasibèt
Libéralité
Libération
Dfeumérdiik.
Ibra.
Liberté
Libertinage
Libraire
^ULj^^ Sérbéstîyêt.
J»-U Cjj-J^J^^i^ Ich-ou-ichrêt, ibàhat
ciU^ Sahhaf.
Licence
ôj\ vl*--A>-j Roukhzét , îzn.
Licou
Liège
Lien
Lieu
Lieutenant
Lièvre
Yoular, Bachelyk«
Mantar.
Bagh , rabyta*
Mahal , yèr.
Kaïmékam , vékiU
Xavchan.
Ligne
Ligne droite
Ligne courbe
Khatte, satr, saff^ airi.
fihatti*mustékim»
Khatti-munhani,
Ligne paraliëte
Ligne perpendiculaire
Ligne circulaire
•1 - 1 •
Khatti mutévazii
Khatti-oumoudi.
Khatti-mustédiré.
Limaçon
Lime
Limite
Sémuklu-beudjèk,
Dourpy , égué.
âerhàd , houdoud , sî-
neur.
Limon
Limonade
Linge
Limon , kil.
Limon cherbéli.
$éz y tchamachyr.
Lingot
iS-^A-f
Keultché, sébilié.
Lion
ùiji
Arslan.
LioDceau
jSJJjlj^-jl
Arslan yavrousou
LiquidalioB
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Kati-hisab.
LiiU
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Déftèr.
Lit
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Vatall . deuchèk.
Livre
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Localité
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Hahal.
Locution
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Talbir.
Logement
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Konalt.mésltèn.
Logique
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Hantylc.
Loi
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Kanoun , chéri.
Loisir
Ci} JU
Khali-vakt.
Longitude
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Tout.
Louage
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Eudjrét . Iiira.
Louange
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Séna, médh.
Loup
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Kourt.
Loupe
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Pértévjiz.
Loutre
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Sou samourou.
Loyauté
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Istiliamèt.
Lueur
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Lumière
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Zlya.aydynlyk.
Lune
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Ay, Itamèr, mah.
Lunette
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Madame
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Ânbar, makhzén*
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Sihir, Sihirbazlyk.
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Hakim.
Magnificence
1
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Mahométisme
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Dini-mouhammédi,
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El , dést , yéd.
Maintien
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Hyfz , éda , tavn
Maison
£v , khané , béït.
Maître
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Agha, sahib, khodja.
Maîtresse
AS^JLa* kI*lliA..>-L«
Sahibéi-béït , machouka
Maladie
vlJlAL-i. Khastalyk.
Mâle
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Malédiction
1
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Malfaiteur
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Bét-kiche.
■
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Jy<iM
Malveillance
Maman
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Béd'khalil;k,
Néné.
HameUe
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Hémë.
Hanche
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Sab, kabzé, yen.
Manière
Manteau
Manuel
Tarik, védjih.
Yaghmourlouk.
Médjmoua-
Manuscrit
Marbre
Marcband
El-yazjsy. \
Mérmér.
Bazirguiàn, tadjir.
Marché
Mal , métai
Pazar, tcharchou.
Marée
Mari
Mariage
j»t jTjj; Jji
Médd-ouKijézr.
Eodja , zévdj.
Eviénmé, Tézévvoudj
Tééhhul.
Marie
Maroquin
Hazréli-Méryém,
Sakhtiyan.
Marque
Marron
Nichan, icharét, ésèr.
Késtané.
Han
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Mart.
Marie
j^ ^ Samour.
Marteau.
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Maintien
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Maison
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Maître
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Maîtresse
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Maladie
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Mâle
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Malédiction
1
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Malfaiteur
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Malveillance
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Manière
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Tarik.védjih.
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Médjmoua-
Manuscrit
Marbre
MarcLand
El-yazysy. \
Mérmér.
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Pazar, tcharchou.
Marée
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Médd-oa-djézr.
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Téëhhul.
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Maroquin
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Sakbliyan.
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Nicban, icbarél, ésèr.
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Matelas t-uVA^j^^L-^
Matelot Q/u^^ u-w^A..^
Mathématiques
Matière
Matin h^ *^ i^^
Matrice
Mauve
Maiime
Mazette
Méchanceté
Mèche
Mecque
Médecin
Médëdiie f^Ji'lf
Médiation
Médicament -^/^
Médisance
Méditfttbh
Méfiance
Mélancolie
Mèiée.
Melon «-^^
Mélon-d'eau
Méîong^nc
Membre «u u..,^^ ,.
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'Ajji Difèk.
4X»
Mindèr, deuchèk.
Gdémidji , méllah.
Odloumi-riyacié
Màddé.
Sal)ah.
Rahm.
Ebé-gumédji.
Kavli-sahih, kaîdé> f^.
A^jémi.
Yaramazlyk.
FitiL
Mekké.
Hékim , tabib.
Hékimlik, iladj,chérbét
TéVassout.
DéVa , iladj.
Mékémmèt, mélamèt.
Téfékkur, mutalaà.
Inatamamak^ vésvésé
Kara-sèvda , mérak,
Ghàvgha*
Katoun.
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jyji Kai^pouz.
ùU-jI Bacllîdjan.
Uai^l ' Aza,
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Mémoire I iâsU Cjy
Menace ^^m^«w(^ ^i^ ^U a^
Mendiant ♦•-/^**^^ J^'L^ ^->
Mensonge t- ^ - *-^ - s>>î o%
Mention jL 5^i
Menuisier t^ tvu, t ^^^ •'T^
Mépris
Mer <rW
Mer-Noire «-/^«S
Mer-Blanche S^^
Mer-RongeyC^
Mer-Caspienne /
Mer-BaltiquQ
Mer-GIaciale
Mer-du-Si)()
Mer-Adria^qnf.
Mer-Morte
Mère /^ /^
Mérite
Merle
Merveille ^m^ # ^
Mésintelligence
Mesquinerie
Message
Messie
Kouvvéti-hafyza.
T0hdid,ikhafé,korkeutmi
D^léndji, Saïl.
Yalan , kizb.
Zjkr, yàd.
Dpghramadjy.
j}^ CjJ1>- ï^karèt , tahkir.
;,<> l jj Diérya , déniz-
'X^J *U^ B^hri-sîyah , Karg^^i?^
^/i^\ JLi^^ Bfihri.sèfid. Afe^4ép»«. -
t£^->(>.-r r->^4/^ Bfhri.koulzoum, Souvéïf
dénizi
•
Bfihrï-hazéz.
Bfihri baltik.
Bfhri-mundjémid,
1
Bfihri-muhit, Djounaubî.
Vj^nédik-keurfézi.
B^hri-Ioût.
Vfilidé, madèr, ant.
Elîliyét , liakét-
Kâra-tavouk.
Â^jaïb.
Clfikak, adémi-itliftA:.
Tqhinkianélik.
Siparyche.
j j ■» •
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•■* -»
— 60 —
Mesure i^"^
Métairie
Métale v^^ vif /t
Métaphore
Méthode ^^^
Métier t-/» tf^ys
Mets y>?viw il -^x
Meubles /nv^vt^^/U^
Meurtre
Microscope
Miel ^'7^
Milan
Milice
Milieu
Militaire
MiUet
Mine
Ministère
Ministre
Ministres
Minuit //-*! iy/x^r^
Minute .^ / a t^
Mirabelle
Miracle
Miroir ^ i^i h >
Miséricorde
^^\ I Eultchu
.A
m
Tchiftlik.
Maàdén.
Istiaré , kinayé.
Ousoul , tarik.
Hirfët, sanàt*
Taàm, yémèk«
Esasi-béït, év takymy.
Katli^nèfz.
Pértévsiz.
Bal , assél.
Tchay lak- kouchou.
Askèr.
Orta , miyan.
Askéri.
Erzèn , darou.
Tchéhré .^'sima.
Vékialét
Vékil.
Yukialà.
Guicyé-yarysy.
Dakyké.
Erik.
Madjizé.
Aîné.
Hérhamét
5t —
Mission
Mite
Modèle
JIXel ^Ui\
J-uT
Mollesse f-**^ #»'\*»^ f~»— lililiy:
jj»»T« Méémouriyêt
Modération
Modestie
Modestie (par)
Modicité
Modification
Mœurs
Mois -^ ^*^
Moisson Ç*ï^ ^n
Moment '^^l'^fT^^
Momie
Monarchie
Monarque
Monde i^ aL «%j^
Monnaie «^^^tv^^Y^
Monopole
Mont
Monsieur *7 *^ /^-Sl.
Montre df^^^xÇ
Montre t^^swsf^»^
Montre à répétition *
Montée
Kourd.
Eurnèk. noumouné*
Insàf, iitidal.
Edéb.
Ragh mén-linéfsihi.
Kyllét
Taàdil.
Akhlalc.
Ay , chèhr.
Kharman-vakti«
YoumouchakIyk«
An , dakiké.
Moumya.
Hukuméti moutlaka.
Hukumdar , mélik.
Dunya, além, djihan.
Sikké , akdjé.
Yédi-vahîd.
Tàgb , djébèl
Eféndim.
Tagh , djébèl
Yokoucbe.
Eumék, noumouné.
Koyoun-saàty.
— ¥t
Monument
ÔJSJii>\j^jJ\ Vfièr, zémani*ka0imdéfl
J\oyi
kalan ésèr.
Moquerie
Ailiji \jfi.\
btihza, zëfklénmô.
Morale
F^ébiyàt, ad^p.
Morceau
Ppré, partcha.
Mort
^j\ Cy
Mévt , eulvim.
Mosquée
Mot ' Vt^
a^-ç.U
C^'ami , mésdjid.
Jiil CJà
Loughàt, lafz.
Motif
V^J*V^
Sébèb, moudjib.
Mouche
d^
Sinèk.
Mouchettes
yf^rr
Mom-makasy.
•
Mouchoir , --
^l
Ypghlyk-
Moulin
vW* à*-^
D^oirmén , asiyab»
Mousquet
di:i."
Tpfénk.
Mous^eliqç
•
Oplbénd.
Moustache
«3:1
Bwyik.
Moutarde
Jb>
K))ardaL
Mouton
0^ j Koynun.
Mouvement
^
Harékét.
Moyen
vW- ^^^
Orta. tcharé.
Mulet
>li
K»tyr.
Muletier
^>li
K^tyrdjy.
Munificence
v^>
Oi^Ioavvi'djénab.
Mur , ou muraille *) ^
^ .j\j.j
DWar.
Mûre
■>j->
Dqud.
Musc
.M .
Mbk.
is^
Muscade
Musique i#i « «^h^
Mystère
Mysticité .
w5jfr
,^ VM^'kXI/b
j\j,j^
Hindistan-djévizL
Môusiki.
Sytr , raz;.
Tatoavvouf.
N.
Nacre
C>JUd
Sédéf.
Nageoire
^li
Kabàd
Nageur
Datghydj , ghavvaz.
Nain
*^y:
Djudjé.
Naissance '^
c^V, J^>
Doghouche, véladét»
Naïveté
dJBj oL-
Sadé*dillilc
Narcisse
ôû t*** m:j3
Zérrin kadéh, zérrén»
Nard
ùCA;!»'
Nardin.
Narration ' . . / •
;• • ji» i^K»-
4
Hikiayét, naki.
Natal
j^*? o-ÎJ-i»i-^
Maska-our-réès, vatan.
Nation
Cl-
MilIét
Natte
m
Hasyr-
Nature
•*•
Tabiàt.
Navet
Chalgham.
Navire •-—
Guémi • séfiné.
Nécessité
vl-r^ r^'J
Louzoum, hadjét
NèOe
4«^
MoUchinuula.
Néflier
vrU» 4U^
. Mo\lc\2k\XiQ\:\Àr^'^^
Négation
jfâ
Iniciar.
Négligence
J-K JU»I
Ihmal , tébiasul.
Négoce
■'AiW' Ji/jJJ'
Alych-véricbe , tidjàrét
Négociant <
^C ùfâ.
Bazirkian. taàdjir.
Neige
i
Kar.
Nerf
S-
Sinir.
Netteté
di>-
Témiziik.
Neutralité
;fij^.
Bitaraflyk,
Neveu
•■''jj-'b: ijS?
Yéguén. biradèr-iadé.
Nei
ÔJJÎ
Bonroun.
Nid
•jjl
Vouva.
Nièce
^ J''-»^
Kardache-kyzy.
Nil
•M^ Jr
Nib-moubarèk.
Nitre
ib^
Guhértchilé.
Noblesse ..,_.
ilUJ-j^
Richi-zadélik.
Noce
J'j-'J»-
Sour , dugun.
Noé
Z.j^-r^
Hazréti-Nouh.
NcEud
.M^fj^
Dukum, onkdé.
Noirceur
>!:-
Siyalilyk.
Noisette
j-^
Foundouk.
Noii
j)^
Djévii.
Nom
.1^1
Issim , àd.
Nombre
M au
Sayi , adêd.
Nomination
tlftjO w-^
Nasb,ta&yin.
Nord
JUi
Chimal.
Notificatioa
jUl
Ikhbar.
56
Notion
^
Khabèr.
Nourrice ■ '
-i> L'Ijj-
Sudanà, Daîé.
Nouvelle
^\y
Havadiz.
Noyau
Tchékirdèk.
Nuage t-'
wUk- Jo^
Boulout, séhab.
Nuit ^
*JJ -ff
Guidjé , léïL
Numération
^loJ
Taàdad.
Obéissance -.
- J^lU\ jLii
Inkiyad, itaàt.
Obélisque
ô'^ J^^
Dikili-tache,
Objection
J^\j^\
Itiraz.
Obligation /* :v * /o-j
Farz. zimmét, médjbou
t
riyêt-
Obligeance
^U.>\i
Khaty r-chynazlyk •
Obscurité
Ott ^>
Karanlyk, zoulmét
Observation
Ju^j v1a*Uj Riàyèt , rassad.
Obstination
j\^^\ jUp Inad , israr.
Occasion
4.,^j il>^-d^i Foursét, vésilé.
Occident
i
^JiM cj;i Gharb, uiéghrib.
Occupation
ZJy^ ^j\ Iche . méchghouliyèt.
Océan «, *
^J:
Bahri-mouhit.
Odeur s ...
^iy ^jj
Raïha, kokou.
Odorat
▲«ls< oy
^ K.OUN ^V\-dûassscùfe,
- M —
Œil
Œillade
Œillet
Œuf H^ fh-T"
Œuvre ^tfy^
Offense
Office S-^h^j^Jh^
Offre
Oignon . ^ " /*
Oie /--tr
Oiseau ^ H^ /
Oisiveté
Olive Jf^r^yy^^^
Olivier //^:^^Ut_
Ombrage
Omission
Oncle ^ f^ll-yi
Onde
Ongle
Opacité
Opération
Opinion J^'^^'j^Àhf
Opium
Opposition
Oppression
Opulence
(^ ÙJ^ jjT
:^
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"A
6^>
^y AJU'j
Keuz, aïn, tchèchme.
Bakyche.
Earanfil.
Youinourta , beîza.
Iche , fiel , %iar.
Chètm.
Khydmét.
Arz , téklif.
Soghan.
Kaz.
Kouclie, Tâyèr.
Témbellik, ichsislik.
Zéïtoun.
Zéïtoun aghadjy.
Keurgué, sayé , vésvésé.
Noksan , kousour.
Amoudja , dayL
Dalgha , mèvdj,
Tyrnak.
Késafèt.
Âmèl.
Réï , zouum, keyas.
Afion.
Moukhalifèt.
Zoulm-ou-taàddi.
Sérvèt , zénkinlik.
Or h.*^
Orage t^*/^*tf/
Oraison
Orange Ha^^j^
Orangerie
Ordonuance
Ordre ^i%^.JLa^
Oreille tiX,_,„j,Ji
Orfèvre V*''^/>A:
Organe
Orge
Orgueil s "^ «vww^
Orient ^/i/— /^/-J^ jjop^ô/^
Ornement
Orphelin hj^e^
Orthographe
Os pi^ly*
Ostentation]
Ottoman Kxui^L-A.:-
Ouate
Oaest
Ouïr
Ours ws > -?,
Ouvrage y^^
)lvl'
— ST —
AUoun, zèr.
Bora . fourtonna.
Réiam , doua.
Portoukal.
Limonlouk.
Emr, nizam.
Ténbih. térlib.
Koulak , goche,
Rouyoumdjou.
Alét , vasita.
Tchalr , arpa.
Podoullouk.
Méchrlk , gua doghdou-
ghou yèr.
Ziynét, duzén.
Yétim, euksuz.
Imla.
Kémik . ialikhvan.
Gueustéricbe.nonmaïcbe.
Osmanlou.
Panbouk.
Gharb.
Kouvéti-saméà.
Ayou.
[che , amél.
p
4
s
^
ji
Pacification
Paganisme
Page /t/^
Paille
Pain
Paire
Paix
1 aiais 7*'^/VvwWN
Palpitation
Paon
Papeterie
Papier ^ ^
Papillon
Pâques 7 u.x^-,^/f
Paquebot Q^--^-^ —
Paquet lj% h^ ^^
Paradis '^;^/^»../]^J
Parallélisme
^^La> 4^ojU1 ladéi-soulh ; musalilié.
^^jC^ Bout-Pérèstlik.
jji ^^ Sahifé , yuz.
J^j\x^ Saman, kiah.
ô\l vllil
a •
Parasol
Parent
Paresse
Parole
/
^ >k
m
r
L il
• ^
Elmëk, nan.
Tcbîft.
Soulh ou-salah.
Seray.
Yurék-ditrémési , khafé-
kan.
Tavous.
Kiaghyt-khané.
Kiaghyt.
Pérvané , kélébèk.
Paskalya.
Méktoub- guémisi.
Démèd , bogbtcha.
Djénnèt, firdouz.
Mouvazàt.
Chémsiyé,
Âkraba.
T^nbéllik.
l^jy^ I Seuz , kélam.
— 6»
Partage
Partie
Partialité
Participation
Parti i/C, tn
Pas t)^^^
Passage ^ iÀ jL
Passion
Pasteur
Pâte
Patience ^ «^ t/^i-^ v k-/>-v-j»- J^
Patrie i^^'^^f^y ^j
Patriotisme ^ "^J H-cJ. .J^^^j Cjjf
Pauvreté t^ >. /.^ ^„ i^^.
Pavé j^ryf^-^J/iÇy
Pavillon ^tfjJj
Paysant ^A.>tw^/i"*
Peau /^ ^p
Pêche ^7-Af
Péché u^^ -f.
Pêcherie
Pécheur v/tj i^. _ c^-iy^
Pêcheur ff^j"^
Peigne
Peine t^u^jS^^O^
OLU
Taksim.
Djanib , lara£
Tarafdarlyk.
Hiasédarlyk.
Kyta , parlcha.
Kbatvé , adim.
Mourour , oubour.
Hévayi-néfa.
Tchoban.
Péntché , khanjir,
Sabr.
Vélàn.
Gbàyréti-vétan.
Fàka, fakyr.
Kaldyrym.
Bàïrak , sandjak.
Mémlékét , vilayét
Keuyia.
Déri kabouk.
Chéftalou.
Gunàh , kababét.
Talyan.
Gunahkiar.
Balykdjy.
Tarak.
Zahmét ^ écaèk
i
ou
Peinture '^TH
Pèlerin
Pelisse
Pendans d'oreilles
Pénétration
Pénitence
Pensée V^Un S </"«^4/
Pensée
Pension
Perception
Perdrix
Père S ^ t
Père (beau-)
Perfection
Perle
Permission ^ ff^'^^'^^
Perpétuité
Perplexité.
Perquisition
Persécution
Persévérance
Personne «^ (i\
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Perte
«• •
Il jJL,
1
tesenleur j^..^*..)?
A^ "«sIK,.,*»--
ôl>'
Tasvir, nakche.
Hadjy , ziyarétdjy,
Kurk.
Kupé.
Firasét, bassirét.
Tévbé nédamét.
Fikr , mulahaza.
Hérdjaï-bénéfché.
Maàche, uléfé.
Dévchirmé ,tahziU
Kéklik.
Pédér ,baba,
Kayin-pédér.
KémaL
Indjou , durr.
Izin, roukhzèt.
Mudavémét.
Yslyrab , télache.
Téftiche , tédjessuz.
Zoulm , taàdi.
Ysrar , mudavémét
Chèkhz, kichi.
Ilzam-
Mahroumiyêt, lélèf , zî-
yan.
Aghyrlyk.
»1
Pétition Urr^j-fs
Peuple (/nk^^Jk
^^^
JL^^/î' 1 Arzouhal , arîzé.
Peuplade
Peur \^^
Pharmacien y-fn^^^i
Phénix
Philosophia
Phrase A ^^
Phthisie
Physionomie /t^^
Pil
Pièce /îr»<^*>%
Pied n^y
Piège
Pierre
Pierreries
Pigeon Uv»t tvou-^î^
Pignon
Pilau
Pillage
Pilote * rÇl^X'7^
Pin
Pincettes i\ . -^^ j^
Pipe
Pique
6^ Ji*
»1
Pistolet
t^r»
Millet , Khalk.
Tâïfé , kabilé.
Korkou, khavf.
Ispétchiar, ézadjy.
Anka , huma.
Féylésouffîèt
Kélam.
Vérèm.
Tchéhré , sima.
Saksaghan-kouchou.
Partcha , kyta.
Ayak , kadèm,
Touzak , pousou.
Tache , hadjèr.
Djévahir.
Gouguerdjin.
Fystyk.
Pilâv
Yaghma , gharét.
Koulaghouz.
Tcham , fysdyk aghadjy.
Mâcha.
Tchoubouk.
Harba ,myzrak.
- 64 -
Pouvoiry -H/ - x^ - H — r-
Prairie ^ui^^^^hh-
Précautiop
Prëclie
Précipita don
Prédécesseur
Prédiction . " ■ ' ^
Préfiice ^-/v '«^w(*- %-
Préférence
Préjudice
Préjugé
Préparatife
Prépondérance
Présence ^„^ w^ o-
Pré«ent ^./.^ j,^^, .^^
Présentation -e/Ji-if^ii )k»— jtj^ ^ji-
Président ^^. f^u.^u.'t ,j^ «.ï/Ir-
Prpssnîr .. i-^
Pressoir
Prétendu
Prétention
Prétexte
Prêtre tlt^C'-''y
Preuve
Prévention
Prévoyance
Prière k »> ;., f (. uJ
.. -, \J.
■- '>r. J^
Ic^ j^^ Vj
Koodrét , roukhzll
Tchayir.
Uitiyat. ■jciiiil
Vaàz. "■>
Chilab , àdjêlé. "' '
Sélèl. ^'' '
Wikhradj. •>"'.:■'•>'<
Houkaddimé, dllWljlei"''
Térdjih. Mt.m..1
Zarar, ziyan. '''"'*
Ilikilly balyl. "ri
Tédarikiàt. ''^" '
Nafouz.
Hoazour»
Hédiyé , bérgaza/^"""''
Arz , takdim.
Sérguërdé , réyiz.'
I)jéndéré- "'
Yalan.
Iddia.
Eazur, bébané.
Habib', papat.
Délil , bourban.
Taratdarlyk.
Ibtiyat , basyrét.
Ridja, niyaz , ddft *
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Poitrine f^fjp
Pohrre •7^t7/>2^
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Pomme 7*7^^
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Port ilvww 4^ «^ -^>f^
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Forte-iBinUe ^^1^^^/^*
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Portrait jp r^^A^i^x^A'J^s^
Potitioii ç^/>^ f.
PoMeflrfon
Possibilité
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Poalet '-/ v».^v{V-'-î ^
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Pools
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Balyk.
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BIbèr.
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Kotttb.
Z^raftt , îkram.
P^litika.
Kieupru.
I^man.
Kjapou, bàb.
Hfimmal.
Djuzdan.
E^sé 9 partcha
Tfsvir.
T^ssaruf.
inilnàn , kabiliyét.
Sqnidjy.
Tttrab , toz.
Tavouk.
Pilitch.
Nabz.
Ak-djiguèr.
. . ou"
r^^
'î»
ê I
Protectioîi
Protestation
Protocole
Proverbe
Providenee
Pro^kito ^^*^1^
Proviskm ^-y ^^ (J|*« f ^
Proxinsl*
Prune «^ i-s (^M
Publication
Puce
ihabél:
; Taadik.
f . • ,
Malbata.
:• Zarby-
ATadér , koadr«MMf&
Àydët , mémlékët.
Zakbiré.
Kulibét . yakyiil)4i.
Erik.
I k
Pucelage ] ^^-^.Si
Puits >[ ■ }L» jjji
Punaise /uffi^-^'^- ' i^"4/*:is
Punition *^^y4^ ■ T ' ^^ vl"*
Pureté t/u/r^Vv/Z^fii^"^'' .^^ cjV^
Pyramide ■ '*
Pyramide» d'Egyft»
Ilan , idiaà.
Pirét
Bik^yèt , kyzlyk. ^
Konlvvèt, koodrètiîShrttt
Kooyou . hiir.
Takfcta-kéUésL
TëètÉib . 4iéaa.
Tébitrét , paklyk.
J.li. J^ DikIR-tache.
'A.j^\ Ehnun.
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Q»
â . t . — ■ *
Qualité
Quantité y. ., a t,!, . ^-f.
^^Ul Akhlik . syiat
j\j1» C;ir| Rémiyél , mykdar.
lai.
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Quartier
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Queue ^o V
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QuittaiMRi
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^4^ ' Mahallé , kychia.
\^ ^'j Niià t ghavgha.
Méslélé , iouaL
Koityrouk.
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^tio 4lK^ w*,^*'
Soy , ailfltlé.
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Uzuib • in!<ur.
Rouf-niguiar uzuaii.
Bëkméz.
KottfétiMiatyké«rhftk,j^
Ramkzan.
Koud|ie eutmésL
Kurèk
Adavét ^gliaraz» kin.
Syra « routbé , ^aértébé.
Surat , tchapykiyk.
Rapidité ^p'^f^h^
Rapport I :| ;^jS J0y^ :^\j\ Irad J arz , takrir.
- »-
Rareté
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Nédrét.kjllét 1
Rasoir «m j^yi
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Qnstoora. - >
Rat j:i^ .
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Sytchan , ftré. ■■
Ratificatfon
-i , j».^"
Tasdik.
Ravage
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KhassaraL
Recoure
. , u)\ c^\^
Mouradjaàt, iltkija. : ..
Réaction ^s^ w~^
RectificatioD
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Egléndjé
Tashib.
Recnenil
Uédjmoua.
Redoute
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Tabya.
Réfleiion
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Tëréckur.léémuL
Refus Jp/./.,./^
Regard e*^ n -*^ ^
4»:* (^ fc*^'
■■>c?^
Bakf che . nazar.
Registre
"P-' -J;^
Qjéridé , délt«r.
Règle lu^,.Ji^
tiJieli flii JjJ»-
Djédvèl, nizam, kaMé.
Règne ^..^A/.f-^j
^ c-JC..-.:U-
Saltanat , hukumèL
Regret
••o-Uo;^»
Hasret , nèdamèt.
Réilérance
^r-
Tékérrur.
Réjouim»;.
■ iiPji^
Sourour.chénlik.
Relation
^u.^-
TaMuk ,>inasibél
Relieur
■ -■ ■ '.JOA
HudjelUd.
Religion Lnf
Remède 7» ..4 (i-»-
■ .^Jki. j.J
Din , mézhèb.
.jU. çiUij j>
Ihdj , dérman , tcharé.
RemontnuMe
..*■*■<- f^
Téchékkar.
' i.Ki' ^Jisi
Nasihét , chikiayèt.
Rempart
JiÂ-
■Mitéria. '
-*-
Berard fc./;M^:|l . fX
Bène W-''Ai\ - -^^j ^'ji
RenominéBï'*'* ■ . ''"'^- ' î!* ^ ^j^ A>
Rente '•[.^•■.■.t^v\ . l*-»^ ! ..fjjy** jy
Héparalion û.,kJ^»i:^0<l^ j-^
Repas /^T-u^iU^''--^-^ (.ii
RépODH y^V-*/* "^ • ^ ! ^^y-
Réprimande .îh«n 1 - ^ ^
Bqiroche p*'h* ï ' .^..*'-
IlepugnabO»:4a> !«i/ ' < ..
Bépotation .trin , li* •''(..- '
Requête "> i-'-vrai 1 1 i^ -nil**>
RéiignafidWt>'-'- '"i^ul'.,, e . ^-
Réaislance .o.-vn i „ 0»_jU*
Respec ^**y-^^A^Fp^ C^j»-
Respiration ^i»**^ fcf^jK f'.''J ^J^
Responsabilité 'r-ijwNiii ^«rC^?- îfcl.l^
Ressource liiinj^
Res'itution i%it
Résultat ^vv^^iSï'fftMr il
Résumé i!
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Retour ;/Hu.. j-— t^
Itôve ^^»v; . ,i^'
Rëvélalion
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Ditgutn, zimam.
Nliin , cheuhi'éL
Irad, mahzoal. "
Taàrair, méramét!'" '
Taàm , yémëk. *'■' "
Djévab. "
VékiL
Taàzir . itab.
Mélamèt
Néfrèt.
Nam, cheuhrèt.
Arzouhal.
Tévékkuï
Moukavémèt.
Hunnét.
Ttnéffuz.
Méssouliyét.
Tcharé .yardym."'" " ■
Rédd , istirdad.
Ranir , nétidjé.
Idjmal , khoulasa.
Méks . léékhir.
Avdèt, roudjtm.
Rouya . khéyal.
— w
Révolutign u,^^ y^^ \^^fi — J^Ui.\
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Rose C'(>* /^> —
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Roue
Route ^^Jj^
Royaame -fjf^ -^fh^ "
Rudesse
Rue ^^^ihO
Ruine
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Hurmèt.
OibblaL
If ésié , névuiL
Siha.kyyi
Rakyb, éngnti.
Iféhr, yroHAr:
ISIriii^j.
Kyral. hdnàiiip
Vèfd t (iiL
^amydie, snt
Bolbul, andélft^
T^kèrlék.
Vid, tank.
Dévlét
S^lik.
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Sainteté
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Salaire
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Sanction
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Sangsue
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Satin
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Satisfaction
Sauterelle
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Savon Ia^ f? ' . v
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Rik , koum.
Rikdan.
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Tobra, tchouval.
Firassèt
Akl , bikmèt.
JQvIiyalyk.
Mévsim , fazL
Vdjrét
Touz-kaby, touzlonk*
Divan-khané,
Sélam.
Tasdik , kaboûL
Kan , dém.
Suluk.
Saghiyk, Sihhat.
Atlaz^
Hidjv.
Térziyé*
Tchékirgué.
Ilm.
Sabouu.
Méidaci^
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Iturmèt
HchtiUL
If ézlé , DémiL
jieuie.
Wûl.kyyL
Rakyb, éngnd.
féhr, yroHAr
nrin^j.
fl^adla^i.
l(yral, kdnàlilP,
Vèrd , guL
9amydbe, saz.
Bnlbul, aadéIftL
Kébab.
IlÉkèrIék.
Vid . tank.
néTl«L
S^lik.
S^Aak.
KpifftDiyéL
■ t
^j^\ Yfmak.
— 73
Serrurier
Service J**^*^/^v^
a»
Serviteur ^sL^fh/lJi^^
Siège
Signe
SigniGcation
Silence (^ ** *- KH'-^'
Sinsérité
Singe
Sitaalioa
Société (^fy^^ -^p; dL
Sœur )^V^
Soie //4/
Soif 7 »*^ H t.% w
Soir /uf-/^ < —
Soleil v*^ ^ ^^^ji
Solitude U.K -^'c* /J
Sotlicitude
Solution
Somme, Sommeil <Jh
Son ;!' ^JL^
oonge /^-vv/^i-T-^
Sort
Sottise
TchUJnguir.
Khydmét.
Khydmétkiar.
Iskémlé, mouhaséré.
Nychan , alamèt*
Maàna.
Soukut
Khoulous.
Màymoun.
Mèvki • hal, kéyfiyèt
CJJl ^^ I Médjlîs , ulfét.
-*..
j
* 1 « •• •»
t^,.-
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M*^
Souffrance 6/->,>«-A>
Souffre
C-^
é»
Kyzkardache.
Ipék , barir.
Sousouzlouk.
Akhcham.
Gunèche , chèms.
Ténhalyk , vahdèt.
Tahrik , ibram.
HalK
Ouykou.
Séss, séda.
Ducbe, ruya.
Babt, talib, kysmét.
Hamakat, chacbkouiJyk»
Zabmét , réndj.
I :,ff C^J [ ^^Wa , WVxa^
74 —
Soumission
Sou pçon /^ ^Vv*.^
Soupe u^^ ^"T^
Soupêf, Sotipè M^/V/y
Sourcil *■' ^.r. fs
Souris [nh- *'--\f^
Souterrain
Souverain
Sphère
Subsiè^Më
Substantif ^^j^-i%^>
Succès
Successeur
Sucre t^^v'jU^^*^
Sud
Sueur 4 fT^n^
Suffisance fl*^^^ ^"t^^^Pt-^
Sujet ( ,1 : w-*/
jLïl
ILI
c
* -7
ItaSlt , inkiyad.
Vésvésé , chubhé.
Tchorba,
Akhcham-^taàmy.
Kache, ébrou.
Fàré, sytchan, fébéssùïh.
Yër-alty , bodouroûm.
HUkumdar.
KUrré.
.1
ijy^^
yy>
y^
1 ftiUif iA-
Supériorité
Supplice
Supplique '
Suppression
Surdité
Sulrëté
Surnom i/uif,, r
Surveillance
f
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6> j
m
*ilr llo ^^
Util ^
Uëvsouf , isim.
HUsnu-nétidjé , févz.
Khaléf.
Chékér.
Djounoub.
Ter, arak. ^
Kéfayèt.
Maddé, riaya , tàlbi.
Téfévvouk.
OukouM't, siytrset
Ârzouhal.
Rétm. ikhva.
Saghyrlyk.
Eitiniyèt.
Lalkab , makhtsft.
Né'karét.
- 75 -
Syllabe
Système ^h N^
U^ Hédjé.
^Y^\ 1 Ousoul,
T.
Tabac ^r'^^U^'^X
Tabac à priser A>Jf/^
Tabatière
Table i^}-y^-^^
Tableau ?/*^*"7^
Tache
Taffetas
Taille ^ ^ **^/
Tailleur 'h^u.J
Talent
Talon
Teint
M
Teinte, Teinture
Teinturier :^jy^ ^-. «...
Télescope
Témérité
Témoignage »// \ ^^-x >
Témoin a\»^*a
Tempête 1 j^^jr^
^. 0\i -ï^l
r
Tùtun , doukhan.
EAfiyé
Eil6yé-lcoutousou.
Soufra.
Tâsvîr , résm.
Léké , kbal , béRh.
Djianfés.
Bitchim , éndam.
Dérzi.
Hftnér , istidad.
Eulcdjé , topouk,
Tcftiéhré , béniz.
Ba]ya , renie.
Boîyadjy.
RaAssaddourbiny.
Djésarèt.
Chéhadét
Chuhid.
;3jy \¥o\xtVo\vw^.
\
— 76-
Temps c/fcvt yÏHP*M
Tendance
^
Tente
Terme oU^jf^^
Terre <iv«^^^
Thé
Thermomètre
Tigre C^^^
Timidité
Toise
Toison
Tolérance
Tombeau ^hf^Wu
Tonneau
Tonnerre ; '/i "7^ *« "'•
Torche
Tort *--*
Toucher
Tourbillon
;^/"
Tourment f v,a /i*i •** h.
Tourterelle
Toux '
Trace
Tradition •
Traduction
Vakt . zéman.
Méil.
Tchadyr , khimé.
Nihayèt , vadé , muhlét*
Arz, yèr toprak.
Tchàï.
Mizan-ul-hararé.
Kaplan , pélénk.
Vahchét , djébânét, tléh-
chét.
Kouladj.
Yapaghy , youn.
Istibar , tahammuL
Mézar.
Foutchou.
Gueuk-gurlénfiési.
Méchalé.
Kabahat
Kouvvéti-lamissé.
Kasirgha.
Eziyét , azab«
Koumrou.
Euksuruk.
Essér , iz.
Nakl
Térdjémé,
77
Traducteur #v^-y (^mJ *\^
Traité
Tranche fV'^
Tranquillité. .
Trépas
Trépied
Trésor y^r^
Trêve
Triangle
Tribunal ^^-^y\^''f^
Triomphe
Tristesse fij^/^^^fi-f:^^
Trône J^^^
Tropique du cancer
Tropique du capricorne
Trouble
Tuile
Tulipe
Turbot
Turquie fr
Tutelle
Tyrannie
■jujT
Miitèrdjim,
Téélif, résalé, ahlnamé.
Dilim, partcba.
Rabat, asàiche*
Mévt , eulum.
Sadj^ayak.
Haziné.
Mutarîké.
Musséllés.
Mahkénié.
Nousrèt . gbalébé.
Gbàm, kédèr.
Takbt , sésir.
Méda'-y-sératshi.
Médary-djédi.
Ikhtilal , filrèt*
Kîrémîd.
Làlé.
Kalkan*balygby.
Déviéti osnoaniyé.
Véssayét.
Zouloum téhékkum.
7» —
u.
Ulcère
Yara.
Unanimité
Univers 'r1-hhT*4^
Usage t.">j^,;,,. t>h
Utilité
'^ ' ^^ fie
Ci:. .aU
lUihad , birlik.
Além , dunya.
Adét
Valdé . ménfaàt
. ».; , 1
V.
jH'-i
Valeur vt.
Vacance
Vache i/^*-/
Vague 1^ Ij^l
Vaillance
Vaisseau €\^
Valet
Valise
Vallée, Valon
Vari^lic^
Vase
Végétation
Veine
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C^^ J.:.*! Taàtil , mahloliyél^
db-t Inék.
m I
vl^eU^ ui;->W: ?ahadyrlyk. ch^f^
jT* Quémi , séfiné.
ji^«a>* Khydmétiar.
Kymét ,'^bahà.
Hékbé.
Péré , vadi.
JV I Jébéddul.
Kab, kiasé.
Kouvéti-nabyté.
Tamar > irk.
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Vendange ^J^h ^^jHf^
Vënératioii ^ ^n/>^ —
Vénérien
Vengeance %L .
Vent ^ hJ
Vente hi^f/i
Ventre
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Verbe /^*^
Verdure Ju^ju^ *t - /^
Vérité tKAv^,^^j^^^ ^t-*-.
Verre t-u^^
Vers
Vertu ^t^^y/^^p^ ^p
Veuvage
Viande - > t <
Victime '* v, C
Victoire y ^Ti^--
Vie /v^jfi^
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Vieillesse Si >^*-^ ^^^'-^
Vigilance
Vigne
Village
Ville J^*^ h^ x^^
lai ôLJi
•^
A, o\
Bagh^bozounioit..
Hurmét.
illéti-fyrénguL
Intikam, eudj.
Ruzkiar, yél.
Bïe, sailycbe.
Batne , kam.
Kourd.
Fiil.
Técfaillik.
Sifafaét,hakykét
Sjam , kadéh.
Béït,chïr.
Fazilét , hasiyét.
Toullouk.
Lafam, éi.
Kourbao). féda«.
Ghalibiyét
Halad , eunuir
Ikhtiyarlyk.
Kyz , bikr.
Téyékkus , înlibahi
Bagb.
Keuy kariyé.
Chéhr médiné;
\\\
— 82 —
Accomplir ^ *^ ^/*^^/y4 '^}^
Accorder of^Jt-^L-
Accoucher «'
**-^
Tëkmil itméq.
Ouydourmaq « ahé^Dk it-
méq.
Vazy — haml— *itméq to-
ghoarmaq.
Tchift itméq.
Kyssalatmaq*
Kochmaq.
Alychdyrmaq.
>^^ jr^jD ^jrj jV^^ I Ihlibar itméq« révudj vir-
méq.
6^
* •
Accoupler ^^ <-«v^
Accotircir ^^*^^ùyjl9
Accourir "'^^ l/?»' f *^t- ««^ ôÔ*
Accoutumer «/''*/ #^^»/> '^^j-J^^^
Accréditer ^ «„m
Accroire ^ «--•*> ^-^ ^ /j^ " ^^jCU
Accroître ^%^^ dt^Uipl siU>l
Accumuler /'^i > u, iL
d^jjO. ^Jo^.
Inandyrmaq-
Beuyutméq, àzan itméq.
Yighyn itméq , birikdir-
méq.
Accuser *Hc^..,;ti*€^ viii\^U^\ dî^VV^ Iltiham itméq, Uoad-it-
Acheter ^-^^//^ ^l^ Ù^U Satyn almaq.
Achever ykeU^^^^^^r^^jj^ Tékmil itméq.
Acquérir ti^^'^^rtih^ dijJ^^ÀJtj^J' Késb itméq, tahzU itméq.
Adjoindre £^^1.^5^4^ dtl^J Térfiq itméq.
Kaboul itméq , téalim it-
méq
Idaré itméq.
Taàdjub itméq » chach-
maq.
Mubtëla olmaq , havvéz
itméq.
Admettre ^)£^^>,^^
dtJA-j'dtjJ^
Administrer yi ^7^^«* iy
Admirer - ^^ '^^'*"' ^ '
,î,'^'/^'":"\ ^3«*Li. d^jyj*»
Adonner ($')
dR;l.j\i^
^Vy^ôiy^i^
USEES
Abaisser/-*-/ <6f«j^
Abandonner (T^^Tl^
Abattre^- 5 -i/j^.
Abîmer /*/ J •- *A^
^'^.
Abolir/^f.,^(,
Abomei/c
AKoucber y?/,, /. / - /
Aboutir A ? -^^/J*. /z^f
Abréger- UX.,^,-^j^
4'
Abreuver/<r--^ . î*--
Absoudre j(tv -^^ <i
Abuser^,, S ^^
AtoAlet;.i~>.^/»._>
Accélérer '^''^fi'^i
dij I
Fin.
TéDzil itméq , indirméq-
Téritiimèq.ké^îBttSl;
Uèdmitméq ytbiigtAll!
Vah-tayé duchurilriè^ ,
j kharab itrâë^l
trfidad itmèq.
Il^ha itméq , ibtal itméq.
Isfah itméq.
Yanacbemaq , tUnyé
tchylcmaq.
Tébdid itméq.
l^lakat itméq muzakéré
itméq.
itfundjér olmaq.
Idjmal itmèq , ikhtÎMar
I itméq.
Uka itmèq , syvarma*]'.
llébérrié itméq.
llaghlit itméqi
ikk yukiétméq.
llaiidjU itméq.
— 82 —
Accomplir ^ ♦* ^/*>.^/v4ç^ *liij jj^
Accorder Jfl A. d^ ■ ^A\,\A\^\ -. .. i .
Accorder t^/?*^-
Accoucher ^'€ti,cf^
Aoooapler «^«^ «.»yi^.
Aooourcir i *^'^ ^^^ ofh^ ^
Accourir "C^lA^" f^*-*-^ i3*S*
Accoutumer *^/*^f-^^/> '^y^^
Accréditer ^ «»* ^ «„ ^ C^ju vl)*j^ jL:p\
Accroire (««^h^u.^^^ ^j-jjCtj
Accroître ^%^^ dJl^Uip\ d£^'
Accumuler f^^^/^ ^jjj'_^^ ^j^_
Accuser *^*^«*'7t<*4yC
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Acheter ^ -e'|>^ .
Achever /k.>*./4. ^»^ rV^ dijc^
Acquérir tiH""nfh «ii^jJ:-»^'
Adjoindre <^*^-c y^^ U
Admettre ^ ^^„^ '^If^ dt.U^
Administrer y^^f^^l^ d^UjU
Admirer 7 h» ;>■'*"' '"*f
Adonner [%')
Tëkmil itméq.
Ouydourmaq « ahé^nk it-
méq.
Vazy— ham! — itméq to-
ghourmaq.
Tchift itméq.
Kyssalatmaq-
Kochmaq.
Alychdyrmaq.
Ihtibar itméq« révadj vir-
méq.
Inandyrmaq-
Beuyutméq, àzan itméq.
Yighyn itméq , birikdir-
méq.
Ittiham itméq, itoad-it-
méq
Satyn almaq.
Tékmil itméq.
Késb itméq, tahiili itméq.
Térfiq itméq.
Kaboul itméq , téïKm it-
méq
Idaré itméq.
Taàdjub itméq 9 chach-
maq.
Mubtéia olmaq , havvéz
itméq.
Adorer
t^
~ 83-
m
Adoucir C^ A ^^yL
Adresser h-^i^jh' /<jjh ^'.
Affecter a.aW''-''(^^ ^j>- di^j *
Affectionner ,y(^^«J^^ ,C«lU^ dffj
Affermir» ••••< i>'^7*Â ' ) '^-t^Tj, ^' ûç»
Affiler ♦yi/^ diy-
Affiner ^«^^ç^ ■ 5»^ , d^J^c d£j j^"
<
Affirmer ^«r* 7*. >wV, ^^^ôî-J^
Affliger y^^y,^^ »{ :r'^«>*^*^Ji.>J-^
A&iblir ^vj ^^ /- ^y $ -^ ^ dUjy ci»>
Affranchir tKi^^H.iûJ)r d£Wi\
Affronter j)^ ^ J^^ ^ diffl j^
Agacer f/:>-^-v/^ '^j'A^^ji^
il
Agenouiller (s*) '*
Agiter ^y^ , ^
Agrafer Ja^^^
Agrandir ^ ^^fy-' /
Agréer >^*-
ï-^i>;
' I..?
>*?
Sédjd^ itméq , ibadél it«
méq.
Tatlou iUnéq , youmou-
chatmaq.
Kbytab itméq.
Mudahané itméq.
Kazdén itméq}, ^yrsla is*
téméq.
Moahabbétitméq,8évméq
Métin itméq.
Bilétméq.
Tathir itméq» témizié*
méq
Tazdiq itméq.
Kédér virméq.
Zaàf virméq.
Azad itméq.
Tahkir iUnéq
Tahriq itméq» djilvé it-
méq.
Diz tcheokméq.
Tahriq itméq.
Kobdjalamaq.
Beuyutmiéq» téva Hitiéq.
Khochlandyraîaq. kéilii-i*
— 84 —
Aider
^
Ajourner ^//v^^J^,^ d^j>iU
Ajouter t*'-/^^r^ "^.f^
Aligner y*,^ j f t^f^ -é^À iîl/-^ ^*->.-».
ifly>\ ci»jf^j^
^ïT
Alléger M^ç
Aller ^ ^*^6? J '
Allier (s') ^^^J^-^M-^A'M^vitl^lîJlJip
Allonger Ue^ç^-^ .^ij^' ^1j,\
Allouer /»4„»,^e/U; ûirjjji
Allumer ^\y^*^]h^
AUérer ^u,^x^jLjt^^-
Amadouer j^ ^ ^faf/« A
dcivjjjj
Amaigrir ï^ r^'ijfÇ^n^
Amasser 4|r 7'^|'*"na i v^^'^ B|jém îtméq
Ambitionner jr <« ^/ut e« f^ v^^l 4^^^ Hy rsia istéoQ
Améliorer ^^|*vw *^ jr ^ nk «m^ vilirl p-^-^l Wlah i tméq.
Amener. ^T"^. thlp
Arooipdrir ^ . *m j/-* ^k^ ^J J.-W
Amolir J'^^/>;y-<^[ ^liy^
lyslnétitméq, yardym ît-
n)éq.
Adhyq olmaq sévméq.
Taàkhir itméq.
ZaJmMtméq.
Dizméq , syraya komaq.
Taghdiyé ilméq , béslé-
méq.
Sud virméq émziroiéq..
Tékhfif ilméq.
G ni tméq.
.Rarychdyrmaq.
Akiy-iltifaq îtméq.
OAzatmaq, témdid itméq^
Kaboul itméq.
Yokmaq.
Tkghyir itméq.
Tëmélluk itméq^ mudai-
hané itméq,
Zkboun itméq.
.» " T.
•1 -y
Nakl itméq, gueutunçéq.
ifcklil itméq. . ^
^Voumouchatmaq.
Amuser -2^*^f^J >lÀ»jJdK'l
Analyser ^5»»^^ vlicljs-
Ana^imtifler ^'jlxa> k^Z^
Anatomiser Jl,f>'^f*^ ^«^viiïrj^^'
Ancrer /t/-/ *hhA ô^'^jjÇ
Anéantir /«^ t^^tj^^ ^î^V*"
''^/^
v^^.^^^.b^»
Apercevoir «:^A*y«^ ^j\«U».^;lîr_\Ji.f
Aplaniiy %^ ^^^ /M-t<<f'fe^çiy^>
Apostasier { 'r;:^<;j;^ .o^j' V^'->^.^-^'
Apparaît»* Z^/»-**^ vlMjjT^^j'^lli
Appauvrir **- ilh**>***^ ^TJ dJ:]/Jà
Appesantir ^t^af^^^W^ ^j>'
Applaudir J-.«f w(<«/>/f - j^4i,di^ùyJ
Appointer /v- « "^/f jM^^.^/*^^
Ekténdirméq.
Hall itméq;
l^ànét itméq.
]réchrih ilméq.
{Tymour atmaq.
Mahv itméq.
payât \irméq , léohvlk
. itméq.
Ikhbar itméq , khaber
\irméq.
P.échf itméq, mtittâU ol-
maq.
|)é(i-mévani itméq.
Tastih itméq , yassy it-
méq.
Irtidad itméq , mourtàd
a
olmaq.
Khitab itméq.
{^ahir olmaq , gneurun:-
méq.
fakir itméq.
Tèsmîyé itméq.
Agbir itméq.
Tahzin itméq.
Ulufé virméq.
Gueuturméq , sébéb oL-
»» —
Apposer .^—e^ , -.ç^^
Appréhender /y,Jt.^jhj&yj^j^^^^
Apprendre ^'"/«'■^^J ^!/>'*^JW
Approcher i/o ^j»^^-»/ j>\^^«Jl*.
Apprq^er ^a." ^ CV* ■*A. oli^il^jj^
Appuyer c/j^ ç<jt^t ^^J/ojlvliêlOiW
Argenter u,p5<^/f/iA ^y'^^J^^
Armer ^^ vyyAlli/-^^t
Arracher //•>'•- *n>
Arninger -T/;^//^
Arrêter f», f «/t^
Arriver v *». *, .^r?
Arrondir f ^^/i .7^/7^
Arroser l/'h^
Aspirer M^i**/ é^Uft^^K
Assassiner «1 "y k
Assembler ;j^ A i^ *
.5f
^c: lo»^ . Vaz itméq.
Korkmaq, ihtiraz itméq.
TaàHum itméq, eayrètt^
méq.
Yakyu olmaq.
Pésènd itméq.
lyimèt itméq , y <«idym it-
méq.
Gumuche kaplamaq.
Donatmaq , asgoèr kal^
dyrmàq.
Nés itméq koparmaq.
Nizama komaq , tanxim
étméq.
Tévkif itméq , haba it-
méq.
Vasyl olmaq, zooboar it«
méq.
Mudévvèr itméq*
Syvarmaq , djéryan il-
méq.
Ténéffiis itméq, tàlab it-
méq.
Hodjum itméq , pafvlét it-
méq.
dcjH^Ul vliijji Kavl itméq JblMi itmAf.
d^ W Djém itméq.
m
m
m
dti
m
drjjjJU
^}Z^y>C}^\pM
87 —
I
Asseoir «h>/(^ ^y ^£jj^\
kxeenassaXsx ip y. 4*Jn *-^ '^j,3 à^.
Assiéger S^^*^//^^ ds;\ .^-^l^
Assister ^^/« ; Cl|i "^L ^3^^^^
Associer ^^^CTt ^ ^^j'-^^
Assommer >*. .^^-> ^"^âfef y,^ dl-w
Assoupir /|;?^j(^^ dlijÙ!pê<?L><
Assurer «^««iMwVJt^ i3i-J^ dtjùi»^
T ^1
/ ;7 I "
Attacher y/ «H </^»*»«)S-jvilî:jjù t^^^
Attaqver J«*»a/«mA ' vl^Ul ditlvJ
m
Attendre <* ^•.- •». •«/? j^t. ^^Ij^^lil*
Attendrir p ^n -Pt-jk
Attenter h-^i.». 'n^-A -
/ i fil
Attester
Otourtmaq , komaq.
Yémin virméq.
Mouhacéré itméq.
Takhsis itméq,
Hazyr olmaq.
Ghériq olmaq.
Dépéléméq , darb itméq.
Ouyoutmaq, tèskin it-
méq.
Emin itméq , tasdiq it«
méq.
Baghlamaq, bënd itméq«
Savlèt itméq , isaabèt it-
méq.
Muntazyr olmaq , mé-
moul itméq.
k ^1 '^*Jy^^^^J^ Mérhamété guétirméq ,
«*" txUi youmouchatmaq.
j^ c M. y -. -j^ ^\^ Kast itméq
fj"^/^ A-J^ vllirbV^l Istîchehad itméq , tasdiq
*\7:\ I itméq. >- .
Attirer yl^ f^^^
Attrister
A
diiwi>- Dîjèlb itméq.
Avaler
.MiiîSyi
*'^^ ^-j.jj
Kédèr virméq.
Augmenter ***^;\^d ^Jj^ Artyrmaq.
Autoriser Hfrc^^-f^ ^^L^^/j^^^-^-^^J Roukhsat virméc^
88
Avancer '"•••. .»i '>»*.e»o« ,'\ j ■• ^ -j^' \
Avenir >Ayi*-«/-*"7
?
Avérer Xi«/i«;
/>^r/?
3iyç5l,dicb>»i;
-' ^Jv3i
diri
Avertir u.^^-^^ -p^^,^'/?, «i^v^JT
Aveugler Ay /, ;,fj^ dîr\ j^^=»
Avilir Hy, ^ i« Jm /t/'l lîl^l ^^
Aviser ■■ : v ^ •«•/' "^//^ ci» yj >>•
Avoir /^ ^' Mf . ^ ^U ^j»^^U>
Avoisiner -^.-.^4 c.irk^ jA^l>^
Avouer ^ - ^ ^H^u. «^^, ^^^,^ ^j^.
Ilérou gueutorméq.
Zouhour itméq, vaky ôÙ
maq.
Tasdik itméq , tabktq it-
méq.
Khabèr virméq*
Keur itméq.
Tahkir itméq.
Khabèr virméq.
Sahibolmaq , maliq cl-
é
maq.
Konchou olmaq.
Ikrarou-itiraf itméq*
B-
Badiner / «^ >i., / /* ^; ? ^ dt^AÎtvy
Bâfrer .;ùf^ >> - / J'7 ^.ôj^
Baigner ^;-..L,^^;,qr^. ^"^l^^y^^^l^
Baiser ^•^^z/?.
baisser ^„ ,, . ' V
< <-^
Balancer
ancer optl^(^'^^JifnjJ sliîrbj; ^j\i*
Balayer
(/
Latifé itméq.
Tchoq yéméq.
Hamamé komaq.
Eupméq , bous itméq.
Achaghy komaq , indir-*
méq.
Tartmaq,térèddud itméq.
Supurméq.
^jfy<
Bander /"^^^
BaptUer /")//^
Barricader ■IJfcJ:)}.^
Bassiner u. {Aa/^
Bauiller /•^"-■^
B»<ir ^«/î^
Battre vj"/-*^
Blkmer '~J(;il^'''~ij
Blanchir ^/ -^z- "/{^
Blasphémer Çt**/f*jh
Boire
Boiter yPi.'^,lj[-M
Bombarder k,^-.Jc
Bonifier f»v-u— »**y^^
Borner i,,„4,X\ ^
Boncber f^h^
Bonder //»/• /•"»'-
Bouffir >i - *-/ï5
Bouger !{f.lTiifhj:
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Boulverser jfi^it'^w ( £^ dFJ.:*-.jloll
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Baghlamaq.
NéB-QU îdjla itméq.
Vaftiz itméq.
Sèd-ou-bènd itméq.
Ysytmaq.
Niza itméq.
Bina itméq.
Zarb itméq.
Doua itméq.
Tayib itméq, zemm itm.
Béyaz itméq, aghartmaq.
Lànét itméq, kufr'itméq.
Djërh itméq, yaréléméq.
Itchméq.
Aksamaq.
Koumbara atmaq.
Eyou itméq.
Téhdid itméq.
Kapatmaq, Upalamiq.
Istialcal itméq , kounéq.
Chichirméq.
Kymyldatmaq.
Ghilyan itméq , kaînft-
maq.
ÂltMist îtooéq.
Dujkiiiâlâmài^
»u —
Branler A/^^* 'i^lA ^fl ^xljJi Kymyldatmaq.
Briller '^'^^C^C^
Briser /"'^T^ f^
Broder ^**V jp— *^
Brosser 3/t?/^ ^^^
Brouter 7) U/^ ^^jf(^
Broyer ^ ^/«y^i. fim J?.
^•VjL Parlamaq.
^•jl^^ Kyrmaq, paréléizié<|.
Clt^l J^ Nakche ichléméq.
^^A^j^ Fourtchalamaq.
^3>i!>Lj\ Otlamaq.
vll«j\ Ezméq, soufouf itméq.
C
Cacher -l'^^h^ I (^"^^'^)(^
Cacheter it44^ '^.Ia*^
Cajoler -^ /i^-A .5-^->^
Calculer /* Htn*» ^ ig^^ *itj fc-»L>-
Calmer C "«^ '^ *"y»^ ^^
Calomnier
Catiipér 4^^,e/,: ,1/ tj'jyj-»-»^
Capter V ^ «^ flj^ ,y t
Causer
Kétm itméq , saktamaq.
Témhir itméq.
Okhchamaq.
Hisab itméq.
Téskin itméq.
Iftira itméq.
Ordou kourmaq.
ftondourmaq.
Kapmaq.
Eçir itméq.
Captiver j f^^ ^'^VZ^ ds:\jJ
Cartonner f^/--^i^y J-if^^J,\^^.|Moukavva Ué kaplâtoât^-
Casser N>^^^ ^>|Kyrinaq-
Céder /^ ^ *» -/ I «j^ ^^ydSjtl/ôib:
Sébéb olmaq.
fiyrakmaq , tir^ ittoé^.
H'
Censurer ^•,»hL .>
Cerner ^*,,^^j;^
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Certifier yf^^/C,.,
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Cbagrbér >^^^_^
Chanceler A/^ ^. ,
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Cbanter rp-*f/^
Charger /i^^ç.^
Charmer
Cha»er„^^„y,^
Ciiàlier-v" •/ '{^ :.
i-q^^-
Chauffer •,■ -/yi;-'',
tbeminer ^■•.i///^ v*
Chercher !,■/■'-)■■•'■ >
^Chérir -//'^
CircoDBcrire i.<*f.'(*<
Circuler, jiSi..<.
ir-^
Takbih itméq, fasi itméq.
Tchénbértéméq.
Daîré tchyzmaq, mouha-
séré itméq,
Tasdik itméq.
Tounnaq, savmaq-
kédèr vinDé(J.
Sargyimaq, sallànmaq.
Tahvil itméq , tëbdil It-
méq.
Turku geaytéméq, enb
méq.
tahmil itinéq, yuklèt-
méq.
Haz itmèq.
Koghmaq , séydi cbikiar
itméq.
Téédib ilméq, tèrbiyé it-
méq.
Içytmaq.
Varaméq.
Araroaq.
Sèvméq.
tébdid itméq.
Dëvr itméq.
Akhiaky-tëhzib îtméq ,
1
«8 —
Classer Ayy^ J^j.^y^.
Clouer "H •*• «^
Commencer t. j '/ /^
II/}
Colleter *- 'y..' ^^ hO''»»i ^lii
Colorer : '-^|/^^^ O^^^
Combattre i^ 44, «^i y, .., , v/^^ «IlrUjl^
Combiner /w^W/^ Jf^-"' 4^J-t5'
Combler ^ c ^ ô*jJJ^ dlêi^if
Commander 4',,»*^>v/ ^Ujb\ di\ ^\
V^^l dlîrlîjL
Commercer 'I*^^-^'^/?^ L^JtJcP^^J^-'^
Commettre ^ ///^ iL y ** j/ <? ^^ '^Stt^^l
Comparer ^ic > j,^ ^ /^ dJ;l4l'i* ^^j Jr^"
Compasser. ,^ .^^ C^^4 ^^^.
Compatir '.^t>^j>^^^^^. ^ drloiii 35-I
Compenser > * , . ; ^\ ^j^ ;^-t
Complimenter <;/- -J ♦*' A/\ d^\ 4 jJ
Composerait. • - jT^/^ ^J^^^j J-J
Compléter / <^ . « /*/ a A ,
L ■' 'y
Comprendre s UtVi/iv
HVjAtl:-;.'
d^i^
Syrasyndja komaq ^ cQz-
meq.
Mykhlamaq.
Yapychdyrmaq,
Yakalamaq.
Boyatmaq.
Mouharébé itméq*
Ouydourmaq.
Mëmlou itm. toldourmaq
Emr iUnéq , idarè itméq.
Béd itméq , bachiamaq.
Téfsiritméq , chèrh iU
méq.
Tidjarèt itméq, alych-vé-
riche itméq.
Ichléméq,
Témsil itméq, moukabélé
itméq.
Pèrkiarléméq.
Adjymaq, chèfkèt itméq.
Kayirmaq, tàzmin itméq,
Tëkmil itméq.
Tébrik itméq.
Térkib itméq , téélîf it-
méq.
Féhm itméq.
va —
Compter ^'**J^V^ dê;UL^ ^\j^
Concentrer ^ // -^//li -^ ^|
Concerner «<
^V^ ^„
Concerter j^ ^•^?<u.yî^
Concevoir v f? ^ ^^
P
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Concilier ?
i^
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Conclure T/A^f ^^
Concorder 44/^«^ <e^^
Condamner iiL««» > ^ ^*^
Condescendre ^^'- ^ri^ ^J JîT^
Conduire »^ '^ •^ ^ ^y/^ vllr\«jb\ ^j^
Confesser Z*^?* '*'i**i&liÎL^ cil>^ ' j j!>^
Confier^ -. ^^/^^ (VV*- ( l^^hP) dtj jU^I
Confirmer ^ij^i^r^'rti^ ûj^
Confisquer .^/t^ '/'^ ^^D^
Confondre ,;># ^*^^ i^»^ A*K»'^> ^•j'J^J»
Conformer ^ v î^ '. '*'• " '^ /) clt I, g. W *
Conforter w^^ a S^/? vdUji>:^^"
Tèbs itméq , mén itméq.
Âdd itméq I hiçab itméq.
Bir yéré djèm itméq.
Dàyirolmaq , radji ol-
maq.
Muzakéré itméq
Dèrk itméq, téyèkkun it-
méq.
Islah itméq, barychdyr-
maq.
Akd itméq, karar virméq»
Ouymaq, moutabyqol-
maq.
Aléhiné heukm itméq ,
takbih itméq.
Ténzil itméq.
Gueuturméq , idaré it-
méq.
Ikrar-ou-itiraf itméq.
Itimad itméq.
Tasdik itméq, tèmtin it-
méq.
Muçadéré itméq.
Karychdyrmaq.
Tatbik itméq.
Takviy et virméq.
— 94 —
Jurer '^'-t'^^ f^h^j' 6-j'>.
Congiédi
Conjurer
Connaître V «/^^^ .^ ^^^^^ ^,
Conquérir rh^x^^k ^//>dtjoUyà
Consacrer i/r^ ^^^V^Zj^r^^A
Conseiller /«. i, ;^ ^. , /^ dUjj- j
Consentir " ^ *•• ^ *^ </)'
y'v5^b
Conserver *yUf^/^ ,^^1-^
Considérer y «♦ ^^^ j L^ 1 ^ 1 45 j
Ck>nsolider <^ *^^ ^yt . , «^py^^ll^j (Iî:*
Consommer ^ - 4^, a,/, d^j J^^êJ ^LcT
Constater ((4 y^^, , ai A. J d^loL^I
Consterner t./.f'f^ j/fY/^ r Jy^cJV-'^
Contenter y >> ^' ■'*';■ (^"Â >
Conter *^ •♦♦>-*/?
» '• <?
Contester. /y. ,^;/^-,i
Continuer ... . ,.;7
Contracter 4^t, *, y» •♦• y
Contraindre /A^^" y^
f\ -K /.-î
Convenir
r-
j^r'-N^^
ï
M •
'^
K-;
tzn virméq.
Yalvarmaq.
Bilméq, achna olmaq,
Fatouhàt itméq.
Hasr itméq , takh^s it-
méq.
Naçihat virméq.
Razy oimaq , kayil olnoiaq.
Sakiamaq.
Pykkètlé bakmaq, Itibar
itméq.
Métin itméq.
Itmam itméq, tèkmil it-
méq.
Isbat itméq.
Chachyrmaq, méd'hoo-
che olmaq*
Khochnoud itméq.
NakI itméq , hikiayét it-
méq.
Mudjadélé itméq.
Mudavémét itméq.
Akd itméq.
jDjébr itméq, zor itméq.
Kayii olmaq, ouzlache-^
maq,
95
Converser
•y J^*i.
Corriger **'*-^l^iljy
r Ma
dc\
Corrompre/ «^'-^'"/^ '^j g.'^^ O'JJ!
Coucher *^ **»**- j/^
Couler /* ^/?^*
Couper (y^t^
Courir ^{^'^^^
GonroBder ** "♦ '**/^
Couvrir ^'«' ^^
Créer ^^rjx^hj,
Creuser /*'/î/^
Croître «*• ^ ^u.^-fL
Crotter
CuwlUr
o?
CiUtiTer Jv^ihp
di\ C^\j^
Seulibet itméq.
Dékichdirméq , tébdil it-
méq.
Tashih itméq.
Bozmaq, itma itméq.
Yàtmaq.
Akmaq.
vilr-^dic\»la5 Kat itméq, kèsméq.
Kochmaq, séguirtméq.
Tadj guiydirméq.
Sétr itméq, këtm itméq.
Khalq itméq, yaratmaq.
Hafr itméq kazmaq.
Beuyuméq , artmaq.
Tchamour itméq.
Deuchurméq koparmaq.
Ziraàt itméq.
Jti 'jj Témizléméq,
i).
Daigner s ht ^uki^
Dans€T '^^**/^hip
Dater /i , -... '■■ .:\,r- ^
Débarquer ^«v^^/ji 'î»*^/
dlrl jjj] Ténèzzul itméq.
Rakz itméq.
Tarikh komaq.
\^
dH-
Débarrasser ^ Xyy^/i di^j^|^»f«j
Déboutonner /^"^ ^j! > ^^,^
Débrider <>k/<,k " **
ïiéhordeT y j, ^ y, ^j J ^r^lUdrloUt
Débuter (M -«.A. ^4^ 7'' 4^ »3*^^
Décapiter y û/ *^ > /t^ ^^j l3^
Décéder /^*^_MiM</^^y^^d^jol;j
Décharger ff^. .^ £; ..,,^^ ^^x^j ^
Déchirer ^imf^»^/^ ^ ^>
Déchoir ^«•t^.»^.«.</q ^^iL- vibt^jj
Décider 0^h^ vlk jj1> durlf-ljl
Déclarer / ««/;. c^ *^'jA^ ^.' f^'
Déchner /'»fc*^^4" 4^*» </^ ^J'-*!/'
Décomposa Y^ "'^C*a«' <:iê\J*. ^j
Décompter ^«^^X-^/V/A, vi£\J,>-d*j-AH^
Déconcerter, fc. t /^^ «• "pto^ JÎ 6v^^
Décorer^^.; , • ^;,y * ^Z 1 j i^i ; ^_ \ ^j:
Découper •C c/»^ /,.^/^ vlk-S^^^i *>-jL
Découvrir ^K c,. ^ ^ V^^^^^^J^^
Décrier ^^-^^^^-(^ Ôi} ^ dîrJc^^.
Décrire '"/(^^v.?'^ dilJ:-^^^"
Décroître ^.H,^i » .il(j\
1
Défi^mévani itméq.
Toughyanitinéq,tachmaq
Dukméléri tcheazméq*
Dizguini tchykarmaq.
Bachlamaq.
Catl itméq.
Yéfat itméq,murd olmaq.
Yuku indirméq.
Yirtmaq.
Duchméq , sakat olmsq.
Ilzam itméq ^ karar vir-
méq«
Ilam itméq » bildirméq.
Inhiraf itméq.
Âyirmaq, hall itméq.
Indirméq 9 ténzil itméq,
Ghachyrmaq,bozoulmaqy
Tézyin itméq, nychan vir-
méq.
Partchalamaq « késméq.
Ghayréti-ghayib itméq ,
futur guèlméq.
Kéchf itméq.
Yasaq itméq, mén itméq.
Tafidl itméq,
Azaltmaq.
— «7 —
Dédaigner h s»^
Hh.
m
Défaire Z»".^. '-t>>»L 6'->'— li'JJ'.
Défendre «•» y» ik^. f^
Dédommager <(àUHHj\
Défier
■f-Hà,-
dîrïçi. d£.\c*ii*-
Défigurer //^^ i» »-A» /?i
Dégénérer //^f !^*^':4
•0
Dégoûter ^i^^^hf
t/^^
Déjeuner éii./i^
Délassera u» ^'4' ;•'
Déléguer J^iks^j^y.^
Délibérer )^fc^ V 'î.^ di^\«/1JL.
Délier^*'*^; /»*//;
Délivrer •j/T'i
U?^
/ .
Vllffl^" ^jt^y
Demander Ip^^ïT
Démêler > h, y\ A_
Déménager ^"/•'^-a^
Démentir ^ ^ . ^^ ^ ;. ^. ^^, )^^r ^j Vl^
d-j
•-?>': i3^
Tabkir itméq, irtikiab
itmèméq.
Tazmin itméq, zarary eu-*
déméq,
Bozmaq, savmaq.
Kmayét ilméq , mén ît--
méq.
Emniyéti olmamaq, Yés«>
vésé itméq.
Chékiini bozmaq*
Soyou bozoulmaq.
Dadyny katchyrmaq ,
bykdyrmaq.
Kahvé-alty itméq.
Yorgbounloughounou al-
maq.
Ibas itméq , gueundér-
méq.
Muzakéré itméq.
Atcbmaq . tcheuzméq.
Kourtarmaq , téslim it-
méq.
Ridja itméq, soual itméq.
Niza itméq, téfriq itméq.
Nakl itméq, tachynmaq«
Tékûb 'v\.m^q^.
— 08 —
Démolir "7*13^ ^Tlp ô^.'^)^
Démontrer ^'••;^V**^^'*^dffJoL;\
Dénier *^/it" «'►•^ dlïrjjlSil
Dénombrer f)^ ^Hjf <^) ^-^
Dénoter t ,^*. ^^^^
Dénuep Af * > )^^' vilêU . ^
Départir ^*.»/»^%^'r |f^y/'>. c^\^.^
'}.
Dépasser «u % *" ^ Y *• ^"^ <^}J3^
Dépeindre bf*^/* f^ ^f\
Dépenser ^•*/"'/7^ viirj^^^^Jty-»
Dépérir «. 'j? i^ '^/<:^''*t^ ^j\ vj^r-i> ^^>
Déplaire •*' ^ ^ •» *" i^H: ô*^J^ «^Jt**
Dépourvoir /M ^ ee«. r /V//* ^1^^
fA/'
Ikamét itméq, ototirtnaq.
Hèdm itméq, yikmaq.
labàt itméq.
Inkiar itméq.
Tàdad itméq.
Icharét itméq.
Mahroum itméq.
Taksim itméq.
Tédjavouz itméq*
Vasf itméq.
Sarf itméq , hafdj itttièq.
Kharabé-muchérréf ol «
maq, bozoulmaq«
Makboul olmamaq.
Mahroum jtméq.
Dépriser ^(U^p ^H[û dUlïrljLli^l j Itibar itméméq.
I méq
t^i * }M^ »
Dérégler ii *^ , ,
Désavouer ^^ a;.. *♦»
Descendre p ? ^rf/.
Désemplir f^'f^T^
Déserter ^^** A w
diîr\ J>- dff\
30^. Bozmaq.
dUljcr\J^diïrJjlC\ Inkiar itméq, kaboul it-
méméq.
Inmék, ténézzul itméq.
^^rUi'j» Bochaltmaq.
,3^ U vliJ^j j l/* ! Firar itméq , katchmaq.
Désespérer r' * -'^^^^sj^^^ Méyus olmaq , kati*ou-
Déshabiller /^{^J'^fi^ ôiy^ Soïmaq.
- A
— 99-
Déihoiiorer i^^/^^r*"^^
Désigner
Dérirer ifU yU/^^
Désobéir ^ ^444^^ ^
Désoler
*T.
Dessécher
Désunir
Détcrariner
Détoamer y ^h n.j; ç^ ^
Détromper
Détruire h^'i^^o^^
M M
Dévaster
Développer
Devoir ^^/>y^^/f^
Dévouer
Digérer *'^- ,r *? . * .
Diminuer *
Dîner ^*^ ^A
Dire ^, ^;^
Discipliner
DiicHter
V"V
ô^.^
M
• M W I
Yrzyny risvay itméq.
Gueustérmék , icharét it-
méq.
Arzou itméq.
Itaàt itméméq.
Kharab itméq.
Kouroutmaq.
Ayirmaq, bozouchdour-
maq.
Karar virméq.
Tchévirméq.
Ikaz itméq.
Hédm itméq , kharab it-
méq.
Harab itméq,
laah itméq, atchmaq.
Sapmaq.
Bordjlou olmaq.
Féda itméq.
Hazm itméq.
Tàklil itméq , azaltmaq.
Euyléïn yéméki yéméq.
Seuyléméq , diméq.
Taàlim itméq , eukrét-
méq.
I\ëftiche itméq moobahé-
100
Disparaître
Dispenser f'' a-'^ drl viU.drj_^
Disperser^». <^. ..»/ /vL ^^iib^^U
Disputer Jk. "-/^
Dissiper J/> *'> -h^
IKsting;aer ft/t^nH
ô-j}' "^^fr^
Diviser ^u, Jt/i^
Dominer 7,^/^ I ^.^^ d^i c;.
Donner ^v^»** /
Dorer ^y^-if^/r^
Dormir y &u^ &M,i
Doter ûJl^ ^*^(^
Douter tp.,^ ^^ a ^ mL^
Durer
rhfù>
Mahv olmaq.guislént
Afvitméq, mouàfitn
S&tchmaq , daghyti
Tanzim itméq^ hazy
maq.
Mouaraza itméq, niz
méq.
Israf itméq, katchyrn
Férq itméq, Férkiné
maq.
Taksim itméq, ayiru
Heukm itméq, bouyo
maq.
Bakhche itméq, virii
Tézbib itméq, yaldy:
maq.
Ouyoumaq.
Diébaz virméq.
ChuUië itméq.
Tayanmaq , surméq.
E.
Éblouir
vi'J^li
Kamachdyrmaq*
Ébranler
^J4^Â5^j'^
Sarstmaq , tabriq itn
Écarter
■^^^yi»)d:s:\j^
Tébid itméq , oueaq
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maq.
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Déguîche îtméq, moiiba-
déléitméq.
Savouchmaq » kourtoul-
maq
Ysytmaq , kyzdyrmaq.
Izah itméq.
Ziyavirméq.
Idaré itméq.
Akmaq, djéryan itméq.
Kyssa késméq.
Dinléméq.
Tahrir itméq. yazmaq.
Tchyzmaq, résidé itméq.
Idjra itméq.
Korkoutmaq, tédhicbe it-
méq.
Bérabér itméq.
Bir itméq, tésviyé itméq.
Réf itméq, yukséq ko-
maq.
Tébid itméq.
Sykiét virméq
Guzél itméq , tézyîn it-
méq.
Déraghouche itméq, koo*
Ëmigrer
Empêcher u^^J^A^
Empirer
Emplir -^h^"^
Employer
Empoisonner /A-a^ *r- Jf 'lUy'j d^l ^r^H
Emprisonner j^-^'n^f- rC, <^}- u-^
Emprunter
Enchérir
Endormir jç^C%,
^'Enfermer 'Âlmjh '/^^ ,
Enflammer
Enfler ai .^- '-^ (^
Enfuir (s') -^-/V^
Engager
Enivrer
Ennuyer /*-»J/i jhO«- >
Énoncer
Enregistra
— IM —
^^ll^ijIdcUlai-l
,1^» ^,
'JJl^
drl ç\}\ dk\ ^
Térici-vétan itméq.
Mén itméq.
Féoayé varmaq.
Toldourmaq.
latimal itméq.
Tésmjm itméq , zélurié-
méq.
Habs itméq.
latidané itméq, euduncjj
almaq.
Artyrmrq.
Téchviq itméq, ghayrét
virméq.
Ouyoutmaq.
Kapatmaq.
Atëche virméq, ihraq it-
méq.
Cbicbirméq.
Katcbmaq, flrftr itméq.
Ta&had itniéiq , ilzam it-
méq.
Sérkhuche itméq.
Ossandyrmaq , tajwi(îis it*
méq.
Ifadéi-méram itméq.
TèsdjUitméq, déftérê ka-
yid itméq.
103
/
MSêtMjtA Jh^tjh^C^^f^ r-f^^)
Essuyer
Estimer i*^/' ■•/ A' ,
Établir yArZ-r/^
Étaler
Étendre
Étonner
--vJ)
)
^>...-
U^ )^-i»/
M
Enrichir
Enseigner
Ensevelir A^h^/t^
Entendre /<»//
Entêter (s )
Entrer ^^ff^
Envier ^i^ a f i^ /
Environner ^j/» ? '♦'^'^^^^ , ^J ^^^ 3^^J^
Envoyer //y^
Epanouir (s')
Epouser l^/t^^h^J^/
Epouvanter ^'
Eprouver (f\'hj% )/\f:
Epuiser
Epurer
Espérer i^ •** ^/^
^\
1
Zénkin itméq.
Eukrétméq.
Défn itméq, gueumméq.
Ichitméq , dinléméq ,
féhm itméq.
Inad itméq.
Doukhoul itméq , guir*
méq.
Hassét itméq , kyskan-
maq.
Tolachmaq, iliaté itméq.
Gueundérméq, yollamaq.
Atchylmaq.
Tézvidj itméq, évlénméq.
Korkoutmaq.
Tédjroubé itméq.
Dukétméq.
Tathir itméq.témiz itmé<);.
Iktémoul itmeq, oumid
itmeq.
Tahammul itméq,silméq«
Bébakomaq.itibar itméq.
Yérlèchdirméq.
Méïdana komaq.yaymaq.
Bést itméq , yaymaq.
Ghachyruiaq, ta&djub il*
méq.
104 —
Etouffer
Etourdir
Etudier /)>.<:, m ^ * ^ •*
Evacuer
Evader (s')
Eveiller
Eventer
Eviter
m
Exagérer ^^^/- .. u. i*^ /-^ ^ ^j ^lU
Examiner
Excepter
Exciter
Excuser c>/. ^.
/ •
Exécuter
' . >
^jLi:>- di;l 11^:^1
Exercer Lv
if
1 "^ I
Exiger *. S» .i '
Exiler u: '*'''/> fl^
Expédier / |î
Ir
Boghmaq , basdyrmaq.
Béïhouche itméq , bacfae
aghrytmaq.
Dérs almaq » okoumaq.
Bochatmaq,
Firar itméq . katchmaq,
Ikaz itmér , ouyandyr-
maq.
Yél itméq.
Ihtiraz itméq, idjtinab it-
méq.
Moubalighé itméq.
Téftiche itméq , imtihan
itméq.
Istisna itméq , tchykar*
maq.
Tahriq itméq.
Afv itméq, maàzour bou-
yourmaq.
Idjra itméq, fiïlé kétur-
méq.
Taalim itméq , çugrét-
méq.
Matloub itméq iddià it«
méq»
Kéfi itméq.
Gueundérméq.
Expirer "-y^ ^f^
Expliquer /^^ •* j^/v/^
Exposer
Exprimer
^\ olij dlji
dîr\
Eulméq, véfat itmeq-
Mànasyny virméq,
Méïdané komaq , téhKké-
yé komaq.
Taàbir itméq, ifadéi-mé-
ram itméq.
F.
Fàche.r y>^^.,^^
Faciliter }^L é. ". \f >/j dk\ J^^' ^k'^j»
Façonner
Faire ^ ^^
Faloir u At</ // '
^j^''>:f^^i>
Familiariser (se)
Faner (se) f^BH^J^K
Fatiguer
Faucher
Favoriser
Féliciter
* '-^
i3^' 3^j|>Julc
die \ oJLpL*.»
M
Daryltmaq , gudjéndir-
méq.
Kolayilamaq , tesbil it«
méq.
Ichléméq, djila virméq.
Itméq^ yapmaq.
Lazym olmaq, iktiza il-
méq,
Téklifeiz olmaq , alyche-
maq,
Solmaq.
Yormaq, sykiét virméq*
Bitchméq,
Musaàdé itméq,
Tébriqitméq, téhniyétîl*
10«
Fermer /^^^fla
Ferrer /-/-/ *^'t /^
Ferrer un cheval
Finir / : ■>- ^ (s > >
Flamber é^^hy
Flatter ' "i^fji^
Flatter (se)
Flétrir
t
i«Ui Kapamaq.
dU^j ' D^îrléméq.
3^^ *l»^ At nallamaq.
vll*J»^ Bitirméq.
j^iJjJ» Toutouchmaq.
'(^iÉ:\ A>^ Jb> Mudahané itméq.
Flotter ^^1..
À
Forcer 7^/^* t^ Tt^H^
Fonder /^/"'tf/^j
dlîr\
« *
Oumid itméq.
Soldourmaq , risvayi it-
méq.
X^"^ ^JJÎ. Yuzméq , sallanmaq.
Former ( «*• ^^A
Fortifier//^, Z^;?. 7;-^
Fonir
Fouler A ^ v^(r^'
Fournir
Frapper «/ m< a */ '^
Ftémir ^ i^ ^ i,^.
Fréquenter 1.'^%»^!''}^
Fricasser
Frissonner Y-^9%9^ f;^^'
Frustrer
m
f • «
V
Fuir ^i./^î^
Fumer JZi,
(/>
t Téésis itméq, téméikomaq
DJébr itméq, zor itméq.
Sourét virméq, ichléméq.
Téchdid itméq , takviyét
itméq.
Hafr itméq , kazmaq.
r dbcrj JU^l oLô^ Ezméq , payimal itméq.
dtj iSj'jC Tédariq itméq.
^jj\ Ourmaq.
dl* V.5 Ditréméq.
liOjT Gueuruchméq,
3*^ld Kavourmaq.
dU v^û j5 ^y^ Soghoukdan ditréméq.
yJ^yS^ dl^^j f-^-^^ Maliroura itméq , mé-
^\ yous itméq.
M
. <3^1f Katchmaq.
dL/^\ùj)j) dlfj^ Dutméq, tutun itchméq.
s
''V
-- Wi —
Gager
Gagner /^i^^y^
Garanlir /r**tr*^^-^,
Glacer ^«^ ^^rZ^^
Glisser ^^ Cm
Glorifier
Goûter Ci^\/ç <^^ç^h^
Gouverner A» -^ '•^//f
/3
Grandir As ^^■•^^^.'«•^
Gratifier
Gratter ^/a/^
Graver
r^
Gronder ^f(^^f>^t^
Grossir
Guérir
ir /i^.
Bahs itméq.
Kazanmaq.
t^J^J^iî'
Kéfil olmaq.
• ô*->-^^
Tondourmaq-
ôi^
Raymaq.
Taàzim itméq.
^xlj
Datmaq.
JaJjjJ»-i»vilpUjbl
Idiaré itméq , zapt-ou-
<•
rapt itméq.
d^^.
B^uyuméq.
«ll*;JjA-^
Atiyé virméq*
^l;
Rachemaq.
^yjli :UïrJd^
Hàq itméq , kazmaq.
ôJj^^ jAjiJ*
Azarlamaq, darylmaq.
■ M • ••
Ralyn itméq. moubalighé
itméq.
^^^.L-:^d^Jjil
Eyou itméq khastalyghy
m
def itmeq.
H-
Habiller ti^^^çuO. dUja-Tdli;! L.ri
Iksa itméq , kiydirméq,
Ikamét itméq. témèkkun
itméq.
1U8
Haïr
*a/Î(»
Hasarder
Hâter i^^^y^^^
Hausser
Hériter J i*^>^^ ^ri y
Hésiter
Hiverner i '^ /^
Honorer t^^*^*^ - /^
Humilier
Hurler /;a.Q
' 'i
'<. ^
'» .*J A
Béd-hah olmaq, aléhin-
dé olmaq.
Téhlikéyé komaq.
Taàdjil itméq , sykych-
' dyrmaq.
Térfi itméq, yokary kal-
dyrmaq.
Miras almaq.
Térèddud itméq.
Kychlamaq.
Taàzim-ou-tékrim itméq.
Tahkir itm.,altchaklamaq
Baghyrmaq.
I.
Identifier-v ^
Ignorer *r/; *f//'^'*^**
Illuminer iv^%« **.
V « •
Illustrer • .^' .- ^ ' (-/p "i
Imaginer /;t/-i",M//î
Imiter ,v'C </ • •
Immoler i^k ^ /
^ie^^j^
%'
n.
S:\ \J^ÔJ^Ô\J
Tatbiq itméq.
Bilméméq.
Aydynlyq virméq, kandil
donanmasy yapmaq.
Cheubrèt virméq.
Tassavour itméq.
Taklid itméd , euméq
almaq.
Kourban kesméq.féda it**
méq.
Impatienter *«•€/(
Implorer^ V^/V
Imposer ^^/f/^
Imprimer <
Imputer Ç
Incendier ^^Jà/y
Inciser ^r^fjTl^
Incliner i o (/^ hh^
Incommoder /u» tfpMM j^j Ô^jj iX^
Incorporer \f^^ w^^ ^^1^1 ^\ ^\^
— 109 —
6s:\ yji- c^\ ^\:J\
6k\ jU L jl^l
(i^x
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Indemniser «^ h ^ 0/ x-
Indiquer
Indisposer
Inférer
Infester
Informer
Inhumer ^-.^^
Initier
Injurier
;•
r »
r
Sabry-ghàïb itdfrmeq,
Istida itméq, istéméq.
Tahmii ilméq , téklif it-
méq.
Tab itméq , ^basdyrmaq.
Isnad ilmèq , azv itméq.
Ihraky-bil-nar itméq,yak-
dyrmaq*
Yarmaq.
Ekiltméq, méïl itméq.
Sykiét virméq , zahmét
virméq.
Zamm itméq , ilhaq it-
méq.
Tazmin itméq.
Taàyin itméq. gueustér-
méq.
Ighzab itméq, gudjéndir^
méq.
Istintadj itméq , istidlai
itméq.
Yaghma vé taàddi itméq.
Ikhbar itméq , khabèr
virméq,
Défn itméq, gueumméq.
Mahrém itméq.
110 —
Inonder
Inquiéter
Inscrire ^/Jl^i.^^4^
Insister f^fudi
Inspecter
inspirer
Instituer
Instruire jhflf^ •
Insulter
Intercéder
Interdire
Intéresser
dïrl
m
3^> dtbi "
Interpeller
Inlerroger ^/v^,^/^jt^
Intervenir
Intimider /' 7^v^C / '
Intriguer
Introduire
Inventer
. » ' ■
Ighraq ilméq.
Rabatsyz itméq , biboa*
zour itméq.
Raid itméq«
Izrar itméq , iayanaïaq.
Nézarét itméq.
Zihiné ilka itméq.
Vaz itméq.
Taàlim itméq , «ugrét»
méq.
Tahkir itméq, béd mou-
amélé itméq. .
Chèfaàt itméq, araya kir^
méq.
Mén itméq, yasagh kméq
Hissédar itméq , tokcmii*
maq.
Istidjvab itméq.
Soual itméq-
Tévéssud itméq.
Korkoutmaq.
Karychdyrmaq, fitnéko-
maq, nifaq itméq.
Idkhal itniéq, kaboul it**
dyrméq
Il^btira itméq,idjaditinéq.
Inviter ^/^*Unl^>
Invoquer
Irriter .,•*... f^fJi^i
m
'di:\
D&vét itméq.
Istiané itméq,istiiudad it-
méq.
Ighzab itméq, tahriq it-
méq
J.
Jaunir )rh*L*^0>
Jeter *y- . .__
Joindre /)/î.6>^/^> f^
Jouer /■-t'*'; ^^-^2-
Jouir
••" '''k^jhJ'
U>
Juger )-^>/^
Jurer -^-"n '' / "^rî^
r
-r^^
JustiBer
Sary itméq, sarannaq.
Atmaq, ifragh itméq.
Zamm itméq, ilavé itméq.
Oynamaq, saz tcbalmaq.
Tèssarrouf itméq , khaï-
ryny gueurméq.
Ihkaky-haq itméq, kiyas
itméq.
Yémin itméq.
Tébriéi-zimmét ilméq.
L.
Labourer ^nU,\n
Lâcher /f i^ . > » s\
^ll^t J^pljilZiraàt itméq , tcliift sur-
V •
^j^ méq.
Vis
-^112
Laisser ^ a ^>> - (^
Lamenter
Lancer
Languir ^j\ ^ **^ pk^
Lasser ^^ ^ ^(^
Laver /m wv.*^/
Lécher
Léguer
Léser
^'
yihj»
Lever t/Zr^ ç *r&
Libérer
Liguer (se)
Limiter
Lire
Livrer
Loger h.^^i ,: ,
Louer
m • ^
ds:\
ǻJ <^J
jJl;
Lustrer •-/ ^s • >-s ,^ ^'/ ,
Lutter
^yA/\^[/. \ Byrakmaq , térq itméq.
dîr\O.J^^3«^\dLj. Pék adjymaq , chîkiayèt
itméq.
3^ { Atmaq,
Eriméq.
Yormaq*
Yéîkatmaq.
Yalamaq.
Vasiyét itméq.
Zarar yirméq, halèï yir-
méq.
Kaldyrmaq, rèf i^néq.
Ibra itméq.
Akd itméq , baghiamaq.
Akdy-itUfaq itméq*
Téhdid itméq.
Kyraàt itméq, okoumaq.
TéBlim itméq.
Ikamét itméq, otourmaq*
Istidjar itméq, médh it-
méq*
Sjila virméq.
Deuguchméq , muzaria
• itméq.
m ^»
dJj ^UT Jip
df:\- ..
M-
Hàcbw
6*'»
Togfaramaq.
Maigrir ^^(/(^(^fs/i
H) ^^i
Zabounlamaq.
Maintenir
dicl^»l*£
Mouhafaza itméq.
Maîtriser
S:\)aJ^
Zapt itméq«
Maltraiter
Ihànétitméq, bètmona->
c^
mêlé itméq.
Handèr
dp.l>u»».i d^sfji-
Bildirméq , ihzar itméq.
Manger ^->^
dx dtj jr»
Ekl itméq, yéméq.
Manifester
df.iôu »d&jâ>pi
llan itméq , béyan itméq.
Manœuvrer
^i^ c&\ uyu
Hanovra itméq, kôallan**
maq.
Manquer ^ ^h/f
dM'i^j^ ùUi*
Noksan olmaq, éksilméq.
Marchander
dtjjijl
Bazar itméq.
Marcher j'^l^X^
. «^JkiJL
Yuruméq.
Marier ^-►•^.n^O»/
•iUjjd^t djj^"
Tézvidj itméq , évlén-
•
1
dirméq.
Marqaer <qu,***»f/î
C<,W. ç^y ùlii
Nychankomaq » Idharét
«
itméq.
Masquer
'i^Ji'^ ^)^
TâKbl itméq , eurtméq*
Masiacver
dt>lrj:s
Katli-àm itméq.
Maudire
dt.UU;i«itJc^
Laftnét itméq, inkissar it-
méq.
MéoomMlif» t,t\i^tA
Bifanéméq-
.-'7
/i
114
Mécontenter y--. t,<â-/, ÇU)«îu» ^ji^^^J^
Médire i»««^*"'/-^
Méditer
Méfier (se)
Mélanger ^ *•• ^ ^^j^
Mêler /f****^^ ^Thy
Menacer i^ u^i^^ e^^
Ménager
Mendier i '^-/» *^ ^
Mener yv v^ ^2^
Mentionner
Mentir ,, ^ f-^i
Mépriser ^^^^ -^/•/j,
Mésestimer ^^<'^j^'^iL. dUlrljLlpl
Mesurer >^J^/^ dU^j\
Mettre >'-^/^ vi^^-^Cf^-*
Meubler ^n/t ^^ -f//»^(\ ^î^ ^^"Lj^ ciîr^->
Modérer ^^f^i -f^/^jij v^jJiJ^.
Modifier dîrj J^J^
MoissoQDCfr ^t/k . 1 . .'JWjf^ cJUrf
K^batryny kyrmaq, mun-
féil itméq.
Zémm itméq.
Mutalaà itméq , téfekkùr
itméq.
Inanmamaq , vesvésé it-
méq.
Karychdyrmaq.
Katmaq.
Téhdid itméq , korkoUt-
maq.
Idaré itméq^guéuzétméq.
Dilénméq.
Gueuturméq, sé^q itméq.
Zikr itméq.
Yalan seuyléméq.
Rhorbakmaq, ihanét it-
méq.
Mustahak olmaq*
Itibar itméméq.
Eultcbméq.
Vas itméq, komaq.
Deuchétméq , dcmatmaq*
Taàdil itméq.
Taàdil itméq.
Bitchméq , oràldamaq;»
Mollir j'^I^^X^^i
Montrer ^^^.^^^
Moquer (se) ^ «^ 'XtH^
Mordre It^^ ^^^^
Motiver
Mouiller fi^lA4^
Mourir *^^^ vZa
Mousser
Mouvoir
ir ^.y,*^^
Mugir
Multiplier
Munir
Mutiler
Mystifier
— 115 —
dcbjijî
Mulaïm olmaq youmou-
chamaq.
Keustérméqjrchad it méq
Istihza i tméqjEé vkiénméq
Ysyrmaq.
Euzur béyan itméq , sé-
bébini seuyléméq.
Yslatmaq.
Eulméq, véfat itméq.
Keupurméq, keupuklén-
méq.
Tahrik itméq, kymyldat-
maq.
Eugurméq.
Tékçir itméq, tchoghalt-
maq.
Tédàrik itméq.
Sakat itméq,
Aldatmaq.
N.
Nager IJ'^L
Ntllfe i^i^é^/^'
Narrer ^iv. "i^^fi-^ '
Tozoïéii.
Tévéllouditm., toghniaq.
HikiSiyèt itm.^iiakliteMt«i^
i^-
Naviguer Cu^u^^kj
Nécessiter
Négliger
Négocier 4<^^^/y
— U6 —
M
m
Nettoyer M/uf^^
Noircir *</*-^a i/t^,
Nombrer ^"^«^«^^
Noàimer it, eh-^v^t/L i^y^i dtêl*je-J
Noter dtt^lil
Notifier ^ jj^ d^\ù^l
Nouer ^\^^
Nourrir r.-c„^u-^^ ^^j^ ^j^-
Noyer /c^>V ^Jl ^jd>
Bakrënazimét itiné(|.
Idjar itméq.
Ihmal itméq.
Tidjarét itméq. muzakéré
itméq-
Tathir itméq, témizléoiéq.
Siyah itméq , karartmaq«
Taàdat itméq , siymaq.
Tesmié itméq, ad komaq.
Icbarèt itméq.
Uao itméq, bildirméq.
Dukum itméq*
Taghdiy é itméq,bésléméq
Gharq itméq, bogfamaq.
Zarar virméq. \
0.
Obéir sCé^yU^^-^-f
Objecter
Muti olmaq.
Itiraz itméq , irady-mé-
vani itméq.
Idjbar itméq , mémnoun
Obliger ^r^l^Yf
' \^ itméq.
méq.
— 117 -
Obtenir
Offenser
Offrir Ç^V^
Omettre
Opérer
Opiniàtrer [»')
Opposer
Opprimer
-.1 , -
^y jl^jj^jl Jîl I Naïl olmaq, bérmurad
• *•
«
vllïrl LU drUUl
Opter
Ordonnancer ^^^9^
Ordonner ^ffi^^^y/?
Orner ^^jfsy^f4(j,
Oser ^-'/'^//-^^
Oter ^^ 6^
ier /"
Ourdir
Ouvrer j^h ^/t^
«3*-
olmaq.
Chétm itméq indjitméq.
Takdim itméq, arzitméq.
Kousour itmeq, térq it-
méq.
Idjra itméq , ichléméq.
Izrar itméq.
Moukabélé itméq « mou-
khalifét itméq.
Payimal itméq , zoulm
itméq.
Ihtiyar itméq,
Bouyourmaq.
Emr-ou ténbih itméq.
Tézyin itméq » ziynétlé-
méq.
Djésarét itméq*
Ikhradj itméq . tchykar-
maq.
Féramouche itméq^ ouri.
noutmaq*
Ichitméq , dinléméc}.
Nésciy itméq i dokoamaq.
IcUéméq , iïmal itniéq^''
— 118 —
P
Pacifier
Paître «^/m^iJ/-^
Pâlir tfv/-^ ^
Palpiter
Panser
Parcourir
Pardonner </f-^ A^
Parer i^p)-^,rjl^
Parier. Ay/^ ^^^>
Parler /^ * *<^^7^
r
Paraître /• rr"-^^!
Parsenàer
Participer
Partir
^•joijldiîrl^^l
â^y
^jy^J^r^^j^'jy.ySj^.
Islah itméq , barychdyr-
maq.
Otlanmaq.
Bénzi bozoulmaq , sarar-
maq.
Ynréq oynamaq , ditré*
méq.
Yaréi dékichmirméq , i-
latch komaq.
Kucht-ou-kuzar itméq ,
eutéyé bérouyé guît-
méq.
Afv itméq, ba^hychla-
Tézyin itméq, donatmaq.
Bahz komaq.
Tékéllum itméq , setih-
bét itméq.
Zahir olmaq , guearon»
méq.
Néssar itméq, satchmaq.
vîi^j \S\ d^jftJÏ ; Taksim itméq,pày itméq.
m % m ^
cl
4* « .
Hisséménd olmaq.
Âzimét itméq , guitffiéq.
119
Parvenir
^jl^jc^ j vllr^J j Irîchméq, dèstirés olmaq,
Passer c^ ^ •^^r^
Patienter ^ **t i ^//7-/l( ^
Payer •^^A^
Pêcher Hm ••^•^/^
Pécher f^^^-'VZg^
Peigner -h.^/i/^
Peindre ^^Ht^
Pencher
Pendre /•^/•/^^
Pénétrer/'»-^ «^^/^
Penser
^*^ '^
Percer ^A.A^
Percevoir
Perdre /y ^ ** -^^ i^, ^J ji^ dif Ic^U
Perfectionner
Périr A/ '•A^L/y
Permettre S i* îfr f
Perpétuer
Persécuter >tc/i*yf ^ 4^4^i^^ffsl}s:\\^
Pêrsiévérèr'
< I • * t
1
nàyil olmaq.
Guétchméq, savmaq.
Sahr ou-tabammul itméq.
Eda itméq, eudéméq.
Balyk aviamaq.
Gunah itméq.
Taraklamaq.
Tasvir itméq , suret yaz-
maq.
Méïl itméq.
Asmalc;iaàlik itméq.
Istiknah itméq , kunhuné
varmaq.
Téfékkur itméq, ducbun-
méq.
Délméq , bourgoulamaq.
Tahzil itméq, dévchir^
xnéq.
Ghaïb itméq, zayi^itrtéq.
Kémalé guétirméq.
Zaïl olmaq, téléf blinaq.
Izn virméq.
Mudam itméq.
Zoulm itméq.
Israr itméq, métanét it-
m
Persuader ^'^-^xi^A ^â-jjCbl drl,.ljl
Peser < /e'^A^ ^<)ll. d^jûj^
Piller^^«/î^ 1 4u) d^JojUjUi;
Piquer / «.j ^/^ ^^ ^^^
Placer ^Ar/,'.,/^ ^> dtjç^j
Plaider A'-t» ^fe««w dtj l^j
Plaindre ^^ifT"^*^ L»
*:\ dk\
Plaire
Plaisanter f'^T**fh
(^■^
Placer
Planter ^ ^H(î?
Plaquer ^
Pleurer, v^ ^ fU^^^r
Pleuvoir ^ ^iJ/A/^
Pli«r .^.^|^c4> -^krij^^-^^
Plomber /«% ? «^ *? V 4> iâ^y*-'->»
Plonger / *? t"^ J-J-^-» -il^.^J-î^»
Poignarder ^^.^1 J,| ^^
Poivrer "^Ol/?^ vili^
PoKcer ds \ ii* j ^ J.-:»
Polir "^^V^e^ <iiltf^^-jy^
Ist^r itméq , tayanmaq.
Ilzam itméq, inandy rmaq.
Vëzn itméq, tartmaq.
Maàmour itméq, idiéhlét«
méq.
Yaghma Yé gharét ilniéq;
ScJunaq, ysyrmaq. . .
Vas itméq, komaq.
Dava itméq.
Térahhum itméq , adjy-
maq.
Makfeoulé guétchn^éq^
Latifé itméq ,^ zévkléii^
Di|2Élëtméq.
Ighraz itméq, dikméq.
Kaplamaq.
Gqiryan itméq,agblamaq.
Yaghmah.
Tàjyi itméq, deuchanoéq^
KLourchounlatoaq.
Ghars itméq, daldynatc^ -
Kbantcliérilé otmnaq.
Bii^érléméq.
Zapt ou-rapt itméq.
Djla virméq, péfdah it-
méq.
Porter
>>^
Poarrir ^/>?^
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PfécaulScmner
PFécauUonnfir (lè)
Précéd^ ^
Précipiter
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Prendre K^^f^
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1
Takammul itméq, giiMV
turméq.
\ki itméq, komaq.
Mutéssarryf oIiiiaq[.iiitlk|
olmaq.
Tchuru tméq, tchuruméq.
Taàkib itméq , ardyné
duchméq.
Ilérou guitméq, tahrik it«
méq,
Idjra itméq, atiiélé ké«
tinnéq.
Ikaz itméq*
Ihtiyat uzré boulounnliq;
Takdim itméq, iléroudéa
guitméq.
Outchourmaq , adjélé it«
méq.
Istikhradj itméq f gfatflH
dan khabér yinnéq.
Térdjih itméq, takdijqaJjh
méq.
Tahminén boulmaq # hif
nésnéyi éwélindén 4t«
chunméq.
1
182 —
Préparer ^^Tt'^'^Tf^J, ,3\r^^ ^J ^
Prescrire ^/^^r^^ vlJi^l^l dij aJJ
Présenter é^^j^y ^V^,
Préserver . ^ ^ ^l^p
— m
•
Presiser *^^^^^f^
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Présumer /u, * 3 A . 4 «^
Prétendre »7i*^.*«^W ^J^Jti, di» \^
Prêter )i»,^ j é-^j^ sllc\ ^>\>\
Prévaloirv»/» «* -f^./ . ^m^/Vj^ ^j\i_JU
Prévenir ^''U ^ .*^, t>'-^^«3:'^-*-^^''
Prévoir
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i
Prinaer »„kh. ^/c r/e/ .^l^Ji-L i^iji^l^i^
Priser - 4 À<> ♦• A " ?^ I , W V^ ^^.l/.-J^
h
Téhîyé itméq , hazyrla-
maq.
Ténbih itméq émr itméq.
Arz itméq, takdim itméq.
Hyfz itméq , siyanét •'it-
méq.
Hiss itméq , évélindéii
touyimaq .
Tazyik itméq , taàdjil it^
méq.
Tahmin itméq, méémoul
itméq.
Iddia itméq, talab itméq.
Ikraz itméq ; éuddndj
virméq.
Itizar itméq,béhané bouU
maq.
Ghalib olmaq.
Moukhatarayi kàWél-^
voukou déf itméq.
Bir nésnéyi kabIél»vou-
kou fébm itmék.
Ridja itméq , yalvarmaqi
Uk olmaq, bacfae olmaq.
Takdir itméq, baba ko-
maq.
123
Priver \t^jho \ àè} t'j ^J CJ>
Profiter
Promener '<- ; ji < /• >*^
Promettre /a*''T
*t£t*,
Proclamer ft /m»»^^ C f*^^ <:}s:\oM
Procurer fhl'^h'^jl'^^ jj\ ^j ^
Prodiguer. i^»Mi^«^,J*^^dlc\ ^i^l
Professer^.* >*'(»r*^ jdclji;SldrlLil>\
Propager ^h^,*^^k^'(s^V dïr.l ^
Proposer u.',,t^<^^^^\^j^^\jc>^
Proroger ^/^V/îi) ^i^û?^ «i^jj.^"
Prospérer/^ I A >l^ J^L^^^^J^J:
Prostituer «^^^/)//r* •^ V/>^ vliïrjv^^^j
Protéger •^-^y>*'^ dtJ^V
Prouver ni^-^u. -41.^ .
^. ^^\^\^\''t
€kSi:\^j^\c:>\
Mahroum itméq , nouz
itméq.
Ilan itméq.
Péyida itméq, alyvirméq
Israf itméq.
Itiraf itméq, ikrar itméq.
Fayidé itméq, téméddu
itméq,
Guézdirméq.
Vad itméq, seuz virméq.
TéléfiFouz itméq , téfév-
vouh itméq.
Néchr itméq, yaymaq. .
Arz itméq , téklif itméq.
Témdid itméq,ouzatmaq.
Mukbii olmaq , bahty«
musayid olmaq.
Risvày itméq.
Himayét itméq.
Tahkik itméq , isbat it-
méq.
Néchat itméq, téréddoub
7^-
Puer
^''•^ i
itméq.
méq. . ■
v^y^V
.1
m —
?unir .<7«^y)»^
Purger ^^^.^H>^»lli,l>4Jj,>:irl*^
Purifier i^/^'tH;
diy dt.i^U
Téédib itmëq . (^èChsytf
Tirméq.
Ténkiyéitméq, Uf&îr tt-*
méq.
Khalis itmék , témizlé-
mëq.
0.
Quadrupler a^ ^ *. A »**4 ^ ^A, d&job<l»>i
Qualifier it, A,,, H. i/y ^j d^r^J Tëvsif itméq-
Quereller t// îsA^
vD^j ^1/ ill^j Uy^ Ghavgha itméq , niia tt-«
méq.
^i^,)^ dirf Jl^^ Soual itméq , somuKfk
J/rK^jlilJ^:)i:\jua»j Résid itméq.
Quitter /^ ^, ^^ , ^|^ ^UJ Térk itméq . byrakmaq.
R.
Kibiifl•er/4Â^^■'A
^jJjLL-ditjJ.>"jTénzil itméq, taklil it-
méq.
laboUer^/^. ^'V/^^ ^} ••JO ^xjj Yonmaq, rende itméq.
^ » 7 ^^ if fiS^V^^^'^.W^ I '^'^"^ itméq^idah itméq.
»»«*W5lr* f^. »' ^' * I/a V^ >^ i3^-^ . Kyssaltmaq.
Ir ^ « If ( I •
1S5
Radoucir j^^/.Mj^ ^xliydij^-
Raffermir < «** h *v«.>Wt d^U Uîdtl «>:£
.?.
'^
Railler ^<
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^^lî^'
•
Rajeuuir /^ t^-^-^^Z 1 ijh^^
Rallier'>^''*i^-^„''^-if-|^ ^llyV^
Ramasser ^/ tjn^
Ram«ne^//^^ ^^.
Ramer /!?< /- t/^
Ramper *»i,*^j
Ranger/vy^. ^.^^^^
Rammen •»> k >.^ «» «^
Rappeler^/ ^ A
Ca
btirdad itméq , goéroit
almaq.
Hikiayét itméq, nakl it-^
méq.
Télyim itméq, youmoa-
cbatmaq.
Témtin itméq,]; tik vie it«-
méq.
Ikhtar itméq, serin it-^
méq.
Técvik itméq. }i^ibi(9 it-
méq.
Kyiyas itméq, taakoul
itméq.
Gpéndj olmaq.
Téékhir itm. , méks itm.
Birikdirméq.
Djém itméq , toplamaq»
lyadé itméq , gourou
gueoiidérméq
Kurék tchékméq.
Suruklémnéq , furtim*^
méq«
Tanzim itméq, tértibit*-
méq.
Ihya itméq, dîrUtibéq.
— 126 —
Rapporter 7./^^ >** jf^'^^ «^Jjt>'
Rapprendre ^nfi^-^**''f'(/^ dU/^\iJ>xÇ
Rapprocher ^^t/^çV^ Vl-^ ^ jJ^Mi
•• i
Raser u, ^A(U^ ^} J'^j
Rassasier^ *^^/4Mp^ ^ j^^^t
Rassembler (A 1^^* ïjh ^ »*'y^\ll£:\ ^
Rassurer ê^^yt^Cn y4/j^ ^^o-J^i^b^JcA^*
Rattrapper /jL h. -«^ ^[^ ^3^^
Ravager ^ ûjî-A, Jh^^ ^ ^vllcl OjU>.
Ravir^ -. ^n^ifi^ ^xU v:Iïr\ ^
Rayonner 9i«t/v
Réaliser
Rebâtir «n/u/-<- ?/»*r|
Recevoir i\U,^^^^M^
vlicl J^ drl lil
t^.
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Rechercher Àn^h^h^f ôi^\ dtîrlsJiL
Réciter Ji dii^ÙJ^jl
«>
Réclamer O^e^fi^-o '>A<> ^«-^1
Recommander ô^jWdÉ'l iu*-dy
Takrir itméq, gidrou ma-^
haliné komaq
Yénidén euyrén'méq.
Yaklachdyrmaq , lakrib
itméq.
Tyrache itméq.
Toyourmaq,
Djém itméq.
Emin itméq, rahatlandyr«
maq.
Yakalamaq, toutmaq.
Hassarat itméq , takhrib
itméq.
Gbazb itméq , kapmaq.
Ziya virméq.
Fiilé guétirméq, idjra it-
méq.
Yénidén bina itméq.
Akhz itméq , kabcul it-
méq.
Yssytmaq.
Talab itméq, istéméq.
Ezbérdén seuyléméq ,
nakl itméq.
Istéméq.
Tavsiyé itméq , sypary-
che itméq.
Recommencer ^**}"i (^ ^y•y^lJ\Jz
Récompenser "U^hJ'
Reconduire
Recoiinattre ^o
Recourir hr-J^i//-j
V-u
Rectifier
Recueillir -^ ♦^•■•«•//^
Reculer
Redire /^/y-^y^
Redonner •^f^<- >*♦"/
Redoubler A/ w-
Bedouter
Redresser
Réduire
Réfléchir^
Reformer
«V<j,
Refroidir '^u'iUfii
Réfugier (se) ^«/t/(
iivjT' dcj ^
dlt^ jU^'
Tékrar bachlamaq.
Mukiafat itméq.
Islah itméq , baryt^dyr-
mak.
Técbyi itméq, gneutur-
méq.
Tanjmaq.
Istimdad itméq,muradja-
at itméq.
Tazhib itméq.
Djém itméq , deuchur-
méq.
Guirouyé ridjat itméq.
Tékrar seuyitéméq.
Yinévirméq.
Tékrarlamaq.
Ebafv itméq , korkmaq,
Tésviyé itméq, toghrouU-
maq.
Taklil itméq, azaltmaq.
Téfékkar itméq.
Tagbyir itméq , dékiche-
dirméq.
Soghoutmaq.
lltidja itméq , sygbyn-
maq.
VA
— 128 —
■ . ■^"
Refuser \Ep o//r
Réfuter
Regagner {^f^
Régaler
Regarder Mi>»*H%^
Régir
Régaler
Régner^^<N«^#./i>^
Regretter
f^ sÙM J_J^
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Régulier /K s;*, t^ w 4 fJx^ ,3»^A-Uii
Réitérer \ ^\.^XX:&\j\S:^
Rejeté* ^J^
Rejoindre
Réjouir ^-^ »-
r' S.
Rel&cher
A ^^M.'
Relever i^jj,^^
Relier /^\^^
Remarquer
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• •
à£j/^\^.
h è
' j
Kaboul itméméq , hntiiia
itméq.
Djérh itméq, rédd itméq«
Tékrar kazanmaq, zara^
ry tchykannaq.
Ziyafét itméq.
Nazar itméq, bakraaq,
Idaré itméq.
Nizama komaq.
Saltanat surméq, houku-
met itméq
Hasrèt itméq.
Nizama komaq.
Tékrar itméq 9 téékit it-
méq.
Kaboul itméméq , rédà
itméq.
Kavouchdourmâq , ya-
pychdyrmaq.
Sévindirméq.
Guévchétméq , tsalyvir-
méq.
Réf itméq, kaidyrmaq.
Djiltléméq , yiné baghla-
maq.
Dikkatlè bakmaq ^ gueu-
. zétméq.
129
Remédier y^^ J^ ^ ^^y DUdlij^^
Remercier ? eiiy^ ^ u. /Li ^C^<^lfcj j^"
Remettre y^/x^ T^'xi ô^
Remplacer %^^^
RempUr ^ÇYc^
Remporter
Remuer
Renchérir
Rencontrer *^w j^^ifV^j^jviiil ^j
L "^ *
Bendonnir '-j ^-^^ytH?^ ^yjf^
Rendoubler '^J.y^
Rendre 'j'^T*^-^*-^p*jj '^} A-^
^\
Renfermer
Renforcer
Renoncer
Renouveler
RépsMidre
Réparer ^^ p^^hp
M
M
^
Eda itméq , eudéméq,
Iladj itméq itcharé boni-
maq.
Téchékkur itméq.
M^ihaliné komaq^
Yériné guirméq.
T<>ldourmaq«
Ghalib guélméq.
Kymyldatmaq.
Rqihasyny artyrmaq.
Tassaddouf itméq » rast
kélméq.
Onyoutmaq.
Tchévirméq.
Téslim itméq » viroilôq i
iyléméq.
Ihaté itméq.
Kavi iyléméq.
Térq itméq.
Tédjdid itméq«
Yéré tcharpmaq, zir-ou«
zébér itifûj^,
Néchr itméq , akytmaq.
Taamir itméq, méramét
itméq.
Pic)vm»SL c^TSStfv
T-^
130 -
Répéter A/<^J^ ' jijJ^ li^J^J^ Tékrarlamaq, tékrar seu-
/^/'
-£,
Répondre tyu,<f^si^,
Reposer ^u,A^tp/
Repousser <^)^> i'*i,jjS^ <^} a*>^J-
^•y
Représenter Vr/'V'*'>f ijj/ dtj (>^
Réprimen(lerj',pw«/jS^. ^j^^^^^ dïrjjO-j"
Réprimer p h ^««^» | ^êiç^J^jj,^
Reprocher ^ k. -y^ ^. vj ^\; ^^L ^_\ ^ ^
Répugner u^yf^. (f"f\t >^\i\ii>. diîr\o>
Réserver «^ /*i v-w Ô*^^^'^*-*
Résider -^'^/q' ^«-tJ 2ê^j\ j5^<Sjv:**U
Résigner ( se ) ^ »^ «m ^ h. j^^ JiJ JSj»
Résister > i, i h. f^ dLcU<»«iliÊrJ J*»jU»
Résonner ' ^- 'ih^
i^,yM yiléméq.
-»!yr ^.V^^-> Réddy kélam itméq, djé-
d-/.j vab virméq.
J^ dc\ JiJ^ Tékéfful itméq , djévab
cll-^j virméq.
^y^b vllifliK*^ TénéfFuz itméq , rahat-
lanmaq.
Mudafa itméq, guirou ko-
maq.
Ârz itméq , gueuzu eu-
kuné komaq.
Taazir itméq, azarlam aq«
Zapt itméq, ménn itméq.
Lévm itméq, bâcha kak-
maq.
Néfrét itméq , haz itmé-
méq.
Saklamaq.
Ikamét itméq, mutémé-
kin olmaq.
Téwékul itméq.
Moukavémét itméq, ta*
yanmaq.
Séda virméq.
Hall itméq.
^J,J Ix-d'
0^^^ ^J>
- 181 -
Respecter i *t/* y /^
Respirer |^eVx,('*^'^6'*C^.
Resplendir ^»^^. 4 *VC^
^\^j^
Ressembler
Ressentir \'Ç'^/^
Resserrer ^^ «;^^
Ressouvenir {se)^/*fh.
Restaurer
Rester ^S^m%/ - j^
Restituer
Résumer
Rétablir
Retarder
Retenir Jt /v. CjL
Retentir
Retirer /y f^ -j/^
»
Retourner /.
Rider
Risquer
Rouler // ^A^
Ruiner
Ruisseler
Ruser
Hurmét itméq.
Ténéfiuz itméq.
Ziya virméq.
Bénzéméq, muchabib ol-
maq.
Hiss itméq.
Tar itméq, sykmaq.
Yad itméq, anmaq.
Taamir itméq.
Baky kalmaq.
Guirou virmeq.
Khoulaça itméq.
Tashihi-mizadj itméq.
Téékhir itméq. alykomaq
Elé komaq , zapt itméq.
Séda virméq.
Guirou tchékméq.
Tcbévirméq, avdét itméq.
Bourouchdourmaq.
Tébiikéyé komaq.
Youvarlamaq.
Kharab itméq , viran it«
méq.
Âkmaq , djéryan itméq.
Hiylé itméq.
S-
Sabler ^«-*^t,c>**'V^
Saccager Z'**'^^ ^^h^
Sacrifier -^ /T^
Saigner '^^^^*^4^
Saillir l^if^y A**L
Saisir ^ '^ «f^^
Salarier f^H fff'f****^
SalJBT UH *^/^
Salir ^^V^W^
Saliver /?'v*f</-g^
Saluer f, h Ï.*^''**1À
Sanctionner ^ ê«* ♦/♦ •* >»A «UiV,^ JUaJ
Sasser «^ ^/V
Satiriser itiyt,i^y^
Satisfaire ^^^^■^S^^fi
Sauver tvt ^m Hi A^
Savoir jl\p Ct*^ ^ ^jl .^
Savonner M«*i«^*»*'7|r^ ^ i^^.^
Scandaliser
Roum satcbmaq.
Yaghma itméq, yiran it-
méq*
Kourban kesméq, féda
itméq.
Kan almaq.
Sytchramaq.
Akhz itméq, toatmaq.
Udjrét virméq^ térrif it-
méq,
Touzlamaq.
Mourdar itméq » kirlét-
méq.
Tukurméq,
Sélam yirméq.
Tasdik itméq.
Kalbourlamaq.
Hidjv itméq.
Ifza itméq.
Takhiis itméq , koartar-*
maq.
^kiab olmaq, failméq.
S^bounlamaq.
Féna ibrét virméq.
— 13S
Sceller y^ f/ -/(^71 ( %6i:\f^ dX^
Scrater A^T»**^';'/^ ^y\j\dk\J^
Sculpter /•-*>- *^Jfl , J.\L z}!^\J.\^>
Sécher \l'J>p*^-</y
m - •
Séjourner ji^^/hl^ ^)^^^^ù^^
Sembler t4A^ ^rr (^j^ jU
Semer ^ ^ ^^ îl^\ (jS\
Sentir «>)^*«*/ ^^^^ cJtl u^L-^l
di^\
Hadjamat itméq.
Bleuhurléméq, témhir it-
méq.
Téftiche itméq , aramaq.
Tache ichiéméq , tache
oymaq.
Kouroutmaq.
Aldatmaq , itma itméq ,
izial itméq.
Otourmaq. ikamét itméq.
Zamn olounmaq.
Ekin ékméq.
Ihzaz itméq , hizz itméq.
Séparer (/^^J^(^ (^j)^) 3i>"
Séquestrer ^JT •^vj , ^•^Icijci^ j»
Serrer "^H/lp^ v^vVV
Servir J*^^.•ny^ dl^lj>J^
Sévir/ V-^*^^ ')s>^O^dÊ;lV^
Signaler ^^f^^^f^^ ^Jj^-
Signer m «^Wï/^aï/ji /ri ^^\JIaÀ
Signifier ^f^^^k^ dirlvlJVj
Simplifier 7*^^ %il^ <S*^.^>^ Kolaflamaq
Simukr
JIK^'^^fk
Téfrik itméq» ayîrmaq.
Tévkif itméq, alykomaq,
Kapatmaq , sykmaq.
Khydmét itméq.
Zapt itméq , sert moua-
mêlé itméq.
Méchehour itméq.
Imza komak«
Dëlalét itméq.
Kasd itméq, kétmjr-mé-*
Soigner Jp^^^^fj
Solder i H,d ^ A t^^
Solliciter ^fnZ^
Sommeiller «y Mm C m/
Sommer
Sonder fcj^'^^^
Songer /^i>«m«^/^
Sonner y »% y e-j^^
Sortir /'H/l^
Souffler v^ i/^
Souffrir 4>4 ii - /^
Souhaiter '^'^yrCf
Soulager A^/ft-^ «^
Souper ^.^pt^^U.
— m —
dix j ^rtilRlJuàJ j Takaïyud itméq , fusa-
zétméq.
<^}^ a ^'
ù!>lp\dUyJd-U-j
M
M
d^jjûjl
Hiçaby kat itméq.
Ridja itméq,tahrik itméq.
Ouyoumaq.
Résmén bildirméq , ilan
itméq.
Yskandil itméq, aghzynjr
aramaq.
Mulahaza itméq^
Séqa virméq.
Rhouroudj itméq, tchyk-
maq.
Ufléméq.
Tahammul itméq , zah*
méttchéqméq.
Arzou itméq.
Tékhfîf itméq, téskin it-
méq.
Réf itméq, isyané sévk it-
méq.
Mahkum itméq , itaat it-
dirméq.
Soumettre ^^^^^1 C^\L\d\\^^
Soupçonner /«t^î^^^ Chubhé itméq, vésvésé
» itméq.
di^l^LL^l^l . Akhcham taamy itméq
vlI^Ul ^ Ah itméq.
Soupirer ^ lux ^^'^nj
135
Sourire
/*r-^
i^\ r^ Tébéssum itniéq.
Soussigner /, yth^ ûj \jLi , i^y Lâ*1
Soustraire J>'^^(. ^\^^,^j}
Soutenir ri}>/j^ ^^ LUitj.
Souvenir (»e)^/ <j^ ^ ^\ jl
Statuer
Stimuler «^ a ^-/^
Stipule» d£\iy[^jJL«*
Submerger ^J^/fU ^-'^ ^Jtâ>
Subordonner i^v» A A «4 J\»j\
«^.v»
Subsister ^t^ u J^Hf/»
Substituer
Subtiliser
Snccéderj k^^<ff^
Succombi
Sucer r ^ 1 ' .><'^
Suffire /jL^^ /-•
Imza komaq.razyolmaq.
Imza komaq.
Ayirmàq, tchékib alraaq,
Israr ilméq , dayarimaq.
Yad itméq, anmaq.
Emr itméq.
Tafarik itméq.
Ahd-ou-chart itméq.
Tahty-itaaté idkhal it-
méq.
Gfaark itméq , batyrmaq.
Tahty zapté Wkhal it-
méq.
Guétchinméq , mévdjoud
olmaq.
Tévkil itméq, kéndi yé-
riné komaq.
Indjélâméq.
Khaléf olmaq , varis ol-
maq.
Bitab olmaq, takétkétir*
méméq.
Emméq.
Térléméq.
^
Suffoquer
M
130
3^y.
\
Supposer
Sap{Aicier
Supplier ^f^ \^
Supporter
M*>?^y
Supprimer \t-//7^
Boghmaq.
Ardyndan guitméq , ta-
biolmaq.
Siyassét itméq.
Yalvarmaq, niyaz itméq.
Tahammul ilméq , takét
guélirméq.
Farz itméq.
dtljL^ dx}^ Kètm itméq, yasak itméq.
surmonter AU///u^ -Jt Ô^J^ji
Surnommer i/^^^iui^^^^l^ dicl %^^»^
Surpasser ^ly^ --*^ 1^ .dU^^d'
^^ i.. *^ff'^^'
Susciter j^.^^sk
r^y^h^
Surprendre^ i4%P^l*/^ f5^ 3^-i«^^J^
Yolcary tchykmaq, gha-
lib guèlméq.
Tèlkib itméq , makhlaz
yirméq.
Tédjavouz itméq, guètch-
méq.
Âlél-gbaflé basmaq.
Nézaret itméq.
Djèlb itméq , péyîda it-
méq.
Taalik itméq , téékbir it-
méq.
— 137
T.
TJlcher "i,^^/^
Tailler /^^
Taire ^ ^/^
Tarder A^^oit é!^y
Tarir
Tasser 7-/ x^
Tater X^V^f^/x^
Teindre ^/r//l^
Témoigner "y^/z^
Tempérer
Tendre/4yt/^ {"^^-r ^^
Tenir j/L^c^
Tenter
Terminer /S*
•^^f^
Ternir
Tester
Timbrer /'/"»')• ^«•
Tirer fw ^ /^^
Tisser ^J»-'»/^^
^L
d^r:
j-i a^jjy
d^jjijuj
dîr\i>idcu^"
dïrl,~
^*
Tchalychmaq.
Rat itméq , kësméq.
Kètm itméq, soykout it-
méq.
Guètch kalmaq, guédjik*
méq.
Kouroutmak, dukètméq;.
Yighyn itméq^
Elilé yoklamaq.
Boyatmaq.
Ghahadët itméq.
Taadil itméq,
Mundjër olmaq. ,
Akhz itméq, toutmaq.
Tédjrubé itmèq igbva it--
méq.
Bitirméq , khatm itméq
Rèvnaky guidirméq, box-
maq.
Vasiyétini itméq.
Tàmgha ourmaq.
Tchèkmé(;.
■q
N
m ^
Titrer
Toiser
Tolérer
Tomber
wiJ "^jji ^^y^ Dnvan virméq, lakat vir-
dvj
ik^iit
Toucher
■i^^^ô^-
Tourmenter ^Vt'**!/^
Tournailler
Tourner i^^Jt/i,
Touraoyer
Tousser "hi^ Xoi/^
Tracer
Traduire P'^^f.iÛ thi^lf^
Trahir
Traire fl^ô'^f^
Traiter
Trancher / ^/» /-;
Tranquilliser
Transcrire
Transférer
Transformer
Transpercer
Transpirer
méq.
Endazéléméq.
Téhammul itméq.
Duchméq
Iskéndjé virméq.
/.
^» Jiî
d£\c
oj^j
iijiJ
Transposer . j dîr\ J^ J,.t;
Tolachmaq.
Tchévirméq.
Deunméq.
Euksurméq.
Tchizméq.
Tërdjémé itméq.
Khiyanét itméq.
Sud saghmaq.
Uadj virméq.
Késméq, kat itméq.
Tèskin itméq.
Sourétini almaq.
Nakl itméq.
Tèbdili-sout^t itméq.
Kétchirméq.
Tèrléméq.
Intikal itméq^ tachemaq.
Tëbdili-mahal itméq.
— 1«9
Traverser 1 >i ^ jj fr^^/
Trembler ^^>fc#W^
Tressaillir
Tresser
Triompher
Tromper f^^f^
Trompeter
Troquer
léméq.
j_p5j tilêl aJ\^
dit. " •"
•i
Troubler \j^^1H^
Trouver -j?^ d^ dlcbl^j ^ji
Tuer -^7^-^^^fr^ duyoljl ^jj-*
Tyramiiser Idil^^Jb! vlisrlLt
Bir yandan obir yanaguit-
méq, guèlchméq.
Sarsylmaq, ditréméq.
Ihtizaz ilméq , sévinméq
Eurméq.
Gbalib guélméq.
Aldatmaq.
Borou Icbalmaq*
IVaiipa itméq, d^guidbe^
itméq.
Boulandyrmaq , ikhtilal
virméq.
Boulmak, idjad itméq.
Katl itméq , euldurméq.
Zoulm itméq , taaddi \\r
méq.
u.
Ulcérer 'ipfi'^''''f^j^
ii0ir 4'^;;^'h^
.m
*J.J. '^'J-^A
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Yaralamaq.
Barychdyrmaq ,biryéré
User j*»^it^lfi^
Usurper
aU^ruA.
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C^'c-
iw —
'^
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Koullanmaq.
Djébrèn zapt itméq ,
ghouzb itméq.
Vaciller
Vagabonder
Vaincre
Valoir uuy, ^A^
Varier
Végéter
Veiller i*»f^ptj£^
Vendanger
Vendre fè-^/j^
Venger ^ u,/» />/.
Venger (se)
Venir J u^
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y.
Verser j^ t/^
Versifier
Tézèlzal itméq. térèddad
itméq.
Rhovardalyk itméq.
Gbatib guélméq.
Dëyméq.
Déyichilméq,
Beuyuméq , bésienméq
j'
Ouyanmaq, ouyanykol-
maq.
Bagh bormaq.
Firoukht itméq, satmaq.
Hakyndan guélméq.
Intikam almaq.
Guélméq.
Esméq.
Tashih itméq, tahkik it-
méq.
Téukméq.
Ghiir seuyléméq.
Vélîr y^^^y^^^j?
Vexer
Vietîmer *
Vider «yn,^/^
Vieillir ^ LO'têr* l
Violer
Viser
Visiter f^Jp-I
Vitrer t« *j t, //>
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~ 141 —
• « •• • ^
«
Ikçaitméq , kéydirméq.
Réndjidé itméq , indjit-
méq.
Féda itméq.
Bochaltmaq , tëkhliyé it^-
méq.
Ikhtiyarlanmaq.ëskiméq.
Nakz itméq, bozmaq.
Nychan komaq.
Ziyarèt itméq, yoklamaq.
Djam komaq.
Ihya itméq, diriltméq.
J
C^^ ^^ rj^é.tX Yachamaq, taayuche it-
\^\^X*^f) méq,
^j^' ^\ >- Sétr itméq, eurtméq«
iX^jy^=sss> Gueurméq.
di«^ 4» 4*^ Arabaya yuklétméq.
\ dil Z^r^ Syrkét itméq, outchmaq»
j3-^^dilf \yZ.u\ Istifragh itméq, kousmaq»
vliv.jL?t; Réïvirméq.
^^Sj \^^ Adamaq , nézr itméq.
^fji*-ji\ vlJil^ju^ Arzou itméq, istéméq.
h^di^ •>! jl>j Diyary-akhéré guitméq ,
dilC^a-L-
siyahèt itméq.
•»>*»>4
< É > »% > »V^% ' * V
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A.
ADJECTIFS.
Abandonné
Abominable
Abondant
Abrégé
Absent
Abstinent
Acceptable
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Accommodant
Accompli
Accordable
Accoutumé
Accru
Achevé
Actif
Adepte
Adjoint
Admirable
Adolescent
Adulateur
Adverse
Affable
Affairé
fi
• ••
r-'-
Ô**» ^j^
•• •
8YFAT
Byragylmycbe, métrouk.
Mékrouh, ménfour.
Vafirjjbol, tchoq.
Idjmal ,moukhtaçv.
Ghaïb
Pèrhizkiar.
Makboul.
Khatyr chynas , kolaî.
Hukémmél.
Mumkun-ul-isaf.
Héélom.
Muzdad. artmyche.
Mukémmél, tékmil.
Mukdim , kiar-cbynàs.
Vakyf , mahrém.
Mulazim , mouayin.
Adjib.
Baligh, bloughé irmiche.
Mudahin .
Rhazm , rakib.
Munis.
IfécbgbQul.
IM —
Affamé j
U-»i^
Affectueux
^f-
Affirmatif
(^X^AM
Affli(;eant
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Agé
^, Cr-
Agile
• • ■
Agresseur
Aimable
1
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Aimé
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Aisé
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Alité
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Allié
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Amant
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Amateur
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Ambulant
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Ample
Ancien
Angélique
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Apoplectique
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Apostat
v
Assassiné
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Assiégé
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c^yy
Attrayant
^ • • « •
Attristé
jjC Oj:,*=
Audacieux
%*...*w
Haris.
Mouhabbétlu.
Mussaddyk.
Mukéddér.
Mussin. yachly.
Kbafify séri,
Saïl
Sévilédjèlc adém.
Mahboub.
Kolàl, açan.
Sahibi-férache.
Khysm, akraba, mattéfik.
Achyq.
Haweskiar, tàlib,
Séïyar.
Yasi, guénicbe.
Kadim , eski.
Mélalké-mahzouz.
Damlaly.
Mourtad.
Maktoul
Mahzour, mouhaséréo-
lounmoucbe.
Djazib , djazébélu.
Mafazoun , mukéddftx.
. \l^è«»^o\«.
\^
•"'1
Autorisé
Avare
Avide
1
l^éézoun.
Hassis-^baliil.
Ipariz.
B-
Barbare
*•
Vakhchi.
Bas
^u ^)
^Itchak , yavacbe.
Basané
j^\
l^smér.
Beau
Bienfaiteur
^hoab, guzël.
f avache , layin.
Yéli-nimét.
Bienheu||^ijf;p
Blanc.
tàlii— yavér , b^kbtly.
Qéyaz.
Blessé
Bon
■ ' y)
S^édjrouh, yaralou..
?you.
Brave
^ j^i* .
Qahabyr, yigait:
Brûlé
c>4
Yanuiyche.,
Brusque
Bruyant
Adjouly sèrd.
Chamataly.
. «■
c.
Caché
Cadet
Cafard
Capable
Caustique
Cérémonieax
Chagrin
Chancelant
Chargé
Chaste
Choisi '
Ciroôèîsp^e^
Civilisé
Clément
Colérique
CompAtissaht
Complaisant
Complice
Compliqué
Composé
Comptable
Conclu
>■
m
m
J^/
^■vC
•*
Mëktoum , guizli.
Kutchuq.
Mùrayi.
Ehliyètlu , kabiliyetltt.
Hldjvé, mayiL
Mlikrim.
Mhkèddér, gïïàiiiriàq.
M^térèddid.
Miahmul, yuqlu.
Afif, ifètlu^
Muntékhëb , mukbtar.
Mbhtériz.
Sfunis.
R^èrhametlu.
/
Tizméchrèb, darg^oùn.
Muchfiq.
Klhatyr-chynas.
Hém-teuhmet.
Karychyq.
Murékkëb» térkib
mouche.
Meçoul.
Karar-dadé.
— IfO —
Confédéré
Muttéfiq.
Confident s,
J-^-tr- (t^
Mahrèm , syrdache.
Confondu
J^^^y.
Bozoulmouche , chach-
myche.
Connu
j^. CJ^
Maaluiu, bellu.
Consolé
cH*
Mutèsselli.
Constant
^■^^
Sabitkadém.
Contagieux
Sari, sirayèt idér.
Contemporain ,
^^U. ^r-XiU^
Hémasr, mouasir.
Content
^\j jyl^ Khochnoud , ra«y.
Contre
y^Ji
Rarcbou,
Convaincu
J^
Moukir.
Convalescent
lU vlili^ Ifel^èt boulmouche.
Coupable
Jl:»-1-3 ^ Muttéhim, kabahatlou.
Courageux
cS^^jJi Ghayréllu, yiguit
Court
w
Kyssa.
Courtisan.
J^\y
Mizadjguir.
Couvert
cA^'i^
Kbafî, eurtdlmiiche.
Créature
31^
Makhluq.
Cruel
y-^^J^*^-^^^^.
Bichévkét, merbamétffis.
Cupide
1 •
^jy- J^^ Tamakiar, harii.
Curieux
1
y}^ c-T-^ ^ Mutédjésiz , iiiud«|ikk[
•■
%
D.
Damné
Dangereux
Débiteur
Débordé
Débutant
Décent
Déchiré
Déchu
Décoloré
Défunt
Dégoûtant
Délicat
Délicieux
Dépourvu
Dépravé
Déaeapéré
Désœuvré
Dévot
Diffiuné
Disgracié
tsûntottr
Distingué
m I *
t.
Mooazzéb.
Moukhataralou.
Médyoun, bordjlou.
Ich*^u ichrété maïl, tacb*
ghoun.
mubtédi.
Muéddib, édéblou.
Yirtylmyche, yîrtyq.
Duchmuche , sakat.
Rénksiz.
Mérhoum*
Mékrouh , kérih*
o^Jl
\
çyy
• •
3^
Indjé, naziq, zaril
Léziz,|né(iz.
Mahroum.
Mézmoum-ul-akhlaq.
Mééyouz.
Ichsiz , gudjsuz.
Hutéassib, sofou.
Hézmoum.
Maghzoub.
Biousrif
Mumtaz.
r
Douteux
Doux
Effronté
Éloquent
Empressé
Endette
EndoHM
Enjoué
Ennuyé
Enragé
Entêté
Entratn^
Envieux
Équitable
Expéditif
Expérimenté
Chubhélu.
Tatlou, chh-in.
Edépsiz.
Jjjjtl ,Inaniyétlu.
Béligh , fazih.
Ajdjul.
Médyoun , bordjloii
* . ,. t
îb^ cr^j^ Obyoum'ouche, khùfté
Chén.
Oiçanmyche.
• * • 1
Alzgboun.
lUtouannid, inaftflJi'^
p^ijJl AiJ;>-
Fîrifté, aldanmycné.
•
Hasud, kyskand].'
Munsif,
Tchapyq.
Tiédjrubési tcbc«j[.^
F
Fâché
c>^/ jp^
Dilguir, kusmuchév
Factieux
>52\A:iii]/i
Muhriq, Gtné,'ingtsiil
Fade
>ja.
Tàtsyz.
1^
Faible
Failli
Fainéant
Fanattqfne
FastuMx '
Fatal
Fatigué
Falpfifim
F^iytff
Fédéré
JPiilMe
Fier
Flasque
Flatteur
Fort
Fortuné
Fou , fol
Frénétique
Funeste
Furieux
cr
i;
AM
».
Zàïf.
Muflis.
Ténbél
Hutéassyb.
Itfukélléf, muhtécfaém.
Bédbaht, oughoui^sbuz.
yoroulmouche,yorghoun
Sakhtékiar.
f[abahatlou , soutchloû.
Iluttéfiq.
Sadyq.
Mutékébbir, fodouL
Mulàim , yavache*
Mudahin.
Métin. mustéhkém.
Bakhtlou » talii-yavér.
Médjnoun , déli.
Médjnoun.
Yékhim-ul-akybé , mu-
subétlu.
o^^lOi^ia jj^ Bfutéhévvur , îfirit ^Iaii«
— liMI
G.
Gai
Gaillard
Garant
Gâté
Généreux
Gentil
Glorieux
Gracieux
Gras.
Grêle
Cbadouman. chén.
Chivébaz, choukh.
Kéfil , zamin.
Façit , bozouk.
Alidjénab, djeninérd.
Rhoche-^seuhbét . guzél.
Mèchebour.
Késir-uLihçan, djaiébéla.
Sémiz.
Indjé.
H-
Habile
Hardi
Hasardeux
Hautain
Heureux
Honnête
Honteux
Horrible
Hospitalier
j->lt >u
Mahir, kadyr; '
->>-»•
Djésour.
-)>-»r
iJjésour.
j>^ (J^«**
Fodoul, mutékébbir.
^.
Bakhtlou.
6»j^y<
Ehli-yrz.
Muéddib, chérymsar.
jy^
Ménfour.
M^*L^
Mihroan-névaz.
151
Historien
t^y .
Muvérrikh.
Humble
j^/^> e^j^
Mutévazi , altchaq gueu
nullu.
Hydropique
• *
Mustéski.
Hypocrite
aV
Muràï.
I.
Ignorant
jaU ùbi;
Nadan, djahil.
Imbécile
^^y.
Boudala.
Immodeste
y^j\o
Arsyz.
Immortel
:Aj» -y V
Layémout, eulméz*
Imparfait
J'^/f u^t
Nakyz, ghàïry Iciamil
Impatient
>Vj^
Sabyrsyz.
Impénétrable
'j^y^st^
Kunhu boulounmaz.
Impie
•
Dinsiz«
Impitoyable
m «»-^
Mérhamétsiz.
Impoli
jIj^
KhoryadL
Important
Muhim.
Imposant
1
Vakour, aghyr.
Imprudent
1 ••
Akylsyz,
Impudent
y^j\c
Arsyz.
Impuissant
yjy yAc
Adjiz, kouvvéléîz. ^
Inabordable
. :>^*sq
Yanacbylmaz.
Inaccesibla i
jlij ^^
XXotl^t»^ \^w:>jSxs!Ax,
— laa —
Inaccordable
^^.^l_
MuçaadécimumlciBota»-
jUjl»
yan.
limdniiHible
i^jl Jjri
Kaboul olounmaa.
Inaltérable
'JJi. j-^l-
Na-mutégbàïr,bozoulmaz
Inacimé
>JL
Diansyz.
Incalculabls
>-!'—
Hisabsyz.
Incapable
>jiJ:j»it
Na-éhl, kabiliyétsii.
Incivil
^j>
Khoryad.
IncoBunodé
>-ir
Eétfaiz.
Inconcevable
iiirri
AQlachylmaz.
Inconnu
■ f>-t J>4*
AKdjboal , na-malutn.
Inconséquant
y,^\j
Rabytasyz.
Inconvllirt
JiU
Ghafil
Inconwlabk
i^'y.ia-;
Tésélliyétolounmaz,
Inconstant
jj!,iCl> >jV
Sébatsyz, karary yoq;
Inconvenable
■jA ^li-v^i
Adabé mougb&ïr , ya-
r
qychmaz.
Incurable
^ Jù^^lil
IfakéU mumkili'Mjit.
Indigent
f^
Fakir.
Indigeste
Z/J^
Hazmi gudj.
Indnttrieur
jl>
Hiinérli.
Inâmmlable
yijJi
Kymyldanraaz^
Inee&çable
i^.-
Bozoulmaz.
InépuiMbIs
JT,.
Dukénméz.
Inexcusable
iiijijtoi
Itizar olounmaz.
Infatigable
iijjL
Yoioulmaz. -
— ua —
loBni
lofimie
Infleubh
InfortUDé
Ingénieox
Ingrat
Inhabitable
Inhumain
Injurieux
Injuste
Innocent
Innondnble
Inopiné
Inuui
Inquiet
Insalubre
Inséparable
Insignifiant
In«pide
lasodable
Insoluble
Insuifisant
Insupportable
Intarissable
Interminable
Nihayétsiz.
Khasta.
Kabili iltiyam olmayan.
Bakhtsyz
Zéki ■ zihni tdiok.
Kiafiri-nimét , âyfiq bU**
méz.
Kabili sukna déguil.
Insaniyétsiz.
Sitém-amiz.
NahaL, fîzouli.
Bi-gunah , soutcboa yéq,
La-youhza , sàyisyi.
Ghayri-mémouL
Ichidilmémiche.
Rahatsyz, bi-karar.
Sihhaté mouzir.
Aïrylmaz.
Manasyz.
Lézétsiz , datsyz.
Ulfét oloonmaz.
Hallî momkiD déguil
Kiàfi déguil, yétichméz.
tabammulolounniaz. -
|>ukéaméz.
— 154 —
Intrigant
^>
Invariable
l^t^:,
Invincible
J^.^^ jO^
Irréparable
irrésistible.
^•o.
Irrésolu
JJ>
Muhrik.
Déguichméz.
Hérdèm muzéffér, yénil*
niéz.
Taamir olounmaz.
Tayanylmaz.
Mutéréddid.
j.
Jaloux
^li>; ^y^
Hasud, kyskandj.
Jeune
Djivan, guéndj, diab.
Joli
Khoub , guzél.
Joyeux
1
0^ -«L^*
Mésrour , chén.
Juste
^u" ^^jt J jU
Adil, toghrou , témam.
L
Laid
ùfj': ^lau/"
Lai^
iJ^j^} J^.^
Léger
• • •
Lent
c>lji>
libéral
A>»^ .^u^U
•«
Kérih-ul-manzar , tcht^-
kin.
Âriz , inlu , guénièhe. '
Khafif.
Aghyr, yavache.
Âlidjénab , djeumérd.
155 —
Libre
C>^_^ JiL^
Mustakil , sérbésU^
Long
ojjj"^ Ji>
Tavil , ouzoun.
Lourd
Li >1 C^f
Itiran, aghyr, kaba.
Loyal
L$»i>^>^
Ehli irz, toghrou.
Lugubre
J^J'
Moubiche.
Lumineux
1 Ziyadar.
M
Magnifique
^^44^ Oy»J^
Malfamé
^y^^\
Malheureux
Malveillant
- .y-J;
Marié
j3yj*l^
Mauvais
j-jl U
Méconnaissable
'^
Mécontant
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Médiateur
Ja^jl.
Médisant
• •
Méfiant
jJ^^J O-J-^
Mêlé
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Merveflleux
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Mignon'
^/y. -3
Mineur
J>^j *Pjl.a^
^ ■ : l;î.
>.W3\
I ' 1
k- X Bét-bakht, bakbtsyz-
Béd-hah.
Mutééhil , évii.
Féna , yaramaz.
Bilinméz
Kbocbnoud déguil.
Mutévéssit.
Béd-zéban.
Muvésvis , vésvésélî.
Karychyq.
Adjib , gharib.
Naziq, sévgulu.
I Hady-bloughé vasyl ol-
IM
Misérable
Muéricordiesx \
Mobile
Modeste
^jk^^
Mol
Morne
Mou
Muet
MiUilé
^jJUt»
Béd-bakht, séfil.
Mérhamétiu.
Kararsyz , déguichnr.
Bdéblu t khadjil.
Youmoucbaq.
Méghmoum , mukéddér*
Mulàîm.
Bi-mékal dilsiz.
Sakat.
N.
Narrateur
Négligent
Net
Nuisible
Bavi , rivayét ididji*
Mouhmil , ghafil témbél.
Paq , témiz.
Mouzir, zararly.
0.
Obéissant
Obligeant
Officieux
/
i , munkade
^atyr-cbynas8 » tidurav^
vétiu.
Wénfour.
i
Ethatyrchynas.
157
Opprima
Oublié
Ouvert
Ouvré
i^^r
e^î^J V
Pàïmal.
Nénsy, ouDOudouImoa-
che
Atcbyq.
Muaniul , ichlénmiche.
p.
Partial
Participant
Partisant
Passant
Passionné
Penseur
Perfide
Perpétuel
Perplexir
Persévéïtint
Persuadé
Pesant
Petit.
Peuplé
Plat
Plein
jlai^L j^jk>
^U Xy ^\ù
Tarafguir, tarafdar.
Hisséménd.
Tarafguir. tabi.
GuétchidjL
Âchyk, mubtéla.
Mutéfékkir , indichnaq.
Murai , khaîn.
Datmi, muébbid.mudam»
Mustarib.
Sahibi métanét, mousir.
fliulzém*
Kîran, aghyr.
Rutcbuq.
Abadan, maamour.
Mustévi^yassy, dur
Mémlou , méchkhoan ^
— '. JIUV —
Soumis
9
«uJaA jlÂI«
Munkad, inuti«
Souple
f>^^y'.
Youmouchaq , rmealafio»
Spirituel
S^ àWjj
Rbuhani , zékL :
Spiritueux
^jfS ^s:i
Rouhlou, kèskin*
Spontané
t^^^^
Ihtiyàri , tabiyi.
Stable
^C^*
Métin, muhkèm.
Stagnant
O^jji» JJ^j BAkid, tourghoua
Stérile
J.^!«*«4 ff^J-^
Kysr, akim, bi^iiMdbioul.
Suffisant
Jlii^
Kiàfi,vàfi.
Superflu
>^jV a.\ j
Zàid, lazyiiisyz.
Superstitieux
•*
•
Mutéassyb,
Surnaturel
Jj\i^jUvJ-V^^^
Tabiyètdén kharydj,kha*
•jU
riky-àdé.
Surprenant
Khayrétrérina, adjib.
Suspect
jè^\ -sU^l j)a^
Chubhélu , itimat oloun-
maz.
T.
Tempéré
Ténébreux
Terrible
Timide
Touchant
Touffu
Tragique
Mutèdil.
Muzlim, karanlylUou.
Médhouche, khoufna^
Djésarétsiz, korksui^
Muéssir.
Syq-
Musibétlou.
1«1 —
Traînant
iJy^
Ôuzar.
Tranrfortnô
JS:lû Mutéchékkil
Trempé
j^y^^A
Péq islanmychô.
Triomphaat
jiiitjy^c^
Hénsour, muzéffér.
Triste
^jLi>J^jr>-
ttazin ,mukéddér, kàça*-
k
véllou.
Trompé
JJ\ji\ ùji.
Magbboun , aldanmyche.
Tumultueux
>lc^
Chamatalou.
Turbulant
*jSS\ ^ y i» Mufsid, fitné-inguiz.
U.
Unanime
o^-îTj-X
Yèk da, yèk djihét
Uni
j^^ jJl-^^
fti-kaîd. dus.
Urgent
_^ ^"^ •
Mustàdjél.
Usé
c?^»c>i3j!
ftozoulmouche , èskimi-
•
che.
Usité
J^*^
Mustaamél.
Utile
ÔC -^^
Mufid, nafi.
Vacant
Vaincu
Variant
Vassal
Vertueux
À
V
J>1; ^U I SaUh , fazyl
Hahlul.
Maghloub.
Matélévvin.
Méhkum, tàbi.
— 162 —
Vicieux
Vigilant
Vigoureux
Vilain
Voîlé
Béd-khouy, fasiq.
Mutéyékkiz atcbykgueuz
Chédid, dindj.
Tchirkin, habb.
Méstour, eurlulu.
• >» > >»)> » » » >
^li¥k
^ 4 ^| » << < « < < i»
NUMÉRATION
Un
Deux
Trois
Quatre
Cinq
Six
Sept
Huit
Neuf
Onze
Douze
Treize
Quatorze
Quinze
»U«J
J.
\
m
TAADAD
Bir.
Iki.
Utcbe.
DeurU
Bêche.
Alty.
Yédi.
Sékiz.
Tokouz.
On.
On bir.
On iki.
On utch.
On deurt.
On bêche.
163
Seize
Dix-sept
Dix^buit
Dix-neuf
Vingt
Vingt et un
Vingt-deux
Vingt-trois
Vingt quatre
Vingt-cinq
Vingt-six
Vingt-sept
Vingt- huit
Vingt- neuf
Trente
Trente et un
Quarante
Cinquante
Soixante
Soixante- dix
Soixante et onze
Soixante-douze
Quatre-vingts
Quatre-vingt-dix
Quatre-vingtroiize
0^atre*viiif t*dioQz«
j,J'o,
cri ^^
m
J. <>.
OLJauU
I
On aUy.
On yédi.
On sékiz.
On tokouz,
Yirmi,
Yirmi bir.
Yirmi ikL
Yirmi ulcb.
Yinni deurt
Yirmi bêche.
■ »
Yirmi alty,
Yirmi yédi.
Yirmi sékiz,
Yirmi tokouz.
Otouz.
Otouz bir.
Qyrq.
Elii.
Allmyche.
Yétmiche
Yétmicbe bir.
Yétmiche iki.
Séksén.
Toksan.
Toksan bir.
\
1loVwql*^v
— 16*
Cent
Deux cents
Trois cents
Mille
Deux mille
Dix mille
Cent mille
Un million
Premier
Second
Troisième
Quatrième
Cinquième
Sixième
Septième
Huitième
Neuvième
Dixième
Onzième
Douzième
Treizième
Quatorzième
Quinzième
Seizième
Dix-septièmf
Dix-huitième
Jjl j Yuz. /
-•
Ulch yuz.
Bin.
tici bin.
On bin.
Yuz bin.
Bir milyon.
Birindji.
Ikindji.
Utchundju.
Deurdundju.
Béchindji,
Allyndjy.
Védindji.
Sékizindji.
Tokouzoundjou,
Onoundjou.
On birindji.
On ikindji.
On utchundjjuu
On deurdun^o.
On béchixuiy^i^ .
On altyndiy.
OnyédiiuiiL ,
J-Jl ô^\ I Oq scki*im^X
165
Dix-neuvi^f
Vingtième
Vingt- unième
Vingt-deuxième
Vingt-troisième
Trentième
Quarantième
Cinquantième
Soixantième
Soixante -dixième
Quatre-vingtième
Quatre-vingt-dixième
Centième
Cent-unième
Cent-deuxième
Deux cenlième
Millième
Millionième
u?
W
\
On tokouzoondjou.
Yirmindji.
Yirmi birindji.
Yirmi ikindji.
Yirmi utebundju.
Otouzoundjou.
Kyrkyndjy,
Ellindji.
Altmyehyndjy.
Yétmicbindji.
Sèksénindji.
Toksanyndjy.
Yuzundju.
Yuz birindji.
Yuz ikindji.
Iki yuzundju.
Binindji.
Milyonoundjoo.
NOMS DES SAISONS |
Le printemps 7^ / > *
L'été
L'automne ^ 2,
L'hiver
J^/"^
À«i
Jj\ Jy-A3
FOUZOULi ÉRBA
•^ «^j j1y>Jj\ Ewèl béhar, rébi.
,1^ -jl, '■■ Yaz, seïf,
t^^ jV:%-^ ^"^ bahar^ kbtrif
— 106 —
NOMS DES MOIS-
Janvier
Février
Mars
Avril
Mai
Juin
Juillet
Août
Septembre
Octobre
Novembre
Décembre
Jjr^
CHOttHOUR
cy>
.u
t^ôy^ Kanouni-sanû
^L^ Ghoubat.
OjU Mart.
ôLS Niçan.
Maïs.
Haziran.
Témous.
Aghoustos.
lyloul.
J^l^t^" . Tychrinî-éwél
Jij^^ I Tychryni-sanî,
ij^\ôj€^ i Rîanouni-éwél
w mm
NOMS DES JOURS
//
Pimancbe ■'. '• 4 /*♦
/ / ' • '{/}/
Lundi
Mardi
Mercredi
Jeudi
Vendredi / . ;t i
Samedi ou»/ .* yV
/
<^i.
Le jour de l'an /<> ^ /!
v^^J
1 ÉYAM
Bazar.
Bazar érlési,
Saly.
Tcharchamba.
Pérchémbé.
Djouma.
Djouma értési.
Yïl bachy.
Paskalya.
1«7
/
Semaine l ^* ^ «•* /.
Aujourd'hui ^yV?
Hier (W/
Avant-hier
Demain fti.;*-
Après-demain
.- »i
«•
\
Hafla.
Bou-gune.
Dune.
Ewélisi gune.
Yaryn.
Yaryn déguil obir gune.
FIN DU VOCABULAIRE.
>r-.su'
I'.
DIALOGUES
FRANÇAIS-TURC.
DIALOaUE
Rencontre
. I
Bonjour, Monsieur.
Mon sieur , je vous
souhaite le bonjour.
J'espère que vous ê-
tes en bonne santé.
Je me porte fort
bien.
aie
Comment se porte jja^^^ji cjail
monsieur votre père?
Il se porte très bien.
j->ji'4
Comment se porte jjJuai^jCdljjl^
monsieur votre firëre?
MUKIALÉMÉ
Tésaddufén mulaqat ema*
synda vouqou boulan
mukialémé.
Sabahynyz khaîr ol«
soun éféndim.
Sabahynyz khalr cl-
soun éféndim.
Mizadjy aliniz éyidir in-
challah*
Hamd olsoun, pék é^
yim.
Éféndi pédériniz nicyô-
dir.
Pék éyidir '
Birader éféndi nasyl*
dyr.
Il se porte un peu J-> *»: j»OU ijG'. l ^^ ^Ea!tt.\«KW. ^-«sv^a.
I>U_J
j
170
Il est indisposé.
Il est malade.
11 se porte très mal*
II est bien maL
Qu'a-l-il?
Qu'est-ce qu'il a ?
Il a pris froid.
Depuis quand il a
pris froid?
Je ne savais pas qu'il
fût malade.
Quel est son mal?
Quelle est sa maladie
Le médecin vient le
voir tous les jours,
fespère que cela ne
sera rien.
Le médecin assure
que cela ne sera rien.
Tant mieux, j'en suis
bien aise.
Monsieur votre oncle
est-il toujours malade?
Il n'est pas encore
eatiêretnent guén.
^x\
:.b^aljl
jji^ <X^ J'j. f^
^jf\by-e
l>.U\
•^^f^^
l^izadjsyzdyr.
Rhastadyr.
Pek fénadyr.
Pék fénadyr.
Nécî var,
Néci var.
Soghouq almyche.
Khastalyguy néqydar
vaqytdyr.
Ehasta oMoughonnou
bilmézidim.
Khastalyguy nédir.
Khastalyguy nédir.
Hékim hergun guéli-
yor.
Inch' allah savouche-
dourour.
Hékim birchéydéguil
déyor.
Isaabet, mémnounol-
doum.
Amou(]yanyzbala khas-
tamy.
Hénoox busbutUD chi-
fayab olaudy.
— 171 —
Je vous souhaite une i • J ^ ^ -f^;^
bonne unît.
by^^\j^'f^
Départ
Il Taut que je m en aille
Adieu
Adieu.
Bonne nuit.
• h
Je vous souhaite le
bon soir.
Saluez monsieur vo-
tre frère de ma part.
Faites mes compli-
mens chez vous.
Je n*y manquerai pas
Azimété daïr mvhialémé.
Guitmém lazym gueldi
Allaha ysmarladyq.
Saadet lié.
Guidjéoiz kbaïr olsoun.
Guidjéniz khaïrolsoun.
Guidjéniz khaïr olsoun.
Eféndi biradérinizé tara*
fymyzdan séiam seuïléin.
Klianénizdé olanlara
doualer idérim.
Bâche ustuné.
Affirmer et nier
Je vais vous dire.
Je vous promets que
Je vous le garantis.
Je puii vous rassurer
Tasdiq vé inkiaré daïr
mukialémé.
Baqyn béa sizé seul*
léim.
m
Sizé vad idérim ki-
Bounou sizé sahih déi
seuïlérim.
Bounou sizé sahih déi
seuylérim.
Cest ce que je puis Ji^^^\r^di^.
vous assurer
Comptez sur ce que
je vous dis
Je vous jure que
Je dis que oui
Je disque noo
Je gage que non
Je le suppose.
Le pensez-vous?
Je le pense aussi
Je ne le pense pas
Que voulez-vous dire
Je ne bais ce que
vous voulez dire
Est-il certain ?
Est-il vrai?
* Oui , cela est certain
Cela est vrai
Et es- vous sûr de ce
que vous dites ?
En ètes-«voas bien
sûr?
^JX\ ^ ^J .Xj
Bounou sizé sahih déi
seuylérim.
Didiguimi sahih belléi-
niz.
Sizé yémin idérim ki.
Bén beuylédir dériai*
• Bén béuylé déguildir
dériin.
Beuylé olmadyghyna
bahz idérim.
Ëuyié tahmin idérim*
Beuylè oldoughounou ><<
mémoul idermisiniz.
Béndé euylé zann idé-
ri m.
Mémoul itmém.
Né dimek istersiniz.
^ Bilmém né dimek is*
tersiniz,
Sahihmidir.
Sahibmidir.
Evvel , sahihdir.
Guertchekdir.
Didiguiniz chéy sahih
bilirmisiniz.
Didiguiniz chéï sahih
bilirmisiniz.
17S
Je le crois
Je n'en crois rien.
Je ne le crois pas
Cela ne peut pas être
vrai
Vous vous trompez
Euylé mémoul idérim.
Bén mémoul itmém.
Bén mémoul itmém.
Sahih olamaz.
Bounda yanlycbynyz
var. •
Expression de surprise.
Cela se peut-il?
Est-il possible?
Gomment cela se
peut-il ?
Cda est impossible ?
Cela ne se peut pas
fen suis surpris
fen suis bien étonné
Cela m'étonne beau-
coup
Ceci est bien étonnant
Cela est bien étrange
Cest inconcevable
Cda est inouï
• • •»
as:.
^ji JUI Jip
Haïret vé tadjubé daïrmu^
kialémé.
Beuylé chéy olourmou.
Beuylé chéy olourmou.
Bon nasyl olabilir.
Mumkin déguil.
Mumkin dégui}.
Hayretdé qaldym.
Ghayët taadjub idéyo-
roum,
Gbayët taadjub idéyo-
roum.
Pekgharib diey.
Pekgharib cbey.
Aqylalmaz bir chey.
Ichidilmiche dbi^ 4Ms^«
1/4 —
La probabilité.
A^j\^^\>\
Ihtimalé ddir mukmléme.
Cela est probable
■ jaJl>\^
Bou ihtimaldyr.
Cela n est pas impro-
J^^0^>
Ghaïri muhtémel dé-
bable
guil.
Cela n'est pas impos-
y,6\^
Mouhal dégfiil.
sible
Cela est très-possible
Pek mumkindir.
Cela se peut
J^ Jj^ 45j\
Olabilir cheydir.
Jenen suis pas é-
rjv^"^.
Bouna taadjub itmém.
touné
Cela ne m'étonne pas
Bouna taadjub itmém.
Cela n'est pas éton*
J. d^ox\ ^
Taadjub idédjek chéy
nant
y-
déguil.
Cela est naturel
->-^y.^^
TiablQïbir cbéydin
Lafflictian.
aIK» _/I J »jM
Kédéré dair mukialémé*
JTen suis fôché
f^j\jj^
Mukèdder oldoum.
JTen suis inconsola*
J-^ ^kTJjr
Bir vétchhilé mutésselli
ble
fJj*A}^
olamayoroum.
Cela me désespère
F
Bana achyrou yéis vé
-
^^C>:^y^j
mahzouniyet gueldi.
C'est bien dommage
i5^ji^3jldj
Pek yazyq oldou.
Cela est bien fâcheux
^1^4
Pék féna chey.
Cela est bien triste
J'J-^JS^.f^)^
Ghayèt huzn viridji chéy.
(Cela est bien {Mqaant
Pek muessîr chey.
Celait bien cruel
Cela est bien mal-
heureux
Cela est terrible
Gela est épou van table
— 1/^ —
J^jJ^-CÀi
• •
Gbayet mukedder chey
Âdjyàdjaq chey.
Ghayet medbMchebir
keyfîyéL
Ghayet medhouche bir
>yfiyet.
Blâme.
N*êtes-vbus pas hon*
teux?
Vous me faites honte.
■ • • ■
Quelle honte /
C*est honteux.
Que cela est vilain.
Cest abominable.
Comment avez-vous
pu faire cela ?
Vous êtes bien mé-
chant*
Pourquoi avérons
fait cela ?
J^^yJ^jjH
•JJ
1
• T
Taazir-ou^taqhîhé
mukialémé»
Outanmazmysyn.
Béni mahdjoub idé-
yorsoun.
Néayîb'chey.
Ayïbdyr.
Né qadar mezmoum
chey
Ghayet menfour vé
mustékrih chey.
Bounou nasyl yapdyn,
Pek féna ademsin*
Boonou nitchan yap»
dyn.
Vous avez bien tort
Comment osez-Tous
faire cela?
Vous mettez ma pa-
tience à bout.
La patience m'échap-
pe.
Je ne suis pas con-
tent de vous.
Tenez-vous tranquille.
Je neveux pas cela.
Je ne souffrirai pas cela
Prenez garde pour
une autre fois.
Ne le faites plus.
N'y retombez pas d'a-
vantage*
1
Taisez-vous. Jj^o^^-*
Relirez-vous de de- ' ^j^J/tijUj
vant mes yeux.
Sors de ma présence
Je suis piqué.
Je suis bien en co-
lère.
Je suis piqué au der-
nier point. «
Bounda tchoq qaltoha-
tyn var,
Bouna nasyl djésaret
idéyorsoun.
. Sabrymy tukédiyor-
soun.
Artyq sabrym qalma-
Senden khochnouddé*
gulim.
Ouslou tour.
Bounou istémém.
Bouna razy olmam.
Bir daha beuylé chey
yapma
Bounou bir daha itmé.
Bir daha bou khou-
sousdé yanylma.
Sous ol.
Def ol gueuzumé gueu-
runmé.
Eunumdén def ol.
Djanym syqyldy.
Pek. darghynlyghym
var.
^jJi^dlA^ I ' Djanym pek syqyldy.
.Q
— 1/7 —
I
Pour marquer la joie , ^^^ô' >JU5 r^ Sourour, vé huzun, vé tai
la douleur , l'étonné--
ment , l'espérance et le
désespoir.
Je suis bien aise.
Je suis bien content
Je sufs charmé.
Je suis enchanté.
J'en ai bien de la joie*
Je vous en félicite
bien sincèrement.
Cela me rend de
bonne humeur.
Cela me fait grand
plaisir.
Quellejoîe/ quel bon-
heur/
Que je suis malheureux.^
Je suis mai disposé*
Je suis de nlauvaise
humeur
Je suis chagrin.
Je suis f&ché.
Je m*ennuie.
Je suis désolé. ,
*
»
djub, vé oumid, vé yêis iz
harynè daïr mukialémé
.Peq sévindjim var.
Pelc mahzouzoum.
Mémnounoum.
Mesrouroum.
Pek mesrouroum*
Kémali sydq-ou-khoi
lous ilé sizi tébrik idérin
Keïfim gueldi.
Pek haz itdim.
Néqadar khochlandyn
haz ildim.
Vaï bana,
Eeyfim yoq.
Keyfim yoq.
Mukeddérim. "-
G udjumé gueldi.
Djanym syqylyor.
Kharab oldoum.
Je suis perdu. i
Je n y liens plus.
Il y a de quoi se
daraner.
Plus j'y pense, plus
j*en suis étonné.
Je ne sais si je dors
ou si je veille.
C'est de toute beau-
té.
C'est charmant , ad-
mirable , délicieux.
Je ne mêlasse pas de
l'admirer.
C'est étonnant.
En croirai-je mes
yeux ?
C'est surprenant.
Grand Dieu , est-il
possible ?
Dieu le veuille!
S'il plait à Dieu.
A Dieu ne plaise.
Au secours /
u.id.
Ichim bitdi.
Arty Jdjanyaultaq deg-
di. '
Âdém ifrit olour.
* . I.
li
Khatryma gueldikdjé
tahaïyourdé qalyoroum.
Ouyouqoudamyïm ou-
yanyqmyïm biimém.
Boundan àlà ehey ol-
maz»
Pek latif , vé adjib vé
néfiz chey.
Baqmaghylé toyama-
yoroum.
Taadjub idédjek chéy.
Gueuzumé inanama-
y or ou m.
Cbachadjaq chey.
Yâ rai) bou chey|mum-
kinmidir.
Allah virsun.
Inch*allah.
Allah gueustermésin.
Yétichin , kimsé yoq-
mou.
^
179
Malheur ft vous.
Va-l-en , va-t-en au
diable.
Gare/ gère la tête.
Fi donc ! quelle bon«
te.
Âh ! que c'est vilain.
Yazyq sizé.
Yïkyl chouradan , djé-
hennem ol.
Savoul , bachyny sa-
qyn-
Ayîb déguilmiy outan-
mazmysyn.
Ây bou né féna cliey.
Consultation.
Quel parti prendrons-
nous ?
Quel parti avons-
nous à prendre ?
Que ferons-nous ?
Que devons^-nous
faire ?
U faut nous résoudre
à quelque chose.
U faut prendre un
parti.
Je ne sais que faire.
Je sois dan9 un
grand embarras.
^)Sg»^tj4iojL.lL<t
\
Isticharéyé daïr muAfa-
lémé.
Néyé qarar virédjé-
guiz.
Néyé qarar virédjé-
guiz.
Né yapadjaghyz.
Né yapadjaghyz.
Bir chéyé qarar virmé-
liyiz.
Bir chéyé qarar virmé-
liyiz.
Né idél^éguimi bil-
mém.
Pek ziyadé téreddud^
déyinou
— 180
Si j'étais à votre place
Mon avis est qae
Si vous m'en croyez
Je pense à une chose
Il me vient une idée.
J'ai changé d'avis.
Faisons autrement.
Que dites-vous de cela?
Qu'en pensez-vous?
Je pense comme
vous.
C'est très-bien pensé.
C'est une excellente
idée.
C^est le mieux que
nous puissions faire.
C'est ce que nous a-
vons de mieux à faire.
C'est la seule chose
qui nous reste à faire
^:^J^^l^y^ û f ^^^ ^^'^ yérinizdé ol-
i
■
^^ M
- »
sam.
Bénim réyim boudourki.
Éguer bana sorarsanyz
Bir chey duchunuyo-
roum.
Khatryma bir chey
gueldi.
Tebdili-niyet itdim«
Bachqa chey yapalym*
Bounané dersiniv.
Bou babdé ifkiarynyz
nédir.
Bénim ifkiarymdé si-
zinki guibidir.
Guzel mulahaza bou-
yourmoucbsynyz.
Pek yérindé bir muta-
aladyr.
Yapadjaghymyz chey-
lérin en ehvéni boudoun
Yapadjaghymyz chéy-
lérin en ehvéni boudour.
Boundan bachqa ya-
padjaghymyz qalmady.
— 1»!
A-.
Boire et manger.
Avez- vous faim?
L'appétit me vient.
J ai bon appétit
Jai faim.
Mange/quelque chose
Que vouiez— vous
manger ?
Vous ne mangez pas.
Xài très-bien mangé.
Mangez encore un
morceau.
Je ne prendrais plus
rien.
Avez-vous soif?
rai soif.
Que voulez-vous
boire?
Prenez un verre de
vin.
Voulez- vous prendre
un verre de bière.
J'ai rhônneur de
boire à votre santé. •
dU
A4P
K(^j/om6 itchmégué daïr
mukialémé.
Qarnynyz atchmy.
Ichtiham guéliyor.
Icfatiibam var.
Adjym.
Biraz chey yéyin.
Yéyédjek né istersiniz.
Yéméyorsounouz.
Guéréguiguibi yèdim.
Bir loqma daha alyn.
Artyq bir chey yé-
mém.
Souya iqbaliniz varmy.
Souçadym.
Né itchersiniz,
Bir qadeh badé itchin.
Bir qadeh arpa souyou
itchermisiniz
Achqynyza itchéyo-
roum.
io«
V.-''
Aller et venir.
Où allex-vous 7
Où allez-vous com-
me cela ?
Je vais à la maison*
Je m'en allais chez
vous.
D'où venez-vous ?
Je viens de chez mon
frère.
Je sors de chez mon
frère.
Voulez-vous venir a-
vec moi ?
Où voulez-vous aller?
Par où irons-nous ?
De quel cAtë irons*
nous ?
Nous irons du côté
que vous voudrez.
Nous irons par où
vous voudrez.
*
t -
< ■•
Guilmék vé guelmégu/i
daîr mukialémé
Néréyé guidéyorsou*
nouz.
Beuylé néréyé gnidé-
yorsounouz.
Évé guidéyoraum.
Sizé guidéyoroum.
Nérédén gaéliyorsou-
nouz. Â
Qardachymyn éviiidén
guéliyoroum.
Qardachymyn évindén
guéliyoroum.
Bénimié guélirmisiniz.
Néréyé guitmek ister»
siniz.
Nérédén guidélim.
Oanghy tarafii guidéliuu
Istédiguiniz tara& gai«
dériz.
Nérédén isterséniz o-
radim guidériz.
— 183
Prenons voire frère'
en passant.
Comme vous vou-
drez.
Comme il vous plaira.
Monsieur votre frère
est-il à la maison?
Il est sorti.
Il n'est pas à la mai-
son.
Je^rois qu il est allé
voir sa sœur.
t
Savez-vous quand il
reviendra ?
Non ; il n'a rien dit
en s'en allant.
En ce cas-là, nous i-
rons sans lui.
Biradérinizi oughray ub
alalym.
Siz àlém.
Siz àlém.
Éfcndi biradériniz év-"
demi
Soqagha tchyqdy.
Evdé déguil.
Ghaliba bémcbirésini
gueurmégué guitmiche.
Né vaqyt avdet idédjé-
guini bilirroisiniz.
Ehayïr guidérikén bir
cbey seuylémédi.
Euyléiçé ansyz guidé-
riz.
Faire des questions et ^b-t lj>-j Jl^^
réponses.
Approchez J*ai quel-
que chose à vous dire
J'ai un petit mot à
vous dire.
UK.
S^j^^&^iSj^(j\ûj
^Wh^j.
J]3
Suai vé djévabé daïr mU'
kialémé-
b«
Yaqyn guelki sana di-*
yédjéguim var.
Sana bir seuzum var.
\
^v
104
Ecoutez.
Ecoutez-moi.
Qu y a t-il pour votre
service ?
Qu est-ce qu'il y a
^ pour votre service, m
C'est à vous que je
parle.
Ce n'est pas à vous
que je parle*
Que dites-vous ?
Qu est-ce que vous
dites?
Je ne dis rien.
Entendez— vous ce
que je dis?
Je ne vous ai pas en-
tendu*
Je ne vous ai pas
compris*
Je vous entends fort
bien. >*
Comprenez- vous ce \fjJ^S%\ J^.
.- w..-^
m
^•^yky •-
JlJ
Dinlé.
Béni dinlé.
Bir émriniz varroy,
Bir émriniz varmy.
Sizé seuyléyoroum.
Sizé seuyléméyoroum-
Né déyorsounou^i.
Né déyorsounouz.
que je dis.
Voulez-vous avoir la
bonté de répéter ?
41 j^
Bir chey didiguim yoq»
Didiguimi ichidiyor*
roousounouz.
Didiguinizi ichitmé—
dim.
Didiguinizi anlama-
dym.
Didiguinizi pek éyi an-
ladym. •
Didiguimi anladynyz*.
my.
Kérém idin bir daha
scuyléïn.
185
Pourquoi ne me ré-
pondez-vous pas ?
Ne pàrleu-vous pas
français ?
Bien peut
Je r entends un peu,
mais je ne le^*parle pas.
Parlez plus haut.
Nefaitespaslanldebruil
Taisez-vous.
Qui vous a dit cela?
Quelqu^un me Ta dit
Qu'est-ce que cela
veut dire ?
Qu*esl-ce que cela?
Quest-ce que c'est
que cela ?
Comment cela s'ap*
pelle-t-il ?
Connaissez - vous
monsieur tel.
Je le connais de vue.
Je le connaît de nom.
Je n'en sais rien.
Pas que^je sache*
Je D en ai pas enten-
du parler.
m
i "
} Mit( hun djévab virmé-
yorsouiîouz.
Fyransyzdja seuyléyé-
mezmisiniz.
Pek az.
Biraz anlarymlakin té-
kellum idémém.
Pek ses ilé seuylé.
Chamata itmé.
«
Sous ol.
Bounou sizé kim dédi,
Biri seuylédi.
Bou né dimekdir.
Bou nédir.
Bou nédir.
Bouna né dirlér.
Filan éféndiyi tanyr-
mysynyz. ^
Anynla gueuz achna-
lyghym var.
Ismini ichitmicl
Bilmém.-Bildiguim yok.
Bilmém.-Bildiguim yok.
Ana daïr bir chéy i-
186
Age
Quel âge avez -vous ?
J'ai dix ans et demi.
JTaurai seize ans le
mois prochain.
Vous ne paraissez pas
si &gé.
Je vons croyais plus
âgé.
Je ne vous croyais
pas si âgé
n a à-peu-près soi- nX^L J;.!^loU^
xante ans.
Il a plus de cinquan -
te ans.
Il a au moins soixan-
te et dix ans*
Est-il si &gé que cela?
Il commence à vieïUir
J^J^^
•*
\
Sinné daïr mukialémé.
Qatchyachyndasynyz?
On boutchouq ya-
chyndaym.
Guélèdjek ay on alty
yachyné guirédjéguim.
Bouqadar y achly gueu-
runméyorsounouz.
Sizi daha yachly zann
idéridim
Bouqadar yachly ol-
doughounouzou mémoul
itmézidim.
Héman altmyche ya-
chynda vardyr.
EUi yachyndan ziyadé-
dir.
Aqal yètmiche yachyn-
da vardyr.
Bouqadar yachlymydyr.
Ikhtiyariyq yuzunu
tootdou.
L'heure
Quelle heure est-il.»*
Il est une heure»
te *
Saaté daïr mukialémén
Saat qatchdadyr.
Saat birdédir.
187
[Il est une heure passée
Il est une heure et
un quart
11 est une heure et
demie
11 est une heure moins
un quart
Il est deux heures
moins dix minutes,
II n'est pas]^ encore
deux heures.
Il est midi.
Il est minuit.
II est trois heures
juste.
Trois heures vont
sonner.
Quatre heures vien-
nent de sonner.
Il n'est pas tard.
Je ne croyais pa&qu il
fût si tard. ^
Regardez à votre
montre.
■
Elle D'est|pas montée.
J'ai oublié de la mon-
ter.
^-xC^Cjj; Biri guetchdi.
Biri tchayrek guetchdi.
Saat bir boutchouqda*
dyr.
Biré tchayrek var.
viiSU-
Ikiyé on daqyqé var.
Daha ikiyé guelmédi.
Euyléyîndir.
Guidjé yarysydyr.
Saat tamam utchdédir.
Saat utchu ouradjaq.
Saat deurt ourdou.
Vakyt guetch déguil.
Bou qadar guetch ol«
doughounou mémoul it-
tnesidim.
Saatynyza baqyn.
Qouroulou déguil.
Qourmaghy ounout
^^^V Quel âge avez-yoas
^.^Ig'i Oat^
^Hp J'ai dis ans et demi.
f.Ailj«Ù3> Or
^' ■ ■ chynd
Wf
H 1 J'aurai seize ans le
•Jl jj> ^U»«is' nn'
H mois ppochain. " ^ .^^^il yaclij
^^^ Vous ne paraissezpas ^^Jj/'^i i^y_ Bo
^^^H âgé. .^
^^^^ Je vons croyais plus
^_>Lill..j>- Sii
^H !>gé.
,M> '^*;'
^B Je ne vous croyais
^^.y^i>^-. J;
pas si âgé
.J.1^U}-1- ilin<
n a à-peu-près soi- .x:.l J."^^ OU* | B
xante ans.
j^jlj chy
Il a plus de cinquan-
jjoljO-':il.^»> 1
te ans.
dir
I! a au moins soixan-
pj\,.xiij.cj;i
te et dix ans.
da
Est-il si âgé que cela?
j^J^ljJ-3^. B<
Ucommenceàvieïllir
^.j^.jj^' g
^-c> '<
^^^^r L'heure
Ais:.y'i->i»u.
1 Quelle heure est-il
jj=a>-U.l^L_-
■ il est une heure. | jjojj-ul.&L- ' 1
l J
. Elle s est arrêtée.
Quelle heure est-il à
la vôtre ?
La vôtre va-t-elle
bien ?
La mienne ne va pas
bien.
Elle est en avance.
Elle est en retard.
Elle est dérangée.
Elle s'arrétede temps
en temps.
Elle retarde d*un
quart d'heure par jour
Elle avance tous les
jours d'une demi hi
Il y a quelque cho-
se de dérangé.
Il y a quelque chose
de cassé.
Je crois que la chaîne
est rompue.
Il faut la faire réparer.
Je vais Fenvoyer chez
r horloger*
Vous ferez très bien.
— lOO —
^^JJ^^l^
Saatym tour mouche.
jjSUjJ>.
Sizin saatynyz qatch-
r
dadyr.
y\J^ L^ :i>.
Sizin saatynyz éyi gui«
^jy.'-^^
déormou.
y^j\^ J^.
Bénimki ayar déguil.
jxJA
Iléridir.
Guéridir.
j J^jj!
Bozoulmouchdour
jy.vj^^j^j
Vaqyt vaqyt dourou-
yor.
Jjf^-^V-^ "•^i/
Gundé bir tchayrek
^jJli
guéri qalyor.
c^ffi^^AjlOjT^
Her gun yarym saat
•jt jy.'^jJ'}
iléri guidéyor.
Bir bozouqloughou ol*
maly. ^
Bir qyryghy olmaly.
Glilliba zindj iri qyryl-
M
myche.
j'.l^j^^*^
Taamir itdirméli.
^C-jaiy^îjp^U
Saatdjiyé gueundéré-
djéguim.
J^--'j'^}y}
Eyou idersiniz.
— IW
La viiite
On frappe.
Quelqu'un frappe.
Allez voir qui c'est.
Allez ouvrir la porte.
Je vous souhaite !•
bonjour.
Je suis bien aise de
vous voir.
Je suis charmé de
vous voir.
11 y a bien longtemps
que je ne vous ai pas vu.
Assayez-vous, je vous
prie.
Faites*moi le plaisir
de vous asseoir.
Ne voulez-vous pas
vous asseoir?
Apportez une chaise
à Monsieur* «^>,
Voulez-vous dtner
avec nous?
Je ne suis entré que
pour savoir comment
vous vous portez.
\^J\j iji 3 I Ziyarété daïr muhialémé.
T -' - c
Qapou tchalynyor.
Biry qapouyou tchalyor.
Guit baq kimdir.
Guit qapouyou atch.
Sabahy chérifinirkhaïr
olsoun.
Sizi gueurdugumé mém
noun oldoum.
Sizi gueurdugumé^
mémnoun oldoum.
Tchoqdandyrsizi gueur-
mémiche idim.
Bidja idérim bouyou-
roun otouroun.
im idin otouroun.
-^>j^^
Otourma^mysynyz.
Eféndiyé bir sandalyé
guétirjn*
Bizimlé taam idermisi*
oiz.
Ziyaréti-adjyzaném an-
djaq kbatyry chérifinis&i
istifiïar ilcEaad^i?^.
— 190 —
\ >
11 faut que je m'en
aille
f.
.^r
Vous êtes bien pressé J^jy^ -^' 4^^
Pourquoi êtes-vous 4^ J-^-^y, f^
si pressé?
J*ai bien des choses
à faire.
Vous pouvez bien ^jyj\ ^^-^3'^
"^ ^ m m
rester encore un mo-
moment.
'y^J9h.
J'ai à aller en diflFé- . S^^jS^J^i^^y
rents endroits*
Je resterai plus long-
temps une autre fois.
Je vous remerci de
votre visite.
J'espère que je vous
reverrai bientôt.
Guidéyim.
Pek^adjélé idiyorsounouz
Nitchun bouqadar a-
djélé idiyorsounouz.
Tchoq ichim var.
Biraz daha otourabilir-
siniz.
Bazy mahalléré guidé*
djéguim.
Bachqa vaqyt tchoq
otourourym.
Ziyarètinizé téchekkur
iderim. — Téchrifinizdén
mémnoun oldoum.
Qaribén yiné guerouch-
mémizi mémoul iderim.
y^'f'-t.
%
Avant le dîner.
A quelle heure dine-
rons-nous?
Nous devons diner à
gnatre heures.
J^ \ ô^ Ui» ^iftâmdan éwél voukoub^u^
•y • m
lan mukialéfné.
Bou gun taàmy qatch-
da idédjéguiz.
Saat deurtdé taam idé-
djéguiz.
- 191 —
Nous ne dtnerons pas
avant cinq heures.
Quavez-vous com-
mandé pour le diner ?
Qu avons-DOus pour
notre dtner?
Avez-vous envoyé
acheter du poisson ?
Je n ai pas pu avoir
du poisson*
Il n'y avait pas un
poisson au marché
Il n'est pas arrivé de
poissons aujourd'hui
y V - \
I
Bechden éwel taam
itméyédjéguiz.
Taam itchun né ysmar-
ladynyz.
Euyléyin né yémégui*
miz var.
Balyq almaq itchun a-
dém gueunderdinyz mi.
Balyq aiamadym.
Tcharsoudé bir balyq
yoghoudou.
Bou gun balyq gualmé-
michidi.
A table.
Messieurs, servez vous
Prenez sans façon ce
que vous aimez le mieux
J'espère que vous
trouverez ce morceau
de votre goût.
Comment trouvez-
■
vous le rôti.
"^ m
» "^ r
^J<^jjl
Soufrdda ikén voukou
loulan mukialémé.
Aghalar bouyoaroun.
Tekhfsizdjé istédigui-
nizi alyn.
Chou partchdan khoch-
lanyrsynyz zao'n idérim.'
j^y j^i w.\f
Eëbab nacyl olmouche
\
^;>
192
Il est excellent.
Vous serviraije des
épinards et des brocolis?
Voulez-vous des pois
ou du chou-fleurs ?
Mangez - vous des
pommes de terre et des
choux?
Vous présenterai-je
un morceau de ce- ci ?
Vous enverrai-je une
tranche de ce gigot ?
Vous ne mangez rien.
Je mange fort bien.
f^**^.
I
r-î^x
w c^^di
Pek àla.
Yspanakdan vé qara
lahanadan viréimmi.
Bizélyadan niy yokhsa
qarnabitdén miistérsiniz.
Yér élmacyndan vé la-
hanadan yérmîsinîz»
Choundan bir partcha
viréimmi.
Chou boutdan sizé bir
partcha gueundéréimmi.
Bir chéy j éméyorsou-
nouz.
Pek éyou yéyoroum.
La pension.
Récitez votre leçon
Savez-vous votre le-
çon?
Avez - vous appris
votre leçon?
Vous ne savez pas
voire leçon.
Pouvez-vous réciter
voire leçon ?
• \
Meklébé daïr mukialémé
Dersini taqrir it.
Dersini bilirmicin.
Darsini eugréndinmî.
Dersini bilméyorsoun.
Dersini taqrir idébilir-
misin.
. ^
— 193
Je ne puis pas encore I j jZ U
la réciter.
Pourquoi n'avez-vous
pas appris votre leçon?
Je la savais hier.
Je n'ai pas pu rap-
prendre.
Quelle leçon avez-
vous apprise?
Je n'ai pas eu le temps
de rapprendre.
Je la réciterai sans
faute demain.
Avez - vous étudié
votre géographie ?
Je la sais parfaitement.
La leçon d'algèbre est
S^J^
très difficile.
Le professeur est'_,jjyii^:jjc.^^ji
content de moi ; j espè- • XjjlJ J^.l.
re être le premier élè- jtJ jj .Ju^i-»
ve de ma classe.
Dersimi daha taqrir i-
dèmém.
Mitchun dersini eug-
rénmédin.
m
Dun biliridim«
Belléyémédim.
Bellédiguin qanghy
dersdir»
Eugrénmégué vaq-
tym olmady.
Yaryn khatacyz taqrir
idérim.
Djéghra&a dersiai eug-
rèndinmi.
Kiamilén bilirim.
Djébr dersi pek gudj
dur.
Khodja béndén khoch»
nouddour, mémoul idé-
rim ki bénim synfymda
boulounan chaguirdanyn
djumlésiné taqaddum i*
dérim.
— im —
Le débarquement. A^j\
ùàMA
Dieu merci nous voici
arrivés sains et saufs.
Quelle heure est-il ?
Il est huit heures.
Nous ne pouvons pas
entrer au port.
La marée est basse.
Messieurs, vous serez
obligés de débarquer
en chaloupe.
Le bateau ne pourra
entrer au port que dans
deux heures.
Voici les douaniers.
ï'^vl O^'i^^y^ tchyqmaghd daïr
mukialémé.
Hamd oisoun sagh vé
salim vacyl oldouq.
Saat katchdadyr.
Sékizdé.
Limana guiréméyédjé-
guiz.
l
Venez à la douane»
Messieurs,veuillezme ^<, ^;j»Lj )\c\
remettra vos passe-ports
Vos effets seront vi-
bitëè dans trois heures
&e1a est désagréable
et faif perdre beaucoup
de temps.
Il est temps d'aller
^^
chercher vos effets à la ,^^:^A.U\fjjriL^\
douane.
J-C— 3^
Soular tchékilmichdir.
Aghalar qaraya sandal
ilé tchykadjaqsynyz,
Guémi iki saatdan ev-*
vel limana guiréméz.
Ichtégumrukmémourieri
Gumrugué guélin.
Aghalar paçaporllary-
nyzy teslim idin.
Échyanyz utcli saatdan
sonra yoqUaadjaqdyr.
Bouracy féna, tchoq
vaqyt zaï idédjéguiz
Gumrugué guidub é-
chyanyzy istéyédjek va*
qj'ldyr.
195
Youlei- vous ifisiter !
cette malle toot desuite.
Maintenant dites-moi
cônnaissez-Yous un bon
hôtel ?
11 y en a plusieurs
eicellents.
Faites-moi leplaisirde
m 'indiquer le meilleur*
Si vous désirez je vais
\ous conduire à un bon
hôtel.
f.'JJ
r
Clioii sandyghy cbim*
dî yoqlarmysynyz.
Ghimdi bildiguiniz bir
éyou loqanta var ioé
seuyléin.
Pek àlalary var.
Kérém idin en éyou-
cini gueustérin.
Éguer istérséniz sizi bir
éyou loqantaya gueutu-
réim.
Pour aller à Paru. '
Allez - vous jusqu'à
Paris?
J'aurai donc le plaisir
d'être de votre société,
car j'y vais aussi.
J'en suis cliarmé.
La société fait trouver
la route moins longue.
• ••
'' r
<w
jê-^jy-^y
<4^i»_î>y-ii'
Pariz chéhriné gintmégué
daïr mukialémé.
Parizé qadar guidé*
djekmisiniz.
Boo souretdé rifaqéli-
nizlé mucherréf oladja-
ghym zira béndéniz da-
khi oraya guidédjéguim.
Pek mômiiouQ oldou m.
Ré6q ilé guidildigui
haldé yoi^ol qadar ouzoui^
çuearuLavaéa..
- 1»6 —
Il est bien désagréa*
ble de voyager tout seul.
Xespère que nous ar-
riverons demain à Paris
Mais il pourra être un
peu tard , car les che-
mins sont fort mauvais.
Les chemins ne sont
pas très bons.
Avez-vous déjà fait
cette route ?
Plusieurs fois
Je connais parfaite-
ment cette route.
Où change-t-on de
cheveaux ?
A quel endroit cou-
cherons-nous ?
Nous sommes déjà
plùsqu'àmoitiéchemin.
Ces cheminssont géné-
ralement très-mauvais.
Pourquoi donc pré-
fère-t-on cette route-ci
à l'autre?
C est qu'on y gagne
deux postes.
ji>.li. .j »}
\
>yi^3^^
}^.j.i
I
Yalynyzdja yoldjoulouq
itmek pek féna chéydir.
Mémoul idérimki yarynki
gunParizé vacyl olourouz
Lakin yollar pek ouïr
ghounsouz oldoughoun*
dan biraz guetch qalma-
myz dakhi muhtémeldir.
Yollar pek éyou déguil.
Bou yoldan guitdigui-
niz varray.
Bir qadj kerré.
Bou yolou pek
éyou
bilirim.
Bargàirléri nérédé dé*
guicbdirirlép.
Nérédé yaladjaghyz.
Yary yolou guetchdik'.
Alel itlaq yollar pek
fénadyr.
Beuïlé oldoughou sou-
retdé bou yol nitchunobi-
riné térdjih olounouyor.
Bou obirindèn iki pos-
ta noqsandyr.
— 197
Je suis charmé de
jouir de votre société;
mais je vous avoue que
je voudrais déjà être
arrivé.
Vous avez raison, mais
prenons patience.
Medjlicinizdén mém-
noun oldoum, Iakin bou
djumléiléchimdiyé qadar
vacyl olsaq daha éyou o-
louroudy.
Euïlé amma né tcha-
ré sabr itméli.
Tailler une plume. AltC/j^^irj) là ' Qalém yontmagha daïr
mukialémé.
Voulez-vous avoir la
bonté de me prêter vo-
tre canif?
Pourquoi faire ?
J*en ai besoin pour
tailler une plume.
Prenez cette plume
de fer.
Je préfère une plu*
me d*oie.
Je voudrais tailler
ma plume.
Elle a besoin d'être
retaillée.
Pourquoi ne vous
servez-vous pas de vo-
tre canif?
JJ^ÎJ?»
^j.\r.
ii
(^^:^>:^y^
j^^ô^yJJ^'^^y.
^:;Oi>liii
j^jy'jyi)9j^^
Qalémtrachynyzy bi-
raz kérém idérmiciniz.
Né yapadjaksynyz.
Qalém yontadjaghym.
Chou timour qalémi a-
lyn-
Tuy qalém olsa daha
éyou olour.
Qalémimi yontadjaq y-
dim.
Bou qalém tekrar yon-
toulmaq istér.
Sizin qalémtrachynyzy
nitchoun o^puUajcixssae^^s^-
\
— 198 —
^J:^
^\:^éS^
Il ne coupe pas bien.
Il a besoin détre re*
passé.
Voulez-vous que je ^^^^y^ij;/^
taille votre plume.
Je vous e rais bien
obligé*
La voici essayez la.
Elle est un peu trop
grosse.
'^ E|te QSt trop fine.
m
• T
Kesmévor.
Bilénmégué muhtadj.
Qalëminizi yontaymmy.
Mémnoun olouroum*
Ichté yontdoum tedj-
roubé idin.
Biraz qalyn olmouche.
Pek indjédir.
Acheter.
Il faut que vous al-
liez au marché.
Voyez de quel prix
sont les canards et les
poulets.
Vou« faut»il des œufs
Oui ; achetez des
<Kufs et du beurre.
En allant au marché
jpBssez chez le bouclier
Moubayayé dair mt^ia--
lémé
Tcharsouya guitmélicîn
Baqfeurdégui vé pflidjî
qatcha vîriyorlar.
Youmourta lazynamy.
Ewét biraz youmourta
ilé biraz sadé yagh al.
Tcharsouya guidérkén
•> 3U::^^v-»l--x; I qassab dukkianyna oggh-
^Oj-jSa»
>-^->V
^- lyif
pour prendre un peu
de \iande.
vJI O'jly ra biraz et al.
Le feu.
Vous avez laissé é-
teindre le feu. .
11 nesl pas toul-à-
fait éteint.
Il faut qu il soit ral-
lumé. V^
Que cherchez-vous?
Je cherche les pincet-
tes.
Les voici dans le coin.
Où est le souflet?
Souflez le feu-
Souflez-le doucement
Maintenant mettez
deux ou trois morceaux
de bois.
Y a-t-il du charbon?
Prenez la pelle et
mettez du charbon.
NTen mettez pas trop
à la fois.
Atéché daîr mukialémé
Atéchi braqmychsynyz
seunmuche.
Daha busbutun seun-
mémichdir.
Tékrar yaqmaly.
Né arayorsounouz.
Machày arayoroum.
-^ : Ichté keuchédédir.
Keuruk nérédédir.
Atéchi ufléyn.
Yavach ufléyn.
Chimdi iki utch par-
tcha odoun qoyoun. ^^
Keumur varmy.
Kurégui alyn keumiœ
qoyoun.
Birdén biré tchok keo-
X tara ççsŒLvyoL-
)
200
Si vous tnettez trop [^^^J^J^t^y'^i/^
de charbon vous étein-
drez le feu.
Il commence à flam-
ber.
CS^^I Aic-iJ^ip
Éguér tchoq keumur
qorsanyz atéchi seundu*
rursunuz.
Toutouchmagha bach-
lady.
Les fleurs.
Vous n'avez pas vu
mes fleurs.
Venez voir mes fleurs
Elles sont superbes.
Le jardin commence
à présenter un joli coup-
d'ceiL
Il y a quelque temps
que le safran esten fleur.
Les fleurs viennent
en abondance.
Les narcices fleuri-
ront bientôt. -
Vo^ tulipes sont-elles
fleuries ?
Oui, nous les verrons
dans un moment
a1Ix.^1jA^:<^^
,r jt>-
Tchitchégué daïr mukia-
lémé.
Tchitcliéklérimi gueur-
médiniz.
Guéljb tchitchéklérimi
gueurun.
Pek àla tchitchéklerdir,
Baghtché guzellénmé-
gué bacblady.
Safran tchitchégui a-
tchaly khaïly vaqytdyr,
Tchitcheklér kesret
uzré hasyl olouyor.
Zérrinlér qaribén atcha-
djaq.
Lalélériniz atchdymy*
Evvet birazdan guider
gueururuz.
201
Les jacintes sont près
que passées.
Quelle fleur est-ce là?
Comment nommez-
vous cette fleur ?
Vous n'avez pas vu
mes renoncules.
Elles sont de toute
beauté.
Vous tenez
din bien prop
* •
SunbuUérin héman
vaqty guetchmiche.
Chourada olan né tchi-
tchékdir.
Bou tchitchégué né
dirler.
Foulyalarymy gueur-
médiniz.
Boundanàlasy olmaz.
Baghtchénizé témiz ba-
kylyor.
Légumes.
Voulez-vous faire une
visite à notre jardin po*
tager ?
La pluie a fait beau-
coup de bien.
Quelle quantité de
choux etde choux-fleurs
Nous en faisons une
gra n de con sommatio n
dans la maison.
Voici un beau plaot
d'asperge.
A^J\
•^-^.J-i^-
4^
Sébzéviyé daïr mukialémé,
Bizim sebzé baghtché^
sini ziyarét idérmisiniz.
Yaghmouroun tchoq
faïdéci oldou.
Bou né qadar lahana
vé qarnabitdir.
Évdé pek tchoq suru-
luyor.
Ichté bir guzel qouche
qonmaz tarlacy.
202
Je l'aime extrême-
ment
Les pois sont déjà en
fleur.
J'aime aussi les ar-
tichaux.
Avez-vous planté des
haricots ?
J'en ai qui sont port
de terre.
Vous en aurez de
bonne heure.
Est-ce là de Vognon?
Non, ce sont des poi-
reaux.
Ils ressemblent beau-
coup à rognon.
Vous avez toutes sor-
tes de salade.
• *
I I
iisS'MyJ'^ Qouch qonmazy pek
sévérim.
Bizélyalar tchitchek
atchmyche.
Énguinary dakhi sévé-
rim.
^^aCj LL^li j Fasoulya dikdinizmi.
fJ^iF^ySJ
^\
*.X«*»K>' Al p-i cj^^
T •
Fasoulyanyn bazysy
oudi^l^ustérdi bile.
vaktyndan ev-
vel kéSWÇfeksyniz.
Chou soghanmydyn
Khaïr praçadyr.
Soghana pekbénzéyor.
Salatanyn durluçusiz-
dé var.
Après la pluie.
Je ne suis encore sorti
depuis la pluie.
Ni moi non plus.
M '
Yaghmourdanzonra vou-
qou boulan mukialémé
Yaghmouryaghaly da-
ba evdén tchyqmadym.
Béndénizdé euïlé.
— 203 —
Allons voir si tout a
bonne mine dehors.
La campagne a une
apparence toute dif-
férente.
Il fait bien meilleur
marcher aujourd'hui.
La pluie a abattu la
poussière.
La pluie a rafraîchi
le temps. »
Quelle ^flférence
d'aujourd'hui à la jour-
née d'hier 1
La pluie a ranimé
toutes les plantes.
ï
Guidélim baqalym ty-
charyçy guzélmi.
Qyriar bachqa bir suret
kesb itmiche.
Yurumek haqqynda
bou gun pek éyou dir.
Yaghmour tozou bas-
dyrdy. "'
Yaghmourdan havasè-
rinléndi.
Dunki gun ilé bou
gundé néqadar ferq var.
Yaghmour nébataty
ihya iylédi.
Rencontre d'un ami qui 1 Ijjjfô^^^
vient de faire un voyage.
Quoi, est-ce vous ?
C'est moi-même.
Je ne m'attendais pas
à vous rencontrer idu
J^
Tachradén guélmiche bir
dost ilé vouqou boulan
inuhialémé.
\
Sizmisiniz.
Béli béndénizim.
Bourada sizé rast gué-
lédjéguimi mémoul itméz
idiifiL.
204 —
Je suis bien aise de
vous rencontrer.
Depuis quand êles-
vous de retour?
Je suis venu hier au
soir
Comment êtes-vous
venu?
Je suis venu en poste.
Je suis venu par le
chemin de fer.
Vous venez subite-
ment.
Je comptais rester
tout Tété.
Qu'est-ce qui vous a
fait revenir sitôt ?
Quelques affaires qui
demandent ma présen-
ce ici.
Gomment avez-vous
trouvé votre voyage ?
Je Tai trouvé fort a-
gréable.
Quand aurai-je le plai.
sir de vous voir chez
moi?
jr
^ m •
Sizé rast guéldiguimé
mémnoun oldoum.
Né vaqyt avdét itdiniz.
Dunki gun akhcham
uzéri guéldim
Né ilé guéldiniz.
Posta ilé guéldim.
Timouryoliié guéldim,
Bagbtétén zouhour it-
diniz.
Bou yaz qalmaq niyé-
tindé idim.
Beuïlé tchapyk guél-
ménizé né sébeb oldou.
Bazy masiahat hasébi ilé
bourada boulounmam
iqtiza itdi.
Yoldjouloughoanouz
nasyl ydy.
Pek khochlandyni.
Né vaqyt béndékhané-
nizé téchrif bouyoura-
djaksynyz.
205 -
Je ne sais, jai quel-
ques affaires à finir.
J'aurai l'honneur de
vous voir demain dans
la journée.
Né vaqyt guélébilédjé-
guimibilmém tesviyé idé*
djek biraz maslahatym
var-
In'challah yaryn gun-
duz vakty raulaqaty ali-
niz ilé inucherref olou-
roum.
Entre deuœ écoliers.
Que cherchez- vous?
Je cherche une plu-
me de fer.
En voici plusieurs.
Je vous remercie, je
prendrai celle-ci.
Ayez la bonté de me
prêter celle plume.
Choisissez- en une autre.
Pouvez-vous me prê-
ter une feuille de papier.
Quelle sorte de pa-
pier voulez^vous?
\
Iki chaguird hêinindé
djéryan idén mukialémé
Né arayorsounouz.
Bir timour qalém ara-
yoroum
Ichté sizé bir tchoq ti-
mour qalém.
Mukerrém oloun chou-
nou alyrym.
Kérém idin bou qalé-
mi bana ariyétén virin.
Bir saïrini intikhab idin.
Ariél olarak bana bir
tabaqa kiaghyl virébilir-
misiniz.
Né djins kiaghyt îs-
tersuvvL.
206 —
Du papier à lettre.
En voici une.
Je vous remercie, je
la rendrai tantôt, car
je vais en acheter.
Il n'y a rien qui presse;
mais dites-moi à qui
allez- vous écrire?
Je vais écrire à ma
famille.
Présentez - leur mes
complimens.
Posta kiaghy dy istérim.
Ichté sizé bir tabaqa
posta kiaghydy.
Mukerrém oloun, ya-
qynda aladjaghym sizé
andén bir dané viririnou
Adjéléci yoqdour , la-
kin seuïléin kimé mék-
toub yazadjaqsynyz.
Familyama yazadja-
ghym.
•«
Sélamymyzy tébligh
idin.
Pour saluer et faire les
complimens d'usage.
Bonjour, Monsieur,
comment vous portez-
vous ?
Très-bien, à votie ser-
vice.
J'en suis bien aise.
Comment cela va-t*il«
Pas très*bien, je suis
un peu indisposé.
Sélam vé istifçar khatyré
daïr mukialémé
m 'f
Sabahy chérifiniz khaîr
olsoun éféndim , kéïfi-
aliniz.
Hamd olsoun douada
qousouroum yoq.
Mémnoun oldoum.
In*challah éyoncynyz.
Azadjyq namizadjym.
— 207 —
Jen suis bieii fâché.
Je vous souhaite une
meilleure senté«
Je vous remercie.
Comment se porte
Monsieur votre père ?
Il y a longtemps que
je n'ai Thoneur de le
voir.
Il est très enrhumé.
Il a mal à la tète.
Je me ferai un devoir
de lui faire une petite
visite, si cela ne Tin-
commode pas.
Ce sera avec beau-
coup de plaisir qu'il re-
cevra cette honneur.
A quelle heure pour-
rai-je lui présenter mes
respects ?
A l'heure que vous
voudrez dans la matinée
Faites mes compli*
mens à monsieur votre
frère.
Ëséf étdim.
Allahaémanèt.
Éksik olmayin.
Éféndi pédérinizin
kéïfi éyoumi.
Rhàïly vaqytdyr ché-
réf mulaqatleri ilé muf-
tékhir olamadvm.
«/
Nezlé guérégui guibi
indjidiyor.
Bachy aghryor.
Taadjiz olmayadjaghy-
ny bilsém visita idér idim.
Techrifiniz dén kémali
mertébé mémnoun olour.
1
Névaqytlar gueururëp'
bilour.
Sabahlayin saat qatch->
da olsa mumkindir.
Efendi biradérinizé
makbzouz sélain seuiléin.
\
na
-- 210 —
Diteâ-moi, s'il vous
plait.
Ayez la bonté de me
dire.
Si c était un effet de
votre bonté»
Faites-moi cet hon-
neur, ce plaisir.
Pardon si je vous in-
terrompt.
Permettez - moi de
vous faire observer.
Je vous en remercie.
Daignez accepter cette
légère marque de ma
reconnaissance.
• •
Je vousFoffredebon
cœur.
Veuillez agréer cet
hommage.
Un refus de votre part
me causerai la plus vive
douleur.
Djanym éféndim bir
chéy suai idédjéguim.
Djanym éféndim bir
chéy suai idédjéguim.
Éguér himméti aliyénîz
olouricé.
Bou chéréf vé inayété
qoulounouzou nàyl idin.
Af idérsiniz laqyrdy-
nyzy késdim.
Roukhsatynyz olourça
béndéniz dakhi seïléym.
Mémnoun vé mutéchék-
kirim.
Téchekkurat adjyzané-
min chou édna écérini
qaboulé raghbet bouyou-
roun.
Any mémnounén taq*
dim idiyoroum.
€hou hédiyéi adjisa-
némi kèrém idoub qa-
boul bouyouroun.
Adémi kaboulynysdén
àchyry mutééssir olou-
roum.
— 211
Je compte sur vous. \j^J^»\^j^oy^ I
Je crois que mon es-
pérance ne sera pas
trompée.
Sizdén ghaïry oumid
kiàhym yoqdour.
Émélimé naïl olou-
roum zan idérim.
Pour consentir ou accor-
der^ refuser ou s'excu-
ser et remercier.
Ty consens.
Volontiers, de tout
mon cœur.
Pourquoi pas ? à la
bonne-heure, rien ne
s'y oppose.
Avec grand plaisir
Je n y trouve pas à
redire.
Vous pouvez dispo-
ser de moi.
Ordonnez;' et vous
serez obéi.
Qaboul v^é mouvafyquét vé
rédd vé ïtizàr vé téchék-
kuiédoLir mukxalémé
Pek éyou.
Bâche ustuné.
Nitchoun olmaz.pek ala
olmayadjaq chéy déguil.
Mémnounén qaboul \*
dérim.
^ Bouna bir déyèdjék
yoq.
Émr idin , émrinizé ha*
zyrym.
Ëmr idin , émrinizé ha«
zyrym.
- 212
Vous D*avei qu à par-
ler, j'attends vos ordres.
Repo«^Zrvoussur moi
Je suis charmé de
trouver roccasion de
vous rendre service.
Je ne puis rien vous
refuser.
Je voudrais 'pouvoir
vous rendre un plus
grand service.
Je désire ardemment
de vous être utile.
Vous savez que je
suis tout à vous.
Pardonnez-moi, ex-
cusez-moi
Cela m'est impossible
*•• •
Cela ne dépend pas
de moi.
Cela ne se peut; pas.
iujdjl
Emr idin, émrinizé ha-
zyrym-
B^dén bilin.
Sizé ibrazy khydmét it-
méké vésilé zouhour it*
dikindén mahzouz ol-
doum.
Sizé yoq déyémem.
Ëlimden guélsé daha
beuyudjék bir khydmé-
tinizdé boulounmaqly-
ghy istéridina.
Khydmétinizdé dou-
lounmaq pek multézé-
mimdir.
Béndéniz éféndimin ol-
doughounu bilirsiniz.
Af idin, maaszour tou-
tou n.
Élimdén guélméz. Ya-
pabilédjékim chéy dé-
guil.
Élimdén guélméz. Va-
pabilédjékim chéy déguiL
Bir vetchilé olour. chéy
déguih
— «13 —
C'est de toute impos- Jf^^j>J^l^lf>-jjr
sibilité.
Gela ne me regarde
pas.
Je suis au désespoir
d'être obligé de vous
refuser.
Ce sera pour une an-
tre fois; le moment
n'est pas favorable; a-
vec la meilleure vo-
lonté du monde, je ne
pourrais vous satisfaire.
Je vous prie de m'en
dispenser.
Soyez persuadé qu'il
n'y a pas de ma faute.
Ne m'en faites pas
un crime.
Ne trouvez pas mau-
vais que je ne puisse pas
contenter vos désirs.
Je vous suis iq^ni*
ment obligé.
J*ai rborineur de vous
remercier.
- * * I *
Jl
Bir vétchilé olour chéy
déguil.
Bou bana radji déguil.
Ittimasynizy qaboul
idémédiguimé pek teessuf
idéyoroum.
Inchallah vakty akhér-
dé oleur, vaktyn musaa-
dési yoqdour, hér né qa-
dar saï ou ghaïret itsém
yiné mouvaffaq olamam.
r
Ridja idérim bou khou-
sousdé béni afv idin.
Sahih bilinki bou kbou-
sousdé bénim qousou-
roum yok dour.
-^-.-a^o» B^^ khousousda bana
vDxl j 'jt^Ci^li qabahat azv itméin.
J^U ^ JffS^^ Muradyny zy bazy 1 idé-
dj^/^jL*^jJ\ ^«édigniroé gudjénméin.
fr^ aJ^ J^ i Kémalî mértébé mém«
OJU^
'^'
nounym.
Téchékkur idérim.
\
~ 214 —
Je suis flatté de Thon- \ «S^j «jucly- U^
neur que vous me fai-
tes*
Comment pourrai -je
m'acquitter envers vous
Je suis bien sensible
à votre bonté.
Cette nouvelle preuve
d'amitié est au-dessus
de ce que je pouvais
espérer.
Vous me comblez
d'honnêtetés.
Vous me rendez con-
fus.
Vous avez trop de
bonté.
Je ne sais comment
répondre à tant de po-
litesse.
Merci, bien obligé.
Haqqy adjyzahéntdé
vaqy olan iltifatynyzdan
mésrour oldoum-
Himméti séniyénizin
haqqyny né vétchilé éda
idébilourym.
Chayan bouîrilan hi-
mémi kérimanéiéri mou-
djibi sourour vé houbour
dérounoum olnouchdour.
Husnu tévedjdjouhou*
nouzyn bou délili djédidi
méemoulimdén kbary-
Haqqymdé kiàmilén
loutfvé ihzan ittiniz»
Vaqy olan husnu
mouàmélénizdén mah
djoub oldoum.
Loutfouinayétnizmér-
lébéi kémalè résidé ol-
mouchdour.
fk^
Bou routbé îltîfatyny-
za né vétchilé mouqabé-
lé idédjéguimi dilmém.
Mukérrém oloun ,
'JxAoy£i^j^\^j!sA mémnoun idtinyz.
— ns
Pour douter , consulter ,
affirmer et nier.
Est-ce vrai ? serait-il
oossible ?
Cela se peut-il ?
Est-ce tout de bon?
If êtes- vous pas dans
Terreur ?
Parlez-vous sérieu «
semenf.
Xai de laf peine à le
croire.
Je n'en croîs rien.
Jen doute.
Gela me passe.
Vous m'en faîtes ac-
croire.
C'est incroyable.
Vous plaisantez, vous
voulez rire.
On vous en a imposé.
Qu'y at-il à faire?
V
l.Li^\jA^i^^^
^rzy choubhé vé isticharé
vé iasdiq vé inkiarédaïr
mukialémé.
rjju
- »
Sahihmîdir, mumkun-
midir.
Olour chéy midir.
Guértchék mi.
Yanlychlyghynyzyocp
mou.
Sahihmi seuïléyorsou-
nouz.
Pek inanamayoroum.
Itimad itmém.
Choubhé'Jdiyoroum.
Bir durlu aklym almà»'
yor.
Béni taghiit itmék is«
téyorsounouï.
Itimad olounour chéy
déguil.
Lalifé idiyorsounouz ,
chaqa idiyorsounouz^
Sizi ighfal itmichlér.
Né yapalym^ hoaVs^V»^
216
Que me conseillez- 1 vl^^^^ i o^ùJ:^
f 00,1
l M m
VOUS de faire?
Quel parti prendre?
Qu'en pensez-vons ?
Je ne sais que faire?
Que feriez-vous'à ma
place ?
Comment me tirer
de là?
Ne vaudrait-il pas
mieux de. . •?
Gela demande de la
réflexion.
Cest la vérîlé-
Ceht un fait.
Cela est vrai.
Cela n est que trop
vrai.
Vous pouvez y ajou-
ter foi.
Je puis vous le ga-
rantir.
^J>:^ ^'^}^
Béndénizé né nasihat
idérsiniz.
Qanghy ychyqqy ih-
tiyar idéyim.
Ifkiar vé mutaalanyz
nédir.
Né idédjéguimi bilmé-
yoroum.
Bénim yérimdé olsa-
nyz né yaparydynyz.
Boa vartadan lihélaz
olmanyn tariqi nédir.
Cheuïlé itsék daha éyou
olmazmy.
Bou maddé mulahazayô
muhladjdyr.
Sabihi boudour.
Bou vaqydir.
Guertcbekdir. Sahihdir.
Pek sabihdir.
Bouna inanyn.
^•^^^l/.jIâaa:!^ Saliété mouqaria ol-
fJjb' J:*^ j doughynè kéfil olou-
/
\
\
tOUtCk.
«17
Monsieur en est té«
j^-L5ij/Ir-^>-
Siz dakhi gueurouyor*
moîn.
sounouz-
Vous avez raison.
j'j >^-
Haqqynyz var.
Il n'y a pas de doute
' ôy.^tr^
Hilcho ohoubhé yoq.
Je vous le jure
^^^}^.'.
Yémin idérim.
Tout le inonde vous
. jA. JjÎLrC^
Herkes bounou bilur.
le dira.
Cela n*en est pas
Maa mafi yîné yalan-
moins faux.
^^
dyr.
Cela n'est pas vraî.
j^^^
Sahih déguildir.
C'est une calomnie*
Jjl>9l
Iftira dyr.
C*est un mansonge.
••
Yalandyr.
Il n'en est rien.
y^^^J
Euïlési déguil.
Cela ne se peut pas.
y-J^
Mumkin déguîL
Je parie le contraire.
^3 ij sS^^ uC _a)
Bounoun khilafy va-
qy oldoughouna bahs i-
dérim.
Je nie le fait; je gage
4lij;^*Ubl^^
Bouna inanmam. Beuïlé
que oui ; je gage que
j*JJii' j^ A^tîjjjl
oldoughouna bahs idé-
non.
Ô^Alii jdjl 41j. ^
rim Beuïlé olmadyghy-
fJ^J
na bahs idérim*
Du temps.
a1K»/1j4,^^ Bavayé daïr mukialémé
Gèle.t-il?A-t.ilgelé? ^jS'^^]\;j^\ OvU^ik v^^*.^x«s.^^
«J.U
Il fait très-froid. \
Il a fait cette nuit une
forte gelée.
La rivière doit être
prise, on ne tardera
pas à patiner,
Jai grand froid.
Je ne puis remuer
les mains.
Prenez Tair du feu.
Approchez- vous du
poêle, du feu.
Je commence h, me
remettra
Il neige à gros flocons.
La neige fond
Le temps est changé.
Le temps s'adoucit.
On dirait qu il fait du
brouillard.
11 dégèle.
Les jours croissent ;
le soleil commence à
prendre de la force.
Nous aurons bientôt
du beau temps.
• «M
Hava pek soghouq.
Bou ^uidjé pek chédid
ayaz varydy,
Tcbaï tonmaq guérek
dir,yakynda bouz ou-»
zérindé kayadjaqlar.
Pek^uchuyoroum.
Ëllimi^ qymyldada-
mayoroum,
Atéchedé ysynyn.
Sobaya yakhot atéché
yaqlachyn.
Biraz kéndimi boul-
doum. Kéndiméguéldim.
Qouch bachyqar ya-
ghyyor.
Qar ériyor.
Hava déguichdi.
Hava youmouchady.
Douman var guibi.
Bouzlar ériyor
Gunlér ouzanyor, gu-
^ù^\>èijf^ I °éche qyzmagha bach-
lady.
y\fi jC^ÔJiy Boundan sonra éyou
j^l^\ jLa havalar olour.
— 219
L'hiver est passé, on
s'aperçoit quon est au
printemps,
Il fait un temps dé-
licieux ; il ne fait ni trop
chaud ni trop froid.
Le soleil était très
clair en se levant, mais
le ciel se couvre de
nuages
Il va pleuvoir.
H tombe une pluie
fine.
Le pavé est gras et
glissant.
C'est une ondée du
printemps qui abattra
la poussière.
Ce né sera rien ; ne
voyez- vons pas Taro-
en-ciel ?
Les nuages se dis-
sipent, le temps s'é-
claircit*
Il fait très chaud.
^J^ le-* ^>U • jC^
4y
c3^
Qyrbe guétchdi baha-
ryn guéldigui anlachy—
lyor.
Bir guzél hava var ne
pe!c sydjaq né pek so-
ghouq
Ghéms toghdoiigliou
vaqt ghayèt bérraq idi
lakin chimdi bouloutlar
gueuk youzunu qaplayor,
Yaghmour yaghadjaq
Tchiséndi var.
Tachlar yagh guibi qa*
yiyor.
Bou ilk bahar yagh-
mouroudour qui tozou
basdyryr.
Degmédé , alaîmy sé-
mayi gueunnéyormou-
sounouz.
Bouloutlar daghylyor,
hava atchyldy.
Hava pek sydjaq.
220 —
J'ai chaud ; je sue à
grosses goules ; je suis
tout en nage.
Il fait une chaleur
excessive.
Le temps est suf-
focant, on respire à
peine.
La chaleur me fati-
gue extraordinairement
Cest que nous som-
mes au plus fort de
Tété-
On est en pleine
moisson.
Nous aurons de To^
rage.
Le soleil se cache;
il passe de gros nuages.
Le vent s'élève.
Il tonne au loin.
11 va pleuvoir à verse
Le tonnerre gronde.
Cherchons un abri,
si nous ne voulons pas
être moillés jusqu'aux
os.
• ^ V •-
jj^jjLi^i
*»*-j><^*-**-^.
A
Pek ysyndym tchoq
lérléyoroumj, 'gueumlé-
guim soukésildi.
Achyry sydjaq var.
Havada achyry syqyn-
ty var , néfés alynmayor.
Sydjaqdan pek rahat-
syz olouyoroum.
Yazyn en chédid vaq-
tyndayz.
Oraq vaqtydyr*
Bora tchyqadjaq.
Gunéchqapandy gueukdé
in bouloutlar guéz^yor.
Ruzkiar tchyqdy.
Ouzaqda gueuk gurléyor*
Saghanaq yagbadjaq.
Gueuk gurléyor.
Syghynadjaq bir yér
boulalym yokhsa yagh-
mour djiguérimizé gué-
tchér.
221
Il tombe de la grêle,
il éclaire.
Quel coup de ton-
nerre, la foudre est
tombée.
L'orage passe ; le
soleil reparait.
Il fait un temps dé-
testable.
11 fait 'beaucoup de
crotte, de boue.
Noiis sommes à la
fin de laulomne.
Il fait un \ent froid
qui glace.
Les] matinées et les
soirées sont fraîches.
Les jours décroissent
beaucoup. «
Nous allons^ entrer
dans la plus mauvaise
saison de Tannée. '
il y L ail j Attj
V
hùy^ér:
Tolou yaghyor , chim-
chék tchaqyor.
Né qadar chidétli gueuk
gurlédi elbétté yiidyrym
nouzoulitmichdir«
Bora savouchdou , gu-
nêcbe alchyldy-
Pek féna ha va var.
Tchoq tchamour var.
Son baharyn akhyryn-
duyz.
Birsovouq ruzkiarvar
j^jjTlLi^l^ ''i tondouruyor.
^^.LLiU^^^L^' Sabahiary vé akhchara
^yh^ à^.r^ ^^"^^ ^^"" olouyor.
Gunlér tchoq qyssaldy.
Sénénin en féna mev—
jj;^ o^ siminé guirédjéguiz.
Î22 —
En se levanL
Qui frappe à la porte
de si bon matin ?
Qui est là?
Ouvrez la porte.
Elle n*est point fer^
mée à clef.
La clef est dans la
serrure , levez le loquet
Comment], vous êtes
encore.au lit?
Vous dormez en-
core?
Vous n^ètespas en-
core éveillé ?
Il est temps de se le-
ver.
Il fait grand jour.
Quelle heure est-il?
n est sept heures.
L'orloge vient de
sonner*
Je ne savais pas l'heu-
re qu'il était
•^ m
JislilU.
r
m t»
SabaÂdan qalqarikén txni-
qou boulan mukialémé
<
Beuilé erkén qapou-
you tchalan kimdin
Kimdir ô.
Qapouyou atchyn.
Qapou kilidli deguil.
Anakhtar ustundédir*
Maïmoundjoughou tche«
vir. ♦
Daha yataqda mysy*
nyz.
Daha ouyouyonnou*
sounouz*
Daha ouyanmadynyz
my.
Qalqadjaq vacprtdyr.
Gunduz oldou.
Saat qatdidadyr.
Yédidé.
Saat chimdi vourdou.
Saat qalchda oldoughou-
ny bilmézidim.
J-ai oublié de monter
ma montre hier au soir,
et elle s'est arrêtée à
cinq heures et demie.
Ordinairement je ne
suis pas si paresseux.
II parait que vous a«
vez été matinal.
Il est vrai que je suis
sorti aujourdhui de
meilleure heure que de
coutume.
Il n'y a pas trois
quarts d'heure qne je
suis hors de lit.
Je n'ai eu que le
temps de m'habiller, et
d'accourir pour pouvoir
vous rencontrer; car
on vous trouve difBcile
ment dans la journée.
Jai mal dornii toute
la nuit.
Je n'ai pas fermé l'œil
\
1
JJJ^P
I •
r
^ •m ««•«
Dan akbcham taaiy-
my kourmaghy ounoud-
doum bêche boutchouq^
da tourmouche.
Sair vaqyt boa qadar
lénbélliic itdikim yo^
ghoudou.
Ghaliba siz érkén qalq-
mychsynyz.
Vaqaa boù gun mu*
tadymdan érkén qatq-
dym.
Yataqdan qalqdyghym
uU;{3e tcharyék oldou*
Tchunki gunduziéri
tchoqlouq boulounma-
dyghynyzdan sizi gueur-
mék itchun héman bach-
qa chéïyé baqmayaraq
rouhamy guiyoub sé«
guirtdim
Bou guidjé rabat ou-
youyamadym.
Gueuzoumu qaça^^ar-
2» —
Je me suis concIié
foct lard,
11 était une heure
moins un quart.
Je dormais d'un pro-
fond sommeil, quand
vous êtes arrivé.
. Xai de la peine à
quitter le lit.
Quel temps fait-il ?
Il fait beau.
Le soleil parait.
Fait-il chaud ?
Fait-il froid ?
II fait très doux.
Il ne fait point de
venu
Donnez-vous la peine
de passer dans mon
cabinet.
Je vais me lever , et
nous irons ensemble
respirer Tair du matin,
si cela vous fait plaisir.
Très volontiers ; rien
ajCLJJ, Pek guédj yatdym.
Saat biré tcharyék va-
rydy.
Guéldiguiniz vaqyt dé-
rin ouyqoudaydym.
Yataqdan djanym is-
téméyérék qalqdym.
Hava nasyl.
Guzél hava var.
Guneche gueuzouku-
yor.
Hava sydjaqmy.
Hava soghouqmou.
Pék mulàïm hava var.
Hitch ruzkiàr yoq.
Zahmét olmazisé qabi-
nétoma bouyouroun.
Ghimdi qalqarym é-
guér haz idérséniz birlik*
dé guider sabahlàïn ha«.
va alyryz.
Bâche ustunébou mév*
««5 —
nest plus agréable que
la promenade dans cet-
te saison.
Je serai bientôt prêt ;
en attendant, vous pour-
rez prendre un livre
dans ma bibliothèque
et vous amuser à lire
pour éviter l'ennui.
■^j^W
,u,
simdé guézmék guibi
guzélchéyolmaz. «
Chimdi hazyr olou-
roum béndéniz guélin-
djeyé qadar djanynyz sy-
qylmamaq itchun kutu-
hkhanémdén bir kitab
alyn,oqour églénirsiaiz.
Enlre un Français
m
et un Anglais.
Monsîenr, êtes vous
Français ? ^
Oui, monsieur.
De quelle partie de
la France é (es- vous ?
De la. Normandie.
Y a t il long-temqs
que vous êtes en An-
gleterre ?
Il y a dix ans.
Comment trouvez-
vous l'Angleterre?
.lie
m
Bir fransyz ilé bir ingui-
Hz bé'inindé vaquy olan
mukialémé
i
■âÉféndim fransyzmy-
synyz.
Éwét éféndim.
Fransanyn qanghy ta-
rafyndansynyz.
Normadiyalyim.
Inguiltéraya téchrifiniz
choq vaqytmydyr^
On séné dir.
Inguiltéra sizé
nasyl
— «86 —
Je vous entends Vous
aimez mieux la France
»
n'est-ce pas.
. Cela est vrai, mon-
sieur, on ne peut pas
»*empécher d'avoir de
la prédilection pour
son pays.
Je ne vous blâme pas
cela est naturel ; d'ail
leurs, tout le monde
convient que la France
est un pays plus beau
que le nôtre. ^
Est-il vrai qu il y foit
plus chaud en été et
plus frcMclen hiver qai-
ci?
Cela est certain. Nos
étés sont plus longs et
plus chauds, et nos hi-
vers sont plus rigoureux
qu'id.
Je Taime assez. [ fJ^\ ^i^y} ^^
— I a
\
jx}A^^û'^yf-
(^J*-»-**!^ '-'3
Éb êyouhazildtfn.
Didiguinizi anladyoï.
Fransaji térdjih îdéybr-
sounouz oilé déguiln^i.
Euilédir éféndim hëlr-^
kés kéndi mémlélcétini
élbétté ziyadé sévêr.
Sizi taaib itmém bou
tabii <;héydir maabézaki
Transanyn, bizim niém-
lékéldénéyou oldoughy-
ny hérkés itiraf vé téslim
îdér.
Fransada yazyn bôiii^
radan ziyadè sydja({ vé
qychyn dakki bouràâan
ziyadé ^ghooq oldbtt^
ghou sabib mi di^.
Ëvvét sahihdrr, nhévsi-
miséyfih muddélitchoq-
dour vésydjaqieghy kîya-
dé dir vé n>évsimi chyta
dakbi bouradaa aiyadé
chédid oloul*.
~ »7 -
Hèiii^eur, Vous savez
où je demeure, vous
me (etez. toujours un
sensible plaisif, chaque
fois que vous m'hono-
Tei'ez de votre visite.
Vous êtes irien bon ,
mais je crains de vous
tûGommoden
Ne craignez pas cela ;
j'aime les Français et
ce m*esl toujours un
plaisir de les recevoir
chez mol
• • • A • • Z •
Ji^ùO.
r^^^
\
Pour acheter différents
objets.
é.'^\
Voulez-vous venir à
la ville avec moi ?
De tout mon cœur.
Qu avez vous à faire
dans la ville ?
J'ai quelques emplet* ^v^^"v3^jl Jô«i
tes à faire.
Quest-ce ^uè wous
avez à acheitr ?
r
Êféndim sakin oldou-
ghym roahali bilursynyz
hér névaqt téchriféragh-
bel bouyroulour isébén*
dénizi mémnoun itmiche
oloursounouz.
Allaha émanét^ oloun
lakin sizi tadjiz iderim
déyou qorqarym.
EstaghFourroullah bén-
déniz f ransyziary sëvérim
vé anlérin khanéi adjyza- .
nëmi téchriflérindén mah-
zouz olouroum.
I Baty échya ichtiraxyna
daïr mukivlémé
Bénimlé ohébré g«é-
lirmisiniz.
Bâche ouslunë.
Chéhrdé né icbinis
^ar.
Bazy oufaq téféq chéy
aladjagh} m.
Né ftladjaqbynyi.
— ï«8 —
11 me faul de la toile
pour faire des draps.
N'a vez- vous pas vous-
même besoin dacheler
qtielque chose ?
Riçn de particulier.
Ne me laissez pas
oublier d'acheter des
mouchoirs
Parlons surle-cbamp,
car il faut que nous
sovons revenus^ur U
thé. j
J-y.
frxcr
■^1 , uJL^
r
Tcharcbdblyk béi aU-
Sizin<M aladjaq chéyi-
niz yoqtny.
Mustaqil aldjaq bir
chéyîm yoyij3our.
Bir qatcb^méndll ala--
djagbym Icbatryma gué*
tir.
Ghimdi , guidélim ki
tfthay vaqty bounda boa*
lounalyau
Allant le déparL
*
AvezTVOtrs* Quelque
commission pour Lod
dres?
Est ce que vous al-
lez à Londres ? Quand
comptez vous partir ?
Je pars demain ma-
tin.
Allez- vous par une
chaise de jposte ?
AziméVléfi evvel vouqou
boulan .mukialémé
Londrayé dalr sypa-
i;ychynyz varmy.
Londrayamy guîdéyor-
sounouz. Niyétiniz né
vaqt tchyqmaqdyr
Yaryn sabah.
Posta arabasyiié mi
guidédjéksinizt
— 229 —
Non , je vais par le
chemîn^de fer.
Combien de temps
comptez vous y rester?
Quand serez- vous de
retour ?
Je compte rester
quatre ou cinq jours.
S'il y a quelque cho
se que je puisse faire
pour vous, je m'en
chargerai avec plaisir.
Je passerai chez vous
dans la moirée.
Vous êtes sûr'de me
trouver à la maison.
I
^ M •
Khaîr timour yolilé
guidédjékim.
Né qadar vaqyt orada
qaladjaqsynyz.
Né vaqyt avdét idé-
djéqsiniz.
Niyélim deurt béch
gun iqamét ilmékdir.
Eguérélimdén guélur
bir ichiniz var isé mém-
nounén déreuhdé idérim.
Akheham oustu dév-
lel khanénizéoughraryni.
vJîéndéfiizi hér haldé
évdé bouloursounouz.
Voyage en chemin
de fer.
Avez^vous fait tous
vos préparatifs de dé*
part?
Tout est prêt.
Quand partez-vous ?
Timour yol ilé siyahété
daïr mukialémé
Siyahétiniz itchun hér
bir tédarikatynyzy gueur-
dou.:uzmu.
Djumlèsi bazvrdyr.
Né vaqyt guidédjéksi-
- MO —
Nous partons dans | 4jiJùéiJ^^^
cinq minutes-
Montez en voiture,
8*il vous plait
Il me semble qu'il
est bien lard.
Dans combien se-
rons-nous à l'embarca^
dère?
Nous y serons dans
un quart d'heure.
J'ai peur que vous
n'arriviez trop-lard.
Rassurez-vous, Mon-
sieur, nous ne sommes
jamais en retard.
Le convoi partira
dans cinq minutes.
Quelle est la force
des machines ?
Elles sont chacune
de la force de vingt
chevaux.
Votre ami vient-il
avec nous ?
Je crois qu il partira
demain par m er.
- «
^^jmaIj* ^JijJ^
r
\
-^.^•^urîJ^^
Béch daqiqédén Tolt
Ichyqadjaghyz.
Bouyouroun arabaya
guirin.
Vaqyt pék guétchdir
zan idérim.
Vapor arabasyné né qa-
dar vaqylda guirébilirlz.
Bir tcbaryégué qadar.
Qorqarym yétichéméz-
siniz.
Ëmin oloun éféndiai
guédj qalmayz
Arabalar bêche daqiqéyé
A^jM qadar yolalchyqadjaqdyr
jy xij^ru
Makinalaryn qouvvéti-
oj-a1 ' ïïé qadardyr.
jfhSf^'j^^.j'^
j:^%sZ^
j^.jA^j.'S^^^^
Hér biri yirmi barguir
qouvvétindédir.
Dostounouz bizimlé
-<^ a)^ bérabér guélédjékmidir.
Ghaliba yaryn bahrén
azimét idédjk.
— 231
Fera-t-il un long sé-
jour à Paris ?
Il n*y restera pas, il
compte revenir toute
suite.
Nous avons fait jus-
te sk milles.
Nous faisons un mile
et demi par minute.
Une telle vitesse me
fait peur*
Pour ma part, j'aime
à aller vite.
Plus nous allons vite,
plus je suis content
Nous voici arrivés à
la première station.
Combien de temps
resterotis-nous ici ?
Nous h y resterons
que trois minutes.
Ou sommes-nous a-
présent ? On dirait que
nous sommes suspen-
dus en l'air.
Nous passons sur un
pont.
Parisdé tchoq vaqyt
mekz idédjékmi.
Tchoq qalmayadjaq
niyéti déraqab avdèt it-
mékdir.
Tèmam alty mil aldyq
Daqiqédé bir boutchouq
mil alyorouz.
Bou tchapyqlyqdan
qorqayoroum.
Bén tchapyk guitmék^
dén khochianyrym.
Né qaqar tchapyk guit-
sék olqadar haz idérim.
Ichté birindji mévqî-
fé vasyl oldouq.
Bourada né qadar va-
qyt qaladjaghyz.
Utche daqîqédén ziya»
dé tourmayiz.
Chimdi nérédéyiz , ha«
vada mouallaqda tou-
rouyorouz guibi guéli-
yor.
Keupruden guétchéyo-
232 —
Pour s'habiller.
Apportez- moi une
chemise et une cravate
blanche; celles que jV
vais hier sont sales.
Voulez— vous une
chemise fine ?
Non,donnez«moi une
chemise ordinaire.
Donnez-moi mon ca-
leçon , mes bas , mes
chaussons.
Voulez-vous des bas
de soie ou des bas de
fil?
Je prendrai des bas
de soie.
Ces bas sont troués.
II y a une maille de
rompue.
Il faudra les donner
à la ravaudeuse , pour
qu'elle les raccommo-
de.
Je vais prendre des
bas de colon.
lémé
J. 9 >jJ^J
• i.
Bir gueumiek îlé bir
béyaz boyouo baghy
guétir,dunkilér ktrKdir.
Indjé gueurolékmi is-
térsiniz.
Khayir bayaghy bir
gueumlék vir.
Dîzlikimi tchorablary-
my térliklérimi vir.
Ipék tchorabmy istérsi*
niz tirémî.
Ipék tchorab guiyédjé*
guim.
Bou tchorablar délikdir»
Bou tchorabyn bir
gueuzou seukttlmuche.
Bou tchorablary euru*
djù qariya virméli taa-
miritsun.
Panbouq tcborab gui-
yédjéguim.
— 233 —
Donnez-moi de l'eau Ki)yjJ*j'^^\j$ ^ Éllérimi nghzyiuy yoii- .
pour que je me lave les
mains , la bouche et le
visage.
Les dents de mon pei-
gne d'i voir sont presque
toutes causées.
Donnez-moi une ser-
viette pour m'essuyer
les mains.
Je vais me raser; car
ma barbe est très-lon-
gue.
Apportez moi le bas-
sinées rasoirs, la savon-
nette et le miroir.
Vos rasoirs ne valent
rien, il y en a un qui est
ébréché.
II faudra les porter au
coutelier, pour qu'il les
repasse.
Ma chemise est bien
froide, faites du feu et
chauffez 4a.
Mes souliers sont ils
décrotés ? I
JJr^ô^}y^'::.
zoumu yiqamaq itchun
sou vir.
dPl>^-l:jj.» Fildichi taraghymyn
dichlérinin lîéman djum-
lési qyrylmyche.
Éllérimi silmék i^
tchoun bir péchguir vir.
ôy^ Ô)^ ^jh
J
j.sA~*
jj\;,\ 4^1
r
a.^^
i
^}^ yy^j
m*
l-W \
Saqalym pék ouzan-
myche tyrache oladja-
ghym.
Léguéni oustourala-
ry sabounou aynéyi gué-
tùr.
Oustouralarynyzda i-
che yoq birinin dakhi
3ghzy guitmiche.
Bounlary bylchaqdjya
gueutouroub bilétméli.
Gueumlékim pék so*
ghouq atéche yaqda ysyt-
dyr.
Qoundouralarymy n tcha ,
c J::\\ \ \s\o\yc w. ^^^A^T^^i-
— 23* —
Il me semble qu'il
tombe de Teau ; il doit
faire de la boue, dans ce
cas, je oietrai mon pan-
talon bleu et mes bottes.
Voici votre pantalon
bleu, et vos bottes bien
reluisantes.
Quel habit allez -vous
mettre î
Donnez-moi mon ha-
bit neuf; mon autre ha-
bita quelques taches, il
faudra le donner au dé-
graisseur.
Pourquoi ne prenez-
vous pas votre redin-
gote ?
Vous avez raison; je 1
vais la brosser et la bat-
tre.
Où est mon fés ?
Prenez la brosse
pour en ôter la pous-
sière.
Dpnnez-moi mes gants
et ma ç^nne.
jy^ljy^^ili^ Ghiiliba yaghmourva-
jjJjT^ijl jj.U gheyor tchamour olmaq
guéréqdir. éguér euyléisé
ladjiverd pantalonoumou
vé djizmélérimi guiyéim.
Ichlè ladjiverd panta-
lonounouz vé parlamyehe
djizméleriniz.
Qanghy roubanyzy guî-
yédjéksiniz.
Yéni roubamv vîr ô
biri lékélidir lékédjiyé
virméli.
Sétrinizi nitchun guiy-
méyorsounouz.
Ilaqynyz var fyrtchala^
youb tchybouqilésilkéim.
Fésim nérdé.
Furtcha ilétozounou al
J.3
^y
Éldivénlérimi basto-
noumou vir.
— 23ri —
Vous ferex bien de
prendre un para-pluîe.
J oubliais de prendre
ma bour^ie et un mou-
choir blanc.
Si la blanchisseuse
vient, vous lui donne-
rez mon linge sale, et
vous verrez si elle rap-
porte le compte de ce
qui lui a été donné la
dernière fois.
m
Chémciyénizi alsanyz
éyou idérsiniz.
Aqdjé kisémilé bir bé-
yaz méndil almagha ou-
noutdoum.
Eguer tchamachyrdjy
qary guélir isé kirli tcha^-
machyrlarymy vir vé
guetchendé virdikimi^
tchamachyrlaryn hisaby-
ny baq guétirmiche mi.
Potir d^euner.
Je suis bien aise de
vous voir, nous allons
déjeuner ensemble.
Je ne déjeune pas or*
dinairementde si benne
henre;j*accepterai ce-
pendant volontiers l'of-
fre que me faites , de
vous tenir compagnie.
Que mangez -vous à
votre déjeunner?
1
Qahvé alty itméké daîr
mukialémé
Guéldikinzé mémnoon
oldoum birlikdé kahvé
alty idélim.
Bou qadar érkén kah-
vé alty îtmék adétim dé«
guil , andjaq médjlisi-
nizdé boulounmaq i-
tchun kémali sourour
ilé téklifinizi qaboul idé-
rim»
Néilé kahvé alty idér-
V
%V«VL.
— 2m —
Voulez-\ous du jam-
bon, cii*s saucisses ou
du pàtë,
Ne faites pas de l'ex-
traordinaire pour moi,
je ne veux que partager
votre déjeuné.
Je suis dans l'habit u
de de ne prendre que
du thé; mais comme j*ai
grand appétit, je man-
gerai un peu de viande
avec plaisir.
Servez le déjeuner;
apportez le jambon, du
vin, des verres, des cou-
teaux et des fourchet-
tes.
Laissez la bouilloire
auprès du feu, pour que
l'eau soit bien chaude.
Commençons à man-
ger.
Voulez vous que je
vous serve une tranche
de jambon?
Très- volontiers.
0^ :lS>- ùî^^l
r^.
aJ,'
Basdyrmamy soudjouq-
my borékmi istérsiniz.
Béni m itchun fazla
chéy yapmayn , sizln
qahvé altynyzdan bach-
qa chéy istémém.
Béndénizin adétim ya«
lynyz tchaï itchmékdir ,
lakin ichtiliam zîyadé
oldoughoundan bîraz et
oisa yérim.
Qahvé altyy hazyrlt
basdyrmay charaby qa^
débiéri bytchaqiary tcha-
tallary guétour.
Tchaï ibrygbyny até-
chin yanyna braq sou
yçynsyn
Bachlayalym yëméké
Sizé bir dilim basdynna
viréym mi.
Pék éyou.
— 237
f ••
Je vous Iraile en ami 1 *^^3'^^l
cl sans cérémonie.
Je serais ftiché que
vous en agissiez autre-
ment.
Le jambon est excel-
lent; donnez une autre
tranche.
Je mange beaucoup
plus que vous.
Je ne dois pas vous
servir d'exemple, je ne
suis pas accoutumé à
manger de la viande à
mon déjeuner ; je me
réserve pour le thé.
Dans ce cas, deman-
dez donc le thé ; je ne
veux pas manger sans
vous.
Garçon, apportez la
boite au thé, la théière,
la bouilloire , le sucre ,
le heure et les rôties.
j^ I Sizinlé dostdja vé lék*
4* ifli^j^wul^ lifsiz mouàmélé idéyo-
I
0,1 roum
r^y
Jl»L«
Bachqa dourlu itséniz
djanymsyqylour.
Chou basdyrma àlàdyr
birdilim daha virin.
Bén sizdén tchoq zi-*
yadéyéyoroum.
Bana baqmayn sizin
guibi qahvè altyda et yé«
mégué alychmadym
ichlihamy tchaya saq-
layoroum.
Bou souretdé tchayi ys-
marlayin yalynyz yémék
istémém*
^U jUj\ Ouchaq tchay qoutou-
^1^ • A^J çounou Ichay kiaséssini
^jrlj^^A^ir 80U ibryghyny chékéri
^\-J,sJ^ ^*ré yaghyny qyzar-
— 238 —
'»
Apporlez aussi le sel
et les petites cuillers.
Je vois avec peine
que vous m'attendez.
Je TOUS demande
pardon, j'attends que le
thé soit infusé.
Voici le beurre, pré-
parez vos rôties.
le vous remercie, je
ne ferai pas de rôties,
il me serait empossible
di manger davantage.
Peut-être aimerez*-
vous mieux prendre
une tasse de café.
Point du tout; j'aime
tfeaucoùp le tbé avec
des rôties; mais je n*ai
iplus faim, je prendrai
une tasse de thé seufô*
ment.
Votre thé efet très^
bon; On voit que vous
en êtes amateur.
dui d«j\ ^J^
J'y. y^^^ t'*-"^
^9:
'J-
Touzou vë kùtchouk
qachyqlary dakhi guétur.
Sizi békléddiguimé dja-
nym syqylyor,
Sizi békléméyôroutn.
tchaïn salynmasyna ba-
qayofoiim.
Téré jaghy hazyrdyr
qyzarmyche étikiékléri-
nizi hazyr idin.
Mukérrém oloun ét-
mc^k istémém , artyq bir
chéy yéyéménk.
Bélki bif findjftû qAfa-
vé istéridinin.
Khaar tohayilé kyzar-
uiyche étméki pék sévé-
rim lakia aftyq doïdoum
yalynyz bir findjan tchay
itchédjékitti.
Tchâyflyz pékatàsév-
diguiniz anlachylyor.
289
Poorrat-je tous en ^j^jtj\^^^^^J^
4ûDner uue autre tasse?
Je vous suis infini- 1 «^ ^^ mj:3\
ment obligé, mon dé^*
jeûner est fini. .
^jij\
Bir findjan daha iré-
léimmi.
Rhaïr éféndim bénim
qahvé altym tékmil oI«
dOQ.
Pour dtner.
Je suis charmé de ce
que vouséles venu dans
ce moment voilà l'heu-
re de diner.
Si vous n*avez pas
d' invitation pour au*
jourdhui. faites moi je
vous prie l'honneur
d'accepter mon diner.
Vous ôtes bien bon,
je Tacceplerai volon-
tiers ; mais je n ai pas
fait ma toilette
Que cela ne soit pas
un obstacle, nous ne se-
rons que nous
famille est à la campa-
gne, je vous invite sans
cérémonie.
as ne se- ! <<i i-. it^
deux, la '^ ' '^ ^
Akhcham taamyna daïr
mukialémé
\ -
^jyjX O^^
Téchrifinizdén mém*
noun oldoum tamam
taam vaqtydyr.
Éguér bou gun bir ta-
rafa davétli déguiliséniz
ridja idérim birlikdé taa-
mymyzy kaboul idin.
Bâche oustuné Iakin
daha guyinmédim.
Béis yoq yalynyz iki
kichiyiz familya keu}dé-
dir, téklifsizdjé sizi davèl
idéyoroum.
\
"iS
— SM
sens de tout mon eœur
à vous tenir compagnie,
à condition que vous ne
changerez rien à votre
ordinaire
Je vous assure que
vons serez obéi.
Nous allons passer
dans la salle à manger;
le dfner est servi.
Très-bien, Monsieur.
Garçon, apportez une
serviette, un couteau,
une cuillier, une four-
chette, une assiette et
un verre*
Donnez- vous la peine
de vous assoir, ce siège
vous est destiné.
Quaimez-vous le
mieux, le potage au riz
ou la soupe grasse avec
dos légumes ?
Cela m'est indifférent;
\ -
lyifÀ^'41^^1 Ëuïléisé mémncMinén
>Uj sizé riEiU{ét idérim , diou
charl lié kt ousaotounou*
zou bozmayiii.
^/jy.^A'^^
f
- ,x „
• • • *■
. Il • ••
Émriniz yiêrinè vara*
djaqdyr émin oloun,
Yémélc odasyna gui-
delim taam ha^cyrdyr.
Pek éyou èféndim
Tchodjouq bir pech-
kir bir bytçhaq bir qa-
chyq bir Ichalal Wr ta-
baq ilé bir qadéh guélur.
Kérém jdin otou-
roun bou sandalyé sizin
itchoundyr
Qanghysyndan khoch-
lanyrsynyz pirindj tclior-
basyndanmy yokhsa séb-
séli tchorbadanmv.
Qangh)sy oloursa ol-
2*1 —
je voas denuindertti de
la soupe avec un peu de
légumes
Cette soupe est eiceU
lente.
Garçon, ce verre est
tiial rincé, apportez-^ên
un autre, avec un tire*
bouchon pour débou-
cher la bouteille.
De quel vin puis*je
vous offrir ?
Vdlà un bouilli de
belle apparence.
Qu'aimez- vous mieux,
du pain tendre ou du
pain rassis»
' ié tnangef^l du pain
rassis, cotome je man-
ge plus fecileméftt la
mie, je craindrais que
le pain tendre sourUmt
s il est chaud, ne me fit
du mal.
Vous ne buvez point;
j i,^lili^
Jj^ k^)^w^\
soun, muMvidir Xt séb-^
sévaily tcborbadan isté-
rim.
Boa tdiorba ptk àià
olnioQ((d)e4«
Tcbodjouq bou qadéh
éyou yykatimamyche bir
bachqasyny guétur, vé
bouqalyn tapasyny alch-
maq itchun bir tapa
bourghousou guétur.
Qanghy charabdan vi-
réim.
Chou seuguchun gueu-
I rounuchou pék àlà.
Tazé élmekdénmi
khochlan^r«ynyz yokhsa
bayatdanmy.
Bayât élmekdén yérim
etméguin itehini daha qo-
lay yédiguimdén qorqa-
rym ki tazé étmek kliou^
sousi ilé sydjaq oloursa
zarar virnxésun.
que jai l'honneur de
vous versser à boire.
Arrêtez je vous prie;
tous m'en avez versé à
plein verre, je vais en
répendre sur la nappe.
Garçon, apportez le
rôti et la salade.
Je vais me charger
d'assaisonner la salade,
pendant que vous allez
découper cette poular-
de.
Voici le sel, le poi-
vre, le vinaigre et rhui-
le
Je vais vous servir
une aile, à moins que
vous préferiez la cuis*
se ou tout autre mor*
ceau.
Je vous remercie.
Cette poularde est
délicieuse ; j'y retourne
avec plaisir.
Prenez de la salade.
I »
(:j.i '■f j^j.\
•yà-^ j~-* J"'^y*
• • • vy
i nouz sizè bir cbarab vi-
réim.
El virir artyq , qadéhi
toldourdounonz soufra
béziné deukulédjek.
Tcbodjouq , kébab Hé
salatayi guétur.
Siz tavoughou toghra*
indjaya qadar bén sata«>
tayi yapaym.
I a
\j^O^
À>^X^
Icbté touz , bibér. sir-
ké, zëitoun yaghj.
Sizé^ tavoughoun qa-
nadyndan virëîn^amma
bélki boud tarafyndan
yakbot bacbqa tarafyo*
dan haz idérsiniz.
Moukérrém oloon.
Bou tavouq pék lézix
biraz daha aladjaghym.
Salatadaiibouyouroun.
Je vous suis infine*
meni obligé, je ne man- 1
gérai pas davantage.
Vous ne mangerrai
point ; en vérité, je suis
confus de vous avoir of
fert un si mauvais re-*
pas.
Pardonnez^moi , j'ai
beaucoup mangé, beau-
coup plus que je n'au-
rais dû faire, ayant dé-
jeûné à la fourchette «
et plus tard qu'à Tor*
dinaire ; je ne pourrai
pas souper.
Vous voyez que je
vous ai tenu parole» et
que je n'ai rien ajouté
à mon ordinaire*
Je n'aime pas la gran-
de variété des meta
Un repas simple ex-
cite bien plus Vappetit.
Je vous réponds qu'il
— 243 —
kS -Wj ^) </r^
Kérém idin artyq yé«
mém.
Bir chéy yéméyorsou-
nouz sizé éyou taam tche*
qaramadyghyma mah-
djoubym.
Af idérsîniz pék tchoq
yédim hadda ziyadcsî lé
qahvé aUy îtmîche vé a-
détimdén guédj yémiche
ikén bon qadar taam it->
méméliidim, guidjé bir
chéy yéyéméyédjéguim.
Gueurdunouzmu va-
dimi idjra iylédim vé adt
olan taamyma hitche bir
chéy ilavé itmédim.
Mutaaddit taamdén
khochianmam.
Taam qarychyq olmas
isé daha ziyadé ichtibayi
davét idén
^'♦^^
y a long- temps que je
n'ai diné avec autant
d'appétit.
Je vais donc faire !ier-
vir le dessert.
Prenez ce qui vous
plaira des poires, des
pommes, des petits gâ-
teaux.
Je vais vous faire goù*
ter du vin de Madère
que j*ai acheté ces jours
derniers.
Je bois à votre santé.
Je vous rends la pa-
reille.
Ce \ in est délicieux •
jL.evons-nous de ta,
ble.
• V * •• *^
boïlé ichtiha ilé taani it-
dilum yogboudou.
Euyiéisé tchéréi ilè yé-
fnichi ystnarlaym.
Artnouddân, élmadan
vékimmir iehitiin kftii«-
ghysyndan haz idersénik
bouyouroua.
Bou gunlerdé aldy*
ghym madér cbàrabyn^
dan siié itchirédjéguym*.
Saghlyghynysa î tchl->
yôTOum. '
Béndé sizin ôâghiyghyi.
nyza itchérioi.
Pék àlà cbarab.
Soufradan qalqalym^
En se 4i0nchanL \ ^^}j^ij^^
I! est fwt tard
Il est temps de s*%l<
1er coucher.
u
kialémé
Vaqyt pâk guti^ . . )
Yatadjaq vaqyt guéldi.
— 245 —
Je n'aiine pas à \eiU
Je me sens grande
envie de dormir.
* Onand on est fatigué,
on trouve lelitbon*
Doonestmoi mon bon-
net de nuit.
Avez- vous bien fait
mon lit aujourdhut.
Oui, Monsieur, je Tai
bien remué.
Tirei les rideaux.
Fermez les volets de
l'appartement
Bassinez mon lit.
Monsieur « la basais
noire est cassée.
Je me couvrira) da«
vaolage.
Je vais me déababUlor
et me mettre au lit.
Etes-vous bien coa*-
^JUtfli
;r>*'-^
\
A.»
M
vert?
Oui, vous pouvez youal j.i'iLjl^-^^O^^
\
Giiidjé ouyoumayoup
ot ourmaqdan haz itmém.
Ouykoum basdy.
Yorglioun olana yataq
éjou guélur.
U^gufamy vir.
Bou gun yataghymy
éyou yapdynmy.
Évét éfendim éyou qa*
bartdym.
Pérdéléri Ichék.
Odanyn kanadlaryuy
qapa.
Yataghymy ysvL
££ëiidim yataq man--
gualy qyryknydm»
Ouaèrtmé bir tiyadé
ehéy eurtenm*
ËsbaMarymy soyt>unoub
yatagha guirédjéguim.
Éyou eurtundunuzmu»
retirer.
.1
I
I
Évét isicr isaci stj*!*-
\
Z'4^
Laissez la chandelle ,
j'aime à avoir de la lu-
mière dans ma cbam*
bre.
Si je ne m'endors pas
de suite, je lirai.
Vou» êtes a peine sur
l'oreiller, que vous ron-
flez déjà»
Vous avez raisonne
ne traderai pas à dor-
mir profondément.
Emportez la chan-
delle.
Eteignez la chan-
delle.
Apportez le briquet
avec des allumettes et
des pierres à feu.
Il n'y a pas d'amorce.
Je vais vous apporter
le briquet phosphori-
que.
C'est bien*
Bonne nuit,Monsieur,
je vous souhaite un bon
repos.
Jt>
Oj
J}
cS
^J
Momou braq odamda
ycbyq olmaqdan haz i
nm.
Ëguér ouyqoum gueu*
turméz isé oqouroum.
Bachynyzy yasdygha
qor qomaz khyrlamagha
bachladynyz.
Euïlé. héman dérin
ouyqouyé varadjaghym.
Momou gueutur.
Momou seundun
Tchakmaghy tacby vé
kirbiti guétur.
Kav yoqdour*
Sizé tchaqmaqsyz kir-
bit guéturéim.
Pek évou.
Guidjéniz khaîr olsoun.
éféndim , allah rahatlyq
ùy»M^^ I virsun
— 247 —
N oubliez pas de m*ap-
peler demain matin , il
£aut que je sorte à la
pointe du jour.
Je n*y manquerai pas
^j^M^I^^L-dJr^l I Yaryn sabah bana ses
^3^ <v J virmégui ounoutma. gun
jT^jU^vJjT agharyrken tchyqoub
S^^^^y^ guidédjéguîm.
AJL-jl J^L I Bâche ustuné.
Chez un restaurateur.
Il est temps de diner.
Entrons chez un res-
taurateur.
Dînerons-nous dans
un cabinet particulier ?
Non , je croîs qu'il
vaut mieux diner dans
le salon, on est plus vi-
te servi et cela ne coû-
te pas si cher.
Que demandez-vous,
Monsieur ?
Donnez un potage et
un consommé.
Je vous sers à Fins-
tanL
<y • m
Loqantada vouqou boulan
mukialémé
Âkhcham taamy vaq-«
tydyr.
Bir loqantayéguirélim.
Aïridjamy taam idé-
djéguiz.
KhaTr soufada taam o-
lounsa daha éyou oloar
zanidérim, tchunkihém
istédiguimiz chéyler tcha-
pyk guélour vé hém éh-
vén olour-
Né istersiniz éfendim.
oljly 4l)l a. r jl y Biraz tiritilé biraz et
JlU Oj-^ souyou vîr-
fJJ^^\^ fjJsr^ Chimdi hazyr idérim.
\
•^a.
248
Quel viD désirez- vous?
Une bonteiUe de Tin
de Bordeaux*
Vous ferez apporter
quatre douzaines d*hui-
tres bien fraîches.
faime mieux le pain
ordinaire que le petit
pain.
Que voulez-vous pour
rôti?
Un gigot de mouton
avec de la chicorée, et
une poularde.
Comment trouvez-
vous cette cuisine.
Fort bonne, je vous
assure, mais le vin n'est
pas bon.
Cest toi\jours ce qu on
a le plus de peine à
avoir bon.
Il doit être insuppor*
table pour ceux qui sont
accoutumés à en boire
»
■ i - —
Né durlu chàrab istér^
siniz.
Bir chiche bordo cha*
raby vir.
Pek tazé olaraq qyrq
sékiz dané istyritya gué-
tour.
Frandjiladan ziyadé
adi étmékdén haz idé-
rim.
Né dourlu kébab is-
térsiniz.
Hindibaly qoyoun bou-
dou ilé sémiz bir tavouq
istérim.
Bou loqanta nasyL
Sahih pek àlalakin oba-
raby éyou déguil*
Charabyn éyousyny
boulmaq pek zahmétU
cheydir.
J^'ii.lrwijî ^^ charaby asyl
J^\ •JLlXif mémlékétindé itdimiehe
4,j^ ^i.\ Jl:lj\ ' olanlar akhér yérdéitché-
m
Ô3 ^J. >• ^
m
— 249 —
•n
dans le pays où il se ré-
colte.
Que prendons-nous
pour dessert?
11 y a des macarons,
des biscuits, des fraises
des cerises, etc.
Faisons le compte de
notre dépense.
Nous payerons en
passant au comptoir.
Messieurs , n'oubliez
pas le garçon.
h
•a'
1
mézlér.
Tchérézé mutaaliq né
yéyèlim.
Âdjy badém qourabi*
yési vé chéqerli guev«
rek vé tchilek vé kiraz
vé saïr chéïler vardyr.
Masrafymyzy hisab i-
délim.
Guiderikén bordjou--
mouzou pech tak hday 6
qorouz.
Éféndilér ouchaghy ou*
noutmayin.
Dam le café.
II fait très-chaud.
Je suis très-altéré; on
sent le besoin de se raf-
fraicliir.
Entrons dans un es-
taminet
Je ne pourrai vous
Pondjdjou dukianynda O;
lan mu/dalimé
Pek sydjaq var.
Pek hareretim var se-
rinlédidji bir chéy itch-
meii.
Bir qahvéyé guirélim.
ç^o-^i» ^Uj ♦>- \ 8a4^\Çw^V\*fe.^^^û:
>»C"
tenir compagnie ; la fu-
mée du tabac m'enté-
te ; je ne trouve pas de
plaisir à envoyer une
bouffée defuoiée ou nez
de mon voisin.
Je vois bien que vous
ne fumez pas ; si vous
aviez été marin ou sol-
dat , vous n'auriez pas
de plus grand plaisir
que d avoir la pipe ou
le cigarre à la bouche.
Entrons dans un ca-
fé.
Que voulez-vous Mes-
sieurs, des glaces, de la
limonade ?
Donnez -nous de la
bière.
Celte bière est [fort
bonne , mais elle ne
mousse pas .beaucoup
C est quelle est aou
\elle.
Ne buvez pas trop
^^ ^ • V - "^ " "
tun qoqousou bacfayma
ourour birdé yanymda
otouranyn bournoùna tù-
tun savourmaqdan bir
zevqanlayamam.
Tuluné alychmadyghy-
nyzdandyr éguer mel-
lah yakhot asguér ol-
mouche olsayidynyz ya
tcbouboughou vé yakhot
siqarayi aghzynyzdan by-
raqmazydynyz.
Poundjdjbu dukianyna
guirelim.
Ëfendilér né istersiniz
tondourmamy limona-
tamy.
Arpa souyou vir.
Bon arpa souyou éyou
laqin tchoq keupur-
méyor.
Yéni oldoughyndan-
dyr.
Terli îséniz tchapyq
— 251 —
vite, si vous avez chaud;
cela vous ferait mal.
La bière est aussi bon-
ne quand il fait chaud,
que le café ou le pun-
che quand il fait froid
Le café est bon en tout
temps.
C'est avec cela que
je déjeune ordinaire-
ment.
Moi, je déjeûne avec
du chocolat au lait, et
je prends une tasse de
café à Feau sans sucre,
après mon diner.
Voulea-vous prendre
quelque liqueur ?
Non, je vous remer-
cie/cela m'échaufferait
trop; je prendrai vo-
lontiers un verre d'or-
geat ou de sorbet.
- » " V.^v «
tchapyq itchméin fena o-
loursounuze.
Soghouqda qahvé ya-
khol pondj her né qadar
éyou isé arpa souyou da-
khi sydjaqda ol qadar
éyou dy r.
Qahvé her bir vaqyt-
da éyou dyr.
Ëkseriya béndénizin
sabah qahvé allym qah-
védén ibaretdir.
Béndeniz qahvé altyy
sudlu tchiqolata ilé idé-
rim akhcham taamyn-
dan sonra chékersiz o-
laraq sadé bir fîndjan
qahvé itchérim*
Ichrétë mutaaliq bir
chéy istermisiniz.
Afidin bana hararet
virir bir qadeb subyé ya-
ghot cherbet -olsa itché-
rim.
254
Pour voir la ville.
v->f
fJ^iSjf^ Chehri gtiézoub tolachoùr
Je vous prie de me
faire voir ce que la ville
contient de remarqua-
ble.
Ce sera avec beaucoup
de plaisir; je vais d'a-
bord vous montrer le
chemin de la promena-
de publique.
Prenons le chemin
le plus facile à recon-
naître , afin qye je ne
me trompe pas quand
je voudrai aller seul.
En sortant de cette
rue-Kîi, prenez le quai
à droite, quand vous
serez au bout, vous
trouverez une rue très
large qui vous conduira
à la place publique, et
là, vous verrez en face
l
tjUJ \ S^ \ *VJé> ikén olounan mukialéfné '
Lui Ix u\..^o j ..^
Chéhirdé chayany ta-
macha olan yérléri guéz-
dirménizi redja idérim.
Bâche oustuné sizé év-
véla séïr yérleriné tchy-
qan yolou gueustéréim^
Yalynyz guitdiguim
haldé yagbylmamaq i-
tchun en qolay * yoldan
guidélim ki belléim.
1
Bou soqaqdan tchyq-
dyghynyz haldé sagh ta-
rafda olan souyoun qyy-
syndan guidin nihayetin-
dé méydané tchyqar bir
inlou yol guélour vé ol
meïdanyn qarchysyndaki
yol iakhi doghro^ séir
— 25S —
une rue qai va aboutir
■
tout droit à la prome-
nade
Le pont est très beau
il a neuf arches, et est
construit en pierres de
taille.
11 est très plat, et les
troloires pour les pié-
tons sont larges.
De laulre côlé de la
rivière esl un faubourg.
Les rues sont bien
alignées et bien pavées.
Les maisons parais-
sent toutes construites
en briques et en plâtre.
H y en a peu decons-
truiies en pierres et
en bois, parce que ee»
deux e>pèces de malé-
riaux sont rares daus
ce pays- ci.
La ville est toute sur
la vise droite du fleuve.
Combien at-elle de
circuit.
jjSI
AmX
yériûé guidôi^.
Keupru pek guzel do*
qouz kémer uzérîné bina
olounmouchdour véyon-
ma tachdan mésnoudour
Pek duz yapylmychdyr
vé yaya itchoun olan qal-
dyrymlary inloudyr.
Néhrîn ô bir tarafy va*
rouchdyr.
Yoliar tchyrpy ilé tés*
viyé olounmouch vé éyou
kaldyrymlar yapylmyche
Bou khanélerin djum*
lési loughla \é altchyilé
yapylmyche olmaq gué-
rekdir^
Kiarguir vé akhcbab
khané azdyr, tchunki
guérek tache vé guérek
kcréslé bou memiéketdé
nadir boulounour.
Chéhîrnéhrin sagh ta-
rafynda vaqi dir.
Dévri né qadardyr.
Deux lieues ; elle; est !
fort peuplée et ne con-
tient presque pas de
jardins et des places
vagues.
La cathédrale est ou-
verte ; entrons y.
Les sculptures et les
ciselures sont admi-
rables.
Cette partie est revê-
tue de marbre blanc.
Voyez ces belles sta^
tues en bronze et en
albàti^
Les peintures sur
vitre sont d'une gran*
de perfection.
Vous avez aussi des
tableaux des grands
maîtres.
L'extérieur est fort
beau.
Le clocher est d'une
Y •"^ -^ - - .
dit
l^trafy iki saalde tok--
chylour, pek djémiyétli-
dir , vé baglitcbé vé khalj
yéri héman yok guibidir«
Beuyuk kilisà atchyq-
dyr guirelim.
Tachdan oyoulmoucfae
sourétiér vé résimlér var
ki tahayyour olounadjaq
dérédjédé guzéldir.
Chou tarafy kaplama
béyaz mérmérdir.
Toudjdan vé sou mér*
noérindén mésnou chou
guzél sourétlérô baqyn.
Djamlaryn ouzérindé
olan nakychlar pek idj-
raly yapylmyche.
Méchhour oustalaryn
ichi olaraq sizdé tasvir*
lérdé var,
Binanyn tycharysy da-
khi pek guzél .
Tchan koulési tchoq
1^57 ~
hauteur prodiglea^ et
les doches sont fort bel •
les.
Nous allons voir les
autres monumens, tels-
que le jardin , la mon-
naie, la bibliothèque.
Cet édifice est un
chefd œuvre d'architec-
ture ; nous allons aussi
la voir.
Ce sera pour un au-
tre jour ; je suis fatigué.
Prenons une voilure
pour nous en aller.
Cocher , attends- tu
quelqu'un ?
Non , Monsieur ; je
suis à votre service.
yuksek tchanlary dakhi
ghayét guzél.
Baghtché vé zarpkha-
né vé kutubkitané mis-
sillon saïr asary dakhi
séir idélim.
Bon fénni méymari
ouzré incha alounmouche
pek musanna bir binadyr
bounouda gueurélim*
Bounou vaqt akhéré
braghalym bén yoroul-
doum.
Araba toutalym euylé
guidélim.
Arabadjy béklédikin
kimsé varmy.
Rhaîr éféndim émrini-
zé muntazyrym.
«
258 -^
. Pour Umer un appar^
tement*
• •Jljj^ vlWU/ ' ^*^ klianénin bir datrési--
ni istidjar itmégué daïr
mukialémé.
Avez«vous des appar-
tements et des cham-
bres à. louer dans cette
maison ?
Oui, Monsieur, nous
avons de grands et pe-'
tits appartements, et
des chambres garnies,
à louer présentement
ou pour le terme.
Il me faudrait seule*
ment une chambre gar-
nie et un cabinet
Pourrait-on voir la
chambre au premier
étage sur le devant, ain-
si que lannonce récri-
teau qui est au-dessus
de la porte ?
Elle vient d'être louée;
mais nous en avons une
Bou khanédé idjarit-»
choun daïrélér vé ôtalar
boulounourmou.
Evét éféndim , beuyuk
vé kutchuk daîrelérmiz
védeuchenmiche vé deu-
chenmémiche vé éldé ha'
zyr vé guérék vadésikhi-»
taoïynda idjar olouna*
djaq otalarymyz vardyr.
Bana yalynyz bir deu-
cheli ota ilé bir qabinéto
lazym.
Kapounoun ouzerindé-
ki yafdada yazyly olan
ait katya eun tarafynda-
ki otayi guézméq mum-^
kunmudur.
Oota kirayé virildi la-
kin baghlché ouzérioé
«59 —
autre très-jolie sur le
deriière qui a vue sur
le jardin.
Faites-la-moi voir; je
pourrai m'en arranger
de même.
Je vais prendre la clef
et vous y conduire.
Quel est le prix de
celte chambre au mois?
Le prix est de cent
cinquante francs.
Le prix est exorbi- I
î
tant ; c'est à raison de ;
cinq francs par jour.
Oui, Monsieur, et
c est très l)on marché.
Remarquez que cet-
te chambre est grande,
fraîchement . décorée ;
que la vue est très-
belle.
Cela est vrai ; la cham.
bre me plait beaucoup,
mm le pri« m^
•••
6*^3^ y^\3
nazyr diguér bir gozélo^
tamyz var
Any gueuslér ôda i-
chiméguélour.
Anakhtary alaymda si-
zi oraya gueuturéim.
Bou odanyn aylyghy
né qadar.
Youz élli franqdyr-
Pék fakliiche gundé
bêche tranqa guéliyor.
Evvet ëféndim, laqin
gundé bêche franq pek
êhvén bahadyr.
Otanyn beuyuqluqu-
nu vé yéni donanmyche
vé nézaréti guzél oldou-
ghyny mulhaza bouyou-
roun.
Vakaa otayi béguéndim
lakin bahasjndan tchéki'-
niyQroaxEu
La chambre ert^clai* ^•j^^j^ S^^^ | Otanya bir péndjéréai
rée par une croisée.
La cheminée ne fu-
me pas ?
Non Monsieur.
Où sont les latrines.
Est-ce le dernier prix.
h
var.
Odjaq tutmézmi
Oui, il est imppssible ^'/^ ^^à^jCj^^
de diminuer la moindre 4, L. 5) - jf o Ji.\
chose, et vous ne trou- jjj^ ,j^^ x^^'-x
verez pas mieux ailleurs 'jC^yJliy^ ^y\
pour le môme prix.
La maison a une très Z»}^ ^ dC 4i^
belle apparence, et est V^^J-^j/^*^
tré«^•bie^ tenue; 00 n'y j ox^Jitù^ j^L
entend jamais le moin-
dre bruit
L)i rue est trèa-large
et une des plus belles de
Paris* au centre des af-
faire».
aUIc-
!ê*
La position est très-
avantageuse.
Je trouve pourtant
Khair éféndioL.
Khalasy nérdé.
Son bahasy boumoa-
dour •
Ewét, bir habbésinî
ténzil idémém, vé boa
bahaya bachqa yérdô
boundan éyousini boula*»
masynyz,
Bou khanénin gëusté*^
richî pék guzéidir vé té-
mîz baqylyor tydiàry-
dan hitche bir chàmata
dakhi ichidilméz»
Soqaq pék inludir vé
parizin en guzél soqaq-
laryndan biridir vé mér-
kèzi mésalih olan yérdé*
dir.
Môvqyi pék éyou.
I
EuAé amma sizdé dé<
« f
- toi —
%fÊB yom faheB qb peu
trop valoir.
Quel est le prix ?
Quatre-vingt-dix
francs par nroi», pomr
le diner seulement.
Ne pourrait->on pas
s'arranger pour la peu-
sion et pour le loge-
ment ?
Oui , Monsieur , en
vous adressant au pro-
priétaire de la maison ^
qui demeure au re:L-de*
chaussée.
Y est-il dans ce mo*
ment-ci ?
Non, Monsieur, il est
sorti, si vous voulez Fat-
tendre, il ne doit pas
tarder à rentrer.
Je n'ai pas le temps ;
je repasserai plutôt ce
soir.
1 3 âJî/S
\f.
guèriiidén ziyadé qyimét
viriyorsouuouz.
Ânyn bahasy nédir.
Yalynyz akhcham taamy
olaraq béhër mah toq-
san franqadyr*
Hëm taam vé hém ki-
ra khousousou bérébér
olaraq ouzlachylamazmy.
Êvvét éféndim sahibi
en ait qatdadyr anynla
muzakéré itméniz lazym
guélur.
Ghioadi boundamy.
Khaïr éféndim soqagha
tchyqdy chimdi guëlir
éguér istérséniz béqléin.
Béklméké vaqtym yoq
akhéham bir daha ough«
rarym.
j4vec un tapissier. \ A^j^ùS^^ù^^ j Êv deuchétmégué doXr
tnukialémé.
J'ai un appartement
à meubler ; je voudrais
louer des meubles au
mois.
Voulez'vous des meu
blés de grand prix ou
simplement des meu-
bles en noyer, encbène
ou en bois peint ?
cr^'v
^j.J
IL, il
Je suis étranger; si
je reste quelques temps
dans ce pays-ci, j'ache •
terai des meubles à la
mode dans ce que \ ou s
avez de plus beau et de
plus solide.
Monsieur, vous trou-
verez ici tout ce qu il
vous faudra d'acajou ,
d'ébène, de rose etc .
le tout dans le dernier
goût et de la plus gran*
m
Bir daïré deuchdédjé-
guim kirailé bazy écbya
istérim.
Aghyr taqym my istér-
siniz yokhsa djéviz vé mi-
che aghadjidan vé ya-
khod boyalou agliadjdan
mésnou adi chéylérmi.
Bén édjnébi bir adémim
éguér bou mémlékéldë
bir mouddét iqamét
idédjéq olourisém mo*
da olaraq sizdé boulou-
nan en àla vé muhkém
échyadén alourym.
Ëféndim maon vé a-
banoz végulaghadjyndan
mésnou név idjad vé muh-
kém olmaq ouzré sizé
hérné ki lazy m isé bounda
boulounour béguéndi^ui-
— la»
de solidité; vous n'au-
rez que rembarras du
choix.
Je ne veux pour le
pfésent que ce qu'il y
a de plus simple, et ce
qui est indispensable-
ment nécessaire pour
meubler un apparte-
ment quon n'habite
que momentanément.
Je n'ai besoin que de
deux lits, une table à
manger, un secrétaire,
une garniture de salon
en fauteuils et en chai-
ses, deux glaces et quel*
ques autres petits meu-
bles.
dll* ^jCxS^
Quelle dimension doi-
vent avoir les glaces ?
Je n'en sais rien ; j'ai
oublié de prendre la
mesure.
•
nizi alyn.
M
Chimdiliq aladjaghym
échya adi oloub mouvaq-
qétén iqamét idén adé-
mé elzém olan nésnéler-*
dén ibaretdir.
Bana lazym olan iki a-
det yataq vé bir adet
taam soufrasy vé bir adét
yazy khané vé soufayé
qonoulmak ouzré bir ta-
qym qollouqlou vé qol-
touqsouz sandalyé vé i-
ki adét aviné vé saïr ba-
zy oufaq téfèq écbyadyr.
Ayînéléryn beuyeuk-
lougu né qadar oladjaq*
dyr.
Né qadar oladjaghyny
biléméorvm eultchou-
stinu almagha ounout-
Cela ne fait rien, je
\ais aller la prendre, je
verrai la disposition de
votre appartement, et
je mettrai à part les
meubles qui pourront
nous convenir.
Allons nous- en ensem-
ble; demain je revien-
drai pour 6nir notre
marché.
Béis yoq bén guélir
eultchouyeu alyrym vé
daïrénizi gueurour sîzè
minasip olan échyayi
ayiryrym.
Ëvé birlikdé guidélim
vé yf^ryn yiné bouraya
guélur bazarlyghy bitiri-
rim.
Av^c le cordbnier et le
tailleur.
Apporlez-moi mes
souliers et mes bottes ?
Oui , Monsieur , es-
sayez-les s il vous plaît.
Je commencerai par
les bottes.
Elles sont bien étroites
Ne craignez rien; l'en-
trée est juste, afin qu el-
les vous tiennent bien à
la jambe ; mais le pied
ne vous blessera pas. I
)^dijj^y^
M
Qoundouradjy vé térzi ilé
olan mukialémé.
Qoundouralarymilédjiz-
mélérimi guéturdinmi»
Evvet éféndim istêrsé-
niz kiyin tédjroubé idin.
Ibtida djizméléré ba-
qalym.
Bounlar pék tar.
Zarary yoq ahymy
tybqy tybqyna yapyl-
mychdyr ki éyou tour-
■
soun, qorqmayin aya*-
ghynyzy ourmaz.
iOOO
EffecUvement y oUes ^,JàA'/f^yyi\j
vont très-bien. J^J^y}
Essayons maintenant ^j oj jC^i ,^Jtc-
les souliers. Jl*a,^4)^
Ils sont trop-larges, j^ j^ j .jj;^ «>
Vous savez que des
souliers fortsf ne peu-
vent pas être aussi jus*
te que des escarpins.
Cela est vrai, mais ils
peuvent être plus étroits
du talon.parcequ'ils s*é*
iargissent assez à l'u-
sage.
Il faudra que voua
m'en fassiez une autre
paire.
Prenez ma mesure.
Ah 1 voilà le tailleur
qui arrive.
Mon habit est-il prêt?
Non, Monsieur, par-
ce que j'ai été obligé de
faire délustrer le drap ;
m
. -7 • »
^ .
• t:.
Yaqaa bou djizmélér
bana éyu olouyor.
Chimdi qoundouralary
tédjroubé idélim.
Bou qoundouralar pék
bol.
Malumunuzdurki qalyn
qoundouralar indjé qoun-
douralar guibi tybqy tyb-
qyna olamez.
Euyilédir lakin euk-
djéléri biraz daha tar olr
malyidi tcfaunki guiyil-
diqdjé tabiyéty ilé a-
tchouloub bollanyr.
Bana bir bachqa tchift
yapmalysyn. ^ ,
Eultchoumu al.
Ichté térzidé guéldi.
Roubam hazyrmy.
Khair éfendim, tcho-
qayi ouluyé virmék la-^
zym guéldi lakin séttinl^
~ W6 —
mais voici votre redin-
gote.
Je vais Fessayer pour
voir si elle me va bien.
U me semble que la
taille est bien longue.
Monsieur,c'est la mo*
de ; on ne fait pas les
redingotes autrement.
Les épaulettes font
de faux plis, et les man-
ches sont trop courtes
et trop étroites.
Je peux y remédier ;
j^ai laissé du rempli.
Je vais remporter vo-
tre redingote , et je la
rapporterai sans faute
demain avec votre ha-
bit.
Soyez exact ; je com«
pte sur vous.
r^^.
Ayez soin surtout que
les boutonnières soient ^jli.lj^j.'S^jj
bien faites, et que les | ^ j^^
zi gtiéturdim,
Sétriyi guîyéyim baqa-
lym éyou olmouchmou.
Boyou ziyadédjé ou«
zoun guibi guéliyor.
Éféndim chimdi mo-
da boudour sétriléri
beuïlé yapyorlar.
Omouz bachlary pot-
lanyor vé yénléri hém
qyssa vé hém tar.
Bounonn tcbàirési var
itchiné fazia braqdym.
Sétriyi bérabér gueu-
turub yaryn hérhaldé
roubanyz ilé bérabér gué
tururym.
Seuzundé tour guétir^
mémézliq itmé séndén
bilurym.
Ilikléri éyou olsoun vé
dougméléri vé astary v4^
. djibléri éyou dikilsun.
boutons, la doublure et
les poches soieot bien
cousus.
Depuis quelque temps
vous m' habillez fort
mal.
Je vous eogage à mieux
faire à l'avenir, sinon je
vous oterai ma pralique
Je ferai tous mes ef-
forts pour vous conten-
ter.
Je vous donnerai ,
quand voua viendrez,
la redingote que j'ai sur
moi pour la retourner
à la place des boutons
en soie qui s'y trouvent,
vous en mettrez d'au-
tres en métal.
Croyez-vous qu'elle
en vaille la peine.
Oui, MoQsieur, elle est
encore très-bonne.
LilSr;jX»jjl/ Biraz vaqytdyr bana
tll- }*-!> -''j>l ''^"^ ésvab yapyorsoun.
Boundan beuïlé éyou
ésvab yapmalyàyn yokli-
sa séni lérk idérim.
Sizi khochnout itmék
itclioun élimdén guélén
ea! ou ghaïrétdé qousour
itmém-
Sertyradakî sétriyi
guéldiguin vaqt viréyim
ttchini dychyna tchévrr
vé uzérindé clan ipék
dugméléri tchyqaroub
yériné madén dugmé qo
Bou sétrinin-oralara ta-
hamulu varmy.
Evvet éféndim daha yé-
nidir.
>vw
Avec la Blanchisseuse. ^}ji)\i jr:^U<
Monsieur, la maîtres-
se de rhôtel vient de me
dire que vous aviez
du linge à blanchir.
Cela est vrai, vous ve
nez fort à propos, car je
n'ai plus qu'une chemi*
se blanche et toutes mes
cravates sont sales.
n faudra que vous ne
soyez pas long-temps à
me rendre mon linge,
a6n que je ne sois psts
au dépourvu.
Ne vous inquiétez pas,
vous serez servi prom-
ptement .
Passez dans ma cham-
bre à coucher, vous y
trouverez le tout dans
un paquet sur la pre-
mière chaise en entrant.
>^-^^^
^l. d^i J.%'
Tchamachyrdjy qary ilé
olounan mukialémé.
£féndim loqantadjy qa-
ry seuïlédiki tchamachy-
rynyz yéyqanadjaghy-
myche.
Béli tamam vaqt^nda
guéldin tchounki bir bé-
yaz gumlékdén bechqa
tchamachyrym qalmady
boyoun baghlarym dakhi
héb kirlidir.
Tchamacbyrlarymy pék
ouzatmayoub*guéturésin
ki tchamacbyrsyz qal-
maym.
Télach itméyin tcha-
pyk guétururym.
Yataq otama guir tcha*
machyrlarymyn djumlé-
si guirérkén ilk sandalyé^
nin ouzérindé baghly
tourouyor.birér birér sai
269 —
el vous vérifierez si le
œmpte est exact
Monsieur, j'ai trouvé
le compte juste, et cha-
que pièce est marquée.
Que cela soit bien
blanchi, bien savoné, et
les chemises coulée à la
lessive.
Vous pouvez en être
sûr je ne fais jamais au-
trement , vous serez
satisfait comme mes au-
tres pratiques.
Vous plisserez mes
chemises*
Ne mettez point d*em-
pois à mes gilets, seule-
ment repassez-lés.
Vous aurez votre lin-
ge dans trois jours.
Vous chargerez-vous
de raccommoder les bas
et de faire des reprises?
I baq pouftoulayé muta^
byqmy.
Êféndim hisab témam*
dyr hér birinin ouzérindé
marqasy dakhi var
Bounlary saboun lié
éyou yayqavégumlékléri
kullu Soudan guétchur.
Siz rahat oloun bén
daïma euilé yaparym
saïr muchtériiérim gui-
bi sizdé khochnoud o-
loùrsounouz.
t
I
Gumléklérimi qola it
Yéléklérimi qola itmé«
yub feqat utulé.
Outche guné qadar
tchamachyrlarynyzy a-
lursynyz'
Tchorablarymy tamir
idoub duzéldirmisinis.
V
— 270 -
Eh bien ! vous ferez
ce qui sera nécessaire à
mon linge, et je n aurai
affaire qu à vous.
• -
Bou seurétdé tchama-
chyrlarynaa hér né ki îq-
tiza idérisé yap hébsini
séndén bilourym.
j4vec un marchand de
draperies et de soieries.
Monsieur, je désirais
voir du drap pour me
faire une redingote.
Voici des échantillons
de draps fins ; vous n a<
vez qu à choisir.
Voudriez, vous un drap
de couleur mêlée ?
Non, je préfèrv^ une
couleur unie.
Voilà un drap qui est
fort à la mode.
Montrez-moi la pièce.
La voici, je vais vous
la déployer; il est im-
posable de voir un plus
^'Çjj ^'^^"7
>AJ:il^l.:.
^j^T
00.1
w
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«
A3
\- • V
Tchoqadjy véipéké mutaa^
liq éqméché firoukht idén
tohafdjy ilé olan mukia^
lémé
Êféndim bir sétri yap-
dyradjaghym biraz Icho-
qa almaq istérim.
Ichté indjé tchoqala-
ryn noumounéléri îsté-
diguinizi béguénin.
Mésku istérmisiniz.
Khaîr duz yek rénk
tchoqa olsa éyou oloun
Ichté sizé bir moda
tchoqa*
Pastafyna baqaym.
Pastafy boudouratcha*
ymda gueurun, bôundan
àla tchoqa boulounmaz^
— 7641
beau drap ; examinez la
trame et la chaîne; quel-
le solidité.
Est-il teint en laine *
ou bien en tissu ?
Vous le conqaitrez en
regardant à la lisière.
Je crains que la cou-
leur ne soit pas durable
Soyez sûr qu elle ne
passera pas, je vous en
réponds.
Il me semble que le
drap a beaucoup d'ap-
prêt et qu'il sera gros
grand il sera délustré.
Combien me faut- il
d'aunes pour une redin-
gote?
Il vous en faudra
deux?
Combien vendez -
vous l'aune ?
Quarante cinq francs.
"•l * i. - -
^^J*j Ai^J V^JÎ larghadjyna vé érichiné
baqyn nasy 1 qa vidir.
Yundén boyamamydyf
yokhsa sonradanmy.
Kénaryna baqsany2
aniarsynyz.
Qorqarym ki réngui
atmaspun.
Réngui bozoulmaya-
djaghyné taahud idérim
vesvésé itméin.
Bou tchoqayi tchoq
pérdah itmichlér zan i-
dérim éguér sou utusuné
virilur isé qabal'achur.
Bana bir sétrilik itchun
qatch archoun lazymdyr.
Sizé iki archoun lazym.
Àrchounyny qatchà
viriorsounouz«
»7Z —
Cest fort cher ; trai^
tez-moi plus favorable-
ment, si vous voulez
que je donne ma pra-
tique, et dites moi le
dernier prix.
Je n aime pas à mar-
chander ; je vous ai dis
le prix au juste; je vends
toujours à prix fixe, c'est
le moyen de mériter la
confiance.
Ainsi, vous ne voulez
rien abattre
Je me contente d'un
bénéfice si faible , qu'il
m'est impossible de di-
minuer la moindre cho-
se.
J'aurais besoin de Ca-
simir pour me faire un
pantalon.
En voici un qui vous
Pek pahalu éguér
muchtéri olmamy istér-
sén éhvéndjé vir, vé son
bahasyny seuïlé.
H, j.*M \ék^^ fKM èt0,^t* \
Pazarlyq itmésini sév-
mém sizé doghrou ba-
hasyny seuïlédim béndé
fiyat mouqarrérdir much*
tériléré émniyét péïda
itdirmék Itchoun andjaq
beuïlé bir fiyat ouzré sat-
maq ilé olour.
Bou sourétdé achaghy
virmésun.
Olqadar az tidjarété
qaïl olouroum ki djouzi
bir chéy bile ténzilé
mumkun déguildir.
Bana bir pantalonlouq
qazmir lazym.
Ichté sizé minasib bir
273
conviendra bien ; c'est
ce qu il y a de plus à la
mode.
Dans ce cas, coupez
ce qu'il faut.
Donnez-moi aussi de
la toile, du coton et tout
ce qui est nécessaire
pour la doublure et les
poches.
r Ne vous faut-il rien
de plus?
Je puis vous fournir
tout ce dont vous au-
rez besoin, satin, taffe-
tas, basin et soieries de
de toute espèce ; je suis
bien assorti dans tout
ce qui concerne cette
partie*
Je n'ai pas besoin
d'autre chose pour le
moment ;' voici mon a-
dresse ; vous voudrez
bien envoyer le paquet
avec la facture quittan-
dour.
^^ja* ll^>ôl»/ q^zniir en modasy bou-
Euïlé isé iqtiza idén
qadar kés.
Astary vé djibléri î-
tchoun panbouq bézi vé
daha saïr né lazym isë
vir,
Bachqa bir chey lazym
déguilmi.
Atlas vé djanfés vé
bazé vé ipékli qoumach-
lara mutaaliq hér néki
lazim olourisé bounlarya
hér dourlusu béndé var,
virébilurym.
Chimdilik bachqa ché-
yé ihliyadjm yob ismi-
min pousoulasjny al, al-
dyghym chéyléri bir
boghtcha yapyp hîsab
défdéri ilé bérabér çpusbKr
27*
cée de ce que je vous
dois ; je paierai au por-
teur.
Ao( ojy^j'i^ j dér, guéturén adémé aq-
I
^jj3 l4-^' "Jéy^ viririm-
Avec un chapelier.
Jai besoin d'un cha-
peau*
Désirez-vous un cha-
peau à trois cornes?
Non, je voudrais un
chapeau rond.
En voici qui sont très-
fins et à la modèles uns
à longs poiles, et les
autres unis.
Vous pouvez essayer
celui-ci , il me sem-
ble qu'il vous convien-
dra.
Chapqadjyiléolounan mu-
kialémé
Bana bir chapqa lazym.
Outche keuchéli istér-
• • •
Les bords sont trop jJfS' d, ^Jjè'
larges.
On les porte comme
pela actuellement.,
ï^a forme est trop
JjJi-^.JÎ'^i-^^
^-J^.^^
mismiz*
Khaifr youvarlaq istè-
rim.
Ichté sizé àla vé név
idjad bir taqym chapqa-
larbazylary touyiu ba-
zylary duz.
Chou chapqayi guiyiq
sizé éyou guélir zan idé-
rim.
Kénarlary pek gué-
niche.
Chimdî beuîlé guiyé-
yorlar.
Késimi pek ku(chpuk
— 275 —
petite, elle me serre
trop
En voici un de la
même qudlité; la forme
est plus large ; il vous
coiffera très-bien.
En effet il va bien ;
quel en est le prix ?
Vingt-cinq francs.
Vous m'y mettrez
un crêpe, parceque je
suis en deuil.
Le crêpe le mettra
bien au dessous de son
juste prix, mais je n'y
regarderai piisi de si
près.
Vous ferez attention à
ce qu'il soit bien bordé.
Oui, Monsieur, on va
y mettre la coiffe, et on
vous le portera demain
matin.
Je compte sur vous;
je donnerai en même
temps le chapeau que
j'ai sur la tête, pour que
vous le fassiez nettoyer.
Jl^jài^^^^ bachymy syqs^yor.
^^jyy^jy
01 djinsdén olaraq
bachqasyny viréim, bou
boldjadyr bachynyza é-.
you guélédjék
Boa éyou, bahasy né-
dir.
Yirmi béch franqadyr.
Matémim ôldoughyn*
dan ouzériné bir partcha
burundjuk guétchir,
Burundjuk qonoursa
chapqanyn babasy déyé-
rindén pek achaghy ol*
mouche olour lakin oqa-
daryna baqmam.
Itchinin qoumachy éyou
olmasyné dyqqet éylé.
Bâche ustuné éféndim
itchinin qoumachyny ya-
par yaryn érkén gueun-
déririm.
Séni gueuréyim bachym-
daki chapqayi dakhi lé-«
mizlétmék ouzrè viririiï\.^
276 —
Avec un marchant
de bas.
Combien vendez vous
les bas de soie ?
Monsieur, j'en ai ici
dedifférens prix, je vais
vous en montrer vous
choisirez.
Quel est le prix de
ceux-ci ?
Quinze francs*
C'est trop cher.
Examinez-les bien ,
ils sont pesans et trës-^
beaux.
Je Tavoue ; mais je
crois que cela ne doit
pas valoir douze francs.
Je ne vous surfais
pas.
Si vous voulez m'en
donner trois paires pou r
quarante francs, je les
prendrai.
Vous profitez de c«
¥
Tchorabdjy ilé olounan
mukialimé
Ipék tchorablary nasyl
viriorsoun.
Éféndim hér [^fîyatda
var sizé gueustéréyim
qanghysyny istérséniz
alyn.
Chounlaryn bahalary
katch dyr.
On bêche franqa dyr.
Pek babalou.
Bir éyou baqyn aghyr
vé pek guzel dir.
Evvet euïlé dir; lakin on
iki franq dégméz zan
idérim.
Sizdén ziyadé istémé-
dim.
Éguér utche tchiftini
qyrq franqa virirsén alu-
rym.
^jjj;J\ [ Alyche virîche olma-
— JCéi —
ne gagnerai rien avec
vous; j'espère que vous
viendrez me voir une
autre fois.
Je n y manquerai pas
et si je suis satisfait, je
vous procurerai même
dautres pratiques.
Je vous en serai très-
obligé.
que la vente va mal, je j ôj^^ o JC^i-^ij'
dyghyndan éhvén du-
churdunuz bou akhz ou
itadé hitche kiarym yoq
yiné bourayé oughrarsy-
nyz mémoul idérim.
Evvet yiné guélurym
vé kbochnoud olourisém
sizé saîr muchtérilér da-
khi tédarik idérim.
Mémnoun idersiniz*
j^vec un horloger.
Je vous apporte une
montre à racommoder.
11 faut que je la dé-
monte pour savoir ce
qu il y a à faire.
Je crains que le grand
ressort ne soit cassé ,
parce que m'étant tom-
bée des mainâ en la
montant , elle s est ar-
rêtée aussilot.
U Saatdjy ilé olounan mtx-
kialémé.
L*-3 1~ -^^ -- ^
^) j^.>^\.*^yo' - ^'^^ ^^^ ^^^^ guétur-
^ -^ '/^ dym bozoughounou ya-
>^^ h <^^y. padjaqsynyz.
Seukmédikdjé né ya-
^4j!^l^i>- 4l-l» pyladjaghyny anlaya-
mam.
À» *»i-JÀSLy>'
Qorqarym zénbérégui
qyrylmasoun zira qou-
rarkén duchurdum aqy-
bindé tourdou.
I
— «78 —
Le gratid ressort est
^n entier sur le baril-
let j le mouvement n'est
pas dérangé , il n*y a
que le balancier qui est
courbé.
11 n'y a point de dent
cassée, les aiguilles ont
un peu souffert, il fau-
dra les redresser,
Je vais me mettre à
racommoder cela de
suite , et vous Faurez
ce soir.
Je ne crois pas que
vous puissiez la racom-
moder en s! peu de
temps ; car tantôt elle
avance, tantôt elle re-
tarde.
Dans ce cas, je serai
obligé de la garder
quelques jours.
Je vous serai obligé
•de m'en prêter, en at-
tendant* une qui aille
J^S j\j I^ÀJ JVC
Zéilbérék varélih oti»-*
tundé tourouyor ^alàté
khalél guélmémiche ya-
lynyz raqqassy éguil-
roiche.
Hitche bir qyryCj dîche
yoq aqrébilë yëlqovaii
biraz bozoulmoucbe an-
lëri duzéltméli.
Ghimdi bachlarym du-»
zéltmégué bou akbcham
ialoursynyz.
Âz vaqyt zarfytida du«
zeltmënizi mémoul it-
mém, tchunki saat kiah
ilërouléyor kiah guirou
qaliyor.
Bou soiirétdé saat bir
qatche gun béndé qalma-
ly dyr.
Saatymy alyûdjaya
qadar ariyétén bana bir
éyou guider saat virméli-
— 279 —
bien, pour que je puisk I
se savoir Theure.
Ou plutôt, je vou-
drais acheter une mon-
tre à répétition; si vous
en avez une, je la pren-
drai à Tassai pendant ce
temps-là.
En voilà une dont le
timbre est très-bien, et
elle marque les jours
de la semaine et la da-
te du moiSi elle est
parfaitement réglée; je
vous la garantis excel*
lente.
Vous avez là de belles
pendules, il m'en fau-
drait une.
Vous n'avez qu'à
choisir, il y en a de tous
les goûts.
Je verrai cela quand
je reviendrai chercher
ma montre.
Gomme il vous plaire.
fi^j^3 siniz ki vaqty biléyim.
Yakhot bir tchalar saat
almaq istérim éguér sizin
varisé bir dané vir ol
vaqta qadar tédjroubé i-
déyim'
Ichté sizé sési guzél
bir^saat ki hafdanyn gun-
lérini ve ayin qatchy ol-
doughounou dakbigueus-
térir vé ayyary^yérindé-
dir, bou saatyn àla ol-
doughouna kéfilim.
Sizdé éyou otourtma
saatlarda var anlérdén
bana bir dané lazym.
Hér durlusu var isté-
diguinizi alyd.
Saatymy almagha guél-
digu^n vaqyt baqarym.
j^jjk:
,j^
, S\L\s\xst^^\cyi-.
%^
— 280 —
j4vec le médecin, le chi-
rurgien et le dentiste.
Gomment avez-vous
passé la nuit ?
Fort mal, j'ai eu une
fièvre violente, et je me
sens à présent très-fai-
ble.
Vous avez mauvais
visage.
Voyons votre lan-
gue.
Elle est bien chargée.
Votre pouls est a-
gilé.
Vous avez bien be-
soin d'être purgé.
Je crains beaucoup
les médecines.
Je vous en donnerai
une très-douce; vous la
prendrez demain matin,
et vous boirez beaucoup
jusqu'à ce qu elle ait fait
^n effet.
13
Hékim vé djérrah vé dich-
dji lié olounan mukialémé.
^3f^^*"^
•j
i^j^. / J^
V •
Guidjé naaylydynyz-
Pek féna chédid baré-
rétim varydy chimdi ziya-
dédjé zaafym var.
Benziniz bozouq.
Dilinizé baqayim.
Diliniz kirlidir.
Nabzynyz suratlydyr*
Bir mushilé mubtadj^
synyz.
Moualidjedén pek qor-
qarym.
Sizé bir tatlou iladje
viririm, bou iladjy yaryn
sabah itchérsiniz vé idj-
rasy oloundjaya qadar
tchoq sou itchin»
1 •
281 —
Quelle boisson m'or-
donnez-vous ?
Du bouillon aux ber-
bes.
Âujourd'bui , vous
observerez une diète
absolue.
Gela ne me sera pas
difficile; je n ai pasd'ap*
petit, je suis dégoûté
de tout.
Voici l'ordonnance du
médecin; vous l'enver-
rez chez l'apothicaire »
afin qu'il la remplisse.
Il serait bon aussi de
vous mettre un vésica-
toire,et peut-être même
un cautère . au bras;
car vous avez beau-
coup d'humeur.
Faites demander vo-
tre chirurgien ; il vous
mettra Fun ou l'autre,
à votre choix.
Je reviendrai vous
i
voir.
* «
'.^^[
Né itchévim.
Sébzé qarychyq et
souyou.
Bou gun kiamilén pér*
hiz itmélisiniz.
Pérhizdén zahmét
tchékmém zira ichtiham
yoq hér bir chéydén is-
tikrah guéliyor.
Ichté rétchéta éza-
<^jîyâ gundéroub yapdy-
ryn*
Qolounouza bir péh«*
livan yaqysy vé bélki
nohoud yaqysyda atchsa-
nyz éyou olour zira akh-
latynyz tchogbalmycbe«
Djérrahy guétourdyn
qanghy yaqiyi istérséniz
atchsoun.
Yiné guélour sizi gueu*
284 —
J ai mal aux dents.
Vous avez probable-
ment quelque dent
mauvaise.
Vous avez une dent
gâtée qu il faut arra
cher, et une dent creu-
se qu'il faut plomber.
Je ne puis m'y déci-
der, cela fait trop de
mal.
Votre dent est abso-
lement cariée ; si vous
la laissez elle gâtera les
autres.
Dans ce cas , arra-
cbez-là.
Je vous nétoirai aus-
si la bouche ; et vous
aurez soin de l'entrete-
nir propre pour conser-
ver Téniail des dents ;
je vous donnerai un
opiat pour rafiFermir les
gencives.
Dichlérîm aghryyor.
Bir qatch dané bezouq
olmaly.
Tchuruk bir dichiniz
var any tchékméli, birdé
qovouq dichiniz var i-
tchiné qourchoun tol-
dourmaly.
Tchékdirméguî bir dur-
lu gueuzumé késdîré-
mém tchoq adjytyr.
Dichiniz busbuton tchu-
rumuche éguér euîlé by«-
raghyrsanyz ô bîrlériné
dakhi sirayét idér.
Bou sourétdé tchékin.
Dichlérinizi dakhi témiz-
léim vé dichlérin syrtcha-
sy bozoulmamaq itchun
témiz toutmalysynyz, vé
diche étlérini qouvvétlén-
diridji bir madjoun da-
khi virédjéguim.
— 285 -
ie vous remercie, je
préfère le moyen le plos
simple, qui est de se rin«
cer la bouche avec de
Feau, ou un peu d'eau*
de -vie.
Mukérrém oloun. daha
qolayi var sou ilé yakhod
birazaraqiléaghyzy yaï-
qarym.
j4vec un banquier.
Monsieur, jesuis por-
teur d'une lettre de
change tirée sur vous
par votre correspon-
dant de Londres; je
viens vous la présenter
pour en recevoir le
montant
Je vais vous la pa-
yer sur-le-champs en
billets de banque*
Pourriez-vous m'en
compter une partie en
or? je vous tiendrai
compte de l'agio.
Voici deux billets de
ùU^» 4>\ vil
«dix»
-.1 *
•-)JJ* Ô^J^ ib*
r - •
Sam filé olounan mukia-
lémé.
Ëféndim bou londrada
olan adaminiz sizin ou«
zérinizé tchékdigui bir
qyta politchésidir aqdjési
tarafymyza téslim olou-
nadjaq.
. u
" 4 -^*
Chimdi sizé banqa év-
raqy olmaq ouzré téé-
diyé idérim.
Bir miqdaryny alloun
olaraq virébilurmysiniz,
aqdjébachy néiséviririm
— «86 —
banque de cinq cent
francs, vingt pièces d*or,
et lappoint en écus de
cinq Irancs, en mon-
nai blanche ou de cui*
vre; voyez si vous trou-
vez votre compte ; j'ai
retenu pour l'agio et
pour le saa
Le compte est juste;
j'ai quelque doute sur
la bonté de ces deux
pièces d'or; l'empreinte
de Tune est presque ef*
Êicée, l'autre parait être
rognée; et en juger par
la couleur, on diriat
qu'elle est fausse , et
qu'elle contient beau**'
coup d'alliage.
N'avez-vous pas un
trébuchet? nous allons
la peser.
Il y manque cinq
grains.
franqlyq iki qyta banqa
évraqy ilé yirmi addét al-
toun qousourouda birazy
béch franqlyq béyaz aq-
djé vé birazy dakbi gu-
muche vé baqyr ou&q
téfék dir aqdjé bachy ilé
torba parasyny aiyqo-
doum, baqyn hisab ta-
mammy,
Hisab tamamdyr an*
djaq chou iki altounda
chubhémvar^hélébinmn
sikkési busbutun bozoul-
mouche o biridé késik vé
rénguiné bakyloursa qalb
olmaly, vé ghillou gbicbi
tchoq gueurunuyor.
Véznéniz yoqmou
chou altounou tartalym.
Bêche boughdaï noqsa*
ny var.
— 887
Cdâ est étonnant; •!• {
k n'est pourtant pas ro*
gnée, l6 cordon est bien
eoaaërtéi»
Easayorn^la à Teau-
forte.
Elle est dor pur.
Je TOUS en donnerai
une autre, si tous vou-
lez.
J'ai dans mon porte-
feuille itne autre lettre
de change de votre cor-
respondant de Londrei,
payable à quinze jours
de vue ; vous plait-il de
Tacceptc^ T
Je ne puis pas le iai-^
re je n ai pas encore re*
çu d'avis.
Je serai obligé de fai-
re un protêt*
Je vous prie de dif ^
Éérer quelques jours;
di-.r
^
LE
-H^j^y^
Adjalb chéy késik dé^
guii tyrtyly yérindé.
Tiaaba qoyalym.
Ayary khalîs.
Istérsénia bir bacbqa-
syny viréim*
Londradaki adéminiz
tarafyndan olaraq dou-
khoulindén on bêche gun
vadé ilé djuzdanymda
diguér bir politché var
qabotti idérmisiniz*
Bouna daïr bîr chéy
yazylmamydie oldou-«
khoundan qaboul idé*
iiiétti.
Boo sourétdé protés«
to itiHégoé médjbour o-
hdjaghym.
Ridja idérim proteste
madé%inik W ^s^sâc^ ^^gs»^
288*
j'attends incessament
une lettre de nion cor-
respondant.
J'attendrai, pour lui
épargner Je désagrément
d'un protêt
Vous ne risquez rien;
il est très-bon.
Je le sais bien , nous
faisons beaucoup d'af-
faires ensemble.
Quand j'aurai reçu
4'avis de la traite, je
pourrai même vous la
payer sur le champs si
vous le désirez, sans la
xetenue de l'escompte.
J'en recevrai avec
plaisir le montant en
.une traite sur Bordeaux,
à trente jours, au cours
de la place
"••-\
, , - A. ^^ » •• I ^ ^
I
téékhir îdin adémimdén
<|aribén -œéktoub zou-
hourinô muntazyrym
Pek éyou protéstodan
kèndisini khélas itmék
itchun bir katche gun
béklérim.
Sizé gueuré bounda
téhliké yoq, zira saghiam
adémdir
Bilurym haddabirva-
qyt anynla tchoq alycbe
viriche itdiguimiz vardyr*
Politchénin khabérini
aldyghymda vadési khou-
louliné baqmaqsyzyn is-
qontosuzdja sizé virébi-
lurym.
Politchénin bédélini o*
touz bir gun Vadé ilé
bordo chéhrindé téédiyi
olounmaq uzré chimdiki
fiyat mudjibîndjé bir qy-
ta politché olaraq virir-
séniz mémnouu clou-
roum.
«59 —
Nous nous arrange-
rons facilement sous ce
rapport.
Vous n*avez qu'a re-
venir dans quatre ou
cinq jours.
Je n'y manquerai pas.
Pour acheter des livres. '. y^à'.^A ^' .LM^^S^
Monsieur, je désirais
acheter quelques ou-
vrages.
Dans quel genre?
Voulez-vous des ouvra-
ges de sciences, de poé-
sie ou de littérature ?
Je vous prierai de
me faire voir les ouv-
rages de poésie et de
littérature les plus
nouveaux en anglais.
Voici, Monsieur, le
catalogue des livres
nouvellement arrivés
d'Angleterre, avec leur
JK.
\
Bou kbousousdé stzin^
lé ouzlachyrouz.
Siz deurt bêche guné
qadar bir daha bouraya
oughrayn.
Bâche ustuné.
Kutub .mubayasyna daïr
tnukialémë.
Ëféndim bir qalche ki«
tab almaq istérim.
Né durlu kitab istér-
siniz ouloumé yokhsa
chiir ou inchaye daïrmi*
Kérém idin inguiltéra-
da chiir ou inchayé mu-
taalik en yéni téznif o-
lounan kitabléri gueusté-
rin.
Ichtè éféndim inguil-
téradan yéni guélén ki«
tablaryn défdéri fiyaty ilé
bérabér khoohlandyghx*
mwyL —
pm; tous marquerez
les article» qui vous fe-
ronf plaisir, et on vous
les apportera.
^e vois beaucoup
d'ouvrages de luiie dont
le prix est fort él^vé.
Voici, Monsieur , les
ouvragés que vous avez
demandés*
Quel est le juste prix
de ces ouvrages ?
Monsieur, le prix est
tel quil est marqué
« - * f
». 4 .
dans le catalogue; je
vends à prix fix, et je
ne fait jamais marchant
4er«
C'est bieQ eber.
Remarquez , Mon
sieur , que le premier
est magniSquement re*'
lié, doré sur tratlches^
que l'impression est su-
périeurement exécytéj^
Les deux autres ou-
jj; JlLi
'il
ny« ■ icîi«bl«rj iehArét
idii» gi}4)liirélii». :
Bahalary yuk»ék oIa«>
raq bir taqym muzéyén
kitablér gueuruoroum
bounda.
Icbté éféndim istédi*
guiniz kitablar.
Bou kit^bUr^n sabih
fiyaly né dir.
Éféndim fiyaty déf.
térdé mouqaîyét otonyn
ayny dyr fiyaty m bir dit
vé^sla bazarlyq itmém.
Pek bahaloq.
Eféndim dikkét bouyou-
rounilk kitabyn djildi pek
mukélléCdir, v^ kéqary
yaldyzly» vé basoiasy da-
kbi pek ^ladyr,
bir iki khab édjndyr
— wn —
vrayet iont ]>roqb^;
mai» iU rtnferm^t un
grand nombre de plan-
ches et de superbes gre*
vures.
Ces ouvrages ont-ils
r
été bien coUationnés?
Rien n'est plus dé^
sagréable que d'avoir
des ouvrages impar-
faits.
Ne pourre2*vous pas
vous charger de me fai-
re relier une de ces bro-
chures , et cartonner
l'autre ?
Je le ferai volontiers.
Voulez-vous une re-
liure en basane ou en
veau?
Vous pouvez être sûr
que ce sera bien condi-
tionné.
Quand cela serat-il
prêt?
Vous serez obligé
d attendre huit jours.
^.J.^^^^3^\J>:\
:fi^.j>)i^f\f^
iakîn itchihdé peb tchok
échkiûi vé nétiz résimlér
vardyr.
3ou kitablar mouqa-
bélé olounmouchmou*
dour.noqsan kitab almaq
guibi féna chéy olmaz*
Édjza olanlérin birini
djil guétchirdub ol birinë
mouqavva olaraq djiltlét*
dirménis mumkinmidir.
Bacbe ustuné yapdy rayim
Djildi sakhtiyandancûy
yokhsa keusélédénmj is-
• • ft
térmisims.
Vésvésé iLviéin t>dc
rabytaly okm? •
Né vaqt hazyr olour.
Sékiz gun qadar bék^
^ll^il I téménix iqtiizà idi^t .
Vous Tondrez bien
m^envoyer le tout avec
la facture de ce que je
vous devrai ; je payerai
au porteur.
Je vais vous laisser
mon adressé.
J'espère que vous ne
m'oublierez pas.
Vous pouvez y comp-
ter.
Kitablar ilè bérabér pou*
soûl asy ny gueundérin
pousoulayi guéturén a-
démé aqdjésini viréim.
Ismimin pousoulasyny
dakhi sizé braqaym.
Mémoulidérimki bizi kha-
tyrdan tchyqarmasynyz.
Mustérih oloun.
Pour écrire une lettre.
Quel jours la pos-
te part-elle pour Bor-
deaux ?
Tous les jours. ^
Je crois qu'elle part
aujourd'hui.
Donnez-moi une plu-
me , de l'encre et du
papier.
Passez dans mon cabi-
net, vous trouverez
tout ce qu'il feut.
j\^^^^s^ySj>. iMéktoub tahririné dair
mukialémé.
Bordo postasy qanghy
gun tchyipr.
Hér gun posta vardyn
Zan idérim bou gun
tchyqar.
Bir qalémlé biraz mu-
rékkéb vé kiaghyt vir,
Yazou odama guir hér
né lazym isé andé vardyr »
Tpulez^Yous du pa-
pier à lettre ? eo voili.
Vos plumes ne sont
pas taillées à ma main,
elles sont ou trop fines
ou trop grosses..
Voilà mon canif et
d'autres plumes qui ne
sont pas taillées.
Vous pouvez pren-
dre de Fancre dans la
bouteille , si celle qui
est dans Fencrier est
trop épaisse.
Vous trouverez dans
le tiroir des pains à ca-
che ter, de la cire d'Es-
pagne et de la poudre
d'or.
Vous n avez pas de
temps à perdre, si vous
voulez afiranchir votre
lettre.
il est bientôt midi.
Je n'ai que deux
mota à écrire.
Posta kiagbydy istér-
misiniz iclité aiyn.
Yontdoughounouz qa-
lémlér éliiné ouymayor
kimi pek indjé kimi pek
qalyn
Ichté sizé qalémtrache
ilé yontoulmamyche qa-
lémlér.
Éguér hoqqanyn mu-
rêkkébi qatyisé chiche-
dén murékkéb alyn.
•■i^^ldj***^ Tchékmédjéminitchin-
vjy] 5 jr^.^^-jj^ I dé poul vé meuhur mo-
^j^h 4j I '"^^ ^^ ^*^^"" ""^ ^^"^^
dyr ^ly n,
Éguér méktoubounou-
zyn posta parasyny
viroubdé euïlé gundéré-
djék iséniz héman vaqyt
guétchurméin.
Euilé yaqyndyr.
Yazadjaghym chéy iki
— »¥*
J'oubliais de mettra ^\ j^ jC^-^llîj^
la date et de signer. ^-^by.^j^ij^'^^
Vous êtes bien étour • Jjj o jSS l ^^âp
di. j
Quel est le quantième
du mois ?
Nous sommes au huit
de juillet.
Ma lettre est pliée ;
l'enveloppe est faite; je
n'ai plus qu a mettre
l'adresse et la cacheter.
Je vais la porter à la
poste
Ne vous en donnez
pas la peine ; je vais y
envoyer mon domes-
tique.
J-^.
.'J^^L\'j
y
Al qaldy tarikh ilé im«
zayi ounoudouyorydym.
Aqlyn bachyndé dé-
guil
Bou gun ayn qatcby
dyr-
TémouMuti sôkizidir.
Méktoabnumoa dur-
dum zarfyny yapdym
yalynyi ouzéri yazyloub
muhurlénmési qaldy.
Postaya goeuturéiin.
Zahmét itméin oachaq
ilé gundëririoL
Pour aller au spectacle
A^j^ù ^ j S U' Tiniroyé datr mukialémi.
A quel spectacle ^UjSajJ'^^^I
irons*nous ?
Nous irons ^ si vous 4,\/^^;^Jw*l
vonlez à TOpéra.
^l-oT
Qanghy téatroyé gui-
délim.
Istérsenii opérayé gui
délim.
— Z93f —
C'est le seul speéia*
de intéressant qu'il y
ait aujourd'hui.
Tous les autres théâ-
tres donnent de mau-
vaises pièces, ce sont
de mauvais acteurs qui
jouent
A ce spectacle, la mu-
sique fait tout, et Ton
s'inquièt€ peu des pa-
roles.
II faudra ique nous
partions de bonne heu-
re si nous voulons être
bien placés.
Il y a foule, prenons
vite notre rang.
Vous prendret les
billets pour vous et
pour moi.
La salle est fort bel^
le; elle doit contenir
bien du monde,
Le spectacle ne va pas
oU^Ô^V
Bott gunki téatrolaryn
en éyousy opéradyr.
Saïr téatrolaryn oyoun-
lary satcbmadyr oyoun-
djoulary dakbi oulghotm"^
souzdour.
Bou opérada bachly
chéy mouziqa oldou-
ghoundan laqyrdylara 61
qadar dîqqél olounmaz.
Érkéndjé guidélim ki
éyou yér boulalym.
Tchoq gbalabalyk var
tchapyq bir yér tédarik
idélim.
Ikimiz itchundé bilyét
alyn.
Souf^ bek guzél hém-
dé tchoq adém almaly^^
dyr,
Q^<iV«v VfeçcasiL \s^^îttî-
29« —
larder à commencer.
Les musiciens arri-
venl.
La toile se lève.
Les costumes et dé-
corations font un ef^
fet merveilleux.
Cette musique est
délicieuse.
Les acteurs jouent
1res -bien, aussi tout
le monde applaudit.
Que pensez-vous de
cette dame? Elle a
beaucoup de grâce dans
la déclamation.
Quand elle aura plus
^'habitude de la scène,
ce sera un excellent
^Ui^
•• .
*•• ^J^ •'ijj ^
OTjet , et une fortune * ., . . * , ,
pour le théâtre.
layadjaq.
Tchalgbydjylar gui-
lîyor.
Pérdé qalqîyor.
Oyundjoularyn qyîa-
féti vé téatronyn ziynéU
pek tohaf '
Mouziqa dakbi gbayét
Ma.
Oyundjoular éyou
oynayorlar hér kés tah-
zin idéyor.
Chou oynayan qaryé né
dérsiniz , tavrou haré-
kéti pek chivéli, vé yo-
lounda oqouyor.
Téatroda oynamagha
oulfét késb idérisé pek
àla oyoundjou oladjaq-
dyr vé téatro haqyna da-
kbi tchoq faïdési olour.
W7 —
Pour s' in fermer de \
quelqu'un
Qu'el est ce monsieur
que nous avons ren-
contré hier à la prome-
nade?
C'est un français.
Il parait avoir beau-
coup d'esprit et sa con-
versation est trèa-agréa-
blé ; il a beaucoup de
noblesse dans les traits
et dans les manières.
Si vous le connais-
siez plus particulière-
ment, vons sauriez qu'il
est très complaisant,
et toujours prêt à ren--
dre service.
De plus, il est fort
instruit et versé dans
la langue française; il
sait presque toutes les
langues de l'Europe, et
J'y- ^
>'^ô'->^*^-^'>^-
Bir adémin kim oldou^
ghounou stmaU dair mu^'
kialémé.
Dunki gun séyir yérin-*
dé rast guéldiguimiz kim-
dir,
Fyransyzdyr.
Aqylou bir adémé
bénzéyor hém hoche '
seqhbét vé hémdé si-
masynda vé étvarynda
kibarlyq var.
Oulfétiniz olsaidi n6
dérédjé mukrim vé kha*
tyr chynaz oldoughyny
anlarydynyz.
Bounounla bérabélr
pek malumatlydyr, v6
fransyz lisanyny éyou
bildikindén bacfaqa évro-
pa lisaïitarinia dàUbk V^
— 298 —
a des connaiâsences as- !
stt étendues dans plu-
sieurs sciences , telles
que riiistoire et la géo-
grapliie; il connaît la
musique I et joue de
plusieurs instrumens.
Y a-t-il long-tiemps
que vous êtes lié d'a-
mitié avec lui ?
Jai fait sa connais*
MAce à Paris; il venait
habituellement dans la
maison d' un de mes
paréos chez qui^je de-
mearais-
Quel âge a-t*il
Il peut avoir vingt-
cinq ans
Je ne le croyais pas
ji âgé.
Est-U marié ?
Non, monsieur, il est
garçon.
man djomléuné achna*
dyz, vé tarikbe vé djégh-
«
rafiyé missilou ouloumy
muténéviédé khayly ma-
lumaty vardyrvé fénny
musiqîyé dakhi achna o-
laraq bir qatcbe dùrlu
saz tchalar.
Houqouqounouz qa-
dimmidir.
Anynla panzdé ulfét
paîda itdim aqrabadén
birinin évindé otourour*
doum oraya éksériya
guélour ^uidéridi.
Qatch yachyndadyr,
Yirmi bêche yacbyn-
da olmàly,
01 qadar yachlou cl-
doughounou mémoul it-
mézidim.
Mutééhilmidir, Evlimidir
Khaïr éféndim mu*
djérréndir. Békiardyr.
^IfV
A l-îl d^. fnères et
des soeurs?
Non ; il n a ni frère
ni sœur.
Le portrait que vous
m' en faites me donne
une extrême envie .de
le connaître.
Je vo«8 ferai faire
oonnaisance; venez di*
ner lundi avec taoî; je
r inviterai aussi , iious
ne serons que nous
trois, et cela vous met
tra à même de le juger
par vous même.
Biradérléri vé hémchî-
réléri varmy.
Kbaïr né érkék qardachy
vé né qyz qardachy var.
Bou taarif vétévslfi'
nizdéis anynia oulfét it-
mégué achoury arzou
guéldi. ,
Sizi anynié gneuruch-
doururum, bazar értési
gunu akhcham taamyny
birlikdé idélim any da-
khi davét idérim outchu-
muz birléchuruz hér bir
haliné réyulàïn akiab o-
loofsounouz.
I
:;Cjjiy
Sur les modes.
Où allez vous.
Se vais faire des em-
piètes.
Vous êtes toujMcs
JH$C_/ b <i • J^»
'^JJi"^ ^j
Modayé daïr mukialémé.
Néréyé guidéyorsou-
nouz.
Bazy ou&d téréq ala-
djagbym.
Uér né moda olsakivàr-
an courant des modes.
On m'a dit qu'il y
avait beaucoup de mo-
des nouvelles.
Je n'en sais rien, je
viens de la campagne.
Les modes changent
tous les jours.
Je n'en suis pas fïk-
ché; la variété me plaît
Je ne suis pas com-
me vous, cette instabi-
lité me déplait; il faut
pourtant se conformer
aux nouvelles modes, si
l'on ne veut pas être soi^
verainement ridicule.
Vous avouerez né-
anmoins qu'il y a des
modes à bizarres, qu'on
ne peut s'y confor-
mer.
Jen'aime pas à adop-
ter les modes aussitôt
qu' elles paraissent
sariout quand elles
bér alyrsounyz.
Ichitdim ki bir'tchoc^
yéni modalar zouhour it-
miche.
E^abérim yoq keuy-
dén guéliyoronm.
Gun olmaz ki moda dé-
guichmésun.
Bénim djanym syqyl-
maz, tébétdulatén khoch-
lanyroum.
Béndéniz sizin guibi
dégnitim ,bou qararsyz-
lyqdan hitche haz itmém.
andjaq nasyn istihzasyn-
dao béri olmaq itchoun
modayé mouvafyqét it-
méli tcbaré né.
Lakin bounou inkiar i-
démésiniz ki bazé euîlé
gharib modalar olourki
qaboul vé idjrasy mum'*
kin olamaz.
Bir moda tcbyqdyghy
andé ba khousous iirat
dérédjésindé oldoughou
SOI
sont portées à Vexcès.
jf aZ««« i ^k^JET \ O W Lf
jj^j\ J^ •j^^
Moi, je les adopte
toutes sans examiner
ce qu elles sont . et je
crois que c'est le meil- ^jJij ^ >j jlI
leur moyen d imiter «-^L^jj 4, jj^jl/^
r uniformité* ! ^\ û jCj» ^\y/
chaat itmésini istémém.
Béndéniz moda ol-«
doukdan sonra nasyl o«
loursa olsoun qaboul i-*
dérim zan idérira ki bir
duzuyé bir qyiafétdé
guézmémégué boundan
àla tariq yoqdour.
Des nouvelles.
Quelles nouvelles y
a-t-il?
Je n' en sais rien.
Il n'y en a aucune.
Cest une bonne nou-
velle.
Que dit-on des af-
faires politiques?
Je ne vous en dirai
rien.
Je n'ai rien appris à
ce sujet ?
Je ne lis plus le jour-
nal
allSCi/boi^ I Havadisé daïr mukialémé.
ôy f^y^
Né havadis var.
Bilmém. malumatym
yoq.
Hitche bir havadin yoq.
Bou bir éyou havadis-
dir,
Poletiqayé daïr né dé-
yorlar.
Bouna daïr bir chéy
bilmém.
Bouna daïr hitche més-
mouatym yoq.
— aoj -
Y a-til des nouvelles
aujourd'hui?
Y a-t-il quelque cho-
se de nouveau?
N'avez-vous entendu
parler de rien ?
Il n'y a rien de nou-
veau.
Il n'y a point de nou-
velles.
Je n ai entendu par-
ler de rien.
II y a de bonnes nou-
velles.
Les nouvelles sont
bonnes.
Il y a de mauvaises
nouvelles.
J'ai entendu dire que*
Que disent les jour-
Baux?
Je tiens cette nou-
velle de bonne part
Âvez-vous reçu des
nouvelles de votre frère?
Y a-t-il long-temps
v/j^jCijI^^ÙjTj; Bou gun havadisvar-^
my.
Yéni bir chéy varmy.
Hidj bir chéy ichit-
n>édiniznri.
Yéni bir chéy yoq.
Hidj bir havadis yoq»
Hidj bir chéy ichit*
médim.
Éyou khabérlér var.
Khabérlér éyou.
Féna havadislér var.
Ichitdim ki.
Ghazétalar né yazayon
Bou havadisi bir sagh*-
lam yérdén ichitdim.
Biradérinizdén khabér
aldynyzmy.
Dostounouzdan kha-^
%f\r%M
que vous n avez reçu
dès nouvelles de voire
ami?
Combien y a-t-il qu'il
ne vous a écrit?
n y a deux mois que
je n*ai reçu de ses nou-
velles.
Jattends une lettre
de lui de jour en jour.
N'avez-vous pas en»
tendu dire que nous al-
lions avoir la guerre ?
Je n'en ai pas en-
tendu parler.
Cela m'étonne beau-
coup; à vous dire vrai,
je ne le crois pas.
Cette nouvelle mérite
confirmation.
De qui la tenez- vous?
Cest le bruit gêné
rai: elle est dans la bou-
che de tout le monde.
>i ùoH j^* ti^*
^i: jLj\ C^jfjj^ I bér almayaly Ichoq va-
qyt oldoumou,
Sizé méktoub yazma*
yaly né qadar vaqt oldou.
Iki ày dyr andén kba-
bér alamadym.
Bou gunlérdé anyn mék-
toubouna muntazyrym.
Séfér oIadjagb}'ny i*-
cbitmédinizmi.
Séféré daïr bir cbéy
ichitmédim.
Icbitméméniz adjalb
lakin toghrousounou is*
térséniz béndénizdé mé-
moul itmèm.
Beu havadis tasdiqé
mubtadjdyr*
Bou havidsi kimdén f«
cliitdiniz.
Guéré'gui guibi téva*
tour boulmouche hér ké-
sîn aghzynda.
• • A I
« u
Cest monsieur un tel
qui me Ta dit; vous sa-
vez qu' il est ordinaire,
ment bien instruit.
Je crois qu'il n'en est
pas de même dans cette
circonstance.
Il n'y a pas huit jours
que la paix a été signée,
et pouvez-vous croire
que la guerre recom-
mence ^
Ce bruit pourrait bien
être semé par des gens
mal intentionnés, qui
^ont ennemis de la tran*
^uillité publique.
Cela pourrait bien
être ; car après une
guerre aussi longue ,
nous avons lieu d*espé
rer que la paix sera du-
rable, et nous devons
le souhaiter.
Le comoierce , qui
souffre depuis tant
cr
r^\^^i S^y
Filan éféndi seuïlédi
malumunuzdurki beuylé
cheyléri tahqiq idoub bi-
lour,
Zannym bou kbou-
sousda mouvaffaq dama-
myche.
Musaiihé olaly hénouz
sékîz gun mirour itmich-
ikén tékrar mouharébé
olmasyny memoul idér-
misiniz.
Bou bavadis asaïcby
amméyi ikhial itmék
qasdynda olan érbaby fé-
sadyn aradjiti olmaly.
Ihtimaidyr zira bou
qadar ouzoun mouharé-
bénin ouzëriué souih vé
asaïchin khayly vaqt bé-
qasy mémouldour , vé
bounou téménni itmék
férizéyi zimmëtdir*
Bou qadar sénédén bé-
rou akhz ou itayé sékté
~ SOTf —
dannées » a grand be*
soin de la paix pour se
relever.
Les ' négocians ne
sauraient trop redouter
une nouvelle guerre.
arjz oldou jénidén ré-
vadj boulmasy itchoun
musaliliéyé kémali mér-
;JL>-1:^ ^'^^y^S^ tébé muîuadj dyr.
J^XU
j15^£^
Tudjdjar laïfési tékrar
mouharébé zouhourin-
dén né qadar qorqsalar
haqlary var.
Sur Vétude de la Izngue
Française.
Apprenez - vous le
français ?
Oui, monsieur.
Vous avez raison ,
c est une langue si uni-
versellemt répandue ,
qu'il est honteux de ne
pas le savoir.
On parle français
dans tous les pays dé
VEurope ; d ailleurs, la
littérature française est
si belle, qu elle offre
une source intarissable
Fransyz lisanynyn taJizi'
Une daïr mukialémé.
Fransyzdja oqouyor-
mousounouz.
Evvet éféndim.
Isaabét tchnki bir dé-
rédjé hér yérdé chou-
vou boulmouchdour
V
ki bilmémési bayaghy
mahdjoubiyéti roustél-
zém olouyour.
Evropanyn hér tara-
fynda fyransyzdja tékél-
lum olounouyor boundan
qati nazar fransyz lisa-
nynyn munchaaly ol
ouo
de plaisir à celai qm
est en état de Tappré-
cier.
Etes^-vous déjà fort
avancé ?
Xentends assez bien
les auteurs à la lecture;
mais je parle fort mal,
et je n'entends presque
pas la conversation.
Cela ne doit pas
vous étonner; pour en-
tendre la conversation,
il faut beaucoup d'u-
sage, attendu que le
style fomilierestrempli
> d'expressions qui lui
sont particulières, et
qu'il faut être bien ac-
coutumé à lapronon-
dation, ce qui ne peut
venir qu'à force de par-
1 er avec des français, /
routdé néfiïdirki .tiq«
dire muqtédir olana ba-
dii zévq ou sé£ayi nama<^
ténahidir.
Guérégui guibi ilérott»
lémichmisiniz.
Kitablary oldouqdja
anlayabilourym Iakin tfr-
kéllumum pekouyghoun*
souz dour, vé fransyzdja
olan seubbéti héman
bitche anlayamam.
Bouna siz taadjub it-
méin fransyzdja olan
seuhbét vé tékéllumu an*
lamaq mélékéyé moh-
tadjdyr zira adi olan
seuhbétdé bazy taadiraty
mahzousé vardyr vé la*
yiqy ilé télafouz itmégué
késby oulfét itmélidir,
bouda andjaq fransyzlar
ilé seuyiléchéréq olour.
~ SOT —
Depob que je suis [ ji^aJ^J^^^JUît^
en France, je me suis
attaché à cela partku-
liërement
Combien y a-t-il que
voua êtes en France ?
Deux mois.
Vous n'avez pas per*
du votre temps; vous
parles déjà très-bien.
Je vous demande
pardon , il me semble
que j*ai fait peu de
progrès ; la langue
française est si difficile,
qneje me trouve arrêté
a chaque pas.
Vous prononcez très-
bien, et l'on vous en-
tend sans peine.
Il faut parler le plus
que vous pourrez
C'est ce que je tâche
de faire^ mais la crainte
« •
|f ..Ce' ci 05
Fransayi guéléUdén
bérou bou khousousa
bachqadja sayou diqqét
itmektéim.
Fran«ayi téchrifiniz né-
qadar vaqt oldou,
Iki ay dyr.
Vaqtynyzy zaï itmé-
michsiniz chimdiden pek
guzel tékellum idéyour*
sounouz.
Khayr efendim, bana
guélur ki pek az i^tifadé
idé bildim fransyz liçany
bir dérédjé gudjdur ki
ber adymda birmani zou-
hour idoubbénialyqoyon
Téliuzounouz pek
eyoudour vé sohbétiniz
qolay aniacbylyor.
Elinizden guéldigui qa-
dar tchoq seuyiéin.
Béndé bouna tchaly-
chyoroumlakin séhv idé-
rim vehmi iié pek tchoq
aâv
blissemens le plus re- \ «-/^x.^ )aLJ
. I
marquables et les ob-
jets les plus intéres-
sans?
Je le ferai avec plai-
sir.
Si vous me permet*
lez, je vais en prendre
note sur mes tablettes.
Je suis si las cf être
en voiture , que j' ai
bien envie d*aller jus-
que là à pied.
Je ne vous le con-
seille parce que vous
seriez obligé de cou-
cher en route , et ne
rencontreriez que de
mauvaises auberges.
Comme je suis bon
marcheur» et que les
jours sont longs, je
pourm faire Je chemin
>--î*
Lklil yi\ xlZyh
nesnéleri bendénizé ifodé
idermiçiniz.
Bacliustuné memnou-
nen tarif idérim.
Eguer roukhzatiniz o*
lour içé ifadé idédjégui*
niz hhouçouçaty djouz-
danyma icharet idéyim.
Arabadanolqad^r oçan
dym ki oraya qaidar ya-
yan guitmek istéyoroum.
Youruyérek guitméni-
zi ténsib itmem tchounki
yol ouzerindé bir mahal-
dé béïtutet itmeniz iqtiza
ider loqantalar içé pek
ouyghounsouzdour.
Ben yol yuruméguè
alychyghym gunlérdé ou-
zoundour sabablayn er-
keuden yoU tcbyqsam
•fil —
en un jour, en partant
de bon matin.
Gela est impossible,
à moins que vous ne
traversiez la forêt pen-
dant la nuit, ce qui n*est
pas prudant.
J'en suis fkché , car
j'aurais désiré beau-
coup d'aller à pied jus-
qu'à 0\iédos, et de
visiter ensuite le châ-
teau de cette ville qui
ne doit pas en être très-
éloigné.
Il en est encore à dix
lieues.
Je ne pensais pas que
la distance fût si grande
Ce n'est pas tout;
vous aurez pour y aller
le chemin le plus af-
freux qu'il soit possi-
ble de voir,
Il n'y a donc pas t de.
•JU«i AdL«^ jJL9 al
• • •
gûndé vaçylolouroum.
Bir gundé varamazsy-
nyz méguer guidjéléin
ormandan guétchéçynyz,
ormandan guidjé guétcfe*
mekdé kiary akyl déguil.
Bouna djanymsyqyldy
aydoçavé anden qalàsyna
qadar yayan guitmek is-
téridim qalàl mezbouré
chéhirden pek ouzaq ol«
mamaq guérek dir.
Chéhirden on sait mu-
safédédir.
Bouqadar musaféyi baï-
dé oidoughyny mémoul
itmézidim.
Boundan qatynazar qa«
làyé guidédjek yol pek
ouyghounsouzdyr.
grande route qui y
conduise?
Noh ; il n y a qu'un
chemin de traverse ,
il vous faudra tantôt
grimper sur des rochers
escarpés au milieu des
précipices , et tentôt
vous enfoncer dans des
vallons marécageux et
couverts de bois*
N'y a-t-il pas une
rivière à passer?
Ce n'est pas une ri-
vière , c'est un torrent,
qu'on ne passe jamais
sans danger , mais sur-
tout dans cette saison
qu'il est gonflé par la
fonte de neiges.
Vous pouvez , si vous
voulez , louer un che-
yal à la journée pour
TOUS conduire à cette
ville.
Je n*aime pas à vo-
yager i cheval ; d'ail-
Jeurs ce que vous ve-
I
Khayir pataqa yoloun*
dan ghayry yol yoqdour-
o yolounda kimi yéri ou-
tchouroum ouzérindé
sarb yaltchin qaya vé
kimi yéri dakhi orman-
lyk vé bataqlyqdyr.
Yol ouzérindé tchay
varmy guétchilédjek.
Tchay déguil bir sel
aqar ki guétchméçi pek
moukhataralydyr khou-
çouça bou esnadé qar^
laryn erimessi ilé ziyadé
djochghoundour*
Eguer isterséniz chéh-
ry mezbouré guitmek it-
choun kira ilé bir barguir
toutoun.
^3^jî*j^->3y^iî
oj
Barguir ouzérindé yol«
djoulouq itmégui sev-
mem khouQouçiilé ifadé
313 —
nez de me dire m'ôte
la curiosité de voir ce
château.
J' irai plutôt par la
diligence.
Savez- vous combien
Ton paye par place ?
On prend cent francs.
Combien est-on de
jours en route ?
Six jours, et l'on ne
va pas la ^nuit; on ne
peut pas aller plus vite«
■>
11 n'y a rien d'éton-
nant, la route est belle,
et la chaussée très-bien
pavée.
On ne recontre donc
*
pas de montagnes?
Non, on n'a les mon-
tagnes qu'en perspec-
tire.
itiguiniz kéifiyetiérin ou-
zérinéqàlay gueurmégué
arzum vé havéçim qal-
mady.
Euilé yapmakdan içé
posta arabaçy ilé guidé-
rim.
Adembachyna qatche
bgourouche alourlar bilir-
miçiniz.
Yuz franqa dyr.
Yolou qatche gun su*
rer.
Alty gun lakin guidjé*
léri guidilmer boundan
tchapyk guidilmek mou*
haldyr.
Bouna taadjub oloun-
mamalydyrzira yolou gu-
zeldir vé àla qaldyrym
yapylmychdyr.
Yol oustundé hitche
tagb yoqmou.
Khair taghlar ouzaq«»
dan gueurunur.
\
Les postes sont-elles ^j^ Ic^l J a:Uj)
servies ? |
Oui bien servies et
bien entretenues» car la
roule est fréquentée.
Si cela ne me coû-
tait pas trop cher, je
préférerais prendre des
cheveaux de poste , afin
de voir le pays plus à
mon aise.
Combien paye-t-on
par cheval?
Combien donne-t-on
au postillon ?
Cela est bien cher;
mais on doit payer son
agrément.
Je ne crois pas que
cela nous coûte beau-
coup plus que la dili-
gence,- la seule diffé-
renee qu'il y ait, c'est
que vous serez obligé
d'acheter une yoiture
de voyage.
2m\c
Posta iar ihtimamlymy.
Ghayet diqqet vé ihtû
mamlydyr zira j^ol pek
ichlek dir.
Pek bahalou olmasa
menzil barguirléri touta-
rydym memlékéti istédi-
guim guibi séyr ou ta-
macha idéridim«
Barguirlérin kirasy né
qadardyr.
Surudjuyé qatch ghou«
rouche virmâi,
Pek bahalou lakin pa-
rasyz zevq olmaz«
Zan idérim ménzil bar-
guirléri sizé posta araba-
syndan bahalou duchmez
ferqy chouqadardyr ki
yol jtchin mustaqil bir
araba almanyz iqtizaiden
— 315 —
Pourrai-je en trouver o^« j ^.^^fi-j,^. 5^
une de rencontre ?
Vous en trouverez
facilement une à bon
marché.
Dans ce cas , je vais
m*en occuper, et si cela
ne vous gène pas, je
vous serai obligé de
m*accompagner.
Euïlé bir araba deelm-
rébilurmyim.
t'hvén olaraq bîr dané
boulmasy bir chéy dé-
guil.
Bou souretdé varaym
baquyim, éguer tadjiz ol-
mazsanyz kérém idoub
birlikdé guélin.
I
Pour voyager.
JIIC7U àfiX^Jl
Je pars demain pour
Paris; si nous voulez
être de la partie , il ne
tient qu'à vous, nous
voyagerons à frais com-
muns.
Je suis dbarmé de
trouver une pareille oc-
casion de faire ce vo-
yage en si bonne com-
pagnie.
Gela me fait aussi
1 ^^é^y^^
Yoldjoulougha daïr
mukialémé.
Yaryn Parizé guidéyo-
roum éguer rifaqet it-
mek isterséniz muchtéré-
ken masraf idérek yol-
djoulouq idériz.
Sizin guibi bir zaté
ri&qet I idérek yoldjou-
louqitmek bana ghanimet
dir mémnounén qaboul
idérim.
— 910 —
gfand plaisir ; car je
n'aime pas voyager seul.
Irons-noas par la di-
ligence ou par la poste?
Je crois'que nous fe-
rions mieux de prendre
la poste; comme jai
ma voiture , il ne nous
en coûtera pas beau-
coup plus que par la
diligence, et nous se*
rons plus à notre aise.
Nous partirons avant
le jour.
11 n'y a donc rien à
craindre des voleurs.
Oh [ non, la route est
très-sûre ; c' est une
grande route sur la*
qaelle il passe dm Y0\-^
mahzous oldoum tchoun-
ki réfiq olmayaraq yaly-
nyzdja yoldjoulouq it-
mekden khocblanmam.
Tolmouche arabasy ilé
mi guidélim yokhsa mus-
taqil posta arabasy ilé mi.
Posta arabasy ilé guit-
sek daha éyou olour zan
idérim tchunki kéndimin
arabam oldougboundan
bizim haqymyzda dol-
moucbdan tchoq babalou
olmaz vé hémdé daha zi-
yadé rabat idériz.
Ortalyq agbarmazdan
yola tcbyqalym.
Khyrsyz qorqousou
yoqmou.
YogbouQouzdou yol
pek émindir euïlé bir
djaddé dir ki guidjé vé
md^L atabalar eksik ol.
— dl/ —
tures jour et huit ;
d'ailleurs elle traverse
un pays plat, où il n'y
a pas trace de bois.
Les chevaux, sont à la
voitureiinontons; le pos-
tillon nous attend.
Nous allons bien len-
tement
Les grosses voitures
nous forcent à quitter
le pavé pour ne pas
être renversés , et le
chemin est raboteux
et plein d'ornières*
Nous sommes bien
cahotés, et nous ris-
quons à chaque instant
de rompre le soupente,
ou une roue.
Ma malle est -elle
bien attachée?
Oui , Monsieur , les
cordes sont très serrées.
maz, maa héza mémlékët
duz tabandyr ormanyn
éséri yoq.
Barguirléri qochdoular
binélim surudju beklé-
yor.
Pek aghyr guidéyorouz
Iri arabalar oldoughoun -
dan dévrilmémek itchun
qaldyrymdan guidéméiz
qaldyrym olmayan yol
dakhi yamrou youmrou
oloub arabalaryn izlérin-
dén fénalachmyche.
Âraba pek sarsayor qa-
yiche qopmaq yakhod té«
kerlek qyrylmaq guibi
moukhataralar héran
mélhouzdour.
Sandyghym éyoubagh-
lymydyr.
Evvet éféndim ipléri
«pxo
Courage , postillon /
allons grand train pour
réparer le temps perdu;
il ne faut pas s'endor-
mir.
Messieurs, il n'est pas
possible d' aller plus
vite; nous sommes ar-
rivés au pied d*une
montagne très-rapide,
et le chemin est bordé
de précipices.
Ouvrez la portière et
abaissez le marche-pied,
nous allons descendre.
n faut baisser la glace
de peur qu'elle ne se
casse.
Je vais relayer ici.
Pendant ce temps là
nous allons monter la
côte, et nous atten-
drons en haut.
En allant toujours
iout droit vous ne crai-
Surudju séni gueuréim
tchapyk guidub ghaïb it-
diguimiz vaqty qazana-
lym, ouyoumagha guel-
mez ha.
Eféndim boundan tcha-
pyk guidilémez dimdik
bir daghyn étékiné guel-
dik étrafymyz outchou*
roumdour.
(
Arabanyn qapousounou
atche nerdibany indir
tchyqadjaghyz.
Djamy indirméli qyryl-
masoun.
Barguirléri bourada dé-
guichdirédjéguiuu
Biz olvaqta qadar ba-
yiry tchyqar dépédé sé-
ni beklériz.
Siz héman toghrou to-
ghrouya guidin yanyl-
OiV
gnez pas de vous trom- 1 •jj^l^^SC^^lTl mazsynyz fléroudé bir
per; quand vous serez
arrivés à Tambranche-
nient du chemin un po-
teau vous indiquera la
route.
Postillon, quand pour-
rons-nous remonter ?
Quand vous voudrez.
Après avoir été en
voiture , on ne peut
pas marcher : on est
tout éreinté.
Allons doucement ,
et évitons le bord ; un
faux pas nous perdrait.
Ne craignez rien ,mes
chevaux ont besoin de
reprendre haleine, nous
n'irons qu'au pas.
Combien avonsnous
encore de lieues à faire?
Cinq lieues de poste,
qu'on peut faire aisé-
ment en deux heures.
tchatal yol guélur orada
bir yazyly dirék varyo-
lou sizé gueustérir.
Surujdu arabaya né
vaqt binéjdéguiz.
Né vaqt îstérsénîz*
Araba île guidildikdén
sonra yayan youruléméz
adémin kémikîéri khour-
dé khas olour.
Aghyr guidclim kénar-
dan ouzaq touralym dir
ayaq qaïsa guildiguimiz
gundur.
Qorqmayin aghyr guî-
dériz barguîrlérim yor-
ghoundourazajdyq néféz
almagha muhladjdyr.
Boundan euléyé daha
qatchsaat yoloumouz var
Ménzil hisaby ilébéche
saat lakin rahat rahat iki
saatdé alabilur^z.
vv
OiCV
Voila un chemin de( dL Jj) a^j Ji-i^^ I Chou késdirmé yol pék
traverse qui est bien
mauvais*
Voyez-vous celte
voiture ? elle est attelée
de six chevaux ; elle au-
ra bien de la peine à
ise tirer d'affaire.
Nous sommes à la
barrière on va visiter
nos malles.
Le commis approche,
donnons lui nos clefs.
Avez-vous quelque
«objet qui soit sujet aux
droits ?
Non, Monsieur, vous
pouvez fouiller.
C'est inutile ; voire
déclaration suffît.
Nous voilà arrivés
sans accident
Li
Poslillon conduisez-
nous dans un bonhôlel.
OuL Monsieur^ n'eu-
jyojS 4p 'fT J^ ^
féna.
Chou arabayi gueuru*
yormousounouz alty bar-
guir qochoulou ikén yi-
né gudjilé guidéyor.
Gumruk yériné guél-
dik sandyqlarmyzy yoq-
layadjaqlardyr.
Yazydjy guélieur a-
nakhlarlarymyzy vîrélîm.
Résjii gumrugué daîr
bir chéyiniz varmy.
Khaïr éféndîm baqyn
arayin.
Yoqlamagha Iiadjét yoq
ifadéniz kiafidir.
Chukurlér olsoun ké-
dérsizdjé vasyl oldouq.
Surudju bizi éyou bir
loqanlayé gueutur.
^ Vék éyou éféndim la-
9Sk
bliez pas le postillon.
Tenez , voilà pour
boire.
kin surudjouyeu kliatyr
dan Ichyqarmayîn.
Al bakbchicljini
j
La route est bien
mauvaise, nous sommes
embourbés.
Postillons , arrêtez ,
nous allons verser, la
soupente est cassée.
L*un des cheveaux
vient de s'abattre, le
postillon est tombé.
Descendons de voi-
ture, allons à son se-
cours.
Il paraît être griève-
ment blessé ; il ne peut
pas se relever.
Il est sans connais-
saace; il s est donné un
coupa la tét^aaaigne
Des accidens qui peuvent l ^jjaf^oj.^\j^^\:^\
arnver en route. ^^^^^vy_^^
Esnayi rahdé zouhouri
mélhouz olan avaryzé daîr
muldalémé.
Yol pek ouyghoun-
souz tchamoura batdyq.
Surudju tour, araba
dévrilédjék, qayiche qop-
dou.
Barguirlérin biri yi-
qyldy surudju ducbdu.
Ârabadan inélim suru*
djuyé yéticbélim.
Ghaliba surudju pek
féna saqatlanmyche qal«>
qamayor.
^ J^'J ^ j ^^ Surudju kéndini gbaib
Zl ^^ \ c-.^ itmîche bachy indjumich
ba ncoup.
Dégageons -le dou-
cement] de dessous le
cheval.
Voici les coussins de
la voiture , mettons le
dessus au pied de cet
arbre.
Allez chercher la bou-
teille d'eau-de-viequiest
dans le coffre de la voi-
ture, pendant que je
vais lui faire respirer de
Teau de Cologne.
Il a bien de la peine
à se remettre*
i
» *
^ A^ \
Nous sommes bien
heureux d*cn avoir élé
quittes pour la peur, d'/\^J^'^3^
mais nous ne pouvons
pas aller plus loin; vo-
tre voiture est en très
mauvais état.
Prenez un des che-
veaux , et allez au ha-
doeaa . Je plas voisin
Ousoul ilé barguirin
altyndan bérou alalym
Arabanyn yasdyqlary»
ny chou aghadjyn altyna
qoyoup surudjuyi uzéri-
né yalyralym.
Arabanyn sandyghyn-
da araq chichési oladjaq-
dyr bénana lavanta qoq-
ladyndjaya qadar sen
chichéyi boul guetur.
Kendjné guélémeyour.
El hémdoullah biz sadé
qorqou ilé savouchdour-
douq lakin arabanyz
pek fénalachdy arlyk
boundan ilérouyé guîdé-
meyiz.
Barguirin biriné bin
yaqyn olau keuyé guit
4j-- *>J' '^3J, ^^ ï<MiJtaraJia8sy ilé bir
a%t9
chercher des cheveaux,
et une charette, pour y
transporter nos malles
et le postillon qui est
bien souffrant
l
Voilà des paysans qui
\îennent fort à propos
avec des cheveaux et
une voiture , nous al-
lons leur demander s il
peuvent nous aider.
Mes amis , pouvez*
vous nous rendre le
service de prendre dans
votre charette cet hom^
me qui est blessé et nos
malles, pour les trans-
porter au hameau voi-
sin?
Très volontiers,Mon- ^xi 1 ^jl ^ l
sieur, nous allons mé- {Slf^^'^j^^
me vous aider, si vous ^^ i^^^ù
voulez, à lirer votre voi- 3jjlîu>. ^ jjtjy
ture de ce mauvais pas.
lecrois que oela n'est ^^^^^ i^
qalche barçuîr tédarik
iylé sandyqlarymyzy i-
(chiné qoyalym, oraya
quadar gueuturélim hérif
pelc féna haldé dir.
Baqsanyza bir araba vé
bir qalche barguîr lié bir
laqym keuylu gnéliyorta
mam vaqydynda zouhour
ildilcr suralym baqalym
bizé yardym idérlermi.
Hémchéhriler chou sa-
qat adém ilé sandyqla-
rymyzy arabanyza aloub
yaqyn bir keuyé gueutu-
rurmysynyz.
Bâche ustuné efcndim
istersényz arabanyzy da-
khi chou aqabeden qour-
laroub tchybaryryz.
pas possible; notre voi-
ture est trop fraccassée;
un de nos cheveaux est
defférré, Tautre est très
fatigué.
Je vais allendre ici
pendant que Monsieur
va aller avec vous cher-
cher le maréchal, pour
ferrer le cheval et des
ouvriers pour raccom-
moder la voiture.
jfj\ JÀj\ A>-jl
guitii guéliyor, araba par
tcha partcha olmouche
barguirlerin birinin naly
duchmuche obiridé pek
yorgoun.
Siz efendi ilé béraber
guidin barguiri n allât*
maq ilchun bir nalbend
ilé arabayi taamir itmek
uzré bir qatche arnélé lé-
darik idédjeq dir bén ol
vaqda qadar bourada bek*
lérim.
Avec le postillon et le ^.^^^J^^^jy^ 1 Surudju vé postadjy ilé
maître de poste.
Tenez, voilà le pour
boire ; dites à votre ca-
marade que je paie bien
et qu il me conduise
grand train.
OaiyUônsieur, je vais
lui papier et vous Fen-
royer.
olan mukialémé.
Al bakhchicbini arqai
dachyna seuïlé ki paray-
saqynroam deut nal gueu-
turméll
Bâche ustuné seuylé*
rim efendim Té any chiin<»
di «izô ^^aBdâririai.
Postillons, T09 che-
\eanx sont Jls prêts ?
Oui, Monsieur, nous
allons partir à Vinslant
Ne me faites pas at-
tendre ; il est déjà lard
je n'aime pas à voyager
la nuit, surtout quan<l
il ne fait pas clair de
lune.
Ne descendrez-vons
pas un peu pour vous
délasser et prendre
quelque chose?
Non, je n ai besoin de
rien, je me délasserai
quand je serai arrivé.
Allons donc, postiU
Ions, dépêchons nous.
Je ne peu pas aller,
plus vite, les cheveaux
ne son t pas encore pré ts
f
Comment cela ? je jû-j» ^^ J-*) «;
vais.'me plaindre au mai- S^»x\cJ€^,k-
tre de poste.
Sùrudju barguîrler ha-
zyrmy.
Ewet efendim chimdi
yola tchyqaryz
Béni beklelmé vaqt
guetchdir guidjé yoldjou-
loughyndan haz itmeni
khousouçamililab olma-
dyghy vaqt.
Yorgounlouq almak vé
bir loqma taam itmek
ilchun azadjik înmézmi-
siniz.
Khayir bir chéy isté*
mém guidédjéguimiz yéré
yélichurisék orado yor-
ghaunlouq alourym.
Haydi surudju surélim.
Pék ichapyk guidémém
barguirler hazyr déguil
Bou nasyl chéy posla-
djyachikiayétidédjéguim
\
Ce n*est pas ma faute;
TOUS pouvez lui parler;
le voilà qui vient.
Monsieur Je suis bien
étonné d*élre aussi mal
servi.
Je vous demande bien
pardon de vous faire
attendre; c'est qu'on
a été obligé d'aller
chercher un troisième
cheval, parce que votre
voiture est lourde et
très- chargée.
Cela peut-être ; mais
je n'ai jamais eu besoin
que de deux chevaux,
etje n'en veux pas pren-
dre d'avaiilage.
Vous êtes hbre de
faire ce que vous vou-
drez, mais vous irez
bien lentement, et vous
arriverez très-tard ; la
JXï^te goi vous reste à
ôjl/^'^-^/^^-^j' I Bounda bénim qabaha-
tym yoq ichté postadjy
kéndousiné seuïléin.
Khyzmtimiz layikylé
gueurulmédigundén togh*
rousou pék taadjub idé«
yoroum.
Sisi békletdiguimi af
idin arabanyz aghyr vé
pék yuklu oldoughoun-
dan bir barguîr ilavosi
lazym guéldi, guéturmek
ilchoun adem gueunder-
dim.
^C-1 jSj\, o'O
Ihlimal beuiléola lakin
hilche bir vaqyta iki bar-
guirden ziyadéyé muh-
tadj olmadym ziyadé bar*
guir istémem*
Iradé sizin lakin pek
aghir guidersiuiz végui-
dédjéguiniz mahalé guédj
vassyl oIoursouDOUz vé
bou son menziliniz pek
ouzac^jl^t vé ya^^imoiir
OA#
faire est très longue, et
les pluies ont rendu le
pavé glissant.
Mettez donc trois bons
chevaux, et faîtes-moi
partir au plutôt.
sébébi ilé qaldyrymlar
qayayor.
^jl^^l a-^IaIj»^! Euïlé isé outche barguir
^y^}^^ô\J^JJ^^ qochda bîr an ewel yola
jliL-»- tchyquar.
Dans la voiture
publique.
La voiture est bien
chargée , nous n'irons
pas vite.
On ne devrait mettre
sur les voitures publi-
ques que les paquets
des voyageurs.
Monsieur , ferons-
nous toute la route en-
semble ?
Oui» Monsieur, nous
passerons plusieurs
jours dans la même
société.
Voulez-vous bien me
^ » m m
Kiradjy arabasy ilé gui-
dilurken olounan mu-
kialémé.
Aarba pek youklu tcha«
pyk guidéméyédjéguiz.
AÎbl^ dBj» fX3\
>--iy
Kiradjy arabalaryné
yoldjoularyn échyalaryn-
dan bachqa nesné y ouk-
létméméli îdirler.
Efendim yolori nihayé-
tiné qadar birlikdé mi
oladjaghyz.
Ewet efendim bir qadj
gun hemmedjlis olou-
rouz.
OAO
permettre d'allonger
mes jambes?
Très volontiers; nous
en serons mieux Tun et
Taulre.
Voilà qui est bien.
Ce petit paquet qui
est entre nous ne vous
gênera -t-il pas?
Rien ne me gène, je
suis à merveille.
Il fait une poussière
très incommode.
Levez la jalousie, car
le soleil me donne dans
les yeux.
Je voudrais bien pou*
voir dormir en voiture;
quand on dort, le che-
min parait moins long
Nous allons bien len-
tement.
Cest que la pente de
la montagne est très-
rapide.
^^*r • j\j j\ I larymy ouzadayim my.
'^^^
Pek guzel euïlé ikimiz*
dé rabat idériz*
Ichté chimdi éyou cddou.
Aramyzda olan chou
kutchuk bogbtcha sizé
siqynly virmezmi.
Khahyr hitche taadjz 0I-
mayoroum pek rahatym.
Pek féna toz var.
Qafesi qaldyr gunech
gueuzumé guiréyor.
Arabada ouyoumaq is»
térim ouyounouldoughou
haldé yol olqadar ou«
zoun gueurunmez,
Pek aghyr guidéyorouz
Dik birdagha tchyq-
dyghymizdandyr.
\
«T'WV
Si nous descendions
un peu de voiture, cela
nous délasserait et sou-
lagerait les chevaux.
Conducteur» arrêtez
un moment ; ouvrez la
portière , nous allons
descendre, nousjremon-
terons quand nous^^se-
rons au haut de la mon-
tagne.
Quand on a été long^
tempsj en voiture, on
est bien aise d'aller un
peu à pied.
Nousavonsdevancéla
voiture^mais elle pe tar-
dera pas^a nous rattra-
per.
A quel endroit nous
arrélerons-nous pour
coucher?
Je crois que nous
irons aujourd'hui jus-
qu'à Sévil, qui est une
petite ville à quatre
V'£mes d'ici.
Ârabadan bir az in&ek
hem biz istirahat ideriz
vé hemdé barguirler aza-
djyq nefeslénur.
Arabadjy bîraz tour
qapouyou alche âraba-
dan inédjéguiz taghyn
dépésiné vardyghynda
yiné binériz.
Araba ilé bir khayly
guidildikden sonra biraz
yayan youroumek kho-
che guélur.
Biz arabayi guetchdik
amma birazdan guélur
bizé yélichir.
Guidjé yatmaq itchun
qangby mahaldé mekz
idédjéguiz.
Ghaliba bou gun Sévil
chehriné qadar varadja-
ghyz dort saatiléridé bir
kutcbouk chéhirdir. .
Quelle lieure-est-il ?
Je ne pourrais pas
vous le dire, ma montre
ne va plus.
Il est près de six heu-
res.
Nous arriverons à la
nuit clause.
*
11 me tarde[d*être ar-
rivé au terme de mon
voyage.
Jusqu'où allez-vous?
Je vais jusqu'à Bor-
da ux.
Je connais beaucoup
cette ville,- j'y passe une
partie de Tannée.
Je ne la connais pas
encore, je vais pour la
première fois.
C'est une des plus
grandes villes de France
Allez-vous vous y fi-
xer?
Saat qatchda dyr.
Bilmem saatym ichlé-
méyor.
Saataltya guéliyor.
Guidjé qaranlyqda va-
radjaghyz.
Mahali maqsondé bir
an ewel vaçyl olsayidym.
Néréyé qadar guidé-
djeksiniz,
Bordoya qadar guidé-
djéguim.
Bou chehri pek éyou
bilurym her séné bir
muddet orada iqamet i*
dérïm.
Ben henouz bilmem ilk
guidichimdir.
Fransayn en beuyuk
chéhirlerinden biridir.
Orada qarar idédjekmi«
oox
• «
Non Monsieur, je n y
passerai que quelque
S^ ^^ \ùy
jours.
Pourriez^vous m'în* ^^^^^ ^j^Ji} ^^
4
diquer le meilleur hô-
telt
C'est le Lion d'or ; on
y est très-bien, et Ton
ne paye pas trop chen
j A*w.A«*3
*JaJ
Nous allons bon train;
si nous continuons à al-
ler de même, nous ar-^
riverons bientôt
Je n*en serais pas fâ-
ché.
Ni moi non^plus.
axU.
^J'A
Khayîr efendim faqat
bir qalche gud églénédjé-
guim.
En éyou loqanta qan-
ghysydyr.
Lion-dor tabir clou-
nandyr andé rabat olou-
nour fiyaty dakbi fahiche
déguil.
Eyou géîdéyorouz é.
guer birdozouyé beuTIé
guidersek tchapyk vaçyl
olourouz*
Djanyma minnet.
Bénimdé euïlé.
Avec les commis de
la douane.
Nous voici arrivés à
la douane^ nous allons
être obligé de nous ar-
rêter.
Les commis ne vont
Guemruk yasydjylary ité
olourum mukicdémé.
. j \jy 'Aj^^^ , Gumrugué gueldik bou-
La^ 1 6^\'J^j '^^'^ ^^'■^'^ eglénmek iqti-
jjS^ « Ji,\ za idédjekdir.
i ■
— <}«IS —
pas tarder de se ren- | ^^.yb ;^. t ^^ mez gueloub mémouri-
dre à leur ofSce.
N'avez-vous rien con-
tre les ordres du gou- 1 J^^:J \^\j
vernement ?
Non; je n'ai aucun
objeljprohibé.
Ma malle ne contient
guère que des choses à
mon usage ; il n'y a que
quelques effets qui pa-
yent des droits, et en
vous les déclarant, vous
direz combien je dois
payer.
Gela ne suffit pas, nous
avons ordre d'être très-
sévères et de faire les re-
cherches les plus exac«
tes , parce que depuis
quelque temps la con-
tre-bande est très-ac-
tive.
Il faut que vous me
donniez vos clefs*
Je vous^prie au moins
m
• --7
M
yétlérini idjra îderler.
Memnouaté daîr hitche
bir echyanyz yoqmou.
Khair memnou olaraq
hitche bir chéym yoqdour
Sandyghymda kéndi
kouUanad|faghym échy*
amdan ghaïry nesné
yoqdour, roosoumat a-
ly nour yalynyz Inr qatche
échya var béa i&dé idé«
yim baqyn bordjoumouz
némiqdar içé seuîléyin.
Yalynyz liçanen ifadé-
niz kifayet itmez hitche
musaadé itmemek vé her
bir chéyi diqqatlé aramaq
uzré émir vardyr tchunki
bir muddetden berQu
tchoq n^l qatchyryorlar.
Ânakhtariftryâyzy ba-*
ma teslim idin.
lâd\^ vteclttihitch ol-
OW
de me faire attendre le
moins possible.
La visite ne sera pas
longue.
Je vous en serai ex-
trémement obligé ; je
suis en retard, et des
affaires importantes me
font désirer ardemment
d'arriver bientôt au
terme de mon voyage.
Voici la clef du cade-
nas, et celle de la serru-
re de ma malle.
Ayez la bonté de fouil-
ler avec précaution, il y
a plusieurs choses ca-
suelles.
Vous pouvez être sûr
qu'il n'y aura rien de
gâté.
Si vous n'avez besoin,
pendant le voyage ,
d'aucun des objets qui
U
- *
• • •
maz içé moumkin oldou-
ghou qadar béni tchoq
beklélméin.
Yoqlamamyz tchoq sur^
mez.
Bendénisighayet mem*
noun idersiniz zira guedj
qaldym vé muhim mas-
lahtlarym oldoughyndan
bir an aqdem mahalli
maqzoudé vaçyl olmaq
arzusundéiou
Ichtésizé asma kilidinin
anakhtary ilé sandyghy-
mym anakhtary.
Kérem idin ouçoul
ilé gueuzédérek yoklaïn
tchoq qyrylac^jaq cb€(y-
1er vardyr.
Endiché itméin birisiné
bir chéy olmaz.
Eguer sandyghyny-
zyn itchindé olan éch^-
^, ^ji vS j.^ V^^ ^^"^^^ ^"^^ ^^^^
— dt>^
sont dans votre malle, ii jc^ a-r-^l déguî îçé sandyghy qour-
je la plomberai. j ^i ;^| jy, j^ ^ choun ilé qapayn.
Cela me rendrait ser- '
Moudjibi memnou ni-
vice-, j'éviterais par là ^ -yii^ .\5;j jyétimdir tékrar yoqlan-
le désagrément d'être 'il >^>U-ùJlLp • "^^ biliyésînden khélas
olouroum.
encore fouillé.
Dans une Auberge.
Garçon, dételez mon
cheval y et mettez ma
voiture sous la remise.
Donnez à mon che-
val «n peu ^d avoine
et de foin.
Oui, monsieur, en-
suite , je le mènerai à
l'abreuvoir, le lèverai
et Tétrillerai.
Ensuite , vous le
conduirez chez le ma-
réchal pour le ferrer.
Ne le lencez pas et
iw le &ite8 pas suer.
Ail ^^ J^ 4i^^
Loqantada olounan
mukialémé.
Ouchaq barguiri ara«
badan tchyqar vé arabayi
arablygha tchek.
Barguirimé biraz you-
laf ilé biraz ot vir.
\
Pek éyou efendim virirîm
vé syvaryrym vé yayqa-
rym vé sonra cachaghy ilé
timar dakhi iderim.
Anden sonra nalbendé
gueutur nallatdyr.
Barguiri qochdourma
335
Monsieur, coache-
rez-vons ici?
Oui , si TOUS avez un
it à me donner.
Nous en avons plu*
sieurs à votre service ;
vous pourrez choisir
Je suis las, je me
coucherai de bonne
heure ; faites prépare-
rer mon lit.
Tenez - vous table
d'hôte?
Oui,monsiuer,et vous
serez content, parce que
notre lâaison étant fort
achalandée, et fréquen-
tée parles personnes les
plus distinguées la table
esttourjours bien servi.
A quelle heure est
le souper ?
A dix heures.
C'est trop tard; je man-
gerai seul dans ma cham-
bre. Que pouvez^vous
me donner à souper ?
dilT
j Efendim guidjé bour-
damy qaladjaksynyz.
£guêr yataghynyz va-
risé qalyrym.
Yataghymyz tchoq var
qanghysyny istersinyz
alyn.
Yorghounoum erken ya«
tadjaghym yataghymy
hazyrlatdyr.
Mouçafiré oumoumi
soufranyz varmy.
Ewet efendim vé taa*
mymyz daïma duzgun-
dur tchounkibouraya pek
tchoq muléber zatler
guélur guider.
•J.»a1»4^ i'i ^ ^!X
Akhcham taamy saat
qatchda dyr.
Saat onda.
Pek guedj bon odam-
da yalynyzdja yérini né
taaiHyn^z var.
\
v&
ssm
Je Vai besoin que de
deux ou trois plats, une
bouteille de bon vin, et
du dessert
Voulez-Yous un pou-
let rôti et une salade,
avec des cerises, des
groseilles^ et du yin de
première qualité ?
C'est bien; il y en a
plus que je n en man-
gerai ce soir ; le reste
servira pour mon dé-
jeuner demain.
Senrez-moi au plus
vite.
N'avez^vous plus rien
à ordonner.
Non^rien pour ce soir;
maisdites à votre garçon
de m*éveiller demain au
lever du soleil, et de
tenir mon cheval sellé
et bridé, parce que j'irai
/aire un tour de prome .
J7ade à cheval dans les
Iki utche turlu taam
ilé bir bouqal eyou cha*
rab vé bir miqtar tché*
rez vé méy vé kifayet îder
Pilidj kébaby ilé bir az
salata vé kiraz véfrenk
ouzumu vé ala cbarab is-
termisiniz.
Pek eyou bou akh-
cfaamlyq tchoq bile ar-
tanyny yaryn qahvé alty
dé yérim.
Taamy tcbapyk guétur
Bachqa bir emrinis
varmy.
Bou akhcham bir cbéy
istémem lakin ouchagha
seuîlé ki yaryn guneche
toghar toghmaz béni ou«
yandirsun vé barguiri-
min éyérini oursoun vé
dizguinini taqsyn yola
\jeJ^^VLx&axdaxi e wel hay-
environs, avant de par-
tir.
Vous serez obéi.
Vous tiendriez aussi
totre compte tout prêt ; jjA.ôTj^il -C*U
pour que je vous paye j> .jl ^/ jCJij^
aussitôt après mon re-
tour de la promenade.
(y.^
van lié étrafy bir kérré
guëzédjéguim.
Emriniz yérini bolour.
Hisabimy dakhi yap
bazy r it guezmèden deun-
dugum guibi parayi vi-
réim.
Pour demander l'hosr'
pitalilé.
Voici une maison Pas-
sez belle apparence; Yo
yons si Von voudra nous
y donner Thospitalité
pour cette nuit.
Frappons, Sonnons.
Qui est là?
Des amis.
Que voulez- vous?
Nous sommes des
voyageurs, nous nous
sommes perdus dans
des chemins de traver- i
iL*j\yà^j\ji
Mausafiréten qalmaq iltr
masyna daSr mukialémé.
Chou évin gueurunu^
chu épéyoudjé guzel, a-
djaba bizi bou guidjô
mousafireten qaboul i-
derlermi.
Qapouyeu tchalalyou
Rimdir ô.
Baqsanyza dostoum.
Né istersiniz.
Bizyoldjouyouz yolou-
moozy ghaîb itdik araba-
myz dakhi chouracyyqdt
se ; notre voiture vient l
de se casser ici près, il
fait un temps affreux ;
nous vous prions* de
vouloir bien nous don-
ner un asile.
Messieurs, soyez les
bien venus ; je suis fâ-
ché du contre-temps
qui vous est arrivé, mais
je ferai en sorte quemon
accueil vous en console.
Nous sommes bien
à. nsibles à votre honnê-
teté ; nous ne saurions
trop vous en témoigner
notre reconnaissance.
Vous devez être fati-
gués^ entrez dans cet ap-
partement pendant que
je vais faire préparer
des lits pour vous rece*
voir, et donner des or-
dres pour que votre voi-
ture soit raccommodée
le plutôt qu'il sera pos-
jjJi^Ujjrw'ii^l iyghounsouz ridja ideriz
bizé bir syghynadjaq yer
guestérin.
r->^
_:ju
«1. jl ÙV>1 o>^
j )X) JK.JLÎ
Efendim khoche guel-
diniz séfa gueldiniz ba-
chynyza guelen qazadan
mukedder oldoum, lakin
ounoutdour magha elden
gueldigui qadar tchaly-
chourym.
Haqymyzda olan beuï-
lé himmet vé mouruwe-
tinizden gbayt memnoun
oldouq bou babdé kémal
mertebé téchékkur ideriz.
Siz yorghoun olmaly-
synyz chimdilzk chou o-
taya bouyouroun yatak-
larinyz hazyr itdiréym
vé arabanyzyn biran ev-
vel taamyr olmasyny ten-
bih idéyim.
Pour s'embarquer.
IjAjALi-»-' ' Sépnéyé rakib olmagha
Où est le capitaine
du vaisseau ?
Monsieur, cest lui
qui a rhonneur de vous
parler.
Vous partez pour les
Indes orientales?
Oui , Monsieur, ma car-
gaison est faite, je n'ai
plus qu un peu de lest
à prendre, et je partirai
au premier vent favora*
ble.
Avez-vous des pas-
sagers ?
J'en ai quantité ; je
n en puis prendre d'à
vantage.
Quel est le prix de la
traversée ?
Deux mille francs.
Cest fort cher.
JlpLj»^
4)1
j-^Jjî^A^jl
joiLi d^^ jol
àdir mukialémé^
Guéminin capoudany
nérédé.
Efendim bendenizim.
Hindistanyn mechriq
taraflériné mi guidejdéc-
siniz.
Ewet efendim yukumu
almychym biraz safra a-
ladjaghym vé ha va mu-
saïd oldoughou guibi ba-
réket idédjéguim.
Yoldjoularynyz varmy
Tchoq yoldjoular var
artyq ziadé alamam.
Yoldjoularyn navly
nekadardyr.
Iki bin franqdyr.
4's^iL \ ^^^ ^'î5û5!^^^^^
— mJi —
vous; n'y a-t-il pas dan» I
le port d'autre navire
en charge ?
Je ne crois pas.
Je serai donc obligé
de passer en Angleter»
re, pour trouver plus
facilement une occasion
favorable.
Le vent fraîchît ; je
mettrai & la voile ce soir.
C'est le mieux; quant
à moi je partirai avec le
paquebot qui part de-
main au soir.
Je vous souhaite un
bon voyage.
Je vous en souhaite
autant
Combien coûte le tra-
jetsurle paquebot poste
Vingt francs.
Je vais retourner à
mon auberge pour faire
apparier mes effets, qui
\
1^ aLLj •jCU* maiida, bachqa youklu
guémi yoqmon.
Olmamaq yuérék.
Bou djihét lé daha qo*
lay boulmaq itchoun In-
guitéraya guitmégué mè-
djbour oladjaghym.
Fyrysqa mskiar tcbyq-
dy bou akhcham yélkén-
léyédjèguim.
Daha éyou olour posta
guémisi yaryn akhcham
guidedjékdir béadé anyn^
lé guidérim.
Allah téyfiq vé séla
met virsun.
Sizédé oughourlar ol-
soun.
Posta guémisinin nav-
ly né qadardyr.
Yirmi franqa dyr,
Chimdi yiné loqan-
tayé guidub écbya-
y\xv^ c^aldyrtmalyim é-
f^4^
f ' -
>)aJf aKI
^.-
'Jiic*^*
l
Oy — J.3
consistent en deux cais-
ses et un porte-man-
teau.
Vous aurez le temps
de diner.
Mon repas ne sera pas
long, je ne mangerai
pas trop.
Donnez^moi votre
adresse, afin que je vous
fasse avertir quand il
sera temps.
• «« «• (
chyam iki sandyq ilé bir
tchantadan ibarétdir.
Taam idébilédjék qa-
dar vaklynyz vardy r.
Taamym tchoq sur«
mez tchoq chéy yéyé-
djék déguilim.
Isminiz ilé iqamét yi«
lédiguiniz yéri bildirin
vaqtynda sizé kbabér
gueundéréyim-
Pendant un voyage
sur mer.
L*air est bien frais; je
crois que je me suis
efiTrhumé.
11 faut avoir soin de
bien vous couvrir; vous
ne sauriez trop vous
garantir de Fhumidité.
J'ai mal aux dents.
Gargarisez -vous avec
de reau*de-vie.
J\ ùé.:;iXy '/j ] ^^*^ yoldjoulughouna
dair mukialémé.
Ruzkiar serin ésséyor
zanidérim névazil ol-
doum.
Ëyou eurtunmégué diq.
qat itmélisiniz vé routou-
betdén gbayet saqynma^
I)i chlerim agbryor
Araq iiéghargbara idîn.
\
ù-i'^
m
Le vent est toujours
contraire.
Je crois que nous al-
lons avoir une tempête.
L'odeur du goudroii
aie fait mal au cœur.
J'ai Te frisson; j'ai mal
à la tête et aux reins; je
me sens une envie con-
tinuelle de vomir.
Lé vent souffle très-
fort, la mer est bien a-
gitée.
La mer est grosse.
Allez- vous hisser la
voile ?
Non, le vent nous est
contraire.
Tant pis ; la traver-
sée sera longue.
Je vais à là chambre;
je ne me sens pas tout-
à-fait à mon aise.
Qu'avez- vous?
J'aurai le ma! de mer
jsi je reste plus Jong-
l5.
i^ôjul
Ruzkiar yiné moukha-
Ghaliba fyrtyna tchy-
qadjaq.
Qatran qoqouçoo you-
réguimi boulandytior.
Ditréyoronm bachym
vé bélim aghryor hémran
qay idédjéguim.
/
Ruzkiar ghayet ché^d
écéyor déniz pek sert*
Déniz sertdir.
Yelken atcbadjaqmy-
synyz.
Kbayit rtizkiar iftou-
khalifdhr.
Bou fena, yol ouzaya-
djaq.
Qàmaràyà inécÇéguimf
rafaatym yoq.
j^'f^i Néiiiz var.
Jj^ J^3- •sf^ Dénizdé tchoq vaqt
y^ 'j^^>6^^ ) ^.\ 5 V^\î\w\ti^\3.t \s€«v déniz
O'^O
umps sur mer.
Quant à moi je ne
suis pas sujet au mal
de mer.
Comment avez-vous,
passé la nuit ?
Assez mal; la machi-
ne ne m'a pas laissé
dormir.
Il fait jour,
pli som^jes-rnpps ?
Nous allons bientôt
apercevoir la côte.
La mer est plus cal-
me.
Le vent est moins
fort qu'il ne Tétait»
Nous allons très-vite;
nous serons bientôt ar«
rivés.
Vous avez raison ,
mais nous somme main-
tenant au milieu de la
mer, et je souffre beau-^
coup.
Ne craignez pas; cela
ne sera rien«
d:
^r
x\
m
béni toutar.
Béni asla déniz tout-
maz.
Bou gaidjé naçylydy -
nyz.
Guérégui guibi rahat-
syzydim Icharkhyn sesin-
den Quyouyanxadym*
Sabah oldou.
Nérédé iz.
Yaqynda qyiyi gueu-
ruruz.
Déniz yatdy.
Ruzkiar dakhi qaldy.
Pek tchapyk guidéyo-
rouz qariben vaçyl olou-
rouz.
Hakynyz var lakin pek
rahatsyz oldoughoum
haldé dénizin ortasynda
boulounouyorou2*
Qorqmayin bîr Q]j^>i
nw —
Je suis si faible, que
.e vais être obligé de
me coucher à plat ven-
tre.
La tempête ne dure-
ra pas long-temps, le
vent s'apaise.
Je suis mieux que je
n'étais tout-à-l'heure.
Le calme va achever
de vous remettre.
rj-^!^' i
Quel spectacle ma-
gnifique que celui du
soleil couchant.
N'est ce pas la terre
que nous voyons là-
bas?
Je crois que oui; nous
arriverons bientôt.
A quelle heure ar-
riverons-nous ?
Je ne peux pas vous
le dire ; cela dépend du
vent
Dans combien de
yjy^ô^'^'^^^^
M t. <X
T
Oldérédjé zayiflyghym
varki youzun qoyou yat-
magha medjbour oladja-
ghym.
Fyrtyna tchoq surmez
ruzkiar qalyor.
Chimdibiraz eyouym,
Déniz limaniandygbyn-
da busbutun eyou olc4ir-
sounuz.
Gunéchin batmasy né
guzel tamachadyr.
Achaghy tarafta gueur-
dugumouz qara déguilmi.
Euilé olmaly qariben
vaçyl olourouz.
Saat qatchda vaçyl o-
lourouz.
Bilmem ruzkiaryn es-
mésiné gueurédir.
vli 5 ; Ji> U Jiû \ T^qjCÎûfâïVXvfe Q^^^X^'WS^
— 347 —
temps à-peu-près ? i
Si le temps continue
être favorable, nous
arrivons dans deux heu-
res.
L'entrée du port est-
elle bonne ?
Elle n*est bonne que
pour les petits vais-
seaux.
' Nous voilà enfin ar-»
rivés; descendons dans
la chaloupe.
Il y a trop de monde
et trop de paquets
dans la chaloupe.
Il faut laisser les pa-
quets dans le vaisseau.
jjyM I surer
m
• ». .
^éyr: '-^^
1
\ « L^' . S
y^
c>r:J
j,\j^ o^r jui
Eguer ruzkiar beuyilé
musaïd olour isé iki saata
qadar yétichuruz.
Limana guirédjék yér
éyoumydyr.
Kutchuk guémilér haq-
qynda éyoudyr.
Ichté vazyl oldouq san-
dala guirélim.
Sandalda tchoq adém
vé tchoq échya var,
Échyayi guémidé braq-
maly.
Pour jouer aux échecs
et aux dames.
A quoi passerons-
nous la soirée ?
Jouons aux échecs.
Avec phîsir^ mais
j^ yT k-J- \ Satrandj vé dama oyoun-
.^ * , , laryna daïr mukialémé.
Bou okhcham naçyl
églénélim.
Satrandî o^K^jv^^^^i^s^-
^^VKÇsRjNS^
^içSSiXSî^
^n^
votis êtes plus fort que
moi
Vous n^aurez pas de
peine à me gagner ; ce
jeu est très-difficile; et
demande une pratique
continuelle.
Voilà Téchiquier.
Quelles pièces vou*
lez- vous? l^s blanches
r
OU les noires ?
Cela m'est indiffé-
la^wœ Je pion ;de
ma dame.
Le pion de mon roi
fail deux places.
Je prends votre fou.
Ma danie est en prise.
A^pus perdiez votre
cavalier.
Mon roî n.a plus q^e
deux places.
Votre dame, ne peut
/^^ 5e sauvçr.
m '
lakin siz béndén éyou oy-
narsynyz.
Béndénizi qolaïdja yé-
nédjéksiniz satrandj pek
gudj bir oyoundour daï-
ma oypaipagha muh-
ladjdjr,
Icbtés^trandj tfikhtisy.
Béyaz tachlarymy i^
t^r^niz ypkh^ ^iyal)la-
ryojy.
Béndénizé mnsavidir,
Fér^in bir pîy^ésî^i
suréyorp4^a^.
Chahymyn piyaidésinï
iki khané iléri &iirdum.
Filinizi aldym.
Férzim toutouldou.
Atynyz ^Idén guidé-
yor.
Chabymyn.yalynyz iki
khanési qualdy.
Férziniz qourtoûlma-
I ■ ^ * ^ ' » . ■ ■
• \
— 3W
. \'
4. 1
Je vous fait écliec et \ ^a ^x^\ Ji-j-Cr. î ^^" '^y^^® '^*^'*'" hém
mat itdinr);.
mat.
trehôîîs le damier.
Jie joue lé premier.
Je vous prends uii
pion.
Vous avez manqué
uîi beau coup.
Je suis à dame.
*e aiîris enfermé*
C'est fini ; vous avez
gagné la partie.
f
" • ••
Damaya bachlayalym,
Bén ilkim, bén oyna*
yadjahhym.
Bir tachynyzy aldym.
Bir guzel oyoun var-
ikén i^ueurémediniz.
AJijjubô' I Bén dama didim.
Toutouldum.
Bou bitdi oyounou siz
aldvnyz.
V V
De la chàfise et
de la p^cke.
Ilyabienlottgteïrips
que nous ne sommes
allés'^^à la chasSe
Profitons de la fraî-
cheur du matin pour
aller visiter la forêt toi-
sme.
Avec plaisir ; k chfts-
se est un des pi u s grands
'A . -ûl-^ <i\ I A^'^hj'lliM ^^^ baîyq tout-
1 àX^-j\ù AJii^l»
métjha duir mUkialémê.
Khayly va(|ldy<' ava
lïuitmédik.
Sal>ëyfif ^éfîïilï^uindé
djHàrdaf olan ofmàna
guidélim.
Mémnoun olodrôùm,
avdivl^jq^ t^^^N^N^^ <^^5w'i^^^-
/
agréments de la cam-
pagne.
Je crains beaucoup
que nous ne rappor-
tions pas grand chose ;
car nous sommes Tun
et l'autre d'assez mau-
vais chasseurs.
Peu importe ; cet
exercice nous donnera
de l'appétit, et nous
reviendrons pour l'heu-
re du déjeûner.
Voici des fusils à
deux coups, de la pou-
dre et du plomb.
Chargeons nos fusils.
Nous avons oublié
la bourre.
11 a-t-il beaucoup de
gibier dans la forêt ?
Tirez sur cette com-
pagnie de perdrix.
Je n'ai rien tué; mon
fusil a raté.
jC/Ui l^j j 1 qli ehéilérifidén biridir.
;-^_j:
(3*^-^ A*ui
^j^3
Qorqarym tchoqchéy
ouramayadjaghyz tchoun-
ki ikimizdé éyou avdjy
déguiliz.
Béïs yok yol yourumék
ichtihamyzy atchar qah-
vé alty vaqty avdét idé-
riz.
Ichté bir qatche dané
tchifté tufénk ilé barout
vé qourchoun.
Tufénklérimizi toldou-
ralym.
Syqy almagha ounout-
douq.
Ormanda tchoq av
varmy.
Chou kékiik surusumé
bir tufénk at.
Bir dané bile ourama^
dym toufénkim atéçhe
OOL
Voyez ce lièvre que
le chien vient de faire
lever.
Je rajuste.
Vous ne l'avez pas
manqué ; vous lavez
étendu roide mort.
Vous êtes meilleur
tireur que moi.
C'est un coup de ha-
sard.
Il fait déjà très-chaud.
Allons déjeûner, en-
suite nous irons à la
pêche.
Où pêcherons-nous?
dans l'étang ou dans la
rivière ?
L'étang est Irès-poîs-
sonneux;nous pourrons
y pêcher à la ligne.
Gomme il vous plai-
ra.
Voici des hameçons
de plusieurs espèces»
et des vers pour servir
dapfAl
^U At Uw' «i» 4a«<
Tazynyn qualdyrdy-
ghy chou tavchana baq.
Âna nychan alyoroum.
Bocha atmadynyz tav-
chan ourouloub duchdu.
Siz béndén éyou ny-
han alyorsounoz.
Raste gueldi.
jJuXf
«
Sydjaq basty.
Guidélim qahvé alty
idélim badéhou balyq
avyna guidélin.
Balyghy nérdé avla-
yalym gueuldémi yokhsa
tchaîdamy..
Gueuldé balyq tchoq.
dour oita ilé avlamaq
mumkindir.
Nazyl istérséniz euïlé
idériz
Ichté durlu durlu olta
ignêléri ilc yécxv \^sJ«jss:i?ïw
Vei
/
JLe poisson est affa-
mé, et mort bien à^
fhameçon.
J'ai péché nn bro-
chet et deux carpes.
Nous sommes plus
adroits à la pèche qu'à
la chasse*
~ «52 —
Balyqlar adj ignéyi
qapyorlar.
Bir tourna balyghy lié
iki sazan balyghy tout-
doum.
Balyq avdjylyghynda
méharétimiz tufénk av-
djylyghyndan ziyadé i*
miche.
Pour nager*
Allons nager.
' Dans qnel endroit
irons-nous ?
Bans la rivière.
Vous ne craignez
donc pas de vous no-
yer ? la rivière est pres-
que partout très*pro-
fonde, et dans quelques
endroit remplie de sa-
ble.
Cela ne me fait pas
peur ; je nage corame
vn poisson.
Yuzmégué daïr mu-
kialémé.
Yottzmégué gaidélim.
Néréyé guidélim.
■
Tchaya guidélim.
Qorqmazmysynyz a-
dém téléf olour déyou»
néhrin éksér mahalléri
pék dérindir vé bazy
yérindédé tchoq qoum
var.
Bén qorqmam balyk
guibi yuzérim*
\
^jn9*jf
Je nage sur le ven-
tre , et sur le dos.
Je sais aussi pion- '
ger.
Je ne suis pas aussi
habile que vous ; je ne
fait que commencer.
L'année prochaine
vous en saurez autant
que moi.
Rien n'est plus aisé
que de nager, il ne s'a-
git que de n'avoir pas
peur,
Ârrétons-nous dans
cet endroit, il n'y a pas
trop de profondeur, et
le fond est de cailloux.
On respire ici une
fraîcheur délicieuse.
Attendons un ins-
tant avant de nous
mettre dans Teau, afin
de ne pas faire rentrer
la sueur.
Bén hém youzun qo-
you vé hém arqa austu-
né uzérim.
Talmasyny dakhi bi-
lurym.
Sizin kadar mébarétim
yoqdour bén yénî ba-
chladym.
Guéléc^ek séné siz da-
khi bénim qadar méha*
rét késb itmiche olour-
sounouz.
Youzmék pék qolay
chéy^dir choukaidar ki
korqmamaly.
Chouradjyda égulénê-
lim bourasy pék dérin
déguil, vé alty tchaqyl
tachydyr.
Bourada latif bir serin-
lik var.
Souya jguîrraezden bi-
raz bekléyélin> terimiz
alychsun.
i
Déshabillons-nous ?
^^.r^
Soyounalymmy.
L'eau est excellente,
elle est très- chaude.
•
Sou pék éyou ghayét
sydjaqdyr.
II est plus agréable
de se baigner en plei-
Souya guirmék fytchya
guirmékdén éyoudyr.
ne eau que dans une
j^y}
■
baignoire.
Oui, dans Tété; mais
j-ij'j ÙL j^ *jy
Evvet yazyn éyoudyr
en hiver, ou quand on
•^-j^'^^
andjaq qyche haqqynda
est malade, on est bien
■ .jdUdil^:-^j
vé khastalyk halindé fyt-
aise de prendre un bain
dans une baignoire.
jjj.ldv^4j^
chya guirmék éyoudyr.
Le temps se couvre.
Le vent augmente
Hava qararyor.
Ruzkiar artdy serin
et 'se rafraîchit; il éclai-
re, je crois que nous
éséyor vé chimchek tcha
qyor ghaliba bora tchy-
allons avoir deJF orage.
qadjaq.
Voyez les tourbillons
^0 •
Baqyn chou qasjrrgha-
de poussière ; il com-
mence à tonner.
Sortons de l'eau au
lara tozlary kaldyryor
gueuk gurlémégué bach-
lady,
Soudan tchapyktchy-
plus vite.
?\->:
qalym.
Of90 —
^
De la promenade. AH^^baC^T
Voici une belle jour-
née.
Allons prendre lair.
Allons faire un tour.
Allons nous prome-
ner dans le parc ; delà
nous passerons la ri-
vière, et nous irons dans
les prairies qui sont sur
la rive opposée.
Les arbres sont bien
venus, ils forment un
berceau impénétrable
aux rayons du soleil.
Nous sommes au
bord de la rivière ; re-
posons-nous ici.
Je suis déjà las, je
marche difficilement
Le rossignol com-
mence à se faire enten-
dre.
s\
Wy^ J3/0jJjî
>jS^
,jS
•JibO o^^c^A p^~^
Guezmégué daïr
mukialémé.
Bou gun guzel ha va
var,
Guidelym biraz hava
alalym.
Guidelym biraz tola-
chalym.
Guidelym mesirékiah-
dé guezinélim vé anden
nehri guétchup qarchou
kyidaki tchayirlara gui-
delim.
Aghatchlar éyou gué-
lichmich bir qamaryé ha-
çyl olmouchki chemsin
ziyaçy téésir idéméz*
Nehrin sahilindéiz bou-
rada biraz istirahat i-
delim.
Ben yorouldoum gudj
ilé yuruyé bilioroum.
BuibuUer eutmegué
bachlady.
Traversons la rivière.
Voyez plus loin ces
champs ensemencés et
ces vignes.
Les blés ont une bel-
le apparence.
n y a lieu d'espé-
rer que la récolte sera
belle.
Quittons la prairie ;
il y règne une trop
grande humité.
Repassons la rivière ;
nous terminerons la
promenade en visitant
le potager.
Vos arbres fruitiers
promettent beaucoup*
Vos légumes ont be-
soin d'être arrosés.
N'allez pas si vite ;
allez plus lentement
Examinons un peu
la beauté ^de ce par-
terre
\ t - •• «
. \
Tchayin o bir tarafyna
guétchélim.
Chou ouzaqdaki ékin
élcilmiche tarlalara vé ba-
ghlara baqyn.
Boughdaylar éyou
gueurounuyor.
Mahszoulatyn éyou ol*
masy mémouldour.
Tchayinlan tebyqalym
gfaayét routoubét van
Tchaydan yiné guet-
chélim vé bostana aughra-
dyqidan sonra guézmé-
mizé khitam virélim.
Aghatcharynyz éyou
méyvé virédjék,
Sébzévatynyz soulan-
maq istér.
Pék tchapyk yurumé-
yin aghyr guidin.
Chou tchitchék bagh-
tchésini bir az séïr idé-
— 357 —
Voyez qudle est la
frsUcheur de cette rose
nouvellement épanouie.
CueilloBS-la.
Ce serait domma^
de la cueillir, elle ae
tardera pas à se flétrir.
Je voudrais pourtant
bien vous donner un
bouquet
Prenez da jasnûn,
des tulipet et dautres
fleurs.
Que dites^vous de ce
jardin ?
U est bien tenu, et
fait honneur à votre
goût.
Chou yéni atchykny-
che ghontchénin téravé-
tiné baqyn.
Qoparalim.
Yazyq olour tchot sur-
méz solar;
Sizé bir démet tchit«
chék virtnék istérim.
Yasémidén lalédén
vé 8a!r tchîtchéklérdén
qoparyn.
Bou baghtcheyé né dér •
siniz.
Yiizél baqylmycbe ta*
biat sabibi oldoughou-
nouza délalét idéyor.
Ze printemps.
Je crois que nous
sommes enfin quittes
de» l'hiver.
Cela n'est pas bien
Al\^^b «jl/: ij^^
Evvel bahara daïr
mukialémé.
Zanym artyq qychdan
qourtouldouq.
— 35« —
sûr, il fait encore froid
le matin et le soir.
La terre n'est pas
encore échaufée.
Il est vrai que s'il
fait pendant quatre ou
cinq jours aussi chaud
qu'aujourd'hui, et qu'il
tombe ensuite un peu
d'eau, on , ne tardera
pas à s'apercevoir 4^
changement
Les pêchers, les a-
mandiers et les abri-
cotiers sopt en pleine
fleur.
Les boutons des ar-
bres commencent à
s'entre-ouvrir, la feuil-
le n'attend que le mo-
ment de sortir de son
enveloppe.
Le jardinier travaille
dans le jardin, il a l'air
fort occupé.
tlj>:\i\
sabahlary vé akhchamia-
ry hala soghouq olouyor«
Toprakq hénouz ys-
ynmady.
Vakaa bou yunki gui-
bi deurt bêche gun daha
sydjaq olourda biraz ra-
hmet duchérisé ortalyq
bacbqa sùrét kesb idé-
djékdir yaqynda.
Chéftalu vé badém vé
qaysy aghadjiary tolou
tchitchekdir.
Aghadjlaryn tomour-
djouklary atchylmagha
bachlady yapraqlary he-
man oudj gueusteredjek.
dir«
Baghtchéban bagh tché-
dé tchalychyor tchoq ichi
var guibi gueurunuyor.
\
^IdU
Allons voir ce qu'il
fait, nous visiterons en
même temps le par-
terre, et nous tâche-
rons de composer un
bouquet de fleurs de
la saison.
Que faites- vous là ?
Je fais des semis et
je plante des boutures.
Vous avez là de bel-
les jacinthes , des jon-
quilles et des violettes
doubles.
Ce sont les premiè«
res fleurs de l'année;
nous serons bientôt
plus riches.
Les arbres ont une
belle apparence ; s'il ne
vient pas de vent froid,
il y aura beaucoup de
fruits.
Le vent s élève; le
ciel commence à se cou-
vrir de nuages.
j^^jL^ililpOjp Guideikn b'aqalym' né
^^-. a£:1 ili^j yapyor vé tchitchék ba-
f^Y^ ipjil f,^ ' ghtchesini séir idelim vé
J>*jy ùJCfl$^?r mevsim tchitcheklerin-
1^1, den bir démet yapalym.
Né yapyorsoun orada.
Boudayoroum vé biraz
fldan dikioroum.
Guzel sunbullerin vé
foullarin vé qatmer be-
néfchélérin var.
Bounlar en e wel atchan
tchitcheklerdir boundan
sonra daha Ichoq tchi-
tcheklerimiz olour,
Aghadjlar eyou gueu-
runuyor eguer soghouq
ruzkiar esmez isé tchoq
meyvé oladjakdyr,
Ruzkiar tchiqayor ba-
va bouloullanyor.
\
\^
awv
n fait très-grand vent
Le temps se refroidit,
nous ferons bien de nous
rapprocher de la mai-
son pour pouvoir nous
mettre à couvert au
besoin.
Ruzkiar pdk cbedid.
Hava soghoudy evé
yaqyn guitsekeyou olour
iqtiza idérisé tchaty al-
tynda boulounalym.
Véié.
Voulez- vous que nous
allions nous promener
avant le déjeûner ?
Jeté Teux bien, j'étais
sur le point de vous le
proposer.
De quel côté irons-
nous?
Nous pouvons aller
voir les moissonneurs
qui sont dans le champs
auprès de la grande
route.
Quoi, la moisson est
déjà commencée ?
^1 oU> «x}
\t^P^\^\jo\
Mevsimi séifé daïr
mukialémé.
I Oahvé alty itmezden
guezmégué tchyqmagha
iqbaliniz varmy.
Eyou olour bendeniz-
déisizé teklif idedjek îdîm.
Qanghy tarafâ guidélim.
Djaddé yoloun yanyn-
daki méidanda boulou*
nan oraqdjylary séyir i-
délim.
Oraq bachladymy ya.
\
La moisson du blé ne f
l'est pas encore , mais
celle da seigle est très*
avancée.
Il m*a semblé que la
récolte promettait beau-
coup.
Vous ne vous êtes pas
trompé, l'année sera
très -bonne.
Regardez ces épis
comme ils sont gros et
bien remplis.
Les xnoissonneurs tra-
vaillentavec beaucoup
d'activité.
Asseyons-nous ici ,
pour jouir du spectacle
qui s offre à notre vue,
La chaleur est très-
grande, il ne fait pas le
moindre air.
Je plains l'homme
de la campagne, il doit
biea souffrir pendant
les travaux*
— 861 —
y\jJ\ji
«ÂJl
Boughdayinki daha bach
lamady àmma- tchavda*
rynki bachlayaty khayly
oldou. -
Mafasoul bol oladjaq
déyou memoul iderïdim.
Memoulounuz guibidir
bou séné pek berekétfi
oladjakdyr.
Bou bachaqlara baqyn
naçyl iri vé doighoundour
Oraqdjylar eyou tcha-
lychyorlar.
Chouradjikda otoura-
lym séir idelim.
Sydjaq pek tchoqhitch
ruzkiar dakhi yoq.
Keuyluleré adjyrynt
iche vaqty pek zahmet
tcbekerler.
\
'40r4 —
11 va bienlôt les in«
ter rompre, pour ne les
reprendre que lorsque
la chaleur sera moins
forte.
Ce sera alors qu'il
souffrira le plus; car
la terre, brûlée pen-
dant quelques heures
«par les rayons du soleil,
répandra une chaleur
insupportable.
11 est temps d'aller
déjeûner; retournons-
nous en par le chemin
couvert qui borde la
prairie.
Ce chemin est fort
agréable , les grands
arbres Tombragent.
On respire une frai-
cheur délicieuse.
11 me tarde que la
moison soit finie ; je
voudrais faire un vo-
yi]ge dans les pays du
Nord
«JUJJ^ f,KM ft.ij Up Jf»
Paydos itmelertné az
qaldy sydjaq biraz teskin
oldouqdan sonra yiné
bachlarlar.
vaqyt daha tcfaoq
2ahmet tchekerler zira
yerler gunéchin ziyasy*
ny bir qatche saat qadar
gueurdukden sonra ta-
hammul olounmaz déré-
djédé sydjaqlyq virir.
Qahvé alty. vaqtydyr
tchayryn kenarynda olan
oustu qapalou yoldan
avdet idelim.
Bou yol pek latifdir
beuyuk aghadjiar keur-
gué viriyor.
Bir tatly sérînlik tou-
youlouyor.
Kharmanyn bir an ev-
vel qalqmasyny bekléyo-
ronm memaliki charkiyé
tarafyna siyahet idedjé-
Jai envie de irîàiter
r Allemagne, la Polo-
gne, la Russie, et de
revenir par l'Angle-
terre.
Ce voyage sera fort
agréable.
Si vous voulez être
de la partie, nous voya-
gerons ensemble.
J'accepte volontiers ;
vous n'aurez qu'à me
prévenir quinze jours
avant 1' époque que
vous aurez fixée pour
votre départ.
— 8183 —
f>jx\ J^ Uyr
'Ayj /:>■ ^^ ô^
K
Almanya vé Postekiz
vé Rousiyayi guezoub
anden Inguilteraya azi-
metlé bou tarafé avdet
itmek istérim.
Pek ala bir y'oldjoulouq
olour.
Eguer beraber guelmek
isterseniz barifané ilé yoU
djoulouk idelim. »
Memnounen qabqul
iderim andjalc guidedjé*
guiniz gunden on becbe
gun ewel haber vérin.
L'automne.
Voilà une belle
journée d'automne, le
brouillard se dissipe,
et le soleil ne tardera
pas à paraître.
J\ù ojlf^ li^^ I Son bahra daïr mukialémé
air-
j\j 5-^LajI^ bahar havaçy var duman
j^liltvJ^J .daghylyor chymdi guné-
j^^^/^Jic^ che tchyqar.
— 9n%
Rien de plus agré*
abie que la promenade
dans cette saison ; il
ne fait ni trop chaud
ni trop froid.
La verdure n* est
peut être pas aussi belle
que dans le printemps,
mais des fruits sont
prêts d'arriver à leur
maturité.
On est en pleine
vendange*
Rien n'est plus gai
quç le vignoble dans
ce moment-ci.
On vendange au-
jourd'hui dans la pièce
de vigne qui est sur
ce coteau au bord de
la rivière.
Cette situation est
très-&vorable à la cul*
ture de la vigne, vous
devez récolter du vin
excellent.
m
»-k;D lUf^ û/j;
Rou mevsimdé guezoub
yuromek guiçi eyou chey
olmaiy né ziyadé sydjaq
vé né ziadé soghouk var.
Tchayiriarewel bahar-
da oldougbou qadar latif
déguilisédé méivélerin oU
masy yaqyndyr.
Tamam bagh bozou-
mou vaqtydyr.
Rou vaqylda bagh gul-
bi zevqli chey olmaz.
Rou gun nehrin kena-
rynda olan chou bayryo:
oustundéki baghy boza-
yorlar,
Rou mevqy bagh haq*
qynda pek musaïddir
boundan ala cbarab aima*
lysynyz.
WV
Il parait que là fé-
colte «era très-fon-
dante cette année; la
vin sera aussi trës^bon
Voilà une pièce de
vignes qui n'est pas
encore vendangée*
On porte le raisin
sur le pressoir.
Il y a tant de fruits
qu'on voit à peine les
feuilles.
C'est du raisin blanc ;
la récolte s'wt fiât plus
tard.
Bou séné mahsoul e«
you oladjaq guibi gueu-
rnnuyor badé dakhi pek
ala oladjaqdyr.
Chou bagh bénouz bo-
zoulmamycbe.
Ouzumleri djenderéyé
gueuturuorlar.
Olqadar méyvé var ki
yapraqlar gudj ilé gueu-
runuor.
Bou beyaz uzunidur
daha guedj késerlen
L hiver.
Bon jour, mon ami;
comment vous gardez
le coin de feu pendant
qu'il ùàt un si beau-
temps? #
Je crois que c'est la
meilleure place qu'on
puisse occuper enhiver.
dUil j^ ••>!>*
Eyamy chytayé daïr
mukiulcmé.
Sabahiar khayr oisouli
dostoum beoilé guzel ha-
vada naçyl atechin ya-
nyndan aytylmayorsou-
nouz.
Zan iderim ki qychyn
boundan eyon yet olmaz.
J'en conviens ; mais
quand le soleil parait,
il n'y a pas de mal à
prendre de l'excercrce.
Je venais vous pro-
poser une partie de
promenade en traîneau
sur le canal.
Je me ferai un plaisir
de vous accompagner,
pourvu que la prome-
nade ne soit pas trop
longue.
Nous ne restons qu'*
autant que vous vou-
drez.
A vous voir, on croi-
rait quil ne fait pas
froid; vous n'êles pres-
que pas couvert.
Je ne suis jamais
plus couvert que cela;
je ne puis pas endurer
sur moi une grande
çuanUté de vêtement.
jSCijj4|>jiU3 3 I Vaqaa beuilédir lakîn
Jj jjj ( ^^ I guneche oldoughou vaqt
,3^ aSC^^j gueimégué tchyqmaq fé-
na olmaz.
Guidub khalidj ouzé«
rîndé qyzaqlé qayalym
I déyou sizéteklifégueldim
.^
Siziéré memnounen ri-
faqetiderim chouqadarki
ouzoun ouzadya gaezin-
mek olmasyn.
Né qadar isterséniz ol-
qadar guezeriz.
Sizi gueuren soghouq
yoq zan ider heman syr-
tynyzda hitche esvab yoq
guibidir.
Benim bondan ziyadé
guiyindiguim olmaz euilé
bir taqym roubalary ta-
chymaghy yapamam.
dO#
Je suis de même que [
vous dans la chambre ;
mais au de hors je me
garantis du froid avec
soin.
Je ne sens jamais le
froid quand je marches
et quand je vais en
voiture, je m*enveIoppe
de la tête aux pieds.
Je suis prêt, nous
pouvons partir quand
vous voudrez.
Il doit y avoir bien
du monde à patiner;
ne seriez vous pas tenté
d*en essayer?
Je n' aime pas cet
exercice , on ne s'ex-
pose à rien moins qu'à
se fendre la tète a cha-
que instant
Je commence à avoir
froid.
u
Otada oldougoumvaqt
bendéniz dakbisizinguibi-
ym lakin soqagha tcbyq-
dyghymda soghouqdan
kendimi eyoudjé hyvz i-
dérim.
• " •
> I •
• •
Yurudukum vaqt asia
soghouq touymam ara-
bailé guezdiguim haldé
dé tépeden tyrnagha qa-
dar eurtunurum.
Hazyrym né vaqyt is-
terséniz guidelim.
Qyzaq ilé qayanlar
tchoq ohnaly sizdé qay-
mazmysynyz.
Boundan haz itmem
bâche yarylmaq téhli-
keçi eksik deguildir.
^S^l èCyl-^\
Ouchumegué bachla-
^
— 990 —
Pour louer ou acheter 3I 4!»^ j^i ••Jt» S
une moûon d^ cam-
pagne.
Monsieur, vous avez
fait annoncer une mai-
son de campagne à
louer ou à vendrci vou-
driez-vous me donner
des renseignements à
son sujet pour que je
voie si elle me convien-
dra ou non.
Elle est située à trois
lieues de la ville.
Le chemin qui y
conduit est-il beau?
Oui, monteur,
Est-il facile d'avoir
toujours du pain frais
et de la viande de bou*
chérie ?
On peut se procurer
o V ^. H^-
Kmydéidjarilé evtoutma-^
gha yakhod ev satyn al^
magha daïr mukialémé.
Efendim guerek idjar
ilé vé guerek satylyq o-
laraq keuidé bir kbané
oldoughounou ilam itdir-
michsiniz benenizé elve-
r
ricWi oloub olmadyghy-
ny anlamaq itchun bouna
daïr malumaty lazîméyï
ichar iylemenizi ridja i*-
derim.
\
Ghehirden utche saat
musafededir.
Yolou eyoumydyr.
Ew^et efendim*
Andé hergun tazâ et
vé etmek boulounour*
mou.
Bir tcharyek ouzaq o-
— 309
tout espèce de denrées
aa village voisin, qui
n'est éloigné que d'un
quart de lieue. l
Les environs sont-ils
agréables ?
Le voisinage est rem-
pli de maisons de cam--
pagne et de belles pro-
menades.
Nous pouvons pren-
dre un jour pour y aU
1er ensemble et conve-
nir du prix.
Je serai à votre dis-
position samedi pro*
chain ; que si alors il
fait mauvais tempA ,
nous fixerons un au--
tre jour.
Attendez- ihoi 9 s'il
vous platt, jusqu'à dix
heures; je viendrai vous
chercher avec ma voi«
ture.
lan qassabada her durlu
yeyedjek bottlounour.
JJ^* Mh**" '^jfj.
Etraf vé djivary gu-
zelmidir.
Etrafynda vafîr keuy
evlerivé guzel seyir yer-
lerivardyr.
Isterséniz bir gun bir-
likdé guider bahasyny qat
ideriz.
Gueledjék djuma erté«
si gununé ben bazyrym
lakin bava fena oloursa
bacbqa bir gun tayin i-
deriz.
Kerem idin saat ona
qadar béni bekléin arâba
ilé guelur sizi alyrym. ''
\
«>#u
Pour acheter un
cheval.
Monsieur, avez-vous
des chevaux à vendre ?
Oui , Monsieur , j'en
ai plusieurs de races dif- 1
fàrentes.
Je ne veux pas un
cheval de luxe«
JTai aussi des chevaux
communs.
Un de ceux*là me
conviendra mieux.
Voulez-vous un che-
val hongre ou une ju-
ment ?
Non , je préférerais
une cheval entier.
Je vais vous en mon-
trer un qui fera bien vo-
tre affaire ; il est dans
cette écurie; je vais
vous l'amener sellé et
bridé , pour que vous
l'essayiez.
Barguir satoun almc^ha
daîr mukialémé.
'\J
Agha satylyq atlarynyz
varmy.
Ewet efendim bendé
bir qatch djins vardyr.
Âlayiche itchoun hay-
van istemem.
Adi hayvanlarym da-
khi vardyr.
Anlerden birisi be-
nim ichimé elverir.
Barguirmi yokhsa qys-
raqmy istersiniz.
c^J d»- *i^
Khayir at olsa daha
eyou olour.
Sizé ichinizé gueledjek
bir at gueustereyim chou
akhyrdadyr eguerlni vé
dizguinini ouroub sizé
gueturejim binin tedjru-
bé idin.
— 371 -
Je peux entrer avec fj^\>^j^j}j^^'^.
vous, je verrai com-
ment il se tient à Té^
curie.
Il a l'air bien fatigué.
Il a la tête basse.
Il est maigre.
Il se tient mal sur ses
jambes.
n est gris ; cette cou-
leur ne me plaît pas
beaucoup.
En voici un noir qui
vous conviendra peut-
être mieux.
Il me semble de meil-
leure apparence.
C'est un très-beau
cheval.
Voyons-le de près;
sortez-le de Técurie.
Il a les jambes gros-
ses.
A-t-il 1« pied sûr ?
♦ «
y vl»l j^ \ij^ Ali*!
y\ 1^3 •y^ SJ^^
» • • I
jjullS0£;UUî
Bendé beraber guelu-
rym bakouam akhourda
nasyl tourouyor.
Pek yorghoun gueuru-
nuor.
Bachyny acbaghy tou-
tayor.
Zaboundour.
Ayaq ustundé eyou
douramayor.
Qyrdyr bou tonda ha-
yvandan pek khochlan-
mam.
Ichté bir yagbyz at»
bou belki sizé daha eyou
guélour.
Bounoun gueurunuchu
daha eyou.
Pek ala hayvandyr,
Yaqyndan baqalym a-
kheurdan tchyqar.
Badjaqlary qalyndyr.
^>0j^ ^V>V \ M^^Wi ^^X«^^V5B».^
Of«
Oui. Monsieur ; il ne
bronche pas.
Voyez sa queue, sa
crinière
Comme il dresse les
oreilles.
Je vais le monter*
Il ne va pas bien au
galop.
Il a le pas un peu
lourd.
II parait qu'il est om-
hrageux.
Je vous demande par-
don y il est très-bien
dressé ; vous pouvez en
faire 1 épreuve.
Je vous le garantis
sans défaut.
Dans ce cas, je pour*
rai m*en arranger, si
vous êtes raisonnable
pour le prix.
Combien voulez-vous
iç vendre?
Je veux^en avoir six
c&at3 francs.
'm
6i'>vl»
Ewet efendim hilcb
surtcbmez.
Qouyroughouna vé yé-
lésiné baqyn.
Nasyl qoulaqlaryny di-
kiyor.
Binéyim.
Deurtnal guidichi eyou
déguiL
Yuruyuchu blraz a-
ghyrdyr.
Ourkek gueurunayor*
Afv idersiniz efendiai
bou pek talimlu atdyr
istérséniz sizdé tédjrubé
bouyouryn.
Hitche bir euzru oV
madyghyna zaminim.
Bou surétdé éguér ba-
hasyny ouydouroursanyz
icbimé guélur.
Bou hayvana né isté-
orsounouz.
Alty yuz franq.
— 373
C'est trop cher ; je ne \
TOUS en donnerai que
cinq cents francs.
Je ne peux pas tous
arranger à ce prix.
Je ne veux pas y met»
tre davantage; mais si je
suis contens, ce ne sera
pas la dernière affaire
que nous ferons en-
semble.
Taûrai besoin dans
quelque temps pour le
carosse de deux beaux
cheveaux appariés.
A cette condition ,
je consens à ne gagner
avec vous que très-peu
de chose sur le pre-
mier marché.
De quelle couleur
voulez-vous avoir vos
cheveaux de carosse?
La couleur ne me
fiait rien, pourvu qa*ils
Mieot bien appariés et
*
•
Vek bahalou bêche juz
franqdan ziyadé virmém.
Bou bahaya virémém*
Bendé ziyadé virmém
lakin khochnoud olour-
sam iléroudé daha ba-*
chqa alyche viriche i-
dériz.
Bir éyamdén sonra fay-
ton itchoun bir tchift ala
bai^iré muhtadj oiadja*
ghym.
4
Euîlé isé bou ilk ba^
zarlyqda pek az qazandja
qanaat idérim.
Fayton barguirlérini né
tonda istérsiniz
Tonou né oloursa ol-
souB béis yoq chouqa*-
UfV
bien dressés.
Si je trouve ce qui
vous convient, je vous
en préviendrai.
Vous me ferez plaisir
né écheoloubtaUmlou ol**
maly.
Ichinizé élvérédjék bir
chéy boulourisém khabir
véririncL
Mahzouz olouroum.
Pour acheter une
voiture.
Je voudrais acheter
une belle voiture.
Voulez - vous Une
chaise de poste.
Je voudrais avoir une
voiture de voyage bien
légère.
En voici une bien
solide et dune jolie
forme qui vous con-
viendra parfaitement*
Elle me parait bien
basse.
C'est la dernière mode
d'aillears, cela fait qu'
^lO^Jai Sj/j.
^J^\
Bir fayton almagha
daïr mukialémé.
Bir guzél fayton almaq
istérim.
Posta arabasy alour-
mou.
Istédikimbirkhafifyol
arabasydyr.
Ichté sîzé qavi vé résmi
guzél bir araba, tamam
sizin khardjynyzdyr.
Pek altchaq gueuru-
nuon
Son modadyr hémdé
^V^vmouudévrilmék téhli-
«lie est moins sujette
à verser.
Ouvrez la portière,
que je la regarde en
iiedans.
Combien voulez«vous
la vendre ?
Je ne peux pas la
donner à moins de ce
prix.
C'est extrêment cher;
je ne veux pas y mettre
un prix aussi élevé.
Il vous sera impos-
sible d'en trouver une
semblable à ce prix.
Vous voyez que les
roues sont dans le
meilleur état et l'inté-
rieur est absolument
neuf.
Il faudra repeindre
la caisse; je n'aime pas
cette couleur*
Je vous la peindrai
au vert
J^y^ I5-- ^^^ I '^ési azdyr.
r^[y ^r^.
Qapousouny atche it-
cbini gueuréim.
Bou arabaya né istéyor-
sounouz.
Bou bahadannoqsany-
na virémém.
Pék fahichdir bouna
bouqadar para virémém.
Bou bahaya bounoun
guibicini boulamazsynyz.
Tékérlékléri ala vé it-
chérisi busbutun yéni ol-
doughounu gueuruyor
sounouz.
Sandyghyny boyatma*
ly bouréngui khochlan-
mam.
Yéchiél boyadyrym.
>A
Pour huer une cocher.
JbAi/^i^4j^j, I flfr arahidjy iotOmagha
Savez-voas bien con-
duire Ie5i chevaux ?
Oui, monsieur, il y
a vingt ans que je suis
domestique et mes maî-
tres ont toujours été
€OBtens de mes services.
0««1 î^ge avez-vous ?
J'ai quarante ans.
Etes-vous marié.
Oui, monsieur.
Voire femme a-t-elle
u^ état?
Oui, monrieur, elle
tient une boutique.
Avez-vous beaucoup
d'enfants ?
Nen, Monsieur ; je
n'ai quun garçon qui
a douze ans, et que je
voudrais bien placer»
Sait^il lire?
^. '^-} ^ -^i
,^**jiii#l gis
daïr mukialémé.
Fayton bargoîrl^ni
kouUanmaq bilurmysy-
nyz.
Éwét éféndim, yirmi
sénédir khydmét îdiyo-
roum vé khydmét îtdi-
guim éféndilérim khyd-
métimdén khochnoud
dourlar«
Qatche yachyndasyn.
Qyrq yachyndayim.
Evilimisin.
Ewét éféndim.
Eyalin bir khydmétdé
mi.
Éwétéféndim,bir duk-
kian atchmychdyr.
Tcboq évladyn varmy.
Khayïr éféndim yaly-
nyzon îki yachynda bîr
oghloum varbiréyou yé-
ré qomaq isterîm.
Oci^umaq biluniiy* •
— ôIl —
Oui, monsieur, il a
beaucoup dlntelligeiice.
Je le prendrai aussi
à mon service*
Combien demandez*
vous de gages pour
vous et pour votre fils ?
Je voudrais trds
francs par jour.
Je vous donnerai
deui francs pour vous
et votre fib.
Si je suis satisfait de
vos services, je vous
promets, outre vos ga-
ges, une bonne grati-
fication.
Évvét éféndim pek di-
ray^tlidir.
Any dakhi khydméti-
mé alourym.
Kendinlé oghiouna u*
djret né isterain.
Gundé outche franq is-
térim.
Sana vé oghiouna gun-
dé iki franq viréim.
Eguér khochnoud o-
loursam udjretindén bac-
Iika boldja bakhchiche
dakhi viririm.
I
Pow huer
uni domestique,
Monsieur, on m' a
dit que vous aviez be-
soin d'un domestique
C'est vrai; qui vous
a adressé à moi?
as:.
(^->^.
oj
\
vS^j^jT
Khydmélkiar toufma*
g/m dtiSr rnukialémé.
Éféndin sizé bir kbyd-
métkiar lazym ymyche.
Éwét sabihdir 9éni Ji^ini
gaeundérdi«
— 378
C'est Monsieur Jean
à qui j'ai été recom-
mandé.
Sur sa recommanda*
tion je n'hésiterai point
à vous prendre à mon
service.
Avez- vous déjà vo-
yagé ?
Oui, monsieur, j'ai
voyagé en Russie , en
Allemagne, en Angle-
terre , en Italie . en
Espagne et eu Por-
tugal.
De quel pays êtes-
vous?
Je suis Allemand.
Quel âge avez-vous?
J'ai trente-six ans.
Y a-til long-temps
que vous êtes en
France ?
11 y a deux mois.
Sàvez-voos faire le
/service de la chambre?
m 9\ •
IdiiCir
^>X»AMàjf
Béni Monson Jana tav*
siyé itmicbléridi o gueun*
dérdl
tavsiyé itdikden son-
ra séni khy dmétimé aima-
gha térréddud itmém.
Yoldjoulouq itdiguin
varmy.^
Éwét éféndim rousya
vé almanya vé inguiltéra
vé italya vé yspanya vé
portékizé guiddim.
Mémlékétin nérésidir«
Almanyalouim.
Qatche yachyndasyn.
Otouz alty yacbyndayim.
Fransaya guéléli tchoq
vaqt aldoumou.
Iki ay oldou.
Oda khydmétini bilur*
379
Oui, monsieur ; je
sais aussi soigner un
cheval et conduire la
voilure.
Savez -vous écrire ?
Oui , monsieur ; je
puis aussi me faire en-
tendre dans plusieurs
langues.
C'est bon, vous pour-
rez m'êlre très -utile
dans les différens vo*
yages que je suis sur
le point d'entrepren-
dre.
Je connais aussi très-
bien les monnaies, le
poids et les mesures
des pays que j'ai par-
courus.
Vous serez chargé
de la dépense ; mais
je vous préviens que
je ne veux point de
longs mémoires; vous
rV:^
sjr<k3j\
Éwét éféndim barguî-
rédébaqarym. arabadjy-
lyqda bilurym,
Yazou yazmaq bilur-
misin.
Éwét éféndim birqa-
tche Usanda ifadéi méra«*
mé dakbi muqtédirim.
Bazy maballeré azimét
itmèk ouzré aldoughoum-
dan ichimé yarayadjaq-
syu.
Guézdiguim mémiéket-
lerin aqdjélérini vé tar-
tou vé eultchulérini da-
khi éyou bilurym.
Idjab idén kbardj vé
masrafy sénidédjéksin la-*
kin ouzoun ouzadya déf-
tér istémém bilmicbe qI
Jij\ J»\i >\>i ^ \\^«^^\vxv\V^x«w^
.-çfe '^ïs^X^&ît
aw
me donnerez tout les
jours la note détaillée
de ce que vous aurez
déboursé pour moi , et
je vous paierai sur le
champ.
Combien demandez*
vous deg9ges?
J,'ai toujours gagné
cinq cents francs par
an et la nurriture.
Je vous donnerai le
même prix.
Voilà qui est con-
venu, vous pouvez aller
chercher votre paquet ;
vos gages commence-
ront à courir demain.
,jJU aÂÎu •JjT j^^
sén muffédat ponsoulir*
syny hër gun bana vir
aqdjesini déraqaU éda 1-
déyim.
Aylyghyna né qadar
ister&iu.
Héryétdé oafaqamdaD
mada sénévi bêche yeu£
franq alourydym.
Béné iybqy dqadar vi^
ririm.
Idité beullédjé qarar
viriklï boghtchaoy guit
guétur aylyghyn yarynki
gundén icldéyédjékdir.
Pour louer une do^
mestique.
Y ZrtAV long temps
que vays é^toa en coii^
dition ?
1/ jr  diz m^
-ai^-y^^^AW;
Béslémé almagha dïar
mnkialémé.
Khydmétdé boulouua^
ly tchoq vaqt oldoumoa.
Ousénédv*
/
afe. ^ s--- ''*^°*' ~
£tes«¥OM ttJide pays- gc^ \jji
BoufatymysyA.
ci?
Non , monsieur ; je
suis de la province.
Avez-Tous 3ervi dans
plusieurs maisons à
PaTO?
Non y madame ; ii
n'y a que deux ans
que je suis à Paris , et
je n ^ servi quQ dans
la maison d'où je.sorj».
De chez qui $ort^r
vous?
Je sors de chez ma-
dame telle.
C est une fort
bonne maison» pour-
quoi la quittez-vous?
Je la qnitle à n^^U
et si cela dépendait de
moi j'y resieraifs
Quelle peut donc
être la raison de votre
sortie ?
Ceitia kmwfi , nywt
fif^.r^r^Jf'
Kbalr
UnDra-*
louym^
Parizdé tchoq évlérdé
bouloundounmo^.
Khayïr khanym parizé
guëléti iki aéAé oldou
tchyqdyghy khânèéKti
bachqa mahaldé khyd--
met itmëdim.
Kimin yanydan tçhyq-
dynyz.
Filan khalounoun kha-
nésindé idim.
Pek éyou khanédir nî-
tchun térk itdin.
Istéméyérék tchyq-
dyiu vé éguér bana kal-
saydy looroucydym.
Suetl4)isé tebyqmana
•j^^^M-^^-i-^
— 382 —
éprouvé des pertes très- 1
grandes, m' a dit de
diercber une autre pla-
vjxii^^^j* rara ou^radygbyndan
kS^J. 3 ^
ji'lC
ce.
Ainsi , ce n*est point
par mécontentement
qu elle vous renvoie.
C'est bien, mais je
crains que vous ne
puissiez pas faire mon
service, parce qu'il me
faut une domestique
qui soit au fait de tout
les détails du ménage.
Je vous demande
pardon; j'ai été seule
domestique dans plu-
sieurs maison; je sais
coudre , raccommoder
les bas, blanchir le
linge.
Yous ferez très-bien
mon affaire; combien
demandez^voQS de ga-
ges?
Tiwê cents francs.'.
bana izin virdL
J Jj^ ^ Jk^ Jl^J vl>* Jti-
Bou surétdé roukhzat
virmési khochnoudsouz-
lughoundan olmamyche.
Pek éyou andjaq qor-
qarym bénim khydméti-
mi idémézsin tchounki
bana hérdurlu év khyd-
méti bilour bir béslé-
mé lazym.
Afv idérsiniz tchoq
khanélérdé yalynyz bé-
nim khydmét itdiguim
:-'j>^d4Ç3 J^Ç>' vardyr dikich dikmék
• 1^ ilicl ->» tchorab tamir itmék vé
^4- i*îi- tchamachyr yayqamaq
bilurym.
Bénim ichimé guélé-
djéksin sénévi né istérsin.
o»\ > .jy»: i^ \ ^^^"^ ^* ^'^*°*l*
«^383
C'est beaucoup ; né«
anmoins je ne les re*
gretterai pas, si vous
avez autant de talant
que vous Tannoncez ;
vous |>ouvez entrer
chez moi quand vous
voudrez.
Tcboqdour,lakin éguer
didiguin qadar marifétin
varisé tchoq gueurmém.
né vaqt islérsén évé
guél
FIN DES DIALOGUES.
V^
. V.-.
38d —
REGLEMENT
DE L'ACADEMIE
^'^'^^Ib^lÈh^
«
Db la composition de l'Aca-
démie £T DU MODE d' ÉLECTION
DB SES MEMBRES.
Art. 1 . Les membres dont
TAcadémie Ottomane est formée
se divisent en deu]iL classes; la
première comprend les mem-
bres ordinaires; la seconde^les
membres correspondants. Le
nombre des membres ordinaires
est fixé à quarante : il ne pourra
jamais être dépassé ; celui des
membres correspondants est. il-
limité.
Art. 2. Il y a un prési-
dent et un vice-président
L'Académie pourra charger au
besoin un ou plusieurs de ses
membres de revoir les ouvrages
traduits des langues étrangères
par des personnes qui seraient
peu exercées dans Tart décrire
en turc.
jX*. A.UlJiii dLLil J ^^\
J" éJ^ ^ aii-'^ t^U**! jJrfj^i-
\
v/^*^M-}^y-hj.^y
Deux sccrélaire3 aeroi^l mis
à la disposition de FÂcadémie
pour l'expédition de ses tra-
vaux ordinaires.
Art. 3. La liste des mem-
bres de TAcadémie ainsi que la
nomination du président est ar-
rêtée pour celte première fois
seulement par le conseil de Tin^
Iruction publique* Mais, à Fave*
nir, quand il y aura une place
vpcanie dans la première classe,
chacun des niien^bres ordinaires
^^ésent^ sera tenu de jeter dans
une grne scellée du sceau de l'é-
tablissement, un billet portant
le nom de celui des membres
correspondants qu'il aura jugé
le plus capable d'occuper cette
place. Le jour de Télection ar-
rivé, chaque membre votant ex-
posera les titres de celui qu'il
présente, et après que le mérite
des divers candidat^ aura été
connu, il sera procédé à la no-
imnation du nouveau membre
au scrutiu^ecret et à la majorité
dçs voi:!(.
Le rapport, constatant le ré*
sullat du vole, signé par les pré-
sidents çt les autres membres
. ifot^als, sera remis au conseil de
I
V
fiy-^'U^j^ ^^ji^-^vij^-^ ^\Sy^^^
— WEf. —
Tinstruction publique pour être
soumis, en la forme ordinaire, à
la haute sanction de S. M. le
Sultan.
Abt. 4 Lorsqu'une place de
président viendra à vaquer 9 le
conseil de Tinstruction publique
y pourvoira en nomment l'un des
membres ordinaires de l'Acadé*
mie.
Cette nomination qui aura
également lieu à la majorité des
voix, ne sera définitive qu'après
avoir reçu l'approbation impé-
riale.
Abt, B. Si Tun des prési-
dents est appelé à un emploi
quelconque ou nommé, dans la
capitale même, à une place de
nature à l'empêcher de remplir
les fonctions présidentielles, il se-
ra, tout en conservant son titre
de membre, remplacé dans son
poste de président, suivant les
formes énoncées à l'article ci-
dessus.
Aucune fopction publique
n est incompatible avec 1^ qualité
de membre de l'Académie.
Aet. 6. Les candidats au
titre de membre correspondant
sont présentés, soit par les préid-
^\Jaa\ • J^«^ c-ijl»^ u»^ '"^ "^l^^
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dents, soit par le conseil de Tins-
truction publique.
Dans le cas où le candidat
proposé au suffrage de TAcadé-
mie se trouverait loin de la ca-
pitale, et que la société n aurait
aucune connaissance de son mé-
rite,on devra présenter des preu-
ves de sa capacité. Il sera en-
suite procédé, dans les formes
décrites plus-haut, à l'élection
du nouveau membre, laquelle
sera subordonnée à la décision
de S. M. L
Art. 7. Des brevets relatifs
à leurs fonctions seront délivrés
aux présidents. Les membres or-
dinaires ou correspondants re-
cevront outre leurs di{dômes
spéciaux, des certificats rédigés
par l'Académie et le conseil de
l'instruction publique.
Art. 8. Les membres qui
ont r honneur de faire partie
de cette institution, joindront
aux autres titres dont ils se-
raient revêtus celui de membre
de VAcadémie Ottomane,
ùj:»j^ kjL-i^'l ^liîjy^y <u-.>- j\i
j.iu^\ J.Î b j>^i x.J,j::l.
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i}0ALItés REQUISES POUR ilEB
MEMBRE DE l'ÂGADÉMIE.
Art. 1. Les membres or-
dinaires qui prendront part
aux séances de TAcadémie et
ceux qui ayant le titre de cor-
respondant seront tenus de lui
adresser leurs communications
écrites devront être capables de
rendre des services à F ensei-
gnement par leurs connaissances
et leurs travaux littéraires.
Art. 2. Pour être nommé
membre ordinaire, il suffit de
posséder parfaitement une lan-
gue étrangère et de connaître
une science quelconque; mais,
en même temps, on doit être
en état de pouvoir rédiger un
travail en langue turque ou bien
de traduire un livre des lan-
gues Arabe, Persane ou autres.
Néanmoins, à défaut d'une
grande capacité sous le rapport
de la rédaction en turc, la con-
naissance des langues étrangères
ou l'instruction scientifique se-
ront considérés comme des ti-
tres suffisants pour l'admission
à FAeadémie en qualité de
membre ordinaire.
^JA.J.L.
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AftT. 3. Les membres cor-
respondants ne sont pas obligés
de savoir le turc, il suffit qu ils
transmettent leurs travaux à la
société en une langue quel-
conque, et se rendent ainsi u-
tiles à Tinstruction publique.
Art. 4. La société acadér
mique étant composée de per-
sonnes versées , soit dans les
littératures arabe et persane,
soit dans les sciences et les
langues étragëres, chacun de ces
deux genres de connaissances
devra être représenté par le
président et le vice * président ;
c est^à-dire, que les deux places
de président ne pourront ja^
mais être occupées en même
temps par des personnes ayant
la même spécialité.
Les présidents seront toujours
choisis parmi les membres du
conseil de Finstruction publique.
Des fonctions de la sociét£.
Art* 1 . L' Académie tra«
vaillera à la multiplication des
ouvrages traitants de littérature
et de sciences ^ en même temps
elle s'efforcera de contribuet au
■ ■I
progrès et à la perfection de la
langue turque.
Le conseil de rinstruction pu-
blique fera connaître à TAcadé-
mie les ouvrages qu'il jugera
nécessaires de faire composer ou
traduire, et celle-ci chargera de
ce travail un de ses membres
à la majorité des voix. De même
quand cette nécessité sera re-
connue par TAcadémie, elle en
fera part au conseil de l'in-
struction publique pour obtenir
son autorisation et confiera en.
suite r exécution du travail à
un de ses membres.
Les séances ordinaires ou ex*
traordinaires de l'assemblé seront
consacrées à la discusion des
projets conçus dans Fintérèt de
l'instruction par les membres
de l'Académie, qui ont la fa-
culté de les formuler soit ver-
balement, soit par écrit II sera
rendu compte du résultat des
délibérations au conseil de Fin'
struction publique.
Art. 2. La composition ou
la traduction d*un ouvrage une
fois jugée nécessaire, le Prési-
dent s' adressera à ceux des
membres ordinaires qu'il croira
^yj*^ ^^J3 ^^ ^}^. o-^i/i^
Kj» ^\ \j\ vl*i jiTl (Jjj û XoM UaPi
j j^ aI^jcj ^jl«* ijJ^ ^Jy^ ?
les plus capables de l'exécuter
et leur demandera quelques pa*
ges à titre d essai. Apres que
les travaux de ces différentes
personnes ouront été confrontés,
il sera procédé au choix d une
à la majorité des voix.
Art. 3. Les fonctions des
membres correspondants consis-
tent à adresser à 1* Académie
leurs mémoires et leurs ouvra*
ges.
Art* 4. Les livres com-
tposés ou traduits à la demande
.du xx)nseil de rinstruction pu*
blique ou de TAcadémie, ainsi
que les travaux adressés à cette
assemi)lée par ses membres cor«
respondants et approuvés par
elie^seront remis au conseil de
l'instruction publique, qui les
examinera sous le rapport du
fond, et sous le rapport du
style. Si ces œuvres sont jugées
dignes d*être imprimées et que
leur publication ne présente
aucun inconvénient, un rapport,
rédigé dans les formes vouluesi
sera présenté à S. M. le Sultan,
à TefTet d'obtenir sa haute au-
torisation pour qu elles soient
livrées aux presses de Tlmpri*
merie impériale.
^\ dLLib ^A oijJL U^ ^jo,
V-* '•■>' j'j y^ 3*'j* 4^^ v*'^sr^
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Art. 5. 1/ Académie ne
peut entrer en séance si le tiers
au moins de ses membres or-
dinaires qui se trouvent à Con*
stantinople , n*est présent
Tous les membres devront ,
par conséquent, être exacts à
se réunir les jours fixés pour les
séances ordinaires.
lis ne devront pas non plus
manquer de se rendre à l'invi-
tation du président dans le cas
011 la délibération de quelques
affaires importantes exigerait
une réunion extraordinaire.
Le membre qui ne pourra se
rendre à la séance sera tenu
de faire connaître les motifs de
son absence au président par
une lettre dont il sera donné lec-
ture à rassemblée.
Des explications seront de-
mandées par le président à ceux
des membres qui auront man-
que à deux ou trois séances
consécutives, et si Tun des mem-
bres a été , sans aucun empê-
chement légitime, absent pen-
dant toute une année, son di-
plôme lui sera retiré et il sera
procédé à son remplacement.
Art. 6. Ceux des meia-
Mjj j ai>. aJ j\ j,i* \^ lie »^i(f'\
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•A^30i».V-\iv^*-s^^^^ ^-^
OT^ —
bres ordinaires ou correspon--
dants qui se trouvent dans des
pays lointains sont tenus de com-
muniquer à r Académie leurs
découvertes ou leurs observa*
tions relatives aux sciences et à
l'industrie. Les mémoires ou
rapports de ces membres seront
renvoyés par l'Académie au con-
seil de r instruction publique.
ÂEt. 7. Les membres or^
dinaires se réunissent le pre-
mier samedi de chaque mois
à quatre heures en été, et à six
heures en hiver. Lorsque les oc-
cupations de rassemblée au-
ront pris un plus grand dé-
veloppement, les séances pour-
ront avoir lieu tous les quinze
jours et, s'il le faut toutes les
semaines.
Le président convoquera les
membres par lettres individuelles
toutes les fois qu'une affaire
extraordinaire nécessitera leur
réunion.
Art. 8- L'Académie veil-
lera à ce que les livres scienti*
fiques et industriels soient écrit
dans h langue turque usuelle.
aâa d'être à la portée de toul
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•Xjy^ Jg^ 4, ^l ^*Ji ^ j^J^
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S95 —
le monde. Les ouvrages pure-
ment littéraires d'un style relevé
pourront également mériter Fap-
probation de la société qui
saura les apprécier à leur juste
valeur.
Du MODE DES RÉCOMPBIISES.
Aet. 1. Les récompenses
décernées aux auteurs devant
être proportionnées aux services
qu'ils auront rendus sous le rap-
port de l'enseignement, ces ser-
vices sont classés de la ma-
nière suivante:
Sera considéré comme un
service de troisième degré, la
traduction ou la composition
spontanée d'un ouvrage qui se
recommande par son utilité
bien constatée , quoiqu'il ne
présente pas d'ailleurs le carac-
tère d'une nécessité véritable;
Tout ouvrage de ce genre
sera compté comme un service
de deuxième degré, si l'urgence
en est reconnue, soit que l'au-
teur ait été chargé de ce tra-
vail t soit que lui-même en ait
pris l'initiative; mais il sera
mis au nombre des servieet
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ol— Jl^^ij AillA>-jJ ^^^}j^^\ Z^*\»
390 -
premier degré s'il est dun grand
intérêt pour la nation et le
gouvernement, en d*autres ter-
mes, s'il traite de quelque sujet
nouveau et important, relatif
aux sciences et aux arts.
AiiT. 2. Toute personne
ayant rendu un service de troi«
sième degré , obtiendra le pri^
yilège exclusif de profiter des
produits de son ouvrage, ou,
à son choix, recevra une cer-
taine somme d'argent, à la con*
dition que les bénéfices pro-
venant de la vente de son livre
seront alors affectés au budjet
de Tinstruction publique.
Art. 3 L'auteur d'un tra-
vail assimilé aux services de
deuxième degré, aura , outre les
avantages mentionnés dans Tar*
ticle précédent, Tbonneur de
laisser son nom à la postérité par
Tinscription qui en sera faite sur
un tableau particulier, appelé ta-
bleau de privilège , et placé dans
le local même de rassemblée.
^jf' JkJ^ ^^^ ^^J^\^^^^ô^^
ART. 4. Les auteurs des
ouvrages considérés comme set- \ 4Îv*^Ôji.c^^*xi^l \^^ ^^A>^
OVé
vices de premier degrô , oblien-
dront une médaille , indépendam-
ment des privilèges susmention-
nés.
Art, 5. Tous les membres
tant ordinaires que correspon-
dants pourront jouir également
des différents privilèges spécifiés
dans les articles précédents.
Art, 6. Pour distinguer
les divers degrés de services
dont il a été parlé plus haut,
lAcadémie aura recours au vote;
la décision de la majorité sera
communiquée par un rapport
au conseil de Tinstruction pu<
blique.
Une ordonnance impériale
pourra seule rendre exécutoires
les conclusions de ce rapport
K-»U>. ÔLU JUu» OU/S j ^\ ^^^\/^\
FIN.
jjjjl«' • Jlw) A*U>^
TABLE DES MATIÈRES
Mots
Les soubstantifs.
Les verbes.
Les adjectifs.
Numération*
Noms des saisons
Nomi des mois.
' Noms de jours.
DlAlOGCBS.
Rencontre,
Départ
AfBrmer et nier.
La surprise
La probabilité*
L'afliction.
Le Blâme.
Pages.
1
81
142
165
166
id.
169
171
id.
173
17*
id.
175
Poar marquer la joie, la
douleur, l'étonnement ,
l'espérance, et le déses-
t
poir. . 177
Consultation. 1 79
Boire et manger 181
Aller et venir. 182
CTjt*
\
V\
W
\v\
•v\
wr
\vi
'y».
Page
Faire des questions et des
réponsest 183
L*àge. 186
L'heure. id*
I^a \isite. 189
Avant le diner. 190
A table. 191
La pension. 192
Le débarquement. 194
Pour aller à Paris. 4 95
Pour tailler une plunoe. 197
Pour acheter. 198
Le feu. 11|0
Les fleurs 903
Les légumes SOI
Après la pluie 200
Rencontre d'un ami qui
\ient de £aire un voyage» 203
Entre deux écoliers. 805
Pour saluer et faire les corn-
plimens d'usage 206
Pour prier, demander ou
oflFrir , 208
Pourconsentir ou accorder,
refaser ou s'excuaer, et
remercier. 84 1
41.1
r\\
Page
Pour dout^, consaltefi af-
firmer et nier. 21 5
Du temps. 21 T
Le matin en se levant 222
Entre un français et un
anglais. 225
Pour acheter différents ob-
jets. 227
Avant le départ 228
Voyage en chemin de fer. 229
Pour s'habiller. 232
Pour dejeûnen 235
Pour dîner. 239
Le soir en se couchant 244
Chez un {restaurateun 247
Dans le café. 249
Pour voir la ville.
254
Pour louer un appartement 258
Avec un tapissier. 262
Avec le cordonnier et le
tailleur. 264
Avec la Blanchisseuse. 268
Avec un marchand de
aV^j\^ aiSj .i>- 44i
n\ *lls:* ùiJji ij ^jli ^r-^^ >
A— i.i\ vî^ *^!:^ ^s-** r?%
cti
ru
Page
draperies et de soieries. 270
Avec un chapelier. 274
Avec un marchant de bas. 276
Avec un horloger, 277
Avec le médecin , le chi-
rurgien, elle dentiste. 280
Avec un banquier. 285
Pour acheter des livres 289
Pour écrire une lettre. 292
Pour aller au spectacle 294
Pour s'informer de quel-
qu'un* 297
Sur les modes. 299
Des nouvelles. . 301
Sur l'étude de la langue
française. 303
Pour prendre des rensei-
gnemens avant de com-
mencer un voyage 309
Pour voyager. 315
Des accidens qui peuvent
arriver en route. 321
Avec le postillon et le maî.
Ire de posle. 324
Bans la voiture publique 329
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Page
Avec les commis de la
douane' 331
Dans une aubei^e. 334
Pour demander Fhospitalité 337
Pour s'embarquer. 339
Pendant un voyage sur mer, 343
Pour jouer aux ecbecs et
aux dames« 347
De la chasse et de la pêche. 349
Pour nager, 352
De la promenade. 355
Le printemps* 357
L'été. 360
L'automne. 363
L'hiver. 365
Pour louer ou acheter
une maison de campagne 368
pour acheter un cheval 37o
Pour acheter une voilure 37
Pour louer un cocher 376
Pour louer un demestique 377
Pour louer une domestique. 38 >
Règlement de TAcadémie
Ottomane. 385
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